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JOURNAL
FOR
PSYCHOLOGY UND NEUROLOGY
- BAND 19 —.
ZUOLEICH
ZEITSCHRIFT FOR HYPNOTISMUS, BAND 29
HERAUSOEOEBEN VON
t
AUGUST FOREL UND OSKAR VOGT
REDIOIERT VON
K. BRODMANN
MIT 24 TAFELN UND ZAHLREICHEN TEXTABBILDUNGEN
LEIPZIG
VERLAG VON JOHANN AMBROSIUS BARTH
1912
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Spanienche Buchdruckerei in Leipsig.
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Inhalts -Verzeichnis.
Band 19.
Abhandlungen.
Graner, Herbert, Beitrag zur Lehre von den posthemiplegischen Bewegungs-
storungen.117
Klasi, Jakob, Ober das psychogalvanische Phanomen ..141
Lafora, Dr. Gonzalo R<, On the changes of the nervous system in perni¬
cious malaria and the neurological sequelae resulting from malarial
toxemia.209
Mayer, Otto, Mikrometrische Untersuchungen iiber die Zelldichtigkeit der
Grofihimrinde bei den Affen (2 Tafeln).233
Perusini, Gaetano, Grundziige zur ,,Tektonik“ der weifien Riickenmarks-
substanz (4 Tafeln).61
— Grundziige zur „Tektonik“ usw. (Fortsetzung und Schlufi) . . . . 187
Preisig, Dr. H., Etude anatomique et anatomo-pathologique sur un cas
d’atrophie du cervelet (3 Tafeln). 1
Rossi, Dr. Ottorino, Regenerative Vorgange im Nervus opticus . . . . 160
Stein, Dr. Philip, Die psychologische Behandlung der Trinker .... 47
Steiner, Dr. Gabriel, Zur Theorie der funktionellen Grofihirnhemispharen-
differenz.221
Travaglino, Dr. P., Ein Fall von amnestischer Aphasie.252
Williams, Tom A., Studies of the genesis of the cramp of writers and tele¬
graphers: the relation of the disorder to other “neuroses”: their
pathogenesis comparad with that of tics and habit spasms ... 88
Besprechungen und Buchanzeigen.
Berze, Dr. Josef, Die hereditaren Beziehungen der Dementia praecox
Edinger, L., Bau der nervosen Zentralorgane.
Ellenherger, W., Handbuch der vergleichenden mikroskopischen Anatomie
der Haustiere.... . .
Froriep, A., Die Lehren Franz Joseph Galls beurteilt nach dem Stand der
heutigen Kenntnisse.
— 1 st F. J. Gall an der Entdeckung des Brocaschen Sprachzentrums beteiligt?
Prochnow, O., Die Theorie der aktiven Anpassung mit besonderer Be-
rucksichtigung der Deszendenztheorie Schopenhauers.
Sammelberichte
iiber die psychotherapeutische Literatur im Jahre 1910 u. 1911.
Bezzola-Rohr, Zu den psychotherapeutischen Wirkungen des Hochgebiiges 265
Dejerine, J. et Gauckler, E., Les manifestations fonctionelles des Psycho-
n^vroses, leur traitement par la Psychoth6rapie.270
Frank, L., Die Psychoanalyse.267
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Frank, L., Die Determination physischer und psychischer Symptome im
Unterbewufltsein.267
— t)ber Angstneurosen und das Stottern.268
Isserlin, M., Bewegungen und Fortschritte in der Psychotherapie 268
Macinowsky, J., Nervositat und Weltanschauung.264
Meumann, Ernst, Vorlesungen zur Einfiihrung in die experimentelle Psi-
dagogik und ihre psychologischen Grundlagen.266
Veraguth, O., „Psychothcrapie“, im Lehrbuch der Therapie innerer Krank-
heiten von Krause und Garre.266
Weber, Ernst, Der Einflufl lokalisierter Aufmerksamkeit auf die Blutfiille
der tastenden Hautpartie.264
— Die Beeinflussung der Blutverschiebungen bei psychischen Vorgangen
durch Ermiidung.264
— Der Einflufl psychischer Vorgange auf den Korper.264
(Erganzungshefte I u. II.)
Verhandlungen der Internationalen Gesellschaft fUr medizinische
Psychologie und Psychotherapie.
Zweite Jahresversammlung in Miinchen am 25. und 26. September igu.
Vogt, O., Erdffnungsrede. (1) 273
Diskussion fiber Bernheim und Clapardde, Definition, psychologische
Interpretation und therapeutischer Wert des Hypnotismus: Forel, Bern¬
heim, Lowenfeld, Clapardde, Jakob, Tromner, Frank, Kohnstamm,
de Montet, Fulda, Dupr6, Ferrari, Seil, Bon jour, v. Renterghem,
O. Vogt, Preda, Jones, Hilger, Chojecki und Ringier. ( 4 ) 276
Frank, L., Die Determination physischer und psychischer Symptome
im Unterbewufltsein.(27) 299
Diskussion: Lowenfeld, Frank, Tromner, Seif, Bonjour, O. Vogt, de
Montet, Ford und Bernheim .(36) 308
Tromner, E., Entstehung und Bedeutung der Traume.(71) 343
Diskussion: Jones, Trdmner, Semon, Klages, Goldschmidt, Forel, Seif,
Knauer, de Montet und Vogt.(7^) 35^
Kohnstamm, O., Der psychobiologische Standpunkt in der Erkennt-
nistheorie.(84) 356
Diskussion: O. Vogt, O. Kohnstamm . (86) 358
Forel, A., Zur Einteilung der Nervenkrankheiten.(86) 358
Bonjour, Die Grenzen der Psychotherapie.(98) 370
Delius, H., Die hypnotische Behandlung des Asthma nervosum . (102) 374
Jakob, Chr., Ober die Ubiquitat der senso-motorischen Doppelfunk-
tion der Hirnrinde.(107) 379
L6ri, A. et Vurpas, Cl., Observations psycho-physiologiques sur des
anencdphales.(in) 383
Rose, Dr. Maximilian, Histologische Lokalisation der Grofihimrinde
bei kleinen Saugetieren (Rodentia, Insectivora, Chiroptera)
(15 Doppeltafeln).(119) 391
Nachweis zu den Tafeln.
Tafel 1—3: Preisig.
„ 4—7: Perusini (bezeichnet als Taf. I — IV).
„ 8—9: Mayer.
(Erganzungshefte.)
Tafel 1—15: Rose.
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Journal for Psychologie und Neurologil
Band 19.
Heft 1.
Etude anatomique et anatomo-pathologique sur un cas
d’atrophie du cervelet.
Par
le Dr. H. Preisig II e m^dccin de l’Asile de Cery, Lausanne.
(Avec 3 planches.)
De Pa vis de tous les auteurs, la pathologie du cervelet est un chapitre encore
passablement obscur, quoique la literature contienne d6jti un nombre respectable
de cas de maladies c6r6belleuses. L'anatomie pathologique de cet organe, en parti-
culier, est encore k faire en grande partie. La pr6sente 6tude a pour but de d6crire
les lesions d’une atrophie c6r6belleuse que nous croyons devoir rapporter k une
m6ningo-enc6phalite de la p£riode foetale et de noter dans les centres nerveux les
atrophies secondaires cons6cutives k cette affection.
J. G. un idiot admis k l'Asile cantonal de Cery (Vaud) k Page de 47 ans et d6c6d6
6 mois plus tard, le 16 XII. 1909, pr6sentait k Pautopsie une atrophie considerable,
sym6trique, du cervelet, sans autre malformation macroscopique des centres nerveux.
L’histoire de maladie n’indique, dans la famille, aucune particularity digne d'in-
teret au point de vue de Ph6redit6 nerveuse. Plusieurs frdres et soeurs sont normaux
et bien portants. Le p£re 6tait sain d’esprit, il a atteint Page de 80 ans. Le grand p£re
patemel est mort k 82 ans. La mere est morte k 73 ans d'une tuberculose osseuse ayant
necessity une amputation. Le grand pdre maternel est arrive k 86 ans, normal, la grand ’
mere materaelle a succombe k un carcinome de la gorge.
Le malade lui m6me est n6 k terme. Dtis les premiers mois et jusqu ’4 Page de
7 ans, il avait des „crises nerveuses" au cours desquelles il se d6battait et devenait raide.
Les crises une fois disparues furent remplac6es par de ..mauvaises coieres". Il apprit
k parler vers Page de 3 ou 4 ans, mais ce n’est qu’i 7 ans qu’il sut se tenir debout et
marcher. A 10 ans seulement il devint propre. L’anainnese ne r£veie aucune maladie
physique, sauf qu’il souffrit toujours d’une constipation opiniatre.
Jusqu ’4 7 ans le malade ne savait que se trainer k terre. Sa demarche resta tou jours
des plus anormales. U marchait comme un homme ivre et s’appuyait continuellement
aux murs. Sur un trajet des plus courts il faisait 3^4 chutes. La marche le fatiguait
beaucoup, elle 6tait toujours accompagnde d’un grand balancement du corps.
Un essai de suivre P6cole echoua compldtement, le nialade ne put pas m£me
apprendre les lettres de Palphabet, il £tait incapable de fixer son attention sur ce travail.
Il apprit k parler un peu, la parole fut toujours explosive et saccad6e. Il ne put jamais
apprendre k faire sa toilette seul, ni k ex6cuter un travail un peu compliqu£, pas m&me
k rateler ni k balayer. Tout ce qu’il savait faire 6tait 6grener ou peler des legumes,
moudre le caf6, couper un peu de bois. La force musculaire 6tait peu developp^e, ce-
pendant quand il 6tait en coldre, il pouvait saisir un objet avec une grande violence et
se tenir avec une force &tonnante. Il risqua ainsi de jeter un jour une personne au bas
d’un escalier. Les mouvements des mains 6taient peu stirs, mais il n’y avait pas de trem-
ioumal fflr Paycholofrie und Nrumlogir. Bd 19. 1
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2 DR. H. PREISIG.
blement. 11 apprit 4 manger seul. II reconnaissait parfaitement les personnes, mime
4 trie longue echiance et sa mimoire pour tout ce qu’il avait compris etonnait tout
le monde.
. H avait un goftt marque pour la musique et le chant; sa passionetait d'entendre la
musique les jours de fete et de se poster derriire la maison d’icole pour ecouter chanter
les enfants. Lui mime ripitait les chants qu’il avait entendus et chantait juste, re-
produisant les parjles incompldtement. Le caractire etait plutdt gai, il riait; mais il
n’apprit jamais 4 jouer, pas plus qu ’4 faire une priire. L’odorat etait fin. Vers 46 ans
il commen9a 4 s'agiter et 4 se facher plus souvcnt. Il dichirait ses vitements, brisait les
carreaux, devenait menagant. Ces accis d’agitation se compliquirent de gatisme et ren-
dirent nicessaire l’admission 4 l’Asile.
Le status d’entrie mentionnc: malade de taille moyenne (162 cm, poids 46 kg)
grile, musculature faible et flasque. Cheveux clairsemes, pas de barbe ni de moustaches.
Peau mince et blanche. Kyphose dorsale fortement accus6e. Poitrine en entonnoir,
fortement aplatie. Cceur hypertrophic, bruits du cceur faibles et iloignis, pouls irri-
guher. Ventre aplati. Crvptorchisme bilateral. Les membres, particuliirement les
extrimitis superieures, sont d’une longueur disproportionnie ce qui, avec la courbure
de la colonne vertebrate, donnc au malade un aspect simiesque. La sensibility semble
normale, quoique le malade soit incapable de localiser la douleur. Reflexes tendineux
cxagiris.
Cr&ne en pain de sucre. Front aplati, les mensurations craniennes donnent les
resultats suivants:
a) Mesures prises au ruban mitrique. Ma, * dc
1. Circonfhence horizontale totale: de la protuberance interne 4
la Glabelle (et retour de l’autre c6ti) . 55 54
2. Demi circonfirence posUrieure : du bord antirieur de l’apophysc
mastolde d’un cote par la protuberance occipitale extcrne au bord an-
tirieur de l’apophyse mastolde de l’autre cote . 24 i<S,5
3. Demi circonference anUrieure: du bord antirieur du conduit
auditif externe par la Glabelle au point symetrique de I’autre cote 30 32
4. Courbe transverse susauriculaire: du conduit auditif par la breg¬
ma 4 l’autre conduit. 36 36,5
5. Courbe anUro-posUrieure: de la racine nasale 4 la protuberance
occipitale externe . 35 36,5
6. Courbe biauriculo-mentonnitre: d'un conduit auditif 4 l’autre
par le menton. 30 31
b) Mesures prises au compas (en centimetres)
1. DiamHre longitudinal: de la racine nasale 4 la protuberance
occipitale externe . 18 16,5
2. Diametre transverse maximum. 15 16,5
3. Diametre biauriculaire . 12,5 12,5
4. Distance des arcades zygomatiques 4 l'os frontal .... 11 14
5. Distance du conduit auditif 4 l’epine dorsale . 12 11,5
6. Indice Uphalique: obtenu en divisant par le diametre longitu¬
dinal le centre du diametre transverse maximum. 83,3 100
La peau de la face cst fortement pigmentee et tombc en nombreuses rides minces.
Nez epate. Yeux mongoliens, Strabisme convergent, nystagmus lateral, les pupilles re»
agissent un peu paresseusement 4 la lumiere et 41 ’accomodation. Les oreilles sont grandes,
sans lobule marque. Les levres sont seches et minces, l’implantation des dents est
irreguliere, il y a prognatisme et carie dentaire.
Le malade, tr 4 s passif, suit l’examcn avec une -uriosite marquee, de temps en temps,
il repete 4 plusieurs reprises les mots qu’il entend. L’expression du visage est celle du
contentement. La parole est indistincte et la prononciation defectueuse: j est prononce
comme Z. Le langage se borne du reste 4 r6pondre aux questions par des mots detaches,
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11) - 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQU E. 3
sans construction logique de phrases. Les noms et pr6noms sont indiqu6s exactement,
de rheme que lc lieu d'origine; l’age et la date de la naissance sont inconnus. Le malade in-
dique exactement que son p6re et sa m£re sont morts, sans pouvoir dire quand ; il sait
qu'il a encore un fr£re et une soeur. Des questions comme: ..combien font deux fois
deux" ne sont pas comprises. II sait designer par leur nom les objets usuels tels que:
montre, livre, 6pingle, encrier. Un calepin, un cahier, son histoire de malade sont design6s
par le terme commun de ,,livre". Le malade est incapable d’interpr6ter son entourage
ct l’orientation dans le temps lui fait 6galement d6faut. II ne trahit ni ennui, ni senti¬
ment quelconque.
A la longue le s6jour 4 l’asile parut cependant affecter p6niblement le malade,
il devint de plus en plus triste et l*6tat g6n6ral baissait. L’exitus eut lieu, par myocardite
chronique, 6 mois aprds 1 ’admission (16 XII. 1909).
L’autopsie, faite le lendemain, d6montra que le testicule gauche, atrophi6,
existait dans la r6gion inguinale, imm6diatement en dehors de Tart^re iliaqua
exteme. Le testicule droit 6tait absent. Le crane fortement brachyc6phale 6tait
tr£s 6pais, le poids total de l'enc6phale 6tait de 1250 g. La pie-m£re, 6paissie, sur
les h6misph£res c6r6braux se d6tachait facilement. Le grand cerveau ne pr6sentait
rien d'anormal dans son aspect ext6rieur ni dans la disposition des circonvolutions.
Une atrophie consid6rable du cervelet attirait imm6diatement Tat tent ion. Cet
organe avait conserv6 sa forme normale, mais il 6tait consid6rablement r6duit dans
tous ses diam£tres et ses lamelles amincies. Le plus grand diam£tre transversal
comportait 70 mm, le diam6tre ant6ro-post6rieur 35 mm.
Donnons ici comme terme de comparai 9 on, les dimensions normales indiqu6es
par les auteurs, et quelques mesures
emprunt6es 4 d’autres cas
d’atrophie c6r6-
belleuse:
diftmdtre
dlam^tre ant^ro*
transversal
posterieur
d'aprds Schultze (1887) ....
. IX 5— I2 5
55—70
Nonne (1891) ....
. IX 5
52-5
Testut .
55—65
cas de Schultxe .
. 90
30
Nonne .
80
35
Fischer .
. 75
30—38
/. G. (notre cas) . . .
. 7 °
35
Les lobes occipitaux couvraient compl6tement le cervelet, le bord ext6rieur
de cet organe 6tant s6par6 des poles occipitaux en arri6re par un espace de 33 4
35 mm; du bord le plus exteme du lobe temporal, de chaque cot6 par un espace
libre de 25 et 30 mm. Le vermis ne faisait aucune saillie sur la face sup6rieure, il
y avait au contraire une sorte de goutti&re le long de la ligne m6diane. La face
infdrieure du cervelet paraissait aplatie. LEminence cruciale 6tait bien reconnais-
sable. Les amygdales et les flocculi se distinguaient nettement. Tout le cervelet
6tait d'une consistance tr6s augment6e, d’une duret6 presque cartilagineuse.
La pro6minence des olives n’existait pas sur la face ant6rieure du bulbe
rachidien. La protub6rance annulaire apparaissait consid6rablement raccourcie
et aplatie (diamdtre ant6ro-post6rieur 17 mm, transversal 30 mm) 1 ). Son atrophie
contrastrait singuliBrement avec le beau d6veloppement du trijumeau, ce qui
1 ) d’aprds Testut le diam6tre ant6ro-post6rieur serait en moyenne de 25 mm, le diamdtre
transversal de 38 mm.
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4 DR. H. PREISIG.
donnait k cette partie du cerveau une analogie frappante avec les regions corre-
spondantes d'un animal, rongeur ou carnassier. Le bord ant£rieur de la protuberance
ne formait pas, comme normalement, un bourrelet saillant sur les pedoncules c6re-
braux, mais se continuait presque sans demarcation avec ces demiers. Les nerfs
oculomoteurs communs naissaient k 5 mm en avant du bord anterieur du pont.
L’origine apparente des autres nerfs craniens ne presentait rien de particulier.
La pie-m&re de la moelle epiniere etait parsemee, sur toute la longueur de la moelle,
de plaques minces, k contours dechiquetes et d’aspect osseux, de consistance,
osseuse egalement, mesurant de quelques millimetres k 1 cm 011 i>/ 9 cm de diametre,
ovalaires ou grossi&rement rectangulaires. La moelle dorsale etait visiblement
amincie.
Des fragments du manteau c6r6bral furent preieves au niveau de la premiere
circonvolution frontale et de la frontale ascendante, pour l’examen histologique
de recorce. Le tronc cerebral avec le cervelet fut detache du pallium par la coupe
de Meynert, fixe au formol puis au bichromate k 2%, monte dans la photoxyline
et debite en une serie ininterrompue de coupes transversales. Ces coupes ont ete
traitees, pour la plupart k rhematoxyline suivant la methode de Weigert-Pal ,
dans la modification indiquee par Kulschiztky, d’autres au picro-carmin ou k l’h&na-
toxyline de Bohmer. Un fragment du cervelet, detache et monte k part pour l’ex£-
cution de coupes fines et l’examen plus minutieux de l’ecorce cerebelleuse, a ete
traite au carmin ammoniacal, puis apres inclusion, k l’h&natoxyline et au colorant
de van Gieson. La moelle epiniere durcie en entier a foumi les fragments necessaires
k Texamen de ses differents segments. Voici les resultats de l’examen de ces diff£-
rentes pieces:
Examen de I'icorce cSHbrale.
Circonvolution frontale. La pie-mere est epaissie, fibreuse, elle est tres riche en
vaisseaux, surtout de petit calibre. Par places il y a des agglomerations de petits vaisseaux
formant de v6ritables pelotons, leur paroi est assez epaisse. — Les differentes couches
cellulaires de l’6corce ne sont pas reconnaissables partout, par places les couches passent
les unes aux autres sans qu’on puisse reconnaitre de limite. Les cellules ganglionnaires
sont petites, elles paraissent ratatinees. Les unes sont fortement colorees, jusque dans
leurs prolongements, paraissant form6es d’une masse homogdne et compacte et sont
manifestement scl6ros6es; ce sont principalement des grains externes et quelques cellules
pyramidales de la couche superficielle. D’autres elements sont faiblement color6s, leur
protoplasma apparait spongieux; leur noyau, colors Egalement, se distingue k peine du
corps protoplasmatique: le contour du noyau est dechiquet6 ou invisible. Plusieurs
cellules ganglionnaires sont si pales qu’elles sont k peine visibles, ce ne sont plus que
des fantomes cellulaires. Les noyaux n6vrogliques sont petits, souvent agglom6r£s en
groupes. Les vaisseaux de l’6corce ont la paroi 6paissc et formec d’un grand nombre
de petits Elements qui semblent serr6s les uns contre les autres.
Circonvolution frontale ascendante. La pie-mdre est fortement Epaissie et prfeente
une augmentation des vaisseaux comme dans la circonvolution frontale. Les vaisseaux de
l’6corce pr6sentent les memes caractdres que plus haut. Les cellules ganglionnaires, au
lieu d’6tre r6parties r6guli6rement sur la coupe, sont nombreuses par places, et man^uent
presque k d’autres; il y a ainsi dans la preparation, des sortes de trous, correspon-
dant aux endroits ou seule la nevroglie est repr6sent6e, les elements nerveux 6tant ab¬
sents. Les grandes pyramides, en particulier, forment une ligne souvent interrompue;
a un segment de ligne ou elles sont bien repr&sent6es par plusieurs elements, succdde un
intervalle oil elles manquent complitement. La plupart de ces grandes pyramides
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BD l9 ifl?o SFT 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE. f
sont en 6tat de sclerose et contiennent de grandes quantity de pigment. Les autres
cellules ganglionnaires sont 6galement scleros£es pour la plupart, d'autres sont p 41 es
et se rattachent au type d 6 j 4 d£crit dans la circonvolution frontale. Sauf les grandes
cellules pyramidales bourr6es de pigment, les elements nerveux sont en g£n£ral petit
et comme rabougris.
L'Gtude des coupes transversales et du tronc cerebral avec son cervelet, ainsi
que celles de la mobile epini£re ne nous a r6vele nulle part d’asym6trie notable. Nous
d6crirons par consequent les difterents elements constituants sans signaler de nouveau
cette particularite: tout 6tait sensiblement sym&trique.
Exanun du cervelet. Le cervelet, si dur au moment de Pautopsie, etait devenu
beaucoup plus mou que le reste du cerveau aprds la fixation dans le bichromate. II
acquit 14 une consistance un peu spongieuse et 61 astique. Ce caractSre etait si marque
qu'il fut impossible de confectionner au microtome de Gudden, c'est 4 dire sans inclusion
prealable, des coupes utilisables, avec le fragment detache de cet organe. Cette reaction
particuliere vis 4 vis du liquide fixateur peut etre notee comme une preuve de plus de
^alteration pathologique du tissu cer6belleux.
Le cervelet sur les coupes transversales apparait comme une sorte de toit, 4 double
inclinaison et 4 falte median, qui deborde 4 droite et 4 gauche l’axe c6r6bro-spinal. Sur
les coupes posterieures, le vermis est nettement s6pare des hemispheres, dont le contour
rappelle 4 peu prds un ovale. En avant, le cervelet represente comme une lame qui
aurait et6 coud6e sur la ligne mediane et qui a sensiblement partout la meme epaisseur
(i 4 i 1 ^ cm). Les pedoncules cerebelleux superieurs, moyens et inferieurs, tous atro¬
phies, ne constituent qu’un hile beaucoup plus grdle que normalement. L'union des
corps restiformes avec le cervelet est ainsi reportee trds en avant. De ce fait, combine
avec la forme en toit du cervelet resultc un agrandissement manifeste de la cavite du
quatrieme ventricule.
Tandis que les parties centrales du cervelet sont relativement normales, toute
la peripherie de cet organe est profondement alteree. La coloration de Kulsehitzky
ne r6veie aucune fibre 4 myeiine dans toute l'6paisseur d'une zone qui mesure 445 mm.
de profondeur et qui se decolore compietement sur les coupes. Partout o 4 l’organe est
tr6s mince, ainsi au niveau du vermis en arridre, partout le long des bords fibres du
cervelet et particulierement le long de son bord post6rieur, les zones alterees arrivent
4 se superposer directement, sans interposition de tissu colore et on a ainsi des alte¬
rations occupant en apparence une profondeur beaucoup plus grande. Dans les coupes
interessant les parties anterieures du cervelet, le centre medullaire et les pedoncules
cerebelleux superieurs constituent de beaucoup la partie la plus importante en surface,
les parties bien color6es apparaissent modestement bordees d'une mince couronne de
substance corticale decoloree.
Sur les coupes colorees 4 l’hematoxyline ou au carmin, cette zone peripherique
apparait constitu6e par des lames c6rebelleuses, mais considerablement alterees dans
leur structure. On reconnalt 4 peine, par-ci par- 14 , l’agencement en lamelles caracteristi-
que; en general, on a affaire 4 des lames simples 4 peu pr£s paralieies, et sans ramifica¬
tions secondaires. Au lieu d'etre nettement separ6es les unes des autres, les lames sont
soudees les unes avec les autres. (Voir Figure 15 et cf. avec Fig. 16 d'un cervelet normal)
La face inferieure de l'organe parait relativement moins atteinte, c'est elle qui prfeente
les lamelles qui s'6cartent le moins du type normal. La pie-mdre est 6paissie et contient
de nombreux vaisseaux aux parois 6paissies.
La couche mol6culaire est mince, on y volt de nombreuses fibres de n6vroglie et
des noyaux de ndvroglie, mais aucune cellule polygonale. Elle contient en outre en grand
nombre des masses ovoides, de grandeur variable, en g6n6ral plus grosses que les noyaux
n6vrogliques et 4 contours flous, faiblement colordes en mauve. Ce sont des corpuscules
amyloides. Us se colorent en bran, donnant la reaction caractdristique de Siegert. Les
nombreux capillaires que l'on voit 4 l'6tat normal dans cette couche, manquent ici.
Les cellules de Purkinje manquent compldtement, nous n' avons pu en apercevoir
nulle part.
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6
I)R. H. PREIS 1 G.
Juurnal f. Psychologi*
und Neurologie.
La couche des grains est tr£s mince,' elle apparait constitute par quelques rangtcs
seulement de grains passablement espacts les uns des autres, mais d’aspect normal.
La repartition des grains est regulitre, ils ne sont pas agglomtrts en paquets comme
normalement. Nous n’avons pu reconnaltre aucune cellule du type II de Golgi.
La substance blanche des lames a sensiblement la mtme coloration que la couche
moltculaire (au lieu d'etre plus foncte comme c’est le cas normalement) on y voit beau-
coup de noyaux et de fibres de ntvroglie, par-ci par- 14 aussi quelques corpusculesamyloides.
Les noyaux dentells sont ratatints, comme rttractts sur eux mtmes, mais trts re-
connaissables 4 leurs volutes caracttristiques. Ils sont bien, comme normalement,
a ppliquts contre le vermis. Leurs cellules constitutives ont un aspect normal, elles
semblent seulement presstes les unes contre les autres. Le feutrage extraciliaire est
nettement reconnaissable, il se dttache du reste de la substance blanche par sa coloration
plus intense. Le feutrage intraciliaire est bien colort tgalement et semble formt de
fibres normales.
Les noyaux du toil se presen tent, 4 leur place normale, comme deux noyaux spht-
riques immtdiatement adjacents 4 la ligne mtdiane, constitute par de bonnes cellules
ttoiltes ou triangulaires.
Les noyaux denteUs accessoires sont reconnaissables 6galement, quoiqu'il nous
alt 6t4 impossible de distinguer, dans le noyau unique qu’ils forment, un embolus ct
un noyau sph6rique s 4 parte.
Le centre blanc du cervelet est fortement colors sur les coupes au carmin, on v
voit beau coup de vaisseaux et des trainees de substance rouge fonc6 comme on les trouve
dans les faisceaux d6g6n6rte aprte les extirpations faites d’aprte la methode de Gudden.
C'est surtout en arridre des noyaux dentells que la substance blanche est ainsi alt 6 r 4 e,
dans ces mSmes regions l’hGmatoxyline de Kulschitzky ne fait apparaitre presque aucune
fibre 4 my 61 ine dans les hemispheres.
Autre part, les fibres color6es existent, mais elles sont loin d’etre aussi compactes
que dans un cervelet normal; elles apparaissent rares, noyfees dans un tissu compose
en grande partie de noyaux nevrogliques et la coloration du centre medullaire est beau-
coup moins intense que celle des faisceaux de fibres normaux. La substance blanche
n'existe presque pas au dessus et au dessous des noyaux denteies, en dehors d'eux elle
est proportionnellement bien developpee.
En suivant la serie des coupes d'arritee en avant on reconnalt d’abord le feutrage
sous-lamellaire, puis apparaissent les feutrages extra-et intraciliaires d 4 j 4 mentionnte
4 propos des olives c£r6belleuses, plus en avant seulement on reconnalt des fibres semi-
circulaires externes, intensement color6es et assez nombreuses et des fibres semi-cir-
culaires internes beaucoup plus rares. Ces dernidres fibres ne font leur apparition que
dans les coupes les plus antteieures, leur masse est si peu importante que le noyau den¬
ted et le pteloncule c4r6belleux supteieur semblent appliques imm6diatement 4 la sub¬
stance corticale qui limite le quatridme ventricule.
Au niveau des noyaux du toit, et situtes imm&diatement sur leur face dorsale,
on voit apparaitre des fibres bien colorees, en apparence commissurales, qui constituent
un faisceau bien isol6. Ces fibres semblent partir du nucleus fastigii, passer la ligne
m6diane, contourner le noyau du toit du cot6 oppose en passant au dessus de lui et
s’arrGter contre la face interne du noyau denteld. Sur les coupes plus antteieures, on
les voit cependant se continuer avec les fibres semi-circulaires externes dans le corn-
plexus desquelles elles se perdent. Ce faisceau qui paratt constituer une commissure
au premier abord est le faisceau en crochet de Russell (fasciculus uncinatus).
Au dessus de cet entrecroisement des faisceaux en crochets et s6par6e de lui par
une mince couche oti les fibres sont peu colorees on voit une seconde commissure, com-
pacte 6galement. Ses fibres se continuent 6galement avec les fibres semi-circulaires
externes.
Les p£doncules c6r6belleux supteieurs sont faibles comme diamdtre, mais bien
colorte et paraissent formas de fibres normales. Ils se d6tachent nettement des parties
environnantes moins normales, ce qui permet de les suivre comme s’ils 6taint isolte.
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BD< l 9 19 ? 2 ? FT 1 ETUDE anatomique et anatomo-pathologique. 7
Oa constate facilejnent qu’ils continuent sans interruption le feutrage intraciliaire
- des corps dentelts.
Les ptdoncules ctrtbelleux moyens, proportionnellement beaucoup plus atrophits,
sont rtduits k un mince cordon qui occupe la place des falseeaux les plus anttrieurs
d’un pMoncnle normal. En les suivant d’avant en arritre sur la strie des coupes, on
les voit ptnttrer de la protuberance dans le cervelet et y venir occuper leur place ordi¬
naire en dehors des fibres du corps restiforme.
Les fibres du corps restiforme sont tgalement reconnaissables sur quelques coupes
dans leur trajet intractrtbelleux: trts rtduites comme nous le verrons k propos du bulbe
rachidien, elles viennent se placer, comme e’est le cas normal, entre le ptdoncule moyen
en dehors et le ptdoncule suptrieur si true mMialement.
Examen de la moellc lombaire. La forme gtntrale des coupes n’est pas modifite,
le diamttre transversal mesure en moyenne 9,5 mm, le diamttre antero-posttrieur
7 d 8 mm. Le canal central est oblittrt, la substance gtlatineuse centrale de Stilling
qui l'entoure est fortement dtveloppte et bourrte de noyaux ntvrogliques. Les comes
anttrieures sont d’aspect normal, leurs cellules ganghonnaires nombreuses, belles et
grandes, groupies normalement. La region correspondant aux cellules de Clarke-e st
occupte par de petites cellules faiblement colortes, rares.
Les comes posttrieures ont un aspect tres particulier: leur partie moyenne manque
presque totalement et leur extremity est trts amincie. La base existe; son prolongement
se termine brusquement k mi-chemin, par une extrtmitt tchancrte k concavity postt-
rieure, constituant un esptce de moignon. Prts de la ptriphtrie de la coupe il existe
de nouveau un noyau gris, ovoide, correspondant k la ttte de la come posttrieure. La
partie moyenne de la corne posttrieure est remplacte par de la substance blanche: des
fibres fortement colorees, constituent par leur ensemble un croissant k concavitt postero-
exterae qui embrasse le noyau de la ttte, ou une faucille qui, suivant les coupes apparait
comme une dtpendance tantot du cordon de Burdach tantot du cordon antero-lattral.
En effet, la base et la ttte de la corne posttrieure qui au premier abord semblent com-
plttement indtpendantes Pune de Pautre, sont rtunies en rtalitt par de petits ponts
de substance grise qui prolongent tantot la pointe interne tantdt la pointe extern© du
moignon de la base; il en rtsulte que la pointe de la faucille constitute par la substance
blanche parait, suivant les coupes, tantdt externe tantdt interne. La racine posttrieure
semble rejeter le noyau de la ttte de prtftrence en dedans. Ce noyau est cons tit u 6 par
de petites cellules assez nombreuses. — Le „noyau de la come posttrieure* 1 classique
n’est pas reconnaissable, la zone de Lissauer non plus. Ce qui reste de la ttte de la come
posttrieure nous a pam representer la substance gtlatineuse de Rolando.
La zone commissurale grise ne parait pas modifite. Les systtmes commissuraux
blancs sont peu dtveloppts, particuli t rement la commissure blanche posttrieure, qui
est reprtsentte k peine par quelques fibres.
MoiUe dorsals. Sur les coupes, la motile dorsale apparait plus mince que normale¬
ment et surtout aplatie d’avant en arritre. Son diamttre transversal mesure 10 mm,
le diamttre anttro-posttrieur 5,5 mm. Les contours de la coupe sont irrtguliers, avec
des incisures; les principales de ces incisures correspondent k Tissue des racines postt-
rieures et k la ttte des comes anttrieures. Le canal central se prtsente avec les mtmes
caracttres que dans la motile lombaire.
Les comes posttrieures manquent complttement, e’est k peine si on rencontre
par-ci par-id un peu de substance grise situte l&ttralement et surtout mtdialement des
racines posttrieures et correspondant k la partie moyenne de ces comes, probablement
k la substance gtlatineuse de Rolando ; ces menus restes de la come posttrieure contiennent
des cellules petites. L’axe de la motile dans son ensemble se prtsente comme compose
de deux masses symttriques irrtgulitrement polygonales rtunies par une mince commis¬
sure de substance grise et qui reprtsentent les comes anttrieures et lattrales. Les comes
anttrieures contiennent des cellules ganglionnaires normales, paraissant peu nombreuses,
grouptes comme normalement en 3 groupes. Les cellules de la come lattrale, bien marqute.
trts aigue et qui se prolonge loin en dehors, constituent une longue strie qui s’ttgnd
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DR. H. PREISIG.
Journal f. Piychologta
and Neurologic.
jusqu'en plein dans la substance blanche des cordons. L'extreme base des corns post£-
rieures encore reconnaissable comme telle, est constitute par des cellules de petites
dimensions. Les colonnes de Clarke reconnaissables sur certaines coupes ne montrent
ancune des grandes cellules vesiculeuses caracttristiques, mais uniquement des Elements
pour la plupart trts petits. La commissure grise, mince, a la forme d’un arc k concavite
anttrieure.
La commissure blanche anttrieure existe faiblement, la commissure blanche
posttrieure est reprtsentte k peine par quelques fibres.
Motile cervicale. Les coupes ont une forme grossitrement triangulaire, la base
du triangle correspondant k la face anttrieure de l’organe. Cette forme paralt indiquer
que la perte de substance a portt surtout sur la partie posttrieure du cordon antero¬
lateral. Elies ont un diamttre moyen de 12—13 mm dans le sens transversal, de 8 mm
dans le sens anttro-posttrieur.
Le noyau gtlatineux de Stilling, considtrablement agrandi a ett arracht presque
partout par le rasoir du microtome, sa consistance etant trop d if ft rente de celle du
reste de I’argane. Les cornes anttrieures et la commissure grise n’offrent rien de parti-
culier. La commissure blanche anterieure existe bien developpee. La commissure
blanche posttrieure est rtduite k quelques fibres. Les cordons posterieurs semblent
diminuts quand on les compare k ceux d'une moelle norm ale,
Les comes posttrieures sont de nouveau les parties les plus altertes, elles sont
trts rtduites. Leur base existe et constitue une sorte de moignon coupt brusquement,
Textrtmitt libre ttant creuste de fa9on k apparaitre concave. Leur concavite est remplie
par un faisceau blanc qui apparalt sur la coupe comme un prolongement lateral du cordon
de Burdock. Plus en arritre sur le trajet des racines posttrieures, on rencontre une masse
de substance grise complttement isolte au milieu des faisceaux blancs et contenant de
petites cellules nerveuses. Cet aspect rappelle complement celui offert par les comes
posttrieures au niveau lombaire et la petite colonne grise isolee au milieu des racines
posterieures doit etre la substance gtlatineuse de Rolando.
Bulbe rachidien. Le canal central du bulbe est oblittrt comme celui de la motile
tpinitre. L’entrecroisement pyramidal se fait normalement et les faisceaux qui le con¬
stituent sont aussi fourais que dans un bulbe normal. Les comes anttrieures de la moelle
se prolongent sans accident dans la substance rtticulaire grise du bulbe. L’examen
des comes posttrieures dans la strie des coupes permet de constater que le noyau de
petites cellules dtcrit comme reprtsentant le reste de la ttte de ces comes dans la motile
cervicale se continue dans la substance gtla tine use de Rolando du bulbe rachidien:
le noyau correspond done bien k la substance gtlatineuse de la motile.
Les noyaux des cordons posttrieurs sont bien forints et sont constituts par des
cellules d'apparence normale. Au contraire de ce que dessine Dtjerine dans son traitt
d'anatomie, le noyau de Burdock descend beaucoup plus bas que celui de GoU. Quant
au noyau de Monakow il fait son apparition, comme toujours, plus frontalement que les
deux prtetdents.
La substance rtticulaire du bulbe a un aspect normal, quelques unes de ses grandes
cellules sont fortement pigmenttes. Elle contient en gtntral beaucoup de cellules et
ces tlements sont normalement dtveloppts.
Le noyau lattral du bulbe est d'apparence et de dimensions normales, ses cellules
ne trahissent rien d'extraordinaire.
Les olives bulbaires sont considtrablement atrophites: elles ne font pas sur la
coupe la saillie caracttristique, en repoussant en quelque sorte le bord de celle-ci; elles
sont trts tloigntes de la ligne mtdiane, tcarttes qu’elles sont l’une de l’autre par
une couche inter-olivaire puissante. Chacune d’elles est rtduite k une petite masse
ratatinte, qui a conservt cependant sa position normale, ses volutes caracttristiques,
et son hile mtdian. Les deux grandes lamelles coustitutives sont tgalement
reconnaissables, la lamelle ventrale est peut dtre relativement mo ms atteinte par
Tatrophie que la lamelle dorsale. La capsule est tr& rtduite, elle se compose d’une
couche mince de fibres k my£line, couche qui n’est renforc6e que 1 k ok des fibres radi
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BD. 19, HEFT 1
1918L
ETUDE ANATOM 1 QUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
9
culaires de l’hypoglosse viennent sc meler k elle. On voit nettement certain des ces fais-
ceaux de fibres de la capsule se continuer sur la face exteme de l’olive, avec des fibres
arciformes internes. On voit les fibres constitutives s’enrouler en quelque sorte autour
du corps de l'olive et on a 1’impression que toute la capsule est constitute de fibres arci¬
formes internes contournant l'olive. — Les cellules de la lamelle olivaire existent, elles
paraissent beau coup moms nombreuses et plus petites que normalement. — Les fibres
qui stparent les deux lamelles et occupent l'interieur de la formation olivaire ne consti¬
tuent ici qu'une couche extremement mince.
La parolive exteme n’a pu etre reconnue sur aucune coupe: elle est complhtement
disparue. La parolive interne, trts petite, a perdu sa forme caracttristique, la partie
verticale de l'accent circonflexe qu’elle dessine sur les coupes normales ayant disparu
sans vestiges. Le feuillet horizontal comprend des cellules d'apparence normale, mais
ne constitue par son ensemble, qu'une mince lamelle grise qui se prolonge en arriere
par une petite queue trts etroite et interrompue par places.
De 1 'atrophie considerable des olives, il rtsulte que la region dite „olivaire" du
bulbe rachidien est trts reduite dans sa hauteur. Nombre de coupes qui par tous leurs
autres elements appartiennent a la region olivaire proprement dite ne presentent pas
du tout l'olive bulbaire, celle-ci s'etant en quelque sorte retractee et raccourcie pour
faire place k d'autres formations.
Les noyaux arciformes sont tr£s petits. Us apparaissent comme une simple et
trds mince lamelle bordant les faisceaux pyramidaux, et que traversent quelques minus¬
cules faisceaux aberrants detaches des pyramided. Us semblent etre, plutot qu'une
formation speciale, le lieu de rencontre des travees fibreuses qui cloisonnent les fais¬
ceaux pyramidaux. On y reconnait cependant de petites cellules, bien petites, et des
fibres k myeiine (fibres arciformes extemes). 11 n'y a pas de noyau retropyramidal
reconnaissable. Les noyaux arciformes s'arretent en avant sans qu'on puisse constater
qu'ils se continuent avec la substance grise de la protuberance.
Les fibres arciformes sont nombreuses au dessus de l'olive et ne presentent la
rien de particulier. On n'en reconnait aucune qui traverse la formation olivaire, tandis
que plusieurs, ainsi que nous l'avons mentionne k propos de la capsule olivaire, s'in-
curvent pour entrer dans la constitution de cette capsule. Cependant celles qui passent
ainsi au dessous de l'olive sont proportionnellement peu nombreuses, tandis que les
fibres arciformes internes dorsales sont bien d6velopp£es. L'entrecroisement sensitif
est bien constitue et bien foumi. Le ruban de Reil occupe une large place sur les coupes
et apparait bien constitue longtemps avant que les olives aient fait leur apparition
sur les coupes (en lisant les coupes d’arrtere en avant.)
Le faisceau lateral du bulbe existe. En tous cas, la place qu'on lui assigne dans
les coupes normales est occup6e par des faisceaux blancs.
Le corps restiforme (partie blanche exteme du pedoncule c6r6belleux inferieur)
est reconnaissable d6jA au niveau de la parolive interne. M&me plus haut il ne constitue
qu'un faisceau trds mince, qui ne rappelle en rien par ses dimensions celles d'un corps
restiforme normal, mais qui a bien la situation voulue en dehors de la racine spinale
du trijumeau. Au niveau de la partie moyenne de l'olive, il mesure 2 mm sur 1,5 mm
k peine. L'olive disparue, il n'6gale pas les dimensions de la racine spinale de la cinqui&me
paire. Plus haut, on le voit, sous la forme d'un faisceau d' 1,5 mm de largeur au maxi¬
mum, p6n6trer entre le pedoncule c6r6bedeux sup£rieur en dedans et le pedoncule moyen
eq dehors pour gagner la substance m£dullaire du cervelet oh d s'irradie.
Les corps j uxta-restiforme (ou partie interne du pedoncule c6r6belleux inferieur)
est r6pr6sent6 par de gros noyaux gris entremdl6s de substance blanche, et qui fait
suite aux noyaux des cordons posttrieurs. En avant la separation est bien nette d'avec
les noyaux du toit; les noyaux juxta - restiformes apparaissent du reste nettement
comme une partie du tronc cerebral ils sont trds franchement distincts du cervelet.
Leur developpement contras te fort avec celui du corps restiforme proprement dit, qui
est reduit k une faible importance. — Les masses grises contiennent des cellules d'appa¬
rence normale; on ne peut pas y faire un depart entre le noyau de Deiters et le noyau
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IC)
DR. H. PRK 1 SIG.
Journal f. Pfjchnlo»i«
und Neuroloirie.
de Bechterew. — On suit nettement un faisceau blanc qui se detache de la racine vesti-
bulaire de l’acoustique et vient aborder nos noyaux par leur cotd frontal. Du complexus
formd par cette racine de l’acoustique et le corps juxta-rcstiforme se ddtachent des fibres
qui vont au cervelet, an passant les uns en dedans, les autres en dehors du pddoncule
eerdbelleux superieur, puis un large faisceau qui se dirige vers l’ccorce dc la face interne
des hemispheres cdrdbelleux (du memo cotd).
Les fibres arcifoimes externes ventrales, sont coniine leurs correspondantes in¬
ternes, peu nombreuses. Les fibres situdes plus haut sont au contraire bien ddveloppdes
(fibres arciformes superficielles laterales de Koelliker) on les voit en continuation visible
avec le corps restiforme; ellcs sont particulierement bien reprdsentees dans les plans
postdrieurs. Les fibres arciformes externes dorsales sont reconnaissables, mais peu
nombreuses. Aucun faisceau n’a pu dtre reconnu comme reprdsentant les stries md-
dullaires du plancher du IVe ventricule, pas plus sc ddtachant du tubercule acoustique
(stries acoustiques) que dans les plans plus postdrieurs.
Le faisceau longitudinal dorsal est bien ddveloppe et ne presente rien d’anormal.
On le suit depuis le niveau du noyau de la 1 lie paire jusqu ’4 l’origine de la modlle dpinidre.
Les noyaux des nerfs craniens postdrieurs n’offrent rien d'anormal, pas plus
que leurs racines. Le novau dorsal du pneumo-gastrique a des cellules fortement pig-
mentdes. Le faisceau solitaire et son noyau sont normaux, de mdme le noyau postdrieur
du glossopharyngien. Les noyaux de l'acoustiquc n’offrent rien non plus d’anormal
dans leur developpement. Le tubercule acoustique constitue une masse grise situde
au dessus du corps juxta-restiforme, position anormale due sans doute k l’atrophie si
considerable du corps restiforme lui memc, atrophie qui a amend forcdment des ddplace-
ments dans les formations avoisinantes. La mdme cause a amend un ddplacement de
la racine descendante de l'acoustique qu’on voit profonddmcnt situde entre les noyaux
cochldaire et vestibulaire.
Protuberance annulaire. Ce qui frappe immedialement sur les coupes intdressant
la protubdrance, e’est la disproportion absolue dans le developpement respectif de la
calotte et du pied de cette rdgion. La calotte apparait enormc grace k l’atrophie con-
siddrable de toute la rdgion de la base et cet aspect rappelle dtrangement les coupes
faites k ce niveau chez les animaux inferieurs chez qui le pied de la protubdrance est
proportionnellement moins ddveloppe que chez l’hommc.
Cette atrophie de la partie basale tient au faible ddveloppement des noyaux
du pont et des fibres transversales, comme des pedoncules cdrdbelleux moyens. Au niveau
du noyau du facial, les noyaux du pont ne sont reprdsentes que par deux lamelles grises,
Pune sagittale et mediane, l’autre transversale, et qui se coupent a angle droit sur la
ligne mddiane en formant ainsi une croix qui sdpare les uns des autres les deux faisceaux
pyramidaux et les deux rubans de Reil. Plus en avant, ils sont un peu plus massifs
et forment deux couches plus dpaisses, Pune en dessus, l’autre en dessous des pyramides.
Les fibres transversales de la protubdrance sont peu nombreuses. Conformdment k la
disposition des noyaux pontiques, les pddoncules cdrdbelleux moyens sont plus ddve-
loppds dans leur partie frontale qu’en arridre, ou ils n’existent presque pas. En suivant
la serie des coupes d’avant en arridre ou les voit former un faisceau distinct qui produit
sur les coupes la voussure caractdristique et qui vient se placer dans la substance blanche
du cervelet en dehors du corps restiforme, mais il est considdrablement plus faible que
sur. des coupes normales. Les faisceaux pyramidaux, au” lieu d’dtre dissdquds comme
normalement en une sdrie de petits faisceaux par la substance grise et les fibres trans¬
versales interposdes, constituent deux faisceaux compacts.
. Les noyaux du facial sont normaux comme structure, ils sont bien constituds
et formds de grosses cellules. Ils frappent, par contre, par leur situation profonde.
Au lieu d’dtre situds comme normalement dans la moitid dorsale de la coupe ils
se rapprochent beaucoup de la face ventrale de l’axe cerebrospinal, exactement com¬
me chez un rongeur ou un carnivore, ce qui tient evidemment au faible ddveloppe¬
ment de la partie basale de la protubdrance. Le trajet intracdrdbral du nerf n'offre rien
d’anormal.
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BD * 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE. 11
La 6 e paire de nerfs est normals dans son noyau comme dans ses racines. Dc
mime la paire qu’on voit operer son croisement dans la valvuve de Vieussens. Elle
semble constituer k elle seule la valvule toute entiire. La 3e paire est egalement normale.
Le trijumeau est bien diveloppi. II paralt inorme k son issue des centres, grace
au faible diveloppement du pied de la protuberance. Son hypertrophie apparente
contribue k donner aux coupes de la region cette analogic dija signalee avec celles corres-
pondantes d’un animal infirieur. Sa racine spinale de mime que son noyau masticateur
et sa racine nasale n'offrent rien de particular. II en est de meme du locus coeruleus.
Uolive sup trie ure est normalement diveloppee et ses cellules ont un aspect rc-
gulier. Le corps trapizoide est normal.
Nous n'avons aper9u nulle part de trace des taeniae pontis. Le faisceau central
de la calotte n’est pas dilimite ni marque de fa9on k le faire reconnaltre.
Les pidoncules ctribelleux suptrieurs sont bien formas comme nous l’avons dija
indiqui dans la description du cervelet. Ils occupent par rapport aux autres pidoncules
la position ordinaire. Ils sont partout bien colores, compacts, et montrent dans le mes-
enciphale la forme en croissant distinctive. Ils s’entrecroisent normalement dans
la commissure de Wernekink. Le noyau rouge est normal dans sa forme, dans sa structure
et dans ses rapports soit avec la racine de l’oculomoteur soit avec le faisceau de Meynert.
Les tubercules quadrijumeaux n’offrent rien d'anormal pas plus que leurs bras
conjonctivaux ni les corps genouillis interne et externe. Les systimes commissuraux
de la calotte, la commissure posterieure sont bien diveloppis. La substance noire dc
Soemmering de mime. Les coupes faites au niveau des pidoncules cirebraux montrent
une sorte d’icraseme'nt du pied de la rigion par rapport k la calotte qui est proportion -
nellement plus diveloppie. Cet aspect tient k l’atrophie de la rigion du pied — comme
dans la protubirance — et rappelle de nouveau par l’importance relative de la calotte
et du pied de la rigion les animaux chez qui les systimes longitudinaux sont moins
diveloppis que chez l’homme.
La rigion sous-thalamique, le corps de Luys, les champs de Forel, les corps mamil-
laires, les noyaux du thalamus, les noyaux du corps strii, tout cela ne prisente rien a
noter.
Poursuivies sur toute la longueur de leur trajet les pyramides sont normales par-
tout, — sauf leur aspect compact diji. mentionne dans la protubirance —; elles ne sc
prisentent pas hypertrophiees comme dans le cas d’Anton. II en est de mime du ruban
de Reil, du faisceau longitudinal dorsal qu’on suit depuis le niveau des noyaux de 11
Hie paire jusque dans le bulbe rachidien; la substance riticulaire n’offre pas non plus
d’anomalie visible, pas plus dans la calotte que dans le bulbe rachidien.
Quelle interpritation convient-il maintenant de donner aux diffirents faits
anatomiques que nous avons relevis? Et comment faut-il comprendre au point
de vue anatomo-pathologique le cas ci-dessus dicrit?
Une premiire constatation nous semble se degager de cette itude anatomique:
l’axe ciribro-spinal proprement dit ne prisente que des atrophies simples, sans
risidus quelconques tandis que l’icorce ciribrale et l’icorce ciribelleuse sont le
siige d’altirations plus compliquies. Diffirentes formations de la moelle, du bulbe,
de la protubirance sont ou absentes (une partie des comes postirieures de la moelle
la parolive exteme, les taeniae pontis) ou diminuies dans leur volume, leurs ili-
ments constituants ne prisentant pas d’altirations profondes (l’olive infirieure,
la substance grise du pont, etc.). Nulle part nous n'avons vu dans l’axe ciribro-
spinal de lision inflammatoire, ni de prolifiration de la nivroglie, rien qu'une hypo-
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12 DR. H. PREISIG.
plasie plus ou moins complete de certaines formations. L’ecorce c6r6brale au
contraire et surtout l’^corce c£r£belleuse paraissent avoir et6 le si&ge de remanie-
ments plus profonds ainsi que l'attestent la proliferation n^vroglique, lfepaississe-
ment de la pie-nfere, la fusion entre elles des lamelles cer^beileuses et leur aspect
particular.
L’6corce c£r6brale nous pr&ente une pie-mere epaisse, fibreuse, tr 4 s riche en
petits vaisseaux. II y a une certaine anarchie cellulaire, qui rend difficile ou im¬
possible la differenciation des couches cellulaires normales, ou bien la repartition
des cellules est irfegulfere la coupe pr£sentant ici des espaces vides, 1 4 une agglome¬
ration dense dfefements ganglionnaires. Ces cellules ganglionnaires sont en bonne
partie scferosdes, d’autres sont reduites 4 lfetat de fantomes ou sont alterees dans
leur noyau. Les vaisseaux de l’6corce ont une paroi £paissie. Tous ces signes sont
des signes d'inflammation chronique de l’£corce ou plutot des residus d’une in¬
flammation ancienne. Notre malade etait un idiot parfait. Lfetude de son ecorce
cerebrale permet de faire rentrer son cas, non pas dans le groupe des idioties par
arret de developpement proprement dites, mais surement dans celui des idioties
consecutives 4 une inflammation de l'6corce. La presence en particulier de terri-
toires vides de cellules dans lfecorce c^rdbrale est un fait caracferistique.
Qu'en est-il de lfecorce c£r6belleuse ? Comment interpreter cette lesion de
beaucoup la plus massive? De l’avis de tous les auteurs la pathologie du cervelet
n’est pas encore bien connue.
Nous laisserons de cote la maladie de Friedreich qui repose sur des alterations
de la moelle, le cervelet nfetant altere que d'une fa^on inconstante. La marche
de cette affection, lente et progressive, ne concorde du reste en rien avec l’histoire
de notre malade.
On s’accorde assez generalement aujourd'hui 4 ne plus voir une entite morbide
dans Theredo-ataxie cerebelleuse de Pierre Marie. Celle-ci ne constituerait qu’un
syndrome, commun 4 plusieurs affections familiales du sysfeme nerveux, et dont
la base anatomique est loin d’etre constante. Ce syndrome se rencontre dans la
maladie de Friedreich ainsi que dans d’autres affections oil les alterations du cervelet
sont au premier plan. D’ailleurs la marche des cas revendiqu£s par Pierre Marie
comme appartenant 4 cette affection ne rappelle pas non plus la marche de notre cas.
Dtjerine et Thomas (1900) classent de la fa^on suivante les atrophies du cervelet
publics jusqu’en 1900:
A. Atrophies partielles et asynfetriques. Elies sont ordinairement secon-
daires 4 un foyer de ramollissement ou 4 un foyer h&norrhagique. Elles
peuvent exceptionnellement apparaltre par la ,,fonte“ d’une partie de
1’ecorce c6r£belleuse. Exceptionnellement aussi elles peuvent Itre con-
gdnitales.
B. Atrophies g£n6rales et synfetriques. On peut les diviser alors en:
1. Atrophies scfereuses et d’origine vasculaire, inflammatoire (obs. de
SpiUer ).
2. Atrophies simples et cong^nitales; le cervelet est petit, mais toutes
ses parties constituantes sont normales. II s’agit d'un arret de d^velop-
pement (obs. de Nonne).
3. Atrophies <feg6n6ratives et parenchymateuses.
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BD - 1 etude anatomique et anatomo-pathologique. 13
Dans cette troisi&ne cat£gorie rentre l’atrophie olivo-ponto c6r6belleuse
de DSjerine et Thomas (1901). Cette affection dont les auteurs ont ddcrit 4 cas,
d£bute k un age avanc£ (42 k 66 ans). Sa marche est progressive. Elle m£ne k
l’exitus en quelques ann6es. Elle r£sulte d'une „atrophie cellulaire primitive"
(sans alterations vasculaires et sans sclerose) qui atteint l'ecorce cerebelleuse, les
olives inferieures et la substance grise de la protuberance.
Warrington et Montsarrat (1902) classent en 5 categories les observations
publiees d J atrophie du cervelet. Ils distinguent:
I. Absence presque complete d’un ou des deux hemispheres cerebelleux due
k un arret de d6veloppement.
II. Petitesse congenitale du cervelet comcidant avec une structure histo-
logique Aormale.
III. Atrophies avec sclerose (comprend la majorite des cas).
IV. Troubles vasculaires primaires, accompagnes d'inflammation interstitielle
chronique. Comparables k la cirrhose du rein.
V. Atrophie primitive de Tecorce cerebelleuse, des noyaux du pont et de
1 ’olive inferieure; soit Tatrophie olivo-ponto cerebelleuse de DSjerine et
Thomas, que les auteurs anglais comparent, en tant que processus ana¬
tomique, k I’atrophie des comes anterieures de la moelle dans la maladie
6 !Aran Duchenne
Mingazzini, en 1906, distingue:
A. Agenesies unilaterales du cervelet.
B. Atrophies unilaterales.
C. Agenesies bilaterales.
D. Atrophies bilaterales.
E. Atrophies simultanees du cervelet et du reste du cerveau.
F. Atrophies simultanees du cervelet et de la moelle.
En outre un certain nombre de cas publies rentreraient dans la sclerose en
plaques.
Notre cas appartiendrait evidemment, dans ces differentes classifications:
au groupe B 1 de Dtjerine et Thomas, au groupe III de Warrington et Montsarrat,
au groupe D de Mingazzini. Mais il faut bien avouer que ces classifications ne sont
point encore satisfaisantes. Elies ne nous renseignent pas sur Tentite morbide
k laquelle nous pourrions rattacher notre observation. Elies ne peuvent etre qu’un
groupement provisoire permettant un premier triage des cas publies, elles ne nous
permettent pas un diagnostic anatomo-pathologique. Le groupe III de Warrington
et Montsarrat reunit des observations fort disparates et groupe des cas de maladie
oong£nitale, comme ceux de Borrell et de Mayor avec des affections progressives
ayant debute k 58 ans (cas de Maynert), 34 ans (Menzel) ou 48 ans (Royet et Collet).
Tous ces cas rentreraient egalement dans le groupe B de D&jerine et Thomas qui
est encore plus vaste que celui des auteurs anglais. Quant k la classification de
Mingazzini, elle n’indique rien meme d’assez g£n£ral sur la nature des atrophies
du cervelet.
Oppenheim dans son „Lehrbuch der Nervenkrankheiten" (1905) distingue:
a) L’hypoplasie congenitale et les defectuosit£s congenitales reposant sur
un trouble du d£veloppement.
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Journal f. P»ycholofi<*
und Neorolofie.
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H
b) Les alterations acquises qui m&nent au ratatinement, au durcissement et
k l'atrophie du cervelet.
Ces demi£res, qui se produisent soit pendant la vie foetale, soit apr£s la
naissance, derivent:
ou d’alterations vasculaires: inflammations, ramollissement, h£morrhagies,
ou des meninges qui recouvrent le cervelet.
Oppenhcim admet l'existence d’une forme cerebelleuse de paralysie infantile.
II cite des observations cliniques et c'est comme telle qu’il comprend 1’observation
publide par Anton. L’enc£phalite hemorrhagique aigue pourrait egalement se
localiser dans le cervelet.
Reprenons les alterations que nous avons constatees dans l’£corce cerebelleuse.
La peripherie seule de l’organe en effet presentait des lesions particuli£res, tandis
que son centre montrait settlement une atrophie, exactement comme les differentes
portions citees de l’axe cerebrospinal. Les lames et lamelles du cervelet se pre*
sentaient dans un etat rudimentaire, elles etaient soud6es les unes avec les autres.
La pie-mere etait epaissie, ses vaisseaux etaient anormalement nombreux et epaissis
dans leur paroi. Partout k la peripherie du cervelet, il y avait developpement
anormal de la nevroglie, phenomene qui se manifestait, k l’autopsie par la consi-
stance particulierement augmentee de l’organe. Les elements nobles des deux
couches les plus superficielles de l'ecorce avaient disparu, la couche des grains etait
considerablement amincie. II y avait par contre de nombreux corpuscules amyloldes.
La substance blanche sous-corticale n’etait composee que de rares fibres k myeiine
tandis que les vaisseaux et la nevroglie y etaient representees d'une mani£re anor¬
malement abondante.
La localisation des lesions k la peripherie du cervelet, ainsi que la nature de
ces lesions (fonte et fusion des lames cerebelleuses, proliferation des vaisseaux de
la pie-m£re, destruction presque complete des elements cellulaires de recorce, prolifera¬
tion de la nevroglie dans les couches atteintes, tout cela doit etre consider comme
des signes d’une inflammation dont il ne reste que le residu et qui atteint la pie-
mere et les couches superficielles du cervelet.
A remarquer que seuls les grains ont en partie subsist£ et ces grains sont
pr£cis£ment consid6rds par Monakow comme rentrant dans la cat£gorie des Schalt-
zellen, c’est- 4 -dire des cellules 6chappant en toutes circonstances aux alterations
d6gen6ratives secondaires.
La peripherie du cervelet (pie-mere et parenchyme) a ete le si£ge d’une in¬
flammation intense qui a provoque ime hyper£mie marquee de la surface du cervelet,
et la destruction des cellules ganglionnaires; qui a arret e le developpement de l’organe
au point o& il en etait, et laisse comme residus l’epaissement fibreux et vasculaire
de la pie-mere, l’atrophie de l’ecorce, la proliferation nevroglique et la soudure des
lamelles. Cette inflammation ne s’est pas produite depuis la naissance du malade,
l’anamn£se ne mentionnant rien qui puisse y faire songer. Elle doit remonter k
la periode foetale de l’existence de notre malade et rentre ainsi dans le 2 e cas indiqu£
par Oppenheim (encephalite de la periode foetale).
Elle a di 1 etre simultanee k l’inflammation qui a produit les alterations de
l’ecorce cerebrale, et correspondre ainsi k une de ces meningo-encephalites qui
oonstituent la base anatomique d’une grande partie des cas d’idiotie.
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BD ’ 1& 19? BFT 1 ETUDE ANATOMIQUE ET AN ATOMO-PATHOLOG1QUE. 15
Pour nous J. G. a dti etre atteint avant sa naissance d'une m6ningo-enc6phalite
qui s'est localise au grand cerveau et plus intensement encore au cervelet. Les
suites cliniques de cette inflammation ou plutot les symptomes qu’a laissfe cette
affection comme souvenir de son passage ont ete l’idiotie et les crises 6pileptiformes
pour le grand cerveau, le syndrome c6r6belleux pour le cervelet.
Si nous reprenons maintenant la literature de l’atrophie cerebelleuse nous y
retrouverons un certain nombre de cas qui nous paraissent pouvoir etre ranges,
avec de grandes probalit^s, 4 cote du ndtre, dans le groupe des m6ningo-enc£phalites
de l’enfance, soit que l’anamnese nous y autorise soit que les r^sultats de l’examen
anatomique concordent avec les notres.
Clapton (1871) a decrit un cervelet tr&s atrophia, tr6s dur, pr^sentant micro-
scopiquement une sclerose tr 4 s avanc 4 e (proliferation n£vroglique) avec destruction
des elements nerveux. II y avait aussi de petits corps spheriques, transparents,
apparemment homogenes, qui prenaient intensement le carmin (des corpuscules
amyloides), les vaisseaux etaient normaux. Seule, une bande etroite de tissu,
bordant en avant les lobes lateraux, apparaissait normale, tant 4 l’oeil nu que sous
le microscope. Le diametre transverse du cervelet etait de 3 pouces (au lieu de 4
environ normalement) et le poids de cet organe de 710 grains (au lieu de 2200) le
cerveau entier faisait un poids de 38 oz., la normale etant de 44 oz. en moyenne.
Tout le long de la pie-mere, sur la face postdrieure de la moelle 6pini£re Etaient
diss^minfe de petites plaques osseuses, minces, k */i6 de pouce de diametre
environ.
Ce cervelet provenait d'une femme de 33 ans qui, k 4 ans, avait eu une attaque
de rougeole. Aprds cette maladie, elle avait ete incapable de marcher et de parler
pendant 6 mois. Jusqu '4 15 ans la marche avait ete incertaine, les mouvements
des mains tr£s maladroits (jusqu '4 14 ans incapable de porter les mains k la bouche).
Elle etait d'intelligence peu d6velopp£e, savait cependant lire et ecrire.
Le cas de Pierret (1872) peut rentrer aussi dans notre cadre. La malade avait
fait k l'ige de 4 ans une maladie d'une ann6e, survenue apr£s une chute avec perte
de connaissance. Depuis 14 elle n’avait su ni grimper ni marcher comme les autres
enfants, elle se tenait debout difficilement, parlait avec embarras, pr&entait des
tremblements manifestes. L'intelligence etait saine, bien que la m6moire fut
affaiblie. A la moindre contrariety la malade etait prise de veritables attaqifes
de convulsions. On constata 4 la Salpetri£re la titubation cerebelleuse. A l’au-
topsie (exitus 4 69 ans) le cervelet etait tr£s petit, tr£s dur et eiastique, diminue
surtout dans son diametre vertical. II est deforme surtout 4 sa face inferieure ou
des sillons semi-circulaires etaient creus6s. En arrive l'espace sous-arachnoidien
est considerablement eiargi et remph d’vme quantity trks notable du liquide sereux.
Les meninges de la face inferieure sont tres fortement adherentes, epaisses. L’atro¬
phie interessait surtout la substance grise corticale, les lamelles etaient petites,
minces, serrees les unes contre les autres, adherentes au corps de l'organe. La pie-
mere et l'arachnoide adherent entre elles et semblent confondues avec la surface
des circonvolutions cerebelleuses qui sont elles-memes soudees entre elles par un
tissu fibreux tres resistant, contenant des vaisseaux epaissis et tortueux. La couche
moieculaire etait tres amincie et scierosee, les cellules de Purkinjt absentes, les
grains avaient par place compietement disparu, la substance blanche cerebelleuse
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Journal £ ftrcbok*ic
and Nearoloy ie.
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moins alt^r^e, etait cependant le si 4 ge d’une sclerose assez complete: nombreux
vaisseaux et tractus celluleux enchevetres. Les deux corps rhomboldaux etaient
presque absolument normaux.
Huppert (1877) communique le cas suivant: 4 3 ans M fi&vre nerveuse 44 grave,
depuis cette epoque, idiotie avec crises epileptiques. Exitus 4 24 ans. Le cerveau
etait petit, de consistance augments, le cervelet tr 4 s atrophia (rdduit 4 la moitie
de sa grandeur ordinaire), mais sans alterations morphologiques. L’^corce du
cervelet etait mince, la consistance de l’organe augment6e. Le noyau den tele et
l’olive presentait 4 peine les dentelures caracteristiques. II n’y malheureusement pas
d’examen histologique. L'auteur attribue les alterations decrites 4 la „maladie
nerveuse 44 survenue 4 3 ans.
Kirchhoff (1882) a decrit deux cas d’atrophie du cervelet dont Tun nous
interesse spedalement: il s’agit d’une idiote qui mourut 4 l’ 4 ge de 20 ans et dont
le cervelet, petit, dur et eiastique presentait par places des alterations semblables
4 celles que nous trouvons dans notre cas: la couche des grains etait peu epaisse,
il y avail sclerose par suite d’une enorme proliferation de noyaux (nevroglie) les
cellules de Purkinje manquaient compietement. La pie-m£re du cervelet etait
epaissie, blanch 4 tre. L'auteur admet un arret de developpement probablement
au 7e mois de la vie intrauterine, suivi d’un processus sclerosant chronique. Il
nous parait tr 4 s possible qu’il s’agisse d’une inflammation aigue avec proliferation
consecutive de la nevroglie.
Mayor (1883) a publie l’observation d’une femme arrivee 4 l’ 4 ge de 32 ans,
epileptique et idiote depuis sa naissance. Le lobe cerebelleux droit est petit, aplati,
dur, sclerose. La sclerose est superficielle. L’examen histologique montre des
corpuscules amyloldes, les cellules de Purkinje font enticement defaut, la couche
granuleuse est reduite 4 une etroite bande de cellules. La substance blanche qui
constitue normalement l'axe de chaque feuillet est remplacee par des fibres con¬
nectives et du tissu nevroglique prolifere. Les feuillets se sont fusionnds entre eux.
Cette fusion parait due au fait que les fibres de la pie-mCe hypertrophic auraient
largement p 4 n 4 tr 4 dans les feuillets, les membranes elles-memes ayant fusionn6
et s’etant rCmies. — Il parait bien qu’il s’agisse d’une ancienne m6ningo-enc£phalite
localise au lobe droit du cervelet.
Sommer (1884) a communique le cas d’un hydrocephale tr 4 s retard^ dans
son developpement qui fut autopsie 4 l’ 4 ge de 30 ans. Il avait fait 4 3 ans, une
inflammation cerebrale grave. Le cervelet etait reduit dans son volume et sclerose
par places. Les places scieros6es etaient rugueuses, retractees comme des cicatrices,
de la consistance du cartilage. La pie-mCe etait adherente. Les parties malades
presentaient 1me ecorce amincie, dont les elements specifiques etaient remplaces par
les tractus radiaires d’un tissu conjonctif cicatriciel. La couche des grains etait
reduite 4 une zone mince, de l’epaisseur de 5 4 8 grains. Au dessous de cette couche,
on voyait une substance granuleuse avec des noyaux arrondis, mats (corpuscules
amyloldes!). Par places, des capillaires et de petits vaisseaux 4 parols epaissies.
Les cellules de Purkinje manquent compietement. La couche mol£culaire etait
remplacee par un tissu cicatriciel 4 fibres serr6es, avec des vaisseaux 4 parois
fortement epaissies. Le territoire malade relativement etendu, occupait d’une
fa^on presque symetrique les lobes posterieurs, superieurs et inferieurs. Il s’agit.
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ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
HP. Ifc HEFT 1
1812 .
I?
d'aprds l’auteur, d’une sclerose cicatricielle k comparer avec l'encdphalite (Himent-
ziindung).
Spiller (1896) autopsia un imbdcille mort k 19 ans de tubercnlose. Le malade
avait eu d. 5 ans une scarlatine compliqude de diphtdrie k laquelle sa famille attribuait
sa maladie. Le malade n’ayant appris k marcher qu'k 3 ans et ayant eu de tout
temps une faiblesse des reins, il est probable, d'apres Spiller , que l’affection dtait
antdrieure k cette maladie infectieuse. L’intelligence dtait mal ddveloppde, le
malade n’avait qu’d peine — ou pas du tout — la notion du temps. A l’autopsie
on trouva une „ddfectuositd“ du corps calleux, une atrophie de l’hdmisphdre cdrdbral
gauche, un cervelet atrophia. Le cervelet prdsentait des aires scldrosdes avec dpais-
sissement des vaisseaux occupant les parties mddiane et exteme de chaque hdmi-
sphdre. A gauche, la sclerose pdndtrait jusqu’au noyau denteld, dont la partie
postdrieure dtait atteinte. Dans les aires scldrotiques, toutes les couches de la corti-
calitd avaient disparu. Le tissu de sclerose dtait un melange de vaisseaux dpaissis
et de fibres de ndvroglie enchevetrdes. Dfjerine et Thomas rangent ce cas parmi
les atrophies scldreuses et d’origine vasculaire inflammatoire. L’auteur lui meme
parle d’hypoplasie. Une inflammation aigue, datant d’avant la naissance nous
parait expliquer le plus facilement les lesions cdrdbelleuses, les lesions cdrdbrales
et l’arret de ddveloppement intellectuel.
Anglade et Jacquin (1908) ont examine les centres nerveux d’une femme de
50 ans, amende dans un asile pour un „ddlire polymorphe dvoluant sur une ddbilitd
mentale“. Le cervelet dtait aplati et il y avait atrophie aussi. — Les lamelles du
cervelet dtaient saillantes et dures, surtout les infdrieures. Les arborisations cdrd-
belleuses n'dtaient pas dessindes, les folioles semblaient souddes. Il y avait scldrose
marqude des couches pdriphdriques par prolifdration intense de la ndvroglie. La
symphyse des folioles dtait rdalisde par des trousseaux de fibres ndvrogliques allant
de l’une k l’autre k travers la mdninge. La couche moldculaire est ddcrite comme
peu reconnaissable. Les cellules de Purkinje se rardfiaient de plus en plus k mesure
que la scldrose augmentait. Les grains dtaient rares et la couche des grains fusion-
nde avec la substance blanche. La pie-mdre prdsentait un dpaississement ancien.
Les vaisseaux apparaissaient entourds d’une adventice ndvroglique k mailles plus
serrdes.
Pour les auteurs, la ldsion a marchd de la mdninge vers la substance blanche
et il s’agit d’une atrophie cdrdbelleuse acquise, rdsultat sans doute d’une mdningo-
cdrdbellite de l’enfance.
Le cas de Mingazzini (1906) se rapporte k une imbdcile de 15 ans qui dtait
sujette k des crises dpileptiformes. Le poids total du cerveau n’atteignait que 820 g,
il y avait une atrophie dnorme du cervelet, dont la consistance dtait notablement
plus ferme que celle des autres parties de l’encdphale. La Come d’Ammon et la
circonvolution de l'hippocampe dtaient beaucoup plus petites que d’habitude.
La pie-mdre du grand cerveau dtait trds dpaissie et contenait de gros vaisseaux
trds dilates, dont les parois dtaient dpaissies. Les cellules ganglionnaires de l’dcorce
cdrdbrale dtaient un peu diminudes en nombre, avaient des contours mal ddfinis, une
forme massive et les espaces pdricellulaires dtaient trds grands. — La moelle dpinidre
prdsentait une ddgdndrescence marginale et sa pdriphdrie dtait occupde par un
rdseau fibreux dpais qui se continuait dans la pie-mdre, la pie-mdre mddullaire
Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19. 2
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Journal 1 Ptfcholoff*
nnd Neurologic
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l8 DR. H. PREISIG.
elle-meme 6tait epaissie par places. — Dans le cervelet, les lames lat&ales man-
quaient de meme que les lames dorsales du vermis, les lames des hemispheres avaient
subi une reduction. Les cellules des noyaux denteies etaient plus petites que
d’habitude et les noyaux du toit etaient peu developpes. II y avait diminution
de fibres k myeiine dans le centre medullaire. Quant k l’6corce cerebelleuse: les
sillons etaient en partie remplis d'epais faisceaux fibreux avec des vaisseaux neo¬
formes k membrane interne epaissie; la nevroglie etait hypertrophiee et se con-
tinuait sans ligne de demarcation avec la pie-mere; la couche moieculaire n’avait
que peu d’ 616 m ents nerveux, petits; la couche des grains etait diminuee; les cel¬
lules de Purkinje etaient complement absentes par places, autre part elles existaient
en nombre reduit. — Mingazzini admet dans son cas: une lepto-meningite chro-
nique cerebro-spinale, une d6g6n£rescence marginale de la moelle, une agenesie
partielle et symetrique des hemispheres c6r6beUeux, une 16 gere aplasie des elements
nerveux de l’6corce cerebrale. — Si Ton admet que la degenerescence marginale
de la moelle etait une consequence de la meningite, on peut comprendre facile-
ment, nous parait-il, toutes les lesions decrites comme etant les consequences
d'une seule et unique cause: une meningo-encephalite du jeune kge, avec lo¬
calisation dans la moelle, au cervelet et dans les hemispheres cerebraux et ayant
amen6 l’6paississement de la pie-mere, les desordres des ecorces cerebrale et cere¬
belleuse ainsi que de la zone marginale de la moelle et les atrophies secondaires
consecutives.
Le cas publie par Hammarberg (1890) se rapproche k bien des egards des ob¬
servations precedentes. Nous ne voudrions cependant pas, k cause des foyers de
sclerose trouves dans le grand cerveau et dans l’olive gauche le compter parmi
les cas semblables au n6tre:
A 7 ans inflammation cerebrale" grave qui eut pour suites des mouvements
oscillatoires et une demarche hesitante. Le caractere du malade devint violent,
variable, plus tard il s’assombrit. L’intelligence resta intacte. II s’&ablit plus
tard une paranoia complete. Le cervelet etait sclerose, sa pie-mere epaissie partout.
Les lesions de l’6corce etaient plus ou moins prononcees, par places: ici la couche
des grains etait normale et on voyait quelques cellules de Purkinje, 14 il n’y avait
plus que quelques couches de grains. L’olive gauche etait le siege d’un foyer scie-
rotique; plusieurs petits foyers semblables existaient dans le lobe frontal du grand
cerveau. L’auteur admet que la maladie de la 7* ann6e a ete causee par les processus
meningiques dont le cervelet etait le siege.
La litterature contient d’autres cas encore qu’il est interessant de rapprocher
du n6tre, mais que nous n’oserions comparer avec lui d’une manure stricte, surtout
k cause des descriptions anatomiques trop incompletes.
Ainsi le cas III de Duguet (1862). Convulsions k l’age de 18 mois, plus tard
crises d’epilepsie typique. Exitus k 17 ans. Sur la partie moyenne de la face in-
ferieure du cervelet: couleur jaunatre des lamelles cerebelleuses tranchant sur la
teinte grise des lamelles voisines. Ces lamelles ont des dimensions diminu6es de moiti6
et meme plus. Consistance ligneuse. Examen histologique: sclerose.
De meme le cas de Borell (1883): Violentes convulsions dans l’enfance,
faible ddveloppement des faculty intellectuelles. Crises d’Spilepsie depuis l’&ge
de 10 ans. Exitus k 38 ans, en £tat de d&nence 6pileptique avanc6e. Leptom&*
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HD. 19. HEFT 1
1912.
ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
*9
ningite chronique du cerveau. Le cervelet offre des lacunes trds prononc^es; Hemis¬
phere gauche manque presque completement; Hemisphere droit est tres r6duit de
volume. La pie-mere du cervelet est 6paisse dans les plis et au niveau des lacunes.
C. Hubert Bond (1890) a eu un cas d’imbedllite avec symptomes c^r^belleux
remontant k l’age de 7 ans. Le cervelet etait atrophia d’une mani^re symetrique
et sclerose.
Dans la plupart de ces demiers cas, les renseignements publics, surtout des
descriptions histologiques, sont incompletes. C'est \k ce qui nous empeche de faire
un paralieie plus complet avec notre cas et d'utiliser ces observations autrement
que comme des complements. Cependant, pour autant qu’on peut juger d’apr^s
les details publies, il parait bien s'agir de cas qui pourraient rentrer dans le meme
cadre nosologique que les premiers. Ils presentent ces caractdres communs de
coexister avec un arret de developpement de l’intelligence, souvent avec des crises
epileptiformes, de remonter k l’enfance et d’avoir presente des lesions de lepto-
meningite et de sclerose du cervelet.
Reunissons en un tableau les 9 cas que nous croyons pouvoir comparer au
notre, c’est-i-dire ceux de Clapton , de Pierret , de Huppert, de Kirchhoff , de Mayor,
de Sommer, de Spiller, 6 !Anglade et Jacquin et de Mingazzini.
Nous constatons: (voir tableau de la page suivante).
Dans presque tous les cas, l’atrophie cerebelleuse etait totale, dans tous,
sauf un, elle etait symetrique (le cas de Mayor fait ici seul exception, la lesion etant
localisee k Hemisphere droit du cervelet). L’organe est toujours atteint dans sa
Peripherie seulement ou surtout dans sa peripherie. Plusieurs auteurs, parmi les
anciens, n'ont pas releve le fait, mais il ressort des descriptions anatomiques que
c’est l’ecorce cerebelleuse qui etait le siege des lesions. Les alterations du centre
du cervelet: reduction du centre medullaire, atrophie plus ou moins prononcee
des noyaux centraux telles que les mentionnent Huppert, Spiller et Mingazzini
peuvent partout etre des alterations secondaires. Dans les dix cas, le cervelet
etait particulierement dur et sclerose. Sauf dans deux cas oil l’etat des meninges
n'est pas releve, un epaississement fibreux de la pie-mere cerebelleuse avec presence
de nombreux vaisseaux est mentionne. Cette leptomeningite a produit frequemment
l’adherence des lames et lamelles du cervelet entre elles.
Dans les 10 cas, il s’agissait d’une modification pathologique de l’ecorce
cerebelleuse dont l’atrophie est signaiee comme le phenomene le plus frappant.
Sauf dans le cas de Huppert oil il n’y a pas d’examen histologique, on signale par-
tout la proliferation de la nevroglie. Les lesions communes sont en outre: l’atrophie
des lamelles cerebelleuses, la transformation fibreuse ou nevroglique de la couche
moieculaire, la disparition totale ou presque totale des cellules de Purkinje, la re¬
duction k une faible epaisseur de la couche des grains. Dans 3 cas la presence de
corpuscules amyloides dans l'ecorce a ete relevee.
Des alterations anatomiques autre part que dans le cervelet (ou les parties
qui en dependent) sont mentionnees dans 5 cas : Huppert mentionne une atrophie
du grand cerveau qui etait sciereux, Sommer a trouve de l’hydrocephalie; Spiller
une defectuosite du corps calleux et une atrophie de 1’hemisphere cerebral gauche,
Mingazzini releve une atrophie du grand cerveau et des alterations de l’ecorce
cerebrale. Dans notre cas il y avait egalement des lesions de l’ecorce cerebrale.
a*
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20
DR. H. PREIS1G.
Journal t Fsfeholofii
tmd Nenrolofie.
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Listen
Cas
1 Debut
;
1
Etat
| de rintelligence
1
Crises
ipilepti-
formes
Distribution en surface
Scteroae
Clapton 1871
ll
4 ans,
rougeole
1
|
| peu intelligente
1
non
symetrique, occupe toot le cer-
, velet sauf une bande etroite bor-
dant en avant les lobes lateraux
| oui
1
Pierret 1872
l|
1;
| 4 ans
m6moire affaiblie,
grande irritabilite
oui
symetrique, totale
oui
1
Hupper!
1877
! 3 ans, fidvre
j nervense
idiote
oui
symetrique, totale
1 oui
j
Kirchhoff
1882
!
! _
]'
idiote
non
symetrique, totale
oui
Mayor 1883
naissance
idiote
oui
•
atrophie du lobe droit
oui
I
Sommer 1884
i 3 ans
(inflamma¬
tion c6ri-
brale grave)
hydrocephale, trds
retardee
non
presque symetrique. Lesion occu¬
pant les lobes superieurs, poste-
rieurs et inferieurs
I-
oui,
par
places
Spiller 1896
congenital
imbecile
non
symetrique, partie mediane et
exteme de chaque hemisphere
oui
Mingaxxini
1906
conginital
imbecile
oni
symetrique, totale
oui
Anglade et
Jacquin 1908
congenital
debilite men tale
non
symetrique, totale
oui
Preisig 191 x
congenital
idiot
oui
1
symetrique, totale
i
oui
Google
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ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
21
BD. 19. HEFT 1
1912.
cArtbelleuse.
LeptomAnin-
gite
Profondeur
Nature
Autres
lAsions
oui
profondeur de la lAsion non
indiquAe
{ proliferation de la nAvroglie, destruction
| des Aliments nerveux, corp. amylofdes
t
tissu fibreux
avec
vaisseaux
Apaissis
l’atrophie intAresse surtont la
substance grise corticale,
noyanx dentelAs normanx
| lamelles minces, adhArentes, couche mo-
| lAculaire amincie, sclAreuse. Cellules de
Pur kin je absentes. Grains complAtement
disparus par places
i
i
?
noyau dentelA presqne sans
dentelures
Acorce mince
cerveau
petit sdAreux
pie mAre
Apaissie
blancMtre
noyau dentelA bien dAveloppA
i
proliferation de la nAvroglie. Couche des
grains mince. Cellules de Purkinje
manquent complAtement
oui, pie mAre
hyper-
trophfee
la sclArose est superficielle
I
proliferation de la nAvroglie, couche des
grains rAduite k une Atroite bande.
Cellules de Purkinje manquent, corpus-
cules amylofdes, feuillets fusionnAs
( entr’eux
!
1
i
pie mAre
adhArente
Acorce seule malade
i
Acorce amincie, AlAments spAcifiques
remplacAs par du tissu conjonctif, couche
1 de grains rAduite k une zone mince,
couche molAculaire fibreuse avec des
vaisseaux, cellules de Purkinje manquent
hydrocAphale
i
?
k Jauche la sclArose pAnAtre
jusqu’ an noyau dentelA
i
j----—-— ..
toutes les couches de la corticalitA ont
disparu, il n* y a plus que de la nAv¬
roglie et des vaisseaux Apaissis
;
i
dAfaut du
corps calleux,
atrophie de
1'hAmisphAre
cArAbral
gauche
leptomAnin-
gite
chronique
les noyaux centraux sont pen
dAveloppAs. Lesion aurtout su¬
perficielle
proliferation de la nAvroglie, couches
molAculaire et des grains diminuAes.
Cellules de Purkinje absentes ou rares
1 atrophie du
cerveau, lA¬
sions de
1’Acorce cArA-
brale
pie mire
Apaissie
la lAsion est superficielle
proliferation de la nAvroglie, folioles
soudAes. Couche molAculaire k peine |
reconnaissable. Cellules de Purkinje rares,
couche des grains amincie
leptomAnin-
gite
fibreuse
la lAsion est superficielle
folioles soudAes, proliferation de la nAv¬
roglie, corpuscules amylofdes, cellules
de Purkinje absentes. Couche molAcu¬
laire sans cellules, couche des grains
trAs rAduit?
lAsions de
1*Acorce cerA-
brale
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DR. H. PRE1SIG.
Journal f. Hqrebciogie
und Neurologic.
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Dans chacun de ces io cas, il y avait anomalie congdnitale de l'intelligence:
4 idiots, 2 imbeciles, i debilite mentale, deux fois le malade est designe comme
peu intelligent, une fois comme ,,tr£s retard^" avec hydroc^phalie, ime fois on
mentionne que la m6moire etait affaiblie et que le malade etait particuli&rement
irritable. £)ans 5 cas, on note la presence de crises epileptiques.
L'etiologie est ou bien inconnue, la maladie ayant toujours exists, ou bien la
maladie du cervelet est rapportee k une maladie infectieuse qui s’est produite k
3 ou 4 ans (rougeole, fi£vre nerveuse, inflammation c^brale).
II semble bien r&ulter de cet ensemble de 10 cas qu’il existe un type d’atrophie
c 6 r 4 belleuse, en general totale et symetrique, partant de l’6corce et qui am&ne une
sclerose manifeste du cervelet. Cette atrophie, d’apres les rdsultats des examens
anatomiques parait due k une inflammation ancienne de l’6corce cerebelleuse,
ainsi qu’en t^moignent les r&idus tels que la leptom£ningite fibreuse, la presence
de nombreux vaisseaux dans la pie-mere, la destruction des elements nerveux
et leur remplacement par le tissu n^vroglique. L’inflammation n’est pas localisde
au cervelet, on en retrouve des traces dans d’autres parties des centres nerveux.
Ainsi que nous le verrons plus loin, il nous semble rationnel de rapporter aux alte¬
rations de recorce cerebrale les anomalies de l’intelligence qui sont mentionn^es
dans chacun des cas. La presence, dans la moitie des cas, de crises epileptiformes
doit aussi, selon nous, etre rapport6e k l’irritation de l’6corce cerebrate, inflammation
qui remonte aux premieres anndes de la vie ou — ainsi qu’il ressort de l’anamn&se
et de la constatation de d£fectuosit6s mentales cong 4 nitales — k la periode foetale
de l’existence.
En d’autres termes, nous croyons k l’existence d’un type de m6ningo-enc6-
phalite du jeune kge, qui se localiserait — quoique non exclusivement — au cervelet,
et qui am&nerait l’atrophie et la sclerose de cet organe. Ce type de m£ningo-enc6-
phalite laisserait comme r^sidus cliniques le syndrome c6r6belleux, un affaiblissement
des faculty intellectuelles, souvent des crises epileptiformes; comme rfeidus anato¬
miques ceux que nous avons dMerits dans notre cas et relev^s dans les descrip¬
tions des 9 cas similaires.
En rapprochant nos r6sultats de l’id^e d'Oppenheitn qui admet une forme
c6r£belleuse de la paralysie infantile due k une inflammation remontant k la premiere
enfance ou k la vie intrauterine, nous nous croyons autorises k voir dans nos resultats
une confirmation de cette idee. Le nom de meningo-cerebellite, employe par Anglade
et Jacquin a l’avantage k nos yeux de predser la localisation spedale de ce type
de meningo-encephalite.
Il est frappant de constater combien frequente est la coexistence d'un arret
du developpement intellectuel et d’une atrophie cerebelleuse. Cette coexistence
a ete expliquee d’une fa$on purement fonctionelle et representee comme une con¬
sequence directe de l’insuffisance cerebelleuse. Ainsi Kirchhoff explique: en cas
d’insuffisance du cervelet, il manque des termes importants de la chalne de phe-
nomenes qui rdglent des fonctions motrices; le malade est dans l’incapacite d’apprendre
beaucoup de mouvements; en consequence le developpement intellectuel reste
entrave. — Amaldi admet comme „pour le moins probable qu’une defectuosite
inteilectuellb puisse se presenter comme manifestation consecutive, purement et
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ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
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BD. 19, HEFT 1
1912.
simplement E une atrophie cErEbelleuse**. II rappelle la thEorie de Fusari , EnoncEe
k propos d'un cas d’atrophie presque totale du cervelet, les symptomes cliniques
s'Etant rEduits k une imbEcillitE grave. Dans cette thEorie, la dEfectuositE intellec-
tuelle est une consequence indirecte de T atrophie cErEbelleuse: le grand cerveau
supplEe par une adaptation particuliEre, au manque du cervelet, cette supplEance
ne peut se faire qu’aux dEpens d’autres fonctions d’ordre plus dElicat, comme les
fonctions psychiques. Amaldi conclut que „le fonctionnement du cervelet doit
avoir chez l'homme une part spEcifique fondamentale dans l'accomplissement
normal des fonctions psychiques proprement dites.“
Thomas (1897) admet cette meme explication. Pour lui le cervelet Epargne
au grand cerveau la tache de 1 ’Equilibration du corps et lui permet de se dEpenser
ailleurs. Thomas dit encore „les phEnomEnes intellectuels ne sont pas absolument
indEpendants du cervelet, puisque 1 ’intEgritE du cervelet permet k 1 ’activitE cErE-
brale de s’y appliquer presque exclusivement. Si l’homme Etait obligE de vouloir
incessament son Equilibre, son attention serait ainsi dEtoumEe des phEnomEnes
purement psychiques et l’affaiblissement intellectuel en serait la consEquence“. —
En 1911 Thomas rend attentif au fait que, en cas de coincidence de troubles intel¬
lectuels et de lEsions cErEbelleuses on n’a guEre pu Etablir, entre les deux phEno¬
mEnes, d’une maniEre rigoureusement scientifique, un rapport de cause k effet.
„Ceux qui ont cru y trouver ce rapport n’ont tenu aucun compte de la coexistence
de lEsions cErEbrales ou de l’insuffisance de l'examen du cerveau** (p. 205). II admet
cependant, pour finir (p. 207) la supplEance du cerveau au cervelet comme cause
de l’affaiblissement intellectuel, k peu prEs dans les memes termes qu’en 1897.
Langelaan (1907) admet que l’influx nerveux parti du thalamus et du noyau
rouge, lieux de terminaison du pEdoncule cErEbelleux supErieur, et arrivant k la
rEgion prErolandique, dEtermine IE, du moins partiellement, l’Etat Emotionnel
de Tindividu. II considEre la participation k cette fonction comme un travail prin¬
cipal du cervelet. Ce travail correspondrait k la fonction tonique de Thomas et
dEterminerait, quand elle ne se fait pas, ,, 1 ’asthEnie intellectuelle** de ce dernier
auteur. Langelaan propose de l'appeler „fonction somato-psychique** du cervelet,
dans le sens de Wernicke. Cette fonction manquant, il en rEsulterait une dEfectuositE
considErable dans la „somatopsyche“, ce qui rEsulterait k 1 ’Evidence du grand
nombre de cas cliniques publiEs, dans lesquels une atrophie congEnitale du cervelet
Etait compliquEe d’imbEcillitE.
Ces thEories physiologiques nous paraissent insuffisantes. En effet, quand
1 ’atrophie du cervelet se dEveloppe lentement chez un adulte on ne note pas d’affai-
blissement intellectuel. Les observations de Royer et Collet (Archives de Neuro¬
logic 1893), de SchuUze (Virchows Archiv 1887) de Arndt-Oppenheim (Archiv fur
Psychiatrie 1894, XXVI, p. 404), de Thomas (Le Cervelet, Revue neurologique
1903), de DSjerine et Thomas (Nouvelle Iconographie de la SalpetriEre 1900) ne
mentionnent ni les lines ni les autres d'affaiblissement intellectuel.
Nous ne voudrions pas par IE nier la supplEance du grand cerveau, rEmEdiant
E Tinsuffisance du cervelet. Dans un cas d’atrophie totale du cervelet, Anton (1903)
a constatE une hypertrophie des noyaux des cordons postErieurs, du ruban de Reil,
des pyramides, ainsi qu'une hyperplasie de l'Ecorce cErEbrale. II admet avec Ewald
et Thomas une supplEance du cervelet par la zone motrice du cerveau et rapporte
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DR. H. PREISIG.
Journal f. Psychologic
uod Neurolofio.
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4 une hyperfonction obligatoire les hypertrophies mentionn^es dans son cas. D’apr 4 s
Anton la suppieance se fait par les zones motrices du grand -cerveau, mais non pas
aux ddpens des fonctions intellectuelles, ce qui s’accorde parfaitement avec les
constatations de maintien de Intelligence dans le cas oft l’atrophie du cerveiet
atteint un adulte.
D’un autre cote en s’appuyant sur les cas de Weber, Turner , Hitzig, Cramer.
on a voulu, ainsi Turner, faire de l’atrophie du cerveiet une lesion secondaire, une
consequence anatomique de l’atrophie (ou lesion) du grand cerveau. Turner fit
remarquer que dans plusieurs cas, il y a en effet atrophie d’un hemisphere cerebral
et simultanement atrophie de l’hemisphere cerebelleux du cote oppose. Mais ainsi
que le remarque Spiller , cette coexistence des deux atrophies n’est pas constante:
dans le cas de SchuUze (et le notre idem) il y a atrophie du cerveiet sans atrophie
du grand cerveau. Une semi-extirpation du cerveiet n’amdne pas non plus d’atrophie
du cerveau. — Luciani admet d 6 j 4 , que T atrophie simultan6e, quand elle existe
est dtie 4 une cause commune atteignant parall 61 ement les deux organes. Du reste
1 ’anatomic ne reconnait pas de voie directe allant du cerveau au cerveiet. Spiller
qui fait ces remarques communique lui meme un cas d’atrophie cerebrale portant
surtout k gauche, tandis que l’atrophie c£r6belleuse etait sensiblement symetrique.
Nous voudrions remarquer aussi que cette th6orie ne s'accorde pas avec la loi des
proportions. Pour qu’elle fut vraie, il faudrait que l’atrophie c^r^belleuse (secon¬
daire) soit toujours moins marquee que l’atrophie du cerveau (primaire) ce qui
n’est pas le cas.
Pour nous l’arret de developpement de Intelligence a une base anatomique
propre, il est dfi 4 la meme m6ningo-enc6phalite qui a occasionle syndrome
cerebelleux. Par sa localisation cerebelleuse, cette inflammation a amene l’atrophie
de la corticalite du cerveiet; atteignant en meme temps la convexite du grand cer¬
veau, elle y a produit des desordres architectoniques de l’6corce et des alterations
de la pie-mere. L’idiotie de ces cas 14 n’est done ni dfle 4 un obstacle physiologique,
ni 4 un arret simple de developpement. Elle rentre dans le groupe des idioties
acquises, qui sont le reliquat d’un processus encephalitique datant soit d’avant
la naissance, soit des premieres annees de la vie.
Pour notre cas la verification est faite puisque l’examen microscopique de
l’ecorce cerebrale a fait constater des alterations de la pie-mere, des desordres
architecturaux dans l’agencement des cellules et des alterations cellulaires. Dans
un seulement des 9 cas que nous revendiquons comme ayant la meme base anato¬
mique que le notre, l’examen histologique de l’ecorce cerebrale a ete fait, e’est
celui de Mingazzini qui a releve aussi des anomalies dans la structure de l’ecorce
du cerveau. Mais Anglade et Jacquin mentionnent une atrophie cerebrale, Spiller
relive une atrophie de l’hemisphere cerebral gauche; dans le cas de Sommer il y
avait hydrocephalie, dans celui de Huppert, le cerveau etait petit et sciereux; les
autres auteurs sont muets sur ce point. Mais le fait meme de la coexistence d’un
arret de developpement cerebral avec la meningo-cerebellite dans presque tous
ces cas, nous paralt parler fortement pour notre mani&re de voir. Le coexistence
de deux maladies distinctes: une meningo-cerebellite d’une part, un arret de de¬
veloppement vrai de l’ecorce cerebrale d’autre part et sans qii’il y ait de rapport
entre ces deux anomalies serait en effet bien etrange.
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ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIEUE.
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HD. 19, BBFT 1
1912.
Nous croyons done que les cas visEs par nous sont des mEningo-encEphalites
du jeune age, comme celles qui occasionnent nombre de cas d’idiotisme simple.
Ces cas ont simplement une localisation particuliEre, intEressant d’une fa$on in¬
tense le cervelet. Plus rarement le processus inflammatoire intEresse exclusivement
— ou presque exclusivement — cet organe (cas de Pierret ?, cas citEs par Oppenheim).
II est intEressant de cons tat er que pour certains cas du moins, de poren-
cEphalie, on a cherchE k Etablir leur origine dans des mEningo-encEphalites ayant
amenE la destruction de la paroi ventriculaire dans toute son Epaisseur. C’est la
thEorie de ZingerU (Zeitschrift fiir Heilkunde 1904, I, XXV, p. 295 et 1905, I,
XXVI, p. 1). II s’agirait alors d’inflammations ayant eu pour consequence le
ramollissement, puis la resorption de territoires entiers de recorce cerebrale, beau-
coup plus intenses par consequent, quoique moins etendues, que celles qui amenent
de l’anarchie cellulaire, des scleroses et une idiotie ordinaire. Or ces meningo¬
encephalites peuvent etre occasionnellement aussi des meningo-cerebellites, et
amener la destruction presque complete du cervelet ou d’un de ses hemispheres.
Plusieurs cas publies d’atrophie considerable du cervelet nous paraissent du moins
susceptibles de cette explication.
Ainsi l’observation de Conibettes (1831) concemant une idiote sujette k des
crises epileptiques et dont le cervelet n’Etait represente que par une membrane
geiatiniforme de forme demi-circulaire, tenant k la moelle allongee par deux pe-
doncules membraneux et geiatineux. Vers ces pedoncules existaient deux petites
masses de substance blanche, isoiees et comme detachees ayant le volume d'un
pois. II n'y a pas d’examen microscopique et naturellement il est impossible ainsi
de trancher la question, s’agissait-il d’une agEnEsie proprement dite ou d’une de¬
struction du cervelet par une inflammation aigue, mais les crises Epileptiques
parlent pour une irritation de l’Ecorce.
D’Andral (citE par Thomas) a communiquE Eg element le cas d’une imbEcile
parvenue k l’age de 45 ans (..extreme faiblesse d’esprit“). L’hEmisphEre gauche
du cervelet Etait reprEsentE seulement par une sorte de tubercule ayant la forme
d’une amande. La surface de ce tubercule Etait cannelEe de maniEre k reprEsenter
en miniature la surface de l’autre hEmisphEre. La pie-mEre qui l’entourait Etait
Epaissie. L’arachnoide reprEsentait une sorte de poche contenant une assez grande
quantitE de sErositE.
Observation de Shuttleworth (citEe par Thomas): jeune fille de 15 ans atteinte
d’un arret de dEveloppement intellectuel trEs prononcE. Le cervelet rEduit k un
petit nodule central avec un petit prolongement triangulaire de chaque c6tE.
Anton (1903) a dEcrit une absence aussi complEte du cervelet que celle com-
muniquEe par Conibettes . T 1 s’agissait d’une enfant de 6 1 /, ans trEs retardEe dans
son dEveloppement et qui mourut EtouffEe en mangeant. Le poids total du cer-
veau Etait de 870 g. Le cervelet complEtement absent Etait remplacE par une
membrane trEs vasculaire. II ne restait qu’im minima dEbris oil l’on pouvait
reconnaitre les couches caractEristiques du cervelet. L’Ecorce cErEbrale Etait
constituEe par de nombreuses cellules ganglionnaires, entassEes et serrEes les
unes sur les autres, et par de grosses cellules embryonnaires. Anton admetque le
cervelet a EtE dEtruit et rEsorbE avant la naissance. La cause probable qu’il in-
dique est un ramollissement semblable k ceux qui produisent la porencEphalie.
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DR. H. PREISIG.
Journal f. Piycholofi#
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Dans la plupart de ces cas, il est difficile de determiner si on a affaire k une
agenfeie simple ou k une resorption ayant suivi un processus inflammatoire. Dans
quelques uns (ceux d’Andral et d’Anton) l’epaississement ou la vascularisation
des enveloppes meningees sont signals et parlent pour un residu d'inflammation.
Anion admet du reste pour son cas la pathogenie sur laquelle nous attirons
l’attention.
II est interessant, en tous cas, k notre point de vue, de constater qu’on a
pu admettre des meningo-encephalites graves comme causes de porencephalie,
que ce processus peut se localiser au cervelet comme au grand cerveau et que plu-
sieurs cas d’absence totale ou partielle du cervelet decrits dans la litterature sont
susceptibles de cette explication.
Les meningo-cerebellites de ce dernier type seraient des processus beaucoup
plus graves que celle dont nous trouvous les rdsidus chez notre malade. Dans notre
cas la corticalite du ceivelet seule a souffert. Dans le cas d'Anion on a eu affaire
k un processus massif.
L’ecorce c^r^brale, dont les alterations sont peu profondes, et la Peripherie
du cervelet mises k part, les autres parties des centres nerveux ne pr6sentent nulle
part de signes d’une alteration primitive. Ce ne sont partout que des atrophies
simples sans residu quelconque d’une inflammation ou d’une lesion proprement
dite, sans proliferation anormale de la nevroglie. II s’est passe chez notre malade,
exactement ce qui se passe apr£s line operation de Gudden chez l’animal nouveau-ne:
les formations anatomiques en rapport avec la lesion primitive se sonl resorbees
sans laisser de traces ou ont ete le siege d’une atrophie simple secondaire. La lesion
primitive principale avait pour siege la peripheric du cervelet, qui a ete soumise
k une disturbation profonde et dont les elements anatomiques ont ete en bonne
partie detruits. Cette lesion primaire a retenti sur les differentes formations en
rapport avec l'ecorce cerebelleuse. Nous sommes autorises k considerer le tronc
encephalique de notre malade comme celui d'lm nouveau-ne chez qui une extir¬
pation de Gudden aurait peie l’ecorce du cervelet. L’etude anatomique de cet axe
cerebrospinal nous servira de controle p>our les differentes connexions attribuees
en anatomie k l’ecorce du cervelet.
Nombreux sont les cas d’alterations cerebelleuses qui ont fait l’objet d’etudes
anatomiques semblables, mais aucim, sauf celui de Spiller, ne correspondait au
notre comme lesion primitive. Dans les cas decrits par Montsarrat et Warrington
(1902) et Anion (1903) il s’agissait de destruction complete du cervelet, dans celui
d’Edinger-Neuburger (1898) d’une absence presque complete aussi, de l’hemisphere
droit de l’organe. — Dans les observations de Moeli (1889), Menzd (1890) — le cas
de Menzd n’est du reste pas pur, complique qu’il a ete d’une affection progressive
de la moelle epiniere — Amaldi (ier cas) (1895) et Langelaan (1907, chez un chat)
il s’agissait d’arret de developpement, ou la localisation exacte de la lesion pri¬
mitive etait forcement plus difficile. Ces cas ne peuvent p>as en consequence etre
consideres au m6me titre que d’autres comme ayant une valeur presque experi-
mentale. —
Les cas d’atrophie olivo-ponto-cerebelleuse decrits par Thomas (obs. IV et V
1897 et 1903) et Dejerine et Thomas (1900) represen tent un type special oil la fonte
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BP 19. HEFT 1
1912.
ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
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des olives et des noyaux gris de la protuberance doit etre simultan6e k celle de
recorce cerebelleuse. Du reste, meme si 1’alt Oration corticale etait primitive et les
deux autres secondaires il s’agirait d'une maladie progressive atteignant l’adulte.
— Le lie cas d’Amaldi est un abc^s, gueri par calcification, si£geant au centre
d’un des hemispheres cerebelleux; T observation de Negd-Theohari (1903) se rapporte
egalement k un ramolissement qui occupe le centre de l’organe. — Le cas de Schultze
(1887), Arndt (1894) et l’observation III de Thomas (1897) sont des atrophies scie-
reuses du cervelet atteignant autant la substance blanche de l’organe que son ecorce.
Chez Schultze il s’agit d’une maladie en foyers qui atteint aussi le bulbe rachidien;
chez Arndt la lesion siege principalement dans le centre blanc du cervelet, chez
Thomas il y a un foyer dans la capsule interne gauche.
Nous avons grand interet k rapprocher nos resultats des nombreux resultats
experimentaux obtenus par les extirpations chez l’animal, principalement de ceux
obtenus par la methode de Gudden par Gudden lui-meme (1882) et Vejas (1885),
mais aussi de ceux de Ferrier et Turner (1894), de Thomas (1897) etc.
Enfin l’anatomie compar6e nous foumira quelques points de comparaison,
rares il est vrai, avec les animaux ayant un cervelet irks ou tr&s peu d^velopp^.
Faisceau cerebelleux direct. Sauf Loewenthal (1886 et 1911) qui met la chose
en doute, tous les anatomistes semblent aujourd’hui d’accord pour assigner comme
origine au faisceau spino-c£r£belleux dorsal les colonnes v^siculaires de Clarke. Dans
son experience de 1886, Loewenthal a sectionn6, chez un jeune chat une partie du bulbe
rachidien, en particulier le faisceau c£r£belleux. Les cellules ganglionnaires de Clarke
disparurent du cot6 de la lesion, du moins entre la 6e dorsale et la 3e lombaire. Mais
l’auteur affirme que le faisceau cerebelleux etait reste intact au dessous de sa solution
de continuite et voit dans ce fait un argument contre l’hypothese qui fait naitre
le faisceau cerebelleux direct dans les colonnes de Clarke. D’autres auteurs se sont
egalement prononces contre cette origine, ainsi Babinsky en 1884, Lissauer en
1886, Pellizzi en 1892. Cependant l’opinion courante est rest6e favorable h la co-
lonne de Clarke origine du faisceau de Flechsig, conform6ment aux vues de Flechsig
lui-meme. Et cette opinion vient de s'etayer d’une preuve experiment ale, due
k la methode de la chromolyse entre les mains de Bruce. Bruce, apr£s section du
cordon antero-lateral chez le singe a pu constater la chromolyse des cellules de la
colonne de Clarke , dans sa partie superieure du moins, toutes les fois que l’ope-
ration avait porte sur le faisceau cerebelleux direct ou sur le corps restiforme.
Dans notre cas les colonnes de Clarke n’existaient pour ainsi dire pas, on
n’en reconnait plus que des vestiges dans quelques coupes de la moelle dorsale,
et ces vestiges contiennent surtout de petites cellules. Dans la moelle lombaire
la region correspondant aux colonnes de Clarke ne presente egalement que des
cellules petites. Ce r6sultat nous parait concorder avec l’opinion courante, surtout
si on limite la discussion aux grandes cellules ganglionnaires, comme le fait van
Gehuchten . Ce dernier auteur distingue en effet dans les colonnes de Clarke deux
sortes de cellules differentes, des grandes et des petites; les grandes 3eules entre-
raient en ligne de compte quand il s’agit de l’origine du faisceau cerebelleux direct,
car elles seules degenerent (chromolyse) en cas de lesion de ce faisceau. Il est in-
teressant de noter qu’eii 1886 dej k, Loewenthal distinguait ces deux types de cellules
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DR. H. PREISIG.
Journal f. Ptjcboloirie
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et remarquait que dans son experience, les petites cellules, qu’il compare comme
aspect aux elements de la substance geiatineuse de Rolando , etaient 4gales du cote
op 4 r 4 et du cote sain. Cette distinction entre deux esp£ces de cellules permet peut-
etre de comprendre les r 4 sultats de Bruce et de Harvey (1910) qui ont mis demiere-
ment en rapport les colonnes de Clarke avec les fibres efferentes du sympathique:
les fibres sympathiques seraient dans cette hypo these, en rapport avec les petites
cellules de Clarke , les grandes constituant le noyau d’origine du faisceau spino-
c 4 r 6 belleux dorsal.
Dans son cas, sans cela, tr£s semblable au notre, Spiller note l’integrite des
colonnes de Clarke ce qui peut tenir au fait que le faisceau c 4 r 4 belleux direct n'6tait
que peu atrophie. — Dans notre cas, il ne devait pas non plus l’etre compietement,
quoique davantage que dans le cas de Spiller. — Arndt a trouv 4 4 galement des
colonnes de Clarke normales, mais il note aussi l’ 4 tat normal du faisceau c 4 r 4 belleux,
du reste la 14 sion primitive, dans son observation, 4 tait une sclerose centrale du
cervelet, atteignant le centre blanc de Torgane. Les colonnes de Clarke etaient
encore normales dans les cas d’atrophie olivo-ponto-c 6 r 4 belleuse de Dejerine et
Thomas (1900) et de Thomas (1903).
Une reduction des colonnes en question est sign alee au contraire par Amaldi
dans ses deux cas (1895) (une hypoplasie de l’hemisphere gauche, un ancien abcfe
central). De meme par Langelaah (1907) chez un chat avec hypoplasie du cervelet
et atrophie du tractus spino-c 4 r 4 belleux dorsal. Anton (1903) relive une forte
reduction et une atrophie des cellules des memes colonnes colncidant avec le manque
presque complet du cervelet. Menzel (1890) signale une d 4 g 4 n 4 rescence graisseuse
et pigmentaire des memes elements dans son cas d’arret de d 4 veloppement du
cervelet complique d'une maladie de Friedreich. Thomas signale dans son obser¬
vation III (1897) (atrophie scl 4 reuse de 1’hemisphere droit): les cellules de Clarke
sont moins nombreuses k droite, dans son observation IV (1897) (atrophie syst 4 -
matique) les colonnes de Clarke sont in6galement d 4 velopp 4 es; dans son observation
V (1897) (atrophie olivo-ponto-c4r4belleuse): les colonnes sont petites, leurs cellules
ratatindes, tr 4 s atrophides.
Quant k Torigine du faisceau spino-certbelleux ventral ou faisceau de Gowers
— que pour etre juste, ou devrait appeler faisceau de Loewenthal si on veut le de¬
signer par un nom d'auteur, (voir Loewenthal 1911) — elle est encore tr£s discut 4 e.
Pour Mott (1897) ainsi que pour Bing (1904) d’apr^s un cas de poliomy 61 ite
aigue et pour Salesbury et Horsley (1909) d’apr^s leurs experiences portant sur
des singes surtout, ce faisceau naltrait dans la region moyenne de la come ante*
rieure. — Pour Bruce (1910), qui a recherche la chromolyse dans la moelle de singes
operes par le professeur Schafer, c’est la colonne de Clarke , dans sa partie inferieure
qui donnerait naissance k notre faisceau, les etages superieurs de la colonne etant
reserves aux fibres du faisceau cerebelleux direct. Lewandowsky regarde aussi
cette origine comme probable. Tooth (1889) et Schafer (1899) avaient d 6 ]k emis
la meme opinion. — Pour Lubouschkine (1901) le faisceau spino-cerebelleux ventral
est constitue par deux categories de fibres: les premieres venant de la substance
grise de la come posterieure du meme cote, les secondes venant de la substance
grise de la come posterieure du cdte oppose. Lubouschkine dtudiait les deg6n£-
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BD. 19,. HEFT
1912.
ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
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rescences produites par des injections d'eau physiologique dans la substance grise
de la moelle.
Van Gehuchten admet £galement que le faisceau de Loewenthal nait dans
les comes posterieures surtout du cote croise, des r6cherches faites avec la methode
de la chromolyse sur les cellules de Clarke ne lui ont pas donn 4 de r&ultat positif.
Remarquons 4 propos de cette demi&re opinion, qu’en 1898 dej 4 Long admettait
pour certaines fibres c^r^belleuses une origine 4 la base de la come posterieure. —
Reiche (1909) admet avec Marburg, que ces fibres c6r6belleuses tirent leur origine
des cellules de Clarke et des cellules de la commissure grise de la moelle, ces cellules
moyennes pr&entant un d£veloppement qui balance celui des cellules de Clarke .
Chez notre malade, nous avons signal^ ratrophic considerable des colonnes
de Clarke, atrophie que nous mettons en rapport, d’apr&s 1’opinion la plus accre¬
ditee, avec la reduction du faisceau cerebelleux direct. Ceci admis, il nous paralt
logique de rapporter l’atrophie du faisceau de Loewenthal aux autres parties grises
de la moelle qui sont atteintes. Or ce qui manque, dans notre cas, c’est, sur toute
la hauteur de la moelle, la partie moyenne des comes posterieures, dont nous avons
constate la disparition dans la moelle lombaire comme dans la moelle cervicale;
les comes posterieures manquent presque compietement dans la region dorsale.
Nous croyons done pouvoir dire, 4 la lumi 4 re de notre cas que le faisceau spino-
cerebelleux ventral nalt dans les comes posterieures de la moelle dorsale, et dans
la partie moyenne de ces memes comes de la moelle lombaire et cervicale. II est
interessant de remarquer 4 ce propos, que Kohnstamm a dej 4 signaie, comme con-
tribuant 4 la constitution du faisceau de Loewenthal, l'existence de fibres d’origine
cervicale. Amaldi (1895) a r 61 ev 6 aussi, dans ses deux cas d’atrophie c^belleuse
un amincissement de la come posterieure dans la region dorsale — ou dorsale et
cervicale —, du cote de la lesion, mais il notait aussi une reduction des comes
anterieures.
Un cas comme le ndtre ne permet naturellement de rien dire concemant
le trajet du faisceau en question, sur le passage de ses fibres dans la valvule de
Vieussens, qui est contests, ni sur 1’abandon de quelques fibres qui remonteraient
dans le cervelet en accompagnant les p&loncules cerebelleux moyens. Nous pouvons
seulement remarquer que la valvule de Vieussens paraissait constituee tout entire
par rentrecroisement des nerfs de la quatrieme paire.
L'etude de la moelle de J. G. ne nous permet pas d’autres considerations.
Disons seulement que Thomas (1897 p. 97) a trouve chez un chien 4 qui il avait
fait une hemi-extirpation du cervelet, l'atrophie de la come laterale dorsale du
cdte opere, tandis que nous n'avons pas pu voir d'anomalie dans les comes laterales.
Une question discutee aussi, est celle de l'existence ou de la non existence
d'un faisceau spino-cerebelleux posterieur, c'est- 4 -dire de fibres passant directement
des cordons de Goll, et de Burdach dans le corps restiforme. L'existence de ces fibres
est admise par Edinger (1885) Hoche (1896), Dydinski (1901), Darkschewitsch,
Solder (1897), Goldstein (1910), Thomas (1911), auteurs qui tous s'appuyent prin-
cipalement sur des observations faites sur l'homme. Elle est d'autre part ni6e
par Lewandowsky et van Gehuchten , lesquels apportent des preuves experiment ales,
done des r£sultats acquis sur des animaux. Rien dans notre cas ne nous permet
une opinion personnelle dans cette question.
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Journal t Piycbnlofie
und Neurologic.
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Plusieurs auteurs admettent l’existence de fibres parties des noyaux des cor¬
dons posUrieurs et qui contribueraint k la formation du corps restiforme. Ainsi
Darkschewitsch et Freud, Edinger, Ferrier et Turner, Tschermak, Keller, Collier
et Buzzard. L’existence de ces fibres, d6j& signal^es en 1891 par Blumenau est
admise Egalement par Pitzorno (1903) d’apres des observations faites suivant la
methode de Flechsig, et par Troschin (1899), k la suite de lesions produits sur les
noyaux de Goll et de Burdach chez le chat (m&hode de Marchi). Langelaan (1907)
admet meme, d’apres les coupes de son chat avec hypoplasie du cervelet, que la
majority des fibres du cordon de Goll passent directement dans le corps restiforme.
Pellizzi (1895), Probst, Amaldi admettent aussi l’existence des ces fibres. Thomas
(1911) admet des fibres qui naissent dans le noyau de Monakow.
Van Gehuchten (1904) s’est 61 ev 6 contre l’existence de ces fibres. Dans une
s6rie d'experiences sur la constitution du corps restiforme, il n'a jamais constate
de chromolyse dans les cellules des noyaux de Goll ni de Burdach, apres section
du corps restiforme. De meme Yagita (1906) qui procedait suivant la meme m 6 -
thode experimentale et recherchait egalement la reaction chromolytique.
Dans notre cas, les noyaux des cordons posterieurs etaient normalement
developpes. Ce resultat negatif ne prouve rien d’une manure absolue, puisque un
petit nombre de cellules pourrait manquer sans que leur absence soit remarquee
dans les coupes. Cependant, il est interessant k rapprocher des resultats obtenus
par van Gehuchten et Yagitk par la methode si delicate de la chromolyse, — tous
les resultats experimentaux parlant en faveur de l’existence des fibres en question
etant dus k la methode de Marchi, de beaucoup moins stricte.
L’integrite des noyaux de Goll et de Burdock a ete constatee egalement dans
les cas de SpiUer, Arndt, Warrington-Montsarrat, Anton, Dejerine et Thomas, Neu-
burger et Edinger, Thomas (observations, IV et V, cas de 1903). Amaldi au contraire
a vu ces noyaux atrophies dans ses deux cas, de meme Langelaan, Menzel, Thomas
dans son observation III, et Fusari dans un cas d’absence presque totale du cervelet.
Mais il est bon de remarquer que l’observation III de Thomas ne se rapporte pas
k une lesion limit6e k l’ecorce cerebelleuse, que le cas de Menzel n’est pas pur non
plus, que le cas II & Amaldi conceme un ancien abces central, et Langelaan comme
Amaldi dans son premier cas, a etudie un arret de developpement; cet arret de
developpement pouvait tr&s bien n’etre pas limite au cervelet et par consequent
toutes les anomalies notees ne sont pas necessairement consecutives k la defectuosite
du cervelet. C’est le cas par exemple de l’atrophie des comes anterieures de la
moelle notes par Amaldi.
Fibres olivo-cerebelleuses. L’atrophie croisee des olives bulbaires est un ph6-
norndne constant, signaie regulierement dans les cas d’atrophie cerebelleuse. Meynert
deji l’a releve, For el et Vejas l'ont etabli experimentalement et depuis il a ete con-
firme de toutes parts. Il existe une seule exception: Langelaan a trouve les olives
normales chez son chat avec hypoplasie de l’ecorce cerebeHeuse.
Une connexion ascendante *ntre l’olive et le cervelet est admise partout
le monde ou k peu pres. Citons paimi les demiers travaux qui etablissent son exi¬
stence ceux de Yagita (1906) qui, apr£s destruction d’un corps restiforme chez le
lapin, et examen de l’olive au bleu de toluidine, put constater la chromolyse des
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BD - l ^g§? FT 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE. 31
cellules de Tolive. Yagita admet, comme c’est le cas g£n6ral, que la grande majority
des fibres olivO-c6r6belleuses sont crois£es, quelques unes 6tant directes. Holmes
et Stewart (1908) ont public des experiences semblables: destruction partielle de
r. 4 corce c£r£belleuse et recherche de la chromolyse dans les olives. Ils airivent
au meme r^sultat que Yagita en pr£cisant et en admettant une correspondance
r^gionale: la lamelle dorsale de l’olive serait en rapport avec la face dorsale du
cervelet, la lamelle ventrale enverrait les cylindr’axes de ses cellules k la face in-
ttrieure du cervelet.
Les experiences de Keller (1901) ne sont pas k l’abri de tout reproche. Elies
ont consiste en destruction d’une olive et k suivre les fibres d 6 g 6 n 4 r 6 es avec la
methode de Mar chi. Keller a constate aussi l’existence des fibres olivo-c£r£belleuses,
mais il admet que quelques unes d’entr' elles se rendent k destination sous forme
de fibres arciformes internes. Or comme vanGehuchten l’a fait remarquer il est
impossible de leser l’olive bulbaire sans interrompre les fibres arciformes extemes
qui l’entourent. L’op^ration a done dti detruire, non pas seulement l'olive, maAS
ces fibres arciformes, c’est-el-dire d’apr&s van Gehuchten des fibres r6ticulo-c£r£-
belleuses ventrales et de fibres nucleo-c6r6belleuses (venant du noyau lateral du
bulbe). Il n’est ainsi pas 6tonnent qu’il ait obtenu une d6g6n6rescence en dehors
du trajet reconnu.
Orestano (1901) admet 1’existence de fibres cer6bello-olivaires, done de fibres
k direction c 4 r 6 belli-fuge, k la suite de destructions exp£rimentales d’un hemisphere
c6r6belleux et d’examen apres durcissement au Marchi. De meme Monro et Findlay
(1908) qui n’ont trouv£ qu’une d6g£n£rescence faible dans le p&loncule c6r6belleux
inferieur dans un cas de destruction d’une olive par un tubercule solitaire, et qui
concluent k un trajet descendant du faisceau olivaire. Edinger admet aussi l’exi-
stence de fibres c6r£bello-olivaires; Cajal, Ferrier et Turner, Russell de meme. Par
contre Klimoff (1899), Lewandowsky et van Gehuchten (1904) n’admettent que des
fibres c6r£belli-petes. -
On admet g6n6ralement que les fibres issues de l’olive se terminent dans
lYcorce du cervelet (Thomas et Weidenreich). Quelques auteurs cependant les
font se terminer dans le no,yau dentel6, ainsi Edinger. Langelaan se rallie k cette
terminaison et exphque de cette fa$on le d6veloppement normal des olives de
son chat, l’6corce c6r£belleuse 6tant seule hypoplasi6e chez cet animal, tandis que
les noyaux centraux 6taient in tacts.
Il nous parait cependant que la conclusion de Langilaan ne peut pas etre
absolue, car l’6corce c6r6belleuse du chat nYtait pas complement absente, ce qui
peut expliquer la persistance des olives. Il convient de remarquer aussi que contraire-
ment k ce qu’a trouv6 Langelaan, les olives 6taient fortement rdduites dans notre
cas, ok la 16 sion primitive 6tait 6galement limit^e a l’6corce. Du reste, e'est k la
suite d’extirpations de l’6corce c6r£belleuse que Holmer et Stewart ont pu constater
la chromolyse des cellules olivaires.
Dans notre cas, les deux olives 6taient manifestement atrophies. Elles con-
tenaient cependant encore un grand nombre de cellules normales, ce qui s’explique
par le fait que l’atrophie de l’6corce c6r£belleuse 6tait incomplete. Il est int^ressant
de relever que la lame dorsale de l’olive paraissait proportionnellement plus atteinte
que la lame ventrale et de.mettre ce fait en relation avec un autre: la face sup^
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rieure du cervelet paraissait plus malade que la face inferieure, du moms en arrfere.
On y peut voir une confirmation des rapports rlgionaux admis par Holmes et Stewart.
II est intdessant aussi de relever que, dans le premier cas d 'Amaldi l’atrophie dait
plus didente k la face infdieure du cervelet et que d’apr&s sa figure 6, la lamelle
inferieure de l’olive est la plus atteinte. Tous ces faits sont certainement con-
cordants.
Relevons en passant que le dauphin avec son £norme cervelet, possMe des
olives et des parolives tr&s ddeloppds (Hatschek 1902) qui dipassent de beau-
coup celles d’autres mammiferes. Edinger admet que l’olive est d’autant plus dd
velopp6e que le cervelet et particulferement ses parties latdales le sont davantage
— chez les mammiferes, puisque c'est chez eux seulement que la formation olivaire
existe.
D'apfes les demises recherches de vanGehuchten (1904) le corps restiforme
est compost, k l’exclusion de tous autres dements, de 5 categories de fibres, toutes
ascendantes:
1 fibres m&iullo-cdfebelleuses dorsales (faisceau cd^belleux direct de Flechsig),
2 fibres oli vo-cdd>elleuses,
3 fibres r6ticulo-cd£belleuses vent rales, qui par leui trajet rentrent dans le
groupe des fibres arciformes extemes,
4 fibres nucl£o-c6r£belleuses, issues du noyau lateral du bulbe,
5 fibres rdiculo-cd£belleuses dorsales.
Les fibres reticulo-cerebelleuses prennent leur origine dans les cellules de la
substance rdiculaire. Les dements de cette meme substance rdiculaire sont con-
sidd£s par Edinger comme l’aboutissant de fibres provenant du cervelet. D’apfes
ce dernier auteur, la substance rdiculaire est un des groupements de son grand
nucleus magno-cellularis tegmenti, ok viennent se terminer des fibres cd6belli-fuges
et qui donne naissance k tout un sysfeme descendant (faisceau rubrospinal, fibres
parties du pont, du bulbe etc.) qui relie indirectement le cervelet avec les Stages
inferieurs des centres nerveux.
Nous n'avons pas nofe d’altdration de la substance idiculaire grise, dont
les cellules daient belles et paraissaient nombreuses. — Dans un cas comme le
notre les cellules qui envoyaient leur cylindr’axe k l’dorce du cervelet devaien.
etre compfetcment rdorb&s. Si l’dorce c6r6belleuse avait d6 compfetement
d6truite, et si toutes les cellules de la substance rdiculaire envoyaient leur prolonget
ment au cervelet, la substance rdiculaire ne devait plus contenir aucune cellule-
Mais la destruction de l'dcorce dant incompfete, il faut admettre qu’un certain
nombre de fibres rdiculo-cd6belleuses ont persists, et avec elles leurs cellules d'ori-
gine. Du reste van Gehuchien ne reclame pas, comme cellules d’origine de ces fibres
rdiculo-cd^belleuses, tous les 616 ments de la formation grise en question. C'est
pourquoi nous ne saurions pas voir, dans l’int^grife apparente de cette formation
chez notre malade, un argument contre l’existence des fibres ddouvertes par van
Gehuchten. Le fait que les cellules r6ticulaires ont persist^ en grand nombre prouve
cependant qu’elles ont, pour une bonne partie d'entr’elles, d’autres fonctions que
celles de transmettre au cortex du cervelet les excitations qu'elles resoivent. On
peut noter, en faveur de l’opinion de van Gehuchten, la diminution des fibres arci-
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ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
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formes ext ernes, diminution qu’on pent rapporter m partie k 1'atrophie des fibres
r6ticulo-c6r6belleuses ventrales. Quant k leurs correspondantes dorsales, nous
n’avbns rien qui nous permette de juger de leur 6tat.
Nous pensons done que notre r6sultat parle en faveur de l'opinion emise
par Tschermah (1898), d'aprds laquelle la formation r^ticulaire serait une station
de relais pour diffdrents systdmes de fibres, tant ascendantes que descendantes.
Molhant a demifcrement (1910) confirm^ l'existence des fibres c6r6belli«pdte* telles
que van GehuchUn les d6crit. II a constate la chromolyse dans des cellules de la
formation rlticulaire, chez un lapin dont les fibres r6ticulo-c6r6beUeuses avaient
H 6 d&ruites par de petites h&norrhagies. Yagita (1906) avait d 4 j&, avant lui, vu de
telles cellules en chromolyse aprds destruction exp£rimentale du corps restiforme
chez le lapin, mais sans attribuer d’importance k cette d6couverte.
II est rare que la formation r&iculaire soil mentionnle dans les descriptions
anatomiques d'atrophie ou d'extirpation c6r£belleuses. SpiUer d&rit cette for¬
mation comme normale. Vejas (1885) la d&rit bien conserve chez son rat ayant
subi l'extirpation de la moitil du cervelet. Thomas dans son observation III (1897)
(atrophie sclereuse de l’h&nisph&re droit du cervelet) a vu la formation r6ticulaire
du bulbe moins riche en fibres k droite; celle de la calotte moins riche en fibres et
en cellules k gauche; dans son observation IV (1897) (atrophie sym&rique de l’&orce
c£r6belleuse) il signale une formation rlticulaire du bulbe d£color6e. Neuburger
et Edinger (1898) dans un cas d’ag6n£sie de l’h&nisphdre droit du cervelet, trouvent
la formation r^ticulaire de la calotte rtduite des */s-
Les fibres nucUo-c&ribelleuses de van GchuchUn relient, dans un trajet ascendant,
le noyau lateral du bulbe k T6corce du cervelet. Elies suivent le trajet des fibres
arciformes extemes et viennent se terminer dans l’6corce du lobe median du cervelet.
Quelques unes seraint crois&s, la plupart directes. Lewandowshy (1904) et Yagita
(1906) admettent aussi l'existence de ces fibres. Auparavant d£] 4 , Bechterew, Russell,
Thomas, Orestano, Probst, avaient signald des fibres ayant le meme trajet, mais
pour ces demiers auteurs, il s'agissait de fibres descendantes, se terroinant dans
le noyau lateral.
' Dans notre cas, aucune alteration du noyau lateral du bulbe ne put etre
constatee, le noyau paraissait normalement constitue Nous ne voudrions pas,
cependant faire de ce fait un argument centre l'existence des fibres nucieo-cere-
belkuses. Des faits n6gatifs, comme celui -14 n’auraient de valeur que si V&orce
cerebelleuse etait complement detruite, ce qui n’est pas le cas. L'existence d’un
corps restiforme, quoiqtte fortement atrophie, nous defend de tirer, de 1’apparence
saine du noyau en question, des conclusions absolues. Nous devons cependant
censiderer comme probable que toutes les cellules du noyau lateral, n’entrent pas
en relation avec le cervelet. Car si tel etait le cas, il est trts vraisemblable que
1'atrophie aurait atteint le noyau lateral dans les m&mes proportions que d'autres
formations, telles que la colonne de Clarke ou 1’olive bulbaire, qui envoient toutes
leurs fibres se terminer dans le cervelet,
Notre cas ne nous permit pas non plus, d’opinion ferine sur l’existence de
fibres descendantes c6r6bello-nucl6aire$, leur existence est cependant rendue possible
par le bon £tat de conservation du noyau lateral. Notons que demidrement, Molhant ,
par Fexamen du cas dbjk citb k propos des fibres r^ticulo-c^bclleuses ventrales.
Journal for Psychologic und Neurologic. Bd 19. 3
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DR. H. PREISIG.
Journal L Payoholofie
nnd Nenrolorie.
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a confirm^ l'opinion de van Gehuchten: les noyaux lateraux de son lapin, surtout
celui du cdte de la lesion contenaient des Cellules en chromolyse.
L*atrophic ou l'absence du noyau arciforme en meme temps que des fibres
arciformes superficielles a ete signalCe k diffCrentes reprises dans les descriptions
d’atrophie cCrCbelleuse. Sauf Edinger-Neuburger (1898) qui n’ont rien vu d'anormal
dans ces deux formations en Ctudiant leur cas d*agCn6sie de la moitie droite du cer¬
velet, tous les auteurs qui parlent du noyau arquC et des fibres arciformes extemes
le font pour relever une anomalie. Arndt (1894) est frappC de ce que les fibres arci¬
formes extemes soient atrophiCes dans son cas d’atrophie sclCreuse du cervelet
alors que les noyaux des cordons postCrieurs etaient intacts. Mais il a constate
i’atrophie des noyaux prCpyramidaux, sans la mettre du reste en rapports avec
celle des fibres prCcitCes. Amaldi (1895) signale l’atrophie du noyau arquC droit
comcidant avec une hypoplasie du cervelet k gauche et une atrophie des fibres
arciformes extemes. Dans un second cas (d'atrophie unilateral), il a trouvC aussi
des noyaux arquCs asymCtriques. Spiller (1896) trouve une absence complete
du noyau arciforme et des fibres arciformes extemes, le cas qu’il dCcrit est, comme
le notre, une lesion symCtrique de la pCriphCrie du cervelet. Thomas (1897) dans
ses observations III et IV d£j& cities a constate une fois l'atrophie, une fois la
disparition des noyaux arqu6s, dans les memes cas, les fibres arciformes extemes
sont atrophiCes dgalement. Dans son observation de 1903, il y a atrophie olivo-
ponto-cCrCbelleuse, atrophie des noyaux prepyramidaux, disparition complete des
fibres arciformes externes. Anton (1903) signale Cgalement, dans son cas d’absence
du -cervelet, le manque des noyaux et l’atrophie des fibres en question. De m&me
Warrington et Montsarrat (1902).
Catola (1907) a signal^ un cas d’hCtCrotopie du noyau arciforme. Le noyau
6tait situC au milieu des faisceaux pyramidaux, les fibres arciformes extemes
l’accompagnaient. Il en tire la conclusion que les fibres doivent etre en rapport
anatomique avec le noyau en question. Oekonomakis (1907) qui avait observe
un cas semblable, se rattache k ces conclusions. ZingerU (1908) signale aussi un cas
semblable. Il met en doute la rectitude de l’argumentation de Catola, en faisant
remarquer, que la situation anormale du noyau arqu6 peut s’expliquer par un
trajet anormal de la pyramide, ce grand faisceau, trks jeune au point de vue phylo-
g6nique, etant soumis k de nombreuses variation de trajet. Dans cette maniere
de voir, le fait que les fibres arciformes accompagnaient le noyau arqu6 n’impli-
querait pas de relations anatomiques entre les deux formations. Zingerle relive
d’autre part le fait que l’atrophie sym^trique du cervelet est r6guli£rement accom-
pagn6e de celle des noyaux arciformes. Comme Catola , il voit dans les noyaux
prepyramidaux des prolongements de la substance grise du pont. L'existence chez
rhomme seul, dans toute la sdrie animale, de ces noyaux arqu£s, est k rapprocher
du d 4 veloppement relativement 6norme des noyaux gris du pont, avec lesquels
les noyaux se continuent du reste directement dans nombre de cas. La meme cause:
le grand d£veloppement du cervelet chez l’homme, a dfl amener l’hypertrophie
de la substance grise du pont et 1 ’apparition des noyaux prepyramidaux. Comme
les noyaux gris de:la protuberance, ces noyaux enverraient leurs fibres au cervelet,
ce qui compieterait l’homologie et ferait de ces deux formations grises une unite
au point de vue physiologique. Cette opinion est fortement documentee par Lewan-
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BD ’ 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
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dowsky (1905): dans un cas de foyer de la protuberance, ayant produit une hemi-
section du pont, cet auteur a vu des fibres de la pyramide degener6es (color6es au
Mar chi) se terminer dans les noyaux arqu6s exactement comme dans les noyaux
gris du pont.
Dans notre cas, les noyaux etaient manifestement atrophies et nous avons
releve le fait que les fibres arciformes extemes visibles au dessous de l'olive, et qui,
par consequent peuvent etre en rapports avec les noyaux prepyramidaux, existaient
k peine. Les fibres arciformes extemes situees plus dorsalement (fibrae arciformes
superficiales laterales de KoeUiker) en particular celles qui semblent se/continuer
directement dans le corps restiforme, etaient proportionnellement beaucoup moins
reduites. Ces faits nous pat aissent parler fortement en faveur de l'opinion signaiee:
savoir que les fibres issues des noyaux arques se rendent au cervelet comme fibres
arciformes extemes. Rappelons en fassant que KoeUiker d6j& admettait des rapports
entre le cervelet et les noyaux prepyramidaux.
Certains anatomistes, ainsi Mingazzini, ont admis Texistence dans le corps
restiforme de fibres provenant des faisceaux pyramidaux. Cette opinion n’a pas
6te confirm 4 e. Les cas decrits d'atrophie cerebelleuse pure ne signalent pas d’alte-
ration de la pyramide, nous n’en avons pas trouve non plus.
A la suite d’experiences faites sur le chat (lesion des noyaux des cordons
posterieurs) et d’examen au Marchi, Troschin (1899) a meme voulu admettre des
relations entre le ruban de Rcil et le cervelet. Marchi avait admis la meme these.
Dans notre cas, le ruban de Reil etait bien developpe. Anion l’a meme vu hyper-
trophie dans son observation de manque congenital du cervelet. Le resultat de
Troschin est probablement une de ces nombreuses apparences que nous devons
at la methode de Marchi .
Le corps restiforme contient-il des fibres descendants ? On a admis de telles
fibres, en particulier k la suite d’extirpation de l’ecorce cerebelleuse et d'examen
suivant la methode de Marchi . Ainsi Cajal , Ferrier et Turner , Russell, Thomas
(1897), Edinger, Marchi , Biedl, Menzel, Arndt ont admis 1’existence de fibres des-
cendantes qui iraient se terminer soit dans les noyaux arques, dans l’olive bul-
baire, le noyau lateral du bulbe, les noyaux des cordons posterieurs, le faisceau
longitudinal posterieur, soit dans la moelle. Deniierement, Hoestermann (1911)
a affirme h nouveau l’existence de pareilles fibres. II a colore au Marchi Tencephale
d’une filletfe autopsiee 20 jours apres Toperation d'un kyste de Hemisphere gauche
du cervelet et trouve des fibres degenerees dans le corps restiforme, En 1911
Thomas decrit encore un ^faisceau cerebelleux descendant 4 *, quoique, me parait-il,
d’une maniere trds prudente.
Contrairement k ces auteurs Klimoff (1899) arrive k la conclusion que le
corps restiforme est compietement constitue par des fibres afferentes. C’est aussi
la conclusion de van Gehuchten (1904) qui, malgre de nombreuses experiences avec
la methode de Marchi (la meme qu‘emploie aussi Klimoff) n’a jamais pu obtenir
de degenerescence descendante dans le pedpncule cerebelleux inferieur.
Les cas d’atrophie comme le notre sont eminemment impropres k apporter
quelque argument dans cette discussion.
Avant de quitter la partie exteme du corps restiforme, relevons simplement
que cette. formation etait considerablement atrophiee dans son ensemble — comme
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Journal t Piyeboloffo
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dans notre observation — dans tons les cas d'atrophie ctrtbelleuse dtcrits ainsi
que toutes les fois qu’une extirpation ctrtbelleuse avait tt 4 pratiqute. La consta-
tation de ce fait remonte 4 Gudden (1882) et Vejas (1885).
La partie interne dn corps restiforme (ou corps juxta-restiforme. D&jerine)
comprend les noyaux de Deiters et de Bechierew — plus un noyau suptrieur rtoem-
ment dtcrit par Banchi — et des fibres dont la signification est encore trts di3cutte.
C'est 14 c^T Edinger (1899) place sa „voie ctrtbelleuse directe** (direkte sen-
sorische Kleinhimbahn) constitute par des fibres qui passeraient directement dts
troncs des nerfs crdniens (5e, yt et 8e paire) dans le cervelet. Ces fibres sont pour
Edinger si importantes chez les verttbrts inftrieurs qn'elles constituent chez eux
la plus grosse partie des radiations ctrtbelleuses. Ainsi chez les stladens. — Ufte
seconde voie ctrtbelleuse pour les nerfs cr&niens est constitute, d’aprts cet auteur,
par des fibres allant du cervelet aux noyaux des nerfs acoustique, glosso-pharyngien
et pneumogastrique: „voie nuclto-ctrtbelleuse 44 . Edinger assigne comme origine
4 ces fibres, les noyaux du toit et peut-ttre aussi l'tcorce ctrtbelleuse. —Enfin
Edinger voit dans le corps juxta-restiforme des fibres reliant le noyau de Deiters
au noyau du toit.
Thomas voit dans le corps juxtarestiforme, qu’il appelle ,,systtme ctrtbello-
vestibulaire" des fibres descendantes parties des noyaux centraux du cervelet pour se
terminer dans les noyaux de Bechierew, de Deiters et dans le noyau triangulaire de
1’acoustique. En outre son „ faisceau ctrtbelleux descendant 44 parti du noyau dentelt
traverserait le noyau de Bechierew pour aller au cordon anttrolattral de la motile.
Van Gehuchten n’admet dans la formation en question, en fait de fibres radi-
culaires, que des fibres du nerf vestibulaire. Les unes traverseraient le noyau de
Bechierew pour aller se terminer dans le noyau du toit : „faisceau vestibulo-ctrt-
belleux“. Les autres ne font que passer pour se rendre au noyau triangulaire, ainsi
que Cajal l’a indiqut. II nie l'existence de toute autre fibre radiculaire en relation
avec le cervelet, en particulier de fibres descendantes. Les fibres descendantes
dans le corps juxta-restiforme ne seraient reprtsenttes que par le faisceau ctrt-
bello-bulbaire (ou faisceau en crochet).
Les fibres radiculaires vestibulo-ctrtbelleuses sont en somme admises par
van Gehuchten comme par Edinger, avec cette divergence que pour van Gehuchten
ces fibres sont ascendantes, tandis qu’Edinger par ait quelquefois les voukxr de¬
scendantes. Weidenreich admet aussi un trajet descendant. Quant aux fibres radi¬
culaires provenant du facial, Edinger seul les soutient; tandis que Weidenreich
a ddcrit aussi une „racine ctrtbelleuse du nerf de la cinquitme paire 44 .
Les fibres descendantes de Thomas , qui se terminent dans le noyau triangu¬
laire de I 1 acoustique, rentreraient dans les fibres nuclto-ctrtbelleuses d*Edinger.
Pitxorno (1903) a dtcrit aussi des fibres issues du noyau lattral de l’acoustique,
qui contournent la pyramide sous forme de stries acoustiques pour entrer dans
le noyau restiforme et se rendre au cervelet. Ce seraient tgalement des fibres „nu-
clto-ctrtbelleuses 44 . Langelaan (1907) admet les fibres nuclto-ctrtbelleuses d*Edinger,
mais pour lui, elles seraient ctrtbelli-pttes.
Le faisceau ctrtbelleux descendant de Thomas est admis aussi par Langelaan
qtai lui fait traverser le noyau de Deiters . Weidenreich a dtcrit encore des fibred
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BD, 10. HEFT 1
1912.
ETUDE ANATOMIQUE ET AN AT OMO-P AT H OLOGIQUE.
37
descendantes du corps juxta-restiforme qui s'en iraient dans la partie dorsale de la
moelle 6pini£re. Marchi dej4, ainsi que Biedl, Basilewski et Cajal avaient admis
une d^gdn6rescence dans la moelle aprfcs extirpation ou lesion du cervelet. Ferrier
et Turner, Klimoff, van Gehuchten, Lewandowsky n’ont au contraire pas constate
de d6g6n6rescence pareille et nient l’existence du faisceau c6r6belleux descendant.
Les fibres descendantes allant des noyaux du toit, on du noyau dentel6 aux
masses grises du corps juxta-restiforme sont au contraire admises avec ensemble
par Edingercomme par Thomas, Weidenrrich, Klimoff, Lewandowsky, Probst, Russell.
Le faisceau c6r6bello-bulbaire (ou faisceau en crochet) se terminant pour certains
auteurs dans les noyaux de Driters et de Bechterew rentrait done dans la meme
cat^gorie de fibres. Pour van Gehuchten, ce faisceau p 6 n 4 tre dans le bulbe sans que
son lieu de terminaison soit connu d’une fa$on precise.
Notre cas est impropre 4 6clairer Tune quelconque des questions qui se posent
encore 4 propos du corps juxta-restiforme. Bomons nous 4 rappeler que les noyaux
gris de cette formation 6taient bien d6velopp£s. Nous n’avons pas pu distinguer
le noyau sup&ieur d6crit par Banchi. Nous voyons nettement un faisceau de fibres
qui semble se detacher du complexus form6 par les noyaux de l’acoustique et le
noyau de Driters pour se diriger vers le cervelet. Une partie de ce faisceau passe
en dedans, l'autre partie en dehors du p&loncule c£r6belleux sup 4 rieur. H est natu-
rellement impossible de dire d’o 4 proviennent en r6alit6 ces fibres et quel est leur
sens de conduction. En avant du corps juxta-restiforme, nous n’avons pas trouv6
que les noyaux gris de Driters se continuent avec les noyaux du toit du cervelet.
Les noyaux des nerfs cr 4 niens qu’on a impliqu^s dans la discussion ci-dessus r£-
sum 4 e ont paru normaux dans notre caS, aucune anomalie ne nous permet done
une conclusion personnels sauf celle-ci: IStat normal des nerfs cr 4 niens et leurs
noyaux rend improbable l’existence de fibres c6r6belli-p6tes issues de ces formations.
La literature des atrophies c6r£belleuses contient 6galement peu d* obser¬
vations, sur les noyaux des nerfs cr 4 niens. Modi (1889) a trouv6 le noyau triangu-
laire de l’acoustique plus faible du c 6 t 4 de la lesion c 4 r 4 belleuse (reduction par
compression d’un des hemispheres). Arndt (1894) d 4 crit la racine exteme de l'acou-
stique comma pauvre en fibres dans un cas de cirrhose cent rale du cervelet. Amaldi
(1895), dans un cas d'hypoplasie, suspecte une diminution du noyau antlrieur
de l’acoustique du cdte test et signale dans un second cas (abc&s central calcifi6)
une reduction de moitie du meme noyau. Edinger et Neuburger (1898) decrivant
leur agenesie de I*h 6 misph 4 re droit de cervelet, ne constatent aucune alteration
des noyaux proprement dits des nerfs, mais le reseau de fibres dans le noyau du
vague etait beaucoup plus mince 4 droite qu ’4 gauche, et le noyau etait ainsi plus
dair. Les fibres qui accompagnent du cdte median la racine descendante de l’acou-
stique, etaient egalement beaucoup moins serrees 4 droite qu ’4 gauche. Les auteurs
voient 14 l’atrophie de la voie cerebello-nucieaire. Thomas (1897) dans son obser¬
vation III (atrophie sciereuse d’un hemisphere droit du cervelet) rel 4 ve des noyaux
plus p 41 es 4 droite pour les VUIe, IXe et Xe paires. Plusieurs auteurs ont, par
contre, releve l’etat normal des noyaux des nerfs cr 4 niens: ainSi Dljerine et Thomas
(xgoo), Thomas (1903).
Les noyaux gris eux-m£mes du corps juxta-restiforme ne sont pas non plus
mentionnes souvent dans les descriptions anatomiques d’atrophies cerebelleuses.
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3 *
DR. H. PREXSIG.
Journal f. Piycholofle
and Nenrolofie.
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Vejas (1885) constate la persistance du noyau de Betters chez le rat auquel Ford
avait extirp£ la moitie droite du cervelet. Amaldi (1895) trouve, dans son premier
cas, des noyaux de Detters sym£triquement d6velopp6s. SpiUer (1891) d£crit des
noyaux de Detters riches en cellules. Thomas (1897) dans son observation III (atro-
phie scMreuse de Hemisphere droit) trouve le segment interne du corps restiforme
atrophia. Dans un cas d'atrophie olivo-ponto-c^beUeuse d6crit en 1903 les noyaux
de Detters £taient plutdt petits. Anion (1903) trouve, dans son observation de
manque presque complet du cervelet, des noyaux de Bechierew nettement reconnais-
sables tandis que ceux de Detters etaient atrophies.
Nous avons trouve chez notre malade une atrophie marquee des pSdoncules
ceribeUeux moyens et de la substance grise du pont. Le fait est constant et a ete
signaie dans tous les cas d’atrophie ou d’extirpation c£r£belleuse. Borowiecki (1911)
a precise demi£rement l’origine des fibres naissant dans la protuberance pour se
terminer dans l’ecorce cer6beUeuse. A la suite d’op£rations faites sur 5 lapins d’apr£s
la methode de Gudden, il admet, contrairement 4 Mingazzini, que toutes les fibres
du pedoncule sont croisdes. Distinguant differents groupes cellulaires dans les
masses grises du pont, il trouve que le groupe lateral avec les r^seaux p£ri-et intra-
p£donculaires est le plus d6g6n£r6 en cas d’atrophie du pedoncule moyen. Le groupe
lat6ro-dorsal serait moins atteint, tandis que les groupes median et ventral reste-
raient intacts.
Outre ces fibres c6rebelli-p£tes sur lesquelles tout le monde est d’accord,
plusieurs auteurs ont admis dans le pedoncule cerebelleux moyen l’existence de
fibres c6r6belli-fuges, qui naitraient dans l’6corce du cervelet. Ainsi Koelliker , Mar chi
Cajal, Russell, Miinzer et Wiener, Probst, Mingazzini, Teljatnik. Il est vrai que pour
Probst ces fibres naitraient dans les noyaux centraux.
Pour Edinger ces faisceaux seraient un des constituants de son grand syst£me
„c^r 4 bello-tegmentalis u , qui relie de cervelet avec une s£rie de formations: noyau
rouge, substance grise de la protuberance, de la moelle allong6e et de la moelle
4 pini 4 re, toutes stations terminales qu’il reunit sous le nom de nucleus motorius
tegmenti. VanGehuchten a montr£ que l’existence de pareilles fibres allaqt du
cervelet a la protuberance pouvait etre simuiee par la degenerescence retrograde
dans les coupes colorees au Marchi. Lui-meme, ainsi que Klimoff et Pavlow, nie
l’existence de telles fibres. Lewandowshy , admet chez les animaux des fibres qui
se termineraient dans le noyau du raphe.
Chez notre malade le pedoncule cerebelleux moyen n’etait qu’incompl£tement
atrophie, l’ecorce cerebelleuse n’etait pas compietement detruite. Nous ne saurions
done voir dans la persistance des fibres anterieures du pedoncule un argument
4 faire valoir dans la discussion. Il est seulement interessant de remarquer que
la persistance des parties anterieures seules des noyaux gris du pont donnait au
pedoncule sur les coupes l’aspect d’un faisceau 4 trajet fortement antero-posterieur.
Les sysUmes efferents partant du cervelet, ont ete reunis par Edinger d’une
mani 4 re fort commode pour la vue d’ensemble sous le nom commun de „tractus
cerebello - tegmentalis". Outre le faisceau cerebelleux descendant de Thomas, les
fibres descendantes du corps restiforme et les fibres efferentes du pedoncule c£r£-
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TO 19 \ 9 ?* rT 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE.
39
belleux moyen, ces syst&nes comprendraient Ie p&loncule c£r6beUeux superieur,
le faisceau retro p&Ionculaire de Thomas et le faisceau en crochet.
Dans un travail public en 1904, j’avais admis 4 la suite d'exp^riences sur
le lapin et de recherches suivant la nfethode de la chromolyse, que le p6doncule
c£r6belleux sup^rieur naissait, non seulement du noyau dentefe, mais encore du
noyau du toit: partie exteme du noyau du toit du meme c6fe et partie interne
du noyau du toit du c 6 t 4 oppose. Van Gehuchten a montr6 que je dois avoir coupe
dans mes experiences, le faisceau en crochet en m£me temps que le pedoncule, ce qui
expliquerait la chromolyse des noyaux du toit. II me parait probable en effet, que
le pedoncule n’a pas £t£ sectionn6 4 Texclusion du faisceau cer6bello-bulbaire.
Dans cette hypothfcse ma conclusion sur l’origine 4 la fois crois 4 e et directe des fibres
couples s'appliquerait non plus au pedoncule sup£rieur, mais au faisceau en crochet.
II est interessant de const at er en anatomie compar6e, que le noyau dentefe
fait son apparition en m£me temps que le pedoncule c^r^belleux superieur: chez
les poissons; interessant aussi que le dauphin, malgr£ son gros cervelet, n’aitqu'un
noyau rouge peu d6velopp£ (Hatsckek 1902). Notons en passant que von Monakow
(1909) dans son grand travail sur le noyau rouge et la calotte, a confirm^ la distinc¬
tion que nous faisions en 1904 — apr 4 s For el et Mahaim — entre une partie ant6-
rieure et une partie posterieure du noyau rouge, distinction qui avait 6t6 combattue.
Chez notre malade les noyaux dentefes, non atteints directement, et les p 6 -
doncules qui en sortent, tranchent par leur d^veloppement et leur coloration nor-
male sur les parties p£riph6riques du cervelet, de beaucoup plus atteintes. On
peut lire ainsi directement sur les coupes la difference entre les parties r&eptives
du cervelet, — T 4 corce — fortement atteinte et dont la lesion s’est r^percut^e sur
toutes les formations qui leur envoient des fibres, et les noyaux centraux rest£s
presque intacts et dont les faisceaux efferents qui en sortent frappent par leur
aspect normal. Malheureusement, au sortir du cervelet le pedoncule c^r^belleux
superieur poursuit son trajet au milieu des autres faisceaux normaux du tronc
cerebral, ce qui ne permet plus de le suivre, diss 4 qu 6 en quelque sorte, comme il
Test dans son trajet intra-c6r6belleux.
II est de mime des faisceaux en crochet (faisceau c6r6bello-bulbaire de van
Gehuchten) dont on voit si nettement le trajet au sortir des noyaux du toit et 1’entre-
croisement sur la nfediane mais qui finissent par se confondre avec d’autres fais¬
ceaux normaux. Leur entrecroisement lui-meme ne se s£pare pas d’une fagon
abrupte des fibres commissurales sup^rieures. L'isolement est cependant assez
complet pour qu’on puisse suivre ces fibres jusque parmi les fibres semi-circulaires
extemes, au milieu desquelles elles finissent par se perdre.
Le faisceau retro-p 4 donculaire de Thomas , log6 sur le bord externe du pedon-
cule superieur d 4 gdndrerait des deux cdtes apr 4 s une h6mi-extirpation du cervelet.
Son existence est ni6e par van Gehuchten et par Lewandowsky qui ne voient en lui
qu’une portion du faisceau c 6 r 4 bello-bulbaire. Nous n'avons pas pu retrouver de
faisceau qui lui corresponde.
Les Taeniae pontis conskferes par la plupart des auteurs comme ayant une
direction c£r£bellifuge, doivent au contraire avoir le cervelet comme point de termr-
maison, d’apr 4 s les experiences de Horsley (1906). A la suite depurations fartes
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40
DR. H. PREISIG.
Journal t Paycholofie
und Neorotofio.
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sur le macaque et d'examen suivant Matchi, Horsley a trouvl en effet que les taeniae
pontis d6g^n6raient dans la direction c6r£belli-p£te et qu’ils se terminaient dans le
noyau denteie et le noyau du toit. Oehonomakis (1909) qui a d&rit un cas de por¬
encephalic et microgyrie avec atrophie considerable du taenia du c6te de la lesion
admet comme probable l’existence de fibres c£r6belli-fuges mais aussi de fibres
c&lbelli'p&tes, dont l’origine serait & chercher dans le pedoncule cerebral. Dare
notre observation nous n’avons pu trouver trace des taeniae pontis. Etant donne
que chez notre malade les faisceaux issus du cervelet etaient conserves, tandis que
ceux qui se rendent au cervelet etaient attaints 'notre r6sultat parle pour l'opinion
de Horsley . II ne coincide cependant pas avec la seconde conclusion de cet auteur*
car — ft moins d’admettre une atrophie de second ordre — on ne s’expliquerait
pas ce manque des taeniae si ceux-ci viennent se terminer dans les noyaux centraux.
Si ces faisceaux se terminaient au contraire dans l’6corce — qui represente du reste
en general la partie receptive du cervelet — notre r6sultat s’explique beaucoup
plus facilement.
Une atrophie du faisceau central de la calotte a 6 t 6 not6e dans divers cas d*atro¬
phie cerebelleuse. Arndt (1894) note une diminution des fibres de moyenne inten¬
sity. SpUler (1896) voit ces faisceaux deg6n6r6s. Thomas (1897) dans son observation
III d6crit ce faisceau comme moins d£velopp£ du cote de la lesion. Dans son cas
de 1903* il note aussi un volume moindre que normalement. Neuburger et Edinger
(1898) signalent une reduction des */ z . Warrington et Montsarrat (1903) le voint
reduit et Negel-Theohari (1903) le trouvent dyg£n£ry. Nous-meme n'avons pas pu
le reconnaltre distinctement. II semble done bien que l’atrophie du cervelet re-
tentisse sur ce faisceau. Mais comment? Bechterew et Flechsig (1885) l’ont dtoit
comme etablissant une communication entre le noyau lenticulaire et l'olive bul-
baire. S’il en est ainsi, son atrophie serait une atrophie de second ordre.
On a decrit aussi des fibres qui naissant dans le cervelet contribueraient &
former le faisceau longitudinal posterieur. Ainsi Marchi et Edinger . Ce dernier
admet que par Tintermediaire de ces fibres les noyaux des nerfs moteurs de l’ceil
sont influences par Faction du cervelet. Dans notre cas, le faisceau longitudinal
dorsal paraissait aussi foumi que d’habitude. II est vrai que ces fibres, 6tant c£t 6 -
belli-fuges auraient pu echapper 4 l’atrophie. Mais le cas communique par Anton
(1903): manque quasi total du cervelet avec persistance du faisceau longitudinal,
ne s'accorde d£cid6ment pas avec l'hypothese de constituants cer6belleux du faisceau.
Quant au cervelet lui-meme, l’etat des noyaux centraux, ratatinfe et un peu
atrophies, mais non degeneres, Concorde bien avec ce qu’on admet generalement
sur leurs rapports avec l’ecorce cerebelleuse: ils re$oivent les fibres parties de 1'ecorce,
mais ne doivent pas envoyer de fibres i cette ecorce. Les recentes experiences de
Clarke et Horsley (1905) consistant en extirpations de recorce cerebelleuse chez
des chiens, chats et singes, ont conduit ces auteurs & la conclusion qu'aucune
fibre cerebelli-fuge ne partait directement de 1'ecorce, ce qui cadre bien avec i'inte-
grite des faisceaux efferents partant du cervelet chez notre malade.
Le remplacement, dans le centre blanc du cervelet, de nombreuses fibres
nerveuses par du tissu nevToglique nous a permis de suivre, parcequ'ils apparaissaient
ainsi comme isoies, les faisceaux ou groupes de fibres restes normaux. Ainsi le feu-
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BD * ** 1 * 5* 1rT ' 1 ETUDE ANATOMIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE. 41
trage sous-lamellaire, les fibres semi-circulaires extemes et les tr£s rares fibres
semi-circulaires internes qui avaient persiste. On pouvait suivre assez loin dans
le cervelet les p&loncules cetebelleux inf^rieurs et moyens, verifier facilement la
position respective qu’ils y occupent.
Quant aux fibres commissurales, Dljerine admet deux faisceaux: ,, 1 ’entre-
croisement commissural anterieur" au dessus des noyaux du toit, et ,,1’entre-
croisement commissural* posterieur“ £ l’extr&nit^ posterieure de la branche hori-
zontale de Tarbre de vie du lobe median. Van Gehuchten ne reconnalt Pexistence
d’aucune commissure vraie; de m6me que la ,,commissure des noyaux du toit" n'est
que rentrecroisement des faisceaux c6r£bello-bulbaires £ leur origine, les , .com¬
missures sup^rieure et anterieure" et ..superieure et posterieure" r£sultent de
rentrecroisement des fibres du corps restiforme. De Sanctis (1903), travaillant
avec la methode de Flechsig admet au contraire que les fibres commissurales sont
bien plus d6velopp£es dans le cervelet qu’on ne 1 ’admet g^n^ralement. Pout lui
il existe un seul systfcme commissural, tr£s foumi, et qui se compose de 3 parties:
commissures posterieure, moyenne et ant6rieure.
Dans le cervelet de notre malade, nous n’avons pas reconnu d’entrecroisement
posterieur. La ..commissure des noyaux du toit", bien isoiee, paraissait riettement
sortir des noyaux du toit; pour autant que ses fibres ont pu etre suivies, leur trajet
correspondait bien £ celui d£crit pour le faisceau en crochet. C’est done aussi comme
un entrecroisement des faisceaux en question que nous devons la comprendre. Les
fibres de la ..commissure" que nous avons trouv6 au dessus paraissaient se continuer
dans les fibres semi-circulaires extemes, ce ne pouvait done pas etre des fibres
commissurales proprement dites. Quant £ determiner l’origine teelle de ces fibres,
nos preparations ne le permettent naturellement pas.
Si nous r6sumons cette etude anatomique, il en ressort que les syst£mes
ayant leur terminaison dans le cervelet etaient tous — ou presque tons — mani-
festement atrophies. Au contraire, les faisceaux cerebelli-fuges etaient pour ainsi
dire normaux. Ces faits concordent bien avec la localisation peripherique de la
lesion cerebelleuse primitive et avec l’opinion qui fait de l’ecorce cerebelleuse Yor-
gane de reception du cervelet. _ '
Les resultats principaux qui se degagent de cette etude nous paraissent etre
les suivants:
i° il existe une forme de xn6ningo-encephalite du jeune £ge et de la periode
foetale. avec localisation speciale au cervelet, et qui produit une atrophie de ce
dernier organe (meningo-cerebellite atrophiante);
2° Tidiotie qui existe dans ces cas a une base anatomique propre dans les
alterations concomitantes de r£corce tetebrale;
3 0 des comes posterieures de la moelle dorsale ainsi que de la partie moyenne des
comes posterieures des regions lombaire et cervicale naissent des fibres qui se rendent
£ l’ecorce cetebelleuse (probablement par le faisceau cetebelleux ventral.
Il nous reste en terminant l'agteable devoir de remercier M. le Professeur
Mahatm £ Tobligeapce duquel nous devons le materiel qui a servi £ cette etude.
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42
DR. H. PREISIG.
Journal f. Pfeycbolofte
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.i? £.&.» ,a> .a> *p ».# &.» .sp , 9 .x £$
46
DR.H.RRBISIG.
Jouid mytMlocW
and Wenrotoftc
Explication das figures.
1. Vue totale du cerveau de J. G. par la face infdrieure.
■ 2. Vue de la face supdrieure du cervelet.
3. Coupe de la moelle lombaire.
4. Coupe de la modlle dorsale.
5. Coupe de la modlle cervical©.
6. Coupe du bulbe rachidien au dessous des pyramides.
7. Coupe au niveau de la region olivaire infdrieure (montre la par olive interne).
8. Coupe au niveau de la region olivaire moyenne.
9. Montre l’entrecroiseinent des faisceaux en crochet et la ^commissure" aitude au deasus.
10. Coupe au niveau du genou du facial. Montre la coupe des 3 pddoncules cdrdbelleux.
is. Coupe de la protuberance. Pddoncule cdrdbelleux. moyen.
12. Protuberance annulaire dans sa partie frontal©.
13. Coupe au niveau de l'entrecroisement des pddoncules cdrdbelleux supdrieurs.
14. Coupe au niveau du noyau rouge.
15. Montre 1 ‘aspect des lamelles cdrdbelleuses chez J. G.
16. Lamelles cdrdbelleuses Aor males.
Fig. 17. Atrophie du cervelet chez une paralysie gdndrale.
Fig. I, 2, 15, 16, 17 sur planch© 3.
* h 3—IO „ „ 1.
it II—14 t. *» 2.
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47
B1> * 1 DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
Die psychologische Behandlung der Trinker.
Von
Dr. Philip Stein.
(KonigL Rat, N erven are t in Budapest.)
Es unterliegt keiftem Zweifel, daB in der medizinischen Beurteilung der Trinker
von jeher die Einwirkungen des Alkohols auf das Gehim im Vordergrund des wissen-
schaftlichen Interesses standen, und daB die schadliche Beeinflussung der psychi-
schen Eigenschaften des Individuums durch den Alkohol eigentlich seit alters her
den Arzten bekannt war. Trotzdem hat sich die allgemeine richtige Erkenntnis
des schadigenden Einflusses des Alkohols auf das Gehirn erst in den letzten Dezen-
nien Bahn gebrochen. Die wissenschaftlichen Tatsachen der alkohoiischen Verande-
rungen der Leber, der Niere, des Herzens und anderer Organe wtirden ohne groiien
Widerspruch und ohne besondere Divergierung der Ansichten Zur Kenntnis ge-
nommen und dem Gesamtschatz der medizinischen Wissenschdft einverleibt. Die
Erkenntnis der Einwirkungen des Alkohols auf die Psyche und die psychologischen
Eigenschaften der AlkOholiker, gefuBt auf den Beobachtungen der Psychiater und
der Leiter von Trinkerheilstatten und machtig unterstiitzt von den Ergebnissen der
experimental-psychologischen Untersuchungen der letzten J ahre, aber riefen und rufen;
heute noch groBe Skepsis hervor, erregten allgemeinen Widerspruch und werden
heute noch von vielen bedeutenden Forschern unbeachtet gelassen, oder besser ge-
sagt, bedeuten fiir den groBen Teil der Arzte und Naturforscher —- auch der ge-
wissenhaftesten —, die sich ihre ,,maBige“ Alkoholration nicht verleiden lassen
wollen, einen unlustbetonten Komplex, den sie bei jeder Beurteilung und Dis-
kussion aus ihrem BewuBtsein zu verdrangen trachten.
Die experimentalpsychologischen UntersuchungenKraepelins, Aschaffen-
burgs und anderer haben uns die Beeinflussung der Psyche durch den Alkohol
in einem zweifellos ganz neuem Licht gezeigt. Die friiheren psychologischen Unter¬
suchungen vemachlassigten die grundlegende Wirkung des Alkohols, die narko*-
tische Wirkung. Sie rechneten nicht damit, daB der Alkohol unter alien Umstanden
ein Narkotikum ist und daB diese seine Wirkung in kleineren Dosen nur geschwacht,'
nur herabgesetzt wird, aber nicht aufhSrt. Die psychologische Erkenntnis der
Alkoholwirkung fuflte auf Beobachtungen, welche die betreffenden Forscher an
sich selbst ntachten, und war durchsetzt von subjektiven, euphorischen Narkose-
empfindungen, welche als solche von den Forschern selbst nicht terkannt wurdeii.
Die Kontrolle der Beobachtungen fehlte. Das Ergebnis dieser Untersuchungen war
von den erwahnten triigerischen, einander widersprechenden Empfindungen be-
emfluBt, und war dementsprechend ein falsches, triigerisches, unbrauchbares.
Trotz alledem wird es noch heute von hervorragenden medizinischen Autoritaten
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48
DR. PH. STEIN.
Journal f. ftpdfeeieefe
and Nenrotogia.
als das richtige angesehen, und so wie das eigene MaB von Alkohol unfehlbar als
das MaB der MaBigkeit bezeichnet wird, so werden die durch das eigene MaB her-
vorgerufenen eigenen, subjektiven Empfindungen stets als reelle objektive psycho-
logische Beobachtungen angesehen und als solche — zweifellos bona fide — zur
Beurteilung der psychologischen Behandlung der Alkoholwirkung herbeigezogen.
Kraepelin und seine Schiiler hatten nun mit dieser Auffassung gebrochen.
Sie benutzten alle ihnen zur Verfiigung stehenden Untersuchungsmethoden, um
die psychologische Einwirkung des Alkohols nicht an sich selbst, sondem an anderen
zu studieren, und setzten die Alkoholwirkung unter die KontroUe von registrieren-
den Instrumenten und der eigenen persdnlich durch Alkohol nicht beeinfluBten
Beurteilung. Ihre Untersuchungen waren voraussetzungslos und das Resultat
dieser Untersuchungen ein wichtiges und bedeutendes. Es iibersteigt den Rah-
men dieser Abhandlung, auf die Untersuchungen Kraepelins und seiner Schule
einzeln und n&her einzugehen. Dieselben sind aber fiir die Beurteilung der
Psychologie des Trinkers und somit auch fiir die einzuschlagende psychologische
Behandlung von solcher Wichtigkeit, daB wir die Ergebnisse derselben, wenn auch
nur ganz kurz, hier wiedergeben miissen. DemgemiB ist die Alkoholwirkung in
psychologischer Beziehung gekennzeichnet durch eine ,,Erschwerung der Auffassung
und des Denkens, durch mangelhafte und verfalschte Einpragung lluBerer Ein*
driicke, durch Willenserregung in Verbindung mit gehobener Stimmung und darauf
folgende Willenslahmung. Von diesen Verinderungen unserer psychischen Eigen*
schaften wird subjektiv in erster Linie die angeregte Stimmung und die damit ver-
bundene erleichterte Auslosung von Willensantrieben empfunden. Diese sind es,
die die Selbsttauschung erhdhter geistiger und kdrperlicher Leistungsfihigkeit
erzeugen, welche Selbsttauschung auch in der Erinnerung noch nachwirkt und zu
falschen Schliissen und Beurteilung der Alkoholwirkung seitens der alkoholisierten
Individuen fiihrt." Den AbschluB der Alkoholwirkung bildet aber stets die Wilkns*
lahmung, der sich bei fortgesetztem Trinken wohl Enregungserschehmngen noch
beimischen konnen, die aber trotzdem unaufhaltsam in den Vordergrund des psycho*
logischen Bildes tritt. Auf dieser Grundlage der Psychologie des Alkohols mhssen
wir nun die Psychologie des Trinkers aufbauen, welche sich als eine Dauerwirkung
des Alkohols in dem oben erwahnten Sinne erklaren laBt. Wir haben bei der Be¬
urteilung der Psychologie des Trinkers aber nicht nur die durch den Alkohol her-
vorgerufenen Eigentiimlichkeiten zu beriicksichtigen, sondem, wie dies Bleuler
betont, auch die angeborenen Eigenschaften des betreffenden Individuums. Hier
wollen wir nur von den durch den AlkoholgeuuB bedingten psychischen Erscheinungen
sprechen. Diese sind bei den verschiedensten Menschen ziemlich gleichartig. Sie
lassen sich im Sinne der Kraepelinschen Untersuchungen, die praktisch von jedem,
der sich mit Trinkerheilung systematisch beschaftigt, bestatigt werden, im all-
gemeinen durch Herabsetzung der Auffassungsfahigkeit, Trigheit und Verflachung
des Denkens, erhohte Enniidbarkeit, Gedachtnisstdrungen und Erinnerungsfdl-
schungen. Mangel an Ausdauer und Versagen der schdpferischen Tcitigkeiten kenn*
zeichnen, zu denen noch als besonders charakteristisches Symptom die besonders von
Bleulerbetonte erhdhte Affektivitat des Trinkers tritt. Auf dieser AffektivitAt
fuBtdann die allgemein bekannte groBe Empfindlkhkeit der Trinker, so wie 4ie j
gzoBe LabiHtit der Gefiihle und der Gemutsstimmung. Diese Labilitat macht eine
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DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
BD. IS. HEFT 1
1912 .
49
einheitliche, folgerichtige und zielbewuBte Tatigkeit in jeder Richtung unmdglich
und ist ihrerseits wieder die Ursache des bei Alkoholikern stets vorzufindenden
und bereits erwahnten Mangels an Ausdauer, dem spater ein volliges Versagen jeder
schopferischen Tatigkeit, die Herabsetzung jeder Leistungsfahigkeit und endlich
vollkommene Arbeitsunfahigkeit, korperliche und geistige, folgt. Die Affektivitat
der Trinker vergroBert auch ihre Suggestibility, und sowohl diese, wie auch die
Veranderungen im Willensleben des Trinkers, sowie die Storungen der Ubeilegungs-
kraft sind nach Bleuler zum Teile auf das gestorte Gefiihlsleben des Trinkers
zuriickzufiihren.
Ganz besonders wichtig fur die psychologische Beurteilung der Trinker sind
die bei ihnen auftretenden ganz unbegriindeten Eigenbeziehungen, welche bei der
Behandlung der Trinker eine sehr wichtige Rolle spielen. Wie Bleuler sagt, bilden
diese iibertriebenen Eigenbeziehungen ,,eine der Wurzeln des typischen alkoholi-
schen Mifltrauens, das sich zunachst gegen die Angehorigen und dann gegen alle
diejenigen wendet, die einen besonderen EinfluB auf die Patienten ausiiben mochten
oder unter seinem Alkoholismus indirekt zu leiden haben“. Der Trinker fiihlt —
bewuBt und unbewuBt — selbst seine herabgesetzte Leistungsfahigkeit, er kann
und will aber durchaus nicht sich und den Alkohol dafiir verantwortlich machen,
er sucht und findet den Grund in allem und jedem, nur in sich selbst nicht. Seine
Anziiglichkeitsideen steigem sich zu Beeintrachtigungs- und Verfolgungswahn-
ideen, welche dann ihrerseits von den massenhaft auftretenden Sinnestauschungen
unterstutzt und genahrt werden, wie wir dies bei den einzelnen Alkoholpsychosen
zu beobachten stets in der Lage sind.
Allgemein bekannt ist die Neigung der Aikohohker zur Eifersucht. Trotzdem
diese Eigenschaft der Alkoholiker sozusagen von jedem Psychiater beobachtet und
beschrieben wurde, wurde doch gerade die Einwirkung des Alkohols auf die Sexuali¬
tat, und speziell die psychologischen Beziehungen zwischen Alkoholismus und
Sexualitat, bei der psychologischen Beurteilung der Trinker arg vemachlassigt.
Me nes Erachtens nach wird uns die Erforschung dieses Gebietes sehr wichtige Er-
kl&rungen liefem fur vide Erscheinungen und Vorkommnisse im Leben des Trinkers
mid seiner Umgebung.
Wenn wir uns iiber die sexualpsychologischen Beziehungen der Trinker klar
werden wollen, so miissen wir uns die Wirkung des Alkohols auf die Sexualitat
iiberhaupt vor Augen halten. Nach der jetzt allgemeinen Auffassung haben wir
hier ein Analogon zu der Wirkung des Alkohols auf unsere Psyche. Hier sehen wir
Willenserregung und darauf folgende Willenslahmung, dort finden wir erhohte
Libido und verringerte, bei gesteigerten Dosen ganz herabgesetzte Potenz. Wenn
wir nun die diesbeziiglichen Veranderungen beim Trinker als abgeschwachte Dauer-
wirkung der momentanen Alkohol wirkung auffassen, so ist es klar, daB die ge-
steigerte Libido einerseits, die mangelhafte Potenz andererseits zu einer dauemden
Stoning des sexuellen Gleichgewichtes fiihrt, die sich selbstverstandlich auch in
dem psychischen Verhalten des Trinkers zeigen muB. In erster Linie wird die Dauer
des Geschlechtsaktes in ungebiihrlicher Weise verlangert, welcher Umstand in der Re¬
gel von beiden Teilen als vorteilhaft empfunden wird, seinerseits aber die Quelle
neuen Unheils fiir den Trinker bedeutet. Ich machte diesbeziiglich folgende Be-
obachtungen. Schon wahrend meines Wirkens als Arzt in Irrenanstalten fiel es
Journal fQr Psychologic und Neurologic. Bd. 19. *1
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50
DR. PH. STEIN.
Journal f. PBfehokxtfe
and Neurologic,
mir auf, daB ein Teil der Frauen der Trinker, trotzdem sie doch mit ihren Mlnnem
die entsetzlichsten Tage verlehten, ihre Entlassung aus der Irrenanstalt, nachdem
die hervorstechenden psychotischen Symptomc gewichen waren, urgierten und um
jeden Preis durchzusetzen trachteten. In vergroBertem MaBe fand ich dies gegen-
wartig als Leiter einer Trinkerheilstatte, wo gewohnlich die Patienten nach dem
ersten Besuch der Frau von ihrer Genesung und Entlassung zu sprechen beginnen.
Die Einwendung der Frauen, daB es sich um den Erhalter der Familie, also um
materielles Wohl handle, war nicht stichhaltig, da ein groBer Teil der Patienten,
hevor sie sich zur Aufnahme in die Heilanstalt entschlossen, schon seit langerer
Zeit nicht mehr erwerbsfahig waren und die Frauen sich sagen muBten, daB der als
sicher vorausgesagte Riickfall neuerdings die Erwerbsunfahigkeit des Patienten
zur Folge haben miisse. Eine weitere Cberraschung war es mir, als mir von mehreren
meiner riickfalligen Patienten erzahlt wurde, daB es gerade die Frau war, die ihn
wieder zum ersten Glas und zum maBigen AlkoholgenuB brachte. Ich stellte dann
die betreffenden Frauen zur Rede. Ein Teil leugnete ganz entschieden, den Ver-
fiihrer gespielt zu haben. Wir wollen dies den Betreffenden riickhaltlos glauben
und es dem Bestreben der Trinker zuschreiben, jemand anderen fiir seine Trunk-
sucht verantwortlich zu machen. Es blieb aber immer noch eine betrachtliche An-
zahl von Frauen, welche of fen eingestanden, dies getan zu haben, mit der Bemerkung,
die Tragweite ihres Vorgehens nicht gekannt zu haben, und mit der Motivierung,
,,es ware so unmannlich, wenn ein Mann nie ein Glas Wein trinken wiirde**. Nach¬
dem mir dies von einer Reihe von Frauen sozusagen mit denselben Worten wieder-
liolt wurde, begann ich dem sexuellen Hintergrund der Sache nachzugehen und er-
fuhr dann von mehreren seit langerer Zeit geheilten Trinkem, daB es die verringerte
Libido und die kiirzere Dauer des Aktes ist, die ihnen seitens der Frauen zum Vor-
wurf gemacht wiirden, und daB sich in vielen Fallen die Frauen auch deshalb gegen
den Eintritt in den Guttemplerorden und speziell gegen das Ablegen des lebens-
langlichen Gelubdes straubten. Diese Angabe wurde mir im Laufe der Zeit von
einer groBen Anzahl von Trinkem bestatigt. Es bildet also diese durch den Alkohol
veranderte Sexualitat eine der gefahrlichsten Quellen des Riickfalls.
Es ist klar, daB die dauernde Stoning des sexuellen Gleichgewichtes ihrer-
seits wieder zur Herabsetzung der Potenz fiihrt, welche wieder eine der machtig-
sten Wurzeln der bereits erwahnten Eifersucht ist, die wir sozusagen bei jedem
schwereren Alkoholiker finden. Die herabgesetzte Potenz, die in der Phantasie des
Patienten eigentlich noch viel groBer ist als in Wirklichkeit, bildet die Grundlage
des Gedankens, daB die Frau sich damit nicht zufrieden laBt, sondem nach Ersatz
sucht. Die schon friiher erwahnten Anziiglichkeitsideen, sowie die durch den Al¬
kohol hervorgerufenen massenhaften Sinnestauschungen tragen dann zur Fortent-
wicklung der Eifersuchtswahnideen in hohem MaBe bei. Der Patient ist nicht im-
stande, seine Sinnestauschungen als solche zu erkennen, infolgedessen sieht er den
Akt der Untreue seiner Frau sich vor seinen eigenen Augen vollziehen, er hort, wie
sie mit ihrem Liebhaber fiber ihn lacht und spottet, bezieht verschiedene harmlose
Bemerkungen und Bewegungen auf sich, und so fiihren sich seine Eifersuchts- und
Verfolgungswahnideen gegenseitig immer neue Nahnmg zu. Sie bringen ihn zu
verschiedenen gemeingefahrlichen Handlungen und damit unaufhaltsam in die
Arme der Psychose.
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BD. 19, HEFT 1
1912.
51
DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
J uliusburger fand in einem von ihm analysierten Falle, daB eine der Wur-
zeIn dieser sexuellen Eifersucht in der algolagnischen Triebrichtung des Patienten
zu finden war. Der Patient war durchaus nicht impotent, seine Eifersuchtswahn-
ideen entwickelten sich rein aus dem Drange, sich selbst und seine Frau zu qualen,
sie nicht nur mit einem anderen Manne, sondern mit alien Mannem ihrer Bekannt-
schaft zu beschuldigen, sie dadurch zu erniedrigen usw. Es unterliegt keinem
Zweifel, daB die sexuelle Eifersucht in einzelnen Fallen auch diesen Momenten ent-
springen kann, daB aber auch in diesen Fallen das durch den Alkohol gestorte
sexuelle Gleichgewicht im Vordergrund des psychologischen Bildes steht, laBt sich
ebensowenig bezweifeln. Die psychogenen Momente, die dem Alkoholismus zu-
grunde liegen konnen, sind noch wenig erforscht, und es muB der spateren wissen-
schaftlichen Forschung vorbehalten werden, dieselben zu ergriinden, wobei sich
gewiB auch eine Reihe von bisher unbekannten sexualpsychologischen Faktoren
ergeben werden. Ein solches sexualpsychologisches Symptom ist z. B. der Um-
stand, daB der Alkohol die Hemmungen, die uns die kulturelle Moral und das kon-
ventionelle Empfinden in bezug auf vermeintlich oder wirklich unstatthafte Trieb-
richtungen auferlegt, zum Schwmden bringt. Ich erinnere nur an die verschiedenen
FiUe von Inzestversuchen, die bei Trinkem haufig vorkommen, an Falle von algo-
lagnischer und homosexueller Betatigung im Rausche, bei Personen, die sonst
eine ahnliche Triebrichtung nicht zeigten. Die Kiisse und Umarmungen ange-
trunkener Manner untereinander konnen doch nichts anderes bedeuten als das
Geltendmachen des homosexuellen Einschlages bei der betreffenden Person, wel-
cher Einschlag durch die Erziehung und die kulturelle Moral verdrangt und durch
die Alkoholisierung respektive die darauf fuBende Willenslahmung in Tatigkeit
versetzt wurde.
Zu erwahnen ware noch, daB Freud die Trunksucht wie jede Sucht liber -
haupt als ein Aquivalent der sexuellen Befriedigung ansieht, beziehungsweise daB
sie sich nach Freud bei denjenigen Individuen entwickelt, bei denen der Sexualtricb
nicht befriedigt werden kann, weil die Richtung der Sexualbetatigung oder das
Sexualobjekt mit der kulturellen Moral unvertraglich beziehungsweise unerreich-
bar ist. Dieser ganze Vorgang wiirde sich im UnterbewuBtsein des Betreffenden ab-
spielen und es ware die Aufgabe der Psychanalyse, diesen Zusammenhang auf-
zudecken, dem Betreffenden bewuBt zu machen, und so die Trunksucht zu be-
seitigen. Auch Abraham vertritt eine ahnliche Ansieht. Unter den Veroffent-
lichtmgen Freuds und seiner Schuler konnte ich keine Beweise dieser Theorie
finden, noch auch die Mitteilung von Fallen, bei denen die Analyse die Annahmc
dieser Theorie unterstiitzen wiirde. Ich selbst analysierte 8 Falle von Alkoholismus
und einen Fall von Morphinisms. Unter diesen 9 Fallen fand ich bei 7 auch nicht
eine Andeutiing, durch welche diese Ansieht Freuds gestiitzt werden konnte. Im
8. Falle handelte es sich um ein psychiscli stark degeneriertes Individuum mit
hochgradigem Autoerotismus (Narcissimus), mit Koprophagie und algolagnischem
Einschlag, welche Symptome dem betreffenden Individuum aber schon vor Beginn
der Analyse, seit Jahren deutlich bewuBt waren. Er war trotz alledem ein ethisch
ziemlich hochstehender Mensch; er behauptete, im Alkohol nur Vergessenheit zu
suchen, da ihn das BewuBtsein seiner sexuellen Anomalien tief ungliicklich mache
und er im Rausche alles vergesse. Der Gedanke liegt nahe, daB eben durch sein
4*
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52
DR. PH. STEIN.
Journal f. Psycholofi*
und Neurologic.,
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ethisches Empfinden ihm die an und fur sich mogliche Sexualbetatigung unmog-
lich gemacht wurde und er im Alkoholgenusse ein Aquivalent fiir die ihm ent-
gehende sexuelle Befriedigung suchte. Im 9. Falle brachte die Analyse undeutliche
Inzestgedanken, die enge Verkniipfung mit der Mutter und ihrem Ebenbilde, der
Schwester, zutage. Die Analyse muBte aber wegen Abreise des Patienten unter-
brochen werden, so daB der Zusammenhang zwischen den Inzestgedanken und der
Trunksucht von mir noch nicht gefunden werden konnte. AuBer mir hat auch J uli us -
burger einige Falle von Alkoholismus analysiert, aber wie er mir personlich mit-
teilte, ist das Material noch viel zu klein, um daraus Schliisse ziehen zu konnen.
Die Ansicht Freuds muB also vorlaufig fur eine Theorie angesehen werden, fiir die
die Beweise noch fehlen.
Dies waren die psychologischen Momente, welche wir bei der Beurteilung
und Behandlung unserer Kranken vor Augen halten miissen, wenn wir bei Ihnen
eine zielbewuBte Psychotherapie einleiten wollen. Es soli und muB hervorgehoben
werden, daB neben diesen durch den Alkohol bedingten psychologischen Eigen-
schaften, auch die angeborenen psychologischen Eigenschaften, die psychologische
Konstitution der Trinker streng vor Augen gehalten, und daB speziell in dieser Be-
ziehung streng individualisiert werden muB. Wenn wir diese beiden Symptomen-
komplexe streng auseinanderhalten, so wird auch die Diagnose, ob es sich um
einen primaren Alkoholismus oder um Falle handelt, wo sich der Alkoholismus
sekundar auf den Boden einer psychisch minderwertigen Konstitution oder gar
auf der Grundlage einer ausgesprochenen Psychose entwickelt, eine leichtere sein.
Bei den letzteren Fallen, wo neben den angeborenen Defekten die alkoholisch er-
worbenen eine untergeordnete Rolle spielen, wird natiirlich jegliche Therapie gar
keinen, oder einen bloB kurzen, voriibergehenden Erfolg erzielen. Leider sind diese
Falle meiner Erfahrung nach die groBe Mehrzahl der zur Behandlung kommenden
Patienten.
Wir wollen nun auf die Psychotherapie jener Trinker eingehen, bei denen
ein Erfolg in den meisten Fallen zu erzielen ist. Meiner Ansicht nach hat der ziel¬
bewuBte psychische EinfluB unbedingt gleich bei der ersten Untersuchung
durch den Arzt zu beginnen. Nur wenn der Patient sieht, daB sich der Arzt mit
ihm eingehend beschaftigt, ihn eingehend untersucht, dann erkennt er den Ernst
der Lage und wird auch den arztlichen Ratschlagen zuganglich sein. Und unter
dieser Untersuchung ist nicht bloB — wie dies leider gewohnlich der Fall ist —
eine physikalische Untersuchung der Korperorgane zu verstehen, sondem in erster
Linie ein Eingehen in die Psychologie der Patienten oder besser gesagt eine syste-
matische psychologische und psychiatrische Untersuchung. Der Patient muB die
Empfindung haben, daB der untersuchende Arzt schon das erste Mai Einblick in
seine Seele gefunden hat, daB derselbe von der alkoholischen Grundlage seiner Krank-
heit vollkommen uberzeugt ist und daB er die Abstinenz fiir jedermann so not-
wendig halt, daB er sie selbst befolgt. Der Arzt soli gleich bei der ersten Unter¬
suchung in aller Entschiedenheit die schweren Folgen des Weitertrinkens schildem
und die Abstinenz als das einzige Heilmittel hinstellen. Medikamente sind, wenn
nur unangenehme Symptome dies nicht gebieterisch erheischen, zu vemeiden, weil
es im Patienten den Glauben erweckt, daB er durch diese, auch ohne Abstinenz,
geheilt werden konne. Ist symptomatische medikamentose Therapie notwendig.
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1912.
DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
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dann soil dem Patienten gegeniiber betont werden, daB diese Mittel seine unange-
nehmen Symptome zum Schwinden bringen, aber dnrchaus nicht seine Trunksucht
zu heilen imstande sind.
Es wird sehr haufig von den Angehorigen des Patienten verlangt, denselben
zu erschrecken und ihm seinen jetzigen Zustand als einen viel schwereren hinzu-
stellen, als es der Tatsache entspricht. Es unterliegt keinem Zweifel, daB nichts
den Patienten so sehr zur Einkehr bewegen kann als die emste Besorgnis um sein
eigenes Wohl. Trotzdem halte ich dieses Mittel fur ein zweischneidiges Schwert,
das nur unter groBer Vorsicht anzuwenden ist. Erstens begniigen sich die Patienten
mit diesem Ausspruche des Arztes nicht, sondern gehen in ihrer Angst zu einem
anderen Arzte, der es dann fur seine erste Pflicht halt *, den Kranken zu beruhigen
und infolgedessen auch die tatsachlich vorhandenen Veranderungen negiert, zweitens
zeitigt ein solcher Ausspruch bei dem Kranken eine ganze Reihe von hypochon-
drischen Vorstellungen, die nur schwer zu bekampfen sind, und bei denen der Pa¬
tient gewohnlich zu dem Schlusse kommt, daB ihm doch nicht zu helfen ist, und daB.
er deshalb ruhig weitertrinken konne.
Die wichtigste Frage ist nun die Wahl des Milieus. In schweren Fallen
wird man wohl ohne Trinkerheilstatte nicht auskommen. In leichteren Fallen kann
man es damit versuchen, daB man die Behausung und Umgebung des Patienten alko-
holfrei macht und ihn zum Anschlusse an einen Abstinenzverein bewegt. In leich¬
teren Fallen, bei geeigneter psychischer Konstitution wird man damit Erfolge er-
zielen konnen. Die Abstinenz der nachsten Umgebung ist aber eine strenge Not-
wendigkeit; ich habe noch keinen Fall gesehen, in dem der Patient abstinent ge-
blieben ware, wenn es seine Umgebung nicht war und wenn sich dieselbe auch der
strengsten MaBigkeit beflissen hatte. Und daB beim Trinker auch ein sogenannter
maBiger Alkoholverbrauch schon als Riickfall zu bezeichnen ist, dariiber sind wir
nun doch schon einig. Das geeigneteste Milieu ist natiirlich die Heilstatte, und zwar
die offene, in die sich der Patient aus eigenem Willen begibt und die er zu jeder
Zeit ganzlich verlassen kann. Die streng abstinente Umgebung, das BewuBtsein,
aus eigenem Antriebe gekommen zu sein und zu bleiben, sind psychische Momente,
welche als wichtige Faktoren zur Hebung der gesunkenen Willenskraft angesehen
werden miissen.
1 st das richtige Milieu gefunden, so kommt die Belehrung, die Erziehung
zur Abstinenz, Oder wenn wir es so nennen wollen, die Wachsuggestion, mit
der Tendenz, erstens die Willenskraft des Patienten zu starken und ihn zum Ab-
stinenten zu machen, und zweitens ihn als Abstinenten zu organisieren. Die Wach¬
suggestion soli sich in erster Linie in ihren Mitteln der naturwissenschaftlichen
Erkenntnis bedienen. Es muB also mit einer systematischen Belehrung iiber die
naturwissenschaftliche Erkenntnis der Alkoholfrage eingesetzt werden, durch die
der Patient selbt zu dem logischen Schlusse kommt, daB die Abstinenz fur ihn die
einzig vemiinftige, ja die einzig mogliche Lebensweise ist. In der Heilstatte solltc
diese Aufgabe selbstverstandlich stets von den Anstaltsarzten besorgt werden, da
dies die einzige Gewahr fur richtige Durchfiihrung dieser MaBregel ist. Aber es soli
und muB hervorgehoben werden, daB auch bei der Behandlung auBerhalb der An-
stalt diese Aufgabe nicht einfach den Abstinenzvereinen iiberlassen werden soil.
Der Trinker soli unbedingt in einen Abstinenzverein eintreten, aber er ist mit dem
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DI«. PH. STEIN.
Journal f.P»ychol«*ie
und Naurolofie
Eintritte in einen Abstinenzverein noch nicht geheilt, er bleibt noch immer Patient
und bedarf auch weiter des arztlichen Zuspruches und der arztlichen Unterweisung.
Ebensowenig wie der Arzt die hypnotische Suggestion dem Abstinenzvereine iiber-
lassen konnte, ebensowenig darf er cs mit der Wachsuggestion tun. Die Abstinenz¬
vereine sind bloB Hilfsorgane fiir die Trinkerheilung und haben in erster Linie
dafiir zu sorgen, daB der Patient AnschluB an alkoholfreie Geselligkeit findet.
Die eigentliche Erziehung, die Wachsuggestion, soli immer durch den Arzt erfolgen,
und zwar auf Basis der naturwissenschaftlichen Tatsachen.
So wichtig auch die naturwissenschaftliche Erkenntmis der Alkoholwirkung
fiir den Trinker ist, so ware diese Erziehungsmethode — es ist gleichgtiltig, ob wir
sie Wachsuggestion oder, wenn man will, nach Dubois Persuasion nennen — ganz
verfehlt, wenn sie sich damit begniigen wiirde. Die psychologische Behandlung
hat nicht nur den Verstand, den Intellekt des Patienten, sondem in erster Linie
das Gemiitsleben des Trinkers zu berucksichtigen. Wir haben gesehen,
welche groBe Rolle die Affektivitat in der Psychologie des Trinkers spielt, wir wissen,
daB sein gestortes Gefiihlsleben, seine Empfindlichkeiten, seine Suggestibility sich
darauf aufbauen, und es ist klar, daB die Psychotherapie des Trinkers all diese Mo-
mente beniitzen muB, wenn sie dauemden Erfolg haben will. Die Wachsuggestion
hat also all die erwahnten psychologischen Momente zu beriicksichtigen, sie muB
in erster Linie in das Gemiitsleben des Patienten eindringen, diesbeziiglich streng
individualisieren und alle Hilfsmittel, die auf das Gemiit wirken, in Anspruch
nehmen. Diesbeziiglich spielen meiner Erfahrung nach die Anstaltsfeste mit musi-
kalisch-deklamatorischen Vortragen eine groBe Rolle. Die Wachsuggestion soli
weiterhin von sittlichem Ernst durchdrungen sein und muB jedes Mittel beniitzen,
um die Willenskraft zu heben. Diesbeziiglich spielt wieder, wie allgemein bekannt,
die Arbeitstherapie eine groBe Rolle. Wir miissen trachten, das soziale Empfinden
unseres Patienten zu wecken, seinen Wissenskreis zu erweitem, sein Interesse auf
neue, ihm bisher unbekannte Momente zu lenken; wir miissen alles aufwenden,
um an Stelle der total egoistischen Ideologic des Trinkers die von altruistischen Emp-
findungen durchsetzte Ideologic des Abstinenten zu setzen, der nicht nur sich, son¬
dem auch der Gesellschaft niitzen will.
Es soil bei dieser Gelegenheit die Wachsuggestion, die Erziehung und
Belehrung auf religios - konfessioneller Grundlage nicht unerwahnt blei-
ben. Bei alien Trinkem, die auf religids-konfessioneller Grundlage erzogen, auch
jetzt noch in dieser Ideologic leben und ihr sittliches Empfinden auf dieser Ideologic
aufbauen, ist sie zweifellos eine sehr wertvolle Beihilfe. Aber auch in diesen Fallen
nur dann, wenn sie von der Siinden- und Lastertheorie absieht, wenn sie den Trinker
als Kranken, die Tmnksucht als Krankheit behandelt, und ihren ganzen suggesti-
ven EinfluB mit Zuhilfenahme der naturwissenschaftlichen Tatsachen iiber den
Alkohol anwendet. Es ist klar, daB es unter den heutigen Umstanden doch nie-
mals gelingen wird, den Patient dazu zu bringen, den GenuB eines Glas Weines oder
Bieres als Siinde anzusehen. Man kann ihn da von tiberzeugen, daB dies fiir ihn
iiberflussig, daB ihm dies unzutraglich ist, daB es fur ihn die Quelle neuer Sorgen,
neuer Krankheit, neuen Elends ist, aber solange er die Stiitzen der Gesellschaft,
des Staates und seiner Konfession, die hervorragenden Manner seiner Kirche ihr
Glaschen Wein und Bier, wie man zu sagen pflegt ,,in Ehren" trinken sieht, wird
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DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
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er es unmoglich giauben konnen, daB dies gerade fiir ihn eine Siinde ware. Weiter-
hin muB hervorgehoben werden, daB die religios-konfessionelle Wachsuggestion
sowohl in den Trinkerheilstatten wie auBerhalb derselben bei all denen nicht an-
gewendet werden kann, die ihr sittliches Empfinden nicht auf konfessioneller
Grundlage aufbauen. Die Trinkerheilung, verbunden mit Bekehrungsversuchen
und Proselytenmacherei, wie sie leider noch heute an verschiedenen Stellen geiibt
wird, ist stets strenge zu vermeiden. Wie immer man auch dariiber denken mag,
muB man bei der Trinkerheilung mit der Tatsache rechnen, daB heute Hundert*
tausende, in erster Linie das Gros der organisierten Arbeiter, wenn auch nicht der
Form nach, so doch in Wirklichkeit nicht mehr auf konfessioneller Grundlage
stehen, und daB bei den diesen Reihen entstammenden Trinkem der Versuch eintr
religios-konfessionellen Wachsuggestion in der groBen Mehrzahl der Falle Fiasko
erleidet oder zur Heuchelei fiihrt und so das Gegenteil von dem erreicht, was er
bezweckt.
Kommt man mit der einfachen, aber eindringlichen Belehrung und Erziehung
mit der Wachsuggestion zu keinem Resultate, so ist als sehr wertvolles Heilmittel
die hypnotische Suggestion anzuwenden. Die Hypnose als Heilmittel bei
Trunksiichtigen wurde von Forel und Tuckey inauguriert. In dem klassischen
Vortrage, den Forel am 9. Juni 1888 auf der Wanderversammlung der Siiddeut-
schen Neurologen und Irrenarzte in Freiburg hielt, betonte er nebst der Forderung
der volligen Abstinenz bei der Behandlung der Trinker auch die Wichtigkeit der
Anwendung der Hypnose, mit der Verbalsuggestion zum Eintritt in einen Absti-
nenzverein. Forel faBt in jenem Vortrage seine Erfahrungen dahin zusammen:
„Wie sehen somit im Hypnotismus ein Hilfsmittel, das nicht zu verschmahen ist.
Er kann bei stark suggestiblen Menschen den allerfestesten Riickkalt gewahren.
Dennoch bleibt der Abstinenzverein und sein fortgesetzter EinfluB das wirksamste
Mittel zur erfolgreichen und dauemden Heilung des Alkoholismus.“
Diesen Weg, den uns Forel zeigte, haben nun viele eingeschlagen, und die-
jenigen, die sich emsthaft mit der Frage der hypnotischen Suggestion befassen,
kdnnen ihre heilsame Wirkung auch in bezug auf den Alkoholismus best&tigen.
Oscar Vogt, Fock, Moravcsik, Hilger, Delius, van Renterghem, Hirt,
Wetterstrand, Stegmann, Bonjour und Moll konnen alle iiber erfolgreiche
Kuren mittels Hypnose bei Alkoholikem berichten. Samtliche stimmen dariiber
iiberein, daB bei einer groBen Anzahl von Trinkem die Hypnose sehr leicht aus-
zufiihren ist und daB gewohnlich schon nach mehreren Sitzungen die Abneigung
gegen Alkohol sich einstellt und in den meisten Fallen auch anhalt. Von den ge-
nannten Autoren legen Forel, O. Vogt, Fock, Moravcsik, Hilger, Stegmann
und Delius Wert darauf, daB neben der Verbalsuggestion der Totalabstinenz auch
diejenige der Mitgliedschaft bei einem Abstinenzvereine angewendet werde, wahrend
Wetterstrand, van Renterghem, Bonjour, Hirt und Moll behaupten, auch
ohne diesen Umstand giinstige Erfolge erzielt zu haben.
Ich sclbst wende die Hypnose seit mehreren Jahren sowohl bei einzelnen Pa-
tienten der unter meiner Fiihrung stehenden Trinkerheilstatte, wie auch besonders
auBerhalb derselben an und kann die Erfolge und Ergebnisse der obengenannten
Autoren in jeder Hinsicht nur bestatigen. Ich lege Wert darauf, mittels Verbal-
suggestion im Anfange der Behandlung auch die zahlreichen subjektiven Beschwer-
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den der Patienten, wie dies auch Hilger empfiehlt, speziell die Unlustgefiihle und
das Zittem suggestiv zu entfemen, denn ich bin auch mit Fock der Ansicht, dafl
diese Beschwerden stets die Gefahr des Riickfalles in sich tragen. Ich trachte auch
gewohnlich noch vor Beginn der eigentlichen hypnotischen Behandlung, mitteis
Analyse verschiedene psychogene Beschwerden des Patienten auf ihre Ursachen zu
ergriinden, um die darin gesammelten Erfahrungen bei der Verbalsuggestion zu
benutzen. Ich kann diese kombinierte Form der Behan dlung nicht genug anempfeh-
len und will als Beispiel nur kurz folgenden Fall vorbringen:
N. N., Gymnasialprofessor, 45 Jahr alt, leidet an Dypsomanie. Die Anfalle treten
in unregelmaBigen Zeitraumen auf, manchmal auch mit 3-4 monatlichen Pausen, wah-
rend welcher Pat.‘ganz abstinent lebt. War schon mehrere Male in Irrenanstalten und
Sanatorien, ohne jeden Erfolg. In der Heilstatte treten die Anfalle mehrere Male auf
mit Unruhe, Schlaflosigkeit, gesteigertem Bewegungsdrang und Verworrenheit und
zeigen ganz den Charakter eines epileptischen Aquivalentes. Nach 3—4tagiger strenger
Bettruhe Schwinden samtlicher Symptome, die nach einer gewissen kurzeren oder
langeren Pause wieder auftreten. Analyse ergibt Vorhandensein von Selbstvorwurfen
wegen kleiner jugendlicher Vergehen, fur die Pat. buBen musse und deshalb keine Ruhe
findet. Deshalb glaubt er verfolgt zu werden und musse auch von Zeit zu Zeit fort.
Die Verbalsuggestion der Unhaltbarkeit dieser Grundlage der Unlustgefuhle und der
damit verbundene Befehl, beim Auftreten dieser Verfolgungs- und Selbstanklageideen
das Bett aufzusuchen und nicht fruher zu verlassen, bis dieselben nicht geschwunden
sind, hat vollen Erfolg. In der Anstalt konnte jeder Anfall coupiert werden. Pat. ist
seit Juni 1910, also seit 15 Monaten, auBerhalb der Anstalt, hat sich stets beim Auf¬
treten seiner Selbstvorwurfe zu Bette gelegt und war bisher nicht ruckfallig. Die Selbst-
vorwurfe selbst treten jetzt viel seltener auf als fruher 1 ).
Die Suggestion des Anschlusses an einen Abstinenzverein halte ich meiner-
seits ftir unbedingt notwendig. Nicht organisierte Abstinenten, die unter alien Um-
standen abstinent bleiben, gehoren meines Erachtens zu den groBten Ausnahmen.
Der groBte Teil bleibt abstinent, bis ihm nicht ausnahmsweise zu einem Glase sehr
zugeredet wird, und lebt dann eventuell wieder l&ngere Zeit abstinent. Nun mag
dies fur den Nichttrinker, individuell hygienisch betrachtet, von ganz untergeord-
neter Bedeutung sein, fur den Trinker ist es dies jedenfalls nicht. DaB die erwahn-
ten Autoren ohne diese Mafiregel ausgekommen sind, liegt meines Erachtens darin,
daB eben ohne Abstinenzverein die notige Kontrolle fehlt, die einen Riickfall fest-
gestellt Mtte.
Die Hypnose soli selbstverstandlich auch innerhalb der Trinkerheilst&tte ge-
iibt werden, eine gut geleitete Heilstatte kann ohne dieses Heilmittel nicht aus-
kommen.
Bei der Psychotherapie der Trinker soli die Psychanalyse nicht unerwfihnt
bleiben. Es ware Aufgabe der Psychanalyse, diejenigen psychogenen Wurzeln des
Alkoholismus, welche im UnbewuBten liegen, zu eruieren imd sie zum Ausgangs-
punkte der Therapie zu machen, sei es nun, daB das BewuBtwerden dieser Wurzeln
an und fur sich schon von eminenter therapeutischer Wirkung ware, sei es, daB eine
rationell durchgefiihrte Kausalanalyse sehr viel wertvolles psychologisches Material
zutage fordem wiirde, welches dann auBer dem Forschungswerte auch noch diesen
*) In der Zeit, die von der Konzipierung dieser Arbeit bis zur Drucklegung verfloB,
hatte Patient einen starkeren Anfall mit starkem Hervortreten der Verfolgungsideen. Er hatte
diesmal das Bett verlassen und war in der Stadt umhergeirrt, hat aber nicht getrunken.
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DIE PSYCHOLOGISCHE BEHANDLUNG DER TRINKER.
Wert haben konnte, daB es uns bei Anwendung der Suggestionsmethode, sowohl
der Wachsuggestion wie der hypnotischen Suggestion, die psychologische Rich-
tung angeben wurde, in welcher sich diese Suggestionen bewegen mufiten. Es ist
klar, daB, wenn uns dies gelingen wurde, die Psychanalyse bei der Trinkerheilung
sehr hoch bewertet werden miisse.
Was nun die bisherigen Ergebnisse anbelangt, sind dieselben leider sehr diirf-
tig. In dergesamten Literatur der Psychanalytiker, Freuds undseiner Anh&nger, ist
keine Analyse eines Trinkers veroffentlicht. Es ist in den Veroffentlichungen die-
ser Richtung mit Ausnahme eines Artikels Abrahams auch bisher nichts vorhan-
den, was fur die psychologische Beurteilung und Behandlung der Trinker recht
verwendet werden konnte. Systematische Psychanalysen bei Trinkem wurden
meines Wissens bisher nur von Juliusburger und mir vorgenommen. Julius-
burger halt sein Material bisher noch zur Veroffentlichung nicht geeignet und
noch fiir viel zu klein, um daraus auch irgendwelche Schliisse ziehen zu kdnnen.
Meine eigenen Analysen haben mir in vieler Beziehung zwar sehr interessante
Streiflichter auf die Psychologie der Trinker geworfen, dber — mit Ausnahme des er-
wahnten Falles, wo die Analyse mir einen Ausgangspunkt fur die erfolgreich durchge-
fiihrte hypnotische Verbalsuggestion darbot — konnte ich damit auch nicht den ge-
ringsten therapeutischen Effekt erzielen.
[£j Die friiher schon erorterte Meinung Freuds, daB die Trunksucht der Aus-
fluB einer unbewuBten, unkonventionellen, sexuellen Betatigungsrichtung oder
einer unkonventionellen sexuellen Objektwahl ware, ist demgemafl heute noch
als eine rein theoretische, personliche Meinung anzusehen. Meines Erachtens nach
kann und wird es gewiB Falle von Trunksucht geben, in welchen wir auch die er-
wahntenpsychosexuellen Wurzeln finden werden, gegen eine Verallgemeinerung dieser
Grundlage sprechen einerseits die bisherigen Erfahrungen aller jener, die sich mit
Trinkerheilung beschaftigten, andererseits, daB von den Anhangem dieser Theorie
auch nicht das geringste Tatsachenmaterial vorliegt. Vorausgesetzt aber, daB
die Ansicht Freuds in den weiteren Forschungen ihre Bestatigung finden wurde,
ware der therapeutische Wert derselben, meines Erachtens nach, von sehr zweifel-
hafter Natur. Es miiBte dann notgerecht die Analyse das Bewufltwerden der in-
konventionellen sexuellen Richtung und in den meisten Fallen eine entsprechende
Betatigung nach sich ziehen. Vorausgesetzt, daB dann in Wirklichkeit die Trunk¬
sucht der Betreffenden aufhoren wurde, was durchaus nicht erwiesen ist, ist der
Dienst, den wir unseren Patienten damit geleistet haben, wenigstens unter den
jetzigen Verhaltnissen ein mehr als zweifelhafter. Bei der mittelalterlichen Auf-
fassung, die diesbezuglich noch in den meisten Rechtsstaaten herrscht und durch
die Ansh^ten einfluBreicher Juristen und leider auch Arzte noch genahrt wird, ist
es individuell entschieden besser, man laBt den Patienten sich ruhig zu Tode saufen
als man heilt ihn, indem man ihm seine bis dahin unbekannte unkonventionelle
sexuelle Richtung bewuBt werden laBt.
Ich kann diese Erorterung nicht schlieBen, ohne nicht nochmals jenes Faktors
Erwahnung zu tun, welcher nach Ansicht aller Fachmanner ohne Ausnahme die
wirksamste Stiitze jedweder psychologischen Behandlung ist, und dies ist die syste¬
matische, konsequent durchgefuhrte Arbeit. Es unterliegt keinem Zweifel, daB der
wirksamste Faktor der Selbstdisziplin die systematische Arbeit ist. Die Erziehung
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Journal f. Psychologic
und Neurologic.
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unserer Patienten zur Abstinenz, sei es nun durch Wach- oder hypnotische Sug¬
gestion, durch Psychanalyse oder andere Mittel, ist nur dann aussichtsvoll, wenn
\vir den Patienten wieder zur systematischen Arbeit zuriickbringen, wenn wir die
Freude an gelungenem Tageswerke bei ihm hervorrufen und damit das richtige
SelbstbewuBtsein an Stelle des alkoholischen falschen SelbstbewuBtseins setzen.
Es ubersteigt den Rahmen dieser Ausfiihrungen, sich spezieli liber die Arbeits-
therapie zu ergehen, und es soli nur nochmals hervorgehoben werden, daB sie die
einzige unerlaBliche Bedingung der Trinkerheilung ist, sei es nun in- oder aufler-
halb einer Anstalt, in offenen oder geschlossenen Anstalten usw.
Dies ware die Grundlage der psychologischen Behandiung der Trinker nacli
dem Stande der heutigen Forschungen. Es soli nochmals hervorgehoben werden, daB
wir nur dann Aussicht auf Erfolg haben konnen, wenn die angeborenen Eigenschaf-
ten des betreffenden Individuums keine solchen psychischen Defekte zeigen, welche
sie iiberhaupt fur jede psychologische Beeinflussung unnioglich machen. Unheil-
bare Geisteskranke, bei denen sich als sekundares Symptom Alkoholismus meldet,
dsa Heer der schwer Degenerierten, der moralischen, ethischen und intellektuellen
Idioten konnen und werden wir von ihrer Trunksucht nicht heilen konnen. Leider
ist dies die groBe Mehrzahl unserer Trinker, und die iibrigen, bei denen eine Be-
handlung noch von Erfolg begleitet ware, kommen teilweise auch schon als voll-
standige Ruinen zum Arzt und verschhmmem die Heilungsprozente. Deshalb ist
und bleibt die Trinkerheilung fur die zielbewuBten Alkoholgegner, die sich dem
wirklichen Leben nicht verschheBen, nur von untergeordneter Bedeutung. Sie
ist sozusagen fiir sie bloB ein Nobile officium ohne Aussicht auf nennenswerten Er¬
folg. Die Hauptsache ist und bleibt die Erstarkung der Bewegung, die die Trinker¬
heilung unnotig machen soli, die Alkoholbekampfung nach dem ewig richtigen,
hygienischen Grundsatze: „Vorbeugen ist wichtiger als heilen."
literatur.
Kraepelin: Die Psychologie des Alkohols. Intern. Monatsschr. z. Erf. d. Aik. 1911.
Bleuler; Die Psychologie des Trinkers. Intern. Monatsschr. z. Erf. d. Aik. 1910.
For el: Einige therapeutische Versuche mit dem Hypnotismus bei Geisteskranken. Corresp.
Bl. f. Schweizer Arztc. 1887.
— Einige Bemerkungen uber den gegenwartigen Stand der Frage des Hypnotismus usw.
Munch, med. Woch. 1888.
— Zur suggestiven Therapie. Vcrhandl. d. Gesellschaft Deutscher Naturforscher n. Arzte. 1890.
Hilger: Die Hypnose bei der Behandlung der Alkoholkranken. Mediz. Klin. 1907.
Bon jour: Le role de l'hypnotisme dans la psychothdrapie. Revue suisse de Medicine. 19x1.
Abraham: Die psychologischen Beziehungen zwischen Sexualitat und Alkoholismus. Zeitschr.
f. Sexualwissenschaft 1908.
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1912.
REEFRATE.
REFERATE.
Froriep, A., Die Lehren Franz Joseph Galls beurteilt nach dem Stand der
heutigen Kenntnisse. Rede, am Geburtstag des Kaisers im Festsaal der Uni-
versitat Tubingen gehalten. 41 S. Leipzig 1911. J. A. Barth.
Die Tatsache, daB Gall mit seinen anatomischen Entdeckungen recht behalten
hat und ferner, daB kein Geringerer als Paul Mobius fiir die Phrenologie Galls mit
Begeisterung eingetreten ist, als einen in seiner Bedeutung vollig verkannten erheblichen
Fortschritt der Wissenschaft, veranlaBt den Verf., zu untersuchen, ob wir nicht nur
dem Ana to men Gall, sondern auch dem Phrenologen eine Ehrenrettung schuldig sind.
Verf. skizziert in groBen Zugen den Lebensgang Galls und die Geschichte seiner
Lehre. Dann versucht er zunachst eine gerechte Wurdigung des Ana to men Gall.
Die beruhmte Denkschrift Galls, die nur iiber seine anatomischen Entdeckungen be-
richtete, kein Wort aber iiber seine Schadellehre enthielt, hatte Galls Schick-
sal besiegelt, ehe er sein vierbandiges Hauptwerk (1810—1819) begann. Sie erfuhr durch
Cuvier eine vernichtende Kritik, deren Eindruck nicht verwischt, deren Wirkung auf
die wissenschaftliche Welt, die Gall schnell vergaB, nicht mehr paralysiert werden
konnte, trotz dessen Antikritik, die die Schwachen des Cuvierschen Referates, das dem
Urteil der Kommission des Instituts zugrunde gelegen hatte, klar aufdeckte.
Und doch enthielt gerade diese Denkschrift Galls groBe, weltgeschichtliche
(durfen wir wohl heute sagen, wo die Biologie Herrin der Betrachtung und Erforschung
der organischen Materie und aller ihrer Phanomene geworden und nach erkenntnis-
theoretischer Klarung der Fragestellungen jede Metaphysik uberwunden und verdrangt
hat — auch aus der Psychologie; Ref.) Entdeckung, die Entdeckung des wahren Seelen-
organes, — des Sitzes jeder Geistestatigkeit in der Rindensubstanz des Grofihirns.
Nicht das Mark (Autenrieth, Reil), sondern die graue Substanz, die vordem
als vollig anervose ..GefaBsubstanz" angesprochen wurde, ist der Ort, an dem die Seelen-
vorrichtungen geschehen. ,,Diese, die graue Substanz", schrieb Gall in der Denk¬
schrift, ,,umkleidet alle Anfange und Enden von Nervenfasem; sie ist der Urstoff und
die Quelle des gesamten Nervensystems, die Matrix nervorum." ,,Wenn man nach einem
Organ der Seele suchen wolle, so konne nur die Himrinde in Betracht kommen. Frei-
lich (zweite These Galls) sei dies kein einheitliches Organ, wie Descartes und andere
eines gesucht hatten, sondern eine Vielheit von Organen, entsprechend den viel-
seitig verschiedenen geistigen Fahigkeiten." Das Votum der Akademie hatte gelautet:
„Die graue Substanz der Rinde ist ein Absonderungsorgan."
Recht be kommen hat durch die waitere Entwicklung der physiologischen
und klinischen Forschung Gall, unrecht die Akademie. Und zwar schon ein Dezennium
spa ter (1820, Flo u re ns, Foville), 8 Jahre vor Galls Tode, der allerdings die Be-
statigung seiner zweiten, ihm wichtigsten These, daB die Rinde ein Komplex von an
der GroBhimoberflache in Gestalt der einzelnen Windungen abgrenzbaren Einzelorganen
sei, nicht mehr erlebte, jener These, die fur seine ,,Organologie oder Schadellehre" die
anatomische Begrundung darstellen sollte.
An der Entstehung dieser Lehre hatte allerdings bei Gall die Rindenanatomie keiner-
lei Anted, wie Verf. naher darlegt. Vielmehr ist sie nach des Verf. Ansicht als rein-
spekulatives Produkt der psychologischen Sonderung spezieller Anlagen und Intelli-
genzen aufzufassen.
Gall hat aber damit vorahnend auf Verhaltnisse hingewiesen, weit iiber die
Lehren von Flourens vorwarts schreitend, die erst die neuesten Forschungen, zu¬
nachst experimentelle, physiologische und klinische (Broca, Fritsch und Hitzig,
Munir u. a.), wenn wir von der grundlegenden, lange Zeit sehr ungeniigend beachteten
Entdeckung Meynerts (cytoarchitektonische Verschiedenheiten des Rindenbaues,
1866) absehen, dann aber durch systematische lokalisierende Unterscheidung der „Fel-
der" Flechsig (allerdings nur indirekt), vor allem aber in fur alle kiinftigen Arbeiten
grundlegender Weise und direkt am cytoarchitektonischen Aufbau der Rinde mit
zwingender Beweiskraft an Tausenden von Schnitten und Hunderten von Photogrammen
die Arbeiten K. Rrodmanns klargestellt haben.
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REFERATE.
Journal f. Psychologic
and Neurologic.
6o
Und doch sagen diese Arbeiten etwas anderes aus, zielen auf etwas anderes ab,
als diezweiteThese Galls es tat. Bei Gall stark ausgepragt: die Idee einer Vielheit von
..entsprechend den vielseitig verschiede nen geistigen Fahigkeiten" dif-
ferenten Einzelgebilden! Bei Brodmann, seinen Schfilem und anderen in seinem
Sinnearbeitenden Fachgenossen: der exakte Nachweis der Ableitbarkeitder meisten
Rindenfelder des Menschen aus homologen Rindendifferenzierungen der niedrigeren
und niedersten Sauger, der fortschreitend sich komplizierenden Differenzie-
rung eines Schicht u ngsprotot y pus, deren mehr Oder weniger kompliziertes
Resultat nicht Miniaturgehirne, sondern ..integrierende Bestandteile eines Gesamt-
mechanismus, Rader eines Uhrwerkes bilden.
Eine gewisse Sonderstellung, die sich etwas Galls Idee nahert, nehmen nur die
Assoziationszentra Flechsigs ein — wenn wir an dem Namen ,, Assoziationszen truin''
nicht heute vielleicht doch AnstoB nehmen und sie nicht etwa lieber, wie das Verf.,
wohl vorschlagsweise, im Hinblick auf ihre phylogenetische Entwicklung verschiedent-
lich tut, mit dem psychophysiologisch nichts prajudizierenden Ausdruck ,.progressive
Gebiete" bezeichnen. Wie Ref. frfiher schon einmal hcrvorhob, decken sich anatomisch
die von Flechsig so bezeichneten Rindengebiete mit solchen, die Brodmann auf
Grund vergleichend cytoarchitektonischer Forschungen als Neuerwerbungen hoherer
Sauger beschrieben hat.
Aber auch in bezug auf diese Gebiete ist, wie Verf. sich jetzt mit Bestimmtheit
iiberzeugt hat, das Gallsche organologische Prinzip nicht zu retten. Denn Verf. hat
neuerdings nachgewiesen, daB besondere „Entfaltung tines Rindenbezirkes nicht mit
Vorwolbung der entsprechenden Schadelgegend Hand in Hand zu gehen braucht“.
Rindenfelder wachsen eben (wie ja das auch gerade von Brodmann — implizite! —
angegeben wurde; Ref.) durch Randwachstum, Oder durch faltenformige Einsenkung.
Nicht auf die Form, auf den Raum der Schadelhohle kommt es an. Galls
Schadelorganenlehre ,,ist ein reines Phantasma"!
Aber das bleibt Galls hohes Verdienst: die Entdeckung, dafl die GroBhimrinde
das Organ der Psyche ist. Und noch eins: der vorahnende SchluB, daB dieses Organ nicht
cinheitiich (d. h. nicht einheitlich im Sinne von Flourens z. B.) gebaut sein konne —
eine Vorahnung, die formal wenigstens in der modernen Lokalisationslehre wiederkehrt.
Max Wolff (Bromberg).
Froriep, A., Ist F. J. Gall an der Entdeckung des Brocaschen Sprachzen-
trums beteiligt? In: Zeitschr. f. d. ges. Neurologie u. Psychiatrie. Orig. Bd. V.
H. 3. S. 293—298; m. 1 Fig. i. Text. — 1911. Sep.
Vermutlich unter dem Einflusse der Mobiusschen Abhandlung uber Gall wird
neuerdings wieder vielfach der Annahme das Wort geredet, dafi der Schopfer der Phreno-
logie auch der eigentliche Entdecker des Sprachzentrums gewesen sei. Verf. weist aber
uberzeugend nach, daB der Sprachsinn bei Gall etwas ganz anderes ist als das Sprach-
vermogen im Sinne Bouillauds und P, Brocas, und daB femer das Sprachzentrum
Brocas recht weit von der Gegend des Gallschen Sprachorgans entfemt liegt.
„Wir mfissen die Meinung, als habe Gail mit der Lokalisierung seines Sprach-
sinns wirklich das Richtige getroffen, fadlen lassen. Das Organ des Sprachsinns ist ebenso
willkfirlich in die Luft gebaut, wie alle anderen Gallschen Organe."
Max Wolff (Bromberg-Schrottersdorf).
Ellenberger, W. f Handbuch der vergleichenden mikroskopischen Anatomie
der Haustiere. Drei Bande. 1819 S. m. 1321 Abbild. i. Text. Berlin,1906—1911.
P. Parey. Bd. I. 22 Mk., Bd. II 24 Mk., Bd. Ill 22 Mk.
Auf den 2. Band des vorliegenden, in Gemeinschaft mit einer Reihe hervorragender
Eorscher bearbeiteten Handbuches soli an dieser Stelle wegen der darin auf S. 177—240
gebrachten ganz vorzfighchen Darstellung der Struktur des zentralen Nervensystems
der Haustiere aus der Feder des durch seine Arbeiten fiber Leitungsbahnen in Gehirn
und Rfickenmark verschiedener Sauger den Lesern dieses Journals bekannten Prager
Neurologen H. Dexler aufmerksam gemacht werden.
Max Wolff (Bromberg-Schrottersdorf).
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Journal f. Psychol, u. Neurol. XIX. Bd.
(Preisig, Atrophie du cervelet.)
Lichtdruck von Albert Frisch, Berlin W.
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Tafel 2 .
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Tafel 2 .
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Journal f. Psychologic u. Neurol. XIX. Bd.
(Preisig, Atrophie du cervclct.)
Fig. X.
Vue totale du cerveau de J. G. par la face inferieure.
Fig. 2.
Vue de la face superieure du cervelet.
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Fig. 17.
Atrophie du cervelet chez une paralysie generale
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Aspect des lamelles cerebelleuses
chez J. G.
Lamelles cerebelleuses normales.
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Journal for Psychology und Neurology.
Band 19.
Heft 2/3.
Grundzflge zur
„Tektonik“ der weiBen Rfickenmarkssubstanz.
Von Gaetano Perusini.
Mit Tafel IV—VII uud 14 Textabbildungen.
Inhalt.
1. Zur Einfuhrung (Literarisches).
2. Technisches.
3. Eigene Beobachtungen: a) bei Tiercn (Huncl, Kaninchcn, Meersclnveinchen, Ziege,
Ochs, usw.); b) beim Menschen.
4. Epikritische Bemerkungen.
5. Die Anwendbarkeit der gewonnenen Ergebnissc bei der Dntetsuchung vom normalen
und vom pathologisch veranderten Material.
6. Literaturverzeichnis.
7. Tafelerklarung.
Zur Einfuhrung.
Bei der mikroskopischen Durchsichtigung von vermutlich ganz ,,normalen “
Ruckenmarksquerschnitten des Menschen fallt es oft auf, daB die gebrauchlichen
Farbungsmethoden einige Teile der weiBen Substanz deutlich heller als die
iibrigen erscheinen lassen. Zuerst ist dies sehr oft bei den peripheren Riicken-
marksfasem der Fall: Textfig. 1 stellt eben ein Beispiel dieser wohlbekannten
Erscheinung dar. Man sieht, daB im Riickenmarksquerschnitt die Hauptmasse
der grauen Substanz von zwei konzentrischen, voneinander verschieden tief ge-
fiirbten Ringen umgeben ist. Ebenfalls wohlbekannt ist eine weitere Erscheinung,
niimlich die auf Markscheidenpraparaten wahmehmbare relativ hellere Farbung
der Gollschen Strange (Fig. 52 auf Tafel III). Bei Gesamtfarbungen, z. B. auf
Karminpraparaten, sehen dieselben Strange dunkler als die anliegenden Markteile
aus. Wie Obersteiner angibt, erscheinen aber bei genauerer Betrachtung auch
andere Bezirke des vollkommen „normalen“ Riickenmarksquerschnittes auf Mark¬
scheidenpraparaten heller, auf Karminpraparaten dagegen dunkler als die iibrigen
Partien desselben. Wie sehen nun auf moglichst elektiv Glia- und Achsenzylinder-
praparaten all die Partien der weiBen Riickenmarkssubstanz aus, die auf Mark¬
scheidenpraparaten hell und auf Karminpraparaten dunkel erscheinen? Dariiber
waren bis vor kurzer Zeit unsere Kenntnisse ganz unvollkommen, so daB der richtigen
Deutung der Markscheidenbilder sichoft die groBten Schwierigkeiten entgegenstellten.
Eigentlich wuBte man sehr oft nicht, wie man sich zurechtfinden sollte: war die
Journal lilr Paycholofie und Neurologic. Bd. 19. 5
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62
GAETANO PERUSINI.
Journal f. Payvholofie
nnd Neurologic.
hellere Farbung eines bestimmten Riickenmarksgebietes besonders auffallend, ohne
jedoch die Dignitat einer Degeneration zu erreichen, so sprach man gern von Fasern-
lichtungen u. dgl. Oft aber mit Unrecht, denn, der Unzulanglichkeit der gebrauch-
lichen Achsenzylinder-und Gliafiirbungen vvegen, war man damals fast ausschlieBlich
auf Markscheiden- und auf Karminpraparate angewiesen, die wohl gute Bilder von
groben Strangsklerosen lieferten, aber kaum entscheiden lieBen, obes sich um Kunst-
produkte i. w. S.oder um einen reellen, jedoch geringfiigigen Fasemuntergang handelte.
Die ,.gute alte Zeit“ der Karmin- und der Markscheidenpraparate, also cine
Textfigur i.
Aus einein Falle von Dementia senilis. Luinbalmark. Alkoboltixierung. Farbung
mit Heidenbainscbein Eisenhamatoxylin. In der weilien Substanz sind zwei kon-
zentrische Ringe zu erkeuuen; der auCere ist viel wenigcr intensiv gefarbt als der
iunere. Die auBersten mit der Pia mater angrenzenden Partien des periphereu
Ringes sind tiefer gelarbt als die inneren Teile desselben.
Das Bild gibt das Aussehen des Riickenmarksquerscbnittes wieder, welches bei
dem seit langer Zeit in Alkohol liegenden Material wahrzunehmeu ist. Die
genaue Betrachtuug der Figur laBt einen uumittelbar unter der Pia gelegenen
schmalen Saum erkenneu, welcher der eigeutlicheu PZ entspricht.
recht schlimme Zeit fiir die Histopathologie des Nervensystems, ist gliicklicherweise
voriiber. Nach und nach ist man sich der Leistungsfahigkeit der oben angedeuteten
Methoden bewuBt geworden und hat die Notwendigkeit eingesehen, durch moglichst
feine Achsenzylinder- und Gliabilder die Ergebnisse der Markscheiden- und Karmin-
bilder zu vervollstandigen. So hat auf die Gefahr, die Rarefizierungen der Riicken-
marksperipherie als pathologisch zu betrachten, schon 1901 Schmaus in seinem
Handbuch und 1904 bei Gelegenheit der Beschreibung eines Falles von Myelitis
bulbi aufmerksam gemacht. Schmaus bemerkte, daB „in den Randpartien der
weiBen Substanz die Markfasern etwas verbreitert, gequollen, namentlich auch die
Markscheiden etwas weiter, vielleicht etwas blasser gefarbt als die Fasern der in¬
neren Teile“ erscheinen und betonte ausdriicklich, daB ,,es sich hier wohl nicht um
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BD 10 'l9?2 EFT2 '* »TEKTONIK“ der weissen rOckenmarkssubstanz. 63
eine pathologische Erscheinung handelt, sondern um eine Quellung der Randpartien,
wie man sie auch sonst hiiufig am Riickenmark vorfindet“.
Dank der von Alzheimer angegebenen Untersuchungsrichtung sind wir aber
heutzutage weiter gekommen. Wir haben namlich viele, selbst der feinsten degene-
rativen Vorgange der Nervenfasern kennen gelernt und sie scharf von normalen oder
von irgendwie kiinstlich entstandenen Bildern abgegrenzt. So haben die neuen von
Alzheimer in die Histopathologie des Nervensystems eingefiihrten Prinzipien und
die von ihm ausgearbeiteten technischen Methoden das Verstandnis auch mancher
eigentiimlichen Riickenmarksbilder ermoglicht, die bis vor einigen Jahren uns ganz
ratselhaft vorkamen. Vorliegende Untersuchungen sollen dazu dienen, eben durch
Textfigur 2.
Normale Leber des Hundes. Alkoholfixierung. Farbung nach van Gieson. In der
ganzeu Peripherie des eingelegten Leberstiickchens bemerkt man eine besonders struk-
turierte Randzoue. Das Bild zeigt, daO diese besondere Struktur in all den Teileu
des eingelegten Stiickchens sich kundgibt, welche zuerst mit der Fixicrungsfliissig-
keit in Beriihrung kommen. Die Struktur der Randzone ist in alien Teilen derselben
die gleiche; von der Anwesenheit der Kapsel hiingt sie also nicht ab.
Anwendung der Alzheimerschen Methodik, einige Struktureigentiimlich-
keiten der weiBen Riickenmarkssubstanz hervorzuheben, die zum
Teil den alten, auf Markscheiden- und Karminpraparaten allzuoft
unverstandlichen Bildern entsprechen. Zugleich werden wir zeigen,
daB alle die in Betracht kommenden strukturellen und tinktoriellen
Eigentiimlichkeiten ein System von Erscheinungen bilden, deren
Zustandekommen durch besondere, fur die weiBe Riickenmarks-
substanz allgemeingiiltige Prinzipien sich erklaren laBt.
Literarisches. Was die mikroskopischen Praparate der driisigen Organe usw.
anbelangt, so sei hier aus den 1898 von Sell maus und Bohm, 1899 von Sch maus und
Albrecht, 1903 von Sch maus veroffentlichten Arbeiten nur folgendes hervorgehoben:
1. Alle daraufhin von den Verfassern untersuchten Fixationsmittel (Flemingsche und
Herman nsche Fliissigkeit, die Altmannsche Kalibichromat-Osmiumlosung, Subli-
5 *
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Jonmal f. Pajchologie
und Neuroloirie.
GAETANO PERUSINI
mat, Formol und Formolgcmischc mit Kalibichromat, das Carnoysche Gemisch u. a.)
habcn die Eigcnschaft, an den pcripheren Schichten der in sie eingelegten Organstiick-
S's/k
r-f-Sf, ‘ J
Textfigur 3.
Randzone und
Yergrblieruug.
Textfigur 4.
Normale Schilddriise des Hundes. Alkoholfixieruug. Von den iuneren Teilen
ist eiue besonders strukturierte Randzone zu unterscheidcn, welche das ganzc
Praparat ringsherum einniinmt.
chen cine andere Struktur hcrvorzubringen als in den innercn Teilen, also weitaus in
der Hauptmasse ties eingelegten Praparates. 2. Im Lcbergcwebe umfaBt die obcn er-
wahnte besondere Randzone nur wenige, 1—3, Zcllreihcn; zwischen Randzone und den
inneren Teilen der Stiickchcn findet man einc scharfe Grenze. 3. Im wesentlichen l>e-
steht die Eigentiimlichkeit der Randzone darin, daB in ihrem Bereich die Zellen nicht
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BD. 19, HEFT 2 3
1912.
.TEKTONIK" DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ.
wic in den inneren Partien eine kornige, respektiv kornig-netzigc Struktur aufweisen
sondern — abgesehen von andersartigen Einlagerungen, wie Fett usw. — der Haupt-
masse nach aus zicmlich groBen
blaschenahnlichen Gebilden Oder
aus Waben zusammengesctzt
sind, vvoneben nur sparliche,
fcinfadige oder auch homogenc
Randzone und inneren Teilen
Leber und in der Schilddruse zu
beobachten sind.
Hinsichtlich der Himrinde
ist die groBc Wichtigkeit, die dcr
cigentiimlichen Fixierung der
peripheren Tcile eines cingelcg-
ten Blockes derselben zu-
kommt, von Nissl ausdriick-
lich betont worden. Die Er-
gebnisse Nissls werden —
sowcit sie sich auf die wciBc
Substanz des Riickenmarks
anwenden lassen — spater
unten berucksichtigt. Was 3
aber das Ruckenmark be-
trifft, so muB hicr vor allem
cine 1900 von Simarro vcr-
offentlichte Arbeit Ervvah-
nung findcn. In dieser Ar¬
beit betrachtetSimarro die
Wege, durch welche die Sil- j
bcrnitratlosung in die in sie
eingclegten Riickenmarks-
stiickchen cindringt. Diese
Wege sollen namlich folgende
sein: 1. Die auBcre Rucken- j
marksoberflache; durch diese ,
dringt die Silbernitratlosung
besonders durch die Randglia
in die Tiefc. 2. Die Sektions-
oberflaclien der vorderen und hinteren Wurzeln. 3. Die Scktionsoberflachen, welche das
herausgeschnittene Ruckenmarksstiickchen nach oben und nach hinten zu abgrenzen.
Textfig. 9 soil dazu dienen, diese tief impragnierten Riickenmarkspartien zu veranschau-
lichen, die von Simarro als Eindringungswege der Silbernitratlosung betrachtet wer-
Textfigur 5.
Dasselbe Bild -wie Figur 4, bei starkerer Vergrolierung. Zeigt das
fur die Randzone bezw. das fur die inneren Teile charakteristische
Aussehen der Driisenraume und des Kolloids.
Textfigur 6.
Reproduziert aus der Arbeit V a so ins. 1,2 und 3 = erste, zweite
und dritte Zone. Die Erklarung der Abbildung lautet im Original:
,,Ruckenmark des Kaninchens, in Zenkerscher Fliissigkeit fixiert.
Schematisiert.“
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GAETANO PERUSIN’I.
Journal f. Fsycholojric
und^»eurologrie.
den. Eine auBere von den inneren Teilen gut abgegrenzte und deutlich verschiedene
Randzone des Riickenmarks ist in dem Bilde deutlich zuerkcnnen: die vorderen und
hinteren Wurzeln und cinige Septa tretcn ebenfalls durch ihre tiefe Impragnierung
stark hervor.
Ein Versuch, die ol)en angedeuteten von Schmaus u. a. in der Eel>er hervor-
gehobenen Ergebnisse auf das Riickenmark gcnau anzuwendcn, folgte erst in einer Ar¬
beit von Vasoin. Enter der Leitung von Sch ma us stelltc namlich Vasoin 1905 ETnter-
suchungen iiber die Zonenbildung bei der Riickenmarksfixierung (Alkohol, Formol,
Miillcr, Zenker) an. Bcim normalcn Kaninchen beschrieb er die Bildung vcrschieden
strukturierter Riickenmarkszonen, die er — von auBen nach innen fortschreitend —
als erste, zweite und dritte Zone bezeichnete. Da diesc Untcrsuchungen Vasoins in
bezug auf die Zonenbildung bei der Ruckenmarksfixie-
rung von fundainentaler Bedeutung sind, habe ich hier
die von ihra angegelxmen Abbildungen reproduziert
(Textfig. 6 und 7): somit wird das Verstandnis der An-
gaben dieses Forschers und die folgende Diskussion
1 derselbcn erleichtert. Auch den wesentlichsten Teil der
von ihm gegebenen Beschreibung will ich hier wortlich
zitieren: ,,In der erste n dieser Zonen ^st das von der
Glia gcbildete Maschenwerk rcgelmaBig, die Achsen-
zylindcr sind gut gefarbt, dick, anscheinend von rund-
licher Form und liegen vorwiegend zentral. An Carmin-
und Hamatoxylinpraparatcn zeigen die Binnenraumc
des Maschenwerkes — abgcschcn von den in ihnen
gelegenen Achsenzylindern — eine diffuse, leicht rot-
liche Tinktion. In der zweiten Zone, die von der
ersten durch eine deutliche Grenze scharf getrennt ist,
zeigen die Maschen von auBen nach innen zu einen
immer groBercn Durchmesser; anfanglich, d. h. mehr
Textfigur 7. nach auBen zu, sind die Septa des Maschenwerks gut
Reproduziert aus der Arbeit Vasoins. erhalten, nach innen zu aber gehen sie zum Teil ver-
1, 2 und 3 = erste, zweite und dritte loren, so daB man zwei odcr mehr Achscnzylindcr in
Zone. Im Original lautet die Erklaruug cinem leeren, von den unzerrissenen Septis freigelas-
der Abbildung: „feil des Riickenmarks senen Raum sehen kann. Nur ein kleiner Teil der
bei starkerer Vergrolierung; das ver- Achsenzylinder ist geschwollen und selten erreichen
schiedene Verhalten der Acbsenzylinder s ie den Durchmesser dcr in der peripherischcn Zone
und der Gliamaschen in den drei Zonen gelegenen. In Form und Lage zeigen sie allerhand
ist erkennbar. Schematisiert.** Unterschiede, sie erscheinen bald in rundlicher, bald
in Halbmonds- oder Stern form. Sie haben ihre zen-
trale Stellung verlorcn und erscheinen nach innen, in der Richtung gegen die graue
Substanz zu, verschoben. Manchmal scheinen sie ganz und gar zerfallen, so daB von ihnen
nur cine blaBgefarbte Masse iibrig blcibt, in der starker gefarbte Komer sichtbar sind;
einige vereinzelte Achsenzylinder sind vollig ungefarbt geblieben.
In der dritten Zone sind die Maschcn ebenfalls erweitert, ohne daB sie jedoch
den Ausdehnungsgrad jener der zweiten Zone erreichen. Sie sind zum Teil im Innern
gefarbt wie die der ersten Zone. Ihre Grenzcn sind sehr deutlich, die Achsenzylinder
sind teilweisc aufgeschwollen, sind dicker als die dcr zweiten und diinner als die der
ersten Zone. Die Formvcranderungen entsprechcn den oben beschriebcnen, doch haben
die Achsenzylinder hier wieder ihre zentrale I-age eingenommen.
Wir finden also am vollstandig normalen Riickenmark drei Zonen: eine dichte
peripherische, cine mittlere mit einer Struktur, die ich alveolar nennen werde, und eine
innere, die in ihrem Aussehcn mehr der ersten als dcr zweiten ahnlich ist."
Fur das Zustandekommen der Strukturdifferenz zwischen der Randzone und den
inneren Teilen sind nun verschiedene Erklarungcn moglich und auch tatsachlich gegeben
worden. So z. B. haben manche Autoren angenommen, daB die Randpartien des Stiick-
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BD ‘ 19 i«nsL rT 2/3 ..TEKTONIK" der weissen rockenmarkssubstanz. 67
chens die bestfixierten Teile darstellen, daB die rasch fixierte Randzone einen fcsten
Wall bildet, welcher dem weiteren Eindringen des Fixationsmittels fur eine Weile Halt
gebietet, daB die Fixation der inneren Partien eine minderwertige sei und daB die genannte
Strukturdifferenz von der Zeit, innerhalb welcher die Zellen von der Fixierungsflussig-
keit erreicht werden, und von dem geringeren Konzentrationsgrad abhange, in welchcm
die Fixationsmittel zu den peripheren bzw. zu den inneren Zellen gelangen. Fur die
letztere Annahme hat sich auch Nissl in bezug auf die Alkoholfixierung der Himrinde
ausgesprochen. Andere Autoren nahmen an, daB es sich bei der Fixation der Randzone
um eine ,,vehemente" Wirkung auf die Zelle, um eine ,,t)berfixation" derselben handle:
als weitere Moglichkeit des Zustandekommens einer besonders strukturierten Randzone
hat Schmaus noch eine, wahrend der Fixation oder bei der Nachbehandlung der Stiick-
chen stattfindende Quellung der Randschichten in Betracht gezogen usw.
All die oben angedeuteten, besonders fiir die eingelegten Stiickchen der Ivebcr
aufgcworfenen Fragen sind von VASOIN auch fiir das Riickenmark erortert worden; dieser
Autor hat auBerdem die voneinander verschiedenen Veranderungen, die die Achsen-
zylinder und die Markscheiden bei der Fixicrung erfahren, beriicksichtigt und die Frage
aufgestellt, ob die Ausdehnung der Gliamaschen in dem von ihm als 2. Zone bezeichneten
Ruckenmarksgebiet durch direkte Wirkung der Fixierungsfliissigkeit zu betrachten ist,
Oder ob sie vielmehr die Folge einer Quellung der Markscheiden, d. h. eine sekundare
Erscheinung darstellt. Der SchluB, zu dem Vasoin kommt, ist, daB in den auBersten
Teilen des Stuckes die besondere Struktur dadurch zustande kommt, daB der UberschuB
an Fixierungsfliissigkeit ein rasches Quellen und dann Gerinnen des Gewebes bedingt.
,,Wir diirfen nun wohl annehmen, daB im Innern des Gewebsstiickes die histologischc
Struktur der besonders locker gebauten und von zahlreichen Kapillaren durchzogenen
grauen Substanz ganz ahnliche Bedingungen zustande kommen laBt, wie wir sie fiir
die peripherischen Teile angenommen haben. Durch die Fissura finden ansehnliche
Mengen von Fixierungsfliissigkeit ihren Weg ins Innere des Markes; die graue Substanz
wird schnell durchdrungen und gestattet der Fixierungsfliissigkeit, auch die innersten
Schichten der weiflen Substanz rasch zu erreichen. Diese werden also in der Zeiteinheit
von viel reichlicheren Mengen der Fixierungsfliissigkeiten durchdrungen warden, als die
mittleren Schichten — und daraus resultiert der Strukturunterschied der Zonen.“
Zuletzt stellt Vasoin die Frage auf, ob die beschriebene Struktur der drei Zonen
wirklich nur die unterschiedliche Wirkung des Fixierungsmittels zum Ausdruck bringt
und ob es ausgeschlossen ist, daB spezifische praformierte Strukturdifferenzen verschie-
dener Riickenmarksgebiete den Unterschied mit bedingen helfen. Gegen letztere An-
nahme scheint ihm folgender Vcrsuch zu sprechen: ,,Wenn wir die Wirkung der Fliissig-
keit bei der Fixation ganz ausschlieBen, indem wir ein Stuck Riickenmark mit Formalin-
oder Osmiumdampfen fixieren und hiernach die weitere Behandlung folgen lassen, so
finden wrir Struktureigentiimlichkeiten anderer Art; die drei Zonen aber, die bei Behand¬
lung mit fliissigen Mitteln — Alkohol, Formalin, Zenkersche Fliissigkeit — entstehen,
werden dabei nicht wahrgenommen."
Was weitere von verschiedenen Autoren hervorgehobene Einzelheiten iiber das
hier behandelte Thema betrifft, so sind sie zum groBten Teil in zwei friiheren kurzen
Mitteilungen von mir beriicksichtigt worden. Der Kiirze wegen verweise ich auf die-
selben.
Hinzufiigen mochte ich jedoch, daB keine enge Bczichung zwischen dem hier be-
handelten Thema und den zuerst von Van Gieson, sodann von vielen anderen Autoren
beschriebenen, sensu strictiori kiinstlichen Deformierungen usw\ des Riickenmarks
vorliegt. Die beiden Gebiete konnen wohl in einigen Details ineinander iibergehen,
voneinander sind sie aber prinzipiell zu trennen. Die Van Giesonschc glanzende Arbeit
hat zwar fiir uns ein Interesse nur insofern, als sie am besten beweist, was fiir ein emp-
findliches Untersuchungsobjekt das Riickenmark ist.
Zusammenfassend konnen wir also sagen:
1. Die Wirkung der fliissigen Fixationsmittel auf die peripherischen
Teile ist verschicden von der auf die inneren Teile der in sie ein-
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Journal f. Psychologic
und Neurologic.
08
GAETANO PERUSINI.
gclcgtcn Organstiickchen: infolgedcsscn bringen sie in den peri-
pherischen Schichten, die mit ihnen zuerstin Beruhrung kommen,
eine andere Struktur hervor als in der ubrigen Hauptmasse des
cingelegten Praparates.
>. Die fliissigen Fi xations mittel, welche in den in sie eingelegten
Stiickchen von anderen Organen die Bildung von zwei verschiedcn
str u kturiertcn Zonen veranlassen, veranlassen dagegen am nor-
malen Kaninchcnriickenmark die Bildung von drei konzentri-
schen verschieden strukturierten Zonen: das Zustandekommen
dcr lctztcren stcht zu den topographischen Wechselverhalt nissc n
zwischen graucr und wcifier Substanz in Bczichung.
Technisches.
Vorlicgendc Untcrsuchungcn babe ich besonders am Hundc-, Kaninchcn-, Ochscn-
und Zicgenruckenmark vorgcnommcn. Verwcrtet vvurde das Ruckenmark nur in den
Fallen, bei denen der Sektionsbefund und die histopathologische Untersuchung keinen
Anhaltspunkt fiir das Vorhandcnsein irgendeiner anatomisch nachweisbaren Verande-
rung ergab. Angevvandt wurden, wie iiblich, Alkohol-, Formol-, Kalibichromat- und
Zenkers-Fixierung: die fiir meinen besonderen Zweck besten Resultate erreichte
ich jedoch an Material, das in der Weigertschen grunen Beize fixiert wurde. Wie
Alzheimer empfieblt, babe ich mich immer der letzten Weigertschen Formel (mit
Fluorchrom) bedient. Meine listen Praparate haben einige neulich von Alzheimer
in extenso angegebene Farbungsmethodcn geliefert, die ich unter A und B wiedergebe.
A. Fixierung in der Weigertschen Gliabeize. Man bringt die Gefrierschnitte:
1. kurz in destilliertes Wasser,
2. zwei Minuten in Wasser, dem einige Tropfen Eisessig zugesetzt sind,
3. direkt in eine stark verdunnte Losung von Malloryschem Phosphor-
Molybdan-Karbolsaure-Hamatoxylin, in der die Schnitte etwa 2 Minuten
bleiben,
4. Cberfiihren in destilliertes Wasser, steigenden Alkohol, Karbolxylol.
W ic Alzheimer angibt, sind die Praparate besonders wertvoll als Obersichts-
praparate: sie sind auch gut haltbar. Die Farbe der Schnitte muB rotlich blau sein. Im
Ruckenmark gibt diese Methode eine gutc Darstellung des Plasmaleibes dernormalen
Gliazellen; die Gliafasern treten gewohnlich mit groBer Scharfe hervor. Ganglienzellen,
besonders aber Achsenzylinder, GefaBe, Pia und Bindegewebssepta werden gut dargestellt.
Von Glia- sind Bindegewebsfasern schon durch die verschiedene Farbennuance leicht zu
unterscheiden.
Die Farbung kann man auch bei eingebettetem Material anwenden. Auf Paraffin-
odcr Zelloidinschnitten liefert sie zwar keine fur das Studium der Einzelheiten bc-
friedigenden Resultate, wohl aber lehrreiche Obersichtspraparate.
B. Fixierung in der Weigertschen Gliabeize. Man bringt die Gefrierschnitte
1. auf 2—12 Stunden in eine gesattigte waBrige Losung von Phosphor-Mo-
lybdansaure;
2. wascht kurz zweimal in destilliertem Wasser;
3. bringt die Schnitte in Mannsche Losung;
4. spiilt kurz in destilliertem Wasser ab, bis die Schnitte keine Farbwolken
mehr abgeben;
3. bringt die Schnitte in 96proz. Alkohol (1—2 Minuten), bis ein hellblauer
Farbton eintritt;
6. uberfuhrt in absoluten Alkohol und Xylol.
Wie Alzheimer hervorhebt, gibt die Methode etwas zartere und feinere Bilder
als die vorige. Das Plasma der Gliazellen wird heller Oder dunkler blau gefarbt, die
Achsenzylinder sind blau Oder rotlichblau, Gliafasern hellblau, Ganghenzellen dunkel-
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,{K I 1 , 19 I w EFT J,i i.TEKTONIK“ der weissen ruckenmarkssubstanz. 69
blau, Bindegewebsfasern tiefblau, Blutkorperchen leuchtcnd rot, Markscheiden (ini
Ruckenmark) heller oder dunkler rot.
Die Methode laBt sich mit gutem Erfolg auch bei eingebetteten oder uneingebettctcn
Alkoholschnitten anwenden.
C. Gute t)bcrsichtspraparate des Ruckenmarks sind auch durch Anwendung
des bekannten Malloryschen Verfahrens (Anilinblau -f Orange G. 4- Oxal-
saure) zu gcwinnen. Die Farbung gibt auf Alkohol-, Formol-, Gliabeize- und
auf Zenkerschem Material gutc Resultate: zum Studium der Markscheiden
und der Achsenzylinder sind Gliabeizegefrierschnitte besonders geeignet.
D. Was die Markscheidenpraparate anbelangt, so lieBen sich gute Resultate
durch folgendes Verfahren erreichen:
1. Fixierung in der Weigertschen Gliabeize.
2. Die Gefrierschnittc werden 5 Tage lang bei 37 0 in ciner 1 / 2 proz. waBrigcn
Chromsaurelosung gebeizt.
3. Farbung nach Kulschitzky - Wolters usw.
Die Resultate weichen von denen der gewohnlichen Markschcidenfarbungcn nach
Wcigert nicht wesentlich ab. Vorzugc des Verfahrens sind jedoch, daB die auf feine
Strukturdetails immerhin schadlich einwirkende Einbettung des Materials beseitigt
wird, und daB aus denselben Gliabeizegefrierschnitten Markscheiden- und Gliafarbungen
sich erreichen lassen. Bei richtiger Differenzierung erreicht man eine ganz ,,elektive“
Markscheidenfarbu ng.
E. Sehr gute Resultate lieBen sich auch durch folgende Markscheidenfarbung,
die neulich Bonfiglio angegeben hat, erreichen.
1. Formolgefrierschnitte werden in einer 1 proz. Toluidinblaulosung untcr
zweimaliger Erwarmung gefarbt. Die Erwarmung geschieht wie bei der
Nisslschen Methode. Manchmal ist es vorteilhafter, keine Erwarmung
vorzunehmen, sondern die Schnitte 1—2 Stunden in der Farblosung bei
Zimmertemperatur bleiben zu lassen. Mitunter ist es auch empfehlenswert,
der Toluidinblaulosung einige Tropfen Eisessig zuzusetzen (2—3 Tropfen
auf ioccm);
2. Abspulen in dest. Wasser;
3. Differenzieren in angesauertem Wasser (etwa 6—8 Tropfen Eisessig auf
20 ccm dest. Wasser). Dauer etwa 5 Minuten.
4. Nach griindlicher Auswaschung werden die Schnitte in folgende Losung
iibertragen: Ammonium molybdaenicum 1 g, dest. Wasser 10 g, offiz. Salz-
saure 1 Tropfen. In dieser Losung bleiben die Schnitte etwa 2 Stunden.
5. Griindliches Auswaschen, Gbertragen in steigenden Alkohol, Xylol, Balsam.
Die Markscheiden werden tief violett gefarbt: von zelhgen Elementen ist in richtig
differenzierten Praparaten sehr wenig zu sehen: sind aber Ganglien-, Gha-, GefaB- und
Piazellen nicht vollig entfarbt, so bieten jedenfalls Kerne und Zytoplasmen derselben
eine deutlich blaue Farbe, wclche mit dem tiefvioletten Farbeton der Markscheiden
keinesfalls verwechselt werden kann. Im groBen und ganzen entsprechen die Resultate
dieser Methode denjenigen, die mit der Weigertschen Markscheidenfarbung zu erreichen
sind. Mit dem angegebenen Verfahren ist also — obwohl bei demselben keine beizende
Substanz in Anwendung kommt — eine elektive Markscheidenfarbung zu erreichen.
Selbstverstandlich kamen neben den oben angedeuteten alle gebrauchlichsten
Farbungsmethoden zur Anwendung. Besondere Erwahnung verdient die Karminfarbung,
nach Fixierung des Materials in Kali bichromicum. Auf gut gelungenen Karminprapa-
raten erscheinen die Markscheiden gelb, die Gliaelemente und die Achsenzylinder rot.
Hauptbedingungen um gute Karminpraparate zu erreichen, sind, daB das Material mit
Kaliumbichromatlosung (ohne Formol) langsam erhartet und uneingebettet geschnitten
wird: die Praparate diirfen also vor der Farbung uberhaupt nicht mit Alkohol in Ver-
bindung kommen. Was die Behauptung anlangt, daB die friihere Karminfarbung des-
halb nicht mehr zu erzielen sei, weil das kauflicbe Karmin sich geandert habe, so ist
dieselbe, nach Ansicht Nissls und Schroders, irrtumlich. „Man crzielt mit jeder
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/O GAETANO PERUS 1 NI. Journal f. Psychologic
_ und Neurologic.
guten Losung von ammoniakalischem Karmin diesell>cn distinktcn Farbungen vvic
friihcr, vorausgesetzt, daB man in dcrsclben Wcisc wic friiher die Praparate vorbehan-
dclt, schncidet und fiirbt.“ Nach mciner Erfahrung bestehen jedoch weitgehende Dif-
ferenzen zwischen Farlxkraft dcr Karminstoffe, die von den vcrschicdenen Chemikalien-
fabriken in den Handel gebraeht werden.
Wundcrschone Karminpraparatc konntc ieh dank der Eiebcnswiirdigkcit dcs
Herrn Prof. Winkler dunhsichtigcn, der so freundlich war, mir aus seiner Sammlung
Sericnschnittc durch das Kiickcnmark und den Hirnstamrn des Hundes zukommen zu
lassen. All die mil schwacher VcrgrdGerung wahrnehmbaren Unterschiede zwischen
den cinzelncn Gcbicten der wciGcn Kiickcnmarkssubstanz kann man auf diesen Prapa-
raten gut studieren. Mil groBem lntercsse halx? ich von Prof. Winkler erfahren, daG
die Vasoinschc Zonenbildung und manche spater unten zu besprcchenden Einzelheitcn
ihm eben aus Karminpraparatcn scit Dezennien schon Ix'kannt waren. In einer dazu
lxstimmtcn Mitteilung illustrierte Prof. Winkler diese Tatsaclien nicht, beriicksichtigtc
sic jedoch stets bci Gclegenhcit der Beschreibung seiner Fascrnpraparate. Er machte
mich darauf ausdriicklich aufmerksam, man solle die Karminbilder des Ruckcnmarks
sehr vorsichtig interpretieren und sicli besonders flavor hiiten, die Untcrschiede, die
zwischen den einzclnen vcrschicden tief gelegenen Gebictcn des Seitenstranges normaler-
weise vorkommen, mit eigentliehen Degenerationen der Nervenfascrn zu verwechseln.
Zur Bctrachtung mit schwacher YcrgroGcrung sind also Karminpraparatc aus-
gezeichnct und als ('bcrsichtsbildcr sind sie sehr lehrreich. Betrachtet man aber mit
Immersionslinscn diese bei schwacher YcrgroGcrung sehr schon aussehenden Praparate,
so nimmt man bloG unbestimmte, verschwommenc, diffus gcfarbtc Bilder wahr, wo die
Markfasernkonturcn kaum zu verfolgcn sind. Da sic keine Immersionslinscn vertragen,
sind also leider diese Praparate zuin Studium dcr feinen Strukturdetails ungecignet.
Eigene Beobachtungen.
Die Beschreibung der vorgenommenen Versuche will ich in folgcndcm so kurz
als moglich zusammenfassen. Dcr Kiirze wegen muB ich leider den lcitenden Gedan-
kengang neben den Rcsultaten der cinzelnen Experimcntc und dcr Diskussion der-
selben in ganz unschdner Unordnung gcmeinschaftlich vorfiihrcn. Denn das in diesen
Seiten behandelte Thcma beriihrt so viele ungemein minutidse Fragen, daG ich bestrebt
sein muG, nur das, was mir am wichtigstcn vorkommt, hervorzuheben, das iibrige ein-
fach zu streifen oder ganz und gar beiseite zu lassen. Mogc mir also der Leser ver-
zeihen, daG ich — um nicht iiber das MaB lastig zu fallen — solch eine Vorfiihrungsart
mir zu Schulden kommen lasse.
Von einigen Details abgcsehcn, bestatigen die von mir auf Kaninchenriickenmark
vorgenommenen Untersuchungen die Bildung von drei konzentrischen voneinander ver-
schieden strukturierten Fixierungszonen, dieVasoin beschrieb. Etwas anders verhalt
sich aber die Sache bei Praparaten von Hunderiickenmark. Fig. i auf Taf. I stellt eben
einen durch das IV. Zervikalsegment eines Hundes hergestelltcn Querschnitt dar.
Man sieht, daG die periphere Zone die ganze Riickenmarkskontur umfaGt, daG aber die
Bildung von drei konzentrischen Zonen nur in der ventralen Riickenmarkshalfte zu
erkennen ist (Fig. i, Taf. I; vgl. Textfig. 6). In der hinteren Riickenmarkshalfte bietet
dagegen das Bild der innerhalb der peripheren Zone gelegenen weiBen Substanz manche
abweichende Eigentiimlichkeiten. Und zwar weder im Hinterstrangegebiet noch in der
dorsalen Halfte des Seitenstranges treten die zwei inneren konzentrischen Zonen hervor,
die in der ventralen Riickenmarkshalfte zu erkennen sind. Vielmehr fallt auf: A. daG
ein dunkel gefarbter Fleck den groGten Teil je einer dorsalen Halfte des Seitenstranges
einnimmt; B. daG die innerhalb der peripheren Zone gelegene Partie der Hinterstrange
sich in folgender Weise weitcr cinteilen laGt: i. ein Saum, der sich der ventro-medialen
Kontur der Hinterstrange anpaGt, 2. eine Gewebspartie, die zwischen diesem Saum
und 3. dem mittleren Teil der Hinterstrange liegt. Die Topographie der auf Glia
und Achsenzylinderpniparaten abwechselnd dunklcn und hellcn Particn vcrleiht also
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BI> * 19 1«J?2 FT 1 :l mTEKTONIK- dkk weisskn kOckknmARKSSUBSTANZ. 7 I
dem ganzen Gebict der Hinterstrange das Aussehen eines umgekehrten M (Fig. 45,
Taf. III).
Um die ausfiihrlichere Beschreibung der genannten Riickenmarksgebiete zu er-
leichtern, bczeichne ich den dunklen Fleck des Seitenstranges (Fig. 1, Taf. IV) als Area A
des Seitenstrangs, als Area 1, 2 und 3 der Hinterstrange die genannten Unterabteilungen
der letzteren und als PZ die periphcre das ganze Riickenmark umfassende Zone, wobei
also die Bezeichnung ,,Area“ zunachst nur als Unterschied von ,,Zona“ gemeint ist
(Fig. 1, Taf. I).
Die Lage der Area A des SS ist in den verschiedenen Riickenmarkssegmcnten des
Hundes verschieden. Schon bei schwacher VergroBerung grcnzt sich diesc Area vom
restierenden VSS sowohl in Alkohol- (Fig. 6, Taf. I), als in Zenker- (Fig. 1 und 2,
Taf. IV) und in Gliabeizegefriersclinitten ab: iiber ihre Lage konnen uns aber am besten
die Alzheimerschen Gliapraparate Auskunft geben (Fig. 14 und 19, Taf. IV). Ganz
deutlich tritt sie im ganzen Zervikalmark hervor: ihre Scharfc und GroBe nehmen ab-
warts vom Ende des VIII. Zervikalsegmentes rasch ab. Im Dorsalmark und in den
ersten Segmenten des Lumbalmarkes ist sie manchmal kaum, manchmal undeutlich
zu erkennen: individuelie Untcrschiede kommen wahrscheinlich in Frage. Am Ende
des Lendenmarks und im Sakralmark ist die Area A des SS nie wahrzunehmen (Fig. 19,
Taf. IV). Vorgenommene Versuche zeigten, daB die Lage der Area Ain den verschiedenen
Segmenten den Anteilen des Seitenstranges ziemlich genau entspricht, vvclche nach
bilateraler Exstirpation der motorischen Hirnrinde eine groBe Zahl von degenerierten
Fasern enthalten.
Die Areae 1, 2 und 3 des Hinterstrangegebietcs bieten einige Anderungen
ihrer Gestalt dar, je nach den verschiedenen Riickenmarkssegmenten. Mit den Andc-
rungen der Form, die die Hinterstrange in den verschiedenen Riickenmarkssegmenten
darbieten, gehen zwar Anderungen der topographischcn Verhaltnisse der einen Area zur
anderen einher; letztere bleiben jedoch stets wesentlich diesclbcn. Im Sakralmark sind
sie nicht zu erkennen (Fig. 19, Taf. IV). Deutlicher als die Area 1 und 2 ist die Area 3
abgegrenzt, welche durch das Septum paramedianum stets lateralwarts limitiert ist.
Medialwarts ist im Lumbalmark die Grenze der Area 3 vom Septum medianum posterius
gegeben, so daB die Area dem ganz diinnen Saum von weiBer Substanz entspricht, welche
um das Septum medianum posterius liegt (Fig. 13, Taf. IV). Auch im Zervikalmark
behalt die Area 3 eine dreieckige Gestalt bei: medialwarts erreicht sie aber das Septum
medianum posterius nicht (Fig. 1, Taf. IV). In Alzhei merschen .Gliapraparaten ist
sie nicht so intensiv als die Area A des SS gefabt: daB ein Strukturunterschied zwisclien
den beiden Areae vorliege, geht also schon hervor, wenn man diese Praparate bei schwacher
VergroBerung betrachtet. Bei andersartigen, besonders bei eingebetteten Praparatcn
sind dagegen die Unterschiede zwischen der Struktur der beiden Areae verwischt, so
daB sie etwa gleich dunkel gefarbt erscheinen.
Die Struktur der Areae r, 2, 3 der HS ist selbstverstandlich verschieden, je
nachdem es sich um die Partien derselben handelt, die die PZ oder die innerhalb der
PZ liegenden Teile ausmachen. Erstere werden zusammen mit den iibrigen Charakteri-
sticis der PZ geschildert. Was nun die innerhalb der letzteren liegenden Teile anbelangt,
so wird die auf Glia- und Achsenzylinderpraparaten wahmehmbare Struktur derselben
hier fluchtig angedeutet. Diesbeziiglich verweise ich auf die Erklarung der beigefugten
Abbildungen (Taf. VI, Fig. 45 und 46).
AuBerdem enthalt die im folgenden Abschnitte gegebene Beschreibung der Struktur
der Area A des SS einige Details, die auch fur die HS giiltig sind. Hcrvorgehoben sei
die besondere Disposition der Glia in dem Gollschen Strange. Fig. 46, Taf. VI gibt
dieses besondere Aussehen wieder. Nach dem Besprochenen bedarf das Markscheiden-
bild der einzelnen Areae der HS keiner naheren Schilderung.
Die Struktur der Area A des SS tritt im Glia- und Achsenzylinderbilde am
besten auf Alzhei merschen Praparaten hervor. Sie geht ohne scharfe Grenze in die
spater unten zu besprechende Struktur der anliegenden Teile der weiBen Substanz
iiber, die um die graue Substanz herum in der vorderen Halfte des SS liegt. Die in Frage
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kommcnde Struktur ist in den verschiedenen Riickenmarkssegmenten, in welchen die
Area iiberhaupt zu erkennen ist, stets dieselbe. Sehen wir uns bei starker VergroBerung
etwa die zentralc Partie des im Obersichtsbilde wahrnehmbaren dunklen Fleckes des
SS an, so beobachten wir das Bild, welches Fig. 40 auf Taf. VI darstellt. Das Bild ist
wesentlieh dadurch charakterisiert, daB ungcmcin groBc protoplasmareiche und fort-
satzarmc Gliazellen urn die Ncrvenfasern liegen, welch lctztere ein sehr schwankendes
Kalibcr darbieten. Die Mehrzahl dcr Axcnzylinder sind ganz klein: nur sparlichc
haben einen starkeren Durchinesser. Bemerkcnswert ist, daB bei vollstandig gelungencn
Praparatcn einige Axcnzylinder ganz blaB, vom Malloryschen Hamatoxylin kaum
gefarbt erscheinen. Statt dcr gewohnlichcn hiibschen blau-rotlichen nehmen diese sich
defekt farbenden Axcnzylinder cine schmutzig-graue Farbc an. In der ganzen Area A
des SS kommen, infolgc des groBen Reichtums an plasmatischen Gliastrukturen, Bruch-
stiicke von plasmatischer Glia zur Beobachtung, die etwa wie Staub auf dem Praparate
liegen (Fig. 20, Taf. V). Zu unterscheidcn, ob gewisse Gcbilde zu gliosen odcr zu ncr-
vosen Strukturen gchoren, fallt deswegen in dicscr Area besonders schwcr.
Audi auf das besonderc Aussehen dcr die einzclncn Fasern umgebenden Glia¬
strukturen muB man aufmerksam machen. Dieses Aussehen habe ich in Figg. 62, 63,
64 auf Taf. IV wiederzugeben vcrsucht. Man sieht, daB um den Achsenzvlinder herum
ein heller nahezu farbloser Saum liegt, der offenbar der Markscheide entspricht. Be-
trachtet man genau die auBcre Grenze dieses Saums, so sieht man, daB er von proto-
plasmatischen Gliafascrn eingehiillt ist. DaB diese Fasern zum eigentlichen Zytoplasma
der Gliazelle gehoren, ist mitunter deutlich zu erkennen (Fig. 63, Taf. VII). ZumStudium
dicscr Verhaltnisse zwischen Glia- und Nervenfasern sind I-angsschnitte unentbehrlich.
Die besten Praparate erreichte ich durch Anwendung des Bielschowskyschen Ver-
fahrens auf Gliabeizegefrierschnitten, bei welchen die Gliastrukturen mit alter Deutlich-
keit hervortreten, und der Alzhei merschen Gliafarbung mit Malloryschem Hama¬
toxylin. Die von mir in Fig. 62—64, Taf. VII wiedergegebenen Bilder sind offenbar den-
jenigen ahnlich, die neulich von einigen Forschern besonders in peripheren Nerven (siehe
Literatur bei Doinikow) beschrieben wurden: sic stellen jedenfalls dieselben Struktur-
eigentiimlichkeiten dar, die Paladino seit 1892 eben im Ruckenmark hervorhob.
Paladino bedient sich seiner eigenen Jodpalladiummethode und nimmt an, daB in
der Markscheide Gliazellen liegen, eine Frage, auf welche wir hier nicht eingehen wollen.
Fur unscren Zweck kommt uns dagegen sehr wichtig die allgcmein unbeachtete Tat-
sache vor, daB die oben angedeuteten besonderen Gliastrukturen nur in bestimmten
— und zwar jedenfalls in den tiefen — Gebieten der weiBen Ruckenmarkssubstanz dar-
zustellen sind. Diese Tatsache stellt meines Erachtens eine der interessantesten Untcr-
schiede dar, die zwischen den Fasern der PZ und den der tiefen Ruckenmarksteile vor-
liegcn. In der PZ sind zwar die gliosen feinen Strukturen, die um die Markscheide herum
liegen, entweder sehr schwcr und unvollstandig oder iiberhaupt nicht zur Darstellung
zu bringen. Das dicke, plumpe Aussehen der Gliazellcnzytoplasmen, bzw. die Unbestimmt-
heit der gliosen Markscheidengrenze, welche man auf Querschnitten der Riickenmarks-
peripherie wahrnimmt, hangen also wahrscheinlich damit zusammen, daB in der PZ
nur die grobsten Gliastrukturen darzustellen sind.
Interessante farberische Eigentiimlichkeiten dcr Area A des SS sind auBerdem
(lurch Anwendung des von Alzheimer modifizierten Mannschen Verfahrens zu be¬
obachten. Man sieht namlich, daB es allzuselten gelingt, in der Area A des SS die Glia-
fasern rot, die Axenzylinder dagegen gleichzeitig blau gefarbt zu erhalten. In dieser
Area bleibt also die Kontrastfarbung aus, die wir (siehe unten) in der PZ regelmaBig
erhalten konnen.
Zusammenfassend konnen wir also sagen, daB die Area A des SS im ganzen Cer-
vicalmarke des normalen Hundes sich stets vom restierenden SS abgrenzt. Durch den
groBen Reichtum an Glia, besonders an bestimmten protoplasmatischen
Gliastrukturen, durch die eigentiimliche Farbbarkeit der letzteren, zu-
gleich durch die Schwankungen des Axenzylinderkalibers und die
mangelhafte Farbbarkeit einiger Axenzylinder ist, auf Axenzylinder-
gaetano pekusini.
Journal f. Psych©!©fie
und Neurologic.
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73
BD - 19 ; q W SFT m ,,TEKTONIK“ DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ.
und Gliapraparaten, die besondere Struktur der Area A des SS charakteri-
siert. Die eigentiimliche Struktur dieser Area tritt uns am besten durch den Vergleicli
mit gleichartig behandelten Praparaten aus anderen Gebieten desselben Ruckenmarks-
schnittes entgegen (vgl. Figg. 39 und 40 auf Taf. VI).
Das Aussehen der Area A des SS auf Markscheidenpraparaten hangt
innig vom Grade der Differenzierung der Schnitte ab. Am besten ist das Aussehen dieser
Area zusammen mit dem der PZ zu schildern. Stellt man Markscheidenpraparate nacli
einem der oben angegebenen Verfahren her, so beobachtet man, daB schon bei schwacher
VergroBerung die Area A des SS sich vom iibrigen VSS durch ihre besondere Farbung
deutUch abgrenzt (Fig. 9, Taf. IV). Letztere ist zwar entweder heller Oder dunkler als
die des restierenden VSS, jedenfalls ist sie von der Farbung dieses letzteren verschieden.
Fig. 9 auf Taf. IV stellt eben ein Praparat dar, bei dem die Area A durch ihre relativ
tiefere Farbung gekennzeichnet ist. Relativ heller ist dagegen die PZ. Betrachten wiv
nun dasselbe Praparat bei starkerer VergroBerung, so ergibt sich folgendes: in den inneren
Teilen der weiBen Substanz, besonders aber im Gebiete der Area A des SS, ist das Pra¬
parat ungeniigend differenziert, d. h. ein Teil der Gliastrukturen und der Axenz'ylinder
sind nicht entfarbt (Fig. 11, Taf. IV): in der PZ dagegen sind Gliastrukturen und Axen-
zylinder vollstandig entfarbt, so daB die Markscheidenfarbung in der PZ als ganz ,,elek-
tiv" betrachtet werden kann (Fig. 10, Taf. IV). Werden die Praparate langer differen¬
ziert, so ist die PZ — der tlberdifferenzierung der in ihr enthaltenen Markscheiden wegen—
ganz blaB, die Area A des SS hat dagegen einen besseren Differenzierungsgrad erreicht
und die Markscheidenfarbung ist auch in diesem Ruckenmarksgebiete ganz ..elektiv".
Zu wesentlich ubereinstimmenden, jedoch undeutlicheren Resultaten kommt
man mit den ubrigen wohlbekannten Markscheidenmethoden, die auf demselben Prinzip
der Hamatoxylinlackbildung beruhen, so z. B. mit Material, das in Formollosung fixiert,
sodann in die Weigertsche Markscheidenbeize iibertragen wurde. Beim Miillerschen
Material sind die Unterschiede zwischen Area A, bzw. PZ und restierendem V.SS am
schwierigsten zu erkennen. Die mit dem von Spiel me yer empfohlenen Verfahren er-
haltenen Resultate stimmen mit den oben geschilderten uberein. Auch mit der Bonfi-
glioschen Methode, bei der keine Hamatoxylinbildung im Spiele ist, zeigen die Area A
und die PZ ein Bild, welches vom oben geschilderten nicht abweicht.
Wie oben erwahnt (siehe Technisches) geben Zelloidinschnitte viel verschwommc-
nere Bilder als Gefrierschnitte. Mogen nun auch bei den verschiedenartig behandelten
Markscheidenpraparaten unkontrollierbare Zufalligkeiten im Spiele sein, so steht jeden¬
falls fest, daB die Markscheiden der Area Aunddieder PZ denselben Differen¬
zierungsgrad gleichzeitig unmoglich erreichen konnen.
Die Ergebnisse dieser Beobachtungen diirfen wir also dahin zusammenfassen,
daB in einem und demselben Ruckenmarksquerschnitt des Hundes die
Markscheiden der Area A nur dann richtig differenziert sind, wenn die
der PZ uberdifferenziert sind.
Es sei hinzugefiigt, daB der ,,elektiven“ Markscheidenfarbung der Area A sich
groBe Schwierigkeiten entgegensetzen: sehr schwer halt es zwar, alle gliosen Bestand-
teile zu entfarben und gleichzeitig alle Markscheiden — also die auBerst diinnen neben
den dickeren — gefarbt zu erhalten. Ist in der Area A die Glia vollstandig entfarbt, so
erscheint die Area „gelichtet“ (Fig. 12, Taf. IV).
Der Grundtypus der Struktur der peripheren Zone ist in den verschie-
denen Ruckenmarkssegmenten und in den verschiedenen Konturabschnitten eines
Querschnittes wesentlich identisch. Diese Struktur zeichnet sich dadurch aus, daB im
AlzheimerschenBilde dieeinzelnen Nervenfasern dicht aneinander liegen und die Axen-
zylinder durchschnittlich vomgleichenKaliber sind. Schwankungen im Kaliberder einzel-
nen Axenzylinder kommen zwar vor, sie sind aber lange nicht so erheblich, wie die in der
Area A der SS. Zugleich ist die Farbung aller Axenzylinder etwa gleich intensiv: die in der
Area A des SS geschilderten Schwankungen derFarbungsintensitat kommen also nicht vor.
Was die Glia anbelangt, so sind neben protoplasmatischen Gliabestandteilen
die Weigertschen Fasern in der ganzen PZ (nicht also in der eigentlichen gliosen Rand-
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74 GAETANO PERUSINI. £ gie
zone) sehr zahlreich. Wie oben bemerkt, ist aber die protoplasmatische feine Gliahulle,
die die einzelnen Markscheiden umfaBt, wenig intensiv oder iiberhaupt nicht gefarbt,
so daB es sehr schwer fallt, die gliose Hiille von der Markscheidenkontur zu unterscheiden.
In der PZ ist also nur ein Tcil der in ihr enthaltcnen gliosen Strukturen, namlich der
grobere, zu tingieren. Dieser Tatsache muB man offcnbar Rechnung tragen, falls man
die quantitativen und qualitativcn Unterschiedc der gliosen Bestandteile richtig ab-
schatzen will, die zwischen den tiefen und den periphcren Teilen der weiBen Ruckenmarks-
substanz vorliegen. Sehr oft hat man auch den Eindruck, daB die von den Fortsatzen
einer und derselben Gliazelle umfaBten Markscheiden vom gleichen Kaliber sind. Eine
genauere Priifung der Richtigkeit dieses Eindruckes laBt sich leider sehr schwer durch-
fiihren (Fig. 43, Taf. VI). Entsprechendc Resultate licfern die Markschcidenpraparate
(Fig. 10, Taf. IV). Man sieht, daB in der PZ die Schwankungen des Kalibers der einzel¬
nen Markscheiden nicht sehr erheblich sind, daB die Markscheiden dicht nebeneinander
liegen und alle gleichmaBig gefarbt sind. Auch hier gewinnt man eine Vorstellung von
dem besonderen Aussehen der PZ auf Markschcidenpraparaten am besten dadurch, daB
man die Gebiete miteinander verglcicht, die der PZ bzvv. der Area A des SS entsprechen
(vgl. Fig. 39 und Fig. 40 auf Taf. VI, auBerdem Fig. 32 und 33 auf Taf. V).
Kleine Abweichungen vom geschilderten Grundtvpus kommen in der
Struktur der PZ vor: a) in den einzelnen Abschnitten eines und desselben Ruckenmarks-
querschnittes und b) in den vcrschiedenen Riickenmarkssegmenten.
Am deuthchsten und am regelmiiBigstcn kommt die Bildung der PZ im ventralen
Abschnitt des Seitenstranges vor (Fig. 17, Taf. IV). Die Abgrenzung der PZ gegen die
inneren Particn der weiBcn Substanz zu ist hier am deutlichsten wahrzunehmen. Etwas
breiter als der vorigc ist der Teil der PZ, der im dorsalen Abschnitt des Seitenstranges
iiegt (Fig. 18, Taf. IV). Dieser Tcil der PZ verdient bcsondcre Aufmerksamkeit, weil
er den hinteren Anted des SS, der die Area A cnthalt, nach auBen zu abgrenzt. Zum
Vorhandensein der Area A stehen einige lugcntumlichkeiten dieses Anteils der PZ in
Beziehung. Zwar sehen wir, dafl im Zervikalmark die PZ um die ventrale Grenze des Hin-
terhornes herum in die Tiefe eindringt, also einen Bogen bildet, der sich der genannten
Grenze des Hinterhomes anpaBt. Nach innen zu findet die PZ in einer tief gefarbten
Grenzlinie ihr Ende; die PZ ist also von der Area A durch einen Saum von weiBer Sub¬
stanz getrennt. Die Struktur dieses Saumes ist sowohl von der Struktur der PZ als von
der der Area A deutlich verschieden, und zwar besteht dieser Saum aus groBen mit
ganz kleinen wie in einer Art Musivarbeit abwechselnden Fasern (Fig. 15, Taf. IV). Bei
der Struktur dieses Saumes scheint eine besondere Anordnung der Glia nicht in Frage
zu kommen. Die scharfe Linie, die bei schwacher VergroBerung die PZ nach innen zu
abgrenzt, entspricht diesem bei starkerer VergroBerung wahrnehmbaren besonders
strukturierten Saum von weiBer Substanz. In den Praparaten, die mit polychromatischen
Farbegemischen behandelt wurden, erscheinen die zuletzt geschilderten Verhaltnisse
viel komplizierter (Fig. 1 und 2, Taf. IV), was damit zusammenhangt, daB die PZ sich
ofters unregelmaBig farbt. Dadurch entstehen weitcre scheinbare Grenzlinien zwischen
PZ und Area A, die aber hauptsachlich einfach tinktorielle Eigentumlichkeiten dieser
Gewebspartie darstellen. Der Deutung der Alzheimerschen Praparate (mit Mall or y-
schem Hamatoxylin) stehen dagegen diese irreleitenden tinktoriellen Eigentumlichkeiten
nicht im Wege und deswegen liefern sie ein besseres Bild der in Frage kommenden Struk-
turunterschiede. Auf die angedeuteten tinktoriellen Eigentumlichkeiten kommen wir
allerdings spater unten zuriick.
Nach dem Gesagten ist es klar, daB die Lagebeziehungen der Area A und der
entsprechenden Teile der PZ voneinander abhangen. Da die schematische Lage der Area A
in den verschiedenen Riickenmarkssegmenten oben angegeben worden ist, kann man sich
leicht, unter Bcihilfe der beigefugten Abbildungen, eine Vorstellung von den Lage¬
beziehungen derselben machen.
In den iibrigen Partien des VSS ist die PZ etwas undeutlicher. Entsprechend der
Austrittsstelle der vorderen Wurzeln ist das Bild dcr PZ inanchmal verwischt und der
strukturelle Tvpus der PZ gcht ohne scharfe Grenze in den der inneren Teile der weiBen
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BD - 19 1<£F T 2/3 „TEKTONIK“ der weissen rockenmarkssubstanz.
75
Substanz uber. Oft hat man den Eindruck, daB der strukturelle Typus der PZ sich in
die Tiefe einsenkt, je den einzelnen Bezirken folgend, die von den einzelnen vorderen
Wurzeln abgegrenzt sind. Besonders im Lumbalmark tragcn die oft quergeschnittenen
Wurzeln dazu bei, den strukturellen Typus der PZ zu verwischen (Fig. 41, Taf. VI).
Deutlicher als im zuletzt besprochenen Anteil erscheint die Struktur der PZ im
ventralen Winkel des VS. Auf eine ziemlich hochgradige Variabilitat dieses Befundes
muB man jedoch aufmerksam machen: es kommt namlich manchmal vor, daB die PZ
im ventralen Winkel tief eindringt. Eine weitere Erscheinung ist, daB die PZ sich nie
langs des ganzen medialen Randes des Vorderhornes erstreckt, sondcrn
iiochstens etwa zwei Drittel desselben einnimmt. Zwischen dem Ende der PZ
und der Commissura anterior liegt also ein kleines lateralwarts unscharf abgegrenztes Feld
(Fig. 16, Taf. IV). Die Gestalt desselben ist etwa eine rundliche: seine Struktur ist da-
durch charakterisiert, daB die einzelnen Fasern zwischen den Bestandteilen der Commissur
liegen. Entsprechende Versuche (zwischen den mit und den ohne Pia eingelegten Pra-
paraten vorgenommene Vergleiche) zeigen, daB die Struktur des genannten Feldes zu
der von der Pia bei der Fixierung gespielten Rolle in keine Beziehung gebracht werden
lcann. Eher als von der Pia scheint die Variabilitat dieses Anteiles der weiBen Substanz
von den Gestaltunterschieden der Commissur abzuhangen. Wegen der RegelmaBigkeit
ihres Auftretens verdient diese besonders strukturierte Riickenmarkspartie Erwahnung:
wir wollen sie als Gebiet der vorderen Commissur bezeichnen. Zurzeit kann ich leider
uber die Bedeutung derselben etw r as Naheres unmoglich aussagen; deshalb und ihrer
Lage wegen habe ich sie zusammen mit der PZ kurz besprochen.
Kehren wir nun zu den Struktureigentumlichkeiten der cigentlichen PZ zuruck,
so ist noch zu bemcrken, daB in den HS, besonders in dem der Area 3 gehorenden Teil,
die in der PZ enthaltenen Nervenfasern diinner als in der PZ des VSS sind.
Im Sa krai mark, wo fast die ganze Schnittoberflache von der grauen Substanz
eingenommen wird, ist die PZ sehr undeutlich. Die sehr zahlreichen Gliazellen (Fig. 53 auf
Taf. VII), deren protoplasmatische^Fortsatze bzw. protoplasmatischen Fasern durch un-
gemein lange Strecken hindurch zu verfolgen sind, tragen allerdings dazu bei, der weiBen
Substanz der untersten Ruckenmarkssegmente ein eigenartiges Aussehen zu verleihen. Be-
rucksichtigt man die Tatsache, daB bei kleinen Kaninchen die PZ auf Querschnitten des
Halsmarkes deutlich erscheint, obwohl die GroBe des Praparates iiber das MaB cines
Querschnittes von Sakralmark des ganz kleinen Hundes nicht hinausgeht, so ergibt
sich, daB fur das Zustandekommen der PZ neben der GroBe des Objektes die besonderen
topographisch'-quantitativen Verhaltnisse zwischen grauer und weiBer Substanz maB-
gebcnd sind.
Wenn man also die Variationen der PZ studieren will, die zu der GroBe des Quer¬
schnittes in Beziehung stehen, wird man am besten verschieden grofle, jedoch derselben
Art angehorende Tiere wahlen. In gleicher Weise fixierte und derselben Riickenmarks-
hohe entnommene Praparate zeigen, daB die Breite der PZ unwesentliche mit dem
Variieren der RuckenmarksgroBe einhergehende Modifikationen darbietet. Die Breite
der PZ stellt also bei gleichem, d. h. aus demselben Ruckenmarkssegmcnt
stammendem und gleichartig fixiertem Material — trotz groBer Schwan-
kungen der Riickenmarksoberflache — ein konstantes MaB dar. Handelt
es sich dagegen um gleichartig fixiertes, jedoch aus verschiedenen Ruckenmarkssegmenten
eines und desselben Tieres.bzw. aus verschiedenen Tierarten stammendes Material, so
ist die Breite der PZ in den verschiedenen Ruckenmarksstuckchen verschieden. Unter
diesen Bedingungen hangen die Schwankungen der Breite der PZ von verschiedenen
Momenten, wie z. B. von den ungleichen topographisch-quantitativen Verhaltnissen
zwischen grauer und weiBer Substanz, von der Form der auBeren Riickenmarkskontur,
die fur die einzelnen Segmente charakteristisch ist usw. ab.
Je nach der angewandten Fixierungsfliissigkeit variiert selbstver-
standlich die Struktur der PZ. Als einfachstes Beispiel kann der Strukturtypus
dienen, der bei Anwendung von Fixierungsfliissigkeiten, die die Markscheidenkompo-
nenten zum groBten Teil konservieren (Formol, Muller) bzw. auslosen (Alkohol), zu-
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GAETANO PERUSINI
stande kommt. Was al>er die Breitc dcr PZ l>etrifft, so kommen sehr groBc Schwankungen,
selbst l>ei Anvvendung von prinzipiell voneinandcr verschieden einwirkendcn Fixations-
mitteln nicht vor. So z. B. entspricht die Breite der von der Formolfixierung hervor-
gerufenen PZ etwa der Breite derjenigen, die nacli Fixierung in 96proz. Alkohol zu be-
obachten ist. Wendet man cine und dieselbe Fixationsfliissigkeit in verschiedenem Kon-
zentrationsgrade an, so ist zwischen letzterem und der Breite dcr PZ eine direkte Be-
ziehung nicht festzustellen. So z. B. ist l>cim Material, welches in reinem Formalin bzw.
in abs. Alkohol fixiert wurde, die PZ unbedeutend schmaler als bei dem in loproz.
Formolldsung bzw. in 96proz. Alkohol fixierten Material.
Viel verwickelter sind offenbar die Bedingungen, wenn es sich um Fixierungs-
fUissigkeitcn handelt, die aus Gemischen von verschiedenartigen Substanzen zusammen-
3 gesetzt sind. Ein lehrreiches
^ ^ Beisp^^ieten uns die Figg. 3
fixiert. Sonst wurden die
zwei Ruckenmarksblockchen
in gleichcr Weise weiter be-
handelt und gefarbt. Aus den
Figuren ersieht man, daB die
PZ beim ersten Rucken-
marksschnitt deutlich breiter
als beim zweiten ist.
Aus dem Gesagten folgt.
daB man in einem und
demselben Riicken-
markssegment durchVa-
riieren der Fixierungs-
fliissigkeit entsprechen-
deVariationenderBreite
der PZ hervorzurufen
vermag. Sehen wir uns nun
die Area A des SS und die Areae 1,2,3 der HS auf Schnitten an, die aus einem und dem-
selben Riickenmarkssegment stammen, in welchen die PZ eine in Beziehung zur ange-
wandten Fixierungsfliissigkeit verschiedene Breite aufweist, so bemerkt man, daB die
genannten Areae keine Variationen ihrer Lage und Gestalt darbieten, welche denjenigen
der PZ entsprechen. Zusammenfassend konnen wir also sagen, daB mit den Varia¬
tionen der Breite der PZ, die vom Variieren der angewandten Fixierungs-
flussigkeit abhangen, keine entsprechenden Variationen der Lage und
der Gestalt der Area A des SS und der Areae i, 2, 3 der HS einhergehen.
Da, wie wir oben sahen, die PZ sich in den Teilen des Ruckenmarks bildet, die
zuerst in Beriihrung mit der Fixationsfliissigkeit kommen, wurden entsprechende Ver-
suche angestellt, um das Ausschen der PZ und der Areae bei Ruckenmarksblockchen zu
studieren, l>ei denen ein Saumvon peripherer weiBer Substanz (Textfigur 8) vor der Fixic-
rungentfernt wurde. Kurz zusammenfassend liiBt sich dariiber folgendes sagen: die PZ,
die sich liings dcr Linie, an welchcr die wciBc Substanz entfernt wurde, bildet, entspricht
derjenigen, die sich an der cigentlichen Peripherie des Ruckenmarks bildet: sic ist je-
Textfigur 8.
Normaler erwachsener Hund. Fixierung in der Zenkerscben
Fliissigkeit. Paraftiueinbettung. Farbung mit dem Malloryschen
Gemisch (Aniliublau -f Orange G.). Vor der Fixierung wurde dem
Riickenmarkssegment ein Saum vom Seitenstrange beiderseits eut-
fernt. Die PZ hat sich der Linie entlang gebildet, nach dcr die
Entlernung von weiBer Substanz vorgenommen wurde. Die Area A
des Seitenstranges (A) tritt beiderseits deutlich hervor. In der
vorderen Partie des VSS ist die 3. Zone Vasoins um das Vorder-
horn herum ( 3 ) wahrzunehmen.
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1912.
,TEKTONIK“ DER WEISSEN RCCKENMARKSSUBSTANZ
sprechcndcn Variationen A :
tier Areae cinhcr; vielmehr JSR&>
z e i g t die PZ, falls siesich i in .fl
Gcbiete ei ner dergena n nten jBj
Areae bildet, einige St ink- ‘ A y f
tureigentiimlichkeitcn, die --
dem strukturellen Typus
der Area entsprechcn.
obachten in den allererste n
Schnitten eines hcrausge-
schnittenen und eingeleg-
ten Riickenmarkssegmen- 3 2 \
t e s. Legt man ein herausgeschnit-
tenes Segment mit der Dura ein, Textfigur 9.
so ist besonders nach Formolfixie- Fixieruogiu der Weigertschca Gliabeize. Paralfmeinbettung.
rung die bekannte Erscheinung Firbun S nach Alzheimer (mit Malloryschem Hamatoxyliu).
zu konstatieren, daB die oberen Man vergleiche Fig. 14 aufTaf. IV. Stellt den Unterschied zwi-
und die unteren Teile des Segmen- schen Gliabeizegefrier- und Gliabeizeparaffinschnitten dar.
tes wiegeschwollen aussehen: oben 12 - 3 = Area >• 2 und 3 der Hinterstrange.
und unten ist also das Rucken- 1 — Area A des ss -
markssegment von einerkonvexen G = dunkle Linie ' die z " ischcn der pz uod dcr Area A
Partie bedeckt, so daB das Ganze des be S*'
etwa die Form eines Champag- ^ ~ P en P*>ere Zone.
nerkorkes darbietet. Diesem kon- vc = Gebiet der vorderen Commissur -
vexen Teil entsprechcnd fehlt die
PZ, welche auch im untersten und oberstenTcil eines ohne Dura eingclegten Riickenmarks-
segmentes ebenfalls fehlt. Sehr beweisende Bildcr liefern Sericnschnitte von nach C a j al be-
handelten Blockchen, bei welchcn die PZ durch ihre tiefe Impragnierung besonders stark
hervortritt (siehe unten). Nach dem Gesagten kann man sich das Aussehen der PZ leicht
vorstellen, welches ihr die schiefe Schnittfiihrung verleiht, bzw. das Aussehen der PZ auf
Riickenmarksquerschnitten, die aus cinem vor dcr Fixierung schief herausgeschnittenen
Blockchen stammen, usw. DaB in diesen Praparaten die PZ der bciden Riickenmarks-
halften verschieden aussieht, ist selbstverstandlich. Auch bedarf das Aussehen der PZ
auf Ruckenmarkslangsschnitten keiner naheren Schilderung; die PZ wird in
der Tat nur in den Teilen des eingclegten Segmentes wahrgenommen, die den zuerst mit
der Fixierungsfliissigkeit in Beriihrung gekommenen Partien entsprechcn.
Legt man sehr diinne Scheiben von Ruckenmark ein, so kommt eben¬
falls eine PZ nicht zur Beobachtung. Mit einem scharfen Rasiermesser gelingt
es unschwer, das Ruckenmark in so diinne Scheiben vor der Fixierung zu zerlegen, daB
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die Dicke derselben der Breite der sich sonst bildenden PZ etwa gleich ist. Aus diesen
ganz dunnen Ruckenmarksscheiben angefertigte Praparate zeigen ein ganz charakteri-
stisches vom gewohnlichen abweichendes Bild: neben dem Fehlen der PZ (Fig. 21, Taf. V)
beobachtet man namlich, daB bei Gliabeizmaterial die Achsenzylinder zum groBten Teil
geschwollen, so gar geplatzt erscheinen. Diese geplatzten Achsenzylinder wechseln
in der ganzen Schnittoberflache mit kleinen Achsenzylindern ab; beim Kaninchenrucken-
mark sind deswegen die drei konzentrischen Fixierungszonen Vasoins nicht mehr
wahrzunehmen. Stellt man in der gleichen Weise Praparate aus dem Hunderuckenmark
her, so sind dagegen, wenn auch ziemlich verschwommen, Strukturunterschiede zwischen
den genannten Areae und der restierenden weiBen Substanz zu erkennen.
Die Feststellung der Unterschiede, die bezuglich der genannten
Areae und Zonen zwischen eingebetteten und uneingebetteten Praparaten
vorkommen, ist nicht ganz leicht zu prazisieren. Denn, wie alle Farbungsmethoden,
gibt die hier uns zunachst interessierende Alzheimersche Farbung verschiedene Re-
sultate (Textfig. 9), je nachdem sie bei eingebettetem oder bei uneingebettetem Material
angewendet wird. Die Unterschiede zwischen den Resultaten werden allerdings nicht
einfach durch eine wahrend des Einbettungsprozesses stattfindende physikalisch-che-
mische Anderung der einzelnen Gewebskomponenten, sondern auch durch Anderungcn
im Wesen des Farbungsprozesses selbst bedingt, welch letzterer sich bei eingebettetem
Material anders wie bei uneingebettetem abspielt. So ergeben sich also einige Schwierig-
keiten der Beurteilung, die zur Vorsicht zwingen. Jedenfalls gibt das Alzhei mersche
Farbungsverfahren ziemlich gute Resultate bei Schnitten, die vor der Farbung vom
Zelloidin befreit wurden. Diese Praparate sind, obwohl sie die ausgezeichnete Farbung
der uneingebetteten Schnitte nicht erreichen, denjenigen jedenfalls vorzuzielien, die man
aus vom Zelloidin nicht befreiten Schnitten erhalten kann. Alles in allem scheint es —
und dies ist vom praktischen Standpunkt aus das Wichtigste —, daB beim eingebetteten
Material die PZ scharfer, die Areae dagegen viel verschwommener erscheinen. Viel-
leicht diirfte dies dafiir sprechen, daB bei eingebettetem Material der infolge der Fixie-
rung zustandekommende Strukturunterschied zwischen PZ und inneren Teilen zu-
genommen hat, daB der Strukturunterschied zwischen den einzelnen Areae der HS
bzw. zwischen der Area A des SS und den angrenzenden Markteilen zum Verschwinden
neigt. Es ist denkbar, daB die beiden Phanomene von verschiedenartigen Kausalmomen-
ten herruhren: das zuletzt angedeutetc Verschwinden bestimmter Strukturunterschiede
diirfte zwar dadurch zustande kommen, daB bei eingebettetem Material die Farbung
unscharf ist; das angedeutetc scharfere Hervortreten anderer Strukturunterschiede
wiirde dagegen wohl dadurch zustande kommen, daB der Einbettungs- in gleicher Weise
wie der FixierungsprozeB auf die peripheren Tcile besonders einwirkt. Manche spater
unten zu besprechenden Ergebnisse anderer Experimente scheinen zugunsten diescr
Hypothese zu sprechen.
Weiter schien es erforderlich, die Eindringungswege der Losungen in
die Riickenmarksblockchen zu studieren und namentlich gleichzeitig
fcstzustellen,obdieFliissigkeiteninsInnereder nichtfixierten Stuckchcn
durch dieselben Oder durch andersartige Wege gelangen. Dafur habe ich
zuerst die Cajalsche Methode angewendet und zwar die nach Alkohol-, nach Ammoniak-
alkohol-, nach Formol- usw. -fixierung gewonnenen Praparate mit den Schnitten ver-
glichen, welche aus direkt in die Silbemitratlosung eingetauchten Blockchen hergestellt
wurden. Die Haupteigentiimlichkeiten, die diese Praparate aufweisen, sind in den
Textfigg. 10—12 wiedergegeben. Sie lassen sich in folgenden Punkten resumieren :
a) Die Areae des SS und der HS sind sowohl an den direkt in Silbemitratlosung
als an den in ammoniakalischem Alkohol oder in kochender physiologischer Losung
fixierten Praparaten zu erkennen.
b) Was die Zonen betrifft, so laBt das nach Ammoniakalkoholfixierung hergestellte
CajalschePraparat(Textfig. n)einenperipheren relativ hellenSaum erkennen,
welcher der Breite des auf Fig. 10 und 12 (Fixierung in Silbemitratlosung
bzw. in kochender physiologischer Losung) dunkel erscheinenden Saumes ent-
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GAETANO PERUSINI.
JounuU f. Psycholof ic
and Neuroloci e.
BD ' 19 19?2 EFT „TEKTONlK“ DER weissen rockenmarkssubstanz. 79
Textfigur io.
Textfigur n.
Textfigur 12.
Textfigureu 10—12 stellen Cajnlsche Silberpraparate nach vcrschiedenartiger Vorbehandlung dar.
Zervikalmark des normalen Hundes. Die herausgeschnittenen Segmente wurden von der Dura befreit
und mit der Pia in die Fixierungsfliissigkeit eingelegt. Die Schnitte stammen etwa aus der Mitte des
eingelegten Riickenmarkssegmentes. Zelloidineinbettung.
Textfigur 10. Einlegung direkt in Silbernitratldsung. Die tief impragnierten Teile (Septa bzw.
vordere und hintere Wurzel, auUere Riickenmarksoberflache) stellen, nach der Auffassung Simarros,
die Eindringungswege der Silbernitratldsung dar. Andeutung der Area 3 der HS ( III). Viel undeut-
licher als in Fig. 11 hebt sich die Area A des SS vom restierenden SS ab (A).
Textfigur II. Vorbehandlung mit ammoniakalischem Alkohol. Das Bild laBt unmittelbar uuter
der Pia einen schmalen, tief impragnierten Ring erkennen, der die eigentliche PZ reprasentiert.
Der nach innen zu gelegene, tief impragnierte Ring entspricht dagegen der Grenzlinie, die in anders-
artigen Praparaten (Taf. IV, Fig. l) rwischen Area A des SS und PZ vorkommt. Die Struktur der
Area A des SS und der Area 3 der HS ( III) ist deutlich verschieden von der Struktur des
restierenden Teiles des SS und der HS. Die Area A des SS und die Area 3 der HS sind durch
tief impragnierte GefaBe bezw. Septa gegen den restierenden Teil des SS und der HS zu abgegrenzt.
In den HS sind, neben der Area 3 , die Area 2 und 1 , zentralwarts der peripheren Zone deutlich
zu erkennen.
Textligur 12. Fixierung 5 Minuten lang in kochender physiologischer Kochsalzlosung. Die Area A
des SS und die Area 3 der HS (III) sind erkennbar.
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So
GAETANO PERUSINI.
Journal l Psycholofie
und Neurologic.
spricht. Nach innen zu findet dieser Saum in einer tief impragnierten Linie sein Endc;
die Lage der letzteren entspricht derjenigen der Grenzlinie, die in andersartigen Pra-
paraten (Taf. IV, Fig. i) zwischen Area A des SS und PZ vorkommt. Nach auBen zu
findet der helle Saum ebenfails in einem tief impragnierten (subpialen) Ring sein Ende.
c) Legt man die Haifte eines Ruckenmarkssegmentes in Alkohol, die andere
Halfte in ammoniakalischem Alkohol ein, so sind sie nach 24 Stunden vollig fixiert, und
in den beiden erreicht die PZ etwa die gleiche GroBe. Es folgt daraus, daB bei Fig. 11
die eigentliche PZ nicht von dem breiten, nach auBen zu dunklen und nach
innen zu helleren Saum, sondern von dem dunklen schmalen subpialen
Ring re prasentiert wird, welch letzterer eben der Breite der durch Alkoholfixierung
hervorgerufenen PZ ziemlich genau entspricht. Sieht man von den oben angedeuteten
Tatsachen ab, so bemerkt man, daB Gliasepta bzw. GefaBe und Ruckenmarkswurzel
sowohl in Textfig. 10 als in Textfig. 11 die am tiefsten impragnierten Partien darstellen.
Geht man also von dem Standpunkte Simarros aus, daB die tiefer impragnierten
Partien den Eindringungswegen der Silbemitratldsung entsprechen, so ergibt sich, daB
sie beim fixierten und nichtfixierten Material die gleichen sind. Da nun die Area A
des SS und die Areae 1, 2, 3 der HS (bei der Area 3 der HS ist dies besonders deutlich
zu sehen) durch die genannten Wege abgegrenzt sind, so kommt man zu dem SchluB, daB
die Fixierung der Areae, eben infolge der Lage dieser Eindringungswegc,
in eigenartigem, d. h. von demjenigen der restierenden weiBen Substanz
abweichendem Modus ausfallt.
Andere aus der Betrachtung der Cajalschen Praparate sich ergebende Tatsachen
mussen jedoch beriicksichtigt werden. Und zwar: 1. die Areae sind nach den verschieden-
artigsten Fixierungen, ja selbst nach Fixierung des betreffenden Ruckenmarkssegmentes
in kochender physiologischer Kochsalzlosung, also nach einer recht „vehementen“
Fixierung stets zu erkennen; 2. stellt man Cajalsche Praparate aus Ruckenmarksblock-
chen her, aus welchen ein Saum von weiBer Substanz vor der Fixierung entfemt wurde,
so gelangt man zu denselben Resultaten (Textfig. 9) wie sie oben geschildert worden
sind (Persistenz der Areae, entsprechende Modifikationen der PZ, wenn sie im Gebiete
einer der Areae sich bildet). Irre ich nicht, so durften diese Tatsachen gegen die
Annahme sprechen, daB die Struktur der genannten Areae nur von der
eigenartigen Art und Weise abhange, in der sie von der Fixier u ngsflussig-
keit erreicht bzw. durchtrankt werden.
Um die Eindringungswege der Losungen zu studieren, die man auf
fixierte Ruckenmarksblockchen einwirken laflt, wurden auBerdem folgende
Versuche angestellt:
Verschiedene in ioproz. Formollosung fixierte Segmente des Kaninchenrucken-
marks wurden in Osmiumlosung bei 37 0 gleichzeitig gebracht und aus dem Brutofen
vor vollzogener Durchtrankung gleichzeitig geholt. Figg. 47 und 48 auf Taf. VI stellen
die Resultate dieser Versuche dar: die Ruckenmarksteile, in welche die Osmiumsaure-
losung eingedrungen ist, zeigen die diffuse Braunung, welche, wie allgemein bekannt ist, die
Osmiumsaure bei Formolmaterial hervorruft und heben sich deswegen von den nahezu
weiBen Partien ab, die von der Osmiumsaure nicht erreicht wurden. Die hellen Partien
der in Figg. 47 und 48 wiedergegebenen Ruckenmarksquerschnitte stellen also die Par¬
tien derselben dar, in die die Osmiumsaurelosung zuletzt eindringt. Sieht man nun die
Lage dieser hellen Partien an, so ergibt sich, daB sie im dorsalen Mark (Fig. 47) einen der
gliosen Randschicht konzentrischen Ring darstellen, daB im cervicalen Mark (Fig. 48)
dagegen die Lage derselben an die Topographie der Areae A des SS und der Areae 2
der HS erinnem. AuBerdem bemerkt man, daB bei dem in Fig. 48 wiedergegebenen
Querschnitt eine groBere Partie der weiBen Ruckenmarkssubstanz von der Osmium¬
saurelosung durchtrankt wurde, als dies innerhalb desselben Zeitraumes bei dem in
Fig. 47 wiedergegebenen Querschnitt der Fall gewesen ist. Ist unsere Voraussetzung
richtig, daB die Flussigkeiten ins Innere der fixierten und der nichtfixierten Bldckchcn
durch dieselben Wege gelangen, so erscheinen folgende Schlusse gerechtfertigt: a) daB
die Form des Ruckenmarksquerschnittes, bzw. die mit dem Variieren der
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Bn ' 19 iml FT23 ..TEKTONIK” DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ. 8 i
Konturform variierenden Verhaltnisse zwischen grauer und weiBer Sub-
stanz fur die Eindringungsart und -schnelligkeit der Fixierungslosung
ins Innere des Rficken marksblockchens maBgebend sind; b) daB die im
Zervicalmark des Kaninchens sich zuletzt fixierenden Teile der weiflcn
Substanz ziemlich nahe der Area A des SS und der Area 2 der HS des
Hundes entsprechen.
Die bis jetzt geschilderten Resultate beziehen sich auf mikroskopische Schnitte,
die aus in der fiblichen Weise (d. h. mit der Pia bedeckt, von der Dura aber befreit)
cingelegten Rfickenmarkssegmenten stammen. Um die Unterschiede zwischen
den Bildern genau festzustelien, die man aus dem mit und aus dem ohne
Dura fixiertem Ruckenmark gewinnt, wurde vor allem folgender Versuch ge-
macht. Bei zwei etwa gleichgroBen, ca. 6 kg wiegenden Hunden wurde das Ruckenmark
herausgenommen: das eine Ruckenmark wurde von der Dura befreit und — ohne es in
Querschnitte zu zerlegen — in der Weigertschen Gliabeize fhdert. Bei dem anderen
Tier wurde dagegen das ganze Ruckenmark mit Bulbus und Kleinhim mit vollstandig
intakter Dura herausgenommen; sodann wurde letztere an der Cauda equina und an der
oberen Bulbuspartie mit einem Faden festgebunden: ebenfalls in der Weigertschen
Gliabeize wurde dieser, das Ruckenmark und den Bulbus enthaltende geschlossene Dura-
sack eingelegt. Nach erfolgter Fixierung zeigte das erste Ruckenmark die fibliche fest-
elastische Konsistenz, das zweite dagegen zeichnete sich durch seine Starre aus und war
in eine unbiegsame Masse umgewaildelt. Auch die Form des Querschnittes zeigte sich
— und zwar schon makroskopisch — bei diesem zweiten Ruckenmark im erheblichem
Grade verandert, indem besonders die ventrale Halfte stark abgeplattet erschien. Beide
Rfickenmarke wurden in Serienschnitten mikroskopisch untersucht, und zwar wurden
aus jedem Ruckenmarkssegment sowohl Gefrier- als Paraffinschnitte angefertigt. Der
mikroskopische Vergleich zwischen dem mit der Dura und dem ohne Dura fixierten
Hunderfickenmark lieB folgendes feststellen: bei schwacher VergroBerung auf Alz-
heimerschen Praparaten tritt die Randzone viel unregelmaBiger beim ersten als beim
zweiten Ruckenmark hervor; beim ersten ist sie an manchen Stellen bedeutend breiter
(Fig. 8, Taf. IV). In den inneren Markteilen ist die Farbung unregelmaBig, etwa eine
fleckenartige; die dunkle Farbe der Area A des SS und der Farbeunterschied zwischen
den drei Areae der HS sind jedenfalls zu erkennen.
Identische Versuche wurden unter den oben angegebenen Bedingungen, jedoch
mit Alkohol- und Formolfixierung, angestellt. Die Resultate derselben wichen von den
geschilderten Ergebnissen der Gliabeizefixierung nicht wesentlich ab (Fig. 8, Taf. IV).
Vergleicht man ein aus irgendeinem Segment des in toto (ohne Dura) in der Wei ge rtschen
Gliabeize fixierten Hunderuckenmark hergestelltes Alzhei mersches Praparat mit einem
ebenfalls nach Alzheimer gefarbten und derselben Rfickenmarkshohe entsprechenden
Querschnitt, welch letzterer aber etwa aus der Mitte des (ohne Dura) eingelegten Rfickcn-
markssegmentes hergestellt wurde, so sind zwischen den beiden deutliche Unterschiede
nicht wahrzunehmen. Dasselbe laBt sich sagen, wenn man unter den oben angegebenen
Experimentbedingungen zwei Alkohol- bzw. zwei Formolquerschnitte miteinander ver-
gleicht.
t)ber die Rolle, die die Pia bei der Rfickenmarksfixierung spielt,
waren exakte Experimente nicht anzustellen, und zwar schon deswegen nicht, weil es
unmoglich gehngt, beim frischen Material die Pia herabzuziehen, ohne die weiBe Sub¬
stanz mitzuladieren. Angestellte Versuche uber die Rolle, die die Pia nach der Fixierung,
also wahrend des Einbettungsprozesses zu spielen vermag, ffihrten mich zu keinem
sicheren SchluB. Ist eine Rolle im oben angedeuteten Sinne der Pia fiberhaupt zuzu-
schreiben, so dfirfte sie jedenfalls eine sehr geringffigige sein. Ffir das Ausfallen der spater
unten zu besprechenden Einzelheiten des Farbungsprozesses ist dagegen die Anwesenheit
oder Nichtanwesenheit der Pia nicht ohne EinfluB.
Weitere Untersuchungen, die von den bis jetzt geschilderten abweichen, scheinen
imstande zu sein, zur Individualisierung der Areae etwas beizutragen. Diese Unter¬
suchungen sind von Prof. Bignami seit Jahren angestellt worden, und ich verdanke es
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82 GAETANO PERUSIN1.
dem liebenswiirdigen Entgcgenkommen des Herm Prof. Bignami, iiber dieselben be-
richten zu konnen. Kurz zusammengefaBt bestehen die Versuche darin, daB eine Losung
von einfachem kauflichen PreuBenblau (die Farblosung verhalt sich etwa wie verdunnte
Touche) mittels eincr sehr diinnen Spritznadcl ins Riickenmark eingespritzt wird. Man
steckt die Nadel in das Riickenmarksgewebe ein und laBt sic durch ein Gummirohr in
Verbindung mit dem GcfaB stehen, welches die Farblosung enthalt. Die Losung mufl
ohne jegliche Gewalt, also unter sehr niedrigem Druck in das Gcwebe eindringen. Nach
einigen Stunden zieht man die Nadel lieraus und fixiert das Riickenmark in toto mit
seinen Hiillen inio proz. Formolldsung. Zcrlegt man nach erfolgter Fixierung das Rucken-
mark in Scheiben, so bemerkt man, daB die Farblosung in bestimmten Gebieten lokalisiert
ist. Eine regelmaBige Erscheinung ist, daB — wie Textfig. 13 zeigt — die PreuBenblau-
granula der auBeren und inneren Piaoberflache anhaften: sie folgen dem Teil der
Pia, der in die vorderc Langsspalte sich einsenkt. Wechselnd ist dagegen die Verteilung
der Farbsubstanz auf dem eigentliehen Riickenmarksgewebe. Eines der haufigsten Bilder
stellt jedenfalls dasjenige dar, welches Textfig. 13 wiedergibt. Man sieht, daB der Farb-
stoff sich in einem Gebiete des SS lokalisiert, welches an die Area A erinnert. Da nun die
Spritznadel, deren man sich bei diesen Experimenten bedient, so diinn ist, daB man auf dem
herausgenommenen Riickenmark den Ort unmoglich feststellen kann, in den sie hinein-
gestochen wurdc, so konnte man annehmen, sie sei eben zufallig ins Gebiet der Area A
hineingestochen worden. Wenn auch selten, sieht man jedoch Praparate, bei welchen der
dunkle Fleck ganz symmetrisch in den beiden Riickenmarkshalften vorkommt. AuBerdem
ware die Tatsache an und fur sich bemerkenswert, daB der Farbstoff in dem genannten
Gebiet lokalisiert bleibt, d. h. daB er die ganze Piaoberflache und die Area A, die an-
grenzenden Teile dagegen nicht erreicht. Da nun die PreuBenblaugranula an den Gefaflen
haften, vermogen diese Experiinente einen indirekten Beweis dafur beizubringen, daB
mit der besonderen GefaBanordnung der Area A des SS die besonderen Fixierungsbe-
dingungen und folglich die besonderen strukturellen Eigentiimlichkeiten derselben zu-
sammenhangen.
Bisher haben wir uns fast ausschlieBlich mit morphologischen Eigentumhchkeiten
unserer Praparate beschaftigt, die farberischen haben wir dagegen vemachlassigt.
Auf letztere einzugehen, scheint mir jedoch zum Teil iiberflussig, zum Teil unmoglich:
denn einerseits, besonders was die PZ betrifft, wurden sie schon von Nissl geschildert
(eventuelle Inversion der Farbung usw.), und anderseits wiirde es uns zu weit fuhren,
alle Einzelheiten der verschiedenen Farbungsmethoden zu betrachten. Im Prinzip ist
jedenfalls die Wichtigkeit der verschiedenen Fixierungsgebiete des Ruckenmarks fur
die Art und Weise, wie die Farbungen in ihnen ausfallen, leicht einzusehen. Sehr gute
Ubcrsichtspraparate erhalt man z. B. aus Gliabeize-Gefrierschnitten, die entweder mit
dem Malloryschen Oder mit dem Mannschen Farbegemisch behandelt wurden. Kon-
stante Erscheinung bei diesen Praparaten ist nun z. B., dafl die gelbe bzw. rotliche
Farbung der zur PZ gehorenden Markscheiden selbst bei den gleichkalibrigen der inneren
Riickenmarkspartien nie zu erreichen ist. Wieder andere Farbungseigentumlichkeiten
zeigen die in den geschilderten Areae enthaltenen Elemente, die sich farberisch verschieden
von den Elementen verhalten, die in der PZ oder in den iibrigbleibcnden Riickenmarks-
partien enthalten sind. Auf Praparaten, die mit polychromatischen Farbungsgemischen
behandelt wurden, zeichnen sich also die in den geschilderten Areae und in der PZ ent¬
haltenen Elemente durch eigenartige Farbbarkeit aus. Dadurch entsteht das besondere,
von dem der anliegenden weiBen Substanz verschiedene Aussehen, welches auf Alz¬
heimer- Mannschen, auf Malloryschen usw. Praparaten die PZ bzw. die Areae dar-
bieten. Ohne Mithilfe von farbigen Abbildungen kann ich leider einen Eindruck des
hiibschen Bildes unmoglich geben, welches mit polychromatischen Farbungen der Rucken-
marksquerschnitt des Hundes zeigt: die Areae und die PZ treten ungemein viel scharfer
abgegrenzt hervor, als dies die beigefiigten schwarzen Abbildungen vermuten lassen.
Ein praktisches Interesse hat der Umstand, daB manchmal in Praparaten, die
mit dem Malloryschen Gemisch behandelt wurden, die auBere Halfte der PZ hell,
die innere Halfte dagegen dunkel erscheint. Der im Obersichtsbild wahrnehmbare
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,lD ’ 19 lfl ? { F T2/3 ,,TEKTONIK“ DER WEISSEN RtJCKENMARKSSUBSTANZ. 83
dunkle oder helle Farbeton hangt offenbar von der blauen bzw. gelbcn Farbung der ein-
zclnen Markschciden ab. Diese und andere tinktorielle Eigentiimlichkciten der PZ habc
ich — sowcit sie durch schwarze Abbildungcn wiederzugeben sind — in Figg. 2—4 und 13
auf Taf. IV angedeutet. Sie kommen hauptsachlich bci cingebettcten Schnitten vor. Im
Lbersichtsbild konnen jedenfalls die angedcutetcn tinktoriellen Eigentiimlichkeitcn
die Grenze der einzelnen Riickenmarksgebiete irrtiimlich schatzen lassen. Hat man
zwar bloB die Farbeunterschiede, nicht die eigentlichen Strukturunterschiede vor Augen,
so schatzt man z. B. die PZ viel breiter, als sie in Wirklichkeit ist (Taf. VI, Fig. 49).
Man wird deswegen gut tun, sich der nach Alzheimer (mit Malloryschem Hamat-
oxylin) hergestellten Praparate zu bedienen, denn bei der Dcutung derselben sind die
irreleitenden tinktoriellen Eigentiimiich-
keiten vollig beseitigt, wahrend die charak-
tcristischen Strukturdifferenzen sehr deut-
lich hcrvortreten, die die einzelnen Riicken-
marksgebiete charakterisieren (Taf. IV, Fig.
18). Bcziiglich der zuletzt erwahnten Pra¬
parate ist. jedoch auf cine ofters vorkom-
mende Pseudometachromasie aufmerksam
zu machen, welche bevvirkt, daB in den
photographischen Aufnahmen derselben die
hellen Partien dunkel erscheinen.
Bei der Besprechung der tinktoriellen
Eigcntiimlichkeiten der wciBcn Riicken-
markssubstanz ist auch die zuerst von U n n a
als Neuromucin geschildcrte Substanz zu
erwahnen, die sodann von Reich fiireinen
protagonartigcn Markstoff erklart wurde.
DaB sie nahe dem AuBenrande vollstandig
verschwindet, hat schon Unna hervor-
gehoben. Das Zustandekommen der cigen-
tumlichcn ,,Verteilung des Stoffes auf dem
Querschnitte des Riickenmarks, wo er sich
um so reichlicher findet, je zentraler die
Faser gelegen ist, wahrend er in den ganz
peripher gelegcnen Fasern vermiBt wird",
laBt sich nach Ansicht Reichs dadurch
erklaren, ,,daB die Wirkung des Alkohols
in bezug auf die Losung der Marksub-
Textfigur 13.
Zervikalmark ties Menschen. A us einem Praparate
von Prof. Bignami. Die dunkel gefarbten Teile
stellen die Gewebspartien dar,an denen die Preullen-
blaugranula batten geblieben sind. Naheres s. Text.
Zur Erleichterung der photogTaphischen Aufnahme
ist der Grund des Praparates mit einer einfacben
stanz mit dcr Tiefe dcr Schicht, in der Karminlosung etwas gefarbt worden.
er cinzudringen hat, sich andert. Wir
wissen ja aus der physiologischen Chemie, daB das Protagon vollig unloslich in Alkohol
nur in ganz reinem Zustande ist, daB aber in Gegcnwart von Lecithin das Protagon in
gewissem Grade auch in kaltem Alkohol und Ather loslich ist. Wenn wir nun nocli
bedenken, daB in den auBcren Schichten des Riickenmarks beim Einlcgcn in Alkohol
lebhafte Diffusionsstrome entstehen miissen, so ist es leicht erklarlich, daB hier die
Hauptmassc des Protagons zusammen mit dem Lecithin weggcschwemmt wird, wahrend
im Innern des Ruckcnmarkes, wo der Alkohol nicht sofort in voller Konzentration ein-
wirkt, cine allmahliche Scheidung des Protagons vom Lecithin eintreten kann, derart,
daB das Lecithin allein in Losung geht, das Protagon aber in Form von Niederschlagen
zunickbleibt."
Fiir unser Thema ist nun wichtig, daB der Stoff sehr oft auf dem Riickenmarks-
querschnitte des Hundes eine Verteilung aufweist, die mit der Lage der Areae sich voll¬
standig deckt. Diese besonderc Anordnung eines Stoffes, die zur Einwirkung der Fixie-
rungsflussigkeit auf das Riickenmark so enge Beziehungen aufweist, darf viellcicht dafiir
sprechen, daB die Areae besondere Fixierungsgebiete darstellen. AuBerdem meine ich,
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nnd Neurologic.
GAETANO PERUSINI
dafl das in den verschiedencn Gcbieten der weiBen Riickenmarkssubstanz eigene Ver-
halten dieses Stoffes bei der Auffassung der in den einzelnen Gebieten vorkommenden
Struktureigentiimlichkeiten mit in Betracht gezogen werden miisse. DaB diesc Sub-
stanzen selbst eine mechanische Rolle zu spiclen vermogen, ist nicht ohne weiteres aus-
zuschlieBen. Eher als den kleinen stabchenartigen protagonoiden Gebilden wurdc offen-
bar diese mechanische Rolle den mitunter erheblieh groBen Konkrementen zukommen,
die ebenfalls durch Alkohol extrahierten, sodann niedergeschlagcnen Markstoffen ent-
sprcchen und in Form von Kugeln oder Rosetten im Riickenmarksquerschnitt auftreten.
DaB die Areae besondere tinkto-
a — i Sc? w *2 riclle Gcbiete darstellen, kann man
tC & £2 V Jh
if. § J3 ^2 ia E £ am besten bei der Betrachtung der Bonfi-
.5* 'K -g g* O glioschen Praparate einsehen. Wendet man
S g S | % jj namlich eine stark verdiinnte Toluidinblau-
® 5 O J l| ^ °. losung an, so kann man mit bloBem Auge
a J* ^ ~ S | t>emerken, daB zuerst die PZ, zuletzt die
.2 Jt| ja 2 .g ci Area A des SS sich farbt
Ganz ahnliche Vcr-
'c « j o S' ” haltnisse kann man im Gebiete der HS be-
U BXS U 9 “C S
v if a < 7 > ^ fc obachten. Alles in allem kommen den Areae
.§ .2 -g ‘g ' | eigene tinktorielle Bedingungen neben den
| £ 5 m i5 eigenen Fixierungsbedingungen zu.
£ *3 1 '5 g Auch dem Studium des morphologischen
• £ % a § und farberischen Verhaltens der Gliazellen-
**5 c S s % jc zytoplasmen in den verschiedenen Riicken-
marksgebieten kann ich hier nur einige
fa "S -5 S .5 * ^ Worte widmen. Man diirfte erwarten, daB.
<6a?'a * ^ =3 ~ j* caeteris paribus, die durch die Einwirkung
| « g ^ I J | g‘ der Fixierungsflussigkeit zustande gebrach-
H 55 .« ;2 § * ten Strukturunterschiede zwischen PZ und
JJ O ^ W C
■2 ^ ^ cf 2 ►£ inneren Teilen sich durch ein besonderes
-§ S' I "a 2 j> g Aussehen der Zcllenzvtoplasmcn kundgeben,
^ c 5 '5 M Jj J= daB namlich letztere ein besonderes, fur die
a | 3 a 5 £ £. inneren oder fiir die PZ charakteristisches
^ ^ 2 * ^ > o Aussehen stets darbieten sollen. Die Betrach-
g -5 ^ I | S ^ tung der Praparate lehrt, daB diese aprio-
3 | « c S ristische Erwartung sich nur zum Teil
^ PT S 2-5 >- 1 verwirklicht. In Gliabeizegefrierschnitten
3 3 2 I " S g 6 kommen z. B. zwei Haupttypen von
5 > J! ’«§ | 5 Gliazellen vor: der eine mit kompakten
J Ja ^ go £1 | scharfkonturiertem (Taf. V, Fig. 25). dcr
S ^ J a | - o zweite mit exquisit wabigem Zytoplasma
I c •§ a 'S ° x (Taf. V, Fif. 29). Bei diesem zweiten Glia-
J C o « fl n* 8 zellentypus hat man sogar oft den Ein-
druck, daB es sich um Vakuolen handelt:
einen vermutlichen Inhalt der letzteren zu farben, ist mir jedoch nie gclungen,
und dabei lieBen mich alle angewandten polychromatischen Farbungen im Stich. Wie
dem auch sein mag, es sind sowohl beim ersten als beim zweiten Tvpus ungeheuere
Schwankungen der GroBe der Zellen zu beobachten (Taf. V, Figg. 29, 35): Protaplasma-
fortsatze kommen nur beim ersten Typus vor. Besondere Kemmerkmale kommen, so-
viel ich sehe, nicht in Betracht. Beobachtet man nun cine der Zellensaulen, die ofters
auf Ruckenmarkslangsschnitten wahrzunehmen sind, so sieht man, daB in denselben
die beiden Zellentypen (Textfig. 14) abwechseln, daB namlich wabige Zytoplasmen neben
kompakten in einer und derselben Zellensaule stets vorkommen. Tragt man nun der
Tatsache Rechnung, daB diese Zellensaulen, ihrer Lage wegen, in ihrer ganzen Ausdehnung
gleichmaBige Fixierungsbedingungen darbieten sollen, so ergibt sich, daB die Struktur-
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l,K „TEKTONIK“ HER WEISSEN RCCKENMARKSSl’BSTANZ. 85
gen unmoglich abhangen. In Gbereinstimmung mit dem, was fur die menschliche Hirn-
rinde besonders von Alzheimer und von Cerletti neuerdings hervorgehoben worden
ist, gibt es also kolossale Unterschiede zwischen den normalen Gliazellentypen der weiBen
Ruckenmarkssubstanz des Hundes. Da die beiden Zcllenhaupttypen in alien Partien der
weiBen Ruckenmarkssubstanz vorkommen, so konnen offenbar nur feinere Abweichun-
gen vom Grandtypus als Ausdrack der besonderen Fixierungsbedingungen in Betracht
kommen, die den einzelnen Ruckenmarksgebieten eigen sind. Zu der besonderen Ein-
wirkung der Fixierangsflussigkeit auf die peripheren Ruckenmarksteile ist jedoch hochst-
wahrscheinlich das besondere Aussehen in Beziehung zu bringen, das die Gliazellen-
zytoplasmen in diesem Teil der weiBen Substanz so oft darbieten (Taf. V, Figg. 2\ —27).
Eine eingehendere Schilderung dieser feinen Details muB selbstverstandlich auBer dem
Rahmen dieser kurzen Mitteilung bleiben.
Es bleibt noch ubrig, die Verhaltnisse kurz zu schildern, die bci anderen Tier-
arten und beim Menschen den oben besprochenen Eigentumlichkeiten des Rucken-
marksquerschnittes des Hundes entsprechen.
Wasdas Kaninchenbetrifft.so stimmen, wie oben angedeutet, die Ergebnisse
meiner Versuche mit den Resultaten Vasoins im groBen und ganzen iiberein. Einige
Abweichungen vom Schema dieses Autors (siehe Textfigg. 6 und 7) mochte ich jedoch
fluchtig erwahnen. Und zwar: a) die erste (peripherische) Zone scheint mir etwas kleincr
zu sein, als dies aus der Beschreibung und aus den Abbildungen Vasoins hervorgeht.
AuBerdem scheint mir, daB selbst beim Kaninchen die peripherische Zone einige Schwan-
kungen ihrer Gestalt und Breite darbietet, welche von mir oben bei den verschiedenen
Anteilen der Ruckenmarksperipherie beim Hunde erwahnt wurden. b) In den Hinter-
strangen sind die drei konzentrischen Fixierungszonen undeutlicher wahrzunchmen, als
dies aus den Abbildungen Vasoins hervorgeht. Jedenfalls ist ein Unterschied zwischen
den im VSS und den in den HS vorkommenden Zonen wahrzunehmen. Auch beim Ka¬
ninchen bieten also, nach meiner Auffassung, die HS ein gewissermaBen selbstandiges,
von denjenigen des VSS verschiedenes Fixierangsbild dar.
Mit der von Vasoin gegebenen Schilderung der dritten Zone bin ich dagcgen
vollstandig einverstanden: denn die oben angedeutete, an der Grenze des Hinterhomcs
wahmehmbare Einsenkung in die Tiefe der PZ raft wohl in der dorsalen Partie des SS
ein besonderes Aussehen der tiefliegenden Markteile hervor; eine abgegrenzte Area A des
SS ist aber beim Kaninchen nicht zu erkennen.
Zwischen groBen Meerschweinen und Kaninchen habe ich in bezug auf die hier
uns ’am nachsten interessierenden Bilder des Ruckenmarksquerschnittes wesentliche
Unterschiede nicht feststellen konnen. Das Ruckenmark von kleinen Meerschwein-
chen und Mausen stellt, seines kleinen Durchmessers wegen, ein fur unseren Zweck
ungeeignetes Untersuchungsobjekt dar.
BeidemZiegenruckenmark (freilich habe ich viel wenigcr Ziegen- als Hunde-
exemplare untersucht) gelang es mir nicht, prinzipielle Unterschiede vom Hundenicken-
mark festzustelTen. Die Abgrenzung, Gestalt und GroBe der einzelnen Areae entsprechen
zwar sehr nahe denjenigen, die beim Hunde zu beobachten sind. Wieder abweichende
Bilder zeigt dagCgen das Ochsenruckenmark. Letzteres stellt ein sehr geeignetes
Objekt zum Studium der PZ dar (Taf. VI, Fig. 43): in den HS zeigt aber dasselbe ein
demjenigen derZiege, in den tiefen Teilen des VSS ein demjenigen des Kaninchens ahnliches
Bild. Beim Ochsenruckenmark laBt sich also das innerhalb der PZ liegende HS-Gebiet
in einzelne Areae wohl einteilen; eine abgegrenzte Area A ist aber bei demselben nicht
zu schildern. tJber den groBen Unterschied zwischen den Bildern, die aus der PZ bzw.
aus den tiefen Teilen zu gewinnen sind, gibt am besten der Vergleich zwischen Figg. 43
und 44 auf Taf. VI Auskunft.
Auf die Frage, ob und inwieweit mikrohistochemische Differenzen im Riicken-
marksbaue der einzelnen Tierarten das Zustandekommen der oben angedeuteten Struk-
turdifferenzen beeinflussen konnen, gehen wir hier nicht ein. Die von Bang hervor-
gehobene Artspezifizitat einzelner Lipoide usw., die moglicherweise einen EinfluB auf
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86
GAETANO PERUSINI.
die Resultate der Markscheidenmethoden ausuben konnen, lassen wir hier also auBer
Betracht. DaB Differenzcn zwischen dcr chemischen Zusammensetzung der Mark-
scheiden bei den verschiedenen Tierartcn bestehen, ist allerdings schon aus empirischen
Tatsachen zu schlieBcn. Ich brauche z. B. blofl an die Modifikationen der Markscheiden¬
methoden zu erinncrn, die bei den verschiedenen Tierartcn angewendet werden mussen
(Z uni no beim Kaninchen usw.). Auch bei Anwendung des Bonf iglioschen Ver-
fahrens der Markscheidenfarbung — also bei einer nichtlackbildenden Methode — mussen
kleine Modifikationen der Farbeprozeduren vorgenommen werden, je nachdem es sich
um die eine Oder uni die andere Tierart handelt.
Auch beim ,,normalcn“ mcnschlichen Ruckenmark wurden den oben geschilderten
cntsprechende Untersuchungen angestellt. Da wir beziiglich des Verlaufes der einzelnen
,, Fasernsysteme" besser beim Menschen als bei Tieren unterrichtet sind, konnte beim
Menschen auch die Schrodersche Methode der maximalen Differenzierung zur Anwen¬
dung kommen. Es lieB sich zwar erwarten, daB man dank der Anwendung dieser Me¬
thode hatte feststellen konnen, ob etwaige sich ergebcnde strukturellc Areae mit bekannten
,,Fasernsystemen" topographisch ubereinstimmcn. Leider gab die Methode, ja es gaben
die Markscheidenpraparate iiberhaupt, keine fiir unseren Zweck sehr beweisenden Resul¬
tate. Die Resultate der Alzhei merschen Gliafarbungen sind dagegen viel beweis-
kraftiger ausgefallen (Taf. VI, Fig. 50). Die beigefiigten Abbildungen mogen jedenfalls
l)eweisen, daB auch beim menschlichen Ruckenmark nicht nur eine besonders struktu-
ricrte Randzone vorkommt, sondern daB auch besonders strukturierte Gebicte im VSS
und in den HS vorkommen (Taf. VI, Figg. 50—52; Taf. V, Figg. 32 und 33).
Auch beim menschlichen Ruckenmark laBt sich die beim Hunde festgestelltc
Tatsache bestatigen, daB die der PZ und den inneren Teilen bzw. den einzelnen Gebieten
des VSS und des HS gehorenden Markscheiden denselben Differenzierungsgrad gleich-
zeitig unmoglich erreichen konnen. Die dadurch entstehenden Eigentumlichkeiten der
Markscheidenbilder sind in Fig. 32 und 33 auf Taf. V angedeutet. Die strukturellen
Unterschiede zwischen den einzelnen Gebieten der weiBen Ruckenmarkssubstanz werden
jedoch besonders durch die Alzhei merschen Glia- und Axenzylinderpraparate be-
wiesen, deren Resultate mit denjenigen der Markschcidenfarbungen wesentlich uberein-
stimmen. Fig. 50 auf Taf. VI zeigt uns z. B. das sozusagen ,,positive Bild des normalen"
Gollschcn Stranges, welcher auf Fasernpraparaten, wie allgemein bekannt, eine hclle
Farbung stets aufweist.
Der Einfachheit halber haben wir bis jetzt bei unseren Betrachtungen Praparatc
beriicksiclitigt, die sofort nach erfolgter Fixierung der betrcffenden Gewebsblockchen
hergestellt worden waren. Zuletzt muB aber auf die Anderungen kurz hingewiesen werden,
welche das Aussehcn der in Frage kommenden Areae und Zonen bei dem seit langer Zeit
in der Fixierungsfliissigkeit liegenden Material erfahrt. Als pragnantestes Beispiel konnen
wir das Alkoholmaterial anfiihren und somit zur Textfig. 1, von dcr unsere Betrachtungen
clxm ausgingen, zuruckkehren.
Betrachtet man bei schwacher VergroBerung einen Riickenmarksquerschnitt, dcr
aus seit langer Zeit in Alkohol licgendem Material hergestellt wurde, so besteht das
Augenfalligste darin, daB die Breite der periplieren Zone stark zugenommen zu haben
scheint, daB gleichzeitig die Areae im VSS und in den HS sich von der ubrigen weiBen
Substanz nicht hervorhebcn. Der Riickenmarksquerschnitt sieht also bei oberflachlicher
Betrachtung so aus, als ob die PZ deutlicher, die Areae dagegen undcutlicber geworden
waren. Vorausgesetzt, dafl die Farbbarkeit von ,,altem“ Material durch empyrisch
wohlbekannte, genau aber nicht zu prazisierende Anderungen kolossal crschwert wird,
so erscheinen jedoch bei genauerer Betrachtung die Verhaltnisse unseres Alkoholschnittes
ganz anders. Und zwar kann man sich vor allem leicht davon uberzeugen, daB die eigent-
liche PZ nicht an Breite zugenommen hat: in Textfig. 1 ist z. B. die PZ bloB vom schma-
len dunklen Ring rcprasentiert, welcher unmittelbar neben der Pia liegt; der angrenzende
helle Ring und die mittlere dunkle Partie entsprechen dagegen der (wohl durch das
lange Liegen des Materials in Alkohol modifizierten) II. bzw. III. Zone Vasoins. Somit
ist zum Teil auch das verschwommene Aussehen der Areae des VSS und der HS zu
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111). 11), HEFT 2/3
1912
,,TEKTONIK“ DER NVEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ. 87
erklaren, denn die angedeuteten Modifizierungen der II. und III. Zone Vasoins gehen
notwendigerweise mit Modifizierungen der in ihnen enthaltenen Areae einher. Sehen
wir uns nun unseren Alkoholquerschnitt mit starkerer VergroBerung an, so nimmt
man wahr, daB die PZ relativ geringfugige Abweichungen von der Struktur aufweist,
welche ihr im frisch eingelegten Material eigen ist. GroBere Abweichungen von der, im
frischen Material ihnen eigenen Struktur bieten dagegen die Gebiete, welche den inneren
Teilen des Ruckenmarks entsprechen. Dies durfte wohl dafur sprechen, dafl die Struktur
der PZ in hoherem Grade als die der anliegenden weiflen Substanz den Anderungen
gegenuber widerstandsfahig ist, welche beim „alten“ Material sich abspielen.
(Fortsetzung folgt.)
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Studies of the genesis of the cramp of writers
and telegraphers: the relation of the disorder to other
“neuroses”: their pathogenesis compared with that of tics
and habit spasms:
Description of the treatment made possible by this research: Cases.
By Tom A. Williams M. B., C. M. (Edin) Washington D. C.
Introduction and thesis:
It is not surprising that writers cramp, as it is called, is the commonest occu¬
pation neurosis; because writing is the most widespread manual art which exacts
the frequent repetition of the same movements. Thus, of my cases four are writers.
But the differences of pathogenesis cannot be expressed in terms of the kind
of handicraft affected. To express them in terms of muscle function or topography,
or even perhaps of functional “centre’’, is also misleading, as the analysis of my
cases will clearly shew.
The mechanism of professional cramp is always psychological. Accordingly
the treatment must address itself to the psyche. It must be clearly understood
that the disorder of the apparatus is not structural but regulative. It is not an
incapacity of muscle and nerves to perform their function; for this is intact ex¬
cept for performing the particular professional acts which fail. A want of harmony
in the controlling of the mechanism is the fault. We have not even to deal with
the kind of want of harmony which occurs upon the destruction or toxic inhibition
of a cortical centre, such as happens in aphasia. Professional cramp is a strictly
psycho-dynamic inhibition or disorder in the habitual series of co-ordinated asso¬
ciations gained by education in some art.
It has been placed in a class apart from the tics, (note p. 97) on account of
certain peculiarities which have been regarded as essential. But from this study
it will appear that the differences are less essential than adventitious, and that
none of them conflict with the definition of true ti. Hence both as regards genesis and
treatment occupation-cramp-neurosis should be regarded as a from of tic.
The chief source of error of former writers is to look upon the mechanism of
occupation cramp as an immediate deprivation of function. A deeper analysis
shews that a particular function is impossible only because another act, viz the
derived movement or cramp, tremor or atonia, has preempted the muscles so that
they cannot at the same time perform the desired act. It is this superfluous, though
co-ordinate, purposive and once voluntary set of contractions, which by definition
(note p. 00) constitutes a tic. Only because of the occurrance of this other motor
phenomenon is the patient unable to make the habitual movements of his art.
This interpretation has been hidden by the fact that the tic usually begins and pre-
TOM A. WILLIAMS.
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BD * lft i9? BFT 2/8 THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
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ponderates in or near the very muscles used in the occupation; and this has in the
past obscured its analysis.
In order to furnish the basis for and make concrete the argument for this
thesis, the cases upon which it has been developed are now introduced. Their careful
study is needed for an estimation of the evidence and the validity of its sequences.
In case I, occupational disability is traced directly, to a preceding tic, a torti¬
collis, which psycho-analysis discover to be strictly mental in mechanism, a remar¬
kable confirmation of my thesis.
Case I.
Case of torticollis causing grapho-spasm.
Single woman E. L. aged thirty-one, expert counter in the U. S. A. Treasury.
Comlaint. Cannot use right arm; for each motion causes the head to turn to the
right; “and I am compelled to look right backwards with a most powerful force, over
which I have no control.” It began three months before with a pain behind the right
shoulder running round to the right side. She now has pain all the time. She consul¬
ted a physician, who called it neuritis, and advised massage. The nurse who was called
feared to massage her; so electricity (sic) was tried; and did good at first to both the pain
and the movements.
She had fallen on this shoulder in August; but it did not trouble her after the'
first few days.
The movements and pain had been bearable until a month before she saw me;
and she had left her work from time to time, on one occasion for three weeks.
PRESENT STATE. Appetite good, no indigestion or pain; and the general physi¬
cal examination shewed nothing abnormal except loss of weight, hypotonia and
exaggerated reflexes.
PSYCHIC EXAMINATION. No marked defect of memory, attention, judge¬
ment in general matters, nor emotional reactions; but she is much worried about her
condition, which she believes to be a phyical malady. As will appear from the psycho¬
analysis, there are other worries which she did not at first reveal.
ONSET. She had no unusual worry at the time, she declares; but on account of
straightened finances and the delicacy of her Mother, she has been anxious for some
years. As a result of psychoanalysis, it was ascertained that three months before the
tic, there had occurred a serious unpleasantness with a comrade in the office, whom
she stigmatised as an ignorant, conscienceless woman. The emotional bitterness dis¬
played in the patient’s account was an immediate index of the serious pathological signi¬
ficance of this episode. Her attempts at harmony caused no satisfaction; so she declares
that she ceased worrying. “I had tjed to adjust it, but failed; for she is a married woman
older than and above me in the office. She is angered because I do not associate with
her. But as she had spoken disparagingly of my Mother, I taxed her, only to meet with
denial”.
She brooded deeply over this episode; and as her work in counting can be performed
quite automatically, her thoughts were free all day long to dwell upon the constant un¬
pleasant ness of being in the same room as the other woman, who sits behind her on
the right .
Some three years before, she had renounced marriage for the sake of her Mother,
on account of a love affair which had turned out unfortunately. Her Mother too had
had an unfortunate marital experience, the knowledge of which has tended to strongly
depress the patient’s mind. But in spite of all this she declares that her home is happy
with her Mother and sister, for whom she has a strong affection and admiration, and
terms “a practical Christian”. She has always been most anxious to do her duty and to
“make good” at her work; but she confesses that since the quarrel with her fellow worker.
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90 TOM A. WILLIAMS. J °o™d VeJrolo^e 0 ^*
her thoughts have been preoccupied by the unpleasantness it has caused, in which, how¬
ever, she believes herself to have the sympathy of many of the other girls. But at work
she cannot help thinking of the other woman.
EXAMINATION OF THE ORIGIN OF THE TIC. It is evident that the
girls thoughts about her enemy cause her head unconsciously to veer and turn to¬
wards where she knows her to be. This is the less easy to resist because her atten¬
tion is partly occupied by the counting of the money which is her duty. As she is
anxious to do this as rapidly and well as possibly, mistakes or insufficient work
not being condoned, she is the less able to resist the motor response to her under¬
lying thought, which is essentially a desire for an understanding with the other
woman and a reconstitution of her own desire to be in harmony with her surroun¬
dings.
By now, however, by a process of psychological substitution, the need of
turning the head has come to accompany every use of the right hand; so that she
is unable to use her knife at the table without a turning of the head and an ensuing
rigidity of the arm and head in the effort to arrest the torticollis and to accomplish
the act she wishes. In writing, it is the same thing; and the case affords an example
of writer’s cramp mechanically produced by torticollis of mental origin, which by
a psychological association has in turn become producible by any use of the hand
or arm.
The cause of pain is the action of the muscles antagonistic to the turning
movement, which she consciously seeks to prevent. Between the automatic desire
to turn the head and the conscious effort not to do so, the muscles of the shoulder,
neck and upper part of the chest are maintained more or less constantly in a state
of powerful contraction; and the severe drag upon their attachments, combined
with a state of fatigue, provokes the pain of which the patient complains.
Even at rest, the patient now holds the head somewhat to the right, and keeps
contracted the neck and shoulder muscles on that side. The attempt to turn the
head straight or to the left is not accompanied by angoisse strictly speaking, but
causes a distress referable to the muscles at the right side and to the consciousness
of her imcapacity to freely perform the desired movement. She feels an actuating
force stronger than herself. It is from such feelings in the credulous and super¬
stitious that may arise the notion of possession by an external being, a daemon.
If the woman's tic is not cured, I have no doubt that in course of time anguish will
accompany efforts to suppress the movements; but at present the syndrome is
not complete.
There are somatic factors in the case; for the tic is always much worse during
the catamenia, when she has much pain, nausea and sinking feelings of the heart
with flushes, chills and headache, and often has to take to bed. These symptoms
are said to be due to uterine mal position.
She has also a marked exophoria, and had to abandon on account of dizziness
her original work of spreading bills.
But the psychological factor is the main one, as will appear; for the torti¬
collis is proportional to the insistance of the thought of her painful relationship
with her fellow worker; and when she succeeds in dismissing this from her mind,
the tic rarely occurs. This, however, has been difficult, because she had no con-
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BD. 19, HEFT 2/3
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
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fidence, not being willing to trouble her tired sister as had been her habit, and a
clergyman to whom she was much attached having left Washington. Hence, there
was no relief from brooding over her grievance.
TREATMENT AND PROGRESS. I explained the genesis of her affection
and gave a good prognosis. My first prescription was to take ten days of joy in the
country and to try to be less hyper-conscientious during that time, paying no atten¬
tion to her troubles or to the torticollis. Six days later she returned not having
followed the prescription, with pain in the head and the tic worse than ever. I gave
her exercises in psychomotor discipline, consisting of dealing a pack of cards into
two heaps while her head was turned away from the affected side, and cutting
along lines ruled on a piece of paper. In a few days she greatly improved in per¬
forming these task, the tic greatly diminished and the pain in the shoulder dis¬
appeared.
But the fact that this improvement became less rapid, as was to be expected, so
discouraged her that she relaxed her efforts during the exercises, and substituted
therefore a constant tension of the muscles in an attempt to rectify the abnormal
posture of her head and neck. This created pain at the angle of the scapula, where
the latissimus dorsi is atttached, and she lost courage. She was advised to go out
and relax, and to abstain from work for at least another month. This she declared
herself unable to do, and persisted in returning to work against advice. In con¬
sequence the torticollis was greatly aggravated, and she gave up attending. I have
learnt recently that she had to remain away from work for two months, during
which she took cheiropratic treatment, which improved her torticollis, but not the
professional cramp; and she does her work entirely with the left hand, and her
bitter mental attitude is worse than before.
Case II.
A case of partial tremulous scrivener’s palsy: the psychogenesis
of which was discovered in one interview, which lead to recovery within a month,
through the patient's own efforts.
A naval paymaster, aged 32, single, was referred to me early in 1908 by his brother,
a physician in Boston; because when he returned to work after the drainage of a large
perityphlitic abscess which discharged for a month, he found that his signature was
no longer uniform. Instead of improving, he became worse with practice; and al¬
though his other writing was not so seriously impaired, he had ceased writing entirely
and conducted his correspondance by dictation and signatures. As the appended speci-
man shews (Fig. 1), this signature is exceedingly shaky; and as it was made with ever
increasing difficulty as the day progressed and became almost illegible in the afternoon,
he feared that he would lose his position. As may be imagined, the ever-recurrent an¬
xiety of this tended to make his writing still more difficult and tremulous.
PREVIOUS ILLNESSES AND HISTORY. The patient had a good recovery
from typhoid fever in 1890. In 1900, he had inflammatory rheumatism, which however
left no cardiac weakness or other after effect. As a child, he had pertussis, scarlatina,
mumps, measles and pneumonia. He is still subject to tonsillitis, which is sometimes
febrile and makes him feel out of sorts. Nine years sago, he had gonorrhoea. He is
positive there has been no chancre. He used to have malaria, but has had none since
1900 or so.
PRESENT ILLNESS. His trouble is comprised in the statement that he is
“unable to write as his work requires”. He admits that he is nervous in making a signa-
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TOM A. WILLIAMS.
Journal f. Psychologic
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ture before me; (Fig. 1) and says that he can make it better than this. He had not fully
recovered his strength on returning to work after his operation, and used to tire. But
he had not noticed any particular change in his writing until his attention was drawn
to a lack of uniformity in his signature of the cheques he signed, by the declaration of
a bank official who refused one of them. He had not worried about his writing at all
before this; but afterwards became apprehensive about it all the time. The naval doctor
whom he consulted merely gave him bromides, which of course did him no good as re¬
gards the power to write. His brother, the physician, believed he had toxemia and
post-operative shock.
EXAMINATION. The deep reflexes were exceedingly active. The cutaneous
reflexes were feeble. But the toes flexed upon stroking the sole. The pupils reacted to
light and accomodation.
The cardiac rythm was
not perfectly regular. But
there was no enlargement,
thrill nor bruit. There was
no sclerosis of the arteries,
and the pulse was soft, mo¬
derate in frequency and
without abnormal charac¬
ters, although the right im
pact seemed feebler than
the left.
There was slight em¬
physema of the lung. The
examination was otherwise
negative.
This condition of the
reflexes is consistant with
a toxicosis interfering with
the full function of the
cerebral neurones which
inhibit the activity of the
deep reflexes and, it is be¬
lieved, subserve that of the
cutaneous reflexes.
But as the state of the re-
Figur 1. Tremulous writing before treatment. flexes of this patient threw
no light upon the genesis
of his condition, it was necessary to ascertain this otherwise. The question which arose
was whether the patient’s incapacity at present arose directly from an intoxication of
his neurones, or whether both his incapacity and the toxicosis were psychogenic 1 ). Ana¬
lysis of his psychological history might elucidate this problem. So it was undertaken.
PSYCHOLOGICAL HISTORY. The patient never had a “nervous breakdown’’,
but has sometimes been depressed after very hard work. He has applied himself very
closely to his duties, the responsible nature of which he fully realizes. He is unusually
young for the position he fills. In consequence, he has neglected physical exercise since
the age of sixteen, and saves himself from becoming too stout by going without lunch.
He works nine and a half hours a day, and likes it.
As a boy, he was very conscientious, and was always annoyed if things were
J ) In purely toxic states, often labelled neurasthenic, while the reflexes are sometimes
enfeebled, in some cases they are exaggerated. It perhaps depends upon the nature of the
poison producing the syndrome. In psychogenetic states of anxiety, the -deep reflexes are
always exaggerated.
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BP. 19, HEFT 2 3
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
93
not correctly done promptly. This was shewn by his behavious with regard to the chicken-
house in which he kept chickens for amusement and pocket money as a boy. This ex¬
treme orderliness was not a family trait, although his Father also had it. He had no over-
scrupulous ways, and was not over-particular in his studies, although he worked hard.
He had no morbid fears and no religious crises, as he was not particularly devout and had
no set views. He thinks that as boy he was sexually passionate.. He has not mastur¬
bated since twelve; and has had no sexual difficulties, being able to abstain or indulge
as the occasion arises. He does not care for society, and prefers men to girls; and though
he has some intimates, he has no deep attachments.
These characteristics have persisted into adult life; so that if things do not go
right, the passion for order impels him to rectify them himself rather than take the
trouble to make others do it. He has never suffered from tics, not even having made
facial grimaces, which are so common in boys. I tested his suggestibility by pushing him
by the shoulder. He moved only a short distance, and quickly checked himself by ben¬
ding his knees. There was no rigidity of movements other than those used in writing.
In his writing there was no rigidity of the. extreme kind seen in the so-called spasmodic
form of writer’s cramp. His dis¬
ability would conform to the type
called tremulous by Benedict. It
was rather a hesitancy than a
cramp.
PATHOGENESIS. From
these facts it can be induced that
the patient’s attempt to resume
work necessitating long continued
writing, before he was in a pro¬
per state to do so, lead to a tre¬
mulousness of the hand and arm
similar to that which ensues upon
excessive consumption of coffee
or tobacco or upon the toxine of
some infectious or fatigue con- Figur 2. Bold writing 2 l / 2 jears after treatment,
dition. The condition would pro¬
bably have been recovered from spontaneously as he regained strength had not another
element been added by the dread of permanent incapacity led to by the refusal of his
cheque at the bank. This was the really efficient cause of his present disability.
Hence, it was to this that therapeusis was exclusively addressed.
TREATMENT. The role of mental prepossession in inhibiting the due coordi¬
nation of muscular movements was explained to him, and illustrated by means
of the strokes used in lawn tennis, more especially that known as the drive. It was
shewn that fear of making an improper stroke is very likely to lead to lack of free¬
dom and cramping of the muscles, which are the very positions to be avoided. Still
greater anxiety will create an uncertain, wobbling stroke, the incoordination of
which is comparable to his writing.
A further illustration used was that of Jastrow’s investigation of the relative
efficiency of the employees who first used the enumerating machine in the census
of 1900, as against those who were brought in later on account of the disappointing
output of the others. The special preparation of the first set of clerks, so far from
giving greater speed, only produced the feeling of the difficulty of the task, which
they never transcended, being quickly surpassed in amount of work by the clerks
who received no special preparation whatever.
The relation of these facts to the episode of the refused cheque was discussed
Journal far Psychologic und Neurologie. Bd. 19 7
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94 TOM A. WILLIAMS. Journal f. Praholofle
_ _ un d Neurologic.
with him at length. When he had clearly realized the psychological mechanism of
his condition, he was directed to entirely cease writing with purpose, and to begin
exercises by making free arm movements with chalk on a black-board, paying no
attention to the forms he drew, but concentrating himself upon the attainment of
freedom in action. When this was insured, he might pass to a slate, and later to pen¬
cil and paper, and then gradually reduce the size of the writing. He was asked to
send me specimens of his efforts; but this he did not do; and he did not reply to
an inquiry addressed to him one month later. But over two years later, he sent
me the following specimen (Fig. II), and informed me that he had almost entirely
recovered, after one month of the exercises prescribed.
It should be added that this patient’s disability was entirely confined to
writing; for even in drawing and letter printing there was hardly a tremor of the
hand. The annexed specimen (Fig. Ill) clearly illustrates this fact.
Figur 3. Showing ability to draw and print without tremor.
Case III.
Case of writer’s cramp arising from Impatience of routine letter writing.
L. Married woman aged thirty-eight referred by a physician relative on account
of aching in the back and inhability to write much, on account of pain in hand, arm and
shoulder. It first occurred seventeen months before, after much writing in acknowledge¬
ment of Christmas gifts etc. But much writing had always tried her, because she held
her pen too tight. There has ben no special anxiety or ill-health upon this occasion.
FAMILY.HISTORY. Negative except that her sister was very timid, and that
all the childem were bashful, from being held back; her own children are in good health.
PERSONAL HISTORY. As a girl she was delicate and anaemic. There were no
difficulties of menstruation, which began at sixteen, and created no psychological per¬
turbation, as she was intelligently enlightened. She used to go North in the Spring time,
on account of the heat. She played quietly there, vigourous exercise being too tiring.
She read much, and was less dependent upon companions than most girls. She was also
fond of sewing and the piano, but did not exceed in either. She was perfectly tranquil
and happy, a little timid in company, but without fears or qualms. She was conscientious
and particular and much distressed by any rare failure in school. She disliked leaving;
her favourite study was mathematics. She liked drawing and painting, and kept them
up after leaving.
Cooking was given up from the fatigue caused. Aged sixteen, walking tired her
much in the front of the legs. A craving for chalk and other minerals lead her to take
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95
BD * 19, 19?| :FT 23 THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
them, only occasionally. She developed a fear of mice and rats. She remembers no
erotic fancies or dreans. After leaving school, her life was uneventful; she did not dance to
excess.
Se had a severe attack of malaria at twenty-five. Childbearing ceased spontane¬
ously. Menorrhagia occurred, and an operation was undertaken, which relieved her.
For the last few years, she has had recurrent, severe headaches lasting days at
a time and requiring powerful drugs to arrest them. They were not determined by
emotion. Twice during these, after influenza, spots came before the eyes, and the page
she was reading would blur for some hours, and there was numbness of the left limb
and side of the tongue. Numbness has occurred on other occasions; but never on the
right side. There has been no constipation, dyspepsia, vomiting nor nausea during the
headaches. There are no prodromes, but sometimes the catamenia postpones them
for a week. She is not sure if they are ever determined by emotion.
PHYSICAL EXAMINATION. She looks healthy, equable, well nourished and is
powerfully built. There is not disease of the alimentary, respiratory, circulatory, geneto-
urinary nor integumentary systems.
THE NERVOUS SYSTEM. Motility is very strong and equal. There is no modi¬
fication of the reflexes.
SENSIBILITY to temperature, pin prick, touch, compasses, is not abnormal;
but the diapason is felt less clearly and less long on the right hand, w'rist, shoulder,
elbow and external malleolus of the ankle. This is more marked on the radial side of
the arm.
Stroking is better felt and more ticklish on the left arm than on the right.
SIGHT. She thinks she can see further to the left; but there is no hemianopsia,
dyscromatopsia nor visual defect.
THE WRITING. Her position is faulty, the wrist and elbow being turned so
that the back of the hand is outward, and she uses mainly the extensors of the wrist and
fingers. The elbow is turned outwards very awkwardly. The arm and shoulder is held
very stiff, and she clasps the pen, a short one, very tightly in the fingers. She some¬
times drops the pen; and on some occasions her sewing may fall from the hand, and
certain kinds more particularly; hemming she cannot do. For a time too, she feared to
lift heavy crockery, thinking she might drop it, because the thumb would quiver in certain
positions. (Fig. 4.)
The genesis of the cramp.
Her writing has always been jerky, because she hates it; but pain has only occurred
since Christmas seventeen months ago. It varies with the amount of writing, and was
worse during a pleasant visit when she was doing nothing in particular. It had however,
been severe before she left home. The cramp and other symptoms came on after a period
of stress while her sister’s children were in hospital with scarlet fever. Her sister was
then staying with her; and she feared for her youngest child, who had no had the disease;
for although the doctor believed that the children upon recovery w r ere safe, she could
not help dreading infection because her nephews had contracted the disease. The con¬
stant preposession of these fears increased the tension of mind with which she always
accomplished the writing of the distasteful formalities incident to Christmas. She haste¬
ned her writing more and more; and in consequence became more and more cramped,
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TOM A. WILLIAMS.
Journal f. Pcycholofrie
und Neurolofie
Figur 5. During treatment.
so much so, that she became unable even to hold up a newspaper, so constant was the
cramp of the muscles. From possessing the reputation of writing faster than any one
she knew, she had to descend to ceasing writing entirely.
TREATMENT. The pathogenesis of her inability was explained throughly; and
she was instructed to begin slow writing exercises in a large, round hand. Only a little
was to be done at a time, four or five times a day. The following week there was much
less pain, except when she had
to use her arm much, two
minutes was her limit of endu¬
rance after which the muscles
would tighten in spite of her.
PROGESS OF THE CASE
AND FURTHER ANALYSIS.
At times there ispain in the
shoulder, even when lying
down and during her sleep.
To obviate this, she has
to hold her head well back.
This first occurred after
running hard before break¬
fast on account of being
alarmed. There is a crea¬
king of the left shoulder
joint when it is moved.
There is no tenderness of
the skin there, but some¬
times the muscles are ten¬
der, especially after the
has one of her headaches.
For these I prescribed a
mixture of alkaline sulpha¬
tes and bi-carbonates, to
be taken morning and night
four days before the cata¬
menia. and when head¬
ache threatened. She
was instructed that the
9j-cU_
Figur 6. During treatment.
jL.Qs
Figur 7. 6 mouths after treatment.
evening meal should consist mainly of carbohydrates and succulent food. My endea¬
vours to sec her during or after a severe headache did not succeed. But some days
after a very severe headache, I found a marked hypaesthesia to the tuning fork
over the right elbow, ankle and knee. There was also a contralateral flexion of the
toe on stroking the sole. The neck was constrained and painful. There was interlace¬
ment of the visual fields.
The arteries of the fundus oculi appeared very small, ratio of the arteries to the
veins being 1—4. There was no projection of the papilla nor haziness of its margin.
One week later, no headache having occurred, the hypaesthesia to the tuning fork was
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BD. 19, HEFT 23
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS. 97
less marked. The right knee reflex was perhaps less responsive than the left. The opthal-
mic arteries were no longer small; and there was dyschromatopsia only in the temporal fields.
The writing, however, was even worse. (Fig. 5).
She has never presented astereognosis, impairment of attitude sense, dysdiadocoki-
nesis. Her neck still hurts on movements, but much less than before and no longer
while in bed, even when extended. She was instructed in practice of free calisthenic
movements of the shoulder and arm.
Two months later she was much improved, only one headache having occurred;
but she does not write much. (Fig. 6.)
Since then the improvement has been uninterrupted. The writing is practically
normal; and she can conduct the correspondence demanded by her social position.
(Fig. 7 )-
Case IV.
Multiple professional cramps in a psychasthenic.
F. S. Single woman, aged 29, was referred, April 10th 1910, after the failure of
orthopaedics and massage to improve an incapacity to write, apparently due to a painful
stiffness and cramp of the shoulder and wrist of two years duration. Several months
in the country had also failed to remedy the cramp although she had gained ten pounds
in weight and became much stronger.
PHYSICAL EXAMINATION, revealed no organic disease. MOTILITY. She
is left handed, as is her brother's daughter of two years. The muscles were strong and
respiratory capacity ample; and in spite of hypotonia, there was no impairment of
movement either in extent or force. Moreover, contractions could be maintained for
thirty seconds without fatigue.
But in the act of writing, the wrist stiffens, the fore finger and thumb tighten up
on the pen, the hand trembles and she complains of severe pain in the wrist and between
the first and second metacarpal bones. There is not the decided deformity of attitude so
often seen in cases of professional cramp; indeed the hand is held in a fairly good writing
position, except for a rather too great extension and radial adduction of the wrist. She
declares that she is prevented from writing rather by the pain than by the tremor or
stiffness.
She did not have the great difficulty of voluntarily relaxing the limbs which I have
found in so many cases of professional cramp. It was only in the right shoulder and arm
that there was some lack of perfect freedom when passive movements were imparted.
There was, however, at first, some uncertainty in performing directed tensions and
relaxations of the lower limbs. But I could not satisfy myself that this was not due to
embarrasment and imperfect comprehension of wath was desired
REFLEXES. The deep reflexes, especially in the lower limbs, were very active,
and there was a false clonus. The muscular tonus, especially of the arms, is poor. She
has cold and clammy extremities and there was a slight tremor. There is a dry eczema
in the left axilla.
SENSIBILITY was normal.
She has always been much constipated, with a capricious appetite, which has
latterly been ravenous. Every few weeks she has had a severe bilious attack, which pulls
her down for a week. She overcomes the disability by her will. At school she weighed
150 lbs, which weight fell to no lbs at the time of the singer’s cramp (see later) until
she was twenty-four. She is now about 130 lbs.
PREVIOUS HISTORY. Much of this was ascertained only after psychoanaly¬
sis at various times. As a girl, she was solitary in tastes, and did not care for games.
The neighbours children did not appeal to her; and she stayed much with her Mother,
her sister being too young to be a playmate.
When aged nine, she had scarlet fever, and since then has not had much vitality,
always ailing, easily tired and readily contracting infections. Both heat and cold trv
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9 S TOM A. WILLIAMS.
her much; and she perspires readily, even when not heated. The hands often sting,
burn and ache; and seem to swell; and the veins stand out when she is cold. When she
is excited, the hands redden. Oedema of the eyelids comes quickly during fatigue. But
there is no history of cpistaxis nor angioneurotic oedema. There have been no pains
in the body, back or sides. She menstruated normally at fifteen. After a fall at the age
of twelve she wore a plaster on the back for three years.
At eighteen the catamenia disappeared for six months, and were afterwards
scanty, when she was said to be anaemic.
Sexual desire did not appear till nineteen; although when fifteen she had been pro¬
perly enlightened by her Mother.
So sensitive was she to rcdiculc that a girl who laughed at her at the age of nine
on account of her belief that babies were brought by the doctor still incurs her hatred.
She was disgusted with the girl’s explanation, and refused to believe it, and when her
Mother confirmed her disillusionment, she felt that she had been deceived, and was
very distressed, just as when she learnt that there was really no Santa Claus.
Among the characteristics discovered in anamnesis were the following. Her diffi¬
dence about her singing w as increased by the fear that it would make people believe that
she was pushing, as she had seen many do. At one time, her loss of confidence was so
great that even the making of her clothing would unnerve her. so that when any thought
was required the task seemed like a mountain.
She had told her Mother that she felt different to others, as she never felt like
acting as she saw others do. Analysis shewed that this was because she was too self-
conscious to speak, for fear of attracting the attention of others, especially strangers.
Lately, she has ceased taking communion, because dissatisfied, with herself, re¬
ligion and everything. It seems wrong that her late fiance, who is completely selfish,
should be happily married and well, while she is poor and sick. She is ashamed of her
apostacy and keeps it to herself. She had never been spiritual, but always altruistic. A
cousin attributes her misfortune to her having danced with men, but she herself rejects
this notion, as she never did anything she was ashamed of with men.
She had been brought up to be very particular and reliable; so that she would
become irritable and excited if things not exactly right. Hence, she has always kept a
good deal to herself or stayed with her Mother. She is rather taciturn, not caring to
talk while working. She is not fond of day-dreaming. She thinks she has not made
what should of life. What she means is that she has had to cease her musical
ambitions.
Psychologically she was hyperconscientious and inclined to melancholy. She
says that her torture of mind was hardly describable. She was very diffident, and hardly
felt like acting as she saw others do. This she cannot particularize, except that she fears
to speak when with others for fear of attracting attention. She was ambitious and desi¬
red to excell in music, but was handicapped by her poverty on account of her Father’s
loss of work for several years. Thus she could not have a proper piano, and had great
difficulty paying for her singing lessons. She felt that she must make good; for she be¬
lieved herself worthy of a better environment than her poverty allowed.
THE PROFESSIONAL CRAMPS. It was this state of mind which led to her
first incapacity. She had sung in a choir for sometime, and appeared at a concert, but
had no trouble with her voice, although she was studying with a master who, she now
believes, employed an injurious method.
After a concert at which she made her first public appearance, she received an
anonymous letter suggesting that she would have looked better had two inches been
removed from the neck of her corsage. She never found out the author; and it greatly
added to her self-consciousness, as she feared that any of her friends might know of the
insult, and every time she sang she thought of it with a feeling of immodesty. In con¬
sequence a painful contraction of the pharyngeal muscles occurred, especially when she
sang a high note or a solo, as these drew attention to her. Then the tongue began to
stiffen at the same time and a severe cramping pain would occur in the throat.
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BD 19. HEFT 2,3
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
99
The cessation of menstruation she believed to be a sign of consumption, which she
much dreaded, as she had been at the death bed from that disease of her only girl friend;
and one of her cousins and three Aunts had died from it. She knew that tuberculosis could
affect the throat; and was indeed told that her own trouble might be consumption brought
on by the strain of singing while she was physically unfit. Eventually, the cramp would
occur even upon talking, especially when several people were present and she was tired.
Five years ago, she ceased singing, as two years of treatment by a laryngologist
failed to improve her; but sometime later she recommenced singing in the choir, although
she could not manage a solo.
In the choir, she met the leading tenor, whose voice she greatly admired. They
became engaged; but although intensely fond of his person, her better judgement ac¬
quiesced in her parents' advice not to marry him, because of his careless habits, intem¬
perance and irresponsible behaviour. After four years, she gave him up; but the strain
of doing so was very great. She had always suppressed her feelings with him; for she
feared succumbing to his advances; and her feeling of right and wrong would not allow
Figur 8. Preliminary exercises to give freedom of hand.
Various specimens of rounded writing.
her to do so; and she is proud of succeeding; for she believes few girls could have with¬
stood. He made her life miserable by trying to take advantage of her; though he had
fine feelings otherwise. Her endeavour to appear indifferent after the rupture wore on
her; but she eventually threw off what she calls an obsession of her life. Sexual desire
was excited only when with him, it never occurred in his absence, even in dreams.
ONSET OF THE WRITING CRAMP. During the grief of this rupture she had
been working at book — keeping in a railroad office, where great accuracy was needed, as
one error would upset the work of a room — full of clerks. Two years ago, she had a se¬
vere attack of grippe followed by insomnia, for which many drugs were given. She
found half a trional powder would stupefy her for two days. On returning to work, she
had great difficulty in finishing the day. She felt that this position must be kept, as
she could no longer, by singing, earn the money she needed to support herself, now
that her engagement was broken. Against the increasing difficulty of writing her daily
quota, she struggled hard; but anxiety only added to the physical burden; and she
finally succumbed after trying various methods of holding her pen in the effort to write.
This process occupied about six months, and ended in a tremor so violent that she had
to be fed. She attributed her incapacity to a broken muscle in the shoulder, and hoped
that a month’s rest would enable her to return to work.
In the course of the investigation, the dreams were searched; but this line
of inquiry was soon abandoned, as the analysis of the dreams which were recalled did
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lOO tom a. WILLIAMS. Journal f. pKyrholosfie
* und Noorolo^ie.
not reveal additional complexes of significance germane to the psychogenesis of the
writers cramp.
It appeared that some little time before entering the railroad office, she had
been subjected to a violent “shock", through the suicide of a sister-in-law with whom she
had been staying, and with whom she had not got on very well, believing herself some¬
what unfairly treated by her. It is possible that this increased the predisposition to wri¬
ters cramp by exalting the nervous anxiety with wich she entered the office.
PROGRESS OF THE CASE. After a months treatment by a succulent diet,
constipation was greatly improved. Writing was possible without constraint when
made large and round, but an attempt to lessen the size failed. The next menstruation
was very painful, and she became sleepless; also she became very nervous after sewing.
She was advised to relax; and thyroid extract, one grain thrice daily, was tried. For
some days after this, she was in a torpid state; but could not sleep properly. Epinephrine
was added to the prescription. She blamed herself for being in this torpor by letting
Figur 9. Flowrishes to give hand freedom; and words of rounded letters.
her disappointment prey on her mind; but she declared that she was now quite indifferent
to her fiance, and disgusted with herself for not having thrown it off.
The reflexes, which had diminished for a time, were now much increased. Great
variability in the extent and rapidity of response of the deep reflexes was shewn at
different examinations. Exaggeration seemed to be in proportion to ill-health. Buth
the false clonus found in the early examination never returned; and on the whole there
was a progressive diminution of excitability.
After this crisis, she made better progress, being able to relax her wrist and to
write the alphabet firmly in letters about half an inch large; but her throat still ached
sometimes when singing. The fact that she takes responsibility in the house weighs
upon her; and her sister, who does not do so, is so much happier that she is inclined
to blame her parents for encouraging her ambition. She has, howevery been sleeping
better, having walked much, and the constipation has greatly diminished, thanks to
the fruit in the diet; but her mind is still preoccupied, because she is not working, and
does not feel able to sit at a desk from eight to five.
Improvement continued in spite of the unpleasantness of a rupture in the choir
where she sang. She shewed much acerbity, blaming the director’s bad management.
Although she is much improved, she is very pessimistic; and thinks she may have a
tapeworm, as she is so ravenous. But she had succeeded in sceptically rebutting the
argument of certain of her friends who wished her to attempt to apply Christian science
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IOI
RP. 19. HEFT 2 3
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
to her disorder. Upon her insistence, I allowed her Doctor to give Felix Mas for the
suspected tapeworm; this satisfied her of its absence. Her constipation was now cured;
but as she believes capacity to write is unattainable she is very unhappy.
After the first eight weeks I did not see her so often; and she unfortunately relap¬
sed, on account of frequent discussions of her state by well-meaning friends; so that towards
the end of July 1910 she was firmly impressed with the idea that there was a deformity
in the hand and shoulder. I disproved this to her with some difficulty, as her attitude
was distinctly negativistic. But after this, she fell back upon the notion that she needed
something to make her food assimilate. A rediscussion of her digestive difficulties
shewed her that they were caused by her emotions; and she had to admit that she had
improved; for excitement and mental effort no longer caused dyspepsia, though it still
induced constipation. She had gained in strength.
But in spite of all reasoning she would feel her hand contract sometimes even
when not writing. I decided therefore that she had not a real grasp of the principles
I had been trying to inculcate. Accordingly, I recapitulated them systematically, with
great care; and wrote out a summary for her to take home and study. After her next
visit, I kept this, and asked her to write to me an account of the mechanism of her con¬
dition as she understood it. From this account (which follows) it can be seen that she
had not even yet transcended the physical explanation, as she referred her condition to
disease of brain cells, failing entirely to appreciate that her disability was psychological,
that is, a disharmony of acts arising in ideas. It was not that the machine was broken
or worn, but that the wrong levers were brought into operation. It would be impossible
to overcome the abnormal acts derived from diseased brain cells by any amount of
studied indifference or exercise of selfwill.
So the following letter was written to her; and she was asked to entirely cease
the practice of writing, while studying, and trying to grasp the propositions contained
in my letter. To do this the better, she was urged to leave home and be absent from
habitual influences for a few weeks, during which she was to engage in abundant exercise
in the open air. After a few days, she might begin to learn to write with the left hand.
When she had clearly grasped the principles which I had explained, she might begin
to practice with the right hand.
Preceding this. I had seen^one of her friends who gave me the following account.
“F. S. is selfish’, and perhaps ashamed of her Mother, who has indulged and
spoilt her sister. They forget that F. S. is ill and do not excuse her peevishness. The
shame is due to her Mother’s ambition for her. She has always had to help her family;
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>02 TOM a. williams. _ '"jag'
and her sister, a girl of nineteen or twenty, has not had to do so, and she considers this
unfair.”
“She is snobbish, and her Mother is worse. She docs not want to have to depend
upon relatives when her parents die.”
“She does not practice writing much, nor exercise. (Why’.) “I did not see much
use”. She does not grasp the psychological idea, and was disappointed not to find a
tape worm. People imply that she is a failure because she is not married at twentyeight,
and cast up her support to her.
“She wishes very much to be engaged or married; and if she is not engaged soon,
she thinks there will be no hope for her.”
To pursue the analysis, I gave her a paragraph in a newspaper to read about
the cutting of his wifes throat by a man who thought it a disgrace for her to work. She
said “It is like my thoughts, and it pains me, such queer ideas.”
It was then that she was directed to dictate as accurately as she could my ex¬
planation of how and why her arm went astray in writing and other acts.
She said she could not, making many excuses; and when asked to consult her
friend with regard to suitable work, she made the excuse that she was going away down
the river next month, and it was not worth while beginning.
She was much exercised over what proved upon examination to be the long ten¬
don of the left biceps slipping over its ridge. She kept always referring on the physical
aspect of her case.
August 5th. She could not comprehend why her hand still contracted when no
mental stress was apparent. I explained, again that it was habit, just like the character
or any one’s walk, gestures, and so on.
She said “why do my hands tremble when I seem so well to-day?” So I made her
hold them out; and a rapid oscillation of the Right hand was shewn. I made her count
twenty while locking at me; it ceased. I made her look at my hand spread steadily be¬
fore her: her trembling again ceased. Then I explained its mental nature; and that a
tremor of organic origin could not be stopped like this. She at last was convinced.
The patient’s own explanation of the mechanism of her affection.
“An abnormal condition of the mind produces certain phenomenal results. Practi¬
cally the same brain cells are in action when writing or sewing. Through certain physi¬
cal conditions, these particular cells have become diseased, and instead of performing
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J
BI>. 19. HEFT 2 r.\
1912.
THE C HAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
io 3
their functions properly, they create abnormal acts. When this condition has become
chronic, it can only be overcome by exercising self-will and by studied indifference to
all matters."
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Figur 12. Letters of normal size.
(IjU*
The physician’s reply. Psychotherapeutic letter.
"Your account shews, as I half expected, that you have by no means an adequate
conception of your own condition.
“As you require that, in order to attain perfect recovery of health and usefulness,
I try to place it before you now as simply and clearly as possible.
“First, it is an error to say that your “brain cells have become diseased." There
is no disease of your cells: there is a disorder only of the harmony of action among them
in writing, etc. This originated in the extraordinary efforts to a complish much during
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104 TOM A. WILLI AMS. Journal f. Psychologie
una Ne urol ogle
a time of fatigue and mental distress. It was the difficulty of doing this which caused
the unusual attitude of the hand, which arose from conscious effort to perform what
was beymond your staying jxnvcr. The tightening of the muscles was "mental’*. The
habit of wrong writing was thus engendered, and it is this that now persists as an
automatism. That is to say. when you are not paying attention, the hand of itself is
guided by the mind unconsciously into these perverted positions.
"But even when attending, there is an inclination to fall into the very position
you desire to avoid. This is partly due to its habitualness and partly to the natural
tendency of many persons to perform the very act they most wish to avoid; the familiar
example is that of the cyclist to collide with the obstruction he sees in the road.
"By practice, this tendency is soon overcome.
"So you see that the abnormal acts are not the result of disease of the cells; but are
merely bad habits to be ov ercome in the same way as those of the learning of the piano
or of any act needing mechanical dexterity."
It was only after this that rapid improvement occurred; and as the specimen
shewed, the writing, though a little large, became perfectly normal. Perfect ease
however, was not attained; although she did a good deal of clerical work intermittent¬
ly. and was ready to take a position demanding it continuously, knowing that if the
right hand failed the left hand could take its place.
After the almost complete recovery, the patient ceased attendance; but she saw
me from time to time, and maintained the hygienic life that she had been taught. As
a result, she is in better physical condition than she has been in for years; and is able
to walk long distances and to do hard housework without fatigue; whereas formerly she
was tired out by walking a few squares or by any hard work. But that the restoration
of her physical health was not the cause of her partial recovery from writing cramp,
is proved by the relapse of the latter, in spite of continued improvement of her physique.
This relapse is due to circumstances which have compelled the cessation of the reeducative
training. She writes so much worse than she did six months ago, that she has quite given
up practicing for the present; but when circumstances permit, the lessons will be re¬
sumed and I believe that the capacity will be restored.
INTERPRETATION OF THIS CASE OF CRAMPS. Both the incapa¬
city to sing and to write are alike explicable as tic. F. S. could not sing because the
relaxation of the pharyngeal muscles needed for good tone production was inter¬
fered with by the emotional contraction of them which resulted from dwelling upon
the same created by the anonomous letter. The struggle between her shame in
singing and her desire and need to sing accentuated the difficulty still more.
The fact that cramp later occurred quite apart from professional use of the
voice is paralleled by the case of E. L., and by her own eventual incapacity to
feed herself as the result of a professional cramp and tremor of the right arm.
This shews that the mechanism of these cramps is not strictly professional at all.
The mechanism of the writing cramp consisted in the desperate effort to
perform work while she was in an unfit state of health. The act of writing became
impossible because no muscles relaxed to allow of the interplay necessary. The in¬
tense contraction, at first purposive, became associated with the attitude of writing.
Its mechanism was almost automatic; so that when the cortex was stimulated by
the need to write, the innervation inevitable was that which caused a cramp instead
of the coordinate act of writing attempted.
Of the pain. The pain both in the case of the throat and the upper limb was due
to the intensity and prolongation of muscular contractions. It is that of cramp,
and is familiar enough. It again is paralleled by the pain in the shoulder of E. L.
The residual and almost constant pain is partly of the kind described as stiffness
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BD ‘ 19 id?/ FT 2/8 THE cramp of writers and telegraphers. 105
experienced after severe and prolonged exercise. It may be partly psychological;
but this was not determined; as I wished to withdraw the patient’s attention from
the pain as much as possible, for the reason which follows:
A PRELIMINARY TO TREATMENT. The greatest difficulty in the treat¬
ment of these cases is the patient’s firm belief that the part incriminated is itself
diseased. So long as this is believed, rational cure is impossible; but the belief is
very difficult to dislodge; for so many medical men have acted in conformity there¬
with; and the true explanation involves a line of thought so unfamiliar that it
requires time for assimilation. This subjects it to the danger of interference by
meddling friends or other advice. Thus it is essential that the patient should attend
the doctor frequently at the beginning of the treatment; and if possible the more
intelligent friends should be interviewed and their cooperation envoked.
Case V.
A case of multiple cramps of psychogenic type in a telegrapher.
F. W., aged 30, a telegraph operator, complained of cramping of the wrist and
hand while using the Morse sender, typewriter or the pen. Cramp sometimes occurs
upon lifting a cup to drink, but only if he thinks of it. It occurs also upon brushing his
teeth; but only those on the right side. It does not occur upon lifting up articles, un¬
less he uses the fingers alone, when cramp may occur; but he can wind his watch,
button his coat and collar and perform other ordinary acts without cramping.
The cramps. The movements consist of a flexing of the wrist when using
the Morse key; an extension of the ulnar fingers when using the typewriter, a rigidity
of the wrist when brushing his teeth, a giving way and radial rotation of the wrists
on lifting a cup to his mouth; a rigidity of the whole arm when attempting to write.
He is completely incapacitated from his usual work, but is able to adress envelopes
in pencil in the rigid fashion mentioned.
The history. The personal and family history were unimportant, except that
he had a nervous sister and was disappointed that he could not follow' his Father's
profession of medicine and had to work from boyhood. He neither drank nor smoked.
Although ambitious, he does not think that telegraphing was his forte, for though he
had tried hard enough, others with less education, did better. He had not realized this,
however, until he was too old to easily find something else which paid as well. Perhaps
he had found learning harder than most people, because he tried to learn at night while
working as a clerk in the day time.
Even although ten years ago, after falling from a bicycle, dislocating his shoulder,
he had worked in pain for five weeks before reduction was made, no disability had
followed (Not however, at the key but writing). He had not learnt the Morse key in the
usual way of the lads who pick it up as office boys and evolve into operators; for he be¬
gan intentionally to learn when he entered an office at fourteen, and after four years
could send forty to forty-five words per minute steadily writh few mistakes.
Origin of the cramp. The cramp occurred suddenly siz years ago with “a
kind of loss of use of the wrrist which would go up in the air while he was using the
key”. At the same time the hand would flex. At the period when this occurred, he had
been sending in the daytime for a stock broker from 9 30 a. m. to 4 p. m.; whereas for¬
merly he had never used the key for more than three or four hours, and that in the
evenings. The stockbroker’s work had to be done quickly; and he felt it a strain; but he
liked it in spite of its arduousness; for it did not seem to interfere with his health; al¬
though he had to eat lunch in the few minutes he could snatch at his desk. His only worry
before the cramp occurred was the fear of not being able to do his work and of losing
his position. Just before his disability began, he had found that he was not making his
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106 TOM A. WILLIAMS. Journal f.P*ycbolo*ie
letters correctly, and could not go fast enough for the work. He had to give up his
position in about ten weeks after the occurancc of the cramp.
PHYSICAL EXAMINATION, was otherwise negative except for an exaggera¬
tion of the deep reflexes.
INTERPRETATION OF THIS CASE. Incomplete as is this analysis, it suffices
to shew, when we have in mind the preceding cases, that this man’s disability arose
not altogether in consequence of fatigue, but largely because of his anxiety that he
might not make good in the difficult position he held. Had he remained indifferent to
the occasional errors he made and continued to work to the best of his ability but without
stressful apprehension, we have a right to conclude that no cramp would have occurred.
Indeed had fatigue been the cause, cessation from work would have restored him; in¬
stead of which the disability later extended to typewriting, handwriting, and even
to some acts of daily life not of occupational character at all. That these latter only
occur occasionally is because only occasionally is any difficulty apprehended in performing
them; whereas of the professional acts, there is an ever present consciousness of incapacity
which itself creates the incapacity through the vicious attitudes and movements bom
of a morbid fear and bred into a habit.
TREATMENT. As the patient’s energies arc engaged in making a livelihood,
it has not yet possible to find a means of instituting a treatment for which so much appli¬
cation and effort afre required.
As a contrast to the foregoing the following case is instructive.
A case of occupational incapacity due merely to physical weakness.
A. S. A. telegrapher, aged 63, complained of a weakness of the wrist muscles without
paralysis. He “cannot send his writing over the wire unless he raises his elbow off the
desk, and that tires him.’’
PERSONAL AND FAMILY HISTORY. He has been an operator for over 40
years, has never been a drinking man, but smokes about four cigars and chews about
four ounces of tobacco per week. He has always stammered in speech.
PHYSICAL EXAMINATION. The deep reflexes arc a little exaggerated, but
there is no sclerosis of the blood vessels or other sensile disturbance. However, there is
a distinct diminution in the thickness of the right upper extremity. While the thickest
part of the left fore arm measures nine inches, the circumference of the right is only
eight and seven eight inches. In the upper arms, the circumference is inches of
the left an g l / 4 inches of the right. On the other hand, the right wrist is slightly larger
than the left. The muscles of the right arm, besides being diminished in volume, are in
a condition of hypotonia.
PSYCHIC SYMITOMS are absent, there being no anxiety or phobia; and the
man indeed, who has felt his weakness for eight or ten years, continues his work
efficiently enough to maintain his position, though fully conscious of his diminished
capacity.
INTERPRETATION. The contrast with the other cases is striking. Although
in this old man the atrophy which preceeds from over use has reached a degree
where it can be measured, yet his relative occupational disability has provoked no
morbid psychological reaction. Neither cramp nor tremor has appeared; and work
is continued as far as capacity allowed.
ABSENCE OF THE SEXUAL FACTOR OF FREUD. It is significant that
in none of my cases did the symptoms arise from sexual causes, which it would
be far fetched indeed to invoke even in the cases of E. L. and F. S. It is necessary
to emphasise the absence of this feature, because some recent writers have adopted,
without personal experiemce, and only after a superficial analysis, the earlier views
of Freud as to the sexual genesis of all functional disorders of the nervous system.
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BD ‘ 19 idSf FT 2/8 THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS. IO7
Because Freud has developed, more completely than before, a means of clinical
investigation does not justify us in accepting blindly his conclusions. This type
of error of judgement is particulary rife among those who derive their medical in¬
spiration from the light literature of medicine. The utter discredit now attached
to many of Lombroso's doctrines, once so widely acclaimed, is a pungent example.
Now, in estimating the importance of sexual irregularities in psycho-neurotic,
patients, many have forgotten (1) that in the physician's exploration of the sexual
life, suggestions are more apt to be conveyed than by perhaps any other clinical
procedure, not excepting the examination of the sensibility. Now, instances of im-
planation of anaesthesia by the physician have been so frequent as to have created
a nosological criterion, which for many years was supposed to characterize hysteria,
and has lead to numerous false psychopathological theories; and yet the precautions
needed to avoid suggestion in examining the sensibility are child's play compared
with those required to avoid the pitfalls encountered in psycho-analysis. (2) Besides,
Freuds psychology, although simple in principle, is so complex in ramification, that
first attempts to apply it are bound to prevent due consideration of these pitfalls at
the moment, and when the moment has passed recollection of minute reactions
which are not being specifically observed, is apt to fail, more especially when these
do not concord with the theory employed. (3) Freud himself must be hard put to
for proof of his doctrine when the best case he can cite in his report is that of the
boy aged five whose prepossessions by sexual matters (which are entirely innocent)
it would be hard to conceive as not being directly due to suggestions by the pa¬
rents, one of whom, the Mother, had formerly been subjected by Freud to a psycho¬
analysis which emphasized strongly the sexual aspect of life.
The free association method by which this school of psycho-analysis has
sought to buttress its doctrine can be made to prove anything; and Mendel has
given a ludicrous example of the false conclusions to which it can lead. (Neurol.
Centralbl. 1909 June.) Everyone must be familiar with the parlor game which
illustrates this point by connecting, for example, two such unlike objects as a bee
hive and a potato by the intermediaries beholder and spectator, Tn the illimitable
richness of word associations it would be strange indeed were not the investigator
to select those which conformed to his preconceived notions, and to ignore others
which appeared to him meaningless.
The rejection of the universality of the sexual genesis of functional affections
does not mean that the sexual life has no importance for the psyche. On the con¬
trary, it has three most important avenues of expression which strongly colour the
psychic reactions summed up as individuality. These are (1) the purely physiological
state of sexual preparedness, or erethism, apart from all psychic factors, (2) the
affective states which have their ground work in sexual ability and instinctive
desire. It is true, as Freud has declared, that these ramify into many human re¬
lationship; but, they do not preponderate over the social activities in which their
influences are negligable, unless we extend the term sexual to include all human
relationships, which is absurd. (3) The intellectual activities which are directly
influenced by the sexual affects aforesaid. Into these I need not enter; but it needs
no argument to make it clear that they comprise by no means the whole of man’s
psychical activity.
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TOM A. WILLIAMS.
Journal f. Psychology
urn! Ne uro logic.
Criticism of orthodox interpretations of occupational cramp-neurosis and
the term neurosis 1 ).
Occupation cramp has been explained as a fatigue-"neurosis” of muscles, of
nerves and finally of centres. But as it is not repaired by rest, how can this be?
Besides, the same act can be done with other implements, e. g. cases which can
write with pencil and not with ink.
It is far fetched to suppose that "neurosis” con shift from one to another
group of muscles or their centres. Besides, the term "neurosis” often explains nothing
but the interpreters ignorance of the process at work.
Besides, "neurosis” does not last for years without further impairment shewn
by additional symptoms; while psychosis, that is ideational and emotional habitus,
last a life time unless modified by stimuli from without or within.
Such an eyample is the case of J. W. whose "hand-cramp” on raising his cup
occurred only when he thought of it, and whose cramp began in fear of losing his
position.
Physical symptoms in E. L. and F. S. etc. are not the cause of cramp in them¬
selves, but may furnish the initial motive from which comes the notion of incapacity
or of perverted movements.
Such physical disabilities are frequently perpetuated into psychical ones;
e. g.
Hysterical prurigo. A girl aged nine came to the dispensary on account of
itching of the right face. Her frequent scratching had kept up pityriasis. This had
*) This is not the place to discuss the significance of the term neurosis as contrasted with
the term psychosis. It is unfortunate that most medical writers use the former term in speak¬
ing of the latter condition, as well as when talking of neurosis in the true sense, that is tosay,
an abnormal functioning of a neuronal system not arising from ascertainable structural defect.
A disorder of a neuronal system is manifested by symptoms arranged topographically and applying
to all the reactions dependent upon the neuronal system which is diseased.
When a disorder extends only to particular acts, while other acts performed by the same
neurones possess normal integrity, it is a misnomer to apply to it the term neurosis; for the
disharmony occurs only in virtue of a perversion of the reactions of a system of govering neurones
at a higher level, which are combined not in topographical symptoms, but by a functional inter¬
play exceedingly labile in nature and dependent upon extraneous stimuli which can alter the
order, extent, and intensity of the respective reactions innumerably, while the neurones in
themselves remain perfectly healthy and susceptible of the reactions we call normal, provided
that the order of their discharge can be regulated by teleologically appropriate stimuli. To such
types of reaction, we give the name psychic; and these, expressed in psychological terms have
nothing to do with those applicable to the reactions of healthy nerve as studied in the physio¬
logical laboratory, or of diseased nerve, as studied at the bedside. An example will make this
clear. A wink may be a simple reflex a purely neuronal phenomenon, the disorder of which
may be termed a neurosis. It may, on the other hand, be the response to the complicated series
of stored stimuli known as memories set into action by stimuli known as sensations and per¬
ceptions, and demanding for their orderly expression not merely one locality of the cerebrum,
but the whole expanse of the cortex both of great and little brain. The function of teleological
adaptation which eventuates in this second type of wink, we call psychological; and the disorder
of such a function is named psychosis, the term neurosis being entirely inapplicable. (It is un¬
fortunate that psychiatrists have confined the word psychosis to what they are pleased to call
the true mental alienations; but this is no reason for perpetuating a usage of so confusing a
nature.)
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BD ‘ 19, h&F FT 2/3 THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS. IO9
begun two years before after her Father had for some weeks suffered much from furuncle,
when he had itched all over, scratched much, and spoken of it a great deal. He still does
so when he eats pork, thinking that it makes him itch. The little girl had only one
boil on the right heel; and this she feared to scratch. It does not appear that the child’s
face had really been diseased; but I believed that the eruption was kept up by a morbid
impulsion; so I prescribed sulphur ointment with the object of inculcating belief, pressed
upon Mother and child the need of never touching the face, and assured them that the
itching would totally disappear in two weeks, which prediction was verified by the
result.
HYSTERICAL TYPHLITIS AFTER APPENDECTOMY. A girl of twenty was
seen with Dr. Watkins and Stavely because of recurrences of right iliac pain with nausea
and vomiting, but normal temperature and pulse, since three months. Two months
before, the appendix had been removed for similar symptoms, and found little changed,
though containing a concretion of lime. At the time, the ovaries and gall bladder were
found normal. The pains recurred every few days; and lasted some hours, and were
relieved by morphine or the Scotch douch.
EXAMINATION, shewed only a psychogenic hyperaesthesia in the right iliac
fossa, controllable by indirect suggestion. Some sacral atonia, a slight retroversion and
intestinal sand could not explain a manifestly psychogenic tenderness. After being
convinced that a determination to conquer a longing for the comfort and anodynes
which sickness brings would cure her, she went back to her home, and remains well.
These examples of hysteria, the suggestion for which arose from an antecedent
physical condition, are paralleled in a comprehensible and simple fashion in the
traumatised person whose back or shoulder does not recover from a blow, perhaps
quite insignificant except in the patient’s mind 1 ). Still more simple is the example
of the petulant child or woman who nurses and magnifies a trifling hurt into a
serious injury because of a morbid way of regarding her privileges.
All these symptoms have been perpetuated by a false notion concerning their
origin.
So that even when a local or general physical state is recovered from, as by
rest or metabolic regulation and good nutrition, yet cramp or a professional dis¬
ability persists. This fact is too well known to need insistance.
Therefore the physical state is not the cause of the cramp.
So the genesis was searched for, and in a psycholocigal mechanism; and I be¬
lieve that the cases clearly demonstrate such psychogenesis. The therapeutic test
is a further proof. v
The physical treatment does not cure the cramp; but it makes esaier the
patient’s effort, by putting him into the most favourable state of physical vigour
for the mental exertion needed in giving the close attention required to wean him¬
self from a bad habit and reeducate his special psychomotor activities into a good
habit. That is, a sequence of energic discharges of a psychomotor area , which have
by association acquired an order not desirable , is changed by intelligent practice into
a sequence which conforms to the order desired.
Coordination then substitutes what is incoordinate as far as a practical ac¬
complishment is concerned.
It is the reacquisition of an impaired or lost efficiency, not due to a fault of
*) See authors discussion of this mechanism International congress on Industrial acci¬
dents Rome 1909. “The Traumatic Neurosis and Babinskis conception of Hysteria”. also in
Medical Record 1909 May. etc. Jour. Abnorm. Psychol. 1900 June.
Journal far Psychologic und Neurologie. Bd. 19. 8
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IIO
TOM A. WILLIAMS.
Journal f. Psyebolofie
and Neurologic.
the machine, but to an error in the order in which its parts are put in action. It
is the directing force which needs to be scientifically applied, and not the physical
mechanism which requires repair.
Interpretation of ' 'professional -cramp-neurosis' 1 as a tic.
The psychological mechanism of the muscular cramps produced during the
attempt to perform the acts of a very ordinary occupation is so complex that its
consideration has been passed over both by Janet (2) and Meige (1), each of whom,
however, has pointed out the resemblance of occupation-cramp-neuroses to true
tic 1 ). To these authors, they differ, however, from the tics in being a disorder of a
different normal act, whereas a tic is more in the nature of a new, acquired act,
irrespective of a previously acquired automatism. The tic is, in the first place,
deliberate and volitional from beginning to end. The occupation-cramp is only
a modification of an act, once deliberate and volitional, which has become auto¬
matic, as far as any action under Constant control of the neopallium can be so con¬
sidered. But both tic and occupation-cramp may be summed up as acquired func¬
tional automatism of pathological nature. Meige has made it a fundamental dis-
*) This is not the place to enter into a discussion of the various dyskineses or myoclonias.
A few words, however, must be said of habitual gestures and attitudes and of the true tics. The
former occur in perfectly normal individuals as well as in the insane, in whom they are called
stereotypies. Examples in the normal are stroking of the moustache, wrinkling of the brow,
whistling, playing with the watch-chain, grimacing of the face, waving the hand or sawing the
air while speaking. So long as these are unconscious automatisms, and so long as they could be
prevented without suffering by a little care on the part of the performed, they do not merit the
name of habit spasm, nor can they be classed with the tics.
The latter, are convulsive, and intemperate in character, are accompanied by a con¬
sciousness of the act, are preceded by a desire, sometimes amounting to a passion, to perform the
act, and are followed by a feeling of relief after performance of the movement. At all events
the victims of tics feel compelled to make the movements comprising the tic. The movements
always represent, however incompletely, some voluntary act, e. g. turning the head, shrugging
the shoulders, biting the cheek, winking the eye, sniffing etc. The end to which the movement
was first directed has, however, often passed from the recollection of the patient; and the act
itself has often degenerated into a caricature of what it originally was. A simple example is
a winking of the eyes which has continued for years in spite of the fact that the irritation of
the foreign body which first excited it has long subsided. It often originates in an idea which,
however, ultimately becomes ignored or forgotten by the patient, such as in the case of E. L.
Nor is this the place to discuss the forms of tic; suffice it to say, that in hypersuggestible
individuals, tics are easily induced sometimes, make little impression upon the patient, and
are very simply removed by reeducation and persuasion or even by suggestion. These we call
hysterical.
The tic, on the other hand, which is preceded by an imperative longing, the struggle
against which causes intense suffering, occurs in over-scrupulous individuals of little suggesti¬
bility, whom Janet has called psychasthenics, and who shew numerous stigmata of their con¬
stitution in addition to the tic for which they may see advice. Both E. L. and F. S. are of
this type to some extent.
The principles of treatment of the tics as laid down by Brissaud and developed by Meige
are entirely similar to those which have proved successful in the cases of professional cramp
here presented.
A tic must be distinguished from a true spasm, which is due to direct physical and the
latter agency is entirely beyond voluntary or emotional control; and hence insusceptible of
psychotherapeusis.
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Ill
BD. 19, HEFT 2
1912,
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
tinction that “occupation-cramp appears exclusively during the exercise of the
function which it concerns, while the tics are generally aroused into activity by
anything or nothing”.
But has one a right to postulate the origin of each tic movement from nothing ?
We know, on the contrary, from the work of Brissaud and his followers, of whom
Meige is not the least, and of Janet, that it is an idea which determines the cortical
stimulus producing a tic; in which respect, tic does not differ from the teological
acts of every day life. Now, this idea may be aroused in may different ways, as
can the act-determining ideas of daily life. But, although caused in different ways,
is not the final act-determining idea always the same for the same tic in the same
person? For example the determinat of the idea which produces a tic of sucking and
cheek-biting is the peripheral stimulus from the discomfort of the mucous mem¬
brane, which has become a besetment. The clonic torticollis tic is derived from
the idea of seeking greater comfort by previously experienced readjustment of the
position of the neck through the altered tension of its muscles. A blinking tic, again,
arises from an idea, viz. that discomfort will be diminished through compression of
the eye-ball by the orbicularis palpebrarum.
It is true that the causal idea is not manifest in the ultimate stages of the
tic's evolution; for the act has become an automatic one. In this respect however,
it does not differ from many complicated professional acts, such as piano-playing,
which is undeniably a product of volition. The comparison might be carried further;
and the striking of a particular note of the piano in a particular way may be com¬
pared with any selected component movement of a tic. Only a definite stimulus,
and always the same for the same piano played, will cause the striking of the same
note in the same way.
The case of E. L. illustrates most forcibly how one idea produced at the same
time both an occupation-cramp and a tic. It shews too that the law of Meige regar¬
ding the exclusive appearance of occupation-cramp during the function it concerns
is by no means rigid, and that the anomaly of movement may occur during other
acts as this disorder progresses. The case of Lit. illustrates this in a less degree; for
at times her inability to write extended to both certain kinds of sewing and the hand¬
ling of heavy crockery. In the case of F. S. too, there is also sometimes a difficulty
in sewing; and her idea of incapacity has now and then extended to many actions
performed with the right arm; so that it was very difficult to convince her of the
absence of disease of the muscles or joints, as also concerning her voice. Thus, it is
not possible to lay down as Meige has done (p. 72 and 192) a law separating tic and
scriveners palsy. For when the psychological mechanism is considered and analysis
is pushed deeper than has been done either by Meige or Janet , the pathogenesis is
found to be essentially the same.
THE GENESIS OF OCCUPATIONAL CRAMPS. The disability may be, at
its first occurrance, accidental, as from fatigue or stressful effort. But the fact of
failure soon creates the fear of future failure. Hence, whenever the act is attempted,
fear interferes with harmonious automatism 1 ). It is the efforts to overcome this
which cause and perpetuate the cramp.
1 ) (Of course the psychophysiological constellation which arouses the cortical activity
leading to the piano-player’s act may have several components, only one or more of which need
8 *
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12
TOM A. WILLIAMS.
Journal t Ptrcholofie
ond Weuroloyie. _
This ideogenetic affect becomes then constantly linked with the inception of
the act, and becomes part of the syndrome, although it is not primitive. To attack
the affect directly is ussless; for by however hopeful an attitude it may be
destroyed, the disability of the act persists. If however the anxiety-affect disappears
as a consequence of the removal of its source, the idea which originated the
cramp in the first place, then it remains constantly absent, and a cure may be
effected; which does not occur when only a consequence, the affect is aimed at,
oven successfully.
The principle is the same as that laid down concerning the traumatic neurosis
and hysteria in general 1 ), in which removal of an affect is only more than evanes-
cently curative when at the same time, intentionally or not, the genetic idea is
itself removed concurrently, that is to say, when the patient is reeducated by the
removal of his false belief as to disability.
Not that he himself is usually capable, however well intentions of abolishing
his error; for although such cases of instantaneous conversion do occur, it is the
rule for a considerable time to be required for penetration of the new mental atti¬
tude sufficiently effectively to influence conduct. A passive acquiescense has no
dynamic effect; and cases which assent readily, do so only because they have not
realised the significance and bearing of the truthful idea; indeed when they are
forced to analyze their thoughts, it is found that they have not comprehended what
the physician has tried to convey 2 ).
Their state is acceptance and not conviction. The latter connotes conflict;
and that is usually neither ready nor speedy.
THE PRINCIPLES OF THE PSYCHORTHOPAEDICS. The treatment con¬
sists of a reconstruction of the impaired function under psychological conditions
unfavourable to the tic which impairs it. The chief means is graduated exercises
of the function. In order not to excite the cramp tic, these must be performed with
great rare, but without anxiety, very slowly and with attention to minutiae. The
sittings should be frequent, but short, ceasing as soon as attention flags.
It is not the exercises themselves which are curative; for unless the patient’s
be stimulated in the first place. Thus, the player may strike the note (i) upon sight of its sym¬
bol printed on the staff, (2) upon me mory of its sound irrespective of symbolical represen¬
tation, (3) as a consequence of the kinesthetic impressions remembered from a previous perfor¬
mance; and there are other possibilities. It need not be elaborated that any of these, singly
or in combination, may in accordance with the associational make up of the player, eventuate
in the same note played in exact ly the same way. If the constellation, however, is not firmly
associated, a different tone may be the fruit of different combinations of the stimuli causing the
playing of the note.)
4 ) See author in Journ. abnorm. psychol 1910 June Relative Value of affective and
colateriel processes in inducing and perpetuiting Traumatic Neuroses.”
That fact, by an intelligent being, needs interpretation. The obvious one is that of
physical disease. This ready explanation is corroborated by medical opinion and procedures.
Part of our treatment is the getting rid of the reinforcement derived from injudicious advice
and measures; for if not, every attempt to write at one arouses the fearfulness for a damaged
member or nervous mechanism.
2 ) Again, pernicious habit-attitudes have to be fought. This, however, is best done in¬
directly through a planned orthopoetics, directed towards a new automatism, gained, as was
in childhood, the old one.
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BD. 19. HEFT 2/3
1912.
THE CRAMP OF WRITERS AND TELEGRAPHERS.
1*3
mental attitude is reformed the exercises are useless. Automatic performances are
actually hurtful.
As regards writing Meige has adopted a formula of round , large often and
little at a time . The largeness is the best assurance of sweep and freedom, without
which the cramp will recur. The roundness renders the changes of direction gradual;
for abrupt arrests tend towards cramping. Frequency is required both to exercise
the attention and to attain once more a useful habit. Fatigue be avoided by short
sittings.
A new automatism is freer from tendency to cramp than is the older one,
provided that are borne in mind the precautions against cramping, viz slowness,
largeness, roundness, frequency and little quantity. Hence, a new position and
style of caligraphy is to be recommended. This is the more easy and advantageous in
proportion as the old position and style was faulty.
THE TREATMENT OF WRITERS CRAMP. To a clear minded person who
realizes that the “grip is being lost", as the telegraphers call it, the psychogenesis
of occupational cramp is apparent. The resulting treatment is illustred in the follo¬
wing cases:
AUTOTHERAPEUSIS OF AN OCCUPATIONAL NEUROSIS. An exceedi¬
ngly efficient sender for a metropolitan newspaper one day found that he was
failling to send properly the five short taps which in the Morse code represent the
letter P. Knowing the risk of telegrapher's paralysis, he at once set to work to
conquer the sending of the letter P., and spent his intervals between sending and
receiving messages in practicing that letter; until at the end of two or three days,
he found he could accomplish it as well as before.
The second case is that of a physician who is now himself much interested in
psychopathology: the account is written by himself.
Temporary writers cramp in a Physician, autotherapeutically arrested.
“Having occasion to stop in a newspaper office one morning when a case of
great medico-legal interest was occupying public attention, the editor asked me
for a statement of my opinion for publication. He showed me the statement of two
medical men of prominence who had also been interviewed. As I was under some
obligations to the editor, I consented. He asked me to hurry, as they were about
to go to press, and handing me pencil and paper, told me to sit down at his desk.
He sat to one side, and watched me as I wrote. The situation was a strange one
and the hurry and confusion of the office extremely distracting. I was obliged to
think rapidly and to place my thoughts upon paper- as quickly as possible. I wished
my interv ew to compare favourably with the others. I was conscious that within
an hour what I had to say would be read by thousands. As I substantially agreed
with the statements of the other physicians who had been interviewed, I felt the
need of the same thing in language sufficiently different to cause my statement to
seem somewhat original. As I wrote, I became more and more dissatisfied with
what I had to say. The point of the pencil broke twice, causing me much annoyance.
My hand suffered a distinct cramp by the time I had finished the second page. I had
begun my statement in a large, plain hand. Soon I saw that my writing was growing
very illigible; and I thought the compositor would not be able to read it. All this
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114 TOM _ A wiuiams -
caused me to be still more annoyed with myself. The hand was now painfully
cramped, and I had difficulty in holding the pencil, and was obliged to write with
an arm movement, which is not my habit. When I finished the cramp lessened, but
was followed by a distinct and complete paralysis, which lasted for about an hour.
Later in the day, an attempting to use a pen or pencil, the cramp returned. The
next morning the difficulty had disappeared.
“The paralysis was for all the finer movements of the hand. I remember that
I was obliged to button my overcoat with the left hand.
“Fatigue was not a factor. My statement was brief! not more than four or
five pages.
“The psychic factors were, as near as I can tell, fundamentally distraction and
anxiety, although at the time I doubt if I were very conscious of either."
The difficulties. Very different is the result when a cramp arises in
a person of credulous disposition who is unfortunate enough to be advised by a
physician lacking in psychological good sense and imbued with the confused ideas
regarding the genesis of spasms, tics and other myoclonias which are all that can
be found at present in the English and German text books.
Such a physician only reinforces the patients belief that his disability resides in
some modification of bodily structure. This collusion of misinterpretation eventua¬
tes in the all too common course of massage, electricity, tonics, nerve excitents,
or rest and calmatives, according to the theoretical predelections of the physicians.
In spite of the suggestive effect of these measures in breeding self-confidence and
hope, failure is the rule, and the patient may then have recourse to various charla-
tans/'These, however, are no better informed of the pathology of occupational
cramps than were the physicians who failed; and the patient gives up, believing
himself incurable.
Hence, often the first task of the therapeutist is to convince the patient of
the pathogenesis of his affection in order that he may be persuaded to undertake
a treatment which will be neither short nor easy.
The key note to this treatment is that the patient clearly understand the
mechanism of his affection. Upon the basis of this understanding, physician and
patient then develop procedures for the reeducation of the perverted psychomotor
succession which determines the abnormal movements. Before expounding the
principles of this, the difficulties should be foreseen and explained to the patient.
The first of these is the practical one of the length of the treatment, which is of
course a serious inroad upon the time of both doctor and patient, and considerable
expense to the latter.
The second difficulty is that the reeducation consumes much energy; and a
patient who is already working hard for his living may not be able to spare this, any
more than can a physician with multiple duties. But if these difficulties are trans-
cendend, there remains the psychological one of the patient’s willingness to un¬
dergo a discipline which may go to the extent of changing his mental habitus.
Thus, a hyper-suggestible, impulsive individual will require a great effort to
accommodate himself to the careful slowness of control needed in the mastery of
a disorderly movement. On the other hand, a person of timid, hyperconscientious
disposition, who takes the most trivial detail with an intensity demanding his whole
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BD W i»?| FT 2 3 THE OP WRITERS AND TELEGRAPHERS. 115
powers, may not be willing to undertake the long course of training required to un¬
limber mental processes bound into a scrupulousness which interferes with the
acquisition of a spontaneous automatism required in the practice of any art.
THE PSYCHOMOTOR DISCIPLINE; ITS TECHNIQUE. These diffi¬
culties having been faced, and treatment resolved upon, a psychomotor discipline
is instituted. It begins with the movements of the larger joints, which are phylo-
genetically better established, and within their limits easier to control.
The end aimed at is largeness and smoothness of movement; all sudden jer¬
king must be avoided; and the binding of muscles must be unlimbered. Gentle
swinging movements, followed by Indian club exercises are a convenient intro¬
duction. Success is usually rapid, and then the second stage can be begun. This con¬
sists of directing the same principles to the use of the joints around which the cramp
has occurred. Slow, smooth movements in different direction are at first practiced,
and at least, until complete control is attained.
Then some tool or instrument is grasped in the hand and wide sweeping move¬
ments made with this. Until this can be done with complete freedom, no use of the
tool should be permitted; but wh^n cramping ceases to occur the patient is directed
to use his pencil or other instrument in a professional act. When this is begun, there
is a great tendency for the patient's mind to concentrate upon the product of his act
viz, the writing or other work, and to wander from the act itself. This is the great
difficulty at this stage of the treatment. To avoid, the patient must be induced not
to think of the form he is drawing, but to concentrate upon the movements he
is making.
To prevent cramping, all movements must at first be large, wide and sweeping.
The lines made will therefore be round, and the forms large. The motion should be
perfectly smooth, and not too slow; or binding is apt to occur. If it is made too
rapidly, on the other hand, the muscles will contract too suddenly, and tend to jerk
into cramp. The preliminary flourishes of an ornate writer furnish a good model of
the speed and style of movement to be aimed at.
Finally, the patient should not practice long at a time, or there will be a
flagging of the attention needed to coordinate a vast number of muscular contraction
and relaxations; and when attention relaxes, the old habit, which is that of the
cramp, regains ascendency and vitiates that attempt and makes the ensuing one
still more difficult.
But the sittings should be frequent, so that practice may be abundant; and
each acquisition should be established before there is time for it to be forgotten.
When large writing can be performed automatically without tendency to
cramp, a gradual reduction of amplitude of movement is attempted; and when a
reasonable size of writing is attained, the patient, may be gradually permitted to
resume writing in which the end is not the manner but the matter. The cure is then
only a matter of continued attention and further practice. Relapses, which are
frequent, are due to the relaxation of earnest attention by the patient; and it is
sometimes a hard task for the physician to prevent the natural tendency to a relapse
into easy going automatism before perfect freedom of movement has been attained.
THE TREATMENT OF TELEGRAPHERS CRAMP. As it is impossible to
use the upright Morse key without abrupt jerking of the muscles of the arm, es-
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I I 6 TOM A. WILLIAMS. Joum»l f. P*j;holo f i«
u nd N eurologic.
pecially those governing the wrist, it does not seem feasible to reeducate the
movements after the fashion which has succeeded so well in abolishing writers cramp.
But it is possible that a cramping of the muscles due entirely to a prepossession of
disability, such as in the case of McL. could be removed by a properly planned
psychotherapeusis.
As explained, the leisure to undergo this rarely at the command of a telegrapher;
and I have so far not met with a suitable case for rapid recovery.
Many of the telegraphers studied have shewn serious faults in the attitude
assumed in the hand. Most of these are in the nature of too great extension and
violence of movement. This necessarily increases, the strain and fatique of what
is already a very arduous task. The extent to which psychogenesis can be incrimi¬
nated in the lack of capacity to use the Morse key has not yet been ascertained in
this study, which, however, is still being pursued with that aim in view.
It must be remembered that most men who have lost their grip, to the ex¬
tent of complete incapacity, change their occupation. And it is these complete
cases which are most likely to be psychogenetic; whereas a merely physical disa¬
bility is more likely to be relative and permit the man to perform some of his work
at least: Moreover, the “sending machines” lateral movement of is often readily
enough used by those operators who cramp at once with the more abrupt upright
movement of the Morse key.
REFERENCES. Brissaud describes in his clinical lectures (1894) the psycho¬
motor discipline he devised for the cure of the tics.
Henry Meige and E. Fiendel published in 1902 a monograph on the tics and
their treatment, which systematized and amplified the teachings of Brissaud. It
has been translated into English recently by S. A. K. Wilson of London. 2. Janet ,
in his book with Raymond on the Obsessions and Psychasthenia in 1903, shewed the
pathogenetic relationships of the tics, and included them in the syndrome of psych¬
asthenia with a completeness which systematized previous vague attempts to relate
them to the mental degenerations. Of the German writers, only Friedrich had even
approachached this conception. And it was not until Patrick of Chicago analysed the
works of Meige and Fiendel in 1904 that the ideas of Brissaud penetrated to an appre¬
ciable extent beyond French-speaking countries.
Hitherto, no application of the psychopathological conception of the tics had
been made to the occupational parakineses. This study is an attempt to fill this
gap in neuro-pathology and treatment.
1758. K. St.
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1912.
II 7
POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN.
Aus der Klinik fiir Gemiits- und Nervenkrankheiten in Tubingen.
Beitrag zur
Lehre von den posthemiplegischen BewegungsstOrungen.
Von Herbert Graner.
(Mit 8 Textabbildimgen.j
Im Jahre 1871 beschrieb der Amerikaner Hammond zum erstcnmal eincn
eigenartigen Symptomenkomplex, der bald unter dem Namen der Athetose in
der Wissenschaft allgemein bekannt und anerkannt wurde. Wenige Jahre spater
veroffentlichten Charcot und Weir-Mitchell ihre Beobachtungen eines unter
denselben Verhaltnissen auftretenden ahnlichen Zustandsbildes, der sogenannten
Hemichorea. Diese „ posthemiplegischen BewegungsstOrungenwie sie auch be-
zeichnet werden, weil sie sich in den meisten Fallen im AnschluB an cerebrale Lah-
mungen entwickeln, haben seither haufig das Interesse der Neurologen auf sich ge-
zogen und eine umfangreiche literarische Bearbeitung erfahren. Es sind von nam-
haften Autoren sehr verschiedene Versuche unternommen worden, diese eigenartigen
unwillkiirlichen Bewegungsvorgange mit ganz verschiedenartigen anatomischen Be-
funden in Einklang zu bringen. Einige dieser Anschauungen sind spater wieder ver-
lassen worden, manche haben heute noch ihre Anhanger. GroBe Zustimmung fand
aber erst die Theorie, die Bonhoffer vor jetzt ca. 10 Jahren aufstellte; ihm ge-
lang es damit, fast alle einwandsfrei festgestellten anatomischen Befunde in enge
Beziehung zueinander zu bringen und das Zustandekommen der posthemiplegischen
BewegungsstOrungen einleuchtend darzustellen. Auf der Grundlage dieser Bon-
hofferschen Theorie ist seither weitergearbeitet worden und die Theorie selbst
ist durch mannigfache anatomische und klinische Befunde haufig bestatigt und in
gewisser Beziehung auch gefestigt worden.
Trotzdem herrscht auch heute noch vor allem auf dem Gebiet der klinischen
Symptomatologie keineswegs durchgehend Einigung. Mancher nicht unwichtige
Punkt bedarf hier noch der naheren Aufklarung oder Berichtigung. So erscheint
es gerechtfertigt, Falle von posthemiplegischen BewegungsstOrungen, die in irgend
einer Beziehung etwas Interessantes, mit den bisherigen Anschauungen nicht in
Einklang Stehendes bieten, zur allgemeinen Kenntnis zu bringen. So habe ich z. B.
liber die Frage, wie lange Zeit nach dem akuten Eintritt der Lahmung Bewegungs-
storungen gewohnlich zuerst beobachtet werden und namentlich dariiber, in welchem
Stadium sich die Lahmung beim Auftreten der Chorea oder Athetose befindet, in
der Literatur nur sparliche, sich zum Teil widersprechende Angaben gefunden. Zur
Klarung dieser Frage scheint mir ein Fall von posthemiplegischer Athetose, der
in der Tiibinger Klinik fiir Gemiits- und Nervenkrankheiten zur Beobachtung kam
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1,8 HERBERT GRANER._ J °“md N,uroMe° g ‘ e
und mir von Herrn Professor Gaupp zur Veroffentlichung (iberlassen wurde, bei-
tragen zu konnen.
Th. K., 10 Jahrc alt, wurde am 10. Juni 1911 in die Klinik aufgenommen. Aus dcr
Familienanamnese ist nichts Besondcres zu erwahnen. Die Kranke ist das zweite untcr
5 Gcschwistcrn. Die Geburt war normal, ebenso die weitere Entwicklung. Es fiel den
Eltcrn sogar auf, daB das Kind kraftiger war, als die iibrigen Geschwister. Mit 4 Jahrcn
erkrankte die Klcinc an Scharlach, an den sich nach Verlauf von 10 Tagen cine Nicren-
entziindung anschloB. Etwa 6—8 VVochen nach Beginn dcr Erkrankung bemerkten die
Eltcrn eines Morgens, daB das Kind beim Friihstuck den rcchtcn Arm nicht mehr ordent-
lich heben und den Loffel nicht mehr bis zum Mund fiihren konntc. Es habe den Loffcl
wohl nocli haltcn konnen, aber nicht schr fest. Zu-
wcilen haben sich die Finger der rechtcn Hand von
selbst zur Faust geschlossen; diese habe von dem
Kind nur untcr Zuhilfcnahine der linken Hand gc-
bffnet werden konnen. Die betroffenc Hand sei nach
auBen gedrcht gewesen. Zuckungen odcr Krampfc
hatten nicht bestanden, auch sei weder Schielen
noch ein schiefes Gcsicht aufgcfallen, dagegen lcich-
tes Stottern beim Sprcchen. BcwuBtlos sei die
Kleinc nicht gewesen. Als die Eltcrn einige Wochcn
spater das Kind auBer Bctt brachten, fiel ihnen
auf, daB es auf dem rcchten Bcin nicht mehr
ordentlich stehen konnte. Das Bcin sei leicht im
Knic gebeugt, dcr FuB nach einwarts gedrcht ge¬
wesen, doch habe das Glicd im Liegen miihelos in
normale Lagc gcbracht werden konnen. Schmerzen
sollen nicht bestanden haben. Der Gang sei gegen
fri'iher verandert gewesen, das Kind sei im Anfang
mit dem rechtcn Bcin auf den Zehen gegangen.
VVie dcr Vater weitcr bcrichtete, war die
Kranke kurze Zeit, nachdcm diese Lahmung bc-
merkt worden war, wieder dauernd auBer Bett.
Der rechte Arm war schlaff und unbrauchbar, der
Gang hinkend; doch besserte sich das Gehvermogen
schr bald.
Bis vor 3 Jahren blieb dieser Zustand an-
nahernd unverandert (also etwa 3 Jahre lang). 1908
fielen zum erstenmal im rechten Arm und zu glei-
cher Zeit im rechten Bein Bewegungen auf, die von
dem Kind nicht beabsichtigt waren, aber auch nicht
willkurlich unterdriickt werden konnten. Diese Bewegungen nahmen langsam zu. Trotz-
dem konnte die Kranke bis vor 3 / 4 Jahren noch ganz ordentlich gehen. Von da ab trat
allmahlich zunehmendc Steifigkeit im rechten Bein auf, die zwangsmaBige Beugung im
Knie nahm zu und die FuBspitze wurde mehr und mehr nach innen gezogen. Seit Fc-
bruar 19JI gerat der rechte Unterschenkel bei jedem Schritt in extreme spitzwinklige
Beugestellung zum Oberschenkel.
Die geistige Entwicklung des Kindes blieb ungestort. Es lernt gut in der Schule.
Hier und da besteht noch leichtes Stottern; Krampfanfalle wurden nie beobachtet.
Befund am 10. Juni 1911: Die Kranke ist 1 m 35 cm groB und wiegt 25,5 kg. Sie
ist gracil gebaut und schlecht genahrt; die Muskulatur ist sehr diirftig, das Fettpolster
sparlich entwickelt. Die Farbe des Gesichts und der sichtbaren Schleimhaute ist blaB-
rosa. Driisenschwellungen, Odeme, Exantheme sind nicht vorhanden. Das etwas
schiichterne Madchen zeigt gute geistige Regsamkeit und mittlere InteUigenz. Es kann
iiber seine Krankheit brauchbare, ziemlich genaue Angaben machen. Doch ist bei ihm
eine fur sein Alter (10 Jahre) auffallende psychische Labilitat zu beobachten: bei ge-
Abb. 1.
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1»B. 10, HEFT 2^1
1912.
POSTHEMIPLEG1SCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN.
19
ringem AnlaB gerat die Kleine ins Weinen, beruhigt sich aber meist bald wieder und lacht
dann ganz vergnugt.
Der Schadel, dessen horizontaler Umfang 50,5 cm betragt, ist langlich gebaut,
symmetrisch, nirgends klopf- oder druckempfindli’ch; er weist ebensowenig, wie das
iibrige Knochengeriist Zeichen uberstandener Rachitis auf. Die Augenbewegungen sind
frei, die Pupillen weit, einander gleich, reagicren prompt auf Licht und bei Konvergenz
der Augen. Es besteht kein Nystagmus. Die Corneal- und Conjunctivalreflexe sind aus-
losbar ; der Augenhintergrund zeigt normale Verhaltnisse. Gehors-, Geruchs-, Geschmacks-
empfindungen normal. Die Austrittsstellen der Trigeminusaste sind nicht druckemp-
findlich, die Sensibilitat im Gesicht ist ungestort. Im Bercich des Facialis besteht rechts
im unteren Aste bei Innervation deutliche Schwache. Die Funktion des Stirnastes ist
l>eiderseits gleich gut. Die vorgestrcckte Zunge
weicht deutlich nach rechts ab, zittert nicht. Das
Gaumensegcl hebt sich beim Anlauten links deutlich
besser, ais rechts. Die Zahnc sind gut, die Tonsillen
hypcrtrophisch. Die Schilddriise weist keineVergro-
Bcrung auf. DieSprache bietet auBer einemgelegent-
lichen geringfiigigen Stottern nichts Besonderes.
Obere F.xtremitaten: Die rcchte obere
Extremitat erscheint bei der Betrachtung etwas
weniger kraftig cntwickclt als die linke, nament-
lich in den distalen Partien. Die Fingerglieder der
rechten Hand verjiingen sich ihren Enden zu auf-
fallend; dieMuskeln des Daumcn- und Kleinfinger-
ballens sowie der Adductor pollicis sind atrophisch
und fiihlen sich eigentiimlich weich und schlaff an.
Die Zwischenraumc zwischen den Metacarpalkno-
chen sind eingesunken. Die Messung ergibt fur
die Entfernung vom Acromion bis zur Spitze des
Olecranons beiderseits 25 cm; vom Olecranon bis
zum Processus styloideus der Ulna rechts 17 cm,
links 18 cm. Der Umfang des Oberarms betragt an
symmetrischcn Stcllen gemessen beiderseits 17,5 cm,
dagegen ist der rcchte Unterarm um 1 cm schwacher
als der linke (16 : 17). Die Finger sind rechts und
links gleichlang, die Breitc der- Hande differiert
zwischen rechts und links wiederum um */* cm
(7,25 .7,75). Ein deutlicher Temperaturunterschied
ist zwischen rechts und links nicht vorhandcn. Bei
genauerer Betrachtung fallt auf, daB auch die Mus-
kulatur der rechten Schulter schwacher entwickelt
ist, als die der linken: Die Fossae supra- und infraspinatae sind eingesunken, die hintere
Partie des Deltoideus ist rechts weniger ausgepragt, das rechte Schulterblatt stelit bei
herabhangendem Arm etwa 1 cm weiter von der Wirbelsaule entfernt als das linke. Die
ganzc rechte Schulterpartie steht tiefer und etwas weiter nach vorne, als die linke.
Der rechte Arm befindet sich in einem Zustand fast ununterbrochener motorischer
Unruhe, die von der Kranken willkurlich nicht l>eeinfluBt wcrden kann; die mannig-
faltigsten, nur ausdenkbaren Bewegungen, vielfach von athetoseahnlichem Charakter,
losen sich in den Gelenken des Arms und der Hand in ganz unregelmaBiger Folgc und
Kombination ab (siehe Abb. 1—5). Sie geschehen langsara, schleichend, fast wurm-
artig, nur selten kommt eine rasche, mehr ruckartige Bewegung dazwischen, z. B.
wenn der Vorderarin im Ellbogengelenk langsam gestreckt wird, um dann plotzlich mit
einem Ruck in vollige Beugung uberzugehen. Am zahlreichsten und relativ ausgiebig-
sten sind die Bewegungen in den Fingergclenken und im Handgelenk, nehmen dann
nach dem Rumpf zu allmahlich an Frequenz ab.
Abb. 2.
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QriginafliQm
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120
Das Bewegungsspiel gestaltct sich etwa folgcndermaBen: dcr im Ellbogen maxi¬
mal gebeugtc Arm wird bis zur Horizontalen eleviert und zugleich so stark adduciert,
daB das Olecranon vor der linken Brust steht. Dann tritt dieses nach vorne, der
Vorderarm wird mehrcre Male hintereinander ruckartig gestreckt. Wahrend dieser
im Schulter- und Ellbogengelcnk vor sich gehenden Bewegungcn machen Hand und
Finger ailc moglichen Exkursionen: Die Hand ist bald stcil nach oben extendiert, bald
in extremer Beugestellung; die Finger sind in fortwahrender Unruhe, teils zusammen
Bewegungcn ausfiihrend, teils einzeln ihrc eigenen Wege gehcnd, cinmal in ihren Ge-
lenken stark iiberstreckt, das andere Mai starr zur Faust geschlossen. Die bizarrsten
Formcn zeigt dcr Daumen, der haufig cine fast vollstandigc Luxationsstellung einnimmt.
Sobald die Kranke geht oder steht, verstiirkt sich die Unruhe dergcstalt, daB zu den ge-
schilderten Bewegungcn noch starke, an Schleu-
derbewegungen erinnernde, aber doch deutlich ct-
was langsamere, rotiercnde Exkursionen im Schul-
tergelenk hinzukommcn (Abb. 7 und 8). Oberhaupt
hat man durchaus den Eindruck, daB sowohl durch
psychische Erregung als auch wahrend dcr Funk-
tionspriifung des Armcs die Bcwegungsstorung an
lntensitat zummmt.
Bctastet man den rcchten Arm, wenn nach
kurzerKuhepause die unwillkurlichen Bewegungen
von neuem beginnen, so fiihlt man, wic sich die
Muskeln langsam anspannen und hart werden. Es
kommt so voriibergehend zum Bilde starker spasti-
scherContractur, die passivenBewegungsversuchen
einen erheblichen Widerstand entgegensetzt. Dabei
wird jedoch nicht eine Contracturstellung festge-
halten, sondern es findet gewissermaBen fortgesetzt
ein flieBcnder Obergang von einer Stellung in die
andere statt. Klingen dann die unwillkurlichen Be¬
wegungen allmahlich ab, so weichen auch die Spas-
men langsam aus den betreffenden Muskeln und
machen einer volligen Schlaffheit derselben Platz.
Damit ist das Glied in eine kurze Ruhepause cin-
getreten, wahrend der alle Gelenke passiv frei be-
weglich, ja sogar abnorme Exkursionen (Hyper-
extension) ermoglichen. Lctztere Erscheinung tritt
namentlich in den Gelenken dcr Finger zutage,
die so stark iiberstreckt werden konnen, daB sic
mit ihrer Dorsalflache fast den Handriickcn bc-
riihren.
Willkiirbewegungen verinag die Kranke mit der rechtcn oberen Extremitat fast
gar nicht auszufiihren. Durch intendierte Hilfsaktionen der Schultermuskulatur, vor
allcm des Deltoideus, ist es ihr moglich, eine Elevation des gestrecktcn Armes im Schultcr-
gelenk zu erreichen. Sie beugt zu diesem Zweck den Oberkorper nach links und wirft
gewissermaBen den gcstreckten Arm mit einem Ruck in die extreme Elevationsstellung.
Dieselbe Bewegung langsam und fein abgestuft auszufiihren, ist ihr nicht moglich; der
Aufforderung, den Arm wieder zu senken, kann sie wegen der inzwischen eingetretenen
Spasmen und unwillkurlichen Bewegungen nicht nachkommen; erst in der darauf-
folgendcn Erschlaffungsphase fallt der Arm infolgc seiner Schwere kraftlos herunter.
Ist der Oberarm zufallig iiber die Horizontale erhoben, so kommt es hier und da
vor, daB eine Erschlaffung der Strecker des Vorderarms eintritt und dieser rein seiner
Schwere folgend in Beugestellung fallt. Dadurch kann, wenn eine entsprechende Auf¬
forderung vorausgegangen ist, eine Willkiirbewegung vorgetauscht werden. Der rechte
Arm ist also im Ellbogen-, Handgelenk und in den Fingergelenken aktiv vollkommen
HE RBERT GRAN ER._
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1912.
POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN.
12 I
unbeweglich. Dagegen ist zu bemerken, daB bei aktiven Bewegungen mit dem gesunden
linken Arm im rechten zuweilen Andeutungcn von Mitbewegu ngen zu beobachten
sind. Fordert man das Kind auf, den linken Arm zu beugen oder eine Faust zu machen,
so trcten hier und da, aber nicht regelmaBig links dieselben Bewegungen unwillkiirlich
auf. Beim Gehen werden die Bewegungen im Arm starker.
Die mechanische Muskelerregbarkeit fehlt am rechten Arm, die Sehnen- und
Periostreflexe sind nicht auszulosen.
Die linke obere Extremitat ist in normaler Starke entwickelt, zeigt gutc aktive
Beweglichkeit und entsprechende normale Kraft. Der Muskeltonus und die Reflexe
sind normal.
Die Muskeln des Sta m ms sind frei von unwillkiirlichen Bewegungen mit Ausnahme
Abb. 4. Abb. 5.
des rechten Trapezius, der sich in unregelmaBigen Pausen kontrahiert und dann als deut-
lich sicht- und fuhlbarer Wulst hervortritt. Die Gegend des Pectoralis maior ist rechts
flacher als links, der Muskel scheint auch auf Beklopfen weniger erregbar zu sein. Beim
Aufrichten aus liegender Stellung spannt sich die linke Bauchmuskulatur zeitlich etwas
vor der rechten an. Die Bauchdeckenreflexe sind beiderscits in gleicher Starke vorhanden,
die oberen lebhafter als die unteren. Nach mehrmaliger Priifung sind sie jedoch nicht
mehr auszulosen; sie erschopfen sich also rasch.
Untere Extremitaten: Das rechte Bein ist deutlich diinner und muskel-
schwacher als das linke. Die Entfernung von der Spina iliaca anterior superior bis zum
Kniegelenksspalt betragt beiderseits 38 cm, von da bis zum auBcren Knochel links
33 cm, rechts 32 cm. Der Wadenumfang ist, an svmmetrischen Stellen gemessen, links
23 cm, rechts 21,5 cm. Die Oberschenkel zeigen keine Differenz. Am rechten Bein
besteht eine deutliche Adductorencontractur mittleren Grades. Das Kniegelenk be-
findet sich in leichter Beugestellung und zeigt starke Spasmen. Der FuB steht in hoch-
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.22 HERBERT GRANER. U^U****,
gradiger Klump- und Spit/fu6stellung, die Zchen sind mcist plantar flectiert (Abb. i—5).
Das rechte Bein fuhlt sich etwas kiihler an, als das linke, und ist leicht cyanotisch.
Auch an der unteren Extremitat sind auf der rechten Seite unfreiwillige Bewegun-
gcn analog denen des Armes zu beobachten, nur sind sie hier weniger ausgiebig und er-
folgen langsamer und in geringercr Haufigkeit. Wie am Arm losen sich die wahrend
der Bcwegungsdauer bestehcnden Spasmen in der ruhigen Phase und das Bein kehrt
in seine normale Stcllung und Lage zuriick. Nur ist ein sjxjntaner Ausgleich der Varus-
stellung schr seltcn zu beobachten. Doch gclingt es wahrend der schlaffen Periode leicht,
den KlumpfuB zu rcdressieren; sobald aber die Spasmen einsetzen, ist sofort wieder die
alte Stellung vorhanden. Der SpitzfuB ist vvegen dauernder Verkiirzung der Achilles-
sehnc nicht rcdressierbar.
Die Bewegungsstorung ist vorwiegend
im FuBgelenk und in den Zehengelenken,
vor allem denen der GroBzehe lokalisiert.
Die Grundphalanx derselben ist meLst, wie
beim Babinskischen Zeichen, steil nach
oben gerichtet, die Endphalanx horizontal,
so daB eine Hammerform entsteht.
Die aktive Bewegungsfahigkeit ist im
rechten Bein in hoherem MaBc vorhanden
als im Arm, al>er durch die auftretenden
Spasmen und die Bewegungsunruhe crheb-
lich beschrankt. Moglich ist Beugung und
Streckung im Hiift- und Kniegelenk, in
sehr geringem Umfang Abduction und Ad¬
duction im Hiiftgelenk. Vollig unbeweg-
lich ist das FuBgelenk. Die Zehen konnen
wiederum in beschranktem MaBe gebeugt
und gestreckt werden, am wenigsten die
groBe Zehe.
Eigentiimlich ist der Gang (siehe Abb.
6—8) des Madchens. Tanks tritt sie mit
der ganzcn Sohle gut auf, rechts dagegen
infolge des hochgradigen Pes cquino-varus
mit dem FiiBriicken. Sobald sie nun den
FuB vom Boden hebt, tritt eine so starkc
rasche Flexion im Kniegelenk auf, daB
der FuB bis in die Nalie der Glutaal-
gegend gelangt. Es folgt dann eine Ein-
wartsrotation und Adduction des Beins
(Adductorenspasmus); der FuB wird nun
an der llinter- und Innenseite des linken Oberschenkels vorbei nach vorn gezogen
und mit krampfhafter ausfahrender Bewegung wieder auf dem Boden aufgesetzt.
Das linke Bein ist wahrenddessen immcr im Knie etwas eingeknickt. Auf diese Art ist
die Kranke imstande, ohne Unterstiitzung kiirzere Strecken zu gehen. Am meisten ist
sie beim Gehen dadurch belastigt, daB die athetotischen Bewegungen analog dem Hemi-
ballismus im Arm infolge der allgemeinen Anstrengung sich verstarken und fortwahrend *
Kotationsbewegungen in der rechten Schulter auftreten.
Die Patellarsehnenreflexe sind beiderseits lebhaft; bei der ersten Untersuchung
war rechts eine deutliche Steigerung zu konstatieren, spater nicht mehr.
Die Sensibilitat ist fur alle Qualitaten intakt. Auch die Tiefensensibilitat weist,
soweit sie zu priifen ist, keine Storungen auf. Blase und Mastdarm sind in Ordnung.
Eine cingehende elektrische Untersuchung ergab folgendes Resultat: Die faradische
Erregbarkeit der Nerven und der Muskeln ist an der rechten oberen Extremitat gegen-
iil>er der linken nicht hcrabgcsetzt. Dasselbc gilt fur die galvanische Frregbarkeit im
Abb. 6.
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1912.
POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUXGEN
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12 4 HERBE RT GRANER . _
kommen unbeweglich. Die psychische Labilitat des Kindes schien etwas zugenommen
zu haben.
Zusammenfassung: Bei einem bis dahin vollstandig gesunden und kraf-
tigen Madchen entstand im 4. Lebensjahr im AnschluB an eine schwere Scarlatina,
mit der eine Nierenentziindung verbunden war, iiber Nacht eine rechtsseitige Hemi-
plegie. Arm und Bein waren vollstandig gelahmt, in leichterem Grad auch der
untere Facialisast und der Hypoglossus. Der Gang gewann spastisch paretischen
Charakter; die Sensibilitat war ungestort. Schmerzen bestanden nicht. Der rechte
Arm blieb in der Folgezeit gelahmt und unbrauchbar, das Bein dagegen erlangte
bald wieder eine gewisse Beweglichkeit.
Xachdem etwa 3—4jahre lang die Lah-
mung ziemlich unverandert bestanden
hatte, begannen im rechten Arm und
zu gleicher Zut auch im rechten Bein
sichunwillkiirliche Bew gungen einzustel-
len, die nach der Schilderung der Eltern
von Anfang an durchaus den in der Kli-
nik beobacbteten glichen und die im
Laufe der Zeit langsam an Starke zu-
nahmen. Am rechten FuB hjldete sich
allmahlich eine zunehmende KlumpfuB-
SpitzfuBstellung aus. Die bis dahin leid-
liche Gehfahigkeit nahm immer mehr ab.
so daB etwa 3 4 Jahre vor Aufnahme in
die Klinik die oben beschriebene Gang-
storung ausgebildet war.
Bei der Aufnahme zeigt die rechte
obere Extremitat in ihren distalen Tei-
len geringe Verkiirzung und Muskel-
atrophie, die aber nicht mit Entartungs-
reaktion verbunden ist. Etwa dieselben
Verhaltnisse bestehen an der gleichsei-
tigen unteren Extremitat. An diesen bei-
den Gliedern finden sich in alien Gelen-
ken unwillkiirliche Bewegungen, die in fast ununterbrochenem Spiel vor sich
gehen; nur das Hiiftgelenk bleibt von ihnen verschont. Am ausgiebigsten und
mannigfaltigsten sind sie in den distalen Partien der Glieder. Ihr Charakter ist
langsam, kriechend, windend, nur im Schultergelenk zuweilen auch schleudemd.
Psychischen Einfliissen sind sie in gewissem Grade unterworfen; sie ver-
starken sich bei gemiitlicher Erregung. Auch bei korperlicher Tatigkeit nehmen sie
an Intensitat zu, werden z. B. beim Gehen im Arm derart storend, daB das Kind
den rechten Arm festhalten muB, um nicht aus dem Gleichgewicht zu kommen.
Fur den Willen sind sie dauernd unbeeinfluBbar und auch im Schlafe gehen sie
weiter, wenigstens soweit sie im Arm lokalisiert sind. Gleichzeitig mit diesen Be¬
wegungen breiten sich in den entsprechenden Muskelgebieten Spasmen aus, die
wahrend der ganzen Bcwegungsphase anhalten, zu vorubergehenden, fortwahrend
Abb. 8.
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125
POST HEM IPLEGISC H E BKWEGUNGSSTOR UNGEN.
wechselnden Kontrakturen fiihren und ebenso langsam, wie sie gekommen, wieder
verschwinden, wenn das Glied zur Ruhe gekommen ist. In den ruhigen und spasmen-
freien Pausen befindet sich die Muskulatur im Zustand vollkommener Schlaffheit.
Mit Ausnahme des FuBgelenks, das vollig fixiert ist, ist die aktive Beweglichkeit
im rechten Bein verhaltnismaBig gut. Im Arm ist sie dagegen ganz erheblich ein-
geschrankt, ja sie war zeitweise vollig aufgehoben. So konnte in der ersten Zeit
nach der Aufnahme eine einigermaBen fein abgestufte Bewegung iiberhaupt nicht
ausgefuhrt werden. Es gelang der Kranken nur in einer Bewegungspause den ge-
streckten Arm durch Ruckwartsbeugen des Rumpfes rasch und ruckartig in Ele-
vationssteliung zu bringen. Den erhobenen Arm wieder zu senken war ihr unmog-
lich, da sofort Spasmen und Spontanbewegungen einsetzten; erst wenn diese nach-
lieBen, fiel der Arm von selbst wieder schlaff herunter. Etwa */* Jahr nach der
ersten Untersuchung war aber eine erhebliche Besserung der Willkiirbewegungen
zu konstatieren. Das Kind vermag jetzt hie und da eine, wenn auch kraftlose Beu-
gung und Streckung im Ellbogengelenk auszufiihren und auch das Schultergelenk
ist aktiv entschieden besser beweglich.
Die Sehnenreflexe konnen am rechten Arm nicht ausgeldst werden; am rechten
Bein sind sie in normaler Starke vorhanden. Die linke Korperseite bietet vollstandig
normale Verhaltnisse. Psychisch ist auBer einer gewissen Stimmungslabilitat nichts
Krankhaftes zu bemerken.
Irgendwelche Zeichen, die auf Epilepsie hindeuten wurden, sind nicht nach-
weisbar.
Epikrise: Nach der Entstehungsgeschichte der Erkrankung und dem kli-
nischen Bilde, wie es sich bei der Untersuchung darbot, handelt es sich um eine
im Kindesalter aufgetretene Hemiplegie, die ihrem ganzen Charakter nach nur eine
cerebrate sein kann. (Die in unserem Fall vorhandene geringe Verkurzung und
Muskelatrophie an den rechten Extremitaten sind noch durchaus innerhalb der
Grenzen, wie sie bei cerebralen Lahmungen gewohnlich vorkommen.)
Intermittierende Spasmen imd unwillkiirliche Bewegungen schlieBen sich be-
kanntlich mit Vorliebe an cerebrate Lahmungen des Kindesalters an, ja sie bilden,
wenn sie im AnschluB an eine Halbseitenlahmung im Kindesalter aufgetreten sind,
ein untriigliches Zeichen fur die cerebrale Natur derselben. Es handelt sich also
in unserem Fall um eine Hemiplegia spastica infantilis. Die Ursache der¬
selben diirfen wir wohl in encephalitischen Prozessen suchen, wie sie haufig bei
akuten Infektionskrankheiten des Kindesalters beobachtet werden. Auch bei
unserer Patientin horen wir in der Anamnese von einer solchen Erkrankung: die
Lahmung ist bei ihr unmittelbar nach Scharlach aufgetreten, der von einer Nieren-
entzundung begleitet war. Gerade in dieser Komplikation sieht Freud ein wesent-
liches unterstiitzendes Moment, das die Ubertragung der Infektion aufs Gehira
begiinstigen soli. Endokarditische Erscheinungen, denen Freud die gleiche Rolle
zuschreibt, waren nicht naChzuweisen und auch anamnestisch lieBen sich keine An-
gaben erhalten, die auf eine Affektion des Herzens hinwiesen.
Im Vordergrund der klinischen Erscheinungen stehen ohne Frage die un will-
kiirlichen Bewegungen von athetotischem Charakter. Sie beherrschen das
ganze Krankheitsbild. Wir finden bekanntlich nach Hemiplegien vor allem zwei
Formen von Bewegungsstorung, die besonders haufig im jugendlichen Alter lx-
Jouriml ftjr Ptychologie und Neurologic. Bd. 19 .
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126
HERBERT GRANER.
Journal f. Piycboloyie
und Naurologja.
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obachtet werden, aber keineswegs nur an dieses gebunden sind, die Hemichorea und
die Hemiathetose. Beide haben seit langen Jahren das Interesse der Forscher auf
sich gelenkt; doch ist trotz eingehender Beobachtungen und vielfacher Bearbeitung
bis heute weder iiber die klinischen Symptome noch liber die anatomische Grund-
lage der beiden Erkrankungen eine vollige Einigung erzielt. Die neueste Arbeit
auf diesem Gebiet ist eine vor kurzem erschienene Abhandlung von Schilder, der
im AnschluB an eigene Beobachtungen die ganze Literatur zusammengestellt pnd
kritisch bearbeitet hat. Er kommt auf Grund seiner Studien zu dem SchluB, daB
Chorea und Athetose „nur Symptomengruppen auf dem Gebiete der Motilitat“
sind und daB Obergange aller Art zwischen ihnen vorkommen.
Nach einer von ihm gegebenen Zusammenstellung der Hauptunterscheidungs-
merkmale typischer Formen besteht bei der Hemichorea eine gewisse einformige
Wiederholung nur einzelner weniger, sich stets gleichbleibender Bewegungen, die
rasch und bhtzartig ablaufen, wie sie uns von der Chorea minor bekannt sind.
Femer geht die Hemichorea mit Hypotonie der Muskulatur einher. Im Gegensatz
dazu verlaufen die athetotischen Bewegungen langsam und sind einem fortwahren-
den Wechsel unterworfen, derart, daB ein flieBender tlbergang aus einer abnormen
Stellung in die andere stattfindet. Das ausschlaggebende Merkmal der Athetose
aber ist ein eigentiimliches Verhalten des Muskeltonus wahrend der Bewegungen,
das man als Spasmus mobilis zu bezeichnen pflegt.
Unsere Kranke zeigt Bewegungen, die von ihr willkiirlich nicht beeinfluBt
werden konnen und die am mannigfaltigsten und ausgiebigsten an den distalen
Teilen der Glieder auftreten; hierbei ist allerdings zu bemerken, daB das Cberwiegen
von Hand- und Fingerbewegungen bei der letzten Untersuchung nicht mehr so
ausgesprochen war. Die Unruhe im Arm dauert auch wahrend des Schlafs an, so
daB die Kranke gezwungen ist, sich auf den Arm zu legen, um Ruhe zu bekommen;
Sensibilitatsstorungen etwa in Form einer Hemianasthesie fehlen ganz. Endlich
ist der Muskeltonus an den betroffenen Gliedem ein wechselnder. Wahrend der Be¬
wegungen schleichen sich langsam bald in diesem, bald in jenem Muskelgebiet Spas-
men ein, die allmahlich zu hochgradiger Steifheit fiihren, dann wieder nach und
nach abklingen, also eine typische Form von Spasmus mobilis darstellen. Da
liier keine dauemde oder auch nur langere Zeit anhaltende Kontraktur entsteht,
sondern die Spannungszustande in den einzelnen Muskeln fortwahrend wechseln und
infolgedessen ein fortgesetzter Ubergang einer Kontrakturstellung in die andere
stattfindet, so handelt es sich wohl um die Art von Spasmus mobilis, die von Mo¬
na kow als dynamische Contractur bezeichnet.
Fassen wir alle diese Symptome zusammen, so hatten wir also fast einen Schul-
fall von Athetose vor uns. Allerdings paBt zum typischen Bild dcsselben nicht die
in den spasmenfreien Zeiten bestehende Hypotonie, die, wie erwahnt, von Bo nr
hof fer und Schilder als Charakteristikum der Chorea bezeichnet wird. AuBerdem
bestehen in Ellbogen- und Schultergelenk neben den langsamen auch noch
schneller verlaufende Bewegungen, die dem KuBmaulschen Hemiballis-
m us enlsprechen. Ihr rascher Ablauf und ihre Lokalisation in den proximalen Ge-
ienken kennzeichnen sie eher als choreatische Bewegungsstorungen. Trotzdem
glaube ich aber, die Diagnose Hemiathetosis posthemiplegica mit Sicherheit stellen
zu diirfen, da von Mona kow auch bei sonst typischer Athetose Hypotonie gesehen
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Bl>. 19, HEFT 2/3
1912.
POSTHEM IPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN. 127
hat und da sich nach Greidenberg die Athetose zwar im allgemeinen in den Finger-
und Zehengelenken abspielt, aber zuweilen doch auch ganze Extremitaten ergreift
und mit raschen, zuckenden Bewegungen einhergeht. Endlich aber werden auch
sonst in der Literatur Falle mit Spasmus mobilis als Athetose bezeichnet.
Eine Krankheitserscheinung, die aus den geschilderten Bewegungen nicht
ohne weiteres verstandlich ist, stellt der eigentiimliche Gang des Kindes dar. Das
Zustandekommen desselben darf man sich vielleicht auf folgende Art erklaren.
Sobald die Kranke zum Schritt ausholen will und, um den FuB vom Boden weg-
zubringen, den rechten Oberschenkel in der Hiifte beugt, setzt in den Unterschenkel-
beugem spastische Athetose ein. Dadurch wird der Unterschenkel so stark gebeugt,
daB der FuB bis in die Hohe der Glutaalfalte gelangt. Um ihn nach vome zu be-
kommen, muB ihn die Kranke am linken Oberschenkel vorbeifiihren, was einerseits
wegen der bestehenden rechtsseitigen Adductorencontractur, andererseits wegen
der KlumpfuBstellung mit Schwierigkeiten verkniipft ist. Um diese zu iiberwinden,
macht sie mit dem Oberkorper eine halbe Drehung nach links; das linke Bein bleibt
dabei unverandert stehen und ist mm im Verhaltnis zur Stellung des Rumpfes ein-
warts rotiert. Dadurch sind giinstigere Verhaltnisse geschaffen und es gelingt nun
dem Kind leichter, den FuB nach vome zu ziehen. Ist diese Bewegung durch ver-
starkte Beugung des Oberschenkels in der Hiifte gelungen, so lassen die Spasmen
in den Kniebeugern nach, der Unterschenkel wird mit ausfahrender Bewegung nach
vome geworfen und dann der FuB — mit dem FuBriicken — aufgesetzt.
Von besonderem Interesse ist das zeitliche Verhaltnis zwischen dem Einsetzen
der Athetose und dem Beginn der Lahmung; nach der allgemein herrschenden An-
sicht pflegen sich posthemiplegische Bewegungsstdrungen erst einzustellen, wenn
das aktive Bewegungsvermogen wieder einigermaBen zuriickgekehrt ist. So schreibt
z. B. Oppenheim in seinem Lehrbuch fiir Nervenkrankheiten, daB die Athetose
sich der Hemiplegie gewohnlich erst dann zugeselle, wenn die wiUkiirliche Beweg-
lichkeit teilweise wieder hergestellt ist. Noch weiter geht Greidenberg. Nach
ihm wird eine motorische Stoning im engeren Sinn des Wortes gewohnlich in dem
Stadium der Hemiplegie beobachtet, wenn die Contracturen in den gelahmten Glie-
dem ein wenig nachlassen und die aktive Beweglichkeit sich allmahlich einstellt
— also 2—6 Monate nach Beginn der Erkrankung. Die angegebenen zwei Bedin-
gungen: unvollstandige Contracturen und eine gewisse wiedergewonnene aktive
Motilitat halt er fur eine conditio sine qua non fiir die Moglichkeit einer Entwick-
lung choreatischer Stdrungen, und zwar entwickelt sich nach seiner Auffassung die
Hemichorea allmahlich und parallel mit der Wiederherstellung der Beweglichkeit.
Auch Bonhoffer steht auf ahnlichem Standpunkt. Er ist der Ansicht, daB
bei totaler Hemiplegie niemals choreatische Bewegungen zu konstatieren seien.
Bei subcorticaler Lasion der Pyramidenbahn treten sie immer erst dann ein, wenn
sich eine gewisse Restitution der Willkiirbewegungen eingestellt habe. Eine ge¬
wisse FUnktionstiichtigkeit der Pyramidenbahn sei also wohl die Voraussetzung
fiir die Entstehung einer Hemichorea.
v. Sarbo demonstrierte 1906 im Budapester Arzteverein einen Fall von Athe¬
tose nach rasch zuriickgegangener rechtsseitiger Hemiplegie und fiihrt ihn als Be-
weis dafiir an, daB Athetose zumeist dann auftrete, wenn die Lahmungserscheinungen
schwach ausgebildet gewesen seien oder sich rasch zuriickgebildet haben.
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128 HERBERT GRANER. Journal f. ftychologie
__ _ unci Nenrolofie.
Bci der Untersuchung einer groBen Anzahl von Kindem mit cerebraler Hemi¬
plegic hat Stern gefunden, daB in den Fallen, die tatsachlich athetotische Bewegun-
gen zeigten, vielfach nur cine maBig starke Parese vorhanden, nur selten ein hoherer
Grad von Lahmung nachweisbar war. Diesem Untersuchungsergebnis ist eine kleine
Statistik Ixigc geben, in der festgestellt wird, in wie vielen Fallen die Beweglichkeit
der vin/.elnen Gelenke frei, bcschrankt oder aufgehoben war. Leider ist aus der Zu-
sammenstellung der Grad der Paresen in den einzelnen Fallen nicht deutlich zu
crsehen.
In unserem Falle ist die aktive Bewegungsfahigkeit nur eine sehr geringe
und bleibt liinter dem, was die genannten Autoren verlangen, weit
zuriick. Bei Beginn der Beobachtung, 6—7 Jahre nach Eintritt der Lahmung,
fanden wir das rechte Hiiftgelenk, abgesehen von der durch die Adductorencontractur
bedingten Behindemng, frei heweglich; im Kniegelenk und in den Gelenken der
Zchen war die Motilitiit leicht bcschrankt; im FuBgelenk konnte iiberhaupt keine
Bewegung ausgefiihrt werden. Der rechte Arm erwies sich so gut wie vollig unbeweg-
lich, was durch cingehende, vielfach wiederholte Priifung festgestellt wurde. Bei
einer Nachuntersuchung, die 4 Monate spater stattfand, ergab sich die merkwiirdige
Tatsache, daB an der oberen Extrcmitat nicht nur in den athetotischen Bewegungen
eine Anderung eingetreten, sondern auch die aktive Beweglichkeit wesentlich bess i r
geworden war: es fand sich ziemlich ausgiebige Bewegungsfreiheit im Schultergelenk
und auch im Ellbogengelenk konnten in geringem Umfang Beugung und Streckung
des Vorderarms ausgefiihrt werden. Hand und Finger waren nach wie vor
aktiv ganz unbeweglich. In einein Stadium, in dem der Arm so gut wie vollig
gelahmt war, zeigte dieser also einen ganz erheblichen Grad von Athetose und zwar
am ausgesprochensten in denjenigen Gliedabschnitten, die dem Willen absolut ent-
zogen waren. Als sich die Lahmung im Verlauf von einigen Monaten zuriickgebildet
hatte, war keinerlei Zunahme der Bewegungsstorung eingetreten, es war im Gegen-
teil eine Abnahme derselben zu konstatieren. Nach der von den genannten Autoren
aufgestellten Theorie ware aber ein umgekehrtes Verhalten zu erwarten gewesen:
im Beginn, entsprechend dem hohen Grad der Lahmung ein geringer Grad und
spater, nach Besserung der Parese ein stiirkeres Hervortreten der athetotischen
Bewegungen.
Leider ist ein exakter Vergleich unseres Falles mit den in der Literatur be-
schriebenen Fallen nicht moglich, da auf die Frage der aktiven Motilitat von den
Autoren nie naher eingegangen wird. Der einzige, der exaktere Angaben macht,
ist Stern, aber auch diese sind aus dem oben angefuhrten Grand zum Vergleich
nicht ausreichend.
In Anbetracht der dargelegten Verhaltnisse muB jedenfalls so viel als sicher
angesehcn werden, daB Athetose auch ohne nennenswerte willkurlicke
Beweglichkeit in den befallenen Gliedern auftreten und lange be-
stchen kann und daB der Grad der Athetose durchaus nicht dem des
aktiven Bewegungsvermogens entsprechen muB.
Die Frage der anatomischen Lokalisation der athetotischen und chorea-
tischen Bewegungsstorung hat zwar in den letzten Jahren eine wesentliche Forde-
rung erfahren. Trotzdem diirfte es heute noch nicht moglich sein, aus einem rein
klinischen Be fund sichere Schliisse zu ziehen, wo die die Bewegungsstorung ver-
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BD. 19. HEFT 2/3
1912.
POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN.
129
ursachende anatomische Lasion ihren Sitz hat. Wir wollen versuchen, wenigstens
vermutungsweise die in unserem Fall vorhandenen Symptome in lokalisatorischem
Sinne zu deuten.
Zu diesem Zweck mtissen die hauptsachlichsten Theorien iiber das Zustande-
kommen der posthemiplegischen Bewegungsstorungen kurz erwahnt werden.
Die Kahler - Picksche Lehre, die eine dauerade Reizung der Pyramidenbahn
durch Herde in ihrer Nachbarschaft annahm, ist heute ziemlich allgemein verlassen;
ein naheres Eingehen auf sie eriibrigt sich wohl.
Anton nimmt an, daB beim gesunden Menschen die groBen basalen Ganglien
derart zusammenwirken, daB der Linsenkem hemmend auf die Bewegungsimpulse
einwirkt, die vom Thalamus opticus ausgehen. Wenn nun durch irgend ein scha-
digendes Moment das funktionelle Zusammenwirken dieser beiden subcorticalen
motorischen Zentren eine Stoning erfahrt, so resultiert daraus eine Bewegungs-
storang vom Charakter der Hemichorea bzw. Athetose.
von Monakow vertritt die Ansicht, daB eine dauerade Reizung zentripetaler
Faserziige, die vom Thalamus opticus und vom Zwischenhim nach der motorischen
Gegend der GroBhimrinde ziehen, und eine dadurch bedingte veranderte Tatigkeit
der letzteren als Ursache anzusehen ist.
Muratow unterscheidet Zwangsbewegungen im weiteren Sinn, worunter er
protrahierte, corticale Krampfe versteht, und solche im engeren Sinne, wie er
Choreaund Athetose bezeichnet. Die ersteren entstehen durch konstante Rin-
denreizung im motorischen Gebiet, die letzteren sind die Folge einer Gleich-
gewichtsstorang in der Funktion der basalen Ganglien einer- und der des Klein-
hims andererseits.
Bonhoffer endlich fuhrt die Entstehung der Storung auf einen Ausfall bzw.
eine Anderung der Erregung zuriick, die die GroBhimrinde vom Kleinhira empfangt.
Den Grand dafiir sieht er in einer Unterbrechung der Bindearm-Roter-Kern-Hauben-
strahlung, die nach seiner Ansicht bei alien zur Sektion gekommenen und einiger-
mafien genau untersuchten Chorea- und Athetosefallen an irgend einer Stelle ge-
schadigt gefunden wurde. Am plausibelsten erscheint ihm folgende Erklarang: Da
der Weg vom Kleinhim nach der GroBhimrinde ganz oder teilweise abgeschnitten
ist, erreichen die zentripetalen Erregungen nur zum Teil die Rinde, zum anderen
Teil gehen sie, durch eine Art von ,,KurzschluB“ in den Ganglien der Haube, direkt
auf die dort abgehenden zentrifugalen motorischen Bahnen iiber und gaben so
AnlaB zu automatischen Bewegungen; diese konnen je nach Art und Ausdehnung
der Lasion verschieden sein.
Im AnschluB an diese Theorien erwahne ich noch die gewissermaBen vermittelnde
Darstellung, die Oppenheim von der anatomischen Grandlage der Chorea und
Athetose gibt. Er nimmt an, daB der Thalamus opticus automatische Bewegungs-
zentren enthalt, die auf direktem oder indirektem Wege in Reizung versetzt werden,
erstens durch kleine Thalamusherde, zweitens durch Herde, die in der Bindearmbahn
ihren Sitz haben und die sensiblen Bahnen zu den Thalamuszentren schadigen,
drittens kann nach seiner Ansicht besonders im Kindesalter Chorea und Athetose
hervorgerafen werden durch Krankheitsherde, die die motorische Rinde dauernd
ausschalten; dadurch erlangen die subcorticalen Zentren eine ubermaBige Selb-
standigkeit in der Auslosung imwillkurlicher Bewegungen.
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130
HERBERT GRANER.
Journal f. Psycbolofie
_ und N eurologic.
Eine derartige Selbstandigkeit der basalen Ganglien ist allerdings bei Tieren,
z. B. Affen und Hunden, experimentell nachgewiesen, doch herrscht iiber diese
Verhaltnisse beim Menschen noch nicht geniigend Klarheit. Jedenfalls ist beim
Menschen nach Schilder die Bedeutung der subcorticalen, motorischen Zentren
geringer als fur das Tier. Es ware aber wohl denkbar, daB sie im Kindesalter noch
selbstandiger sind, als spater. Anton und mit ihm andere Autoren fassen die
choreiformen Bewegungen des Neugeborenen als subcortical ausgeldste Bewegungs-
formen auf.
Der Grund, daB iiber den Mechanismus und die Ursache relativ eindeutiger
Krankheitssymptome, wie sie Chorea und Athetose darstellen, derartig verschiedene
Theorien einander gegeniiberstehen, ist darin zu suchen, daB bei den Fallen, die zur
Obduktion kamen, recht verschiedenartige Befunde erhoben worden sind: Herde
im Thalamus opticus, im Linsenkem, im roten Kern, im Bindearm und im Klein-
him. Fast allgemein anerkannt ist nur, daB bei Herderkrankungen der Zentral-
windung keine hemichoreatischen und athetotischen Storungen vorkommen. Die
Zwangsbewegungen bei Rindenlasionen haben einen anderen Charakter und gehen
gewohnlich mit Rindenepilepsie einher, die nach Muratow bei Chorea posthemi-
plegica und Athetose nie beobachtet wird.
In der Mehrzahl der anatomisch untersuchten Falle war der Thalamus opticus
Sitz der Lasion, die fur die Bewegungsstorung verantwortlich zu machen war. Nach
Bonhoffer ist dazu aber noch erforderlich, daB auch die Regio subthalamica mit-
ladiert ist. Dehnt sich solch ein Herd, fur dessen Sitz der hintere und seitliche Teil
des Thalamus in Frage kommt, noch weiter lateralwarts aus, so schadigt er die
innere Kapsel und kann die Ursache einer Hemiplegie werden.
Bindearmherde gehen, wegen der Nachbarschaft der Schleife, gern mit Hemi-
anasthesie einher und konnen, wenn die Pyramidenbahn mitbetroffen ist, auch
motorische Lahmung verursachen.
Betrifft die Lasion die Gegend des Nucleus ruber, so sind die Zwangsbewegungen
mit Oculomotoriuslahmung auf der gegeniiberliegenden Seite kombiniert.
Herde im Kleinhim, die dann auf derselben Seite wie die unwillkurlichen Be¬
wegungen lokalisiert sind, verursachen keine motorischen oder sensiblen Lahmungen,
sind aber in den meisten Fallen mit Gleichgewichtsstorungen und Ataxie verbunden.
In den bisher genannten Fallen betraf die Schadigung immer das Kleinhim-
Thalamussystem; diese Lokalisation ist als Quelle posthemiplegischer Bewegungs-
storungen durchweg anerkannt.
Dagegen haben Linsenkemherde als Urheber von Athetose und Chorea noch
nicht allgemeine Zustimmung gefunden. Von den anatomischen Befunden, die
dieser Annahme als Grundlage dienen, ist der Fall Berger eine echte Hemiathetosis
posthemiplegica mit einem Herd, der den hinteren Teil des Linsenkems fast ganz
zerstort und die innere Kapsel in Mitleidenschaft gezogen hat. Dieser Fall wird
jedoch nicht als beweiskraftig angesehen, weil genaue Angaben iiber den Zustand
der Regio subthalamica fehlen.
Bei dem Fall Steinberg von Freund - C. Vogt, der klinisch als spastische
Diplegie bezeichnet wird und geringe doppelseitige Athetose zeigte, fand sich ana¬
tomisch Atrophie und „Etat marbr£“ im groBeren Teil des Nucleus caudatus und
des Putamcs.
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BD * l9 iAuP T 2/3 POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN. 131
Den Fall Wiemer von O ppe nheim, 2 Falle von Barr6 und einen von Anton,
bei denen ebenfalls anatomisch ein Etat marbr6 im Corpus striatum gefunden wurde,
rechnet C. Vogt unter das „syndr6me du corps stri6", das durch einen bestimmten
klinischen Symptomenkomplex charakterisiert ist: Spasmen ohne Lahmungserschei-
nungen, mehr Oder weniger stark ausgesprochene doppelseitige athetotische Be-
wegungen, rhythmische Zuckungen, Mitbewegungen, Zwangslachen, Zwangsweinen,
vollkommenes Fehlen von Sensibilitats- und Intelligenzstorangen.
Auf Grand dieser Falle, sowie zweier Mitteilungen von Fischer und L a n d o u zy
halt Schilder das Auftreten von Chorea und Athetose bei Linsenkemherden fiir
moglich.
Vergegenwartigen wir ims nun in unserem eigenen Fall nochmal die Symptome,
die fiir die Lokalisation des Krankheitsherdes in Betracht kommen. Wir haben eine
rechtsseitige spastische Hemiplegie ohne Sensibilitatsstorang; im Bereich der teils
ganz gelahmten, teils nur paretischen Glieder bestehen athetotische Bewegungen;
wahrend derselben zeigen die betreffenden Muskeln mobile Spasmen, in den Ruhe-
pausen Hypotonie.
Einen Rindenherd in der Gegend der linken vorderen Zentralwindung konnen
wir als Urheber der Hemiplegie ausschalten; abgesehen davon, daB Reizerschei-
nungen corticaler Natur im Krankhettsbild von Anfang an und dauernd fehlten,
ist der Typus der.corticalen Lahmung die Monoplegie; bei einer fast vollkommenen
halbseitigen Lahmung miiBte man einen Herd von sehr erheblicher Ausdehnung
annehmen. Auch sind ja, wie schon oben erwahnt, bei rein corticalen Herden nie-
mals posthemiplegische Storangen vom Charakter der Chorea und Athetose beob-
achtet worden.
Der Ort der Lasion muB demnach subcortical gesucht werden; wenn wir einen
Kapselherd annehmen, so miiBte der mutmaBliche ProzeB, da neben der Lahmung
von Arm und Bein auch leichte Facialis- und Hypoglossusparese vorhanden ist,
die Gegend des Knies und den vorderen Abschnitt des hinteren Schenkels betroffen
haben; der hintere Anteil desselben miiBte, da die Sensibilitat intakt ist, als frei
angesehen werden. Es ist bekannt, daB schon Charcot die Meinung aussprach,
Chorea und Athetose entstehen durch Lasion eines im hinteren Schenkel der inneren
Kapsel verlaufenden Faserzuges.
Ein Sitz des Herdes im Himschenkel oder in der Briicke ist unwahrscheinlich,
da keine Symptome gekreuzter Hemiplegie vorhanden sind.
Da bei unserer Kranken die athetotischen Bewegungen im Vordergrand stehen,
so gilt es in erster Linie, fiir deren Entstehung eine ausreichende Erklarang zu
finden. Wir haben oben erwahnt, daB die Lokalisation im Kleinhim-Thalamus-
system allgemeine Anerkennung gefunden hat; es ist also das nachstliegende, auch
im vorliegenden Fall eine Lasion in diesem Bereich anzunehmen. Ein Symptom,
das in dieser Richtung Verwendung finden konnte, ist die schon mehrfach erwahnte
Muskelhypotonie. Eine Herabsetzung des Muskeltonus in Fallen cerebraler Er-
krankung ist bei Lasion zentripetaler Bahnen gefunden worden und wird durch
den Ausfall der Reize, die durch die spino-cerebellaren Bahnen zum Kleinhim und
von da iiber den Thalamus nach der GroBhimrinde geleitet werden, erklart. Gegen
einen Sitz im Kleinhim selbst spricht die Schwere der motorischen Lahmung; ein
Herd im Bindearm ist aus gleichem Grande unwahrscheinlich, wenn auch bei der
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Journal f. Payeholofia
and Nanrolofie.
132 HERBERT GRANER.
mangelhaften Symptomatologie dieser Lasion nicht mit voller Sicherheit auszu-
schlieBen. Es bleibt also nur noch das Ende der Bahn iibrig, der Thalamus opticus
bzw. die Regio subthalamica. Da diese Himteile erfahrungsgemaB in sehr vielen
Fallen ladiert gefunden wurden, so bin ich um so mehr geneigt, auch in unserem
Fall eine Schadigung an dieser Stelle als Ursache der Athetose zu yermuten.
Nehmen wir an, daB der mutmaBliche Thalamusherd nicht nur die Regio
subthalamica in Mitleidenschaft gezogen, sondem bei einer Lokalisation im lateralen
Abschnitt des Sehhiigels auch auf den Linsenkem iibergegriffen hat, so haben wir
unter Zugrundelegung der Bonhof ferschen Theorie durch ein und denselben ProzeB
sowohl die Hemiplegie als auch die posthemiplegische Bewegungsstorung erklart.
Durch die Annahme eines derartigen Krankheitsherdes scheint mir, soweit
dies beim gegenwartigen Stand der Symptomatologie von Herderkrankungen des
Gehims moglich ist, das beschriebene klinische Bild am einfachsten zu erklaren
sein.
Und endlich noch einige Worte iiber die Thera pie unseres Falles! Nehmen
wir als Ort der Erkrankung die Gegend des Thalamus opticus an, so liegt auf der
Hand, daB eine operative Inangriffnahme des Herdes bei seinem tiefen Sitz aus-
geschlossen ist.
Die Aussicht auf spontanes Verschwinden der Bewegungsstorungen ist er¬
fahrungsgemaB sehr gering. Falle von Selbstheilung sind allerdings in der Literatur
beschrieben, gehoren aber zu den groBen Seltenheiten.
In seinen „klinischen Studien iiber die Zukunft nervenkranker Kinder" fiihrt
Stern unter 43 Fallen mit posthemiplegischen Bewegungsstorungen 8 an, bei denen
im jugendlichen Alter solche Storungen bestanden, aber zwischen dem 15. und
20. Lebensjahr erloschen. Er halt es fur moglich, „daB manche Kranke erst will-
kiirlich, spater auch ohne bewuBten Willen einen Hemmungsmechanismus dieser
Spontanbewegungen zur Ausbildung bringen" und so zum Verschwinden derselben
beitragen konnen. Voraussetzung fiir diese Moglichkeit ist aber nach Ansicht
Sterns, daB trotz der schweren Schadigung das Gehim iiber einen „hoheren Grad
von Einsicht und Willensvermogen" verfligt. Bei einem geistig regsamen Kinde
ware daher moglicherweise die Aussicht vorhanden, daB die Bewegungen allmahlich
aufhorten und dauemde Contracturen an ihre Stelle traten.
Wenn iiberhaupt ein solcher Heilungsvorgang im Bereich des Moglichen liegt, .
so kann er doch wohl nur fiir solche Falle in Frage kommen, bei denen geniigend
willkurliche Motilitat vorhanden ist und Chorea oder Athetose bloB in geringer
Starke besteht. Wir diirfen also von vomherein bei unserer Kranken von einer
Heilung auf dieser Basis nichts hoffen.
Von nicht zu unterschatzender Bedeutung ist in prognostischer Hinsicht die
Frage nach Idiotie und Epilepsie. Diese Erkrankungen stellen die beiden haufig-
sten und gefiirchtetsten Folgen der cerebralen Kinderlahmung dar.
Nach Fre ud scheint allerdings ein „Vorwiegen der Athetose im Kranklieitsbild
fiir das Auftreten von Epilepsie oder Schwachsinn bei der hemiplegischen Cerebral-
lahmung nicht giinstig zu sein". Zu dieser Anschauung ist er auf Grund eigener
Beobachtungen gelangt und fiihrt auch Belege aus der Literatur dafiir an. Auch
Stern kommt zu einem relativ giinstigen Resultat: er fand unter 43 Athetosefallen
J2mal Epilepsie und I4mal einen hoheren Grad von Schwachsinn.
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BD. 19. HEFT 2/9
1912.
POSTHEMIPLEGISCHE BEWEGUNGSSTORUNGEN.
133
Bei unserer Kranken sind nun trotz fast 7jahrigen Bestehens der Lahmung
auf geistigem Gebiet, abgesehen von einer gewissen psychischen Labilitat, keinerlei
Abnormitaten aufgetreten und es hat sich nichts von epileptischen AnfaUen oder
Aquivalenten gezeigt. Es ist also begriindete Hoffnung. v.orhanden, daB das Kind
dauernd von diesen Folgen verschont bleiben wird, natiirlich kann ein kiinftiges
Auftreten von Epilepsie noch nicht mit voller Sicherheit ausgeschlossen werden;
sie kommt zwar in der Regel innerhalb von 2—3 Jahren nach dem Insult zutage, ihr
erstmaliges Erscheinen ist aber in einzelnen Fallen erst nach 10 und mehr Jahren
beobachtet worden.
Die Therapie der posthemiplegischen Bewegungsstorungen wird in alien Lehr-
biichem und einschlagigen Arbeiten als sehr wenig aussichtsvoll geschildert. Von
einer medikamentosen Behandlung, wie sie friiher geiibt wurde, ist kein wesentlicher
Nutzen zu erwarten. Mit dem galvanischen Strom sollen Besserungen und angeblich
auch schon Heilungen erzielt worden sein; im ganzen wird mit elektrischer Behand¬
lung nicht viel erreicht. In neuerer Zeit sind Versuche gemacht worden, das T)bel
an der Wurzel, im Gehim, anzugreifen: man hat Exstirpationen der GroBhirnrinde
vorgenommen, aber noch keine sicheren Dauererfolge damit erzielt. Dagegen ist
von einer Sehnenplastik, die bei einfacher spastischer Hemiplegie nach den Erfah-
rungen bedeutender Orthopaden zur Besserung der gestorten Funktionen wesent-
lich beitragen kann, auch in bestimmten Fallen posthemiplegischer Bewegungs¬
storungen Gutes zu erwarten. Codivilla beschreibt einen Fall, in dem unwillkiir-
liche spastische Contractionen in den Kniebeugern spontan oder bei Bewegungs-
versuchen eintraten. Apparate, elektrische und gymnastische Behandlung waren
erfolglos: „I1 ne restait plus qu’une tentative, la transplantation des muscles fl£-
chisseurs de la jambe sur les extenseurs, et cette tentative fut compl&tement efficace.
En enlevant l’apparail (26 jours apres Toperation) memes les plus 16 g&res contrac¬
tions n’ont pas 6t6 remarqu£es.“ Auch Wittek hat, veranlaBt durch Codivillas
Veroffentlichung, bei einem analogen Fall diese Operation ausgefiihrt und einen
ahnlichen Erfolg gesehen.
Da unsere Kranke am meisten durch die Gangstorung belastigt war und durch
sie auch in der Offentlichkeit besonders auffiel, war hier vor allem ein therapeutischer
Versuch indiziert. Eine Gehimoperation kam nicht in Frage; es blieben also nur
orthopadische MaBnahmen librig. Da von einer unblutigen Redression des Klump-
fuBes und einer Nachbehandlung mit Gipsverband oder Gehschiene kein Dauer-
erfolg zu erwarten war, so wurde nach vorausgeschickter Tenotomie der Achilles-
sehne das FuBgelenk durch blutige Operation versteift und zur Erzielung groBerer
Festigkeit noch auBerdem eine Bolzung desselben vorgenommen.
Im Kniegelenk, das nunmehr in Angriff genommen werden sollte, handelt
es sich um ahnliche Verhaltnisse, wie in dem Codivillaschen Fall. Ich halte daher
auch hier eine Uberpflanzung der Unterschenkelbeuger auf die Strecker fur die ge-
eignete Operation. Eventuell kame auch einfache Versteifung des Kniegelenks in
Frage.
Weit schwieriger liegen die Verhaltnisse am rechten Arm, wo die athetotischen
und hemiballistischen Bewegungen viel starker ausgebildet sind und samtliche
Muskeln befallen haben. Durch eine Durchschneidung der Riickenmarkswurzeln
oder Nervendurchtrennung ware wohl ein Sistieren der Bewegungen zu erzielen;
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1 34
wir wiirden damit aber aulk*r Bern Schwund aller Armmuskeln andere trophische
Storungen in Kauf nelimen miissen, die zum mindesten ebenso unangenehm fur
die Kranke waren. Das radikalste Mittel ware ohne Zwcifel, den befallenen Arm
zu exartikulieren; einen Verlust wiirde das ja fiir die Kranke nicht bedeuten, da
der Arm, so wie er jetzt ist, absolut unbrauchbar ist, ja sie nur an jeder Tatigkeit,
selbst am ruhigen Gehen, hindert. Bevor aber zu diesem letzten Mittel gegriffen
wird, ist entsehieden der Versuch anzuraten, durch Versteifung der groflen
(ielenke des Arms cine Linderung des lastigen Leidens herbeizufiihren. Die Aus-
fuhrung des Versuchs scheitert leider zurzeit noch an dem Widerstand der Eltern
des Kindes, die bisher trotz der schon erzielten Besserung die Einwilligung zu einem
weiteren operativen Eingriff nicht gaben. Hoffentlich gelingt es noch, diesen Wider¬
stand zu iiberwinden.
HERBERT GRANER. Journal f. P8rcholofl«
and Neurologic.
Literatur.
1. Anton, tJbcr die Beteiligimg der groGcn basalen Gchirnganglien l>ei Bcwegungsstorungen
und insbesondere bei Chorea. Jahrbucher fiir Psychiatric.
2. Aufschlager, Beitrag zur Lokalisation der Heinichorea. Zcitsclirift fur klinische Medizin.
Bd. 51.
p Berger, Zur Kenntnis der Athetose. Jahrbucher fiir Psychiatric XXIII.
4. Bonhoffer, Lokalisation der choreatischen Bcwcgungen. Monatsschrift fiir Psychiatric
und Neurologic I.
5. — Zur Auffassung der posthemiplegischen Bewegungsstbrungen. Monatsschrift fur Psych 1 -
atrie und Neurologie I.
6. v. Economo, Ein Fall von posthemiplegischer Chorea. Ref. im Ncurologischen Zcntral
blatt. 1908.
7. Freund und C. Vogt, Ein neucr Fall von Etat marbre des corpus striatum. Journal fiir
Psychologic und Neurologic. Bd. 18 1 ).
8. Freund, Die infantile Cerebrallahmung. Nothnagels spezielle Pathologic und Therapie IX.
Bd. 3 .
9. Greidenberg, tTber die posthemiplegischen Bcwegungsstorungen. Archiv fiir Psychiatric.
Bd. 17.
10. Hiinel, Zur pathologischen Anatomic der Hemiathetosc. Zcitsclirift fur Nervenheib
kunde XXI.
11. Halban und Infeld, Zur Pathologic der Hirnschenkclhaube. Obereteiner. Bd. 19.
1 2 . Herz, Ein Fall von Athetose. Ref. in der Zcitsclirift fiir die gesamte Neurologic und Psy¬
chiatric.
13. Kolisch, Zur Lelire von den posthemiplegischen Bcwegungserscheinungen. Zeitschrilt
fiir Nervenheilkuntle IV.
14. Muratow, Zur Pathogcnesc der Chorea postapoplectica. Monatsschrift fur INychiatrie
und Neurologie I.
15. Oppenheim, Lehrbuch der Nervcnkrankheiteu. 1908.
10. v. Sarbo, Ein Fall von Athetose. Ref. im Ncurologischen Zentralblatt. 1908.
17. Schilder, "Ober Chorea und Athetose. Zcitsclirift fiir die gesamte Neurologie und Psychia¬
tric. Bd. 7, Heft 3. 1911.
18. Stern, Klinische Studien iiber die Zukunft nervenkranker Kinder mit spinalen und cere-
bralen Lahmungen. Jahrbucher fur Psychiatrie und Neurologie XXXII.
19. Wittek, Die Bedeutung der Sehnentransplantation fur die Behandlung choreatischer
Formen der infantilen Cerebrallahmung. Mitteilungen aus den Grenzgebieten der Medizin
und Chirurgie.
') Vgl. auch H. Oppenheim und C. Vogt, Wesen und Lokalisation der kongenitalen
infantilen Pseudobulbarparalyse. Ebenda Bd. 18, S. 293.
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BD. 10. HE FI 2, 3
1912.
REFERAT E.
! 35
REFERATE.
Dr. Josef Bcrze, Die hereditaren Beziehungen der Dementia praecox. Verlag
von Franz Deuticke. Leipzig und Wien 1910.
Nach Krapelin nimmt die Dementia praecox in bezug auf erbliche Veranlagung
eine MittelsteUung ein. Dies wurde durch die Statistik scheinbar bestatigt, weil mit
Ausnahme der progressiven Paralyse ausgesprochene Geisteskrankheiten und die als
vcrerbungsfahig anerkannten Faktoren (Epilepsie, Hysterie, unkompUzierter Alkoholis-
mus) in der Aszendenz sehr selten auftreten. Die vorhandene schwere hereditare Belastung
der Dementia praecox dokumentiert sich in dem haufigen Vorkommen der ,,abnormen
Charaktere" unter den Aszendenten, welche der Verf. als nicht voll entwickelte Psycho-
pathien auffaBt, die wenn auch nicht so sicher wie vollausgebildete Psychosen bei ge-
nauer Analyse doch differenziert und fur die gleichartige Vererbung mitberucksichtigt
werden konnen. Durchschlagender als die direkte Vererbung spricht fur die Richtigkeit
der gleichartigen Hereditat die indirekte (kollaterale) Vererbung, also die haufige oft
auffallig fibereinstimmende Erkrankung von Geschwistern an Dementia praecox und
zwar bei akuten. Einsetzen der Krankheit in gleichem, beim langsamen schleichenden
Auftreten in verschiedenem Alter. Wenn auch fiber das relative Verhaltnis der Aus-
gange der Psychose bei den einzelnen Angehorigen einer Familie wegen mangelhafter
wissenschaftlicher Exaktheit der alten Krankengeschichten eine allgemeine Regel
nicht aufgestellt werden kann, so scheint doch eine fortschreitends Degeneration im
Morelschen Sinne vorzuliegen, indem die Deszendenten in einem frfiheren Alter als die
Aszendenten und statt an den langsamer zur Verblodung ffihrenden paranoiden Formen
an den rascher in Demenz fibergehenden hebephrenen und katatonen Formen erkranken.
Verf. setzt dann die Beziehungen der Dementia praecox zu anderen Geisteskrank¬
heiten auseinander, wobei er das Dogma, daB sie in ihrem Manifestwerden an ein be-
stimmtes Alter gebunden sei, verwirft. Nach seiner Uberzeugung gehoren manche Psy¬
chosen des reiferen (prasenile) und auch des Rfickbildungsalters (senile) dazu; die vor¬
handene Anlage, die sich immer in gewissen bereits vor der Erkrankung vorhandenen
Auffalligkeiten zeigt, bildet das entscheidende Merkmal. Der Ausbruch erfolgt haupt-
sachlich aus exogener Ursache (z. B. Alkoholismus). Dabei ist es nicht ausgeschlossen,
daB die Form der Erkrankung vom jeweiligen Alter beeinfluBt wird.
Der reine Alkoholismus spielt in der Aszendenz eine sehr geringe Rolle, kommt
fast nur im Verein mit anderen Hereditatsfaktoren z. B. mit der Pracoxanlage vor und
belastet dann den Deszendenten im Sinne dieser Anlage. ,,Ob auch der Alkoholismus
des von Haus aus ,,rfistigen“ Gehirnes Dementia praecox bei der Deszendenz zu be-
dingen imstande ist, muB dahin gesteUt werden." In der Aszendenz der Dementia
praecox kommen progressive Paralyse und Tabes haufiger vor; dies kann nicht nur,
wie Krapelin es annimmt, durch eine luetische Keimschadigung des Deszendenten
erklart werden, sondem auch durch hereditare Relationen; sicher ist es, daB zwischen
der Veranlagung zur Paralyse und der zur Dementia praecox kein Antagonismus be-
steht.
Die Disposition zum manisch-depressiven Irresein tritt gern mit den verschieden-
sten andersartigen Psychosen in Kombination, so daB bei einem Individuum eine Mi-
schung beider Anlagen oder bei einem Familienmitgliede die eine, beim andern die andere
Krankheit vorkommen kann. Dies laflt darauf schlieBen, daB beide Determinanten in
der Aszendenz vorhanden, daB also keine Transformation stattfindet, sondem in einem
Falle die eine, im anderen die andere Determinante die Oberhand gewinnt.
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I3 6 refer ate. Jo ’^ , ^5£Sri^ r<e
Von den groBen Neurosen kombiniert sich nur die Epilepsie haufiger mit der
Dementia praecox, dagegen nicht die cchtc Hysterie.
Zum SchluB betont B. nochmals die Bedcutung der gleichartigen Vererbung
fiir die Dementia praecox. Der Bewcis dafiir kann nur durch eine Statistik erbracht
werden, welchc auBer den ausgesprochenen Pracoxfallcn noch anderc Psychosen und
psychopathische Zustiinde bei der Aszendenz, die mchr oder weniger sicher als Ausdruck
der Pracoxanlagc zu erkennen sind, z. B. die abnormen Charaktere, berucksichtigt. Nicht
die Krankheit, sondern die Disposition wird vererbt. Welche Form die resultierende
Krankheit annimmt, hangt nicht nur von der Disposition, sondern auch von den ver-
schiedenen auBeren Einflussen ab. Auch kommt auBer der Belastung von der einen
Seite ev. Entlastung von der anderen Scite der Aszendenz in Betracht.
Die Arbeit, welche sich auf ein groBes sorgfaltig gesichtetes Material stutzt, ist
sehr lesenswert. Der scharfsinnigc Ycrsuch, die abnormen Charaktere zu nutzen der
gleichartigen Vererbung zu verwerten, diirfte viel Widcrspruch linden, wird aber gleich-
zeitig Anregung zu einer genauen Analyse derselben geben. So wenig wunschenswert
es ist, dem ohnehin schon recht vollen mit Dementia praecox signierten Topf noch mehr
einzuverleiben, gegen die feine Begrundung, mit welchcr Verf. diese Einverleibung fur
manche prasenile und sensilc Psychoscn fordert, laBt sich kein zwingender Einwand
erheben. v. Mach (Bromberg).
Edinger, L., Bau der nervosen Zentraiorgane. Bd. I. 8. Auflage. XI u. 530 S.
m. 398 Fig. i. Text u. 2 Tafeln. Leipzig 1911. Verlag von F. C. W. Vogel. — Preis
Mk. 18.—, geb. Mk. 19,75.
Dem 1908 in der 7. Auflage der ,,Vorlcsungen" untemommenen Schritt der Teilung
des Werkes, das mit dem zunehmenden Ausbau der behandelten Materie immer urn-
fangreicher wurde und schlieBlich auch immer hohere Anforderungen an den Leser, spe-
ziell an seine Fahigkeit, sich in durchaus vergleichend-anatomische Probleme einzuar-
beiten, stellte, ist, wie vorauszusehen war, nach kurzer Zeit eine Neubearbeitung des
1. Bandes, der wohl unbestritten fur Arzte und Studierende die beste zurzeit existierende
Einfiihrung in das Studium des Zentralnervensystems der Sauger bildet, gefolgt.
Sie mag hiermit kurz angczcigt und empfohlen werden. Da der 1. Band durch
den (s. Z. in der 7. Auflage vorliegenden) 2. Band insofem entlastet worden ist, als dieser
nunmehr ausschlieBlich die Nichtsauger (sog. niederen Vertebraten) behandelt, konnte
cr nun eine erhebliche Vertiefung und Erweiterung erfahren. Um so mehr als inzwischen
die 1909 erschienene ,,Einfiihrung in den Bau dcr nervosen Zentralorgane" den Stoff
in einer dem Bedurfnis des praktischen Arztes ausreichend Rechnung tragenden Weisc
vortragt (in diesem Journal, Bd. XV, S. 243, bcsprochen; Ref.).
Wie Verf. hervorhebt, ,,wendet sich das Buch jetzt besonders an die, welche mit-
zuarbeiten gesonnen sind auf einem der wichtigsten Gcbiete menschlicher Forschung".
Neben dem menschlichen Gehirn ist auch das einer groBen Reihe von Saugcm und zwar
sehr eingehend berucksichtigt. Neu ist der Abschnitt vom visceralen Nervensystem
aufgenommen, eine vollstandige Neubearbeitung erfuhr das Kleinhirn und die GroC-
liirnrinde, in hohem MaBe gilt das auch von dem 1. (einleitenden) Teil des Buches und
von den das Kleinhirn und die Oblongata bchandelnden Vorlesungen.
Besondere Erwahnung und hochste Anerkennung verdienen, wie immer, die vom
Verf. mit einem ganz bewunderungswurdigen didaktischen Geschick geschaffenen
Figuren. Mit ihnen erreicht der glanzende Vortrag ein solches MaB von Klarheit, daB
auch fiir den Anfanger die Lektiire und das Einarbeiten in das interessanteste, aber
auch schwierigste Gebiet der ganzen Anatomie nur zu einem hohen GenuB, nicht zu er-
mudender Arbeit werden muB. Darin liegt (ich meine natiirlich in dieser gliicklichen
Vereinigung) das Faszinierende, die werbende Gewalt des Buches.
Es ist aber die illustrative Ausstattung auch sonst dank der Liberalitat des Ver-
lages ein ungewohnliche opulente. Ref. glaubt den Verf. in seiner Vorrede wohl rich tig
verstanden zu haben, wenn er meint, daB der Verf. so bedeutend mehr Detail gebracht
hat, nicht bloB dem mit der Materie vertrauten, sondern auch dem Anfanger, als an und
fiir sich der Vorlesungstext erortert.
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m 19 \n?| FT 2/2 REFERATE. 137
In den fast 400, zu einem nicht geringen Teil die Tafelfiguren der bedeutendsten
Spezialarbeiten wiedergebenden und damit weiteren Kreisen zuganglich machenden
Textabbildungen liegt ffir den Leser ein Studienmaterial ffir sich vor. Wcnigstens gewann
Ref. bei der Lektfire diesen Eindruck.
Ref. darf vielleicht auch noch erwahnen, dab einige kleine Unebenheiten der
Darstellung, die in der ..Einffihrung" (vgl. die erwahnte Besprechung 1 . c.) zu bemerken
waren, jetzt groBtenteils ausgeglichen worden sind. Die Sechsschichtung der Rinde ist
jetzt auch in einer Textfigur (aus dem Brodmannschen Werke) zur getreuen Abbil-
dung gelangt.
Ob aber der Verf., dem hier wohl der EntschluB zu einem anderen Urteil besonders
schwer zu werden scheint, mit folgendem Passus auf Zustimmung wird rechnen dfirfen,
erscheint dem Ref. mehr als zweifelhaft:
„Es ist seit Meynert bekannt, daB die Hirnrinde nicht iiberall gleichen Bau hat,
aber erst neuerdings haben mit alien Mitteln der Technik angestellte Studien von S. Ra¬
mon y Cajal und Arbeiten uber die Zellen allein von Nissl, Hammarberg, Mott,
Camphell, Brodmann u. a. Naheres darfiber gelehrt. Soweit ich sche, besteht
nirgendwo ein Widerspruch zwischen den zuletzt genannten und den
Cajalschen Arbeiten." (Vom Ref. gesperrt!)
Das ist doch wohl nicht rich tig! Es kommt das auch sonst nicht in Edingcrs
Vorlesungen zum Ausdruck. Die immer noch hinfibergerettete schematische Figur
368 (wohl infolge eines Druckfehlers steht darunter und im Text 378), Rinde einer Stirn-
windung, hat noch die Einteilung in 4 Schichten, wohl weil die Ziffern im Klischee
stehen, behalten, schwebt aber in bezug auf den Text halb und halb in der Luft, der
sich, abgesehen von einer wohl nicht als sehr betont aufzufassenden Floskel auf S. 467,
ganz auf Brodmann stfitzt. Die alte Nisslsche Figur, die ebenfalls aus den alteren
Auflagen entnommen ist, wo sie entsprcchend der Annahme einer Vierschichtigkeit der
Rinde der oberen Stirnwindung beziffert war, ist jetzt mit neuem, die Sechsschichtig-
keit demonstrierendem Beidruck versehen, offenbar nach Tilgung der blauen Klischee-
ziffem.
Dagegen ist bei der Behandlung des Neuron- und des Neurofibrillenproblems,
unbeschadet der Prazisierung des eigenen Standpunktes des Verf., genfigend auf die
Arbeiten Bethes und Helds Rficksicht genommen.
Freilich bleibt Verf. noch dabei, daB zahlreiche Beobachtungen von wirklich
freier Endigung der einzelnen Zellauslaufer existieren, und scheint sehr der Annahme zu-
zuneigen, daB wahre Anastomosen ;,als ungewohnliche Verhaltnisse" zu betrachten
sein konnten.
Der Verf. steht da wohl doch noch ctwas stark unter dem Banne der Golgi-
Zeit (nicht Golgis natfirlich, sondem des Mannes, der fast alle Arbeiten, die mit der
Methode Golgis gemacht wurden, beeinfluBt hat. - Ramon y Cajals) und vermag sich
nicht von dem Irrtum loszumachen, daB da, wo die technische Differenzierung aufhort,
auch das Ende (nicht etwa bloB, wie heute wohl fast die Mehrzahl der Forscher sich
fiberzeugt hat, eine qualitative Verandcrang!) der Struktur, eine krasse Diskontinuitat
angezeigt werde.
Vielleicht hat sich aber der Herr Verf., wcnn, wie gewiB ist, bald der vorliegenden
eine weitere, die 9. Auflage folgen muB, inzwischen in das Lager der Anhanger
der Kontinuitat herfiberziehen lassen. Da er (S. 42) durchaus die biologische Einheit
des Neurons verficht, besteht ja eine prinzipielle Kluft in keiner Weise.
Max Wolff (Bromberg-Schrottersdorf).
EUenberger, W., Handbuch der vergleichenden mikroskopischen Anatomie
der Haustiere. Drei Bande. 1819 S. m. 1321 Abbild. i. Text. Berlin, 1906—1911.
P. Parey. Bd. I 22 Mk., Bd. II 24 Mk., Bd. Ill 22 Mk.
Auf den 2. Band des vorliegenden, in Gemeinschaft mit einer Reihe hervor-
ragender Forscher bearbeiteten Handbuches soli an dieser Stelle wegen der darin auf
S. 177—240 gebrachten ganz vorzfiglichen Darstellung der Struktur des zentralen Ner-
vcnsystems der Haustiere aus der Feder des durch seine Arbeiten fiber Leitungsbahnen
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*3 8 REKERATE. . ^'ASSS*?'
in Gehirn und Ruckenmark verschiedener Sauger den LeSer dieses Journals bekannten
Prager Neurologen H. Dexler aufmerksam gemacht werden.
Max Wolff (Bromberg-Schrottersdorf).
O. Prechnow, Die Theorien der aktivcn Anpassung mit besonderer Beruck -
sichtigung Deszendenztheorie Schopenhauers. — Annalen der Natur-
philosophie. i. Beiheft. Leipzig 1910, Akademische Verlagsgesellschaft. 72 Seiten:
Das Gemeinsame der vom Verf. in stark aphoristischer Form erorterten Theorien
ist die ,,Entstehung zweckmaBiger Organismen durch eigene Bewirkung", Dabei
kann man zwei Untergruppen von Theorien unterscheiden: die der Neovitalisten
und die der Psychovitalisten. Die ersteren nehmen eine besondere das ZweckmaBige
schaffende Vis vitalis an, die letzteren introjizieren ,,qualitativ von den unseren nicht
verschiedene psvchische Fahigkeiten" in alle Lebewesen und fuhren die Bildung des
Zweckmafligen auf Leistungen dieser psychischen Funktionen zuruck.
Verf. schildert zunachst kurz die Lehre Lamarcks.
Dann fuhrt er aus, daB Schopenhauer auf ganz anderem Wege auch zu der
Ansicht gelangt ist, daB der Organismus „von innen heraus" geworden ist. Der Weg
durch die Anschauung fuhrt nach Schopenhauer nicht zum vollen Verst&ndnis der
Naturobjekte, am allerwenigsten der Lebewesen. Wir mussen daher auf einem anderen
Wege dahin zu gelangen suchen, dem durch unser Innenleben. Die sich in den Lebe¬
wesen wie in den Naturobjekten uberhaupt offenbarende Kraft ist der Wille. Dieser
schafft das ZweckmaBige direkt, und zwar blind und ohne Erkenntnis, wahrend die
heutigen Psychovitalisten uberall einen intelligenten Willen handeln lassen. Dabei
bekampft Schopenhauer die Lehre der Entwicklung hoherer Organismen aus ni^deren.
Er laBt vielmehr die einzelnen Formen durch besondere Willens&tze entstehen. Gerade
dieser Teil der Schopenhauerschen Lehre macht es verstandlich, daB sich die Neo-
und Psychovitalisten nicht im geringsten von Schopenhauer beeinfluBt ffrhlen,
obgleich sich teilweisc Schopenhauersche Gedanken bei ihnen weiter ausgebildet
finden und daher ,,objektiv" vielfach Schopenhauer die Prioritat gehdrt.
Verf. schildert dann kurz unter Hinzufugung einer Reihe guter kritischer Be-
merkungen die Anschauungen einiger Neovitalisten. Dann geht er naher auf die ,,Theorie
der beurteilten Anpassung" des Psychovitalisten A. Pauly ein. Verf. hebt zunachst
treffend hervor, daB es geradezu absurd ist, fur eine ganze Reihe von Anpassungen
anzunehmen, daB sich die Tiere und Pflanzen in alien diesen Fallen des Effekts ihrer
..Handlungen" bewuBt waren. Dann sei zu betonen, daB das Urteilsvermogen sich selbst
entwickelt und deshalb doch nicht die Gesamtentwicklung bestimmen konne. Femer
fuhre der Paulynismus die Analogic zwischen den Zweckhandlungen des Ich und der
Zellcn und Gewebe nicht folgerichtig durch, sofem er den Zellen eine Spontanitat zu-
erkennt, die aus den Handlungen des Ich nicht zu entnehmen ist. Wir wissen bei erst-
maliger Anwendung eines Mittels nicht, ob es zum Realisieren eines bestimmten Zweckes
brauchbar ist, also diirfen wir, wenn anders wir durch Analogic erklaren wollen, den
Zellen derartige Qualitaten a fortiori nicht introjizieren. Endlich will Verf. die von
Pauly angenommene psychophysische Wechselwirkung durch die Parallelismushypothese
ersetzen.
Durch diese Kritik des Paulynismus gelangt der Verf.. dann zu seinem stark
reduzierten Psychovitalismus, der den Zellen nur die Fahigkeit zuschreibt, unter ihren
zufaliigen Reaktionen die Brauchbarkeit der einen oder der anderen ,,an ihrer durch die
Gefuhlsanderung erkannten Wirkung" wahrzunehmen und ,,durch Gewohnung an die
das Eintreten zweckmaBiger Reaktionen begleitende Gefuhlskette: Bedurfnisgefuhl,
Tatigkeitsgefuhl und Entspannungsgefuhl** „mechanisch zu lemen", „die Reaktion
selbst einzuleiten". Nur durch die Annahme dieser Fahigkeit gelange es, die Entstehung
der Anpassungen restlos zu erklaren. Dieses Prinzip ve re i n t mit denjenigen der Selektion
und des weitern mit dem der Orthogenesis bewirken das Zustandekommen des organischen
Fortschritts. O. Vogt.
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Journal f. Psychol, u. Neurol. XIX. Bd.
(Perusini, Tektonik der Ruckenmarkssubstanz.)
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Tafel III
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Journal f. Psychol, u. Neurol. XIX. Bd.
(Perusini, Tektonik dcr Ruckenmarkssubstanz.)
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Tafel IV,
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Journal for Psychologie uno Neurologie.
Band 19.
Heft 4/5.'
(Aus der psychiatrischen Universitatsklinik Zurich.)
Ober das psychogalvanische PhSnomen.
Von Jakob Klasi,
I. Assistenzarzt der Klinik.
Einleitung.
Die Geschichte der Entdeckung und Erforschung des psychogalvanischen
Phanomens will ich hier nicht erortern; solche, die sich dafiir interessieren, verweise
ich auf die im Literaturverzeichnis angegebenen einschlagigen Arbeiten; denjenigen
Lesem, welchen das Phanomen ganzlich unbekannt ist, teile ich mit, daB wir darunter
die Erscheinung verstehen, daB ein sehr schwacher elektrischer Gleichstrom, in
welchen eine Versuchsperson eingeschaltet wird, in groBerer Starke durch den Korper
geht, wenn die Versuchsperson durch korperliche oder psychische Reize in Affekt
gebracht wird. In den gleichen Stromkreis ist ein sehr empfindliches Spiegelgalvano-
meter eingeschaltet, das bei Beleuchtung durch eine Gasflamme auf eine gegeniiber-
stehende Celluloidskala einen schmalen Lichtstreifen reflektiert; bei eintfetenden
Stromschwankungen beginnt der Lichtreflex auf der Skala zu wandem, und zwar
bei gleicher Versuchsanordnung, wenn die durch den Korper gehende Stromstarke
zunimmt, in der einen, positiven, wenn sie abnimmt, stets in der entgegengesetzten,
negativen Richtung. Die groBte Strecke, die der Lichtstreifen nach einer Reizung
auf der Skala durchlauft, bezeichnen wir als den „galvanischen Ausschlag“; dieser
ist fiir uns ein sicheres Zeichen, daB der Reiz einen Affekt ausgelost hat, voraus-
gesetzt, daB er nach einer gewissen Latentzeit eingetreten ist und allmahlich zu-
genommen hat. Die Latentzeit, welche physiologisch bedingte Stromschwan¬
kungen immer innehalten, ist das wesentliche, wodurch sich letztere von physikalisch
bedingten Schwankungen bzw. Kontaktanderungen unterscheiden. — Welche
physiologischen und chemischen Vorgange die Variation der durch den Korper
gehenden Strommenge im Affekt bewirken, habe ich nicht untersucht; ich muB
beziiglich dieser Frage ebenfalls auf die einschlagige Literatur verweisen; Un-
eingeweihten mochte ich daraus nur kurz referieren, daB die Meinungen dariiber
noch sehr auseinandergehen, daB die einen annehmen, daB durch den Affekt im
Korper selbst Strom erzeugt werde, der sich zu dem Versuchsstrom addiere 1 ), andere
aber dafiir halten, daB im Affekt das sympathische Nervensystem in Mitleidenschaft
gezogen und dadurch die von ihm innervierten SchweiBdriisen der Haut zur Funktion
angeregt wiirden, wodurch der Widerstand, den der Korper dem durchgeleiteten
Strom entgegensetzt, vermindert werde 2 ). Am meisten haben nach meiner Ansicht
1 ) Sidis and Kalmus.
2 ) Jung, Veraguth, Binswanger.
Journal filr Paycholopie und Neurologie. Bd. 19. 1 u
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142
JAKOB KLASI.
Journal f. Paychologie
und Neurologic.
die 1909 veroffentlichten Erklarangen Hugo Miillers fiir sich, der auf Grand von
auBerst interessanten, durch Herrn Prof. Zangger in Zurich angeregten Ver-
suchen zum Schlusse kam, daB der geringe exogene Strom, der die Vorbedingung
des psychogalvanischen Pha nomens sei, den Korper in einen sehr labilen Polari-
sationszustand versetze: das hochst labile Gleichgewicht zwischen Strom und Korper
werde im Affekt durch zentrale Einflusse gestort, welche Storangen dann im gal-
vanischen Ausschlag manifest werden 1 ). Es konnen, wenn diese Auffassung rich tig
ist, Eigentumlichkeiten des Phanomens, wie z. B. die diphasischen Schwingungen*)
erklart werden, die bisher noch ratselhaft geblieben sind.
Mich hat bei vorliegender Arbeit lediglich die psychologische Seite des Pha¬
nomens beschaftigt. Angeregt durch die Arbeiten J ungs und Binswangers imd
die immer wieder erneuerten Einwande gewisser Forscher, daB der galvanische Aus¬
schlag wahrscheinlich etwas Zufalliges sei, auf Kontaktanderungen berahe und
daB zum mindesten, „solange man die verwickelten, von so vielen auBeren Zu-
fallen abhangigen physikalisch-chemischen Bedingungen fiir das Zustandekommen
des Reflexes nicht sicherstelle, alle weitgehenden psychologischen Schlusse, die
man aus dem Experiment ziehe, mangelhaft seien“ 8 ), suchte ich zunachst zu er-
forschen, wie weit der galvanische Ausschlag eine konstante AffektauBerung sei,
ob er, wenn z. B. ein verbaler Reiz, der einmal einen Ausschlag zur Folge hatte,
wiederholt werde, auch wieder auftrete, und wenn ja, in welcher Starke, ob er
bei mehrfacher Wiederholung des gleichen Reizes gleich bleibe, groBer Oder kleiner
werde, und ferner wie er sich als Affektmerkmal zu den andem von Jung aufge-
stellten Affekt auBerangen, den sog. Komplexmerkmalen verhalte, ob er diese be-
gleite oder unabhangig von ihnen auftrete.
Die Versuche wurden im Winter 1908 begonnen; im Friihjahr 1909 war das
Material in dem Umfang, wie es dieser Arbeit zugrande liegt, gesammelt; eine
Reihe ungiinstiger Umstande haben die Publikation bis jetzt verzogert.
Versuchs&nordnung.
Die Versuche wurden samtlich im psychologischen Laboratorium des Burg-
holzli ausgefuhrt. Wir benutzten zwei Zimmer; im ersten befanden sich in der
Anordnung, wie sie Binswanger schon beschrieben hat, die Apparate, Bunsen-
element von 15 Volt Spannung, Reflexgalvanometer nach Deprez d'Arsonval (Kon-
stanten: 5100 x 10—10 Amp., Aufhangefaden 0,08 mm Durchmesser), Celluloid-
skala (500 mm) mit Gasflamme, Shunt (1/1); Kupferdrahte fiihrten an die beiden
Messingplattenelektroden im Zimmer 2. Hier waren Versuchsperson und Unter-
suchender. Apparate oder andere auffallende Gegenstande, welche etwa die Auf-
merksamkeit der Versuchsperson in Ansprach nehmen konnten, befinden sich hier
nicht; jeglicher Larm wird vermieden. Die Versuche wurden mit dem Assoziations-
experiment, wie es an unserer Klinik ausgebildet worden ist 4 ), verbunden. In der
iiblichen Weise wurde die Versuchsperson instraiert (sitzen Sie bequem; seien Sie
moglichst ruhig; antworten Sie auf jedes Wort, das ich Ihnen vorspreche, moglichst
s. Literaturverzeichnis.
*) Veraguth, S. 129.
3 ) Knauer.
4 ) C. G. Jung. Assoziationsstudien I. c.
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BD. 19, HEFT 4$
1912.
OBER DAS PSYCHOGALVANISCHE PHANOMEN.
143
rasch und ohne Dberlegung das, was Ihnen zuerst einfallt; es ist wichtiger, daB Sie
rasch antworten, als daB Sie etwas Sinnvolles sagen); dann wurden ihr die Hande
auf die Elektroden gelegt und mit Sandkissen beschwert, um Bewegungen moglichst
zu verhindern. In dem Moment, wo der Stromkreis so geschlossen wird, beginnt der
Lichtreflex auf der Skala zu wandem; die Exkursion, die er dabei beschreibt, variiert
nach der individuellen Leitfahigkeit und der sog. Erwartungsspannung; hielt er still,
so gab in unserem Fall der Beobachter, der im Zimmer i an der Skala saB, dem Unter-
suchenden im Zimmer 2 ein Signal mittels eines kleinen Gliihlampchens, das in
einen zweiten Stromkreis eingeschaltet und dem Blick der Versuchsperson verdeckt
war. Dann fiel das erste Reizwort; die Versuchsperson wurde genau, aber moglichst
imauffallig beobachtet, und mimische oder ahnliche Reaktionen in der iiblichen
Weise 1 ) mit dem Reaktionswort notiert; gleichzeitig wurde mittels einer Fiinftel-
sekundenuhr die Zeit bis zur Antwort (Reaktionszeit) gemessen. Mittels eines
Tasters konnte durch den Untersuchenden ein dritter Stromkreis, der zu einem
Induktionsapparat im Zimmer i fiihrte, geschloSsen und dort dem Beobachter der
Augenblick, in welchem das Reizwort gesprochen wurde, durch ein leises Gerausch
signalisiert werden. Fiir den geiibten Untersucher ist es ein leichtes, im Augenblick,
wo er das Reizwort ausspricht, mit der auf den Taster gestiitzten Linken gleichzeitig
den Taster und mit dem Zeigefinger auf die MeBuhr zu driicken; der Beobachter aber,
der die im andem Zimmer gesprochenen Reiz- und Reaktionsworter nicht deutlich
hort und verwechseln konnte, ist sicher, daB sein Lichtsignal gesehen wurde und
weiB, wohin die beobachteten Ausschlage gehoren. Bei der Registrierung wurde,
wie Binswanger beschrieben hat, verfahren, nur mit dem Unterschied, daB, wenn
eine multiple Reaktion 2 ) auftrat, deren Ablauf erst vollstandig abgewartet und falls
sie iiber den Endpunkt der ersten Elevation hinausging, das Plus zum ersten Aus-
schlag addiert wurde. Im ganzen wurden 22 gesunde Personen untersucht, 1 un-
gebildete, 3 gebildete Frauen, 4 ungebildete, 12 gebildete Manner und 2 Kinder.
Die durch die Versuche an den Kindem gewonnenen Resultate muBten aus einem
spater zu erortemden Grund von den folgenden Berechnungen ausgeschlossen werden.
Zum Assoziationsexperiment wurden die in unserer Klinik gebrauchlichen Reiz-
worterschemata Formular 1 und 2 von Jung verwendet; es wurden aus einer der
beiden Tabellen an irgendeiner Stelle 25, in zwei Fallen nur 20 aufeinanderfolgende
Reizworter herausgegriffen; hatte die Versuchsperson einmal auf alle 20 oder 25
reagiert, wurde eine Pause von 5 Minuten gemacht und dann der Versuch wiederholt.
Der Versuchsperson wurde nicht, wie es sonst meist geschieht, geboten, auf die
Reizworter wenn moglich mit den namlichen Worten zu reagieren wie das erstemal.
In 6 der genannten 20 Falle wurde der Versuch dreimal, in zweien viermal, in
den iibrigen fiinfmal wiederholt. Im ganzen wurden so fiir die folgenden Berech¬
nungen in 106 Versuchen (Serien) 2595 Assoziationen aufgenommen.
I. Kapitel.
Fragestellung. Wie verhalt sich der galvanische Ausschlag im Wieder-
holungsversuch ? Folgt auf ein Reizwort, das in der ersten Serie einen groBen Aus¬
schlag hervorgerufen hat, auch in den folgenden Serien ein groBer Ausschlag? Wenn
*) C. G. Jung, Assoziationsstudien.
*) s. auch Veraguth.
10*
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144
JAKOB KLASI.
Journal f. Psychologic
und Neurologic.
ja, bleibt dieser Ausschlag bei Wiederholung des Reizes gleich, nimmt er zu oder
ab? Wie verhalten sich anfangs kleine Ausschlage?
Bei Betrachtung der samtlichen Ausschlage einer Serie fiel regelmafiig auf,
daB auf die ersten fiinf oder sechs Reizworter durchschnittlich groBere Ausschlage
folgten, als auf die iibrigen; graphisch dargestellt, ging die Kurve anfangs nach
jeder Reaktion fast gleich vveit in die Hohc und wurde erst im Laufe des Versuchs
differenzierter; gegen den SchluB wies sie immer mehr Nullreaktionen auf. Es riihrt
diese erstere Erselieinung, vvelehe schon Jung und Peterson beobachtet und be-
schrieben haben, von dem Affekt her, den die Versuchsperson dem Experiment
als solchem entgegenbringt und mit dem sie jedes neue Reizwort als etwas be-
sonderes envartet, so lange, bis sie sich an die Untersuchung gewdhnt hat; man
hat diesen Affekt, fiber (lessen Wirkung ich inich in einem folgenden Kapitel noch
verbreiten werde, als ,,Experiments- oder Erwartungsspannung" bezeichnet. Um nun
bei den Berechnungen zu verhindern, daB das arithmetische Mittel der Ausschlage
am Anfang zuungunsten der besser differenzierten iibrigen in die Hohe gedriickt
werde, haben wir die crste Reaktion einer jeden Serie von der Berechnung aus-
gesehlossen, die iibrigen 24 (in zwei Fallen 19) Reaktionen in drei Teile geteilt und
die Berechnungen fur jedes Drittel (erstes, zweites und drittes) getrennt ausgefiihrt.
Ich erhielt so aus den 106 Serien 318 Drittel. In jedem derselben wurden nun samt-
liche Ausschlage addiert und daraus das arithmetische Mittel gezogen; dann samt-
liche Reizworter, welche in der ersten Serie einen Ausschlag liber dem arithmetischen
Mittel hervorgerufen batten, markiert, die galvanischen Ausschlage nach diesen
markierten Wortern ebenfalls addiert und nun gepruft, ob das arithmetische Mittel
dieser Ausschlage in den folgenden Serien auch hoher als das arithmetische Mittel
samtlicher Ausschlage war 1 ).
Das Resultat war folgendes: In 186 von 258 Dritteln der Wiederholungsserien,
also in 72% der Falle, war das arithmetische Mittel der Ausschlage nach Reiz¬
wortern, welche in der ersten Serie einen Ausschlag iiber dem Mittel aller Ausschlage
hervorgerufen hatten, ebenfalls iiber dem Mittel aller Ausschlage. Das heiBt:
We nn bei m Assozi at ions vers uch nach einem Reizwort ein galvanischer
Ausschlag auftritt, der iiber dem arithmetischen Mittel aller Aus¬
schlage steht, bleibt dieser mit einer Wahrscheinlichkeit von 72%
auch iiber deni Mittel, wenn das betreffende Reizwort unter den glei-
chen auBern Bedingungen 2 ) 3—5mal wiederholt wird. 72 Drittel = 28%
ergaben ein umgekehrtes Resultat; bei diesen war das arithmetische Mittel der Aus¬
schlage nach den markierten (s. o.) Reizwortern unter dem Mittel der Gesamt-
ausschlage.
Die weitere Untersuchung zeigte, daB von diesen 72 Dritteln 17 in den zweiten
Serien lagen, aber in der Hauptsache konzentriert auf diejenigen wenigen Versuchs-
personen, welche eine sehr groBe Experimentsspannung gezeigt hatten; es traten
hier auch groBe Ausschlage auf bei einer Reihe von Reizwortern, auf welche im ersten
Versuch die galvanische Reaktion das Mittel nur wenig iiberschritten oder nicht
J ) Wir haben die Berechnungen nicht fiir jeden Ausschlag einzeln, sondem fur die gleich-
artigen eines Drittels gemeinsam durchgefiilirt, um dadurch, wenn auch kleine, so doch mog-
liche Fehler bei der Registrierung auszugleichen und das Ganze ubersichtlicher zu gestalten.
-) Gleicher Untersuc'hendcr, gleicher Strom, gleiche, nicht zu kleine Zeitabstande.
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BD * 19 'l9?2 EFT 4/5 ^BER das psychogalvanische phanomen. 145
einmal erreicht hatte; wir werden in einem spateren Kapitel zu dieser Erscheinung
Parallele finden. — Um zu erproben, wie weit liberhaupt vielleicht die zweite Serie
zuverlassiger sei als die erste, wurde wie fiir die groBen Ausschlage der ersten Serie
eine Berechnung fiir die groBen Ausschlage der zweiten angestellt; die Reizworter,
welche erst in der zweiten Serie einen Ausschlag uber dem Mittel hervomifen,
wurden bezeichnet, die Ausschlage nach diesen Wortem in den spateren Serien
zu den Ausschlagen auf die schon in der ersten Serie „galvanisch betonten" Reiz¬
worter addiert, das arithmetische Mittel gezogen und untersucht, wie oft dasselbe
groBer als das arithmetische Mittel alter Ausschlage war.
Fiir die Statistik fielen von 318 Dritteln nach Abzug der 120 Drittel der zwei
ersten Serien, sowie von weiteren 12 aus einem Versuch, bei welchem in der zweiten
Serie keine Reaktionen mit groBen Ausschlagen auftraten, die niclit schon in der
ersten Serie stark galvanisch betont gewesen waren, 186 Drittel in Betracht. In
142 von diesen 186, also in 76%, aller Falle, war das arithmetische Mittel der Aus¬
schlage auf Reizworter, welche in der ersten oder zweiten Serie einen Ausschlag
liber dem Gesamtmittel hervorgerufen hatten, hoher als das arithmetische Mittel
der Gesamtausschlage, in 44 Dritteln kleiner, das heiBt: wenn bei einem ersten
Oder zweiten Assoziationsversuch nach einem Reizwort ein galva-
nischer Ausschlag auftritt, der liber dem arithmetischen Mittel aller
Ausschlage steht, bleibt dieser mit einer Wahrscheinlichkeit von
76% auch liber dem Mittel, wenn das betreffende Reizwort unter
den gleichen auBeren Bedingungen zwei bis viermal wiederholt
wird.
Durch den zweiten Versuch werden also, hauptsachlicli bei Versuchspersonen
mit groBer Erwartungsspannung, noch eine erhebliche Zahl von Reizwortern mit
regelmaBig starken galvanischen Reaktionen in den folgenden Serien aufgedeckt,
welche im ersten Versuch nicht durch groBe Ausschlage gekennzeichnet sind.
Die Statistik fiir die in der ersten und zweiten Serie kleinen Ausschlage ergab
folgendes: In 154 von 201 (258—57) Dritteln der spateren Serien, also in 75,5% der
Falle, war das arithmetische Mittel der Ausschlage nach Reizwortern, welche wcder
in der ersten noch in der zweiten Serie einen Ausschlag iiber dem Mittel gehabt
hatten, ebenfalls unter dem Mittel, in 47 Dritteln liber demselben; wenn also
bei einem ersten oder zweiten Assoziationsversuch ein Reizwort keinen
oder nur einen solchen galvanischen Ausschlag hervorruft, der unter
dem arithmetischen Mittel aller Ausschlage steht, bleibt dieser mit
76,5% Wahrscheinlichkeit auch unter dem Mittel, wenn das betref¬
fende Reizwort zwei bis viermal unter den gleichen auBeren Bedin¬
gungen wiederholt wird.
Gestiitzt auf diese Gesamtresultate schlieBe ich, daB der galvanische
Ausschlag im we sent lichen nicht durch auBere Zufalligkeiten, sonder n
durch psychische Einfliisse bedingt ist, und zwar miissen es affektive
sein, da die intellektuelle Seite des Assoziationsvorganges nicht in
der Weise variieren kann, wie sie durch die RegelmaBigkeit des Auf-
tretens des galvanischen Phanomens im Wiederholungsversuch zu-
tage tritt. Bestimmte Reizworte losen bei der Versuchsperson Vor-
stellungen aus, welche mehr oder weniger groBe Wichtigkeit haben.
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l 4 6 JAKOB KLASI. J ° l !md , Neurof^ C i , e OPie
d. h. mehr oder weniger affektbetont sind. Der galvanische Aus-
schlag im oben definierten Sinne ist eine AffektauBerung.
Uber das Verhalten des galvanischen Ausschlags beziiglich seiner GroBe
bei Wiederholung des Reizes haben sich schon Jung, Peterson und Veraguth,
welche ahnliche Versuche auch schon ausgefiihrt haben, ausgesprochen. Jung
und Peterson schreiben 1 ): „The curves diminish in size and the summits become
more rounded by each repetition, showing a slower excitation and a slower reaction
of the emotion/' Veraguth*) stellt fest: „Die Beriihrung des gleichen affektbetonten
Vorstellungskomplexes eines Individuums zu verschiedenen Zeiten, durch den glei¬
chen Vertreter der AuBenwelt, mittels der annahemd gleichen Reize, ergibt ein
Abklingen der galvanischen Reaktion, das eine gewisse Zeit in Anspruch nimmt."
Ich bin nicht zu den gleichen Resultaten gekommen, zum Teil weil ich den gleichen
Reiz ofter wiederholt habe als die ersten beiden genannten Forscher, zum Teil
vielleicht, weil meine Wiederholungsversuche zeithch nicht so weit auseinanderliegen
wie diejenigen Veraguths. Ich fand wohl in den folgenden 2 oder 3 Serien ein
Kleinerwerden der kritischen Ausschlage, in den spateren Serien nahmen sie aber
wieder zu, um dann allerdings wieder abzunehmen. Von dieser Regel machen nur
ganz groBe Ausschlage eine gewisse Ausnahme, wie wir noch sehen werden. Um
meine Berechnungen, die zu diesen Tatsachen gefiihrt haben, sofort verstandlich
zu machen, will ich hier den Begriff „Reihe“ einfiihren; ich meine damit die Reihe
der galvanischen Ausschlage, welche dasselbe Reizwort bei der gleichen Versuchs-
person nacheinander hervorruft. Da 18 Versuchspersonen auf 24 und 2 auf 19 ver-
schiedene Reizworter reagiert haben, — das erste Reizwort wurde mit seiner Reihe
auch hier jeweils gestrichen — erhielt ich 470 Reihen. Von diesen haben einen
groBen Ausschlag
in der ersten Serie.183,
in der zweiten Serie. 97,
keinen groBen Ausschlag weder in der ersten noch in der zweiten Serie. . 190.
Eine Zunahme der galvanischen Reaktion in irgendeiner spatern Serie zeigen
von den 183 Reihen, welche in der ersten Serie ausgezeichnet sind 126 = 70%,
von den 97 Reihen zweiter Serie. 54 = 56%,
von den 190 Reihen ohne groBe Ausschlage in den beiden ersten Serien 117 = 61%.
Die kleinste Tendenz zum Wiederansteigen zeigen demnach die Reihen, welche
erst in der zweiten Serie durch einen groBen Ausschlag ausgezeichnet sind, doch
ist nicht zu vergessen, daB diesen, da sie ja spater beginnen, weniger Spielraum
gelassen ist. Was fur Reihen, die am Anfang mit Reaktionen unter dem Mittel
liegen, wohl am haufigsten dazu neigen, spater plotzlich starke Ausschlage auf-
zuweisen, wird im Kapitel 4 besonders erortert werden. Um zu zeigen, daB sich die
verschiedenen Reihen beziiglich des Ab- und Zunehmens der galvanischen Reaktion
im Wiederholungsversuch je nach der GroBe des ersten Ausschlages, also je nach der
Starke des Affektes, den das Reizwort ausgelost hat, verschieden verhalten, habe
ich folgende Berechnungen ausgefiihrt. Alle Reihen, welche beim ersten Assoziations-
versuch mit einem Ausschlag begonnen hatten, der 1—3 Skalamillimeter liber dem
l ) Brain, 1907, Vol. 30, S. 12.
a ) Veraguth, S. 120.
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BD19, 1 45 UBER das psychogalvanische PHANOMEN. 147
arithmetischen Mittel stand, wurden aus alien 20 Totalversuchen herausgegriffen, ,
nach Reihen des ersten, des mittleren, des dritten Drittels geordnet, die Ausschlage
aus den gleichen Serien summiert und aus den Summen die arithmetischen Mittel
gezogen; dasselbe wurde gemacht fiir Reihen, die in der ersten Serie ausgezeichnet
waren durch einen Ausschlag, der 3—6 mm iiber dem Mittel, zuletzt fiir Reihen,
deren erster Ausschlag mehr als 6 mm iiber dem arithmetischen Mittel stand. Zum
Vergleich fiihre ich in nachstehender Tabelle jeweilen auch die arithmetischen Mittel
aller Ausschlage an.
I. Serie i
II. Serie
III. Serie
IV. Serie
V. Serie
VI. Serie
Arith.
Mittel
aller Aus¬
schlage
I. Drittel
II. „
III. „
1 9,2 mm
8,8 „
8,2 „
6 mm
7,1 „
5,9 „
5,7 mm
6 „
4,3 ,,
4,1 mm
5
3,4 „
4 mm
3,7 ,,
3,4 ,,
3,6 mm
2,9 „
3,8 ..
U
A -O c B
I. Drittel !
, 9,7 mm
5,7 mm
6 mm
5 mm
1,7 mm
2,1 mm
Aritl
Mittel
Rcih<
x —3 m
II. „
9,5 ,,
6,3 ,,
7,3 ,,
4,3 ,,
2
1,8 „
hi. „
8,8 „
4
4,5 ,,
2,7 ,,
4 ,,
2,3 ,,
Arith.
Mittel der
Reihen
3—6 mm
I. Drittel
II. „
12,1 mm
12,1 „
1 7,1 mm
; 6,1 „
4.5 mm
7.6 „
4,5 mm
8 „
5.5 mm
2.5 „
3,1 mm
i ,7 ,,
III. „
11,2 „
1 6,3 „
i
3,2 „
6,1 „
1
o ,7 ,,
~ -S S 6
I. Drittel
25,6 mm
ii, 3 mm
8,3 mm
8,2 mm
10,6 mm
8 mm
Aritl
Mittel
Reih,
Ober 6
II. „
21
15
14,6 „
10
8 „
12,7 ,,
hi. „ !
| 26,1 „
9,7 ,,
6,6 „
3,7 ,,
3,6 ,,
5,7 ,,
Wahrend also, wie aus dieser Tabelle ersichtlich, das arithmetische Mittel
aller Ausschlage bei Wiederholungsversuchen von Serie zu Serie kleiner wird,
das heiBt, die galvanische Reaktion bei Fortsetzung des Versuches im ganzen
stetig abklingt, nimmt sie nach Reizwortern mit groBem Ausschlag in der ersten
Serie nach einer gewissen Zeit wieder zu; sie verhalt sich dabei je nach der Starke
des im ersten Versuch durch den galvanischen Ausschlag manifest gewordenen
Affektes verschieden. Wir sehen, daB in den 1—3 mm- und den 3—6mm-Reihen
ein WiedergroBerwerden der Ausschlage schon in der III. und IV. Serie zu kon-
statieren ist, wahrend die galvanische Reaktion in den Reihen, welche mit mehr
als 6 mm iiber dem Mittel beginnen, nur langsam abflutet, um erst in der letzten,
hochstens zweitletzten Serie wieder anzuschwellen. Eine kleine Abweichung von
dieser Regel zeigen in unserem Fall nur die Reihen mittlerer Ausschlage des ersten
Drittels, wahrend in den Reihen, die mit einem kleinen Ausschlag iiber dem Mittel
beginnen, das rasche Ab-, An-, Ab- und Wiederansteigen im ersten wie im dritten
Drittel besonders schon zutage tritt.
Diese Resultate entsprechen auch ganz den Erwartungen:
Kleine Affekte reagieren rascher ab als groBe. Das Wiederansteigen
der Kurven ist so zu erklaren: Durch den Affekt wird die Aufmerksamkeit
angeregt, welche gewisse Assoziationen bahnt, die selber auch wieder
x ) Die arithmetischen Mittel der 1—3 mm-Reihen sind in der ersten Serie kaum 0,5 mm
uber dem jeweiligen Gesamtmittel, weil Reihen, welche mit Ausschlagen nnr 1—3 mm iiber dem
Gesamtmittel beginnen, gerade beidenjenigen Versuchspersonenam haufigsten sind, die iiberhaupt
galvanisch wenig reagieren und auch verhaltnismaBig kleine Gesamtmittel haben.
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> 4 <S JAKOB KI.ASI.
einen Affekt hervorrufen konnen!). SehrstarkeAffektehabenNeigung
zu perseverieren; sie hemmen in der Regel den Assoziationsablauf®);
neue Assoziationen und Vorstellungen, welche neue Affekte hervor-
rufen konnten, treten schwerer auf.
Das Wiederansteigen der galvanischen Reaktion in den Reihen groBer Aus-
schlage gegen den SchluB hangt vielleicht auBer vom Auftauchen neuer, bisher
gehemmter Assoziationen von einer Anderung des Vorzeichens des primar aus-
gelosten Affektes ab; die Versuchsperson ist der Reaktion auf den Reiz, der einen
Komplex getroffen hat, iiberdriissig. Mit dieser Hypothese ware auch er-
kliirt, warum beim letzten Wiederholungsversuch im letzten Drittel das arithme-
tische Mittel aller Ausschlage plotzlich groBer wird, als in der vorhergehenden
Serie, groBer sogar als in den iibrigen Dritteln, welche sonst durchweg starkere
galvanische Reaktionen gezeigt hat ten.
II. Kapitel.
Fragestellung. Wie verhalt sich der galvanische Ausschlag zu den iibrigen
Komplexmerkmalen, insbesondere, wie verhalt er sich zu den einzelnen Arten
derselben ? Besteht unter ihnen ein gewisser Parailelismus, sind es AuBerungen des-
selben psychischen Vorganges oder nicht?
Unter Komplexmerkmalen sind hier Konstellationswcchsel, mimische oder
ahnliche korperliche AuBerungen und verlangerte Reaktionszeit verstanden; als
Konstellationswechsel bezeichnen wir es, wenn auf das namliche Reizwort in einer
folgenden Serie mit einem neuen Worte reagiert wird, was ja auf eine Anderung
der Konstellation schlieBen laBt. Es sind dies nicht etwa Reproduktionsstorungen,
weil die Versuchsperson ja nicht beauftragt war, bei einem folgenden Versuch
auf das gleiche Reizwort moglichst mit dem gleichen Reaktionswort zu antworten
wie vorher. Diese verschiedenerlei Arten von Storungen im Assoziationsexperiment
sind als Komplexwirkungen erklart warden, womit aber nicht gesagt war, daB sie
ausschlieBlich an die kritische Reaktion selbst gebunden seien; sie konnen auch bei
der nachstfolgenden auftreten, wie Jung, Veraguth, und Binswanger gefunden
haben. Zwischen diesen Komplexmerkmalen und dem galvanischen Ausschlag
haben dann Jung und Peterson einen gewissen Parailelismus festgestellt. Sie
sagen: “Taking into consideration the above mentioned limitations this figure seems
to express that in certain cases is a clear parallelism between the length of reaction
time and the height of the galvanometer curve. This method appears therefore to
afford a psycho-physical proof of the hypothesis of one of us (J ung), that very long
reaction times are affective phenomena. —These two figures especially the last seem
to offer a psycho-physical confirmation of the hypothesis of one of us (Jung) that
altered reproductions are affective phenomena.“ Ich habe bei meinen Versuchen
bei insgesamt 2489®) Assoziationen 1352 gefunden, bei welchen Komplexmerkmale
aufgetreten sind. Je nach der Zahl der letzteren wurden die Assoziationen in drei
Vgl. Ricks her and Jung, Summary. “The galvanic reaction depends on the atten¬
tion to the stimulus and the ability to associate it with other previous occurences. This asso¬
ciation may be conscious but is usually unconscious." Vgl. Bleuler, Affektivitat.
2 ) Bleuler, Affektivitat.
• 1 ) 106 Assoziationen je auf die ersten Wdrter sind nicht mitgerechnet.
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B,) - U.HEKT 4 5 OBER DAS PSYCHOGALVANISCHE PIlANOMEN. 149
Gruppen eingeteilt, in solche mit drei, solche mit zwei Komplexmerkmalen, drittens
solche mit einem Komplexmerkmal und dann gepriift, wie viele von einer Gruppe
von einem Ausschlag iiber dem Mittel begleitet waren. Zum Vergleich wurden
viertens Assoziationen ohne Komplexmerkmal herangezogen.
1. Assoziationen mit 3 KM: 66, davon 45 = 68% mit gr. galv. A.
2. Assoziationen mit 2 KM: 406, davon 201 rund 50% mit gr. galv. A.
3. Assoziationen mit 1 KM: 880, davon 339 = rund 38% mit gr. galv. A.
4. Assoziationen ohne KM: 1137, davon 286 = rund 25% mit gr. galv. A.
Wir sehen daraus, daB eine Assoziation um sowahrscheinlichervoneinem
galvanischen Ausschlag iiber dem Mittel begleitet ist, je mehr Kqiu-
plexmerkmale dabei auftreten. Es stimmt dies sehr gut mit den Resultaten
Binswangers, der untersucht hat, wie sich die galvanischen Ausschlage beziiglich
ihrer GroBe verhalten, wenn sie als einziges Komplexmerkmal, oder aber in Gemein-
schaft von einem andern, von zweien oder mehreren auftreten und der gefunden
hat, daB die durchschnittliche Lange des Ausschlags mit der Zahl der Komplex-
merkmale zunimmt.
Ich habe auch gepriift, wie sich die einzelnen Arten dieser Komplexmerkmale
zum galvanischen Ausschlag verhalten. Ich habe zu diesem Zweck aus alien Ver-
suchen diejenigen Reaktionen zusammengestellt, welche, vom galvanischen Aus¬
schlag abgesehen, als einziges Komplexmerkmal Konstellationswechsel zeigten,
ebenso diejenigen nur mit mimischen oder ahnlichen AuBerungen, zuletzt die¬
jenigen nur mit langen Reaktionszeiten; dann habe ich untersucht, welche dieser
drei Gruppen prozentualisch am meisten Assoziationen aufwies, die auch von einem
galvanischen Ausschlag liber dem Mittel begleitet waren 1 ).
Assoziationen mit Konstell.-Wechsel: 309 2 ); davon m. gr. A. 123 =40%.
Assoziationen mit mimischen und ahnl. Gesten: 44; davon m. gr. A. 22 = 50%.
Assoziationen mit langer Reaktionszeit: 527; davon m. gr. A. 194 = 36%.
Es sind also sowohl nach dieser wie nach der vorhergehenden Tabelle kaum
die Halfte der mit Komplexmerkmalen behafteten Assoziationen auch von einem
groBen galvanischen begleitet; die iibrigen beziehen sich aber nach dem unter-
suchten Material zum groBten Teil auf Assoziationen, die auf eine komplexbetonte
Assoziation folgen, die also wohl durch Fixierung der Aufmerksamkeit an diese
vorhergehende komplexbetonte Assoziation, durch Perseveration des dabei aus-
gelosten Affektes gestort sind 8 ). DaB eine der drei untersuchten Arten von Komplex-
x ) Unter den der Mimik gleichwertigen korperlichen AuBerungen sind nicht etwa starke
Bewegungen der GliedmaBen, Zurechtrucken auf dem Stuhl u. dgl. gemeint, sondern korper-
liche Bewegungen feinerer Art, wiewohl es ja, wenn auch Ausschlage bei Korperbewegungen
groberer Art mitgerechnet worden waren, nicht schwer gefallen ware, zu unterscheiden zwischcn
den durch eventuelle Kontaktanderungen entstandenen Ausschlagen und den psychisch beding-
ten; wie schon erwahnt, treten erstere sofort auf, nicht erst nach einer gewissen Latenzzeit,
und zudem muflten ja solche starkeren Bewegungen eine elektrische Schwankung in negativcr
Richtung zur Folge haben, weil dann der Kontakt wohl in den meisten Fallen geringer und die
durchgehende Strommenge eine kleinere ware.
2 ) Bei diesen 309 Assoziationen sind 2 2 aus den ersten Serien mitgezahlt, die durch
Nichtverstehen oder Wiederholen des Reizwortes oder Obersetzen desselben in eine Fremdsprache
ausgezeichnet sind.
3 ) Vgl. Jung, Veraguth, Binswanger.
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JAKOB KLASI.
Journal f. Psychologic
und Neurol o gie.
merkmalen hiiufiger als die heiden andern mil einem groBen galvanischen Ausschlag
kombiniert sei, ist aus der Tabelle mit Bestimmtheit nicht zu schlieBen.
Im AnschluB an die eben beantwortete Frage habe ich untersucht, ob die
Wahrscheinlichkeit, mit der lange Reaktionszeiten ohne andere Komplexmerkmale
init groBen Ausschlagen kombiniert sind, bei Wiederholung des Experimentes, also
von Serie zu Serie zu oder abnehme. Die Resultate sind folgende:
Assoz. mit
Ian# R. Z.
= % der
Assoz
Oberhaupt
Davon
gr.
Serie
146
31 %
!
59
II.
Serie
7 5
1
1 l 6
i
3i
III.
Serie
83
i7>6
34
IV.
Serie
108
23
36
* 1
53
l 16
17
VI.
Serie
62
21
17
= % der
Assoz. mit
1 R. Z.
Assoz. mit
gr. g- A.
Oberhaupt
= % dor
Assoz.
Uberhaupt
43,1 %
.75
37,2 %
4i %
183
38,9 %
40,9 %
160
34%
33,3 %
154
32,7 %
32%
I I I
34 %
27,4 %
88
11 °'
3 1 ,0
Es geht aus den Zahlen der Rubriken i, 3 und 4 hervor, daB, je ofter die
Assoziationen wiederholt werden, umso seltener lange Reaktionszeiten
mit groBen galvanischen Ausschlagen zusammenfallen.
Da, wie aus den librigen Zahlen der Tabelle ersichtlich, das Verhaltnis sovvohl
der Assoziationen mit langer RZ wie derjenigen mit gr. g. A. zu alien Assoziationen
iiberhaupt, und damit auch das Verhaltnis der langen Reaktionszeiten zu den
g. A. sich im wesentlichen in den verschiedenen Serien gleich bleibt, riihrt diese
Annahme des Zusammenfallens der beiden Storungen davon her, daB Assoziationen,
die in friiheren Serien durch eine lange Reaktionszeit und zugleich durch einen
galvanischen Ausschlag iiber dem Mittel ausgezeichnet waren, spater nicht mehr
galvanisch betont werden, wiihrenddem sie die lange Reaktionszeit als Komplex-
merkmal beibehalten. Das Material ist indeB noch zu wenig zahlreich, als daB
sich darauf jetzt schon eine allgemein giiltige Regel aufstellen lieBe.
Ich habe eine gleiche Berechnung iiber die Verteilung der 287 Falle von
bloBem Konstellationswechsel auf die einzelnen Serien und die Haufigkeit der
galvanischen Betonung in denselben angestellt; die auf die verschiedenen Serien
entfallenden Falle sind aber nicht zahlreich genug, um dazu auch nur mit groBer
Wahrscheinlichkeit brauchbare Schliisse ziehen zu konnen. Das gleiche gilt von
den Gesten und gleichwertigen mimischen AuBerungen.
Im AnschluB an die vorigen Resultate betreffend die Haufigkeit, in der gal-
vanischer Ausschlag iiberhaupt, auch zusammen mit andern Komplexmerkmalen
vorkommt, habe ich eine gleiche Statistik iiber Assoziationen mit langer Reaktions¬
zeit mit oder ohne andere Komplexmerkmale sowie eine solche iiber Assoziationen
mit Konstellationswechsel angestellt; gleichzeitig habe ich die durchschnittliche
Lange aller Ausschliige und der Reaktionszeiten in den verschiedenen Serien be-
stimmt. Die Mittelzahlen der galvanischen Ausschlage wurden in folgender Weise
gewonnen: aus den gesamten Ausschlagen der gleichnamigen Serien wurde das
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m> ' 19, ,f|i , o KT 4 h UHKK DAS PSYCHOGAIA AN1SCHE PHANOMEN. 15 I
arithmetische Mittel gezogen. Die durchschnittliche Lange der Reaktionszeit
wurde so berechnet, daB bei jeder Versuchsperson in jeder Serie aus alien Reaktions-
zeiten das wahrscheinliche Mittel 1 ) bestimmt wurde, samtliche entsprechenden
Mittel (z. B. aller ersten Serien, aller zweiten Serien usw.) addiert und aus den
Summen die arithmetischen Mittel gezogen wurden.
Der Obersicht halber fiihre ich in nachstehender Tabelle die Zahlen betreffend
Verteilung der Assoziationen mit galvanischen Ausschlagen und langer Reaktions¬
zeit noch einmal an:
gr. g. Ausschlg. | Lange d. g. A. Mit 1 . R. Z.
Lange d R. Z.
Mit
Kon.-Wechsel
I* Serie 175 = 37,2 % 8,8 mm 194 = 41 %
(470 As.)
10,776 s - 2 )
II. Serie 183 = 38,9 % 6,3 „ 179 = 38 %
(470 As.)
8,7
188 = 40 %
III. Serie 160 =t 34 % . 5,2 „ 183 = 39%
(470 as.) ; ;
8,5
155 = 33 . %
IV. Serie 154 = 32,7% | 4 „ , 1 74 = 35,5 %
(470 As.) (
7,7
o-°
'1-
N
II
V. Serie 111 = 34 % ■ 3,5 „ n8 = 36,2 %
(326 As.)
7,4
82 = 25,1 %
VI. Serie 88 = 31 % 3,4 „ |io6 = 37,4 %
(283 As 1 ,
7,2
60 = 21,1 %
Es geht aus diesen Zahlen hervor, daB zwar, wie wir schon im I. Kapitcl
festgestellt haben, die durchschnittliche Hohe der galvanischen Ausschlage, also
die Intensitat der galvanischen Reaktion im Laufe des Experiments abnimmt,
hingegen nicht oder nur in geringem MaBe die Zahl der Ausschlage, welche das
arithmetische Mittel iiberschreiten. Letzteres ist ja auch vorauszusehen, wenn
man bedenkt, daB 70% aller Reihen mit groBen Ausschlagen in der ersten und
56% der Reihen mit groBen Ausschlagen in der zweiten Serie gerade in den spateren
Serien wieder groBe Ausschlage aufweisen und daB nicht nur diese, sondem auch
61% derjenigen Reihen, welche in den zwei ersten Versuchen keine oder nur eine
geringe galvanische Reaktion gezeigt, in den spateren Serien Ausschlage haben,
die iiber dem arithmetischen Mittel liegen.
Gleich wie die Ausschlage verhalten sich die Reaktionszeiten; auch hier sehen
wir die Zahl der Reaktionszeiten fiber dem Mittel bei Wiederholung des Versuches
nicht oder nur in sehr geringem MaB abnehmen, wahrend die durchschnittliche
Reaktionszeit immer kleiner, die sprachliche Reaktion auf die einzelnen Worter
also im ganzen rase her wird. Die Zahl der durch Konstellationswechsel ausgezeich-
neten Assoziationen hingegen nimmt in den spateren Serien deutlich ab; die sprach¬
liche Reaktion auf die Reizwdrter wird also auch bestimmter.
Wir konnen resiimierend sagen :
Die durchschnittliche Reaktionszeit wird, je ofter das Asso-
ziationsexperiment wiederholt wird, desto ktirzer, der Konstella¬
tionswechsel seltner. Die sprachliche Reaktion wird also bei fort-
gesetzter Wiederholung desExperimentes gewandter, dieEinstellung
auf die Komplexinhalte fester, Perseveration von durch Reizworte
*) Jung, Assoziationsstudien (Krae peli n).
2 ) Bedeuten Fiinftelsekunden.
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, 52 JAKOB KLASI. JO r! , Neu%lS ri<!
ausgelosten und durch den galvanischen Ausschlag manifest ge-
wordenen Affekten macht sich mehr in langen Zeiten geltend.
Den letzten Satz der Fragestellung am Anfang des Kapitels konnen wir da-
hin beantworten: Ein groBer galvanischer Ausschlag tritt nur bei affekt-
betonten Assoziationen auf, wahrend lange Reaktionszeiten, Ron*
stellationswechsel und Gesten auch Zeichen von bloBer Perseveration
eines vorher ausgelosten Affektes oder einer friiheren Komplexvor-
stellung sein konnen.
Es scheint also das galvanische Phanomen eine etwas andere Bedeutung zu
haben, wie die anderen Komplexmerkmale. Wir sind aber noch mcht imstande,
die Unterschiede in alien Richtungen zu charakterisieren.
Ich will an dieser Stelle nachholen, daB die Versuche bei den 2 Kindern in-
sofem ganz andere Resultate gezeigt haben wie diejenigen bei Erwachsenen, als
Konstellationswechsel beinahe bei alien Assoziationen, gleichviel in welcher Serie,
auftrat. Ob das bei Kindern die Regel ist und worauf das beruht, wage ich aus dem
vorlaufig kleinen Material nicht zu schlieBen.
III. Kapitel.
Fragestellung. Welchen EinfluB haben Assoziationen mit groBen galva¬
nischen Ausschlagen auf die galvanischen Reaktionen der folgenden Assoziationen
in der namlichen Serie? Folgt nach einer Reaktion mit einem groBen Ausschlag
in der Regel eine zweite oder eine dritte solche?
Jung und Peterson schreiben zu dieser Frage 1 ): „We observe frequently
after a marked galv. deviation, that there is an inclination to successive large curves,
if the succeeding stimuli are not too quickly given. This ist not unexpected, because
it is a general psychological experience, that strong affects induce great sensi¬
tiveness." *)
Eine Bestatigung dazu ist die im ersten Kapitel konstatierte Tatsache, daB
bei jedem Versuch in der Regel wahrend des ersten Drittels gleich hintereinander
eine Reihe groBerer Ausschlage auftreten. Den starken Affekt im Sinne Jungs
und Petersons, der hier die groBere Reizempfindlichkeit hervorruft, haben wir
als Experiments- oder Erwartungsspannung erklart. Gleichenorts haben wir aber
festgestellt, daB die Kurve, welche die galvanische Reaktion darstellt, im zweiten
Drittel einer Serie differenzierter werde und gegen den SchluB immer mehr Null-
reaktionen aufweise; es waren also im zweiten Drittel Affekte ausgelost worden,
welche die genannte Wirkung nicht mehr, vielleicht sogar eine entgegengesetzte,
d. h. hemmende, ausgeiibt hatten. Erinnem wir uns auch, daB wii* im Kapitel II
festgestellt haben, daB von 1352 Assoziationen, welche bei der Wiederholung Kom¬
plexmerkmale aufwiesen, nur 585 galvanisch betonte, die Mehrzahl also nicht gal-
vanisch betonte waren, sich aber dadurch auszeichneten, daB sie Reaktionen mit
groBen Ausschlagen direkt folgten, so scheint sich letztere Vermutung, daB Affekte
die Reizempfindlichkeit auch lahmen konnen, zu bestatigen; wir hatten demnach
zwei Arten von Affektwirkung zu unterscheiden, eine solche, welche die Aufnahme-
fahigkeit fur neue Reizworter erhoht und eine solche, die sie teilweise oder ganz
*) Brai n 1. c.
2 ) Binswangersche Komplexkurve.
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BD ' 19, 19 ? 2 FT 4T ’ UBER das psychogalvanische phanomen. 153
aufhebt. Kommt es anf die Quantitat oder die Qualitat des Affektes oder aaf beide
zugleich an, ob diese oder jene Wirkung eintrete? Untersuchen wir zuerst, um zu
entscheiden, in welchem Drittel, ob im ersten oder zweiten, die galvanischen Aus¬
schlage durchschnittlich am groBten seien. Dariiber gibt uns die schon im Kapitel I
angefiihrte Zusammenstellung der arithmetischen Mittel aller Ausschlage Auskunft:
jl I. Serie |
II. Serie j
III. Serie
j IV. Serie
V. Serie
VI. Serie
I.
Drittel | 9,3 mm
, i
6 mm ,
5,7 mm
^ 4,1 mm
| 4 mm
3,6 mm
II.
„ 1 9,i ,,
7,i „
6 „
i 5 ,,
3,7 ,,
2,9 „
III.
„ !| 8,5 „
5,9 „
4,3 ,,
j 3,4 ,,
3,4 ,,
3,® ,,
Zahlen wir diese Zahlen fiir jedes Drittel zusammen und teilen die Summe durch
die Anzahl der Serien, so erhalten wir folgende Ziffern:
I. Drittel —5,8 mm
II. Drittel —6,3 „
III. Drittel —4,5 „
Wir finden, daB das mittlere Drittel in drei von sechs Serien das groBte ist, das
erste in zweien und daB das mittlere Drittel durchschnittlich den groBten galvani¬
schen Betrag aufweist; wir nehmen an, daB hier in der Mehrzahl der Versuche die
groBten Affekte manifest geworden sind. Bei Erwagung der im Kapitel I bewiesenen
Tatsache, daB solche langsamer abreagieren, steht zu erwarten, daB sie sich am
langsten iiber dem durchschnittlichen Mittel der Gesamtausschlage halten werden,
und daB die in Kapitel I besprochenen Falle, wo die urspriinglich hohen Ausschlage
in den folgenden Serien unter das Gesamtmittel zu liegen kommen, hier am seltensten
seien. Um das zu priifen, erinnern wir uns, daB in 72 Dritteln spaterer Serien die
Durchschnitte der Ausschlage nach Reizwortern, welche in der ersten Serie groBe
galvanische Reaktion hervorgerufen hatten, unter dem Mittel des Drittels waren;
in 44 Dritteln spaterer Serien traf dies zu fiir Ausschlage, welche erst in der zweiten
Serie iiber dem Mittel waren; in 47 Dritteln spaterer Serien war der Durchschnitt
der Ausschlage nach Reizwortern, welche in den zwei ersten Serien zu kleine Aus¬
schlage ausgelost hatten, iiber dem Mittel. Folgende Zahlen geben uns Auskunft
dariiber, wie diese „Fehldrittel“ auf die drei Serienabschnitte verteilt sind:
Von 72 Dritteln A. M. der / sind 1. Drittel 23 = 32 %
gr. Ausschlage 1. S. spater j ,, 2. ,, 16 = 22 %
unter dem Mittel l „ 3. „ 33 = 46 %
Von 44 Dritteln A. M. der / sind 1. Drittel 20 = 45,5 %
gr. Ausschlage II. S. spater < „ 2. ,, 6 = 13,6 %
unter dem Mittel l „ 3. ,, 18 = 40,9 %
• Von 47 Dritteln A. M. der i sind 1. Drittel 21 = 44,7 %
kl. Ausschlage I. u. II. S. | „ 2. „ 8 = 17 %
spater fiber dem Mittel l ,, 3. „ 18 = 38,3 %
Unsere Annahme ist ganz bestatigt; die Reihen, die in der ersten oder zweiten
Serie mit einem Ausschlag iiber dem Mittel beginnen, halten sich im mittleren Drittel
ebenso konsequent iiber dem Mittel der Ausschlage, wie hier die Reizworter mit
kleinen Ausschlagen in den zwei ersten Serien bei Wiederholung des Reizes immer
wieder Ausschlage unter dem Mittel hervorrufen, ein Beweis dafiir, daB in den
mittleren Dritteln die starksten Affekte manifest wurden, die nur langsam ab-
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Journal f. Psychologic
u nd Neurologic.
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reagierten und so sehr hemmend wirkten, daB die darauffolgenden Reize andauerad
nicht zur Geltung kommen konnten. Um mir in der anfangs gestellten Frage noch
mehr GewiBheit zu verschaffen, habe ich noch folgende Statistik angestellt; ich
habe aus all den 318 Dritteln den jeweiligen groBten galvanischen Ausschlag samt
den zwei nachstfolgenden Ausschlagen notiert und dann untersucht, in wie vielen
aller Falle der nachstfolgende, in wievielen der zweitfolgende Ausschlag, wie oft
diese beiden zusammen auch noch fiber dem arithmetischen Mittel der Gesamt-
ausschlage waren. Ich erhielt folgendes Resultat:
Erstfolgender Ausschlag.54mal = 17% der Falle iiber dem Mittel
Zweitfolgender Ausschlag.66mal = 20% ,, ,, „ ,, „
Erst- und zweitfolgender Ausschlag . iomal = 3% ,, ,, ,, „ „
Wir sehen, daB nach einem sehr groBen Ausschlag der nachstfolgende
nur mit einer Wahrscheinlichkeit von 17%, der zweitfolgende mit
einer solchen von 20% ebenfalls iiber dem Mittel ist, daB zwei Aus¬
schlage iiber dem Mittel nur mit einer Wahrscheinlichkeit von 3%
folgen. Ich habe, um diese letzteren Resultate nachzupriifen und um den Ein-
wand, vielleicht seien die Reizworter mit Nullreaktionen zufallig wegen ihres In-
haltes weniger galvanisch betont, zu widerlegen, bei einer Reihe von anderen Ver-
suchspersonen die Wiederholungsversuche so ausgefiihrt, daB ich abwechselnd die
Reizworter in umgekehrter Reihenfolge sprach. Dabei habe ich in der Mehrzahl
der Falle feststellen konnen, daB die in friiheren Serien den starken galvanischen
Reaktionen vorausgehenden Ausschlage, welche vorher das Mittel erreicht oder
sogar iiberschritten hatten, nachher unter dem Mittel standen. Diese Tatsachen
lassen den SchluB zu, daB auf sehr groBe Ausschlage in der Regel kleine folgen,
daB starke Affekte die Auffassung neuer Reize hemmen. Der Vorgang beim Asso-
ziationsexperiment ware demnach der, daB im Anfang des Experiment es ein schwacher
oder mittelstarker Daueraffekt bestiinde, die Experimentsspannung, welche jedem
neuen Reiz ein gewisses MaB von Aufmerksamkeit zuwendet; dieses MaB von Auf-
merksamkeit 1 ) ist es, was wir in den unter sich ziemlich gleich starken galvanischen
Ausschlagen der ersten Assoziationen ausgedriickt finden, ein Affekt, der nicht
dem Reizwortinhalt, sondem dem Reiz als einem Stuck des ungewohnten, viel¬
leicht verfanglichen Experimentes gilt; in vielen Fallen spielt wohl eine gewisse
bewuBte Abwehr mit 2 ). Mit der Angewohnung an das Experiment laBt die Spannung
nach, die Reizworter werden mehr ihrem Inhalt nach aufgefaBt; wird dann eines
stark affektbetont, so wird die ganze Aufmerksamkeit diesem zugewendet; ein
neuer Reiz wird nicht mehr oder nur mangelhaft erfaBt, was sich in einer langen
Reaktionszeit, bei Wiederholung in Konstellationswechsel dokumentieren kann. —
DaB iibrigens im zweiten Drittel nicht etwa „verfanglichere“ Reizworter postiert
sind als in den iibrigen Dritteln, wie man vielleicht annehmen konnte, ist dadurch
ausgeschlossen, daB die Reizwortreihe in den 20 Versuchen 12 mal gewechselt wurde
und Reizworter eines spateren Drittels dadurch in eine friihere. und umgekehrt
versetzt wurden. DaB iibrigens, wenn die Experimentsspannung sehr stark ist,
dann fur die folgenden Reizworter die gleiche Regel gilt, wie fur die Reizworter
*) Im Sinne Bleulers; Aufmerksamkeit eine Seite der Affektivitat.
2 ) s. Binswanger.
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BI> * ,9 19?? FT 4/5 nBER DAS PSYCHOGALVANISCHE PHANOMEN. 155
nach anderen sehr starken Affekten, bevveisen die Versuche bei denjenigen Per-
sonen, bei welchen in der zweiten Serie nach verschiedenen Reizwortem groBe
galvanische Ausschlage auftraten, welche in der ersten Serie nur geringe galvanische
Reaktion hervorgerufen hatten, also nicht aufgefaBt worden waren.
Wir haben hier demnach zu dem im Kapitel I gezogenen SchluB eine Parallele:
Starke Affekte wirken langer nach als schwache; sie storen die Asso-
ziationstatigkeit anhaltender und starker 1 ).
IV. Kapitel.
Fragestell ung. Welche Reizworter, die in den ersten Serien Ausschlage
unter dem Mittel hervorgebracht haben, zeigen in spateren Serien starke galvanische
Reaktionen ?
Wir haben im Kapitel I gesehen, daB von 190 Reihen, welche mit kleinen
Ausschlagen in den beiden ersten Serien begonnen hatten, 117, also 61%, spater
ein Ansteigen der galvanischen Kurve aufzuweisen hatten. Ein groBer Teil davon
sind nach dem Vorhergehenden solche, deren Reizworter direkt auf stark affekt-
betonte Assoziationen folgten, und die darum zum Teil erst in spateren Versuchen
voll aufgefaBt wurden; doch sind dies nicht alle, wie wir uns an folgenden Bei-
spielen aus Versuch II iiberzeugen konnen. Dieser betrifft ein I9jahriges, gebildetes,
sehr intelligentes Madchen, das sehr heiter, aber in neuer Gesellschaft auffallend
schiichtem ist und welches das Experiment nicht kannte. In der Tabelle (S. 156)
sind die Reaktionszeiten der Obersicht halber weggelassen; von den Niveauzahlen
ist nur diejenige des Anfangsniveaus angefiihrt. Ausnahmsweise wurde hier bei 35
das Reizwort „Berg" ersetzt durch „Liebe“. Das Zeichen -f bedeutet Wieder-
holung des friiheren Reaktionswortes.
Das arithmetische Mittel des I. Drittels, I. Serie = 4 mm. Ausschlage iiber dem
Mittel bei Reaktionen 21, 22, 23 und 27. Die starken Reaktionen 21, 22 und 23 halte
ich fur Zeichen der Experimentsspannung; sie sind in spateren Serien nicht mehr fiber
dem Mittel, ausgenommen Reaktion 23 in der III. und IV. Serie. Reaktion 27 (Brot)
verlauft nach der Regel, nimmt in den folgenden Serien ab und dann wieder zu.
Arithmetisches Mittel des II. Drittels, I. Serie = 4,6 mm. Ausschlage fiber
dem Mittel bei Reaktion 35 und 37. Der Ausschlag bei Reaktion 35 (Liebe) ist
13,4 mm fiber dem Mittel; diese halt sich in der folgenden Serie um einen groBen
Betrag iiber dem Mittel. Reaktion 37 (Salz) sinkt im Wiederholungsversuch bald
auf Null herab und steigt dann nicht mehr, steht vielleicht unter dem EinfluB des
kurz vorhergehenden starken Ausschlages bei 35.
Arithmetisches Mittel des III. Drittels, I. Serie = 3,5 mm. Ausschlage iiber
dem Mittel bei 38, 42, 45. Der Ausschlag bei Reaktion 38 (neu) halt sich in den
folgenden Serien unter dem Mittel. Der Ausschlag bei Reaktion 42 (dumm) ist
*) Vgl. Hellpach, Gnindlinien einer Psychologie der Hysterie, Abschnitt uber Aper-
zeption und Koordination: ,,Die Kontrolle, die sich in der mehr passiven Apperzeptionslage
iibers ganze Bewufltseinsfeld erstreckt und damit die reichste WiUensbetatigung ermoglicht,
schwindet mit der zunehmenden Spannung der aktiven Apperzeption. Dann entstehen die Zer-
streutheitshandlungen. (Apperzeption: Vorgang, durch den ein psychischer Inhalt Klarheit und
Deutlichkeit gewinnt und damit zugleich den Zustand der Aufmerksamkeit herauffuhrt.*') Wir
konnen dies nach dem Gesagten einfach so ausdriicken: Je starker der Affekt, des to starker
die Hemmungen und um so zahlreicher die storenden Perseverationen.
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JAKOB KLASI.
Journal f. Psychologic
and Neurologie.
mit einer einzigen Ausnahme auch in alien folgenden Serien iiber dem Mitt el; der
Ausschlag bei Reaktion 45 (Finger) ebenfalls.
Frflul. B ...
I. Serie
Niv. 346
II. Serie
Niv. 39 a
III. Serie
Niv. 336
IV. Serie
Niv. 2 &t
V. Serie
Niv. 067
VL Serie
Niv. 389
Nr.
Reizwort
Reakt.
Wort
GA
Reakt.
Wort
GA
Reakt.
Wort
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Reakt
Wort
GA
Reakt
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2
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reich
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1
4-
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Baum
Apfel
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+
1
Strauch
0
4-
0
4-
0
+
4
32
singen
Sanger
1
+
7
pfeifen
3
tanzen
7
springen
2
4 -
0
33
i Mitleid
Barm-
herzigkeit
Arme
0
4-
5
Armut
3
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6
4-
0
34 1
gelb
Vogel
3
+ 1
0
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0
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0
Vogel
1
grun
0
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Liebe
uberall
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vielfach
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4-
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uberall
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0
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Salz
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1
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Anstand
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Gebrauch
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3
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9
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2
Reiter
2
Pferd
3
+
9
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0
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Geld
Tasche
0
+
0
4-
6
4-
0
4-
12
Gut
0
42
dumm
intelligent
5
ah in¬
telligent
9
4-
4
4-
10
4-
2
4-
4
43
Heft
1
schreiben
1
+
8
4-
,
4 - (Sto¬
ning)
—
4-
4
4 -
27
44
verachten
Arme
0
arm
0
ehren
2
arm
4
Armut
1
4-
0
« t
Finger
Ring
3,5
4 -
18
Hut
5
Ring
8
4-
7
4 -
0
1
3,5
5,2
3,2
4,3
4,8
5,3
Ausschlage iiber dem Mittel des zugehdrigen Drittels treten in der zweiten
Serie neu auf bei Reizwort 24, 28, 32, 39 und 43; die groBten Ausschlage sind aber
wieder bei „Liebe“ und bei „dumm“; diese sind also sowohl in der ersten wie
in der zweiten Serie am meisten affektbetont; es war anzunehmen, daB hier starke
Komplexe, der sexuelle und der Intelligenzkomplex getroffen wurden; auBer bei
„Liebe“ und „dumm“ treten in der zweiten Serie groBere Ausschlage bei singen,
bei Sitte und bei Heft auf; wir werden spater darauf zuriickkommen. In der
dritten Serie finden wir auBer bei 33 und 41 auffallend groBe Ausschlage nach den
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BD ‘ 19 iq?2 EFT 4/5 CBER DAS PSYCHOGALVANISCHE PHANOMEN. 157
Reizwortern „Nadel“ und „schwimmen". Ich fragte die Versuchsperson, nachdem
dieser Wiederholungsversuch beendigt war, was ihr zu diesen Wortern einfalJe. IcJi ei -
hielt zurAntwort: ,,nahen“ konne sie auch nicht recht; ,,schwimmen“ habe sie aucli
nicht gut gelemt. In der vierten Serie tritt plotzlich ein sehr groBer Ausschlag auf
beim Reizwort „reite n“; gefragt, was ihr dazu einfalle, gestand sie, daB ihr jetzt ein
Reiter in den Sinn gekommen sei, dem sie auf dem Weg zur Anstalt begegnet und mit
welchem sie etwas kokettiert habe. GroBe Ausschlage in der V. Serie nach ,,Mitleid“
(Reaktion ,,Armut“) und nach ,,Geld“ (Reaktion ,,Tasche“), die schon in derdrit-
ten Serie galvanisch betont gewesen waren. Nach den Einfallen befragt, erklarte sie,
„daB sie eine groBe Angst vor der Armut habe; sie habe sich jetzt vorgestellt, wie
es ihr einmal gehen wiirde, wie sie sich da helfen muBte, wenn sie arm ware"; bei
Geld habe sie daran gedacht, daB sie im Bahnwagen fast ihre Tasche liegen gelassen
habe und die Mutter habe ihr noch gesagt, sie solle darauf acht haben.
In der VI. Serie folgt plotzlich ein groBer Ausschlag nach dem Reizwort
,,spielen“ (Reaktionswort tanzen) und ein ebensolcher nach dem Reizwort ,,Heft“
(Reaktionswort schreiben). Gefragt, sagte sie, bei Heft habe sie sich sagen miis-
sen: „Da machst du auch immer nochFehler undKlexe; das kannst du auch nicht
recht“; bei spielen sei ihr ein Kinderspiel eingefallen: „Adam und Eva spielen".
Wir sehen aus diesen Erlauterungen, wie die Versuchsperson die Reizworter
im Sinne des sexuellen und des Intelligenzkomplexes, die wir aus dem Verhalten
der Ausschlage bei 35 und 41 festgestellt haben, aufzufassen begann, nachdem
diese einmal durch das Experiment aufgescheucht waren. Diese ,,Komplexemp-
findlichkeit" hat schon in der zweiten Serie auf die Reizworter ,,schwimmen",
„sundigen“, „singen“ (Reaktion ,,Sanger"), ,,Sitte" (spateres Reaktionswort
„Anstand“) und ,,Heft“ gewirkt. Es ware sonst nicht erklarlich, wie die Ver¬
suchsperson, welche eine geringe Experimentsspannung gezeigt hat, diese Reiz¬
worter in der ersten Serie nicht schon voll aufgefaBt, und hier schon ebenso stark
oder starker betont hatte als in der folgenden Serie. Alle diese Reizworter konnten
bei der Versuchsperson Assoziationen hervorrufen, die zum Teil zu dem sehr starken
Intelligenzkomplex, zum Teil zu dem noch starkeren ,,erotisclien" hiniiberleiteten.
Wir verstehen nun auch die Schiichternheit, welche das intelligente Madchen in
ungewohnter Gesellschaft an den Tag legt; sie hat das Gefiihl, daB sie dumm sei,
und wie sie im Experiment aus diesem Grand sich vorwirft, daB sie nicht nahen,
schwimmen, schreiben konne, daB sie nichts gelernt habe und daram, wenn sie
Ungliick habe, verarme, so wird sie in Gesellschaft Angst haben, daB sie Fehler mache
und lacherlich werde. Diese Einstellung, die, wie ich durch Anamnese erheben
konnte, erst seit 2—3 Jahren besteht, ist bei der Intelligenz der Versuchsperson,
welche den Durchschnitt weit uberragt, verstandlich, wenn wir die Reaktionen
ansehen, welche auf die Reizworter ,,Liebe“ und „Finger“ erfolgen. Liebe: iiberall,
vielfach, Finger: Ring, sagen dem nicht voreingenommenen Beobachter selbst schon
genug. Versuchsperson mochte heiraten; da ist es nicht verwunderlich, daB unter
anderen auch der Intelligenzkomplex wach wird und der Wunsch auftaucht, in kei-
nem Fall dumm scheinen zu wollen.
Resiimieren wir das in vorangehenden Kapiteln Gesagte: Durch den Affekt
eines experimentell angeregten Komplexes wird die Aufmerksamkeit angeregt,
welche gewisse Assoziationen bahnt, andere hemmt: gebahnt werden
Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19 .
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Journal f. Psjehologie
und Nenrologie.
diejenigen Assoziationen, welche zu der stark affektbetonten Vor-
stellung in irgend einem ideellen oder lokalen Zusammenhang stehen.
GroBe Ausschlage treten im Wiederholungsversuch erstens bei solchen
Reizwortern neu auf, die selber „Komplexe“ anregen konnen, vorher
aber nicht aufgefafit wurden, weil die Aufmerksamkeit durch starke
Affekte zu sehr abgelenkt war, zweitens bei solchen, die im Sinne
der durch das Experiment schon aufgescheuchten Komplexe aufge-
faBt werden und verwandte Vorstellungen erwecken konnen.
V. Oberblick.
Der galvanische Ausschlag ist nicht etwas Zufalliges, er ist durch affektive
Vorgange bestimmt. Wird ein Reiz, der einen groBen Ausschlag ausgelost hat,
in nicht zu kurzen Zeitabstanden unter den gleichen Bedingungen wiederholt,
so tritt mit einer Wahrscheinlichkeit von 72 bis 76% wieder ein groBer Ausschlag
auf. Ich hole hier noch nach, daB Veraguth die Wiederholungsversuche so an-
gestellt hat, daB die Versuchsperson auf die Reizworter nicht antworten muBte.
Er wollte davor sicher sein, daB der Ausschlag dem Reaktionswort statt dem Reiz-
wort gelte. Fiir uns aber war letzteres, wie wir gesehen haben, gleichgultig, da wir
der Ansicht sind, daB nur auf stark affektbetonte Reizworter so reagiert werden
kann, daB die Versuchsperson dem Reaktionswort nachher Gewicht beilegt und
dieses galvanisch betont, und wir ja nur die RegelmaBigkeit des Auftretens starker
galvanischer Reaktionen bei gewissen Assoziationen untersuchen wollten. — Die
Summe der gesamten galvanischen Ausschlage nimmt bei Wiederholungen des
gleichen Experimentes allmahlich ab. Tritt nach einem Reizwort ein groBer gal¬
vanischer Ausschlag auf, so nimmt dieser bei der Wiederholung des Reizes ebenfalls
allmahlich ab, nachher aber wieder zu. Die Raschheit, mit der er sich der Null-
reaktion nahert, dann aber wieder das Mittel iibersteigt, hangt von der Gr6Be des
primar ausgelosten Affektes ab. Nach einem Reizwort, das einem groBen Ausschlag
folgt, kann wieder ein groBer Ausschlag auftreten; in der Regel aber lost dieses
eine galvanische Reaktion aus, die unter dem Durchschnitt aller Reaktionen steht.
Ein Reizwort ist um so sicherer von einem galvanischen Ausschlag gefolgt und dieser
ist um so groBer, je mehr andere Komplexmerkmale bei der Reaktion auftreten.
Einzelne Komplexmerkmale, abgesehen vom galvanischen Ausschlag, kommen
haufiger vor bei Assoziationen, welche groBen Ausschlagen direkt folgen, als bei
solchen, welche selbst von einem groBen Ausschlag begleitet sind. GroBe Ausschlage
konnen in Wiederholungsversuchen nach solchen Reizwortern primar auftreten,
welche groBen Ausschlagen folgen, gerade deshalb aber friiher nicht aufgefafit worden
sind, oder nach solchen, welche Assoziationen und Vorstellungen anregen, die mit
denjenigen von Reizwortern mit groBem Ausschlag in Beziehung stehen.
Diese Tatsachen lassen folgende Schliisse zu: Wird im Assoziationsexperiment
durch ein Reizwort ein starker Affekt ausgelost, so ist dasselbe Reizwort, wenn es
in gewissen Zeitabschnitten wiederholt wird, in der Mehrheit der Falle immer wieder
stark affektbetont. Die so ausgelosten Affekte klingen allmahlich ab, kleine rascher
als groBe. Durch sie ward die Aufmerksamkeit angeregt, welche gewisse Asso¬
ziationen bahnt, andere he mint 1 ). Gebahnt werden vor allem diejenigen
M Bleuler, Affektivitat. Das Gesperrte ist wortliches Zitat.
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B °‘ 19 1912 EFT 4/5 tJBER DAS PSYCHOGALVAN1SCHE PHANOMEN. I
Vorstellungen und Assoziationen, die mit der affektbetonten Vorstellung in einem
Zusammenhang stehen, gehemmt in der Regel alle anderen. Die Reize werden
im Sinne der Komplexe aufgefaBt und verstanden; der Komplex iibt auf sie eine
selektive Wirkung aus. Der Grad der Hemmung ist von der Starke des Affekts,
dem die Eigenschaft zukommt, langer zu dauern als die auslosende Erfah-
rung, abhangig. Je intensiver namlich die Aufmerksamkeit, welche proportional
dem Affekt geht, wirkt, um so kleiner wird das Gebiet, das fur die affektbetonte
Vorstellung in Betracht fallt. Das Verhaltnis von affektbetonter Vorstellung zur
Aufmerksamkeit und deren Wirkung mochte ich mit folgendem Beispiel veranschau-
lichen: Ein Reisender sitzt in der Wartehalle eines Bahnhofes. Die affektbetonte
Vorstellung ist sein Reiseziel. So lange er noch viel Zeit iibrig hat, wird er jedesmal,
wenn er einen Ausrufer hort, auf Stationen, welche in der Richtung seines Reise-
ziels sind, aufmerksam werden und Assoziationen daran kniipfen. Je naher die
Zeit heranriickt und je mehr er Reisefieber hat, um so mehr wird er nur noch auf
Stationen, welche auf seiner Linie liegen, zuletzt nur noch auf diejenigen seines
Reiseziels horen. Das Kapitel uber die Wirkung der starken Affekte auf nachst-
folgende Reize belehrt uns auch, daB, wenn diese nicht aufgefaBt werden, auch
kein Affekt auftritt. Auch nach der Untersuchung des psychogalvanischen Pha-
nomens besteht also folgende Wechselwirkung zwischen Affektivitat und intellek-
tuellen Fahigkeiten: Die Aufmerksamkeit darf nicht gehemmt oder abgelenkt sein,
damit eine hochwertige assoziative Tatigkeit einsetzt, und diese wieder ist die
Vorbedingung fiir das Auftreten weiterer affektiver AuBerungen.
Zum Schlusse spreche ich Herrn Professor Dr. Bleuler fiir sein Interesse an
der Arbeit und Herm Privatdozent Dr. Jung fiir seine Anregungen zu den Ex-
perimenten und seine Ratschlage meinen herzlichen Dank aus.
Burgholzli-Ziirich, Herbst 1911.
Literaturverzeichnis.
Binswanger, L., Uber das Verhalten des psycho-galvanischen Phanomens beim Assoziations-
experiment. Leipzig 1910. I. A. Barth.
Bleuler, E., Affektivitat, Suggestibilitat, Paranoia. Halle 1906. C. Mar hold.
Hellpach, W., Grundlinien einer Psychologic der Hysterie. Leipzig 1904. Engelmann.
Jung, C. G., Diagnostische Assoziationsstudien. I. u. II. Teil. Leipzig 1901. I. A. Barth.
Jung u. Peterson, Psycho-physical investigations with the galvanometer and pneumograph
in normal and insane individuals. „Brain“, vol. 30, 1907.
Knauer, Uber den EinfluB von Ausdrucksbewegungen auf das elektrolytische Potential und
die Leitfahigkeit der menschlichen Haut. Klinik fur psychische und nervose Krankheiten.
Muller, Hugo, Dissertation. Zurich 1909. Experimentelle Beitrage zur physikalischen Er-
klarung der Entstehung des psycho-galvanischen Phanomens.
Ricksher and Jung, Further investigations on the galvanic phenomenon and respiration in
normal and insane individuals. Journal of abnormal Psychology, vol. 2, 1907—1908.
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Veraguth, O., Das psychogalvanische Reflexphanomen. Berlin 1909. S. Karger.
t ^-
ii*
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DR. O. ROSSI.
Journal t Psychologic
und Neuro logic. _
(Kliuik fiir Nervcn- uiul (ieisteskrankheiten der Konigl. Universitat in Sassari.)
Regenerative VorgSnge im Nervus opticus.
Von Dr. Ottorino Rossi,
Interims-Direktor.
Historische Einleitung.
Der anatomische Bau und die relative Einfachheit der Struktur und der Ver-
hindungen des Nervus opticus stellen denselben als eine fiir das Studium der Re¬
generations vorgange im Zentralnervensystem auBerordentlich geeignete Region dar.
Der Ursprung der Sehnervenfasern ist in der Tat gut bekannt; ihr Verlauf ist ziem-
lich regelmaBig und jenem der Fascm der peripheren Nerven ahnlich. Anderseits
fehlen dem N. opticus die sogen. Schvvannschen Zellen. Infolgedessen ist hier eher
moglich als anderswo, passcnde Urteilselemente in der Streitfrage iiber die Rege¬
neration der Nervenfasern finden zu konnen.
Von diesem Standpunkte ausgehend habe ich schon seit dem Jahre 1907
angefangen, mich mit Regenerationserscheinungen des Nervus opticus zu be-
schaftigen.
Meinen ersten Mitteilungen, welche ich am I. KongreB der italienischen ,,So-
cieta di Neurologia" (Neapel, April 1908) vorgetragen (1), gingen manche Beobach-
tungen von Cajal (2) voran, welcher in einer Arbeit iiber degenerative und regenera¬
tive Prozesse im Zentralnervensystem dariiber berichtete. Aber der Verfasser be-
schrankt sich darauf, zur Kenntnis zu bringen, daB die degenerativen Vorgange der
Sehnervenfasern viel langsamer als diejenigen der peripherischen Nervenfasern ver-
laufen, so daB einen Monat nach der Durchschneidung noch seltene einzelne Fasern,
welche den degenerativen ProzeB iiberlebten, zu sehen waren.
Kurz vor meinem Vortrag, als meine Versuche schon vorgeschritten waren.
erschien iiber dasselbe Thema eine Arbeit von Tello (3), Schiiler des spanischen
Forschers. Der Verfasser durchschnitt den Sehnerv an seinem intraorbitalem Teile
und beobachtete folgendes: drei Tage nach der Durchschneidung waren in dem
Stumpf, welcher am Auge hing, noch keine ausgepragten Regenerationsvorgange zu
erkennen; es erschienen jedoch schon einzelne Fasernteilungen, deren Astchen in
kleinen Endkiigelchen endeten. Dreizehn Tage nach der Operation erschienen ge-
niigende neugebildete Faserchen und nahmen die Richtung nach der Narbe, in
welche manche tief eindrangen. Aber, ahnlich dem was Cajal im Riickenmark
bemerkte, schienen hier die Regenerationsvorgange statt weiterzugehen, zuriick-
zutreten: die Sehnervenfasern fielen in einen regressiven Zustand, von welchem die
Spuren vierzig Tage nach der Durchschneidung bis in die Xetzhaut zu verfolgen
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B,) ‘ 19 ’* EFT 45 REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS. l6l
waren. In dieser Zeit, in welcher alle die Nervenfasem des proximalen Stumpfes
schon zugrunde gegangen waren, fand man in der Schicht der Fasem der Netzhaut
manche in kleine Kiigelchen endende Achsenzylinder. Tello faBte diese als Achsen-
zylinder der Ganglienzellen, welche Regenerationsversuche ausiibten, auf. Aber nach-
dem hier die chemotaktischen Reize der Schwannschen Zellen iehlten, nahmen
diese in Wachstumskugeln endenden Fasem abnormen Verlauf, wandten sich
peripheralwarts und konnten sogar die Schicht der sogen. amakrinen Zellen er-
reichen.
Im Jahre 1908 berichtete Poscharissky (4) fiber eine Gumma im Zentral-
nervensystem und beschrieb gelegentlich manche Regenerationserscheinungen der
optischen Bahnen. Derselbe veroffentlichte spater (1909) eine Arbeit (5) iiber die
Veranderungen des Sehnerven von Hiindchen und j ungen Wolfen nach einmaliger
intraorbitaler Durchschneidung desselben. Aus seinen Beobachtungen zieht der
Verfasser den SchluB, daB der Sehnervenfasemschwund ein sehr langsamer ist
und daB manche kargliche Regenerationsvorgange von seiten dieser moglich sind.
Ich mochte hier kurz die Resultate meiner Versuche bis zum Jahre 1911 zu-
sammenfassen.
In der ersten oben erwahnten Mitteilung am I. KongreB der ,,Societa italiana
di Neurologia“ war dargestellt wie die intrakranielle Durchschneidung des Nervus
opticus, der intraorbitalen vorzuziehen sei, um Zirkulationsstorungen moglichst zu
vermeiden. Ich zeigte, daB in dem distalen Stumpf schon am 6. Tage nach dem
Trauma ausgebildete Regenerationsvorgange vorhanden sind; femer demonstrierte
ich, an dazu geeigneten Versuchen, daB auch im Nervus opticus keine Autoregenera¬
tion der Nervenfasem stattfindet.
In der Arbeit von 1908 (6) legte ich die Tatsache dar, daB die ersten Regenera-
tionsprozesse schon 70 Stunden nach der intrakraniellen Durchschneidung vor-
kommen und daB sich diese noch am 22. Tage in voller Tatigkeit erhalten; veroffent¬
lichte daneben die ersten Beobachtungen iiber die Veranderungen des sogen. Stiitz-
gewebes des Opticus und iiber Entstehung und Bau der Narbe.
Im Jahre 1909 (7) folgte ein Versuch, welcher beweist, daB noch 210 Tage
nach der intrakraniellen Durchschneidung des Opticus tatige Regenerationspro-
zesse und geniigende neugebildete Nervenfasem in dem distalen Stumpf desselben
zu beobachten sind.
Im Jahre 1911 teilte ich am III. Kongresse der ,,Societa italiana di Neuro-
logia“ (8) weitere Versuche mit, deren wichtigste Ergebnisse sind: daB 505 Tage
nach der obgenannten Operation der distale Stumpf des Nervus opticus noch reich
an Nervenfasem ist. Unter diesen besitzen jene, welche in dem proximalsten Teile
liegen, die Merkmale der neugebildeten Fasern. Die Regenerationsprozesse sind aller-
dings noch nicht erloscht. Manche neugebildete Fasem erreichen die Narbe, dringen
in dieselbe ein, aber nach einer kurzen Strecke winden sie sich zuriick oder werden
von irritativ-degenerativen Prozessen ergriffen. Zu dieser Zeit entbehrt der proxi-
male Stumpf des Opticus die Nervenfasem vollkommen.
Ich machte auch gleichzeitig darauf aufmerksam, daB die infolge Durchschnei¬
dung des Nervus opticus entstehenden Veranderungen von der Exstirpation der
Schilddrtise in keiner Weise beeinfluBt zu sein scheinen.
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und Neurologic.
Vorbemerkungen und Methodik der Versuche.
Ziel dieser Arbeit ist, die Einzelheiten der ganzen Reihe meiner Versuche
am Nervus opticus, von den friihesten bis zu den spatesten Stadien, zu beschreiben.
Ich betone vorher, daB ich den Sehnerv meiner Versuchstiere (Kaninchen
im ersten Lebensmonat) in seinem intrakraniellen Teil durchschnitt, mit welchem
Verfahren die hervorgerufenen Blutkreislaufstorungen gewiB viel weniger erheblich
sind als bei der Durchschneidung des Nervus in seinem introarbitalen Teil, wobei
die Arteria centralis retinae leicht getroffen werden kann. Jedenfalls beobachtete
ich an meinen operierten Tieren, daB die Zirkulation im distalen Stumpfe und in der
Netzhaut nicht aufgehoben war. Die Beeintrachtigung des Blutkreislaufes soviel
als moglich zu vermeiden scheint mir die wichtigste Bedingung, um die regenera-
tiven Prozesse studieren zu konnen.
Fig. x. Elemeute b) eioes normalen Sehnervs.
Die von mir beniitzten histologischen Methoden sind: das Silber-Impragna-
tionsverfahren von Cajal fur das Studium der Nervenfasem und die Verfahren
von Pappenheim, Nissl, Mann, Mallory (fur Bindegewebe), Cajal (trichro-
mische Farbung); die letzten drei nach Fixierung in der Flemmings-Fliissigkeit.
* *
«
Der Beschreibung meiner Beobachtungen sende ich einige Anmerkungen iiber
manche Elemente des sogen. Stutzgewebes des Nervus opticus voraus, weil diese
Elemente mir eine wichtige Rolle in den zu beschreibenden Prozessen zu spielen
scheinen. Im Sehnerv des jungen Kaninchen sind, unter anderem, folgende zellige
Elemente zu sehen:
a) Zellen, welche alle die Merkmale der gewohnlichen Gliazellen zeigen. Sie
besitzen mittelmaBige oder kleine, an Chromatin reiche Kerne, sehr kleinen Plasma-
leib, von welchem diinne Fortsatze ausgehen.
b) Elemente von groBerem Umfange, deren Kern groBer als in Elementen a)
und armer an Chromatin ist. Das Kemkorperchen liegt exzentrisch; der Plasma-
leib ist groB, zeigt rundliche oder annahemd viereckige Gestalt: nicht selten streckt
sich der Zelleib in plumpen Amoboiden, Pseudopoden aus (Fig. i).
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BD ' 19 im| FT 4!h REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS. 163
DieZahl dieser Zellen ist erheblich geringer als die der Elemente a). Elementeb)
sind am haufigsten in der Nahe von BlutgefaBen, aber auBerhalb deren Scheiden
zu sehen.
Was die Natur und die Bedeutung dieser Zellen anbelangt, verweise ich den
Leser auf meine Arbeit iiber die degenerativen und regenerativen Vorgange in
Nervenzentren (6), in welcher ich die Annahme verfocht, daB es sich um spezielle
Gliaelemente handelt. Ich halte fur hochstwahrscheinlich, daB meine Elemente b)
denen, welche unter der Bezeichnung von „amoboide Gliazellen“ von anderen
Autoren beschrieben worden, identisch sind. Im Nervns opticus habe ich uberhaupt
nie in diesen Elementen eine fibrillare Struktur beobachtet.
Um MiBverstandnisse zu vermeiden, mache ich den Leser aufmerksam, dafi
ich distalen Stumpf jenen Teil des Opticus nenne, welcher am Auge hangt; dieser
Stumpf entspricht, in bezug auf Ursprung der Nervenfasern, dem zentralen Stumpf
der gewohnlichen Nerven. Mit der Benennung proximaler bezeichne ich den
Stumpf, welcher mit dem Chiasma nervorum opticorum in Verbindung steht; dieser
entspricht dem peripheren Stumpf der gewohnlichen Nerven.
Beschreibung der Versuche.
3 Tage nach der Durchschneidung.
In dem proximalen Stumpf sind von der Seite der Nervenfasern viele Er-
scheinungen zu sehen, welche die groflte Ahnlichkeit mit denjenigen von Perroncito,
im peripheren Stumpf der Nerven, unter der Bezeichnung ,,irritative Erscheinungen"
beschriebenen, darbieten. Es handelt sich um sehr verschiedene, schwer zu beschrei-
bende AuBerungen, welche anderseits so gut bekannt sind, daB ich glaube daruber
hinweggehen zu konnen.
In dem distalen Stumpf merkt man eine proximalste Zone, in welcher die oben
erwahnten irritativen Prozesse vorherrschen und eine zweite Zone in welcher die dickeren
Nervenfasern schon metamorphische Erscheinungen darstellen, d. h. daB die Fibrillen
derselben deuthcher hervortreten, weil sie sich auseinanderspreizen. Manche, jedoch
seltene dieser Fasem sind schon in zwei oder mehr Aste gespalten. In derselben Zone
erscheinen manche in Endkugelchen oder -kolbchen von homogener Struktur endende
Faserchen.
Die Wunde ist voll von Detriten und Blutelementen; an den Randem sieht
man die Erscheinungen von einer neubildenden Tatigkeit seitens der Elemente b), welche
Kemteilungsfiguren zeigen. Auch die bindegewebigen Elemente, ebenso diese von Septen,
wie Opticusscheiden, fangen an sich zu vermehren.
4Vj Tage nach der Durchschneidung.
Die groBten Nervenfasern des proximalenStumpfes sind in weit fortgeschrittene
Degenerationsvorgange gefallen, sie erscheinen verkrummt und kornig; der distalste Teil
von mehreren Fasern ist schon abgesondert und bildet runde Massen, an deren Zentrum
die verkrummten, grobkdmigen Reste der Achsenzylinder liegen. Auch die dunnsten-
Fasem zeigen regressive Merkmale, jedoch weniger als die dicken.
In der nekrotischen Zone des distalen Stumpfes sind die Degenerationsvor¬
gange schon weit gegangen: auch hier fangt, am Niveau der ersten Segmente der me-
tamorphischen Zone, die Absonderung der degenerierten Stucke der Achsenzylinder
an (Fig. 2).
Oberhalb der sich absondemden Stucke mancher Fasern bilden sich schon durch den
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and Neurologic.
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ProzeB von Ausspaltung und Aussprossung ncuc zarte Faserchen (Fig. 3), in anderen
Fasern ist die Absonderung schon fertig (Fig. 4). Die in Endkiigelchen oder -kolbchen
endenden zarten Faserchen sind vermehrt, auBerdem treten auch andere mit Endring-
lein und -plattchen auf, welche in die nekrotische Zone eintauchen.
Die Elemente b) sind am Wundrande noch reichlicher vorhanden und ihre Ver-
mehrung fangt auch in der nekrotischen Zone und im proximalen Stumpfe an. In der
Wunde sind neben Detriten manche Zellen zu sehen, welche ziemlich groBen, grob-
maschigen Plasmaleib haben und deren Kern, arm an Chromatin, meistens exzentrisch
Fig. 2.
Opticus-Nerven-
faser des distaleu
Stumpfes mit Ab¬
sonderung ihrer de-
generierten Stiicke.
(4* g Tage nach der
Durchschneiduug.
Cajals Silber-
impragnations-Me-
thode.)
Fig. 3. Nervcnfaser mit Absonderung
ihrer degenerierten Stiicke und Fa-
serchenneubildung.
Fig. 4. Spaltung einer
Nervenfaser.
(Aus einern durchgeschnittenen Nervus opticus. 4^ Tage nach
der Operation. Cajals Silberimpragnations-Methode.)
licgt. Vom morphologischen Standpunkte aus sind diese Zellen ziemlich gleich den Ele-
rnenten b), welche sich am Wundrande sammeln. Die Mehrzahl der Zellen der Wunde
enthalt Myelinreste; in manchen jedoch treten mit Cajals trichromischer Farbung fuchsi-
nophile, grobe Korner hervor.
Von jetzt an werde ich diese Zellen, uin Wiederholungen zu vermeiden, Abbau-
zcllen nennen.
Die Vermehrung der bindegewebigen Elemente des Nervus opticus geht weiter;
es findet auch eine zellige, bindegewebige Vermehrung der Opticusscheiden statt. Die
neugebildeten Elemente richten sich wundwarts.
(> Tage nach der Durchschneidung.
Die groBten Nervenfasern des proximalen Stumpfes sind liber eine gute Strecke
degeneriert, die diinnen iiber eine kiirzere. In einem Exemplare dieses Stadiums fand
ich manche Nervenfaserstticke bei der Operation abgeschnitten, zwischen den Elementen
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Hr> ‘ "SK" 1/5 regenerative VORGANGE im nervus opticus. 165
Fig. 5. Degenerierende Opticus-Nervenfasern in der Narbe, 6 Tage
nach der Durchschneidung. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
der zu dieser Zeit schon entstehenden Narbe vervvickelt. Diese Fasern zeigen regressive
Merkmale, «nden in grobe, keulenformige Massen, in wclchen grobkornige, mit Silber-
methode tiefschvvarz gefarbte Reste der Achsenzylinder liegen (Fig. 5).
In dem distalenStumpf sind dieme-
tamorphischen Erscheinungen reichlicher
und komplizierter; von der Zone, in wel-
cher dieselben stattfinden, gehen zahlrciche
neugebildete Faserchcn aus, welche in die
Richtung der Narbe ziehen, diese crreichend.
dringen mehrere tief ein, andere teilen sich
dort in Ringlein endend.
In einem Falle, in vvelchem der Seh-
nerv nicht total durchgeschnitten war, sah
ich neugebildete Fasern, welche die ganze
Narbe durchlaufen hatten.
In dem proximalen Stumpf brei-
tet sich die Vermehrung der Elementc b)
aus, iiberhaupt in der Nahe von BlutgefaBcn
(Fig. 6).
Mit Pappenheims Farbungsmethode be-
obachtet man im Kern derselben zwei oder
drei rote Kernkorperchen und gleichzeitig
zwei oder drei griinlichblau gefarbte Schol-
len, welche manchmal am Kernkorperchen
anliegen, manchmal von demselben getrennt
sind. In einigen ist die Kernmembrane an
einer Stelle gebrochen und die Kernkorper¬
chen allein oder auch die griinlichblauen
Fig. 6. Elemente b) im proximalen Stumpf des
Nervus opticus 6 Tage nach der Durchschnei¬
dung. Mikrophotographie aus einem mit Manns
Methode hergestelltem Praparate.
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l6<) DR. O. ROSSI. Journal f. Psychologic
und N eurologte.
Schollcn sind in den Zelleib gewandert. Andere Elemente b) am Wundrande liegend,
zeigen VcrgroBerung des Plasmaleibes, zahlreiche Pseudopoden. Manche mit unver-
schrter Kernmembrane enthalten rotlila gefarbte Korner.
Die Vermehrung des Bindegewebes uberhaupt seitens der Opticusscheiden ist so
erheblich geworden, daB man schon von einer Narbe zwischen den zwei Opticusstumpfen
reden kann.
9V2 Tage nach der Durchschneidung.
Weitere Fortschritte der Degeneration der Nervenfasern im pro ximalen Stumpf.
Manche Nervenfasern sind schon in plumpe, kornige Stiicke zerfallen; von anderen liegen
nur die Zerfallsproduktc in grobkornigen langlichen Haufen oder Schollen beisammen.
Fig. 7. Metamorphische Erscheinungen an Opticusfasern 9*/^ Tage nach der
Durchschneidung. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
In der metamorphischen Zone des distalen Stumpfes sind die Regeneration
bcreitenden Erscheinungen sehr kompliziert geworden; nicht alle die neugebildeten
Fasern verlaufen nach der Narbe, manche wenden sich distalwarts und andere breiten
sich, nach kurzem Verlauf, in zarte feinmaschige fibrillare Strukturen aus (Fig. 7).
Die Zahl der neugebildeten Fasern, welche in die Narbe eindringen, ist etwas groBer
als in dem vorher beschriebenen Stadium, aber die durchlaufene Strecke ist nicht er¬
heblich langer.
In der Narbe sind die Abbauz lien bedeutend vermehrt; ihr Plasmaleib zeigt
manchmal in Praparaten nach Osmium-Fixierung groBe Vakuolen und manche Kerne
bieten karyorrhexische Zustande dar. Die bindegewebigen Elemente sind vermehrt,
am meisten die, welche von der Opticusscheide stammen; hier fangt schon eine Tatsache
an sich zu klaren, welche spater deutlicher werden wird, d. h. daB die bindegewebigen
Balken sich nicht parallel sondern senkrecht zum Langsverlauf des Nerves ordnen.
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BD. Ill, HEFT 4/7)
1912.
REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS. 1 67
r " } Die Vermehrung der Elemente b) ist in dem distalen Stumpf lokalisiert, jedoch
nicht streng in der nekrotischen Zone, wahrend sie im proximalen Stumpf eine aus-
gebreitete ist und mit den regressiven Prozessen der Nervenfasem im Verhaltnis zu
stehen scheint.
12 Tage nach der Durchschneidung.
In dem proximalen Stumpf ist die Degeneration der Nervenfasem eine vollkom-
mene; dieser entziehen sich nur wenige zarte und dunne, in zarte homogene End-
Fig. 8. Neugebildete Fasem in der Narbe,
30 Tage nach der Durchschneidung. (Cajals
Silberimpragnations-Methode.)
kiigelchen endende Faserchen, mit deren moglicher Natur und Bedeutung ich mich
spater beschaftigen werde.
Die Regenerationserscheinungen im distalen Stumpf sind hervorragend; die
neugebildeten Faserchen sind ausgiebig; die meisten orientieren sich in Richtung der
Narbe, viele dringen in dieselbe ein, wenige nur uberlaufen diese knapp, die meisten
teilen sich und enden in Endkolbchen, -plattchen und -ringen.
17 Tage nach der Durchschneidung.
Im proximalen Stumpf sind noch die oben erwahnten zarten Faserchen vor-
handen.
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und Neurologic.
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Die regenerativen Prozesse im distalen Stumpfe sind fortgcschritten, aber
mehr in bezug auf ihre Mengc als auf den Verlauf der neugebildetcn Nervenfasern.
30 Tage nach der D urchsch neid u ng.
Dieses Stadium liefert dem Beobachtcr wichtige Tatsachen. Im proximalcn
Stumpf hat die Degeneration das Chiasma erreicht. In dem Sehstreifen sind noth
manche Fasern vorhanden, welche aber vorgeschrittene degenerative AuBerungen zeigen,
die meisten Achsenzylindcr sind jedoth zugrundc gegangen. Von den oben erwahnten
dunnen Faserchen sind nur kurze Ubcrreste vorhanden.
Fig. 9. Nervenfasern der Fasernschicht der Retina mit Fig. 10. Schnitt einer Retina; 65 Tage
mctamorphischen Erscheinungen; 65 Tage nach dcr nach der Durchschneidung des betreffen-
Durchschneidung. den Opticus.
(Cajals Silberimpragnations-Methode.)
Im distalen Stumpf sind die Regcncrationsprozesse noth bliihcnd. Jedoth
ist an der Stelle, an welcher sich friiher die nekrotische Zone befand, zu sehen, daB manche
der neugcbildeten Fasern mit der gewohnlichen Modalitat anfangen wieder zu degenerie-
ren. Infolgedesscn finden wir jenseits der primitiven metamorphisthen Zone, meta-
morphische Phanomenc; hier und da an verschiedenen Stellen finden wir Achsenzylinder,
welche den degenerierten Teil absondem und neue Regenerationsversuche ausiiben.
Spuren von solchen Versuthen sind bis in die Fasernschicht der Netzhaut zu begegnen.
An der Stelle der alten nekrotischen Zone laufen viele neugebildete Fasern, manche
sind auch in der Narbe zu sehen; hier auch tritt hervor, daB manche Fasern gegen ihr
lfndteil steif und grober werden, als ob degenerative Prozesse sie anzugreifen beginnen
wurden (Fig. 8).
In der Netzhaut stheinen seltene Ganglicnzellen, mit Nissls Methode gefarbt,
auffallcnd verandert; die meisten aber hal>en ein normales Aussehen.
l)ber die endoccllularen Fibrillen kann ich nicht ordentlich berichten, weil mir
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BD - 19 \ 9 ?2 EFT 4/5 REGENERATIVE VO&GANGE IM NERVUS OPTICUS. 169
in diesem Stadium die Praparate nicht gut gelungen sind; nur in den horizontalen Nerven-
zellen ist eine ganz normale, deutliche fibrillare Struktur ersichtlich geworden.
Die Vermehrung der Elemente b) in dem proximalen Stumpf und in dem ersten
Teile des distalen, ist sehr deutlich, sie enthalten oft Fettsubstanzen.
Die Narbe weist immer mehr bindegewebige Elemente auf, welche dichte Balken,
zwischen denen die Abbauzellen liegen, zu bilden beginnen.
65 Tage nach der Durchschneidung.
Die Phanomene sind qualitativ denen des vorliegenden Stadiums ahnlich. Im
proximalen Stumpf sind die Nervenfasern bis zum Chiasma verschwunden, von
Fig. 11. Fibrillenverklebung einer Ganglienzellc der Retina, 65 Tage
nach der Durchschneidung des Opticus. (Cajals Silberimpragnations-
Methode.)
den diinnen bleiben nur kleine Reste iibrig; auch im Tractus opticus ist die Degenera¬
tion sehr weit gegangen.
Im distalen Stumpf sind die neugebildeten, regressive Merkmale besitzenden
Fasern zahlreicher geworden; die Absonderung des degenerierten Teiles erscheint an
verschiedener Hohe,- infolgedessen sieht man metamorphische Veranderungen hier und
da zerstreut langs der ganzen Strecke des distalen Stumpfes. Sogar in der Faserschicht
der Netzhaut sind Fasern zu finden, die in Endringlein oder sich in komplizierten, ele-
ganten Verwirrungen verzweigend, enden (Fig. 9).
In der Netzhaut zeigen die horizontalen und die amakrinen Zellen normale fibril¬
lare Gebilde; in der groBen Mehrzahl der Ganglienzellen (Fig. 10) scheint das fibrillare
endozellulare Netz normalen Aussehens; seltene jedoch zeigen jene eigentumliche Er-
scheinung von Fibrillenverklebung, welche Donaggio zuerst beschrieb und spater
von anderen Forschern in verschiedenen Zustanden gefunden worden ist (Fig. 11).
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iy° DR. 0 ROSSI. JO '^Sd 1 Neurolorie 8rie
In Abbildung n und besser in Abbildung 12, nachgebildet einem Praparat aus
einer Retina, welches mit dem Mikrotommesser ein wenig schief geschnitten war, beob-
achtet man in der inneren Molekularschicht zahlreiche zarte Faserchen, welche uber
den Abzweigungen der Ganglienzell-Dentriten mit EndfuBchen Oder -ringlein zu enden
scheinen (Fig. 12.)
Manchmal zeigt ein Faserchen zwei oder mehr ring- oder kugelformige Schalt-
gebilde. Ich betrachte diese als normale Erscheinungen, ahnlich denen, welche fur Vor-
derhomzellen beschrieben wurden. GewiB verlangt diese Tatsache spezielle Beobach-
tungen, besonders uber den Ursprung dieser derart erscheinenden Nervenfaserchen.
Was die nichtnervosen Elemente betrifft, lenke ich die Aufmerksamkeit
auf den Umstand, daB im proximalen Stumpf die gewohnlichen Gliaelemente sich zu ver-
mehren und zu wuchern scheinen; vielleicht ist dieses Gliaaussehen, aber nur zum Teil,
Fig. 12 , Faserchen mit EndfuBchen and -ringlein, endend in der
inneren Molekularschicht der Retina. (Cajals Silberimpragnations-
Methode.)
mit den Veranderungen des Bodens, welche die Gliafarbung erleichtern konnen, in Ver-
bindung zu bringen.
219 Tage nach der Durchschneidung.
In dieser Zeit ist makroskopisch ein groBer Unterschied zwischen den zwei Opticus-
stumpfen zu merken. Wahrend der distale glanzend weiB ist, erscheint der proximale
dunner, ziemlich welk und graulich. Auch die vorderen Zweihugel sind kleiner als nor-
malerweise und es tritt ein deutlicher Unterschied zwischen diesen hervor, wenn die
Durchschneidung des Opticus eine einseitige war. Dagegen besteht kein makroskopischer
Unterschied zwischen den zwei Augapfeln.
Mit dem Cajal-Silberimpragnationsverfahren erscheint mikroskopisch ein grund-
licher Unterschied zwischen dem proximalen und dem distalen Stumpf. Jener und auch
die Narbe enthalten keine Nervenfasem, wahrend dieser reich an denselben ist. In der
Strecke, welche der Netzhaut naher Uegt, gleichen die Fasem im groBen und ganzen
denen eines normalen Opticus. Seltene weisen rundliche, oder rautenformige, klein-
maschige Schaltgebilde auf. Von diesen Schaltgebilden entspringt manchmal ein zartes,
dunnes Faserchen, welches tiefer schwarz tingiert wird als die Stammfaser. Die so ge-
bildeten Faserchen laufen meistens den alten Fasern parallel, manche aber nehmen
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BD * 19 , 1912 FT 4/5 REGENERATIVE vorgange im nervus opticus. 17 1
regellose Richtungen, kreuzen und umwinden die alten Fasern oder wenden sich riick-
warts (Fig. 13).
In der zunachst liegenden Zone, der metamorphischen entsprechend, welche sehr
ausgebreitet ist, findet man viele Regenerationserscheinungen; zahlreiche diinne Faser-
cben mit den Merkmalen der Neubildung durchlaufen das Feld; manche, in Biindelchen
angeordnet, drangen sich in die dritte Strecke — die alte nekrotische Zone. Offers kann
Fig. 13. Metamorphische und alte nekrotische
Zone des distalen Stumpfes eines Nervus opticus,
7 Monate nach der Durchschneidung. (Cajals
Silberimpragnations-Methode.)
man feststellen, daO diese diinnen Faserchen von den groBeren Fasern abstammen; die
diinnen Faserchen breiten sich nach einer gewissen Strecke aus, ein dreieckiges Schalt-
gebilde formend, von dessen unteren zvvei Ecken vvieder zwei noch diinnere Faserchen
entspringen, die ihrerseits sich mit derselben Modalitat vermehren konnen. Einige der
so abgestammten Fasern zeigen Endkugelchen oder -ringchen, fast alle rundliche homo¬
gene oder fibrillenartige Schaltgebilde. Die diinnsten Faserchen sind oft in ihrem Verlauf
mit Ringchen oder zarten Varikositaten versehen.
Viele von den neugebildeten Fasern orientieren sich in Richtung der Narbe, andere
biegen sich in Form der Ziffer acht, andere — kaum gebildet — laufen distalwarts, um
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172
Fig. 14. Neugebildete Fasern dcs distalen Stumpfes eines Opticus 7 Monate
nach seiner Durchschneidung. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
Fig. 15. Finzelheit von Regenerationserscheinungen (siehe Abbildung 74).
(Cajals Silberimpragnations-Methode.)
DR. O. ROSSI.
Journal f. Psychologic*
und Neurologic.
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1912
REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS.
173
sich dann, oft nach Windungen um andere Fasern, wieder zuruckzudrehen; andere ver-
breitern sich in zarte, fibrillare Endknauelbildungen (Fig. 14).
Auch in dicsem Stadium fehlen jene sehr komplizierten spiralformigen Strukturen,
welche Perroncito als Regenerationserscheinungen in den peripheren Nerven beschrieben
hat, jedoch begegnet man hier auch, wie ich (Fig. 15) reproduziere, eigentiimlichen For-
mationen, bestehend aus neugebildctcn, manchmal in Endkiigelchen endenden Fasern,
welche um die Stammfaser verschiedenartigst umbiegen.
Der dritte Teil des distalen Stumpfes, der alten nekrotischen Zone entsprechend,
enthalt ausschlieBlich neugebildete
Fasern, welche, wic in Serialschnit-
ten festzustellen ist, zahlreicher und
l>esser angeordnet an den Seiten als
in der Mitte des Stumpfes sind.
In diesem Stadium scheint die
Vermehrung der Elemente b) aufge-
hort zu haben, viele zeigen regressive
Merkmale. Im Gegensatz scheinen
Vermehrung und Wucherung der ge-
wohnlichen Gliazellen fortgeschrit-
ten. GroBe an Auslaufern reiche und
nicht seiten zweikernige Gliazellen
sind zu finden. Die Proliferation der
gewohnlichen Glia scheint jedoch
immer am proximalen Stumpf und
an der alten nekrotischen Zone des
distalen augenfallig iiberwiegend.
Die Narbe enthalt noch Abbau-
zellen mit Schollen von einer Sub-
stanz, welche in ungefarbten, mit
Osmium fixierten Praparaten gelb-
lich erscheinen, beladen. Die bindc-
gewebigen Balken sind groBer und
dichter, laufen stets nach der Langs-
achse des Opticus ungefahr senk-
recht, so daB am Ende eines jeden
Stumpfes eine mutzenformige Um-
hulle entsteht.
In der Netzhaut merkt man
in der Reihe der Ganglienzellen sc hneidung. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
manche Liicken, entstanden durch
das Verschwinden einiger derselben, andere sind ziemlich verandert, die groBe Mehrzahl
aber hat ihr normales Aussehen.
290 Tage nach der Durchschneidung.
Die Erscheinungen sind denen des vorher beschriebenen Stadiums qualitativ ahn-
lich. In dem distalen Stumpf sind Regenerationserscheinungen und zahlreiche neu¬
gebildete Fasern immer vorhanden. Neugebildete Faserchen dringen in die Narbe, den
seltenen der I^angsachse des Opticus entlanglaufenden, bindegewebigen Balken folgend.
Begegnen sie aber den senkrechten Balken, konnen sie nicht weiter, teilen sich wieder-
holt und drehen sich zuruck (Fig. 16).
In der Netzhaut sind Vcranderungen nur in der Ganglienzellenreihe vorhanden,
von welchen manche verschwunden sind, andere Schwellung des Zelleibes zeigen, aus-
gesprochene Exzentrizitat des Kernes, Unbestimmtheit der chromatischen Schollen.
In manchen sind die Fibrillen verklebt; die erhebliche Mehrzahl stellt normale Struk-
tur dar.
I 2
Journal fQr Psychologic und Neurologic. Bd. 19.
Fig. 16. Neugebildete Fasern in der Narbe zwischen
den Opticusstiimpfen 290 Tage nach dessen Durch-
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174
DR. O. ROSSI.
Journal f. Psychologie
und Neurologic.
330 Tage nach der Durchschneidung.
Auch nach diesem Zeitabschnitte sind die Erscheinungen qualitativ den oberwahn-
ten gleich; zu merken ist jedoch, daC die Elemente b) sehr bedeutend vermindert — uber-
haupt im proximalen Stumpf — wahrend die gewohnlichen Gliaeleraente mehr gewu-
chert sind.
Fig. 17. Knauelbildungen von neugebildeten Fasern in der Narbe
des Opticus 485 Tage nach dessen Durchschneidung. (Cajals Silber-
impragnations-Methode.)
In der Narbe, wo das Bindegewebe immer dichtere Balken bildet, ist die Zahl
der Abbauzellen ein wenig reduziert.
360 Tage nach der Durchschneidung.
Keine erheblichen Umwandlungen.
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1912 .
REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS.
175
440 Tage nach der Durchschneidung.
In dem distalen Stumpfe sind noch, weniger lebhaft als ausgebreitete, metamor-
phische Phanomene vorhanden. Die neugebildeten Fasern kommen bis gegen die Narbe,
an welche stoBend sie aufgehalten werden. Sie winden, teilen sich in blasse, diinne Ab-
zweigungen, welche ohne lang zu verlaufen in klcinen Kiigelchen enden. Keine Faser
geht uber die Narbe hinaus, nicht seltene zeigen degenerative Vorgange.
485 Tage nach der Durchschneidu ng.
Die wichtigsten Unterschiede zwischen diesen und den letztgenannten Stadien
bestehen nur darin, daB in dem distalsten Teil des distalen Stumpfes die Nervenfasern
etwas weniger dicht als normalerweise erscheinen infolge d£s Verschwindens von manchen,
tiberhaupt der groBeren.
Von der der Narbe am nachsten liegenden Zone dringen in diese neugebildete
Fasern, welche den seltenen bindegewebigen Balken langs der Opticusachse, entlang
Fig. 18.
Fig. 19. Fig. 18 und 19 Bau der Narbe zwischen den
Opticusstiimpfcn; 505 Tage nach der Durchschneidung.
(Cajals trichromische Farbung.) Mikrophotographien.
laufen. Sobald sich aber zwei von diesen Balken zusammenziehen oder sie an Quer-
balken treffen, wird den Fasern sozusagen der Weg versperrt. Sie fangen dann an sich
wiederholt in sehr diinne, zarte und blasse Faserchen zu teilen, welche sich oftmals winden,
komplizierte Knauel bildend (Fig. 17).
Manchmal finden einige Fasern zwischen dem Bindegewebe einen Weg, laufen
ein wenig weiter, aber dann, an cine neue Spcrrung stoBend, wiederholen sie die oben
crwahnten Vorgange. In dieser Weise erreicht keine Faser das Ende der Narbe.
In einem in dieser Zeit getoteten Kaninchen war ein Sehnerv ganz unmittelbar
am Chiasma geschnitten; bei der Operation waren manche der schon gekreuzten Fasern
des andern Opticus verletzt. In diesem kamen Regenerationserscheinungen vor und die
neugebildeten Fasern drangen in den proximalen Teil des Opticus.
505 Tage nach der Durchschneidung.
Die Narbe ist von dichten bindegewebigen Balken, meistens querlaufend, ge-
formt (Fig. 18).
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DR. O. ROSSI.
.Journal f. Psychologoi
und Neurologic.
Zwischen den bindegewcbigen Balken liegen noch manche Abbauzcilen (Fig. 19).
In diesen treten mit Mallorys Farbung nach Osmiumfixierung blaulich gefarbte
Korner hervor.
Die gewohnlichen Gliazellcn sind haufig, uberhaupt in dem proximalen Stumpf
und in dem proximalsten Toil des distalen. Die
Vermchrung von Gliakcrnen an diesen Stellen kann
man in Abbildung 19 erkennen. Die Gliaelemente
treten aber nie in die Narbe.
Die Flemcnte b) sind noch vermindert.
Was die Nervenfasern betrifft, ist hier kein
erheblicher Unterschicd zwischen diesem und dem
Stadium der 485 Tage.
698 Tagc nach der D urchsch neid u ng.
Die Narbe ist wic in dem vorhergehenden
Stadium gebildet, auch in den Nervenfasern sind nur
Fig. 20. Ganglienzclle der Retina mit quantitative Unterschiede vorhanden, uberhaupt was
Nissls Farbung. Vakuolisierung und die degenerativen Prozesse der neugebildeten Fasern
Tygrolisis; 698 Tagc nach der Durch- betrifft; in der Tat sind die Riickbildungsvorgange
schneidung des betreffenden Opticus, derselbcn, besonders derer, welchc in die Narbe ge-
drungen waren, zahlreicher.
In der Nctzhaut sind die meisten Ganglienzellen normal in ihrem Aussehen,
manche aber sind angeschwellt und am Rande vakuolisiert (Fig. 20).
Fig. 21. Gestaltung einer Ganglienzelle 698 Tage nach der Durchschneidung des
betreffenden Opticus. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
Mit der Silberimpragnationsmethode begegnen wir angeschwellten Ganghenzellen,
in denen die Neurofibrillen in dicken Biindelchen, oft unterbrochen und an die Peri¬
pherie des Zclleibes verschoben verklebt sind. Dieselben Zellen zeigen steife in ihrem
Verlauf kantige Dendriten (Fig. 21).
In der Ganglienzellenreihe findet man relativ haufige Luckcn.
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177
BD. 19, HEFT 4/5
1912.
REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS.
Versuche an thyreoidektomierten Kaninchen.
Vor der Zusammenfassung der beschriebenen Versuche mochte ich uber die
Resultate anderer Versuche, die ich an thyreoidektomierten Kaninchen anstellte,
berichten. Nach der Feststellung der Anwesenheit regenerativer Vorgange im Zen-
tralnervensystem schien es mir preiswert zu studieren, was fur Modifikationen
spontane oder experimentell erzeugte Bedingungen in diesen Vorgangen hervor-
zurufen imstande sind. I
Ich habe schon meine Beobach- \
tungen iiber die Regeneration im Riik- . > Y ' i
kenmark einiger Tiere wahrend ihres I ^ a. \y\ Y
Winterschlafes mitgeteilt (9). vil i | \ YV
Nun wollte ich die Folgen der 1 ] Jr 1 \ i\r!crSft
Thyreoidektomie auf die Regenerations- /AjK* V ? yi
erscheinungen im Zentralnervensystem \ W ) WTyVL \ y
der Kaninchen beobachten, und zwar \ jjw x Vi YjN I \
zog ich die Sehnerven vor, weil hier u \ l»n \ \ ' /
die Regenerationsprozesse ziemlich & / \' ] \ YV \\ \[
1. Gruppe: Schilddriisenexstirpation bei jungen Kaninchen (20 bis 30 Tage alt)
28 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 10. August 1910; intrakranieUe Opticusdurch
schneidung am 12. September 1910; getotet am 10. Oktober 1910.
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Journal f. Psychologic
und Neurologie.
Es besteht ebenso in dem degcnerativen wie in dem regenerativen Prozesse kein
erkennbarer Unterschicd im Vergleich zum Stadium von 30 Tagen beim normalen Ka-
ninchen. In dem proximalen Stumpfe sind alle Nervenfasern zugrunde gegangen und
ihre Abbauprodukte sind meistenteils auch schon weggeschafft. Es sind nur sehr
kurze Reste von dunnen Fascrchen in der Nahe der Narbe zu sehen; sogar im Chiasma
Fig. 23. Neugebildete Fasern in der Narbe, 53 Tage nach der Opti-
cusdurchschneidung in einem thyreoidektomierten Kaninchen. (Ca-
jals Silberimpragnations-Methode.)
ist die Mehrzahl der Nervenfasern verschwunden und die wenigen zuriickgebliebenen
zcigen sehr fortgeschrittene Degenerationsprozesse.
In dem distalen Stumpf ist die Regeneration eine lebhafte; die sog. nekrotische
Zone enthalt viele neugebildete Fasern, von welchen manche die Narbe erreichen und
in diese eindringen. Die metamorphische Zone ist genug breit und die mit der Neubildung
der Fasern in Zusammenhang stehenden Vorgiinge sind lebhaft und uppig (Fig. 22.)
Die Veranderungen der nichtnervosen Elemente verhalten sich wie gewohnlich;
vielleicht ist die Narbe etwas armer an Bindegewebe als in dem entsprechcnden Stadium
bei normalen Kaninchen. Die Abbauzellen sind reichlich vorhanden.
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BD ‘ l \$r 4/5 REGENERATIVE vorgange im nervus opticus. 179
53 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 10. Mai 1910; intrakranielle Opticusdurch-
schneidung am 23. Mai 1910; getotet am 15. Juli 1910.
In dem proximalen Stumpf sind alle Nervenfasern verschwunden; die Nerven-
fasern des distalen regenerieren lebhaft; die Einzelheiten ihrer Regeneration sind die
gewohnlichen. Die neugebildeten Fasern ziehen durch die ganze nekrotische Zone und
dringen in die Narbe, wo sie eine gewisse Strecke laufen (Fig. 23).
Keine Eigentumlichkeiten in den Prozessen der nichtnervosen Elemente; die Ver-
mehrung der Elemente b) ist schon beschrankt; man merkt progressive Prozesse der
gewohnlichen Gliazellen; das Bindegewebe der Narbe ist vermehrt und wird dicht.
96 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 13. Mai 1910; intrakranielle Opticusdurch-
schneidung am 31. Mai 1910; getotet am 4. September 1910.
Der proximale Stumpf des rechten Opticus erscheint dunner als der distale und
ist graulich, das linke Tuberc. quadrig. anter. ist erheblich kleiner als das rechte. Mikro-
skopisch'erscheint die Narbe von dichten, bindegewebigen Balken gemacht; die Abbau-
zellen sind noch in groBer Menge vorhanden.
Es besteht Vermehrung und Wucherung der gewohnlichen Gliaelemente des proxi¬
malen Stumpfes und des proximalsten Teiles des distalen.
In dem distalen Stumpf zeigen schon manche der neugebildeten Fasern degenera¬
tive Merkmale, dementsprechend findet man metamorphische Phanomene und Regene¬
rations versuche jenseits der ursprunglichen metamorphischen Zone.
2. Gruppe: Schilddriisenexstirpation bei ausgewachsenen Kaninchen.
30 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 7. Juni 1910; intrakranielle Opticusdurch-
schneidung am 18. Juni 1910; getotet am 18. Juli 1910.
Die Nervenfasern des proximalen Stumpfes sind fast alle degeneriert; es bleiben
nur kurze, plumpe, kantige Stucke der groBten Fasern und ziemlich lange Stucke der
dunnen.
Die Regeneration der Nervenfasern im distalen Stumpf ist gut fortgeschritten.
Die Narbe enthalt viele Abbauzellen und bindegewebige Elemente von Septa und von
Scheiden des Opticus abstammend.
Zwischen den Ganglienzellen der Netzhaut findet man manche, jedoch seltene,
mit Schwellung des Plasmaleibes, Unbestimmtheit der chromatischen Schollen und Ver-
klebung der Neurofibrillen. Auch in der Schicht der Nervenfasern begegnet man
seltenen, von metamorphischen Prozessen ergriffenen Achsenzylindern.
65 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 18. Juni 1910; intrakranielle Opticusdurch-
schneidung am 6. Juli 1910; getotet am 9. September 1910.
In dem proximalen Stumpfe sind die Nervenfasern total verschwunden, in dem
distalen ist die metamorphische Zone sehr iippig; die neugebildeten Fasern iiberschreiten
die Strecke, welche der nekrotischen Zone entspricht und erreichen die Narbe, in welche
einige eindringen. Am Ende mancher neugebildeter Fasern treten grobe, rundliche,
degenerative Endmassen zum Vorschein.
Die Narbe ist wie gewohnlich von Bindegewebe, aber noch nicht sehr dicht, und
Abbauzellen gebildet.
85 Tage nach der Durchschneidung.
Kaninchen thyreoidektomiert am 18. Juni 1910; intrakranielle Opticusdurcb-
schneidung am 6. Juli 1910; getotet am 29. September 1910.
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l8o DR. O. ROSSI.
Totaler Nervenfasernschwund in dem proximalen Stumpf, gute Regeneration
in dem distalen; manche neugebildete Fasern treten in die Narbe, teilen sich, manchc
Abzweigungen wenden sich distalwarts zuruck, andere schwellen am Knde an, degenera¬
tive Kugeln bildend (Fig. 24).
Die Menge des Bindegewel>es in der Narl>e ist etwas durftig.
Aus diesen Versuchen geht ohne weiteres hervor, daB die totale Schilddriisen-
exstirpation bei jungen und ausgewachsenen Kaninchen die degenerativen und re-
Fig. 24. Neugebildete Fasern in der Narbe mit regressiven
Vorgangen 85 Tage nach Durchschneidung des Opticus in
einem thyreoidektomierten Kaninchen. (Cajals Silberimpra-
gnations-Methode.)
generativen Vorgange, welche der Durchschneidung des Nervus opticus folgen,
in keiner Weisc, weder qualitativ noch quantitativ verandert.
In der zweiten Gruppe konnte man sagen, daB die Vermehrung des Binde-
gewebes etwas durftig ist, mindestens bis zu dem von mir studierten Stadium; ich
bin aber im Zweifel, ob diese Tatsache eine Folge der Thyreoidektomie oder dem
Alter der Versuchstiere zuzuschreiben ist, weil ich dieselbe bei den j ungen Kanin¬
chen nicht gesehen habe.
Ich erinnere hier an die interessante Arbeit von Zalla (10), welcher zu den-
selben Resultaten gekommen ist, was die peripheren Nerven betrifft. In dieser
Arbeit wird der Leser auch die im kontraren Sinne sprechenden Mitteilungen an-
derer Forscher erortert finden.
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BD - 19 imo EFT Ao REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS. l8l
SchluBbetrachtungen.
Der ganze Verlauf der Prozesse, welche im Nervus opticus nach dessen intra-
kranieller Durchschneidung vorkommen, kann schematisch in zwei groBe Perioden
eingeteilt werden. In jeder von diesen entwickeln sich verschiedene Etappen der
degenerativen und regenerativen Erscheinungen.
Die erste Periode erstreckt sich bis ungefahr den 30. Tag. Es ist dies die
Periode, in welcher die Phanomene, die wir in den Opticus-Nervenfasem beobachten
konnen, denjenigen der durchgeschnittenen peripheren Nervenfasem am meisten
ahnlich sind. In dieser Periode findet die Degeneration der Nervenfasem im proxi-
malen Stumpfe statt, bereiten und entwickeln sich die Regenerations vorgange.
Kurz zusammengefaBt sind die Tatsachen folgende:
Degenerative Prozesse. Am 4. Tage nach der Durchschneidung ist die
Degeneration und der Schwund der groBten Fasem der nekrotischen Zone des distalen
Stumpfes und derjenigen eines Teiles des proximalen schon eine erhebliche. In den
diinnen Fasem ist die Degeneration weniger ausgesprochen, aber gut erkennbar.
Von jetzt an verstarkt sich die Degeneration und breitet sich aus; gegen den 10. Tag
ist sie in der nekrotischen Zone schon komplett. Im proximalen Stumpf sind am
30. Tage nur seltene und kurze Uberreste der diinnen Fasern vorhanden; die De¬
generation ist schon jenseits des Chiasmas ersichtlich.
Es scheint demnach, daB die degenerativen Vorgange hier nicht so langsam
verlaufen, wie andere Forscher gemeint haben. Eher scheint mir, daB im Opticus
die Zerfallsprodukte der Nervenfasem ziemlich langsam weggeschafft werden.
Regenerative Prozesse. Dieselben beginnen schon mit dem 4. Tage, und
zwar kann man dieselben, im Gegensatz zu manchen Meinungen, deutlich genug
erkennen, weil sie sich in einer von der Degeneration, welche in der nekrotischen
Zone vorherrscht, wenig ergriffenen Zone, der metamorphischen, entwickeln. Es
sind nicht nur die Faserneubildung bereitenden, echten metamorphischen Erschei¬
nungen, sondem wie Abbildung 3 zeigt, auch schon diinne, neugebildete Fasem
ersichtlich. Die regenerativen Phanomene sind durch diese ganze Periode iippig;
am 6. Tage ziehen die neugebildeten Fasem durch die ganze nekrotische Zone, in
welcher die Degeneration der alten Fasem schon weit ist, durchqueren die Narbe
und erreichen das Ende des proximalen Stumpfes. Bis zum 30. Tag setzen sich diese
Regenerationsprozesse fort.
Prozesse in den nichtnervosen Elementen. Schon in den allerersten
Stadien merkenr wir die Vermehrung der Elemente b) und das Vorkommen der
Abbauzellen in der Wunde. Diese beiden Elemente zeigen bis ans Ende der ersten
Periode progressive Veranderungen. Ich beschaftigte mich nicht ex professo mit
der Frage der Herkunft der Abbauzellen; halte aber fur sehr wahrscheinlich, daB
dieselben von den Elementen b) der Opticusstiimpfe stammen. Die Abraumzellen
treten erst nach dem Anfang der Vermehrung der Elemente b) am Wundrande auf;
Elemente b) und Abbauzellen vermehren sich beide parallel zur Verstarkung der
degenerativen Vorgange in den Nervenfasem.
Auch die bindegewebigen Elemente, ebenso jene von Septa und von den
Scheiden des Sehnerven vermehren sich schon in den allerersten Stadien.
Am 6. Tage fangt die Narbe sich an Stelle der Wunde zu bilden an. Ihr Binde-
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gewebe wuchert und vermehrt sich ziemlich rasch; es entsteht der schon oft erwahnte
Bau, und am 30. Tage sind seine Balken schon ziemlich dicht.
Die zweite Periode ist bedeutend langer als die erste, aber abgesehen von
nianchen Eigentiimlichkeiten der einzelnen Stadien ist sie von denselben griindlichen
Phanomenen gekennzeichnet.
Die degenerativen Vorgange der alten Nervenfasem sind im groBen
und ganzen fertig; aber schon gegen den 30. Tag fangen an degenerative Erschei-
nungen an den neugebildeten Fasem hervorzutreten; diese zweite Degeneration —
wie ich sie nennen mochte— ist schon am 65. Tage ausgesprochen; sie ergreift ebenso
die neugebildeten Fasem, welche die Narbe erreicht haben, wie diejenigen, welche
in der alten nekrotischen Zone liegen; diese Degeneration streckt sich in manchen
Fasem distalwarts bis zur Faserschicht der Retina aus. Die Zahl der in diese
zweite retrograde Degeneration fallenden Fasem ist aber immer beschrankt. Dieser
ProzeB dauert'bis in die letzten Stadien, wird jedoch nach und nach weniger leb-
haft und weniger ausgedehnt. Parallel mit dieser zweiten retrograden Degene¬
ration kommen in dieser Periode Veranderungen regressiver Natur, manchmal bis
zum Schwund fiihrend, in Ganglienzellen der Netzhaut vor.
Regenerative Prozesse horen durch diese ganze, lange Periode nie auf
zu erscheinen. Die diinnen, neugebildeten Faserchen, welche die Narbe erreicht
haben und jene, welche dieser naher sind, teilen sich, zeugen neue Faserchen in
Ringlein oder Kiigelchen endend. In der metamorphischen Zone sind die Faser-
neubildung bereitenden Erscheinungen immer vorhanden, nur sind diese verringert:
man kann aber Regenerationsversuche bis in die Faserschicht der Netzhaut beob-
achten (Fig. 9). Es besteht ein deutlicher Parallelismus zwischen den Vorgangen
der von mir so genannten zweiten Degeneration und dem Vorkommen von meta¬
morphischen Strukturen in zerstreuten Nervenfasem des distalen Stumpfes.
In den ersten Stadien dieser Periode ist die Vermehrung der Elemente b) und
der Abbauzellen fertig, in den nachsten Stadien vermindem sie sich nach und
nach. Es fangt im Gegensatz die Vermehrung und Wucherung der gewohnlichen
Gliastrukturen an.
Die Vermehrung der bindegewebigen Elemente verringert auch nach und
nach, die bindegewebigen Balken aber wuchem und bilden eine Verdichtung der
Narbe; in dieser laufen die Balken meistens quer zur Langsachse des Opticus. Manch¬
mal losen sich diese Balken fur eine kurze Strecke voneinander ab, ziehen sich aber
bald wieder zusammen. Kleine Gruppen von Abbauzellen sind, wie die Mikrophoto-
graphie Fig. 19 zeigt, noch vorhanden.
So entwickelt sich der ProzeB, schematisch dargestellt, es 1 st aber nicht un-
niitzlich anzumerken, daB die Grenzen zwischen den zwei Perioden und zwischen
den einzelnen Stadien derselben nicht scharf sind.
Die am meisten ins Auge fallenden Tatsachen unter den oben beschriebenen
Prozessen sind folgende zwei: 1. DaB die metamorphischen Erscheinungen und die
Regenerationsversuche dauemd sind und auch an Punkten, von der experimentellen
Durchtrennung erheblich entfernt, vorkommen; 2. daB die Regeneration nicht zum
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H]) - 10 \ 9 i| FT 4 5 REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS. 183
Ziele kommt, weil keine neugebildete Faser nach kurzem Auftreten im proximalen
Ende im ersten Stadium sich erhalten kann.
Die erste Tatsache ist nicht schwer zu erklaren. Es geniigt, dieselbe mit der
sogenannten zweiten Degeneration in Verbindung zu bringen. Diese zweite De¬
generation, wie die erste, welche in der nekrotischen Zone unmittelbar nach Durch-
schneidung des Sehnerves stattfindet, fiihrt zu einem Bruch von jenen Achsen-
zylindem, in welchen sie vorkommt. Dieser Bruch, d.h. die Absonderung des degene-
rierten Teiles der Fasern findet in den einzelnen Fasern an verschiedener Hohe statt,
wahrscheinlich nach Natur und Geschwindigkeit der verursachenden Prozesse.
Verschiedene Achsenzylinder fiihlen die Folgen dieser zweiten Amputation ver-
schiedenartig, wahrscheinlich je nach der Reaktion der Ganglienzelle, von welcher
sie stammen. Moglich ist, daB die Reaktion der Zelle der Lange der degenerierten
Achsenzylinder proportional sei. Unter dem Einflusse dieses zweiten Traumas er-
leiden manche Ganglienzellen erhebliche Veranderungen ihrer Strukturen und konnen
untatig bleiben oder sogar absterben, wahrend andere mit neuen zu Regenerations -
versuchen fiihrenden Reizen antworten. Mit diesem Mechanismus gehen in dem
distalen Opticusstumpf manche, besonders von den groBten Nervenfasern, zugrunde.
Meiner Ansicht nach ist der Tatsache der zweiten retrograden Degeneration
bei der allgemeinen Frage der Reparation der Nervenzellen nach Durchschneidung
ihrer Achsenzylinder Aufmerksamkeit zu schenken. Sie konnte z. B. eine Erklarung
des Befundes Bielschowskys geben, welcher das typische Bild der Chromatolyse
in nicht seltenen motorischen Zellen aus der Sakralansehwellung des Riickenmarkes
eines Mannes fand, dem die untere Extremitat der entsprechenden Seite 12 Jahre
vor dem Tode im Hiiftgelenk exartikuliert worden war.
Das zweite Faktum ist ebenfalls mit dem ProzeB der zweiten Degeneration
bis zu einer gewissen Grenze in Zusammenhang, aber die Verhaltnisse sind hicr
nicht so einfach. In der Tat, es handelt sich hier die Ursache des Umstandes, daB
die Regeneration, im Verhaltnis zu derjenigen der peripheren Nerven, etwas mangel-
haft ist und die neugebildeten Fasern zu keiner anatomischenVereinigung derOpticus-
stiimpfe kommen, zu suchen. Ich wiinsche absichtlich zu betonen, daB ich nur von
dem Fehlen einer anatomischen Vereinigung rede, weil leicht zu verstehen ist,
daB von einer physiologischen, d. h. von einer Wiederholung der Funktion, kaum
eine Rede sein kann. Wir wissen tatsachlich, daB wahrend die Nervenfasern des
distalen Stumpfes ihre Regenerationsversuche ausiiben, in den primaren optischen
Zentren, eine Atrophie der Nervenelemente, mit denen die Fasern der Sehnerven
in Beriihrung kommen, stattfindet. Meines Erachtens sind die Ursachen der oben
erwahnten Eigentiimlichkeiten der Regeneration im Sehnerv mannigfaltig. Das
Fehlen von Schwannschen Zellen scheint mir ungeniigend, um dieselben zu erklaren,
wenn wir auch annehmen wollen, daB die Schwannschen Zellen einen neurotropischen
EinfluB ausiiben konnen. Cajal einer der angesehensten und warmsten An-
hanger der Theorie der Wichtigkeit des Chemotropismus in der Regeneration des
Nervensysterns, schreibt in einer seiner Arbeiten chemotropische Tatigkeiten auch
den Elementen des jungen, neugebildeten Bindegewebes zu. Da wir nun in dem
Opticus neugebildetes Bindegewebe ebenso in dem Stumpfe wie in der Narbe finden,
konnte deshalb hier das Fehlen der chemotaktischen Tatigkeit der Schwannschen
Zellen von derjenigen des jungen Bindegewebes vertreten sein.
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and Neurologie-
184 DR. O. ROSSI.
Ich glaube, daB eine groBe Riicksicht dem Zustande der Netzhaut nach der
Sehnervdurchschneidung zuzuwcnden sci. Mit der intrakraniellen Durchtrennung
wird, wie die histologischen Untersuchungen bewiesen, der Blutkreislauf der Retina
nicht aufgehoben; aber es ist leicht zu begreifen, daB derselbe gestort wird. Die Folgen
einer Blutkreislaufstorung mussen auf die Ganglienzellen der Retina, fiir eine der
feinsten Funktionen gebaut und verhiiltnismaBig arm an chroraatischen Schollen,
erheblich sein. Auch das Aiifbeben der leitenden Funktion dieser Zellen kann
ihre Tatigkeit verringern.
Dem Bau der Narbe muB eine wichtige Rolle in der Erklarung des Fehlens
der Progression der neugebildeten Fasern und des Vorkommens der sog. zweiten
Degeneration zugeschrieben werden. Zum Unterschied vom Vorgang in den peri-
pheren Nerven, in welchen sich die nach der Durchschneidung neugebildeten, nicht-
nervosen Elemente in parallel den Achsenzylindem laufenden Bandstreifen ordnen
— seien es die Bandstreifen aus Sclnvannschen Zellen bestehend, wie die Mehrzahl
der Forscher annimmt, oder, wie Perroncito aufrecht erhalt, bindegewebiger
Natur — hier bildet sich das Bindegewebe in die Narbe im groBen und ganzen durch-
querende Balken, gegen welche die neugebildeten Faserchen stoBen.
In den ersten Stadien, solange das Bindegewebe noch nicht dicht ist, sehen
wir in der Narbe manche neugebildete Fasern; spater aber, wenn sich die vorher
sparlichen bindegewebigen Elemente in Balken zusammenziehen, welche nach und
nach dichter werden, werden diese Fasern gedriickt, gewiirgt, und fangen an zu
degenerieren. Die anderen in der alten nekrotischen Zone liegenden neugebildeten
Fasern werden in ihrer Progression behindert, teiien sich wiederholt und fallen am
Ende in degenerative Zustande.
Auch in den vorgeschrittenen Stadien finden wir noch Bildungen, welche,
wie diejenigen in Abb. 17 mir die Versuche der neugebildeten Fasern, die dichten
bindgewebigen Balken der Narbe zu iiberschreiten, zu beweisen scheinen.
Im Opticus kommt die von mir in anderen Arbeiten (6 und 11) studierte Wich-
tigkeit des sogenannten Stiitzgewebes deutlicher zum Ausdruck.
In einem Fall, wo die Durchschneidung des Opticus nicht komplett war und
die neugebildeten Nervenfasem sich nach dem intakt gebliebenen kleinen Teil des
Nerves orientierten (Fig. 25), waren in der nekrotischen Zone die neugebildeten
Fasern bcsser in Biindeln angeordnet, und am 40. Tage waren die Vorgange der
zweiten Degeneration noch auBerordentlich selten. Diese Beobachtung konnte
meine Meinung iiber die Bedeutung der lokalen Bedingungen unterstiitzen.
Ich dachte in einer Reihe von partiellen Durchschneidungen beweiskraftigere
Argumente finden zu konnen, leider war mir nicht moglich, so giinstige Bedingungen
wie in dem oben erwahnten Fall fiir andere Stadien zu realisieren. In manchen Fallen
war der kleine unverletzte Teil, wahrscheinlich durch Zirkulationsstorungen, auch
in Degenerationsvorgange aller seiner Elemente gefallen; in anderen waren seine
Nervenfasem in der Operation gequetscht und boten deshalb selbst metamorphische
und regenerative Erscheinungen. Wo der ersparte Teil groBer war, war dann nicht
leicht die Progression der neugebildeten Fasern zwischen den vielen alten zu be-
stimmen.
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BD * 19 i 9 ^ 2 EFT 4/5 REGENERATIVE VORGANGE IM NERVUS OPTICUS.
185
Der Aufmerksamkeit des Lesers wird sicher der Umstand nicht entgangen
sein, daB gegen den 20. Tag, wenn die Degeneration der Nervenfasem in dem proxi-
malen Stumpfe fortgeschritten ist, man in demselben manche zarte, diinne, mit
Silberimpragnationsmethode tiefschwarz tingierte, distalwarts in regelmaBige Kiigel-
chen endende Faserchen findet. Wie ich schon in der Arbeit iiber die progressiven
und regenerativen Vorgange im Zentralnervensystem hervorhob, verdient die Natur
dieser Faserchen einige Betrachtung. Ich lieB damals in Zweifel, ob sie als iiber-
lebende, widerstandsfahige, zentripetale Faserchen Oder als die von anderen F01-
schern als zentrifugale Sehnervenfasem beschriebenen, betrachtet werden sollten.
Fig. 25. Kaninchenopticus nach Thyreoidektomie durchgcschnitten,
40 Tage nach dem Schnitt. (Cajals Silberimpragnations-Methode.)
Wie bekannt beschrieb Cajal Nervenfasern, welche von der Faserschicht
der Retina bis an die Schicht der amakrinen Zellen aufsteigen und mit dem Korper
von einigen besonderen dieser in Beriihrung kommen. Die Herkunft dieser Faser¬
chen ist, uberhaupt bei den Saugetieren, noch nicht sichergestellt. Einige Forscher
nehmen an, daB diesel ben aus Zellen, welche in der oberflachlichen grauen Schicht
des Tub. quadrig. anter. liegen, entspringen (von Monakow, Edinger); andere
glauben, daB sie, mindestens zum Teil, sympathischer Natur sind und vom Ganglion
ciliare stammen (Edinson); andere lassen die Herkunft unbestimmt. In meinem
Falle konnten die im proximalen Stumpfe erhaltenen Nervenfaserchen nicht vom
Ganglion ciliare abstammen, weil die Durchschneidung des Opticus in seinem intra-
kraniellen Teil geschah. Nach dem 20. Tage gehen diese Faserchen nach und nach
zugrunde; dieser Umstand konnte auf den ersten Blick zum Bedenken fiihren, daB
die in Frage stehenden Faserchen nur Teile der gewohnlichen Opticusfasern, dem
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186 DR. O ROSSI. Journal f.Psycholo^ie
_ und N eurologie.
DegenerationsprozeB erheblich widerstandsfahig, waren. Wenn man ohne weiteres
diescr Erklarung anhangen wiirde, ware demzufolge die Anwesenheit der zentri-
fugalen Opticusfasern verneint. Ich glaube aber nicht, daB man aus meinen Beob-
achtungen eine so wichtige SchluBfolgerung ziehen kann. Wir haben gesehen, daB
im distalen Stumpf normale Opticusfasern nach dem Trauma und neugebildete
Fasern nach Unterbrechung durch den ProzeB der zweiten Degeneration bis an die
Retina degenerieren konnen. Deshalb muB man bedenken, daB die Faserchen,
die noch gegen den 20. Tag im proximalen Stumpf vorhanden sind, wenn auch ihr
Ursprung proximalwarts Hige, durch die Reize der ausgebreiteten Degenerations-
vorgiinge in diesem zur Degeneration gebracht werden konnten.
Die Losung der Frage fiber Existenz und Verlauf der zentrifugalen Fasern
des Opticus muB deshalb mit anderen Methoden erzielt werden. Auch das Befinden
einzelner degenerierter Fasern im distalen Stumpf nach der Sehnervdurchschneidung
kann nicht die Existenz der zentrifugalen Fasern unbestreitbar beweisen, weil, wie
oben beschrieben, auch einzelne von Ganglicnzellcn der Retina abstammende Ner-
venfasern nach traumatischen Durchtrennungen bis an die Holie der Retina de¬
generieren konnen.
Sassari am 21. April 1912.
Literaturverzeichnis.
1. O. Rossi, Alcune osservazioni sulla rigenerazione del tessuto nervoso. Comunicazionc
al I Congresso della Societa italiana di Neurologia, Napoli, Aprile 1908.
2. S. R. Cajal, Notas preventivas sobre la degeneracion y regeneration de las vias nerviosas
centrales. Trabajos del Laboratorio tie investigaciones biolbgicas, Madrid. Bd. IV.
H. 4.
3. J. Tello, La regeneration dans les voies optiques. Travaux du Laboratoire de recherches
biologiques. Madrid. Bd. V.
4. S. J. Pose hariss k y, Gumma mosgovovo pridatka. Otd. otiski is ,,Svornika b pamiat
B. P. Krilowa" (Buchdruckerei Silberberg-Charkow).
5. S. J. Poscharissky, t)ber einige Verandcrungen des intraorbitalen Teiles des Sehnerven
nach einmaligem Trauma. Folia Neuro-biologica Bd. III. 1909.
6. O. Rossi, Processi degenerativi e rigenerativi conseguenti a ferite asettiche del sistema
nervoso centrale (Midollo spinale e nervo ottico). Rivista di Patologia nervosa e mentale.
Vol. XIII, f. 11.
7. — Sulla rigenerazione del nervo ottico. Ibidem. Vol. XIV, f. 4.
8. — Sulla rigenerazione del nervo ottico. Comunicazione al III 0 Congresso della Society
Italiana di Neurologia, Roma, Ottobre 1911.
9. — - Nuove ricerche sui fenomeni di rigenerazione che si svolgono nel midollo spinale. Ri¬
generazione negli animali ibernanti. Rivista di Patologia nervosa e mentale Vol. XV, f. 4.
10. M. Zalla, La degenerazione e la rigenerazione dei nervi periferici nei conigli tiroidectomiz-
zati. Ibidem. Vol. XVI, f. 4.
11. O. Rossi, Sulla rigenerazione del sistema nervoso. Ibidem. Vol. XVI, f. 4.
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BD * 19 k?2 5FT 4/5 ,,TEKTONIK“ DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ.
187
Grundzflge zur
„Tektonik“ der weiBen RBckenmarkssubstanz.
Von Gaetano Perusini.
Mit Tafcl IV—VII und 14 Textabbildungen.
fFortsetzung und Schluft.)
Epikritische Bemerkungen.
Fassen wir das Gesagte zusammen, so diirfen wir wohl sagen, daB zwischen
der Struktur der einzelnen Par tie n der weiBen Substanz im nor male n
Riickenmark viel groBere Unterschiede bestehen, als man gewohnlich
annimmt. Diese die einzelnen Ruckenmarksgebiete charakterisierenden Struktur-
eigentiimlichkeiten lassen sich vom topographischen Standpunkt aus in zwei
Gruppen einteilen: und zwar sind bei der ersten Gruppe die Struktureigentiimlich-
keiten einzureihen, die die PZ und die ihr koordinierten konzentrischen inneren
Zonen charakterisieren: bei der zweiten Gruppe sind dagegen die Struktureigen-
tumlichkeiten einzureihen, die die Area A des SS und die Areae 1, 2, 3 der HS
charakterisieren. Im folgenden werden wir erortem, was fur eine Bedeutung den
Struktureigentumlichkeiten zuzuerkennen ist, welche zur ersten bzw. zur zweiten
Gruppe gehoren.
Wollen wir zunachst die Hauptgriinde rekapitulieren, welche die Abhangig-
keit der PZ von der Einwirkung der Fixationsfliissigkeit beweisen, so konnen wir
dieselben in folgenden Punkten zusammen fassen: a) Die Entstehung einer von
den inneren Teilen verschieden strukturierten PZ ist bei Anwendung aller Fixierungs-
fliissigkeiten zu beobachten; sie kommt dagegen nicht zustande, wenn das Riicken-
mark durch Osmiumdampfe usw., also nicht durch Fliissigkeiten, fixiert wird.
b) Die Randpartien, an denen die PZ zustandekommt, stellen die peripheren Teile
des Riickenmarks dar, welche zuerst mit der Fixationsfliissigkeit in Beriihrung
kommen: bei herausgeschnittenen und in die Fixierungsfliissigkeit eingelegten
Riickenmarkssegmenten ist sie zwar auf Querschnitten an der Grenze der glidsen
Randschicht stets erkennbar, auf Langsschnitten dagegen nur dort vorhanden,
wo die Grenze des Praparates der oberen, der unteren oder der seitlichen Grenze des
eingelegten Riickenmarkssegmentes entspricht. c) Wird ein Gewebssaum aus der
Riickenmarksperipherie vor der Fixierung abgeschnitten, so bildet sich, bei der
Fixierung, die PZ eben dieser Linie entlang, da sie zuerst mit der Fliissigkeit in
Beriihrung kommt. Bei Entfemung eines Teiles der weiBen Substanz kann man also
den Ort beliebig bestimmen, an dem die PZ sich bei der Fixierung bilden wird.
d) Bei Anwendung verschiedener Fixierungsfliissigkeiten ist die Breite der PZ
verschieden. e) Legt man in der Fixierungsfliissigkeit ganz kleine Stiickchen ein,
deren Dicke liber die Breite der von der Fixierungsfliissigkeit hervorgerufenen PZ
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1 S8 _GAETANO PERUSINI.
nicht hinausgeht, so bildet sich in den diinnen Stiickchen keine PZ. f) Die iibrigen
Momente, welche von der Fixierung verschieden sind, konnen wohl auf das Zustande-
kommen der PZ einen EinfluB ausiiben; letzterer tritt aber, dem groBen Einflusse
der Fixierung gegeniiber, ganz in den Hintergrund.
Nach dem Gesagten diirfte also die Abhangigkeit der besonderen Stru k-
tur der PZ von der angewandten Fixierungsfliissigkeit feststehen.
AuBerdem kann es keinem Zweifel unterliegen, daB die Entstehung der eigentiim-
lichen Struktur der peripheren Riickenmarkzones durch ein Analogon der Vorgange
zu erklaren ist, die sich am Rande aller in Fixierungsfliissigkeiten eingelegten Stiick-
chen anderer Korperorgane, z. B. der Leber, stets abspielen. Nach der naheliegend-
sten Annahme soil sogar die im Riickenmark vorliegende besondere Anordnung
des Gewebes (topographische Wechselbeziehung zwischen der weiBen und der
grauen Substanz, die voneinander verschieden gebaut sind), die Tatsache erklaren,
daB im Riickenmark drei verschieden strukturierte Zonen, in der Leber dagegen
zwei Zonen vorkommen. Da nun ein Haufen von Tatsachen dafiir spricht, daB die
konzentrische Anordnung der PZ und der zwei inneren Zonen, also der drei Fixie-
rungszonen, welche Vasoin im Kaninchenriickenmark beschrieben hat, einem
allgemein giiltigen Gesetz entspricht, diirfen wir freilich die von Vasoin beschriebene
konzentrische Anordnung der drei Fixierungszonen als allgemeines Gesetz der
Modalitaten gelten lassen, nach welchen die Fixierung des Riickenmarks stets vor
sich geht.
Somit haben wir die Bedeutung und die Erklarung der Struktureigentumlich-
keiten festgestellt, die zur ersten Gru ppe unserer topographischen Einteilung
derselben gehoren. Wir kommen also zu folgendem SchluB:
Da die Wirkung einer Fixierungsfliissigkeit auf die peripheren
Teile der weiBen Riickenmarkssubstanz notwendigerweise verschie¬
den von der auf die mittleren bzw. auf die tiefst gelegenen Teile der¬
selben ist, sind die zwischen den drei konzentrischen Fixierungs¬
zonen vorkommenden strukturellen Unterschiede zu der genannten
verschiedenen Einwirkung der Fixierungsfliissigkeit in Beziehung
zu bringen. Deswegen wiirde — ceteris paribus — die Struktur einer
beliebigen unter den Zonen die Differenz darstellen, welche zwischen
der von der angewandten Fixationsfliissigkeit auf diese Zone und
der von derselben Fixierungsfliissigkeit auf die anliegenden Teile
der weiBen Riickenmarkssubstanz ausgeiibten Einwirkung besteht.
Bei der Formulierung dieses Gesetzes sehen wir selbstverstandlich von alien
im ersten Teil dieser Arbeit angedeuteten allzuschwierigen Erklarungsversuchen
des eigentlichen Entstehungsmechanismus der in Frage kommenden Struktur-
differenzen ab: die Quellungsvorgange usw. der Markscheiden bzw. der Gliabestand-
teile usw., ihre etwaige primare oder sekundare Entstehung lassen wir also ab-
sichtlich auBer Betracht. Die oben angefiihrten SchluBsatze stellen also ein bei
Beniitzung jeglicher Fixierungsfliissigkeit allgemein giiltiges Gesetz dar, welches
also, trotz der zwischen Alkohol-, Formol- usw. -material freilich vorkommenden
besonderen Strukturdifferenzen, allgemeine Anwendung findet.
Wenden wir uns zum Studium der Struktureigentiimlichkeiten, die zur
zwei ten Gru ppe unserer topographischen Einteilung derselben gehoren.
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BI) ' 4/5 „TEKTONIK" der weissen rCckenmarkssubstanz. 189
Wollen wir zunachst das Wesentliche iiber dieselben rekapitulieren, so ergibt sich
folgendes: In bestimmten Gebieten der weiBen Riickenmarksubstanz bieten die
oben beschriebenen Fixierangszonen wesentliche Abweichungen von der Gestalt,
die V a so in geschildert und schematisch abgebildet hat. In der vorderen Halfte des
VSS ist zwar eine Einteilung wohl wahrzunehmen, die an die drei konzentrischen
Zonen erinnert, welche nach der Schilderung Vasoins den ganzen Riickenmarks-
querschnitt des Kaninchens (also sowohl die ventrale Halfte des VSS als die dorsale
Halfte desselben und die HS) einnehmen; in der dorsalen Halfte des VSS und in
den HS sind dagegen, statt der drei besprochenen konzentrischen Zonen, besondere,
von der angrenzenden weiBen Substanz verschieden strukturierte Areae wahrzu¬
nehmen. Die genannten Abweichungen sind nun in den verschiedenen Riickenmarks-
segmenten und bei den verschiedenen Tierarten wesentlich verschieden: so tritt
z. B. beim Hunde und bei der Ziege die Area A des SS besonders im Zervicalmark
deutlich hervor, die Areae 1, 2, 3 der HS sind dagegen, wenn auch freilich in ver-
schiedener Gestalt, doch fast in jedem Lumbal-, Dorsal- und Halssegment zu er-
kennen; beim Ochsen sind die Areae der HS deutlich, die Area A des SS ist dagegen
undeutlich; wieder bei anderen Tieren, z. B. beim Kaninchen, sind in den ganzen
Riickenmarkshohe sowohl die Areae der HS als die Area A des SS verschwommen.
Einerseits bieten somit die Riickenmarkssegmente, in denen die Areae am scharfsten
ausgepragt sind, das Charakteristikum, daB bloB die PZ bestehen bleibt, daB die
inneren Zonen dagegen verschwinden und durch die Areae der HS und des SS ersetzt
werden, anderseits sprechen manche Tatsachen dafiir, daB selbst beim Kaninchen,
bei welchem die Areae verschwommen sind, etwas Ahnliches in topographisch iiberein-
stimmenden Gebieten doch vorkommt. Alles in allem diirfen wir also zu dem
Schlusse kommen, daB die dorsale Halfte des VSS und die HS sich als eigen-
artige, von der im Riickenmark vorkommenden konzentrischen An-
ordnung der Fixierungszonen Ausnahme machende Gebiete prasen-
tieren.
Die Resultate, welche die Methode der kiinstlich hervorgerufenen topogra-
phischen Variationen der Fixierungszonen im Riickenmark liefert, vermogen am
besten die besondere Bedeutung der in Frage kommenden Areae zu erklaren. Meines
Erachtens kommt zwar ein ziemlich groBes Interesse den Resultaten der oben an-
gefiihrten Experimente zu, welche iiber die Fixierung des Riickenmarks nach Ent-
femung eines Saumes von weiBer Substanz vorgenommen wurden. Wir sahen nam-
lich, daB, wenn ein Saum von weiBer Substanz aus irgend einem Riickenmarks-
strange vor der Einlegung des Praparates herausgeschnitten wird, die PZ stets an
der beliebig variierbaren Stelle der weiBen Substanz sich bildet, welche dem durch-
gefiihrten Schnitt entspricht. Zugleich sahen wir aber, daB — trotz dieser willkiir-
lich hervorgerufenen Variationen in der Lage der PZ — die Area A des SS und die
Areae 1, 2, 3 der HS immerhin zu erkennen sind. Und zwar bildet sich, falls wir bei
der vor der Fixierung vorgenommenen Entfemung von weiBer Substanz die Area A
oder die Areae 1, 2 und 3 der HS getroffen haben, im Gebiet der Areae wohl eine
durch die Struktureigentiimlichkeiten der PZ charakterisierte diinne Schicht; die
iibrigen (inneren) Teile der Area A u$w. behalten aber ihre strukturelle Individualist
bei. Auch die Form der getroffenen Area bzw. der iibriggebliebenen Partie derselben
bleibt unverandert. Dies beweist, daB mit den kiinstlich hervorrufbaren Variationen
Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19. 1 3
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GAETANO PERUSINI.
Journal f-Ptycholofie
and Neurologic.
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190
in der Lage der PZ und der ihr topographisch koordinierten konzentrischen inneren
Zonen keine entsprechenden Variationen der Areae einhergehen. Die Struktur-
cigentiimlichkeiten, welche die Areae charakterisieren, sind also der Art, daB sie
iiber die Grenze der durch kiinstliche Eingriffe hervorrufbaren Variationen der
konzentrischen Fixierungszonen hinausgehen.
Die besondere Stellung, die den Areae zuzuerkennen ist, wird auch durch
folgende Betrachtung bewiesen. Die Partien der eigentlichen (subpialen) PZ,
welche zu den die Riickenmarksperipherie erreichenden Areae 1 und 3 der HS ge-
horen, bieten zwar, wie wir sahen, ein besonderes Geprage, und ein besonderes,
ihnen eben von der eigenen Struktur der Areae verliehenes Geprage bieten ebenfalls
die Partien der im Gebiete der Areae der HS oder des SS mittels Entfemung eines
Saumes von weiBer Substanz hervorgerufenen PZ.
Beziiglich der die Areae charakterisierenden Struktureigentiimlichkeiten
konnen wir weiter den Beweis erbringen, daB in diesen Riickenmarksgebieten be¬
sondere Fixierungsbedingungen vorliegen. Da die Durchtrankbarkeit der verschie-
denen Gewebskomponenten ungleich ist, hangt zwar die Art, in der die Fixierang
der einzelnen Riickenmarksgebiete ausfallt, von den Beziehungen ab, welche zwischen
diesen Gebieten und den in ihnen enthaltenen oder sie begrenzenden GefaBen, den
bindegewebigen oder glidsen Septis, den vorderen oder hinteren Wurzeln usw. be-
stehen. Die besonderen Beziehungen, die die Areae des HS bzw. die Area A des SS
zum septum medianum posterius, zum septum paramedianum, zum Hinterhom usw.
aufweisen, sprechen nun dafiir, daB die Fixierung dieser Gebiete in einer eigenartigen,
d. h. von derjenigen der librigen weiBen Riickenmarkssubstanz verschiedenen Art
ausfallt. So kommen wir zu dem SchluB, daB die Areae, welche durch besondere,
zur zweiten Gruppe unserer topographischen Einteilung gehorende Struktur-
eigentiimlichkeiten charakterisiert sind, eigenartige Fixierungsgebiete dar-
stellen.
Bei den Schliissen zu denen wir gekommen sind, haben wir an der Lehre der
Aquivalentbilder festgehalten: sie beriihren also nicht im geringsten die Frage nach
dem Wesen der „praformierten Strukturen". Wie wir sahen, hat aber diese Frage
schon V a so in aufgestellt und als wahrscheinlich angenommen, daB beim Kanin-
chen keine spezifischen praformierten Strukturdifferenzen verschiedener Riicken-
marksgebiete den strukturellen Unterschied zwischen den drei Zonen mitbedingen
helfen. Die beschriebene Struktur der drei Zonen wiirde also nur die unterschied-
liche Wirkung des Fixierungsmittels zum Ausdruck bringen. Nachdem wir aber
festgestellt haben, daB neben den konzentrischen Zonen besondere Areae vorkommen,
diirfen wir nichtsdestoweniger den Erorterungen Vasoins Giiltigkeit zuerkennen,
d. h. annehmen, daB die Struktur der drei Zonen, die Struktur der Areae, folglich
ihre Unterschiede in den verschiedenen Riickenmarkssegmenten, alle die unter-
schiedliche Wirkung des Fixierungsmittels — und nur diese — zum .Ausdruck
bringen? Darf man z. B. annehmen, daB bei der Entstehung der Struktureigen-
tiimlichkeiten — die die PZ des HS charakterisieren (die Struktur der PZ in der
mittleren Partie der HS unterscheidet sich, wie wir sahen, von derjenigen der late-
ralen Partien der HS und wieder von derjenigen der dorsalen Partie des SS) — ein
etwaiger EinfluB von besonderen Piaverhaltnissen im Spiele ist, oder darf man dies
ausschlieBen ? Konnte man dies feststellen, so wiirden wir gleichzeitig einen tieferen
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Einblick in die Beziehungen gewinnen, die zwischen den Piaverhaltnissen und der
besonderen in der PZ der HS vorkommenden Struktur bestehen. Den oben ange-
deuteten vermutlichen EinfluB konnte man sich z. B. in der Weise vorstellen, daB
der Zusammenhang zwischen Pia und Nervengewebe in den HS lockerer als in den
iibrigen Partien der PZ sei: um dies zu entscheiden, kann man sich freilich verschie-
dene theoretisch ganz schone Experimente ausdenken; so weit ich gesehen habe,
fuhren sie aber zu keinem praktischen SchluB. Ebenso konnte ich experimentell
etwaige besondere Fixienmgsbedingungen unmoglich prazisieren, mit denen das
scharfe Hervortreten der Area A des SS im Zervicalmark, bzw. ihr allmahliches
Verschwinden gegen das Ende des Rxickenmarks zu, in Beziehung zu bringen seien.
Denn wir vermogen wohl mittels der „Methode der kunstlich hervorgerufenen Varia-
tionen der Fixierungszonen“ die Lage und Gestalt der letzteren abzuandem,
aber ich kann mir unmoglich irgend ein Experiment ausdenken, bei welchem die
besondere GefaBanordnung usw. der Areae und folglich die besonderen Fixierungs-
bedingungen derselben auszuschalten seien. Durch experimemtelle Andenmgen der
Fixierungsbedingungen ist es also unmoglich einen Einblick in die besonderen Be¬
ziehungen zu gewinnen, die zwischen Fixierungsvorgangen und in den Areae vor¬
kommenden Struktureigentumlichkeiten bestehen.
Zum Teil also dadurch, daB die Result ate mancher theoretisch passenden,
aber allzu subtilen Experimente praktisch wertlos ausfalien, zum Teil dadurch, daB
die notigen experimentellen Bedingungen im Riickenmark, wegen des Baues des-
selben, selbst theoretisch nicht zu realisieren sind, werden unserer Analyse des Ent-
stehungsmodus vieler Struktureigentiimhchkeiten ziemlich enge Grenzen gesetzt.
Deswegen miissen wir uns z. B. mit der allgemein giiltigen, jedoch ziemlich groben
Feststellung zufrieden • geben, daB der Anderung der Riickenmarkskontur eine
Anderung des Modus entspricht, nachdem die Fixierung der Riickenmarkssubstanz
ausfallt; zu sagen, ob zur Erklarung der beobachteten Strukturdifferenzen die ge-
nannte Anderung an und fur sich hinreicht, vermogen wir dagegen nicht.
Wie dem auch sein mag, und ist man auch wenig geneigt, einerseits die kolos-
salen Strukturunterschiede, die zwischen den einzelnen Areae bzw. zwischen den-
selben und den anliegenden Teilen der weiBen Substanz vorliegen, andererseits
das Variieren derselben in den verschiedenen Riickenmarkssegmenten einfach auf
Fixierungsbedingungen zuruckzufiihren, so wird man immerhin der Tatsache Rech-
nung tragen miissen, daB die Fixierung der einzelnen Riickenmarks-
gebiete nach einem besonderen Modus ausfallt.
Somit diirfte die eigenartige Stellung angedeutet sein, die der weiBen Substanz
des Ruckenmarksquerschnittes zukommt, so weit man sie vom Standpunkte der
Lehre der Aquivalentbilder aus — und das ist ja der einzige bei unserer praktischen
Histologie haltbare Standpunkt — betrachtet. Noch deutlicher wird uns aber die
Eigenart dieser Stellung vorkommen, wenn wir Riickenmarksquerschnitte und
Schnitte, die aus dem Marke der Himwindungen hergestellt wurden, miteinander
vergleichen. Bei letzteren ist zwar aus Alkohol-, Formol- usw. Material das ganze
innerhalb der AuBerrander liegende Gewebe gleichmaBig fixiert und infolgedessen
ist ein gleichmaBig strukturiertes und tingiertes Gewebsbild zu gewinnen: in der
weiBen Riickenmarkssubstanz kommt dagegen neben der PZ (AuBerrand) zwei
mit ihr topographisch koordinierte konzentrische Fixierungszonen und verschiedene
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192
GAETANO PERUSINI.
Journal f, Piyeholoffie
ond Neurologie.
bcsonders strukturierte Fixierungsgebiete vor, namlich die Areae, welch letztere
in den verschiedenen Segmenten verschiedene Gestalt darbieten.
Zwischen einem Fixierblockchen des Markes der Himwindungen und einem
Fixierblockchen des Riickenmarks liegen aber in der uns interessierenden Beziehung
noch weitere wichtige Differenzen vor. Und zwar beim ersten: a) die Randpartien
fallen mit einem topisch beliebig zu wahlenden, sozusagen topisch indifferenten
Teil des Markes zusammen, denn sie bilden sich einfach der Linie entlang, nach der
das Gewebe vor der Fixierung abgeschnitten wurde; b) in groBen Blocken bilden
sie einen verhaltnismaBig ganz kleinen Anteil des gesamten Praparates; weder bei
groBen noch bei kleinen Blocken kommt ihnen irgend eine in anatomischer oder in
funktioneller Hinsicht besondere Bedeutung zu; c) da bloB in den Randpartien
eine abweichende Farbbarkeit vorkommt, welche eben in Beziehung zu ihren eigen-
artigen Fixierungsbedingungen steht, so ist der abweichend gefarbte Teil aus dem
mikroskopischen Praparate einfach durch eine nach erfolgter Fixierung des Block-
chens vorgenommene Entfemung der Randpartien auszuschalten.
Im Riickenmarksquerschnitt: a) die Randpartien fallen dagegen mit keinem
topisch indifferenten, sondem mit dem unmittelbar innerhalb der Pia hegenden
Teil der weiBen Substanz notwendigerweise stets zusammen; b) sie bilden einen
verhaltnismaBig groBen Anteil des gesamten Praparates und konnen offenbar, so
lange es auf den vollstandigen Riickenmarksquerschnitt ankommt, unmoglich ent-
fernt werden; c) kommt es aber auf die Vollstandigkeit des Querschnittes nicht an,
so konnen die Randpartien aus dem Riickenmarksblockchen entfemt werden.
Nimmt man nun die Entfemung derselben nach erfolgter Fixierung vor, so bleiben
die beiden, voneinander verschieden stmkturierten, zu den Randpartien (PZ) topo-
graphisch koordinierten inneren Zonen (zweiten und dritten Zone) und die struk-
turellen Areae bestehen. Wird dagegen die Entfemung der Randpartien vor der Fixie¬
rung des Riickenmarksblockchens vorgenommen, so bilden sich trotzdem die drei kon-
zentrischen Fixiemngszonen und die strukturellen Areae sind ebenfalls zu erkennen.
Somit laBt sich das Ergebnis des zuletzt Besprochenen in der Feststellung der Tat-
sache resiimieren, daB eine gleichmaBige Fixierung, daher ein gleichmaBig
tingiertes Bild des innerhalb der Randzone liegenden Gewebes wohl
in der weiBen Substanz der Himwindungen, nicht aber in der weiBen
Substanz des Riickenmarks zu gewinnen ist.
Sage ich nun, daB (wie dies schon Vasoin bewies) die PZ des Riickenmarks
eine kompakte, die 2. Zone dagegen eine alveolare Struktur aufweist, so ist der Aus-
druck offenbar in dem Sinne zu verstehen, daB die einzelnen Aquivalentbilder der
Nervenfasem und Gliaelemente bzw. ihre Gruppierung in den beiden Zonen ver¬
schieden sind. Setzt sich doch aus der Summe der einzelnen Aquivalentbilder das
gesamte Bild der verschiedenen Zonen (und Areae) zusammen. Unter dieser Voraus-
setzung diirfen wir uns fragen, wie die genannten, in den einzelnen Gebieten der
weiBen Riickenmarksubstanz vorkommenden Eigentiimlichkeiten der Aquivalent¬
bilder zu deuten sind. Kunstprodukte konnen sie offenbar unmoglich sein, denn
diese sind, wie Nissl sich ausdriickt, die Folgen von Kunstfehlem bei Herstellung
der Praparate. Sind sie nun als kunstliche Abweichungen aufzufassen? Die eigen-
artigen Bilder, die in der Randzone eines Fixierblockchens der Himrinde vorkommen,
faBt Nissl eben als abweichend gefarbte Bilder auf; denn man kann nicht umhin,
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BD - MJglT „TEKTONIK“ DER WEISSEN RtCKENMARKSSUBSTANZ. 193
die innerhalb der AuBenrander vorkommenden Aquivalentbilder als Paradigma
zu wahlen, die im schmalen Rand enthaltenen Bilder als eben von diesem Paradigma
abweichende zu bezeichnen. Liegt aber in der weiBen Riickenmarkssubstanz ein
solches Paradigma vor und kann man folglich von Abweichungen sprechen? Im
Riickenmark sind die Verhaltnisse zwischen Randpartien und inneren Teilen un-
gemein komplizierter als dies in einem Fixierblockchen der weiBen Substanz der
Himwindungen der Fall ist. Denn die Bilder, die in der PZ des Riickenmarks vor-
kommen, entsprechen wohl, im Grunde genommen, denjenigen, die in den Rand¬
partien eines Fixierblockchens der weiBen Substanz der Himwindungen vorkommen
und ganz richtig als „abweichend“ bezeichnet werden, sie sind aber gleichzeitig von
denen, die zur 2. oder zur 3. Riickenmarkszone, und wieder von denen, die zu den Areae
gehoren, verschieden. Gleiche Bilder haben also eine differente Bedeutung je nach
dem sie zum Rande eines Fixierblockchens der weiBen Substanz der Himwindungen
oder zum Rande eines Fixierblockchens des Riickenmarks gehoren: im ersten Falle
stellen sie eine Abweichung, im zweiten stellen sie wenigstens insofern die Regel dar,
als — wenn man nicht einen einzelnen Riickenmarksquerschnitt, sondern das
ganze Riickenmark vor Augen hat — die topographisch konstantesten Bilder eben
in der PZ zu beobachten sind, denn letztere kann — gegeniiber dem hochgradigen
Variieren der Lage und Gestalt der Areae und dem in den verschiedenen Segmenten
einhergehenden Variieren der beiden inneren konzentrischen Zonen — in der ganzen
Riickenmarkshohe als konstant und identisch betrachtet werden.
So kommen wir zu dem SchluB, daB die eigenartigen Nervenfasem- und Glia-
bilder, welche in der Randzone eines Fixierblockchens des Riickenmarks vorkommen,
nicht als „abweichend“ aufgefaBt werden konnen, und zwar schon deshalb nicht,
weil fiir die gesamte weiBe Riickenmarkssubstanz — nicht einmal fiir die groBte
Partie derselben — kein allgemein giiltiges Paradigma dieser Bilder zu finden ist.
Deswegen wollen wir mit der Feststellung der Tatsache uns begniigen, daB es fiir
jede Riickenmarkszone und fiir jede -Area eigene Nervenfasem- und Gliabildcr
gibt, wobei man freilich nochmals hinzufiigen muB, daB je nach dem untersuchten
Riickenmarkssegment die GroBe und Gestalt der Zonen und der Areae wesentliche
Anderungen darbieten.
Fassen wir das Besprochene zusammen, so diirfen wir wohl sagen, daB — da
jede Zone und jede Area des Riickenmarks eigene Fixierungsbedin-
gungen hat, die Fixierung der weiBen Riickenmarkssubstanz, folg¬
lich ihre Farbung, notwendigerweise ungleichmaBig ausfallt. Aqui¬
valentbilder der Nervenfasem und der gliosen Elemente, die fiir die
gesamten Gebiete der weiBen Riickenmarkssubstanz brauchbar sind,
gibt es deswegen keine; es gibt dagegen fiir die verschiedenen Ge¬
biete, d. h. fiir die verschiedenen Zonen und Areae, deren Topogra¬
phic in den verschiedenen Segmenten verschieden ist, eigene Aqui¬
valentbilder.
Die Tragkraft der geschilderten Unterschiede, zugleich der Beweis, daB sie
charakteristisch sind, geht aus der Tatsache hervor, daB bei Betrachtung mit starker
VergrdBerung irgend eines ganz kleinen Gebietes der weiBen Riickenmarkssubstanz
die Topographie desselben, d. h. seine Zugehorigkeit zur einen oder zur anderen
Zone bzw. Area aus seinem strukturellen Typus ohne weiteres festzustellen ist.
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JonmaJ t Psycholoyie
and Neurologic.
. 194
Fassen wir das bis jetzt Gesagte zusammen, so kommen wir zu folgenden
Schliissen:
Die eigene Beschaffenheit des Ruckenmarks, seine Form, die be-
sondere Disposition seiner Hiille, seiner GefaBe, seiner bindegewebi-
genSepta, seiner nervosen und gliosen Elemente, die topographischen
Wechselbeziehungen zwischen weiBer und grauer Substanz, die ver-
schiedene Durchtrankbarkeit seiner nervosen und nichtnervosen
Komponenten von seite der Fixierungsflussigkeit und zugleich der
wichtige Umstand der relativ kleinen Breite des ganzen Objektes be-
wirken, daB dem Eindringungsmodus der Fixierungsflussigkeit
und ihrer Einwirkung auf die weiBe Riickenmarkssubstanz eineauBer-
ordentlich groBe Bedeutung zukommt. Mehrere, voneinander struk-
turell verschiedene Gebiete, die also aus eigenen Aquivalentbildern
zusammengesetzt sind, nehmen im mikroskopischen Praparate die
gesamte weiBe Riickenmarkssubstanz ein: dazu weisen einerseits
in einem und demselben Riickenmarksquerschnitt die zwischen den
einzelnen Gebieten bestehenden GroBewechselbeziehungen Differen-
zen auf, je nachdem die eine oder die andere Fixierungsflussigkeit
angewendet wurde, anderseits sind, unter Anwendung einer und der-
selben Fixierungsflussigkeit Differenzen der genannten Beziehungen
in den verschiedenen Segmenten nachzuweisen. Letztere Differenzen
gehen endlich mit Anderungen der Beziehungen einher, welche in den
verschiedenen Segmenten die einzelnen Gebiete der weiBen Riicken-
markssubstanz zu den GefaBen, zu den Septis usw. aufweisen, und
gleichzeitig haben die Anderungen dieser Beziehungen Anderungen
der Fixierungsbedingungen der einzelnen Gebiete zur Folge. Da
also unter Anwendung einer beliebigen Fixierungsflussigkeit das
betreffende mikroskopische Aussehen jedes Gebietes von den Be¬
ziehungen abhangig ist, die letzteres zu den GefaBen, zu den Septis
usw. aufweist, folglich von seinen besonderen Fixierungsbedingungen,
so ist bloB unter Beriicksichtigung der letzteren und ihrer Variationen
das mikroskopische Aussehen der weiBen Riickenmarkssubstanz
in den verschiedenen Segmenten verstandlich. Der besonderen Be¬
schaffenheit des Ruckenmarks wegen miissen also die strukturellen
Eigentiimlichkeiten der verschiedenen Gebiete der weiBen Riicken-
markssubstanz unter Beriicksichtigung der Fixierungsbedingungen
betrachtet werden, die einem jeden Gebiete eigen sind; daraus folgt,
daB eine rationelle Myelotektonik des Ruckenmarks in innigste Be-
ziehung zur Glia- und zur GefaBtektonik gebracht werden muB.
Die den oben angedeuteten Grundziigen gemaB vorgenommene
Untersuchung der weiBen Riickenmarkssubstanz lieB als konstanteste
Erscheinung feststellen, daB in ihr die Einwirkung der Fixierungs-
fliissigkeiten die Bildung von drei konzentrischen, voneinander ver-
schieden strukturierten Zonen und von verschiedenen, in dem VSS
und in den HS liegenden, von uns als Areae bezeichneten Gebieten er-
kennen laBt, welch letztere topographisch und strukturell mit keiner
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BD ‘ 19 19?2 EFT 4/5 „TEKTONIK“ DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ. 195
der genannten Zonen iibereinstimmen. Diese Areae weisen eigene
Fixierungsbedingungen auf, die von den der Zonen verschieden sind:
zu entscheiden, ob die Eigenart der Fixierungsbedingungen an und
fur sich die in den Areae vorkommenden strukturellen Eigentiim-
lichkeiten erklaren konne, sind wir nicht in der Lage.
Die Anwendbarkeit der gewonnenen Ergebnisse bei der Untersuchung vom
normalen und vom pathologisch veranderten Material.
In den vorhergehenden Seiten haben wir die Mannigfaltigkeit der Faktoren
hervorgehoben, die^ahig sind, im Aussehen, in der Anordnung usw. der zu den
einzelnen Gebieten der normalen weiBen Riickenmarkssubstanz gehorenden Bilder
Variationen hervorzurufen. Halt es wegen der Mannigfaltigkeit dieser Faktoren
schwer, die Anwendbarkeit aller subtilen festgestellten Tatsachen einer allgemeinen
GesetzmaBigkeit unterzuordnen, so ist doch beweisbar, daB die gewonnenen Grund-
ziige praktisch anwendungsfahig sind. Wohlgemerkt, sowohl beim menschlichen
als beim experimentellen Material. Behufs unserer Nervenfasem- und Gliabilder
konnen und miissen wir zwar den Standpunkt gelten lassen, den Nissl fur die
Ganglienzellen vertreten hat: Aquivalentbilder der menschlichen Ganglienzelle gibt
es keine; trotzdem kann man von Aquivalentbildem derselben sprechen. Wie Nissl
betont, besteht also der Unterschied zwischen dem Aquivalentbilde eines Tieres und
dem des Menschen bloB darin, daB ersteres sich direkt im Mikroskope als Aqui-
valentbild prasentiert, wahrend letzteres erschlossen, d. h. durch eingehende ver-
gleichende Studien der tierischen Aquivalentpraparate mit Praparaten des mensch¬
lichen Nervensystems, die mit Hilfe der gleichen Methode gewonnen warden, ab-
geleitet werden muB.
Die Kenntnis der groBen Unterschiede, die wir zwischen den zu den einzelnen
Gebieten der normalen weiBen Riickenmarkssubstanz gehorenden Aquivalentbildem
feststellen konnten, durfte uns also, vor allem, sowohl bei menschlichem als bei
experimentellem Material, manche Fehlerquellen und Fehlschliisse bei der Betrach-
tung unserer mikroskopischen Praparate umgehen lassen. Zwar glaube ich, daB
die Kenntnis dieser Unterschiede und zugleich die Kenntnis der Momente, von denen
sie abhangen, uns einerseits davor mahnen sollen, aus der Kaliberverschiedenheit
usw. der in den einzelnen Gebieten enthaltenen Fasem physiologische Schliisse
zu ziehen und anderseits, bei der Schatzung von pathologisch verandertem Material
uns zur Vorsicht zwingen sollen. Somit wird unser Urteil vorsichtiger, zugleich
aber auf sicheren Boden gestiitzt sein.
Meinen Standpunkt konnte ich also kurz in dem Satz zusammenfassen, daB
die Kenntnis der Tektonik der weiBen Riickenmarkssubstanz die Voraussetzung
darstellt, um in die Faseranatomie und die Histopathologie derselben tiefer ein-
dringen zu konnen. Allein die eigene Beschaffenheit des Riickenmarks bewirkt,
daB beim Studium des Markfasembaues seiner weiBen Substanz besondere Momente
beriicksichtigt werden miissen. DaB dem Kaliberunterschiede der Fasem eine Be-
deutung zukommt, die in der Himrinde imd in der weiBen Riickenmarkssubstanz
verschieden ist, ist z. B. selbstverstandlich. Fur die regionaren Modifikationen des
myeloarchitektonischen Grundtypus der Himrinde sind die genannten Kaliber¬
unterschiede von Wichtigkeit; in der weiBen Riickenmarkssubstanz haben sie da-
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Journal f. Piycholope
und Neuroloyie.
196
gegen eine ganz verschiedene Bedeutung. Dasselbe konnte man widerholen, falls
man die weiBe Substanz des Riickenmarks mit der Markleiste der Windungen ver-
gleichen wollte, und zwar vor allem schon deshalb, weil die weiBe Riickenmarks-
substanz nicht wie die Hirnrinde oder die Markleiste der Windungen gleichmaBig
zu fixieren ist. Dies wird am besten durch das Studium der Rolle bewiesen, die der
GefaBverlauf bei der Fixierung der Hirnrinde bzw. der weiBen Riickenmarkssubstanz
spielt. Wie Brodmann hervorhob, ist oft an der Steile der Hirnrinde, wo ein be-
stimmter cytoarchitektonischer Typus sich in einen anderen umwandelt, ein Blut-
gefaB wahrzunehmen; dem GefaBverlauf kommt jedoch eine fiir das Studium der
Cyto-, der Myelo- und der Fibrilloarchitektonik der Hirnrinde sozusagen nur neben-
sachliche Bedeutung zu, die von der auBerordentlichen Bedeutung offenbar prin-
zipiell verschieden ist, welche man dem GefaBverlauf fiir das Studium der Tektonik
der weiBen Riickenmarkssubstanz zuerkennen muB. In der Hirnrinde bestehen
zwar allgemeine Beziehungen zwischen den verschiedenen cytoarchitektonischen
Feldem und der BlutgefaBanordnung, bloB in der weiBen Riickenmarkssubstanz
ist man aber — eben der eigenen Beschaffenheit des Riickenmarks wegen — im-
stande, bei einem groBen Teil des Querschnittes eine besondere Struktur hervor-
zubringen, welche direkt mit dem Verlaufe des GefaBes und dem entsprechenden
besonderen Einwirkungsmodus der Fixierungsfliissigkeit usw. zusammenhangt.
Die besondere Stellung, welche der Tektonik der weiBen Riickenmarkssubstanz
zukommt, hangt also vor allem von der Tatsache ab, daB letztere eine gleich¬
maBig fixierte Gewebspartie keinesfalls darstellt, so daB zur Kenntnis
des Fasernbaues die Kenntnis der Glia- und der GefaBtektonik in
gleicher Weise unentbehrlich sind.
Bei der Beweisfiihrung der Anwendbarkeit, welche der im oben angedeuteten
Sinne abgefaBten Tektonik der weiBen Riickenmarkssubstanz zukommt, konnen
wir am besten mit einem Paar Beispielen auskommen.
Sehen wir uns zunachst das Beispiel einer rein anatomischen Frage an. Manche
Lehrbucher der menschhchen Anatomie geben den durchschnittlichen Kaliber der
Markscheiden an, die in der Peripherie bzw. in den tieferen Teilen des Riickenmarks
verlaufen, so z. B. in der Kleinhimseitenstrang- und in der gekreuzten Pyramiden-
bahn. Ganz klar ist es, in welcher Weise die genannten Durchschnittszahlen sich
feststellen lassen. Der Verlauf, daher der in den einzelnen Segmenten vom KSS
oder vom PyS eingenommene Teil des Riickenmarksquerschnittes ist uns zwar
aus dem Ergebnis der fasemanatomischen Methoden bekannt: wir brauchen folgkch
den Durchschnittskaliber der Fasem bloB abzuschatzen, welche in einem normalen
Riickenmark die genannten Gebiete einnehmen. Sind die bekannten Vorausset-
zungen zur Herstellung der Aquivalentbilder erfiillt worden — in den beiden Fallen
gleiche Fixierungsfliissigkeit usw. — so laBt sich gegen das Verfahren nichts ein-
wenden, Allein, weist das vom KSS eingenommene Gebiet eine im Riickenmarks-
querschnitt exquisit peripherische, das PyS-Gebiet dagegen eine zentrale Lage auf:
so muB deshalb die Verschiedenheit des Kalibers, die zwischen den in den verschie¬
den tiefen Gebieten des Riickenmarks enthaltenen Fasem vorkommt, unter Be-
riicksichtigung der unterschiedlichen Fixierungsbedingungen betrachtet werden,
die dem ersten bzw. dem zweiten Gebiete eigen sind. Man sieht, daB der ungleiche
Kaliber von Fasern, die zu voneinander verschieden gelegenen Riickenmarks-
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BD ‘ 19 'l912 EFT 45 »TEKTONIK“ der weissen rOckenmarkssubstanz. 19;
gebieten gehoren, in Beziehung zur Funktion derselben ungemein vorsichtig ge-
stellt werden muB.
Ein weiteres Beispiel der zuletzt betonten Tatsache bietet nns die Betrach-
tung der drei Areae, die das Gebiet der HS einnehmen. Die Struktur der Area 3,
der Area 1 und der Area 2, d. h. des mittleren, des lateralen und des dazwischen ge-
legenen Teiles der HS, ist, wie wir sahen, im Lenden-, im Brust- und im Halsmarke
identisch: variierbar, sogar hochgradig, ist dagegen in den einzelnen Riickenmarks-
segmenten die Topographie jeder Area. Vom oberen Brustmark ab nach oben hinauf
stimmt nun beim Menschen die Topographie der Area 3 mit der des Gollschen
Stranges iiberein: sie werden zwar beide von den iibrigen Teilen des HS jederseits
durch das septum paramedianum geschieden. Aus dem Singer - Miinzerschen
Gesetz wissen wir weiter, daB die Fasem, welche im Sakral- und Lendenmark die
lateralsten Teile des Hinterstranges, die Wurzeleintrittzone, einnehmen, auf ihrem
Wege ins Halsmark hinauf soweit nach innen riicken, daB sie hier die medialst ge-
legenen Biindel des Hinterstranges, also den Gollschen Strang bilden: infolgedessen
enthalten letztere ausschlieBlich lange Bahnen, die aus dem Sakral- und Lenden¬
mark stammenden Fasem. Die Area 3 entspricht also, soweit sie mit dem Gollschen
Strang sich deckt, einem fasernanatomisch, d. h. physiologisch abgegrenzten Ge¬
biet. Welches ist aber die Bedeutung der Area 3 vom oberen Brustmark ab nach
unten, wo es keinen Gollschen Strang gibt? Die Area 3 nimmt stets den mittleren
Teil der HS ein, sie weist stets eine identische Struktur auf, fasernanatomisch kann
ihr aber die physiologische Bedeutung des Gollschen Stranges unmoglich zukommen,
denn offenbar sind die im Lendenmark lateral gelegenen Fasern (Area 1) diejenigen,
welche in den oberen Segmenten den Gollschen Strang (Area3) bilden. Gebiete, die
eine identische Struktur in den verschiedenen Rfickenmarkssegmenten stets aufweisen,
setzen sich also in den verschiedenen Segmenten aus Fasem zusammen, die bald
dem einen, bald einem anderen System angehoren. Somit ergibt sich fur das ganze Ge¬
biet der HS die Frage, inwieweit die einzelnen Areae sich mit bestimmten fasemanato-
mischen Gebieten topographisch decken, und ebenfalls ware es offenbar wiinschens-
wert, die genaueren topographischen Beziehungen zu prazisieren, welche zwischen
dem PyS und der letzteren zweifellos einnehmenden Area A des SS vorliegen. Diese
Fragen haben wir nicht entschieden; freilich wollten und wollen wir auch nicht ver-
suchen, sie hier zu entscheiden. Denn diese Fragen konnen erst dadurch entschieden
werden, daB man unter Anwendung der von uns festgestellten Prinzipien patholo-
gisches Material untersucht. Gehen wir also zur Betrachtung des eigentlich patho-
logisch veranderten Materials fiber und sehen wir uns an, in welcher Beziehung die
von uns gewonnenen Ergebnisse beim Studium der Lasionen der weiBen Riicken-
markssubstanz sich anwenden lassen.
Eine Lasion der weiBen Ruckenmarkssubstanz kann nun nach zwei Richtungen
hin Objekt einer mikroskopischen Untersuchung bilden, und zwar entweder nach
einer fasemanatomischen oder nach einer eigentlich histopathologischen Richtung
hin. Erstere hat bekanntlich den Zweck, den vollstandigen Verlauf der einzelnen
Fasembiindelchen von der Ursprungszelle bis zum Ende der Marksfaser aufzudecken:
sie kann einigermaBen ins Gebiet der eigentlichen Histopathologie iibergehen, laBt
sich aber iibrigens von derselben, wie es Nissl hervorhob, griindlich unterscheiden.
Dieser praktisch sehr wichtige Unterschied findet seinen Ausdruck in der Art der
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Journal L Psychologic
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pathologischen Veranderungen und in der technischen Ausfiihrung der Untersuchun-
gcn, die bei der fasemanatomischen bzw. bei der histopathologischen Richtung
vorgenommen werden. Die Lasionen der weiBen Riickenmarkssubstanz, die bei
der fasemanatomischen Forschung in Betracht kommen — gleichgiiltig, ob es sich
um eine frische, mit der Marchischen Methode nachweisbare Degeneration oder
um eine alte, mit der Weigertschen Markscheidenmethode negativ darstellbare
gliose Narbe handelt — sind zwar stets ziemlich grobe Ausfalle des Nervenparen-
chyms. Fiir das Studium dieser groben Ausfalle, folglich bei fasemanatomischen
Forschungen, bieten die von uns festgestellten Gmndzuge einer Tektonik der weiBen
Riickenmarkssubstanz keine besondere Anwendbarkeit: fur dieses Forschungsbebiet
bieten sie vielmehr, wie spater unten naher dargelegt wird, bloB ein indirektes In-
teresse.
Anders ist es bei der eigentlichen histopathologischen Forschung. In den
Kreis der letzteren gehoren vor allem die sogenannten Markscheidenlichtungen,
Markscheidenrarefizierungen u. dgl. Auf die Gefahr hin, die blasse Fasemfarbung
der Riickenmarksperipherie mit eigentlichen pathologischen Vorgangen zu ver-
wechseln, hat schon Schmaus, wie in der Einleitung bemerkt, ausdriicklich auf-
merksam gemacht, so daB die Vorsicht heutzutage allgemeine Anerkennung findet,
die diesen peripheren „Rarefizierungen“ gegeniiber am Platze ist. Unsere Ergebnisse
lassen uns hinzufiigen, daB man besonders vorsichtig nicht nur die peripherischen,
sondern alle die ,,Rarefizierungen“ beurteilen soil, welches auch das Gebiet des
Riickenmarks sei, in dem sie vorkommen. Denn gerade die Farbedifferenzen, die,
wie wir sahen, notwendigerweise zwischen den einzelnen Gebieten der normalen
weiBen Riickenmarkssubstanz stets vorkommen, konnen sehr leicht als Fasem-
lichtungen u. dgl. irrtiimlich aufgefaBt werden. Der Umstand, daB sie funktionell
sehr wichtige Gebiete, z. B. bestimmte Partien der HS und das Gebiet des PyS ein-
nehmen, soil uns nicht, wie dies vielleicht manchmal geschah, irreleiten. Denn
logisch sollte den aus der Topographie einer Lasion sich ergebenden Kriterien der
Beweis, daB es sich tatsachlich um eine pathologische Lasion handelt, vorangehen und
nicht umgekehrt. Die genannte topographische Ubereinstimmung sehen wir also
bloB als einen dringenden Grund an, um bestrebt zu sein, die Unterschiede zwischen
pathologischen und normalen Befunden stets genauer kennen zu lemen. Deshalb
mochte ich auf die Unmoglichkeit nochmals ausdriicklich hinweisen, alle Mark-
scheiden der einzelnen Riickenmarksgebiete gleichzeitig richtig differenziert zu
erhalten. Wegen der Haufigkeit ihres Vorkommens verdient auch der das Vorder-
hom ringsum umschlieBende dunkle Saum (Taf. Ill, Fig. 52) eine besondere Er-
wahnung: eine praktische Wichtigkeit kommt auch der Tatsache zu, daB alle er-
wahnten Farbeunterschiede besonders haufig bei dem Material zu beobachten sind,
welches — wie es heute offers vorkommt — fur ein paar Tage in Formalin ,,gehartet“,
sodann in Miillersche Fliissigkeit iibertragen wurde. Offenbar kann man roanche
der besprochenen Eigentiimlichkeiten unserer Praparate erst unter strenger Be-
riicksichtigung der von Reich hervorgehobenen wichtigen Tatsache erklaren, daB
„das mit Recht in letzter Zeit in der Histologie beliebte Formol durchaus keine
Garantie fiir eine Konservierung der Markscheide bietet*‘.
So viel uber Markscheidenpraparate. Das Gesagte stellt selbstverstandlich
das Vorkommen von Fasernlichtungen u. dgl. nicht in Abrede: allein man muB in
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BD 19 iq?2 EFT 4/5 »TEKTONIK“ der weissen rockenmarkssubstanz. 199
den einzelnen Fallen den Beweis erbringen, daB sie iiber die Grenze der auf Mark-
scheidenpraparaten normalerweise vorkommenden Farbedifferenzen hinausgehen.
Dieser Beweis ist durch positive Bilder zu erbringen, die in zweifelhaften Fallen eben
maBgebend sind. Die heutige histopathologische Technik laBt nun positive Bilder
einer Degeneration der weiBen Riickenmarkssubstanz durch einen Haufen von
Methoden darstellen: wie in der Einleitung bemerkt, machen dagegen die Lehr-
biicher bloB auf einige Differenzen aufmerksam, die bei Anwendung der einfachsten
Farbungen (Karminpraparate u. dgl.) zwischen den einzelnen Gebieten der normalen
weiBen Riickenmarkssubstanz zur Beobachtung kommen. Unsere Erfahrungen
mit den glanzenden Alzheimerschen Gliafarbungen gestatten die alten Angaben
zum Teil zu prazisieren, zum Teil durch neue zu erganzen, indem wir z. B. die kolos-
salen Unterschiede feststellen konnten, welche die Anordnung und der Reichtum
des Stiitzgewebes in den einzelnen Gebieten aufweisen. Somit stellt also die Kennt-
nis der normalen Gliatektonik die Voraussetzung dar, um das positive Bild eines
degenerierten Gebietes genau abzuschatzen.
Mit den gewohnlichen positiven und negativen Bildem, also mit den gewohn-
lichen Markscheiden-, Achsenzylinder- und Gliafarbungen kommen wir aber bei der
Feststellung mancher Veranderungen des Nervenparenchyms nicht aus. Wie konnte
man z. B. feststellen, daB unter den unzahlbaren so verschieden dicken Fasern
der Area A des SS einige wenige zugrunde gegangen oder daB einige ihrer Mark¬
scheiden diinner geworden sind, wie dies beim ersten Stadium der primaren Nerven-
fasemdegeneration der Fall sein soli? Markscheiden- und Achsenzylinderpraparate
geben dariiber keine geniigende Auskunft und ebenfalls ware auf Gliapraparaten
die Feststellung auBerst unsicher, ob das Zytoplasma von vereinzelten Gliaelementen
zugenommen hat. Und doch ist die Feststellung der genannten leichten Verande¬
rungen des Nervenparenchyms moglich. Denn eben fiir das Verstandnis dieser Be-
funde hat uns Alzheimer entscheidende Kriterien angegeben, indem er zeigte, daB
bei den verschiedenen Prozessen neben den quantitativen auch qualitative Glia-
veranderungen in Frage kommen und daB aus dem Vorhandensein bestimmter, in
den Glia- und GefaBzellen enthaltener regressiver Stoffe der nicht direkt nachweis-
bare Untergang von feinsten nervosen Strukturen sich demonstrieren laBt. Deshalb
konnen wir bei dem heutigen Standpunkt der Histopathologie auf das Studium
dieser in den Glia- und GefaBzellen enthaltenen Produkte unmoglich verzichten;
vielmehr schheBen wir aus dem Vorhandensein derselben auf das Vorhandensein
mancher Zerstdrungsvorgange, die sich an den nervosen Strukturen abspielen, die
wir aber nicht direkt auf letzteren erkennen konnen. Die Voraussetzung, um die
Ergebnisse dieser zum Nachweis der genannten Abbauprodukte angewendeten Dar-
stellungsmethoden richtig abzuschatzen, ist nun wieder die Kenntnis der nor¬
malen Tektonik der weiBen Riickenmarkssubstanz. Denn, wie bewiesen, lassen
alle Farbungsmethoden eigene Farbungseigentiimlichkeiten nachweisen, welche
in den einzelnen Riickenmarksgebieten verschieden sind. Einerseits also dadurch,
daB diese Eigentiimlichkeiten sich gerade bei den oben angedeuteten feinen Dar-
stellungsmethoden besonders bemerkbar machen, anderseits dadurch, daB es sich
um die genaue Verwertung von subtilen Differenzen handelt, ist die exakte Kennt¬
nis der zwischen den normalen Bildem der einzelnen Riickenmarksgebiete normaler¬
weise vorkommenden Differenzen zur Abschatzung eines histopathologischen Be-
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200
GAETANO PERUSINI.
Journal f. Paycbologie
nnd Nenrolofie.
fundes unentbehrlich. Als priignantestes Beispiel kann die von Schmaus und
Bohm hervorgehobene Tatsache dienen, daB an Leberschnitten die inneren Teile
vines Praparates die typische Granulastruktur mit Altmannscher Farbung sehr
schon erkennen, die auBersten Teile desselben Praparates dagegen die Granula ver-
missen lassen. Das Gleiche ist auch im Zentralnervensystem zu beobachten: in
dieser Beziehung macht sirh aber wieder der oben betonte Unterschied im Ausfall
der Farbung geltend, je nachdem es sich um ein Stiickchen der weiBen Substanz
der Hirnwindungen oder um ein Stiick des Riickenmarks handelt. Beim ersten ist
/.war, etwa wie in einem Leberstiickchen, bloB eine peripherische und eine das re-
stierende Praparat einnehmende zentrale Partie zu unterscheiden; beim zweiten
gibt es dagegen, neben den peripherischen, viele Unterabteilungen, aus welchen der
zentrale Teil des Praparates sich zusammensetzt und jede von diesen Unterabtei¬
lungen stellt, gleichwie die peripherische Partie, ein in struktureller und tinkto-
rieller Beziehung besonderes Gebiet dar. In einem Leberstiickchen kommen also
tinktorielle Unterschiede bloB in den Randpartien den inneren Teilen gegeniiber
vor: in der weiBen Riickenmarkssubstanz stellen dagegen die Eigentiimlichkeiten
der Randpartien nur einen Teil der mannigfaltigen tinktoriellen Unterschiede dar,
die jedes einzelne Gebiet der weiBen Riickenmarkssubstanz jedem iibrigen Gebiete
eines und desselben Riickenmarksquerschnittes gegeniiber aufweist.
Irre ich nicht, so konnen uns die oben angedeuteten Tatsachen das Verstandnis
mancher Veranderungen der weiBen Riickenmarkssubstanz erleichtem, die bis
jetzt ganz ratselhaft erschienen. Ich erinnere z. B. an den 1896 treffhch von Vassale
beschriebenen Typus der primaren Fasemdegeneration (keine Marchi - Reaktion,
keine hellen Bezirke auf Weigertschem Markscheidenbild, einfache Atrophie der
Markscheiden, Erhaltenbleiben der Achsenzylinder), bei dem gewohnlich manche
Veranderungen eingereiht werden, welche dagegen — wie dies die Untersuchungen
Bignamis schon sehr wahrscheinlich gemacht haben — mit der primaren Fasem¬
degeneration nicht zu identifizieren sind. In den Kreis der zuletzt angedeuteten
Veranderungen gehoren manche als hydramisch usw. bezeichneten Befunde und
die mitunter sehr deutliche ,,Systematisierung“ (HS und PyS), welche sie aufweisen,
hat zweifellos dazu beigetragen, sie bei den echten primaren Systemerkrankungen
einreihen zu lassen. Die ,,Systematisierung“ der Veranderungen, die Bignami
von den echten primaren mit vollem Recht gesondert wissen will, wiirde nun nach
meinen Erfahrungen moglicherweise einem eigenartigen Vorgange ihre Entstehung
verdanken. Bei manchen hydramischen Prozessen des Riickenmarks wiirden zwar
— ich mochte mich noch mit Reserve ausdriicken — die Fixierungsvorgange sich
in der Weise abspielen, daB dadurch eine Obertreibung der zwischen der Area A
des SS bzw. der Areae 1, 2, 3 der HS und der restierenden weiBen Substanz normaler-
weise vorkommenden Unterschiede, folglich eine scheinbare Systematisierung zu-
stande kommt. Bei diesen Fallen wiirde es sich wohl um pathologische Verande¬
rungen handeln: „kiinstlich“ ware aber die bloB durch die besondere Einwirkung
der Fixierungsfliissigkeit hervorgebrachte topographische Anordnung derselben.
Zum SchluB mochte ich noch ein Wort liber einseitige Riickenmarkslasionen,
genauer ausgesprochen iiber die Abweichungen der Areae und Zonen bei denselben
liinzufiigen. DaB die verschiedenen meso- und ektodermalen Riickenmarksbestand-
teile der Fixierungsfliissigkeit gegeniiber eine verschiedene Eindringungsleitung
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BD * 19 iqSF T 4/5 „TEKTONIK u DER WEISSEN ROCKENMARKSSUBSTANZ.
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darbieten, ist oben bewiesen worden; folglich ist bewiesen, daB, in Zusammenhang
sowohl mit den quantitativen und den einhergehenden chemisch-qualitativen Ver-
anderungen der erwahnten Bestandteile (Zunahme der Glia, Fasemschwund usw.)
als mit der Legalisation derselben die Fixierung des Riickenmarks verschieden aus-
fallt. Davon scheint zunachst die Anwendbarkeit der Lehre der Aquivalentbilder
nicht im geringsten beriihrt zu sein, daB namlich die durch diese eigenartigen Fixie-
rungsbedingungen des pathologischen Materials zustande kommenden Abweichungen
wohl nach den gewohnlichen Prinzipien betrachtet werden diirfen, welche wir ja
stets bei der Anwendung der Lehre der Aquivalentbilder vor Augen haben. Genau
betrachtet, zeigt sich doch die Sache etwas anders. Nehmen wir an, wir haben
ein Riickenmark vor uns, bei welchem bloB der linke PyS zugrunde gegangen und
durch eine glidse Narbe ersetzt sei. Es zeigt sich, daB nicht bloB in der ganzen
1 in ken, sondem auch in der rechten Riickenmarkshalfte betrachthche Abweichun¬
gen von der Gestalt der Areae und Zonen vorhanden sind, die wir kennen gelemt
haben. Legt man nun von diesem veranderten Riickenmark die Halfte eines Seg-
mentes in der gewohnlichen Weise, die iibrige Halfte dagegen erst nach longitu-
dinaler Halbierung ein, so bemerkt man, daB die aus den beiden Blockchen herge-
stellten Praparate keine gleichen Bilder der rechten Riickenmarkshalfte wahr-
nehmen lassen. Die Praparate der rechten Riickenmarkshalfte, die aus dem vor
der Fixierung halbierten Riickenmarksstiickchen gewonnen sind, zeigen zwar keine
Abweichungen von denen, die aus einer normalen Riickenmarkshalfte unter den-
selben Bedingungen zu gewinnen sind: auf ihnen zeigen die Areae und Zonen eine
Gestalt, die selbstverstandlich von derjenigen verschieden ist, welche man bei einem
vor der Fixierung nicht halbierten normalen Riickenmark wahmimmt; zugleich
ist aber diese Gestalt von derjenigen prinzipiell verschieden, die die rechte ,,ge-
sunde“ Halfte unseres vor der Fixierung nicht halbierten pathologisch veranderten
Riickenmarks aufweist. Am wahrscheinlichsten laBt sich diese Tatsache dadurch
erklaren, daB das Vorhandensein einer einseitjgen Lasion des Riickenmarks viel-
leicht schon mechanisch, vielleicht chemisch-physikalisch die Fixierungsbedingungen
des ganzen Riickenmarks betrachtlich abzuandern vermag. Dadurch kommen in
der ,,gesunden“ Halfte des Riickenmarks eigenartige Bilder zustande, wie z. B.
Verschiebungen der auf Fasernpraparaten normalerweise wahmehmbaren „gelich-
teten" Gebiete usw. DaB diese und ahnliche Bilder, die hier allerdings bloB eine
fliichtige Erwahnung finden konnen, sehr storend bei der Betrachtung der Praparate
einwirken, wird jeder zugeben.
So hat sich also ein Haufen von Problemen ergeben, die unmoglich alle erortert,
kaum einmal angedeutet werden konnen. Jedes Praparat eines pathologisch ver¬
anderten Riickenmarks ist ein Ratsel fiir sich und wer viel pathologisches Material
durchsichtet, der weiB wohl, welche ungeheuere Schwierigkeit der richtigen Inter-
pretierung der einzelnen, ja selbst der scheinbar einfachsten Befunde sich entgegen-
stellt. In diesen Zeilen wollte ich nur einige der Wege andeuten, dank welcher die
Kenntnis einer rationellen Tektonik der weiBen Riickenmarkssubstanz zum Ver-
standnis der letzteren im normalen und kranken Zustande moglicherweise allmah-
lich weiter fiihren kann.
Dezember 1911.
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202 GAETANO PERUSINI. ^u^NeuroSSri 1 ^* 6
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BD ‘ 19 19?| FT 4/5 „TEKTONIK‘‘ der weissen rockenmarkssubstanz. 203
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Tafelerklarung.
(Dutch ein Versehen in der Druckerei haben die Tafeln die Nummern I—IV, statt Nununer
IV—VH erhalten.)
Tafel IV.
Stellt bei ganz schwacher und bei etwas starkerer VergroBerung das Aussehen
der verschiedenen Areae und Zonen des normalen Hunderuckenmarks dar.
Die Ubersichtsbilder sind mit Leitz' Mikrosummar, Brennweite 42 mm, die ubrigen mit
Objektiv 3 bzw. 7 ohne Okular aufgenommen.
Fig. 1. Normaler erwachsener Hund. V. Zervicalsegment. Das Ruckenmarksstuckchen ist
mit der Pia, jedoch ohne Dura in Zenkerscher Flussigkeit fixiert worden. Paraffinein-
bettung. Far bung mit dem Malloryschen Gemisch (Orange G. + Anilinblau). Ein
dunkel gefarbter subpialer Raum (PZ) nimmt die ganze Ruckenmarkskontur ein. Da-
von rnachen jedoch die innersten drei Funftel der langs des Septum medianum anterius
gelcgenen weiBen Substanz eine Ausnahme (vgl. Fig. 16). Die Farbung der verschie¬
denen Teile des subpialen Raumes ist verschieden dunkel: helle und dunkle Partien
wechseln ab (vgl. Fig. 13). BloB in der ventralen Halfte des VSS sind die drei von Vasoin
beschriebenen konzentrischen Zonen zu erkennen (vgl. schematische Textfig. 6): in der
dorsalen Halfte des VSS macht sich dagegen ein dunkel gefarbter Fleck (A) bemerkbar
(Area A des SS): zwischen letzterem und der PZ liegt eine dunkel gefarbte Linie (G, welche
in Fig. 18 am deutlichsten wahrzunehmen ist). Der TeD des Hinterstrangegebietes,
welcher innerhalb der PZ liegt, laBt sich in drei voneinander verschieden strukturierte
Partien (1, 2, 3) unterbringen, namlich die Areae 1, 2, 3 der HS. Die Area 1 nimmt
fast die ganze zwischen dem Sulcus mcdianus posterior und dem Sulcus paramedianus
gelegene Partie je einer Halfte des HS ein: die Area 3 entspricht der ventro-lateralen
Kontur der HS, die Area 2 nimmt den Teil des HS ein, welcher zwischen der Area 1 und 3
vorliegt. Variationen der Lage der Area A des SS und der Areae 1, 2, 3 der HS in den
verschiedenen Ruckenmarkssegmenten stellen Fig. 13 und 14 dar. Strukturelle Details
derselben sind in Figg. 39—42 auf Taf. Ill zu sehen.
Fig. 2. Material usw. wie bei Fig. 1. Stellt bei starkerer VergroBerung die PZ des dorsalen Anteils
des SS, die Area A des SS und die zwischen den beiden wahmehmbare dunkle Linie (G)
dar. Die PZ paBt sich der ventralen Kontur des Hinterhomes an. Sie besteht aus zwei
verschieden gefarbten Half ten, einer auBeren, die hell ist, und einer inneren, die dunkler
erscheint (vgl. Fig. 3).
Fig. 3. Material usw. wie bei Figg. 1 und 2. Da die PZ in diesem Praparat gleichmaBig gefarbt
ist, erscheint deutlicher als in Fig. 2 die Anpassung derselben an die ventrale Kontur des
Hinterhornes bzw. ihre Einsenkung in die Tiefe, welche den dorsalen Abschnitt der PZ
des SS charakterisieren.
Fig. 4. Material usw. wie bei Figg. 1, 2 und 3. Das Ruckenmarkssegment ist jedoch in Zenker¬
scher Flussigkeit ohne Eisessigzusatz fixiert worden. Die PZ ist offenbar schmaler als
in Fig. 3. n
Fig. 5. Material usw. wie bei Fig. 2. Stellt bei starkerer VergroBerung das Aussehen der PZ
bzw. der anliegenden Teile der weiBen Substanz dar. Der Unterschied zwischen der kom-
pakten Struktur der PZ und der „alveolaren“ Struktur der anliegenden inneren Teile
ist deutlich.
Fig. 6. Erwachsener normaler Hund. VII. Zervicalsegment. Fixierung des herausgeschnittenen
etwa 1 cm langen Ruckenmarksstuckchens mit dcr Pia, jedoch ganz von der Dura befreit,
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204
GAETANO PERUSINI.
Journal t Ptjcbologie
and Nenrolofie.
in 96proz. Alkohol. Geschnitten wurde das Material nach 24 Stunden: keine Einbettung.
Farbung mit Heidenhai nschem Eisenhamatoxylin. Die Area A des SS, die PZ, die
verschiedenen Areae des HS-Gebietes, bosonders die Area 3, sind deutlich zu erkennen.
Auch die tief tingierte Linie zwischen Area A des SS und PZ tritt deutlich hervor (G).
Fig. 7. Dasselbe Praparat wie bei Fig. 6. Stellt bei starkerer VergrbGerung das Gebiet der
Hinterstrange dar.
Fig. 8. Normaler erwachsener Hund. Das Riickenmark wurde in toto, d. h. ohne es in Scheiben
zu zcrlegen, mit vollstandig intakter Dura in 96proz. Alkohol fixiert. Ober die beson-
deren Modalitaten der angewandten Fixierung siehe Naheres im Text. Sonst ganz iden-
tisches Material und ganz gleiche Behandlung desselben wie bei Figg. 6 und 7 angegeben.
In Fig. 8 ist die PZ deutlich breiter als in Fig. 7: vcrschwommener grenzt sich dagegen
die Area 3 vom restiercndcn HS ab.
Fig. 9. Normaler erwachsener Hund. IV. Zervicalsegment. Markscheidenbild. Fixierung des
herausgeschnittenen Segmentes mit der Pia, jedoch ohne Dura, in der Weigertschen
Gliabeize. Gefrierschnitte. Chromsaurebeizung. Farbung nach Kulschitzki-Wolters.
Randpartien (PZ) relativ hell, Area A des SS dunkel.
Fig. 10. Dasselbe Praparat wie bei voriger Figur. Zcigt die Struktur der PZ auf Markscheiden¬
bild bei starkerer VergroOerung.
Fig. 11. Dasselbe Praparat wie bei voriger Figur. Zeigt die Struktur der Area A des SS bei
starkerer VergroOerung. Die PZ (Fig. 10) ist richtig differenziert, die Area A des SS da¬
gegen ganz ungenugend.
Fig. 12. Material usw. wie bei voriger Figur. Stellt das Aussehen der Area A des SS bei einem
lange Zeit hindurch differenzierten Praparate dar. Normale ,,Lichtung".
Fig. 13. Normaler erwachsener Hund. I. Lumbalsegment. Das herausgeschnittene Segment
wurde mit der Pia, jedoch ohne Dura in Zenkerscher Flussigkeit fixiert. Paraffineki-
bettung. Farbung mit dem Malloryschen Gemisch (Anilinblau + Orange G.). Man
bemerke den Unterschied, der beziiglich Gestalt und Lage der Area 3 der HS und der
Area A des SS zwischen Fig. 1 und Fig. 13 vorliegt. AuGerdem bemerke man den dunklen
Fleck, der die Ventralkuppe einnimmt. Die PZ ist im Gebiete der vorderen Wurzel
undeutlich: sie weist auch Differenzen in den beiden Ruckenmarlcshalften auf, welche
eben ein Beispiel der im Text naher erorterten farberischen Eigentumlichkeiten der PZ
darstellen.
Fig. 14. Normaler erwachsener Hund. Ubersichtsbild. IV. Zervicalsegment. Fixierung in
der Weigertschen Gliabeize; das herausgeschnittene Segment ist mit der Pia, jedoch
ohne Dura in der Fixierungsflussigkeit 8 Tage lang bei Zimmertemperatur geblieben.
Gefrierschnitte. Alzhei mersche Gliafarbung (mit Malloryschem Hamatoxylin).
Die Area A des SS (A), die scharfe Linie zwischen PZ und Area A des SS (G), so wie
die durch das Septum paramedianum posterius (3) lateralwarts abgegrenzte Area 3
der HS sind deutlich zu erkennen. Die eigenartige Struktur der PZ tritt bei schwacher
VergroOerung kaum hervor: man sieht jedoch, daG etwa die innersten drei Funftel der
langs des Septum medianum anterius gelegenen weiGen Substanz keine PZ aufweisen.
(Vgl. hierzu Fig. 16.)
Fig. 15. Material usw. wie bei voriger Figur. Stellt bei starkerer VergroGerung die Struktur
der dunklen Linie dar, die zwischen der Area A des SS und der PZ vorhanden ist (vgl.
Fig. 14,G). Die Struktur der Area A, der PZ und der Areae 1, 2, 3 der HS auf Alzhei mer-
schem Bilde geben Figg. 39, 40, 45, 46 auf Taf. Ill wieder.
Fig. 16. Material usw. wie bei Figg. 14 und 15. Stellt das Gebiet der vorderen Commissur bei
starkerer VergroGerung dar. Die PZ erstreckt sich von der Pia bloG etwa bis zum X
hinab; von der vorderen Commissur bis etwa zum X hinauf ist keine PZ wahrzunehmen.
Fig. 17. Material usw. wie bei Figg. 14, 15 und 16. Stellt bei starkerer VergroGerung das Aus¬
sehen der PZ im Anfang des ventralen und des dorsalen Abschnittes der Peripherie des
SS dar, d. h. in der Partie der Ruckenmarksperipherie, wo sie die regelmaGigste Gestalt
darbietet. Der Unterschied zwischen Struktur der PZ und der anliegenden weiGen Sub¬
stanz ist deutlich zu erkennen.
Fig. 18. Material usw. wie bei voriger Figur. Dieselbe Riickenmarkspartie wie bei Fig. 2, je-
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BD ‘ 19 19? BFT 4/5 m tektoni®« der weissen ruckenmarkssubstanz. 205
doch auf Alzhei me r sc hem Gliabilde. Die PZ, die Linie zwiSchen PZ und Area A des SS,
die besondere Struktur der Area A sind deutlich zu erkennen.
Fig. 19. Material usw. wie bei vqjriger Figur. Sakralmark. Die PZ auBerst undeutlich; keine
Andeutung der drei konzentrischen Zonen Vasoins: im SS und im HS keine Andeutung
der Areae. Die um die graue Substanz herum liegende weiSe Subs tan z und besonders
das Gebiet der vorderen Commissur bieten ein besonderes Geprage, welches sie von den
peripheren Teilen wohl unterscheiden laBt.
Tafel V.
Stellt bei starker VergroBerung einige Strukturdetails dar, die in den verschie-
denen Areae und Zonen des normalen Ruckenmarks vorkommen.
Alle Abbildungen sind mit Leitz’ Mikroskop, Olimmersion */tst nut Abbeschem Zeichen-
apparat gezeichnet.
Fig. 20. (Komp. Okul. 6.) Zervicalmark des Kaninchens. Gliabeizegefrierschnitt. Fixierung
wie bei Fig. 6, Taf. I angegeben. Aus den tieferen Teilen der weiBen Substanz des SS,
der dritten Zone Vasoins entsprechend. Alzheimersche Gliafarbung mit Mallory-
schem Hamatoxylin. GroBe und kleine, ganz hell und ganz tie! gefarbte Achsenzylinder
wechseln ab. Markscheiden der groBen Achsenzylinder farblos: dadurch sieht das Bild
so aus, als ob etwa ZerreiBungen des Gewebes vorhanden waren. Ganz groBe protoplasma-
reiche Gliazellen. Die quer-, langs- und schief- vom Mikrotommesser geschnittenen
feinen Strukturen liegen etwa wie Staub auf dem Praparat. Die Entscheidung, ob diese
feinen Strukturen zu den gliosen oder zu den nervdsen Bestandteilen gehdren, fallt be¬
sonders schwer.
Fig. 21. Komp. Okul. 6. — Zervicalmark des Kaninchens. Das Bild stellt das normale
Aussehen der weiBen Ruckenmarkssubstanz dar, welches bei sehr dunn geschnittenen
und in der Fixierungsflussigkeit eingelegten Ruckenmarksscheiben wahrzunehmen ist.
Aus der PZ des Seitenstranges. Farbung wie oben. Das Praparat ist aus einer
2 mm dunnen Ruckenmarksscheibe hergestellt worden. Von einer kompakten PZ
ist im vorliegenden Bilde nichts zu sehen; vielmehr wechseln einzelne ganz dicke und
mehrere inselformig angeordnete kleine Achsenzylinder ab. Die Mehrzahl der quer-
geschnittenen Achsenzylinder zeigen keine rundliche, sondern cine nahezu sternformige
Gestalt. AuBerdem enthalten viele Achsenzylinder, namentlich die groBeren, eine Lucke,
so daB sie ,,geplatzt“ erscheinen.
Figg. 22 und 23. Das Bild zeigt, daB die normalerweise vorkommende subpiale PZ und die
durch Herausschneidung (vor der Fixierung) eines peripheren Saumes „kunstlich“ hervor-
gerufene PZ strukturell gleich sind. Ochsenruckenmark. Fixierung des herausgeschnit-
tenen Riickenmarkssegmentes mit der Pia, jedoch ohne Dura in 96 proz. Alkohol. Dor¬
sal er Abschnitt des SS. Bei Fig. 23 ist der periphere Saum von weiBer Substanz vor der
Fixierung abgeschnitten worden. Zelloidineinbettung. Farbung mit dem Malloryschen
Gemisch <Anilinblau + Orange G). Komp. Okul. 6 (vgl. Fig. 30).
Figg. 24, 25, 26, 27. Steilen die Beziehungen zwischen Gliazellen und markhaltigen Nerven-
fasern in der PZ dar. Querschnitt des normalen Hunderuckenmarks. Gliabeizegefrier-
schnitte. Fixierung des Materials nach den bei Fig. 20 angegebenen Modalitaten. Glia¬
farbung nach Alzheimer mit Malloryschem Hamatoxylin. Komp. Okul. 12. GroBe,
protoplasmareiche und scheinbar fortsatzlose Gliazellen. Das Zytoplasma einiger von diesen
Elementen kann mitunter an bestimmte For men der amdboiden Gliazellen erinnern;
sie unterscheiden sich jcdenfalls von letzteren schon dadurch, daB der Kern groB ist und
daB im Zytoplasma keine Abbaustoffe nachzuweisen sind.
Fig. 29. Siehe Figg, 36—38.
Fig. 30. Vgl. Fig. 22. Stellt die tiefen Teile der weiBen Substanz dar; aus demselben Praparat,
aus welchem Fig. 22 gezeichnet wurde. Gitterahnliches Aussehen der Markscheidenreste;
echte ZerreiBungen des Gewebes scheinen vorzuliegen.
Fig. 31. Aus demselben Praparat der vorigen Figur. Gitterahnliches Gerust, welches wie ein
Korb den Achsenzylinder umfaBt. Tiefe Teile der weiBen Substanz.
Journal fQr Psychologic und Neurologic. Bd. 19. 14
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GAETANO PERtJSINI.
Journal t Psjchotofie
und Neurologic-
206
Figg. 32 tmd 33. „Normales 4 ' menschliches Ruckenmark. Fbdernng 8 Tag® lang in 10 pro*.
Formolldsung; Obertragung in die Weigertsche Markscheidenbeize usw.: Farbung
nach Kulschitzky - Wolters. I. Dorsalsegment Fig. 32 stellt einen Teil der PZ aus
dem dorsalen Abschnitte des SS, Fig. 33 einen Teil der Area A des SS dar. AuBerst blasse
Farbung der Markscheiden in der PZ; ob die ziemlich tief gefarbten kleinen Hinge Achsen-
zylindem entsprechen, ist nicht stets mit Sicherheit zu entscheiden. In der Area A ist
die Farbung viel intensiver als in der PZ; glidse Bestandteile nnd Achsenzylinder sind
jedoch mitgefarbt; ein elektives Markscheidenbild liegt also nicht vor. Komp. Okul. 6.
Fig. 34. Komp. Okul 6. Stellt bei starker VergroBerung einen Teil der tiefen weiBen Substanz
dar. Normaler erwachsener Hund. Zervicalmark. Aus dem VS, an der Grenze des Vorder-
hornes, der dritten Zone Vas01ns entsprechend. Gliabeizegefrierschnitt Fixierung des
Materials nach den bei Fig. 20 angegebenen Modalitaten. Alzhei mersche Gliafarbung
mit Malloryschem Hamatoxylin. Man vergleiche das Bild mit Fig. 40 anf Taf. IV,
welche die Struktur der Area A wiedergibt.
Figg. 35 * 36, 37, 38 und 39. Komp. Okul. 12. Gliabeizegefrierschnitte. .Fixierung des Materials
nach den bei Fig. 20 angegebenen Modalitaten. Zervicalmark des normalen erwachsenen
Hundes. Langsschnitte. Stellt ganz kleine (Fig. 35) und mittelgroBe Gliazellen aus der
tiefen weiBen Substanz dar. Die Zellen zeigen alle eine wabig-netzige Zytoplasma-
struktur. Irgend ein Inhalt der Zytoplasmamaschen war nicht dars tell bar. Alle Zellen
sind fortsatzlos.
Tafel VI.
Stellt Obersichtsbilder des normalen Ruckenmarks beim Menschen, Kaninchen
und Ochsen dar. Zeigt auBerdem einige Strukturdetails aus den einzelnen Areae
bzw. Zonen beim Hunde und beim Ochsen.
Die Obersichtsbilder sind mit Leitz’ Mikrosummar, Brennweite 42 mm; Figg. 39, 40, 41
mit Leitz’ Objektiv 7, Komp. Okul. 4; Figg. 42, 46 mit demselben Objektiv, jedoch ohne
Okular; Fig. 45 mit Objektiv 3, Okular 1 aufgenommen. Figg. 43 und 44 sind mit Oelimroersion
1 12 und Projektionsokular 2 aufgenommen. Bei der Reproduktion wurden die einzelnen
Bilder etwa auf 1 / 1 reduziert. Was die Modalitaten betrifft, nach welchen das Material ein-
gelegt wurde, so handelt es sich stets um einzelne, aus dem frischen Ruckenmarke heraus-
geschnittene Segmente, die mit der Pia, jedoch ohne Dura, in die einzelnen spater unten ange¬
gebenen Fixierungsflussigkeiten kamen.
Figg. 39 und 40. Gliabeizegefrierschnitte. Normal es Ruckenmark eines erwachsenen Hundes.
Gliafarbung nach Alzheimer mit Malloryschem Hamatoxylin. Fig. 39 stellt einen
Teil der PZ aus dem ventralen Abschnitt des SS, Fig. 40 dagegen einen Teil der Area A
des SS dar. Der Unterschied, der bezuglich Gliaanordnung und Achsenzylihderbildem
zwischen den beiden Ruckenmarksgebieten besteht, ist deutlich erkennbar.
Fig. 41. Normaler erwachsener Hund. II. Lumbalsegment Gliabeizegefrierschnitt. Alz¬
hei mersche Gliafarbung mit Malloryschem Hamatoxylin. Stellt die PZ, der Austritts-
stelle der vorderen Wurzel entsprecbend, dar. Man vergleiche Fig. 39; man sieht, dafl
inr Gebiete der vorderen Wurzel die PZ manche Abweichungen von ihrer sonstigen ty-
pischen Gestalt rdarbietet.
Fig. 42. Normaler erwachsener Hund. III. Zervicalsegment. Gliabeizegefrierschnitt. Alz¬
hei mersche Gliafarbung mit Malloryschem Hamatoxylin. Stellt besonders den Unter¬
schied dar, welcher zwischen Struktur der PZ des SS und Struktur der PZ der HS be¬
steht. Die Area A des SS ist im Praparate nicht einbegriffen.
Fig. 43. Dorsalmark des normalen Ochsen. Aus der PZ des SS. Man sieht vier groBe, alle etwa
gleich starke Nervenfasern, die von 4 Gliazellen umfaBt sind. Fixierung nnd Farbung
wie bei voriger Figur. Man vergleiche das Bild mit Fig. 44, die einen Teil der tiefen weiBen
Substanz aus demselben Praparat darstellt.
Fig. 44. Wie bei voriger Figur. Stellt den Unterschied zwischen Struktur der PZ und Struktur
der tiefen Teile der weiBen Substanz im Ochsenrfrckenmark dar. In Fig. 44 wechseln
groBe und kleine Nervenfasern ab; echte ZerreiBungen des Gewebes kommen auch hdchst-
wahrscheinlich vor.
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BD ‘ 4fb -,TEKTONIK“ der weissen rockenmarkssubstanz. 207
Fig. 45. Normalererwachsener Hund. IV. Zervicalsegment. Gliabeizegefrierschnitt. Alzheimer-
sche Farbung mit Mallor yschem Hamatoxylin. Obersichtsbild der Hinterstrange. Der
Unterschied zwischen den einzelnen Areae (1,2 und 3) der Hinterstrangetritt deutlich her-
vor. Man bemerke den kleinen hellen Tell des Gewebes, der um das Septum medianum
posterius liegt und sich von den lateralwarts gelegenen Teilen der Area 3 unterscheiden
laflt. Die Area 3 ist lateralwarts durch das Septum paramedianum, bzw. durch den Ver-
lauf der in ihm enthaltenen GefaBe gegen die Area 2 zu scharf abgegrenzt.
Fig. 46. Dasselbe Bild wie vorige Figur bei starkerer VergrdBerung. Rechts: mi til ere Partie
der HS. Links: laterale Partie der HS (Area 2).
Fig. 47. Normales Kaninchen. Dorsal mar k. Fixierung in ioproz. Formolldsung. Obertragung
in eine 1 proz. Osmiumsaurelosung, welche das Ruckenmark unvollstandig durchtrankt
hat. Die hellen Partien stellen die Teile des Rfickenmarks dar, die von der Osmium-
s&ureldsung nicht erreicht wurden. Die dunklen Partien stellen keine Osmiumschwarzung
dar; sie zeigen bloB den braunen Farbeton, den die Osmiumsaure dem Formolmaterial
dfters verleiht.
Fig. 48. Wie bei voriger Figur. Zervicalmark. Man merke die besondere Disposition dor hellen
Flecke, welche die von Osmiumsaure nicht durchtrankten Ruckenmarkspartien dar-
stellen. Die Unterschiede, die in bezug auf diese Flecke zwischen Figg. 47 und 48 vor-
kornmen, durfen hdchstwahrscheinlich zu den Formunterschieden des betreffenden Rucken-
markssegmentes in Beziehung gebracht werden.
Fig. 49. Dorsalmark des normalen Ochsen. Fixierung 8 Tage lang in 96 proz. Alkohol. Celloidin-
einbettung. Farbung mit dem Mannschen Gemisch (Eosin + Methylblau). Die weiBe
Substanz des Ruckenmarks laflt sich in drei konzentrische Zonen unterbringen, davon
macht jedoch besonders die ventrale Partie des VS eine Ausnahme. In den HS ist die
Area 3 besonders deutlich; auch eine Andeutung der Area A ist im SS zu sehen. Die PZ
ist etwas breiter als in uneingebettetem Alkohol-Material, was zum grdBten Teil zu der
im Text angedeuteten eigentumlichen Farbbarkeit des eingebetteten Materials in Be¬
ziehung steht.
Fig. 50. Normal es menschliches Ruckenmark. VI. Zervicalsegment. Gliabeizegefrierschnitt. Alz¬
heimer sche Farbung mit Mallor yschem Hamatoxylin. Ubersichtsbild. Besonders
deutlich treten die Gollschen Strange durch ihre tiefe Farbung hervor: sehr deutlich ist
auch die um das Vorderhorn herum wahrnehmbare dritte Zone Vasoins. PZ etwas un-
regelmaflig, in den HS und im dorsalen Abschnitt des SS jedoch besonders deutlich. Die
tiefe Farbung der inneren Teile ist im SS, dem PyS-Gebiet entsprechend, akzentuiert.
Figg. 51 und 52. Normales menschliches Ruckenmark. Bei Fig. 51 Mullersche Fixierung;
bei Fig. 52 Fixierung 8 Tage lang in ioproz. Formolldsung, sodann Cbertragung in die
Weigertsche Markscheidenbeize usw. Farbung nach Kulschitzky - Wolters. Die
helle Farbung der Randpartien (PZ) und der Gollschen Strange, die dunkle Farbung
der um das Vorderhorn herum gelegenen dritten Zone Vasoins usw. (letztere ist wohl
auf eine i. o. S. „unrichtige“ Differenzierung der tiefen Markteile zuruckzufuhren) treten
viel ausgepragter nach Formolfixierung (Fig. 52), als beim Mullerschen Material (Fig. 51)
hervor.
Tafel VII.
Stellt besonders die Beziehnngen zwischen markhaltigen Fasern und Gliastruk-
turen im Ruckenmark des normalen erwachsenen Hundes dar.
Alle Abbildungen stellen Gliabeizegefrierschnitte dar, die — mit Ausnahme von Fig. 60
bis und 69 — mit der Alzheimerschen Gliafarbung behandelt wurden. Alle Abbildungen sind
mit Mikroskop Leitz am Abbeschen Zeichentisch gezeichnet. Fur alle Abbildungen, Olimmer-
sion 1/12; bei Figg. 10, 15, 18, 20 und 21 komp. Okul. 12; bei alien ubrigen komp. Okul. 6.
Blit Ausnahme von Fig. 60 bis und 69, sind alle Figuren dem Ruckenmark des normalen
erwachsenen Hundes entnommen.
Fig. 53. Sakralmark. Querschnitt. Sehr lange Gliazellen, die aus der Peripherie nach den inneren
Teilen der weifien Substanz zu sich erstreckt. Man merke die Biegungen und Schlingen,
die der Zellfortsatz bildet.
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208 GAETANO PERUSINI.
Figg. 54, 55, 56, 57, 58, 59, 60. Stellen Gliaelemente, zugleich ihre Reziehungen zu den Mark'
fasern dar. Ruckenmarksquerschnitt. Fig. 56 stellt einen Tdl der PZ dar: die ubrigen
Figuren sind den ticfen Teilen der weiBen Substanz entnommen.
Fig. 60 bis. Aus den ticfen Teilen des Rucken marks eines Paralytikers. Gliabeizegefrierschnitt
Fibrillenimpragnierung nach Bielschowsk y. Farblose Markscheiden, die von einem
tief linpragnierten Astrocyten umarmt sind. Die kleinen schwarzen Punktchen, die
11m die Fasern liegen, entsprechen zum Teil quergeschnittenen Gliafasern bzw. proto-
plasrnatischen Gliafortsatzen. Die spongidse rundliche Masse, die in der linken Sdte
der Figur wiedergegeben ist, ist aus einer hier nicht naher zu prazisierenden Abbau-
substanz zusammengesetzt.
Fig. 61. Normaler erwachsener Hund. PZ. Aufgerollter, groBer, geschwollener (?) Achsen-
zylinder; die Markscheide ist farblos. An der Grenze der Markscheide nach oben zu eine
Spirallinie, die wahrscheinlich einem Gliafortsatz entspricht. Langsschnitt.
Figg. 62, 63, 64. Aus den tiefen Teilen der weiBen Ruckenmarkssubstanz des Hundes. Mark*
scheidcn farblos. I’m die Markscheide herum spiralartig angcordnete Gliastrukturen.
Man bemerke den groBen in Fig. 63 gezcichneten Astrocyten. Die dunklen Punktchen,
die an der Grenze der Markscheide vorkommen, stellen Knotenpunkte der einzelnen
Gliafibrillen dar.
Fig. 65. Aufgerollter Achseiizylindcr aus der ersten Zone. Langsschnitt.
Figg. 66 , 67 mid 6S. Nomialerweise in den tiefen Riickenmarkstcilen vorkommendc Achscn-
zylinderbilder. (Spiral- und kreisformige Bildungen; vakuolenahnliches Aussehen.)
Fig. <>9. Fixierung ini arnnioniakalischen Alkohol. Cajalschc Neurofibrillenfarbung. Hirn-
rinde des Hundes. Aus der Nahe einer Stelle, in der eine Einspritzung von frcmdartigem
Serum vorgenoninien wurde. Das Bild ist denjcnigen gleich, die Cerletti auf Alzheinicr-
sclien Gliapraparaten als anscheinend freie terminale Ausbreitungen der Gliazellen-
fortsatze beschriebcn hat.
Fig. 70. Aus den tiefen Teilen der weiBen Riickenmarkssubstanz. Stellt die groBen Kaliberdiffe-
renzen dar, die zwischen den einzelnen Achsenzylindern eines und desselben Gebietcs
vorkommen. Betrachtet man dieses Bild bei starkerer VergroBerung, so stellen sich
zwischen Gliaelementen und Achsenzylindern die Beziehungen heraus, die in den Figg. 62
bis 65 wiedergegeben sind.
Figg. 71 und 72. GroBe Gliazellen aus den tiefen Teilen der weiBen Substanz. Langsschnitte.
Das Zytoplasma der Gliazellen wcist eine wabig-netzige Struktur auf: irgend ein Inhalt
der Kammern laBt sich ,,elektiv“ nicht tingieren.
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209
BD ' 19 -.J„ EFT ilb CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
On the changes of the nervous system in
pernicious malaria and the neurological sequelae resulting
from malarial toxemia.
By
Dr. Gonzalo R. Lafora (Madrid).
Histopathologist, Government Hospital for the Insane, Washington, D. C.
Pernicious malaria is one of the diseases which produces most variable neu¬
rological and psychical syndromes. The penetration of the parasite into the capil¬
laries of the nervous system, with the probable production of toxines 1 ), gives rise
to central or peripheral symptomatic complexes of the nervous system. For complete
studies on malaria in general and its action on the nervous system, the monographs
of Laveran, of Schupfer, of Bethge and the numerous articles by Marchiafava, Bignami
and Bastianelli may be consulted. Considerable literature is available regarding the
clinical observations in malarial affections of the nervous system. It is to be noted
that the publications of the Italians are most numerous and this is probably due
to the great number of malarial cases in Italy. Cases with symptoms of multiple
sclerosis have been published by CaneUis, Botnet and Salabert, Torti and Angelini,
Bignami and Bastianelli, Triantaphyllides, and SpiUer; of a cerebellar nature by
Forli and Ficcaci; of bulbar paralysis by Marchiafava, Bignami and Bastianelli,
and Orlandi; of paraplegias by Romberg, Hurd, Suckling, and others; of hemiplegias
by Pascal; of diverse paralyses by Gigney, Stockwell, Csillag, Laveran, Mannaberg
and others; of chorea by Boinet, Bastianelli and Bignami; of amaurosis by Chiarini,
Poncet, van Storch and others; of polyneuritis by Dopter, Ewald, Boinet, Abatucci,
Catrin, Sacchi, Metin, Regnault, etc.
Malaria also produces certain mental syndromes. Kraepelin in 1881 was
one of the first to group them into three principal forms, namely, the delirant per¬
nicious fever, the typical psychoses and the psychosis of malarial cachexia. Quite
recently, Pasmanik, Bethge and Bonhoeffer have made accurate studies of these
mental types.
The pathological studies are not as numerous as the clinical. Here may be
mentioned the publications of Marinesco, Laveran, Marchiafava, Bignami , Ewing,
Guarnieri, Benvenuti and the recent work of Cerletti in which is given the most
detailed description.
The production of toxines has been much discussed and disputed, but recently belief
has become general that metabolic disturbances in the liver are caused by the malaria parasite
which give rise to toxic substances of an unknown composition. In the nervous system these
substances produce different changes in a way similar to the toxines in pernicious aneiniae
(oleic acid?).
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210
DR. GONZALO R. LAFORA.
Journal £ Psychology
and Neurologie.
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The present contribution is a clinico-pathological study of pernicious malaria
with invasion of the cerebral vessels by the parasite, and a clinical account of one
case of malarial polyneuritis.
The pathogeny of malarial syndromes of the nervous system has been ex¬
plained in various ways. They are believed by some to depend upon malarial
cachexia (Grubler) ; by others to be due to congestion of the nerve centers (Ourandou,
Grasset, etc.), by others to be the result of an alteration in the blood ( Rindfleisch ),
by others to be caused by rupture of small capillary aneurisms filled with pigment
( Kelsch) or from focal anemias produced by parasitic thrombi. Some assume the
existing factor to be a toxic substance in the blood ( Thayer , Schupfer ) and still
others claim that the causes of the nervous symptoms are the edema and puncti-
form hemorrhages or foci of softening in the nervous tissue due to parasitic thrombi
( Marchiafava , Laver an, Cellt, Spiller, etc.). The polyneuritic syndrome undoubtedly
depends upon a circulating toxin which affects the peripheral nerves'and also upon
the thickening of the spinal meninges which results in a compression of the nerve
roots. Laver an believes that some of the cases described as polyneuritis are cases
of true myletis.
It is generally believed that toxins are the etiological factor in the production
of the various nervous symptoms in malaria, for similar symptomatic complexes
are produced in other toxic conditions, e. g. influenza, poisonings with carbon
monoxide, and botulism, but certain focal symptoms, hemiplegias or other para¬
lyses, undoubtedly depend upon multiple punctiform hemorrhages in the nervous
centers and the subsequent fibre degenerations.
An interesting pathological feature is that most of the neurological and mental
forms do not show the parasite in the blood of the peripheral circulation, although
the vessels of the brain when examined microscopically are found greatly dilated
and filled with large numbers of parasites. The pia mater also contains many para¬
sites which produce a faint brownish color of the meninges. Laveran and Poncet
state that in many cases the optic papillae are swollen and present a gray color
due to the abundance of parasites, a symptom which can be detected during life
by the ophthalmoscope. In this connection Gaurnieri, Hammond , Galezowski, Poncet ,
and Schulzer found marked changes produced in the retina by malarial infection.
In my cases I was not able to detect the violet color of the cortex of which Laveran
speaks.
Following are accounts of the cases:
I. Case 3487 1 ) C. C. Admitted to the hospital in 1875 at the age of 35 years.
Patient was demented at that time. In September 1902 the patient had malaria;
the estivo-autumnal parasite was found in the blood. Under treatment he soon
recovered. The mental condition remained characterized by indifference, a tendency
to isolation, a great desire to read. The patient was always tidy and harmless.
In May 1911 (patient was then 71 years old) he had chills, a diagnosis of malaria
was made and treatment with quinine sulphate was begun. Recovered promptly.
On October 7th. 1911, had another chill and was treated for malaria. October 8,
the temperature was normal again. He recovered after three days and resumed
his usual duties. On November 9, the patient complained of feeling indisposed,
l ) Resume of history taken by Dr. Schwinn.
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BD * ilb CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
211
his feet and ankles were swollen. The next day the temperature was normal; but
he had lost his usual good appetite. On the nth. the patient became unconscious.
The next day the temperature reached 40 °,2 C in the morning, fell to 39°,3 C in
the afternoon and to 36 ° t y C at night. Swallowing was difficult. The patient was
very weak. Respirations 28 to 32 and the pulse 80 to 128. He lay perfectly still
in bed, with eyes closed, mouth opened and breathing deeply. On the 30th. the
temperature rose again in the morning to 39°,6 C. The respirations were 46 and
the pulse 120 per minute. The patient was unconscious. Stertor mortis (death
rattle) occured and brownish bubbles at each expiration were produced in the
mouth. The autopsy findings twenty-four hours after death were as follows: the
skull cap was thick and congested; the dura mater was not adherent; the pio-
arachnoidal fluid was increased; the basal vessels slightly sclerotic, the venous
vessels over the convexity were greatly congested. The brain substance was ex¬
tremely hard and dry, but shiny as if it had been hardened in formalin. The gray
matter and central ganglia were markedly congested and distinct from the white.
No gross lesions were found. Choroid plexus was slightly cystic. No granular
ependymitis and no ventricular dilatation were present. The corpus callosum,
cerebellum, pons and oblongata presented a normal appearance. Other organs:
atheromatous patches in the aorta, hypostatic pneumonia with emphysema anterior¬
ly, slight chronic nephritis and cirrhosis of the liver, spleen much enlarged, capsul
thin, pulp soft and jellylike, grayish red in color (malarial spleen). Malarial invasion
of the vessels of the brain was suspected.
To summarize, in this, case we have an old man, 71 years of age who had in
past years some malarial infection from which he recovered. In October 1911
patient was reinfected but apparently recovered after a few days of specific treatment.
A month later a condition of anorexia, general malaise, edema of the ankles super¬
vened; signs of a cachectic state, probably combined with a slow reaction of the
circulatory apparatus. Two days later the temperature rose to 40 0 C in the morn¬
ing and to 39°,3 C in the afternoon; the patient was unconscious, swallowing became
difficult, and after remaining for two days in a comatose state death occured. No
special mental or neurological symptoms were detected but the relapse of the
disease assumed from the first an hypertoxic character. At the autopsy the spleen
was a typical malarial spleen and the brain appeared extremely hard and hyper-
aemic. This case was a comatose form of pernicious malaria („accte comateux “
of Laveran ).
The second case is as follows:
II. Case 19 183 1 ), a man of 59 years admitted in May, 1911. This patient
had become irritable six months previous to admission. At times violent. In the
hospital, however, he was always quiet and somewhat indifferent to his surrounding,
and little communicative; suspicious that the other patients would steal his clothing.
The physical examination at the time of his admission only showed slight un¬
steadiness of gait, bad co-ordination; reflexes and sensibility were normal. The
radial artery was moderately sclerotic and the temporal arteries were tortuous.
Diagnosis of arteriosclerotic dementia was made.
*) Extracted from clinical history by Dr. Laughran.
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DR. GONZALO R. LAFORA.
Journal t Psychologic
und Neurologic.
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The patient’s physical condition did not, show any change Until Aug. 23,
1911. At that time he was confined to his bed complaining of pain in his chest,
lose of appetite and insomnia and general malaise; this condition remained un¬
changed during the month of September. October 8, the patient complained that
he had headache, insomnia and anorexia; he was very weak, dizzy, unable to
undress himself and with signs of malarial cachexia. No rise of temperature occured.
Patient was put to bed. Oct. 10th., he had a rise of temperature to 39°,2 C in the
afternoon, was thirsty but would not take any nourishment. Quinine was ad¬
ministered. The next day, the temperature was oscillating from 38,1 in the morning
to 38,6 in the afternoon; vomited serverely during the night. The following day,
October 12, vomited a little whiskey which was given to him, was extremely weak and
stuporous, could not swallow well either milk or medicine. The respirations were
between 24 and 36 and the pulse between 100 and 120. He was quite pale. Injection
of strichnine sulphate did not produce any result, and the patient died that night.
Autopsy (23 hours after death); skull cap symmetrical, wallthin; dura mater
normal; pia transparent, pial vessels very congested. The brain showed slight
shrinkage over the frontal lobes, basal vessels arteriosclerotic; brain substance
hard and hyperaemic, the cortex darker in color than normally, due to the hyperae-
mia; ventricles normal. No granular ependymitis. No gross lesions. In the other
organs; atheromatous patches in the aortic arch, thickening of the aortic valve,
slight bronchial pneumonia; enlarged liver; parenchymatous nephritis; enlarged
spleen with thick capsule, and pulp soft and jellylike (malarial spleen). Slight
cystitis of the urinary bladder. Numerous trichinous cysts in all the muscles ex¬
amined, except the heart muscle.
To summarize: a man of advanced age (59 years) with mental symptoms,
acquires a malarial infection in August 1911, which was not diagnosed owing to
the indefinite symptoms of anorexia, pleurodynia, insomnia and general malaise,
consequently was not treated. The condition progressed slowly until two months
later, when the patient became very weak with unsteady gait. The temperature
rose the next day to 38 °,8 C; patient was very thirsty, with anorexia. He vomited
profusely. The next day he developed difficulty in deglutition and extreme weak¬
ness; failed to react to quinine and to stimulants. Death occured. No special
neurological or mental symptoms were observed, with the exception of the un¬
steadiness of gait (probably due to general weakness) and cerebral vomiting. The
condition had proceeded slowly until an acute exacerbation of a pernicious typ
(stuporous form) produced death. At autopsy the brain of this patient appeared
to be hardened and hyperaemic. A typical malarial spleen was found and the
muscles showed a large number of trichinous cysts. It is doubtful that the trich¬
inous cysts influenced the condition of the patient; they were probably of old ex¬
istence. The case seems to be one of malarial cachexia terminating in a pernicious
access of stuporous type.
The brain of both patient showed histopathologically a great number of
malarial parasites of the tertian estivo-autumnal variety filling all the vessels of
the brain; numerous capillary hemorrhages with no parasites, or only a few in the
extravasated blood corpuscles; extensive degeneration of the ganglion cells and
numerous pathological changes in the wall of the vessels and in the neuroglia.
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BD. 19, HEFT 4 5
1912.
CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
213
We see from the study of these two cases that no special neurological or
mental symptoms were present although the brain vessels contained a great number
of parasites. These cases do not belong, therefore, to the nervous complications
of malaria, but more to the group of cases of comatose and stuporous form of per-
nicous malaria. The presence in both cases of such large numbers of parasites in
Fig. i. a Ganglion cell from the mo¬
tor cortex with chromatolysis and a
rod-like cell attached to its apical
process; b An other in chromato-
the vessels of the brain makes one think of the
possibility that all of these extremely serious cases
with coma or stupor indicate an extension and
invasion by the malarial parasite into the vessels
of the brain, and these forms require special atten¬
tion on the part of the practitioner, the neurolo¬
gist, and the psychiatrist. For the psychiatrist
these diseases have a great interest when they
develop special mental symptoms. The study of
the pathological lesions w'hich they produce is of
interest for the advancement of the material
knowledge of certain other delirious and stupo¬
rous conditions of unknown cause, the pathogenic
mechanism of which are still obscure, therefore
for the pathological study of certain functional
psychoses.
A detailed pathological account of the lesions
follows:
Ganglion cells: most of the ganglion cells
were very degenerated showing an intense chro¬
matolysis and swelling (acute degeneration). The
lysis; d An other in reticular dege- Fig. 2. a Rod-like cell from the cortex; b and c Astro-
neration.
cytes in cystic condition (from the cortex).
whole cell appears filled with small granules instead of the Nissl bodies. In
the first case, as a consequence of the advanced age of the patient pronoun¬
ced fatty degeneration of the ganglion cells was present. The nuclei and
nucleoli appeared almost normal. No neurophagia was detected. The neurofibrils
were greatly degenerated (fibrilolysis); only small argentophile granuli remained.
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Journal f. Psychologie
und Neurologie.
I could not find any degeneration in the medullated fibres such as Cerletti has
described 1 ) (Fig. i).
Neuroglia: the neuroglia cells were increased in number, especially in the
vicinity of the vessels. They presented slight regressive changes. In the gray
matter, yet more abundantly in the white, were found numerous large astrocytes
with thick neuroglic insertion feet and a very marked cystic degeneration in the
protoplasm (vesicular degeneration), a frequent finding in acute general processes
of the brain, (paresis, sleeping sickness, etc.). I could not find ameboid neuroglia
cells, undoubtedly due to the very acute course of the pernicious attack in the
cases described here. Stabchenzellen or rod-like cells were found rather abun-
Fig. 3. a Small vessel from the cortex with numerous parasites; b Capillary
vessel of the cortex with parasites.
dantly, some of them attached to the protoplasmic processes of the ganglion cells
(Fig. 2).
Vessels: the capillary vessels were apparently increased in number; they
showed numerous anastomoses and connecting branches. Peri vasal newforma-
tions of capillaries originating vascular packets were also found although they
were not numerous. Adventitial connecting bridges were quite abundant. The
lumina of the vessels were markedly dilated and contained a very large number
of parasites, most of which were inside the red blood corpuscles, but a few were
free (see Fig. 3). The blood elements differed greatly from the normal; large mo¬
nonuclears of the macrophagic variety were extremely abundant in some vessels,
x ) This fact undoubtedly depends upon the short duration of the pernicious attack in
my cases.
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215
Bl) - 19 ' 1( 8F T 4/5 CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
most of them containing a number of disintegrated parasites in their protoplasm.
Endothelial cells of the walls of the vessels were also free in the blood current,
sometimes hardly distinguishable from the mononuclears which, according to Pa¬
tella, are derived from the endothelial cells. These also contained many parasites
in the protoplasm. I also found abundant hyaline bodies within the lumen, such
as Manasse has described in other terminal processes. In the wall of the vessels
Fig. 4. a Vessel of the cortex with parasites and karyokinesis of one endo¬
thelial cell ( k ); b and c Endothelial cells (detached from the wall of the vessels)
in the blood stream acting as macrophages; d Macrophages or large lympho¬
cytes from the blood with parasites inclusions; e Manasse’s bodies inside
of the vessels.
were found intense changes. The endothelial cells showed very marked vacuolar
degenerations. In the meshes formed in the protoplasm of the cells, granules of
fat and lipoid substances w r ere abundant. These cells become in this way greatly
enlarged and their protoplasm loosens from the wall of the vessel, (see fig. 4). It
is supposed that these thickened cells, together with large numbers of parasites,
give rise to formations of thrombi which are responsible for many of the paralyses,
hemiplegias, etc. found in some cases of malaria. The adventitial cells appeared
greatly degenerated, with fatty changes, pyknosis and a tendency to detach them¬
selves from the vessels and penetrate into the nervous substance, becoming Stab-
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Journal f. Psycholoffie
und Neur oloyie._
DR. GONZALO R. LAFORA
chenzellen. These various changes of the vascular walls are the cause of numerous
punctiform hemorrhages which are more abundant in the white substance beneath
the cortex (subcortical punctiform hemorrhages). An interesting feature in reference
to them is that within the blood corpuscles of these hemorrhages, parasites are
very seldom found. In many preparations that
I have examined for this special feature 1
could find parasites only
~ in three instances. This
** fact seems to indicate that
the parasite is phagocyti-
'y 'M' \ to cally or autolytically des¬
troyed shortly after its
penetration into the ecto-
' dermic tissue of the ner¬
vous system. In the ad¬
ventitial spaces of the
. . vessels lymphocytes are
I occasionally seen. I could
1 not find in any instance
plasma cells, as Cerletti
gpt ^ describes, inside the lumen of the
vessels and in the lympha-tic space,
■ although I have thorougly searched
% \ ^ ^ \ ^ f° r fhem. In a few instances I found
a hypertrophy and hyperplasia of
. 4 *. the adventitial connective tissue of
• some vessels which gave rise to thick
^ meshes 1 ). Kornchenzellen were found
. a ^ ‘ abundantly in the first case due to
the senility of the patient. They were
^ StaftAb i§j vvtff- found in the nervous tissue and the
$>, < V ’Sjh-. v i
' # - ^ lymphatic spaces of the vessels (Fig. 5).
The type of the parasite was the
tertian estivo-autumnal of Schaudinn.
The ring forms are large and contain
an excessive quantity of pigment
sometimes inside the ring and some¬
times at one extremity of the proto¬
plasm; in some parasites a nucleus
seems to be visible between the granules of pigment.
The pia mater was slightly thickened with abundant macrophages and lym¬
phocytes. I could not find a single plasma cell or the large fibroblasts with ma-
crophagic activities found by Cerletti. This fact is to be explained by the short
duration of the nervous involvement in these cases, while the Cerletti cases were
of the chronic pernicious type (Fig. 6).
l ) This change was with all probability anterior to the malarial infection.
Fig. 5. Microphotographs showing the parasites
in the vessels.
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1912.
CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
217
The history of the case of malarial polyneuritis is as follows:
III. Case 13 634 1 ). Woman, 32 years of age. Patient has been in the Insti¬
tution for 10 years with a clinical picture of dementia precox. Until July, 1911,
she did not have any physical trouble, but at this time the patient contracted
malaria. In the middle of July 1911, she
began to complain of headaches, anorexia <3 O 0 • *
and vomiting and remained in bed. She
, , . , , A Fig. 6. Types of parasites at large magni-
soon recovered under adaquate treatment. fication
The 8th of September the patient was
feeling badly again, lying on the floor; the temperature being 37°,2 C, the respira¬
tions 20 and the pulse 100, at 4 P. M. She lost appetite, felt very thirsty, remained
in bed for 6 days in a similiar condition, although without rise in temperature.
She slept most of the time and
refused to eat because she said
“sick people do not eat”. Men¬
struation was regular. Patient
was treated with quinine by
mouth and in October 1911
she had apparently recovered
although she was still pale and
anemic. The temperature varied
between 36 °,i and 36 °,y. Her
mental condition remained un¬
changed. In November she was
again feeling poorly, lost her
appetite but did not have any
rise in temperature, being trea¬
ted with quinine in small doses.
December 2nd, remained in bed
complaining of feeling weak,
expectorating frequently. The
appetite was very poor, and the
sleep good. Quinine treatment.
The 7th. of December the pa¬
tient could not walk or use the
arms; had to be carried from Fig. ^ Photograph of patient III showing wrist droop
the bed to a rolling chair. Slight (Polyneuritis malarica).
rise of temperature (37,3 C).
Patient remained in bed helpless; had to be spoon fed. Urine showed a trace of
albumin and hyaline casts; specific gravity 1022. The neurological examination
show ed a flaccid paralysis of arms and legs affecting both extensor and flexor
muscles, but being more marked, as a rule in polyneuritis, in the extensors. She
could not raise her arm, or move or use the hands, grasp an object, etc. She could
not approach the tip of the thumb to the tip of the little finger (ulnaris nerve).
Patient showed wrist drop (radial nerve) and foot drop (peroneal paralysis) (see
*) Extract from history by Drs. Read and De Witt.
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2 I 8
DR. GONZALO R. LAFORA.
Journal f. Fqretokgfe
and Nenroloirie.
fig. 7). The sensory symtoms were not as pronounced as the motor. Patient had
slight hypaesthesia for light touches, combined with a certain hyperalgesia to painful
contacts (with pinpricks) and to pressure. Slight passive movement provoked pain¬
ful expressions. Patient complained at every examination. She had also expressions
of spontaneous pains. Pressure on the nervous trunks was also very painful, as well
as stretching the nerves in passive extention of the members (Las&gue’s symptom).
An electrical examination of the paralysis could not be made. The cutaneous and
tendon reflexes were almost abolished. Pupils reacted well to light and accommoda¬
tion. No bladder or rectal disturbances. The mental condition was unchanged. The
accompanying picture was taken in January 15,1912; the patient was still paralysed
at that time and very sensitive to pressure on the members and nerve trunks. The
temperature was about 36°,7 C. January 30, the Wassermann reaction was nega¬
tive. Treatment with quinine, strichnine and iron was begun. Massage was also
given every day. February 25, she again was able to raise her arms and to some
extent her feet. She could feed herself but was not yet able to walk. March 6,
slight paresis was still manifest, though the patient used arms fairly well. The
legs were still impaired. The tendinous reflexes could not be elicited. A marked
Lasigue *s symptom was still found in the legs. The hyperalgesia of the arms had
almost disappeared and the patient could feel fairly well light touches and pin¬
pricks, although this examination was very unsatisfactory owing to negativism and
lack of co-operation of the patient.
To summarize, a case of malaria involving the nervous system in which the
intellect has not been affected. No stupor or coma has ever occurred in contrast
to the other two cases. The cause of this condition is probably a post-malarial
intoxication which affects especially the peripherial nerves, while in the other two
cases we have a true malarial condition determined by the presence of large numbers
of parasites in the cerebral circulation.
In a few words, the first two cases are true malaria, while in the third, although
malarial, the nervous affection is probably a metamalarial condition, resulting
from the action of the toxins, originated in the organs by the influence of the
parasite.
However, quinine treatment is also always advisable in these cases (pro¬
longed treatment). In comatose conditions it seems ratiqnal to use intravenous
injections of quinine as Marchiafava has recomended.
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BD ‘ 4/5 CHANGES OF THE NERVOUS SYSTEM IN MALARIA.
219
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UNIVERSITY OF CALIFORNIA
22 <>
Journal l Psychologic
and Neurologic.
DR. GONZALO R. LAFORA.
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Journal for Psychology unu Neurologie.
Band 19.
Heft 6.
Aus der psychiatrischen und Nervenklinik zu StraBburg i. E. —
Prof. Dr. Wollenberg.
Zur Theorie der funktionellen GroBhirnhemisph&ren-
differenz.
Von
Dr. Gabriel Steiner,
Assistent der Klinik.
Das Problem der GroBhirnlokalisation befindet sich zurzeit in einer kritischen
Phase. Sowohl iiber das Wesen der uberhaupt lokalisationsfahigen psychischen
Elemente wie iiber rein topische Fragen herrschen noch zahlreiche Meinungs-
verschiedenheiten. Von dieser Uneinigkeit der Anschauungen ausgeschlossen ist
aber eine Tatsache, die in gewissem Sinne auch noch in den Bereich des Lokali-
sationsproblems gehort. Es ist dies die Erscheinung, daB beim gesunden erwachsenen
Menschen die eine GroBhirnhemisphare der anderen bezuglich gewisser seelischer
Leistungen iibergeordnet ist. Fiir den Rechtshander ist die superiore GroBhirn¬
hemisphare die linke, fiir den Linkshander ist es die rechte.
Obwohl wir wissen, daB rein morphologisch noch keine Differenz zwischen
der rechten und linken GroBhirnhemisphare desselben Individuums mit Sicherheit
bis jetzt festzustellen gewesen ist, halten wir trotzdem an der Annahme einer t)ber-
wertigkeit der linken GroBhirnhemisphare iiber die rechte beim Rechtshander und •
umgekehrt beim Linkshander fest. Wie laBt sich eine solche Anschauung recht-
fertigen ?
Die Pathologie hat uns hier zuerst einen Weg gewiesen. Hinsichtlich der
Brocaschen Lehre vom Sprachzentrum findet wenigstens so viel allgemeine An-
erkennung, daB die Unversehrtheit der motorischen Sprachleistungen des Rechts-
handers unbedingt abhangig ist von der Intaktheit gewisser GroBhirnhemispharen-
teile, die ausschlieBlich der linken GroBhirnhemisphare angehoren. In ganz
entsprechender Weise konnte Liepmann (5) ebenfalls auf Grund von Erfahrungen
aus der Pathologie zeigen, daB die motorischen Leistungen hochster Ordnung beider
Hande, der rechten und der linken, in nachweisbarer Beziehung zu einer normalen
Beschaffenheit bestimmter Teile nur des linken GroBhims stehen. Also: zwei wich-
tigste Faktoren im Leben des Rechtshanders, die motorische Sprache und die
Fahigkeit zu Zweckbewegungen beider Hande sind abhangig von Funktionsleistun-
gen, deren materielles Substrat nur in. der linken GroBhirnhemisphare nieder-
gelegt ist, ohne daB an entsprechender Stelle oder uberhaupt im rechten GroBhirn
ein mit derselben funktionalen Wertigkeit versehenes Organ sich fande. Diesen
beiden wichtigsten auf Grund der Erfahrungen am kranken Menschen gewonnenen
Journal far Psychologie und Neurologie. Bd. 19 . 15
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Journal f. Psychologic
und Neorolog ie.
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Ergebnissen schlieBen sich aber auch noch andere an, die bei der Betrachtung der
funktionellen Leistungen iiberhaupt gefunden werden konnten. Der groBeren
Geschicklichkeit der rechten Hand des Rechtsers entspricht eine bessere Gestaltung
der Geschicklichkeit des rechten Beines, sowie der vom rechten Nervus facialis
innervierten Muskulatur, soweit die natiirliche Veranlagung nicht durch super-
ponierte sekundare Momente verschleiert worden ist. Im besonderen konnte Stier
(ii) durch Massenzahlungen feststellen, „daB, wenn nur auf der einen Seite ein
isolierter AugenschluB moglich ist oder der SchluB auf der einen Seite besser gelingt
als auf der anderen, dies im allgemeinen beim Rechtshander rechts und beim Links-
hander links der Fall ist' 4 . Ganz besonders deutlich tritt nach Stier die funktionelle
Asymmetrie beim Verziehen des Mundes nach der Seite hervor. Auch fur gewisse
Empfindungsqualitaten (Schmerz- und Beriihrungsempfindung) lieB sich eine
halbseitige Differenz in der Feinheit der Empfindung nachweisen. Wenn iiberhaupt
ein Unterschied zwischen rechts und links vorhanden war, fand sich die feinere
Empfindung ,,fast ausnahmslos" auf der Seite der geschickteren Hand, beim
Rechtshander also rechts, beim Linkshiinder links, vor.
Diese Beispiele, die mit Sicherheit auf eine Superioritat der linken Hemisphare
des Rechtshanders gegeniiber seiner rechten hinweisen, konnten noch um einige
Erscheinungen aus der Pathologie vermehrt werden. Indessen wiirde dies hier zu
weit fiihren, wir begniigen uns mit der Feststellung der Tatsache, daB zwischen
den beiden GroBhirnhemisphare n des erwachsenen gesunden Menschen eine Asym¬
metrie der Funktionen besteht, insofem in der linken GroBhirnhemisphare des Rechts¬
handers der Sitz von psychischen Leistungen anzunehmen ist, deren lokalisatorische
Vertretung in der rechten GroBhirnhemisphare fehlt, bei im iibrigen rechts und links
ganz gleichartiger Anordnung der Lokalisation sonstiger psychischer Funktionen.
Und auch in der Feinheit motorischer und sensibler Leistungen laBt sich ein deut-
licher Unterschied zwischen rechts und links nachweisen, der einen SchluB auf die
feinere Organisation der in Frage kommenden Hemisphare gestattet. Es besteht
also ein Prinzipat der linken Hemisphare gegeniiber der anderen beim Rechtshander
und ganz entsprechend gilt dieses fur die rechte Hemisphare des Linkshanders.
Die Superioritat der einen GroBhirnhemisphare gegeniiber der anderen laBt
sich demnach durch eine Reihe von Tatsachen beweisen. Es ist diese Erscheinung
als Ergebnis eines endogenen, dem Menschen eigenartigen, ungleichen Differenzie-
rungsprozesses, eines Heraustretens aus dem Zustande gleichgearteter und gleich-
wertiger Hemispharenorganisation und -funktion aufzufassen.
Und zwar aus folgenden Griinden: Bei Tieren, auch den hochstentwickelten,
ist kein Resultat einer solchen Differenzierung, wie wir sie soeben besprochen haben,
erkennbar. Auch in der ontogenetischen menschlichen Entwicklung, die sich ja
gerade durch den ProzeB der Differenzierung offenbart, findet die Herausbildung
der asymmetrischen Anordnung von GroBhirnfunktionen erst nach und nach statt.
Kinder erweisen sich noch innerhalb des ersten Lebensjahres sprachlich und auch
hinsichtlich der Rechts- oder Linkshandigkeit als vollig oder nahezu vollig undiffe-
renziert und sie entwickeln sich nach dieser Richtung erst im Laufe der folgenden
Lebensjahre. Hier sind auch die Hemmungen der psychischen Entwicklung an-
zufiihren, die den Mangel einer Pravalenz der einen Hemisphare liber die andere
deutlich erkennen lassen. Es sind dies Formen von angeborenem Schwachsinn, bei
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FUNKTIONELLE GROSSHIRNHEMISPHARENDIFFERENZ. 223
denen, abgesehen von mangelhafter oder iiberhaupt fehlender sprachlicher Ent-
wicklung, reine Ambidexteritat besteht. Hier ist weder Links- noch Rechtshandigkeit
feststellbar.
Betreffen die eben genannten Momente alle nur Beobachtungen, die sich auf
das Fehlen oder die mangelhafte Ausbildung dieses asymmetrischen Differenzierungs-
prozesses beziehen, so ist uns in ph'ysiologischer Breite ein Experiment der Natur
gegeben, das den Versuch einer gleichmaBigen Ausbildung beider Hemispharen
und sein MiBlingen darstellt. Dieser Versuch kommt bei der Entwicklung des
Linkshanders auf die Weise zustande, daB von ihm eine ganze Anzahl nur zum rechts-
handigen Gebrauch bestimmter Werkzeuge beniitzt werden miissen; weiter wird
durch die Schreibiibungen in der Schule, durch die militarische Ausbildung und nicht
zuletzt durch den wirksamen EinfluB elterlicher Ermahnungen der linkshandig
veranlagte Mensch in seiner Entwicklung nach der Seite einer besseren Ausbildung
der rechten Hand hin beeinfluBt und damit wohl auch die gerade in der Entwicklung
begriffene Hemispharenuberwertigkeit umzustimmen oder zu storen versucht.
Trotzdem wird in den meisten dieser Falle immer die linke Hand als die pravalente
nachweisbar bleiben, eine Umwandlung der Superiority der einen Hemisphare
laBt sich nicht erzielen. Die Differenzierung einer GroBhirnhalfte zu der iiberwer-
tigen ist demnach als ein in der Anlage schon bedingter ProzeB aufzufassen, und
sie muB sich notwendigerweise einstellen.
Zugleich mit der Feststellung der funktionellen Asymmetrie der GroBhim-
hemispharen taucht die Frage auf, ob dieser ProzeB der ungleichen GroBhimhemi-
spharendifferenzierung ein dem Individuum nutzlicher oder ein schadlicher oder
endlich ohne irgendeine Bedeutung fur das Wohl des einzelnen ist. Man hat den
Gedanken ausgesprochen, die nach unserer Auffassung durch einen Differenzierungs-
prozeB zustande gekommene funktionelle Asymmetrie zweier sonst bilateral-symme-
trisch angelegter Organe sei gar nicht als Fortschritt und Vervollkommnung auf¬
zufassen, sie bedeute vielmehr eine Riickbildung, eine Rudimentierung. So laBt
sich eine arztliche Anschauung (1) verlauten, die aufs auBerste dariiber ungehalten
ist, „daB der Mensch nicht nur mit voller Absicht die eine Hand auf Kosten der
anderen ausbilde, sondem er riihme sich sogar der halben Verkiimmerung, zu der
er seine ungeschickte linke Hand verurteile". Von einer Verkiimmerung und Riick-
bildung kann aber meiner Ansicht nach doch nur dann gesprochen werden, wenn
das betreffende Organ keiner Ausbildung mehr fahig ist, d. h. wenn es differenziert
gewesen und wieder indifferent geworden ist, und nicht, wenn es zwar indifferent,
aber noch differenzierbar ist. Gerade im Begriff der Differenzierbarkeit liegt die
Entscheidung iiber das Fehlen von Ruckbildungsprozessen. Nun zeigt uns die Er-
scheinung der Linkshandigkeit und die mit ihr verkniipfte Lokalisation von gewissen
Sprachvorgangen allein in der superioren rechten GroBhirnhalfte ganz deutlich, daB
hier eine groBe Differenzierbarkeit vorhanden sein muB. Lassen wir uns aber hier-
durch nicht vollstandig iiberzeugen, so haben wir vielleicht in der Erscheinung der
funktionalen Stellvertretung gewisser Teile der superioren GroBhirnhalfte durch die
entsprechenden Teile der anderen Hemisphare einen Beweis der Differenzierbarkeit
der sonst inferioren Himhalfte. Die friiher zu der Leistung nur in geringem MaBe
herangezogene inferiore Hemisphare soli bei Ausschaltung der superioren durch
Krankheit die Funktionen der kranken Halfte iibernehmen, womit ihre Entwicklungs-
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and Neurologic
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fahigkeit ja ohne Zweifel bewiesen ware. Nun darf aber nicht verschwiegen werden,
daB manche Forscher die ,,landlaufige“ Vikariierungshypothese fiir unannehmbar
halten. Von Monakow(7) z. B. halt es fiir ausgeschlossen, daB „an einem der
verlorengegangenen Funktion urspriinglich fremden Orte“ sich neue funktioneUe
Werkstatten z. B. auch fiir Leistungen bilden, zu deren Erwerb „langjahrige Ubung
und ein in bestimmter Weise fortschreitender Entwicklungsgang notwendig war 1 '.
Auch Liepmann (6) spricht sich dahin aus, daB die an Himkranken gewonnenen
Erfahrungen iiber ein vikariierendes Eintreten der rechten Hemisphere durchaus
kein eindeutiges Resultat ergeben und daB groBe Vorsicht bei alien derartigen
Schliissen geboten ist.
Ein gewisses bescheidenes MaB der Differenzierbarkeit der inferioren GroBhim-
seite diirfen wir wolil annehmen, und damit ist das Bestehen eines Riickbildungs-
vorganges hinfallig. Warum diesem MaB an Differenzierungsfahigkeit aber nicht die
Entwicklung auf die Hohe der iiberhaupt moglichen Differenzierung der inferioren
GroBhimseite entspricht, wissen wir nicht. Mit der Beantwortung dieser Frage
ware zugleich auch die Abgabe eines Urteils iiber die ZweckmaBigkeit der ganzen
Doppelhandigkeitsbewegung oder, wie man sie auch genannt hat, der Linkskultur
moglich. Ware — miissen wir leider sagen, denn zu einer exakten Beantwortung
fehlen uns noch die wissenschaftlichen Grundlagen. Zwar hat schon Ramon y
Cajal (8) auf den Unwert einer gleichmaBigen Ausbildung bender GroBhimhemispha-
ren und den Wert einer ,,einhirnigen" Anlage hingewiesen, die eben die Duplizitat
der BewuBtseinszustande vermeiden lasse. Ein anderer Autor, Spitzer(9), be-
zeichnet die asymmetrischen Bildungen im Zentralorgan, soweit sie ihr Zustande-
kommen der Kondensation des funktionell Zusammenwirkenden verdanken, als
Zeichen einer hoheren Entwicklungsstufe. Auch Stier(n) halt die Annahme fiir
berechtigt, daB die funktionelle Differenzierung der Himhalften gegeneinander,
„die unerlaBliche Voraussetzung war und ist fiir die hohere Differenzierung der
motorischen und wohl auch der sonstigen geistigen Leistungen der Menschheit".
Ein anderer Gedankengang fiihrt auch noch dazu, gerade die Einseitigkeit der
Pravalenz einer GroBhimhalfte gegeniiber der anderen als auBerst bedeutungsvoll
zu erkennen. Den Ausgang nimmt diese Uberlegung von einem psychologischen
Moment, das in der Art des Gebrauchs der Motorik iiberhaupt liegt und in der Tat-
sache der Einiibung hervortritt. Viel geiibte Funktionen sind bald eingeiibt ; sie
treten aus dem Stadium des erstmaligen Versuchens in das der jedesmaligen Wieder-
holungsmoglichkeit, in das Gebiet des Konnens ein. Taglich erfahren wir an uns
selbst, wie die t)bung alle Zweckhandlungen erleichtert, in vielen Fallen sogar so
weit, daB die urspriinglich bewuBt vollzogene Zweckbewegung in das Stadium
einer mehr oder weniger unbewuBt erfolgenden Bewegung iibergeht. DaB die Ein-
iibungsfahigkeit auf einer seelischen Ursache beruhen muB, ist klar; fiir den Menschen
ist das zentrale Nervensystem, speziell das GroBhirn, der Vermittler dieser seelischen
Tatigkeit. Fiir uns hier kommt die Tatsache der Einiibungsfahigkeit insofem in
Betracht, als es fiir den Menschen wichtig ist, alle Zweckbewegungen, auch die
feinsten, in eingeiibter Form zu besitzen. Es kommt darauf an, moglichst viel
verschiedene und feine Zweckhandlungen mit der rechten oder der linken Hand in
vollkommener Weise ausiiben zu konnen und nicht darauf, daB rechts und links
in gleich guter, aber unvollkoinmenerer Weise funktionieren. Damit ist erklart,
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BD ’ 19 19?sF T 6 FUNKTIONELLE grosshirnhemispharendifferenz. 225
daB die Pravalenz einer oberen Extremitat iiber die andere dann auftreten muB,
wenn das Bediirfnis nach vollkommenen, brauchbaren Zweckbewegungen vorhanden
ist. Wir konnen in dieser Tatsache zugleich auch eine Erklarang fiir die Erscheinung
der Ambidexteritat bei Schwachsinnigen sehen: das Bediirfnis zur Vervollkommnung
der Fahigkeit zu Zweckhandlungen fehlt und damit auch die Anpassung an das
Bediirfnis. So wird gerade in der Entwicklung des GroBhims beim Kinde die Tendenz
wirksam, die zur Bevorzugung einer oberen Extremitat drangt, weil die vollkommene
Beherrschung von Zweckbewegungen durch e’ine obere Extremitat wichtiger ist,
als eine iiber beide oberen Extremitaten gleichmaBig verteilte, in der Beschaffenheit
ihrer Ausfiihrung aber schlechtere Leistung von Zweckbewegungen. Die Bevorzugung
einer oberen Extremitat gegeniiber der anderen muB dann auch auf das in der
Entwicklung begriffene Gehim zuriickwirken und so zur besseren Ausbildung der
schon in der Anlage bedingten lateralen GroBhirnhemispharendifferenz noch wesent-
lich beitragen.
Der Wert der einseitigen GroBhimhemispharendifferenzierang muB wohl
bis zu einem gewissen Grade anerkannt werden. Trotzdem sind wir aber, auch auf
Grand aller dieser eben genannten Anschauungen, nicht berechtigt, iiber die Zweck-
maBigkeit von Bestrebungen zur Doppelhandkultur ein vemeinendes Urteil ab-
zugeben. Vielleicht wird hier einmal die rein empirische Erfahrang ein abschlieBendes
Urteil ermoglichen.
Wohl aber vermogen wir noch einige Tatsachen anzufiihren, die zeigen, wie
eine mangelhafte oder fehlende Differenzierung der einen GroBhimhalfte gegeniiber
der anderen zu bewerten ist. Wir miissen zu diesem Zweck etwas weiter ausholen.
Als zwei auBere komplexe Erscheinungen menschlicher Organisation sind
die Rechts- und die Linkshandigkeit aufzufassen. Diesen beiden Phenomenon liegen
die sinistro- bzw. dextrocerebrale Superioritat, so wie wir sie oben definiert haben,
zugrande. Diese in der Anlage bedingten, kausal notwendigen, zueinander anta-
gonistischen Differenzierangsprozesse sind als vererbbare Merkmale oder, wie man
sich in der Sprache der modernen Vererbungslehre auch ausdriicken kann, als ein
Paar von Erbeinheiten (Faktoren, Gene), aufzufassen. AuBere Zeichen dieser
beiden antagonistischen Erbeinheiten sind folgende:
Anlagetypus
sinistrocerebraler: dextrocerebraler:
1. Rechtshandigkeit, Linkshandigkeit;
2. bessere Leistung
des r. Facialis, des 1 . Facialis,
des r. Beines, des 1 . Beines;
3. lokalisatorische Vertretung der Fahigkeit zu sprechen und
zweckmaBig zu handeln:
vorzugsweise in der 1. vorzugsweise in der r.
GroBhimhemisphare.
Vererbt wird also die Fahigkeit zur Entwicklung der funktionellen Asymmetrie
im GroBhim; diese Fahigkeit ist in zwei Arten vererbbar, als Anlage zur sinistro-
cerebralen und als Anlage zur dextrocerebralen Superioritat, deren auBere Er-
kennungszeichen wir in dem eben aufgestellten Schema zum Teil genannt haben.
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226
DR. GABRIEL STEINER.
Journal t Paycholofie
und Negrotoge.
Aus den bis jetzt vorliegenden Vererbungstatsachen ist nun hinsichtlich der
Vererbung der beiden Superiority sarten folgendes zu entnehmen:
Hochst wahrscheinlich folgt die Vererbung der sinistro- bzw. dextrocerebralen
Anlage der von Mendel zuerst erkannten und nach ihm benannten sog. spaltenden
oder alternativen Vererbungsart. Es ist dies nichts Neues und AuBergewohnliches,
insofem beim Menschen schon fiir eine ganze Reihe morphologischer und funktio-
neller und im besonderen auch pathologischer Eigenschaften eine Mendelsche
Vererbung festgestellt worden ist.
DaB aus der Vereinigung zweier sinistrocerebral angelegter Eltem dextro-
cerebrale Kinder hervorgehen konnen, ist bekannt. Aus der Verbindung zweier
Dextrocerebraler gehen ferner neben dextrocerebralen immer auch sinistrocerebrale
Individuen hervor. Ein ausschlieBliches Auftreten von Dextrocerebralen in der
Deszendenz zweier Dextrocerebraler konnte bis jetzt weder von Stier, der als
erster die Bedeutung der modemen Vererbungsforschung fiir die uns hier inter-
essierenden Fragen erkannt hat, noch von mir beobachtet warden. Was konnen wir
daraus schlieBen ? Wir miissen die Begriffe der Homo- bzw. Heterozygotie hier in
Anwendung bringen.
Eine Homozygotie liegt dann vor, wenn das Produkt der Vereinigung be-
fruchtungsreifer mannlicher und weiblicher Fortpflanzungszellen (der Gameten) eine
Erbeinfieit nur rein enthalt, Heterozygotie dann, wenn dieses Produkt (der Zygot)
die beiden verschiedenen Teile eines Paares von Erbeinheiten (korrespondierende,
antagonistische oder auch allelomorphe genannt) zugleich enthalt. Die Begriffe
homo- und heterozygot werden dann auch zur Bezeichnung der aus dem befruchteten
Ei (dem Zygoten) hervorgegangenen Individuen verwandt.
Bezeichnen wir die Anlage zur sinistrocerebralen Superiority mit L (Uni-
lateralisations- oder kurz Lateralisationserbeinheit), das Fehlen dieser Anlage
(= Vorhandensein der Anlage zur dextrocerebralen Superiority) mit 1 und betrach-
ten wir beide, L und 1 , als ein korrespondierendes Paar von Erbeinheiten. Dann
miissen sinistrocerebrale Individuen, die bei ihrer Vereinigung dextrocerebrale
hervorgehen lassen (entweder beide oder nur eines der Eltem), heterozygot sein,
d. h. sie miissen L und 1 enthalten. Und ebenso erweisen sich, soweit bis jetzt be¬
obachtet werden konnte, dextrocerebrale Individuen als heterozygot, da bei ihrer
Vereinigung sinistrocerebrale Individuen entstehen. Wir werden zur Aufstellung
des folgenden Vererbungsschemas gelangen:
p
LL x 11
Fi
L ( 1 ) oder
(L) 1
Gameten
L 1
L 1
LL L XI)
(1) L 11
LL (L) 1
1 (L) 11
Die Klammer soli Rezessivitat bedeuten, d. h. der betreffende in Klammer
befindliche Faktor ist wohl im Keim vorhanden, er fehlt dagegen in der auBeren
Erscheinung. L ( 1 ) ist infolgedessen rechts-, (L) 1 linkshandig. Beachtenswert ist,
daB hier in F t und F 2 zweierlei Arten von Heterozygotie vorliegen: das eine
Mai verhalten sich die Heterozygoten in ihren AuBeneigenschaften genau so, wie
die Homozygoten LL, das andere Mai so wie die Homozygoten 11 . Unerklart ist
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1912
FUNKTIONELLE GROSSHIRNHEMISPHARENDIFFERENZ. 227
aber noch dieses Auftreten von zweierlei Arten heterozygotischer Individuen, L ( 1 )
und (L) 1 , wobei diese beiden Arten in ihrer Gametenzusammensetzung vollstandig
gleich sind. Die Verschiedenheit beider Arten von Heterozygoten bemht ja nur
darauf, daB sie in ihrem Aussehen das eine Mai dem homozygoten Typus L, das
andere Mai dem von 1 entsprechen. In dem heterozygotischen Teil der Filialgene-
rationen verhalten sich also die korrespondierenden (antagonistischen oder allelo-
morphen) Erbeinheiten so, daB das eine Mai das eine Merkmal ausschlieBlich auBerlich
zum Vorschein kommt, das andere Mai das andere. Wenn wir dann die ausschlieB¬
lich sichtbare Eigenschaft nach Mendel als die dominante, die nicht sichtbare
aber doch im Keim vorhandene als die recessive bezeichnen, so werden wir bei der
Vererbung der sinistro- bzw. dextrocerebralen Anlage das eine Mai die Dominanz
bzw. Recessivitat der einen Erbeinheit, das andere Mai die Dominanz bzw. Recessivi-
tat der anderen, antagonistischen Erbeinheit annehmen miissen. Gerade diese Er-
scheinung der wechselnden Dominanz zwischen zwei zueinander gehorigen Erb¬
einheiten ist auch sonst in der Vererbungslehre schon beobachtet worden; ich er-
innere hier nur an die Begriffe der unvollstandigen oder fluktuierenden Dominanz,
an den Dominanzwechsel u. a. ,,DaB die Dominanz eine flieBende und verschiebbare
Erscheinung ist, kann keinem Zweifel unterliegen" (2).
Wie dem auch sei, wichtig fur uns sind nur folgende Punkte:
Die sinistro- bzw. dextrocerebrale Anlage stellt mit ihren verschiedenen
AuBenmerkmalen einen Typus dar, der in seinem erblichen Verhalten analysierbar
ist und wohl durch die Mendelschen Gesetze erklart werden kann. Durch das
12—2ofach. haufigere Vorkommen des smistrocerebralen Typus (Rechtshander)
muB die Erscheinung der so iiberaus haufigen Heterozygotie des Dextrocerebralen
(Linkshanders) ihre Erklarung finden, wahrend der Rechtshander viel ofter hin-
sichtlich des Unilateralisationsfaktors in seiner Gametenzusammensetzung homogen,
d. h. homozygot ist. Aus einer ganz einfachen rechnerischen Oberlegung laBt sich
diese Erscheinung erklaren. Nehmen wir an, unter den Links- und Rechtshandem
befanden sich zunachst hinsichtlich ihrer Anlage zur funktionellen Asymmetrie nur
Homozygote (in Wirklichkeit werden unter den Linkshandem sehr viel, unter den
Rechtshandem bedeutend weniger Heterozygote sein), und der absolute Zahlenwert
von homozygoten Rechtshandem wiirde den der homozygoten Linkshander um
ein Mehrfaches iibersteigen. Die Wahrscheinlichkeit einer Vereinigung von nur
homozygoten Rechtshandem untereinander ist dann eine viel groBere wie die von
homozygoten Rechtshandem mit homozygoten Linkshandem, und noch viel groBer
als wie eine Verbindung von homozygoten Linkshandem untereinander. Die Nach-
kommenschaft homozygoter rechtshandiger Eltem (die Nachkommen miissen dann
wieder homozygot sein) wird so am raschesten wachsen, der zahlenmaBige Unter-
schied zwischen den homozygoten Rechtsern und Heterozygoten, seien diese nun
Rechtser oder Linkser, wird immer groBer werden. Der zahlenmaBige Unterschied
wird aber auch deshalb immer groBer werden, weil aus der Vereinigung homozygoter
Individuen immer nur homozygote hervorgehen, wahrend bei der Verbindung
zweier Heterozygoten nach Mendelschen Regeln immer auch Homozygote ab-
gespalten werden und so sich die Zahl der Heterozygoten auch auf diese Weise ver-
kleinert.
Wenn wir nun den Versuch einer Haufigkeitsskala des tatsachlichen Vorhanden-
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_und Neurologic.
2 28 I)R. GABRIEL STEINER.
scins dor verschiedenen dextrocerebral bzw. sinistrocerebral angelegten Individuen
niachcn wollcn, so miifite er folgendermaBen aussehen:
Am haufigsten Sinistrooerebrale Homozygote LL.
Weniger hiiufig Sinistrooerebrale Heterozygote L ( 1 ).
Noch weniger hiiufig Dextrocerebrale Heterozygote (L) 1 .
Am seltensten Dextrocerebrale Homozygote 11 .
Eine Vereinigung eines dieser vier Typen mit einem gleich oder anders beschaffe-
nen ist wohl moglich, daraus ergeben sich 10 Kombinationen, von denen der Wahr-
scheinlichkeit naoh die haufigste LL x LL, die seltenste 11 X 11 sein muB. Zwischen
diesen beiden Hiiufigkeitsextremen bewegen sich die Wahrscheinlichkeitswerte fiir
die anderen Kombinationen und zwar in folgender Reihenfolge:
9. LL x LL homozygoter Rechtser x homozygoter Rechtser.
8. LL X L ( 1 ) homozygoter Rechtser x heterozygoter Rechtser.
7. L ( 1 ) x L ( 1 ) heterozygoter Rechtser x heterozygoter Rechtser.
6. LL X (L) 1 homozygoter Rechtser x heterozygoter Linkser.
5x.*)LL X 11 homozygoter Rechtser x homozygoter Linkser.
5 y. L ( 1 ) x (L) 1 heterozygoter Rechtser x heterozygoter Linkser.
4. L ( 1 ) x 11 heterozygoter Rechtser x homozygoter Linkser.
3- (L) 1 X (L) 1 heterozygoter Linkser x heterozygoter Linkser.
2 . (L) 1 x 11 heterozygoter Linkser X homozygoter Linkser.
1. 11 x 11 homozygoter Linkser x homozygoter Linkser.
Ein Moment ist jedenfalls einleuchtend: Sinistrocerebrale sind gewohnlich
als homozygot zu betrachten, Dextrocerebrale als heterozygot; heterozygote Rechts-
hander stammen immer aus Linkshanderfamilien.
Ware es nun denkbar, daB das Phanomen einer Heterozygotie betreffs der
Erbeigenschaft der unilateralen Hemispharendifferenzierung Nachteile mit sich
bringt ? Um dies festzustellen, miissen vor allem Familien, in denen Linkshandigkeit
vorkommt, untersucht werden (10), und zwar deshalb, weil gerade in solchen Familien
die Wahrscheinlichkeit des Vorkommens heterozygoter Individuen die groBte ist.
Derartige Untersuchungen sind nun in gewisser Hinsicht (allerdings noch nicht
unter dem Gesichtswinkel der obigen Ausfiihrungen) schon untemommen worden.
So konnte auf Grand anamnestischer Erhebungen bei Soldaten nachgewiesen werden
(4), daB in 294 Linkshanderfamilien sich haufiger Sprachstorangen fanden, wie in einer
annahernd entsprechenden Zahl von Familien reiner Rechtshander: 8,8% gegen
1,5%. Bei derselben Zahl von Linkshanderfamilien fanden sich 4,1% Angehorige
mit genuiner Epilepsie, in 273 Rechtshanderfamilien 0,0%. Erwahnenswert ist hier,
daB das Vorkommen von psychisch-nervosen Storangen sonst bei den beiden ver-
schiedenen Familienkategorien ein prozentualiter vollstandig gleichartiges war,
beide Male 4,8%. Nach einer groBen Heeresstatistik von Stier (11) fanden sich unter
10292 linkshandigen Soldaten 4,88% Verwandte mit Stottern; bei den Rechts-
handern, unter denen aber sicher auch noch solche waren, die, obwohl selbst rechts-
1 ) Bei Haufigkeitsziffer 5 sind zwei Kombinationen angefiihrt, und zwar deshalb, weil
einerseits der homozygotc Rechtser von 5X haufiger vorkommt wic der heterozygote Rechtser
von 5 y, andererseits aber auch der homozygote Linkser von 5 x seltener ist wie der heterozygote
Linkser von 5 y. Eine sichere Entschcidung uber den Haufigkeitswcrt dieser beiden Kombi¬
nationen hinsichtlich ihrer Stellung zueinander ist infolgedessen nicht moglich.
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BD ' 19 imS ft 6 FUNKT10NELLE grosshirnhemispharendifferenz. 229
handig, Linkshanderfamilien angehorten, betrug der Prozentsatz 1,37. Auch die
Neigung zu korperlicher Varietat ist nach Stier (11) bei Linkshandern selbst groBer
als bei Rechtshandern. „Nicht nur die Zahl derer, die iiberhaupt Degenerations-
zeichen hatten, sondern auch derer, die gehaufte Stigmata hatten, war bei den
Linkshandern deutlich groBer als bei den Rechtshandern." Freilich darf hier nicht
verschwiegen werden, daB die Bedeutung der sog. Degenerationszeichen fur die
Beurteilung der Minderwertigkeit eines Menschen eine sehr problematische ist.
Mit einer statistischen Untersuchung des Vorkommens von Linkshandigkeit unter
hervorragenden Menschen konnte wohl auch ein wesentlicher Beitrag zu unserer
Frage geliefert werden. So ist es sehr erfreulich, daB von Liepmann (6) in seinem
Vortrag iiber die wissenschaftlichen Grundlagen der sogenannten Linkskultur, den
er in der Berliner Gesellschaft fur Neurologie und Psychiatrie hielt, die Anregung
gegeben wurde, eine Enquete iiber die Haufigkeit der Linkshandigkeit unter hervor¬
ragenden Menschen vorzunehmen. Vielleicht durfte es ratsam sein, diese statistische
Untersuchung ebenfalls auf zwar rechtshandige, aber aus Linkshanderfamilien
stammende Menschen auszudehnen und so weit wie moglich, auch die Eigenart
der Lateralisierungsanlage dieser Individuen, ob sie auf homozygoten oder hetero-
zygoten Keimen beruht, festzustellen.
So weit ist die Forschung doch schon gediehen, daB wir mit einer gewissen
Berechtigung folgende Satze aufstellen diirfen:
Hinsichtlich ihres Unilateralisationsfaktors allem Anschein nach heterozygote
Individuen, d. h. vor allem ein groBer Teil der linkshandigen Menschen und ebenso
ein ziemlich groBerTeil solcherRechtshandiger,die aus Linkshanderfamilien stammen,
sind in gewissen Beziehungen minderwertig gegeniiber den homozygoten Rechts¬
handern, vielleicht aber auch gegeniiber homozygoten Linksem, wenn solche iiber-
haupt zahlenmaBig in Betracht kommen. Die Minderwertigkeit tritt in die Erschei-
nung dur-ch das viel haufigere Vorkommen von Sprachstorung, von genuinerEpilepsie,
vielleicht auch von gewissen Arten der Debilitat und der Enuresis noctuma, sowic
vielleicht in der Haufung von Entartungszeichen an solchen Personen.
Wie hangt aber dies alles mit unserer Absicht zusammen, die mangelhafte oder
fehlende Differenzierung der superioren GroBhirnhemisphare k£nnen zu lernen und
sie zu bewerten?
Greifen wir zuriick auf Beispiele aus der biologischen Erblichkeitslehre.
Cor re ns konnte beim Mais beobachten, daB alle Sexualzellen, die den Faktor der
Fahigkeit zur Bildung einer blauen Kleberschicht im Maiskom iibertragen, sich mit-
einander zu Pflanzen vereinigen, die nur ausnahmsweise lebensfahig sind. Baur
wies nach, daB bei Antirrhinum eine homozygotische Kombination, namlich die-
jenige, bei der der Faktor Y (der Chlorinafarbe bedingt) fehlt, nicht lebensfahige
Individuen erzielt. Nach Castle finden sich bei einer gewissen gelbfarbigen Mause-
sorte nur heterozygotische Individuen, was mit groBter Wahrscheinlichkeit darauf
beruht, daB die homozygotisch gel ben Mause entweder ganz friihzeitig noch in der
Embryonalentwicklung zugrunde gehen oder iiberhaupt schon als Produkt einer
Vereinigung von Sexualzellen unmoglich sind. Wir haben also in den eben genannten
Vererbungsvorgangen Beispiele fiir die Lebensunfahigkeit bestimmter homozygoter
Individuen. In analoger aber umgekehrter Weise ware es nun denkbar, daB gewisse
heterozygote Individuen, wenn auch nicht als lebensunfahig, so doch schon von
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230
DR. GABRIEL STEINER.
Journal f. Psycholog-ie
und Nearolopie.
vomherein als in gewissem Sinne minderwertig anzusehen waren. Eine solche
Betrachtungsweise ist nun fur heterozygotische Dextro- bzw. Sinistrocerebrale
nicht von der Hand zu weisen. Es ist ja einleuchtend, daB das Vorhandensein der
recessiven Erbeinheit desLateralisationsfaktors,sei nun Loder 1 recessiv = (L)oder ( 1 ),
neben der dominanten = 1 bzw. L in dem befruchteten Keim, aus dem sich der
Links- bzw. Rechtshander als heterozygotes Individuum entwickelt, auf die Diffe-
renzierung zur einhimigen Superioritat einen gewissen schadigenden EinfluB aus-
iiben kann; die Differenzierung der'GroBhirnhemispharen voneinander wird dann
wohl in ihrer Entwicklung eher aufzuhalten sein, wie wenn nur die dominanten
Gameten vorhanden sind. Zwischen dieser Neigung zur Hemmung der Entwicklung
und der wirklichen Mangelhaftigkeit in der Ausbildung der unilateralen Hemispharen-
differenz ist dann eigentlich kein wesentlicher Unterschied mehr.
Des hypothetischen Charakters dieser Ausfuhrungen bin ich mir wohl bewuBt;
bezweckt ist ja auch nur, von der Seite der Vererbungstheorie her die Disposition
zu einer mangelhaften Hemispharendifferenzierung zu beleuchten, die Moglichkeit,
daB diese schon allein durch die Art der Vererbung der Linkshandigkeit bedingt
sein konnte, anzudeuten und so vielleicht auch wegweisend fiir ein femeres Vor-
dringen dienen zu konnen. Die theoretische Bedeutung des eben Gesagten wie auch
unsere heuristische Absicht wird dadurch wesentlich unterstiitzt, daB eben in Links¬
handerfamilien eine Anzahl sowohl rechtshandiger wie linkshandiger Familienmit-
glieder nachgewiesenermaBen sich finden, die sich hinsichtlich ihrer unilateralen
GroBhimhemispharendifferenz als ungeniigend und mangelhaft ausgebildet erweisen.
Diese Mangelhaftigkeit wird dokumentiert durch das Auftreten gewisser Sprach-
storungen, vielleicht auch durch gewisse Arten von Debilitat, Enuresis noctuma
und die Haufung von Degenerationszeichen, vor allem aber auch durch die groBere
Neigung zu motorischen Krampferscheinungen, besonders zu der genuinen Epilepsie.
Es darf hier vielleicht erwahnt werden, daB das hinsichtlich seiner GroBhimhemispha-
ren gar nicht oder nur mangelhaft lateral differenzierte Gehim, das tierische, kind-
liche und das entwicklungsgehemmte mehr zu motorischen Krampferscheinungen
neigt, wie das in voller Riistigkeit sich befindende erwachsene Gehim; auch von
dieser Seite her lemen wir es begreifen, wie ein mangelhaft differenziertes GroB-
him anders auf auBere Reize reagieren muB, als ein voll entwickeltes, es wird uns so
auch leichter verstandlich, warum gerade die Erkrankungsform der genuinen Epi¬
lepsie sich ausschlieBlich in Linkshanderfamilien vorfindet.
Die Tatsache eines gehauften Vorkommens der eben beschriebenen Storungen
in Linkshanderfamilien und zwar nicht nur bei linkshandigen, sondem besonders
auch bei rechtshandigen Angehorigen solcher Familien steht fest. Diese Tatsache
kann dadurch erklart werden, daB eine Heterozygotie hinsichtlich des Lateralisations-
faktors bei solchen Individuen besteht, infolge deren dann die eigenartige Erkrankung
derartiger Menschen im Sinne ihrer eben besprochenen minderwertigen Anlage
vor sich geht. DaB eine derartige Erklarung manches fiir sich hat, kann nicht ge-
leugnet werden; es muB aber auch darauf hingewiesen werden, daB der sichere Beweis
fiir diese Erklamng noch aussteht. Es ware z. B. denkbar, daB bei in ihrer Laterali-
sationsanlage vollwertigen Individuen wahrend der Entwicklung der unilateralen
GroBhimhemispharendifferenzierung exogene Momente zu einer schweren Schadigung
der in der Entwicklung begriffenen Differenzierung fiihren und so eine Unstimmigkeit
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BP. 19. HEFT 6
1912.
FUNKTIONELLE GROSSHIRNHEMISPHAREND 1 FFERENZ. 23 1
in der Anlage vortauschen konnten, die re vera gar nicht besteht. Immerhin miiBten
dann solche exogenen Schadigungen sich leicht nachweisen lassen, was aber in den
meisten Fallen nicht gelingt.
Zum Schlusse und nur in groben Umrissen soil hier noch die Frage Erdrterung
finden, inwieweit eine praktische Verwertung der beigebrachten Tatsachen und ihrer
theoretischen Deutungen moglich ist.
Von unseren vererbungstheoretischen Ausfiihrungen ausgehend, konnte man
ja zur AufsteUung eines Postulates kommen, wonach samtliche hinsichtlich ihres
Lateralisationsfaktors heterozygote. Individuen an der Fortpflanzung gehindert
werden sollen. Die Berechtigung einer solchen Forderung miissen wir entschieden
ablehnen, denn die wissenschaftlichen Grundlagen fiir ein so schwerwiegendes Verbot
und entsprechende MaBnahmen sind noch zu wenig sichere; uberhaupt ist ja die
auch bei uns schon hervortretende Tendenz einer fanatischen Fortpflanzungs- bzw.
Zeugungshygiene(Eugenik),die dieUnschadlichmachung und Sterilisation bestimmter
defekter Individuen zum Zwecke einer Verhiitung der Fortpflanzung solcher Indi¬
viduen hervorrufen will, eben aus dem Grande ungeniigender Kenntnisse in mensch-
lichen Vererbungsgesetzen sicher noch verfriiht und unbedingt zu verwerfen. Die
Schadigung eines Individuums nur aus dem Grande, weil es zukunftig vielleicht
einmal fiir die Gesellschaft schadliche Nachkommen erzeugen kann, ist meiner Ansicht
nach nicht zu verteidigen.
Eine generelle Stellungnahme ist also noch durchaus nicht am Platze. Was
fiir praktische Konsequenzen lassen sich aber fiir den einzelnen aus den theoretischen
Ausfiihrungen liber die unilateral GroBhirnhemispharendifferenzierang ziehen?
Denkbar ist es, daB eine in der Entwicklung begriffene unilaterale Hemispharen-
differenzierang dadurch eine Stoning erleidet, daB wahrend dieses Entwicklungs-
stadiums Versuche zu einer besseren Ausbildung auch der anderen GroBhimhemi-
sphare untemommen werden. Deshalb sollen:
1. Linkshandige Kinder (am besten immer im Einzelfall durch einen Sach-
verstandigen zu bestimmen) nicht durch Erziehungs- oder sonstige MaBnahmen
zu rechtshandigen umzuwandeln versucht werden.
2. Schwachbegabte oder in ihrer sprachlichen Entwicklung zuriickgebliebene
bzw. gestorte linkshandige Kinder in der Vervollkommnung ihrer Linkshandigkeit
unterstiitzt und nicht durch Versuche einer besseren Ausbildung der rechten Hand
geschadigt werden.
3. Auch rechtshandige Kinder nicht zur Doppelhandigkeit absichtlich erzogen
werden, unter keinen Umstanden aber dann, wenn schon gewisse Schadlichkeiten
(Sprachhemmung usw.) auf eine Disharmonie der unilateralen funktionellen GroB-
himhemispharendifferenzierung hinweisen.
Gesunde Erwachsene, sowohl rechtshandige wie linkshandige, konnen da-
gegen rahig MaBnahmen unterworfen werden, die auf einen Ausbau auch der un-
geschickteren Hand abzielen, denn wir konnen wohl annehmen, daB nach dem
AbschluB der unilateralen Himdifferenzierang eine Leistungsvervollkommnung
auch der ungeschickteren Hand primar immer nur sich durch die uberwertige He-
misphare vollzieht und deshalb auch dieser in erster Linie zugute kommt.
Endlich waren noch therapeutische Versuche anzufiihren, die den abnormen
und kranken Menschen betreffen und von dem Gedanken ausgehen, daB, wenn
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232 DR. GABRIEL STEINER. Ne^rotorie**
die superiore Hemisphare geschadigt ist, durch gewisse tlbungen die friiher inferiore
jetzt zur superioren gemacht werden kann und damit verloren gegangene Funktionen
wieder zu ihrer friiheren Leistungsfahigkeit gebracht werden konnen. Hierher
gehoren systematische Einiibungsversuche der linken Hand in Fallen von Aphasie.
Gutzmann (3) konnte so einen auffallenden Parallelismus zwischen der Besserung
der Artikulationsfahigkeit und der Besserung der Schreibfahigkeit der linken Hand
konstatieren, was nach ihm nicht als Beweis fur die erwahnte Therapie, sondern
hochstens nur zu ihrer Illustration dienen kann. Stier (11), dem wir denwesent-
lichsten Fortschritt in der Erkenntnis der Linkshandigkeit verdanken, ist der An-
sicht, daB es sich bei Stotterern lohnen durfte, zu therapeutischen Zwecken die
inoglichst intensive Lateralisierung der Himfunktionen zu erstreben durch syste-
matische Cbungen dcr besser veranlagten Hand bzw. der ganzen superioren Him-
hiilfte. Meiner Ansicht nach sind alle diese therapeutischen MaBnahmen nur dann
von Wert, wenn eine Vikariierung, cine funktionelle Stellvertretung der einen
GroBhirnhemisphare durch die andere oder von Teilen der einen durch Teile der
anderen tatsachlich mogiich ist; dann aber, wenn diese bis jetzt noch fragliche
Voraussetzung richtig ware, konnte (iberhaupt bei Erkrankungen nur in der iiber-
wertigen Hemisphare eine Umwandlung der bis jetzt inferioren Himhalfte zur su¬
perioren durch therapeutische MaBnahmen ganz generell versucht werden und so
eine schwere Schadigung zum groBen Teil gemildert werden.
Meinem hochverehrten Chef, Herm Geheimrat Prof. Dr. Wollenberg,
sage ich verbindlichsten Dank fiir das Interesse, das er dieser Arbeit entgegen-
gebracht hat.
Literaturverzeichnis.
1. Fracnkel, Manfred, Spicgelschrift und Fehlhandlungen der linken Hand bei Rechts-
gclahmten (Apraxic). Arch. f. Psych. 43, 1307. 1908.
2. Goldschmidt, Einfiihrung in die Vererbungswissenschaft. Leipzig 1911. S. 264.
3. Gutzmann, Hermann, t'ber die Behandlung der Aphasie. Berl. klin. Wochenschr. 38, 741*
1901.
4. Heilig und Steiner, Zur Kenntnis der Entstehungsbedingungen der genninen Epilepsie.
Zeitschr. f. d. ges. Neurol, u. Psych. 9, 633 ff. 1912.
5. Liepmann, Drei Aufsatze aus dem Apraxiegebiet. Die linke Hemisphare und das Handeln.
S. 46.
6. — Obcr die wissenschaftlichen Grundlagen der sog. Linkskultur. Deutsche med. Wochenschr.
1911 und Autoreferat in Zeitschr. f. d. ges. Neurol, u. Psych. 3, 729. 1911. Referaten teil.
7. C. v. Monakow, T)ber Lokalisation dcr Hirnfunktionen. Wiesbaden 1910. S. 17.
8. Ramon y Cajal, Die Struktur des Chiasma opticum nebst einer allgemeinen Theorie der
Kreuzung der Ncrvenbahnen. Cbersctzt von J. Bresier. Leipzig 1899.
9. Spitzer, Alexander, t)ber die Kreuzung der zentralen Nervenbahnen und ihre Beziehungen
zur Phylogenese des Wirbcltierkorpers. Leipzig 1910. S. 240.
10. Steiner. tJber die Beziehnngen der Epilepsie zur Linkshandigkeit. Monatsschr. f. Psych.
u. Neurol. 30, 119ff. 1911.
11. Stier, Untersuchungen liber Linkshandigkeit und die fnnktionellen Differnzen der Him-
halften. Jena 1911. S. 306, 310, 33s.
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BD ‘ 6 ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 233
Aus dem anatomischen Laboratorium der Kgl. Universitatsklinik fur Gemuts- und
Nervenkrankheiten zu Tubingen.
Mikrometrische Untersuchungen fiber die Zelldichtigkeit
der GroBhirnrinde bei den Affen.
Von
Otto Mayer,
Medizinalpraktikant und Assistent an der Klinik.
2 Tafeln.
Inhalt.
I. Einleitung.
II. Technik.
III. Ergebnisse.
1. Die ortlichen Unterschiede des Zellreichtums der GroBhirnrinde bei verschiedenen Affen.
2. Der Zellreichtum homologer Rindenfelder bei verschiedenen Affenarten.
3. Der Zellreichtum in verschiedenen Schichten des Rindenquerschnitts bei jedem Felde
und jedem Tiere.
I, Einleitung.
Unter den Teilaufgaben der vergleichenden histologischen Lokalisation der
GroBhirnrinde ist eine der wichtigsten und dringendsten die genaue mikrometrische
Bestimmung der absoluten und relativen Zelldichtigkeit, oder des Zellreichtums
innerhalb der verschiedenen lokalisatorisch abgrenzbaren Rindenfelder, und ein
Vergleich des Zellgehalts homologer Bezirke beim Menschen und bei den verschie¬
denen Saugetiergruppen.
Auf Veranlassung von Herm Dr. B rod man n habe ich aus einer groBeren,
von ihm seit langerer Zeit in Angriff genommenen derartigen Untersuchungsreihe,
die sich auf die verschiedenen Ordnungen des Saugetierstammes erstreckt, die
Bearbeitung der GroBhirnrinde der Affen ubemommen.
Als Material standen mir Gehirne von 7 verschiedenen Simier-Arten zur Ver-
fiigung, namlich von Schimpanse (Anthropopithecus), Gibbon (Hylobates), Husaren-
affe (Erythrocebus), Meerkatze (Cercopithecus), Kapuzineraffe (Cebus), Totenkopf-
affchen (Saimiris) und Krallenaffe (Hapale), also von 2 Anthropomorphen, 2 nie-
deren Ostaffen und 3 Westaffen. Das Schnittmaterial stammt aus der im Labora¬
torium der Klinik angefertigten Sammlung von Himserien und ist nach einheit-
lichen technischen Grundsatzen hergestellt, wie sie friiher wiederholt beschrieben
'worden sind: Formolhartung, Paraffineinbettung, liickenlose Serienschnitte von 10
und 20 ft Dicke auf dem Doppelschlittenmikrotom gefertigt, vereinfachte Farbung
nach Nissl.
Zweck und Aufgabe meiner Untersuchungen war, festzustellen:
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234
OTTO MAYER.
Journal f. Psycho lofie
und Nenrologie.
1. die ortlichen Unterschiede des Zellreichtums der GroBhirnrinde, d. h.
die Unterschiede in den verschiedenen, lokalisatorisch abgegrenzten Rindenfeldem
bei jeder einzelnen Affenart;
2. die Unterschiede im Zellreichtum homologer Felder bei den verschie*
denen Affenarten;
Fig. I u. 2. Rindenfclderung der Affenhemisphare nach Brodmann.
3. die Unterschiede des Zellreichtums in den verschiedenen Schichten
der einzelnen Felder bei jeder Affenart. (Tafel 8 u. 9.)
Unseren Untersuchungen wurde die von Brodmann angegebene Felderein-
teilung der GroBhirnrinde der Affen, sowie auch dessen Schichtengliederung zu-
grunde gelegt (Fig. 1 u. 2).
Es konnte nicht unsere Aufgabe sein, samtliche histologischen Felder bei jedem
der genannten Tiere durchzuzahlen, sondern wir beschrankten uns auf einige struk-
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BD. 19, HEFT 6
1912.
ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 235
turelle Hauptgebiete. MaBgebend fur die Auswahl waren Gesichtspunkte histo-topo-
graphischer Art; wir wahlten demnach solche Gebiete, welche einerseits eine beson-
ders charakteristische Struktur besitzen und dadurch eine leichte Abgrenzbarkeit
gestatten, andererseits solche, deren Homologie bei alien Tieren eine absolut sicher-
gestellte ist. Als solche Gebiete kamen in erster Reihe in Betracht (vgl. Fig. 1 u. 2):
1. die Regio praecentralis mit den beiden Feldem 4 und 6 (Area gigantopyrami-
dalis und Area fronto-agranularis);
2. die Regio postcentralis mit Feld 1 (Area postcentralis intermedia), Feld 3
(Area postcentralis oralis) und Feld 2 (Area postcentralis caudalis);
3. die Area striata (Feld 17);
4. die der Area striata zunachst angrenzenden und diese giirtelformig an der
Medial- und Lateralflache umspannenden, bei den Affen iiberall tibereinstimmend
gebauten und gut erkennbaren anderen Occipitaltypen: Feld 18 (Area occipitalis)
und Feld 19 (Area praeoccipitalis);
5. das Feld 7 (Area parietalis superior) als Vertreter der Parietalrinde, die
sowohl raumlich wie histologisch eine Zwischenstellung zwischen Regio postcentralis
und Regio occipitalis einnimmt;
6. als Reprasentant der eigentlichen (granularen) Stirnhirnrinde das Feld 8
(Area frontalis intermedia).
II. Technik.
Ahnliche Zellzahlungen in der GroBhimrinde wurden schon von Hammarberg
und spater von Berger vorgenommen.
Hammarberg berichtet in seinen Studien zur Klinik und Pathologie der Idiotie
fiber Zellzahlungen, die er mit Hilfe seines (von Berger genauer beschriebenen) Objekt-
netzmikrometers an einer groBeren Anzahl von normalen und pathologischen Gehirnen
angestellt hat. Er beschreibt seine Methode.wie folgt: ,,Nachdem die Zellen in eine
Anzahl von Quadraten von (o, 1 mm) 2 in derselben Tiefe der Rinde im ersten Schnitt
berechnet sind, berechnet man ebensoviele Quadrate in 10 aufeinanderfolgenden, serien-
weise angefertigten Schnitten, deren jeder 10 p ist, Oder in 5 Schnitten von 20 ^ Dicke.“
Daraus berechnete Hammarberg sodann die Zahl der in (o,i mm)* vorhandenen
Zellen, und zwar absolute Werte des Zellgehalts in den einzelnen Rindenschichten,
die er in einer hier nicht naher zu erorternden Weise abgrenzte.
Berger machte seine Zellzahlungen teils mit Hilfe des Hammarbergschen Objekt-
netzmikrometers, teils mittels einer eigenen Methode. Er projizierte ein auf einer Glas-
platte hefindliches Netz von bestimmter Seitenlange der Quadrate auf einheitlich ver-
groBerte mikrophotographische Abbildungen der zu messenden Rindenstellen. Da er
nicht absolute Zahlen, sondem nur relative Vergleichswerte erstrebte, verzichtete er
auf Schichtmessungenen und zahlte einen zusammenhangenden Rindenstreifen von
0,1 mm Breite durch die ganze Rindendicke durch und berechnete daraus die Zell-
dichtigkeit des betreffenden Rindenquerschnitts in 0,01 qmm Schnittflache bei einer
Schnittdicke von 10 fi.
Die von mir angewandte Technik entspricht der von Brodmann seit langerer
Zeit geubten. Zur Messung diente ein ZeiBsches Okulametzmikrometer (Okulametzmikro-
meter 3). Um eine moglichst einfache Umrechnung der mit dem Netzmikrometer ge-
wonnenen Zahlen zu ermoglichen, wurde durch Verstellung der Tubuslange und Aus¬
wahl eines geeigneten Objektivs mittels eines Objektmikrometers die VergroBerung derart
hergestellt, daB eine Quadratseite des Netzes gleich 0,1 mm lang war. Bei dieser An-
ordnung ergibt sich die denkbar einfachste Umrechnung der in einem MeBquadrat
befindlichen Zahl von Elementen auf die Flacheneinheit (1 qmm.), da ein MeBquadrat
gleich einem Hundertstel Quadratmillimeter ist.
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OTTO MAYER._
Bestimmt wurde die durchschnittlicheZelldichte des ganzen Rindenquerschnitts. Zu
diesem Zwecke wurden von jedem zu messenden Rindentypus durch die ganze Dicke des
Rindenquerschnitts von der Oberflache bis zur Markgrenze in einem schmalen Streifen von
0,1 mm Breite samtliche Quadrate durchgezahlt. Je nach der Dicke des Rindendurchmes-
sers kamen auf einen solchen Streifen zwischen io und 35 MeBquadrate. Meist wurden 2—3
unmittelbar nebeneinander gelegcne derartige Streifen von 0,1 mm Breite durchgezahlt,
in vereinzelten Fallen sogar 5, besonders am Anfang, als es sich noch darum handelte,
die Fehlcrgrenzen der Methodc festzustcllen und die Fehlerquellen zu bestimmen. Wir
berechneten aus den gewonnenen Einzelwerten den durchschnittlichen Zellgehalt eines
MeBquadrates (Inhalt 0,01 qmm) innerhalb eines solchen Streifens und sodann aus
der Summe allcr geinessencn Streifen den durchschnittlichen Zellgehalt des betr. Rin¬
dentypus, bezogen auf cine Rindenfliiche von 1 qmm Ausdehnung und bei einer Schnitt-
dicke von 10 /#, cin einfaches und Irrtumer so gut wie ganz ausschlieBendes Verfahren.
Femer wurden von dem gleichen Typus oder Felde an jedem Gehirne mehrere Zah-
lungen teils an den namlichen, teils an verschiedenen Schnitten angestellt. Von einer
Tierart (Hapale) standen 3 Serien (2 Horizontalserien von 2 verschiedenen Tieren und
1 Frontalserie) zur Verfugung. Auf diesem Wege ergaben sich sichere Durchschnitts-
wertc und der EinfluB groBercr Streuungen konnte vermieden werden. Auch war es
mdglich, mittels der fiir ein Feld gewonnenen Werte die mittlere Variation zu bestimmen.
Bei der mikrometrischen Auszahlung am Schnitte wurden samtliche in die Ge-
sichtsfeldebene fallenden, also bei ruhender Mikrometerschraube sichtbaren Zellelemente
innerhalb eines MeBquadrates gezahlt, unbekiimmert darum, ob eine Zelle im groBten
Durchmesser des Protoplasmaleibes mit Kern und Kemkorperchen getroffen, oder
nur an dcr Randpartie kalottenformig angeschnitten war und keinen Zellkem erkennen
lieB. Es wurde auch kein Unterschicd zwischen Ganglien- und Gliazellen gemacht,
ebensowenig wurden Bindegewebszellen und mesodermale Zellen absichthch wegge-
lassen. Es wurde also jede Willkur bei der Zahlung ausgeschlossen und alles mitgezahlt,
was von Zellen im Gesichtsfelde lag, in der Erwagung, daB fur derartige Feststellungen
eine Unterscheidung zwischen Glia- und Ganglienzellen zwecklos und auBerdem wohl
auch kaum zuvcrlassig durchfuhrbar ware, da es ja in der llauptsache nur auf die Fest-
stellung relativer Dichtigkeitsunterschiede in den verschiedenen zu vergleichenden
Teilen und bei den verschiedenen Gehimen arikam. Nur in einem Punkte wurde eine
Ausnahme gemacht, indem wir namlich bei der Auswahl der zu messenden Streifen
darauf achteten, daB keine groBeren Gefafle oder zahlreicheren Kapillarquerschnitte
mit gehauften kleinen GefaBwandzellen in den Bereich der Zahlung kamen. Wenn es
sich trotzdem bei der Durchzahlung des Rindenstreifens herausstellte, daB in einem
Quadrate zufallig mesodennale oder zweifellos gliose Elemente sich ungewohnlich
hauften, so wurde absichtlich dieses Quadrat ubergangen und ein nachtbenachbartes
Quadrat gezahlt.
Fiir die Mcssungen der Zellzahl in einzelnen Schichten (Schicht III, IV und V
nach Brodmann) wurden bei Schicht III und V die zellarmsten Stellen, bei Schicht IV
die Stellen der groBten Zelldichte ausgewahlt, aus ihnen eine groBere Reihe von Quadraten
in jedem Felde durchgezahlt, daraus der Durchschnittswert fur ein Meflquadrat ge-
zogen und dies Ergebnis in der angcgel>enen Weise auf 1 qmm umgerechnet.
III. Ergebnisse.
1. Die ortlichen Unterschiede des Zellreichtums der GroBhirnrinde bei den
verschiedenen Affen.
Wie die vergleichende Lokalisationslehre gezeigt hat, bilden die ortlichen
Unterschiede im Zellreichtum ein Hauptmerkmal der strukturellen Differenzierung
der GroBhirnrinde. Im Groben sind diese Unterschiede von den friiheren Autoren,
die sich mit der Lokalisation der Affenrinde beschaftigten, bereits festgestellt.
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BD. 19, HEFT 6
1912.
ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 237
Schon der bloBe Augenschein zeigt an Schhittserien iiberzeugend, daB das Stimhirn
im allgemeinen viel zellarmer ist, als der Ocdpitallappen und daB der letztere mit
zu den zellreichsten Rindenteilen gehort (Brodmann).
Unsere mikrometrischen Feststellungen, die in Tabelle 1 zusammengestellt sind,
haben dies nur bestatigen konnen, sie sollen indessen gleichzeitig ein exaktes zahlen-
maBiges Vergleichsmaterial fiir weitere derartige Untersuchungen an anderen Tier-
gruppen geben.
Tabelle 1. Der absolute und relative Zellgehalt der regionaren Rindenfelder bei den
einzelnen Tieren.
Name
Frontal*
typus
Prizentral-
typen
Postsen trsltypen
Parietal*
typus
Ocdpitaltypen
Felder
8
6
4
3
X
3
7
»9
18
17
absol. Zellzahlen
Schimpanse
fur 1 qmm
relat. Zellgehalt
1642
1136
1172
1718
1618
1658
1944
1813
2065
2888
in Prozenten
56,8
39,3
40,6
59,5
56,0
57,4
67,3
62,8
7 i ,5
100
Gibbon
absol. Zellzahlen
2574
2370
2363
3453
2918
3077
2848
3150
4107
4740
relat. Zellgehalt
54,3
50,0
49,8
72,8
61,5
64,9
60,1
66,5
86,6
100
Erythrocebus
absol. Zellzahlen
2060
1923
1845
3143
2372
246s
2280
2872
3572
4985
relat. Zellgehalt
41,3
38,6
37 ,o
63,0
47,6
49,4
45,7
57.6
71,6
100
Cercopithe-
absol. Zellzahlen
2430
1910
1750
2705
23 H
2471
2660
3549
3650
4277
cus
relat. Zellgehalt
56,8
44,6
40,9
63,2
54 ,i
57,8
62,2
83,0
85,3
100
Cebus
absol. Zellzahlen
2883
2318
2383
3515
2987
3043
3520
4140
4850
6170
relat. Zellgehalt
46,7
37,6
38,6
57 ,o
48,4
49,3
57 ,o
68,7
78,6
100
Saimiris
absol. Zellzahlen
2930
2540
2370
3470
39 io
3594
4300
5980
relat. Zellgehalt
49,0
42,5
39,6
58,0
65,4
60,1
7 i ,9
100
Hapale
absol. Zellzahlen
2835
2407
2414
3598
3210
3406
4218
5197
relat. Zellgehalt
54,6
46,3
46,5
69,3
61,8
65,5
81,1
100
Tabelle I enthalt in der ersten vertikalen Spalte von oben nach unten die zur
Zellzahlung ausgewahlten Tiere; in der Horizontalen sind zu oberst die bei jedem
Tiere gemessenen Rindenfelder einzeln aufgezahlt und zwar von links nach rechts,
in der Reihenfolge, wie sie auf einem Horizontalschnitte bzw. in der topographischen
Himkarte (Fig. 1 u. 2) aneinander grenzen, links mit dem Stimhirn beginnend,
nach rechts zum Ocdpitallappen fortschreitend. Von jedem einzelnen Tier stehen
an erster Stelle die absoluten Zellzahlen, die den Zellgehalt eines Rindenfeldes
in 1 qmm Rindenflache bei 10 p Schnittdicke darstellen. An zweiter Stelle sind
die entsprechenden Werte der relativen Zelldichtigkeit nach Prozenten auf¬
gezahlt. Der relative (prozentuelle) Zellgehalt wurde in folgender Weise bestimmt.
Wir gingen bei jedem Gehim von dem zellreichsten Felde aus (ausnahmslos Feld 17
oder Calcarinatypus bei alien Tieren), setzten dessen absolute Zellzahl = 100 und
bestimmten aus den absoluten Zahlen der iibrigen Felder ihren relativen Zellgehalt
im Vergleich zu diesem jeweils zellreichsten Feld 17.
Wir wollen mit der naheren Beschreibung der Einzelergebnisse beim Cebus
beginnen und dann die iibrigen Tiere summarisch anschlieBen. In Tafel 8 sind
Rindenquerschnitte samtl'.cher untersuchten Typen von Cebus bei einheitlicher Ver-
Jouraal fhr Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . 1 b
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und Neurologic-
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groBerung (30:1) mikrophotographisch abgebildet. Die Figuren lassen mit bloBem
Auge die groBen Unterschiede im Zellreichtum der verschiedenen Typen erkennen.
An erster Stelle von alien Rindengebieten steht bei Cebus in bezug auf Zell-
gehalt die Rinde der Regio occipitalis und in ihr wiederum ist bei weitem am zell-
reichsten das Feld 17 (Tafel 8, Typus 17). Es enthalt im Durchschnitt 6170 Zellen
auf 1 qmm Schnittflache berechnet; ihm folgt an zweiter SteUe mit einem viel ge-
ringeren Zellreichtum und mit einer auch in den iibrigen tektonischen Merkmalen
wesentlich abweichende Schichtungsstruktur Feld 18, das nur 4850 Zellen ini qmm
aufweist (vgl. Typus 18, Tafel 8); dann reiht sich wieder in groBerem Abstande Feld 19
mit 4140 Zellen in 1 qmm an (Typus 19, Tafel 8).
Bei der Berechnung der relativen Zelldichtigkeit wurde, wie oben erwahnt,
der absolute Zellgehalt von Feld 17, das bei Cebus wie iiberhaupt bei alien unter-
suchten Tieren den groBten absoluten Zellreichtum aufweist, gleich 100 gesetzt
und die Werte der anderen Felder danach umgerechnet. So betragt bei Cebus
der relative Zellgehalt des Feldes 18 = 78,6%, der des Feldes 19 = 68,7% von
Feld 17 = (100%).
An den Occipitallappen reihen sich, wieder durch Variierung des Zellgehalts,
wie auch durch andere Strukturdifferenzen sich deutlich abgrenzend, die Felder
des Parietallappens an, bei Cebus Feld 7, das mit 3520 Zellen in 1 qmm weit hinter
Feld 19 zuriickbleibt.
.Nach vome von der Regio parietalis folgt die Regio postcentralis, regionar
genau auf die hintere Zentralwindung begrenzt, in ihr weist Feld 2, die hint ere
Lippenrinde, init 3043 Zellen, aber auch der Kuppen-Typus, Feld I, mit 2987 Zellen
sehr niedere Werte auf, wahrend das oraler gelegene, die Zentralfurche hinten begren-
zende Feld 3 wieder eine groBere, der Parietalrinde nahezu gleichkommende Zell¬
dichtigkeit besitzt, namlich 3515 Zellen in 1 qmm gegeniiber 3520 Zellen in Feld 7.
Unmittelbar nach vome von dem relativ zellreichen Felde 3 der Regio post-
centralis schlieBt sich die Regio praecentralis mit einem sehr viel niedrigeren Zell¬
gehalt an. Die beiden Strukturtypen (Feld 4 und 6) dieser Zone sind die iiberhaupt
zellarmsten Felder der GroBhimrinde, die wir gemessen haben; Feld 4 weist nur
einen Zellgehalt von 2383 Zellen in 1 qmm auf, Feld 6 ist noch um ein Geringes
zellarmer mit 2318 Zellen in 1 qmm Schnittflache, das ist weit weniger als
die Halfte, nahezu nur 1 / 3 des Zellgehaltes der Occipitalrinde in der
Raumeinheit.
Dabei ist es vom Standpunkte der Rindendifferenzierung besonders wichtig,
daB der Unterschied in der Zelldichtigkeit beim Cbergang von Feld 3 in Feld 4
— im weiteren Sinne zwischen der Regio postcentralis und praecentralis — ganz
plotzlich einsetzt und schon fur sich eine deutliche tektonische Grenzmarke zwischen
den beiden hier zusammenstoBenden Stmkturgebieten darstellt.
Durch ihren wenig differenten und absolut wie relativ ziemlich ubereinstimmen-
den Zellgehalt kennzeichnen sich die beiden Felder 4 und 6, ganz abgesehen von
den iibrigen gemeinsamen Baueigentiimlichkeiten als ein strukturell zusammen-
gehoriges Rindengebiet. Sie sind daher auch von Brodmann als Regio prae¬
centralis zu einer tektonischen Hauptzone zusammengefaBt und unter Aufgabe
des alten Begriffes der Regio rolandica von der Regio postcentralis abgetrennt
worden.
Got gle
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BD * 19 to?& ^ 6 zelldichtigkeit der grosshirnrinde der affen. 239
Oralwarts von der Regio praecentralis, also anschlieBend an das Feld 6, folgt
ein der Regio frontalis angehoriges Rindengebiet, das wieder einen groBeren Zell-
reichtum als die Regio praecentralis aufweist, das Feld 8 (bzw. Feld 9) mit 2883 Zellen
in 1 qmm.
Um die regionaren Differenzen des Zellreichtums noch anschaulicher zu machen,
wurde in Figur 3 der absolute Zellgehalt der einzelnen Rindenfelder von jedem
Gehim graphisch zur Darstellung gebracht. Die Hohe der Stabe gibt die GroBe
des Zellreichtums an. Es zeigt sich nun auf den ersten Blick, daB bei Cebus, um
vorerst immer noch von diesem Tier auszugehen, eine gesetzmaBig abgestufte Ab-
nahme der Zelldichtigkeit von hinten nach vome besteht, derart, daB der Occipital-
lappen, speziell Feld 17, den groBten Zellreichtum der ganzen Rindenoberflache
aufweist, daB der Zellreichtum nach vome zu rasch und erheblich abnimmt in den
Feldem der Regio parietalis und postcentralis, in der letzteren verglichen mit
der ScheiteJrinde etwas zunimmt, am niedrigsten ist in der Regio praecentralis
und nach vome von dieser in der Regio frontalis wieder um ganz wenig ansteigt.
Dieselbe gesetzmaBige Abstufung des Zellgehaltes der GroBhimrinde fanden
wir nun, wie aus Figur 3 ohne weiteres zu ersehen ist, bei alien untersuchten
Affenarten in weitgehender Obereinstimmung mit Cebus. tlberall ist der hochste
Punkt der Kurve bei Feld 17. Von da sinkt die Kurve iiber Feld 18 zu Feld 19.
Im Parietallappen (Feld 7) zeigt sie bei den einzelnen Tieren einen etwas verschie-
denen Verlauf; nur bei Schimpanse, Gibbon und Saimiris weist Feld 7 in der Regio
parietalis einen etwas groBeren Zellgehalt auf, als das Feld 19 aus dem Occipital-
lappen, wahrend es sich bei den anderen Affen umgekehrt verhalt.
Bei den furchenlosen bzw. furchenarmen Gehirnen von Saimiris und Hapale
ist in der Regio postcentralis nur ein Feld abzugrenzen (Feld 1—3). Auch dieses
Feld steht bei den beiden Tieren beziiglich seiner Zelldichtigkeit zwischen der zell-
reichen Regio occipitalis und der zellarmen Regio praecentralis, nur bei Hapale
weist Feld 19 eine etwas niedrigere Zelldichtigkeit auf als Feld 1—3, wie dies oben
auch bei anderen Tieren erwahnt wurde.
Annahemd gleichen Zellgehalt besitzen die Felder 4 und 6 der Regio prae¬
centralis. Es kommen nur geringfiigige Schwankungen vor, insofem bald das eine,
bald das andere Feld etwas groBeren Zellgehalt aufweist; doch konnen diese Diffe¬
renzen noch innerhalb der Fehlergrenzen liegen, so daB man wohl behaupten kann:
Feld 4 und Feld 6 sind im allgemeinen annahemd gleich zellreich.
Obwohl also die Dichtigkeitskurven in ihrem Gesamtverlaufe bei alien Tieren
eine weitgehende Dbereinstimmung zeigen, d. h. qualitativ gleichartig sind (Tabelle 2),
so kommen doch nicht unerhebliche quantitative Unterschiede in dem Grad des
Kurvenabfalls und Anstiegs zwischen den verschiedenen Tieren vor. Die Abnahme
der Zelldichtigkeit vom zellreichsten Gebiet zu den Feldem geringerer Zelldichte
ist nicht etwa bei alien Tieren eine genau gleichmaBige; bei dem einen Tier er-
folgt vielmehr der Abfall rascher, bei dem anderen langsamer. Diese Tatsache
ist aus dem Verlauf der Kurven in Tabelle 2 ohne weiteres ersichtlich, sie wird
besonders deutlich, wenn man die relativen Dichtigkeitswerte der Rindenfelder
bei den verschiedenen Tieren im einzelnen vergleicht (Tabelle 1).
Im Ocdpitallappen ist der Unterschied in der Zelldichtigkeit der gemessenen
Rindenfelder 17, 18 u. 19 bei den verschiedenen Tieren recht verschieden groB. Am
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240
OTTO MAYER.
Journal t Psycholo^ie
nnd Neurologic.
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BD. 19. HEFT 6
1912 .
ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 241
groBten ist der Abfall der Zellzahl von Feld 17 zu Feld 19 beim Husarenaffen; hier
ist die relative Zelldichtigkeit des Feldes 19 = 57,6%, also 42,4% niedriger, als die
von Feld 17. Am geringsten ist der Unterschied zwischen diesen beiden Feldem bei
Cercopithecus, indem Feld 19 mit einer relativen Zelldichtigkeit von 83% nur um
17% zellarmer ist als Feld 17. Beim Husarenaffen muB demnach die Zellvermin-
derung innerhalb des Occipitallappens von hinten nach vome, d. h. von Feld 17
zu Feld 19, um das 2 1 /jfache groBer angenommen werden, als bei Cercopithecus.
Auch der Parietallappen des Feldes 7 nimmt bei verschiedenen Affen beziig-
lich seiner relativen Zelldichtigkeit eine wechselnde Stellung ein. Diese letztere
schwankt zwischen 45,7% bei Husarenaffe und 67,3% bei Schimpanse, also um
mehr wie 20%.
Weniger groB ist die Schwankung der relativen Zelldichtigkeit zwischen den
3 Feldem der Regio postcentralis. Die Differenz des Zellreichtums zwischen dem
zellreichsten Feld 3 und dem anstoBenden innerhalb dieser Zone zellarmsten Feld 1 ist
gleichfalls am groBten beim Husarenaffen und betragt 15,4% zu gunsten von Feld 3,
sie ist am geringsten beim Schimpansen mit einem Unterschi edder beiden Felder von
nur 3 , 5 %« Zwischen Feld 3 und Feld 2 sind die Unterschiede der relativen Zell-
dichte etwa der zwischen Feld 3 und Feld 1 entsprechend. Dagegen zeigt das Ver-
haltnis der Zelldichtigkeit zwischen Feld 1 und Feld 2 bei den einzelnen Tieren
kaum nennenswerte Schwankungen. GroBere Differenzen kommen wieder heraus,
wenn man die relativen Zellzahlen der postzentralen Felder bei den verschiedenen
Tieren miteinander vergleicht, mit anderen Worten den Grad der Abstufung der
Zefldichte vom Occipitallappen nach den Feldem der Regio postcentralis feststellt.
Am starksten ist die Abstufung bei Cebus (57%, 48,4% und 49,3% in Feld 3, 1
und 2), am geringsten bei Gibbon (72,8%, 61,5% und 64,0% bei den namlichen
Feldem).
Genau das gleiche Verhaltnis treffen wir in der Regio praecentralis. Auch hier
weisen die Felder 4 und 6 bei Cebus (und Erythrocebus) die geringste, bei Gibbon
die groBte relative Zelldichtigkeit auf.
Bemerkenswert ist dagegen die Tatsache, daB die relative Zelldichtigkeit
zwischen Feld 4 und Feld 3, also den aneinandergrenzenden Feldem der Regio
praecentralis und postcentralis bei alien untersuchten Tieren fast um den gleichen
Betrag differiert und nur innerhalb sehr enger Grenzen schwankt. Am niedrigsten
ist der Unterschied bei Schimpanse (18,6%), Cebus (18,4%) und Saimiris (18,4%),
am groBten bei Erythrocebus (26,0%). Der hochste und niedrigste Wert weichen
also nur um etwa 7% von einander ab.
In der Regio frontalis schlieBlich (Feld 8) schwankt der relative Zellgehalt bei
den einzelnen Tieren zwischen 56,8% (Schimpanse und Cercopithecus) und 41,3%
(Erythrocebus). Im Vergleich zu dem angrenzenden Feld 6 der Regio praecentralis
ubertrifft die Zelldichtigkeit von Feld 8 die des Feldes 6 am meisten bei Schimpanse
(um 17,5%), am wenigsten bei Erythrocebus (um 2,7%).
Unsere mikrometrischen Feststellungen iiber die regionaren Zelldichtigkeits-
verschiebungen innerhalb der GroBhimrinde bei verschiedenen Affen bringen eine
Bestatigung friiherer Untersuchungen, indem sie zahlenmaBig eine gesetz-
maBige Abstufung des Zellreichtums an der GroBhirnoberflache be-
weisen, derart, daB gewisse „Dichtigkeitszentren“ bestehen, die einen
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242
OTTO MAYER.
Journal f. Piychologie
und Neurologic
auBerordentlich groBen Zellreichtum aufweisen, abwechselnd mit
Gebieten, in denen der Zellreichtum relativ und absolut ein sehr
viel geringerer ist.
Solche Dichtigkeitszentren sind, wie schon Brodmann gezeigt hat, folgende:
1. Die Regio occipitalis mit dem fokalen Feld 17 oder der histologischen Seh-
sphare, die die groBte Zelldichtigkeit der ganzen GroBhimrinde bei alien unter-
suchten Affen besitzt.
2. Die Regio postccntralis , die ebenfalls einen Dichtigkeitsfokus in Feld 3 hat,
das seinerseits unmittelbar benachbart ist und angrenzt an das auBerordentlich
zellarme Feld 4 nach vome und an das gleichfalls zellarmere Feld 1 nach hinten.
3. Innerhalb der Regio frontalis ein mittlerer Sektor, der sich oralwarts an
die Regio praecentralis anschlieBt und etwa dem Feld 8 (9) der Brodmannschen
Himkarte entspricht. Wie wir gesehen haben, liegt nach vome von der Regio post¬
centralis der konst ant zellarmste Bezirk, den wir gemessen haben, die Regio prae¬
centralis oder die motorische Zone mit den beiden Feldem 4 und 6. Nach vorne
von dieser Region beginnt nochmals eine Dichtigkeitszunahme, hauptsachlich durch
das Wiederauftreten einer inneren Kornerschicht (Schicht IV) bedingt, die aber
gegen den Frontalpol wiederum einer weiteren Zellverringerung Platz macht, be-
sonders nach der Medialflache zu, so daB auch hier eine Art frontaler Verdich-
tungszone neben der postcentralen und occipitalen abzugrenzen ware.
Innerhalb dieser Dichtigkeitszentren selbst ist nun aber der Zellreichtum
nicht ein gleichmaBiger, sondem es findet in ihrem Bereich nochmals zumeist
eine gesetzmaBige Abstufung derart statt, daB in jedem Zentrum von einer Art
Fokus ausgehend die Zellzahl exzentrisch geringer wird und zwar durchweg in
volliger Ubereinstimmung mit der durch die histologische Lokalisation gegebenen
regionalen Feldergliederung, namlich in der Occipitalzone von Feld 17 abnehmend
iiber das Feld 18 und Feld 19 zu den Feldem des Scheitellappens. In der post-
zentralen Region von dem zellreichsten Felde 3 einerseits nach vome iiber die
Zentralfurche hinweg gegen die sehr zellarme prazentrale Region, andererseits nach
hinten iiber die noch der postzentralen Windung angehorigen, bereits etwas weniger
zelldichten Felder 1 und 2 zu der noch zellarmeren Rinde des Parietallappens. Und
in ahnlicher Weise schlieBlich erfolgt die Dichtigkeitsabnahme auch im Frontallappen
von Feld 8 aus einerseits nach hinten gegen die Regio praecentralis, andererseits
nach vome gegen die iibrigen Felder des Stimhims.
In diesem gesetzmaBigen Verhalten kommt ein fiir alle Affen charakteristischer
histologischer Differenziemngsvorgang der GroBhimrinde zum Ausdruck, der sich
bekanntlich in derselben konstanten Weise auch noch in anderen tektonisch-struk-
turellen Merkmalen kundgibt, wie in Differenzen der Rindenbreite, der ZellgroBe,
der spezifischen Schichtungsausbildung, der Schichtenzahl u. a.
x ) Im Laufe der Untersuchungen wurde mehrfach auch der Zellgehalt an der Konvexitat
der Rindenoberflache mit dem aus Messungen desselben Feldes an der Medialflache resultie-
renden Zellgehalt verglichen, und die Frage untersucht, ob zwischen dem Zellgehalt an der
Medialflache und der Konvexitatsflache ein konstantes Verhaltnis bestehe, eine Vermutung,
die durch eine Reihe von Resultaten nicht bestatigt wurde. Bald uberwiegt der Zellgehalt an
der Medialflache, bald der an der Konvexitatsflache.
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BD. 19, HBFT 6
1912.
ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 243
2. Vergleich des Zellreich turns homologer Rindenfelder bei verschiedenen Tieren.
Vielfach hat man die Zelldichtigkeit der GroBhimrinde als MaBstab fur die
Organisationshohe eines Gehims und in weiterer SchluBfolgerung sogar fiir die In-
telligenz eines Tieres nehmen wollen. Die Ansichten der Autoren stehen in diesem
Punkte jedoch einander diametral gegeniiber, indem von den einen die zellreichere,
von den anderen die zellarmere Rinde als die hoherentwickelte und dem-
entsprechend das betreffende Tier als das geistig hoherstehende betrachtet wird.
Dabei sind selbst die Angaben liber den wirklichen Zellgehalt bei den verschiedenen
Gruppen auBerordentlich widersprechend. Marburg z. B. behauptet, daB je tiefer
man in der Affenreihe absteige, desto zellarmer werde die Rinde und desto mehr
verloren sich demnach auch die Schichten; die hoherstehenden anthropomorphen
Affen muBten demnach eine zellreichere Rinde haben, als die niedrigstehenden
Krallenaffen und ferner miiBte man, da Marburg geneigt ist, seine Affenbefunde
auf die Saugetierrinde iiberhaupt zu iibertragen, zu dem Schlusse kommen,
daB auch der Mensch durchweg oder zum mindesten im Durchschnitt eine zell¬
reichere Rinde besitze als alle anderen Saugetiere, vor allem als ein tiefstehendes
Nagetier, wie etwa eine Maus und ahnliche kleine Tiergattungen. Dem stehen
aber die Angaben Nissls entgegen, der aus seiner bekannten Lehre vom nervosen
Grau folgert, daB die hoherentwickelte (menschliche) Rinde die zellarmere
ist, da der groBere Teil des Raumes hier eben nicht durch Zellen, sondem durch
jenes spezifische nervose Element, das er als „Grau“ bezeichnet, eingenommen werde.
Diese Widerspriiche erklaren sich, wie Brodmann schon in seiner „Ver-
gleichenden Lokalisationslehre" dargelegt hat, in einfacher Weise aus einem dop-
pelten Grunde. Einmal beruhen die friiheren Angaben zumeist nur auf Schatzungen
und es fehlte an genauen zahlenmaBigen Feststellungen des Zellgehalts mittels
des Mikrometers. Zweitens aber, und das ist der wichtigste Grand, der alle jenen
friiheren Aufstellungen als hinfallig erscheinen laBt, wurden bei den friiheren Unter-
suchungen die ortlichen Differenzen im Zellreichtum, d. h. die Lokalisationsdaten,
nicht oder nur ungeniigend beriicksichtigt, sie konnten es auch nicht, da ja die
eigentliche Lokalisationslehre erst jiingeren Datums ist. So kam es, daB ganz un-
gleichartige Teile miteinander verglichen wurden, etwa ein zellreicher Bezirk im
einen Gehim mit einem zellarmen Felde in einem anderen Gehime, oder das eine Mai
beispielsweise die Sehsphare mit der motorischen Rinde, und ein anderes Mai diese
mit einem funktionell ganz andersartigen, an sich viel zellreicheren Teile des Stim-
lappens. Die Unterscheidung nach groBen Himabschnitten (Lappen, Windungen) ist
vom Standpunkte der histologischen Lokalisation jedenfalls fiir Zellvergleichungen
unzureichend, da innerhalb eines solchen Bezirkes wieder sehr weitgehende histo-
topographische Differenzen, also auch Unterschiede im Zellreichtum bei ein und
demselben Tiere bestehen konnen. Brodmann fordert deshalb, daB vergleichende
Bestimmungen der Zelldichtigkeit nur unter strengster Beriicksichtigung der topi-
schen Lokalisation, d. h. der innerhalb jedes Gehirnes vorkommenden regionaren
Differenzen vorgenommen werden diirfen und daB zu diesem Zwecke systematische
Mikrometerzahlungen notwendig sind.
Aber gerade unter solchen Bedingungen ergibt sich, wie Brodmann ausfiihrt,
„daB hinsichtlich des Zellreichtums verschiedener Tiere so einfache Beziehungen,
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244
OTTO MAYER.
Journal f. Psychologic
ond Neurologic.
wie man sie bisher angenommen hatte, nicht bestehen. Es laBt sich nicht einmal
ein einfaches Verhaltnis zwischen Tieren der gleichen Ordnung nachweisen, ge-
schweige denn, daB eine GesetzmaBigkeit fiir die ganze Mammalierreihe bestehe,
weder laBt sich sagen, daB die niedrigerstehenden Tiere im Vergleich zu den hoheren
die zellreichere Rinde haben (Nissl), noch auch ist die gegenteilige Ansicht richtig,
daB die niedere Rinde (oder die minderwertigere) die zellarmere sei [Kaes, Mar¬
burg (7)]“. — Es sei vor allem „nicht richtig, was Marburg angibt, ,daB, je tiefer
man in der Affenreihe steigt, desto zellarmer die Rinde wird‘“. Eher das Gegenteil
sei richtig, da von alien damals von ihm untersuchten Affen die durchschnittlich
unstreitig zellreichste Rinde bei den Hapaliden, also bei der niedrigsten Familie, vor-
komme; „aber damit sei nicht gesagt, daB nun in der Ordnung der Primaten auf-
steigend der Zellreichtum in geradem Verhaltnis abnimmt.“ — Er vermiBt ein
solches Verhaltnis selbst beim Vergleich homologer Gebiete; in einem Falle mar-
schiere ein Primate mit dem groBeren Zellreichtum eines Typus anjTler Spitze, im
anderen Falle ein Nagetier oder Beuteltier. — „Aus der groBeren oder geringeren
Zelldichtigkeit der GroBhirnrinde einen SchluB auf die Organisationshohe eines
Gehirns machen zu wollen, muB daher als ein im Prinzip verfehlter Versuch be-
zeichnet werden."
Unsere mikrometrischen Feststellungen haben auch in diesem Punkte eine
Bestatigung der Ansichten von Brodmann gebracht. Wie ein Blick auf Tabelle 1
und Figur3 zeigt, laBt sich in der Reihe der von uns untersuchten Tiere
eine durchgehende GesetzmaBigkeit im Zellgehalt, die zu der syste-
matischen Rangordnung dieser Tiere in Parallele zu stellen ware, nicht
erkennen. Wohl hat das hochstentwickelte Tier unserer Reihe, der Schimpanse, in
alien Feldern die niedrigsten absoluten Zelldichtigkeitswerte. Doch konnten wir
andererseits eine konstante und gleichmaBige Steigerung des Zellreichtums in der
Affenreihe absteigend und jeweils der niedrigeren Entwicklungsstufe der betreffen-
den Tiere entsprechend, nicht nachweisen. Wir miissen in dieser Beziehung den
Angaben anderer Autoren auf Grund unserer Ergebnisse durchaus widersprechen.
Die iiberhaupt zellreichsten Felder haben wir allerdings bei niedrigen Westaffen
gefunden, namlich bei Cebus, Saimiris und Hapale. Aber unter diesen weist nicht
Hapale, sondem Cebus in alien Feldern des Occipitallappens die absolut hochsten
Zahlen auf, obwohl Hapale zweifellos systematisch viel niedriger steht als Cebus
und auch im ganzen ein weit primitiveres Gehim besitzt. Andererseits steht in
anderen Rindenregionen bald Saimiris, bald Hapale beziiglich des Zellreichtums
an der Spitze. Fast ebenso zellreich wie die niederen Westaffen ist nach dem Durch-
schnitt der gemessenen Einzelfelder das Gibbongehim, obwohl der Gibbon im System
an zweithochster Stelle kommt. Die zweitniedrigsten Zellwerte nach Schimpanse
hat also nicht der Gibbon, sondem, in der Mehrzahl der Felder wenigstens, das Cerco-
pithecusgehim, also eine Affengruppe, die im System erst etwa an 4. Stelle steht.
Absolut die groBte Zellzahl weist Feld 17 bei Cebus mit 6170 Zellen in 1 qmm
(Tabelle 1 und Typus 17, Tafel 8) auf. Diese Zahl stellt den mittleren Durchschnitts-
wert aus 8 Einzelmessungen dar, die zwischen 5815 und 6480 schwankten 1 ). Die
') Ungefahr innerhalb dieser Breite — bis zu 500 und 600 Zellen pro qmm — schwanken
zuweilen, aber nur sei ten, die einzelnen Resultate bei mehrfachen Zahlungen eines Rindenfeldes
in den verschiedenen Schnitten bzw. bei verschiedenen Gehirnen derselben Tierart. In den
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BTV 6 ZELLDICHTIGKEIT der grosshirnrinde der affen. 245
hochste iiberhaupt jemals gezahlte Zellmenge eines Rindenfeldes, auf 1 qmm des
Rindenquerschnittes berechnet, betragt also 6480. Man wird danach die Cebus-
rinde als die zellreichste bezeichnen miissen. Im Vergleich zu diesem Maximal-
wert bei Cebus betragt beim zellarmsten Tier, dem Schimpansen, in dem homologen
Felde 17 die Zellzahl nur 2888, die ebenfalls den mittleren Durchschnitt aus mehreren
zwischen 2630 und 3145 gelegenen Einzelwerten darstellt. Dem Maximalwert
von 6480 Zellen auf 1 qmm beim zellreichsten Tier steht also fur das
homologeFeld bei dem zellarmsten Tier ein Minimalwert von nur 2630
gegeniiber, ein Verhaltnis von etwa 2 1 / 2 :1. Diese Verhaltnisse la? sen sich
ohne weiteres auf den Mikrophotographien der Tafel 9 ablesen.
Die anderen Gehime schlieBen sich in bezug auf den Zellreichtum des Feldes 17
in folgender Reihenfolge, ausgehend vom zellreichsten Tiere (Cebus), an: Saimiris
mit 5980 Zellen in 1 qmm, Hapale 5197, Erythrocebus 4985, Gibbon 4740, Cerco-
pithecus 4277. Wir sehen daraus, daB der Anthropoide Gibbon mit 4740 Rinden-
zellen in der Flacheneinheit dem niedrigsten Affen Hapale mit 5197 Elementen
weit naher steht, als dem anderen Menschenaffen mit nur 2888 Zellen. Vor allem
aber ist in dieser Reihenfolge zu beachten, daB einerseits Hapale nicht nur vor Sai¬
miris, sondem auch vor Cebus kommt, und daB andererseits der Gibbon betracht-
lich hinter der Meerkatze (Cercopithecus) rangiert.,
Ganz ahnlich und vielleicht noch drastischer liegen die Verhaltnisse beim Ver¬
gleich anderer Felder. Greifen wir z. B. aus der an sich sehr zellarmen prazentralen
Zone das Feld 6 heraus! Am zellarmsten ist auch hier der Schimpanse (1136 Zellen),
dann kommen die niederen Ostaffen mit fast doppelt so groBer Zellzahl, Cerco¬
pithecus mit 1910, der Erythrocebus mit 1923 Zellen, darauf folgt Cebus mit einem
Wert von- 2318 und erst an 5. Stelle hinter den niederen Ostaffen und hinter einem
Westaffen, zunachst den Krallenaffen, steht der Gibbon mit 2370 Zellen, in geringem
Abstande schlieBen sich Hapale (2407) und an letzter Stelle Saimiris (2540) an.
Nur wenig anders verhalt sich die Stufenfolge der Zelldichtigkeit bei Feld 4.
Sie ist: Schimpanse (1172), Cercopithecus (1750), Erythrocebus (1845), Gibbon (2363),
Saimiris (2371), Cebus (2383), Hapale (2414). Auch in diesem Falle steht der Gibbon
nach seinem Zellreichtum den niedrigsten Affen viel naher als den Schimpansen,
er schlieBt sich unmittelbar den Westaffen an und differiert kaum von ihnen, und,
was wesentlicher ist, er rangiert sogar hinter den Cercopitheciden.
Noch groBer wird der Kontrast, wenn dem Maximalwert nicht der Minimal¬
wert in dem homologen Felde eines anderen Tieres, sondem die Werte strukturell
andersgebauter (verschiedenartiger) Felder gegeniibergestellt werden. Wir fanden
die niedrigste Zellzahl in Feld 6 bei Schimpanse mit 1085 Zellen in 1 qmm. Setzt
man damit Feld 17 von Cebus (6480) in Vergleich, so ergibt sich in runden Zahlen
ein Verhaltnis von 6:1 zwischen zellreichstem und zellarmstem Feld, wobei aber
immer zu beachten ist, daB die zellreichste Rinde nicht vom niedrigsten
Affen, sondern von einerSpeziesmittlererOrganisationsstufestammt.
Femer ist dabei zu beriicksichtigen, daB es im Affengehim und zwar bei alien
weitaus meisten Fallen jedoch stellte sich eine sehr weitgehende, oft geradezu uberraschende
Obereinstimmtmg der Resultate bei zahlreichen Kontrollmessungen heraus. Bei ganz ungewdhn-
lichen Differerizen, die in einpm einzigen Falle (Hapale) an einem Schnitte vorkamen, wird
man wohl die UrSache in zufalliger Ungleichheit der Schnittdicke suchen durfin.
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246
OTTO MAYER
Journal t FayeMo«i«
and Wgurglogig.
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Tabelle a. Der absolute und procentuelle Zellenreichtum in den einzelnen Rindenachichten der versebiedenen Felder 1 ).
BD. 19, HEFT 6
1912.
ZELLDICHTIGKEIT DER GROSSHIRNRINDE DER AFFEN. 247
Arten noch Bezirke gibt, die zweifellos viel zellarmer sind, als das von uns gemessene
zellarmste Feld 6, z. B. in der Gegend des Balkenknie$. Allerdings stehen uns iiber
jene Gebiete systematische eigene Messungen, die sich zu einer tabellarischen Ver-
arbeitung eigneten, nicht zur Verfiigung, aber aus gelegentlichen Stichproben ent-
nehmen wir, dafi doch bei manchen Affen der Zellgehalt noch um 30—50% niedriger
sein kann, als in Feld 17. Man kann also unbedenklich behaupten, daB innerhalb
der Affenreihe an einer Rindenstelle der Zellgehalt nahezu iomal groBer sein kann,
als an einer anderen.
3. Der Zellreichtum in verschiedenen Schichten des Rindenquerschnittes.
In Tabelle 2 und 3 sind die Resultate der Zelldichtigkeitsbestimmungen an
den einzelnen Schichten der verschiedenen Felder enthalten. Die Zahlungen wurden
nur an 3 Schichten vorgenommen, und zwar in der III. Schicht (Lamina pyrami-
dalis), in der IV. Schicht (Lamina granularis interna) und in der V. Schicht (Lamina
ganglionaris nach der Einteilung von Brodmann). Bei Feld 17 wurde in
Schicht IV der Zellgehalt der 3 Unterschichten IVa, IVb und IVc einzeln berechnet
(siehe Tabelle 3). Das Verhalten der Schichten ergibt sich fiir einzelne Felder
aus den Photographien in den Tafeln 8 und 9 und aus der Tafelerklarung.
Oberblicken wir die Einzelergebnisse in den Tabellen 3 und 4, so finden wir
durchweg den groBten Zellgehalt in Schicht IV und zwar iiberall um ein Bedeutendes
den Zellgehalt der beiden anderen Schichten iiberragend. Die III. und V. Schicht
zeigen im Vergleich ihrer Zelldichte ein wechselndes Verhalten. In der Mehrzahl
der Felder ist Schicht III die zellreichere und Schicht V die zellarmere, doch ist
in einigen Feldem das Verhaltnis umgekehrt, ohne daB sich hier eine Ursache oder
irgendeine greifbare GesetzmaBigkeit oder eine Beziehung zur systematischen Stel-
lung erheben laBt. Wir konnten weder bei einer Tiergruppe fiir alle Felder, noch
fiir ein Feld bei alien Tieren in dieser Hinsicht ein einheitliches Verhalten feststellen.
In dem Felde 4 wurde jeweils der Zellgehalt der die Betzschen Riesenzellen
enthaltenden Schicht V bestimmt, in Feld 6 die durch groBere Pyramidenzellen
erkenntliche Schicht III. Hier zeigte sich durchweg, daB der Zellgehalt der
V. Schicht bei alien Tieren ein geringerer ist, als der durchschnittliche Zellgehalt des
ganzen Rindenquerschnitts (vgl. hierzu Tabelle 1), daB also die die Riesenzellen
enthaltende Schicht zellarmer ist, als die iibrige Rindenflache.
Die durchschnittlich zellreichste Schicht ist in alien Rinden-
feldern und bei alien Tieren die IV. Schicht. Diese selbst haben wir wieder
relativ und absolut am zellreichsten, wie zu erwarten war, in den Feldem des Oc-
cipitallappens, speziell in den Feldem 17 und 18 gefunden und hier steht in Feld 17
fast durchweg die Unterschicht IVc an der Spitze mit ihrem Zellgehalt. (Vgl. in
Tafel 9 die entsprechenden Typen 17 und 18 mit dem Typus 4 bei den ver¬
schiedenen Tieren.
Bei den meisten Tieren hat Schicht IVc in Feld 17 den absolut hochsten Zell¬
gehalt, nur bei Gibbon und Hapale ist es anders, indem Schicht IV von Feld 18
hier am zellreichsten ist. Auch bei einigen anderen Affen, besonders bei Cebus,
ist der Zellgehalt von Schicht IV in Feld 18 nur um ein geringes niedriger, als der
von Schicht IVc in Feld 17, obwohl im iibrigen der durchschnittliche Zellreichtum
auch hier in Feld 17 viel hoher ist, als in Feld 18. Diese Tatsache erklart sich da-
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248
OTTO MAYER.
Journal f. Pajchologie
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durch, daB in Feld 17 die Schicht IV in 3 Zellagen gespalten ist, wobei 2 Unter-
schichten entstehen, die zusammen eine relativ groBere Breite besitzen und daher
in der Raumeinheit einen relativ geringeren Zellgehalt haben. Daher iibertrifft
der relative, auf die Raumeinheit bezogene Zellgehalt von Schicht IVc in Feld 17
nicht in demselben Verhaltnis den Zellgehalt der Schicht IV in Feld 18, als nach
dem Verhaltnis des Zellgehalts, das zwischen den Feldem 17 und 18 in Bezug auf
die Gesamtrindenbreite besteht, zu erwarten ware.
Von Interesse ist nun auch noch, wie in den einzelnen Feldem das Verhaltnis
zwischen dem Zellreichtum der IV. Schicht einerseits und dem Zellreichtum der
III. bzw. der V. Schicht andererseits ist. Um diese Korrelation deutlicher zu machen,
wurde in jedem Felde der prozentuelle Zellgehalt der Schichten III und V berechnet,
im Vergleich zur Schicht IV, deren Zellzahl gleich 100 gesetzt wurde.
Vergleicht man die so erhaltenen relativen Werte miteinander, so kann man
mit wenigen Ausnahmen bei alien Tieren die Tatsache beobachten, daB in den
Feldem der Regio frontalis und Regio postcentralis die Schichten III und V einen
hoheren relativen (auf die IV. Schicht bezogen) Zellgehalt haben, als in den Fel¬
dem der Regio parietalis (Feld 7) und Regio occipitalis (Feld 19 und 18). Das be-
sagt mit anderen Worten, daB in den occipitalen Feldem der Zellgehalt der IV.
Schicht den von Schicht III und V mehr iiberragt, als in den frontalen und post-
zentralen, oder noch allgemeiner gefaBt: Die IV. Schicht ist in der Occipital*
rinde nicht nur absolut, sondern auch relativ, und zwar sowohl im
Vergleich zu den anderen Schichten der gleichen Rindenstelle, wie
auch verglichen mit der gleichen Schicht in anderen Rindengebieten
die weitaus zellreichste Lage auf dem Rindenquerschnitte. Die Diffe-
renzierung nach dem Zellgehalt ist eben auch innerhalb der Einzelschichten im
Occipizallappen hoher fortgeschritten als in anderen Hemispharenabschnitten
speziell im Frontallappen.
An letzter Stelle erfordern noch die einzelnen Unterschichten IVa, IVb und
IVc der IV. Grundschicht in Feld 17 und ihr Dichtigkeitsverhaltnis zu den
Nachbarschichten III und V eine gesonderte Betrachtung (Tabelle 3).
Tabelle 3. Der absolute und relative Zellreichtum der III., IV. und V. Schicht in der Area
striata (Feld 17 Oder Calcarinatypus).
Tier
i Schicht III
IV a
IVb
IVc |
V
Schimpanse
1940 —
44 , 1 %
3300
— 75 ,o%
2 333
— 53 ,o%
44OO
— 100%
2317-
- 5 2 > 7 %
Gibbon
4367 —
67, 9 %
5780
— 89 , 5 %
3420
— 52 , 9 %
6460
— 100%
4067 -
- 62,9%
Erythrocebus
3900 —
48 , 9 %
' 5850
— 73 , 4 %
3200
— 40,1%
7975
— 100%
3700-
- 46,4%
Cercopithecus
3650 —
52 , 1 %
! 6275
— 89,6%
3314
— 47 , 3 %
7000
— 100%
3485 -
- 49 , 8 %
Cebus
j 5250 —
57 , 5 %
O
OC
— 63,8%
4686
— 51,2%
9150
— 100%
5057 -
- 55 , 3 %
Saimiris
4750 —
51,8%
7267
— 79 , 2 %
4150
— 45 , 2 %
9175
— 100%
6375 -
-69,5%
Hapale
4760 —
7 i, 3 %
5925
— 88,8%
3850
— 57,7%
6675
— 100%
3375 “
- 50,6%
Zunachst ergibt sich ohne weiteres aus dem Vergleich der Einzelzahlen in
Tabelle 3, daB die profunde Lage der IV. Schicht (IVc) bei alien Tieren am zell-
reichsten ist. An der Spitze steht. nach dem geringsten Zellgehalt dieser Unter¬
schichten angeordnet, der Schimpanse mit 4400 Zellen. in 1 qmm; IVc ist hier
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BD * 19 io? BFT 6 ZELLDICHTIGKEIT der grosshirnrinde der affen. 249
weit zellarmer als bei irgend einem anderen Affen und zwar um nahezu 30% zell¬
armer, als bei dem an zweiter Stelle folgenden Gibbon mit 6460 Zellen; nach dem
Gibbon kommen Hapale mit einem Zellgehalt von 6675, Cercopithecus = 7000,
Erythrocebus = 7975, Cebus = 9150 und Saimiris = 9175 Zellen in 1 qmm.
Die nachstzellreiche Unterschicht ist die superfizielle Lage IVa. Die einzelnen
Tiere folgen sich nach der Dichtigkeit dieser Zellage in anderer Ordnung, nam-
lich: Schimpanse = 3300 Zellen, Gibbon = 5780, Cebus = 5840, Erythrocebus
= 5850, Hapale = 5925, Cercopithecus = 6275, Saimiris = 7267.
Am zellarmsten in der IV. Schicht ist durchgehends die intermediare Lage IV b.
Die Reihenfolge der Tiere nach dem Zellgehalt ist hier wieder eine andere und
zwar folgende: Schimpanse (2333), Erythrocebus (3200), Cercopithecus (3314), Gib¬
bon (3420), Hapale (3850), Saimiris (4150), Cebus (4686).
Auffallend ist an diesen Befunden, daB der niedrigste Affe (Hapale) nach dem
Zellgehalt dieser Schichten verhaltnismaBig hoch steht in der Reihe und zweimal
unmittelbar nach dem Gibbon kommt, noch merkwiirdiger, daB der Kapuzineraffe,
der sonst durchschnittlich iiberall die hochste Zelldichtigkeit aufweist, mit IVa
gleich nach den Anthropoiden an dritter Stelle steht.
Wir sehen also auch in diesem Punkte wieder die bunteste Rangordnung der
miteinander verglichenen Tiere hinsichtlich ihres Zellreichtums und nirgends eine
feste, gleichbleibende GesetzmaBigkeit. Das einzige, was konstant bleibt, ist der
absolut niedrigste Zellgehalt beim Schimpansen. Beachtenswert ist auch,
daB der Gibbon in dieser Tabelle mit seinen Zellwerten zweimal (in IV a und IV c)
sich direkt an den Schimpansen anschlieBt, sodaB man wohl den Anthropoiden
im Durchschnitt den geringsten Zellgehalt in diesen Rindenschichten zuschrei-
ben darf.
Was schlieBlich das Dichtigkeitsverhaltnis dieser 3 Unterschichten in Feld 17
zu den benachbarten cellularen Hauptschichten III und V bet riff t, so ergeben sich
ebenfalls recht wechselnde und inkonstante Korrelationen.
Wie bereits oben erwahnt, ist schon das Verhaltnis des Zellreichtums der bei-
den Schichten III und V zueinander nicht iiberall das gleiche: Schicht III ist in
Feld 17 zellarmer als Schicht V bei Schimpanse und Saimiris, zellreicher dagegen
bei alien anderen Affen, besonders betrachtlich, nahezu um 30%, bei Hapale. Noch
ungleichmaBiger ist die Abstufung des Zellgehalts sowohl zwischen den Schichten
IVa und III, wie zwischen IVc und V.
Sehr erheblich ist die Abnahme des Zellreichtums auf dem Rindenquerschnitte
von Schicht IV nach oben und nach unten gegen die’ angrenzenden Hauptschichten
beim Schimpansen. So fallt hier der Zellgehalt zwischen IVa und III von 3300
auf 1910 Zellen in 1 qmm ab, zwischen IVc und V von 4400 auf 2317. Ebenfalls
ziemlich steil ist dieser Abfall beim Gibbon, namlich von Schicht IVa zu III =
5700 : 4367 und von Schicht IVc zu V = 6460 : 4067.
Der groBte Unterschied in der Zelldichtigkeit zweier Nachbarschichten dieses
Rindentypus besteht beim Erythrocebus. Die Differenz zwischen Schicht IVc
und V betragt iiber 50%; der Zellgehalt fallt zwischen IVc und V von 7975 auf
3700 Zellen in 1 qmm; nicht viel geringer ist bei diesen Schichten der Abfall des
Zellreichtums bei Hapale (6675 :3375), Cercopithecus (7000 : 3485), und Cebus
(9150 :5057), ziemlich geringer dagegen bei Saimiris (9175 :6375).
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250 OTTO MAYER. JouiwmI t tyctolorU
Weniger grofl ist im Durchschnitt der Unterschied des Zellreichtums zwischen
der Schicht IVa und der Schicht III, hauptsachlich deshalb, weil IVa an sich schon
stets zellarmer ist als IVc. Abgesehen von den beiden Anthropomorphen zeigt den
starksten Abfall des Zellgehalts von der IV. Schicht nach der III. Schicht Cercopithe-
cus (wie wir es auch nach unten gesehen haben gegen Schicht V), namlich von 6275
auf 3650 Zellen; ganz gering ist er bei Cebus: von 5840 auf 5240 und auch bei
Hapale von 5925 auf 4760 Zellen. Dies kommt daher, daB bei diesen letzteren
zwei Spezies die auBeren Rindenschichten (namentlich III) an sich, absolut ge-
nommen, sehr zellreich sind, so daB der relative Dichtigkeitsunterschied gegen die
benachbarte IV. Schicht nicht so grofl sein kann.
Wir fassen unscre Ergebnisse in folgende Satze zusammen:
Der Zellreichtum der GroBhimrinde bei den Affen zeigt sehr weitgehende
ortliche Unterschiede innerhalb ein und desselben Gehirns. Diese Unterschiede
lassen eine durch die ganze Affenreihe nachweisbare GesetzmaBigkeit erkennen,
bestehend in dcm regelmaBigen Wechsel und der Aufeinanderfolge von
Verdichtungs- und Auflockerungszonen, die hinsichtlich ihrer raumlichen
Anordnung mit den durch die histotopographische Lokalisation festgestellten
Feldern und Regionen der Affenrinde zusammen faUen.
Der Zellreichtum zwischen den einzelnen Affenarten ist ebenfalLs ein sehr
verschiedener und zwar nicht nur im Durchschnitt der Gesamtrinde, sondem mehr
noch im Vergleich homologer Rindenstellen bei den verschiedenen Tieren. In dieser
Hinsicht besteht keine irgendwie erkennbare durchgangige GesetzmaBigkeit inner¬
halb der Affenreihe. Zwar hat im Durchschnitt der hochststehende Affe, der Schim-
panse, die zellarmste Rinde und zwar in alien Typen, allein andererseits finden sich
die zellreichsten Typen nicht durchwegs bei den niedersten Affen: in manchen Teilen
weist sogar der Gibbon einen groBeren Zellreichtum auf, wie manche weit unter
ihm stehende niedere Affen.
Der Zellreichtum der GroBhimrinde kann also weder als direk*
ter Ausdruck fiir die Organisationshohe eines Gehirns oder die Stel-
lung des betreffenden Tieres im System noch auch als MaBstab fur
die Intelligenz eines Tieres gelten. Die fruheren Theorien in dieser Hinsicht
lassen sich bei genauer mikrometrischer Nachprufung nicht aufrecht erhalten.
Von alien Schichten des Rindenquerschnittes ist die IV. Grundschicht weit-
aus die zellreichste. Ihr Zellgehalt iibertrifft den der oben und unten angrenzen-
den III. und V. Grundschicht in alien Feldern sehr betrachtlich, am meisten in
der Occipitalrinde. Am zellreichsten sind die occipitalen Typen, am zellarmsten
die prazentralen.
Zum Schlusse ist es mir eine angenehme Pflicht, Herm Privatdozent
Dr. Brodmann fiir die vielfache Anregung und Beratung wahrend der Ausfiihning
vorstehender Untersuchungen meinen verbindlichsten Dank auszusprechen.
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BD * ** 191 ?” 6 ZELLDICHTIGKEIT der grosshirnrinde der affen. 251
Liter&turverzeichnis.
1. Brodmann, Vergleichende Lokalisationslehre der GroBhirarinde. 1909.
2. Brodmann, Beitrage zur histologischen Lokalisation der GroBhirarinde: 3. Mitteilung:
Die Rindenfelder der niederen Affen. (Journal f. Psych, n. Neurol. IV, 1904.)
3. Berger, Beitrage zur feineren Anatomie der GroBhirarinde (Monatsschr. f. Psychiatrie VI,
1899).
4. Berger, Experimentell-anatomische Studien fiber die durch den Mangel optischer Reize
veranlaBten Entwicklungshemmungen im Occipitallappen des Hundes und der Katze
(Archiv ffir Psychiatrie 33, 1900).
5. Berger, Hammarbergs Objektnetzmikrometer (Zeitschrift ffir wissenschaftliche Mikro-
skopie XV).
6. Hammarberg, Studien fiber Klinik und Pathologie der Idiotie.
7. Marburg, Beitrage zur Kenntnis der GroBhirarinde der Affen (Obersteiners Arbeiten XVI,
1907).
Tafelerklarung.
Samtliche Figuren stellen mikrophotographische Abbildungen von Rindenquerschnitten
bei 3ofacher VergrdBerung und 10 fi Schnittdicke dar.
Die Schichtenbezeichnung bedeutet uberall:
I.
II.
III.
IV.
V.
IV.
Lamina zonalis, Molekularschicht.
Lamina granularis externa, auBere Kornerschicht.
Lamina pyramidalis, Pyramidenschicht.
Lamina granularis interna, innere Kornerschicht.
IVa. L. gran. int. superficialis
IV b. L. gran. int. intermedia
IVc. L. gran. int. profunda
Lamina ganglionaris, Ganglienschicht.
Lamina multiformis, Spindelzellenschicht.
in Typus 17 oder Calcarinatypus (Area striata).
Tafel 8. Die verschiedenen mikrometrisch gemessenen Rindentypen vom Kapuzineraffen,
Typus 17, 18 und 19 gehoren der occipitalen Rinde an, Typus 7 der parietalen, Typus 1
und 3 der postzentralen und Typus 4 der prazentralen Region (vgl. Textfigur 1 u. 2).
Die Abnahme des Zellreichtums von Typus 17 fiber Typus 18, 19, 7 und 1 ist schon bei
Betrachtung mit bloBem Auge erkennbar. Typus 3 ist deutlich zellreicher als Typus 1.
Der Ubergang zwischen Typus 1 und 4 auf dem groBeren Ubersichtsbilde (links) tritt
an ziemlich scharf umschriebener Stelle (|) ein und markiert sich vor allem auch durch
einen sehr groBen Unterschied im Zellreichtum, der im ganzen Rindenquerschnitt, vor-
nehmlich aber in der II., IV. und VI. Schicht hervortritt.
Tafel 9. Die linke Halfte der Tafel zeigt den Riesenpyramidentypus (Feld 4) von 5 ver¬
schiedenen Affen. Auch hier ist der Unterschied im Zellreichtum bei den einzelnen
Tieren ohne weiteres erkennbar. — Auf der rechten Halfte der Tafel sind die Uber-
gangsstellen zwischen der Area striata und occipitalis (Typus 17 und 18) von 5 Affenarten
zusammengestellt. Die scharfe Grenze zwischen den beiden Rindenfeldera pragt sich,
abgesehen von der Schichtenvermehrung, besonders in der starken Zellzunahme in Feld 17
a us, die an alien Gehiraen sehr auffallend und bei Cebus am ausgesprochensten ist. Es
zeigt sich auch, daB die occipitale Rinde bei Cebus weitaus am zellreichsten ist, wahrend
der geringste Zellreichtum offenbar beim Gibbon besteht. Bei Cebus tritt auch die
Schichtenpolymerie in Typus 17 gut hervor.
Ein Vergleich der Bilder auf der rechten und linken Halfte der Tafel 9 miteinander laBt
den gewaltigen Unterschied der Zelldichtigkeit zwischen occipitalen und prazentralen Rinden-
abschnitten gut hervortreten.
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252
DR. P. TRAVAGLINO.
Journal 1 PvycholQgie
und Neurologie.
Ein Fall von amnestischer Aphasie.
' Von
Dr. P. Travaglino, Meerenberg (Holland).
Das klinische Bild der amnestichen Aphasie ist seit Jahrzehnten Gegenstand
besonderen Interesses in der Himpathologie gewesen und hat von jeher selir ver-
schiedene Auffassungen seitens der einzelnen Autoren erfahren.
Schon in den Jahren 1849 und 1853 sind Falle beschrieben worden, wobei der
Kranke den Namen eines Objektes, das er ganz bestimmt kannte, nicht zu sagen
wufite (Bergmann, Nasse). Man hielt diese Erscheinungdamals fur eine besondere
Form von Erinnerungsstorung. Spater vertrat Sanders die Meinung, daB der Ver-
lust der Fahigkeit zur Namenfindung auf einer Stoning der Leitung vom Gesichtsbild
zum Klangbild beruhe, indem diese Leitung in umgekehrter Richtung parat sein
sollte. Lichtheim bezeichnete die Storung als eine Inaktivitat des Gehims oder
ein Nebensymptom der motorischen Aphasie, meist aber ein Nebengymptom aus
heilender Lasion in der Bahn B—M. Grashey meinte, daB es eine besondere Art
von Gedachtnisschwache sei, wahrend Bleuler meint, daB bei der amnestischen
Sprachstorung der Reiz wohl vom Klangbildzentrum zum Begriff gehe, nicht aber
in umgekehrter Richtung; zentrifugale Reize wurden leichter ladiert als zentripetale.
Er vergleicht dies mit dem Schwimmen aus einem FluB ins offene Meer.
In spateren Jahren sind sehr viele Falle mit amnestisch-aphasischen Symptomen
beschrieben, die meines Erachtens verursacht waren teils durch Agnosie (Hall ip re,
Quensel, Westphal), teils durch schwere Demenz (Wolff, Bouchaud u. a.)
oder durch Sprachstorungen anderer Art (Moranska - Oscherovitch, Simon,
Potts, Mills, Lopez, Popoff, Tr6nel u. a.), sogar durch Aufmerksamkeits-
storungen (Gudden) und Dammerzustande (Raecke, Bischoff, Ermakow).
Wo die Lasion, welche die Storung der Namenfindung verursacht, zu lokali-
sieren ist, dariiber gehen die, Meinungen noch mehr apseinander. Manche Autoren
meinen, daB die transcorticale motorische Aphasie, andere die amnestische Aphasie
eine partielle Lasion des Brocaschen Zentrums ist (Bischoff, D 4 j 4 rine), wahrend
Heilbronner dieser Auffassiing nicht beistimmen kann. Bonhoefer nimmt eine
tasion des Gyr. angul. an, und auch Pitres sah ofters Herde in dieser Gegend.
Nun hat allerdings Banti schon Falle von fast totaler Aphasie beschrieben bei Lasio-
nen im Gyr. angul. und trotzdem konnten aiese Kranken die Namep der Objekte
nennen. Lewy sieht die Diaschysis als Ursache an. Wieder andere Autoren (Potts.
Mills, Quensel) glauben ein Benennungszentrum auf derGrenze vom Gyr. angul.,
T x und T 2 , annehmen zu miissen, dessen Zerstorung amnestische Aphasie macht.
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BD. 19, HEFT 6
1912.
EIN FALL VON AMNESTISCHER APHASIE.
253
v. Navatril, Knaggs, Hammond u. a. sahen das Symptom auftreten bei
Eiterangsprozessen des Mittelohres oder SchuBwunden in der Schlafengegend und
halten Herde im Temporallappen fur dessen Ursache. Allen Starr halt die Stoning
fur nicht lokalisierbar, das Feld soil viel zu ausgedehnt sein, die Fahigkeit der Namen-
findung sei eine Eigenschaft des „ visual-auditory tract**; der Herd kann nach dieser
Ansicht also im Marke des ganzen Occipital-, Parietal- und Temporallappens gelegen
sein. Auch Tr6nel nimmt subcorticale Herde als Ursache der amnestischen
Aphasie an.
In den Wirrwarr von Auffassungen und Deutungen hat Goldstein Klarheit
gebracht, indem er auf die Arbeit von Pitres wiederum zuriickging und das von
Pitres gegebene klinische Bild weiter ausgearbeitet ha'. Pitres sagt wortlich:
„tout malade qui comprend ce qu'on lui dit, qui peut lire k haute voix, qui prononce
et 6crit facilement les mots, dont il se souvient et n’est empech6 de prononcer ou
d'£crire les autres que parce qu’il est impuissant k en 6voquer le souvenir au moment
oppertun, est atteint d’aphasie amn£sique“, und weiter: ,,1’aphasie amn£sique est
le signe r 6 v 61 ateur de la rupture des communications entre les centres psychiques
intacts et les centres inalt6res des images verbales.** Goldstein beweist nun das
selbstandige Auftreten der amnestischen Aphasie, obwohl er zustimmt, daB ein
ahnliches, aber nicht ganz ahnliches Bild haufig, nur nicht immer, als Symptom bei
den anderen Aphasieen vorkommen kann. Er sagt, daB die Amnesie bei der amnesti¬
schen Aphasie gegeniiber der Amnesie bei anderen Aphasieen charakterisiert ist
,,durch den volligen Ausfall der Bezeichnungen und durch die typischen Umschrei-
bungen**. Neben dem positiven Symptom der erschwerten Wortfindung beim volli¬
gen Erkennen der Objekte sollen anderseits weitere Storungen der Sprache fehlen.
Es ist auch ohnehin klar, daB das Fehlen der Fahigkeit der Namenfindung
haufig als Begleitsymptom anderer Storungen auftritt. Wenn z. B. ein Kranker
einen sehr beschrankten Wortschatz besitzt, wie bei der motorischen Aphasie,
oder die Frage nicht versteht und sehr stark paraphasisch ist, wie bei der sensorischen
Aphasie, wenn er agnostisch ist und das vorgehaltene Objekt nicht erkennt, wenn
er durch schwere Merkfahigkeitsstorungen das gesehene Bild oder gehortes Objekt
sogleich wieder vergiBt oder durch Intelligenzdefekt und Aufmerksamkeitsstorung
die Auftrage nicht auffaBt, so wird es nicht befremden, daB in all diesen Fallen
der Kranke Gegenstande nicht oder fehlerhaft benennt.
Und die meisten in der Literatur niedergelegten Falle sind solcher Art, dadurch
ist denn auch die groBe Verschiedenheit der Auffassungen sowohl des klinischen
Bildes als der Lokalisation zu erklaren. Doch findet man nicht nur in der Literatur
(Goldstein hat auBer seinen eigenen zwei Fallen deren sieben nachgewiesen),
sondern auch am Krankenlager gelegentlich einen vereinzelt dastehenden Fall von
reiner amnestischer Aphasie. Da ein von mir beobachteter Fall zweifellos so auf-
zufassen ist und zugleich zu theoretischen Betrachtungen Veranlassung gibt, so
diirfte dessen Veroffentlichung gerechtfertigt sein, obwohl es sich nicht um einen
durch lokalisierte grobanatomische Schadigung bedingte Stoning, sondern um einen
diffusen KrankheitsprozeB handelt.
Anamnese.
Es handelt sich um einen 5ojahrigen Arbeiter, der seit 6 Jahren Reizbarkeit und
GroBenideen zeigte. Vor ungefahr 20 Jahren akquirierte er Lues, sonst war er vorher
Journal ftr Psychologic und Neurologic. Bd. 19. *7
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DR _- p ; TRAVAGL i Na _
immer gesund. Niemals hat er cincn Insult gehabt, weder zu Hause, noch in der Anstalt,
in dcr er sich scit Jahren wegen seiner psychischen Storungen befindet, bis zum 3. August
vergangenen Jahrcs (1911).
254
Status praesens.
Er ist ein groBer Mann in ziemlich gutem Ernahrungszustand, der leicht hypoma-
nisch ist, ohne jedcs Krankheitsgefiihl. Die Orientierung ist gut, Merkfahigkeit und Er-
innerung nicht ganz ohne Schadigung, die Auffassung etwas erschwert, das Urteil leicht
gestdrt.
Agnoslisch ist er gar nicht; er bringt alle Handlungen des Alltagslebens allein
ohne Hilfe fertig und erkennt alle Gegenstande gut. Sprachstorungen bestehen nicht,
auBer einer litteralen Ataxie. besonders bei schwierigen Paradigmata, wie: ,,Derde
rijdendc Artillcriebrigade", ,.I.e\ensverzekering en brandwaarborgmaatschappij", ..roode
roncle appelcn rollen over den zolder“ usw. Heim Schreiben vergifit er einzelne Buch-
staben und zeigt ziemlich Starke Ataxie.
Die Pupillen sincl ungleich groB und starr. Die Schnenreflexe sind etwas erhoht;
Babinskv negativ; Romberg jxisitiv, starke Ataxic, der Gang ist spastisch-ataktisch-
paretisch. Sensibilitat, Gehor- und Sehscharfe ohne jede Anomalie. Die Bewegungen dcr
Augenmuskcln ohne Stoning; der Eacialis beiderseits gleich innerviert. Die Muskelkraft
befriedigend. Der Augcnhintergrund gibt auBer geschlangclten GcfaBen nichts Abnormes.
Es steht test. daB der Patient auBer der Dysarthrie irgendwelche sonstige Sprach-
storung oder Dvspraxie nicht hatte, da er unter dauernder Beobachtung Prufender stand.
Am 3. August 1 <> 11 bekommt Pat. einen Insult mit erhohter Temperatur, leichte
Zuckungen in den Muskeln der rechten Seite (Arm, Bein, Gesicht) ohne schwere Bc-
wuBtseinstriibung. Der Anfall dauerte ungefahr 24 Stunden.
Am 4. August war Pat. sehr benommen, am 5. wurde zum erstenmal festgestellt,
daB Pat. von eincm gezeigten Schliissel den Namen nicht wuflte, wohl aber den
Schliissel als Objekt erkanntc.
Die Priifungcn ergaben in den niichsten Tagen folgenden Befund.
Der Patient ist ruhig, niinmt lebhaften Anteil an seiner Umgebung, Gehor- und
Sehscharfe wie friiher. keine Lahmungen oder Gesichtsfelddefekte. Aufmerksamkeit
etwas fliichtig, mit etwas Miihc. aber gut zu konzentrieren, die Auffassung ein wenig
erschwert. Er ist gernc zur Untersuchung bereit, ermiidet aber sehr bald. Er ist orientiert
iiber Ort, Zeit und die eigene Person. Die Intelligenzpriifung gibt dieselben Ergcbnisse
wie vor dem Insult. Fragen iiber Aufenthalt und Pcrsonalien werden richtig beantwortet.
Wie heiBen Sic ? +
Wo sind Sie geboren ? -f
Wo wohnen Sic ? +
Wie heiBt Ihre Frau? .... Keldcrwint, o nein Kelderman (das letzte ist -f).
Wie heiBen Ihre Kinder? .... Das erstc ist, laB mal gucken, wie heiBt er schon
wieder, ich weiB cs verdammt selber nicht. aber das zweite ist ,,Comelis“ ( + ). das drittc
,,Jet“ (-{-). (Es sind im ganzen fiinf.)
Wochentage ? -f Riickwarts ? +
Monate ? -(- Riickwarts ? .... Dezember, November, Oktober, ja wie machen
wir das.
Zahlcn von 1 bis 10, von 60 bis 70, von 120 bis 140? -f- idem riickwarts -f
Feicrtage ? .... Neujahr und . . . . ja ich kenne sie schon, sie wissen cs wohl.
Meinen Sie Ostern ? . . . . ja und weitcr noch Pfingsten, und, und ....
Wann feiern wir den Geburtstag Christi ? Ach Sie wissen wohl im Dezember.
wie heiBt der Tag.
Ist es Weihnachten ? Ja, schon Weihnachten, dann ist er geboren.
Das Alphabet ? + Riickwarts ? Z Y . . . . usw. mir ist heute etwas duselig.
Gestcrn haben Sic cs besser gemacht ? Nein. Gcstern haben Sie es mir nicht ge*
fragt, we nigs tens nicht um es riickwarts zu sagen. (Diese Bemerkung von ihm ist richtig;
die Erinncrung ist also nicht sehr tief gestort.)
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1912.
EIN FALL VON AMNEST1SCHER APHASIE.
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Wie heifit die Hauptstadt der Niederlande? -f
Wie heifit die Konigin? —
2 x 7 = 14. 4 X 12 = 48. 11 x 10 = 21. 3x3=9. 5 x 16 = das weifi ich
nicht. 12 x 13 = ? (Seine erschwerte Auffassung geniert ihn hierbei sehr.)
Spontansprache.
Die Spontansprache ist leicht ataktisch, ohne paraphasische Aufierungen, nur
fallt es auch den Pflegerinnen auf, dafi er ofters nach Substantiva sucht, und wenn er
etwas fragt, er bisweilen lange Umschreibungen gebraucht, anstatt gleich das gewiinschte
Objekt zu nennen.
Vorige Unterhaltung zeigt hinreichend, wie seine Spontansprache war.
Nachsprechen.
Spontan Nachsprechen machte er bei Aufgaben, welche ihm nicht sogleich ganz
klar waren, in fragender Form. Nachsprechen auf Befehl war auch ganz gut, z. B.:
Es ist schones Wetter. + Ich bin hier, weil ich krank bin. +
Wir sind heute im Monat August. +
Da geht einer von einer Lebensversicherungsgesellschaft. -f (Sondcrn etwas atak¬
tisch ,,Lelebenwelzeeekermaatschappij“, anstatt Levensverzekeringsmaatschappij.)
Karatoeti S- (Er lacht und sagt: blodsinniges Wort.)
Svinkaloror 4 - (idem und etwas ataktisch).
Buchstaben. 4- usw.
Sprachverstandnis und Eupraxie.
Er versteht alles und fuhrt selbst komplizierte Auftragc aus, z. B.:
Klettern Sie aus dem Bette. 4-
Geben Sie mir die Hand. 4-
Schliefien Sie die Augen. +
Zeigen Sie die Zunge. 4-
Schliefien Sie die Augen und zeigen Sie gleichcrweise die Zunge. 4-
Fassen Sie Ihre Nase. 4-
Fassen Sie mein Ohr. 4-
Giefien Sie das Glas dort voll aus einer Wasserflasche im andern Zimmer. 4 *
(Er bemerkt, dafi das Glas schon voll war und leert es vorher.)
Entzunden Sie die Kerze. 4- (Wirft das Streichholzchen fort, bevor es ihm Leid
tut.)
Schlagen Sie den Nagel in das Holz. 4-
Schneiden Sie Mannchen aus diesem Briefbogen. — (Mit einer Schere!)
Zerschneiden Sie diesen Briefbogen. 4-
Schleifen Sie eine Spitze an diesen Bleistift. 4-
Siegeln Sie das Kuvert. — (Er sagte, dafi er niemals gesiegelt hatte) usw.
Auch sind diese Auftrage an einem anderen Tage ihm als markierte, also ohne
Objekt gegeben. Diese sind alle gelungen mit Ausnahme vom Zerschneiden mit der
Schere, was er gar nicht verstand, und das Einschliefien von einem Briefbogen ins Kuvert,
wobei er Schreibbewegungen machte.
Ausdrucksbewegungen
gelangen auch ohne Fehler.
Drohen. 4- (Er machte eine Faust.)
Winken 4 -» Kufihand werfen 4-, militarischer Grufi 4-.
Lange Nase machen -f, Beten 4- (er faltete die Hande und fing an das Vaterunser
laut zu sagen) usw.
Lesen.
Er liest etwas buchstabierend, versteht das Gelesene wohl, aber es ermudet ihn
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DR. P. TRAVAGLINO.
Journal f. Pijchologie
und Neurologic.
sehr schnell, und es kostet groBe Mu he, seine Aufmerksamkeit auf diesen Akt zu konzen-
trieren.
Schreibe n.
Spontan schreibt er paralvtisch stelen (auf Deutsch: stehlen), eerlyk zijn (auf
Deutsch: ehrlich sein).
Es strengt ihn sehr an. Er wahlt wahrscheinlich diese Worte, weil ich kurz vor
dieser Untersuchung mit ihm iibcr solche Begriffe gesprochen habe zur Prufung des
Reproduktionsvermogens und des Besitzes von abstrakten Begriffen.
Diktat.
Buchstaben und Ziffern schreibt er paralvtisch, sonst richtig, Schreiben ganzer
Worte und Satze auf Diktat strengt ihn zuviel an, er wird wiitend und verweigert, weitere
Versuche zu machen.
I\ o p i e r e n
von Buchstal)cn und Worten macht er ohne Fchlcr.
Zeich ne n.
Striche macht er. obwohl ctwas zitternd, rechts.
Was ist das? (Ein Zirkel.) Das ist cine Figur von e, e.
1 st es ein Viereck ? Nein.
Ist es ein Dreieck ? Nein.
Ist es eine Raute ? Nein.
Ist es ein Kreis ? Nein.
Ist es ein Zirkel? Ja das ist cs. (Auf Hollandisch gibt es eine groBe Differenz
zwischen Kring (Kreis) und Cirkel (Zirkel).
(Ein Sechseck.) Das ist ein Sechseck, sagt er spontan.
(Ein Kegel.) Das weiB ich nicht. Kopie:
(Ein Viereck.) Das ist ein Viereck, sagt er spontan.
(Eine Kugel.) Das ist eine Kugel. Kopie:
(Ein Dreieck.) Das ist fast ein a, sagt er spontan.
Er kopiert die Figuren richtig, aber atactisch.
Buchstabieren.
Wieviel und welche Buchstaben hat das Wort:
(das) dat? Drei. d a t.
(Anstalt). Gesticht ? .... ich glaube neun, g, e, s, t, g, nein, das geht nicht.
(Jahre) jaren? .... einzige j, a, r, n.
(bequem) gemakkelijk? .... etwa acht oder neun; weiter nichts.
(beschaftigt) bezig ? .... funf, b, e, s, ich verstehe es weiter nicht.
(Prufung) onderzoek ? .... das weiB ich nicht, bin viel zu mude.
Meiner Meinung nach sind diese Storungen hauptsachlich bedingt durch seinen
Mangel an Aufmerksamkeit, da diese Aufgaben ihn gar nicht interessierten; er wurde nicht
aufgeregt, wenn es miBlang. Ganz intakt war aber seine innerliche Sprache gewiB wohl
nicht.
Namenfindung fur Objekte (gesehene Gegenstande).
Wenner den Namen nicht wuBte, wurde immer gefragt, ist es dies, ist es jenes,
immer 4 oder 5 verkehrte Namen und zuietzt der richtige. Es wurde zu langweilig sein,
jedesmal die verkehrte Frage zu memorieren, es ist aber immer geschehen.
Diese Aufgaben hatten sein voiles Interesse und seine Aufmerksamkeit; immer
regte es ihn auf, wenn er den Namen nicht nennen konnte. Es werden ihm gezeigt z. B.:
1. Bleistift? das ist ein, ein — ja, jetzt wissen wir es (er faBt es richtig an und
schreibt auf seine Hand).
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1912.
EIN FALL VON AMNESTISCHER APHASIE.
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2. Schere ? . . . . ja, das ist ein hubsches Ding, um so zu machen (er faBt sie richtig
an und will in die Bettdecke schneiden).
3. Schlussel ? .... das ist ein, um so zu machen, schdn, so ist die Ture often.
4. Streichholzschachtelchen ? .... Ah, das sind sie ja. (Er offnet die Schachtel
und nimmt ein Streichholzchen.)
5. Uhr (golden) ? . . . . Das ist Gold, man guckt, wie spat es ist — wie heiBt es
doch — verdammt. Sie wissen doch, was ich meine. Drei Viertel auf vier ist es!
6. Uhrkette? +
7. Glas ? .... Dieses Ding nennen wir bei uns, zum trinken, ach, zum Donner-
wetter, zum trinken.
8. Kerze ? .... Etwas Schones, WeiBes, es brennt.
9. Perkussionshammer ? .... Hubsches Madel. (Er kannte den Hammer nicht;
halt ihn neben seinen Penis. Vielleicht kam so die Assoziation mit ,,hubsches Madel 44 .)
10. Ein Hammer? .... Na, eine Maschine zum Zimmern. Sie wissen doch wohl,
es ist eine verdammte Sache, daB ich den Namen nicht weiB, denn ich kenne sie schon.
(Er faBt ihn richtig an.)
11. Taschenmesser ? -f
12. Munze? +
13. Pinsel? So ein Ding zum Strcichen oder zum Kitzeln, fugt er lachelnd hinzu.
14. Stuhl ? -f-
15. Hut ? .... Naturlich, so auf den Kopf. (Er setzt ihn richtig auf und griiBt
mit feierlicher Miene.)
16. Siegellack? .... ich weiB nicht (er hat niemals gesiegelt) usw.
Die eigenen Korperteile benannte er richtig!
Auf die Frage: „Ist es ein . . . efwidert er bei 1, 2, 3 und 4: ja, bei 5: ich glaub’s
wohl, bei 7: ach so, naturlich ein Glas ist’s, bei 8: das kann wohl sein, meine ich auch,
bei 9 und 16: nein, aber doch; ich kenne die Sachen nicht, bei 10: ja ein Hammer, wie
dumm, dafi ich es vorher nicht wuBte, bei 13: nein; ja doch, ein Pinsel zum Pinseln,
bei 15: ja, ein ,,hoed“ ,,een dop 44 (d. h. eine besondere Art Hut).
Auf die Frage: ,,Was machen Sie mit einem . . . erwidert er bei: 1. schreiben;
2. schneiden; 3. wenn ich ihn brauche zum Offnen; 4. um so zu machen (er streicht);
5. ich mache nichts damit, es gehort Ihnen; man guckt, wie spat es ist; 6. befestigen
(er weist nach meiner Taschenuhr); 7. vieles macht man damit, auch trinken; 8. ja,
ich kann nichts damit machen jetzt; 9. das weiB ich nicht. Er halt es wiederum zwischen
den Beinen; 10. klopfen (er faBt ihn wiederum richtig an und klopft damit auf die Bett¬
decke;) 11. ich nenne es schneiden; 12. alles kann man damit machen; 13. pinseln, glaube
ich, haben Sie es so nicht genannt; es ist zum .... (er nimmt mir den Pinsel aus den
Handen und streicht damit sein Gesicht); 14. ausruhen; 15. aufsetzen und gruBen; 16.
weifi ich nicht, machen Sie es.
Gezeigte Bilder ergaben ein ahnliches Verhalten. Von Tierbildern wuBte er meist
den Namen. Von einer Anzahl Objekte (10—12) sucht er immer gleich und richtig das
Gefragte heraus. Auch dem Essen beigemischte Fremdkorper fand er und warf sie fort,
bevor er das Essen in den Mund hineinsteckte. Die optische und taktile Merkfahigkeit
ist gut. AuBer Siegellack und Perkussionshammer kannte er alle Objekte und gebrauchte
sie richtig ohne Fehler, nur fand er auBer sehr gelaufigen Objekten, wie Munze und Stuhl,
nicht den Namen, gleichviel, ob er sie taktil, optisch oder auditorisch prufte.
Fur nichtsinnliche Begriffe fand ich gerade dasselbe.
Beschreibung von konkreten und abstrakten Begriffen.
Was ist ein Topf ? . . . . Das ist so (er zeichnet mit dem Finger einen Topf auf sein
Laken.)
Was ist ein Teller ? . . . . Das benutzt man zum Essen.
Was ist ein Messer ? .... Man kann damit schneiden.
Was ist eine Schere? .... Man kann damit ,,knippen 44 (auf deutsch: schneiden).
Was ist ein Bleistift ? . , . . Man kann damit schreiben,
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Journal t Psychologic
and Neurologic.
DR. I\ TRAVAGL 1 NO.
Was ist cin Gulden ? .... Hundert ,,Onten“.
Was ist ein Vogel ? .... Das ist ein Vogel, der fliegt.
Was ist ein Pfcrd ? .... Kin Tier.
Was ist eine Kuh ? .... Kin Tier.
Was ist ein Hund ? .... Kin Tier.
Also, es sind Tiere, aber welchen Unterschied gibt es dazwischen ? .... Ja, es
gibt einen groUen Unterschicd, naturlich, sie sind ganz anders, das erste ist ein Pferd,
d.is zweite eine Kuh und das dritte ein Hund.
Was ist ein Arbcitcr ? .... Das bin ich.
Was ist ein Geselle ? .... Ich selber.
Was ist ein Herr? .... Kin Meister, mein Vorgesetzter.
Was ist ein Sclnvager ? .... Angcheiratet.
Was ist cin Knkel ? .... Ich liabc noch keinen. (Das ist richtig.)
Was ist eine Sclnvagerin ? .... Das ist eine Frau, verheiratet mit einem Bruder
von mir. (Buchstablich iibersetzt, wie er es sagte.)
Was ist die Frcundschaft ? .... Nein, ich glaube nicht dran.
Was ist die Khrlichkeit ? . . . . Diese habe ich, ist in meiner Tasche; zahlen, wenn
man Schulden hat.
Was ist die Feindschaft ? .... Ach so ja, ich liebe mehr die Freundschaft usw.
Wclchc Farbc haben die Blatter ? .... Griin (mit langem Nachsinnen).
Wclchc Farbe haben die Bln men ? .... Alle Farben.
Welche Farbe hat das Loschblatt ? .... WeiB ich nicht. (Er ist erregt.)
Welclie Farbe hat die Tinte ? .... Verschiedene Farben hat sie. (Er ist erregt.)
Welche Farbe hat der Himmcl ? .... WeiB ich nicht. (Er ist erregt.)
Welche Farbe hat dcr Wcin ? .... Braun, ja, naturlich, braun.
Welche Farbe hat das Wasser ? .... Klar.
Welche Farbe hat der Ham? .... Gut. (Er ist erregt.)
Welche Farbe hat der Stuhl ? .... Bei diesem so und bei jenem so.
Welche Farbe hat der Briefbogen ? .... Auch nichts. (Er ist erregt.)
Welche Farbe hat die Schokolade ? .... Das weiB ich nicht.
Welche Farbe hat der Zucker ? .... WeiB.
Welche Farbe hat der Tee? .... WeiB. (Er ist erregt.)
Welche Farbe hat der Schnee ? .... WeiB.
Er ist absolut nicht farbenblind!
Nach zwei Tagen Ruhe fand ich den 12. August hauptsachlich dasselbe, nur
beobachtete ich, daB er die Auftrage weniger wiederholte, und daB beim -Spontansprechen
mehr Substantiva und weniger Umschreibungen zur AuBerung kamen.
Das Benennen von Objekten gelingt etwas besser; d. h. von den Objekten, fur
welche er durch die wicderholten Priifungen einige Obung bekommen hat. Deshalb
fiigte ich immer neue Objekte hinzu, von welchen er zum Teile gleich richtig den Namen
nannte. Fur den groBten Teil benutzte er doch noch Umschreibungen.
Die Intellektprufung ergab genau denselben Befund wie fruher.
Die Farbenbenennung ist auch etwas besser, die Schokolade ist jetzt braun, der
Tee gelb. Von dem Wein sagt er: ich weiB nicht, welche Farbe er hat, ich habe ihn seit
Jahren nicht getrunken. (Die Arbeiter trinken nicht Wein in Holland.)
Das Lesen geht etwas schneller und weniger buchstablich.
15. August. Es gibt nur einzelne Objekte, die er nicht benennen kann, z. B. ein
Korkzieher. Er nennt das ein Ding, um etwas herauszuziehen und macht erst eine Be-
wegung mit dem Zieher, als ob er ihn irgendwo hineindreht. Ubrigens ergibt sich alles
wie vor dem Insult.
18. August. Jetzt benennt er alle Objekte richtig, nur gibt es einzelne, bei
welchen er etwas zaudert und sagt, wie einer, der nachsinnt: ja, das ist. . . das ist ... ,
ach so, ja es ist ein Korkzieher. SchlieBlich findet er immer den Namen und ist sehr froh,
wenn er ihn gefunden hat.
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1912.
EIN FALL VON AMNESTISCHER APHASIK.
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Das Lesen macht er auch, wie vor dem Insult, ohne zu buchstabieren. Die Farben-
benennung ist jetzt auch schon fast ganz richtig.
Ende August ergaben wiederholte Priif ungen den folgenden Befund:
Der Patient bencnnt alle Objekte aus dem gewohnlichen Leben sofort und richtig,
nur zaudert er einen Moment, wenn ich ihm fur ihn sehr fremde Gegenstande zeige,
er findet doch immer den Namen. Alle transitiven wie intransitiven Handlungen gehen
tadellos. Der EinfluB der Ermudung ist nur sehr gering. Es gibt keine Spur entweder
von Aphasie (die paralytische Ataxie der Sprache ist ungeandert), noch von Agnosie.
Die Intelligenz ist im wesentlichen dieselbe geblieben, wie vor dem Insult. Farben
nennen und Lesen ebenso wie friiher, d. h. ohne Fehler. Sein auBerliches Benehmen ist
ungeandert.
Zufalligerweise bin ich auch imstande, den anatomischen Befund mitteilen zu
konnen. Den 18. September bekam er einen heftigen Insult, der fast zwei Tage
dauerte, und an dessen Folgen er unter pneumonischen Erscheinungen am 20. Septem¬
ber starb.
Die Sektion ergab: trube Pia und weiches Gehirn, keine Verwachsungen der Dura.
Nach Hartung in Formol und Fortnahme der Pia, die kaum verwachsen war, fandcn
sich sehr erweiterte Ventrikel mit starker Ependymitis granulosa. Die Bekleidung der
Ventrikel war ganz chagriniert. Beide Frontalpole waren ziemlich stark atrophisch (nicht
F3), ebenso der linke Temporalpol, welcher etwas mit der Pia verwachsen war. Hyper-
amische Stellen fanden sich
1. in der auBeren und auBersten Kapsel und im Claustrum kurz vor der Spitze des
Unterhornes links und rechts.
2. Rechts neben und im Schhugel, beim Anfang der Brachi cerebri ad pontem
an der Stelle, wo man den roten Kern findet.
3. Im Marke der beiden Lobi occipitales.
4. Im Marke des Kleinhims.
Ein Herd oder eine Erweichung war weder im Zentrum von Broca und Wernicke,
noch in Insel, Gyr. angularis oder G. supramarginalis vorhanden. Ebensowenig konnte ich
makroskopisch auch nur eine Spur von Atrophie an diesen Zentra weder in der Rinde
noch im Marke finden.
Epikrise.
Es handelt sich also um einen Kranken, welcher an Dementia paralytica leidet
und alle Erscheinungen dieser Krankheit zeigt, auch einen geringen Grad von
Demenz, aber ohne zentrale Sprachstorungen aufweist. Durch einen Insult verliert
er das Vermogen, sowohl konkrete als abstrakte Begriffe zu benennen, indem er
anstatt des Namens jetzt lange typische (K. Goldstein) Umschreibungen benutzt.
Agnosie hat er gar nicht, wie sowohl aus den Umschreibungen der nicht benannten
Gegenstande wie aus dem richtigen Gebrauch derselben hervorgeht. Pat. ist auch
im Alltagsleben gar nicht ungeschickt, nur seine Ataxie geniert ihn etwas. Das Lesen
geht buchstablich, zum Spontanschreiben ist er fast nicht zu bringen, es kostet ihn
groBe Anstrengung. Die Farben einiger Objekte kann er auswendig nur sehr wenig
richtig benennen, obwohl er sie sehr gut unterscheidet.
Es besteht keine Spur von sensorischer Aphasie, speziell Worttaubheit, alle
Befehle werden prompt ausgefiihrt, auch paraphasische AuBerungen hort man nicht.
Ebensowenig sind Erscheinungen von motorischer Aphasie vorhanden, im Gegenteil,
der Wortschatz des Kranken ist ausgezeichnet, wenn man seine riesenhaft langen
Umschreibungen bedenkt. Das Handeln ist, abgesehen von seiner Ataxie, richtig
eupraktisch.
Von einer optischen Aphasie kann man jedenfalls nicht reden, es macht dem
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260 DR. V. TRAVAGLINO. Journal f. Psycholofie
und Neurol ope.
Patientcn keinen Unterschied, oh er die Ohjekte optisch, taktil oder auditorisch
priift, er findet den Namen nicht.
Die optische, taktile usw. Merkfahigkeit ist ebenfalls ausgezeichnet; viele
Minuten spiiter kann er ein gesehenes resp. getastetes Objekt noch ganz genau
beschreiben. Die Unfiiliigkeit, den Namen zu finden, wird also nicht verursacht
durch das Vergessen des Gesehenen oder Gehorten. Der Intelligenzdefekt ist nicht
starker als vor dem Insult, zu der Zeit also, wo er die Gegenstande noch gut benennen
konnte. Wenige Tage spater wird es besser, und nach kaum drei Wochen weiB er
schon wieder die Namen, liest nicht mehr buchstabierend und hat auch das Schreiben
sich etwas gebessert, obwohl infolge der Ataxie letztere Handlung ihn sehr anstrengt.
Die Intelligenzschwache ist auch jetzt noch unverandert.
Diese klinischen Ergebnisse lassen sich nicht anders deuten als durch die
Annahme des Verlustes der Fiihigkeit, fiir bekannte Objekte den Namen zu finden.
Da Patient statt des Namens die bekannten und typischen Umschreibungen benutzt,
um sich zu helfen, so diirfte dieser Fall dem klinischen Bild der reinen amnestischen
Aphasie einzureihen sein. Man kann hier von einer Teilerscheinung der sensorischen
oder motorischen Aphasie nicht sprechen, denn es bestand kein einziges Symptom
dieser Formen von Sprachstorung, weder von einer durch Schwachsinn bedingten
Storung, da das Bild des Schwachsinnes unverandert geblieben ist, wahrend die Am¬
nesic isoliert entstanden und wiederum verschwunden ist. Drei Punkte bleiben noch
zu besprechen iibrig: erstens die Lesestdrung. Ich erklare mir diese so, daB Pat. wohl
die Buchstaben selbst erkannte (er schrieb alle Buchstaben), nur zeitweise nicht den
Namen der Buchstabenform sagen konnte, er hesitierte beim Lesen der Buchstaben
wie ein Kind, das noch nicht geiibt ist — die Form war ihm bekannt, nur war der
Name fiir den Buchstaben schwer erweckbar, gerade wie bei Objekten. Er konnte
auch vorgesagte Buchstaben aus einer Menge von geschriebenen Buchstaben heraus-
suchen, weil aber haufig die bekannte Form nicht sogleich den Namen hervorrief,
so war auch das Wort als Ganzes verwirrt und unsicher, und Pat. fing zu buch-
stabieren an wie ein Kind. Wir haben hier also eine amnestische Form von Lese¬
storung. Diese Storung ging gleichzeitig mit der anderen Storung der Namenfin-
dung zuriick.
Zweitens die Unfahigkeit, Farben zu benennen. Die Farben sind im allgemeinen
ein wenig gebrauchtes Mittel, um Objekte zu identifizieren, ich selber wenigstens
gebrauche es niemals. Fiille von Wilbrand, Moeli, Bleuler, Heilbronner u. a.
zeigen jedoch, daB man dem Symptom der sog. Farbenaphasie haufig bei Sprach-
storungen begegnet. Heilbronner meint, daB diese Fahigkeit meist schnell wieder
zuriickgeht, was auch bei meinem Kranken der Fall war. Doch glaube ich, daB es
weniger eine amnestische als eine Erinnerungsstorung war, denn der Kranke ge-
brauchte keine Umschreibungen, er sagte meist ,,das weiB ich nicht“ oder nannte
willkurlich eine Farbe, den Wein z. B. als braun. Die Namen der Farben waren nicht
schwer erweckbar, im Gegenteil, Pat. nannte haufig eine Farbe, obwohl fehlerhaft.
Die Farben haben eben auBer dem Namen nur wenig assoziative Beziehungen.
Man kann sich ein Pferd vollstandig vorstellen, ohne den Namen, aber der Begriff
braun oder rot wird bei den meisten Menschen nichts bedeuten ohne den Namen.
Daher deute ich die Fehler in der assoziativen Farbenbenennung bei manchen
Kranken bloB als ein Vergessensein der Farbe der Objekte.
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1912.
EIN FALL VON AMNESTISCHER APHASIE.
26l
Drittens ware noch zu erwahnen die Eigentiimlichkeit, daB der Patient den
Namen seiner eigenen Korperteile immer sehr genau wuBte. Dies erklart sich durch
die innigeren Beziehungen mit unserem gesamten psychischen Inhalt. Auch Wolff
meint, daB die Erkennung unserer GliedmaBen durch ihre Lokalisation schon ge-
geben ist, und wir daher ihren Namen zweifellos schneller finden als die Namen
anderer Gegenstande. Sie haben wahrscheinlich eine groBere Vertretung im Begriffs-
feld.
Wir sahen also bei unserem Kranken ziemlich isoliert eine Storung auftreten,
die darin bestand, daB er gut erkannte und richtig gebrauchte Gegenstande weder
spontan noch auf sinnliche Reize hin benennen konnte, und daB er sich, statt den
richtigen Namen zu sagen, typischer Umschreibungen bediente. Die Namenfindung
ist an sich eine schwierige Fahigkeit und miBlingt auch normalen Menschen offers,
ohne daB es krankhaft zu sein braucht. Man benutzt dann an Stelle des Namens Um¬
schreibungen, welche einzelne Qualitaten des Gegenstandes enthalten. Diese Um¬
schreibungen sind denjenigen bei der amnestischen Aphasie ganz ahnlich. Meine
Beobachtungen sprechen sehr fur die Auffassung Goldsteins hinsichtlich eines
Begriffsfeldes. Durch die Erregung der sinnlichen Komponenten eines Objektes
erwecken wir zugleich die nichtsinnlichen und reizen dadurch das Begriffsfeld,
das so nun besser assoziiert wird mit seinem Analogon im Sprachfelde, worauf der ge-
suchte Name auf das Motorium der Sprache iibertragen wird. Wir sehen sowohl unter
physiologischen als pathologischen Verhaltnissen dieselben Erscheinungen, das
Nachsinnen, die Anstrengung, das Gefiihl, als ob das Wort auf den Lippen liegt,
der Ersatzversuch mit Umschreibungen. Man kann daraus schlieflen, daB der
amnestischen Aphasie keine grobere Lasion zugrunde liegt (sie wiirde sonst nicht
dem physiologischen Vergessen von Objektnamen so ahnlich sein), als vielmehr eine
Storung des Anklingens oder des Zusammenarbeitens. Die sinnlichen Komponenten
werden wohl immer untrennbar sein von den nichtsinnlichen, obwohl man annehmen
mag, daB das Verhaltnis zwischen dem sinnlichen und nichtsinnlichen Teil bei ein-
zelnen Objekten verschieden ist, was Goldstein auch den prinzipiellen Unterschied
zwischen Erinnerung und Wahmehmung nennt.
Die verschiedenen Falle von amnestischer Aphasie aus der Literatur beweisen,
wie der meinige, daB die Namenfindung von alien Sinnen her gestort ist; fur meinen
Kranken war es ganz gleichgiiltig, ob er das Objekt horte, sah oder betastete, er
fand den Namen auf keine Weise, ebensowenig als wenn er zwei oder mehrere Sinne
zugleich benutzte. Von alien Sinnesgebieten her miissen also Verbindungen bestehen
mit dem Begriffsfeld (wo dann die nichtsinnlichen Komponenten, wie Goldstein
meint, angehauft sind), welches Feld mit alien Sinnesgebieten zusammen wie ein
Ganzes bei der Namenfindung arbeitet. Mein Fall spricht aber auBerdem fur die
Auffassung, daB bei der amnestischen Aphasie auch das Begriffsfeld nicht ganz un-
gestort ist. Wir sahen die Storung auftreten bei einem Kranken, dessen Begriffe
schon nicht ganz intakt waren, da zugleich mit der amnestischen Storung eine
Lasion der Farbenbenennung bestand, welche ebenfalls zusammen mit der amnesti¬
schen Storung ausheilte. Der paralytische Anfall schadigte das nicht mehr ganz
gesunde Begriffsfeld noch mehr und in dem MaBe, daB eine seiner feineren vorher
ungestorten Funktionen, namlich die der Namenfindung, jetzt miBlang. So entsteht
ein Fehler des Zusammenarbeitens, des Assonierens, eine intercorticale Diaschvsis
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Journal f. Pijcholofi*
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(v. Monakow), aber nicht verursacht durch einen entfernten Herd, sondem durch
feinere diffuse Lasionen.
Der anatomische Refund gibt keine Anhaltspunkte fur eine andere Auffassung,
da ein Herd nirgendwo vorhanden war. Pitres hat in 8 von den io Fallen einen
Herd im Parazentrallappen gefundcn, doch wagte er es nicht, diesen Herd als die
unmittelbare Ursache anzusprechen. Goldstein sah einen Tumor im Marke des
Schlafenlappens, doch sagt auch er: ..die Erscheinungen der amnestischen Aphasie
konnen auch durch einen Herd im Marke des Temporallappens zustande kommen,
wenn dieser geeignet ist, gleichzeitig eine diffuse Schadigung weiterer Gebiete zu
bewirken.“ Auch in unserem Falle ist die diffuse Schadigung des Gehims, speziell
tier Teile, in denen das Begriffsfeld und Sprachfeld gelegen sind, die Ursache, daB
jenes besondere System nicht funktioniert, denn dafl die Fahigkeit der Namenfindung
gebunden ist an ein besonderes System, beweisen uns die Falle von reiner amnesti-
scher Aphasie.
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264
SAMMELBERICHT.
Journal l Psjch^ogie
und Neorolofie.
Sammelbericht
iiber die psychotherapeutische Literatur im Jahre 1910 u. 1911.
J. Marinowski. Nervositat und Weltanschauung. 2. Aufl. 1910. Otto Salle.
138 S.
Es ist das bcste Buch, das ich iiber das genannte Thema kenne, geschrieben aus
ciner warraen Begcisterung fur eine psychischc Behandlung Nervoser, die sich an die
ga n zen Menschcn wendet. Die Einleitung ,,Die Bedeutungder Weltanschauungsprobleme
in der Heilkunst" zeigt in ausgezeichneter Weise, dafl der Arzt nur halbe Arbeit leistet,
der sich nicht um die tiefsten Fragen des Menschenlebens auch bei seinen Patienten kum-
mert. Besonders schon ist das Kapitel ,,Vom Sinne der Welt", worm M. seine eigene
Weltanschauung mit kraftigen Strichen in hinreifiender Sprache vortragt. Fur weniger
gut gelungen halte ich dagegen den Abschnitt ,,Von der Notwendigkeit. Von der sitt-
lichen Frciheit und von der Verantwortlichkeit". Der hier vorgetragene Gedankengang,
der den Fatalismus vviderlegen soli, kann, streng philosophisch betrachtet, nicht be-
fricdigen. Indessen ist das Problem so wichtig und die Anregung zum eigenen Nachdenken
auch hier so grofi, dafl kein Kranker diese Gedanken ohne Nutzen lesen wird. Ich mochte
daneben allerdings empfehlen, die Bucher von Chr. Schumpf zu studieren, der das
Problem von ciner ganz anderen Seite auffaflt. In den ubrigen Kapiteln erortert M. der
Keihe nach alle jene Dinge, die fur jede suchende Menschenseele von hochster Bedeutung
sind wic Fgoismus und Altruismus, Zufall, Zweck und Vorsehung, Wert der Personlich-
keit, ausgleichende Gerechtigkeit u. a. m. Besonders verdienstlich ist auch die scharfe
Kritik an dem Erblichkeitsbegriff, den soviel willensschwache Individuen als Faulbett
benutzen. Das Ganze klingt aus in einer schonen und schwungvollen Darstellung ,,von
der gestaltenden Kraft des Gedankens", und ich hoffe, dafl recht viele Kollegen diese
Schrift mit ebensoviel Nutzen ihren Kranken in die Hande geben, wie ich selbst.
Mohr-Coblenz.
Ernst Weber. Der Einflufl lokalisierter Aufmerksamkeit auf die Blutfulle
der tastenden Hautpartie. Arch. f. Anat. und Physiol. 1910.
— Die Beeinflussung der Blutverschiebungen bei psychischen Vorgangen
durch Ermfidung. Ebenda 1909.
— Der Einflufl psychischer Vorgange auf den Korper. Berlin. Jul. Springer.
1910. 426 S.
Diese Arbeiten, insbesondere das zusammenfassende zuletzt angeffihrte Buch,
gehoren zwar nicht streng zu der psycho-therapeutischen Literatur, sie sind aber ein
so willkommenes Rustzeug fur den nach wissenschaftlicher Begrfindung seines Vor-
gehens strebenden Psychotherapeuten, dafl sie hier wenigstens kurz erwahnt werden
mfissen.
An der Hand zahlreicher Experimente, die teils an Tieren, teils an Hypnotisierten
und im Wachzustand befindlichen Menschen vorgenommen worden sind, erbringt Weber
hier den Beweis fiir vieles, was zwar therapeutisch schon verwertet, aber in seinem Ent-
stehungsmechanismus bisher nicht aufgeklart war, z. B. fur die Tatsache des groflen Ein-
flusses psychischer Vorgange auf den Vasomatorenapparat, uber die dabei zu beob-
achtenden groflen Verschiedenheiten bei gesunden und bei „nerv6sen“ Menschen. Be¬
sonders wichtig fiir diesen Zweck sind die Untersuchungen fiber den Nutzen der Blut-
verschiebung bei der Entstehung von Bewegungsvorstellungen, fiber die Blutverschie¬
bungen im Korper bei Lust und Unlust und bei gesteigerter Auf merksamkeit und fiber
die Bedeutung der vasomotorischen Vorgange beim Eintreten des Schlafes.
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BD. It. HEFT 6
1912.
SAMMELBERICHT.
265
Wenn auch uber die eine oder andere dieser Fragen eine voile Einigung unter
den verschiedenen Experimentatoren noch lange nicht erzielt ist, so scheint mir doch
die Arbeit Webers einen groBen Schritt vorwarts zu bedeuten, und keiner, der sich fur
psychische Einwirkungen interessiert, wird an seinen Ausfiihrungen voriibergehen durfen.
Mohr-Coblenz.
Bezzola-Rohr. Zu den psychotherapeutischen Wirkungen des Hochgebirges.
Zeitschr. f. Balneologie, Mineralogie und Kurort-Hygiene. III. Jahrg. 1910—1911.
Nr. 11.
Ausgehend von Fechnerschen Ideen statuiert B. den Satz, daB jeder AuBenreiz,
der durch unsere Sinnesspharen auf unseren Himmechanismus einwirke und heilsame
Reaktionen auf unser BewuBtsein und unsere Organe ausiibe, als psychotherapeutisch
wirksam betracbtet werden musse. In diesem Sinne kann also auch von einer psycho¬
therapeutischen Komponente der Klimawirkung auf jedes Organ gesprochen werden,
moge diese Tatsache bewufit oder unbewuBt, gewollt oder ungewollt sein. Und vielleicht
ist der Hauptbestandteil bei den klimatischen Wirkungen trotz all der zahlreichen,
sonst ins Feld gefiihrten Faktoren doch das psychische Moment.
Der Verf. hatte relativ gunstige Gelegenheiten, eingehende Studien uber diese
im Hochgebirge wirksamen psychischen Momente zu machen. Er unterscheidet, ent-
sprechend den drei Stadien, die ein in unser Gehirn eintretender Eindruck bis zum Aus-
druck durchlauft, auch drei Phasen der Hochgebirgskur: die Reizphase der Akklimati-
sation, die Assoziationsphase mit Umstimmung der Seelentatigkeit und die Reaktions-
phase mit den EntauBerungstendenzen. Betreffs der ersten Phase weist B. darauf hin,
dafl scheinbar manche suggerierte Angstvorstellungen sich als Akklimatisationsbeschwer-
den realisierten. Bei nervosen Menschen mit gesunden Organen konne man also ruhig
einen schnellen Obergang wagen, wenn sie einem Arzt uberwiesen werden. Das all-
gemeinste Symptom der Anpassung ist ein submanischer Zustand. Er kann ohne arzt-
liche Oberwachung zu Dberanstrengungen und unnotigen Erregungcn fiihren. Die
eigentliche heilende Wirkung zeigt sich sodann in Besserung des Appetits, der Ernahrung,
Anregung des Stoffwechsels usw. Psychotherapeutisch handelt es sich darum, den um-
stimmenden EinfluB des Hochgebirges auf das Gefuhlsleben zu prufen und die Assoziation
der wirksamen Sinneseindrucke mit der Vorstellungstatigkeit, ev. auch mit der
unterbewuBten individuellen Erfahrung zu prufen. Das BewuBtsein wird stark ab-
gelenkt, der Zweifel, die bestandige Unsicherheit des Nervenkranken findet einen wirk¬
samen Kontrast in der taglichen Erinnerung an die Macht unabanderlicher Natur-
krafte, in dem Zwang zur Geistesgegenwart, der ihn aus Traumereien aufriittelt. „Alles
drangt zum Handeln, zur EntauBerung eigener Krafte, die durch krankhafte Gefiihle
gehemmt waren." Die Assoziationsversuche ergaben denn auch durchgehends Kontrast-
vorstellungen zu den friiheren truben Vorstellungen. Bei schweren Neurosen verwendet
B. neben der Reiztherapie des Hochgebirges auch die Reaktionstherapie, „um auch
unterbewuBte Erfahrungskomplexe bewuBt und der umstimmenden Wirkung der
Hochgebirgsreize zuganglich zu machen." Dazu verwendet er „die einfache kathartische
Psychanalyse" (freie Assoziation mit verbundenen Augen). Er fand, daB das Eindringen
ins UnterbewuBte „wohl infolge der starken Ablenkung der Aufmerksamkeit durch die
groBe Alpenwelt" erleichtert wird: groBere Mitteilsamkeit sonst schweigsamer Menschen,
Zunahme des Tatendranges. Damit kommt die SchluBphase der psychischen Klima-
einflusse, die psychomotorische Reaktion, bestehend in einer groBeren Lust an intensiver
Muskeltatigkeit. So ist die befreiende Tat, die den SchluBstein aller Psychotherapie
bildet, im Hochgebirge durch die Umstande besonders erleichtert, und der Neurotiker
erringt im Handeln wieder den Glauben an sich selbst, der ihm in inneren Konflikten
abhanden gekommen war.
Man sieht: uberall setzt sich die Erkenntnis von der Bedeutung des psychischen
Faktors durch, und es ist eine reine Freude, einen erfahrenen Psychotherapeuten klima-
tische psychische Wirkungen so grundlich ausnutzen zu sehen, w r ie es B. hier tut.
Mohr-Coblenz.
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266 SAMMELBER1CHT. Journal f. Psychologie
_ _und Nonrolog-ie.
Ernst Meumann. Vorlesungen zur Einfuhrung in die experimentelle Pada-
gogik und ihre ps ychologische n Grundlagen. Bd. i. 2. Aufl. Leipzig.
W. Engelmann. 1911. 725 S.
Die Beziehungcn zwischen w issenschaftlich betricbener Psychotherapie und
experimenteller Padagogik sind sehr eng, und es ist bedauerlich, daB sie von seiten der
Arzte bishcr noch relativ wenig gewiirdigt worden sind. Um so willkommener ist mir
die Mdglichkeit, hier dies neuc Biu h des bekannten Psychologen anzcigen und darauf
hinweisen zu konnen, daB es eine Quelle der Anregung gerade auch fiir den nach Ver-
tiefung seiner Erkenntnisse strebenden Ncrvenarzt ist.
Um einen Begriff von dem reit lien Inhalt dieses ersten Bandes zu geben, sei nur
folgendcs angeliihrt: die ersten \’orlesungen befassen sieh mit der experimentellen
Untersuchung der kbi rrhchen und geistigen Entwicklung der Kinder im allgemeinen
und rnit ihrer piidagogischcn Bedeutung. Daran sehlieBt sich an die Untersuchung der
cinzelnen geistigen Fahigkeiten, des \ orstellungskrcises der neueintretenden Schul-
kindcr, der Entwicklung des Gedachtnisses, der Spraehe, des Gefiihls und Willcns. Uberall
wird auch die Technik der Experimente cingehend und kritisch besprochcn, so daB jeder
psychologist h Gebildcte imstandc* ist, sich ein eigenes Urteil 2u bilden. Auf S. 643 wird
auch der Theorien Freuds in objektiv referierendcr Weisc gedacht. Gerade diesc achte
Vorlesung enthii.lt eine groBe Zahl fiir die Psychotherapie wichtiger Winke, so das, was
iiber die Erzichung des Gefiihls, des Widens, liber die Hemmungen des Widens, iibcr
die Suggestibilitat, iiber Willc und t bungsfortschritt u. a. m. gesagt wird.
Es ware sehr zu wiinschen, daB dieses Work recht eifrige Leser unter den Kollegen
fande. Vielleicht wiirde dann mancher von allerlci Abirrungen auf die Wege einer Meta-
psychologie bcwahrt, die letzten Endes doch nur zu Widkiir und unkritischer Verall-
gemeinerung weniger Einzelbeobachtungen fiihren muB. Mohr-Coblenz.
0 . Veraguth. ^Psychotherapie", im Lehrbuch der Therapie innerer Krank-
heiten von Krause und Garre. Fischer. Jena 1911. S. 666—689.
Wer hatte noch vor vvenigen Jahrcn gedacht, daB in einem Lehrbuch der inneren
Mcdizin ein ausfiihrliches Kapitel iilier Psychotherapie gewiinscht wiirde? Ist diese
Tatsache an sich erfreulich, weil charakteristisch als Zeichen einer das Psychische immer
mehr in seiner Bedeutung erfassenden Zcit, so ist die Bearbeitung des Kapitels durch
Veraguth als doppelt erfreulich zu liezeichnen, weil es dem Verf. gelungen ist, das Wesent-
liche mit sicherer Hand herauszugreifen und in pragnanter Weisc darzustellen. Er
gibt zunachst eine kurze Geschichte der Psychotherapie, sodann einen AbriB ihrer
psychologischen Grundlagen, der trotz seiner Knapphcit doch fiir den vorliegenden Zweck
als gut und ausreichend zu bezeichnen ist. DaB er dabei auch auf die Periodizitat im
psychischen Geschehen hinweist, ist l>ei der geringen Bcachtung, die diese Tatsache
bisher gefunden hat, zu begriiBen. Weiterhin werden die allgemeinen Ziele der Psycho¬
therapie besprochen und cndlich die einzclnen psychothcrapeutischen Mittel und Metho-
den. Die Arbeitstherapie, iiber die Verf. ja schon friiher eine eigene, an Anregungen reiche
Arbeit vcroffentlicht hat, findet cingehende Wiirdigung. Die ..Rationalpsychotherapie"
wird in ihrer Bedeutung anerkannt, dabei aber auch ihre natitrlichen Grenzen nicht iiber-
sehen. Beziiglich der Hypnosc verhalt sich der Verf. wohl etwas allzu vorsichtig; er
hiitte die Nichtigkeit der gegen eine verniinftig gelcitete Hypnose vorgebrachtcn Ein*
wande ruhig etwas starker betonen konnen, was gerade in einem Lehrbuch der inneren
Medizin besonders angebracht gewesen ware. Auch werden die Arzte, die die Hypnose
in wissenschaftlich einwandfreicr Form betreiben, V.s Satz von dem ,,entschieden
thaumaturgischen Charakter der auBercn hypnotischen MaBnahmen" und die Be-
schrankung der Hypnose auf die raschc Beseitigung neurotischer Einzelerscheinungen
bei Kindern nicht anerkennen konnen. Die Psychoanalyse nach Freud erfahrt eine
wohltuend ruhige und sacldiche Beurteilung. V r . halt sich dal^ei von den maBlosen Uber-
treibungen der strengen Freudianer fern, ohne die Bedeutung eines moglichst tiefen Ein-
dringens in das UnbewuBtc zu verkennen.
Was die von V. aufgestelltcn Indikationcn fur die cinzelnen psychotheraj>eutischen
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SAMMELBERICHT.
BD. 19. HEFT 6
1912.
267
MaBnahmen betrifft, so wird man sich damit — mit Ausnahme seiner starken Einschran-
kung des Anwendungsbereichs der Hypnose — durchaus einverstanden erklaren dfirfen.
Namentlich scheint mir das, was er uber die Indikationen der Psychoanalyse (im weiteren
Sinne) sagt, beherzigenswert. Er will sie dort angewendet wissen, wo ,,die krank-
machende Ursache im UnterbewuBtsein eines Menschen liegt, der ethisch und intellektuell
der Aufgabe gewachsen ist, in der Tiefe seiner Seele Vorstellungskomplexe zu finden,
die er mit seinen hoher differenzierten psychischen Instanzen zu bemeistern hat.“
Mohr-Coblenz.
L. Frank. Die Psychanalyse. E. Reinhardt. Mfinchen 1910. 42 S.
Der Verf. gibt zunachst eine sehr klare und im allgemeinen wohl auch von jedem
analysierenden Psychotherapeuten zu unterschreibende Darstellung der psychologischen
Vorgange, die sich bei der Entstehung der Neurosen ober- und unterbewuBt abspielen.
Er halt sich dabei im ganzen frei von den Obertreibungen der Freudschen Schule und
zeigt, dafi und wie man auch ohne solche Psychanalyse im besten Wortsinn betreiben kann.
Dabei erkennt er die Bedeutung der Arbeiten von Breuer und Freud durchaus an, lehnt
aber vor allem die These ab, daB nur sexuelle Faktoren in der Pathogenese neurotischer
Erkrankungen eine Rolle spielen. Die uns besonders interessierende technische Seite
seiner Behandlungsmethode unterscheidet sich von dem ursprfinglichen Verfahren von
Breuer-Freud vor allem dadurch, daB er „nur einen ganz bestimmten Grad von Hypnose' ’
benutzt und in der Regel den Patienten nicht suggestiv beeinfluBt oder ausfragt. Viel-
mehr ist er der Ansicht, daB sich in einem bestimmten oberflachlichen Schlafzustande,
bei dem das OberbewaiBtsein noch erhalten ist, die geffihlsbetonten Vorstellungen von
selbst geltend machen. Dieselben werden vom Patienten gleichsam als Szene geschaut
und geffihlsbetont wieder durchlebt. Dabei findet zwar auch ein Abreagieren, oft mit
einer fiberwaltigenden Affektentwicklung, statt, aber auch zugleich eine Analyse, ,,ein
Auffinden des Zusammenhangs der bestehenden Krankheitssymptome mit dem Deter-
minanten-Unterbau durch die Patienten selbst." In manchen Fallen ist eine suggestive
Nachhilfe notig, aber bei groBerer Ubung lauft der ganze ProzeB nach Einleitung der
Hypnose meist ganz von selbst ab.
Der Vorteil seines Vorgehens gegenfiber der Traumanalyse besteht nach dem Ver-
fasser vor allem darin, daB dabei die Phantasie und Assoziationstatigkeit des Patienten
Oder des Arztes nicht erst den realen Kern herauszuschalen braucht, und daB bei der
Traumanalyse das Abreagieren der Affekte fehlt. Wahrend die Suggestivtherapie mehr da
angezeigt ist, wo es gilt, neue Vorstellungen einzupflanzen oder alte Bahnungen zu ver-
starken, muB sie sich als weniger geeignet erweisen, wo es sich um pathogene Komplexe
im UnterbewuBtsein handelt. Auch die Erziehungs-, Uberredungs- und Willenstherapie
kann in solchen Fallen nur vorfibergehende Besserungen erzielen.
Eine Anzahl kurzer Krankengeschichten illustriert die Erfolge der Behandlung
des Verf.
Es ist sehr verdienstlich von Frank, durch sein Vorgehen gezeigt zu haben, daB
und wie man Psychanalyse treiben kann, ohne zu allzu gewagten Deutungen und Schlussen
greifen und ohne bis in die allerletzten Details eindringen zu mfissen. Wenn ich auch
gestehe, daB ich bisher ,,den ganz bestimmten Grad der Hypnose", den er zu benutzen
angibt, nicht sehr oft getroffen habe, und daB ich die von ihm beschriebene, sozusagen
automatische Affektentladung nicht in der von ihm angegebenen Selbstverstandlichkeit
habe auftreten sehen — meist bedurfte es noch allerlei anderer Hilfsmittel —, so ist es
doch sicher, daB man in einem Teil der Falle ahnliches erleben kann, und vielleicht ge-
lingt es bei groBerer Ubung sehr viel leichter. Jedenfalls wird es sich sehr empfehlen,
den beherzigenswerten Anregungen Franks weiter nachzugehen. Mohr-Coblenz.
L. Frank. Die Determination physischer und psychischer Symptome im
UnterbewuBtsein. Corr.-Blatt f. Schweizer Arzte 1911. Nr. 34.
Nach einer kurzen Erorterung der Frage, wo und inwieweit Suggestionen sich als
wirksam erweisen, bespricht F. kurz die Methoden, die uns die unterbewuBte Tatigkeis
erkennen lassen. J ungs Assoziationsexperiment und Freuds Vorgehen gegenfiber hebt
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268 SAMMELBERICHT. Journal f.P*ycbol<*i«
__ __ und Neurolofne .
er hervor, daB die Gefahren dcr Deutung dabei sehr groBe sind und daB mit dem Wieder-
bewuBt werden der Vors tel lung nicht auch die Affekte wiederbewuflt werden, also
kein Abreagiercn stattfindet. Diese Behauptung kann von den Anhangern Freuds wohl
nicht ganz ohne Grund wenigstens fiir einen Teil der Falle bestritten werden. Andererseits
ist al>er sehr wichtig, aus Fra n ks Mittcilungen zu erfahren, daB der von ihm verwendete
Cirad der Hypnose offenbar nicht die von Freud befurchtete Wirkung einer Hcmmung
der volligcn Knthiillung unterbewuflter Vorgange hat, vielmehr die letzteren sich zum
Teil noch unmittelbarer entladcn laflt, was ja schon Muthmann u. a. angegeben hat.
Fr. ist nun auf Grund seiner Erfahrungen bei seiner Art des Vorgehens zu der Cber-
zeugung gelangt, und diese Ansicht scheint mir das wichtigste an dieser interessanten
Arbeit, daB die Psychoncurotikcr sich betreffs der Affekte anders verhalten, als Normale:
sic sind imstande, Affekte gleichsam in sich zu akkumulieren. Die neurotischen Symptome
werden manifest, wenn ein holier Grad der Akkumulierung stattgefunden hat zu einer
Zeit korpcrlicher oder geistiger Schwachung. Eine Affekterregung wandelt sich dabei
oft in cine andcre uni. Es handelt sich aber dabei durchaus nicht immer, wenn auch haufig,
uni die Umwandlung des Sexualaffekts in einen anderen Affekt. Einige Falle illustrieren
das thcoretisch Abgeleitete: Entstehung von Schmerzen, nervosem Schnupfen, Idio-
svnkrasieen u. a. m. auf diesem VVege. Bei den Schlafstorangen handelt es sich um die
assoziative Anregung der verdrangten Affekte vor dem Einschlafen oder um das sich
WicdcrbewuBtmachen der untcrbewuBt aufgespeicherten Affekte wahrend des ober-
flachlichen Schlafes. Mit den traumatischen Neurosen verhalt es sich genau so (dabei
wird doch wohl der Kampf um die Rente etwas zu gering bewertet. Ref.). Nicht ganz
wahrschcinlich wird es mancher Leser finden, w’enn Frank angibt, daB es ihm einmal
gel ungen sei, als friiheste Zeit des primaren (Affekt-) Erlebnisses das Alter von i Jahr
und 3—5 Monatcn zu eruieren, in mehreren Fallen aber die Zeit vor dem 2. Lebensjahr.
Mohr-Coblenz.
L. Frank. Cber Angstncurosen und das Stottern. Zurich. Art. Institut Orell-
Fussli.
Versuch des Nachwcises, daB sich bei der Entstehung des Stottems in der Schreck-
hemmung die Angst mit dem Aussprechen von bestimmten Sprachlauten verbindet.
Niihere psychologische Darstellung dieser Entstehungsweise auf Grand der oben referier-
ten Ansichten Franks iiber die Art der Affektwirkung und die unterbewuBte Tatigkeit.
Es ist wohl mit Sicherheit anzunehmen, daB das Stottern wohl meist nach einem Schrecken
zum ersten Male auftritt, daB aber diesem Schrecken schon eine Reihe von Schreck*
erlebnissen vorausgegangen waren und ihm nur die Rolle des auslosenden Moments zu-
kommt. Als Bchandlungsmcthode kommt also vor allem eine eingehende Analyse des
Falles in Fragc.
Bekanntlich stellt sich dip Mehrzahl der Spracharzte bisher noch auf einen anderen
Standpunkt. Ihre Griinde sind aber mehr physiologische Theorien und praktische Er-
folge durch Cbungsbehandlung, und man darf es Fr. danken, daB er hier auf eine andere
Art der Entstchungsmoglichkeit des Stottems hinweist, die in vielen Fallen sicher zu*
trifft. Mohr-Coblenz.
M. Isserlin. Bewegungen und Fortschritte in der Psychotherapie. Er-
gebnisse der Neurologie und Psychiatrie 1911.
Diese in der von Vogt und Bing herausgegebenen neuen Zeitschrift erschienene
Arbeit ist wohl eine der besten zusammenfassenden Darstellungen uber obiges Thema.
Zunachst wird der Hypnotismus und die Suggestivtherapie besprochen. Wir
heben daraus nur hervor, daB I. die neue Auffassung Ferenczis, wonach die Hypnose
und die Suggestion im Grunde nur Cbertragungsphanomene sein sollen, nicht anerkennt,
sondern daB ihm das vorgebrachte Material sehr durftig und reichlich durchsetzt mit
willkurlichen Kombinationen erscheint. Das einzig Tatsachliche an den Behauptungen
Ferenczis ist, daB Liebe, Achtung und Furcht gute Vorbedingungen fur die Einleitung
einer Hypnose sind. Betreffs der Frage, welche Bedeutung den Gefuhlen fur die Wirksam-
keit von Suggestionen zukommt, meint I., dafl die Bedeutung der Affektivitat fur das
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1912.
SAMMELBERICHT.
269
Zustandekommen der Suggestionswirkung sich nicht leugnen lasse, daB es aber nicht
richtig sei, der einzelnen suggerierten Vorstellung besondere Gefuhlsbetonung zuzu-
erkennen. Vielmehr gehore die Affektivitat nur zu den Vorbedingungen der Suggestion,
und zwar auch nicht die Affektivitat schlechthin, die nur durch ihre Intensitat wirkt,
sondem Affektivitat in besonderer Gestaltung.
Was die Verwandtschaft der Hypnose mit anderen besonderen Seelenzustanden
anlangt, so erscheint I. als das wichtigste Unterscheidungsmerkmal gegeniiber dem Schlaf
noch immer der Rapport, wenn es auch im Schlaf rapportahnliche Zustande gibt.
Hirschlaffs Unterscheidung zwischen eigentlicher und Pseudohypnose wird mit Recht
zuriickgewiesen. Ebenso wird das ,, Dogma von der kiinstlichen Hysterisierung" durch
die Hypnose mit guten Grunden zuriickgewiesen. Im allgemeinen neigt I. zur Anwendung
oberflachlicher Hypnosen, hebt aber hervor, daB fur eine Reihe von Fallen auch die
tiefen nicht zu entbehren sind. Gute Worte der Abwehr findet I. auch gegenuber dem
neuerdings wieder mehr hervortretenden Unfug, mit der Phrase von den ,,Gefahren der
Hypnose" um sich zu werfen. Sie wird bekanntlich von denen am meisten gebraucht, die
nichts davon verstehen. Bei der Besprechung der Wachsuggestionstherapie erwahnt I.
auch meine Empfehlung einer systematischen kombinierten psycho-physischen
Behandlung unter Heranziehung adaquater (teilweise unterschwelliger) Reize. Ich
habe kurzlich schon in den ,,Ergebnissen der inneren Medizin" darauf hingewiesen, daB
sich das von mir vorgeschlagene Vorgehen prinzipiell von der suggestiven Benutzung
physikalischer und chemischer Agenzien unterscheidet und also nicht, wie es I. tut,
mit der Suggestionstherapie einfach zusammengeworfen werden kann. Es scheint mir
das deshalb wichtig, weil eine moglichst strenge theoretische Scheidung zwischen Sug-
gestivwirkung und direkter Wirkung auf die elementaren psychischen Vorgange uns
gewiB in der Praxis manchen Schritt weiter bringen konnte.
Was I. uber die schiefe Stellung der „ Rational'‘-Psychotherapeuten zur Suggestiv-
behandlung sagt, wird jeder unterschreiben, der sich einmal der Muhe unterzogen hat,
die psychologischen Vorgange bei der Persuasion genauer zu analysieren. Auch die
Willens- bzw. Erziehungs- und t)bungstherapie erfahrt eine eingehendere Besprechung.
Den groBten Teil der Arbeit nimmt naturgemaB die analytische Psychotherapie
ein. Nach einer Darstellung der Verfahren von Bezzola und Frank tritt er noch einmal
in eine eingehende Auseinandersetzung mit dem Freudschen Vorgehen ein, wobei
er sich besonders gegen Bleulers Verteidigung Freuds (die ich, nebenbei gesagt, in
vielen Punkten fur ausgezeichnet halte) wendet. Es ist hier nicht moglich, den tief-
grundigen Untersuchungen I.s genauer nachzugehen, wir mochten vielmehr raten, dafl
alle, die sich fur die Psychanalyse interessieren, die Arbeit des Verteidigers und des
Kritikers recht eingehend studierten. Nur einiges wenige sei herausgehoben.
I. betont, daB die neueren Arbeiten der Freudschen Schule vor allem auf eine Er-
leichterung und Abkurzung der Analysierarbeit (durch Aufstellung fixer Traumdeutungs-
symbole, Vereinfachung der Technik usw.) ausgehen, und daB demgegenuber die Sorge
um die Grundlegung der ganzen Methodik einen auffallend kleinen Raum einnimmt.
„Die subjektive Sicherheit, auf ganz unanfechtbarem Boden zu arbeiten, ist offenbar
eine sehr groBe, und auch den Einwurfen der Gegner wird eindringlichere Beachtung nicht
geschenkt."
Das Resultat seiner Auseinandersetzung mit Bleuler betr. dessen Forderung
einer Nachprufung der Freudschen Analysen, faBt I. dahin zusammen: „Die Nach-
prufung, die von der Schule Freuds verlangt wird, ist in dem Sinne, in welchem sie
verlangt wird, nicht als Prufung anzusehen. Als solche ist in diesem Falle nur in Betracht
zu ziehen das Provozieren bestimmter psychischer Ablaufe und die Berucksichtigung der
Form und des Inhaltes des auf diese Weise zutage Geforderten. Die gedankliche Ver-
bindung des Produzierten und die Hingabe an den aus diesem Ganzen entspringenden
Eindruck ist keine Prufung mehr. Dem, der von der Fehlerhaftigkeit der Verbindungs-
praktiken uberzeugt ist, kann alles, was iiber die Registrierung des Produzierten nach
Inhalt, Tempo und Form — auch Form des Ausdrucks — hinausgeht, nur als ,Gutdun-
ken' und als affektiv bedingtes Furwahrhalten ohne wirkliche sachliche Notigung er-
Journai Air Psyehologie und Neurologin. Bd. 19.
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2JO
SAMMELBERICHT.
Journal f. Psychology
ond Neurologie.
scheincn." 1st es schon aus diescn Grunden schwer moglich, sich mit dcr Freudschen
Schule zu verstandigcn, so wird diesc Verstandigung zu einer volligcn Unmoglichkeit
l>ci dcr eigentlichen Dcutung.
Diese Ausfuhrungen I.s sind meines Erachtens unanfechtbar, solange und soweit
es sich um den Vcrsuch einer auf wissenschaftlichem Boden sich bewegenden Ver-
standigung handelt. Und cs ist ganz sell>st\erstandlich, daB man, insofern sich die
Schule Freuds als reine Wissenschaft zu gebcn versucht, dicsen Standpunkt energisch
vcrtrctcn mufl. Einc andcre Frage ist aber die, ob es sich bei der Psychoanalyse uber-
haupt um cine im strengen Sinne wissenschaftliche und nicht vielmehr um eine zum
groBen Teile kunstlerische Bctiitigung handelt. Wurden sich Freund und Feind ein-
mal vcruschswcise auf diesen Standpunkt der Betrachtung stellen, so ware doch vielleicht
das Ergebnis fur die Thera pie auf die Dauer ein erfreuliches, da dann wenigstens uber
einige Punkte, die praktisch bcsonders wichtig sind, eine gewisse Einigung erzielt und
am Ende auch der starke Affekt auf beiden Seiten, der der Sache nicht zum Vorteil ge-
reicht, etwas gedampft werden wurde.
Bezuglich der Freudschen Mechanismen wird, wie I. ausfuhrt, der Ver-
drangung von einer Reihe von Autoren, der Wert eines zum mindesten sehr wichtigen
Problems zuerkannt. Nur faBt man vielfach diesen Begriff nicht so streng, wie Freud
selbst, und es ist gut, daB I. ihn moglichst klar herauszuheben und auch die unter-
scheidenden Merkmale gegcnuber anderen Mechanismen (z. B. gegenuber dem neuer-
dings von Peters in einer interessanten Arbeit aufgestellten Begriff der Tendenz zur
Unlustverminderung) zu unterstreichen sucht. In einer Reihe von pathologischen Fallen
will I. die Verdrangung im strengen Sinne gelten lassen, ob sie im nor male n Seelenleben
vorkommt, ist ihm in hohem Grade zweifelhaft. Offen gestanden kann ich mich des
Eindruckes nicht ganz erwehren, daB die scharfe, von I. versuchte Abgrenzung des Be-
griffs der Verdrangung von anderen, ahnlichen Vorgangen, die wir auch im normalen
Leben finden, praktisch kaum moglich ist. Dagegen teile ich durchaus I.s Bedenken
gegen den eigenartigen Begriff des UnbewuBten, wie ihn Freuds Schule aufgestellt hat.
Freilich mochte ich auch da insofern vermitteln, als doch zu bedenken ist, daB wir bei
alien unseren psychologischen Begriffen vielfach mit Bildern zu operieren gezwungen
sind, die manchmal grofiere Unterschiede vortauschen, als tatsachlich vorhanden sind.
Alles in allem ist I.s neuestc Arbeit mit seinen fruheren zusammen das beste, was wir
an Kritiken der Freudschen Lehren haben. 1 ) Er geht bis auf die Wurzeln, soweit man
als Wissenschaftler bis auf die Wurzeln gehen kann, und wenn die weitere Entwicklung
zeigen sollte, daB doch mehr Wahrheitsgehalt an der Freudschen Lehre ist, als man
vom heutigen wissenschaftlichen Standpunkte aus annehmen konnte — das glaube
ich nach meiner jetzigen praktischen Erfahrung — so wird man auf alle Falle den ehr-
lichen und objektiven Kritikern immer das Verdienst lassen mussen, daB sie ihre
Pflicht getan haben. Denn das beweisen die wild wuchemden Nebentriebe der Freud¬
schen Theorien doch wohl zur Genuge, daB wir ohne eine dauemde Kontrolle streng
wissenschaftlicher Art gar bald ins Uferlose kommen wurden! Mohr-Coblenz.
J. Dejerine et E. Gauckler, Les manifestations fonctionelles des Psychon6vroses, leur
traitement par la Psychoth^rapie. Paris 1911. 561 Seiten.
Das Buch ist der Niederschlag einer reichen Lebenserfahrung. Mit feiner psycho-
logischer Analyse und an der Hand eines groBen kasuistischen Materiales werden alle bei
den Psychoneurosen zu beobachtenden funktionellen Storungen eingehend erortert. Was
die Einteilung des Werkes anbetrifft, so werden in dem ersten Teil die funktionellen
Storungen nach Organen angeordnet beleuchtet. Die Storungen des Digestions-, des
*) Ganz neuerdings ist allerdings eine Kritik der Freudschen Psychoanalyse erschienen,
die in manchen Punkten dem Wesen der Freudschen Theorien noch scharfer zusetzt als Isserlin,
sofern dabei auch die elementarsten Voraussetzungen derselben, die Assoziationspsychologie,
die Affektdynamik usw. eine eingehende Besprechung erfahren. Wir konnen hier nicht mehr
naher darauf eingehen, sondern mussen uns damit begniigen, auf die Wichtigkeit dieser Schrift
von A. Kronfeld: „Ober die psychologischen Theorien Freuds und verwandte
Anschauungen* 1 (Leipzig 1912, W. Engelmanns Verlag) hinzuweisen.
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BD. 19, HEFT 6
1912.
SAMMELBERICHT.
271
Urogenitalapparates, des Respirationstractus, des Herz-GefaBsystems usw. kommen
nacheinander zur Besprechung. Ihr Mechanismus und ihre Genese bilden dabei den
leitenden Gesichtspunkt der Betrachtung. Im zweiten Teil wird eine synthetische Dar-
stellung der Psychoneurosen und ihrer psychologischen Grundlagen versucht. Den
SchluBteil bildet die Therapie, speziell die Psychotherapie. Als Grundsatz gilt, alle soma-
tischen Storungen der Psychoneurosen sind psychischen Ursprungs. Ihr Mechanismus
ist in den einzelnen Fallen ein verschiedener. Aufgabe des Nervenarztes ist es, durch
eine eingehende Anamnese und durch ein liebevolles Eingehen auf den Patienten die
Genese der Storungen aus den ganzen Lebensumstanden zu verstehen. Wie in dem
zweiten Teil speziell ausgefiihrt wird, bilden die emotiven Erlebnisse des Patienten den
fast ausschliefilichen pathogenetischen Faktor. Wie es namentlich durch ihr Andauern
zu funktionellen Storungen kommt, wie die gesteigerte Selbstbeobachtung, die Pra-
okkupation, Auto- und Heterosuggestion zu einer Steigerung und Fixierung fiihrt, wie
dann schlieBlich der Wille und die moralische Haltung des Patienten erschlaffen, wird
an der Hand von Beispielen und in lebhafter Darstellung vor Augen gefiihrt. Eigentlich
erkennen die Verff. nur 2 Psychoneurosen an, die Neurasthenic und die Hysterie. Die
Neurasthenic wird als die Gesamtheit derjenigen Phanomene definiert, die aus der
mangelnden Anpassung des Wesens an die fortdauemde emotive Ursache und aus dem
Kampf des Wesens um diese Anpassung resultieren. Die Hysterie hat zwar ebenfalls
meist einen emotionellen Ursprung, die hysterischen Symptome kommen aber im Gegen-
satz zur Neurasthenic durch Dissoziation zustande, dem geraden Gegenteil der neur-
asthenischen Praokkupation; der Zusammenhang der psychischen Representation des
Organs mit dem ubrigen BewuBtsein wird sozusagen getrennt; der Hysteriker
vergiBt das Organ fdrmlich. Der Suggestibility wird dabei nur eine geringe patho-
genetische Rolle zugesprochen. Von der Neurasthenic werden die konstitutionellen und
die nervosen Ermudungszustande der Involution, die Psychasthenie und die Hypo-
chondrie scharf getrennt. Wie weit eine solche Einteilung wirklich durchfuhrbar ist,
erscheint dem Referenten zweifelhaft. Die Psychasthenie als Psychose der emotionell
bedingten Neurasthenic gegenuberzustellen, d. h. fur die Phobien und Zwangszustande
des Psychasthenikers die affektive Grundlage ganz zu leugnen, stofit wohl auf Bedenken.
Auch ist es vielleicht nicht zweckmaBig, die sogenannte konstitutionelle Neurasthenic
als wesensverschieden von der ubrigen Neurasthenic zu trennen.
Die schweren hysterischen Zustande lieBen sich wohl mit Hilfe der Dissoziation
ganz gut definieren; ob dies aber fur die leichteren durchfuhrbar sein wird, durfte zweifel¬
haft bleiben. Doch bietet die Einteilung der Neurosen so groBe Schwierigkeiten, daB ein
Versuch eines Systems immerhin dankbar begruBt werden muB.
Der dritte Teil des Werkes ergibt sich nun ganz aus den vorhergehenden. Die
einzige Therapie kann nur die Psychotherapie sein. Selbst bei Storungen wie z. B.
der Magenatonie, der Enteroptose im Gefolge der Neurasthenic soli eine Lokalbehandlung
ganz unterlassen werden, ja mit ihr kann sogar das groBte Unheil angerichtet werden.
Die Verff. gehen hier mit einer Milchemahrung in standig steigenden Mengen vor in
Verbindung mit Psychotherapie.
Als einzig wirksame psychotherapeutische Methode kennen sie nur die Persuasion,
wobei sie allerdings nicht in dem Raisonnement, sondem in dem Vertrauen, das in dem
Patienten erweckt wird, in dem Hervorrufen von „Emotions stdniques", in der Form
einer Reeducation, eines traitement moral den hauptsachlichsten heilenden Faktor sehen.
Vielfachen Widerspruch durfte wohl die ablehnende Stellung der Verff. gegenuber
der hypnotischen Therapie herausfordern. Erblicken sie doch in der Hypnose, indem
sie den Automatismus zuchte, eine emste Gefahr. Aber alle die Einwande, die hier gegen
den Hypnotismus vorgebracht werden, sind recht veraltet. Was kann denn das mora¬
lische Bedenken, uber den Willen eines Menschen zu verfugen, gegenuber einer arztlichen
Hypnose fur eine Geltung haben? Und was nutzen die Einwande, wenn sie sich gegen
eine verkehrte hypnotische Technik richten?
Das abschreckende Beispiel von Hysterischen, die die Hypnose zu Automaten
gemacht, die Moglichkeit als Arzt das Opfer falscher Anschuldigungen zu werden, der
18 *
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272
SAMMELBERICHT.
and Nurotofte.
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Nachweis, daB Verbrechcn auf hypnotischen Befehl ausgefuhrt werden konnten and
dergleichen mehr, das sind doch nur Scheinargumente.
In der groBen Wirkung auf die automatischen Vorgange beruht ja andererseits
gerade die Starke einer verniinftig angewandten Hypnose. Sollten psychogene Schmerzen,
Schlaflosigkeit, Menstruationsstorungen, Asthma usw. nicht besser durch Hypnose ais
durch Persuasion zu beeinflussen sein? DaB daneben ein traitement moral zur Geltung
kommen kann oder muB, ist ja selbstverstandlich. Die Erklarung der Verff., daB man
mit einem festen rcligiosen oder philosophischen Ideal nicht Neurastheniker werden
konnc, scheint doch wohl einer Dberschatzung des moralischen Faktors in der Patho-
genese der Psychoneurosen zu entspringen.
In einem so eingehcnden Werke hatte auch der Freud - Breuerschen Lehre ein
Raum gegonnt werden miisscn; dieselbe wird aber in einer Anmerkung von 6 Zeilen
ohne jede Argumentation abgetan.
Sehr anfechtbar ist auch das SchluBkapitel, in dem die Verff. die Prophylaxe der
Ncurosen und die moralische Rolle des Arztes behandeln. Einem Monisten odfcr De-
terministen die Fahigkeit zur Psychothcrapie abzusprechen, wie es die Verff. hi$r tun,
mutet etwas absurd an, in praktischer Hinsicht, weil die Psychotherapie eine Knnst
ist, die dem Arzte unabhangig von scinen reiigiosen und philosophischen Ansichten
gegeben sein muB, in theoretischer, weil eine solche Auffassung nur durch ein IfiB-
verstehen des Monismus und Detcrminimus erklarlich ist.
Doch geschieht hiermit dem Wert des Werkes kein Abbruch. Es ist eine wahre
Fundgrube feiner psychologischer Beobachtungen und kluger psychotherapeutischer
Ratschlage, so dafl die Lektiire dem Anfanger und dem erfahrenen Nervenarzt nur
warm empfohlen werden kann. F riedemann-Konigstein i. Taunus.
(Fortsetxnng folgt.)
Go^>gle
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Tafel 8.
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ITY OF CALI I
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Tafel 9.
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Hapale 17:18
Cercopilhecus 17:18
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Erythrocebus 17:18
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Lichtdruct votjfjfvER9 : ffT'0f v GA LI FO R NIA
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V erhandlungen
der
Intemationalen Gesellschaft
fur medizinische Psychologie und
Psychotherapie
H Jahresversammlung
in Muncben am 25. und 26. September 1911
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Inhaltsverzeichnis,
Seite
O. Vogt, Erdffnungsrede . i 273
Diskussionsreferate.
Diskussion fiber Bernheim und Clapardde, Definition, psychologische Inter¬
pretation und therapeutischer Wert des Hypnotismus: Forel, Bern¬
heim, Lowenfeld, Clapardde, Jakob, Tromner, Frank, Kohnstamm,
de Montet, Fulda, Dupr6, Ferrari, Seif, Bonjour, v. Renterghem,
O. Vogt, Preda, Jones, Hilger, Chojecki und Ringier. 4 276
L. Frank, Die Determination physischer und psychischer Symptom© im Unter-
bewufitsein.27 299
Diskussion: Lowenfeld, Frank, Tromner, Seif, Bonjour, O. Vogt, de Montet,
Forel und Bernheim.36 308
E. Tromner, Entstehung und Bedeutung der Traume.71 343
Diskussion: Jones, Tromner, Semon, Klages, Goldschmidt, Forel, Seif, Knauer,
de Montet und Vogt.,.78 350
Vortrage.
O. Kohnstamm, Der psychobiologische Standpunkt in der Erkenntnistheorie . . 84 356
Diskussion: O. Vogt, O. Kohnstamm.86 358
A. Forel, Zur Einteilung der Nervenkrankheiten.86 358
Bonjour, Die Grenzen der Psychotherapie.98 370
H. Delius, Die hypnotische Behandlung des Asthma nervosum.102 374
Chr. Jakob, Cber die Ubiquitat der senso-motorischen Doppelfunktion der Himrinde 107 379
A. L6ri et Cl. Vurpas, Observations psycho-physiologiques sur des anenc6phales 111 38 3
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Journal for Psychologie uno Neurologie.
Band 19.
Erganzungsheft 1.
Verhandlungen der Intemationalen Gesellschaft
ffir medizinische Psychologie und Psychotherapie.
Zweite Jahresversammlung in Miinchen am 25. und 26. September 1911.
Vorsitzeuder: O. Vogt.
Anwesende Mitglieder: Bernheim, Bonjour, Brauns, Chojecki, Danitscb, Delius, Dupre,
Ferrari, Forel, Frank, Fulda, Haslebacber, von Hattingberg, Hilger, Jakob, Jones, Knauer, Kobn-
stamra, Laudenheimer, Loy, von Malaise, Matthes, Meitzen, de Montet, Preda, van Renterghein,
Schweigholer, Seil, Semon, von Stauffenberg, Tromner, C. Vogt, Warda, Wittenberg.
Anwesende Giiste: Dr. Ludwig Klages, Dr. Werckmeister, M. Baeddinghaus, C. Kotthaus,
Dr. Devaux-Paris, Dr. Weydner, Dr. Isserlin, Prof. Scbultze-Greifswald, Keller, Stabsarzt Dr. Drescb-
feld, Dr. Reis-Niimberg, Hofr. Dr. Goldsckinidt-Bad Reichenhall u, a.
O. Vogt eroffnet die Sitzung mit folgenden Worten:
Hochverehrte Anwesende!
Indem ich Sie im Namcn des Komitees herzlichst willkommen heiBe, habe
ich zunachst die traurige Pflicht, Sie noch einmal daran zu erinnern, daB unser
allverehrter erster President nicht mehr unter den Lebenden weilt. Die Krankheit,
welche Herrn Raymond bereits verhindert hatte, den vorjahrigen KongreB zu
eroffnen, ist ihm bald hernach verhangnisvoll geworden, und so konnen wir heute
nur noch im Geiste dem Verstorbenen fur das Interesse danken, welches er der
j ungen Gesellschaft entgegenbrachte.
Herr Raymond war wie alle Schuler Charcots von tiefster Verehrung
fiir seinen Meister erfiillt. Und er hatte dementsprechend auch die Tendenz, an
Charcotschen Anschauungen festzuhalten. Aber in einem Punkte wich er ganz
und gar von seinem Lehrer ab, in seinem Verstandnis fiir Psychologie und
Psychotherapie. Herr Raymond war nicht nur einer der fiihrenden Geister
der objektiven Neuropathologie, sondem er zeigte auch keineswegs die Ab-
neigung eines gewissen Teils seiner engeren Fachgenossen gegen psychologische
Probleme und psychologische Interpretationen. Und er hat auch aus diesem seinem
Standpunkt niemals Hehl gemacht.
Man muB die Geschichte der medizinischen Psychologie und der Psycho¬
therapie kennen, man muB sich nicht nur des Kampfes zwischen der Ecole de la
Salpetri£re und der Ecole de Nancy erinnern, sondem auch der besonderen fran-
zosischen Verhaltnisse gedenken, welche den Gelehrten der Provinz einen Kampf
gegen Irrtumer Pariser Forscher so erschweren, um die historische Bedeutung
des Augenblicks zu verstehen, als im Jahre 1900 der Schuler und Nachfolger Char¬
cots den intemationalen KongreB fiir Hypnotismus in Paris eroffnete.
19 Journal fiir Psychologie und Neurologie. Bd 19 . I
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274 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESE LLSCHAFT FOR
,,L'hypnotisme“, so begann Raymond seine Ausfuhrungen, „est devenu
une branche ldgitime de la neurologie. Personne ne s’£tonnera aujourd’hui de
voir, 4 la tote de cette reunion, un reprdsentant de la Faculty de M&lecine de Paris:
celui qui est charge de l’enseignement officiel des maladies du syst£me nerveux.
A quelles appreciations desobligeantes il se flit expose, il y a seulement un quart
de si£cle, s’il avait appell 4 prAsider un Congres consacr^ 4 l'6tude des ph£no-
m£nes du magnetisme animal!“
Nicht ohne Recht schrieb er einen Teil dieses Umschwunges den Charcot -
schen Studien iiber den Hypnotismus zu. Aber gleichzeitig wurde er den Griindem
der Nancyer Schule gerccht. ,,Ceux-ci“, rief er aus, ,,ont eu le grand m6rite de
rattacher l’hypnotisme 4 des Etudes alors peu connues et presque m£pris£es par
les medecins, les (kudos de psychologic/*
Und er schloB seine Ausfuhrungen mit den auch heute noch ebenso be-
herzigenswerten Worten:
,,I 1 faut done maintenir ces Etudes dans la voie oil elles ont d 6 j 4 obtenu tant
de succes. Efforgons nous de leur imprimer une precision de plus en plus grande.
Attachons-nous 4 bien determiner le m^canisme des faits qui sont du ressort de
nos recherches. Appliquons 4 ces observations, qui sont presque toujours d’ordre
moral, la rigueur du determinisme scientifique. Ainsi nos efforts communs n’abou-
tiront pas seulement 4 faire progresser la science dans un des plus int£rressants
domaines de la neurologie; ils auront aussi cet inestimable r&ultat d'accroitre les
ressources dont nous disposons pour soulager et meme pour gu^rir ceux qui souf-
frent.“
Es bedarf wohl dabei kaum einer besonderen Erwahnung, daB Raymonds
psychologisches Interesse nicht etwa nur dem Hypnotismus gait. DieTatsache, daB
er Pierre Janet in seinem Hospital ein Laboratorium schuf, beweist allein schon
zur Geniige das Gegenteil. Raymond folgte nur nicht darin gewissen sich be-
sonders klug vorkommenden Mannem, daB er vor dem Hypnotismus Halt machte.
Er rechnete auch ihn zu den theoretisch und therapeutisch bedeutungsvollen
psychischen Tatsachen.
Aber Herr Raymond uberragte viele seiner engeren Fachgenossen nicht nur
an psychologischem Verstandnis, sondem auch an allgemeiner biologischer Bildung.
In seinem letzten Werke, an dem er bis an sein Lebensende gearbeitet hat und
das erst nach seinem Tode erschienen ist, bezeichnet er von erblicher Nerven-
krankheit befallene Individuen als „vari£t£s (de l’esp&ce) mal adapt6es aux fonc-
tions de la vie“. Dieser Satz zeigt allein, wie sehr sich Raymond an biologischer
Bildung von gewissen deutschen Psychiatem und gerichtlichen Sachverstandigen
unterscheidet. Aber dieser Satz weist zugleich von neuem auf Raymonds be-
sondere Eignung zur Leitung unserer Gesellschaft hin. Deckt er doch des Ver-
storbenen Verstandnis gerade fiir jenes biologische Problem auf, das fur uns Neuro-
psychologen von besonderer Bedeutung ist, das Problem vom Variieren und von
der Vererbung. Es ist ja unser Kollege Scmon gewesen, welcher die Idee von der
Identitat zwischen Handeln und Variieren und zwischen Gedachtnis und Ver¬
erbung am eihgehendsten begrundet hat. Diese Auffassung erklart ohne weiteres
die sonst so schwer zu verstehende und deshalb vielfach bestrittene Vererbung
erworbener Eigenschaften. Sie gibt uns auch zugleich eine ErkMrung dafiir, daB
2
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BD. 19,1912.
Erg&niunggheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 275
geringfiigige Abanderungen, d. h. Reaktionen auf schwache Reize, weniger erb-
lich sind als betrachtliche Abweichungen, d. h. Reaktionen auf starke Reize. Sie
gestattet uns das Richtige in der Lehre der „Erbeinheiten“ anzuerkennen, ohne
so schroffe Gegensatze zwischen erblichen und nicht erblichen Eigenschaften an-
zunehmen, wie es einige Biologen tun. Sie schiitzt uns davor, in groben Gebilden,
z. B. den Chromosomen, Reprasentanten dieser Erbeinheiten zu sehen, wie die
Tatsachen der Selbstbeobachtung nur einen ganz naiven Autor nicht davor be-
wahren kann, die einzelne Vorstellung in eine Zelle zu lokalisieren. Sie verhindert
uns endlich, a priori atavistische Erscheinungen zu leugnen, indem sie uns in den
Hemmungen unseres bewuBten Gedachnisses eine Analogic fiir entwicklungs-
geschichtliche Hemmungsbildungen aufdeckt. Und sie weist uns endlich darauf
hin, wie weitere Vertiefung unseres psychologischen Wissens neue Schlaglichter
auf die Lehre von den Faktoren der organischen Entwicklung werfen wird. Und
in dieser Richtung sind noch viele Fortschritte zu erwarten. Spiegelt doch jede
Introjektion psychologischer Vorgange in niederen Lebenseinheiten die groBen
Differenzen wieder, welche in bezug auf alle psychologischen Grundfragen zwischen
den einzelnen Autoren noch bestehen! Die Stellung des einzelnen zum Leib-Seelen-
problem, seine Auffassung von der Zuriickfiihrbarkeit komplizierter psychischer
Prozesse auf elementarere Erscheinungen, seine Auffassung von der Form, in wel-
cher psychische Phanomene auBerhalb der bewuBten GroBhimprozesse vorkommen,
muB sich dabei bemerkbar machen. Und es wird deshalb jeder Fortschritt an
Erkenntnis, wie auch jede neue, mit naturwissenschaftlichem Denkeri in Einklang
stehende Hypothese nicht ohne anregende Riickwirkung auf die Lehre von der
Vererbung und dem Variieren sein. Jeder Fortschritt auf diesem Gebiete wird
aber wiederum fiir uns Neuropsychologen von groBter Bedeutung sein bei unserer
Erklarang des Zustandekommens der einzelnen Individualist, wie uns schon heute
bei der Inangriffnahme der ersten Aufgabe, der Abgrenzung der einzelnen neuro-
psychischen Erbeinheiten, die mnemistische Betrachtungsweise a priori davor
schiitzen wird, diesen Erbeinheiten einen zu starren Charakter zu verleihen. Es
ist ja nicht die St unde, diese Ideen weiter auszufiihren. Ich wollte nur darauf
hinweisen, daB wir bei unserem verstorbenen Prasidenten auf Verstandnis hatten
rechnen konnen, wenn er das Anschneiden dieser Fragen in unserer Gesellschaft
erlebt hatte.
Und wir hatten dabei eine Eigenschaft Raymonds feststellen konnen, die
ich ofter zu bewundem Gelegenheit hatte: sein schnelles intuitives Erfassen neuer
Erkenntniswege, eine Eigenschaft, die um so wertvoller war, als er in seiner edlen,
jeder kleinlichen Eitelkeit baren Gesinnung, freudigen Herzens jede Forschung
unterstiitzte, von der es ihm schien, daB sie eines Tages seine geliebte Neuro-
pathologie fordem werde. In diesem Zusammenhang kann ich nicht umhin, dank-
baren Herzens daran zu erinnem, wie er mich immer wieder zum Ausbau meines
Institutes ermunterte, wahrend z. B. gewisse Mitglieder der Berliner Medizinischen
Fakultat die aus der historischen Entwicklung heraus noch in ihren Handen be-
findliche Macht nach Kraften ausnutzen, um meine Bestrebungen zu hemmen.
Kein Wunder, daB ein solcher Mann auch der Forelschen Anregung der
Griindung einer Gesellschaft fiir medizinische Psychologie Verstandnis und
Interesse entgegenbrachte. ,,Notre soci6t£“, sagte er zu mir, als ich ihn Weih-
19* 3
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2;6 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
nachten 1909 zum letztenmal sah, „notre sociytd a A remplir un rdle aussi beau
qu’utile“.
Es ist dem Verstorbenen nicht vergonnt gewesen, an der Losung dieser Auf-
gabc noch selbst Anted zu nehmen. An seiner Stelle nun aber mit alien Kraften
daran zu arbeiten, wird fur uns die schonste Form darstellen, das Andenken unseres
erstcn Prasidentcn zu eliren.
A. Diskussionen.
I.
BERNHEIM & CLAPARfeDE, Definition, psychologische
Interpretation und therapeutischer Wert des Hypnotismus. 1 )
Vorbemerkung:
Forel mochte seine Anschauungen in ihrer Gesamtheit entwickeln.
A mon avis on complique bien inutdement la question.
11 est tres regrettable que celui qui a autrefois si admirablement d6fini et 6claire
la notion de suggestion en arrive k peu pres k la renier. Or, cela repose sur une confusion
dc termes qu’il s'agit de mettre a 11 point. M .Bernheim sc laisse, me semble-t-il, en partie
influcncer par les errernents de Dubois ct met a tort T6tat de veille en opposition k ce¬
lui de sommeil en parlant de suggestion. Nous r^pondons:
1. La suggestion et ses effets reposent sur un ph6nomdne clair et net de psycho-
physiologie, sur la dissociation et T association produites par l’hypnotiseur sur le cerveau
de l'hypnotise, dissociation et association qui produisent les ph6nom6nes d'inhibition
et de fraiement (Bahnung) ou d’eephorie (catalepsie, anesth6sie, hallucinations etc. etc.)
dont parle M. Bernheim.
2. Dans la vie normale ordinaire ces ph6nomdnes ne se produisent que d’une
fa9on exceptionelle ou fragmentaire k l*£tat de veille et vaguement, incoh^rente, sans
effet coordonny, dans les reves du sommeil. Dans 1’hypnotisme ils sont au contraire
syst^matiquement produits et dirigds par l'hypnotiseur dans le cerveau de Thypnotise
— peu importe que celui-ci se sente subjectivement k l'ytat de veille ou k celui de
sommeil.
3. Dans la veille normale ordinaire Tactivit6 c6r6brale est activement et g£nera-
lement associee par Tattention active. Dans le sommeil normal Inactivity c6r6brale est
generalement dissociee, inhibde aux portes sensorielles, en bonne partie, k un 6tat de repos
contraire k l'activity attentionelle.
4 . L’ytat d'hypnose ou de suggestibility (ce qui revient au m£me) ne comporte pas
d’antithese entre la veille et le sommeil, car il repose sur une dissociation plus ou moins
localisee ou generalisee de l’activity c6rebrale sous Tinfluence de la parole, des gestes, du
regard etc. de l'hypnotiseur qui joue du piano (sit venia verbo' sur Tactivity k 1’aide du
canal des sens et des engrammes cyrybraux eephorys k leur aide. C’est cette dissociation
et ses incoherences qui font croire k la simulation que M. Bernheim appelle simulation de
bonne foi.
Si la dissociation produite est localisye, l’hypnotisy se sent k T£tat de veille. Pl« s
elle se gynyralise, plus il se sent en sommeil plus ou moins partiel. Mais comme je l’ai
prouvy, T amnysie totale au ,, re veil" lui donne seule Tillusion rytroactive de „sommeil“
complet. Et e'est une illusion, car on peut provoquer aprds coup cette amnysie chez
quelqu’un qui venait de declarer avoir agi en plein ytat de veille. Et vice versa on pro-
voque Tillusion de l'ytat de veille en suggyrant aprds coup le souvenir de ce qui avait
*) Die Referate sind bereits im Bd. 18 dieses Journals abgedruckt.
4
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BD. 19, 1912,
Ergamungsheft 1.
MEDJZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAP 1 E.
ete dit, fait et pensy dans un etat hypnotique suivi d'amnesic totale. On oublie que
ce qui est oubli6 est neanmoins engraphie dans le cerveau et qu'il ne s’agit que d’une
inhibition du souvenir.
Done la suggestion a l’etat de veille est, si l'on veut, un sommeil plus ou moins lo¬
calise ou fractionn6 sur un point ou sur quelques points de l’activity cerSbrale.
Je reponds done aux conclusions de M. Bernheim :
a) L’hypnose n’est pas un sommeil normal provoque, car le sommeil normal
(qu’on peut provoquer sous doute par suggestion) ne comporte plus de rapport avec
l’hypnotiseur. C’est si vrai que souvent un hypnotist qui s'est endormi normalement
par suggestion se reveille au lieu d'ob6ir quand on veut lever ses bras par exemple. Si
au contraire il obeit, c’est que l’etat dissociy est encore sous l’influence de la suggestion
pr6cedente et se distingue en ce sens (par le rapport attentionnel avec l'hypnotiseur) du
sommeil normal ordinaire.
b) Le sommeil hypnotique ou 6tat de suggestibility a une propriety particuliyre,
la meme que la suggestibility dite k l’etat de veille, celle du rapport avec un agent disso-
ciaieur du monde exUrieur , en gdnSral avec un hypnotiseur.
L’hypnotisme chez les animaux est fruste, correspondant cl leur cerveau plus
simple. Nous ne pouvons juger de ses particularitys subjectives, au moins l’analogie des
phynomdnes moteurs observys nous montre qu’il existe chez eux des phynomenes ana¬
logues de dissociation et d’inhibition.
Quant k la phylogynie de l’hypnotisme nous ne pourrions faire k son sujet que
des hypothyses hasardyes et il vaut mieux actuellement s’en abstenir.
c) L’hypnotisme a bel et bien une vertu thyrapeutique spyciale. Cette vertu
consiste dans l’action dissociatrice ou associatrice de l'hypnotiseur sur les associations et
dissociations maladives du cerveau de l’hypnotisy.
d) Hypnotisme et thyrapeutique suggestive sont done synonymes et on peut
les obtenir sur 96 k 98% ou meme 100% des gens normaux. La question des indications
du plus ou moins de sommeil (dissociation gynyraiisye) dans la thyrapeutique suggestive
est une question accessoire; la ryponse varie selon les cas particuliers; ici je suis d’accord
avec M. Bernheim.
e) lx terme de psychothyrapie est un terme trop gynyral pour etre limity k Tac¬
tion suggestive. Il comprend aussi la psychanalyse par exemple. Subdivisons done
la psychotherapie selon "ses formes d’abord en:
1. Therapeutique suggestive ou hypnotisme.
2. Psychanalyse ou thyrapeutique kathartique et analytique.
L’avenir nous reserve probablement d’autres methodes.
I. Natur der Hypnose.
1. Die Realitat der Hypnose und die objektiven Beweise fur diese.
Bernheim meint, daB derjenige, welcher die charakteristischen Erscheinungen der
Hypnose leugnet, einfach Tatsachen leugnet, und daB es deshalb keinen Zweck hat,
mit ihm zu diskutieren.
Lowenfeld. Es ist vollkommen uberfliissig, heutigentages daruber zu reden; es
ware das eine Frage gewesen, die man vor 25 Jahren hatte diskutieren konnen. Heut-
zutage, nachdem eine fiber waltigende Literatur vorliegt, ist es nicht notig, jemand
den Gefallen zu tun und neuerdings zu beweisen, daB es eine Hypnose gibt.
Clapardde berichtet von dem Experiment, das er im Referat angegeben hat. Er
liest in der Hypnose jemandem 10 Worte vor, dann 10 andere im Wachen, nach einiger
Zeit liest er im Wachen 30 Worte vor, in denen die 10, die er in der Hypnose und die
10, die er im Wachen vorgelesen hat, enthalten sind und fragt: Welche Worte erkennen
Sie ? Dann erkennt der Betreffende die 10 Worte, die er im Wachen gehort hat, und kein
einziges von denen, die er in der Hypnose vorgelesen erhielt, und Clapardde glaubt,
daB es absolut unmoglich ware, den Zustand so zu simulieren, daB man genau sagen
konnte, welche Worte im Wachsein und welche im Hypnosezustand gehort worden sind.
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278 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Bemheim macht den Einwand gegcnuber Herm Claparade, daB eine hypno-
tische Amnesic in Wirklichkcit nicht absolut ist, da sie sehr oft durch Suggestion im
Wachsein jederzeit wiedcr behoben werden kann.
Jakob. Im Anschlusse an die Ausfuhrung des Herra Clapardde glaube ich,
da6 die von Herrn ( lapa rede behauptete Amnesie, wenn sie wirklich existiert, ein
Analogon der Amnesie l>ei ciner Reihe von toxischen Delirien ist. Ich habe eine
Bcobaehtung an mir sclbst zu machen Gelegenheit gehabt. Vor 6 Jahren lag ich schwer
krank an Typhus; die ersten 4 Wochen verliefen normal, dann trat ein Ruckfall ein und
von all dem, was auBcrlich mit mir vorging, wuBte ich nachher nichts und weiB auch
hcute nichts mchr davon; dagegen ist mir das ganze Traumleben vollkommen bewuBt.
Tromner. Ich mochte mich dem Einwand von Herrn Bemheim anschlieBen.
So interessant das Experiment des Herrn Clapardde ist, so wenig beweiskraftig ist es,
weil cs simuliert werden kann. Es gibt Leute, die ein ausgezeichnetes Gedachtnis haben
und auch ihre Erinnerungen vorziiglich zu sondern wissen; ich erinnere an Kellner,
welche 20 Bestcllungen zugleich richtig ausfiihren, ohne etwas zu verwechseln, Oder
an Gedachtniskiinstler.
Frank. Da ich bei meinen therapeutischen Vomahmen absichtlich mich der sug-
gestiven Becinflussung enthalten muB, kann ich bei diesen Gelegenheiten beobachten,
wie die Patienten sich autosuggestiv verhalten und so ihr Gedachtnis beeinflussen konnen.
Ich muB mich vollstandig der Anschauung des Herrn Bernheim anschlieBen, daB das
Experiment von Herrn Claparede absolut unschlussig ist. Es gibt gar keinen Beweis,
absolut nicht. Schon die Art und Weise, deren sich Herr Claparede nicht bewuBt ist,
wie er mit seinen beiden Medien, oder besser gesagt, Objekten vorgegangen ist, genugen,
urn eine Suggestion hervorzurufen, daB sie, seinen Wunschen entsprechend, ihr Gedacht¬
nis eingestellt haben.
Kohnstamm. Ich sehe den uberzeugendsten Hinweis auf die reelle Existenz eines
besonderen hypnotischenBewuBtseinszustandes in der Moglichkeit, mehreregetrenntePer-
sonlichkeiten zu schaffen, von denen jede einen einheitlichen Gedachtniskomplex besitzt.
Demnachst kommt die dem hypnotischen Schlaf vorzugsweise eigene BeeinfluB-
barkeit vegetativer Funktionen.
Allerdings kommt ahnliches auch in anderen BewuBtseinszustanden vor, besonders
unter dem EinfluB der posthypnotischen Suggestion, deren Beziehung zur Hypnose
uberhaupt schwer zu definieren ist.
de Montet. Nous ne viendrons pas k bout de cette question, avant d’avoir
etabli, ce qui dans Thypnose depend de la suggestion du sommeil et de ses suites directes
et ce qui depend d’autres facteurs, en particular de la contribution du sujet hypnotise,
contribution d£terminee par les dispositions somatiques et affectives de Pindividu.
Fulda. Ganz objektiv, meine ich, wird sich auf diese Weise die Existenz der
Hypnose nicht nachweisen lassen. Wir haben hier vielmehr mit subjektiven Momenten
zu rechnen.
In einer groBen Anzahl von Fallen, die ich teils therapeutisch, teils experimentell
zu sehen Gelegenheit gehabt habe, hat sich mir die Erfahrung verdichtet, daB es eine
posthypnotische Amnesie gibt.
Clapardde r6pond k M. Bemheim que l’exp^rience n’avait pas pour but de deter¬
miner les causes psychologiques de l’amnesie, mais seulement de savoir si celle-ci etait
reelle ou simul£e. Or le r^sultat de l'exp£rience ne s’accorde pas avec Thypothtee de
la simulation, tout au moins chez les deux personnes soumises k Inexperience. II serait
d’ailleurs nccessaire, pour rendre cette preuve plus rigoureuse, de prendre des series de
mots plus longues. Des experiences du meme genre faites comme controle avec des per¬
sonnes normales, a l’etat de veille, montrent que ces personnes distinguent avec beaucoup
moins de precision les mots appartenant k chaque serie, que dans le cas de l’epreuve
posthypnotique.
Bernheim fiihrt aus, daB er auch die Amnesie als solche als eine tatsachliche und
nicht simulierte Erscheinung anerkennt und in diesem Sinne mit Herm Clapardde
iibereinstimmt.
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BD. 19.1912,
Erg&nzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 279
Dupre wendet ein, daB die Leistungen der Versuchspersonen niemals objektive
Beweise seien. Speziell gegen die Versuchsanordnung des Herrn Claparede fuhrt er
an, daB Personen, die fur gewohnlich debil erscheinen und dumm und unbegabt sind,
unter Umstanden ganz hervorragende Leistungen auf dem Gebiete der Intelligenz zeigen,
und deshalb ware die Annahme Claparddes, daB die Intelligenz seiner Versuchs¬
personen zu einer Simulation nicht ausreicht, ganz unberechtigt.
Forel. Ich mochte Herrn Dupr6 nur2 Fragen stellen: Erstens, ob er glaubt, daB
diejenigen, bei denen Stdrungen der Menstruation behoben werden, auch simuliert hatten,
und zweitens, ob die 2000 Patienten, welche fur die Behandlung bezahlt haben, auch nur
aus Simulation bezahlt haben.
Dupr6 erwidert Herrn Forel, daB er die Beeinflussung der Menstruation durch
Suggestion absolut anerkennt. Er leugnet nicht die Suggestion, aber er meint, daB
man zwischen den beiden Extremen einer Suggestion und einer mehr Oder weniger
starken Simulation eine ganze Reihe von Stadien annehmen muB und daB es vielfach
bei suggestiven Personen im allgemeinen genugt, von dem betreffenden Arzte geleitet
zu werden, um in bestimmten Fragen dem Arzte zu gefallen und mehr nachzugeben,
also mehr Oder weniger Hypnose zu simulieren.
Ferrari hat in Gegenwart von Arzten eine Dame hypnotisiert, die nach der Sitzung
ganz amnestisch war. Sie glaubte, nicht hypnotisiert w-orden zu sein, und sie leugnete
die Hypnose und sagtc, es ware nicht moglich, sie zu hypnotisieren. Er habe dieses
Experiment vier- bis funfmal mit demselben Erfolge gemacht, und die Dame habe
jedesmal geleugnet.
Forel. Von den 2000 Kranken, die er behandelt habe, seien 98 % beeinfluBt worden;
man konne doch nicht behaupten, daB das lauter Leute seien, die besonders suggestibel
waren; auBerdem hatten diese keine Veranlassung zu simulieren und dafiir dann zu be-
zahlen. Wcnn Herr Dupre zwischen Simulation und Suggestibilitat alle moglichen
Zwischenstadien annimmt, werden Simulation und Suggestion doch mehr Oder minder
als synonym angesehen, und man verstehe nicht mehr den Sinn der Worte.
Seif weist auf die Tatsache hin, daB nicht nur kranke, sondern auch gesunde Menschen
hypnotisierbar sind. Dassei doch so sichergestellt, dafl man, wenn man das bestreiten
wolle, sagen musse, alle Welt simuliere.
Bemheim dit qu’il y a du vrai dans l'assertion de M. Dupri. Les sujets hypnotises
se comportent parfois comme s’ils simulaient. II en est qui disent eux mSmes: * Je crois
avoir simul6«. Mais c’est de la simulation for^, de bonne foi, obligatoire. Si on recom¬
mence les experiences, ils ne peuvent pas s’empScher de simuler de nouveau. La vraie
simulation est de mauvaise foi.
Bon jour erwahnt einen Fall, in welchem durch Hypnose bei einer Uterusoperation
wahrend 45 Minuten Anasthesie hervorgerufen wurde. Diese konne doch nicht simuliert
worden sein.
Dupr4 sagt, daB die Falle, wo man chirurgische Eingriffe in der Hypnose ausfuhre,
auBerst selten seien.
Bemheim r6pond k M. DuprS qye les operations dans l’6tat d'hypnose ne sont pas
rares. J’ai pu extraire, k un de mes sujets k l'etat de veille, des racines dentaires et le
torturer pendant plusieurs minutes en lui suggerant de ne rien sentir, il ne manifesta
aucune douleur. Dans d'autres cas les sujets hypnotises manifestent de la douleur pendant
l’operation k de certains moments, mais ont perdu au r6veil le souvenir de ces sensations.
v. Renterghem rapelle k M. DuprS (qui pretend ne pas avoir entendu d’observa-
tions probantes se rapportant k l’application de l'anesthesie suggestive (hypnotique) k
la chirurgie operatoire)-une observation publiee dans son travail „La Psychotherapie
dans ses diff6rents modes", Amsterdam, F. van Rossen, 1907. Une femme de 56 ans fut
operee par le professeur H. Treub d'Amsterdam k l'aide de l’anesthesie suggestive. II
s’agissait de myomes multiples du corps de l’uterus. La matrice et ses annexes ont ete
extirpees par le vagin (hyst6rectomia intravaginalis). La personne en question 6tait
une de mes malades. Ext6nu6e par des pertes de sang prolong6es, j'ai mis la patiente
en sommeil prolong6 en faveur duquel l’hemorrhagie a cess6, l'appetit, les forces sont
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280 YERHANDLUNGEN HER INTERN. GESELLSl HAFT FOR Jo ™ 1 NeJroi C oS^ 8ie
revcnus. A la fin de la 2 me scmainc Toleration a ete pratiquee pendant le sommeil sans
causer de douleur. La maladc s’est revcillec 3 jours aprds Top^ration.
J'ai fait la communication de cctte observation au Congres Intern, de F^sychiatrie
et de Neurologic, tenu a Amsterdam, Sept. 1907.
de Montet emit que chez des personnes normales au point de vue physiologique
et psychologiquc, mais surtout au point de vue affectif, on ne saurait provoquer l’anesthesie
complete.
Forel berichtet fiber operative Hingriffe in der Hypnose; bei ca. 25 Wartem und
Warterinnen wurden Zahne in der Hypnose ausgerissen. Ferner wurden eine Star-
ojieration sowie die Entfcmung eines Krebses des Rectums (Operation wahrend einer
ganzen Stunde) vorgenommen, oline daB Patient aus der von Forel selber vorgenommenen
Hypnose erwachte. Forel erwidert Dupre, daB die Herren Chirurgen das gewohnlich
nicht tun, wcil sic die Hypnose prinzipiell nicht kennen und nicht kennen wollen. —
Sehuld der Hochschulcn.
de Montet. J'aimerais seulcmcnt constater que je n’ai pas dit, que toutes ces
personnes sont manifestement a normales; mais il est certain, que ce n’est pas un pheno-
mcne general. Des factcurs particulars de la disposition constitutionelle jouent 14 un role
preponderant, cn d’autres termes: ils sont la condition de ces resultats de Thypnose.
Tromner. A Is objektive Beweise fiir die Existenz der Hypnose sehe ich folgende
Phenomene an:
1. Motorischc Frschcinungen, deren bekannteste die Katalepsie ist; wahrend ein
Gesunder kaum imstande ist, den Arm etwa 5 Minuten lang ausgestreckt zu halten,
geschwcige denn ein Kind, welches an sich gcringerer Selbstbeherrschung fahig ist, habe
ich hypnotisierte Kinder den kataleptischen Arm 20 Minuten lang und linger horizontal
ausgestreckt halten sehen. Das kann ein Kind unmoglich simuliereh, am wenigsten
dem Arzt zu Gefallen.
2. Mehrcre Hauterscheinungen, z. B. Anamie der analgetischen Haut. Wenn eine
durch Suggestion analgetischc Haut nicht blutet, so kann das ebenfalls nicht simuliert
werden, noch weniger die z. B. von Kohnstamm produzierten Erytheme und Odeme.
3. Kann man in der Hypnose, wie auch Forel hervorhebt, gewisse willkurlich
nicht unterdriickbare Hautreflcxe unterdruckcn; z. B. den Konjunktival-R. oder den
FuBsohlen-R., wie z. B. M u nch - Petersen hervorgehoben hat.
4. Die Mdglichkeit, die Schmerzempfindlichkeit so vollkommen zu unterdriicken,
daB keinerlei Schmerzreaktionen auftreten, wie sie zum Teil fast bei jedem Gesunden
auftreten w urden, w r elcher eine Analgcsie simulieren wiirde, wie z. B. Zucken, Augen-
tranen, ablenkende Muskelkontraktionen u. a.
SchlieBlich will ich noch bemerken, daB Hypnotisierte, wenn man einmal vergaB
sie zu weeken, was jedem Vielbcschaftigten mal passieren kann, meist nicht imstande
sind, sich spontan zu erheben, bis sie gew'eckt werden. Ein sich hypnotisiert Stellender
wiirde sich gewifl schnell aus dieser ihm unangenehmen Situation erheben.
Ich meine, das sind Tatsachen genug, welche fur jeden nicht gerade Boswilligen
die Realitat des hypnotischen Zustandes beweisen.
Dupr6 antwortet darauf, daB die Anasthesie simuliert sein kann, daB in einer
groBen Reihe von Fallen Simulationen nachgewiesen werden konnten, und daB dasselbe
auch fur alle anderen Bcweise gilt.
de Montet r6pond que tous ces cas ne sont pas caracteristiques pour Thypnose,
mais que ces phenomdnes peuvent se produire chez tel individu aussi bien 4 Tetat de
veille, comme e’est le cas par ex. chez les stigmatises. En outre il rappelle que Weber
dans ses recherches trds exactcs sur la repartition du sang ne trouve pas de difference
notable entre Thypnose et le sommeil ordinaire.
Dupre. Er fiihrt aus, daB die Hysterie durch Erscheinungen charakterisiert sei,
die als Mythoplastie zusammengefaflt warden konnen und in Psychoplastie, die Eigen-
tiimlichkeit der Hysterischen, irgendwelche Ideen ins Korperliche ubertragen zu konnen,
und Mythomanie, das Liigen, zerfallen; es kommt dazu, daB die Hysterischen auch auf
somatischem Gebiete, durch korperliche Erscheinungen, liigen konnen.
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BD. 19, 1912.
Erg ftmungshe ft 1.
MEDTZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE.
281
Tromner: Ich mochte nur noch kurz bemerken, dafl die von mir betonten Zeichen
ira allgemeinen als nicht simulierbare angesehen werden; bei Gutachten wird Wert auf
dieselben gelegt und auch in I.ehrbuchern wird angefuhrt, daB sie nicht immer vorhanden
sind; wenn sie aber vorhanden sind, gelten sie als nicht simulierbar.
Frank. Auf Grund meiner Erfahrungen kann ich Sie darauf aufmerksam machen,
daB bei einer groBen Zahl, nicht bei alien Individuen, als ein Symptom des Einschlafens
das nach oben rotierende Auge betrachtet werden kann. Ebenso hat sich mir als
ein sicheres Zeichcn des Schlafes die gleichmaBige, langsame Horizontalbewegung dcr
Bulbi erwiesen. Liegt der hypnotisierte Patient so mit seinem Kopfe gegen die Licht-
quelle, dafl die Eider direkt bcleuchtet werden, so kann man durch die Lider hindurch die
Wolbung der Cornea erkennen. Man sieht so die Bewegung der Augen und diese erfolgt
so gleichmaBig ruhig und langsam, wie das in willkurlicher Weise nicht geschehen kann.
Bei sehr vielen Individuen findet eine solche Bewegung schon im oberflachlichen Schlaf
statt. Beruhrt man bei nervosen Individuen mit Unruhe der Lider diese mit Daumen und
Zeigefinger ganz leicht und oberflachlich, so kann man sich auch durch das Fuhlen der
Bewegungen der Cornea vom eingetretenen Schlafe uberzeugen.
Vogt. Ich kann Herm Frank darin nicht beistimmen, daB das Rollen der Augen
nach oben ein Zeichen fur den Schlaf sei. Es handelt sich um eine Augenbewegung,
die auch mit dem willkurlichen AugenschluB assoziiert ist und schon bei den Tieren diese
Assoziation zeigt. Dagegen glaube ich, daB wir in der Anderungdes Muskeltonus, welche
jede Einschlaferung und jede suggerierte Anasthesierung begleitet, einen objektiven
Beweis fur die Realitat der Hypnose haben. Im Beginn der Hypnose oder Anasthesierung
nimmt der Tonus zu, wie an dem Auftreten der passiven Katalepsie erkannt werden
kann. Bei Vertiefung der Hypnose, resp. der Anasthesie tritt dann ziemlich plotzlich
an Stelle des gesteigerten Tonus eine starke Hypotonie. Der jetzt emporgehobene Arm
fallt schlaff herunter. Wenn Sie dieses Experiment mit jemandem machen, der nichts
von Katalepsie und ihrem plotzlichen Obergang in Hypotonie weiB, so konnen Sie sich
schon durch einige passive Bewegungen des Arms von den Anderungen des Tonus in
einwandfreier W’eise uberzeugen. Wollen Sie vorsichtiger sein, so haben Sie nur notig,
den Arm in einen Plethysmographen zu bringen. Sie konnen dann die Anderungen
des Muskeltonus aus der Kurve ablesen, ohne daB diese der Versuchsperson zum BewuBt-
scin kommen konnen. Ich habe solche in der Ztschr. f. Hypnot., Bd. 7 veroffentlicht.
Ich lege femer wie Herr Tromner groBen Wert auf die Tatsache, daB bei suggerierter
Anasthesie Stiche in die Haut nicht bluten. Ich habe in einer fruheren Versuchsserie
bei 30 Personen Anasthesie hervorgerufen; ich habe jedesmal in die Finger gestochen,
ohne daB sie bluteten. Eine Minute spater habe ich das Verschwinden der Anasthesie
suggeriert und aus demselben Stich kam dann ofter noch etwas Blut heraus. Es ist
das etwas, was nicht simuliert werden kann.
Dupr6 kennt einen Fall, wo ein Patient ihm hemach gestanden hat, daB er die mit
Anamie verbundene Anasthesie willkurlich hervorgerufen habe. Das sei also ein Fall
von Simulation.
Vogt. Ich kann einen solchen Fall nicht Simulation nennen. Ich wiirde von Simu¬
lation sprechen, wenn ein Patient behauptet, nichts zu fuhlen, und in Wirklichkeit doch
fiihlt. Wenn sich ein Patient, wie der des Herrn Dupr6, dagegen durch willkiirliche
Autosuggestion (ich kenne auch solche Falle) eine Anasthesie suggeriert, so ist diese in
Wirklichkeit vorhanden. Die Differenzen zwischen den Anschauungen des Herrn Dupr6
und den meinigen sind nicht so groB als sie zunachst zu sein scheinen. Herr Dupr6
dehnt eben den Begriff der Simulation viel weiter aus als ich.
Preda berichtet, daB er bei 6 Personen Versuche iiber Anderung des Blutdruckes
und Zahl der roten Blutkorperchen wahrend der Hypnose angestellt hat. Der Blutdruck
nahm zu, die Zahl der roten Blutkorperchen ab.
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282 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT Ft'R
2. 1 st die Hyp nose nur gewohnlicher Schlaf, ein besonderer Schlaf, ein
hysterischer Zustand oder ein spezieller BewuBtseinszustand?
Bemheim begrundet nochmais seine im Heferat niedergelegten Ansichten. Er
erklart dabei, daB er nicht von Dubois beeinfluBt sei und daB er auch nicht seine An¬
sichten geandert habe.
Clapardde. Man kann nicht sagen, daB es Suggestion sei, wenn I-eute schlafen.
Die Hypnose ist etwas anderes als gewohnlicher Schlaf.
Bemheim verteidigt nochmais seinen Standpunkt.
Trimmer: Meine Herren! Ich war ebenso wie Herr Forel uberrascht durch die
Wandlung, welche sich in den Ansichten des Hcrm Bernheim vollzogen zu haben
scheint. Auch ich bin der Meinung, daB der hypnotische und der Wachzustand Zustande
sind, welche zwar flieBend ineinander ubergehen konnen, aber doch in ihren Endzustanden
wesentlich verschieden sind.
de Montet observe que ce sont surtout les sujets hypnotises au moyen de passes qui
realisent le sommeil normal. Ils ronflent, rSvent et se r^veillent spontanement avec
l’impression d’avoir dormi comme d’habitude. #
Vogt. Das Wort Hypnose ist ein Symbol und wir konnen es an sich anwenden,
wie wir wollen; aber ich stehe auf dem Standpunkte, den Herr Janet im Vorjahre ver-
treten hat, daB wir namlich der historischen Entwicklung Rechnung tragen mussen.
Das Wort ist geschaffen worden, um etwas Neues zu bezeichnen. Dieses Neue war ein
schlafahnlicher Zustand mit Rapportverhaltnis. Ich meine mit Herra Forel, wir mussen
den Begriff Hypnose auf diesen Zustand beschranken.
Aber was ist denn nun Schlaf, was Rapportverhaltnis ?
Wir konnen den Schlaf psychologisch nicht anders definieren, denn als eine
Hemmung des BewuBtseins. Immerhin glaube ich, daB wir einige Momente feststellen
konnen zur Charakterisierung der Art dieser Hemmung. Sie ist dadurch charakterisiert,
daB sie erstens plotzlich auftreten und ebenso plotzlich schwinden kann, zweitens durch
auBere Reize, soweit diese nicht durch Monotonie Oder spezielie Assoziationen einschla-
femd wirken, unterbrochen wird und drittens niemals eine so tiefe BewuBtlosigkeit
hervorbringt, als daB nicht nachtragliche Erinnerung an die Vorgange wahrend des
Schlafes wachgerufen werden kann.
Soweit nun eine derartige Schlafhemmung durch die Idee, daB sie eintreten wurde,
hervorgerufen wird, ohne daB die Idee affektbetont ist, spreche ich von hypnotischen
Zustanden. Ein solcher hypnotischer Zustand kann sehr eng umschrieben sein. Man
spricht dann von der Realisation einer Wachsuggestion. Er zeigt seine groBte Ausdehnung
und seinen tiefsten Grad im suggerierten tiefen Schlaf. Er kann aber jene spezielie Aus¬
dehnung annehmen, daB nur die mit dem Hypnotiseur assoziierten Vorstellungen mehr oder
weniger ungehemmt bleiben. Dann haben wir einen suggerierten Schlaf mit Rapport,
den Zustand, den ich Hypnose nenne. Eine solche Hypnose kann sich nun aber sehr ver¬
schieden gestalten und so auch zu sehr differenten Modifikationen des Psychismus Ver-
anlassung geben. Wenn wir im folgenden uber diese Modifikationen diskutieren werden,
wird deshalb immer noch eine weitere Charakterisierung der hervorgerufenen Hypnose
notwendig sein. Die tiefste Idealhypnose ist fur mich ein vollstandiges monoideeistisches
Wachsein jener BewuBtseinselemente, welche augenblicklich etwas zu leisten haben, und
ein vollstandiger tiefer Schlaf aller anderen. Die Hypnose, in die Mme. Bui in der Arbeit
der Herren Claparade und Baade verfallt, ist weit von diesem Zustand entfemt.
Auch von den Versuchspersonen des Fraulein Martin gilt dieses bis zu einem gewissen
Grade. Sie lassen noch die spezielie Dressur fur die einzelne Versuchsanordnung ver-
missen.
Das Referat des Herm Bernheim veranlaBt mich dabei nochmais ausdrucklich
zu betonen, daB nach meiner Ansicht eingeengtes BewuBtsein und konzentriertes Nach-
denken im Wachsein durchaus verschiedene BewuBtseinszustande sind. Das eingeengte
BewuBtsein w f ird durch Konzentration der Aufmerksamkeit auf eine entsprechende
Schlafvorstellung ausgelost. Konzentriertes Nachdenken kommt durch Lenkung der
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ErJftSrongJhel 1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOG1E UND PSYCHOTHERAPIE. 283
Aufmerksamkeit auf den Gegenstand des Nachdenkens zustande. Atmung, Muskel-
tonus und andere kdrperliche Begleiterscheinungen der verschiedenen BewuBtseins-
zustande sind bei derselben Versuchsperson im normalen Wachsein, bei konzentrierter
Aufmerksamkeit im Wachsein und im eingeengten BewuBtsein durchaus verschieden.
Kohnstafrnm. Es ist die Frage aufzuwerfen: Wie verhalt sich der posthypnotische
Zustand in bezug auf die Schlafdefinition der Hypnose?
Ich habe Bedenken, den Schlaf zu definieren als eine Hemmung des BewuBtseins.
Denn auch bei Tieren, ohne GroBhirn, bei denen man nicht dazu neigt, ein „BewuBt-
sein" anzunehmen, gibt es einen Schlaf zustand. Dies nur als Material zur Definition!
Trdinner. Nach meiner Meinung liegt allerdings eine einseitige Richtung der Auf¬
merksamkeit der Hypnose zugrunde und zwar nicht passiver (Wundt), sondern aktiver
Aufmerksamkeit. Durch moglichste Einengung und Konzentration des BewuBtseins
auf die Schlafvorstellung werden deren hemmende Wirkungen auf andere ihr heterogene
Vorgange so gesteigert, daB jene spezifisch hypnotischen Erscheinungen eintreten. Auch
der gespannte Gesichtsausdruck des Hypnotisierten mit der charakteristischen Anspan-
nung des Corrug. supercil. ist ein Ausdruck dafur, daB wahrend der Hypnose eine Auf¬
merksamkeit vorhanden ist — im Gegensatz zum natiirlichen Schlaf.
Jones ist der Ansicht, daB die Konzentration der Aufmerksamkeit die Ursache
ist, aber nicht die Konzentration der Aufmerksamkeit auf die Schlafhemmung, sondern
auf den Hypnotiseur, und daB die entstehende Schlafhemmung nur die sekundare Ruck-
wirkung der Aufmerksamkeit auf den Hypnotiseur ist.
Seif : Meine Herren! Wenn ich diesen ganzen Abschnitt 2 — ich gehe nicht naher
darauf ein — durchlese, der die Frage aufwirft: „Welche Modifikationen des BewuBtseins
und des Nervensystems charakterisieren die Hypnose ?“, so ist hier ein groBer Symptomen-
komplex zusammengestellt, der an die Hysterie erinnert. Wir haben ganz dasselbe von
diesen Kranken spontan geleistet gesehen, was in der Hypnose von der Versuchsperson nicht
spontan unter dem Einflusse des Hypnotiseurs geschieht, und dies legt nahe anzunehmen,
wenn die Wirkungen beider gleich sind, daB der Mechanismus, dessen sich die Hysterie
und die Hypnose bedienen, auch der gleiche ist, und es ware nur zu untersuchen, welcher
das ist. Es wurden diesbezuglich schon Bemerkungen gemacht, denen ich mich anschlieBen
mochte. Entscheidend — ich komme spater noch einmal darauf zuruck — ist der
Zustand des zu Hypnotisierenden selbst, nicht der Hypnotiseur. Schlaf usw. sind rein
sekundare Erscheinungen.
Forel. Die Hysterie ist pathologische Suggestibility.
Vogt. Ich glaube, daB wir zwischen der suggestiven Wirkung gefiihlsschwacher
Vorstellungen und den dissoziativen Wirkungen starker Gefuhlskomplexe unterscheiden
miissen. Dasselbe psychophysische Geschehen kann als rein suggestive und als rein
emotive Wirkung stattfinden. Im ersteren Fall zeigt es aber eine groBe Modifizierbar-
keit durch irgendwelche andere Vorstellungen, im letzteren Fall fehlt diese. Und sie
fehlt ganz besonders bei der gesteigerten Emotivitat, in der ich das Essentielle der
Hysterie sehe. Nicht der Dissoziationszustand als solcher, sondern seine Genese und der
damit zusammenhangende Grad seiner Modifizierbarkeit scheidet die Hypnose von
hysterischen Schlafzustanden.
Seif. Ich glaube, es kann sich nicht um die Quantitat der Phanomene handeln,
sondern um die Qualitat, und die Hysterie bietet nicht ein Phanomen, das nicht auch
in der Hypnose zu finden ist. Ich mochte daher noch einmal aussprechen, daB ich an-
nehme, der Mechanismus muB der gleiche sein. Und ich denke auch hier an das Wort
Mobius’: Ein biBchen hysterisch ist jeder. Ich weise zur Erhartung meiner Ansicht
auch noch auf die psychischen Epidemien hin.
Tromner. Ich stimme mit Herm Vogt uberein. Rein symptomatisch gleichen
sich hypnotische und hysterische Zustande. Die hypnotischen Zustande sind aber
lenkbare Dissoziationszustande.
Vogt. Ich sehe darin gerade einen wissenschaftlichen Fortschritt, daB wir den
weiten Hysteriebegriff Mobius' einengen und Suggestiv- und Emotivwirkungen von-
einander trennen. Ich rechne deshalb auch die psychischen Epidemien nicht zu den
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284 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FCR Journal f.Psycholopie
hysterischen, sondern zu den surestiven Erkrankungcn. Im iibrigen haben wir in der
Psychopathologie doch nicht nur Qualitats-, sondern Quantitatsunterschiede ru machen.
Z wise hen der Keaktionswcisc des Gcsunden und dcr des Hystcrischen besteht kein
Qualitats-, sondern nur ein Quantitatsunterschied und doch driickt dieser Quantitats-
unterschied den Gcgensatz zwischen Gesundheit und Krankheit aus. Das Vorhanden-
scin aller Cbcrgangc darf mis nicht hindern, die groBen I’nterschiede zwischen den
extremen Keaktionsformen aufiecht zu crhalten und nur die extreraen Typen konnen
uns als Ausgangspunkt fiir Definitionen dienen.
Seif. Jcdenfalls sind die Grenzen zwischen hypnotischen und hysterischen Zu-
standen arbitrar. Bcziiglich der Stimmbarkeit des Hypnotisierten raufl ich nochmals
betonen, daB der Hypnotisicrtc bestimmt, wie weit er innerlich entgegenkommen kann.
II. Modifikationen des Bewufitseins und des Nervensystems in der Hypnose.
1. Die Steigerung der Suggestibilitat.
Bemheim wiederholt noch einmal das, was er in seinem Rapport gesagt hat;
verschiedcn starkc Suggestibilitat erzeuge vcrschicdcne Erscheinungen; aber die Hyp-
nose als solche kann nicht die Suggestibilitat steigern.
Claparede estiine cpie cette question de lTiypersuggestibilit6 pendant l’hypnose
est une question a etudicr a nouveau. Sans doute, on ne peut nier que, trds souvent,
la suggestibilite ne soit augmentec dans l'hypnose. Mais ce ne semble pas 6tre toujours
le cas. II faut distinguer entre la suggestibilite directe et la suggestibilite indirecte.
Cette derni^rc n’etait pas exageree chez le sujet etudie par M. Claparlde, au moyen
de l’etuve de Guidi (apparcil decrit dans le vol. VIII des Arch, de Psychol.), et au moyen
de la roue de Binet (v. Annee psychol. VII). Ce dernier appareil a pour but d’induire
chez le sujet un mouvement automatique.
Jones erklart zuniichst, daB fiir ihn Suggestibilitat und Hypnose identisch sind
und zwar scien sie normale F>sclieinungen. Er fiihrt an, daB das Wesentliche in dem
Rapportverhaltnisse bestiinde, in der Moglichkeit, daB der, der hypnotisiert wird, mit
dem Hypnotiseur sich identifiziert und nur diese direkte Suggestibilitat wird in der
Hypnose vermchrt.
Hilger. Herr Bemheim hat einen Beobachtungsfehler nicht vermieden. Herr
Bemheim ist als hervorragender Hypnotiseur liekannt und wird deshalb schon disso-
ziierend wirken, wo cs andere noch nicht tuen. Er hat so die allgemeine Macht der
Wachsuggestion uberschatzt.
Vogt. Ich stehe unbedingt auf dem Standpunkt, daB die Suggestibilitat in der
Hypnose gesteigert ist und zwar um so mehr, je tiefer die Hypnose (vgl. daruber oben
S. 282) ist. Scheinbar entgegengesctzte Beobachtungen erklaren sich meiner Ansicht
nach in folgender Weise. Eine gesteigerte Suggestibilitat liegt in der Hypnose nur ini
Rahmen des partiellen Wachseins vor. Fiir die ubrigen BewuBtseinselemente besteht
im Gegenteil eine mehr oder weniger starkc Herabsetzung der Suggestibilitat. Da,
wo man nun eine herabgesetzte Suggestibilitat in der ,,Hypnose 4 ' fand, lag entweder
ein diffuser allgemeiner Schlaf vor, also iiberhaupt keine Hypnose, oder aber wenigstens
diejenigen BewuBtseinselemente, welche das Objekt der Suggestibilitatspriifung dar-
stellten, waren nicht dem Rapportverhaltnis angeschlossen.
2. Die Katalepsie.
Claparede fragt Herm Dupre, wie er dann die ersten Falle von Katalepsie er¬
klart, die beobachtet wurden zu einer Zeit, wo man ihre Existenz gar nicht kannte und
infolgedessen auch nicht suggerieren konnte.
Duprd antwortet, daB man dieses Phanomen schon gekannt habe als Begleit'
erscheinung von Geisteskrankheiten, wie auch als Begleiterscheinung von toxischen
und Infektionskrankheiten.
Forel erinnert auch noch an die hysterischen Katalepsien.
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E rg&mung sheft L
MEDIZINISCHE PSYCHOLOG1E UND PSYCHOTHERAP 1 E. 285
Vogt. Eine vorubergehende Katalepsie begleitet jedes allgemeine und jedes
spezielle Einschlafen der sensomotorischen Zentren. Ich habe Ihnen ja vorhin schon
entsprechende Kurven gezeigt (vgl. Zeitschr. f. Hypn. Bd. 7). Ich halte deshalb auch
unbedingt daran fest, daB in der Hypnose eine nicht suggerierte, also passive Katalepsie
vorkommt.
Jones fragt Herm Vogt, ob er zwischen aktiver und passiver Katalepsie unter-
scheidet, und meint, Herr Vogt habe im Schlaf ein passives Herunterfallen des Armes
und beim Hypnosezustand ein aktives Halten desselben im Auge.
Vogt. Im AnschluB an Herm Bernheim verstehe ich unter der „aktiven Kata¬
lepsie" die suggerierte und unter ,.passiver Katalepsie" die geschilderte Begleiterschei-
nung des Einschlafens. Was Herr Jones die passive nennt, ist das, was ich als Hypo-
tome bezeichne. Der Katalepsie entspricht stets eine Zunahme des Muskeltonus; die-
selbe haben wir nicht im Schlaf, sondem beim Einschlafen und zwar bei jedem Men-
schen mehr oder weniger.
Jones. Dann ist Hypertonie immer suggeriert worden.
Vogt. Ich glaube das bestreiten zu mussen. Als einfache Begleiterscheinung des
Einschlafens zeigt sich eine Periode der Hypertonie und dann der Hypotonie mehr
oder weniger ausgepragt und zwar um so ausgepragter, je schneller die beiden Perioden
aufeinander folgen. Wenn Sie das entsprechende Stadium des Einschlafens protrahieren,
konnen Sie die Katalepsie protrkhiert erhalten. Selbstverstandlich konnen Sie sug-
gestiv, bewuBt oder unbewuBt, die Sachc verstarken, aber trotzdem bleiben Hyper- und
Hypotonie rcgelmaBige normalphysiologische Begleiterscheinungen des Einschlafens.
Clapardde fuhrt im einzelnen Experimente an, welche er an einem Affen gemacht
hat; es gelingt ihm, wenn cr das Tier festhalt und einige Streiche macht, einen Zustand
von Katalepsie hervorzurufen, in welchem man die Beine beugen und strecken kann
und in dem dieses sonst wilde Tier verharrte; er meint, daB man das doch nicht durch
Suggestion erklaren kann.
Duprl gibt an, daB einer seiner Mitarbeiter folgendes Experiment gemacht habe.
Er habe festgestellt, daB von den Kindern, die er untersuchte und die 1—2 Jahre alt
waren, einige Kinder die Arme und Beine in derjenigen Stellung behielten, die man
ihnen gab, selbst l / 4 -—’/a Stunde lang. Er sagt, daB hier Suggestion ausgeschlossen ist,
ebenso Dissoziation oder besondere Assoziation, daB es sich eben nur um einen passiven
Zustand handeln kann.
Forel sieht in dem Experiment des Herm Dupre eine Suggestionswirkung.
Dupr6 bekampft diese Erklarung.
Tromner. Ich bin nicht der Meinung, daB das Experiment des Herm Dupre
als Beweis fur eine suggestive Katalepsie verwertet werden kann, weil die Katalepsie
bei vielen Zustanden auftritt, bei welchen die Vorstellungstatigkeit herabgesetzt ist,
z. B. bei Imbezillitat, Katatonie, Stuporzustanden verschiedener Art. Bei alien diesen
Zustanden fehlen diejenigen Vorstellungen resp. Vorgange, welche zur Abanderung
oder Korrektion gegebener Gliedstellungen fiihren. In diesem Sinne nennt Verworrn
die Katalepsie einen stehengebliebenen Lagekorrektionsversuch. Noch richtiger ware
zu sagen, ein ausgebliebener Versuch.
Bernheim fuhrt auch die Kinderkatalepsie auf Perseveration zuruck.
de Montet rappelle les phenomenes de perseveration dans certaines affections
c£rebrales accompagn6es de dissociation organique. On observe parfois que les malades
repetent sans cesse le meme mot, font le meme mouvement stereotype, ou conservent
l’attitude donnee par un mouvement passif (perseveration tonique). II serait bon
d’etudier plus exactement, si la dissociation ideogene se rapproche dans son m6canisror
de ces phenomenes, ou s’il s’agit 1A de processus entidrement different^.
Seif. Ich habe den Eindruck, daB die Katalepsie des Ervvachsenen und die Kata¬
lepsie des 1—2jahrigen Kindes identisch sind. Ich stelle mich auf die Seite des Herm
Professor Forel, daB der Begriff der Suggestion da wie dort zutrifft. Die ganzen Be-
ziehungen des Kindes zu seiner Umgebung, Gehorsam, Glaubigkeit, Folgsamkeit, Ab-
hangigkeit, sehen wir beim Erwachsenen genau wie beim Kinde.
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286 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR JommI fcP»who!offo
_ _ _ ond Heurolofue.
3. Die Zunahme der geistigen Fahigkeiten.
Tr5mner. M. H.! Sie wissen, daO Versuche, geistige Fahigkeiten im sugge-
rierten Zustande einseitig zu steigem, methodisch zuerst von Herrn Vogt angestellt
worden sind. AuBer von Ach - Konigsberg, welcher Additionsversuche vomahm und
im partiellen Wachsein Steigerung der Leistung um etwa Vs fand, sind diese Versuche
nicht weiter gefiihrt worden.
lch habe deshalb an mehreren unvoreingenommenen Personen die Versuche
wieder aufgenommcn und ich habe gefunden, dafl sich eine Steigerung erzielen laBt,
die l>ei denselben Individuen sich um die Halfte der Zeit steigern lieB. Kinder mit
10—12 Jahren haben Additionen, zu denen sie im wachen Zustande 2,5 Sekunden ge-
braucht haben, in dem hypnotischen Zustande in 1,5—2 Sekunden vollzogen. Ent-
sprechenderweise waren die Leistungen im Auswendiglemeni In einer Reihe von
Versuchen handelte es sich darum, die Veranderungen der BewuBtseinsschwelle, also
die Empfindlichkeit im hypnotischen Zustande zu untersuchen, und ich habe gefunden,
daB sich auBerordentliche Unterschiede feststellen lassen.
Ich verwendete dazu wenig gebildete Personen, welche weder von den Experi-
menten selbst, noch von deren Zweck etwas kannten. Auf drei dieser Personen lieB
ich nun bei geschlossenen Augen verschiedene schwache Sinnesreize einwirken, indem
ich einen gleichbleibenden Sinnesreiz soweit naherte bis die erste Empfindung gemeldet
wurde. Die Entfernung vom Sinnesorgan maB ich, schlaferte die Person dann ein und
bestimmte nun den Schwellenwert. Ich legte einer Person z. B. ein doppeltes schwarzes
Tuch fiber die geschlossenen Augen, und lieB dann ein gerauschlos zu schlieBendes
elektrisches Licht eine Sekunde lang aufleuchten. Die Person merkte auch in nachster
Nahe keinen Lichtschein. Nun hypnotisierte ich sie, suggerierte groBe Sehscharfe trotz
des Schlafs und notierte nun, daB die Person schon in 50, 60 und eine sogar in 150 cm
Entfernung einen Lichtschein wahmahm. Normale Kontrollpersonen, u. a. ich selbst,
waren auch nach langer Dunkeladaptation nicht imstande, irgend etwas wahrzunehmen.
In einem anderen Falle betrug die Minimalentferaung im Wachen und in der Hypnose
5 und 200 cm.
Nach dem Wiedererwecken hingegen war die Lichtempfindlichkeit groBer
als im vorherigen Wachsein. Der Lichtblitz wurde in einem der ersten Falle in 5 und
im letzten in 90 cm Entfernung wahrgenommen. Es war eine suggestive Bahnung
eingetreten.
Bei den Schallreizen zeigten sich nicht so groBe Unterschiede. Ich wende sie so
an, daB ich ein Kiigelchen von Knetgummi mache und die Hohe des Falles messe, der
wahrgenommen wird. Z. B. wurde er im Wachen in 15 und 25 cm Hohe wahrgenommen;
schlaferte ich ein, wurde der Fall in 5, ein andermal aus 8 cm Entfernung schon wahr¬
genommen, was eine dreifache Empfindlichkeit darstellt. Ahnlich ist es bei den Warme-
empfindungen. Ich lieB auf die bloBe Hand die Warme einer elektrischen Bime 1 Se¬
kunde lang einwirken und lieB melden, sobald eine Veranderung in der Warmeempfin-
dung wahrgenommen wurde; dabei konstatierte ich, daB im Wachzustande die Ent-
femung 25 cm, im hypnotischen Zustande 55 und 75 cm betrug. Das sind also Unter¬
schiede nicht von doppelter, sondem von vierfacher Empfindlichkeit. Ahnlich verhalt
sich der Geruch; bei sekundenlanger Einwirkung wurde im hypnotischen Zustande
auf 15 cm Entfernung von der Nasenoffnung, beim Wachsein auf 1—2 cm die Emp¬
findung wahrgenommen. Diese Versuche, welche ich noch weiter fuhren und spater aus-
fiihrlich publizieren werde, zeigen, daB die sog. BewuBtseinsschwelle eine groBer Schwan-
kungen fahige GroBe ist und daB im partiellen systematischen Wachsein Vogts sich die
Erregbarkeit der Sinneszentren in erstaunlicher Weise steigern laBt: zugleich der wirk-
samste Beweis fur die Realitat der Hypnose und des hypnotischen Zustandes.
A. Chojecki. Les experiences que j’ai faites pour comparer quelques processus
psychiques en etat de veille et en hypnose semblent prouver que l'activite mentale en
hypnose est affaiblie. Ainsi j’ai fait r£peter des series de chiffres aux sujets en etat
d'hypnose: le nombre des chiffres rep6tes etait moins grand. J’ai fait aussi apprendre a
mes sujets des series de syllabes d6nuees de sens, et j’ai constate que le nombre des
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BD. IB, 1912,
Erg&pzungsheft J.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 287
repetitions n^cessaire pour les apprendre 6tait plus grand en hypnose qu'en 6tat
de veille.
Trdmner. Bezfiglich der Feststellungen des Herrn Chojecki weise ich darauf
hin, daB diese mit den von mir im vergangenen Jahre in Brussel erorterten Phanomenen
identisch sind, welche beim generalisierten Einschlafen, bei allgemeiner Herabsetzung
der Fahigkeiten eintreten.
Wir raiissen, wie schon Vogt tat, zwei verschiedene Arten der Schlafhemmung
unterscheiden: 1. das allgemeine diffuse Einschlafen, welches den naturlichen Schlaf
einleitet und 2. das dissoziierte Einschlafen, welches spontan hauptsachlich bei Hysteric
vorkommt, sonst sich auch nur auf kiinsthchem, suggestivem Wege produzieren laBt.
Das generalisierte Einschlafen nun geht mit Verzogerung und Herabsetzung
samtlicher psychischer I^eistungen einher; das dissoziierte aber sogar unter einseitiger
Steigerung der noch wachen Funktionen. Das generalisierte Einschlafen ist mit der
Dammerung vergleichbar, in deren Dunkel alle Dinge gleichmaBig untertauchen, wah-
rend das dissoziierte mit einem kiinstlichen Beleuchtungszustand zu vergleichen ist, in
welchem nur noch einzelne Gruppen mit einem das verfugbare Licht sammeinden
Scheinwerfer beleuchtet sind.
Vogt. Ich muB mich den Anschauungen des Herrn Tromner vollstandig an-
schlieBen. Herr Claparade hat ja schon fruher ahnliche Ergebnisse mitgeteilt wie
jetzt Herr Chojecki. Der hypnotisierende Arzt kann sich ja fortgesetzt von der Rich-
tigkeit derartiger hypnotischer Hemmungen der psychischen Leistungen uberzeugen.
Sie sprechen durchaus nicht dagegen, daB es bestimmte hypnotische Zustande gibt,
in denen statt dieser Herabsetzung eine gesteigerte Leistungsfahigkeit besteht, sie
zeigen nur, daB die genannten Herren — wie ich schon oben hervorhob — mit einem
anderen hypnotischen Zustand als dem von mir als partielles systematisches Wachsein
beschriebenen experimentiert haben.
Was ich fruher uber die gesteigerte psychische Leistungsfahigkeit in diesem
Zustand behauptet habe, halte ich vollstandig aufrecht.
Ich mochte dazu aber zunachst in bezug auf die technische Seite bemerken, daB
zur Erzielung des systematisch eingeengten Wachseins ev. eine weitgehende Dressur
notig ist. Fraulein Martin hat 52 Hypnosen bei derselben Person gemacht und selbst
da hat sie noch nicht eine genugende Dressur erreicht. Es muB dabei allerdings hervor-
gehoben werden, daB sie im Verlauf dieser 52 Hypnosen alle moglichen Experimente
angestellt hat. Es muB dasselbe Experiment so oft wiederholt werden, bis fur dieses
bei ubriger hypnotischer Hemmung ein partielles voiles Wachsein erzielt wird.
Dann mochte ich aber noch eine Frage anschneiden, die groBes theoretisches
Interesse hat: die nach der Ursache der Steigerung der psychischen Leistungsfahigkeit
in dem eingeengten Wachsein. Hat diese eine Zunahme Oder wenigstens ein Erhalten-
sein der normalen Kraft der Aufmerksamkeit (d. h. der Menge der psychophysischen
Energie) zur Voraussetzung oder beruht sie ausschlieBlich auf Steigerung der Kon-
zentration einer an sich sogar verminderten Aufmerksamkeitsenergie ? Ich neige zu der
zweiten Auffassung. Auch mit einer in ihrer Intensitat verminderten Lichtquelle kann
man bekannthch durch gesteigerte Konzentration des Lichtes bis dahin nicht erreichte
Starken der Belichtung erzielen. Aber es ware sehr erwunscht, wenn diese Frage ex¬
perimented naher untersucht wurde, da sie fur die Aufmerksamkeitslehre von groBer
Bedeutung ist.
Tromner. BloBe Steigerung der Aufmerksamkeit liegt den vorhin geschilderten
Erscheinungen nicht zugrunde, sondera Steigerung der Sinnesempfindlichkeit.
Steigerung der Selbstbeobachtung im hypnotischen Zustand ist begreiflich, weil
BeeinfluBbarkeit durch auBere Ablenkungen fortfallt und einseitige Direktion der Auf¬
merksamkeit viel leichter als im Wachen moglich ist.
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288 VERHANDLUXGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal f. Psychologic
jind Neurolorie-
III. Heryorrufung dcr Hypnose.
i. Bedeutung von Furcht und Zuneigung.
Seif. Ich habe mir bereits in Brussel erlaubt, auf diese Frage des genaueren
cinzugehen. Es ist der Standpunkt Freuds und seiner Anhanger. Sowohl Herr Jones
wie ich haben uns des weiteren tibcr dieses Kapitel verbreitet. Damals wurde die Frage
aufgcworfcn, ob Gchorsam und Liel>e eine Rolle spielen in der Hervorrufung der Hypnose
und ich wies darauf hin, daD das Moment der Beziehung zwischen dem Hypnotisierten
und dem Hypnotiseur selbst cin ganz bcdcutungsvolles Moment sei, und daB weitgehende
analytischc Forschungcn nachwicsen, daB es sich in der Tat um solche Verhaltnisse
handelt. Freud nannte es Masochismus, das ist lustvolles Gchorchen, Eingehen, Nach-
gehcn, liebevolles Hingeben, Eingehen auf die Intentionen des anderen im weitesten Sinne
des Wortes. Es ist die Beziehung zu den Eltern, das Eltcmverhaltnis. Die Beziehung zu den
Eltern wird (lurch die Lbcrtragung der Gefiihle und der Affekte auf den Arzt mitgeteilt,
ist mit aktiv dabei und zwar gilt das sowohl fur den Affekt der Liebe wie fur den der
Furcht. Das Kind ist eingestellt auf Mutter und Vater. Die Mutter kommt zum Kinde,
streichelt es, spricht im ,,Mutterton ‘, ist freundlich, liebenswurdig und das Kind folgt
mit Entziicken. Der Vater kommt mit Gewalttatigkeit, als Herrscher; er erzwingt sich
Gchorsam. Beidc Affekte, den der Liebe wie der Furcht, finden wir bei dem Erwachsenen
wieder. Beide bedienen sich eines Mechanismus, uber den wir nichts wissen; aber er
ist gegeben, er ist da, und es ist (nicht nur gegeniiber dem Neurotiker, sondern allgemein)
falsch, wenn wir das Problem der Hypnose und Suggestion von diesen allgemeinen
Erscheinungen trennen.
In jedcr suggestiven und hvpnotischen Erscheinung wie auch in der Hysterie
finden wir als tiefste Schicht die Beziehung zu den Eltern : das Neurotiker-Kemproblem.
Forel wendet ein, daB man schr kleine Kinder schwer hypnotisieren kann, daB
es auch sehr schwer ist, wenn Manner ihre Frauen hypnotisieren wollen und daB im
Gegenteil besontiers solche fremde Leute sehr leicht hypnotisiert werden, die auch
keine besondere Angst und keine besondere Zuneigung zum Hypnotiseur haben.
Seif. Es ist das kein Gegenbcweis. Wir sehen, wie der erwachsene Mensch oft
Vater und Mutter ablehnt, sie haBt und doch unbewuBt den Wunsch hat, von ihnen
abhangig zu sein. Ich kann etwas im UnbewuBten bejahen und im BewuBten verneinen.
Ebenso verhalten wir uns in unserer Stellung zum Sexuellen. Man muB konstatieren,
daB so sehr wir das Scxuelle in der Gesellschaft verneinen, dieses doch alles beherrscht.
Trimmer. Herr Seif wird sich nicht wundern, wenn ich auch jetzt dagegen Ein-
spruch erhebc, gegen die Behauptungcn der Freudschen Schule Einspruch erhebe,
daB Suggestion und Liebe identische Dinge, daB Hypnose ein Liebesakt sei; irgendein
Beweis fur diese romantische Behauptung habe ich in keiner Schrift der genannten
Schule gefunden. Die darauf bezuglichen analytischen Forschungen sind zwar manch-
mal nett zu lesen, sor.st aber alles andere cher als klinisch oder logisch begriindete Be-
weisc.
Ich mochte dagegen folgende Momente geltend machen: i. dafl die Personen,
welchc uns besonders sympathisch sind und die sich am meisten zu bestreben pflegen,
am schwersten zu hypnotisieren sind. Ich kann z. B. bestatigen, daB ich meine Frau
nur sehr schwer hypnotisieren kann. 2. DaB man hingegen um so besser hypnotisieren
kann, je objektiver man einer Person gegeniibersteht. Die Fahigkcit, Suggestion zu
erzeugen, ist nicht an die Person des Hypnotiseurs gebunden; man weiB, daB man die
Macht auf irgendeinen anderen iibertragen kann, daB es vollkommen genugt, wenn ein
anderer den Tonfall und die Worte des Hypnotiseurs nachahmt, um genau dieselbe
Wirkung hervorzubringen. Ich habe das in meiner Praxis oft erfahren.
3. Was unbewuBtes Widerstrcben gegen die Hypnose anlangt, so weiB jeder
Hypnotiseur, daB leidenschaftliche Einwilligung in die Hypnose zu ihrem Gelingen
nicht genugt; im Gegenteil erleben wir gerade bei denen haufig MiBerfolge, welche ihn
am wenigsten wunschcn; am leichtesten gclingt Hypnose nicht bei Personen, die uns
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BD. 19,1912,
E rg&nzungsheft 1.
MEDIZIN1SCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAP1E. 289
besonders sympathisch sind, sondem bei denen, welchen wir kiihl und objektiv gegen-
iiberstehen. Besondere Hinderung jeder Hypnose ist die Furcht; zumal Kinder schlafen
nicht, sobald sie sich fiirchten.
Die Hypnose ist 1. ein affektloser Zustand, 2. ein affektlos hervorgerufener
Zustand.
Sodann sagt Herr Seif, die Hypnotisierbarkeit sei bei Gesunden und bei Kranken
gleich. Die Suggestibility bei Gesunden ist aber eine ganz andere wie bei Kranken.
Der Kranke, besonders der Neurastheniker, ist entweder iiberhaupt nicht suggestibel,
oder nur im Sinne seiner Krankheit. Jedenfalls ist die Hypnotisierbarkeit bei Nerven-
kranken im allgemeinen vermindert.
So verhalt es sich mit den Beweismomenten der Freudschen Schule fur die
Beziehungen zwischen Hypnose und Sadismus, Masochismus und iiberhaupt sexuellen
Momenten.
Jones sagt, daB Herr Tromner im Prinzip ein MiBverstandnis begangen habe,
daB Herr Seif wie iiberhaupt die Freudianer nicht behaupten, daB das Hypnotisieren
von der Person des Hypnotiseurs abhangt. Der bestimmende Faktor ist die Haltung des
zu Hypnotisierenden gegeniiber dem Hypnotiseur. Letzteres wurde vielleicht auch von
anderer Seite behauptet, aber erst von Freud und seinen Schulern bewiesen. Der Ein-
wand, daB gerade die Angehorigen nicht leicht zu hypnotisieren sind, beruht darauf,
daB Gegenstromungen vorhanden sind, welche die Sache hindem. Die Basis zur ganzen
Untersuchung beruht auf der Analyse solcher Personen, die hypnotisiert sind, und die
Frage kann nur gelost werden durch die Analyse von hypnotisierten Personen.
Vogt, Ich stimme durchaus Herrn Tromner zu. Im Jahre 1895 habe ich 110
Personen hypnotisiert; 8 Personen verfielen in leichte, 102 in tiefe Hypnose. Ich wandte
damals die Gruppenhypnose an. Ich habe dann das Gruppenverfahren aufgegeben,
aber vor der ersten Hypnose immer noch eine andere Hypnose dem Patienten gezeigt.
Ich habe in einer noch spateren Periode auch auf diese Demonstration verzichtet. Die
Verzichtleistungen haben jedesmal zu einer ganz betrachtlichen Verminderung meiner
Hypnotisierungserfolge gefuhrt. Was schlieBe ich daraus? DaB die Patienten des Jahres
1895 deswegen so leicht zu hypnotisieren waren, weil sie sich Von der Moglichkeit der
Hypnotisierbarkeit iiberzeugt hatten und die Patienten der spateren Zeit unglaubiger
waren. Das hat aber doch mit ihrem Vaterkomplex absolut nichts zu tun. Femer muB
ich betonen, daB die Hypnotisierbarkeit von Patienten, mit welchen ich mir viel Muhe
geben muBte, die also doch im allgemeinen mehr und mehr Sympathie fur mich emp-
finden muBten, durchaus nicht dementsprechend zunahm.
Femer weiB ich nicht, wie die Freudianer die Oberfiihrung des gewohnlichen
Schlafes in Hypnose bei Personen auf den Vaterkomplex zuriickfuhren wollen, die den
Hypnotiseur nie gesehen und nie etwas von Hypnose gehort haben und bei denen man
bei der Oberfiihrung des Schlafes in Hypnose die Hervorrufung der Idee irgendeiner
lustbetonten Hingabe usw. sehr gut vermeiden kann.
Endlich mache auch ich nochmals darauf aufmerksam, daB affektbetonte Kom-
plexe und Zielvorstellungen nicht die flexible Hypnose, sondem starre hypnotische
Zustande hervormfen.
Tromner. Das wesentlichste Moment zum Gelingen der Hypnose ist der Respekt
vor dem Arzt, die Autoritatsvorstellung.
Kohnstamm. Ich mochte mir eine kurze praktische Bemerkung erlauben beziig-
lich der Moglichkeit, die Inhalationsnarkose in Hypnose zu iiberfuhren. Man kann davon
bei Beendigung der Narkose zweckmaBigen Gebrauch machen, um die Brechneigung
suggestiv zu beseitigen.
Seif. Bezuglich des Verhaltnisses zwischen dem Hypnotisierten und dem Hypno¬
tisierenden mochte ich wiederholen, daB es ein Abhangigkeitsverhaltnis ist und ein Sym¬
pathie verhaltnis auch dort, wo der Hypnotisierte sich vor dem Hypnotiseur fiirchtet.
Bei der Hysterie furchtet sich der Kranke vor den anderen; hier besteht nicht die Furcht
vor den anderen, sondern vor sich selbst, vor der eigenen Liebe; sie haben Angst, was
zwischen den Zweien passieren konnte. Nur die psychoanalytische Methodc hat die
20 Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . 17
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290 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal £ Psychologic
and Neurologic.
Moglichkeit und Fahigkeit, so tief in die einzelnen Schichten des Seelen- und Trieb-
lebens hineinzuleuchten. Und diese Methode deckt auf, soweit ich sehen kann, daB im
UnbewuBten ungcfahr von uns alien eines steckt, das ist das Kind. Auch im Erwachse-
nen! Die Neurotiker bezeugen das vollends, die niemals aus der Kinderstube kommen,
niemals sich anpassen wollen. Die ganze Krankhcit der Neurotiker ist nichts, als die
Unfahigkeit des Individuums an die Welt der Wirklichkeit, an die Realitat sich anzu-
passcn. Sie kommen nicht heraus aus der Kinderstube; sie sind noch nicht abgenabelt
von der Mutter, sie hangen noch an ihr. Diese Sehnsucht nach dem Paradies der Kind-
hcit besteht auch weiter.
Lassen Sie einen Kranken zu einem Arzte kommen, der ihm nicht sympathisch
ist; da geht es el>en nicht; die Hinneigung ist die unerlaBliche Vorbedingung. Der
Kranke kommt zu einem anderen Arzt; er ist hiil sch; seine Stimme ist angenehm, seine
ganze Art hat etwas Einschmeichelndes. Dann haben wir ein Verhaltnis, eine Beziehung.
die bewuBt eine andere Form hat, aber — wie eine tiefere Analyse zeigt, — unbewuBt
sexuelles Verlangen darstellt.
Weiterhin lassen Sie einen Menschen mit der Hypnose Erfolg haben; wenn nach
einer gewissen Zeit der Arzt in seiner Nettigkeit, in seinem Entgegenkommen nachlafit,
dann geht der Patient fort, der Arzt konnte ihn nicht mehr suggerieren. Daraus folgt
der wichtige SchluB, daB nicht der Hypnotiseur den Erfolg macht, sondem der Hypno-
tisierte, das was der Hypnotisierte von dem anderen assimilieren kann, was von dem
Hypnotiseur in ihm echot und mittut. Das, und nur soviel, wird er realisieren. Grund-
bedingung ist die Ubertragung.
Jeder Mensch hat Beziehungen zu den anderen. Wenn zwei Menschen sich be-
gegnen, iibertragt der eine auf den anderen.
Freud stellt den Satz auf: Das UnbewuBte kann nie nein sagen. Zunachst sagen
wir immer irgendwie ja. Dieses Element ist von der allergroBten Bedeutung. In jeder
menschlichen Beziehung ist Cbertragung da. In der Psychoanalyse auch; da decken
wir auf, da wcisen wir nach, daB hinter dem Arzt der Vater, der Bruder, die Mutter
oder Schwester steht. Uralte Affekte werden projiziert. Der Arzt ist das katalytische
Ferment, das die Affekte zum NiederreiBen bringen will.
In der Analyse finden sich oft weite Strecken Ode, wo kein Material mehr aus-
geliefert wird, wo eine Stockung eintritt. Der Kranke mochte da etwas ganz anderes.
Er mochte Liebe. Das ware ihm lieber als die Analyse, die keine leichte Sache ist. Wenn
dies aufgedeckt ist, kann man wieder weitergehen. In der Hypnose wird nie aufgedeckt.
Das aber ist ja seine Krankheit, daB er abhangig sein will, nicht los sein will. Wir aber
wollen die Patienten selbstandig machen, frei sollen sie werden, sie sollen sich fuhren
lernen.
de Montet dit qu’on aurait tort de sourire de Topinion de Fcrencxi. L'explication
de M. Trdmner et en particulier la notion du respect ne sont pas assez precises. Pour
Texplication de la suggestion et de I'hypnotisme il nous faut recourir au subconscient
et A Taffectivit6.
Forel protestlert gegen die Darstellung, als ob Freud eigentlich das UnbewuBte
entdeckt hatte. Die ganze Lehre der Suggestion ist auf der Tatsache des UnbewuBten
resp. des Unterbewuflten aufgebaut.
Jones wendet ein, daB er das in keiner Weise behauptet hatte. Aber erst von
Freud und den Freudianem sei das UnbewuBte in den Mittelpunkt der Bewegung
gebracht worden.
Seif. Freud hat das Verdienst, daB er prazisiert, was wir im UnbewuBten
finden: namlich das Infantile, die Triebe, die Triebtendenzen und speziell und vorzugs-
weise die Sexualtendenz.
Tromner. Herr Seif hat die Hysterischen als Beweis angefuhrt; meine Beweis-
mittel dagegen erstrecken sich auf Normale. Herr Seif spricht von Kindheitserinnerungen
und behauptet, daB der Neurotische mehr Kind als Erwachsener sei; das wider-
spricht jeder klinischen Erfahrung. Gerade dadurch, daB der Neurotiker in standig£r
Selbstbetrachtung lebt, die sein Ich, seinen Korper, seine Psyche ihm bestandig zum
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Erg&nzimggheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. . 291
Gedachtnis bringt, gerade durch diese gesteigerte Selbstbeobachtung unterscheidet er
sich wesentlich vom Kinde.
Es wurde mir der Vorwurf gemacht, meine Ausdrucke seien nicht prazis genug; ich
mochte doch anheim geben, ob nicht die Ausdrucke ,, Respekt" und ,,Imponieren“ praziser
sind als die, die von der Freudschen Schule gebraucht werden: Vaterkomplex, Liebe usw.
Der Begriff Respekt ist vollkommen klar genug.
Respekt haben vor einer Person, heiBt sie als unbedingt iiberlegen anerkennen.
In diesem Sinne muB der Hypnotisierende einfach Respektperson sein.
Rein sachlich besehen liegt also nicht die mindeste Verpflichtung vor, das Sexuelle
als Erklarungsmoment hereinzuziehen. Wenn wir freilich anfangen hineinzufragen,
zu introjizieren, so kdnnen wir naturlich alle moglichen Kunstprodukte erleben.
Vogt. Wenn Herr Seif als eine Spezialitat der Fre udschen Schule die Auffassung
hinstellt, daB bei einer Hypnose der Hypnotisierte und nicht der Hypnotiseur die Haupt-
sache sei, so muB ich doch bemerken, daB die Nancyer Schule das immer gelehrt hat.
Wir haben das durch den Satz ausgedruckt: eine Fremdsuggestion muB als Autosuggestion
akzeptiert werden, um sich zu realisieren.
Dann muB ich aber auf das entschiedenste dagegen protestieren, daB wir Nicht-
freudianer unsere Kranken nicht zur Selbstandigkeit erziehen. Die erfolgreiche Anwen-
dung der Suggestivtherapie hat in keiner Weise eine solche Unterlassung zur Voraus-
setzung. Es ist nur notig, den Kranken dazu anzuregen, die von ihm assimiiierten arzt-
lichen Suggestionen nun auch ohne Zutun des Arztes in sich zu wecken.
Seif. Zunachst zur ersten Bemerkung des Herrn Tromner. Er sagte, der Ver-
gleich zwischen Kind und Neurotiker ginge nicht an, denn der Neurotiker sei das Gegen-
teil von dem Kinde, er beschaftige sich mit seinem Korper. Nun miissen Sie unterscheiden:
Ein Kind und ein Neurotiker ist nicht dasselbe; das habe ich nicht behauptet; sondern
der Neurotiker verdrangt das Kind in sich, das er aber in sich unbewuBt doch immer
wieder sucht, das er doch immer wieder sein will. Der Neurotiker hat in seinem Un-
bewuBten das Kind; es bleibt aber nicht dort, er beherrscht es nicht wie der Gesunde,
es geht ihm durch.
Dann eine terminologische Bemerkung: den Begriffen Respekt, Sympathie,
Vaterkomplex liegt ein und derselbe Mechanismus zugrunde: die libidinose t)bertragung.
Alle anderen Worte sind nur Umschreibung.
Nun besteht ein groBes Miflverstandnis bei Herrn Tromner; er muB den Artikel
von Ferenczy nicht gelesen haben. Dieser sagt nirgends etwas von der Introjektion
des Arztes in den Kranken. Sie sagen, er suggeriert es hinein; das ist eben das MiBvcrstand-
nis, daB Sie nicht wissen, was die psychoanalytische Methode ist. Ich frage nicht: Haben
Sie das getan oder jenes ? Der Arzt ist nicht ein Fragebogen, sondern er sitzt und hort
und der Kranke redet. Wir fragen nicht, wir suggerieren nicht. Wir horen nur. In der
Psychoanalyse spielt die dominierende, die erste Rolle der Kranke.
Nun mochte ich Herrn Vogt erwidem. Er sagt, es sei jederzeit von der Nancyer
Schule behauptet worden, daB beim Hypnotisieren keine Kraft vom Hypnotiseur auf
den Hypnotisierten ubergeht. Herr Forel sagt aber ausdrucklich, der Hypnotiseur
bewirke die Dissoziation im Hypnotisierten.
Vogt Wenn wir auf die Uhr sehen, so entsteht eine subjektive Reaktion. Die
Existenz der Uhr ist aber eine notwendige Voraussetzung zu dieser Reaktion. Eine solche
notwendige Voraussetzung ist in der Suggestivtherapie der suggerierende Arzt. Etwas
anderes hat auch Forel nie gesagt und er hat immer betont, daB diejenige Suggestion,
welche therapeutischen Wert haben soli, zur Autosuggestion werden muB.
Seif. Es besteht ein groBer Unterschied. Die Hypnose schiebt das Unbewufite
nur weg, mehr beiseite, was dem Kranken unangenehm ist; es kann das gut gelingen
und wird zu schnellen Heilerfolgen verhelfen. Der Psychanalytiker kiimmert sich um
die Therapie gar nicht. Er will wissen: Wie sind diese Symptomenzustande zustande
gekommen; bis zuletzt bleibt seine Methode kausal; er sucht alles Verdrangte frei zu
machen; er sucht den Kranken uber die Ursachen seiner Krankheit aufzuklaren, damit
er hinfort sich selbst leiten kann.
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292 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR *^ 5 ** P,y f h< ! logie
Forel. Habe ich recht verstanden, dafi der Respekt auch nichts wie liebe 1 st ?
Seif. Ja. Ich meine naturlich ohne physiologische Ausstrahlungen.
Tromner. Ich weiB naturlich, daB der Begriff Introjektion von Ferenczy in
ganz anderem Sinne gebraucht worden ist. Hier habe ich mir nur erlaubt, dieses schone
Wort im satirischen Sinne zu gebrauchen.
Vogt. Ich mochte Herrn Seif kurz antworten. Die angeblich besseren Heilerfolge
der Freudianer sind eine theoretische Konstruktion. Ein statistischer Beweis fur diese
Auffassung ist von den Freudianern nie erbracht. Ich habe bisher nie erlebt, daB ein
Patient, dem ich nicht helfen konnte, von einem Freudianer geheilt worden ist. Da-
gegen haben nach meiner Kenntnis manche Kranke, die von Freudianern nicht gebessert
sind, unter der Leitung von Nichtfreudianem Fortschritte gemacht.
Auch ich habe immer den pathogenen EinfluB der Komplexe anerkannt. Aber
das psychoanalytic he Verfahren der Freudianer ist durchaus nicht der einzige und
vielfach auch nicht der beste Weg, den pathogenen EinfluB dieser Komplexe zu be-
seitigen. Dann aber — und das ist die Hauptsache — ist, wie ich schon in Brussel
betonte, oft schon die Entstehung, vor allem aber das Erhaltenbleiben neurotischcr
Symptome nicht die ausschlieBliche Folge der Komplexe. Es treten vielmehr auto-
suggestive Faktoren hinzu. Diese gewinnen mit der Zeit immer mehr an Bedeutung.
In dem MaBe aber, in welchem dieses geschieht, verlieren die Komplexe ihre pathogene
Bedeutung und deren Bekampfung ihren therapeutischen Wert. Die Beseitigung der
Autosuggestionen ist dann die Hauptsache. Ein groBer Prozentsatz der Heilerfolge der
Freudianer kommt nur mit Hilfe dieses Mechanismus zustande. Die Verkennung dieser
Tatsache durch die Freudianer fuhrt aber dazu, daB dieselben erst auf langen Um-
wegen zu diesem therapeutischen Resultat gelangen.
Bonjour. Ich mache dem gegenuber, was Herr Seif fiber das Schadliche der
Zuriickdrangung sagt, auf mein Buch fiber die Abhartung aufmerksam. Ich future hier
nur als Beispiel etwas an, was ich schon ofter gemacht habe. Mediziner, welche zum ersten-
mal in den Seziersaal kommen sollen, erziehe ich dazu, daB sie nicht leicht einen Ekel be-
kommen, indem ich sie auf das Lacherliche aufmerksam mache, indem ich ihr Ehrgefuhl
anrege. Durch psychoanalytische Behandlung wfirde ich bei den Leuten, bei denen ich
erreichen will, daB sie auf dem Praparierboden nicht erbrechen, nicht zum Zielc kommen.
Seif. Ich mochte auf dieses Moment eingehen. Wenn Sie zum Beispiel einen
Zwangsneurotiker haben, der auf der StraBe geht, zu deren Seiten Telegraphenstangen
stehen, und der Angst hat, daB sie umfallen, wie wollen Sie bei dem an das Ehrgefuhl
appellieren ? Oder wenn ein Mensch an einer Zigarrenauslage steht, die braunen Zigarren
anschaut und statt ihrer ialiter iooo-Mark-Scheine sieht? Fur den Psychoanalytiker
beginnt hier das Fragen. Was meint der damit? Was denkt er? Wenn Sie ihn direkt
fragen, weiB er es nicht. Erst auf dem Wege der Psychoanalyse erfahren Sie, was diese
Telegraphenstangen sind, oder warum diese Zigarren iooo-Markscheine sind. Erst
dann kann die Therapie einsetzen.
Bonjour. Die Psychoanalyse hat naturlich diagnostischen Wert und es liegt
mir durchaus fern, mich als Gegner der Psychoanalyse hinzustellen.
Es ist sehr wirksam, in der Psychoanalyse den Patienten sich aussprechen zu
lassen. Wir sprechen aber von der Heilung und die bewirkt man vielfach eben durch
Suggestion, nachdem der Fall diagnostisch klargelegt wurde.
de Montet mentionne que — comme on l'a d6jA justement fait observer —
les visees de la psychoanalyse sont plus modestes que celles de Thypnose, en ce sens
que la psychoanalyse s’applique avant tout k decouvrir des relations psychologies,
sans essayer d’embl6e de corriger selon des points de vue personnels.
Forel. Ich mochte noch einiges empfehlen. Ich glaube, man sollte die Suggestion
als etwas anderes als die Psychoanalyse betrachten. Ich stehe auf dem Standpunkte
des Herrn Kollegen Frank; ich bin der Ansicht, daB diese beiden Methoden einander
vorzuglich erganzen und daB man eben je nach dem Falle dieselben kombinieren oder
die eine oder die andere verwenden soli. Ich habe Falle gehabt, wo ich zuerst hypno-
tisierte, dann psychoanalytisch behandelte.
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Ergftnran&sheft 1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 293
Es fallt mir nicht ein, gegen die Psychoanalyse zu sprechen; ich habe einen groflen
Respekt vor ihr und betrachte sie als eine groBe Bereicherung unseres therapeutischen
Schatzes. Aber man muB individualisieren und kombinieren, nicht Antithesen auf-
stellen; dann wird man weiter kommen.
V. Therapeutischer Wert der Hypnose.
1. Schadlichkeit der Hypnose.
Jones erklart, daB die Hypnose schadlich sein kann und zwar deswegen, weil sie
zwar die Krankheitssymptome heilt, aber an Stelle derselben die psychisch-sexuelle
Abhangigkeit des Hypnotisierten von dem Hypnotiseur treten laBt, indem der Vater-
komplex auf den Hypnotiseur iibertragen wird. Da nun eine bessere Methode existiere,
die Psychoanalyse, ist die Hypnose nicht mehr anzuwenden.
Kohnstamm. Wenn auch durch ausreichende Technik Schadigungen zu ver-
meiden sind, so ware doch nicht objektiv zu behaupten, daB die Hypnose unter keinen
Umstanden gesundheitsschadlich werden kann. Die mit ihr verbundene Steigerung der
Suggestibilitat ist sicher an sich nicht erwunscht. Deshalb sollte die Hypnose ohne In-
dikation nicht ausgefuhrt werden.
Frank. Ich hypnotisiere nun schon beinahe 25 Jahre und habe als Assistent
bei Forel auch schon viel Gelegenheit zum Hypnotisieren gehabt. Die Zahl der von
mir eingeleiteten Hypnosen geht in die Zehntausende. Ich kann versichem, wenn Sie
wollen, eidlich, daB ich dabei niemals die geringste Schadigung gesehen habe. Wenn
das sexuelle Element hineingetragen wird, so liegt das an dem Hypnotiseur. Ich gebe
zu, daB es solche Hypnotiseure gibt, die sehr sexuell auf diePatienten wirken konnen.
Man hat aber kein Recht, das zu verallgemeinem. Wer nur einigermaBen etwas ver-
steht, und dazu braucht man noch nicht einmal erfahrener Nervenarzt zu sein, weiB,
daB man einen Patienten nicht hypnotisieren kann, wenn dieser in irgendeinem Affekt-
erregungszustand ist. Merkt man seinen Kranken eine sexuelle Erregung an, so wird
es nicht schwer sein, Grunde fur das Aussetzen der Hypnose zu finden. Das wird jeder
Arzt tun, der weiB, was er zu tun oder zu lassen hat.
• Tromner. Den Bedenken des Herrn Jones und den Einwendungen gegenuber,
die selbst von den Anhangem der Therapie gemacht werden, mochte ich hier nur betonen,
daB auch ich niemals irgendwelche dauemde Nachteile bemerkt habe. Ich mochte
darauf hinweisen, daB gerade diese Therapie sich dadurch von jeder anderen Therapie
unterscheidet.
Auch was die schon oft behauptete und gefiirchtete Abhangigkeit vom Hypno¬
tiseur anlangt, so bestreite ich, daB Hypnotisierte groflere Anhanglichkeit an den Arzt
zeigen als etwa elektrisch oder sonst physikalisch Behandelte. Im Gegenteil, wenn
Besserung eingetreten ist, bleiben die Patienten recht gem weg, weil die Behandlung
ihnen dann langweilig wird. Von einer suggestiven Horigkeit habe ich in meiner Praxis
noch nichts gemerkt.
Was den Ein wand des Herrn Kohnstamm anlangt, daB das BewuBtsein ge-
spalten wird, so gilt das nur fur die Dauer der Hypnose selbst. Man muB naturlich in
jede Hypnose eine entsprechende Sicherungssuggestion einschlieBen.
Im Gegenteil kann man oft die Erfahrung machen, daB Charaktereigenschaften,
die auf Zerfahrenheit oder Zerstreuung des BewuBtseins zielen, sich beseitigen lassen.
So habe ich erlebt, daB Kinder, die furchtsam waren und die ich durch Suggestion be¬
handelte, in verstandige, gesetzte Kinder verwandelt wurden. Schuler, die wegen Zer¬
fahrenheit nicht fortkommen, werden in den Stand gesetzt, ihre Konzentrationsfahig-
keit zu steigem, ihre Leistungen werden gebessert. Ebenso wirkt die Hypnose in jeder
anderen Beziehung. Ich brauche Sie wohl nicht daran zu erinnem, welche Dienste die
Suggestionstherapie bei pathologischen Gewohnheiten, wie bei Masturbation, Klepto-
manie, Zerstorungssucht der Kinder usw. leistet.
Also wo sind die Nachteile der Psychotherapie ?
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294 YERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal t Piychotofie
and Neurologic.
Ford. Ich identifiziere mich vollstandig mit der Anschanung der Herren Frank
und Tromner.
Jones. In reply to Herr Frank's statement that psycho-sexual dependence only
occurred in relation to sexual tendencies of the hypnotiser, or when the latter had very
little experience, Herr Joyies pointed out that the clearest evidence giving sexual nature
of hypnotism was furnished by one writing of Janet of Paris. (See Journal of Abnormal
Psychology, Vol. V, No. 5.)
Bernheim erklart, dab er in seinem ganzen Leben keine schadliche Wirkung von
der Hypnose und in spateren Jahren von der Suggestion gesehen hatte. Er behauptet,
daB eine einfache therapeutische Suggestionsbehandlung von einem anstandigen Arzte
keineswegs cine Gcfahr fur den Patienten in sich schliefien konne. GewiB gabe es Pa-
tientinnen, die sich in den Arzt verlieben, es komme das aber auch bei anderen Behand-
lungsmethoden vor und hatte mit der Hypnose nichts zu tun.
Bon jour berichtct aus seiner Erfahrung, daB gerade die Patientinnen, welche
eine gewisse Neigung zu dem hypnotisicrenden Arzte zeigen, am wenigsten zu hypno-
tisieren seien. Spcziell zwei Patientinnen, die alien Grund haben, ihm dankbar zu sein,
brachten ihm auch noch andere Sympathiegcfuhle entgegen und seit zwei Jahren habe
er vergeblieh vcrsucht, sie in tiefe Hypnose zu versetzen.
Dupr£ sagt, dab Frankreich das klassiche Land der Hypnose gewesen sei. Diese
Zeiten seien voriiber; jetzt hvpnotisiere niemand mehr, wenigstens niemand mehr,
der im Zirkel der Universitat stande. Das sei das Resultat der Erkenntnis, daB das
einzige wirksame Mittel — die Suggestion — im Wachsein eben so heilbringend sei,
wie die Hypnose. Neben der moralischen Erziehung, neben der Einwirkung durch das
Beispiel konne auch die Suggestion, aber im Wachsein, Anwendung finden.
Forel wendet ein, daB die ganze Frage auf die Erziehungsfrage hinubergespielt
wird. Er erinnert daran, daB Stuhlverstopfung und Schlaflosigkeit z. B. nicht durch
Erziehung zu beheben seien, aber durch die Suggestion; dabei sei es vollstandig gleich,
ob diese im Wachen oder im Schlafe ausgefuhrt werde. Wenn die Hypnose vielfach
in MiBkredit gekommen sei, so sei daran nicht die Sache selbst schuld, sondem vielmehr
daB, besonders in Paris, die Hypnose auf falsche Wege gefuhrt und dadurch diskreditiert
worden sei.
Seif. M. H.! Die Frage der Gefahrlichkeit der Hypnose, der Gesundheitsschad-
lichkeit eines psychotherapeutischen Eingriffes, kann uns nicht davon abhalten, ihn
vorzunehmen. Denken Sic an die Chirurgie! Es handelt sich vielmehr darum: Versteht
der Arzt damit umzugehen? Seit 22 Jahren habe ich mich an vielen tausend Hypnosen
geiibt und glaube es zu verstehen. Ich habe immer dieselben Erfolge gesehen. Worum
es sich hier handelt, scheint etwas anderes zu sein. Es ist das, was Herr Jones gesagt
hat: Die Hypnose erzeugt Oder vielmehr bringt zum Ausdrucke die psycho-sexuelle
Abhangigkeit des Kranken vom Arzte und dem widerspricht nicht, was Herr Tromner
gesagt hat, daB die Patienten weggeblieben seien, weil es ihnen zu lange gedauert habe.
Sie haben bei ihm nicht gefunden, was sie suchten.
Ich habe an Herrn Frank eine einfache, aber gewichtige Frage zu stellen. Herr
Frank sagt, daB er in 10 000 Fallen niemals eine solche sexuelle Abhangigkeit gesehen
habe. Ich mochte ihn fragen, ob diese Abhangigkeit nicht verdrangt sein kann, aber
doch aktiv wirksam ist. Haben Sie auch bei alien nachgesehen und gepruft? Wenn
nicht, so erlaube ich mir, hinter diese Behauptung ein groBes Fragezeichen zu machen.
Im iibrigen mochte ich im AnschluB an das, was Herr Dupr 6 gesagt hat und was
Tatsache ist, fragen: Warum macht der Hypnotismus, wenn er dieses kolossale Hilfs-
mittel ist, die Fortschritte nicht, die er verdienen wurde ? Warum gewinnt die hypno-
tische Behandlung in Deutschland nicht an Ausbreitung. Warum geht sie in England
und Frankreich zuriick? Es mussen doch bestimmte Erfahrungen vorliegen, die das
bedingen. Ich mochte noch sagen: Eine Reihe von Kranken, die hysterischen vorzugs-
weise, kommen gar nicht zur Hypnose, sie furchten sich davor; sie wollen es gar nicht,
wenn man analytisch den Symptomen nachgeht, es ist ein enormer, sexueller Wider-
stand da.
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Erg&niunksheft 1 . MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 295
Es besteht eine Furcht vor dem Arzt; dahinter aber steckt der verdrangte Wunsch,
es mochte doch geschehen. Sie konnen nicht in die Hypnose hinein und das ist ein Haupt-
hindemis, warum die Neurosen nicht zur Behandlung gelangen. Hierin liegt auch das
Haupthindernis der Weiterpropagierung der Hypnose.
Bemheim erklart noch einmal seine Anschauung, die er im Rapport niedergelegt
hat. Er erklart, daB er gelegentlich die Hypnose, aber im allgemeinen die Wachsuggestion
anwendet, weil er sie fur ebenso ausreichend und wirkungsvoll halt, wie die Suggestion,
die im Hypnoseschlaf gegeben wird.
Dupr6 wiederholt noch einmal, daB eben in Frankreich jetzt im wesentlichen
Wachsuggestion angewendet wird, indem man gefunden hat, daB diese eine besserc
Wirkung bringt, als die Suggestion, die im Schlafzustand gegeben ist.
Frank. Ich brauche zunachst Herm Seif nicht zu antworten. Herr Seif weiB,
wie ich die Hypnose anwende: lediglich als Mittel zu dem Zweck, die Analyse im Schlaf
durchzufuhren. Ich glaube, meine Thesen sagen genug daruber. Wir halten jetzt aber
bei den Kontraindikationen der Anwendung der Hypnose selbst und wir mussen, um
wetter zu kommen, beim Diskussionsgegenstand bleiben. Ich muB dies um so eher tun,
als ich morgen Gelegenheit haben werde, ausfuhrlich uber meine Behandlungsmethode
zu sprechen. Herr Seif kann mir dann seine Entgegnungen bringen. Jetzt fragt es sich:
Kann die Hypnose gesundheitsschadlich werden? Ich habe darum gesagt, ich habe
Zehntausende von Hypnosen gemacht und keinen Schaden gesehen. Die Patienten sind
mir nicht nachgelaufen und ich bin stets in Rapport geblieben mit den Geheilten und
vielen Ungeheilten. Der ganze Unterschied bei uns liegt darin, daB Sie bei Ihrem Begriff
des Sexuellen zuweit gehen. Sie gehen so weit, daB Sie eine Sprachverwirrtheit kunst-
lich erzeugen. Ich nenne Respekt einfach Respekt und Sie nennen es Libido. Ich ver-
mag absolut nicht einzusehen, warum man nicht das Libido nennt, was Libido ist,
sexuell, was sexuell und erotisch, was erotisch ist und die Bezeichnung all der Gefuhle,
die sich aus dem Sexualgefuhl entwickelt haben mogen, beibehalt, wie es Sprachgebrauch
ist. Es kann kein Forscher verlangen, daB wir in der Entwicklung der Sprache ihm
folgen und jedes Lustgefuhl als sexuell bezeichnen.
Ich habe absichtlich kein Wort von der Therapie gesprochen, sondern nur von der
Schadlichkeit der Hypnose an und fur sich und ich behaupte, daB derjenige, der den
Patienten einen Schaden zufugte, eben nicht hypnotisieren konnte, oder in ungeeigneter
Art hypnotisierte.
Wenn Sie so weit gehen, daB Sie der Dankbarkeit, der Achtung der Patienten
dem Arzte gegenuber schon den sexuellen Anstrich geben, kann man eben mit Ihnen
nicht weiter diskutieren: Ihre Sprache, wie Ihr Einfuhlen mit Ihren Patienten und die
Schliisse, die Sie aus Ihren Gefuhlen heraus machen, entsprechen nicht mehr den nor-
malen, allgemein als richtig anerkannten Tatsachen und Verhaltnissen. Ihre Schliisse
sind nicht mehr objektiv und unsere Sprache, die dazu dienen soil, uns zu verstandigen,
miBbrauchen Sie, um der Theorie, daB alles psychische Geschehen eine sexuelle Wurzel
hat, dienen zu konnen.
de Montet aimerait donner une precision du probldnfie. Pourquoi serait-il plus
avantageux de s'adresser 4 la conscience dissoci6e qu’& l’6tat de veille avec ses facultes
associatives bien plus d6veloppees ?
Forel. Wir streiten um des Kaisers Bart. Wir haben gesehen, daB es gleich-
giiltig ist, ob der Suggerierte wach ist oder im Schlaf, daB es gleichgiiltig ist, ob wir
es Suggestion oder Hypnose nennen. Warum bleiben so viele Arzte mit so unglaublicher
Hartnackigkeit auf ihrer Behauptung, die Wachsuggestion sei etwas ganz Gutes und die
Hypnose etwas furchtbar Gefahrliches ? Was haben denn diese Leute gegen den Schlaf ?
Was ist denn Gefahrliches im Schlaf? Wenn ein Mensch, ein Neurotiker z. B., an Schlaf-
losigkeit leidet, warum steift der Arzt sich noch, ihm durch Hypnose den Schlaf wieder
zu geben ? Auf einmal durfte man niemandem mehr den Schlaf suggerieren, weil man
yielleicht im Schlaf etwas lenksamer wird! Warum diese sinnlose Angst vor dem Schlaf ?
Wozu seit einer Stunde daruber streiten!
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296 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FttR J<n ST| I v^f ho - ,0fie
Seif. Die Menschen haben eine Abneigung nicht gegen die Suggestion, sondera
gegen die Hypnose. Das ist Tatsache.
Forel. Welche Leute? Ich antworte hier Herm Seif etwas ganz anderes. Er
sagt, daB die Suggestionstherapie abnehme. Wenn sie sich nicht entwickelt, wie sie
cs solite, so hat das total andcrc Ursachen. Das liegt damn, daB der Mediziner
an der Hochschule keine Psychologie lemt und daB daher der Zopf der medizinischen
Fakultaten konsequent die Lehren des Hypnotisierens und der Psychotherapie ohne
ernstc Prufung verwirft — aus vorgefaBter Meinung. Eine andere Ursache liegt auch
darin, daB Hypnose und Psychotherapie viel mehr Muhe machen als das Verschreiben
von Rezepten und Spezialdiaten.
de Montet. Da die Freunde und Gegner der Hypnose sich derselben therapeu-
tischen Erfolge ruhmen, kann die Frage nach den Vor- oder Nachteilen dieses Vor-
gehens nur schwer auf Grund dieser praktischen Resultate erortert werden. Man solite
vielmehr fragen: Licgen tatsachlich Vorteile darin (und welche sind diese), dafl man
sich an die dissoziiertc Personlichkeit mit relativ niederer assoziativer Fahigkeit und
verminderter Kritik wendet, wobei noch dunkle affektive Momente mitwirken — oder
ist es nicht besser, sich an das bewuBte Ich mit relativ hoheren Assimilationsfunktionen
und besserer Kritik zu halten?
Anhang.
Herr Ringier hat zu der vorstehenden Diskussion folgende Ausfuhrungen ein-
gesandt:
Es scheint mir, daB Schlaf, Traumleben und Hypnose drei ganz verschiedene
Zustande sind. Ich sehe den Schlaf als einen bewuBtlosen, neurodynamischen Zustand
an. Er muB es sein, wenn er seinen Zweck, die Restauration des Nervensystems, er-
reichen soil, und daB er die Neubefahigung des Nervensystems fur Tatigkeit bezweckt,
ist wohl daraus zu schlieBen, daB ein ruhiger, traumloser Schlaf sie uns bringt.
Das Traumleben und die Hypnose sind von BewuBtsein begleitete, neurodvna-
mische Zustande, die sich aber wesentlich voneinander unterscheiden.
Der Traumende kann nicht nach freier Wahl logisch denken, er verfallt der zu-
falligen Assoziation und diesem mehr passiven Wahmehmen als aktivem Denken ist in
der Auslosung der zentri-petalen Illusion grofltenteils schon Genuge geleistet. Da,
wo der Traumende zu aktivem (auch wohl logischem) Denken kommt, handelt es sich
schon um einen Ubergang aus dem Traumleben in den Wachzustand, d. h. um ein schon
teilweises Erwachen. Der Hypnotisierte dagegen kann logisch denken, ja selbst Kri-
tiker werden, der seine Randglossen der Suggestion beifiigt. Wahrend beim Traumenden
dem Traum in der Auslosung der zentripetalen Erregung meist Genuge geleistet ist,
d. h. wahrend bei ihm die Auslosung meist in der zentromotorischen Erregung ihren
AbschluB findet, findet beim Hypnotisierten die Auslosung mehr in zentrifugaler Rich-
tung, d. h. organomotorisch statt. Der Traum erschopft sich mehr in der Illu¬
sion, die hypnotische Suggestion mehr in der Tat, d. h. in der Auslosung
von Fu nktionen. Das ist, wie mir scheint, ein wichtiger Unterschied und ein fur die
Therapie wichtiger Punkt. Es ist selbstverstandlich, daB ich diese beiden Gegensatze
nicht als absolute annehme, sie sind Variationen unterworfen, allein im allgemeinen
existiert dieser Unterschied und es ware fur den Traumenden nicht gerade ersprieBlich,
wenn seine bizarren Traume sich in demselben MaBe realisieren mu B ten wie die hypno¬
tische Suggestion.
Wir haben aber nebst dieser noch andere Verschiedenheiten. Forel hat es bereits
gesagt, daB der T r a u m nicht als ein adaquater Vorgang anzunehmen sei, sondem daO
er meist allegorisiert werde (wenn z. B. das Rollen eines Wagens vom Traumen¬
den fur Donner gehalten wird), wahrend die Suggestion stets adaquat wahr-
genommen wird. Sie kann, wie ich oben sagte, auch durch Randglossen ver-
andert resp. allegorisiert werden. Ein Unterschied besteht aber darin, daB der Hypno-
tisierte sich dieser Randglossen, die er macht, selbsttatig bewuBt ist, ja nicht selten
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Erg&nzanpsheft 1. MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 29 7
korrigiert er mit richtiger Kritik die nicht exakt formulierte Suggestion. Der Traumende
ist sich seiner Allegorie nicht bewuBt, sie drangt sich ihm mehr passiv auf und macht
die Halluzination unbewuBt zur Illusion.
Ein weiterer und nach meiner Ansicht ganz eminenter Unterschied bezieht sich
auf das Verhalten des Traumes und der hypnotischen Suggestion nach dem Erwachen.
Der Traum hat die ganz ausgesprochene Tendenz, nach dem Erwachen dem Vergessen,
der Amnesie, anheimzufallen und das trotz aller Miihe, die sich vielleicht der Betreffende
gibt, denselben im Gedachtnis zu fixieren Oder sich vollstandig ins Gedachtnis zuruck-
zurufen. Bei der hypnotischen Suggestion findet gerade das Gegenteil statt. Sie wird
oft wieder bewuBt und das um so mehr, je mehr der Patient ihr nachdenkt. Die Amnesic
kann vom Hypnotiseur auch mit Leichtigkeit durch einfache Affirmation nachher
wieder behoben w r erden. Es ist dieser Unterschied ganz charakteristisch: die Tendenz
des Traumes amnestisch zu werden und diejenige der hypnotischen
Suggestion bewuBt zu werden. Ein so groBer Unterschied des Verhaltens dieser
Erscheinung in beiden Zustanden kann aber nur auf einen ausgesprochenen Unterschied
der beiden Zustande selbst hinweisen.
Ich glaube, daB der Traumer ein passiver Trauiner ist: sein Traum ist ein passives
Sichaneinanderreihen, ein zufalliges Sichassoziieren von Erinnerungsbildern, die im
Laufe des ganzen Lebens aufgespeichert wurden. Ein Bild weekt ohne Wahl und logische
Assoziation irgendein anderes, das auf irgendeine Art zufallig durch die Art und Weise
des Auftauchens des vorhergehenden Bildes herangezogen, geweekt resp. assoziiert
wird. Ein zufallig starker betontes Wort, eine hervorstechende Farbe des ersten Bildes,
erinnert und weekt irgendein fruher aufgetretenes Bild teilweise oder ganz und es kann
vorkommen, daB verschiedene Bilder miteinander geweekt und zu einem dann sinnlosen
Bild verwoben werden. Es wiirde sich also hier um einen Zustand handeln, bei dem mehr
nur passive Assoziation bei volliger oder fast volliger Dissoziation, nicht aber aktive
und bewuBte Assoziation sich geltend machen kann. Da, wo bewuBte Assoziation
sich geltend machen kann, handelt es sich schon um teilweises Erwachen und es sind
diese Traume wahrscheinlich dann diejenigen, welche uns beim Erwachen noch in Er-
innerung bleiben. Forel hat angenommen, daB wir wahrscheinlich die ganze Schlafzeit
fiber traumen, aber eben nichts mehr davon wissen, da uns die Erinnerungsbrucke ab-
geschnitten sei. Es scheint mir aber wahrscheinlicher, daB es auch einen ganzlich be-
wuBtlosen Schlaf geben muB und daB dieser traumlose Schlaf als der eigentliche Schlaf-
zustand anzusehen ist. Es scheint mir gerade, daB die verschiedenen Tiefen des Traum-
schlafes dafiir sprechen, daB das BewuBtsein immer mehr sich verlieren und vollstandig
entweichen kann und daB wir eben, wo wir traumen, noch nicht ganz eingeschlafen
oder wieder etwas erwacht sind.
Bei der Hypnose ist das BewuBtsein ein ganz anderes. Es wurde fruher, und
ich glaube von GroBmann, einmal der Ausspruch getan, daB der Hypnotisierte sich
in der Illusion des Schlafes befinde infolge der Suggestion, die ihm gegeben werde. Ich
habe eine ahnliche Ansicht, die ich hier etwas genauer angeben will. Der zu Hypnoti-
sierende gerat durch die Erwartung, in der er sich befindet und den an ihm vorgenom-
menen Prozeduren (Fixierenlassen, LidschluB usw.) bei der (ersten) Hypnose in eine
gewisse affektive Dissoziation, die ihn fiir die sogleich folgende oder gleichzeitig ein-
setzende Schlaf suggestion dieser verfallen macht. Er glaubt dadurch zu schlafen oder
schlafen zu mussen. Er benimmt sich daher wie ein Schlafender: er kopiert das auBere
Verhalten des Schlafenden, die Ruhe, den LidschluB usw. Es ist das aber noch kein
Schlaf, und kein Zustand volliger Dissoziation wie beim Traum, denn der Hypnotisierte
kann dabei in bezug auf alles andere als diese auBeren Schlafsymptome frei und auch
logisch denken und ich habe ofter bei Hypnotisierten wahmehmen konnen, daB sie sich
frei irgendwelchem Denken hingaben resp. hingeben konnten, freilich gewohnlich oder
meistens es nicht tun. Charakteristisch ist es, daB sie nach der Hypnose auf Befragen,
wie es war, einem dann nicht selten die Antwort geben, sie hatten uber etwas „nach-
gedacht". Da, wo man nachher die Antwort bekommt, „ich habe getraumt", kann
man sicher sein, daB die Hypnose ganz oder teilweise in Schlaf ubergegangen war resp.
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298 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
ins Traumleben, und gcradezu charakteristisch ist hier der Nachsatz ,,ich glaube, ich
habe geschlafen", wahrend der Nachsatz, den der Hypnotisierte im ersteren Falle, wo
er uber etwas nachdachte, beifugt, derjenige ist ,,ich habe nicht geschlafen". Der Hypno¬
tisierte unterscheidet also genau Schlaf und Nichtschlaf und ich kann daher nicht recht
verstehen, wie Vogt dazu kam, gerade dieses Traumen als einen Beweis anzufuhren,
daB die Hypnose mit dem Schlaf identisch sei. Es handelt sich in alien diesen Fallen
nur um einen Gbergang von Hypnose in gewohnliches Traumleben und es ist bezeich-
nend, wie man vielfach dieses Verfallen in gewohnlichen Traumschlaf da wahrnimmt,
wo man den Hypnotisierten sich einige Zeit sich selbst uberlaBt: er schlaft dabei eben
ein, wie jeder andere einschlafen kann, der sich einige Zeit mit geschlossenen Augen
aufs Kanapee legt. Es ist ferner bezeichnend, wie er wiedererwacht, wenn man ihm dann
wieder Suggestionen macht, indem er einen aufmerksameren Gesichtsausdruck bekommt,
ev. auch eine kleine Bewegung macht. In jedem Grade der Hypnose kann sich gewohn¬
liches Traumleben und gewohnlicher Schlaf hinzugesellen resp. die Hypnose ersetzen
und die Sache ist nicht selten. Der Hypnotisierte benimmt sich ganz anders. Man sieht
es seinem Gesichtsausdruck an, wie er den Suggestionen lauscht, ja, nicht nur das,
sondem, daB sein Mienenspiel oft deutlich Zustimmung oder Abweisung der gemachten
Suggestion verrat.
Die Dissoziation beim Hypnotisierten bezieht sich absolut nur auf die Suggestion
resp. deren Inhalt. Sie ist aber keine vollstandige und von vornherein allgemein vor-
handen wie beim Traum. Sie tritt erst im Momente der Suggestion auf als Konsequenz
des Gelingens der hypnotischen Beeinflussung. Dieses Gelingen disponiert zur weiteren
Dissoziation und greift der Hypnotiseur mit der Suggestion ein, so findet sie mehr oder
weniger statt und dadurch wird es moglich, dafl er neu aufbauen, assoziieren kann.
Wie gesagt, ist aber auch hier die Assoziation keine absolut in die Hand des Hypno-
tiseurs gegebene, da keine allgemeine Dissoziation bei der Suggestion stattfindet und
der Hypnotisierte stets noch zu eigener aktiver Assoziation fahig bleibt oder nachher
fahig ist und dadurch zu mehr oder weniger Kritik. Dadurch verfallt aber auch die
Suggestion nicht so leicht der Amnesie wie der Traum. Wahrend der Zeit aber, wo die
Suggestion nicht einwirkt, ist das Denken frei und nur in bezug auf die auBeren Sym-
ptome resp. den Inhalt gemachter Suggestion in einem gewissen Grade der Dissoziation
oder, besser gesagt, anderer Assoziation unterworfen. Diese auBeren Symptome beziehen sich
besonders auf die motorische Sphare resp. auf die motorischen Schlafsymptome, auch
wohl auf (autosuggerierte amnestische) Anasthesie, nicht aber auf BewuBtlosigkeit. Diese
letztere kann nicht kopiert werden, denn wo Kopie stattfindet, ist BewuBtsein. Die
BewuBtlosigkeit wird vom Hypnotisierten nur durch Amnesie wiedergegeben. Jeden-
falls ist sie dasjenige hypnotische Symptom, das die hochste Stufe der Kopie des Schlafes
darstellt und auch zuletzt und nur von einer geringen Zahl kopiert werden kann. Das
Gefuhl des Schlafens kommt vor der Amnesie; es ist auch schon ein Symptom des Traum -
lebens, nicht nur der BewuBtlosigkeit des tiefen Schlafes; daher finden wir es auch
nicht nur im tiefen Somnambulismus.
Dieses Stattfinden der Dissoziation nur zur Zeit der Suggestion
bewirkt aber eben die e'rhohte Suggestibility beim Hypnotisierten:
die suggerierte Vorstellung induziert sich quasi im Status nascendi der Dissoziation.
Ware der Hypnotisierte wie der Traumende im Zustande volliger Dissoziation,
so wiirde er die Suggestion nicht besser realisieren als der Traumende seine Traum-
bilder. Da er aber im Zustande von intakterem BewuBtsein ist, so impressioniert ihn
die mit der Suggestion stattfindende Dissoziation und macht ihn assoziativ beeinfluB-
bar oder suggestibel. Das Gelingen teilweiser Dissoziation und darauf folgender Asso¬
ziation fuhrt beim frappierten Hypnotisierten zur Kaptivation der Aufmerksamkeit,
zum Rapport.
Ich kann daher die Hypnose nicht mit dem Schlaf vergleichen. Sie ist ein nur
teilweiser, systematisierter Dissoziations- resp. neuer Assoziationszustand neben ein-
geengtem WachbewuBtsein. Vogt ist zu ahnlicher Definition gekommen. Dieser Zu-
stand geht einher mit einseitiger Kaptivierung der Aufmerksamkeit, Rapport, erhohter
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BD. 19, 1912,
Er gftnzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 299
Suggestibility und in den ausgesprochenen Graden mit Amnesic. Je ausgesprochener
dieser Zustand ist, desto ausgesprochener sind seine Komponenten. Zum Zustande-
kommen dieser Komponenten ist BewuBtsein notwendig. Die Suggestion fuhrt in den
tiefsten Graden nur zur Erinnerungshemmung: die Amnesie ist autosuggerierter Natur,
ein suggerierter Ersatz der SchlafbewuBtlosigkeit; sie kann mit Leichtigkeit behoben
werden. Die Traumamnesie dagegen ist eine Folge der (fast) volligen Dissoziation und
kann daher nur mit Schwierigkeit behoben werden und das vielleicht auch nur in Fallen,
wo der Traum schon in einen gewissen Grad des Erwachens ubergegangen war.
Ich kann daher nicht glauben und meine Erfahrung spricht entschieden dagegen,
daB dieselbe Suggestibilitat in der Hypnose wie im Wachzustand besteht. Es gibt eine
Reihe von Krankheiten, die nicht durch Wachsuggestion, wohl aber durch hypnotische
Suggestion geheilt werden konnen. Bon jour hat eine Zusammenstellung da von ge-
macht, der ich vollstandig beipflichten muB. Je tiefer, d. h. je ausgesprochener
die Hypnose, desto schneller und besser ist im allgemeinen der Erfolg der
Behandlung; die schnellsten und besten Erfolge sind beim Somnambulismus zu er-
reichen und ich habe meine Ansicht seit meiner Arbeit vom Jahre 1891 (,,Erfolge des
therapeutischen Hypnotismus in der Landpraxis") nicht andern mussen, sie sind auch
in der Stadtpraxis seit dem Jahre 1893 die gleichen geblieben. Diese schnelleren und
besseren Erfolge sind aber bedingt durch die erhohte Suggestibilitat. Diese erhohte
Suggestibilitat tritt so deutlich mit dem Tieferwerden der Hypnose auf, daB man die¬
selbe sehr oft beim gleichen Patienten an verschiedenen Tagen, Sitzungen, ja bei ver-
schiedenen Hypnosen derselben Sitzung ersieht. Eingewurzelte schwere Symptome,
die bei der ersten Hypnose nicht beeinfluBt werden konnen, verschwinden mit der
tieferen Hypnose oft ohne die geringste Schwierigkeit.
II.
L. FRANK, Die Determination physischer und psychischer Symptome
im UnterbewuBtsein.
Wenn es friiher die Aufgabe des Psychotherapeuten war, nach der Ausschaltung
korperlicher Ursachen mittels der Suggestion ohne weiteres auf Krankheitszustande
einzuwirken, so haben uns unsere Erfahrungen gezeigt, daB nur unter gewissen
Bedingungen Wirkungen der Suggestion und auch nur zeitlich begrenzt zu erzielen
sind. Ich stimme darin Forel bei, wenn er sagt, daB man durch die Suggestion
einen dauernden Erfolg erzielen kann nur entweder 1. wenn die erzielte Anderung
in sich selbst die Kraft tragt dadurch, daB sie durch die einmalige oder wiederbolte
Suggestion zur Autosuggestion oder Gewohnheit erhoben wird, sich im Kampte urns
Dasein zwischen den einzelncn Dynamismen des Zentralnervensystems zu behaupten
oder 2. wenn ihr diese ihr an sich fehlende Kraft durch Hilfsmittel verschafft wird,
welche man allerdings vielfach auch durch Suggestion herbeiziehen kann. — Geht
man in diesem Sinne den Wirkungen der Suggestion nach, so konnen wir Erfolge
konstatieren dann, wenn mit korperlichen Storungen einhergegangene Affekt-
wirkungen persistieren nach Ablauf der ersteren. Ebenso konnen wir leichte Affekt-
storungen, die z. B. eine Schlaflosigkeit verursachen, beseitigen, wie auch vermeint-
lich autosuggestiv entstandene Herz-, Magen- oder Darmbeschwerden, Menstrua-
tionsstorungen usw. Ganz wirkungslos riicksichtlich der Dauer zeigt sich die Sug¬
gestive Beeinflussung von starkern Affektstorungen, die dem Gebiete der Psycho¬
neurosen zugehoren. DaB dem so sein muB, erweisen uns zunachst die Forschungen
von Breuer und Fre ud und die an deren Arbeiten sich anschlieBenden Erfahrungen.
gewonnen durch die psychoanalytischen Methoden. Diese Methoden, zunachst von
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Freud weiter ausgebildet, eroffneten uns Einblicke in die unterbewuBten Tatig-
keiten und zeigten uns, daB ein einzelnes rein psychiscbes ebenso wie ein psycho¬
genes, aber in die Korperorgane projiziertes — nun korperliches—Symptom in der
Regel durch eine ganze Reihe von im UnterbewuBtsein aufbewahrten affektbetonten
Vorstellungen bedingt ist. Die Erfahrung zeigt, daB ein solches Symptom niemals
einfach determiniert ist. Erforscht man die Entstehungsweise solcher einzelner
psychogener Symptome, so wird man gewahr, in welch wunderbarer Weise eine groBe
Zahl von einzelnen unter sich assoziativ verbundenen gefuhlsbetonten Vorstellungen
(Komplexe) zu Determinanten eines durch diese selbst konstellierten Symptoms
werden. Dabei ergibt sich femer, daB die oft sehr komplizierten assoziativen Ver-
kettungen bald durch den Komplexinhalt, bald durch die begleitenden Affekte vor
sich gehen.
Bevor ich zu meinem Thema selbst iibergehe, mochte ich kurz die Methoden
erwahnen, die uns die unterbewuBte Tatigkeit erkennen lassen, um Ihnen zu zeigen,
daB scheinbar verschiedene Wege zu den gleichen Resultaten fiihren. Ich sage
scheinbar verschiedene Wege. Denn psychologisch betrachtet sind sie eigentlich
identisch. Die von Freud und seiner Schule angewendete Methode beniitzt in
erster Linie die freie assoziative Tatigkeit und femer das Traumleben, um die
unterbewuBtenTatigkeiten zu erforschen. Es kann,besonders nach den Experimenten
von Jung und anderen Beobachtern keinem Zweifel unterliegen, in welch hohem
MaBe unsere bewuBte Tatigkeit durch die unterbewuBte bedingt ist. Immerhin
miissen wir uns dabei vor Augen halten, wie auBerordentlich kompliziert diese Vor-
gange sind und miissen uns jeden Augenblick dariiber klar sein, daB jeder Deutungs-
versuch der beim Assoziationsexperiment gewonnenen Resultate in erster Linie
wieder von unserer eigenen bewuBten und unterbewuBten Tatigkeit abhangt. Die
gleiche Vorsicht miissen wir walten lassen beim Losen der Ratsel, die uns das Traum¬
leben offenbart. Obwohl ich durch die Freudsche Traumdeutung selbst eine
groBe Forderung meiner Ansichten und Auffassungen erfahren habe und seinen
ausgezeichneten Beobachtungen mit Bewunderung gegeniiberstehe, muB ich hier
die gleichen Einwande erheben, besonders wenn es sich um die Verallgemeinerung
dieser Methoden handelt wie beim Assoziationsexperiment. Wohl mag es dem.
der iiber eine ganz auBerordentliche Cbung verfiigt, bisweilen gelingen, den objektiv
richtigen Faden aus dem Knauel des Traummaterials herauszufinden, stets aber
wird der Traumdeuter Gefahr laufen. seine Phantasie in die Traumphantasie semes
Patienten hinein zu projizieren. Abgesehen von diesen Schwierigkeiten muB ich
darauf hinweisen, daB es sich bei den psychoneurotischen Storungen, die der psych-
analytischen Behandlungsmethode zugangig sind, in erster Linie um Affektsto-
rungen handelt, und daB eine dauernde, heilende Wirkung nur dadurch zustande
kommen kann, daB wir die in krankhafter Weise im UnterbewuBtsein aufgespeicher-
ten Affekte zum Abreagieren bringen. Nun habe ich schon in meiner Einleitung
darauf hingewiesen, wie diese unterbewuBt aufgespeicherten Affekte mit den Vor¬
stellungen durchlebter Szenen in Verbindung stehen. Der Faden, den wir durch
das Assoziationsexperiment, die freie assoziative Tatigkeit oder durch die Traum-
auflosung aus dem Konvolut der unterbewuBten Tatigkeit heraussuchen, kann aber
nur den Vorstellungsinhalt der Komplexe betreffen. Mit dem WiederbewuBtwerden
der Vorstellungen werden aber nicht auch die Affekte bewuBt, d. h. es findet so kein
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Ergftnzungsbeft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHEF APIE. 301
Abreagieren statt. Bei diesem WiederbewuBtwerden der Vorstellungen wird von
Freud und seinen Schiilern die Richtung des Vorstellungsablaufs durch eine ein-
seitige Einstellung auf den Sexualaffekt bestimmt und so ein weiterer, nach meiner
Ansicht groBer Fehler gemacht. Diese Fehler werden ganz von selbst vermieden
durch die Analyse der unterbewuBten Tatigkeit im Halbschlafzustande bei erhaltener
oberbewuBter Aufmerksamkeit. In diesem Zustand des eingeengten BewuBtseins
treten ahnlich wie im Traum, aber unter der Kontrolle des noch erhaltenen Ober-
bewuBtseins die krankhaft aufgespeicherten, gefiihlsbetonten Vorstellungen wieder
ins BewuBtsein. Dieses Auftreten erfolgt in der Regel durch assoziative Anregung —
selten durch Suggestion beeinfluBbar—und die Affekte kommen mit voller Wirkung,
oft geradezu mit elementarer Gewalt zum Abreagieren. Diese Methode ist eine rein
objektive: es bedarf keiner Deutung. Wir gewinnen durch sie einen direkten Ein-
blick ohne den komplizierten Umweg durch das Traumleben hindurch in den Aufbau
der Psychoneurosen im UnterbewuBtsein, mit einer Klarheit imd Deutlichkeit und
in einer objektiven Weise, gleichsam wie durch ein wissenschaftliches Experiment.
Vor allem gewinnen wir einen Einblick in das Affektleben, ich mochte sagen in die
Dynamismen, die sich in unserm Affektleben geltend machen, wie es uns bisher in
keiner Weise moglich war. Die Methode ist eine analytische und kathartische zu-
gleich. Sie deckt uns den Zusammenhang der die Symptome determinierenden
Komplexe auf und ermoglicht das Abreagieren der unterbewuBt seit Jahren auf¬
gespeicherten Affekte. Wir erkennen auch durch diese Methode in iiberzeugendster
Weise, was uns zwar schon die einfachste Uberlegung sagt, daB bei der Entstehung,
wie im Verlaufe der psychoneurotischen Zustande es sich nicht stets nur um einen
einzigen Affekt,den Sexualaffekt, handeln kann, sondern auch um andere und um
das Zusammenwirken verschiedener Affekte. Je schwerer der Krankheitszustand
ist, um so mehr Affekte werden in Mitleidenschaft gezogen. So kann jeder Affekt,
dessen der Mensch iiberhaupt fahig ist, in psychoneurotischen Zustanden eine Rolle
spielen. Den Einwand, daB sich bei .der Analyse im Halbschlafzustand Hemmungen
geltend machen, die ein WiederbewuBtwerden der Komplexe verhindern, muB ich
auf Grund meiner langjahrigen Erfahrungen ganz entschieden bestreiten. Ich muB
gegeniiber diesem Einwand hervorheben, daB es sich bei diesem Verfahren nicht
um das Analysieren in Hypnose, in einem ganz beliebigen und zufalligen Grad der
Schlaftiefe handelt, wie man friiher nach Breuer und Freud analysierte, sondern
um einen ganz bestimmten Schlafzustand, in dem eine Einengung der oberbewuBten
Tatigkeiten stattfindet, wahrend gleichzeitig die Tatigkeit des UnterbewuBtseins
sich geltend machen kann. Das unterbewuBte Leben lauft in diesem Zustand ab
unter der Kontrolle der Aufmerksamkeit des OberbewuBtseins. Die sonst im Traum
sich geltend machenden, verdrangten, affektbetonten Vorstellungen treten nicht
durch oberflachliche Assoziationen phantastisch ausgestaltet ins BewuBtsein,
sondern durch die oberbewuBt erhaltene Aufmerksamkeit bis auf die kleinsten
Einzelheiten genau wieder wie beim primaren Erlebnis — es handelt sich, um mich
nach Semon auszudriicken, um eine reine Ekphorierung des primaren Erlebnisses.
Selbstverstandlich treten Hemmungen auch bei der Analyse im Wachzustand auf,
sie konnen aber im Halbschlafzustand gerade so gut iiberwunden werden, wie im
Wachzustand. Bei geniigender Erfahrung beobachtet man sehr leicht diese Hem¬
mungen und dadurch, daB sich immer wieder die gleichen Komplexe ins BewuBtsein
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302 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR ionmmltPtydiolope
fiDil N ah vnlAfln a
einstellen, kann schlieBlich der Patient nicht umhin, all seine Widerstande aufzu-
geben. Er reagiert dann die am meisten verdrangten, ihm am peinlichsten ge-
wesenen, gefiihlsbetonten Vorstellungen ab, und die Aussprache dariiber gewahrt
ihm dann die innere Befreiung, die zur Wiedergenesung unbedingt notwen-
dig ist.
Gehe ich nun nach dieser Auseinandersetzung zu meinem eigentlichen Thema
liber, so muB ich, um richtig verstanden zu werden, darauf hinweisen, daB es sich,
wenn ich von physischen und psychischen Symptomen spreche, bei den physischen
Symptomen nur um solche handeln kann, die rein psychisch bedingt sind, aber in
die Korperorgane projiziert werden. Wie Sie wissen, hat Freud fur diese Erschei-
nungsform gewisser korperlicher Symptome den Ausdruck ,,Konversion ins Korper-
liche“ gepragt. Ich vermeide diesen Ausdruck, weil er nur zu Unklarheiten fiihren
kann. Um MiBverstandnissen vorzubeugen, mochte ich hier ausdriicklich hervor-
heben, daB sich meine Darlegungen auf psychoneurotische Zustande beziehen. Nach
meiner, auf Grund von zahlreichen Erfahrungen gewonnenen tJberzeugung handelt
es sich bei den Psychoneurotikem um Menschen, deren Affektleben anders geartet
ist, als das des normalen Durchschnittsmenschen. Dabei mochte ich noch ganz
besonders hervorheben, daB nicht jeder Mensch mit einer psychoneurotischen Anlage
eine Psychoneurose akquirieren muB. Aber das Affektleben ist bei diesen Individuen
ein anderes und sie sind leichter geneigt, in irgendeiner Weise neurotisch zu erkranken,
als es bei dem normalen Durchschnittsmenschen der Fall ist, iiberhaupt der Fall
sein kann. Alle Psychoneurotiker sind imstande, Affekte in ganz anderer Weise
in sich zu akknmulieren, als der normale Mensch. Die Erkrankung an einer Psycho¬
neurose, bzw. das Manifestwerden psychoneurotischer Zustande hangt ab: erstens
von der Kapazitat der Affektakkumulierung, zweitens der assoziativen Verarbei-
tungsfahigkeit, drittens vom Milieu und den Zufalligkeiten, wie sie das Leben mit
sich bringt, bzw. zu deren Erleben teilweise die unterbewuBte Tatigkeit diese Indi¬
viduen drangt. Die psychoneurotischen Symptome werden manifest, wenn ein
hoher Grad der Akkumulierung stattgefunden hat zu einer Zeit korperlicher oder
geistiger Schwachung. Bei solchen Individuen konnen korperliche Symptome eines
krankhaften Zustandes fortbestehen oder wiederauftreten nach Ablauf der korper-
lichen Krankheitserscheinungen, wenn eine Affektakkumulierung stattgefunden hat
und ein physischer oder psychischer Schwachezustand fortbesteht oder neu auf-
getreten ist. Diese Erscheinung nennt Freud in treffender Weise Neubesetzung
mit Affekt. Es tritt hier eine Erscheinung zutage, die uns zunachst frappiert, die
wir aber im Verlaufe der Behandlung psychoneurotischer Zustande immer wieder
bestatigt finden. Es ist dies die Umwandlung einer Affekterregung in eine andere,
oder wenn wir uns mehr physikalisch ausdriicken wollen: vielleicht ist es die Um¬
wandlung einer Art von Neurokymwellen in eine andere. Wir wiirden eine ganze
Reihe von solchen Vorgangen nicht verstehen konnen, wenn wir trotz des Mangels
eines tatsachlichen Bevveises nicht zu einer solchen Annahme greifen wiirden. Aber
auch hier handelt es sich durchaus nicht immer, wenn auch haufig um die Umwand¬
lung des Sexualaffektes in einen anderen Affekt. So konnen wir bei einer ganzen
Reihe von Patienten mit heftigem, anhaltendem Kopfschmerz durch die Analyse
im Halbschlafzustand nachweisen, daB dieser Schmerz bedingt ist z. B. durch lange
Zeit hindurch verdrangte Wut, Kummer oder Sorgen, Arger, ebenso wie nicht selten
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MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 303
durch verdrangte Libido. Die Analyse solcher Falle fordert dann eine ungeheure
Zahl von solchen affektbetonten Vorstellungen zutage.
Der Vollstandigkeit halber mochte ich darauf hinweisen, daB es auch Formen
von Kopfschmerzen gibt, bei denen sich absolut keine andere Ursache eruieren laBt f
als eine Affektspannung. Es sind dies besonders haufige Falle, bei denen lediglich
die aktive Unterdriickung sexueller Erregungen zu einer Akkumulierung fiihrt und
die so entstandene Affektspannung heftige, andauemde Kopfschmerzen mit Schwin-
delerscheinungen und anderen Symptomen verursacht. In anderen Fallen wieder
handelt es sich um die Einklemmung eines Affektzustandes, z. B. einer Schmerz-
empfindung. Das Symptom persistiert, weil es fortwahrend durch akkumulierte
Affekte neu besetzt wird. — Eine ganze Reihe von Zustanden, die wir noch zu den
Idiosynkrasien rechnen, beruhen lediglich auf solchen unterbewuBten Vorgangen,
die wir mit Sicherheit durch WiederbewuBtmachen der primaren Erlebnisse heilen
konnen. Man sieht oft solche Idiosynkrasien wahrend der analytischen Behandlung
schwinden.
Ich mochte mit einigen Beispielen meine Ansichten belegen. Ich kann diese
Beispiele nur in Kiirze hier anfiihren, werde Ihnen aber durch ausfiihrliche Publi-
kation der Falle Gelegenheit geben, einen genauem Einblick in diese Krankenge-
schichten zu gewinnen.
Zunachst ein Beispiel, wie Dauerschwindel verursacht sein kann, fiber den
Oppenheim jtingst sehr interessante Beispiele mitteilte, die durch aufgespeicherte
Affekte in ganz ahnlicher Weise — nach meiner Ansicht wenigstens — bedingt sein
mfissen. Ich wahle dieses Beispiel, um Ihnen zu zeigen, wie hier die Akkumulierung
eines Affektes: Angst, ein ganz anderes Affektsymptom: Schwindel, bewirken und
dem Krankheitsbild den Charakter aufdrticken kann. Es handelt sich um einen
38jahrigen Wagenffihrer der Stadtischen StraBenbahn. Pat. klagte seit 4 Jahren
fiber starken Kopfdruck, Hitzegeffihle und vor allem Schwindelgeffihle. Er schlaft
gut, traumt viel, aber ohne Angst; auch am Tag hat er nie Angstgeffihle. Korper-
lich nichts nachweisbar auBer gesteigerten Patellarreflexen. Auch die eingehende
spezialistische Untersuchung des Gehors findet keine Ursache ftir den SchwindeL
Patient ist sehr reizbar, wird leicht jahzomig, vergiBt sich im Reden. Er klagt fiber
Kopfschmerzen, die von hinten nach vom ausstrahlen. Gleich hier sei darauf hin-
gewiesen, daB Sexualverdrangung in irgendeiner Weise sicher ausgeschlossen ist.
Das Hauptsymptom ist ein Schwindelgeffihl (Trfimmel), das ihn ganz schwermtitig
mache. Dieses Schwindelgeffihl tritt stets auf, wenn der Patient den Tramwagen
verlaBt. Solange er seine Aufmerksamkeit auf seine dienstlichen Obliegenheiten
richten muB, sptirt er absolut nichts. Dieser Schwindel dauert dann stundenlang
bis zum Zubettegehen an. Momentan bekomme er dann einen heiBen Kopf, der den
Trfimmel fiberdecke. Der Zustand bildete sich ganz schleichend aus, so daB er die
Ursache zunachst auf seine Nahrung schob, bis er schlieBlich merkte, daB weder
diese, noch alkoholische Getranke (Patient lebt seit langerer Zeit abstinent), noch
das Rauchen irgendeinen EinfluB hatte. Der Schwindel sei so, daB ihm beim Lesen
die Buchstaben verschwanden. Auf der StraBe seien ihm die Menschen und die
Hauser undeutlich geworden. Auf dem Wagen traten die Erscheinungen auf, sowie
er nicht seine Aufmerksamkeit auf den Dienst richten muBte. Er suchte deshalb,
sowie er konnte, um sich abzulenken, trotz des Verbotes, mit den Fahrgasten zu
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304 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal t Psychologic
and Neurologic.
reden. So freute er sich, wenn nur jemand zu ihm in die Nahe kam, damit er reden
konnte. Die Analyse im Halbschlafzustande 1 ) ergab nun eine ganze Serie von
Schrecken und Angstzustanden, die er friiher und besonders beim Fahrdienst erlebt
hatte. Da spielten Autos und Velos, Wagen und Pferde, die vor dem fahrenden
Tram dahineilten, eine groBe Rolle. Er durchlebte genau die Szenen wieder, wie
sie sich mit bestimmten Personen an bestimmten Stellen der Stadt abspielten,
dann Ungliicksfalle mit Kindern, die fast unter den Wagen gekommen sind; dann
wieder Schrecken durch den Knall beim Versagen des Automaten am Wagen, —
Szenen, die ihn oft auch im Schlaf beschaftigten. Mit dem Abreagieren nahm das
Schwindelgefiihl ab und nach dem Wiederdurchleben einer besonders starken
Schreckensszene war der Patient frei von alien krankhaften Erscheinungen, so daB
er sich wie neugeboren fiihlte. Dieser giinstige Zustand besteht fort.
Es wiirde von mir direkt irrefiihrend aussehen, wenn ich nicht hervorheben
wiirde, daB ganz ahnliche Zustande, bei denen die Schwindelerscheinungen, wenn
auch nicht so stark im Vordergrund stehend, sondem neben anderen nervosen Be-
schwerden sehr haufig vorkommend, meist durch Verdrangung in allererster Linie
des Sexualaffektes bedingt sind, allerdings aber auch in Verbindung mit andem
Affekten, wie z. B. dem des Argers. Es gibt Argerneurosen wie Angstneurosen.
Man mag aber fiber die weitgehenden Theorien Freuds denken wie man will,
so miissen wir ihm mit Forel doch das unbestrittene Verdienst lassen, daB er die,
wenn auch schon bekannt gewesenen Zusammenhange des Sexuallebens mit Nerven-
storungen erst in ihrer vollen Bedeutung hervorhob.
Gestatten Sie mir liber diese Zusammenhange ein ganz kurzes, klar durch-
sichtiges Beispiel anzufiihren, bei dem der verdrangte Sexualaffekt zur Neubesetzung
eines friihem sicher nachgewiesenen korperlichen schmerzhaften Leidens verwendet
wurde. Es handelte sich um einen jungen Akademiker von 25 Jahren. Er hatte vor
2 Jahren einen heftigen Gelenkrheumatismus durchgemacht, von dem er durch eine
Badekur vollig befreit wurde. Jetzt traten die Schmerzen wieder auf, genau in der
gleichen Weise wie friiher. Patient griff zu seinem probaten Mittel und machte
wiederum eine Badekur. Diesmal blieb der Erfolg aber aus. Nach den obligaten
21 Badem war das Leiden das gleiche geblieben, Patient gequalt von heftigsten
Schmerzen. Der geschickte Masseur hatte von Anfang an dem Patienten des be¬
st immtesten erklart, er fande beim Massieren nichts, das ihm fur einen Rheumatismus
spreche, vor 2 Jahren sei das ganz anders gewesen. Patient konsultierte verschiedene
Arzte, die die Diagnose Muskelrheumatismus aufrecht hielten, bis schlieBlich der
Verdacht rege wurde, es konnte sich am Ende doch um ein nervoses Leiden handeln.
So kam der Patient zu mir. Per exclusionem kam ich darauf, mich nach dem Sexual-
leben des jungen Mannes zu erkundigen. Da stellte sich heraus, daB er, ein sehr
fein gebildeter, ethisch hochstehender Mensch, um in keiner Weise sich einer sexuellen
Befriedigung hingeben zu miissen, seit Jahren es gelemt hatte, seinen Sexualtrieb
lediglich durch seinen Willen zu unterdriicken. Es war ihm gelungen, jede be-
ginnende Erektion durch einen energischen Willensimpuls zu verdrangen. Ich habe
den Patienten iiber sein unzweckmaBiges Verhalten aufgeklart. Es ist dies ein Ver-
halten, das man iibrigens in sehr vielen Fallen von sexueller Neurasthenic ausfindig
machen kann. Ohne jede weitere Verordnung verschwanden die Schmerzen nach
1 ) Das Verfahren s. Forel, Der Hypnotismus, 6. Aufl., Ferd. Enke, Stuttgart.
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Ergtozungaheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 305
und nach. Nach ungefahr 4 Wochen bekam ich aus den Glamerbergen eine Karte,
worauf mir der Patient mitteilte, daB er eine 4tagige strenge Exkursion bis auf die
Hohe von 2750 m machte ohne Schmerzen und ohne besonders miide zu werden.
Die Heilung war eine dauemde (seit jetzt 3 Jahren).
Ahnliche Falle zeigen sich dem Nervenarzte in sehr groBer Zahl. Wir sehen
immer wieder, wie ein Affekt durch Riickstauung oder Verdrangung in einen andem
umgewandelt wird. In ahnlicher Weise konnen friiher durchgemachte schmerzhafte
Affektionen mitten in einer heftigen Aufregung, zumal wenn vorhergehend schon
Affektverdrangungen von Schrecken, Arger, Rummer, Sorgen, Wut usw. statt-
gefunden hatten, wieder auftreten. Es wird Sie nicht erstaunen, wenn ich Ihnen auf
Grund meiner Erfahrungen mitteile, daB das Abreagieren akkumulierter Affekte
auch in die motorischen Bahnen hinein stattfinden kann, und so die Symptome der
verschiedenen Tics und krampfartigen auf hysterischer Basis beruhenden Zustande
entstehen. In ahnlicher Weise lassen sich wohl auch Formen von rein nervosem
Schnupfen und gewisse Falle — wohl verstanden, ich mochte mich vor Verallge-
meinerung streng hiiten — von Herpes z. B. am Auge und von Ekzemen und Urti¬
caria, die der Nervenarzt im Verlaufe von Analysen beobachten kann, erklaren.
Kennen wir doch schon lange als sicher z. B. die Quaddelbildung auf suggestivem
Wege!
Bevor ich zu den eigentlichen Neurosen iibergehe, mochte ich nur kurz darauf
hinweisen, daB eine Reihe von nervosen Herzstorungen, asthmatischen Beschwerden,
Magen-, Darm- und Blasenneurosen sich auf dem Wege der Psychanalyse als komplex-
bedingt beweisen und beseitigen lassen.
So zeigte sich z. B. bei einer ihre Symptome stets bei oder nach den Mahl-
zeiten manifestierenden Magenneurose, daB sie durch eine ungeheuer groBe Zahl
von Angst- und Schreckerlebnissen bedingt war, die sich vorwiegend wahrend oder
kurz nach dem Essen ereignet hatten. Diese Neurose war sehr hartnackig und hatte
den Patienten gezwungen, sein Speisenprogramm ganz auBerordenthch einzuengen.
Alle moglichen Kuren waren erfolglos geblieben. Durch die psychanalytische Be-
handlung wurde er dauemd von seinem Leiden befreit.
Ganz gleich entstehen mit Angst einhergehende Darmneurosen, die fur die
Patienten wegen der ganz plotzlich auftretenden Diarrhoe mit starken Angstgefiihlen
sehr qualend und hinderlich sind. Ich mochte einen Fall erwahnen, der ein 25 jahriges
Fraulein betrifft, weil das Leiden wohl als nervos erkannt, aber nach der Schablone
in einer deutschen Universitatsklinik selbstverstandlich nutzlos mit einer Mastkur
behandelt wurde. Es handelte sich bei der Patientin um plotzlich auftretende Angst
mit heftiger Diarrhoe. Diese Zustande traten auf der StraBe, im Theater, im Konzert-
saal und in der Eisenbahn auf und waren so unertraglich geworden, daB Patientin
kaum mehr wagte, in ihrem Wohnort das Haus zu verlassen. Sie hatte die Angst
in ausgedehnter Weise iibertragen. Schon der EntschluB, irgendwo hinzugehen,
verursachte ihr Angst. Dann trat ein starker diarrhoischer Stuhl auf und danach
stellte sich Erleichterung der Angstgefiihle ein. Zunachst reagierte die Patientin
im Halbschlafzustand eine groBe Zahl von Szenen ab, wo sie solche Angstzustande
erlebt und die Angst verdrangt hatte. Das geschieht in jedem derartigen Falle so.
Sehr deutlich konnte man hier die Art der Ubertragung erkennen, besonders auch
darin, wie Patientin alle die Orte zu vermeiden suchte, an denen ein Angstanfall
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306 verhandlungen der INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jo SS 4 v f ;Sjfirf l0ra
ausgelost worden war. Ja selbst die arztlichen Visiten in der Klinik waren zu Kom-
plexen geworden und die Patientin hatte stets Angst und Durchfall, bevor der
Professor mit seinem Stab von Arzten zur Visite kam. In der Analyse, deren Lektiire
hier zu weit fiihren wiirde, lieB sicb der ganze Aufbau der Neurose erkennen und als
die Neurose manifest machendes Ereignis konnte eine 8 Jahre vor der Erkrankung
durchgemachte Fischvergiftung eruiert werden. Patientin hatte eines Abends Fische
gegessen, ging in ein Konzert, es vvurde ihr schlecht, sie muBte mehrmals den Saal
verlassen. Ihr Zustand wurde immer schlimmer, es wurde ihr schwarz vor den
Augen, sie muBte nach Hause und durchlebte die furchtbarste Nacht, die sie je
hatte. Sie muBte fast die ganze Nacht auf dem Abort zubringen, zitterte am ganzen
Korper und hatte starke Angstgcfiihie. Schon die Erinnerung an diesen Zustand
machte ihr lange Zeit hindurch Angst und Herzklopfen. Nach diesem Erlebnis
fingen bald die zahlreichen Ubei tragungen an und damit die sich steigemde Ver-
schlimmerung dieses Zustandes. Irgendwelche sexuelle Momente, die dabei eine
Rolle hatten spielen konncn, lieBen sich absolut nicht eruieren. Patientin ist frei
geblieben von all ihren Beschwerden.
Auch darauf mochte ich noch hinweisen, wie durch korperliche Storungen.
z. B. durch eine Struma, eine Herzaffektion bedingte Unlustgefiihle, z. B. Angst,
durch die im UnterbewuBtsein akkumulierten Affekte eine Aggravation erhalten.
Es fallt uns dann in solchen Fallen die Schwere der Symptome im Verhaltnis zu der
geringen korperlichen Stdrung auf. Erst die Erkenntnis des gleichzeitigen psycho-
neurotisehen Zustandes klart uns das MiBverhaltnis auf.
Auf rein psychischem Gebiete — d. h. also vorwiegend mit dem Vorstellungs-
leben zusammenhangend und sogar in einzelne Phasen desselbcn eingreifend —
erkennen wir diesen gleichen Mechanismus: die gleiche Entstehungsweise in friiher
Jugend, den gleichen Determinantenaufbau im UnterbewuBtsein wahrend des
spateren Lebens, die assoziativen Auslosungen der Symptome und die definitive
Ubertragung der Affekte bei der Manifestation des Krankheitsbildes 1 ). So bei
neurasthenischen Angst- und Depressionszustanden, bei Arger-, Wut- und Eifer-
suchtsneurosen, bei Zwangsvorstellungen, Zwangsdenken, bei den Phobien, we
beim neurotischen Stottern*), den hysterischen Dammerzustanden, wie bei einer
groBen Zahl von Storungen des Schlafes. Bei den Schlafstorungen handelt es sich
stets um die assoziative Anregung der verdrangten Affekte vor dem Einschlafen
oder um das sich WiederbewuBtmachen der unterbewuBt aufgespeicherten Affekte
wahrend des oberflachlichen Schlafes beim Einschlafen oder vor dem Wieder-
erwachen. Mit den traumatischen Neurosen verhalt es sich genau ebenso. Das
zuletzt erlebte Trauma laBt den seit Jahren unterbewuBt schlummemden krank-
haften Zustand manifest werden. Bei den Besserungen und Scheinheilungen ohne
Analyse und Katharsis bleibt das pathogene Material im UnterbewuBtsein aufge-
speichert.
Die sexuellen Perversitaten oder erworbenen Perversionen haben den gleichen
Modus der Entstehung und EntauBerung ihrer Symptome. Wir konnen diese Zu-
stande, da es sich lediglich um abnorme Reaktionen des Sexualaffektes handelt.
im Sinne dieser Auffassung als Sexualneurosen bezeichnen. In einer groBen Reihe
x ) Siehe Frank, L., Die Psychanalyse. E. Reinhardt, Munchen.
2 ) Siehe Frank, L., Die Angstneurosen und das Stottern. Orell Fussli, Zurich.
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MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE.
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von solchen Fallen konnte ic.h das primare Erlebnis wiederfinden und den ganzen
Determinantenaufbau verfolgen. Als friiheste Zeit des primaren Erlebnisses gelang
es mir bisher einmal, sicher das Alter von 1 Jahr und 3—5 Monaten zu eruieren;
in mehreren Fallen war es nachweisbar sicher vor dem 2. Lebensjahr erfolgt. In
einem Falle von Exhibitionismus konnte ich das primare Erlebnis durch ganz be-
sondere auBere Umstande begiinstigt als sicher mit 3V4 Jahren stattgefunden nach-
weisen. Nach dem WiederbewuBtwerden auch dieses Erlebnisses unter ganz zu-
falligen Bedingungen trat dauernde Heilung ein.
Diese wenigen Beispiele aus den verschiedensten Gebieten des Nervenlebens
wollte ich Ihnen vorfiihren, um Ihnen einen Einblick in den psychischen Mechanismus
dieser Zustande zu geben. So verschieden auch die AuBerungen der Krankheits-
svmptome rein auBerlich betrachtet erscheinen mogen, so lassen sie sich alle auf
die einfachsten psychologischen Grundgesetze zuriickfiihren. Das
ganze groBe Gebiet von Storungen im Nervenleben, auf das ich heute nur ganz
fluchtige Streiflichter werfen konnte, konnen wir so von einem einheitlichen Gesichts-
punkt aus betrachten. Diese analytischen Methoden sind aber auch imstande,
unser Verstandnis der Geisteskrankheiten wie der normalen psychischen Funktionen
in hohem MaBe zu fordem. Hierauf kann ich heute nur hinweisen. Noch gibt es eine
groBe Zahl von Fragen zu losen, noch bleibt uns vieles dunkel. Wer sich mit den
psychanalytischen Methoden vertraut gemacht hat, wird, wenn es ihm auch nur
gelingt, einen kleinen Zipfel des die Psyche verhiillenden Schleiers zu liiften,
doch einen tiefem Einblick in diese gewinnen, als ihm das seitherige Studium selbst
der dicksten Kompendien liber Psychologie gewahrt hat. Noch ist die Zeit viel zu
kurz, als daB wir annehmen konnten, daB das, was heute unsere Ansichten sind,
zum sicheren Besitz unseres Wissens gerechnet werden konnte. Es ist deshalb
unsere Pfhcht, jede Methode, ob sie nun mittels der freien Assoziation im Wach-
zustand, mit dem Assoziationsexperiment oder mit dem Traumleben oder im Zu^
stande des eingeengten BewuBtseins arbeitet, mit wissenschaftlicher Kritik, ohne
Voreingenommenheit zu priifen und anzuwenden. Alle diese Methoden haben das
gleiche Ziel: die unterbewuBte Tatigkeit zu erforschen zum Verstandnis dieser Zu¬
stande und zum Auffinden von Verfahren, im Interesse der Heilung der sich uns
anvertrauenden, meist schwer heimgesuchten Kranken. Es erwachst uns erst recht
diese Pflicht, wenn wir heute schon mit Sicherheit wissen, daB die Heilung dieser
Zustande von vornherein eine begrenzte ist, teils infolge der Konstitution der
Patienten, ihres Alters, der Menge des unterbewuBt aufgespeicherten pathogenen
Materiales, teils infolge des Weitererlebens neuer Schadigungen. Wissen wir erst ,
genau, unter welchen Umstanden diese Krankheitszustande entstehen und wie
sie sich ausbilden, so konnen wir dann auch zur Erfiillung unserer hohem Aufgabe
gelangen: zur Prophylaxe. Diese aber wiederum wird erst dann moglich sein, wenn
die Erkenntnis dieser Zustande zum AUgemeingut der Arzte, nicht nur der Spezial-
arzte geworden ist; denn die praktischen Arzte sind in der Lage, diese Zustande
friihzeitig genug zu beobachten. Hierfiir zu arbeiten ist ganz besonders unsere
Pflicht.
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308 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Diskussion.
Lowenfeld. Ich mochte, bevor wir in die Diskussion der einzelnen Thesen ein-
treten, noch einige Fragen an Herrn Frank richten, da ich glaube, daB uber das Novum,
das Herr Frank gebracht hat, und welches im wesentlichen die Technik, d. h. die be-
sondere Art seines psychanalytischen Verfahrens, betrifft, noch einiges zu erganzen
ware.
Er spricht davon, daB die Psychanalyse in einer Art Halbschlaf vor sich gehen
soli, der keine eigene Hypnose bildet. Nun fragt es sich, in welcher Weise er diesen
Zustand herbeifiihrt, wodurch dieser sich charakterisiert und in welcher Weise die
Reproduktion der in Frage stehenden psychisch-traumatischen Vorgange herbeigefuhrt
wird.
Frank. Ich bin dazu selbstverstandlich gerne bereit.
Ich bediene mich eines moglichst einfachen Verfahrens; ich lasse alles Streichen
weg und hier mochte ich noch darauf aufmerksam machen, worauf ich bei meinem
Vortrag nicht hingewiesen habe, weil ich eben in Anbetracht der bevorstehenden Dis¬
kussion nicht so viel sprechen wollte. Es wird immer nicht berucksichtigt von den
meisten Arzten — wenn ich Falle, die von so und so viel Kollegen vergeblich zu hypno-
tisieren versucht wurden, bekomme, kann ich das stets wieder beobachten, daB sie
nicht daran denken —, daB die Hypnose nur in affektfreiem Zustande moglich ist. Ich
muB mir oft viele Miihe und Geduld dem Patienten gegeniiber nehmen, um im Anfang
wenigstens den Moment zu erwischen — abgesehen von der Sympathieubertragung,
die immer eine Rolle spielen muB — wo ein sonst affektfreier Zustand vorhanden ist,
Es darf keine Angst da sein, iiberhaupt keinerlei Affekt, auch kein sexueller. Dann
lasse ich mich fixieren nach der Nancyer Schule. Ich bin dazu gekommen, dabei einige
Hilfen zu benutzen. Weil jede Beruhrung des Patieflten einen Affekt hervorbringen
kann, meide ich oft jede Beruhrung. Sonst stutze ich die Augenlider so, daB sie die
Halfte der Cornea decken. Nicht nur der Patient muB bequem liegen, sondem auch der
Arzt. Ich sitze gewohnlich am Boden, habe meinen linken Arm gestutzt, lege meine
linke Hand so, daB ich das Lid bis zur Halfte leicht herunterschieben kann und lasse
die Augen so fixieren, daB sie moglichst nach unten schauen. Dann suggeriere ich in
der gewohnlichen Weise. In der Regel schlafen die Patienten sehr rasch ein. Ich habe
natiirlich auch solche, welche nicht das erstemal gut reagieren; aber weitaus die uber-
wiegende Zahl schlaft so ein. Nun uberlasse ich in der Regel den Patienten sich selbst
und erziele den Halbschlafzustand dadurch, daB ich den Patienten anleite, ruhig vor
sich hinzuschauen und abzuwarten, was vor seinem Blick auftaucht. Zunachst ist das
Gesichtsfeld dunkel. So wird der Patient von der Frage: schlafe ich Oder schlafe ich nicht,
abgelenkt. Er soli nun aufpassen, was kommt. Ich habe ihn aufgeklart und habe den
Zustand so geschildert, daB er ganz ahnlich dem ist, wo wir in einem oberflachlichen
Schlafe einen Traum erleben, wo wir bei erhaltener Aufmerksamkeit wissen, daB das,
was wir erleben, Unsinn ist, daB wir traumen. Die meisten Kranken, selbst die Un-
gebildeten, begreifen die Sache sehr schnell; bei manchen gelingt es das allererste Mai,
daB sie Szenen durchleben und abreagieren, andere durchleben im Anfang nur Affekte
und wieder andere Kranke mussen mit vieler Muhe und groBer Geduld erst das Schlafen
und dann das richtige Verhalten im Schlafe erlemen. In den meisten Fallen wird das
Gesichtsfeld allmahlich heller, hier und da wird es ganz hell, dann wieder sehen die
Patienten Nebel, dann mit einem Male sehen sie irgend etwas, noch unbestimmt, dann
etwa einen Gegenstand. Spater stellt es sich heraus, daB dieser etwa in einem Zimmer
war und zwar, wo sich irgend eine bedeutungsvolle Szene abgespielt hat. Dann sage
ich dem Patienten, daB er das, was er sieht, ruhig festhalten und abwarten soli, was
weiter dazu kommt, genau wie man in einem Kinematographentheater ruhig auf die
weiBe Flache schaut und die Entwicklung der Szenen abwartet. Die Patienten leraen
das meist auBerordentlich schnell, manche kommen nicht vorwarts. Und das hat dann
stets seine Griinde. Solange das UnterbewuBtsein uberlastet ist mit Komplexmaterial,
so lange stellen sich die Bilder von selbst ein. Ich brauche nie direkt zu suggerieren.
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EriSSiwJgS 1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 309
Es niitzt auch nichts: denn stets stellt sich nur solches Komplexmaterial ein, das durch
innere Oder auBere Vorgange assoziativ angeregt, der Schwelle des BewuBtseins am
nachsten ist. Da kann man darauf los suggerieren, wie man will, es kommt dann sicher
nicht das, was man suggestiv herausholen mochte. So erfolgt die assoziative Komplex-
anregung, die man, wenn man sich die notige Zeit und Muhe geben will, stets eruieren
kann — durch neue Erlebnisse selbst, entweder zu Hause Oder auf dem Wege zum Arzt
Oder im Gesprache mit dem Arzt oder es lassen sich auch Traume aus der vorausgegange-
nen Nacht als Komplex anregend ermitteln. Ein einfaches Mittel, um die assoziative
Anregung zu geben, besteht darin, daB man von ahnlichen Fallen spricht oder, be-
sonders, wenn das Material seltener wird, laBt man bei Beginn der Behandlung die in
der letzten Sitzung abreagierten Szenen wiedererzahlen. So kommt oft die assoziative
Anknupfung wieder von selbst. Diese Wirkung wird erhoht, wenn die Reproduktion
im Schlafzustand erfolgt. Ich hebe ausdriicklich hervor, daB der Schlafzustand so ober-
flachlich ist, daB man mit vielen Patienten nebenbei im Ruhezustand gleichgultige Ge¬
sprache fuhren kann. Natiirlich ist das nur dann moglich, wenn die Dressur eine weit-
gehende ist. Ich hatte z. B. Patienten, die sagten dazwischen: ,,Ich bin mude. Ich will
weiter schlafen, lassen Sie mich ruhen. Ja, horen wir auf." Darauf verlangten sie selbst:
,,Ja, aber wir konnen dabei von etwasanderem plaudem.ich ruhe dabei.“ Nach ioMinuten
ca. verlangen sie selbst wieder in der Analyse weiterzugehen. Naturlich sind das seltene
Falle, aber ich fuhre sie an, um zu zeigen, wie oberflacjilich der Schlaf ist. Dieser Halb-
schlafzustand ist fur mich das Gleiche, was fur den Chirurgen die Narkose ist. Ich bin
selbstverstandlich stets gerne bereit, Kollegen die Art meines Vorgehens zu zeigen,
aber wie begreiflich, ist es auBerordentlich schwierig und nur in vereinzelten Fallen
moglich, weil die Kranken zu leicht gestort werden und sich geniert fiihlen. Ich rate
dringend, fur den Anfang vorsichtig in der Auswahl der Falle zu sein, damit man nicht
durch MiBerfolge ungeduldig wird. Aber durch t)bung kann jeder dazu kommen, sich
die Methode anzueignen. Ich bestreite selbstverstandlich durchaus nicht den Heilwert
der richtig und verstandig angewendeten Freudschen Methode. Die Analyse und
Katharsis im Halbschlaf ist aber ein abgekurzter Weg. Vor allem aber hebe ich hervor,
dafi das Abreagieren der Affekte im Halbschlafzustand fur mich von wesentlichster Be-
deutung ist: er ermoglichst diese Reaktion, wie dies im Wachzustand nicht der Fall
sein kann.
Bezuglich der Reproduktion der Szenen: Manchmal kommt eine Pause, es tritt
kein Komplexmaterial mehr auf. Es ist dann sehr wichtig, daB man dem Patienten
in solchen Zeiten Erholung gonnt. Die Psychanalyse nimmt den Patienten mit; manche
magem sogar wahrend der Behandlung ab. Man darf auch nicht vergessen, daB durch
die Anregung der Komplexe im Anfange stets eine Verschlimmerung eintritt. Es ist
dieser Umstand deshalb wichtig, weil es Patienten gibt, die in dieser Phase der Behand¬
lung vom Arzte weglaufen. Das kommt nicht selten vor. Auch kommen oft peinliche
Erlebnisse heraus in der Psychanalyse. Diese konnen dem Patienten so unangenehm
sein, daB er sich davor furchtet oder sie unter keiner Bedingung preisgeben will. Solche
Patienten bleiben lieber krank — und daran ist der Analytiker schuld — oder sie gehen zu
einem anderen Arzte. Diesem klagen sie, dafl sie von dem anderen Arzte mit Psych¬
analyse behandelt worden seien, und daraufhin hatte sich der Zustand verschlimmert.
Es gibt sogenannte Autoritaten und auch Professoren, die sich dann wohlwollend dieser
Opfer der neuen Behandlungsmethode annehmen und die sichere Heilung durch eine
Liegekur bei Milchdiat in Aussicht stellen oder durch Elektrisieren des Sympatikus
den ,,begangenen Kunstfehler" auszugleichen suchen. Sie konnen aber iiberzeugt sein,
daB eine solche Verschlimmerung nur ein sicherer Beweis dafur ist, daB der Arzt auf
dem richtigen Wege war. Es ist doch auch selbstverstandlich, daB, wenn die unterbewuBt
aufgespeicherten Affekte angeregt werden und das Komplexmaterial mobil wird, eine
scheinbare Verschlimmerung durch das Wiederbewufitwerden der pathologischen Affekte
eintritt. Wird dann die Behandlung fortgesetzt, nachdem der Patient aufgeklart worden
war, dann tritt nach und nach eine Erleichterung ein. Nun wird der Einwand sicher
gemacht werden: Da kann eine solche Szene dutzendmal kommen, das ist kein Ab-
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310 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal f. Psychologic
und Nenrologje.
reagiercn, sonclern ein BewuBtwerden. Da kann ich des Bestimmtesten auf Grand
meiner vieljahrigcn Erfahrung sagen, daB, bis eine Szene vollstandig abreagiert ist,
sie immer wicder auftritt. Eine vollig abreagierte Szene wird nur noch als Vorstellung,
als Erinnerung auftauchen. Aber vollstandig abreagiert ist eine solche pathogen ge-
wordene gefuhlsbctonte Vorstellung, wenn alle synchronen Elemente, die ihr zugehoren,
wieder bewuBt geworden sind. Dabei handelt es sich oft um recht komplizierte, aber
psychologisch hochst interessante Vorgange, auf die ich hier nicht eingehen kann. Aber
solange die krankmachcndc Affcktquelle da ist, das kann z. B. Libido, auch Arger,
Angst, Kummer, Wut usw. sein, so tritt immer wieder eine Neubesetzung von einzelnen
Szenen auf und zwar immer wieder von solchen, die nicht vollstandig erledigt sind.
Wenn Sie erst einmal eine groBere Analyse durchgefuhrt haben, werden Sie erkennen,
wie gewisse Symptome durch eine Unzahl von einzelnen Szenen determiniert sind.
Diese Szenen stehen miteinander in Verbindung, sei es durch die gleichartige Oder ahn-
liche Gefiihlsbetonung, sei es durch den Inhalt der Komplexe und bilden determinierende
Gruppen. Dann stehen immer wieder die einzelnen Determinantengruppen miteinander
in Bcziehung und so ganze Massen von Gruppen, die in einem gewissen Zusammenhang
stehen. Wenn Sie Psychanalysen lesen, ja, da scheint Ihnen natiirlich zunachst alles
als ein Chaos; man muB aber auch diese erst zu lesen verstehen. Aber man braucht
nichts zu deuten, der ganze Determinantenaufbau wird klar, einem schlieBlich von selbst
klar, zumal wenn man eigene Erfahrung hat. Ich kann Ihnen die Versicherung geben,
gerade bei etwas schwierigeren, komplizierteren Fallen, wie z. B. bei einer Platzangst,
die Jahre bestanden hat, ist die Analyse ein Studium, das wir durch nichts ersetzen
konnen; wir lernen dabei so vicl Psychologie wie durch nichts sonst, und wir konnen
gerade in die Psychoneurosen hineinschauen, wie wir es sonst nirgends konnen. Nach
meiner t)berzeugung handelt es sich um ein reines Ekphorieren nach Semon. Wir
diirfen uns auch nicht tauschen lassen, wenn eine Szene wiederkommt, ist sie noch nicht
erledigt. Das spielt bei den sexuellen Erlebnissen eine groBe Rolle. Da kommt es oft
vor, daB die Patienten sich nicht aussprechen wollen. Da kommt es auf das Verhalten
des Arztes an, das hier ein auBerordentlich feinfuhlendes sein muB. Er darf es nicht machen
wie die Kollegen, die damit beginnen zu fragen: Mit wieviel Jahren haben Sie angefangen
zu onanieren ? Man muB eben mit Takt und Vorsicht vorgehen. Dann kommt man aber
auch auf alles, es bleibt nichts verborgen bis in die fruheste Jugendzeit zuruck. Solche
Szenen kamen in einem Falle i3mal wieder; ich habe gewuBt, daB etwas sich eingestellt
hatte, der Patient aber wollte es nicht sagen. In solchen Fallen muB man rahig ab-
warten konnen. Nach den 13 Malen ergab sich der Patient: Ich kann nicht mehr, ich
muB jetzt erzahlen. Nun mochte ich auch gleich, weil darauf hingewiesen wird, auf einen
Einwand zu sprechen kommen. Ich bin mir vollstandig bewuBt, und das ist ein Ein-
wurf, den die Kollegen der Freudschen Richtung mir machen, daB ich nicht bis zum
allerersten Komplex zuruckgehe. Ich true das absolut und absichtlich nicht. Meine
Aufgabe als Arzt ist in allererster Linie, Heilung zu bringen. Auch der Chirurg muB bei
der Exstirpation einer tuberkulosen Niere den affizierten Urether drinnen lassen und
es findet doch eine vollige Heilung statt; der widerstandsfahige Organismus wird mit
den zuruckgebliebenen Bazillen fertig. Wir haben nicht notig, bei der Analyse schlieB¬
lich bis zum Moment der Geburt, in dem das erste Angsterleben des Kindes stattfinden
soil, zuriickzukommen. Nach meiner Ansicht ist es nicht notig, das kann ich auf
Grund meiner Erfahrungen sagen, daB man alle Komplexe, alle t)bertragungen wieder
bewuBt werden lafit. Das ist meist auch ganz unmoglich. Ich habe so lange den Mund
gehalten, und auch nichts publiziert, bis ich ein groBes Material zur Verfiigung hatte
und meine Erfahrungen immer wieder bestatigt fand und einen genauen Oberblick
liber das ganze groBe Gebiet auf Grund meiner einheitlichen Anschauungen gewonnen
hatte. Nun aber kann ich sagen, ich habe jahrelange Heilungen erzielt durch die Psych-
analyse im Halbschlafzustand, die wissenschaftlich anerkannt sind und die jeder aner-
kennen muB, der objektiv zu urteilen vermag. So auBerordentlich interessant es ist,
die allererste Ubertragung des Kindes auf seinen Vater und seine Mutter herauszube-
kommen — wenn es in objektiv einwandfreier Weise veroffentlicht wird, werde ich es
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Krg&DTODgsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 3 11
nachlesen — aber fur meine Patienten ist es ganz egal, wann das war. Das wollte ich
noch sagen, weil es in der folgenden Diskussion eine Rolle spielen wird.
Lowenfeld. An welchem Umstande glauben Sie erkennen zu durfen, daB die
Heilung abgeschlossen ist?
Frank. In der Regel damit, daB nach im Verlauf von Wochen wiederholten
Analysen absolut kein Material mehr kommt, und der Zustand des Patienten ein guter
ist. Es kann auch nach langerer Zeit noch irgendwelche Szene kommen, ja wieder eine
leichte Verschlimmerung eintreten; aber die Hauptkomplexe und die wesentlichen
determinierenden Koraplexe sind erledigt. Man muB dann manchmal nach Wochen
Oder auch nach Monaten noch einige Analysen machen, weil solche Komplexe noch
nachdrangen, sich bewuBt zu machen suchen und dadurch wieder die pathologischen
Affekte hervorrufen. AuBerlich merkt man die Heilung daran, daB die Patienten sich
vollstandig frei fiihlen, andere Menschen geworden sind und daB sie korperlich sich
auBerordentlich schnell erholen. Es findet manchmal innerhalb 8 Tagen eine erstaun-
liche Gewichtszunahme statt, die vorher nicht bei Mastkuren erreicht wurde. Ich glaube,
wenn Herr Lowenfeld das selbst einige Male beobachtet hat, wird er schnell wissen,
wann er aufhdren darf und soil. Freilich muB man auf das sich ev. notig machende
spatere Nachhelfen nach dem vorlaufigen AbschluB der Analyse hinweisen.
I. These des Yortragenden:
Eine therapeutische Dauerwirkung der Suggestion kann nur gelingen, wenn die im
Unterbewufitsein gesetzte Anderung als Autosuggestion oder neue Gewohnheit sich neben den
ihr widerstrebenden Dynamismen direkt oder indirekt behaupten kann.
Die These stoBt auf keinen Widerspruch.
II. und III . These des Yortragenden:
II. Diese Erfolge finden sich :
a) bei kdrperlichen Storungen mit Affekterregungen, wenn letztere die ersteren uber-
dauern ;
b) bei leichten Affektstorungen an und fur sich, inklusive leichten Schlafstdrungen;
c) bei den leichten Affektstdrungen, wo der pathogene Affekt in verschiedenen Kdrper-
organen zum Abreagieren gelangt.
III. Bei alien Affektstdrungen auf psychoneurotischer Basis ist eine Dauerwirkung
durch Suggestion nicht zu erzielen ; sie sind verursacht entweder durch die Wiederbesetzung
fruherer korperlich bedingt gewesener Affektstorungen oder — und zwar am hdufigsten
durch unterbewuftt aufgespeicherte, gefuhlsbetonte Vorstellungen {Komplexe).
Trdmner. Zunachst mochte ich eine Anfrage an Herrn Frank richten: Welche
Krankheiten versteht er unter „ kdrperlichen Storungen** ? Vielleicht gibt er uns ein
konkretes Beispiel.
Frank. Z. B. nach Gelenkrheumatismus. Wenn auch die akuten Erscheinungen
fort sind, so konnen doch die Schmerzen durch Autosuggestion bestehen bleiben. Ich
will damit nichts anderes sagen, als daB es einfache Storungen gibt, — mit Symptomen,
die nicht einen so ausgedehnten Determinantenunterbau haben, wie die ausgesprochenen
Psychoneurosen — die man daher suggestiv behandeln kann.
Trdmner. Sie meinen damit das, was man psychische Nachbilder genannt hat.
Frank. Ja, wenn Sie so wollen.
Trdmner. Zu II a bemerke ich, daB derartige Affekte, Nachbilder oder Begleit-
affekte manchmal leichter zu beeinflussen sind, wenn ihnen korperliche Ursachen zu-
grunde liegen und dafl umgekehrt rein psychische Beschwerden auBerst resistent sein
konnen.
Dann zu IIb mochte ich fragen, ob Herr Frank unter leichten Affektstorungen
alle leichten Schlafstdrungen begriffen haben will und ob er der Meinung ist, daB alle
leichten Schlafstdrungen auf Affektstdrungen zu beziehen sind.
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312 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR
Frank. Herr Trdmner kommt mir entgegen, wenn er findet, daB die Storungen,
die mehr psychisch bedingt sind, alle in Zusammenhang sind mit unbewuBten Faktoren,
die die SchmerzensauBerungen unterhalten oder nach Freud neu besetzen. Wenn man
analysiert, wird man immer die entsprechenden Quellen finden.
Nun, was die Schlafstorungen betrifft, wissen wir jeder an sich, wie leicht ein
Affekt uns am Einschlafen hindert. Es spielen auch und zwar gar nicht selten sexuelle
Affekte eine Rolle unter denen, welche eine Schlafstorung verursachen kdnnen. Wenn
wir uns stark gefreut haben, konnen wir auch nicht einschlafen. Es gibt ganz leichte
Schlafstorungen, die unterbewuBt bedingt sind. Ich habe in meinem Vortrage iiber
Psychanalyse, den ich in der Schweizerischen Psychiaterversammlung gehalten habe
imd der in Druck erschienen ist, solche Beispiele erwahnt. Es handelte sich dort um ein
junges Madchen, das nicht einschlafen konnte infolge eines unterbewuBten Angst-
affektes. Die Angst wurde immer wieder dadurch mobil, daB das Kind das Gutenacht-
sagen der Mutter erwartete. So gibt es auch Kinder, die durch die Erwartung des recht-
zeidgen Erwachens am Morgen nicht einschlafen, sie haben Angst, sie konnten am Morgen
die Schule verschlafen. Wenn wir solche Falle analysieren, so finden wir immer unter¬
bewuBt aufgespeicherte aflektbetonte Vorstellungen. Aber die ganz leichten Falle, die kann
man suggesdv so bchandeln, daB man einen anderen Dynamismus hineinpfropft oder die
Angst einfach defer verdrangt. So ist aber nur scheinbar eine Heilung eingetreten, der
Patient ist wohl erstarkt, der Zustand ist besser geworden, kann aber zu jeder Zeit wie¬
der durch eine physische oder psychische Schwachung zum Ausbruch kommen, meist nur
noch starker, weil inzwischen noch weiteres pathogenes Material verdrangt wurde. Die
vollkommene Heilung ist nur dann gelungen, wenn aus dem UnterbewuBtsein das patho-
gene Material genugend ausgeraumt worden ist, wenn ich mich so ausdrucken darf.
Seif. Die haufigste Ursache der Schlafstorung ist die einer nicht adaquaten
Befriedigung der Libido.
Frank. Ich muB da Herm Seif beistimmen. Ich habe keine Details gegeben,
habe von allgemeinen Affektstorangen gesprochen, habe auch gesagt, daB die libido
eine Rolle spielt und selbstverstandlich mache ich dann auch keine Analysen. Aber
es kommt dabei vor, daB da auch fruher erlebte Szenen durch diese konverderte libido
mit Angst neu besetzt werden. Ich glaube, daB ich darin von den Freudianem durchaus
nicht abweiche. Ganz sicher handelt es sich aber nicht uberall um libido. Darin besteht
der Unterschied meiner Auffassung gegenuber der der Freudianer. Die sehen immer
und uberall Libido dahinter. Es gibt eine groBe Zahl von Fallen, wo die Libido ganz
sicher keine Rolle spielt, wo lediglich andere Affekte die Ursache sind. DaB die Libido
wenn sie bewuBt wird, schlafstorend wirkt und daB sie im Traum eine auBerordentliche
Rolle spielen kann infolge der Verdrangung, daruber brauchen wir nicht zu diskutieren.
Wer das beobachten will, hat taglich Gelegenheit dazu.
Seif. Es besteht hier ein MiBverstandnis: Sie sagen: „Wir machen hier auch keine
Analysen." Ich sage: „Wir machen bei diesen Fallen keine Suggestion. Aber wir machen
Analysen." Sie haben Falle angegeben, fur die Sie jede sexuelle Atiologie ablehnen.
Aber Sie haben keinen Beweis dafur erbracht. Am besten ware es, Sie wurden die
Krankengeschichten veroffentlichen, dann konnte man sehen, ob es so ist, oder nicht.
So aber mussen wir uns erlauben, ein Fragezeichen dahinter zu machen. Sie sagen,
die Freudianer suchen in alien Fallen sexuelle Atiologie. Wir suchen gar nicht. Wir
finden sie. Die Kranken bringen sie uns.
Bonjour erklart zunachst, daB ein Gegensatz sei zwischen der ersten These und
der zweiten und dritten These. Dann fuhrt er aus, daB er sehr schwere Falle, z. B. von
Neuralgien, einfach durch Suggestion geheilt habe, daB er andererseits erklaren musse,
daB gewisse Falle von Psychoneurosen nicht geheilt werden konnten. Der Grand lag
darin, daB es nicht gelungen ist, die Patienten in hinreichend tiefe Hypnose zu ver-
setzen und so Dissoziationszustande in bezug auf die krankmachenden Ideen und
Affekte hervorzurafen. Er gibt an, daB er auch eine Form von Psychoanalyse benutze
und sich bemuhe, einzudringen in der Form, daB er jeden Tag die Gedanken des Kranken
aufschreiben laBt, und sie nachher liest.
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BD. 19. 1912,
Ergftniuogsheft 1.
MED1ZINISCHE PSYCHOLOGY UND PSYCHOTHERAPIE. 313
Vogt. Die von Herrn Frank angewandte Methode deckt sich im wesentlichen
mit der von mir in den Jahren 1894 und 1895 ausgearbeiteten Kausalanalyse im ein-
geengten Wachsein. Ich selbst und Herr Brodmann haben dariiber eingehend be¬
nch tet, ich selbst zum letzten Male auf dem vorjahrigen KongreB in Brussel. Ich freue
mich, in den Publikationen und den heutigen Ausfuhrungen des Herrn Frank eine
so weitgehende Bestatigung unserer Feststellungen gefunden zu haben, wenn wir auch
noch mehr Muhe auf die spezielle Gestaltung der Hypnose verwandt und vom Patienten
durch Prazisierung der von ihm zu losenden Aufgabe noch klarere und tiefergehende
Analysen erhalten haben. Besonders mochte ich hervorheben, daB auch Herr Frank
ebensowenig wie ich die nach Herrn Freud der Hypnose eigentumlichen besonderen
Hemmungen der Analyse beobachtet hat. Betonen mochte ich nur noch, daB die zur
Abreagierung gelangenden Szenen durchaus nicht immer reelle Erlebnisse sind. Auch
Inhalte des Schlaf- und des Wachtraumens, so wie solche von Delirien konnen ab-
reagiert werden. SchheBhch habe ich in gewissen Fallen Zweifel daran gehabt, ob
der Inhalt solchen Abreagierens iiberhaupt schon jemals in dieser Zusammensetzung
von dem Patienten subjektiv durchlebt war.
Sehe ich so meine psychologische Bewertung der Kausalanalyse im eingeengten
BewuBtsein weitgehend von Herrn Frank bestatigt, so weichen meine Frau und ich
in der therapeutischen Schatzung und besonders in der Erklarung der therapeutischen
Wirkung dieses Verfahrens von ihm ab: wie ja aus meinen Brusseler Ausfuhrungen und
einigen in der Hypnosediskussion gemachten Bemerkungen schon hervorgeht.
Wir tun dieses zunachst auf Grund der kausalanalytischen Ergebnisse, die wir
bei Anwendung unserer Methode gehabt haben. Die Analysen zeigten gewiB einen weit-
gehenden genetischen Zusammenhang zwischen den pathologischen Symptomen und
fruheren Gemutsbewegungen: sie deckten aber zugleich gelegentlich schon sofort, meist
aber sehr bald im Kranken aufgetretene Befiirchtungen in bezug auf Komplexitat,.
Intensitat und Dauer der krankhaften Erscheinungen auf. Derartige angstbetonte Auto-
suggestionen erwiesen sich in den Analysen immer mehr als der eigentlich auslosende
Faktor, je linger die Symptome dauerten.
Sodann mussen wir bestreiten, daB das Abreagieren in der Hypnose als solches
den Komplexen ihre pathogene Wirkung dauemd nimmt. Wir haben wahrend 10 Jahren
etwa jedes Jahr einmal Phobien abreagieren lassen, ohne jemals etwas anderes
als einen vorubergehenden Erfolg gehabt zu haben. DaB bei derartigem vieljahrigen
Abreagieren gewisse pathogene Erlebnisse etwa nicht zum Abreagieren gekommen
sein sollten, erscheint uns als eine ganz gesuchte Erklarung. Viel naher liegt doch
die Annahme, daB auch das intensivste Abreagieren nicht prinzipiell ein Wieder-
auftreten des krankhaften Symptoms oder — wie sich Herr Frank mit Herrn Freud
in unserer Ansicht nach nicht glucklicher Weise ausdruckt — die Neubesetzung mit
Affekt verhindert. Eine psychologische Tatsache, aus welcher eine solche prinzipielle
Wirkung des Abreagierens im eingeengten Wachsein abgeleitet werden konnte, existiert
ja auch nicht.
Ferner haben wir uns wiederholt davon uberzeugen konnen, daB beim thera¬
peutischen Versagen des hypnotischen Abreagierens eine anderweitig erreichte Ande-
rung der Denkrichtung des Kranken Heilung brachte.
Endlich mussen wir — wie ich es schon in Brussel getan habe — mit aller Ent-
schiedenheit bestreiten, daB die pathogenen Komplexe meist von den Kranken ver-
drangt oder gar vergessen sind. Im Gegenteil: die Kranken leiden — wie auch Herr
Freud im Anfang seiner psychogenetischen Studien es ganz richtig aussprach — daran,
daB sie die pathogenen Komplexe nicht vergessen konnen. Was Herr Frank als
,,Affektakkumulierung“ bezeichnet, ist nichts anderes als eine direkte Folge der Un-
fahigkeit dieser Kranken, die affektbetonten Erlebnisse so wie ein Normaler vergessen
zu konnen, ihrer ,,Dysamnesie" (Cecile Vogt).
Haben also die Neurotiker bei weitem nicht in dem MaBe, wie Herr Frank
es im AnschluB an Herrn Freud annimmt, die pathogenen Erlebnisse vergessen, dann
muB die „zur Wiedergenesung notige inner© Befreiung" durch Aussprache im Wach-
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314 VERHANDLTJNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FCR
Journal f. Paycholopie
und Neurologic.
sein moglich sein, zumal diesc durchaus nicht immer so affektfrei erfolgt, wie man nach
Herrn Frank annehmen muB.
Auf Grund dieser Erkenntnisse und Cberlegungen sind meine Frau und ich im
letzten Dezennium in folgender Weise therapeutisch vorgegangen.
In Fallen, wo bei Dysamnestikern Instinktmodifikationen durch gefiihlsbetonte
Yorkommnisse der Vergangenheit bedingt sind, haben wir ohne naheres Eingehen auf
die ehemaligen Geschehnisse lustbetonte normale Erlebnisse zu schaffen und so die
pathogenen Komplexe zu hcmmen versucht: so z. B. solche Homosexuelle, die linft-
bctonte homosexuelle Erinnerungsbilder aus der Jugend nicht abschutteln konnten,
durch allmahlichen Erwerb lustbctonter hcterosexueller Erlebnisse zu heilen uns bemuht.
Falle, wo urspriinglich durch unangenehme Erlebnisse bedingte Storungcn auto-
suggestiv erhalten blieben, suchten wir ohne eingehende Erorterung der speziellen
Genesc durch Bescitigung der Furcht vor den Symptomen zu heilen. Ich muB betonen.
daB in diese Rubrik viel mehr Neurotiker gehoren, als man nach den Ausfuhrungen des
Herm Frank glauben mochte.
Da, wo Komplexe noch cine so starkc pathogene Wirkung haben, daB sie immer
wieder die Krankheitserscheinungen anregen, haben wir diese pathogene Wirkung
(lurch Aussprachen im Wachsein zu beseitigen gesucht.
Fast immer sind wir nun auf diesen Wegen zum Ziele gekommen. Nur in
wenigen Fallen haben wir zu einem Abreagieren im eingeengten BewuBtsein greifen
mussen. In den iibrigen Fallen haben wir ohne dieses ebenso gute und ebenso
dauerhafte Erfolge erzielt als wahrend jener Periode, in der wir viel in der Hypnose
abreagieren lie Ben.
DaB es nun aber iiberhaupt noch Falle gab, wo das Abreagieren in der Hypnose
notig war, beweist, daB diesem Verfahren etwas Spezifisches eigentiimlich ist. DaB
dieses aber nicht etwa in dem BewuBtwerden sonst unterbewuBt bleibender Komplexe
besteht Oder zu bestehen braucht, geht daraus hervor, daB wir auch in Fallen, wo keine
Amnesie bestand, giinstige Wirkung vom hypnotischen Abreagieren sahen. Diese Er-
fahrung veranlaBt uns Hand in Hand mit den obenerwahnten Feststellungen, daB einer-
seits hypnotisches Abreagieren nicht immer heilt und andererseits beim Versagen des
hypnotischen Abreagierens eine anderweitig erzielte Anderung der Denkrichtung des
Kranken von therapeutischem Erfolge begleitet sein kann, anzunehmen, daB der spe-
zifische Wert des hypnotischen Abreagierens auf einer zwar auch nur vorubergehenden,
aber doch besonders intensiven Herabsetzung der assoziativen Ansprechbarkeit
der Komplexe beruht und daB diese Herabsetzung durch besonders starke Erschdpfung
der Komplexe selbst infolge ihres lebhaften Durchlebens zustande kommt.
GewiB wird sich eine Behandlung um so individucller gestalten lassen, je weiter-
gehende Einblicke wir in die Genese der einzelnen Krankheitsfalle haben. Die Kausal-
analyse im eingeengten BewuBtsein ist hier die souverane Methode. Ich kann hier nicht
einmal mit Herrn Frank die Freudschen Kausalkonstruktionen als gleichwertig an-
erkennen. Ich behaupte nur, daB derjenige, welcher bereits iiber viele kausalanalvtisehen
Erfahrungen verfugt, sich meist schon mit Hilfe von Analogieschlussen durch eine
eingehende Wachanamnese ein so eingehendes Bild von der Krankheitsgenese machen
kann, daB er eine erfolgreiche Thera pie einleiten kann, ohne der sehr viel Zeit und
oft auch groBe Selbstiiberwindung des Kranken erfordernden hypnotischen Kausal-
analyse zu bedurfen. Herr Frank sagt selbst, daB er es nicht fur seine Pflicht halt,
die Komplexe bis in die infantile Zeit zuriickzuverfolgen. Wenn der Patient frei ist,
habe er seine Pflicht getan. Wir mussen auf Grund unserer Erfahrungen behaupten,
dafl auch die hypnotischen Analysen zu dieser Befreiung meist nicht notig sind.
Tr6mner. Ich mochte ganz kurz ausfuhren, daB Schlafstorungen sehr mannig-
fache Ursachen haben konnen und keineswegs nur auf Affektstorungen beruhen. In
einer im Hamburger Arztlichen Verein vor einem Jahre gegebenen Darstellung habe
ich unterschieden:
i. Sekundare Schlafstorungen, von einer auBerhalb der Schlaffunktion selbst
liegenden Ursache abhangig (z. B. von Schmerzen Oder korperlichen Storungen), und
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MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 315
BD. 19,1912,
Ergflnzungraheft L
2. primare, d. h. solche mit Stoning der Schlaffunktion selbst. Bei letzteren unter-
schied ich wieder Agrypnie infolge depressiver Erlebnisse, solche durch Uberermfidung,
Unterermfidung und endlich Agrypnien, welche als Aquivalente periodischer Depres-
sionen auftreten.
Diese verschiedenen Formen bieten suggestiver Beeinflussung verschiedene Chan-
cen, die schlechtesten die letztgenannte. Die Behauptung der Freudschen Schule,
daB Schlafstorungen mit mangelnder sexueller Befriedigung zusammenhangen, kann
ich durch mehrere typische Beispiele widerlegen. Ich habe Frauen behandelt und ge-
heilt, trotzdem ihr sexuelles Leben mangelhaft war und blieb. Weibliche Patienten
sind natfirlich besonders leicht geneigt, eheliche sexuelle Disharmonien als Ursache
ihrer Storungen anzuffigen. DaB aber deren Beseitigung den Verlauf der Neurose oft
nicht im mindesten beeinfluBt, zeigte mir eine neulich behandelte Frau mit Agrypnie
infolge von nervoser Depression. Diese Frau klagte uber mangelnde Potenz ihres Mannes.
In diesem Falle war der Mann leicht zu normaler sexueller Betatigung zu bestimmen,
aber der Effekt auf die Neurose der Frau war absolut.Null. Meist liegen also ganz andere
Ursachen als sexuelle Anomalien zugrunde. Und was die sexuellen Komplexe anlangt,
so mochte ich einen Nichtnervosen sehen, aus dem sich nicht allerlei ,, Komplexe" heraus-
holen lassen. Der Gesunde aber bleibt trotz seiner sexuellen Komplexe gesund und der
Neurotiker wird krank — Oder er ist vielmehr krank, weil er neuropathisch ver-
anlagt ist. Alle Neurosen auf sexuelle Komplexe zurfickzuffihren, ware dasselbe
wissenschaftliche Verfahren, als wenn wir alle Krankheiten direkt auf das Sonnenlicht
zurfickffihren wollten.
Diesen Fehler macht die Freusdche Schule. Ein bezeichnendes Beispiel einer
solchen Freudschen Kausalkonstruktion ist die Hypothese, daB das Stottern, eine wohl-
bekannte Neurose, auf Masturbation beruht. Nun ist es eine bekannte Tatsache, daB
das Stottern fast stets im 4. Lebensjahre eintritt. Soil nun im 4. Jahre dieser sexuelle
Abusus eintreten? Spater treiben natfirlich die meisten Stotterer Masturbation, wie
es die meisten normalen Menschen getan haben; moglich ist auch, daB Stotterer es mehr
tun; denn der Stotterer ist ein Mensch, der veranlagt ist, sich abzuschlieBen, sich von
menschlicher Gemeinschaft zurfickzuziehen sucht und deshalb auch mehr zur Onanie
neigt. Ich wende beim Stottern nie Psychanalyse an, weil ich viel bessere Erfolge mit
direkter Suggestion erreiche. Ich spreche nicht im Prinzip gegen die Anwendung aller
Analysen, icl^mochte nur auf die klinischen und Denkfehler der Freudschen Schule
aufmerksam machen.
Seif. M. H.! Ich habe den Eindruck gewonnen, daB sich in unsere Diskussion
wie ein roter Faden immer wieder ein MiBverstandnis einschleicht, als ob die Ana-
lytiker bestritten, daB andere Heilungen auch erfolgen konnen als durch die Psych¬
analyse. Das ist nie gesagt worden; sondem es muB unterschieden werden zwischen
der Psychanalyse als Forschungsmethode und der Psychanalyse als Heilmethode.
t)ber das Stottern habe ich keine Erfahrung. Dann sagen Sie, wir fanden bei
alien Menschen sexuelle Komplexe, auch bei gesunden Leuten. Es ist das gewiB eine
Frage, die Freud sich selbstverstandlich auch vorgelegt hat und die sich jeder Mensch
vorlegen muB, besonders wenn er Analyse treibt, wenn er ehrlich in sich hineinsieht
und diese sexuellen Komplexe in sich auch findet. Was schreiben denn die Dichter?
Was finden Sie im Volke, am Biertisch? Was reden und tun die ldeinen Kinder zu-
sammen ? Uberall finden Sie das sexuelle Moment. Aber es ist hier zwischen Gesunden
und Kranken ein Unterschied, der Unterschied der Konstitution. Diesen leugnen wir
gar nicht. Die Annahme von Differenzen in der Psychosexualkonstitution bildet eine
Hypothese, ohne die wir nicht auskommen konnen. Wir Menschen sind in verschiedenem
Grade fahig, die sexuellen Triebregungen zu beherrschen. Ofter ist die Konstitution
zu schwach. Dann entsteht Verdrangung und Krankheit: als AuBerungen einer Minder-
wertigkeit der psychosexuellen Konstruktion.
Sie sagen weiter, Heilungen von Schlafstorungen hatten Sie auch durch Hypnose
fertig gebracht. Das bezweifle ich nicht, man kann sie durch Hypnose beiseite schaffen,
man kann sie wegdrficken, man kann dem Kranken helfen, sie zu verdrangen. Wir aber
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316 vekhandlungen der intern, gesellschaft fcr
Journal f. Psycholofie
und Neurologic.
helfen dem Kranken nicht nur, die Dinge wegzuschieben, sondem wir geben ihm noch
personlich etwas in der Form der Ubertragung. Wir sind ihm Hilfe, Stutze, wir helfen
ihm seine Kindlichkeit an uns los zu bringen.
Man kann auch Falle von Schlafstdrungen bei Patienten konstatieren, welche
einen ganz regelmafiigen sexuellen Verkehr haben. Wie kommen sie zu diesen Schlaf¬
storungen ? Geht man analytisch nach, so findet man in der Regel eine ins UnbewuBte
verdrangte homosexuelle Komponente. Gelingt es nun, das diesem Homosexuellen
bewuBt zu machen, dann verschwindet die Schlafstorung. Herr Frank sagte noch:
Ich gehe nicht bis zum i. Komplex zuruck, weil meine Aufgabe zu heilen ist. Nun,
meine Herren! Unsere Aufgabe ist es auch. Ich bitte keinen Unterschied zwischen uns
zu machen. Wir sind mit demselben emsten Sinn bei der Sache wie Sie, wir haben die-
selbe Absicht, unseren Patienten Heifer und Stutzer zu sein, wie Sie. Wenn wir aber
in unseren Analysen tiefergehen, so haben wir gute Griinde dafur, weil wir wissen, daB
die Erfolge unvollkommen sind, wenn wir das nicht tun.
Forel. Ich mochte die Lehre daraus ziehen, daB wir nicht immerwahrend ein-
seitig hypnotisch oder psychanalytisch behandeln, sondem vielmehr in verstandiger
und richtiger Anwendung beidc Methoden je nach den Fallen und oft kombiniert ge-
brauchen. Herr Seif hat gesagt, daB es notwendig sei, durchaus zum ersten Komplex
zuriickzugehen, um definitiv zu heilen. Nun, das bestreite ich ganz entschieden. In der
Tat kann man oft sehr gute Heilungen durch Abreaktion nur sekundarer Komplexe
erzielen.
Ich habe manche Falle gesehen, wo zu weit gehende Analysen direkt geschadet
haben, und es ist keine Frage, daB sie das tun konnen, wenn mehr als notig gegraben
wird. Ich mochte nur sagen, ich stimme vollstandig uberein mit den Ausfuhrungen
des Heim Frank. Ich bestatige auch und verkenne nicht, was Herr Vogt sagte, daB
man nicht immer Zeit hat. Das trifft mehr oder weniger fur jede individualisierende
Psychotherapie zu. Ich empfinde es als Fehler, daB ich aus Mangel an Zeit mich zu
wenig psychotherapeutisch und besonders psychanalytisch vertiefen resp. spezialisieren
kann. Ein Beispiel aus der neuesten Zeit, das sehr lehrreich ist und Bestatigung dafur
gibt, ist folgendes:
Ich habe eine Frau lange Zeit behandelt, welche seit Jahren auBerordentlich
schwere Phobien, Schmerzen, Dammerzustande usw. hatte. Die Analysen gingen gut.
Einige Analysen haben ihr brillant aus der Patsche geholfen. Ich will nur zwei Bei-
spiele geben. Die Frau konnte seit Jahren nicht mehr gehen ohne Stock, obwohl sie
furchtbar gerae arbeitete. AuBerdem konnte sie am Abend sehr schwer einschlafen.
Sie blieb immer sitzen und hatte immer Dammerzustande, in welchen sie engiisch und
italienisch sprach, und konnte sich nicht hinlegen. Ich konnte trotz aller Muhe mit der
Hypnose allein hier nichts ausrichten. Was hat dahinter gesteckt? Ich analysierte sie
in der Hypnose, lieB sie nach Frank mit geschlossenen Augen vor sich hinschauen
und wegen des Stockes grundlich nachdenken. Auf einmal, wahrend sie hypnotisiert
war, fing sie an in furchtbaren Affekt zu geraten und in eine wahre Wut zu kommen
uber einen Kollegen (Psychiater), der sie fruher behandelt hatte. Er zwang sie mit
Gewalt, gegen ihren Willen, nasse Wickel tage- und wochenlang zu machen, hieB sie
sich zusammenzunehmen usw. Vor den Wickeln hatte sie grofie Angst gehabt. Sie wurde
furchtbar aufgeregt, verlor zum Teil die Besinnung, und als ihr Mann sie heimnahm,
war sie teilweise gelahmt. Seither konnte sie nie mehr ohne Stock gehen und furchtete
sich vor jedem Gang. Von dem Moment an, wo sie in der Hypnose diese Szenen abrea-
giert hatte, warf sie ihren Stock weg und ging ganz flott uberall. Vorher hatte sie den
Zusammenhang nicht zusammengebracht, zwischen der Angst und Wut gegen den
Kollegen und ihre Unfahigkeit zu gehen. In der Hypnose schimpfte sie plotzlich furchter-
lich uber die Brutalitat, mit der sie der betreffende Kollege behandelt hatte; die ganze
damalige Szene lebte sie nochmate durch und nun war sie frei und geheilt. Sie machte
nachher groBe Spaziergange. Ein anderes Mai sieht sie plotzlich vor sich einen Spiegel
und in dem Spiegel ihr Bild, aber verzerrt vor Wut und Aufregung und mit Schrecken.
Dies brachte ihr die Erinnerung an eine alte Szene vor Jahren, wo sie einen Brief von
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Erg&ngnngsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 317
ihrem Mann bekommen hatte, der sie heftig aufgeregt hatte. Sie hatte sich selber,
als sie ihre eigene Wut im Spiegel sah, die bittersten Vorwurfe gemacht. Nach dieser
Abreaktion konnte sie abends sich im Bett sofort legen, ohne Damme rzustande. Sie
blieb nicht mehr wie vorher dammernd sitzen.
Das sind so zwei Beispiele, wie man in der Hypnose allein nicht, wohl aber mit
der Analyse in der Hypnose durchkommt.
Die Frau ist jetzt umgewandelt, gliicklich, geheilt. Ihre Bekannten sind hieruber
ganz verwundert.
de Montet attire 1'attention sur le fait qu’il faut Stre tr£s prudent dans l’appr6-
ciation de la m6thode cathartique. Le cas suivant le prouve comme tant d'autres: Le
traitement d’une phobie grave fut commence par cette m6thode. Pendant les trois
premieres seances aucun traumatisme important ne fut ni d^couvert ni abr6agi. L'ana-
lyse subit une interruption de plusieurs jours pour des raisons ext6rieures. N6anmonis
le malade revint tout joyeux 4 la stance suivante, se disant gu6ri et Iib6r6 de ses sym-
ptomes morbides, en attribuant la gu6rison 4 1 'ana lyse (suggestion!).
En outre appliqu6e d’une fayon uniforme 4 une grande clientele, cette m6thode
off re le grand danger, que le m6decin en vienne 4 fausser la structure du tableau no-
sologique et 4 en simplifier par trop la psychog6n6se. En fait il n’existe aucun entire
qui permet d’6tablir, si les traumatismes d6couverts caract6risent suffisamment Involution
6 tiologique. II faut se rendre compte, que la gu£rison en particulier n’est pas un critdre
valable.
Bemheim. Gewisse nervose Krankheiten sind heilbar, weil es sich bei ihnen
um einen dynamischen ProzeB handelt, und anderc unheilbar, weil ein Intoxikations-
zustand, entweder konstitutioneller oder erworbener Art, vorliegt.
Die echte Neurasthenic ist niemals durch irgendeine psychische Behandlung
heilbar. Sie kann auch periodisch auftreten. Es gibt Menschen, welche toxische Stoffe
in ihrem Korper periodisch produzieren. Man kann sie heilen, indem man ihnen durch
eine bessere Weltanschauung notige Ruhe verleiht und sie davor schiitzt, sich neu auf-
zuregen.
We gen vorgeschrittener Zeit wird auf die Diskussion der weiteren Thesen verzichtet.
Frank (SchluBwort). Ich werde mich moglichst kurz fassen und die Herren wer-
den damit einverstanden sein, wenn ich retrograd vorgehe. Was Herr de Montet
sagt, ist nichts Neues. Wenn sonst durch Suggestion solche Falle geheilt werden konnen,
auch nach drei Sitzungen und jemand meint, er sei gesund, ist klar, daB wir uns das
nicht auch einbilden. Ich brauche das Herm de Montet auch nicht zu sagen, selbst-
verstandlich. Diese Heilung ist kein Kriterium dafur, daB das unterbewuBte Material
auch sicher beseitigt ist. Aber wenn es dem Patienten jahrelang gutgeht, haben wir
keinen Grund an der Heilung zu zweifeln, konnen nicht wohl sagen: Sie mussen da
bleiben, ich muB noch weiter bohren, bis ins erste Lebensjahr zuriick. Wir Arzte mussen
aber den Patienten aufklaren und mussen uns selbst daruber klar bleiben, daB diese Art
Heilung eben schlieBlich nur eine Art Verdrangung ist.
Und nun komme ich zu Herm Seif. Wir wiirden uns ganz leicht verstehen konnen,
wenn er nicht so stark affektbeladen ware. Konnte man ihn erst abreagieren lassen,
so muBte er doch aus meinen Ausfiihrungen ersehen, wie auBerordentlich nahe ich mit
meinen nur auf einem anderen Weg gewonnenen Resultaten der Freudschen Richtung
bin, wenn ich auch nicht so weit mit ihr gehen kann. Ich weise auf den modus pro-
cedendi hin. Wenn Sie eine einzige Analyse in dieser Weise durchfuhren wurden, —
aber das ware fur einen Freudianer ja ein Sakrilegium — so wurden Sie erstaunt sein,
wie nahe ich der Freudschen Schule stehe. Ich stehe fortwahrend mit Kollegen, die
nach Freud arbeiten, in Verbindung und muB es zuruckweisen, wenn man mir gegen-
uber von mala fides reden wollte. Wenn ich irgend welche mala fides h 4 tte, verzeihen
Sie, wenn ich ganz Personliches bringen muB, um solche Insinuationen zuruckzuweisen,
hatte ich nicht gewisse Falle schon seit Jahren gerade Herrn Kollegen Seif, der in
Munchen wohnt, zur Behandlung und Heilung zugeschickt. Wenn man so sich jemandem
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3 18 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Journal tPsyehoIosie
“___ and Nearolog-ie.
kollegial gegenuberstellt, kann man nicht von mala fides sprechen. Ich verstehe das
nur, wenn ich es mir erklarc durch die Akkumulierung seiner Affekte. Das sollte aber
gerade cinem Psychanalytiker nicht passicren.
Seif. Ich sagtc nichts von mala fides. Ich sagte: Wir arbeiten ebenso ernst, wie
die anderen Herrcn. Kein Mensch hat von mala fides gesprochen.
Frank. Nun muli ich auf gestem hinweisen, um einen Punkt in grelieres Licht
zu bringen. Herr Seif sagte richtig, er hilft seinen Patienten durch die (bertragung.
Er will den Begriff dcr (bertragung in diesem — wohl ganz besonderen — Ausnahme-
fall aber nicht sexucll gedeutet wissen. Er wird dann so zur Stiitze seiner Patienten.
Gestem aber sagte er, eben die Hypnosc ist deshalb zu verwerfen, weil-sie den Patienten
damit vom Arztc selbstverstandlich scxuell abhangig macht. Ich wiederhole es aber
nun Herrn Kollegen Seif nochmals ganz ausdrficklich, dafl er die von mir angewendete
Methode gar nicht kennt: Es ist hierbei dcr Schlafzustand genau, was die Narkosc fur
den Chirurgen ist. Dali der Patient eine gewisse Zuneigung, eine Dosis von Vertrauen
zu mir haben mud. ist selbstverstandlich. Diese bringt er schon mit zu mir, wie zu jedem
Arzte, dem er sich anvertraut. Beide werden wachsen, wenn ich ihn geheilt babe.
Gestem gab Herr Kollege Seif uns aber eine neuc Methode, die von Ihnen, m. H.,
gar nicht gewurdigt wurde. Er sagte gestern ausdrucklich, er vermeidet jede Suggestion,
man mud sugar die ( bertragung vermeiden; er setzt sich dem Patienten gegenuber
und nur dieser spricht. Er hat es so hingestellt, als wenn nicht einmal Fragen gesteilt
wiirden. So objektiv sei die Freudsche Methode. Und heute beim Frfihstfick lieD ich
mir diese meine Auftassung seiner neuesten Methode von mehreren Kollegen bestatigen.
Sie sehen, hier wird die Cbertragung sogar vermieden, im anderen Falle sucht er die
Obertragung als Stiitze. Da hort meine Eogik auf. Auf einzelne Dinge weiter einzu-
gehen, hat keinen Zweck.
Nun mochte ich wegen der Schlafstorungen Herm Tromner noch einiges sagen.
Es ist schwer, hier iiber ein so groBes Kapitel in Kfirze und in der Eile zu sprechen.
Ich glaube, es wiirdc das Gescheiteste sein, und ich mochte daher diese Frage an den
Herm Vorsitzenden rich ten, ob wir iiber die Schlafstorungen vielleicht in Zurich sprechen
konnten.
Erwiderung gegen die Herren Bon jour und Vogt. Ich halte jede Behandlungs-
methode, die das pathogene Material zurficklaBt, fur eine unrichtige: wir kdnnen das
Schicksal der Patienten nicht voraussehen und in vorgeschrittenem Alter, etwa nach dem
40. Jahre, kdnnen wir meist nicht mehr mit dem aufgespeicherten Material fertig werden.
Wir bestrciten so wenig wie Herr Seif, daB man mit Hypnose Heilungen erzielen kann,
daB die Patienten sich wieder ihres Lebens freuen konnen, aber man mufl sich dessen
immer bewuBt sein, was man tut. Ich mochte darauf ganz besonders mit Nachdruck
hinweisen, daB es auBerordentlich wichtig ist, wir diirfen die nutzliche Frist ffir die
definitive Heilung nicht verheren. Wir wissen bessonders durch Freud, der wohl zuerst
darauf hingewiesen hat, daB ein gewisses Alter die Heilung in komplizierteren Fallen
absolut verunmoglicht: Wir miiBten Jahre hindurch analysieren, und kamen schlieBIich
doch nicht zum Ziele. Wenn heute durch Suggestion eine Heilung auch erfolgt, so ist
es eben eine Scheinheilung, darum haben wir die Pflicht, die Analyse trotzdem
zu machen. Wenn mit ein paar Suggestionen die Sache erledigt zu sein scheint, so ist
das eine Tauschung, geradeso wie wenn bei schwerer Lungentuberkulose der Patient
auf einmal nicht mehr hustet, dann ist er deswegen auch nicht geheilt. Es scheint mir
auch wichtig, wenn auch in den Thesen ein Widerspruch zu sein scheint — ich habe
das absichtlich so ausgedriickt, ich wollte durch die Diskussion darauf hinweisen —
daB es unsere Pflicht ist, den Ursachen nachzugehen, um uns zu jeder Zeit fiber den
ursachlichen Zusammenhang der Symptome klar zu werden.
Nun fragt es sich — und da komme ich nochmals auf Herm Seif zurfick — wie
weit wir gehen sollen. Da ist es genau wie bei dem Chirurgen, wenn er operiert, da mufl
es ihm sein Gewissen sagen, wie weit er alles pathogene Material entfemen soil. Ich be-
haupte, daB es oft genfigt, bis zu einem gewissen Grade vorzugehen. Wir sind im Beruf
auch davon abhangig, daB die Patienten uns bezahlen mfissen. Da ist es Gewissens-
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Erg&ntopgsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 319
sache, daB man moglichst schnell zum Ziele kommt. Ich habe meine Patienten unter
strenger Kontrolle, stehe mit fast alien in Verbindung, so daB ich genau weiB, was vor-
geht, wenn ich auch nicht bis zum allerersten Komplex, sei es Vater- oder Mutterkom-
plex, zuruckgehe. Und ich glaube, wenn die Freudianer den Versuch machen und Ana-
lysen nach meiner Art durchfuhren wiirden, so werden sie wohl in vielen Fallen zu dieser
Methode greifen, um ein abgekurztes Verfahren zu haben. Ich konnte Ihnen eine Reihe
von Freudianern nennen, die in dieser Weise analysieren, zumal, wenn sie mit ihrer
Methode nicht vorwarts kommen wegen irgendeiner Hemmung.
Herrn Kollegen Bon jour will ich durchaus nicht widersprechen. Ich glaube auch
an seine Heilungen resp. an den Ausfall der Krankheitssymptome. Ich glaube aber,
daB es nur eine Tauschung ist, und schlieBlich eine Unterlassungssiinde, wenn er das
pathogene Material einfach zu verdrangen hilft.
Nur Herrn Vogt mochte ich noch sagen, das ist rich tig: Die Leute konnen nichts
vergessen. Man wird bei einer solchen Analyse erstaunt sein, mit welch frappierenden
Details die Szenen bewuBt werden; Patienten konnen Szenen so reproduzieren, daB sie
/. B. aus dem 3. Jahre das Tapetenmuster, jeden Gegenstand im Zimmer, das Muster
des Plumeau wiedersehen und wiedererkennen. Ich habe bei einer groBen Zahl von
Fallen, z. B. durch die Eltern die Richtigkeit der Angaben konstatieren lassen. Es
ist wunderbar, wie diese Reproduction geschieht, filr mich selbst taglich wieder. Wenn
Sie nur einmal das miterlebt haben, und diese elementaren AffektentauBerungen dazu,
so werden Sie einen Begriff dieser Methode und einen Einblick in das Wunderbare er-
halten, wie das Gehirn arbeitet. Schon aus rein e^perimentellen Griinden werden Sie
diese Methode schatzen lemen, falls Sie sie nicht therapeutisch verwenden.
Anhang.
Frank. Da es unmoglich war, auch nur die Analyse eines Falles wahrend des
Referates zu reproduzieren, so lasse ich auf Veranlassung der Versammlung die Analyse
von den drei erwahnten Fallen folgen — genau so, ohne jede Anderung, wie sie sich er-
geben haben. Wer die Analysen mit Aufmerksamkeit liest, bedarf keines weiteren
Kommen tars.
Georg M., geb. 1873, seit 6 Jahren Wagenfuhrer der Stadt. StraBenbahn.
15 . IV. 11 . Patient gibt an, daB er seit 4 Jahren an starkem Kopfdruck, Hitze-
gefuhlen und vor allem Schwindelgefuhlen leide. Er schlafe gut, traume aber viel, doch
habe er keine Angst im Traum. Patient hat auch am Tag keine Angstgefiihle. Er be-
finde sich nun seit einem Monat auBer DienSt, der Zustand sei aber immer gleich ge-
blieben. Der Schmerz im Kopf strahle von hinten nach vom. Argere er sich, so ver-
starke sich der Schmerz; er sei sehr reizbar geworden, werde leicht jahzomig und ver-
gesse sich im Reden. Wenn er sich argere, so suche er den Arger zu verschlucken. Patient
erzahlt, daB er fruher mehrere Tramunfalle gehabt habe. So sei ihm vor 2 Jahren ein
Kind unter den Wagen gesprungen, er habe es aber retten konnen, er sei auch dabei
nicht stark erschrocken. Er gibt an, daB er sich fiber alles argere, wenn man nicht tue,
was er sagt. Er werde dann nervos. Seine Hauptklage besteht darin, daB er stets starkes
Schwindelgefiihl habe, wenn er den Tramwagen verlaBt. Dann gehe alles mit ihm ringel-
um. Es sei ein „Trummel" (Schwindel), der mache ihn ganz schwermiitig. Es greife
auch die Augen an, er konne dann gar nicht mehr recht deutlich sehen. So lange er fahre,
verspiire er absolut keinen Schwindel. Korperlich laBt sich am Patienten nichts Abnormes
nachweisen, nur die Patellarreflexe sind etwas gesteigert — keine Sexualverdrangung.
4 . V. 11 . Um eine organische Ursache mit Sicherheit ausschlieBen zu konnen,
lieB ich den Patienten durch den Kassenarzt, Herrn Privatdozent Dr. Nager, Spezial-
arzt fur Ohrenkrankheiten, untersuchen. Das Ergebnis war ein negatives. Patient
schildert heute seinen Zustand genauer: Nach dem Verlassen des Wagens dauere das
Schwindelgefiihl manchmal stundenlang an, oft bis zum zu Bette gehen. Dann habe
er tagsiiber oft momentan einen heiBen Kopf. Dieser uberdecke dann den Triimmel,
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320 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal f. Pwycbolog-ie
rad Neurologie.
d. h. er achte diesen dann weniger. Manchmal sei es ihm schon so gewesen, wie wenn
die Storung vom Magen her kame. Schon seif Jahren will er bemerkt haben, daB der
Schwindel weniger auftrete, wenn er Spatdienst hat und nicht Fruhdienst. Der Schwindel
habe sich ganz schleichend eingestellt. So habe er anfanglich gedacht, er trete auf,
wenn er am Morgen Kaffee trinke. Er trank dann Milch. Dann schob er ihn aufs Essen.
Dann glaubte er, dcr GenuB alkoholischer Getranke Oder das Rauchen sei schuld. Er
lebt deshalb in letzter Zeit abstinent. Aber nichts von allem war schuld am Schwindel-
gefiihl. SchlieBlich muBte er sich ubcrzeugen, daB es stets nur nach dem Fahren auf¬
trete und zwar sofort, wenn er den Wagen verlaBt. Er konne den Zustand so nicht
mehr ertragen, er befurchte, schwermutig zu werden und es sei ihm furchtber peinlich,
daB er zu Hause von seinen Kindern nichts mehr ertragen konne, so reizbar sei er
ge worden.
11. V. 11. Am i. Mai habe er beim Verlassen des Tramwagens mehr Schwindel
gehabt als sonst, weil so viel Leute auf den StraBen waren. In den letzten Tagen sei
es hier und da etwas besser gewesen, aber der Zustand wechsle eben sehr. Beim ersten
Hypnoseversuch schlaft Patient sofort ein.
12. V. 11. 2 Hypnosen. In der zweiten sieht er das Gesichtsfeld heller werden.
13. V. 11. In 2 Hypnosen kommt Patient in etwas tieferen Schlummer. Das
Gesichtsfeld bleibt anhaltend hell, er sieht etwas, das sich wie Wolken bewegt.
17. V. 11. Zustand schwankend. Hypnose: Patient schrickt ziemlich stark zu-
sammen. Er durchlebt eine Szene, wie er vor g Jahren von einem Baugerust in einen
dunklen Raum fiel und sich eine Sehne am Bein zerriB. Patient sah jetzt den Raum
und die ganze Szene sehr deutlich wieder.
20. V. 11. Patient gibt an, es gehe besser, der Schwindel sei nicht mehr so stark.
Solchen Wechsel habe er immer alle 2—3 Wochen. Hypnose: Er sieht bald das Ge¬
sichtsfeld so hell, wie wenn ihm die Sonne in die Augen scheinen wurde. Er sieht massen-
haft Autos und Velos vor dem fahrenden Tram herfahren. Er musse immer lauten
Besonders sah er eine Szene am Bahnhofplatz und er sieht noch, wie sich ein Liftboy
eines dortigen Hotels umdreht vor dem Wagen, als Patient schellte. Bei alien diesen
Szenen blieb er ruhig.
22. V. 11. Der Schwindelzustand dauert an. Patient meint auch heute wieder,
er hange wohl mit dem Magen zusammen. Hypnose: Nachdem das Gesichtsfeld hell
geworden, fahrt Patient plotzlich heftig zusammen, er meint, es sei ein Kind unter dem
Wagen. Dem war auch so. Es war vor 4 Jahren an der GeBnerbrucke. Drei Kinder
hatten ,,Fangens“ gespielt. Da von lief ihm eines plotzlich vor den Wagen und wurde
umgeworfen und kam vor das Schutzbrett zu liegen. Er konnte plotzlich den Wagen
zum Stehen bringcn; ware er noch 20 cm weiter gefahren, so ware das Ungluck dage-
wesen. — In der nachsten Hypnose sieht er unbedeutende Dinge, verfallt dann in eigent-
lichen Schlaf und sLht Szenen, die nicht passiert sind. Das kann er ohne jeden Zweifel
mit Sicherheit erkennen.
24. V. 11. Am schlimmsten sei es mit dem Schwindel, wenn er vom Fruhdienst
abgelost werde. Es werde dann wieder besser, wenn er V*—Vj Stunde sich hingelegt
hat, aber ganz verschwindet der Schwindel auch dann nicht. Es sei ihm stets, als ver-
schwinde alles vor ihm, er sehe dann auch nicht so gut, es sei ihm dann alles trub. Hyp¬
nose: Nach einigen Minuten schrickt Patient plotzlich zusammen, er macht mit dem
rechten Arm eine schnelle Bewegung. Patient sagt, es habe geklopft (geknallt), es habe
den Automaten herausgeschlagen und er habe ihn (daher die Armbewegung) wieder
eingeschaltet. Durch den Schlag, der wie ein SchuB gewesen sei, sei er erschrocken.
Er habe die Szene ganz deutlich gesehen, es war an der WeinbergstraBe. Das sei ihm
dort beim Berganfahren oft passiert und er sei manchmal daruber erschrocken. Die
Szene, den Feuerschein und die Umgebung habe er deutlich gesehen. Patient fugt von
selbst hinzu, solche Szenen kamen ihm oft im Schlafe.
26. V. 11. Patient ist heute infolge einer schlaflosen Nacht durch die Erkrankung
seiner Frau iibermudet. In der Hypnose treten massenhaft Bilder auf, sie gingen aber
schnell weg, wie er selbst sagt, wie im Kinematographen.
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Erg&ntungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 321
29. V. 11. Patient gibt an, daB er seit dem 27. V., wo er am Morgen den Wagen
verlieB, zu seinem groBen Erstaunen keinen Schwindel mehr spurte. Er ist auch seitdem
nicht wieder gekommen. Jetzt habe er den Zustand seit mehr als 3 Jahren ertragen
mussen. Dieser habe sich ganz langsam entwickelt und nun sei es ihm seit 2 Tagen,
wie wenn er neu geboren ware. Patient hat gestern und heute Freitage. Hypnose:
Nach einigen Minuten macht Patient mit dem Kopf, die Gesichtsziige verzerrend, eine
unwillige Bewegung. Gefragt, was er sehe, sagt er, es sei ihm auf der MilitarstraBe bei
einem bestimmten Hause — er sah die Szene aufs deutlichste wieder — ein Pferd vor
den Wagen gesprungen. Das war vor ungefahr 3 Monaten. Das Pferd kam ungeschirrt
aus dem Stall und sprang pldtzlich vor den Wagen hin. Patient gibt an, er sei damals
sehr stark erschrocken, habe aber den Wagen sofort halten konnen, so daB nichts passierte.
Er ist erstaunt, wie deutlich er alles wieder gesehen habe, und wie er wieder heftig er¬
schrocken sei. In der nachsten Hypnose bleibt Patient ganz ruhig, es tritt auch nach
langerer Zeit kein Bild auf.
Gustav U., 36 Jahre alt.
27. XI. 09. Patient klagt uber Angstgefuhle, die zeitweise bei ihm auftreten,
besonders ungefahr 1 / 2 Stunde nach dem Essen, ferner uber Aufregungszustande wahrend
des Essens, so daB er nicht mit Ruhe fertig essen kann. Es treibt ihn beim Essen, so
daB er nicht schnell genug damit fertig werden konne. Es sei eine innere Unruhe mit
Angstgefiihlen. Diese Zustande seien vor 2 Jahren noch starker gewesen als jetzt, er
habe korperlich stark abgenommen damals, als er bei einem Homoopathen eine Ent-
fettungskur durchmachte. Er bekam damals nach dem Essen Angstanfalle, Durchfall
und Erbrechen, dann Kaltegefiihle in den Beinen, konnte nur unsicher gehen, es sei
ihm gewesen, wie wenn der Boden nachgebe. Es wurde ihm dann sehr schwach und er
hatte Unlustgefiihle. Sollte er seinem Berufe nachgehen, so konnte er es nicht vor Angst,
es konne ihm auf der StraBe etwas passieren; er lebte in fortwahrender innerer Un¬
ruhe. Im Vergleich mit jener Zeit gehe es jetzt besser, aber er sei noch nicht gesund
und mochte endlich gesund werden. Fruher hatte er sich auch uber jede Kleinigkeit
geargert. Patient ist Ingenieur und er gibt an, daB er viele Unglucksfalle erlebt habe.
Er erzahlt besonders, daB im Jahre 1898 beim Auskleiden eines Schachtes ein Forder-
haken nur noch mit einer Spitze auf einem Bolzen auflag. Ware die Maschine unter
Dampf gebracht worden, so ware der Mann, der im Schacht war, verloren gewesen.
Patient, der die Verantwortung fur den Betrieb hatte, sah dies, erschrack aufs heftigste,
nahm sich zusammen, rief dem Maschinisten zu, daB die Maschine nicht anziehen solle.
Der Mann im Schacht wurde gesund heraufgeholt. Dies Erlebnis machte auf den Patienten
einen tiefen Eindruck, er traumt davon und muBte oft daran denken, wenn eine ahn-
liche Arbeit vorlag. — Dann habe er im Jahre 1898 gesehen, wie einem Arbeiter durch
eine Maschine die Hand durchgedriickt wurde. Patient war sehr erschrocken, legte aber
doch dem Verungluckten selbst einen Verband an. — Dann im Jahre 1906 am Nieder-
rhein fiel einem Arbeiter ein Stuck Eisen von 15 m Hohe herab auf den Kopf. Damals
wollte Patient gerade zum Essen Oder war beim Essen Oder mit dem Essen fertig, das
wisse er nicht mehr genau.
Das seien die Ereignisse, von denen er noch wisse, die auch einen Eindruck auf
ihn gemacht haben. Der ersterwahnte Eindruck sei der schlimmste gewesen. Bis vor
4 Wochen sei er nachts im Schlaf oft erschrocken, er habe schwere Traume, sehe Tote,
Sarge, den vor 4 Jahren verstorbenen Vater usw. — Ofter treten die Angstgefuhle
auch auf der StraBe auf. Patient leidet sehr unter seinem Zustand, es fehlt ihm jede
Arbeitslust und Lebensfreude. Er fiihle sich nirgends wohl, er leide sehr stark, auch beim
Fahren in der Bahn, und doch miisse er viel reisen. Er konne nicht anhaltend arbeiten,
weil er schnell die Geduld verliert, und dann sei er leicht gereizt. Er habe nun schon
mehr als 20 Arzte konsultiert, aber bis jetzt sei jede Behandlung nutzlos gewesen.
Um ein Magenleiden mit Sicherheit ausschlieBen zu konnen, veranlasse ich den
Patienten, sich durch einen Spezialarzt untersuchen zu lassen. Auf den Bericht hin,
daB alle Magenfunktionen sich als vollig normal ergeben haben, schlug ich dem Patienten
eine psychanalytische Behandlung vor.
22 Journal fttr Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . 49
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322 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR
13. XII. 09. Patient gibt an, daB nach dem Essen und ebenso beim Begins einer
Eisenbahnfahrt ein Angstgefuhl bei ihm auftrete, das vom Magen ausgehe und nach
obcn steige. Ich macho drci Hypnoseversuche. Patient kommt beim dritten Versuch
zu einem leichten oberfiachlichcn Schlummer.
14. XII. 09. Drei Hypnoseversuche gelingen. In der dritten Hypnose sieht er
erst Nebel, in dicsem Nebel eine Brauerei in C. Dort wurde ein Kessel genietet, wobei
ein Mann beinahe 200 m hoch heruntergefallen ware. Dann sieht er Rauchwolken wie
bei einer Lokomotive. — 4. Hypnose: Sieht eine Andeutung vom Sterbeziftimer des
Vaters. Es wcrden 5 Jahre, daB er gestorben ist. Er sehe wie im Nebel, wie der Vater
mit ihm spricht, der Onkcl und die Schwester sind auch anwesend. Das Bild schreitet
nicht fort.
15. XII. 09. Hypnose: Sieht in C. sofort genau die Vorgange beim Nieten eines
Schachtkcsscls, wobei ein Arbeiter fast das Leben eingebiiBt hatte. Zufallig kam Patient
zu den Arbciten hinzu, sail den schlccht helestigten Hakcn des Aufzuges, gab sofort
Bcfehl, daB die Maschine stillstand und so konnte er ihn retten. Es war im Jahre 1898.
Die Szene ist ihm ganz deutlich, er sieht die beteiligten Personen, es fallen ibm alle
Namen wieder ein. Beim Durchleben empfindet er Herzklopfen. Dann sieht er eine
Szene aus dem gleichen Jahre in E. Ein Mann wird durch Belastungsplatten eines
Balanders einer Maschine verletzt. Patient war dabei. Hatte die Platte den Mann
am Kopfe getroffen, so ware er tot gewesen. Patient erwischte ihn am Halse und zog
ihn weg. Hr erschrak damals sehr heftig. Jetzt empfindet er erhohte Herztatigkeit.
Dann sieht er, wie einem Arbeiter an einer Dampfmaschine die Hand abgedruckt wird.
Im gleichen Augenblick wolltc der Maschinist Dampf anlassen. Patient verhinderte
die Bewegung der Maschine, machtc die Hand wieder frei. Er war damals heftig er-
schrocken. Jetzt empfindet er Herzklopfen in geringerem Grade. — Dann sieht er in K.
am Niederrhein, wie einem Arbeiter ein Bolzen auf den Kopf fiel. Die Szene sah er nicht,
er wurde vom Essen weggerufen, er nahm den Arzt mit zur Unfallstelle, der Kranke
wurde verbunden und kam ins Spital. Damals war Patient sehr aufgeregt, jetzt ist er
ruhig geblieben.
16. XII. 09. Patient fiihlt sich im Kopf und in der Stimmung freier.
Hypnose: Sofort tritt die Szene in K. nochmals auf. Patient sieht, wie er den
Arzt holt, er wird nach dem Essen geholt, jetzt empfindet er Herzklopfen und Angst-
gefiihl, er sieht alle beteiligten Personen, er war gerade mit dem Essen fertig,
war in sein Zimmer gegangen und mit Schreiben beschaftigt. Da kam der Schmiede-
meister und brachte ihm die Nachricht von dem Ungluck. Er machte sich sofort auf.
ging zum nahe wohnenden Arzt, sieht dessen Haus, alles ganz deutlich. Der Bote hatte
gesagt, das Gehim hange heraus. Patient fragte, ob der Betrieb eingestellt sei. Da sagte
jener, ja, der Betrieb ruhe. Patient sei damals sehr erregt gewesen. Auch jetzt ist er
in Erregung und hat Herzklopfen.
Hypnose: Patient sieht nochmals den Anfang der Szene vom Essen an, dann
sieht er sich beim Arzte, dieser schlaft. Die Frau Doktor weekt ihn, er nahm noch in
der Kiiche Somatose, dann stiegen sie in den Wagen, in dem ein Bett eingelagert war.
Dann sieht er, wie man den Kranken hinaustragt. Patient gibt die Anordnungen fur
den Transport des Verletzten. Das ganze Gesprach bei Tisch mit seinen Tischgenossen,
das Auftragen des Essens, alles sieht er deutlich. Wie Patient fort will zur Unfallstelle,
kommt der Kuster und fragt, ob der Mann noch lebe. Patient antwortet, daB er das
nicht wisse. Alles wurde jetzt ganz deutlich. Sofort beim Beginn der Szene trat deut-
liches Angstgefuhl ein, Beklemmung und Herzklopfen. Unruhe und Herzklopfen dauem
nach der Analyse noch eine Zeitlang an.
20. XII. 09. Es geht besser, er fuhle sich ruhiger, den Kopf freier. Nach dem
Essen sei es bedeutend besser, nur gestern habe er etwas zu hastig gegessen, er sei ein
starker Esser und es habe Knodel gegeben. Da bekam er dann eine aufsteigende Hitze
vom Magen nach dem Kopf, dann ein Gefiihl von Angst und es sei ihm gewesen, als
wenn der Magen plotzlich leer ware. Sonst aber fuhle er sich ruhiger, so daB er in der
Bahn und iiberhaupt wieder lesen konne, auch Zeitungen. Dazu sei er seither zu unruhig
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BD. 19,1912,
Ergftnzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 323
und nie dazu aufgelegt gewesen, auch sei die Lust zur Arbeit bedeutend besser. Er sei
sehr leicht erregbar gewesen, sei leicht in Wut geraten. Das sei so stark gewesen, daB
er einmal, als er nicht arbeiten konnte, vor Wut das ReiBzeug zum Fenster hinausge-
worfen habe. Nach jenem Unglucksfall habe Patient 7—8 Jahre hindurch fortwahrend
an Herzklopfen und Diarrhoe gelitten.
Hypnose: Patient sieht einen Brand in der Nahe seiner Wohnung. Er war zu
den Ferien zu Hause, es war 1893. Er war mit Kameraden beim Kegeln, plotzlich sah
man einen Feuerschein. Sofort dachte er, der Brand sei im vaterlichen Hause. Er ging
heim, der Vater war zu Hause, der Nachbar kam und brachte ihm seine Geldkassette.
Patient hatte damals groBe Angst, auch jetzt empfindet er heftige Angst und Herz¬
klopfen. Dabei hat er ein Gefiihl, wie wenn ihm seine Sinne schwinden wollten, emp¬
findet einen Druck von der Nase und den Augen aus nach oben nach dem Gehirn, vorn
und nach dem Hinterkopf. Das dauert nur einen Moment und dann tritt Herzklopfen
auf. — Dann sieht er eine Szene, es war vor 20—24 Jahren, da hatte der Vater einen
leichten Schlaganfall. Patient erschrak, er sah, wie man den kranken Vater aus der
Backerei brachte, er horte noch, wie der Vater dem Gehilfen sagte: ,,Oskar, verlaB meine
Frau nicht.* * Das hort Patient auch jetzt wieder ganz genau, wie wenn es Wirklichkeit
ware. Dabei empfindet er Angst und Herzklopfen. — Dann sieht er sich 5 Jahre alt, wie
der Nikolaus mit Besen und langem Bart kommt. Damals habe er starke Angst gehabt.
Weder an den Brand, noch an diese Nikolausgeschichte habe er je wieder gedacht, auch
jetzt empfand er wieder Angst und Herzklopfen beim Wiedersehen des Nikolaus.*
Hypnose: Patient sieht sofort das SchloB in N., seiner Heimatstadt. Dort ist
eine Freitreppe und unter dieser ein Gewolbe. Da spielten sie als 6—7jahrige Knaben.
In dem Gew r 61 be sieht er eine Masse Fledermause, sie reiBen aus vor Angst. Patient
hat jetzt starkes Herzklopfen. Nicht weit vom SchloB entfernt liel ein Gartner vom Baum.
Patient trug die Tabakspfeife des Verungluckten in ein Gartenhaus, ein Arbeiter fuhrte
den Gefallenen weg. Patient erschrak damals heftig, der Mann fiel ihm — damals 8 Jahre
alt — direkt vor die FiiBe. Hieran habe er gar nie mehr gedacht. Er sah die Szene sehr
deutlich, es war an der Ruckseite des Schlosses und der Posten lief hin und her.
21. XII. 09. Heute morgen in der Eisenbahn — es war in einem uberheizten
Wagen — bekam er etwas Angst, er sei vorher etwas stark gelaufen. Es sei ihm gewesen,
wie wenn ein Brett vor dem Kopf ware, dabei hatte er das eigentiimliche Gefiihl, das
von der Nase aus geht, und das leere Gefiihl wie sonst.
Hypnose: Patient durchlebt nochmals die Szene von K. am Niederrhein mehr
stiickweise, nur die Szenen mit dem Arzte sind deutlicher und der Angstaffekt starker. —
Dann sieht er eine Szene, die sich vor ungefahr 25 Jahren beim Umbau der Stadtkirche
in N. ereignete. Wie er dort vorbeigeht, fallt ein Balken vom Geriist, ein 8—9jahriges
Madchen, das er kannte, wurde vom Balken getroffen, es hatte Geburtstag und sollte
sich ein Brot holen. Er sieht den Hergang ganz genau, wie man in der Nachbarschaft
und bei wem man Decken holt, um das Kind einzuhiillen. Es war Mittags, Patient
kam gerade vom Essen. Er sah die Zimmerleute an der Arbeit, den Balken fallen
und das Kind daliegen. Er durchlebte alles so genau, wie wenn es eben geschehen ware.
Er sei damals heftig erschrocken, jetzt empfinde er Angstgefiihl und Herzklopfen. An
diese Szene habe er nie mehr gedacht, auch die Namen der beteiligten Personen wuBte
er nicht mehr, jetzt fielen sie ihm wieder alle ein. Deutlich sah er den Bau der Kirche,
der Mittelbau war fertig. — Am gleichen Abend kam ein Gewitter, ein schweres Ge-
witter, er war ca. 8 Jahre alt. Es war ein starker Sturmwind, der Blitz schlug in das Bau-
gerust der Kirche ein. Es war ein kalter Schlag, einige Balken fielen herunter. Er wohnte
in der Nahe der Kirche. Das war damals ein groBer Schrecken. Jetzt, wo er die Szene
durchlebt, hat er Herzklopfen. — Dann sieht er sich auf einer Wagenfahrt auf einer
Geschaftsreise 25 km von der Bahn entfernt, der Weg war schlecht. Die Rumanen,
die mit ihm fuhren, waren betrunken und lieBen die Pferde ohne Fuhrung laufen, wie
sie wollten. Links vom Wagen ist ein Abhang von 200 Metern. Die Barriere, die gegen
den Abhang schutzen soli, ist mangelhaft. Schon steht der Wagen ganz schrag am Ab¬
hang. Patient ist in Angst, der Oberstuhlrichter ist dabei und beruhigt ihn. ,,Nur keinc
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324 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jou ™ J 1 6
Angst," sagt er, ,,die Leute sind das Fahren gewohnt." Die Szene durchlebt er ganz
deutlich wieder.
Hypnose: Patient durchlebt eine Szene vom Jahre 1894, als er Studlent am
Technikum in J. war. Hr geht dort in einem Garten auf und ab, da hort er einen SchuB.
ein Soldat hat sich in nachster Nahe mit dem Gewehr seines Herm erschcssen. Es war
in der Ffuhstiickspause, er war gerade mit dem Essen fertig. Er sieht den Mann
in der Blutlaihe daliegen, war sehr erschrocken und erregt, hat jetzt starkes Herzklopfen.
Jetzt sieht er das Hochwasser von 1890 in seiner Heimatstadt. Es ist i 1 / t Uhr nach-
mittags, er hattc ebon gegessen und wollte seinen Freund zur Schule abholen. Da
kommt die Meldung M Hochwasser". Hr konnte nicht mchr nach Hause und muBte bis
zum andern Xachmittag bci seinem Freunde bleiben. Er war damals 14 Jahre alt. Auf
I’mwegen durch Klettern karn er nach Hause. Als er heimkam, wurde er gezankt, dcnn
man wuBtc nicht, wo er war; ahcr er konnte nicht nach Hause berichten. Es fallen ihm
allc Namcn der Personen ein, mit denen er damals zu tun hatte, auch das Datum, es
war der 10. November 1890. Eine dritte Szene, die er eben durchlebt, hat er vergessen
und kann sie nach dem Erwachen nicht erzahlen.
In Hypnose versetzt fallt sie ihm sofort wieder ein. (Diese Tendenz zum so-
fortigen Wiedervcrgessen kommt bcsonders bei Patient sehr oft vor, es sind dann ge-
wdhnlich Szenen mit starkem Affekt.) lvs war die Sterbestunde des Vaters, die er ge-
schen hat. Fir durchlebt die Zeit von 11 Uhr vormittags bis 3 Uhr nachmittags im Kran-
kenzimmcr des Vaters im Spital. Er spricht mit dem Arzt. Dieser sagt ihm, es gehe dem
Ende zu. Alles habe er wunderbar klar gesehen. Der Vater litt an Diabetes und es sollte
ihm der FuB amputiert werden. Patient geht um 3 Uhr nach Hause, die Schwester
bleibt beim Vater, er iBt sch nell etwas. Der Bruder des Vaters, eine andere Schwester
und Patient gehen wieder ins Spital zuriick. Als sie dort eintreffen, ist der Vater tot.
Patient ist sehr erschrocken und aufgeregt, er hat jetzt starkes Herzklopfen. I>as war
im Jahre 1905.
22. XII. 09. Patient gibt an, der Kopf sei ihm bedeutend leichter, seine Stimmung
besser, nach dem Essen habe er kein Angstgefuhl mehr. Heute habe er in der Eisen-
bahn beim Beginn des Fahrens unbedeutendes Angstgefuhl, vom Magen ausstrahlend,
gehabt; es sei wie eine Wallung nach dem Kopf gewesen, kein Blutandrang.
H ypnose: Durchlebt eine Szene in einem Betrieb im Jahre 1904. Ein Angestellter
will den Riemen auf die Riemenscheibe legen, wahrend die Maschine lauft. Er benutzt
dazu eine Eisenstange, die Stange wird mitgerissen und versetzt dem Arbeiter, dessen
Name ihm eben einfallt, einen Schlag auf den Kopf. Der Mann wird ihm gebracht, er
fiihrt ihn zum Arzt, Patient schimpfte ihn, weil er nicht aufgepafit hatte. Patient ist
aufgeregt, er argert sich iiber die Unachtsamkeit. Der Unfall passierte gleich nach
demMittagessen. Alle Details waren deutlich. Patient hatte Herzklopfen beim Wieder-
durchleben. — Jetzt durchlebt er eine Szene aus einer Nacht vor 23 Oder 25 Jahren.
Es wurde Feueralarm geblasen, eine alte Lohmuhle brannte, er ging mit seinen Kame-
raden dorthin. Patient wird beim Durchleben der Szene erregt. — Dann sieht er eine
Szene aus der gleichen Zeit, wie es in der Nacht an einem andern Ort brannte. Er wurde
aus dem Schlafe geweckt und erschrak. Auch jetzt wird er wieder stark erregt.
Hypnose: Patient durchlebt mit starker Erregung eine Szene wieder, die sich
vor 15—20 Jahren ereignet hat. Sein zweitaltester Bruder hatte eine Landwehrubung
durchgemacht, kommt abends um 1 / 2 i2 Uhr von einer Kneiperei nach Hause und fallt
zum Fenster hinaus. Patient schickte nach dem Arzt, der Bruder kam ins Lazaret!
und wurde geheilt. — Dann durchlebte er einen Schrecken in der Nacht im Schlafe,
als er sich vor einigen Jahren im Badischen aufhielt. Er wird im Schlaf durch einen
Krach geweckt. Er erschrak heftig, stand auf, nahm eine Lateme und ging auf den
Boden. Er fand nichts und beruhigte sich mit dem Gedanken, es musse ein RiB im Balken
gewesen sein. — Dann sieht er eine Szene, wie in den achtziger Jahren in seiner Heimatstadt
die Wasserleitung gebaut wurde. Er war damals 10 Jahre alt. Es war nachmittags um
5 Uhr, da wurden 2 Arbeiter verschiittet. Er sah, wie man daran arbeitete, um die beiden
herauszuholen, sieht, wie die Arbeiter ihre Schnapsflasche auf den Leichenkorb legen,
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ErJIoiraphJft 1. MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 325
sieht, wie die eine Leiche ganz blau ist. Ein dritter Arbeiter rettete sich in eine Rohre.
Er durchlebt die Szene ganz deutlich mit Herzklopfen und erklart, an alle diese Vorfalle
habe er gar nie mehr gedacht. — Dann sieht er sich, 8 Jahre alt, wie er im Flusse badet.
Es war Hochwasser, ein Kamerad ging zu weit in den FluB und wurde weggerissen.
Patient sieht ihn, der Knabe arbeitete sich wieder heraus. Damals sei er stark erschrocken
und jetzt wurde er erregt.
23. XII. 09. Der Kopf ist freier, nur von Zeit zu Zeit habe er noch ein von der
Nase ausgehendes, dumpfes Gefuhl, das nach dem Kopf zu ausstrahlt. Im Magen habe
cr nichts mehr gespiirt.
Hypnose: Patient sieht sofort nochmals die Szene von K. am Niederrhein, bis
zu dem Augenblicke, wo er mit dem Arzte zusammen nach der Baustelle fahrt. Da er-
schrickt er jetzt im Schlaf, er weiB nicht warum und bekommt dann Herzklopfen. —
Dann sieht er, wie im SchloBgarten seiner Heimatstadt ein Kunstfahrer auf dem Hochrad
stiirzt, sieht deutlich die Stelle, sieht ihn bluten;jener hatte sich das Gesicht aufgeschun-
den. Patient erschrak. Dies war an einem Nachmittag vor ca. 25 Oder 26 Jahren.
H y pnose: Patient sieht die Fortsetzung der Szene vom Ungliick in K. am Nieder¬
rhein. Er war in den Wagen mit dem Arzte eingestiegen und weitergefahren. Dabei
empfindet er Angst. Das Bild verschwindet wieder. Dann sieht er eine Szene in E.dorf,
Oberschlesien. Es war im Jahre 1896, er war in Gesellschaft zu einer Kirchweih gefahren.
Auf dem Heimweg waren sie zu sechst in einem Wagen, darunter eine Frau mit Kind.
Sie fuhren in einen StraBengraben und der Wagen fiel um; er ergriff das Kind, hielt es
hoch, niemand verungliickte. Es war ein groBer Schrecken, auch jetzt erschrak er wieder.
Er sah die Szene deutlich, es war nachts zwischen 12 und 1 Uhr, die StraBe machte eine
Kurve, zum Gluck ging das Pferd nicht durch. — Dann durchlebt er, ca. 10 Jahre alt,
eine Gewitterszene, als er mit dem Vater bei einem Waldfest war. Sie kehrten unterwegs
mit andern in eine Wirtschaft ein, der Wirt machte Krach, weil niemand von den Fliicht-
lingen etwas verzehrte. Es war ein starkes Gewitter. Patient bleibt beim Durchleben
dieser Szene vollstandig ruhig.
14. I. 1910. Patient gibt an, er sei jetzt viel lebhafter gegen friiher, hie und da
habe er noch Angstgefiihl und innere Unruhe beim Essen, nach dem Essen und in der
Eisenbahn, doch geringer als friiher. Humor und Arbeitslust seien besser. Er ermiide
nicht mehr so leicht, auch sei das Kaltegefiihl in den Beinen besser. Der Schlaf sei jetzt
gut, er traume nicht mehr schwer, zucke nicht mehr zusammen im Schlaf. Dies sei
vorher sehr stark gewesen.
Hypnose: Patient durchlebt nochmals die Szene, die er in der letzten Sitzung
durchlebt, aber nicht erzahlt hatte. Die Szene sei ihm auf der StraBe wieder eingefallen.
Es war vor 5 Jahren. Er saB in seinem Bureau in B. Da kam ein Mann der Belegschaft
und sagte, es sei ein Mann auf dem Bahnhof beim Abladen von Chlor-Magnesium ver-
ungliickt. Das warkurznachdemEssen zwischen 2 und 3 Uhr. Ein FaB mit 4 Kilo-
zentnern rollte ab und driickte dem Mann den FuB durch in den Erdboden hinein. Der
Arzt nahm den Kranken mit, Patient ging zur Familie des Verungliickten, er sieht die
Szene ganz deutlich. Als die Meldung kam, daB ein Ungliick passiert sei, erschrak Patient,
auch jetzt beim Abreagieren. — Dann sieht er, wie er vor ca. 20 Jahren in der Schule
Schwimmstunden hatte. Ein Kaufmann, der Freischwimmer war, war hinausgeschwom-
men und war am Ertrinken. Man holte ihn herein und scliickte nach dem Arzt. Man
machte Wiederbelebungsversuche und gab dem Verungliickten schwarzen Kaffee.
Patient sah alles ganz deutlich wieder, auch daB der Arzt auf dem rechten FuB etwas
lahm war. Patient ist erstaunt, wie deutlich er alle seine Schulkameraden um sich herum
sieht, wie deutlich die Wiederbelebungsversuche, denn nie habe er wieder an diese Szene
gedacht.
Hypnose: Patient sieht eine Reihe von Szenen voriiberziehen ohne Angstgefiihl,
die er schon durchlebt hatte. — Dann horte er den SchloBhomisten Generalmarsch
blasen. Er war damals 6—7 Jahre alt. Er erschrak, weil er dachte, es ware Feuer aus-
gebrochen. Das Militar riickte aus zu einer t)bung, auch jetzt ist er erregt und hat Herz¬
klopfen. Patient ist heute starker erregt beim Abreagieren als sonst.
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326 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR
Journal f. Paycholo^ie
and Neuroiogtg.
Hyp nose: Er sieht sich in einer kleinen Thuringer Stadt noch als Anfanger
Rad fahren. Es war 1897 oder 98. Er fahrt in das Geschirr eines Backerwagens hinein
und konnte sich noch an der Deichsel haiten. Er wollte 2 Buben ausweichen, war un-
sichcr und fuhr in den Wagen hinein. Er erschrak heftig, denn er hatte uberfahren
werden konnen. Er kam heil davon. Es war nachmittags um 3 Uhr. — Dann sieht er
sich im Theater in der Vorstellung der Hermannsschlacht. Er sieht, wie die Hexe auf-
taucht und Blitze zucken. Er erschrak heftig, — jetzt starkes Herzklopfen. Er sieht noch
cine Szcne, sie ist ihm aber entschwmnden. — Dann sieht er mehrmals den Exerzierplatz
seiner Heimatstadt, aber die Szene entwickelt sich nicht weiter.
15. I. 10. Patient fuhlt sich heute ruhiger; heute nach dem Essen fuhlte er wieder
eine pldtzliche Lcere im Kopf, aber weniger stark. In der Eisenbahn ha be er nichts
gcspiirt, im geschaftlichen Verkehr sei er ruhiger geworden, er konne auch ruhiger uber
etwas hinwegsehen, er sei nicht mehr so aufbrausend wie fruher.
Hypnose: Sieht wieder den Exerzierplatz, sieht einen Offizier herumreiten, das
Bild verschwindet wieder.
H ypnose: Er ging bei L. mit zum Bau einer Eisenbahnbrucke. Es werden die
Briickentragcr neu gelcgt. Da kommt der Schnellzug von Gorlitz, ein Arbeiter paBte
auf. Patient ruft cinem Arbeiter zu, er solle aufpassen, daB die Schienen nicht durch die
Erschuttcrung in die Spree fallen. Patient stand mit auf der Brucke. Als der Zug voruber
war, fehlte nur ein Millimeter und die Schienen waren in den FluB gefallen. Das durch-
lebt er genau wieder, hat dabei aber kein Angstgefuhl. Damals habe er sich stark auf-
geregt. Jetzt sah er den *Zug deutlich, auch wie die Schienen vibrierten.
H ypnose: Das Bild vom Exerzierplatz tritt wieder auf, er sieht wieder den Offi¬
zier auf dem Pferd, dann sieht er, wie das Pferd sich baumt, der Offizier sturzt herunter.
An das Ereignis kann sich Patient nicht erinnem.
Hypnose: Patient sieht zuerst Nebel und dann wieder den Exerzierplatz.
17. I. 10. Er fiihle sich viel freier. In der Eisenbahn hatte er ein angenehmes
Ruhegefiihl, er komme leichter iiber alles weg, habe kein Herzklopfen mehr, erfreue sich
groBer Arbeitslust. Nur von Zeit zu Zeit habe er ein kurzes unsicheres Gefuhl, das vom
Magen nach dem Kopf aufsteigt. Heute morgen in der Eisenbahn sei ihm die Szenc
eingefallen, die das letztemal erschienen, die er aber wieder vergessen hatte: Els war
vor 3 Jahren in B. (Hannover). In seinem Hause war eine steile Treppe. Plotzlich tat
es einen Schiag. Patient erschrak und dachte, sein 2 l / 2 jahriger Knabe sei die Treppe
heruntergefallen. Das Haus war an die Fabrik angebaut, es war ein GuBstuck heranter-
gefallen und nichts passiert. Patient meint, das sei an einem Vormittag gewesen.
Hypnose: Pat. sieht einzelne Szenen sehr schnell, so den verungluckten Mann
in O. bei Fulda. Dann sieht er eine Szene in D. im Jahre 1898. Ein Mann sitzt 22 m hoch
auf einem Bolzen in einer Brauerei. Patient fragt ihn, ob er den Gurt bei sich habe. Als
das der Arbeiter verneint, bekam er Angst. Jetzt empfindet er Herzklopfen. Dann
sieht er wieder den Exerzierplatz ganz deutlich, ein Gartenhaus dort, die Absperrbalken
fur den Viehmarkt, den FluB, die Gasfabrik, alles ist ganz deutlich, der Platz ist leer.
Die Szene geht nicht weiter. Patient kann trotz vielem Besinnen sich nicht erinnem,
was dort passiert ist.
Hypnose: Sofort stellt sich wieder der Exerzierplatz ein, weiter nichts.
Hypnose: Jetzt sieht er wieder den Exerzierplatz und den Riesenbaum dort.
Dort wurden Steine geklopft, daneben waren Zigeuner. Patient sieht sich ca. 5 Jahre
alt, die Polizei kommt und vertreibt die Zigeuner. Diese schimpfen. Patient ist erregt
und hat Herzklopfen. Dann sieht er sich als 6jahrigen Knaben, sieht wie ein Polizist
dessen Name ihm einfallt, sich auf dem Marktplatz mit einem Betrunkenen herum-
balgt. Der Betrunkene reiBt dem Polizisten die Uniform herunter. Patient ist
erstaunt iiber diese Szene, ist erregt. Jener groBe Baum am Exerzierplatz sei schon
lange weg.
Hypnose: Die Mutter des Patienten litt an Krampfanfallen, er sieht sich 6—7
Jahre alt, sieht wie die Mutter im Hausgang umfiel und wie ein Gehilfe sie gerade auf-
fing. Patient stand an der Tiire, sah den Vorgang und erschrak. Jetzt ist er erregt. —
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Erg&nz upgah eft 1.
MED1ZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PS YCHOTHERAP1E.
327
Dann sieht er, es war vor 23 Jahren, die Feier des Einzuges eines Prinzen in seiner Heimat-
stadt. Am Abend war groBe E'cstbeleuchtung, der Vater hatte oben im Zimmer zu diesem
Zweck auch dekoriert. Da rief man auf der StraBe ,,Feuer". Patient erschrak. Tannen-
reis hatte Feuer gefangen. Das durchlebt Patient in der Erregung wieder.
19. I. 10. Patient freut sich seiner Arbeitslust, er habe auch Ausdauer bei der
Arbeit. So habe er gestern von nachmittags 3 Uhr bis abends V 2 ii Uhr arbeiten konnen,
wahrend ihm dies sonst nur 1 / 2 Stunde moglich gewesen sei. Hie und da habe er noch
ctwas unsicheres Gefuhl vom Magen nach dem Kopf, und in den FuBen und Beinen
cin schwankendes Gefuhl, Schlaf und Appetit sind gut.
Hypnose: Sieht sich 5—6 Jahre alt auf dem Schutzenfest zu Hause. Es regnet
stark, es ist ein Gewitter, alles geht in eine Bretter-Bierbude, ein Teil ins Schiitzenhaus.
Das Bild verschwindet.
Hypnose: Patient sieht die gleiche Szene wieder und das Schichtel-(Metamor-
phosen)theater. Dann sieht er eine Szene im Bergwerksbetrieb, wobei er erschrak.
Hypnose: Sieht wieder das Schutzenfest, jetzt sieht er, wie alles nach der Stadt
hereindrangt, es ist ihm, als brenne es zu Hause. Die Szene ist ihm nicht klar geworden.
— Dann sieht er deutlich die Grundsteinlegung der jetzigen Stadtkirche. Es war 1883
oder 84. Er stand auf einem Holzbock, wie er von diesem herunterspringt, springt er
einem Knaben oder Madchen auf die Schulter und erschrickt. Auch jetzt. Er sah alles
ganz deutlich, es war an einem Vormittag.
Hypnose: Sieht die Szene vom Schutzenfest, es brannte in der E-straBe bei
Herrn St. Es war kein helles Feuer, es war ohne Bedeutung. Er sah die Schlauchc dort
auf der StraBe liegen. Patient hat beim Durchleben Herzklopfen und ein eigentiimliches
Gefuhl, wie wenn das Gehirn leicliter wurde, ein Druck nach unten, nach den Ohren —
ein Gefuhl, wie wenn man mit geschlossener Nase geschluckt hatte, und deren normaler
Zustand wieder eintritt. Dieses Gefuhl trat vorhin und jetzt dreimal auf, wie wenn da-
bei alle Gedanken aus dem Gehirn heraus waren. Dann sieht er noch einen Brand, wie
er ca. 15 Jahre alt war. Es war gerade nach dem Mittagessen, er wollte ins
Geschaft, es brannte in einem Keller, es war Winter, die Wasserhahne w'aren zugefroren
und er sieht, wie man das Eis wegschlagt. Patient hat beim Durchleben erhohte Herz-
tatigkeit.
20. I. 10. Die Besserung halt an, der Kopf ist ihm viel leichter.
Hypnose: Sieht den Markt seiner Heimatstadt, die neue Kirche und das Rat-
haus. Dann sieht er, 5—6 Jahre alt, 2 Studenten bei einem Bekannten fechten. Er sah
zu, sieht deutlich den Hof, wo gefochten wird, hat jetzt Herzklopfen. — Dann sieht er
sich 7 Jahre alt, wie sie Indianer spielen, dabei krochen sie in einen Kanal. Patient sieht
die Szene und hat Herzklopfen.
Hyp nose: Patient sieht sich 10 Jahre alt, seine kleinste Schwester, 1V2 Jahre
alt, neckte den Hund, einen Neufundlander, dieser erwischt sie am Arm, der Vater schlug
den Hund. Patient ist erregt. Dann sieht er, 7 Jahre alt, einen Schulkameraden als Leiche.
Er war an Hirnhautcntziindung gestorben. Er sieht die Szene, die lange Zeit andauert,
ganz deutlich. Das regt Patient auf, er hat starkes Herzklopfen. An all diese Sachen
habe er nie mehr gedacht.
Hypnose: Als Knaben, 5—6 Jahre alt, gingen sie oft nach dem Gymnasiumshof.
Dort ist ein Gewolbe, von dem man sagte, da gebe es Gespenster. Sie krochen hinein,
es war hoch und dunkel, er hatte Angst, er erschrak, — auch jetzt. Er sieht alles sehr
deutlich. Dann sieht er sich 1898, wie er im Wasserwerk zu W. an einer Fordermaschinc
war. Diese war auf Rader montiert, es waren 8 Pferde vorgespannt. Als die noch neue
Maschine in Bewegung kam, dachte man, sie konne jeden Augenblick umfallen. Niemand
wollte sie fahren. Die Maschine stand im Feld, er sieht alles ganz deutlich. Er hatte die
Verantwortung. Ware die Maschine umgefallen, so waren einige Pferde tot gewesen
und die Maschine defekt geworden. Patient ist sehr erregt.
Hypnose: Vor 2 Jahren, kurz nach dem Essen, trifft ein Telegramm ein,
ein Verwandter seines Chefs sei verungliickt. Patient muflte sofort nach Ungarn reisen.
Ein Brett war heruntergefallen und jenem Herrn auf den Kopf. Es war schon Anzeige
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328 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR Jo ^ 1 v f ;SSSSL°^ e
erfolgt und ein Meister sollte vor die Staatsanwaltschaft. Patient untersuchte die Sache
und machte die Klage ruckgangig. Alles sah er deutlich und schnell hintereinander
wieder, war dabci aufgeregt.
22. I. 10. Es gcht bedeutend besser, zeitweise fuhle er eine innere Unruhe, der
Kopf ist frei und das Gefiihl von Angst in der Eisenbahn ist weg. Letzteres sei ihm bei
langen Eiscnbahnstrecken (er muB oft Tage lang reisen) sehr peinlich.
H y p nose: Durchlebt die Szene, wie ihm, als er 5 Jahre alt war, ein Kamerad einen
eisigen Schneeball auf den Mund warf, so daB dieser anschwoll. Patient erschrak, jetzt
hat er Herzklopfen. — Dann sieht er eine Szene, wie er 6—7 Jahre alt war, er spielte
mit seinen Kamcraden Feuerwehr. Sie hatten sich, mit Seilen angebunden, auf dem
Schieferdach einer Holzremise in Aktion gesetzt. Da kam sein Vater und zankte. Er
erschrak heftig und ist auch jetzt wieder aufgeregt.
Hypnose: Dann sieht er in einem alten SchloB seiner Heimatstadt das Burg-
vcrlieB, er sieht alles deutlich, steht auf der Treppe mit einer Eisenstange und empfindet
Angst dabei. Dann sieht er sich bei einer Exkursion mit seiner Schule. Dort war ein
Turin, er steht auf dessen Dache ganz frei, es ist kein Gelander da, hatte Angst, er konne
herunterfallcn. — Dann sieht er 1903 einen Automobilunfall, den er miterlebte. Er saB
beim Chauffeur, da kommt ihnen ein Mann mit einem kleinen Wagen, auf den Kartoffeln
geladen waren, entgegen. Der Mann wich falsch aus und fuhr direkt ins Auto hinein.
Fast ware er uberfahren worden. Patient erschrak heftig (jetzt ist seine Herztatigkeit
erhoht).
Patient gibt an, daB seine Erregungen, besonders die Steigerung der Herztatigkeit
beim Abreagiercn abnehme, hingegen erschrecke er jetzt leichter wie fruher. Friiher
sei er beim groBtcn Ungliick auBerlich ganz ruhig geblieben.
Hypnose: Patient sieht sich, 7—8 Jahre alt, auf einer abschussigen, gefrorenen
StraBe, er fahrt mit Schlittschuhen den Berg hinunter, da hatten zwei Knaben ein Seil
iit>er die StraBe gehalten, es iiberfiel ihn Angst, er sprang mit den Schlittschuhen daruber,
ohne zu fallen. — Dann sieht er eine Szene, die am gleichen .Tag passierte. Ein Schul-
kamerad fuhr mit einem Schlitten an einen Baum und verletzte sich an Kopf und Handen.
Dabei sei er heftig erschrocken.
25. 1. 10. Patient berichtet, daB er sehr arbeitsfahig sei, nicht mehr so leicht er-
iniide, bei besserer Stimmung sei, nur momentweise komme vom Magen so ein Gefuhl
nach dem Kopf, es sei wie eine Gleichgewichtsstorung.
Hypnose: Sieht sich im Alter von 10—12 Jahren in einer Brauerei. Der Knabe
des Brauereibesitzers hatte 2 Flaschen Bier geholt, nachdem sie Rauber und Gendarmen
gespielt hatten. Da kam plotzlich der Vater jenes Knaben, der Bub versteckte das Bier,
Patient hatte groBe Angst. Jetzt blieb er ruhig.
Hypnose: Sieht sich ca. 12 Jahre alt als Quartaner, ein Kamerad hatte Zigarren
und Zigaretten mitgebracht, es wurde in der Klasse geraucht. Plotzlich machte der Or-
dinarius die Zimmerture auf und die Ubeltater bekamen 5 Stunden Karzer. Patient
wollte auch rauchen, deshalb war er erschrocken und hatte Angst und zwar recht
stark, jetzt blieb er ruhig.
Hypnose: Sieht eine Szene, als er auf dem Technikum war. Ein Schuler schlug
einen andern mit einem Stock uber den Schadel — beide waren angetrunken, das regte
ihn damals auf und auch jetzt wieder. — Dann sieht er eine Lciche. Er kam in seiner
Heimatstadt den Berg herunter, es war Abend, die StraBe schlecht beieuchtet, er denkt
an nichts, kommt durch ein schlechteres Viertel. Da failt sein Blick durch ein offenes
Fenster in ein Zimmer, da sieht er bei Kerzenlicht eine Leiche. Er erschrak und hat auch
jetzt Herzklopfen. Dann failt ihm die Szene von der letzten Sitzung ein, die er vergessen
hatte. Er machte mit Verwandten eine Partie durch den Spreewald. Sie hatten einen
Kahn gemietet, da nahm eine der Damen den Stock des Patienten, um das Wasser zu
messen, da verschwand der Stock und er argerte sich. Das war 1890. Die 3. Szene, die
er heute gesehen hat, ist ihm auch wieder entschwunden.
26. I. 10. Patient gibt an, daB er viel leichter erschrecke als sonst, im Magen
spiire er seit gestern ein Unbehagen, eine Unruhe, sonst fuhle er sich ganz gut.
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BD. 19,1912,
Ergftnzungreheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAP1E. 329
Hypnose: Sieht sich 8 Jahre alt in der Militarschwimmanstalt. Er war mit dem
Vater spazieren gegangen, da sieht er, wie Soldaten schwimmen. Ein Soldat war wasser-
scheu und wollte nicht ins Wasser. Ein Offizier schlug den Soldaten ins Gesicht und dann
warf man ihn ins Wasser. Der Vater des Patienten war sehr erregt daruber und stellte
den Offizier zur Rede. Patient war sehr aufgeregt dabei. Sah jetzt den Vorgang ganz
deutlich und spurte sofort eine angenehme Erleichterung im Magen, wahrend es ihm
vorher gewesen sei, als hatte er dort einen Pfropfen. Die Szene spielte sich nachmittags
ca. um 2Vi Uhr ab, niemals habe er mehr an diese Szene gedacht und jetzt falle ihm
alles wieder ein.
Hy pnose: Sieht 3 Szenen. Wie er mir die Stichworte retrograd geben will, ent-
fallt ihm die erste Szene. Ich versuche, sie in Hypnose wieder aufzufinden, es gelingt
nicht. — Er durchlebte eben, wie im Bahnhof zu R. Lokomobilen ausgeladen werden
sollen. Der Wagen war falsch an die Rampe gestellt, fast ware die Lokomobile umge-
fallen, das angstigte ihn, er argerte sich iiber den Stationsvorstand. Die Szene durch-
lebt er mit Herzklopfen. — Dann sieht er sich in K. am Niederrhein beimTransport einer
32 pferdekraftigen Lokomobile. Diese ware fast umgefallen, da sprang ein Arbeiter hin
und wollte sie halten. Zwei Pferde hatten sich dieEisen losgerissen; als er den Mann sah,
wurde er angstlich aufgeregt, er sieht alles deutlich und empfindet Angst.
H y pnose: Sieht sich auf einer Fahrt vor 2 Jahren in Ungam, fahrt auf dem Schlit-
ten durchs Gebirge. Vor ihnen taucht ein Holzfuhrwerk auf, dessen Kutscher, ein Bohme,
war betrunken. Dieser drohte und wollte sie nicht vorbeifahren lassen. Patient nahm
den Stockdegen und Revolver hervor und bedrohte den Kutscher. Da lieB er sie vorbei¬
fahren. Patient war sehr aufgeregt, und ist es auch jetzt wieder. Dann sieht er, wie er
1904 auf dem Rad fahrt, es war im ElsaB. Eine Frau, die einen mit Kuhen bespannten
Wagen fiihrt, wich falsch aus. Er fuhr in den Chaussecgraben, erschrak heftig, erlitt
aber keinen Unfall. Patient ist beim Wiederdurchleben erregt und hat sehr starkes
Herzklopfen. — Dann macht er 7—8 Jahre alt einen Spaziergang nach einem Nachbar-
ort. Am Wege befinden sich Komposthaufen. Er sieht einen Kameraden in einem solchen
Haufen versinken. Sie zogen ihn wieder heraus. Er hatte einen heftigen Schrecken er-
litten und ist auch jetzt wieder erregt. — Dann sieht er eine Szene aus seinem 8. Lebens-
jahr. Von seinem Zimmer aus hatte er den Blick auf einen Garten und sah das Zimmer
eines Kameraden, vor dessen Fenster ein Bimbaum stand. Dieser ergriff einen Ast, um
sich Bimen zu holen. Er wird herausgerissen, die Krone bricht ab, er kann sich noch am
Baum halten. Das regt ihn sehr auf und auch jetzt, wo er alles sehr deutlich wiedersah,
wird er erregt. Es war dies an einem Nachmittag, gerade nach dem Essen.
Jetzt hort er die Regimentsmusik spielen, sie spielen einen Marsch, der Dirigent geht
in die Mannschaft, schlagt einem Trompeter das Mundstuck in die Zahne, es war
wahrend der Marschmusik. Das sieht er deutlich, regt sich stark auf, wie bisher noch
keinmal.
27. I. 10. Es geht etwas besser, er sei aber noch etwas angstlich und bleibt auf¬
geregt.
Hypnose: Vor 7 Jahren hielt er sich an einem kleinen Orte im Badischen auf.
Da wurden eines Morgens 2 Bollerschusse abgegeben. Es war am Hause, wo er wohnte,
er erschrak, jetzt sah er das Aufblitzen, bekam Herzklopfen; es war eine Hochzeit.
Dann 1898 fuhr er im Badischen in der Bahn, es war nach dem Mittagessen, da stieg
ein Herr in den Zug, lief erst hin und her, dann wurde er tobsiichtig. Das war sehr auf-
regend, auch jetzt ist er erregt, sieht'alles deutlich. — Dann durchlebt er bei einem Be-
trieb in Thuringen, wie beim Fdrdern von Werkzeugen ein Zahnrad mitten durchbrach.
Es war an einem Vormittag, er war gerade am Fruhstuck, da horte er den Schlag im
Bureau und erschrak. —
Hypnose: Er war vor 2 Jahren in Rumanien wegen einer Olsonte. Als er einige
Tage abgereist war, stiirzte diese Sonte ein. Das regte ihn auf. — Dann sieht er eine
Szene in Baikal in einer 120 m tiefen Olgrube. Ein Pferd zog zu scharf an, das Seil riB.
Patient erschrak, weil er meinte, der an dem Seil hangende Arbeiter sei tot. — Dann
sieht er sich im Theater, es wurde „die Todesuhr von Sherlok Holmes" gegeben. Da
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33 ° VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FCR Journal f.Psycholofie
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findct auf der Buhnc cine Bombenexplosion statt. Um 12 Uhr repetiert die Uhr und
tier SchuB kracht. Er sollte dadurch getotet werden, wird befreit und hangt das Kostum
cines Schwefelholzhandlers hin. Die Szene regte Patienten stark auf. Jetzt durchlebt er
sic wiedcr.
Hypnosc: Sieht cine Szcne wiedcr, die vor 14 Tagen in der Analyse aufgetreten
ist und die Patient wiedcr vergessen hatte. Es war 1890 in einem kleinen Orte in Sachsen
Dort war cr an einem Wasscrwcrk beschaftigt. Er war zu einer Abendunterhaltung
ins Wirtshaus eingcladcn. Ein Mcister seines Gcschaftes fing Krach an, nahm ein Bier-
glas und w arf es seinem Gegner an den Kopf. Als Patient ihn zur Rede stellte, riB er
aus, kam am andern Tagc nicht zur Schicht und am darauf folgenden Tage muBte cr
ihn entlassen. Er hatte jenem Mann die Nase mit Glas entzwei geschnitten. Patient
wurdc durch den Yorfall sehr aufgercgt.
31 . /. 10 . Am 28. I. nach einer geschaftlichen Unterredung habe er cine groBere,
angstliche Unruhe mit Hcrzklopfen vcrspiirt, die bis gegen Abend 5 oder 6 Uhr dauerte.
Et>enso sei es ihm am 29. I. zu Hause nach dem Essen gewesen. Gestera hingegen sei er
nach dem Essen nur voriibergehend unruhig gewesen. —
H y pnose: Sieht sich 6—7 Jahre alt, es ist ein starkes Gewitter, nach dem Mittag-
essen. Ein Rolhvagcn mit Pferden steht auf der StraBe, sie warden durch das Blitzen
und durch das Donnern erschreckt und gehen durch, fast waren sie in ein Schaufenster
hinein. Sein Vater sah die Situation, geht fiber die StraBe hinuber und bringt die Pferde
zum Stehcn. Es regnetc stark. Er sah alles deutlich, er hatte Angst, es passiere etwas.
Auch jetzt wurde Patient stark unruhig. — Dann sieht er sich ca. 10 Jahre alt, wie er
mit Kameraden in den Anlagen spiclt. Das w f ar verboten. Da kam ein I.ehrer, sie fluch-
teten sich in einen benachbarten Steinbruch und versteckten sich. Es war Nach*
mittag nach dem Essen. Er hatte Angst, sie werden gesehen. Dann hatten sieFeuer
angemacht im Steinbruch, das kam heraus, er hatte Angst, bestraft zu werden. Es
blieb aber ohne Folgen. Er sdh alles ganz deutlich, so die eigentumliche Art der Be-
wegungen des Lehrers, den Baumbestand in den Anlagen usw. usw.
Hypnosc: Als er vor 6 Jahren in einem kleinen Orte im Badischen war, es war
3 / 4 2 Uhr naehmittags an einem Julitage, er wollte gerade ins Bureau gehen, da horte er
etwas knistern. Er schaut sich um, es brennt im Hause, hort das Kuchenmadchen in
der Kiiche singen. Es brannte der Holzkorb, das Madchen hatte gliihende Kohlen
hineingeworfen. Er nahm die nachststchende Schiissel mit Wasser und schiittete sie
ins Feuer. — Dann sieht er sich vor 7 Jahren in einer kleinen Stadt. Es ist nach dem
Essen. Er trifft cine Korporalschaft Soldaten mit 2 Feldwebcln. Patient ging auf die
Seite, der Feldwebel lieB einen Soldaten ca. 50 mal vor und zuruckgehen, schlug ihn mit
der Sabelscheide, das regte Patienten auf. Auch jetzt wiedcr. — Dann sieht er sich 1890.
wie er in L., einer kleinen Stadt, abends 11 Uhr ube r den Neumarkt geht. Da trifft er
einen Betrunkenen, der ruft ihm zu: ,,Wer mir herkommt, der kriegt eins weg.“ Da
hatte cr schon einen Schlag ins Gesicht. Ein Nachtw'achter in der Nahe sagte ihm zum
Trost, da konne man nichts tun. Patient war stark erschrocken und durchlebtc den
Schrecken ganz deutlich wieder.
Hypnose: Dann sieht er eine Szene vor 6 Jahren wieder, er hatte eben Zahltag
gcmacht. Da kam jemand und sagte, Patient solle heim, der Herr Doktor sei da. Patient
erschrak und dachtc, sein Knabe sei krank. Der Arzt war nur zu Besuch gekommen.
Er sieht und fuhlt alles genau wieder wie damals.
1 . II. 10 . Patient sieht Verschiedenes vorbeihuschen, ist dabei erregt, besonders
ist die Herztatigkeit erhoht. Dann sieht er deutlich eine Szene aus seiner Lehrzeit
Er holt eine Stange Eisen in die Werkstatt und fallt uber einen eisernen Winkel, dabei
schlagt er sich d'as Knie auf. Er war erschrocken, arbeitete weiter, Mittags war da>
Knie geschwollen und er muBte 14 Tage zu Hause bleiben. Auch jetzt war er erregt.
— Patient spurt, daB noch etwas in ihm vorgeht, daB noch etwas in ihm ist, bald sieht
er dann einen freien Platz, dann den zugefrorenen FluB.
Hyp nose: Patient sieht sich auf der Wartburg, es w f ar vor 6 Jahren, in Gesell-
schaft eines altera Herrn. Diesem wurde es plotzlich libel, er wird schneeweiB und mub
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BD. 19,1912.
Erg&nzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGY UND PSYCHOTHERAPIE. 33 I
sich ubergeben. Patient fuhrte den Herrn in den Wartburghof, gab ihm Kognak und
brachte ihn zu Bett. Patient hatte damals und jetzt einen Schrecken.
Hypnose: Patient sieht verschiedene Szenen, so auch vom Unglucksfall in B.
am Niederrhein, voruberziehen, aber ohne Erregung.
Hypnose: Sieht sich 5—6 Jahre alt mit Kameraden spielen, sie hatten Musik-
instrumente, vollfiihrten einen groBen Larm. Da offnete ein Musikdirektor V. das Fenster
und zankte. Da erschrak er. Dann sieht er sich im gleichen Alter, wie er mit Kameraden
einem Mann, den die Kinder verspotteten, nachging und jenem seinen Spottnamen
nachrief. Da sagte jener Mann: „Ich nehm euch, steck euch in einen Topf und brate
euch." Der Mann Uef ihnen ein Stuck weit nach, Patient bekam Angst — er empfindet
sie auch jetzt. Die Bilder waren ganz deutlich, bis in alle Details. —
Hypnose: Sieht sich 4—5 Jahre alt, tragt Stulpenstiefel und ging damit ins
Wasser. Er sieht ganz deutlich den Ort. Nun konnte er den linken Stiefel nicht mehr
herunterbringen. Da sagte jemand, jetzt schneiden wir den FuB herunter, da erschrak
er und auch jetzt bekommt er Angstgefuhl. Patient entsinnt sich der Szene, der Vater
habe damals den Stiefel aufschneiden mussen. Patient sah sich deutlich als Kind in
einer grunen Jagerjoppe mit einem Strohhut auf dem Kopf.
H y pnose: Sieht sich 5—6 Jahre alt, es ist ein zweiter Osterfeiertag, ein schoner,
heller Tag. Er geht mit Kameraden nach dem Paradeplatz, dort am Zeughaus ist ein
groBes, bleiverglastes Fenster. Das warfen sie ein, sie waren ihrer 5 Oder 6, sie erschraken
und liefen davon. Jetzt sieht er sich am andem Tag auf dem Turnplatz, der sich gleich
daneben befindet. Da kommt die Schwester und holt ihn heim. Sie sagt, er solle gleich
heim, er hatte etwas Schones angestellt. Daheim angekommen, sitzt ein Schutzmann
dort, der gleich wissen will, wie das mit dem Fenster zuging. Da erschrak Patient heftig,
hatte Angst, er werde eingesteckt. Der Vater sagte es im SpaB, Patient faflte es aber
als Ernst auf („einfach mitgenommen und eingesteckt"), dann sieht er sich gleich danach
am Mittagessen. Jetzt sieht er sich wieder am Paradeplatz, gleich daneben ist die Reit-
bahn. Da sieht er sich 6—7 Jahre alt, wie sie Ball spielten. Hie und da ging auch ein
Stein mit, oft warfen sie auch Fenster ein. Da sieht er, wie jetzt ein Ball in die Reitbahn
fliegt, er trifft ein Pferd, das wird scheu. Da kommt der Bereiter H. heraus und schimpfte.
Sie gingen durch. Patient hatte Angst.
3 . II. 10 . Patient sagt, seine Arbeitsfahigkeit sei gut, hie und da sei er noch auf-
geregt, besonders nach dem Baden; schon fruher sei er im Wannenbad leicht angstlich
aufgeregt gewesen. Gestem abend habe er nach dem Bad einen roten Kopf, Herzklopfen
und Herzbeklemmung gehabt; auch nach dem Essen schwerer Speisen habe er Angst-
gefuhle. Im allgemeinen fuhle er sich aber bedeutend besser.
Hypnose: Sieht sich 4—5 Jahre alt mit dem Gehilfen seines Vaters im Schuler-
bad. Jener ging ins Freibad, nachdem er Patient ins Bad gesetzt hatte. Patient sieht
sich dort, hat Angst, schreit, ist sehr aufgeregt. Der Geselle ging schwimmen und holte
erst dann Patienten wieder heraus. Das sei sein erstes Schwimmbad gewesen. Diese Szene
sei ihm heute morgen eingefallen, dabei habe er Herzklopfen gehabt.
Hypnose: Sieht sich 1901 in O. Els ist morgens, es ist ein groBer Spektakel im
Haus. Im 3. Stock ist ein junger Mann baden gegangen und ertrunken. 8 Tage danach
zog man dessen Braut aus dem FluB. Die erste Szene sah er deutlich, in der zweiten sah
er kurz das Fraulein, er kannte sie nur von Sehen. Der junge Mann hatte ihm damals
sehr leid getan.
Hypnose: Sieht sich 1902 in E. Da wurde gerade, als er am FluB vorbeiging,
eine Leiche herausgezogen. — Dann sieht er sich in N. 1895. Da wurde ein Pumpwerk
aufgestellt. Ein Monteur rief ihn in die dortige Brauerei und zeigt auf eine Flasche
mit kondensierter Kohlensaure hin, auf die jemand heiBes Wasser laufen lieB. Patient
war daruber erschrocken und sehr erregt. Die Brauerei wurde neu eingerichtet und
Patient hatte die Verantwortung. — Dann sieht er sich 1897 an einem Weihnachts-
abend. Es wurde an einem Orte in Thuringen ein Schacht gemacht, da verschwand das
Wasser in einer Spalte, es muBte wieder abgedichtet werden. Patient war dariiber sehr
aufgeregt.
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332 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCH AFT FCR Journal f. Psycholofrie
Hypnose: Er sieht 2 Kameraden in cinem Kahn fahren, sie kommen an das
VVehr. Der Kahn stiirzt urn, einer der Kameraden ertrank, den andem holte man heraus.
Pat. war mit dem Ertrunkenen befreundet, sie waren Untersekundaner, er war mit zur
Beerdigung, 2 Stunden von seincm Heimatsort entfernt. — Dann sieht er sich in der
Schule. Ein Kamerad trieb den Sport, unter die Banke zu kriechen, seine Kameraden
in die Beine zu zwicken. Das tat er auch bei Pat. Da erschrak er. Die Szene durch-
lebt er. —
4 . II. 10 . H y p nose: Sieht sich wahrend seiner Lehrzeit. Er muB in eine Familie,
deren Tochter gcistig abnorm ist. Er sollte das SchloB einer Kommode offnen, worin
die Kranke verschiedenes verstcckt hatte. Wic er die Wohnung wieder verlassen will,
kam das Fraulein. Das rcgt Pat. auf. Er hatte die Instrumente in die Tasche gcsteckt,
das Fraulein sollte nieht merkcn, daB man iiber die Kommode gegangen war. Dann kam
das Fraulein in die Wcrkstatt, er sah sich aber nicht um, weil man nichts davon sagen
sollte. Das Ganze hatte ihm cinen tiefen Eindruck gemacht. — Dann sieht er sich in
einer Brauerei bcim Eingicflcn von Dubeln. Er reicht den GieBloffel, das Blei spritzte.
der Lehrmcister verbrannte sich die Haut, er sclbst bekam einige kleine Spritzer. Hr
war erschrocken. Jetzt hat er lebhaftes Herzklopfen. — Dann sieht er sich in der Eisen-
bahn zwischen Budapest und Wien vor 2 Jahren. Er hort ein merkwurdiges Gerausch
im Wagen. Es war eine Bandage gebrochen, sie muflten umsteigen. Die Szene regte
ihn auf, auch jetzt wieder. Pat. reklamierte beim Stationsvorstand und hielt diesem
vor, daB die Bandagen nie abgekJopft werden. —
Hypnose: Sieht sich 7 Jahre alt, der Vater ist plotzlich erkrankt, Pat. sieht den
Arzt, es ist morgens 3 Uhr. Es wurde ein Mann geholt, um Schropfkdpfe anzusetzen.
Pat. ist in Angst und Sorge. «— Dann sieht er sich in Rumanien, fahrt mit seinem Chef
auf einem Dampfer. Da sieht er englische Offiziere in Civil, hort, wie diese uber die
Deutschen schimpfen. Sie sagten am Tische ,,Viele Hunde sind des Hasen Tod". Es
gab eine scharfe Debatte, Pat. regte sich machtig auf und sagte, es komme darauf an,
was das fur Hunde und was das fur Hasen seien. Es war dies 1908. Pat. sah die Szene
sehr deutlich und regte sich auch jetzt wieder auf.
Hypnose: Sieht sich an einem Sonntagnachmittag, 7—8 Jahre alt, in einem
Konzert im Schiitzengarten. Er geht friiher nach Hause, geht in den Hof, da sieht er
cines ihrer Schweine, das durchgegangen war, mit dem Kopf in einem FaB, — es war
erstickt. Er holte den Nachbar, der warf das FaB um, das Schwein war tot. Der Fleischer
wurde geholt, der stach noch das Schwein — das sah Pat. alles ganz deutlich und ist
erregt. — Dann sieht er, 10 Jahre alt, die Beerdigung eines Professors, dessen Binder,
ein Oberhofprediger, halt die Grabrede. — Dann sieht er die Beerdigung seines Vaters,
er sieht alle Vorgange deutlich mit starker Erregung.
Hypnose: Sieht sich vor ca. 9 Jahren zu Besuch bei Verwandten. Da kam eine
Frau und berichtete, daB der 4 Jahre alte Knabe der Verwandten Krampfe habe. Man
holte ihn nach Hause und gab ihm ein warmes Bad. Das sieht Pat. deutlich und ist
erregt.
5 . II. 10 . Pat. berichtet, daB er geistig viel besser arbeiten konne. Gestern abend
habe er um 10 Uhr noch einen funfseitigen Brief geschrieben. Er sei jetzt viel ruhiger.
Friiher habe er, wenn er 2 oder 3 Zeilen geschrieben hatte, das Geschriebene verworfen
und den Brief zerrissen. Er sei friiher schwerer besinnlich gewesen, jetzt sei sein Ge-
dachtnis wieder-gut. Friiher habe er ein Kaltegefiihl in den Beinen gehabt, das bis zum
Magen herauf sich erstreckte. Dagegen habe man ihm Wechseldouchen verordnet gc-
habt; auf dem Kopf habe er oft Gefiihle wie Ameisenkriechen gehabt, auch halje ihn
das Gefiihl des HeiBhungers viel geplagt. Diese Symptome seien alle verschwunden.
Hypnose: Pat. sieht sich zu Hause, es ist der Todestag des Vaters, sieht, wie er
eben nach Hause kommt vom Spital, es ist 1^5 Uhr nachmittags, er iBt schnell etwas,
gleich ging er wieder ins Spital; als er hinkam, war der Vater vor einer Minute gestorben.
Man hatte dessen Tod erwartet, aber nicht so schnell. Er hatte in aller Eile rohe Kar-
toffelknodel gegessen (auch heute mittag aB er dieses Gericht). Daran anschlieflend
sieht er abends um 9 Uhr die Begleitung der Leiche in die I*eichenhalle. — Dann sieht
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BD. 19 , 1912 ,
Ertr&pz uDgsh eft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 333
cr sich in H., sieht einen Wachtmeister, das Bild verschwindet aber wieder. Patient
erinnert sich, daB 1896 dort 2 Leute vom Betrieb weg verhaftet wurden wegen einer
Priigelei auf dem Tanzboden. Patient fallen die Namen und die nahern Umstande
wieder ein. — Die Szene mit dem Tod des Vaters durchlebt er in groBer Erregung, er
sah einen Freund des Vaters am Sterbeabend weinen, das regte Patienten sehr auf. —
Hyp nose: Sieht sich in B. vor 5 Jahren. Er fuhr mit dem Rad nach K. am
Niedcrrhein. Es war nach dem Essen. Am Wege lieB ein Knabe einen Drachen
steigen, die Schnur querte den Weg. Er kam mit der Hand gegen die Schnur und schnitt
sich die Hand qucr durch. Die Schnur war gespannt, hatte ihn vorher am Halse ge-
streift, schnell griff er mit der Hand zu, zum Gliick lieB der Knabe den Drachen los.
Patient war heftig erschrocken. Die Szene durchlebt er mit starker Erregung.
Hypnose: Sieht sich in B. am Niederrhein, zu Hause morgens. Da kommt der
Schmied und berichtct, ein Meister habe ihm mit der Feile auf den Kopf gehauen. Er
zeigte die Wunde. Er schickt diesen Mann weg und ruft den Meister. Dieser kommt.
Er sieht ihn mit der Miitze weit im Gesicht. Auch dieser hatte einen Schlag in die Stirne
bekommen. Er entlieB beide. Daruber war er stark aufgeregt, er spurt die Erregung
auch jetzt deutlich. — Dann kommt er dort in einen Betrieb, sieht, daB der Kessel
7 Atmospharen Druck zeigt und kein Wasser hatte. Sofort laBt er das Feuer entfemen,
zeigt dem Heizer die Vorschrift, Patient ist stark aufgeregt und entlaBt den Heizer.
Hypnose: Sieht eine Szene im Vari6t6 in Munchen. Es war vor 17 Jahren.
Er sieht ein Seil gespannt von der Galerie zur Biihne, auf der Buhnenseite war ein Apparat
wie ein kleines Schiff montiert. Der Kiinstler, ein Japaner, fuhr damit am Seil herunter,
cs passierte nichts. Er sieht jetzt alles genau, die Frau des Kunstlers fing ihn auf. Die
Szene regte damals Patient stark auf, so auch jetzt wieder. Dann sieht er sich vor 15 bis
16 Jahren in Cottbus, einer Stadt in Sachsen. Als er am Morgen das Fenster offnete,
sieht er die gegeniiberliegende Fabrik, eine Hutfabrik, bis auf die Grundmauern nieder-
gebrannt. Er hatte nichts gehort in der Nacht. Beim Anblick erschrak er und dachte
sich, das hatte was Schones geben konnen. — Dann sieht er sich in Ungarn vor 2 Jahren,
er ging mit einem Staatsingenieur, er sieht alles deutlich, es liegt Schnee. Dieser Herr
fragte ihn, ob er einen Revolver bei sich habe. Er antwortete ja, aber er habe ihn noch
nie gebraucht. Der Ingenieur war in jener Gegend schlecht angesehen. Patient nahm
seinen Revolver in die Manteltasche, er war aufgeregt — es war nachmittags nach
dem Essen. Dann sieht er sich am gleichen Ort, er war allein, da horte er im Gebiisch
sich etwas regen, er dachte, es ware ein Wolf. Gerade wollte er schieBen, da horte er
pfeiffen. Es war ein Wolfshund. Patient war erst sicher, es sei ein Wolf, trotz Stock-
degens und Revolver hatte er doch Angst.
7 . II. 10 . War gestern und heute beim Mittagessen ruhiger als je. Die Blahungen
die ihn fruher so furchtbar qualten, das Aufgetriebensein mit Angstgefuhl sind seit
3 Wochen weg. Bis gestern beim Mittagessen sei er ruhiger wie sonst gewesen, aber er
spiire doch noch zeitweise eine gew'isse Unsicherheit, ein Gefuhl, wie wenn der Magen
leer ware und das Herz stillestehen wolle. Seit gestern merke er auch davon nichts mehr.
Hypnose: Patient durchlebt sehr deutlich die Szene im Jahre 1911, kurz nach
der Operation des Vaters, Amputation des FuBes bei Diabetes. Patient kommt ins
Krankenzimmer, der Vater hat eine Zeitung vor sich, er weinte und erzahlte den Vor-
gang von der Operation. Patient sieht alles deutlich undhortdasGesprach. Patient
war sehr aufgeregt, er war telegraphisch heimgerufen worden, er kam nach dem Essen
zum Vater. —
Hypnose: Patient sieht eine Szene, die sich vor 6 Jahren abspielte. Patient
befindet sich in scinem Bureau, die Frau war krank nach dem Wochenbett und schickte
ihm — es war nach dem Essen — einen Zettel, worauf sie ihm mitteilte, der Arzt habe
gesagt, sie musse operiert werden. Die Operation war 2 Tage spater am Vormittag.
Patient sah auch die Operation. Beide Szenen regten ihn stark auf. — Dann sieht er,
7 Jahre alt, eine Feueriibung in der Schule. Einer nach dem andern muflte in den Ret-
tungsschlauch, er hatte damals ordentlich Angst, die er auch jetzt wieder empfindet. Zu
welcher Tageszeit die Ubung war, weiB er nicht sicher, wahrscheinlich am Nachmittag.
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334 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jourajl f.Psrcholope
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8 . II. 10 . Patient ist beim Essen und Arbeiten ruhiger, gestern abend nach dem
Essen wieder etwas unruhiger gewesen.
Hypnose: Sieht nur vorubergehend einen Teich in seiner Heimatstadt.
Hypnose: Sieht etwas verschwommen, wie er 5 Jahre alt, einem Schnapser
zuruft: ,,Napoleon in Gips". Dieser lief ihm nach, Patient bekam Angst. Dann sieht
er diesen Mann, er war Dachdecker, wie er auf einem Hause an der Fahnenstange hinauf-
geklettert war. Dabei empfand Patient Angst, er war 9 Jahre alt, es war in der Sexta,
er sah es vom Klassenzimmer aus. Auch jetzt empfindet er Angst.
Hypnose: Ca. 11 Jahre alt machte er mit einem Kameraden einen Spaziergang.
Da sagte einer, ,,die Pflaumenbaume sind uns". Da leerten sie ab. Der Kamerad hatte
sich aber geirrt und es gab dann Prugel in der Schule. Der Polizist des Ortes war dazu
gekommen, sie rissen aus, er kannte sie. Diese Szene durchlebt Patient genau, alles
wird ihm deutlich, auch die Affekte. — 1893 machte er als Student einen Ausflug. Sie
gingen zum Tanz, es kam zu einer Schlagerei. Es waren 400 Schuler da. Die Bauern
verfolgten sie mit Steinen. Die Geschichte war sehr aufregend, — es war an einem Nach-
mittag. Er durchlebt die Szene wieder mit deutlichem Affekt. — Patient sieht sich im
ersten Semester auf der Antrittskneipe. Im Verlaufe des Kommerses kamen andere
Studenten aus einem andern Kurs, es gab Streit. Ein Student warf einem andern ein
Bierglas auf die Nase, so daB diese entzwei geschnitten wurde; diesen wollte er gar nieht
treffen. Zur Versohnung zahlte er 2 Hektoliter Bier.
9 . II. 10 . Es ging gestern gut bis zum Abend. Da hatte er ein unruhiges Gefuhl,
hatte spat um 8 l / t Uhr zu Nacht gegessen, wahrend er sonst um 7 Uhr zu essen pflegte.
Auch heute morgen fiihlte er sich unruhig im Zimmer, als er in geschaftlichem Gesprachc
war. Nach dem Essen heute mittag unruhig, hatte Stuhl, was sonst nie der Fall ist um
diese Zeit. Jetzt ist er wieder ruhiger, hat nur Knurren im Magen.
Hypnose: Durchlebt eine Szene in K. am Niederrhein, im Jahre 1905. Patient
hatte Abendbrot gegessen, geht in sein Zimmer, hat AngstschweiO, nachdem er sich im
Betrieb kolossal geargert hatte. Er lieB den Arzt rufen, weil er Angst hatte, er musse
sterben. Der Angstanfall dauerte mit Herzklopfen eine Stunde. Jetzt ist Patient sehr
aufgeregt und durchlebt die Szene sehr deutlich wieder. Von K. fuhr er nach N., dort
hatte er im Hotel einen Angstanfall, den er eben wieder mit starkem Angstgefiihl durch-
lcbt. Es war morgens gegen 4 Uhr. Bei alien diesen Anfallen hat er das Gefuhl, als wenn
der Magen leer ware. — Patient erzahlt, seine Frau habe ihm heute morgen gesagt,
sie wolle ihm einen Gulasch machen zur Abwechslung. Als dies die Frau gesagt hatte,
wurde sein Zustand schlimmer. Er wuBte daiiir keine Ursache. Beim Mittagessen be¬
kam er so starkes Angstgefiihl, daB es ihm war, als schwanke der Stuhl mit ihm. Jetzt
sei es ihm klar, warum. Zum Abendessen in K. am Niederrhein, bevor er den ersten
Angstanfall bekam, habe er auch Gulasch gegessen.
Hypnose: Sieht sich in B. vor 6 Jahren. Dort wurde nach Steinsalz gesucht.
Er war mit dem BcFgbeamten im Bureau, der die Fundurkunde aufzustellen hatte.
Als Patient zur Bohrstelle kam, hatte der Meister schon das Kemrohr gezogen und das
Salz fiel auf die Arbeitsbuhne. Dadurch wrurde die Beurkundung ungultig und die Sache
muBte vor Gericht beschworen werden. Hieriiber regte sich Patient sehr auf. Es war
dies an einem Vormittag. Die Szene mit zugehorigem Affekt wurde ihm sehr deutlich.
Hypnose: Sieht sich 1895 bei einem andern Betrieb, wo nach Kohlensaure gc-
bohrt wurde. Wahrend er fruhstiickte brach an der Bohrvorrichtung etwas ab, woriiber
er sich stark auf regte.
H y pnose: Dann durchlebte er eine Szene aus dem Jahre 1905. Der Zimmermann
will mit 25 Mann ein Haus, die Schmiede, wegtragen. Patient kommt dazu, das Hau*
wollte gerade einfallen, es muBte vollstandig zerlegt werden. Patient argerte sich daruber,
daB die Leute nur aus Faulheit so vorgegangen waren. — Dann durchlebt er eine Szene,
wie er an einem Sonntag friih einen Betrieb kontrollierte. Er traf die Wache schlafend,
er argerte sich und schickte den Mann fort.
10 . II. 10 . Fiihlt sich seit heute morgen unruhig, den Magen aufgetrieben, hat
ein unsicheres Gefuhl und Kopfweh an der linken Schlafe. Das sei so bei nassem Wetter.
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BD. 19,1912,
Erg&nrangsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 335
Jfypnose: Sieht die Szene, als er mit zehn Jahren zum zweitenmal geimpft
wurde. Als er geimpft war, wurde es ihm elend, dann schlecht, er muBte das Zimmer
verlassen, es iiberlief ihn eiskalt, er hielt sich an einem Baum, dann ging er nach
Hause und aB etwas, dann wurde es ihm wieder gut. Das sah und fiihlte er jetzt
deutlich wieder.
Hypnose: Sieht die Szene noch einmal, wie ein Mann verhaftet werden sollte.
Er sieht es jetzt undeutlich und ohne Gefuhlsreaktion. Sieht, wie jener durch den FluB
geht, er geht mit seinen Kameraden nach, sie gehen uber die Brucke. — Jetzt sieht er
die Szene, wie der Vater 4 Tage vor seinem Tode von 4 Sanitatem zur Operation ab-
geholt wird. Es war dies vorgestern vor 5 Jahren. Der Vater sagte, das hort Patient
jetzt im Schlaf wieder: ,,Seid vorsichtig, ich habe kolossale Schmerzen." Es war gegen
Abend nach dem Essen. Patient war um 4 Uhr vom ElsaB nach Hause gekommen, um
5 Uhr wurde der Vater abgeholt. Jetzt fiihle Patient bei dieser Szene im Magen einen
eigentumlichen Druck und Kollem, Herzklopfen und Stechen in der Herzgegend. Patient
sah dies alles sehr, sehr deutlich, auch die Personen, die ihn holten und dabei waren.
Hypnose: Sieht sich im Streit mit einem Bergbeamten, wobei er sich sehr argerte,
weil ihm dieser unlautere Absichten insinuierte.
Hypnose: Sieht eine Szene, die ihm schon gestem eingefallen war: Er hatte ein
Verhor mit einem Bohrmeister, der Geld unterschlagen hatte. Wahrend des Verhors
ging jener hinaus. Patient ging nach. Patient wuBte, daft der Mann einen Revolver
hatte. Patient schimpfte mit ihm und sagte ihm: „Tun Sie mir Ihre Hand aus der Tasche
heraus, wenn Sie was vorhaben." Dieser blieb wie ein Stock stehen, er hatte den Re¬
volver schuBfcrtig. Es passierte nichts, doch regte ihn die Szene stark auf.
Hypnose: Durchlebt eine Szene in einem andemBetrieb, wo eine neue Schmied-
stube eingerichtet war. Die Arbeiter hatten sich immer Feuer gemacht, um sich zu
warmen und um zu kochen, statt das Feuer, das schon da war, hierzu zu benutzen.
Patient hatte dies den Meistern verboten, er jagte sie zur Schmiede hinaus und erklarte,
wenn er dies wieder sahe, wurden jedem 2 Kronen vom Lohn abgezogen. Daruber regte
er sich stark auf, es waren Zigeuner dabei, hinterlistige, faule Kerle.
Hypnose: Sieht sich in einem Betrieb in Hessen. Beim Abrusten ware fast ein
Mann verungluckt, konnte sich aber noch an einer Stange festhalten, riB sich aber den
Arm auf. Patient verband ihn und schickte ihn zum Arzt. Die Szene ist deutlich, der
Name des Arbeiters fallt ihm ein, auch wird ihm bewuBt, wie damals das Wetter war.
Patient war bei der Szene aufgeregt, erschrocken, es warnachdem Essen. Der Mann
hatte tot sein konnen.
11 . II. 10 . Gestem abend nach dem Nachtessen und dem GenuB von einer Flasche
Bier — solches hatte er langere Zeit nicht mehr getrunken, unruhig, heute gehe es wieder
gut.
Hypnose: Sieht sich 5 Jahre alt bei Bekannten, da kommt der Nikolaus, er
erschrak heftig, sieht deutlich, wie er Nusse, Apfel und Geback hinwirft. Das war
abends nach dem Essen. Patient sah die Szene deutlich wieder und hatte dabei
Herzklopfen.
Hypnose: Sieht sich 18 Jahre alt in der Tanzstunde, er sieht die ganze Gesell-
schaft, es wird eine Blitzlichtaufnahme gemacht. Er erschrickt und hort, wie der Photo¬
graph noch mit einem Herm spricht. — Dann sieht er sich im Theater in der ,,Ahnfrau“.
Er ist 12 Jahre alt. Er sieht den Sarg und hort die Worte sprechen: ,,SchlieB dich nun,
du stille Klause“, er sieht den Sargdeckel sich schlieBen und den Sarg verschwinden.
Das macht ihm einen tiefen Eindruck, jetzt starkes Herzklopfen. Sieht sich 5 Jahre
alt, die Mutter bekam einen Krampfanfall und hielt dabei die rechte Hand in einen Topf
mit kochendem Wasser. Er sieht dabei den altem Bruder, sieht, wie die ganze Hand
eine Blase war, den Trauring tief eingeschnitten — dieser muBte durchgefeilt werden.
Die Szene machte einen tiefen Eindruck auf ihn. Jetzt sah er alles deutlich, selbst das
Kleid der Mutter wieder. Patient ist auch jetzt sehr aufgeregt. Zu welcher Tageszeit
diese Szene passierte, weiB Patient nicht.—Patient sieht sich 5—6 Jahre alt, ein Konditor-
gehilfe hatte sich das Vergnugen gemacht, nach dem Abdampfrohr auf dem Dache einer
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336 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Druckerei zu schieBen. Da kam ein Mann aus der Druckerei und meinte. Patient hatte
das getan. Daruber erschrak Patient und Vegte sich auf.
12 . II. 10 . Beim Baden gche es bcsser, fuhlt sich nur noch etwas unsicher; heute
nach dem Essen noch etwas unruhig, das Arbeiten geht gut.
Hypnose: Sieht sich auf einem Volksfest, eine Dame wurde von einem Fahrrad-
karusscl uberfahren. Es passierte nichts, aber Patient war heftig erschrocken. So auch
jctzt wiedcr.
Hypnose: Patient sieht Ringe und hat dabei Herzklopfen, keine Szene.
Hypnose: Keine Szene, aber unruhige Herztatigkeit.
15 . II. 10 . Pat. hat zeitweise nach dem Essen noch etwas Angstgefuhl. Die Bla-
hungen, die ihn am meisten geplagt haben, sind verschwunden. Das Angstgefuhl, das
vom Magen aus nach dem Kopf aufstieg, hat bedeutend nachgelassen. Beim Mittags-
schlaf zucke er mehrmals zusammen, dabei spiire er im Magen rechts oben einen Druck,
danach habe er gleich Stuhlgang.
Hypnose mit Druck auf jene Stelle im Magen: Sieht eine Szene vor 6 Jahren,
er will ins Theater, hat hastig gegessen, bekam einen so roten Kopf, daB die Mutter ihn
fragte, was mit ihm los sei. Er hatte sich verschluckt und muBte krampfartig husten, so
stark, dafi er aus dem Zimmer ging. Als er ruhig geworden war, ging er ins Theater.
Dort w-urde es ihm bald schlecht, er bekam Angstgefuhl und Beklemmungen, so daB er
herausgehen muBte. Er lieB sich Selterswasser geben und blieb 10—15 Minuten drauBen.
Dort traf er einen Bekannten, dem es auch zu warm war. Patient hatte am Abend
Gansebraten und Krautsalat gegessen. Seit jenem Abend esse.er keinen Gansebraten
mehr, so gerne er ihn gegessen habe, er habe keinen mehr angeruhrt, weil er sich sage,
er konne ihn nicht vertragen. Ebenso habe er vor alien schwer verdaulichcn Speisen
Angst. Jetzt fange er wdeder an, Apfel zu essen.
Hypnose: Sieht in Rumanien einen kranken Zigeuner, einen sogen. Sonnen-
anbeter. Die Szene regte Patient sehr auf. Wo dieser Kranke hinkomme, w'erde ein-
gesammelt. Patient sieht die Szene deutlich und fuhlt dabei ein Drehen im Magen.
Als er die Szene erlebte, es war vor 2 Jahren, wollte er gerade zum Essen gehen.
Hypnose: Sieht sich in Ungarn in einem kleinen Orte. Da sah er jeden Abend
einen armen Mann vor dem Stuhlrichteramt liegen, kein Mensch kummerte sich um ihn.
Eines Abends horte Patient nach dem Essen jammern, am Morgen lag der Arme tot
dort. Kinder und Erwachsene um ihn herum. Daruber regte er sich sehr stark auf.
Hypnose: Sieht sich in seiner Lehrzeit, 15 Jahre alt. Er verletzte sich mit einem
SchrotmeiBel am Schienbein, es war nach dem Mittagessen. Er blutete und erschrak
heftig, auch jetzt erschrickt er wieder und durchlebt die Szene ganz deutlich. — Dann
sieht er sich 1901 in der Schmiede in O. Dort sieht er einen Lehrling sitzen — man
hatte Patienten herbeigerufen — diesem war eine Freifallstange von 2 Zentnem auf den
FuB gcfallen und hatte ihn verletzt. Er sieht die Sanitatskolonne kommen, die ihn ab-
holt. Patient war erschrocken, als man ihn rief und ihm sagte, es sei jemand verungluckt.
— Patient erzahlt, daB fast jeden Tag etwas vorgefallen sei, er sei sonst an die Unfalle
gewohnt gewesen.
Hypnose: Sieht sich ca. 4 Jahre alt, wrie ein Spenglergeselle, an dessen Name
er sich wieder erinnert, ihm Angst macht mit einem Ofenrohr. Er sagte ihm und seinen
Kameraden, wenn sie nicht artig seien, wiirden sie ins Ofenrohr gesteckt. Auch zu Hause,
wenn er nicht artig war, sagte man, er komme ins Ofenrohr, man rufe jenen Spengler-
gesellen. Solche Szenen durchlebt er jetzt deutlich, aber ohne Angst. Jetzt sagt der
Patient von sich aus wahrend der Hypnose, der Kopf und Magen seien ihm so leicht.
17 . II. 10 . Patient berichtet, beim Baden fiihle er sich besser, er habe noch etwas
Angst, aber bedeutend weniger, auch trete keine Rote des Kopfes mehr ein. Fruher
habe er, so gerne er badete, immer etwas Furcht davor gehabt. Er fuhle sich auch sonst
ruhiger, nur nach dem Essen immer noch etwas unruhig. Gestern vormittag habe er
ein Glas Rotw r ein getrunken, danach fuhlte er sich aufgeregt und bekam Herzklopfen:
seine Arbeitsfahigkeit sei gut, der Schlaf ziemlich gut, es gehe langere Zeit, bis er ein-
schlafen konne.
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Erg&rizungsheft 1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 337
Hypnose: Durchlebt eine Szene vom Jahre 1890 wieder. Er arbeitete damals
in einer Fabrik in C. Er kam in die Schmiede, der Schmied hatte Wasser auf den AmboB
gegossen und legte darauf ein weiB gluhendes Eisen. Im Moment, wo Patient in die
Schmiede trat, ertonte ein heftiger Knall. Er erschrak, auch jetzt wieder, sah alles
ganz deutlich, auch alle Personen, die dabei waren. Es war nachmittags gegen 3 Uhr.
Hypnose: Sieht sich 5 Jahre alt, geht mit einer entfemten Verwandten, einer
Sojahrigen Frau, einen andem Verwandten besuchen, in einem benachbarten Orte.
Auf dem Heimweg, nahe an der Bahnstation fiel die alte Frau hin, da erschrak er. —
Es war gegen Abend. Er durchlebt die Szene sehr deutlich und erschrickt wieder.
Hypnose: Sieht sich 5 Jahre alt, er begleitet das Militar bei einem Ausmarsch,
sein Bruder stand in Reih und died, er war bei der 8. Kompagnie. Patient steckte seinem
Bruder eine Flasche Wasser zu. Der Hauptmann H. sah dies, es war verboten, er machte
Krach, der Bruder warf die Flasche weg, er sollte bestraft werden. Patient sah dies
alles, jede Kleinigkeit ganz deutlich. Er hatte grofie Angst, als der Offizier auf dem
Pferd daher geritten kam. Die Soldaten sangen, es war um n Uhr vormittags.
Hypnose: Sieht sich 6 Jahre alt mit seinem Freunde E. am Flusse, da sahen sie
Wasserhiihner und wollten sie fangen. Er hielt den Freund am Arm, er rutschte ab
und kam bis an die Knie ins Wasser. Alles sah er eben deutlich wieder, auch die 2 Hiihner,
wie sie durch die Biische kamen. Es war nachmittags. Er erschrak damals und auch
jetzt wieder. — Dann sieht er sich in einem groBen Garten bei seinem Freunde E., das
Gartenhaus sollte eingerissen werden. Da hatten sie angefangen, den Schornstein ein-
zulegen, da kam der Vater. Patient erschrak, als er die Tiir offnete und sie durch-
priigelte. — Dann sieht er eine Szene, wie er 5—6 Jahre alt war und in der seinem Hause
benachbarten Schmiede vom Hofe aus ein Fenster einwarf. Der Schmied kam und sagte
es der Mutter. Sie gab ihm mit dem Klopfer. Patient war erschrocken, als er ins Fenster
getroffen hatte, es war nicht seine Absicht, dieses zu zertrummem.
19 . II. 10 . Hat keine Blahung mehr, ist sonst ruhig, nur gestem abend nach dem
Essen wieder etwas unruhig.
Hypnose: Patient durchlebt eine Szene, die er 1898 in L. in Thuringen erlebt
hatte. Er iibernachtete in einem kleinen Hotel, es war kein Zimmer frei und die Tochter
des Besitzers sagte ihm, er konne im Zimmer des Vaters schlafen. Als Patient schon
eingeschlafen war, ging die Ture auf, er erschrak, sprang auf und nahm den Eintretenden
am Halse. Als dieser sagte, wer er ist, wurde Patient wach.—Die Szene wurde Patienten
deutlich und er war erregt dabei.
Hypnose: Sieht den Exerzierplatz seiner Heimatstadt, die Tamboure und
Musik, das Bild ist erst verschwommen, wird dann deutlich, sieht Soldaten marschieren,
bekommt Herzklopfen, die Personen sieht er deutlich. Die Szene geht nicht weiter
vor sich.
Hypnose: Sieht die Szene nochmals von vorn, die Soldaten schwenken ab und
ziehen in Parademarsch vorbei. Er sieht sich 5—6 Jahre alt. Jetzt scheut das Pferd
des Adjutanten, dessen Name ihm einfallt. Es ist ganz in seiner Nahe, Patient erschrickt,
bekommt Herzklopfen, er sah den Vorgang ganz genau wieder.
Hypnose: Sieht sich 5 Jahre alt. Er hatte einen neuen Anzug von grauem Stoff
bekommen. Die Farbe hielt er fur schmutzig. Da ging er an den Brunnen, machte den
Anzug naB und biirstete drauf los. Da kam die Mutter, er erschrak, sie nahm ihn am
Arm nach Hause.
22 . II. 10 . Patient fiihlt sich in den letzten Tagen ganz schlapp, mude, zerschlagen,
abgestumpft, unlustig, klagt uber Schmerzen in den Waden und in der rechten Seite.
Er fiihle taglich nach dem Essen etwas, aber nicht stark, innere Unruhe, sonst aber be-
deutend besser. Beim Essen sei er noch hastig und konne nicht schnell genug fertig
werden. Der Zustand wechsle noch.
Hypnose: Sieht sich 5—6 Jahre alt im Museum seiner Heimatstadt. Dort sieht
er ein Bild „lebendig begraben", der Sarg ging auf und es kam ein Mann heraus. Dieses
Bild hatte einen tiefen Eindruck auf ihn gemacht. Er sah es am Nachmittag nach dem
Essen.
23 Journal fur Psychologic und Neurologic. Bd. 19 65
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338 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR
Hypnose: Sieht Bilder, so einen Schlitten, dann einen Hund vorbeiziehen,
kann aber nichts festhalten.
Hypnose: Sieht eine Szene, wie er 5—6 Jahre alt, mit seinen Kameraden im
Gymnasiumshof Indianer spielt. Sie hatten sich mit Farbe bemalt, da kam der Gymna-
siumsdiener und jagte sie fort. Patient erschrak. Es tat ihm der Mund weh, er hatte
ihn mit Kalk verbrannt. Das war gegen Abend. — Dann sieht er wieder den Schlitten,
er ist dabei, auf dem Schlitten noch ein 6ojahriger Mann. — Dann wieder eine andere
Szene mit dem Hund; die Szenen werden nicht deutlich.
Hypnose: Sieht wieder einen andem Schlitten, er ist dabei, es ist die gleiche
StraBe wie vorhin. Die Bilder kommen immer mehr hervor, werden deutlicher.
Hypnose: Jetzt sieht er die Schlittenszene deutlich. Er ist 6—7 Jahre alt,
er sitzt hinten auf dem Bock. Er springt auf und ab und muB dem Schlitten nachlaufen.
Da bekommt er Angst: Der Schlitten war zu weit weg gekommen und er kommt nicht
mehr nach. Er ruft laut.
23 . II. 10 . Fuhlt sich besser, nicht mehr so schlapp, klagt aber noch uber all-
gemeine Mudigkeit, die Schmerzen haben nachgelassen. Gestem abend frei von Angst,
heute mittag etwas Angst nach dem Essen; er miisse an sich halten, um nicht zu schnell
zu essen. Es sei noch, wie wenn etwas in ihm ware und ihn treibe.
H y pnose: Sieht sich 4—5 Jahre alt am Nikolausabend. Ein groBer Mann kommt,
er und ein anderer Bub kriechen vor Angst unter den Tisch. Patient durchlebt die Angst
mit der Szene deutlich wieder. Er erinnert sich an alle Umstande ganz genau wieder.
Hypnose: Sieht sich 5—6 Jahre alt, sieht ganz schwach, wie die Mutter zur
Kiiche hinausgeht, sie schwankt, sie bekommt einen Anfall, er will sie fuhren —- er fuhlt
deutlich die Aufregung wieder.
Hypnose: Sieht sich 5 Jahre alt im Grase sitzen mit einem Kameraden. Dieser
schnitzt an einem Stuck Holz und sticht sich ins Bein. Patient zog das Messer heraus,
es blutete stark. Patient war sehr aufgeregt und spurt jetzt starkes Herzklopfen.
Hypnose: Sieht sich ca. 5 Jahre alt. In der Reitbahn war ein Zirkus. In der
Tiire der Reitbahn war ein Loch; wie einer seiner Kameraden durch dieses Loch schaut,
stoBt jemand von innen mit dem Stock durch das Loch und jener Knabe wurde im Auge
verletzt. Das war an einem Nachmittag. Patient wurde dabei aufgeregt.
25 . II. 10 . Nach dem Essen immer noch zeitweise aufgeregt.
Hypnose: Sieht sich vor 17 Jahren auf der Theresienwiese in Munchen. Er
bestieg die Bavaria. Ein Herr und eine Dame waren vor ihm. Die Dame lieB ein Opern-
glas fallen, das fiel ihm an der Nase vorbei, so daB er heftig erschrak. Patient durchlebt
die Szene mit Erregung wieder.
Hypnose; Sieht sich 7 Jahre alt. Ein Kamerad nagelt ein Schilderhaus zu und
setzt sich aufs Brett. Da kommt ein Soldat von der Wache, sie springen fort. Sein Kame¬
rad springt auf die Zeughausmauer und lacht den Soldaten aus. Patient hatte Angst,
wenn der Soldat sie bekommen hatte, hatte er sie zur Wache gebracht und sie waren
durchgeprugelt worden. Die Szene war ganz deutlich und Patient ist erregt.
Hypnose: Sieht sich 6 Jahre alt. In seiner Heimatstadt lebte eine Familie,
der Mann war ein heruntergetrunkener Professor, dessen Schwester geisteskrank. Er
ging mit einem Kameraden hin und sah die vergitterte Ture des Zimmers, in dem die
Kranke war. Dabei hatte er Angst. Was er dort zu tun hatte, weiB Patient nicht mehr.
Auch jetzt hatte er deutlich die Angst wieder empfunden.
Hypnose: Sieht sich 3—4 Jahre alt mit seiner altern Schwester spazieren gehen.
Sie fingen Krebse. Da zwickt ein Krebs die Schwester in den Finger, sie lief schreiend
mit dem Krebs am Finger heim und er schrie auch mit vor Angst, die auch jetzt wieder
deutlich wurde. — Vor 5 Jahren wohnte er einmal in einem Gasthof, dessen Inhaber
Metzger war. Dieser wollte ein Kalb toten, war betrunken und konnte das Tier nicht
toten. Da sagte Patient einem seiner bei ihm befindlichen Meister, er solle doch nicht
solange zusehen und das Tier toten. Die Szene regte ihn machtig auf, auch jetzt wieder.
Es war an einem Vormittag.
H ypnose: Von diesem Ort aus fuhr er nach einem andem Dorfe. Wie er dorthin
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BD. 19 , 1912 ,
Ery&niupgaheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 339
kam, sprang ein blutendes Schwein fiber die StraBe, darum herum die Schuljugend sich
belustigend. Patient regte sich selir auf, sein Begleiter war wfitend, nahm ein Beil und
schlug das Tier tot. Das war an einem Nachmittag 2 Uhr. Patient durchlebt die Szene
mit groBer Erregung.
18 . III. 10 . Patient war verreist, sieht frisch aus, es geht gut, hat mehr geschaft-
liche Energie und sein frfiheres Temperament wieder; hat keine Blahungen mehr, die
Angst ist weg, keine Magenerscheinungen mehr, reist gut in der Bahn. Nur hie und da
beim Schlummern fahre er heftig zusammen, so besonders gestern beiin Mittagschlaf,
als er duselte. Baden konne er jetzt ohne irgendein Angstgeffihl. Beim Essen und nach
dem Essen sei er jetzt ganz ruhig.
Hypnose: Sieht ganz kurz im Jahre 1901 den Vater im Krankenhaus wieder,
dann die Szene mit jenem alten Herm, der auf der Wartburg ohnmachtig wurde, — dann
wie der Polizist den Betrunkenen arretierte, auch den Markt seiner Hcimatstadt sieht
er wieder, alles zieht schnell vorfiber, ohne irgendwelchen Affekt zu erregcn.
Hypnose: Sieht die Szene, wie der Gartner vom Baum fallt. Patient hebt die
Tabakspfeife auf und gibt sie ihm. — Dann sieht er sich in K. am Niederrhein, sieht,
wie er mit dem Arzt zur Bauhfittc kommt, der Verunglfickte wird verbunden, — dann
sieht er sich in Hessen, sieht den Arbeiter vom Gerfist heruntergehen und sich den Arm
aufreiBen, — dann sieht er eine Wasserunterffihrung in seiner Heimatstadt, — es war
ihm, als ware er dort einmal mit dem FuB in eine Holzspalte gekommen. Alle Szenen
ziehen vorfiber ohne Affekt, wie bei einem Kinematographen.
Hypnose: Sieht wieder die Pferde durchgehen, der Vater halt sie auf. Er sieht
die ganze Szene nochmals. Sieht wie derNachbar Schmied in Hemdsarmeln dazu kommt,
um zu helfen. Patient ffihlt dabei nichts mehr.
Hypnose: Sieht sich 4 Jahre alt am Brunnen beim Brauhaus, es passiert aber
nichts.
Frau lei n Charlotte C., 25 Jahre alt, klagt fiber plotzlich auftretende Angst
mit heftiger Diarrhoe. Diese Zustande treten besonders auf der StraBe auf, im Theater,
im Konzertsaal, wenn sie zur Eisenbahn geht, um zu verreisen. Dieser Zustand ist der
Patientin in der kleinen Provinzstadt, in der sie wohnt, unertraglich geworden. Plotz¬
lich muB sie von der StraBe weg in ein ihr fremdes Haus gehen, um das Klosett dort auf-
zusuchen. Ins Theater, in Konzerte wagt sie sich nicht mehr, auch kann sic Spaziergange
in der Umgebung ihres Wohnortes nicht mehr untemehmen. Schon der EntschluB,
zur Bahn zu gehen, um jemanden abzuholen odcr gar um zu verreisen, fallt ihr auBer-
ordentlich schwer, denn sofort gerat sie in Angst; mit dieser kampft sie cinige Zeit und
dann muB sie das Klosett aufsuchen. Nach einem stark diarrhoischen Stuhl tritt wieder
Erleichterung ein. Halt sich Patientin an andem Orten auf, so ist zunachst die Angst
geringer und seltener. Doch meidet sie auch hier gerne Ausgange, wie Theater und
Konzerte. Patientin begab sich zunachst zur Behandlung ihres Zustandes in eine deutsche
Innere Klinik. Hier wurde der Zustand als ein nervoser erkannt und mit einer Mastkur
behandelt. Da sich der Zustand nicht besserte, kam Patientin behufs psychanalytischer
Behandlung zu mir. —
Patientin ist sehr leicht in oberflachlichen Schlaf zu versetzen und lernt es bald,
ih re Aufmerksamkeit auf die auftretenden Szenen zu rich ten.
10 . XI. 10 . Patientin sieht sich in dem Kinderspital, wo sie vor 3 Jahren sich
als Pflegerin betatigte, sieht ein Kind, das gefallen war, totenblaB im Bette liegen. Als
sie dies sieht, bekommt sie das Geffihl wie damals; dabei wurde es ihr schlecht. — Sieht
sich auf einem Ausflug mit Verwandten und Bekannten. Als sie Einkehr hielten, bekam
sie Angst, es wurde ihr schlecht und sie fror, wahrend die andem schwitzten. Schon da¬
mals wurde es ihr beim Einkehren in eine Sommerwirtschaft schlecht. Sie sieht sich in
jenem Lokal, es wurde ihr schlecht, d. h. sie hatte Angstgeffihle und Stuhldrang und ihr
Zustand blieb, bis sie in ihre Wohnung zurfickkehrte. Jetzt sieht sie alles wieder, sieht
sich auch auf dem Wege nach Hause, alles ganz deutlich, mit dem gleichen Geffihle
durchlebt sie alles, wie wenn sie es eben wiedererlebte.
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340 VERHANDLUXGEN DER INTERN. GESELLSCHAFI - FOR
11 . XI. 10 . Patientin sieht cine Szene in Miinchen, wo sie sich vor ca. io Jahren
aufliielt. Sie sieht sich im englischen Garten. Es war ihr schlecht geworden, sie hatte
Angst bckominen und Durchfall, und zwar so heftig, daB sie 6mal ein offentliches Kloseti
aufsuchen muBte. Sic blieb dann 2 Tage zu Bett, weil sie sich nicht auszugehen getrautc.
DaB jencs Erlel)nis mit ihrem jetzigen Zustande in Zusammenhang stunde, habe sie nie
gedacht, aber seit jcner Zeit kbnne sie Munchen nicht mehr leiden. Patientin sah diese
Szenen dent lie h wieder, durchlebte sie eben mit groBer Angst wieder. H.: Dann sieht
sie ein Bild : Sie war ca. 17 Jahrc alt mit der Schwester in einem Konzert, da wurde es
der Schwester schlecht, sic muBte durch alle Menschen durchgehen und da wurde e>
ihr auch schlecht. Dann sielit sie sich in ciner andem Stadt vor 4 Jahren im Theater.
Es wurde Rigoletto gegeben. Es wurde ihr schlecht. Im 2. Akt wurde die Angst so
stark, daB sie keinc I.uft mehr bekam, sic muBte hinaus, sie meinte, sie falle in Ohnmacht,
es wurde ihr Schwarz vor den Augcn, sie ging hinaus, hatte Durchfall. Danach wurde
es ihr wieder besser. Jetzt sah und fiihlte sie alles ganz deutlich wieder. Die Angst
und die Aufregung warcn besonders stark. — H.: Patientin hat starkes Angstgefuii
und wird dadurch an die iirztlichc Visite der Klinik erinnert. Dieses Angstgefuhl sei
sofort beirn Einschlafen aufgetreten.
12 . XI. 10 . H.: Erst tritt starke Angst auf, dann sieht sie eine kurze Szene.
wie sie auf den Tram wartet, da bekam sie Angst, sie ging wieder nach Hause, suchte
das K lose it auf und ging dann wieder aus, um eincnBesuch zu machen. Vor ihrem ersten
Ausgang sei sie al>er auch auf dem Klosett gewesen. Patientin gibt an, daB stets wenn
Angst auftrete, sich Durchfall einstelle. — H.: Sofort nach dem AugenschluB tritt Angst
und dann eine Szene auf. Patientin sieht sich auf eine Freundin warten, die beim Zahn-
arzt war. Es wird ihr komisch, sie steht auf der StraBe und geht nun in ein Geschafr,
um das Klosett aufzusuchen. Dort heiBt es, als Dame musse sie in den ersten Stock:
dorthin wollte sic nicht, entschloB sich, wieder zur Freundin zum Zahnarzt zu gehen,
sie wartet wieder auf der StraBe, da kam das Angstgefuhl wieder, da lief sie zu ihrer in
der Nahe wohnenden Schnciderin und suchte dort das Klosett auf. —H.: Sieht sich ini
Zugc auf der Reise nach Zurich. Kurz vor Zurich uberkam sie ein Angstgefuhl und sie
muBte im Zug das Klosett aufsuchen. Die Szene ist ihr wieder ganz klar und deutlich
geworden.
17 . XI. 10 . Hier in Zurich hatte sie noch keinen Angstzustand. H.: Sieht eine
Szene wieder, wie sie mit einer Verwandten zu Hause in der Stadt Besorgungen machte
Untcrwcgs bekam sie Angst, sie wollte noch zu einer bekannten Familie, um ctwas aujr
zurichtcn. Sie ging aber nicht hin, sondern wieder heim; da legte sich die Angst wieder.
— H.: Vor 3 Jahren, es war am 8. IX., am Geburtstage des Vaters, begleitete sie Be-
kannte an den Bahnhof. Dabei muBten sie eine langere Strecke zwischen Wiesen zuruck-
legen. Auf dem Heimweg bekam sie Angst, sie hielt es nicht mehr aus und muBte sich
in ein Haus fluchten. Sie hatte Diarrhoe. Danach lieB die Angst nach, aber die innere
Aufregung dauerte fort. H.: Sieht sich voriges Jahr zu Besuch in einer kleinen Stadt
in einem Vergniigungsgarten mit Verwandten. Sie bekam Angst und muBte verschwinden.
Danach w urde sie ruhiger. Patientin gibt an, daB sie oft, wenn sie sich mit Verwandten
oder Bekannten in einem Lokal aufhalte, wegen der Angst von ihrem Platz weggehe
und einen Spaziergang mache, dann werde sie wieder ruhiger. — H.: Durchlebt mit
groBer Angst eine Szene, wie sie vorigen Sommer mit Bekannten zur Bahnstation geht
Patientin wollte mit Bekannten in die Nachbarstadt fahren, um Verwandte zu be-
suchen. An der Bahnstation bekam sie so starke Angst, daB sie das Klosett aul-
suchen muBte. Sie stieg dann in den Zug, bekam wieder Angst, wollte aber im Zug da-
Klosett nicht aufsuchen, sondern wollte warten, bis sie in der Wohnung der Ver¬
wandten ware. In der Angst muBte sie ein Auto nehmen, um so schnell als moglich in
jene Wohnung zu gelangen.
18 . XI. 10 . H.: Sieht sich in der Innem Klinik und erwartet die arztliche Visite.
Vor dieser hatte sie stets Angst, bekam dann regelmaBig Durchfall und hatte Muhe,
so schnell fertig zu werden, daB sie wieder ins Bett kommen konnte, bis die Arzte er-
schienen. Jetzt durchlebte sie die Szene, wie sie die Ture verriegelt hatte, der Arzt klopft
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MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE.
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an, die Ture war noch vcrschlossen, sie muBte erst offncn und dann wieder ins Bett
eilen. Sie durchlebt die Szene deutlich wicder mit Angst. — H.: Sieht sich im Friihjahr
1910 zu Hause im Theater in dcr Vorstellung vom Grafen von Luxemburg. Es war ihr
dort so miserabel, daB sie vom Stuck gar nichts mehr weiB. Jetzt durchlebt sie die Szene
wieder, wie sie Angst hatte, verschwinden inuBte und wie es ihr dann nach dein Stuhl-
gang wieder besser w r ar.' H.: Sieht sich auf einem Spaziergang mit der Schwestcr und
einem Verw'andten. Sie gehen nach einem Ausflugsort. Zu diesem ging sie nie gcrne,
wcil sie einmal in der Angst unterwegs umkehren muBte. Jetzt hat sie wieder Angst,
sie lief unterwegs weg zu einer Freundin und wartete dort ab, bis die Schwester und der
Verwandte wieder zuruckkehrten. H.: Sieht sich in einem Konzert im Oktober 1909.
Es iiberfiel sie wieder Angst, sie hort das betreffende Lied, das damals gesungen wurde,
wdeder gerade so schlecht singen und lief fort. Schon vor dem Konzert habe sie Angst
gehabt und bald nach Beginn sei sie davon gelaufen. Stets habe sie sich, wenn
Angst aufgetreten sei, angestrengt, diese niederzukampfen, zu ver-
drangen.
19 . XI. 10 . H.: Schlaft mit Angst ein und sieht sich vor 7 Jahren in einem Garten-
konzert, hort, wie das Waldhom geblasen wird, hat Angst und Leibschmerzen, sie will
den Abort aufsuchen, dieser befindet sich aber mitten im Garten, da wiirden sie allc
Leute sehen, das will sie nicht. So unterdruckte sie zunachst die Angst und die Be-
schwerden. Dann ging sie heim und blieb zu Hause. An all diese Szenen habe sie nie
mehr gedacht. H.: Sieht sich vor 3 Jahren auf einem Volksfest in der Nachbarschaft.
Sieht sich dort im Zimmer sitzen, es ist voller Menschen, sie bekommt Angst, sucht das
Klosett auf, dieses ist zu schmutzig, sie geht in die Nachbarschaft in ein Privathaus.
Es wird ihr bewuBt, daB sich diese Szene 3mal an jenem Nachmittag wicderholte.
Jetzt durchlebt sie die Szene nur einmal. Stets empfindet sie starke Angst und Be-
klemmungsgefuhle, dabei sei es ihr im Leib so komisch. H.: Sieht sich vor 6 Jahren
auf dem Heimweg von einem Spaziergang mit einer Freundin. Sie sind weit weg von
einem Orte und gehen zwischen Wiesen, wo weder ein Baum, noch ein Strauch sich be¬
findet. Da empfindet sie Leibschmerzen, sie sollte ein Bedurfnis verrichten. Nun ist
sie weit weg von jeder Zuflucht. Sie bekommt Angst, eilt nach Hause und wie sie nach
Hause kommt, findet sie das Haus verschlossen und einen Zettel an der Ture: die Eltern
waren ausgegangen in ein Gartenlokal. Sie ging dorthin, genierte sich aber, erst das
Klosett aufzusuchen und hatte Angst. SchlieBlich ging sie doch, weil die Leibschmerzen
noch starker wurden; sie hatte Diarrhoc. Sie ging dann nach Hause, da war die Angst
weg, verspiirte aber noch eine Zeitlang Stuhldrang. Bald danach war aber alles vorbei.
Friiher habe sie gemeint, die Leibschmerzen kamen, wenn sie sich erhitzt hatte, denn
urspriinglich habe sie dabei keine Angst gehabt. Wahrend eines langern Aufenthaltes
in England vor 2 Jahren hatte sie g^r keine Beschwerden. Als sie von dort wieder nach
Hause gekommeii war, ging Patientin ofters nicht aus, weil sie meinte, sie habe eine
Darmstorung. Ging sie dann ein kurzes Stuck auf dcr StraBe, dann kam die Angst und
dann Stuhldrang. So war es jetzt vor 3 Jahren. H.: Patientin sieht sich vor 3 Jahren
in Berlin bei Kempinski. Sie bekommt Angst und Leibschmerzen, sucht sich zu beherr-
schen, unterdriickt die Angst, sie geht dann doch zum Klosett, eine Verwandte begleitet
sie dorthin, sie kchrt zuriick und bleibt dann angstfrei.
21 . XI. 10 . Unter groBer Angst durchlebt Patientin jetzt die Szene wieder,
auf die sie ihren Zustand zuriickfuhrt. Es war im Oktober vor 8 Jahren. Sie hatte eine
Art Fischvergiftung. Am Abend ging sie in ein Konzert, da wurde es ihr schlecht, sie
muBte hinaus, es wurde ihr schlechter und schlechter, sie ging 3 oder 4mal heraus und
immer wieder in den Saal. Es wurde ihr immer schlechter und ganz schwarz vor den
Augen. Sie hatte dann eine entsetziiche Nacht, die furchtbarste, die sie je hatte, furchter-
liche Diarrhoe. Fast die ganze Nacht muflte sie auf dem Abort zubringen, die Beine
trugen sie nicht mehr, sie zitterte ajn ganzen Korper. Sie weigerte sich, den Arzt rufen
zu lassen. Sie war 14 Tage krank und hatte in dieser Zeit 14 Pfund abgenommen. Jedes-
mal, wenn sie in diesen Tagen aus dem Klosett herausging, hatte sie Angstgefuhle. An
diese Szene habe sie ofters denken mussen und in ihr die Ursache ihres Zustandes gesucht.
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344 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jon ™ 1
Krankenbeobachtung und Experiment, als Selbst- oder Fremdexperiment, letzteres
wieder entweder im natiirlichen oder im suggerierten Schlaf. Im Grunde laufen
alle Methoden auf Selbstbcobachtung hinaus. Gleichwohl wurde die iibliche Art
der Selbstbcobachtung wiederholt kritisch angefeindet, weil wir Traume nicht nach
dem unmittelbaren Erlebnis, sondern nur nach dem reproduzierten Bilde beschreiben
konnen. Diese doppelte Transformierung, erstens Reproduktion des Traumes im
Erinnerungsbilde, zweitens t-bersetzung der fast rein optischen Erlebnisse in die
Elemente der Sprache, birgt Fehler in gefahrlicher Menge. So lange aber Volk-
man ns VVunsch unerfiillt bleiben muB, die Traume in ihrer eigenen Sprache wieder-
zugeben, miissen wir die Berichte dariiber als Aquivalent betrachten, ahnlich me
mikrohistologische Bilder, welche auch nicht den urspriinglichen Zustand eines
Korpergewebes wiedergeben, trotzdem aber die Erforschung seiner Beziehungen
gestatten, wenn reale Vergleichsbilder nach denselben oder ahnlichen Methoden
angefertigt wurden. Die Haupteinwande (Delboeuf) betreffen die sprachliche
Wiedergabe, welche unwillkiirlich dazu verleite, die Bilderserien der Traume, deren
Folge in Wirklichkeit durch ganz andere Ursachen bestimmt werde, durch logische
Gedankengange zu verbinden. Der Einwand ist durchaus berechtigt, und Beispiele
fiir solch logisch entwickelte literarisch gedachte Traumdarstellungen enthalt be-
sonders die altere Literatur in Hiille und Fiille. Nach Goblot und Lahusensind
Traume iiberhaupt nur wache Gedanken iiber ein halb unbewuBt erlebtes Sujet.
Gegen iibertriebene Skepsis dieser Art kann die vom Wachsein vielfach abweichende
Art der Traumerlebnisse (Heterogenitat), die haufig groBe Bestimmtheit ihrer Bilder
und die Gedankenarmut des eben erwachenden BewuBtseins (besonders falls noch
Schlaftrunkenheit fortbesteht) ins Feld gefiihrt werden. Deshalb sind Traume aJs
Erlebnisse von ahnlicher Realitat anzusehen als sie in der Erinnerung wieder-
erscheinen. In ihre Reproduktion freilich schleichen sich infolge der Assinnla*
tionstendenz des Wachseins Fehler genug ein, welche sich aber vermeiden lassen,
wenn man nur solche Traume verwertet, die unmittelbar nach ihrem Ablauf steno*
graphisch aufgezeichnet wurden. Maurys Rat, sich wiederholt in der Nacht
wecken zu lassen, empfiehlt sich schon deshalb nicht, weil alsdann der spontane
Ablauf von Traumen unterbrochen wird. Voids Rat hingegen, die Traume erst
nach wiederholtem Durchdenken und eventuell erst nach der Morgentoilette auf-
zuzeichnen, wurde sekundare Entstellungen direkt begiinstigen.
Eine Summation dieser und anderer Fehlerquellen wird durch die Enquete
ermoglicht, besonders in der fast ausschlieBlich iiblichen Form der Umfrage nach
Fragebogen. Die verschiedenen Statistiken (Galton, Calkins, Sanctis, Stanley
Hall, Monroe, Weed Hallam, Heerwagen, Wynants, Francken) ergeben
daher in manchen Punkten, z. B. beziiglich sinnlicher Qualitat, Affektbeteiligung u.a
sehr groBe Differenzen. Tageserinnerungen an Traume sind eben — zumal bei
Ungeiibten — ziemlich unzuverlassig. Die statistische Methode als die objektive
zu bezeichnen (Vaschide), heiBt ihren Wert auf den Kopf stellen. Wesentlich zn-
verlassigere Antworten ergeben sich, wenn man sie nicht durch Umfrage, sondern
durch person liche Befragung jedes einzelnen erhalt; selbst dann erfolgen die Ant*
w T orten auf die vorgelegten Fragen recht oft unprazis und ungewiB.
Auch der dritte Forschungsweg, die Befragung von Nerven- oderHir 11 '
kranken iiber ihre Traume, fiihrt durch Selbstbeobachtung hindurch, kann aber
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Erg&nzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHER APIE. 345
bei vorsichtiger Verwertung eventuell wichtige Aufschliisse iiber einseitige Steige-
rung oder Ausfalle gewisser Traumbestandteile oder Vorgange liefem.
Die meistversprechende Methode ist zweifellos die des Experiments, so
wenig es auch bisher der Forderung entsprac.h, welche Wundt als unerlaBlich fur
jedes psychologische Experiment hinstellte, der willkiirlichen Abstufung der Ver-
suchsbedingungen resp. der Reize. Bei dem bis jetzt meist herangezogenen Selbst-
experiment (Schemer, Maury, Weygandt, Void) ist dies unmoglich. Kontroll-
fahiger ist das Fremdexperiment im natiirlichen Schlaf (Borner, de Sanctis,
Void), seine Bedingungen sind freilich nur bei schnell einwirkenden Reizen und
sofortigem Erwecken iibersehbar. Wirkliche Abstufung von Reiz und Reizbedingung
erlaubt nur das Experiment im suggerierten Schlaf. Es wiirde das ideale Forschungs-
mittel darstellen, wenn nicht seine Result ate nur mutatis mutandis verwertbar
waren; unmittelbare Selbstbeobachtung und Experiment miissen sich eben die
Hand reichen; im einzelnen muB sich die Methode nach dem jeweiligen Problem
richten (Johannes Muller).
II. Definition. Verschiedene Unklarheiten entspringen falscher Definition.
Trotzdem Traumerinnerungen nur Wiedergabe von Schlaferlebnissen sind, ist doch
nicht jeder BewuBtseinsinhalt eines Schlafenden ein Traum — wie Ellis und Void
definieren —, da einwirkende Reize haufig nur zu allmahlich klarer werdenden
Perzeptionen fiihren statt zum Traum. Man muB einfache Vorstufen des Er-
wachens vom Traum unterscheiden. Ein vollkommener Traum hat und fordert
vier Kardinalmomente: Halluzinatorische Qualitat, Erlebnischarakter, motorische
Hemmung und Selbstbefangenheit.
1. Traume treten mit sinnlicher Lebhaftigkeit, d. h. farbig, nicht en grisaille,
deutlich sichtbar und horbar, auf, stehen aber nach Qualitat, Intensitat, Detail-
scharfe und zeitlicher Konstanz hinter wirklichen Wahmehmungen zuriick, iiber-
treffen aber darin die wachen Erinnerungsbilder, denen sie vor allem nach Wechsel
und Wandelbarkeit gleichen: sie sind intensiv reaktivierte Erinnerungsbilder.
2. Traume sind nicht einfache Visionen oder Bilder, sondem, wie GieBler
besonders betonte, Selbsterlebnisse, sofem stets das Ich vom Anfang bis Ende da-
bei ist, entweder als Zuschauer oder — wie meistens — als Mitspieler. Ohne Ich-
Beteiligung bleiben sie Visionen, wie sie auch in ekstatischen Wachzustanden ge-
legentlich vorkommen und berichtet werden, z. B. von Cellini, der heiligen Therese,
dem heiligen Antonius, dem Abb6 de la Tour u. a.
3. Ein wesentliches Moment ist die motorische Hemmung, in welcher
sich der Traumende befindet, und welches Traume von ahnlichen deliriosen Zu-
standen unterscheidet. Diese Hemmung spiegelt sich in vielen Traumen wieder;
erstens als Hemmungstraum, z. B. das Gefiihl der Lahmung bei Verfolgung durch
Rauber oder Raubtiere, oder das Nicht-von-der-Stelle-Kommen, wenn wir einen
Eisenbahnzug erreichen wollen; zweitens als Verzogerung vieler im Traum ge-
schehender Bewegungen, z. B. ermaBigen sich in Wirklichkeit schnelle Bewegungen
(Fhegen, Fallen, Explodieren, laufende Menschen) zu ziemlich tragen Vorgangen;
drittens im Mangel motorischer AuBerungen von Traumen, sofem Traume sehr selten
zu sprachlichen AuBerungen oder zu Handlungen fiihren (das gewohnliche Schlaf-
wandeln und Schlafsprechen ist in der Regel nicht abhangig von Traumen).
4. Viertes Merkmal ist die vollige Selbstbefangenheit oder Selbsttauschung,
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346 YERHANDIAJNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFr FOR
wodurch sich Traume von illusorischen Erlebnissen unterscheiden; gemeinsam ist
sie ihnen hingegen mit halluzinatorischen Psychosen, mit denen Traume ja oft ver-
glichen wurden. Traume sind also halluzinierte Erlebnisse bei motonscher
Hemmung und Selbstbefangenheit. Diese Definition unterscheidet Traume
von Ekstase, Vision und Delirium, beschrankt sie aber nicht ausschlieBlich auf den
Schlaf (hysterische Dammerzustande).
III. Bedingungen der Traume. Die natiirlichen Bedingungen zum
Emporwachsen von Traumen sind im Schlaf gegeben. Durch die sukzessiv und
ungleich einsetzende Schlafhemmung wird eine Spaltung der Rindenfunktionen er-
moglicht und eine relative t'bererregbarkeit der weniger gehemmten Rindenteile.
der sensorischen. Ob die Sinnlichkeit der Traumbilder auf einer wirklichen Erreg-
barkeitssteigerung dcr Sinnesfelder oder nur auf Ausloschung des iibrigen Bewuflt-
seins beruht, wie eine Kerzenflamme oder die Sterne nur nach geschwundenem
Sonnenlicht leuchten, ist auch experimentell schwer zu entscheiden; wahrschein-
lich sprechen beide Umstande mit. Die Steigerung der sinnlichen Qualitat laBt sich
experimentell schon beim suggerierten Einschlafen verfolgen, wie ich voriges Jahr
schon beschrieb. Die Traumzeiten sind im allgemeinen die Ubergange zwischen
Wachen und Tiefschlaf, und zwar, wie es scheint, nUr die Anstiegphasen der Schlaf-
kurve. Ob auch im Tiefschlaf getraumt wird, wie Forel und Vaschide behaupten.
laBt sich nicht entscheiden, da jedes schnelle Erwachen eine gewisse Zeit erfordert
welche vom Traum hurtig ausgefullt wird. Die Beobachtung, daB diejenigen
Menschen, welche behaupten, nie zu traumen, in der Regel tief schlafen und dad
hingegen die leisen Sehlafer am meisten traumen, spricht dafur, daB der tiefe Schlaf
traumlos ist. Eine zweite Bedingung zur Traumbildung wird durch eine personliche
Eigenschaft gegeben, welche als Anregbarkeit der Erinnerungsbilder be-
zeichnet werden kann. Lebhafte Traumer verfiigen meist fiber leicht ansprechbare
und bewegliche Erinnerungsbilder. Ein Mensch traumt im allgemeinen um
so mehr, je partieller, dissoziativer die Schlafhemmung eintritt, je
groBer die Anregbarkeit seiner Erinnerungsbilder und je groBer die
Summenachklingender Erregungen ist, je geringer aber die allgemeine
Schlaftiefe.
IV. Traum material. Die Traumelemente sind im Schlaf schwer zu be-
stimmen, weil in der Erinnerung sich Traumerlebnisse stets als psychische Einheit
reprasentieren. Traumrudimente lassen sich nur gelegentlich beobachten, hingegen
bietet das hypnagoge Stadium Gelegenheit zu Beobachtung und experimenteller
Erforschung der ersten Stufen. Gewohnliche hypnagoge Halluzinationen freilich
unterscheiden sich von fertig gebildeten Traumen durch folgende wesentlichen
Merkmale:
Hypnagoge Hallucinationen. Traume.
1. Visionen und Phoneme. Meist nur Y r isionen.
2. Impersonelle Visionen. Personliches Erlebnis.
3. Solitar und relativ einfach. Komplex, multipel.
4. Haufige Vcrbindung durch Be- durch Idee und Gefiihlswertc.
riihrungs-Assoziation.
5. Inaffektiv. Meist Affektbeteiligung.
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ErgapzQngsheft 1-
MEDIZINISCHE PSYCHOLOG1E UND PSYCHOTHER APIE. 347
Bei protahiertem Einschlafen komplettieren sich hypnagoge Visionen nicht
selten zu Traumen, indem sie sich durch Detailanreicherung zu Szenen ausgestalten,
und sich dann ein mehr oder weniger rudimeritares Ich hinzubildet. DaB schon
den hypnagogen Phantasmen eine Erregbarkeitssteigemng zugrunde liegt, lafit sich
beim suggerierten Einschlafen verfolgen (O. Vogt), wo erweckte Erinnerungsbilder
mit zunehmender Schlaftiefe (Dissoziation) an Farbigkeit und Detailreichtum zu-
nehmen. Allerdings nicht bei alien Menschen. Man muB diffus und dissoziiert Ein-
schlafende unterscheiden. Bei einigen triiben sich mit wachsender Miidigkeit auch
die Erinnerungsbilder (gleichmaBig wirkende Schlafhemmung, generalisiertes Ein¬
schlafen), bei anderer, besonders bei latent oder manifest Hysterischen, nimmt mit
steigender Schlafhemmung Sinnlichkeit und Reichtum eines Erinnerungsbildes zu,
natiirlich bis zu einer gewissen Grenze. Ahnliche Verhaltnisse liegen den groBen
personlichen Unterschieden in der Traumfahigkeit zugrunde. Durch Suggestion in
Vogts partiellem systematischen Wachsein lafit sich die Erregbarkeit der Sinnes-
felder sehr erheblich steigem. Versuche bei drei Hypnotisierten (einer Hysterica,
zwei Neurasthenikern) ergaben, daB im partiellen Schlaf sich die Empfind-
lichkeit gegen Licht um mehr als das Zehnfache, gegen Schall um etwa
das Dreifache, gegen Warme urns Sechsfache, gegen Geriiche urns Drei-
bis Fiinffache dem Wachsein gegeniiber steigern lieB. Genaueres uber
diese und die folgenden Versuche werde ich spater veroffentlichen. Im Schlaf kann
wahrscheinlich eine analoge Cberempfindlichkeit gegen zentrale Reize sich ent*
wickeln und so die Bildung lebhafter Erinnerungsbilder begiinstigen.
Auch die schon mehrfach ventilierte Frage, ob Traumbilder tatsachlich oder
nur scheinbar schneller als wache Erinnerungsbilder ablaufen, worauf
u. a. ein Traum Manchards und der bekannte von Gamier berichtete Traum
Napoleons hinweisen, lieB sich durch Versuche mit gewisser Wahrscheinlichkeit
entscheiden. Ich lieB verschiedene Personen sich erst im Wachen einfache Dinge
lebhaft vorstellen und registrierte die dazu notige Zeit: es waren durchschnittlich
2,5 Sekunden fur jedes Bild notig. Im hypnotischen Schlaf hingegen konnte ich
Reihen von konkreten Dingen so schnell als nur moglich hersagen, es wurden doch
stets komplette, lebhafte und nach dem Erwachen reproduzierbare Traumbilder
gebildet, in einer Zeit von durchschnittlich 0,3 Sekunden fiir jedes Bild. Das spricht
dafiir, daB auch im Traumschlaf eine gesteigerte Anregbarkeit der Erinnerungsbilder
besteht, den scheinbar so schnellen Ablauf und Wandel der Traumbilder erklarend.
Freuds Hypothese, daB die Traume deshalb so schnell ablaufen, weil sie nur langst
vorbereitete seelische Vorgange wiedergeben, wird dadurch entbehrlich. Die Er-
regungswege der Traumbilder sind freilich im Schlaf andere als im Wachsein, da
ja die im Wachsein benutzten Reizwege der Schlafsperrung verfalien.
V. Traumarbeit. Die im hypnagogen Stadium uns gelegentlich bewuBt
werdenden Urformationen von Traumbildem gestalten sich durch Verschmelzung
mit gewissen Vorstellungen zu bestimmten Traumgestalten, welche freilich infolge
der erleichterten Anregbarkeit auBerordentlich haufigen Metamorphosen unterliegen.
Die den Wandel bedingenden Zwischenglieder bleiben gewohnlich un bewuBt, so daB
ein scheinbar regelloser Wechsel der Traumbilder vorgetauscht wird. Da die das
Wachsein regulierende Kritik im Traum fehlt, konnen die unglaublichsten Ver-
schmelzungen verschiedenartiger Vorstellungen stattfinden; z. B. Verschmelzungen
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348 VERHANDLUNGEN I)ER INTERN. GKSELLSC HAFT FCR Journal f. Psycholupe
von Mensdi und Tier, Fbertragungen menschlicher Eigenschaften auf Tiere usw.
Der Dissoziationszustand des Schlafes erklart auch die Auflosung derjenigen groBen
Assoziationskomplexe, welche den Gang des wachen Denkens regulieren; so konnen
im Traum Vorstellungen gewisser Eigenschaften oder gewisser Gedanken zwischen
Menschen, Tieren oder Gegenstanden bin und her wandem, die Gedanken, welche
irgendeine Traumgestalt auBert, konnen gleichsam auBerhalb ihrer existieren. Bei*
spiele fur den auBerordentlichen Reichtum des Traumes an solchen dissoziativen oder
MiBbildungen liefert u. a. die Sprache des Traumes, die Traum-Phoneme, von welchen
bekanntlich Kraepelin iiber 200 interessante Beispiele gesammelt hat.
Trotz der Fliichtigkeit und Veranderlichkeit der Bindungen zwischen den Traum-
bestandteilen werden die meisten Traume nach gewissen Regeln ausgebaut: Nach
Bildung irgendeines Erinnerungskomplexes wird das Ich und die Ich-Beziehungen
hergestellt, wobei das Traum-Ich dem wachen gegeniiber stets mehr oder weniger
fragmentarisch bleibt, meist aus optischen und affektiven Momenten gebildet.
wahrend nach meiner Beobachtung kiniisthetische Elemente zuriicktreten. Dann
wird der Traum weiter zum lebendigen Erlebnis ausgestaltet, das Milieu geschaffen.
spezialisiert und detailliert, Traumbestandteile oder Teilnehmer geraten in Bew T egung.
Wiinsche oder Furcht regen sich, Widerstande, Hemmungen treten auf oder es
finden Erfiillungen statt und schlieBlich geht der Traum in das Wachsein fiber.
Der Traum steilt also eine fortschreitende Erweiterung und Entfaltung eines Be-
wuBtseins dar, eine besondere Modifikation des Erwachens. „Le reve e'est une
forme de reveil!“ (Goblot).
VI. Beziehungen zum Wachsein. Die Darstellung der Traumbestand¬
teile geschieht im allgemeinen nach ihrem Interesse (psychischer Wert nach
Striimpell). Weriger interessierende Dinge bleiben halbklar oder unklar. Gleich-
wohl richtet sich die Beziehung zum Wachsein nicht ausschlieBlich nach dem
Interesse. Schon Burdach bemerkte: Nie wiederholt sich im Leben des Traumes
das Leben des Tages mit seinen Anstrengungen und Geniissen; urd so wurde schon
mehrfach bestatigt, daB die uns am tiefsten beriihrenden Schicksale gewohnlich
nicht im Traum verarbeitet werden, wie ich an mir, an Freunden und an Schwer-
verletzten wiederholt festgestellt habe. Auch Verbrecher traumen selten von ihren
Verbrechen (Sanctis, Nacke). Entscheidende Lebensereignisse pflegen erst nach
einer gewissen, haufig mehrmonatigen Latenz im Traume zu erscheinen, — ,,nach-
dem das Wachsein mit ihnen fertig ist,“ sagt Freud. Der physiologische Grund
ist der, daB im Schlaf die Wachseinsvorgange um so mehr gehemmt sind, je aktiver
sie waren. Am haufigsten werden die kleinen Interessen unseres Lebens oder Schick¬
sale von mittlerem Interesse behandelt, wenigstens bei Erwachsenen und mehr
intellektuell differenzierten Menschen, einfache Naturen und Affekt-Menschen
machen eine Ausnahme; besonders Kinder traumen stets von Tagesinteressen.
VII. Besondere Eigenschaften. Mit der Fundamentaltatsache, daB im
Traume stets irgendwie gefxihlsbetonte Vorstellungen auftreten, mit dem Primat
des Gefiihls, in Widerspruch zu stehen scheint die bei Traumerlebnissen so haufig
zu beobachtende Affektlosigkeit. Kein Erstaunen oder Dberraschung bei den
merkwiirdigsten Dingen, keine Reue oder Scham bei den grculichsten Vergehen,
keine Todesangst bei den schrecklichsten Strafen, die uns erwarten. Dieser Wider¬
spruch ist ein scheinbarer, da der Affektanteil der betreffenden Vorstellungen uns
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Erg&nzupgsheft 1.
MEDIZINiSCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 349
nur nicht zum BewuBtsein kommt infolge der besonders fiir Affektvorgange be-
stehenden Schlafliemmung. DaB dabei die physiologisch-vasomotorischen Begleit-
erscheinungen der Gefiihlsvorgange fortbestehen konnen, haben Brodmanns Ver-
suche gelehrt. Die Affektregung bei den imaginaren Traumerlebnissen ist meist
richt groBer, als wenn wir die betreffenden Vorgange uns im Wachen etwa imagi-
nierten. Die Fundamentalrolle des Affektes als eigentlichen Traummotor betont
zu haben ist Freuds Verdienst, sein Fehler die einseitige Oberspannung seiner
Hypothese zur Wunschtheorie.
Auch die Lehre, daB Traume Wunsch oder Furcht darstellen, ist schon uralt. *
In Wirklichkeit nimmt der Wunschgehalt der Traume um so mehr ab, je weiter
sich der Mensch vom Kinde entfemt. Aus der Erfahrung laBt sich nur ein Teil
der Traume als Wunschdarstellung oder Wunscherfiillung erkennen.
Auch eine andere Traumtheorie, die Aristotelische, daB Traume von peri-
pheren Reizen herriihren, ist zu Unrecht — namentlich von Wundt — generali-
siert worden. Jeder den Schlafenden treffende Reiz kann dreierlei Reaktion be-
wirken; entweder motorische (Abwehrbewegungen), oder sensorische (Traume), oder
eine generalisierte Reaktion: das Erwachen. Der oneirogene Effekt eines Reizes
hangt von dem Individuum, von der Schlafphase, von der Art, Starke und Dauer
des Reizes ab. Die traumbegiinstigenden Momente sind relativ selten beieinander;
eigene und fremde Versuche haben mir wenigstens ergeben, daB nur ein kleiner Teil
der applizierten Reize adaquate Traume hervorruft; am haufigsten noch werden
Schmerz- und Druckreize mit Traumen beantwortet, und zwar werden sie gewohn-
lich iibertrieben motiviert. Die Erklarung fiir diese haufigen Traumhyperbeln ist
ebenfalls in dem eigentiimlichen Hemmungszustand des Schlafenden zu suchen.
Der haufigste Traummotor von alien Gefiihlen ist die Angst. Man kann un-
gefahr sagen, daB vielleicht ein Drittel aller Traume das Thema Angst motivieren,
besonders haufig bei Frauen und Kindem, noch haufiger bei den Traumen Nervoser.
Der Grund ist der, daB der Schlafzustand selbst die Entstehung der Angst begriindet,
sofort im Schlaf eine Reduktion vitaler Funktionen und eine motorische Hemmung
besteht, ein Zustand, der gewissermaBen selbst ein Aquivalent der Angst be-
deutet. DaB diese Traumangst nur eine Konversion unerfiillter sexueller Wiinsche
darstellt, ist eine willkiirliche Hypothese Freuds. Beachtenswert ist, daB gprade
der Angstzustand besonders haufig durch Verlegenheit oder Bedrangnis erregende
Situationen symbolisiert wird, z. B. Zuspatkommen, enge Gange, schmale gefahr-
liche Wege usw. Hingegen stimme ich freudig Ellis darin bei, daB auBere Reize
fiir die Traume nicht die Bedeutung haben, welche ihnen von manchen Seiten bei-
gelegt werden. Besonders auffallend ist z. B., daB bei den zahlreichen Schlafkuren-
versuchen Kohlschiittersu. a. Traume als Effekte der Weckreize nicht gemeldet
wurden. Auch die Experimente von Maury, Weygandt, Void ergeben nur in
relativ kleiner Zahl eindeutige Zusammenhange. Ein anderer Teil kann als ep-
hypnotische Traumwirkung erklart werden. Wenn wir z. B. traumen, daB ein Feind
uns auf der Brust kniet und wir nach dem Erwachen noch Druck auf der Bnist
fiihlen, so kann das Druckgefiihl ebensogut Ursache als Wirkung des Traumes sein.
Sexuelle Reize als Urheber von Traumen spielen zweifellos eine erhebliche Rolle;
aber nur in derselben Relation, in welcher die wache Gedankenwelt durch sexuelle
Begierden oder Besorgnisse beherrscht wird. Und dieser Anted ist naturlich nach
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350 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FCR Journal f. Psycbolofi*
Individual und Lebensalter auBerordentlich verschieden. Sexuelle Traume sind
nacli meiner Erfahrung und Feststellung stets eindeutig und unmittelbar erkenn-
bar und, im Gegensatz z. B.zu den Angsttraumen, nicht symbolisiert. DieDeutungen
ScherncrS und Freuds sind groBtenteils Phantasiedeutungen. Sexuelle In-
teressen oder Erlebnisse treten in vielen Traumen voriibergehend episodisch aul.
Freud begelit dann den Fehler. die gesamte Traumserie nach diesem einen Motiv
zu deuten.
Im ganzen zogere auch ich nicht, die Traume als hochst kompiizierte und
interessante Manifeste einer partiellen Hirnrindentatigkeit unter den abweichenden
Bedingungen der Schlafhemmung anzusehen. Ihre Deutbarkeit muB ais Ziel der
Forschung hingcstellt werden. Vorlaufig lassen sie sich aber weder einseitig sen-
sualistisch noch einseitig sexuell deuten, denn ihre Ursachen sind mannigfaltige
und Anelfach deutbare. Es sind gefiihlsbetonte Nachklange des Wachseins, mei>t
Phantasien iiber wechselnde Interessen, manchmal Wiinsche, manchmal Reiz-
motivierungen. Ihre geheimnisreiche Mannigfaltigkeit wird sich niemals mit deni
beschninkten MaGstab einer einzigen Hypothese messen lassen.
Diskussion.
I. Die Methoden der Traumerforschung.
Jones spricht zu dem Punkt, den Herr Tromner angefuhrt hat, daB man die
Traume l>eim Frwachen notiercn miissc, weil sie sicher im weiteren Verlaufe durch
Falschungen der Trauminhaltc gcandert werden. Er gibt das Faktum zu, behauptet
aber auf Grund seiner Versuchc, dafl dasselbe fur die Traumforschung keine Bedeutung
hat; denn dieser Falschung liege ein Weiterarbeiten derselben Faktoren zugrunde.
welche den Traum iiherhaupt bedingen, namlich des latenten Trauminhaltes und der
Zensur, so daB die spateren Analvsen zum gleichen Grundresultate fuhren wie die
sofortigen.
Tromner. VVcnn wir die Psychologie der Traume studieren wollen, mussen wir
die Traume so konservicren, wie sic sind. Es ware das sonst gerade so, als wenn Sie
ein Gehirn allseitig studieren wollten, nachdem Sie es erst ein halbes Jahr in Alkohol
gelegt batten. Ebenso ist es wichtig fur die Psychologie derTraume, dieselben in frischem
Zustande zu reproduzieren.
Jones. Ich babe das ja get an.
,Trdmner. Sie sagen aber, daB es ohne Bedeutung ist, ob die Traume unmittelbar
oder ob sie nach ein paar Wochen notiert wiirden.
Semon. Ich glaube, die beiden Herren haben hier etwas Verschiedenes im Augc.
Herr Dr. Tromner legt Wert auf cine moglichst authentische Wiedergalie des Traume^,
wie er sich nun cinmal ihm dargestellt hat und ganz abgesehen davon, was etwa da-
hinter steckt. Er schreibt ihn deshalb sofort nieder, in der durchaus richtigen t'ber-
legung, daB eine solche sofortige Fixierung zuverlassiger ist als eine erst viel spater
crfolgende. Auf diesc Weise vermag er allerdings eine korrektere, weniger durch Nach-
lassen des Erinnerungsvermogens ,,verfalschte" Wiedergabe des Traumerlebnisscs zu
erzielen, als wenn er anders verfiihre. Nun wird ihm entgegengehalten, das alles sci
verlorene Liebesmiih. Denn es liege im Wesen des Traumes, dem Traumenden selbt
die eigentlich zugrunde liegenden Gedanken in einer eigentumlich symbolisierendcn,
umschreibcnden Form, sozusagen gefalscht vorzuspiegeln. Ganz abgesehen von drr
Frage, ob diesc Ansicht richtig ist, fiir die Beurteilung der Methode des Herrn Kollegen
Tromner erscheint sie mir bedeutungslos. Mag immerhin der uns bewufit werdende
Trauminhalt eine so raffiniertc l.'mschreibung oder, wenn man will, Falschung - sein
wie uns neuerdings so oft versichcrt, aber doch wohl noch kaum bewiesen worden is*t-
Auch eine solche angeblichc Falschung kann man korrekt oder man kann sie inkorrekt
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Gougle
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ErJ&nzungsheft 1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHER APIE. 35 I
wiedergeben. Der von Herrn Dr. Tromner eingeschlagene Weg bezweckt nun nichts
anderes als eine moglichst korrekte Wiedergabe dessen, was sich zunachst einmal als
BewuBtseinsmanifestation wahrend des Traumes darstellt, ganz abgesehen davon, was
eine weitere Deutung ctwa noch dahinter sucht und findet.
Klages. Wenn jemand meint, daB der Traum, der spater aufgeschrieben wird,
nicht gefalscht sei, gegeniiber dem Traum, der gleich aufgeschrieben worden ist, so
glaube ich, daB er dies nur meinen kann, wenn er dabei eine bestimmte Deutung des
Traumes voraussetzt. In bezug auf diese Deutung nur kann er diese unzweifelhafte
Falschung als Nichtfalschung bezeichnen.
II. Definition des Traumes und III. Bedingungen der Traume
rufen keine Diskussion hervor.
IV. Traummaterial.
Goldschmidt. Meine Herren! Ich muB um Entschuldigung bitten, daB ich als
(last das Wort ergreife. Ich mochte um Aufklarung uber ein Traumphanomen bitten,
iiber das ich merkwiirdigerweise hier nichts gehort habe.
Ein einziges Mai passierte es, daB ich einen Patienten hatte, der in gewissem
MaBe ein Doppelleben gefuhrt hat, im Traume also anderes wie im Wachen erlebte.
Und zwar hatten die Erlebnisse des Traumzustandes keine Verbindung mit denen des
Wachzustandes. Das Eigentiimliche daran war, daB im Traum eine Kontinuitat zwischen
einem und dem anderen Traume existierte. Er traumte nachts immer weiter an dem
Traum, den er in der vorigen Nacht getraumt hatte. Els ging das langere Zeit hindurch. Am
Tage hatte er keine Erinnerung an den Traum. Diese Wahrnehmung wurde von dem
Stubennachbar gemacht. Der Patient sprach im Traume, kampfte mit irgend welchen
Hindemissen, mit Fcinden usw., es war aber eine fortlaufende Kontinuitat zwischen
den einzelnen Nachten. Spater wurden noch andere pathologische Abnormitaten im
Wachzustande gefunden, aber nicht solche, welche eine Erklarung fur das Doppelleben
gegeben hatten. Vielleicht kann mir einer der Herren etwas Analoges anfiihren, wo-
durch eine Erklarung dieses eigentiimlichen Doppellebens moglich ware.
Forel. Es sind eine ganze Reihe solcher Falle beschrieben.
Seif. Das Problem des DoppelbewuBtseins im Wachen und im Traume ist kein
anderes Problem als das hysterische DoppelbewuBtsein, nur daB dort die veranderte
Person im Traume, hier im Dammerzustand auftritt. Was uns der Tag nicht erfiillt,
muB uns die Nacht erfiillen.
Tromner. Die Auffassung des Herrn Seif, daB wir im Traum anders als im
Wachen handeln und fiihlen, widerspricht den Freudschen Darstellungen selbst; denn
Freud und vor ihm schon Schopenhauer lehren, daB im Traum jeder seinem Cha-
rakter gemaB denkt und handelt.
Seif. Der hysterische Dammerzustand ist eine realisierte Darstellung der ver-
drangten Wunsche; ganz genau das gleiche ist der Traum beim normalen Menschen.
V. Traumarbeit.
Knauer berichtet iiber die von ihm eingehend studierten Mescalinwirkungen.
Tromner. Die Mitteilungen des Herrn Knauer sind von Wichtigkeit, weil in
der deutschen Literatur noch nichts iiber Mescalinwirkungen publiziert wurde.
Aus den Schilderungen Knauers scheint doch hervorzugehen, daB zwischen
Mescalin-Phantasien und hypnagogen Phantastnen einige Unterschiede bestehen, wahrend
jene wild gedrangt und chaotisch den Fieberphantasien oder sog. wilden Traumen
ahneln, sind hypnagoge Phantasmen im allgemeinen zwar oft dissoziiert, aber doch ruhig
und ziemlich vereinzelt; auch haptische Halluzinationen kommen dabei auBerst selten vor.
Bezuglich der Frage des Herrn Knauer, betreffend den EinfluB der peripheren
Reize sei auch dieses Moment Wundts sehr betont worden. T. habe bei seinen Unter-
suchungen entschieden einen EinfluB der peripheren Reize wahrgenommen; -er habe
beim Druck auf das Auge einen EinfluB auf die Traume konstatieren konnen.
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352 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal t Piyeholope
nnd Nearologie.
Knauer. Eine bcsondere BewuBtseinstrubung findet bei dem Mescalinrausch
nicht statt. Das einzige, was beziiglich des BewuBtseins sich sagen laBt, das ist die
eigenartige Kincngung ohne die geringste Triibung. Das ist schon etwas, was ihn von
den Fieberdclirien und anderen toxischen Delirien unterscheidet.
Was die peripheren Reize, die Herr Tromner crwahnt, spezieil den Druck aui
das Auge, betrifft, so sind diese in der Tat doch von groBem EinfluB. Man bringt viel-
fach das Halluzinieren in Gang durch Erzeugung eincs Druckbildes. Dabei haben \ur
eincn charakteristischcn Untcrschied des Druckbildes von der Vision.
Die Eigensc haft, daB die V ision stehen bleiben kann, unterscheidet sie von den
Druck- und Nachbildern. Hier z. B. aus einem Protokoll ein Beispiel, wo periphere
Bilder zusammen init zentralen Bildern auftraten.
,,Ich sehe eincn Altarschrein; in diesem ist ein grunes Licht, prachtvoll! Ich
bewege das Auge — das Licht wandert und der Schrein bleibt stehen." Das griine
Licht war ein Nachbild.
Akustischc Ulusionen treten wohl auf. W'ahrend des Aufschreibens der Sinnes-
tauschungcn hort cine Vcrsuchsperson aus dem Schreiben des Bleistiftes Husten heraus
und fragt: Hat>en Sic eben gehustet ? Das Gerausch der Zentralhcizung verdichtet sich
zu Glockenlauten. Dagcgen sind cchtc Stimmen nicht vorgekomraen.
Jedenfalls bestehen Bcziehungcn der Vergiftung zum optischen Apparat und
vielleicht auch zur taktilen Spharc.
de Montet. II serait intcrcssant d’etablir chaque fois I’intervalle chronologique
entre le moment ou une impression fut enregistrec et sa revocation dans le reve. Nou>
avons des raisons pour croirc que ces intervallcs ne sont pas quelconques, mais evident-
ment. ils se basent sur des lois compliquccs. J’en dirais autant des phenomenes design^
par M. Knauer commc ,,perseveration". Si on fixait avec le chronographe le retour
rhythmique de certaines images, on pourrait etablir, si oui ou non il repond a un rhytlime
regulicr. J’aimerais insister sur la valeur dc la notation chronographique, d’autant
plus qu’elle va de pair avec la notation st6nographique. Je ne sais pas, si Monsieur
Tromner ou M. Knauer ont recueilli des experiences dans cette direction.
VI. Beziehungen zum Wachsein.
Vogt. Ich kann im allgemeinen durchaus die von Herrn Tromner aufgestellten
Beziehungen zwischen Wachsein und Trauminhalt bestatigen. Herr Tromner hat
spezieil vollstandig recht, wenn er ausfiihrt, daB das aktuelle Wachsein hauptsachlich
der Schlafhemmung verfallt! Aber es gibt Ausnahmen. Es wird jeder erlebt haben,
daB dann, wenn ihn eine Bctatigung vor dem Schlafengehen zu intensiv in Anspruch
genommen hat, cr diese im Schlafe stundenlang fortsetzt. Hier verhindert die zu groBe
Erregung den Eintritt der Schlafhemmung. Diese Beobachtung scheint mir der Schlussel
fur die auch von Herrn Tromner erwahnte Tatsache zu sein, daB die Traume Hyste-
rischer und die der Kinder viel engcre Beziehungen zum aktuellen Wachsein haben.
Hvsterische und Kinder zeigen eine herabgesctzte Widerstandskraft gegen Gemub*
l>ewegungen. Gefiihlsbetonte Erlebnisse erfiillen deshalb ihr Wachsein langer, fuhren
zu intensiveren Erregungen und bedingen dadurch ein Ausbleiben der Schlathemmunt;
So verstehen wir, warum eine erwachsene Hvsterische die ganze Nacht nach einem
Automobilunfall von diesem traumt, wahrend cr im Traumleben ihres gesunden Be-
gleiters keine Rolle spielt. Dabei fiihrt die engere Beziehung zwdschen aktuellem Wach¬
sein und Trauminhalt bei Hysterischen und Kindem noch zu einer anderen, den bciden
genannten Kategoricn gemeinsamen Eigentiimlichkeit des Traumlebens: der Tendon/
zu somnambulen Traumen. Denn gerade diese reproduzieren am getreuesten die be-
miitsbewegungen der letzten Zeit.
Tromner. Als Ursache des Einflusses der geistigen Anstrengung auf den Traum¬
inhalt ist sowohl Erregungsnachwirkung als auch Ermiidung zu beriicksichtigen.
Vogt. Ich leugne ja gar nicht dabei das Erschopfungsmoment. Aber auch
affektbetonte Erlebnisse rufen doch dieses Erschopfungsmoment leichter hervor als
affektlose.
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Bd. 19,1912,
Krg ftnzangBheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 353
Trdmner. Diese Verkntipfung mit dem Wachsein, in dem die Traume eine Fort-
setzung des Wachseins bilden, scheint sich doch nur auf die Traume des flachen Schlafes
zu beziehen, wahrend die Traume des tiefen Schlafes weniger davon beriihrt werden.
Das wiirde zusammenstimmen mit dem, was Rousseau und andere angeben, daB
die Traume sich namlich um so mehr vom Wachsein unterscheiden, je tiefer der Schlaf
ist; je flacher der Schlaf, um so mehr finden sich die Beziehungen zum Wachsein.
Seif. Die Beziehung des Trauminhaltes zu dem des wachen BewuBtseins schcint
mir nach all den Ergebnissen, die ich aus meinen Analysen gewonnen habe, dieselbe,
die auch Freud angefiihrt hat, namlich, daB der Tag ein Stuck iibrig laBt, einen Wunsch,
den die Nacht dann erfiillt. Wir finden das regelmaBig in alien Traumen.
Herr Tromner sagt: ,,In spateren Lebensaltern stellt der Traum interessierende
Erlebnisse stets abweichend und bestandig ausweichend dar.“
Freud hat fur dieses Phanomen eine viel kurzere Benennung: Traumentstellung.
Er gibt aber auch die Grunde an, welche die Traumarbeit entstellen: die Verdichtung
und Verschiebung. Ubrigens will ich noch beifiigen, daB es ein Erlebnis des Vortages
ist, welches unter ZuschuB aus dem UnbewuBten traumbildend wirkt. Die Analyse
zeigt dies klar. Herr Trdmner sagt ferner, die Gegenstande der Traume des Erwach-
senen sind gewohnlich Nebeninteressen. Ich kann das gar nicht finden. Die Traume
behandeln sehr oft die der Person wichtigsten Interessen: die bedeutendsten Wen-
dungen in unserem Leben. Fur den oberflachlichen Betrachter oder den mit der ana-
lytischen Methode nicht tiefer Vertrauten konnte das Gegenteil richtig scheinen. Bei
tieferer Analyse erweisen sich aber die wichtigsten Vorkommnisse unseres Lebens im
Traume als die gewohnlichen.
Vor kurzem habe ich einen Traum analysiert, den ich zu veroffentlichen die Er-
laubnis habe. Die Patientin traumtc: „Alles kommt mir sehr unwirklich vor. Ich sehe
ein Ziindholz und darauf steht Ihr Kopf. Er macht den Eindruck, wie wenn er von
Holz ware." *
In diesem kurzen Traum sind alle zur Diskussion stehenden Probleme enthalten.
Der erste Einfall der Patientin bei der Analyse war der, daB sie sich mit 2 Personen
nach Tisch unterhielt. Der Mann hatte eine Zigarette angestcckt und das Ziindholz auf
den Tisch gelegt. Sie nimmt es und wirft es fiber die Altanc hinunter. Er macht einen
Scherz und sagt: ,,Das haben Sie nicht weit geworfen." Sie geht in das Zimmer, holt ein
zweites Ziindholz und versuchte es, weiter zu werfen. Das war das erste Stuck der Analyse.
Das zweite Stuck bezieht sich auf den Mann: ,,Ich kann ihn eigentlich nicht leiden;
er kommt mir so pedantisch vor, seine Art sich zu kleiden, sich zu tragen, seine Frisur,
wie ein Haar neben dem anderen liegt, langweilt mich. Ich bin auch pedantisch; im
letzten Sommer habe ich Monatc hindurch meine Schublade wieder eingerichtet" —
hier stockt die Sache. Ich frage (und zw r ar ist es das erstemal, wo ich eingreife): Was
fallt Ihnen zur Schublade ein?-,,Schirm — Regen — Schraube —
Herr Tromner sagt, die Assoziation sei regellos. Wir werden sehen, wie regellos
diese Assoziationen sind. Nun frage ich: Was fallt Ihnen zu Schirm ein? — ,,Regen —
Ge witter".
,,Ja richtig, da fallt mir etwas ein, w T as bedeutungsvoll gewesen ist. Sie erinnern
sich, ich habe sexuelle Beziehungen gehabt; namlich ein Mann wollte mich umarmen.
Es war in diesem Sommer die vierte sexuelle Beziehung, die ich hatte — friiher nie-
inals —, nun dieser Herr wollte mich geme verfiihren. Es kam zur Beruhrung, zu Kiissen.
Weiter ging er zunachst nicht. Eines Tages sagte ich zu ihm: ,,Wir wollen heute abend
um Mitternacht ein Rendezvous auf dem Turm des Schlosses haben."
Die Einfalle fiihren nun weiter und zwar an den nachsten Begriff Schraube an-
kniipfend. ,,Zur Schraube fallt mir Sternkarte ein." Sie hat eine Sternkarte gehabt
und da fehlte die Schraube. Zur Schraube fallt ihr weiter ein: Kerze. Sie ist mit einer
Kerze mit dem Mann auf den Turm gegangen. ,,Das ist gar nicht richtig. Es war ein
elektrisches Feuerzeug." Nun, was geschah auf dem Turm? Er wollte sich sexuell mit
ihr vereinigen. Und als er anfangen wollte, dies zu tun und sich auszuziehen, sich an
sie zu drticken, da wurde sie ganz unwirklich; sie w*ar gar nicht mehr da, fiel aus der
24 Journal fQr Psychologic und Neurologic. Bd. 19. ^ 1
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354 VERHANPLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR ^^Neurol^ 0 ^ 6
Situation, hattc cin fremdes Gefuhl, dasselbe Gefuhl wie im Traum. „Alles kam mir
so fremd vor," also ganz genau so, wie der Mann im Turme, der sie verfuhren will.
Dann steckt noch ein ganz infantiles Stuck dahinter, feraer noch ein Erlebnis aus dem
6. Jahr, wo sie ihren Bruder auffordert, einen Coitusversuch zu machen.
Ich mochte noch ein Stuck der Analyse hinzufugen. Dieses Problem des Ver-
fuhrenwollens spielt bei den samtlichen anderen Verhaltnissen ganz genau die gleiche
Rolle. Sie war die Aggressive, abcr im kritischen Moment versagte sie.
Ich habe noch ein Stuck der Analyse nachzuliefem: ,,Regen, Gewitter." An dem
Tage, als der Mann sie verfuhren wollte, sie aber nicht konnte, war sie an dem darauf-
folgenden Tage vollkommcn gehemmt und ..unwirklich", ,,gar nicht da". Am Montag
darauf geht sic spazieren und es kommt ein kolossales Gewitter und da ist sie wieder
erlost, ganz lcicht; so wie sic cine kolossale Naturgewalt auf sich wirken fuhlt, da wird
sie gut und weich. Wir sehen, wie das eine Verschiebung ist von einer Naturgewalt
durch die anderc. Also ich stehe im Traum an Stelle des Mannes, dem sie sich hingeben
wollte, des Bruders und an Stelle des Mannes mit dem Zundholz, das sie wegwarf. Er
ist verheiratet und sie hatte gar keine Beziehungen mit ihm. Aber wo eine Frau einen
Mann hat, muB sie den Mann fur sich bckommen.
Dazu kommen noch mehr Einfalle; sie gehen auf mich, meine Frau, Patienten.
Sie will mich verfuhren und dagegen schiitzt sie sich durch das Gefuhl der Unwirklich-
keit. Sie weicht aus.
Sie sehen, meine Herrenl Der Traum stellt sich ganz harmlos dar und behandelt
im Grunde doch die wichtigsten Probleme des Trieblebens des Madchens.
Tromner. Bei Kranken und Unfallverletztcn wurde beobachtet, daB noch nach
Monaten die Amputation nicht im Traume aufgctreten ist.
Nun, die von Herm Seif gegebene Erklarung des von ihm zitierten Traumes er-
kenne ich an. Nur mussen wir beachten, daB nicht alle Menschen so sind, wie die Trau-
merin, und daB auch nicht die Traumerin lauter solche Traume hatte. Ich bezweifle
nicht die Rolle des sexuellen Momentes im Traum, aber wir durfen nicht generalisieren.
Semon. Ich mochte an eine Bemerkung von Herm Dr. Tromner anknupfen.
Er sagt, im Fall des von Herm Seif zitierten Traumes liegen die Dinge klar und man
konnte einfach zu den Wurzeln des Traumes dringen; das scheint mir nicht der Fall
zu sein. Soweit ich die Darstellung verstanden habe, haben wir ein Zundholz, auf dem-
selben den Kopf des Arztes und dann das Gefuhl der Unwirklichkeit als Trauminhalt.
DaB der Vereinigung dieser drei Momente wirklich der komplizierte Mechanismus
zugrunde liegt, den Herr Seif aufgedeckt zu haben glaubt, davon haben seine Aus-
fiihrungen mich nicht iiberzeugt, wie ich genau wie andere die Deutungen Freuds und
seiner Schuler nicht als zwingend empfinde. Wenn man eine Patientin fragt: „Was
fallt Ihnen ein?" so wird sie eine Menge Sachen nennen, die in ihrem Leben eine Rolle
gespielt haben. DaB aber diese Einfalle zum Trauminhalt die von Herm Seif angenom-
mene Beziehung haben, scheint er mir in keiner Weise bewiesen zu haben.
Das ist natiirlich eine Sache des Gefiihls, ob jemand iiberzeugt ist, Oder nicht;
jedenfalls weiB ich nicht, ob Herr Tromner die Zusammenhange als so klar analysiert
ansieht, wie er es ausgesprochen hat. Im allgemeinen neigt er ja nicht dazu.
Trdmner. Ich halte die Erklarung des Herm Seif fur mdglich.
Semon. Aber Sie sind nicht von ihrer Richtigkeit direkt iiberzeugt.
Trdmner. Nein.
Seif. Der Analytiker steht dem Traum fremd gegenuber. Die Einfalle sind nicht
zufallig, sondern durch tiefere Momente bedingt. Das Zundholz ist im Traum mit einem
Affektmoment verbunden. Es liegen also tiefere Zusammenhange dem Trauminhalt
zugrunde.
Semon. Gerade die Benutzung dieser freien Einfalle halte ich fur sehr unzuver-
lassig. Die assoziativen Verkniipfungen sind so vielseitige, daB man sehr leicht Momente
in die Analyse hineinbringt, die mit dem Traume nichts zu tun haben.
Vogt. Dazu mochte ich mir eine Bemerkung erlauben. Ich habe auch im An-
schluB an Traume freie Assoziationen von Versuchspersonen machen lassen. Ich uber-
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Erg&niungiheft L
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 355
liefi aber dann der Versuchsperson, im Wachsein und im eingeengten BewuBtsein, die
Prufung, ob eine Beziehung zwischen dem Inhalt dieser Assoziationen und dem Traum-
inhalt bestand. Ich glaubte ofter den Faden gefunden zu haben, aber die Versuchs¬
person bestritt entschieden die Richtigkeit meiner Kausalkonstruktionen. Und andere
Male, wo ich aus den Assoziationen keine Beziehung erschlieBen konnte, decktc die Ver¬
suchsperson sie auf. Ich muB erklaren, daB ich von der Versuchsperson nicht akzeptierte
Traumdeutungen nie anerkennen werde, daB aber die Anerkennung durch die Versuchs¬
person auch noch nicht eine Deutung zur richtigcn macht. Man muB einmal im ein¬
geengten Bewufitsein die BewuBtseinsvorgange bei dem einfachstcn Assoziationsversuch,
einer Antwort auf ein Reizwort, analysiert haben, man muB sich davon iiberzeugt haben,
wie da schnell verschiedene Erinnerungsbilder im Dunkel des BewuBtseins vorbei-
huschen, um den auBerst schwerwiegenden Hinweis des Herrn Semon auf die groBe
Vielseitigkeit der assoziativen Verkniipf ungen zu wurdigen.
Ich will dabei gerne Freud und seinen Schiilern beistimmen, daB freie Assozia-
tionsreihen an und fur sich schr geeignet sind, um Einblicke in den BewuBtseinsinhalt
des einzelnen Menschen zu gewahren. Aber zwischen einer derartigen einfachen Fest-
stellung der in einem gegebenen Moment bei einem Menschen leicht ansprechbaren
Vorstellungen und den Kausalkonstruktionen der Freudianer liegt eine groBe Kluft.
Seif. Ich mochte Herrn Vogt darauf aufmerksam machen, daB die Schwierig-
keit der Feststellung der Dinge auf einem Moment beruht, das er nicht geniigend be-
achtet oder ubersehen hat, das von Freud aufgedeckte Moment des Widerstrebens,
die Tatsache, daB die Patienten gewisse peinliche Momente mit ungeheurer Kraft weg-
halten und nicht gerne eingestehen. Und Herrn Semon mochte ich erwidern, daB
man, wenn man Analysen macht, so ernst wie wir es tun, erstaunt ist, wie sehr alles
Psychische determiniert ist. Es ist merkwurdig, wie diesc zwanglos kommenden Ein-
falle untereinander auf das innigste zusammenhangen, genau wie beim zielgerichteten
Denken.
VII. Besondere Eigenschaften.
Seif. Nur zu einem Satze mochte ich noch sprechen: ,,Sexualtraume sind im
Gegensatz zu Reiz- und Angsttraumen nicht symbolisiert." Damit meint Herr Tromner
jene manifeste Wunscherfullung im Traum. Allein die sexuellen Traume sind in un-
gefahrem MaBe wie die anderen symbolisiert, und besonders eine Art, namlich die Angst-
traume, die — wie ich schon am gestrigen Tage ausfuhrte — aufs engste mit sexueller
Nichtbefriedigung zusammenhangen. Es kommen Einbrecher und sie konnen sich nicht
riihren oder sie wollen fortlaufen und jemand verfolgt sie. Hier sehen Sie wieder eine
Massensymbolisierung typischer Art. Angsttraume stellen auch Wunscherfullung dar;
sie ist aber so schlimm, daB die Person sie sich nur unter Angst leisten kann.
Trdmner. Verschiedene mir bekannte neurotische Frauen, welche auBerordent-
lich oft von Angsttraumen heimgesucht werden, fuhren ein in jeder Beziehung voll-
kommen norm ales Eheleben. Was die Neigung gewisser Traumdeuter zur Sexual-
deutung anlangt, mochte ich kurz ein Beispiel aus Schemers „Leben des Traumes"
vorlesen, welches trefflich zeigt, wie man einfach und kompliziert, naturlich und gesucht
deuten kann. Dieser Traum kann sexuelle Beziehungen haben, braucht es aber nicht.
Denn enge Gange, Hohlen u. dgl., welche wir im Traum durchkriechen, sind einfach
symbolische Darstellungen irgendeines Angstzustandes, der gerade im Traum auBer-
ordentlich haufig dargestellt wird, und zwar weil der physische Zustand des
Schlafes selbst einen Komplex von Hemmungszustanden darstellt und dementsprechend
Hemmungs- und Angstgefuhle besonders begiinstigt. Was wir der Freudschen Deu¬
tung zum Vorwurf machen, ist, daB sie einfache klinische oder psychologische Beziehungen
durch einseitige Hypothesen zu ersetzen trachtet, und daB sie dem sog. UnterbcwuBtsein
viel zu viel Raffinement und Scharfsinn in der Konstruktion seiner Traumsymbolik
zutraut und daB sie ihm alles mogliche in die Schuhe schiebt. Das arme UnterbewuBt-
sein freilich sagt nie ,,Nein", wie Freud selbst sagt, oder mit anderen Worten, das
UnterbewuBtsein laBt sich viel gefalien.
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356 VERHANOI.UNGFN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal f. Psyebolofit
und Neurologie.
B. Vortrage.
I.
OSCAR KOHNSTAMM, Der psychobiologische Standpunkt in der
Erkenntnistheorie.
Der Zweck dieser kurzen Ausfuhrungen soli sein, eineri Weg zu bezeichnen
auf welchem man von der ersten erkenntnistheoretischen Position zu dem System
der psychobiolog ischen Begriffe gelangt.
Primar besteht fiir das erkenntnistheoretische Subjekt ein Chaos der objek-
tivierbaren BewuBtseinscrlebnisse. Praktische Orientierung und naturwissenschafr-
liche Arbeit verwandelt dieses Chaos in die allgemein giiltige Ordnung der
jektiven Realitat“, welcher, wie wir a priori gewiB zu sein glauben, die — in mathe-
matischem Sinne — ahnliche metaphysische Realitat des ,,Dinges an sich“ ent-
spricht. So erhalt das Bild eines Stemes, den wir sehen, zuerst einen Platz am
Himmelsgewolbe und dann im astronomischen System.
Diese Belrachtung ist fast Gemeingut aller, die sich erkenntnistheoretisch
besinnen. Weniger allgemein ist die Erwagung, daB ein BewuBtseinserlebnis, \vic
die Vorstellung des Stcrnes, nicht nur aus dem Inhalt der Vorstellung besteht.
desscn Objektivitat zu der ,,objektiven Realitat“ des Stemes fiihrt, sondem auch
aus dem Erlebnis der Vorstellungstatigkeit. Deren Objektivierung aber fiihrt
zu der Vorstellung des sehenden Organismus und bei fortschreitender wissenschait-
licher Einsicht zu der immer mehr spezialisierten Vorstellung des sehenden Ge-
hirns. Hiermit erscheint das Sehen als eine Tatigkeitsform des Gehims, die sich
in Raum und Zeit abspielen muB. Sie ist also, wenn auch nicht als materiell im
Sinne des Materialismus, so doch als raumzeitlich im Sinne der neueren physika-
lischen Anschauungen zu bezeichnen. Sie unterscheidet sich von den raumzeit-
lichen Vorgangen der Physikochemie dadurch, daB sie ein Lebensvorgang ist, und
zwar ein Lebensvorgang, bei dem der ,,spezifisch psychobiologische Intensitats-
faktor“ so hochwertig ist, daB ein bewuBtes Erleben der eigenen Erregung zustande
kommt.
Das Erlebnis der Vorstellungstatigkeit des Stemes ist also gewissermaCen
das Rohprodukt, aus dem die Vorstellung des lebenden, sehenden Gehimes durch
Objektivierung hervorging. Diese erkenntnistheoretische Beziehung tritt fiir uns
auf der Stufe der rein erkenntnistheoretischen Betrachtung an die Stelle des psycho*
physischen Parallelismus. Es geht nicht einer materiellen Bewegung des Gehims
ein psychischer ProzeB parallel, sondem eine bestimmt geartete Lebenstiitigkeit
des Gehirnes ist das Sehen selbst. Das ist der ,,psychobiologische Identitatsstand*
punkt.“
Die auf Erkennung gerichtete Sehtatigkeit des Gehims ist eine Lebens-
tatigkeit, insofem optische Eindriicke in dem Akt des Sehens vom Organism^
zum Gegenstand der Reiz verwertung gemacht werden. Reizverwertung ist aber
der wichtigste unter den Grundcharakteren des Lebens. Optische Reizverwertung
bekundet sich auch im Pupillar- und in anderen optischen Reflexen, von welchen
das BewuBtsein nichts weiB. Das bewuBte optische Erkennen ist also eine optische
Reizverwertung, in welcher der ,,spezifische psychobiologische Intensitatsfaktor
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BD. 19,1912,
Ergftpzapgsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAP1E. 357
die zur BewuBtwerdung notige Hohe erreicht hat. Wir haben keinen Grund, an-
zunehmen, daB die raumzeitlichen Vorgange beim bewuBten und beim unbewuBten
Sehen sich wesentlich unterscheiden. Der Unterschied diirfte vielmehr in dem liegen,
was ich die Grade des psychobiologischen Intensitatsfaktors nenne, wozu Be-
teiligung oder Nichtbeteiligung hoherer Gehirnteile u. a. m. hinzukommt. Bio-
logisch ausgedriickt sind beides Reizverwertungen.
Aus dieser Darstellung geht hervor, daB ich zwischen Psyche und Bios keinen
prinzipiellen Unterschied anerkenne. Die psychobiologischen Grundcharaktere, wie
Reizverwertung, Mneme u. a. m. kennzeichnen gleichmaBig Psyche und Bios.
Psyche = Bios, Bios = Psyche. Es ist konventionell, aber wert, beibehalten zu
werden, daB man das Wort Psyche vorzugsweise fur gewisse kompliziertere Er-
scheinungsweisen des Bios beibehalt. Als Inbegriff derjenigen Geschehnisse, die
sich mit BewuBtsein verbinden, schlage ich das Wort praesentipsychisch vor, das
sich von der vortrefflichen Helm hoi tzschen Terminologie der Praesentia und
Praesentabilia ableitet. Die Praesentipsyche ist also ebenfalls Inbegriff eines raum-
zeitlichen Geschehens. Mit dem praesentipsychischen Vorgang, dessen Bedingungen:
Intensitatsfaktor usvv. biologisch - formulierbar sind, ist das BewuBtseins-
erlebnis empirisch gegeben. Das BewuBtsein in diesem Zusammenhang genommen,
ist das empirische BewuBtsein im Gegensatz zu dem erkenntnistheoretischen (trans-
zendentalen) BewuBtsein, von dem unsere Anfangsbetrachtung ausging.
Die Ratselhaftigkeit des empirischen BewuBtseins wird durch diese Be-
trachtung kaum gemildert. Der Biolog und Mediziner aber steht nunmehr den
Objekten der Psychologie als praesentipsychischen, d. h. raumzeitlichen Dingen
gegeniiber, und wenn er psychologische Ausdriicke gebraucht, so sind sie ihm nur
kurzer Ausdruck fur raumzeitliche Zustande und Zustandsanderungen des Gehims
und seiner Teile. Wahrend wir soeben die biologischen Grundtatsachen von unten
nach oben, von der unbewuBten zur bewuBten Stufe verfolgten, miissen wir, wenn
wir unvoreingenommen sind, umgekehrt zugeben, daB in Konsequenz der psycho¬
biologischen Grundbegriffe auch den niedersten Lebensvorgangen ein subjektives
Erleben der Erregungsvorgange, ein Interessiertsein an diesen, zugestanden werden
muB. Diese subjektiven Erlebnisse wiirden sich etwa in einer BewuBtseins form
abspielen, die wir uns vielleicht als , ,heteropsychisch“ nach Art der tiefhypnotischen
BewuBtseins form vorstellen diirfen. — Dieselbe Hypothese kame auch fur die im
UnbewuBten arbeitenden Spharen des menschlichen Nervensystems in Betracht.
Wir sind nunmehr auf der erkenntnistheoretischen Stufe des ,,biologischen
Subjekts“ angelangt. Dieses hat, wie ich zu sagen pflege, zwei Beine, zwei Arme,
Augen und Ohren. Mittels dieser Organe setzt es sich mit der Umwelt in Ver-
bindung, besonders in die Beziehung der Reizverwertung. Eine Speise ist fur das
biologische Subjekt Gegenstand des Zugreifenwollens, des Appetits, ein warmender
Korper wird — je nach den Verhaltnissen — gesucht oder gemieden, ein femes
Licht erscheint — je nachdem — als richtender Polarstem oder als wamender
Leuchtturm. Die Beziehung zu diesen Objekten ist motorischer oder vorstellungs-
maBiger Art. Sind die eben in Rede stehenden Lebensprozesse von praesenti-
psychischer Starke, so erfolgt die Konstruktion eines Stiickes zur AuBenwelt ganz
nach denselben Prinzipien, wie wenn es sich nur um das Ziel einer motorischen
Innervation handelte. Jedenfalls scheinen auf der Stufe des biologischen Subjekts
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35$ VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
Journal f. Psychologie
nnd Nenrologie.
die biologischen Kategorien, wie die der Reizverwertung angemessen und aus-
reichend, um die Beziehungen des Organismus zur In- und Umwelt in ihrem Wesens-
keme darzustellen.
Das in aller Ewigkeit unauflosbare Problem der im Praesentipsychischen sich
vollziehenden Umwandlung des biologischen in das vorstellende Subjekt braucht
vom psychobiologischen Standpunkte nicht von neuem aufgeworfen zu werden.
Auch die hochsten Leistungen des Menschengeistes entziehen sich nicht der
biologischen Subsumierung. Mathematische Naturwissenschaft ist Reizverwertung
auf der hochsten psychischen Stufe; die Gesetze der naturwissenschaftlichen Er-
kenntnis miissen als Ergebnisse vollendeter Reizverwertung oder Zwecktatigkeit
darstellbar sein. Und ahnlich miissen sich die allgemeinen und natiirlichen Gesetze
der Kunst aus denen der Ausdruckstatigkeit ableiten lassen.
So wird der psychobiologische Standpunkt zum Zentrum einer Weltauf-
fassung, die insofem dualistisch ist, als das Leben die geistige Ordnung des Un-
belebten vollzieht.
(Erscheint spater ausfuhrlich.)
Diskussion.
O. Vogt meint, daB Herr Kohnstamm ohne zwingenden Grund a priori darauf
verzichtet, in der niitzlichen Reaktion, der „ Reizverwertung" des Vortragenden, nur
etwas sekundar Erworbenes zu sehen.
Kohnstamm verteidigt seinen Standpunkt, der speziell auch fur die Psycho-
pathologen sehr fruchtbar sei.
II.
DUPRfi, Hyst6rie et Mythomanie.
(Ein Manuskript ist nicht eingegangen.)
III.
A. FOREL, Zur Einteilung der Nervenkrankheiten.*)
Verschiedene krasse Ubelstande stellen sich einer rationellen Einteilung der
Nervenkrankheiten bekanntlich entgegen und es ist wirklich an der Zeit, sich liber
die Sache Rechenschaft zu geben:
i. Der alte Dualismus zwischen Korper und Seele, der zwar schon langst
liberwunden sein sollte, jedoch selbst in dem Kopf mancher Psychiater, vieler
Neurologen und vieler Psychologen unter dem Titel Parallelismus, sei es aus Religio¬
sity, sei es aus Opportunitatsvorurteil, fortlebt.
Wir wissen aber doch heute, daB das alles Streit um Worte ist imd daB Ge-
hirntatigkeit und BewuBtseinserscheinungen auf einer und derselben Realitat be-
ruhen. Wcnn wir bei nicht corticaler (auch bei vieler corticalen) Nerventatigkeit
keine Introspektion direkt wahmehmen, beruht dieses durchaus nicht auf einem
prinzipiellen Unterschied, sondem nur auf unserm beschrankten bewuBten Asso-
!) Bei diesem und den folgenden Vortragen wurde von einer Diskussion wegen der
vorgeschrittenen Zeit abgesehen.
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Erg&nzungaheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 359
ziationsvermogen. Ich verweise hier kurz auf die grandlegende Arbeit unseres
verehrten Kollegen Professor Semon: ,,tJber die mnemischen Empfindungen.“
2. Ich bin voriges Jahr hier energisch gegen die auf Opportunist beruhende
Trennung zwischen Neurologie und Psychiatrie aufgetreten, eine Trennung, die
nur von einem verderblichen Schlendrian herriihrt und einerseits aus dem alten
Fakultatsstreit zwischen innerer Khnik und Psychiatrie, andererseits aus der
administrativen Trennung zwischen eingesperrten und nicht eingesperrten Gehim-
kranken hervorgegangen ist. Ich komme nicht darauf zuriick, betone aber, daB
diese ungliickselige Trennung die MiBverstandnisse des Dualismus bestandig ver-
mehrt und wieder in neuer Form auftreten laBt.
3. Die bekannte Sucht des Menschen und speziell der Autoren nach Neu-
benennung alter Begriffe, nach neuen Systemen und Hypothesen, welchen er seinen
neuen Namen beilegen will. (Dabei wird auf die Suggestion der augenblicklichen
Mode, die man an sich zu ziehen sucht, gerechnet.) Dadurch wird die argste Kon-
fusion gestiftet.
4. Die Hauptschwierigkeit liegt in der Sache selbst, namlich in der unge-
heueren Komphkation der Nervenleiden, in deren zahllosen tlbergangen und in
den MiBverstandnissen beziiglich ihrer Lokalisation, ihrer Bedeutung, ihrer Ur-
sachen usw.
Wenn wir ehrlich reformieren wollen, miissen wir vor allem objektive Klar-
heit auf Grand feststehender Tatsachen und Emingenschaften zu schaffen suchen.
Femer miissen wir alle nicht durchaus notwendigen Namen, ob griechisch, lateinisch
oder deutsch, vermeiden. Wir miissen vielmehr aus dem Wust der vorhandenen
Namen und der MiBdeutigkeiten vieler Ausdriicke alles Synonymische ausmerzen.
Hierfiir haben wir eine Nomenklaturkommission gewahlt, deren Aufgabe es ist,
diese Synonyme allmahlich festzustellen; ich will ihrer Arbeit keineswegs vor-
greifen. Ich mochte vielmehr im folgenden versuchen, die naturwissenschaftlichen
brauchbaren Gesichtspunkte, aus welchen man die Nervenkrankheiten einteilen
sollte, bei Ausmerzung alles Unnotigen, zusammenzustellen und dabei alles Hypo-
thetische, mit EinschluB modemster Modeliebhabereien, auszuschlieBen. Wer vor-
urteilsfrei die Tatsachen priift, wird mir gewiB zugeben miissen, wie verderblich,
nicht nur theoretisch, sondem auch praktisch und vor allem didaktisch die kiinst-
liche Trennung zwischen Neurologie und Psychiatrie wirken muB.
Erster Teil: Allgemeine Einteilungsgesichtspunkte.
A. Nach der Natur des Prozesses.
a) Von manchen Nervenleiden kennen wir pathologisch-anatomisch rein
nichts. Das Organ bleibt dabei entweder scheinbar makro- und mikroskopisch
ganz gesund, oder es treten erst nach langerer Dauer des Leidens gewisse atrophische
Erscheinungen des Gewebes auf, die ebensogut die Folge als die Ursache des Leidens
sein konnen (Epilepsie, Dementia praecox, Paranoia). Trotzdem kennen wir in
manchen Fallen wichtige Ursachen solcher Leiden wie blastophthorische Ein-
wirkungen auf das Keimplasma (Epilepsie), psychotraumatische Einwirkungen
(Zwangsvorstellungen, Phobien u. dgl. mehr). Wenn wir diese Grappe von Leiden
als funktionell bezeichnen, so heiBt das so viel als „bis auf weitere tiefere Er-
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360 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Journal f. Psychologie
und Neurologic.
kenntnis ihres Wesens und ihrer Ursache“. Solange wir aber nur mit Hypothesen
dienen konnen, um ihnen Bakterien, Toxine u. dgl. mehr als Wesenheit zuzu-
schreiben, miissen wir damit zuriickhalten und sie einfach unter der Gruppe ,,funk-
tionelle Leiden 44 unterbringen.
b) Organisch nennen wir umgekehrt die Gruppe von Nervenstorungen, bei
welchen nachgewiesenermaBen die Substanz des Nervengewebes von vornherein
leidet. Dieses Leiden kann aber ungeheuer verschiedener Natur sein, wodurch die
wichtigsten Untergruppen entstehen:
1. Voriibergehende Storungen des Gewebes, wie voriibergehende Intoxikationen
(Alkoholrausch, Morphiumrausch), voriibergehende Storungen des Gewebes nach
Uberanstrengungen und Inanition, voriibergehende, reparierbare Entziindungen usw.
2. Solche Gewebestorungen, die, sei es durch ihre Natur, sei es durch ihre
Dauer, nicht mehr ganz reparierbar sind, sondern schlieBliche bleibende Gewebe-
veranderungen hinterlassen; z. B. lang dauernde Intoxikationen (chronischer
Alkoholismus), syphilitische Leiden, stiirkere Entziindungen, Bakterien-Invasionen,
Toxinwirkungen u. dgl.
3. Gewebezerstorungen oder Neubildungen wie Metasyphilis, Sklerosen,
Apoplexien, Erweichungsherde, Tumoren usw. Hier, wie bei 2., kommt die grund-
legende Eigenschaft des Zentralnervensystems zur Geltung, nach der zerstorte
Neurone nicht wieder erzeugt werden, wahrend bei ganz peripheren (gangliosen
Nervenapparaten) unter Umstanden eine Wiederbildung stattfinden kann.
Es ist klar, daB dieses Einteilungsprinzip ungenugend ist, obwohl sehr wichtig.
Bei diesen Unterabteilungen muB dann noch stets dasjenige, was wir iiber die Art
des Prozesses kennen, zur Geltung kommen, wie z. B. die verschiedenen Arten
von Bakterien und Intoxikationen (Gicht, Syphilis-spirochaete, Alkohol, Blei,
Morphium usw.).
B. Nach demZeitpunkt der Entstehung des Lei dens in der organischen
Entwicklung des Menschen als Individuum und Rasse.
Hier haben wir drei Hauptgruppen zu unterscheiden:
a) Eigentlich erworbene Leiden, d. h. solche Leiden, die im erwachsenen
Alter bei vorher mehr oder weniger gesundem Organismus entstanden oder auch
in der Jugend entstehen, ohne die ontogenetische Entwicklung zu storen.
b) Embryonale, kongenitale und infantile Leiden, welche mit einer Storung
der Ontogenie einhergehen und vielfach von Storungen und Verletzungen des
Nervensystems bei der Geburt (Kinderlahmungen) stammen oder auf Meningitis
und Syphilis der Neugeborenen und auf alien moglichen sonstigen organischen,
manchmal auch auf schweren funktionellen Nervenleiden der Kindheit und auch
des Foetus beruhen. Ich nenne in letzter Hinsicht die Hebephrenie. Zu den Storun¬
gen der Ontogenie gehort im gewissen Sinne auch die senile Riickbildung.
c) Erbliche Leiden, die auf vererbten Abnormitaten der vaterlichen oder
mutterlichen Keimzelle, somit auf einer Storung der Phylogenie beruhen. Mit
einem Worte das groBe Kapitel der erblichen Anlagen und der erblichen Entartung.
Diese drei Kategorien kombinieren sich aufs mannigfaltigste untereinander.
Das, was ich Blastophthorie genannt habe, d. h. die Vergiftung der Keimzellen
in den Hoden oder im Eierstock des Keimtragers vor ihrer Konjugation bildet
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1 MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 361
einen (jbergang zvvischen der eigentlichen erblichen Anlage durch die Vorfahren
und der kongenitalen Gruppe. Neuerdings hat Dr. Bertholet in der pragnantesten
Weise nachgewiesen, wie bei ca. 97% der Alkoholiker das Hodengewebe samt den
Spermatozoen mehr cxier minder entartet ist. Diese Entartung laBt sich von der
viel geringeren senilen unterscheiden. Bertholet hat sie auch bereits im Eier-
stock der Trinkerinnen festgestellt.
Femer treten die meisten akut erworbenen Nervenleiden, speziell die funk-
tionellen, auf Grund einer bereits vorhandenen erblichen Anlage bekanntlich auf.
Es ist im konkreten Fall furchtbar schwer festzustellen, wieviel Erworbenes und
wjeviel Ererbtes dabei ist. Ebenso findet man andererseits unzahlige Obergange
zwischen kongenitalen, infantilen und erworbenen Leiden.
Nichtsdestoweniger ist dieses Einteilungsprinzip von grondlegender Wichtig-
keit fiir alle Nervenleiden, mogen sie Psychosen, Neurosen oder wie sie wollen
heiBen. Ich habe mich hieriiber in popularer Form in der Zukunft von Maximilian
Harden vom 6. und 13. Juli 1901 (die Faktoren des Ich) bereits vom allgemeinen
Gesichtspunkte aus geauBert.
C. Nach dem Verlauf des Prozesses.
Dieses Einteilungsprinzip deckt sich nicht ganz mit dem vorhergehenden,
weshalb ich es davon trenne. Eine Nervenstorung kann
a) akut voriibergehend,
b) mehr oder weniger lang chronisch und schlieBlich
c) lebenslanglich sein.
Zu den letzteren gehoren die bleibenden Defekte und die erblichen Anlagen.
D. Nach der Lokalisation.
Dieser Grundsatz gilt, soweit die Lokalisation iiberhaupt feststellbar ist.
somit vor allem bei der Gruppe Ab 3, zuweilen auch bei Bb usw.
Es gibt bekanntlich scheinbar ganz einfache Nervenstorungen, die subjektiv
durch Schmerzempfindungen, Parasthesien, Bewegungs- oder Sekretionsstorungen
oder vasomotorische Storungen charakterisiert sind, wie Kopfschmerzen, Kardialgie,
Stuhlverstopfung, Menstruationsstorungen usw., und deren Ursachen in bestimmten
Vorstellungen oder Affekten im GroBhirn liegen. Gerade solche Falle pflegen be¬
kanntlich bestandige MiBverstandnisse zwischen Psychiatem, Neurologen, innern
Klinikem, Gynakologen usw. hervorzurufen. Jeder beansprucht die Storungen fiir
sein Gebiet, weil der vom GroBhirn ausgeloste Nervenreiz diese oder jene periphere
Bahn zufallig einschlagt, und, je nachdem, einen lokalisierten Schmerz, einen
Muskelkrampf, eine Lahmung oder Hemmung oder gar eine Blutung hervorruft.
Dies gesagt, kann man vielleicht die wirkliche Lokalisation folgendermaBen ein
teilen:
a) Lokalisierte Formen:
1. Sympathicus und peripherer Nervenplexus, •
2. Periphere Nerven und Sinnesorgane,
3. Riickenmark mit Spinalganglien,
4. Verlangertes Mark,
5. Kleinhirn, Pons,
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362 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Journal f.Psycholoffie
6. Haubenregion, Thalamus, Corpora geniculata, Bulbus olfactorius usw.,
7. Corona radiata und Streifenhiigel, .
8. Cortex.
b) Diffuse Formen.
Dazu gehoren:
Allgemeine Infektionen und Entziindungen des Zentralnervensystems im
akuten oder chronischen Verlauf, wie gewisse Encephalitiden, Meningitiden, Typhus,
progressive Paralyse mit Tabes usw.
Auch dieses Einteilungsprinzip ist auBerordentlich relativ und miBlich, denn
die diffusen Leiden sind nicht ganz diffus, sondem nur ausgebreiteter lokal und
mehr interstitiell, und die Lokalisationen sind oft recht ausgedehnt. Bei den funk-
tionellen Storungen ist, wie gesagt, die Lokalisation sehr schwer oder oft gar nicht
festzustellen.
E. Die Syndrome oder Symptomkomplexe.
In der Nervenpathologie gibt es eine Reihe Syndrome, die auBerordentlich
charakteristisch sind, und die man, je nachdem, im wesentlichen bei sehr ver-
schiedenen Krankheiten wiederfindet. Es wiirde mich viel zu weit fiihren, hier
alle diese Symptomkomplexe erschopfend darzustellen. Ich glaube aber, daB in
einer richtig verstandenen Nervenpathologie die Aufstellung und die Unterscheidung
der Syndrome von grundlegender Wichtigkeit ist. Ich will hier nur einige Bei-
spiele anfuhren.
Die Schwermut oder psychische Depression (und ihr Gegensatz, die Exaltation)
ist z. B. ein Syndrom, das wir nicht nur beim manisch-depressiven Irresein, son¬
dem in verschiedenen andern Kombinationen bei Dementia praecox, bei sender
Entartung, bei Paralyse, bei Hysterie, sogar als sogenannte Charaktereigenschaft
bei konstitutionellen Psychosen (Gruppe Be) wiederfinden; es ist das Syndrom
der Hemmung der GroBhimtatigkeit. Ein weiteres Syndrom ist dasjenige der
Hysterie, d. h. der groBen Dissoziabilitat der GroBhimtatigkeit, auch die Syndrome
der Hypochondrie, der Zwangsvorstellungen, der Epilepsie (Krampfe mit Dammer-
zustand und Amnesie) finden wir bekanntlich bei ganz verschiedenen lokalen und
diffusen Krankheitsgruppen. Das gleiche gilt vom Syndrom der Neuralgie und
von demjenigen der Parasthesie und der Halluzination in den verschiedenen Nerven-
gebieten. Das Psychotrauma (Breuer und Freud) kann auch als Syndrom be-
trachtet werden, erzeugt aber seinerseits zahlreiche sekundare Symptome oder
Syndrome, die als Folgeerscheinungen zu betrachten sind. Das Syndrom des Ver-
folgtmgswahnes kann ebensogut bei erworbenen Leiden, wie als Erscheinung einer
erblichen Degeneration oder als Folge der Blastophthorie auftreten. Das gleiche
gilt aber auch von gewissen Sympathicusstorungen, von sogenannten Idiosyn-
krasien, von allerlei Reflexreaktionen, von der Dermographie usw.
Wir brauchen nicht abzuwarten, bis die genaue Ursache aller jener Erschei-
nungen wissenschaftlich feststeht, um eine bescheidene, rein beschreibende allge¬
meine Pathologie der Symptomkomplexe und einzelner Symptome nervoser Storun¬
gen aufzustellen, wobei man iiberall die offenen Fragen often laBt und sich wohl
hlitet, fertige Dogmen und fertige Spezies aufzustellen, die nur in der Phantasie
und in der Hypothesensucht dogmatisch schematisierender Autoren liegen.
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MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 363
Zweiter Teil: Spezielles.
Da der Sitz der Ursache nervoser Storungen durchaus nicht immer, ja zu-
meist gar nicht an der Stelle lokalisiert ist, wo objektiv und gar subjektiv ihre
Symptome wahrgenommen werden, ist, sagten wir, eine Einteilung nach der Loka-
lisation stets recht miBlich und bleibt relativ.
Da femer die nosogenetische Ursache jener Storungen vielfach noch vollig
unklar, mindestens ungemein kompliziert ist, — ich nenne nur die Kombination
von Vererbung der Anlage mit den Einwirkungen psychogener Ursachen, mit
Entwicklungshemmungen und Intoxikationen — ist jenes Einteilungsprinzip ebenso
miBlich.
Ebenso miBlich ist die pathologisch-anatomische Einteilung. Vielfach fehlt
uns hierfiir jeder nachweisbare ProzeB (rein funktionelle Storungen). Oder der
ProzeB ist voriibergehend und reparierbar. Oder aber wir finden pathologisch-anato¬
mische Veranderungen erst nach jahrelang dauemden funktionellen Storungen
(Epilepsie, Dementia praecox, Paranoia) und sind auBerstande, festzustellen, ob
das pathologisch - anatomisch Feststehende Ursache oder Wirkung und Residuum
der gestorten Funktion ist.
Solche Residuen sind femer nach recht verschiedenen Prozessen oft auBerst
ahnlich und kaum voneinander zu unterscheiden; so die sekundare Hirnatrophie
nach chronischem Alkohohsmus, nach senilen (arteriosklerotischen) Prozessen, nach
Dementia praecox usw.
Erst recht miBlich ist die symptomatologische Einteilung, da gleiche Syn¬
drome bei sehr verschiedenen Prozessen vorkommen.
Der Versuch Kraepelins, spezieller die sog. „Psychosen“ nach jahrelanger
Beobachtung ihres Verlaufes und Vergleichung jenes endgiiltigen-*Verlaufes mit
der Symptomatologie des Beginnes einzuteilen, war gewiB sehr verdienstvoll und
hat manches abgeklart. Aber auch dies versagt und hat nur relativen Wert. Die
verschiedenen Formen der Vesanien zeigen untereinander zahlreiche Ubergange,
die man nicht leugnen kann, ohne den Tatsachen Gewalt anzutun.
Es ist gar zu bequem, post hoc zu sagen: Dieser Fall ist vollig geheilt, ergo
gehort er zur manisch-depressiven Gmppe; jener andere ist nur mit Defekt ge¬
heilt oder ganz verblodet — ergo war es eine Dementia praecox. Ich habe
selbst eine langdauemde Manie mit durchdringender Klarheit (raisonnierende
Manie) behandelt. Nun versuchte ich leider nach Wolffs Empfehlung bei ihr
starke Morphiumdosen einige Tage lang. Siehe da. Sie verfiel im Lauf von wenigen
Tagen in totale Verwirrtheit und wurde von da an unheilbar dement — sekundare
Demenz nach alten Begriffen. Daraus zu schlieBen, es sei von vomherein eine
Dementia praecox und kein manisch-depressives Irresein gewesen, ware ein Fehl-
schlag. Der Begriff der Heilung mit Defekt zeigt alle Ubergange vom BISdsinn
bis zur Gesundheit. Bei gewissen Heilungen muB man kiinstlich tifteln, um ein
kleines Defektchen heraus zu theoretisieren und so fort.
Jeder Versuch einer Einteilung muB sich daher von allem Dogmatismus fei n-
halten und empirisch bleiben. Er muB femer bestandig die innige Zusammen-
gehorigkeit alles ,,Nervosen“ und „Psychischen“, alles „Subjektiven“ und ,,Ob-
jektiven", alles „Peripheren“ und „Zentralen“, alles „Lokalen“ und „Allgemeinen“
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364 VERHANDLl'NGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FCR Journal f. Psychologic
_ ________ und Neurologic.
fest im Auge behalten, und iiberall die Kombinationen und Obergange zeigen und
nachweisen.
Er muB endlich alle zweideutigen und vieldeutigen, unklaren, auf die ver-
schwommenen Anschauungen vieler Autoren beruhenden Ausdriicke wie Neur¬
asthenic, Psychoneurosen u. dgl. mehr vermeiden, um nicht iiberall Worte, statt
Begriffe zu schaffen. Von solchen Worten ist leider die Neuropathologie formlich
durchsetzt.
So bin ich der Ansicht, daB man eine gemischte Einteilung nach empirischer
Erfahrung versuchen soli und sich dabei gar nicht scheuen darf, die gleiche ,,Krank-
heit“ in verschiedenen Gruppen und die gleichen Syndrome bei verschiedenen
Krankheiten erscheinen zu lassen. Nur so kann man dem gekiinstelten Dogma
aus dem Wege gehen. Der folgende Versuch soil ja nicht als etwas Fertiges, son-
dem nur als eine illustrierende Skizze des Gesagten angesehen werden.
I. Mehr oder weniger lokalisierte substantielle Prozesse, deren ur-
sachlicher Sitz nachweisbar ist und die das Nervengewebe voriiber-
gehend oder dauernd nachweisbar verandern oder mechanisch be-
eintrachtigen.
Zum Beispiel:
a) Periphere Neuritis, Herpes zoster, Lepraneurome, Erkrankungen des
Opticus, des Acusticus und anderer Sinnesnerven. Quetschungen peripherer Nerven
(sensibel und motorisch). Menierescher Schwindel usw.
b) Nachweisbare (organische) Erkrankungen des Sympathicus und verwandter
peripherer ganglioser Zentren.
c) Alle lokalen, sogenannten organischen Erkrankungen des Riickenmarkes,
wie Myelitis, Poliomyelitis, Tuberkulose des Riickenmarkes, seine Verletzungen,
Tabes, Erkrankungen der Spinalganglien und des G. Gasseri, Tumoren, Meningitis
spinalis, Blutungen, Abscesse usw. usw.
d) Alle sogenannten organischen Erkrankungen des Kleinhirns und des Pons,
wie unter c.
e) Alle lokalen organischen Erkrankungen der Oblongata, des Isthmus, des
Thalamus, der Corpora geniculata usw. wie unter c. — Z. B. Bulbarparalyse, Tu¬
moren, Blutungen, Abscesse, Cysticerken usw.
f) Erkrankungen des Pes pedunculi, der Corpora striata und der Corona
radiata, insbesondere Blutungen, Erweichungen und Tumoren, im iibrigen wie
unter c, mit Ausnahme des Cortex.
g) Erkrankungen des Cortex cerebri, resp. seiner verschiedenen sogenannten
Zentren unter Beriicksichtigung der von Oscar Vogt und Brodmann festgestellten
besonderen Funktionen dienenden Provinzen. Hierher gehort die Lehre der Dys-
symbolien (sogenannten Aphasien), die Tumoren, Abscesse, Erweichungen, Gum-
mata, Verletzungen, Blutungen usw. usw. des Cortex, sofem sie mehr oder weniger
lokalisiert sind. Hierher gehort auch die wahre Jacksonsche Epilepsie.
h) Zerstorungsprozesse der direkten Umgebung des Nervensystems, sofern
sie dieses selhst in Mitleidenschaft ziehen: ,,Meningitiden, Pachymeningitiden,
Schadelexostosen, Schadelverletzungen, • Spondylitis, Storungen dcr Nervenfunk
tionen durch Erkrankung anderer Organe und Gewebe.“
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Erg&nzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGY UND PSYCHOTHERAPY. 365
i) Alle Druckerscheinungen und Reizerscheinungen des Nervengewebes, sei
cs durch Erkrankungen anderer benachbarter Organe, sei es durch solche anderer
Teile des Nervensystems. Hierher gehort der Druck auf periphere Nerven, auf
Riickenmark und Gehirn, sowohl durch Knochenbruch als durch Exsudat oder
durch Himtumor usw.
k) Alle lokalisierten Wirkungen von Intoxikationen des peripheren und zen-
tralen Nervensystems, wie Alkoholneuritis, Bleilahmung, Bleikolik usw.
l) Ubergangsgruppe der lokalen zu den allgemeinen Erkrankungen:
1. durch Ergriffensein verschiedener oder ausgedehnter Abteilungen des
Nervensy stems;
2. durch disseminierte Herde.
m) Die lokalisierten Erkrankungen des Nervensystems wahrend der Ontogenie
(kongenitale Gruppe).
Hierher gehoren alle angeborenen Hirnde.fekte, sowie alle die im Kindesalter
auftretenden Erkrankungsformen von a) bis 1 ), sofern sie bleibende Defekte hinter-
lassen. In der Tat, wenn beim Foetus oder beim Kind eine akute Erkrankung des
Nervensystems vollig repariert resp. geheilt wird, ist ihr Verlauf dem der gleichen
Krankheit beim Erwachsenen wenigstens sehr ahnlich. Wenn aber ein Residuum
als Defekt hinterbleibt, wird dadurch die ganze beziigliche Funktion in ihrer
weiteren Entwicklung ganz oder partiell gehemmt, was dem Krankheitsbild ein
eigenes Geprage gibt.
Beispiele:
Eine Hirnblutung zerstort beim Kind motorische Cortexteile. Die Folge ist
nicht nur eine bleibende Lahmung wie beim Erwachsenen, sondern ein Zuriick-
bleiben des ganzen Armes oder des ganzen Beines in der Entwicklung.
Zerstorung beider Netzhaute oder Labyrinthe des Erwachsenen erzeugen
Blindheit resp. Taubheit, aber die Gesichtsvorstellungen und ihr Raumbild resp.
die Symbolik der Lautsprache bleiben. Beide entarten oder verlieren sich,
wenn jene Zerstorungen das junge Kind treffen (angeb. Blindheit, Taubstummheit).
In ganz ahnlicher Weise unterscheiden sich die verschiedenen Formen des er-
worbenen Schwachsinns vom angeborenen. Alle kongenitalen resp. ersten Kind-
heitserkrankungen des Himgewebes verhindem die Erwerbung der beziiglichen
Funktionen, so daB die Symptome anders werden als wenn jene Funktionen bereits
vor der Erkrankung als Engrammkomplexe ins Gehirn ausgestrahlt und sich darin
fixiert hat ten.
Sehr lehrreich sind in dieser Beziehung die sexuellen Funktionen des Nerven¬
systems, je nachdem ihre Storungen kongenital resp. infantil sind oder nicht und
je nachdem die Sexualdriisen kongenital resp. infantil oder erst im erwachsenen
Zustand zerstort werden.
n) Die reine Blastophthorie (Keimvergiftung) bildet ferner einen Obergang
der erblichen zu den lokalisierten und nicht lokalisierten resp. infantilen Defekten.
In der Praxis fallt sie so ziemlich mit den:
o) erblichen Defekten mit Oder ohne nachweisbare Substanz-
erkrankung zusammen und bildet dadurch den Obergang zur III. Hauptgruppe
(siehe diese). Bei Balkenmangel, Mikrocephalie, Hydrocephalie, Epilepsie usw.
spielt die Blastophthorie eine groBe Rolle. Ebenso bei Hasenscharte und Zwerg-
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366 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Joa J 5 d Nearolotfl 0 * 16
wuchs. Ebenso aber bei ethischen und sonstigen Charakterdefekten ohne nachweis-
bare und lokale organische Unterlage im Gehirn.
II. Allgemeine oder diffuse substantielle Krankheitsprozesse mit
nachweisbarer (reparierbarer oder destrukti ver) Erkrankung des
Nervengewebes.
Ihrer Natur nach sind dies vor allem diffuse Erkrankungen des Zentralnerven-
systems.
a) Intoxikationen mit leicht resorbierbaren meist narkotischen Giften wie
Alkohol, Morphium, Chloral, Cocain, Ather, Haschisch, Kohlenoxyd, Leuchtgas usw.
1. Im akuten Verlauf Rausch, Gassopor (Kohlenoxyd, Leuchtgas) vollig
heilbar.
2. Bei wiederholtem GenuB in subchronischem Verlauf, so daB zwar emst-
liche, aber doch noch der Hauptsache nach reparierbare Storungen des Nerven¬
gewebes entstehen: Delirium tremens, Morphiumsucht u. dgl. mehr. Schwerere
Gasvergiftungen usw.
3. Im chronischen Verlauf mit bleibenden unheilbaren Residuen (durchaus
chronische Intoxikationen als alkoholische Demenz des Intellekts und des Willens
mit Cortexatrophie, Dementia alcoholico-senilis u. dgl. mehr.
b) Intoxikationen mit metallischen oder sonst schlecht resorbierbaren Giften.
So Bleiintoxikation, Quecksilberintoxikation, Pellagra u. dgl. m. (tlbergang zu
Gruppe I k).
Intoxikationen mit Toxinen, wie Gicht-, Typhus-, Influenza- usw. Psychosen
und Neurosen. Meist subakut oder chronisch, oft mit Residuen. Syphilis des
Nervensystems mit AusschluB der Metasyphilis.
d) Metasyphilis. Paralyse und Tabes, tJbergang zu Gruppe Ic und g.
e) Allgemeine Arteriosklerose oder senile Erkrankung des Nervensystems.
f) Disseminierte Sklerose.
g) Andere noch unklare diffuse Erkrankungen des Nervensystems.
h) Idiotismus, Schwachsinn, Kretinismus usw.
i) Kombinationen mit lokalisierten kongenital-infantilen Formen, sowie mit
erblichen und blastophthorischen Anlagen; ferner mit lokalisierten Storungen.
k) tlbergange zur III. Gruppe.
III. Neurosen, d. h. funktionelle Storungen, bei welchen eine orga¬
nische Ursache (Gewebsveranderung) nicht oder noch nicht geniigend
nachgewiesen ist.
Diese Formen sind, soweit nachweisbar, fast adle ,,psychogen*\ d. h. sie
werden durch funktionelle Ursachen (meist emotive Sturme) des Gehirns ausgelost,
wenn auch bei erblich veranlagtem oder sonst pradisponiertem Gewebe.
A. Mit lokalisierten Erscheinungen (lokalisierte Neurosen).
Kardialgien, Tenesmus, Neuralgien, Migranen (Kardialgien), funktionelle An-
asthesien, Hyperasthesien, Parasthesien, Halluzinationen.
Kinetiscbe Storungen als Lahmungen, Spasmen, Tics, choreatische Bewegun-
gen, Krampfe, chronische funktionelle Obstipation, Asthma nervosum, Enteritis
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Erg&nzungsheft 1.
MED1ZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 367
membranacea, Enuresis nocturna, Spinalirritation, Onanie, viele Formen der
Impotenz und voriibergehender sexueller Perversionen resp. Abnormitaten, Priapis-
mus, Vaginismus, Somnambulismus, Anorexie, funktionelle Verdauungsstorungen,
Storungen reflexer vasomotorischer und trophischer Natur (Seekrankheit, Dermo-
graphie, Warzenbildung), funktionelle Menstruationsstorungen (Metrorrhagie, Ame-
norrhoe, Dysmenorrhoe usw.).
Diese Gruppe bildet den Hauptbereich der Erfolge der suggestiven Therapie
und der MiBerfolge der inneren Medizin, die sie ebenso hartnackig in Anspruch
nimmt, als sie sie hartnackig verkennt und miBdeutet. Sie zeigt tJbergange zu
den beiden folgenden Gruppen (z. B. die Schlaflosigkeit) und kombiniert sich mannig-
faltig mit der Pathologie der erblichen Mneme resp. der erblichen Anlage und mit
der Blastophthorie des Nervensystems.
Charakteristisch fiir die Gruppe A ist, daB ihre Erscheinungen mehr oder
weniger peripher lokalisiert sind, wahrend ihre Ursache funktionell cerebral ist.
Daher ihre so gewohnliche MiBdeutung in der inneren Klinik, Chirurgie und Gyna-
kologie, wo man stets geneigt ist ,,Simulation“ anzunehmen da, w r o man nichts
,,Organisches“ findet, weil man die menschliche Psychologie nicht kennt und nicht
beachtet, wie der gleiche „Hypochonder“ oder ,,Hysteriker“, dessen Gejammer
man auf Simulation zuriickfuhrt, oft „heldenmutig u eine chirurgische Operation
ohne Narkose ertragt, weil er tatsachlich viel weniger danmter leidet als unter
seinen funktionellen Schmerzen.
tlbergangsformen, Schlaflosigkeit, Anorexie u. dgl. bilden vielfach
Ubergange zu den Gruppen B und C oder kombinieren sich mit denselben, weil
weniger lokalisiert.
B. Breuers psychotraumatische Neurosen.
Friiher nebelhaft gekannt. Erst von Breuer, dann von Freud und seiner
Schule naher definiert. Meist durch Angst, sexuelle Traumen, intensive Vor-
stellungen, wiederholte psychische Verletzungen in der Kindheit, aber auch spater,
jedoch stets bei psychopathischer erblicher Veranlagung erworben. Statt die Affekt-
wirkung durch normale Abreaktion zu beseitigen, wird umgekehrt die letztere ver-
drangt und die Affektwirkung nistet sich als tiefer, pathologischer Engramm-
komplex in das UnterbewuBte als sogenannter Komplex ein. Von da aus assoziiert
sich dieser affektive Komplex in verkehrter, pathologischer Weise mit lokalisierten
oder allgemeinen Symptomkomplexen, die bei entsprechend assoziierten Reizen
immer wiederkehren und weitere sekundare verkehrte Assoziationen eingehen, um
den peinlichen Gefiihlen auszuweichen.
Die typischsten Storungen dieser Art sind die Phobien und die Zwangs-
vorstellungen. Die erbliche Anlage, die zu ihrer psychogenen Erwerbung pradis-
poniert, ist die hysterische, d. h. die erbliche Anlage, leicht starke und dauemde
Dissoziationen der Himtatigkeit zu bilden, die man friiher Autosuggestionen und
heute nach Breuer und Freud Komplexverdrangungen nennt.
Aber auch sehr viele der unter A erwahnten Storungen, wie Spasmen, nervoses
Asthma,'Neuralgien, hysterische Anfalle, vor allem aber sexuelle Perversionen, wie
Homosexualitat und Algolagnie, femer schwerere, allgemeinere, mit dem auBeren
Bild von Psychosen verlaufende (in Wirklichkeit aber hysterische) Nervenkrank-
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368 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR
heiten sind psychogcnen Ursprunges resp. beruhen auf emotiv-psychotraumatischen
Ursachen.
Es ist im konkreten Fall oft sehr schwer zu unterscheiden, ob eine derartige
Erkrankung leichter funktioneller, schwerer psychotraumatischer oder noch schwerer
erblicher, blastophthorischer oder gar toxischer oder vesanischer Natur ist. Es
gibt eine Fiille von Obergangen und Kombinationen. Hier gilt vor allem: ,,Weg
mit Dogmen und Schulmeisterlehren, die auf unsicheren Hypothesen beruhen. 44
Hier heifit es individualisieren und untersuchen. Ein Homosexueller z. B. kann
ein unvollstandiger (auf sekundarc Sexualmerkmale beschrankter) Zwitter oder
ein rein erblicher oder blastophthorischer Psychopath oder ein durch Psychotrauma
oder in der Kindheit verdrangtes Erlebnis bedingter Psychotraumatiker sein usf.
Unsere Gruppe B bildet das groBe Feld der Erfolge Breuers kathartischer
Methode der Psychanalyse, von welcher ich die gewagten Einseitigkeiten, hypo-
thetischen Entgleisungen und dilettantischen Traumexegesen der Freudschen
Schule bis auf weiteres ausgeschlossen wissen mochte.
Neuere Autoren haben fur diese Gruppe das Wort Psychoneurosen an-
gewendet. Dieser Ausdruck wurde bereits von Griesinger fiir die Vesanien ge-
braucht und gibt daher zu MiBdeutungen AnlaB. Ferner sind sozusagen alle „Neu-
msen“ von der Neuralgie bis zur Dementia praecox ,,Psychoneurosen 44 .
Der Name Breuers psychotraumatische Neurosen scheint mir, deni Ent-
decker entsprechend, am richtigsten und gerechtesten.
C. Verallgemeinerte konstitutionelle zentrale, spezieller cerebrale
Neurosen mit schwererem Verlauf, aber ohne nachweisbare sub-
stantielle Ursache.
Es sind dies die psychopathischen Konstitutionen als solche. Sie
beruhen samt und sonders auf erblicher Anlage resp. Konstellation oder auf Blasto-
phthorie. Als solche sind unter anderem zu bezeichnen:
a) die hysterische Anlage zur Dissoziation;
b) die hypochondrische Anlage;
c) die melancholische Anlage (melancholisches Temperament);
d) die Impulsivitat;
e) der moralische Schwachsinn;
f) die angeborene Abulie (Willensschvvachsinn) (mit Impulsivitat oder mit
Apathie);
g) die erbliche Apathie mit Faulheit (lymphatisches Temperament);
h) die sogenannte neurasthenische reizbare Schwache (mit b verwandt);
i) die Pseudologia phantastica (mit a eng verwandt);
k) Eigenbeziehung (Anlage zur Paranoia);
l ) einseitige Defekte wie extremer Geiz, Verschwendungssucht, iibertriebene
Skrupeln (pathol. Altruismus), Griibelsucht, pathol. Kritizismus usw. usw., allerlei
Charakterschrullen usw., Ubergange zur Normalitat;
m) allgemeine intellektuelle Minderwertigkeit mit Urteilsschwache — Uber-
gang der Normalitat zum Schwachsinn;
n) einseitige Gberwertigkeiten mit Defekten in anderen Gebieten (patholo-
gische Genies).
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Bd. 19, 1912,
Ergftnzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 369
D. Erworbene, allgemeine, zentrale, spezieller cerebrale Neurosen
mit schwerem Verlauf, ohne nachweisbare organische Ursache, oft
jedoch mit residualer Substanzatrophie nach langjahrigem Verlauf.
Vesanien oder Geisteskrankheiten im engeren Sinn.
Hier ist die Bezeichnung der Alten allein am Platz, um aus der Konfusion
der Namengebung herauszutreten. Ihr Charakteristicum ist die Anderung des Ichs
infolge der Extensitat und Intensitat des Himprozesses.
Auf deren Detaileinteilung will ich hier, der Banalitat wegen, nicht eingehen.
Man mag darin Kraepelin folgen.
1. Manisch depressive Formen.
2. Paranoia.
3. Dementia praecox mit ihren Unterabteilungen: Katatonie, Hebephrenie,
Dem. paranoides usw.
4. Delirium acutum.
Ich verstehe aber hier darunter nur die erworbenen Formen.
Diese Gruppe kombiniert sich aufs mannigfaltigste mit kongenitalen (onto-
genetischen) Stbrungen und zeigt selbst auBer heilbaren Kindervesanien auch Ent-
wicklungshemmungen wie die Hebephrenie.
Sie kombiniert sich femer in alien Dosen mit III C und ebenso mit Storungen,
die zu III A (Schlaflosigkeit, Anorexie, Krampfe, Spasmen, Neuralgien, Parasthesien,
Halluzinationen usw.) oder zu B (Psychotrauma) gehoren.
Aber sie liegen tiefer. Wahngebilde (voriibergehend oder dauemd) sind ihnen
eigen. Sie sind zwar haufig akut und heilbar. Haufiger noch werden sie unheilbar
und hinterlassen substantielle Residuen, als leichte Cortexatrophie, verbunden mit
sekundarem Schwachsinn — ein Ausdruck, der zwar infolge Kraepelins Lehre
der Dementia praecox ominos geworden ist, jedoch immer noch seine relative
objektive Berechtigung besitzt.
Umgekehrt gibt es sehr leichte Formen von Vesanien (kurze Depressionen
u. dgl.) und diese sind es, die zu III A und III C Ubergange zeigen.
E. Epilepsie.
Ich meine die genuine, von der Hysterie, der sogenannten Jacksonschen
Epilepsie und alien iibrigen auf Lokalleiden usw. beruhenden epileptiformen
Krampfen gereinigte und getrennte Epilepsie.
Diese hat eine tiefe erbliche oder blastophthorische Atiologie. Bei langer
Dauer pflegt sie zur Sklerose der Rindenoberflache und infolgedessen zum spezi-
fischen epileptischen Schwachsinn zu fiihren. Ist diese Sklerose Ursache oder Folge
der epileptischen Krampfanfalle mit der einhergehenden kolossalen vasomotorischen
Stoning der Himrinde?
Dafiir sprechen die Heilungen durch rechtzeitige Anwendung von Brom mit
Salzentzug.
Da die ganze Frage nicht abgeklart ist, scheint mir die Bildung einer eigenen
Gruppe vorlaufig am Platz.
25 Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19 .
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370 VERHANDEUNGEN DER INTERN. GESEIJLSCHAFT FOR ^^Neurofogie^ 6
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IV.
BON JOUR, Die Grenzen der Psychotherapie.
In dieser Arbeit will ich einige Punkte beriihren, fiber welche wir. gesprochen
haben. Ich will hier nur auf dem Erfahrungsboden bleiben und damit zeigen, daB
die Grenzen der Psychotherapie viel groBer sind, als es angenommen ist.
Die Psychotherapie kann folgende Storungen heilen: I. rein funktionelle
Storungen, 2. durch organische Krankheiten produzierte funktionelle Storungen,
3. organische Krankheiten funktioneller Natur. Ich gebe hier die Tabelle der
Storungen, welche wir durch die Psychotherapie heilen konnen.
Durch einfache Suggestion,
Einreden, Reedukation usw.
I.
Resultate von
Dej erine
11.
Resultate von
Dubois
Appetitlosig-
Appetitlosig-
keit
keit
HeiBhunger
Dyspepsie
Spasmen des
Nervoses Er-
Oesophagus
brechen
Dyspepsie
Durchfall
Magenerweite-
Verstopfung
rung
Erbrechen
Durchf all-Ver-
stopfung
Anurie — Poly-
Transitorische
urie
Polyurie
Pollakiurie
Pollakiurie
Impotenz
Bettnassen
Vaginismus
Weibliche Fri¬
giditat
Oppression
Nervose Atem
Pseudoasthma
not
Aphonie
Falsche Kardio-
Arythmie
pathien
Tachykardie
98
ill.
IV.
1. Grad
a. Grad
Durch hypnotische Suggestion.
Hypnose nach Forel.
Appetitlosig-
keit
HeiBhunger
Dyspepsie
Magenerweite-
rung u. Ptose
Erbrechen
Durchf all—Ver-
stopfung
Spasmen des
Oesophagus
v.
3. Grad
Anurie — Poly-
urie
Frigiditat
Vaginismus
UnregelmaBige
Regeln
Dysmenorrhoe
Provozieren der
Menses
Pollakiurie
Inkontinenz
Impotenz
Aquirierte Per-
versionen
Pruritus vagi¬
nalis
Amenorrhoe
Menorrhagie
Stillstehen
der Menses
Hervorrufung
der Geburt
zur normalen
Zeit
Hervorrufung
der Geburt,
wenn die
Wehen erlo-
schen sind
Hervorrufung
des Abortus
Unterdruckung
der Schmer-
zen bei den
Wehen
Atemnot
Schnarchen
Heufieber
Asthma
Oppression
Arythmie
Tachykardie
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Respira-
BD. 19,1912,
Ergftnzungsheft 1.
MEDIZ1NISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 37 I
Durch einfache Suggestion,
Einreden, Reedukation usw.
Durch hypnotische Suggestion.
Hypnose nach Forel.
i.
Resultate von
ii.
Resultate von
in.
IV.
V.
3. Grad
Dej erine
Dubois
. ..
i. Grad
a. Grad
Hyperhydrosis
Schmerzen
Warzen
Hyperhydrosis
Somnambulis-
Pruritus cuta-
Schlaflosigkeit
Ekzema
Erythrophobie
mus
neus
Onychophagie
Schlaflosigkeit
Chlorosc
Stottern
Asthenia mus-
Spasmcn-Tics
Narkolepsie
Nasenblutcn
(schwerc
cularis
Phobien
Pseudo-rheu-
Erbrechen der
Falle)
Gleichgewichts-
Hysterie
matische
Schwangeren
Anasthesie zum
Storungen
Neurasthenic
Schmerzen
Seekrankheit
Operations-
X
Schmerzen
Melancholie
Lumbago
Bergkrankheit
Zwecke.
C
Schlaflosigkeit
Hypochondric
Torticolis a Fri-
Habituelle
3S
Kopfweh
Psychische
Asthenie
Phobien
Hysterie
Psy chosen
gore
Organische
Schmerzen
Kopfweh
(leichte Falle)
Migrane (leichte
Falle)
Krampfe:
Schreib-
krampf usw.
(leichte Falle)
Depressio mo-
ralis simplex
Hysterie
Schlaflosigkeit
Masturbation
Onychophagie
Schiechte Gc-
wohnheiten
Spasmen-Tics
Stottern
Alkoholismus
Tabagismus
Morphino-
manie
Angstneurose
Trac des artis¬
tes
Sr
»
sr
c
3
' O.
3
r»
3
o>
s
a
Aus dieser Tabelle geht klar hervoi\ daB die Psychotherapie ohne Anwendung
der Hypnose nicht soviel leisten kann, als die Hypnose i. Grades. Sie sehen, daB
ein leichter Grad der Hypnose geniigt, um auf mehr Symptome zu wirken, als wenn
man, wie D6jerine und Dubois, eine Psychotherapie anwendet, welche zur
Hypnose nie greifen will. Die Psychotherapie von D6jerine, Dubois, Freud usw.
geht nicht iiber die Kolonne III; sie hat keinen EinfluB im allgemeinen auf die
Symptome der Kolonnen IV und V. Zum Beispiel, es wiirde niemand in den
Sinn kommen, eine Geburt durch einfache Persuasion, Einreden oder Psychoanalyse
hervorzurufen. Dazu brauchen wir zuerst eine tiefe Hypnose, denn nur in der
Hypnose konnen die Suggestionen auf den Geburtsmechanismus wirken. Es ist
also nicht exakt, zu sagen, daB, was der Hypnotismus macht, kann einfach durch
Suggestion gemacht werden. Ich gebe zu, daB es in einigen Fallen moglich ist,
durch Einreden, Suggestion, Psychoanalyse usw. Erfolge zu erzielen, wo wir
(Kolonne IV und V) durch eine tiefe Hypnose in der Mehrzahl der Falle die
Heilung hervorrufen konnen. Das ist ein groBer Unterschied. Ich werde darauf
zuriickkommen.
Was wichtig ist, ist zu sehen, daB die Psychotherapie besonders auf Magen-
darmstorungen wirken kann. Das ist sehr wichtig, denn wir konnen sicher sein,
daB die Magendarmstorungen, welche wir nicht beeinflussen konnen, eine organische
Basis haben, so daB wir diese Kranken meistens zum Chirurgen schicken miissen.
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372 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR
Journal l Psychologic
und Neurologie.
Die Zeit fehlt, um Ihnen den Wert des Hypnotismus in der Differentialdiagnose
klarzulegen.
Ich will durch ein Beispiel zeigen, daB diese Tabelle richtig ist und daB die
Hypnose nicht entbehrlich ist, wie Herr Prof. Bernheim es uns gesagt hat. Er
hat iiber Asthma folgendes geschrieben: ,,La suggestion ne r&issit pas k supprimer
les acc£s d’asthme“ (Hypnotisme, Suggestion, Psychoth^rapie S. 355). Das glaube
ich auch. Durch einfache Suggestion sind wir nie imstande, einen Asthmaanfall
zu coupieren. Ich bin in einigen Fallen mehr als eine Stunde bei Asthmatikem ge-
blieben, um den Anfall durch Suggestion, Einreden, Respiration, Ubungen usw.
wegzunehmen, und es ist mir nie gelungen, wenn ich keine Hypnose hervorrufen
konnte. Wenn ich aber den Patienten in einen hypnotischen Zustand versetzen
konnte (2. Grad), dann ist der Anfall in einigen Minuten verschwunden. Der kam
spater wieder, aber nach und nach wurde er seltener. Im Gegenteil, wenn der Patient
tief hypnotisiert wurde (3. Grad), dann kamen die Anfalle nie mehr zuriick. Eine
einzige Sitzung hat in jedem Fall geniigt, um den Kranken mit regelmaBigen An-
fallen zu heilen.
Ich kann dasselbe sagen iiber Heufieber. Nicht suggestible, nicht Kypno-
tisierbare Patienten mit Heufieber konnen wir nicht durch einfache Suggestion
heilen. Im 2. Grade der Hypnose im Gegenteil ist es moglich, den Anfall zu coupieren:
den Kranken, der an Augen- und Nasenkatarrh schwer leidet, heilt am selben Tage
noch eine Hypnose 2. Grades. Ich konnte dasselbe wiederholen fur den Schreib-
krampf, fiir das Stottem, die Seekrankheit: einen Anfall von Seekrankheit konnen
wir durch Suggestion nur bei hypnotisierbaren Patienten coupieren. Ich habe nie
Stotterer durch einfache Suggestion geheilt.
Die Anhanger von Freud werden erstaunt sein zu lesen, daB ich behaupte,
daB die Angstneurose nur durch eine Hypnose 2. Grades zu heilen ist. Sie sagen,
daB sie nicht hypnotisieren. Ich wurde im Gegenteil behaupten, daB ihre ganze
Prozedur einen der Hypnose 2. Grades ahnlichen Geisteszustand hervorruft, dem die
Hauptrolle bei der Heilung zukommt.
Die Hypnose 3. Grades erlaubt uns Operationen schmerzlos zu machen. Ich
erwahne, daB ein englischer Chirurg in Bombay mehr als 200 groBe Operationen in
der Hypnose ausgefiihrt hat. Ich bin sicher, daB wir eine Geburt in normaler Zeit
durch die Hypnose 3. Grades hervorrufen konnen. Hier ist mein letzter Fall von der
Frauenklinik in Lausanne unter Anwesenheit von Prof. Rapin und dem Assistent.
Die Frau ist eine erstgebarende. Die Geburt soli zwischen 20.—25. Juni stattfinden.
Erste Kindsbewegungen im Januar. Ich sehe die Frau am 10. Juni und frage Prof.
Ra pi n, fur welchen Tag ich die Geburt suggerieren soli. Er verlangt, fiir den 13. Juni.
Ich gebe weiter, was ich suggeriert habe und was realisiert wurde. Die Frau wurde
das erstemal in die Hypnose 3. Grades versetzt.
Suggerierte Geburt.
Am 12. Juni, um 3 Uhr, die Frau wird
zu Bett gehen, einschlafen und alles,
Essen, Harnlassen usw. wahrend des
Schlafes machen. Sie wird kein Gerausch
und nur die Stimmen von Prof. Rapin,
Assistent, und die meinige horen. Wahrend
IOO
Realisierte Geburt.
Am 12. Juni, um 2 Uhr geht sie zu
Bett. Sie lacht uber die Experimente mit
den anderen Frauen und sagt, daB sie
spurt, es wird nicht gelingen. Um 3 Uhr
schlaft sie sofort ein und hort nicht die
Stimmen der Frauen, welche versuchen
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Erg&nzupgsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGY UND PS YC MOTHER API E. 373
der Nacht wird sie Wehen ohne Schmer- sie zu erweckcn. Am 12. urn 6 3 / 4 morgens
zen spuren. Um 7 Uhr morgens werde ich sagt sie dem Assistenten, Wehen wah-
kommen und starkere Wehen ohne rend der ganzen Nacht gespiirt zu haben.
Schmerzen hervorrufen. Sie wird nicht Der Assistent spurt nichts beim Tu-
leiden. Um Mittag wird die Geburt schieren. Ich komme um g z / A anstatt um
fertig. Amnesie nach der Geburt und 7 Uhr an. Die Frau meldet die Wehen
keine Schmerzen. an, wir spuren sie nicht. Dann fange ich
an starkere Wehen zu suggerieren. Ich
sage, daB ich bis zu 20 zahlen werde und
dafi die Wehe wahrend dieser Zeit
komttien wird. Um 20 Oder 3—5 Se-
kunden spater meldet sie die Wehe,
die 10—20 Sekunden dauert. Wir spuren
nichts. Um 10 1 / i fuhlen wir die erste
Wehe. Um n Uhr dauern die Kontrak-
tionen 30 Sekunden. Sie sind schmerzlos.
Um 11V4 geht die Frau zum klinischen
Vortrag. Wahrend der ganzen Stunde
spricht der Professor folgendermaBen:
,,Die Frau wird heute nicht gebaren. Der
Muttermund ist nicht geoffnet. Die Ge¬
burt wird nur in 10—14 Tagen statthaben
usw.“ Mit Miihe kontresuggeriere ich
alles das und befehle der Frau, die Stimme
von Prof. Rapin nicht mehr zu horen.
Um 2 Uhr beginnt die Geburt. Um 3V4
Uhr ist alles fertig. Ich suggeriere noch
die Amnesie und erweeke die Frau. Sie
erschrickt und glaubt nicht geboren zu
haben. Sie faBt dann sofort ihren Bauch
und lacht. Sie hat nichts gespurt.
Ich habe 7 mal die Geburt durch die hypnotische Suggestion hervorgerufen
und jedesmal mit Erfolg, Solche Experimente sind der beste Beweis der Notwendig-
keit der Hypnose.
Solche Experimente zeigen auch, wie das Feld der Psychotherapie groBer
ist als man denkt. Das habe ich schon seit vielen Jahren bewiesen, indem ich ge-
zeigt habe, daB es moglich ist, durch Suggestion Warzen zu heilen. Als ich es vor
15 Jahren in Miinchen demonstriert habe, so hat man dariiber viel gelacht. Gegen-
wartig brauchen einige Arzte die Suggestion zur Heilung der Warzen mit dem-
selben Erfolg wie ich. In einigen Fallen, bei wenig suggestiblen Leuten, muB man
die Suggestion jede Woche wiederholen, bis der Erfolg eintritt. Hypnotisiert man
diese schwer Suggestiblen, dann tritt der Erfolg schneller ein.
Wir kennen noch nicht alle organischen Krankheiten, welche durch Funk-
tionsstorungen hervorgerufen werden. Ich mdchte Ihnen einen neuen Fall vorstellen,
welcher das vorher Gesagte illustriert.
Es handelt sich um einen Patienten, der vor einigen Jahren durch ein Ge-
schwiir der Cornea das rechte Auge verlor. Im Jahre 1910 fing er an einer Con¬
junctivitis catarrhalis des linken Auges zu leiden an. Eine viermonatliche Behand-
lung bei einem Pariser Augenarzt brachte keine Besserung ein. Der Patient kam
nach Lausanne und wurde von Prof. Dufour wahrend 5 Monate ohne Erfolg be-
handelt. Auf seinen Wunsch lieB Prof. Dufour mich rufen.
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374 VKRHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR J ° U u ™d 1 Neurofo°
Kaum nach seiner Ankunft in Lausanne fing der Patient aji, an einem Horn-
hautgeschvviir zu leiden. Es zeigten sich auch nervose Anfalle, die von Prof. Mahai m
auf Hysteric zuriickgefiihrt wurden. Der Fall kam mir interessant vor und ich
iibernahm die Behandlung, um zu sehen, was ich machen konnte. Ich sagte zum
Patienten, daB ich ihn vom Morphium entwohnen wiirde (er bekam abends 3 eg
und konnte ohne das nicht mehr schlafen) und daB ich sicher seine Augenschmerzen
wegnehmen wiirde. Ich erklarte ihm, daB es moglich ist, durch Suggerieren der
Analgesie auf organische Krankheiten zu wirken.
Das Geschwiir dauerte seit 5 Monaten. Es war 3—4mal zu geworden und war
wieder nach 2—3 Tagen auf. Ich hypnotisierte den Kranken (3. Grad). Die Schmer-
zen nehmen sehr ab. Nach der dritten Sitzung horen sie auf; das Geschwiir reinigt
sich. Die Conjunctiva wird blasser. Nach einer Woche ist das Geschwiir geheilt;
es bleibt noch etwas Conjunctivitis. Nach der dritten Woche geht der Patient
nach Paris geheilt zuriick. Die Heilung dauert seit einem Jahre. Auf der Photo¬
graphic sieht man die rechte Pupille nicht mehr; die rechte Cornea ist ganz triibe.
Links sieht man nur die Halfte der Pupille. An der Innenseite sind Flecken, wo das
Geschwiir saB. Die Hypnose hat also diesem Patienten das linke Auge gerettet.
Er kann noch sehen, obgleich er nicht das ganze Gesicht behalten hat. Er kann
arbeiten und lesen. Man kann nicht sagen, daB meine Suggestionen kraftiger waren
als die von dem Pariser Professor und von Prof. Du four. Die Suggestionen von
diesen vorziiglichen Arzten waren so stark,, wenn nicht starker, als meine. Sie
waren nur wirkungslos, weil sie nicht in der Hypnose, diesem Zustand der erhohten
Suggestibility, gegeben wurden. Man brauchte also nur diesen Patienten tief zu
hypnotisieren, um den Suggestionen ihre Wirkungskraft zu geben.
Es ist nicht der Miihe wert, viel mehr iiber die Grenzen der Psychotherapie
zu sprechen. Die Tabelle zeigt es in klarer Weise. Was ich sagen wollte, ist, daB
diese Grenzen viel groBer sind als es angenommen ist. Ein psychischer Reiz kann
ebenso gut wie ein physischer Krankheit oder Heilung bringen. Wir konnen fcbenso-
wohl Frostbeulen durch Suggestion als durch warme Bader heilen. Wir konnen
einem Moribunden, der leidet und nicht schlaft, seine Schmerzen und seine Schlaf-
losigkeit wegnehmen und in vielen Fallen ist der Erfolg groBer durch die hypno-
tische Suggestion als mit Morphium und mit anderen Mitteln. Meine Erfahrung
hat mich genug iiberzeugt, daB Asthma, Heufieber, Warzen, Seekrankheit und
Bergkrankheit durch die Hypnose zu heilen sind, daB aber dazu die Hypnose tief
sein muB. Wir werden noch andere Falle oder Krankheiten finden, welche wie dieses
Geschwiir der Cornea durch hypnotische Suggestion schneller und besser als mit
Drogen zu heilen sind. Alle diese Tatsachen machen, daB ich ein Anhanger der
Hypnose bleiben muB, denn ohne Hypnose hatte ich nie diese Experimente machen
konnen.
V.
H. DELIUS, Die hypnotische Behandlung des Asthma nervosum.
• Ich Jialte es fur niitzlich, meine Erfahrungen iiber das Asthma nervosum
und seine psychische Behandlung auch mal in dieser Gesellschaft vorzubringen,
da ich annehmen zu diirfcn glaube, daB dieses Leiden bis jetzt nur verhaltnismaBig
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Erganzungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHO I'HERAPIE. 375
selten in die Hande des Neurologen gelangt und der Beachtung besonders des Psycho-
therapeuten wohl empfohlen zu werden verdient.
Wenn ich hier von Asthma nervosum spreche, so verstehe ich danmter das
wohl charakterisierte Bild der in Anfallen auftretenden Atemnot, die nach der wohl
allgemein geteilten Auffassung hervorgerufen wird durch einen Krampf der Ring--
muskulatur der feineren und feinsten Verzweigungen der Bronchiolen. Ich lasse
also alles andere, was man auch wohl noch mit dem Namen Asthma bezeichnet
hat, aus dem Spiel, wie z. B. das sogenannte Asthma cardiacum, und auch die bei
chronischen Bronchitiden gelegentlich auftretenden asthmaartigenAtembeschwerden,
obwohl hierbei auch oft psychische Einfliisse mitwirken.
Das nervose Asthma faBt man also auf als eine Neurose, und zwar gewohn-
lich als eine Reflexneurose. Erst die Psychotherapeuten haben auch den EinfluB
der Psyche auf die Entstehung der einzelnen Anfalle betont; ich erinnere nur an
Wetterstrand, Briigelmann, Stegemann, Mohr, Bonjour u. a.
Nach meinen Erfahrungen scheint mir der EinfluB der Psyche hinsichtlich
der Entstehung der Anfalle eine geradezu entscheidende Rolle zu spielen, sobald
die Krankheit ganz ausgebildet ist. Ja, ich mochte behaupten, daB auch die korper-
lichen Abnormitaten, wie besonders Behinderungen des Luftdurchganges in der
Nase (Polypen, adenoide Wucherungen usw.), die rein reflektorisch das Asthma
"auslosen sollen, nur auf dem Umwege liber das Assoziationsorgan, gewissermaBen
als Agents provocateurs wirken, indem sie gelegentlich die Passagebehinderung
zum BewuBtsein bringen und damit den leicht erregbaren Asthmakomplex, um es
kurz so zu nennen, wecken.
Ich will hier nicht untersuchen, woher die urspriingliche Disposition zur Ent¬
stehung des Leidens uberhaupt stammt — es diirfte sich wohl um eine abnorme
Reizbarkeit der die Bronchiolen versorgenden Nervenkeme handeln — sondern
ich beschranke mich auf die Entstehungsart der Anfalle der ausgebildeten Krankheit.
Den ersten AnlaB zum Auftreten des Leidens uberhaupt gibt wohl meist
eine Erkrankung im Bereiche der Luftwege, sehr oft eine akute Bronchitis; und es
ist interessant, daB die Anfalle nicht gleich vom Anfange der Krankheit an typisch
sind. Je nach der Individuality des Kranken und, wie mir scheint, auch nach der
Art der veranlassenden Erkrankung bilden sich allmahlich verschiedene Typen
aus, die bei demselben Kranken ziemlich konst ant sind, aber sich von den Typen
anderer nicht unwesentlich unterscheiden.
Die einen bekommen beispielsweise alle paar Tage oder alle paar Wochen
Anfalle von wenigen Stunden, andere in ahnlichen Zwischenraumen von 2—4 Tagen
Dauer. Andere wieder sind monatelang frei und machen von Zeit zu Zeit wochen-
bis monatelange Perioden von mehr oder minder standiger Atemnot mit nur kurzen
und geringeren Remissionen durch. Wieder andere bekommen ihre Anfalle ganz
unregelmaBig, z. B. nach Erregungen, andere wieder fast regelmaBig zu bestimmten
Tageszeiten.
Hat sich erst ein gewisser Typus ausgebildet, so wird der EinfluB der Psyche
deutlicher, um schlieBlich der vorherrschende Faktor zu werden.
Zur Illustrierung einige Beispiele: Ein i6jahriger Patient, bei dem die Be-
handlung schon eine wesentliche Besserung erzielt, hatte mit meiner Zustimmung
ein warmes Bad genommen. Am anderen Tage ermahnte ihn in miitterlicher Fur-
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376 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR NeSofogie 0 ^ *
sorge eine Verwandte, er solle sich nun auch recht in acht nehmen und vor alien
Dingennicht warm baden. Da durchfuhr ihn ein Schreck, und in einer halben
Stunde war ein schwerer Anfall da. Derselbe Patient saB friiher mal nachts mit
einem heftigen Anfall auf seinem Bette. Plotzlich wurde an die Tiir geklopft, er
musse aufstehen, da Feuer ausgebrochen sei. Er wankte ans Fenster, sah in die
helle Lohe des brennenden Nachbarhauses, und sofort war der Anfall vorbei.
Ein anderer sehr strebsamer junger Mann von 19 Jahren bekam vielfach
vor in der Klasse zu schreibenden Arbeiten einen Anfall aus Furcht, infolge eines
Anfalls nicht mit dabei sein zu konnen.
Wieder ein anderer Schuler, der deshalb in einer anderen Stadt in Pension
war, bekam seine Anfalle nur im Elternhause, und zwar, wie deutlich nach-
zuweisen war, ausschlieBlich infolge der ungiinstigen BeeinfluBung der besorgten
Eltem. Auch ein Wohnortswechsel, der in der Annahme vorgenommen wurde,
das Klima bekomme dem Sohne nicht, anderte daran nichts, wahrend der Patient
vorher in dem neugewahlten Wohnsitze keine Anfalle bekommen hatte.
Eine 4ojahrige Dame pflegte seit Jahren nach der Heimkehr von ihrer Sommer-
reise Anfalle von wochenlanger Dauer zu bekommen. Sie wartete geradezu darauf.
Andere Patienten bekamen regelmaBig ihre Anfalle zu bestimmten Tages-
zeiten, z. B. piinktlich morgens um 10, oder nachmittags 4 Uhr, eine Dame fast
jede Nacht um 2 Uhr.
Solche Beispiele konnte ich noch viele anfiihren. Ich habe immer, wenn ich
die Kranken erst etwas besser kannte, den Nachweis fiihren konnen, daB die An¬
falle stets durch Vermittlung der Psyche auftraten, auch wenn die Patienten selbst
das nicht zugeben wollten.
Die Kranken bestreiten es ja in der Regel, wenn man ihnen sagt, daB sie
sich zu viel mit ihrem Leiden beschaftigen. Meist erhalt man zur Antwort: ,,ich
habe ja vorher gar nicht daran gedacht“, ,,ich bin nachts davon aufgewacht" oder
,,ich glaubte sicher, diesmal werde der Anfall nicht kommen" u. dgl. mehr.
Tatsachlich aber dreht sich in vielen Fallen das ganze Dicliten und Trachten
einmal der Patienten selbst, dann auch das der Angehorigen nur um das Asthma.
Alles, was get an oder gelassen wird, geschieht im Hinblick auf das Leiden.
Der Asthmakomplex wird eigentlich standig in Erregung gehalten.
Auch die Luft- und Wetterverhaltnisse haben meines Erachtens nicht die
Bedeutung, die ihnen meist zugeschrieben wird. Die einen bekommen ihre Anfalle
bei dicker, nebeliger Luft oder Regen und Schnee, die anderen umgekehrt gerade
bei Sonnenschein und Warme. Hier ist ja etwas dran; auch dem normalen Menschen
fallt die dicke, unreine Luft auf die Brust, und Wetterumschlage storen das Be-
finden von Nervosen stark. Aber ich glaube doch, daB hinsichtlich der Auslosung
asthmatischer Anfalle das Klima nur die Rolle des Agent provocateur spielt, ebenso
wie im umgekehrten Sinne die reine Luft des See- und Hohenklimas neben den
veranderten Lebensgewohnheiten giinstig wirkt. Dabei bekomme ich aber gerade
sehr viele Asthmatiker aus dem Gebirge, z. B. dem Harz, und auch von der
Nordsee.
Auch die Asthmamittel wirken zum groBen Teil suggestiv, wenn ich auch
natiirlich z. B. die rein medikamentdse Wirkung der krampflosenden Mittel nicht
bestreite. Aber der Anfall pflegt schon gelinder zu werden auf die bloBe Tfachricht
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Erg&nzunggbeft 1 -
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 377
hin, daB der Arzt schon unterwegs sei, um die ersehnte Morphiumeinspritzung zu
machen.
In giinstiger wie in schadlicher Richtung kommt eben immer die Assoziations-
tatigkeit mit der entsprechenden Gefiihlsbetonung als ausschlaggebender Faktor
hinzu.
Wenn z. B. ein Patient regelmaBig beim ersten Schneefall des Winters —
bei den spateren nicht, auch wenn zwischendurch wieder langere Zeit mildes Wetter
gewesen war — einen Anfall bekam, so erklart sich das ungezwungen doch — ab-
gesehen vielleicht von den ersten Malen — nur durch eine allmahlich fester gewordene
Assoziation zwischen den Begriffen „erster Schnee — Anfang des Winters" und „Asth-
maanfall".
Solche Assoziationen konnen ohne wesentliche Gefiihlsbetonung zum Anfall
fiihren. Wohl in der Regel aber handelt es sich hier um fruchtbetonte Zielvorstel-
lungen, um Erwartungsangst, auch wenn das dem Patienten nicht deutlich zum
BewuBtsein kommt.
Andererseits wirkt eine vollstandige anderweitige geistige Inanspruchnahme,
eine Ablenkung krampfbeseitigend. Ich erinnere an das Beispiel, wo infolge der
Feuersbrunst der heftige Anfall sofort aufhorte. Auch ist interessant, daB nach
meinen Erfahrungen wahrend anderer, interkurrenter Erkrankungen, wie Lungen-
entziindung, Typhus, ja bei einem echten infektiosen Schnupfen keine Anfalle
aufzutreten pflegen. Das ist also ganz ahnlich wie bei anderen Psychoneurosen. —
Bei der ausgebildeten Krankheit kann man also tatsachlich wohl eine furcht-
betonte Associationstatigkeit fiir die Entstehung der asthmatischen An¬
falle in allererster Linie verantwortlich machen, so daB dementsprechend auch
eine psychische Behandlung angebracht erscheint.
Ich wende beim Asthma grundsatzlich, wenn eben moglich, die Hypnose
an, da ich daran festhalten muB, daB in der Hypnose alle suggestiven und anderen
seelischen Einwirkungen in der Regel besser aufgenommen werden und haften als
im gewohnlichen Wachzustand. AuBerdem pflegt die Hypnose an sich auBerordent-
hch wohltuend zu sein; und dieses Gefiihl des Behagens und der Erquickung wirkt
selbst wieder sehr suggestiv im giinstigen Sinne.
In erster Linie kommt es ja nun darauf an, die mit dem Asthmakomplex je
nach der bisherigen Dauer des Leidens mehr oder weniger fest verkniipften schad-
lichen Assoziationen zu losen. Also zunachst mal Beruhigung wegen der Un-
heilbarkeit.
Dann suche ich in von vomherein moglichst tiefer Hypnose durch direkte
Suggestionen die Erregbarkeit des Asthmakomplexes herabzusetzen. Je nach der
Suggestibility des Kranken gelingt es mehr oder weniger gut, asthmatische Er-
scheinungen, wenn sie nicht so heftig sind, daB sie das BewuBtsein ganz in Anspruch
nehmen und fiir andere Eindriicke, auch die Hypnose selbst, unempfanglich machen,
in der Hypnose direkt zu beseitigen oder wenigstens zu mildem, oder einen drohen-
den Anfall im Keime zu ersticken. Ein derartiger Erfolg hebt natiirlich, wenn er
auch zunachst nur voriibergehender Natur ist, das Vertrauen des Patienten von
vomherein sehr.
Zugleich erklare ich dem Kranken das Wesen des Leidens und seiner Heilung
so, daB ihm die Sache einleuchtet, spreche vom Krampf der Bronchiolenmuskulatur,
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77 % VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jou ™ * 1 Neuro lotfe° gi6
der die Luftzufuhr erschwere, und der iihnlich wie z. B. nach seelischen Erregungen
Herzklopfen eintrete, auch durch seelische Vorgange, wie Erwartung, Befiirchtung
usw., hervorgerufen werde. Ich zeige ihm an Beispielen, wo moglich aus seiner
eigenen Leidensgeschichte, daB alles das, was er bisher als die Ursachen seiner
Anfalle angesehen hat, nur in soweit die Ursache wirklich war, als er es dafiir hielt
und nun den Anfall erwartete. Er rniisse also in erster Lime versuchen, den Anfall
nicht mehr im AnschluB an die vermeintlichen Ursachen zu fiirchten. Die Hypnose
werde ihn darin unterstiitzen, indem sie die Erregbarkeit der Bronchialnerven
herabsetze. Komme es doch anfangs noch zu Anfallen, so solle er darum nicht
verzagen, sondem sich sagen, daB eine so alte eingewurzelte Gewohnheit des Nerven-
systems nicht mit einem Male beseitigt werden konne.
1 st der Patient von der Richtigkeit dieser Anschauungen mal erst uberzeugt,
so ist er auch schon so gut wie geheilt. Die Schwierigkeit besteht eben darin, ihn
zu iiberzeugen, und nicht nur ihn, sondem auch seine Umgebung und nicht so selten
auch seinen Hausarzt. Diese reiBen, wenn auch unbeabsichtigt, das schon Auf-
gebaute oft genug wieder nieder.
Es ist klar, daB bei Kindem und jugendlichen Kranken die Erfolge giinstiger
sind und schneller erzielt werden als bei alteren Personen, weil sie suggestibler sind,
neue Vorstellungen also leichter aufgenommen und verarbeitet werden und die
schadlichen Assoziationen nicht so fest haften, selbst wenn das Leiden schon langere
Zeit besteht.
Menschen, die die erste Halfte ihres Lebens schon hinter sich haben, sind ja
weniger leicht von ihren Ansichten iiber irgendeine Sache abzubringen. Es kommt
im vorliegenden Falle hinzu, daB sie leichter im Anfang meinen, man halte ihr Leiden
fur mehr oder weniger eingebildet oder fur eine Folge ihrer Willensschwache und
dementsprechend bis zu einem gewissen Grade fur selbstverschuldet. Das laBt sich
niemand gem sagen. Und so hat man oft groBe Widerstande zu iiberwinden,. bis
man richtig verstanden wird, um so mehr, als die Willenskraft der Kranken beziig-
lich des Leidens kaum jemals vorher in Anspruch genommen worden war, die meisten
vielmehr immer nur bedauert und vor vermeintlichen Schadlichkeiten sorgsam
behiitet wurden.
In der anfallsfreien Zeit gestatte ich dem Kranken alles, was er sich eben
selbst zutraut, also Bergsteigen, Radfahren, Reiten, Schwimmen usw., Dinge, die
ihm meist vorher verboten worden waren. Aber es kommt ja gerade darauf an,
sein Vertrauen wieder zu heben; er soli sehen, daB ihm das alles nicht schadet,
wenn er es nur nicht fiirchtet. Er soli sich abharten, statt sich zu verweichlichen;
er soli ganz wie ein Gesunder leben. Durch nichts soil er auf den Gedanken gebracht
werden: dies oder das konnte ihm bezuglich des Asthmas schaden.
Die Quintessenz der Behandlung besteht also letzten Endes darin, dem Pa-
tienten die Uberzeugung beizubringen, daB er keine Anfalle mehr bekommen wird,
wenn er sie nicht fiirchtet.
Die notige Dauer der Behandlung ist natiirlich individuell sehr verschieden.
Sie richtet sich weit mehr nach der Individualist des Kranken als nach der Schwere
der Krankheit. Wahrend ich bei einem jungen Manne von 19 Jahren (Nr. 1356)
in 12 hypnotischen Sitzungen, deren Anzahl wahrscheinlich gar nicht mal so groB
hatte zu sein brauchen, innerhalb von 18 Tagen eine seit 6 Jahren bestehende voile
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Ergftnzungsheft 1.
MEDIZ1NISCHE PSYCHOLOG1E UND PSYCHOTHERAPIE. 379
Heilung erzielt habe, braucht man natiirlich in der Regel langere Zeit, meist mehrere
Monate, selbstverstandlich mit mehreren Unterbrechungen der Behandlung. Einen
recht hartnackigen Fall (Nr. 992), einen Patienten von zu Beginn der Behandlung
15 Jahren, der seit 9 Jahren an Asthma litt und alles Cbliche versucht hatte, habe
ich im ganzen 3 Jahre behandelt. Nachdem er das erste Mai zu 6Sitzungen bei mir
gewesen, kam er nach Bedarf in Zwischenraumen von 2—4 Monaten zu je 2—6
Sitzungen, im dritten, letzten Jahre im ganzen 4mal bei gelegentlichen Reisen nach
Hannover zu 1 oder 2 Sitzungen zu mir. Leider ist er, nachdem er fast ein Jahr
vollstandig von Asthmabeschwerden frei geblieben war — wirkliche Anfalle hatte
er seit i 1 ^ Jahren nicht mehr gehabt — an einem schweren Scharlach gestorben.
Von meinen oft von weither kommenden Asthmatikern habe ich leider nur
verhaltnismaBig selten spatere Nachrichten iiber ihr Ergehen, so daB ich auch iiber
die Dauererfolge der geheilt Entlassenen nur zum Teil unterrichtet bin. Immerhin
habe ich von einer ganzen Reihe von Fallen die spatere Nachricht, daB die Heilung
seit Jahren besteht.
Natiirlich habe ich auch MiBerfolge gehabt. Diese lagen aber immer an un-
giinstigen auBeren Verhaltnissen (zu friihes Verlassen der Behandlung, nachteiliger
EinfluB der Angehorigen und auch Unbelehrbarkeit besonders alterer Patienten).
Fasse ich jedoch alles zusammen, so kann ich mit den Erfolgen recht zufrieden
sein. Ich glaube, sie beweisen die Richtigkeit meiner Ansicht iiber das Leiden,
so daB ich seine rein psychische Behandlung mit gutem Gewissen empfehlen kann.
VI.
CHR. JAKOB, Ober die Ubiquitat der senso-motorischen Doppelfunk-
tion der Hirnrinde als Grundlage einer neuen, biologischen Auffas-
sung des corticalen Seelenorgans.
Die geschichtliche Entwicklung unserer Anschauungen iiber den Ursprung
und die organischen Grundlagen der geistigen Krafte laBt sich in folgende vier
Phasen teilen:
1. die spekulative Periode des Alterturns und Mittelalters, beherrscht
von der Pneumatheorie und der Ventrikularlokalisation.
2. die anatomische Periode von Vesal und Varol, dem Schopfer der Zer-
faserungsmethode iiber De la Boe (erste Theorie der Rindenlokalisation) bis Gall
und deren Lokalisierungsversuche der seelischen Prozesse in der Himsubstanz selbst.
3. die physiologische Periode des verflossenen Jahrhunderts, die auf
experimentellem und klinischem Wege uns von Bouillaud und Flourens zu
Broca, Fritsch und Hitzig, Wernicke und schlieBlich zu Flechsigs Lehre
von der Verschiedenwertigkeit des Cortex fiihrte und mit der Theorie der „Ge-
dachtniszentren“ Ramony Cajals in einer Sackgasse endete.
4. die biologisch - eklektische Periode der Gegenwart; charakte-
risiert durch die systematische Anwendung und Vergleichung samtlicher Methoden
und deren biologische Tendenz. In planmaBiger Forschung werden analysiert:
die regionelle Histostruktur und Schichtung des Cortex (Cyto- undMyeloarchitektur),
die vergleichende Histologie und Histogenese, die Histopathogenese und deren Be-
ziehungen zur normalen und gestorten Funktion. —
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380 VERHANDLUNGEN HER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jon ™ ]
Die wichtigsten bisher noch unentschiedencn Fragen waren hier zunachst:
1. Gibt es in dcr Rinde des Menschen und der Tiere Bezirke von ausschlieB-
lich receptorischer und solche von rein effektorischer oder solche von rein
neutraler (weder sensorischer noch motorischer) Natur und wie verhalt sich deren
StrukturgrundriB untereinander?
2. Welches ist der phylogenetische Entwicklungsgang dieser Bezirke
und welche fundamentalen Unterschiede kennzeichnen hierin speziell die mensch-
liche Rinde?
3. Ist der Rindenursprung mono- oder polyphyletisch zu denken?
Diese Fragen, deren Studium eine lange Reihe von umfassenden Einzel-
arbeiten einschlieBt, sind von mir in den letzten 10 Jahren, z. T. zusammen mit
meinen Schiilern, an der Universitat Buenos Aires in den mir unterstehenden In-
stituten (Laboratorium des Hospizio de las Mercedes und Laboratorium der Nerven-
klinik des San Roque Spitals) an einem sehr groBen Material menschlicher Gehirne
histopathologisch (Degenerationsmethoden), sodann experimentell an Affen (Cebus-
Arten aus Paraguay) und vergleichend anatomisch an alien Gattungen der Fauna
Siidamerikas gepriift worden. Von den Resultaten teile ich hier folgende SchluB-
resultate summarisch mit:
1. Alle Regionen der menschlichen und tierischen Rinde ohne
Ausnahme sind receptorisch tatig, also sensitiver Natur.
Dies ist fiir die bereits den ,,Projektionszentren“ zugerechneten Rinden-
territorien hier nicht weiter zu erortem notig — v. Monakow und Dejerine
haben hier grundlegend wenigstens die anatomischen Faserverhaltnisse festgestellt.
Wohl aber benotigen dies die iibrigen, spez. die Frontalrinde, der Gyrus forni-
catus, Praecuneus, die hinteren Parietal- und Temporalgebiete, die
vordere Occipital- und Temporalrinde, der Gyrus occipito-temporalis.
Wir haben nun an liber 300 Rindenherden solcher Lokalisation (meist Erweichungs-
prozesse) systematisch die retrograden Thalamuszellveranderungen mit
der Nissl-Lenhossekschen Thioninmethode auf Serienschnitten durchforscht.
(Es war als Vorarbeit eine genaue Durcharbeitung der menschlichen Thalamus-
kerne notig, welche zurzeit in unserer Studie ,,Das Menschenhirn und die
Organisation seiner grauen Substanz“ (J. F. Lehmanns Verlag, Miinchen)
erscheint.) So konnte nun festgestellt werden, daB bei Herden in alien
Teilen der Frontalrinde Zellausfalle in ganz bestimmt lokalisierten Teilen des
Nucleus lateralis ant. thal. hervorgerufen werden; in gleicher Weise werden vom
Gyrus fornicatus ausZellager imNucl. anterior und dorsalis thalami vemichtet,
vom Praecuneus und Cortex parietalis post, aus solche im dorsalen vorderen
Pulvinar (Nucl. posterior portio dorso-anterior) und Nucl. lateral, post., vom vor¬
deren Occipitalgebiet aus im dorsalen hinteren Pulvinar, vom hinteren
Temporalgebiet aus im basalen Pulvinar (Nucl. posterior portio basalis) und
von der vorderen Temporalrinde aus im basalen Nucleus intemus thalami.
Diese Tatsachen, ins biologische iibersetzt, beweisen, daB die gesamte Rinden-
oberflache von dem ganzen Thalamusgebiet aus auf zufiihrenden und nach unten
zu an die sensiblen Mittel- und Zwischenhimbahnen angeschlossenen Fasersystemen
sensible Erregungen erhalt und daB somit der Rindenmantel liickenlos in sektoren-
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Erganzrmgsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 38 1
fdrmige Receptionsfekler, jedes mit eigenartiger Sensibilitatsqualitat ausgestattet,
zerfallt.
Die gleichen Resultate erhielten wir am Affenhim. Die Herde miissen eine
gewisse MinimalgroBe iiberschreiten, um deutlich erkennbare Zellausfalle zu ver-
ursachen.
2. Der Hauptanteil dieser sensiblen Strahlungen endet in der
corticalen AuBenschicht.
[AuBenschicht = Stratum zonale, kleine, mittlere, groBere auBere Pyramiden-
lage + Kornerschicht (Stratum intermedium).]
Dieses Verhalten ist mit der Weigert-Methode nur an einzelnen giinstigen
Gebieten (Degeneration des Gennarischen Streifens der Calcarina) bei entsprechen-
den Thalamusherden nachzuweisen — mit der Mar chi methode dagegen auch in
alien anderen Gegenden sowohl beim Menschen als Affen zu konstatieren. Auch die
histologischen Befunde (Myelinisierung, Impregnation) sprechen zugunsten dieser
Anschauung. AuBerdem ist hierfiir lehrreich die Tatsache, daB iiberall, wo besonders
zahlreiche Strahlungen eintreten (Sehrinde, Horrinde, Tastrinde) stets die AuBen¬
schicht machtig anwachst und zwar auf Kosten der Innenschicht und dies in der
ganzen Tierreihe.
3. Die Innenschicht der Rinde ist effektorisch tatig, auch sie
existiert iiberall. (Innenschicht tiefe groBe und mittlere Pyramiden, tiefe
kleinere und polymorphzellige Elemente.)
Diese Feststellung ist zunachst die logische Folge der vorausgegangenen im
Sinne des allgemeinen Bauplanes des Zentralnervensystems. Zu ihren Gunsten
spricht femer, daB iiberall da, wo in der Rinde motorische, zu tieferen Zentren
ziehende Bahnen entspringen (Pyramidenbahn, Bulbarbahnen, Hypothalamus-
fasem, pontine Bahnen, Fornixsystem) dies ausnahmslos in der Innenschicht ge-
schieht; und daB iiberall, wo der motorische Gesamtcharakter besonders hervor-
tritt, sich dies durch das Anwachsen der Innenschicht auf Kosten der auBeren
kundgibt und zwar homolog in der ganzen Tierreihe. Der definitive Beweis ist
aber vorlaufig nicht auf degenerativem Wege, sondem durch die Phylogenie der
beiden fundamentalen Rindenschichten zu erbringen.
4. Beide Fundamentalschichten haben bei den Saugern einen
iibereinstimmenden Ursprung, sind monophyletisch; und auch fur
verschiedene niedere Vertebratenklassen (Reptilienarten insbesondere) ist ahnliches
zu konstatieren. Dagegen gehort der Amphibientyp nicht hierher, mit einziger
Ausnahme der Gymnophionen, welch letztere aber nach unseren Untersuchungen
geradezu den Fundamentaltypus der Evolution des hdheren Cortexapparates bis
zum Menschen reprasentieren. Unsere vergleichend cortexhistologischen Studien
lehren uns nun, daB die beiden corticalen Hauptschichten einen getrennten Ursprung
haben: die receptorische (sensible) AuBenschicht entstammt dem Riech-
hirn (einem alten sensiblen Hirnteil), die effektorische (motorische) Innen¬
schicht aber dem Corpus striatum (einem alten motorischen Zentralganglion).
Trotz des doppelten Ursprungs gelangt aber die Gesamtrmde, je hoher der Himtyp
sich entwickelt hat, zu einer um so innigeren Vereinigung beider Schichten, und bei
den Saugern fiihrt dies in folge der Ausbildung von langen cellularen Protoplasma-
fortsatzen und Collateralen einerseits und des Auftretens massenhafter Binnen-
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382 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FUR Journal f. Psychologrie
__ und Neurolotoe.
zellen und Zwischenschichtszellen andrerseits zu einer formlichen sekundaren Ver-
schmelzung der in der Anlage getrennten Schichten; ein Prinzip, das in seiner hochsten
Potenz die Primaten und somit auch und vor allem die menschliche Rinde aus-
zeichnet.
5. Eine weder receptorische noch effektorische Rinde (= Asso-
ziationsrinde) existiert nirgends.
Nachdem die systematische histologische Durchforschung der Rindenober-
flache iiberall denselben Aufbau ergibt — der zweilagerige Fundamentalschichten-
typ kennt nur eine einzige Ausnahme: den in der ganzen Tierreihe unistriaren Auf¬
bau der Ammonsformation (des altesten Riechrindenanteils), welche stets nur die
untere, effektorische Schicht aufweist — so ist der gesamte Rindenmantel entweder
senso-motorisch oder moto-sensorisch tatig (je nach dem Dominieren der einen
oder anderen Komponente) und ein weder receptorisch noch effektorisch tatiger
Rindenanteil ist weder histologisch noch experimentell nachweisbar. Es gibt nirgends
eine Rinde, die das Priidikat „Assoziationsrinde“ oder ,,Gedachtniszentrurn“ aus-
schlieBlich b«anspruchen konnte. Diese Prozesse sind Funktionen der beiden Funda-
mentalschichten aller Orten. Entgegen den Anschauungen Flechsigs und Ramon
y Cajals konstatieren wir demnach die prinzipielle Gleichwertigkeit aller
Rindenzonen — ihre Differenzen sind tatsachlich nur gradueller Natur.
Wir gelangen somit zu folgenden allgemeinen Anschauungen:
Die Hirnrinde hat sich in ganzer Ausdehnung bei den Saugem und dem Men-
schen monophyletisch aus zwei uranfanglich getrennten und auch funktionell ver-
schiedenartigen Fundamentalschichten entwickelt. Beide Komponenten treten in
aufsteigender Reihe in der Rinde in immer innigeren Kontakt als es in den niederen
spinalen, bulbaren usw. Systemen der Fall ist. Zufolge ihres Aufbaues ist die Rinde
iiberall sowohl sensibel als motorisch veranlagt, es wechseln nur die Funktions-
qualitaten und deren topographische Beziehungen. Infolge der formlichen gegen-
seitigen Durchdringung beider Schichten bei den Saugern, vor allem aber bei dem
Menschen, ist nun weder ein ausschlieBlich sensibler, noch ein rein motorischer
Vorgang in der Rinde irgendeiner Zone moglich, sondem jeder motorische oder
sensible ErregungsprozeB muB momentan die korrespondierende andere (sensible
oder motorische) Komponente auslosen. Alle Rindenakte sind also a priori
als von ,,gemischter, sensomotorischer“ Natur aufzufassen und eine
willkiirliche Trennung in beide Komponenten erscheint prinzipiell unmoglich; ein
Verhalten, das fur das Verstandnis der Rindenfunktionen geradehin fundamental
ist. Jeder einzelne Elementarvorgang der Willens- oder Empfindungs-
sphare muB cjemnach von Anfang an denselben „gemischten“ Charakter tragen
und es ist falsch, schlechthin von Willens- oder Empfindungsprozessen als von
etwas grundsatzlich Verschiedenem zu sprechen (tatsachlich iiberragt nur jeweils
eine Komponente die andere). Wir gelangen somit von den bisherigen „duali-
stischen“ Anschauungen iiber die corticalen seelischen Vorgange zu einer Art von
„corticalem Monismus“. Die Konsequenzen dieser Anschauungen, welche
fur die Klinik, fur die Physiologie und Psychologie neue, bedeutsame biologische
Grundlagen zum Studium der seelischen Krafte reprasentieren, diirften mit dazu
beitragen die Oberbriickung der Kluft zwischen dem Organischen und dem Psychi-
schen wenigstens vorzubereiten.
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Erg&ozungsheft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 383
VII.
ANDR£ L&RI et CL. VURPAS, Observations psycho - physiologiques
sur des anencephales.
II peut paraitre Strange d’entendre dans un Congr&s de psychologie un rapport
sur certains etres naturellement d6c6rebr6s, comme le sont des pseudencephales
et des anencephales. Chez eux, non seulement le cerveau et les masses encephaliqucs
sont absentes, rnais encore tout l’axe c^rebro-spinal est atteint, profond^ment alter <5
et parfois meme k peu pres detruit par le processus pathologique cause de la mal¬
formation. Ces lesions sont telles que certains auteurs, partant des constatations
psycho-biologiques faites chez ces monstres pendant leur survie, allant de deux a
six ou meme huit jours dans les cas les plus heureux, se sont crus autoris6s k £crire:
,,Les tendances que traduisent de pareilles considerations paraissent au moins
deplanes, 6tant donn£ la nature et l’etendue des lesions; on ne peut du restetirer
de ces faits aucune indication touchant l’importance respective des diverses parties
de Taxe c6r6bro-spinal dans les diverses fonctions 1 * Ill )."
Tel n’est pas notre avis; et nous estimons que l’etude de ces sujets n6s sans
cerveau, r^alisant naturellement une veritable experience de physiologie, presente
un reel interet au double point de vue physiologique et psychologique. Mais afin de
restreindre notre sujet k des limites plus en rapport avec le but et l’objet de ce Con-
gr£s, nous laisserons deiiberement de c6te tous les phenom£nes proprement dit phy¬
siologiques; nous nous cantonnerons exclusivement dans le domaine reserve aux
phenomdnes etiquetes psychologiques.
*
L'etai anatomique du nevraxe des anencephales ayant eu une survie de plusieurs
jours presente dans l’ensemble des parties constituantes des differences relativement
minimes au regard de Timportance des parties detruites et des d£gats produits.
Generalement l’axe cerebrospinal se compose simplement de la moelle tres atrophiee
avec des ganglions rachidiens, du bulbe et de la protuberance, et sou vent meme
cette derniere manque complement. Tout le reste k 6 t 6 detruit par la m^ningo-
encephalite feetale, d’origine infectieuse, qui est la cause de 1’anencephalie, d’apres
la pathogenie que nous avons mise en lumi&re en 1903 2 ).
En ce qui concerne les faisceaux blancs de la moelle nous avons constate
une disposition interessante, bien que Rabaud 3 ) ait conteste l’interet de leur etude :
d’une fa£on generate les faisceaux sensitifs sont assez bien conserves, alors que les
faisceaux moteurs n’existent pas (nous voulons parler ici des voies longues et non
des fibres courtes d'association).
Au niveau des regions lombaire, dorsale et cervicale, les cordons posterieurs
sont k peu pr£s normalement developpes. II y a bien quelques fibres degenerees,
mais le plus grand nombre est conserve et le faisceau sensitif peut etre consider
1 ) Rabaud: Pathogenie de la pseudenc6phalie et de l'anenc6phalie (m6ningite foetale)
Nouvelle iconographie de la Salpetridre No. 4, juillet-aout 1908, p. 57.
*) Vurpas et L£ri, Contribution 4 l'etude des alterations cong6nitales du syst^me
nerveux: pathogenie de l’anenc6phalie. Compte rendu des seances de l'Acad6mie des Sciences
(20 juillet 1903).
*) Rabaud, Op. cit.
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384 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jour nal f. Psycholo&ie
comme relativement sain et permettant la transmission des impressions ou incitations
nerveuses. Au niveau du bulbe, les pyramides ne sont pas visibles k l’ceil nu, et
microscopiquement sont k peine ebauchees; elles sont form^es uniquement par des
fibres sensitives.
II n’existe, par contre, aucun faisceau qui rappelle en rien le faisceau moteur,
et la place meme qu'il occupe a disparu. Aucune zone amyeiinique, aucune sclerose
n’indiquent sa situation normale; il est manifeste, et de fa$on tr£s evidente, qu’il
n’existe pas; et il semble que le bulbe et la moelle se soient formas et achev^s en son
absence complete. Dans certains cas meme, qui prouvent le bien-fonde de cette
observation, k la partie post6ro-exteme du faisceau lateral on voit un sillon pdn£trer
profondement dans l’interieur du cordon nerveux, sillon dd k l’absence du faisceau
pyramidal: le vide cause par cette absence produit cette depression k son niveau.
Cet aspect est tout k fait typique et caracteristique de certaines moelles d’anenc6-
phales. Par contre les fibres k court trajet sont assez bien representees. Ainsi le
cordon anterieur, qui correspond au faisceau fondamental anterieur, semble k peu
pr£s developp£; et une mince bande de substance blanche correspondant aux fibres
courtes, diminuant d’epaisseur d'avant en arri&re, constitue seule les cordons lateraux.
En arriere du sillon anterieur, on observe un entrecroisement de fibres qui
passent d’une come anterieure k 1’autre.
I^s racines anterieures sont g6neralement diminuees de volume: le processus
inflammatoire qui touche la moelle s'etend egalement k elles.
Les racines posterieures conservent leur volume k peu pres normal, ainsi que
les ganglions rachidiens et craniens. Le ganglion de Gasser se presente avec son
aspect ordinaire; ses branches afferentes sont normales et prdsentent leur trajet
habituel; le tronc efferent par contre vient se perdre sur le rebord du rocher, et
on ne trouve g6n6ralement plus de trace du tronc nerveux du trijumeau dans la
cavite cranienne.
Les elements anatomiques sont profondement 16 s 6 s par le processus inflamma¬
toire.
Les cellules nerveuses de la moelle et du bulbe sont profondement d£g6n£rees
sur toute la hauteur de n^vraxe.
La n 4 vroglie pr6sente une proliferation abondante.
Les vaisseaux sont dilates, les parois vasculaires epaissies et enflammees; il
en resulte des hemorrhagies sur toute la hauteur du nevraxe dans les meninges et la
substance nerveuse.
* * *
Ces etres qui n’ont aucune masse encephalique et dont les centres bulbo-
medullaires memes sont si profondement alteres paraissent k premiere vue n’avoir
egalement aucune vie psychologique.
Le sujet est generalement etendu sur le dos, compietement immobile, semblant
indifferent k toutes les impressions exterieures, les jambes legerement fiechies. Les
paupieres sont continuellement closes, les yeux tres saillants sont immobiles, et
l’enfant parait ne pas voir. La figure est violacee et comme figee et les plis de la
face sont k peine accuses.
Une etude plus attentive montre cependant que cet anencephale a une vie
psychobiologique qui est encore relativement complexe. Lorsqu’on le tire de sa
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Erg&nznngaheft L
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 385
torpeur, on le vok en effet faire exdcuter k ses bras et k ses jambes des mouvements
et imprimer au tronc des d£placements d’ensemble ou partiels; il grimace en
poussant des cris brefs et monotones sans pleurs v6ritables. Ces grimaces de la
figure contrastent avec l’aspect fig6 habituel du visage, bien qu’elles soient, ce-
pendant, peut-etre moins accus&s qu’elles ne le sont k l’6tat normal.'
Et les reactions motrices par les quelles nous constatons habituellement l’exi-
stence de la sensibiliU et en d^terminons dans une certaine limite la mesure sont
tr£s bien conserves chez les anenc^phales. Elies sont meme presque analogues,
peut-on-dire, k celles que Ton observe chez un nouveau-n6 normalement constitud.
En voici des exempJes: Chatouille-t-on meme lygfcrement l’enfant sous la plante
des pieds, on provoque un mouvement de flexion des jambes avec rejet du corps
en arri&re. Fait-oii une piqure avec une 6pingle ou exerce-t-on un pincement de la
peau au niveau des pieds, des jambes, du ventre, des bras, il manifeste des mouve¬
ments de defense, il crie et se d6bat, comme pour ychapper k l’impression. Lorsque
la piqure porte au niveau du nez ou des joues, lorsque Ton pince l’enfant k la face, il
prfeente les memes phdnom^nes de malaise et de defense. Le tact et la sensibility
k la douleur semblent done conserves. Il en est de meme de la sensibility thermique,
pourvu toutefois que l’excitation atteigne un certain degry. Ainsi un tube d'eau
tiMe appliquy contre le ventre ou la cuisse du sujet ne provoque aucune ryaction,
mais un tube d’eau chaude dytermine des mouvements du tronc et des jambes et
un rejet du corps en arrive, comme si le sujet cherchait k fuir l’objet brulant.
Du coty de la sphere sensorielle, l'examen des diverses sensibilitys donne au
contraire des rysultats gynyralement nygatifs, et l’anencyphale ne ryagit habituelle¬
ment pas aiix diverses impressions, meme de forte intensity, capables de provoquer
surement des mouvements de dyfense si les sensations en avaient yty per£ues. La
projection d’une vive lumi^re sur l'ceil reste sans effet et n’amyne meme pas une
simple ryaction pupillaire, absence de ryaction relevye ygalement par Arnold 1 )
chez un anencyphale. Dans un cas personnel particuliyrement, si une lumi^re intense
placye tr^s pr^s de l’ceil ne provoquait aucune contraction pupillaire, „un attouche-
ment meme ynergique avec la tete d’une ypingle, soit de la sciyrotique, soit de la
comye au niveau de la pupille ne provoquait aucun mouvement de dyfense ou de
ryaction quelconque; la pupille meme y restait complement insensible, l’enfant
paraissait n’avoir aucune sensation ni aucune notion de cet attouchement“ a ).
Il est vrai que la comye et la sciyrotique prysentaient dans ce cas des lysions
et n’avaient pas leur constitution normale. Les sciyrotiques ytaient rouges et les
comyes temes et vitreuses. Est-ce k ces lysions qui tymoignent de troubles trophiques
marquys qu’il faut attribuer cette insensibility qui contraste avec la sensibility
bien dyv61oppye de toute la face? Il y a lieu de le supposer. Est-ce aux memes
lysions qu’il faut attribuer l’insensibility des pupilles k la lumi^re ? Cette hypoth^se
serait possible, car ces lysions de la comye et de la sciyrotique sont fryquentes:
persOnriellement nous avons constaty ces memes troubles chez un autre anencyphale
et M. M. Sabrazh et Ulry ont ygalement signaiy chez un chien anencyphale un
exorbitisme trfes accusy s’accompagnant de lysions analogues de la comye qui ytait
l ) Arnold, Gehim, Ruckenmaxk und Schadeleines Hemicephalus von dreitagigerLebens-
dauer. Betr. z. pat Anat u. 2. Al. Pat Ziegler, 1892, S. 407.
*) Vaschide etVurpas, Op. cit, p. 37.
26 Journal filr Pajcfaolofi* and Neurologie. Bd. 19 . M 3
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386 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT FOR Jo S d i£ 25 fiS tofle
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terne, ddss^ch^e, in^gale, de couleur brunatre. D’autre part est-ce k une absence
de semblables lesions qu’il faut attribuer la conservation de la sensibility de la pupille
k la lumi£re dans nn cas de Hull city par Br^diet 1 ) ? Nous serions assez port 4 s k
le croire.
Du cdty de la sphere auditive l’insensibility est aussi absolue que du c 6 t 4 de
la sphere visuelle. Des cris, des bruits intenses produits contre l'oreille ne sont suivis
d’aucun mouvement r4actionnel. De meme pour le gout et l’odorat; du bromhydrate
de quinine d£pos£ k la surface de la langue ne produit aucun r^sultat; du camphre,
de l'yther placys sous le nez ne provoquent aucune ryaction de la part du sujet.
Exception doit pourtant etre faite pour 1’ammoniaque; et lorsque Ton met un flacon
contenant de l’ammoniaque pur sous le nez de T anencyphale, on note un retrait
de la tete et un rejet du corps en arriere. Pourquoi cette exception? II faut, croyons-
nous, I’attribuer k l’action exercye par Tammoniaque sur la muqueuse pituitaire,
qui est une impression tactile plutdt qu’olfactive.
En dehors de cette sensibility particuli^re k Tammoniaque, les sensations
per9ues par les organes des sens paraissent done compiytement abolies chez ces
sujets, et la vue, 1 'ouie, le gout et Todorat font compiytement dyfaut, contraste
frappant avec la persistance de la sensibility au tact, k la douleur, aux impressions
thermiques, etc._II est vrai que chez le nouveau-n6 normalement constituy les
diverses sensibilitys sensorielles sont nettement plus engourdies que la sensibility
gynyrale proprement dite, et que les impressions re9ues sont suivies de ryac-
tions moins intenses que lorsque les sensations sont foumies par la sensibility
gynyrale.
Certains phenomlncs instinctifs relativement complexes sont ygalement trys
bien conservys, et, 1 k encore, se manifestent comme chez le nouveau-ny normal.
Lorsque Ton met un biberon aux lyvres a’un anencyphale, on le voit excercer des
mouvements de succion, et lorsque le liquide arrive dans la bouche, il se produit
une dyglutition et le liquide est parfaitement avaiy. Lorsqu’on lui introduit le
doigt dans la bouche, le sujet fait ygalement des mouvements de succion. Lui
prysente-t-on de Teau sucrye dans une cuiller, on voit les lyvres se refermer afin
d’empecher Tissue du liquide hors de la cavity buccale, et une dyglutition s’ensuivre.
Dans la syrie animale non seulement le sujet tyte comme les autres, mais encore
il se tient sur ses pattes ainsi qu’il ressort de l’intyressante observation de Sabrazte
et Ulry concemant ce chien anencyphale qui vycut 30 heures.
On note ygalement l’existence de mouvements spontanis, et k divers moments
l’enfant imprime k ses bras et k ses jambes des mouvements spontanys qui ne
rypondent k aucune excitation extyrieure; de meme que le sujet pousse, k certains
intervalles le plus souvent trys espacys, des cris et des gymissements courts et mono-
tones que rien ne provoque. Ces cris brefs et rares ne s’accompagnent pas, comme
chez le nouveau-ny normal, de pleurs. Le plus souvent cependant ces cris coincident
avec des factions de dyfense et sont provoquys par des incitations extyrietires,
comme des piq&res, des pincements ou des changements brusques dans la position
du corps.
1 ) Br6c he t, Article anenc6phalie. Dictionnaire de m^dorine iSzu
114
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BD.lft.1918>
Krgireimt»haft 1.
MEDIZINISCHE PSYCHOLOGIE UND PSYCHOTHERAPIE. 387
Que condure de tous ces faits, si contradictoires avec nos conceptions habi~
tuelles sur la physiologie c6r6brale et sur la d6pendance 6troite du cerveau et des
ph6nomenes psychologiques ?
Au point de vue moteur, sans insister sur la persistance des mouvements et
du bon 6tat trophique des muscles avec des cellules des comes ant6rieures aussi
profond6ment d6g6n6r6es (ce qui ressort plutdt au domaine de la physiologie), il y a
lieu d’opposer cependant cet 6tat k celui que nous observons chez l’adulte dans les
maladies de la moelle soit aigues, soit meme chroniques, dans toutes les poliomyElites
et principalement dans la paralysie infantile.
Bien qu'il n’y ait ni enc6phale ni faisceau pyramidal, on constate l’existence
non seulement de mouvements spontan6s assez bien adapt6s, comme la flexion d’un
bras on d’une jambe, mais encore de mouvements d’ensemble, coordon6s et meme
relativement compliqu6s et approprids k un but d6fini, k un acte instinctif, comme la
flexion des jambes avec rejet du corps en arri6re pour fuir une sensation d6sagr6able.
Ces mouvements de d6fense s’accompagnent en meme temps de r6actions mimiques
comme des grimaces qui contrastent avec le masque d’un visage g6n6ralement
immobile et fig6. En meme temps Fenfant crie et t6moigne par tout son habitus
ext6rieur d’un malaise g6n6ral. Ces cris, ces jeux de physionomie, cet ensemble de
mouvements, coordonn6s en vue d’6chapper k la sensation p6nible et de la fuir,
sont remarquables lorsque l’on songe k F absence du cerveau coordinates et du
faisceau pyramidal.
Un fait non moins remarquable est la conservation d’actes instinctifs comme
des ph6nom6nes de succion lorsque l'on introduit soit un doigt, soit un biberon
dans la bouche d’un anenc6phale, avec d6glutition cons6cutive du liquide, actes
parfois si bien conserv6s que dans l’observation de Sabrazls et Ulty les chien
anenc6phale t£tait comme les autres. II se tenait 6galement ss ses pattes, exemple
de coordination motrice soutenue et relativement compliqu6e.
L’acte instinctif s’accomplit meme avec discernement, puisque nous avons
vu un sujet fermer la bouche, lorsqu’on lui pr6sentait de l’eau sucr6e avec une
cuiller et empecher ps l’occlusion des 16 vres Fissue du liquide hors de la cavit6
buccale.
Peut-on dire que dans ces cas il s’agit de r6flexes? Asss6ment non, si l’on
comprend par ce terme le r6flexe simple, la r6action unique r6pondant k une incitation
p6riph6rique; il ne sasait etre question ici que de Fapplication des lois de Pflilger et
particuli&rement de la loi de diffusion et de g6n6ralisation des r6flexes. Mais meme
en le comprenant ainsi, il y aurait lieu d'y voir plus qu’une simple g6n6ralisation
des r6flexes k une excitation p6riph6rique. Car Feffet est plus prolong6, il est adapt6
k un but et coordonn6 en vue d'une fin qui est Facte instinctif accompli. Il fau-
drait alors admettre que tout un systfcme pr6-6tabli existerait et se d6clarerait en
r6ponse k une impression ext6riese. Il est meme difficile d’admettre ici ce m6-
canisme, car faudrait-il encore pos que le ph6nom6ne se produisit que Fincitation
p6riph6rique arrive k un centre nerveux.
Lorsque nous voyons l’anenc6phale pr6senter du retrait des jambes avec
re jet du corps en arrifcre au ch&touillement de la plante des pieds ou k Fapplication
d’un tube d’eau chaude contre la cuisse, on peut admettre que Fimpression gagne
la moelle pour provoquer la r6action motrice. Mais lorsque le sujet crie, grimace et
a6* 115
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388 VERHANDLUNGEN DER INTERN. GESELLSCHAFT.
Journal f. Psychology
und Neuroloyie.
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se d£bat, quand on le pique au niveau du nez ou lorsqu’on lui pince la joue, on ne
voit pas comment l’incitation atteint un centre nerveux; car dans deux cas per¬
sonnels qu’il nous a 6t6 donn6 d’observer, nous avons vue le trijumeau, que Ton
consid&re comme le seul nerf sensitif de la face, muni de son ganglion de Gasser,
se perdre dans du tissu fibreux sur le rebord du rocher et ne pas atteindre les centres
enc^phaliques. L’impression ne paraissait done pas arriver jusqu’aux centres
nerveux.
Ce qu’il y a de certain, e’est que la sensibility d^gag^e de toute interpretation
psychique sur la localisation, l’intensity, la nature de l’excitation, en un mot la
sensibility brute, peut-on dire, persiste chez les anencyphales, ainsi qu’en tymoignent
les reactions de defense sur lesquelles nous venons d'insister et que nous avons
vu n’etre pas des reflexes. Comme chez les sujets normaux, la reaction de defense si
nette, si bien coordonnee et adaptee k un but, temoigne de la persistance de la sensi¬
bility. L'enfant ne peut rien dire sur ce qu’il eprouve, mais ses reactions montrent
surabondamment qu’il sent.
Non seulement la sensibility k la douleur est consent, mais encore la sensi¬
bility tactile, la sensibility thermique, et peut-etre dans une cetaine mesure la sen¬
sibility musculaire, sans laquelle on comprendrait mal qu’un chien ptit t£ter et se
tenir sur ses pattes, ou qu’un enfant p&t boire au biberon et eviter par l’occlusion
des Uvres Tissue du liquide hors de la cavity buccale, lorsqu'on lui verse dans la
bouche de l’eau avec ime cuiller.
L’examen biologique des anencyphales nous semble done amplement demontrer
qu’il peut exister en l’absence complete du cerveau des phynom^nes que Ton consid£re
habituellement comme d'ordre psychologique, par exemple: adaptation k un but
de mouvements plus ou moins compliquys, mais exigeant une certaine coordination,
persistance d’actes instinctifs, conservation des sensibilitys tactile, thermique, de la
sensibility k la douleur, etc.
Nous n’arrivons assuryment pas k cette conclusion excessive que ces phyno-
m£nes sont aussi complexes et parfaits chez le sujet dycyrybry que chez le sujet
normal. Mais tels quels ces faits nous paraissaient interyssants k signaler k un Congr£s
de psychologues.
Et en demise analyse nous estimoris qu’il semble se dygager de l’ytude de
ces observations: — i 0 que si tous les actes vitaux sont profondyment troubiys du
fait de l’absence de l’encyphale, les phynom^nes placys jusqu’ici sous sa dypendance
exclusive, comme les faits psychologiques, ne le sont peut-etre pas d’une fa$on aussi
absolue et entire que Ton a coutume de le considyrer — 2. que le cerveau doit etre
considyrycomme un apparail de perfectionnement rygulier de tout l’organisme, mais
que son absence est encore compatible avec une vie psycho-physiologique rudi-
mentaire.
C
3
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Journal for Psychologie und Neurologie.
Band 19.
Erganzungsheft 2.
Aus dem anatomischea Laboratorium der Kgl. Universitatsklinik fiir Gemiits- und Nervenkrankheiten
in Tubingen (Dr. K. Brodmann).
Histologische Lokalisation der GroBhirnrinde bei klelnen
SSugetieren (Rodentia, Insectivora, Chiroptera).
Von
Dr. Maximilian Rose (Krakau).
15 Doppeltafeln.
Inhalt:
I. Einleitung:
1. Zweck und Aufgabe.
2. Altere Untersuchungen uber Rindenlokalisation bei Rodentiem, Insectivoren und Chiro-
pteren.
II. Eigene Untersuchungen:
1. Material und Methode.
2. Schichtungsfrage im allgemeinen.
3. Beschreibung der Typen und Feldergliederung bei den verschiedenen Sippen.
a) Rodentiem (Mans S. 403, Meerschweinchen S. 436).
b) Insectivoren (Maulwurf S. 442, Spitzmaus S. 449).
c) Chiropteren (Fledermaus S. 453).
A. Beschreibung der Schichtungstektonik der Einzeltypen.
B. Topische Lokalisation der Typen
1. auf Horizontal schnitten;
2. OberflachenfelderungT
III. Zusammenfassung.
I. Einleitung.
1. Zweck und Aufgabe.
Die histologische Lokalisation der GroBhirnrinde bildet einen neuen For-
schungszweig der Himanatomie, dessen Bedeutung sowohl fiir klinische und him-
pathologische Fragen wie fiir die vergleichende Anatomie und Systematik mehr und
mehr anerkannt wird. Wahrend das praktische Interesse der klinisch-pathologischen
Hirnforschung sich vorwiegend auf das Menschenhim beschrankt, ist es fiir theore-
tische Fragen ein naherliegendes Bediirfnis, mdglichst umfassende Vergleichsmate-
rialien aus den verschiedenen Tiergruppen vom Gesichtspunkte der topischen Rinden¬
lokalisation zur Verfiigung zu haben.
Ich habe es daher auf Anregung von Dr. Brodmann untemommen, die
lokalisatorische Bearbeitung der GroBhirnrinde bei einer Reihe kleiner Saugetiere
27 Journal fir Psychologic und Neurologic. Bd. 19. * *9
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392
in Angriff zu nehmen, einmal da diese groBere Ordnungen bisher nocli nicht syste-
matisch und im Zusammenhang untersucht wurden und zweitens weil in jiingster
Zeit mehrfach sehr widersprechende Befundc iibcr die lokalisatorische Gliederung
des Cortex cerebri bei einigcn der in Betracht kommenden Ticre mitgeteilt worden
waren and somit eine Nachpriifung an einem groBeren Vergleichsmaterial zur
Klarung der strittigen Fragen notwendig wurde.
Die kleinen Sauger verdienen aber auBcrdem vom Standpunkte der Rinden-
lokalisation teils infolge ihrer vielfach sehr prirnitiven Organisation iiberhaupt, teils
durch Anpassungen an ganz extreme biologische Verhaltnisse, vermoge deren es bei
manchen dieser Gattungen und Arten zu einseitigen morphologischen und funk-
tionellen Ausbildungen entweder im Sinne progressiver Entwicklung (z. B. Makrosmie)
oder im Sinne regressiver Entwicklung (z. B. Amblyopie bzw. Anophthalmie) ge-
kommen ist, eine ganz besondere Beachtung.
Dazu kommt, daB die Gehirne dieser Sippen schon vermoge ihrer Kleinheit
vom Standpunkte der Organdifferenzierung aus eine Reihe wichtiger morpho-
logischer Probleme aufgeben. Insbesondere erschien es geboten, den EinfluB der
GroBe des Gehims auf die Zahl der differenzierten Rindenfelder bei einigen Genera
naher zu untersuchen.
SchlieBlich glaubten wir mit dcr Untersuchung dieser Sippen in gewissem
Sinne auch einem praktischen Bediirfnis zu geniigcn, insofern als einigc der hierher-
gehorigen Arten gebrauchliche Laboratoriumsticre sind und die genauere Kenntnis
der Rindentektonik bei denselben auch fur das physiologische Experiment nur von
Nutzen sein kann.
DaB nebenbei auch zu manchen unerledigten Streitpunkten der Rinden¬
tektonik, insbesondere zur Schichtungsfrage, auf Grand des neuen Untersuchungs-
materials Stellung genommen werden sollte, bedarf kaum der Erwahnung 1 ).
2. Altere Untersuchungen uber Rindenlokalisation bei Rodentiern, Insectivoren
und Chiropteren.
In bezug auf die Rindenschichtung der kleinen Sauger besteht noch eine sehr
groBe Meinungsverschiedenheit bei den einzelnen Autoren. Weder in der Schichten-
benennung, noch in der Angabe der Schichtenzahl gibt es eine Einigung. Dem-
nach ist auch die Einteilung der Hirnrinde in differente Bezirke fast bei jedem
Autor eine andere. Die Autoren bedienen sich auch nicht derselben Kriterien bei
der Beurteilung des Rindenbaues. Deshalb scheint mir auch das Richtigste zu sein,
an dieser Stelle kurz die Untersuchungsergebnisse der einzelnen Autoren wieder-
zugeben.
Bei der Fledermaus (VespertiUo murinus) wurde meines Wissens die Architek-
tonik der Hirnrinde nur durch B. Haller beschrieben. Nach diesem Autor teilt
sich der dorsale Mantel bei Vespertilio murinus in einen inneren und einen auBeren
Teil. Nebenbei unterscheidet Haller einen besonderen Typus, welchen die Pyri-
formisrinde aufweist. Der ganze dorsale Mantel mit Ausnahme des medianen Teiles
*) Nach AbschluB unserer Untersuchungen und wahrend der FertigsteUung des Druckes
sind zwei Arbeiten erschienen, die sich mit ahnlichen Fragen beschaftigen, im Text aber nicht
mehr berucksichtigt werden konnten: i. Zunino, 2. Drogleder-Fortuyn.
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DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal r. Psychologic
und Neurologic.
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Erg&nzungsheft 2 HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 393
vom Occipitallappen zeigt das Gemeinsame, daB die Ganglienzellen unter der
Plexiformschicht eine dichte Zellage bilden. Unter ihr liegt die viel breitere innere
Zellage. „Diese Struktur, nach der die Rinde aus 3 Zellenschichten besteht, nam-
lich auBer der plexiformen aus der schmalen verdichteten und der dicken, weniger
dichten Zellenschicht, vvorauf die weiBe Substanz oder die Corona radiata folgt, ist
fur die Saugetiere als Urarchitektonik zu bezeichnen".
Ga user unterscheidet in der Hirnrinde des Maulwurfs 5 Schichten: 1. weiBe
Schicht, 2. Schicht der mittleren Pyramiden, 3. Schicht der groBen Pyramiden,
4. Schicht der kleinen Pyramiden, 5. Schicht der spindelformigen Zellen. Er sonderte
auf Grund des Zellenbaues 7 Regionen ab: 1. Vordere Region, 2. hintere Region,
3. Ammonshom, 4. Septum pellucidum, 5. Bulbus olfactorius, 6. Rinde am Kopf des
Streifenhiigels, 7. Lobus pyriformis.
Ober Spitzmaus und Maulwurf liegen Studien von Watson vor. In der
Schichteneinteilung schlieBt er sich Mott an und unterscheidet 5 Hauptschichten:
1. Zonalschicht (Zonal layer);
2. Pyramidenschicht (Pyramidal layer);
3. Komerschicht (granules and stellate cells);
4. Innerer Baillargerscher Streif (inner-line of Baillarger with large solitary
cells of Meynert);
5. Polymorphe Schicht (polymorph layer).
Die Tektonik und Zahl der Felder ist bei Spitzmaus und Maulwurf die gleiche.
Watson unterscheidet folgende strukturell verschiedene Zentren bei diesen Tieren:
1. eine motorische Sphare, welche auf der Mantelkante, etwa in der Mitte,
sowohl auf der lateralen wie auch auf der medialen Hemispharenflache liegt;
2. eine allgemein sensorische Sphare lateralwarts vom motorischen Felde
gelegen;
3. eine beide vorigen Felder umgebende undifferenzierte Zone, welche bis zum
Archipallium herabreicht;
4. auf der medialen Hemispharenflache liegt noch „the curved postero-mesial
portion‘d ein hinter dem Balken sich ausdehnendes Feld, welches wiederum
in 3 Felder zerfallt:
a) die „superior and anterior division", welche nach Ansicht des Verfassers
mit dem Trigeminus in Beziehung steht;
b) die „middle division", deren Funktion dem Verfasser unbekannt ist;
c) die „inferior division", welche der Verfasser als „Sehsphare" auffaBt.
Diesletzte Feld entspricht zweifellos der retrosplenialen Region Brodmanns,
wie es auch von diesem Verfasser vergleichend anatomisch bewiesen wurde.
Mit der Architektonik der Mauserinde befaBten sich mehrere Autoren.
Nach S. Ramon y Cajal ist die Rinde der Maus einfach gebaut. Die Zahl
der Schichten iiberschreitet nicht 5 (weiBe Substanz mitgezahlt). Es sind dies:
1. plexiforme Schicht, 2. Schicht der kleinen und mittelgroBen Pyramiden, 3. Schicht
der groBen Pyramiden, 4. Schicht der polymorphen Zellen, 5. weiBe Substanz. Die
Komerschicht ist nach Cajal in der Hirnrinde von der Maus nicht zu beobachten.
Cajal teilt aber nirgends mit, auf welchen Teil des Palliums seine Angaben sich be-
ziehen. Irgendeine topisch lokalisatorische Gliederung hat er iiberhaupt nicht
versucht.
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394
Journal f. Psycholop I e
nnd Nenrologie.
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Von B. Haller liegen 2 Beschreibungen von dem Gehime der Maus vor. Wir
berufen uns aber ausschlieBlich auf die spatere. Nach diesem Autor teilt sich die
Rinde der Maus in 5 Gebiete: 1. das Stirngebiet, 2. das fomikale Gebiet, 3. das
dorso-occipitale Gebiet, 4. das Inselgebiet, 5. die Pyriformisrinde. Das Stim- und
Fomikalgebiet stimmt in vielen Punkten iiberein. Die Zahl der Schichten betragt
in beiden Gebieten 3. Die erste Schicht ist die Plexiformschicht. Die zweite Schicht
sondert sich in eine oberflachliche Unterschicht (2 a) mit kleinen, dichten, chromo-
philen und eine tiefere (2 b) mit groBeren, weniger gefarbten und weiter auseinander-
stehenden Pyramidenzellen. Die dritte Schicht enthalt fast ausschlieBlich Stern-
zellen und nur wenige Pyramiden. Das Stirn- und Fomikalgebiet ist somit drei-
schichtig. Das dorsooccipitale Gebiet besitzt auBer den 3 Schichten des Fomikal-
gebietes noch 2, respektive 3 Schichten, namlich: die Schicht der groBten Pyramiden
(4. Schicht), die Schicht der polymorphen Zellen (5 a), die Schicht der Spindelzellen
(5 b). Die letzte Schicht des Fomikal- und Stimgebietes identifiziert Haller mit
der 3. Schicht des dorsooccipitalen Gebietes. Im Inselgebiet unterscheidet Haller
1. die Plexiformschicht, 2. die breite Pyramidenschicht, 3. die zusammengeschmolzene
5. und 6. Schicht. Die Ammonalrinde bildet nach Haller die Fortsetzung der
2. Schicht.
Haller betrachtet die Dreischichtung als Urarchitektonik, welche bei hoher
stehenden Tieren sich weiter differenziert.
Nach Hermanides und Koppen, welche die Gehime von Kaninchen,
Ratte, Maus und Maulwurf studiert haben, besteht der Grundtypus der Rinde bei
diesen Tieren aus 4 Schichten: 1. Stratum moleculare, 2. Schicht der kleinen Pyra¬
miden, 3. Schicht der groBen Pyramiden, 4. Schicht der unregelmaBigen Zellen.
Die Lissencephalen besitzen in der Himrinde 4 differente Felder: 1. Vorderer und
mittlerer Teil der Rinde, 2. obere Occipitalrinde, 3. untere Occipitalrinde, 4. Pyri-
formisrinde. Die untere Occipitalisrinde haben diese Autoren, wie Watson, als
,,Sehrinde“ aufgefaBt.
Wesentlich anderer Kriterien bedient sich bei der Beurteilung der Rinden-
tektonik Brodmann. Wir werden dariiber in einem speziellen Kapitel: „Schich-
tungsfragen im allgemeinen" zu sprechen kommen. Seine und seiner Schuler (Zu*
nino, Flores) Untersuchungsresultate bei Rodentiem und Insectivoren sind von
denjenigen anderer Autoren in vielen Punkten nicht unwesentlich verschiedqp. Ins-
besondere unterschieden Brodmann und seine Schuler eine viel groBere Zahl von
differenzierten Einzelfeldem und — was wissenschaftlich wichtiger ist — sie suchen,
diese Einzelareae und Regionen bei den verschiedenen Tieren in Homologie zu
bringen. Wir werden oft auf diese Untersuchungen uns spater berufen mussen.
Nach dem AbschluB der vorliegenden Untersuchungen ist nur noch die un-
langst erschienene umfangreiche Arbeit Isenschmids iiber die GroBhimrinde der
Maus zugekommen. Er schlieBt sich der Schichtenbenennung Brodmanns an,
obwohl er entwicklungsgeschichtlich nicht eine Sechsschichtung im ganzen Neocortex
nachweisen konnte. Im erwachsenen Zustande konstatierte er an manchen Stellen
eine Sechsschichtung. Die Untersuchungen, welche sich nur auf den Neocortex
beziehen, wurden, ein Exemplar der grauen Hausmaus ausgenommen, ausschlieB¬
lich an albinotischen Mausen durchgefiihrt. Ihrer Tektonik nach unterscheidet
Isenschmid 3 groBe Gmppen von Feldern, und zwar 1. das dorsolaterale, 2. das
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Erfrinzungiheft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 395
frontomediale und 3. das suboccipitale Gebiet. Im dorsolateralen Gebiet laBt sich
ein sechsschichtiger Grundplan erkennen. Hier kommt es auch zu einer deutlichen
Ausbildung der auBeren Hauptzellschicht, das ist der II. bis IV. Schicht. Die Rinden-
breite ist eine mittlere und nimmt von hinten nach vome zu. Zu diesem Gebiete
gehoren die Felder a, b, c, d, e, f, g, h, i, k. Das frontomediale Gebiet ist durch die
Schmalheit der auBeren Hauptzellschicht charakterisiert. Die innersten Schichten
(V und VI) sind breit. Die Begrenzung der einzelnen Schichten ist hier auch
weniger deuthch. Die Felder dieses Gebietes sind: n, m, 1 , r, q. Das suboccipitale
Gebiet ist charakterisiert durch die Rindenschmalheit, relative Breite der ersten
Schicht, geringe Differenzierung der auBeren Hauptzellschicht und Kleinheit der
Elemente. Hierher gehoren die Felder s und 1 . Das ganze Gebiet ist nach Ansicht
des Verfassers identisch mit Brodmanns retrosplenialer Region
II. Eigene Untersuchungen.
1. Material und Methode.
Die nachstehenden Untersuchungen wurden an 49 Totalserien von Gchirnen
kleiner Sauger, welche teils in Miiller-Celloidin, teils in Formol-Paraffin vorbehandelt
waren, unternommen.
Sie erstrecken sich auf die Maus, das Meerschweinchen, den Maulwurf, die
Spitzmaus und die Fledermaus. Zum Vergleich wurden auch einzelne bereits von
anderen Autoren (Brodmann, Z uni no, Flores) beschriebene kleinere Tiere,
insbesondere vom Igel und Kaninchen herangezogen. Auch einige foetale und jugend-
liche Gehime verschiedener Entwicklungsstadien vom Meerschweinchen und Ka¬
ninchen wurden beriicksichtigt.
Im ganzen standen 35 Paraffinserien fiir Zellfarbung zur cytoarchitektonischen
Untersuchung und 14 Celloidinserien fiir die Markscheidenfarbung zu myeloarchitek-
tonischen Untersuchungen zur Verfiigimg. #
Die Herstellung der Zellserien geschah in der von Brodmann in seinen Mit-
teilungen zur histologischen Lokalisation in diesem Journal naher angegebenen
Weise. Die Schnittdicke war abwechselnd 10 fi und 20 ju. Paraffinserien an kleinen
Objekten sind im aUgemeinen leichter anzufertigen als an groBeren Gehimen; aller-
dings hat man bei rindenlokalisatorischen Studien mit dem MiBstande zu rechnen,
daB an den Polen und der Mantelkante vielfach storende Flachschnitte zustande
kommen, die die Beurteilung der Rindentektonik erschweren. Wir sind diesem
Nachteile dadurch begegnet, daB von jeder Spezies mehrere Serien auf verschiedenen
Schnittebenen beniitzt wurden. Gefarbt wurden die Serien mit Kresylviolett nach
Bielschowsky. Die Farbbarkeit der Zellen lieB bei manchen Gehimen der kleinen
Tiere zu wiinschen iibrig, wir haben daher ofters Nachfarbungen vorgenommen
und dann ausreichende Resultate erhalten.
GroBere Schwierigkeiten bereitet bekanntlich die Markscheidenfarbung 1 ) in
der GroBhimrinde kleinster Sauger, insbesondere der Insectivoren und Chiropteren.
x ) Meine Befunde widersprechen in dieser technischen Beziehung denen von Isenschmid.
Nach diesem Autor verlieren bei der Maus die aus der weiBen Substanz radiar in die Rinde
eixistrahlenden markhaltigen Fasern ihr Mark schon beim „Durchtritt durch die 5. und 6. Schicht,
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396
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal f. Psychologic
und Neurologic.
Es liegen aber in dieser Richtung bereits ausgezeichnete Ergebnisse vom Kaninchen
durch Zunino und vom Igel durch Flores vor, die beweisen, daB bei hinreichender
Beherrschung der Technik auch von diesen Tieren gute und quantitativ vollstandige
Farbungen selbst der feinsten Rindenfasem in den oberflachlichen faserarmen
Schichten des Cortex cerebri zu erzielen sind, wie die vortrefflichen Abbildungen
der beiden genannten Autoren beweisen (dieses Journal Bd. XIV und XVII).
Einzelheiten iiber die Technik sind an diesen Stellen nachzusehen. Am wichtigsten
ist eine ausreichende Beizung, und zwar nicht nur der ganzen Gehime, sondern der
Schnitte selbst. Wir haben die Schnitte mancher Serien 3—4 Monate in Mullerscher
Fliissigkeit und auBerdem noch mehrere Stunden in Chromsaure nachbehandelt
und dann ofters eine gute Faserfarbung erzielt, wenn sie bei kurzerer Chrombeizung
versagt hatte. Gefarbt wurde nach Weigert, mit der Modifikation Wolters-
Kulschitzky, und zwar gleichfalls langer als im allgemeinen iiblich ist, namlich
zuweilen 2—5 Tage im Thermostaten.
Die Schnittdicke betrug abwechselnd 30 /i und 60 ju.
Bei diesem Verfahren habe ich vollig einwandfreie Praparate auBer beim
Kaninchen und Igel von der Maus und dem Meerschweinchen bekommen.
SchlieBhch sei noch erwahnt, daB bei histologischen Lokalisationsstudien die
Mikrophotographie sehr groBe Dienste leistet, indem sie an feinen Cbersichtsbildern
manches, was unser Auge in dem kleinen Gesichtsfelde des Mikroskops schwer auf-
faBt oder gar ubersieht, in anschaulicher Weise wiedergibt. Besonders bei kleinen
Tieren, wo ganze Hemispharenschnitte in ein Bild hereinkommen konnen, treten
alle strukturellen Verschiedenheiten der Rinde sehr anschaulich hervor. Es wurde
stets in 2 mikroskopischen VergroBerungen photographiert, namlich 60: 1 und
30:1. Die VergroBerung 30:1 erwies sich als sehr giinstig zur Wiedergabe von
t)bersichtsbiIdem, die VergroBerung 60:1 gibt tektonische Einzelheiten besser.
Wir haben die letztere auBerdem gewahlt, weil die cytotektonischen Photogramme
friiherer Autoren (Brod man n, Vogt) vom Menschen und anderen Saugem meist
bei dieser VergroBerung wiedergegeben wurden und es fur Vergleichstudien wichtig
ist, immer derselben VergroBerung sich zu bedienen. Nur auf diese Weise kann man
z. B. aus den Photogrammen die relative Rindenbreite, Zelldichtigkeit usw. zu-
verlassig beurteilen und mit derjenigen anderer Tiere ohne weiteres vergleichen.
2. Schichtungsfrage im allgemeinen.
Es ist eine heute nicht mehr bestrittene Tatsache, daB die GroBhimrinde des
Menschen und aller Sauger in verschiedenen Regionen einen wesentlich verschie-
denen Bau aufweist. Als Kriterium wird nach dem Vorgange Brodmanns die
Schichtungstektonik des ganzen Rindenquerschnitts genommen und nicht, wie
so daB wir in der Regel die auBeren Schichten der Rinde vdllig marklos finden". Auch einen
aus markhaltigen Fasem bestehenden Gennarischen Streif beobachtete Isenschmid nirgends
bei der Maus. Demgegenuber miissen wir hcrvorheben, das wir bei der Maus in der ganzen
Rindenausdehnung und in alien Schichten markhaltige Fasem finden. Im besonderen bildet
sowohl der auBere wie auch der innerc Gcnnarische Streif ein Vorkommnis in verschiedenen
Zentren. In manchen, wie in der Area striata, dem Typus postcentralis und der Area retrosple-
niata, ist der auBere Gennarische Streif schon makroskopisch sichtbar. Isenschmid machte
allerdings seine Untersuchungen fast ausSchlieBlich an albinotischen Mausen.
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Erpiniun^hlft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 397
es friiher der Fall war, das Verhalten der einzelnen Schichten oder gar einzelner
Elemente. Es ergibt sich daraus eine architektonische Einteilung der GroBhirn-
oberflache nach flachenhaft ausgedehnten Feldem von in sich gleichartiger Rinden-
struktur (Areae anatomicae).
Es ist das Verdienst Brodmanns, nicht nur jenes Kriterium in die histo-
logische Lokalisationslehre eingefiihrt zu haben, sondem auch auf Grund entwick-
lungsgeschichtlicher und vergleichend-anatomischer Studien einen Grundtypus
aufgestellt zu haben, von welchem alle sogenannten neopalhalen Querschnitts-
strukturen abzuleiten und zu verstehen sind. Brodmann stellte namlich fest,
daB eine Anzahl von histologischen Zentren, was fur eine Struktur sie auch im
spateren Leben haben mogen, wahrend der ontogenetischen Entwicklung voriiber-
gehend eine Sechsschichtung aufweisen. Er nannte deshalb die sechsschichtige
Rinde den tektogenetischen Grundtypus der Mammalierrinde. Alle Rindentypen,
welche entweder zeitlebens eine Sechsschichtung aufweisen (isotypische Forma-
tionen) oder dieselbe nur w r ahrend der ontogenetischen Entwicklung durchgemacht
haben (allotypische Formationen), faBt Brodmann als homogenetische Rinde
(Isocortex O. Vogts) zusammen und stellt sie denjenigen Rindentypen, bei welchen
er ein sechsschichtiges Durchgangsstadium nicht feststellen konnte, seiner hetero-
genetischen Rinde (Allocortex O. Vogts) gegeniiber.
Der tektogenetische Grundtypus, welcher mit alien isotypischen Formationen
identisch ist, besteht im Zellbau aus folgenden 6 Schichten (Fig. i):
1. Lamina zonalis,
2. Lamina granulans externa,
3. Lamina pyramidalis,
4. Lamina granularis interna,
5. Lamina ganglionaris,
6. Lamina multiformis.
Ich schlieBe mich in meinen Untersuchungen dieser Schichtenbenennung
Brodmanns an.
Die isotypischen Formationen konnen untereinander trotz derselben Schichten-
zahl gewisse Verschiedenheiten aufweisen, die in folgenden Merkmalen bestehen:
a) in der groBeren oder kleineren Zelldichtigkeit im ganzen Rindenquer-
schnitte oder in einzelnen Schichten,
b) in der ZellgroBe und Zellform in einer oder mehreren Schichten,
c) in der Breite der einzelnen Schichten,
d) in der Dicke der Gesamtrinde.
Zur Illustration dieser Tatsachen sind die entsprechenden Photogramme
von Temporal-, Parietal- und Postzentraltypen der Maus zu vergleichen. Als
Ausgangspunkt zum Vergleich kann die Rinde der Area striata beniitzt werden.
Es bilden namlich alle diese Typen homotypische Formationen, welche sich nur
auf Grund obengenannter Kriterien abgrenzen lassen. Eine heterotypische (allo¬
typische) Formation entwickelt sich aus dem tektogenetischen Grundtypus durch
einen DifferenzierungsprozeB, welcher auf zwei Vorgangen beruht:
a) Einer Schichtenvermehrung. Diesen Vorgang zeigte uns Brodmann an
dem Calcarinatypus. Indem die menschliche Calcarinarinde noch im 6. fotalen
Monat den tektogenetischen Grundtypus aufweist (Fig. 2), zeigt sie im 8. fotalen
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Monat eine deutliche Teilung der inneren Kornerschicht in 3 Unterschichten
(Fig. 3). Auch die Insel bietet uns ein Beispiel der Schichtenvermehrung, indem
sich die Lamina multiformis deutlich bei alien Saugern in 3 Unterschichten teilt,
von welchen die innerste meistens sich als Claustrum abspaltet. Eine Ausnahme
Fig. 1. (Nacn K. brodmann.) Verhalten der Zell- und Faserschichten in der memschlichen
GroBhimrinde (Schematisch). [Kombiniert nach verschiedenen Methoden a) Golgi, b) Nissl,
c) Weigert.]
bilden die kleinsten Sauger (Fledermaus), wo sich das Claustrum noch nicht diffe-
renziert hat. Die Schichtenvermehrung kann auch durch Abgruppierung der
histologischen Elemente innerhalb einer Grundschicht entstehen (Typus giganto-
pyramidalis).
b) Einer Schichtenverminderung, welche auf doppelte Weise zustande kommt.
Manchmal lost sich eine Schicht auf, wie wir das im folgenden mehrmals in der
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Area gigantopyramidalis demonstrieren werden, wo die Lamina granularis interna
als zusammenhangende Zellage zu existieren aufhort, ihre Elemente aber in den
Fig. 2. (Nach K. Brodmann.) Menschliche Calcarinarinde vom sechsten
fotalen Monat. 46:1, ioh.
Fig. 3 - (Nach K. Brodmann.) Menschliche Calcarinarinde vom achten fotalen Monat.
46:1, 10 ft.
angrenzenden Schichten zerstreut liegen. Manchmal bleibt sogar ein lichter Streif,
eme Art Liicke nach den ausgewanderten Komem zuriick. Dies ist besonders gut
im Typus 4 der Maus und des Meerschweinchens zu beobachten. Brodmann
demonstriert uns diesen Vorgang an der Area gigantopyramidalis des Menschen,
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wo ini 8. folalen Monat noch cine deutliche innerc Kornerschicht vorhanden ist,
welche beim Erwachsenen ganzlich verschwindct.
Eine andere Weise der Schichtcnverminderung finden wir in den granularen
retrosplenialen Typen, wo es zur Verschmelzung der 2. und 3. Schicht kommt.
Die homogenetischcn Formationen (Isocortex) entsprechen im groBen und
ganzen dem Neopallium, die heterogenetischen (Allocortex) dem Archipallium.
Diese letzteren zeichnen sich dadurch aus, daB sie in fotalen Stadien eine andere,
von der Sechsschichtung abweichende Tektonik aufweisen. Brodmann unter-
scheidet mit Recht 3 Untergruppen des Allocortex. Es sind dies:
1. Cortex primitivus, welcher gar keine Schichtung aufweist und mehr
aus regellosen Anhaufungen von Zellen besteht. Diese Rinde besitzt auch kein
subcorticales Marklager. Es gehoren hierher der Bulbus olfactorius, das Tubcr-
culum olfactorium und der Nucleus amygdalae.
2 . Cortex rudimentarius. Wir rechnen hierher nach Brodmann jene
Rindenformationen, welche schon eine gewisse Schichtung, wenigstens eine erste Anlage
der Schichtung, besitzen. Es sind namlich diese Typen, welche nur die 1 und 6 d. i. die
phylogenetisch jiingsten Schichten aufweisen. Es gehoren zu dieserGruppe das Amons-
horn, die Fascia dentata, das Subiculum, die Taenia tecta, das Septum pellucidum.
3. Cortex striatus. Diese Rinde setzt sich zum Unterschiede vom Cor¬
tex rudimentarius aus einer grdBeren Anzahl, manchmal sogar aus mehr als 6 Schich-
ten zusammen. Meistens entsprechen aber niclit mehr als 3 dieser Schichten den
entsprechenden Schichten des tektogenctischen Grundtypus. Es sind die Schichten
1, 5 und 6. Andere Schichten entstehen durch Abspaltung von Unterschichten.
Hierher gehoren die Area entorhinalis, die Area perirhinalis, die Area praepyri-
formis, die Area praesubicularis und die Area retrosubicularis.
Die heterogenetischen Rindentypen (Allocortex) nehmen beim Menschen
eine sehr kleine Flache ein und scheinen iiberhaupt riickgebildet zu sein. Dafiir fin¬
den wir eine sehr groBe Ausdehnung und sehr reichhaltige Differenzierung dieser
Typen bei kleinen Tieren, unter welchen wiederum die Insektenfresser den ersten
Platz einnehmen. Bei diesen letzteren nimmt das Archipallium mit seiner hetero¬
genetischen Rinde mehr als die Halfte der Gesamtrinde ein.
Auch beziiglich der Markfaserschichtung konnen war nach O. Vogt eine Art
Grundtypus aufstellen. Sein Verhalten zum Zellaquivalente demonstriert obige
Fig. 1. Jeder Hauptfaserschicht entspricht eine Hauptzellschicht, nur sehen wir
im Faserbilde eine weitergehende Ausbildung \on Unterschichten. Ich zahle im
folgenden die Markfaserschichten des tektogenetischen Grundtypus nach der neuesten
Benennung von O. Vogt auf; nebenbei setze ich aber friihere Benennungen dieser
Schichten her, welche bis in die letzte Zeit, besonders bei Belschreibung kleiner
Tiere (Zunino, Flores) beniitzt wurden. In meiner Darstellung werde ich mich
auch dieser friiheren Benennungen bedienen, welche den einfachen Verhaltnissen
bei kleinen Tieren vollkommen entsprechen.
1. Lamina tangentialis = Lamina zonalis ■«= I. Zellschicht.
1 °. Pars afibrosa lam. tang. = Sublamina supratangentialis.
1 a Pars superficialis lam. tang. ) _ ,,
, ^ , > = Sublamina tangentialis.
ib. Pars intermedia lam. tang. J
ic. Pars profunda lam. tang. = Sublamina infratangentialis.
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HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNR1NDE. 401
}-
V. Zellschicht.
2. Lamnia dysfibrosa = II. Zellschicht.
3. Lamina suprastriata = III. Zellschicht.
3 a 1 . Stria Kaes-Bechterewi.
3 a 1 . Pars typica.
3b. Pars profunda lam. suprastr. = Pars interna lam. supiastr.
4. Stria Baillargeri externa = IV. Zellschicht.
5 a. Lamina interstriata
5 b. Stria Baillargeri interna
6. Lamina infrastriata = VI. Zellschicht.
6 a 1 . Lamina substriata.
6a*. Lamina limitans externa.
6b 1 . Lamina limitans interna.
6b 2 . Zona corticalis albi gyrorum.
Die I.—III. Schicht fassen wir als auBere, die IV.—VI. als innere Hauptschicht
zusammen.
Die ortlichen Verschiedenheiten im Rindenbau beurteilen wir auf Grand ahn-
licher Kriterien wie bci dcr Zelluntersuchung. Es handelt sich auch hier um Unter-
schiede von Rindenbreite, Faserkaliber, Faserreichtum, Faserlange, Schichten-
vermehrang und Schichtcnverminderung. Ein wichtiges Kriterium geben auch die
Markstrahlen oder Radii durch ihr Kaliber, ihre Lange und Dichtigkeit ab.
Die wichtigsten ortlichen Abanderangen spielen sich im Markfaserbilde der
Rinde an der Lamina zonalis, an den beiden Striae Baillargeri und an den Radii
ab. Die Lamina zonalis kann 4 Unterschichten aufweisen und dann sprechen wir
vom quadrizonalen Typus. Wenn sie nur 3 oder 2 Unterschichten besitzt, dann haben
wir es mit einem trizonalen oder bizonalen Typus zu tun. (Fig. 4.)
Nach dem Verhalten der Baillargerischen Streifen unterscheiden wir 4 ver-
schiedene Typen:
1. Typus bistriatus: es bestehen 2 deutliche Baillargersche Streifen, welche
durch die helle Lamina interstriata geteilt sind. Unter der Stria Baillargeri interna
befindet sich nochmals eine faserarme Zone — die Lamina substriata. (Fig. 4 a.)
Wie schon oben hervorgehoben wurde, bildet der bistriare Typus den tektogeneti-
schen Grandtypus, von welchen sich alle Formationen im Faserbau der Rinde
ableiten lassen.
2. Typus unitostriatus: es kommt zu einer derartigen Verdichtung der Fa-
sem in der Lamina interstriata, daB beide Striae Baillargeri zusammen einen breiten,
dunklen Querstreif bilden — die Striae wurden durch die nunmehr ganz dunkle
Lamina interstriata vereinigt. (Fig. 4c.)
3. Typus unistriatus: es besteht nur der auBere Baillargersche Streif. Der innere
ist als selbstandige Stria infolge der Faserverdichtung in der Lamina substriata
verschwunden, er verschmilzt mit der 6. Schicht. (Fig. 4b.)
4. Typus astriatus: sowohl in der Lamina interstriata wie in der substriata
kommt es zu einer starken Faservermehrung und somit verschwunden beide Striae
als selbstandige Schichten. Die ganze innere Hauptschicht bildet eine einheitliche
dunkle Faserlage. (Fig. 4d.)
Wenn eine von den Striae Baillargeri faserreicher oder breiter ist, sprechen
wir von einem Typus extemidensior oder internidensior, extemilatior oder inter-
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nilatior; vvenn beide Striae gleich breit und faserreich sind, so haben wir es mit
cinem Typus aequilatus and aequidensus zu tun (A. Vogt).
Entsprechend der Lange der Radii linterscheiden wir 3 Typen:
1. Typus mediradiatus oder euradiatus; die Radii reichen bis in die Mitte der
Lamina suprastriata. (Fig. 4a und d.)
a bed
Fig. 4. Schematische Darstellung der mycloarchitekto-
nischen Hauptmodifikationen des Grundtypus der GroG-
hirnrinde nach O. Vogt, a) Typus bistriatus, quadri-
zonalis, euradiatus, b) Typus unistriatus trie (bi), zonalis,
infraradiatus. c) Typus unitostriatus, bizonalis, supra-
radiatus. d) Typus astriatus, trizonalis, euradiatus.
2. Typus supraradiatus: die Radien ziehen bis in die Lamina tangentialis.
(Fig. 4c.)
3. Typus infraradiatus: die Radii iiberschreiten nicht den auBeren Baillarger-
schen Streifen. (Fig. 4b.)
Im folgenden werden wir uns sowohl bei der Beschreibung der Cyto- wie auch •
der Myeloarchitektonik auf die zitierten Kriterien stiitzen. Es sei hervorgehoben,
daB jedem Zellaquivalente ein Faseraquivalent bei den kleinen Tieren entspricht.
Deshalb lassen wir immer der Beschreibung der Cytoarchitektonik eines jeden Feb
des diejenige der Myeloarchitektonik folgen.
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Er^Anzongsheft 2 HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 403
3. Beschreibung der Typen und Feldergliederung bei den verschiedenen Sippen.
a) Rodentia.
A. Beschreibung der Maus (Mus musculus), Cyto- und Myeloarchitektonik
der einzelncn Rindentypen.
Typus 1—3+5. Area postcentralis communis.
Cytoarchilektonik (Tafel 1): Es ist dies einc isotypische Formation, also ein
Rindenbau, der zeitlebens die Sechsschichtung des tektogenetischen Grundtypus von
Brodmann bewahrt.
Die bedeutende Breite der Rinde und die Anwesenkeit groBer Ganglienzellen
in der 5. Schicht, welche sonst nur im Ricsenpyramidentypus und im Typus praeparietalis
in ahnlicher Anordnung vorkommen, neben den charakteristischen Merkmalen des
Typus postcentralis, erlauben diese Formation als Kombination von Typus 1—3
mit dem Typus 5, d. i. mit der Rinde der Area praeparietalis anderer Sauger aufzu-
fassen. Die Lamina zonalis ist schmaier als die des angrenzenden Typus 4, enthalt aber
relativ viel zerstreute kleine, teils granulare, teils polymorphe, Elemente.
Die Lamina granularis externa ist als zusammenhangende Zellage nicht zu er-
kennen, vielmehr sieht man an der Stelle derselben und auch in der 3. Schicht zerstreute
granulare Elemente, welche meistens mit den Zellen der 3. Schicht vermischt sind.
An der Stelle der 2. Schicht sind die Zellen rarefiziert. Das augenscheinliche Verschwin-
den einer kompakten 2. Schicht erweist sich hier als Auseinanderriicken der granularen
Elemente nach der Oberflache und nach der Tiefe der Rinde zu und als Vermischung
dieser Elemente mit denen der angrenzenden Schichten, ein Vorgang, der vielfach bei
der Rindendifferenzierung beobachtet wird.
Die Lamina pyramidalis ist ziemlich breit. Die Zellen dieser Schicht haben teil-
weise eine pyramidenformige, teilweise eine drei-, viereckige Oder gar polymorphe Ge¬
stalt, meistens sind es aber Pyramidenzellen, welche mit dem Spitzenfortsatz der Rinden-
oberflache zugekehrt sind. In der Richtung nach innen stehen die Zellen dieser Schicht
dichter beisammen. An der Grenze zur Lamina granularis interna sieht man in der
ganzen Ausdehnung hier und da groBere Elemente, welche aber keine zusammen¬
hangende Lage bilden.
Die Lamina granularis interna bildet eine sehr deutliche Schicht kleiner granularer
Elemente zwischen welche hier und da teils Zellen der 3., teils die der 5. Schicht ein-
gestreut sind.
Die Lamina ganglionaris bildet die breiteste Schicht des Rindenquerschnittes;
sie setzt sich aus 3 Unterschichten zusammen. Die auBere bildet einen lichten zellarmen
Streif, die mittlere besteht aus sehr groBen pyramidenformigen Ganglienzellen, welche
durchwegs mit ihrem Spitzenfortsatz der Rindenoberflache zugekehrt sind, die innere
bildet auch einen lichten Streif.
Die Lamina multiformis besteht aus 2 deutlichen Unterschichten. Die Elemente
der tieferen liegen mit ihrer Langsachse meist parallel zur Oberflache und sind in der
uberwiegenden Mehrzahl spindelformig, teilweise aber auch rundlich und eckig; die
oberflachliche Unterschicht setzt sich aus polymorphen eckigen Elementen zusammen.
Die 6. Schicht als Ganzes ist nach der Lamina ganglionaris die zweitbreiteste Schicht
des Querschnittes und hebt sich als solche sehr gut ab. Der Ubergang ins Mark ist
scharf.
Differenzielle tektonische Merkmale gegeniiber den Nachbartypen 4 und 7:
1. GroBerer Zellreichtum und Zelldichtigkeit.
2. Sehr deutliche Schichtufig, welche in einer a) dichten geschlossenen inneren
Komerschicht, b) sehr breiten, hellen, in 3 Unterschichten sich teilenden 5. Schicht,
c) in einer breiten geschlossenen, scharf gegen das Mark abgesetzten 6. Schicht besteht.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Schon makroskopisch charakterisiert sich diese Rinde
durch ihren groBen Faserreichtum und deutliche Schichtung. Im besonderen tritt eine
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selir deutliche Stria Baillargeri externa auf, welche die Rinde in eine auBere hellere und
cine innere, viel dunklere und breitere Hauptschicht teilt.
Die auBere Hauptschicht (I—III) ist relativ faserreich, Lamina zonalis (I). Die
Sublamina supratangentialis (la) bildet einen sehr schmalen, fast faserlosen Saum.
Die Lamina tangentialis (lb) bildet eine brcitc, maBig dichte Faserlage. Diese Fasern
Fig. 5. Maus. Frontalschnitt durcli die postcentrale und praeccntrale Region. Man vergleiche
damit das eutsprechende cytoarchitektonische Bild (Fig. 7 ). Der Obcrgang von 4 -j- 6 in
1 — 3-\-5 ist scharf, indem die astriare Rinde von 4+6 in die deutlich bistriare von 1 — 3+5
iibergeht. 24 ist nicht gut abgebildet. 25 und 32 bilden supraradiare Typen. Stria olfactoria
lateralis in 51a besser ausgebildet als in 51b. 51 f ist faserreicher als 51 e.
4+6 = Area praecentralis, 1 — 3+5 = Area postcentralis communis, 13—16 = Area insularis
communis, 24 = Area limbica auterior, 25 = Area pracgenualis, 32 = Area praelimbica,
51 = Area praepyriformis, rha = Sulcus rhinalis auterior.
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Ersanzungsheft 2 HISTOLOGISCHE LOKALISATIOX HER GROSSHIRNRINDE. 405
verlaufen meistens horizontal; es gibt aber auch solche von mehr Oder weniger schragem
Verlauf. Der Faserkaliber ist meistens diinn.
Die Lamina suprastriata (II—III) ist maGig breit und sondert sich in eine auBere
hellere Pars externa mit einem zartcn Grundfilz und eine innere Pars interna mit groBerem
Faserreichtum. Die Pars interna ist schmaler als die darunter liegende Stria Baillargeri
externa. Es entsteht dadurch der sogenannte Tvpus latostriatus (O. Vogt). Die Fasern
der Pars externa sind sehr zart und verlaufen in verschiedenen Richtungen, die der
Pars interna sind dicker und verlaufen meist radiar.
¥+6
Fig. 7. Maus. Frontalschnitt dicht vor dem Balkenknie: 10 fj, Vergr. 22:1. Die Taenia tecta
in ilirer ganzen Ausdehnung. Regio praecentralis und postcentralis deutlich ausgepragt, in-
dem ira Berciche von 1 — 3-\-5 deutlich die IV. Schicht hervortritt. 7 ist weniger zellreich
und breiter als 1 —5-f-5. Die Unterschiede zwischen den Unterfeldern von 51 kommen deut¬
lich zum Vorschein. Vergl. Fig. 5 , wo das Fascraequivaient ungefahr derselben Gegend ge-
geben ist; das Faserbild stammt aus einem mehr frontalwarts gelegenem Schnitt, deswegen
treffen wir hier nicht das Feld 7.
4-\-6 = Area praecentralis, 1 — 3-\-5 = Area postcentralis communis, -7 = Area parietalis,
13 — 16 = Area insularis communis, 24 = Area limbica auterior, 25 = Area praegenualis,
32 = Area praelimbica, 51 = Area praepyriformis, cc = Corpus callotum, // = Taenia tecta.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) fallt durch ihre deutliche Schichtung auf.
Stria Baillargeri externa (IV). Sie ist bei der Maus sehr deutlich und tritt pra-
gnanter als beim Kaninchen hervor. Inihrem 1 lauptteil besteht sie aus einem sehr dichten
Grundfilz von meistens quer verlaufenden Fasern und von dickfaserigen eng neben-
einanderstehenden Radii.
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Die Lamina interstriata (Va) hebt sich zwischen den beiden Striae als viel heller
hervor. Auch in ihr besteht ein ziemlich dichter Grundfilz mit weit auseinandestehenden
Radii.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist fast zwcimal so breit wie die externa, aber
faserarmer. Somit entsteht ein Typus internilatior und externidensior. Ihrer Struktur
nach ist sie dem auBeren Baillargerischen Streifen ahnlich, nur verlaufen hier die Radii
zu groBeren Biindeln vereinigt.
Eine deutliche Teilung in 2 Unterschichten zeigt die 6. Schicht, welche sich in
eine auBere hellere Lamina substriata (Via) und innere dunklere Lamina limitans
(VI b—c) sondert. Die Lamina substriata enthalt derbe Querfasern und kurze zu kleinen
Biindeln vereinigte Radii. Die Lamina limitans zeichnet sich durch sehr dicke, quer
aus dem Marke heraustretende Radii und eine dichte Querstreifung aus.
Die Radii sind dick und liegen dicht nebeneinander; sie ziehen bis zur Mitte der
Lamina suprastriata, womit ein euradiarer Typus entsteht.
Der Typus 1—3 -f 5 bildet also sowohl im Zell- wie im Faserbilde eine deutliche
homotypische (isotyische) Formation.
Typus 4—6. Area praecentralis (agranularis).
Cytoarchitektonik (Tafel 1): Der Rindenquerschnitt ist etwas breiter als der des
angrenzenden Feldes 1—3 + 5- Das deutlichste tektonische Merkmal bildet das Fehlen
der Schichtung durch Fortfall der Lamina gran. int. (IV), sowie der flieBende Obergang
der Rinde ins Mark. Die fur diesen Typus charakteristischen groBen, sich stark farbenden
pyramidenformigen Ganglienzellen der 5. Schicht (Homologa der Riesenpyramiden
anderer Mammalier) bilden keine streng geschlossene Zellage, wie das bei hoheren Tieren
der Fall ist, sondern sind iiber eine breitere Zone des Querschnittes zerstreut (Tafel 1, Fig. 2).
Die Lamina zonalis ist breit; die Lamina granularis externa nur angedeutet.
Die Lamina pyramidalis enthalt kleine Elementc, welche stark mit denen der darunter
liegenden Ganglienzellenschicht vermischt sind. An der Stelle der 4. Schicht sieht man
zerstreute, keine deutliche Zellage bildende granulare Elemente. Somit haben wir es
hier nicht mit dem Fehlen der granularen Elemente, sondern mit dem Fehlen einer
aus diesen Elementen zusammengesetzten Schicht zu tun. Infolge des Fehlens der
inneren Kornerschicht haben sich die Elemente der 5. Schicht naher der Oberflache
zu verschoben.
Die Hauptmerkmale dieses Typus sind somit:
a) groBe Rindenbreite, welche sich jedoch nicht allzusehr von den angrenzenden
Typen abhebt;
b) geringe Zelldichtigkeit;
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ErgSS^gffi 2 . HISTOLOGISCHE LOCALISATION PER GROSSHIRNRINDE. 407
c) fliefiender tlbergang ins Mark;
d) Vorkommen groBer Pyramidenzellen in der 5. Schicht;
e) Fehlen der inneren Komerschicht;
f) wenig ausgepragte Schichtung.
Es besteht kein scharfer Obergang dieser Area in die Ai'ea 1—3+5, vielmehr
finden wirhier eine ziemlich breite ,,t)bergangszone", wie sie Brodmann ahnlich auch
beim Menschen zwischen der Reg. praecent. und postcentr. beschrieben hat.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Der Faserreichtum ist sehr groB. Es besteht auBer
der deutlichen Lamina zonalis und suprastriata fast uberhaupt keine Schichtung, im
besonderen keine Striae Baillargeri. Wir haben es also im Gegensatz zum Kaninchen
mit einem deutlichen astriaren Typus zu tun.
Die auBere Hauptschicht (I—III) ist fast so breit wie die innere und relativ
faserreich.
Die Lamina zonalis (I) enthalt eine auBerst schmale Sublamina supratangentialis
(la) und eine sehr breite und dichte Sublamina tangentialis (lb). Diese letztere besteht
im Hauptteil aus horizontal verlaufenden diinnen Fasem und radiar einstrahlenden
letzten Auslaufem der Radii, welche hier horizontal umbiegen. Die Lamina supra¬
striata (II—III) ist breit und besteht aus einer auBeren helleren und inneren dunkleren
Unterschicht. Die auBere ist gegen die Lamina zonalis scharf abgegrenzt und geht
flieBend in die innere uber. Es besteht auch keine scharfe Grenze zwischen der inneren
und den darunter Uegenden Schichten. AuBer den Radii sieht man in der auBeren nur
wenige, in der inneren aber sehr zahlreiche Fasem des Grundfilzes.
Weiter laBt sich keine Schichtung mehr unterscheiden. Die ganze innere Haupt¬
schicht ist somit gleichmaBig gebaut. Man sieht in ihr in kleinen Abstanden stehende,
fast ununterbrochen bis zur auBeren Hauptschicht verlaufende Radiarbundel. Unter
diesen sieht man ziemlich viele Querfasem und einen sehr reichen dunnfaserigen Grund-
filz. Die Radii sind derbfaserig, ihre Biindel stehen aber weiter auseinander als im Typus
1—3+5* Sie reichen teilweise mit Unterbrechungen bis zur Lamina tangentialis, womit
ein prope supraradiarer Typus entsteht.
Typus 7. Area parietalis.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2): Die Rinde ist breiter und zellarmer als die
des angrenzenden Typus 1—3+5.
Die Lamina zonalis ist schmal.
Die Lamina granularis externa hebt sich als selbstandige Schicht nicht ab, viel¬
mehr finden wir an ihrer Stelle eine Rarefizierung der Zellen.
Die Lamina pyramidalis bildet eine zellarme, aber ziemlich breite Schicht.
Die Lamina granularis interna ist sehr deutlich, aber weniger dicht als im Typus
1 — 3 + 5 -
Die Lamina ganglionaris ist breit und laBt in sich 3 Unterschichten unterscheiden,
von denen die auBere und innere lichte Streifen bilden, die mittlere aber aus einer Zell-
lage besteht. Doch sind die Zellen hier kleiner und stehen weiter auseinander als im
Typus 1—3+5. Die 6. Schicht ist viel breiter als im postzentralen Typus. Die Zellen
stehen hier aber weniger dicht und gehen ohne scharfe Grenze in die 5. Schicht und ins
Mark uber.
Myeloarchitektonik (Fig. 6): Die Rinde ist ziemlich faserreich und relativ gut ge-
schichtet.
Die auBere Hauptschicht ist durch eine deutliche Stria Baillargeri externa von
der inneren abgegrenzt. Sie ist um die Halfte schmaler als die innere und faserarm.
Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen auBerst
schmalen, faserlosen Saum. Die Sublamina tangentialis (lb) ist ziemlich breit, besteht
aber nur aus wenigen quer und wellenformig verlaufenden Fasem. Die Lamina supra¬
striata (II—III) besteht deutlich aus einer faserarmen Pars externa und faserreichen
Pars interna. Die Pars externa besteht nur aus wenigen diinnen Faserchen, welche in
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verschiedenen Richtungen verlaufen und den Grundfilz bilden, und aus derben Radii,
welche hier heraufziehen. Die Pars interna besitzt einen dichteren Grundfilz; auch die
Radii sind hier schon zu klcinen Biindeln vereinigt. Sie ist schmaler als die darunter
liegende Stria Baillargeri externa, wodurch ein latostriarer Typus (O. Vogt) entsteht.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) ist sehr faserreich und wird durch derbe Radii
_ durchzogen. Sie enthalt beide
^ Striae Baillargeri, wodurch diese
Rinde zur bistriaren gestempelt
Die Stria Baillargeri ex¬
terna ist breit und schon ma-
kroskopisch sichtbar. Sie besteht
meistens aus dicht nebeneinan-
der stehenden Radiibiindeln; der
Grundfilz ist nur unbedeutend.
Die Lamina interstriata
(Va) ist breit und bildet eine
helle Zone, welche sich ziemlich
scharf abhebt. Der Grundfilz
besteht aus zahlreichen dunnen
| Fasem. Die Radii verlaufen in
I ihrem Bereiche meist gebrochen.
Die Stria Baillargeri in¬
terna (Vb) hebt sich deutlich ab,
sie ist aber bedeutend schmaler
als die externa — Typus ex-
ternilatior.
Die Lamina substriata
(Via) bildet eine breite Schicht
mit sehr reichem Grundfilz und
derber Radiarstreifung. Diese
Schicht ist aber heller von der
darunter liegenden Lamina limi-
tans. Diese letztere besitzt einen
noch reicheren Grundfilz, dabei
verlaufen die Radii in verschie¬
denen Richtungen zu dicken
Biindeln vereinigt. Die Radii
sind ziemlich diinn und dicht. Sie reichen bis in die Mitte der Lamina suprastriata —
Typus euradiatus.
Typus 8. Area parorbitalis.
Cyto arc kite ktonik (Tafel i, Fig. i): Dieses Feld ist bei der Maus cytoarchitektonisch
ziemlich gut charakterisiert. Die Rinde ist schmaler als im Typus 4 und 1— 3 + 5 und
sehr zellreich. Die Lamina zonalis ist schmaler als im Typus 4. An Stelle der Lamina
granularis externa befindet sich eine sehr deutliche breite Schicht von mittelgrofien, sich
stark farbenden Elementen. Durch die deutliche Auspragung dieser Schicht unterscheidet
sich dieser Typus sehr deutlich vom Typus gigantopyramidalis.
Die Lamina pyramidalis geht wegen Mangels einer inneren Komerschicht fliefiend
in die Lamina ganglionaris iiber. Es besteht auch kcine scharfe Grenze zwischen dieser^
letzteren und der sehr breiten Lamina multiformis.
Der Lbergang ins Mark ist fliefiend.
Die ganze Querschnittstektonik macht die Verwandtschaft dieses Typus mit
der Area insularis sehr wahrscheinlich.
Myeloarchitektonik (Fig. 8): Dieser Typus ist, wie schon Z uni no beim Kaninchen
und Flores beim Igel beschrieben haben, myeloarchitektonisch besonders gut und
Fig. 8. Maus. Typus 8 (parorbitalis) zeichnet sich durch
grofien Faserreichtum aus und ist astriar. Die Insel (13 — 16)
ist in ihrer frontalsten Partie getroffen.
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Krgft?ra?glheft 2 . HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 4O9
deutlich charakterisiert. Es fallt in erster Linie ein auBerordentlicher Faserreichtum
auf. Die Striae Baillargeri sind nicht zu erkennen (Typus astriatus). Die auBere Haupt-
schicht ist bedeutend schmaler als die innere.
Die Lamina zonalis (I) besteht aus der faserlosen Sublamina supratangentialis
(la) und einer ziemlich breiten Sublamina tangentialis, in welcher diinne Fasem in ver-
schiedenen Richtungen, meist aber mehr oder weniger horizontal verlaufen. Die Lamina
suprastriata (II—III) ist relativ schmal und setzt sich aus einer sehr faserarmen Pars
externa und einer faserreicheren Pars interna zusammen. Diese letztere besteht fast
ausschlieBlich aus radiar verlaufenden Fasern. In der inneren Hauptschicht (IV—VI)
lassen sich keine Schichten absondem. Vielmehr ist sie ganz ungeschichtet und besteht
aus einem sehr dichten dunnfaserigen Grundfilz und sehr nahe nebeneinander stehenden
Radiibundeln.
Die Radii besitzen ein ziemlich diinnes Kaliber und verlaufen vielmals ge-
brochen bis in die Lamina suprastriata hinein — Typus euradiatus.
Dicht uber dem Marke sieht man eine Anzahl quer verlaufender Fasem.
Typus 13—16. Area insularis communis.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2 ; Tafel 2): Unter diescm Namen fassen wir die
auch bei der Maus cytoarchitektonisch angedeuteten 4 Inseltypen, welche aber wenig
differenziert sind und flieBend ineinander iibergehen, zusammen. Im groBen und ganzen
sind aber auch hier alle charakteristischen Merkmale der Insel zu sehen. Diese sind:
Die Lamina zonalis ist fast dopi>clt so breit wie in den Postzentral- und Occipital-
typen.
Die Lamina granularis externa tritt als breite Lage ziemlich groBer multiformer,
meist pyramidenformiger Zellen hervor. Eigentliche Komer sind nur in sparlicher Menge
zu sehen.
Die Lamina pyramidalis ist schmal und enthalt sparliche kleine Pyramiden-
zellen.
Die Lamina ganglionaris hebt sich durch die geschlossene Lage stark gefarbter
Pyramidenzellen ab.
Die Lamina multiformis prasentiert sich als breite Schicht, welche ungefahr ein
Drittel des Gesamtquerschnittes einnimmt. Die Teilung derselben in eine oberflach-
liche, eine mittlere und untere ist uberall angedeutet. Eine eigentliche Claustrum-
bildung aber, wie sie den hoheren Saugem eigen ist, fehlt in den hinteren Partien ganz-
lich, in den vorderen ist sie stellenweise deutlich. Dieser Typus laBt sich ohne weiteres
auf Grund oben beschriebener Merkmale mit dem Inseltypus anderer Sauger homo-
logisieren. Die unvollkommene Claustrumbildung ist die Folge einer in der ganzen
Inselregion nicht erfolgten Differenzierung. Andere Merkmale aber der Inselregion
treten hier aufs deutlichste hervor.
Myeloarchiiektonik: Die Rinde ist faserarm und teilt sich in eine auBere hellere
und innere dunklere Hauptschicht. Diese Teilung ist sofem willkurlich, als bei der Maus
hier nur eine Stria interna zu sehen ist.
AuBere Hauptschicht (I—II): die Lamina zonalis (I) ist breit und besteht aus
einer fast faserlosen Sublamina supratangentialis und einer breiten Sublamina tangen¬
tialis mit sehr feinen Faserchen, welche meist schrag verlaufen.
Die Lamina suprastriata (II—III) ist faserarm und besteht fast ausschlieBlich
aus den letzten Auslaufern der Radii. Der Grundfilz ist hier sehr unbedeutend und
besteht aus Fasern dunnsten Kalibers.
An Stelle der Stria Baillargeri externa und Lamina interstriata befinden sich
nur sparliche radiar verlaufende Fasem.
Relativ deutlich ist die Stria Baillargeri interna (Vb) ausgeragt. Auch sie be¬
steht hauptsachlich aus radiar verlaufenden Fasem.
Die Lamina substriata (Via) ist hell; die Capsula extrema (VIb) besteht aus einer
Lage dicht nebeneinander liegenden, quer getroffenen Fasem; Claustrum (Vic) ist hell
und enthalt nur einzelne Fasem.
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4io
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Journal t Psychologic
und Neurologic.
Die Radii stehen ziemlich dicht nebeneinander und verlaufen bis zur Lamina
suprastriata — euradiarer Typus. Sie verdiinnen sich je naher sie zur Oberflache der
Rinde herannahen. Der Grundfilz ist auch in der inneren Hauptschicht auffaliend wenig
ausgebildet.
Typus 17. Area striata.
Cytoarchitektonik (Tafel2, Fig. 2; Tafel 3, Fig. 1): Die Rinde ist ziemlich schmal
und fallt im Vergleich mit anderen Typen durch auBerordentlichen Zellreichtum,
Zelldichtigkeit und Kleinheit der Elemente auf.
Die Lamina zonalis ist fast um die Halfte schmaler als in den angrenzenden Typen,
und zeichnet sich durch relativ viele kleinzellige Elemente aus. Die Lamina granularis
externa ist nur angedeutet.
Die Lamina pyramidalis besitzt durch die darunter liegende vierte Schicht stark
zusammengedrangte Elemente.
Fig. 9. Maus. Obergang von 1 — 3-{-5 in die Insel (13 — 16).
Die Lamina granularis interna hebt sich als breite und dichte Kornerschicht
sehr deutlich ab.
Die Lamina ganglionaris ist sehr breit, aber auffaliend zallarm, mit teilweise
groBen Zellen.
Die Lamina multiformis ist breit, setzt sich sehr stark vom Mark ab und besteht
aus einer oberflachlichen lockeren und einer darunterliegenden dichten Unterschicht.
Myeloarchitektonik (Fig. 10): Die sehr faserreiche Rinde scheidet sich in eine auBere
und innere Hauptschicht, von denen die erste nur wenig schmaler ist als die zweite.
AuBere Hauptschicht (I—III). Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangen-
tialis (la) bildet einen schmalen, fast faserlosen Saum. Die Lamina tangentialis (lb)
ist maBig breit und faserreich. Sie besteht aus zahlreichen diinnen Fasern, welche
meistens horizontal und schrag verlaufen und hier und da Abzweigungen der Lamina
suprastriata abgeben. Viele dieser Fasern kreuzen sich. Die Lamina suprastriata
(II—III) teilt sich in eine auBere und eine innere Unterschicht, von denen die erste
faserarmer ist. Es verlaufen hier zarte Grundfasem in verschiedenen Richtungen und
die Auslaufer der Radii, welche aber nicht weit oberhalb der Stria externa heraus-
wachsen.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) zeichnet sich durch eine sehr deutliche Schich-
tung aus. Die beiden Striae Baillargeri sind sehr deutlich ausgepragt und von gleicher
Breite — Typus bistriatus aequilatus.
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BD. 19, 1912,
Ergftnzungsheft 2.
HISTOLOGISC HE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 4 1 I
Die Stria Baillargeri interna ist stellenweise faserreicher als die externa, im groBen
und ganzen ist ihr Faserreichtum derselbe — Typus aequidensus.
Die Stria Baillargeri externa (IV) enthalt einen dichten feinfaserigen Grundfilz
und ziemlich weit auseinanderstehende Radii.
Die Lamina interstriata (Va) ist bedeutend heller und enthalt einen viel faser-
armeren Grundfilz.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist, wie oben erwahnt, stellenweise faserreicher
als die externa, aber auf ahnliche Weise gebaut.
Die Lamina substriata (Via) hebt sich als heller schmaler Streifen zwischen der
Stria Baillargeri und der Lamina limitans ziemlich deutlich ab und ist durch dicke,
radiare Biindel durchzogen, zwischen welchen ein dichtgefiigter, feiner Grundfilz zum
Vorschein kommt.
17
Fig. 10. Maus. Horizontalschnitt durch das Occipitalhim. Area striata (17) sehr faserrcich,
bistriar. Area entorhinalis (35) sehr faserarm, ebenso Area posthippocampica (49). Area
parasubicularis (45) sehr faserreich, besitzt eine deutliche Stria Baillargeri externa. Das
Subiculum enthalt viele derbe radiare Fasern, welche nach dem Ammonshorne (C. A .) zu
umbiegen.
Die Lamina limitans (VI b—c) zeichnet sich durch eine groBe Anzahl quer ver-
laufender Fasern aus. Zwischen diesen Fasern sieht man einen sehr dicht gefiigten
Grundfilz.
Die Radii sammeln sich stellenweise zu Biindeln zusammen und verlaufen viel-
mals gebrochen bis zur Lamina suprastriata — Typus euradiatus. Sie sind diinn und
stehen weit auseinander. Somit zeichnet sich die Area striata durch eine schwache Aus-
bildung der Radii aus.
Typus 18. Area peristriata.
Cytoarchitektonik (Tafel 2, Fig. 2): Dieser Typus kann nicht den wohlcharakteri-
sierten Occipitaltypen hoherer Sauger zugerechnet werden. Deshalb nenne ich ihn auf
Grund seiner Lage 11m die Area striata.
Die Lamina zonalis ist fast um das Zweifache breiter als im Typus 17.
Die Lamina granularis externa ist sehr dicht und setzt sich aus mittelgroBen
polymorphen Zellen zusammen.
Die Lamina pyramidalis ist sehr schmal und mit der zweiten Schicht vermischt.
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Journal f.Psychologie
und Neurologic.
Eine innere Komerschicht fehlt.
Die Lamina ganglionaris ist breit, gegen die Oberflache zu verschoben und ent¬
halt sparliche Elemente, welche besonders in den oberflachlichen Partien mit zalil-
reichen Koraem vermischt sind.
Die Zellen der Lamina multiformis liegen ziemlich dicht. Der Gbergang von
Rinde und Mark ist scharf.
Myeloarchitektonik (Fig. 16): Die Rinde ist faserarm, besonders in ihren auBeren
Schichten.
Die auBere Hauptschicht (I—III) ist sehr faserarm und fast so breit wie die
innere.
Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen schmalen
Streif mit dunnen, meist horizontal verlaufenden Fasem. Die Sublamina tangentialis
(lb) ist deutlich, aber faserarm, besonders im Vergleich mit den angrenzenden retro-
splenialen Typen und der Area striata. Sie setzt sich aus horizontal und wellenformig
verlaufenden, sehr zarten Faserchen zusammen, von welchen sie eine Anzahl der Lamina
suprastriata abgibt.
Die Lamina suprastriata (II—III) ist sehr faserarm. In der Pars externa enthalt
sie stellenweise fast uberhaupt keine Fasem.
Innere Hauptschicht (IV—VI). Man kann in ihr ohne Zwang nur 2 Schichten
unterscheiden, von welchen die innere der VI. Schicht und die auBere der IV. und V.
entsprechen sollte.
An Stelle der IV. und V. Schicht ist ein ziemlich dichter feinfaseriger Grundfilz
und weit auseinanderstehende Radiibundel. In ihrem Verlaufe sind die Radii oft ge-
brochen.
In der Lamina limitans (VI b— c) sieht man nur sehr sparliche quer verlaufende
Fasem, welche vom Typus 17 heruber kommen. Sonst befindet sich hier ein dichter
Grundfilz und dicke Bundel derber Radien, welche schrag vom Marke heraufsteigen.
Die Radii sind, wie schon angemerkt wurde, dick, stehen aber weit auseinander und sind
in ihrem Verlaufe mehrmals gebrochen. Sie reichen nicht bis in die auBere Hauptschicht
— Typus infraradiatus.
Typus 20. Area temporalis inferior.
Cytoarchitektonik (Tafel 2, Fig. 2): Ziemlich breite und zellreiche Rinde mit deut-
licher Schichtung. Lamina zonalis ist breit. Lamina granularis externa enthalt spar¬
liche Komer und ist sonst aus mittelgroBen, polymorphen, meist eckigen Elementen
zusammengesetzt. Lamina pyramidalis ist maBig breit und besteht aus einer auBeren
dichteren und inneren hellen, groBe Zellen enthaltenden Unterschicht. Lamina granularis
interna ist nur sehr undeutlich ausgepragt. Lamina ganghonaris ist breit und laBt sich
in 3 Unterschichten einteilen, von welchen die mittlere einen hellen Streifen bildet,
wahrend die auBere und innere aus mittelgroBen polymorphen Elementen bestehen.
Die Lamina multiformis ist breit und weitaus die deutlichste Schicht des Rinden-
querschnittes. Der t)bergang von Rinde und Mark ist scharf.
Myeloarchitektonik (Fig. n): Sehr faserarme Rinde. Die auBere Hauptschicht
(I—III ist schmaler als die innere (IV—VI).
Die Lamina zonalis (I) setzt sich aus der faserlosen Sublamina supratangentialis
(la) und einer wenige horizontale Fasem enthaltenden Sublamina tangentialis (lb)
zusammen. Die Lamina suprastriata (II—III) ist in ihrer auBeren Unterschicht fast
faserlos; in der inneren enthalt sie wenige kurze, meist radiar verlaufende Faserchen.
In der inneren Hauptschicht lassen sich zwanglos keine Striae unterscheiden.
Sie besteht aus einer auBeren, fast gleichmaBig gebauten Schicht mit radiarer und
querer Faserung und einer inneren, welche ungefahr der Lamina limitans entspricht.
DieSe letztere enthalt auBer ziemlich gut ausgepragten Radien, horizontal verlaufende
dicke Faserbundel.
Die Radii reichen zur Lamina suprastriata — Typus euradiatus.
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Erglnzun^hJft 2 HISTOLOG1SCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE.
Typus 21. Area temporalis media.
Cytoarchitektonik (Tafel 2): Die Rinde ist breiter als im Typus 20 und sehr gut ge-
schichtet; im besonderen besteht hier eine deutliche innere Komerschicht.
Die Lamina zonalis ist etwas schmaler als im angrenzenden Typus 20.
Die Lamina granularis externa besteht auch hier fast ausnahmslos aus mittel-
groBen, sich stark farbenden, eckigen und polymorphen Elementen.
Die Lamina pyramidalis ist sehr schmal und vermischt mit der 2. Schicht.
Die Lamina granularis interna hebt sich sehr deutlich ab.
Die Lamina ganglionaris ist breit und besteht deutlich aus 3 Unterschichten,
von denen die oberflachliche und tiefste einen hellen Streifen bilden, die mittlere aber
aus einer Lage groBer, pyramidenformiger Zellen besteht.
Die Lamina multiformis ist breit und besteht aus einer oberflachlichen zellarmeren
und darunter liegenden zellreicheren Unterschicht. Der Ubergang von Rinde und
Mark ist scharf. , ni
Maus. Area temporalis media (21) ist faserreicher als Area temporalis inferior (20)
und zeichnet sich durch eine breitere Rinde aus.
Myeloarchitektonik (Fig. 11): Die Rinde ist faserreicher als im Typus 20. Auch
die auflere und innere Hauptschicht lassen sich besser abgrenzen.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis (I) und suprastriata ist ahn-
lich, wie im vorigen Typus gebaut.
Innere Hauptschicht (IV—VI). Es laBt sich ziemlich gut eine Stria Baillargeri
externa (IV) abgrenzen. In derselben iiberwiegen radiare Fasern; sonst befindet sich
hier ein nur unbedeutender Grundfilz.
Auch die Lamina interstriata (5 a) tritt als heile Zone deutlich hervor.
In der VI. Schicht befindet sich auBer dem dunnfaserigen Grundfilz eine groBe
Anzahl horizontaler derber Fasern, welche fast die ganze Lamina limitans einnehmen.
Typus 22. Area temporalis superior.
Cytoarchitektonik (Tafel 2, Fig. 2): Ziemlich schmale Rinde. Auch der Zellreichtum
ist geringer als in anderen temporalen Typen. Die Lamina zonalis ist etwas breiter als
im Typus 21.
Die Lamina granularis externa und pyramidalis sind sehr zellarm und lassen sich
voneinander nicht trennen.
Die Lamina granularis interna ist nur leicht angedeutet.
Die Lamina ganglionaris ist zellreicher als im Typus 21.
Die Lamina multiformis ist schmaler, aber zellreicher als im Typus 21 und zer-
fallt nicht in Unterschichten. Der Ubergang von Rinde und Mark ist scharf.
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und Nenrologie.
Myeloarchitektonik (Fig. 12): Die Rinde ist hier faserreicher als in anderen
temporalen Typen. Schon makroskopisch ist eine auBere helle und innere dunkle
Hauptschicht zu unterscheiden.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis (I) besteht aus einer faser-
losen Sublamina suprata gentialis (la) und einer mit wenigen tangentialen Fasern aus-
gestatteten Sublamina tangentialis (lb).
Die Lamina suprastriata (II—III) setzt sich aus 2 Unterschichten zusammen,
von welchen die auBere heller ist.
Innere Hauptschicht (IV—VI). Die Stria Baillargeri externa (IV) setzt sich
ziemlich deutlich ab und besteht hauptsachlich aus radiaren Fasern. Die Lamina inter-
striata (Va) ist heller, weil in ihrem Bereich die Radien eine Unterbrechung erfahren;
auch gibt es hier weniger Grundfilz.
Eine Stria Baillargeri interna (Vb) laBt sich nicht zwanglos unterscheiden, da
in der Lamina substriata ein ziemlich dichter Grundfilz sich befindet.
Fig. 12. Maus. Typus 22 (unistriatus). Links Obergang in die Insel.
In der Lamina limitans befinden sich zahlreiche horizontal verlaufende dicke
Fasern.
Die Radien sind von ziemlich dickem Kaliber und reichen zur Lamina supra¬
striata.
Typus 23. Area limbica posterior.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2): Cytoarchitektonisch ist dieser Typus sehr wenig
verschieden von dem angrenzenden Typus 24 gebaut. Auf Grund des Zellenbaues waren
diese Typen sehr schwer zu unterscheiden. Die Rinde ist ziemlich zellarm und schmal.
Die Lamina zonahs ist breit.
Die Lamina granularis externa hebt sich sehr deutlich ab. Sie besteht aus zahl-
reichen, dicht gedrangten, meist langlichen Zellen.
Die Lamina pyramidalis enthalt ziemlich wenige Elemente.
Die Lamina granularis interna ist angedeutet.
Die Lamina ganglionaris besteht aus mittelgroBen Elementen.
Lamina multiformis ist ziemlich schmal und locker gefugt.
Myeloarchitektonik (Fig. 13): Die Rinde ist faserreicher als im Typus 24. Die
auBere Hauptschicht ist von der inneren durch eine deutliche Stria Baillargeri ex¬
terna geteilt.
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Erga^zilngihift. 2 HISTOLOG1SCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 41 5
AuBere Hauptschicht (I—III). Lamina zonalis teilt sich deutlich in 3 Unter-
schichten — Typus trizonalis.
AuBer der faserlosen Sublamina supratangcntialis (la) finden wir hier cine ziemlich
breite und dichte Sublamina tangentialis (lb) und eine, derbe Querfasern enthaitende,
Sublamina infratangentialis (Ic).
Die Lamina suprastriata (II—III) ist dichter als im Typus 24.
Innere Hauptschicht (IV—VI). Die Stria Baillargeri externa IV ist deutlich
ausgesprochen und hebt sich gut gegen die darunterfolgende Lamina interstriata (Va) ab.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist nicht so deutlich ausgesprochen wic die
externa, auch geht sie mehr flieBend sowohl in die Lamina interstriata wie in die sub-
striata fiber.
Die Lamina substriata (Via) bildet eine schmale, etwas lichtere Zone.
Die Lamina limitans (VI b) geht als dunkle Zone^unmittelbar ins Mark liber.
Typus 24. Area limbica anterior.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 1):
Die Rinde ist fast ganzlich ungeschichtet
und zellreich.
Die Lamina zonalis ist breit.
Die Lamina granularis externa
hebt sich ziemlich gut ab und enthalt
groBe, sich stark farbende polymorphe
Elemente.
Die Lamina pyramidalis geht in
die 5. und 6. Schicht ohne scharfe
Grenze uber.
Die Lamina granularis interna
fehlt.
Die Lamina multiformis ist locker
gefiigt, geht aber ziemlich scharf ins
Mark liber.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Die
Rinde ist hier viel weniger fascrreich als
in den angrenzenden Typen4 und 23. Es
ist schon makroskopisch eine auBere hel-
lere und eine innere dunklere Haupt¬
schicht zu unterscheiden, von welchen die innere nur selir wenig breiter ist als die
auBere. Die Striae Baillargeri, besonders die innere, sind nicht sehr deutlich. AuBere
Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis enthalt eine deutliche faserlose Sub¬
lamina supratangentialis (la) und eine breite Sublamina tangentialis (I b). Diese
enthalt sehr viele zarte horizontal und fast parallel zueinander verlaufende, ziemlich
lange Faserchen.
Es besteht hier auch eine Sublamina infratangentialis (Ic). Diese bildet emen be-
deutend lichteren Streifen als die Lamina tangentialis und setzt sich aus derben, weit
auseinandefstehenden horizontalen Fasern zusammen, welche oft ununterbrochen durch
groBere Strecken verlaufen.
Die Lamina suprastriata (III) enthalt viele sich in verschiedenen Richtungen
kreuzende Fasern dlinnsten Kalibers. Hier sieht man auch die feinsten Endzweige der
Radii. Entsprechend der Faserdichtigkeit laBt sich eine helle Pars externa und eine
dunklere Pars interna unterscheiden.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) ist ziemlich faserreich, am meisten springen
aber die Radii in die Augen.
Die Stria Baillargeri externa (IV) ist, wie oben erwahnt, stellenweise nur mit Zwang
zu unterscheiden. Sie enthalt nur einen spiirlichen diinnfaserigen Grundfilz, welcher
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4i6
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Journal l Psrchologe
und Neurologie.
durch weit auseinander stehende Radien durchquert ist, und geht flieBend in die TAmina
supra- und intrasriata uber.
Die I^amina intrastriata (V a) bildet eine ziemlich breite helle Zone mit sehr un-
scharfen Grenzen gegen die beiden Striae Baillargeri. In ihrem Bereich sind die Radii
meistens gebrochen und bilden an den Bruchstellen eine Art von Pinselchen.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) geht flieBend in die VI. Schicht uber, so daB sie
sich noch undeutlicher als die Striae externa abhebt. Sie enthalt einen dichten Grund-
filz, auch sind die Radii in ihrem Bereiche derber und stehen dichter nebeneinander.
Die Lamina substriata (Via) hebt sich als selbstandige Unterschicht stellenweise
fast uberhaupt nicht ab.
Die Lamina limitans (VI b—c) besitzt einen dichten Grundfilz. Die Radii, welche
hier ohne Unterbrechung schrag aus dem Marke hervortreten, sind sehr dicht. Sie reichen
bis zur Lamina suprastriata — Typus euradiatus, sind dunner als im Typus 4, ihre Bundel
stehen dichter nebeneinander, enthalten aber viel weniger Fasem.
Typus 25. Area praegenualis.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2): Diese Rinde ist schmal.
Die Lamina zonalis ist breit.
An der Stelle der Lamina granularis externa ist eine breite Schicht von stark ge-
farbten mittelgroBen Elementen.
Die 3. und 5. Schicht gehen ohne scharfe Grenze ineinander uber.
Die Lamina multiformis besteht in der Mehrzahl aus polymorphen Elementen
und geht flieBend ins Mark uber.
Die Lamina granularis interna fehlt.
Es ist dies ein wohl charakterisierter Typus, welcher bei fast alien kleinen Tieren
homologisierbar ist. Mit dem entsprechenden Typus der Affen und Halbaffen hat er nur
entfemte Ahnlichkeit.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Die Rinde ist sehr faserarm. Der Gbergang der auBeren
Hauptschicht in die innere ist flieBend. Ihre Breite ist fast gleich. Von den Striae Baillar¬
geri ist nichts zu erkennen. Im ganzen ist es eine ihrem Faserbilde nach rudimentare
Rinde.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis (I) teilt sich sehr deutlich
in 3 Unterschichten. Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen relativ(breiten
faserlosen Saum. Die Sublamina tangentialis (lb) enthalt ziemlich lange zarte, wellen-
formig verlaufende Fasern, welche bei naherer Betrachtung sich sehr oft als gabelige
Zweige der bis hierher reichenden Radii herausstellen. AuBerdem finden sich hier auch
kurze Faserchen, deren Zusammenhang mit den Radii nicht festzustellen ist. Die Lamina
infratangentialis (Ic) verhalt sich ahnlich wie im Typus 24, indem auch hier relativ
ziemlich dicke einzelne sehr lange horizontale Fasem ununterbrochen verlaufen. Man
sieht sehr oft, daB auch in diese Fasem die Radii einmunden.
Die Lamina suprastriata (II—III) ist sehr breit und auBerordentlich faserarm. Nur
einzelne dunne Fasem machen hier den Grundfilz aus.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) zerfallt in 2 Unterschichten, deren Verhaltnis
zu den Schichten des tektogenetischen Grundtypus nicht festzustellen ist. Die auBere,
welche ungefahr die Stelle der IV. und V. Schicht einnimmt, ist faserreicher als die Lamina
suprastriata, und ihr Faserreichtum stammt eher von dem ziemlich dichten Grundfilz
als von den weit auseinanderstehenden Radii. Die VI. Schicht enthalt viele quer verlaufende
Fasem, welche sich in der Richtung nach dem Lobus olfactorius anterior begeben. Der
Grundfilz dieser Schicht ist ziemlich sparlich. Die Radii dieses Typus zeigen ein sehr
charakteristisches Verhalten, welches schon bei der Beschreibung der Lamina zonalis
angedeutet wurde. Sie bilden fast keine Bundel, stehen sehr weit auseinander und be¬
geben sich fast ununterbrochen zur Lamina zonalis, wo sie sich in ihrer 2., teilweise aber
auch 3. Unterschicht gabelformig teilen. Wir haben es somit mit einem deutlich supra-
radiaren Typus zu tun.
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Erg&Dzungsheft 2 HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 41 7
Typus 27 a. Area praesubicularis ventralis.
Cytoarchitektonik (Tafel 5, Fig. 1): Es ist eine schmale Rinde, welche keilformig
zwischen die Area entortinalis und das Subiculum eingeschoben ist.
Die Lamina zonalis ist ziemlich breit.
Die Lamina granuiaris interna fehlt.
Die 2. und 3. Schicht sind zusammengcschmolzen und bilden eine breitc, sehr
dichte, aus kleinen polymorphen Elementcn zusammengesetzte Zellage, welche nacli
der Oberflache zu sehr dicht gefugt ist.
An Stelle der Lamina ganglionaris befindet sich ein zellarmer, heller Streif.
Die Lamina multiformis ist breit, die Zellen derselben sind durch radiare Liicken
getcilt. Der Obergang von Rinde und Mark ist flicGend.
Myeloarchitektonik : Die Rinde ist vveniger faserreich und breiter als im Typus 48.
Es tritt deutlich eine auGere und innere Hauptschicht hervor, welche aber durch keine
Stria Baillargeri externa geteilt sind.
AuGere Hauptschicht (Fig. 15) (I—III). Die Lamina zonalis teilt sich in 3 Unter-
schichten —Typus trizonalis. Die Sublamina supratangentialis (la) ist schmal und enthalt
wenige zarte, quer verlaufende Fasern. Die Sublamina tangentialis (lb) ist aus ziemlich
dichten, feinen, quer und schrag verlaufenden Horizontalfasem zusammengesetzt. Sie
hebt sich nicht so deutlich von der Lamina supratangentialis wie im Typus 48 ab und geht
stellenweise ohne scharfe Grenze in sie uber. Die Lamina infratangentialis (Ic) besteht
ebenfalls aus kurzen, quer und schrag verlaufen¬
den diinnen Fasern und geht ohne scharfe Grenze
in die Lamina suprastriata, welcher sie auch
eine Anzahl von Fasern abgibt, uber. Die La¬
mina suprastriata (III) teilt sich in eine hellere
Pars externa und dunklere Pars interna. Die Pars
externa ist fast ausschlieGlich durch ein sehr
zartes Netzwerk ausgefiillt. Die Radii erreichen
diese Unterschicht nicht. Die Pars interna ent¬
halt die Endverzweigungen der Radii, und da-
her stammt ihr dunkleres Aussehen.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) laGt sich ohne Zwang in 2 Schichten teilen.
Die auGere entspricht ungefahr der IV. und V. Schicht; die innere der VI. Schicht. Beide
sind dunkler als die auGere Hauptschicht. Es bestehen hier auGer einem dichten sehr
zarten Grundfilz sehr zahlreiche Radien, welche besonders der VI. Schicht eine dunkle
Farbe verleihen.
Die Radii sind im Unterschied vom Typus 48 sehr deutlich und reichen bis zur
Pars interna Laminae suprastriatae — Typus euradiatus. Sie vereinigen sich nur stellen¬
weise zu Bundeln und sind sehr zart.
Typus 27 b. Area praesubicularis dorsalis.
Cytoarchitektonik (Tafel 4): Dieser Typus unterscheidet sich im Zellpraparat nur
unwesentlich vom Typus 27a. Die Rinde ist hier nur etwas breiter. Die 2. und
3. Schicht bilden zusammen eine schmalere Zellage. Dafur ist die Lamina multiformis
des Typus 27 b breiter als im Typus 27a.
Myeloarchitektonik (Fig. 14): Die Rinde ist sehr faserarm und ganz rudimentar.
Sogar fur eine Teilung in eine auGere und innere Hauptschicht gibt es keinen
Anhaltspunkt.
Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangentialis ist sehr breit (la) und enthalt
fast keine Fasern. Die Sublamina tangentialis (I b) zeichnet sich durch eine schone, zarte
Querfaserung aus. In der ganzen Rinde, welche sich sonst ohne Zwang in keine Schichten
einteilen laGt, sieht man einen sehr zarten Grundfilz, durch welchen die Radii durchgehen.
In der Nahe vom Mark stehen die Radii dichter beieinander und verleihen dieser Stelle
ein dunkleres Aussehen.
H5
Fig. 14. Area praesubicularis dorsalis
(27b).
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und Neurologie.
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Typus 28a. Area entorhinalis interna (medialis).
Cytoarchitektonik (Tafel 5, Fig. 1): Die Rinde ist schmal und zellarm.
Die Lamina zonalis ist zicmlich breit, und sie setzt sich nicht scharf gegen die
2. Schicht ab, vielmchr ragen in sie nestformige Anhaufungen von Zellen der 2. Schicht
hinein.
An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich eine Lage groBer polymorpher
Zellen in geschlossener Reihe, welche stellenweise cine nestformige Anordnung zeigen.
Die Lamina pyrainidalis sondert sich in eine obere aus groBeren Pyramidenzellen
und eine untere aus mehr polymorphen Elementen bestehende Unterschicht. Im ganzen
ist sie zicmlich zellarm.
Jo V 17 ...
___ Die Lamina granulans interna
\V ‘ Slid. Fasern kommen hierher aus der nachst-
Sublamina tangentialis (lb) enthalt
eine groBe Anzahl quer verlaufender
Fasern diinnsten Kalibers. Diese
Schicht ist aber sehr breit und dicht.
Die Lamina suprastriata ist sehr
schmal. Ihre Fasern sind diinn, ge-
schlangelt und verlaufen in verschie-
denen Richtungen. Die Radii sind kaum in ihr zu sehen.
Die innere Hauptschicht ist bedeutend breiter als die auBere. Die Stria Baillargeri
externa (IV) setzt sich aus einem sehr dichten Grundfilz zarter Fasern und den letzten
Verzweigungen der Radii zusammen. Diese Verzweigungen heben sich als dickere
Einzelfasern von dem zarten Netzwerk des Grundfilzes deutlich ab. Stellenweise ver¬
laufen die zarten Fasern geschlangclt und bilden eine Art von kleinen Knaueln.
Die darunter liegende breite Lamina intrastriata ist hell. Man sieht in ihr
dicht nebencinander stehende Radii und einen Grundfilz aus diinnen, in verschiedenen
Richtungen verlaufenden Fasern.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist bedeutend schmaler und faserarmer als
die externa — Typus externilatior und externidensior. Die Fasern verlaufen in ihr
meist horizontal.
Die lamina substriata (Via) bildct einen schmalen, hellen Streif unter der
Baillargeri interna, welcher meistens durch die Unterbrechung im Verlaufe der Radii
entstanden ist. Auch der Grundfilz scheint hier lockerer gefugt zu sein.
27 a \
Fig. 15. Maus. Horizontalschnitt durch das Occi-
pitalhirn mclir ventalwarts als in Fig. 10 . Area
entorhinalis ( 28 b) breiter und fascrrcicher als 28 a.
Area praesubicularis ( 27 a) ziemlich faserarm und
in ihrem Bau rudimentar.
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Die Lamina limitans (VI b) besteht aus einer auBeren lockeren und einer inneren
dichteren Unterschicht, welche flieBend ineinander ubergehen. In der inneren sieht man
schrag aus dem Marke heraustretende Radiea
Die Radien sind zart, zu kleinen Biindeln vereinigt und verlaufen nur bis zur
Stria Baillargeri externa — Typus infraradiatus.
Typus 28b. Area entorhinalis externa (lateralis).
Cytoarchitektonik (Tafel 5, Fig. 1 und Tafel 4): Dieses Feld geht in das vorige
iiber und muB auf Grund seines Baues demselben Haupttypus zugerechnet werden.
Hauptunterschiede vom Typus 28 a:
1. Die Rinde ist hier breiter und zellreicher.
2. Die Lamina zonalis ist schmaler.
3. An Stelle der Lamina granularis externa befinden sich auch hier groBe Elemente,
welche jedoch eine breitere Schicht bilden und ohne scharfe Grenze in die ziemlich schmale
Pyramidenschicht ubergehen.
4. Die Lamina granularis interna fehlt.
5. Die Lamina ganglionaris besteht hier deutlich aus 2 Unterschichten, einer oberen,
welche einen lichten Streif bildet, und einer unteren mit weit auseinanderstehenden,
groBen eckigen Zellen.
Myeloarckitektonik (Fig. 15): Die Rinde ist faserreicher als im Typus 28 a. Auch
hier sind 2 Striae Baillargeri zu sehen; doch sind sie deutlicher ausgepragt als in dem
vorigen. Die auBere Hauptschicht ist im Vergleiche zur inneren sehr schmal und nimmt
ungefahr den 5. Teil ihrer Breite ein.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis (I) teilt sich in 2 Unterschichten,
Typus. Die Sublamina supratangentialis (la) ist breit und enthalt nur wenige Fasern,
welche in verschiedener Richtung verlaufen.
Die Sublamina tangentialis (lb) ist breiter und faserreicher als im vorigen Typus.
Ihre Fasern sind sehr zart und verlaufen meist schrag-horizontal.
Die Lamina suprastriata ist auBerst schmal und enthalt ein Netzwerk von zarten
Fasern, in welches hier und da die Auslaufer der Radien hineinragen.
Die innere Hauptschicht (III—VI) ist, wie oben erwahnt, sehr breit und
faserreich.
Die Stria Baillargeri externa (IV) ist ziemlich breit und geht in die Lamina supra
und intrastriata flieBend uber. Sie besteht aus einer groBen Anzahl von Fasern dickeren
Kalibers, welche wellenformig verlaufen und sich mehrmals kreuzen. Die knauelformige
Gruppierung der Fasern kommt hier weniger zum Vorschein als im Typus 28 a. AuBerdem
befindet sich hier ein dichter Grundfilz von zarten Fasern.
Die Lamina intrastriata (Va) hebt sich weniger deutlich ab als im Typus 28 a,
indem, wie oben erwahnt, viele Fasern der beiden Striae in sich ubergehen. AuBerdem
hat sie einen ziemlich dichten Grundfilz, und es verlaufen hier ziemlich dicht nebenein-
anderstehende Radii.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist viel dichter und breiter als die externa —
Typus intemilatior et intemidensior. Sie ist nach unten scharf abgegrenzt. Die Dich-
tigkeit dieser Schicht kommt besonders durch Aufsplitterung der Radien und Verdickung
des Grundfilzes zustande.
Die Lamina substriata (VI a) hebt sich als heller Streif sehr deutlich ab. Der Grund¬
filz ist sehr sparlich.
Die Lamina limitans (VI b) ist schmal und besteht aus ziemlich dicht nebenein-
anderstehenden sehr dicken Radiibundeln.
Die vier folgenden Typen gehoren einem gemeinsamen Haupttypus an. Ob-
zwar untereinander ziemlich verschieden, besitzen sie so viele gemeinsame Merk-
male, daB sie von Brodmann als sogenannte Regio retrosplenialis beschrieben
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wurden. Die reichhaltigste Entfaltung dieses Typus wurde durch Brodmann
beim Kaninchen und Ziesel beschrieben.
Bei der Maus lassen sich drei hierher gehorige Untertypen unterscheiden.
Typus 29 b. Area retrolimbica b.
Cytoarchitektonik (Tafel 2, Fig. 1 und 2; Tafel 3, Fig. 1): Die Lamina zonalis ist
sehr breit, fast um die Halfte breiter als im Typus 29 c.
Die zweite und dritte Schicht sind miteinander auf diese Weise verschmolzen,
daB sie eine schmale Zone von mittelgroBen, sich stark farbenden, teils spindelformigen,
teils mehr oder weniger runden Elementen bilden. Die Lamina granularis interna ist
weit gegen die Oberflache zu verschoben. Sie ist breit und besteht ausschlieBlich aus
kleinen granularen Elementen.
Die funfte Schicht ist sehr breit und besteht aus einer auBeren dichteren und inneren
lockeren Zellage.
Die Lamina multiformis ist ebenfalls breit und besteht aus einer auBeren, sehr dich-
ten und inneren sehr lockeren Zellage, welche aber ziemlich scharf in das Mark ubergeht.
Myeloarchitektonik (Fig. 16): Die Rinde ist faserreich.
Die auBere Hauptschicht ist bedeutend schmaler als die innere und nimmt fast
nur ein Viertel des Gesamtquerschnittes ein. Die Rinde ist deutlich bistriar. Die Lamina
zonalis (I) besteht aus 2 Unterschichten — Typus bizonalis. Die Sublamina supratangen-
tialis (la) bildet einen ziemlich breiten fascrlosen Saum. Die Sublamina tangentialis
(lb) ist sehr faserreich. und besteht aus dicht nebeneinanderliegenden horizontal ver-
laufenden Fasem. Ihr Ubergang in die Lamina suprastriata ist sehr scharf.
Die Lamina suprastriata (I—III) ist ziemlich faserarm. Es verlaufen in ihr kurze
Fasem in verschiedenen Richtungen, welche sich mehrmals kreuzen und dieser Gegend
ein netzformiges Aussehen verleihen.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) enthalt 2 deutliche Striae, von welchen die
innere breiter und faserreicher ist — Typus intemilatior et intemidensior.
Die Stria Baillargeri externa (IV) ist sehr gut ausgepragt. Es verlaufen in ihr
sehr zarte horizon tale Fasem, der Grundfilz ist nur sparlich, auch die Radien erreichen
nur stellenweise diese Schicht.
Die Lamina intrastriata (Va) hebt sich als lichter Streif sehr deutlich ab. Sie
zeichnet sich durch einen sehr zarten Grundfilz, in welchem sich die Radiibundel zer-
splittern, aus. Ihr Gbergang in die Stria externa ist scharfer als in die interna.
Die Stria Baillargeri interna (Vb) ist breit. Sie enthalt meistens Radiibundel,
welche dicht nebeneinander stehen und groBtenteils zu ihrem Ausbau beitragen, denn
der Grundfilz ist hier nicht starker ausgepragt als in der Lamina intrastriata, auch tritt
hier kein besonderes Fasersystem auf.
Die Lamina substriata (VI a) ist schmal und stellenweise undeutlich. Bei starkerer
VergroBerung sieht man in ihr einen starken, ziemlich dichten Grundfilz und nebenher
ctwas dickere, schrag verlaufende Fasem. Die Radii sind in ihrer Ausdehnung zersplittert.
Die Lamina limitans (VI b—c) laBt in sich eine hellere Pars externa und dunklere
Pars interna unterscheiden. Den Unterschied im Faserreichtum machen die Radii¬
bundel aus, welche an der Grenze des Markes dicker sind und dichter nebeneinander-
stehen. Sonst erstreckt sich gleichmaBig uber die VI. Schicht ein dichter Grundfilz
von zarten, kurzen Fasem. Die Radii lassen sich groBtenteils nur ins Innere der Stria
Baillargeri externa verfolgen. Eine Anzahl zersplittert sich auch in der Lamina supra¬
striata — Typus propeeuradiatus.
Typus 29 c. Area retrolimbica c.
Cytoarchitektonik (Tafel 2, Fig. 1 und 2; Tafel 3, Fig. 1): Die Rinde ist so breit
wie die des vorigen Typus, es bestehen aber mehrere Merkmale, welche diesen Typus
von dem vorigen unterscheiden.
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1. Die Lamina zonalis ist um die Halfte schmaler.
2. Die darunter liegende, aus der Verschmelzung der dritten und vierten Schicht
hervorgegangene Zellage ist bedeutend schmaler und zellarmer. Es iiberwiegen hier
groBere, polymorphe Elemente. Die Lamina granularis interna ist weniger deutlich
ausgepragt als im vorigen Typus.
3. Die fiinfte Schicht ist breit, teilt sich in 2 Unterschichten und enthalt in der
tieferen bedeutend groBere Elemente als im benachbarten Typus 29 b.
4. Der Obergang der 5. Schicht in die 6. ist weniger scharf. Diese letzte teilt sich
auch nicht so deutlich wie im Typus 29 b in 2 Unterschichten und geht flieflend ins
Mark iiber.
Myeloarchitektonik (Fig. 16): Die Rinde ist bedeutend faserreicher als im Typus 29b.
Dies machen besonders zahlreiche Radii aus.
Die auBere Hauptschicht
nimmt auch hier nur etwa den
vierten Teil des Querschnittes ein.
Die Stria Baillargeri externa ist
angedeutet, die interna fehlt fast
vollstandig.
Die Lamina zonalis (I) teilt
sich in 2 Unterschichten — Typus
bizonalis, von welchen die Subla¬
mina supratangentialis (la) fast gar
keine Fasem enthalt. Die Subla¬
mina tangentialis (lb) besteht aus
sehr zarten, horizontal verlaufenden
Fasern. Sie ist etwas weniger dicht
als im angrenzenden Typus 29 b.
Die Lamina suprastriata (II
bis III) ist schmal und hell. Sie
enthalt nur sehr sparliche, zarte und
kurze Fasern, welche in verschie-
denen Richtungen verlaufen.
Die innere Hauptschicht (IV
bis VI) ist bedeutend faserreicher
als die auBere.
Die Stria Baillargeri externa
(IV) enthalt nur eine kleine Anzahl
von schrag und quer verlaufenden
Fasem. Man sieht auch in ihr die
Radii und ein feines Fasemetz, welches den Grundfilz ausmacht.
Die Lamina intrastriata (Va) ist wegen der wenig ausgebildeten Stria Baillargeri
interna nur mit Zwang zu unterscheiden. Sie stellt mit der darunterliegenden Lamina
substriata (Via) eine breite Zone dar. Ihr charakteristisches Merkmal bilden sehr dicht
nebeneinanderstehende Radii. Dazwischen liegen kurze, ziemlich derbe Fasern mit
meist schragem Verlauf. Der Grundfilz besteht aus einem diinnen Fasemetz.
Die Lamina limitans (VI b) laBt sich in eine hellere Pars externa und eine dunklere
Pars interna einteilen. Die Pars interna verdankt ihren dunklen Farbenton der groBeren
Dichtigkeit der Radien.
Der Grundfilz ist nur sehr wenig ausgesprochen. Die Radii sind in diesem Typus
sehr gut ausgebildet, stehen zu kleinen Biindeln vereinigt dicht nebeneinander und
reichen bis zur Lamina suprastriata — Typus euradiatus. Dieser Typus hat iiberhaupt
am besten von alien retrosplenialen Typen die Radiarstreifung ausgebildet.
1 « 1
Fig. 16. Maus. Frontalschnitt durch die Regio
retrosplenialis ( 29 ). 29 c besitzt eine sehr gut aus-
gebildete Radiarstreifung. 29 b ist deutlich bistriar.
29 c ist faserarmer als 29 b und c. Area peristriata
( 18 ) hebt sich als sehr faserarmer Typus gut von
29 c u. 17 ab.
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and Neurologie.
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Typus 29 e. Area retrolimbica e.
Cytoarchitektonik : Die Rinde ist schmal und zellreich.
Die Lamina zonalis ist ziemlich breit.
Die 2. und 3. Schicht sind verschmolzen und bilden zusammen eine schmale Zell-
lage von mittelgroBen, sich stark farbenden Elementen.
Die Lamina granularis interna ist besser ausgepragt als in anderen retrospleni-
alen Typen.
Die 5. Schicht teilt sich in 2 Unterschichten, von welchen die untere sich als
ziemlich lichter Streif mit kleiner Anzahl von Zellen darstellt.
Die 6. Schicht geht flieBend in die 5. und ins Mark uber; sie ist breit und deutlich
ausgepragt.
Myeloarchitektonik (Fig. 16): Diese Rinde ist schmal und faserarm. Die auBere
Hauptschicht (I—III) ist etwas schmaler als die innere.
Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangentialis (la) ist ziemlich breit und
enthalt nur sparliche zarte Fasern, welche aus der Sublamina tangentialis (lb) stammen.
Diese letztere bcstcht.aus schr zarten langen wellenformig verlaufenden und ziemlich
weit auseinanderliegenden Fasern.
Die Sublamina infratangentialis (Ic) hat ein sehr charakteristisches Aussehen
und wird durch lange, ziemlich derbe quer verlaufende Fasern, welche sich in den angren-
zenden Typen verlieren, gebildet. Demnach haben wir es hier mit einem trizonalen
Typus zu tun.
Die Lamina suprastriata (II—III) wird durch eine Anzahl von kurzen und zarten
horizontal und schrag verlaufenden Fasern gebildet.
Die Lamina limitans (VI b—c) besteht aus einem zarten Fasemetz, welches eine
Anzahl von dicken, aus dcm Marke stammenden Fasern durchziehen.
Radien sind in diesem Typus nicht oder nur stellenweise und in rudimentarer
Ausbildung zu beobachten.
Typus 32. Area praelimbica.
Cytoarchitektonik: Die Rinde ist schmal und zellreich. Die Schichtung ist ver-
wischt.
Die Lamina zonalis ist stellenweise beinahe so breit wie alle ubrigen Schichten
zusammen.
Die zweite, dritte, vierte und funfte Schicht sind zusammengeschmolzen.
Die scchste Schicht besteht aus meist tangential liegenden Elementen, ist locker
und geht flieBend ins Mark fiber. Die Hauptunterschiede gegen das Feld 24 und 25
bilden die auBerordentliche Schmalheit der Rinde und das fast vollstandige Fehlen jeder
Schichtung.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Die Rinde ist faserarm. Eine Teilung in eine auBere
und innere Hauptschicht ist wegen Mangel der Striae Baillargeri unmoglich.
Die Lamina zonalis (I) besteht aus drei Unterschichten —Typus trizonalis. Die
Sublamina supratangentialis (la) ist fast faserlos. Die Sublamina tangentialis setzt sich
aus kurzen, meist horizontal verlaufenden zarten Fasern zusammen. Die Sublamina
infratangentialis (Ic) ist ahnlich gebaut wie im Typus 25, indem auch hier ziemlich lange
und derbe Fasern sich befinden.
Die Lamina suprastriata ist auBerordentlich faserarm; nur hier und da sieht man
zarte, in verschicdenen Richtungen verlaufende Fasern, unter welchen einzelne Radii
sichtbar sind.
Unter der Lamina suprastriata (III), entsprechend der inneren Hauptschicht
(IV—VI), lassen sich zwei Schichten unterscheiden: eine hellere auBere, welche ungefahr
der IV. und V., und eine dunklere innere, welche der VI. Schicht entspricht. Die auBere
Schicht setzt sich aus einem zarten Fasernetz, welches hier und da von Bruchstucken
der Radii durchzogen ist, zusammen.
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Die VI. Schicht enthalt auBer einem dunnfaserigen Grundfilz ziemlich viele quer-
verlaufende, ziemlich dicke Fasern. Diese Fasern scheinen aber keinen Zusammenhang
mit denjenigen zu haben, welche, wie oben beschrieben, vom Marke des angrenzenden
Typus 25, zum Lobus olfactorius anterior und speziell zu jener Stelle, welche in die
Taenia tecta ubergeht, hinziehen. Die Radii sind in diesem Typus wenig ausgebildet,
enden aber teilweise auch in der Lamina tangentialis und stempeln damit diesen Typus
zum supraradiaren.
Typus 35. Area perirhinalis.
Cytoarchitektonik (Tafel 4): Es ist dies eine schmale und zellarme Rinde. Die
Schichtung ist fast vollstandig verwischt, im besonderen durch das Fehlen der inneren
Kornerschicht. Die Elemente der Rinde sind meistens mittelgroB.
Die Lamina zonalis ist sehr breit.
Die zweite und dritte Schicht sind zusammengeschmolzen und gehen ohne scharfe
Grenze in die erste Schicht uber. Die fiinfte Schicht ist breit und besteht aus einer auBeren
zellhaltigen und inneren fast zellosen Unterschicht, welche als lichter Streif oberhalb
der sechsten Schicht liegt.
Die Lamina multiformis ist dicht gefiigt mit meist tangential gelegten Zellen.
Der Obergang von Rinde und Mark ist scharf.
Dieser Typus ist heterogenetisch und mit dem entsprechenden Typus aller Sauge-
tiere und des Menschen homologisierbar.
Myeloarchitektonik (Fig. 17): Die Rinde ist auBerst faserarm, so wie wir ihr in
keinem Typus begegnen. Eine Schichtung nach dem Grundschema laBt sich hier nicht
durchfuhren. Man kann aber eine auBere hellere und eine innere dunklere Hauptschicht
unterscheiden, welche ihrer Breite nach fast gleich sind. Makroskopisch erscheint die Rinde
ganz faserlos. Erst mikroskopisch kommen zahlreiche diinne Fasern zur Beobachtung.
Die Lamina zonalis (I). Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen schmalen,
faserlosen Saum. Die Sublamina tangentialis (lb) besteht aus wenigen horizontal ver-
laufenden, sehr weit auseinanderstehenden, diinnen Fasern.
Die 2. und 3. Schicht besteht nur aus einzelnen in verschiedenen Richtungen ver-
laufenden dunnen Fasern.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) enthalt kurze, mehrmals gebrochene radiare
Fasern, welche zur auBeren Hauptschicht nicht mehr zu verfolgen sind. AuBerdem be-
findet sich hier ein sehr lockeres Maschenwerk von zarten Fasern, welche sich sehr oft
kreuzen.
Die Lamina limitans (VI) hebt sich als etwas dunklere Faserlage ziemlich deutlich ab.
Der t)bergang in den Typus 28 und 36 ist sehr scharf.
29 Journal for Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . I 5 *
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DR. MAXIMILIAN ROSE.
Jonnufi l Psycbologie
und Neurologic.
Typus 36. Area ectorhin&lis.
Cytoarchitektonih (Tafel 4): Die Rinde ist schmal und bedeutend zellreicher als
im angrenzenden Typus 35.
Hauptunterschiede gegen den Typus 35:
1. Die Lamina zonalis ist schmaler.
2. Die Lamina granularis externa ist ziemlich deutlich und enthalt auBer granu-
laren auch groBere Elemente.
3. Die Lamina pyramidalis ist schmal.
4. Die Lamina granularis interna besteht als deutliche Lage nicht. Man sieht aber
an ihrer Stelle zahlreiche zerstreute granulare Elemente.
5. Die 5. Schicht ist sehr breit und besteht aus ziemlich weit auseinanderstehenden
mittelgroBen Zellen.
6. Die 6. Schicht setzt sich scharf gegen das Mark ab. Auch dieser Typus ist mit
demjenigen hoherer Marmalier homologisierbar.
Myeloarchitektonik (Fig. 17): Die Rinde ist maBig faserreich. Schon makroskopisch
sieht man eine deutliche Teilung in die auBere hellere und innere dunklere Hauptschicht.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis (I) teilt sich in 2 Unterschichten
— Typus bizonalis. Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen sehr schmalen faser-
losen Saum. Die Sublamina tangentialis (I b) enthalt ziemlich viele kurze horizontal und
schrag verlaufende zarte Fasem. Sie verlaufen oft wellenartig und kreuzen sich.
Die Lamina suprastriata (II—III) teilt sich in eine hellere Pars externa und eine
dunklere Pars interna. Es gibt hier sehr kurze, in verschiedenen Richtungen, meist aber
radiar verlaufende zarte Faserchen. Sie besitzen in der Pars interna einen etwas dickeren
Kahber. Man sieht auch, daB die Radien bis in die Pars interna hineinragen, wo sie sich
zersplittem.
Die innere Hauptschicht (IV—VI) besitzt keine scharfe Grenze nach auBen,
weil eine Stria Baillargeri externa fehlt. Unter der'Lamina suprastriata befindet sich
eine dunklere Schicht, welche dadurch zustande kommt, daB einerseits der Grundfilz
hier aus dichteren und derberen Fasem besteht, andererseits die Radii zu groBeren Bfindeln
vereinigt sind, welche nahe nebeneinander verlaufen. Diese Schicht konnte man vielleicht
als Stria Baillargeri interna auffassen.
Eine Lamina substriata (Via) fehlt.
Die Lamina limitans (VIb und c) enthalt eine sehr groBe Anzahl von quer ver-
laufenden, ziemlich dicken Faserbundeln, welche in der Nahe der Area perirhinalis das
Mark verlassen und bogenformig verlaufen. Diese Faserbundel sind mehrmals gebrochen
und gehen an der Grenze des Typus 20, in ebensolche Fasem der Lamina limitans fiber.
AuBer diesen Fasem sieht man hier einen ziemlich dichten Grundfilz und dicht neben-
einanderstehende Radien, welche zu Bfindeln vereinigt zur Lamina suprastriata. reichen
— Typus euradiatus.
Typus 48. Area posthipocamfica.
Cytoarchitektonih (Tafel 4): Die Rinde ist schmal und ziemlich zellann.
Die Lamina zonalis ist relativ breit.
An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich eine schmale Lage von
mittelgroBen sich stark farbenden Elementen.
Die Lamina pyramidalis ist sehr breit und enthalt mittelgroBe polymorphe
Elemente.
Die Lamina ganglionaris ist sehr zellarm.
Die Lamina multiformis ist ziemlich breit, dicht gefiigt und geht flieBend ins
Mark fiber.
Dieser Typus ist mit demjenigen anderer kleiner Sauger leicht homologisierbar.
Myeloarchitektonik (Fig. 10): Die Rinde ist schmal und sehr faserreich.
Die auBere Hauptschicht ist von der inneren durch eine breite Stria Baillargeri
externa geteilt.
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BD. 19, 1912,
Erg&ozungsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 425
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lamina zonalis teilt sich sehr deutlich in 3
Unterschichten — Typus trizonalis. Die Sublamina supratangentialis (la) bildet eineri
ziemlich breiten Saum mit sparlichen, sehr zarten Fasern, welche aus der 2. Unterschicht
stammen. Die Sublamina tangentialis (lb) enthalt eine groBe Menge meist horizontal
verlaufender, teilweise sich kreuzender ziemlich dicker Fasern. r Nach der 3. LTnterschicht
zu vermindert sich die Menge dieser Fasern.' Die Sublamina infratangentialis (Ic) bildet
eine sehr charakteristische Schicht, mit derben, zu Bundeln vereinigten Fasern. Diese
Bundeln verlaufen horizontal und sind mehrere Male unterbrochen.
Die Lamina suprastriata III ist schmalund "enthalt’ein ziemlich dichtes Netzwerk
von sehr feinen Fasern. Die Stria Baillargeri externa (IV) ist sehr breit und dicht. Meist
setzt sie sich aus sehr dunnen Fasern, welche in verschiedenen Richtungen verlaufen,
zusammen. Nur wenige Fasern dieser Schicht besitzen etwas dickeren Kaliber.
Die Lamina interstriata (Va) bildet eine hellere Zone von ahnlichem Bau wie die
Stria externa.
Eine Stria Baillargeri interna (Vb) ist nur stellenweise angedcutet.
Die 6. Schicht enthalt etwas derbere Fasern, welche teilweise aus dem angrenzendert
Subiculum stammen. Die Radii sind in typischer Ausbildung in dicsem Typus iiberhaupt
nicht zu sehen. Man sieht nur an sehr kurzen Strecken verlaufende und bald umbiegende
radiare Fasern. Diese Fasern uberschreiten nicht die Stria externa — Typus infra-
radiatus. Wir haben es somit in diesem Typus nur mit einer rudimentaren Radiarfaserung
zu tun.
Typus 49. Area parasubicularis.
Cytoarchitektonik (Tafel5, Fig. 1): Diese Area bildet ein sehr schmales bandformiges
Feld zwischen Typus 27 und 28 und ist sowohl cyto- wie myeloarchitektonisch sehr gut
charakterisiert und von den angrenzenden Typen unterscheidbar.
1. Die Lamina zonalis ist breiter als im Typus 27.
2. Die 2., 3., 4. und teilweise 5. Schicht sind zusammengeschmolzen und bildert
eine lockere Zellage. Die Elemente dieser Zellage sind kleiner als im Typus 28 und groBer
als im 27.
3. Oberhalb der 6. Schicht befindet sich ein ziemlich breiter, lichter Streifen,
welcher wohl als Unterschicht der Lamina ganglionaris betrachtet werden soil.
4. Die 6. Schicht ist zellreicher als im Typus 27 und zellarmer als in 28.
Myeloarchitektonik (Fig. 15): Die Rinde ist faserarm. Es besteht eine deutliche
Teilung in eine auBere hellere und innere dunklere Hauptschicht. Die Striae Baillargeri
lassen sich aber nicht ohne Zwang unterscheiden.
Die Lamina zonalis (I) teilt sich in 2 Unterschichten — Typus bizonalis. Die Sub¬
lamina supratangentialis (la) bildet einen ziemlich breiten fascrlosen Saum. Die Sub¬
lamina tangentialis (I b) besteht aus ziemlich vielen horizontal verlaufenden dunnen Fasern.
Die Lamina suprastriata (II—III) besteht nur aus einer Anzahl von dunnen Fasern,
welche in verschiedenen Richtungen verlaufen.
Die Stria Baillargeri externa (IV) ist durch wenige, quer verlaufende Fasern
markiert.
Eine Stria Baillargeri interna fehlt, ebenso eine Lamina intrastriata.
Die VI. Schicht besteht aus dicken, dicht nebeneinanderstehenden Radiibiindeln.
Die Radien sind sehr kurz und reichen nicht bis zur auBeren Hauptschicht — Typus
infratadiatus.
Eine ziemlich machtigc Entfaltung und weitlaufige Differenzierung erfuhr bei
der Maus die s. g. Regis olfactoria. Sie umfaBt auBer dem Nucleus amygdalae und dem
Tuberculum olfactorium 7 verschiedene differenzierte Rindenfelder, welche sich sowohl
cyto- wie myeloarchitektonisch sehr leicht abgrenzen lassen und relativ scharfe Grenzen
untereinander aufweisen. Von der Beschreibung der Gliederung des Tuberculum olfac¬
torium sehe ich sowohl bei der Maus wie auch bei den iibrigen Tieren ab. Eine diesbe-
zugliche Parallelarbeit erscheint demnachst aus dem anatomischen Laboratorium der
Tubinger psychiatrischen Klinik.
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Alle diese Felder wurden durch Brodmann als Area praepyriformis zusammen-
gefaBt. Die Identifizierung der Einzelfelder der Area praepyriformis fuhre ich auf Grand
der beim Igel von Brodmann und Flores gemachten Einleitung durch. Fur Felder,
bei denen in der Beschreibung der oben genannten Autoren, Homologa fehlen, benutze
ich weitere fortlaufende Buchstaben.
Typus 51b. Area praepyriformis 6.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2; Tafel 2, Fig. 1 und 2): Die Lamina zonalis
ist schmal.
Die 2. und 3. Schicht bilden zusammen eine breite, sehr dichte. meistens aus mittel-
groBen, sich stark farbenden Elementen bestehende Zellage.
Die Lamina granularis interna fehlt.
Die 5. Schicht ist sehr breit und auBerordenthch zellarm. Die 6. Schicht ist eben-
falls sehr breit, ziemhch zellreich und geht kontinuierlich in die 6. Schicht der Area insu-
laris uber.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Faserreiche Rinde mit einer sehr breiten inneren und
schmalen auBeren Hauptschicht.
AuBere Hauptschicht (I—III): Wir finden hier ebenfalls wie im folgenden Typus
51 a die Stria olfactoria lateralis, doch in bedeutend kleinerer Ausbildung. Die Sublamina
superficial^ bildet auf diese Weise hier nur noch eine schmale Lage horizontal verlaufen-
der Fasern. Die Sublamina supratangentialis und tangendalis sind nur angedeutet.
Die Lamina suprastriata (II und III) ist schmaler als im Typus 51a.
Innere Hauptschicht (IV—VI) besteht aus einer auBeren dunklerpn und inneren
helleren Faserlage. In der auBeren ist der Faserverlauf mehr radiar; die innere ist ihrem
Bau nach derselben Schicht der Insel ahnlich und geht in dieselbe uber.
Typus 51a. Area praepyriformis a.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2; Tafel 2, Fig. 1 und 2): Schmale, zellarme Rinde.
Hauptunterschiede vom Typus 51b:
1. Die Lamina zonalis ist zweimal breiter.
2. An Stelle der lamina granularis externa befindet sich eine schmalere und zell-
armere Schicht von mittelgroBen Elementen.
3. Lamina granularis interna fehlt.
4. Die 5. Schicht bildet einen breiten, hellen Streifen mit wenigen Elementen.
5. Die 6. Schicht fehlt fast vollstandig und ist nur durch eine kleine Anzahl von
Zellen markiert.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): In diesem Felde sehen wir die Stria olfactoria lateralis,
welche vorn sehr breit ist und sich nach hinten zu verjungt. Sie stellt sich am Quer-
schnitt als sehr breite und dunkle Faserschicht vor, in welcher die einzelnen Fasern fast
nicht mehr zu unterscheiden sind. Dieser Typus ist auch sonst sehr faserreich. Es
lassen sich in ihm trotz des Fehlens der beiden Striae Baillargeri die beiden Haupt-
schichten unterscheiden.
AuBere Hauptschicht (I—III). Lamina zonalis (I). Als oberflachlichste Schicht
ist die Stria olfactoria lateralis zu sehen, welche wir mit Flores Sublamina superficialis
nennen. Die Sublamina supratangentialis (la) besteht aus derben Fasern, welche sich
vielmals kreuzen, im groBen und ganzen aber einen schrag horizontalen Verlauf besitzen.
Die Sublamina tangentialis (lb) ist nur durch einige Querfasem markiert.
Die Lamina suprastriata (II—III) ist hell und ziemlich breit.
Innere Hauptschicht (IV—VI) ist sehr faserreich und zeigt einen ziemlich einheit-
lichen Bau.
Sie enthalt ziemlich derbe Fasern, mit verschiedenem, meist aber schrag horizon-
talem Verlauf.
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Erg&nzungsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 427
Typus 51 d. Area praepyriformis d. (Tuber olfactorius.)
Cytoarchitektonik (Tafel 3, Fig. 1): Die Rinde ist sehr schmal.
Lamina zonalis ist breit.
Die darunter liegende Schicht sich stark farbender Zellen enthalt kleinere Elemente
als sonst in den Typen der Area praepyriformis, von meistens spindelformiger Gestalt.
Es fehlen aber auch nicht Zellen von derjenigen Gestalt der anderer Typen. Diese Area
geht an der medialen Flache in eine Formation fiber, welche Brodmann als Nucleus
amypdalae auffaBt.
Myeloarchitektonik (Fig. 18): Die Rinde ist ziemlich faserreich.
AuBere Hauptschicht (I—III). Lamina zonalis (I) mit 3 Unterschichten. Sub-
lainina superficialis (la) ist ziemlich breit und dicht. Sie besteht meist aus kurzen hori¬
zontal verlaufendcn, ziemlich zarten Fasern. Die Sublamina supratangentialis (la) ist
sehr hell. Die Sublamina tangentialis (lb) ist nur angedeutet.
Fig. 18. Tvpus 51 d (Tuber olfactorius). Sublamina superficialis (a) mit dichten, kurzen,
schrag verlaufenden Fasern. Ia hell, lb mit weniger Fasern angedeutet.
Innere Hauptschicht (IV—VI) besitzt gar keine Schichtung, sondern in verschie-
denen Richtungen verlaufende ziemlich zarte Fasern.
Typus 51 e. Area praepyriformis e.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2): Die Rinde ist im Vergleich mit dem folgenden
Typus 51 f zellreicher. Sie besteht aus:
1. einer mittelbreiten Lamina zonalis.
2. einer darunter liegenden dicht gefiigten Schicht pyramidenformiger Zellen,
welche ihrer Struktur nach den Zellen des Amonshornes und der Taenia tecta entsprechen.
3. einer sehr breiten, ziemlich locker gefiigten Schicht mittelgroBer polymorpher
Elemente.
Die genaue Durchsicht einer Frontalserie beweist, daB dieser Typus kontinuierlich
einerseits in die Taenia tecta, andererseits in die Area praepyriformis bulbaris fibergeht.
Auch die Zellenstruktur entspricht derjenigen der Taenia tecta. Naheres fiber den Verlauf
und die Struktur dieses Gebildes fiberlasse ich mir an anderer Stelle auseinanderzusetzen.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Ziemlich faserreiche Rinde. Lamina zonalis (I) besteht
aus einer faserlosen Sublamina supra tangentialis (I a) und einer Sublamina tangentialis
(lb) mit meist quer verlaufenden Fasern. II—III ist sehr faserarm. Innere Haupt¬
schicht (IV—VI) besteht aus einer breiten Lage von horizontal verlaufenden Fasern.
Die Radii fehlen. —
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428
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Journal f. Psychology e
und Neurologie.
Typus 51 f. Area praepyriformis f.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 2): Es ist dies ein schmaler Streif zwischen der
Area 51a und 51c. Hauptunterschiede vom Typus 51a.
1. Die Lamina zonaiis ist um die Halfte schmaler.
2. Die darunter liegende Zellenschicht ist locker gefiigt und bedeutend breiter.
Sonst fehlt hier jede Schichtung.
Myeloarchitektonik (Fig. 5): Hauptunterschiede vom Typus 51a:
1: Die Fasern der Sublamina tangentialis (lb) sind bedeutend zarter.
2: V—VI ist zweimal breiter und dichter gefiigt.
Typus 51 g. Area praepyriformis g, bulbaris.
Cytoarchitektonik (Tafel 1, Fig. 1): Es ist dies die Rinde, welche in Form eines
Schlauches in den Bulbus olfactorius hereinragt. In sie gehen alle praepyriformen
Typen, den Typus 51 d ausgenommen, iiber. Auch die Taenia tecta geht in diese For¬
mation uber. Der Bau dieses Typus ist sehr einfach. Er besteht aus einer sehr
breiten Lamina zonaiis und einer darunterliegenden breiten Schicht blaschenfdrmiger,
mehrere Komer enthaltenden Zellen.
Myeloarchitektonik: Die Schichten dieses Typus lassen sich in keine Beziehung
zu denen des tektogenetischen Grundtypus bringen. Auf der Oberflache finden wir sehr
stark ausgebildet die Sublamina superficial (la), welche ebenso wie im Typus 51a
gebaut ist. Darunter liegt eine breite, sehr faserarme Sublamina supratangentialis (la).
Die Sublamina tangentialis (lb) ist breit und besteht aus ziemlich derben kurzen, schrag
verlaufenden, wellenformigen Fasem. Die Sublamina infratangentialis (Ic) ist hell,
enthalt aber mehr Fasern als la.
Entsprechend der breiten Zellage dieses Typus finden wir sehr zarte, meist radiar
verlaufende Fasern, welche sich meistens zu keinen Bundeln vereinigen.
B. Topische Lokalisation der verschiedenen Rindentypen bei der Maus.
Die oben beschriebenen Schicht angstypen der Maus werden durch Schnitt-
ebenenprojektion auf die Hemispharenoberflache iibertragen und so eine regionare
Federgliederung, wie sie Fig. 31 von der Lateral- und Medialflache zeigen, erzielt.
In den Diagrammen gebe ich gleichzeitig Umrisse einer Anzahl Schnitte von
der Horizontalserie (Maus 12). Die Diagramme sind mittels des Edingerschen
Zeichenapparates entworfen, und in jedes sind die Typen nach ihrer Lage und Aus-
dehnung unter dem Mikroskop mit bestimmten Zeichen und Nummem eingetragen,
wie es Brodmann in seinen ersten Mitteilungen zur histologischen Lokalisation
naher beschrieben hat. Die Nummem und Zeichen in den Schnittebenendiagrammen
und im Oberflachenschema sind fiir die gleichen Felder und Typen ubereinstimmend.
Projeziert und gezeichnet wurden im allgemeinen nur solche Schnitte der Serie,
in denen die Lage Oder die gegenseitigen Beziehungen der Typen im Vergleich zu
friiheren Schnittebenen verandert sind.
1. Lokalisation der Rindentypen an Horizontalschnitten.
Ich schreite in der Beschreibung der einzelnen Horizontalschnitte in dorsal-
ventraler Richtung. Die linke Seite des Diagramms entspricht der lateralen, die
rechte der medialen Seite des Schnittes. Es sei hier nochmals bemerkt, daB in Wirk-
lichkeit die Obergange zwischen den einzelnen Typen in den Praparaten flieBender
sind, als im Interesse der Veranschaulichung in unseren Diagrammen dargestellt
wurde.
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Ertftazmigsheft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 4^9
1 r Textfigur 19. Schnitt 19. In diesem obersten Schnitte nachst der dorsalen Mantel-
kante gelegen, in welchem uberhaupt das Marklager noch fast gar nicht getroffen scheint,
laBt sich von vorn nach hinten eine Anzahl von Typen unterscheiden. Typus 4—6 nimmt
den vorderen Umfang des Schnittes ein und grenzt an der medialen Seite an den Typus
29 c, welcher auf eine sehr groBe Flache sich erstreckt. Lateral vom Typus 4+6, sehen
wir den Typus 1—3+5, welchem sich der Typus 18 anschlieBt; dieser dehnt sich
auf eine ziemlich betrachtliche Strecke aus und kommt auch am hinteren Umfnnge
des Schnittes hinter dem Typus 17 zum Vorschein. In derselben Schnittebene treffen
Fig. 19. (19 ) Fig. 20. ( 40 .) Fig. 21. ( 55 .) Fig. 22. ( 71 .)
Fig. 23. (104.) Fig. 24. (142 ) Fig. 25. (162).
wir auch den Typus 29 b, welcher den caudalen und medialen Umfang den Schnittes
bildet.
ff j 1 Textfigur 20. Schnitt 40. Den Schnittpol, besonders auf der lateralen Flache,
nimmt der Typus 4—6 ein. Hinter ihm befindet sich der bereits hier breite Typus 1—3
4-5. Dep caudalen Umfang des Schnittes bildet wiederum der Typus 17, welcher
teilweise auf die Medianseite des Schnittes ubergeht. Der Typus 18 kommt in dieser
Schnittebene nur einmal zum Vorschein und dies an der Convexitat. Die beiden retro-
splenialen Typen verhalten sich wie im obigen Schnitte.
Textfigur 21. Schnitt 55. Das gegenseitige Verhalten der Typen ist in dieser
Schnittebene gleich demjenigen im vorigen Schnitte, nur schiebt sich hier zwischen den
Typus 1—3+5 un d 18 noch der Typus 7 ein.
| * Textfigur 22. Schnitt 71. In dieser Schnittebene finden wir schon den Durchbruch
des Corpus callosum. Oral und caudal von ihm liegt die Taenia tecta; die caudal gelegene
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Jovnal f. Piyoholofie
nnd Neorologto.
Fig. 38. (299.) Fig. 39. (338.) Fig. 30. .(3 67)
Taenia tecta ist mit dem Brodmannschen Feld 26 identisch. Hier treffen wir auch
zura erstenmal das Subiculum in ziemlich groBer Ausdehnung, welches hinten in dem
ebenfalls zum erstenmal auftretenden Typus 29 c ubergeht. Diesem schlieBt sich in groBer
Ausdehnung auf der lateralen Flache der Typus 17 an. Die Typen 7, 1—3+5, 4+6
und 29 b behalten ihre fruhere Lage, nur ist die Ausdehnung des Typus 29 b viel geringer.
Textfigur 23. Schnitt 104. Die Rindentypen und ihre gegenseitige Lage andem
sich hier in ziemlich betrachtlichem MaBe. An der Medianseite vor dem Corpus callosum
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BI). 19,1912.
Erg&ninngsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 431
finden wir nur noch ein kleines Stuck vom Typus 29b. Vor ihm liegen in fast gleicher
Ausdehnung die Typen 23 und 24. Typus 4—6, 1—3+5 und 7 behalten ihre gleiche
Lage. Hinter dem Typus 7 kommt zum erstenmal der Typus 22 zum Vorschein. Der
caudale Umfang des Schnittes ist durch das dorsale (laterale) Feld 28 eingenommen.
Die Stelle des Typus 29 c, nahm, obzwar in kleinerer Ausdehnung, der Typus 48 ein,
welchem sich oral das Subiculum mit dem Amonshorn anschliefit.
Textfigur 24. Schnitt 142. An der Medianseite sehen wir im Vergleiche mit dem
vorigen Schnitte die Verkleinerung derStrecke des Typus 23. Auf derLateralseite nehmen
die Typen 1—3+5 und 7 schon eine Heine Flache ein, dafur kommen hinter ihnen
die 3 Temporalentypen 22, 21 und 20 in fast gleicher Ausdehnung zu liegen. Am cau-
dalen Umfang finden wir auBer dem Typus 28 dorsalis (lateralis) auch den Typus 28
ventralis (medialis). Von neu hinzutretenden Typen sind noch die Typen 35, 36 und 49
zu nennen.
Textfigur 25. Schnitt 162. In diesem Schnitt tritt der Typus 27 a an Stelle des
Typus 48. Sonst ist die Lage aller Typen ahnlich wie im vorigen Schnitte, nur besitzt
hier der Typus 28 und 36 eine noch grdfiere Ausdehnung. Der Typus 49 liegt hier zwischen
dem Typus 28 und 27.
Textfigur 26. Schnitt 194. Der Unterschied mit der vorigen Schnittebene muB
in noch groBerer Ausdehnung des Feldes 28 verzeichnet werden. An Stelle des Typus 23
sehen wir hier den Typus 32; an Stelle des Typus 27 a den Typus 27 b. Die Lagebeziehung
anderer Typen bleibt fast unverandert. Vome sehen wir den Bulbus olfactorius.
Textfigur 27 und 28. Schnitt 252 und 299. Es besteht nur sofem ein Unterschied
von der vorigen Schnittebene, als der Typus 22 sich hier nicht mehr befindet. Sonst ist
die Lagebeziehung aller Typen fast unverandert.
Textfigur 29. Schnitt 338. Mit dieser Schnittebene treffen wir in die voile Aus¬
dehnung der Inselregion. Der Typus 13 bis 16 nimmt die ganze orale Halfte der Convexitat
ein. Vor ihm sehen wir noch ein Stuck vom Typus 51b und den in den Bulbus herein-
ragenden Typus 5ig. Der Typus 28 nimmt hier am caudalen Umfang seine groBten
Dimensionen an und geht in den Typus 49 fiber. Das Amonshorn bekommen wir in diese
Schnittebene nicht mehr hinein. Von den temporalen Typen begegnen wir hier nur dem
Typus 20.
Textfigur 30. Schnitt 367. An der Medianseite finden wir vorne das Tuberkulum ol-
factorium, hinten die Amygdala; beide nehmen hier groBe Dimensionen ein. Den vorderen
Umfang nimmt der Typus 51a ein, hinter ihm liegen die Typen 51 b und d. Am caudalen
Umfang befindet sich der Typus 27 und 49, welcher an den Typus 28 angrenzt.
2. Die Oberflachenfelderung der GroBhimrinde bei der Maus.
Typus 1—3 + 5. Area postcentralis communis.
Die Lage und Ausdehnung ist ahnlich, wie es Brodmann beim Kaninchen
dargestellt hat. Das ganze Feld stellt sich in Form eines breiten Bandes dar, welches
von binten und oben, nach vorne und unten hinzieht. Vome geht diese Area ziem-
lich scharf in den Typus 4—6 und oben in den Typus 29c fiber. Mehr fliefiend ist
die Grenze nach hinten gegen den Typus 7 und unten gegen den Typus 8.
Typus 4—6. Area praecentralis communis.
Im Unterschied von der vorigen Area liegt diese nicht nur auf der lateralen,
aber und sogar in ziemlich groBer Ausdehnung auch an der medialen Hemispharen-
oberflache. In Form eines Keiles, dessen Basis am Frontalpol sich befindet, und
dessen Spitze das Feld 29 c bertihrt, grenzt sie nach hinten an der lateralen Flache
an den Typus i — 3 4- 5, an der medialen an den Typus 24 an.
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Journal f. Pgyehologie
und Neurologic.
Typus 8. Area parorbitalis.
Die Area nimmt an der freien Oberflache der Hemisphere einen sehr kleinen
Bezirk unter dem Typus i—3 -f 5 und 7 und vor der insularen Region ein. Unten
grenzt sie an den Typus 51b.
Typus 13—16. Area insularis communis.
Die Insel liegt bei den Lissencephalen im Unterschiede von den Gyrencephalen
in der ganzen Ausdehnung auf der freien Oberflache. Dieses Feld nimmt einen
ziemlich groBen Rauin ein und ist von
unten durch das Feld 51b, von vorne
durch die Area 8 und 7 und von hinten
durch die temporalen Typen begrenzt.
Typus 17. Area striata.
Der Typus liegt fast in seiner
ganzen Ausdehnung auf der lateralen
Hemispharenflache, nur einen kleinen
Bezirk nimmt er, wie die beigegebenen
Schnittdiagramme und das Ober-
flachenschema zeigt, auf der medialen
Flache des Occipitalpols ein. Von oben
und teilweise von hinten ist es durch
das Feld 18 begrenzt; vome durch das
Feld 7 und 22, und unten durch die
iibrigen Temporal typen. An der medi¬
alen Hemispharenflache grenzt er auch
an das Feld 29 c. Die Ausdehnung der
Area striata ist bei der Maus sehr be-
trachtlich.
Typus 18. Area peristriata.
Er bildet eine schmale, bandformige Zone, welche das Feld 17 von oben und
teilweise von hinten bedeckt.
Typus 20, 21 und 22
bilden drei ziemlich breite, bandformige Zonen, welche alle oben an die Area striata
und unten mit Ausnahme des Typus 22 an die Inselregion angrenzen. Sie liegen
hintereinander auf diese Weise, daB Typus 22 der vorderste ist und hinter die Area
parietalis zu liegen kommt, der Typus 21 der mittlere und der Typus 20 der hinterste.
Seine hinterste Grenze gibt die Area ectorhinalis ab.
Typus 23. Area limbica posterior.
Dieses Feld hat eine charakteristische Lage an der medialen Hemispharen¬
flache, oberhalb des Corpus callosum. -Wir finden ihn bei der Maus in sehr kleiner
Ausdehnung. Hinten grenzt er an die Area retrosplenialis b, oben an die Regio
praecentralis und vorne an die Area limbica anterior.
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Fig. 31-
Rindenfelderung bei der Maus (Mus musculus).
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Erg&nzqngaheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 433
Typus 24. Area limbica ant.
Sie bildet eine langliche Zone, welche hinter der Area gigantopyramidalis und
oberhalb der Area praelimbica sich befindet. Hinten geht sie in die Area limbica
posterior iiber.
Typus 25. Area subgenualis.
Sie bildet ein annahemd dreieckiges Feld, welches mit seiner Basis der herab-
steigenden Taenia tecta anliegt und sich keilformig zwischen das Feld 32 und die
Area praepyriformis e einschiebt.
Typus 26. Area supracallosa (Taenia tecta).
Sie bildet ein schmales, streifenformiges Feld von sehr charakteristischer
Struktur, welches dicht dem Corpus callosum anliegt und hinten das Splenium um-
fassend ins Subiculum iibergeht. Vome umfaBt es das Balkenknie, begibt sich steil
nach unten und geht durch die Vermittlung der Area praecallosa in die Area prae¬
pyriformis bulbaris iiber.
Typus 27 b. Area praesubicularis b.
Wie der Name besagt, liegt sie hinter dem Subiculum. Von oben ist sie durch
die Area posthypocampica, von hinten durch das Feld 49 begrenzt. Unten geht es
ohne scharfe Grenze in die Area praesubicularis a iiber. Sie liegt in ihrer ganzen
Ausdehnung ebenso wie das nachstfolgende Feld 27 a auf der medialen Hemispharen-
flache.
Typus 27 a. Area praesubicularis a.
Sie bildet nach unten die Verlangerung des vorigen Typus und grenzt nach
vome an die Amygdala.
Typus 28. Area entorhinalis.
Sie umfaBt die ganze hintere Peripherie der Hemisphere, erstreckt sich aber
in zweifach so groBer Ausdehnung auf ihrer lateralen Flache. Sie schiebt sich sehr
weit nach oben herauf und grenzt vome an der medialen Flache an das Feld 49,
an der lateralen an die Area perirhinalis. Wir unterscheiden im Bereiche der Area
entorhinalis 2 Unterfelder, von welchen eines lateral und dorsal liegt und auf die
mediale Hemispharenflache nicht iibergeht; das andere ist groBer und umfaBt die
hintere und untere Hemispharenkante.
Typus 29 c. Area retrosplenialis granulans c.
Dieses Feld liegt zu beiden Seiten der oberen Hemispharenkante dicht hinter
der Area gigantopyramidalis. An der lateralen Flache grenzt es an das Feld 18, an
der medialen an die Area 29 b.
Typus 29 b. Area retrosplenialis granularis b.
Es ist dies ein Feld von sehr groBen Dimensionen, welches zwischen dem
Corpus callosum und der Area 29c liegt. Es erstreckt sich noch weiter nach vorne
als das Feld 29 c und grenzt unmittelbar an die Area limbica posterior an. Hinten
erstreckt es sich fast bis zum Occipitalpol und grenzt dort an das Feld 17 und 18.
Die hintere untere Grenze nach dem Auflosen des Balkens bildet das Feld 29 c.
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Typus 29 e. Area retrosplenialis granularis c.
Sie geht bei der Maus auf einer kleinen Strecke vome ins Subiculum des Am-
monshomes iiber und grenzt oben an die Area 29b, unten an das Feld 48 und hinten
an das Feld 17 an.
Typus 35. Area perirhinalis.
Diese Area, welche bei alien Saugern homologisierbar ist, zieht in einem langen,
schmalen Streif zwischen der Area ento- und ectorhinalis und geht ein wenig
auf die mediale Hemispharenflache fiber.
Typus 36. Area ectorhinalis.
Ahnlich wie der vorige Typus zieht auch diese Area, aber in einem breiteren
Streif, dicht iiber der Insel ziemlich steil in die Hohe und erreicht die Area striata.
Wie der Name besagt, grenzt sie hinten an die Area perirhinalis und vome an die
Area temporalis inf. an.
Typus 48. Area posthyppocampica.
Sie liegt dicht oberhalb der Area praesubicularis und unter dem Felde 29 c.
Ebenso wie die Area praesubicularis geht sie auch vome ins Subiculum iiber. Hin¬
ten grenzt sie teilweise an das Feld 49, teilweise an die Area entorhinalis an.
Typus 49. Area parasubicularis.
Ahnlich wie das Feld 28 auf der lateralen Hemispharenflache durch die streif-
formige Area perirhinalis begrenzt ist, grenzt es an der medialen Flache an die
streifformige Area parasubicularis. Nach vome vom Felde 49 liegen die praesubicu-
laren Areae.
Typus 51a. Area praepyriformis a.
Liegt in Form eines stark spitzwinkeligen Dreiecks unter dem Felde 51b und ober¬
halb der Area 51 f und des Tuberculum olf. Die Spitze des Dreiecks liegt am Tuber
olf., die Basis geht mit einer flieBenden Grenze in die Area praepyriformis bulbaris
iiber.
Typus 51b. Area praepyriformis b.
Dieses Feld verschmalert sich im Unterschiede vom vorigen in der Richtung
nach vome. Hinten sitzt es mit seiner breiten Basis am Feld 51 d. Nach oben von
der Area 51b liegt die Insel und das Feld 8, nach unten die Area 51a.
Typus 51. Area praepyriformis d.
Es ist ein bei alien kleinen Saugern in ziemlich groBer Ausdehnung vorkom-
mendes Feld. In seiner groBten Ausdehnung liegt es auf der lateralen Hemispharen¬
flache und ist nach vome durch das Tuberculum olfactorium, nach hinten durch die
hippocampalen Typen begrenzt. Oben geht es in andere Typen der Area praepyri¬
formis und an der medialen Hemispharenflache in die Amygdala iiber.
Typus 51 e. Area praepyriformis e (Area praecallosa).
Wie schon bei der Beschreibung der Area supracallosa angegeben wurde,
ist es ein Feld, welches den Ubergang der Taenia tecta in die Area praepyriformis
bulbaris vermittelt. Es hat bei der Maus eine relativ groBe Ausdehnung und grenzt
oben an die Area 25, unten an das Tuberculum olf. und die Area praepyriformis f.
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HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 435
Hinter diesemFelde, sowie auch hinter der absteigenden Taenia tecta liegt das Sep¬
tum peliucidum.
Typus 51 f. Area praepyriformis f.
Sie liegt an der unteren Flache des Lobus olf. anterior, in groBerer Aus-
dehnung auf der lateralen Flache, wo sie das Feld 51a beriihrt. Auf die mediale
c c.
Fig. 32. Maus. Im Bereiche des Septum peliucidum (S.pell.) verlaufen diclite Fasern in dorso-
ventraler Richtung. Tol. — Tuberculum olfactorium. c = Corqus callos m.
Flache geht sie nur mit einem schmalen Streif heriiber und grenzt hier an die Area
praecallosa. Hinten sitzt sie am Tuberculum olf. und vome geht sie flieBend in das
Feld 51 g iiber.
Typus 51 g. Area praepyriformis bulbaris.
Unter diesem Namen beschrieben wir jene rudimentare Rinde, welche als
vorderer Auslaufer der Area praepyriformis in Form eines Schlauches im Bulbus
olf. liegt.
Septum peliucidum.
Es liegt in sehr groBer Ausdehnung dicht hinter der absteigenden Taenia
tecta und unterhalb des Balkens (Fig. 32).
Amygdala.
Dieses Gebilde liegt auf der medialen Hemispharenflache angrenzend an den
Tuber olfactorius. Seine hintere Grenze wird durch die hyppocampale Region ge-
bildet (Taf. 3, Fig. 1).
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Tuberculum olfactorium.
Ich habe von der naheren Beschreibung dieser Rindenpartie abgesehen. Sie
nimmt bei der Maus eine ziemlich betrachtliche Flache vor dem Tuber olfactorius
ein und liegt fast von alien Seiten durch die olfactorischen Typen begrenzt.
Bulbus olfactorius.
Es ist eine hochst rudimentary Rinde, welche dieses bei der Maus ziemlich
betrachtliche Gebilde ausmacht.
Bei der nachstfolgenden Beschreibung der Rindenlokalisation bei anderen
kleinen Saugem werde ich von der detaillierten Beschreibung eines jeden Typus
und jeder Area, so wie das bei der Maus geschah, absehen. Ich werde nur auf die
wirklichen Verschiedenheiten mit diesem Tiere hinweisen und nur dann genauere
Typen und Felderbeschreibung geben, wenn es fur das Verstandnis der gegebenen
Verhaltnisse unablassig sein wird.
b) Meerschweinchen (Cavia cobaya).
Die Struktur der Hirnrinde beim Meerschweinchen weist eine viel weitergehende
Differenzierung als bei der Maus auf, eine geringere jedoch — nach den Untersuchun-
gen von Brodmann und Zunino — als beim Kaninchen und teilweise auch Ziesel.
Dies gilt im besonderen von manchen Regionen. Im ganzen steht das Gehirn des
Meerschweinchens hinsichtlich der Rindenarchitektonik dem Kaninchen naher
als der Maus. Da von belehrt uns ein Blick auf die Brodmannsche Oberflachen-
karte des Kaninchengehimes (Fig. 47 u. 48). Beim Meerschweinchen finden wir die
Wiederholung der gleichen Verhaltnisse nur mit kleinen Variationen. So steht das
Meerschweinchen ungefahr in der Mitte zwischen Kaninchen und Maus. Im Ver-
gleiche mit der # Maus besteht eine groBere Differenzierung in der postzentralen
Region, wo sich ein abgesonderter Typus praeparietalis findet, wahrend bei der
Maus im Gegensatz dazu Typus 5 sich von dem Typus 1—3 nicht absondem laBt.
Umgekehrt nimmt die hyppocampische Region bei der Maus eine relativ bedeu-
tendere Flache ein als beim Meerschweinchen. Dabei ist zu beach ten, daB diesen
Untersuchungen sowohl cyto- als myeloarchitektonische Studien zugrunde liegen.
Die Ergebnisse nach beiden Methoden decken sich vollstandig. Es war allenthalben
moglich, einem cytoarchitektonischen Strukturtypus einen entsprechenden myelo-
architektonischen gegeniiberzustellen und die betreffenden Rindenfelder zu identi-
fizieren. Beziiglich der Markfaserung der Rinde des Meerschweinchens ist zunachst
hervorzuheben, daB die Fasern im allgemeinen ein dickeres Kaliber besitzen als bei
der Maus. Daher fallen auch die Verhaltnisse viel deutlicher ins Auge als bei der
Maus, wo die Fasern sehr zart und die Schichtungsunterschiede demnach auch we-
niger pragnant sind. In der folgenden Beschreibung der Hirnrinde des Meerschwein¬
chens mochte ich nur kurz die hauptsachlichsten Verschiedenheiten von der Maus
in einzelnen Regionen hervorheben.
Regio frontalis.
Keines der von mit untersuchten kleinen Saugetiere besitzt eine eigentliche
frontale Hauptregion, vielmehr reicht die Regio praecentralis fast zum Frontalpol.
Die Area parorbitalis ist kaum dieser Region zuzurechnen, sie besitzt vielmehr
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BD. ID, 1912,
Erg&nzupgsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATtON DER GROSSHlRNRINDE. 437
eher architektonische Verwandtschaft mit der Inselregion und wird neuerdings von
Brodmann tatsachlich, wie er mir personlich mitteilt, als eine besonders differen-
zierte Unterabteilung der Regio insular is aufgefaBt, so daJ 3 wir also zu dem Schlusse
kommen, daB auch bei unseren Tieren die Insel bis an den Frontalpol heranreicht
und diesen ganz einnimmt und somit ein eigentliches Stirnhim hier vollkommen
fehlt 1 ).
Regio praecentralis.
Beim Meerschweinchen finden wir zum Unterschiede von der Maus eine etwas
deutlichere Teilung der prazentralen Hauptregion in eine Area frontalis agranularis
(Feld 6) und Area gigantopyramidalis (Feld 4). Eine den hoheren Saugem homologe
selbstandige Area frontalis agranularis laBt sich aber nicht absondem. Der Typus 4
besitzt alle charakteristischen Merkmale, welche wir schon bei der Maus aufgezahlt
haben. Es sei aber hervorgehoben, daB iiber der Lamina ganglionaris eine leichte
Andeutung der Lamina granularis interna zu sehen ist. Man sieht aber deutlich,
wie zahlreiche Komer schon in die angrenzenden Schichten eingedrungen sind.
Das Feld 4—6 nimmt eine groBe Flache ein, erstreckt sich sehr weit nach vome
bis in die Nahe des Frontalpoles und grenzt hier an das Feld 12, dessen Zusammen-
hang mit der cingularen Region Brodmann vermutet, an. Hinten grenzt es an
die Area postcentralis und unten an den Sulcus rhinalis. Es geht auch in ziemlich
groBem Umfange an die mediale Hemispharenflache iiber.
Regio postcentralis.
Die Regio postcentralis schlieBt sich als ziemlich breites, streifenformiges Feld
caudal an die prazentrale Region an und zeichnet sich durch das plotzliche, nahezu
linienscharf einsetzende Auftreten der inneren Komerschicht, die geringere Breite
des Rindenquerschnittes, die groBere Zelldichtigkeit und den scharfen Ubergang ins
Mark aus. Nach hinten geht dieses Feld flieBend in die Area praeparietalis und parie-
talis iiber. Das Feld grenzt unten an die Insel an. Oben erreicht es nicht die Man-
telkante, vielmehr ist es von derselben durch das Feld 5 geteilt.
Regio pariet&lis.
Beziighch der Regio parietalis finden wir beim Meerschweinchen andere Ver-
haltnisse als bei der Maus. Wir unterscheiden hier zwei deutliche Felder. Das Feld 5
entspricht der Area praeparietalis hoherer Sauger. Dieser Typus besitzt eine groBe
Ahnlichkeit mit der Area praecentralis, indem auch in ihm in der Lamina ganglio¬
naris sehr groBe Pyramidenzellen auftreten. Er unterscheidet sich aber vom Typus 4
durch eine sehr deutliche Sechsschichtung, durch die Anwesenheit der Lam. granu¬
laris interna und durch^die scharfe Grenze zwischen Rinde und Mark. Von den
angrenzenden Typen 1—3 und 7 unterscheidet er sich im besonderen durch die An¬
wesenheit von groBen Zellen in der 5. Schicht. Myeloarchitektonisch ist dieser
Typus weniger leicht von dem Typus 7 abzutrennen. Ober das Feld 7 laBt sich nach
dem bei der Maus Gesagten nichts beifiigen (Tafel 6, Fig. 2). Die Typen 5 und 7
gehen flieBend ineinander und den Typus post centralis iiber. Hinten grenzen sie an
das Feld 18 und die temporale Region, nach unten an die Insel an. Die Area
*) Vgl. die neuesten Untersuchungen von Brodmann iiber das Stirnhirn.
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und Neurologie
praeparietalis greift auch aaf die mediale Hemispharenflache iiber und grenzt hier
an die cingulare Region an.
Die Regio occipitalis enthalt die Area striata und das Feld 18 (Tafel6, Fig. i).
Es sei hervorgehoben, daB die Area striata beim Meerschweinchen zwar alle typischen
Merkmale besitzt, aber im groBen und ganzen weniger pragnant ausgebildet ist als bei
der Maus. Das Feld 18 ist ebenso wie beim Kaninchen und der Maus gebaut. Der
Calcarinatypus liegt in
‘v/sseiner ganzen Ausdeh-
ming auf der lateralen
Hemispharenflache und
s 161121 von unten
jf/i /;! M tem P° ra l e Region und
V e \> . • . ■ Mj von alien Seiten sonst
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m !>!!I^ ziehende Feld 18. Die-
V # *1!ses letztere geht auf
d. m Occipitalpol ,i„
\v*.‘.‘.‘X! l lj^X A i A »:VA l »V» , *V l ito wenig auf die mediale
vV* Hemispharenflache
iiber. Das Feld 18 kann
nach Brodmann mit
t*,,. der ^rea occipitalis
hoherer Sauger nicht
homologlsiert werden -
/oV*"^+f &jfl: < * er Re K*° insularis
(Tafel6> Fig - 2) sehen
/ Tk s vi£si&® wSt t^- v w ^I-L wir eine sehr deutliche
/ «* ./fkSL. p.°. <?? r v^ v Jy isf*
( 4 i^VvfvX^'-y ■*» %&&&$ Claustrumbildung, so
wie wir sie von ^ en ^ e1 '
V ToJ nen Saugem nur beim
Ns wjjn* 1 Kaninchen und Igel fin-
y;//den. Wir konnen in ihr
iSjir ™ 35 eine vordere agranulare
^ und hintere granulare
Fig. 33. Rindenfelderung beim Meerschweinchen (Cavia cobaya). Partie unterscheiden.
Im Bereiche dieser Par-
tien lassen sich je zwei flieBend ineinander iibergehende Einzelareae beobachten:
eine dorsale und eine ventrale. Die Insel erstreckt sich oberhalb des Sulcus rhinalis
und grenzt vorne an die pra- und postzentrale und hinten an die parietale und
temporale Region an.
Die Regio temporalis (Tafel 6, Fig. 1) besteht aus 4 Einzelareae, von welchen die
Area ectorhinalis ihrer Lage und Struktur nach am besten charakterisiert ist. Sie
zieht als breiter Streifen um den Sulcus rhinalis posterior herum und grenzt von oben
an das Feld 20 an. Die Typen 20, 21 und 22 gehen flieBend ineinander iiber. Auch die
vordere Grenze in das Feld 7 ist eine flieBende. Die temporale Region ist von oben
und hinten durch die Area striata und von unten durch die Insel scharf begrenzt.
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Das Feld 36 Area ectorhinalis und das Feld 35 Area perirhinalis weisen eine so
typische Differenzierung auf, daB man sie mit den entsprechenden Typen hoherer
Sauger und sogar des Menschen homologisieren kann.
In der Regio cingularis finden wir beim Meerschweinchen die Areae 23, 24,
25 und 32. Es sind dieselben Felder, welchen wir schon bei der Maus begegnet
und naher beschrieben haben. Auch hier besitzen sie typische Zell- und Faser-
aquivalente. Hier finden wir aber eine deutlichere Differenzierung der cingularen
Region in eine vordere agranulare und hintere granulare. Alle diese Einzeltypen
grenzen an die Taenia tecta, welche um sie herumzieht.
Eine reiche Differenzierung zeigt die Regio hyppocampica. Sie ist relativ
kleiner als bei der Maus und besitzt nicht mehr Einzelareae als wir bei der letzteren
konstatiert haben. Es kommen hier in Betracht die Felder 27 a und b, Area prae-
und postsubicularis, Feld 28 a und b, Area entorhinalis ventr und dorsalis, Feld 35
Area perirhinalis, Feld 48 Area posthyppocampica und Feld 49 Area parasubicu-
laris. Alle diese Typen zeigen denselben Bau und dieselbe gegenseitige Lage wie
bei der Maus, so daB nichts Neues hinzuzufiigen ist.
Regio retrosplenialis. (Tafel 6 , Fig. 1). Beim Meerschweinchen unterscheiden wir
ebenso wie bei der Maus drei retrospleniale Typen, welche samtlich granular sind. Bei
den Nagem finden wir uberhaupt nicht einen agranularen retrosplenialen Typus. Das
Kaninchen besitzt bekanntlich sechs granulare retrospleniale Typen, welche durch
Brodmann mit den Buchstaben a—e bezeichnet wurden. Die Homologisierung
dieser Typen ist bei alien Nagern sehr leicht, besonders wenn man die myeloarchi-
tektonische Gliederung zu Hilfe nimmt (Fig. 34). Bei der Maus begegnen wir drei
retrosplenialen Typen, welche wir mit den Typen b, c und e des Kaninchens homo¬
logisieren. Beim Meerschweinchen finden wir ebenfalls 3 Typen, aber hier tritt an
Stelle des Typus e der Maus der Typus a auf. Sonst finden wir beim Meerschwein¬
chen dieselben Typen b und c wie bei der Maus. Beim Ziesel unterscheidet
Brodmann ebenfalls die Typen a, b und c, wie ich sie beim Meerschweinchen
gefunden habe. Nur ist ihre Lage bei diesen Tieren eine andere, wie die entsprechen¬
den Oberflachenschemen uns belehren.
Das Feld c finden wir beim Meerschweinchen auf der medialen und lateralen
Hemispharenflache dicht an der oberen Mantelkante, dort wo beim Kaninchen das
Feld d zu unterscheiden ist. Das Feld b bildet einen breiten Streifen unterhalb des
Feldes c und reicht bis nahe an den Occipitalpol. Das Feld a kommt unter dem Felde b
zu liegen und reicht ebenfalls fast zum Occipitalpol. Es nimmt ungefahr diese Flache
ein, welche beim Kaninchen durch das Feld a, c und teilweise b eingenommen ist.
Es bildet beim Meerschweinchen ein sehr groBes Feld.
Da wir das Feld a bei der Maus nicht gefunden und auch nicht beschrieben
haben, tun wir das an dieser Stelle.
Cytoarchitektonik der Area 29 a.
Die Rinde ist sehr schmal und ziemlich zellarm.
1. Die Lam. zonalis ist sehr breit, breiter als in anderen retrosplenialen Typen.
2. Die Lam. granularis externa und pyramidalis bilden zusammen eine schmale
Lage von stark sich farbenden, mittelgroBen, polymorphen Elementen, unter wel¬
chen auch Komer zu finden sind.
30 Journal far Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . 167
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Fig. 34. Meerschweincben. Frontalschnitt durch die retrospleniale Region (vergl. das Zellbild
in Tafel 6 , Fig. 1 ). 29c besitzt dichte, lange Radii und Andeutung der Stria Baillargeri ext.
29b zeichnet sich durch eine deutliche Stria Baillargeri ext. aus. 29(t besitzt eine schmale
Rinde. Ihre Subl. tangentialis besitzt eine hellere auBere (lb) und dunklere innere (/ c)
Unterschicht. 18 = Area peristriata, 17 = Area striata.
Myeloarchitektonik der Area 29 a.
Die Rinde ist faserreich. Schon makroskopisch ist eine tief dunkle Lam.
zonalis und Stria Baillargeri externa zu sehen. Die auBere Hauptschicht ist bedeu-
tend schmaler als die innere.
AuBere Hauptschicht (I—III). Die Lam. zonalis (I) ist sehr breit, faserreich
und besteht aus 3 Unterschichten. Die Sublamina supratangentialis (la) bildet einen
ziemlich breiten, fast faserlosen Saum. Sie Sublamina tangentialis (lb) besteht aus
einer Pars externa mit horizontal verlaufenden, sehr diinnen Fasern und einer Pars
interna (Ic), welche ebenfalls aus horizontalen Fasern zusammengesetzt ist; diese
Fasern liegen aber dichter nebeneinander als in lb. Wir finden hier also ein etwas
anderes Verhalten, als es Z uni no beim Kaninchen beschrieben hat, indem er zwi-
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Eiganzun^heft 2 . HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 44 I
schen der Pars externa und interna noch einen hellen, fast faserlosen Streif beschrieb.
Beim Kaninchen ist auch im Unterschied vom Meerschweinchen die Pars interna
dunkler als die externa.
Die Lamina suprastriata (II—III) bildet eine helle Schicht mit sehr zarten,
in verschiedenen Richtungen verlaufenden Fasem.
Die innere Hauptschicht ist bedeutend faserreicher als die auBere. Die Stria
Baillargeri externa (IV) bildet eine sehr breite Lage von dicken, langen, sich sehr
oft kreozenden Fasem. Die Stria Baillargeri interna fehlt. Die Lam. substriata
wird durch die Radii und ein zartes Grundfilz gebildet; sie hebt sich gut von der
dunkleren Lam. limitans (VI b und c) ab. Diese letztere besteht aus einem sehr
dichten Grundfilz und zahlreichen Radii, welche hier an Kaliber zunehmen. AuBer-
dem sind hier sehr derbe horizontale Faserbiindel (Fibrae arcuatae Meynerti) zu
sehen.
Die Radien sind ziemlich zart und stehen weit von einander. Sie reichen bis
zur Lam. suprastriata — Typus euradiatus.
Regio olfactoria.
Ahnlich wie die hippocampische Region nimmt auch die olfactorische eine
relativ kleinere Flache beim Meerschweinchen als bei der Maus ein. In ihrem Bau,
der Felderzahl und gegenseitigen Lage der Einzelareae weicht sie in keinem Punkte
von der Maus ab.
Im groBen und ganzen finden wir also auBer einer groBeren Felderzahl nur
unmerkliche Verschiedenheiten im Rindenbau sowohl des Kaninchens und Ziesels
(Brodmann), wie auch des Meerschweinchens und der Maus.
b) Insectivoren.
Auf die eigenartige Ausbildung der Querschnittstektonik der Rinde und der
Oberflachengliederung beim Igel hat bereits Brodmann in seiner vergleichenden
Lokalisationslehre der GroBhimrinde aufmerksam gemacht. Er betonte die groBe
Verschiedenheit, die sowohl hinsichtlich des Schichtenbaues wie der Feldergliederung
bei diesem Tiere im Vergleiche zu anderen Sippen besteht, so daB es groBe Schwierig-
keiten macht, sichere cytoarchitektonische Homologien aufzustellen. In der Tat
laBt sich die sehr durchsichtige und leicht erkenntliche Differenzierung der Himrinde
bei den Rodentiem, insbesondere bei der Maus nicht mit den wenig differenzierten
und primitiveren Verhaltnissen bei den Insectivoren vergleichen. Das Obengesagte
bezieht sich aber nur auf das Neopallium, denn das Archipallium nimmt bei den
Insectivoren eine sehr groBe Ausdehnung, teilweise iiber die Halfte der ganzen
Gehimoberflache ein, und ist sehr weitgehend regionar differenziert.
Es ist hier leider aus Raumgriinden unmoglich, jedem cytoarchitektonischen
Typus das entsprechende faserarchitektonische Bild gegeniiber zu stellen, wie ich
es bei der Maus und Meerschweinchen getan habe.
Auch in der Beschreibung muB ich mir Beschrankung auferlegen und werde
daher nur kurz die hauptsachlicheren Abweichungen der einzelnen Typen bei den
verschiedenen Tieren beschreiben.
30*
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442
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal t Psychologic
and Neurologic.
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a) Maulwurf.
Typus i—3+5+7. Area postcentralis + parietalis. (Tafel 8, Fig. 2 und Tafel 7, Fig. 2.)
Es ist dies ein Typus, welcher seiner Lage und seiner Struktur nach als Vermischung
der genannten Typen betrachtet werden muB, und ein groBes breites Feld hinter der
Area gigantopyramidalis und oberhalb der Insel bildet.
Die Rinde ist breit und zellreich.
Die Lamina zonalis ist ziemlich breit.
Die Lamina granularis externa hebt sich deutiich ab; sie ist breit und enthalt
fast ausnahmslos mittelgroBe, sich stark farbende Zellen.
Die Lamina pyramidalis be-
1" \ steht aus ziemlich weit auseinander
^ 4 * 4 V. \ liegenden Elementen. Sie besitzt
2 Unterschichten, von welchen die
auBere die dichtere ist.
Die Lamina granularis interna
ist breit und hebt sich als dichte
Lage granularer Elemente sehr deut¬
iich ab.
Die Lamina ganglionaris bil¬
det die breiteste Schicht des gan-
zen Querschnittes. Sie besteht aus
3 Unterschichten, einer auBeren und
inneren, welche lichte Streifen bil-
den, und einer mittleren mit groBen
pyramidenformigen Zellen. Es ist
dies ein ahnliches Bild, wie wir es
im entsprechenden Typus der Maus
beschrieben haben.
Die Lamina multiformis be¬
steht aus einer auBeren dichteren
und inneren lockeren Unterschicht.
Der t)bergang von Rinde und Mark
ist scharf.
Die sehr deutliche Schichtung,
das Hervortreten einer inneren Kor-
nerschicht, die Anwesenheit groBer
Elemente in der 5. Schicht, die
scharfe Grenze von Rinde und Mark
und die oben beschriebene Lage dieses Typus erlaubt ihn als Kombination vom
Typus 1—3 und 5 + 7 zu betrachten. Dasselbe Verhalten beschrieb schon auf Grund
des Zellenbaues Brodmann beim Igel. Flores gelang es bei demselben Tiere auf
Grund der Faseruntersuchung ein spezielles Feld 1—3 zu unterscheiden.
Fig- 35 -
Rindenfelderung beim Maulwurf (Talpa
europaea).
Typus 4+6. Area gigantopyramidalis + frontalis agranularis. (Tafel 7, Fig. 1 und 2.)
Dieses Feld liegt dicht vor dem postzentralen Typus und reicht fast bis zum
Frontalpol, welcher durch eine der Insel ahnliche Formation eingenommen ist.
Die Rinde ist breit, aber nicht viel breiter als im Typus postcentralis. Die Schich¬
tung ist sehr undeutlich.
Die Lamina granularis externa hebt sich sehr deutiich ab und enthalt auBer kleinen
Komern meistens mittelgroBe, sich stark farbende Elemente.
Die Lamina pyramidalis ist ziemlich breit und setzt sich meist aus rundlichen
und ovalen Zellen zusammen.
Die Lamina granularis interna fehlt bis auf eine kleine Anzahl von Komern, welche
in der 5. und 3. Schicht zerstreut liegen, aber keine zusammenhangende Lage bilden.
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ErgtoiungJheft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 443
Die Lamina ganglionaris ist breit und enthalt auBer kleineren Elementen groBe
pyramidenformige Zellen.
Sehr gut hebt sich die Lamina multiformis ab und geht flieBend ins Mark uber.
Im Vergleich mit der Maus erweist dieser Typus eine deutliche Lamina granularis
externa, wie dies fast der ganzen Himrinde beim Maulwurf eigen ist. Bekanntlich ist
diese Schicht bei der Maus fast uberall undeutlich.
Typus 13—16. Area insularis communis. (Tafel 7, Fig. 1 und 2 und Tafel 9.)
Die Insel ist beim Maulwurf sehr pragnant ausgebildet, besonders durch eine viel
deutlichere Claustrumbildung als bei der Maus. Ihre Lage ist auch etwas anders, indem
sie bis zum Frontalpol reicht. Es ist dies ein ahnliches Verhalten, wie es Brodmann
beim Igel beschrieben hat. Die Insel teilt sich sehr deutlich, was bei der Maus nur im
geringeren Grade der Fall ist, in eine vordere agranulare und hintere granulate Partie.
Die Lage dieses Feldes entspricht derjenigen bei andem kleinen Saugem.
Alle Merkmale der Insel sind auch hier vorhanden.
1. Die Lamina zonalis ist breit.
2. Entsprechend der Lamina granularis externa befinden sich in geschlossener
Lage groBere polymorphe Elemente .
3. Die Lam. pyramidalis ist schmal und flieBt in den agranularen Teil mit der
3. Schicht zusammen. Dort wo die Lam. granularis int. vorhanden ist, hebt sich auch
die Lam. pyramidalis als selbstandige Schicht deutlicher ab.
4. Die Lam. ganglionaris besteht in dem granularen Teil aus einem auBeren lichten
Streif und einer inneren Lage von groBen Zellen.
6. Die Lam. multiformis ist sehr breit, nimmt mehr als die Halfte des ganzen
Rindenquerschnittes ein und hebt sich gegen die 5. Schicht und gegen das Mark sehr
deutlich ab.
Sie besteht aus 3 Unterschichten, von welchen die mittlere im Vergleich mit der
auBeren und inneren sich heller darstellt. Die innerste Unterschicht muB man als Clau-
strum auffassen.
An dieser Stelle erubrigt es sich noch einen Typus zu beschreiben (i6x), welcher
den mittleren und unteren Teil des Frontalpols einnimmt. Er kommt am deutlichsten
in Horizontalschnitten zum Vorschein (Tafel 10). Seine Hauptmerkmale sind:
1. Eine auflerordentliche Breite der Rinde.
2. Geringe Zelldichtigkeit.
3. MaBige Breite der Lamina zonalis so wie im angrenzenden Typus 13—16.
4. An Stelle der Lamina granularis externa befinden sich stark gefarbte poly¬
morphe Zellen.
5. Die Lamina pyramidalis flieBt mit der damn ter liegenden Lamina ganglionaris
zusammen.
6. Am pragnantesten im ganzen Querschnitt ist eine breite aus mittelgroBen
sich stark farbenden Elementen bestehende Schicht ungefahr in der Mitte des Rinden¬
querschnittes. Es kann auf den ersten Blick ein Zweifel aufkommen, ob diese Schicht
die 5. bildet, Oder der 6. angehort. Wenn man sie aber weiter besonders auf den Hori¬
zontalschnitten verfolgt, da sieht man an der medialen Rindenflache ganz genau ihren
Cbergang in die 6. Schicht des Typus 32, auf der lateralen in 6a der Insel. Unterhalb
dieser Zellage befindet sich ein sehr breiter heller Zellstreifen. Die innerste Schicht
ist wiederum etwas zellreicher. Alle diese 3 Schichten gehen wie schon oben bemerkt in
die 6. Schicht der angrenzenden Typen uber.
Diesem eigentumlichen Typus begegnete ich nur noch bei der Spitzmaus. Bei der
letzteren ist er noch bedeutend deutlicher.
Ich beschreibe diesen Typus im Anhang an die Insel, weil er nicht nur sich durch
eine Art Claustrumbildung, aber auch durch den kontinuierlichen Gbergang in die Insel
auszeichnet. Seine Zugehorigkeit zur Insel formation kann nach dem Gesagten kaum
einem Zweifel unterliegen.
Einen der Area striata entsprechenden Typus gelang es mir in der
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Rinde des Maulwurfs nicht zu finden. Ich bestatige somit den von Brod-
mann erhobenen Befund. Weder in der der Area striata entsprechenden
Gegend noch sonst wo in der Rinde des Maulwurfs befindet sich die ty-
pische Querschnittstektonik des Calcarinatypus. Dagegen finden wir, unge-
fahr in dieser Gegend wo beim Igel die Area striata liegt eine eigentfimliche Querschnitts¬
tektonik, welche am ehesten dem Typus 30 d. h. der Area retrosplenialis agranularis
anderer Tiere verwandt ist. Die Homologisierung mit dem Typus 30 laBt sich aber nicht
ganz ohne Zweifel durchfuhren und deshalb beschranke ich mich nur auf die genaue
Beschreibung des entsprechenden Rindenquerschnittes (X), ohne seine Angehorigkeit zu
bestimmen (Tafel 8, Fig. 1 und Tafel 5, Fig. 2). —
Die Rinde ist schmal und trotz des Fehlens der inneren Komerschicht gut ge-
schichtet.
Die Lamina zonalis ist sehr breit.
Entsprechend der Stelle der Lamina granularis externa befindet sich eine ziemlich
breite Lage groBer polymorpher Zellen. Die Lamina pyramidalis ist locker und besteht
aus einer auBeren dichteren und inneren helleren Zellage. In dieser letzteren sieht man
hie und da zerstreute Komer, so daB es den Anschein erweckt, wie auch an vielen anderen
Rindenstellen, als wenn dieser lichte Streif eine Liicke nach den an dieser Stelle verschwun-
denen oder von derselben aus zerstreuten Kornern bilden mochte.
Die Lamina ganglionaris bildet eine breite Schicht mittelgroBer und groBer Pyra-
miden zellen.
Die Lamina multiformis besteht aus einer auBeren hellen und einer inneren aus
tangentialen Elementen zusammengesetzten Schicht.
Der Ubergang von Rinde und Mark ist scharf.
Typus 20—22. Area temporalis communis. (Tafel 5, Fig. 2.)
Die Rinde ist schmaler als in der Area 1—3+5+7. Sie ist ziemlich zellarm.
Die Lamina zonalis ist maBig breit.
Entsprechend der Stelle der Lamina granularis externa befinden sich groBe
polymorphe Elemente mit einer kleinen Anzahl von Kdmern.
Die Lamina pyramidalis ist ziemlich breit.
Die Lamina granularis interna ist deutlich aber weniger pragnant als in der Regio
postcentralis.
Die Lamina ganglionaris ist breit und hell mit einer kleinen Anzahl groBer pyra-
midenformiger Zellen.
Die Lamina multiformis ist sehr breit, zellarm mit mehreren fibereinander liegenden
Streifen tangential verlaufender Zellen. Dieses Feld nimmt eine ziemlich betrachtliche
Flache ein und grenzt vorne an den postzentralen, unten an den Inseltypus und oben
an die rfickgebildete Area striata.
Typus 23. Area limbica posterior. (Tafel 7, Fig. 2.)
Die Rinde ist ziemlich schmal und zellreich.
Die Lamina zonalis ist sehr breit.
Die Stelle der Lamina granularis externa nehmen maBig groBe polymorphe Ele¬
mente, welche mit Kornern vermischt sind, ein.
Die Lamina pyramidalis ist schmal und teilweise mit der 2. Schicht vermischt.
Die Lamina granularis interna besteht nur andeutungsweise.
Ziemlich gut hebt sich die 5. Schicht ab.
Die Lamina multiformis ist schmal und geht flieBend ins Mark fiber. Dieser Typus
geht flieBend in den Typus 24 uber und besitzt wegen der nur angedeuteten Lam. granu¬
laris interna sehr wenige differentielle Merkmale von ihm. Es sind dies ahnliche Ver-
haltnisse wie bei der Maus. Das Meerschweinchen besitzt eine sehr deutliche Korner-
schicht in der Area limbica posterior.
172
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ErgAnzungsheft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 445
Typus 24. Area limbica anterior. (Tafel 7, Fig. 1 und Textfigur 36.)
Differentielle Merkmale vom Typus 23:
1. Die Rinde ist schmaler.
2. An Lam. granularis int. fehlt ganzlich.
3. Der Dbergang von Rinde und Mark ist scharf. Die Lage der beiden cingularen
Typen ist dieselbe wie bei anderen kleinen Saugern.
■ •
Ilil
51 b
¥-6
Fig. 36. Maulwurf. Frontalschnitt durch das vordere Ende des Balkenknies: 10 /^, VergroB.
22:1. Vergl. Tafel 7, Fig. 1, wo der Schnitt etwas mehr frontalwarts liegt. Die Taenia tecta
ist durchbrochen. Der Obergang von 4-f-b in 13—16 ziemlich scharf, indem im Bereiche der
Insel die Rinde und besonders die V. Schicht eine Verbreiterung erfahrt. Tol ist sehr stark
entwickelt.
4-(-6 = Area praecentralis, 13—16 = Area insularis communis, 24 = Area limbica anterior,
32 = Area praelimbica, 51 = Area praepyriformis, c. c. = Corpus callotum, t. t. = Taenia
tecta, Tol = Tuberculum olfactorium.
Typus 25. Area praegenualis. (Tafel 7, Fig. 1.)
Die Rinde ist sehr schmal.
1. Die Lamina zonalis ist fast ebenso breit wde alle iibrigen Schichten zusammen.
2. Die Stelle der Lam. granularis externa befindet sich eine breite Lage von groBen,
meist pyramidenfornigen Zellen, welche sehr stark gefarbt sind.
3. Unter dieser Schicht befindet sich nur eine Lage von kleinen zerstreuten Ele-
menten, welche sich zu keinen Schichten ordnen und flieBend ins Mark iibergehen.
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446
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal f. Psycholorie
nnd Neorologie.
Dieser Typus besitzt nur entfernte Ahnlichkeit mit demjenigen der Maus. Was
die Lage dieses Feldes betrifft, so liegt es sowohl bei der Maus wie beim Maulwurf ober-
halb jenes Feldes, welches kontinuierlich an der medialen Hemispharenflache in die
Taenia tecta ubergeht. Es liegt vor dem Balkenknie und zwischen dem Felde 32 und 51 e.
Typus 27. Area praesubicularis. (Tafel 11.)
Dieser Rindentypus ist beim Maulwurf ebenso deutlich wie bei alien kleinen Tieren.
Sein Bau und seine Lage ist vollstandig identisch mit demjenigen der Maus, deshalb
sehe ich von der naheren Beschreibung ab; ich verweise nur auf die Tafel n, wo besonders
deutlich der Ubergang der 6. Schicht der Area praesubicularis ins Subiculum zu sehen ist.
Typus 28 a. Area entorhinalis interna. (Tafel 11.)
Die Rinde ist ziemlich schmal.
1. Die Lamina zonalis ist breit.
2. An Stelle der Lamina granularis ext. bcfindet sich eine lockere Lage von groBen
pyramidenformigen Zellen, welche in die Lam. zonalis hereinragen und hier nestformige
Anhaufungen bilden.
3. Die Lam. pyramidalis ist breit und sehr locker gefugt.
4. Die Lam. granularis int. fehlt.
5. Die Lam. ganglionaris besteht aus einer Lage mittelgroBer Zellen.
6. Die Lam. multiformis ist schmal und setzt sich scharf vom Mark ab.
Typus 28b. Area entorhinalis externa. (Tafel n.)
Differentielle Merkmale von der Area 28a:
Die Rinde ist breiter.
Die der 2. Schicht entsprechende Zellage ist breiter, die Zellen liegen aber weiter
auseinander.
Die 5. Schicht besitzt groBere Elemente und sondert sich deutlich in 2 Unterschichten,
von denen die auBere einen lichten Streif bildet.
Die Lamina multiformis besitzt groBere Elemente, welche sich tangential legen.
Diese beiden Typen sind durch die genannten Merkmale sehr gut charakterisiert
und bei alien Tieren und auch bei Menschen homologisierbar.
Die Area entorhinalis nimmt beim Maulwurf eine betrachtliche Flache ein. Sie
liegt hinter der Area praepyriformis und unterhalb der Area perirhinalis; auf die mediale
Hemispharenflache geht sie nur sehr wenig heriiber.
Es ist dies eine Tatsache, die von Brodmann nachgewiesen wurde, daB die
Area retrosplenialis weitgehende Differenzierungen eingehen kann. Am meisten
ist sie bei den Rodentiem differenziert. Brodmann unterscheidet beim Kanin-
chen deutlich sechs differente Felder in der Area retrosplenialis. Die Insectivoren
charakterisieren sich durch eine wenig differenzierte retrospleniale Region und so
kann man beim Igel nach den Untersuchungen von Brodmann nur drei, beim
Maulwurf sogar nur zwei Einzelareae unterscheiden, von denen eine agranular, die
andere granular ist.
Typus 29. Area retrosplenialis granularis. (Tafel 5, Fig. 2 und Tafel 8, Fig. 1.)
Die Rinde ist ziemlich schmal und zellreich.
Die Lamina zonalis ist sehr breit.
An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich ein ziemlich breiter Streifen
von kleinen dicht stehenden, sich stark farbenden Elementen. Die Lamina pyramidalis
ist mit der 2. Schicht verschmolzen.
Die Lamina granularis interna ist sehr nahe der Oberflache geruckt, wie es auch
sonst den retrosplenialen Typen eigen ist. Die darunter liegende breite und lockere Schicht
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Er&ftMuniffi 2. HISTOI.OGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 447
geht kontinuierlich in die 5. Schicht des angrenzenden Typus uber und sondert sich in
eine auBere hellere und innere dichtere Zellage.
Die Lamina multiformis ist sehr breit und dicht und geht in das Subiculum uber.
Es bildet eine bei jedem kleinen Sauger sich wiederholende Tatsache, daB die 6. und nicht,
wie es Haller angibt, die 2. Schicht ins Subiculum des Ammonshomes iibergeht. — Das
ganze Feld nimmt eine ziemlich groBe Flache hinter den cingularen Typen ein. Es liegt
von oben nach hinten durch das Feld 30 umfaBt, und geht unten ins Subiculum uber.
Typus 30. Area retrolimbica agranularis. (Tafel 5, Fig. 2 und Tafel 8, Fig. 1.)
Die Rinde ist ungefahr so breit wie im Typus 29. Die Schichtung ist trotz des
Fehlens einer inneren Kdmerschicht deutlicher.
Die Anordnung der Zellen ist eine radiare.
Weitere differentielle Merkmale vom Typus 29:
Die 2. und 3. Schicht sind deutlich gesondert, indem an Stelle der lamina granu-
laris externa sich eine schmale Schicht von groBen Elementen befindet und die Lamina
pyramidalis als ziemlich breite helle Schicht hervortritt.
Eine Lamina granularis interna fehlt vollstandig.
Die Lamina ganglionaris besteht aus einer Lage groBer pyramidenformiger Zellen.
Die Lamina multiformis ist schmaler und geht mehr flieBend ins Mark uber. Das
Feld 30 schiebt sich als breiter Streif zwischen die Area retrosplenialis und die ruckge-
bildete Area striata ein. Vome grenzt es an die cingularen Typen und unten geht es in
die Area 48 uber.
Es sei hier nochmals auf diese Area verwiesen, welche an der Stelle der beim Maul-
wurf fehlenden Area striata liegt und auf Grund deren Struktur ich ihre Zugehorigkeit
als Untertypus vom Feld 30 vermute. Auf diese Weise nehme die Area retrosplenialis
agranularis beim Maulwurf eine sehr groBe Flache ein und ginge weit auf die laterale
Flache heruber.
Typus 35 Area perirhinalis und Typus 36 Area entorhinalis. (Tafel 5, Fig. 2.)
Die Struktur und Lage der Area peri- und entorhinalis unterscheidet sich in keinem
Punkte von derselben bei anderen Saugetieren und deshalb verweise ich auf eine dies-
bezugliche Beschreibung bei der Maus.
Typus 48. Area retrosubicularis.
Die Rinde ist schmal und zellreich.
Die Lamina zonalis nimmt ungefahr den 4. Teil des ganzen Rindenquerschnittes
ein. Der Stelle der Lamina granularis externa entspricht eine lockere Lage kleiner poly-
morpher Elemente. Die Lamina pyramidalis hebt sich als breite ziemlich groBe Elemente
enthaltende Schicht sehr gut ab. Die Lamina ganglionaris bildet einen ziemlich hellen
Streifen mit sparlichen Zellen. Die 6. Schicht ist dicht, breit und setzt sich scharf gegen
das Mark ab. Die Lage dieses Feldes entspricht vollstandig derjenigen bei der Maus.
Typus 49. Area parasubicularis. (Tafel 11.)
Dieses Feld schiebt sich als schmaler Streifen zwischen das Feld 27 und 28 ein und
ist durch seine charakteristische Struktur ebenso wie bei der Maus deutlich.
Fast die Halfte der Rindenoberflache nimmt beim Maulwurf die sogenannte
Regio olfactoria ein. Auch die Differenzierung dieser Rinde ist eine weitgehendere
als bei der Maus, indem man beim Maulwurf auBer einem sehr grofien und weit
differenzierten Tuberculum olfactorium und Nucleus amygdalae 7 Einzelarea unter-
scheiden kann. Sechs von diesen lassen sich leicht mit den entsprechenden Feldern
der Maus und des Meerschweinchens homologisieren. Nur ein Feld, namlich die
Area praepyriformis c, findet sich bei der Maus nicht vor und ist sowohl beim
Igel wie auch beim Maulwurf sehr deutlich ausgepragt,.
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_and Neurologie.
Da fast alle Einzelareae in der Regio olfactoria des Maulwurfs mit denen
der Maus homologisierbar sind, werde ich hier nur alle Einzelfelder aufzahlen
und eventuelle Verschiedenheiten hervorheben.
Typus 51b. Area praepyriformis b. (Tafel 7, Fig. 1 und 2, Tafel 9 und Textfig. 36.)
Im Vergleich mit der Maus nimmt dieses Feld relativ eine bedeutend groBere
Flache ein. Dberhaupt hat bei der Maus das Feld a besonders in den vorderen Partien
eine groBere Ausdehnung als das Feld b. Beim Maulwurf ist dieses Verhaltnis umgekehrt.
Bei der Maus nimmt auch fast die Halfte des Feldes b die untere Lippe des durch das
Verhalten der Lam. zonalis angezeigten Sulcus rhinalis ant. ein, indem beim Maulwurf
das ganze Feld b auf der freien Oberflaclie liegt. Die Struktur dieses Typus entspricht
vollstandig demjenigen bei der Maus.
Typus 51a. Area praepyriformis a. (Tafel 7, Fig. 1 und 2, Tafel 9 und Textfig. 36.)
Dieser Typus nimmt beim Maulwurf relativ eine bedeutend kleinere Flache ein
als bei der Maus. Seine Tektonik aber gleicht vollstandig derjenigen der Maus.
Typus 51 c. Area praepyriformis c. (Tafel 7, Fig. 2 und Tafel 9.)
Die Rinde ist breit und zellarm.
1. Die Lam. zonalis ist breit, ebenso wie im Typus b und schmaler als im Typus a.
2. An Stelle der Lam. granularis externa befindet sich eine sehr breite, dichte
Lage sich stark farbender, kleiner Zellen. Diese Zellage ist breiter als in den angrenzenden
Typen b und a, auch sind hier die Zellen kleiner und intensiver gefarbt als im Typus b,
was besonders bei starkerer VergroBerung zum Vorschein kommt.
3. Unter der dritten Zellage befindet sich ein breiter heller Streif mit einer sehr
geringen Anzahl von kleinen Zellen.
4. Nach unten ist die Rinde abgeschlossen durch eine sehr breite Zellage, welche
ungefahr die Halfte des Querschnittes einnimmt und ziemlich weit auseinander stehende,
mittelgroBe Zellen enthalt. Der Dbergang ins Mark ist ganz verwischt.
Typus 51 f. Area praepyriformis f.
Sie liegt im Gegensatz zur Maus in ihrer groBten Ausdehnung auf der medialen
Hemispharenflache. Der Bau ist identisch, so daB nur auf die entsprechende Beschrei-
bung bei der Maus verwiesen werden kann.
Typus 51 e. Area praepyriformis e. (Tafel 7, Fig. 1.)
Dieser Typus geht nach oben in das Feld 25, nach unten teilweise in das Feld 51!,
teilweise in das Tuberculum olfactorium, nach vorne in die Area praepyriformis bulbaris
und nach hinten in die Taenia tecta fiber. Er ist durch eine sehr breite Lam. zonalis
und eine darunter liegende breite Zellenschicht charakterisiert. Diese Zellen ent-
sprechen ihrem Typus nach demjenigen der Taenia tecta und des Ammonshomes. Wir
haben es somit hier ebenfalls wie bei der Maus und dem Meerschweinchen mit einer
Fortsetzung der Taenia tecta zu tun.
Typus 51 d. Area praepyriformis d. Tuber olfactorius.
Der Bau dieser Area entspricht ganzlich demjenigen bei der Maus und dem Meer¬
schweinchen. Auch die Lage ist dieselbe.
Typus 51 g. Area praepyriformis bulbaris.
Es ist damit dieser Teil der Rinde gemeint, welcher schlauchformig in den Bulbus
olfactorius hereinragt und aus welchem sich die Typen 51b, a, e und f entwickeln. Der
Bau der Area praepyriformis bulbaris ist sehr einfach, indem die Rinde uberhaupt nur
aus der Lamina zonalis und einer darunter liegenden breiten Zellschicht besteht.
Die Lage der einzelnen Typen der Area praepyriformis ist fast dieselbe, wie bei
der Maus; nur schiebt sich hier zvrischen die Felder b und a das bei der Maus nicht vor-
handene Feld c ein.
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Ergftnzungsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 449
b) Spitzmaus.
Das Oberflachenschema der Spitzmaus (Fig. 37) erweist auf den ersten Blick
eine sehr groBe Ahnlichkeit mit demjenigen des Maulwurfs (Fig. 35). Es laBt sich
hier jedoch nur eine geringere Zahl von Einzelfeldern abgrenzen. Das Archipallium
umfaBt mehr als die Halfte der ganzen Rindenoberflache. Das Tuberculum olf.
besitzt sehr groBe Dimensionen und weist eine weitgehende Differenzierung auf.
Es besteht in dieser Hinsicht ein groBer Unterschied zwischen diesem Tiere und
der Fledermaus, welche auch sonst ein weniger differenziertes Archipallium besitzt.
Die pra- und postzentrale Region verhalten sich ebenso wie beim Maulwurf. Die
Temporalregion und die Area striata verhalten sich ebenfalls sehr ahnlich, nur
sehen wir in der Area striata eine nicht so weit gehende Riickbildung wie beim
Maulwurf. Die Insel besitzt eine fast gleiche Struktur; auch begegnen wir hier
einer der Insel ahnlichen Formation am Frontalpol, welche auch beim Maulwurf,
obzwar in weniger deutlicher Form, hervortritt. Die cingulare Region erlaubt nicht
ohneZwang ein vorderes agranulares und hinteres granulares Feld zu unterscheiden.
Die retrospleniale Region besitzt einen ahnlichen Bau wie beim Maulwurf. Das
Fig. 37. Riudenfelderung bei der Spitzmaus (Sorex vulgaris).
Verhalten der Taenia tecta und ihr Ubergang vome in die Area praepyriformis
bulbaris und hinten in das Ammonshom, laBt sich bei der Spitzmaus so deutlich
wie bei keinem kleinen Sauger sonst beobachten. Im folgenden werden wir den
Bau der einzelnen Typen durchgehen und die Unterschiede vom Maulwurf hervor-
heben.
Typus 1—3+5+7. Area postcentralis et parietalis communis.
(Tafel 13, Fig. 1 und 2 und Textfig. 39.)
Die Rinde enthalt alle typischen Merkmale wie wir sie beim Maulwurf aufgezahlt
haben. Nur ist hier die Lamina granularis externa bedeutend zelireicher und besteht
aus kleinen und mittelgroBen polymorphcn Elementen. Dberhaupt besitzt die Spitzmaus
fast in der ganzen Rinde eine sehr deutliche Lam. granul. ext., wodurch sie sehr ahnlich
der Fledermaus wird. Die innere Kornerschicht besteht nur andeutungsweise.
Ich hatte jedoch Gelegenheit (Fig. 38) ein jugendliches Individuum zu unter-
suchen, bei welchem in ziemlicli groBer Ausdehnung eine sehr deutliche innere Korner¬
schicht zu beobachten ist. Sie ist sehr breit und locker und zeigt damit die Tendenz
zum Zerstreuen ihrer Elemente, was im spateren Alter den Eindruck der Undeutlichkeit
dieser Schicht macht.
Die Lage dieses Feldes entspricht vollkommen derjenigen beim Maulwurf.
Typus 4+6. Area praecentralis communis. (Tafel 13, Fig. 1 und 2 und Textfig. 39.)
Dieses Feld laBt auch bei der Spitzmaus alle typischen Merkmale, welche wir bei
anderen Tieren beschrieben haben, erkennen. Seine Lage ist aber etwas anders, indem
es namlich wie beim Maulwurf nicht zum Frontalpol reicht. Dieser ist durch ein Feld,
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welches eine inselformige Struktur aufweist, ausgefullt. Somit wurde der Typus 4 etwas
nach hinten verschoben und kommt in einen Winkel zwischen dem beschriebenen Felde
und der Inscl zu liegen. Hinten grenzt es an das Feld 1—3 + 5 + 7- Es geht nur
sehr wenig auf die mediale Flache iiber, wo es teilweise an die Regio cingularis, teilweise
an die rctrosplenialis angrenzt.
Typus 13—16. Area insularis communis.
. (Tafel 12, Fig. 1 und 2 und Tafel 15, Fig. 3 und 4.)
Diese Formation enthalt alle charakteristischen Eigenschaften der Insel, in diesem
MaBe wie wir sie beim Maulwurf begegnet haben. Eine Teilung aber in eine vordere
agranulare und hintere granulare Partie ist ohne Zwang nicht durchzufuhren. Doch ist
die Claustrumbildung stellenweise sogar deutlicher als beim Maulwurf.
Die Area insularis grenzt nach vorne an ein Feld (i6x), welches sich durch eine
Spitzmaus, neugeborenes Tier. Schrag-horizontalcr Schnitt: 20 /<, VergroB. 66: 1
Isotypische Rinde. Innere Kornerschicht sehr deutlich ausgepragt.
sehr deutliche Teilung der 6. Schicht auszeichnet, an (Tafel 12, Fig. 2, Tafel 13, Fig. 1,
Tafel 15, Fig. 4 und Textfig. 39).
Die 6. Schicht dieses Feldes teilt sich gabelformig so, daB zwischen 2 zellhaltigc
Unterschichten ein lichter, nur einzelne Zellen enthaltender Strcif liegt. Wenn wir die
oberste Unterschicht (6a) dieser Formation verfolgen, so sehen wir, daB sie in 6a der
Insel iibergeht. Ebenso geht 6c dieser Formation in das Claustrum iiber.
6c grenzt auch an die Taenia tecta an. Nach dem oben Gesagten miissen wir die
bei der Beschreibung des Maulwurfs besprochene Vermutung, daB es sich hier um einen
Teil der Insel handelt, nochmals wiederholen. Auf die Behandlung dieser Frage werden
wir noch im Laufe dieser Arbeit zuriickkommen.
Typus 17. Area striata.
Bei der Spitzmaus finden wir in der entpsrechenden Gegend ein Feld, welches
seiner Tektonik nach in ziemlich entfemter aber doch deutlicher Beziehung zum Calca-
rinatypus steht. Es lassen sich hier Riickbildungserscheinungen erblicken, welche die
Vorstufe zum ganzlichen Verschwinden des Calcarinatypus, sowie es beim Maulwurf
der Fall ist, darstellen konnten. Somit kann man nach dem Studium der Area striata
bei der Spitzmaus die cntsprechendcn Verhaltnisse beim Maulwurf besser verstehen.
Ein Blick auf die Tafel 15, Fig. 5 und 6 laBt uns diese Tatsachen sehr gut beobachten.
Die Rinde ist zellreicher als beim Maulwurf. Die Schichtung ist sehr deutlich. Eine
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Lam. granulans interna ist als zusammenhangende Lage nicht zu beobachten, doch
finden wir an der entsprechenden Stelle zerstreute Korner. Die 5. Schicht enthalt eine
Lage von mittelgroBen polymorphen Elcmenten.
Die Lam. multiformis besteht aus einer ziemlich breiten und dichten Lage von
kleinen polymorphen Elementen. Die Schicht ist bedeutend breiter und dichter als beim
Maulwurf. Der Ubergang von Rinde und Mark ist scharf.
Wir sehen also, daB wir bei der Spitzmaus viel mehr Merkmale der Area striata
finden als beim Maulwurf. Trotzdem miissen wir auch hier von einem sehr ruckgebildeten
Calcarinatypus sprechen, welcher an der Grenze zum volligen Verschwinden der Area
striata steht.
Typus 20—22. Area temporalis communis. (Tafel 15, Fig. 5 und 6).
Nach dem bei anderen Tieren Gesagten ist hier nichts beizufugen, als daB die
Lamina granulans int. hier wie auch sonst im Spitzmausgehirn wegen der geringen Zell-
dichtigkeit wenig ausgesprochen ist. Unsere Praparate von einem jugendlichen Tiere
zeigen auch hier eine deutliche Korncrschicht. Dieses Feld liegt bei der Spitzmaus iiber
der Area ectorhinalis und hinter der Area 1 —3 + 5 + 7- Von oben grenzt es an die
ruckgebildete Area striata an und reicht nach hinten beinahe bis zum Occipitalpol.
Eine Homologie mit anderen Saugern ist ebenso schwer durchzufuhren wie beim Feld
1— 3 + 5 + 7 -
Typus 23+24. Area dngularis communis.
Wie schon oben hervorgehoben wurde, ist ohne Zwang die Teilung der cingularen
Region in einen granularen und agranularen Teil durchzufuhren, unmoglich. Die Lage
dieses Typus oberhalb des Corpus callosum ist so charakteristisch, daB er ohne weiteres
zu erkennen ist. Auch ist sein Bau fast gleich demjenigen beim Maulwurf und anderen
kleinen Saugern. Nur sein Verhaltnis zu den Nachbartypen ist etwas verandert, indem
er nach vorn an die eigentumliche, oben beschriebene inselformige Formation und an
die Taenia tecta angrenzt.
Typus 27. Area praesubicularis. (Tafel 13, Fig. 1 und 2.)
Dieser Typus ist ohne weiteres mit den entsprechenden aller anderen Saugetiere
homologisierbar. Ebenso wie bei der Maus besitzt er 2 Unterfelder, ein dorsales und ein
ventrales. Er bildet einen schmalen Streifen, welcher an der medialen Hemispharenflache
langs des Subiculums hinzieht und hinten an das Feld 49 angrenzt.
Typus 28. Area entorhinalis. (Tafel 13, Fig. 1 und 2, Tafel 14 und Textfig. 39.)
Diese Area zerfallt ahnlich wie beim Maulwurf in 2 Unterfelder. Die Querschnitts-
tektonik ist fast dieselbe wie bei anderen Tieren; es kann also auf diesbzugliche Beschrei-
bungen verwiesen werden. Dieses Feld nimmt eine sehr groBe Flache ein und erstreckt
sich fast ausschlieBlich auf der lateralen Hemispharenflache. Es liegt hinter der Area
praepyriformis, ist von oben durch die Area entorhinalis begrenzt und reicht bis an die
Hemispharenkan te.
Die retrospleniale Region nimmt zwar eine betrachtliche Flache ein, ist aber
ebensowenig wie beim Maulwurf differenziert. Sie teilt sich in eine agranulare
und granulare Partie.
Typus 29. Area retrosplenialis granularis. (Tafel 15, Fig. 6.)
Die Rinde ist schmal und ziemlich zellreich.
Die Lamina zonalis ist breiter als in den angrenzenden Typen.
An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich eine breite dichte Zellschicht,
welche kleine polymorphe Elemente und sehr viele Korner aufweist. Sie ist wohl als
Kombination der 2., 3. und 4. Schicht aufzufassen.
Die Lamina ganglionaris bildet einen hellen Streif mit einer kleinen Anzahl von
mittelgroBen Zellen.
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und Neurologic.
Die Lamina multiformis ist breit und geht in dasSubiculum des Ammonshornes iiber.
Dieses Feld liegt in seiner ganzen Ausdehnung auf der medialen Hemispharen-
flache und grenzt oI>cd an das Feld 30 und die verkiimmerte Area striata, unten an die
Taenia tecta und das
Subiculum, hinten an
die Area ectorhinalis. Es
ist mit derselben Area
beim Maulwurf und Igel
homologisierbar.
Typus 30. Area retro-
splenialis agranularis.
(Tafel 15, Fig. 5.)
Dieser Typus zeigt
im Vergleiche mit dem
Maulwurf keine Beson-
derheiten. Er erstreckt
sich oberhalb des Corpus
callosum und des Feldes
29. Vom grenzt er an
die cingulare Region,
hinten an die Area stria¬
ta an und reicht oben
bis zur Mantelkante
oder gar iiber dieselbe
hinaus. Es befindetsich
namlich an der lateralen
Hemispharenflache ein
kleines langliches Feld,
welches parallel zur
oberen Mantelkante ver-
lauft und seiner Struktur
nach nahe dem Typus
30 zu stehen scheint.
Fig. 39. Spitzmaus. Horizontalschnitt: 20 /i t VergroB. 30:1.
Sehr deutliche Teilung der VI. Schicht von 16x in drei Unter-
schichten, und Obergang dieser drei Unterschichten in die VI.
Schicht von 4+6. Die Korner der IV. Schicht liegen in 1 — 3 + 5+7
ziemlich zerstreut iiber der V. Schicht. In 28 Zellnester in der
I. Schicht. Die VI. Schicht von 27 geht ins Tubiculum iiber.
Starke Entwicklung von C, A und D.
4+6 — Area praeccntralis, 1 — 3+5+7 = Area postcentralis et
parietalis communis, 13 — 16 = Area insularis communis, 20—22
= Area temporalis communis, 27 = Area praesubicularis, 28 =
Area entorhinalis, 35 = Area perirhinalis, 36 = Area ectorhinalis,
CA = Ammonshorn, Cl = Claustrum, D = Fascia Dcntata,
t.t. = Taenia tecta.
Typus 35.
Area perirhinalis.
(Tafel 15, Fig. 6).
Die Lage und der
Bau dieses Feldes sind
sehr charakteristisch
und wiederholen sich
fast ohne Unterschied
bei jedem Sauger. Wir
sehen also von der ge-
nauen Beschreibung an
dieser Stelle ab.
Typus 36. Area ectorhinalis. (Tafel 15, Fig. 6.)
Auch in bezug auf dieses Feld, welches seinem Bau und seiner Lage nach ganz dem-
jenigen beim Maulwurf entspricht, verweise ich auf die entsprechende Beschreibung.
Typus 49. Area parasubicularis. (Tafel 13, Fig. 1.)
Es ist ein schmaler Rindenstreif, welcher sich zwischen die Felder 28 und 27 ein-
schiebt, und welchen wir bei keinem kleinen Sauger, auBer bei der Fledermaus, vermissen.
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Ergaunm^hel 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 453
Die Area praepyriformis nimmt bei der Spitzmaus ebenso wie beim Maulwurf
iiber die Halfte der Himrinde ein. Ihre Differenzierung ist aber nicht so weit-
gehend. Im besonderen fehlen hier die Felder 51 a und f. Wir vermissen auch das
Feld 51 e. Es ist dies jener Teil der Area praepyriformis, welcher den Ubergang
der Taenia tecta in die Area praepyriformis bulbaris vermittelt. Deshalb finden
wir auch bei der Spitzmaus diese Verhaltnisse, wie wir sie bei keinem kleinen
Sauger beobachtet haben. Wie die entsprechenden Mikrophotogramme zeigen,
verbreitet sich die Taenia tecta sehr stark oberhalb und vor dem Balkenknie und
bildet eine Formation, welche ihrer Gestalt und Struktur nach dem Ammonshome
sehr ahnlich ist. Diese Formation geht ohne Vermittlung des Feldes 51 e in die
Area praepyriformis bulbaris fiber. Sie zeichnet sich durch eine auBerordentlich
breite Lamina zonalis aus. Darunter liegt eine ziemlich breite Schicht von Zellen,
unter welchen die charakteristischen Elemente der Taenia tecta iiberwiegen.
Unsere Vermutung, daB die Taenia tecta in die Area praepyriformis bulbaris
fibergeht, welche wir bei Beschreibung anderer Sauger ausgesprochen haben,
findet bei der Spitzmaus wegen viel einfacherer Verhaltnisse eine anschauliche
Bestatigung.
Typus 51b. Area praepyriformis b.
(Tafel 12, Fig. 1, Tafel 14, Tafel 15, Fig. 1, 2, 3 und 4.)
Besitzt dieselbe Lage wie bei andern kleinen Saugern. Seine Struktur weist auch
keine Besonderheiten im Vergleich mit anderen kleinen Tieren auf.
Typus 51 c. Area praepyriformis c. (Tafel 15. Fig. 1, 2, 3 und 4.)
Wie wir schon hervorgehoben haben, fehlt bei der Spitzmaus das Feld 51a, dessen
Stelle die Area 51c einnimmt. Die Struktur dieses Typus wurde schon beim Maulwurf
beschrieben. Bei der Mans und Fledermaus fehlt in der Area praepyriformis das Feld
51c. Die Spitzmaus bietet also diesbeziiglich andere Verhaltnisse.
Typus 51 d. Area praepyriformis d (Tuber olfactorius). (Tafel 15, Fig. 5.)
und Typus 51 g ('tafel 14). Area praepyriformis bulbaris.
Diese beiden Typen sind bei alien kleinen Saugern sowohl in ihrem Bau, wie
auch in ihrer Lage unverandert.
c) Chiroptera.
Eine extreme Sonderstellung in bezug auf die Entfaltung und Differenzierung
der GroBhirnrinde nehmen die Mikrochiropteren unter den Saugetieren ein. Als
gemeinsames Kennzeichen der Rinde in alien Regionen fallt ihre auBerordentliche
Schmalheit auf. Auch die Zellarmut ist selbst im Vergleiche mit naherstehenden
kleinen Sippen, ganz abgesehen von den hoheren Genera eine sehr groBe, und
zwar fast in alien Regionen, so daB die Verschiedenheiten der Struktur der
Einzelareae nicht so pragnant hervortreten wie bei Tieren mit dichterer Zell-
anordnung. Der Lobus olfactorius anterior (Brodmanns Feld 51) ist im Vergleiche
mit den Nagem und Insectivoren nur wenig differenziert. Auch die Regio retro-
splenialis ist nicht so gut differenziert wie bei den Nagern und gleicht eher derjenigen
bei den Insectivoren. Das Tuberculum olfactorium befindet sich in ganz rudimen-
tarem Zustande. Die Regio hippocampica nimmt eine sehr betrachtliche Flache ein.
Die Regio cingularis ist groB, aber sehr wenig differenziert. Die Regio insularis
ist ebenfalls betrachtlich.
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und Neurologie.
Da im iibrigen die bei den Nagem und Insectivoren beschriebenen Verhaltnisse
sich wiederholen, werde ich nur eine summarische Beschreibung der Einzeltypen
geben und dabei kurz die wesentlichen Unterschiede von anderen Sippen beschrei-
ben. Es sei nochmals besonders betont, daB die Grenzen der Einzelareae nur selten
wirklich linear scharf hervortreten. Dies gilt besonders von der Fledermaus, bei
welcher wegen der groBen Zellarmut in der Hirnrinde die Unterscheidung vieler
Einzelareae auf groBe Schwierigkeiten stoBt. Deshalb ist es auch unentbehrlich
phylogenetisch nahestehende Vergleichsobjekte vor Augen zu haben. Dann laBt
sich aber hinreichend sicher erkennen, daB eine Anzahl von Einzelareae mit
anderen Saugern ubereinstimmen und daB sogar eine gewisse relative Homologie
mit menschlichen Rindenbildungen in nicht zu geringer Anzahl vorkommen.
Fig. 40. Fledermaus. Frontalschnitt durch die Gegend der Regio praepyriformis bulbaris
(5 1 g): 10 //, Vergr. 30:1. Im Neopallium ist noch keine Marksubstanz, doch lassen sich schon
in diesem Flachschnitt die Typen 4-|-6, 13—16 und 23-4-24 unterscheiden.
4-j-6 = Area praecentralis, 13— 16 = Area insularis communis, 23-4-24 = Area limbica com¬
munis, 51 g = Area praepyriformis bulbaris, Tol = Tnberculum olfactorium.
Typus 1—3 + 5 + 7- Area postcentralis et parietalis communis. (Fig. 44.)
Unter diesem Namen fasse ich ein groBes Feld zusammen, welches seiner Lage
nach ungefahr der Lage der zitierten Einzelareae bei den Nagern und Insectivoren ent-
spricht. Beim Kaninchen und Meerschweinchen lassen sich in dieser Gegend 3, bei der
Maus 2, beim Igel und Maulwurf wenigstens cytoarchitektonisch nur 1 Feld unterscheiden.
Die Fledermaus weist also diesbezuglich keine Besonderheit auf. Anders steht es aber
mit der inneren Struktur dieses Feldes, welche bei diesem Tiere wahrscheinlich wegen
der Rindenschmalheit und Zellarmut viele markante Eigenschaften nicht zum Vorschein
bringt. Fine Anzahl aber von charakteristischen Merkmalen, auch abgesehen von der
J^age, erlaubt uns die Rindc als postzentrale Region aufzufassen. Die Rinde ist schmaler
als in dem angrenzenden Typus 4. Der Gbergang zwischen Rinde und Mark ist scharf.
Die Schichtung ist relativ deutlich, wenigstens deutlicher als in der Area praecentralis.
Die Lamina zonalis ist sehr breit. Oberhaupt fallt im ganzen Gehim der Fleder¬
maus eine relativ bedeutende Breite der ersten Schicht auf.
Die Lamina granularis externa ist sehr dicht gefiigt und tritt sehr deutlich hervor.
Von dieser Schicht sei hervorgehoben, daB sie bei der Fledermaus fast in alien Regionen
sehr pragnant hervortritt zum Unterschiede von den Nagern. Sie setzt sich teils aus
granularen teils aber auch aus etwas groBeren rundlichen und eckigen Elementen mit
einem hellen Protoplasmasaum zusammen.
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Die Lamina pyramidalis besteht aus ziemlich weit auseinander stehenden mittel-
groBen Zellen.
Die Lamina granularis interna ist so deutlich wie bei den Nagem und manchen
Insectivoren nicht vorhanden. Zwischen der 3. und 5. Schicht sehen wir einen etwas
lichteren Streif in dessen Bereiche sich typische aber ziemlich weit auseinander stehende
granulare Elemente befinden. Diese Kdmer vermischen sich teilweise mit den Elementen
der angrenzenden Schichten. Stellenweise ist die Lam. granularis int. ziemlich deutlich
zu sehen. Leider war es mir nicht gegeben, was ich beim Studium so verwickelter Verhalt-
nisse fur sehr notig halte, eine systematische entwicklungsgeschichtliche Untersuchung
bei der Fledermaus durchzufuhren.
Die Lam. ganglionaris hebt sich als zusammenhangende Lage von ziemlich groBen
polymorphen Elementen deutlich ab.
Die Lam. multiformis ist dicht und ziemlich breit und hebt sich vom Marke deut¬
lich ab.
Es ist leicht ersichtlich, dafl das beschriebene Feld die charakteristischen Merkmale
der Areae 1 — 3 + 5 + 7 besitzt. Die Schmalheit der Rinde, die deutlichere Schich-
tung r die Andeutung der 4. Schicht,
die scharfe Grenze von Rinde und
Mark, die ziemlich breite und dichte
Lam. multiformis bilden die cha¬
rakteristischen Merkmale des Ty-
pus 1 bis 3. Das Hervortreten der
groBen Ganglienzellen in der 5.
Schicht zeigt, wie das auch bei der
Maus der Fall ist, eine Kombina-
tion dieses Typus mit der Area
praeparietalis hoherer Sauger.
Typus 4+6. Area praecentralis. (Fig. 43 und 44.)
Die Rinde ist sehr breit, fast um ein Drittel breiter als im vorigen Typus. t)ber-
haupt ist die Rinde dieser Region fast die breiteste aller Typen. Die Zelldichtigkeit
ist, im Vergleiche mit den anderen Saugern in diesem Typus ziemlich groB, wenn wir
noch die groBe Zellarmut bei der Fledermaus im Auge behalten. Die Schichtung ist
schlecht ausgepragt. Es uberwiegen groBe Elemente in alien Schichten. Der Ubergang
von Rinde und Mark ist flieBend. Das Feld liegt vor der Area 1 — 3 + 5 + 7 und nimmt
den ganzen Frontalpol ein.
Die Lamina zonalis ist breit.
Die Lamina granularis externa ist sehr deutlich und besteht aus mittelgroBen
polymorphen Elementen.
Die Lamina pyramidalis geht flieBend in die ganglionaris fiber. Diese letztere
besteht aus groBen pyramidenformigen Elementen, welche in breiter Lage ziemlich weit
gegen die Oberflache verschoben sind. Eine innere Komerschicht fehlt ganzlich. Es
befinden sich nur zerstreute Korner in der 5. und 3. Schicht, welche nirgends eine zu¬
sammenhangende Lage bilden.
Die Lamina multiformis bildet eine ziemlich zusammenhangende Lage von poly¬
morphen Elementen und geht flieBend ins Mark fiber.
Typus 13—16. Area insularis communis. (Fig. 43, 44 und 45.)
Die Insel nimmt bei der Fledermaus eine ziemlich betrachtliche Flache ein. Ihre
Lage ist typisch, indem sie in der Art einer abgeschnittenen Pyramide mit ihrer breiten
Basis auf dem Feld 51 liegt, wahrend sie nach vom beinahe den Frontalpol erreicht
und nach hinten an die temporalen Typen angrenzt. Nach oben von ihr liegen die pra-
und postzentralen Typen.
Wir haben schon bei der Maus begegnet, daB die Claustrumbildung nicht in
der ganzen Inselausdehnung erfolgt. Trotzdem fanden wir uns auf Grund anderer Merk-
3 l Journal flttr Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . 1^3
Fig. 41. Rindenfelderung bei der Fledermaus.
(Vespertilio murinus.)
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456
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Journal f. Psychologic
und Neurologic.
male gezwungen, dort den Inseltypus zu unterscheiden. Bei der Fledermaus bekommen
wir nirgends eine deutliche Claustrumbildung zu sehen. Dennoch unterscheiden wir hier
eine Anzahl von charakteristischen Merkmalen, welche eine Inselformation abzugrenzen
erlauben.
1. Die Lam. zonalis ist breit, jedenfalls breiter als in den angrenzenden neopallialen
Typen.
2. An Stelle der Lam. granularis externa befindet sich eine schmale zusammen-
hangende Lage von ziemlich groBen multiformen Zellen.
3. Die Lam. pyramidalis ist fast uberhaupt nicht ausgebildet und setzt sich nur
aus einer kleinen Anzahl mittelgroBer Elemente zusammen. Sie ist mit der Lam. gangli-
Fig. 42. Fledermaus.• Frontalschnitt durch die Regio praecentralis: 10 /*, Vergr. 30:1. Die
Rinde von ist breit, die Schichtung schlecht ausgepragt, der Cbergang ins Mark flieBend.
13—16 besitzt eine breite I. Schicht, die VI. Schicht nimmt ungefahr die Halfte des Gesamt-
querschnittes ein, zeigt aber in diesem vorderen Frontalschnitt keine Dreiteilung. Die unterste
Schicht von 51b geht kontinuierlich in die VI. Schicht der Insel iiber. 23-\-24 zeichnet sich
durch eine stark ausgebildete II. Schicht im Unterschiede von 32 aus. 51 e besitzt eine breite
II. Schicht, welche aus ahnlichen Elementen, wie die Taenia tecta besteht. Tol ist ganz
rudimentar.
4-\-6 = Area praecentralis, 13—16 Area insularis communis, 51b = Area praepyriformis b,
51 g = Area praepyriformis bulbaris, 23-j-24 = Area limbica communis, 32 = Area praelimbica,
Tol = Tuberculum olfactorum.
onaris verschmolzen, weil eine innere Komerschicht uberhaupt fehlt. Die 3. und 5.
Schicht bilden zusammen eine ziemlich helle Lage.
Die Lamina multiformis ist sehr breit und nimmt fast die Halfte des ganzen
Rindenquerschnittes ein. Sie teilt sich in 3 Unterschichten, von welchen die oberste
aus kleinen spindelformigen meist parallel zur Oberflache liegenden Elementen besteht.
In der mittleren stehen polymorphe Elemente ziemlich weit auseinander. Die unterste
Unterschicht ist aus ziemlich groBen, teils aus rundlichen, teils aus polymorphen Ele¬
menten zusammengesetzt. Diese Dreiteilung der 6. Schicht ist in den hinteren Particn
viel besser zu beobachten als in den vorderen. Auch besteht ein Unterschied im Bau
der 2. Schicht, indem sie nur in den hinteren Partien deutllich ausgepragt ist und in der
Richtung nach vorne sich verliert.
Obwohl wir es hier also mit der eigentlichen Claustrumbildung nicht zu tun haben,
konnen wir doch auf Grund anderer Merkmale und insbesondere auf Grund vergleichend
anatomischer Tatsachen eine Inselformation bei der Fledermaus unterscheiden. Wenn
wir die von uns untersuchten Tiere in bezug auf die Claustrumbildung vergleichen, so
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Er^nzimpiheft 2 HI STOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 457
sehen wir, daB dieselbe beim Meerschweinchen sehr deutlich ist, bei der Maus nur stellen-
weise hervortritt und bei der Fledermaus nur andeutungsweise erscheint.
Die charakteristische Lage, die Breite der i. Schicht, das Hervortreten groBer
Elemente an Stelle der 2. Schicht, die zuriickgebildete Lamina pyramidalis und die auBer-
ordentliche Breite der 6. Schicht, in welcher wir meist 3 Unterschichtcn unterscheiden
konnen, erlauben 11ns zwanglos auch bei der Fledermaus eine Inselformation zu unter¬
scheiden. Somit fanden wir bei der Maus und noch mehr bei der Fledermaus jenen un-
differenzierten Zustand, wo das Claustrum nur teilweise, oder iiberhaupt nicht abge-
spaltet ist und in der 6. Schicht erst eine Dreiteilung angedeutet ist.
Fig. 43. Fledermaus. Frontalschnitt dicht vor dem Balkcnknie: 10 Vcrgr. 30:1. 51 a be-
sitzt eine breitere I. Schicht und dichter gefiigte II. Schicht als 51 b. S. pell, besteht aus
dorso-ventral verlaufenden Zellreihen. /. /. sehr deutlich ausgepragt. Sonst gleichen die Ver-
hiiltnisse denen in der vorigen Figur.
4-\-6 = Area praecentralis, IS — 16 = Area insularis communis, 23—24 = Area limbica com¬
munis, 51 b = Area praepyriformis b, 51 a = Area praepyriformis a, Tol = Tuberculum olfac-
torium, /. t. = Taenia tecta, 5 . pell. = Septum pellucidum. —
Typus 17. Area striata. (Fig. 45.)
Ein Feld, welches mit der Area striata anderer Sauger ohne weiteres homologi-
sierbar ware, ist bei der Fledermaus ebensowenig wie bei der Spitzmaus zu finden. Doch
gibt es auch hier noch eine Anzahl von Merkmalen, welche auf eine Verwandtschaft
dieses Typus mit demjenigen der Area striata hinweisen. Im bcsonderen ist cs die fur
kleine Sauger charakteristische Lage des Feldes, der relative Zellreichtum, die Rinden-
schmalheit, relativ deutliche Schichtung und eine scharfe Grenze gegen das Mark. Eine
deutliche innere Kornerschicht, ahnlich wie bei der Maus, ist hier nicht zu beobachten;
doch ist eine Andeutung dcrselben vorhanden.
Wir haben es somit mit einer homotypischen Formation zu tun, welche wahr-
scheinlich der Area striata entsprechcn solltc. Vielleicht konntc das Studium der Faser-
architektonik einen mehr entscheidcnden AufscliluB dariiber geben; leider verfiigen wir
aus rein technischcn Griinden iibcr keinc einwandfreien Bilder aus dieser Gegend. Ganz-
lich kann diese Frage nur auf entwicklungsgcschichtlichem Wege entschieden werden.
Typus 20—22. Area temporalis communis. (Fig. 45 und 46.)
Sie besitzt eine betrachtlichc Ausdehnung zwischen der Area postcentralis und
perirhinalis. Die Rinde dieses Typus ist ziemlich breit. Es besteht in ihr auch eine
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Andeutung der Lamina granulans interna in ahnlicher Ausbildung wie im Typus 1—3 + 5
+ 7. AuBer der groBeren Rindenbreite findcn wir hier auch eine breite, groBzellige La¬
mina ganglionaris und eine sehr locker gefiigte 6. Schicht, welche flieBend ins Mark
iibergeht. Ob dieser Typus mit den Temporaltypen anderer Sanger homologisierbar
ist, ist zweifelhaft.
Typus 23 + 24. Area limbica communis. (Fig. 42, 43 und 44.)
Eine Einteilung der cingularen Region in eine vordere agranulare und hintere
granulare Partie laBt sich hier nicht durchfiihren. AuBer der etwas starker ausgebildeten
Fig. 44. Fledermaus. Frontalschnitt: 10//, Vergr. 30:1. Cber dem Corpus callosum stellt
die Taenia tecta einen deutlichen Gyrus dar. 1 —schmaler als 4-\-6. Die Schichtung
ist besser ausgepragt als in 4-\-6. Zwischen (ler III. und V r . Schicht besteht ein lichter Streif
mit ziemlich weit auseinander stehenden Kornern. Die VI. Schicht ist dicht gefiigt; der
Obergang ins Mark ist scharf. Sonst sind dieselben Verhaltnisse, wie in der vorigen Figur.
1 — 3-\-5-\-7 = Area postcentralis et parietalis communis, 4-\-6 = Area praecentralis, 13—16
= Area insularis communis, 23-\-24 = Area limbica communis, 51b = Area praepyriformis b,
51a = Area praepyriformis a, Tol = Tuberculum olfactorium, S. pell. = Septum pcllucidum. —
Lamina granularis externa ist hier der Rindenbau ganz demjenigen bei der Spitzmaus
ahnlich.
Typus 27. Area praesubicularis. (Fig. 46.)
Der Bau und die Lage dieses Feldes ist mit derjenigen bei anderen kleinen Saugern
vollkommen identisch.
Typus 28. Area entorhinalis. (Fig. 46.)
Bei der Fledermaus lassen sich nicht 2 Felder in der Area entorhinalis unterscheiden
Sie bildet ein groBes Feld hinter der temporalen Region und reicht bis zum Occipitalpol;
geht aber fast iiberhaupt auf die mediale Hemispharenflache nicht iiber. Der Bau ist so
charakteristisch, daB die Homologie mit anderen Saugern ganz unzweifelhaft ist. So
finden wir in der Lamina zonalis die aus der 2. Schicht hineinragenden Zellnester. Die
Lamina pyramidalis ist sehr schmal. An Stelle der Lamina ganglionaris befindet sich
ein lichter Streifen.
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Ergtoraniihe^ 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 459
Typus 29. Area retrosplenialis granularis. (Fig. 45 und 46.)
Der Bau und die Lagc ist ahnlich wie beim Maulwurf und der Spitzmaus, so daB
wir hier auf die entsprechenden Beschreibungen verweisen. Dieser Typus laBt sich aucli
ohne weiteres mit anderen kleinen Saugern identifizicren.
Typus 30. Area retrosplenialis agranularis. (Fig. 45.)
Er laBt sich ohne weiteres mit demjcnigen desMaulwurfs und Igels homologisieren.
Die Lamina zonalis ist sehr breit. An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich
Fig. 45. Fledermaus. Frontalschnitt: 10 //, Vergr. 30 : 1 , durch das hintere Ende des Balkens.
Rechts liegt der Schnitt mehr caudalwarts. Obcrhalb vom Balken befindet sich das Ammons-
horn mit der Fascia dentata. Sehr deutlich, besonders links, ist der Gbergang der VI. Schicht
von 29 ins Subiculum. 30 ist trotz Fehlens der IV. Schicht gut geschichtet. 17 besitzt eine
sehr schmale und zellreiche Rinde; die Schichtung ist relativ gut, fiber der V. Schicht zer-
streute Korner. der Gbergang ins Mark ist scharf. 20—22 ist durch eine breite Rinde aus-
gezeichnet und besitzt eine ziemlich deutliche IV. Schicht. Eine ziemlich deutliche IV. Schicht
besitzt auch 36. An Stelle von 51b und a ist rechts 51 d. Die VI. Schicht von 13—16 zeigt
ziemlich deutlich 3 Unterschichten.
1—7 = Area postcentralis et parietalis communis, 13—16 = Area insularis communis,
17 Area striata, 20—22 = Area temporalis communis, 35 = Area perirhinalis, 36 = Area ectorhi-
nalis, 29 — Area retrosplenialis granularis, 30 = Area retrosplenialis agranularis, 51b = Area
praepyriformis b, 51 a = Area praepyriformis a, 51 d = Area praepyriformis d (Tuber olfac-
torium), D = Fascia dentata. —
eine Lage von mittelgroBen sich stark farbenden Elementen. Die Lamina granularis
interna fehlt. Die 5. Schicht bildet eine sich gut abhebende Lage von mittelgroBen poly-
morphen Zellen. Die Lamina multiformis besteht aus einer auBeren hellen und inneren
dunklen Unterschicht, welche mit ziemlich scharfer Grenze ins Mark iibergeht.
Typus 32. Area praelimbica. (Fig. 42.)
Die Rinde dieses Typus ist ebenso wie bei der Maus und anderen kleinen Saugern
gebaut. Auch die Lage ist dieselbe.
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Journal f. Psychologic
und Neurologic.
Typus 35 Area perirhinalis und Typus 36 Area ectorhinalis. (Fig. 46 .)
Diese dicht nebeneinander liegenden Areae verhalten sich sowohl in bezug auf
ihrcn Bau wie auch auf ihrc Lagc, wic l>ei dem Maulwurf und lassen sich leicht mit diesem
Tiere idcntifizieren.
Die Differcnzierung der Regio olfactoria ist, wie wir das schon oben hervor-
gehoben haben, niclit soweit vorgeschritten wie bei anderen kleinen Saugern. Wir
unterscheiden hier 5 Einzelfelder, welche mit den entsprechenden anderer Sauger
homologisierbar sind. Das Tuberculum olfactorium stellt bei der Fledermaus ein
rudimentares Gebilde dar.
Fig. 46. Fledermaus. Frontalschnitt durch das Occipitalhim: iof/i, Vergr. 30 : 1 . In 28 be-
finden sich die charakteristischen Zellnester in der I. Schicht. Das Subiculum bildet die
mediale Hemispharemvand.
17 = Area striata. 20—22 = Area temporalis communis, 27 = Area praesubicularis, 28 = Area
entorhinalis, 29 = Area retrosplenialis granularis, 35 = Area perirhinalis, 36 = Area ectorhi¬
nalis, Sub = Subiculum, CA = Ammonshorn, D — Fascia dentata. —
Typus 51a. Area praepyriformis a. (Fig. 43 und 44,)
Lamina zonalis ist sehr breit.
An Stelle der Lamina granularis externa befindet sich cine ziemlich breite Lage
mit stark sich farbenden mittelgrofien polymorphen Elementen.
Die 3 ., 4 ., 5 . und 6 . Schicht lassen sich nicht unterscheiden, vielmehr befinden
sich unter der 2 . Schicht iiber den ganzen Rindenquerschnitt zerstreute mittelgroBe
polymorphe Elemente. Die Homologie mit dem entsprechenden Typus anderer kleiner
Sauger ist unzweifelhaft. Dieses Feld bildet eine bandformige Zone unter der Area 51 b
und geht vorn in die Area praepyriformis bulbaris und hinten in den Tuber olfactorius
iiber.
Typus 51b. Area praepyriformis b. (Fig. 43 und 44.)
Differentielle Merkmale gcgen den Typus 51 a.
1 . Die Lamina zonalis ist fast um die Halfte schmaler.
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Ki g&nzmigsheft 2.
HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE 461
2. Die der Lamina granularis externa entsprechende Schicht mittelgroBer poly-
niorpher Elemente ist bedeutend schmaler und lockerer.
3. Die nachstfolgende ist sehr breit und zellarm.
4. Die 6. Schicht ist sehr breit und geht kontinuierlich in die Lamina multiformis
der Insel uber.
Das Feld 51b liegt ebenfalls als bandformige Zone unter der Insel und laBt sich
mit anderen kleinen Tieren identifizieren.
Typus Sid Area praepyriformis d (Fig. 45) und Typus 51 g Area praepyriformis
bulbaris. (Fig. 40.)
Die Lage und der Bau dieser Felder weicht in keinem Punkte von denselben bei
anderen kleinen Saugem ab.
Typus 51 e. Area praepyriformis e. (Fig. 42.)
Wir haben es mit diesem Typus zu tun, welcher den Ubergang der Taenia tecta
in die Area praepyriformis bulbaris vermittelt und denselben Bau und Lage wie bei
anderen kleinen Saugem aufweist.
III. Zusammenfassung.
1. Der sechsschichtige Grundtypus.
Bereits in der Einleitung wurde hervorgehoben, daB beziiglich der Schich-
tenzahl und Schichteneinteilung der GroBhimrinde, namentlich in bezug auf primi-
tivere Saugetiere, noch weitgehende Meinungsverschiedenheiten der Autoren bestehen
Unsere Untersuchungen haben nun in der prinzipiellen Frage nach der Grund-
schichtung des Cortex cerebri (Neocortex) eine durchgehende t)bereinstimmung
mit den Anschauungen Brodmanns ergeben. Wir miissen damit in Gegensatz
treten zu den Auffassungen von Ramon y Cajal, Haller, Watson, Mott,
Hermanides und Koppen u. a. Mit gewissen Einschrankungen und nicht ganz
eindeutigen Vorbehalten hat sich neuerdings Isenschmid hinsichtlich des sechs-
schichtigen Grundtypus der Maus an Brodmann angeschlossen. Winkler und
Potter haben es schon friiher in ihrem Atlas fiber die Kaninchenrinde vorbehaltlos
beziiglich des Kaninchens getan und auch Z uni no kommt in seiner kiirzlich er-
schienenen Mitteilung iiber die Chiropteren zu dem gleichen Ergebnis.
Wir finden bei alien von uns untersuchten kleinen Arten aus den Ordnungen
der Rodentia, Insectivora und Chiroptera in Ubereinstimmung mit Brodmann
iiber groBere oder geringere Strecken der Hemispharenoberflache eine zeitlebens
bestehende, mehr oder minder deutliche Sechsschichtengliederung des Rindenquer-
schnittes. Wir vermissen diesen Sechsschichtentypus des Neocortex bei keinem
unserer kleinen Sauger, obwohl ein Teil derselben (z. B. Spitzmaus und Fledermaus)
einen im iibrigen sehr primitiven Rindenbau und zweifellos auch gewisse sekundare
Riickbildungen der Rindentektonik erkennen lassen.
Am ausgepragtesten und raumlich ausgedehntesten ist der Sechsschichten¬
typus bei dem Meerschweinchen und der Maus, die sich damit unmittelbar den von
Brodmann beim Kaninchen und Ziesel beschriebenen Verhaltnissen anschlieBen.
Am undeutlichsten ist die Sechsschichtung bei der Fledermaus, etwas charakteristi-
scher bei der Spitzmaus. Wenn es auch hier einer gewissen Obung und Erfahrung
bedarf, um diese Verhaltnisse richtig zu erkennen und zu deuten, so kann an dem
Vorkommen eines corticalen Sechsschichtenbaues bei diesen Tieren, wenn auch nur
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DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal t Ptycholofie
and Nenroloyto.
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innerhalb eines relativ kleinen Bezirkes der Gesamtrindenflache auf Grand unserer
mikrophotographischen Abbildungen nicht mehr gezweifelt werden.
DaB dieser kleine sechsschichtige Bezirk (Feld 1 — 3 + 5 + 7) homolog ist dem
auBerordentlich machtig entwickelten sechsscliichtigen Gebiete des Neocortex hoherer
Saugetiere beweist das vergleichende kartotopographische Studium von Schnitt-
serien durch ganze Hemispharen in einwandfreier Weise. Besonders lehrreich ist
in dieser Hinsicht Fig. 38 von einer jugendlichen Spitzmaus, wo eine typische Sechs-
schichtung mit einer deutlich ausgepragten inneren Kornerschicht an Stellen der
Hemispharenflache besteht, an denen im spateren Alter dieser Tiere dieser Schichten-
bau, namentlich die innere Kornerschicht nur mehr schwach angedeutet erscheint
und kaum mehr erkennbar ist. Wir sehen darin gleichzeitig eine Bestatigung der
von Brodmann zuerst beschriebenen Reduktion von ursprunglich angelegten
Schichtungselementen wahrend der Ontogenie.
Es ergibt sich hieraus die Richtigkeit des von Brodmann aufgestellten
Satzes, daB sich eine einheitliche Schichtungsgliedening des Cortex cerebri, wie
iiberhaupt eine Homologielehre, nur auf Grand gleichzeitig durchgefuhrter, um-
fassender, vergleichend anatomischer und entwicklungsgeschichtlicher Studien be-
griinden lasse.
Daraus, daB dieses Postulat friiher nicht beriicksichtigt wurde und daB die
Autoren ihreSchichtenstudien zumeist auf einTier oder eine einzelneSippe beschrank-
ten, erklaren sich die Widerspriiche in der Schichtenauffassung der verschiedenen
Autoren und die Verkennung der gemeinsamen Grundschichtung der Mammaher.
Indem wir unsere Untersuchungen auf verschiedene Tiere mehrerer Ordnun-
gen ausgedehnt und ihnen gleichzeitig die alteren von ahnlichen Gesichtspunkten
unternommenen, vergleichend tektonischen Rindenstudien Brodmanns zugrande
gelegt und schlieBlich auch jugendliche und fetale Entwicklimgsstudien zum Ver-
gleiche herangezogen haben, kommen wir zu einer von der Mehrzahl der alteren
Autoren abweichenden Auffassung iiber die Grundschichtung des Neocortex.
Bekanntlich nimmt S. Ramon y Cajal bei kleinen Saugetieren, namentlich
bei der Maus eine im Vergleiche zu hoheren Saugem erhebliche Vereinfachung des
Rindenbaues an; im besonderen verringert sich nach diesem Autor die Schichten-
zahl auf fiinf (bzw. 4) infolge des Fehlens der inneren Kornerschicht. Im Gegensatz
dazu konnten wir bei der Maus wie bei alien diesen kleinen Sippen die innere Kor¬
nerschicht unzweifelhaft nachweisen. Besonders deutlich tritt sie, wie die ent-
sprechenden Abbildungen zeigen, gerade bei der Maus hervor, ja sie ist hier sogar
teilweise so deutlich ausgepragt, wie es bei vielen Mammaliem mit im iibrigen
sicher differenziertem Rindenbau nicht der Fall ist.
Einen wesentlich anderen Standpunkt nimmt, wie wir schon oben kurz er-
wahnt haben, in dieser Frage B. Haller ein. Er bezeichnet als den„Urbau der Hirn-
rinde“ die Dreischicht ung, welche er bei den Marsupialiem DidelphysundHypsi-
prymnus und bei den Mikrochiropteren gefunden haben will und infolge dessen
auch bei den iibrigen Marsupialiem und den Monotremen vermutungsweise als wirk-
lich bestehend annimmt. Eine hohere Stufe der Rindendifferenzierang schreibt
Haller den Insectivoren, Makrochiropteren und Nagem zu, und zwar nimmt er
bei ersteren einen vier- (fiinf-)schichtigen Rindenbau an, wahrend er bei den letz-
teren zum ersten Male eine Sechsschichtung feststellt. Allerdings entspricht die-
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HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRIXDE. 463
selbe nicht dem tektogenetischen Grundtypus Brodmanns, indem Haller
die sechste Schicht des tektogenetischen Grundtypus als funfte auffaBt und statt
dessen jene in zwei selbstandige Unterschichten teilt und somit auch doppelt ziihlt
(Via und VIb Brodmanns). In einer neueren Arbeit sucht Haller auf entwick-
lungsgeschichtlichem Wege die Richtigkeit dieser schon friiher vertretenen An-
schauungen iiber die Schichtenzahl in der GroBhirnrinde gegeniiber Brodmann
aufs neue zu erharten. Dazu benutzte er junge Mausefoten, bei welchen, wie aus
seinen Illustrationen ohne weiteres ersichtlich ist, iiberhaupt eine Differenzierung
der Rindenischichtung noch gar nicht ausgebildet, vielmehr erst die Schichtung der
Hemispharenwand vorhanden ist. Die Rinde entwickelt sich indessen, wie Haller
bekannt sein miiBte, erst viel spater und ihre Schichtung hat mit der primitive!!
fotalen Schichtung der ,,Hemispherenwand“ nichts gemein. Besitzt doch die
Hemispharenwand des Menschen im vierten fotalen Monat nach His 8 Schichten;
die Rinde bildet jedoch in diesem Stadium nur eine Schicht, und zwar nur die
oberflachliche Lage der ganzen Hemispharenwand (Rindenplatte W. His). Erst
spater im fiinften und sechsten fotalen Monat erfolgt die Schichtungsdifferen-
zierung innerhalb der Rindenplatte selbst und damit die Anlage der spateren cor-
ticalen Grundschichten. Ganz ahnlich verhalt es sich bei der Maus und anderen
kleinen Saugern und es bleibt ein unlosbares Ratsel, wieso Haller die primitive
Dreischichtung der „Hemispharenwand“ (aus Matrix, Zwischenschicht, Rand-
schleier nach His bestehend) als Urschichtung der Rinde auffassen und darauf
seinen Widerspruch gegen einen sechsschichtigen Grundbau Brodmanns begriin-
den konnte.
Was die Angaben Hallers iiber die Dreischichtung bei Marsupialiern betrifft,
so hat schon Brodmann in seiner vergleichenden Lokalisationslehre an der Hand
von einwandfreien Mikrophotographien nachgewiesen, daB bei Didelphys und
Macropus dorsalis, die Sechsschichtung sehr deutlich hervortritt. Den gleichen
Nachweis hat spater ebenfalls Brodmann fur die Monotremen (Ornythorhynchus
und Echidna) und A. Kappers an einem jungen Edentatengehim erbracht.
Den Behauptungen Hallers, daB bei der Fledermaus eine Dreischichtung
vorhanden ist, und daB die Zahl der Rindenfelder drei nicht iiberschreite, halte ich
meine Untersuchungsergebnisse entgegen, nach welchen ich bei Fledermaus ebenso
wie bei den anderen kleinen Saugern in gewissen neopallialen Rindenzentren zweifels-
frei cytoarchitektonisch eine Sechsschichtung nachweisen konnte. Die Zahl der
deutlich differenzierten Rindenfelder betragt nach meinen Untersuchungen sogar
25, wahrend Haller nur drei verschiedene Zonen unterscheidet.
Mott und Watson nehmen bei den kleineren Saugern wie bei hoheren
Sippen eine Fiinfschichtung an. Die Differenz mit unserer Auffassung riihrt daher,
daB diese beiden Autoren eine Lam. granulans ext. (II) nicht als besondere Schicht
abgrenzen, sondern mit der Pyramidenschicht (unserer III) zu einer Schicht (II)
zusammennehmen. Watson teilt die Hirnrinde des Maulwurfs und der Spitzmaus
in sechs differente Zentren, die im einzelnen oben naher beschrieben wurden.
Isenschmid, welcher in der letzten Zeit iiber Rindenstudien bei der Maus
berichtet hat, sah „im Entwicklungsgang des Neopallium der Maus tatsachlich an
einigen Stellen 6 Schichten auftreten". Dies gilt aber nach diesem Autor nur fur die
am hochsten differenzierten Teile des dorsalen Hirnmantels, zu welchen er seine
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Felder a und b reelinet. Ini groBen und ganzen lehnt sich Isenschmid an die
Sehichteneinteilung Brodmanns an, obwohl nach seiner Ansicht „sechs Schichten
im Neoeortex der Mans nirgends sehr deutlich und ganz ohne Willkiir zu unter-
seheiden“ (S. 8) sincl. Trotzdem heiBt es an andercr Stellc (S. 22) beim Beschreiben des
Feldes a: ,,man kann in dieser Formation stellenweise samtliche 6 Schichten erken-
nen“. Seine Untersuchungen bcziehen sich fast ausschlieBlich auf albinotische
Miiuse und deshalb muB man den Vcrgleich mit der grauen Hausmaus nur mit groBem
Vorbehalt durchfiihren. Auffallend ist, daB der Autor kein Inselgebiet unterschei-
den konnte, obwohl er mit Recht die Anschauung Hallers fiber die Insel abweist.
Das Claustrum Hallers liegt im Archipallium und ist mit der Area amygdalae
Brodmanns identisch.
In groben Umrissen besteht eine gewisse Ahnlichkeit hinsichtlich der Felder-
gliedcrung zwischen den Hirnkarten Isenschmids und mir, in Einzelheiten weicht
Iscnschmids Einteilung erheblich von der meinigen ab; insbesondere hat Isen-
sehmid das Brodmannsche Grundschema dcr Einteilung nach Hauptregionen
niclit beriicksichtigt. Nur die Regio retrosplenialis grenzt er iihnlich ab, rechnet
aber sein Feld g zu einem anderen Gebiet und begeht damit einen folgenschweren
Homologieirrtum.
Auf Grund der im II. Kapitel dieser Arbeit hervorgehobenen ortlichen Struk-
turverschiedenheiten der GroBhirnrinde teilen wir bei alien kleinen Saugem die
Rindenflache in Felder von gleichmaBigem Bau ein. Die charakteristische Struktur
eines jeden Feldes gibt seinen Typus ab. Felder, welche wesentlich gemeinsame
Ziige in ihremBau aufweisen, fassen wir mit Brodmann als RegionenOder Haupt-
zonen zusammen.
Wenn man die Typen der kleinen Sauger untereinander und mit denen hoherer
Sippen vergleicht, so beobachtet man, daB eine Anzahl dieser Typen sich bei alien
Saugem wiederfindct. Je nachdem ein Typus in seinem Bau und seiner Lagebezie-
hung bei einer Gruppc von Saugern unverandert und vollstandig bleibt oder durch
Zuwachs eventuell durch Vermindeiung von Bestandteilen in seinem inneren Bau
modifiziert wird, sprechen wir von einer kompletten und inkompletten Ho-
mologie. Dabei kann man mit Fiirbringer wieder 2 Formen der inkompletten
Homologie unterscheiden: die auf Verlust von Teilen beruhende defektive und
die durch Zuwachs ncuer Teile entstandene augmentative Homologie.
In der Saugetierreihe beobachten wir in bezug auf den Rindenbau die ver-
schiedensten Arten der Homologie. Manchmal bezieht sich die Homologie nur auf
eine gewisse Gruppe von Tieren. Doch giebt es eine Anzahl von Typen, welche sich
fast unverandert in ihremBau bei alien Saugern wiederholen und somit eine komplette
Homologie in der ganzen Saugetierreihe abgeben. Zu diesen Typen gehoren die stets
auch bei kleinen Saugern ohne wesentliche Abweichungen in den Lagebeziehungen
und in ihrem Bau hervortretenden hippocampalen Typen 27, 28 und 35. Auch die
Regio praecentralis (Feld 4 und 6) ist fast bei alien Saugem komplett homolog. Das
Feld 29 ist in seinen Unterfeldern bei den Rodentiem komplett homolog; das
Feld 29 der Insectivoren ist bei diesen Tieren komplett, im Vergleich aber mit
den Rodentiem defektiv homolog. Der Typus 4 der kleinen Sauger ist komplett
homolog. Das Tuberculum olfactorium ist bei Insectivoren und Rodentiem unter¬
einander komplett, bei Mikrochiropteren defektiv homolog. Das Feld 51 der In-
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HR. MAXIMILIAN ROSK.
Journal (. Psychologie
_und Neurologie.
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ErgftninnfghePt 2 HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSH1RNRINDE. ^65
sectivoren ist im Vergleich zu den Rodentiern augmentativ homolog. Die Area
striata der Maus ist im Vergleiche mit derjenigen hoherer Sauger defektiv homolog,
vveil sie zwar eine deutliche breite, innere Kornerschicht enthalt, aber keine Teilung
in 3 Unterschichten, wie bei den Primaten und Prosimiern aufweist. Inkomplett und
defektiv ist auch dieHomologie der Insel bei Fledermaus, Maus, Spitzmaus und Maul-
wurf, weil es bei diesen Tieren zu keiner volligen Claustrumabspaltung aus der La¬
mina multiformis (VI) kommt. Die postzentralen und temporalen Typen sind bei
den kleinen Saugern untereinander ziemlich schwer homologisierbar. Dies wird be-
dingt durch die haufige tlberlagerung und gegenseitige Kombination der in Betracht
kommenden Einzelareae. Im groBen und ganzen sehen wir, daB wir nicht nur im
Bereiche einer oder mehrerer Sippen, sondern bei manchen Typen in der ganzen
Saugetierreihe Homologien durchfiihren kdnncn und es bildet eine unerschutterlichc
Tatsache, daB die kleinsten und primitivsten Siiugetiere, wie Maus und
sogar Fledermaus eine Anzahl von strukturellen Rindentypen mit
dem Menschen gemeinsam haben, wenn selbstverstandlich auch in
erheblich modifizierter und teilweise vereinfachter Form.,
Folgende Tabelle zeigt uns die homologen Felder bei kleinen Saugern.
Tabelle i.
(Homologe Felder und Regionen.)
Meer-
|
~”r
j Subi-
Sept, pel-
Cornu
Taenia
schweinchen
4—6
13—16
20
24
29a, b, c,e
35 36 27 a, bj28a, b
5* b sid
51 gculum
lucidum
Ammonis
tecta
Maus.
4—6
13—16
20
24
29b, c, c
35 36 j 27 a, b 28 a, b
51 b 51 d
|
5i 8 „
»
»f
»
Maulwurf . .
4—6
13—16
20—22
24
29
35 36 27 j 28 a, b
51b 5*d
5i 8 „
M
..
Spitzmaus .
4—6
13—16
20—22
24
29
35 36 27 j 28 a, b
51b 5id
5i g
..
99
Fledermaus
4—6
13—16
20—22
24
29
35 36 27 | 28
51 b 51 d
1
51 g! „
»
Aber nicht nur in bezug auf das Verhalten der Strukturtypen fallt eine ge-
wisse Gemeinschaft bei den kleinen und groBen Saugern auf, es besteht auch viel-
fach ziemliche tlbereinstimmung in der Feldergliederung bei den kleinen Mamma-
liem untereinander und im Vergleiche mit den groBen. So sehen wir einerseits eine
Ahnlichkeit in der Gesamtanlage der Felder, andererseits ein Persistieren von Haupt-
regionen und selbst von Einzelfeldern bei vielen Sippen. Wie die beigegebenen
Himkarten zeigen, konnen wir bei jedem, sogar kleinsten Saugetiere die Teilung
der Rindenoberflache in meist hintereinander liegende, strukturell verschiedene
Zentren durchfiihren. Eine Mehrheit von Feldem mit unter sich gemeinsamen
strukturellen Ztigen bildet je eine Hauptregion. Manche dieser Hauptzonen konnen
wir ebenfalls in der ganzen Mammalierreihe mit progredienter oder reduzierter
Felderzahl, je nach dem Differenzierungsgrade einer Tiergruppe verfolgen. Andere,
so z. B. die frontale granulare Region des Menschen und Affen, verschwindet ganz-
lich bei den kleinen Saugern, d. h. sie ist iiberhaupt noch nicht differenziert.
2. Vergleichende Feldergliederung.
Wir wollen im folgenden die spezielle Entfaltung und Differenzierung der
Hauptregionen bei den einzelnen Reprasentanten der kleinen Sauger im Zusammen-
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4 66
DK. MAXIMILIAN ROSE.
Journal f. PsycholoRie
und Neurologie.
hang einer vergleichenden Betrachtung unterziehen, indem wir zugleich auf die
entsprechenden Ergebnisse bei hoheren Tieren von alteren Autoren (Brodmann,
Maus, Z uni no, Flores) gelegentlich Bezug nehmen.
Regio praecentralis. (Feld 4 + 6 der Hirnkarten.)
Diese physiologisch iiberaus wichtige, weil zu den motorischen Funktionen in
nachster Beziehung stehende Region, ist nach Brodmanns Feststellungen, bei
alien, von ihm friiher untersuchten Saugetieren, in erster Linie durch das Fehlen
der inneren Komerschicht, ausgezeichnet. Bei hoheren Saugetieren besteht sie aus
zwei Einzelareae: Area gigantopyramidalis (4) und Area frontalis agranularis (6),
deren Flache zusammen der Ausdehnung der elektromotorischen Zone entspricht.
Das erstere Feld besitzt sog. Riesenpyramiden, dem letzteren fehlen sie, beiden ist
der agranulare Charakter gemeinsam. Beim Kaninchen und Ziesel lassen sich mit
einiger Miihe (nach Brodmann) noch beide Areae unterscheiden, obwohl sie schon
beim Kaninchen teilweise und beim Ziesel ziemlich weitgehend iiberlagert sind.
Beim Meerschweinchcn ist die Dberlagerung so weit vorgeschritten, daB iiberhaupt
eine Abgrenzung zwischen zwei getrennten Feldern 4 und 6 nicht mehr moglich ist,
diese vielmehr ein einheitliches Gebiet darstellen. Trotzdem unterscheiden wir
noch hie und da Stellen mit deutlichen Eigenschaften vom Typus 6. Aber schon
bei der Maus und noch mehr beim Maulwurf, Spitzmaus und Fledermaus ist der
Typus 6 nirgends selbstandig vorhanden, vielmehr handelt es sich hier um eine
Vermischung beider prazentralen Typen 4 und 6. Offenbar ist teils in dieser Haupt-
region die topische Rindendifferenzierung noch nicht so weit vorgeschritten, wie
bei den nachst groBeren Arten der gleichen Genera. Die Lage der praezentralen
Region ist bei unseren kleinen Tieren ziemlich gesetzmaBig, indem sie bis zum
Frontalpol reicht und diesen, mit vereinzelten Ausnahmen, wo ein Feld 12 ausge-
bildet ist (wie z. B. bei Fig. 47 und 48), ganz einnimmt. Nach hinten wird die
Region bei alien Saugern durch die postzentrale Region begrenzt, in die sie mit
ziemlich scharfer Grenze iibergeht.
Regio frontalis granularis. (Feld 12 + 8 ?)
Sie ist beim Menschen cyto- und besonders myeloarchitektonisch nach den
Untersuchungen von Brodmann und O. Vogt sehr reich gegliedert. Vom Men¬
schen abwarts ist sie nach Gesamtumfang und Zahl der Felder immer weniger diffe-
renziert. Die kleineren Saugetiere besitzen voft dieser Region iiberhaupt nichts
mehr, der Frontalpol wird hier vielmehr, wie Brodmann bereits bei Spermophilus
und Erinaceus nachgewiesen hat, ganz durch die prazentrale Region eingenommen.
Ebenso verhalt es sich bei alien von uns untersuchten Arten kleiner
Nager und Insectivoren. Das bei Meerschweinchen und Maus hervortretende
Feld 8 ist nicht der Regio frontalis der Menschen und der Affen homolog.
Ihnen alien kommt eine granulare frontale Hauptregion, also
ein eigentliches Stirnhirn iiberhaupt nicht mehr zu, eine Feststellung,
die sowohl morphologisch wie physiologisch von der groBten Bedeutung ist.
Regio postcentralis et parietalis. (Feld 1 + 3 + 6+7 der Hirnkarten.)
Wir fassen die Beschreibung dieser beiden Regionen hier zusammen, da bei den
kleinen Saugern meist noch eine mehr oder weniger vollkommene strukturelle und
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FrgtniungBhefb 2. HIS TOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNKINDE. 467
raumliche Vereinigung der bei hoheren Saugern deutlich als Sonderfelder geschie-
denen Areae besteht. Schon beim Igel ist nacli Brodmanns Untersuchungen
eine Trennung der postzentralen und parietalen Region cytoarchitektonisch nicht
niehr sicher durchfiihrbar, myeloarchitektonisch konnte Flores diese Trennung
allerdings noch vornehmen.
Von unseren Tieren laBt das Meersehweinchen in der postzentralen und
parietalen Region, ahnlich wie das Kaninchen (Brodmann), 3 Felder unterschei-
den, namlich Feld 1—3,
Feld 5 und Feld 7, die
sich jedoch teilweise iiber-
lagern. Das Feld 1—3 ent-
spricht der postzentralen
Region; die Area 5 ist bei
diesem Tiere sehr charak-
teristisch ausgebildet und
gehort mit dem Felde 7
der Regio parietalis an.
Wir sehen hier also trotz
der teilweisen Oberlage-
rung noch eine deutliche
Trennung in eine postzen-
trale und parietale Haupt-
zone. Dem Felde 1—3 ent-
sprechen beim Menschen 4,
bei gyrencephalen Affen
3 Felder. Das Feld 5 ist
ohne weiteres mit der
entsprechenden Area des
Kaninchens homologisier-
bar. Die Area parietalis
(7) ist demselben Felde
beim Kaninchen und Maus
homolog. Ob es sich mit
dem entsprechenden Felde Fig. 47 u. 48. Rindenfelderung beim Kaninchen (Lepus cuni-
hoherer Sauger identifi- cuI,,s > nach Brodmann.
zieren laBt, ist unsicher.
Bei der Maus fassen wir das ganze granulare Gebiet hinter der agranularen
Regio praecentralis als Feld 1—3+5 zusammen. In dieser Bezeichnung ist die
raumliche Vereinigung der Area postcentralis und praeparietalis ausgesprochen.
Die Berechtigung hierfiir gibt uns das histologische Bild dieses Gebietes. Seiner
Lage nach entspricht es der Regio postcentralis und parietalis anderer Sauger.
Eine solche direkte Vereinigung der Areae 1—3 und 5 finden wir nur bei der Maus.
Sonst kombiniert sich meistens der Typus 5 mit 7. Ahnlich wie beim Meerschwein-
chen laBt sich auch bei der Maus das Feld 7 gesondert abgrenzen; nur nimmt es eine
kleinere Flache ein, als bei jenem.
Bei der Maus finden wir also im Unterschiede vom Meersehweinchen nur
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468
2 Felder in der postzentralen mid parietalen Region. Auffallend ist dabei, wie schon
oben ausgefiihrt wurde, daB trotz des Vorhandenseins der Regio parietalis die Area
praeparietalis niclit mit dieser, sondern mit dem Felde i—3strukturell zusammenfallt.
Das Vermischen und IncinanderflieBen der Areac in der postzentralen und
parietalen Region, das ja genctisch betrachtet nur der Ausdruck einer niedrigeren
Differenzierungsstufe, odor mit anderen Worten einer noch nicht vollzogenen Diffe-
renzierung ist, tritt noch deutlidier bei Maulwurf und Spitzmaus zum Vorschein. Hier
haben war es namlich mit der
vollstandigen Verschmelzung
der Areae I—3, 5 und 7 zu
tun. Die strukturellen Eigen-
schaften aller dieser Felder
sind noch derart vermischt,
daB eine raumliche Trennung
unmoglich ist. Ebenso verhalt
es sich bei der Fledermaus,
nur findet hier sogar auch an
der Grenze der temporalen
Region eine weitgehende Ober-
lagerung der Strukturgebiete
statt. Wenn man diese Ver-
haltnisse mit den bei Makro-
chiropteren, speziell beim flie-
genden Hund von Brodmann
festgestellten vergleicht (Fig.
51U.52), so sind weitgehende
Unterschiede zu konstatieren.
Abgesehen davon, daB bei
** 9 Pteropus die Felder 4 und 6
der praezentralen Region eine
deutliche raumliche Trennung
aufweisen, begegnen wir in
der postzentralen und parie-
Fig. 49 und 50. Myelarchitektonischc Feldergliederung . ti¬
des Igelcortcx (Erinaccus europaeus) nach Flores. talen Region einer selbstan-
digen Area postcentralis, prae¬
parietalis und parietalis, wobei das Zusammenfallen dieser Felder sogar in ge-
ringerem MaBe als beim Kaninchen und Meerschweinchen erfolgt.
Genetisch betrachtet haben wir es also bei Fledermaus, Spitzmaus und
Maulwurf mit einem primitiven Zustand zu tun, bei welchem noch
keine strukturelle Differenzierung und topische Trennung in eine
postzentrale und parietale Hauptregion stattgefunden hat. Bei der
Maus erfolgt diese Trennung zuerst, wobei zwar Feld 5 noch mit dem Felde 1—3 zu
einer einheitlichen Zone kombiniert bleibt, die Area parietalis (7) bereits aber als
selbstandiges Gebiet hervortritt. Erst beim Meerschweinchen, Ziesel und Kanin¬
chen finden wir tektonisch deutlich differenziert und raumlich wohl abtrennbar
die Area praeparietalis neben den Areae 1—3 und 7.
196
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal f. Psychology
und Neurologie.
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Erga?iu^heft 2 HISTOLOGISCHE LO KALIS ATI ON DKR GROSSHIRNRINDE. 469
Regio insularis. (Feld 13—16.)
Die als Regio insularis bezeichnete Strukturformation fehlt bei keinem un-
serer kleinen Saugetiere vollig, wenn auch ihre Tektonik bei einzelnen Sippen sehr
primitive Zustande aufweist. So finden wir bei Fledermaus, Maus, Spitzmaus und
Maulwurf zwar die nach Brodmann fur diese Formation charakteristische Drei-
teilung der Lamina multiformis (Via, Capsula externa und Claustrum), aber die
Abspaltung der dritten Unterschicht als Claustrum ist bei diesen Tieren nicht so
deutlich wie beim Meerschweinchen oder Kaninchen und teilweise nur schwach an-
gedeutet. Die Fledermaus bietet in dieser Richtung den primitivsten Zustand dar,
da es zu einer wirklichen Abspaltung des Claustrums noch nicht gekommen ist;
immerhin laBt sich auch hier, als Beginn jener hoheren Differenzierungsstufe neben
anderen charakteristischen, insularen Merkmalen eine verbreiterte Lamina multi¬
formis mit einer Art Dreischichtung erkennen. Bei Spitzmaus und besonders bei
Maulwurf nahert sich die Zellstruktur dieser Gegend sehr derjenigen beim Meer¬
schweinchen. Einzelheiten sind im II. Kapitel besprochen.
Das tektonische Verhalten der Regio insularis entspricht nach dem Gesagten
durchaus der Anschauung Brodmanns, wonach das Claustrum nichts anderes als
die innerste, dem Mark zunachst gelegene Lage der Lamina multiformis (VI. Schicht)
und somit eine abgespaltene Unterschicht von dieser darstellt. Bei den kleinsten
Sippen findet sich der urspriinglichere Zustand, indem die VI. Schicht zwar aus
3 Unterschichten zusammengesetzt ist, die tiefste Schicht (Vic) aber nicht voll-
standig wie bei groBeren Genera sich als besondere Schicht abdifferenziert hat.
(Meerschweinchen oder Kaninchen.)
Auch in bezug auf die Zahl der insularen Einzelareae treten bei kleinen Tieren
Verschiedenheiten auf. Bei der Fledermaus und Spitzmaus begegnen wir nur einem
einzigen, in sich einheitlich gebauten Inselfeld. Bei der Maus ist schon eine An-
deutung einer Teilung in ein vorderes (granulares) und hinteres (agranulares) Feld)
vorhanden. Maulwurf und das Meerschweinchen besitzen ein deutliches vorderes
agranulares und hinteres granulares Feld. Ahnlich liegen die Verhaltnisse beim Ka¬
ninchen, nur hat Brodmann bei diesem Tiere noch eine Teilung der agranularen
und granularen Partie in je 2 Einzelareae, eine dorsale und eine ventrale, beobachtet,
was ich bei kleinen Tieren auBer dem Meerschweinchen vermisse. — Auch in dieser
Hinsicht laBt sich also eine ganze Stufenleiter von Entwicklungen hoheren und nie-
deren Grades bei diesen im iibrigen sehr primitiven Tieren nachweisen.
Das Feld 8, welches Brodmann beim Kaninchen beschrieben hat und ich
beim Meerschweinchen und der Maus finde, soli als der Insel angehorig betrachtet
werden. Ebenso als der Insel angehorig betrachte ich jenes charakteristische Feld
am Frontalpol des Maulwurfs und der Spitzmaus, welches mit 16 X bezeichnet ist
und eine sehr deutliche Dreiteilung der VI. Schicht mit Claustrumabspaltungaufweist.
Regio occipitalis. (Feld 17, 18.)
Zu dieser Region zahlen wir in erster Linie die Area striata (Feld 17) oder das
Homologon des Calcarinatypus der Primaten. Das als Feld 18 abgegrenzte Gebiet
der kleinen Tiere scheint seiner Tektonik nach nicht der occipitalen Region anzu-
gehoren. Die Lage der Area striata ist bei kleinen Tieren eine typische, indem sie
ganz oder fast ganz an der lateralen Flache des Occipitallappens liegt und von dem
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47 ° DR. MAXIMILIAN ROSE.
bandformigen Feld 18 umgeben wird. Ihre charakteristischen Merkmale bilden,
wie bei vielen hoheren Saugern, relative Rindenschmalheit, groBer Zellreichtum,
starke Entfaltung (ev. Mehrschichtung) der inneren Komerschicht (IV), und dichte,
scharf gegen das Mark abgesetzte Lamina multiformis (VI). In bester Ausbildung
fand ich die Area striata bei der Maus. Das Meerschweinchen besitzt aber auch eine
deutlich erkennbare Area striata. Die Spitzmaus zeichnet sich durch eine stark
i iickgebildete Tektonik in der entsprechenden Region aus. Doch laBt sich noch,
wenn auch eine im hohen Grade defektive Homologie mit dem Calcarinatypus durch-
fiihren. Hingegen findcn wir beim Maulwurf keine Anhaltspunkte fur die Abgren-
zung einer Area striata. An Stelle
derselben befindet sich ein Feld mit
einer ungefahr dem Typus 30 hohe-
rer Sauger entsprechenden, also der
cingularen Region zugehorigen Tek¬
tonik. Wenn wir die Area striata
der Spitzmaus betrachten, so sehen
wir in ihr einen gewissen Cbergang
zum ganzlichen Schwund, wie es
beim Maulwurf der Fall ist. Sehr
gering entwickelt ist auch die Area
striata bei der Fledermaus. Kanin-
chen, Ziesel, Meerschweinchen imd
Maus besitzen also eine nach Schich-
tungstektonik und Lage deutlich
ausgepragte Area striata (Feld 17),
die sich daraus in Parallele setzen
laBt zu dem homologen Typus des
hoheren Saugers. Beim Igel ist sie
verkiimmert (Brodmannund Flo¬
res) (Fig. 49 und 50); noch starker
ist diese Verkiimmerung bei der
Spitzmaus und Fledermaus, ihren
hochsten Grad erreicht sie beim
Maulwurf, wo wir iiberhaupt kein Homologon des Calcarinatypus finden konnten.
Auffallend ist die primitive Differenzierung der Area striata bei der Fledermaus,
besonders wenn wir die gute Entwicklung und groBe raumliche Ausdehnung
dieses Feldes bei den Makrochiropteren spez. Pteropus (Brodmann) damit ver-
gleichen.
Regio temporalis. (Feld 20, 21, 22, 36.)
Die Lage dieser Region ist bei alien kleinen Saugern sehr charakteristisch,
nach auBen vom Sulcus rhinalis posterior und nach hinten von der Inselformation
nachweisbar. Ihre Ausdehnung und strukturelle Differenzierung ist aber bei ein-
zelnen Tieren recht verschieden. Wahrend Meerschweinchen und besonders deut¬
lich Maus sowohl cyto- als myeloarchitektonisch vier temporale Einzelareae (die
Felder 20, 21, 22 und 36 Brodmann) unterscheiden lassen, finden sich bei
Maulwurf, Spitzmaus und Fledermaus bedeutend primitivere Verhaltnisse, in-
198
Fig. 51 u. 52. Rindenfelderung bei Pteropus nach
Brodmann.
Journal t Psychologic
und Neurologic.
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HD. 19, 1912,
Ergiinzungsheft 2.
IilSTOLOGISCHK LOK AI.ISATION DKH GROSSHIRNRINDE.
471
dem hier neben Feld 36 nur eine, als 20—22 bezeichnete, einheitliche Zone ab-
grenzbar ist.
Somit lassen sich bei alien bishcr untersucliten Rodentiern 4 Temporalareae
unterscheiden (eben so vide grenzten Brodmann und Zuni no beim Kaninchen
und Ziesel ab). Die Insectivoren besitzen dagegen nur zwei temporale Felder. Ebenso
verhalt sich von den Chiropteren die Fledermaus. Im Gegensatz dazu besitzt nach
Brodmann der fliegende Hund, dessen Oberflachengliederung von derjenigen
der Fledermaus auch im iibrigen sehr stark abweicht, ebenfalls vier wohl gesonderte
Temporeltypen. Die Mikrochiropteren zeigen also auch in dieser Hinsicht viel
primitivere Verhaltnisse als die Makrochiropteren.
Regio dngularis.
Die Feldergliederung dieser, den Balken
an der Dorsalflache umspannenden, Region
ist bei den kleinen Saugem untereinander
etwas verschieden, indem bei einem Teil
derselben die von Brodmann zuerst bei
hoheren Saugem durchgefiihrte Trennung in
eine vordere agranulare und hintere granulare
Subregion unterscheidbar ist, bei dem ande-
ren nicht. Am deutlichsten ist diese Schei-
dung beim Meerschweinchen und Maulwurf,
weniger deutlich bei der Maus und laBt sich
iiberhaupt nicht ohne Zwang bei der Spitz-
maus und Fledermaus durchfuhren. Zu die¬
ser Region gehoren auch die pralimbischen
Typen 25 und 32, welche ich bei der Spitz- Fig.53u.54. Rindenfelderung beim Ziesel
maus ganzlich vermisse. Bei der Fleder- nach Brodmann.
maus ist nur der Typus 32 zu unterschei¬
den, wahrend sowohl beim Meerschweinchen und Maus, wie beim Maulwurf die
beiden Typen gesondert auftreten. Brodmann unterschied beim Kaninchen,
Ziesel un<J Igel iiberaU auBer der agranularen auch eine granulare limbische Area.
Er beschrieb auch bei diesen Tieren die beiden pralimbischen Typen; nur beim
Ziesel sonderte er kein Feld 32 ab. Beim Pteropus (Fig. 51 und 52) finden sich nach
demselben Autor in dieser Region 6 Areae.
Regio retrosplenialis. (Feld 29 , 30 .)
Sie liegt, wie der Name besagt, am hinteren Balkenrande, um das Splenium,
grenzt oralwarts an die cingulare Region und zeigt bei kleinen Saugem eine sehr
verschiedengradige Differenzierung. Die groBte Felderzahl finde ich beim Meer¬
schweinchen und der Maus, namlich drei. Samtliche Felder sind granular, d. h. sie
weisen eine innere Komerschicht auf. Die Ausdehnung der Region ist hier eine
ziemlich betrachtliche, indem sie vom Balken bis auf die laterale Hemispharenflache
ubergeht (Fig. 31 und 33). Maulwurf, Spitzmaus und Fledermaus weisen nur 2 Felder
in der retrosplenialen Gegend auf, wovon eines (29) granular, das andere (30) agranu¬
lar ist. Die Ausdehnung der Regio retrosplenialis ist auch bei diesen Tieren, und
3 2 Journal ftlr Psychologic und Neurologic. Bd. 19 . *99
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472
besonders bei der Fledermaus, recht groB, nur ist die tektonische Differenzierung
nicbt soweit, wie bei den Rodentiern vorgeschritten. Dieses Verhalten der retro-
splenialen Region konstatierte schon Brodmann, indem er beim Kaninchen 6,
beim Ziesel 4, beim Igel dagegen nur 3 Felder lokalisatorisch abgrenzen konnte,
von welchen eines (30) agranular ist. Den Rodentiern fehlt iiberhaupt ein retro-
splenialer agranularer Typus. Er tritt erst bei Insectivoren und Chiropteren auf.
Zum Unterschiede von der Fledermaus beschrieb Brodmann beim Pteropus 5 resp.
6 Einzelareae in dieser Region.
Regio hippocampica. (Feld 27, 28, 48, 49.)
Sie ist neben der prazentralen und olfactorischen die konstanteste Region bei
kleinen Saugern. Die Rinde dieser Region ist heterogenetisch. Sogar bei den klein-
sten Saugern ist sie regioniir weit differenziert. So zerfallt sie bei der Fledermaus in
3 Areae (Feld 27, 28 utid 35), bei der Spitzmaus in 5 (Feld 27, 28d, 28 v, 35 und 49);
beim Maulwurf 6 (Feld 27, 28 d, 28 v, 35, 48 und 49), beim Meerschweinchen und
Maus sogar 7 Areae (Feld 27a, 27 b, 28d, 28 v, 48 und 49). Bau und Lagebeziehung
der aufgezahlten Felder sind durchaus konstant bei alien erwahnten Gattungen.
So liegt die Area praesubicularis (27), wie der Name besagt, immer am Ubergange der
Rinde ins Subiculum einerseits und andererseits grenzt sie entweder an das Feld 28
(Area entorhinalis), oder an die zwischen Feld 28 und 27 bei manchen Tieren sich ein-
schiebende, bandformige Area 49. Das Feld 28 (Area entorhinalis) besitzt seine
konstante Lage hinter der Area praepyriformis, medialwarts von der Area peri-
rhinalis, resp. dem Sulc. rhinalis posterior. Hinten und unten geht Feld 28 bei
alien kleinen Saugern (Fledermaus ausgenommen) auf die mediale Hemispharen-
flache iiber. Bei den Insectivoren nimmt die Area entorhinalis eine groBere Aus-
dehnung ein, als bei den Rodentiern. Auch die Fledermaus besitzt dieses Feld in
ziemlich bedeutender Ausdehnung; hier linden wir aber keine Differenzierung in
2 Unterfelder, wie bei anderen kleinen Saugern. Sonst lassen sich in den einzelnen
Tiergruppen keine weitgehenden Unterschiede konstatieren. Nur zeigt das Feld 28
bei den Rodentiern eine gewisse Tendenz an der hinteren Peripherie dei Hemi-
sphare, immer mehr der oberen Mantelkante sich zu nahern. Es sind diesbezuglich
die Oberflachendiagramme vom Kaninchen, Meerschweinchen, Ziesel und der Maus
zu vergleichen. Die Area perirhinalis (35) nimmt als bandformige Zone bei alien
Saugern die Gegend des Sulc. rhinal, post., der allerdings oft kaum angedeutet ist,
also die Rindenflache zwischen dem Felde 36 und 28 ein. Sie ist nach Brodmann
ahnlich, wie das Feld 27 und 28 bei alien Saugern, einschlieBlich dem Menschen
homologisierbar und insbesondere myeloarchitektonisch durch groBe Faserarmut
ohne weiteres erkennbar.
Das Feld 48 Area posthippocampica finde ich nur bei Maulwurf, Meerschwein¬
chen und Maus geniigend ausgebildet, um ein besonderes Feld abzutrennen. Brod¬
mann beschrieb es beim Kaninchen, Ziesel und Igel. Seine Lage ist konstant,
indem es dorsal vom Feld 27 liegt und ebenfalls nach innen ins Subiculum iibergeht.
Das Feld 49, Area parasubicularis, bildet ein schmales Band, welches sich zwischen
die Area praesubicularis und entorhinalis einschiebt. Ich vermisse es nur bei der
Fledermaus. Brodmann beschrieb dieses Feld beim Kaninchen und Igel. Bezug-
lich der hippocampischen Region beim Pteropus im Vergleich zur Fledermaus ist
200
DK. MAXIMILIAN ROSL.
Journal f. Psycholog:ie
und Nourologie.
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Eretoi^gihel 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 473
zu bemerken, daB sie bei beiden Tieren eine betrachtliche Flache einnimmt. Wir
konnten aber bei der Fledermaus nur drei, Brod man n dagegen bei Pteropns fiinf
Einzelareae unterscheiden.
Regio olfactoria. (Feld 51 .)
Auch ihre Typen gehoren durchwegs zum Cortex heterogeneticus rudimen¬
tarius Brodmanns. Sie nimmt den ganzen Lobus olfactorius anterior und den
vorderen Teil des Lobus pyriformis ein, umfaBt also bei den kleinen Saugern eine
relativ groBe Flache; es besteht aber ein erheblicher Unterschied in der Ausdehnung
zwischen den einzelnen Sippen, indem die Area praepyriformis mit dem Tuberculum
olfactorium undBulbus olfactorius bei Insectivoren etwa die Halfte der Gesamtrinden-
flache ausmacht, wahrend sie bei Rodentiern, und besonders bei Mikrochiropteren
eine bedeutend kleinere Flache einnimmt. Auch die Einzelareae der olfactorischen
Region wechseln der Zahl nach bei einzelnen Tieren; sind aber ohne weiteres unter-
einander homologisierbar.
Bei der Beschreibung der Typen habe ich das Feld, das den Cbergang der
Taenia tecta in die Area praepyriformis bulbaris vermittelt, als Area praepyrifor¬
mis e bezeichnet. Ich tat dies im Hinblick auf den primitiven Bau und die Lage
des Feldes, da es kontinuierlich in die Area praepyriformis bulbaris iibergeht. Flores,
welcher bei der Felderlokalisation der Igelrinde auf dieses eigentliche Struktur-
gebiet zuerst hinweist, nennt es Area praecallosa, ohne es irgendeiner Region zuzu-
rechnen. Bei der Spitzmaus fehlt es ganzlich; dort geht die Taenia tecta ohne Ver-
mittlung in einem breiten Bogen (Tafel 15, Fig. 1, 2 und 3), welcher an das Ammons-
horn erinnert, in die Area praepyriformis bulbaris iiber. Somit finden sich bei
der Spitzmaus sehr einfache Verhaltnisse in dieser Beziehung, wie bei keinem Tiere
sonst, die uns augenscheinlich dariiber belehren, daB die Taenia tecta vorne in die
Area praepyriformis bulbaris iibergeht. Bei anderen Tieren finden wir immer
wieder als Vermittlungsfeld die Area praepyriformis e (Area praecallosa, Flores).
AuBerdem enthalt die Area praepyriformis e Zellen, welche ihrer Form und
Struktur nach denjenigen der Taenia tecta (Area supracallosa) entsprechen. Das
Feld b und a der Area praepyriformis verlaufen bandformig nach vorne und gehen
in die Area praepyriformis bulbaris und hinten in den Tuber olfactorius iiber.
Beim Maulwurf schiebt sich zwischen diese beiden Felder das Feld c, ahnlich wie
beim Igel, ein. Die Spitzmaus besitzt kein Feld a, an dessen Stelle befindet sich bei
ihr das Feld 51c. Allen Saugern ist die Area praepyriformis d (Tuber olfactorius)
mit ihrer charakteristischen Lage vor dem Felde 28 gemeinsam. Ebenso finden wir
bei alien diese Rindenformation, welche schlauchformig im Bulbus olfactorius liegt,
und welche ich Area praepyriformis bulbaris (51 g) nenne. Zwischen dem Felde 51 a
und 51 e konnte ich bei Meerschweinchen, Maus und Maulwurf noch ein Feld 51 f,
die Area praepyriformis f, absondern.
Die reichste Gliederung der Area praepyriformis finden wir beim Maulwurf,
bei welchem 7 Felder zu unterscheiden sind: 51a, b, c, d, e, f, g. Beim Meer¬
schweinchen und der Maus lassen sich sechs nachweisen: 51a, b, c, d, f, e, g; bei
der Fledermaus fiinf, namlich: 51a, b, d, e, f, g; bei der Spitzmaus vier: 51b, c,
d, g. Zu den konstantesten Feldern der Area praepyriformis gehoren die Felder:
b, d und g.
32* 201
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474
DR. MAXIMILIAN ROSE.
Journal f. Psyehologie
und Neurologie.
Zu derselben Region ist noch die Taenia tecta, das Ammonshorn, der Nucleus
amygdalae und das Tuberculum olfactorium zu zahlen.
Die Taenia tecta (Area supracallosa, Flores) liegt allenthalben als schmaler
Streifen oberhalb des Corpus callosum und geht, wie schon erwahnt wurde, vome in
die Area praepyriformis bulbaris und hinten in das Subiculum des Ammonshomes
liber, nicht, wie friihere Autoren angeben, in die Fascia dentata. Sie liegt hinten
dicht am Splenium und verliert sich an desscn Unterflache. Diesen Teil nannte
Brodmann (Feld 26) Area ectosplenialis. Am starksten ist die Taenia tecta bei
der Fledermaus und Spitzmaus entwickelt.
Die genaue Beschreibung des Ammonshornes bei verschiedenen Tieren und
seine Einteilung in Unterfelder muB speziellen Untersuchungen vorbehalten werden.
Der Nucleus amygdalae ist bei alien kleinen Saugern deutlich ausgepragt.
Auch das Tuberculum olfactorium nimmt iiberall eine sehr betrachtliche Flache ein;
nur bei der Fledermaus ist es relativ gering entwickelt. '
Wenn wir diegesamteFelderzahlbei einzelnen Tieren in Betracht nehmen,
so konnen wir nach unseren Erfahrungen keinen diTekten Parallelismus
zwischen HirngroBe und Felderzahl annehmen. So besitzt der Maulwurf
weniger Einzelareae als die Maus, obwohl er ein groBeres Gehirn hat. Vielmehr be-
sitzen die Rodentier ein Grundschema der Felderghederung, welches ziemlich stark
von demjenigen der Insectivoren abweicht und im ganzen, unabhangig von der
GroBe des Tieres und damit auch des Gehirnes eher eine reichere Differenzierung
aufweist. Die Rodentier zeichnen sich also im allgemeinen durch eine
groBere Felderzahl als die Insectivoren aus. Nur im Bereiche der einzelnen
Ordnungen, welche dasselbe Grundschema der Feldergliederung besitzen, laflt sich
ein Vergleich der Rindendifferenzierung mit Bezug auf die Felderzahl durchfuhren.
So finden wir beim Meerschweinchen 40, bei der Maus 36 Area anatomicae. Ebenso
besitzt der Maulwurf 30 Einzelareae, wahrend die Spitzmaus nur 23 aufweist. Der
fliegende Hund besitzt liber 30 differente Felder, die Fledermaus dagegen nur 25
Einzelfelder.
Soweit aus der geringen Anzahl untersuchter Gehirne ein SchluB erlaubt ist,
werden wir also auf Grund unserer Untersuchungen an kleinen Saugern zu einer
Bestatigung des schon von Brodmann aufgestellten Satzes kommen, daB bei
Arten der gleichen Ordnung und sonst im ganzen gleichen Bedingun-
gen, die Zahl der cyto- und myeloarchitektonisch differenzierten
Rindenfelder um so groBer ist, je groBer ein Gehirn oder was das gleiche
heiBt, je groBer der Trager eines Gehirnes ist.
Herm Professor Dr. Gaupp spreche ich meinen aufrichtigsten Dpuk fur die
Gberlassung der Hilfsmittel der Klinik aus; zu besonderer Dankbarkeit bin ich
Herm Privatdozenten Dr. Brodmann, dem Leiter desanatomischenLaboratoriums
an der Khnik, fur seine mannigfachen Ratschlage und fur die dauemde Anleitung
bei dieser Arbeit verpflichtet.
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ErSwungsheft 2. HISTOLOGISCHE LOKALISATION DER GROSSHIRNRINDE. 475
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476
DR. MAXIMILIAN ROSE.
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Tafelerkl&rung.
Samtliche Tafelfiguren sind Mikrophotogrammc. Die Farbung geschah mit Cresylviolett
nach Bielschows k y. Die Schnittdicke betrug 10 oder 20 ft, die VergroBerung 30: 1 und 66: 1.
Die Bezeichnung der Rindentypen und -felder ist die gleiche wic in der Nomenklatur Brod roan n.
Die Abkiirzungen bcdeuten in alien Tafeln:
1—3
=
Area
postcentralis communis.
4-6
—
Area
praecentralis (agranularis).
5
=
Area
praeparietatis.
7
=
Area
parietalis.
8
=
Area
parorbitalis.
13—16
=
Area
insularis communis.
17
=
Area
striata.
18
=
Area
peristriata.
20
=
Area
temporalis inferior.
21
=
Area
temporalis media.
22
=
Area
temporalis superior.
23
=
Area
limbica posterior.
24
=
Area
limbica auterior.
25
=
Area
praegenualis.
27
=
Area
praesubicularis.
28
=
Area
entorhinalis.
29
=
Area
retrolimbica granularis.
30
=
Area
retrolimbica agranularis.
32
=
Area
praelimbica.
35
=
Area
perirhinalis.
36
=
Area
ectorhinalis.
48
=
Area
posthippocampica.
49
=
Area
parasubicularis.
51
=
Area
praepyriformis.
cc.
=
Corpus callosum.
tt.
=
Taenia tecta.
A
=
Amygdala.
CA
=
Cornu Ammonis.
D
=
Fascia dentata.
S, pell.
Septum pellucidum.
Tol
=
Tuberculum olfactorium.
Trol = Tractus olfactorius.
rh = Sulcus rhinalis.
Sub = Subiculum.
Tafel l. Figur 1. Frontalschnitt durch das Stirnhirn der Maus: 20 ft, VergroBerung 30 : 1.
Regio postcentralis (1+3 + 5) un d praecentralis (4 + 6) deutlich ausgepragt, indem an der
Grenzstelle (|) ziemlich scharf die Lamina granularis interna in 1 — 3 + 5 hervortritt. Im Tractus
olfactorius im Bereiche der Area praepyriformis bulbaris sind rechts die frontalsten Abschnitte
von Feld 51a, b und c zu sehen. Figur 2. Dassclbe wie Figur 1. Mehr caudalwarts gelegener
Schnitt, 10 ft. VergroBerung 30: 1. Der Balken ist geradc am vordersten Ende getroffen. Die
Taenia tecta befindet sich ober- und unterhalb derselben, weil sie, bevor sic in die Area praepyri¬
formis bulbaris ubergeht, dicht am Balkenknie zunachst ein wenig caudalwarts und erst dann im
Bogen frontal warts umbiegt. Typus 1 — 3 + 5 ist zellreicher als 7, besonders in der IV. Schicht.
Die Insel ist durch die Verbreiterung der I. Schicht, besonders aber durch die bedeutende Breite
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2 HISTOLOGISCHE lokalisation der grosshirnrinde. 477
und Dichtigkeit der VI. Schicht ausgezeichnet. Diese letztere weist besonders rechts eine An-
deutung der Teilung in 3 Unterschichten und der Ausbildung eines Claustrums auf. 51a besitzt
eine bedeutend breitere I. Schicht als 51b, wir finden aber in dessen Bereiche nur Spuren von der
VI. Schicht.
Tafel 2. Fig. 1. Frontalschnitt durch das Mausegehirn: 10 w, VergroGerung 30: 1. Die
vorderste Partie des Ammonishirnes ist getroffen. Auf dem BaJken liegt die stark ruckgebildete
Taenia tecta, welche lateral in die Regio retrosplenialis (29b und c) iibergeht. 29b besitzt
einen schmaleren Querschnitt und breitere I. Schicht als 29c. In beiden sind die II. und III.
Schicht verschmolzen und die IV. Schicht weit gegen die Oberflache zu verschoben. 17 ist in
seiner dorsaien Partie mit 29 vermengt. 18 zeichnet sich durch bedeutende Breite der I. Schicht
und schlecht ausgepragte Schichtung aus. 21 bildet eine isotypische Formation mit ziemlich
deutlicher IV. Schicht. In 13—16 tritt die 3. Teilung der VI. Schicht deutlich zum Vorschein.
Fig. 2. Weiter caudalwarts gelegener Schnitt der gleichen Serie wie Fig. 1 : 20 f* t VergroGerung
30:1. Voile Entwicklung des Ammonshornes und der Fascia dentata. Das Tuberculum olfac-
torium (Tol) ist in seiner hintersten Partie getroffen. Typus 20 besitzt eine weniger ausgebildete
Lamina granularis interna als 22 und 21. Die Regio retrosplenialis greift weit auf die laterale
Hemispharenflache uber. Typus 17 sehr zellreich, mit verbreiteter IV. Schicht und scharfem
Cbergang ins Mark.
Tafel 3. Fig. 1. Der Schnitt ist hinter dem Balkensplenium gefiihrt: 20 VergroGerung
30: 1. 29e besitzt eine breite IV. Schicht, welche gegen die Rindenoberflache verschoben ist.
Seine VI. Schicht geht ins Subiculum uber. 5 id zeichnet sich durch eine breite I. Schicht aus.
Die II. Schicht besteht aus stark gefarbten multiformen Zellen, die III. ist sehr locker gefiigt.
Die Amygdala (A) besteht aus einem regellosen Zellhaufen, in welchen 5id iibergeht. Fig. 2.
Weiter caudalwarts gelegener Schnitt durch das Mausegehirn: 20 fi, VergroGerung 30 : 1. An der
medialen Hemispharenflache das Feld 48 und 27 b. Sehr deutlich ist der Ubergang der VI. Schicht
von 27b ins Subiculum des Ammonshornes. GroGe Ausdehnung besitzen die Felder 35 und 28 a
und b. 36 ist relativ gut geschichtet, 35 besitzt eine breite I. Schicht, ist aber sonst fast unge-
schichtet. — Ganz ventral liegt die Amygdala. Fig. 3. Einer der caudalsten Schnitte: 20 /*,
VergroGerung 30:1. Dorso-lateral liegt die Area entorhinalis, welche dorsal mit 48 vermengt ist.
Medial liegt das Subiculum, dessen Ubergang in 28 durch 27 vermittelt ist.
Tafel 4. Ahnlicher Schnitt wie in Tafel 3, Fig. 2, bei 66facher VergroGerung.
Tafel 5. Fig. 1. Horizontalschnitt von der Maus: 10 /*, VergroGerung 30: 1. Area ento¬
rhinalis (28) mit ihrem Obergang in das Ammonshorn durch Vermittlung von 49 und 27. Das
Ammonshorn und die Fascia dentata in ihrer vollen Entwicklung. Frontal dringt die Area
praepyriformis bulbaris (51 g) in den Bulbus olfactorius ein. Das Hintereinander der postzentralen,
parietalen und tcmporalen Region kommt deutlich zum Vorschein. Fig. 2. Frontalschnitt durch
das Gehim des Maulwurfs dicht hinter dem Balkensplenium: 20//, VergroGerung 30: 1. Sehr
starke Entwicklung des Ammonshornes, dessen kurzes Subiculum die Verlangerung der VI. Schicht
des Feldes 29 bildet. Feld 30 geht ohne scharfe Grenze in die durch X bezeichnete Formation
iiber, welche die ruckgebildete Area striata darstellt. Besonders deutlich ist die Area ento¬
rhinalis (28) mit ihren 2 Unterfeldern (a und b) ausgebildet.
Tafel 6. Fig. 1. Frontalschnitt durch das Occipitalhim eines neugeborenen Meerschwein-
chens : 20/i, VergroGerung 30: 1. Die Schichtung ist besonders deutlich ausgepragt, viel deut¬
licher als im erwachsenen Zustande. Die retrospleniale Region besitzt eine sehr groGe Ausdehnung
und geht an der medialen Hemispharenflache ventral in 48 uber. Der Ubergang des Neopallium
ins Archipallium sehr deutlich durch die Verschmalerang des Gesamtquerschnittes, durch Ver-
breiterung von der I. und VI. Schicht und Auflosung der IV. Schicht im Bereiche von 28. Fig. 2.
Frontalschnitt durch das Meerschweinchengehirn: 20 ft, VergroGerung 30: 1. Die Inselformation
(13—16) ist durch eine vollkommene Claustrumbildung ausgezeichnet. Das Claustrum ver-
schmilzt ventralwarts mit der VI. Schicht. Typus 50 ist durch eine deutlichere Schichtung als
7 ausgezeichnet.
Tafel 7. Fig. 1. Frontalschnitt durch das Stirnhirn des Maulwurfs: 10 fi, VergroGerung
30: 1. Das Archipallium ist beinahe von derselbcn Ausdehnung wie das Neopallium. Die Insel¬
formation zeichnet sich durch eine groGe Breite der VI. Schicht und durch ihre deutliche Drei-
teilung aus. Eine IV. Schicht fehlt in ihrem Bereiche. Das Tuberculum olfactorium ist sehr groB,
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Journal f. Psychologic
nnd Neurologic.
478 DR. MAXIMILIAN ROSE.
ebenso das Feld 51 (a und b). Fig. 2. Mehr caudalwarts gelegener Schnitt: 20 /i, VcrgroBerung 30:1.
Die Dreiteilung der breiten V. Schicht ira Bereiche der Insel ist sehr deutlich; auBerdem besitzt
hier die Insel eine deutliche IV r . Schicht. 1 — 3 + 5+7 besitzt ebenfalls eine deutliche innere
Kornerschicht im Unterschiede von 44-6, wo die Komer nur vereinzelt liegen, dafur aber die
V. Schicht breit ist und groBe Pyramiden enthalt. Zwischen 51 b und a licgt 51 c.
Tafel 8. Fig. 1. Alls cinem Frontalschnitt durch ein Maulwurfsgchirn dicht hintcr dem
Balkenspleuium: 10 //, VcrgroBerung 66 : 1. Im Typus 29 ist die IV. Schicht stark gegen die
Oberflache zu verschoben. Die VI. Schicht von 29 geht kontinuierlich ins Subiculum des Ammons-
homes uber. Mit A' ist eine schmale Rinde bezeichnct, welche die zuriickgebildcte Area striata
darstellt. Die groBe tektonischc Vcrwandtschaft dieser Rinde mit 30 ist ohne weiteres zu beob-
achten. Fig. 2. Horizontalschnitt durch ein Maulwurfsgehirn: 20 /<, VergroBerung 66: 1. 1 — 3
+ 5+7 bildet eine isotypische Formation mit sehr deutlicher Schichtung; besonders deutlich
tritt die IV. Schicht hervor. Ziemlich scharf ist auch der Ubergang dieses Typus frontalwarts
in 13—16, caudalwarts in 20—22.
Tafel 9. Frontalschnitt durch das Gehirn des Maulwurfs: 20 /i, VergroBerung 66: 1. Die
Insel weist eine sehr breite VI. Schicht mit deutlicher Teilung in 3 Unterschichten auf; die
unterste bildet das Claustrum, welches aber nicht vollkommen abgcspaltet ist, wie z. B. beim
Meerschweinchen (Tafel 6 , Fig. 2 ). 1 3—16 besitzt auch eine deutliche IV. Schicht. 1 — 3 +5 +7
zeichnet sich durch eine schmalere Rinde, deutliche IV. Schicht und scharfes Absetzen gegen das
Mark ab. 51 b ist zellreicher als 51c, 51a besitzt eine sehr breite I. Schicht und ist sehr zellarm.
Tafel 10. Horizontalschnitt beim Maulwurf: iop, VergroBerung 66:1. Die Insel (13—16),
welche frontalwarts agranular, caudalwarts granular ist, geht am Frontalpol in eine Formation
(16 A') uber, welche eine auBerordentlich deutliche Dreiteilung der VI. Schicht aufweist. Die
3 Unterschichten von 1 b X gehen lateral in die 3 Unterschichten der VI. Schicht der Insel,
medial in die VT. Schicht des Feldes 32 iiber.
Tafel II. Horizontalschnitt durch das Gehirn des Maulwurfs: 20//, VergroBerung 66: 1.
28 b besitzt eine breitere Rinde und ist zellreicher als 28 a. Die Zellnester in der II. Schicht sind
deutlicher in 28 a. Die VI. Schicht von 27 geht kontinuierlich ins Subiculum uber. 36 besitzt
eine ziemlich deutliche I V. Schicht. Ammonshorn und Fascia dentata sind in ihrer vollen Aus-
dehnung.
Tafel 12. Fig. 1. Frontalschnitt durch das Stimhim der Spitzmaus: 20 jn t VergroBerung
66: 1. Die Taema tecta verlauft bogenformig unter 16 X. Die VI. Schicht von 16 X besteht aus
3 Unterschichten: einer dicht gefiigten kleinzelligen, einer unter ihr liegenden schmalen fast
zellenlosen Schicht und einer breiten aus weit auseinanderstehenden Zellen bestehenden Schicht.
13—16 ist in seiner vordersten Partie getroffen. 51b ist zellreicher als 51c. Das Archipallium
nimmt mehr als die Halfte des Hemispharenquerschnittes ein. Fig. 2. Mehr caudalwarts ge¬
legener Schnitt dicht vor dem Balkenknie: 20/<, VergroBerung 66:1. Die Insel ist in ihrer vollen
Entwicklung; die VI. Schicht nimmt in ihr fast die Halfte des Gesamtquerschnittes ein und zeigt
ebenfalls eine Dreiteilung, welche aber weniger deutlich als beim Maulwurf ist. Die 3 Unter¬
schichten der VI. Schicht von 16 X gehen kontinuierlich in die VI. Schicht von 13—16 uber.
Die Taema tecta ist sehr deutlich ausgepragt und schlieBt sich an die unterste Unterschicht der
VI. Schicht von 16 X an. Die Zellen des Septum pellucidum verlaufen in langen Reihen in dorso-
ventraler Richtung.
Tafel 13. Fig. 1. Horizontalschnitt durch das Gehirn der Spitzmaus: 20 fi, VergroBerung
66: 1. Sehr deutlicher Ubergang der 3 Unterschichten der VI. Schicht von 16 .X in die VI. Schicht
von 13—16. 1 — 3 + 5 + 7 ist schmaler und setzt sich scharfer gegen das Mark ab als 4 + 6.
Die Korner der IV. Schicht liegen ini — 3 + 5 + 7 ziemlich zerstreut oberhalb von der Lamina
ganglfonaris. In 28 deutliche Zellnester, welche in die I. Schicht hereinragen. Sehr starkc Ent¬
wicklung des Ammonshomes und der Fascia dentata. Das Subiculum des Ammonshomes geht
kontinuierlich in die VI. Schicht von 27 uber. Fig. 2. Mehr ventralwarts gelegener Schnitt:
10 fi, VergroBerung 66: 1. Die Taema tecta bildet einen deutlichen Gyrus uber dem Corpus
callosum. Die Area eutorhinalis reicht weit auf die laterale Hemispharenflache uber. Sonst
sind die Verhaltnisse unverandert.
Tafel 14. Horizontalschnitt durch das Gehirn der Spitzmaus: 10ft, VergroBerung 66: 1
Der Schnitt ist fast ausschlieBlich durch das Archipallium gefuhrt. Der Bulbus olfactorius ist
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ErJSSiiSiihift 2. histologische lokalisation der grosshirnrinde. 479
in seiner vollen Entwicklung. In sein Inneres ragt schlauchformig jene Rindenformation, welche
ich als Area praepyriformis bulbaris beschrieben habe, hinein. Die Area eutorhinalis (28 a und b)
nimmt fast die Halfte der lateralen Hemispharenperipherie ein.
Tafel 15. Fig. 1. Frontalschnitt durch das Stirnhirn der Spitzmaus: 20 /j, VergroBerung
30: 1. Die Taema tecta verlauft bogenformig zur Area praepyriformis bulbaris. Im lateralen
Teile von 51 g sind die frontalen Auslaufer von 51b und c. Das Tuberculum olfactorium (Tol)
ist an seinem vordersten Ende getroffen. Fig. 2. Mehr caudalwarts gelegener Schnitt von der
Spitzmaus: 20 fi, VergroBerung 30 : 1. Die Taema tecta umschreibt einen kleineren Bogen. Die
3 Unterschichten der VI. Schicht von 16 X gehen kontinuierlich in die VI. Schicht von 13—16
uber. Das Archipallium ist groBer als das Neopallium. Fig. 3. Noch weiter caudalwarts gelegener
Schnitt: 20 /<, VergroBerung 30: 1. Unterhalb von 16 X eine Zellansammlung, welche die hinterste
Kuppe der Ausbuchtung der Taenia tecta bildet. Die Taenia tecta selbst bildet einen deutlichen
Gyrus oberhalb vom Septum pellucidum. Fig. 4. Der Schnitt ist gerade vor dem Balkenknie
gelegen: 20 ft, VergroBerung 30 : 1. Die Insel (13—16) ist in voller Ausbildung. Die VI. Schicht
nimmt in ihr fast die Halfte des Gesamtquerschnittes ein und zeigt eine Teilung in 3 Unter¬
schichten. Diese 3 Unterschichten sind aber bedeutend deutlicher in 16 X. Die Zellen des
Septum pellucidum verlaufen in langen Reihen in dorso-ventraler Richtung. Fig. 5. Frontal¬
schnitt durch das hinterste Ende des Balkenspleniums der Spitzmaus: 10 VergroBerung 30: 1.
Sehr deutlich ist der Obergang des Taenia tecta in das Ammonshom. Area striata (17) stark
rfickgebildet: die IV. Schicht besteht aus ziemlich weit auseinanderstehenden Komern. Sonst
ist 17 zellreich, besitzt eine dicht geffigtc VI. Schicht und setzt sich scharf gegen das Mark ab.
Fig. 6. Frontalschnitt durch den Occipitalpol der Spitzmaus: 10 ft, VergroBerung 30: 1. Sehr
starke Entwicklung des Ammonshornes und der Fascia dentata. Die VI. Schicht von 29 geht
ins Subiculum des Ammonshornes fiber. 20—22 besitzt eine locker geffigte innere Kornerschicht,
ebenso 36.
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1 (Maus)
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
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(Mans)
Tafel 1
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ose, Histologische Legalisation.)
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Tafel 2,
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
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1 (Mans)
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(Maus)
Tafel 3
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Lichtdruck von Albert Frisch, Berlin \V.
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Tafel 4.
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
1 (Maus, Horizontalschnitt)
28 a
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Tafel 4.
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Lichtdruck von Albert Frisch Berlin VV.
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3
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2 (Maulwurf, Frontalschnitt)
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
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Lichtdruck v. A. Frisch, Berlin W.
1 (Meerschweinchen)
Tafel 6.
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
1 (Mauhvurf)
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Tafel 7.
44-6
! -3+5+’
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51b
2 (Maulwurf)
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(Rose, Histologische Lokalisation.)
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2 (Meerschweinchen)
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Journal f. Psychol, u. Neurol. 19. Bd. (Erganzungsheft.)
(Rose, Histologische Lokalisation.)
1 (Maulwurf)
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2 (Maulwurf)
Tafel T.
Lichtdruck von Albert Frisch, Berlin W.
13—16
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Journal f. Psychol, u. Neurol. 11). Bd. (Erganzungsheft.)
(Rose, Ilistologische Lokalisation.)
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Lichtdruck von Albert Frisch. Berlin W.
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Journal f. Psychol, u. Neurol. 19. Bd. (Erganzungsheft.)
(Rose, Histologische Localisation.)
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Lichtdruck jTufll Albert Frisch, Berlin W.
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Journal f. Psychol, u. Neurol. 19. Bd. (Erganzungsheft.)
(Rose, Histologische Lokalisation)
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Journal f. Psychol, u. Neurol. 10. Bd. (Erganzungsheft.,
(Rose, Histologische Lokalisation.)
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Tafel 11.
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Journal f. Psychol, u. Neurol. l‘K Bd. (Erganzungsheft.)
(Rose, Histologischc Lokalisation.)
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2 (Spitzmaus, Frontalschnitt 6(3: 1)
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Lichtdruck von Albert Frisch, Berlin W.
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1 (Spitzmaus, Horizontalschniit • >' > : ] (
Journal f. Psychol, u. Neurol. 19. Bd.
(Rose, Histologische Lokalisation.)
(Erganzungsheft.) *
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(Spitzmaus, Ilorizontalschnitt 6*3 : 1 i
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Lichtdruck von Albert Frisch, Berlin W.
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I
Journal f. Psychol, u. Neurol. 11). Bd. (ErganzungshefO
(Rose, Histologische Lokalisation.)
v.V*.V
Spitzmaus Horizontalschnitt 66 : 1
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