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Full text of "Naturgeschichte der Vögel deutschlands in getreuen Abbildungen und Beschreibungen"

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- NATURGESCHICHTE 


À EN 
Ke: 
GETREUEN ABBILDUNGEN UND BESCHREIBUNGEN, 
VON. 
IOHANN JEFOLF; 


4 DOKTOR DER PHILOSOPHIE, ERSTEM LEHRER AN. DER KNABEN-INDUSTRIE - SCHULE ALLHIER, 
| ORDENTLICHEM MITGLIEDE DER SOCIETÆT DER FORST - UND IAGDKUNDE 
ZU DREISSIGACKER, 


UND 


UND. 


Dr. BERNHARD MEYER, 


HOCHFÜRSTL. YSENBURGISCHEM HOFRATH, KORRESPONDIRENDEM MITGLIEDE DER NATURFORSCHENDEN 

GESELLSCHAFT ZU IENA, EHRENMITGLIEDE DER BOTANISCHEN GESELLSCHAFT ZU REGENSBURG, MIT- 

GLIEDE DER PHYSIKALISCHEN PRIVATGESELESCHAFT ZU GÖTTINGEN, UND ORDENTLICHEM MITGLIEDE 

Br: | DER PHYTOGRAPHISCHEN. GESELLSCHAFT EBEN DASELBST, EHRENMITGLIEDE DER SOCIETÆT DER FORST- 
Ab \ UND IAGDKUNDE ZU DREISSIGACKER UND MITGLIEDE DER DEPARTEMENTAL-SOCIÈTÆT DER 
ER 2 KÜNSTE UND. WISSENSCHAFTEN ZU MAINZ. | à 


HERAUSGEGEBEN 
NE A CU AN SOU UV EUR EL. A. GC 


VON 


_Tohann Friedrich Frauenholz. 


Non fingendum, aut excogitandum, sed yidendum, quid natura faciat, aut ferat. 


| NÜRNBERG 3805. 
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HEURE: 
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CHHuRE 


HISTOIRE NATURELLE 


DES 


ISEAUX 
DE LALLEMAGNE 


REPRESENTES D'APRÈS NATURE ET DECRITS 


PAR. 
ENT KO L-F, 


DOCTEUR EN: PHILOSOPHIE,. PREMIER INSTITUTEUR. À L'ÉCOLE D'INDUSTRIE POUR LES: GARCONS. 
À NUREMBERG ET MEMBRE ORDINAIRE DE LA SOCIETE. . FORESTIERE. 
DE. DREISSIGACKER,. 


ET PAR. 


LE DOCTEUR BERNARD MEYER, | 


CONSEILLER DE LA COUR DU PRINCE D'YSENBOURG, MEMBRE CORRESPONDANT DE LA SOCIÈTÉ DES 
NATURALISTES DE: IENA,. MEMBRE HONORAIRE DE LA SOCIÈTÉ BOTANIQUE DE: RATISBONNE, MEMBRE DE 
LA SOCIETE. PARTICULIÈRE. DE PHYSIQUE. ET DE LA SOCIETE PHYTOGRAPHIQUE DE GOTTINGUE, MEMBRE 
 HONORAIRE DE LA SOCIETE FORESTIERE DE DREISSIGACKER, ET MEMBRE DE LA SOCIETE. DEPAR- 
TEMENTALE DES ARTS ET DES SCIENCES À MAYENCE. 


PUBLIÉ À NUREMBERG 


PAR 


Pr Om AMD D ON 4 O0 LA 


Verzeichnils 


der Vögelarten, 


welche in dem ersten Bande der Vögel Deutsch- 
lands enthalten sind. 


Mi diesen 15 Heften machen wir der Ordnung, Uibersicht ; 
und Bequemlichkeit halber eine Abtheilung, die wir Band nen- 
nen wollen. Dieser erste Band, so wie der folgende, sind jedoch 
nur Scheinbände, weil wirkliche Theile oder Bände nur erst nach 
‚Vollendung des ganzen Werks gemacht werden können, daher 
wir wünschen, dafs die Besizer dieses ersten Bandes, solchen 
noch nicht binden lassen möchten, damit nicht durch das beym 
Schlufs des ganzen Werks, wo die Bände erst systematisch ge- 
ordnet werden können, vermülsigte nochmalige Binden und Be- 
schneiden, die Platten an Schönheit des Rands verlieren. 


i, HEFT. 

Der Uhu. Strix Bubo, Lin. Mas. Le duc, ou grand duc, 

Der Dorndreher. Lanius Spinitorquus. Bechstein. Mas et Fem. 
L’ecorcheur. 

Die Elster. ‚Corvus Pica. Linn. Mas. La pie. 


Der Kernbeisser. Loxia Coccothraustes. Lin, Mas je: Fem. Le ; 


grosbec. 
- Der Gimpel. Loxia Pyrrhula. Linn. Mas et Fem. Le bouv reuil. 
Die Kohlmeise. Parus maior. Linn, Mas et Fem. La grosse me- 
sange ou charbonnière, 


2. HEFT. 


Der Thurmfalke. Falco Tinnunculus. Linn, Mas, Fem, et Pullus. 
La cresserelle. 3, Tafeln. | 

Der Grünspecht. Picus viridis. Linn. Mas et Juvenis. Le pic- 
vert. 2. Tafeln. | 

Die Dohle. Corvus Monedula. Linn. Mas. Le choucas, 


3.- HEBT è 
Der Stokfalke. Falco palumbarius. Linn. Mas et Annuus. L’au- 
tour. 2. "Tafeln. : 


Der Pirol. Oriolus Galbula. Linn. Mas et Fem. 
"Tafeln. 


Das Rothschwänzchen. Motacilla Phoenicurus. Linn. Mas, Fem. 


et Hornotinus. Le rossignol de muraille. 
Die weifse Bachstelze. Motacilla alba. Lion. Mas? Tem, et Juv. 
La lavandière, 


4, HEFT. 


“ Die Lachtaube. Columba risoria. Linn. Mas. La tourterelle à 


+ 


collier. 
Der grofse Haubentaucher. Colymbus cristatus. Linn, Mas et 
Hornotinus, Le grèbe huppé. 


Le loriot. 2. 


Table 


des espèces d'oiseaux, 


contenus dans le premier volume de l'histoire des 
oiseaux de lPAllemagne, 


EL 


an faciliter l’appercu de l’ensemble et pour la plus grande 
commodité des lecteurs, nous formons de ces 15 cahiers une di- 
vision, que nous appelons volume. Cependant ce premier volu- 
me, ainsi que le suivant n’en auront pour le moment que lappa- 
rence, puisque les véritables parties ou volumes ne peuvent être 
Ainsi il sc- 
roit à désirer, que les possesseurs de cette partie s’abstinssent de 


formés, qu’apres la confection entière de l’ouvrage, 
> le) 


la faire relier pour qu’ à la fin de Pouvrage, où les volumes se- 
ront systématiquement arrangés les planches ne perdent rien de 
leur beauté, par une seconde reliure et la rognure des marges, 


Der Staar. Sturnus vulgaris. Linn. Mas et Hornotinus. L’&iour- 
neau, . 
‘Der Grünling. Loxia Chloris. Linn. Mas et Fem. Le verdier. 


‚Die Mauerschwalbe. Hirundo Apus. Linn, Mas et Hornot, Le 


marlinet, 
5. HEFT. 


Der aschgraue Kukuk. Cuculus canorus. Linn. Mas. Le coucou, 

Die Bisamente. Anas moschata, Linn. Mas et Fem. Le canard 
musque. 2. Fafeln, 

Der Häniling. Fringilla canabina et limota. Linn, Mas, Fem. et Juv, 
La linotte, 

Das Rothkehlchen, Motacilla Rubecula, Linn. Mas et Juy, La 


rouge- gorge. 


Die Ringeltaube. Columba Palumbus. Linn. Mas. Le ramier. 


GR ARLID ANNE, 


Der rauhfüfsige Kauz. Strix dasypus. Bechst. Mas et Fem, La 


choueite paltue. 2. Tafeln. 
Der Schwarzspecht. Picus martius. Linn. Mas. Le pic noir. 


“Der Buntspecht. Picus maior. Linn, Mas et Fem. Le pic varié, 
‚Der Buchfink. Fringilla coelebs. Linn- Mas et Fem. Le Pincon. 


Die Tannenmeise. Parus ater. Linn, Mas et Hornot, 
charbonnière, 


La petite 


7 HEFT, 


Der graue Würger, Lanius Exeubitor. Linn. Mas, Fem, et Pul- 
lus. La pie-grieche grise. 2. Tafeln. 

Die Nebelkrähe. Corvus Cronix, Linn, Mas. La corneille man 
telée. : 

Die Schneekrähe,, Coryus Pyrrhocorax, Lin, Fem. Le choucas 
des Alpes, 


/ Die rosenfarbige Drossel. 'Turdus roseus. Linn. Mas et Fem. Le 
merle couleur de rose. 
Ro 3 1 k 5 

Der Girliz. Loxia Serinus, Scopoli. Mas et Fem: Le serin. 


8 HEFT. 


Die kleine Ohreule. Sirix Scops. Linn. Mas. 
De Kreuzschnabel. 


Le petit duc. 
Loxia curvirostra. Linn. Mas adult. et au- 
D . Tafeln. 


nuus, Fem. et Variet. Le.bec croisé: 


Der Haussperling. Fringilla domestica. Linn. . Mas et Fem. Le 
moineau. 

Alpenschwalbe. Hirundo Melba. Linn, Mas. Le grand mar- 
tinet. 


Steinhuhn. Perdix saxatilis. Nobis. Mas. La bartavelle, 


g HEFT, 


/ Der Wendehals. Yunx torquilla. Linn. Mas. Le torcal. 
_ Die Schwarzdrossel. Turdus Merula. Linn. Mas et Fem. Le 
{ merle noir. ; 
‚‚ Der Goldamimer. Eimberiza Citrinella, Mas et Fem. Lebruant. 
‚ . Der Alpenflüevogel. Accentor alpinus. Mas et Fem. la fayette 
À des Alpes. 
Die rothköpfige Haübencnte. Anas rufñina. Mas et Fem. Le 
| canard siflieur huppe. 2. Tafeln. 
; 10; "TEE RM 
.; Der Europäische Bienenfresser. Merops apiaster. Mas. Le gu£pier. 
; Die gelbe Bachstelze. Motacilla flaya. Mas, Fem. et Juv. La 
bergeronette du printems. 
Der Zitronenfink. Fringilla Citrinella, Nobis. Mas.et Fem.. Rei 
citronelle. 
Beutelmeise. Parus pendulinus. Mas et Fem. La mesange 


, Die 
x de Pologne. 

Der Wachtelkônig. Crex'pratensis. Mas. ‘Le roi des cailles. 

./ Der gehäubte Kiebiz. Vanellus cristatus. Nobis-Mas. Le vanneau, 


HEFT 


14 
Der Sperber. Falco Nisus: Mas. 
Fem. 
Juvenis 


2 ze En L’épervier. 


una 


= 0 


Der weilsrückige Specht. Picus Jeuconotos. Nobis, Mas. 
Fem, Le pie 


pen: — — — — — == 


a manteau. blanc. 
Die Krausentaube. Columba domestica turbida, Mas. Le pigeon 


cravatte. 


Y Die mittlere Ohreule. Strix Otus. Lin. Mas. 


22. -H BE 


f 


Le moyen duc, ou 
hibou. 


47 Die junge mittlere Ohreule. Juvenis. 


‚/ Die Feldlerche. Alauda arvensis, Linn. Mas et Fem. Valouette. | 


Der Fichtenkernbeifser. Loxia Enucleator. Linn. Mas et Fem. 
. Le gros bec du Canada. 3 


“Der Schneeammer. Emberiza nivalis, Lin. Mas, Fem. et Juvenis. 


. Dia aschgraue Ente. 


L’ortolan de neige. 


Anas cinerascens. Bechstein. Fem. Le ca- 


nard gris-cendré. 


HEFT. 


15. 
Die graue Lumme. Uria Troile. Latham, Mas adultus. Le guil- 


lemot. 
Fem. 


- Die schwarze Lumme. Uria Grylle, Latham. Femina adulta. Le 


petit gullemot noir. 


u — es u — 


— Mas juvenis. 

‚Das grünfüfsige Meerhuhn. Gallinula Chloropus. Latham. Mas. 
La poule d’eau, 

Das junge srünfüfsige Meerhuhn. Juvenis. La poule d’eau j jeune. 


14. FB EE 


Der weifsköpfige Geieradler. Der Bartgeieradler. Gypactus bar- 


batus. Sonnini. Mas. Le vautour doré. 
Der Mäusefalke. Falco buteo. Linn. Mas. La buse. 
L' es — —, _ Femina. 
sa am — — _— Juvenis. 
Der weifslichs Bufsard. Falco albidus. Gmel. Linn. Fem. Va- 
v rielas.. ZL’&merillon de la Caroline. 


- Die graue Grasmücke, Der fahle Sänger. Sylvia einerea. Bech- 


stein. Mas ei Femina. La fauyelie grise. 


ia T. ; 


Die Steinkrähe. Corvus Graculus. Linn. Le coracias. 


y Der 


Der Nushiher, der Tannenhäher. Corvus Caryocatactes. Linn, 


Mas. Le casse-noix, 
Der rothhalsige Wassertreter. T'ringa hyperborea. Mas, Fem. et 
Juvenis. Le Fhalarope cendré. 
; Der weifsstirnige Regenpfeifer. Charadrius albifrons. Nobis. Mas 
etFem. Le pluvier à front blanc. 
kleine Regenpfeifer. Charadrius minor. Nobis. Mas et Fem, 
Le petit pluvier. 
Der Halsbandregenpfeifer. Charadrius Hiaticula. Lin, Mas, Fem. 


et Juv. Le pluvier à collier, 


F 


Wen man in Rüksicht auf die Naturgeschichte einen Zeitraum von etwa drei Jahrzehnden übersieht; so erstaunt man, welche 
mächtige Fortschritte diese Wissenschaft, besonders aber in der lezten Hälfte dieser Reihe von Jahren gemacht hat, und zu welchem 
Grade von Vollkommenheit sie empor gestiegen ist, Eine kurze Vergleichung ihres ehemaligen Zustandes mit dem heutigen, wird 
diese Behauptung- sßschaulicher machen. War diese Wissenschaft sonst mit Irrthümern und Aberglauben angefüllt; so gieng man 
wohl nie mehr als iezt, darauf aus, sie davon zu reinigen. VWVar man ehemals mehr auf das \Vunderbare, Auffallende und Seltene 
aufmerksam; so achtet man iezt mehr überhaupt auf die Eigenschaften, welehe organisirte und unorganisirte Körper an sich haben: 
der Forschungsgeist dringt tiefer in sie ein, und mancher Naturforscher scheuet weder Zeit, noch Kosten, noch Mühe, die oft 
geheimen Verrichtungen mancher Geschöpfe zu belauschen, sie genauer kennen zu lernen und darnach ihren, obgleich nur rela- 


tiven, Nutzen und Schaden bestimmen zu können. 


Schäzte man sonst die ausländischen Naturkörper mehr als die inländischen, urigeachtet die Kenntnis der erstern, (da iene 
Naturerzeugnisse gewöhnlich von ihrem Geburtsorte entfernt und in andere Erdtheile versendet, öfters nur Theile eines Ganzen 
waren,) mangelhaft blieb, und wurde darüber die Kenntnis der inländischen uns mäher angehenden, weniger geachtet; so hat sich 


unser gegenwärtiges Zeitalter von diesem Vorwurf gewifs auch frei gemacht. 


Stellte man vorzeiten Gatiungen und Arten zusammen, welehe die Natur trennte; so lassen sich es im Gegentheil unsere 
gröfsten Naturforscher angelegen sein, die Naturkörper so zu ordnen, wie sie ihre Schöpferin die Natur, selbst zusammen gestellt 


zu haben scheint. 


War diese Wissenschaft sonst ein Eigenthum der Gelehrten, hüllle man sie in eine Sprache ein, welche iedem, der nicht 
mit ihr vertraut war, den Zugang zu dieser so angenehmen und nüzlichen W Re ct versperrte: waren die Hülfsmittel, sie zu 
erlernen, z. B. Naturalienkabmette, getreue Abbildungen, Menagerien etc. selten, kostbar, oder der Zutritt zu denselben nur we- 
nigen vergönnt; so lehrt uns nun die Erfahrung, dafs man die Naturgeschichte in eine gemein verständliche einnehmendere Sprache 
abgefalst, das Wissensnöthigste und Wissenswürdigste ausgehoben und unter alle Stände zu verbreiten und ihren Nutzen allgemeiner 


zu machen gesucht habe: dafs ferner die Anzahl geireuer Abbildungen weit größser, und kleinere und beträchtlichere Naturalien- 


sammlungen aus allen Fächern häufiger und weniger kostbar sind, 


© Rechnet man endlich noch hinzu, dafs an vielen Orten in Deutschland mehrere naturforschende Gesellschaften, und hie und 

da einige Forst- und Jagd-Institute errichtet worden: ferner, dafs sich eine grofse Anzahl eïnsichisvoller und scharfsichtiger Männer, “ 
= 4 h Ê F: R R | : ne . rs ; 

deren Namennennung hier zu viel Platz einnehmen würde, mit dieser Wissenschaft beschäfliget; so hat man in Rüksicht auf die- 


selbe die angenehmsten Aussichten zu erwarten. 


Soyiel nun aber auch in unsern Zeiten geleistet worden ist; so zeügte es doch von Kurzsichtigkeit, wenm man behaupten 


wollte, dafs nun nichis mehr zu thun übrig sei. Männer, welche mit der Natur vertraut sind, werden gewifs mit uns einverstanden 


sein, dafs es noch viele-tausend Gegenstände in der Natur gibt, deren genaue Kenninifs für uns ein Geheimnis ist, vielleicht auch 
« x : : 
-bleibt: dafs wir viele Körper, weiche wir sehr gut zu kennen glauben, doch oft kaum halb kennen, und dafs es uns noch sogar 


jan manchen Hülfsmitteln fehlt, durch deren Besiz wir zur eigentlichen Kenntnis der Körper selbst gelangen. 


(a) 


— 1 —. . 
Ohne dafs wir uns auf alle Hülfsmittel in allen Fächern der Naturgeschichte einlassen, wollen wir nur bei der Vögelkunde 
stehen bleiben. 


. , ere F . 7 1 a “ LE A mn % \ 5 ; . . à . 4 
Bis iezt haben wir nur ein Werk, welches die deutschen Vögel in Abbildungen darstellt, das Frischische (*). Dieses enthält 

aber ‘weder alle deutschen Vögel, noch kann man von den meisten Abbildungen sagen, dafs sie mit vollkommener Treue der Natur 
. ‘ H% N . N AA re due £ % N x ' = > ce 

nachgebildet sind (**). 'Wir hoflem daher, keine unverdienstliche Arbeit unternommen zu haben, wenn wir eine neue Sammlung 


naturgetreuer Abbildungen und Beschreibungen veranstalten uhd sie nach folgendem Plan einrichten: 


1.) Sie enthält ausser den wilden, auch noch dieienigen zahmen Vögel, welche ohne besondere künstliche Wartung bei uns 


im Freien leben und daseibst brüten. 


2.) Was die Abbildungen betrift, so werden wir nie schon vorhandene Zeichnungen nachbilden lassen, sondern uns alle Mühe 
geben, lauter natürliche, wo möglich frisch geschossene oder gefangene Muster zur Zeichnung herbei zu schaffen, und nur alsdann 


zu gut ausgestopften unsere Zuflucht nehmen, wenn es uns schlechterdings unmöglich wird, erstere zu bekommen. 


5.) Die Abbildungen folgen in keiner systematischen Ordnung auf einander, theils, weil es uns unmöglich ist, zu ieder Jahrs- 
zeit brauchbare und natürliche Muster zu erhalten, theils, weil verschiedene Arten aus verschiedenen Gattungen dem Auge eine 
grôfsere Mannigfaltigkeit gewähren. Damit aber die Liebhaber nach V ollenduug des Werks die Blätter nach ihrer eignen Willkühr 
ordnen können; so denken wir ihren Wunsch auch dadurch zu befriedigen, dafs die Abdrücke mit keiner Seitenzahl versehen und 


keine zwei völlig unvereinbare aus zweierlei Gattungen genommene, Arten auf ein und dasselbe Blatt gestellet werden sollen. 


4.) Zur genauen Kenntnis der Arten werden wir meistentheils Männchen und WYeibchen, und zuweilen auch [unge abbilden 


lassen. Die Weibchen bleiben nur alsdann weg, wenn sie dem Männchen fast völlig ähnlich sind, 


5.) Soll der Vogel, so oft:es sich und ohne Zwang thun lälst, so gestellet werden, dafs seine meisten charakteristischen Kenn- 


zeichen -in die Augen fallen und mit den in der Beschreibung befindlichen, ihn unterscheidenden, Merkmalen verglichen werden kann, ° 


} 
6.) Wir werden, so viel nur immer möglich ist, und das Papierformat es erlaubt, die Vögel in ihrer natürlichen Gröfse ab- 


bilden lassen; wo dieses nicht geschehen kann, soll iedesmal das Verhältnis der Abbildung zu der Lebensgröfse genau angegeben werden. 


7.) Iede Art wird mit dem lat. systematischen und deutschen Namen auf dem untern 'Theil des Blattes bezeichnet, welcher dem 


in der dabei befindlichen Dany genau entspricht. 


8) Der die Abbildungen begleitende ‘Text enthält in gedrängter Kürze die ganze Naturgeschichte der abgebildeten Vögel. 
Nach Vollendung des Werks folgt ein ausführlicherer, nach irgend einem guten System bearbeiteter Text, der alle bis dahin aufs 
neue gemachten Beobachtungen und Berichtigungen, und ein zur Erleichterung der Uebersicht, systematisch-tabellarisch geordnetes 


Verzeichnis der abgebildeten und beschriebenen Vögel in sich fafst, welches zugleich als Register gebraucht werden kann. 


Ob nun gleich Bechstein, Goeze, Naumann und mehrere Naturforscher unsere Beobachtungen durch die ihrigen schon selbst 
sehr begrenzt haben; so wird man doch finden, dafs wir nicht nur nicht geradehin abschrieben, sondern, dafs wir auch Flinte und 


das anatomische Messer in der Hand hatten. 


Wir wünschen nichts mehr, als dafs wir etwas zur Vervollkommnung der Naturgeschichte der deutschen Vögel beitragen und 


den Beifall der Kenner erhalten mögen! ' 


Nürnberg und Offenbach im Lenzmonat 1804. 


Die Verfasser. 


(*) Ioh. Leonh. Frisch Vorftellung der Vögel in Deutschland. Berlin. 1733—1763. 
(*) Ausser diesem erschienen noch zwei Werke von deutschen Vögeln: 
1) Teutsche Ornithologie oder Naturgeschichte aller Vögel Teutschlands, in naturgetreuen Abbildungen und Beschreibungen. Herausgegeben, von 


Borkhausen, Lichthammer etc. Wird noch fortgesezt. 
-2) I. A. Naumanns ausführliche Beschreibung aller Wald- Feld- und Wasservögel, ‘welche sich in den Anhaltischen Fürstenthümern und eini- 


gen umliegenden Gegenden aufhalten und durchziehen. 


ES Em 


AYANT-PROPOS 


S: lorsqu'on considere l’histoire naturelle, on jette un coup d’oeil rétrograde sur les trente dernières années, on est étonné des 
progrès considérables, qu’a fait cette Science surtout dans Ja dernière moitié de cetie période et du degré de perfection au quel elle 
a été portée: Un parallele succint de ce qu’elle étoit autrefois, avec son état actuel donnera plus d’evidence à cette assertion. Si 
cette science étoit jadis souillée d’erreurs et de contes ridicules, aujourd'hui lon s’occupe plus que jamais à l’en purger. Si l’on 
donnoit jadis plus d'attention à des faits rares, singuliers, merveilleux, on s'arrête maintenant d'avantage aux qualités, qui constituent 
les corps organisés et non organisés; Vesprit de recherche les pénétre pour ainsi dire et tel naturaliste n’epargne ni tems, ni soins, 
mi dépenses pour épier les ouvrages de la Nature dans leurs plus secréttes opérations, afin d’en acquérir une connoissance plus exacte 


et de déterminer ce q’uils ont d’utile, ou de nuisible relativement à nous, 


Autrefois on domnoit la préférence aux productions naturelles de l'étranger sur les nationales, malgré la difficulté d’avoir une 
connoissance exacte des premières, qui étant arrachées à leur sol natal et envoyées dans des pays éloignés arrivoient souvent mutilées, 
ou par fragment: on negligeoit pour elles l'étude des espèces indigènes et de celles qui nous touchent de plus près. C'est un re- 


proche, qu’on ne peut plus faire au tems, ou nous vivons, 


Nos anctres associoient des genres et des espèces que la Nature a sepärds, au lieu que nos plus grands naturalistes s’effor 
cent au contraire à ranger les productions de la Nature dans le même ordre, que celle puissance créatrice semble avoir suivi. Jadis 
cette science dont l’utilité et P’agrement sont reconnus étoit enveloppée d’un idiome rebutant, qui en defendeit l'accès au vulgaire, et 
qui en faisoit le domaine exclusif du savant de profession. Les moyens d’y être initié, tels que les cabinets d’histoire naturelle, les 
copies fidéles, les ménageriés etc. étoicht rares et l’entrée en éfoit dispendieuse, ou m’etoit permise, qu’au pelit nombre, De nos jours 
tous ces obstacles ont cessé, nous avons vü l’histoire de la Nature emprunter un langage plus attrayant et plus à la portée de tout 
le monde, et ce qwelle renferme de plus nécessaire et de plus avantageux se propager parmi toutes les classes par des abrégés 
qui en rendoient l'utilité plus générale. Enfin nous voyons tous les jours, le nombre des copies fidéles se multiplier et les colle- 
ctions tant petites, que grandes dans les trois regnes devenir plus nombreuses et moins dispendieuses. 

Qu'on ajoute à tout cela les sociétés d'histoire naturelle, établies dans plusieurs endroits de Y’Allemagne, les instituts pour 
Fadministration des forêts et les écoles de chasse, qui se sont formés dans d’autres; qu'on considére en outre cette quantité d’hom- 
mes éclairés et doués de pénétration, dont il séroit trop long de faire l’énumeration et qui s'occupent séricusement de celte science 


et l’on concevra les brillantes espérances, que nous avons pour Pavenir. 


Mais quelque considérables que soyent les progrès faits de nos jours dans cette science, quel seroit l’esprit assès borné por 
prétendre, qu'il ne reste plus rien à faire dans cette carrière? Tous les hommes versés dans l’histoire de la Nature conviennent, 
qu’elle offre encore des milliers d'objets, dont la connoissance parfaite est, et restera peut-être toujours un mistère pour nous, qu’une 
foule de corps dont noüs croyons avoir pénétré la substance, sont encore à moitié cachés pour nous, et que nous manquons meme 


de certains moyens riécessaires pour parvenir à une connoissance exacte des corps. à 
Sans entrer dans les détails de tous les secours, qui appartiennent également aux différentes parties de l’histoire naturelle; 
nous ne parlerons ici que de ceux, qui facilitent l'étude de l’ornitologie. Jusques ici nous n’avons qu'un seul ouvrage, ou soyent 


12 < e : . + ni . 4 [4 . . La 
représentés les oiscaux de l'Allemagne, c’est celui de Frisch (*). Mais d’un côté cet ouvrage ne contient point tous les oiseaux de 


() Joh. Leonh. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland, Berlin 1733—1763. [Représentation des oiseaux eu Allemagne par 
J, L. Frisch, à Berlin 1733—1763. 
(b) 


2 ANNE 


; , D GUN à NE Es \er ce, . armer 

PAllemagne, de l’autre il faut convenir, que la plupart des figures ne sont pas dessinées avec toute l'exactitude et la fidélité qu'on 
PETER En. \ 

desireroit (**). Nous osons donc nous flatter, qu’en entreprennant un ouvrage, qui offrira une nouvelle collection de figures dessi- 

nées d’après Nature et avec fidelité et accompagnées d’un texte analogue, nous n’aurons pas mal merité de la science. Voici en 


peu de mots le plan, que nous suivrons: 
4 


1. Notre ouvrage contiendra outre les oiseaux sauvages de l'Allemagne, les espèces privées, qui vivent et se multiplient chez 


nous en plein air et sans les secours de l’art. 


2. Pour'ce qui regarde les figures, nous nous sommes fait une loi, de ne donner jamais de copies de gravures déja existan- 
£ . ’ FE . x Re ._ . r » he + T 
tes mais d’avoir soin de nous procurer des originaux, ou vıyans, ou tués tout recemment, pour les faire dessiner et de n'avoir 


recours aux oiseaux empaillés, que lorsqu'il nous sera impossible de les avoir dans l’état naturel. 


3. Nous ne nous sommes point asireint à l’ordre systèmatique pour les figures d’un côté, par ce qu’il n’est pas possible de 
se procurer dans chaque saison des originaux instructifs et dans l’état naturel; de l’autre, parceque l'oeil est agréablement flatté 
par la variété, que lui présentent des espèces différentes, prises de genres différens. Cepandant pour laisser aux amateurs la liberté 
de pouvoir ranger les gravures à volonté, lorsque tout ouvrage aura paru, nous nous somines décidés, à ne point les numeroier, 


et à ne jamais représenter sur la même planche deux espèces de familles trop différentes, pour pouvoir aller ensemble. 


4. Pour donner une connoïissance exacte des espèces, nous ferons dessiner pour lordinaire le mäle et la femelle et quelque 


fois aussi les petits. Cependant si la femelle ressemble parfaitement au mâle, nous nous dispenserons d’en donner la figure, 


LE = 
5. Nous aurons soin, toutes les fois que cela pourra se faire sans incohyenient, que l’oiseau soit représenté dans l'attitude, 
qui fait le mieux ressortir ses caractères spécifiques ct distinctifs, de manière qu'on puisse les comparer avec ceux, qu’on trouve 


' dans la description. 


6. Nos figures d’oiseaux seront toutes en grandeur naturelle, A moins que le format du papier ne le permette pas. Dans ce 


cas on ne manquera pas d’indiquer très exactement la proportion de la figure de la planche avec loriginal. 


N 


7. Chaque espèce se trouvera designée au bas de la planche, qui le représente par le nom-systematique latin et le nom alle- 


mand qui repondent exactement a celui, qu’on trouve dans le texte. 


8. Le texte, qui accompagne les gravures, contiendra en abrégé toute l’histoire naturelle des oiseaux, qu’elles représentent, 
A la fin de l'ouvrage on trouvera un texte plus étendu, travaillé d’après l’un des systèms d’ornithologie les plus accredités. Ce texte 
qui contiendra outre les observations et les rectifications postérieures à notre annonce, la liste en forme de tabelle systématique de 
tous les oiseaux figures et decrits dans cet ouvrage, liste destinée, à en faciliter lappercu, pourra aussi servir de régistre. 


\ 


Quoique les observations de Bechstein, de Goeze, de Naumann et de plusieurs autres naturalistes ayent deja considérablement 


reserré le champ des notres, on trouvera.cependant, que loin de les copier servilement, nous avons su voir par nous mêmes et 


employer aussi bien qu'eux le fusil et le scalpel. 


Du reste notre voeu le plus ardent en publiant cet ouvrage c’est, de contribuer à perfectionner l'étude et la connoissance 


des oiseaux de l’Allemagne et de mériter par là le suffrage des connoïsseurs. 


Nuremberg et Offenbach. May 1804. 
Les Auteurs. 


£*) Outre cet ouvrage il y en a encore deux autres sur les oiseaux de l'Allemagne. 

1. Deutsche Ornithologie oder Naturgeschichte aller Vögel Deutschlands, in naturgetreuen Abbildungen und Be 
schreibungen, herausgegeben von Borckhausen, Lichthammer etc. [Ornithologie allemande ou histoire de tous les oiseaux 
de l'Allemagne avec figures et déscriptions faites d’après Nature, publiées par Borckhausen, Lichthammer etc. cet ouvrage se continue] 

2. 1. A. Naumann® ausführliche Beschreibung aller Wald- Feld- und Wasservôgel, welche sich in Anhaltischen 
Fürstenthümern und einigen umliegenden Gegenden aufhalten und durchziehen. [Description detaillée de tous les 


“ 


oiseaux terrestres et aquatiques, qui habitent dans la principaute d’Anhalt et dans quelques contrées voisines, ou que l’on y voit dans leur 


passage, par I. À. Naumann.] 


DER UHU. 


Buhu. Schubut. Schuffut‘ Huhuy. Puhuy. 
Berghu. Schubuteule. Grofse Horneule. 

Strix Bubo. Linn. syst. nat. pag. 131. 

Strix Bubo. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I, 286. n. 1. 

The Eagle-owl. Penn. 

Le Duc, ou grand Duc. Bufl. 

Der Schuffut oder Uhu. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschlands. 
Tab. 93. 

Grofse Ohreule oder Uhu. 

5.47. N. 


Schuhu. Huo, Hub. 


Bechst. ornith. Taschenbuch, Th. T. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Der Körper rothgelb und schwarz g@flekt; die Federohren dik 
und meist schwarz. 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel stark gebogen, an der Wurzel breit, schwarzblau; 
Wachshaut schwarzgrau; Augenstern hellgelh oder orangegelb; 
Scheitel schwarz, rostfarben gerandet; Federohren mit sechs 
schwarzen und rostgelb gerandeten Federn; Schnabelwurzel mit 
einer Reihe steifer, weifser, an der Spitze schwarzen Feder- 
chen; Backenfedern hell rostfarben; Kehle weifslich; Brust und 
Bauch rothgelb, erstere mit grofsen, länglichen, lezterer mit 
in die Queere mehrmals durchschnittenen, schwarzen Flecken; 
Rücken rostgelb, stark schwarz geflekt und hell rostfarbig ge- 
sprenkelt; obere Flügeldekfedern schwarzbraun, röthlichgelb 
und schwarzbraun besprizt; Schwungfedern erreichen drei Vier- 
theile des Schwanzes, sind röthlichgelb, mit sieben dunkelbrau- 
nen Bändern; Schwanz gerade herunter hängend, röthlichgelb , 
mit neun schwarzbraunen Binden, an den Spitzen dunkelbraun 
besprengt; Füfse bis an die Zehen mit rostbräunlichen und fein 
in die Queere gestreiften weichen Federn besezt; Nägel bläu- 
lichschwarz, stark gekrümmt, 
Die Abbildung ist ungefähr um den halben Theil verkleinert. 


Länge 2 Fufs; Breite über 5 Fuß. 


Das Weibchen soll sich vom Männchen durch den Mangel 


des weilsen Fleks an der Kehle und durch die dunklere Zeichnung 
auf den Flügeln und am Schwanze unterscheiden. 
AUFENTHALT. 

Diese Eule ist ein Standvogel und wohnt auf waldigen Ge- 
birgen, in alten wüsten Bergschlössern ‚und an felsigen Ufern. 
Ausser Deutschland und den übrigen Ländern von Europa findet 
inan sie auch in Süd- und Nordamerika, und Afrika, 

EIGENSCHAFTEN. 

Sie kann das "Tageslicht mehr als andere Eulen ertragen, 

fliegt daher auch öfters beim Tage, wenn sie einen Menschen ge- 


“wahr wird, auf, und niedrig zwischen den Bäumen hindurch, ohne 


LE DUC, OU GRAND DUC. 


Schuhu. DBuhu. Schubut. Schufut. Huhuy. Puhuy. Huo. Hub. 

Berghu, Schubuteule. grofse Horneule. 

Strix Bubo. Linn. Sist. nat. pag. 131. 

Strix Bubo. Gmel. Linn. Sist. nat. T. I. p. 286. n. 1. 

The Eagle-owl. Penn. 

Le Duc, ou grand Duc. Buf. 

Der Schuffut oder Uhu. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschlands, 
Tab. 93. 

Grofse Ohreule oder Uhu. 


8, 47. ar. 1, 


Bechst. ornith. Taschenbuch, Th. I, 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


Le corps tacheté de jaune - rouge et de noir. Les oreilles à 
plumes touflues et noïres pour lordinaire. 


DESCRIPTION. 


Le bec fortement courbé, large à son origine, bleu noir; la 
membrane de la base gris-noir; la prunelle de Poeil jauneclair, 
ou orange; le sommet de la tete noir avec un lisérè couleur de 
rouille; les plumes des oreilles au nombre de six noires, li- 
sérées en jaune de rouille; à la base du bec un rang de petites plu- 
mes roides, blanches, avec la pointe noire, les plumes des joues 
reuille-clair; le jabot blanchätre, la poitrine et le ventre jaune- 
rouge; Jun et l'autre bordé de taches noires, qui sont larges et 
longuetudinales, dans la première de ces parties, maïs coupées 
transversalement et à plusieurs reprises dans la seconde, le man- 
teau jaune - rouge, entremélé de grosses taches noires et de quel- 
ques autres couleur de rouille-clair. Les couvertures supérieures 
des ailes sont brun-noir, tachetées de jaune-rougeätre et de brun 
foncé. Les pennes des ailes se prolongent, jusqu'aux trois quarts 
de la queue et sont d’un jaune-rougeätre avec sept bandes brun 
foncé , la queue pendante en bas d’un jaune -rougeitre ‘ornée de 
neuf bandes noires foncées et tachetées à leur extrémité de brun 
foncé. Les jambes garnies jusqu'aux serrés de plumes mêlées d’un 
brun de rouille et ornées de petites rayes:transversales trüs! déli- 
cates; les serres fortes et.courbées d’un.bleu tirant sur le noir. 


La figure est environ la moitié de la grandeur de original. 
Longueur 2 pieds; envergure plus de 5 pieds. dc 
La femelle se distingue du mâle en ce qu’elle n’a point comme 


lui la tache blanche au jabot, et que son plumage soit aux ailes 
soit à la queue est plus foncé. 


PATRIE 


Cetie espèce de hibou est un oiseau sédentaire, qui habite les 
montagnes couvertes de forets, les vieux chateaux ruinés, et les 
rivages rocailleux. On le trouve non seulement en Allemagne et 
dans les autres contrées de l’Europe, mais encore dans Amerique 


septentrionale et méridionale et en Afrique, 
QUALITES. 
Il suporte mieux la lumière du jour, que les autres hiboux, 


aussi le voit on souvent même de jour, lorsqu'il apperçoit un 
homme, voler entre les arbres en haut, en bas, dans toutes les 


(A) 


anzustossen. Des Abends schwingt sie sich aber auch sehir hoch 
in die Luft. Ihr Geschrei Uhu, Puhu, das sie bei der Nacht hö- 
ren läfst, ist stark und fürchterlich, und gleicht in der Begattungs- 
zeit einem starken Jauchzen. Ihre Stärke ist so grofs, dafs sie 
sich auch an den Adler wagt. Mit den Falken und Krähen lebt 
sie in beständigem Streit. Gezähmt macht sie die wunderlichsten 
Gebärden, knakt mit dem Schnabel, winkt mit den Augenliedern, 
bläfst wie eine Katze, sträubt alle Federn in die Höhe, bewegt 
ihre Füfse und Zehen, und dreht ihren Kopf mit einer grofsen 
Schnelligkeit bald nach hinten, bald nach vorne. Ihre 


NAHRUNG 
‘besteht aus verschiedenen Mäusen, Maulwürfen, Fledermäusen, 
ungen Hirsch - und Rehkälbern, Hasen, verschiedenen Hünern 
und Enten, Schlangen, Kröten, Mai- Mistkäfern und Schrötern, 
die sie so wohl bei Tage als auch in der Abend - und Morgen- 
dämmerung überfällt. Kleine Thiere verschlukt sie ganz. Nach 
vier und zwanzig Stunden brieht sie Federn, Haare und die vom 
‚Fleische entblöfsten Knochen in einem Ballen wieder von sich, 
FORTPFLANZUNG. 

Thr Begattungstrieb regt sich gegen das Ende des Märzes. Das 
Weibchen legt gewöhnlich zwei, selten drei, weils gesprenkelte 
oder auch weifse Eier, die etwas gröfser als Hünereier, fast rund 
sind, und in 14 "Tagen bis 5 Wochen ausgebrütet werden. Das 


Nest besteht aus Blättern und biegsamen Reiser. 


NUTZEN 
bringt sie theils dadurch, dafs sie Insekten frifst, theils dafs man 
sie auf Krähenhütten zum Herbeilocken der Krähen und anderer 
. Vögel gebrauchen kann, Ihr 
SCHADEN 
ist besonders dann merklich, wenn sie Iunge hat und das Wild- 
pret anfällt. 
| FEINDE 
hat sie an den Adlern und Weïhen, Krähen und vielen kleinen 
Vögeln. In ihren Gedärmen fanden wir ein Bündel Bandwürmer 


aus der Gattung’ Trichocephalus; ebeï so auch eimige Rundwürmer. 


nee 1AGD UND FANG. 
Man erschleieht sie-mit der Flinte. 
VERSCHIEDENHEITEN 

“Finden sıch in Deutschland von dieser Eule nicht. Ausserhalb 
desselben sind bekannt 
| 1) Strix Bubo atheniensis. 

2) Strix Bubo pedibus nudis. 
ö 5) Strix Bubo magellanica. 

4) Strix Bubo Caput bonae spéi. 

"ANMERKUNG. 

Sue man in den ornithologischen Systemen bei den Unter- 
scheidunrsrtärkmalen der Eulengatiung einen Mangel der Wachs- 
haut angibt, sehen wir nicht ein. Die Eulen haben so gut eine 

"Wachshaut als die Falken, nur ist sie wegen der Borstenfedern , 
welchegewôhnlich an der Wurzel des Schnabels stehen und den- 
selben gröstentheils verbergen, nicht eher: sichtbar als'bis man die 


Borstenfedern aufhebt 


— 


direetions, sans jamais se heurter contre les branches. Le soir il 
s’eleve dans Pair à une assès grande hauteur. Son cri Uhu Puhu 
qu’il fait entendre pendant la nuit est aussi fort qu’il est effrayant, 
a l'epoque de l'accouplement il a l’eclat d’un cri de joye. Cet 
oiseau est si fort, qu'il ne craint pas de se mesurer avec l'aigle. 
Ï est continuellement en guerre avec les faucons ét les corneilles, 
Apprivoise il fait les plus droles de -simagrees; il fait claquer son 
bec, il cligniote des paupières, il fait le rouet comme un chat, il 
dresse toutes ses plumes em air, remiûe sans cesse les pieds et les 
serres, et fait pirouetter sa tête soit en avant soit en arrière avec 
une graıtde vitesse. 
NOURRITURE. 


Cet oiseau se nourrit de diverses espèces de souris, de taupes, 
de chauve souris, de faons, de jeunes chévreuils, de lièvres, de 
tous les oiseaux de basse cour tels que poulets, canards etc. — de 
serpens, de crapands, de harinetons, de bonziers, de cerfvolans 
etc. aux quels il donne la chasse aussi bien pendant le jour que 
le soir, sur la brune ou au crépuscule du matin. Il avale les pe- 
tits animaux tout entiers. Au bout de vingt quatre heures, il vomit 
en pelotte arrondie les plumes, les poils et les os décharnés de 
ces animaux. 


PROPAGATION. 


C’est vers la fin du mois de Mars, que le desir de l’accouple- 
ment se réveille chez le Grand Duc. La femelle pond pour For- 
dinaire deux oeufs, rarement trois, Ces oeufs sont tacheiées de 
blanc ou quelque fois même tout blancs, ils sont ronds et un peu 
plus gros que des oeufs de poule, les petits éclosent au bout de 
15 jours ou 5 semaines. Le nid de cet oiseau est composè de 
branches souples et de feuilles. 

” 
UTILITE. 

Cet oiseau nous est utile d’un côté, parcegu'il détruit les in- 
sectes, de l’aütre, parcequ’on s’en sert dans les aires destinées à 
prendre les corneilles pour les attirer ainsi que d’autres oiseaux. 

DOMMAGE. 

Le plus grand mal qu'il fait, est de détruire le gibier pour 

noürrir ses petits. 
ENNEMIS. 
« PURE . 1 : j . 

Ses ennemis sont l'aigle, la buse, la corneille et plusieurs 
espèces de petits oiseaux. Nous ayons trouvé dans ses intestins 
un paquet de iaenia de l’espèce apellée Trichocephalus ct 
quelques aütres vers ronds. 


MANIÈRE DE LE TUER OÙ DE LE PRENDRE. 
On le surprend avec le fusil. 
VARIÉTÉS. 
On ne trouve en Allemagne aucune variété du Grand Duc. 
Voici les variétés étrangères, que Pon conneit 
1. Strix Bubo Aiheniensis. 
2. Strix Bubo pedibus nudis. 


3. Strix Bubo magellanica. 


> 


. Strix Bubo caput bonae spei. 
REMARQUE. 

Noüs ne comprenons pas, pourquoi dans les systèmes d’orni- 
thologie on mêt parmi les caractères génériques de la famille des 
hiboux, le manque de membrane à la base du bec. Cette mem- 
brane existe cependant chez les hiboux tout comme chés les fau- 
cons, mais les petites plumes roides, qui garnissent la base du bec 
et le cachent en grande partie, empêchent qu’on ne la voye, à 


moins qu'on ne soulève ces plumes et qu’on ne la mette ainsi à 
découvert. 


oo TPS ERREEE 


pe 


DER DORNDREHER. 


Dorngreuel. Kleiner Neuntöder. Dornreich. Blauköpfiger, 
rothgrauer, kleinster, schäkiger Würger. Warkengel. Bunter 
Würgengel, Gäckel. 
Lanius Collurio. Linn. syst. nat. pag. 156. n. 12. 
Lanius Collurio. Gmel. Linn, syst. nat. TE 


Dornireter. 


* 


Lanius Collurio rufus. 
pag. 300. n. 12. und 301. $. 

The redbacked Shrike. 

L’Ecorcheur. Buf. 

Lanius spinitorquus. Bechst. Deutsche Ornithologie. Heft 8. 

Rothrückiger Würger. Bechst. ornitholog. Taschenb. Th. 1. $. 102, n. 


Penn, 


KENNZEICHEN DER ART. 


M ännchen. Rücken und Dekfedern der Flügel rothbraun; 

Unterleib schwachrosenroth; Scheitel und Nacken aschblau. 
Weibchen. 

dunkelbraunen Wellenlinien; Oberleib schmuzig rostroth, schwach 


Hals, Brust und Seiten gelblichweifs, mit 


weils und schwarzbraun gewässert. 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel schwarz, an der Spitze mit einem kleinen scharfen 
Zahn; Oberschnabel am Grundgmit einer Reihe schwarzer Ber- 
sten; Augenstern graubraun; Kopf und Nacken und obere Dek- 
federn des Schwanzes aschblau; über die Stirn und durch die Aus 
gen ein schwarzer Streifen ; Rücken und Dekfedern der Flügel roth- 
braun gerandet; Unterleib schwach rosenroth; Helen weils; 
Schwanz etwas keilförmig, die zwei mittlern Federn schwarz, die 
übrigen bis über die Hälfte zunehmend weifs, gegen das Ende 
schwarz mit einer weifsen Spitze, die ersten kürzern mit einer 
Länge 6 Zoll; Brei» 


Die Flügel bedecken ein Drittel des Schwanzes. 


weifsen Einfassung; Füfse bläulich schwarz. 


‘te 12 Zoll. 


AUFENTHALT. 
Er lebt in dem Striche von Italien bis Norwegen hinauf. In 
- Deutschland ist er ein Zugvogel, der zu Anfang des Mai daselbst 
ankommt. Gewöhnlieh findet man ihn in Hecken und Feld- 


büschen. 
.  EIGENSCHAFTER. 

Er sizt gerne auf den obersten Zweigen der Büsche, wo er 
auf Insekten lauert, die er an Dornen sicket und zu gewissen Ta- 
gesstunden mit einander verzehrt, Merkwürdig ist sein Gesang, 
der aus den Gesängen der Grasmücke, der Lerche, des Stieg- 
litzes, Rothkehlchens, Weidenzeisigs, der Schwalbe und anderer 
in seiner Nähe wohnender, Vögel zusammen gesezt ist. Ta er ist 
im Stande, die Loktöne der vorüber fliegenden Vögel im Augen- 
blicke auf das täuschendste nachzuahmen, welches aus blofsem 
Muthwillen zu geschehen scheint. Doch hat man noch keinen 
Goldammer- und Finkengesang von ihm gehört. Sein ihm eige- 
ner Lokton ist ein übellautendes gäk, gäk, oder ätsch, ätsch. Er 
ist übrigens ein zänkischer Vogel, der sich sowohl im Freien, als 
auch im Zimmer mit andern Vögeln herum beifst. Seinen Schwanz 
bewegt er sehr oft auf und nieder; bei der Begattüng breitet er ihn 
auseinander, -dreht ihn links und rechts, und macht sonst noch 


allerhand sonderbare Verbeugungen. 


LU ECORCHEUR 


Dorntreter. Dorngreuel. Kleiner Neuntöder. Dornreich. Blauköpfiger, 
rothgraner, kleinster, schäkiger Würger. Warkengel. Bunter 
Würgengel. Gäckel. 
Linn, sist. nat. pag. 136. n. 12. 
Gimel. Linn, sist. nat. Tom. I. 


Lanius Collurio. 

Lanius Collurio. Lanius collurio rufus. 
p. 3500 n..12. p. 301: 8. 

The redbackod Shrike. 

Bufi. 

Lanius spinitorquus. 

Rothrückiger Würger. 


Penn. 
L’ Ecorcheur. \ 
Bechst. Deutsche Ornitholog. Heft 8. 

Bechst, ornitholog. Taschenb. Th. I. S: 102. n. 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


Mie. Le dos et les couvertures des ailes brun rougeätre; le 
bas du ventre rose clair, le sommet de la tête et la nuque bleu- 
cendré. ; 

Femelle. Le col, la poitrine, et les flancs blanc- jaunätre 
avec des lignes cndulées brun foncé ; le haut du corps d’un rouge 
de rouille lavé de blanc de neige et de brun noirätre. 


DESCRIPTION. 

Le bec tioir armé à la pointe d’une petite dent acérée; Ia 
mandibule supérieure garni à sa base d’un rang de plumes roides 
de couleur noire; liris brun grisätre; la tete, la nuque et les 
couvertures supérieures de la queue bleu-cendre, par dessus le 
front et au travers des yeux une large raye noire, le dos et les 
couvertures des ailes liscres de bruni rougeätre; le dessous du 
corps est rose pâle; les plumes du croupion blanches, la queue 
un peu eh forine de coin, les deux pennes du milieu noires; les 
autres jusqu’à la moitié de leur longueur d’une couleur blanche, 
qui va toujours en augmentant et noires du côté de la pointe, qui 


-est elle même blanché; les premières plus courtes et lisérées de 


(8) 


blanc; les pieds d’un noir bleuâtre, 
Longucur 6 pouces. Envergure 12 pouces. Les ailes re- 
couvrent un tiers de la queue. 


PATRIE. 

Cet oiseau habite toute la partie de l’Europe, qui s’etend de- 
puis Plialie jusqu’à la Norvegue. En Allemagne il est oiseau de 
passage, et il y arrive au commencement de May. On le trouye 
pour l'ordinaire dans les haies et les buissons des champs. 


QUALITES. 

Il se perche volontiers sur les branches les plus élevèes des 
buissons lorsqu'il se tient en embuscade pour saisir les insectes, 
qu’il enfile aux épinés des arbustes pour les manger ensuite a cer- 
taines heures réglées. Son chant est très remarquable, on diroit 
qu’il se compose de celui de la fauvette, de l’Alouette, du Char- 
donneret, du Rouge-Gorge, du Tarin, de Phirondelle et d’autres 
oiseaux qui demeurent dans sen voisinage. I y a plus; ilest en 
état d’imiter les tons d’appel des autres oiseaux à l'instant même, 
ou ils passent pres de lui, ce qu’il fait sans doute uniquement par 
malice ou par jeu: Il n’y a que le verdier et le pincon, dont il ne 
puisse contrefaire le chant, au moins a ce qu'on assure le ton 
d'appel; qui lui est propre est un certain gaek gaek, ou aeisch 
aetsch, qui est assès désagréable. Du reste c’est un oiseau acariätre, 
qui est sans cesse à se baltre avec les auires oiseaux soit en plein 
air, soit en chambre. Il remue souvent sa queue dans une di- 
rection verticale. Dans l'acte de. Paccouplement il l’étend en 
écartant les plumes, le fait tourner à droite et à gauche et fait 
mille autres contorsions plus bisarres les unes que les autres. 


4 


NAHRUNG. 
Sie besteht vorzüglich aus Mai- Mist- und Laufkäfern, Feld- 
grillen und Heuschrecken. Zuweilen speifst er auch eine Maus 


oder Eidechse, oder doch wenigstens Stücke von derselben. 


FORTPFLANZUNG, 

Das Weibchen brütet des Jahrs zweimal. Das etwas grofse, 
von vielem Kunstfleisse zeugende Nest, besteht aus Grasstengeln, 
‚Wurzelfasern, Moos und Wolle. Die fünf, selten sechs, stum- 
pfen Eier sind weifs, mit vielen schmutzig gelben und aschgrauen 
Punkten besäet. Die Iungen, welche nach 14 'Fagen aus den 


Biern schlüpfen, sehen anfangs dem Weibchen ziemlich ähnlich, 


NUTZEN. 


Sein Fleisch, vorzüglich aber das der Iungen, ist schmak- 
haft. Ausserdem nüzt er auch durch seine Nahrung, 


SCHADEN 
stiftet er nur, wenn er iunge Vögel überfällt. 


FEINDE 

hat er zuweilen an dem kleinen Wiesel, das sein Nest 
beschleicht. 

IAGD UND FANG. 

Er kann, da er nicht scheu ist, leicht geschossen werden. 
Lebendig fängt man ihn mit Leimruthen und dem Springgarn, an 
dessen Zunge man einen lebendigen Käfer stekt. 

VERSCHIEDENHEITEN. 
ı.) Lanius spin. albus. 
2.) Lanius spin. varius. 
3.) L. sp. forficatus. Mit einem kreuzförmigen Schnabel. 
| ANMERKUNG. 
Dieser Vogel macht den Uebergang von den Raubvögeln zu 


den Singvögeln. 


NOURRITURE: 

Sa principale nourriture ce sont les hannetons, les bousiers, 
les carabes, ou chasseurs de chenilles, les grillons de champ et 
les sauterelles, Quelquefois aussi il dévore des souris, des lézards 
ou du moins des morceaux de ces animaux. 

PROPAGATION. 

La fémelle pond deux fois par an. Son'nid, qui est assés 
grand et dont la structure annonce beaucoup d'intelligence et d’a- 
dresse, est formé de brins d'herbe, de fibres de racines, de mousse 
et de laine. Les oeufs de forme obtuse et au nombre de cinq, 
très rarement de six, sont blancs et parsemés de points jaunes 
sale et gris-cendré. Les petits, qui sortent de la coquille au bout 
de 15 jours, ressemblent au commencement beaucoup à la femelle 
pour la couleur. 

UTILITÉ. 

Sa chair est tendre et savoureuse, surtout lorsqu'il est eñcore 
jeune: Il nous rend aussi service par la destruetion des insectes, 
dont il se nourrit. 

DOMMAGE. 

Le seul dommage, qu’il occasionne e’est en attaquant et en 
tuant les petits oiscaux. 
ENNEMIS. 

Il en trouve un dans la petite belette, qui se glisse quelque- 
fois dans son nid. 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 
Comme il n’est point sauvage, on peut aisement Papprocher 
et le tirer. On le prend en vie avec de gluaux, ou avec cette 
espèce de filet appellé en allemand Springgarn ou l’on met pour 
appät un scarabe vivant. 
VARIETES. 
1.) Lamius spin. albus. 
2.) Lanius spin. varius. 
3.) Lanius spin. forficatus, avec le bee croisé. 
. EMAKQUE. 
Cet oiseau est comme l’echelon, au moyen du quella nature 
passe des oiseaux de proie aux oiscaux chantans. 


DIE ELSTER. 


Mazel. Azel. Alaster. Alster. Algaster. Algarte. Agelaster. Agelhetsch. 
Häster. Hiester. Hetze. 

Corvus Pica. Linn. syst. nat. p. 157. 

Corvus Pica. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. p. 375. m. 13. 

The Mapye. Penn. 

La Pie Buf. 


Die Aelster oder Aglaster. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Tab. 58. 


Gartenkrähe. Bechs!. ornitb. Taschenb. Th. I. S.95. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Shwaz mit verschiedenem Schiller; Bauch - und Flügeldekfe- 


dern weils; Schwanz lang und keilförmig. 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel schwarz, an der Spitze etwas abwärts gebogen ; 
Nasenlöcher mit Borstenfedern bedekt, Kopf, Hals, Brust, obere 
und untere Dekfedern der Flügel sammtschwarz; Rücken schwarz, 
Bauch, Flügelrand und Achselfedern weifs, daher ein grofser, 
eiwas krumm laufender, eiförmiger weifser Flek auf den Flügeln; 


Schwungfedern nach aussen und an der Spitze schwarz, glänzend 


LA PIE 


Wazel. Azel. Alaster. Alster. Algaster. Algarte. Agelaster. Agelhetsch. 
Häster. Iiester. letze. 

Corvus Pica. Linn. syst. nat. p. 157. 

Corvus Pica. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. p. 373. n. 13. 

The Mapye. Penn. 

La Pie. Buf, | 

Die Aelster oder Aglaster. Frisch Vorstellung der Vögel Deutsehl. Tab.58. 

Gartenkrähe. Bechst. ornitholog. Tasehenb. 'Th. I. S. 93. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


uéne A couleur chatayantes variées; plumes du ventre et des 
couvertures des ailes blanches, plumes de la queue longues et en 
forme de coin. 


DÉSCRIPTION. 

Le bec noir un peu recourbé en bas vers le milieu, les narines 
recouvertes de plumes roides; la tête, le col, la poitrine, les cou- 
vertures tant superiéures qu’ inferieures des ailes noir de velours, 
le manteau noir, le ventre, le bord des ailes, et les plumes du 
poignet blanches, d’où resulte sur les ailes une grande tache -ovale, 
et presque transversalement allongée, les pennes de la queue noires 
vers le bord extérieur et à la pointe, du reste d'un bleu d'acier 


stahlblau, mit einem grünen Goldglanze; Dekfedern der Flügel 
schwarz, glänzend goldgrün; Schwanz lang, keilförmig, mit ab- 
nehmenden äussern Federn, schwarz, die zwei mittlern ganz, die 
vier folgenden an der äussern Fahne glänzend goldgrün, alle mit 
einer aus dem Purpurrothen ins Stahlblaue sanft übergehenden 
Spitze. Füfse glänzend schwañz. Die Flügel bedecken ein Drit- 


iheil des Schwanzes. 
Länge 1 Fufs 6 Zoll; Breite 1 Fufs 10 Zoll. 


AUFENTHALT. 
Die Elster ist in Deutschland ein Standvogel, der gerne in 


der Nähe der Städte und Dörfer auf Birn- Erlen- Weiden- Lin- 


[ea 


den - und Kastanienbäumen wohnt, Grofse Waldungen undGebir- : 


ge liebt sie nicht; eher trift man sie noch in Vorhölzern an. Ausser 

Deutschland hält sie sich auch in mehrern andern Europäischen 

Ländern und dann noch im nördlichen Asien und Amerika auf. 
BIGENSCHAFTEN. 

Sie ist ein mistrauischer, scheuer und listiger Vogel, dem 
man so leicht nicht schufsrecht kommen kann. Die Katzen wer- 
den von ihr öfters schr genekt, indem sie immer an sie hinfliegt, 
oder in ihre Nähe sich sezt und ein so lautes, kurz unterbroche- 
nes, dem Lachen eines Menschen ähnliches Geschäker macht, 
dafs man es mehrere Gärten weit hört. Ihr Schwanz ist in einer 
beständigen Bewegung und sieht im Fluge pfeilförmig aus. Männ- 
chen und Weibchen halten sich auch sogar im Winter zusammen. 
Zur Begattungszeit im Frühiahr sitzen beide öfters lange beisam- 
men und äussern ihre Liebe durch mannigfaltige- sanfte "Töne. 
“ Um diese Zeit sieht man auch mehrere auf einem Baum oder Da- 
che sitzen, und, allem Anschein nach, die Brautwerbung vor- 
nehmen, wobei auch Streitigkeiten vorfallen, die aber nicht in 
Thätigkeiten übergehen. Sie trägt gerne glänzende Dinge zusam- 
men,. läfst sich leicht zähmen und lernt Worte ziemlich deutlich 
nachsprechen und das Geschrei einiger Thiere nachahmen, Auch 
läfst sie sich zum Aus- und Einfliegen gewöhnen. Sie scheint ein 

hohes Alter zu erreichen, da man Beispiele hat, dafs gezähmte 
16 bis 20 Jahre alt wurden. 
NAHRUNG. 

Sie fressen Mäuse, iunge und kleine Vögel, die sie so gut 
wie ein Falke von dem Vogelherd wegstehlen, Vögeleier, Insek- 
ten, Würmer, Obst, Eicheln, Beeren, Getreide, Baumknospen etc. 

FORTPFLANZUNG. 

Ihr Nest, das sie im März,. zuweilen auch schen im Frühiahr 
aus dünnen Reisern, Erde und Wurzeln bereitet und oben mit 
einem Deckel von Dornen und einem Eingang zur Seite versieht, 
bauet sie meistens hoch, doch nicht ganz auf den Gipfel der Bäu- 
me, und legt darein drei bis sechs lingliche, weifsgrüne,- mit 
kleinen aschgrauen und olivenbraunen Punkten und Flecken be- 
sprengte Eier, welche das Weibchen in sechzehn 'Tagen ausbrü- 

"tet. Sind die Iungen acht Wochen alt; so machen die Aeltern 
auch schon wieder zur zweiten Brut Anstalt, 


NUTZEN. 
Das Fleisch der Tungen, das nicht unangenehm schmekt, 
wird gegessen. In Gärten stiften sie dadurch 
SCHADEN 
dafs sie in schneereichen und kalten Wintern die Baumkno- 
spen, und im Herbst Weichseln, Kirschen und anderes Obst 


brillant avec un lustre verd doré, la queue longue en forme de 
coin, à plumes qui vont en décroissant vers les bords, noire, c’est 
à dire, les deux plumes du milieu entièrement noires, les quatre 
suivantes d’un vert doré brillant du côté extérieur de la barbe, 
toutes lavées à la pointe d’un pourpre délicat, qui se perd. douce- 
ment en une teint® bleu d’acier; les pieds d’un noir brillant. Les 
ailes recouvrent le tièrs de la queue. 
Longueur 1 pied 6 pouces, envergure 1 pied 10 pouces. 


PATRIE. 


La Pie est un oïseau indigène en Allemagne et sédentaire, 
elle habite de préférence dans le voisinage des villes et des villages 
sur les poiriers, les aunes, les saules, les tilleuls et les chataigners. 
Elle n’aime ni les grandes forêts, ni les hautes montagnes; on la 
trouve plutot dans les petits bois, qui sont en avant des grands. 
Elle habite non seulement en Allemagne, mais encore dans tout le 
reste de l'Europe et dans le nord de l’Asie ct l’Amerique. 


QUALITES. 

La Pie est un oiseau méfiant, ombrageux et rusé et qui ne se 
laisse gueres approcher jusqu’ à la portée du fusil. Elle aime beau- 
coup à agacer les chats, ce qu’elle fait soit en volant sans cesse 
contre eux, soit en se posant auprès d’eux et en poussant un cri, 
ou plutot une espèce de ricanement assés semblable à celui d’un 
homme et dont les éclaté se succedant à petits intervalles se font 
éntendre assés loin. Sa queue est continuellement en mouvement 
et a l’air d’une flêche quand elle vole. 

Le mâle et la femelle vivent toujours ensemble, même. pen- 
dant l’hiver. Dans le tems de leur accouplement, qui est au prin- 
tems ils restent souvent des heures entières à côté l’üin de l’autre et 
se declarent mutuellement leur amour par des tons doux et variés. 
Vers ce tems là on les yoit souvent se percher en troupe sür les 
arbres ou sur les toits, il paroit que c’est alors que le mâle choisit 
sa femelle, ce qui ne se passe pas toujours sans querelles, quoi 
qu'il n’en résulte jamais d'actes d’hostilités. La Pie aime beaucoup 
à ramasser tout ce qui brille; elle s’aprivoise facilement, on peut 
luiapprendre à repeter assés distinctement certains mots et ä contre- 
faire le cri de quelques animaux. On l’accoutume aussi à revenir 
d'elle-même au logis. Il paroit qu’elle parvient à un age très 
avancé puis qu’on a des exemples de Pies apprivoisées qui ont vecu 
jusqu’à 16 et même jusqu’à 20 ans, 


NOURRITURE. 

La Pie se nourrit de jeunes oiseaux, ou d'oiseaux d’espèce 

plus petite qu’elle va voler dans Pair, avec autant d'adresse que le 

faucon, d’oeufs d'oiseaux, de souris, d'insectes, de vers, de fruits, 
de glands, de baies, de grains, de boutons d’arbres etc. 


\ 


PROPAGATION. 


Elle construit son nid au mois de Mars, souvent même plutôt, | 
de branches très minces, de terres et de racines; elle le recouvre 
d’epines et n’y laisse qu’une ouverture étroite sur le côté. : Elle le 


‘place pour l'ordinaire assés haut quoique jamais au sommet même 


() 


de l'arbre. Elle y pond de trois à six oeufs, qui sont de forme 
allongée, et d’un blanc verdätre marqueté de points ou petites ta- 
ches cendrées et brun olivâtre. 

La femelle met environ 15 jours äles couver. Les petits ont 
à peine huit semaines que le père et la mère travaillent deja à une 
seconde ponte. 


, AVANTAGE. 
On mange la chair des petits qui n’a pas un gout désagréable, 


DOMMAGE. 


Le dommage qu’elles occasionnent dans les jardins est sou- 
vent-assés considérable, surtout dans les hivers rigoureux, parce- 


fressen, und die Pfropfreiser abbrechen. Auf Vogelherden holen 
sie die Vorläufer von der Schnur weg. 


FEINDE . 
Diese sind Falken und Rabenkrähen. In ihren Gedärmen 
LE 
fanden wir mehrere Bandwürmer, aus der Gattung Trico- 


cephalus. An dem breiten Theil derselben waren einige 
Knöthen. 


IAGD UND FANG. 
Sie werden geschossen, auch auf Vogelherden mit dem Garn 


gefangen, wenn sie nach den Lokvögeln gehen. 


VERSCHIEDENHEITEN, 
1.) Corvus Pica candida. 
2.) Corvus Pica varia. 
5.) Corvus Pica curvirostra. Nobis. 
Der Oberschnabel geht weit über den untern hakenförmig 
herab. 
ANMERKUNG. 
Bei einer Elster, die im Mai geschossen wurde, fanden wir 
nur einen einzigen Hoden, der aber so grofs als eine grofse Bohne 


e 


und eirund war. 


6 ss 


qu’ alors elles mangent les boutons d'arbres. Dans la saison des 
fruits elles ravagent les vergers, mangent les griottes, les cérises 
etc. arrachent les jeunes branches, qu’on vient d’anter ete. Elles 
se tiennent volontiers près des aires à prendre les oiseaux, et 
poussent la hardièsse jusqu’à se jetter sur les appeaux à les arra- 


cher de la ficelle. 1 
ENNEMIS, F 


La Pie a pour ennemi le faucon et la corneille, Nous avons 
trouvé dans les intestins de cet oiseau plusieurs taenia du genre 
Tricocephalus et nous avons remarqué quelques tubercules 
ou noeuds sur leur côté aplati. 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE, 
On les tue avec le fusil, on les prend aussi au filet dans les 
aires, lorsqu'elles se jettent sur les appeaux. i 


VARIETES. 
1.) Corvus Pica candida. 
2.) Corvus Pica varia. 
3.) Corvus Pica curvirostra. Nobis. 


La mandibule supérieure se prolonge dans cette variété au de- 
la de l’inférieure en forme de crochet. 


OBSER VATION. 
Une pie tuée au mois de Mai, nous offrit une singularité 
remarquable. Elle wavoit qu'un seul testicule, mais qui étoit de 


la grosseur d’une fève et rond comme un oeuf 


DER KERNBEISSER. 


Kirschbeisser. Kirschfink, Kirschenschneller. Kirschknöpper. Kirsch- 
hacker. Kirschleske. Kernbeiss, Brauner Kernbeïisser. Kern- 
hacker. Knarnpicker. Klepper. Bollenpik. 

Loxia Coccothraustes. Linn. syst. nat. pag. 299. n. 2. 

Loxia Coccothraustes. Gmel. Linn. syst. nat. T.I. P.II. pag. 844. n. 2. 

The Haw-Finch. Penn. 

Le Gros-beck. Buff. 

Kernbeisser oder Kirschfink. 
land Tab. 4. 

Der gemeine Kernbeisser. Teutsehe Ornithologie. Heft2. Taf. 6. 

Gemeiner Kernbeisser. Bechst. ornith. Taschenbuch. Th. 1. S.109. n.4. 


Frisch Vorflellung der Vögel in Deutsch- 


KENNZEICHEN DER ART. 


Graulich kastanienbraun; über die Flügel ein weilser Streifen; 

die mittlern Ruderfedern an der Spitze stumpfeckig und stahl- 

blau; am Kinne mit einem schwarzen Flek. 
BESCHREIBUNG. 

Schnabel sehr dik, rund, beide Kinnladen gleich lang, der 
obere über den untern an den Seiten herab gehend; im Sommer 
dunkelblau, im Winter fleischfarbig, an der Spitze schwärzlich; 
Nasenlöcher klein und bedekt; Augenstern roth; Stirn mit einem 
schwarzen Saum; von den Augen läuft ein schwarzer Streif her- 
ab, welcher sich unter dem Kinne vereinigt und ein Dreiek bildet; 
Scheitel, Wangen und obere Dekfedern des Schwanzes hell ka- 
stanienbraun; Oberhals und die Seiten desselben schön aschgrau; 
Rücken und Schulterfedern tiefbraun; die gröfsern Dekfedern der 
Flügel bilden einen weifsen Flek, der hinten hell rothbraun wird; 
Schwungfedern schwarz, am Ende stahlblau, die der zweiten 
Ordnung an den Spitzen stumpfeckig abgeschnitten; Unterleib 


LE GROS BEC. 


Kirschfink. Kirschenschneller. Kirschknöpper. 
Brauner Kernbei ser. 


Kirsch- 


Kern- 


Kirschbeïsser. 

häcker. Kirschleske. Kernbeisser. 
hacker. Knawnpicker. Klepper. Bollenpick. 

Loxia Coccothraustes. Linn. Syst. nat. p. 299. n. 2. 

Loxia Coccothraustes. Gmel. Linn. Syst. nat. T. I. P.II. p. 844. n.2. 

The Haw Finch. Penn. 

Le gros bec. Buf. 

Kernbeisser oder Kirschfink. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutsch- 
land Tab. 4. 

Der gemeine Kernbeisser. Deutsche Ornitlolog. Heft a. Tab, 6. , 

Gemeiner Kernbeisser. Bechst. ornith. Taschenb. Th. 1. S. 10% n. 4. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Citez chatain grisätre, une bande blanche sur les ailes, les 
pennes du milieu des ailes bleu d’acier vers l’extremité, qui est en 
pointe obtuse, une tache noire au menton, 


DESCRIPTION. 


Le bec très épais et rond, les deux mandibules égales en 
longueur, la supérieure se recourbant sur l’mférieure des deux 
côtés et l’emboitant, toutes deux en été bleu foncé, en hiver cou- 
leur de chair et noirâtres à la pointe, les narines petites et couver- 
tes; Piris de l’oeil rouge, le front entouré d’une bordure noire, de 
chacun des yeux descend une bande noire, qui se réunit à l’autre 
sous le menton et forme un triangle; le sommet de la tête, les 
joues, et les ouvertures supérieures de la queue chatain clair; le 
haut du col ainsi que les côtés d’un beau cendré; le manteau et les 
plumes des poignets des ailes brun foncé ; les grandes couvertures 
des ailes forment une tache blanche, qui devient brun rouge clair 
sur le derrière, les pennes des ailes noires, bleu d’acier à la 
pointe, celles du second rang coupées à angle obtus aux extrèmi- 
tés. Le ventre couleur de chair sale; la queue noire à la pointe 


schmutzig fleischroth; Schwanz schwarz, an der Spitze mit einem 
weilsen Bande; Füfe blafs fleischfarbig. Die Flügel bedecken die 
Hälfte des Schwanzes. Länge 7 Zoll, Breite 12 Zoll. 

‘ AUFENTHALT, 

Der Kernbeifser ist ein bekannter Strichvogel, bleibt aber im 
Winter bei uns, wenn er Nahrung genug findet. Er wohnt in 
gebirgigen Laubwäldern, die aus Buchen und Ahorn bestehen, 
auch in den Gärten der Walddörfer. 


ist er häufiger als im nördlichen und ausserdem auch noch in 


Im südlichen Dentschland 


mehrern andern Ländern von Europa anzutrefien, 
EIGENSCHAFTEN. 
Seine Lokstimme, die er im Frühiahr auf den höchsten Bäu- 
men sitzend, hören läfst, besteht in einem durchdringenden iz, 


gifs! im Fluge aber ruft er zik, zik! Der Gesang des Männchens 


‚ist unangenehm. Im Sitzen bewegt er den ganzen Körper hin und 


her. Er hat einen geschwinden Flug, obgleich sein dicker Kopf 
und Schnabel nebst dem kurzen Schwanze nicht dazu geeignet sind. 
Indessen hilft er sich durch das äusserst schnelle Rudern mit sei- 
nen Flügeln. Im Freien ist er, wenn ibn nicht der Hunger kirre 
macht, scheu, und läfst niemand leicht nahe an sich kommen. 
Sind ihrer" mehrere auf einem Kirschbaum mit dem Aufknacken 
der Kirschkerne beschäftigt, so verhalten sie sich äusserst ruhig, 
und man würde ihr Dasein nicht ahnden, wenn man nicht durch 
die herabfallenden Kirschentheile davon überzeugt würde Im 
Zimmer dultet er keirie andern Vögel neben sich; er zerknickt 
ihnen die Fülse, rauft ihnen die Federn aus und empfiehlt sich 
also auch in der Hinsicht zu keinem Stubenvogel, : 
NAHRUNG. 

Kirschkerne — denn das Fleisch der Kirschen verschmäht er, 
— sind seine Lieblingsspeise. Weifsbuchensame, Haselnüsse ; 
Wallnüsse, Pilaumen, Schlehen bricht er mit Leichtigkeit auf und 
nimmt den Kern heraus. Ausserdem frifst er auch Massholder- 
Ahorn- Tannen - Fichten- Rüster - und Leindottersamen, Vo- 
gelbeerkerne, Bucheckern, Kohl- Rüb- Hanf- Rettig- und Sa- 
latsamen. Seine Nahrung ist also mannigfaltig, und doch fehlt es 
dem Fresser zuweilen an dieser! - 

| FORTPFLANZUNC. 

Gewöhnlich findet man sein Nest, das aus kleinen Reisern 
und zarten Wurzeln gebaut ist, auf hohen Buchen, Obstbäumen 
und Gebüschen, worein das Weibchen drei bis fünf stumpfe, asch- 
graue ins grünliche spielende und mit braunen Flecken versehene 
Eier legt, die beide Geschlechter wechselsweise in vierzehn Tagen 
ausbrüten. Die lungen sehen vor der ersten Mauser den Alten 


ziemlich unähnlich. Auch fehlt ihnen der schwarze Flek am Kinne, 


NUTZEN. 
Ihr Fleisch hat einen vortreflichen Geschmak, 
| SCHADEN 
stiften sie in Gärten durch ihre Nahrung. Ihre 
FEINDE 


sind mehrere kleine Raubvögel. 


| IAGD UND FANG. 
Man schiefst sie am sichersten aus Hülten, die man in der. 
Nähe der Kirschenbäume macht. Sie gehen auch auf Leimru- 


then, Vogelherde und in Schneufsen. 


u 


avec un lisere blanc, les pieds couleur de chair päle, Les ailes 
recouvrent la queue jusqu’à la moitié de, sa longueur. 
Longueur 7. pouces; envergure 12. pouces. 


PATRIE. , = 


Le gros-bec est un oiseau de passage très connu,. qui du reste 
passe l’hiver dans nos contrées, lorsqu'il y trouve de quoi subsi- 
ster. Il habite volontiers dans les bois de hötres et d’érables des 
montagnes; on le trouve aussi dans les jardins des villages de 
montagne. Il est plus commun dans le midi de l’Allemagne que 
dans le nord, ou-le trouve en outre dans plusieurs autres ‚con- 
trces de PEurope. 


QUALITES. 

Le cri d’appel, qu'il fait entendre au printems, perché sur 
les arbres les plus haüts est un iz,:zifs trèsperçant, lorsqu'il vole, 
ce cri se change en zik, zik. Quand ilest posé il remue tout 
le corps tantôt d’un.côté tamtôt de l’autre. .Il-vole :avec.beaucoup 
de vitesse quoique la grosseur de sa tête et de son becÿ:ainsi que 
la longueur de sa queue semble annoncer.le contraire. : Maïs il ÿ 
remédie en battant des ailes avec une grande activité. ‘Dans l’é- 
tat de liberté il est très sauvage à moins qu'il ne soit mâté par la 
faim et il ne se laisse point approcher. S'il s’en trouve plusieurs 
sur un cerisier occupés à casser les noyaux de cerise ils se: tien 
nent extrêmement tranquilles et l’on ne les soupconneroit pas siles 
petites parcelles de cerises, qu’ils laissent tomber ne les trahissoient, 
En chambre le gros-bec ne souflre aucun autre oiseau dans son 
voisinage, il leur pique les pieds, leur arrache les plumes et les 
maltraite si cruellement, que sous ce point de vüe, on ne sauroit 
le mêttre parmi les oiseaux, qu’on peut garder en chambre. 


NOURRITURE. 


Les royaux de cerise sont ce qu'il aime le mieux à manger, 
y 8%; 
Les graines de 


car pour la pulpe même il. ne s’en soucie pas. 
charme, les noisettes, les noix, les prunes, les prunelles lui con-: 
viennent aussi, il les casse ayec beaucoup d’adresse et en extrait 
le noyau. Il mange aussi les graines d'érable, de platane, de pin, 
de sapin, d’orme et de cameline etc, les sorbes sauvages, les fai- 
nes, les semances de choux raye, de genvre, de radis et de laitue. 
Sa nourriture est donc très variée et cependant il en manque quel- 


que fois à cause de sa voracité. 


PROPAGATION. 


On trouve pour l'ordinaire son nid, qui est composé de pe- 
tites branches et de racines menues sur les grands hetres, ou bien 
sur les arbres fruitiers et les buissons. La femelle y pond de trois 
à cinq oeufs de forme ovale mousse, de couleur cendrée, avec un 
chatoyement verdätre et des taches brunes. Le père et la mère les 
couvent alternativement pendant quinze jours. Les petits avant la 
première mue ne ressemblent guéres pour la couleur à ce qu'ils 
seront un jour et n’ont pas encore la tache noire au menton. 


UTILITÉ. 
On les mange etleur chair a un gout exquis. 


DOMMAGE. 


Ils se nourrissent à nos depens dans nos jardins et nos vergers, 


ENNEMIS. 


Leurs ennemis sont la plupart des petits oiseaux de proie. 


MANIÈRE DE LES TUER OÙ DE LES PRENDRE, 


On batit de petites cabanes au pied des cerisiers et c’est de là 
qu’on les tue commodement à coup de fusil On les prend aussi 
aux gluaux, au filet et dans les aires, 


D 


VERSCHIEDENHEITEN, 


1.) Loxia Coccothraustes alba. 
2.) Loxia Coccothraustes fulya. 


ANMERKUNG. 


Wir fanden den Augenstern des Kernbeissers roth; nach 


-Bechstein und der deutschen Ornithologie ist er grau. Retzius sagt 


in der Fauna suevica, dafs dem Weibchen die schwarze Kehle fehle, 
Es ist uns wahrscheinlich, dafs er einen iungen Vogel vor sich ge- 
habt habe, dem bekanntlich der schwarze Flek an dem Kinne fehlt, 


VARIETES. 


1.) Loxia Coccothraustes alba. 
2.) Loxia Coccothraustes fulva. 


OBSERVATIONS, 


Bechstein et l'ornithologie allemande disent, que cet oiseau a 
la prunelle de couleur grise; quant à nous, nous l’avons trouvée 
d’un rouge. Rezius dit dans la Faune Suedoise que la femelle n’a 
pas le jabot noir. Il est probable, qu’il a eu sous les yeux un 
jeune oiseau, qui n’avoit pas encore, la tache noire au menton. 


DER GIMBEL. 


Dompfaffe. Thumpfaffe. Domherr. Thumherr. Dohmpapa. _Blut- 


Gold- Laub- Loh- Quetsch- Quietsch- Rothfink. Rothgimpel. Roth- 
schläger. Roihschlägel.. Schniel. Schniegel. Pfäffchen. Brommeis, 
Gumpf. Hahle. Hoylen. Heule, (im Nürnbergischen.) 

"Liich. Liebich. 

Loxia Pyrrhula. Linn. syst. nat. pag. 300. n. 4. 

Loxia Pyrrhula. Gmel. Linn. syst. nat, Tom. II. p.846. n.4, 

The Bulfinch. Penn. 

Le Bouvreuil. Buff. 

Der Gimpel oder Dompfafle. Frisch Vorstellung der Vögel in Teutschl. 
Tab. 2, fig. 1. 

Der Gimpel. Teutsche Ornithologie. Heft 5. 

Gelehriger Kernbeisser. Bechst. ornith. Taschenb. Th. 1. S.111. 6. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Oberleib hellaschgrau; obere Dekfedern des 
Schwanzes weils; Unterleib roth; Kopf, Flügel und Schwanz 


" schwarz. 


Weibchen. Unterleib röthlichgrau, übrigens mit dem 

Männchen gleich gefärbt. à 
BESCHREIBUNG. 

Schnabel schwarz, kurz und dik, die obere Kinnlade etwas 
übergehend, die untere am Seitenrande eingebogen; Nasenlöcher 
mit Federchen bedekt; Augenstern kastanienbraun; Oberkopf, die 
Gegend um die Augen, Kinn und Kehle sammtschwarz; Ober- 
hals, Rücken und Schultern hellaschgrau; Schwungfedern schwarz; 
die der zweiten Ordnung am äussern Rande stahlblau; die grofsen 
Dekfedern der Flügel schillerndschwarz mit weifsen Enden, die 
übrigen aschgrau, Unterrücken weifs; Schwanz schwarz, stahl- 
blauglänzend, etwas gespalten; Unterleib karmoisinroth, Bauch 
weifs; Fülse schwarz. 

Länge 62 Zoll; Breite 11 Zoll. 

Die Flügel bedecken die Hälfte des Schwanzes. 

AUFENTHALT. 

Ganz Europa und das nördliche Asien. In Deutschland sind 
ie bekannt genug. Sie bewohnen die gebirgigen Waldungen. 
Beide Geschlechter leben hier fast beständig einsam beisammen. 
Erst im November bilden sich kleine Gesellschaften, die von ei- 
ner Gegend in die andere streichen und bei grofser Kälte auch in 
die Gärten kommen. Im März suchen sie, ohne dafs sie aus 
Deutschland wandern, ihre alten Standorte wieder auf. Man kann 


sie daher mit vollem Rechte unter die deutschen Strichvögel rechnen. 


LE BOUVREUIL. 


Dompfaffe. Thumpfaffe. Domherr. Thumherr. Dohm-papa Blut- 
Gold- Laub- Loh- Quetsch- Quietsch- Rothfink. Rothgimpel. Roth- 
schläger. Rothschlägel. Schniel. Schniegel. Pfäffchen. Brommeis. 
Gumpf. Hahle. Hoylen. Heule. (dans le pays de Nurem- 
berg) Liich. Liebich. 

Loxia Pyrrhula. Linn. syst. nat. p.300. n.4. 

Loxia Pyrrhula Gmel. Linn. syst. nat. T. II. p.846, n.4. 

The Bulfinch. Penn. 

Le Bouvreuil. Buff. 

Der Gimpel oder Dompfaffe. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutsch- 
land Tab. 2. fig. 1. 

Der Gimpel. Teutsche Ortithologie. Heft 5. 

Gelehriger Kernbeisser. Bechst. ornithol. Taschenb. Th. 1. S. 111, 6, 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Me. Le dessus du corps gris cendré, les couvertures supé- 
rieures de la queue blanches; le dessous du corps rouge. La tête, 
les ailes et la queue noires. 

Femelle. Ne différe du mâle que parce que le dessous du 
corps est d’un gris rougeätre. 


DESCRIPTION. 


Le bec noir court et épais, la mandibule supérieure depas- 
sant un peu l’inférieure dont le bord est recourbé en dedans, les 
narines couvertes de petites plumes; l'iris de l’oeil chatain; le haut 
de la tete, la region de l’oeil, le menton et le jabot tout noirs. 
Le dessus du col, le manteau et les épaules cendré clair, les pen- 
dies des ailes nuires, celles du second rang, sur le bord extérieur 
bleu d’acier; les grandes couvertures des ailes d’un noir chatoyant 
avec les pointes blanches; les autres gris cendré; le bas du man- 
teau blanc, la queue noire tirant sur le bleu d’acier et légèrement 
fendue. Le dessous du corps cramoisi; le ventre blanc; les 


pieds noirs. 
Longueur 64. pouces. Envergure 11. pouces. 
Les ailes recouvrent la queue jusqu’à la moitié de la longueur, 


PATRIE. 


Sa patrie est toute l’Europe et le nord de l'Asie. Il est très 
connu en Allemagne, où il habite les forêts des montagnes. Le 
mâle et la femelle vivent prèsque toujours ensemble et chaque 
couple à part. Ce n’est qu’en Novembre, qu’ils se réunissent en 
petites. troupes qui passent d’une contrée dans l'autre et qui dans 
les froids rigoureux viennent jusques dans les jardins. Au mois de 
Mars, ils reviennent dans leur première habitation, sans avoir 
quitté l'Allemagne pendant l'hiver. On peut donc les regarder avec 
raison comme oiseaux de passage appartenants à l'Allemagne. 


EIGENSCHAFTEN. . 

Sie sind freundschäftliche Vögel, die durch ihre sanften Lok- 
töne,-behagliche Wendungen ihres Körpers und Hin- ind Her- 
fliegen ihre Zuneigung zu einander auszudrücken sucherr. An schö- 
nen Wintertagen bemerkt man dies besonders, wenn sie auf dem 
Gipfel der Bäume sitzen und ihren melancholischen Lokton tie, tie, 
tie, einander zurufen, Ihr Flug ist schnell und rukweise; ihr Gang 
hüpfend und schief; ihr Gesang kreischend, leise und unangenehm. 
Sie sind gelehrig und lernen iung aufgezogen, nach der Orgel 
verschiedene Melodien pfeifen. 

NAHRUNG. 

Sie fressen ım Freien Vogel- Schlingbaum- Kreuz- Hart- 
riegel- Weilsdorn- und Wachholderbeeren, Hagebutten, Baum- 
knospen, Erlen - Fichten - und 'Tannen- Hirsen- Lein- Heide- 
korn - Heidekraut- Nessel- und Grassamen, und den Samen der 
schneeballblätterigten Spierstaude, welcher eine ganz vorzügliche 
Leckerspeise für sie ist; im Zimmer Hanf- und Rübsamen. Das 
Fleisch der Beeren werfen sie weg und fressen blofs die Sa- 

_menkerne. 
- FORTPFLANZUNG. 

Sie brüten des Iahrs zweimal und legen ihr Nest bald hoch 
bald niedrig in die Gabelzweige solcher Bäume, welche tiefin den 
"Wäldern steken. 
Das Weibchen legt drei bis sechs stumpfe, bläulichweifse, am 


Es besteht aus zarten Reisern und Erdmoos. 


‚obern Ende mit violeiten und braunen Flecken versehene Eier, 
welche von beiden Geschlechtern wechselsweise in funfsehn Ta- 
gen ausgebrütet werden. Die Alten füttern die Iungen aus dem 
Kropfe. Leztere sehen schmutzig dunkelaschgrau aus; Flügel 
und Schwanz dunkelbraun. Bei den Männchen schimmert die 
Brust ins röthliche. 
NUTZEN 
stiften sie durch ihr wohlschmeckendes Fleisch und ihren 
künstlich gelernten flötenartigen Gesang, 
| SCHADEN 


wenn sie die Knospen der Obstbäume fressen. Ihre 
FEINDE 
sind der Sperber und Baumfalke. 
IAGD UND FANG. 
Sie werden: leicht mit der Flinte erlegt und mit Garn, Leim- 


ruthe, Sprenkeln und Schlingen in der Schneufse gefangen, 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1.) Loxia Pyrrhula candida. 
2.) Loxia Pyrrhula nigra. 
3.) Loxia Pyrrhula varia. 


ANMERKUNG. 

Es gibt zwar kleine und grofse Gimpel, sie machen aber kei- 
ne besondern Arten aus. Loxia Pyrrhula hybrida entsteht von 
einem iung aufgezogenen Gimpelweibchen , das mit einem Cana- 
‘rienvogel-Männchen gepaart wird. Loxia Pyrrhula leucocephala 
und Loxia Pyrrhula flamengo können zu L. Pyrrh. varia gerech- 
met werden, und L. hamburgica ist wahrscheinlich nichts anders, 
als ein Feldsperling. Fr.montana, 


QUALITES. 


Cet oiseau est d’un naturel sociable et il cherche à exprimer 
son attachement pour les individus de son espèce, par des tons 
d'appel doux, par des mouvemens gracieux et en voltigeant de 
C’est ce qu’on remarque surtont dans les beaux 
jours d'hiver, lorsque perchés sur la cime des arbres, ils s’apellent 


côté et d’autre, 


mutuellement par leur cri melancolique tie, tie, tie, leur vol est 
rapide et par élances, leur demarche sautillante et oblique, leur 
chant aigu et désagréable. “Is sont très dociles et dressés de bonne 


heure ils apprennent à silller différens airs d’après orgue. 
NOURRITURE. 


Dans la campagne il se nourrit de bayes de sorbier sauvage, 
de viorne, d’alisier, de troêne et d’epines blanches, de génièvre, 
de gratte — cul, de boutons d'arbres, de graines d’aune, de pin 
et de sapin; de millet, de graines de lin, de sarrasin, de graines 
de bruyère, d’ortie et de ehien-dent et de la semence de la spirée 

En chambre on le 
Quand il mange des 
bayes il rejette la pulpe et n’avale que les grains, ou noyaux 


à feuilles d’obier, qu'il préfere à tout le reste. 
nourrit avec du chénevis et de la navette. 


qu’elles renferment. 


PROPAGATION. 


Ces oiseaux porident deux fois par an et placent leur nid tan- 
tôt plus haut, tantôt plus bas dans les angles des branches four- 
chues des arbres situés dans les fonds des forêts. Is le construis- 
sent de branches menues et de mousses terrestres. ‘La femelle 
porid de trois à six oeufs de forme obluse, d’un blanc bleuätre et 
parsemé à lextrêmité supérieure de taches violettes et brunes. 
Le mâle et la femelle couvent aliernativement pendant quinze jours. 
Ils nourrissent leurs petits de ce qu’ils ont en réserve dans le 
jabot. 
queue d’un brun foncé. 


: ar 2e 4 , | R { : 
Ceux ci sont d’un cendré foncé et sale, ils ont les ailes et la 
Chez les mâles la poitrine est lavée d’une 
teinte rougeätre. 


UTILITÉ. 


Leur chair nous fournit un mets friand et le chant flûté, 
qu'on leur apprend est agréable. 


DOMMAGE. 


En revange ils font du mal aux arbres en en mangeant les 
boutons. 
ENNEMIS. 


Les éperviers et les hobereaux leur font la guerre. 


MANIÈRE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


On les tue aisement avec le fusil, on les prend aussi au filet, 
aux gluaux au trébuchet, au lacet, au réseau etc. 


VARIÉTÉS. 
1.) Loxia Pyrrhula candida. 


2.) Loxia Pyrrhula nigra. 
5.) Loxia Pyrrhula varia. 


REMARQUES. 


On trouve des bouvreuils, qui différent beaucoup des autres 
pour la grosseur, mais qui ne forment cependant pas d’espèce 
particulière. La Loxia Pyrrhula hybrida, ou bouvreuil bâtard, 
provient d’un bouvreuil femelle élevé au cage et d’un serin canard 
mâle. La Loxia Pyrrhula leucocephala, ou bouvreuil à tête blanche 
et la Loxia Pyrrhula flamengo peuvent être rapportés au L. P. va- 
ria, ou bouvreuil bigarré; tout comme la L. hamburgica, bouv- 
reuil de Hambourg n’est autre chose que le friquet, Fringilla 
montana. 


E 


er 


DIE KOHLMEISE. 


Meise. Spiegel- Schwarz- Brand- Pik- Finken- Gras- Grofsz Sehin- 
ken- Specht- Meise. Meisenfink. Grofse Meise, 

Parus major. Linn. syst. nat. p. 341. 

Partıs major, Gmel. Linn. syst. nat. P. IL. p. 1006. n. 3, 

The great Titmouse or Ox-eye. Penn. 

La grosse Mé ange ou Charbonniere. Buff. “ 

Die Kohlmeise. Frisch Vorstellung der Vögel in Dentsehl. Tab. 13. 

Die Kohlmeise. Teutsche Ornithologie Heft7. , 

Die Kohlmeise. Bechst. ornitholog. Taschenb. Th. 1. 8. 210. n. 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mi: schwarzem Kopfe und weilsen Schläfen, grüngelbem Ge- 
nik und olivengrünem Oberleibe; Unterleib durchaus mit einem 
schwarzen breiten Streifen bis an den After. Beim Weibchen ist 
dieser Streifen schmäler und reicht nur bis im die Mitte des 
Bauches. | 

BESCHREIBUNG. 

Schtiabel schwarz, gerade, abgerundet, beide Kirmladen 
gleich lang; Augenstern dunkelbraun; Nasenlöcher mit Borsten 
bedekt; Kopf glänzend schwarz, Wangen und Schläfe weils; Na- 
cken grünlichgelb, mit etwas weils; Rücken- und Schulterfedern 
olivengrün; Dekfedern der Flügel hellblau mit großen weifsen 
Spitzen; Schwungfedern schwärzlich, die vordern oben bellblau, 
unten weifs gerandet, die hintern olivengrün gerandet; Schwanz 
schwärzlich, etwas gabelförmig; die äusserste Feder auf der schma- 
len Fahne, die zweite an der Spitze weils, die beiden mittlern 
hellblau überlaufen; Brust gelb, Bauch weifs, mitten dureh beide 
ein schwarzer Streifen vom Kinne an bis zum After. Füfse blei- 
farben. Die Flügel bedecken den Schwanz einen Zoll lang. 

Länge 5 Zell 10 Lin. Breite 8 Zoll 4 Lin. 

AUFENTHALT, 

Sie ist in der ganzen alten Welt zu Hause, und verbreitet 
sich vom Vorgebirge der guteri Hofnung bis nach Norwegen und 
Sibirien. ‘In Deutschland ist sie allenthalben wo Holzungen und 
en sind, anzutreffen. Im Herbst streichen sie in Gesellschaft 
von einem Ort zum andern, bleibeñ auch im Winter bei uns und 
sind also deutsche Standvögel. 

EIGENSCHAFTEN. 

Immer thätig und munter klettern sie an den Zweigen bald 
oben, bald unten und mit dem Körper herab hängend, herum, 
und durchsuchen mit einer grofsen Behendigkeit alle. Winkel, wo 
sie Nahrung zu finden glauben. List, Zorn, Grausamkeit, Muth 
und Stärke sind hervorstechende Eigenschaften dieses kleiner! Vo- 
gels. Sie fallen nicht nur ihres Gleichen an, sondern gehen auch, 
in der Gefangenschaft von Hunger gelrieben, auf grôfsere Vögel 
als sie selbst sind, z. B. auf Goldammer, Gimpel, Lerchen etc. 
klammern sich mit ihren scharfen Nägeln in dem Rücken ein und 
hacken ihnen das Gehirn aus. Im Käfig klopfen und beifsen sie 
beständig, daher man sie in drähternen halten mufs. Ihre Loktöne 
pink, pink, sind sehr hell und wechseln öfters mit einem schnar- 


renden zizerri, ab. Der Gesang ist kurz und besteht aus folgen- 


LA GROSSE MESANGE OU 
CHARBONNIERE. 


Meise. Spiegel- Schwarz - Brand - Pick- Fincken- Gras- Grofs-Schin- 
cken- Specht- Meise. Meisenfinck. Grofse Meise. 

Parus major. Linn, syst. nat. p.341. 

Parus major. Gmel. Linn. syst, nat. P. II. p.1006. n.3. 

The great Titmouse or Ox=eye. Penn. 

La grosse Mésange ou Charbonnière. Buff, 

Die Kohlmeise. Frisch Vorstell. der Vögel in Deutschl, T. 13. 

Die Kohlmeise. Deutsche Ornitholog. Heft 7. 

Die Kohlmeise. Bechst. ornitholog. Taschenb. Th. ı. S.210. n. 4. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Es tete noire et les temples blanehes, la nuque vert-jaunätre et 
le haut du corps vert-olive; le ventre orné d’une large bande 
noire, qui se prolonge jusqu'a l’anus. 

Chez la femelle cette bande est plus étroite et me va que 
jusqu’à la moitié du ventre. 


DESCRIPTION. 


Le bec nioir droit arrondi, les deux mandibules de la même 
longueur, la prunelle de l’oeil brun foncé; les narines couvertes 
de petites plumes roides; la tête d’un noir brillant, les joues et les 
temples blanches, la nuque d’un jaurie verdätre miele d’un peu de 
blanc, les plumes du manteau et des poignets vert-olive; les eou- 
vertures des ailes bleu clair avec de grandes peintes blanches, les 
pennes des ailes blanchätres, celles de devant bleu clair en haut, 
lisérées de blanc vers le bas, celles de derrière bordées de vert- 
olive; la queue noirâtre légèrement fendue; la première plume 
extérieure blanche sur le côté étroit de la barbe, comme la swi- 
vante à la pointe, les deux dti milieu lavées de bleu clair; la poi- 
trine jaune, le ventre blanc avec une bande noire, qui s'étend 
depuis le menton jusqu’à l'anus; les pieds couleur de plomb. [es 
aïles recouvrent la queue à un pouce de longueur. 

Longueur 5 pouces, 10 lignes, envergure 8 pouces, 4 lignes. 


PATRIE. 


Cet oiseau est répendu sur tout le globe depuis le Cap de 
Bonne-Esperanze jusqu’en Norwegue et en Sibérie. On le trouve 
en Allemagne dans tous les bosquets et les jardins. En automne 
ils volent en troup>s d’un endroit à l’autre, ils passent aussi P’hiver 
dans nos éontrées et doivent aussi être classés parmi les oiseaux 
sédentaires de l’Allemagne. | 


QUALITES. 


Toujours activ et alerte ce petit oiseau sg suspend aux bran- 
ches des arbres tantôt au haut, tantôt au bas; il grimpe le long du 
tronc et parcourt et examine avec une extrême agilité tous les 
coins, où il croit trouver quelque nourriture. La ruse, la colère, 
la cruauté, le courage et la force sont les traits, qui le caracteri- 
sent. Non seulement les mésanges se font la guerre entre elles, 
mais elles attaquent encore des oiseaux bien plus grands qu’elles, 
tels que le verdier, le bouyreuil, Yalouette etc. se cramponnent 
sur leur dos avec leur ongles aigus, leur enfoncent le crane à 
coup de bec et en font sortir la cervelle. En cage elles sont tou- 
jours à frapper et à mordre de tous les côtés, aussi faut-il les tenir 
dans des cages de fil d’archal. Leur eri d’appel pink, pink, est 
très aigu et est frequemment coupé d’un autre cri zizerri d’un ton 
grasseyant et désagréable. Leur chant est court et se compose 


den Silben: zizidä, zizidä, zizidä, zid!  Zuweilen hört man ibn 
auch mit einiger Abänderung. Sie sind gelehrig und ahmen nicht 
nur die Loktône anderer Vôgel nach, sondern lassen sich auch zu 
allerhand Kunststücken z. B. eine Rolle, die an den Käfig ange- 
bracht ist, drehen, Wasserschöpfen u.d. gl. abriehten. In der Ge- 


fangenschaft erreichen sie zuweilen ein Alter von zehnlahren. Ihre 


| NAHRUNG 
besteht in Insekten, Maikäfern , Bienen, Heuschreken, Flie- 
gen, Motten, ihren Eiern, Larven und Puppen, aber auch in 
allerhand Samen von Hanf, Fohren und Fichten, Obstkernen, 
Nüssen, Bucheckern, Aas. Sind sie nur einigermassen an die 
Gefangenschaft gewöhnt, so fressen sie fast alles, was man ihnen 


vorwirft, 


FORTPELANZUNG 

Sie wählen‘ zur Anlegung ihres Nestes, Baum- und Mauer- 
löcher, leere Krähen - und Elsternester, worein sie eine blofse 
Unterlage von Wolle, Moos und Federn machen. Das Weib- 
chen legt 8. bis 14. — nach der Versicherung eines Vogelfängers, 
sogar zuweilen 20. — weifsliche, mit grofsen und kleinen röthli- 
chen Flecken’ besprüzte Eier, die beide Geschlechter wechsels- 
weise in 12. bis ı4. Tagen ausbrüten. Die Iungen, welche mei- 
stens mit grünen Räupchen aufgezogen werden, gehen nicht eher 
als bis sie ausgewachsen sind, aus dem Neste, und haben blasse 
Farben. Sie brüten des lahrs gewöhnlich zweimal. 

435 NUTZEN 

stiften sie besonders dadurch, dafs sie an den Obstbäumea 
viele schädliche Insekten und ihre Eier tôden, weswegen man ih- 
nen auch nicht so häufig nachstellen sollte, als es gewöhnlich ge- 
schieht. Ihr Fleisch wird gegessen, und ihres possirlichen Be- 


iragens wegen hält man sie gern in den Zimmern. 


SCHADEN 
bringen sie, wenn sie Bienen von den Bienenkörben wegfan- 
gen. Ihre 
FEINDE 


"sind Wieseln und Katzen, Sperber und Paumfalken. 


IAGD UND FANG. 


Sie sind leicht mit der Flinte zu erlegen. Man fängt sie mit 
dem Vôgelgarn, mit Leimruthen, Kloben, Meiseukästen, und 
| Sprenkeln. 

| VERSCHIEDENHEITEN. 

-1.) Parus major pallidus. Nobis. 

Wir sahen zwei Exemplare. Unterleib schmutzigweifs mit 
einem schmalen kurzen mattschwarzer Streifen; Rücken bleifar- 
big, in der Mitte olivengrün überlaufen; Nacken mit einem weis- 
sen Flek; alle übrigen Farben, die sie mit der Urart' gemein hat- 
ten , waren sehr bleich. 

2.) Parus major rostro forficato. 


5.) Parus major alis ferrugineis. 


ANMERKUNGEN. 


Die kleine Kohlmeise, die man hin und wieder findet, und 
sich nicht mit der grofsen begatten soll, ist wahrscheinlich keine 


eigene Art, sondern gewif nur solche, die zulezt aus dem Ei 


11 


F 


des syllabes suivantes: Zizidai, zizidai, zizidai, zid. Quelques fois 
cependant elles y mettent quelques variations. ŒÆlles sont très fa- 
cile à dresser. Non seulement elles imitent le cri d’appel des au- 
tres oiseaux, mais on peut encore leur apprendre divers tours 
d'adresse, tels que de tourner un cylindre adapté à leur cage, de 
puiser de Peau etc. En cage elles parviennent quelques fois jus- 


qu’à l'age de dix ans, 
NOURRITURE. 


Elles vivent d'insectes, de hannetons, d’abeilles, de sauterel- 
les, de mouches, de teignes, elles mangent aussi les oeufs, les 
larves et les chrysalides de ces insectes. De plus elles s’accomo- 
dent fort bien du chénevis, de la graine de pesse et de pin, de pe- 
pins.de fruit, de noix, de faine etc. elles ne dedaignent pas même 
les charognes. Une fois réduites a l’état de captivité elles mangent 
assès indistinctement tout ce qu’on leur présente. 


PROPAGATION. 


C’est dans les troncs des arbres et des murailles, quelles pla- 
cent leur nid, ou bien elles s'emparent de ceux que les corneilles 


etles pics ont abandonnés et se contentent de les garnir intérieure- 
ment de laine, de mousses et de plumes; la femelle pond de huit 
à quatorze oeufs, quelque fois même vingt, à ce que nous assure 
Ces oeufs sont blanchâtres et parsemés de taches 
Le mâle et la femelle couvent 


un oiseleur. 
rougeätres de différente grandeur. 
alternativement pendant ı2. A ı4. jours. Les petits, qu'ils nour- 
rissent pour l’ordinaire de petites chenilles vertes, ne sortent du 
nid, que lorsqu'ils sont grands; ils sont d’une couleur pâle, Ces 


oiseaux pondent communement deux fois par an, 
ei LA 
UTILITE. 
Is sont très utiles en ce qu'ils delivrent les arbres fruitiers 
d’une foule d’insectes nuisibles, en les mangeant et en détruisant 
leurs oeufs; aussi devroit on les épargner plus qu’on ne fait. Leur 


chair est mangeable et leurs allures si comiques qu’on les tient vo- 
lontiérs en cage. 


DOMMAGE. 


Les plus grand. mal qu’elles font c’est d'enlever les abeilles 
dans les ruches. 


ENNEMIS. , 


Elles ont pour ennemis les belettes et les chats, les éper- 
viers et les hobereaux. 


MANIÈRE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


On les tue aisement à coups de fusil. On les prend aussi au 
filet à la pipce, au breulet, dans des trappes, ou méssangières 
et an trébuchet. 


VARIETES, 


1.) Parus major pallidus. Nobis. 

Nous en avons vû deux échantillons. Le venire est d’un blanc 
sale avec une bande courte et étroite noir mât ; le manteau est gris 
de plomb ayec une teinte olivätre dans le milieu; la nuque a une 
tache blanche. 
cette variété avec l’espece primitive, sont très päles. 


Toutes les autres couleurs, qui sont communes à 


9.) Parus major rostro forficato. 


5.) Parus major, alis ferrugineis. 


REMARQUES. 


La petite charbonniere, que l’on trouve de tems à autre et 
qui à ce qu’on pretend ne s’accouple point avec la grande, n’est 
probablement point une espèce particulière. Ce sont plutôt les 


kriechen und klein bleiben. Es ist dies bei vielen Vögeln etwas 
gewöhnliches. Die Nürnberger Vogelfänger nennen solche Spät- 
linge , die Nestbäzlein. 

Borkhausen in seiner deutschen Fauna reilret die Meisen an 
die rabenartigen Vögel an, weil sie einen mehr messer- als keil- 
förmigen, am Grunde wie bei den Raben mit Borsten besezten, 
Schnabel haben, auf Aas gehen, räuberischer Natur sind, ihre 
Nahrung mit den Füfsen halten, zerreifsen, und stükweise, wie 
die Raubvögel, verzehren. Bechstein stellt sie hinter die Gat- 


tung : Staar. 


12 


dernièrs éclos et qui sont restés plus petits, comme cela se voit 
communement ches les oiseaux. Les oiseleurs de Nuremberg 
nomment ces individus tardifs Nestbätzlein.. 

Borckhausen dans sa Faune allemande place les mésanges à 
côté des oiseaux de la classe des corbeaux, parceque leur bec a 
plutôt la forme d’un couteau, que d’un coin, qu'il est garni à la 
base comme chés les corbeaux de plumes roides, que ces oiseaux 
aiment les charognes , sont d’un naturel carnassier, tiennent leur 
nourriture avec les pieds, déchirent et mangent par morceaux ce 
qu’ils ont attrapé comme les oiseaux de proie etc. 

Bechstein au contraire les classe après la famille des 
étourneaux. E l 


DER THURMFALKE. 


Mauer - Kirch- M'iusefalke. Wannen - Wandwcher. 
thelweihe. Rittelweihe. Graukopf. Windwahl. 

Falco Tinnunenlus. Linn. syst. nat. pag. 107. 

Falco Tinnuneulus. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. I. pag. 278. n. 16. 

The Keftril. 

La Cresserelle, 

Der Röthelseier. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 84. und 
85. Männchen. Tab. 88. Weibchen. 

Der Thurmfalke. Teutsche Ornithologie. Heft4.. Männchen und Weibchen. 

Der Thurmfalke. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. 8.37. nr.29. 


Rö- 


Röthelgeier. 
Rittelweiher. 


Penn. 
Buff. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Männchen. Oberleib braunroth und schwarz geflekt; Schei- 
tel und Schwanz blaugrau, zugerundet, ersterer schwarz gestri- 
cheit, lezterer am Einde mit einem breiten schwarzen und schmä- 
lern weißsen Band; Fülse und. Augenlieder safran gelb,. Wachs- 
haut heller. 
Weibchen. 


Schwanz braunröthlich, grau’überlaufen.. 


Scheitel braunroth, schwarz: gestrichelt; 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel kurz,. an: der Spitze blauschwarz, am Grunde gelb- 
lich hornweifs, obere Kinnlade mit einem scharfen Zahn, untere 
tief ausgerandet; Wachshaut gelb ; Nasenlöcher rund; Augenlie- 
der gelb, Augenstern tiefbraun; Stirn schmutzigweils; Scheitel 
und Hinterkopf blaugrau, schwarz fein gestrichelt; von dem Auge 
an neben dem Schnabelwinkel herab ein: schwärzlicher Flek ; Rü- 
eken und die meisten Flügeldekfedern braunroth mit schwarzen, 
eirund oder herzförmigen: Flecken ;; Unterrücken blaugrau; 
Schwungfedern braunschwarz, auf der breiten‘ Fahne mit 7. bis 8, 
weifsen Querllecken; Schwanz ficherfôrmig abgerundet, blaugrau, 
mit einer schwarzen breiten und einem darauffolgenden schmälern 
weifsen Bande an der Spitze.. Unterleib schmutzig. rosenroth mit 
schwarzbraunen schmalen Strichen: und rundlichen Flecken; Füfse 


safrangelb ; die Flügelspitzen. von der Schwanzspitze 1% Zollentfernt. 
Länge des Männchen ı2;- Zoll; Breite 2: F. 3. Zoll. 
“ Weibchen ı35#. Zoll; Breite 2.F.5# Zoll. 
Die Iungen: sind im ersten Iahr‘ auf dem Scheitel und dem 
ganzen Oberleibe und am Schwanze: braunroth,. Scheitel und Na- 


eken schwarz gestrichelt,, Rücken mit vielen schwarzen, drei- 


LA CRESSERELLE. 


Mauer - Kirch - Mäusefalke. 
thelweihe. 


Wannen - Wandweher. Röthelgeyer. Rö- 

Graukopf. Windwahl. Rittelweiher, 

Falco Tinnunculus. Linn. syst, nat. pag. 1927. 

Falco Tinnunculus. Gmel. Linn, syst. nat. Tom. I. P.I. p.278. n. 16. 

The Kestril. Penn. 

La Cresserelle. Buff. 

Der Röthelgeier. Frisch Vorftellung der Vögel in Deutschland, Tab. 84. et 
85. Le mâle, Tab. 88. La Femelle. 

Der Thurmfalke. Teutsche Ornithologie. Heft4. Männchen und Weibchen.. 

Der Thurmfalke. Bechst, ornitholog. Tafchenb. Th. I. S. 37. n.29 


Rittelweihe, 


En 
CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Mu. Le dessus du corps rouge - brun, tacheté de noir; le 
sommet de la tête et la queue bleu grisätre,, le premier avec un 
lisere en petits traits noirs, l’autre garni à sa base de deux ban- 
des l’une large et noire, l’autre blanche et étroite; les pieds et les 
paupières safran, la membrane du bec de la même couleur mais 
plus claire. 

Femelle. Le sommet de la tête rouge-brur ayec de petits 
traits noirs, la queue brun rougeâtre lavée de gris. 


DESCRIPTION. 


Le bec court noir bleu à la pointe et blanc de corne jaunâtre 
à sa base, la mandibule supérieure armée d’une dent aigue, l’infé- 
rieure ayant un rébord profondement silloné, la membrane du bec 
jaune ; les narines rondes, les paupières jaunes, les prunelles brun 
foncé, le front d’un blanc sale, le sommet et le derrière de la 
tete gris-bleu avec des traits noirs deliés; une tache noirätre des- 
cendant de chaque oeil et passant près de l'angle du bec; le man- 
teau et les plumes des couvertures des ailes, au moins pour la 


. plupart, rouge-brun avec des taches noires, ovales, ou: en forme 
plup 3 9 9 


de coeur; le bas du manteau gris bleu; les pennes des ailes d'un 
noir brunätre, ornées sur le côté étroit de la barbe: de sept ou huit 
taches transversales de couleur blanche, la queue arrondée en 
forme d’éventail, gris bleu avec une large bande noire près de la 
pointe et une autre, qui la touche et qui est à l'extrémité même de 
la queue plus étroite et de couleur blanche. Le ventre d’un rose 
sale avec des raies étroites brun noir et des taches ovales de la 
même couleur, les pieds safran, la pointe des ailes est éloignée 
d’un pouce et £ de celle de la queue. 

Mäle. Longueur 124. pouces. Envergure 2. pieds 54. pouces. 

Femelle. Longueur 133. pouces. Envergure 2. pieds 52. 
pouces. 

Les petits la première année ont le sommet de la tête, tout le- 
dessus du corps et la queue d’un rouge-brun; le sommet de la tête 
et la nuque marqués de traits noirs, et le manteau orné de plu- 


eckig herzförmigen Querflecken; Schwungfedern schwarz, auf 
beiden Fahnen mit weifsen und röthlichen und gegen die Spitzen 
braunrothen runden Flecken; Schwanz, mit 7 schmalen schwarzen 
Bändern, gegen das Ende eine breite schwarze Binde, die Spitze 
röthlichweifs; Unterleib hellröthlich, mit schwarzen länglichen 
Flecken; Wachshaut und Augenlieder gelblichgrün, Länge 15. 
Zoll, Breite 2 Schuh 43 Zoll.‘ Die Flügelspitzen erreichen fast 
Der 
AUFENTHALT 


dieses bekannten Falken ist Europa, ein Theil von Asien und 


die Schwanzspitze. 


In Deutschland ist er ein Zugvogel, der im März 
Alte Schlösser, 


Nordamerika. 
ankommt und im September wieder wegzicht. 
Thürme, Kirchen, hohe Mauern, Vor- und Feldhölzer sind sei- 
ne Wohnplätze. In einem Nürnbergischen kleinen Feldholze 


wurden bei 12. Nester gefunden. 
EIGENSCHAFTEN. 


Hoch in der Luft sielt man ihn aufeiner und derselben Stelle 
durch schnelles Bewegen seiner Flügel — in der lägersprache Rüt- 
teln, — sich halten, um irgend ein Thierchen auf der Erde mit- 
telst seines scharfen Blickes auszuspähen. * Iezt schiefst er pfeil- 
schnell in einer etwas schiefen Richtung herunter und die Beute 
ist in seinen Klauen. Ist diese verzehrt, so erhebt er sich wieder 
und die Iagd geht von neuem an. Mit einem geschwinden Flug 
verbindet er Gewandheit und Muth und verfolgt sogar grölsere 
seiner Gattungsvorwandten, so wie auch Tauben bis zum Schlage. 
Eine schreckenvolle Stille erfolgt, wenn er in einen Schwarm 
schreiender, auf einem Baume versammelter Sperlinge führt und 
einen aus ihrer Mitte wegkapert Sein Geschrei kli, kli, pli, pli, 
pli, ph, pli, ist hell und durchdringend, und ist dem Schalle ei- 
nes Glökchens ähnlich, daher auch sein lateinischer Name 'Tin- 
hunculus. Sie lassen sich leicht zähmen und sogar zum Ein- und 
Ausfliegen gewöhnen. Auch kann man sie zur Baize auf kleine 


‚Vögel abrichten. Die Iungen, welche wir zähmtien, legten sich 


gern in die Sonne, stunden öfters auf einem Bein und nikten be- | 


ständig mit dem Kopfe, so bald ihnen irgend etwas Ungewohntes 
vor die Augen oder Ohren kam. Nahte man sich ihnen, als sie 
noch wild waren, so legten sie sich sogleich rükwärts, wehrten 
sich mit ihren Krallen, und schrien, dafs einem die Ohren gellten. 
NAHRUNG. ; 

In ihrem Magen fanden wir öfters grüne Eidechsen, gañz und 
zertrümmert, vorzüglich aber Maulwurfsgrillen, mit welchen der 
Magen ganz angefüllt war, Mistkäfer, Heuschrecken und Mäuse. 
Sie gehen aber auch auf zahme 'Tauben, Lerchen, Sperlinge und 
andere kleine Vögel. Urisere gezähmten Thurmfalken rupften die 
Federn zum Theil aus dem Vogel, den sie unter den Krallen hat- 
ten, und rissen Stücke davon ab. Knochen, Haare und Federn 
brachen sie nach vollendeter Verdauung in kleinen Ballen wieder 


von sich. 


FORTPFLANZUNG. 

Ihr Nest, das aus kleinen Reisern u! andern Materialien be- 
steht, bauen sie auf F ohren, Fichten und Tannen, in hole Bäume, 
in die Ritzen alter Thürme und auf Felsen. Das Weibchen legt 
vier bis sechs rundliche gelbröthliche oder auch braunrothe, mit 


dunklern Punkten und Flecken besprengte Eier. Die Iungen, von 


sieurs taches transversales noires, triangulaires on en forme de 
coeur, les pennes des ailes noires parsemées aux deux côtés de la 
barbe de taches rondes, blanches et rougeätres el. vers la pointe de 
taches rouge brun, le ventre rougeätre clair avec des taches noi- 
res de forme allongée; la membrane du bec et les paupières vert- 
jaunätre. 

Longueur 15. pouces, envergure 2. pieds, 4 pouces et}. Les 
pointes des ailes atteignent à peu près eelle de la queue. 


PATRICE. 


La patrie de cet oiseau si connû est l’Europe, une partie de 
PAsie et P’Amerique septentrionale. En Allemagne il est oiseau 
de passage, il arrive au mois de Mars et repart en Septembre. Il 
habite de préférance les vieux chateaux, les tours, les clochers, 
les murs eleves; on le trouve aussi dans les bois entourés de cam- 
pagnes, ou silués en avant des forêts, on a trouvé jusqu’à 12. nids 
de cet oiscau dans un petit bois entouré de champs du territoire 
de Nuremberg. 3 

Û 4 
QUALITES, 

On le voit se soutenir dans Pair à une grande élévation et à 
la même place, en agitant rapidement ses ailes, (mouvement que 
les chasseurs allemands nomment Rütteln) c’est de là que son 
ocil percant épie l'animal, qui doit lui servir de nourriture cite 
foudant sur lui avec la rapidité d’un trait et dans une netten 
oblique, il saisit sa proie de ses serres robustes. A peine Pa til 
devorée, qu’il s’elance de nouveau dans l’air pour recommencer 
sa chasse. Il unit à la rapidité du vol, la souplesse et le courage, 
il s’attaque même à des oiseaux de la même classe que lui, quoi- 
que plus grands et plus forts. On le voit poursuivre les pigeons 
jusqu’au colombier. S’il vient à passer prés d’un vol de moineaux 
criards rassemblés sur un arbre et à en saisir un au passage, un 
prôfond silence regne soudain dans la troupe cünsternée. Son cri 
kli, kli, pli, pli, pli, pli, pli, est aigu et pergant, et res- 
semble au bruit d’une sonneite ; ce qui lui a fait donner en latin le 
nom de Tinnunculus. On lapprivoise facilement et on le 
dresse à revenir au logis, on s’en sert aussi pour donner la chasse 
aux petits oiseaux. Les petits que nous avons apprivoisés aiment 
ä eire au soleil, ils se tenoient pour l’ordinaire sur un pied et re- 
muoient continuellement la tete, du moment, qu'ils voyoient ou 
entendoient quelque chose de nouveau et d’inattendu. S’appro- 
choit-on d’eux avant qu’ils fussent apprivoises, ils se mettoient 
tout de suite sur“le dos se defendoient avec leurs serres et pous« 
soient des cris à vous assourdir. 


NOURRITURE. 


Nous avoris souvent trouvé dans Pestomac de cet oiseau des 
lézards verts, où enticrs ou par morceaux et surtout des grillons- 
taupes dont il s’etoit gorgé, des scarabces, des sauferelles et des 
souris. U fait aussi la guerre aux jeunes pigeons, allouettes, aux 
moineaux et à d'autres petits oiseaux. Les cresserelles que nous 
avions apprivoisées arrachoient une partie des plumes des oiseaux 
tombés sous leurs grilles et les déchiroient par morceaux. La di- 
gestion faite, elles vomissoient en forme de petites peloites, les 08, 
les poils, etles plumes des animaux qu’elles avoient mangés. 


PROPAGATION. 


Cest sur les pesses, les pins et les sapins, dans les troncs 
creux d’autres arbres,, dans les fentes des vieilles tours et sur les 
rochers, que la cresserelle place son nid, quelle construit de pe- 
tits branchages et d’autres materiaux. La femelle y pond de quatre 
à six oeufs de forme ovale, d’un rouge jaunâtre, ou rouge brun, 
parsemés de points, ou de taches plus foncées, les petits sont tout 


G 


welchen hier eins abgebildet ist, sind anfangs gänzlich mit weis- 
ser Wolle bekleidet. 1 | ; 
NUTZEN 
stiften sie theils durch ihre Nahrung, theils dadurch, dafs 


man sie auf Lerchen und iunge Rebhüner abrichten kann. 


SCHADEN 


bringen sie, wenn sie auf den Vogelherden die Vorläufer, und ° 


Tauben und iunge Rebhüner wegfangen. . 


FEINDE. 

In ihren Federn wohnt die Thurmfalkenlaus, und in ihren 
Gedärmen fanden wir ein Bündel kurz - und langgliederiger 
Bandwürmer. : 

IAGD UND FANG. 
Man schiefst sie, da sie nicht sehr scheu sind, von den Spi- 
Auf den 


Vogelherden fängt man sie mit dem Garn, wenn sie auf die Vor- 


izen der Bäume, auf welchen sie gerne sitzen, herunter. 


läufer fallen. 
VERSCHIEDENHEITEN. 


1) Falco Tinnunculus albus. î 

2) Falco Tinnunculus rubro-— fuscus, mit rothbraunem und 
schwarz quer gestreiflem Oberleibe und weifsgrauem einzeln ge- 
stricheltem Unterleibe. 

5) Falco Tinnunculus, mit feinen schwarz gestreifien Schen— 


kelfedern. 
ANMERKUNGEN. 


Falco Tinnunculus griseus und F. alaudarius oder Accipiter 
alaudarius, sind wahrscheinlich nur Alters - und Geschlechisver— 
schiedenheiten. 

Der rothe Falk. Tinnunculus alter. Frisch. tab. 85. ist ein 
‘Miinnchen, dessen Schwanz noch nicht vermausert ist, und nur 
erst eine einzige blaugraue Feder hat. 

Der kleinste rothe Falk. Frisch tab. 89. scheint uns nicht das 
‚Männchen von F. Aesalon , sondern vielmehr der iunge Thurm- 
falke im ersten Iahr zw'sein. Die schwarzen Streifen auf der Un- 
'terseite des Schwanzes am Thurmfalkenmännchen, die Hr. Bech- 
stein in seinem orn. Taschenb. 3.57. nr: 29. angibt, haben wir 
nicht bemerken können. Zufernern Nachforschungen mögen nun 
noch folgende Beobachtungen dienen: 

1) Ein Männchen, das wir vom Neste nahmen und aufzogen, 
‘erhielt den blaugrauen Schwanz im zweiten Iahr. 

2) Bei einem aufgezogenen Weibchen wurden im zweiten Iahr 
die obern Schwanzdekfedern und der Schwanz blaugrau, lezterer 
‚braunröthlich: überlaufen, mit g— 10 schmalen unterbrochenen 
schwarzer Bändern , am Ende mit einer breiten: schwarzen Binde 
und röthlichweilsen Spitzen; alle Schwanzfedern braunroth ge- 
‘randet. Der Rücken braunroth mit vielem schwarzen: grolsen drei- 


eckigen, im Nacken herzfôrmigen Flecken. 


14 ._—— 


couveris, dans les commencement d’une laine blanche. Nous 
donnons ici la gravure d’un de ces petits. | 


UTILITÉ, 


Ils nous delivrent d’une foule d'insectes et autres animaux 
muisibles qui leur servent de nourriture; de plus on les dresse à la 
chasse des alouettes et des perdreaux. 


DOMMAGE. 


Ils détruisent beaucoup de pigeons et de perdreaux et enle- 
vent souvent les appeaux dans les aires. 


ENNEMIS. 


Ils logent dans leurs plumes une espèce de poux, qui leur est 
particulière; nous avons aussi trouvé dans leurs intestins un pelo- 
ton de faenia à anneaux plus ou moins longs. 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


Comme ils ne sont pas très fuyards on les tire à coup de fusil 
an sommets des arbres sur les quels ils aiment à se poser. On les 
prend aussi dans les aires au filet, lorsqu'ils se jettent sur les 
appeaux. 


VARIETES. 


1.) Falco Tinnunculus albus. 

2.) Falco 'Tinnuneulus rubro-fuscus, avec le dessus du corps 
rouge brun et marqué de raies transversales noires, et le ventre 
vert-blanchâtre avec quelques traits semés clair. 

5.) Falco Finnuneulus — avec les plumes des cuisses ornées: 
de raies noires deliéess 


REMARQUES. 


Le Falco Tinnuneulus griseus et le Falco alaudarius ou ac- 
cipiter alaudarius ne different probablement que par Tage et le sexe. 

Le faucon rouge, ’Tinnwneulus alter, Frisch t. 85. est un 
mäle, dont la queue n’a pas entièrement mué et n’a encore que 
quelques plumes gris bleu. 

Le petit faucon rouge de Frisch t. 89. est suivant nous, non 
le mâle de l’emerillon (Falco aesalon) mais plutot une Jeune cres- 
serelle dans sa première année. Nous n’avons pû remarquer les 
raies noires que Mr. Bechstein prétend qu'on voit sur le revers de 
la queue des cresserelles mâles. Bechst. ornitholog. 'Taschenb. 
S:57. 0.29. > 

Voici encore quelques observations qui pourront engager à 
faire sur cet oiseau des recherches plus exactes. 


1) Un mâle que nous attrapames au nid et que nous élévames, 
ne prit la couleur gris-bleu à la queue, que la seconde année. 


2) Une femelle que nous avions élévée prit dés la seconde 
année la couleur bleue aux couveriures supérieures de la queue et 
à la queue même que de plus eloit lavée de brun rougeätre avec 
g—10 bandes noires étroites et interrompues et qui à son extrè- 
mité avoit une large bande noire et les pointes des plumes d’un 
blanc rougeâtre. Toutes les plumes de la queue ayoient un liséré 
rouge brun. Le manteau ctoit rouge brum avec plusieurs taches 
uoires triangulaires et en forme de coeur sur la nuque, 


DER. GRUINSPECHT. 


Grasspecht. Zimmermann. 

Picus viridis. Linn. syst. nat. pag. 175. 

Picus viridis. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P.I. pag. 453. nr. 12. 
The grecn Woodpecker. Penn. 

Le Pic-vert: Buf.. : 

Der Grünspecht. Frisch Vorst. der Vögel in Deutschl. Tab. 35. 


Der Grünspecht. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. S. 60, nr, 2, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Zeisiggrin Scheitel und: Hinterkopf karmoisinroth; Gesicht 
schwarz und roth; alle Schwanzfedern gebändert, 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel stark, dreikantig, am Ende keilförmig,, oben schwarz- 
bläulich, an der Wurzel und am Unterkiefer weils; Nasenlöcher 
mit schwärzlichen Borster bedekt; Augenstern weifs; Scheitel und 
Hinterkopf schön karmoisinroth; Gesicht schwarz; Schläfe weifs- 
grün; Oberhals, Rücken und Dekfedern der Flügel zeisiggrün ; 
Unterrücken glänzend grüngelb; erste Ordnung der Sehwungfedern 
ae auf der äufsern Fahne mit weilsgelben Flecken, zwei- 
te Ordnung olivengrün, die breite Fahne schwärzlich mit läng- 
lichtrunden weilsen Querflecken; Schwanz steif, einwärts gebo- 
gen, spitzig, schwärzlichgrün, mit graubraunen Querflecken, die 
mittlern Federn mit schwarzen Spitzen und einer grüngelben Ein- 
fassung; Kehle weißslich ; Unterleib schmutziggelblich, am False 
ins Grüne übergehend, am Bauche mit undeutlichen schwärzi- 
chen, und auf den großsen Schenkelfedern mit grünlichen Quer- 
strichen; Fülse graugrün, Nägel schmutzig aschgrau Die Flügel- 
spitzen reichen bis auf die Mitte des Schwanzes. | 

Länge 1 Fufs;: Breite 14 Fufs. 
Das Weibchen hat weniger Roth auf dem Scheitel, auch sind 
die übrigen Farben blässer. 
AUFENTHALT. 
Er ist in Europa zu Hause. In Deutschland ist er,ein be- 
kannter Standvogel, und hält sich gern in, grofsen Éichen- und 
Buchenwäldern, auch Ver-und Feldhôlzern, die mit Eichen be- 


sezt sind, auf 


EIGENSCHAFTEN. 

In beständiger Thätigkeit, klettert und klopft er immer an den 
Bäumen herum und läfst dazwischen sein weit schallendes gak, gak, 
gak, gak, gak, hören. Nähert man sich ihm 3 59 ist er sogleich 
auf der entgegen gesezten Seite des Stammes und schielt nur mit 
dem „Auge etwas vor, -um zu schen, ob Gefahr vorhanden ist, 
Hat 


man ihn verfehlt, so fällt er gerade herunter, man hält ihn für 


oder nicht. Er ist scheu und daher schwer zu schiefsen. 
verwundet, oder tod, läuft hinzu und — findet nichts, — weil er 
niedrig weg und an einen entferntern Baum flog. Mit. einer gros- 


sen Geschäftigkeit meiselt er vermittelst seines starken Schnabels 


großse, runde Löcher in angefaulie — nicht aber in gesunde — . 


Bäume, und läuft dann nach acht bis zwölf, Elieben um den Stamm 


herum, und sieht, ob keine durch sein Klopfen in Schrecken ge- 


15 


‚The green Woodpecker. 


LE PIC - VERT. 


Grasspecht. Zimmermann. 
Linn. syst. nat. pag. 175. 
Gnrel. Linn. syst. nat. Tom. I. P:I. p. 433..n.12. 


Penn. 


Picus viridis. 
Picus viridis. 


Le pic-vert. Buff 
Der Grünspecht. Frisch Verst. der Vögel in Deutschl. Tab. 35. 
Der Grünspecht, Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. S. 60. nr. 2. 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


Cie vert-serin; le sommet et le derrière de la tête cramoisi A 
le visage noir et rouge, toutes les plumes de la queue ornée de 
bandes. 


DESCRIPTION. 


Le bec fort, triangulaire, en forme de coin à la pointe, bleu 
rioir en dessus, -blanic à sa base et à la mandibule inférieure, les 
narines couvertes de petites plumes roides noires, l'iris des yeux 
blanc, le sommet et le derrière de la tete d’un beau cramoisi ; le 
visage noir, les temples vert blanchäire; le dessus du col, la 


nuque et les couveriures des ailes vert de serin; le bas du manteau 


jaune vert-brillant, les pennes des ailes du premier rang noirä- 
tres, tachetées de jaune blanchätre sur le côté ctroit de la barbe; 
celles du second rang vert d'olive avec des taches blanches de 
forme oblongue, semées en travers sur le eôté large de la barbe; 
qui est noirätre, la queue roide, arquée, pointue, vert noirätre 
avec des taches trarisyersales brun-gris, les pennes du milieu 
noires à la pointe et lisérées de jaune vert, la gorge blanche, le 
bas du corps jaune sale; couleur qui prend-une teinte verdâtre au 
éol, le ventre marqué en travers de quelques traits noirätres peu 
distincts et les grandes plumes des cuisses de traits pareils de cou 
leur verdätre, les pieds vert grisätre, et les angles cendré sale, La 
pointe des ailes va jusqu'au milieu de la queue. 

Longueur 1 pied; envergure x pied et £ 

La femelle a moins de rouge au sommet de la tête que le mâle 
et a aussi les autres couleurs plus pâles. 


PATRIE. 


L'Europe est la patrie de cet oiseau très conmü en Allemagre 
U habite de préférence les grandes forêts de 
chènes et de hêtres. On le trouve aussi dans les petits bois, en 
avant des grands; ou isolés dans les campagnes, s’ils sont plantés 
de chènes. 


où ıl est sédentaire. 


QUALITES, 


Sans cesse en mouvement le pic-vert grimpe contre le tronc 
des arbres et les frappant de son bec, fait entendre par intervalle 
un cri éclatant gak, gak, gak, gak, gak, qui résonne au loin. 
Si l’on s’approche de lui il passe du côté opposé du tronc d’où il 
vous épie du coin de l'oeil pour savoir s’il ya du danger, ou non. 
H est très sauvage et par consequent diflicile à tirer. Si on le 
manque, il tombe au pied de l'arbre; on le croit mort, ou blessé, on 
veut le prendre et lon ne trouve rien, car il s’est deja envolé en 
rasant le terrain vers quelque arbre éloigné, On le voit pour l’or- 
dinaire très occupé à faire à l’aide de son bec, qui est très fort, 
de grands trous dans l'écorce des arbres pourris, car il wattaque 
Pas ceux, qui sont sains, puis après avoir donné une huitaine ou 
une douzaine de coups, il fait le tour du tronc pour voir, si ce 
bruit effrayant n’a point fait sortir des trous ou des fentes de Pe- 
corce quelque insecte, ou quelque larye. Son vol quoique lourd 


H 


sezte, Insekten oder ihre Larven aus den Löchern oder Ritzen 
der Rinde hervorgekrochen sind. Bei seinem zwar ungeschikten, 
aber doch schnellen F luge steigt er anfangs schief in die Höhe und 
fällt dann bogenförmig wieder nieder. Sein Gang ist hüpfend. 


Seine 
NAHRUNG 
sind vorzüglich Larven und Puppen des Goldkäfers, der 
Hornissen, verschiedene andere Insekten, die sich unter der 
Borke aufhalten, Ameisen, Engerlinge und Regenwürmer. Auch 


gehet er an die Bienenstöcke und fänget die Bienen weg. 


FORTPFLANZUNG. 

Auf dem Gipfel eines hohen Baums rufet das Männchen ein 
Weibchen herbei, fliegt ihm, wenn ihm eins antwortet, entgegen, 
und empfängt es zärtlich mit einem leisen gi, gi, gi, gä, gä, gä, indem 
sie um einen niedrigen Baumstamm herum laufen. Sie machen 
kein eigentliches Nest. Das Weibchen legt seine drei bis fünf 
weifse Eier auf das blofse faule Holzmehl hin, das sich in den 
Löchern der Bäume befindet. 
Die Iungen sehen, wie hier die Abbildung zeiget, in der Mauser 


ziemlich buntscheckig aus. Gesicht, Kehle und die Seiten des 


Sie machen des lahrs nur eine Brut. 


Unterhalses schmutzig weils, mit vielen schwarzen Längsflecken; 
Unterleib schmutzigweifs und grünlich mit schwärzlichen Querli- 


nien; Oberrücken gelbgrün mit weilsgrünlichen Flecken. 


NUTZEN 
stiftet er durch seine Nahrung. Das Fleisch der Iungen hat, 


sauer gebraten, einen angenehmen Geschmak, 


SCHADEN 
richtet er nur dann an, wenn er in die Bienenkörbe ein Loch 


‘macht, um zu den Bienen zu kommen. 


FEINDE 


In seinen Gedärmen fanden wir Bandwurmer. 


IAGD UND FANG. 
Er mufs mit der Flinte erschlichen werden. Lebendig fängt 
man ihn, wenn man ihn in der Krähen- oder Häherhütte mit ei- 
ner Pfeife, die seinen Ruf ängstlich nachahmt, auf einen mit Leim- 


ruthen bestekten Baum lokt. 


ANMERKUNG. 

Mehrere Ornithologen glauben, dafs der klebrige Schleim, 
womit die Spechte ihre Zunge beschmieren, um sie zum Insek- 
tenfang desto geschikter zu machen, sich hinten in der Zungen- 
scheide befinde. Nach unsern, so wohl bei Iungen als Alten dar- 
über angestellten Untersuchungen, ist dieser klebrige Schleim in 
zweilangen Drüsen zu beiden Seiten des Kopfes. Sie sind unge- 
fähr 2 Zolllang und hinten etwa 3 Linien breit, weifßslich, laufen 
an der untern Kinnlade weg, werden immer schmäler und endi- 
gen sich da, wo die beiden Theile der Unterkinnlade zusammen 
gewachsen sind, mit einer Oefnung. Dies ist aber nicht die ein- 
zige, denn hinter dieser befinden sich noch sieben bis acht andere, 
aus welchen allen, wenn man die Drüsen mit einem Messerchen 
drükt, iener Schleim hervor und in die untere Kinnlade dringt, 
in welcher die Zunge liegt, und welche also bei ihrem Heraus- 


strecken damit beschmieret wird. In diesen beiden Drüsen sieht 


est asses rapide, il s’eleve d’abord en Pair en suivant une dire- 
ction oblique et redescend de même en décrivant un arc de cercle. 
Sa marche est sautillante. 


NOURRITURE. 


Il se nourrit principalement des larves, et des chrysalides de 
Pemeraudine ou scarabée doré et du frelon, de diverses espèces 
d'insectes, qui se tiennent sous l’écorce des arbres, de fourmis, de 
vers bouviers et de vers de terre. Il s'approche aussi des ruches 


et en enléve les abeilles. 


PROPAGATION. 


Le mâle perché au sommet d’un grand arbre, appelle la fe- 
melle, vole à sa rencontre si elle a repondu à son invitation, et la 
reçoit tendrement, en faisant entendre un legèr gi, gi, gi, gai, gai, 
gai, et en tournant avec elle autour de quelque tronc d’arbre peu 
élévé. Ils ne font proprement point de nid. C’est sur la poupière 
du bois pourri, qui se trouve dans les troncs des vieux arbres, 
que la femelle pond de trois à cinq oeufs de couleur blanche. Elle 
ne pond qu’une fois par an. Les petits comme on le voit dans 
notre figure, ont le manteau assès bigarré pendant la mue. Le 
visage, la gorge et le bas du col sur les côtés sont d’un blane sale, 
avec plusieurs taclıes noires de forme oblongue, le ventre est aussi 
blanc sale et verdâtre avec des lignes transversales noiratres et le 
haut du manteau vert-jaune avec des taches blanc verdätres. 


UTILITÉ. 


Il nous délivre d’une foule d’insectes. La chair des petites a 
un gout agréable, quand on les rotit au vinaigre. 


DOMMAGE. 


Le seul mal, qu’il fasse c’est de faire quelques fois des trous 
aux ruches pour parvenir jusqu'aux abeilles. 


ENNEMIS. 


Nous avons trouvé des vers plats dans ses intestins. 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRT. 


On peut les tuer au fusil en s’en approchant avec beaucoup de 
circonspection, on les prend aussi en vie dans les aires, destinées 
à prendre les corneilles et les geais, en les aïtirant sur des arbres 
chargés de gluaux, au moyen d’un appeau, qui imite fidelement 
leur cri. 


REMARQUES. 


Plusieurs ornithologistes croient, que l’humeur visqueuse avec 
la quelle les pics enduisent leur langue, à fin de la rendre plus pro- 
pre à attraper les insectes, se trouve sur le derrière de la tête dans 
la gaine, ou fourreau de la langue. Mais d’après un grand nom- 
bre d’observations, quenous avons faites sur desindividus tant jeunes, 
que vieux de cette espèce, nous nous sommes conyaincüs, que cette 
matière visqueuse est contenue dans deux glandes allongées placées 
aux deux côtés de la tête, ces glandes de couleur blanchätre ont en- 
viron deux pouces de long et trois lignes de large, sur le derrière ; 
elles passent le long de la mandibule inférieure se retrécissant de 
plus en plus, et se terminant par une ouverture à l'endroit, où les 
deux pièces de la mandibule inférieure se réunissent, Mais ceite 
ouverture n’est pas la seule, car derrière celle-ci on en trouve en= 
core sept ou huit autres, d’où l’on peut faire sortir en pressant la 
glande avec un canif, l’humeur yisqueuse, qui pénétre dans la 
mandibule inférieure où est placée la langue et l’humecte, quand 
elle en sort. On voit aussi très distinctement dans ces deux 


- man auch sehr deutlich mehrere Blutgefäfse, -die vielleicht ienen 
Schleim absondern. Eine Abbildung der Drüsen und des Specht- 
kopfes nebst einer ausführlichern Beschreibung findet man in dem 
zweiten Band des Voigtschen Magazins für den neuesten Zustand 
der Naturkunde 1801. Bei der ersten F igur daselbst hat der Ku- 
pferstecher den Fehler begangen, dafs er den Schnabel von der 


linken Seite und nicht von der rechten vorstelite. 


17 


glandes un grand nombre de vaisseaux, qui servent peut-être à la 
secrétion de cette humeur. On trouve dans le second volume du 
magazin de Voigt sur ce qu’il ya de plus nouveau en Physique 1801. 
une figure exacte et une ‘description détaillée d’une tête de pic et 
de ces glandes, qui lui sont propres. Mais par faute du graveur 
on y voit dans la figure premiere, le bec répresenté de la gauche, 
au lieu de la droite. 


DIE DOHLE. 


Dählein. Schneedolln. Doel. Thae. 
gacke. Thalk. Gacke. Dollig. 

Corvus Monedula. Linn. syst. nat. pag. 156. nr. 6. 

Corvus Monedula. Gmel. Linn, syst. nat, T.I. pag.367. nr. 6. 

The jak-daw. Penn. 

Le Choucas. Buf à 

Die graue Dohle., Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 67. 

Die Thurmkrähe, - Bechsteins ornith. Taschenb, Th. I. S. 90. nr. 5. 


Thale Tul. 


Dachlicke. Schnee- 


KENNZEICHEN DER ART. 


De halbe Scheitel und Hinterkopf lichtgrau; Oberleib schwarz, 
Unterleib etwas heller. 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel lanzettförmig, etwas zusammengedrükt, schwarz; 
Nasenlöcher ınit Borstenfedern bedekt; Stern milchweils; Stirn 
und halber Scheitel schwarz, stahlblauglänzend; Oberhals und 
Seiten bis an die Augen lichtgrau; Oberrücken schwarz, mit 
schwachen lichtgrauen Rändern; der übrige Oberleib und Schwanz 
schwarz, ins Purpurrothe und Grüne schillernd; Unterleib grau- 
schwarz. Füfse glänzendschwarz. Die Flügelspitzen sind von der 
Schwanzspitze ı Zoll entfernt. 

Länge 15. Zoll; Breite a Fufs, 2 Zoll. 
Das Weibchen ist fast unmerklich von dem Märinchen verschieden, 


AUFENTHALT. 

Europa und Asien. In Deutschland wohnen sie in alten Kir- 
chen, Thürmen und Ruinen, auch in Wäldern, -wo es alte Eichen 
gibt. - Sie sind deutsche Strich — und Standvögel. In Nürnberg 
halten sie sich in grofser Menge das ganze Tahr hindurch in den 
alten gothisch gebauten Kirchthürmen auf. Zu Ende des Okto- 
bers ziehen sie, nach den Beobachtungen des Hrn. Cammerrath 
Bechsteins, des Morgens und Abends in umübersehbaren Scharen, 
von welchen immer eine die andere zu verfolgen scheint, mit ei- 
nem unaufhörlichen Geschrei über den Thüringer Wald im Herbst 
gegen Abend, im Frühiahr im März von Abend gegen Morgen zu- 

_rük. Ieder abgesonderte Haufe beschreibet nach einem Flug von 
etwa einer halben Stunde, in der Luft seine Kreise, welches eine 
Art des Wartens und Sammelns zu sein scheint, damit der schwä- 
chere und leztere Theil sich nicht zu weit entfernen und bei dem 
ganzen Zug bleiben möge, denn der darauf folgende Schwarm 
macht fast auf derselben Stelle die nämlichen kreisförmigeri Bewe- 
gungen. 


"Thüringer Waldes nieder, und dann sieht ein grofser, von vielen 


Sie lassen sich gern ari den kahlen Vorderbergen des 


LE CHOUCAS. 


Dählein. 


gacke. 


Thale. Tul. Schneedolln. Doel. Thac. 
Thalk. Gake. Dollig. 
Linn. syst. nat. pag. 156. nr. 6. 
Corvus Monedula. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. pag. 367. nr. 6. 
The Tac-daw. Penn. 


Le Choucas. Buff. 


Die graue Dohle. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. Tab. 67. 
Die Thurmkrähe, Bechst. ornitholog. Taschenb. Tab. L S. 90, nr. 5. 


Dachlicke. 


Schnee- 


Corvus Nonedula. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


FE: moitié du sommet et le derrière de la tête gris clair, le des- 
sus du corps, noir; le ventre un peu plus clair, 


DESCRIPTION. 


Le bec en forme de lancette un peu comprimé et noir; les 
narines couvertes de plumes roides; l'iris blanc de lait; le front et 
la moitié du haut de la tête noir avec un lustre d’acier bleu, le 
haut du col et les côtés jusqu'aux yeux gris - clair; le haut du 
manteau noir avec un liséré gris-clair, presque imperceptible, le 
reste du manteau et la queue noir avec un chatoyement vert et 
pourpre, le dessous du corps d’un vert grisätre; les pieds d’un 
noir lustre. Le bout des ailes est éloigné d’un pouce de celui de 
la queue: 


Longueur 15. pouces; envergure 2. pieds 2. pouces, 


La femelle ne différe presque en rien du mâle. 


PATRIE. 


La patrie de cet oiseau c’est l’Europe et l'Asie, En Allemagne 
ils habitent les vieilles églises, les tours, les masures, et les fo- 
rêts, ou il y a de vieux chênes. Il est tout à la fois oiseau seden- 
taire et Oiseau de passage pour l'Allemagne. On les voit en grand 
nombre à Nuremberg pendarit toute l’année dans-les tours des 
vieilles églises gothiques. A la fin d'Octobre on les voit soir et 
matin, d’après les observations de Bechstein, voler en troupes 
innombrables, dont l’une paroit toujours poursuivre l’autre et avec 
des cris continuels, par dessus la chaine de montagnes de la Thu- 
ringue. Leur vol se dirige alors du levant au couchant, tandis 
qu’au printems au mois de Mars c’est du couchant au lévant, 
Chaque vol séparé après avoir fait route environ pendant une 
demi heure, forme ce qu’on apelle un camp, en décrivant dans 
l'air des cercles uniformes. C’est comme un point de rassemble 
ment et un sigal qu’on donne aux traineurs, à fin qu'ils ne s’e- 
cartent pas trop et qu’ils restent dans la file; car c’est presque tou- 
jours à la même place que chaque vol s’arrête à son tour pour faire 
la même manoeuvre circulaire. Ils se posent volontiers sur les avant- 
montagnes denuées de bois de la chaine de la Thuringue, et font 
parôitre toutes noires les collines qu’ils couvrent par milliers. En 


hiver ces choucas vagabonds cherchent les prairies montagneuses 


Tausenden besezter Hügel ganz schwarz aus. Im Winter su- 


chen diese Zugdohlen, die wegen der warmen Quellen nicht zu- 


gefrornen Wiesen zwischen den Gebirgen auf und zerstreuen sich. 


auch auf die Felder, wo Misthaufen liegen. 
EIGENSCHAFTEN. 


Die Dohlen leben in grofen Gesellschaften beisammen, ha- 
ben viel Lebhaftigkeit, aber auch viel Scheuheit. Leziere verlie- 
ren sie nur dann einigermassen, wenn tiefer Schnee liegt, und der 
Hunger sie nöthigt, ihre Nahrung auf den Gassen in der Stadt zu 
suchen. Doch thun sie dies auch nur bei Tages Anbruch, ehe 
noch viele Menschen auf den Gassen sind. Schiefst man eine da- 
von, läfst sie liegen und hält sich verborgen, so fliegt der ganze 
Haufe auf und mit einem grofsen Geschrei im Kreise über der to- 
den Dohle herum. Dann besuchen sie aber auch diesen Ort so 

bald nicht wieder. Sie sind schon Jange vorher, ehe der Morgen 
graut, munter, ungeachtet man aus ihrem Geschrei, das sie abends 
noch um 9 Uhr machen, auf’einen kurzen Schlaf schliessen mufs. 
Sie jagen sich am Trage über mit grofsem Geschrei, besonders wenn 
abends bei Sonnen - Untergang geläutet wird, entweder um den 
Thurm herum und necken einander, oder die ganze Schaar macht 
einen Ausllug auf das Feld, und kehrt dann mit einem eben so gros- 
sen Geschrei wieder heim. Merkwürdig ist es, dafs wenigstens die 
sin Nürnberg auf dem Lorenzer Kirchthurm wohnenden fast tig- 
lich auf einen und demselben Wege nach Hause ziehen, denn 
ihre Richtung geht allemal gerade über den Markt in der Vorstadt 
Wöhrd nach dem 'Thurm zu. Dafs sie (nach Goeze) eine starke 
‚Vorempfindung von der Veränderung des Weiters haben können, 
geben wir zwar gerne zu; dafs aber im Winter allemal Schnee 
oder Sturm erfolge, wenn sie in einem grofsen Zuge und mit star- 
kem Geschrei über die Stadt ziehen, scheint uns noch nicht ganz 
ausgemacht zu sein. Auch dies ist nicht ganz richtig, dafs sie nie 
auf andere Häuser kommen, sondern sich immer auf den Thür- 
men aufhalten. In Nürnberg sieht man sie zwar gewöhnlich auf 
den Thürmen und Kirchen, aber auch auf andern Häusern. Im 
Frühiahr, wenn sie Materialien zu ihren Nestern, oder Speise für 
ihre Tlungen aus den Feldern und Gärten holen, ruhen sie schr oft 
auf andern Häusern aus. Läfst sich eins Eule oder ein anderer 
Raubvogel blicken, so verfolgt ihn die ganze Schaar mit einem so 
grofsen Geschrei, dafs dieser nicht weils, wie er sich schnell ge- 
nug retten soll. Besonders zeigen sie auch die fast allen Raben- 
arten angeborne Eigenheit, dafs sie alles Glänzende, vorzüglich 
Metalle, in ihre Nester oder in andere verborgene Winkel tra- 
gen. Man hat Beispiele, dafs die Dohlen in Erfurt alte römische 
Münzen, die sie wahrscheinlich auf den Aeckern fanden, in ihre 
Nester und Löcher auf den dasigen Dohm trugen. Sie lassen sich 
iung leicht aufziehen, werden schr zahm und machen ihrem Er- 
zieher durch ihr possirliches Betragen vielen Spafßs. Sie lernen 
nicht nur leicht Worte nachsprechen, sondern merken auch 
auf den ihnen beigelegten Namen, und kommen sogleich, wenu 
man sie mit demselben ruft. Auch zum Ein- und Ausfliegen las- 
sen sie sich gewöhnen. Mit Flunden und Katzen und dem Haus- 
geflügel leben sie in Vertraulichkeit, suchen ihnen die Flöhe ab, 
necken sie aber auch zuweilen. Ihre 
NAHRUNG 

besteht in der Freiheit in Regenwürmern, Insektenlarven und 
Eichen - Kiefern - und Obsibaumraupen. Sie fressen auch Ge- 
treidekörner; wenigstens fanden wir welche in dem Magen einer 


Dohle, die im vergangenen Winter, da ein tiefer Schnee lag, in 


18 


arrosées de sources chaudes et qui ne gelent jamais, ils se dis- 
persent aussi dans les champs, où se trouvent des monceaux' de 


fumier. 


QUALITES. 


Les choucas vivent réunis en grandes sociétés, ils sont très 
vifs, mais aussi très sauvages. Ils ne se familiarisent un peu avec 
l'homme qu'en hiver, lors qu’il est tombé beaucoup de neige, et 
que la faim les oblige à venir chercher leur nourriture jusques dans 
les villes; mais ce n’est guères, qu’à la pointe du jour, et lors- 
qu'il n'y a encore que peu de monde dans les rües, qu’ils y pa- 
roissent, Si lon en tue un à coup de fusil et qu’on le laisse à terre 
en ayant soin de se tenir caché, ‘toute la troupe vient voler en 
tournoyant et en polissant de grands cris par dessus le mort, puis 
ils partent et lou ne les revoit de longtems à cette place. Ils se 
reveillent de très bonne heure et longiems avant qu’il soit jour, et 
comme on les entend crier encore le soirjusques sur les neuf heu- 
res, on peut en conclure, qu’ils dorment fort peu. Pendant le 
jour ils se poursuivent les uns les autres en criant, le soir surtout 
vers le coucher du soleil lorsqu’on sonne les cloches, ils sont dans 
une grande agitation; ils se chicanent et se donnent la chasse au- 
tour du clocher qu’ils habitent, ou bien toute la troupe prend son 
vol vers la campagne et revient au logis toujours en poussant de 
grands cris. Il est assès singulier qu'à Nuremberg au moins, ceux 
qui habitent le clocher de l’église de St. Laurent prennent en y re- 
venant journellement presque toujours la même route, car c’est 
toujours par dessus la place du fauxbourg de Wührd, qu'ils pas- 


sent pour se rendre en droilure à la tour de cette église. On ne 
peut disconvenir, que ces oiseaux, comme !’ a soutenu Goeze ne 


pressentent les changemens de tems; mais il ne nous paroit pas 
ericore prouvé, qu’en hiver on doive s’attendre infailliblement à 
avoir de la neige, ou une tempete lorsqu'ils passent en voi nom- 
breux et à grands cris par dessus les villes. II n’est pas non plus 
exactement vrai, qu’ils ne se posent jamais sur d’autres bätimens 5 
que sur des tours. A Nuremberg quoiqu’ils se tiennent de pré- 
ference sur les tours et les clochers, on les voit souvent se poser 
sur des maisons particuliers, surtout au printems, lorsqu'ils 
vont chercher dans les jardins et dans les champs- des materiaux 
pour construire leur nid, ou de la nourriture pour leurs petits, 
Si un hibou, ou quelque autre oïseau de proye vient à se montrer, 
toute la troupe se met à sa poursuite à grands cris et lui laisse à 
peine le tems de s’echapper par une fuite prompie. Ils ont comme 
tous les autres oiseaux de la famille des corbeaux, un gout decidé 
pour tout ce qui brille et surtout pour tout ce qui est metal; ils le 
portent dans leur nid, ou le cachent dans quelque endroit bien 
secret. A Erford on a vû des choucas porter dans leur nid, ou 
dans des trous du clocher de la cathédrale de vieilles monoyes ro- 
maines, qu’ils avoient probablement trouvés dans les champs. Ils 
se laissent aisement éléver et apprivoiser et dedommagent de la 
peine qu’on a prise de leur éducation par leur gentillesse.et leurs 
manieres comiques. Non seulement ils apprennent à repeter di- 
vers mots, mais ils remarquent aussi le nom qu’on leur donne, et 
ne manquent point de venir, quand on les appelle. On les dresse 
aussi à revenir au logis. Ils vivent très familierement avec les 
chiens, les chats et les oiseaux domestiques, ils leur cherchent les 
puces, mais quelque fois aussi ils les agacent et les tourmentent, 


NOURRITURE. 


Leur nourriture dans l’etat sauvage ce sont les vers de terre, 
les larves des insectes, surtout les chenilles du chêne, de la pesse, 
et des arbres fruitiers. Ils mangent aussi le bled, du moins enavons- 
nous trouvé des grains dans l’estomac d’un choucas tué à coup de 
fusil à Nuremberg l’hiver dernier étant tombée une forte neige. Ils 
sont si hardis, qu'ils se posent quelque fois sur le dos des cochons 


+ 


m 


Nürnberg geschossen wurde. Sie sind so dreiste, dafs sie Schwei- 
nen und Schafen auf [den Rücken springen und ihnen die Läuse 
absuchen. In dem Nürnbergischen Stadtgraben, wo ehemals ei- 
nige Damhirsche gehalten wurden, bemerkte man, dafs die Doh- 
len ihnen auf den Rüken flogen und die Engerlinge aus der Haut 
hakten. Der Hirsch blieb iedesmal stehen, und liefs den Kopf zur 
Erde hängen. ’ 
FORTPFLANZUNG. 

Ihr Nest legen sie in die Löcher und Winkel in den Thür- 
men nd Mauern, aber auch in hole Eichen. Es bestelit aus Rei- 
sern, die sie im Frühiahr des Morgens in den Gärten von den 
Bäunren holen, aus Moos, Haarenund Wolle. Sie rauben ôfters ein- 
ander ihre Baumaterialien, bei welcher Gelegenheit denn auch ein 
heftiger Streit und Kampf entsteht. Die Eier, deren sie vier bis 
‚sieben: legen , und in vierzehn Tagen ausbrüten, sind grün, dun- 
kelbraun und schwarz geflekt. Die Iungen fliegen bald aus, und 
sind im Nacken schwärzlicher als die Alten, 


NUTZEN 


süften sie durch ihre Nahrung. Auch wird das Fleisch der iun- 
gen Dohlen gegessen. 

SCHADEN 
mögen siein den Kirekfhürmen anrichten, indem sie wahrschein- 
lich die Löcher und Ritzen erweitern und den Mörtel locker ma- 
chen. 

FEINDE. 

haben sie an den Hausmardern, Eulen und Katzen, die theils den 
Eiern, theils den Tungen nachstellen. In ihren Gedärmen haben 
sie auch Bandwürmer. 


IAGD UND FANG: 
Bei tiefem Schnee uud im Frühiahr, wenn sie den Batimrau- 
pen nachgehen, sind sie des Morgens aus einem Hinterhalte leicht 


zu schiefsen. Man kirret sie auch mit Rinderblut an und schiefst 
oder fängt sie mit dem Schlagnetze. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Ganz schwarz. 
candida. Mit hellgelbem Schnabel, 


leucoptera. 


Corvus Monedula 
Corvus Monedula 
. Corvus Monedula 


nigra. 


. Corvus Monedula leucocephala: 


Corvus Monedula varia. 


a am OL bar 


. Corvus Monedula fuscescens. Mit weilsen Schultern. 
Corvus Monedula crucifera. Mit einem kreuzförmigen 


Schnabel. 


19 


vs 


On en a vü à Nu- 
remberg dans le tems qu’on ténoit encore des daims dans les fos- 


et des moütons, pour leur chercher les poux. 


ses de la ville, voler sur le dos de ces animaux et leur arracher 
à coup de bec les vers logés dans leur peau. L’animal pendant 


cette operation se ténoit tranquille, la tête penchée contre la terre. 
PROPAGATION. 


Ils placent leur nid daris les trous etles angles des tours et des 
murs quelqüe fois aussi dans le creaux des chênes. Ils le construisent 
de petites branches, qiwils vont chercher au printems de grand 
matin sur les arbres dans les jardins, de mousse, de poil, de che- 
veux étde laine. Quelque fois ils se volent entre eux les materiaux 
destinés à la construction de leur mid', ce! qui occasionne ‘entre eux 
des querelles très vives et même des combats. Les oeufs, qu’ils 
pondent au nombre de quatre à sept, et qu'ils couvent pendant 
15 jours sont verts, avec des taches d’un brun foncé et noires. Les 
petits sortent très vite de la coquille et ont la nuque plus noire, 
que les vieux. 


: à » 
UTILITE. 
La manière dont ils se nourrissent nous délivre de bien des 


RUE à \ : 
hôtes incommodes, de plus ils sont asses bons à manger quand ils 
sont jeunes. 


DOMMAGE. 


Nat : ; À 447 \ ’ a 
Le seul qu’ils puissent causer c’est peut-être d'agrandir les 
trous et les fentes des clochers et d’en detacherle mortier. 


ENNEMIS, 


Ce sont les fouines, les hibous et les chats, qui détruisent tan= 
tôt leurs oeufs „ tantôt leurs petits. 
vers plats dans leurs intestins, 


Nous avons aussi trouvé des 


MANIERE DE LES TUER OÙ DE LES PRENDRE. 


On peut les tirer très aisement le matin en se ténant en em 
buscade lorsqu il est tombé beaucoup de neige, ou au printems sur 
les arbres lorsqu'ils donnent la chasse aux chenilles. On les at- 
tire aussi avec le sang de boeuf et on les tue au fusil : ou bien on 
les prend au filet. 


VARIÉTÉS, 

Corvus Monedula nigra. Tout noir: 
Eorvus Monedula candida. Tout blanc avec, le bec jaung 

clair: 
Corvus Monedula leucoptera. 
Corvus Monedula leucocephala, 
Corvus Monedula varia. 
. Corvus Monedula fuscescens, blanc aux épaules. 
« Corvus Monedula crucifera, à bec croisé, 


DER STOKFALKE. 


Stok - Tauben - Sternfalke. Stokaar. 


Brauner Taubengeier. 


Taubengeier. 

Gänse - und Taubenhabicht. 

Taubenstôfsel. ‘In seiner Tugend : Hünerfalke, 

Hünergeier., Geflekter Hünerfalke. Crôfster gepfeilter Falke; 

Falco palumbarius. Linn. syst. nat. pag. 130: nr. 30. 

Falco palumbarius. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. II. p. 269. n. 30. 

The Goshawk. Penn. 

L’autour. Buff. * 

Der grofse gepfeilte Falke, Frisch Vorftellung der Vögel Deutfchl. Tab. 82. 
(Ein altes Männchen) Tab. 81. Der grofse‘gefperberte Falke. (Ein 
altes, Weibchen.) Tab. 73. Der helle Hünergeier. (Ein iunges Weib- 
chen.) Tab. 72. Der dunkle Hünergeier oder Habicht. (Ein zwei- 
iähriges Männchen. ) - 

Der Stokfalke. Teutsche Ornithol. Heft 6. Männchen. Weibchen. Iunges. 

Hühnerhabicht. Bechft. ornithologifches "Taschenbuch. Th. I. S. 28. nr. 22. 


KENNZEICHEN DER ART. 


M innchen. Uiber den Augen ein weifser, nach dem Hinterko- 
pfe sich ziehender , braunschwarz gestrichelter Strich; Unterleib 
reinweifs mit vielen kleinen schwarzbraunen pfeilförmigen W ellen- 
dinien; Rücken tiefbraun; Schwanz mit vier bis fünf tiefbraunen 
Querbändern und einer weilsen Spitze. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel bläulichbräun; die obere Kinnlade mit emer weit 
herunter gehenden scharfen Spitze und einem gelblichen stumpfen 


Zahn, 


den Seiten dunkel; Augenstern gelb; Wangen weils, mit schwar- 


Wachshaut und Schnabelwinkel gelblichgrün, erstere an 


zen Borsten ; Schläfe und Ohren hellschwarz; Scheitel üefbraun; 
"über den Augen nach dem Hinterkopfe hin ein weifser braun- 
schwarzgeflckter Stueifeu, Oberleib tiefbraun mit einem bJäuli- 
chen Uiberzug; Schwungfedern tiefbraun, auf der breiten Fah- 
ne weils und grau geflammt, mit dunkelbraunen Querbändern ; 
Schwanz aschgraubraun, mit vier oder fünf tiefbraunen Querbän- 
dern und einer weilsen Spitze, \die\beiden äufsersten sind merk- 
lich kürzer. Unterleib rein weils mit vielen schwarzbraunen pfeil- 
förmigen Wellenlinien ; "Fülse ‚gelb, die mittlere und äufsere Ze- 
he fast bis zum ersten Gelenk mit einer Haut verbunden; Nägel 
schwarz, stark, und ziemlich krumm gebogen. Die Flügelspitzen 
von der Schwanzspitze 4.’Zoll. entfernt. 

Männchen. Länge 1 Fufs 8-9 Zoll; Breite 5 Fufs 1-5 Zoll. 

Weibchen: Länge 2 Fuls, Breite 5 Fufs 83 Zoll, 

Die Abbildungen sind um den dritten Theil verkleinert, 

Das Weibchen hat einen braunern Oberleib, der Unterleib 
ist weniger rein, weils mit gröfsern abgesezten pfeilförmigen Quer- 
linien. Bea 

Der iunge Stokfalke, welcher in dem System als eine beson- 
dere Art unter dem Namen F. gallinarius und F. gall. naevius vor- 
kommt , ist hier abgebildet und unterscheidet sich von dem Alten 
auf folgende Weise: 

Scheitel und Nacken rostroth, mit schwarzbraunen Längsfle— 
cken; über den Augen nach dem Hinterkopfe ein roströthlich 
weifser Streifen mit schwarzbraunen Strichen; Ohrgegend weils- 
lich und braun gestrichelt; Unterleib hell rostroth mit dunkelbrau- 
nen Längsflecken an den Seiten mit lanzettförmigen Flecken ; 


Schenkel rostroth mit schmalen dunkelbraunen Schaftstrichen ; 


L’ AUTOUR. 


Stock - Tauben -Sternfalke. Stokaar. Taubengeier. 

Brauner Taubengeier. Gänse und Taubenhabicht. 
Taubenstössel. — jeune encore il s’appelle — Hünerfalke. 
Hünergeier. Geflekter Hünerfalke. Größter gepfeilter Falke. 
Falco palumbarius. Linn. syst. nat: pag. 130. nr.'3o. 


Falco palumbarius. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag: 269. nr. 30. 
The Goshawk. Penn. 


Buffon. 

Der grofse, gepfeilte Falke. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Tab. 82. 
(vieux mâle) Tab. 81. Der grofse gefperberte Falke. (vieille femelle) 
“Tab. 73. Der helle Fünergeier (jeune femelle) Tab. 72. Der dunk- 
le Hünergeier oder Habicht. (mäle de 2 ans.) - 

Der Siockfalke. Teutsche Ornitholog. Heft 6. Mäle. Femelle. Petit. 

Hühnerhabicht. Bechst. ornitholog. Taschenb, Th. L 8. 28. nr. 22, 


L’autour. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Mie. Une raye blanche marquée de traits noir brun passant 
par dessus les yeux et se prolongeant vers le derrière de la tête. 
Le venire d’un beau blanc avec un grand nombre de petites lignes 
ondulces en forme de flèche, couleur brun noirs. Le manteau 
brun foncé, la queue ornée de quatre, ou cinq bandes transver- 
sales brun foncé et blanche à la pointe. 


DESCRIPTION. 


Le bec brun- bleuâtre , la mandibule supérieure armée d’une 
pointe aigue très recourbée en bas, avec une dent emoussée de 
couleur jaunätre; la membrane de la base du bec ainsi que les 
angles vert jaunätre ; foncé sur les côtés ; l'iris jaune, les joues 
blanches garnies de plumes roides de couleur noire; les temples 
et les oreilles noir clair, le sommet de la tête brun foncé, par des- 
sus les yeux une raie blanche tachetée de brun noir et qui se pro- 
longe vers le derrière de la tête; le dessus du corps brun foncé 
layé de bleu, les pennes des ailes brun foncé avec des flammes 
blanches et grises et des bandes fransversales brun foncé sur le côté 
large de la barbe; la queue brun cendré avec quatre ou cing ban- 
des transversales brun foncé et une pointe blanche; les deux plu- 
mes extérieures beaucoup plus courtes , que les autres. Le ven- 
tre d’un beau blanc avec plusieurs lignes ondulées en forme de 
flèche et brun noir, les pieds jaunes; le doigt du milieu uni par 
une membrane au doigt extérieur presque jusqu’ à la première ar- 
ticulation; les serres noires fortes et assès crochues. Les pointes 
des ailes sont éloignées de quatre pouces de celles dela queue. 

Mäle. Longueur 1 pied et 8-9. pouces, envergure 3. pieds 
et d’un jusqu’ à 5 pouces. 

Femelle. Longueur 2 pieds, envergure 5. pieds 8, pouces et&, 

Les figures de noire planche sont d’un tiers au dessous de 
la grandeur naturelle, 

La femelle a le dessus du corps plus brun et le ventre d’un 
blanc plus sale avec les bandes transversales en forme de flèche 
plus grandes et plus interrompues. 

Le jeune autour, qui se trouve dans le Systema naturae. 
comme une espèce particulière sous le nom de Falco gallina- 
rius et Ê. gall.naevius est représenté ici et se distingue du vieil 
autour de la manière suivante: . 

Le sommet de la tête et la nuque couleur de rouille avec des 
taches allongées brun noir, par dessus les yeux et vers Je derrière 
de la tête une raye blanche rouille avec des traits brun noir; la re- 
gion de l’oreille blanchätre avec de petits traits bruns, le ventre 
rouille clair avec des taches allongées brun foncé, et d’autres ta- 


23 


Oberleib graubraun mit roströthlichen Rändern; Schwanz grau- 
braun mit fünf dunkelbraunen breiten Bändern und einer weifsen 
Spitze. So sieht das vor uns stehende Weibchen aus. Das Männ- 
chen ist ihm völlig gleich , nur ist bei diesem der Unterleib fast 
weils und weniger geflekt. Wir haben das alte Männchen so ab- 
bilden lassen , wie wir es in der Mauser.sahen, an welchem man 
an einigen rostrothen Federn. den Uibergang des F, gall. in den 


F. palumb. deutlich bemerkt. 


AUFENTHALT. 


‚Man findet ihn in allen vier Erdtheilen. Im Deutschland ist 
der auch im Winter daselbst bleibt und 
Er ist gern in Tannen-und 


er ein bekannter Vogel, 
our bei gelinder Wiiterung streicht. 


Fichtenwäldern. 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist einer dermuthigsten, schnellesten und stärksten unter» 
den eigentlichen Falken, der schwer zu zähmen und so gefräfsig 
und blutdürstig ist, dafs er, wenn er in der Gefangenschaft sich 
seiner Fesseln entledigen kann , über andere miigefangene Fal- 
z. B. den Nachtkauz Str. Aluco, herfällt und sie 


Wegen seiner kurzen Flügel kann er nicht hoch fliegen. 


ken und Eulen, 
würgt. 
Auf seinen Raub fährt er in einer schiefen Linie herab, Seine 
'Töne, die er besonders zur Zeit der Begatiung hören läfst, lauten 


wie gya, gya. Zur Falkeniagd ist er vorzüglich brauchbar. Er 


NAEHRT 


sich von Reb - und. Haushünern, iungen Gänsen, Enter), 
und Truthünern, Mäusen „Eichhörnchen, Eidechsen , Frôschen. 
Von den Vogelherden holt er die Vorläufer weg. 


- FORTPFLANZUNG. 


Das Nest legt er gewöhnlich‘ auf Tannen- und Fichtenbäu- 
Es besteht aus Reisern, Wolle, Moos und Federn. Das 


Weibchen legt zwei bis vier rothgelbe mit schwarzen Flecken und 


men all. 


Strichen bezeichnete Eier, welche das Weibchen in drei Wochen 
allein ausbrütet und vom Männchen. während des Brütens mit Fut- 
ter versorgt wird. Besteigt man zu der Zeit, wenx die Tungen im 
Neste liegen, das Nest, so geht einem ein häfslicher Gestank ent- 
gegen, der theils von dem nicht verzehrten und faulenden Futter, 
theïls von dem Kothe herrührt. 
wir heuer den 6. lun. erhielten, hatte zum 'T’'heil noch seine weis- 
se Wolle. 


Schnabel schwarzgrau; Füfse blafs ockergelb; Unterleib rostroth 


Der iunge Stokfalke, welchen 
Der Augenstern war lichtgrau; Wachshaut grüngelb; 


Rücken und Schwanz braun- 
Er 


mit grofsen eiförmigen Flecken ; 


schwarz, mit rostrother Einfassung. 
NUIZT 


nur dadurch, dafs er Mäuse frifst und man ihn zur Iagd auf 
Hasen, Reiher , Kraniche, Gänse und wilde Hüner abrichten 


kann. Sein 


SCHADEN 


ergibt sich aus seiner Nahrung. 
FEINDE. 


In seinen Pedern findet man viele Vogelläuse und in seinen 
Gedärmen fanden wir einen fünf Zoll langen uud fast eine Linie 
dicken Rundwurm. 


L 


ches en forme de lancettes sur les flancs, les cuisses couleur de 
rouille avec des traits étroits brun foncé sur la hampe des plumes, 
le dessus du corps brun-gris avec un liséré couleur de rouille, la 
queue brun-gris avec cinq bandes larges brun foncé et la pointe 
blanche., Telle est la femelle, que nous avons sous les yeux. Le 
mâle lui ressemble parfaitement avec la seule différence que le ven- 
tre est presque tout blanc et a beaucoup moins de taches. Nous 
avons fait peindre le vieux mâle, tel que nous l’avons vû dans la 


mue, el indiquant très distinctement par quelques plumes couleur 


de rouille le passage du Falco gallinarius de Linné ou Falco 
palumbarius du même auteur: 


PATRIE. 


Il se trouve dans les quatre parties du monde. Il est très con 
nu en Allemagne et il y reste aussi pendant Phiver; il ne passe 
d’une contrée à l’autre, que par un fems doux; il habite de pre- 
ference les forêts de pins et de sapins. 


QUALITES. 


C’est un des oiseaux les plus courageux, les plus rapides au 
vol et les plus forts de la fanrille des faucons proprement dits. Il 
s’apprivoise difficilement, et il est si vorace, et si alteré de sang, 
que si devenu notre prisonnier il vient à se degager de ses liens 
il se jette sur ses compagnons de captivité, tels que d’autres fau- 
cons, des hiboux p. ex. le Strix Aluco la hulotte, et les étrangle: 
Comme il a les ailes courtes, il ne peut pas voler très haut. I 
fond sur sa prei dans une direction oblique. Les tons qu'il fait 
entendre suriout dans le tems de ses amours sont un certain gya 
gya. On se sert prineipalement de Pautour pour la chasse au 


faucon. 
NOURRITURE. 


Il se nourrit de perdreaux , de poulets, d’oisons, de canar- 
deaux, de dindonneaux, de souris, d’ecureuils, de lézards et de 


grenouilles. Il enleve aussi les appeaux dans les aires,, 


PROPAGATION. 


Il fait ordinairement son nid sur les pins et les sapins, il le 
construit de petites branches; entremelées de laine, de mousse, et 
de plumes. La femelle pond de deux à quatre oeufs jaune - rou- 
geätres avec des taches et des traits noirs, elle couve seule pen 
dant trois semaines, et c’est le mâle, qui pendant tout ce 1ems 
là, lui apporte à manger. Si dans le tems, que les petits sont 
encore au nid, on veut s’en approcher, on sesent repoussé par une 
odeur extrêmement désagréable, qui provient soit des restes à moi- 
tié pourris des chairs, dont ils se nourrissent, soit de leurs propres 
excrémens. 

Le jeune autour, qu’on nous a apporté cette année le 6, de 
Juin, avoit encore en partie son duvet blanc, l'iris de l'oeil étoit 
gris clair, la membrane de la base du: bec jaune-vert, le bec gris 
noir, les pieds jaune d’ocre pâle, le ventre couleur de rouille avec 
de grandes taches ovales, le manteau et la queue noir brun, avec 


un liséré couleur de rouille, 


UTILITÉ. 


Il nous délivre des souris, de plus on le dresse à la chasse 
du lièvre, du héron, de la grue, de l’oie et du canard sauvage. 


DOMMAGE, 
D’un autre côté il détruit beaucoup de gibier et de volaille, 
ENNEMIS. 


Il loge dans ses plumes plusieurs ‘espèces de poux d'oiseaux, 
nous avons aussi trouvè dans ses intestins un ver rond de cinq 
pouces de longueur et d'environ une ligne d’épaisseur, - 


IAGD UND FANG, 


Er mufs mit der Flinte vorsichtig erschlichen werden. Im 
Nürnbergischen fängt man ihnvöfters auf Vogelherden mit dem 
Garn, wenn er aufdie Vorläufer stôfst. In dem Darmstädtischen 
fängt man ihn mit dem Habichtskorbe, worin eine Taube ver- 


schlossen sizt. 


VERSCHIEDENHEIT, 
1. Falco palumbarius albus. 


ANMERKUNGEN, 


Falco gallinarius und F. gall. naevius. Gmel. Linn. syst. nat, 
Tom. I. pag. 266. nr. 75. 8. müfsen in dem System ausgestrichen 
werden, weil Beide nur iünge Stokfalken sind. 

Wahrscheinlich ist es auch, dafs in Deutschland weder ein 
F. communis mit seinen Abartennoch ein Falco gentilis vorhanden 
ist. Vielleicht sind beide in der Natur als besondere Arten gar 
nicht anzutreffen, da man ‚bei nähern Untersuchungen entweder 
den alten oder iungen Stokfalken, den Wanderfalken oder islän- 
dischen Falken vorfand. 

Vieleicht ist auch der Sternfalke F. stellaris ein iunger Stok- 
falke ; denn er hat, ob er gleich ‚von den Iägern Blaufufs genannt 
wird, doch gelbe F'üfse. Siehe Teutsche Ornithologie. Bei ei- 
nem iungen Stokfalken , der noch nicht lange flügge war, fanden 
wir den Augenstern weifslich und bei einem erwachsenen Weib- 
chen zwei Eierstöcke zu beiden Seiten des Rükgrats. 


22 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


D faut s’en, approcher avec beaucoup de précaution pour le 
tirer au fusil Dans le pays de Nuremberg on le prend souvent au 
filet dans les aires , lorsqu'il fond sur les appeaux. Dansle pays 
de Darmstadt on le prend avec le pannier à l’autour, (Habichts« 
korb,) dans le quel on tient un pigeon enfermé. 


VARIETE.- 
Falco palumbarius albus. 
REMARQUES. 


Le Falco gallinarius et le F. Gall, naevius Gmel. Linn. 
syst.nat. T.I. pag. 266. n. 73.8. doivent être rayés du systéme de la 
Nature, puisqu'ils ne sont Pun et l’autre que de jeunes autours. I 
est aussi très vraisemblable, que le Falco communis avec ses 
variétés elle Falco gentilis ne se trouvent point en Allemagne. 
Peut-être même n'existent ils point dans la Nature comme espèces 

. distinctes, quoiqu’ après des recherches exactes on a reconnu, que 
le premier n'étant autre chosé, que notre autour jeune, où vieux et 
le second que le Faucon voyageur, ou Faucon d'Islande. 

Peut-être aussi, que le Faucon etoilé F, stellaris west 
qu’un jeune autour; car quoique les chasseurs l’appellent Blau- 
fus (Piedbleu) il a réellement les pieds jaunes. Voyés l'Ornitho- 
logie allemande. Nous avons trouvé d’une couleur blanchätre l'iris 
de l’oeil d’un jeune autour, qui ne faisoit que commencer avoler ; 
nous avons aussi trouvé deux ovaires situés des deux côtés de Pepine 
du dos dans une femelle, qui avoit fait son erü, 


DER PIROL. 

Golddrossel. Goldamsel: Kirschvogel: Kirschdieb: 

Weidwall Windewall. Wittewald. Wittwell. 

Bierhold. Pirold. Bülow. Milo: Pfeifjolder. Pfingstvogel. 

Oriolus galbula. Linn. syst. nat. pag. 160. nr. 52. r 

“iolus galbula. Gel. Linn. syst. nat. T.I. P. I. pag.382. nr. 1, 

The oriole. Penn. 

Le loriot. Buff. 

Der Pirol oder Widewal: Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl, Tab: 
31. Männchen und Weibchen, und Supplement, pag: 31. DasPi- 
»olnest mit Iungen. | | 

Der gemeine Pirol. Teutsehe Ornithol. Heft I. Minnchen und Weibchen. 

Gemeiner Pirol oder gelbe Hacke. Bechsteins ornithol Taschenh. Th, I: 
8. 98, nr. 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 


M innchen. Gelb; Zügel und Flügel'schwarz; Schwanz schwarz 
rñit einer gelben Spitze. | ) | 

Weibchen; ober schmutzig grüngelb, Kinn grau, auf der 
Kehle ins Gelbe übergehend; Unterleib schmuiziggelb mit weni- 


gen bräunlichen Schafistrichen; Flügel schwärzlich. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel fleischrothbraun, Oberkinnlade an der Spitze un= \ 


merklich ausgeschnitten; etwas länger als der untere; Nasenlö- 
cher eirurid; am Grunde der Oberkinnlade eine Reihe schwärzer 
herunter stehender Borsten ; Augenstern kochenilleroth; Zügel 
schwarz, hinter dem Auge ein kahler dreieckiger Flek ; der ganze 
Ale und Unterleib hochgelb; Flügel schwarz ; die erste Ord- 
nung der Flüigeldekfedern bleichgelb, daher ein solcher Flek; die 


LE ZLORIOT. 

Golddrossel. Goldamsel. Kirschvogel. Kirschdieb. 

Weidwall.e Wiñdewall: Wittewald- Witiwell: 

Bierhold. Pirold. Bülow. Milo. Pfeifjolder. Pfingstvogel. 

Oriolus galbula. Linn. syst, nat. pag. 160. nr. 52. 1. 

Oriolus galbula. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. pag. 382. nr. i. 

The oriole. Penn. 

Le loriot. Buf. 

Der Pirol oder Widewal. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab, 
31. Le mälcet li femelle, et Supplem, p:31. unnid de loriot avec les 
petits. 

Der gemeine Pirol. Deutsch, Ornithol. Heft. I. Le mäle et la femelle, 


Gemeiner Pirol oder gelber Racke, Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th, I. 
S; 98. ur. 1: 


CARACTÈRES SPECIFIQUES, 


The mâle. Jaune; l’espace entre la base du bec et de l’oëil et les 
ailes noires; la queue noire avec la pointe jaune. 

La femelle. D’un jaune verdätre sale par le haut; le men- 
ton gris, la gorge de la meine couleur passant au jaune; le ventre 
jaune sale avec quelques traits brunätres sur la hampe des plumes; 
les ailes noirâtres, 


DESCRIPTION. 


Le bec couleur de chair brunâtre, la mandibule supérieure 
légèrement echancrée à la pointe et un peu plus longue que Pinfe- 
rieure, les narines ovales, à la bäse de la mandibule supérieure un 
rang de plumes roides de couleur noire et recourbées en bas. Liris 
de Voeil cochenille; l’espace entre la base du bec et de l’oeil noir, 
une tache triangulaire de la même couleur mais sans plumes der- 
rière l’oeil. Tout le dessus du corps et le ventre jaune d’ocre; les 


zweite bis vierte Schwungfeder auf der schmalen Fahne gegen die 
Spitze hin weifslich gerändet; Schwanz von der Wurzel bis zur 
Mitte schwarz, die übrige Hälfte gelb; die zwei mittlern schwarz, 
an der Spitze gelb ; Fülse schmutzig bleifarben; Nägel schwarz. 
Die Flügel bedecken drei Viertheile des Schwanzes. 


Länge g Zoll; Breite 16 Zoll. 


AUFENTHALT. 


Er lebt in Europa und im Orient. In Deutschland ist er ein 
Zugvogel, der im Mai ankommt und im August schon wieder fa- 
milienweise abgeht. Bei uns hälter sich in Vorhölzern auf, die 


aus Laub- und Nadelhölzern bestehen, 
EIGENSCHAFTEN. 


Er hat eine laute flötende Stimme, die er bei schwülem Wet- 
ter vom Morgen bis Abend in dem Dickicht der Bäume hören läfst, 
und wie yo oder pühloh , lautet. Aufserdem schreit er auch noch: 
krätsch, besonders wenn man auf ihn Jagd macht. Er ist mu- 

Wir 
An an- 


thig, zänkisch , neidisch , scheu , und schwer zu zähmen. 
hatten einige lunge, die mit Kirschen gefüttert wurden. 

deres Futter wollten sie sich nicht gewöhnen. Um sie nicht er- 
hungern zu lassen, schob man ihnen Ameisenpuppen in den Schna- 
bel, worüber sie aber so erbofst wurden, dafs sie die Nikhaut 
über die Augen zogen, die Fülse starr unterwärts strekten, die 
Flügel herunter hängen liefsen, den Hals ausstrekten, und sich 
entweder gar nicht regten, oder Verzuckungen bekamen, Wenn 
man auf der Flöte blies, so fing das iunge Männchen an zu sin- 
gen. Mit Heidelbeeren wurde ein alies Männchen zum Fressen 
der Ameisenpuppen gewöhnt. In der Folge wurde er mit gerie- 
benen gelben Rüben , Brod und Ameisenpuppen erhalten. Im 
Winter bekam er, wahrscheinlich, weil er sich nicht genug rei- 


nigen konnte, eine erstaunliche Menge Milben und starb, 


NAHRUNG 

Der Pirol nährt sich, wie Goeze anmerkt, von Maikäfern. Wir 
fanden bei der Untersuchung des Magens unter andern mehrern 
Insektentheilchen, besonders von Käfern, den Frischischen Mai- 
käfer, Melolontha Frischii. Fabr. und viele grüne Raupen. Aufser- 
dem frifst er auch noch Heidel- und Himbeeren, Erdbeeren, Fei- 
gen, besonders aber Kirschen, die er mit dem Schnabel pakt, zer-- 
beilst und sie so lange an einen Æweig schlägt, bis der Kern, den 
er verschmäht, herausfällt. Einer von den Herren Verfassern der 
deutschen Ornithologie bemerkte ehemals in der Gegend um Strafs- 
burg 50 bis 40 alte und iunge Pirole auf einem Kirschbaum. Ie- 
der andere Vogel, auch sogar der Eichelhäher, mufste sich dann 
vom Baum entfernen. Der Pirol verfolgt sie mit aufgespertem 
Schnabel und Flügelschlägen. 


FORTPFLANZUNG. 


Das künstlich aus Wurzeln, Grashalmen, Flechten, Haaren, 
Papier, Wolle, Bast, und Faden gewebie, sakförmige und her- 


unter hängende Nest befestigen sie iedesmal zwischen einen gabel- 


Auch hat 
dasselbe einen etwas eingebogenen Rand, der vermuthlich zur Si- 


cherheit der Iungen dient. 


förmigen Zweig so fest , dafs es allen Stürmen trozt. 


Das Weibchen brütet des Iahrs nur 
einmal und legt vier, seltner fünf weifse, mit einzelnen schwar- 
zen Flecken und Punkten versehene spitzig zu laufende Eier. Das 


Männchen lôset das Weibchen um die Mittagszeit einige Stunden 


ailes noires; les ‘plumes du premier rang des couvertures des ailes 
jaune pâle, de là vient la tache de cette couleur qu’on. y remarque; 
la seconde, la troisième et la quatrième penne des ailes lisérées de 
blanc vers la pointe sur le côté étroit dela barbe, la queue noire 
depuis son origine jusques vers le milieu, l’autre moitié jaune, les 
deux plumes du milieu noires, avec la pointe jaune, les pieds d’une 
couleur plombée sale, les ongles noirs. Les ailes recouvrent la 
queue jusqu’ aux trois quarts de sa longueur, 


Longueur 9. pouces: envergure 16. pouces. 
PATRIE. 


Il habite l'Europe et l'Orient, il est oiseau de passage en Al- 
lemagne , il y arrive au mois de Mai et en répart deja par familles 
separées au mois d’Aoüt. Il se tient chés nous dans les petits bois 
situés en face des grandes forêts et où les arbres à feuilles se trou- 
vent melés avec les arbres à piquants. 


QUALITES, 


Sa voix est eclatanteet flutée; dans les jours d’une chaleur &touf- 
fée caché dans le plus épais des arbres, il fait entendre du matin 
au soir un cri qu'on pourruit rendre par yo, ou puloh, Da 
encore un autre cri Kraitsch surtout, quand on lui donne la chasse. 
Il est courageux, querelleur , envieux , farouche et difficile à ap- 
privoiser. Nous avons eu de petits loriots qu’on nourissoit avec 
Ils ne vouloient pas d'autre nourriture. Pour les 
empecher de mourir de faim on leur fourroit des oeufs de fourmis 
dans le bec, ce qui les mettoit si fort en colère, que leurs yeux se 
retournoient de rage, et que roidissant leurs pieds, laissant pendre 
leurs ailes, allongeant le col, ils ne donnoient aucun signe devie, 
ou prenoient des convulsions. 


des cerises. 


Si l’on jouoit de la flute le jeune 
mâle se mettoit à chanter. On a accoutumé un vieux mâle à man- 
ger des oeufs de fourmis en y mêlant des airelles. Dans la suite 
on le nourrit avec des carottes jaunes hachées menu , du pain et 
des oeufs de fourmis ; mais'il lui suryint pendant l'hiver probable- 
ment parcequ’il ne pouvoit pas se tenir assès propre, une si grande 
quantité de mites qu’il en mourut. 


NOURRITURE. 


Le loriot comme le remarque Goetze, vit de hannetons. En 
exäminant son estomac nous y ayons trouvé parmi plusieurs frag- 
mens d'insectes et surtout de scarabées, le hanneton de Frisch 
(Melolontha Frischü. Fabr.) et un grand nombre de chenilles ver- 
tes. En ouire il mange les airelles, les framboises, les fraises, les 
figues, et surtout les cerises. Illes saisit avec le bec, les arrache 
de larbre, et les frappe ensuite contre les branches, pour en faire 
sortir le noyau, qu’il ne mange pas. Un des auteurs. de l'Orni- 
thologie allemande assure avoir vû dans les environs de Strafs- 
bourg, jusqu’ à 4o.loriots tant jeunes, que vieux sur un seul ce- 
risier, ils ne permettoient à aucun autre oiseau pas même au geai 
de s’en approcher, et les poursuivoient en ouvrant un large bec 
et en les frappant des ailes. 


PROPAGATION. 


C’est avec des racines, des brins d'herbe, des lichens, des 
poils, du papier, de la laine, d’écorce d’arbres et des filemens de 
toute espèce entremelés et tissus ensemble, que le loriot construit 
son nid, qui a la forme d’un sac et qu’il suspend toujours à l’angle 
de division des branches fourchues et cela d’une manière si soli- 
de, qu'il défie toutes les tempêtes. Il a aussi soin de donner à son 
nid un rebord recourbé en dedans, afin sans doute, que ses pe- 
tits ne puissent tomber. La femelle ne pond qu’une fois par an - 
et ses oeufs au nombre de quatre, rarement de cinq sont blancs, 
marqués par ci par là de points et de taches noires et de forme 
pointue. Pendant le couvement le mâle reléve la femelle, pour 


quelques heures vers le milieu du jour. Au bout de quinze à vingt 


— 


beim Brüten ab. Nach funfzehn bis zwanzig Tagen kriechen die 
Jungen aus dem Ei. Die iungen Pirole sehen dem Weibchen we- 
nigstens zwei lahre sehr ähnlich. Der ganze Unterleib ist grau- 


weils mit'vielen schwärzlichen Strichen. 


NUTZEN. 
Er fängtviele schädliche Käfer und Raupen weg. Sein Fleisch 


ist zur Kirschenzeit sehr schmakhaft. 
gel dem Landmanne zu einem Merkmal, dafs nach seiner Ankunft 
Der 


Auch dient er in der Re- 


so leicht nicht wieder kalte Nächte entstehen. 


SCHADEN 


ergibt sich aus seiner Nahrung. 
IAGD UND FANG. 


Ahmt man seine Lokstimme yo nach, und ist man hinläng- 
lich verborgen, so läfst er sich, wiewohl schwer mit der Flinte er- 
Leichter wird man seiner habhaft mit Sprenkeln und 


Dohner ; an welche man Beeren oder reife, Kirschen befestiget. 


schleichen. 


VERSCHIEDENHEIT. 


Oriolus Gaibula nigromaculata. 


ANMERKUNGEN. 


Der Augenstern der iungen Pirole ist nicht roth, sondern grau- 
braun, umbrabraun, oder wenn sie älter werden, graubraun mit 
rothen Punkten oder noch älter, schwachroth mit etwas grau 
durchwebt , bis sie endlich mit dem höhern Alter ganz roth wer- 


Eben so ist der Schnabel im ersten Spätsommer glänzend 
Bei einem Weiïb- 


den. 
graulich schwarz, späterhin unten röthlich, 
chen fanden wir, dafs der Schmabel am Grunde und vorne 
schwärzlich, übrigens wie gewöhnlich gefärbt war. 

Bechstein schlägt in seinem ornithol. T aschenbuch vor, den 
Pirol wegen seines Sehnabelbaues und des Mangels der Bartbor- 
sten unter die Rackenarten zu rechnen und schlägt dann den 
Namen Coracias Galbula vor. Wenn unter den Bartborsten die 
schwarzen Borsten an der obern Kiunlade verstanden sind: 
müfsen wir versichern, dafs wir mehrere Exemplare vor Augen. 
hatten, die gar wohl mit Bartborsten versehen sind. TLeztere 


scheinen uns nur bei manchen Exemplaren abgesloisen zu sein. 


so 


DAS ROTHSCHWAENZCHEN. 


Garienroihschwähzehen. Waldrothschwänzchen. Rothschwanz. Schwarz- 

kehlchen. - Röthling. Rotbsterz. 

Rothfärt. Mauernnachtigall. Bläfslein. 

Motacilla Phoenicurus.. Linn. syst. nat. pag. 355. nr. 34. 

Motacilla Phocnicarus. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. IL. P.II. p. 987. n. 34. 

"he Redstart. 

Le rossignol de muraille. Buffon. 

Das Schwarzkehlein. Trisch Votftellung der Vögel in Deutfchl. Tab. 19. 
Männchen Tab. 20. Ein Weibchen, dem die mitllern schwarzbr aunen 
Schwanzfedern fchlen. Tab. 21. Rothschwänzchen mil einer schwarzen 

' Ein altes Weibchen. 

Bechft. örnith. Taschenbuch. Th. I. 8. 181. nr. 17. 


Penn. 


Mitielfeder, 
'Schwarzkehliger Sänger. 


KENNZEICHEN DER ART. 
M ännchen. Stirn weils; Oberleib dunkel aschgrau; Kehle 


schwarz; Brust. rostroth. 
Weibchen.-. Oberleib röthlich aschgrau; Kehle weißslich, im 
Alter schwarz und weils gewölkt; Brust und Seiten schmutzig rost- 


farbig; Bauch schmutzig weils, 


24 


jours les petits sortent de l'oeuf. Les’ jeunes loriots ressemblent 
beaucoup aux femelles de cette espèce, au mins pendant les deux 
premières années. Ils ont tout le dessous du corps blanc gris avec 


plusieurs traits noirätres. 
UTILITÉ. 


Le loriot détruit un grand nombre d’insectes malfaisans et de 


chenilles. Sa chair est assès savoureuse dans le tems des cerises. 


De plus son arrivée est pour l'habitant de la campagne un indice 
assès certain qu’on n’a plus à craindre de nuits froides. 


DOMMAGE. 


Il fait un grand degat dans les vergers pour se nourrir. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Si l’on imite son cri d’appel yo et que lon soit suffisamment 
DOELEY, q 

on peut quoiqu’ avec peine s’en approcher assès pour le 

On le prend plus facilement avec des‘trébuchets et 


caché, 
tirer au fusil. 
des lacets, aux quels on attache des cerisés mures, ou telle daue 


d, 


espèce de fruit ou de baies. 
VARTÈTE. 
Criolus Galbula nigromaculata, ou tacheté de noir. 
REMARQUES. 


L? ixis de l’oeil chés les jeunes loriots n’est point rouge, mais; 
brun-grisätre, ou couleur d’umbre, plus agé il est brun-gris avec 
des points rouges; puis il devient rouge pâle, avec quelques mé- 
langes de gris, afin lorsque l’oiseau est parvenü à un age plus 
avancé il devient toht rouge. De même le bec vers la fin du pre- 
mier été est d’un noir grisätre brillant et plus tard rougeätre en! 
dessous. Nous avons vü une femeile , qui avoit le bec noirätre à 
la base et par devant et pour le reste de la même conlenes que 
chés les autres loriots. 

Bechstein propose dans son Manuel ornithologique de placer 
le loriot à cause de la structure de son bec et du manque de bar- 
bes pari les rolliers et de lui donner le nom de Coracias 
Galbul a. 
mes roides de couleur noire, qui sont à la mandibule supérieure 


Si l’on comprend sous le nom de barbes les plu- 


nous pouvons assurer avoir eu sous les yeux plusieurs échantillons 
de loriot, qui en étoient pourvüs, et selles manquent pour Por- 
dinaire, c’esl sans doute parce qu’elles se sont usées, ou perdues 
par quelque accident. 


LE ROSSIGNOL DU MURAILLE. 


Gartenrothschwänzchen. Waldrothschwänzchen. Rothschwanz. Schwarz- 
kehlchen. Röthling. Rothsterz. 

Rothfärt, Manernachtigall. Bläfslein. 

Motacilla Phoenicurus. Linn. syst. nat. pag. 335. nr. 34. 

Motacilla Phoenicurus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. U. pag. 987. nr. 34, 

The Redstart. 

Le rossisnol de murailles. Bufon. 

Das Schwarzkehlein. Frisch Voritellung der Vögel in Deutschl. Tab. 19. Le 

Tab. 20. mes brun noir du mi- 


Penn. 


Une femelle, qui n’a pas les ji 
Le rossignol du muraille ayant la plume 


mal e. 

Tab. 21. 
du milieu noire. : C’est une vieille femelle. 

Schwarzkehliger Sänger. Bechst. ornitholog. Taschenb. Th. I. S. 181. nr. 17, 


lieu le la queue, 


CARACTERES SPECIFIQUES. 
M ie. Le front blanc, le dessus du corps cendré foncé, la 
gorge noire, la poitrine rouge rouille. 
Femelle. Le dessus du corps cendré rougeätre, la gorge 
blanchâtre, mais nude avec Page de noir et blanc, la poitrine et 
les flancs rouille sale; le ventre blanc sale. 


. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel schwarz, in den Winkeln gelb; Vordertheil der 
Stirn, Wangen, Augen-und Ohrgegend, Kifn und Kehle schwarz; 
Stirn und über den Augen weifs; Augenstern dunkelbraun ; Schei- 
tel, Nacken, Rücken und die kleinern obern Flügeldekfedern dun- 
kelgrau, die gröfsern und die Ruderfedern dunkelbraun, rostgelb 
gerandet; Unterrücken rostroth; Schwanz rostroth; die beiden 
mittlern Federn dunkelbraun; Brust rostroth; Bauch und: untere 
Dekfedern des Schwanzes roströthlich weifs; Fülse schwarz. Die 


Flügelspitzen erreichen die Hälfte des Schwanzes, 


"Länge 54 Zoll; Breite g4 Zoll. 


AUFENTHALT. 


Das Rothschwänzchen ist ein deutscher Zugvogel, der zu En- 
de des März oder Anfang des April bei uns ankommt und im Ok- 
Man findet es tief im Walde, aber auch 
in Gärten und auf Weidenbäumen bei Flüssen. 


tober wieder wegzicht. 


EIGENSCHAFTEN. 


Es ist ein bekanntes schönes und lebhafies Vögelchen, des- 
sen Körper und Schwanz beständig in Bewegung ist. Seine Wen- 
dungen, sein Gang und Flug sind sehr behend. Seinen nicht un- 
angenehmen Gesang. läfst es besonders des Morgens und Abends 
oder nach einem Gewitterregen auf den Dachforsten oder hohen 
Bäumen hören, den es öfters auch mit dem nachgeahmten Ge- 
sang benachbarter Vögel, z. B. des Mönchs, des Finken und Fi- 
Sem Eokton besteht aus einem hellem fuit, fuit, 


ditdit! dem im Zorn noch ein schnalzendes tzä! angehängt wird. 


tis vermischt. 


Im Käßg gibt es, wenn man ihm frische Ameisenpuppen vorsezt, 
Wir 


Leztere wur- 


seine Freude durch ein oft wiederheltes fuit zu erkennen. 
hatien eine ganze Familie mit 7 Tungen im Käfig. 
den von den beiden Alten, und als das Männchen herausgenom- 
men wurde, von der Mutter alleim gefüttert, Im Zimmer ist es 


kaum zwei lahre zu erhalten. Seine 


NAHRUNG 
besteht aus allerhand Insekten, z. B. Fliegen, die es sehr ge- 


schwind, auch von einer ziemlichen Höhe herab zu erhalten weils, 


Iohannis-und Hollunderbeeren und Regenwürmern, 


FORTPFLANZUNG. _ 


h Das Nest besteht aus Grashalmen, Federn und Haaren und 
wird unter Dächer in Mauerlöcher und Baumlöcher gebauet. Das 
Weibchen brütet des Iahrs zweimalund legt iedesmal 5 bis 7 apfel- 
grüne Eier, die in vierzehn Tagen ausgebrütet werden. Die Iun- 
gen fliegen bald aus dem Neste und von einem Baum zum andern, 
und lassen sich unter beständigem Geschrei von den Aeltern grofs 

fütiern. Die Federn auf dem Scheitel, Nacken und Rücken am 

Grunde bleifarbig, der übrige Theil rostfarbig, an der Spitze 
schwärzlich gerandet , daher das schuppenförmige Ansehen; Flü- 

gel schwarz, rostroth gerandet; Fülse und Schnabel schwärzlich 

fleischfarbig. Die iungen Männchen haben im ersten Herbst eine 
graue Kehle mit schwarzen Punkten ; Stirn grau, an der Schna- 
belwurzel gelbbräunlich überlaufen mit durchschimmernden Fle- 
cken. Die iungen Weibchen haben im Herbst fast einerlei Farbe 
mit der Nachtigall. Sie unterscheiden sich aber vonihr durch den 
schwarzen Schnabel und Füfse und den schwarzbraunen mittlern 
Schwanzfedern. , 


N 


DESCRIPTION. 


Le bec noir, jaune aux angles; le devant du front, les joues, 
la région des yeux et des oreilles, le menton ct la gorge noirs, la 
partie du front au dessus des yeux blanche; linis de Poeil brun 
foncé, le sommet de la tête, la nuque, le manteau, les petites plu- 
mes au haut des couvertures des ailes gris foncé, les grandes plu- 
mes des mêmes couvertures, ainsi que les pennes des ailes brun 
foncé, avec un liséré- jaune rouille. Le bas du manteau rouge 
rouille, la queue de la même couleur, mais les deux plames du 
millieu brun foncé. La poitrine rouge rouille, le ventre et les 
plumes inférieures des couvertures de la queue blanc rouille; les 
pieds noirs. Les pointes des ailes, vont jusqu’ à la moitié de la lon- 
gueur de la queue. 

Longueur 57. pouces.  Envergure 87. pouces. 


PATRIE, 


Le rossignol de muraille est oiseau de passage pour l’Alle- 
Il arrive ches nous à la fin de Mars, ou au commence- 
Il habite dans le fond des bois, 
on le trouve cependant aussi dans les jardins et sur les saules au 


magne. 
ment d'Avril et repart en Octobre. 


bord des eaux. 


QUALITES. 


Ce petit oiseau ires connu a de la grace et de la vivacité. Son 
corps et sa queue sont sans cesse en mouvement, Ses attitudes ont 
de la souplesse, sa marche et son vol de la légèreté, son chant 

+. b : 5 5 Ns i | à 
n'est point désagréable. C’est le matin et le soir ou après une pluie 
d'orage, qu'il se fait entendre sur la faite des maisons, ou au som- 
met des grands arbres. Il miele souvent à son chant naturel celui 

N, N 2 =, 
d'autres oiseaux, tels que la nonnette , le pincon etc. qu'il contre- 
fait fort bien. Son cri d'appel est ur certain fuit, fuit ditdit, 
assès aigu, quand il est en colère, il y joint le son nazal tzai. En 
cage si on lui présente des oeufs de fourmis tout fraix, il exprime 
sajoye en répétant plusieurs fois, fuit, fuit. Nous avons eu en 
cage toute une famille avec sept petits. ‚Le père et la mère leur 
donnoient également la bequée, mais le mâle ayant été écarté, la 
femelle remplit seule ceite fonction. On ne peut guères le garder 
plus de deux ans en chambre. 


NOURITURE. 


L 4 

Ils vivent d'insectes de toute espèce p. ex. de mouches, qu'ils 
savent fort bien attraper en fondant sur elles même d’une assès gran- 
‚de hauteur, de groscilles de baies, de sureau et de vers de terre, 


PROPAGATION. 


Leur nid est formé de brins d’herbes, de plumes et de poils, 
ils le construisent sous les toits, dans les trous des murs, où dans 
ceux des arbres. La femelle pond deux foix par an, et chaque 
fois 5 à 7 oeufs vert de pomme. Elle couve pendant 15 jours. Les 
petits quittent bientôt le nid et voltigent d’un arbre A Pautre, ‘ils ne 
cessent de crier pour avoir leur nourriture, que le père et la mère 
leur apportent jusqu a ce qu'ils soyent grands. Ils ont les plumes 
du sommet de la tête, de la nuque et du manteau gris de plomb 
vers le bas, le reste est couleur de rouille, avec un liséré noirätre 
à la pointe, ce qui donne à leur plumage un air écailleux. Les ailes 
sont noires avec un liséré rouille, les pieds et le bec sont couleur 
de chair avec une teinte noirâtre. Les jeunes mâles ont Je pre- 
mière automne, la gorge grise avec des points noirs, le front gris, 
lavé de jaune-brunätre à la base du bec avec quelques taches, qui 
percent au travers. Les jeunes femelles en automne ont assès la 
couleur du rossignol; mais elles en différent par la couleur du bec 


et des pieds, qui sont noirs et par celle des plumes du milieu de 
la queue qui sont brun noir. 


NUTZEN. 


Man ifst ihr Fleisch. Auch hält man sie ihres Gesanges we- 
gen. 


g SCHADEN 


fügen sie bei trüber Witterung den Bienen zu. Ihre 


FEINDE 


sind Katzen und Wieseln, welcheihre Eier und Iungen an- 
gehen. 


IAGD UND FANG. 


Mit der Flinte sind sie leicht zu töden. Gefangen werden sie 
auf Vogelherden, in der Schneufs und mit dem Federnez, an des- 


sen Zunge man einen Mehlwurm stekt; auch auf dem Tränkherd. 


ANMERKUNGEN. 

Die Verschiedenheiten: Rossignol de muraille' cendré, Bris- 
son; und Rossignol de muraille à poitrine tachetée, Brisson. sind 
blofse Âltersverschiedenheiten. 

Neuere Ornithologen theilen die Gattung Motacilla. Linn. in 
mehrere, und nach dieser Eintheilung heifst unser Rothschwänz- 


chen Sylvia Phoenicurus. 


26 


UTILITE. 


On en mange le chair, on les tient aussi en cage à cause de 
leur chant. 


DOMMAGE. 


Dans les jours sombres ils donnent la chasse aux abeilles,- 


ENNEMIS. 
Ils ont pour ennemis les chats et les belettes, qui sont très 
friands de leurs oeufs et de leurs petits. . 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


On les tue aisement au fusil. Onles prend aussi dans les ai- 
res, soit avec des filets à ressort et autres, où l’on met pour appat 
Pespece d'insectes appellée blatte ou cacrelat , soit auprès des a- 


breuvoirs. 
REMARQUES. 


Le rossignol de muraille cendré de Brisson, et le rossignol 
de muraille à poitrine tachetée du même auteur, ne sont que deg 
varicies produites par l’âge. 

Quelques Ornithologistes modernes divisent en plusieurs fa- 
milles le genre Motacilla de Linné, et d’après cette division no— 
ire rossignol de muraille s’appelle, Sylvia Phoenicurus. 


DIE WEISSE BACHSTELZE. 


Weïfsbunte - Blaue - Schwarzkchlige - Haus -- Stein - 
Wackelstärt. \WVäippstärt. 


Graue Bachstelze. 


Bachstelze. Wassersterz. Wasserstelze. 


Ackermännchen. Bebeschwanz. 

Motacilla alba. Linn. syst. nat. pag. 831. nr. 11. 

Motacilla alba. Gmel. Linn. syst. wat. T.I. P. II: pag. 960. nr. 11, 

The White - Wagtail. 

La Lavandière. Buffon. 

Die weifs - und schwarze Bachstelze, 
Deutschland. Tab. 

Die weifse Bachstelze. 
chen. 


Weifse Bachstelze. 


Penn. 
Fristh Vorstellung der Vôgel in 
Teutsehe Ornithol. Heft 4. Männchen und Weib- 


Bechsteins ornithol. Taschenb, Th. LS. 161. nr. ı. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Rücken aschgrau; Stirn, Wangen, Seiten des Halses und Bauch 
weils; Kinn, Kehle und Vorderbrust schwarz; die beiden äul- 


sern Federn weifs, am Grunde und am Rande der breiten Fahne 


schwarzbraun. | 
BESCHREIBUNG, 

Schnabel schwarz, Nasenlöcher länglich und offen; am Grun- 
de des Oberkiefers schwarze Borsten; Augensiern dunkelbraun; 
Scheitel schwarz; Stürn, Wangen, Schläfe, Ohren und Seiten des 
Halses reinweifs; Nacken, Rücken, kleine Dekfedern der Flügel 
und Brustseiten bläulich aschgrau; Ruderfedern dunkelbraun, die 
hintern stark weils gerandet, eben so die gröfsern Dekfedern; 
Schwanz schwarz; die zwei äufsern Federn weils, am Grunde mit 
einem keilförmigen schwarzbraunen Flek; die beiden mittlern et- 
was länger und spitziger als die andern; Kinn , Kehle und der 
Vordertheil der Brust schwarz; der übrige Unterleib weils; Fülse 
schwarz ins Röthliche spielend. Die Flügel erreichen ein Drit- 
theil des Schwanzes. 

Länge 7. Zoll; Breite 11. Zoll. 


LA LAVANDIERE. 


Grane Bachstelze. Weifsbunte - Blaue - Schwarzkehlige - Haus - Stein = 
Bachstelze. Wasserstelze. Wackelstärt. Wippstärt, 
Ackermännchen. Bebeschwanz. 

Motacilla alba. Linn. syst. nat. pag. 331. nr. 11. 

Motacilla alba, Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 960. nr. 11, 

The White - Wagtail. Penn. 

La Lavandiere. Buffon. 

Die weils - und schwarze Bachstelze. Frisch Vorstellung der Vögel in 
Deutschland. Tab. ; 

Die weifse Bachstelze. Deutsch. Ornithol. Heft. 4. Le mâle et la femelle. 

Weilse Bachstelze. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. 8. 161. nv. 1 


Wassersterz. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Te manleau cendré, le front, les joues, le col sur les côtés et le 
ventre blanc ; le menton, la gorge et le devant de la poitrine noirs; 
les deux plumes exterieures de la queue blanches, mais brun noir 
à la base et sur les bords du large côté de la barbe. 


DESCRIPTION. 


Le bec noir, les narines allongées et ouvertes, quelques plu- 
mes roides de couleur noire à la base de la mandibule supérieure; 
Piris de Poeil brun fonce ; le sommet de la tête noir; le front, les 
joues, les temples, les oreilles et les côtés du col d’un beau blanc; 
la nuque, le dos, les petites couvertures des ailes, et les côtés de 
la poitrine cendré bleuätre; les pennes des ailes brun foncé, cel- 
les de derrière ainsi que les grandes couvertures ornées d’un large 
liséré blanc, la queue noire, les deux plumes extérieures blan- 
ches, ayant à la base ne tache brun- noire en forme de coin; les: 
deux du milieu un peu plus longues et plus pointues , que les au- 
tres; le menton, la gorge et le devant de la poitrine noirs, le reste 
du dessous du corps blanc; les pieds noirs avec un chatoyement 
rougeätre. Les ailes ne couvrent, qu’un tiers de la queue, 

Longueur 7. pouces, envergure 11. pouces. 


Das Weibchen istnur wenig vom Männchen verschieden. Die 
Farbe an Stirn und Wangen ist nicht reinweils, auchist dieschwar- 


ze Kopfplatte kleiner. 


AUFENTHALT. 
Die Bachstelse bewohnt Afrika, Asien und Europa, und ist 


überall bekannt; am ‚häufigsten in gemäfsigten Erdstrichen, an 
Quellen, Bächen, Flüssen und Teichen, auf Wiesen und Vich- 
triften, in Städten und Dörfern. . Man rechnet sie gewöhnlich 
zu den deutschen Zugvögeln, die uns zu Ende des Septembers oder 
zu Anfang des Oktobers in Schaaren bei mondhellen Nächten ver- 
lassen und schon in den lezten Tagen des Februars oder zu An- 
fang des März bei einigen auf einander folgenden warmen Früh- 
lingstagen wieder zurük kehren: allein man hat auch Beispiele, dafs 
sie in manchen Gegenden von Deutschland überwintern. Wir be- 
merkten selbst vor cinigen Iahren im strengsten Winter mehrere 
derselben in der Luft und erkannten sie theils an ihrem Fluge, 
theils an ihrem Geschrei. 
EIGENSCHAFTEN. 
Sie ist ein sehr munterer, lebhafter und unruhiger Vogel. Sei- 
Sein Lauf ist 
stelzenartig und äufserst schnell, besonders, wenn er nach einem 


Insekt haschet. 


bei er beständig: qui, qui, quiriri rufet. 


nen Schwanz. bewegt er beständig auf und nieder. 


Der Flug geschieht rukweise und geschwind, wo- 
Aufserdem schreit er 
auch noch guit, zibit. Leise und geschwind, doch nicht unange- 
nehm ist sein Gesang, den er das ganze lahr hindurch hören läfst. 
Auch necket er gern grôfsere und kleinere Vögel, verfolgt die Fal- 
ken mit grolsem Geschrei; und verursacht durch dasselbe bei 


‘ den benachbarten Vögeln einen gewaltigen Lärm und Aufstand. 


NAHRUNG, 


Diese besteht in Insekten, ihren Larven und Puppen, als Flie- 
gen, Mücken, Schmetterlingen, Heuschrecken, Ohrwürmern und 
dergleichen. Sie 

PFLANZEN 

sich des Iahrs zwei bis dreimal fort, und fangen schon im April 
an, ihre fünf bis sechs blaulichweifsen und schwarz gesprenkelten 
Eier zu legen, welche beide Geschlechter wechselsweise in 14 'T’a- 


gen ausbrüten. Das Nest machen sie in Ritzen und Hölen der 


= 


' sieurs en Pair dans lé plus fort de Phiver. 


Ufer und Steinbrüche, unter Dächer, Holzhaufen, und hole Wei-. 


denbäume. Es besteht aus Grashalmen , Moos, Schweinsborsten 
Wolle und Küh - und Hasenhaaren. 
das Weibchen sehr zärtlich und wiederholt das Begattungsgeschäft 


Das Männchen ist gegen 
zwölf bis sechzehnmal hinter einander. Die lungen weichen im 
ersten Herbst sehr von den Alten ab und haben folgende Zeich- 


nung: 


Kopf, Oberhals und Rücken aschgrau, an den Seiten desKo- 
pfes und des Unterhalses roströthlich; von der Unterkinnlade lau- 
fen zwei» dunkelgraue Streifen herab, welche sich auf der Brust 
vereinigen; der übrige Theil der Brust und der Bauch schmutzig 
weifs ; die zweite und dritte Ordnung der obern Flugeldekfedern 


und die Ruderfedern mit breiten weifsen Rändern. 


NUTZEN 


stiften sie durch ihre Nahrung, und ihr Fleisch gibt eine an- 
genchme Speise. 


= 


SCHAEDLICH 
‚sind sie, so viel man weifs, gar nicht. 


10) 


La femelle ne differe que peu du mâle, elle n’estpas d’un 
blanc aussi net au front et aux joues; et la culotte noire qu’elle a 
au sommet de la tête est plus petite. 


PATRIE. 


. La lavandière habite l'Afrique, l'Asie et l'Europe. Connue 
par tout on Ja trouve plus frequemment dans les climats temperés 
auprés des sources des ruisseaux, des rivières et des étangs, dans 
les prairies et les pâturages, souvent même dans les villes et les vil- 
lages. On la compte ordinairement parmi les oiseaux de passage 
de l'Allemagne, qui sur la fin du mois de Septembre, ou au com- 
mencement d'Octobre quittent nos climats dans les nuits, où il fait 
clair de lune et reviennent ches nous dans les derniers jours de 
Fevrier, ou au commencement de Mars, si l’on a en pendant quel- 
ques jours de suite un tems doux et chaud: mais on sait par ex- 
perience, qu’il ya plusieurs contrées, où elle passe aussi Phiver, 
Iya quelques années, que nous en avons vi nous mêmes plu- 
Nous les avons recon- 
nues, soit à leur vol, soit à leur chant. 


QUALITES. 


Cet oiseau est allerte, vifet actif. Il remuecontinuellement sa 
queue qu’il abaisse et éléve alicrnativement, il a Pair d’aller sur 
des echasses, et il court très vite, sur tout quand il happe les in- 
sectes. Son vol est rapide et par élances; en volant il fait entendre 
sans cesse ce cri, qui, qui, quiriri. Il a encore un autre cri 
guit, zibit. Son chant ordinaire celui, qu'il fait entendre toute 
l'année est formé de tons foibles et précipités sans être pourtant 
désagréable. La lavandiere agace volontiers les autres oiseaux, 
grands ou petits; elle poursuit les faucons à grands cris, et répand 
ainsi P’allarme parmi les oiseaux du voisinage, qui sc rassemblent 


alors contre l'ennemi commun. 
NOURRITURE. 


Elle vit d'insectes, delarves et de chrysalides, de mouches, de 


moucherons, de papillons, de sauterelles, de perce-oreilles etc. 
F 


PROPAGATION. 

Elle pod deux où trois fois par an et commence deja an mois 
d'Avril. Ses oeufs au nombre dé cinq ou six sont d’un blanc bleu 
Le mâle et la femelle couvent 
Elle fait son nid dans les fen- 


ätre avec de petites taches noires. 
alternativement pendant 15 jours. 
tes et les ous des rivages escarpés et des carrières, sous les toits 
des maisons, dans les chantiers et dans le creux des saules. Ce 
nid est formé de brins d’herbe, de mousse, de soye de cochons, 
de laine, de poils de vache, de poils de lièvre ete. Le mâle est 
fort tendre envers sa femelle et lui donne jusqü’ à douze ou seixe 
fois de suite de preuves de son amour. Les petits différent beau- 
coup du père et de la mère pendant le premier automne et ont à 
peu-près les couleurs suivantes. | 
"La tête, le dessus du col, et le manteau gris cendré, les côtés 
de la tête et le dessus du col d’un rouillé rougeätre, de la mandi- 
bule inférieure descendent deux raies d’un gris foncé , qui se reu- 
nissent sur la poitrine, le reste de la poitrine et le ventre sont d’un 
blanc sale. Les plumes du second et du troisième rang des cou- 
verlures supérieures des ailes et les pennes ont un large liséré 


blanc. 


UTILITÉ. 


Ces oiseaux nous rendent service en mangeant les insectes et 
leur chair nous fournit une nourriture agreable. 


DOMMAGE. 


Ïl ne paroit pas qu’elles nous en causent aucun. 


FEINDE 
haben sie an dem Marder, Iltis, Fuchs und der Katze, Wie- 


sel und Ratten gehen der Brut nach. 


IAGD UND FANG. 


Sie werden, da sie nicht scheu sind, leicht geschossen,‘ und 
mit Leimruthen, und auf besondern Herden mit dem Garn in 


grofser Menge gefangen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


ı) Motacilla alba candida. 
2) Motacilla alba leucocephala, 
3) Motacilla alba varia. 


ANMERKUNG. 
Motacilla cinerea , Motacilla albida , Motacilla alba alarum 
fascia obliqua alba, sind keine besondere Abarten, sondern blofse 


Alterverschiedenheiten, 


DIE LACHTA BE. 


"Türkisches Täublein. Indianisches Turteltänblein, 

Columba risoria. Linn. syst. nat. pag. 285. nr. 33. 

Columba risoria. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 781. nr.33. 
The collared Turtle. Latham. 

La tourterelle à collier. 

Die Lachtaube. Frisch Vorftellung der Vögel in Deutschl. Tab. 141. 
Die Lachtaube. Bechst. gem. Naturgesch, Deutschl. 1 Aufl. B. 4. S. 97. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Oberleib dunkelröthlich, Unterleib weifsröthlich ; auf demOber- 
halse ein schwarzer halbmondförmiger Ring, 


BESCHREIBUNG. 


28 


Schnabel an der Spitze schwärzlich, an der Wurzel dunkel- 


röthlich; Augenstern karminroth; Kopf, Hals und Unterleib weils- 
röthlich; auf dem Oberhalse ein schwarzer halbmondförmiger 
Ring; Oberrücken und Flügeldekfedern dunkelröthlich; Unter- 
rücken röthlichgrau; Ruderfedern graulichbraun mit weifslichen 
Rändern ; Schwanz röthlichgrau, die Spitzen weils; Füfse.kar- 
minroth; Nägel röthlichweils. 

Die Flügelspitzen reichen etwas über die Hälfte des Schwan- 
zes. 
Länge 1. Fufs; Breite 1. Fufs 8. Zoll. 


Das Weibchen ist etwas grauer. 


AUFENTHALT. 
Das eigentliche Vaterland dieser Taube ist Indien und China, 
Von da aus ist sie in ganz Europa verbreitet worden. In Deutsch- 


land findet man sie und nur als Stubenvogel. 
EIGENSCHAFTEN. 


Sie zeichnet sich vorzüglicb durch ihre Sanftheit, Reinlich- 


keit und Verträglichkeit aus. Gegen sein Weibchen ist das Männ- 


chen sehr zärtlich, gesellet sich gern, besonders des Nachts, zu 
demselben, und giebt ihm: seine Liebe sowohl durch Kopfnicken 
und Sprünge, als auch durch einige Töne, welche mit einem Ge- 


lichter Aehnlichkeit haben, zu erkennen. Aufser diesem Geläch- 


ter läfst es noch eine heulende, aber doch nicht unangenehme Stim- 


ENNEMIS, 


Les martres, les putois, les renards, les chats, les belettes 
et les rats détruisent leurs oeufs et leurs petits. 


MANIÈRE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


Comme elles ne sont pas farouches, on les tue aisement au 
fusil. On les prend aussi en quantité soit à la pipée, soit au filet, 
dans des aires particulieres. 


VARIETES. 
ı) Motacilla alba candida. 


2) Motacilla aiba leucocephala. 
5) Motacilla alba varia. 


REMARQUES. 


Motacilla cinerea , Motacilla albida , Motacilla alba alarum 
fascia obliqua alba ne sont point des variétés distinctes, mais seu- 
lement des différences produites par l’âge. 


LA TOURTERELLE À COLLIER 


Türkisches Täublein. 


Columba risoria. 


Indianisches T'urteltäublein. 

Linn. syst. nat. pag. 285. nr. 33. 

Columba risoria. Gmel. Linn, syst. nat, Tom, I. P.1I. p. 781. n, 33. 
The collared Turtle. Laiham. 

La tourterelle à collier. Bufon, 

Die Lachtauhe, Frisch Vorfiellung der Vögel in Deutfchl, Tab. 141. 
Die Lachtaube. Bechst. gem, Naturgesch. Deutschl. 1. edit. Tom.4. p.97. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Les dessus du corps rougeätre foncé, le dessous rougeätre blanc, 
Sur le dessus du col un anneau noir en forme de croissant, 


DESCRIPTION. 


Le bec noirätre à la pointe, rougeätre foncé à la base; la 
prunelle de loeil cramoisi ; la tête, le col, et le dessous du corps 
rougeätre blanc; sur le dessus du col un anneau noir en forme de 
croissant; le haut du manteau et les couvertures des ailes rouge- 
ätre; les pennes des ailes brun grisätre avec un liséré blanc; la 
queue gris rougeätre avec la pointe blanche; les pieds cramoisi ; 
les ongles d’un blanc rougeätre. 

Les pointes des ailes vont un peu au de là de la moitié de la 
longeur de la queue. 

Longueur 1. pied; envergure 1. pied 8. pouces. 

La couleur de la femelle est un peu plus grise , que celle du 


mâle. 


PATRIE. 


La patrie de cet oiseau est proprement l’Inde et la Chine. 
C’est de là qu’il s’est repandu dans toute l'Europe. En Allemagne 
on ne le trouve, que privé. à 


QUALITES. 


Ce qui caractèrise la tourterelle c’est sa douceur, sa propreté 
et son humeur sociale : le mâle a beaucoup de tendresse pour sa 
femelle; il se tient volontiers auprès d’elle surtout pendant la nuit 
et cherche à lui de temoigner son amour, soit par des mouve- 
ments de tête gracieux et de petits sauts, soit par certains tons 
fort singuliers , qui ressemblent assez à un éclat de rire. Outre 
cette espèce de ricanement il fait encore entendre un son plainüf, 
mais qui n’a rien de désagréable et qu'on peut rendre par, le mot 


me hören, die sich etwa durch die Silben: kukurukuh, ausdrücken 


liefse. Wir bemerkten bei einem Männchen, dafs es diese Stimme 


| sa wohl bei Tag als Nacht beim Glockenschlag hören liefs. Sie 


liebt die Wärme sehr und hält sich daher gerne unter dem Ofen 
auf. Man kann sie auch wie andere zahme Tauben zum Ausflie- 
gen gewöhnen; nur müfsen sie alsdann warm gehalten und vor 
Raubvögeln gesichert werden. 

NAHRUNG. 


Sie fressen am liebsten WVaizenkörner, aber'auch Hirsen, Hei- 


- dekorn, Lein- Mohn-und Rübsamen, auch.Brod und klein geschnit- 
tene gesottene Kartoffeln. 


FORTPFLANZUNG. 


- Jun ein aus Weiden geflochtenes Taubenkörbchen, das man mit 
Stroh oder Pelz inwendig belegt, tragen beide Geschlechter Gras- 
und Strohhalmen, Fäden, oder andere weiche Sachen, die sie in 
der Stube finden, und das W cibchen legt zwei weifse Eier hinein, 
welche in sechäehn Tagen ausgebrütet werden. Gewöhnlich zie- 
hen sie aber nur ein Iunges auf. Die Iungen sehen den Alten völ- 
Ugähnlich; auch lassen sich schon Männchen und Weibchen durch 
die rôthliche Farbe unterscheiden. 

NUTZEN. 


Man hält sie zum Vergnügen in Stuben. Ihr Fleisch soll zart, 
gesund und schmakhaft sein. 


SCHADEN 
süften sie bekanntlich gar zicht. 
FEINDE. 
Sie werden mit mehrern Krankheiten, z. B. der Dürrsucht, 
‘den Blattern, mit Beulen und Geschwulst an Füfsen befallen. Dafs 
sie, indem sie die Krankheiten: kranker Personen im Hause erben; 
leziere davon befreien: sollen , ist Aberglaube. _ 
- VERSCHIEDENHEIT. 
a. Columba risoria alba. 
2, Columba risoria grisea Chinensis. Mit gelben Füfsen und 
schwarzen Schwungfedern. 
ANMERKUNG: 
Nach Bechstein ist der Augenstern goldgelb: 


29 


kukurukuh. Nous avons remarqué, qu'um mâle faisoit entendre 
ce roueoulement, soit de jour, soit de nuit, toute les fois, que 
heure sonmoit. Ces oiseaux aiment beaucoup le chaleur, aussi 
se tiennent-ils de préférence sous les poëles. On peut les dresser 
tout comme les autres pigeons apprivoisés à quitter le logis et à 
y revenir. Il faut seulement avoir soin, qu’ils ne souffrent pas du 
froid et qu'ils soient à l’abri des oiseaux de proie, 


NOURRITURE. 


Le froment en grains est la nourriture, qu’ils préférent. Du 
reste, ils s’accomodent aussi de millet, de sarrazin, de graines de 
lin et de pavot, de navette et même de pain et de pommes de terre 
bouillées et coupées en petits morceaux. 


PROPAGATION. 


On place dans un appartement une corbeille à pigeon , faite 
d’osier et on la garnit en dedans de paille, ou de fourrure. C’est 
x, que le mâle et la femelle portent tout ce qu'ils peuvent trouver 
dans la chambre „ brins d’herbe, tuyaux de paille, fils de toute 


espèce et autres matières. molles, et que le femelle pond deux oeufs. 


de couleur blanche, quelle couye pendant seize jours. Pour l’or- 


dinaire cependant elle n’cleve, qu’un seul petit. Les jeunes tour- | 


tereaux ressemblent parfaitement à père et mère, et l’on distingue 
deja le mâle et la femelle à la couleur plus rougeätre du premier, 


UTILITÉ. 


On tient ces oiseaux en chambre pour son plaisir. Leur chair 
passe pour ètre délicate, savoureuse et saine. 


DOMMAGE. 
On ne sache pas, qu'ils en occasionnent aucun, 


ENNEMIS. 

Us sont sujets à diverses maladies, tels que le marasme, les 
eruptions cutanées, etc. souvent aussi il leur vient des abcès et des 
tumeurs aux jambes. Du reste c’est une erreur, que de s’imagi- 


ner, comune on le croit communement, qu’ils délivrent les person- 


nes avec les quelles ils-vivent, des maladies, qu’elles peuvent avoir 


4 Ad : 
en prenant eux mêmes ces maladies, 


VARIÉTÉS. 
r) Columba risoria alba, 
2) Columba risoria grisea Chinensis. Cette variété a les pieds: 
jauns et les pennes des ailes noires. 
REMARQUE. 
Suivant Bechstein ees oiseaux ont l'iris d’un jaune doré. 


DER GROSSE HAUBENTAUCHER. 


Der grofse Haubentaucher. Gehäubter Steifsfufs. Grofser gehäubter Taucher. 
Grofser Kobeltaucher. Steifsfufs. Straufstaucher. Greve. Meerrachen. 
Nerike. Worth. Lorch. Langkragen (im Nürnbergischen. ) 

-Colymbus cristatus. Lüin. syst nat. pag. 222. nr: 7. und pag. 223. ng. 

Colymbus cristatus. Gel. Linn syst, nat, TI. P.-IL. pag. 589. nr. 7.und: 

pag. 593. n. 9. 

The.great crested Grebe. Penn. 

Le grèbe huppé. Buffon. j 

Gehörnter Sechahn oder Nörike. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutsch- 
land. Tab. 185. i 

Gehäubter Steifsfufs. Bechsteins ornithol. Taschenb. Th: IL..S. 350. nr. 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Kopf "mit einem zweitheiligen Federbusch; Hals mit einem lang- 


federigen gleich abgestuzten Kragen, 


Pe 


LE GREBE HUPPÉ. 


Dergrofse Haubentaucher.. Géhaubter Steifsfufs. Grofser gehaubtev Taucher, 


Grofser Kobellaucher. Steifsfufs. Straufstaucher. Greve, Meervachen, 
Nerika. Worch, Lorch: Langkragen (dans le pays de Nuremberg.) 

Colymbus cristatus. Linn. syst. nat. pag. 222. nr.7. et p: 223. nr. g. 

Colymbus cristatus. Gmel. Linn: syst, nat. T. I. P. IL. pag. 589. nr. 7. et p.. 
593. nr. 9. u f 

The great crested Grebe. Penn. 

Le grebe huppé: Bufen. ; 

Gehörnter Seehahn, oder Nörike.. Frisch Darstellung der Vögel Deutsch- 

land. Tab. 185. . 
Gehäubter Steifsfufs. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th.Il. p.350, nv. 1. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


EL. tête ornce d’une aigrette, partagée en deux. Le col garni d’un: 
collet également écourté de tout côté, 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel zusammengedrükt ; Oberkinnlade an der Wurzel 
dreiekig zugerundet , oben.schwarzbraun,, an den Seiten und an 
der Unterkinnlade dunkel kockenilleroth, an der Spitze heller; Au- 
genstern karminroth; Scheitel bräunlichschwarz, hinten mit zwei 
auseinander stehenden, fast ı£ Zoll langen bräunlichschtvarzen am 
Grunde roströthlichen Federbüscheln; über und um die Augen 
rostrôthlichweifs; von der Schnabelwurzel an bis zu den Augen, 
und ein längliches Flekchenhinier demselben schwärzlich und kahl; 
Kinn und die ganze übrige Seite des:Kopfes hell rostfarbig, gegen 
den Halskragen dunkel rosiroth; am Ende des Kopfes ein rings 
um den Hals hängender dicker, fast ı X Zoll langer, braunschwar- 
zer,.glänzender, gleich abgestuzter Kragen ; Vorderhals und Un- 
terleib glänzend silberweifs; Oberhals schwarzbraun, an den Sei- 
ten hellrosifärbig 5. Rücken schwarzbraum mit einigen rostrôthli- 
chen Randilecken ; vordere und hintere Ruderfedern schwärzlich, 
die mittlern weils; Seiten der Brust rostroth; Schwanz braun- 
schwarz, einen Zoll lang; Füfse aufsen schwärzlich, grünlich über- 
lanfen, innen. gelblich, hin und wieder schwärzlich ; Nägel flach. 
Die Flügelspitzen gehen bis an die Schwanzwurzel. . 
Länge ı. Fuf 102 Zoll; Breite 2 Fufs 72 Zoll. 

Die Abbildung ist um den dritten Theil verkleinert. 

Das Weibchen unterscheidet sich vom den Männchen dadurch, 
dafs es einen kürzern Federbusch und kürzern und dünnern, auf 
* der Kehle getheilten, auf dem Oberhalse sich verlierenden Hals- 

kragen hat. 
AUFENTHALT. 

Er lebt allenthalben in Europa und im nördlichen Asien, im 
‘Seen und schilfreichen Gewässern, Er verläfst uns im Winter, 
und kommt im Frühiahr zu Anfang des Aprils wieder zurük, wes- 


wegen man ihn unter die deutschen Zugvôgel rechnen muls. 
EIGENSCHAFTEN. 


Er taucht sehr schnell unter , bleibt aber doch nicht so lange 
unter dem Wasser als andere Taucher. Seine Schüchternheit ist 
so grofs, dafs er, sobald er einen Meuschen gewahr wird, sich 
schon in einer weiten Entfernung: verbirgt. Er läfst öfters, beson- 
ders wenn er Gefahr merkt, ein helles ‘Geschrei von sich hören. 
Für die Sicherheit seiner lungen trägt er sehr viel Sorge. Entsteht 
ein Sturm, so nimmt sie das Weibchen auf den Rücken, und 
schwimmt mit ihnen an einen sichern Ort, In einer Entfernung 
von hundert und funfzig Schritten geht-das Weibchen, wenmes'ei- 
nen Menschen in einem Kahn bemerkt, von den Eiern, bedekt sie 
mit Wasserpflanzen, schwimmt hinweg und begibt sich nicht eher 
Sollte es die Gefahr 
nicht etwa selbst zeitig genug gewahr werden; so erhebt es einlau- 
tes ängstliches Geschrei und benachrichtiget das in der Nähe des 
Nestes befindliche Männchen, davon. Mit den Rabenkrähen führt 
die Mutter öfters blutige Kriege, wenn ihr iene die Eier wegneh- 
men wollen. Sie hüpft vom Neste in die Höhe, beilst und stölst 
Gleichwohl mufs sie 


wieder dahin, als bis die Gefahr vorbei ist. 


nach ihrem Feinde so lange sie Kräfte hat. 
mehrentheils nachgeben und sich ein Ei nehmen lassen; und ist 


einmal das erste weg, so verliert sie die übrigen auch. Seine 


NAHRUNG 
besteht in Wasserinsekten, kleinen Fischen, z. B. Perca fluvia- 


ts, und-Wasserkräutern. In seinem Magen trift man auch öfters 


eine Menge Federn an, welche von seiner eignen Art herrühren. 


30 


DESCRIPTION. 


Le bec applati; [a mandibule supérieure de forme triangu= 
lairé - arrondie à sa base, brun - noir en dessus et cocheniile foncé 
sur les côtés et à la mandibule inférieures la même couleur à la 
pointe, mais plus claire; la prunelle cramoisi, le sommet de la 
tête noir-brunâtre, orné sur le derrière de deux aigrettes un peu 
écartées l’une de l’autre, longues d’environs 1.-pouce et£, rouge ! 
de rouille à la base et du reste d’un brun- noir ; la région autour 
et au dessus des yeux d’un blanc rouille; toute la partie, qui s’étend 
depuis la base du bec jusqu” aux yeux ainsi qu'une tache allongée, 
qui se voit derrière l'oeil de couleur noirätre et sans plumes; le 
menton et fout le reste de la tête sur les côtés rouille clair, couleur, 
qui devient plus foncée, du côté du collet, qui est épais, long 
d'environ un pouce et demi, d’un brun- noir brillant , et écourté 
également de tous les côtés; le dessus du col brun-noir, ef rouille 
clair sur les côtés; le manteau bruri-noir avec quelques taches de 
rouille sur les bords; les pennes des ailes tant celles de devant, 
que de derrière noirätres, celles du milieu blanches ; la poitrine 
couleur de rouille sur les côtés; la queue brun- noir et longue d’un 
pouce; tles pieds de couleur noirätre, lavée de vert en dehors, 
jaunätres en dedans avec un peu de noir par ci et par là; les on- 
gles plats. Les pointes des ailes vont jusqu” à l’origine de la queue, 

Eongueur 1. pied 107 pouces; envergure 2. pieds, 74 pouces. 

Le figure est d’un tiers au dessous de la grandeur naturelle. 

La femelle se distingue du mêle en ce quelle a l'aigrette plus 
courte, et que son collef est moins fourni, moins long, partagé 
en deux sur la poitrine et se pendant vers le haut du col. 


! 


PATRIE, 


II habite toufe l’Europe. et le nord d’Asie, et se tient dans les 
lacs et les eaux, où il y a beaucoup de roseaux. Il nous quitte au 
retour de lhiver et revient chez nous au printemps au commence- 
ment d'Avril, ce que fait, qu’on doit le compter parmi les oiseaux 
de passage de l'Allemagne. 


QUALITÉS. 


Il plonge avec beaucoup de vitesse, mais ilne reste pas aussi 
longtemps sous l’eau, que les autres espèces de plongeons. Il est 
si sauvage, que du moment, qu’il apperçoït quelqu'un même à une 
très grande distance, il se hâte de se cacher. Il fait souvent en- 
tendre un cri aigu, surtout lorsqw’il se croit en danger. Il veille 
avec beaucoup de soin à la sûreté de ses petits. $’ il survient une 
tempête; ‘la femelle les prend sur son dos et gagne avec eux un 
endroit, qui puisse lui servir d'asyle. Si elle voit un homme dans 
un canot, même à la distance de 150. pas de ses oeufs, elle se hâte 
de les recouvrir de plantes aquatiques et de s'éloigner à la nage, et 
elle ne revient à l'endroit, au quel elle a confié ce qu’elle a de plus 
cher, que lorsque le danger est passé. Mais si elle m’appercoit le 
danger, que lorsqu'il est trop tard pour l’éviter, elle pousse un cri 
d’allarme et instruit des ses craintes le mâle, qui se tient dans le 
voisinage du nid. Elle a souvent des combats sanglants à soutenir 
avec les corneilles, qui veulent lui ravir les oeufs. On la voit 
s’elancer de son nid contre ces redoutables enuemies, et les mor= 
dre, les frapper aussi longtemps, qu’il lui reste des forces. Pour 
l'ordinaire cependant elle finit par succomber et par voir un de ses 
oeufs devenir la proie du vainqueur. Du moment ‚ quelle en a 


perdu un, elle se laisse bientôt ravir les autres. 


NOURRITURE. 


Le grebe huppé vit d'insectes aquatiques, de petits poissons 
tels que la perche commune ; (Perca fluviatilis ) et de plantes d’eau. 
On trouve dans son estomac une quantité de plumes, qui parois- 
sent être d'oiseaux, de la même espèce, que lui. 


FORTPFLANZUNG. 


* Das grofse Nest verfertiget er auf eine unkünstliche Weise aus 
allerhand Wasserkräutern, z. B. Seeblumen, Hettonien etc. und 
bringt es entweder auf Schilfstoppeln oder auf herum schwimmen- 
de und von ihm selbst abgebissene Schilfstengel. Das Weibchen 
legt darein drei weifse Eier, von welchen gewöhnlich aber nur 
zwei in drei Wochen ausgebrütet werden, und welche sogleich 
nach dem Auskriechen auf dem Wasser nahe am Schilf und in 
demselben herum schwimmen. Die Iungen sind harig und ür ih- 
rer ersten Kleidung von den Alten ziemlich abweichend. Ein 
solches, das wir im August erhielten , ist hier abgebildet. Es ist 
ein Männchen; Schnabel oben schwärzlich, an den Seiten weilslich 
mit röthlichen Flecken ; Stirn und der halbe Scheitel weils , mit 
zwei schwarzbraunen Streifen , welche sich auf das Auge herab 
krümmen, und dann hinter demselben bis an den Hinterkopf weg- 
laufen; Augenstern rôthlich; die kahle Haut von der Schnabel- 
wurzel biszum Auge bräunlich; das ganze Gesicht mit dem Kinne 
glänzend silberweifs, hinter und unter dem Auge ein schwarz- 
brauner Streifen, der sich bis an den Hals herab zieht; auf der 
Kehle drei ähnliche schwächere Streifen; statt des Federbusches 
nur einkurzer Ansaz; Hinterscheitel.schwarzbraun; Hinterkopf 
und ein Theil des Oberhalses weißlich mit drei schwarzbraunen 
Streifen; der übrige Theil des Oberhalses und der Rücken hell- 
schwarzbraun mit rostfarbigen Rändern; die vordern Ruderfedern 
schwärzlich, die hintern nur an der Spitze, übrigens aber wie die 
mittlern weils; Steifs helschwarzbraun, hin und wieder rostfar- 
big überlaufen ; Unterleib glänzend silberweifs ; Fülse auisen 
schwärzlich,  inwendig weïfsgelb. Zu Anfang des zweiten Tahrs 
fangen die Federn des Kopfes an aufzuschwellen , die Scheitelfe- 
dern verlängern sich nach und nach, und Kehle und Wangen sind 
braunroth, oder auch ein wenig schwarz geflekt und gestreift. End- 


lich erhält der Kopf und Hals seine vollkommene Beliederung, 


NUTZEN. 


Da sein Fleisch fett ist und einen ihranigen Geschmak hat, so 
kann es nicht gegessen werden. Die Bauchhaut mit den silber- 
weilsen Federn benüzte man ehemals zu Damenmüflen, Mützen und 
andern zum Puz gehörigen Sachen. Ein aus solchen Häuten, (de- 
ren man iedesmal fünf haben mufste,) — verfertigter Muff kostete 


bei a5. Thlr. Sie sind erst seit dem Ende des vorlezten lahrhun- 


derts bekannt, Sein 
SCHADEN 
ergibt sich aus seiner Nahrung. 
FEINDE 


hat er am den Rabenkrähen , die ihm seine Eier wegtragen. 
Raubyögel stofsen auch auf die iunge Brut. In seinen Gedärmen 
fanden wir ein Knauel kurzgliederiger Bandwürmer, deren einer 
92 Zell lang war. 


3 IAGD UND FANG, 

Man erlegt sie mit der Flinte. Man mufs sie aber hinterschlei- 
chen. und das Feuer des Schiefsgewehrs verbergen, weil sie sonst, 
im Augenblicke und che das Blei sie erreicht, untertauchen. Man 
fängt sie auch mit Garnen, die man unter das Wasser in ausge- 
schnittene Schilfgänge, in welchen sie sich oft aufhalten, verstekt._ 

„ANMERKUNGEN. 


Colymbus Urinator wurde von Linné als eine besondere Art 


“ aufgestellt; es ist aber kein anderer als deriährige lunge unsers 


31 


Q 


PROPAGATION. 


IT construit son nid sans beaucoup d’art de toutes sortes de 
plantes aquatiques, telles que le nenuphar , le plumeau de ma- 
rais, etc.; et le place sur des souches de roseaux, ou sur les tiges 
de la même plante, qu’il a lui-même arrachées avec le bec, et qui 
flottent sur l’eau. C’est là, que la femelle pond ses oeufs, qui sont 
de couleur blanche et au nombre de trois; mais pour l’ordinaire, 
elle n’en couve que deux. Les petits eclosent au bout de troisse- 
maines et sont à peine sortis de l’oeuf, qu’ils se mettent à nager sur 
Veau, qui entoure le nid et mème à plonger. Ils sont tout velus, 
et leur première livrée différe assez pour la couleur de celle, qu'ils 
prennent avec l’âge. Nous donnons ici la figure et la description 
d’un de ces jeunes grèbes, qwon nous apporta au mois d’Aoüt, et 
qui est un mäle, Le bec noirâtre en dessus et blanchätre sur les 
côtés avec des taches rougeätres, le front el la moitié du sommet 
de la tete blanc avec deux raies brun-noir, qui se recourbent en 
descendant au dessus de l'oeil, puis en passant par derrière se pro- 
longent jusqu’ à la partie posterieure de la tete; la prunelle de l'oeil 
rougeätre; la partie denuée de plumes, qui va depuis la base du 
bec jusqu’ aux yeux brunâtre; tout le visage ainsi que le menton 
d’un blanc dargent lusitré; derrière l’oeil et en dessous une raie 
brun-noire, qui descend jusqu'au col; trois raies noires de même 
forme sur la gorge, sur la tète une petite crête au lieu d’aigrette, 
la partie poslérieure du sommet de la tête brun-noir, la derrière 
de la tête et une partie du dessus du col blanchätre avec trois raies 
brun-noir, Je reste du dessus du col et le manteau brun-noir clair 
avec un liséré en rouillé, les pennes antérieures des ailes noirä- 
tres, les postérieures blanches ainsi que celles du milieu, et ayant 
un peu de noir, qu’ à la pointe, le croupion brun-noir clair avec 
quelques. teintes éparses de rouille, le ventre blanc d'argent lustré, 
les pieds noirätres en dehors et d’un jaune blanchätre en dedans. 
Ce n’est qu'au commencement de la seconde année ; que les plu- 
mes de Ja tete commencent à se renfler. A la même époque cel- 
les du sommet s’allongent peu à peu, les joues. et la gorge sont 
rouge-brun, oubich marquées de quelques taches et de quelques 
raies noires. Eufin la tête et le col prennent leur dernière livrée. 


: Fr. 
UTILITE. 

Comme la chair de cet oiseau est très grasse et qw’elle a un 
gout huileux, on ne sauroit la manger. Autrefois l’on se servoit de 
la peau, couverte d’un duvet argenté du ventre, pour faire des man. 
chons de dames, des bonnets et d’autres objets d'ornement. Ilfal- 
loit ordinairement cinq de ces peaux pour un manchon, qui coutoit 
alors environs vingt-cinq, écus, Ce n’est qu’ à la fin du XV, siècle, 
qu’ils ont commence à être en vogue. 

DOMMAGE. 
il n’en occasionne, que par la manière, dont il se nourrit. 
ENNEMIS. 

Son plus grand ennemi est la corneille, qui est trés avide de 

ses oeufs. Les oiseaux de proie font aussi la guerre à ses petits. 


Nous avons trouvé dans ses intestins un peloton de "T'aenia à arti- 
eulations courtes et dont um avoit 9. pouces et 2 de long. 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


On tue les grebes au fusil, mais il faut avoir soin de les ap- 
procher par derrière etd’empècher, qu’ils ne voient le feu de Pamor- 
ce, sans. cela ils plongent à l'instant sous Peau et disparoissent avant 
que le plomb aiet püles atteindre. ‘On les prend aussi avec des 
filets, que l’on étend sous l’eau dans les endroits, où l’on a coupé 


Tes roseaux, et où ils se tiennent de préférence, 


nr. REMARQUES. 
Colymbus urinator , ou grèbe plongeur se trouve indiqué 
dans Linné comme une espèce particulière; mais ce n’est autre cho- 


— 


# 
Haubentauchers. Eben so ist wohl auch Colymbus eornutus Linn. 
keine besondere Art. 


Die Federn, welche man öftersin seinem Magen findet, sind 
nicht von andern Vögeln, sondern von seiner eigenen Art. Viel- 
leicht raufen sie sich einander im Streite die Federn aus und ver- 
schlucken sie; vielleicht fressen sie ihre eigenen Federn, wenn sie 
sich puizen und dieselben durch den Schnabel ziehen. Merkwür- 
dig sind der Vorsprung oben am Schienbeinknochen, der vielleicht 
zur Aufrechthaltung seines Körpers beim Stehen dient, und seine 
Feitdrüsen an der Schwanzwurzel , welche nicht rund , sondern 
walzenförmig und ı. Zoll lang sind. Eben so sind die Testikelm 


walzenförmig und einen halben: Zoll lang: 


Neuere Naturforscher spalten mit mehr Recht die Linnésche 


33 


Gattung: Colymbus in drei, undnennen die erste Podiceps, Steifs- 


fufs, worunter Col. cristatus, C. suberistatus, C. auritus, C. ob- 
scurus, C. minor gehören; die zweite Uria, Taucherhuhn, unter 
welche Colymb. Troile, C. Grylle und C.lacteolus, die dritte Co- 
lymbus, Seetaucher, unter welche Colymb. arcticus, glacialis, stel- 
latus und Immer , septentrionalis und leucopus. Bechst. gerech- 


net werden. 


DER STAAR: 


Staar. Staarl. Staarle. Stäärlein (im Nürnbergischen.) Sprahe. Sprehm.Spreke. 


Linn. syst. nat. pag. 290.nr. 

Gmel. Linn. syst. nat. T.1. P. IT. pag. go1. nr. 1. 
Latham.. 

E’etourneau. Buffon. | 
Der Staar. Frisch Vorftellung der Vögel in Deutschl. Tab. 218. Männchen 


nnd Weibchen. " L 
Bechft. ornith, "Taschenbuch. Th. I. S. 207. nr. 1. 


Sturnus vulgaris. 
Sturnus vulgaris, 


The common Stare. 


Gemciner: Staar. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Schnabel blafsgelb; der Leib schwärzlich mit purpurrothem und 
grünem Schiller und weilsen F ederspitzeu.- 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel am Grunde fünfeckig, gegen die stumpfe Spitze flach 
und abgerundet, am Grunde graulich‘, übrigens blafsgelb; Ober- 
‘kinnlade sanft gebogen, auf beiden Seiten bis ax die Nasenlöcher 
beliedert; Augenstern braun; Scheitel schwärzlich, mit grünem 
Schiller und wenigen weilsenr Federspitzen; Gesicht, Kehle und 
Brust schwärzlich und stark grün und rothsehillernd; Oberhals 
und Rücken 
Schwanz schwärzlich, grau bestäubt, fein weifs gerandet und mit 


mit eben dem Schiller und weilsen Federspitzen ; 


einer ausgeschweiften Spitze, Schwung- und Dekfedern schwarz- 
braun „ roströthlichweifs gerandet, unter mit einem grauen schim- 
mernden Flek; Bauch schwarz, braun und grünschillernd; in der 
Mitte und zwischen den Beinen kleinweils - am Steifse rosifarbig 
gefiekt; F üfse ockergelb, Nägel vorne braun. 

Die Flügel bedecken drei Viertheile des Schwanzes. 


Känge 84 Zoll; Breite ı. F uls 24 Zoll. 


se, que notre grebe huppé pris à l'âge d’tın an. Le Colymbus cor 
nutus de Linne, ou grebe cornu est tout aussi peu espèce parti- 
culière. 

Les'plumes, que l’on trouve assez souvent dans le ventre de 
notre grebe, sont de la même espèce, que les siennes et m’appar- 
tiennent point à Peut-être se les arrachent-ils 
les uns aux autres dans leurs rixes et les avalent - ils ensuite; peut- 


d’autres oiseaux, 


être aussi, qu’ils mangent leurs propres plumes après les avoir tirées 
avec le bec en faisant leur toilette. Ce que ces oiscaux ‘offrent 
encore de remarquable, c’est une saillie au haut du tibia, ou os de 
la jambe, qui leur sert peut-être à donner de Paplomb à leur corps, 
et les glandes adipeuses, qu’ils ont au croupion, et qui ne sont pas 
rondes, mais de forme cylindrique et d’un pouce de long. - Leurs 
testicules , qui ont un demi pouce de longueur ont aussi la même 
forme. 

Quelques naturalistes modernes ont partagé avec raison le 
genre de,Colymbus de Linné en trois. Le premier ; qu'ils nom- 
ment: Podiceps, (Steifsfufs all.) comprend le Colymbus cristatus, 
C. suberistatus, C. auritus, C. obscurus, et C. minor. Sous le se- 
cond, qu’ils appellent Uria, (T'aucherhuhn) se rangent le Colymbus 
Troile, C. Grylle et C. lacteolus. Le troisième enfin, qui estle Co- 
Iymbus proprement dit (Seetaucher ) réunit le Colymbus arcticus, 


C. glacialis, C. stellatus, C. Immer, C. septentrionalis et ©, leuco- 
pus de Bechstein. 


nn 


L'ETOURNEAU. 


Staar. 


Starl. Staarle. Stäïrlein, dans le pays de Nuremberg. Sprake. 
Sprehm. Sprehe. 
Stnrnus vulgaris. Lin. syst. nat. pag. 290. nr. 
Sturnus vulgaris. Gmel. Linn. syst. nat. Tom, I. P.II. p- 801. n. 1.’ 


Latham. * 
Buffon. | 
Frisch Vorftellung der Vögel in Deutfchl. Tab. 218. Mäle ef 


The common Stare. 

L’etourneau. 

Der Staar. 
femelle, 


Geniciner Staar. Bechst. ornithol. Taschenb, Tom.l. P- 207. n, 1. 


« 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Le bec d’un jaune pâle, le corps noirätre avec un chatoyement 
purpure et vert, les plumes blanches à la pointe. 


DESCRIPTION. 


Le bec quinquagulaire à sa base, applati d’un côté et arrondi 
de l’autre vers la pointe, qui.est mousse ; de couleur grisäre au 
bas et jaune päle dans le reste de sa longueur, la mandibule su- 
périeure doucement arquée et garnie de plumes des deux côtés jus- 
ques aux narines; l'iris de oeil brun, le sommet de la tête noi- 
râtre avec un chatoyement vert et quelques plumes blanches à la 
pointe, le visage, le jabot et la poitrine noirälres avec un chatoye- 
ment vert et rouge très décidé, le dessus du col etle manteau ayant 
le mime chatoyement et les plumes blanches à la pointe, la queue 
noirâtre, soupoudrée de gris avec un liséré blanc très delicat et 
echancte à la pointe. Les pennes et les couvertures des ailes 
brun noir avec un liséré blanc rouille, et orn&es au bas d’une ta- 
che d’un gris lustré, ie ventre noir avec un chatoyement brun et 
vert, marqué vers le milieu et entre les jambes de petites taches 
blanches et au eroupion couleur de rouille ‚les pieds jaune d’ocre 
etles ongles bruns sur le devant, 

Les ailes recouvrent la queue jusqu’ aux trois quart de la lon- 
gueur. 

Longueur 8. pouces et demi, envergure 1. pied 2, pouces et à. 


Das Weibchen hat auf dem Bauche mehr und gröfsere weifse 
und rostfarbige dreieckige Flecken, auch an den obern grofsen Flü- 


r geldekfedern breitere Ränder. 
AUFENTHALT. 


Er istin der ganzen alten Welt zu Hause. 
vogel, derim März, zuweilen auch schon bei warmer Witterung 
im Februar in Deutschland ankommt und im Oktober in grofsen 
Sie bewohnen gerne niedrige Gegen- 


Er ist ein Zug- 


Scharen wieder wegzieht. 
den, wo Laubholz, Wiesen, Teiche, Bäche, Flüsse und Aecker 


mit einander abwechseln. 
EIGENSCHAFTEN. 


Durch seine Gelehrigkeit und Lustigkeit hat er sich ein Recht 
zu den menschlichen Wohnungen erworben. Sein Gang ist be- 
dächtlich und schreitend. Alles wird von ihm besichtigt und un- 
tersucht; sieht er eine Ritze, so stekt er den Schnabel hinein, öf- 
net ihn weit, als wenn er sie wie mit einem Zirkel ausmessen 
wollte. Er lernt die Personen, welche umihn sind, bald kennen, 
merkt aufihre Mienen und richtet sich darnach. Er wird aufser- 
ordentlich zahm und dreiste, hüpft z. B. auf den Tisch, hebt mit 
dem Schnabel den Deckel des Milchtopfes auf und läßt sich die 
Milch wohl schmecken. Ohne dafs man ihm die Zunge löset, lernt 
_ er leicht Worte nachsprechen, vergifst sie aber auch bald wieder 

uud verwechselt sie mit dem, was er neu gelernt hat. Sein Ge- 
. sang hat nichts Empfehlendes, und ist aus allerhand besondern Tö- 
nen zusammengesezt. Angenehmer singt er künstlich gelernte Me- 
lodien, denen er aber gewöhnlich sein natürliches Lied anhängt, 
Sizt eine Haufe Staaren auf einem Baum und siugt, so entsteht ein 
solches unordentliches, unaufhörliches Geschwäz ‚Hals man nicht 
weils, ob manmehr über den Gesang oder über die einfältige Em- 
sigkeit, die er dabei bezeigt, lachen soll. Das Weibchen singt 
dann fast eben so gut mit als das Männchen, Sie haben einen 
schwimmenden und schnellen, iedoch gewöhnlich niedrigen Flug. 
Es sind übrigens reinliche Vögel und baden und putzen sich gern. 
Im Zimmer werden sie etwa zehn bis zwölf Iahre alt. Ihre 


NAHRUNG 


besteht in Heuschrecken, Raupen, Maulwurfsgrillen, Grillen, 
Larven ; im Frühiahr, wenn sie noch wenige andere-Tusekten fin- 
den, besonders Vielfüfse (Iulus), Regenwürmern , Schnecken, 
Bremsen und Fliegen, die sie öfters auf dem Rücken des Viehes 
ablesen. Aufßserdem nähren sie sich auch von Kirschen , Wein- 
trauben , Buchweizen, Hanf, Hirsen und andern Sämereien. Ge- 


zähmt fressen sie fast alles, was man ihnen vorwirft. 


FORTPFLANZUNG. 


Ihr unkünstliches Nest machen sie in hole Eichen, Buchen 
und Zitterpappeln, hölzerne oder thônerne Kästen, die manihnen 
auf Bäume hängt, auf’Thürme, und Felsen , sogar in Tauben- 
schläge der Walddörfer, zuweilen auch in verlassene Eichhörn- 
chen-und Drosselnester. , Das Weibchen legt iährlich einmal,und 
nach Beschaffenheit der Witterung, auch zweimal 
ben blafsgrüne Eier, welche in vierzehn Tagen ausgebrütet wer- 
den, Die Tungen, von welchen hier eins abgebildet ist, sehen in 
der Farbe den Alten sehr unähnlich. Die Farbe des ganzen Kör- 
‚pers istschwärzlich, die Fiügelfedern haben an der schmalen Fah- 
ne einen schwachen Schiller und sind wie die Schwanzfedern au 


der schmalen Fahne rostfarbig gerandet; die Augengegend, Kinn 


, sechs bis sie- 


Les taches blanches et rouges de rouille de forme triangulaire, 
que l’on voit sur le ventre de cet oiseau, sont plus nombreuses et 
plus grandes chez la femelle, que chez le mâle. Le liséré des 
grandes plumes supérieures des aïles est aussi plus large. 


PATRIE. 


Il habite toutes les parties de l’ancien continent. En Alle- 
magne il est oiseau de passage, il y revient au mois de Mars, ou 
même en Fevrier si le tems est doux, et il en repart en vols nom- 
breux au mois d'Octobre. Il babite de préférence les contrées bas- 
ses et entrecoupees de bois, de prairies, d’étangs, de ruisseaux, de 
rivières et de champs. | 


QUALITES. 


Cet oiseau par sa docihité et son enjouement a acquis le droit 
Il marche avec cir- 
conspection et pas à pas. S'il voit 
une fente, il y met le bec et l’ouyre autant qu’il peut, comme s’il 
vouloit s’en servir ainsi que d’un compas pour la mesurer. I] ap- 
prend à connoitre les personnes avec les quels il vit, il fait at- 
tention à leurs regards et à leurs gestes ei se regle là dessus. I 
devient d’une familiarité et d’une hardièsse extrême, par exemple: 
il saute sur la table, il öte avec son bec le couvercle des pots de 
I apprend facilement à ré- 


de vivre avec l’homme et dans sa demeure. 
I observe et examine tout. 


lait et se met à boire tout à son aise. 
péter les mots, sans que l’on ait besoin pour cela de lui couper le 
fil de la langue, mais il les oublie tout aussi vite et les confond 
Sont chant n’a rien d’agréable et se 
I chante d’une ma- 


avec ceux, qu'il sait déja. 
compose de toutes sortes de tons singuliers. 
nière assez agréable les airs, que lon lui a appris, maïs il ne man- 
que guères d’y joindre son chant naturel.' S’il ÿ à sur un arbre un 
vol d’etourneaux et qu’ils se mettent à chanter, il en resulte un ga- 
zouillement si confus et si continu, qu’ on ne sait, si l’on doit plus 
rire de ce concert bisarre, ou de Pempressement ridicule, qu'ils 
mettent à se faire entendre. La femelle chante presque aussi bien, 
Leurs vol, quoique pour l’ordinaire assez bas, est 
Du reste, ces oiseaux sont tres propres, ils 
En cham- 


que le mâle. 
rapide et ondoyant. 
ont sans cesse à ses baigner et à arranger leurs plumes. 
bre ils peuvent parvenir à l’âge de dix à douze ans. 


NOURRITURE, 


Ils vivent de sauterelles, de chenilles, de grillons -taupes, de 
chrysalides; surtout au printems, où il n’y a pas encor beaucoup 
d'insectes, dejules, ou mille-pieds, de vers de terre, de limacons, 
de frelons et de mouches, qu’ils vont chercher jusques sur le dos 
En outre ils mangent aussi des cerises, les raisins, 


Ap- 


des bestiaux. 
la faine, le chenevis, le millet et autres espèces de graines. 


privoisés ils mangent presque tout ce qu’on leur présente. 


PROPAGATION. 


Ils font leur nid sans aucune espèce d’art dans les trous des 
chênes, des hetres, ou des trembles, dans des caisses de bois, ou 
de terre cuite, que l’on suspend aux arbres, au haut des tours et 
des rochers et jusques dans les pigeonniers des villages situés dans 
les bois; ils s'emparent aussi quelque fois des nids de grives et 
d’écureuils, qu'ils trouvent abandonnés, La femelle pond une ou 
deux fois par année, suivant que la saison est plus ou moins fa- 
vorable. Ses oeufs au nombre de six ou sept sont d’un vert pâle, 
et elle couve pendant quinze jours. Les petits, de l’un desquels 
nous donnons la figure, different beaucoup de père et mère pour 
la couleur , qui est noirälre par tout le corps. Les plumes des ai- 
les ont du côté étroit de la barbe un foible chatoyement et ont ain- 
si queles plumes de la queue un liséré couleur de rouille du même 
côté. La région de l'oeil , le menton et la gorge sont blanchätres, 


en | Bahr 


und Kehle weißslich; der Unterleib und Oberhals mit schwarz- 
braunen Längsflecken, Schnabel am Grunde schwärzlich > gegen 
die Spitze weilslich, inwendig rôthlich; Füfse dunkel fleischroth, 


NUTZEN. 


Das Fleisch der iungen Staaren wird gegessen. Die Alten 


Er nüzt ferner noch durch seine Nahrung, in- 


dem er viele schädliche Insekten verzehrt: Als Stubenvogel macht 


schmecken bitter. 


er durch sein Betragen dem Besitzer viel Vergnügen... Sein 


SCHADEN, 
den er zum Theil durch seine Nahrung, anrichtet, ist nicht 


sehr beträchtlich. 
FEINDE 


haben sie an der Rohrweihe, dem Wiesel, dem Steinmarder 
und der Ratte, welche drei leztere ihre Brut überfallen. 


IAGD. UND FANG. 
Sie können, da sie nicht scheu sind, leicht mit der Flinte er- 
tegt werden. 
Man fängt sie in Kästen, worein sie brüten, und mit Netzen 
bei Tage und Nacht. 
‘VERSCHIEDENHEITEN. 


ı. Sturnus vulgaris melanocephalus. - Weifs mit schwarzem 
Kopfe. 

2. Sturnus vulgaris albus. 

3. Sturnus vulgaris leucomelas. 

4. Sturnus. vulgaris leucocephalus.. 


5, Sturnus vulgaris cinereus. 


» a 
le dessus du col et le ventre sont ornés de taches aHongées brun- 
noir, le bec est noirätre à sa base, blanchätre vers la poitrine , 
rougeätre en dedans, les pieds sont incarnat foncé, 


UTILITÉ. 


On mange la chair des jeunes étourneaux. Vieux, ils ont un 
A x . er „ir - 

gout amer. De plus ils nous sont utiles par la quantité d’insectes 

nuisibles, qu'ils detruisent pour se nourrir. En chambre cet oi- 


seau nous amuse par sa gentilesse et le comique de ses allures. 
DOMMAGE. 
Il n'en occasionne gueres, qu’en mangeant les. fruits dans les 


campagnes. 


ENNEMIS. 5 


Le butor, la Belette, la martre et le rat sont ses plus grands 
ennemis, sur tout lestrois derniers, qui sont très friands de ses pe= 
tits. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Comme il se laisse volontiers approcher, on le tue aisement au 
fusil. On le prend aussi, soit dans ces caises, dont nous ayons parle 
plus haut et où il fait son nid, soit au filet, de jour, comme de nuit, 


VARIÉTÉS. 


1. Sturnus vulgaris melanocephalus. Blanc ayec la tête noire, 
1. Sturnus vulgaris albus. ö 
3. Sturnus vulgaris leucomelas. 
&.. Sturnus vulgaris leucocephalus, 
‚ 5. Sturnus vulgaris einereus, 


u dede x 


DER GRUENLING. 


Grünling. Grünfink. Grünschwanz. Gröönling. Wohnitz. Schwoinz. 
Schwunsch. Grüner Dikschnabel. Grünvogel: Grüngelber Diksehnabel. 

Loxia Chloris. Linn. syst. nat. pag. 304. dr. 27. 

Loxia Chloris. Gmel. Linn. syst. nat. T.I. P. II. pag. 854. nr. 27. 

The. green Grosbeack, Penn. 

Le verdier. Buff. 

Grinling oder Grünfink. Trisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. 
Tah.'2. 


&rüner Kernbeïfser. Bechsteins ornithol Taschenb. Th.-I. S. 110. nr. 5. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Geibgrün ; Flügelrand und untere Flügeldekfedern hochgelb; 
Schwanz in der Mitie der äußsern Fahne hellgelb ; Fülse fleisch- 
farbig. 

| BESCHREIBUNG. 

Schnabel blafs fleischfarbig, oben dunkler; Stirn gelb; Scheis 
tel und Hinterkopf grüngelb, mit einer grauen Spitze; der Grund 
des Oberschnabels mit abwärts stehenden Borste; Zügel bräun- 

‚lich ; Augenstern dunkelbraun; Ohrgegend grau; Wangen gelb; 
Unterhals grüngelb ; Brust hochgelb, an den. Seiten. ins Graue 
übergehend ; Bauch,, After und untere Dekfedern des Schwanzes 
weifsgelb besprizt; Oberleib grüngelb, Flügelrand und untere Flü- 
geldekfedern hochgelb; die 9. Ruderfedern schwärzlich , an der 
äufsern Fahne in der Mitte hellgelb;. die übrigen braunschwärz- 
lich, an der äufsern Fahne grau gerandet; obere Dekfedern des 


Schwanzes grüngelb mit grauen Spitzen ;. die vier äufsern Schwung- 


LE VERDIER. 

Grünling.. Grünfink. Grünschwanz, Gröönling. Wohnitz. Schwointz. 

Schwunsch. Grüner Dikschnabel. Grünvogel. Grüngelber Dikschnabel. 
Loxia Chloris. Linn. syst. nat. pag. 304. nr. 27. 
Loxia Chloris. Gmel. Linn. syst. mat. T.I. P. I. pag. 854. nr. 27. 
The green Grosbeack. Penn, 
Le verdier. Buffon. 
Grünling oder Grünfink. 

Tab. 2. 

Grüner Kernbeilser. Beehst.. ornilholog, Taschenbuch. Th. I. P-110. nr. 5. 


Frisch Darstellung der Vögel in Deutschland. 


EARACTÈRES SPÉCIFIQUES: 


Cr vert-jaune; le bord et les couvertures inférieures des 
ailes jaune vif; les plumes de la queue vers le milieu jaune clair dw 
eôté extérieur de la barbe;- les pieds couleur de chair. 


DESCRIPTION. 


Le bec rouge de cliair pâle, plus foncé en dessus ; le front 
jaune; les plumes de sommet et du derrière de la tête jaune-vert 
avec la poitrine grise; la mandibule supérieure garnie à sa base de 
soies, qui reiombent en ayant; la region entre langle du bec et 
l'oeil brunätre; l'iris de l’oeil brun foncé; la region de l'oreille 
grise ; les joues jaunes; le bas du col jaune-vert; la poitrine jaune 
vif passant au gris sur les côtés; le ventre, le croupion et les cou- 
vertures inférieures de la queue blanc pointillées de jaune; le des- 
sus du corps jaune-vert; le bord etles couvertures inférieures des 
ailes d’un jaune vif; les neuf pennes de la queue noirätres, celles 
du milieu jaune-clair au côté extérieur de la barbe; les autres 
uoir-brun avec un liséré gris au côté extérieur de la barbe; les 


federn hellgelb, mit einer schwärzlichen Spitze, die fünfte schwärz- 
lich, auf der schmalen Fahne olivengrün, 


gelb; die beiden mittlern schwärzlieh, an der schmalen Fahne oli- 


gegen den Grund hell- 


vengrün gerandet; Fülse fleischfarbig, Nägel braun. 
“Die Flügel erreichen die Hälfte des Schwanzes.. 
Länge 5% Zoll, Breite 10. Zoll. 
Das Weibchen ist nicht. so gelb als das Mänuchen. 
kopf bräunlichgrau; Ohrgegend und Seiten des Halses grau; Rü- 


Hinter- 


cken schwach zeisiggrün mit vielen: bräunlichen, ‘undeutlichen Stri— 


chen versehen; der Bauch hat mehr Weifses Sein 


AUFENTHALT 
ist das südliche und mittlere Europa. Er ist in Deutschland 
ein Sirichvogel, der im Sommer in Feld- und Vorhölzern lebt, 
im September in kleinen Gesellschaften seine Nahrung, auf den 
Feldern sucht , in den folgenden Monaten aber sich in grofsen 
Heerden zusammen hält und von einem Ort zum andern: zieht. 


Im: März besucht er seinen gewöhnlichen Stand wieder. 
EIGENSCHAFTEN. 


Er lebf’gern einsam, ist scheu und wild im Freien, wird aber 
doch im Zimmer bald zahm und lernt sogar sein Wasser schöpfen. 
‚ „Wenn:er hinlängliche Nahrung hat, so beträgt er sich gegen an- 

dere Stubenvögel verträglich. Seinen Gesang, der nicht unange— 
nehm und hell ist, läfster, vier bis fünf Monate ausgenommen, 
das ganze Jahr hindurch hörem. Im Flug, der zi ich schwer: 
ist , schreit er: ik, iäk, im Sitzem aber; schwoinz. 


NAHRUNG. 3 
Er frifst Leindotter- Hanf- Rüb- Lein- Salat- Distel- Volfs- 
. milchsamen, die Kerne von dem Kellerhals- und Wachholderbee- 
ren, im Winter, wenn ihm der Schnee die Erde verbirgt; Eichen- 


Sahl- und Palmweidenknospen.. 


FORTPFLANZUNG. 


Das Nest, welches aus Flechten, Corallenmoos, Wolle und 
kleinen Wurzeln besteht, findet man auf Bäumen, in Hecken und 
Gebüschen. Das Weibchen legt darein vier bis sechs spilzige, 
hell silberfarbene mit zimmtbraunen und hell violeiten Pünktchen 
versehene Eier, die.beide Geschlechter in dreizehn Tage wech- 
selsweise ausbrüten. Das Weibchen brütet so eifrig, dafs es sich 
mit den Händen auf dem Neste ergreifen läst. Es legt des Iahrs 
zweimal Eier. Die Iungen sind vor dem erstem Mausern dem 
Weibchen ähnlich, am Unterleibe hellgelb mit bräunlichen Längs- 
N am Scheitel, Oberhals, Rücken graubraun mit dunkelm 
Längsflecken. 

NUTZEN. 
Man hält ihn seines Gesangs wegen in dem Zimmer. Sein 


Eleisch ist schmakhaft und wird gegessen. 
SCHADEN 
- bringen sie in Hanfickern und Küchengärten. 
FEINDE. 
hat er an dem Sperber und dem Wiesel. 
IAGD UND FANG. 


Er kann mit der Flinte geschossen werden. Gewöhnlich wird 


er im Herbst auf dem Strich auf dem Vogelherd gefangen. 
Ss 


ex 


or 


couvertures supérieures de la queue jaune-vert avec la pointe des 
plumes grise ; les quatre peunes extérieures des ailes jaune-clair 
avec une poinie noirätre; la cinquième noirâtre, vert olive sur le 
côté étroit de la barbe, jaune clair vers le bas; les deux du milieu 
noirätres avec un liséré olive au côté étroit de la barbe; les pieds 
couleur de chair; les ongles bruns. 

Les ailes s’ étendent jusqu’ à la moitié de la longueur de la 
queue. 

Longueur 5. pouces et 3. envergure 10. pouces. 

La femelle n’est pas aussi jaune, que le mâle; elle a le der- 
rière de la tête d’un gris brunâtre, la région de l'oreille et les cö- 
tés du col sont gris; lemanleau est vert-serin très pâle coupé des 
petits traits brunälre assez peu distincts; le ventre est plus blanc. 

PATRIE 


La patrie du verdier c’est le milieu et le midi de l’Europe. II 
est oiseau de passage en Allemagne. En été il vit dans les bosquets 
entourés de champs, ou situés en ayant des grands bois; au mois 
de Septembre il va par petits vols chercher sa nourriture dans les 
champs; les mois suivañts où voit ces oiseaux se rassembler en 
grandes troupes et passer d'un endroit & l’autre. En Mars ils re- 
viennent à leur gite accoutumé. | 


QUALITES. 


Cet oiseau aime la solitude , il est peureux et sauvage dans 
Vétat de liberté; mais captif il s’apprivoise très vite, et apprend 
mème à puiser som eau.  S’il a abondance de nourriture, il vit en 


paix avec les autres oiseaux captifs comme lui. Son chant, qu’il 


_ fait entendre toute l’année à l’exception de quafre ou cinq mois 


est aigu sans avoir rien de désagréable: En: volant il crie, jaik, 
jaik, s’il est posé, son cri est tout differant et peut se rendre par 
schwoinz. Son vol est assez lourd. 


4 


NOURRITURE. 


Il mange les graines de cameline, de chanvre, de navet, de 
En 
hiver , lorsque la terre est toute couverte de neige, il se nourrit 
de boutons de chène et de saule-marceau. 


lin, de chardon-salate, les baies du garvu, du genévrier etc. 


PROPAGATION. 

C’est sur les arbres, dans les haies et les buissons, qu’on trou- 
ve som nid. Ille construit de lichens, de mousses, de laine et de 
petites racines. La femelle y pond ses oeufs au nombre de quatre 
Hs sont pointus, blanc argenté clair, parsemes de petits 


Le mâle et la femelle couvent alter 


à six. 
points canelle et violet clair: 
nativement pendant treize jours, et celle cile fait avec tant d’ar- 
Elle pond 


Les petits avant la première muë, ressemblent 


deur, qu’on peut la prendre sur le nid avec la main. 
deux fois par an. 
à la femelle; ils ont le dessous du corps d’un jaune clair avec quel- 
ques traits longitudinals de couleur brunätre, et le sommet de la 
tete, le dessus du col, et le manteau brun-gris avec des taches lon- 
gitudinales de la mème couleur, mais plus foncé. 


UTILITE. 


On le tient en chambre pour jouir de son chant. Sa chair se 


mange et a un goût agréable. 
DOMMAGE. 
Il fait assez de dégât dans les chénevières et les vergers. 
ENNEMIS. 
Ses ennemis sont l’épervier et la belette, 
MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


On peut le tuer au fusil. Pour l'ordinaire on le prend enau- 
tomne dans le tems du passage, dans les aires à prendre les oiseaux. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1, Loxia Chloris candida. 
Nobis.. 

Bauch und um den Hals weils; Brust gelb und weils; Kopf 
und Nacken graubraun; » 


2. Loxia Chloris varia. 


Oberleib grungelb und weifs, Flügel und Schwanz wie ge- 
wöhnlich. 
ANMERKUNGEN. 


In dem Magen von vier Jungen vom 50. Mai fanden wir meh- 
rere rothe Steinchen. Die innere Magenhaut war grün. 

Die grofsen, mittlern und kleinen Grünlinge, die man hin und 
wieder findet, machen weder eine Abart noch eine besondere Art 


aus. 


DIE MAUERSCHWALBE. 


Stein - Kirch - Spyr - Pier,- Speyerschwalbe. Spierschwälken. 
schwalbe und Steinschwalbe (im Nürnbergischen.) 
Hirundo Apus. 
Hirundo Apus. 
The Swist Penn. 
Le Marlinet noir. 


Rhein- 


Linn. syst. nat. pag. 344. nr..6. 
Gmel. Linn. syst, nat. ©. I. P. II. pag. 1020. nr..6. 


Buffon. 

Die langllügelichte und grôfste Schwalbe. Frisch Vorftellung der Vögel in 
Deutschland. Tab. 17. E 

Thurmschwalbe. Bechft. ornith. Taschenbuch. Th..I. $. 225. nr. 4. 


l 
L 


KENNZEICHEN DER ART. 
Mattschwarz; die Kehle weils.. 


BESCHREIBUNG, | 


Schnabel kurz, nur 5. Linien lang, gerade; Oberkiefer vorn 
etwas gebogen; Augen grofs in einertiefen Höle; Stern kasianien- 
braun, Scher indigblau; Nasenlöcher eirund mit einer erhabe- 


nen Haut; Rachen grofs; die Schnabelwinkel veichen bis unter 
die Augen, Strn und der ganze Rand vom Naseuloche an und 


längs dem Oberschnabel hinab grauschwärzlich mit einem bräun- 
lichen Schiller; Scheitel und der ganze Oberleib, die langen sichel- 
förmige Flügeln und der kürzere, gabelförmige Schwanz, Hals, Brust 
und Bauch schwärzlich, ins Braune schillernd , Kinn und die 
Seiten desselben weißslich; Füfse kurz, oben bis an die Zehen mit 
verhältnismäfsig ziemlich langen Federn bedekt; die vier Zehen 
liegen alle vorwärts, die innere an der Seite, die dritte und vierte 
etwas näher beisammen, sind fleischroth; Nägel schwarz, krumm 
gebogen und sehr spitzig. 

Die Flügelspitzen reichen etwa 1 Zell weit über die Schwanz- 
spitze hinaus. | 

Länge 7.Zoll; Breite 1. Fuß 4, Zoll; das Gewicht einer alten 
2 Loth, einer iungen 5. Loth. 

Zwischen Weibchen und Männchen fanden wir keinen Un- 
terschied. Die Iungen, von welchen hier eins abgebildet ist, un- 
terscheiden sich im ersten Fahr vonden Alten durch folgende Merk- 
male: : 

Die Stirn, ein schmaler Streifen über den Augen‘) überhaupt 
das ganze Gesicht weils, am leztern ins Gelbliche ‘spielend. Der 
Stern grau, übrigens gleichen sie den Alten, nur dafs die Federn- 
ränder der hintern Ruderfedern weils sind, der vordere Flügel- 


rand weils und die schwarze Farbe heller ist. 


36 


” femelle. 


VARIÉTÉS. 


+. Loxia Chloris candida. 

2. Loxia Chloris varia. Nobis. 

Le ventre et le tour du col blanc; la poitrine jaune et blanc ; 
la tête et la nuque brun gris ; le dessus du corps jaune vert et blanc ; 
les ailes et la queue comme à l’ordinaire, 


REMARQUES. 


Nous avons trouvé dans l’estomac de quatre petits, nés le 30. 
Mai, plusiers-petites pierres rouges. La membrane iniériéure de 
l'estomac étoit verte. 

Les verdiers différent beaucoup entre eux pour la grosseur. 
On en trouve, de grande, de moyenne et de petite taille, mais ce 
ne sont ni des espèces particulières, ni même des variétés. 


LE MARTINEF. | 


Stein - Kirch- Spyr - Pier - Speyerschwalbe. Spiersehwälken. Rheinschwal- 
be, und Steinschwalbe, en language nurembergois. 

Hirundo Apus. Linn. syst, nat. pag. 344. nr. 6. 

Firundo Apus: Gmel. Einn, syst..nat. Tom I. P.II. p. 1020. n. 6; 

The Swist. Penn. 

Le Marlinet noir. _ Buff. , | 

Die langflügelichte Schwalbe. Frisch Vorflellung der Vögel in Deutfchland. 

Tab. 17. \ 
OBS Bechst. ornithol. Taschenb. Tom, I. p. 225. n. 4. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Couleur noir mat; la gorge blanche. 


DESCRIPTION. 


Le bec droit et court n’ayant que trois lignes de long; la man= 
dibule supérieure legöremeni arquée sur le devant; Poeil grand 
placé dans une profonde orbite; l'iris ehatain ; le pupille bleu d'in— 
digo; les narines ovales avec une membrane élévée; louverture 
du bec irès large; les angles du bec vont jusques sous les yeux; 
le front et toute la partie, qui descend depuis les narines le long 
de la mandibule supérieuré gris noirälre chatoyant en brun; le 
sommet de la tête et tout le dessus du corps, ainsi que les ailes, 
qui sont grandes et en forme de faucille, ia queue, qui est plus 
courte et fourchée , le col, la poitrine et le ventre d’un noir mat, 
chatoyant en brun , le menton et les côtés blanchätres; les jambes 
courtes et recouvertes jusqu’ aux tarses de plumes assez longes re- 
lativement aux autres; les quatre tarses érigés tout en ayant, Pin- 
iérieur un peu de côté, le troisième et quatrième un peu plus rap- 
prochés entre eux, que les autres, tous couleur de chair; les on- 
gles noirs, crochus et très pointus. 

L’extrèmité des ailes dépasse de près d’un ‘pouce celle de la 
queue. 

Longueur 7. pouces; envergure 1. pied, 4. pouces. Un vieux 
martinet pese une once , un jeune une once et demi. 

Nous n'avons trouvé aucune différence entre le mäle et la 
Les petits, tels qu’on voit un représente ici, different la 
première année des martinets plus agés par les caractères suivants. 

Le front blanc ainsi qu’une raie étroite au dessus des yeux; 
le reste du visage de la mème couleur, mais tirant sur le jaune; 
liris gris. Ce qui distingue encor les jeunes martinets, qui pour 
tout le reste ressemblent aux vieux, c’est que le bord des pennes 
postérieures des ailes est blanc, ainsi que le bord extérieur des ai- 
les; et que la queue est d’un noir moins foncé. 


AUFENTHALT. 


Sie ist in den vier Erdiheilen zu Hause. In Deutschland ist 
sie ein Zugvogel, der in Thüringen zwischen den 22. und 26. April, 
im Nürnbergischen wenn der Tag ı5. Stunden lang ist, ankommt, 
und in der Mitte des Augusts in Thüringen, spätestens den 22ten, 

‚im Nürnbergischen, wenn der Tag auf 15. Stunden sich wieder ver— 
kürzet hat, wegzieht. Sie wohnt in den Löchern: hoher 'Thürme, 

Stadtmauern, Kirchmauern, ungangbaren Steinbrüchen und ho- 


len Eichbäumen. . 
EIGENSCHAFTEN. 


Vermöge ihrer grofsen Flügel ist sie im Stande einen grofsen 
"Raum in Gesellschaft ihrer Artverwandten mit blizschneller Ge- 


schwindigkeit zu durchschneiden, bei welcher Gelegenheitsie denn 


auch ihr durchdringendes Geschrei: ih, ih, ih, ih, hören läfst. 
Sie liebt die Geselligkeit und brütet daher gern mit andern an ei- 
ner Mauer, oder 'Thurm, nur nicht in einem und demselben Lo- 
che. Niemals sieht man sie auf der-Erde, weil sie wegen ihrer 
kurzen Füfse und langen Flügel sich nicht mehr erheben kann, 
“Sie hängt sich daher, wenn sie ausruhen will, mit ihren spitzigen 
krummen Nägeln entweder an eine Mauer in senkrechter Rich- 
tung, wie die Spechte , oder schlüpft in ein Mauerloch. Sie kann 
sehr lange Hunger leiden. Wir hatten wenigstens’ eine in einem 
Käfig, die zehn Tage lang ohne die geringste Nahrung und Trank 
lebte. . Ihre 
NAHRUNG 

besteht aus kleinen Motten, Käfern , Mücken , Bremen!oder an- 
dern Insekten, die hoch in der Luft herum fliegen. Bei kalter 
Witterung verschwinden die Insekten aus der höhern Luftgegend,, 
es fehlt ihr dann an Nahrung, und man findet zu einer solchen 
Zeit, wenn die Kälte lange anhält, undsie sich nicht an Teichen 
mit Tagfliegen und Wasseriungfern nähren können, mehrere tod: 
auf der Erde liegen. 

FORTPFLANZUNG. 

Das Nest macht sie in Mauerlöcher aus trockenen Grashal- 
men, Fäden, Würzelchen, Federn und Haaren und klebt sie mit 
“einem aus dem Munde fliefsenden klebrigen Schleim zusammen. 
Es ist wie ein flaches Näpfchen geformt und nicht künstlich. Das. 
Weibchen läfst bei der Begatlung ein grofses Geschrei von sich hö- 
ven, und legt zwei, selten vier milchweilse, unmerklich grau ge- 


Sie brütet des Iahrs nur einmal. Ihren 


NUTZEN 


schränkte man: bisher blofs auf die Vertilgung der Insekten, 


sprengte Eier. 


ein, obgleich diese vielleicht uns nicht einmal schädlich sind. 

. Ungleich nüzlicher sind sie in Absicht auf unsern. Gaumen. 
Die flüggen lungen haben: ein sehr zartes, fettes und schmakhafies: 
Fleisch „ und geben daher eine angenehme Speise. In Nürnberg, 
wurden alle Jahre durch einige aus dem Bauamte dazu beordnete 
. Personen die Jungen, der an der Stadtmauer häufig, brütenden 
: Mauerschwalben aus dem Neste genommen, und auf die Tafel ei— 

* niger Herrn Senatoren geliefert. Einen ° 

SCHADEN 
wifsten wir von ihr nicht anzuführen. 
| FEINDE 


’ 


hat sie-an dem Wieseln und Ratten, die sich in ihr Nest. 
schleichen und ihre Brut rauben,. und an den: häufig, auf ihr woh- 


nenden Schwalbenläusen.. 


PATRIE. 


Cet oiseau est indigene dans toutesles parties du monde. 
Allemagne il est oiseau de passage. 


En 
Il arrive en ‘lhuringe entire 
le 22. et le 26. d'Avril, et dans le pays de Nuremberg lorsque la 
longueur des jours est de 25. heures. Il quitte la 'lhurimge vers 
le milieu du mois d’Aoüt, et pour le plus tard le 22.; et le pays de 
Nuremberg, lorsque la longueur des jours, qui diminuent est dé- 
rechef de 16. heures. Il habite les trous des tours élévées, les murs 
des villes et des églises, les carrières d’un acces difficile et les chè— 
nes creux. 


QUALITES. 


La grandeur des ailes de ces oiseaux les met à même de par- 
courir une espace considérable avec la rapidité de l'éclair. Us 
aiment à voler assemble etils font {entendre alors un cri percant, 
ih, ih, ih, ih. En général ils sont très sociable, aussi nichent- 
ils volontiers dans le voisinage les uns des autres, sur les tours et 
dans les murs, quoique jamais dans le même trou. On ne le voit 
jamais à terre, parcequ’ ils ne pourroient plus se rélever à cause 
de la petitesse de leurs jambes et de la longueur de leurs ailes. 
Aussi quand ils veulent se réposer , se süspendent-ils verticale- 
ment à peu près, comme les pics, aux saillies des murs, aux quels 
ils s’accrochent au: moyen de leurs ongles pointus et recourbes, ou 
bien ils se glissent dans quelque trou. . Us peuvent endurer très 
long tems la faim, du moins en avons nous yü un, qui étoit en ca- 
ge, réster dix jours sans manger, ni boire. 


NOURRITURE. 


Leur nourriture ordinaire c’est les diverses espèces d'insectes, 
qui volent dans l’air à une certaine hauteur, tels que les petites 
teignes, les scarabées „les mouches, les frélons etc. Si le tems se 
refroidit ces insectes abandonnent la haute région de Pair, les mar- 
tinets manquent ainsi de nourriture, et si le froid dure long tems, 
il n’est pas rare de les voir tomber mort d’inanition, à moins qu'ils 
ne trouvent aupres des étangs des mouches communes et des de 
moiselles, à quelles ils donnent la chasse. 


PROPAGATION. 


Ils font leurs nids dans les trous des murs et les construissent 
de fetus de Pherbe séche, de fils, de petites racines, de plumes, 
et de cheveux, qu’ils collent ensemble avec un suc visqueux, qui 
leur sort par la bouche. La structure de ces nids, qui ressem- 
blent à une écuelle platte est assez grossière. La femelle au mo- 
ment de Paccouplement fait entendre un cri assez fort, et pond 
pour l'ordinaire deux oeufs, plus rarement quatre qui sont blanc 
de lait avec un pointillé gris presque imperceptible. Elle ne pond 
qu'une fois par an, 


UTILITÉ. 


L’uiilité dont ces oïseaux sont pour nous se borne à la destru-- 
ction d’une quantité d'insectes, qui peut-être même ne sont pas 
nuisibles. Is rendent un bien plus grand service à notre palais. Les 
petits, lorsqu'ils commencent à voler; sont gras; tendres, et d’un goût 
fort délicat; aussi les recherche-t-on comme un mets friand. Autre 
fois à Nuremberg le département des bätimens faisoit dénicher tou- 
tes. les années par des personnes, nommées pour cela, les petits 
martinets, logés en grand nombre dans les murs de la ville, pour 
les faire passer sur la table de quelques uns des: senateurs; 

DOMMAGE. 

Ils n’en causent aucun, du moins que nous sachions. 
ENNEMIS. 

Leurs ennemis sont les belettes et les rats; qui se glissent dans 


leurs nid, pour s’emparer des leurs oeufs , ou de leurs petits. Ils 
sont aussi très sujels aux poux comme les autres hirondelles. 


IAGD UND FANG. 


Man schiefst sie am besten, wenn sie vor ihrer Höle an der 

‘ Mauer hängt. Junge und Alte fängt man im Neste. Man lehnt 
eine hohe Leiter an die Mauer, sleigt bis zum Neste und zieht 
sie mit einem anderthalb Ellen langen eisernen Haken aus dem- 


selben, 


ANMERKUNGEN. 


Nach Bechstein sind die Füfse mitwolligen Federn bedekt. 
(Wir fanden sie bei alten ausgemauserten Exemplaren nicht so. 
, Die Testikeln fanden wir bei einem Männchen nicht rund, 
wie bei mehrern andern Vögeln, sondern walzenförmig, 3. Linien 
lang und eine Linie dik. 


38 


_(5.pieds) de long. 


MANIÈRE DE LES TUER OU DES LE PRENDRE. 


Le moment le plus commode pour les tires au fusil, c’estlors- 
qu’ils se tiennent cramponnés aux murs à l’entrée du trou, qu’ils 
habitent. On les prend aussi au nid, tant jeunes, que vieux. Pour 
cela on monte à l’aide d’une grande échelle jusqu” à leur nid, et on 
les en tire au moyen d’un croc de fer, qui a une aune et demie, 


REMARQUES. 


Bechstein dit, que les pieds de ces oiseaux sont récouverts 
d'un duvet laineux; c’est ce que nous n’avons point trouvé chez 
des vieux martinets observés après la mue. Ayant examiné les te- 
sticules d’un mâle, nous les trouvâmes de forme cylindrique et 
non ronde comme les ont la plüpart des oiseaux. Ces testicules 


avoient 5. lignes de long et une d’épaisseur. 


DER ASCHGRAUE KUKUK. 


Gcmeiner Kukuk. Europäischer Kukuk. Guckgu. Guckaug. Gucker. 
Gauch. 

Cuculus canorus. Linn. syst. nat. pag. 168. n. 1. 

Cuculus canorus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. pag.}4og. nr. r. 
The European Cuckoo. 
Le coucou. Buffon. e 
Der Kukuk. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. Tab. 40. u. 41. 

(Ein iunger Kukuk..) 
Gemeiner Kukuk. Bechstein ornith. Taschenb. T. I.S, 83. n. 1. 


Penn. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Kor ‚ Hals und Rücken bläulich aschgrau ; Schwanz schwarz 
mit weißsen rundlichen und eckigen Flecken. | 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel etwas gebogen, am Grunde und im Winkel rost- 


gelb, vorn schwarz; Rachen orangegelb; Nasenlöcher rund, , ge- 


vandet und unbedekt; Augenstern und der nakte Augenrand rost- 


gelb; Kopf, Hals und Rücken bläulichgrau; obere Flügeldekfe- 
dern und Oberrücken dunkler ins Grünliche spielend; die erste 
Ordnung der Schwungfedern dunkelbraun, an der Spitze weils- 
lich,. auf der schmalen Fahne mit einem grünlichen. Schiller, auf 
der breiten mit weifsen eiförmigen hie und da rostfarbig gerande- 
ten Querflecken, die übrigen wie die Dekfedern, an der Spitze 
weifslich gerandet; Brust oben weifslich, mit vielen grauschwar- 

zen, wellenförmigen Querstreifen und einen: schwachen rostlarbi- 
gen Ueberzug; der übrige 'Theil der Brust und der Bauch weils; 
untere Dekfedern des Schwanzes weils, mit drei bis vier dunkel- 
braunen wellenf örmi gen Querstreifen; Schwanz keilförmig, schwarz, 
am Schafie und auf der breiten Fahne mit weifsen rundlichen und 
eckigen Flecken, Spitzen weils; Schenkel lang befiedert, weils, 
mit vielen schwarzbraunen wellenförmigen Querstreifen; Füfse 
und Nägel rostgelb; zwei Zehen stehen vorwärts, und zwei rük- 
wärts, von welchen die beiden äufsern viel länger sind als die in- 
nern; 

Die Flügel bedecken drei Viertheile des Schwanzes. 

Länge ı. Fufs 23 Zoll; Breite 2. Fufs. 

Das Weibchen soll nach Bechstein, auf dem Rücken dunkel- 
grau sein, mit schmutzigbraunen verwaschenen Flecken. 


LE COUCOU. 


Gemeiner Kukuk. Europäischer. Kukuk. Guckgu. 
Gauch. 
Cuculus canorus. 


Guekaug. Gucker. 

Linn. syst. nat. pag. 168. nr. 1. 

Cuculus canorus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. pag. 409. nr. 1. 

The European Cuekoo. Penn. 

Le coucou. Buflon. 

DerKukuk. Frisch Darstellung der Vögel in Deutschland. Tab. 40. et 41: 
(Un jeune coucou. ) 

Gemeiner Kukuk, Bechst, ornitholos. Taschenbuch. Th. I. p. 83, pr. 1. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


F:. tête, le col et le manteau cendré bleuätre, la queue noire 
avec des taches blanches, les unes presque rondes, les autres an- 


guleuses. 
DESCRIPTION. 

Le bec legerement arqué, jaune rouille à la base et aux ang- 
les et noir par devant; l’ouverture du bec orange; les narines ron- 
des, sans couvertures et avec un bord saillant;- l'iris ainsi que le 
bord de l’ocil, qui est à decouvert, jaune rouille; la tête, le col * 
et le manteau gris bleuâtre; les couvertures supérieures des ailes 
et le haut du dos d’un gris plus foncé, avec un chatoyement ver- 
dätre; les pennes des ailes du premier rang brun foncé „avec la 
pointe blanchätre et un chatoyement verdâire sur le côté elroit de 
la barbe, et garnies.sur le côté large de taches transversales blan- 
ches et de forme ovale quelque fois avec un liséré couleur de rou- 
ille; le haut de la poitrine blanchätre avec plusieurs raies trans 
+ersales onduleufes d’ün gris noirätre et lavdes d’une foible teinte 
de rouille; le reste de la peitrine et le ventre blancs; ainsi que les 
couvertures inférieures de la queue, qui de plus sont ornées de 
trois ou quatre raies “onduleuses, placées au travers et couleur 
brun foncé; la queue en forme de coin, de couleur noire avec 
des taches blanches, les unes presque rondes, les autres anguleuses 
à la hampe ét sur le côté large de la barbe des plumes; dont la 
pointe est blanche; les cuisses récouvertes de longues plumes blan- 
ches avec plusieurs raies transversales et onduleuses brun noir; les 
pieds et les ongles jaune de rouille. Deux des doigts se dirigent 
en avant et les deux autres en arrière; les deux extérieurs sont 
beaucoup plus longs que les intérieurs. x 

Les ailes recouvrent la queue jusqu’ aux trois quarts de sa lon-- 
gueur. ; 
Longeur 1. pied, 2. pouces et 4; envergure 2. pieds. 

La femelle suivant Bechstein a le manteau gris foncé avec des 
taches assez obscures d’un brun sale, 


! 


“th 20 p QU AUFENTHALT. 


Er lebt in Europa und Asien, In Deutschland ist er ein Zug- 


vogel, der mit andern seiner Artverwandten im April — im Nürn- 
bergischen 1804. den 15. April, im Thüringen zu Ende des Aprils — 
ankommt, im Sept. aber wieder wegzieht. Er wohnt gern in Wäl- 
dern, vorzüglich in Nadelhölzern in deren Nähe Wiesen liegen, 


EIGENSCHAFTEN. - 


Er ist ein unruhiger und scheuer Vogel, den man, wem er 
auf einem Baum sizt , selten zu Gesicht bekommt, weil er sich 
tef in das Laub verstekt. Der Alte zeigt sich in der Gefangen- 
schaft als ein wilder Vogel, der lieber stirbt, als dafs er sich an 
eine andere Lebensart gewöhnen läfst. Die Jungen lassen sich cher 
zähmen, wenn man sie anfangs mit allerhand Raupen und Schmet- 


terlingen füttertund nach und nach an Brod mit Milch und Fleisch 


gewöhnt. 

An einem Alten, den wir einige Tage lebendig im Käfig hat- 
ten, bemerkten wir, dafs sein Gang hüpfend war, und seine Flü- 
gel beim Sitzen beständig herab hingen. 


Er hat einen niedrigen , kurzen und unterbrochenen Flug. 
Seine Stimme sind die bekannten Töne: kukuk , zwischen wel- 
chen er noch einige andere heischere, krächzende, nur in der Nähe 
hörbare, 'Föne hören läfst, und wobei er immer den Schwanz in 
die Höhe hebt. Bei der Begattung ist das Männchen aufserordent- 
lich. hitzig. Um diese Zeit schreit es auch nicht wie gewöhnlich 
sein langsames Kukuk, sondern sehr geschwind hintereinander: 
kukuker, kukuker. 
zu schreien, Das Weibchen krächzt nur, und schreit niemals ku- 
kuk. 


Eine merkwürdige Eigenschaft des Kukuks ist, dafs er seine 
Vier nicht selbst ausbrütet, sondern sie in die Nester anderer und 
noch dazu kleinerer Vögel als er ist, legt. Den Grund hiezu glau- 


ben die Naturforscher, theils im seiner Nahrung, die die Natur 


Ist die Begatiungszeit vorbei, so hört es auf 


diesem gefräfsigen Vogel in so kleinen Bissen darreicht, theils da- 
xin zu finden, dafs die in dem Leibe der Mutter befindlichen Eier 
ihre Vollkommenheit nicht schnell genug hinter einander errei- 


ehen. Seine 


NAHRUNG 


besteht in kleinen Insckten, z. B. Käfern, Haften, Schnaken, 
and einer gewissen purpurrothen Raupe, die er im August von 
den Baumstämmen abliest und weswegen man ihn auch wie die 
Spechte an den Bäumen hängen sieht. Bei Regenwetter fliegt er 
gerne in die an seinen Standort gränzenden Gärten und lieset die 
Raupen von den Bäumen. Der obige Kukuk, den wir im Käfig 
hatten, frafs Regen- und Mehlwürmer. In dem Magen eines iun- 
gen Kukuks, der von einer Bachstelze aufgezogen wurde , fand 
man Grashüpfer , kleine unversehrte Schnecken, Raupen, Gänse- 
grassamen ete.; in dem Magen eines añdern von eiñer Grasmücke 
erzogenen, Weizen, kleine Wicken und andere Pflanzentheile; in 
dem Magen eines dritten, der eine Heidelerche zur Pflegmutter 


hatte, vorzüglich Grashüpfer. 
FORTPFLANZUNG. 


Seine Eier legt das Weibchen, wie gesagt, in die Nester an- 
derer Vögel und diese sind das Rothkehlchen (S. rubecula), der 
Weidenzeisig (Sylvia Trochilus), Zaunkönig (S. troglodytes), die 


PATRIE. 


U habite P’Enrope et l'Asie. Il est oiseau de passage en Al- 
lemagne. Il arrive en Franconie avec les autres oisenux de son 
espèce au mois d'Avril (en 1804. il est arrivé dans le pays de Nu- 
remberg le 15. d'Avril) et en T'huringe sur la fin du même mois. 
Il repart au mois do Septembre. Il se tient volontiers dans les 
forêts surtout dans celles de sapin, qui ont des prairies dans leur 
voisinage. | 


QUALITES. 


Cet oïseau est d'un caractère inquiet ef sauvage; aussi quand 
il est posé sur un arbre, il.est très difficile de l’appercevoir, par- ' 
cequ’il se tiént cache dans Pepaisseur du feuillage. Dans Pétat de 
captivité le coucou, qui n'est plus jeune est si indocile et si’fa- 
rouche, qu'il se laisse plutôt mourir, que de s’accoutumer à un 
autre genre de vie. Jeune on peut l’apprivoïser, si l’on a soin dans 
les commencements de le nourrir de chenille et de papillons de toute 
espèce, aux quels on substitue peu à peu le pain, le lait et la viande. 

Nous ayons remarqué, qu'un vieux coucou, que nous avons eu 
pendant quelquesjours en cage marchoit en sautillant, et qu’étant en 
repos ilne manquoit jamais de laisser pendre negligemment ses ailes. 

Le vol de cet oiseau est bas, court etinterrompu. Rien de 
plus connu, que son cri, cou cou, cou cou, mais entre ces 
tons il en fait aussi entendre d’autres, si du'moins on est assez près 
de lui, pour les distinguer, qui ont quelque chose de précipité et 
de guttural , et pendant lesquels il tient toujours la queue en air, 
Dans!l’acte de l’accouplement le mâle temoigne beaucoup d’ardeur. 
A cet époque là il ne fait point entendre comme à l’ordinaire son lent 
et mélancolique cou cou, mais il le change en tons, qui se suc- 
cedent avec rapidité, et qui peuvent se rendre par cow c oukre, 
cou coukre. Le tems de ses amours passé, il ne chante plus. 
La femelle n’a qu'un cri guttural et ne fait jamais entendre le cou 
cou, si connu du mâle. 

Un trait particulier dans les moeurs de cet oiseau c’est, qu’il 
ne couve jamais lui-même;ses oeufs , mais qu'ils les pond, dans ler, 
nid d’autres oiseaux plus pelits, que lui; ce:que le naturalistes 
croient expliquer d’un eôté, en disant; que la Nature ne donnant 
à cet oiseau vorace sa nourriture, qu’en très petites doses, il n’a 
pas le tems de couver, n'étant occupé, qu’ à assoucir sa faim; de 
l’autre, en supposant, que les oeufs, qui se trouvent dans le ven- 
tre de la mère, n’y acquerrent point asséz vite, l’un après l’autre le 
degré de maturité necessaire, pour que la mère puisse les Couver, 


NOURRITURE. 


Diverses espèces de pelits insectes, tels que des.scarabées, des 
ephémères, des cousins, etc, lui servent de nourriture. Il est aussi, 
très friand d’une certaine chenille pourpre, qu’ il va chercher au 
mois d’Aoüt sur les troncs des arbres où elle se tient collée et à la 
quelle ils donnent aussi la chasse en grimpant le long des troncs, 
comme les pics. En tems de pluie il se rend volontiers dans jardins 
voisins de son gite, pour écheniller les arbres. Le coucou, que nous 
avons tenu en cage, comme nous l’avons dit plus haut, mangeoit 
les vers de terre, ainsi que ceux, qui vivent dans la farine. On 
a trouvé dans l’estomac d’un jeune coucou, qui avoit été élévé par 
une lavandière des sauterelles, de petits escargots encore entiers, 
des chenilles , et des graines de paquerette; dans celui d’un autre 
coucou, qui avoit pour mère nourriciere une fauvette, des grains 
de froment, des fragmens d’autres substances végétales, etc. enfin 
dans celui d'un troisieme oiseau de cette espèce, qui avoit été couvé 
par une alouette de pré, on n’a gueres trouvé que des sauterelles, 


PROPAGATION. 


La femelle du coucou, comme nous l’avons deja dit, pond 
ses oeufs dans le nid d’autres oiseaux, qui sont le rouge -gorge 


L Sylvia rubecula), le pouillot (Sylvia Trochilus) , le troglodyte 


Feldlerche (A.arvensis), der Mönch (S. atricapilla), die ge- 
schwätzige Grasmücke (S. Curruca) , die Bastardnachtigall (S. 
hippolais), die weifse und gelbe’ Bachstelze ( M. alba et flava ), 
das Goldhähnchen (S. Regulus }, der Baumläufer ( Certhia fami- 
laris). 

Die Mutter streift nach der Begattung herum und beobachtet 
diese Vögel, wenn sie mit dem Bau ihres Nestes beschäftigt sind. 


Ist nun in dem Leibe des Kukuksweibchen ein Eireif, und 
dies ist im Anfang des Iunius, so trift das Loos Stiefmutter zu wer- 
den, dieienige von obigen Vögeln, welche so eben jhr leztes Ei 
gelegt hat. In dieses Nest legt das Weibchen, wenn das Nest auf 
der Erde ist, ein sehmutzig weifses , an der obern Hälfte braun 
und braungrau geflektes Ei. Karn sich das Kukuksweibchen nicht 
wehl auf das fremde Nest setzen, so legt es das Ei auf dieErde, 
fafst es mit deñ Schnabel und schiebt es in das fremde Nest. Bis 
zur Mitte des Julius iegt sie fast alle acht Tage ein Ei und allemal 
in ein besonderes Nest. Ist sie damit fertig, so bekümmert sie 
sich um ihre Nachkommenschaft auch im geringsten nicht mehr. 
Die Pilegältern sind desto zärtlicher und sorgsamer gegensie. Das 
Zaunkönigsweibchen. bezeigt bei der Ankunft des Kukuks eine 
grofse Freude, hüpft vom Neste herab, um denselben herum und 
lokt durch seine freudigen Töne auch das Männchen herbei, das 
nun ebenfalls über seinen Gast erfreuet ist, Die kleinen Eier 
werden (nach Bechstein) von der Zaunkönigsmutter ete: oder 
von dem alten Kukuk (nach Goeze von dem iungen Kukuk) aus 
dem Neste geworfen, damit das Kukuksei desto mehr Plaz be- 
kommt. Bleiben bei gröfsern Vögeln noëh einige von ihren ei- 
genen Eiern im Neste, so bringen sie sie doch nicht auf, denn der 
gefräfsige Stiefbruder ist allemal zuerst bei der Hand, wenn die 
Pflegmutter Speise bringt. Zu bewundern ist die mütterliche Treue 
des Zaunkönigs! Er selbst nährt sich nur von kleinen Schnaken, 
Mücken und Räupchen, und bringt natürlich diese auch seinem 
Stiefkinde. Wie oft mufs er also Futter holen um den Heifshun- 
ger des leztern zu befriedigen! Der iunge Kukuk wächst indefs zur 
Freude seiner Pflegältern immer mehr heran und erweitert nach 
und nach das Nest, damit er desto bequemer herausfliegen kann, 
Iezt verläfst er das Nest, sezt sich auf einen benachbarten Ast, 
dehnt sich aus, zieht die Federn durch den Schnabel und läfst 
seine schnarrende Stimme: girrke, girrke, zum erstenmal hören. 
Sogleich kommen alle kleine Vögel aus der Nachbarschaft, der 
Weidenzeisig,die Braunelle, das Rothkehlchen etc. zusammen, be- 
sehen und begrüfsen ihn gleichfam und tragen mit dem gröfsten 
Eifer Nahrung für ihn herbei. Fast kann er den Schnabel nicht 
oft genug öffnen. Ziehter weiter, so zieht ihm der Haufe nach 


und versorgt ihn so lange, bis er selbst seinen Unterhalt sich ver- 


schaffen kann. 
Der iunge Kukuk, den wir am 29. September 1801. erhiel- 
ten, war 1. Fufs 13 Zoll lang und 1 Fufs 10 Zoll breit. 


Hier ist dessen Beschreibung. 
Füfse und Nägel rostgelb; Schnabel am Winkel gelb, oben 


schwarz, unten weifslich ; Stern gelblichbraun; Augenlieder gelb; 


Kopf und Hals schwarzbraun, weifs gerandet; Brust, Bauch und 
untere Dekfedern des Schwanzes weils mit schwarzbraunen Quer- 


bändern; auf dem Rücken graubraun , alle Federn weils geran- 

det‘, die grôfsten Dekfedern der Flügel überdies kupferroth ge- 
5 

sprengt; Schwungfedern schwärzlich mit kupferrothen Flecken, 


die auf der breiten-Fahne halb weifs sind; der Unterrücken 


40 


(S. Troglodytes), l’alouctte de champ (Alauda arvensis), la fau- 
vette à tete noire (Sylvia atricapilla), la fauvette babillarde (S. eur- 
ruca), le rossignol bâtard (S. hippolais), la lavandière blanche et 
la jaune (Motacilla alba et flava), le roitelet (Sylvia Regulus), et 
le grimpereau (Certhia familiaris). 


Apres Paccouplement la femelle va faire sa ronde et observer 
ceux de ces oiseaux, qui sont occupés à construire leur nid. Dés- 
que lun des ocufs, qu’elle a dans le corps est pret à être pond, et 
c’est pour ordinaire au commencement.de Juin, elle choisit parmi 
ces oiseaux pour la remplacer dans les fonctions de mère, la fe- 
melle, qui vient de pondre son dernier oeuf. Si le nid est sur.la 
terre, elley pond un oeuf d’un blanc sale et marque du cöte de 
la pointe de petites taches brunes et gris-brun. Si le nid est placé 
de manière qu’elle ne puisse pas se mettre dessus, elle pond son 
oeuf sur la terre, puis le saisissant avec le bec elle le pousse ou 
le porte dans le nid étranger: Tous les huit jours jusqu’ au mi- 
lieu de Iuillet elle pond un oeuf, et töujours dans un nid different, 
Cette époque passée et le tems de la ponde fini pour elle, elle ne 
songe du tout plus à ses petits En revanche les parens nourri- 
ciers leurs prodiguent toute la tendresse et les soins imaginables. 
La femelle du roitelet surtout témoigne la plus grande joie à Par- 
rivée du coucou, elle sort de son nid, sautille autour du nouveau 
venu et par destons pleins d’allegresse appelle son mâle, qui n’est 
pas moins charmé qu’elle de l'arrivée de cet hôte inattendu. Si 
lon en croit Bechstein ; c’est la femelle même du roitelet où 
bien le vieux coucou, qui jette hors du nid les petits oeufs, qui 
s’y trouvent pour faire place à celui du coucou. Suivant Goe- 
ze c’est le jeune coucou, qui fait cette opération. Quand à la 
mère nourriciere, lors même qu'il lui est resté quelques uns de ses 
propres oeufs ; ce qui arrive quelque fois chez les espèces majeu- 
res, elle ne sauroit cependant les éléver. Le frère adoptif de ces 
pauvres malheureux est si vorace, qu’il s'empare à lui seul de toute 
la nourriture, qu’ apporte la mère. On ne peut surtout assez ad= 
mirer la tendresse et les soins fideles du roitelet pour le jeune 
etranger. , Cet oiseau, comme l’on sait, ne vit, que de très petites 
insectes, telles que des cousins , des moucherons etc. ou de petites 
chenilles et c’est aussi la nourriture, qu’il apporte à son nourris- 
son. Mais combien de fois dans un jour n’est-il pas oblige d’aller 
ala provision pour appaiser la faim deyorante du jeune coucou! 
Celui-ci cependant croît de jour en jour-ä la grande satisfaction de 
ses parens nourriciers, et élargit peu à peu son nid, afin d’en 
sortir plus commodément. Le moment de le quitter arrive , il en 
sort et va se poser sur la branche la plus voisine, Laä il s’étend, 
deploie ses ailes, passe ses plumes au travers de son bec pour les 
lustrer, et fait entendre pour la première fois son cri bourdonnant, 
girrke, girrke. Aussitôt viennent tous les petits oiseaux du 
voisinage, le ruillot,le trame-buisson, le rouge- gorge etc. et se ras- 
semblant autour de lui, le régardent de tous ‘côtés, Padmirent, le 
saluent, et s’empressent à lui apporter de la nourriture. Il a à peine 
le tems d’avaler tout ce qu’on lui présente. Par tout où il va la 
trouppe l'accompagne et pourvoit à ses besoins jusqu’ à ce qu'il soit 
en état de se procurer lui-même sa nourriture. 

Un jeune coucou, qu’on nous apporta le 2g. de Septembre en 
1801. avoit 1. pied 1. pouce et +. de longueur, et 1. pied, to. pou- 
ces d'envergure. En voici la description. j à 

Les pieds et les ongles jaune de rouille; le bec jaune à l'angle, 
noir en dessus et jaunâtre en dessous; l'iris de l’oeil brun-jaunätre; 
les paupières jaunes; la tête et le col brun-noir avec un liséré blanc; 
la poitrine, le ventre et les couvertures inférieures de la queue 
blanches avec des bandes transversales brun-noir; le dos brun- 
gris ; toutes les plumes lisérées en blanc; les plus grandes plumes 
des couvertures des ailes picotées ; en outre de points d’un rouge 
cuivreux; les pennes des ailes noirätres avec des taches aussi rou-: 
ges de cuivre; mais à moitié blanches sur le côté large dela barbe. 


hatte an einigen Stellen schon die Federn des aus- 
gemauserten alten Kukuks; Schwanz schwärzlich, ins Grü- 
ne spielend und mit vielen weilsen Flecken versehen, die am 
Schaft paarweise herunter laufen; die breite Fahne am Randehalb 
weifse, halb kupferrothe Flecken; Schwanzspitze weiß. 


à NUTZEN 
stiftet er durch seine Nahrung, 
SCHADEN 
so vielman weifs, gar nicht, 
FEINDE 
hat er an den gewöhnlichen Vogelläusen und an der Vogel- 


lausfliege. 


IAGD UND FANG. 


Er ist schwer und fast nur zur Paarungszeit, zu schielsen , 


wenn man seinen Ruf nachahmt. 


DIE BISAMENTE. 


Kairische Ente. Libysche Ente. Türkische Ente (im Nürnbergifchen. ) 
Anas moschata. Linn. syst. nat. pag. 199. nr. 16% 

Anas moschata. Gmel. Linn, syst, nat. Tom. I. P. II. pag. 515. nr. 16, 
The indian Duck. Latham. 

Le canard musqué. Bu. 

Türkische Ente, Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 180. 


Die Bisamente, Bechstein gem. Naturgeschichte Deutschl. B. 2. S. 636. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Gesicht nackend mit Warzen; vom Seheitel bis zum Hinterhals 
ein Schopf. | 


BESCHREIBUNG. 


Oberschnabel hinten schwärzlich, vorne röthlich, Nagel grau; 
Nasenlöcher eirund; an der Schnabelwurzel eine vorwärts stc- 
hende schwarzbraune, oben rothe Warze; Unterschnabel schwarz- 
braun ; Gesicht nackend, voll Warzen oder auch glatt; Augen- 
stern hellbraun ; Scheitel schwarz und stahlblau oder grün glän- 
zend, nach hinten mit einem schwarz und weils geschäkten Schopf; 
Hals und Vordertheil der Brust schwarz oder weils geschäkt; der 
übrige Theil, Bauch und untere Dekiedern des Schwanzes schwarz- 
braun, grünglänzend und hie und da weifs geflekt; Rücken und 
Flügeldekfedern goldgrün mit einem dunkel violetschillernden 
Rande; die langen Dekfedern weißs; Schwungfedern schwarz- 
braun, etwas ins Grüneschillernd; Schwanz goldgrün; Fülse grau- 
braun. 

“Die Flügelspitzen reichen bis an die Schwanzwurzel, 

Männchen: Länge 2 Fuf 8 Zoll; Breite 5 Fufs 8Zoll. * 

Weibchen: Länge 2 Fuls 17 Zoll; Breite 5 Fuf 5 Zoll. 


Die Weibchen sind viel kleiner und in ihren Farben abwech- 
selnd. Wir besitzen zwei, von welchen das eine abgebildete fol- 


gende Zeichnung hat: 


+ 


41 


" 


es 


Le bas du dos offroit deja dans quelques endroits des plumes de 
la couleur de celles d’un vieux coucou, qui a mué. La queue noi- 

A . Q 
râtre avec un chatoyement vert et plusieurs taches blanches, qui 
déscendoient deux à deux le long de la hampe des plumes; le côté 
large de la barbe orné de taches miparties de blanc et de rouge 
cuivreux; la pointe de la queue blanche. 


UTILITÉ. 

Le coucou détruit une quantité d'insectes, dont il se nourrit, 
DOMMAGE, 

Tl ne cause aucun dommage, au moins que l’on sache. 
ENNEMIS. 


I est sujet aux poux, comme les autres oiseaux; il est aussi 
attaqué par l'espèce de mouche, que les Allemands appellent: V o- 


> 


gellausfliege. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Il est difficile à tirer, et ce n’est gueres, que dans le tems de 
ses amours et en imitant son cri d'appel, qu’on peut en approcher 
assez pour le tuer. 


+ 


LE CANARD MUSQUÉ. 


Kairische Ente. Libysche Ente. Türkische Ente , ( dans le pays de Nu: 
rembers. } 

Anas moschata, Linn. syst. nat. p. 199. n. 16. 

Anas moschata. Gmel. Linn. syst. nat. Tom, I. P. I. p. 515. nr. 16. 

The indian Duck. Latham. 

Le canard musqué. Buffon. 

Türkische Ente. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl, Tab. 180. 


Die Bisamente, Bechstein gem, Naturgeschichte Deutschl. B, 2. S, 636. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Le visage sans plumes couvert de tubercules; une huppe, qui va 
du sommet de la tête jusques sur le derrière du col. 


DESCRIPTION. 


La mandibule supérieure du bec noirätre à sa base et rou- 
geätre vers la pointe; le chrochet gris; les narines ovales; à la 
base du bec un tubercule préeminent brun-noir; rouge vers le 
haut; la mandibule inférieure brun-noir ; le visage denué de plu- 
mes, couvert de tubercules, quelque fois aussi tout uni; l’iris de 
Poeil brun-clair; le sommet de la tête noir avec un lustre bleu 
d’acier ou vert, ayant sur le derrière une huppe bariolée de noir 
et de blanc; le col et le devant de la poitrine ont la même bigar- 
rure; le reste de la poitrine, le ventre et les couvertures inferieu- 
res de la queue brun-noir avec un lustre vert et par-ci par-la 
quelques taches blanches; tout le manteau et les couvertures des 
ailes vert-doré avec un chatoyement violet foncé sur le bord; les 
plus longues plumes des couvertures blanches, les pennes des ai- 
les brun-noir avec un foible chatoyement vert; la queue yert-doré; 
les pieds gris-brun. 

La pointe des ailes va jusqu’ à l’origine de la queue. 

Longueur du mâle; 2. pieds, 8. pouces; envergure, 5. pieds, 
8. pouces. 

Longueur de la femelle; 2. pieds, 1: pouce et demi; enver- 
gure, 5. pieds, 5. pouces. 

Les femelles sont plus petites et varient beaucoup pour les 
couleurs. Nous en possedons deux, dont l’une se trouve repre- 
sentée ici. En voici la description. 


Schnabel rosenröthlich, am Grunde und in der Mitte mit ei- 
nem schwärzlichen Bande; Gesicht hellroth, nakt und warzig; 
Kopf, Hals und Brust weils; auf dem Scheitel ein breiter, schwar- 
zer Streifen; Oberhals schwarz und weifsbunt; Rücken grün und 
goldglänzend; Flügel weils; Schwanz wie der Rücken, die zwei 


äufsern Federn weils; Füfse hell braunroth. 


AUFENTHALT. 


Ihre eigentliche Heimath ist Brasilien, von woher sie nach: 


Europa versezt und völlig einheimisch gemacht worden ist, 


BIGENSCHAFTEN. 


a 


Sie hat eine träge,. mürrische und boshafie Gemüthsart und 


beifst gern andere vom Futter weg. Ihr Gang ist sehr schwerfäl- 
lig wankend; ihr Flug kreisförmig. Die Federn und das Fleisch 
haben einen bisamartigen Geruch.. Das Männchen von dem Päär- 
beobachteten, 


Zuwe 


das leztere zu fiessen ne Le 


chen, welches wir bewiefs immer eine grofse Liebe 


zu seinem W eibchen.. nn frafs ersteres nicht elier, als bis 
ia das Männchen fafste das Weib- 
ehen mit dem Schnabel bei den Halsfedern und wollte es zu dem 
Frefsgeschirr ziehen. Einmal badeten sich beide in einem Zuber. 
Das Weibchen, dem es, als das Männchen hinein stieg, im Bade 
zu enge war, wollte einigemalheraus, das Mäntichen pakte es aber 
allemal sanft beim Halse und nikte ihm zu 
bleiben sollte. 


dafs es im Wasser 
Es blieb nun auch wirklich. so lange darin, bis das- 
Männchen heraus stieg. \Venn sie zornig wird, so schwillt die 
warzige Gesichtshaut auf , wie beim Puterhuhn: Das Athemho- 
len war beim Männchen so stark, dafs man es 8. Schritte weit hö- 
ren konnte. Wenn man es beunruhigte, so gab es durch den 
Mund ein. starkes Hauchen von sich und nikte öfters auf das \V eib- 
chen mit dem Kopfe und Halse zu, welches wahrscheinlich. ein. 


Ausdruk. der Freude war. Vom Männchen: hörte. man nie einen 


andern Laut, als das erst benannte Hauchen. Das \YYeibchen 
gab nur in der Angst einen Laut von sich, der aber bei weitem 
nicht die Stärke des Geschreies zahmer Enten hatte, noch ihm 
glich, sondern ein helles Kollern: war, das einigermassen dem Laut 
Wenn 
es geiagt wurde, so bliefs es das Kinn wechselsweise wie ein Laub - 
Beide Geschlechter hoben die Haube in die Höhe, 


Auch badeten sie sich alle T'age, so 


eines aus einem Selterkrug laufenden Wassers ähnelte. 


Frosch auf. 
wenn man: sie beunruhigte. 
“gar wenn das Wasser mit einer dünnen. Eisrinde überzogen war. 
Alit den andern Enten im Hofe hatten sie keinen Umgang, bissen 
vielmehr nach denselben uud blieben gewöhnlich in einer Ecke 


allein sitzen,. Bäelierlich ist die grofse Unbehültlichkeit und Träg- 


heit des Männchens, wenn es sich mit dem. Weibchen: begatten 


will ‚Das Männchen soll nach Bechstein ausserordentlieh hitzig 


sein, und alles Federvieh , sogar Gänse angehen und sie treten. 


Diesen. hefligen Trieb bemerkte man bei dem erwähnten Päärchen. 


nicht, Den Schwanz bewegten beide Geschlechter wagrecht. Ihre 
NAHRUNG 

ist eben so wie die der gemeinen Ente. 

sie mit Waizenkleie die elwas mit Wasser angefeuchtet und mit 

Gerste oder aufgesehwelltem Hafer, Brodkrummenm etc. vermischt 


wird. Schlamm aus Weihern, der ihnen vermuthlich zum Ab- 


dauen dient, verschlucke sie auch gerne. Die Iungen. heben das- 


Samenkraut ( eu ee) sehr. 
FORTPFLANZUNG. 
Etwa. in der Hälfte des N das VW eibchenseine schmu- 
tzigweißsen und grünlich überlaufenen Eier, auf ein: aus Stroh. be- 


Im: Hofe futtert man. 


Le bec rose avec une bande noire à la base et au milieu; le 
visage rouge-clair sans plumes avec des tubercules; la tête, le col 
et la poitrine blanches; au sommet de la tête, une large raie noire; 
le haut du col bigarré de blanc; le manteau vert avec un lustre 
doré; les ailes blanches; la queue dela couleur du manteau; les 
deux plumes extérieures blanches; les pieds rouge-brun clair. 


PATRIE. 


La patrie de cet oiseau est la Brésil. C’est de la, qu'il a 
passé en Europe où il est maintenant indigéne. 


QUALITES. UE 


U est d’un caractère paresseux, acariätre et Char, il org 
et chasse ses compagnons, qui veulent partager sa nourriture, Sa 
démarche est lourde et vacillante; son: vol se dirige en cercle, Ses 
plumes et sa chair ont une odeur de muse. Voici les observa- 
tions, que nous avons faitsur une paire de ges canards. Le mâle 
iémoignoit toujours la plus grande tendresse pour sa femelle. Pour 
Vordinaire il necommencgoit à manger qu'après elle. Souvent même 
il la saisissoit au eol avec le bec, comme pour la trainer vers la 
mangeoire. Un jour qu'ils se baignoient ensemble dans une pe- 
tite auge‘, la femelle, qui s’y trouyoit trop à Petroit depuis que le 
mâle y éloitentré, se mit deux ou trois fois en devoir d’en sortir ; 
mais eelui-ei en la retirant toujours doucement par le’colet hochant 
la tete lui faissoit, assez comprendre, qu’elle devoit rester avec lui 
au bain. lle y resta en effet jusqu’ à ee que le mâle en fut sorti. 
Quand. on fiche ces oiseaux, la peau couverte de tubercules de 
leur visage se gonfle comme chez les coqs- d’Inde. — Le mâle rez 
spiroit avec tant de force, qu’on pouvoit l'entendre à huit pas de 
distance. Lorsqu'on l’inquiétoit, il respiroit fortement et avec 
bruit et faisoit à diverses. reprises des mouyemens de la tête et dx 
col du côté de la femelle, ce qui étoit sans doute un signe de joie, 
Le mâle ne faisoit entendre d'autre son, que le bruit de sa respi— 
ration. Quant à la femelle, le seul son, aw’elle rendit et cela: seu 
lement quand elle étoit effrayée ne ressembloit point au cri du ca 
nard domestique; il étoit plus foibleetimitoit assez le glouglou d’une: 
bouteille ou de cruche d’eauminerale, que l’on vuide. Quand on la 
poursuivoitson menton se gonfloit alternativement àpeu près comme 


‚ fontles grenouilles d'arbres. Le mâle et la femelle dressoient égale 


‘qui leur aide sans doute à faire la digestion. 


ment leur huppe, quand on les inquictoit. Ils se baignoient tous. 
les jours etlors même que l’eau étoit couverte d’une légère croute: 
de glace. Ils ne vivoient point en societé avec les autres canards: 
de la basse cour; au contraire ils les éloïgnoïent à coups de bec 
et se tenoient pour l'ordinaire tout seuls dans un coin. Rien de 
plus comique et de plus gauche, que la manière dont sy prend 
le mâle, pour jouir de-sa femelle. 


du chaleur, 


Bechstein assure, qu’il a tant 
qu’il se jette indistinctement sur tous les oiseaux de 
la basse-cour etmême sur les oies pour satisfaire sa passion. Quant 
à nous, nous n’ayons point remarqué cette fougue de tempérement 
chez notre mâle, Du reste, le mâle et la femelle ayoient coufumes 


de remuer la queve dans une direction verticale. 
NOURRITURE. 


Leur nourriture est la même que celle des canards, On les 

nourrit dans la basse-cour avec du son de froment légèrement hu- 

mecté et mêlé avec de l’orge, de l’ayoine gonflé dans l’eau et de la 
\ . r 

Is se gorgent volontiers de la boue des étangs, 

Les- petits aiment 

beaucoup toutes les ÉAROCSS d’epi- d’eau. (Potamogeton). 


mie de pain. 


PROPAGATION, 


C’est environ vers le milieu du mois d'Avril, que la femelle 
pond ses oeufs, qui sont d’un blanc sale, lavé d’une teinte verdätre. 
Elle fait son nid avec de la paille, mais suivant Bechstein elle le 


garnit en dedans de petites plumes soyeuses, qu’elle arrache de 


reitetes Nest, das es — nach Bechstein — auch mit Flaumfedern, 
die es sich aus dem’ Leibe rupft, ausfüttert. 
Eier gelegt hat, so fängt es an zu brüten. Die Brütezeit dauert 
fünf Wochen lang- Obiges Weibchen machte sich kein besonde- 
res Nest, sondern legte. die Eier auf die blofse Streu hin. Es fing 
mit dem Legen am 28. April an und legte bis zum 29. August 30. 
Eier. 


sezte es wieder aus bis zum 15. Iul. ‘Von diesem Tage an bis zum 


Den 16. fun. sezte es aus, den 17. legte’ es wieder, den 18. 


29. Aug. hörte es abermal auf zu legen , dann legte es das lezte. 
Will man Junge ziehen, so thut man am besten, wenn man as 
brütende Weibchen von dem- Männchen absondert und in einem 
‚Stall brüten läfst, oder die Eier einer "Truthenne unterlegt. 


NUTZEN. 


Man geniefst ihr Fleisch und ihre Eier. Nur soll man, nach 
: Goeze, ihr vor der Zubereitung dem Kopf abschneiden, weil im 
entgegen gesezten Fall das Fleisch einen bisamartigen Geruch er- 
hät. Die Eier schmecken weichgesotten auf der Zunge streng 


und trocken; unter andern Speisen aber sind sie wegen ihrer Grös- 


se vorlheilhaft. Einen 
SCHADEN 
_wüfsten wir von ihr nicht anzuführen, 
| FEINDE 


hat sie an einer Art von Laus, (Pediculus moschatae) woran 


“die Iungen sterben, wenn iene überhand nimmt. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


ı. Anas moschata cinnamomea. Nobis. Sie ist kleiner. , 
2. Anas moschata varia. Nobis. Entweder a) mit bedekten, 
ficht warzigen Gesicht, bräunlichem Schnabel, grün goldglänzen- 
dem Rücken, schwarzbraunem Unterleibe, Flügeln und Schwanze 
und nufsbraunen Füfsen ; oder b)mit grauröthlichem; oder c) mit 
- gelb und weifs geschäktem Leibe. . 
5. Anas moschata alba. Nobis. Ganz weils mit blauen Au- 
genstern. 


ANMERKUNGEN. 


Bei dem oben genannten Weibchen bemerkte man, dafs die 
ersten Eier, welche es legte, eine grünere Farbe hatten, als die 
leztern, der Dotter weniger gelb, und die Haut unter der Schale 
weit slärker war, als bei Hünereiern. Die Testikeln beim Männ- 
chen waren über 6. Linien lang und 53 Linien dik im Durchschnitt, 
hell röthlichbraun und auf der obern Seite mit feinen Aederchen 
überzogen. Ungefähr 8. Stunden vor seinem Tode, bekam das 
Männchen Brod zu fressen. Als der Schlund und Magen unter- 
sucht wurde, fand man nur sehr wenig Brodbrei in dem leztern , 
destomehr aber in dem erstern, welcher als ein walzenförmiger 
Sak am Halse herab hing. Der Magen ist nicht weit. Es scheint 
also, dafs eine Art von Vordauung in dem Schlunde schon vor 


sich geht. 


Wenn es 12: bis 15: 


[ 


Lors qu’elle a pondu de 12. à 15. oeufs, elle 

Le couvement dure cinq semaines. — Notre 
femelle pondit trente oeufs depuis le 28. d’Avril, jusqu’ 29. d’Août. 
Le 16. de Iuin elle discontinua de pondre, le 17. elle recommenga, 


son propre corps. 
commence à couver. 


le 18. elle cessa de nouveau, jusqu au 15. de luillet. Depuis ce 
jour elle ne fit plus d’oeufs jusqu’ au 29. d’Aoüt, quelle pondit pour 
la derniere fois. Si l’on veut eiever les petts, il faut avoir soin 
de tenir la femelle separée du mâle et enfermée dans une étable 
aussi longtems, qu’elle couve, où bien de faire couver ses oeufs 


par une dinde, 


UTILITÉ. 


On mange la chair et les oeufs des canards musqués. N faut 
seulement avoir soin, suivant Goeze, de leur couper la tête avant 
de les préparer, parceque sans cela ils gardent leur odeur de musc. 
Les oeufs cuits à la coque font éprouver à la langue une certaine 
âpreté sèche, mais on les emploie avec avantage dans les mets à 
cause de leur grosseur. 


DOMMAGE. 


Nous ne savions alléguer aucun dommage occasioné par cet 
oiseau. 


ENNEMIS. 


Il a pour ennemis une espèce de poux (Pediculus moschatae), 
qui fait perir les petits, lorsqw il se multiplie trop. | 


VARIÉTÉS. 


1. Anas moschata cinnamomea. Nobis. Cette variété est plus 
petite. N 
2. Anas moschata varia. Nobis. Cette variété se subdivise en 
trois. a) Le visage emplume et sans tubercules, le bec brunätre, 
le manteau vert avec un lustre doré, le ventre, les ailes et la queue 
brun-nöir; les pieds couleur de boïs de noier. b) Le-corps gris- 


rougeätre. c) Le corps bariolé de jaune et de blanc. 


3) Anas moschata alba. Nobis. Tout blanc avec l'iris de l’oeil 
bleu. 


REMARQUES. 


D’après les observations, que nous avons faites, les premiers 
pondus par la femelle, dont nous avons parlé plus haut, étoient 
dun vert beaucoup plus foncé, que les derniers; le jaune de l’oeuf 
étoit d’une couleur plus claire et la membrane, qui tapisse l’in- 
térieur de la coquille, étoit beaucoup plus épaisse, que dans les 
oeufs de poule. Les testicules du mâle avoient plus de cing-lignes 
de longueur et trois et demi de diamètre; ils étoient d’un brun- 
rougeätre clair, et -peints vers la partie supérieure d’une quantité 
de petites veines. On donna à manger du pain au mäle environ 
huit heures avant sa mort. En examinant son estomac et son go- 
sier, on ne trouva que très peu de bouillie de pain dans le premier; 
en revanche on en-trouva beaucoup dans le gosier,. qui avoit la 
forme d’un sac cylindrique, pendu dans l’intérieur du col. L’esto- 
mac de cet oiseau ayant peu de capacité, il paroit, que la dige- 
stion commence déja à se faire dans le gosier. 


44 


DER HAENFLING. 


Hanffink. Leinfink. Karminhänfling. Braunhänflins. Blutrother Hänfling. 
Rothbrüster. Grofser Hänfling. Stokhänfling. Hanefferl. Quitter. 
Fringilla cannabina. Linn. syst. nat. pag. 322. n. 28. 
Fringilla cannabina, 

Fringilla linota. 

Fringilla montium. 

The linnet and greater Redpole. Latham. 

La linotte et grande linotte des vignés. Buffon. . 

Der Bluthänfling. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. Tab. 9. 
Männchen und Weibchen. Tab. ı0. (Eine Altersverschiedenheït, ), 


Hanfünk. Bechstein ornith. Taschenb. T. I. 8, 121. nr. 7. 


À Gmel. Linn. syst, nat. T. I. P.II. pag. 916. nr. 67. 
et nr. 69. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Vie Ruderfedern schwarz; Schwanzfedern schwarz, an bei- 
den Rändern weils; die Brust am Männchen blutroth, am Weib- 


chen rôthlichweifs und graubraun geflekt, 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel am Grunde dik, vorn spitzig, im Sommer schmu- 
tzigblau, im Winter weifsgrau; Stimm röthlich aschgrau , Scheitel 
karminroth ; Nacken aschgrau mit kleinen schwärzlichen Längs- 
lecken ; Seiten des Halses aschgrau; um die Augen und Ohren 
grauweifs; Augensiern dunkelbraun; von dem Schnabelwinkel ein 
weifslicher Streifen am Halse herab; Kehle graulich mit einigen 
dunkelgrauen Strichen; Brustseiten karminroth mit weilsen Fe- 
derrändern; Brustmitte weilsgrau; Seiten des Unterleibes hell rost- 
farbig; Bauch und untere Schwanzdekfedern röthlichweils; Ober- 
rücken rosibraun mit röthlichweifsen Federrändern; obere Dekfe- 
dern der ersten Ordnung schwarz mit röthlichweilser Einfassung; 
vordere Schwungfedern schwarz, ‚auf beiden Seiten weils geran-- 
det; Unterrücken weifs und grau gemischt; Schwanz gabelförmig, 
schwarz, die vier äufsersten Federn auf beiden Seiten stark weils 
eingefafst , die beiden mittlern schmäler und röthlichweifs einge- 
fafst; Füfse schwarzbraun, Nägel schwarz. Die Flügel bedecken 
drei Viertheile des Schwanzes. 

Länge 5. Zoll; Breite 9. Zoll. 

Die iungen Männchen, von welchen unsere Kupfertafel eins 
vorstellt, haben folgende Farben : Schnabel röthlichweils; Schei- 
tel aschgrau, roströthlich gerandet, dunkelbraun gestrichelt, Au- 
gengegend hell rostfarbig; um die Ohren aschgrau ; Oberleib rost- 
farbig mit dunkelbraunen Flecken; Schwung - und Schwanzfedern 
fast wie bei den Alten; Brust hell rostfarben , ‚mit graubraunen 
Strichen und rundlichen Flecken, zwischen welchen die karmin- 
rothe Farbe durchschimmert; Bauch grau; uritere Dekfedern des 


Schwanzes grauweils; Füfse hell rothbraun. 
AUFENTHALT. 


Er lebt in Europa und in den nördlichen Theilen von Nord- 
amerika. In Deutschland ist er ein Strichvogel, der so lange er 
im Winter leere Stellen auf Aeckern findet, bei uns verweilet, 
bei einfallendem Schneewetter augenbliklich verschwindet, eben so 
bald aber nach geschmolzenem Schnee wieder daist. Im Som- 
mer ist er gerne in Gärten und Vorhölzern, aus welchen leztern er 
im August in grofser Gesellschaft in die Felder und Stoppeläcker 


zieht, und dann auf den Feldbäumen übernachtet Im Winter 


LA LINOTTE. 


Hanffink. Leinfink. Karminhänfling. Braunhänfling. Blutrother Hinf- 
ling. Rothbrüster. Grofser Hänfling. Stokhänfling. Hanefferl. Quitter, 
Fringilla cannabina. ‘Linn. syst. nat. pag. 322. nr. 28. 


Fringilla cannabina, 


] Gmel. Linn. syst, nat. T. I. P, II. pag. 916. nr. 67. 


Fringilla linota. 
etnr. 69. 


Fringilla montium. ; 

The linnet and greeter Redpole. Latham. 

La linotte, et grande linotte des vignes. Buffon. 

Der Bluthänfling. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. Tab, 9: 
Mäle et femelle. Tab. 10. une variété produite par l’âge. 

Hanfink. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. p. 121.nr, 7. 


CARACTERES SPECIFIQUES: 


Le pennes antérieures des ailes noires; celle de la queue noires 
lisérées en blanc des deux côtés; la poitrine rouge de sang chez 
le mâle, et tachetée chez la femelle de blanc-rougeätre et de brun- 
gris. 


DESCRIPTION. 


Le bec épais à la base, pointu sur le devant, bleu sale en 
été, et gris-blanc en hiver; le front cendré-rougeâtre; le sommet 
de la iète cramoisi; la nuque cendrée avec de petites taches lon- 
gitudinales noirätres; le col cendré sur les côtés; le contour des 
yeux et des oreilles blanc-grisätre, l'iris de l’oeil brun foncé; une 
raie blanchätre descendant de l'angle du bec jusqu’ au col; la gorge 
grisätre avec quelques traits gris foncé; les côtés de la poitrine 
cramoisi avec un liséré blanc à chaque plume; le milieu de la poi- 
trine gris-blanc; le bas du corps rouille clair sur les. flancs; ‚le 
ventre et les couvertures inférieures de la queue blanc-rougeätre; 
le haut du manteau brun-rouille; avec un liséré blanc-rougeâtre 
sur les plumes; celles du premier rang des couvertures supérieures 
des ailes noires avec une bordure blanc-rougeätre; les pennes an- 
terieures des ailes noires lisérées et blanc des deux côtés; le bas du 
manteau blanc melé de gris, la queue fourchue, noire; les quatre 
pennes extérieures ornées des deux côtés d’un large liséré blanc, 
les deux du milieu orndes d’un lisere plus étroit et d’un blanc-rou- 
geûtre; les pieds brun foncé, et les ongles noirs. Les ailes re- 
couvrent la queue jusqu’ aux trois quarts de sa longueur. 

Longueur 5. pouces; envergure 9. pouces. 

Les jeunes mâles tels que celui, que représente notre planche 
ont les couleurs que voici. Le bec blanc-rougeätre; le sommet-de 
la iète cendré avec un liséré rouge de rouille et des traiis brun 
foncé ; la region de l’oeil rouille clair; le contour des oreilles cen- 
dré; le dessus du corps couleur de rouille ayec de taches brun 
foncé; les pennes des ailes et de la queue à peu près de la même 
couleur que chez les autres linottes; la poitrine rouille clair avec 
des traits brun-gris et de taches arrondies, qui laissent percer dans 
les intervalles le fonds eramoisi; le ventre gris; les couvertures 
inférieures de la queue blanc-gris; les pieds rouge-brun clair. 


PATRIE. 


La linotte habite l’Europe etle Nord de l’'Amerique septen- 
trionale. En Allemagne c’est un oïseau de passage. Cependant 
elle y reste même en hiver aussi longtems, qu’elle trouve des pla- 
ces à découvert dans les champs; mais elle disparoit du moment 
qu’il tombe de la neige et ne revient que lorsqw elle est fondue, 
En été elle se tient volontiers dans les jardins et dans les bosquets 
situés en avant des grands bois. Elle quitte cette dernière de- 
meure au mois d’Aoüt et se rend en vols nombreux dans les champs 
et les guerets couvert de chaume et passe la nuit sur les arbres, 


— 


schlafen sie des Nachts gerne in. dicken mit dürrem Laube verse- 
henen Eichen- und Buchenbüschen. 


EIGENSCHAFTEN. 


Der Hänfling liebt die Gesellschaft seines Gleichen. Sezt sich 
einer, so folgen die andern nach. Eben dies geschieht auch beim 
Aufliegen. Sein Flug ist geschwind. Seinen Gesang, der laut 
und flôtenartig'ist, läfst er das ganze Jahr hindurch , die Mauser- 
zeit ausgenommen , sitzend und nach Bechstein , auch fliegend 
hören. Er ist gelehrig und lernt iung aufgezogen, den Gesang 
der Nachtigall, Lerche, Finken etc. ia sogar künstliche Melodien. 
Die Weibchen geben nur einige Loktône z. B. gäcker , gäcker, 
gäcker, von sich. Er hat einen hüpfenden und etwas schwerfäl- 
ligen Gang; badet sich gern im Wasser und Sande. Sein Alter 


erstrekt sich im Zimmer auf 8, bis ı7..lahre. 
NAHRUNG, 


Er frifst die Samenkörner, die er im Kropfe zuerst weich 
macht, von Wegerich, Vogelwegtritt, Löwenzahn, verschiedenen 
Gräsern, Habichtskraut, Rüben, Kohl, Lein und Hanf, leztern 
aber nur, wenn ernoch weich ist. Im: Winter hülset er auch die 
Eichen- und Pappelknospen aus. Er ist ein grofser Liebhaber von 
Salz, und findet sich daher gern bei Schafkrippen ein. Im Zim- 


mer gibt man ihm Sommerrübsamen. 
FORTPEFLANZUNG. 
In 


Thüringen findet man nach Bechsteins Versicherung oft Plätze, 


mit dichtstehenden iungen "Tannen und Fichten, auf welchen in 


In Frankreich sollen sie gern in Weinbergen brüten. 


einem Umkreise von 5. bis 400. Schritten hundert Nester beisam- 
men. Aufserdem legen sie ihr Nest auch in Hecken und Gebü- 
schen, besonders aber in Weifsdornbüsche und Stachelbeerstau- 
den an. Das Nest besteht aus zarten Wurzeln, zarten Spargel- 
' zweigen, aus dürren Stengeln von Katzenpfötchen (Gnaphalium 
dioicum,) Grashalmen, zarten Blättern , Moos , Federn , Haaren. 
und Wolle. Das Weibchen brütet des lahrs zweimal und legt ie- 
desmal vier bis sechs perlgraue Eier, die am stumpfen Ende mit 
fleischfarbigen Punkten und Strichen manchmal auch ungeflekt 
bezeichnet sind, und von beiden Geschlechtern wechselsweise in 
14. Tagen ausgebrütet werden. Die Iungen werden von den: ‘AI 
ten mit allerhand. Sämereyen, vorzüglich mit Löwenzahnsamen 
(Leontodon taraxacum Lin.) die lestere vorher im Kropfe einwei- 
chen, gefüttert. Die ganz iungen Männchen kennt man an ihrem 
weifsen Halsringe und der mehrern weißsen Farbe in den Flügeln 


und dem Schwanze. 


NUTZEN 

stiften sie theils durch ihren Gesang, theils durch ihr Fleisch, 
SCHADEN, 

wenn sie in die Küchengärten auf die samentragenden Ge- 


muse fallen,, 


FEINDE 
haben sie an dem Sperber und dem großen Wiesel. Im Kä- 
fig sind sie der Verstopfung, Engbrüstigkeit, fallenden Sucht und 
der Darre unterworfen. 
IAGD UND FANG. 

Da es scheue Vögelsind,, so sind sie auf dem gewöhnlichen 
Vogelherde etwas schwer zu fangen. Vor der Begattung fängt 
man sie im Frühiahr auf Lokbüschen, die man mit Leimruthen 
bestekt, wobei man aber einen guten Lokvogel haben mufs. Im 
Herbst wenn sie sich auf die Salatstauden etc. setzen, behängt man 


45 


qui s’y trouvent. En hiver elle choisit volontiers pour son gîte les 
taillis les plus épais de chènes et de hötres en cor garnis des feuil- 
les séches. 


QUALITES. 

La linotte aime la societé des oiseaux de son espèce. Par tout 

où l’une se pose, les autres en font antant, Elle a le vol rapid et 
légèr. Si l’on en excepte l’epoque où elle mue, elle fait entendre 
pendant toute l’année son chant, qui est fort et flûté et cela, suivant 
Elle 
est tres docile et jeune elle apprend avec facilité différents chants, 
tels que celui du rossignol, de l’alouette, du pincon etc. et même 
Les femelles ne font entendre d’autres sons, que 
leur cri d'appel, gaeker, gaeker, gaeker. 


Bechstein, soit qu’elle vole, soit qu’elle se tienne en repos. 


des airs notés. 
La démarche de 
la :linotte est saulillante quoiqu un peu pesante; elle se baigne vo- 
lontiers dans l’eau et aime aussi à se plonger dans le sable. En 
chambre elle peut vivre de 8. à 17. ans. 


NOURRITURE. 


Elle mange les graines de plantain, de renouée, de dent de 
lion, de differens gramens, d’eperviere, de navet, de chou, de lin 
et de chanvre, ces dernitres surtout pourvu qu’elles soient encor 
tendres. Du reste, elle navale ces diverses semances, qu’ après 
les avoir ramollies dans son gosier. En hiver elle dépouille de 
leur enveloppes les boutons de chène et de peuplier pour s’en 
Elle aime à la passion le sel, aussi se tient-elle volon- 
tiers auprès des creches de brebis. 


nourrir. 

En chambre on lui donne de 

la navette, 
PROPAGATION. 

En France elles nichent, dit-on, volontiers dans les vignes. 
Bechstein assure, qu’en Thuringe dans les lieux fourrés, plantés 
de sapins et des pesses on trouve jusqu’ à cent nids de la linotte 
Les 


matériaux, qu’elles y emploient sont des racines menues, de jeu- 


dans un espace de trois à quatre cent pas de circonference. 


nes branches d’asperges, les tiges séches de la perlière dioique 
(Gnaphalium dioicum) des fétus d'herbe, de jeunes feuilles, de la 
mousse, des plumes, des cheveux, de poils et de la laine. La fe- 
melle pond deux fois par an. Chaque ponte est toujours de qua- 
tre à six oeufs couleur gris de perle, marqués du côté du cul de 
points et de traits couleur de chair; quelque fois aussi ils n’ont 
Le mäle et la femelle couvent à tour de 
rôle pendant quinze jours. Desque les petits sont éclos le père et 
la mère leur apportent toutes sortes ds graines, surtout celles de 
la dent de lion; (Leontodon taraxacum) mais ils ne leur mettent 


pas du tout de taches. 


dans le bec, qu’ après les avoir ramolliés dans leur propre gosier. 


UTILITÉ. 


La linotte nous amuse par son chant; elle est aussi bonne à 
manger. 
DOMMAGE 
Elle cause du dommage pour les jardins potagers en mangeant 
les légumes et les graines. 


ENNEMIS. 


Ses ennemis sont l’epervier etla grande beleite. En cage elle 
est sujette à diverses maladies, telles que la constipation, l’asthme, 
l’épilepsie etc. 


MANIÈRE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE. 


Comme les linottes sont assez sauvages on ne peut gueres les 
prendre dans les aires ordinaires. Au printems avant l’époque de 
Paccouplement on les prend dans les buissons, où l’on place des 
gluaux; mais il faut pour cela un trés bon appeau. En automne, 
on suspend des lacets, ou l’on place des gluaux sur les tiges de sa- 
lade etc. où elles aiment à se poser pour en manger la graine, c’est 
ainsi qu'on les prend. 


diese mit Sprenkel, und Leimruthen, und fängt sie also auch auf 
diese \Veise. 
VERSCHIEDENHEITEN. 

1. Fringilla cannabina candida Ganz weifs oder weifs mit 
den gewöhnlichen Schwing- und Schwanzfedern. 

2. Fringilla cannabina varia: Nobis. Scheitel grau, alles üb- 
rige des Kopfes bis in den Nacken rein weils; auf den Flügeln ein- 
Ein Weibchen. 


3. Fringilla cannabina leucocephala. 


zelne weilse Federn. 
Grau mit einem weis- 
sen Kopfe. 

4. Fringilla cannabina nigra. Schwarzgrau. Gewöhnlich eine 
Stubenänderung. Eine solche ist auch der Hänfling mit krum- 
men oder scherenförmigen Schnabel. 

Fringilla argentorensis. Linn. L e. pag. 918. nr. 69. ist wahr- 
sheinlich ein in der Stube veränderter Hänfling, und Fringilla 
montium eine Beschreibung vom Hänfling und Flachsfinken. Es 
gibt auch Bastardte, die aus dem Hänfling und Canarienvogel ent- 
stehen. Fringilla montana. Steinhänfling, grauer Hänfling, gel- 
ber Hänfling. Ein einiähriger Hänfling. 

ANMERKUNG. 

Wir sahen ein Weibchen, das einige gelernte Lieder so rein 

und schön sang, wie ein Männchen. Es leste zwei Iahre hinter 


einander, iedesmal ohne Begattung, ein auch zwei Eier. 


DAS ROTHREHLCHEN. 


Roihbrüstchen. Rothkehlein (im Nürnbergischen.) Rötelein. Kehlrôth- 
Waldrôthchen. 

Motacilla rubecula. Linn. syst. nat. pag. 337..n. 44. 

Motacilla rubecula. Gmel. Linn. syst. nat. T. x. P. EL pag. 993. nr. 45. 
The red-breast. Penn. 

La rouge-gorge. Buffon. 

Das Rothkehlein. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland Tab. 19. 
Rothkehliger Sänger. Bechstein ornithol. Taschenb, Th. I. S: 177. nr. 14. 


chen. 


KENNZEICHEN DER ART. 
O berleib schmutzig olivengrün; Kehle und Brust orangeroth. 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel rund, hornbraun, die untere Kinnlade an der Wur- 
zel gelblich; am Schnabelwinkel schwarze etwas vorwärtsstehende 
Borsten; Augenstern graubraun ; Stirn, Wangen, Augengegend, 
Kinn, Ünterhals und der Vordertheil der Brust schön orangeroth ; 
Ohrgegend, Seiten des Halses und der Brust bläulichgrau; Schei- 
tel, Oberhals, Rücken und die Flügeldekfedern schmutzig oliven- 
grün; mehrere grofse Dekfedern an den Spitzen mit dreieckigen 
orangegelben Flekchen; Schwung- und Schwanzfedern dunkel- 
braun, hellolivengrün gerandet; Bauch weifs; an den Seiten oli- 
vengrün; Steifsfedern schmützig weils; Fülse schwarzbraum, oder 
fleifschbraun; Nägel schwarz. Die Flügel bedecken die Hälfte des 
Schwanzes. 

Länge 52. Zoll; Breite $. Zell. 

Die Weibchen sind auf der Brust blasser. 

An den einjährigen Männchen sieht man die orangerothen 
Flekchen an den Spitzen der grofsen Flügeldekfedern fast gar 
nicht; die Farbe am Unterhalse und der Brust ist dottergelb. 

Die Iungen, von welchen hier eins abgebildet ist, erhalten, 
wenn sie die gelbe Wolle abgelegt haben, im Herbste ein ziem- 


"lich schäckiges Kleid. 


AG 


VARIÉTÉS. 


1. Fringilla cannabina candida. Toute blanche, ou blanche 
avec les pennes des ailes et de la queue de la même couleur , que 
chez la linotie ordinaire, - j 

2) Fringilla cannabina varia. Nobis. Le sommet de la tete 
gris, le reste de la tête jusqu’ à là nuqué d’un beau blanc , avec 
quelques plumes de la même couleur aux ailes. C’étoit une femelle, 

5. Fringilla caunabina Jeucocephala. Grise avec la tête 
blanche. 14 4 

4. Fringilla cannabina nigra. Elle est d’un gris-noir, Are 
une varicte assez commune parmi les linottes nées en cage EME Le 
noîte à bec de travers ou croisé n’est aussi qu’une variété, | 


La Fringilla argentoratensis Linn. loc. cit. P- 918. n, 69. n’est 
probablement qu’une linotte, dont le plumage a changé en cage, 
et la Fringilla montium est une espèce bâtarde, née de la linotte 
et du sizerin. Il y a aussi des muléts nes de la linotte et du serin 
de Canarie. Fringilla montana. Linotte de pierres. Linotte grise, 
Linoite jaune. C’est une tinotte d’une année. 


, REMARQUES. 


Nous avons vuune linotte femelle, qui chantoit des airs, qu’on 
lui avoit appris ayec toute la netteté et l'élégance d’un mâle. Elle 
pondit pendant deux années consécutives un ou deux oeufs, et 


toujours sans avoir eu commerce avec un mâle, 


LA ROUGE-GORGE. 


Rothkeklchen. Rothbrüstchen. Rothkehlein. (dansle pays de Nuremberg) 
Rötelein. Kehlrötchen. Waldrôthchen. 

Motacilla rubecula. Linn. syst. nat. p. 337. n. 44. 

Motacilla rubecula. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. II. P. 993. nr. 45. 

The red- breast. 

La rouge-gorge. Buffon. 


Penn. 


Das Rothkehlein. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab, 19. 


Rothkehliger Sänger. Bechstein ornithol, T'aschenb. Th. .1. P- 177. n. 14, 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


I; dessus du corps vert-olive sale; la gorge et la poitrine orange. 


DESCRIPTION, 


Le bec rond, couleur de corne brune, la mandibule inferieu- 
re jaunâire à sa base; à l'angle du bec quelques soies longues, qui 
se portent un peu en avant, l'iris de l’oeil brun-gris ; le front „les 
joues , la région de l’ocil, le menton, le dessous du col et le devant 
de la poitrine d'une belle couleur orange; la région de l'oreille et 
les côtés du col et de la poitrine gris-bleuätres; le sommet de la 
tête, le dessus du col; le manteau et les couvertures des ailes vert- 
olive sale; la plupart des grandes plumes des couvertures ornées 
à leur pointe de taches oranges de forme triangulaire; les pennes 
des ailes et de la queue brun foncé avec un liséré olive-clair; le 
ventre blanc au milieu vert-olive; sur tes côtés; les plumes du 
croupion blanc sale; les piéds bruns tirant tantôt sur le noir, tan- 
tôt sur la couleur de chair, les ongles noires. Les ailes recouy- 
rent la moitié de la queue, 

Longueur 5. pouces et À; envergure 8, pouces. 

La femelle a la poitrine d’une couleur plus pâle. Lorsque 
le mâle n’a encor qu'une année on ne voit presque point les ta- 
ches oranges aux points des grandes couvertures des ailes. La 
couleur du dessous du col et de la poitrine est jaune d’oeuf. 

Les petits, tels-que celui, que représente notre planche, pren- 
nent une livrée assez bigarrée en automne, lorsqu'ils ont quitté leur 


duvet jaune. 


Die Grundfarbe auf dem Oberleibe ist olivenbraun mit vie- 
len orangerothen Flecken und Federrändern; Unterhals schmutzig 
blafs orangefarbig; Bauch weilslich; die langeu Flügeldekfedern 
schwärzlich, olivengrün gerandet, an der Spitze mit orangefarbi- 
gen Flecken; Flügel und Schwanz schwärzlich und olivengrün 
gerandet; die hintern Schwungfedern mit einer orangefarbigen 


Spitze; Füfse und Schnabel fleischbraun. . 
i AUFENTHALT. 


Es bewohnt Europa und Madera. In Deutschland ist es ein 


Zugvogel, der in der Mitte des März bei uns ankommt, sich um 
diese Zeit etwa drei Wochen lang in Hecken und Stachelbeerstau- 
den aufhält, dann aber in die Wälder, besonders in die gebirgi- 
Im Oktober zieht er wieder in Gesellschaft seines Glei- 
Manche bleiben bis ın 


gen zieht. 
chen und wahrscheinlich bei Nacht weg. 
den November, einzelne sogar bisin den Winter hier. Leztere - 


büfsen aber öfters bei strenger Kälte ihr Leben ein. = 


EIGENSCHAFTEN. 


Es ist ein munteres wachsames Vögelchen, das sich schon am 
frühen Morgen und noch spät am Abend, wenn es bereits dun- 
kel geworden ist, hören läfst. Der Schwanz ist dabei immer 
in Bewegung. - Auch macht es fast bei iedem Sprung eine Ver- 
beugung. Im Zimmer wird es aufserordentlich zahm und zulrau- 
lich; frifst aus der Hand, ia es erdreistet sich auf den Tisch zu 
hüpfen und von dem Mittagsgerichte zu naschen. Es läfst sich im 
Winter leicht au das Ein- und Ausfliegen gewöhnen. Goeze iag- 
te einmal eines aus seinem Hause, das im Herbste wieder kam 
und sogleich seinen gewohnten Standort im Zimmer besezte, im 
nächsten Frühiahr wieder ausgetrieben wurde und im darauf fol- 
Es badet sich sehr gern 


und macht dabei allerhand belustigende Bewegungen. Seine Neu- 


genden Herbste sich abermal einstellte. 


gierde ist so grofs, dafs es alles durchsuchen mufs, aber eben da- 
durch auch leicht gefangen wird. Seine Lokstimme ist ein helles 
sisi, sisi, siri; sein Gesang-angenehm, etwas melancholisch. Es 
läfst ihn im Freien gern des Morgens und Abends hören. Jung 
aufgezogen lernt es auch den Nachtigallengesang. Im Zimmer er- 


strekt sich sein Alter auf acht und mehrere Iahre. 


= NAHRUNG. 


Sie besteht aus allerhand Insekten , besonders Fliegen, Haf- 
ten, Würmern und Beeren z. B. Iohannisbeeren, Vogel-Hollun-. 
der - und Sporgelbeeren ( Rhamnus Frangula). Im Zimmer frifst 


es, wenn es einmal zahm ist, fast von allem, was es vorfindet. 


FORTPFLANZUNG. 


Es brütet im fahre zweimal und bauet sein schlechtes aus Erd- 
moos, Grashalmen, Vogelfedern und 'Thierhaaren zusammen ge- 
tragenes Nest in die Löcher der Steine, Baumstrünke, Maulwürfe 
und unter Baumwurzel, Das Weibchen legt 4. bis 7. ziemlich 
grolse, weifse, mit röthlichen Punkten versehene Eier, die es mit 
Beihülfe des Männchens in dreizehn Tagen ausbrütet. Die Tun- 
gen, werden mit weichen Insekten gefüttert und sind anfangs ganz 


in gelber Wolle eingewickelt. 
NUTZEN 


bringt es durch seinen Gesang und durch W egfangung schäd- 


licher Insekten, Sein Fleisch ist schmakhaft. 


= Aa 


Ÿ 


Le fond de la couleur du dessus du corps est brun-olive avec 
plusieurs taches et liséré d’un rouge - orange; le dessous du col 
orange sale et mat; le ventre blanchätre ; les plus longues plumes 
des couvertures des ailes noirätres avec un liséré vert-olive et des 
taches orange à la pointe; les ailes et la queue noirätres avec un 
liséré olive; les pennes postérieures des ailes orange à la pointe; 
les pieds et le bec brun de chair. 


PATRIE. 


Elle habite toute l'Europe et l’ile de Madere. En Allemagne elle 
est oiseau du passage. Elle arrive chez nous au mois de Mars, puis 
après avoir passé quelque tems, (environ trois semaines) dans les’ 
haies et sur les buissons de grosseillers, elle'prend son vol du côté: 
des forêts, surtout de celles,’ qui sont situées dans les montagnes 
et s’y enfonce. Elle les quitte au mois d'Octobre et repart en trou- 
pes pour d’autres climats; il paroit, quéelle voyage alors de nuit. I], 
en reste souvent chez nous jusqu en Novembre, quelque fois même 
jusqu’ au coeur de l'hiver; mais ces derniers perissent ordinaire- 
ment, si-la saison est très rigoureuse, 


QUATITES. 


Ce petit oiseau est très vifet très alerte. Ilest fort gai et fait 
entendre son chant depuis le matin jusqu’ au soir et lors même qu'il 
fait déja nuit. Pendant qu'il chante, sa queue est sans cesse en 
mouvement. I s'incline aussi presque à chaque saut, qu’il fait. 
Il s’apprivoise facilement en chambre et devient tres famiher ; il 
va prendre la nourriture de la main , qui la lui présente et il 
pousse la hardièsse jusqu’ à sauter sur la table à goûter des mêts. 
En hiver on le dresse facilement à quitter le logis et à y revenir. 
Goctze en ayant laché un au printems', il lé vit revenir en au 
tomne et reprendre dans la chambre sa place accoutumée; le prin- 
tems suivant il fut laché de nouveau , et ne manqua point de re- 
venir en automne et de reprendre possession de son logis. Il aime 
beaucoup le bain et il fait dans l’eau mille contorsions plaisantes. 
Il est d’une curioseté extrême; il’ va visitant et examinant tout; 
aussi le prend-on très facilement. Son cri d'appel est un sisi, 
sisi, siri, très aigu. Son chant est agréable quoiqu’un peu mé 
Dans la campagne il le fait entendre plus volontiers 
Si Yon s’y prend de bonne heure, on peut lui 
En chambre il parvient 


lancolique. 
le matin etle soir. 
apprendre à imiter le chant du rossignol. 
à l’âge de huit ans et au delà. 


NOURRITURE. 


Ilse nourrit de toute sorte d’insectes, et surtont de mouches, 
d’ephemeres, de vermisseaux; ilmange aussi les grosseilles , les 
sorbes sauvages , les baies de sureau, de bourdaine ( Rhamnus 
Frangula) En chambre dès qu’il est apprivoise , il mange pres- 
que de tout ce qu’on lui présente, ou de ce qu’il trouve. 


PROPAGATION. 


La rouge-gorge pond deux fois par an. ' Son nid est construit 

assez grossièrement de mousses terrestres, de tuyaux d’herbes, de 
Hi e PD N ñ A 

plumes d'oiseaux et de poils, qu’il porte pêle et mêle et entasse sans 

ordre dans les trous des pierres ou des troncs, dans ceux des tau- 


pes et sous les racines des arbres. La femelle pond de quatre à 


. sept oeufs, qui sont assez gros, et de couleur blanche, avec un 


pointillé rougeätre. Elle couve conjointement avec le mâle, pen- 


dant 15. jours. Les petits, qu'ils nourrissent d'insectes d’une con- 
stance molle sont à leur naissance comme enveloppé d’une laine 


jaune. 
? 
» UTILITE. 
Il nous égaie par son chant et nous délivre des bien d’insectes 


incommodes, ou nuisibles. De plus sa chair est d’un goût fort 
agréable, | 


SCHADEN 


stiftet es fast gar nicht. 
FEINDE 


“hat es an den Füchsen, Baummardern > Wieseln, Sperbern , 
Baum- und Thurmfalken, Eulen, Hähern, und Neuntödern. 


IAGD UND FANG, 


Mit der Flinte und dem Blasrohre kann es leicht erlegt wer- 
den. Im Herbste wird es auf den Vogelherden, mit Sprenkeln,, 
dem Federnez, mit Leimruthen, auch in der Schneufse gefangen. 
Im Frühiahr fängt man es im Nürnbergischen mit einem etwa 15. 
Fufs langen Garn, das man quer vor das Ende einer Hecke, mit 
Hülfe einiger Stangen senkrecht aufstellt. Zwei Personen, die ei- 
ne innerhalb die andere awfserhalb der Hecke, treiben sodann, 
vom entgegen gesezten Ende anfangend , durch Schlagen an die 
Zweige die Rothkehlchen anfangs langsam, in einer funfzehn- 
schuhigen Entfernung vom Garn aber, mit einem schnellern Lauf 


and geschwindern Anschlagen, in das vorgestekte Garn, 


VERSCHIEDENHEITEN. 


ı. Motacilla rubecula alba. 
2. Motacilla rubecula leucothorax. 
3. Motacilla rubecula varia. 


ANMERKUNG. 


Nach einer bessern Abtheilung der Linneschen Motacillen 
gehört nun das Rothkehlchen unter die Gattung: Sylvia. 


48 


DOMMAGE. 
I ne nous en cause presque aucun. 
ENNEMIS. 


Ses ennemis sont le renard, la martre des arbres, la belette, 
lépervier, le hobereau, la crésserelle , les hiboux, les geaix et les 
piegneches. 


MANIERE DE LES TUER OU DES LE PRENDRE, 


On les tue aisement avec le fusil et la sarbacane. En au- 
tomne on les prend aussi dans les aires au irebuchet, aux gluaux, 
au filet à resort etc. Dans le pays de Nuremberg on les prend avec 
un filet, qui peul avoir 15. pieds de long et que l’on place en tra- 
vers, en le ténant avec des jallons dans une direction verticale, de- 
vant le bout d’une haie. Deux personnes alors l’une en dedans 
de la haie et l’autre en dehors, partent de l’autre bout en marchant 
debord à petits pas etchassent, en frappant sur les branches, toutes 
les rouge-gorges, qui se trouvent dans la haie du côté du filet; 
puis lorsque? elles n’en sont plus éloignées, que d’une quinzaine 
de piéds, elles se mettent à courir et à frapper les buissons à coups 
redoublés et font ainsitomber danse filet les rouge-gorges effrayées 


et étourdi par ce bruit, 
VARIÉTES. 
1. Motacilla rubecula alba. 


2. Motacilla rubecula leucothorax. 
5. Motacilla rubecula varia. 


REMARQUE. 


D’après la nouvelle division de la famille des rochequeues 
(Motacilla) de Linné, la rouge-gorge se trouve maintenant com 
pris sous le genre Sylvia. 


DIE RINGELTAUBE. 


Grofse Taube, Ring- Wald- Wild-Holztaube, Ringleinstaube (im Nürn- 
bergischen. ) 

Columba palumbus. Linn. syst, nat. pag. 282. nr. 19. 

Columba palumbus. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. II. pag. 776. nr. 19. 

The ring-dove. Penn. 

Le ramier. Buffon. 

Die Ringeltaube. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 138. 

Die Ringeltaube. Teutsche Ornithol. Heft V. 

Die Ringeltaube. Bechstein ornith. Taschenb. Th. I, 8. 230, nr. 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 


An beiden Seiten des Halses ein weifser Flek; Schwanzfedern 
am Ende schwarz. 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel gerade, Oberschnabel röthlichweißs, vorn elwas er 
höht und dann abwärts gekrümmt ; Nasenhaut aufgeblasen, roth, 
weifs bestäubt; Unterschnabel röthlichweils, unten über die Hälf- 
te der Länge nach befiedert; Augenstern weilsgelb ; vor und hin- 
ter dem Auge nakt; Kopf, Kinn und ein Theil der Kehle bläu- 
lichaschgrau, in das Grüne und Purpurrothe schillernd, erstere 
mit fünf bogenförmigen, nahe aneinander liegenden, weilsen Li- 
nien, welche zusammen genommen, einen grofsen Flek bilden; 
der untere Theil des Halses purpurroth, auf der Brust ins Graue 
übergehend; Bauch, Seiten desselben und untere Dekfedern des 
Schwanzes bläulich weifsgrau; Oberrücken, Schultern und klei- 
ne Flügeldekfedern bräunlichaschgrau; Mittel- und Unterrücken 


The ring-dove. 


LE RAMIER. 


Grofse Taube. Ring- Wald- Wild - Holztaube. Ringleinstaube. (dans Ie 
pays de Nuremberg.) 

Columba palumbus. Linn. syst. nat. pag. 282. nr. 19. 

Columba palumbus. - Gmel. Linn. syst. nat. T. I, P, IL, P: 776. n. 19, 

Penn. 

Le ramier. Bulfon. 

Die Ringeltaube. Frisch Vorstellung der Vôgel in Deutschland. Tab. 138, 

Dic-Ringeltaube. Teutsche Ornithol, Heft V. 

Die Ringeltaube. Bechst. ornitholog, Taschenbuch. Th, I. p- 230. nr. 1. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Une tache blanche des deux côtés du col; les plumes de la queue 
noires à la pointe, 


DESCRIPTION. 


Le bec droit, d’un blanc-rougeätre à sa partie supérieure, un 
peu relévé sur le devant et légèrement arqué en déscendant, la 
membrane du nez renflée, rouge et poudrée de blanc ; la partie 
inférieure du bec blanc- rougeätre garnie de plumes par dessous 
au delà de la moitie de sa longueur ; Piris de l’oeil jaune- blanc; 
la région devant et derrière loeil sans plumes; la tête, le menton 


s ; A { 
et une parlie de la gorge cendré-bleuâtre; les côtés du col et la 


- nuque de la même couleur ayec un chatoyement vert et pourpre; 


le col orné de cinq lignes blanches, arguées, très rapprochées les 
unes des autres et formant ensemble une grande tache; le dessous 
du col couleur de pourpre, passant au gris sur la poiirine; le 
ventre, les flancs et les couvertures inférieures de la queue gris- 
clair-bleuätre; le haut du manteau, les épaules et les petites cou- 
vertures des ailes cendre-brunätre; le milieu et le bas du manteau 


bläulichgrau; Dekfedern der ersten Ordnung der Schwimgfedern 
schwarz; die vordern grofsen Dekfedern der Flügel mit eimigen 
darüberstehenden kleinern weifs; die übrigen grofsen Dekfedern 
bläulichaschgrau ; die vordern zehn Ruderfedern schwarzgrau, an 
der schmalen Fahne weifs gerandet; Schwanz bläulichaschgrau , 
gegen die Spitze in das Schwarze übergehend; Schienbeine un- 
ter dem Knie etwas befiedert, und so wie die Zehen kochenille- 
roth. 
Die Flügelspitzen endigen sich zwei Zoll vor der Schwanz-- 
fpitze. 

Länge 1. Fufs 5% Zoll; Breite 2 Fufs 5. Zoll. 

Bei einem Päärchen; das wir im April erhielten, fanden wir 
folgende Unterscheidungszeichen: Das Weibchen hatte einen kür- 
zern und etwas schmälern Schnabel, 
und weifsen Flek an den Seiten des Halses; Hals und Brust we- 
miger purpurroih; Nacken weniger schillernd; der weifse Rand!an 
der schmalen Fahne der Schwungfedern nicht so breit als beim 


Männchen; Schulter, Oberrücken und Schwanz dunkler gefärbt. 
AUFENTHALT. 

Sie bewohnt den warmen und gemäfsigten Erdstrich von Eu- 
ropa und Asien. In Deutschland ist sie ein bekannter und nicht 
seltener Zugvogel, der zu Ende des März zu uns kommt, und im 
Oktober oder November wieder wegzieht. Im südlichen Frank- 
reich, Italien, und sehr wahrscheinlich auch in England, wandert 
sie nicht. 

Im Meklenburgischen sieht man bei ihrer Ankunft Flüge von 
30. bis bo. Stücken, in einigen andern Gegenden sind diese l'lüge 
kleiner. Sie vertheilen sich aber bald in den Tannen- und Fich- 
tenwäldern ; und iedes Paar sucht den Plaz wieder auf, den es 
das vorige lahr bewohnt hatte. _ 

EIGENSCHAFTEN. 

Sie sizt gern auf den dürren obersten Zweigen einer alter 
hohen Eiche oder Buche, fliegt aber sogleich auf, sobald sie in 
der Ferne einen Feind zu bemerken glaubt, und ist also sehr scheu 
Der Tauber sizt oft stundenlang auf einem Ast 
kruk - guk- kruk - gukguk, wobei 


und vorsichtig. 
und rufet seinem Weibchen: 
die ersten drei Töne langsam und abgesezt, die zwei lezten schnell 


hinter einander ausgestofsen werden. Das Männchen macht bei 


der Begattung eben die besondern Gebärden wie die zahme Taube 
und führt eine einweibige Ehe. Zwischen beiden Gatten findet 
eine grofse Zärtlichkeit statt. Iım Spätsommer und Herbste sicht 
man kleine Flüge, welches gewöhnlich Familienflüge sind. Ihr 
Flug ist schnell und öfters hoch. Die Iungen sind wild, und wenn 
so blähen sie ihren Kropf gewaltig auf, 
biegen den Kopf und Hals zurük, 


man sich ihnen nähert, 
blasen durch den Schnabel, 
schlagen mit den Flügeln und picken mit den Schnabel auf die 
Hand, die sich ihnen nähert. 

NAHRUNG 

Sie frifst Wicken, Waizen, und allerlei andere Geireidekör- 
ner und Hülsenfrüchte, Heidelbeeren, Eicheln, Bucheckern, Foh- 
ren -Fichten--und Tannensamen. 

FORTPFLANZUNC. 

Sie brütet des Iahrs zweimal, nämlich im April und Julius, 
und legtihr aus dürren Reisern bestehendes, kunstloses und nied- 
riges Nest auf den Ast eines hohen Baums, und das Weibchen 
legt darein zwei, selten drei, weifse längliche Eier, welche von 
beiden Gatten wechselsweise und mit grofser Emsigkeit in 16, bis 


einen etwas kleinern Kopf 


49 


gris-bleuâtre; le premier rang des couvertures des pennes des ai- 
les noir; les grandes plumes du devant des couvertures des ailes, 
ainsi que quelques unes plus petites placées par-dessus, de couleur 
blanche ; les autres grandes plumes des couvertures cendré- bleu- 
âtre; les dix pennes antérieures des ailes gris-noir avec un liséré 
blanc sur le côté étroit de la barbe; la queue cendré-bleuâtre 
passant au noir du eôté de la pointe; le tibia légèrement emplumé 
au dessous du genou etrouge de cochenille ainsi que les doigts, 

La pointe des ailes n’est dépossée que de deux pouces par 
celle de la queue. 

“ Longueur 1.pied, 5. pouces etl; envergure 5. pouces. 

Une paire des pigeons, qu'on nous apporta au mois d’Avril 
nous offrit les differences, que voici. La femelle avoit le bec plus 
court et un peu plus eiroit, la tête un peu plus pctite; le col mar 
que d’une tache blanche au côté:et moins empourpré que la poi- 
trine; la nuque moins chatoyante; le liséré blanc, que les pennes 
des ailes offrent sur le côté étroit de la barbe moins large, que 
chez le mâle, enfin les épaules, le haut du dos et la queue d’une 
couleur plus foncée, 


oO 


pieds, 


PATRIE. 


Leramier habite les contrées chaudes et temperces de l'Europe 
eidel’Asie. Il est très connu et assez commun en Allemagne où il 
est oiseau de passage. I arrive chez nous à la fin du Mars et il en 
repart en Octobre ou en Novembre. Il est sédentaire dansle Midi 
de la France, en Italie et probablement aussi en Angleterre, 

Dans le Mekleubourg on les voit arriver par vols de trente à 
quararte individus. Dans d’autres contrées ces vols sont plus pe- 
tits. Du reste ils se dispersent bientôt dans le forêts de pins etde 

sapins, et chaque couple cherche de nouveau la place, qu il avoit 
occupée l’année précédente. 


QUALITES. 


Cet oiseau se perche volontiers sur les brariches séches de la 
cime des vieux chénes et des vieux hêtres; il choisit toujours les 
plus eleves; il est si peureux et si circonspect, qu'il s’en fuit du 


moment, qu'il croit appercevoir un ennemi, même à une gran- 


de distance. Le mâle reste souvent posé des heures entieres sur 
une branche, eu appellant sa famelle par ces tons, kruk-guk- 
kruk-gukguk, les premiers de ces tons”, il les file et les éspace, 
au lieu, qu'il précipite les deux derniers. Le mâle faitles mêmes 
contorsions dans l'acte de l’accouplement que le pigeon domesti- 
Les deux epoux ont la plus 
Vers la fin de l'été et en au- 


que, et n'a jamais qu’une femelle. 
grande tendresse l’un pour l'autre, 
tomne, on les voit former de petits vols, composes|pour Vordi- 
naire d’une seule famille. Ils volent très vite et souvent à une 
grande hauteur. Les petits sont très sauvages. Quand on les 
approche ils gonflent prodigieusement leur jabot, soufllent avec 
bruit, et courbant la title et le col en arriére , frappant des 
ét piquant du bec la main, qui veut les toucher. 


ailes 


NOURRITURE. 


Le ramier se nonrrit de vesces, de en de toutes espè= 
ces de bled et de fruits à gousses, d'airelles, de glands , 
et de semences de pesse, de pin, et de sapin. 


de faines 


PROPAGATION. 


Le ramier pond deux fois par an, d’abord en Avril, puis en 
Juillet, I place son nid assez bas sur 1 rameaux des plus hauts 
arbres et le construit sans beaucoup d’art de petites branches sé 
ches. C’est la, que la femelle pond ses oeufs au nombre de deux, 
rarement de trois. Il sont blancs et de forme oblonge. Le mâle 
et la femelle couvent alternativement et avec beaucoup d’ardeur 
pendant 16. à 18, jours. Ils nourrissent leurs petits de la seconde 
ponte ayec des airelles, La couleur de ceux-ci est cendréifoncé, 


Bb 


| 


18. Tagen ausgebrütet werden. Die Tungen der zweiten Brutwer- 
Die Farbe der er- 


stern ist dunkel aschgrau und vom weilsen Halsflek nur eine schwa= 


‘den von den Alten mit Heidelbeeren gefüttert. 


che Spur vorhanden. 
NUTZEN. 


Das Fleisch der Jungen ist zart und schmakhaft ; das der Al- 


ten aber zäh und wird nur zu Kraftbrühen gebraucht. 


SCHADEN 
bringen sie, wenn sie in Gesellschaft in die Geiveidefelder 


fliegen. 
FEINDE 

haben sie an dem Baummarder , der ihre Eier und Jungen 
raubt, dem Stok-und Wanderfalken ; vor der Gabelweihe scheinen 
sie sich nicht zu fürchten, da einer der Herausgeber der deutschen 
Ornithologie ein Taubennest mit lungen nicht weit von dem Hor- 
ste einer Gabelweihe fand.  Aufser den obigen Feinden leiden 
In ihren Gedär- 


ınen fanden wir ein Knaul Bandwürmer aus der Gattung Tricho- 


auch noch Iunge und Alte von Taubenläusen. 
cephalus, von welchen einer 32 Zoll lang war. Goeze erwähnt 
dieses. Wurms bei der Ringeltaube nicht. 


IAGD UND FANG. 


Es ist äufserst schwer ihnen mit der Flinte beizukommen. 
Man hat dabei alle Behutsamkeit nöthig und wird doch oft ge- 
täuscht. Am leichtesten erlegt man sie, wenn man im F'rühiahr 
ihren Ruf nachahmt , oder auf Schiefshütten , welche wohl mit 


grünen Zweigen bedekt sind, 
VERSCHIEDENHEIT. 


1. Columba palumbus candidus. 


ANMERKUNGEN. 

Hr) G. Becker stiefs im Dec. 1799. bei Frostwetter auf 7. Rin- 
geltauben im Walde, die leicht an sich kommen liefsen. Hr. Bech- 
stein’ glaubt, dafs es wahrscheinlich eine zurükgebliebene Fami- 
lie vom: zweiten Gehecke „ oder eine verirrte, wie bei mehreren 
Vögeln, die durch den Wind vom rechten \Vege abgekommen , 
gewesen sei: Ornith. Taschenb. a. a. O. | 

Wir trafen den 8. Febr. 1804. bei 5. Grad Kälte und West- 
wind mehrere Ringeltauben im Walde an: aber wir glauben we- 
der, dafs sie zurükgeblieben sind, noch sich verirrt haben; son- 
dern dafs die schöne gelinde W itterung, welche wir fast den 


zen Januar hindurch gehabt haben, sie früher als) gewöhnlich zu 


gan 


uns lokte. 

Am 25. Dec. 1801. sahen wir in einem Garten ein Weibchen 
des Hausrothschwänzchens ( S; Tythis. Lath. ) Mehrere Wochen 
vorher lag Schnee; dann folgte regnerisches, windiges Wetter, 
dann Thauvwetter; der Schnee ging weg, es war sehr leidlich und. 
das Roihschwänzehen -flog munter umher. Diese Beispiele be- 
weisen, dafs die Grenzlinien zwischen Stand. Sirich- und Zug- 
vôgeln in der Natur eben nicht mit so genauer Gewilsheit gezo- 


gen sind, als manche Naturforscher in ihrer Stube und in ihren 


Schriften wähnen. 

© Der Kropf der Ringeltaube ist grofs, und wenn er aufgebla- 
sen ist, herzförmig, die Spitze nach oben gerichtet. In einem der- 
selben fanden wir 1. Loth Samen von Hirsen, Waizen, an wel- 
chem schon Würzelchen waren, und Buchwaizen untereinander; 
bei drei andern Exemplaren aufser. den Sämereien auch grofse 
Quarzkörner und W asserschneckengehäuse, welche beide wahr- 
scheinlichzur Beförderung der Verdauung dienen. Würmer mögen 


sie also wohl nie fressen, wie manche Schriftsteller vermuthen. 


bo 


et leur col offre à peine quelque trace dela tache blanche, dont 
il doit être orné par la suite. 
UTILITÉ, 

Les petits ont la chair tendre et délicate; les vieux l’ont co£ 

riace et l’on ne s’en sert, que pour des bouillons fortifians, 
DOMMAGE. . 

Ils en occasionnent dans les canrpagnes , lorsqu'ils se jettent 

en vols nombreux sur les bleds. 
ENNEMIS. 

Leurs ennemis sont la martre des arbres, qui leur ravit leurs 
oeufs et leurs petits, le milan et le faucon pélerin. Quant à la buse, 
ils ne paroissent pas la craintre beaucoup, car l’un des naturalistes, 
qui travaillent à l’ornithologie allemande a trouvé un nid de ramier 
avec des petits à peu de distance de l’aire d’une buse, Outre ces 
ennemis les ramiers, tant jeunes que vieux en ont de redoutables 
dans les poux du pigeon. Nous avons aussi trouvé dans leurs in 
testines un peloton de taenia du genre Tricocephalus, dont un 
avoit jusqu” à huit pouces ct 9. lignes de long. Goeze ne fait point 
mention de ces vers.en parlant de ramier. 


MANIERE DE LES TUER OU DE LES PRENDRE, 

Il est très diflicile de Pen approcher jusqu” à la portée du fusil. 
Il faut pour cela beaucoup de précautions et encore est il rare, qu’on 
reussisse. On peut les tuer cependant au printems en imitantleur 
cri d'appel, ou en se ténant à l’affut dans des cabanes couvertes 


de ramées et d’où l’on peut les tirer. i 
VARIETE. 
1. Columba palumbus candidus. 
REMARQUES. 

Monsieur G. Becker trouva en Decembre 1799. dans une 
forêt et par un tems de gelée sept ramiers, qui se laisserent aise- 
ment approcher. Monsieur Bechstein dit, que c’étoit probable: 
ment famille de la seconde ponte restée en arritre, ou quelque fa 
mille égarée et qu'un conp de vent avoit fait dévoyer, comme cela 
arrive souvent aux oiseaux. Ornithol. Taschenb. à. a. O. 

Nous avons trouvé le 8. de Fevrier 1804, par un froid de 5, 
degrès et par un vent d’oest, plusieurs ramiers dans une forêt, mais 
nous n’avons point cru, que ce fussent des traineurs, ou quelque 
famille égarée. N’est-il pas plus vraisémblable, que c’est la be- 
auté du tems, qui a été d’une extreme douceur dans nos contrées 
presque pendant tout le mois de Janvier, qui les y a ramenées plus- 
tôt, que de coütume? 

Le 25. de Decembre en 1801. nous vimes dans un jardin une 
femelle de cette variété du rossignol de muraille dont Latham a 
sous le nom de Sylvia Tythis. 
Plusieurs semaines auparavant, la terre avoit été couverte de neige, 


fait une espèce particulière , 


ensuite il eloitsurveru un tems plusieux et venteux, qui avoit amené 
le dégel. La neige avoit disparu, le tems étoit assez doux et notre 
oiseau en profitoit pour voler gaiement cà et la Ces exemples 
prouvent évidemment, que la Nature n’a point tracé de ligne de de- 
marcation entre les oiseaux sédentaires, les oiseaux rodeurs et les 
oiseaux de passage, ou du moins, qu’il n’y a point à cet égard de 
limites aussi constantes et aussi prononcées, que se limaginent 
tant de naturalistes, qui n’ont étudié les oiseaux, que dans leur 
cabinet, et dans leurs livres. 

Le jabot de ramier est gros et lorsqu'il est gonflé, il a la forme 
d’un coeur, dont la pointe est tournée en haut. En aÿant ouvert 
un, nous y trouvâmes une demi once de grains de millet, de fro- 
ment, qui commencoit à germer et de sarrasin, tout pele et mêle, 
En ayant ouvert trois autres, nous y trouyämes ouire les mêmes 
semences de gros grains de quartz et de coquilles d’escargots d’eau, 
qui leur servent probablement à faire la digestion. II n’est donc 
pas probable, qu’ils mangent des vers, comme quelques naturali- 


stes Pont soupconné. 


DER RAUCHFÜSSIGE KAUZ. 


, Strix noctua. Tengmalmi. Retzii Fauna suecica. P. I. pag. 86. 

Der rauchfufsige Kauz. Bechstein ornith. Taschenb. T. I. S. 57. nr. 12. 

Strix passerina dasypus. Dessen gem. Naturgesch. Deutschl. B. 2, $, 371, und’ 
B. 4. zweiter Anhang. S. 829. 

Dessen Anhang zu Lathams allgemeiner Uebersicht der Vögel. S. 688. Var. A. 

Meyers Zoolog. Annalen I. S. 335. n, g. Var. A. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Kaffebraun ; auf ieder Schulterfeder ein weifser 


unregelmäfsiger Flek ; Bus bis an die Nägel stark befiedert; 85 


Zoll lang- 


Weibchen. 
nen , anf den Schulterfedern groisen weifsen Flecken; Halssei- 
ten, Unterleib und Gesicht weils, kaflebraun gellekt. 


Kaffebraun; auf dem Scheitel mit vielen klei- 


BESCHREIBUNG 


Oberschnabel auf‘ dem Rücken gelblich , an den Seiten 
schwärzlichgrün; Nasenlöcher rund, am Rande gelblich; Wachs- 
haut schwarzgrau, Nasenlôcher röhrenförmig angeschwollen, am 
_ Randegelblich;, Unterschnabel schwärzlichgrün, an der Spitze ab- 
wärts- ausgeschweift; am Grunde des Schnabels lange in Borsten 
sich endigende , vorwärts stehende, zerschlissene Federchen, Au- 
genstern schüttgelb ; Gesicht mit kaflebraunen, am Grunde‘ weis- 
sen, sehr zerschlissenen Federchen; Seiten der Stirn weils mit 
braunen Schaftstrichen; um das Gesicht ein Kreis von Kaffebrau- 
nen, hie und da klein weilsgeflekten, linienförmigen, flachen Fe- 
derchen ; Stirn kaffebraun , mit schmutzig weilsen kleinen Fle- 
cken; Scheitel, Nacken, Rücken und Schulterfedern kaffebraun, 
leztere im der Mitte mit einem unregelmälsigen weilsen Flecken; 
die erste. Schwungfeder von der Mitte an stark gezähnelt und wie 
die übrigen dunkelkaffebraun, auf der schmalen Fahne mit klei- 
nen, auf der breiten Fahne mit gröfsern weifsen, rundlichen Fle- 
cken; Schwanzfedern dunkelkaffebraum, auf der schmalen Fahne 
mit rundlichen kleinen, auf der breiten Fahne mit eben so vielen 
gröfßsern Flecken, die beiden mittlern Federn mit gleichgrofsen 
weilsen Flecken; Unterleib kaffebraun, Brust und Bauch mit gro— 
sen schmutzigweifsen Streifen; untere Dekfedern des Schwan- 
zes schmutzigweifs; Füße bis an die Nägel roströthlichweifs, stark 
befiedert, mit undeutlichen kleinen rostbraunen Flecken; Nägel 
krumm, schwarz, an der ersten und dritten Vorderzehe oben rund, 
an der zweiten fast dreieckig und an der innern Seite mit einem 
breiten scharfen Rande versehen. - | 
Die Flügelspitzen endigen sich einen kleinen Zoll vor der 
Schwanzspitze. 
Männchen. Länge 8X Zoll; Breite 1. Fufs 7. Zoll. 


Weibchen. Länge g£ Zoll; Breite r. Fufs 95 Zoll. Der 


s AUFENTHALT 


dieser Eule sind die Nadelhölzer. Sie bleibt das ganze lahr 
bei uns, und gehört also unter die deutschen Standvögel. 


Ce 


LA CHOUETTE PATTUE. 


Strix noctua. T'engmalmi. Retzii Faurra suecica. .P. I. pag. 86. 

Bechstein ornithol. T'aschenk Th. 1. P- H7ANT. 19, 

Strix passerina dasypus. Dessen gem. Naturgesch. Deutschl. B. 2. S. 371. 
und B. 4. zweiter Anhang S. 820. 

Dessen Anhang zu Lathams allgemeiner Uebersicht der Vögel. S. 688. Var. A. 

Meyers Zoolog. Annalen. I. S. 333. nr. 9. Var. A, 


Der rauchfüsige Kauz.. 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Mare. Couleur brun- café; sur chaque plume des épaules une 
tache blanche irrégulière. Les pieds fortement emplumés jusqu? 
aux serres. Longueur 8. pouces et A, 

Femelle. Couleur brun-cafle. Le sommet de la tête couvert 
de petites taches. blanches ; des taches de la même couleur aux 
plumes des épaules mais plus grandes. Les côtés du col, le dessous 
du corps et le visage blanes tachetés en brun- café. 


DESCRIPTION. 


La mandibule supérieure jaunâtre en dessus, brun noirâtre 
sur les côtés; les narines renflées en forme de tuyau sur les bords; 
la membrane de la base gris-noir; le mandibule inférieure brun 
noirälre recourbee en bas à la pointe; la base du bec entourée de 
petites plumes fendues dressées em avant et tournées en soies ou 
felets; l'iris jaune d'Avignon (citronorange); le visage garni de pe- 
ütes plumes très fendues ; couleur brun-caflé, blanches vers le bas : ; 
les côtés du front blarres avec des traits bruns sur les hampes des 
plumes; tout le tour du visage orné en cercle de petites plumes 
plattes,, lineaires, couleur brun-caffé, marquées par ci par là de 
petites taches blanches; le front brun-caffé avec de petites taches 

LÉ - \ a à 

d'un blanc sale; de sommet de la tête, la nuque, le manteau et 
les plumes des épaules brun-cafle; ces dernières ayant dans le 
Milieu une lache blanche irrégulière; la première penne des ailes 
fortement dentelée depuis le milieu et ainsi que les autres d’un 
brun-caffé foncé, garni sur le côté étroit de la barbe de petites ta- 
ches blanches, arrondies et sur le côté large de taches de la même 
forme et de la même couleur mais plus grandes; les pennes de la 
queue brun-caflé foncé; ornées sur le côté étroit de la barbe de 
six petites taches arrondies et sur le côté large d’un nombre pareil 
de taches, mais aussi plus grandes; les deux pennes du milieu or- 
nées de taches blanches tout aussi grandes; le dessus du corps 
brun-cafle ; la poitrine et le ventre marqués de grandes raies d’un 
blanc sale; les couvertures inférieures de la queue de la même 
couleur, les pieds blanc-rouille, jusqu’ aux serres et fortement em 
plumes avec une quantité de petites taches peu distinctes d’un rouge 
de rouille; les serres recaurbees, noires; le premier et Ie troisième 
des Es de devant ronds en dessus, Le second presque triangu- 
laire et garni du côté interne d’un bord lar ge et aigu. 

La pointe de la queue dépasse d’un peu moins d’un pouce 
celle des ailes. 

Mäle. Longueur 8. pouces et #.; envergure ı. pied, 7. pouces. 

Femelle. Longueur 9.pouces et $.; envergure 1.pied, 9. pou- 
ces et 3. 

PATRIE. 


Cette espece de chouette habite les forêts de sapins. Elle passe 
toute l’année chez nous et doit être par consequence comptée parmi 
les oiseaux sédentaires de l'Allemagne. 


EIGENSCHAFTEN. 


52, 


Sie ist-nicht.sehr wild. und scheu, sondern läfst sich leicht: 


zähmen und dann mit den Händen greifen und tragen. Ueber- 
haupt hat sie wenig Lebhaftigkeit und lange das stüirmende We- 
sen des Sperlingskauzes (Str. passerina) nicht, 


sehr stille. 


Bei Tage ist sie 
Ihre Stimme guk, guk, guk, guk, guk, die sie manch- 


mal zur Paarungszeit sechs Lis acht Minuten lang hören läfst, hat 


einen flötenartigen Ton, der aber doch durch die öftere Wieder- _ 


holung unangenehm wird. Ihre 
NAHRUNG 
bestehf aus Mäusen und. Vögeln. Von ihrer 


FORTPFLANZUNG. 


ist es nichts bekannt. 


NUTZEN 
süftet sie durch das WVegfangen der. Mäuse, und 


SCHADEN, 


. weil sie die Schneufse besucht und die in den Schlingen ge- 
fangenen Vögel wegfrifst. 


IAGD UND FANG 


Sie wird mit.der Flinte erlegt und zufällig in der Schneuße 
gefangen, 


ANMERKUNGEN. 


Die Ohröffnung bei dieser Eule ist grofs. Man sieht in der 
selben die Hälfte des Auges, nämlich den halben Stern und die 
Hälfte der undurchsichtigen Hornhaut unter einer feinen weilsen 
Haut liegen, die mit dem äufsern Rande des Ohrs verbunden ist 
ünd also die Scheidewand zwischen dem Auge und dem Ohr aus- 
‚macht. | 
Diese Eule ist aller Wahrscheinlichkeit nach eine beson- 
dere Art 
male, sondern auch noch durch die Farbenzeichnung des Schwan- 
zes und anderer 'I'heile merklich unterscheidet. Lezterer hat bei 
der Sirix passerina roströthlich weifse Querbänder und aufserdem 


eine eben so gefärbte Schwanzspitze, daim Gegentheil der rauch- 


, die sich nicht nur durch die oben angegebenen Merk- 


füfsige Kauz gar keine anders gefärbte Schwanzspitze hat. 
Das öftere Vorkommen dieses Vogels spricht wohl auch, 
däucht mir, für die Gewilsheit einer besondern Art, 


QUALITES. 


ent Auen 


Elle n’est ni sauvage ni farouche, mais elle se laisse aisement 
apprivoiser, on la prend dans les mains et on la porte où l’on 
veut. En général elle a peu de vivacité, et ra rien du caractère 
inquiet et emporté de la chevèche ( Strix passerina ). : 
jour elle se tient fort tranquille. 


Pendant le 
Son cri, guk, guk, guk, guk, 
qu'elle fait entendre quelquefois dans le tems de laccouplement 
pendant sept ou huit minutes a quelque chose de flute, cependant 
il devient désagréable par la répétition. 


NOURRITURE. à zmde ct 
Elle se nourrit de souris et d'oiseaux. dr bn à à 


PROPAGATION. 


Pour ce qui est de sa manière de se reproduire, nous ne 
saurions donner aucun détail à cet égard. 


I . "or 


UTILITÉ. 


Elle nous rend‘ service en detruisant un grand nombre de 
souris. 


‘DOMMAGE. 


Elle visite les chasses d'oiseaux et enlève ceux, qui y sont pris 
dans les lacets. 


\ 


MANIERE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE: 


On la tue au fusil. Quelque fois aussi on la prend dans les 
chasses, mais c’est toujours un hazard. 


REMARQUES. ee 


Cette chouette a l'ouverture de l'oreille très grande. On peut 
y voir dans lintérieur la moitié de l'oeil c’est à dire la’ moitié 
de l'iris et celle de la cornée opaque recouvertes d’une mem 
brane blanche et mince , qui se joint avec le bord intérieur de 
Voreille et qui sert par consequent de cloison entre cette partie de 
VPoeil. dE i 
Ce hibon a vraisembleblement une espèce partiouliöre, 
qui se distingue d’une manière très remarquable de la chouette 
commüne, non seulement par les caracieres que nous avons in- 
diqués ey-dessus mais encore par le dessin et les couleurs de la 
queue et d’autres parties La chouette ou petite chouette a en 
effet la queue ornée de bandes transversales d’un blanc rouille - 
et de plus la pointe de la queue teinte des mêmes couleurs, tandis 
qu’au contraire la chouette pattue n’oflre rien de particulier dans 
le dessin du bout dé la queue. 

Comme cet oiseau se voit fréquemment, on peut conclure, 
comme nous pensons, ayec assez de raison, qu’il fait une espèce 
parüculière. 


[ex 


DER SCHWARZSPECHT. 


Krähenspecht. Grofser Schwarzspecht. Holz- Lochkrähe. Baumhacker. 


Hohlkrähe und Holzgöcker (im Nürnbergischen. ) 
Picus martius, Linn. syst. nat. pag. 173. n.ı: 
Picns martius. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 424. nr. r: 
The greatest black Woodpecker. Penn. 
Le pic noir. Buffon. 
Der Schwarzspecht. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 34. 


Der Schwarzspecht. Teutsche Ornithol. Heft III. 

Der Schwarzspecht. Bechst. ornithol. Taschenb. T. I. |S. 60. nr. 1. 
—  — 
KENNZEICHEN DER ART. 

Schwarz; der Scheitel bis an den Hinterkopf hochkarmoisinroth. 


BESCHREIBUNG. 
Schnabel stark , kegelförmig , fünfkantig, an der Spitze 


Keilförmig zugeschärft, oben hornblau, an der Spitze dunkler, 
Seiten nebst dem Unterschnabel weils; Nasenlöcher mit vor- 
wärts stehenden Borsten bedekt; hinter dem Schnabelwinkel ein 
dreieckiger, kahler Flek; Augenstern weifsgelb ; Kopf länglich, 
grofs; die langen Federn am Hintertheil des Scheïtels und den 
Seiten des Kopfes stehen in die Höhe und legen sich mit ihren 


Spitzen so gegen einander, dafs der Hinterkopf eine fast kegelför- 


“mige und schmal zu laufende Haubengestalt bekommt; Scheitel 


von der Stirn bis an den Hinterkopf hochkarmoisinroth , mit 


chwarzgrauen 'Tupfen; der ganze übrige Körper schwarz, etwas 


‚glänzend, besonders am Kopfe; Schwanz gegabelt, unterwärts ge- 


krümmt', die Fahnen borstenartig, die Schäfte steif wie Fisch- 
bein ; Schienbeine zur Hälfte befiedert ; Füfse dunkel bleigrau, an 
dem Schuppenrande grünlich; Nägel eben so, sehr gekrümmt und 
spitzig. 

Die Flügelspitzen reichen etwas über die Mitte des Schwanzes. 

Länge 1. Fufs 5. Zoll; Breite 2. Fuls 53 Zoll. 

Bei dem vor uns befindlichen Weibchen , sind die schmalen 

Fahnen und Schäfte der Schwungfedern; und die langen Flügel- 
dekfedern schwarzbraun ; der ‘rothe Flek auf dem Scheitel ist 
kleiner. 
An einem Iungen den wir am 18. Tun. 1800. erhielten, war 
der Augenstern milchweils; die Füfse graublau, der ganze Leib 
grauschwarz, am Kinne am hellsten; der rothe Flek auf dem Schei- 
tel 1 2 Zoll lang, 1. Zoll breit, fing sich 17 Zoll von der Stirn an 
und zog sich etwas am Hinterkopfe hinab. An drei andern Iun- 
gen vom 50. Mai 1802. war der Augenstern grauweifs; Schnabel 
weifs, unten und an den Seiten ins Röthliche, oben ins Grauliche 
spielend; Sclmabelwinkel weifs, die nakte Haut um die Augen 
weifslich; die Füfse blaugrau, Nägel schwarzgrau; der Unterleib 
heller als der Oberleib. ; 

Das eine Exemplar, ein Männchen, hatte auf dem Scheitel ei- 
nen gröfsern rothen Flek als das andere, welches ein Weibchen 


war. Bei beiden fing der rothe Flek von der Stirn an. Sein 


AUFENTHALT 


ist in Chili und Europa. In Deutschland ist er ein Standvo- 
gel und selten. Er bewohnt gern gebirgige Wälder, welche aus 


Fohren, Tannen, Buchen und Eichen bestehen. 
s Dd 


LE PIC NOIR. 


Krähenspecht. Grofser Schwarzspecht. Holz-Loch-Krähe. Baumhacker. 
Hohlkrähe et Holzgöker (dans le pays de Nuremberg.) 

Picus marlius. Linn. syst. nat. pag. 173. n. 1. 

Picus martius. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. IL. p. 424. nr. 1. 

The greatest black Woodpecker. Penn, 

Le pie noir. Buflon. 

Der Schwarzspecht. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland Tab, 34. 

Der Schwarzspecht. Teutsche Ornithol. Heft IH. 

Der Schwarzspecht. Bechstein ornithol. Taschenb. Th. I, S, 60. nr, 1. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


| out noir à Fexception d’une bande cramoisi vif, qui va dusoms 
met jusqu’ au derrière de la tête. 


DESCRIPTION. 


Le bec fort, de figure conique, à cinq faces, et taillé en forme 
de coin à la pointe, bleu de corne en haut, d’une teinte plus foncée 
à la pointe, blanc sur les côtés ainsi que la mandibule inférieure, 
les narines couvertes de !soies, qui se dirigent en avant; derrière 
l'angle du-bec une tache triangulaire et sans plumes; l'iris jaune 
blanc; la tête grosse et allongée, les longues plumes de la partie 
postérieure du sommet de la tête et des côtés redressées et telle- 
ment appliquées par la pointe les unes contre les autres, que cela 
donne au derrière de la tête la forme d’un chaperon presque co- 
nique et qui va toujours en se retracissant; le sommet de la tête 
depuis le front jusques sur le derrière d’un cramoisi vif pointillé 
de gris noir; tout le reste du corps d’un noir un peu lustré surtout 
à la tête; la queue fourchue recourbée en bas ; les barbes des plu- 
mes roides comme de soies; les hampes aussi fermes, que de la 
baleine; les jambes emplumées jusqu’ à la moitié.de leur longueur ; 
tarses couleur de plomb foncé ‘et noirâtres , à leurs bords écail- 
leux; les ongles très crochus et très aigus. 

La pointe des ailes va à peu près jusqu’ au milieu de la queue. 

Longueur 1. pied 5. pouces , envergure 2. pieds, 5. pouces 
et x 

Quant à la femelle que nous avons sous les yeux, elle a le côté 
étroit de la barbe et les hampes des pennes des ailes, ainsi que les 
longues couvertures des ailes d’un. brun-noir et la tache rouge du 
sommet de latête est plus petite. 

Un petit, qu'on nous apporta le 18. Tuin 1800. avoit l'iris d’un 
blanc de lait; les pieds bleu-gris, et tout le corps d’un noir cen- 
dré plus clair au menton que par tout ailleurs. La tache rouge du 
sommet de la tete avoit 1. pouce et. de long et 1. pouce de large; 
elle prenoit son origine à la distance de 1. pouce et # du front et 
se’ prolongeoit un peu sur le derrière de la tête. — Trois autres pe- 
tits qu’on nous apporta le 50. Mai 1802. avoient l'iris d’un blanc 
grisätre, le bec blanc avec un chatoyement rougâtre sur les côtés 
et grisätre en dessus, les angles du bec blancs, la membrane nue 
autoux des yeux blanchâtre; les pieds gris-bleu; les ongles gris- 
noir; et le ventre plus clair, que le dessus du corps. 

L’un des deux qui étoit un mäle avoit la tache rouge du som- 
met de la tête plus grande que l’autre qui étoit une femelle. Chez 
lun et Pauire cette tache commençoit au front. 


PATRIE. 


La patrie estle Chili et l'Europe. On le compte parmi les 
oiseaux sedentaires de PAllemagne, où du reste il n’est ‘pas com- 
mun. Il habite de préférence les forêts montagneuses plantees de 
passes, de sapins, de hêtres et de chênes. 


mn 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein sehr scheuer, schlauer und zänkischer Vogel, und 
übertrift in diesen Eigenschaften mehrere seiner Artverwandten. 
Sein Flug ist bogenförmig, von kurzer Dauer und mit lauten Fli- 
gelschlägen begleitet, zuweilen hoch, inzwischen aber doch sehr 
geschwind. Er hat, wie alle eigentlichen Spechte, die Gewohn- 
heit, von oben herab zu fliegen, heftig unten an den Stamm zu 
fallen, sich augenbliklich mit seinen sehr krummen ; spitzigen 
Nägeln an die Rinde zu hängen, und dann den Lauf spiralförmig 
um den Stamm herum zu beginnen. Dieser Lauf wird unter öf- 
term starken Klopfen mit dem Schnabel an die Rinde — wenn er 
wicht gestört wird, — so lange fortgesezt, bis er die Spitze des 
Stammes erreicht hat. Iezt wirft er sich von neuem herunter und 
macht an einem andern Baum den nämlichen Gang. 

Hiebei kommen ihm nicht nur seine Zehen, deren vordere 
@wei auswärts, die hintern zwei aber einwärts gerichtet sind, son- 
dern auch sein, nach der Spitze unterwärts gerichteter, mit Fisch- 
beinartigen Schäften und steifen borstenartigen Fahnen versehe- 
ner, ‚Schwanz treflich zu statien. Er klettert also nicht herab, und 
sizt auch gewöhnlich nicht auf den Aesten wie andere Vögel, son- 
dern hängt an dem Stamme. In.dieser Lage schlafen sie vielleicht 
auch; wenigstens bemerkten wir dies bei mehrern Iungen, die wir 
im Käfig hatten, Mit seinem starken Kopf und Schnabel meiselr 
er in wenigen Stunden ein grofses Loch in einen angefaulten Baum, 
Seine Hiebe führt er dabei so kräftig, dafs man deren Schall in 
einer ziemlichen Entfernung hört. Der Grund seines Klopfens ist 
kein anderer, als dadurch die Insekten, welche unter der Rinde 
verborgen sind, in Furcht zu setzen, hervor zu iagen, und sie daun 
mit seiner langen wurmförmigen, vorne mit Widerhaken verse- 
henen, Zunge, 'die noch dazu mit einem klebrigen Schleim be- 
schmieret ist, weg zu nehmen. 

Seine Stimme gut, gut, gik, gik, gik, gik, ist sehr laut. Er läfst 
sie so wohl im Fluge als auch während er klettert, hören. Die 
Tungen lassen sich leicht zähmen. 
| NAHRUNG. | 

Sie besteht ans verschiedenen Insekten, und ihren Larven, die 
sich unter der Baumrinde aufhalten. Er besucht auch die Hum- 
mel- und Wespennester und nimmt die Larven und Puppen her- 
aus. Vorzüglich gern frifst er Ameisen und ihre Puppen. Er 
strekt seine lange klebrige Zunge in die Ameiserihaufen, die Amei- 
sen hängen sich.daran und werden sogleich gefangen und verzehrt. 


Auch seine lungen füttert er mit Ameisen. 
FORTPFLANZUNG. 
Er nistei in die Baumlöcher der Buchen, Eichen und Fohren, 
die er entweder selbst macht, oder schon fertig findet, Das Nest 
ist schlecht gebaut und besteht nur aus wenigem Moos, welches er 


auf das Holzmehl sireut. Das Weibchen legt drei, selten vier, weils- 
glänzende Eier, die in drei bis vier W ochen ausgebrütet werden. 


NUTZEN 


Sein Fleisch soll nach der Versicherung der Verf. der Teut- 
schen Ornithologie einen widerlichen Gerüch und Geschmak ha- 
ben. Wir können diesem Urtheil nicht, wohl aber dem Bech- 
stein’schen beitreten, da wir das Fleisch der ausgewachsenen Tun- 
‚gen in Essig gelegt und gebraten, sehr schmakhaft finden. Aus- 
Serdem.-wird-er noch dadurch nüzlich, dafs er eine grofse Menge 


schädlicher Insekten vertilget Auch soll er, wenn er stark und 


QUALITES. 


C'est un oiseau sauvage, rusé et querelleur , et il l'emporte 
à cet égard sur tous les autres pics. Son vol est sinueux, court, 
accompagné d’un battement d’ailes assez fort , quelque fois élève 
et dn reste toujours très rapide. Il a ainsi que tous les pics pro- 
prement dits la coutume de voler de haut en bas, de se läneer avec 
violence vers le bas des troncs, puis de se cramponner‘inconti- 
nent à l'écorce avec ses ongles, qui sont très crochus ettrès a- 
ceres, et de commencer à grimper en spirale tout autour duironc. 
Si rien ne vient l’interrompre il continue ce manege en frappant 
fortement l'écorce de son bec à coups réitéres, jusqu” à ce qu'l 
soit parvenu au haut du tronc. Alors il se précipite de nouveau 
du haut de l'arbre et va faire le même manege sur quelque autre, 
Non seulement il se sert pour cela de ses serres, dont les deux 
antérieures se dirigent en dehors et les deux postérieures en de- 
dans, mais il s’aide encore admirablement bien de sa queue, qui 
dirigée en bas et garnie de plumes dont les hampes ont la fermeté 
de la baleine et dont les barbes sont roides, comme des soies, 
Aussi ne descend-il point ie long des arbres, et n’aime-t-il point 
à se percher sur les-branches comme les autres oiseaux, mais il 
se cramponne aux troncs et s’y tient suspendu. Peut-être [même 
dort-il dans cette attitude ; au moins Pavons-nous remarqué chez 
plusieurs petits de cette espèce, que nous avions tenu én cage. 
Cet oiseau a la tête et le bec si forts, qu’il ne lui faut que quelques 
heures pour faire de grands trous dans les troncs des arbres qui 
commencent à pourrir. Les coups, qu’il leur porte sont si ener- 
giques, qu’on peut entendre le bruit à une distance assez consi- 
derable. Le but qu'il se propose en frappant ainsi les troncs, c’est 
d’effrayer les insectes qui sont cachés sous l’écorce, de les forcer 
à sortir et de s’en emparer avec sa langue, qui est longue, de for- 
me vermiculaire, munie sur le devant de crochets en hamecons, 
et recouverte par outre d’un suc visqueux. 

S’on cri gut, gut, gik, gik, gik, gik, est très éclatant. 
N le fait entendre soit en volant, soit en grimpant le long des ar- 
bres. Les petits s’apprivoisent aisément. 


NOURRITURE. 


Il se nourrit de divers insectes qui se tiennent sous l'écorce 
dés arbres et de leurs larves. Il visite aussi les nids de frelons et 
de guëpes et en enléve les larves et les chrysalides; mais ce sont 
surtout les fourmis et leurs oeufs qu’il aime de préférence. Iletend 
dans les fourmillières sa langue qui est longue et visqueuse. Les 
fourmis s’y attachent etsont à l'instant prises et avalées. Elles ser- 
vent aussi de nourriture aux petits. 


PROPAGATION. 5 


Il fait son nid dans les trous des arbres, tels que les hètres, 
les chènes et les pesses, soit qu’il fasse lui-même ces trous à coups 
de bec, soit qu’il les trouve deja tous faits. Ces nids sont gros- 
sièrement construits et ne consistent qu’en petits brins de mousse 
que l’oiseau étend sur la poussière du bois. La femelle y pond 
trois oeufs, plus rarement quatre d’un blanc brillant. Le couve- 
ment dure de trois à quatre semaines. 


UTILITÉ, 


La chair de cet oiseau, à ce qu’assure l’auteur de ’Ornitho- 
logie allemande a une odeur et un gout désagréable. Nous ne 
saurions souscrire à ce jugement, mais bien à ce que dit Monsieur 
Bechstein, que les petits, lorsqu'ils sont deja grands , mis au vi- 
naigre et rôtis, sont un excellent manger, comme nous le savons 
par l'expérience. Cet oiseau nous est encore très utile, en nous 
débarassant d’une foule d'insectes nuisibles. Enfin son cri, lors- 


wiederholt schreit, (siehe Teutsche Ornithologie,) 20. bis 30. Stun- 
den vorher Regenwetter, verkündigen. 


Le 


SCHADEN 


stiftet er genauen Erfahrungen zu folge, gar nicht. Denn dafs 


Man 
‚wird allemal finden, dafs ein Baum in welchen ein Schwarzspecht 


er Löcher in gesunde Bäume machen sollte, ist nicht wahr: 


‚ein Loch gemacht hat, wenn er auch äufserlich noch so schön aus- 
Woher dies der 

Schwarzspecht weifs? Wahrscheinlich erstlich daher , 
“ganz gesunden Bäumen, wenig oder gar keine Insekten sich fin- 
den; zweitens durch seinen feinen Geruch, der die moderigen Aus- 


“dünstungen eines faulen von denen eines gesunden Baums wohl 


sah , doch inwendig einen faulen Kern hat. 


weil an 


‘zu unterscheiden weifs; endlich scheint er es auch durch den bei 

seinem Klopfen entstehenden Schall zu erkennen, der wahrschein- 
‚lich bei einem angefaulien Baum, anders und dumpfer lautet, als 
‚bei einem gesunden, 


FEINDE 


haben seine Jungen an dem Wiesel, Marder, Iltis, der wilden 
Katze, Eule und andern Raubthieren. Läuse und Milben (Acarus), 
besonders Zangenläuse (Ricinus), sollen ihn auch sehr plagen, die 
wir aber an zehn, theils alten, theils iungen Exemplaren nicht be- 


merkten. 


IAGD UND FANG. 


Es ist ihm schwer, und nur, wenn man wohl verstekt ist, in 
“der Nähe seines Nestes mit der Flinte beizukommen. Er erfor- 


Wahrscheinlich zu- 


fällig, wurde im Nürnbergischen ein Schwarzspecht in der Schneus- 


dert einen geübten und geschwinden Jäger. 
se gefangen. Mit starken Schlingen, die man vor den Eingang 
seines Nestes legt, soll man seiner ebenfalls habhaft werden kön- 
nen. Wir stekten einmal Leimruthen um dem Eingang des Ne- 
‘stes. Der Schwarzspecht nahm sich sehr in acht sie nicht zu be- 
rühren, bog sie mit dem Schnabel um, und suchte zwischen den- 
selben durchzukommen , und als demumngeachtet eine an seinem 
Rücken hängen blieb, streifte er sie am Rande des Loches ab, Als 
nun der Eingang von unten und an den Seiten mit Leimruthen noch 
mehr versperrt wurde, ging er von der obern offen gelassenen Sei- 
te hinein. Nach der Versicherung einiger läger, soll man sich 
ihm mit der Flinte ‚dadurch schufsmäfsig nahen können, wenn man 
auf den 


sich wie,ein: Betrunkener stellt ,. hin und her taumelt, 


Boden: fällt etc. „ und dann unvermuthet auf den Specht ,„ der auf 


diese Bewegungen sehr aufmerksam ist, die Flinte abdrükt. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Man findet auch Schwarzspechte 
1 mit ganz schwarzem Kopfe; 
9, mit einzelnen, weifsen Bauch- und Seitenfedern ; 
3. mit tief in den Nacken herablaufenden roihen Scheitelfe= 
dern, die im Nacken orangefarbig werden. 


4. mit durchgehends orangegelber Kopflarbe. 


ANMERKUNGEN. 


Auch dieser Specht hat den an der Zunge befindlichen kleb- 
rigen Schleim nicht in der Zur genscheide, sondern wie der Grün- 
specht, in zwei Schleimdrüsen. Sie fangen daan, wo das Ende 
der Kinnladen in den Schedel eingefügt ist, und reichen also nicht 
Sie sind 


wie beim Grünspecht, über die Einfügung hinaus. 


55 


Be 


qu’il est fort et répété, nous annonce la-pluie vingt ou trente hett= 
res d'avance, à ce que dit l’ornithologie allemande, 


DOMMAGE. 


Si l’on en croit une expérience irröfregable, il ne nous cause 
aucun dommage; car c’est une erreur que de croire qu’il fasse des 
trous dans les arbres fsains; car quelque beau que soit en appa- 
rence tout arbre où un pic noir a fait un trou, si on l’examine 
avec soin, on en trouvera le coeur attaque. Mais doù ee 
que le pie noir sait donc cela? Probablement par ce qu’un arbre 
sain ne recele que peu ou point d'insectes, et que cet oiseau grace 
à la finesse de son odorat distingue fort bien les exhalations feti- 
des d’un. arbre pourri de celles d’un arbre’ qui ne l’est pas; peut 
être aussi cela est très vraisemblable, que le son qui fait rendre à 
l'arbre en le frappant et qui a quelque chose de particulier et de 
plus creux, quand le tronc est pourri, que quand il est sain , sert 
à Je lui faire reconnolire. 


ENNEMIS. 


Ses petits ont pour ennemis la belette, la martre, le putois; 
le chat sauvage, le hibou et autres animaux carnacieres. - On pré- 
tend aussi, qu'il est tourmente par les poux, les mites, (Acarus L.,), 
et surtout par une espèce d'insectes que les [allemands appellent 
Zangenlaus, (Ricinus L.) c. à. d. poux à pinces. Cependant quoi- 
que nous ayons examiné avec soin dix individus de cette espèce 


tant jeunes que vieux, nous n’y avons jamais rien vü de semblable, 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


N est extrömement difficile de approcher avec le fusil, quand 
il est dans le voisinage de son nid, et il faut pour cela se cacher 
avec beaucoup de soin. Il n’y a qu’un chasseur alerte et exercé, 
qui puisse y parvenir. C’est probablement par hazard que dans 
le pays de Nuremberg on a pris une fois un de ces oiseaux dans 
les lacets qu’on tend le long des sentiers pratiqués pour cela dans 
les buissons. On assure qu’on peut aussi le prendre avec de forts 
lacets, qu’on place devant lentrée de son nid. Ayant mis une 
fois des gluaux dans un endroit pareil, nous vimes le pic noir s’en 
approcher d’un air de défiance, n’y toucher qu’ avec beaucoup de 
précautions, les écarter avec le bec, et chercher à passer au travers. 
Il ne put empecher cependant qu’un de ces gluaux ne restät collé 
à son dos, mais il s’en debarassa en se frottant contre le bord de 
son trou. Nous enfermämes ensuite plus exactement l'entrée en 
bas et sur les côtés, mais il y entra par le haut, 
laissé un libre accès. 


où nous ayions 
On peut cependant à ce que nous ont assuré 
quelques chasseurs, s'approcher de cet oiseau, jusqu’ à la portée 
du fusil en contrefaissant l’homme ivre, en chancelant tantôt d’un 
côté, tantôt de l’autre, en se laissant tomber à terre eic., et en 
A \ 5. 3 , Le is ss ° 77 
lächaut à l’improviste son coup au pic noir, qui considére avec 
beaucoup d'attention tous ces mouyemens, 


VARIÉTÉS. 


On trouve diverses variétés du pic noir. 

La tete toute noire. 

. Quelques plumes blanches au ventre et sur les flancs. 

: Les plumes rouges du sommet de la tête descendant jusqu’ 


au bas de là nuque et y prenant une couleur orange. 
. Toute la tête couleur orange. 


eb m 


= 


REMARQUES. 


Cet oiseau n’a point ’humeur visqueux dont sa langue est 
enduite, contenue dans la gaîne ou fourreau de la langue, mais 
ainsi que le pic-vert, dans deux glandes où se fait la sécrétion de 
cette humeur. Ces glandes commencent à l’endroit où l’éxtrémité 


.Weïfslich hinten am Ende zugerundet, und mit einem Muskel 


‘chen der klebrige Schleim. in die untere- Kinnlade quillt.. 


versehen , der ungefähr über der Mitte derselben breiter, die 
Drüse hingegen: schmäler und sichelfôrmig wird; und laufen zu 
beiden Seiten des. Unterkiefers. bis zur Vereinigung des. leztern. 
fort. Iede dieser Schleimdrüsen hat 7.. bis 8. Löcher, aus wel- 
“ Das: 
Zungenbein: endigte sich. bei den: oben angeführten. lungen: nahe: 
an der Mitte des Scheitels. Man sah keine Spur. von: einer Rinne- 


wie beim Grünspecht , auch keine Höle in. der rechten.Seite des: 


_ wäre.. 


‘tels durch ein. Häutchen: vereinigt, 
“magen, der aufgeblasen,, die Gröfse einer Wallnufs hat 
» weiter ist, als der Magen selbst.. 


Magen eines Iungen: fanden: wir zerstückelte; Ameisen 


Oberschnabels , die zur Aufnahme des: Zungenbeins, bestimmt. 
Beide Theile desselben; waren: hinten: am: Anfang des Schei— 
Der. Magen.hat einen. Vor-- 
>; und, 
Wir bemerkten,. wenn: der Al-- 
te seine lungen. fütterte ,. niemals. eine Speise: in dem. Schnabel 

auch. blieb. er: allemal: eine geraume- Zeit in: dem: Neste.. Viel- 
leicht füttert er also seine Jungen. aus diesem Vormagen:. In dem. 


Bei drei lungen, die wir aus einem. Neste erhielten, bemerk-- 


-ten wir an. der Spitze des. Oberschnabels einen schr weifsen er- 


.habenen Punkt: — den.wir auch an drei iungen Rabenkrähen sa- 


„ben — ; 


der übrige "Theil des Schnabels: war weifs, spielte untem 


“und an den Seiten ins Röthliche, auf dem Oberschnabel ins Graue; 


3sezt.. 


der Schnabelwinkel. war. weils , die nakte Haut um die Augen 
weifshch „ der Augenliederrand war mit. kurzen: Federchen be- 


Nach. emigen. Wochen war der weilse Punkt an der Schna- 


“belspitze verschwurden, und der übrige Theil des Schnabels hatte 
‚mehr bläuliche Farbe.. 


An. einem alten. Männchen: vom 3. Noy: 1798. bemerkten wir,, 


dafs es. blofs am Hinterkopfe schöne karinoisinrothie Federn hatte,. 


'neration. des Schnabels.. 
‘ein. Männchen, das in der Mauser. war. 


übrigens in. der Mauser war. 
Bei dem Schwarzspecht beobachteten: wir: auch eine Rege-- 
Wir: erhielten: 1797. den. 14. September 


Beim. Ausbalgen: ging der 


"Schnabel mit leichter Mühe: wie eine Selieide- von: dem darunier 


befindlichen. neuen: Schnabel. herab.. Er war eben so hart wie der 
abgezogene.. Die Nasenborsten:waren: nicht an der Scheide oder- 
dem äufsern: Schnabel angewachsen, sondern. an dem neuen in- 
nern, der: alte aber war an: dieser Stelle ausgeschnitten, und von: 
den:Haaren: abgelôset: Fast scheint es, als wenn: dieser Vogel 
vielleicht. bei der ersten. Mauser, auch mit den Federn den Schna- 


bel. wechselt. 


Schlüfslich. wollen wir uns noch gegen: den: Tadel, den etwa: 
ein- Beurtheiler. über die Gestalt des. Kopfes die von.andern Ab- 
bildungen so sehr abweicht,. voraus: verwahren... Wir glauben in- 
unserer: Abbildung des. Kopfes. die Natur; in ienen die Kunst. zu. 
finden.. | 


56 


\ 


du menton s’enchässe dans le crâne, et par consequent ne s’éten= 
dant point comme dans le pic-vert'au delà dé cette place. Elles 
sont blanchätres, arrondies à l’éxtrêmité postérieure et pourvues 
d’un muscle, qui s’elargit un peu au delà du milieu de la glande 
qui au contraire se rétracit él se recourbe en forme de faucille. Ces 
glandes s'étendent le long de la mandibule inférieure des deux côtés 
jusqu au point de réunion des deux branches’ de’ cette mandibule. 
Chacune de ces: glandes est percée’ de‘éept'à huit trous par où 
suinte lhumeur visqueux qui passe de là dans: la mandibule infé- 
rieure.. Dans les petits dont nous ayons-parlé plus haut Pos hyoide 
se terminoit à peu pres vers le milieu, de la tête: On: n’y voyoit 
aucune trace de Ja goutliere qu’on remarque dans le pic-vert, mi 

aucune cavité placée sur le: côté droit de la mandibule supérieure 
et destinée à recevoir Pos: hyoide: Les deux parties de cet os: 
étoient réunies par une membrane sur le derrière à l’endroit où 
commence le sommet de la tete. L’estomac est pourvu d’une po- 


-che antérieure, qui lorsqu'on la gonfle en y souflant peut avoir 


la grosseur: d’une noie, et à plus de capacité que Pestomae même, 
Lorsque le père nourrissoit. ses petits on ne voyoit point qu’il leurs. 
portät la bequée , il restoit même très long. tems dans le nid: I 
est donc probable, que de cette poche placée au devant de Vesto-- 


mac, que sort la nourriture qu’il donne à ses petits, Nous-avons 


‘et qui étoit aussi dur; que le premier. 


trouvé une fois dans l’estomac d’un. de ces petits des fourmis tou- 
tes mises en menus morceaux: 

Trois petits d’un même nid; qu’on nous avoit apportés, nous: 
affrirent. une particularité remarquable. En les examinant avec 


attention nous ;vimes à la pointe de la mandibule supérieure un 


point saillant très blanc; tels’que nous en avons. deja vü au bec de 


rois jeunes corneilles.. Le reste du. bec étant blanc avec une teinte 
rougeätre en dessous et sur les côtés, et grisätre à la: mandibule 
supérieure ;: l’angle du bec étoit blanc; la membrane nue qui est 
autour des yeux blanchätre, et le bord des paupières garni de pe-- 
‚tites plumes eourtes. Au bout de quelques semaines le point blanc 
danc nous venons de parler avoit disparu et le reste we bec avoit: 
pris une couleur plus bleuätre:. 

Onnous apporta le 5..de Novembre 1798. un vieux mâle qui 
n’âyoit les belles plumes cramoisi dont la tête de cet oiseau est ornée, 
que sur le derrière; du reste il:étoit em pleine mue. 

Nous avons aussi observé dans le pic noir. une régéneration du 
bec: On nous apporta le 14. de Septembre 1797. un mäle qui muoit. 
Comme il se debattoit, on vit son bec se détacher sans eflort et: 
laisser à découvert un nouveau bec, au quel il servoit de fourreau, 
Les soies’ du nez n’etoient 
point implantées. dans: ce: fourreau ou. bec extérieur , mais dans 
l'intérieur: - Le- premieravoit une echanerure à cette placé et ne 
ténoit. plus la partie emplumée dela tête: Ne: seroit-on pas tenté 
de croire que cet oiseau peut-être à sa premiere mue change de 
bec comme de plumes ? 

Avant de finir; nous'croyons devoir répondre d’ayance au re- 
proche que nous feront peut-être quelques: critiques. d’avoir donné 
à la tête de notre pic noir. une forme si différente de celle qu’on 
lui donne communément. I nous suffira de dire, que les figures 
qu'on en à données jusqu’ ici sont Pimitation de Part, tandis que- 
pour. le notre nous n'avons consulte que la Nature. 


DER BANDSPECHT. 


Grofser Buntspecht. | Grofser Rothspecht.  Elsterspecht. Schwarz- und 
-weißsbunter Baumhacker. Rothspecht (im Nürnberg.) Flickerspecht 
(im Fränkischen. ) 

Picus maior. Linn. syst. nat. pag. 176. nr. 17. 

Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. II. pag. 436. nr. 17. 

The greater spotted Woodpecker. Penn, 

Le pie varié. Buffon, 

Der Buntspecht. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 36, 

Buntspecht. Bechstein ornith. Taschenb. Th. I. S. 63, nr, 4, 


Picus maior. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Kopf und Oberleib schwarz und weifsbunt; Hin- 
terkopf mit einem’ karmoisinvothen Bande; der Schnabel stark. 

Weibchen. Hinterkopf schwarz, Kehle- und Brustfarbe hel- 
ler, Stirn gelbbrauner und weniger Rothes am Steilse. 


BESCHREIBUNG, 


Oberschnabel fünfeckig, Unterschnabel abgerundet, beide an 
der Spitze keilförmig; oben und unten dunkelbleifarbig, an der Spitze 
schwärzlich; Nasenlöcher eirund; mit schwarzen krummen Bor- 
sten bedekt; Augenstern roth; die nakte Haut um die Augen grau- 
schwärzlich ; Augenrand mit weifsen Federchen besezt; Stirn gelb- 
braun ; Scheitel schwarz ins Stahlblaue spielend; am Hinterkopfe 
‚eine breite karmoisinrothe Querbinde;: Augen- und Ohrgegend sil- 
berweifs; von dem Grunde des Unterschnabels läuft ein schwar- 
zer breiter Streifen sichelförmigauf die Brust herab ; ‚Seiten des 
Halses schwarz, mit einem silberweifsen grofsen länglichen Quer- 
lecken; Nacken schwarz; Ober- und’ Mittelrücken schwarz und 
wie der Nacken ins Stahlblaue spielend; die obern und vor- 
dern Dekfedern der Flügel schwarz, mit geringerm stahlblauem 
Glanze ; hintere Dek- und Schulterfedern weils; Schwungfedern 
bräunlichschwarz, auf der breiten Fahne mit vier, die erste nur 
mit zwei runden weilsen Flecken ‚' auf der schmalen Fahne mit 
einem Längsllek; die zweite bis zur sechsten auf der schmalen Fah- 
ne mit fünf, fast viereckigen, die übrigen mit vier und drei rund- 
lichen, weißsen Flecken; Schwanz nach unten gebogen, gegabelt 
und gespizt; die drei ersten Federn bis über die Hälfte matischwarz, 
gegen das Ende schmutzigweils , 'mitllere ganz schwarz; Unter- 


hals weifs; Brust und Bauch schmützig röthlichweifs; Steifs und 


untere Dekfedern des Schwanzes karmoisinroth ; Fülse blaugrau, 


Nägel hornfarbig. 
| Die Flügelspitzen reichen etwas über die Mitte des Schwan- 
zes hinaus. 
Länge 9. Zoll; Breite 16. Zoll. 
AUFENTHALT. 

Er lebt in dem nördlichen Amerika, im asiatischen Rufs- 
land und Europa. In Deutschland ist er ein Standvogel. Er 
wohnt vorzüglich gern in Laubhölzern , oder solchen, die mit 
Tiefe grofse Wälder liebt er 
In leztere 


Nadelhôlzern durehwachsen sind. 
nicht, mehr die Vorwälder, Feldhölzer und Gärten. 
kommt er gern im Winter. Im August streicht er herum. 


Ber 


LE PIC VARIE 


Grofser Buntspecht. |Grofser Rolhspecht. 
weilsbunter Baumhacker. 
ekerspecht. (en Franconie.) 

Piens imaior. "Linn. syst. nat. pag. 176. n. 17: 

Picus maior.  Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P. II. p. 436. nr. 17. 

The greater spotted Woodpecker. Penn. 

Le pic varié, Buflon. 

Der Buntspecht, Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland Tab, 36. 

Buntspecht. Bechstein ornithol. Taschenb. Th. I. S. 63.nr. 4, 


Elsterspecht. Schwarz - und 
Rothspecht ( pays de Nuremberg.) Fli- 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


M äle. La tete et le dessus du corps varié de noir et de blanc, la 
tete ornée sur le derrière d’une bande cramoisi, le bec fort. 

Femelle. Le derrière de la tête noir; la gorge et la poitrine 
d’une couleur plus claire, le front brun jaune; un peu moins de 
rouge au croupion, 


DESCRIPTION. 


La mandibule supérieure quinquangulaire; Pinferieure arron- 
die, l’une et Pautre cunéiforme à la pointe; couleur foncée de 
plomb en dessus et dessous, noirätres à la pointe; les narines ova= 
les recouvertes de soies noires et recourbées ; l'iris de l'oeil rouge ; 
la membrane nue autour des yeux, gris-noirätre, le bord des yeux 
garni des petites plumes blanches; le front brun jaunätre; lesom-. 
met de la tête noir mué de bleu d'acier; sur le derrière de la tête 
une large bande transversale cramoisi ; la région des yeux et des 
oreilles blanc d’argent; une large raie noire en forme de faucille 


 déscendant de la base de la mandibule inférieure jusques sur la 


poitrine; les côtés du col avec une grande tache transversale de 
forme allongée couleur blanc d'argent; la nuque noire; le haut et 
le milieu du manteau noirs nués ainsi que la nuque de bleu d’acier; 
les couvertures supérieures et antérieures des ailes noires ayecun 
lustre bleu d'acier moins décidé; les couvertures postérieures et 
les plumes des épaules blanches; les pennes des ailes noir-brunätre 
ornées sur le côté large de la barbe de quatre taches rondes, de 
couleur blanche, à l’exception de la première, qui n’en a que deux, 
et sur le côté étroit une seule tache longuetudinale de la même cou- 
leur; la seconde penne jusqu’ à la sixième inclusivement ornées sur 
le côté étroit de la barbe de cinq taches blanches presque carrées ; 
tandis que les autres n’en sont que trois ou quatre de forme arron- 
die; la queue recourbée en bas, fourchue et pointue; les trois pre- 
micres pennes de la queue noir mat jusqu’ un’peu au delà de la 
moitié de leur longueur, d’un blanc sale, vers la pointe, celles du 
milieu toutes noires; le bas du col blanc; la poitrine et le ventre 
d’un blaric: sale et rougeätre; le croupion et les couvertures infé- 
ricures de la queue cramoisi; les pieds gris bleu; les ongles cou- 
leur de corne. : 
Les ailes vont ün peu au delà dela moitie de la queue. 
Longueur 9. pouces, envergure 1. pied, 4. pouces. 


PATRIE. 


Cet oiseau vit dans l’Amerique septentrionale, dans la Rus- 
sie asiatique et en Europe. Il est sédéntaire en Allemagne. Il 
habite de préférence les bois à feuilles ou qui sont entrecoupes de 
bois de sapins. Il m’aime point les forêts vastes et profondes, il 
préfére les avant-bois; les bosquet entourés de champs, et les jar- 
dins qu’il visite volontiers en hiver. Dans le mois d’Août il erre 
ca et là dans les campagnes. 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist weniger scheu, als der Schwarzspecht, aber eben so 
zänkisch und bissig. Wir zogen 2. Junge auf, die einander durchs. 
Gitter beständig sehen konnten und sich öfters mit dem Schnabel 
pikten. Liefs man sie zusammen,, so fielen beide über einander 
her und zerzausten sich weidlich. Sieschliefen wie der Schwarz- 
specht hängend und stekten den Kopfund Schnabel in die Rü- 
ckenfedern. Sie hatten immer guten Appetit und frafsen geriebe- 
nes Brod mit Milch angefeuchtet und mit Ameisenpuppen bestreut, 
Das Klettern ‘ging, fast den ganzen: Tag hindurch und rukweise. 
In ihrem Kopfe haben sie eine grofse Stärke. 
belhieben sind sieim Stande, eim ziemlich dickes: gläsernes Sauf- 


Mit einigen Schna- 


geschirr zu zerbrechen. 

Die Art, wie sie den Samen aus den Fohrenzapfen bringen, 
ist besonders merkwürdig. Sie hacken ein Loch in die Rinde, des- 
sen Weite der Gröfse der Zapfen angemessen ist. Hierauf klem- 
zaen sie den Zapfen auf der Stielseite in das Loch, stellen sich in 


einiger Entfernung, vor dasselbe und zerhacken die bekanntlich so. 


zähen Schuppen -des Zapfens so lange; bis sie keinen Samen mehr 
darin finden. Daher kommen die vielen Schuppen, die man öf- 
Auf eine ähnliche Art verfah- 
Finden sich nicht genug Spalten, 


ters unter Fohrenbäumen findet. 
ren sie mit den Haselnüssen.. 
die iust für die Gröfse der Haselnufs passen, so hedienen sich ei- 
Auf diese 
Arbeit ist er so erpicht, dafs er sich ziemlich nah kommen läfst. 


ner solchen Spalte von Zeit su Zeit mehrere Spechte. 


Er kann in kurzer Zeit einen Haselnufsstrauch leer machen. 

Sein. Geschrei läfst sich nicht wohl durch Schriftzeichen oder 
Worte ausdrücken. Der ähnlichste Ton möchte fast der Schall 
sein, welcher durch das Schlagen eines kleinen Hammers auf ei- 


nem Ambos entsteht. 
NAHRUNG. 

Sie besteht aus allerhand Insekten, z. B. Maikäfern, Mistkä- 
fern,, Heuschrecken, Bienen, Ameifen, und so viel sich aus dem. 
Geruch schliefsen läfst, auch der Cossusraupe, Fohren-und Fich- 


tensamen, Eicheln, Bucheckern, Haselnüsse. 


FORTPFLANZUNG. 


Ssin Nest macht er.im die Löcher der Bäume von allerhand 
Genist', oder das Weibchen legt seine 3. bis 6. weifslichen Eier 
auf das blofse Holzmehl. Die Iungen haben in dem ersten 
Herbste ihres. Alters auf dem Scheitel einen grosen rothen, 
fast viereckigen Flek, der den erstern fast völlig bedekt, dagegen 
fehlt ihnen die rothe Binde am Hinterkopfe ; die Schläfe sind 
schwärzlich grau; die Steifsfedern roth; der Oberschnabel grau- 
schwärzlich, der untere weißs; die Fülse bleifarbig , die Nägel 
grauschwärzlich. In.diesem Kleide sind sie leicht mit dem mitt— 
lern Buntspecht zu verwechseln. Sie unterscheiden sich von dem 
leztern aber durch die viereckige Gestalt des rothen Fleckes auf 
dem Scheitel, durch die lebhaftere Röthe desselben und der Af- 
terfedern. Leztere sind bei dem mittlern Buntspecht rosenroth; 
aufserdem hat dieser auch an den Seiten des Unterleibes schwärz- 


liche Striche, welche den iungen und alten grofsen Buntspechten 
gänzlich fehlen. 


NUTZEN 


stiftet er durch Vertilgung vieler Borkenkäfer. Auch schmekt 
sein Fleisch im Herbste und Winter sehr gut. 


58 


QUALITES. 


Quoiqu’un peu moins sauvage que le pie noir il est tout aussi 
querelleur et n’aime pas moins à mordre. Deux petits que nous 
avions elévé et qui pouvoient se ‘voir continuellement à travers la 
grille de leurs cages,se frappoient mutuellement du bec aussi sou- 
vent qu'ils le pouvoient. Les mettoit-on dans Ja même cage, ils 
se ruoient l’un sur l’autre et s’arracheient à qui mieux les plu- 
mes, Ils dormoient suspendus comme le pic noir la tête et le 
bec cachés sous les plumes du dos. Ils avoient toujours très bon 
appétit et mangeoient du pain rapé et humecté de lait sur lequel 
om rependoit des oeufs de fourmis. Ils étoient presque tout le 
Jour à grimper le long de leurs cages et par reprises. Is ont une 
si grande force dans la tête qu’ils sont en état de briser de quel. 
ques coups de bec un de ces godets de verre où l’on met du che- 
nevix pour les oiseaux et qui sont assez épais. La manière dont 
ils tirent la graine de la pesse d’entre les écailles de la pomme est 
trés curieuse. Ils font à coups de bec dans l'écorce d’un arbre 
quelconque un trou proportioné à la grosseur de la pomme. ls 
enfoncent. ensuite cette ponıme par le côté de Ja queue dans le trou 
qu'ils viennent de faire, se placent devant à une certaine distance, 
et travaillent à coups de bec sur les écailles de la pomme qui,com- 
me lon sait sont très réfractaires, jusqu’ à ce qu’ils les aient mi- 
ses en pieces, et aw’ils aïent retiré tous les grains qu’elle réceloient, 
C’est la raison pour la quelle on trouve souvent sous les pins tout 
le terrain jonché d’ecailles. C’est de la même manière qu’ils cas- 
sent les noisettes. S'il ne se trouve point un assez grand nombre 
de fentes, qui soient proportionées à la grosseur de noisettes, on 
voit plusieurs pics se servir alternativement de la même. Ce tra- 
vail fes absorbe tellement qu’on peut alors les approches d’ assez 
près. Ilne faut que peu de tems à un de ces pics pour dépouil- 
les tout un noisettier.. 

On ne sauroit rendre le cri de cet oiseau par des caractères 
ou par des mots, et lon ne peut les comparer qu'au son que rend 
un petit marteau sur une enclume. 

NOURRITURE. 

Cet oiseau se nourrit de toute espèce d'insectes, tels que han- 
netons, bouziers, sauterelles, abeilles, fourmis etc. et si l’on en 
juge d’après son odeur, aussi de la chenille du cossus. II mange 
en outre les graines de pesse et de pin, les glands, les faines et les 
noisettes. 

PROPAGATION. 

D construit son nid dans les trous des arbres de toute espèce 
de brins et de buchettes. Quelque fois même la femelle pond ses 
oeufs tout simplement sur cette poussière de bois qui se rassemble 
dans le creux des arbres gâtés. Ces oeufs au nombre de trois à 
six sont de couleur blanchâtre. : L'automne de la première année 
les petits ont sur le sommet de la tête une grande tache rouge pres- 
que carrée qui la couvre presque en entier; mais ils mont pas en- 
core la bande rouge du derrière de la tete; les temples sont d’un 
gris noirâtre ; les plumes du croupion rouges; la mandibule su- 
périeure du bec gris noirätre, l’inférieure blanche; les pieds cou- 
leur de plomb; les ongles gris roirätre. Dans cette livrée on peut 
aisement les confondre avec le pic varié moyen, dont ilsse di- 
stinguent au reste par la forme carrée de la tache rouge du som- 
met de la tête, et par le rouge plus vif, soit de cette tache, soit des 
plumes du croupion, qui dans le pic varié moyen sont rose. Ce 
dernier a en outre au bas du corps sur les flancs des traits noirätres, 
qui manquent entièrement au grand pic varié, à quelque âge, qu’on 


le prenne. 
> Fr 
UTILITE. 
Cet oiseau nous rend un service essentiel en detrnissant les 


dermestes des pins ( Dermesies typographus.) En automne et en 
hiver sa chair a un très bon goût. 


SCHADEN 
richtet er auf Haselnufssträuchern und an Bienenkörben an, 
wenn er den Bienen nachgeht, 


FEINDE 


hat er an den Milben, die ihn sehr plagen, und an den Kraz- 
würmern. (Echinorynchus Lin.) Uebrigens sind die Feinde des 
Schwarzspechts auch die seinigen. 


IAGD UND FANG. 


Man kann ihn leicht mit der Flinte erlegen. An den Spalten, 
wo er seine Nüsse öffnet, kann man ihn auch mit Schlingen von 
Rofshaaren fangen. 


VERSCHIEDENHEIT. 
a. Mit einer rostgelben Stirn und Kehle. Ein Weibchen. 
ANMERKUNGEN. 
In Absicht auf den Augenstern bemerkten wir eine Verschie- 
denheit. 
nem, und wieder andere mit blutrothem Augenstern. 


uns aber, dafs die rothe Farbe die bleibende sei. 
mit bläulichen Augen, wie sie Bechstein in seiner Naturge- 


Wir sahen nämlich mehrere Exemplare mit gelbbrau- 
Bandspechte 


schichte angibt, sahen wir zwar: allein dies waren immer solche, 
welche schon lange tod waren, bei welchem sich bekanntlich die 
eigentliche Farbe wegen der trüben bläulichen Hornhaut nicht 
mehr erkennen läfst. 

Die Iungen dieses Spechts haben ebenfalls an der Spitze des 
Oberschnabels den bei dem Schwarzspecht angegebenen weifsen 
erhabenen Punkt. Die Schleimdrüsen hat er mit dem Schwarz- 
specht und Grünspecht gemein. Auf dem Seheitelknochen ist eine 
längliche Erhöhung und an der Seite derselben eine Vertiefung, 
worin das Zungenbein läuft, welches sich aber schon bei der Stirn 


endigt. 


59 


Es scheint ° 


DOMMAGE, | 


Il dépouille les noisettiers et cause du degat dans les ruches 
en donnant la chasse aux abeilles. 


ENNEMIS. 


Il a pour ennemis les mites, qui le tourmentent extrêmement, 
et l’espèce d’insecte appellee Krazwürmer (Echinorynchus L.) Du 
reste les ennemis du pic noir sont aussi les siens. 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Il n’est pas difficile de le tuer au fusil; mais on peut le prendre 
en tendant des lacets de crins aupres de fentes, ou il casse ses noix. 


2 


VARIETE. 
1. Le front et la gorge jaune rouille. Femelle. 


REMARQUES. 


Nous avons remarqué une différence entre les individus de 
cette espèce relativement à l'iris de Poeil. Nous avons vu plusieurs 
echantillons, qui l’avoient d’un brun-jaune , tandis que chez d’au- 
tres il étoit d’un rouge de sang; mais nous avons lieu de croire 
que cetie-derniere couleur est la permanente. Nous avons aussi 
vu des pics variés avec des yeux bleuâtres, comme Bechstein dans 
son histoire naturelle assure qu’il y en a; mais ce n’est jamais que 
chez des individus morts depuis longtems, que nous avons observé 
cette couleur, celle qui leur est naturelle ne pouvant plus se distin- 
guer à cause de la couleur terne et bleuâtre de la cornée. 

Les petits de notre pic ont tout comme ceux du pic noir à la 
pointe de la mandibule supérieure ce point blanc et élévé, dont 
nous avons parlé plus haut. Il a aussi tout comme lui et comme le 
pic-vert le glandes destinées à la secrétion de l’humeur visqueuse, 
Il a sur l’os du sommet de la tête une eminence de forme allongée 
et sur le côté une cavité où s’articule l’os hyoide qui du reste se 
termine déja à la région du front. 


A ! L< 


DER BUCHFINK. 


Gättenfink. Pink. Wald-Schild-Roth-Dorp-Spreufink. 

Fringilla coelebs. Linn. syst. nat. pag: 318. mr. 3. 

Fringilla coelebs. Gmel. Linn. syst: nat. T. I, P, II, p: 907. nr. 3, 

The Chaflinch. Penn: 

Le pincon. Buffon. 

Fink oder Buchfink. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. Tab. ı. 
Männchen und Weichen. F 

Gemeiner Fink oder Buchfink. Bechst. ofnithol. Taschenb. T: I. 8; 113: 
nYı Is 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Schwungfedern schwarz , mit zwei weisen Quer 
streifen; Schwanzfedern schwarz, die drei äufsersten mit einem 
weilsen Streifen , der an der dritten klein ist; Unterleib weich- 
selbraun. 

Weibchen. ‘Kopf, Nacken nnd Oberrücken graubraun, an 
den Seiten des Halses ins Graue übergeliend; die weifsen Flecken 


auf den Flügeln weniger weifs; Unterhals und Brust röthlichgrau. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel stark , kegelförmig zugespizt, an den Rändern et- 
“was eingebogen, im Winter weifs , zur Sing- und Paarungszeit 


dunkelblau; am Grunde mehrere Borsten; Augenstern or 
8 


LE PINCON. 


Buchfink. Gartenfink; Tink. Wald-Schild- Roth- Dorp- Sprenfink, 

Fringilla coelebs. Liun. syst. nat. pag. 318. nr. 3. 

Fringilla coelebs. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 907. nr. 3. 

The Chafinch. Penn: 

Le pinçon. Buflon. 

Fink oder Buchfink. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschl. Tab. 1. 
Mäle et Femelle. 

Gemeiner Fink oder Buchfirik. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. S. 
119. ar. 1. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Mie. Les pennes des ailes noires avec deux raies transversales 
blanches; celles de la queue noires, les trois extérieures ornées 
d'une raie blanche qui est très petite sur la troisième de ces plu- 
mes; le ventre brun de griotte. 

Femelle. La tête, la nuque et le haut du manteau brun-gri- 
sâtre passant au gris sur les côtés du col ; les taches blanches des 
ailes d’une couleur plus sale; le bas du col et la poitrine gris- 


rougeätre. y 
DESCRIPTION. 


Le bec fort, conique, pointu, un peu arque sur les bords; 
blanc en hiver et d’un bleu fonce dans la saison du chant et de 
Pamour; garni à sa base d’un grand nombre de soies; l'iris de 


Stirn schwarz; Scheitel und Nacken und ein Streifen an den Sei- 
ten des Halses graublau; Oberrücken und Schulterfederu ka- 
stanienbraun,, olivengrün überlaufen; Unterrücken zeisiggrüun; 
Schwungfedern schwarz , an der schmalen Fahne grüngelb , an 
der breiten weifs gerandet, an der Wurzel weifs, daher der weilse 
Flek ; die obern kleinen Flügeldekfedern graublau, die mittlern 
weils, die langen schwarz, mit weifsen Spitzen, daher der weifse 
Streifen; Schwanzfedern schwarz, die zwei mittlern mit einem 
aschgrauen Anstrich, die beiden äufsersten mit einem grofsen keil- 
förmigen weifsen Flek; alle Federn unmerklich grünlich geran- 
det; Wangen, Augen- und Ohrgegend, Kinn, Unterhals, Brust 
ünd Bauch braunroth, am After ins Weißsliche übergehend ; die 
untern Dekfedern des Schwanzes weißslich; Füfse und Nägel dun- 
kel fleischfarbig. | 


Die Flügelspitzen reichen bis auf die Hälfte des Schwanzes. 

Länge 63 Zoll; Breite 10. Zoll. 

Die se Farbe haben die männlichen Finken im Frühiahr; int 
Herbste und gegen den Winter, ändert sie sich. Der Schnabel 
ie dunkelröthlich; die Stirn schwarz, zu beiden Seiten des Schei- 
tels ein. gelblich grauer Streifen, neben diesem ein brauner, der 
sich bis in den Nacken zieht. Die Mitte des Scheitels graubraun; 
Seiten des Halses gelblichgrau, mit durchschimmernder bleigrauer 
‚Farbe, die die Federn am Grunde haben; Wangen, Augen-und 
Ohrgegend braunroth; Kehle, Brust und Seiten des Leibes hell 
braunroth; Bauch und After weils. Die iungen Männchen haben 
im zweiten Iahr eine ähnliche Zeichnung. 

Die Tungen , welche eine Länge von etwa 5% Zoll erreicht 
haben, haben einen schwärzlichen Schnabel, der oben und an den 
Kanten röthlich ist. Ueber den Scheitel und Nacken läuft ein 
weifsgrauer, zu beiden Seiten desselben ein grauschwärzlicher, 
über die Augen ein weifsgrauer Streifen, Schläfe grauschwärz- 
lich; Oberrücken dunkelgrau. Alle diese Farben sind oliven- 
grün, überlaufen ; Unterrücken olivengrün; Unterhals und Brust 
hellbräunlich; Bauch schmutzigweifs. Die Farben der übrigen 
Theile sind denen der Alten ähnlicher. 
eos noch im Neste sind, soll man an dem rôthlichen Schimmer 


Die iungen Männchen, 


auf den Seiten der Brust erkennen. Die Nürnberger Vogelfin- 
ger nehmen die grüne Farbe auf dem Unterrücken als ein siche- 
res Kennzeichen an. 


AUFENTHALT. 


Er bewohnt Afrika, ganz Europa und Madera. In Deutsch- 
land ist er ein Zugvogel, der im März, zuweilen auch schon im 
Februar, in grofsen Schaaren, und zwar zuerst die Männchen al- 
lein, bei uns ankommt, in Schwarz - Eichen- und Buchwaldun- 
gen, Feldhölzern und Gärten sich aufhält und dann im Oktober 
Dis in die Mitte des Novembers ebenfalls in Schaaren wieder weg- 
zieht. Einzelne, oder auch kleine Herden bleiben öfters im \Vin- 


ter auch bei uns. 
EIGENSCHAFTEN. 


So gesellig der Fink im Strich ist, so ungesellig ist er zur 
Paarungszeit. Er duldet in seinem Stand auf zwei bis drehundert 
Schritte weit keinen seiner Artverwandten, und verfolgt ihn, wenn 
dieser sich ihm nähert, mit.tödlichen Bissen. lung aufgezogen, 
lernt er nicht nur einen andern Finkengesang, sondern auch Siro- 


phen aus fremden Melodien z. B. der Nachtigall und des Cana- 


P’oeil couleur de noyer; le front noir ; le sommet de la tête ainsi- 
que la nuque et une raie sur les côtés du col bleu — gris ; le 
haut du manteau et les plumes des épaules chatain , lavé de vert- 
olive; le bas du mantcau vert de serin; les pennes des ailes noi- 
res avec un liséré jaune verdâtre au ‘côté étroit de la barbe et 
blanc au côté large, blanches vers la base d’où resulte la taché 
blanche dont ces plumes sont ornées; les petites couvertures su- 
périeures des ailes bleu-gris; celles du milieu blanches; le lon- 
gues noires avec les pointes blanches, ce qui forme la raie blan- 
che, qu'on y remarque; les plumes de la queue noires, les deux 
du milieu ayant une légère teinte gris-cendrés les deux extérieures 
marquées d’une grande tache blanche cunéiforme; toutes les plu. 
mes bordées d’un liséré yerdätre presque imperceptible ; les joues, 
la région des yeux et des oreilles, le menton, le bas du col, la poi- 
irine et le ventre rouge-brun passant au bleu sale au croupion; 
les couvertures inférieures de la queue blanchätres; les pieds et 
les ongles incarnat foncé. 

La pointe des ailes va jusqu” à la moitié de la longueur de la 
queue. oo 

Longueur 6. pouces et X; envergure 10. pouces. 

Telle est la couleur des pingons au printems; en automne et 
à l’approche de l’hiver cette couleur change. Le bec est d’un rou= 
geätre foncé; le front noir; une raie gris-jaunätre des deux côtés 
du sommet de la tête; à côté de cette raie une autre de couleur 
brune qui descend jusqu” à la nuque; la moitié du sommet de la 


’ 


tête brun-gris; le col gris-jaunâtre sur les côtés avec une teinte 
gris de plomb à la base des plumes , percant à travers le brun ; 
les joues et la région des yeux et des oreilles rouge-brun; le jabot, 
la poitrine et les flancs de la même couleur mais plus claire; le 
ventre et le croupion blancs. Les jeunes mâles ont la même livrée 
la seconde année. : 

Les petits, lorsqu'ils ont à peu près 3. pouces et #. de long, 
ont le bec noirätre avec une teinte rougcätre en dessus et sur les 
bords. Par dessous la tête et la nuque s’étend une raie gris blanc; 
au dessus des yeux on en voit une autre de la même couleur; en- 
fin des deux côtés de la nuque on en remarque une troisième d’un 
noir tirant sur le gris; les temples sont de Ia même couleur ; le 
haut du manteau est gris foncé. "Toutes ces couleurs sont lavées 
de vert-olive. Le bas du manteau est vert-olive; le bas du col et 
la poitrine brun clair; le ventre gris sale. Les couleurs du reste du 
corps ressemblent davantage à celles des individus plus agés. On 
prétend de reconnoitre les jeunes mâles , avant même qu’ils soient 
sortis du nid à un certain lustre rougeätre sur les côtés. Les oise- 
leurs de Nuremberg regardent comme un indice très certain la 
couleur verte au bas du manteau. 


PATRIE, 


Le pincon habite l'Afrique, toute l’Europe et l'ile de Madera. 
En Allemagne il est oiseau de passage. Il y revient en vols nom- 
breux au mois de Mars, quelque fois même déja en Février. Les 
mäles arrivent les premiers. Il se tient dans les forêts de sapins , 
de chênes et de hötres, dans les bosquets entourés du champs et 
dans les jardins. C’est depuis le mois d'Octobre jusqu” au milieu 
de Novembre qu’il quitte nos contrées par troupes, comme il y étoit 
arrivé. Cependant il y a toujours quelques individus , quelque- 
fois même de petits vols, qui restent chez. nous pendant l'hiver. 


QUALITES. 


Autant le pincon est social à Pepoque du passage, autant l’est 
il peu à celle de l’accouplement. Il ne souffre alors aucun oiseau 
de son espèce dans son voisinage pas même à la distance de deux 
ou trois cents pas, el s’il s’en approche quelqu'un, il le chasse et 
le poursuit à coups de bec jusqu’ à le tuer. Elèvé en cage des, 
sa jeunesse il apprend.non senlement d’autres chants de pincon, 


rienvogels; doch zeigt immer der eine mehr Gelehrigkeit als der 
andere. Sein Gesang ist hell, -durchdringend und wird, weil er 
sich dem Sprechen nähert, der Schlag genannt. Ein Fink hat oft 
zwei bis vier verschiedene Schläge, von welchen ieder nach sei- 
nen Endsilben auch seinen besondern Namen hat und mehr oder 
weniger geschäzt wird. So kennt und schäzt man in Thüringen 
den Bräutigam, weil seine lezte Silbe wie Bräutigam klingt, und 
wenn er ächt sein soll, aus folgenden Silben : fink, fink, fink, fink, 
hörst te willst du mit dem Bräuligam ziehen, besiehen muß, 
Nach diesem schäzt man den Reitzug oder Reitherzu, dann den 
scharfen Weingesang: Friz, friz, friz, willst du mit zum Wein 
gehn; das Gutiahr , das gute Kienöl, den gewöhnlichen Weinge- 
sang: Finkferlinkfinkfinkzifsspeuzia ; parverlalalala ziskutschia. 
Schlechtere Schläge sind das Hochzeitgebühr; Hochzeitbier; Wai- 


zenbier; Würzgebier; Davida ete. 


Merkwürdig ist es, dafs diese Singweisen nach den verschie- 
denen Gegenden, welche die Finken bewohnen, auch wieder ver- 
schieden sind: In 'Thüringen hört man andere als auf dem Harz. 
In Oestreich hat man den Ritscher; Wildssteuer; Sizufthül; Grofs- 
rollenden ; Kleinrollenden; Musketierer ete.; im Nürnbergischen 


schäzt man den Betschinger, Reitherzu, Würzburg. Buzia gehört 


61 


unter die schlechtesten Singweisen, In der Gegend zwischen Pom- 


mersfelden und der Abtei Eberach ist der Finkengesang wieder 
ganz anders. Gewöhnlich lautet die lezte Silbe: itzia, itzia. Schön 
singende Finken, d. h. solche, die den Betschinger oder Reuter 
singen, ohne einen andern Gesang darein zu mengen, und den 
Endsilben viele Silben vorangehen lassen, so dafs also der Gesang 
auch lang, wird, kauft'man in Nürnberg um zwei, fünf und meh- 
reve Gulden. Ehemals gaben leidenschafiliche Liebhaber auch 
20. bis 18. fl. füreinen solchen Sänger. Der gewöhnliche Lokton, 
des Finken ist jak, jak, und fink, fink. Der Ton der Zärtlichkeit, 
den er auch bei einer Veränderung des Wetters hören läfst, lau- 
tet wie trief, trief, und wirdim Nürnbergischen das Grolzen, auf 
dem Harz das Schirken genannt. Der Buchfink ist ein lebhafter 
munterer Vogel, der immer in Bewegung ist, einen hüpfenden 
Gang und schnellen Flug hat, Er ist nicht sehr scheu. Sein Al- 


ter erstrekt sich zuweilen auf zwanzig lahr. 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus allerhand Sämereien, Bucheckern, Hanf, 
Lein- Rüb - Salat- Senf- Leindotter- Hirsen- Hafer- Fohren- 
Fichten- und Tannensamen und wilden Knoblauch. Aufser die- 
sen frefsen sié auch Insekten, z. B. Raüpen, Tagfliegen, Fliegen 


und Schmetterlinge. 


FORTPFLANZUNG. 


Die Unterlage des Nestes ist Moos, Grashalme und Federn, 
aufsen mit einer Art Flechte (Lichen saxatilis) belegt, welche 
durch ihre abwechselnde grauweifse und schwarze Farbe dem 
Neste ein hübsches Ansehen gibt. Inwendigist es mit Blumen- 
stielen von Moos, Graswürzelchen und oben am Rande mit Fe- 
dern und Borsten ausgefüttert. Es ist kugelrund, oben platt ge- 
drükt, und eines der schönsten Nester. Das Weibchen wird sehr 
häufig vom Männchen getreten. Ersteres brütet des Iahrs zwei- 
mal, und legt das erstemal vier bis fünf, das zweitemal drei bis 


vier hellblaulichgrüne Eier, die zuweilen mit koffebraunen Pünkt- 


Hh 


mais encore des: passages du chant d’autres oiseaux, tels que le 
rossignol, et le serin de Canarie; dureste il y a une grande dif- 
férence entre les divers individus de cette espèce pour l'intelligence 
et la docilité. Sa voix est claire et percante et son chant s’appelle 
en allemand Schlag, (coup; manière ou mode de chant, modula- 
tion, ) parcequ'il se rapproché: de la parole. Un pinçon a souvent ' 
jusqu’ a quatre, de ces modulations, dont chacune a son nom par- 
ticulier pris de sa finale, et est plus où moins estimée des connois- 
seurs. C’est ainsi qu’en Thuringe comnoit et l’on estime la mo 
dulation appellée Bräutigam, parce que les derniers tons de’ 
celle modulation imitent ce mot. Il faut, pour qu'elle soit la ve- 
ritable, qu’on y trouve les syllabes suivantes: fink, fink, fink, 
fink, hörst du, willst du mit dem Bräutigam ziehen? 
Celle qu'on estime le plus après celle la c’est celle qui est connue 
sous le nom de Reitzug ou Reitherzu, et puis celle, qui se 
nomme der scharfe Weingesang; ou l’on trouve les sylla- 
bes; fritz, fritz, fritz, willst du mit zum Wein gehn? 
Viennent ensuite les modulations appellées le Gutjahr, le gute 
Kienoel, le Weingesang ordinaire, le Fin ferlinkfink- 
finkzisspeuzia, etle Parverlalalala zisskutschia. Les 
modulations dont on fait le moins de cas sont celles, qui se nom- 
ment Hochzeitgebühr; Hochzeitbier, Waitzenbier, 
Würzgebier, Davida. etc. | 

‚Une chose bien singulaire c’est. que ces modulations varient 
En Au- 
triche on a les modulations appellees: Ritscher, Wil dsteuer,: 
Sitzufihül, Grosrollend, Kleinrollend, Musketierer, 


ete, 


suivant les diverses contrées, qu habitent les pinçons. 


Dans le pays de Nuremberg on estime lé Betschinger, le 
Reitherzu, et le Würzburg. La modulation appellée Lu- 
z1i a, est une de celles, dont on fait le moins de cas. Dansla con-. 
irée située entre Pommersfelden et l'abbaye d’Eberach le chant 
d’un pincon est encor tout autre. Pour lordinaire la finale est 
itzia,itzia. Un pincon, qui chante bien, p.ex. qui chante la 
modulation Betschinger ou Reitherzu sans y mêler aucun 
autre chant, et qui sait allonger cette modulation en faisant pré- 
céder la finale d’autres syllabes se vend à Nuremberg de deux & 
ciriq florins et même d'avantage. Il y avoit autre Lois des amateurs 
passionés, qui donnoient de dix jusqu à dix-huit florins pour un- 
chanteur pareil. Le ton d’appel ordinaire du pincon est jak, jak 
et fink, fink. Le ton exprimant la tendresse qu’il fait entendre 
à l'approche d’un changement du tems pent se rendre par trief, 
triof. Dans le pays de Nuremberg on Pappelle le Grol- 
zen et au Harz le Schirken. Le.pincon en général est vif, 
alerte, toujours en mouvement, il marche en sautillant et vole très 
Il n’est point sauvage. 


vite. Sa, vie se prolonge quelque fois 


jusqu’ à Pâge de vingt ans. 


„NOURRITURE. 

Sa nourriture consisie en graines de toute espèce , telles que 
faines, chenevix, navettes, graines de lin, de salade, de moutar- 
de, de cameline, millet,, avoine, semences de pesses, de pins et de 
sapins et ail sauvage. De plus il mange aussi diverses espèces d’in- 
sectes telles que des chenilles, des éphémeres, des mouches et des 
papillons. 

aa PROPAGATION, 

La couche inférieure du nid du pinçon est formée de mousse, 
de fetus et de plumes. En dehors il est reyetu des fragmens de 
Pespece de lichen, qu’on appelle: orseille des rochers (Lichen sa- 
xatilis) qui par la bigarrure de sa couleur gris-cendré meld de noir 
lui donne un air très élégant. Linterieur est garım de peduncules 
de fleurs, de mousses et de chevelu de graminées, et le bord su- 
perietir est comme rembourré de plumes et de soies. Ce nid l’un 
des plus jolis qu Pon puisse voir est de forme sphérique, mais un 
peu rapplattie en dessus. La femelle, qui recoit très frequemment 
les caresses du mâle couye deux fois par an; elle pond la première 


12 


chen und Strichen bestreut sind, und in vierzehn Tagen ausge- 
brütet werden. Bei der ersten Brut sollen fast lauter Männchen, 
bei der zweiten WVeibchen fallen. 


NUTZEN. 


Er vergnügt uns theils durch seinen Gesang, theils, wird sein 
schmakhaftes Fleisch gegessen. Im Frühiahr wird er auch noch 
dadurch nüzlich, dafs er die Räupchen des so schädlichen Blü- 


tenwiklers und andere Insekten wegfängt. 
SCHADEN 
richtet er in Gärten und Feldern auf den Hanfstengeln und 
auf den Samen tragenden Gemüsen an. 


FEINDE 


hat er an dem Wiesel, Feldmarder, der grofsen Haselmaus, 
die seiner Brut nachstellen, dem Sperber, Baumfalken und gros- 
sen grauen \Vürger. Auch ist er der Darre und dem Durchfall 
unterworfen. $ 

IAGD UND FANG. 

Mit der Flinte kann man ihn, besonders im Herbst, leicht er- 
legen. Gefangen wird er in Menge auf dem gewöhnlichen Fin- 
kenherde, mit Leimruihen auf den Lokbüschen und aufdem Fin- 


kenstrich. 
VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Fringilla coelebs candida. 
2. Fringilla coelebs torquata. 
3. Fringilla coelebs varia. 
Man findet ihn'a)ınit weifsem Schnabel, Kopf, Hals und Füs- 
sen, einem braunen Flek aufdem Scheitel, sehr breiten weifsen 
Querbinden auf den Flügeln; b) mit weifsen Flügeln und weis- 
sem Schwanze; c) mit schwarzgeflektem Oberleibe; d) mit weils- 
grauem Nacken, braunroth und weifsgeflekter Brust, gelben und 
weifs überlaufenen Oberrücken und grauen und weilsen obern 


Schwanzdekfedern. 


ANMERKUNG. 


Fringilla nobilis von Paula Schrank, Fauna boica pag. 176. 


ist wohl keine besondere Art, sondern ein alter Buchfink. Den 
weifsen Flecken auf der dritten Schwanzfeder, durch welchen 
er sich unterscheiden soll, haben die alien Buchfinken gewöhn- 
lich. Die Nürnbergischen Vogelfänger nennen diese die sechs- 
spiegeligen Finken und ziehen sie andern, welche nur zwei Fle- 


eken haben, vor. 


Br en 


fois de quatre à cinq oeufs et la seconde fois de trois à quatre. Ils 
sont d’un vert-bleuätre clair parsemés quelque fois de petits points 
et de petits traits couleur de cafle. Les petits eclosent au bout de 
quinze jours. La premiere couvée, dit-on, n’est presque compa- 
see que de mâles, etla seconde que de femelles. ; 


UTILITÉ. 


Son chant nous amuse et sa chair est bonne à manger. Au 
printems il nous rend un service éssentiel en détruissant une foule 
d'insectes nuisibles et surtout la chenille dévastatrice de la phalene 
rouleuse de fleurs. 


DOMMAGE. 


Il fait du dégat dans les jardins et dans les champs en atta- 
quant les pieds de chanvre et les legumes en graines. 


ENNEMIS. 


Ses ennemis sont la beleite, la martre des campagnes, le grand 
muscarlin, qui guettent ses oeufs et ses petits pour les manger, 
lépervier, le hobereau et la pie-grièche grise. Il est de plus sujet 
à la pépie-el au flux de ventre. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


On le tue aisement au fusil, surtout en automne. On le prend 
en quantité dans les pinçonnières ordinaires, avec des gluaux sur 
les buissons où sont des appeaux, et un miroir, 


VARIÉTÉS. 


1. Fringilla coelebs candida. : 

a. Fringilla coelebs torquata. 

5. Fringilla coelebs varia. 

Ce dernier offre les variétés suivantes: a) Le bec, la tête, le 
col ct les pieds blancs, une tache brune su sommet de la tête; des 
bandes blanches très larges sur les ailes. b) Les ailes et la queue 
blanches. c) Les dessus du, corps tacheté de noir. d) La nuque 
gris-blanche, la poitrine rouge-brun tachetee de blanc, le haut du: 
manteau jaune lavé de blanc et les couvertures supérieures de la 
queue grises ét blanches. 


REMARQUES. 


La Fringilla nobilis de Paula Schrank, Fauna Boica p. 176. 
n’est point une espèce particulière ; mais seulement une variété pro- 
duite par l’âge ; car les vieux pincons ont pour l’ordinaire la ta- 
che blanche sar la troisième penne de la queue, qui, suivant cet 
auteur, est le caractère spécifique de cette prétendue espèce. Les 
oiseleurs du pays de Nuremberg donnent à ces pinçons le nom de 
sechsspiegelig (c. à d. à six miroirs ou taches) etles préférent 
aux autres, qui n’en ont, que deux, 


DIE TANNENMEISE. 


Tannenmeise. Wald- Holz- Schwarz - Pech- Hunds - Kreuz- Speermeise. 
Dohmeislein und Dohuzerlein (im Nürnbergischen, in der niedein 
Mundart Dohmasla, Dohnzerla. ) 

Parus ater, Lin. syst. nat. pag. 541. nr. 7. 

Parus ater. Gmel. Linn. syst, nat. T. I. P, II. pag. 1009. nr. 7. 

The colemouse. Penn. 

La petite charbonnière, Buffon. 

Die Tannenmei.e oder kleine Kohlmeise. Frisch Vorstellung der Vögel im 

Deutschl. Tab, 13. " 
Die Tannenmeise. Bechst, ornithol. Taschenb. T. I, S. 210. nr, 2. 


KENNZEICHEN. DER ART. 


Kor und Nacken schwarz, lezterer mit einem weifsen Streifen; 


der Rücken aschblau; die Brust weifs. 


BESCHREIBUNG. 


_ Schnabel rundlich, schwarz, an der Spitze heller, Nasenlö- 
eher rundlich; am Grunde des Schnabels mit schief herunterste- 
henden Borsten besezt; Augenstern schwarzbraun; Stirn , Schei- 
tel und Nacken schwarz, auflezterm ein weilser Flek; vom Schna- 
belwinkel an unter den Augen weg, am den Seiten des Halses her- 

“ab ein grofser weilser Längsflek; Kinn, Kehle und der untere 
Theil des Halses schwarz; Brust und Bauch schmutzig weifs, an 
den Seiten, am After und auf den untern Dekfedern des Schwan- 
zes graurôthlich; Rücken und Schultern dunkelaschblau , Unter- 
rücken eben so, ins Grünliche spielend; die kleinen obern Dek- 
federn der Flügel dunkel aschblau, mit schwärzlichen Flecken; 
die mittlern und grofsen Flügeldekfedern grauschwarz mil weilsen 
Eindflecken ; Schwungfedern. bräunlichaschgrau, ‘auf der schmalen 
Fahne fein weiflich gerandetz die hintern Schwungfedern mit 
weifslichen Spitzen; Schwanzfedern bräunlichaschgrau ; diebeiden. 
äufsern auf der schmalen. Fahne weifslich gerandet ; Fülse dun- 
kel bleifarbig. 

Die Flügelspitzen reichen bis aufdie Mitte des Schwanzes. 

Länge 4. Zoll 2, Linien; Breite 7. Zoll. 

Das Weibchen’ unterscheidet sich fast par nicht vom Mann- 
chen; nur dafs es an der Brust etwas weniger schwarz und an den 
Seiten des Halses etwas weniger weils ist. 

-Die Jungen, von welchen hier eins abgebildet ist, haben nach 
ungefähr drei: Monaten ihres Alters folgende unterscheidende| Far- 
ben: Das Weifse an den Seiten des Kopfes, Halses und im Na- 
cken fällt ins Gelbliche, auf dem. Unterleibe ins Graue; der Keh- 
le fehlt die schwarze Farbe , und leztere ist auch auf dem Kopfe 
heller; die Dekfedern der Flügel sind graublau, die Spitzen an. 
denselben milchweifs ; die schmalen Ränder der Schwungfedern 

olivengrünlich; Oberrücken graugrün; Fülse lebhaft bleifarbig. 

Ihe: „| 

AUFENTHALT 


ist Europa, Sibirien’ und das nördliche Amerika. In Deutsch- 
land hält sie sich vorzüglich in Schwarzwäldern auf. Im Frühling, 
Herbst und Winter durchstreicht sie auch die Laub - und Feld- 


Sie.scheint uns unter die Strichyôgel zu ge- 
Ti 


hölzer und Gärten, 


LA PETITE CHARBONIERE. 


Tannenmeise. Wald- Holz - Schwarz-Pech-Hunds-Kreuz-Specr- Meise. 
Dohmeislein et Dohnzerlein (dans le pays de Nuremberg et dans Jalan- 
gue du bas peuple Dohmasla, Dohnzerla.) 

Parus aler. Linn. syst. nat. p. 341. nr. 7. 

Parus ater. Gmel. Linn. syst. nat. T. 1.P. II. pag. 1009. nr, 7. 

The colemouse. Penn. 

La petite charbonnitre. Buflon. 

Die Tannenmeise oder kleine Kohlmeise. Frisch Vorstellung der Vôgelin 

Deutschl. Tab. 13. 
Die Taunenmeise. Bechst, ornithol, Taschenb. T. I. S. 210. m, z. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


À der tête noire ; la nuque de la même couleur avec une raie blan- 
che ; le manteau cendré; la poitrine blanche. 


DESCRIPTION. 


Le bec arrondi, noir, un peu plus elair & la pointe; les na- 
rines arrondies; la base du bec garnie de soïes , qui se dirigent 
obliquement en bas ; Piris de l'oeil brun-noir; le front, et le som- 
met de la tête noirs, la nüque noire aussi avec une tache blanche; 
une grande tache langitudinale qui part de l’angle du bec, passe 
au dessous de loeil et descend de deux côtés du col; le menton 2 
la gorge et le bas du col noirs; la poitrine et le venire d’un blanc 
sale; Tes flancs, le croupion et ‚les couvertures inférieures de la 
queue rougeätre tirant sur le gris; le manteau et les épaules bleu 
cendré foncé; le bas du dos de la même couleur avec un lustre 
vexdätre ; les petites couvertures supérieures des aïles bleu cendré: 
foncé avec des taches noirätres, les moyennes et les grandes noir 
tirant sur le gris avec des taches terminales blanches ; les pennes 
des ailes cendré brunätre avec un liséré blanchâtre très délié sur 
le côté étroit de la barbe; celles de derrier blanches à la pointe; 
les pennes des ailes cendré tirant sur le brun; les deux extérieures 
ornces d’un liséré blanchätre au côté étroit de la barbe; les pieds 
couleur de plomb foncé. 

Les pointes des ailes vont jusqu’ à la moitie de la longueur de 
la queue: 

Longueur 4. pouces 2. lignes; envergure 7. pouces. 

La femelle ne se distingue du mâle, que par la poitrine, qui 
est un peu moins noire ; et par lecol, qui a un peu moins de blanc 
sur les côtés 

Les petits, tels que celui, dont nous donnons ici la figure, 
ort à l'âge de trois mois à peu pres les couleurs suivantes, qui les 
caractérisent. Le blanc sur les côtés de la tête, du col et à la nu 
que a une teinte jaunâtre et grisätre au bas du corps; la gorge n’a 
rien de noir, et la tête est d’un noir plus clair; les couvertures des 
ailes sont bleu tirant sur le’gris, et leurs pointes sont blanc de lait; 
les bords. étroits des pennes des ailes sont d’une espèce de vert- 
olive; le haut du manteau est vert tirant sur le gris; les pieds sont 
couleur de plomb vif. 


PATRIE: 


Sa pairie est Plurope, la Sibérie et l'Amérique septentrio- 
nale. En Allemagne elle habite de préférence les forûts de sapins. 
Au priniems, en automne et en hiver on.la voit voler cà et la dans 
les bois à feuilles, les bosquets entourés de champs et les jardins. 
Elle nous paroît être du nombre des oiseaux rodeurs. On les voit 
en automne se rassembler en vols nombreux et passer ainsi d’un 


hören. Im Herbst sammelt sie sich in grofse Gesellschaften und 
zieht dann von einem Ort zum andern. 
‘Goldhähnchen und einige Haubenmeisen mit ihnen. 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie ist ein listiger, kecker und munterer Vogel, ‚der bestin- 
dig: herum klettert, mit der gröfsten. Behendigkeit alles durchsucht, 
sich ober- und unterwärts an die: äufsersten Spitzen: der Zweige 
hängt und die Insektencier ablieset. Auch ist sie zänkisch und 
beifst andere Vögel in den.Schwanz, wenn diese ihr das Fuiler 
wegnehmen wollen. Ihr gewöhnlicher Lokton ist ziptön. Ihr Ge- 
sang ist hellklingend. In Nürnberg wird dieienige am höchsten 
geschäzt , welche die Silben: zidda, zidda, zidda etc. sehr oft, we- 
nigstens zehn bis funfzehnmal hintereinander hören lift. Aufser: 
diesem Gesang hört man auch noch zwei andere, die in folgen- 
den Silben ausgedrükt werden: ziwie , Ziwie, ziwie etc. und zi- 
deb, zideb, zideb etc. Der leztere hat vor dem. ersten noch ei- 
nen Vorzug, besonders wenn er mit dem beiden: vorlhergehen- 
den abwechselt. Eine im Käfig. überwinterte schön singende 
Tannenmeise wird öfters um ı. fl. verkauft. Sie ist nicht sehr 
scheu, und läfst sich, wenn sie im Käfig nur einmal gefressen hat, 
‚ leicht zähmen. In der Gefangenschaft erreicht! sie" ein Alter! von 
6: Iahren. 


NAHRUNG, 


+ 


Sie frifst Baumwanzen, und andere. Insekten und ihre’ Eier. 
Die Iungen werden mit Raupen gefüitert. Aufserdem frifst sie 
auch Fichtenblütenknospen, und vorzüglich Fohren - Fichten - 
und Tannensamen. Sie verstecket denselben auch unter die rau- 
hen Rindenschuppen und holt ihn wieder hervor, wenn ihr an- 
dere Nahrung fehlt. Dieser Trieb äufsert sich auch bei ihrin der 


Gefangenschaft. 
FORTPFLANZUNG. 


Sie brütet des lahrs zweimal. Das Nest, welches aus einer 
bloßen Unterlage von klar gebissenem Erdmoos und Hirsch- Reh- 
und Hasenhaaren besteht, wird in alte Baumstrünke, verlassene 
Maulwurfs- und Mäuselöcher, seltener in hole Bäume, Heiss und 
Mauerritzen gemacht. Das Weibchen legt sechs bis neun weis- 
se Eier, die mit kellen leberfarbenen Punkten bestreut sind, und 
brütet sie mit Hülfe des Männchens in zwölf bis dreizehn Tagen 


aus. 


NUTZEN. 


Ihr Fleisch wird gegessen. Auch wird sie dadurch sehr nüz- 
lich, dafs sie eine grofse Menge Insekteneier von den Obstbäu- 


men lieset. Sie stiftet aber auch 


SCHADEN, 
indem sie die Blütenknospen an den Fichten abnaget. 


FEINDE 


hat sie an dem Baummarder, Wiesel, dem Fuchs, der Spiz- 
maus und der Rabenkrähe, welche oft über ihre Brut herfallen 


und sie zerstören. 
IAGD UND FANG. 


Sie kann leicht mit der Flinte erlegt werden, da sie nicht 


scheu ist. Gefangen wird sie mit der Leimruthe, auf dem Mei- 


64 


Gewöhnlich ziehen auch _ 


endroit à l’autre, accompagnées pour l'ordinaire de quelques roi- 
telets et de quelques mésanges hupées. 


QUALITES. 


La petite charbonniere est un oiseau rusé, hardi et alerte. 
Elle est coutinuellement à grimper et à fureter parlout avec une 
extrême vivacité. On la voit se suspendre à l’extrêmité des bran- 
ches les plus menues, la tête tantôt en haut , tantôt en bas, et y 
chercher des oeufs d'insectes. De plus elle est querelleuse et elle 
mord les autres oiseaux à la queue s’ils s’en veulent à sa nourri 
ture. So cri d’appel ordinaire est ziptön. La voix est claire; 
son chant aigu et percant, A Nuremberg on estime surtout celles, 
qui en chantant font entendre au moins de dixe: à quinze fois de 
suite les syllabes: tzidda, tzidda, tzidda, tzidda, etc. 
Outre ce mode de: chant la charbonmère en a encore deux autres, 
qu’on peut rendre par les syllabes suivantes: tzivie, tzivie, 
tzivie etc. et tzidèb, tzidèb, tzidèb. Ce dernier l'emporte 
au jugement des.connhoïsseurs le premier, surtout quand il est en- 
tremêlé soit avec celui-ci, soit avec le précédent. _Une petite char: 
bönnitre qui a passé un hiver en cage, et qui chante bien se vend 
jusqu” à un florin. Cet oiseau n’est point sauvage; on l’apprivoise 
très aisement en cage, des qu’on a pu une fois l’engager à man- 
ger. La durée de sa vie dans l'etat de captivité peut être de six 
ans. 


NOURRITURE. 


Elle mange les punaises d’arbres et autres insectes ainsi que 
leurs oeufs,. et elle nourritses petits avec des chenilles. De plus: 
elle mange les boutons à fleursdes pins et surtout les,sémences: div 
même arbre ainsique celles du sapin et de la pesse, Ilya plus , 
elle cache ces semences dans les gercures de l’ecorce de ces arbres 
et elle sait les en retirer, quand elle n’a plus d’autre nourriture. 


Elle conserve cet inslinct même dans Petat de captivité. 


PROPAGATION. 


Elle pond deux fois pas an. (C’est dans de vieilles souches 


d’arbres, dans des trous de taupes et de souris abandonnés par 


‘leurs hôtes, plus rarement dans des trous d'arbres ou dans les 


fentes des rochers et des murs, quelle construit son nid, qui ne 
consiste qu’en une couche formée de mousses terrestres, hachées 
en petits brins et de poils de cerf, de chevreuil et dé lièvre. La 
femelle pond.de six à neuf oeufs de couleur blanche, et parsemés 
de petits points couleur de foie clair. Le couyement dont le mâle 
parlage avec elle les fonctions dure de douze à treize jours, 


UTILITÉ. 


La chair de Ta petite charbonnière est bonne à manger. Elle 
débarasse aussi les arbres fruitiers d’une grande quantité d'insectes+ 
nuisibles dont elle mange les oeufs. 


DOMMAGE. 


Mais d'un autre côté elle endommage les pins en mangeant 
leurs boutons à fleurs. 


ENNEMIS. F 


Elle a pour ennemis la martre des arbres, la belette, le re- 
nard, la mus airaigne et la corneille, qui détruisent également ses 
oeufs etses pelits. 


MANIERE DE LA TUER OU. DE LA PRENDRE. 


Comme elle n’est pas très sauvage on la tue aisement avec 
le fusil. On la prend aussi aux gluaux, à la danse des mésanges 


sentanz'*), mit der Leier, **) vorzüglich aber mit dem Kloben 
auf der Meisenhüitte. m 

Man darf annehmen, dafs in einem Herbst nach einem mäs- 
sigen Ueberschlag, wenn die Brut gut ausfällt, in Nürnberg iähr- 
lich fünf bis sechstausend ‚Stücke auf dem Kloben gefangen wer- 
den. Dies sollte nun. aber nicht geschehen , da sie durch ihre 
Nahrung viel Nutzen stiften. 


VERSCHIEDENHEITEN, 


1. Parus ater albus. 


2. Parus ater varius 


*) Meisentanz ist eine Art die Meisen zu fangen. Man stekt vier 
armsdicke und fünf Fufs lange Stangen in die Erde in. ein Viereck, 
etwa zwei bis sechs Schritte weit voneinander , oben legt man drei 
Stangen darauf, auf welche man eine Handbreit von einander Spren- 
kel hängt. 
oder das Stellholz, das eine auf die rechte, das andere auf die lin- 
ke Seite steht, 
Ruthe, welche über die Sprenkel hinaus reicht, befestigt oben eine 


Diese stellt man so auf, dafs wechselsweise der Kopf 
In die Mitte stekt man in die Erde eine schlanke 
tode Meise und unten eine Schnur. Lassen sich Meisen hören , so 
pfeift man ihnen, indem man in einer Mütte verborgen ist, nach 
und wenn sie sich dem Tanze nähern, so zukt man an der Schnur, 
die in die Hütte geht, so dafs die an die Ruthe gebundene Meise 
wacker tanzet „ d. .h- herum flattert. Hat sich erst eine Meise in 
dem Sprenkel gefangen , so läfst man mit dem Zucken der Schnur 
nach, bis keine mehr auffallen will, dann löfst man die Gefangenen 
aus, und bindet eine lebendige Meise an eine andere Ruthe (Rudel- 
stok genannt,) und so, dafs sie beständig flattern mufs. Wer nicht 
gut pfeifen kann, hängt eine gute Lokmeise in einem Käfg unter 
den Tanz. \ | 


=) Die Leyer. Ebenfalls eine Fangart. Hicbei ist ebenfalls eine Ru- 
delruthe und eine Hütte nôthig. Man schlägt zwei sechs Fufs lan- 
ge Pfähle vier Ellen weit auseinander in die Erde, bohrt oben gros- 
‚se Löcher durch und macht eine Walze hinein, die etwa armsdik 
ist, an beiden Enden Zapfen hat, die in diese Löcher passen und 
sich herum drehen lassen. .In die Walze werden Löcher, acht Zoll 
weit von einander also gebohrt, damit zwei und zwei übers Kreuz 
kommen, worein man alsdann ungeschälte Haseinufsruthen von drei 
Fufs Länge stekt. 
kleine Löcher so unter einander, dafs die Leimruthen, weiche da- 
rein gestekt werden, die folgende Ruthe nicht berühren können. Die 
Leimruthen sind neun Zoll lang, einen Federkiel dik und am Ende 
zum Einstecken zugespizt. In die Walze wird ein hölzerner Nagel 
geschlagen, in welchem eine doppelte Schnur (Leine) also befesti- 
get wird, dafs die eine, wenn sie aufgewickelt ist, im Anziehen 
die Walze drehet , und sich ab- die andere aber aufwindet, Nach 
diesen Anstalten sezt sich der Vogelfänger in die Hütte, pfeifet fleis- 
sig, rührt die Rudelruthe , dreht die Leyer beständig, und wenn 
auch die ankommenden Meisen nicht gleich nach Wunsch sich auf- 
fetzen sollten.. Da nun die Meisen oft mit den Leimruthen auf die 
Erde fallen, so ist nöthig,' dafs der Plaz unter der Leyer von Gras 
entblöfst und rein sei, und damit die Vögel nicht wegfliegen oder 
sich verkriechen können , führt man ein dichtes Zäunchen um die 


Leyer herum auf. Bechstein, 


In diese Haselnufsruthen bohrt man zwei Paar- 


( Meisentanz *) avec la vielle, ( Leyer ** ) et surlout, avec des 
breulets dans les cabanes destinées à prendre cet oiscau. 

On peut compter d’après un calcul modéré , qu’en automne 
dans le pays de Nurémberg, pour peu que les couvées aient réussi, 
on prend dans chaque année au breulet de cinq à six mille indi- 
vidus de cette espèce; ce qui ne deyroit point être permis puisque 


ce petit oiseau nous est res utile par la‘ destruclion des insectes, 


\ 


dont il se nourrit, 
4 [2 » 
VARIETES. 
1, Parus ater albus. 
2. Parus ater varius. 


*) Ce qu’on appelle Meisentanz est une manière particulière de prendre 
les mésanges. Pour cela on plante en terre en carré et à la distance de 
deux à six pas les uns des autres, quatre piquets gros comme le bras et 
longs de cinq pieds. On en pose trois autres par dessus auxquels on 
suspend des trébuchets à la distance de Ta largeur d’une main les uns des 
autres en les disposant de manière , que Ies têtes ou marchettes soient 
placées le long des piquets , la premiere à la droite, la seconde à gauche 
ét ainsi de suite alternativement. Cet échaffaudage ainsi établi, on plante 
en terre au milieu de l'enceinte une verge flexible, qui s’éléve au dessus 
des trébuchets et au haut de laquelle ou attache une mésange motte, Un 
cordon est fixé au bas de la verge. Desque les mésanges se font:en- 
tendre, une personne cachée dans une petite cabane. construite tout au- 
près, les contrefait en sifllant, et à mesure qu’elles s’approchent du ieu 
de la danse, on tire le cordon, qui vient aboutir dans l’intérieur de la 
cabane et l’on fait danser la mésange , qui est attachée à Ia verge et qui 
paroit ainsi voleter de côté et d'autre. Dèsqu’ une mésange se trouve 
prise au trébuchet, on cesse de tirer le cordon, jusqu’ à ce qu'il n’y en 
ait plus qui soient tentees de s’y jetter; alors on öte celle, qu'on vient 
de prendre et l’on attache à une.autre verge, que les chasseurs nomment 
Rudelstok une mésange vivante de manière qu'elle soit obligée de 
voleter continuellewent. Si l’on ne sait pas sifler comme il faut, on 
suspend un bon appeau en cage au dessous des piquets le long des quels 
sont disposés les trébuchets. / 

=) Ce qu'on appelle Leyer est une seconde manière de prendre les me- 
sanges, On a aussi besoin pour cette chasse d’üne verge à la’ quelle est 
attachée une mésange, et d'une cabane, On commence par planter en 
terre à la distance de quatre aunes d’Allemagne (huit pieds) l’un de 
Fautre deux pieux, qui ont six pieds de longeur. On y practique deux 
trous vers le haut et l’on y-adapte un cylindre ou rouleau environ de 
Pepaisseur du bras et garni à ses deux extr&mitds de tourillons qui en- 
trent dans les trous des pieux et tournent librement” On perce ensuite 
dans le rouleau des trous dispersés en croix à la distance de huit pouces 
les uns des autres et dans lesquels on fixe des baquettes de coudrier non 
pelées et longues de trois pieds. Dans ces baquettes de coudrier sont 
pratiqués deux ä deux de petits trous de manière que les gluaux que l’on 
y fixe ne puissent pas se toucher mutuellement, Ces gluaux sont longs 
de neuf pouces „ de la grosseur d’un tuyau de plume, et terminées en 
pointe pour qu’on puisse les faire entrer dans les trous. On enfonce en- 
suite dans le rouleau une grosse cheville de bois à la quelle on fixe deux 
cordons de manière que l’un en se deroulant fasse tourner le rouleau, 
tandis que l’autre se roule en sens contraire et ainsi alternativement, 
Quand tous ces préparatifs sont faits, l’oiseleur se met dans la cabane, 
sifle de toutes ses forces , fait mouvoir la verge à la quelle et attachée 
la, mésange et tourne continuellement le rouleau que les chasseurs ap- 
pellent Leyer, à cause de sa ressemblance avec le cylindre d’une vielle, 
Il arrive souvent que les mésanges ne se posent pas tout de suite et com- 
me on le voudroit sur les gluaux; mais il ne faut pas pour cela perdre 
patience. Comme les mésanges tombent pour l'ordinaire à terre avec 
les gluaux, il faut avoir soin d’enlever le gazon tout autour de la place, 
où se fait cette chasse et de la tenir aussi propre que possible; comme 
aussi de l’entourer d’une épaisse cloison pour empêcher les oiseaux de 
s’envoler ou de se perdre dans les trous, ou dans les buissons, Bechst, 


KK 


N 


“sch immernd. 


DER GRAUE WÜRGER. 


Grofser grauer Würger. Aschfarbiger Würger. Blauer Würger. Würg- 
engel. Wargengel. Wild-Sper-Griegel- Kruck= Kriek - Berg-Kraus- 
Busch - Strauchelster. Wächter. Neuntöder und Welcherhoden (im 
Nürnbergischen.) Markringeln (im Ritterschäftlichen, ) 

Lanius excubitor. Linn. syst: nat. pag. 135. nr. 11. 

Lanius excubitor. Gmel. Linn. syst. nat. T.I, p. 306. nr.'11, 

The great Shrike., Penn; + 

La pie - grièche grise. Buffon. 

Bergelster oder grofser Neuntöder. Frisch Vorstellungder Vôgel in Deutsch- 
land. Die auf Täf. 50. rechts stehende Figur mit dem hellen Rü- 
cken ein iunges Männchen , die links stehende ein Weibchen, und 
kein Männchen, wie Bechstein meint, wenigstens kein. altes. Die auf 
Taf. 60. zur Rechten stehende Abbildung ist, wie man glauben könnte, 
nicht das. Weibchen vom Lanius minor, sondern vom L. Excubitor. 

Gemeiner Würger. Bechst. ornitholog. Taschenbuch. Th. I. S. 100. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Di. Stirn weifslich ; der ganze Oberleib bläulich aschgrau; die 
Flügel schwarz mit einem weifsen Flecken; der Schwanz lang, 


keilförmig, die zwei äufsern Federn weifs, mit einem schwarzen 


Flecken. 


BESCHREIBUNG. 


Oberschnabel schwarz und glänzend mit einer stark gekrümm- 
ten ‚Spitze und einem scharfen Zahn; Unterschnabel am Grunde 
weifslich, gegen die Spitze grauschwarz, mit einer kleinen in die 
Höhe gekrümmten Spitze; Nasenlöcher eirund, mit schwarzen 
Borsten besezt; vom den Nasenlöchern an gegen den Schnabel- 
winkel hin eine Reihe schwarzer langer Borsten; unter und hin- 
ter dem Auge kahl; Augenstern nufsbraun; Stirn grauweils; über 
den Augen weils ; von den Naseniöchern an durch die Augen und 
hinter den Ohren weg ein breiter schwarzer Streifen; Scheitel , 
Oberhalsund Rücken hell bläulichgrau; an den Spitzen der Schul- 
ter- und den obern langen Dekfedern des Schwanzes ins \V eis- 
se übergehend; die obern' kleinen Flügeldekfedern am Grunde 
schwarz, übrigens bläulichgrau, die grôfsern Dekfedern schwarz, 
einige der vordern grau gerandet, Schwungfedern schwarz, am 
Grunde bis über die Mitte weifs, (daher ein weilser Flek,) die 
vier lezten ausgenommen; die hintern an der Spitze weils , die 


zweite bis zur fünften von der Mitte an auf der schmalen Fahne 


„ausgeschweift , Schwanzfedern lang und keilförmig, schwarz, am 


Grunde und an den Spitzen weils, die zwei mittlern ganz schwarz, 
an der Spitze mit einem rundlichen weilsen Flek; die äufserste 
weifs , mit einem schwarzen Flek, der bei der zweiten grölser , 
der ganze Unterleib weils; Filserund Nägel schwarz ins Bleigraue 
ai art 

Die Flügelspitzen endigen sich mit den obern Schwanzdek- 
federn. | 

Länge 94 Zoll; Breite 1 Fufs 15 Zoll. à 

Das alte Weibchen unterscheidet sich vom Männchen durch 
den kleinen und weniger schwarzen Streifen durch die Augen , 


. - Z . x SE = - ps - a 1 at = 
die weniger weilse Stirn, und unreinere weilse und schwarze Far 


‘be auf den Flügeln; auch ist der Oberleib etwas schmutzig asch- 


braun der Unterleib nicht so rein weils wie beim Männchen. Im 


LA PIE-GRIECHE GRISE. 


Grofser grauer Würger. Aschfarbiger Würger. Blauer Würger. Würg- 
engel. Wargengel. Wild-Speer - Griegel-Kruck- Krieck-Berg-Kraus- 
Busch-Strauch-Elster. Wächter. Neuntödter et Welcherhoden (dans 
le pays de Nuremberg.) Markringeln (dans les terres de la noblesse im- 
mediate. ) 

Lanius excubitor. Linn. syst. nat. pag. 135. n. 11. 

Lanius excubitor. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. p. 300. nr. 11. 

The great Shrike. Penn. 

La pie-grieche grise: Buffon. 

Bergelster, oder grofser Neuntôdter. Frisch Vorstel. der Vögel in Deutsch- 
land. La figure a droite de la planche 59. avce le dos clair est un jeune 
mäle; celle à gauche une femelle et point unmäle, comme l’a cru Bech : 
stein, à moins que ce ne soit un jeune mäle. La figure, gie l’on voit 
à droite pl. 60. est, autant qu’on en peut juger, la femelle de notre pie- 
grièche grise, et.non celle du Lanius minor ou pie-grièche d'Italie, 

Gemeiner Würger. Bechstein ornithol. Taschenb. Th. I. S. 100. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Le front blanchätre; tout le dessus du corps cendré' bleuâtre; les 
ailes noires avec une tache blanche; la queue longue, cuneifor- 
me; les deux plumes extérieures blanches avec une tache noire. 


DESCRIPTION. 


La mandibule supérieure du bec noire et luisante avec une po- 
inte fortement recourbée et une dent aigue; la mandibule inférieure * 
blanchâtre à sa base et gris-noir vers la pointe, qui est petite et 
recourbée en haut; les narines ovales garnies de soies noires; 
depuis les narines jusqw à l’angle du bec un rang de soies noires et 
longues; la région autour et au dessous de l’oeil toute chauve; l'iris 
de Poeil couleur de noyer; lé front blanc-gris; le contour supé- 
rieur de Poeil blanc; une bande large et noire partant des nari- 
nes et se prolongeant au travers de l'oeil jusques derriére les oreil- 
les; le sommet de la tête, le dessus du col et le manteau gris- 
bleuätre clair passant au blanc aux pointes des couvertures des 
épaules et des longucs couvertures supérieures de la queue, les 
petites couvertures supérieures des ailes noires à la base et gris- 
bleuätre par tout ailleurs; les grandes couvertures noires avec 
quelques unes des plumes de devant lisérées de gris; les pennes 
des ailes noires, blanches depuis la base jusqu” au delà du milieu, 
(d’où résulte la tache blanche, que l’on y voit,) à l'exception des 
quatre dernières , qui sont loules noires; celles de derrière blan- 
ches à la pointe; la seconde et les suivantes jusqu’ à la cinquième 
échancrées depuis le milieu du côté étroit de la barbe; les plumes 
de la queue longues et en formé de coin, noires à la base et blan- 
ches à la pointe; les deux du milieu toutes noires avec une tache 
blanche de forme arrondie à la pointe; les extérieures blanches 
avec une tache noire plus grande à Ja seconde de ces plumes; tout 
le ‘dessous du corps blanc; les pieds et les ongles noirs avec un 
lustre plombe. 


"Les pointes des ailes se terminent aux couvertures superieu- 
res de la queue. f 

Longueur 9. pouces et 3; envergure 1. pied et un pouce et £. 

La fémelle quand elle est vieille se distingue du mâle par la 

petitesse et la couleur moins foncée de la raie noire, qui passe par 

dessus l'oeil: par la couleur du front, qui est moins blanche et par 


‘ celle des ailes, dont le blanc et le noir sont également plus sale; 


de plus le dessus du corps est d’un bleu-cendré bien moins beau, 
que dans lc mâle, et le dessous du corps est d’un blanc moins net. 


ersten und zweiten Iahr ist das Weibchen auf der Brust mit mond- 
förmigen, hellbraunen Linien bezeichnet. 


Die Jungen, von welchen hier eins abgebildet ist, sind 
auf dem Oberleibe aschgrau, schwärzlich gewellt; die grofsen 
obern Dekfedern der Flügel, und die Ruderfedern sind braun- 
schwarz, an den Spitzen weifslich; Unterleib schmutzigweifs, an 
den Seiten ins Roströthliche übergehend; Fülse bleifarbig, Schna- 


bel am Grunde bläulich, vorne schwarz; Schnabelwinkel rostgelb. 


AUFENTHALT. 


Er bewohnt nicht nur ganz Europa, Sibirien ausgenommen, 
sondern auch Nordamerika. Iu Deutschland bleibt er das ganze 
Jahr hindurch in Gärten, Vor- und Feldhölzern. 


gewöhnlich auf der obersten Spitze der Bäume und lauert stun- 


Hier sizt er 


denlang auf seine Nahrung. 


EIGENSCHAFTEN. 


Ob er gleich keine beträchtliche Gröfse hat, so besizt er doch 
eine solche Herzhafligkeit, und einen solchen Muth, dafs er sich 
sogar bei grôfsern Raubvögeln als er selbstist, z, B. dem Sper+ 
ber in Ansehen zu setzen weifs. Aus Nahrungsrieid macht er 
durch ein gewisses Geschrei: trui, irui, kleinere Vögel, die sich 
vor seiner Gegenwart gar nicht scheuen, auf die Ankunft eines 
Falken aufmerksam, woher er auch den Namen Excubitor, Wäch- 
ter, bekommen hat. Aufser seinem Lokton: gihr, gihr, läfst er 
noch einen. eigenen flötenartigen Gesang hören, wobei er die 
Kehle wie ein Laubfrosch aufbläset. 


anderer in seiner Nähe sich bcfindenden Singvögel nach. 


Er ahmt auch die Gesänge 
Die 
Singzeit dauert nur vom März bisin den Mai. Sein Flug ist kurz, 
abwechselnd, schnell auf und nieder schwankend. Zuweilen flat- 
tert erauch auf einer Stelle in der Luft, wenn er unter sich ein 
Thierchen bemerkt, das ihm zum Fang noch nicht bequem ge- 
nug ist. Seinen langen Schwanz hält er öfters in die Höhe oder 
bewegt ihn auf und nieder wie eine Elster. Er läfst sich iung 
und alt leicht zähmen. Einer der Verfasser ernährte einen Iun- 
gen mit Ameisenpuppen und geriebenem angefeuchielen weilsen 
Brod und dazwischen mit kleinen Stücken Ochsenlunge, die vor- 
her mit heifsem Wasser abgebrühet war. Die Fleischfliegen nahm 
er vom Finger begierig weg. Seinen Schwanz hielt er bestän- 
dig m die Höhe. War er hungrig, so schrie er: krek, krek. 
Anfangs, als er in den Käfig kan, war er zornig, legte sich auf 
die eine Seite und blieb in dieser Lage eine lange Zeit. Seine 
Efslust war ziemlich stark, Wenn er frafs, so mufste er sich im- 
mer viele Mühe geben, bis er ein Stükchen Fleisch, das ihm 
gewöhnlich an einem Zahn hängen blieb, in den Rachen brach- 
te. Auch schlenkerte er öfters sein Stükchen Lunge an den Kä- 
fig, um es bequemer anpacken zu können. Zuweilen hielt er sei- 
nen Frafs mit den Zehen des einen Fufses in der Höhe wie ein 
Papagei. Er stand auch öfters nur aufeinem Bein. Im Wasser 
badete er sich sehr gerne. WUeberhaupt hatte dieser Vogel viel 


Drolliges in seinen Gebärden und Stellungen. 


NAHRUNG. 


Sie besteht im Sommer vorzüglich aus Hirsch - und Mistkä- 
fern, Maulwurfsgrillen, Heuschrecken, Feldgrillen, Blindschlei- 
chen, Eidechsen,, und fehlen ihnen diese alle, aus Mäusen und 
kleinen Vögeln. Im Winter gehen sie auf {die Goldamimern , 


Zeisige, Mäuse, Maulwürfe, Auch greifen sie sogar Krammets- 


67 


Les deux premieres années, la femelle est marquée sur la poitrine 
de lignes brun-clair en forme de croissant, 

Les petits, tels que celui, dont nous donnons: ici la figure; 
ont le dessus du corps cendré, avec des ondes noirätres; les gran- 
des couvertures supérieures des ailes ainsi que les pennes sontnoir- 
brun avec la pointe blanchätre; le dessous du corps est d’un blanc 
sale passant au rouille sur les flancs; les pieds sont couleur de 
plomb, le bec blanchätre à sa base et noir sur le devant, et les 
angles du bec d’un jaune de rouille. 


PATRIE. 


Elle habite non seulement toute l’Europe à l’exception de la 
Sibérie , maïs encor l'Amérique septenirionale. Elle reste toute 
Vannee en Allemagne, dans les jardins, les avant- bois et les bos- 
quets entourés de champs. Elle se perche pour l'ordinaire sur la 
pointe la plus élèvée des arbres, d’où elle épie sa proie pendant 
des heures entières. 


QUALITES, 


Quoiqw elle soit de petite taille, elle a cependant tant d’in- 
trépidité et de courage, qu’elle sait se faire respecter d’oiseaux de 
proie beaucoup plus gros qu’elle, tels que Pepervier. C’est par 
jalousie de metier, qu’elle avertit par un certain cri trui, tr ui les 
pelils oiseaux, que sa présence n’effarouche point, de l'arrivée du 
faucon, aussi les naturalistes lui ont-ils donné le surnom d'Excu- 
bitor, c. à d. sentinelle. Otire son cri d'appel gihr, gihr 
elle fait entendre un chant tout particulier, qui a quelque chose de 
flüte et pendant elle gonfle sa gorge comme la grenouille d’arbre, 
Elle imite aussi les modulations des autres oiseaux chanteurs, qui 
se trouvent dans son voisinage. La saison du chant ne dure pour 
elle que depuis le mois de Mars jusqu” au mois de Mai. Son vol 
est court, égal , rapide avec des balancemens alternatifs en haut 
ct en bas. Quelque fois elle reste à la même place dans l'air en 
battant doucement des ailes et c’est lorsqu'elle remarque au des- 
sous d’elle quelque animal , dont elle veut faire sa proie, et qui 
n'est pas encor assez à sa portée. Elle tient le plus souvent sa 
queue rélèvée, ou bien elle la remue de bas en haut comme les pies. 
On l’apprivoise avec facilité tant jeune, que vieille. Un des coopé- 
raleurs de cet ouvrage a nourri un jeune oiseau de cette espèce 
avec des oeufs de fourmis et du pain rapé et humecté d’eau, mêlé 
de petits morceaux de poumon de boeuf, qui venoit d’être échaudé. 
Il mangeoit avec beaucoup d’avidité les mouches à viande, et ve- 
noit les piquer iusques dané la main de celui, qui les lui présen- 
toit, Il} portoit continuellement sa queue rélèvée. Quand il avoit 
faim, il faissoil entendre un certain krek, krek. Dans les pre- 
miers jours de sa captivité il étoit très en colère; il se couchoit 
sur le côté et restoit longiems dans cette attitude. 
Pordinaire très bon appetit. 


Il avoit pour 
Lorsqu'il mangeoit il ayoit toujours 
beaucoup de peine à faire passer par son gosier les petits mor- 
ceaux de viande, qui restoient accrochés à la dent dubec. Souvent 
aussi il lançoit contre les parois de sa cage les morceaux de pou- 
mon qu'on lui donnoit à manger pour les saisir ensuite plus com- 
modement. Quelquefois il saisissoit sa nourriture avec un de ses 
pieds et la tenant en l’air comme font les perroquets. Souvent 
aussi ıl reposoit sur une jambe. 
en général il avoit quelque chose de très comique dans ses allu- 


res et dans ses attitudes. 


I aimoit beaucoup le bain; et 


NOURRITURE. 


En été notre pie-grièche se nourrit principalement de cerfs 
volants et de bouziers, de grillon-taupes, de sauterelles, de gril- 
lons de champs, d’anvoies, de lézards et à leur defaut de souris-et 
En hiver elle donne la chasse aux verdiers, aux 
Elle s'attaque quelque fois même 


de petits oiseaux. 
tarins, aux souris et aux taupes. 


L 1 


— 68 


“vôgel an, von welchen sie äber gewöhnlich anf eine unhöfliche: 
Weise wieder abgewiesen: werden. 


FORTPFLANZUNG. 


Sein grofses Nest bauet er auf hohe Wald- und Obstbäume, 
auch in Feldgesträuche. Es ist unregelmäfsig gebauet und be- 
steht aus Heidekraut, Grashalmen, Moos. Diese Materialien sind 
inwendig mit Wolle durchwebt. Das Weibchen legt des Iahrs- 
zweimal fünf bis sieben. blafsblaue mit olivengrünen und weni- 
gen violetgrauen Flecken ‚versehene Eier, die in fünfzehn Ta- 
‚gen‘,ausgebrütet werden. Die Iungen werden von den Alten vor- 
züglich mit Mistkäfern aufgezogen: und auch noch wenn sie aus- 
geflogen sind, von ihnen verpflegt. ’ 

NUTZEN. 
Sie verzehren manche schädliche Feldmaus. 
SCHADEN 


stiften: sie, wenn sie auf Vogelherden die Vorläufer wegfan- 
gen, die Lokvögel in Käfigen ängstigen und scheu machen und. 


die herbeigelokten Vögel wieder vom Herde iagen.. 
FEINDE 


haben sie an dem Sperber und andern Falken.. 


IAGD UND FANG. 


Da dieser Würger sich gewöhnlich auf die obersten Spitzen: 
sehr hoher Bäume sezt, auch ziemlich scheu ist; so ist ihm mit 
der Flinte nicht gut beizukommen.. Gefangen. wird. er auf den. 
Vogelherden, wenn er auf die Vorläufer fällt; in Schneufsen, wo 


man Vögel vorstekt, und auf Leimruihen, die man um das Nest 


stekt. 
VERSCHIEDENHEITEN. 


ı. Lanius Excubitor albus.. 
a. Lanius Excubitor variegatus.. 


DIE NEBELKRAEHE. 


Winterkrähe.. Schildkrähe.. Sattelkrähe.. Graue Krähe.. Graumantel. Grau- 
rücken. Grauer Rabe. :Astkrähe. Aaskrähe.. 


Corvus cornix. Linn. syst. nat. T.I. pag. 156. nr. 


Corvus cornix. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. pag. 366. nr. 


The hooded Craw. Penn. 

La corneille mantellce. Buffon. 

Die graue oder Nebelkrähe. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland. 
Taf. 65. R 

Nebelkrähe. Bechst. ornithol. Taschenb. T. I. S. 88. nr.4. 


KENNZEICHEN DER ART, 
Ha aschgrau; Kopf, Kehle, Flügel und Schwanz schwarz. 


è BESCHREIBUNG. 


Schnabel schwarz, gerade, stark ; Oberschnabel vorn etwas 
herab gebogen; die kleinen runden Nasenlöcher dicht mit steifen 
Borstenfedern bedekt; Augenstern nufsbraun; Kopf, Kehle und 
"Unterhals schwarz, mit stahlblauem Glanze; Hinterkopf aschgrau 
mit schwarzen Federspitzen; Oberhals und Rücken aschgrau, ins 
Röthliche spielend mit verloschenen schwarzen Flecken längs den 


Schäfien; obere Flügeldekfedern schwarz, ins Grüne schimmernd; 


aux grives, mais pour l’ordinaire elle n’a pas à se louer de l’accueil 


qu’elles lui fout. ” 
| PROPAGATION. 


C’est sur les arbres les plus élèvés, tant des-forèts que des 
vergers et quelque fois aussi sur les buissons, dispersés dans les 
champs, qu’elle fait son nid, qi est très grand et assez grossière 
ment construit de brins de bruyères , de tuyaux d'herbes et de. 
La femelle 

Ces oeufs 


mousses, entrelaces intérieurement avec de la laine. 
pond deux fois par an de cinq: à sept oeufs à la fois. 
sont d’un bleu pâle marqué de taches olives avec quelques autres 
taches moins nombreuses d’un gris- violet. Le couvement dure 
quinze Jours. Le père-et la mère nourissent leurs petits princi- 
palement avec des bouziers | et pourvoient à leurs besoins, lors. 
mème qu’ils ont déja quitté le nid. 


UTILITÉ. 


Elle détruit une quantité de rats de champs et en prévient 

ainsi les ravages. 
DOMMAGE. 

Elle met en désordre les aires des oiseleurs en enlévant les 
oiseaux placés en avant, en effrayant et en effarouchant les ap- 
peaux dans les cages et en. chassant ainsi de l’aire les, oiseaux, qui 
y ayoient été attirés. 

ENNEMIS. 


Elle a pour ennemis l’épervier et les-autres faucons. 


MANIERE. DE LA TUER OU DE LA PRENDRE. 


Comme cette pie-grièche se tient pour l’ordinaire'sur le som 
met des arbres les plus élévés et qu’elle est-assez sauvage , l’on ne 
peut gueres l’approcher jusqu’ à la portée du fusil. On la prend 
quelques fois dans les aires, lorsqu’elle se jette sur les appeaux, 
dans des filets, devant lesquels on attache des oiseaux pour l’'atti— 
rer, et au moyen de gluaux, que Pon place autour de son nd. 


VAR , 
VARIETES. 
1. Lanius excubitor albus. Pie-grieche blanche. 
2. Lanius excubitor variegatus. Pie-grieche variée, 


LA CORNEILLE MANTELÉE. 


Nebelkrähe,. Winterkrähe. Schildkrähe: Sattelkrähe. Graue N. WER 
Graurüken. Grauer Rabe. Astkrähe. Aaskrähe. 

Corvus cornix. Linn. syst. nat. T. I. pag. 156. nr. 

Corvus cornix. Gimel. Linn. syst, nat. Tom. I. P. I. pag. 366. nr. 


mantel. 


The hooded Craw. Penn. 

La corneille mantelde. Buffon. s 

Die graue oder Nebelkrähe. Frisch Vorstellung der Vögel in Deutschland, 
Tab_65. E | 

Nebelkrähe. Bechstein ornith. Taschenb. Th. I. S. 88, nr. 4. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 
Cr cendré clair; latète, la gorge, les ailes et la queue noires. 


DESCRIPTION. 


Le bec noir, droit et fort; la mandibule supérieure un peu 
recourbée en bas par devant; les narines petites, rondes, couver- 
tes d’une quantité de plumes roides comme des soies; l'iris cou 
leur de noyer; la tête, la gorge et le dessus du col noirs avec un 
lustre d'acier bleu; le derrière de la tête cendré avec le haut des 
plumes noir; le dessus du col et le manteau cendré avec an cha- 
toyement rougeätre et des taches d’un noir très nébuleux le long 


die obern kürzern Dekfedern des Schwanzes schwarz mit einem 
violetten Glanze und aschgrauen Rändern, die längern und die 
Schwanzfedern mit einem grünen Schimmer; Brust, Bauch und 
untere Dekfedern des Schwanzes aschgrau, ins Rôthliche spie- 
’lend, mit schwarzen Schäften; Schenkel schwarz; Filse und Nä- 
gel glänzend schwarz. 


Die Flügelspitzen erreichen die Schwanzspitze. 
Länge ı. Fufs 7. Zoll; Breite 5. Fuß. 


Das vor uns stehende Weïbchen unterscheidet sich von dem 
Männchen durch die hellere aschgraue Farbe, und durch die grös- 
sern Strahlen, in welche die schwarze Brust ausläuft, Ihr 


AUFENTHALT 


ist Europa und Asien. Auch soll sie in Nordamerika ange- 


troffen werden. In Deutschland wohnt sie in Ebenen, Feldhöl- 
zern und baumreichen Gegenden um die Dörfer, und mehr im 
nördlichen als im südlichen "Theil. In den leztern kommt sie ge- 
gen den Winter in grofsen Herden im Oktober, und zicht im 
März wieder weg, und zwar nach unserer Erfahrung zuerst in 
gebirgige Gegenden, und nur dann erst in die Ebenen, wenn ho- 
her Schnee und starke Kälte sie dazu zwingt. Meistens läfst sie 
sich nur in starken Wintern sehen und fliegt dann vom Hunger 
getrieben, in Gesellschaft der Rabenkrähe auf die Landstrafsen 
in Dörfer und Städte. Des Nachts sezt sie sich auf hohe Bäume, 


oder sie bezieht hohe Schlösser und Kirchen: 
BIGENSCHAFTEN. 


Sie sollnach andern Naturforschern eben so schlau und noch 
schlauer als ihre Gattungsverwandten sein. 
merkt, dafs sie sich leicht mit der Flinte erlegen läfst. Ihre hei- 
schere Stimme lautet kräh, kräh. So oft sie diese hören läfst, 
macht sie allemal wie die Rabenkrähe mit dem Vorderleibe ei- 
ne tiefe Verbeugung gegen die Erde. Jung aufgezogen lernt sie 
Worte nachsprechen. Auch alt läfst sie sich leicht zähmen. - Sie 
ist nicht nur gesellschaftlich unter sieh, sondern auch mit andern 
Des Nachts , 


wenn sie sich zur Ruhe begeben , sondern sie sich aber ab. 


Rabenarten, z.B. den Rabenkrihen und Dohlen. 


NAHRUNG. 


Diese ist ziemlich mannigfaltig und besteht aus Mäusen, zu- 
weilen auch aus matt geiagten Hasen, iungen Hünern, Enten, 
Fasanen, Rebhünern, Wachteln, Lerchen und ihren Eiern, 
iungen Fischen, Fröschen, Heuschrecken, Raupen, Regenwür- 
mern, Muscheln und Schnecken , Aas, Wallnüssen, Birnen , 
Weinbeeren , Abgängen von Kartoffeln , Kraut- und Rüben und 
andern Dingen, Sie ist überhaupt sehr gefräfsig. 


FORTPFLANZUNG. 


Däs Nest, welches außen aus kleinen Zweigen und Reisern 
und inwendig aus Wolle und Haaren besteht, baut sie auf Wald- 
und Obstbäume, bald hoch,; bald niedrig, Das Weibchen legt 
des Iahrs zweimal und iedesmal vier bis sechs längliche , hell- 
grüne, mit feinen braunen Flecken und Strichen versehene Bier, 
welche in achtzehn Tagen ausgebrütet werden. Die Alten ver- 


lemagne, que dans le midi. 


NVir haben aber be- - 


des hampes des plumes; les couvertures supérieures des ailes noi- 
res avec un lustre violet; les pennes des ailes noires chatoyant en 
vert; les petites couvertures supérieures de la queue noires lustrées 
de violet et lisérées de gris-cendré; les grandes couvertures etles 
plumes de la queue lustrées de vert; la poitrine, le ventre et les 
couvertures inférieures de la quete gris-cendré, avec une teinte 
rougeätre et les hampes des plumes noires; les cuisses noires; les 
pieds et les ongles noir luisant, 

La pointe des ailes va jusqu’ à celle de la queue. 

Longueur 1. pied 7. pouces, envergure 5. pieds. 

La couleur gris clair cendrée et les rayons plus grands, qui 
terminent la poitrine noire, distinguent bien du mâle la femelle ici 
réprésentée. s 

PATRIE. 

La patrie de la corneille mantelée est l’Europe; on assure 
cependant qu’elle se trouve aussi dans l’Amerique septentrionale; 
En Allemagne elle habite les pays plats et les contrées voisines des 
villages, ou il y a beaucoup de vergers et de bosquets entourés de 
champs. Du reste elle est plus commune dans le nord de PAl= 
Elle arrive par vols nombreux dans 
nos contrées à l'approche de P’hiver et pour Pordinaire en Octobre 
et elle en répart au mois de Mars. Lorsqu'elle revient dans nos 
climats elle gagne d’abord les contrées montagneuses, comme nous 
le savons par nos propres observations, et ce n'est que lorsque les 
neiges accumulées et la vivacité du froid Pen chassent qu'elle se 
rend dans la plaine. On ne la voit gueres chez nous que dans les - 
hivers rigoureux, pressée par la faim elle vient accompagnée avec 
la corneille ordinaire sur les grandes routes et dans les villes et 
les villages. Pendant la nuit elle reste perchée sur les arbres les 
plus élèvés, ou bien elle se tient au haut des châteaux et des églises. 


QUALITES. 


Plusieurs naturalistes assurent, que cette comeille est aussi 
rusee, que tous les oiscaux de cette famille et quelle Femporte 
mème à cot gard sur plusieurs d’entre eux, quant à nous , nous 
ayons observé, qu'elle se laissoit aisement tuer au fusil, Sa voix 
est enrouée et son cri ordinaire est: kraîh, kraih, Toutes les 
fois, qu’elle fait entendre ce cri elle incline profondement la par- 
tie antérieure de son corps vers la terre, à Pexemple de la cor- 
Prise jeune elle apprend à répéter diflerens 
mots, et mème déja vieille elle se laisse aisement apprivoiser. Elle 
est en général très sociable ; car non seulement elle aime la com- 
pagnie des individus de son espèce, mais encore elle recherche 
celle de toutes les espèces de la famille des corbeaux, telle que la 
corncille commune, le choucas etc. cependant elle s’en sépare le 
soir pour aller prendre son repos et passe la nuit uniquement avec 
des individus de son espèce. 


NOURRITURE, 

. La nourriture de la corneille mantelée est assez varie, Outre 
les levreaux, forcés à la chasse et épaisés de fatique, qui lui ser- 
vent quelque fois de päture, elle vit de souris, de poulets , de ca- 
nardeaux, de jeunes faisans, de perdrix, de cailles, d’alouettes , 
d'oeufs de toute espèce d'oiseaux, de jeunes poissons, de grenouil- 
les, de sauterelles, de chenilles, de vers de terre, de moules, 
d’escargots et de toute espèce de charogne; de plus elle mange les 
noix, les raisins, les pelures et restes de pommes de terre, de ra-. 
ves, de carottes de choux et d’autres légumes. Elle est en gene- 
val excessivement vorace. 


PROPAGATION. 

C’est sur les arbres des forêts et des vergers tantôt vers le som - 
met, tantôt plus bas, qu'elle construit son nid, de petits rameaux 
et de branchilles d’arbres, qu’elle revêtit intérieurement de laine 
et de poils. La femelle pond deux fois par année, et à chaque 
ponte de quatre 4 six oeufs de forme oblongue et d’un vert clair 


neille commune, ‘ 


M m 


sorgen ihre Iungen immer reichlich mit Nahrung. . Die von der 
ersten Brut werden nicht so lange gefüttert und sich eher über- 
lassen als die der zweiten Hecke, Sie begattet sich mit der Ra= 


ben - und Saatkrähe. 


NUTZEN. 


Sie wird theils durch’ das Wegfangen der Mäuse, und der ver- 
heerenden Grasraupen ( Phalaena graminis) , theils durch ihre 
Schwingfedern müzlich , die in Ermangelung der Rabenfedern 
statt derselben gebraucht werden. Nach Goeze zeigt sie auch die 
‚Veränderung des Weiters an. Endlich verhindert sie auch noch 


die Verunreinigung der Luft durch -Verzehrung des Ases. 


SCHADEN 


stiftet sie dadurch, dafs sie die Birnen anfrifst und abbricht, 
und die Fische aus den abgelassen Teichen stiehlt, 


FEINDE. 


An ihrem Kopfe hat sie gewöhnlich eine Art Läuse, welche 
länger als die der Rabenkrähen sind. In ihren Gedärmen wohnt 


der zarigliedrige Krähenbandwurm. 


IAGD UND FANG. 


Man erlegt sie mit der Flinte. Gefangen wird sie am leich- 
testen im Winter mit Papierduten, in welche man unten ein Stük- 
chen Fleisch stekt und den Rand mit Vogelleim bestreicht. Im 
Nürnbergischen fängt man sie mit klein gehakten Krähenaugen, 
welche man auf ein Brettchen streut, gehaktes Fleisch darunter 
mischt und sie leicht mit Schnee bedekt, doch so, dafs das Fleisch 
zum Theil gesehen wird. Man stellt es an den Ort, wo sich die 
.Nebelkrähen öfters aufhalten. 


noch aufeinen benachbarten Baum und fallen tod herunter, 


Sie fressen davon, fliegen etwa 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Corvus cornix candida. 
2. Corvus cornix varia. 
3. Corvus cornix nigra. Schwarz; nur da, wo sie gewöhn- 
lich grauist, eiwas heller oder rufsfarbig. 

4. Corvus cornix annulata. Nobis. Mit einem grauen Hals- 
bande von Ohr zu Ohr um den obern Theil der Brust. 

5. Corvus cornix. — mit einem grauen Kopfe. 

6. Corvus cornix maculata. Nobis. Schwarz mit einem drei- 


eckigen Flek aufden Rücken. - 
0 ANMERKUNGEN. 

Nach Bechstein ist der Augenstern graulich. Wir fanden 
ihn stets nufsbraun. : 

Mit der Rabenkrähe begattet sie sich wie wir oben schon be- 
merkten , zuweilen, und brütet auch die Eier aus, welches meh- 
rere lahre hindurch der Fall im Ansbach’schen war. Die nak- 
ten Jungen wurden allemal von muthwilligen Knaben weggenom- 
men; es liefsen sich also keine weitern Beobachtungen mit densel- 
ben anstellen. Das Nest war auf einem Birnbaum bei einem Dorfe. 
Diese unsere Erfahrung erhält durch die Untersuchung, die ein 
Recensent (siehe allgem. Littz. nr. 262. 1804.) mehrere Jahre hin- 
durch in Nestern anstellte, worin sich eine Raben- und Nebelkrähe 
gepaart hatten, noch mehr Bestätigung. Aus einer solchen Ehe 
entscht denn nun auch die Rabenkrähe mit grauem Bauche. Eben 
dieser Recensent machte auch dreimal die Beobachtung, dafs sich 
die Saat- und Nebelkrähe miteinander begatteten. 


‘ ceux de la seconde, 


marqué de pelites taches et de traits déliés de couleur brune. Le 
couvement dure 18. jours. Le père et la mère fournissent abon- 
dement aux besoins de leurs petits. Ceux de la première ponte sont 
nourris moins longtems et plus vite abandonnés à eux mêmes, que 
Cette corneille s’accouple, dit-on, avec la 
corneille commune et la frayeuse ; mais il est permis d’en douter. 


1 La 
UTILITE. 

Cet oiseau nous est utile, d’un côté en detruissant une quan- 
tit€ de souris, qui lui servent de nourriture ainsi que la chenille de- 
vastatrice des gramens (Phalaena graminis), de l’autre en nous 
fournissant dans les pennes de ses ailes des plumes, que l’on peut 
substituer à celles de corbeau. Si nous en croyons Goctze elle an- 
nonce aussi le changement de tems. Enfin elle contribue à purifier 
Pair en mangeant les corps moris, qui pourroient la corrompre, 

DOMMAGE. 


Le seul mal, quelle fasse c’est d’aller à la picorée dans les 
vergers ou elle mange et abat les poires; et enlever les poissons 
dans les étangs, que l’on met à sec. 

CECI 
ENNEMIS. 

Elle a pour l'ordinaire à la tête une espèce de poux, qui est 
beaucoup plus gros, que celui de la corneille commune. On trou 
ve dans ses intestins la taenia des corneilles à articulations menues. 


MANIÈRE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE. 


On la tue au fusil. On la prend aussi très facilement en hi 
ver au moyen de cornets de papier, au fond desquels on met un 
morceau de viande et dont les bords sont frottés de glu. - On les 
prend aussi dans le pays de Nuremberg avec de la viande hachée, 
qu'on étend sur une planche après y avoir mélé de la noix yomi- 
que mise en petits morceaux et qu’on recouyre avec de la neige de 
maniere cependant à laisser voir la viande en partie. On placele 
tout dans les endroits où ces oiseaux ont coutume de se rassembler. 
Ils mangent de ce mélange, s’envolent ensuite sur quelque arbre 
de voisinage et tombent bientôt morts à terre. 
VARIETES. 

1. Corvus cornix candida. 

2. Coryus cornix varia. 

5. Corvus cornix nigra. Elle est toute noire; seulement les 
parties , qui sont grises dans l’espèce ordinaire sont un peu plus 
claires et presque couleur de suie dans cette variété. 

4. Corvus cornix annulata. Nobis. Elle est ornée d’un collet 
gris, qui va d’une oreille à l’autre, vers le haut de la poitrine. 

5. Corvus cornix-à tete grise. 

6. Corvus cornix maculata, Nobis. 
tache triangulaire sur le dos. 

REMARQUES. 

Bechstein prétend, que cette corneille a la pupille grisätre; 
quant à nous, nous P’ayons toujours trouvé couleur de noyer. 

Elle s’accouple quelquefois, comnie nous l’avons déja remar- 
qué plus haut, avec la corneille commune, et pond même à la suite 
de cet accouplement, comme cela est arrivéplusiers années de suite, 
dans le pays d’Ansbach. Quant aux petits, comme les enfans s’en 
sont toujours emparés, il n’a pas été possible de faire, sur eux une 
suite d'observations. 


Elle est noire avec une 


Le nid se trouvoit sur un poirier prés d’un 
village. Ce qui confirme ce fait que nous savons par notre propre 
experience, ce sont les recherches, qua faites à cet égard un na- 
turaliste, qui en rend compte (Allgem. Litt. Zeit. n. 262. 1804.) et 
qui a étudié pendant plusieurs années de suite dans le nid une cor- 
neille mantelée, qui s’accouploit avec une corneille ordinaire. C’est 
à un pareil accouplement, que la corneille ordinaire à ventre gris 
doit sa noissance. Le même savant dit aussi avoir observé à trois 
réprises différentes que la corneille mantelée et la frayeuse s’ac- 
couplent ensemble. 


0 


DIE SCHNEEKRAEHE. 


Alpenrabe. Schweizerrabe. Steintulen. Steinthalen. Alpenkrähe. Schwei- 
zerkrähe. Bergdolle. 

Corvus Pyrrhocorax. Linn. syst. nat. p.h58. nr. 17. 

Corvus Pyrrhocorax. Cmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. pags 376. nr. 17. 

Pyrrhocorax. Gesn, av. 527. 

Alpine Crow. Lalh. syn, I. 1. p, 183: n. 12. (I. 1. p. 314.) 

Choagh. Hayes brit. Birds. t. 6. Ë 

Choucas des Alpes. Buflon pl. enlum. nr. 531. 

La Peyrouse in den nenen schwedischen Abhandlungen. III. p. 104, 

Alpenkrähe, Bechst, ornithol. Taschenb. T, I, 8, 92. ur. 7. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Din mit schwachem, violetten Schiller; Schnabel kurz, ge- 
rade und zitronengelb; Füfse glänzend zinnoberroth. 


BESCHREIBUNG. 
Der kurze, fast gerade Schnabel ist bald heller, bald dunkler 


zitronengelb; die Zunge kurz, an der Spitze beinahe dreieckig, 
der Augenliederrand grauschwarz ; Augenstern braun; Füfse bei 
Jungen schwarz, bei etwas ältern braun, bei Alten schön glän- 
zend zinnoberroth; Nägel schwarz;. das ganze Gefieder schwarz, 
bei dem Männchen mit etwas, bei dem \WVeibchen mit kaum be- 
merkbarem Schiller. 


Die zusammengelegten Flügelspitzen endigen sich 1. Zoll vor 
der Schwanzspitze. 


Länge 1. Fufs, 4-5. Zoll; Schwanz 7. Zell; Breite 2. Fufs 8. 
Zoll; Gewicht 14-15. Loth. 


AUFENTHALT. 
Sie bewohnt die Norischen, Rärnihener, Rhätischen und 
Schweizer-Alpen und die Pyrenüschen Gebirge. 


EIGENSCHAFTEN. 


Im Winter fliegt sie, ie kälter es wird, in desto höhere Regio- 
nen, kömmt aber so bald es schneiet oder etwas wärmer wird, 
wieder in niedere Gegenden. Bei gelinder Witterung zieht sie 

sich sogleich in die Berge zurük, und kommt sie im Frühiahr aus 
denselben herunter, so ist dies der sicherste Beweifs, dafs noch 
Schnee fällt; daher sie auch den Namen Schneekrähe erhalten 
hat, Im Winter zieht sie in Scharen von drei bis vierhundert in 
die Thäler herab, verläfst aber die Gebirge nie ganz. Sie schreit 
_ fliegend und sitzend immerfortkri, kri, kiri, kiri, mitunter auch 
iaik, und zankt und nekt sich stets mit ihres Gleichen. Sie ist 
scheu und wild, und nur bei sehr hefliger Kälte und während der 


Reife der Bergkirschen minder scheu. 
Ei NAHRUNG. 


Diese besteht vorzüglich in den Früchten der Hundsrose, des 
Mehlbeerbaums , der WWachholderbeeren urd in ihrer Lieblings- 


speise, den Kirschen; in Körnern, Insekten und auch Aas. 


FORTPFLANZUNG. 


Sie nistetin die hôchsten Felsen, seltener auf Bäumen, und 
legt vier weilse, schmutziggelb geflekte Eier. WVährend sie Iun- 


ge hat, fliegt sie immer schreiend um das Nest herum. 
Nn 


LE CHOUCAS DES ALPES. 


Schneekrähe, 
penkrähe, 


Alpenrabe, Schweizerrabe. 
3 Schweizerkrähe. Bergdoble. 
Corvus Pyrrhocorax. Linn. syst. nat. p. 158. n. 17. 

Corvus Pyrrhocorax. Gmel. Linn. syst. nat, T. I. P. I. p. 376, n. 17, 
Pyrrhocorax. Gesn. Av. 527. 

Alpine Crow. Lath. Syn. I. 1. p. 183. n. 11. (I. 1. p. 314.) 


Steintulen. Steinthalen, Al- 


- Choagh. Hayes brit. Birds. t. 6. 


Choucas des Alpes. Buffon pl. enlum, n. 531. 
La Peyrouse dans les nouvelles dissertations suédoiïses. III. p. 10%; 
Alpeukrähe. Bechst, ornithol. Taschenb. T. I. S. 92. n, 7. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Tr noir avec un foible changeant violet; le bec court, droit et 
jaune de citron, les pieds d’un beau vermillon. 


DESCRIPTION. 


Le bec, qui est court et presque tout. droit est d’un jaune de 
citron tantôt plus clair, tantôt plus foncé; la langue courte, pres- 
que triangulaire à la pointe; le bord des paupières gris-noir; liris 
de loil brun. Jeune cet oiseau a les pieds noirs, avec l’âge ils de- 
viennent bruns; et enfin d’un beau vermillon très brillant, les ongles 
noirs. Toutle plumage est noir avec un chatoyement violet, assez 
marqué chez les mâles, mais si foible chez les femelles, qu’on le 
remarque à peine. 

Lorsque les ailes sont reployées la pointe se trouve à la di= 
slance de 7. pouces en deca de celle de la queue. 

Longueur 1. pied, 4-5. pouces; queue 7. pouces; envergure 


2, picds, 8. pouces. Poids 7.-à 8. onces. 


PATRIE 
Il habite les Alpes noriques, celles de la Carinthie, du pays 
des Grisons et de la Suisse, ainsi que les Pyrénées. 


QUALITÉS. 

En hiver, plus le froid est vif, plus cet oiseau aime à voler 
dans les régions les plus eieyees, mais desqu’il neige ou qu’il fait 
un peu plus chaud, il redescend dans des contrées plus basses. Au 
retour de la belle saison il regagne les montagnes, et s’il réparoît 
au printems dans la plaine, on peut être sûr, qu'on aura encore de 
la neige. C’est un prognoslic, qui ne trompe jamais, aussi a-t-on 
donné à cet oiseau le nom de Schneekrähe, ou corneille 
des neiges. En hiver il se rend par vols de trois à quatre cent 
individus dans le fond des vallées; du resteil n’abandonne jamais 
entierement les montagnes. Soit qu'il vole ou qu’il soit perché, il 
ne cesse de crier kri, kri, kiri, kiri, et quelque fois aussi iaik. 
ü est continuellement à se chicaner et à se quereller avec les oi- 
seaux de son espèce. Il est très farouche et très sauvage, et ce n’est 
que lorsque le froid est très rigoureux ou bien à l’epoque que les 


cerises de montagnes soient müres, qu’il est un peu moins fuyard. 
NOURRITURE. 
Sa principale nourriture est le fruit de P’eglantine et de la vior- 


ne, ainsi que les baies du geneyrier. Il aime de préférence les ce- 


rises. Il vit aussi de grains, d'insectes et même de charognes. 


PROPAGATION. 


11 construit son nid dans les rochers les plus élévés, assez ra- 
rement sur les arbres. Il pond pour l’érdinaire quatre oeuf, qui sont - 
blancs avec quelques taches d’un jaune sale. Aussi longtems qu’il a 


NUTZEN. 


Iung wird sie häufig gegessen.’ 


SCHADEN. 


Da, wo sie Kirschen antrift, bleibt auch nicht eine einzige 
übrig, und zuweilen thut sie auch in den Feldern Schaden. 


FEINDE, 


Marder und ee] stellen ihrer Brut nach. 


IAGD UND FANG. 


Sie ist sehr schwer zu schiefsen, und nur wenn die Kirschen 
reifen , ist sie so erpicht auf dieselben, dafs sie kaum sich davon 
- . EC . . “ 7 
vertreiben lälst. -Sie hat ein sehr zähes Leben, und nur grobe 


Schrote töden sie. 


DIE ROSENFARBIGE DROSSEL, 


Rosenrother Krammisvogel. Rosenfarbige Amsel. Ackerdrossel. 

Turdus roseus. Lin. syst. nat. pag. 294. nr. 15. ; 

Turdus roseus. Gmel. Linn. syst. nat, T. TI. P. II. pag. 819. nr. 15. 
Turdus seleucis. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. IL p. 837. nr. 126. (Fem.) 
The Rose-or carnalion couloured Ouzel. Penn. 

Le merle couleur de rose. Buffon. 

Die rosenfarbige Drossel. Teutsche Ornithol. Heft I. 

Rosenfarbige Drossel. Bechstein ornithol. Taschenb. Th, I. S. 152. nr. o. 


KENNZEICHEN DER ART. 


KR osenfarbig; Kopf mit langen buschigen Federn, und nebst 
Hals, Flügel und Schwanz schwarz, mit purpurrothem und blauem 
Schiller. 

BESCHREIBUNG. 


Schnabel messerförmig gekrümmt, spitzig, schmutzig rosen- 
farbig , am. Grunde schwärzlich; Nasenlôcher oben mit Borsten- 
federn besezt; Kopf mit langen Federn, die eine Haube bilden 
und in den Nacken hängen, übrigens so wie der Hals, die Flu 
gel, der Schwanz und Schenkelfedern schwarz, blau und purpur- 
roth schillernd; Rücken und Unterleib hoch rosenroth oder fleisch- 
roth ; Augenstern rostgelb; Fülse rostroth; Nägel schwarz. 

Länge 8. Zoll; Breite 14. Zoll. 

Die Flügelspitzen endigen sich einen Zoll vor der Schwanz- 
spilze. 

Bei dem Weibchen ist die Haube des Kopfes kürzer ; die ro- 
senrothe Farbe kaum schwach fleischfarbig ; die Brust mit einigen 
schwachen Wellenlinien; die schwarz befiederten Stellen weniger 

"lebhaft; der Schiller äufserst gering. 
AUFENTHALT. 

Sie ist in Europa und Asien zu Hause. In der Gegend von 
Aleppo, im südlichen Rufsland am Donstrom, in Sibirien um den 

Irtisch wird sie in grofsen Flügen angetroffen, und ist auch an den 
Ufern des Caspischen Meeres um Astrahan, längs der \Wolgau in 
den mit Büschen und Bäumen besezien Steppen sehr gemein. Auch 
in Schweden, Lappland und England, so wie in den südlichen 
heilen von Europa wohnt sie. In Deutschland ist sie ein Zug- 
vogel, der zwar selten ist, aber dach schon in mehrern Gegen- 


UTILITE. 


Ses petits sont bons à manger. 


DOMMÄGE. 

Si ces oiseaux trouvent un cerisier couvert de fruits, ils Pont 
bientôt entièrement dépouillé. Quelque fois aussi ils font du dégat 
dans les champs. : | 

ENNEMIS. 

Les ennemis du choucas des Alpes sont les martres et les be- 

lettes qui en veulent à ses petits. 


MANIERE DE LE TUER OÙ DE LE PRENDRE, 


IL est très difficile à tirer et ce n’est que lorsque les cerises sont 
mures, qu'on peut l’approcher à la portée du fusil, car alors il est 
si avide de ce fruit, qu’il ne s’en éloigne qu’ avec peine, Du reste 
il a la vie très dure, et il faut de la grosse dragée pour le tuer. 


LE MERLE COULEUR DE ROSE. 


Rosenfarbige Drossel. 
Akerdrossel. A 

Turdus roseus. Linn. syst. nat. pag. 204. n. 15. 

Turdus roseus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 819. nr. 15. 

Turdus seleucis. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. p. 837. n. 126. (femelle.) 

The Rose-or carnation coloured Ouzel. Penn. 


Rosenrother Krammtsvogel. Rosenfarbige Amsel. 


Le merle couleur de rose. Buflon. 
Die rosenfarbige Drossel. Teutsche Ornithol. Heft I. 
Rosenfarbige Drossel. Bechst. ornithol. Taschenb. T. I. pag, 152. ur. g. 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Couteur de rose, la töte ornée d’une huppe de longues plumes et 
noire ainsi que le col, les ailes et la queue avec un chatoyement 


‘pourpre et bleu. 


DESCRIPTION. 


Le bec recourbé en forme de couteau, pointu, couleur de rose 
sale, noirâtre à sa base, les narines recouvertes en dessus de plu- 
mes roides comme de soies; la tête ornée de longues plumes, qui 
forment une huppe et retombent sur la nuque, du reste toute 
noire ainsi que le col, les ailes, la queue et les plumes de cuisses, 
avec un chatoyement bleu et pourpre; le manteau et le dessous 
du eorps d’an rose vif ou bien couleur de chair; l'iris de l’oeil d’un 


‘jaune rouille; les pieds d’un rouge tirant sur le rouille; les ongles 


noirs. 

Longueur 8. pouces; envergure 14. pouces. 

Les pointes des ailes se terminent à la distance d’un pouce en 
deca de celle de la queue. 

Chez les femelles la huppe qui orne la tête est plus courte; la 
couleur rose est à peine lavée d’une légère teinte d’incarnat ; la 
poitrine a quelques foibles ondulations; les endroits, où la plumage 
est noire, sont d’une couleur moins vive et le chatoyement est pres- 
que imperceptible. 


PATRIE. 


Il habite l'Europe et l’Asie. On le trouve en vols très nom- 
breux dans les contrées d'Alep, dans la Russie méridionale sur le 
Don, et en Sibérie près de PIrtisch. Il est aussi très commun sur 
les bords de la mer Caspienne autour d’Asträcan, et le long de Volga 
dans les Steppes couvertes d'arbres et de buissons. Il habite en 
outre la Suede, la Lapponie et l'Angleterre ainsi que les parties 
plus méridionales de l'Europe. En Allemagne il est oiseau depas- 
sage, et quoi qu'il y soit très rare, on l’a déja observé pres deRon- 


Gm . 


den desselben z, B. bei Ronneburg im Altenburgischen 1784, im 
Odenwalde, und im Solms- Laubach’schen 1802. im August, in 
Gesellschaft der Staaren, auf frisch gedüngten Aeckern gesehen 
und geschossen worden. Vonihren 


EIGENSCHAFTEN 


läfst sich nichts sagen, da man sie noch zu wenig beobachten 
Konnte. Ihre 
NAHRUNG 
besteht vorzüglich in Heuschrecken, unter welchen sie in der 
Gegend bei Aleppo grofse Niederlagen anrichtet. Aufserdem frifst 
sje.auch noch andere Inseckten, die sie auf den Aeckern und Mist- 


Haufen’ aufsucht. Von ihrer 


FORTPFLANZUNG 


weils man eben soiwenig, als von ihrer übrigen Lebensart. 
Sie soll zwischen Felsen nisten. Man vermuthet, dafs sie zuwei- 
lem auch in Deutschland brütet, da die im Altenburgischen gefan- 


genen drei lungen kaum flücke waren. Der 


NUTZEN 
ergibt sich aus der Nahrung. Ihr Fleisch soll auch sehr 
schmakhaft sein. Ob sie 


SCHADEN 
stiftet,, weifs man nicht, eben so wenig, wer ihre eigentli- 


shen: . 
FEINDE 
sind. 


75 


ce qui concerne ses qualites. 


nebourg dans le pays d’Altenbourg en 1784, ainsi que dans l’Oden-- 
vald et dans le pays de Solms-Laubach en 1802. au mois d’Aotit, 
Il s’y trouvoit parmi des vols d’étourneaux sur des champs, que 
l’on venoit de fumer et on en a tué plusieurs. 


QUALITES. 


On ne peut rien dire de ses qualités, parce qu’on le connoit 
encore irop peu. 
NOURRITURE. 


Il se nourrit principalement de sauterelles, dont il détruit une 
quantité prodigieuse dans les contrées d’Alep. 
d’autres insectes, qu'il 
fumier. 


Il mange aussi 
cherche dans les champs et dans les tas de 


PROPAGATION. 


On connoit aussi peu la manière dont il se multiplie, que tout 
I niche, dit-on, entre les rochers. 
On a quelque raison de croire, qu’il pond aussi quelquefois en 
Allemagne, puisque les trois petits pris dans le pays d’Altenbourg: 


pouvoient à peine voler. { 


UTILITÉ. 
On 


La manière dont il se nourrit prouve assez son utilité. 
le dit aussi bon à manger. — Quant au 


DOMAGE 


qu’il peut occasioner et aux 


ENNEMIS 


qu'il peut avoir, nous ne saurions rien dire de précis là dessus. 


DER GIRLIZ. 


Zitronenfink. Zitrongelber Fink. Zitrinlein. 
grill. Ganarienzeisig. Cinit. 


Zitrinchen. Zitril, Hirn- 

Loxia serinus: Scopoli. 

Fringilla eitrinella. Linn. syst. nat. pag. 320. nr. 16. 

Fringilla serinus. Linn. syst. nat. p. 320. nr. 17. 

Fringilla citrinella et serinus,, Gmel. Linn. syst. nat. T, I. P.If pag. 908. 
ur. 16. und 17. 

The Citrill Finch. The Serin. Latham. 

Le serin. Le venturon de Provence. Buffon. 

Citronenfink. Bechst. ornitliolag. Taschenbuch. Th. I. S. 123. nr. 8. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnch en. Grüngelb; Oberleib dunkelbraun und aschgrau 
geflekt; Uuterleib hoch grüngelb; aufiedem Flügel eine deutli- 


che grüngelbe und eine undeutliche rôthlichgelbe Binde. 


Weibchen. Die gelbe Farbe ist bei diesem blasser, die 
Kehle braun gestrichelt und geflekt. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel dik , stumpf, kegelförmig, am Grunde abgerun- 
det dreieckig; Oberschnabel rothbräunlich, Unterschnabel an den 
Seiten eingedrükt, und von dem obern bedekt, weifslich; Nasen- 
Tôcher und Mundwinkel mit vorwärtsliegenden gelbweifslichen Fe- 
derchen .bedekt; Augenstern dunkel kastanienbraun; Vorderkopf, 
über den Augen, um die, Ohren herum, Kinn und Kehle hell- 
gelb; Hinterkopf, Wangen: und Schläfe zeisiggrün, rothgrau.und 
braun. gemischt; Oberhals; Ober- und Mittelrücken zeisiggrün 
mit vielen grofsen schwarzbraunen Längsflecken ; Unterrücken 


LE SERIN, 


Der Girliz, Zitronenfak, Zitrongelber Fink: Zitrinlein. Zitrinchen, Zitril. 


Hirngrill. Canarienzeisig. Cinit, 

Loxia serinus. Scopoli. \ 

Fringilla eitrinella. Linn. syst. nat. p. 320. n. 16. 

Fringilla serinus. Linn. syst, nat: p. 320. nr. 17. 

Eringilla citrinella et serinus, Gmel. Linn. syst. nat, Tom. I. P. II. pag: 908: 
nr. Ib. set’ 17. 

The citrill Finch. The Serin. Lath. ” 

Le serin. Le venturon de Provence. Buffon. 

Zitvonenfink. Bechst. ornith. Taschenb. ‘Th. I. S, 123, nr. 8. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Mas Jaune-vert; le dessus du corps tacheté de brun foncé et 
de cendré; le dessous du corps jaune-vert vif; sur chaque aile une 
bande jaune-vert très distincte, et une autre bande jaune-rougeätre 
trés foible. 

Femelle. La couleur jaune plus pâle, que chez le mâle; la 
gorge marquée de taches brunes et de petits traits de la même 
couleur. 


DESCRIPTION. 


Le bec epais, optus, de forme conique, à trois angles arrondi 
à sa base; la mandibule supérieure brun rougeätre, l’inférieure 
applatie sur les côtés et recouverte par l’autre, blanchâtre; les na- 
rines et les angles du bec recouverts de petites plumes d’un jauné 
blanchätre et qui se portent en avant; l'iris de Poil chatain foncé; 
le devant de la tête, le dessus des yeux, la région des oreilles,le men- 
ton et la gorge jaune clair; le derrière de la tête, les joues et les 
temples vert de serin, mélangé de gris-rouge et de brun; le des- 
sus du col, le haut et le milieu du manteau, vert de serin avec un 
grand nombre de.taches longitudinales brun-noir; le-bas du. man- 


Oo 


gelb; die obern kleinen Flügeldekfedern zeisiggrün, die erste und 
zweite Reihe der grôfsern Dekfedern dunkelbraun mit gelber Fin- 
fassung, daher zwei Bänder auf dem Flügel; Schwungfedern 


schwarzbraun, an der schmalen Fahne gelb gerandet; Schwanz 


zweilheilig, die Spitzen etwas auswärts stehend , schwarzbraun , 
an der schmalen Fahne gelb gerandet; Brust gelb, an den Seiten 
mit wenigen schwarzbraunen Strichen, Bauch gelblich weifs, mit 
Strichen und grofsen schwarzhraunen Längsllecken; Füfse Reisch-- 
farbig. 

Die Flügelspitzen endigen sich in der Mitte des Schwanzes. 

Länge 4. Zoll, Breite 8. Zoll. Trage 

Der Girliz ändert in den Farben nach der Jahrszeit ab... Im. 
Frühiahr und Sommer hat die gelbe Farbe die Oberhand, wel- 
ches das im Mai gefangene und besonders hier abgebildete W eib- 
chen zuerkenuen gibt, das sich im Absicht auf das gelhe Gefie- 
der sehr dem Männchen nähert. fm Elerbst hat die grünlichgel- 


be Farbe die Oberhand. Mie Weibchen sind um die Mauserzeit 


auf dem Oberleibe dunkelbraun gellekt mit gelbgrünlichen und! 


_rostrôthlichen Federrändern ;. die zwei Binden auf dem Flügel und 
die Ränder der hintern Schwungfedern sind rostgelblich; der Un- 
terleib grünlichweißs, hie und da gelblich, mit vielen dunkelbrau- 
nen Strichen und Längsflecken. 


AUFENTHALT. 


Sein Vaterland ist das südliche Europa. Er kommt aber auch 
in einige deutsche Gegenden z. B. in die Gegend bei Oflenhach 
und Frankfurt am Main. Erst seit zehn Iahren hat man ihn im 
diesen Gegenden bemerkt. Im März kommt er daselbst in sehr 
grofser Menge an und zieht zu Ende des Oktobers wieder weg. 
In sofern scheint er also unter die Zugvögel. zu gehören. Allein es 
bleihen doch öfters mehrere bei uns, und können, wie einer der 
Verfasser beobachtete‘, wenigstens eine Kälte van, 21, Grad im Ia- 
nuar aushalten. Erlebtam liebsten auf Obstbäumen , aber auch 
in Eichen.- und Buchenwaldungen. In seiner Heimath soll er an 
Bichen und Flüssen auf Erlen und Weiden wohnen. In das 
Nürnbergische kommt er selten, nach Thüringen aber fast alle 
Iahre. = 

EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein friedlicher und zärtlicher Vogel. Im Zimmer schnä- 
belt er sich mit Zeisigen, Stiglizen und F lachsfinken. Seiner Leb- 
baftigkeit und seines angenehmen Gesanges wegen , der, so wie 
seine Sitten überhaupt, dem des Canarienvogels gleichet, und ın 
welchem er unermüdet ist, hat er sich vorzüglich die Zuneigung 
der Menschen erworben. Seine Stimme ist nicht stark, aber me- 
lodisch. Er list sie entweder sitzend auf den äufsersien Zweigen 
der Bäume, oder gerade in die Euft aufsteigend hören, oder in- 

dem er sich wieder herablässet und von einem Baum zu dem am= 
dern fliegt. Seine Lokslimme klingt wie bizriki, und hirliz zir- 
Uk. Das Weibchen läfst diese, so wie auch einige andere Töne 
sehr oft hinter einander hören‘, so dafs sie einem Gesange ähn- 


lich werden. 


NAHRUNG. 


Sie bestelit aus kleinen Feldsämereien , vorzüglich Kreuz- 
wurz - Wegerich — und Meierich — (Alsine media) Samen. Im 
Käfig kann man ihn sehr leicht mit Kohl- und Rübsamen, dem 
‘man etwas Mohnsamen; auch, aber nur selten, etwas Hanfsamen 


“und geschälten Hafer beimischen kann, erhalten: 


teau jaune; les petites couvertures supérieures des ailes vert de se. 
rin ; les grandes couvertures du premier et du second rang bruır 
foncé avec une bordure jaune, d’où resultent deux bandes sur les 
ailes, les pennes des ailes brun-noir avec un liséré jaune au côté 
étroit de la barbe; la queue fourchue avec les pointes tournées un 
peu en dehors, d’un brun noir avec un liséré jaune au côté étroit 
de la barbe; la poitrine jaune avec quelques traits brun-noir sur les 
flancs; le ventre blanc jaunätre avec des traits et de grandes taches: 
longitudinales brun-noir; les pieds couleur de chair. 

Les pointes des ailes se terminent à la moitié de la longueur de 
la queue. . 

Longueur 4. pouces; envergure 8. pouces: gai? 

La-eouleur du serin change ayec les différentes saisons: Au- 
printems et en été la couleur jaune domine, ‚ce qu'il prouve. surtout 
la femelle , dont nous donnons ici la figure, et qui a été prise au 
mois de Mai. On voit, que le jaune de son plumage ne différe pas 
beaucoup de celui du mâle. En automne au contraire e’est le jaune 
verdätre, qui prend le dessus.. Dans le tems de la mue les femel- 
les ont le dessus du corps tacheté de brun foncé avec un liséré jau- 
ne verdätre et rouille rougeätre aux ailes; les deux bandes qui se 
voient sur les ailes et les bords de leurs pennes postérieures sont 
d’un jaunâtre rouille; le dessous du corps est blanc verdätre, jau- 
âtre par ei par la et marqué de plusieurs traits et taches longitu- 
dinales brun foncé. 

PATRIE. 

Sa patrie est l'Éurope méridionale ; mais il se monfre aussi 
dans quelques contrées de PAllemagne, p. ex. aux environs d’Of- 
fenbach et de Francfort sur le Main; ce n’est du reste que depuis 
une dixaine d’anndes, qu’on l’a observé dans ces contrées. Ily 
vient par grandes troupes au mois de Mars et en repart sur la fin 
d'Octobre. D’après cela on peut le compter parmi les oiseaux de 
passage de Allemagne. Mais il y en a pour l’ordinaire quelques 


uns qui restent chez nous et qui d’après les observations d’un des 


auteurs de cet ouvrage peuvent supporter un froid de 21. degrès au 
moins, dans le mois de Ianvicr, Cet oiseau.se tient de préférence 
sur les arbres-fruitiers; cependant il aime aussi les forêts de chênes 
et de hètres. Dans sa patrie il habite, dit-on, les saules et les 
aûnes des bords des ruisseaux et des riviéres. Ilne vient que très 
rarement dans le pays de Nuremberg, tandis qu’on le yoit presque 


toutes les années dans la Thuringe. 
ws 
‚QUALITES. 

C’est un oiseau pacifique et aimant, En chambre il ne cesse 
de se becqueter avec-les tarins, les chardonnerets et les linottes. 
Sa vivacité et l'agrément de son chant, qui ressemble beaucoup à 
celui du serin de Canarie, dont il se rapproche aussi par ses moëurs 
On peut dire, que c’est 
Sa voix n'est pas forte, mais elle est mé 
H la fait entendre, soit en se tenant sur les branches 


lui ont valu Pattachement des hommes. 
un chanteur infatigäble. 
lodieuse. 
les plus élévées et les plus nıenues des arbres, soit e ns’élévant en 
Pair dans une direction perpendiculaire , soit enfin lorsqu'il se re- 
baisse et qu’il voltige d’un arbre à l’aütre. Son cri d’appel est hiz- 
riki, ethiriiz zirhik La femelle fait entendre ces tons et quel- 
ques antres semblables plusieurs fois Fun après l'autre, ce qui ne 
ressemble pas mal aux modulations du chant. 


f NOURRITURE. 

Elle consiste principalement en petites graines, qu’il {ronve 
dans les champs; telles sont entre autres les semences du senecon, 
du plantain, et de la morgeline (Alsine media). En cage on lenourrit 
très bien avec de la graine de choux ou de la navette à la quelle on 
peut mêler un peu de graine de pavots, ou même de cheneyix et 
de l’avoine mondee‘, pourvu du moins qu’on ne le fasse pas trop 
souvent. Het «2 


FORTPFLANZUNG. 


Das Nest, welches aussen aus feinen Wurzelfasern, Moosen 
und Flechten, (vorzüglich Eobaria farinacea) zusammengefloch- 
ten und inwendig mit Federn, Kuhharen, einzelnen Pferdeharen 
und Schweinsborsten belegt ist, bauet er meistens auf die nie- 
dern Aeste der Aepfel - und Birnbäume, zuweilen auch auf Bu- 
chen und Eichen; nach unsern Beobachtungen niemals auf Wei- 
den. Das Weibchen legt darein gewöhnlich 5 bis 4, seliner 5, 
niemals 6 Eier, welche den Eiern der Canarienvögel gleichen , 
einen weifsen Grund: und am stumpfen Ende einen Kranz von 
unregelmäfsigen, glänzend braunen Flecken und Punkten haben, 
and:brüteti siein 15. bis 14. Tagen aus. Das Männchen füttert 
das Weibchen auf dem Nesteund hilft auch nachher die Iungen 
füttern, welches aus dem Kröpfe geschieht. Leztere schen an- 
fangs der grauen Hänfling fast völlig ähnlich, bleiben vor dem 
ersten Mausern grau, und erhalten erst nach demselben die Farbe 
der Aeltern. Die Iungen lassen sich sehr leicht mit eingeweich- 
tem: Rübsamen auffüttern. ° Besser thut man, wenn man die Iun- 
gen mit den Alten fängt und erstere von den Aeltern auffüttern 
läfst, 
be der Alten und auch leztere werden nach einigen lahren im 
Mit den Ca- 
narienyögeln, Zeisigen und Flachsfinken pflanzen sie sich fort. 


In der Stube bekommen die Iungen niemals die schöne Far- 


Käfig, da, wo sie gelb waren, bleich und fast weifs. 


NUTZEN. 

Sein Fleisch hat einen sehr angenehmen Geschmak; nur ist 
nicht viél'ant ganzen: Vogel, ünd dann! wäre es: auch Schade ihn 
umzubringen, da er durch seinen angenehmen Gesang den Men-- 
schen schadlos hält. 

SCHADEN 
wissen wir von ihm nicht anzuführen. 
FEINDE. 
Ein Weib- 
chen, das wir im Käfig hatten, bekam einen runden Grind am 


In der Gefangenschaft bekommt er die Darre. 
obern Augenlied:e Er wurde weggeschnitten, ohne dafs es von 
seiner Munterkeit verlohr. Der Sperber, die Elster und der grofse 
graue Würger vertilgen viele Alten samt der Brut, 


IAGD UND FANG. 


Er kann, da er nicht 'scheu ist, leicht geschossen werden. 
Auf dem Herde , mit Lokbüschen und Leimruthen läfst er sich, 
besonders wenn er auf dem Wegerich sizt, ohne Schwierigkeit 


fangen. 


ANMERKUNGEN. 

- Der Girliz wurde von Linné unter den beiden Namert: Fr. 
Citrinella und Fr. Serinus beschrieben und ieder der mit diesen 
Namen bezeichneten Vögel als eine besondere Art angesehen, bis 
endlich Bechsiein und einer der Verfasser Gelegenheit hatten, 
den Vogel näher zu beobachten, da es sich dann ergab, dafs durch 
beide Namen eine"#nd dieselbe Art bezeichnet wurde. Die Ver- 
anlassung zu dem Irrthum mag wohl die Farbenveränderung ge- 
geben haben. Ungeachtet ihn Linne unter die Finken rechnete, 
so glauben wir doch, dafs er eher unter die Kernbeilser (Loxia) 
gehöre, weil ernach dem Verhältnis seines Körpers 


1. einen dicken, stumpfen Schnabel hat; 
P p 


PROPAGATION. 

Cet oiseau emploie pour la construction dé son nid lé chevelu 
des racines, qu’il entrelacé avec des mousses et des lichens; sur- 
tout avec le lichen farmeux (Eobaria farinacea } et il en tapisse 
Pinterieur avec des plumes mêlées de poils de vaches; de quelque 
crins et de soies de cochons. Il le bâtit pour l’ordinaire sur les 
branches les plus basses des poiriers et des pommiers,, et. quelque 
fois aussi sur les hötres ét les chênes, mais jamais sur les saules;, 
au moins d’après notre observation. La femelle y pond 5. à 4. 
oeufs pour l’ordinaire, quelque fois 5. mais jamais 6. Ces oeufs 
ressemblement à ceux des serins de Canarie; le fonds de la couleur 
est blanc, mais la pointe mousse de l’oeuf est ornée d’une guirlande 
de points et de taches irrégulières d’un brumbrillant. Betems du 
couvement est de 15. à 14. jours. Le mâle nourrit la femelle sur 
le nid, et lui aide ensuite aussi à nourrir les petits ; le père et la 
mère leur portent la nourriture dans le jabot. . Lies petits. dans le 
commencement ressemblent extrêmement à la linotte grise, et con 
servent la livrée grise jusqu” à la première mue, après quoi ils 
On les nourrit très 
aisement avec de la navette ramollie dans l’eau; cependant il vaut 
mieux, si cela se peut, prendre les petits avec le père et la mère, 
äfin que ceux-ci les nourrissent eux mêmes. Cet oiseau ne prend 
jamais en chambre la belle couleur; qu'il a dans l'etat sauvage, 
et il la perd même au bout de quelques années , s’il Vavoit déja, 


prennent les couleurs du père et de la mère. 


quand on la mis en cage; car ce qui étoit jaune devient pâle et 
presque blanc. Cet oiseau se multiplie avec le serin de Canarie, 
le tarin et la linotte. 


UTILITÉ. 


Sa chair a un goût très agréable; seulement'il n’y a pas beau 
coup à manger à cet oiseau et ce seroit dommage de le tuer pour 
s’en nourrir; puisque son chant nous recrée si agréablement, 


DOMMAGE. 
I n’en cause aucun, du moins que nous sachions 


ENNEMIS. 


ll est sujet au bouton dans l’etat de captivité. Il vint A une 
femelle que nous avions en cage un bouton rond et dartreux à la 
paupière supérieure; on le coupa sans qu’elle perdit rien de sa 
gaîte. L’épervier, la pie et la grande pie-grièche grise font une 
guerre implacable à cet oiseau et le détruisent tant qu’elles peuvent 
lui et ses oeufs et ses petits. \ 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Comme il n’est point sauvage, on le tue aisement au fusil. 
On le prend aussi sans difliculté dans les aires avec des batons sur- 
montés d’une toufle de feuilles et des gluaux, surtout lorsqu'il est 
posé sur le plantain. 


REMARQUES. 


Linné a décrit le serin sous deux noms differens, savoir Frin- 
gilla citrinella et Fringilla serinus, et regarde chacun des oiseaux, 
désigné par un de ces noms, comme une espèce distincte. Mais 
Bechstein et l’un des auteurs de cet ouvrage ayant étudié notre 
oiseau avec plus de soin, que n’ayoient fait leurs dayanciers ont 
trouvé, que c’étoit une seule et mème espèce, qu’on avoit désignée 
et décrite sous ces deux noms. Ce qui a donné lieu à cette erreur, 
c’est sans doute le changement de couleur, que cet oiseau éprouve 
dans son plumage. Quoique ‘Linné le compte parmi les pincons, 
nôus croyons qu’il doit être mis parmi les gros-becs (Loxia) par 
ce que: 

1. Î a pour un corps aussi petit que le sien le bec gros et 
obtus. 


a. die Nasenlöcher mit Federchen bedekt ; 
8. die Unterkinnlade am Grunde an den Seiten eingedrükt, 
. &. beide Kinnladen beweglich sind, 

5. auch die Zunge der der Kernbeifser gleichet. 

Scopeli und Bechstein wiesen ihm schon seine Stelle unter 
den Kernbeifsern an, doch hat lezterer in seinem ormithol. Ta- 
schenbuche ihn wieder zu den Finken gezählt. Wir lassen dem 
Vogel seine mit Recht ihm gebührende Stelle und nennen ihn Lo- 
xia Serinus, Girliz, welcher Name uns in mehr als einer Hinsicht 
passend und nöthig zu sein scheint. Wenn Bechstein in seinem 
ornith. Taschenbush Emberiza brumalis Scopoli und unsern Gir- 


Liz für einnerlei Vogel hält, so können wir nicht damit überein-' 


stimmen, da einer der Verfässer mehrere Vögel lebendig besafs, 
die ganz auf die Beschreibung passen, die Scopoli davon gibt, 
zwar auch mit dem Girliz Achnlichkeit hatten, aber gewifs als Art 
verschieden sind. Wir hoffen zu seiner Zeit mehr davon sagen 
zu können. 

Endlich merken wir noch an, dafs einim vorigen Iahr ge- 
Fangenes und überwintertes Weibchen vom 1. Jun. 1804. an ohne 
Zuthun eines Männchens sieben bläulichweifse Eier legte, die mit 
‚einem aus: blassen braunrothen Flecken und Punkten bestehenden 


Kranze bezeichnct waren. 


DIE KLEINE OHREULE. 


Kleine Baumeule. Stok-Wald-Posseneule. Aschfarbiges Käuzchen, Ge- 
hörntes Käuzchen. , 

Strix Scops. Linn. syst. nat. Tom. I. pag. 132. nr. 5, 

Strix Scops. Gmel. Linn. sysf, nat. D, I. P. L pag. 2go. nr. 5. 

Scops ou petit duc. Buffon. ;; STE és pi 

The ‚short-eard Owl. Penn. Kr 

Strix carniolica. Scopoli an. hist, nat. I. p. 19: 

Kleine Ohreule. Bechst. ornithol. Taschenb,,T. I. pag, 5o. ni. 5. 
RP an À 


KENNZEICHEN DER ART. 


Die Farbe des Körpers ist rostfarbig, grau und weils gemischt 


mit dunkelbraunen grôfsern und kleinern Strichen und einigen 


Federohren. 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel 72 Linie lang, sehr gekrümmt, oben fast schart- 
kantig, hornfarbig; Nasenlöcher klein, fast rund und nur i. Li- 
nie weit auseinander stehend, und mit vielen vorwärts stehendeti 
Borstenfedern bedekt; Augensteru gelb; die Grundfarbe des Ge- 
fieders überhaupt ist aschfarben, hie und da mit etwas lichibrati- 
nem Anfluge, auf dem Unterleibe mit Weifs vermischt und lichter 
als auf dem Oberleibe; eigentlich ist aber iede Feder mit vie- 
len feinen , wellenförmigen , schwärzlichen Querstreifchen und 
échwärzlichen Punkten ; zwischen den Federohren mit kurzen, 
am Bauche mit langen herunterlaufenden , schwärzlichen Strei- 
fen geziert; Federohren acht Linien hoch , aus mehrern stufen- 
weise abnehmenden Federn bestehend, bräunlich, dicht schwärz- 
lich geflekt und getüpfelt; unter den F ederohren an den Seiten des 
Halses luft ein ‚schmaler, schwarzer an der Kehle unterbroche- 
ner, Sireifen um das Gesicht‘, der von einem andern lichthrau- 
nen begrenzt ist; näher gegen die Augen hin sind die weitstrali- 
gen grauen Federn mit schwärzlichen, bogenförmigen Streifchen 


verschen; einige der mitllern obern Dekfedern der Flügel haben 


76 


— 


a. Qu'il a les narines recouvertes par des petites plumes: 

3. Qu'il a la mandibule inférieure applatie à sa base sur les 
côtés. 

4. Qu'il a les deux mandibules mobiles. 

5. Qu'il ressemble aux gros-becs par la forme de sa langue: Q 

Scopoli et Bechstein lui avoient deja assigné sa place parmi 
les gros-becs , cependant le dernier l’a replacé parmi les pinçons 
dans son ornithologie portative (ornithol. Taschenbuch). Quant à 
nous, nous la rétablissons dans ses droits et nous l’appellons L o- 
xia serinus, nom que nous jugeons lui convenir à plus d’un titre, 
et ne pouvoir lui être contesté. Bechstein dans son ornithologie 
portative prétend que l'Emberiza brumalis de Scopoli et notre serin 
ne sont que le même oiseau, mais nous ne saurions être de son 
Un de nos coopérateurs a eu longtems en vie plusieurs oi- 
seaux, auxquels convient parfaitement la description de Scopoli, 
mais qui malgré quelques traits de ressemblance, qu’ils ont avec le 
serin sont cependant une espèce très distincie. 


avis. 


Nous espérons 
avec le items pouvoir en apprendre là dessus d'avantage à nog 
lecteurs. 


x 

Enfin nous remarquons ici, qu’une femelle prise l’année pas- 
see et tenue en cage pendant l’hiver a pondu depuis le 1. Iuin 1804. 
et sans le concours d’aucun mâle sept oeufs d’un blanc bleuätre 
avec une guirlande formée de taches et de points d’un rouge brun 
pâle. j 


LE PETIT DUC. 


Kleine Ohreule, Kleine Baumeule. Stok- Wald - Posseneule, Aschfarbiges 
Käuzchen. Gehörntes Käuzchen. 

Sirix Scops. Linn. syst. nat. T. I. p. 132. nr. 5. 

Sirix Scops. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. p. 290. n. 5. 

Scops ou petit duc. Buflon. 

The short-eard Owl, Penn. 

Strix Carniolica. Scop. an. hist. nat. I. p. 19.' 

Kleine Ohrenle. Bechstein ornithol. Taschenb. Th, I. S. 50. nr, 5. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Le corps couleur de rouille mêlé de gris et de blanc avec des 
traits les uns plus grands, les autres plus petits brun foncé; quel- 
ques plumes sur la tête relevées en forme d’oreilles ou aigrettes. 


DESCRIPTION. 


La bec long d'environ 7. lignes et demie, très recourbé, for- 
mant en dessus une arrête vive, coüleur de corne; les narines 
petites presque rondes, n'ayant entre elles qu’une ligne d’inter- 
valle, et couvertes de plusieurs soies qui se portent en avant; Piris 
de l’ocil jaune; les fonds de la couleur de tout le plumage cendré, 
lavé par ci par la de quelques teintes brun-clair; les dessous du 
corps où le cendré est mêlé de blanc moins foncé que le dessus; 
du reste chaque plume est proprement marquée de plusieurs raies 
transversales , deliées, onduleuses et noirâtres , et d’un grand 
nombre de points de la même couleur. Entres les oreilles de plu- 
mes ou aigreites descendent sur le front des raies nojrätres assez 
petites; on en voit de pareilles sur le ventre mais qui sont beau- 
coup plus longues. Les oreilles de plumes sont élevées de huit 
lignes au dessus de la tête et sont composées @e plusieurs plumes 


qui vont en diminuant comme par éfages; elles sont de couleur . 


brunâtre marquées de taches et de points noirâtres dru semés; au 
dessous de ces aigreites descend des deux côtés du col une raie 
noire très étroite et interrompue sur la gorge; elle fait le tour du 
visage que ceint encore une autre bande brun clair. Dans le 
voisinage des yeux les plumes grises étalées en forme de rayons 


— 


auf der breiten äufsern Fahne grofse, fast länglich viereckige, 
sammtfarbene Flekchen, welche auf allen Seiten, aufser nicht 
an der äufsern Kante herunter mit einem schwarzen Streifen ein- 
‚gefafst sind; Schwungfedern dunkel aschgrau, an der äufsern 
Fahne mit grofsen halbrunden weifsen , gegen die Spitze hin mit 
weifsgelblichen, aschgrau. getüpfelten Flecken; auf der breiten 
Fahne ebenfalls mit grofsen eiförmigen weifsen: F lecken; Schwanz 
oben weilsgrau, mit dunkelaschgrauen,, wellenförmigen unregel- 
mäfsigen, am Grunde zusammenhängendern breitern Bändern ; 
Fülse bis an die Zehen mit sehr kleinen, dicht anliegenden, bräun- 
lichgrauen , rostfarbenen und schwärzlich gestrichelten Feder- 
chen; Zehen nakt, braun; Nägel hornbraun. Die Flügelspitzen. 


erreichen die Schwanzspitze. 


Länge 84 Zoll; Breite 15. Zoll. 


Das Weibchen ist etwas dunkler, vorzüglich am Unterleibe 
mit weniger Weifs untermischt und der Saum der Federn: brau- 


ner: . 
AUFENTEHALT. 

Thr Vaterland ist Nordamerika und fast ganz Europa, In 
Deutschland findet man sie in Oestreich , vorzüglich in Krayn,, 
Thüringen und andern Gegenden ; iedoch nicht häufig, in ebe- 
nen und gebirgigen Wäldern. In Frankreich wird sie für einen 
. Zugvogel gehalten , der im Frühiahr und Herbst sich in 'Trup- 
pen sammelt und seine Ab- und Rükreise antritt. In Thüringen 
bleibt sie das ganze lahr hindurch, im Winter in Feldhölzern, 


im Herbst mehr in Feldern. 


EIGENSCHAFTEN. 


Mit ihren Federohren, die sich im Tode an die übrigen Kopf- 
federn anlegen, spielt sie sehr oft, indem sie sie bald niederlegt, 
bald in die Höhe richtet. Gezähmt macht sie sonst noch allerhand. 


possirliche Bewegungen. 
NAHRUNG. 


Sie iagt nach Feld- und Waldmäusen, Mai - und Rostkä- 
fern und Abendschmetterlingen. Auch soll sie besonders gern vor 


andern Eulen auf die Vögel gehen. 
FOR TPFLANZUNG. 


Ihr Nest macht sie in Felsenklüfte und hole Bäume, und legt 
darein zwei bis vier weifse Eier. Die Iungen werden auch mit 
Maikäfern aufgefültert. 

NUTZEN 

stiftet sie durch ihre Nahrung. Man erzählt, dafs sie in,sol- 
chen Gegenden, wo die Feldmäuse fast eine Landplage waren, 
scharenweise herbei zog und die Felder von diesen ungebetenen 
Gästen befreite. In der italienischen Schweiz wird sie häufig un- 
ter dem Namen Civetta cornuta zum Vogelfang gebraucht und von 


Liebhabern ihres poßsirlichen Betragens wegen in Käfigen gehalten. 
FEINDE 
haben sie wohl mit den übrigen kleinen Eulenarten gemein. 
IAGD UND FANG. 


Sie wird leicht mit der Flinte erlegt, besonders, wenn sie ih- 
re ausgeflogenen Tungen auf den Bäumen fütter, Mit Leimru- 


then werden die Alten beim Neste gefangen. Aurh kann man sie, 


77 


Q 


sont orneés de petites raies noirätres et arquees; quelques plumes 
du milieu des couvertures supérieures des ailes ont sur le côté ex- 
térieur de la barbe qui est le plus large quelques taches barlon- 
gues couleur de velours et entourèes de tous les côtés, excepté 
sur le bord extérieur vers le bas, d’une raie noire; les pennes des 
ailes sont cendré foncé, ornées sur le côté extérieur de la barbe 
de grandes taches blanches semicicurlaires ; mais vers la pointe 
ces taches sont d’un blanc jaunätre avec un pointillement cendré; 
le côté large de la barbe est pareillement marqué de grandes taches 
ovales blanches; le dessus de la queue est gris blanc avec desban- 
des onduleuses et irrègulieres cendré foncé, plus larges et plus co- 
hérentes entre elles à la base. Les pieds sont recouverts aux doigts 
de plumes très petites et très touflues gris-brunâtre, marquées de 
petits trails noirätres et couleur de rouille; les doigts sont nuds et 
de couleur brune; les ongles couleur de corne brune. Les poin- 
tes des ailes vont jusqu'au bout de la queue. 

Longueur 8. pouces 5. lignes. Envergure 15. pouces. 

La femelle est d’une couleur un peu plus foncée; le dessous 
du corps surtout est moins mêlé de blanc, et le bord des plu: 
mes est plus brun. 


PATRIE. 


La patrie est le Nord de ’Amerique et la plus grande partie 
de Europe. En Allemagne il habite l'Autriche surtout la Car- 
niole, la Thuringe et autres contrées , mais il n’est pas commun. 
En 


France on le regarde comme un oiseau de passage qui se réunit 


Il vit dans les forêts tant de la plaine, que des montagnes. 


en troupes en automne pour passer dans d’autres climats et qui 
revient aussi en troupes au printems. En Thuringe il est oiseau 
sédentaire et passe lhiver dans les bois entourés de champs; en au- 


tomne c’est dans les champs même quil se tient de préférence. 


QUALITES. 

Cet oiseau aime beaucoup à jouer avec les aigrettes dont sa 
tete est ornée et qui à la mort de l’animal se rabattent sur les au. 
tres plumes; on le voit tantôt les dresser, tantôt les rabaisser; et 
en général lors qu’il est apprivoisé il se fait remarquer par des al- 
lures et des mouvemens très comiques. 


NOURRITURE. 


Il donne la chasse aux mulots, aux souris de bois, aux han- 
netons, aux bouziers et aux papillons de nuit. C’est aussi, dit-on, 
de tous les hibous celui qui fait le plus la guerre aux oiseaux. 


PROPAGATION. 


1 fait son nid dans les rochers caverneux et dans les creux 
des arbres et il y pond de deux à quaire oeufs de couleur blanche. 


UTILITÉ. 


IT nous est très utile par la manière dont il se nourrit. On 
raconte qu'on l’a vu arriver par troupes dans les contrées qui 
etoient désoleés par les mulots et purger les champs de ces hôtes 
incommodes. Dans la Suisse italienne où il porte le nom de Ci- 
veita cornuta on s’en sert fréquemment pour prendre les oise- 
aux. Les amateurs les tiennent aussi en cage pour jouir du co- 


mique de ses allures. 
DOMMAGE. 


Il n’en cause aucun du moins que nous sachions. : 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


On le tue assez facilement au fusil, surtout lorsqu'il donne 
à manger à ses petits sur les arbres où ils se tiennent perchés après 
ayoir quitté lenid. Plus âgés on les prend avec des gluaux qu'on 


place aupres de leur aire. Si on connoit les irous caverneux où 


q 


— 78 


wann manihre Ausflugslöcher weifs in der Abenddämmerung leicht 


durch ein vor dieselben gehängtes Nez fangen, 
ANMERKUNGEN. 


Obgleich Bechstein in seinem Ornithol. Taschenbuch Th, 2. 
Seite 457. Strix carniolica für eine besondere Art zu halten ge- 
neigt ist: so nehmen wir doch keinen Anstand, Strix carnio- 
lica für Strix Scops und also beide für eine und dieselbe Art zu 
halten. | 

Auch an dieser Eule bemerkten wir eine Wachshaut. 


ils se retirent, on les prend aisement auec un filet qu’on tend au- 
devant de l'entrée, lorsquil en sortent au retour de la nuit. 


REMARQUES. 


Quoique Bechstein dans son Ornithologie portative ( ornithol. 
Taschenb. P. II. p.457.) paroisse assez porté à croire que le Strix 
carniolica est une espèce particulière; nous n’hésitons point et 
cela pour bonnes raisons à les réunir ensembles comme ne faisant 


qu'une seule espèce. 


Nous avons aussi trouvé à cette espèce de hibou la base du 
bec garnie de cette membrane que les naturalistes appellent Cera, 


DER KREUZSCHNABEL. 


Kleiner Kreuzschnabel. Kreuzvogel. Krummschnabel. Krüniz, Tannen- 
vogel. Zapfenbeifser, Zapfennager. Tannenpayagei. 

Loxia curvirostra. Linn. syst. nat. pag. 299. nr. 2. 

Loxia curvirostra. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 843. nr. ı. 

Le bec croisé. Buflon. 

The common Crossbill. Latham. 

Der Kreuzschnabel. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf. 11. (Der 
Er ist ein junges Männchen, das scin rothes Kleid gröfstentheils noch 
hat.) 


Kreuzschnäbeliger Kernbeilser. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. $.105. nr. 7. 


“ 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Schnabel eiwas gestrekt, von der Länge der mitt- 
lern Zehe, beide Kinnladen an der Spitze kreuzweise und über- 


einander hervorragend umgebogen. - 

Weibchen. Grau, an der Kehle am hellsten; hin und wie- 
‘der und auf dem Unterrücken grimgelblich, an den Seiten des 
Unterleibes mit einzelnen schwärzlichen Längsllecken. Die Füfse 


röthlichbraun. 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel hornbraun, vorn gekreuzt, und zwar so, dafs bald 
die obere Kinnlade zur rechten, bald zur linken Seite herab läuft; 
Augenstern braun; Scheitel und Nacken grüngelb ; Schwung-und 
Schwanzfedern schwärzlich, erstere mit kleinen weifsen Spitzen, 
alle an der schmalen Fahne grün gerandet; Wangen grau; Schli- 
fe schwärzlichgrau; Unterhals, Brust und Seiten des Leibes gelb; 
Magen- und Aftergegend weils; untere Dekfedern des Schwan- 
zes grau und weils gerandet mit schwarzbraunen Flecken. Ei- 
gentlich sind alle gelben und grünen Federn grau, und nur am 
Einde gelb oder grün, daher diese Farben gemischt und unrein 
sind, weil die graue Farbe durchschimmert; Füfse schwärzlich- 
grau, Nägel schwarz. Die Flügelspitzen reichen.bis auf die Hälf- 
te des Schwanzes. ; 

Länge 7. Zoll; Breite 12. Zoll, 


AUFENTHALT 
Fir wohnt in Amerika, im nördlichen Asien und in Europa; 
in Frankreich, England; Rufsland, Sibirien und Norwegen bis 
Drontheim kinauf. In Deutschland ist er vorzüglich da anzutref- 
fen, wo viele Fichten - und Tannenwälder sind. Er ist bei uns ein 
Strichvogel, der gerade zu der Zeit, wenn andere Strichvögel un- 
sere Gegenden verlassen, in denselben ankommt und bei der Wie- 
derkehr iener wieder wegzieht. Dies thut er aber nur, wenn es 
ihm an Futter mangelt. Hat er dieses in hinreichender Menge, so 
bleibt er die ganze Iahrszeit über bei uns. 


LE BEC CROISE. 


Krummschnabel. Krüniz. Tannen- 
Tannenpapagei,, 


Kleiner Kreuzschnabel. Kreuzvogel. 
Zapfenbeisser, 


Linn. syst. naf. p, 299. n. 2. 


vogel. Zapfennager. 

Loxia curvirostra. 

Loxia eurvirostra. Gmel. Linn. syst. nat. 'T'om. I. P.;II. pag. 843. nr. ı: 

Le bec croisé. Buffon. 

The common Crossbill. Latham. 

Der Kreuzschnabel. Frisch Vorstellung der Vôgel Deutschland T. XI. (La 
figure qui doit représenter le mâle est réellement celle d’un jaune mâle 
qui a encore en grande partie sa livrée ronge.) 

Krenzschnäbeliger Kernbeisser. Bechst. ornith. Taschenb. Th. 1. p. 105. nr. 7: 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Mie. Le bec assez élancé de la longueur du doigt du milieu 
du pied; les deux mandibules se croisant à la pointe et recour- 
bées l’une en haut et l’autre en bas.' 

Femelle: D’un gris plus clair sur la gorge; vert-jaunâtre par 
ci-par là et au bas du manteau; sur les côtés du ventre quelques 
taches longitudinales noirätres. Les pieds brun-rougeätre. 


DESCRIPTION. 


Le bec couleur de corne brune, croisé sur le devant de ma- 
nière que la mandibule supérieure s’abaisse tantôt à droite et tan. 
tôt à gauche; Pıris de l’oeil brun; le sommet de la tête et la nu- 
que jaune vert; les pennes des ailes et de la queue noires, les 
premieres blanches à la pointe , toutes lisérées en vert du côté 
étroit de la barbe ; les joues grises ; les temples gris-noirätre; le 
dessous du col, la poitrine et les flancs jaunes; la region de lesto- 
mac et du croupion blanche; les couvertures inférieures de la 
queue grises avec un liséré blanc et quelques taches brun noir. 
Toutes les plumes qui paroïssent jaunes et vertes sont proprement 
grises et ce n’est qu’à la pointe quelles ont ces couleurs qui du reste 
sontmelees et sales parce quela couleur grise perce au travers. Les 
pieds sont gris-noirätre, et lés ongles noirs. La pointe des ailes 
s'étend jusqu” à la moitié de la longueur de la queue. 

Longueur 7. pouces. Envergure 12. pouces, 


PATRIE. 


Cet oiseau habite PAmerique, le Nord de l'Asie et l'Europe. 
On le trouve en France, en Angleterre, en Russie, en Sibérie et 
en Norvège jusqu’ à Drontheïm. Il se rencontre plus fréquem- 
ment en Allemagne dans les contrées couvertes de bois de pins et 
de sapins. Il est oiseau de passage chez nous, etil revient dans 
nos contrées lorsque les autres oiseaux de passage les abandon- 
nent, tout comme leür retour est pour lui le signal du départ. Du 
reste il ne nous quitte que lorsque la nourriture vient à lui man- 
quer, car s’il en trouve en quantité suffisante il passe toute l’année 


dans nos climats. 


EIGENSCHAFTEN, 


Er hat ein plumpes und einfältiges Aussehen, das noch mehr 
auffällt, wenn: man seinen nichts bedeutenden leisen. zwitschern- 
den, unmelodischen Gesang, und sein einfaches helles Geschrei, 
gip, gip, gip, gip, hört, das er sehr oft und mit Hastigkeit aus- 

«stöfst.. Beiihren: Streifereien: sizt gewöhnlich. einer, welcher der 
‚Befehlshaber zu sein scheint, oben auf dem Baum und gibt durch 
seine Lokstimme das Zeichen zum Aufbruch. Er fliegt ziemlich 
schnell, und. schlägt dabei die Flügel beständig auf und nieder. 
Wenn er behaglich auf einem Zweige sizt, so: ist sein Körper in 
beständiger Unruhe. Sein Gang ist hüpfend. Er klettert auch an 


den Zweigen und auf den: Fichtenzapfen herum wie eine Specht— 


meise, und bedient sich dabei seines Schnabels zum Anhalten wie 
der Papagei. Der Gebrauch seines: Schnabels zu: diesem Behuf, 
mag vielleicht auch etwas dazu beitragen, dafs der nech ingend- 
-liche weiche Oberschnabel bald links, bald rechts herunter ge- 
drükt wird, ie nachdem der iunge Vogel beim Anhalten seinen 
Kopf bald links, bald rechts wendet; vorzüglich aber mag er sei- 
ne Richtung durch das Aufbiegen der Schuppen: an den: Fichten — 
und. Tannenzapfen erhalten. Int: Zimmer sind sie bald zahm; 
dauern aber doch selten über vier fahre. Abergläubische Leute 
kaufen im Nürnbergischen die rothen Männchen — denn nur diese 


sind tauglich! — um zwölf bis funfzehn Kreuzer, oder noch theu- 


rer, weilsie in der Meinung stehen, dafs ein rother Kreuzschna- 


bel, den man im Zimmer lierumlaufen liefse, den Rothlauf und 
andere Krankheiten ,. denem die Menschen: unterworfen sind, an 
sich zöge. Dieser Vogel wird leicht krank, dafs er aber dieKrank— 
heit seinesBesitzers erbe, wird heut zu Tage wohl Niemand mehr 
glauben.. > 

t NAHRUNG. 


Fichtensame ist seine Lieblingsspeise,. die er auf dem Baume 


mit vieler Geschiklichkeit unter den Schuppen hervor holt.. Ist der 
Same aber einmal ausgefallen, so wird er genöthigt, ihn auf der 
Erde aufzusuchen. Aufserdem frifst er aber auch noch Tannen - 
Erlen.- und. Distelsamen, die Früchte der Eberesche (Sorbus au- 
euparia Linn.) und die Tragsprossen der Fohren , Fichten und 
Tannen , die er mit dem Schnabel zuerst auf und nieder biegt , 
dann absprengt, mit den Fülsen fest hält und die Knospe auslee- 
ret. Im Zimmer frifst er Hanf- und Rübsamen, Wachholder- 
beeren und Habergrütze.. 


FORTPFLANZUNG. 


Merkwürdig ist es; dafs: dieser Vogel sein Nest in den Win- 
termonaten, December, lanuar, Februar, aber auch zuweilen noch 
später, im März und April, bauet Er macht es in eine Gabel 
zwischen die dichtesten Aeste. Das Aeufsere besteht aus schlan.- 
ken Fichtenzweigen und ist meistens: mit eiwas Harz übertüncht, 
inwendig ist es mit Torfmoos ( Sphagnum palustre Linn.) und 
Haarflechten (vorzüglich der sternförmigen Haarflechte Usnea flo- 
rida) dicht und weich ausgefütter. Die Wände des eigentlichen 
Nestes sind bei zwei Zell dik. In dasselbe legt das Weibchen des 
Tahrs nur einmal drei bis fünf stumpfe , einer Haselnufs grofse 
graulichweifse Eier, die am stumpfen Ende mit einem Kranze 
von rothbraunen Flekchem und Pünktchen versehen sind und in 
vierzehn "Tagen ausgebrütet werden. Die Iungen, welche nach 
vier Wochen flügge sind,, werden aus dem Kropfe der Alten mit 
Fichtensamen gefüttert,. den sie nur um diese Jahrszeit in hinrei- 


chender Menge haben können. Die Jungen sind von der ersten 


A: 


QUALITES. 


Cet oiseau a un air lourd et stupide qui est encor plus frap- 
pant lorsqu'il fait entendre sont chant qui est insignifiant, foible, 
gazouillant et sans harmonie, et ce gip, gip, gip, gip aigu et 
monotone qu'il repete souvent et en précipilant sa voix. Dans 
les excursions que font ces oiseaux il y en a pour l’ordinaire un et 


c’est sans doute le chef qui perché au haut d’un arbre donne par 


son cri d'appel le signal du départ. Le vol du bec croisé est as- 
sez rapide et il ne cesse en volant de battre des ailes en haut et en 
bas. S'il est posé sur une branche, lors même que rien ne paroit 
linquieter, son corps est sans cesse en ‘mouvement, 
che est sautillante. 


Sa demar- 
Il grimpe aussi le long des branches: et. sur les 
pommes de pin comme les mésanges et se sert de son bec pour 
s’y accrocher comme les perroquets. Il est possible que cet usage 
qu'il fait de son bec dans sa jeunesse où cette partie est encor très 
flexible soit cause que la mandibule supérieure se dirige, tantôt a 
droite tantôt, à gauche; mais: c’est surtout en soulevant et en re- 
courbant les écailles des pommes de pin et de sapin qu’il lui donne 
cette direction. Jun’ chambre il’s’apprivoise très aisement, mais il 
n’y vit gueres plus de quatre ans. Dans le pays de Nuremberg 
les gens superstitieux achetent les mâles à livrée rouge ( car ce 
sont les seuls qui soient bons pour cela) pour le valeur de 12. 
ou 15.kreuzers ou même au delà, parce qu'ils s’imaginent qu'un 
bec! croisé rouge qu'on tient en chambre et qu’on y laisse courir , 
attire à lui toutes les maladies auxquelles les hommes sont sujets 
telles que le feu St Antoine et autres Il est vrai que cet 
oiseaui tombe aisement malade mais qui peut être assez. simple de 
nos jours pour croire qu'il gagne les maladies, que peut avoir son 
maitre ? 


NOURRITURE. 


Sa nourriture favorite c’est les graines du pin qu'il retire avec 
beaucoup de dexterité de dessous les écailles de la pomme; mais 
si ces grainessont déja tombées il est obligé de les chercher à terre. 
Enoutre il mange les graines du sapin, de laure, des chardons, 
les baies du !sorbier sauvage (Sorbus aucuparia) les jeunes pous- 
ses des pins, de sapins et des pesses qu'il pie et courbe en tout 
sens jusqu’ à ce qu'il les ait rompues, ‘après: quoi il les saisit 
fortement avec les pieds: et dévore les boutons. En chambre il 
se nourrit de chenevis, de navette, de genieyre et de gruau 
d’avoine, 


PROPAGATION. 


Une chose bein remarquable c’est que cet oiseau fait son nid 

dans les mois d'hiver en Decembre, Janvier, Fevrier, et quelque 
in à 

fois même plus tard dans les mois de Mars et d'Avril Il le place 


dans les bifurcations des arbres au milieu des branches le 


s plus 
touflues. 


Il le construit extérieurement de menues branches de 
sapin enduites pour Pordinaire d’un peu de résine ; inférieure— 
ment il les tapisse de brins de sphaigne on mousse des tourbières 
(Sphagnum palustre } et ide lichens cheyelus, surtout de lespèce 
à écussons étoilés ( Usnea florida.) Les parois du nid'ont près de 
deux pouces d'épaisseur. C’est là que la femelle pond une seule 
fois par an de trois à cinq oeufs de forme obtuse ; de la grosseur 


7 = fr 2 À A . 
d’une noisette et d’un blanc grisätre, garnıs au gros bout de ia- 


‚ches et de pelils points brun-rouge disposés en couronne. Le 


couvement dure quinze jours. Les petits sont en état de quitter 
le nid au bout de quatre semaines. Le père et la mère les os 
rissent avec la graine de pin, quils tiennent dans leur gosier et 
quils ne trouvent en quantité suffisante que dans cette saison, Ayant 
la première mue les petits ont tout le corps d’un brun grisâtre avec 
quelques taches jaunätres ou verdätres par dessous. Les pieds 


sont brun-rougeätre foncé. La premiere annee les mäles pren- 


ee 


— 80 


Mauser am ganzen Kôrper graubraun und unten etwas gelblich 
oder grünlich geflekt; die Füfse dunkel rôthlichbraun. Die iun- 
gen Männchen werden im ersten April oder Mai ihres Lebens roth, 
und behalten diese Farbe bis sie sich zum zweitenmal mausern 5 


also ein Jahr lang. Ein solches Männchen ist hier abgebildet, 
NUTZEN : 


stiftet er durch sein gewürzhaftes leicht verdauliches Fleisch. 
Abergläubische Leute halten das rothe Männchen als einen Krank- 


heits- Ableiter in den Zimmern. 


SCHADEN 


wissen wir von ilım nicht anzuführen, ausser dafs er im Zim- 


mer alles Holzwerk, was er habhaft werden kann, zernagt. Seine 
FEINDE 


sind der Baummarder, der die Nester aufsucht, und der Sper- 


ber, der vorzüglich im Winter Tagd aufihn macht. 


Uibrigens ist er auch der fallenden Sucht, dem Schlagflufs 


und andern Krankheiten unterworfen. 


IAGD UND FANG. 


Da er fast beständig seine Lokstimme hören läfst, so wird er 
leicht entdekt und seiner wenigen Scheuheit halber auch leicht mit 
der Flinte erlegt. Man fängt ihn mit dem Garn auf dem gewöhn- 
lichen Vogelherde, mit dem Kloben, wenn man einen Fichten- 
zapfen daneben hängt, mit Leimruthen und Sprenkeln. Dais ein 


Lokvogel dabei nöthig ist, versteht sich wohl von selbst. 


VERSCHIEDENHEIT. 


‘ Eine merkwürdige Abänderung scheint uns das Männchen zu 
sein, welches wir zur fernern Beobachtung haben abbilden lassen. 

Der Schnabel ist hornschwarz, nicht so grofs und leicht ge- 
wölbet und klaftend, als der bei dem ersten abgebildeten Männ- 
chen; der Unterkiefer ragt nicht über den obern hervor; Schei- 
tel, "Brustund Bürzel schön. goldgelb; Oberhals grüngelb; die Oh- 
ren umgibt ein schwärzlicher Streifen, der sich gegen die Unter— 
kinnlade hinzieht ; Rücken zeisiggrün, schwärzlich geflekt; die 
grofsen Flügeldekfedern und Schwunigfedern schwarz, an der äus- 
sern Fahne olivengrün gerandet; die obern Dekfedern des Schwau- 
zes schwarzbraun, mit einzelnen kleinen gelben Streifen ; Schwanz- 
federn schwarzbraun ; die untern Dekfedern des Schwanzes. und 
die Aftergegend grauweils, mit schwarzbraunen Flecken; Fülse 
dunkel fleischfarbig, Nägel schwarz; Augenstern braun. Am Hin- 


terkopfe, unter den Ohren und auf dem Rücken stehen noch ein- 


zelne rothe Federchen. 


Länge 6. Zoll; Breite 11. Zoll. 


nent leur livrée rouge au mois d’Ayril ou de Mai et la garden 
jusqu” à la seconde mue, c’est à dire pendant toute une année, 
Nous donnons ici la gravure d’un jeune mâle avec cette livrée. 


UTILITÉ. 


Sa chair qui est aromatique et facile à digérer fournit une 
nourriture saine et agréable. Les gens superstitieux, comme nous 
; . Ha A 
Pavons dit plus haut regardent le mâle à livrée rouge tenu en 
chambre comme un conducteur de maladies. 


DOMMAGE. 


Le seul, quil cause peut-être c’est de ronger les meubles et 
utensiles de bois qu’il trouve dans les appartemens. 


ENNEMIS. 


I a pour ennemis le martre des arbres qui est sans cesse à 
épier son nid, et l’épervier qui lui donne la chasse surtout en 
hiver. 

Du reste il est sujet à l’épilepsie, aux coups de sang et à d’au- 
tres maladies. 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Comme il fait entendre presque continuellement son cri d’ap- 
pel il se trahit très aisement, et comme il n’est pas très fuyard on 
le tue facilement avec le fusil. On le prend aisement au filet dans 


les aires ordinaires, au breulet en suspendant tout auprès une 


pomme de pin, avec des gluaux et au trebuchet. Il n’est par be- 
soin de dire qu’il faut ayoir pour cela un appeau. 


VARIETE. 

Nous regardons comme une variété très remarquable le mâle 
dont nous donnons ici la figure pour atlirer sur lui l’attention des 
naturalistes. 

Le bee est couleur de: corne noire, moins bombé et moins 
élégamment vouté que celui de Pautremäle qu’on voit sur la planche 
précedente; il est aussimoins béant et la mandibule inférieure ne 
dépasse point la supérieure. Le sommet de Ja.töte, la poitrine et 
le croupion sont jaune doré; le dessous du col jaune vert; autour 
des oreilles est une raie noirätre qui se prolonge jusques vers la 
mandibule inférieure ; lé manteau est vert de serin avec des taches 
noirätres, les grandes couvertures des ailes ainsi que les pennes 
sont noires avec un liséré olive au côté extérieur de la barbe; les 
couvertures supérieures de la queue sont brun-noir avec de peti- 
tes raies détachées de couleur jaune; les pennes de la queue sont 
brun-noir; les couvertures inférieures de la queue et la région de 
Panus blanc gris avec des taches brun-noir; les pieds couleur de 
chair foncé, les ongies noirs; l'iris de l’oeil brun. On voit encor 
par ci-par là de petites plumes rouges sur le derrière de la tête, 
sous les oreilles et suxle dos. 

Longueur 6, pouces. Envergure 11. pouces. 


81 


QI LRRRINNONEERNNRRNENNNRNANNNENNNNNRNEUNNNNENUNEN 


DER HAUSSPERLING. 


Spaz. Hausspaz. Sperk, Hof- Raueh- Dorf- Kornsperling, Korndieh. 
Gerstendieb. Hausmaz (im Nürnbergischen.) 

Fringilla domestica. Linn. syst. nat. pag. 323. nr. 36. 

Fringilla domestica. Gmel. Linn. syst. nat. Tom. I. P, If. pag. 955. nr. 36, 

Le moineau.. Bufon. 

The Sparrow. Penn. 

Der Haussperling. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl, Tab, 8. Männ- 
chen und Weibchen. 

Der Hausfink. Bechst, ornithol, Taschenb. T. I. $. 116. n, 3. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Miinchen. Scheitel aschgrau; Schwung- und Schwanzfedern 
dunkelbraun; über die Flügel eine weifse Binde; Kehle aschgrau; 
= Oberleib rothbraun schwarz geflekt. 

| Weibchen. Auf den Flügeldekfedern einen bräunlichweifsen 
Rand; Scheitel braungrau mit kleinen schwarzen Streifen; über 
die Augen eine gelblichweifse Binde; Kehle und Unterleib weiß- 


grau; Rücken rothgrau und schwarz geflekt. 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel kegelförmig, scharf zugespizt, an den Seiten etwas 
eingedrüktund schwarzbraun oder schwarz; Scheitel und Wan- 
gen rôthlichaschgrau; hinter iedem Auge ein rothbrauner Sirei- 
fen, der sich im Rücken und an den Seiten des Halses sehr aus- 
breitet; ein schwarzer Flek umgibt die Augen und hinter densel- 
benist ein röthlichweilser Punkt; Oberrücken und Schultern roth- 
braun und schwarzgellekt, auch mit etwas Rothgrau gemischt; Un- 
terrücken röthlichgrau; Schwanzfedern dunkelbraun, graü geran- 
det; Schwungfedern dunkelbraun, die vordern röthlich, die hin- 
tern rothbraun eingefafst ; die kleinern Flügeldekfedern roth- 
braun , die vorlezte Reihe schwarz mit weifsen Spitzen, daher 
eine weifse Binde über die Flügel; die gröfsten Dekfedern schwarz 
mit breiten rothbraunen Kanten; Kehle, Hals und der obere 
Theil der Brust schwarz mit graulichen Einfassungen; von dem 
Winkel des Unterschnabels bis in die Mitte des Halses zieht sich 
an der Seite ein schmutzigweißser Streifen herab; der untere 
Theil der Brust und die Seiten derselben, ‘so wie die des Bau- 
ches röthlichgrau; Bauch schmutzigweils; Füfse graubraun, Nä- 
gel hornbraun. Die Flügelspitzen reichen bis auf die Mitte des 


Schwanzes. 
Länge 5% Zoll; Breite 84 Zoll. 


AUFENTHALT. 


Er lebt in Asien von Persien bis Sibirien, Syrien , Aleppo, 
Egypten und um den Flufs Senegal, im Europa allenthalben, wo 
Menschen und angebaute Felder sind. Einzelne Orie mitten in 
Wäldern , so wie überhaupt Gebirgsgegenden wo wenig Feldbau 
ist, fliehet er; lieber ist er in Städten und Dörfern. Er ist ein 


Standyogel. | 
EIGENSCHAFTEN. 


Obgleich er zur Zeit der Fortpflanzung nur paarweise und 
für sich lebt, so ist er im Herbste desto gesellschaftlicher. Um 
diese Zeit sieht man {ihn in grofsen Scharen zu mehren Hun- 
derten in Hecken auf Bäumen ‚an Wegen, wo viel Vogelknö- 


LE MOINEAU. 


Der Haussperling. Spaz. Hausspaz. Sperk. Hof-Rauch- Dorf- Korn 
Sperling. Korndieb. Gerstendieb. Hausmaz. (dans le pays de Nureni- 
berg.) 

Fringilla domestica. Linn. syst. nat. pag. 323. nr. 36. 


Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 925. nr, 36. 


Fringilla domestica. 
Bufon. 
Penn. 


Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Tab. 8. Mâle 


Le moinean. 

The Sparrow. 

Der Haussperling, 
et femelle. 


. Der Hausfink, Bechst. ornithol. Taschenb, F. I, 8. 116. nr. 3. 


Ss 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


Mixe. Le sommet de la tête gris; les pennes de la queue et des 
ailes brun foncé; les aïles traversées d’une bande blanche; la gor- 
ge gris- cendré; le dessus du corps brun rougeätre avec des taches 
noires. | 

Femelle. Les plumes des couvertures des ailes lisérées de 
blanc brunätre; le sommet de la tête gris brun avec de petites raies 
noires; une bande blanc jaunätre au dessus des yeux; la gorge et 
le ventre gris blanc, le manteau gris rouge avec des taches noires, 


DESCRIPTION. 


Le bec de forme conique; très pointu, un peu rapplati sur 
les côtés et brun noir ou même tout noir; le sommet de la tête et 
les joues sont d’un cendre rougeatre; derrière chacun des yeux se 
voit une raie brun rouge, qui s’elargit vers le dos et sur les côtés 
du col; une tache noire entoure les yeux et derrière cette tache est 
un point blane rougeätre; le haut du manteau et les. poignets des 
ailes sont d’un brun rouge taché de noir et mêlé d’un peu de gris; 
le bas du manteau est gris rougeätre; les pennes de la queue sont 
brun foncé avec un liséré gris; les pennes des ailes aussi brun 
foncé, celles de devant avec un liséré rougeätre; celles de derrière 
lisérées de brun rouge; les petites couvertures des ailes brun rou- 
ge; celle de Pavant dernière rang noires avec la pointe blanche, 
d’où résulte la bande blanche, qui coupe l'aile dans sa largeur; 
les grandes couvertures des ailes noires ayec un large bord brun 
rouge ; la gorge, le col et le haut de la poitrine noirs avec des 
bordures grisätres; de l’angle de la base inférieure se prolonge jus- 
qu'au milieu du col une raie laterale blanc sale; le bas de la poi- 
trice ainsi que les côtés de la même partie et ceux du ventre sont 
gris rougeätre; le ventre même est d’un blanc sale; les picds sont 
gris-brun; les ongles couleur de corne brune. La pointe des ailes 
aboutit à la moitie de la longueur de la queue. | 

Longueur 5. pouces 10. lignes; envergure 8. pouces, 9. lignes, 


PATRIE. 


On trouve le moineau dans tous les pays ou l’homme se livre 
aux travaux de l’agriculture, en Asie depuis la Perse jusqu’en Si- 
bérie, en Syrie autour d'Alep, en Egypte et jusqu’au Sénégal, 
enfin dans toute l'Europe. Il évite les demeures isolees dans les 
bois et fréquente peu en general les contrées montagneuses ou l’on 
cultive peu de bled. Il préfére de beaucoup le sejour des villes et 


des villages. Il est oiseau sédentaire. 


QUALITÉS. 


Tusqu’ à l'epoque de Paccouplement et de la ponte chaque 
couple vive à part, dans toute l’autre saison et surtout en automne 
les moineaux aiment beaucoup à vivre en société. C’est alors qu’on 
les voit se rassembler par centaines dans les haies, sur les arbres, 


terich wächst ( Polygonum aviculare Linn. ) und in Brachfel- 
dern. Aufserdem lieben sie auch die Gesellschaft und Wohnun- 
gen der Menschen, und lassen sich so leicht nicht veriagen. Ih- 
re Kühnheit und Dreistigkeit geht so weit , dals sie mit Hünern 
und Tauben aus dem Futtertrog und den Pferden den Haber aus 
. der Krippe fressen, und den Menschen bis auf wenige Schritte 
sich nahen lassen. Zuweilen bemächtigen sie sich der Nester der 
Tauben- und Hausschwalben (Hirundo urbica), beilsen leztere 
‚weg und machen das Nest, in welchen sie sehr gern wohnen, für 
sich zu recht. Gewöhnlich gibt es bei dieser Gelegenheit zwi- 
schen ihnen und den Schwalben einen Krieg, worin leztere meh- 
rentheils verlieren, und dann genöthigt werden , ein neues Nest 
zu bauen. Falsch isi es aber, dafs sie die Löcher ihrer vorher 
besessenen , und nun von den Sperlingen bewohnten, Nester mit 
Koth zumauern. Ist ein Haufen Sperlinge auf einem Baum etc. 
so schreien, necken und iagen sie sich beständig herum. Gera- 
then zwei einander in die Federn , so fallen gleich noch mehrere 
ein, bilden einen ordentlichen Kiumpen und beifsen einander mit 
dem gröfsten Geschrei so herum, dafs sie vor Wulh nicht sehen 
und hören und zuweilen gar bei dieser Gelegenheit gefangen wer- 
den. Hat man einen Gefangenen in der Hand, so beïlst er mit 
seinen starken Schnabel grimmig und empfindlich um sich. Li- 
süg und schlau ist er in einem hohen Grade. Es mufs die Kälte 
und der Hunger sehr großs, und Garn und Falle sehr verstektsein, 
wenn er sich beiden nähern will. Er weiß die Flinte sehr gut zu 
unterscheiden und ist äußserst vorsichtig und scheu, so bald man 
Hat nur einer den Jäger erblicket , so 
Stellt 


man ein Scheusal auf, um ihn von Kirschenbäumen oder Getrei- 


einmal geschossen hat. 
gibt er sogleich der ganzen Gesellschaft davon Nachricht. 


defeldern abzuhalten, so entfernt er sich wohl eine kurze Zeit, 
sezt sich nicht weit davon, und findet er bei genauerer Betrach- 
tung kein Lieben in demselben, so ist er auch sogleich wieder da 
und stiehlt nach wie vorher, Er ist ein naschhafter Vogel, der 
immer das Beste unter den Speisen aussucht, die schlechtern so 
lange stehen läfst, bis er das erste nicht mehr haben kann. Dics 
beweiseter auf den Kirschbäumen, Weinsiôcken, Getreidefeldern, 
und bei andern Gelegenheiten. Gélräfsig und neidisch ist er in 
einem ziemlichen Grade. Hat einer einen Brocken Brod oder 
Fleisch gefunden, so sucht es ihn sogleich einer oder zwei seiner 
Kameraden abzunehmen, Goeze erzählt, dafs er so gar iungen 
Tauben, welche von den Alten mit Getreidekörnern gefüttert wur- 
den, die Kröpfe aufhakt, und iene heraus frifst. Seine Lokstim- 
me, die er schon am frühen ‚Morgen hören läfst, ist einförmigund 
gar nicht angenehm und lautet wie schilk, schilk. Man hört aber 
auch die Silben; ti, ti, ti, von ihnı, und bei Zank und Streit zit- 
zitschi, zitzitschi, zitzitschi, ohne alle Melodie. Unter den be- 
kannten Vögeln ist er der unmäfsigste bei der Befriedigung des Ge- 
schlechtstriebes. Er soll sein Weibchen des Tags bei vierhundert- 
mal treten. Er hat einen hüpfenden niedrigen Gang und schnellt 
beim Sitzen und Hüpfen ôflers seinen Schwanz. Im Zimmer läfst 
er sich, iung aus dem Neste genommen, auf eine Zeitlang zum 
Aus- und Einfliegen gewöhnen , und soll sogar die Stimmen an- 
derer Vögel z. B. des Zeisig und Goldfinken nachahmen , welches 
wir aber sehr bezweifeln. Er badet sich gern im Sande und Was- 


Sein Alter ersirekt sich auf 19—:5. Jahre. 


| NAHRUNG. 
Diese besteht aus allerhand Sämereien, als Waizen, Gersien, 


#laber, Roggen, Hirsen, , Vogelknöterich (Polygonum aviculare 


ser. 


89 


% 


le long des chemins ou abonde la renouée (Polygonum avicularé 
Lin.) et sur les jachéres. Ils aiment en outre la société de l’homme 
et ce n’est qu'avec peine, qu'on les éloigne de sa demeure. Ils 
poussent la hardièsse et la familiarité jusqu’ à aller manger avec 
les poulets et les pigeons dans l’auge et avec les chevaux à la cre- 
che; on peut même les approcher à la distance de quelques pas, 
Quelque fois ils s’emmparent dés nids des 
pigeons et des hirondelles de maison (Hirundo urbica,) en chas- 
sant ces dernières à coups de bec et arrangant le nid pour y de- 
meurer tout à leur aise. Pour l’ordinaire cela ne se passe point 
sans combats; mais l'issue en est presque toujours au désavantage 
des hirondelles, qui se voient forcées d’aller bâtir ailleurs un nou- 


sans qu'ils s’enfuient. 


veau nid. Du ‘este il est faux ; quoiqu’en disent plusieurs auteurs, 
que pour se venger elles bouchent avec du limon Ponverture du 
»id, qui leur appartenoit et dont les moineanx se sont emparés. S'il 
y a un vol de moineaux sur un arbre, ils ne cessent de crier, de 
s’agacer, et.de se donner la chasse. Si deux d’entre eux prennent 
querelle, les autres se mettent fout de suite de la partie; il se for 
ment deux corps de combaltaus; puis ils s’attaquent ef se mordent 
en poussant de grands cris ef avec un tel acharnement, qu'ils ne 
voient et n’entendent plus rien et qu’ aveugies par la fureur ils se 
laissent aisement atiraper. Si l’on en a pris un et qu’on le lienne 
dans la main, il se débat en mordant avec fureur et de son bec ro- 
buste il fait quelque fois de profondes blessures. Il est fin et rusé 
au suprême degrè. Il faut, qu'il soit bien tourmente par le froid 
et par la faim et que lesffilets et les pièges soient bien cachés, pour 
qu'il s’en approche. Il distingue trés bien le fusil et desquil a en- 
tendu tirer un coup il dêvient très circonspect et très fuyard. Si 
Yun d’eux apperçoit le chasseur il ne manque pas d’en donner avis 
àltoute la bande. Si l’on plante un épouvantail pour l’éloigner des 
cerisiers où des champs couverts de bled, il s’en écarte dabord pour 
un moment; puisse posant à quelque distance il le considère avec 
attention et lorsqu'il s’est convaincu, que c’est un être inanimé, il. 
recommence ses courses et ses pillages de plus belle. Le moineau 
est trés friand; cherchant toujours ce qu’il ya de meilleur parmi 
les diverses choses qui lui servent de nourriture ef laissant de côté 
ce qui n’est pas de son goût, jusqu à ce qu'il n’ait plus d'autre 
resöurce.- C’est ce qu’il prouve dans lontes les occasions sur les 
cerisiers, dans les vignes et dans les champs de bled. Il est vo- 
race et envienx au suprême degrè. A-t-il trouvé un morceau de 
pain ou de viande, aussitôt un ou deux de ses compagnons cher- ! 
chent à le lui enlever. Goeze raconte même, qu'on a vu des moi- 
naux fondre sur des jeunes pigeons, que le père et la mère ve- 
noient de gorger de grains de bled, leur ouvrir le jabot à coups de 
bec et manger ce qui s’ytrouvoit. Le momeau fait entendre déja 
de très grand matin son cri d'appel; c’est un schilk, schilk, 
aussi désagréable, qu’il est monotone, Il y joint de tems en tems 
les syllabes ti, ti, ti, et lorsqu'il se querelle et se bat, les syllabes 
zitzitschi, zitzitschi sans aucune espèce de mélodie, (C’est 
de tous les oiseaux le plus lubrique etle plus infatigable en amour, 
on assure qu'il en donne les preuves à sa femelle jusqu’ à quatre- 
cent fois par jour. Il marche en sautillant et en se tâpissent et 
soit qu'il se tienne posé quelque part, ou qu’il soit en mouvement, 
il remue frequemment la queue. Pris jeune et avant qu’il ait quitté 
le nid, on peut le dresser au moins pour quelque tems à revenir 
au logis. , On assure même qu'il apprend à imiter la voix d'oise 
aux tels que le tarin et le verdier, ce qui nous paroît pourtant 
fort douteux. Il se baigne volontiers dans le sable et dans l’eau. 
Il vit communement de 12. à 15. ans. 


NOURRITURE. 


Sa nourriture consiste en graines de toute espèce, telles que 
froment , orge, avoine , seigle, millet, pois, graines de renouée 
(Polygonum aviculare Lin.), d’aune de salade, de choux, d’epi- 


"Linn. ) Erlensamen, Erbsen, Salat- Kohl- Spinatsamen, Kir- 
schen, Weintrauben, Pflaumen , Cornelkirschen etc. Knospen 
von Obstbäumen , aber auch allerlei Insekten z. B. Maikäfer , 
Heuschrecken, Bienen, Raupen. Mit den leztern füttern sie vor- 
züglich ihre Iungen. Auch fanden wir in ihren Ma gen Bierscha- 
len und Sandkörner, welche sie vermuthliceh zur Verdauung neh- 


men. . Gezähmt fressen sie fast. alles, was ihnen vorkommt. 
| 


FORTPFLANZUNG. 
Der Haussperling fängt schr bald im Frühiahr, und schon 
Die Alten hecken des Iahrs dreimal, 


nämlich im März, lunius und zu Ende des Augusts; die lüngern 


im März zu brüten an. 


nur zweimal. Das Nest machen sie aus Stroh, Heu, Federn und 
Haaren unter Dachsparren, in Dachrinnen, unter Ziegel, in Lö- 
cher, hole Bäume, Schwalbennester ete.,. und legen darein fünf 
bis acht weifse oder grünlichweifse mit dunkel aschgrauen und 
braunen Punkten besprengte Eier, welche von beiden Gatten 
wechselsweise in 14. Tagsn ausgebrütet werden. Die lungen se- 
‘hen anfangs den Weibchen gleich. Im darauf folgenden Winter 
unterscheidet sich erst das Männchen durch die durchschimmern- 
de schwarze Kehle und den rothbraunen Streifen an der Seite des 


Kopfes. 
NUTZEN. 4 


Ihr Fleisch, besonders das der Jungen, gibt eine angenehme 
‚Speise. Aufserdem nützen sie auch durch das Wegfangen einer 
grofsen Menge Obstraupen und anderer schädlichen Insekten. Ih- 
‘re Federn dienen auch im Nothfall zum Ausstopfen der Rissen. 


SCHADEN - 

stiften sie -durch ihre Nahrung; und dieser ist da, wo sie in 
grofser Menge vorhanden sind, nicht unbeträchilich, obgleich 
die über denselben angestellten Berechnungen übertrieben wur- 
den. Ehemals mufsten an manchen Orten die Bauern eine gewis- 
se Anzahl Sperlingsköpfe jährlich liefern. Man hob aber nach- 
her an vielen Orten. die Verordnung wieder auf, weil nicht nur 
. bei der Einlieferung der Köpfe Betrug mit unterlief, sondern man 
auch bemerkte, dafs seit der Ausrottung-der Sperlinge sieh die 
Raupen in den Gärten sehr vermehrten. Man vermindere dalier 
nur ihre örtliche allzugrofse Menge, vertilge sie aber nicht ganz, 
so geniefst mam ihren Nutzen und ihr Schaden ist zu ertragen. 
Dafs sie die Tragknospen an den Obstbäumen abbrechen oder 
beschädigen, ist zwar wahr; aber dies geschieht nicht aus Muth- 
willen, sondern um die in denselben. befindlichen Räupchen her- 


aus zu holen. 


FEINDE. 


Unter den Raubvögeln sind ihm vorzüglich die Eulen und der 
Thurmfalke (P.’Tinnunculus Lin.) und der Sperber (F. Nisus L.) 
gefährlich. Unter den Säugthieren stellen ihm die Katzen nach; 
und das grofse Wiesel (Mustela Erminea Lin.) und das kleine 


(Mustela vulgaris. L. ) suchen die lungen in den Nestern auf. 


Goeze sagt zwar in seiner Naturgeschichte der Eingeweide- 
würmer S. ı12. dafs die Sperlinge und andere kleine Vögel keine 
Einer der Verfasser schofs aber doch 
einen Sperling vom Dache, in dessen Eingeweiden er eine so gros- 
se Anzahl von Rundwürmern (Ascaris Lin.) fand, dafs davonder 


Kanal sehr aufgeschwollen war. Es schien dem ungeachtet doch, 


Eingeweidewürmer hätten. 


x 


nards; en fruits et baies telles que cerises, raisins, prunes, cor 
nouilles etc. 11 devore en outre les boutons des arbres fruitiers, 
mais il détruit en revanche une foulle de hannetons, de sauterel- 
les, d’abeilles, de chenilles et autres insectes dont il se nourrit. Les 
chenilles surtout forment la principale nourriture de ses petits. 
Nous avons aussi trouvé dans l’estomac de ces ciseaux de coquil- 
les d’oeufs et de grains de sable, qui leur servent probablement 
à faire la digestion. Apprivoisés ils mangent tout ce qu’on leur 
présente. 


PROPAGATION. 


Le moineau commence à nicher de très bonne heure au prin- 
tems et déja même au mois de Mars. A un certdin âge il pond 
irois fois par au en Mars, ‚en Iuin et à la fin du mois d’Aoüt; plus 
jeune il ne pond que deux fois. Il fait son nid sous les chevrons 
des toits, dans les gouttieres, sous les tuiles, dans les trous de 
murs, dans les arbres creux, etc. Les matières qu'il emploie sont 
la paille, le foin, les plumes, et toute espèce de crins et de poils. 
Quelque lois aussi, comme nous l’avons vu plus haut, il s'empare 
du nid, de J’hirondelle et arrange à sa guise. Ses oeufs qni sont au 
nombre de cinq à huit par ponte sont blancs ou blanc-verdâtresemés 
de points cendré foncé et bruns. . Le convement dure quinze jours et 
le mâle et la femelle se relevent dans cette function. Les petits dans 
les commencement ont la livrée des femelles; ce n’est que l’hiver 
suivant, qu'on distingue les mâles au noir lustré de leur gorge et à 


la raie brun rougeätre, qui leur descend de deux côtés de la tête. 


UTILITÉ. 


Leur chair surtout lorsqw ils sont jeunes est d’un goût fort 
agréable. De plus ils nous rendeni un service éssentiel en nous 
délivrant des chenilles , qui dévorent les arbres fruities et d’autres 
insectes nuisibles. On peut aussi se servir de leurs plumes à de- 
faut d’autres pour remplir des coussins et des duvets. 


DOMMAGE. 


Ils dévastent les campagnes et les vergers pour se nourrir et 
dans les endroits où ils sont en grand nombre, ils causent un dom 
mage assez considérable, quoiqu’on lait exagéré dans les calculs, 
qu'on en a fails. Autre fois dans certains districts les paysans 
etoient obligés de livrer par année un certain nombre de têtes de 
moineaux; mais dans la suite on a supprimé presque partout cette 
ordonnance, non seulement parce qu'il se glissoit souxent de la 
supercherie dans son exécution, mais aussi parce qu’on s’est ap- 
perçu, que depuis la destruction des moineaux les chenilles semul- 
I suffit dont d’en dimi- 
nuer le nombre dans les endroits où ils pullullent trop, mais il faut 
bien se garder de les exstirper. En tenant un juste milieu on jouira 


tiplioient extrömement dans les jardins. 


des avantages, qu’ils nous procurent, et le dommage, qu'ils cau- 
seront, sera très supportable. On ne peut nier sans doute, qu’ils 
n’arrachent les boutons à fleurs des arbres fruitiers ou du moins 
qu'ils ne les endommagent; mais ce qu'ils en font ce n’est point 
pour le plaisir de nuire; c’est uniquement pour s’emparer des pe- 
tites chenilles cachées dans ces boutons. 


ENNEMIS. 


Parmi les oiseaux de proie les ennemis les plus dangereux du 
moincau sont les hibonx, la creserelle, (Falco Tinnunculus L.) et 
Vépervier (Falco Nisus L.). Parmi les mammifères ce sont surtout 
les chats, qui le guettentpour le croquer; tandisque la grande belette 
(Mustela herminea L.), et la beleite commune { Mustella vulgaris 
L.) cherchent à se glisser dans son nid pour dévorer ses petits. 

Goeze il est vrai dans son histoire, naturelle des vers intesti- 
naux p.112. dit, que les moineaux et les autres petits oiseaux ne 
sont point sujeis à ces vers, mais un de coopérateurs de cet ouvrage 
s’est convaincu du contraire. Ayant abattu d’un coup de fusil un 


Ti : 


als wenn sie den Vogel nicht krank und schwächlich gemacht hät- 
ten, denn er war wohl beleibt. Auch eine Laus ( Pediculus re- 


curvirostris) findet man auf ihm, 


IAGD UND FANG. 


Da, wo er eine Zeitlangfriedlich wohnen durfte, ist erleicht 
zu schiefsen. Im Herbste und Winter, wenn er sich in Haufen 
sammelt, kann man mit Schrot mehrere auf einem Schufs erle- 
gen. Wenn tiefer Schnee liegt, so wird er mit einer Schlagwand 
gefangen, die aber sehr verstekt sein mufs. Auf Leimruthen geht 
er nicht, eher noch unter ein Sieb, unter welches man Körner 
streut und die eine Seite vermittelst eines Hôlzchens, woran eine 
lange Schnur gebunden ist, aufstellet. Man hält sich an einem 

Ort verborgen, und zieht an dem andern Ende der Schnur das 
Hölzchen weg, sobald sich einige unter dem Sieb eingefunden 
haben. Das Sieb fällt dann auf den Boden und bedekt sie. An 
den mehrsten Orten in 'Feutschland fängt man ihn mit eisernen 
Fallen, Sperlingsfallen im Nürnbergischen Sperkenfallen genannt, 
“an deren Zunge man Brod stekt, und das Eisen sorgfältig leicht 
mit Erde oder Schnee bedekt. Diese Falen, die eigentlichen ei- 
sernen Mausfallen, sind im Kleinen das, was die Fuehsfallen im 
Grofsen sind. Fast überall in den Rheïn- und Maingegenden fan- 
gen die Kinder im Winter die Sperlinge, indem sie vier Bakstei- 
ne so aneinander legen, dafs in der Mitte ‘ein viereckigtes Loch 
bleibt, in diefes streuen sie Hafer, Gerste etc. über dieses Loch 
wird ein ordinärer Dachziegel vermöge eines geraden Hölzehens 
halb aufrecht gestellt, dieses Hölzchen steht auf einer kleinen höl- 
zernen Gabel so wenig und leise auf, dafs sobald der Sperling 
auf diese Gabel tritt der Ziegel zufällt und er gefangen ist. In ei- 
nigen Thüringischen Dörfern werden sie mit einem Fischhamen- 
garn , das man an einen Reif und diesen an eine lange hölzerne 
Gabel befestiget, mit welchem man des Abends in die Kirschbäu- 
me, wo sie schlafen, langt. Der Hamen schlägt über sich, man 
streicht mit demselbenan der Wand herab und nimmt die in dem- 


selben verwickelten Sperlinge heraus. 


Auch mit einer Art Korb, dem man aus Weiden aufein Brett 
flicht und der einige Aehmlichkeit mit einer Fifchreuse hat, wer- 
den sie gefangen. Zur Lokspeise nimmt man Käse und Körner. 
Sie können in die Löcher dieses Korbes zwar hinein, aber nicht 


heraus. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Fr. domestica alba. Grauweifs- gelblich- oder schnee- 
weils mit feuerrothem. Angenstern, fleischfarbenen Fülsen und 


Schnabel. Also ein Kakerlake! 


2. Fr. domestica flava. Gelb, auf dem Oberleibe ins Roth - 


braune sich ziehend, oder auch loh- oder semmelgelb. 


5. Fr. domestica nigra. Kohlschwarz oder schwarzbraun. 


4. Fr. domestica nigrocinerea. Schwarzblau oder dunkelasch- ” 


grau, 


5. Fr. domestica varia. Weifs und mit seinen gewöhnlichen 


Farben gemischt. 


moineau, qui étoit sur un toit, il trouva dans ses intestins unnombre 
si prodigieux de ces petits vers ronds, qu’on appelle ascarides (As 
caris L.) que le canal intestinal en étoit tout gonflé. Il ne paroit pas 
cependant, que oiseau en fut le moins du monde incommodé, car 
il étoit gros ei gras. Ces oiseaux sont aussi sujets à l'espèce de poux, 
que les nainralistes appellent: Pediculus recurvirostris. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Partout, ou il est resté longtems sans £tre inquiété , il est très 
facile à tirer. En automme et pendant l'hiver, on peut en tuer plu- 
sieurs à la fois avec de la dragee de plomb, lorsqu’ils sont rassem- 
blés en troupe. Lorsqu'il y a beaucoup de neige on le prend avec 
de toiles, qu'on fait tomber à volonié, mais qui doivent être cachés 
avec beaucoup de soin. If ne se laisse gueres prendre au gluau; un 
moyen plus sur de l’attrapper, c’est d’avoir un crible, sous lequel 
on repand du grain et qu’on tient soulevé d’un côté au moyen d’un 
petit bäton de bois, sur lequel il appuie et auquel est attachée une 
ficelle. On se tient caché dans le voisinage, et desqu’on voit un 
certain nombre de moineaux sous le crible on le fait tomber en 
tirant à soi la ficelle et les moineaux se trouvent pris. Dans pres- 
que toute l'Allemagne on les prend avec des trappes de fer qu'on 
appelle Sperlingsfallen (c: à. d.trappes à moineaux) et Sper- 
kenfallen dans le pays de Nuremberg, en mettant un morceau 
de pain à la languette de la trappe et en recouvrant soigneusement 
le fer d’une légère couche de terre ou de neige. Ces trappes qui 
ne sont autre chose que de souricières de fer, sont en petit ce que 
sont en grand les pieges, où lon prend les renards. Dans pres- 
que toutes les contrées du Rhin et du Main les enfans prennent les 
moineaux en hivér au moyen de.quatre carreaux de brique, qu’ils 
disposent de manière à laisser dans le milieu un trou de forme car- 
rée, où l’on met de l’avoine, de l’orge ou toute autre espèce de 
graine. On prend ensuite une tuile ordinaire que l’on dresse sous 
un plan incliné au dessus du trou au moyen d’un petit baton de 
bois perpendiculaire qui le soutient et qui porte lui-même sur une 
petite fourchette en bois, mais si légèrement, que le moineau tou- 
che à peine la fourchette, que la tuile tombe et qu’il se trouve pris, 
Dans quelques villages de la Thuringe au moyen de ces filets de 


pêcheurs qu’on appelle éperviers (Fischhamengarn ), que l’on 


fixe à un cercle attaché lui-même à une grande fourche de bois. 


C’est avec ce filet, qu’on se rend le soir auprès des cerisiers ou ils 
Le filet retombe de 
l'autre côté, on le fait glisser en descendant le long de la muraille; 


passent la nuit, et qu’on leur donne la chasse. 


et on prend ainsi les moineaux, qui s’y trouvent embarassés. 


On les prend aussi avec une espèce de panier que lon tresse 
sur une planche avec de l’ozier et qui ressemble assez à une nasse 
a prendre le poisson. On y met pour amorce du fromage et du 
grain. Les moineaux peuvent entrer dans cette espèce de nasse par 
les trous gti y sont practiqués, mais une fois dedans ils ne sau- 


roient en sortir, 


VARIÉTÉS. 


1. Fringilla domestica alba. Le moineau blanc. Il est blanc 


de neige, ou blanc Jaunätre, ou blanc gris par tout le corps, avec 


l'iris couleur de feu et les pieds et le bec couleur de chair. C’est 
‘donc un vrai Kakeïaque. 


2. Fringilla domestica flava. Le moineau jaune. Il est tout 
jaune, avec une teinte brun rouge sur le dessus du-corps, ou bien 


jaune de tan ou de crouie de pain blanc. 


3. Fringilla domestica nigra. Le moineaunoir. Il est noir de 
charbon, ou noir brun. 


4. Fringilla domestica nigro-cinerea, Le moineau bleu, on 
cendré foncé. 


Ds 


6. Fr, domestica cinerea. Aschgrau mit dunkelbraunen Fle- 


cken. 


7. Fr. domestica badıo-maculata. Nobis. Statt der schwar- 
zen Kehle kastanienbraun mit grauweifsen Rändern, unten an der 
Schnabelwurzel schwarz, übrigens gewöhnlich gefärbt. 


5. Fringilla domestica varia. Le moineau bigarre. Il est blanc 
avec un mélange de ses! couleurs ordinaires. 
6.. Fringilla domestica cinerea. 
brun foncé. ; 
7. Fringilla domestica badio-maculata. Nobis. La gorge au 


Gris cendré avec des taches 


lieu d’être noire est chatain avec un liséré blanc grisätre. Au des- 
sous de la base du bec est une place noire; pour le reste il res- 
semble parfaitement au moineau ordinaire. 


DIE ALPENSCHWALBE. 


"Weifsbauechige’Mauerschwalbe. Gihraltarschwalbe. 
“barische Schwalbe. 
:Hirundo Nelba. 


“Hirundo Melba. Ginel. Linn. syst. nat. T'om. I. P. IT. pag. 1023. nr. 11. 


Bergschwalbe, Bar- 
Spanische Schwalbe, 


Linn. syst. nat. p. 345. nr. 11. 


Briss. ‘av. 2. p. 504, nr. 11. 
Klein. av.’83. Seligmanns Vögel T. IT. tab, 53. 


Hirundo alpina. Seopl. ann. 1. p. 166. n. 250. 


- Hirundo maior hispanica. 


Hirundo riparia maxima. 


Grand martinet a ventre blanc. Bufl. hist. nat. des ois. 6. p. (60. 
Greatest Martın or Swift. Edw. av. ı. tab. 27. 5 
White-bellied Swift. Lath. syn. II. 2. p. 586. n. 36. (II. 2. 575.) 
Alpenschwalbe. Bechsteins. N. D: IV. p. 783. 

Alpenschwalbe. Bechsteins ornithol. Taschenb. T. I. S. 226. n, 5. 


KENNZEICHE! DER ART. 
Graubraun mit röthlichem Schil! r; Kehle 1 Bauch weifs mit 
dunkelbraunen Halsbande. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel tiefbraun; das Auge nufsbraun ; die Füfse mit 
graubraunen Federn und nicht mit Wolle bekleidet; die 
Zehen nebst einem kahlen Streif von hinten im Schienbein herab 
braun mit etwas fleischröthlich durchscheinend; der Kopf, Ober- 
leib, Rücken und Unterrücken, Schwanz, Flügel, Unterbauch und 


After graubraun mit röthlichem Schiller; eben so auch der Hals 


und der obere Theil der Brust, wodurch ein breites, graubrau-. 


nes Halsband entsteht; alle Federn heller gesäumt, besonders die 
des Unterbauchs und Afters; die Kehle, der untere 'Theil der Brust 
und der Oberbauch weils; die Seiten und Unterflügel dunkelgrau 
und weifs gemischt. 

Aufser etwas heller, graubrauner Farbe, und nicht so brei- 
tem Halsbande ist kein sichtbarer Unterschied, zwischen Männ- 
chen und Weibchen. 

Die gefalteten Flügel reichen beinahe 5. Zoll über seine Spitze 
gekreuzt hinaus. 

Länge etwas über 9. Zoll; Breite 21. Zoll; der gabelförmige 
Schwanz 33 Zoll. 

AUFENTHALT. 

Alle hohen Alpen und höchsten Gebirge der Schweiz, Ty- 
rols, und vorzüglich die des südlichen Europas; ia auch auf den 
Stadtthürmen in Chur, Bern, und Burgdorf hält sie sich auf; man 
findet sie aulserdem noch auf der Insel Malta und in Spanien bei 
Gibraltar. 


vogel sehen, wie z. B., nach Bechstein auf dem Thüringer Walde. 


In Deutschland l5fst sie sich nur zuweilen als Strich- 


Sollte nicht das sonst so sehr geübte Auge dieses vortreflichen Na- 
turforschers sich hier geirrt haben? dafs die Schwalben aus ihren 
gewöhnlichen Aufenthaltsorten sich so weit verstreichen sollten, 


ist uns nicht wahrscheinlich. 
Uu 


LE GRAND, MARTINET. 


Weifsbauchige Mauerschwalbe. 
Barbarische Schwalbe. 


Ilirundo Melba. Linn. syst. nat. pag. 345. nr. 11. 


Die Alpenschwalbe. Gibraltarschwalbe, 


Bergschwalbe. Spanische Schwalbe, 
Hirundo Melba. Gmel. Linn. syst. nat. T.I. P. IL. pag. 1023..nr. 11, 
flirundo major hispanica, Briss. av. 2. p. 504, nr. 11. 

Hiruudo riparia maxima. Klein. av. 83. Seligmanus Vögel P. IL. tab. 53, 
Hirundo alpina. Scopol. ann. 1. ag. 166. n. 252. . 
Grand martinet à ventre blanc. Buff. hist. nat. des ois. 6. p. 660. 
Greatest Martin or Swift. Edw. av. I. t. 27. r 


\WVhite-bellied Swift, Latham. syn. IL. 2. p- 586. n. 36. (IT. 2. 575.) 


‘Alpenschwalbe. Bechsteins N. D. IV. p. 783. 


Alpenschwalbe, Bechst. ornithol. Taschenb. I. Th. $. 226, n. 5. 


CARACTERES  SPECIFIQUES. 


Ke _ £ h A 
Gt brun-sris avec un chatoyement rougeätre, la gorge et 
le ventre blancs avec un collier brun foncé, 


DESCRIPTION. 


Le bec brun-noirätre; Poeuil chatain; les pieds garnis de plu 
mes brun-grisätre; et non d’un duvet laineux; les doigts, 
ainsi qu'une raie descendant de derrière sur la tibia et dégarnie de 
plumes de couleur brune avec une légère teinte de chair qui perce 
au travers ; la tete, le dessus du corps , le manteau, jusques vers 
le bas, la-queue, les ailes;-le ventre etle croupion brun-gris avec 
un chatoyement rougeätre; les mêmes couleurs au col et’au haut 
de la poitrine, formant ainsi un large collier brun-gris, toutes les 
plumes, surtout celles du ventre et du croupion d’une couleur plus 
claire sur les bords, la gorge, le bas de la poitrine et le haut du 
ventre blancs, les flancs et le bas des ailes gris brun mêlé de blanc, 

La seule différence que lon remarque entre le mâle et la fe- 
melle est, que celle ci a les couleurs plus claires et d’un brun plus 
gris, et que le collier est moins large. 

Lorsques les ailes sont repliées elles dépassent en se croissant 
la pointe de la queue d'environ trois pouces. 

Longueur, environ 9. pouces; envergure, 1. pied, 9. pouces; 
longueur de la queue, qui est fourchue, 3. pouces et &, 


PATRIE. 


Il habite les hautes Alpes et les montagnes les plus élevées de 
la Suisse, du Tyrol, et surtout du midi de FEurope; il se tient 
aussi sur les tours des villes, à Coire, à Berne, à Bethoud etc. 
On le trouve aussi à Malte et en Espagne près de Gibraltar. En 
Allemagne ilne se montre jamais que comme oiseau de passage et 
cela encor très rarement, Bechstein prétend l’avoir vu dans les fo- 
reis de la Thuringe; mais l'oeil du reste si-clairvoyant et si exercé 
de cet excellent naturaliste ,-ne se-séroit point trompé ici? Du 
moins il nous paroit très peu vraisemblable que les hirondelles 
s’éloignent si fort du lieu où elles font leur demeure ordinaire. 


— 86 


EIGENSCHAFTEN. 

Ihre Wohnung auf den Alpen, sind die höchsten Felsspitzen 
und hier fliegt sie beständig pfeilschnell in der Luft und zwar ge- 
Ihr Ge’ 
schrei ist nicht wie Bechstein sagt, reinflötend, sondern ein un- 


wöhnlich so hoch, dafs keine Flinte sie erreichen kann. 


angenehmeres viel gröberes Skri, als das der Mauerschwalbe. Sie 
kommt in der Mitte des Mais an, und ziehtim August schon wie- 
der weg. CE 


NAHRUNG. 
Diese besteht in Käfern, Mücken, Bremen, und andern flie- 
genden Insekten, welche sich hoch in der Luft aufhalten. 


FORTPFLANZUNG. 


Sie nistet in Felsenritzen und in Mauerhôlen der Thürne, 
wie z.B. in Chur, Bern, und Burgdorf. Ihr Nest besteht aus 
schichtenweise übereinander enggelegten Koth, ist inwendig sehr 
glatt, und mit Schleim so dicht überzogen „ dafs es papierähnlieh 
aussieht. Eis ist übrigens unordentlich, ohne bestimmte Form und 
tief. Die Eier sind sehr lang, glänzend weißs, und meistens 5—4. 


an der Zahl, 
NUTZEN. 
Ihr Fleisch, sagt Bechstein, wird unter die Delikatessen ge- 
zählt. 
‚ der Schweiz noch sonst wo, gegessen wird, oder einen andern öko- 


Wir haben nicht in Erfahrung bringen können, dafs sie in 


nomischen Nutzen hat. 
SCHADEN | 
Ist uns keiner bekannt geworden, 
FEINDE. 

Die Schwalbenläuse plagen sie sehr und an den Raubyögeln 

hat sie auch grofse Feinde. 
IAGD UND FANG. 
Da sie stets sehr hoch fliegt, so ist ihr nur schwer mit der 


Flinte beizukommen. 


DAS STEINHUHN. 


Perdix saxatilis. Nobis. 

Briff. av. I. p. 241..n. 12, R. 1: 

Perdix graeca. s. rufa maior, Rai. av, p. 57. n. 5: 

La bartavelle. ' Buffon pl. enl, n.} 237. 

Red Partridge. Alb: av. x. pe 27. 

Greek Partridge, or Great red Partridge. Will. orn. p. 169. 

Greek Partridge. Lath..syn. p.767. n. 12. (U.-2, 725.12.) 

Das rothe Italienische Rebhuhn. Frisch Vorstellung. der Vögel Dentschlands 
Taf. 116. 

Scop. ann. I. n. 174. 

Das Griechische Rothhuhn. Bechst. Naturgésch. Deutschl! III. 525. n. 8. a. 

Wildungen Neuiahrsgeschenk für Forst- und Jagdliebhaber auf das Iahr 
1797. T, V. 


Perdix graeca. 


’ KENNZEICHEN DER ART. 


Kne weils, mit einer grofsen, schwarzen, ungetüpfelten Binde 
eingefafst; Scheitel, Hals, Nacken, Brust, Oberleib und die mit- 
telsten Schwanzfedern kellaschgrau, schwach gelbrôthlich über- 
laufen; die gelblichen mit schwarzen halbmondförmigen Streifen 


versehenen Seitenfedern mit kaum bemerkbaren orangefarbenen 


Binden, 


QUALITÉS. 

C’est sur les pointes les plus élevées des Alpes; qu’il habite. 
C’est là qu'il vole continuellement avec la Täpidité d’un trait et 
qu'il ‚s’eleve pour l’ordinaire dans'les airs à une telle hauteur, que 
le fusil ne le sauroit atteindre. Son cri n’est point, comme le dit 
Bechstein, un ton pur et flüté, au contraire c’est un certain Skri 
plus rude et plus désagréable que celui du martinet ordinaire. Il 
arrive au milieu du mois du Mai et répart déja au mois d’Août. 


NOURRITURE. 
1 se nourrit de scarabées, de moucherons, de taons et d'autres 
insectes ailes, qui se tiennent dans les régions supérieures de l’air, 
PROPAGATION. 


Il niche dans les fentes des rochers et dans les cavités des murs 
des tours, comme p. ex. à Coire, à Berne et à Berthoud. Son nid 


[ 


est formé de différentes couches de boue placées les unes au des- 
sus des autres et très serrées. Il est très lisse en dedans , etilest 
enduit d’une couche si épaisse d’un suc visqueux, qu’on prendroit 
ee revetement intérieur pour du papier. Du reste il n’a ni regula- 
rite , ni forme déterminée et il est peu profond. Les oeufs sont 
très allongés, d’un blanc éclatant, et pour l'ordinaire au nombre 


de 5, ou 4. 
La 
.  UTILITE. [ 
Leur chair, à ce que dit Bechstein, est regardée comme un 
mets exquis. Quant à nous quelques reseignements que nous ayons 
pris, soit en Suisse, soit ailleurs, nous n’ayons rien appris de 
positif à cet égard, et nous ignorons, si on les mange ou s'ils ont 
quelque autre usage économique. 
DOMMAGE. 
1 n’en causent aucun du moins que nous sachions. 
ENNEMIS. 
fs sont tourmentes par les poux d’hirondelles et ont des en- 
nemis très dangereux dans les oiseaus de proie. 


MANIÈRE DE LES TUER OÙ DE LES PRENDRE, 


Comme ils volent toujours à une très grande hauteur „il est 
difficile de les atteindre avec le fusil. 


LA BARTAVELLE. 


Das Steinhuhn. 

Perdix saxatilis. Nobis. 

Perdix graeca. Briss. av. T. p. 241. x. 12. € 1. 

Perdix graeca, seu rufa major. Rai. av. p.57. n. 5. 

La bartavelle. Buff. pl. enlum. n. 231. 

Red Pariridge. Alb. av. 1. p. 27. 

Greek Partridge, or Great red Partridge. Will. orn. p. 169: 

Greek Partridge. Lath. syn. p. 767. n. 12. (II. 2. 725. 12.) 

Dasrothe italienische Rebhuhn, Frisch Vorstel. der Vögel Deutschl. Tab, 116. 

Seopoli ann. I. n. 174. : 

Das griechische Rothhuhn. Techst. Naturges. Deutschl. III. 525. n. 8. a. 

Wildungen Nenjahrsgeschenk für Forst- und Iagd- Liebhaber auf das Iahr 
3797. T. V. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


L: gorge blanche entourée d’une large bande noire ei sans points, 
ni taches; le sommet de la tete, le col, le manteau, la poitrine, le 
dessus du corps et les plumes du milieu de la queue gris cendré 
clair, lavés d’une légère teinte rouge jaunätre; les plumes desflancs 
jaunätres ornées de raies noires en forme de croissant, avec des 


‘bandes orange peu marquées. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel und Augenliederrand hochroth; Augenstern grau- 
braun; die geschuppten Füfse hlafsroth, mit dunckelbraunen Nä- 
geln und bei dem Männchen mit einem sparnartigen Ansaz; Vor- 
derkopf aschgrau, Hinterkopf etwas dunkler; Hals, Nacken, Brust, 
Rücken, Flügel und Bürzel aschgrau, gelbroth überlaufen; Wan- 
gen, Kehle und Vorderhals weils; eine schwarze Binde, welche 
auf der Stirn entspringt, alsdann auf beiden Seiten über den Au- 
gen weg, durch die Ohren, an den Seiten des Halses bis zum 
Anfang der Brust läuft, hier breiter wird und zusammen fliefst ; 
Unterleib, Bauch und After verwaschen röthlichgelb; die Seiten- 
federn mit einer doppelten schwarzen Binde besezt, an welchen 
man kaum die orangegelben Streifchen, womit sie sich endigen, 
sieht; Schwungfedern braun , atıswärts blafs rostgelb eingefafst; 
von den-ı4. Schwanzfedern die fünf äufsersten an der Wurzel 
aschgrau, dann gelbroth, die übrigen überhaupt hell aschgrau. Die 
Flügelspitzen endigen sich 2. Zoll vor der Schwanzspitze. 

Länge des Männchens 14. bis ı5. Zoll; Breite 20. Zoll. 

Länge des Weilchens 12. bis 15. Zoll; Breite 19. Zoll. 

Weibchen. Beträchtlich kleiner; der Scheitel dunkler, die 
aschgraue Farbe schmutziger und gelbrôther überlaufen ; die 
schwarze Binde, welche den Hals einfafst, nicht so stark und breit; 
die schwarzen Binden der Seitenfedern schmäler und die orange- 


gelben Streifchen heller. 


AUFENTHALT. 
Es bewohnt die hohen Gebirge und Alpen des südlichen 


Deutschlandes, der Schweiz, Italiens, und findet sich auch in 
Menge auf den Cycladischen Inseln im Archipelagus, in Griechen- 
land, und vorzüglich auf der Insel Candia. 


EIGENSCHAFTEN. 


87 


Sein Aufenthaltsort sind die mitilern Berggegenden; über die _ 


Regionen hinauf, wo kein Holz mehr wächst, geht es nicht, oder 
doch nur im höchsten Sommer; aber niemals trift man es in den 
Ebenen oder niedern Thälern an. Es ist sehr scheu, läuft ausser- 
ordentlich schnell, hat aber einen schweren und geräuschvollern 
Flug als die Rebhühner. 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus verschiedenen Kräutern, Sämereien, Insek- 
ten, besonders Ameisenpuppen, und im Winter aus Baumknospen, 


Beeren, "Tannen - Fichten- und Lerchennadeln. 


FORTPFLANZUNG. 


Aufser der Begattungszeit lebt es familienweise zusammen; 
“aber schon im Mai fängt das Falzen an und die Familien trennen 
sich. Im Iunius und Anfang des Iulius, ie nachdem die Witle- 
rung auf den Gebirgen, oder ie nachdem ihre Vi ohnung höher 
Das Weibchen 


legt 15. bis 24. röthliche, schwarz geflekte Eier, unter Baumwur- 


oder tiefer ist, nisten und brüten diese Hühner. 


zeln oder unter überhängende Steine ins Gebusche, oder auch, in 
das blofse Heidekraut (Erica vulgaris) und brütet sie in ungefähr 
5. Wochen ohne Beihülfe des Männchens aus. Die lungen lau- 
fen, sobald sie aus dem Ei kommen, aufserordenilich schnell da- 
von und werden von den Alten bald sich selbst überlassen. Man 


kan sie zähm n. 


NUTZEN. 
Das Fleisch des Steinbuhns ist schr schmakhaft. . Es ist weifs, 


zwar etwas trocken, hat aber einen harzisen, bitterlich - gewürz- 
X x 


DESCRIPTION. 


Le bec et les bords des paupières rouge vif, l'iris de l’oeil 
brun gris; les pieds écailleux rouge pâle, avec les ongles bruns 
foncé et un ergot en forme d’éperon chez le mâle; le devant de la 
tête gris cendré; le derrière de la même couleur, mais un peu 
plus foncée; le col, la nuque, la poitrine, les ailes et le croupion 
gris cendré lavé de rouge jaunätre; les joues, la gorge et le de- 
vantdu col blancs avec une bande noire, qui prend-au front, passe de 
deux côtés par dessus les yeux, descend au travers des oreilles sur 
les côtés du col, jusqu’ au haut de la poitrine où elle devient plus 
large et où ses deux bouts se confondent; le dessous du corps; le 
ventre et l’anus d’un jaune rougeâtre sale; les plumes des flancs 
ornées d’une double bande noire, où Fon voit à peine les raies 
orange, qui les terminent d’un rouille pâle; des quatorze pennes 
de la queue les cinq extérieures sont cendrées à la base, et de 
là jusqu’ à la pointe d’un rouge jaunätre; toutes les autres sont 
gris cendré clair. Les pointes des ailes sont plus courtes de deux 
pouces que celle de la queue. 

Longueur du mâle, 14. à 15. pouces. Envergure 20. pouces. 

Longueur de la femelle, 12. à 13. pouces, envergure 19. pouces. 

La femelle est beaucoup plus petite que le mâle; le haut de 
la tête est plus foncé; le gris cendré est partout plus sale et lavé 
d'une plus forte teinte de rouge jaunätre, la bande noire, qui fait 
la tour du col a moins de largeur ; les bandes noires des plumes 
des flancs sont plus étroites et les raies oranges qui les ornent 
plus claires. 


À PATRIE. 


Elle habite les hautes montagnes et les Alpes du midi de P’Alle- 
magne, de la Suisse, et de /’Italie. Elle abonde aussi dans les Cy- 
clades, en Grèce et sourtout dans File de Candie, 


QUALITES. 


Elle fait sa demeure dans les contrées moyennes des mon- 
tagnes, et toujours au dessous des régions, où il ne vient plus de 
bois, excepté peut-être dans le fort de l'été, On ne la trouve jamais 
dans la plaine, ni dans les vallées basses. Elle est très sauvage et 
elle court avec une extrême vitesse; en revanche elle a un vol 
plus-lourd et ptus bruyart que les perdrix, 


NOURRITURE. 


Elle se nourrit de différentes espèces de plantes, de semen- 
ces et d'insectes, surtout d’oeufs de fourmis. 
les boutons d’arbres diverses sortes, les baies et les piquants de 


En hiver elle mange 


pins et de sapins ct des méleses. 
PROPAGATION. 


Hors la saison de laccouplement ces oiseaux vivent en famille; 
mais au mois de Mai commencent leurs amours et chaque couple 
alors va vivre à part. C’est en luin ou au commencement de luillet 
suivant que la saison est plus ou moins avancée, et leur demeure plus 
ou moins élevée dans les montagnes, qu’ils nichent et couvent. La 
femelle pond de 1h, à 24. oeufs rougeäires avec des taches noires. 
C’est sous des racines d’arbres ou sous des pierres inclinées dans 
des buissons ou même tout simplement dans les touffes de bruyère 
commune (Erica vulgaris L.), qu’elle dépose le fruit de ses amours, 
Le couvement dure environ 3. semaines et le mâle ne s’en mêle 
point. Les petits au sortir de l’oeufse mettent à courir avec une 
extrême vitesse, et sont bientôt abandonnés à eux mêmes par leur 


père etmere. On peut les apprivoiser. 


UTILITÉ. 
Elle est 


blanche et quoique un peu séche elle a un goût résineux et aro- 


La chair de la bartavelle est excellente à manger. 


— 88 


haften Geschmak, und daher wird es auch stets zu hohen Prei- 
sen verkauft. 


FEINDE. 


Der Fuchs ist sein gröfster Feind. Manches wird auch den 
Geiern , Adlern und Falken, und vorzüglich den Wanderfalken 


zu Theil. 
IAGD UND FANG. 
Es wird meistens beim Auflliegen, selien vor dem Hunde, 
— indem man überhaupt in den Alpen wenig mit Hunden iagt, — 
geschossen. Im Herbst wird es in Steinfallen und Pferdehaar- 
schlingen, die man zwischen die Alpenrasen stellet, gefangen. 


ANMERKUNG. 


Das eigentliche Rothhuhn, Perdix rufa Lath. ist zuverläfsig 
als Art von dem Steinhuhn verschieden, wie man sich auch leicht 
durch die von uns aufgestellte Beschreibung des leztern überzeu- 
gen kann, und gehört durchaus nicht zu den deutschen Vögeln, 
sondern findet sich vorzüglich im südlichen Frankreich, Asien, 
“ "Afrika etc. Es ist auch kleiner als unser Steinhuhn, hat stets ro- 
the Augensterne and weifse ; mit vielen rothen Punkten bestreute 
Eier. 


in seinem Ornith, Taschenb, 1h, I, S. 243. hat statt des Steinhuhns 


Bechstein in seiner Naturgesch. Deutschl. III. S. 519. und 


‘als eigentlich deutschen Vogel, das französische Rothhuhn be- 
schrieben, und in Borkhausens, Beckers etc. deutscher Ornitho- 
logie H.1. Taf. 5. ist dieses ebenfalls statt ienem beschrieben und 
abgebildet. 
Forst- und Iagdliebhaber auf das Iahr 1797. hat, obgleich er das 
Steinhuhn Taf. 5. abbilden liefs, doch S. 82. das Roihhuhn be- 
schrieben. 


Auch Wildungen in seinem Neujahrsgeschenk für 


matique avec une légère amertume; aussi cet oiseau très éstimé des 
gourmets se vend-il toujours a un très haut prix. | 


ENNEMIS. 


Le renard est son plus grand lennemi. |Elle devient aussi la 
proie des autours, des aigles, des faucons et surtout des faucons 
voyageurs. 


MANIERE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE. 


Communement on la tire avec fusil, quand elle s’envole, ra- 
rement devant le chien, car en général on chasse peu avec des chiens 
dans les Alpes. En l'automne on la prend dans des trappes à pierre 


et dans des pièges de crins, que l’on pose entre les gazons des Alpes. 


REMARQUE, 


La perdrix rouge , proprement dite Perdix rufa Lath. 
est certainement une espèce différente de la bartavelle, comme on 
peut s’en convaincre par la description, que nous venons de donner 
de celle ci, et ne doit point être comptée parmi les oiseaux de 
l'Allemagne. Sa patrie est le midi de la France, P’Asie, l’Afrique 
etc. Elle est aussi plus petite que la bartayelle; elle a l'iris con- 
stamment rouge et ses oeufs sont blancs avec une quantité de 
points rouges. Bechstein dans son histoire naturelle de PAllemagne 
IL. p. 519. (Naturgeschichte Deutschlands) et dans son Ornitho- 
logie portative part. I. p. 245. (Ornithologisches Taschenbuch) a 
décris comme oiseau propre à l'Allemagne la perdrix rouge de 
France, au lieu de la bartavelle; et dans l’Ornithologie allemande 
( Deutsche Ornithologie ) de Borkhausen, Becker etc. cah. I. pl. 5. 
c’est aussi le même oiseau qui est représenté au lieu du notre. 
Wildungen dans ses Etrennes (Neujahrsgeschenk) pour les ama- 
teurs de la foresterie et de la chasse a décrit la perdrix rouge p. 82. 
quoique la figure, qu’il en donne pl. 5. soit celle de la bartavelle. 


= 9 = 
- \ 2 
DER WENDEHALS. LL LE TORCAL. 
Drchhals. Drehvogel. Otterwindel. Nalenrindel, Halsdreher, Hals- Wendehals. Drehhals. Drehvogel. Otterwindel. Natterwindel. ‘als 
 winder. Natterhalss Wichälslein (im Nürnbergilchen. ) dreher. Halswinder. Natterhals. Wichälslein, (dans le pays de Nu- 
Yunz Torquilla. Linn. syst. nat. pag. 172. n. 58.,1. k remberg.) 


Yunx Torquilla. Gmel. Linn. syst. P. I. P. 1. pag. 423, n. 58. 1. 

Le torcal. Buffon. 

The Wryneck. Penn. 

‘Der Wendchals. Erisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf. 50. 

Der Wendehals. Deutsche Ornithologie. Heft 7. Männchen und Weibchen, 

Gemeiner Wendehals. Bechstein ormithologisches Taschenbuch. Th. I. pag. 
73, nfo. 1, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Weis, gelblich, grau, schwarz und rostfarbig geflekt und fein 
_getüpfelt. 
; BESCHREIBUNG. 


Schnabel gerade, oben und unten gleich lang, spitzig, an der 
Wurzel breit, oben von der Mitte an gegen die Spitze mit einer 
scharfen Kante, grau, an der Spitze dunkler , im Herbst schmu- 
tzig olivengrün, im Frühiahr bräunlich; Nasenlöcher nahe an der 
Stirn, einander genähert, ritzenförmig, Schnabelwinkel dunkel- 
röthlich (im August,) nach Bechstein gelb; der inwendige Schna- 
bel dunkelröthlich; die Zunge wie die Spechtzunge; Augenstern 
braungelb; Scheitel aschgrau, ‚braun und rostfarbig getüpielt und 
mit braunen, pfeilförmigen und weifsgerandeten Flecken verschen; 
Oberhals und Rücken aschgrau, braun und roströthlich getüpfelt 
mit braunen pfeilförmigen Flecken; vom Hinterkopfe bis auf die 
Mitte des Rückens ein starker dunkelbrauner Streifen ; Schwanz 
grau und roströthlich mit vielen kleinen Punkten und zwei dun- 
kelbraunen unregelmäfsigen, zackigen Querbinden, von welchen 
die obere etwas breiter ist als die untere ; Dekfedern der Flügel 
roströthlich , | 
förmigen F lecken, welche auf der einen Seite mit einem hellen gro- 


fein dunkelbraun getüpfelt mit dunkelbraunen pfeil- 
fsen rostrothen Flek begrenzt sind; Schwungfedern mattschwarz, 
auf der schmalen Fahne mit 5. bis 6. grofsen rostrothen Flecken; 
Un- 


terhals rostgelb mit braunen schmalen \WVellenlinien; Brust und 


Kinn und Seiten desselben graulichweils und braun gewellt; 


Bauch gelbliehweißs, mit schwärzlichen Flecken; untere Schwanz- 
dekfedern rostgelblich mit einigen braunen Wellenlinien und Punk- 
ten; Füfse olivengrünlich (im August,) oder grau, (im April,)und 
völlig den Spechtfüfsen ähnlich, Nägel graubraun. 

Die Flügelspitzen endigen sich ein Drittheil vor derSchwanz- 
spilze, 

Länge 62 Zoll; Breite 107 Zoll. 


Das Weibchen ist nur wenig vom Männchen verschieden, 


AUFENTHALT. 


Er lebt fast allenihalben in Europa, Eben so hat man ihn auch 
schon in Persien, Ostindien und Sibirien bis Kamtschatka hinauf 
angetroffen. In Deutschland ist er ein Zugvogel, der im Mai bald 
früher, bald später ankommt und im September wieder wegzieht, 


und gern die Vorhölzer und Gärten bewohnt. 
EIGENSCHAFTEN. 


État man Gelegenheit diesen Vogel im Freien bei der Ännä- 
Le] Le 


herung seines Weibchens zu beobachten, so macht er die wun- 


Der Wendehals. 


Yy 


Yunx Torquilla Linn, syst. ‚nat, pag. 172. n. 58. 1. 

Yunx Torquilla. Gmel. Linn, syst, P. I. P, I. pag. 423. n. 58, 1: 

Le toreal. | Buffon. 

The Wryneck, Penn, 

Frisch Vorstellung der Vögel Deutschlands. t. 50; 
Der Wendehals. Deutsche Ornithologie, Heft 7. Mäle et femelle. 


Gemeiner \Vendehals. Bechstein ornitholog. Tafchenb. Th. I. p. 73. n. 1: 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Lou le corps parsemé de taches et de petits points trés fins blancs, 
jaunätres, gris, noirs et couleur de rouille. 


DESCRIPTION. 


Le bec droit, les mandibules égales en longueur; pointu, large 
à sa base, ayant à sa partie supérieure en partant du milieu, jusques 
vers la pointe un rebord saillant et aigu, gris, plus foncé à la poin- 
te, vert-olive sale en automne, brunâtre au printems, les narines 
très voisines du front, rapprochées entre elles , ayant la forme 
d’une fente longitudinale; les angles du bec rougeätre foncé au mois 
d’Août, jaunes suivant Dee Pintérieur du bec rougeâtre foncé; 
la langue semblable à celle des pics; Viris de l'oeil jaune brun; le 
sommet de la tête gris cendré de petits points bruns et couleur de 
rouille et garni de taches brunes en forme de flêche ; lisérées de 
blanc; le dessus du col et le manteau gris cendré pointillé en brun 
et en Fa et parsemé de taches brunes en forme de flöche, De- 
puis le sommet de la tête jusqu’au milieu du dos déscend une raie 
large brun foncé; la queue est grise et couleur de rouille avec plu- 
sieurs petits poinés et deux bandes transversales irrégulières et an. 
guleuses brun foncé, la supérieure un peu plus large que l’autre; 
les couvertures des aïles couleur de rouille, finement pointillees 
en brun foncé avec des taches brun foncé en forme de fläche bor!- 


nées d’un côté par une grande tache rouillé clair; les pennes des 


ailes noir mat avec cinq ou six grandes“taches rouillé sur le côté 


étroit de la barbe; le menton ainsi, que ses côtés ondé en blanc 
grisätre et en brun ; le bas du col jaune rouillé avec des lignes on- 
duleuses et étroites de coulenr brune; la poitrine et le ventre blanc 
jaunätre avec des taches noirätres; les couvertures inférieures des 
ailes rouillé jaunâtre avec quelques points et quelques lignes on- 
duleuses de couleur brune; les pieds verts olive clair au mois 
d’Aoüt, ou gris au mois d’Avril et par faitement semblable à ceux 

des pies; les ongies brun gris. = 

La pointe de la queue depasse celle des äiles.d’un- tiers de leur 
longueur. 

_ Longueur 6. pouces 8. lignes. Envergure 10. pouces et 

La femelle ne différe, que fort peu du mâle, 


PATRIE. 


Le torcal! habite presque toutes les contrées de l’Europe, II 
se trouve aussi en Perse, aux Indes Orientales et en Sibérie jus- 
qu'au Kamischatka. En Allemagne il est oiseau de passage. . Il 


arrive au mois de Mai, tantôt plutôt, tantôt plus tard et répart en 


* Septembre. Il se tient volontiers dans les avant-bois et les jardins, 


QUALITES. 
Si l’on a occasion d’obferver cet oiseau dans la campagne lors 
que sa femelle s’approche de lui, on lui voit faire les simagrées 


90 — 


derlichsten Gebärden: Er breitet den Schwanz fächerförmig aus, 


sträubt die Scheitelfedern in die Höhe und macht Verbeugungen. 


Hält man ihn in der Hand, so strekt er Kopf und Hals aus, und 
drehet sie nach allen Seiten schlangenförmig um, daher auch sei- 
ne hierauf sich beziehenden Namen. Bringt man ihn in den Kä- 
fig, wo er dann anfangs gewöhnlich böse ist; so sträubt er die 
Scheitelfedern in die Höhe, strekt Kopf und Hals langsam vor- 
wärts, breitet den Schwanz aus, läfst die Flügel hängen, und 
stöfst mit dem Schnabel an den Käfigdraht; iezt hört man einen 
dumpfen kurzen Ton; nun schnellt er deu Körper zurük , bleibt 
aber immer auf einer Stelle und hebt dann dies sonderbare Ge- 
bärdenspiel von neuem an. Seine Lokstimme lautet wie giz, giz, 
giz , giz, und wird geschwind hinter einander ausgestofsen. In 
War 


das Wetter trocken und er läfst diese Stimme oft hören, so slau- 
3 o 


der Angst läfst er ein kurzes abgebrochenes Schek hören. 


ben mehrere Vogelfänger um Nürnberg, dafs es bald regnen wer- 
de. Im Käfig klopft er auch mit dem Schnabel wie die Spechte 
an das Käfiggitter, und durchsucht mit seiner Zunge die Ritzen. 
Bringt man Ameisen hinein ,- so fährt en sogleich darüber her, 
bewegt mit grofser Schnelligkeit die Zunge aus- und einwärts 
und. zieht mit derselben die Ameisen hinein, Er ist übrigens 
nicht scheu, und ein träger Vogel von melaneholischer Gemüths- 
‚art, der, ob er gleich Zunge und Fülse wie die Spechte hat, doch 
nicht wohl zuihnen und andern ähnlichen Vogelgatiungen passet, 
und nicht nur im System abgefondert und allein da steht ; son- 
dern auch in ganz Europa der Einzige sowohl, der Gattung als der 


‘Art nach ist. 
NAHRUNG. 


Diese sind Insekten und ihre Larven, die er aber nicht wie die 
Spechte. am Stamme kletternd aufsucht, Besonders liebt er die 
Ameisen. Nach Goeze und Bechstein frifst er im Herbste auch 


Hollunderbeeren, Im Käti g frifst er das Nachtigallenfutter. 
FORVPFLANZUNG. 


Sein Nest macht er zu Anfang des Iulius in hole Bäume bald 
tief, bald hoch , aus einer Unterlage von klarem Moos, Grashal- 
men, Haaren und Wolle. Das Weibchen legt nur einmal deslahrs 
acht bis neun glänzende Bier, welche von beiden Geschlechtern 
in vierzehn Tagen wechselsweise ausgebrütet werden. Sie suchen 
ihre alte Baumhôle alle Tahre wieder auf, auch wenn man ihnen 
die Tungen raubte. Diese schen anfangs weit blasser aus als die 
Alten und haben goldgelbe Schnabelränder ; drehen den Kopf 
auch nicht eher als bis sie völlig ausgewachsen nnd ausgeflogen 
se Ihr Geschrei hat viele Achnlichkeit mit dem Geschwitscher 


der Baumgrylle (Gryllus viridissimus ). 
| NUTZEN. 


Diefer liegt blofs in seiner Nahrung. Sein Fleisch kann zwar 
gegessen werden, da er aber bei uns nicht häufig anzuireflen ist, 
so macht man auch deswegen nicht Iagd auf ihn, 


SCHADEN 
sliftet er , so viel man weils, nicht. 
FEINDE 


hat er an dem Wiesel. und der Haselmaus; welche seine 


Brut zerstören, 


“ corps de mille manières. 


les plus comiques. Il déploie sa queue en forme d’eyentail, dressé 
les plumes du sommet de sa tête em guise de panache et incline son 
Si on le tient à la main, il tend la tête 
et le col en avant etle tourne de tous côtés, comme font les ser 
pens. De là vient le nom, qu’on lui à donné et qui exprime ce 
genre de contorsion. Si on le met en cage, il commence par Por- 
dinaire, par faire le méchant; il dresse ses plumes du sommet de 
la tête ; il porte lentement sa tête et son col en avant ; il étale sa 
queue, laisse pendre les ailes, il frappe à grands coups de bec con- 
tre la grille de sa cage; puis il fait entendre un ton court et étouffé ; 
après quoi il reporte son corps en arrière, mais sans jamais quitter 
sa place, et bientôt après il recommence cette singulière panto- 
mime. Son eri d’appel est un certain ghits, ghits, ghits, 
ghits, qu'il fait entendre de suite et sans prendre haleine, Quand 
il se sent troublé il fait ouir un autre cri court et interrompu, qu’on 
peut rendre par chek. Si le tems est au sec et qu’il répete plu- 
sieurs fois de suite ce ton, les oiseleurs des environs de Nurem= 
berg croient assez généralement, qu'il ne tardera pas à pleuvoir, 
Dans l’état de captivité il frappe du bec, tout comme les pics con 
tre les barreaux de sa cage ei il fait avec son large bec la revue de 
toutes les fentes. Si on lui porte de fourmis, il se jette incontinent 
dessus, puis faisant sortir et rentrer alternativement sa langue avec 
rapidite, "ul les a bientôt toutes avalées. Cet oiscan n’est point sau- 
vage; il est paresseux et d’un naturel mélancolique. Quoiqu'il ait 
la langue et les pieds conformés à ceux des pics, cependant on ne 
peut point le classer dans cette famille, ni dans aucune des famil- 
les affiliées ; et non seulement il se trouve isolé dans le systeme or- 
nithologique, mais de tous les oiseaux d'Europe c’est le seul, qu'il 
fasse à lui un genre à part et une espèce unique. 


NOURRITURE. 


La nourriture du torcal consiste en insectes et en larves, mais 
il ne les cherche point comme les pics en grimpant contre le tronc 
des arbres. Il aime de préférence les fourmis. Si Pon en croit Goc- 
ze et Bechstein, il mange aussi en automne les baies du sureau, 
En çage on le nourrit comme les rossignols. 


PROPAGATION. 


Il fait son nid au commencement de Iuillet dans le creux des 
arbres tantôt plus haut, tantôt plus bas. -Ille ferme d’une couche 
d'herbe, de crins ct de laine. La femelle ne pond qu'une fois par 
an. Ses oeufs au nombre de huit à neuf sont d’un blanc lustré, et 
emoussés aux deux bouts. Le mâle et la femelle couvent alterna- 
tivement pendant quinze jours au bout desquels les petits sortent 
de l'oeuf. Ces oiseaux reviennent toutes les années faire leur nid 
sur le même arbre et dans le même trou, lors même qu’on leur a 
pris leurs petits. — Les jeunes torcals sont d’abord-d’une couleur 
beaucoup plus claire, que père etmere, et ont le bec d’un jaune. 
doré sur les bords; ils ne commencent à faire pirouetter leur tête, 
que lorsqu'ils sont deja grands et qu’ils ont quitté le nid. Leur cri 
ressemble beaucoup à celui du criquet des arbres (Gryllus yiri- 
dissimus.) 


. UTILITÉ 


TI nous rend service en nour débarassant d’une foule d’inses 


ctes, qui lui servent de nourriture. Sa chair peut se manger, il est, 


vrai, mais, comme il n’est pas commun dans nos contrées, il n’es$ 
gueres l’objet de Pavidité des chasseurs. 


DOMAGE. 
Il n’en occasionne aucun, au moins que nous sachions, 


ENNEMIS, - 
Il a pour ennemis la beleite et le muscardin , qui détruisenf 
ses petits. 


IAGD UND FANG. 


Er kann leicht mit der Flinte geschossen werden. Lebendig 
fängt man-ihn mit Sprenkeln, vor welche man Hollunderbeeren 
hängt. 
Vogelherden gefangen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Im Nürnbergischen werden sie im Herbste auch auf den 


1) Yunx torquilla candida. Bechstein. Oberleib schneeweifs, 
Unterleib ins Gelbliche fallend; Schnabel und Füfse Nleischfarben; 
Augenstern blafssilberfarbig , die Pupille dunkelroth. Also wohl 
ein Kakerlake! > 


2) Yunx torquilla striata. Briss. Kopf und Oberleib rosifar- 
big, mit gelben Querflecken gemischt; Unterleib weifs, mit ling- 
lichen gelben Linien; Füfse und Schwanz wie der Oberleib; Füs- 


se gelb. 


ANMERKUNGEN. 


Bei einigen Weibchen bemerkten wir, dafs der grauweifse 
Streifen an beiden Seiten des Kinns weit kürzer war als beim 
Männchen. Bei erstern war er einige Linien, bei lezterm einen 
halben Zoll lang. Auch fanden wir die Bauchseiten des Weib- 
chens mehr rostfarbig als beim Männchen. Ob sichs bei allen 
Exemplaren so verhält, werden fernere Beobachtungeu lehren. 
Die Zunge ist eben so wie bei den Spechten gebauet, nur 
Das Zun- 


genbein geht unter der Haut auf der Hirnschale in einer Vertie- 


dafs sie vorn keine Widerhäkchen hat und rund ist, 
fung bis zum Nasenloche. Der Schleim , womit er seine Zunge 
beschmiert , kommt ebenfalls aus der 24 Linien breiten, an bei- 
den Seiten des Schädels liegenden, Schleimdrüse, deren Oeffnun- 
gen in den Unterschnabel gehen. Die Drüse endigt sich 3 Lin. 


hinter dem Ohr. 


Im Jahr 1802. wurden ihrer mehr als vor - und nachher um 
Es scheint also, dafs sie sich in diesem Ialır 


Nürnberg gefangen. 
besonders vermehrt haben. 


91 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


On peut aisement le tuerau fusil. On le prend aussi au moyen 
de trébuchets ; devant lesquels on suspend des baies de sureau. 


Dans le pays de Nuremberg on le prend aussi en automne NS les 
aires ordinair es, 


VARIÉTÉS. 


1) Vunx 'Torquilla candida. Bechst. Le dessus du corps blanc 
de neige; le dessous d’une teinte jaunätre; le bec et les pieds cou- 
leur de chair; Viris de l'oeil blanc d’argent pâle; la prunelle rouge 
foncé. C’est done une espèce de Kakerlac ou d’Albinos. 

2) Yunx 'Torquilla striata. Briss. La iète et le dessus du corps 
couleur de rouille; mêlé de taches transversales jaunes. Le des 
sous du corps blanc avec des lignes jaunes placées en long; les ailes 
et la queue comme le dessus du corps; les pieds jaunes. 


REMARQUES. 


Nous ayons observé chez quelques femelles, que la bande 
blanc grisätre, qui se voit aux deux côtés du col étoit beaucoup 
plus courte, que chez le mâle; n’ayant chez les premières, que 
quelques lignes de longueur, tandis que chez ceux-ci elle étoit lon 
gue dun demi-pouce; nous avons aussi trouvé chez les femelles 
le ventre d’un rouillé plus décidé sur les flancs, que chez les mâles. 
Les observations, qu’on pourra faire dans la suite, nous appren- 
dront, si ces différences sont constantes dans tous les individus. La 
langue d’un torcal est conformée comme celle des pics avec cette 
difitrence, qu’elle n’a point de crochets sur le devant et qu’elle est 
ronde. L/’os hyoide entre sous la peau du crane dans une cavité, 
qui s'étend jusqu'au trou nasal. La matière visqueuse dont cet 
oiseau enduit sa langue, sort comme chez les pics, ‘de glandes lar- 
ges de deux lignes et demi, placées des deux côtés du crane , et 
garnies de trous, qui debouchent dans la mandibule inférieure. Ces 
glandes se terminent à trois lignes de distance de l'oreille sur le 
derrière. 

On a pris un beaucoup plus grand nombre de torcals aux en- 
virons de Nuremberg en 1802. qu’en aucune des années précéden- 
tes et suivantes. Il paroit donc, que cette année là a été plus par- 
tieulierement favorable à à la multiplication de cette espèce. 


SE ee a ee era 


-DIE SCHWARZDROSSEL. 


Schwarze Amsel. 'Kohlamsel. Merle. NMoerlaer. 


'Amselmerle. x 


Amsel. Gemeine ‘Amsel, 
Lyster. 

Turdus merula. 

Turdus merula. 

Te merle noir. 

The black Bird. Penn. 

Die Schwarzdrossel. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschland. Taf. 50. 
ıund 2. Männchen und Weibchen. 

Schwarzdrossel, Bechst, ornith. Taschenb. Th. I. S. 149. nro. 7. 


Linn. syst. nat. pag. 295. n. 22. 
Gmel. Linn. syst. nat. T'. 1. P. II. pag. 851. n. 22. 
Bufon. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen, Schwarz mit gelbem Schnabel und Augenrande. 


Weibchen. . Schwarzbraun, die Kehle hell und dunkelbraun 
geflekt; die Brust rostfarben; der Bauch aschgrau. 

BESCHREIBUNG. 

‘Schnabel in- und auswendig goldgelb, an der Wurzel mit 

einer Reihe Borsien ; Augenstern dunkelbraun; Augenliederrand 


goldgelb; am ganzen Leibe tiefschwarz; ; die Füfse dunkelfleisch- 
Z 


Z 


LE MERLE NOIR. 


Schwarzdrossel. Amsel.. 
Merle. Merlaer. 
Turdus merula. 


Gemeine Amsel. Schwarze Amsel. Kohlamsel. 


Lyster. Amselmerle. 

Linn, syst. nat. pag. 205. -n. 22. 

Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. IT. p.831. n_ 22. 
Le merle noir. Bullon. 


The black Bird. Penn. 
Frisch Vorsiell. der Vögel Deutschl. tab. 50. 1..et 2. 


Turdus merula, 


Die Schwarzdrossel. 
Mâle et femelle. 


Schwarzdrossel. Bechft. ornitholog. Taschenb. Th. I. p. 149. nro. 7. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Mie. - 


Femelle. 
unes claires, les autres foncées ; la poitrine couleur de rouille; le 


Tout noir avec le bec et les paupières jaunes. 
Brun noir; la gorge marquée de taches brunes, les 


ventre gris cendre. 


DESCRIPTION. 


Le bec tant en dehors, qu’en dedans d’un jaune doré , garni 
à sa base d’un rang de soies; l'iris de l’oeil brun foncé; le bord 
des paupières jaune doré ; tout le corps du noir le plus foncé ; les 


ES y2 


braun ; die Flügelspitzen von der Schwanzspitze 23: Zoll ent- 
fernt. 


Länge 93 Zoll; Breite 144 Zoll. 


Das Weibchen weicht sehr merklich von dem Männchen ab- 
Der Oberschnabel ist entweder gelbbraun, oder oben und unter 
den Nasenlöchern braun, an den Seiten gelb; Unterschnabel oran- 
gegelb, oder braungelb; Rachen und Schnabelwinkel rothgelb; 
Stirn und Gesicht rostroth; tiber die Augen ein rostgelber mit 
braun gemischter Streifen; Ohrgegend und Scheitel olivenbraun; 
Oberleib dunkel olivengrün oder olivenbraun ; Schwungfedern 
auf der breiten Fahne braunschwärzlich , auf der schmalen 
dunkel olivengrün; Schwanz hellschwarz mit olivengrünen Schil- 
ler; Kehle und Vorderbrust rostroth , mit braunen rundlichen 
Flecken; der übrige 'Theil des Unterleibes grau, an den Spitzen 
der Federn olivengrünlich; untere Schwanzdekfedern grau, oli- 


vengrünlich überzogen. Fülse dunkelbraun. 
_ AUFENTHALT. 


Sie bewohnt die südlichen Gegenden von Rufsland, und wird 
daselbst häufig, so wie auch bei Aleppo und in den gemäfsigten 
Theilen von Europa angetroffen. In Deutschland ist sie ein Stand- 
vogel, der im Sommer in dem Dickicht der Laub - und Nadelhöl- 
zer, im Winter entweder im tiefen Walde bei warmen Quellen, 
oder in Wachhöldergesträuchen, Feldhölzern und Gärten sich auf- 
hält. 
ge Schläge des Nadelholzes dem iungen Laubholze vor. 


-Gebirgige Gegenden zieht sie den ebenen Feldhölzern, iun- 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie ist ein lebhafter, kluger, mistrauischer und furchtsa- 
mer Vogel, der beständig in Aufmerksamkeit ist, seinem Feinde 
schon in der Ferne zu entgehen sucht und durch sein Geschrei 
tak , tak, tak, die übrigen Vögel warnt, Er wippet im Sitzen 
bestindig mit dem Schwanze und bewegt dabei mit Leichtig- 
keit die Flügel. 
mer von einem niedrigen Gebüsch zum andern. 


Sie fliegt schr schnell, aber niedrig, fast im- 
Aufser ierien 
Warnungs- und Loktônen läfst sie auch noch den Ton: zizirr hö- 
ren. Der Gesang des Männchens ist melodisch und laut, einige 
"unangenehme kreischende Strophen ausgenommen. Schon im 
März fängt sie an zu singen und fährt damit bis in den Iulius fort. 
Sie lernt auch künstliche Melodien, ia sogar Worte nachsprechen. 
Wassie gelernt hat, vergifst sie auch so leicht nicht wieder: Im 
Zimmer wird sie 12 bis 16 lahr alt. Gegen andere kleinere Vögel, 
die mit ihrin Gefangenschaft leben, ist sie neidisch und grausam, 
uud man darf sie daher nicht frei unter kleinen Vögeln in der Stu- 


be herumlaufen lassen. Ihre 
NAHRUNG 


besteht im Frühiahr und Sommer aus Insckten, kleinen na- 
ckenden Schnecken und Würmern; im Herbste und Winter aus 
\WWachholder- Kreuz- Weifsdorn- und Vogelbeerén. In Zimmer 
wird sie mit geriebenem Brode und gelberi Rüben, Fleisch, etwas 
Hanf, Hafergrütze, Gerstenschrot in Milch eingeweicht u. dergl. 
erhalten. Anfangs gibt man ihr geriebene Semmeln mit Milch an- 
gefeuchtet, 

FORTPFLANZUNG. - 

Sie brütet des Iabrs zweimal und bauet ihr Nest in Gebüsche, 
auf alte Stöcke, in Holzhaufen, in tiefen Brüchen auf die Neben- 
schöfslinge der Erlen, und bereilet.es äußerlich aus zarten Zwei- 
gen, Erdmoos, inwendig aus Leimen oder feiter Erde und Gras- 


a 


pieds couleur de chair foncé; la pointe de la queue dépassant de 
2. pouces et 9, lignes celle des ailes. 

Longueur 9. pouces et 6. lignes. Envergure 14, pouces et 6° 
lignes. 

La femelle différe sensiblement du mâle. La mandibule su- 
périeure du bec est d’un brun jaunätre, ou bien brune au dessus et 
au dessous des narines et jaune sur les côtés. La mandibule infé- 
rieure est orange ou jaune brun; le gosier et les angles du bec sont 
d’une jaune rougeätre; le front et le visage sont rouge de rouille, 
Au dessus des yeux est une raie jaune rouillé mêlé de brun; le - 
sommet de la tête est olive, le dessus du corps olive foncé; ou 
brun olivâtre, les pennes des ailes brun noirätre au côté large dela 
barbe et olive foncé au côté étroit, la queue noir clair avec un cha- 
toyement oliväire, la gorge et le devant de la poitrine rouge de 
rouille avec des taches brunes de forme arrondie; le reste du des- 
sous du corps gris avec les pointes des plumes olivâtres; les cou- 
vertures inférieures de la queue grises, lavées d’une teinte oliyätre; 
les pieds brun foncé. 


PATRIE. 


Cet oiseau habite les provinces méridionales de la Russie; il 
y esttres commun, ainsi qu’aux environs d’Alep et dans toute P’Eu- 


rope tempérée. Ilest oiseau sédentaire en Allemagne. En été il 


-habite le: plus épais des bois de haute futaie et de sapins; en hiver 


il se retire vers les sources chaudes dans le fond des forêts, ou bien, 
il se tient dans les buissons de génevriers, dans les bosquets isolés 
des campagnes et dans les jardins, Il préfére les contrées mon- 
tagneuses aux bois de la plaine et les jaunes plans de-sapins aux 


bois taillés. 3 
QUAMITÉS. 


Le merle noir est un oiseau vif et intelligent, mais défiant et 
craintif, qui se tient continuellement sur ses gardes, et qui cherche 
à échapper à son ennemi du plus loin, qu’il l’apperçoit. Il avertit 
aussi les autres oiseaux du danger par son cri, qui est une espèce 
detak, tak, tak. S’ilest posé quelque part, il remue continuel- 
lement sa queue et agite en même tems ses ailes avec une grande 
légéreté. Son vol est très rapide, mais bas. Une fait gueres, que 
voler d’un buisson à l’autre presque en rasant la terre. Outre ce 
cri d’appel et d’allarme dontnous venons de parler; il fait entendre 
un autre ton, qu’on peutrendre par tsitsirr. Le chant du mâle est 
fort et mélodieux àléxception pourtant de quelques passages, qui 
ont quelque chose d’aigre et par cela de désagréable. H:commence 
à chanter au mois de Mars et ne finit, qu’en Juillet. On lui enseigne 
à chanter différens airs; il apprend aussi à répéter certains mots et 
il w’oublie pas facilement ce qu’il a une fois appris. En chambre il 
parvient à l’agede 12. à 16. ans. Il est envieux et cruel envers ses 
camarades decaptivité, qu’il maltraite volontiers, aussi. faut-il avoir 
soin, de ne jamais le laisser en liberté dans la société d’autres 
oiseaux, qu’on tient en chambre, les derniers s’en trouvent mal 
pour l’ordinaire. : 


NOURRITURE, 


‘Au printems et en été le merle noir se nourrit d'insectes, de 
petits limas et de vers, en automne et en hiver de génièvre, de baies 
d’alisier et d’aubepine et de sorbes sauvages. En chambre on le 
nourrit avec du pain rapé, des carottes, de la viande, quelque peu 
de chenevix, du gruau d’avoine et d’orge attendri dans du lait etc. 
Dans les commencemens on lui donne du pain blanc mis en nuette 
et humecié du lait. 

PROPAGATION. 
Le merle noir pond deux fois par an. Il fait son nid dans les 
buissons, sur les vieilles couches, dans les tas de bois, dans les 
trous et les crevasses profondes, quise trouvent entre les rejettons 


des aunes; il le construit esterieurement de branches menue set de 


halmen und Moos. Es ist mehr eiförmig als rund. Schon im 
März legt das Weibchen das erstemal fünf bis sechs, das zweite- 
mal nur dre# grünlichgraue , mit vielen grauröthlichen Strichen 
und Punkten verschene Eier, welche von beiden Geschlechtern 
wechselsweise ausgebrütet werden. Die Iungen sehen vor dem 
ersten Mausern mehr der Mutter als dem Vater ähnlich, Ein Iun- 


ges vom 19. lun. 1802. 53 Zoll Länge 107 Zoll Breite, hatte ei- 


nen röthlich braunen Schnabel mit gelber Spitze und blafsgelben 


Mundwinkeln; die Füfse röthlichgrau; der ganze Oberleib nebst 
Schwanz, Oberhals und Scheitel braunschwarz, mit rostbraunen 
Längsstrichen auf den Schäften ; über den Augen ein rosiröthli= 
cher Streifen mit schwarzbraunen kleinen Flecken; Ohrenfedern 
schwarzbraun, fein rostgelb gestrichelt; Unterhals und Brust rost- 
röthlich mit schwarzbräunlichen Querflecken an den Spitzen der 


Federn; Bauch grau und weifslich; Augenstern graubraun. 
NUTZEN. 


Sie vergnügt uns theils durch ihren Cesang ; theils essen wir 
ihr Fleisch. 
Jäger des Abends durch ihr ängstliches Geschrei Rehe, Hasen , 
Füchse , Eulen etc. verräth, wird sie ebenfalls nüzlich. Einen 


Dadurch , dafs sie viele Insekten tödet, und dem 


SCHADEN 


wissen wir vonihr nicht anzuführen. Ihre 


FEINDE 


sind der Baummarder , die wilde Katze, das Wiesel, welche 
ihrer Brut nachgehen. In ihren Gedärmen beherbergt sie auch 
einen Bandwurm. Gezähmt, ist fie vorzüglich der Verstopfung 


der Fettdrüse unterworfen. 
| IAGD UND FANG. 


Mit der Flinte ist diesem schlauen Vogel schwer beizukom- 
men. ‘Auf dem Vogelherde wird sie einzeln so wohl im Herbste 
und Winter als im Frühiahr gefangen. Am häufigsten fängt man 
si in der Sehneufse in Dohnen und Sprenkeln, welchen man Vo- 
gelbeeren vorhängt. ‘Auch in mit Vogelbeeren bestreuten grofsen 


Meisenkasten, mit Leimruthen und auf dem 'Träukheerd kann man 


sie fangen. 
VERSCHIEDENHEITEN. 
1. Turdus Merula candida. ‘Weifs mit gelblichen Füfsen und 
Schnabel. 


2. Turdus Merula cinerea. Hellgrau mit dunkelbraunen oder 


weifsen Füfsen , weifsgelbem oder weifsem Schnabel, auch röth- 
lichem Augenstern. 
5: Werd Monde varia. Nobis. 
a) Entweder mit weifsem Nacken, oder 
b) am Hinterkopfe , den Seiten des Halses und der Kehle 
mit grofsen weilsen Flecken. : 
ANMERKUNGEN. 


‚ Das Gedärm fanden wir vom Magen bis zum After 12. Zoll 


lang; nach Goeze ist dasselbe 17 bis 18 Zoll lang. Im Frühiahr 
R . 
erhielten “wir auch ein Weibchen mit braunen Schnabel und dun- 


kelbraunen Fülsen, 


mousses terrestres et le revêt intérirurement de brins d’herbe et de 
mousse, qu'il colle ensemble avec du limon ou de la terre grasse, 
la forme est plutôt ovale, que ronde. La femelle pond deja au 
mois de Mars. La première ponde est de cinq ou six oeufs; la se- 
conde de trois seulement. Ces oeufs sont d’un gris verdâtre par- 
semé d’une quantité de traits et de points d’un gris tirant sur le 
rouge. Le mäle et la femelle couvent alternativement, Les petits 
avant la première mue ressemblent beaucoup plus à la mère, qu'au 
père. Un petit, qu'on nous apporta le 10. luillet 1802. avoit deja 
cinq pouces et demi de longueur, et dix pouces et demi d’envergure. 
Il avoit le bec brun rougeâtre avec la pointe blanche et les angles 
d’un jaune päle. Les pieds étoient d’un gris tirant sur le rouge ; 
tout le dessus du corps, ainsi que la queue, le dessus du col et le 
sommet de la tête étoient noir brun avec des traits allongés brun 
rouillé sur la hampe des plumes; au dessus des yeux étoit une raie 
couleur de rouille tirant sur le rouge avec de petites taches brun. 
noir. Les plumes des oreilles étoient aussi brun noir avec de petits 
traits jaune rouille très déliés. Le haut du col et la poitrine rouillé 
rougeätre avec des taches transversales d’un noir tirant sur le brun 


à la pointe des plumes; le ventre gris et blanchätre; l'iris de l'oeil 


brun gris. 


UTILITÉ. 

D’un côté cet oiseau nous amuse par son chant; de l’autre il 
fournit à nos tables une nourriture agréable. Il nous rend en 
outre service important en nous délivrant d’une foule d'insectes nui- 
sibles. En fin il sert le chasseur en lui annoncant le soir par son 
cri d’allarme les chevreuis, les lieyres, les renards, les hiboux etc. 
qui sont dans le voisinage, * 

DOMMAGE. 

Il ne paröit pas, qu'il en fasse aucun. 

ENNEMIS. 

Il a pour ennemis la martre des arbres, le chat sauvage et la 
belette, qui en veulent, soit à ses oeufs, soit à ses petits. On trouve 
aussi dans ses intéstins une espèce de taenia. En chambre il est 


_ très sujet à des obstructions et des engorgemens dans les glandes 


adipeuses. 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Cet oiseau est si fuyard, qu’il est très difficile de Papprocher à 
la portée du fusil. On en attrappe par ci par là quelques uns dans 
les aires ordinaires tant en automne et en hiver, qu’au printems ; 
mais c’est au moyen de cerceaux, de lacets et de trèbuchets, au de- 
vant des quels on pend des grappes des sorbes sauvages, (sorbus 
aucuparia,) qu’on les prend en plüs grand nombre, On peut aussi 
les prendre, soit dans des grandes trapes, faites comme celles, dont 
on se sert pour attraper les mésanges, soit aux gluaux et dans les 
aires à abreuvoir. . 

| VARIÉTÉS. | 

1. Turdus Merula candida, Blanc avec les pieds et le bec jau- 
nâtres. 

2. Turdus Merula cinerea, Gris clair avec les pieds brun foncé 
ou blancs, le bec blanc tirant sur le jaune ou tout blanc, et l'iris de 
Voeil rougeätre. 

5. Turdus Merula varia. 

a) A nuque blanche. 

b) A grandes taches blanches sur le derrière de la tête et sur 
les côtés du col et de la gorge. 

| { __ REMARQUES. 

Nous avons trouvé la longueur du canalintéstinal depuis Pesto- 
mac jusqu’ à l’anus de 12, pouces, tandis que Goeze les porte à 17 
ou à 18. pouces. On nous apporta le printems passé une femelle, 
qui avoit le bec brun et les pieds de la même couleur, mais encor 
plus foncés. 


Nobis. 


EEE U = = —.  EESAESEGAGEEEEBEEE 
Aa a 


DER GOLDAMMER.: 


Emmerling. -Gelber Emmerling. Embriz. Ammering. Gelbling. Geh- 
ling. Geelgerst. Geelfink. Gilberschen, Hämmerling, Geelgöschen.- 
Gollemer (in den Main Gegenden. ) 

Emberiza citrinella. Linn. syst. nat. T. I. pag. 309. n. 5. 

Emberiza eitrinella. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. pag. 870. n. 5. 

Le bruant, Buflon. 


The yellow Bunting. Penn. 


Goldammer. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf. 5. Männchen und! 
Weibchen. 


Goldammer. Bechst. ornithol. Taschenb. Th. I. S. 132. nr. ı.. 


KENNZEICHEN DER ART. 


München. Vorderleib goldgelb; Schwanzfederr schwärzlich ; 
die zwei äufsern mit einem weifsen keilförmigen Fleck. 

Weibchen. Scheitel an der Stirn etwas gelb, übrigens grün- 
gelb und stark olivenbraun geflekf; Seiten des Kopfes und der Un- 
terhals mit olivenbraunen Längsflecken, 


BESCHREIBUNG. 


Oberschnabel im Winter und Frühiahr graulichbraun; Un- 
terschnabel blaulich ; im Herbste aschfarbig; Zunge vorn diinn 
gefasert; Rachen roth ; Augenstern dunkelbraun; an der Schna- 
belwurzel mit schwarzen Borstem; Scheitel flach erhaben; Stirn 
niedrig, und so wie der ganze Kopf hellgelb mit wenigen dunkel 
olivenfarbigen Strichen; über den Augen einen dunkel olivenbrau- 
nen Streifen; Nacken olivengrün; Oberrücken und Schulterfe- 
dern mit schwarzen und grünröthlichen Längsflecken; Unterrü- 
cken und obere Schwanzfedern hell lohgelb; Schwanz eiwas ga- 
belförmig, schwärzlich, die beiden äufsersten auf der breiten Fah- 
ne mit/einem weifsen keilförmigen Flecken, die übrigen aufsen 
gelblich gerandet, die beiden miitlern stark rostfarbig eingefafst ; 
die kleinen Dekfedern der Flügel olivenfarbig, die gröfsern so wie 
die leztern Schwungledern schwarz, rostfarbig.gemischt ; die vor- 
dern Schwungfedern schwärzlich, an der schmalen Fahne grün- 
gelb gesäumt; untere Dekfedern der F lügel , Kehle, Unterhals 
und Bauch lichtgelb, an beiden Seiten der Brust und die langen 
untern Dekfedern des Schwanzes hell orangeroth und gelb geflekt; 


Fülse gelblich fleischfarbig die Zehen bräunlicher. 


Die Flügelspitzen endigen sich 14 Zoll vor der Schwanz# 
spitze. 


Länge 63 Zoll’; Breite 205 Zolk- 
AUFENTHALT. 


Er lebt im nördlichen Asien und in ganz Europa. In Deutsch- 


land ist er mehr ein herum schwärmender Siandvogel als Strich- 


vogel , und sehr bekannt. Den Sommer hindurch wohnen sie 
in Feld - und Vorhölzerm, in Hecken’, Gebüschen und Gärten, 
die an Wäldern liegen. Im Herbste liegen sieia den Stoppel- 
und Haberfeldern in. Schaaren ‚- im Winter aber, wenn sie des 
Schnees wegen Mangel an Nahrung leiden, begeben sie sich auf 
die: Landstrafsen, in Bauernhöfe auf Miststätten in Gesellschaft der 


Finken und Haussperlinge. 


. voit ces oiseaux voler par troupes dans les champs couver 


LE BRUANT. 


Goldammer. Emmerling. Celber Emmerling. Embriz. Ammering. Gelbling. 
Gehling. Geelgerft. Geelfink. Gilberschen. Hämmerling, Geelgö-- 
schen. .Gollemer (dans les contrées du Main.) 

Emberiza citrinella. Linn. syst. nat. T. I. p. 309. n: 5. 

Emberiza citrinella. Gmel. Linn. syst. nat. T.-I. P. II, p. 870..n..5.. 

Buflon. 

The yellow Bunting. Penn. 

Goldammer. Frisch Vorstellang'der Vögel Deutschl. t. 5. Mâle et femelle. 

Goldammer. Bechst. ornitholog. Taschenb. Th. I. p. 132.n.1. 


Le bruant. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Mae. Le devant du corps jaune doré; les pennes de la queue 
noirätres, les deux extérieures marquées d’une tache blanche en 
forme de coin. 

Femelle. Le dessus de la tête un peu jaune dans le voisinage 
du front; par tout ailleurs jaune verdâtre avec un grand nombre de 
taches brun élivâtre ; la tete sur les côtés et le bas du col parsémes 
de taches longitudinales dela même couleur. 


DESCRIPTION. 


La mandibule supérieure-du bec brun grisätre en hiver et en 
printems; la mandibule inférieure bleuâtre, en automne couleur 
de chair ; la langue très déliée sur le devant; le gosier rouge; l'iris 
de l’oeil brun foncé ; le bec garni à sa base de’soïes-noires, le som- 
met de la tête élevé et plat; le front bas., jaune clair ainsi que le 
reste de la tête avec quelques traits olive foncé; la nuque vert-oli- 
vâtre; le haut du manteauet les plumes des épaules, marquées de 
taches longitudinales noires et vert tirant sur le rouge; le bas du 
manteau et les couvertures supérieures de la queue jaune de tan 
clair; la queue légèrement fourchue et noirätre; les deux plumes 
extérieures marquées sur les côtés large de la barbe d’une tache 
blanche en forme de coin; les autres ornées au bord antérieur d’un 
liséré jaunâtre ; les deux du milieu ayant une large bordure en 
rouill&; les petites couvertures des. ailes vert-oliye; les grandes 
couvertures ainsi que les dernières pennes des ailes noires mélées 
de rouille; les pennes antérieures des ailes noirätres avec une bor- 
dure jaune-vert au côté étroit de la barbe; les couvertures infe-- 
rieures des ailes, la gorge, le bas du col et le ventre jaune clair, 
les deux côtés de la poitrine et les longues plumes des couvertu- 
res inférieures de Ja queue orange clair avec des taches jaunes; les 
pieds couleur de plomb tirant sur le jaune; les ongles d’une teinte 
plus brunätre. | 

La pointe des ailes est d’enyirön un pouce et dix lignes plus 
courte, que celle de la queue, 

Longueur six pouces et demi. Envergure dix pouces et demi, 


PATRIE, 
4 1 
Le bruant vit dans le Nord de Asie et dans toute l’Europe: 


En Allemagne où il est très connu, il est plutôt oiseau sédentaire 
vagabond, qu’ oiseau. de passage. Pendant Pete il se tient dans les 
avantbois et les bosquets entourés des champs, dans les haies , les 
buissons et les jardins , qui avoisinent les forêts. En- automne on 
de 
chaume et dans les avoines; mais en hiver et dans le tems de gFôsse 
neige, lorsqu’ ils sont pressés par la faim, ils se rendent en so- 
ciété avec les moineaux et les pincons sur les grands chemins, dans 


les cours des paysans et sur les fumiers pour chercher leur vie. 


on 


EIGENSCHAFTEN. 
Nach Goeze soll der Goldammer ziemlich scheu sein. Wir 
glauben diesem Urtheil nicht beistimmen zu können. In der Ge- 


gend um Nürnberg ist er es wenigstens, auch auiser der Winter- 
Im Sitzen und Gehen ist sein 

Er zeigt überhaupt viel Ge- 
wandtheit und Lebhafligkeit, ob er gleich im Käfig etwas schwer- 
fällig sich beträgt. 


zeitnicht. Sein Flug ist schnell. 
Körper in beständiger Bewegung. 


Seinen nicht unangenehmen Gesang läfst er 
vom Februar an bis in den August auf der Spitze eines Baums 
oder eines Heckenstrauchs sitzend, hören. Er besteht gewöhn- 
lich aus sieben bis neun hellklingenden Silben, die sich durch ti, 
ti, ti, tüit, die lezte Silbe lang gedehnt , ausdrücken lassen. Im 
Affekt schreit er auch zip, zap ; im Fluge auch ziap ziap, zörre. 
In Gesellschaft feines Gleichen nekt und iagt er sich beständig mit 
andern herum. Im Zimmer wird er ziemlich zahm und lernt jung, 


aufgezogen, den Finkengesang. 
NAHRUNG. 


Er scheint sich mehr von Körnern als Insekten zu nähren. 
Zum Ausspelzen der Körner ist ohnedies schon sein Schnabelvor- 
trefflich eingerichtet. Haber ist seine Lieblingsnahrung. Auser- 
dem frifst er auch Gerste, Hirsen, Heidekorn, Wegbreitsamen, 
Vogelwegiritt- , Mohn-, Lein-, Hanfsamen. Fliegen, Käfer, 
Mücken und Raupen soll er auch fressen und seine lungen damit 
aus dem Schnabel füttern. Im Zimmer mufs man ihnen öfters 
schwarze Erde geben, die sie gern, vermuthlich der Verdauung 
halber, fressen; eben so nothwendig, wenn sie einige lJahre dauern 
sollen, sind ihnen auch Insekten, indem sie sonst leicht an der 


‚Auszehrung oder an den Folgen der Mauser sterben. 
FORTPFLANZUNG. ; 


Sein Nest, das aufsen aus künstlich verwebten Grashalmen, 
Grasblättern, Würzelchen, Heidekraut und inwendig aus Wolle, 
Pferde- und Kühhaaren besteht, bauet er in niedrige Gebüsche 
oder Hecken, worein das Weibchen drei bis fünf schmutzigweifse, 
blafs - und hellbraun besprizte und geaderte Eier legt, die in 

dreizehn Tagen, von beiden Geschlechtern wechselsweise ausge- 
_ brütet werden. Das Männchen sizt täglich wenigstens vier Stun- 
den über den Eiern. Die erste Brut fällt,- wenn warme Witte- 
rung einfällt, im März und April, die zweite im Iunius, Beim 
Füttern machen die erwachsenen: Iungen ein ziemliches Geschrei, 
und verrathen dadurch leicht das Nest. Die Iungen sehen bis zur 


ersten Mauser der Mutter gleich. 
NUTZEN. 


Sein Fleisch ist im Herbste, wenn er gute:Nahrung hat, sehr 
schmakhaft. Man kann ihn auch mit Hafer, Hirsen, oder Sem- 
meln und Milch wie die Ortolane mästen, Durch Vertilgung der 

Raupen, wenn er ia welche frifst, wird er ebenfalls nüzlich. Ei- 


nigen | 
SCHADEN 
stiftet er im Getreidefeldern.. 
 FEINDE 


hat er an den Füchsen, Mardern, Iltissen, Wieseln, Katzen 
und dem Sperber. Auf seinem Kopfe fanden wir auch Pediculus. 
recurvirostris. : 2 

; IAGD UND FANG. 

Er kann, da er nicht scheu ist, mit der Flinte leicht erlegt 


werden. Auch kann man mehrere mit einander schiefsen, wenn 


ms 


QITATTTES. 


Suivant Goeze le bruant est un oiseau assez sauvage, mais 
nous ne croyons pas devoir soucrire à ce jugement; au moins 
dans les contrées de Nuremberg il ne Pest, ni en hiver ; mi 
dans aucune autre saison. Son vol est rapide. Soit, qu’il s’arrète, 
soit, qu'il marche, son corps est toujours en monvement. Ilmon- 
tre en général beaucoup de souplesse et de vivacité ; mais il la perd 
en grande partie en cage, il y devient lourd et maussade. Son 
chant n’est point désagréable, Il le fait entendre depuis le mois de 
Février jusqu’au mois d’Août, en se tenant perché sur le haut des 
arbres et des buissons. Ce chant consiste: pour"l’ordinaire en sept 
à neuf syllabes d’un ton aigu , qu’on peut rendre par ti, ti, ti, ti, 
tiiit, en remarquant, qu'il allonge extrêmement cette dernière syl- 
labe. S'il eprouve quelque émotion alors il fait entendre un cri tout 
particulier, un certain tsip tsap, qni se change lorsqu'il se met à 
voler en tsiap, tsiap, tsoirre. 
sent de s’agacer et de se poursuivre. 


Ces oiseaux entre eux ne ces- 
En chambre ils s’apprivoi- 
sent aisement, ct s’ils sont encor jeunes on peut leur apprendre le 


chant du pincon, 


bb 


NOURRITURE. 


Le bruant paroït se nourrir plutôt de grains, que d'insectes, 
et son bec est parfaitement bien construit pour égruger le grain, 
L’avoine est ce qu'il aime le mieux. Du reste il mange aussi l'orge, 
le millet, le sarrazin, le plantain, la renouée et les graines de pavot, 
de lin et de chanvre. Il mange aussi , à ce qu’on assure les mou- 
ches, les scarabées, les moucherons, et les chenilles ct il les don- 
ne à manger à ses petits à la bequée. Si on le tient en chambre, il 
faut lui donner souvent de la terre noire, qu'il mange volontiers, 
sans doute pour faire la digéstion. Il faut aussi avoir soin, si on 
veut le conserver longtems, de’lui donner de tems en tems des in- 
sectes, parce que sans cela il meurt du marasme ou des suites de 
la mue. 2 r 

PROPAGATION. 

C’est dans les buissons ou les haïes- basses que le bruant fait 
son nid, qu’il construit de brins d’herbes et de bruyères, de feuilles 
de gramens et de petites racines entrelacées artistementensemble, et 
qu’il tapisse intérieurement de laine, de crins de chevaux et de poils 
de vaches. C’est là, que la femelle pond deux fois par au de trois 
à cinq oeufs d’un blanc sale avec une quantité de points et de vei- 
nes d’un brun pâle et clair. Le couvement dont le père et la mère 
se chargent alternativement dure treize jours. Le mâle couve au 
moins quatre heures par jour. La première couvée, si la saison 
est favorable, a lieu en Mars et en Avril, la secondeen Iuin. Les 
petits, lorsquÿls sont déja un peu grand, font assez de bruit enpre- 
mant la bequée, et se trahissent par là facilement. Iusqu’ à la pre- 
miere mue ils ressemblent beaucoup à la mère. 


UTILITÉ. 

La chair du bruant est très bonne en automne , où il a abon- 
dance de nourriture. On peut aussi Pengraisser tout comme l’or- 
tolan avec de lavoine et du millet ou bien du pain blanc et du lait, 
Silest vrai, qu'il détruise les chenilles pour s’en nourrir, c’est um 
service essentiel, qu'il nous rend. 

DOMMAGE. 
A causse du dégat dans les bleds en pillant les grains. = 
ENNEMIS. 

I a pour ennemis les renards,, lesmartres, les putois, les be- 
leites, les chats etles éperviers. Nousayons trouvé sur la tête de cet 
oiseau l’espèce de poux appellée ; Pediculus recurvirostris, 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 
Comme il n’est pas fuyard on le tue aisement au fusil. On 
peut aussi en tuer plusieurs d’un seul coup en hiver, si, pour les 


Man zur Winterzeit auf den entblôfsten Erdboden Spreu streuet 
und Strohbündel hinlegt. Im.Frühiahr und Herbst wird er auch 
auf dem gewöhnlichen Vogelherde gefangen. Im Winter, wenn 
es ihm wegen des Schnees an Futter fehlt, geht er auch unter das 
Sieb, unter welches man Hafer streut. Mit dem Sperber, den 
man in der Absicht zahm macht, fängt man ihn im Herbste und 
‚Winter auf folgende Weise: Vor ein Feldholz oder Dickig stellt 
man in einem alten Wege ein Lerchengarn auf und verbirgt sich 
mit dem Sperber in der Nähe. Einige andere Personen treiben 
Sobald sie nahe 
an demselben sind, tritt man mit dem Sperber hervor , und läfst 
ihn abfliegen. Der Goldammer getraut sich nicht in die Höhe zu 
fliegen und stürzt aus Unbesonnenheit in das Garn. 


die Vögelin den Büschen gegen das Garn zu. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Emberiza citrinella candida. Ganz weiß; gelblich weifs 
oder orange gelbweils. 

2. Emberiza citrinella naevia. An verschiedenen Stellen des 
Leibes gelb, weifs und mit den gewöhnlichen Farben gemischt. 
‚Wir besitzen selbst einen solchen, Bechstein hatte auch einen 
struppigen Goldammer, dem die Federn des Oberleibes an den 
Flügeln und am Schwanze zurük gekrümmt wie am Strupphuhn 


waren. Der Schnabel scherenförmig. 


attirer, on repend de la bäle sur la terre, ou bien, si on y met des 
bottes de paille. Au printems et en automne on le prend- aussi 
dans les aires ordinaires. En hiver lorsque la rigueur de la saison 
le prive de toute nourriture, il va se faire prendre sous le crible, 
où l’on a répandu de lavoine. On le prend aussi en Pautomne et 
en hiver au moyen d’ün épervier dressé pour cette chasse. Voici 
comment cela se fait. On tend au devant d’un bosquet entouré de 
champs ou d’un hallier, dans quelque chemin abandonné un filet 
à prendre les alouettes et on se tient caché avec lépervier dans le 
voisinage. D’autres personnes chassent les oiseaux, qui sont dans 
les buissons, du côté du filet. Desqu’ils en sont très près, on sort” 
brusquement avec l’épervier du lieu où l’on se tenoit cache et on 
lache l’oiseau. de proie. Les bruants à sa vue n’osent prendre leur 
assor en Pair et dans Peflroi, dont ils sont saisis, ils se précipitent 
dans le filet. 


VARIÉTÉS. 


1, Emberiza Citrinella candida. 
tirant sur le jaune, ou blanc orange. 
2. Emberiza Citrinella naevia. 


Tout blanc, ou bien blane . 


Jaune à quelques endroits du 
corps, avec un mélange de blanc et des couleurs ordinaires. Nous 
en avons nous même un pareil. Bechstein a eu aussi un bruant 
herissé, cest à dire, qui avoit les plumes du dessus du corps; 
aux ailes et à la queue hérissées et recoquillées comme celles d'un 
coq frisé. Le bec étoit en forme de pince. 


En 


DER ALPENFLÜEVOGEL. 


Tlüelerche. Alpengrasmücke. Staar mit dem Halsbande. Bergstaar. Al- 
penbachstelze. Bergspatz. Blümlivögeli. Blütling. Alpensänger. 
Steinlerche. 

Accentor alpinus. Bechst. ornithol. Taschenb. Th. LS. 191. ar..1. 

Motacilla alpina. Linn. syst. XIII. p. 957. nr. 65. 

La fauvette des Alpes. Buffon ois. V. 156. t. 10. pl. ent. 668.. 

'Andreä Briefe aus der Schweiz. T. XIII. 

Alpine Warbler. Latham II. 2. 454. n. 25. (II. 2.435.) 

Sturnus collaris. Scopoli ann. hist. nat. I, 131. nr. 192. 

Sturnus moritanus montanüs. S. G. Gmelins Reise IV. 174. Pallas neue nor- 
dische Beiträge, IV. 52. 

Collared Stare. Latham II. 1. 8. n.5. (II. 1.7.) 

Avis Kiburgensis Gesneri. 


KENNZEICHEN DER ART. 


— 


A schgrau, dunkelbraun geflekt, die Kehle weifs mit kleinenMu- 


schelflecken, die Seiten rothbraun jé auf den Flügeln drei parallele - 


‚Reihen weifser Flecken. 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel gerade, lang, rund an der Seite klein ausgeschnit- 
ten; beide Kinnladen am Rande etwas eingedrükt; Oberschnabel 
dunkelbraun mit einem blafsgelblichen Rande; Nasenlöcher an 
der Schnabelwurzel, länglich und mit einer grofsen Haut; Unter- 
schnabel orangegelb mit einer dunkelbraunen Spitze; Zunge gelb 

“und gespalten; Augenstern dunkelgelb; Kopf, Oberhals und die 
Seiten desselben weifsgrau; Rücken weifsgrau, dunkelbraun und 
an den Seiten rostfarbig geflekt; Unterrücken röthlichgrau, die 
leztern mittelmässig grofsen Federn rostbraun mit grünlichgrauem 
Rande und röthlichen Spitzen; Schwanzfedern dunkelbraun, an 
der schmalen Fahne olivengrau gesäumt, an den Spitzen und der 


LA FAUVETTE DES ALPES. 


-Alpenflüevogel. Flüelerche. Alpengrasmücke. Staar mit dem Halsbande, 


Bergstaar. Alpenbachstelze. Bergspatz. 
Alpensänger. Steinlerche. L 
Aecentor alpinus, Bechst. ornitholog. Taschenb, T. I. p. 191. nr, 1. 
Motaeilla alpina. Linn. syst. XIII. p. 657. n. 65, 
La fauvetie des Alpes. Buff. ois. V. 156.t. 10. pl. enl. 668: 
Andreä Briefe aus der Schweiz, t. XIII. 
Alpine Warbler. Latham II. 2. 434. n.25. (II. 2. 435..). 

Sturnus collaris. Scopoli. ann. hist. nat. I. 131. n. 192. ; 
Sturnus moritanus montanus, $. G. Gmelins Reise IV. 174, Pallas neue nor: 
dische Beiträge, IV. 52. 
Collared Stare. Latham II. 1.8. n.5. (II. 1. 7.) 

Avis Kiburgensis. Gesneri, 


Blumlivôgeli. Blütling: 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Gris cendré avec des taches brun foncé; la gorge blanche avec 
de petites taches en forme de coquille, les flancs rouge brun ; deux 
rangées paralieles de taches blanches sur les ailes, 


DESCRIPTION. - 


Le bec droit, long, rond et taillé menu sur les côtés ; les deux 
mandibules légèrement comprimées sur les bords; la mandibule 
supérieure brun foncé avec un rébord jaune pâle; les narines pla- 
cées à la base du bec, de forme allongée et garnies d’une grande 
membrane; la mandibule inférieure jaune orange avec [a pointe 
brun foncé ; la langue jaune et fendue; l'iris de l’oeil jaune foncé; 
la tete, le haut du col, ainsi que les côtés gris blanc; le manteau 
gris blanc avec des taches brun foncé et couleur de rouille sur les 
flancs; le bas du manteau gris rougeätre ; les dernières plumes mo- 
yennes brun rouillé avec un liséré gris, tirant sur le vert et la pointe 
rougeâtre, les plumes de la queue brun foncé avec une bordure 
gris olivâtre au côté étroit de le barbe, marquées à la pointe et au 


=. 7 = 


breiten Fahne mit einem rostgelben Flek; die kleinen Dekfedern 
.der Flügel grau, ins Grünliche spielend, die zwei grofsen Reihen 
und der Afterflügel braunschwarz mit weifsen Spitzen, daher zwei 
gleichlaufende Reihen weiïfser Flecken auf den Flügeln ; die vier 
ersten Schwungfedern braungrau, an der schmalen Fahne mit ei- 
nem weilsgrauen Saum, die zehn folgenden braungrau mit gelb- 
lich weifsen Spitzen , die lezten davon an der äufsern Seite rôth- 
lich gerandet, die hintersten Schwungfedern schwarz mit rostgel- 
bem Rande; Kehle weils, mit kleinen dunkelbraunen muschel- 
förmigen Flecken und nach der Brust zu mit einer dunkelbrau- 
nen Linie eingefafst; Brust weifsgrau; die Seiten derselben, die 
Bauchseiten und unter den Flügeln braunroth, unter den Flügeln 
weils geflekt; Bauch grauweils mit verloschenen dunkelgrauen 
Wellenlinien ; After dunkelbraun mit grofsen weifsen Endspitzen; 
Fülse geschildert, hellbraun; die Zehen etwas dunkler, die Nä- 
gel hornbraun; der hintere Nagel am längsten. Die Flügelspitzen 


endigen sich einen Zoll vor der Schwanzspitze. 
Länge 63 Zoll; Breite 10% Zoll. 


Das Weibchen hat weniger lebhaftere Farben und derKebl- 
flek ist nicht so deutlich. 


AUFENTHALT. 


Die Krainer - Kärnthner - Schweizer- Bündner und Italiäni- 
schen Alpen, so wie die von Dauphiné, Auvergne und die Sa- 
mamisischen in Persien, 


EIGENSCHAFTEN. 


Die kahlen mittleren Alpengebirge sind sein gewöhnlicher 
Aufenthalt, selten kommt erim Sommer in die obersien Klolzre- 
gionen ins Gesträuche; fängt es auf den Alpen zu schneien an, 
so zieht er sich auf die niedern Alpengebirge und bei sirenger 
Kälte in die Thäler und Dörfer herab. 


sind die felsigen weidenreichen Viehberge, hier sizt er meistens 


Sein Lieblingsaufenthalt 


auf hervorragenden Felsen, selten auf dem Gesträuche und zu- 
weilen auf den Dächern der Sennhütten. Im Sitzen hat er bestän- 
dig ein struppiges dickes Ansehen. In seinem Betragen ähnelt er 
mehr den Bachstelzen als den Lerchen , sogar in dem Geschrei , 
womit sie einander zurufen, Den Leib trägt er schön, bewegt im: 
Hüpfen öfters den Schwanz und die Flügel und läuft sehr schnell. 
Er hat ein weiches Leben und stirbt fogleich auch bei einer nur 
leichten Verwundung. Scheu ist er nich. Wenn von einem: 
Häufchen einer geschossen wird, so setzen sich die übrigen auf- 


Er läfst sich 
leicht zähmen und singtim Frühling leise , aber nielodisch und. 


geflogenen in der Nähe sogleich wieder nieder.. 


angenehm. Aufser der Begattungszeit schwärmt er in kleinen Ge- 


sellschaiten. von höchstens 8—12 Stik umher. Seine 
NAHRUNG 


Besteht des: Sommers aus allen Arten kleiner Käfer, Wir- 
mern und andern Insekten und dem Gesäme von Alpenpflanzen ; 
im Winter fast einzig aus Sämereien und Beeren welche ersiere 
er in Gesellschaft der Sperlinge und Finken vor den Häusern und 
in den Scheunen aufsucht , daher die Berner diesem Vogel auch 
Blümlivögeli nennen. Gezähmt kann man ihn, höchstens einige 
Jahre, mit gequetschtem Hanf und andern Saamen , und Amei- 


seneiern erhalten; auch mit Brod nimmt er vorlieb. 


Ce ©: 


On lapprivoise facilement, 


large côté de la barbe d’une tache jaune rouillé; les petites cou- 
vertures des ailes grises avec un chatoyement verdâtre; les plumes 
des deux grandes rangées des fausses ailes brun noir avec la pointe 
blanche, d'où naissent les deux rangées paralleles de taches blan- 
ches, qu’on voit sur les ailes; les quatre premières pennes des ai- 
les gris - brun avec une bordure gris - blanc au côté étroit de la 
barbe; les dix suivantes gris brun avec la pointe blanc jaunätre; 
les dernières lisérées de blanc en dehors; les pennes postérieures 
des aïles noires avec un liséré en rouille; la gorge blanchätre avec de 
petites taches brun foncé en forme de coquille et bornée du côté de 
la poitrine, ceux du ventre et la région, qui est sur les ailes rouge- 
brun avec des taches blanches à cette dernière partie; le ventre 
gris-blanc avec des lignes onduleuses gris foncé assez peu distin- 
ctes, les plumes du croupion brun foncé avec de grandes pointes 


“ blanches; les jambes couvertes d’écailles en forme d’écussons brun 


clair; les doigts un peu plus foncés; les ongles couleur de corne 
brune; ceux de derrière plus longs, que les autres. La pointe de 
la queue dépasse d’un pouce celle des ailes. 

Longueur six pouces, huit lignes. Enyergure dix pouces et 
demi. 

La femelle a les couleurs moins vives, que le mäle et la ta 
che de la poitrine n’est pas aussi marquée. 


PATRIE. 


Les Alpes de la Carniole, de la Carinthie, de la Suisse, du 
pays des Grissons et de l’ftalie sont, ainsi que celles du Dauphiné 
et les montagnes de l'Auvergne, la patrie de cet oiseau. U se trouve 
aussi en Perse dans les monts Samamisiens. 


QUALITES. 


Les montagnes moyennes dénuées d'arbres des Alpes sont la 
demeure ordinaire de celte fauvette. Il est rare et cela n’arrive 
que pendant l'été, qu’elle vienne jusque dans les buissons des ré- 
gions supérieures des bois. Des qu'il commence à neiger dans les 
Alpes elle gagne les montagnes les plus basses de ces grandes chai- 
nes et dans les froids rigoureux elle déscend dans les vallées et jus- 
ques dans les villages. Les lieux, qu’elle habite de préférence sont 
les montagnes rocailleuses et herbeuses, où paissent les troupeaux. 
C’est là, qu’elle se tient pour l’ordinaire perchée sur les saillies des 
rochers, rarement sur les buissons, quelque fois sur lestoits des 
chalets. Estelle posée quelque part elle s’herisse et se gonfle. Ses 
allures tiennent plus de celle de la lavandière, que de lalouette, 
Son cri d'appel ressemble même beaucoup à celle de hoche-queue. 
Elle a le port élégant ; en sautant elle remue fréquemment la queue 
et les ailes et elle court très vite. Elle est très délicate et la plus 
legere blessure est mortelle pour elle. Elle n’est point sauvage, Si 
Yon en tue une au milieu du vol, les autres, quoique dispérsées pour 
le moment, ne tardent pas à revenir se poser dans le voisinage. 
Son chant, qu’elle fait entendre au 
printems a. peu d'éclat, mais il est melodieux et agréable. Hors le 
tems de Paccouplement ces oiseaux volent cä et là en petites troupes 
de huit à douze individus pour le plus. 


NOURRITURE. 


Cet oiseau se nourrit en été de petits scarabées et autres inse- 
ctes, de vers et de la graine de diverses plantes alpines. En hiver 
il vit presque uniquement de baies d’arbustes et de graines, qu’il 
va chercher conjointement avec les moineaux et les pinçons devant 
les maisons. et dans les: granges „ ce qui lui a fait donner par les 
paysans du Canton de Berne le nom de Blümlivögeli. Appri- 
voisée on ne peut la conserver, que pendant quelques années, et il 
faut avoir soin de la nourrir avec de chenevix écrassé , quelques 
auires espèces de graines et des oeufs de for-mnis, On peut aussi. 
lui donner du pain, 


er 


FORTPFLANZUNG. 


Er brület zweimal des Iahrs, das erstemal im Mai, das zwei- 
temal im Iulius, und macht sein nur wenig künstlich aus Gras- 


halmen und Haaren geflochtenes Nest, entweder zwischen Steine . 


auf die Erde oder in Ritzen und Löcher der F elsen, auch in sehr 
hochliegenden Dörfern wie z. B. in Campolein. ( eigentlich Cam- 


po doleino) in Bünden unter die Dächer. .Die Eier sind grün und 
meistens 5. an der Zahl, 


NUTZEN. 


Gegen den Herbst wird er sehr fett und daher häufig geges= 
sen. Gezähmt ist er ein sehr artiger Stubenvogel. Ë 


SCHADEN 
ist uns keiner bekannt, 
FEINDE. 


Im Sommer der hurmfalke ; im Winter wann er in die Ebe- 
ne kommt, alle kleine Raubvögel der Ebene. 


IAGD UND FANG. 


Im Sommer kann er an seinem Aufenthaltsort, da er nicht 
scheu ist, mit der Flinte leicht erlegt werden, und im Winter 
wo er in die Thäler kommt, wird er häufig mit Schlagnetzen 
gefangen. 


ANMERKING, 


Linné zählte diesen Vogel unter die Gattung Motacilla. Da 
er aber in mehr als einer Hinsicht von derselben sehr abweicht: 
so machen wir mit Bechstein eine eigene Gattung aus demselben 
und bezeichnen sienach eben diesem Schrifisteller mit dem Na- 
men Accentor Flüevogel (d. i. Felsenyogel.) Die Naturgeschich- 
te dieses Vogels haben wir der Freundschaft des Herrn Doctor 
Schintz jun, in Zürich zu verdanken, j 


- 


= 098 = * 


PROPAGATION. 


La fauvette des Alpes pond deux fois par an, dabord au mois 
de Mai et ensuite au mois de luillet. C’est sur la terre même entre 
les pierres, ou bien dans les fentes et les trous des rochers, quel- 
que fois même sur les toits des villages ir&s élevés, p.ex. à Cam- 
polcin ou Campo dolcino dans le pays des Grisons, qu’elle fait 
son nid assez großsierement construit de fetus et de crins entrela- 
ces ensemble, Ses oeufs sont veris et pour l'ordinaire de nombre 
de cinq. 
= 


UTILITÉ. 


Elle est très grasse en automne et on la mange volontiers : 
comme un morceau friand. Apprivoisée c’est un de plus jolis oi- 
seaux, que l’on puisse ayoir en chambre. 


DOMMAGE. 
Elle n’en cause aucun, au moins que nous sachions, 
ENNEMIS. 


En été elle a pour ennemi là crèsserelle. En hiver, lorsqu 
elle déscend dans la plaine, tous les petits oiseaux de proie, qui 
s’y tiennent, lui font la guerre. 


MANIERE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE 


Comme elle nest pas fuyard, on peut aisement la tuer au 
fusil, pendant l’été dans les lieux, où elle fait sa demeure. En 
hiver lorsqu'elle descend dans les vallées', on la prend frequem- 
ment au filet. 


REMARQUES. ; 


Länné a place cet oiseau dans la famille de Motacilla, c: 
ad. des lavandières, mais comme elle en différe à bien des égards, 
nous en faisons avec Bechstein un genre particulier, et nous lui 
donnons avec ce célèbre naturaliste, le nom générique de Accen- 
tor, en allemand Flüevogel, c’est à dire: oiseau des rochers. *) 
C’està Monsieur le docteur Schintz le jeune de Zurich, que nous 
sommes rédévables de la partie de cet article, qui traite de P’hi- 
stoire naturelle de cet oiseau. 


*) Note du traducteur) En françois on pourroitl'appeller le rocaïller, 


we 09 wm 


DIE ROTHKÖPFIGE HAUBENENTE. 


‚Rothkopfente. Karminente. Einsame und türkische Ente. Gelbschups mit 
einem Federbusch. Gelbkopf. Rothkopf. Kolbenente. 
Rothhals. 
Schweiz). 

Anas rufina. Gmel. Linn. syst. natur. I. 2, p. 541. nr. 118. 

Pallas Reise Vol. I. p. 713. mr.28. 

Nordische Beiträge LI. S. 12. IV. p. 14. 

Anas fistularis cristata. Briss. av. B. p. 398. nr. 22. 


Braadente. 


Grofse Seecnte mit rothem Kopfe. Bisamente (in der 


Anas capite rufo major. Raj. av. p. 140. n. 2. 

‚Le canard siflenr huppé. Buff. hist. nat. des ois. 9. p. 182. pl. enlum. n.928. 

Barbary Schovelcr. Schaw. it. p. 254. 

Great red headed Duck. Will orn. p. 364. 

Red-crested Duck. Lath. sym II. 2. p. 544. n. 82. (3. Th. 2.B. S.468. n. 82.) 

Bechstein. N. G. D. II. S. 754. dessen ornitholog. Taschenbuch. 2. Th. S. 
452, nro. 54. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Me Der Schnabel zinnoberroih; Kopf und Hals dun- 
kelziegelroth, die dichten verlängerten hellgelbrothen: Scheitelfe- 
dern bilden einen kugelförmigen Federbusch; auf der Schulter ein 
breiter weifser halbmondförmiger Flecken; der Spiegel weils mit 
schwärzlicher Einfassung, 

Weibchen. 
tzig orangegelb; Kopf dunkelbraun ohne Federbusch, der Un- 


Der Schnabel röthlichbraun, am Rande schmu- 


terhals lichtgrau; die Schulter ohne weifsen Flecken; der Spiegel 


grauweifs mit kaum schwärzlicher Einfassung. 
BESCHREIBUNG. 
“Der Schnabel zinnoberroth; der Augenstern rubinroth; die 


Der Kopf und obere "Theil des Halses 


. dunkel ziegelroth, die hellgelb rothen Federn auf ersterem sind dik, 


Füfse röthlich schwarz. 


lang, und können zurük gelegt werden, aufgerichtet haben sie ein 
struppiges Ansehen und bilden einen wulstigen Federbusch ; den 
Nacken herunter läuft ein stahlschwarzer grünschillernder Strei- 
fen ; der Körper istim Ganzen schwarz; der Rücken graubraun; 
‘der Unterhals, die Brust und der Steifs kohlschwarz, lezterer mit 
starkem grünen Schiller; der Bauch stahlschwarz ; die Seiten weifs, 
am Rande grau gesprenkelt; die Dekledern der F lügel schwärz- 
lich; die Afterflügel hellgraubraun, weifsgesäumt, wodurch ein 
grofser breiter querstehender weilser Flecken gebildet wird; die 
sechs ersten Schwungfedern schwarz, inwendig weifs, von da wird 
die äufsere Seite auch weifs, der Schaft weils, die sechs leztern 
lang und grau; der Spiegel weils mit schwarzgrauer Einfassung; 
der Schwanz kurz, gleichlang, dunkelbraun oder grauschwarz, die 
‚Aufsern Federn weifslich gerändet. 

Länge 1. Schuh 9. Zoll. Breite 2. Schuh 9% Zoll, Schwanz 
5. Zoll; Schwere 2. Pfund und 1. Loth. 

Weibchen. Der Schnabel röthlichbraun mit schmutzig oran- 
gegelber Einfassung; der Augenstern schön hell orangegelb; die 
. Füße dunkel ochergelb , die Zehen ‚heller, die Schwimmhäute 
schwarz; der Kopf bis in den Nacken dunkelbraun und gänzlich 
ohne Federbusch ; die Seiten des Kopfes und die Kehle blafsgrau; 
der Unterhals und Rücken hellbraun; Brust und Bauch gelbbraun, 


LE CANARD SIFFLEUR HUPPE. 


Rothköpfige Haubenente. Rotlıkopfente. Karminente. Einsame und tür 
kische Ente. Gelbschups mit einem Federbusch. Gelbkopf. Roth- 
kopf. Kolbenente, Braadente. Rothals, Grosse Seeente mit rothem 
Kopfe. Bisamente (en Suisse.) 

Anas rufina. Gmel. Linn, syst, nat, I. 2. p. 541. n. 118. 

Pallas Reise. Vol. II. p. 713. n. 28. ï 

Nordische Beiträge IH. S. 12. IV. p. 14. 

Anas fistularis cristata. Briss. av. B. p. 398. n. 22. 

Anas capite rufo major. Raj. av. p. 140. ur. 2. 

Le canard sifleur huppé, Buff. hist. nat. des ois. 9. p. 182. pl, enlum.n. 928, 

Barbary Shoveler. Shaw. it. p. 254. 

Great red headed Duck. Will orn. p. 364. 

Red crested Duck. Lath, syn. III. 2. p. 544. n. g2. (3. Th. 2.B.p.468.n.82,) 

Bechsteins N. G. D. III. p. 754. Dessen ornitholog. Tafchenbuch 2. Th. p. 
452. nro, 31. À 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Mie. Le bec couleur de cinabre ; la tête et le col rouge de tuile 
foncé; au sommet de la tête un panache arrondi formé d’une touffe 
de plumes plus longues ; que les autres et d’un rouge jaune clair ; 
sur l'épaule une tashe large et blanche en forme de croissant, la 
tache en miroir blanche avec un liséré gris noir; le devant de la 
poitrine blanc avec une bordure noirätre. 

Femelle. Le bec brun rougeätre, les bords jaune orange sale; 
la tete brun foncé sans panache; le bas du col gris clair; les épaules 
sans taches blanches; la tache en miroir gris blanche avec une bor- 
dure blanchätre assez peu marquée. 


DESCRIPTION. 


Le bec couleur de cinabre; l'iris de l’oeil couleur de rubis ; 
les pieds d’un noir rougeätre; la tête et le haut du col rouge de tuile 
foncé; les plumes rouge clair tirant sur le jaune. du sommet de la 
tele, sont touflues, longues et peuvent se rabatire en arrière; lors- 
qu’elles sont dressées, elles donnent à la tête un air herissé et for- 
ment un panache arrondi ; le long de la nuque déscend une raie noir 
d'acier avec un chatoyement verdätre ; le corps. en général est noir; 
le manteau gris brun; le bas du col, la poitrine et le croupion noir 
de charbon, le dernier avec un chatoyement verdätre très marqué; 
le ventre noir d’acier; les flancs blancs pointillés de gris sur les 
bords; les couvertures de plumes noirätres; les fausses ailes brun 
gris clair, avec une bordure blanche, ce qui forme une grande et large 
tache, qui les traversse obliquement; les six premières pennes des 
ailes noires, blanches au côté intérieur ; le côté extérieur est aussi 
en partie blanc, ainsi que les hampes des plumes; les six derniè- 
res pennes longues et grises ; la tache en miroir blanche, avec un 
liséré gris noir ; la queue courte, également large dans toute sa 
longueur, brun foncé ou gris noir; les plumes extérieures liserees 
de blanc. 

Longueur 1. pied , ‘9, pouces. Envergure 2. pieds g: pouces 
et 3. lignes. La queue 5. pouces, Il pese 2. livres et } once. 

Femelle. Le bec brun rougeätre, jaune orange sale sur les 
bords; liris de l’oeil d’un bel orange clair; les pieds couleur d’ocre 
foncé ; les doigts de la même couleur, mais plus clairs; la mem- 
brane des doigts du pied noire; la tête jusqu’à la nuque brun foncé, 
sans aucune espèce de panache; les côtés de la tête et la gorge gris 
clair, le bas du col et le manteau brun clair; la poitrine et le ven- 
tre brun-jaunätre; les plumes des flancs lisérées de jaunätre; cel- 
les du ventre lisérées de blanc, ce qui donne à ceite partie un air 


Da d 


== 100 


die Seitenfederri gelblich gerändet, die des Baüchs weifs gerandet, 
wodurch diese Theile wie geschuppt erscheinen; der Spiegel weifs- 
grau mit dunkelgrauer Einfassung; die gröfßsern Schwungfedern 
dunkelbraun, inwendig weifsgrau, der Schaft bräunlich ; der Schwanz 
hellbraun mit weifslicher Spitze. 

Länge 187 Zoll; Breite 32% Zoll, Schwere 1 Pfund 20 Loth, 


AUFENTHALT. 


Sie bewohnt das Kaspische Meer und die grofsen Seen der ta- 
tarischen Wüsten und der Ostseite der Uralischen Gebirgskette, 
Auch in Italien, der Schweiz und der Barbarei trift man sie an. 
Nach Deutschland kommt sie, wiewohl selten, im Winter und 
Herbst als Strichyogel. 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie ist sehr scheu und ein treflicher Taucher. Aufden grofsen 
Seen in der Schweiz ist sie einzeln und in kl&nen Gesellschaften 
den ganzen Winter, doch meistens erscheint sie erst im Ianuar, 
und im März zieht sie schon wieder weg. Dafs sie aber auch im 
Spätsommer in Deutschland umher streift, beweifst das von uns 
abgebildete Weibchen, welches den 29. August in der Gegend von 
Offenbach Abends auf dem Strich geschossen wurde, 


NAHRUNG. 


Diese besteht in kleinen Schaalenthieren und Wasserkräu- 
tern. 


_FORTPFLANZUNG: 
Darüber haben wir nichts in Erfahrung bringen können, 
NUTZEN. 
Ihr Fleisch schmekt sehr gut. 
SCHADEN 
Ist uns keiner bekannt , eben so wenig als ihre 
FEINDE. 


IAGD UND FANG. 


Ihrer Scheuheit wegen läfst sie sich nur mit der gröfsten Vor- 
sichtmit der Flinte beikommen , desto leichter wird sie z, B.'in 
der Schweiz mit Vogelleim gefangen. Da diese Fangart, womit 
man auf dem Bodensee und in den Rheinbuchten oberhalb Schaff- 
haussen iährlich Tausende von Enten, Tauchern und Taucher- 
gänsen fängt? so viel wir wissen, noch gar nicht bekannt ist: so 
wollen wir sie beschreiben. Man bindet an zwei Pllöcke, die ziem- 
lich weit von einander im Wasser stehen , einen starken Bindfa- 
den von verschiedener Länge, an diesem Bindfaden befindet sich 
eine Menge flacher Korkstücke ohngefähr so: O—0—0—0 diese 
sind sehr stark mit Vogelleimbestrichen. Nun seztman dieseSchnur 
hauptsächlieh in die Buchten oder an solche Orte, wo man weifs, 
dafs die Enten häufig herumschwimmen, oder an das Land gehen. 
Wollen nun die Enten über diese Korkstücke wegschwimmen oder 
sich gar darauf setzen, so bleiben sie kleben und wenn sie sich 
wehren wollen, bleiben auch die Bauchfedern darauf hängen. Die- 
se Fangart ist sehr ergiebig. 


Fe 


= 


écailleux ; la tache en miroir gris blanche avec un liséré brun foncé; 
les grandes pennes des ailes brun foncé, gris blanc au côté inte- 
rieur avec la hampe brunâtre; la queue brun clair; blanchâtre à 
la pointe. 

Longueur 1. pied, 6. pouces et 3. Envergure 2. pieds, 8.pou= 
ceseti. Elle pese 1. livre, 10. onces. 


PATRIE. 


Cet oïseau habite la Mer caspienne et les grands lacs des desz 
serts de la T'artarie, ainsique le revers oriental des Monts Uraliens, 
On le rencontre de plus en Suisse, en Italie et en Barbarie. Il 
vient aussi en Allemagne, quoique assez rarement; c’est en hiver 
et au printems, qu'il s'y montre comme oiseau de passage. 


QUALITÉS. 


Cet oiseau, qui est très sauvage, est habile plongeur. On le 
trouve pendant tout l'hiver dans les grands lacs de la Suisse, soit 
seul, soit en petites troupes. . Pour Pordinaire cependant il ne pa- 
roit, qu'au mois de Janvier et il repart deja en Mars. Ce qui 
prouve de reste, qu’on le rencontre aussi cà-et la en Allemagne sur 
la fin de Pété, c’est la femelle, dont nous donnons ici la gravure 
et qui a élé tuée dans les contrées d’Offenbach le 29. Août sur le 
soir où les oiseaux filent. 


NOURRITURE. 
Il se nourrit de petits animaux de la famille des testacées et de 
plantes aquatiques, 
PROPAGATION. 


Nous n'avons pu récueillir aucun enseignement à cet ésard. 
te) 


UTILITÉ. 
Sa chair est très sayoureuse. 
DOMMAGE. 
Nous ne connoissons, ni les dommages, qu'il peut causer, 
ni les | 
ENNEMIS, 
qu’il a à craindre. 


MANIÈRE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 

Cet oiseau est si sauvage, que ce n’est qu’ avec les plus gran 
des prècautions, qu’on peut s’en approcher jusqu’ à la portée du 
fusil. On le prend plus facilement à la glu, p. ex. en Suisse. Com- 
me ceite espèce de chasse au moyen de la quelle on prend toutes 
les années plusieurs milliers de sarcelles, de plongeons, d’oies 
sauvages, etc, sur le lac de Constance et dans les simuosités du Rhin, 
au dessous de Schaflouse n’est point connue en Allemagne, au 
moins que nous sachions, on ne sera-pas fâché, d’en trouver ici 
la description. On attache à deux plots , qui sont fixés dans l’eau 
à une distance plus ou moins considérable l’un de l’autre, une 
ficelle très forte et dont la longueur varie. A cette ficelle sont 
assujetties une quantité de plaques de liège disposées à peu près de 
celte manière Q—O—O0—0O et récouverte d’une couche épaisse de 
glu. On place cette espèce de cordon surtout dans les baies ou en- 
foncemens, que forme le fleuve, et dans les endroits, où l’on sait, 
que les canards se tiennent volontiers, soit pour nager, soit pour 
aller à terre. Maintenant si les canards veulent passer à la nage 
par dessus ces plaques de liege, ou bien s’y poser, ils s’y trouvent 
pris et s'ils se débattent, les plumes de leur ventre y restent aussi 
collées. Cettechasse est d’un grand rapport 


— 161 


DER BIENENFRESSER. 


Bienenwolf. Immenwolf. Bicnenfänger. Immenfrafs. Heuvogel. 
Heumäher. 
Mcrops Apiafter. Linn. syft. nat. pag. 182. n. ı. 
Merops Apiafter. Gmel. Linn. syft. nat. T. I. pag. 460. m, 1. 
Merops Galilaeus. Hasselquift, Itin. p. 247. n. 24. 
Le guepier. Bull. 
The common Bee-Eater. Penn. 
Bienenfresser. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschland. Taf 222. 
Gemeiner Bienenlresser. Bechst. ornith. 'Tascheub, Th. I. $. 79:1, 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Scheitel ; Nacken und Oberrücken leberbraun, durch die Augen 


ein schwarzer Streifen; Kehle goldgelh; Unterleib und Schwanz. 


grünbläulich. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel etwas gekrümmt, rôthlich grauschwarz, von der 


Mitte an, an den Seiten zusammengedrükt und spitzig zulaufend; 
Oberschnabel am Grunde dreieckig; Nasenlöcher rundlich; Un- 
terschnabel abgerundet; Augenstern roth; von dem Schnabelwin- 


kel durch die Augen und Ohren hin ein grünschwarzer Streifen ;, 


Stirn. grünblau; Hinterscheitel, Nacken und ©Oberrücken rost- 
braun , den Mittelrücken hin'in das blasse Rostgelbe und Weilse 
übergehend, das hin und wieder mit Grün angeflogen ist; Unter- 
rücken grün mit Rostbrauri überlaufen; die obern kleinen Flügel- 
dekfedern blaugrün, die gröfsern hell rosibraun und blaugrün ; die 


Schwungfedern an der Spitze ausgerandet, grünblau, auf der in- 


nern Fahne mit einem schwärzlichen breiten Rande; die mittlern. 


Schwungfedern beträchtlich kürzer als die vordern, hell rostbraun. 


mit schwarzer ins Stahlblaue schillernder Spitze; die leztern, län- _ 


ger als die mittlern, grünblau; Schwanz blaugrün, lang, Keilförmig,. 


fast gerade abgestuzt, die zwei mitilern Federn drei Viertel Zoll 
länger als die übrigen; Kehle fast bis an die Ohren hinauf schön 
gelb, mit einem schwarzgrünen Halbring eingefafst; der übrige 
‚Unterleib glänzend grünblau; die Fiifse kurz, grauschwarz, die Ze- 
“hen sind wie die des Eisvogels gebaut. 

Die Flügelspitzen endigen sich ı Zoll von der Spitze der milt- 
lern Schwanzfedern. 

Länge x Zoll; Breite 18 Zoll, 

Das Weibchen hat etwas blässere Tarben, ist über den Au- 
gen so wenig gelb, und an der Brust nur etwas röthlich, dafs es 


kaum vom Männchen zu unterscheiden ist, 
AUFENTHALT. 


Das Vaterland dieses sehr schönen Vogels ist das südliche 
Europa und Asien. Nach Pallas erscheint er in Rufsland in Sä- 
marischen in der Mitie des Aprils mit den Schwalben. Er kommt 
aber auch auf dem Strich im Frübiahr in kleinen Flügen nach Schle- 
'sien, besonders nach Pohlen sehr häufig, in das südliche und mitt- 
lere Deutschland, so z. B. nach Wien in dem Monat Mai. Alliähr- 
lich zieht er im März in Scharen zu Hunderten durch Wallis. Bei 
Rembda, einem Rudolstädtischen Städtchen, sah man im lahr 1566, 
einen grofsen Zug, und im Mai eben dieses Iahrs einige Herden 


in Hessen, 1778. war eine Gesellschaft in den lebendigen Vorhöl- 
c Bag 


LE GUEPIER, 


Bienenfresser, Bienenwolf. Immenwolf. Bienenfänger. Immenfrafs. 
Heuvogel. Heumäher. i 

Merops Apiaster. Linn. syst. nat. Pag. 182. n. 1. 

Merops Apiaster. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. p. 460. n. ı. 

Merops Galilaeus. Hasselquist. itin. pag. 247. n. 24. 

Le guepier. Buff. } 

The common Bee-Eater. Penn. 

Bienenfresser. ‚Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf. 222. 

Gemeiner Bienenfresser. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. pag. 79%: m. x. 


CARACTÜRES SPECIFIQUES. 


Le sommet de la tête, la nuque et le haut du manteau brun cou- 
leur de foie; une raie noire traversant P’oeil; la gorge jaune doré; 
le dessous du corps et la queue vert bleuâtre. 


DESCRIPTION. 


Le bec légèrement courbé, gris - noir rougeâtre comprimé 
sur les côtés depuis le milieu jusqu’ au bout et terminé en pointe 
aiguë; la mandibule supérieure triangulaire à sa base ; les narines 
suborbieulaires; la mandibule inférieure arrondie; l'iris de Poeil 
rouge; une raie noir— brun partant de Yangle du bec et traver- 
sant Poeil et les oreilles; le front bleu-vert; le derrière du som- 
met de la tete, la nuque et le haut du manteau brun rewille pas- 
sant vers le milieu du dos au jaune rouille päle et au blanc par ci 
par là poudré de vert; le bass du manteau vert lavé de brun rouille; 
les pelites couvertures supérieures des ailes vert-bleu; les gran- 
des brun rouille clair et vert bleu; les pennes des ailes échancrées 
à la pointe, bleu vert, ayant un large liséré noirätre au côté in- 
térieur de Ja barbe; Ies moyennes beaucoup plus courtes, que les 
antérieures, brun rouille clair avec la pointe noire chatoyant en 
bleu d’acier; les dernières plus longues que les moyennes et bleu- 
vert, la queme vert- bleu, longue en forme de coin, presque tron- 
quée à angle droit; les deux plumes du milieu plus longues que 
les autres de {rois quarts de pouce; la gorge en remontant pres- 
que jusqu aux oreilles d’un beau jaune, entourée A moitie d’un 
anneau brun noir, le reste du dessous du corps bleu vert lustré; 
les pieds courts, gris noirs; les doigts de la même forme que ceux 
du martin-pècheur. 

La pointe dés plumes mitoyennes de la queue depasse d’un 
pouce celles des ailes. 

Longueur 11. pouces, envergure 18. pouces. 

La femelle a les couleurs un peu plus pâles, elle a un peu 
de jaune aw dessus des yeux et seulement un peu de rouge à la 
poitrine ; du reste on a de la peine à la distinguer du mäle, 


PATRIEEF, 


Fa patrie de ce bel oiseau c’est l’Europe méridionale et !’Asie, 
Suivant Pallas il se montre en Russie dans les contrées de Samara 
vers le milieu d'Avril avec les hirondelles. Mais il vient aussi en 
petits vols frès nombreux au printems à l’époque du passage en 
Silésie et surtout en Pologne, comme aussi dans les contrées du 
iilieu et du midi dé Allemagne, p. ex. à Vienne, où il paroit au 
moi de Mai. On le voit toutes les années au mois de Mars traver- 
ser le Valois par centaines. 
découvrit un grand vol près de Rembda, petite ville du pays de 
Rudolstadt, et au mois de Mai de la même année il s’en montra 


quelque bande dans la Hesse. En 1788. il s’en-vint-une com- 


En 1766. au mois de Mars on en 


Bu 


co1 


en 


zern in Thüringen, und 1791. am gten Julius sah Bechstein: zwei: _ pagnie dans les avanı- bois de hötres et-de chênes de ta-Fhuringe 


Alte und zwei Iunge beisammen über seinem Garten schweben.. Im: 
Iun. 1804. liefs sich ein kleiner '['rupp in der Gegend von Hanau: 


auf Lindenbäumen nieder. 1751. kamen einige in die Gegend von. 


Nürnberg und 1660. wurden einige Scharen auch: bei Ulm gese-- 


hen. 


sig Stücken bemerkt und ’zwei.davon geschossen. 


un ENSCHAFTEN. 


Er fliegt truppweise und schwimmt und schwenkt sich wie die 
Mauerschwalben in der Luft und schreit beständig.laut. und stark: 
sisikrüi. Nach Below lautet sein Geschrei:wie gralgrururururul, 
nach Goeze gurrui, gurrui. Auf den nahe an den: Wohnungen 
stehenden: Bäumen.halten sie sich in ihrem Vaterlande und an Or- 
ten, wo.cine ArtHeidekraut (Erica) wächst, am liebsten auf, und. 
verfolgen die Bienen: mit grofser Begierde. Bei. den: Bienenstö- 
cken, gebrauchen. sie ihre lange Zunge‘, die sie wie die Spechte in: 
die Fluglöcher und Ritzen stecken, und mit.derselben die Bienen; 


in: den Schnabel. ziehen und verzehren. Ihre 


NAHRUNG 


Auch in Bayern wurde 1781. im Mai ein Haufen von.dreis-- 


besteht aus: Bremen: (Tabanus), Miicken, Bienen,. Wespen,. 


Ilummeln:, Heuschrecken und Maikäfern, unter welchen leztern 


sie eine grolse Niederlage anrichten.. 


FORTPFLANZUNG. 


Nach Cetti soll er sich an die Ufer der Flässe-und des Mee-- 
res-in: sandigen- Boden: vier Fufs tiefe, erst seukrechte'und dann 
wagrechte Hölen graben. 
Schweiz iunge: Bienenfresser"in- Erdhölen gefunden: Im hinter- 
sten. ’Pheil’derselben: befindet, sich das aus Moos: und.Kräutern be- 
Yeitete Nest, in.welches das Weibchen vier: bis: sieben- weißse, an: 


beiden. Seiten. zugerundete, Eier lest, Gegen.den 28. Jun. sind sie 


So hat man z. B. auch: bei Sitten in der- 


den: Auskommen.nahe,. und den:gten Zul. gibt es schen erwachsene: 


Tunge.. Höchst. wahrscheinlich. brüten. sie iin Lıhr zweimal. 


NUTZEN 


stiften sie dadurch, ,dafs-sie die Maikäfer wegfressen, Sie wer- 
den, da sie besonders im Eerbste schr fett und. wohlschmeckend, 
sind, nach Willugby in. Italien, z. B. zu Rom, gegessen. Auch 
soll ihre Gal 
schwarzfärbende, gute Farbe geben. 


SCHADEN 


le mit Oel. und Galläpfeln vermischt, eiue die Haare- 


richten sie, wenn: sie: Besonders in: grolser- Anzahl vorhanden: - 


sind, bei den Bienenstöcken an. Ihre 


FEINDE 


sind Läuse, die Cetti allezeit in Menge im ihren Nestern fand. 


IAGD UND FANG 


Man schiefst sie, da sie gar nicht scheu sind, sehr leicht mit 
der Flinte. Auf der Insel Candia fangen sie die Knaben mit An- 
geln in der Luft. 


Angelhaken , welche an Zwirnsfäden befestigt sind. 


Sie stecken nämlich Heuschrecken an leichte 
Die noch 
lebenden Heuschrecken fliegen mit dem Haken in die Höhe, wo 
sie von den Bienenfressern weggeschnappt, sie selbst aber zugleich 
gefaugen werden. 


et en 1791. le 9. de Juillet Bechstein en vit deux vieux et deux jeu- 
nes passer ensemble au dessus de son jardin. Au mois de Juillet 
1804. on en vit un petit vol s’abattre sur des: tilleuls dans les en- 
virons de Hanau. Il en vint quelques uns en: 1741. dans les con- 
trées de Nuremberg, et en 1660. on en vit aussi quelques petites 
bandes: pres d’Ulm. Enfin en 1781. au: mois de Mai on en dé- 
couvrit un- vol d’une trentaine en. Bavière et on en tua deux. 


QUALITES. 


Ils volent par troupes et planent' en se balancant dans l’air 
comme le martinet, et font entendre continuellement un cri fort et 
percant, quon:peut rendre par: Sisikroui. Suivant Below ce 
cri est gralgrourourourouroul et suivant Goeze gourroui, 
gourroui. Dans leur patrie ils:se: tiennent: de préférence sur les 
arbres autour des maisons. et dans les-heux où croit une espèce de 
bruyère, (Erica) et ils: poursuivent les. abeilles avec beaucoup 
d’ardeur. C’est à laide de leur langue. qui.est très longue et qu’ils 
passent ainsi que les pics daus l'ouverture et dans les fentes des 


ruches „ qu'ils-en-rétirent les: abeilles. et les avalent. 
NOURRITURE. 


Oct oïseau. se nourrit de taons, de moucherons, d’ nHeilles. de 


guepes, de frelons et de hannetons. 1 fait surtout des grands ra- 
vages parmi les-derniers:. 


PROPAGATION. 


Suivant Cetti il se ereusse dans le sable au bord. des fleuves et 
demer des irous qui ont jusqu à quatre- pieds de profondeur et 
dont la direction: dabord‘perpendiculaire devient ensuite: horison- 
tale. C’est ainsi qu'on a trouvé pres de Sion: en. Suisse de ; Jaunes 
guêpiers. dans- des. pareilles excavalions. Dans le fonds de ces 
trous se trouve le nid de l'oiseau construit de mousses et d'herbes. 
C’est là que la- femelle pond-de quatre à. sept ocufs de forme ar- 
rondie aux deux bouls.. Vers le 28. Juin les petits sont preis de 
quitter le nid eton en trouve déja de tout à fait grands au neuf de 


Juillet, Il est très vraisemblable qu'ils: pondent deux fois par an, 


UTILITÉ. 


Ils nous rendent un service-éssentiel en détruissant une quan 
tité de hannctons. En Italie, à Rome p. ex. si on en croit Wil- 
lugby, onles mange suriout en. automne où ils sont gras et de bon 
goût. On assure aussi, qu’on fait avec leur fiel mêlé avec de l'huile 
ct de la. noix, de galle une très bonne couleur pour teindre les che- 
VCUX en. noir. 


DOMMAGE. 


Quand ils se trouvent en grand nombre dans une contrée ils 
sort le fleau des. ruches et des abeilles. 


ENNEMIS. 
Ils son fort sujels aux poux, qui au rapport de Cetti se trou- 
vent toujours en grande quantité dans. leurs. nids. 
MANIERE DE LE 'TUER OU DE LE PRENDRE. 


Comme ils me sont pas du tout fuyards on les tue aissement 
Dans File de Candie les enfans les prennent dans Pair 


à l’hamecon de la manitre suivante: 


au Fusil. 


Ils mettent des sauterelles à 
des hamecons trés légèrs attachés à de longs fils. Les sauterelles 
qui sont encor vivantes s’ clevent dans l’air avec l’hamecon et sont 
bientôt la proie de guèpiers, qui se trouvent eux mêmes pris de 
la même maniere. 


105 


ANMERKUNGEN 


Die Speiseröhre ist drei Zoll lang und erweitert sich unten. in 
“einen drüsigen Sak. Der Magen hat die Gröfse einer gewöhnli- 
chen Nufs, und ist mehr häutig als muskulôs. Die Gallenblase 
grofs und smaragdgrün; die Leber blafsgelb; der Blinddärme sind 
zwei, von welchen der eine 15, der andere 167 Linie hat. 

Merops congener scheint-den Nachrichten zufolge, die wir 
darüber eingezogen haben, doch eine eigene Art zu sein. Wir 
hoffen in der Folge ein Mehreres und Bestimteres hierüber sagen 
zu können. 


REMARQUES. u 


L’oesophage chez ces oiseaux a trois pouces de long et s’élar: 
git vers le bas en poche glanduleuse. L’estomac est de la grosseur 
d’une noix ordinaire et est plus membraneux que musculeux. La 
vessie du fiel est ample ét'vert d’emeraude; la foie est jaune pâle; 
le coecum est double; lun a 15. lignes, l’autre 16. lignes et demi 
du longueur. 

Le Merops congener, d’après toutes les recherches que 
nous avons faites, paroit être une espèce particulière. Nous éspë- 


rons le faire connoitre dans la suite d’une manière plus detaillee- 


et plus positive. 


DER ZITRONENFINK. 


Citrinelle. Zitrinchen. Zyprinchen. Citrinlein. Schneevôgeli. ( Unter 
“ diesen beiden leztern Namen ift er allgemein in der Schweiz, unter 
-dem erften in Tyrol bekannt.) 

Fringilla Citrinella. Nobis. 

Emberiza brumalis. Scopoli ann. Rift. nat. I. 145. n. 213. (Ubersezt von 

_ Günther. S. 175. n. 213.) 

Emberiza brumalis. Cmel. Linn. syst. nat. T. I. PI. pag: 873. n. 41. 

Aldrovandi ormilh. Ed. Francof. lib. 18. Cap. 19. p. 871. tab. 15. n. 19. 

Brumal Bunting. Lalh. II. 1. 1:90. n. 42. 

Der Wihterammer. Bechsteins Naturgesch. Deutschl. Band IV. S. 349. e. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Sins Kehle, Augengegend, Unterleib uud Steifs gelb; Hinter- 
kopf, Hals und Seiten aschgrau. ; 


E BESCHREIBUNG.. 


Schnabel gegen die Spitze hin an den Seiten etwas zusam- 
mengedrükt, spitzig; Oberschnabel bräunlich, Unterschnabel et- 
was heller; Nasenlöcher klein, rund und yon vorwärts stehenden 
Federchen bedekt; Stirn hell. grünlichgelb, auf dem Ifinterkopfe 
ins ‚Graue übergehend; Augenstern braun; Hinterkopf, Nacken 
und die Seiten. des Halses bis an die Kehle hell aschgrau; Ober- 
und Mittelrücken grüngelb; Unterrücken grüngelh; Schwanz ga- 
belförmig, schwarzbraun, auf der schmalen Fahne grüngelb, auf 
der breiten weifslich fein gerandet ; obere Dekfedern der Flügel 
braunschwarz, mit gelbgrünen; breiten Rande; Schwungfedern 
braunschwarz, die vordern mit einem schmaler, weilsgelben, die 
hintern mit einem breiten grüngelben Rande; Gesicht, Kinn und 
Kehle, Brust und Bauch schön grüngelb; die untern Dekfedern 

des Schwanzes grünlichgelb; Füfse blafs fleischfarbig mit etwas 
Braun untermischt; Nägel schwärzlich. 

Die Flügelspitzen erreichen die Hälfte des Schwanzes. 

Länge 43 Zoll; Breite 7. Zell. 

Das Weibchen ist wenigerund schmutziger gelb am Vorder- 
kopfe, dem Kinne, der Brust und dem Unterleibe; die graue Far- 
be des Hinterkopfes und Nackens erstrekt sich rings um die Kehle 

‘ mit einigen grüngelben Federn auf der lezterm, und wenigen oli- 
venbraunen Längsstrichen auf dem Oberrücken. Überhaupt ist die 


grüngelbe Farbe viel dunkler als beim Männchen, 


AUFENTHALT. à 


E#®. Er bewohnt alle hohen Alpen der Schweiz und von Tyrol, 
kommt im Herbst und Winter in grofser Menge in das Vaugesische 
| Fff 


LA CITRONELLE 


Zitronenfink. Citrinelle. Zitrinchen. Zypriachen. Citrinlein. Sehnee- 
vögeli. ( C’est sous ces deux derniers noms, qu'il est généralement 
connu en Suisse, le premier est celui qu’on lui donne dans le Tyrol.) 

Fringilla Citrinella. Nobis. . ; 

Emberiza brumais. Scopoli ann. hist, nat. I. 145. n. 213. ( Traduct. de 
Gunther. S. 175.n. 213.) ; 

Eimberiza brumalis. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. IT. p. 873. n. 41. 

Aldrovandi ornith. Bd. Wraneof. lib. 18. Cap. 19. p. 371. tab. 15: n. 19. 

Brumal Bunting. Lath. I!, 1. 199. n. 4. 

Der Winterammer. Bechsteins Naturgesch. Deutsch]. Eand IV. S, 349. c' 


U , 


CARACTERES SPECIFIQUES. 
Ta gorge, la région de Pocil, le dessus da corps et l'anus 
jaunes; le derrière de la tête, le col et les flancs gris cendre, 


DESCRIPTION. 


Le bec pointu légèrement coriprimé sur les côtés vers la poin- 
te; la mandibule supérieure brunätre; 1 inférieure plus claire; les 
narines petites, rondes et garnies de quelques plumes dressées en 
avant; le front jaune verdätre clair passant au gris sur le derrière 
de la tete; Piris de Pocil brun; le derrière de la tête, la nuque et 
les côtés du cou jusqu’ à la gorge cendré clair ; le haut et le milieu 
du manteau jaune vert; les bas de la même couleur; la queue four- 
chue, les plumes brun noir, jaune vert du côté étroit de la barbe 
avec un liséré blanchätre très fin du côté large; les couvertures su- 
périeures des ailes noir brun avec un large listré vert- jaune; les 
pennes des ailes noir brun, les amiérieures ornées d’un liséré étroit 
d'un jaune blanchätre , les postérieures d’un large liséré vert-jau- 
ne; le visage, le menton ct la gorge, la poitrine et le ventre d’un 
beau jaune- vert; les couvertures inférieures de la queue d’un 
jaune verdätre, les pieds couleur de chair pale mêle d’un peu de 
brun; les ongles noirâtres. 

La pointe des ailes aboutit à la moitie de la longueur dela queue. 

Longueur 4. pouces et 8. lignes; envergure 7. pouces. 

La femelle a moins de jaune et d’une temte moins nette sur 
le devant de la tête, au menton, à la poitrine et dessous lé corps. 
La couleur grisé du derrière de la tête et de la nuque s’étend tout 
autour de la gorge où l’on remarque cependant quelques plumes 
jaunes -vert avec quelques traits allongés brun d’olive au haut du 
manteau. En général la couleur jaune — vert est plus foncée chez 
la femelle, que chez le mâle. 


PATRIE. 


Cet oiseau habite tontes les hautes Alpes de la Suisse et du Ty- 
rol; en automne et en hiver il vient en vols nombreux dans les 
montagnes des Vosges, et se montre aussi quelque fois en Alle- 


De 104 — 


Gebirg; ind lfst sich zuweilen auch in Deutschland als Strichvo- 
gelsehen. In der Gegend um Nürnberg sind unsers Wissens in 
einem Zeitraum von etwa neun lahren nur drei Stücke im Okto- 


ber gefangen worden. 
EIGENSCHAFTEN.. 


Dieser kleine zarte muntere Vogel hält sich des Sommers über 
in den Hochwäldern der Hochgebirgein den kleinen, dicken, strup- 
pigen Tannen auf, welche in den Felsritzen der höhern Gebirge 
‚wachsen,. wo die übrige Holzvegetation bald aufhört. Erist ein 
Strichvogel, der im Herbst die Gebirge verläfst und in die Ebenen 
sich begibt, doch lieber dem Strich der Gebirge folgt, und auch 
aus diesen noch vor Winters ganz wegzieht, und bis zum Früh- 
iahr in südlichern Gegenden bleibt. Er ist nicht scheu, aber we- 
gen seiner Lebhafligkeit, seines beständigen Ferumspringens und 
Fliegens, auch weiler meistens nur in den dunkeln 'Tannen sich 
Während des Sitzens läfst er 
beständig ein leises angenehmes Gü, Gü, fast wie der Kanarien- 
fink hören. Sein Gesang, womit er vorzüglich im Frühling er- 
gözt, ist ziemlich laut, lieblich und flötend. Er hat viele Aelın- 
In der Gefangenschaft wird er 


aufhält, doch schwer zu schiefsen. 


lichkeit mit dem. des "Girlitzen. 
leicht zahm, und. ist dann im Singen fast unermüdet. So oft er 
einen andern Vogel hört, gibt er Antwort, die man durch die Sil- 
ben: tschätschä , ausdrücken kann. Dieser Lokton hat Aehnlich- 
keit mit dem des Flachsfinken. 
NAHRUNG. 

Diese besteht in dem Samen verschiedener Alpenpflanzer-, 

vorzüglich in Fichten- und Tannensamen und in Insekten und 


deren Larven. In der Gefangenschaft nimmt er mit Harifsamen 


and andern gewöhnlichen: Futter der Stubenvögel vorlich. 
FOR'TEPFLANZUNG 


In der Mitte des Mai baut er in die dicken struppigen Tan- 
nen: sein Nest, auch nicht selten in. die’ verlassenen oder bewohn- 
ten Sennhütten der hohen. Alpen. Das Nest ist halbkugelförmig, 
nach obenhin etwas weiter,. seine Unterlage besicht in Flechten 
und-Moos, inwendig und. oben aber meist aus-Pferdehaaren. Die- 
se Materialien. sind, obgleich: ordentlich-, doch nicht sehr fest in 
einander gewebt Der Eier sind 35-5 weils grünlich und roth 


bcsprengt. 
NUTZEN, 

Seines Gesangs und seiner Munterkeit wegen hält man ibn 
häufig im Käfig; doch mufs man ihn im Winter. nicht sogleich 
aus der Kälte in die warme Siube bringen, sonst- stirbt er au- 
genbliklich, 

SCHABEN 

ist uns keiner' bekannt. 

IAGD UND FANG. 

Er wird im Herbst und Frühling auf seinen Zügen, die er 
in kleinerr Gesellschaften beginnt, auf Leimruiken und dem Her- 
de gefangen und ziemlich theuer verkauft, 

FEINDE. , 


Der Thurmflke und Wanderfalke sind seine gefährlichsten 


Feinde. : 


magne comme oiseau de passage. . Dans les contrées de Nuremberg 
‚on n’en a pris dans l’éspace d’environ neuf ans que trois, au moins 
que nous sachions. C’est au mois d'Octobre, qu’on en a fait la 
capture. | 


QUALITES& 


Ce petit oiseaıt, qui est aussi vif, qu'il est délicat, habite en 
été les hautes forêts des montagnes élevées; il s’y tient dans ces 
sapins petits, touffus et rabougris, qui croissent dans les fentes des 
rochers de ces niontagnes, et qui sont à peu près les seuls arbres, 
qu’ils s’y trouvent encore. C’est un oiseau de passage qui quitte en 
automne les montagnes, pour se rendre dans la plaine en restant 
de préférence dans le voisinage des premières; mais enfin il les 
abandonne tout à fait déja avant l'hiver et va dans les contrées me 
ridionales altendre le retour du printems. Il n’est pas sauvage; 
cependant comme son extreme vivacité le tient dans un mouye- 
ment conlinuel et qu'il est toujours à sautiller et à voltiger ca et là 
ét qu'en outre il ne se tient gueres que dans le touffu des noirs sa- 
pins, il est diflicile à tirer. Lorsqu'il est posé, il fait entendre 
continuellement un certain, cu, cu, qui est; Kgèr et agreable 
et ressemble beaucoup au garouillement du serin de Canarie, Son 
chant, dont il égaic la Nature, surtout au printems, est assez fort 
et a quelque chose de fluté et d’agreable. If ressemble beaucoup à 
celui du tarim En cage.it s’apprivoise facilement et il chante 
presque sans interruption; on peut dire, qu'il est infatigable, Tou- 
tes les fois, qu'il entend un autre oiseau il lui repond par un cer- 
tain tchaitehai; ef ce ton d’appel a quelque rapport avec celui 
de la hinotte. 

NOURRITURE, 


M se nourrit des graines de plusieurs espèces de ‘plantes des 
Alpés, et surtout de la semence de pin etde sapin. Il mange en 
En chambre il 


s’accomode fort bien du chenevis- et de tout ce que mangent les 


outre dillérentes sortes d’insectes et leurs, larves. 


oiseaux en Cage. 
PROPAGATION 


C’est au milieu du mois de Mai, qu'il bätit sen nid dans le touf- 
fu des sapins raboügris; assez souvent aussi il le place dans les 
chalets, tant habités, tant déserts des hautes Alpes. Le nid est 
de forme hemispherique et va um peu en s’élargissant vers le haut, 
La base en est formée de lichens et de mousses ; mais:là partie su- 
périeure et lintérieure sont construits pour l’ordinaire en crins. 
Du reste ces matériaux quoique placés regulierement ne sont pas 
entre lacés d’une maniere bien solide. Les oeufs au nombre de 
5, à 5. sont blancs, pointillés de vert et de rouge. 


à , 
ÜTILITE. 

On aime à lavoir en cage à eause de som chant et de. sa vi. 
vacité; du reste il faut bien. se garder en hiver de le faire passer 
brusquement du froid dans une chambre chaude, sans cela il pé- 
riroit tout de suite. 


DOMMAGE, 


Jr m’en cause aucun, du moins que nous sachions, 


MANIERE DE LE 'TUER OU DE LE PRENDRE. 


Au: printems et en aufomne à l’époque de son passage, qui à 
lieu par petits vols, on le prend aux gluaux et dans les aires, et 
il se vend assez cher. 

ENNEMIS. 

Ea crécerelle et le faucon voyageur sont ses ennemis les plus 

dangereux. À 


= 105 = 


ANMERKUNG. 


Scopoli hat mit grofsem Unrecht ihn unter die Ammern ge= 
sezt; denn es ist ein wahrer Fink. Den Namen Fringilla Citri- 
nella behielten wir defswegen bei, weil alle deutschen Namen: 
auch damit: übereinkommen. Was: aber die neuern Ornitholo- 
gen bisher unter diesem Namen beschrieben und abgebildet ha- 
ben, ist nichts weiter, als der Girliz (Loxia Serinus Sc.) aber dem 
alten Ornithologen z. B. dem Aldrovand, war er genau: bekannt, 
und diese beschreiben und unterscheiden ihn sehr genau von dem. 
Girliz ,„ und wir glauben unter den N euern die Ersten zu sein, die 
diesen Vogel an seinen rechten Ort als Art gesezt, und als deut= 


schen Vogel beschrieben und: abgebildet haben. 


à REMARQUE. 


Scopoli a eu certainement grand tort de placer cet oiseau par- 


“mi les ortolans, car c’est un veritable pincon. Nous lui avons con- 


servé le nom de Fringilla Citrinella, parceque tous ses au- 
tres noms allemands cadrent avec celui là. Du: reste l'oiseau, que 
les ornithologistes modernes ont décrit et figuré jusques ici sous ce 
nom là, n’est autre chose, que le tarin ; (Loxia Serinus Seop. ) 
tandisque les anciens ornithologistes, tels p. ex. Aldrovandi Pont 
très bien distingué du tarin. Nous croyons donc d’être les pre- 
miers parmi les ornithologistes modernes, qui aient assigné à cet 
oiseau sa veritable place, cemme espèce distincte, et qui l’aient 
décrit et répresenté comme oiseau appartenant à l'Allemagne: 


» 


. ar ; EP NN DO ET ESTER & ; 


DIE GELBE BACHSTELZE. 


Motacilla flava. Linn. syst. nat. pag. 331. u. 12. 

Motacilla flava. Gmel. Linn. syst. nat. T. U. P. II. p, 963. n. 12. 

La bergeronctte de printéms. Bufon. L 

The yellow Wag-Tail. Latham. 

Die gelbbrüflige Bachflelze. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf. 23. 
Gelbe Bachftelze. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. pag. 163. n. 5. 


Naumanns Naturgeschichte der Vögel des nördlichen Deutschl. B. I. S. 190. 


Taf. 39. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Be grau, olivengrün überzogen ; Unterleib gelb; die zwei 


äufsern Federn des kürzern Schwarzes über die Hälfte weils. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel gerade, rund; Oberschnabel über den untern etwas 


hervorragend, glänzend braunschwarz, Unterschnabel hornweif, 
an der Spitze schwärzlich; die Nasenlöcher rundlich;} am Grun- 
de des Oberschnabels 5 schwarze Borsten; Augenstern nulsbraun; 
Scheitel aschgrau , olivengrün überlaufen; von den Nasenlôchern 
an über die Augen weg bis hinter die Ohren läuft em gelblich- 
weifer Streifen; vom Schnabelwinkel bis zu den Augen dunkel- 
aschgrau, der ganze Unterleib nebst den untern Dekfedern des 


Schwanzes schön gelb; Oberhals,. die Seiten desselben und der 


Rücken grau, stark olivengrün überzogen, Unterrücken zeisiggrün; 


die kleinen obern Flügeldekfedern grauschwarz mit einem brei- 
ten olivengrünen Rande; die gröfsern Dekfedern und die langen 
Schwanzfedern braunschwarz mit breitem braungelblichen Ran- 
de, die vordern und mittlern Schwungfedern braunschwarz , gelb: 
gerandet; Schwanzfedern brauuschwarz; die zwei äufsern Federn 
“weils auf der breiten Fahne mit einem laugen schmalen, schwarz- 
braunen Streifen; die übrigen auf der äufsern Fahne fein grün- 
gelblich gerandet; Schenkelfedern gelb; Füfse braunschwarz. 

Die Flügelspitzen von der Schwanzspitze ı% Zoll entfernt. 

Länge 63 Zoll; Breite 93 Zoll. 

Ein Weibchen, welches nebst mehrern am »3. Sept. gefan- 
gen wurde, war am Kinne roströthlich weils, Kehle roströthlich 
mit einem verloschenen grauen Halbring ; unter diesem ist der 
Hals rostgelb; der ganze übrige Unterleib hochgelb, an den Sei- 
ten ins Braune übergehend; Scheitel grau ins Olivenbraune spie— 


lend; Ober - und Mittelrücken oliyenbraun; Fülse schwarz. Das 
& U Ggg 


LA BERGERONETTE DE PRINTEMS. 


Die gelbe Bachfelze. 

Motacilla flava. Linn. syst. nat. pag. 331. n. 12. 

Motacilla fläva, Gmel. Lim. syst. nat. T. II. P.IT. pag. 963. n, 12, 

La bergeronetie de printems. Bullon. 

The yellow Wag-'"hail. Latham. 

Die gelbbrüftige Bachftelze. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf »3. 

Ge bé Bachftelze. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. p. 168. n. 3. 

Naumanns Naturgeschichfe der Vögel des nördlichen Deutsch], B. I. P-1g0. 
Taf. 3g. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 
Le dessus du. corps gris lavé de vert olive ; le dessous du corps 
jaune, les deux plumes extérieures de la queue, qui est plus. courte, 
blanches jusqu’ au delà dela moitié de leur longueur. 


DESCRIPTION. 


Le bec droit, rond; Ja mandibule supérieure prolongée ur 
peu au delà de linférieure d’un brun noir Juisant; la mandibule 
inférieure blanc de corne, noirâtre à la pointe; les narines arron- 
dies, la base de la mandibule supérieure garnie de trois soies noi- 
res; l'iris de l’ocil couleur de noyes; le sommet de la tête gris 
cendré lavé de vert olive; une raie blanc jaunâtre partant des na- 
rines et se perlongeant au travers des yeux jusques derrière les oreil- 
les; la région, qui s'étend de l'angle du bec jusqu’ aux yeux gris 
cendré foncé; tout le dessous du corps, ainsi, que les couvertures 
inférieures de la queue d’un beau jaune; le col au haut et sur les 
côtés, ainsi que le manteau gris fortement lavé de vert olive; le 
bas du manteau vert de serin; les petites couvertures supérieures 
des ailes gris noir avec un large liséré vert-olive; les grandes cou- 
vertures et les grandes pennes des ailes noir brun avec un large 
liséré brun jaunätre; les pennes antérieures et mitoyennes des ai- 
les noir brun avec un liséré vert très délié; les plumes de la queue 
noir brun; les deux extérieures blanches au large côté de la barbe 
avec une raie brun noir longue et étroite; les autres ayant un liséré 
vert jaunälre très délié au côté extérieur de la barbe; les plumes 
des cuisses jaunes ; les pieds noir brun. 

La pointe des ailes éloignée d’un pouce et demi de celle de la 
queue. 

Longueur 6.pouces et 4. lignes; envergure g. pouces et 8. lignes. 

Une femelle qui fut prise avec plusieurs autres le 23. de Sep- 
tembre ayoit le menton blanc, rouille - rougeâtre ; la gorge rou- 
ille-rougeätre avec un demi-collier gris foiblement dessiné; sous ce 
demi-collier le col étoit d’un jaune rouille ; tout le reste du dessous 
du corps d’un jaune vif passant au brun sur les flancs; le sommet 
de la tête gris avec un chatoyement brun olivätre; le haut et le 


LE 


alte Weibchen ist am Unterleibe sehr blafgelb ; die Kehle weifs, 
hin und wieder weifsgelblich. 


AUFENTHALT. 


Die gelbe Bachstelze bewohnt Rufsland bis Sibirien und 
Kamischatka, 


angetroffen werden. 


Schweden. Auch in Iava und am Senegal soll sie 
In Deutschland ist sie ein Zugvogel , der iin 
März ankommt und zu Ende des Augusts und Anfang des Sepiem- 
bers wieder wegzieht. Sie ist gern in ebenen. Gegenden auf Trif- 
ten und Rieden, an. den Ufern der Bäche und Flüfse auf frisch ge- 


pfliügten Brachäckern und des Nachts im Schilfgrase. 


EIGENSCHAFTEN, 


Sie ist ein zänkischer Vogel, der sich nicht nur mit der wei- 

‚sen: Bachstelze, sondern'auch init seines Gleichen besländigiherum 
beifst Nach: Bechstein und Goeze soll sie weit scheuer sein, als 

die weilse (M. alba. ) und graue Bachstelze (M. Boarula). Im 

Nürnbergischen und. in den Maingegenden‘, wo: die gelbe Bach- 

stelze besonders in grolser Menge sich findet,. bemerkt man dies 

nicht, 


weilsen Baclistelze. 


und man kann derselben ebe so nahe kommen, als der 
Noch dreister wird. sie, wenn ein Mensch, 
Sie fhegt dann 
mit einem grofsen Geschrei besländig um ihren vermeindlichen 


Hund oder eine Katze sich ihrem: Neste nähent.. 


Feind herum, wie der Kiebiz, sezt sich in seine Nähe und sträubt 
alle Federn in die Höhe. ÆEben so wenig können. wir der Behaup- 
tung beistiminen‘, ‚dafs ihr Gesang leiser sci als der der weifen 


Bachstelze. Ihre 


Er ist nach- unsern Erfahrungen: ebeu-so laut. 
Lokstimme lautet wie sipp, sipp. Sehr gern'ist sie unter den Vieh- 
herden. 


Ihr Flug gleicht dem. der weilsen. Bachsielze. Tin Gehen. 


und: Stehen bewegt sie beständig den Schwanz auf und nieder, 


"Wenn sie merkt, dafs iemand- auf sie acht gibt, so trägt sie ihren 


Thut- sie das ia, 


nicht in der Nähe des Nestes herab, 


Tungen kein Futter zu. so fliegt: sie wenigstens 
sondern: in einer ziemli- 
ehen. Entfernung und läuft dann auf der Erde vellends zu dem- 
selben; Man. kaun. ihr also in der Hinsicht -die Schlauheit nicht 
absprechen. VVenn sie im Herbst abziehen will, so versammelt 


siessich in grofser Gesellschaft an den Ufern der Flüsse und Tei- 


che und schläft daselbst in dem Schilf bis zu ihrem gänzlichen 


'Abzuge. Nach Goeze ist: sie schwer zu zälimen. Wir können die- 


ser Behaupiung auch nicht beitreten: Man gebe ihr , wenn: sie 
im Herbst gefangen. wird, anfangs nur kleine lebendige 'Heu- 


schrecken, die. man in. Menge auf den Wiesen. und Weideplä- 


zen findet, zu. fressen:, so wird sie sich. bald am die Gefangen- . 


schaft. und an anderes. Futter gewöhnen, Besser ist es, wenn: sie 
in. der Stube herum: laufen können, als wenn sie in den Käfig ge- 
sperrt werden: Doch ist sie im Zimmer nicht so dauerhaft als 
die weilse Bachstelze. Die lungen scheinen’ eigensinnig zu sein 
und lasseır sich von dem Alten, wenn. diese mit gefangen. wer- 


den, im Käfig nicht fütierx 


NAHRUNG, 

außer diesen aber 
kleine Käfer , 
Räupchen, Motten, Hafte (Eiphemera), Bremsen: und Siech- 


Kleine Heuschrecken» frifst sie sehr gern; 


auch noch viele andere Insekten, als Fliegen, 


fliegen, welche loztere sie sogar am Vieh aufsuchen und weg- 
schrappen. 


milieu du manteau brun olive; les pieds noirs. La femelle, quand 
elle est vieille a le dessous du corps d’un jaune très pâle et la gorge 
blanche mêlée par ci par là d’un peu de jaunâtre.. 


PATRIE. 


La bergeronette de printems habite toute la Russie, jusqu’ à 
la Sibérie et au Kamtschatka et la Suede. 
trouvée dans Vile de Java et au Senegal. 


On prétend aussi l'avoir 

En Allemagne elle est 
oiseau de passage; elle y arrive au mois de Mars, et en répart à 
la fin du mois d’Août, ou au commencement du Septembre. Elle 
se tient volontiers dans les pâturages et les jonchères des pays plats, 
aux bords de ruisseaux et de fleuves, sur les terres fraichement 
Fabourées et la nuit.dans les‘herbes: de marécages.. 


QUALITES 


C’est un oiseau querelleur, qui ne cesse de se battre et de se 
mordré, soit avec la bérgercaette blanche, soit avec des’ indivi- 
dus de sa propre espèce. Bechstein et Goëze nous assurent, qu’elle 
est beaucoup plus sauvage, que la bergeronette blanche (Motacilla 
alba) et que Ja grise (M. Boarula) mais au moins ce n’est point, le 
cas dans le pays de Nuremberg et dans les contrées du Main, où 
elle est extrömement eommune ;. car on peut l’approcher Prune 
près, qu’à la bergeronette blanche. Elle montre surtout beaucoup 
de hardiesse , lorsqw um homme, un chier ou un chat s’appro- 
chent de son nid. lille ne cesse alors de voler en criant de toutes 
ses forces autour de son prétendu énnemi, comme fait le vanneau, 
puis elle se pose auprès de lui et hérisse toutes ses plumes. Nous 
ne saurions non plus être de lopinion. de ées- sayans, lorsqu'ils 
soutiennent, que son chant est moins éclatant, que celui de la ber- 
geronette blanche; pour nous, nous le trouvons tout aussi fort. 
Son eri d'appel est un certain sipp, sipp. - Elle se tient volon- 
ticré au milieu des trotipeaux. Son vol ressemble à celui de Ja Ber- 
geronelte blanche. Soit, qu'elle marche,, soit, qu'elle soit posée en 
quelque part, elle remue continuellement la queue, qu’elle abaisse 
et élevre altérnativement. Quand: elle remarque, que quelqu'un 
Vépie, elle se garde bien, de porter de la nourriture à ses pelita, 
ou si elle le fait, c’est avec ioule la précaution: possible; car au 
Leu de venir voltiger autour du nid, elle s’abaisse à une assez 
grande distance sur la terre, et de là se rend en marchant et eu 
se tapissant contre le terrain vers ses petits On ne peut donc 
disconvenir, qu’elle ne soit très rusée au moins à cet égard. Lors- 
qu’elle se dispose à partir en automne, elleseressamble en grandes 
troupes sur les bords des fleuves et des étangs, et elle y dort tou- 
tes les nuits dans les roseaux jusqu'au départ général Goeze dit, 


A 
qu'elle est difficile à apprivoiser, mais nous ne saurions: être de 


‘ cette opinion Si on la-prend en.automne, il sufüt de ne lui donnera 


manger dans les commencemens, que de petites sauterelles en vie, ; 
de l'espèce, qui est sicommune dans les. prairies et les pâturages 
et bientôt elle accoutumera à son: état de eaplivite et à toute autre 
Du reste il vaut mieux la laisser courir en 
Cependant elie 
ne vit point aussi long tems en chambre que la bergeronette blan= 
Les petits paroissent être très capricieux, si on les prend 


espèce de nourriture. 
liberté dans la chambre, que de la tenir en cage. 


ehe. 
avec père et mère et qu'on-les mette en cage, ils réfusent opinia- 
trement,la nourriture, que ceux-ci leur portent. 


NOURRITURE. 


Cet oiseat, cuire les petiles sauterelles qui sont sa nourriture 
favorite, mange encore plusieurs autres espèces d'insectes , tels 
que des mouches, des petits scarabtes, des chenilles, des teignes, 
des éphémères, des taons, et surtout la mouche piquante, ou Sio- 
moxe, quelle va chercher et devorer jusques sur le dos des be 


stlaux.. 


FORTPFLANZUNG: 


Ehr Nest, das nach Bechstein nicht künstlich ist, und aus 
Grashalmen und Wolle besteht, ist in unsern Gegenden schön 
rund und aus Pferdehaaren und anderm Haaren geflochten. Sie 
macht es auf die Erde und gewöhnlich an die Ufer der Flüsse und 
Bäche unter das Weidengebäsche wohl auch in Waizen - Erb- 
sen- und Wickenfelder, in eine kleine Vertiefung oder in ein al- 
tes Maulwurfsloch. Das Weibchen brütet des lahrs zweimal, und 
legt in der Mitte des Aprils 5. bis 6. schmutzig olivengraue, schmu- 
tzig fleischbraun gewölkte,_und gewöhnlich am stumpfen Ende 
mit einem blutbraunen Strich versehene, Eier, die es in dreizehn 
"Fagen ohne Beihülfe des Männchens ausbrütet. Unter mehrern 
lebendigen lungen, die wir im Sept. erlirelten und wovon hier eins 
abgebildet ist, waren diejenigen, welche vom der Brust an bis 
| zu den untern Dekfedern des Schwanzes eine schwefelgelbe Farbe 
hatten, die Männchen. Bei den Weibchen war die Farbe auf 
dem Unterleibe weniger lebhaft. 
gen weifs, hie und da, besonders gegen die Seiten des Halses 
braungelblich; Scheitel, Oberhals und Oberrücken äschgrau, oli- 
vengrün überlaufen, Unterrücken hell olivengrün; die-obern Dek- 
federn des Schwanzes schwärzlich, grau und olivengrün geran- 
det; über die Augen vom Nasenloche an ein weifslichgelblicher 
Streifen; dureh die Augen von dem Schnabelwinkel herab und um 
die Ohren aschgrau ; unter den Augen ein weilser Flek; die Far- 
be der übrigen Theile ist meistens der der Alten gleich. Mehrere 
Exemplare hatten auch am Unterhalse einen schwärzlichen ; mehr 


oder weniger deutlichen Halbring. 
NUTZEN. 


Ihr Fleisch welches schmakhaft ist, wird häufig in der Sclnweiz 
gegessen. Ihr kleiner Leib gibt aber einen so unansehnlichen Bra- 
ten, dafs es nicht der Mühe werth ist, ihn für die Küche zu zu- 
bereiten. 
man wenigstens nicht darauf. Gröfsern Nutzen stiftet diese Bach- 


Bei uns, wo der Vogelfang viele Liebhaher hat, achlet 


_ stelze dadurch , dafs sie eine grofse Menge Insekten wegfrißst Ei- 


nen 
SCHÄDEN 


wissen wir von ihr nicht anzugeben: 
FEINDE 
hat sie an dem Sperber, Thurmfalken und andern Raubrö- 
Die Elster , der Rabe, die Wasserratte und das Wiesel 
suchen ihre Brut auf. 
TAGD UND FANG. 


Sie kann mit der Flinte eben so leicht als die weïfge Bach- 


gen. 


stelze erlegt werden. Im Herbste fängt man sie mit dem Schlag - 

‚gar, das manin der N ähe der Schweinemisthaufen, wo sich vie- 

le Insekten aufhalten, oder auch an schlammige \Vasserpfützen 

richtet. -Die Alten kann man bei dem Neste entweder mit Leim- 

ruthen oder mit häärnen Schlimgen fangen, die man an Bügeln, wie 

bei der Schnepfenschneuse, in den Gang anbringt, auf welchen 

sie gewöhnlich zu ihrem Neste läuft. 

VERSCHIEDENHEITEN. 

1) Motacilla flaya varia. Am Kopfe und an andern Theilen weils 
geflekt. 

2) Motacilla flaya leucogaster. Der Bauch ist weiß, und nur am 
After etwas gelb. Ist vielleicht nur ein sehr altes Weibchen, 


Hhh 


Die Kehle ist bei diesen: Iun- 


= 107 — 


PROPAGATION, 


Son nid, qui suivant Bechstein, est construit sans art de fetus 
d'herbe et de laine, est dans nos contrées d’une belle forme:ron- 
de; il est tissu de crins et de poils entrelacé ensemble. Elle le 
fait à terre et pour l'ordinaire au bord des fleuves et des étangs 
söus les buissons de saule, mais souvent aussi dans les champs de 
froments, de pois et de vesces, dans des petits enfoncements où 
même dans des vieux trous de taupes. La femelle pond deux fois 
par an. La première ponte a lieu vers le milieu d’Avril, Les oeufs 
au nombre de 5. ou 6. sont d’un gris olivâtre sale nué de couleur 
de chair bruni sale, ét ont pour l'ordinaire à la pointe obtuse un 
trait brun sanguin. La femelle couve pendant 13. jours sans le ‘ 
coïcours du mâle. 
en Sepiembre et dont un se trouve répresenté ici; ceux, qui étoient 


Parmi plüsieurs petits que l’on apporta vivans 


jaune souphre depuis la poitrine jusqu aux couvertures inférieures 
de la queue, étoient des mâles. Les femelles avoient le dessous du 


corps d’une couleur beaucoup moins vive. Les petits en général 


“ont la gorge blanche mêlée par ci par là de brun rougeätre surtout 


vers les côtés du col; le sommet de la tête, le haut du col et du 
mianteau gris cendré lavé de vert olive; le bas du mianteau vert- 
olive clair les couvertüres süpérieures de la queue rioïrâtres avec 
“an liséré gris et vert-olive; le dessus des yeux rnarqué d’une raie 
blanc-jaunâtre qui part des narines; une raie gris cendré descen- 
dant de Pangle du bec au travers de l’ocil et autour des oreilles; 
une tache blanche au dessous des yeux. 
ties est à peu près la même qu'ils ont dans un âge plus avancé, 
Plusieurs de ces jeunes oiseaux avoient ‚aussi au bas dü col la ta- 
che noirätre et plus ou moins distincte en forme de demi-anneau. 


La couleur des autres par 


ÜTILITÉ. 


La chair de cet oiseau a un trés bon goût; aussi le mange - 
t-on frequemment en Suisse; du reste son corps est d’un si petit 
volume, qu’il ne vaut gueres la peine de-lerotir; aussi dans les 
pays où la chasse aux oiseaux a beaucoup d'amateurs, n’entre-t-il 
gueres en ligne de compte comme objet de nourriture. Il nous 
rend un service beaucoup plus ésséntiel par la quantité d'insectes 


qu'il détruit, 
DOMMAGE, 
U n’en océasionne aucun: 


ENNEMIS. 


Ïf a pour énnemis, l’epervier, la crécerelle, et d’autres oise- 
aux de proie. La pie, le corbeau, la belette etle rat d’eau sont _ 


très friands de ses petits. 


MANIERE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE. 


On la tue au fusil tout aussi aisement, que la bergeronette 
blanche. 


que lon dresse dans le voisinage de fumiers de cochons qui abon- 


En aulomne on la prend avec des filets à rabattement, 


dent en insectes, on des marres fangueuses. On peut prendre le 
père et la mère aupres dü nid, soit aux gluaux, soit avec des la- 
cets de crins, que l’on ajuste, comme l’on fait pour prendre les 
becassés, à des archeis placés au passage par lequel ils ont coutume 


de se rendre à leur nid, 


VARIÉTÉS. 


1) Motacilla flava varia. Facheite de blanc à la tête et à d’autres 


parties du corps. 
2) Motacilla flava léucogaster. Le venter est blanc et n’a un peu 
de jaune, qu'a Panus. Peut-être n’est-ce qu’une femelle très 


vieille, 


= 


8) Motacilla flava leucocephala: Nobis. Mit weifsem Kopfe, et-. 
was gelb gesprengt. Muscicapa alba. Museum Carlsonianum.. 


II. tab. 74. 
ANMERKUNGEN. 


Motacilla cinerea. Linn. p.. 551. n. 12. Gmel. Linn, T.1.P. II. 


P- 961. nr. 79. und Bechst. ornith. Taschenb. Th. 1. S. 164. ist kei- 
ne besondere Art. sondern nur eine iunge weifse Bachstelze, die 


im Herbste gefangen wurde. Man vergleiche in dieser Hinsicht 


die Diagnose mit unserer- abgebildeten iungen: weilsen Bachstel- 


ze. M. alba.. 


In der Fauna suecica Retzü S. 258. sind die schwarzen: Tle-. 


eken auf der Kehle für ein unterscheidendes Merkmal des Männ-- 


chens vom: Weibchen. angegeben: Wir können diesem Urtheil: 


nicht beitreten‘, sondern: glauben vielmehr , dafs es ein junges; 


Männchen im Herbstkleide ist. 
vor uns: 


Wenigstens haben wir ein: solches; 


Wir fanden auch Exemplare mit schwarzbraunen: Fülsen und: 
gelblichen: Fufssohlen. Leztere haben auch die lungen.. 


‚ 


108 = 


5) Motacilla flava se Nobis. La tête blanche pointil= 


lee d’un peu de jaune. C’est la muscicapa alba: Museum 
Carlsonianum IIL. tab, 74. 


REMARQUES: 


Motacilla cinerea Linn. p. 331. n. 12. Gmel. Linn. T.I. P. II, 
P- 961. n. 79. et Bechst. ornithol. Taschenb. Th, I, P: 164. n’est 
point une espèce particulière, mais. seulement une jeune berge- 
ronette blanche prise en automne. Pour s’en convaincre il n y a 
que comparer la phrase diagnostique avec la figure, que nous avons 
donnée de la jeune bergeronette blanche, M alba. 

Dans la Fauna Suecica de Retz p. 258. on donne pour cara- 
ctère distinctif du mâle, les taches noires, qu'ii a sur la gorge et qui 
manquent à la femelle. Mois nous ne saurions souscire à ce ju 
gement et nous croyons plutôt que les individus ainsi marqués ne 
sont que de jeunes mâles dans leur livrée d'automne. Du moins en 


avons nous. sous les yeux un pareil. 


Nous avons aussi trouvé des échantillons, qui ayoierit les pieds 
brun noir et la plante des. pieds jaunätre, comme l'ont les petits, 
de ces: oiseaux. 


DIE BEUTELMEISE. 


Remitz.. Pendulin:. Cottonyogel.. 
Vollhinische Beutelmeise. 
Parus pendulinus.. 


Florentiner und Sumpfbeutelmeise: 

Lithauischer Remitzvogel. 

Linn..syft. nat.T.. Is p. 342. n.. 13. 

Gmel.. Linn. syst. T. I. P. II. pag. 1014, n. 18. 

La mesange de Pologne, où Remiz. Buffon. 

‘The penduline- Titmouse.. Lath., 

Beutelineise.. Bechst: ornith; Taschenb.. Th: I. S. 219. nr. 5. 

Naumanns N. Gesch. der Vôgel des nördl, Deutschl. Nachtrag, ıtes Ieft’S. 
14, tab. 3.. 


Parus pendulinus. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mi hellgrauem Hinterkopfe und Halse,schwarzem breitem Strei- 
Ten: durch die Augen‘, geradem, schärf zugespiziem, an den Seiten 
die ınittlern: Flügeldekfedern: hoch! 
xothbraun;,. weilslich. gerandeti 


etwas. gedruktem: Schnabel ;. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel aschgrau und mehr dem Schnabel der Sänger als 
der Meisem ähnlich; Augenstern nufsbraun; Stirn schwarz mit ei 
nem. rostrothen: Rande,,. von da enr schwarzer breiter Streifen 
durch: das Aug bis zu dem Ohr. Hinterkopf und. Nacken: weißs- 
grau und rostrôthlich gemischt; Oberrücken und Schulterfedern: 
hell zimmtfärbig ; Unterrücken blafsgrau;; die kleinen: Dekfedern: 
der Flügelbraun; mit röthlich gelben Spitzen; die grôfsern schwärz— 
lich, nufsbraun gerandet, 
dern Schwungfedern. dunkelbraun mit breiten blafs.- rostrothen: 
Rändern; Schwanzfedern dunkelbraun: mit weisen Spitzen; Keh— 
le und. Vorderhals: blafsgrau; röthlich. besprengt; Unterleib blafs— 
gelbroth,. am: Afier schwarz; Schenkel rosiroth;. Füfe rôthlich 


aschgrau, Nägel schwärzlich. 
Die Flügelspitzen bedecken: den dritten: Theil des: Schwan-- 
zes; 


Länge 42 Zell; Breite 73 Zoll. 


mit blafsgelbroilien Spitzen;. die vor— 


LA MESANGE DE POLOGNE. 
Beu!elmeise. 
beutelmeise. 


Remitz.. Pendulim. Cottonvogel.. 
Volhinische Beutelmeise, 


Linn. syst: 


Tlorenliner und Sumpf- 
Lithauischer Remitzvogel.. 
nat. T.-L.p. 342, n. 13. 

Gmel. Linn.syst T.T. P: U. ip. 1014. n. 13. 

Buflon. 


Parus pendulinus. 
Parus pehdulinus, 
La misange de Pologne, ou Remilz, 
The pendwline-Titmouse.. Lath. 

Beutelmeise.. Bechsteins ornithol. Taschenb. T. I. D'e2L2 TND 


Naumanns Nat, Ge. ch.. der Vögel des nördl, Deutsch]. Nachtrag I. Hefi. Se 
14 tab... + 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Ir derrière de la tete et le col gris clair; une large bande noire 
traversant les yeux; le bec droit, très pointu, légèrement com- 
primé sur les côtés ; les couvertures moyennes des. ailes. brun FOU- 
geätre vif, avec un. liséré blanchätre.. 


DESCRIPTION. 


Le bec gris cendré et plus semblable pour la forme au bec- 
des: oiseaux chanteurs qu’ à celui des: mésangers.; l'iris de Poeil 
couleur de noyer; le front noir avec une Lordure en rouille, d’où 
part une large raye noire, qui traverse l’oeil et aboutit aux oreil- 
les. Le derrière de la tête et la nuque gris-blanc mêlé de rouille 
rougeätre, le haut du manteau et les plumes des épaules canelle: 
clair ; le bas du manteau gris päle;, les: petites. couvertures des ai- 
les brunes, jaunes rougeätre à la pointe; les grandes-couvertures- 
noirâtres avec un liséré couleur de noyer et les pointes rouge- 
jaune päle; les pennes antérieures des ailes bruni foncé avec um 
lisere blanc verdâtre; celles de derrière brun foncé avec un large 
liséré rouge rouille pâle; les plumes de la queue brun: foncé avec 
la pointe blanches la gorge et le devant du col gris pâle avec um 
pointille rougeätre; le dessous du: corps rouge- jaune pâle; noir à 


. Fanus, les cuisses rouge de rouille; les pieds gris cendré rougeätre; 


les: ongles: noirälres. 

Les pointes des ailes couvrent la queue jusqu” au tiers de sa 
longueur: 

Longueur 4. pouces et 5, lignes; envergure 7. pouces et 5. 
lignes. 


— 109 — 


Das alte Weibchen hat keinen so grofsen schwarzen Stirn- 


flek und schwarzes Band unter dem Auge und hat eiwas weniger 


Roth als das Männchen. 
schwarze Stirn, der Augenstreif ist schwärzlich und die Farbe 


Den lungen im ersten Jahr fehlt die 
überhaupt heller, 


AUFENTHALT. 


Das Vaterland dieser Meise ist vorzüglich Pohlen, Lithauen , 
Rufsland, Ungarn, Htalien. In Sibirien ist sie selten. In Deutsch- 


land findet man sie in Böhmen, Kärnthen, Oesterreich, in 'Thü- 


ringen in Gegenden, wo es viele schilfreiche , mit Bäumen und 


Gesträuchen bewachsene Teiche und Sümpfe gibt. 


EIGENSCHAFTEN. 
Es ist ein munteres, keckes Vögelehen. Seine Lokstimme 
klingt wie dü, Sein Gesang ist von weniger Bedeutung. Im 
Herbste, wenn das Rohr lichterist, bekommt man es zuweilen zu 
sehen, den Sommer über hält es sich tiefim Rohr verborgen auf. 
Siesoll so listig und vorsichüg sein, dafs sie sich niemals in Schlin- 
gen fangen äfst. Diese Vorsicht zeigt sie vorzüglich in dem Bau 


ihres Nestes, welches weiter unten beschrieben wird. 


NAHRUNG. 


Diese sind Insekten, die sie theils am Wasser, theils auf Was- 
serpflanzen aufsucht. Auch soll sie sich im Winter von den Samen 
der Wasserpflanzen nähren. Die Iungen kann mañ mit Amei- 


senpuppen aufziehen, “ 


FORTPFLANZUNG. 


Ihr sehr künstliches Nest bauet sie von Weiden - Pappel - 
Espen - Distel - und Teichkolben - ete. Wolle. Das zur erster 
Brut gehörige Nest ist lockerer gewebt als das zweite, zu wel- 
chem leztern: sie meistens Teichkeibenwolle nimmt ; die sie beim 
erstern noch nicht haben kann. Es hat die Form eines länglich®- 
runden Beutels oder Fufssockens und ist vermittelst feiner Ge- 
wächsfasern um die Stengel des Schilfrohrs oder an die Spitzen 
der über dem Wasser herunterhängenden Aeste der \Yeideirbäume 
stark befestiget. Die Läirge ist 6. bis 8. Zoll, die Breite im Durch- 
schnitt 5. bis 4. Zoll. 


terkleinen Wollenbündeln vermittelst des Schnabels und der Fülse 


Die fast 6. Linien dieke Wand ist zus lau- 


wie ein Filz fest zusammen gewebt, und aufsen mit Hanf- und 
andern Pflanzenfäden übersponnen. Die Oeflnung befindet sich 
an der Seite oben, wo das Nest am Zweige befestiget ist, hat im 
Durehschnitt ı. bis 2. Zoll, und ist mit einem kurzen Halse ver- 
sehen. Das Weibchen legt dareim zweimal im Iahr fünf bis sechs 
schneeweïfse Bier, welche in 12. Tagen ausgebrütet werden. Die 
erste Brut fängt im April an, die 2te an August. 


NUTZEN 


verschaft uris blofs das Nest, welches die Russischen Kauf- 
leute in Sibirien gern kaufen. Man bedient sich dessen zur Er- 
wärmung der Füfse. Die abergläubischen Landleute um Bologna 
hängen die Nester an die 'Thüren ihrer Hütten und den Vogel 


selbst halten sie für heilig, 


La femelle ; quand elle est vieille, n’a ni la tache noire du 
front, ni la bande noire au dessous de Poeil aussi grandes, qu’on 
les voit chez le mâle; elle a aussi un peu moins de rouge dans 
le plumage. Les petits la première année n’ont point le front noir, 
la raie de l’oeil est noirätre, et en général ils ont toutes les cou 
leurs plus claires, 


PATRIE. 


La pairié de cette mésange est principalement la Pologne , 
la Lithuanie, la Russie, la Hongrie, et /’Italie. On la trouve aus- 
si en Sibérie quoique rarement. En Allemagne elle se trouve en 
Boheme, dans le Carinthie, l’Autriche et la Thuringe. Elle se 
tient de préférence dans les contrées où il ya beaucoup d’etangs et 


de marais abondans en roseaux et bordés d’arbres et de buissons, 


QUALITES. 


Ce petit oiseau est vif et hardi; son ton d’appel est une espèce 
de du. En au- 


tomne lorsque les roseaux commencent à s’éclaireir, on a quel- 


Quant à son chant, il n’a rien de remarquable. 


que fois occasion de la voir; mais pendant tout Pete il se tient 
caché dans le plus épais des roseaux. ‘Il est, dit-on, si circon- 
Mais 


c'est surtout dans la construction de son nid, dont nous donnons 


spect et si rusé quil ne se laisse jamais prendre au lacet, 


plus bas la description détaillée, qu’il déploie toute son intelligence. 
NOURRITURE, 


H vit principalément d’insecies qu'il va chercher soit au bord 
de Peau, soit sur les plantes aquatiques ; et les graines de ces mé- 
mes plantes lui fournissent aussi, à ce qu’ on prétend, sa FRS 
ture pendant Phiver. On peut élever les petits en leur donmant 
des ocufs de fourmis. 


PROPAGATION. 


= est avec la substance cotonneuse qui entoure les semences 
de saule, du peplier, du tremble, des chardons et dela massette, 
que cet oiseau construit si artistement son nid. Celui, ‘qui est 
déstiné à recevoir la premiere ponte est d’un tissu beaucoup plus 
lâche que le second pour le quel est emploie pour l'ordinaire la 
laine de la massette, qui ne pouvoit faire entrer dans la constru- 
ction du premier, puisqu'elle n’éxista pas encore. Ce nid a la for- 
me d’une bourse ronde et allongée, ou d'un sac à mettre les pieds, 
et il est fixé au moyen de filaments d'herbe très déliés, soit aux 
tigues des roseaux, soit aux éxtrêmités des branches des saules, qui 
se courbent sur les eaux. Il peut avoir de six à huit pouces de 
longueur, et de trois à quatre pouces de diamètre, Les parois du 
nid, qui est près de six lignes d'épaisseur sont formées d’une quan-: 
lité de petits faisceaux de laine, qui cet oiseau entrelace en for- 
me de faitre à l’aide de son bec et de ses ailes; et l’extérieur est un 
roseau épais qu'il forme de fils de chanvre et d’autres plantes tis- 
sues ensemble. L'ouverture se trouve en haut du côté où le nid 
est suspendu au branchage ; elle peut avoir un pouce ou deux en 
diamètre 'et est munie d’un col tres court. C’est là que la femelle 
pond deux fois par Pannée de einq à six oeufs par ponte, Le cou- 
vement ne dure que 12. jours. 
Avril, et la seconde en Août. 


La première ponte commence em 


UTILITÉ. 


Le seul avantage qüe cet oiseau nous procure, c’est que son 
nid est l’obiet de commerce. Les marchands russes en vendent 
beaucoup en Sibérie où l’on s’en sert, pour se tenir les pieds au 
chaud. Aux environs de. Bologne les paysans qui sont très super- 
stitieux suspendent les nids de ces oiseaux aux portes de leurs ca- 


banes et regardent Poiseau lui même comme un objet sacre: 


en 
a 


nn 10 "rn. 


SCHADEN 
stiftet diese Meise gar nicht. 
FEINDE 
hat sie an den Wasserschlangen und Raubyôgeln. 
IAGD: UND: FANG. 


Bei dem Untergang der: Sonne und bei stürmischen. Wetter 


„wird sie ôfters im Neste überrascht und gefangen. 


ANMERKUNGEN. 


Nach: Bechstein hat das Nest seinen Eingang unten, der sich: 
an der Seite indie Höhe zieht und zum eigentlichen Nest führt.. 
Wir haben zwei Nester vor uns, bei welchem diese Einrich— 
tung nicht statt findet, sondern so, wie wir sie oben angegeben: 
haben. 


\ 

Sollte das; von: Naumann im Herbstkleide abgebildete Weib— 
chem nicht ein iunger Vogel sein? Alle Weibchen, welche wir 
sahen, waren von dem Männchen nur sehr wenig, unterschie- 
den. = 


DOMMAGE ni 
Un’en cause aucun. 
ENNEMIS, x 


Il a pour ennemis les serpens d’eau et les oiseaux de proie. 


MANIÈRE DE LA TUER OU DE LA PRENDRE. . 


Au coucher du soleil, ou bien quand il fait de lors peut 
aisement le prendre dans son nid. Onen attrappe beaucoup de 
eeite manière. 


- REMARQUES. 


Suivant Bechstein l’ouverture du nid se trouve au bas, puis. 
remonte ex forme de canal le long des côtés et aboutit au nid pro- 
prement dit. Quant à nous „ nous avons sous les yeux deux de 
ces nids, qui n’en ont rien de semblable, mais dont la structure est 
telle que nous lavons décrite plus haut. 


La femelle que Naumann a répresenté dans sa livrée d’autom- 
ne ne scroit-elle point plutôt un jeune mâle? Toutes les femelles 
que nous avons eu occasion de voir ne difiéroient que très pen 
des mâles. 


DER KIEBIZ. 


Kievitz. Kybitz. Kuhbitz. Ziefitz, Gibitz. Zifitzem. Kicbith. Geis- 
" vogel. Rinäschnepfe.. : | 

Vanellus eristatus.. Nobis. 

Tringa Vanellus. Linn. syst. nat. T. I. pag: 248. n° 01. 

Tringa Vancllus. Gmel. Linn: syst, nat. T. II. P.-U. p. 670. n.. 2: 

Le vanneau. Bulfon. E Û 

The Lapwingor bastard Plorer: Penn. 

Der Kiewit. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Taf 213. 

Gemeiner Kiebiz.. Bechst. ornith. Taschenb. Th. I. Date 1 

Der Kibiz. Naumanns; Naturgeschichie der nördlichen: Vögel Deutsch}, B. 

Top 95. Balı Ta, 


KENNZEICHEN DER ART. 


M einem dunnfederigen wagrecht liegenden Federbusche am 
Hinterkopfe, dunkelgrünen, purpurschiminernden Rücken, schwar- 
zer Brust und dunkelrothen Füfsen. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel gerade, schwarzbraun, fast rund mit einer Haut bis 
an die Horuspitze überzogen; Oberschnabel in der Mitte etwas: 
eingedrükt, vor der Spitze ein wenig erhabem und abgerundet, 
Nasenlöcher ritzenlörmuig;, meiner Rinne hegend , durchbohrt „ 
Zunge an beiden Rändern erhöht; Augenstern nufsbraun; Kopf 
fast viereckig; Scheitel schwarz mit einem grünen: Schiller; am 
Tiinterkopfe ein wagrecht liegender, am Ende aufoebogener, dün— 
federiger Busch; üher den Augen weg eim weils und schwarzge— 
flekter und unter den Augem ein sehwarzer nach denr Halse sich 
ziehender, Streifen; unter demselben und an den Seiten des Hal- 
ses weifsy Kehle und Vorderbrust schwarz; der übrige Unterleib 
schön weils; die untern Schwanzdekfedern orangegelb; Nacken 
weiß N schwärzlich geflekt ; der Rücken und Schulterfedern dun- 
kelgrün mit purpurrothem Schiller ; diekurzen obern Dekfedern des 


Schwanzes orangegelb; die Flügeldekfcdern von schwarzgrunem 


LA VANNEAU. 


Kiebiz. Kievitz. Kybilz: Kuhbitz. Ziefitz, Gibitz. Zifitzen. Kichbith. 
Geisvogel. Rindschnepfe. 

Vanellus eristatus. Nobis. 

Trinza Vanellus. Linn. syst. nat. T. I. pag. 248, m. 2. 

Tringa Vanellus. Gmel, Linn. syst. nat» T.. IL. PAT pag.670. n° 2. 

Ye vanneau. Buffon. 

The Lapwingor bastard Plover, Penn. 

Der Kiewit. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. tab. 213. & 

Gemeiner Kiebitz. Bechst. ornith.. Taschenb. Th: I. pag. 312, n. 1. 

Der Kibiz. Naumanns Naturgeschichte der nördl. Vögel Deutschl. B, IL 

P: 99. tab. 14. 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


Ü n pannache peu touflu place horisontalement sur le derrière de 
la tête ; le manteau vert foncé avec un lustre pourpre; la poitrine 
noire, et les pieds rouge foncé. 


DESCRIPTION. 


“Le bec élroit, brun no, presque rond et recouvert d’une: 
membrane jusqu” à la pointe où reparoit la corne ; la mandibule 
supérieure um peu cemprimde vers le milieu, légèrement renflée 
et arrondie en deca de la pointe; les narires em: forme de sillon 
longitudinal, placées dans une gouttière et percées à jour; la lan= 
gue relevée sur les deux bords; l'iris couleur de noyer; la tete 
presque carrée ; le sommet noir avec un chatoyement vert; sur le 
derrière de la tête um panache peu tauflw placé horizontalement, 
rélevé en are vers la pointe; au dessus des yeux une raie tachetée 
de: noir et de blanc; au dessous des yeux une seconde raie noire, 
qui se prolonge vers le col; la partie, qui est au dessous de cette 
iaie et les eûtés du. col blancs; la gorge et le devant de la poitrine 
noirs; le reste du dessous du corps d’un beau blanc; les couver- 
tures inférieures de la queue jaune orangé; Ja nuque blanche avec 
des taches moirêtres; le manieau et les plumes des épaules vert 
foncé avecum chaloyement pourpre; les courtes couvertures su- 
périeuxes. de la queue jaune orangé; les couvertures des ailes Ié- 
gerement arquées, noires; les quatre premieres marquées-à la 
pointe d’une longue tache blanc - brunâtre et lisérées au bout en 


«} 


= TEE 


und! stahlblauern. Schiller; die Schwungfedern: etwas: gebogen ;, 
schyarz, die vier ersten: an der Spitze mit’einem: bräunlich weis- 
sen langen: Flecken: nnd einer dunkelbraunen: Endkante; die: 
der zweiten. Ordnung, an der Wurzel. schôn weifs, die vier oder‘ 
fünf lezten haben die Farbe des Rückens, der: Schwanz’ gerade ,. 
die äufsersten. Federn: weils. mit: einem schwarzbraunen: Flecken,. 
die Grundhälfte rein weifs,. die Endhälfte schwarz’ mit röthlich: 
weifsen: Spitzen;. die Füße dunkel-fleischroth, im: Herbste roth-- 
braun ,, bei den Tungen’ schmutzig. olivengrün;;: die Nägel‘ schwarz=-- 
braun: Die Flügelspitzen:reichen: 4.. Linien über die Schwanzspi-- 
ze hinaus.- 

Länge 15..Zoll; Breite 2:.Fufßs-5.. Zoll.. 

Das: Weibehen: weioht wenig. vom: Männchen‘ab;, doch un-- 


terscheidet es- sich: dadürch‘,. dafs: die Kehle, und. Vorderbrust; die: 


schöne schwarze: Farbe nieht: hat.. 
* AUFENTHALT.:. 


Man:trift den-Kiebiz in’ Persien’ und Egypten: an;.wo-er aber,, 
wenn.die: Hitze im: Sommer grofs wird’, nach den Ländern um: 
Woronesch und Astrakan: zieht.- In Europa-verbreiteter sich von: 
den Faroeinseln; bis Island: hinauf,, und. ist vorzüglich: in: Holland: 
und: Niedersachsen: in zahllofer Menge In: England und wahr-- 
scheinlich’auch in Frankreich, wo die Sümpfe nicht leicht zufrie-- 
ren, bleibt er das ganze Iahr, und‘ daselbst.ist. also sein eigentli-- 
ches: Vaterland: In. Deutschland’ ist er: eim' Zugyogel , der im: 
März ankömmt. und inr Oktober wieder wegzieht. Hier wohnt er 
auf grofsen:sumpfgen Weideplätzen, wasserreichen:Wiesen, inoo-- 


rigen. Rieden: und! am -Strande: der Landseen.. 
EIGENSCHAFTEN. 


Der Kiebiz lebt gern in kleinen 'Gesellschaften:. Ur ist, wenn: 
er sizt,. scheu,, und fliegt schon in einer ziemlichen Entfernung 


auf; im: Fluge aber nähert. er sich eher der Schulsweite ; hinge- 


gen:im: Holland’ nach unserer eigenen: Erfahrung: so dreist‘, dafs: 


man. überall’sehr. nahe an: ihn kommen’ kann. Sorglos und un- 
besonnen+ist:er,. wenn: ein Menseh- oder ein Hund seinem Neste 
sich: nähert:- Er fliegt dann: öfters nahe über" den: Kopf weg und: 
verfolgt: seinen: vermeintlichen: Feind oft eine halbe Stunde weit in: 
Kreisförmigen: Schwenkungen: Sein Gesehrei lautet wie sein: Na- 
me-anzeigt,. kiewiz, kiewiz.. Durch.dieses Geschrei, das faut'und' 
durchdringent: ist, werden die Tungen, die man- zähmen und in: 
Zimmern halten kann, auch-fast unausstehlich. Er: kann- äußerst‘ 
schnell: laufen,, wobei sein Kopf und. Hals immer in vorwärts rü-- 
ckender Bewegung ist ,. und. im- Nothfall auch. schwimmen. 


NAHRUNG. 


In seinem: Magen’findet man Theile von verschiedenen: Was-- 
serinsekten,, Larven-und.Mistkäfern; Regenwürmer, W asserschne-- 
cken,, Wasserbienen’( Notonecta-Lin.) auch kleine Fische: Quarz-- 
körner und andere Steinchen, die man gewöhnlich auch.in» seinem; 
Magen anirift,. dienen. ihm wahrscheinlich zur. Verdauung; 

FORTPFLANZUNG. 5 

Der Kiebiz macht. kein eigentliches Nest: Das W eibchen: 
legt‘ seine: drei bis: vier olivengrüne mit vielen’ kleinen: und gros- 
sen braunschwarzen-Flecken versehene Eier auf die blofse Erde: 
im einen Maulwurfshaufew, auf’einen Grashügel zwischen-Binsen,. 
auch in das Schilf an die 'Teichufer oder in: das Riedgras,. und'brü-- 


tet es in sechzehn Tagen aus, Während. das Weibchen brütet , 
Kkk 


brun: fonce; celles.du: second rang d’un beau: blanc-à Tx' base; 1es 
quatre on. cinq dernières, de la couleur du manteau; la queue 
droite; les plumes exterieures:blanches avec une tache brun-noi- 
re; depuis le bas jusqu” au milieu d’un blanc net, et depuis le mi- 
0 . 3 1: hei > , A 

lieu jusqu? au. bout noires avec la pointe d’un: blanc rougeätre ; les 
pieds couleur de chair foncé, brun rougeâtres noir , en automne, 
vert-olive sale chez les: petits ; les ongles brun noir. Les poin- 
tes des ailes dépassent: de quatre lignes: celle de la queue. 

Longueur 15. pouces; envergure 2: pieds 5. pouces. 

La femelle ne diflere' que fort. peu du mâle; cependant elle 
s’en: distingue en ceci, c’est que la gorge et le devant de la poitrine 
n’ont point: cette belle: couleur noire ,; que l’on remarque chez le: 

A 
mäle.. + 


PATRIE.- 


Onstrove: le-vanneau en:Perse et en Egypte; mais lorsque les. 
chaleurs: de l’été arrivent, il quitte’ ces: contrées pour se rendre 
dans celleside Woronesch et d’Astracan.. En: Europe il, s’étend 
vers-le-nord jusqu? aux îles. de Faroe et'en Islande; mais:c’est sur- 
tout en Hollande et dans la. Basse - Saxe ,, que lon en voit des 
quantités innon:brables.. En Angleterre et: probablement: aussi en 
France‘, où les-marais:ne gelent: pas facilement, il est oiseau-sé- 
dentaire; il y passe toute l’année et: l’oni-peut regarder. ces: pays 
comme sa veritable patrie. En Allemagne ilt est oiseau de passa- 
ge, il y arrive au-mois de-Mars»et en: repart en; Octobre, „Il s’y 
tient dans les grands paquis:marécageux,. les prairies abondantes: 
en eaux,- les joncheres: couyertes. des-mousses, et sur les bords: 
des:lacs: 


QUALITES:. 


Le: vanneau aime à vivre en’ petites societes:” À terre il et’ 
très-ombrageux-et s'envole dés: qu’il voit quelquun même &une di- 
slance assez.consideräble;: en‘HoHande cependant, comme nous. 
l'avons vu des:nos-propres yeux, il est beancotrp' plus Hardı et se: 
laisse approcher de tes près. Quand'il vole, il craint beaucoup 
meins ’hoinme, et-s’enapproche souvent jusqu? à la portée du fu-- 
sil Lorsqu un-homme ow un: chien: viennent vers-son: mid,. il 
met: de côté toute espèce. de crainte et de précaution... On le voit 
voler par dessus de la tête de son:prétendu: ennemi. d’aussi: près 
que possible, revenir sans cesse à la: charge et: le poursuiyre’ainsi- 
souvent. pendant toute une demie —heure en décrivant autour de 
lui, des cereles concentriques: Son'nom:en-allemand: Ki ewitz, 
Kiewitz, exprime parfaitement: son: cri, qui-est: fort.et, percant, 
et qui rend les-petits, que l'on éleve en: chambre, presque insup- 
portables. Lcvanneau peut courir éxtrêmenrent yite et alors: sa tête 
etson col, qu'il allonge et rétire alternativement sont dans un'mous- 
vement-continuel.. Ilnage aussi:au. besoin: 


NOURRITURE. 


On:trouve dans-son estomac des parcelles de diverses-espèces: 
d'insectes aquatiques, de larves et de bouziers, de‘vers:de terre, de 
limacons d’eau; de punaises‘ d’eau:( Notonecta Lin: ) quelque fois: 
même des pelits poisons. Les petits: grains de quarz et autres pe- 
tites pièrres,. que l’on trouve pour l’ordinaire dans: son’ estomac z 
lui. servent:probablement'à faire la digèstion: 


PROPAGATION. 


Le vanneau ne fait proprement point de nid. (C’est tout sim-- 
plement à-terre dans. les taupinieres,, sur les collines herbeuses au 
milieu des jones,. dans les roseaux aux bords d’étangs, ou dans l’her- 
be de marécages, que la femellepont de trois à quatre oeufs vert. 
olive et marqués d'une-quantité de taches tant petites que grandes 
d'un brun:tirant sur le noir. Le couyement dure 16. jours. Pen- 


ur 


— 112 ZZ 


hält das Männchen in der N'the des Nestes sorgfältig Wache, ver 
räth aber auch durch sein Geschrei dem sich nähernden Feinde die 
Eier, und Jungen. Es brütet zweimal im lahr, und wenn ihm die 
Eier genommen werden, auch öfter. Die lungen sind anfangs mit 
bräunlichen und schwarz vermengten Dunen bedekt, und bei ih- 


- rer Befiederung sind alle grünen und schwarzen Federn roströth- 


lich kantirt. Die Iungen laufen kaum dem Ei entsehlüpft davon, 
und werden von der Mutter angewiesen, ihre Speise selbst zu su- 
chen, die sie ihnen anfangs einige "Tage vorlegt. 


NAHRUNG. 


Sein Fleisch das im Herbste sehr*fett ist, wird als ein lecke- 
rer Bissen häufig gegessen, Noch besser aber sind die unbebrü- 
teten Eier, die man weich gesotten genieset, und in Holland zu 
feinem Bakwerk bemutzet ; zu welchem Eindzwek sie im Frühiahr 
von den Bauern in zahlloser Menge in grofsen Körben zu Markte 
gebracht werden und einen Erwerbszweig der ärmern Landleute 
ausmachen. Im Nürnbergischen kauft man das Stük um vier und 
fünf Kreuzer. Die alten lebendigen Kiebitze hält man auch mit 
beschnittenen Flügeln in den Gärten, die sie von Würmern und 
Insekten reinigen. Einen 

SCHADEN 
wissen wir von ihm nicht anzuführen. 
FEINDE. 

Katzen und Füchse, das grofse und kleine Wiesel, die Spiz- 
maus, [die Krähen und Dohlen gehen seinen Eiern nach. Auch 
wird er von Milben geplagt. In seinen: Gedärmen beherberget er 
auch Krazwürmer. 


| IAGD UND FANG. 

Er wird im Fluge geschossen, wobei man sich des Tagdhım- 
des bedient, den man in der Schufsweite vor sich herlaufen lifst 
und den der Kiebiz verfolgt. Man rechnet ihn zur niedern lagd. 
Gefangen wird er mit Schlingen von Pferdehaaren, die man in 
‘die Binsengänge, durch welche man ihn oft laufen sieht, oder'ne- 
ben sein Nest stell. Im Herbste, wenn er sich in Seharen sam- 
melt, errichtet man für ihn in der Nähe neu gepflügter Accker, 
die an Weideplätze stofsen, eigene Herde. Man macht die Garn- 
‘wände von groben Zwirn und bedekt sie mit Gras, troknem Pfer- 
demist'oder Dünger , auch färbt man die Leine griin und entfernt 
die Hütte so weit als möglich. Auf den Herd hält man einen le- 
bendigen Kiebiz, den man an einer Schnur bewegen kann, und 
einige ausgestopfte, auch bestreut man den Boden: mit Regenwür- 
mern. Ist num die ganze Vorrichtung geschehen, so bleibt ein 
Mann in der Hütte und Zwer andere treiber behutsam und stille die 
in der Nähe sich befirdenden Kiebitze auf dem Herd zu. lIezt erst, 
wenn eine hinlängliche Anzahl beisammen auf dem Herde ist, ge- 
schiehet der erste Ruck. Geschieht er eher, iso fiiegem die übrigen die 


3n der Nähe sind davon, und lassen‘sich nicht wieder herbeïtreiben. 
VERSCHIEDENHEIT. 
ı) Vanellus cristatus candidus. Weifs, mit graugelbem Schnabel 
und gelbgrünen Füfsen, Bechstein. 
ANMERKUNG. 
Bei den Iungen so wohl als bei den Alten ist die Kehle weifs- 


geflekt; bei ersteren im Herbste, und bei lezteren in der Mauser 
im Frühiahr, 


dant que la famelle couve, le mâle se tient en sentinelle dans le 
voisinage du nid; mais souvent il se trahit par sa vigilance inquiéte 
et il indique par ses cris à l'ennemi qui s’approche la place où se 
trouvent ses oeufs ou ses petits. Il pond deux fois par an etmême 
plus souvent encore, si on lui prend ses oeufs. Les petils au sortir 
de l’oeuf sont couverts d’un duvet brunâtre et mêlé de noir, et lors- 
que les plumes leur viennent, toutes celles qui sont vertes et noi- 
res ont une bordure en rouille. Les petits sont à peine éclos, qu'ils 
se mettent à courir, et ils apprennent bientôt de leur mère, qui 
les nourrit les premiers jours à la bequée, à pourvoir eux mêmes 
à leur subsistance, 


UTILITÉ. 


Leur chair qui est grasse en automne est récherchéé comme 
üne friandise; mais ce sont surtout leurs oeufs lorsqu'ils sont tout 
frais, que Pon éstime infiniment ; on les mange à la coque, et en 
Hollande on s’en sert pour patisseries fines. Aussi les paysans les 
portent-ils au printems au marché dans des grandes corbeilles, et 
la vente de ces oeufs dont il se fait un debit immense est d’une gran- 
de réssource pour les pauvres habitans des campagnes. Après 
avoir coupé aux vieux vanneaux les pointes des ailes, ils y sont tout 
à fait qualifiés pour monder les jardins de vers et d’autres insectes. 


DOMMAGE 


Nous ne saurions en alleguer aucun, 
ENNEMIS. 


Les chats et les rénards, la grande belette et la petite, la mus- 
araigtie, les corneilles et les choncas vont à la découverte de ses 
oeufs dont ils sont très friands. Il est aussi tourmenté par les ci- 
rons, et il loge dans ses intestins Pespeee de vers, que les allemands 
appellent Kratzwürmer. 


MANIÈRE DE LE 'FUER OU DE LE PRENDRE. 


On le tire au vol et pour cela on se sert d’un chien de chasse 
que lon fait courir devant soi à la distance d’un coup de fusil et que 
le vanneau poursuit. On le met parmi le gibier de basse chasse. 
Où le prend avec des lacets de crins que l’on place dans les pas- 
sages, qu'il s’est formé aux travers des joncs ou bien à côté de son 
nid. En automne lorsqu’il se rassemble par troupes on construit 
exprès pour lui des aires d’une espèce particulière dans le voisinage 
de champs fraichement labourés et qui touchent à des paquis. On 
fait les pans des filets de fils grossiers et on les recouvre d’herbes, 
de crottin de cheval sec, ou de fumier; quelque fois aussi on feint 
les filets en vert et on en éloigne la cabane autant que possible, 
On a soin d’aveir dans l'aire un vanneau vivant que l’on peut met- 
tre en mouvement au moyen d’un cordon et quelques autres van- 
neaux empailles; om see aussi le terrain de vers de terre. Quand . 
tous ces préparatifs sont faits, il reste un homme dans la cabane, 
et deux autres en marchant à pas comptés et sans bruit chassent 
les vanneaux, qui se trouvent dans le voisinage du côté de laire; 
et ce n’est que lorsqu'il s’en est rassemblé un assez grand nombre 
sur l'aire même que l’on donne le premier coup de filet. Si Fon le 
fait plutôt, tous les autres vanneaux, qui étoient dans le voisinage 
s’envolent et il n’y a plus moyen de les faire revenir. 


VARIÉTÉ. 


3) Vanellus eristatus candidus. Blanc avec le bec orange et les 
pieds vert-jaune. Bechstein. 


REMARQUE. 
Les petits tout comme les vieux ont la gôrge tachetée de blanc, 
avec cette différence, que chez les premiers c’esten automne, qu’ils 
ont cette livrée, landisque chez les autres c’est au A PÉEEE à l’epo- 


- que de la mue. 


N 


DER WACHTELKONIG. 


Wiesenschnarrer. Schnarrwachtel. Schnarker. Schnerker. Wiesenschnar- 
cher. Arpscharp. Schrecke. Schnarf. Schnärz. Schnärper. Gras- 
rätscher. Graslaufer. Wiesenlaufer. Feldwächter. Schnarrer. 

Crex pratenfis. Bechst. 

Rallus Crex. Linn, fyst. nat. pag. 261. n. 1. 

Rallus Crex. Gmel. Linn, syst. nat. D. I. P. I. pag. 71e M le 

Le ralle de terre de Genet, ou roi de cailles. Buffon, 

The Crake Gallinule. Penn, 

Gallinula Crex. Latham ind. orn. II. p. 766. n. 154. 

Der Wachtelkönig. FrischWV, orstellung der Vögel Deutschl. Taf. 212. 

Der Wiesenknarrer, Crex pratensis. Bechst, ornithol. Tascheubuch. T, II. 
pag. 537.4 1, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Oberhals und der ganze Rücken schwarzbraun, mit breiter, an 


den Seiten der Federn grauer, an den Spitzen olivenbrauner Ein- 
fassung, und rosirothen Flügeldekfedern. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel an den Seitenzusammen gedräkt ; Oberschnabel röth- 
Echbraun > vorn weilslick und etwas gekrümmt ; Unterschnabeï 
weilslich, vor der Spitze etwas erhöht; Schnabelwinket rölhlieh; 
Nasenlöcher lanzettförmig, und liegen in einer vertieften Haut. 
Augenstern hell nufsbratin; Kinn und der Vordertheil der Kchie 
weifs, dann ins Graue übergehend; der übrige Theil des Unter- 


halses und die Vorderbrust grau olivenbraun gewässert; die Seilen 


“ der Brust olivenbraun mit dunkelbraunen und weißer Quersivei- 


fen ; die Mitte der Brust und des Bauches roströthlichweifs; die 
Seiten des Banches und die untern Dekfedern des Schwanzes mit 
weilsen, dunkelbraunen und rostbraunen Querstreifen ; vom Grun- 
de des Oberschnabels bis an die Augen roströthlich; an den Seiten 
des Hinterkopfes herab, und vom Schnabelwinkel unter den Au- 
gen und Ohren weg-ein breiter grauer Streifen;, Scheitel ; Ober- 
hals, der ganze Rücken, Schwanz und die Schulterfedern schwarz- 
braun mit breiten Federrändern, die an den beiden Fahnen grau, 
an der Spitze olivenbraun sind, die obern Flügeldekfedern rost- 
roth, die langen mit einigen verloschenen weißlichen Flecken. 
Schwungfedern auf der schmalen Fahne braunroih, auf der breiten 
Fahne graulich rothbraun ; der kurze Schwanz besteht aus vier- 
zehn Federn und läuft spilzig zu; die sogenannten Schenkel sind 
innen roströtklichweils; aufsen hellröthlich braun mit einigen röth- 
lichbraunen Flecken. Füßse und Nägel grau ins Röthliche spielend, 

Die Flügelspitzen endigen sich # Zoll vor der Schwanzspitze. 

Länge-ıo Zoll; Breite 1. Fufs 5. Zoll. 

Das Weibchen unterscheidet sich wenig von dem Männchen; 
doch ist esin der Farbe blasser und die aschgrauen Streifen über 
und unter den Augen gra wlichweifs, 

AUFENTHALT. 

. Der Wachtelkônig lebt, in Iamaika, Sina und Syrien, in Eu- 
zopa von Schweden bis Drontheim und in dem gemäfsigten 'Theil 
von Rufsland und Sibirien. In Deutschland ist er ein Zugvogek, 
der sehr spät bei uns anzukommen: scheint, weil man ihm erst zu 
Ende des Mai und Anfang des Iunius schreien hört. In der Aernte 
trift man ihn, wiewohl selten, im Gesellschaft der Wachteln in Ge- 

EI] 


LA ROI DES CAILLES 


Wachtel‘ önig. eaelensehnätrer; Schnarrwachtel. Schnarker. Schnerker, 
Wiesenschnarcher. Arpscharp. Schrecke. Schnarf. Schnärz. Schnärper. 
Grasrihscher. Graslaufer. Wiesenlaufer. Feldwächter. Schnarrer. 

Crex pratensis. Bechstein. 

Rallus Crex, Linn. syst. nat. pag. 261.n. 1. 

Rallus Crex. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. II. p. 711. n. 1. 

Le ralle de terre de Genet, eu roi des cailles. Buflon, 

The Crake Gallinule. Penn. 

Gallinula Crex. Latham. ind. orn. II. p. 766. n. 154. 

Der Wachtelkönig. Frisch Vorst. der Vögel Deutschl. tab. 212. _ 

Der Wicsenknarrer. Crex pratensis. Bechst, ornithol, Taschenbuch. T. II. 
pag. 357. n. 1. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Le haut du col et tout le manteau brun noir avec une large bor- 
dure grise des deux côtés de_chaque plume et brun olivâtre 4 la 
pointe ; les couvertures des ailes rouge rouille, 


DESCRIPTION. 


Le bec comprimé sur les côtés; la mandibule supérieure brun 
rougeâtre, blanchätre et un peu récourbée sur le devants l'infé- 
rieure blanchâtre un peu renflée en deca de Ta pointe; les angles 
du bec rougeälres; les narines lanceolees etplanées dans une meiu— 
brane enfoncée; Piris de l’oeil noyer claïre: le menton et le devant 
de la gorge blancs passant au gris ; le reste du bas du col et le de- 
vant de la poitrine et du ventre blanc rougeätre rotulle; les côtés 
du ventre et des plumes intérieures de Ja queue ornées de raies 
transversales blanches, brun foncé et brun rouille, la région entre 
la base de la mandibule supérieure et les yeux rouille rougeätre, 
une large raie grise descendant des deux côtés du sommet et du 
derrière de la Löte par dessus les oreilles et une pareille partant de 
l'angle du bec et passant au dessous des yeux et des oreilles; le 
sommet de la tête, le haut du col, tout le manteau, la queue et 
les plumes des épaules brun-noir avec de larges lisérés aux plu- 
mes,- qui sont grises aux deux côtés de la barbe et brun olive à la 
pointe; les couvertures supérieures des ailes rouge rouille, Ies plus 
longues parsemées de taches blanchâtres foiblement desinees; les 
pennes des ailes rouge-brum au cêté étroit de la barbe, et brun 
rouge tivant sur le gris au côté large; la queue courte, formée de 
quaiorze piumes et se te \yminant cn pointe ; les cuisses blanc rou- 
geätre de rouge en dedans, et brun rougeâtre clair en dehors avce 
quelques taches brun-rougeätre ; les pieds et les ongles ; gris avec 
une teinte rou geätre. 


La pointe des ailes aboutit environ 4. lignes en deca de cclle 
de Ja queue. 

Longeur 10. pouces; envergure I.pied, 5. pouces. 

La femelle ne diflére que très peu du mâle, on remarque seu. 
Jement, qu’elle a les couleur moins vives et que la raie gris cendre 
au dessus et au dessous des yeux est d’un blanc grisâtre, 


PATRIE. 


He roi de cailles vit Alla Jamaique, en Chine, en Syrie, et 
en Europe depuis la Suede jusqu’ à. Drontheim et dans la partie 
tempérée de la Russie et de la Sibérie. En Aliemagne il est oiseau 
de passage, et lon s’imagine , qu'il y vient très tard parceque ce 
n'est qu’ à la fin ou au commencement de Juin, qu on l’entend 
crier. Dans le tems de la moisson on le trouve quoiqu’ assez ra- 
rement en société ayec les cailles dans les champs de froment, et 


— 
— 


traidefeldern an, und zieht mit ihnen auch weg. In manchen Iah- 
ren soll er nach der Beobachtung Bechsteins in Thüringen: aufser-i 
ordentlich häufig sein, was wir auch um Nürnbergund. den Main- 
gegenden eben so gefunden haben: Dies war im’vorigen-Iahr 1804. 
um Nürnberg. auch der Fall. Dieses Iahr hat mar in den Gegenden,, 
wo er sich sonst gewöhnlich aufhielt, noch keinen schreien hören. 

Seine Wohnplätze sind feuchte, in: Gründen liegende, Wie- 
sen und Sommer - Getreideäcker. 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein furchtsamer Vogel, der sich beständig umsieht, und 
wenmer etwas ihm Gefährliches zu bemerken glaubt, mit Pfeil- 
schnelle davon läuft: Tin Gehen bewegt er'seinen schlanken Kopf 
und Hals beständig vor- und rükwärts, und hält beide niedrig ge- 
strekt. Er fliegt wegen seiner kurzen Flügel: schlecht und ungern, 
und fällt in einer kurzen Entfernung wieder in das Gras herab, 
wenn man ihn aufgeiagt hat. Seine Stimme , die er gewöhnlich 
morgens und abends hören läfst, lautet wiekrek, krek, oder arp, 
scharp. Werin man ihn im Käfig fangen will, so gibt er auch noch 
einen andern dumpfen, wie kruuk lautenden, Ton von sich, der 
ein Zeichen des Zornszu sein scheint, Sein Angstgeschrei ist ein 
heiseres zieb. Erläfst sich im Zimmer leicht zähmen, und ge- 
wöhnt sich bald an geriebenes , mit Milch begossenes, oder mit 
gerieberen gelben Rüben vermischties, Semmelbrod. Auch nimmt 
er mit Gerstenschrot in Milch eingeweicht, verlieb. Man muls 
ihm Wasser zum Baden vorsetzen. Den Boden des Käfigs bestreut 
man mit geschlemmten Sande. Thut man dies nicht, so bekommt 
er bald kranke Füfse und stirbt. 


überhaupt bei Sumpf-"und Wasservôgeln für gut gefunden. 


Diese Verpflegungsart haben wir 


NAHRUNG. 


Er nährt sich vom Heüschrecken, Räfern, Regenwürmern, 
Sämereien und Kräutern. In seinem Magen trift man auch immer 
Quarzkörner an, die ihm zur Verdauung dienen. Nach Naumann 
pakt er in der Gefangenschaft die kleinen, kranken, oder auf ir- 
gend eine Art ermatteten Vögel an, beïfst sie tod und hakt ihnen 
das Gehirn aus dem Kopfe. la sogar einige Mäuse, die er bei 
seinem Futter ertappte , sckund ihnen die Haut von dem Kopfe 


und: frafs das Gehirn heraus. 


FORTPFLANZUNG. 


Das Nest, welches aus Moos oder dürrem Grase besteht, baut 
‚er ohne sonderliche Kunst entweder auf die flache Erde, oder in 
ein aufgescharrtes Loch in das Gras; worein das Weibchen sie- 
ben bis neun, auch zwölf bräunlichgelbe, mit Zimmtbraun ge- 
fiekte und besprengte Eier legt, und in drei Wochen allein aus- 
brütet. Die Iungen sind anfangs ganz mit schwarzen Dunen be- 
kleidet. Die Mutter brütet mit solchem Eifer , dafs sie von den 


Grasmähern öfters geköpft wird. 


NUTZEN. 


Sein Fleisch, das im Herbst vor dem Wegzuge sehr fett 
und schmakhaft'ist, wird als ein Leckerbissen gegessen. Einen 


SCHADEN 


wissen wir von ihm. nicht anzuführen. 


114 == 


il part aussi avec elles. Il y a certaines années, où il estextremement 
commun.cn.Thuringe,. comme. l’a. observé Bechstein; et nous. en 
pouvons dire autant des environs de Nuremberg et des contrées du 
7_*® » ER dar, : vu == 
Main. L année passée 1804. p. ex. on Pa vu en grande quantité aux 
environs de Nuremberg; cette année'au contraire Om.n’en a encore 
entendu: aucun dans les contrées „ où il a coutume de se tenir. 


Les lieux, qu'il habite: de préférence sont les prairies et les 
champs de froment d'été, qui sont humides ét situés dans des fonds. 


QUALITES. 


C’est un. oiseau peureux,; qui regarde continuellement autour 
de lui, et qui part ayec la vitesse d’un trait du moment, qu'il croit 
appergevoir le moindre: danger. : En maf#thant il avance et retire 
sans cessé par un mouvement alternatif sa tête ct son col, qui sont 
très déliés ef les tient aussi près de la terre, qu’il lui est possible. 
Comme il a les ailes très courtes il vole mal et n’aime point cette 
allure; aussi, quand on le force 4 se lever, retombe-t-il bien dans 
Pherbe à peu de distance de l'éndroit du départ. Son cri, qui fait 
entendre le matin et le soir peut se rendre par krek, krek, et 
quelque fois aussi par arp, charp. Veut on le mettre en cage, il 
fait entendre un'autre ton étouffé, que l’on peut rendre par krououk 
et qui paroit être un signe de colère. Son cri d’allarme est un cer- 
tain zreb, rauque. On lapprivoise aisement en chambre „et il 
s’accoutume bientôt au pain blanc mis en miette, que l’on arrose 
de lait, ou que l’où mêle avec des carottes menuisées. Il s’accom - 
mode aussi fort bien de gruau d’orge trempé dans du lait: I faut. 
avoir soin, qu’il ait de Peau pour se baigner et que le fonds de sa 
cage soit recouyert de sable de dépôt, sans cela ses pieds sont bien 
151 atiiqué dur nal, qni me tarde pas à Iyi couter la vie. En ge= 
néral c’est le regime, qu'il faui suivre pour tous les oiseaux aqua- 
tiques et de marais. : 


NOURRITURE. 


Il se nourrit de sauterelles, de scarabées, de vers de terre, de 
graines et d’herbes. On lui trouve aussi toujours dans l'estomac, 
des grains de quarz, qui lui servent à faire la digéstion. Suivant 
Naumann_ dans l'état de captivité il se jette sur les petits oiseaux 
malades ou fatigues, qu’il rencontre, les tue à coups de bec et leur 
mange la cervelle. 11 y a plus; un de ces oiseaux ayant attrapé 
des souris qui en vouloient à sa nourriture, leur arracha la tête’et 
ayant ainsi mis le crane à decouvert il le leur brisa à coups de bec 
et leur manga la cervelle. 


PROPAGATION, 


Il construit sans beaucoup d’art son nid, pour le quel il n’em- 
ploie que de la mousse ou de l'herbe sèche, sur la terre toute nue 
dans des trous, qu’il fait dans l’herbe. C’est là que la femellepond 
de sept à neuf ou même douze oeufs, qui sont d’un jaune brunâtre 
avec une quantité de taches, et de picots canelle. Le couvefñnent 
dure trois semaines ; et le mäle'n’y prend aucune part. Les petits 
au sortir de l’oeuf sont tout couverts d’un duvet noir. La femelle 
couve avec tant d’ardeur et d’assiduité, que très souvent les fau- 


cheurs lui abattent la tête en coupant l’herbe. 


UTILITÉ. 


La chair est regardée comme un mets friand, surtout en au- 
tomne avant le départ, époque ‘où il est très gras et d’un très bon 
goût. | 


DOMMAGE. : 


On ne peut pas dire, qu’il en cause aucun, 


FEINDE'’ 


hat er an verschiedenen Falkenarten Die Raben, Marder, 
Wiesel und Iltisse gehen seiner Brut nach. - 


IAGD UND FANG. 


Er ist mit dem Vorstehhunde leicht zu schiefsen, ‚obgleich er 
sich beständig. in dem hohen. Grase und Getreide aufhält, da sein 
Geschrei ihn iedesmal verräth. Am besten: fängt man: ihn. mit dem 
Er läfst sich 


dann leicht in dasselbe iagen: Mit dem Tyras kann mar ihn auch 


Wachtelgarn , das man vor die Getreideäcker stekt. 
sehr leicht überziehen. Mit einem hölzernen oder hörnernem 
'Kamme, durch dessen Zähne man schlangenförmig einen Strei- 
fen Papier stekt, kann man sie, wenn man mit einem Finger über 
Die 


Jungen kann man, wenn sie im August sich unter dem geschnitte- 


die Spitzen der Zähne streicht, sehr leicht an sich lecken. 


‚nen Getreide (Schwaden) verbergen, mit den Händen fangen. 
| ANMERKUNG. 


Der graue Sireifen über und unter dem Auge wird wahr- 
scheinlich erst im zweiten Iahre sichtbar. Wenigstens haben wir 
‘einen im Käfig, dem diese Streifen anfangs fehlten, und die er erst 


‘im folgenden Tahre erhielt, 


li 


CUS 
| 


ENNEMIS | le ; 


Il a pour ennemis diverses espèces de faucons. Les corbeaux; 
les martres, les belettes et les putois font aussi la guerre à ses pe- 
tits ou à ses ocufs. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Quoiqu'il se tienne toujours caché dans P’epaisseur de l’herbe 
où du blèd, cependant comme il se trahit par son cri, on le tire 
aisement au moyen d’un chien d'arrêt. On le prend aussi très 
eommodement avec le filet pour les cailles, que l’on place sur le 
devant d’un champ de blèd. On emploie aussi pour cela la traine” 
avec succès. . Un singulier appeau c’est celui, que l’on fait avec 
un peigne de bois ou de corne, entre les. dents du quel on fait ser- 
penter une bande de papier, si l’on passe le doigt sur l’éxtrêmité 
des dents, on produit un son, qui attire le roi de caïlles. On peut 
aussi prendre les petits avec les mains au mois d’Aoùt ; lorsqu'ils 
se tiennent cachés sous les: javelles. 


REMARQUE. 


Ce n’est probablement, que lorsque ces oiseaux ont atteint la 
seconde année de leur vie, la raie grise, qu'ils ont au dessus et au 
dessous des yeux, commence à se montrer. Du moins ayons nous 
eu. en cage un jaune roi de cailles, chez qui cette raie manquoit 
tout à fait dans les commencements, et qui ne l’a prit, que année 
qui suivit celle de sa naissance. 


DER SPERBER. 


Finkenhabicht. Finkensperber. Tauben- Lerchen - Finken - Schwalben = 


Bergfalke. Lerchenstöfser: w achtelhabicht. Schwalbeugeier. Das 
Männchen: besonders); Sprinz. Sprinzel. Sprenzchen. Blauhäkchen. 
Schmierl. 


Falco Nisus. Linn. syst. nat. T. I. p. 130. 

Falco Nisus. Gmel. Linn. syst. nat. TI. p: 280. m 31 

Falco minutus. Gmel: Linn. syst. nat. T. I. ce. pag. 289. 

Wepervier. “Buflon. 

The Sparrow-hawk. Penn. 

Der Sperber mit gestreifter Brust. Friseh Vorstellung der ‚Vögel Deuischl; 
tab. 90. (Ein altes Männchen. ) 

Der Sperber mit braun gepfeilter Brust. tab, 91. (Ein altes Weïbolien, )' 

‚Der Sperber mit gesänmten Pfeilllecken. tab. 92. (Ein iunges Männchen.) 

Finkenhabicht oder Sperber, Bechst. onith. Taschenb. ’Uh, I.p. 29. n. 23. 
und Bechst. gemeinnützige Naturg. Deutschl. 2te Aufl. B. 2. 5. 726. 

Nanmanns Natusgeschichte der Land- und \Vasservôgel._1V. 3. Taf. 18. fig. 
27. ein iunges, fig. 28. ein alles Männchen. Wal. 19. fig. 29» einiunges, 
fig. 30. ein altes Weibchen. - 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mi grüngelber Wachshaut; aschblauem Oberleibe; länglieh ge- 
flekter Kehle; quer geflektemUnterleibe; und fünf breiten schwärz- 
lichen. Schwanzbinden. 


BESCHREIBUNG, 


Männchen. Der Schnabel ist kurz, von der’ Stirn bis an 
die Spitze 6. Linien lang, am Grunde bläulich, gegen die Spitze 
schwarz, der Zahn stumpf, die Wachshaut grüngelb; Oberschna- 
bel über den untern sehr herab gekrümmt und spitzig; Nasenlö- 
cher länglichtrund; Rachen blau; Zunge dik, vertieft; Augenstern 
hochgelb, oder safrangelb; Augenliederrand gelb; über den Au- 

} M m m 


:LEPERVIER. 


Sperber. Finkenhabicht. Finkensperber.. Tanben-Lérchen-T'inken-Schwal- 
ben-Bergfalke. Lerchenstôsser. Wachtelhabicht. Schwalbengeier. Le 
mäle plus particulièrement. Sprinz. Sprinzel. Sprenzchen. Blaubäk- 
chen. Schmierl. ÿ 


Falco Nisus: Linn. syst. nat. T. I. pag. 230. 


Falco Nisus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. p. 280. n. 31. 

Falco minulus. Gmel. Linn. syst nat: T. I. c. pag. 289. 

Bufon, à 

The Sparrow-Ilawk.- Penn. 

Der Sperber mit sestreifter Brust. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. 
tab. go. (Vicux male.) 

Der Sperber mit braungepfeilter Brust. Tab: gr. (Vicille femelle.) 

Der Sperber mit gesäumten Pfeilllecken. Tab..g2. (Jeune mâle.) 

Finıkenhabicht oder Sperber. Eechst. ornilh. Tascheub. Th. I. p. 29. ur..23, 
et Bechst. gemeinnüzige Naturgeschichte Deutschl. 2. Aufl. B. 2, p- 726. 


E’epervier. 


Naumanns Naturgesch. der Land - und \Vasservögel IV. 3. Taf. 18. fig: 27. 
jeune male. fig. 28, vieux mâle. Tab. 19. fig..2g. jeune femelle. fig. 30. 
vieille femelle. 


EARACTERES SPÉCIFIQUES. 


La membrane de la base du bec jaune verdätre; le dessus du corps 
bleu cendré; la gorge marquée de taches longitudinales ; le des- 
sous du corps tacheté de vert ; cinq larges bandes noirätres à la 
queue, 


DESCRIPTION. 


Mâle. Le bec court, ayant environ six lignes de longueur 
depuis le front jusqu’ à la pointe, bleuâtre à sa base, noir vers le 
bout; la dent amoussée; la cera ou membrane de la base jaune 
verdätre; la mandibule supérieure pointue et très recourbée par 
déssus l’inférieure; les naries de forme elliptique; le gozier bleu; 
la langue épaisse et enfoncée; l'iris de l’oeil orange vif ou jaune de 


—* 146 eh 


gen ein hervorragender Knochen; die Gegend. zwischen den Na- 
senlöchern und Augen mit weifsen, an der Spitze’ schwarzen Bor— 
sten besezt; oben hinter dem Auge weg mit einen? kleinen: weilsen 
Streifen; Hinterkopf weifs, mit schwarzgrauetFederspitzen; Schei- 
tel ; Oberhals, Rücken und obere Flügeldekfederr dunkelbleifar- 
ben oder hell aschblau, mit braunen: Schäften'; die vordern lan- 
gen obern Flügeldekfedern dunkelbraun‘, mit graulichen Spitzen; 
Schwungfedern dunkelbraun‘, auf der breiten Fahne vom Grunde 
an gegen die Mitte hin weils „ mit schwarzbraunen Binden; die 
dritte bis sechste an der schmaler Fahne’ ausgeschweift; die hin- 
tern auf der schmalen Fahne bläulichgrau bestäubt, mit fein weifs— 


lich gerandeten Spitzen; der Flügelsaum roströthlich ; die unterm 


Dekfedern der Flügel weifs ; mit vielen’ dunkelbraunen, fast pfeil-- 


förmigen, braurien Wellen; Schwanzfedern aschgrau, an der Spi- 
ize weils, mit bläulichgrauem Staube und fünf, an den äulsersten: 
Federn mit sechs, schwarzbraunen Binden, von welchen die un- 
terste die breiteste ist; der ganze Unterleib weifs, von der Kehle 
bis zum After mit vielen dunkelbraunen und roöstrothen, an der 
Kehle und Brust breitern, am After schmälern und wenigern Wel- 
linien; Kinn roströthlich, mit schwarzbraunen Schäften; an den 
Seiten der Unterkinnlade gegen das Ohr hin und an den Seiten des 
Halses, der Brust und des Baüches rostroth ; die untern Dekfe- 
dern des Schwanzes weils ; die kurzen desselben mit einigem brau- 
nen Wellen; die Hoseri weils, inwendig zum Theil rostroth , mit 
vielen dunkelbraunen Wellenlinien; Füfse gelb; Nägel schwarz- 
braun, stark gekrümmt und sehr spitzig. 

Die Flügelspitzen endigen sich 23. Zoll vor der Schwanz 
spitze. j 

Länge 1. Fufs 6. Linien; Breite 2. Fufs Pariser Mafs. 

Ehe im zweiten Frühiahr die Mauser vorgeht; sieht das 
Männchen am Oberleibe gräubraun oder dunkelbraun aus, alle 
Federn sind rostfarbig eingefafst; Unterleib weils; mit vielen aus 
Rostfarbe und Braun gemischten Wellenlinien, auf der Brust mit 
rostfarbigen , herzförmigen Flecken ; an der Kehle dunkelbraun 
gestrichelt; die Seiten rostfarbig angellogen; die Schwungfedern 
mit schwärzlichen Bändern auf der breiten Fahne der ersten Ord- 
nung mit hell rostfarbenen, auf der zweiten Ordnung. mit weils- 
lichen Flecken; die oberu Flügeldekfedern rostfarbig eingefafst, 
die untern rostgelblichweifs, mit dunkelbraunen Querbändern; 
der Schwanz röthlich aschgrati, mit fünf breiten, sehwärzlichen 


Bändern und weißlichen Spitzen. 


Weibchen. 


nicht nur in der Grôfse, sondern auch in der Farbe verschieden. 


Dieses ist von dem erwachsenen Männchen 


Es mifst in die Länge 1. Fufs 22. Zoil; in die Breite 2, Fufs 4%, 


Zoll. Schnabel-7. Linien lang, Pariser Mafßs, 


Bei dem ganz alten ist der Oberleib aschblau oder bläulich- 
braun, der weilse Streifen über und hinter den Angen weg breit, 
mit Dunkelbraun gemischt; Wangen und Schläfe dunkelbraun, 
etwas rostfarbig überlaufen; Schwungfedern auf der breiten Fahne 
und an der Wurzel weiß; die hintern mit einierlei deutlichen, 
dunkeln Querflecken , die zuweilen rostgelb angelaufen sind, und 
weifsen Spitzenrändern; Dekfedern der Unterflügel weils, mit 
sehwärzlichen feinen Querstrichen; Schwanz graublau, mit fünf 
-dunkelbraunen Querbinden und einer weifslichen Spitze. Unter- 
leib weifs, Kehle schwärzlich gestrichelt, mit vielen dunkelbraun 
und rostfarbig gemischten Wellenlinien, die in der Mitte eine ecki- 
ge Zacke haben. 


safran; le bord .des paupières jaune; um os saillant au dessus des 
yeux ; la région entre les narines et les yeux couvertes de soies 
blanches à pointe noire; une petite raie blanche passant en haut 
derriére loeil; le derrière de la tete blanc avéc la pointe des plu- 
mes gris noirätre ; le sommet de la tete, le haut dw col, le dos et 
les couvertures supérieures des ailes couleur de plomb foncé ou 
gris cendré clair, avec les hampes des plumes brunes ; les plumes 
antérieures des longues couvertures supérieures des ailes brun foncé 
avec la pointe grisätre; les pennes des ailes brun foncé, blanchâtres 
au large côté de la barbe depuis la base jusques vers la moitié de 
leur longueur, avec des bandes brun noirätre; la troisième et les 
süivantés jusqu’ à la sixième ornées au côté étroit de la barbe; les 
postérieures poudrees en gris bleuâtre au côté étroit de la barbe, 
avec la pointe garnie d’un liséré blanchätre très délié ; le bord des 
ailes rouille rougeälre; les couvertures inférieures des ailes blan- 
ches, ondées d’une quantité de taches brun foncé ayant assez la 
forme de fleches; les plumes de la queue gris cendré, blanches à 
la pointe; poudrées de gris bleuätre, et cinq bandes brun noir à 
chaque plumé excepté les extérieures qui em ont six; la plus large 
de ces bandes est celle du bas, tout le dessous du corps blanc, orné 
depuis la gorge jusqu’ à Panus d'un grand nombre de lignes on- 
düleuses brün foncé et roûge de rouille ; celles de la gorge et de 
la poitrine plus larges, celles de l’anus plus étroites et plus clair 
semées; le menton rougeälre rouille avec les hampes de plumes 
brun noir, les côtés dela mandibule inférieure en allant vers l'oreille, 
ainsi que ceux du col, de la poitrine et du ventre rouge de rouille; 
les couvertures inférieures de la queue blanches, les plus courtes 
oridees par ci par là de brun; les garnitures de cuisses blanches en 
dehors; rouges de rouille en dedans au moins en partie, avec plu- 
sieurs lignes onduleuses brun foncé; les pieds jaunes; les ongles 
brun noir très crochus et très acérés. 

La pointe de la queue dépasse de 2, pouces et 8. lignes celle 
des ailes. 

Longueur 1, pied, 6. lignes, envergure 2. pieds mesure de 
Paris. 


Avant {a mue du printems de la seconde année le mâle a 
tout le dessus du corps brun gris ou brun foncé; toutes les plumes 
ont un liséré en rouille; le dessous du corps est blanc avec une 
quantité de lignes onduleuses mêlées de rouille et de brun; et sur 
la poitrine des taches couleur de rouille et en forme de coeur, à 
la gorge de petits traits brun foncé ; les flancs légèrement teints de 
rouille; les pennes des ailes ornées de bandes noirâtres; celles du 
premier rang des taches rouille clair sur le côté large de la barbe, 
celles du second rang les ayant blanchätres; les couvertures su- 
périeures des ailes lisérées de rouille, les inférieures de blanc jau- 
nâtre rouille avec des bandes transversales brun foncé; la queue 
cendré rougeätre avec cinq larges bandes noirätres et la pointe de 
plumes blanchätre. 

Femelle Elle différe du mâle, qui a fait sa.crue non seu- 
lcment pour la grosseur, mais aussi pour la couleur. Elle a 1. 
pied, 2. pouces et g. lignes de longueur, et 2. pieds, 4. pouces, 1. 
ligne et 2. d'envergure. Le bec a 7. lignes de long, mesure de Paris. 

La femelle déja vieille ale dessus du corps bleu cendré 
ou brun bleuätre; la raie blanche dessus et derrière les oreilles 
large mélée de brun foncé, les joues et les temples brun foncé la- 
vées d’un peu de rouille; les pennes des ailes blanches à la base 
et au large côté de la barbe, les postérieures ornées de taches trans- 
versales de couleur foncée, égales et distinctes; les secondes lavées 
de jaune tirant sur le rouille; les couveriures inférieures des ailes 
blariches avec des traits noirätres irès fins disposés transversalement ; 
la queue bleu- gris, avec cinq bandes transversales brun fohce et la 
pointe blanchätre; le dessous du corps blanc; la gorge marquée de 
traits noirätres avec un grand nombre de lignes onduleuses brun 
foncé mêlé de rouille, ayant au milieu une saillie anguleuse. 


ni 


ES 117 —. 


Das weniger alte Weibchen ist von diesem wieder unter 
schieden und mehr dem Männchen von gleichem Alter Ähnlich. 
Scheitel schwarzbraun , mit rostrothen Federrändern; über den 
Augen ein roströthlich weifser Streifen, der sich nach dem Hinter- 
kopfe hinzieht; Hinterkopf weils, schwarzbraun geflekt; Ober- 
hals und Rücken dunkelbraun mit rostrothen Rändern; Schwung- 
federn dunkelbraun, die hintersten auf der innern Fahne ganz 
weiß; Schwanz graubraun , mit fünf schwarzbraunen Binden und 
einer weilsen Spitze. 

In diesem Alter haben Männchen und Weibchen grünlich- 
gelbe Füfse; auch ist die Farbe des Augensterns nicht hochgelb. 

Der ganz iunge Sperber , von welchen wir einen am 19. 
Tul. 1802. erhallen haben, unterscheidet sich von den bisher be- 
schriebenen durch folgende Merkmale : 

Länge ı. Fufs; Breite 1. Fufs 10. Zoll. 

Wachshaut blafs wachsgelb; Aügenstern greisgrau ; Tüfse 
weilsgelb; Scheitel, Schläfe und Ohrbedeckung tief schwarzbraun, 
mit rostrothen feinen Rändern; der ganze Rücken schwarzbraun, 
rostbraun gerandet; die Brust weifs, mit vielen, nahe an einan- 
der liegenden herzförmigen, braun und rostfarbig gemischten Fle- 
eken; Schwanz grauschwärzlich mit mehrern schwarzbraunen, 


breiten Bändern, welche an der einen Seite rostfarbig eingefafst sind. 


AUFENTHALT. 


Der Sperber ist im asialischen Rufsland bis China hinab zu 
Hause, und soll auch auf dem Vorgebirg der guten Hofinung an- 
getroffen werden. In Europaist er bis Sandmoer und den Fer 
roeinseln verbreitet. In Dehtschland seheint er Strich - und Stand- 
vogel zugleich zu sein. - Wir erhielten wenigstens im November, 
December, Januar und März mehrere lebendige Exemplare. Er 
streicht entweder in einem engern Umkreise von einigen Meilen, 
oder in einem grôfsern, allenthalben wiach seiner Nahrung herum, 
vom September bis zum März. Da man ihn schon beim schwar- 
zen Meere zu Ende des Aprils in grofser Menges vorbei ziehen sah, 
so mag er auch in manchen Gegenden ein Zugvogel sein. Er be- 
wohntgern die gebirgigen und waldigen Gegenden, vorzüglich sol- 


che, in deren Nähe Felder und \Viesen liegen. 
EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein menschenscheuer, muthiger und listiger Vogel. Das 
Weibchen ist, wegen seiner überwiegenden Grölse kecker als das 
Männchen. Beide Geschlechter sind gelehrig und lassen sich zur 
Tagd abrichten. Ihr Flug ist nicht hoch, sondern niedrig und ge- 
schwind, ohne viele Bewegungen der Flügel. Sie schweben, so 
bald sie einen Raub erblicken , nicht lange über demselben, son- 


+ fre 2 U en . “Pr e: 
dern stürzen pfeilschnell und seitwärts aufihn, ergreifen ihn, wenn 


er klein ist, und fliegen dann langsam und bedächtig nach einem 


Baum. Ist die Beute zu grofs, so verbirgt er sich mit ibr hinter 


‚einer Hecke, einem Stein elc. 


Auf seinen Frafs war einst ein Sperber, der einen Eichelhäher 
in den Klauen hatte, so erpicht, und so blind gegen alle Gefahr, 
dafs er sich mit dem Hute fangen liefs. Die Sperlinge holt er un- 
ter dem Dache hervor, und gefangene Vögel aus dem Käfig vor 
dem Fenster. Wenn er sich sezt, so bewegt er allezeit wie eine 
Bachstelze, seinen Schwanz etlichemal , zieht den Hals ein und 


macht einen Buckel. Er gibt einen Laut wie gä, gä; gä, von sich, 


"mit welehem beide Gatten einander zurufen. In Gefahr lift er 


äuch ein hohes ängstliches gik, gik, hören, welches auch die Iun- 


Nnn 


Lä femelle moins avaneée en âge differe à son tour 
de eelle, que nous venons de decrire et ressemble davantage au 
mêle du mème âge, qu’elle. Le sommet de la tête est brun noir, 
avec un liséré rouge de rouille à chaque plume; au dessus des yeux 
passe une raie blanche tirant sur le rotille, qui se prolonge vers 
le derrière de la tête, qui est blanc tacheté de brun-noir; le haut 
du col et le manteau brun foncé, avec un liséré en rouille aux plu- 
mes; les pennes des ailes brun foncée; les postérieures presque 
eïtiérement blanches au côté intérieur de la barbe; la queue brun 
gris avec cinq: bandes brun noir et la pointe blanche. 

A cet âge le mâle et la femelle .ont les pieds jaune verdätre; la 
couleur de Piris de Voeïl n’est pas non plus d’un jaune vif 

L’epervier quand il est tout jeune, tel qu’on nous en a aporté 
un le 19. Juillet 1802. se distingue de ceux que nous ayons décrits 
par les caractères suivants. 

Longueur 1. pied; envergure 1. pied, 10. pouces. 

Le cera jaune de cire pâle; l'iris de l'oeil gris blanc; les pieds 
jaune blanchätre; le sommet de la tête, les temples, et les couver- 
tures des oreilles brun noir foncé avec des lisérés delicats rouge. 
de rouille? tout le manteau brun noir avec des lisérés brun rouille; 
la poitrine blanche avec une quantité de petites taches très rap- 
prochées, en forme de coeur mélées de brun et de rouille ; la queue 
gris noirätre avec plusieurs bandes larges brun noir, lisérées d’un’ 
côté de rouille. ; 


"PATRIE. 


{/epervier habite toute la Russie asiatique jusqu’ à la Chine; 
on le trouve aussi, dit-on, au Cap de bonne espérance. En Eu- 
rope il s'étend jusqu à Sandmoer, et jusqu’ aux îles de Faroe. En 
Allemagne il paroit être tout à la fois biseau de passage et oiseau 
sédentaire. Du moins est il sur, que l’on nous en a apportés 
plusieurs échantillons vivans, datis le mois de Novembre, de De- 
cembre, de Janvier et de Mars. Depuis le mois de Septembre jusaw 
au Mars il va de côté et d'autre cherchant sa nourriture, tantôt 
dans un district étroit de quelques miles détendue, tantôt dans un 
plus grand circuit. Comme on le voioit déja passer en grande quan- 
lité à la fin d'Avril dans les contrées de la mer noire, il faut bien 
qu’il y ait des pays montagneuses et couvertes de bois surtout s’il 
y a des champs et des prairies daus le voisinage. 


QUALITES. 


«C'est un oiseau courageux, rusé; et qui fuit l'homme. La fe- 
melle, qui est beaucoup plus grosse que le mâle est aussi plus 
hardie. Du reste lun et Pautre sont faciles a l’apprivoiser et on les 
dresse pour la chasse. Leur vol n’est point élevé, mais bas, rapide 
et sans grands mouvements des ailes. Désqu'ils appercoivent leur 
proie, ils ne plänent long tems au dessus d’elle, mois ils fondent 
dessus obliquement et avec la rapidité d’un trait, la saisissent si elle 
west pas trop grosse et s’envolent sur quelque arbre mais lente- 
ment et en étant toujours aux aguels. Si la proie est trop volu- 
mineuse, ils se cachent pour la devorer derrière une haie, des 
pierres ete: 

Je me rappelle d’avoir vu un epervier, qui tenoit un geai dans 
ses serres, si acharné sur sa proie et si aveugle sur toute espèce de 
danger, qu'il se laïssa prendre avec le chapeau. Cet oiseau en 
général est si vorace qu'il va prendre les moineaux sous le toit et 
qu'il tire de leur cage les ciseaux qui y sont enfermés, si elle est 
hors. de la fenetre. Lorsqu'il se pose il remue deux ou trois fois 
la, queue comme les layandiéres, retire son cou et se gonfle le dos. 
Le cri au moyen duquel le mâle et la femelle s'appellent mutuel- 
lement est un certain: cai, cai, mais s'ils sont en danger ils font 
entendre un eri aigu et de détresse, que Pon peut rendre par: quig, 
quiq, c’est aussi celui des petits. Désque cet oiscau fait entendre 


mi 118 o 


Sobald seine laute Stimme erschallt ,: oder: sobald sie 
ihn erblicken, gerathen alle kleine Vögel in Furcht,: hôren' auf zu: 


gen thun. 


singen, werden: aufmerksam: und verbergen sich.- 
NAHRUNG. 

Diese bestehtim Frühiahr und Herbste aus Finken und Hän£- 
lingen'; im Sommer aus Maulwürfen, Feldinäusen,  Wachteln, Ler- 
chen,: iungen Feld- Hasel— Auerhühnern, Birk— und’ Haushüh- 
nern;. iungen’ Fasanen;. Eidechsen ;: Käfern: und: Heuschrecken ;; 
im: Winter aus Krammetsvôgeln, Zeisigen, Flachsfinken, Sper- 
lingen,. Stieglitzen,; Goldammern‘,. Meisen: und: Tauben.: lunge’ 
und. Alte sind sehr frefsgierig.. 


FORTPFLANZUNG. 


Das- Nest, welches äufserlich' aus Reisern’, inwendig ausMoos, 
dürren: Blättern: und: Haaren: besteht, baut er im Mai oder Iunius' 
anı liebsten: in: Nadelhölzer -aufhohe Fichten; auch. wie man sagt,: 
auf alte Ruinen und Felsenklippen. Er hat es auch gern, wenner 
ein: altes; Krähennest zur Unterlage’ finden kann. Das Weibchen: 
legt: 5-5. schmutzigweilse ,. mit rostfarbigen,, grofsen: und kleinen, 
eckigen’und zackigen: Flecken: bezeichnete Eier;: welche das Weib- 
chen‘ alleïn in drei‘ Wochen ausbrütet, und während der Brütezeit 
vom: Männchen. mit- Nahrung. versehen‘ wird.- Die lungen sehen 
anfangs’ weilswollig aus. Die Grundfarbe der nachher befeder- 
ten lungen: ist am: Männchen’ etwas’ heller‘ alsam Weibchen. Im: 


dritten. Frühiahr'erhalten'sie erst ihre vollkommene Kleidung. 
NUTZEN: 


stiftet er durch seine Nahrung, indem er Mäuse und Maulwür- 

fe wegfängt. Man’brauchtiihn: aber auchzur lagd auf’ Rebhühner, 
Wachteln; Finken, Sperlinge‘,. Lerehen, Goldanunern’ete. Das 

5 > SI Se ; 
Männchen; wählt: man zu kleinen, das Weihchen- zu grôfsern Vö-: 
2 Le] 

geln.. Wenn der Jagdsperber gut sein soll, so mufs er einen schnel- 
len. Flug, haben, im Fang geschikt, im \Vicderkehren willig sein,. 
& > IT 85 9 5 ’ 

Ler- 


chen. und Goldammern kann man im Herbste leicht in: das Garn 


und.sich: gerre’ häubeln‘, aufsetzen und abnehmen. lassen. 


treiben‘,, wenn man einen: Sperber mit auf das-Feld niinmt, und 
ihn. zuweilen: von der Hand flattern läfst. In Persien: richtet man 
ihn: auch zur Jagd der Säugthiere auf folgende Weise ab: Man ge- 
wöhnt ihn aus den Augenhölen der wilden: Thiere zu fressen. In. 
der Elinsichit wird die Haut desienigen Thiers, in. welcher die Hirn- 
schale ist, ausgestopft. Dann-fingtman ani, es nach und nach fort 
zu bewegen; wödurch der Sperber genöthigt wird, zu folgen, um 
sein Futter aus.den: Augenhölen. zu nehmen: Hat er dies hinläng- 
lich gewohnt, so sezt man das ausgestopftel'hier auf einen Wa— 
gen. welchen ein: Pferd in vollem: Lauf fortziehen mufs. Der Vo-. 
gel verfolgt das Thier,, und'ister mur auch darin:hinlänglich geübt, 
so nimmt man ihn mit auf die Iagd. Erblikt er ein Thier-und man 
läfst ihn. auf dasselbe los,, so sezt er sich: auf den. Kopf und. hakt. 
ihm die Augen wund: Der Jäger gewinnt dadurch. Zeit. um. nach- 


zukommen: und.es: zu: erlegen. 


SCHADEN 


richtet er unter den Haushühnern und Tauben an: Aus dem 
Tagdrevieren nimmt er freilich. auch manche: iunge Feldhühner 
weg. 
FEINDE: 
hat er an den Raben und Rabenkrähen, welche ihn beständig 


verfolgen. Die weilsen Bachstelzen und Rauchschwalben fliegen 


‚mäles,: que chez les femelles. 


avec force le son de sa voix, ou qu'ilse laisse voir. les petits o1- 
seaux: saisis d’éffroi-cessent de chanter, se tiennent sur leurs gardes. 
et vont: se cacher dans’ quelque lieu sûr: 


NOURRITURE. 


En printems et en automne l’epervier se nourrit de pincons et 
de linottes,: en: été ce sont les'taupes, les campagnoles ,. les cailles, 
les alouettes, les-perdreaux,: les’petits de gélinottes et des coqs de 
bris et debruiere , les poulets ‚les jeunes faisans, les lézards, les 
scarähees et les’ sauterelles‘, qui lui servent de nourriture’, tandis- 
qu’en’ hiver il donne la chasse’ aux: grives, aux tarins:,. aux linot- 
tes: aux moineaüx,, aux chardonnerets , aux bruants,, aux mésan- 
ges et aux pigeons. Du reste; jeune ou vieux; cet oiseau est dx- 
trêment. vorace.: 


PROPAGATION. 


Quant au nid, qu’il aime de plus de bâtir au mois de Mai, ou 
de Juin, dansles bois- résineux; sur les: pins hauts: et aussi, à ce 
que l’on dit, surles ruines: ebrochers, consiste par dehors de bro- 
sailles; et par dedans: de mousses, de feuilles seches:et: de crins: 
Il’aime de mème d’avoir pour base, des nids vieux de lai corneille: 
La femelle pond de trois äcinq oeufs, blancs sale „ avec des ta- 
ches rouilles,: grandes etpelites, anguleuses:etcrochues.. La même 
les couve:seule dans l’éspace de‘trois: semaines, et c’est le-mâle, qui 
la pourvoit de la: nourriture , pendant le couyement. Les-petits, 
au sortir de Poeuf, sont blancs laineux, mais lorsque les: plumes 
leur viennent, la. couleur matrice est un peu plus: claire chez les 
Ce n’est qu’au printems: troisieme 
qu'ils obtiennent leur livrée parfaite. 


UTILITÉ. 


Ti nous est utile’ par la quantité de souris et de taupes, qu’il 
délruit pour se nourrir. Onle dresse aussi pour la chasse aux per- 
drix, aux cailles, aux: pincons, aux moineaux.. aux alouettes, aux 
bruans-elc: On: choisit le mâle pour la-chasse aux petits oiseaux, 
comme la femelle pour les grands. Pour que l’epervier de chasse 
soit bon, il faut, qu’il soit prompt au vol, habile à la capture, soig- 
neux de revenir au moindre signe et qu'il selaisse aisement mettre 
et ôter le chaperon. Bw automne ik est très aise de chasser les 
alouettes- et les bruans dans les-hlets, au moyen d’un epervier, que 
Pon tient dans la main, et qu'on laisse volliger de tems en tems, 
En Perse un les dresse à la chasse de quadrupédes de la. manière 
suivante. On: l’accoulume à aller prendre sa nourriture dans les 
cavités de yeux des bêtes sauvages. Pour cet éflet on empaille le 
peau de Y’animal dont le crane est déstiné à cet usage. On se met 
en suite à remuer et à faire cheminer peu à peu ce simulacre; et 
l’epervier qui doit aller chercher sa nourriture dans les cavités des. 
yeux de cet animal est obligé de le suivre: Quand il est suffisa-- 
ment dressé à cet manége,. on: met l'animal. empaillé sur un char, 
atlashé d’um cheval, que l’on fait courir au: galop. L'oiseau le 
poursuit avec ardeur et lorsqu'il est fait à. cet exercice, on’ le prend 
avec soi 4 la chasse: Désqu'il découvre une: bête et qu'on le läche 
eonire elle; il va se poser sur sa. tête et lui creve les yeux à coups 
de bec. Par là le chasseur gagne le tems „ dont il a besoin. pour 


aiteindie sa proie et la tuer. 
DOMMAGE. 


I cause de grands dégats dans les basse-cours et les pigeon- 
niers, et dans les campagnes il détruit un grand nombre de per- 


dreaux.. 
ENNEMIS. 


Il 2 pour ennemis les’ corbeaux et les corneilles, qui ne ces- 
sent de lui donner la chasse. La layandiere Llanche et l’hiron- 


Wi 


ihm auch mit grofsem Geschrei nach, und hindern ihn oft, wenn 
er seinem Raube nachgeht. In seinen Gedärmen wohnen auch: 
Rundwürmer. 


IAGD UND: FANG. 


Da er ein schener Vogel ist, so ist er auch schwer zu schies- 


11Q == 


sen. Er sezt sich:gern auf die niedrigster Zweige der Bäume, wo: 


man ihm also aufzusuchen hat. Man fängt ihn mit der Leimruthe, 
die man an einen Vogelkäfig, worin ein lebendiger Vogel ist, an- 
bringt. Auf dem gewöhnlichen Vogelherde fingt man ihn mit dem 
Garn, wenn er auf die Vorläufer stöfst. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


x) F. Nisus lacteus. G miel. Einn. I. c.8. Der ganze Leib ist milch- 
weiß: n 
a) F. Nisus maculatus. Gmel. Linn. Der Oberleib ist unregelmäs- 
sig weils geflekt. 
Man triff auch Exemplare an, welche auf dem Unterleibe schr 
viele rostrothe, breite, wellenförmige Querstreifen mit braunen 
Schäften und weifse Flecken haben Mi 


gebildete , alte Männchen. 


im solches ist das hier ab- 


ANMERKUNGEN. 


Bei der Zergliederung dreier weiblicher Exemplare fanden 
wir iedesmal zwei von einander ahgesonderte, und nur am obern 
Ende mit einander verbundene, Eiersiôcke. Sie waren fast einer 
halber Zoll lang und etwa zwei Linien breit, 


Hr. G. Becker in Darmstadt vermuthet, dafs es zwei verschie-" 


dene Sperberarten, eine gröfsere und eine Kleinere gäbe. Er fand 
bei ôfierer Untersuehung, dafs unter der gewôhnlichen Weibchen- 
zeichnung. auch Männchen erschienen, die aber durchaus heller 
gezeichnet und mür wenig kleiner waren, als die Weibehen. Das 
sei die gröfsere Ârt. Das Männchex der kleinern Ârtseï an der 
Brust und an dem ganzen Unterleibe gelbröthlich geflekt, und zu 
beiden Seiten der Brust! stark rostfarbig. Die Weibchen der klei- 


. nern Art erscheinen gewöhnlich unter der als Iugendfarbe ange- 


gebenen Zeichnung, welches aber, wie die Zergliederung lchret, 


nicht immer iunge Vögel wären. Uugeachtet wir alle Tahre meh- 


rere Sperber erhaltenund sie gewöhnlich auch zerglicdern'; so sind 
uns doch noch keine Exemplare unter das Gesicht gekommen‘, 
woraus wir auf das Daseim einer besondern grölsern Sperberart mit 
Gewifsheit hättenschliefsenkônnen. Als einen vorzüglichen Beweifs 
‘dafs es keine zwei verschiedene Sperberarten giebt, führen wir noch 
folgende an: Im Königreich Hessen wo sonst eine grolse Falken- 
baize war, musten- alljährlich viele Horste junger Sperber in den 
Falkenhof nach Wabern abgeliefert werden. In allen diesen Hor- 
sten befandem sich ein auch mehrere, um vieles kleinere Exempla- 


re. Nach der einstimmigen Versicherung der Falkeniere waren 


dieses die Männchen, welche als zur Baize auf Rebhühner untaug- 


lich, jedesmal getödtet, und nur die gröfsern als die Weibchen auf- 
gezogen und abgerichtet wurden. Dafs der kleinere Sperber, wie 
Bechstein vermuthet , der Steinhabicht, Falco Lithofalco sei, kön- 
nen wir ebenfalls nicht glauben , da wir ein lebendiges Exemplar 
des Falco Aesalon besitzen, das den aschgrauen, gebänderten, 
am Ende schwärzlichen, an der Spitze weilsen Schwanz, und den 
rostgelben, mit duhkelbraunen Längsflecken versehenen , Unter- 
leib bat. Erhält er nach seiner Mauser noch den aschgrauen Ober- 
leib, so steht der Falco Lithofalco da, wie er leibt und lebt. 


delle de cheminée le poursuivent aussi à grands cris, et souvent mê- 
me l’empéchunt de saisir de la proie qui gueitoit. On trouve as- 
seZ communement des vers rondg dans ses intestins. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 
Comme cet oiseau est très ombrageux, il est difficile de lettirer 
au fusil. Pour y parvenir , c’est sur les branches les plus basses 
des arbres, ot il se tient de’ préférence, qu’il faut le chercher, On 
le prend avec des gluaux, que l’o adapte à une cage, où l’on'tient 
un oiseau en vie, On le prend aussi au filet dans les aires: ordi- 
paires, lorsqu'il vintse jetter sur les oiseaux, que Pon tient en avant. 


VARIÉTÉS. 
1) Falco Nisus lacteus, Gmel. Einn. L e: 8, Tout le corps blanc 
de lait. 
2) Falco: Nisus maculatus. Gmel. Linn. 'Fout le dessus du eorps 
marqué de taches bianches' irrégulières. 

On trouve aussi des échantillons, qui ont le dessous du corps 
marqué d’un grand nombre de raies rouge de rouille, larges et on- 
duleuses,. avec la hampe des plumes brune et des taches blanches. 
Tel estle vieux-mäle dont nous donnons ici la figure. 


REMARQUES. 

Ayant eu occasion de disséquer consécutivement trois femel- 
les d’epervier, nous avons trouvé dans: chacune d’elles deux ovai- 
res parfaitement distincts et qu'ils ne tenoient ensemble, que par 
Pextremite supérieure. Ils pouroient avoir environ un demi pouce 
de long sur deux Hgnes de large. 

Mr. ©. Becker de Darmstadt conjeetüre, qu’il y a deux espèces 
différentes d’epervier, la grandeet la petite. Le resultat des'nom- 
breuses recherches, qu’il a faites à cet égard, c’ést parmi les indi- 
vidus qui ont la livrée ordinaire des femelles ; il se trouve reélle= 
ment des mâles, qui ne différent que fort peu des femelles pour la 
grosseur, mais qui ont généralement les couleurs plus claires. C’est 
là la grande espèce. Quant au mâle de la petite espèce le même 
“aturaliste nous apprend, qu’il a là poitrine et tout le dessous du 
corps marqués de tâches jaune rougeälre;. et que la poitrine est for- 
tement lavée de rouille de deux côtés. La femelle de la petite espèce, 
ajoute le même auteur paroit communement sous la livrée, que l’on 
prétend être celle de l’epervier dans sa jeunesse ce qu’il n’est pas 
toujours le cas, comme l'épreuve l’anatomie de ces oiseaux. Quant 
à nous, quoique nous ayons ex occasion toutes fes années de dis- 
séquer un grand nombre d’eperviers, mous n’ayons encore trouvé 
äueun échantillon, qui nous autorise a admettre comme certaine 
Pexistence d’une espèce particulière et mâjeure d’epervier. Nous 
pouvons même allegter contre l'opinion de Mr. Becker le fait sui- 
vant. Dansle pays de Hesse ( maintenant le roiaume de Cattes) 
où il y avoit jädis de grandes chasses au faucon, on étoit obligé d’ap- 
porter toutes les années à la fauconnerie de Wabern aires, où nids 
de jeunes eperviers. Dans chacune de ces aïres se trouvoïent un 
où meme plusieurs individus plus petits, que les autres, et d’après 
le temoignage unaninre de tous les fauconniers ces individus étojent 
des males, que l’on tuoit sur le champ, comme inhabiles pour la 
chasse des perdrix, et l’on ne gardoit que les femelles, que l’on 
élevoit et dressoit a cette chasse. Mais le petit epervier dont parle 
Becker, seroit-il peut-être, comme le conjecture Bechstein, le ro- 
chier (Falco Lithofalco L.). C’est ce que nous ne saurions croire 
maintenant surlout que nous sommes en possession d’un échan- 
tillon vivant de Pemerillon‘eommun , (Falco Aesalon L.) qui a la 
queue gris cendrée, ornée de bandes transversales, noirétre à l’éx- 
tremite et blanche à la pointe, et le dessous du.corps jeune de rou- 
ille, avec des taches longitudinales brun foncé. Si après la mue cet 
oiseau prend encor la couleur cendrée au manteau, nous. aurons 
précisement le Falco Lithofalco des auteurs. 


Oo Er 


= 120 = 


DER WEISSRÜCKIGE SPECHT: 


Der Elsterspecht., 

Picus léeuconotos. Nobis. 

Picus leucotos. Bechstein ornith. Taschenbuch. Th. T. S. 66: ür. 6. 

Dessen gemeimmützige Naturgeschichte, zweite Aufl. Band 9.910684 ne, 6. 
Taf. 25.: Männchen und Weïbchien.. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minn chen. Schwarz und weifsbunt ; Mittel-und Unterrücken' 
weifs; über die Flügel mehrere weifée Flecken; Brust und Seitem’ 
derselben mit schwarzen Eängstrichen; Hinterbauch, After und 
Scheitel kochroth. 3 

Weibchen. ' Dieses unterscheidet sich vom Männchen da- 
‘durch, dafs es auf dem Scheitel schwarz, an der Stirn schmutzig. 
weifs, auf den Wangen und dem Mittel-und Unterrücken mit 
etwas Grau gemischt und’am After hoch rosenroth ist 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel von dem Mundwinkel bis an die Spitze 19, Linien 
lang, nicht so fünfkantig und die Rinne am Oberschnabel nicht so 
‚lang.als beim Bandspecht, (Picus maior), blau hornfarbig; Un- 
terschnabel lichter,; eben so lang als der obere, beide vorn scharf 
abgeschnitten; Nasenlöcher und Grund des Schnabels mit vielen 
weifsen und brauıien Borstenfedernr umgeben‘; die Zunge nicht sehr 
lang; Augenstern orangeroth oder etwas purpurreth; die dunkel- 
blauen Augenlieder über die Hälfte mit kleinen weifen Federn um- 
geben; Stirn etwas‘ gelblichweils; Scheitel hochroih , zu beiden 
‚Seiten desselben ein schmaler schwarzer Streifen, der sich nach 
‘dem Hinterkopfe zieht; Hinterkopf, Nacken, Oberriicken und'obere 
kleine Flügeldekfedern schwarz; Miitel- und Unterrücken weils; 
die beidemmitilern Schwanzfedern’ ganz schwarz, die erste über die 
Hälfte weifs; mit drei schwarzen Bändern auf derinnern; und zwei 
»unden und’einem’verloschenen‘, schwarzen Flecken’ auf der äus- 
sern’ Fahrie, die zweite von der HäMte gegen’ die Spitze’ gelblich- 
weifs, die Spitze gelbbraun, auf der innern Fahne ein kleiner, run- 
‘der, schwarzer Flecken, zwei schwarze Bänder, und unter diesen 
noch ein kleiner, schmutzigweilser Flecken; auf der äufsern Fahrie 
drei kleine schwarze Flecken; die drilte mit einem schwarzen und 
einem gelbbraunen Bawde auf beiden: Fahnen, unter diesem ein 
halb kreisförmiger , schmützigweilser Flecken, die Spitze licht- 
braun; die vierte schwarz, mit einem kleinen, gelbbraunen;, run- 
"den Flecken auf der breiten Fahne, ‘und einem länglichew gelb- 
braunen Flecken auf der schmalen Fahne gegen die schwarze End- 
spitze hin; die vordern schwarzen Schwungfedern gleichen denen 
des Bandspechts ; die weïfsen Federn unter den schwarzen Schul- 
terfedern bilden ein breites Band. über die Flügel, ausferdem be- 
finden sich auf dem Flügel mehrere weifse grofe Flecken und ein 
anderes weilses Band; welches durch.die weifsen Spitzen. der hin- 
tern Scliwungfedern entsteht; {Wangen ; Ohrgegend und Unter- 
hals weils; ‘yon dem Schnabelwinkel zieht sich ein schmaler, 
schwarzer Strich nach hinten, und verbindet sich mit einem brei- 
ten, schwarzen Streifen , welcher an der Halsseite herab auf die 
Brustseite läuft, zwischen diesenr und dem Näcken ist die Halsseite 
weils ; die Brust, die Seiten derselben und unter den Flügeln blafs 


LE PIC A MANTEAU BLANG, 


[4 


Der weifsrückige Specht. Elsterspecht, 
Picus léuconotos. Nobis. 


© Picus leucotos. Bechstein ornith. Taschenbuch. Th: 1. p.66. nr, 6, 


Dessen gemeinnützige- Naturgeschichte, zweite Aufl.Band 2, p. 1034. nr..6. 
tab,.25. Mâle ct femelle. 


'CARACTERES SPÉCIFIQUES 


Mire Plumage bigarré de noir et de blanc ; le milien et lebas 
du manteau blanc; plusieurs taches blanches sur les ailes; à la poi- 
trine et sur les flancs des traits noirs disposés en long; le derrière 
du ventre, le croupion et le sommet de la tête: rouge vif. 

Femelle. EHe difXre peu du mäle en ce qu’elle a le:som- 
met de la tête noir, le front blanc sale, les joues ainsi que le milieu 
et le bas du dos de la mêmeléouleur mélangée d’un peu de gris et 
le croupion rose vif, 

DESCRIPTION. 
; 

Te bec depuis l'angle de la bouche jusqu” à la pointe long de 
19. lignes, moins exactement pentagone que chez lepaiche, (Picus 
major) et n'ayant pas non plus la goultière de la mandibule supé= 
rieuré aussi longue, couleur de corne bleu; la mandibule inférieure 
plus claire, de la même longeur que la supérieure, l’une et Pautre 
tronquées franchement à la pointe; les narines et la base du bec 
garnies de beaucoup de petites plumes roides comme des: soies, 
blanches et brunes, la langue médioeréntent longue; l'iris de l'oeil 
orangé mêlé d’un peu de pourpre; les paupières bleu foncé, plus 
qu’ à moiliè entourées de petites plumes blanches; le front d’un 
blanc fégèrément jaunätre ; le sommet de la tête rouge vif; desdeux 
côtés une raie noire étroite qui se prolonge vers le derrière de la 
têle; cette derrière partie, ainsi que la nuque, le haut dumanteau 
et les petites couvertures supérieures des ailes noires; le milieu et 
le bas da manteau blanc ; les deux plumes mitoyennes de la queue 
toute noire ; la première blanche jusqu'au delà de la moitié de sa 
longueur avec trois bandes noires sur ke côté intérieur de la barbe 
et deux taches rondes avec une troisième noire ef peu distincte sur 
Te côté extéricur ; la seconde blanc-jaunätre depuis le milieu jusqu” 
a la’ pointe, qui est brun jaüne, ayant au côté intérieur’ de la barbe 
üne petite tache ronde et noire avec deux bandes noires sous les 
quelles se voit encore une’pétile tache blanc sale; et au côté ex- 
terieur trois: pelites taches noires; la troisième ayant sur chaque 
des côtés de la barbe une bande noire et une autre brun-jaune 
avec une tache scmicireulaire d’un blanc sale sous cette dernière, 
et la pointe brun clair; la quatriènie noire avec une petite tache 
ronde brun: jaune au côté large de la barbe et une tache aliongée 
bran jaune au côté étroit en tirant vers la pointe qui est noire; les 
pennes añlérieures des ailes nöires et semblables à celle de Pepai- 
ehe; les plumes blanches au dessous des plumes noires des épaules 
formeñt une large bande sur les ailes où l’on remarque en outre 
plusieurs grandes taches blanches des pennes postérieures des ai- 
les; les joues, la région des oreilles et le bas du col blanc; de angle 
du bec se prolonge sur le derrière un trait noir et délié aboutissant 


à une raie large et noire, qui déscend latéralement le long du col, 


sur les côtés de la poitrine, le côté du col entre cette raie et la 
nuque blanc; le devant et les côtés de la poitrine ainsi que la région 
au dessous des ailes rose päle avec des trails moirs sur les côtés de 
la poitrine; le ventre rose; les plumes du croupion rouge vif et 
cramoisi ; les pieds gris bleu vert olive vers le bas; les ongles noï- 
rätres. 


rosenroth, die Brustseiten mit schwarzen Strichen; der Bauch ro- 
senroth; die Afterfedern hoch- und karmoisinroth ; die Füfse blau- 
grau, unten olivengrün; die Nägel schwärzlich, 

Die Flügelspitzen endigen sich etwas über der Hälfte des 


Schwanzes. 

Länge 10. Zoll 8. Linien; Breite x Fuß, 63. Zoll. 

AUFENTHALT. 

Dieser Specht , welchen Herr von Minckwitz zu Grumwitz 
in Schlesien, unsers Wissens zuerst entdekt hat, hält sich in Schle- 
sien, Pohlen, Rufsland und Kurland auf, und kömmt, wiewohl 
selten, im Winter auch nach Ilessen. - Br ist in Liefland einhei- 
misch und findet sich daselbst in allen Laubwaldungen. In blofseni 
Schwarzwäldern hält er sich gar nicht auf, Den Herbst und Win 


ter streicht er in die Gärten. i 
NAHRUNG. 
Ur frifst Ameisen, Käfer, Bienen und andere Insekten. 


FORTPFLANZUNG. 


Von dieser wissen wir blofs anzuführen, dafs die Iurigen im 


Iulius ausgewachsen sind, 
EIGENSCHAFTEN. 


Er klettert sehr behende und sucht im Klettern die Insekten 
von den Bäumen stillschweigend ab. Nur zuweilen läfst er einen 
sanften "Ton hören. Er klopft seltener an das Holz als der. Band- 


specht (P. major) und nur im Späthherbst und Winter, 


NUTZEN 
mag er durch seine Nahrung, auch durch sein Tleisch, das 


vielleicht efsbar ist, stiften. 


SCHADEN 


richtet er bei den Bieneustöcken an, an welehe er klopft um 


die Bienen heraus zu locken und zu verzehren. 


FEINDE 
von ihm sind uns nicht bekannt. 
IAGD UND FANG. 
Da er nicht scheu ist, so kann er leicht geschossen werden. 
Die Art, wie er lebendig gefangen wird, ist uns ebenfalls nicht be- 
kannt. Wir haben aber Hoffnung, in Zukunft seine Naturgeschich - 


te vollständiger liefern zu können. 
ANMERKUNG: 


Suum cuique! Herr Bechstein nannte diesen Specht in seinem 
Ornithologischen Taschenbuche Picus leucotos; in seiner gemeiti- 
nützigen Naturgeschichte 2te Aufl. nennt er ihn P. leuconotos und 
sezt das Wort mihi hinter diesen Namen. Allein diesen leztern 
Namen gab ihm, wie man aus dem mihi schliefsen mufs, nicht 
Herr Bechstein zuerst, sondern einer der Verfasser dieses Werks, 
Meyer. 


121 — 


La pointe des ailes aboutit un peu au de la moitié de la lon- 
gueur de la queue, 

Longueur 10. pouces, 8: lignes” envergure 1. pied, 6. pouces 
et 9. lignes, 


PATRIE. 


Cette espèce de pic, que Monsieur de Minckwitz, dapres les 
renseignements, qui nous sont parvenus, a découvert le premier à 
Grumwitz en Silésie, habite la Silésie, la Pologne, la Russie, la 
Courlande etc. et vient quelquefois en hiver, quoique assez rares 
ment, dans le pays de Hesse. Il est indigéne en Livonie et sy trou- 
ve dans tous les bois d’arbres à feuilles. “On ne le rencontre point 
dans les bois où il n’y a que des arbres résineux. En automne et 
en hiver il rode aussi dans les jardins. 


NOURRITURE, 


Il se nourrit de fourmis, de scarabées, d’abeilles et d’autres 
insectes. 


PROPAGATION. 


Tout ce que nous pouvons dire à cet égard c’est que les pe- 
; 
tits ont achevé de croître au mcis de Juillet. 
| , 
QUALITES. 

I grimpe avec beaucoup d’agilite, et tout en grimpant il donne 
la chasse aux insectes Caches dans l'écorce des arbres, mais sans 
faire de bruit. Quelque fois seulement il fait entendre un légèr ton, 
Il frappe Beaucottp plus rarement les arbres dé son bec, que ne-le 
fait Pepaiche (P. major) et cela seulement sur la fin de l'automne et. 
en hiver: 

4 LE 
UTILITE. 
Pi ‚ $ : er ® B ‘ . 

ll sert à prévenir la trop grande multiplication des insectes, 
quil dévore pour se nourrir. Sa chair peut aussi être bone à 
manger. 1 


DOMMAGE. 


il cause de grands dégats dans les ruches d’abeilles , contre 
lesquelles il frappe du bec pour en faire sortir les abeilles et les 
manger. 


ENNEMIS, 


Nous fe les cohnoissons pas. 


MANIERE DE LE TUER OU DE LE PRENDRE. 


Comme ilm’est point fuyard on peut aisement le tirer au fu- 
sil; mais nous iguorons quels moyens on emiploie pour le prendre 
en vie; nous. espérons du reste d’être bientôt en état de faire, con- 
noitre d’une manière plus détaillée l'histoire naturelle de cet'oiseau. 


RÉMARQUE. 

Suum cuique! Monsieur Bechstein a nommé cet oïscau Picus 
leucotos dans son manuel d’Ornithologie; mais dans la seconde 
édition d'histoire naturelle (Gemeinnützige Naturgeschichte) il Jui 
donne le nom de P. Leueonotos, suivi d’un mihi. Mais ce n’est 
point Mr, Bechstein, qui lui a donné ce dernier nom, comme le 


mihi pouvoit le faire croire, c’est Mr. Mayer Yun des coop£rateurs 
de cet ouvrage. ' 4 


DIE KRAUSENTAUBE 


Môvlein. Mövchen. Kräuselschnäbler. Halskrausentaube.- Crelische Taube: 
Turtel,. Strupftaube.. Rauhbrüstige Taube: 


a : : 
Columba Turbita. Linn. syst nat. pag. 280. nr. 7. 
ë 


Columba domestica Turbita.. Gmel. Linn. syst. Be TT. P..Il.pag.: 770. 
Pigcon-Cravaite. Bufon. L 
Turbit Pigeon. Latham. 

Das Mövchen.. Frisch. Vorstellung der Vôgel Deutschl. Taf. 147. 


8 nter den zahlreichen Haustauben ist die Krausentaube eine der’ 
kleinsten. Sie milst in die Länge nicht ganz 1. Fufs, in die Breite: 


2.Fuß-1, Zoll. 
KENNZEICHEN. 

Die Stirn ist hoch, derK opf fast eckig und glatt, selten ge- 
häubt; der Schnabel kurz, mit einer dicken Nasenhaut;. auf der’ 
Kehle und Brust herab eine Reihe auswärts gesträubter Federn. 

Man kann: diese Art eintheilen: 

1) in: einfärbige ;. welche man auch Eulentauben: (Owl-Pigeon )) 
nennt, und 

2) in zweifärbige.. Unter diesen leztern findet man aber auch wel- 
che:. die mehr als zwei Farben haben ; doch sind fast immer 
zwei Farben hervorstechend.. 

Unter den einfärbigen bemerken wir hier nur folgende Ver- 
schiedenheiten :! | 
a) Dunkel kupferroth, an den Flügelfedern heller, am Halse ins: 

Grüne und Karminrothe schillernd; mit gelbrothem Augen- 

stern, röthlichem Schnabel und kochenillerothen: Füfsen. 

b) Röthlich erbsengelb: (gemsenlederfarbig); am: Halse mit einem: 
gränlichen Schiller , orangegelbem Augenstern, und koche 
nillerothen Fülsen: 

c) Ganz weiß. - 

Von den zweifärbigen gehören hicher ; 

a) Weils; Flügeldekfedern: und. Schwungfedern: kaffebraun', ins: 
Stahlblaue schillernd, mit weißslichen- Spitzen und’ grauschwar— 
zen Seiten des Unterleibes;. rothew Füfsen, grauem: Augenstern- 
und rosenröthlichem Schnabel. 

b) Weißs; mit zwei schwarzhraunen Bändern über die Flügel, ro- 
ihem Augenstern und rothen Fülsen. ; 

c) Weifs; mit hellblaugrauem Mantel, rothgelbem Augenstern und. 
rothen Füfsen. | 

d) Weifs; mit lebhaft rostrothem oder auch mit röthlichem Mantel. 

e) bläulichgrau; mit dunklerm Kopfe und Halse, rothem und grü- 
nem Schiller; zwei rosibraunen Bändern über die untere Hälf- 
te der Flügel, die schwarzbraune Spitzen haben; dunkelgrau 
und rothschillernden obern Schwanzfedern , schwärzlichem. 
Schnabel und weifser aufgeschwollener Nasenhaut , braunem: 
Augenstern und rothen Füfser 

f) Weifs; mit hellblau grauem Mantel, zwei schwarzbraunen Bän- 
dern auf der untern Hälfte der Flügel, rothen Fülsen, brau- 
nem Augenstern und rosenrôthlichem Schnabel. ' 

g) Weils; mit schwarzgrauem Mantel, dessen Federn weilse Rän- 
der und Schäfte habesr. 

Diese Tauben haben einen schnellen Flug und entgehen daber 
den Raubvögeln leicht. Im der Hinsicht hat man sie gerne zum. 
Ausfliegem Sie vermehregsich nicht stark. Durch Paarung mit 
Pfauentauben. entstehen die Pfauenmöven-'Tauben', welche den 
Schwanz von diesen, die Halskrause von jenen haben. Soll das 
Päärchen einen Werih haben, so: darf es nicht gewöhnlich gefärbt, 


und die Farbe bei heiden Geschlechtern mufs durchaus gleich sein, - 


und keins von beiden eine gefärbte Feder mehr haben, alsdasandere. 


LE PIGEON CRAVATTE. 


Mövchen.. Kräuselschnäbler. Halskrausentaube, 
Strupftaube. Rauhbrüstige Taube. 


Krausenfaube: NMôvlein: 


Cretische Taube.. Turtel. 
Columba Turbita. Linn. syst.nat. p. 280. n. 7. 

Columba domestica Turbita.. Gmel. Linn. syst. nat. TI. P. II. P- 77% 
Le pigeon cravatte.. Buffon. 

Turbit Pigeon.. Latham. 

Das Mövchen.. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. + 147, 


Pa les nombreuses especes de pigeons domestiques le pigeon 
cravatte est une des plus petites. Il n’a pas plus d’un pied de lon- 
gueur et de 2. pieds, 1. pouce d’envergure. 


CARACTERES. 

Le front est haut, la tete est presque anguleuse et lisse; rare- 
ment hupée; le bec est court avec la membrane nasale très épaise; 
la gorge et la poitrine sont garnies de haut en bas d’une rangée de 
plumes, qui se recoquillent en ayant. 

On peut subdiviser cette espèce en deux. 

1) Ceux, qui n’ont qu’une seule couleur et qu’on appelle aussi pi- 
geons- chouettes, Owl- Pigeon des Anglois. 

2) Ceux, qui ont deux couleurs. Parmi ceux-ci, il s’en trouve 

aussi qui ont plus de deux couleurs; mais pour l'ordinaire il n’y a 

que deux couleurs, qui sont bien décidées. 

L'espèce unicolore nous offre les variétés suivantes, 

a) Couleur rouge de cuivre foncé, plus clair aux couvertures des 
ailes, chafoyant au verd et au cramoisi sur le col, avec l'iris de 
l'oeil rouge - jaunâtre, le bec rougeätre et les pieds couleur de 
vermillon.- 

b) Couleur chamoïs rougeätre; un chatoyement verdätre au col; 
l'iris de Poeil orange et les pieds couleur de vermillon.. - 

c) Couleur éxtrêmement blanche. 

L'espèce bicolore nous offre des variétés plus nombreuses encore. 
a) Fonds blanc; les couvertures et les plumes des ailes brun de café, 

avec un chatoyement bleu d’acier , les pointes des ailes blan- 

châires et le ventre gris noir sur les côtés ; les pieds rouges, 
l'iris de l'oeil gris et le bec rose. 

b) Fonds blanc avec deux bandes brun-noir sur les ailes; iris de 
Voeil et les pieds rouges. 

c) Fonds blanc avec le manteau gris bleu clair ; Piris de loeil jau- 
ne rougeätre et les pieds rouges. . 

d) Fonds blanc avec le manteau rouge de rouille vif ou même rou- 


geätre. 


ce) Fonds gris-bleuâtre; la tête et Te col de la même couleur mais 


plus foncé, avec un chatoyement rouge et vert ; deux bandes ” 

brun rouille coupant la moitié inférieure des Yailes,. qui sont 

brun noir à la pointe; les plumes supérieures de la queue cha- 
toyant en gris foncé et en rouge; le bec noirätre; la membrane 
nasale blanche etrenflée; Piris de oeil brun et les pieds rouges. 

f) Fonds blanc; manteau gris bleu clair; deux bandes brun noir 
sur la moitié inférieure des ailes ; pieds rouges ; l'iris de P’oeil 
brun; bec rose pâle. 

g) Fonds blane avec le manteau gris noir et lès plumes du mantean 
blanches au contour et à la hampe. 

Ces pigeons ont le vol rapide et échappent aisement par là aux 
oiseaux de proie. C'est aussi la raison pour laquelle on aime à les 
avoir, afin de les laisser voler dans la campagne. Ils ne se multi- 
plient pas extrömement. En les aceouplant avec les pigeons -paons 
on en obtient le pigeon paon- cravatte, qui a la queve des uns et la 
erayatte des autres. Le pigeon cravatte n'est éstimé, qu’ autant 
les couleurs en sont peu communes ; il faut en outre que le mile 
et la femelle aient précisement la même couleur, et que Pun wait 
pas une seule plume colorée, que lon ne retrouve chez Vautre, 


EL nn 


DIE MITTLERE OHREULE. 


Kauzeule, Ureule. Fuchseule. Kleiner Schuhu, Rothgelbe 


Ohrkauz. Langöhrige Eule. 


Katzeneule. 
Ohreule. 

Strix Otus. Linn. [yft. nat. pag. 132. n. 4. 

Strix Otus. Gmel. Linn. fyft. nat. T. I. P. I, pag. 288. n. 4. 

Moyen duc eu Hibou. Buff. 

Longeared Owl. Latham. 

Das rothe Käuzlein mit Federohren. Frisch Vorftellung der Vögel 
Deutschlands , Taf. 99. 

Mittlere Ohreule. Bechft. ornith. Taschenb. Th, I. S. 47. nr. 2. 

Die mittlere Ohreule. Teutsche Ornithologie, Heft 3. Weibchen. 

Die mittlere Ohrenle. Naumanns Naturgeschichte der Land-und Was- 
servögel, B.4. 8.252. Taf. XXIX. 


KENNZEICHEN DER ART. 


ODberleib rostgelb und tiefbraun geflekt; jeder Federbusch mit 
sechs bis zehn abgestumpften, schwärzlichen, rostgelb- und weils 


gerandeten Federn; auf den Schultern mit einigen halbrunden 
weifsen- Flecken. 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel schwarz; Wachshaut dunkelgrünlich ; Unterschna- 
bel an der Spitze mit einer Kerbe; Augenstern hell goldgelb; das 
Gesicht mit Borstenfedern, die an den Seiten des Schnabels und 
vorn über den Augen weils, an den Spitzen schwarz sind; hinter 
den Augen.rustgelb, auf den Vÿangen rostbraun; an dem Kinne 
weils; das ganze Gesicht ist von dem einen Federbusch an um 
das Kinn herum bis zum andern mit einem rosigelb- weils- und 
dunkelbraun - besprengten Kranz oder Schleier umgebens die 
Ohröffnung ist verhältnismäßig größer als bei allen übrigen 
Eulen; ieder Federbusch besteht aus sechs bis zelın Federn, von 
welchen die grôfsten 17 Zell lang, schwarzbraun, und rostgelb 
und weifs gerandet sind; Hinterkopf, Nacken und Rücken 
vostgelb mit dunkelbraunen Längsflecken, weilsen Flecken und 
sehr vielen dunkelbraunen Punkten; die Schwungfedern der er- 
sten Ordnung schön rosigelb, auf der breiten Fahne am Grun- 
de weiß, mit vier dunkelbraunen Querbändern, gegen die Spitze 
grau, dunkelbraun gesprengt; die Fasern an der schmalen Fah- 
ne der ersten und zweiten Schwungfeder sind an den Spitzen auf- 
wärts gekrümmt und auseinander stehend; die Schwungfedern der 
zweiten Ordnung sind weit kürzer, rostgelb, auf der breiten Fah- 
ne weiß, mit fünf schmalen dunkelbraunen Querbändern; auf 
der schmalen Fahne ur” an der Spitze mit dunkelbraunen Punk- 
ten besprengt; der Schwanz gerade , gleich; die fünf ersten Fe- 
dern gelb, mit sieben, auf der äufsern Fahne breiten, auf der 
innern mit schmalen Querbändern und dunkelbraunen Punkten; 
die beiden mittlern rostgelb, mit fünf dunkelbraunen, aus zikzak- 
laufenden Punkten bestehenden Querbändern; Unterhals mit 
schwarzbraunen Längsflecken auf dem Schafte und rosigel- 
ben und weifsen Rändern; Brust und Bauch weils, mit schwarz- 
braunen Längsflecken und weißsen, hie und da rostgelben Rän- 
dern, dunkelbraunen getüpfelten Querlinien; die Bauchseiten 
stark rosigeib gefärbt; die untern Dekfedern des Schwanzes weils, 
ins Rostgelbe spielend, am Schaft rostgelblich und dunkelbräun- 
lich; die Fülse bis an die schwarzen Nägel blaf rostgelb. 


LE MOYEN DUC OU HIBOU. 


Die mittlere Ohreule. Katzencule. Kanzeule. Ureule. Fuchsenle. Klei- 
ner Schubu. Rothgelbe Ohrenle. 
Strix Otus, 


Ohrkauz.° Langöhrige Eule. 

Linn. fyft. nat. pag. 132. nr. 4. 

Strix Otus. Gmel. Linn. ft. nat. T. I. P.I. pag. 288. nr. 4. 

Moyen Duc ou Hibou. Buff. 

Longeared Owl. Latham. 

Das rothe Käuzlein mit Federohren. Frisch Vorftellung der Vögel Deutfch 
lands. "Taf. 99. ie 

Mittlere Ohreule. Bechft. ornitholog. Taschenbuch. Th.I. S. 47. nr. 2. 

Die mittlere Ohreule. Teutsche Ornithologie, Heft 3. 

Die mittlere Ohreule. Naumann’s Naturgeschichte der Land - und Was- 

T.4. 8. 252. Taf. XXIX, 


Temelle. 


servögel. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


1 Era partie superieure du corps d’un jaune ferrugineux et brun- 
foncé. Le plumet ou aigrette, composé de 6 à 10 plumes, émous- 
sées, noirätres, jaune de rouille et lisérées de blanc; celles du man- 


teau égayées de taches demi-circulaires blanches, 
DESCRIPTION, 


La mandibule infe- 
La prunelle jaune-doré, 


Le bec noir, la membrane verd-foncé. 
rieure, armée d’un cran, vers la pointe. 
Le visage couvert de plumes poilues, celles à côté du bec et avan- 
gant sur les yeux, jaune de rouille, sur les joues rouille-fonce; 
'Tout le visage est entouré d’une espèce de collier, passant sous le 
cou, de l’un à l’autre plumet, mélangé de jaune de rouille, de blanc 
et de brun-foncé. L'ouverture des oreilles est en proportion plus 
grande qu’à toutes les autres chouettes. Chaque plumet renferme 
de 6 à 10 plumes, dont les plus grandes sont d’un pouce et! de lon- 
gueur, brun-foncé, couleur de rouille et lisérées deblanc. L’occi- 
put, le col et le manteau couleur de rouille, mélangé de taches 
brun - foncé et blanches les premiéres longitudinales et d’une quan- 
title de points brun -foncé. Les pennes des ailes du premier rang 
Le côté large de la barbe fond 
blanc avec 4 bandes iransversales brun-fonc& et ponctuées de la 


sont d’une belle couleur de rouille, 
tnème couleur ainsi que de gris, vers l'extrémité. Les soyes de 
la barbe étroite des première et seconde pennes vers la pointe sont 
frisées, courbées en haut et divergentes. Les pennes du second 
rang sont beaucoup plus courtes, couleur de rouille et le côté large 
de la barbe blanc, avec 4 bandes transversales étroites brun-foncé, 
à la barbe étroite et à la pointe ponctuées de brun - foncé. La 
queue égale et carrément coupée. Tes 5 premières plumes jaunes 
avec 7 bandes transversales, qui sont larges à la barbe extérieure, 
étroites à la barbe intérieure et des points brun-foncé. Les deux 
pennes du milieu couleur de rouille avec 5 bandes transversales 


Le bas du 


col orné de taches longitudinales brun-foncé, couleur de rouille à 


composées de ‚points brun — foncé, rangés en zigzac. 
la tige et liséré de blanc. La poitrine et le ventre blancs, avec 
de taches éiroites brun-foncé, des lisérés tantôt rouille, tantôt 
blancs et des lignes transversalement ponctuées de brun- foncé. 
Les couvertures inférieures de la queue blanches, salies de rouille, 
la tige couleur de rouille et brun-fonce, Les tarses rouille-pâle 
jusqu'aux ongles, qui sont noirs. , ( 


à. 


gg 


— 1% — 


Die Flügelspitzen reichen 1. Zoll über die Schwanzspitze 


hinaus. 


Das Weibchen ist unmerklich vom Männchen und nur da- 
durch unterschieden, dafs es ein mehr geflektes und mit mehr 


Grau gesprengtes Kleid hat, auch etwas gröfser ist als dieses. 


Länge ı Fufs 2 Zoll; Breite 2 Fuls 10 Zoll Pariser Ma. 


AUFENTHALT. 


Diese Eule lebt in ganz Europa, im nördlichen Amerika und 
Asien, bis Astrachan hinab. In Egypten, auf dem Vorgebirg der 
guten Hoffnung und in andern Gegenden Afrikas wird sie eben- 
falls angetroffen. Nach Naumanns Beobachtungen ist sie gegen 
die Kälte empfindlicher als andere Eulenarten, und aus diesem 
Grunde im nördlichen Deutschlande ein Strichvogel, der nur in 
sehr gelinden Wintern daselbst zu sehen ist, gewöhnlich aber sei- 
nen Zug nach den südlichern Gegenden im September antrit, und 
von der lezten Hälfte des Vebruars bis in den April seinen Rük- 
zug beginnt. WVir haben dasselbe beobachtet; denn nie sahen 
wir diese Eule in grölserer Menge, als in dem gelinden Winter 
von-1805 auf 1806, dasie hingegen bei strengerem Winter wicht 
so häufig sich bei uns sehen lälst, doch erhielien wir z. B. im lahr 
1709. den 9. Februar, auch bei grofser Kälte und tiefem Schnee, 
ein geschossenes Exemplar. Sie wohnt blofs in dichten und fin- 
stern Wäldern, in den Löchern der Bäume, oder auf Aesten. Im 


Winter nähert sie sich aber auch den Dörfern. 


EIGENSCHAFTEN. 


' Des Tages über verbirgt sie sich in dichte Zweige, hält sich 
Wir haben sie in dichten Tannenwäldern am 
meisten angetroffen, Nähert sich ihr ein Mensch, so ziehet sie die 
Fed. nn den Leib, verschlieis. die Augen bis auf eine kleine 
Oeffnung, und beobachtet auf diese Art ihren Feind. Kommt er 
näher, so fliegt sie dayon, im entgegen gesezten Falle bleibt sie 
stehen. Ihre Stimme, die sie besonders zur Paarungszeit des 
Abends und des Nachts hören läßt, ist ein hohes, am Ende all- 


mählis in die Höhe sezogenes kuuk. Sie macht ausser dem Schuhu 
oO oO fo} 


ruhig und schläft. 


unter allen Eulen die wunderlichsten Gebärden, die man, wenn 
man sie daran gewöhnt hat, nach der Bewegung des vorgehalte- 
nen Fingers, noch besser mit einer Katze leiten kann, Wir 
hatten zwei lunge in der Gefangenschaft. Eielt man den Finger 
auf sie hin, so rissen sie den Schnabel auf, schnarchten, bifsen, 
knakten mit demselben, zogen öfters die Nikhaut über die Augen, 
blähten sich auf und breiteten die Flügel und den Schwanz aus- 
einander. Gab man ihnen Fleisch kin, so nahmen sie es mit dem 
Schnabel, war es zu groß, so zogen sie das Stük mit den Krallen 
wieder heraus, hielten es ein wenig, stekten es wieder hinein und 
legten und drükten es durch mehrere Schlucke so lange hin und 
her, bis es in die Speiseröhre hinunter gleiten konnte. Eine Maus 
oder ein Vogel machte ihnen, da sie den Kopf immer zuerst in 
den Rachen stekten, wegen des Schwanzes, viel zu schaffen. Sie 
legten. sich Öfters auf den Bauch, liefsen die Flügel und den Kopf 
herab sinken und schliefen in dieser Lage. Sahen sie einen Vogel 
oder sonst etwas, das ihnen in die Augen fiel; so machten sie viele 
Bewegungen und Wendungen mit dem Kopfe, wie der Thurm- 
falke, gerade als wenn sie den Gegenstand recht beobachten 
Die Iungen lassen sich leicht zähmen, und sogar zum 


Ihre 


wollten. 
Ein - und Ausfliegen gewöhnen. 


Les pointes des ailes dépassent d’un pouce l'extrémité de 
la queue. 


La femelle ne diffère gu&res du mâle, qu’en ce que sa livrée 


est plus tachetée et mélangée de points gris et qu’elle est plus forte. 


Longueur 14. pouces. Tnvergure 2 pieds 10, pouces, me- 


sure de Paris. 


PATRIE. 


Cet oiseau habite toute l'Europe, l'Amérique septentrionale 
et l'Asie, jusqu'à Astracan. On le rencontre aussi en Egypte, 
au Cap de bonne espérance et dans d’autres parties de Afrique. 
Suivant les observations de Naumann il est plus sensible au froid 
que les autres espèces de chouettes, c’est pourquoi on ne la con- 
sidère dans le nord de Allemagne, que comme un oiseau de pas- 
sage. Aussi ne l’apperçoit - on que durant des hyvers très doux- 
et son départ pour les régions méridionales arrive au mois de.Sep- 
tembre, son retour au contraire commence depuis la mi-F'eyrier 
jusqu’en Avril. Nous avons fait la même observation, car nous ne 
l'avons jamais vu en plus grand nombre, que durant lhyver mo- 
dere de 1805 à 1906, tandis qu’il a été bien plus rare chez nous, 
dans les hyvers rigoureux, qui ont précédé. Cependant nous 
éprouvames une exceplion à cette regle, le 9 Fevrier 1799, où par 
un froid très grand et une neige fort haute, on nous en apporta un 
exemplaire, qui venoit d’être tus au fusil. Cet oiseau habite uni= 
quement dans les bois sombfes et épais, les branches et les trous 
des arbres. "Toute fois l'hyxer il se rapproche aussi des villages. 


QUALITÉS. 


Il se cache de jour dans des branchages touffus, où il se tient 
tranquille et dort. Nous l’avons le plus souvent trouvé dans d’s- 
paisses förets de sapins. Lorsqu'il voit s'approcher quelqu'an, il 
resserre ses plumes, et ferme les yeux, ne laissant qu'une petile 
ouverture, par laquelle il observe son ennemi. Quand celui-ci 
avance plus pres, l'animal s’envole, si non, il reste-en place. Son 
cri, qu'on entend le soir et la nuit, surtout dans le tems de Pac- 
couplement, n’est autre chose qu’un son creux, qu’il éleve insen- 
siblement en le prolongeant. C’est après le grand Duc, celle de 
toutes les choucttes qui fait les gestes les plus comiques, quand on 
Va accoutumée à gesticuler, en lui montrant le doigt ou en apro- 
chant et faisant agir un chat. Nous avons eu deux petits en capti- 
vilé, quand on leur présentoit le doigt, ils ouyroient le bec, râ- 
loient, mordoient, faisoient claquer les deux mandibules, descen- 
doient souvent la membrane sur les yeux, se gonfloient et se pa- 
vanoient, en déployant les ailes et les queues. Leur donnoit-on 
de la viande, ils la saisissoient du bec; quand le morceau étoit 
trop gros, ils le retiroient avec leurs serres, ensuite ils le reportoient 
au bec et après plusieurs efforts pour l’avaler ils le forcoient en fin 
à glisser dans l’oesophage. S'ils dévoroient des oiseaux et des sou- 
ris, la queue leur donnoit beaucoup à faire, parcequ'ils les aya- 
loient toujours par la tête. - Ils se couchoient souvent sur le ventre, 
baissant la tête et les ailes et s’endormoient dans cette position. 
S'ils apercevoient un oiseau ou quelque autre chose, qui attirät 
leur attention, ils remuoient et tournoient souvent la tete, à l’ex- 


emple de la cresserelle, comme pour examiner Pobjet, 


On apprivoise aisément les jeunes, on les accoutume même à 
s'envoler et à revenir au logis. 


NAHRUNG 


"welcher sie in der Abenddämmerung, und wenn es nicht zu fin- 
ster ist, auch bei der Nacht, sehr selten des Morgens, naclıgeht, 
besteht aus Feldmäusen, Wassermäusen (Mus amphibius), Maul- 
würfen, iungen und alten Vögeln, die sie im Schlafe und in den 
Schneusen überfällt, Fröschen, Mist-- und Maikäfern und andern 


Insekten. : 
3 FORTPFLANZUNG. 


Sie baut sich kein eigenes Nest, sondern sucht die verlasse- 
nen Krähen - Elster- 'Tauben- und Eichhôrnchens - Nester auf, 
worein das Weibchen, ohne sie auszubessern, im April seine vier 
bis fünfrundliche, weifse Eier hinein legt, die es ohne Hülfe des 
= Männchens ausbrütet, Lezieres trägt indessen Speise zu. Die 
‚Jungen, von welchen hier eins abgebildet ist, haben anfangs fol- 
gende Zeichnung, " 

Das Gesicht ist schwarzbraun; die deutliche Wachshaut, 
welche auf beiden Seiten des Schnabels eirund zuläuft, und die 
noch unbedekten Nasenlöcher umfafst, ist bläulicholivengrün; der 
Vordertheil des Schnabels bläulich, gegen die Spitze hin dunk- 
ler, die Spitze weils; die Zunge blaf fleischroth, vorn etwas bläu- 
lich, an der Spitze eingekerbt; der Schnabel inwendig bläulich ; 


Schnabelwıinkel gelblich; Augenstern -safrangelb , der Scher in 


digblau; die Borstenfedern um die Augen und an der Schnabel- 
wurzel schwarzbraun, gegen den untern Theil der Ohren hin hel- 
ler; das Kinn weilslich; die Stirn und über den Augen mit einer 
weilsen Wolle bekleidet; der übrige Kopf weifslich, ins Rostfar- 
bige spielend, mit vielen verloschenen \WVellenlinien; die Feder- 
büsche kurz, schwärzlich, an den Spitzen weifslich; Hinterkopf 
und Rücken rothweifsich, mit häufigen, schwärzlichen Querli- 
nien ; die Schwungfedern grau, mit vielen klemen dunkelbraunen 
Punkten und sieben bis acht dunkelbraunen schmalen Bändern; 
eben so der Schwanz; : die Fülse mit weilslicher Wolle bis über 
die Hälfte der Zehen bekleidet; das Ende der Zehen grünlich, 
mit einigen Schuppen, die Nägel-schwärzlich und glänzend. 


NUTZEN 


verschaft sieuns dadurch, dafs sie eine Menge schädlicher Mäuse 
und Insekten wegfrifst. Auf den Vogelherden und Krähenhütten 
braucht man sie dazu, um grofse und kleine Vögel herbei zu lo- 
cken. Der Grünspecht fliegt ihr besonders gern nach. Gezälmte 


Tunge dienen auch im’ Hause stait der Katzen. Ihr 


SCHADEN 


kommt fast in keinen Betracht. 'Taubenschläge, in die sie zuwei- 
len kommt, kann man ia leicht verwahren, und-man sollte daher 
aufhören, sie als einen schädlichen Vogel zu verlolgen. 


_FEINDE 


hat sie an allen  Tagvögeln. ‚In ihren Gedärmen beherbergt sie 
Kratzwürmer (Echinorynehus),  Fadenwürmer (Gordius) und 


Splitterwürmer(Festucaria oti). 


IAGD UND FANG. 


Die Alten sind schwer zu bekommen, da sie sich am Tage 
sehr verborgen halten. Die lungen nimmt man aus dem Neste 
und fängt auch bei dieser Gelegenheit .die Alten mit der Leimruthe, 
oder schiefst sie mit der Flinte. Naumann fing sie auch mit einer 


von ihm selbst erfundenen Raubvôgelfalle. 

ANMERKUNG. 
À : Man schreibt gewöhnlich den Eulen empfindliche Augen zu, 
die bei, Tage nicht gut sehen und das Tageslicht nicht vertragen 


Rrr 


. NOURRITURE. 


Ils la cherchent vers le soir et même la nuit, quand elle n’est 
pas trop obscure, et rarement le matin, Elle consiste en rats des 
champs, rats d'eaux, (Mus amphibius) en taupes et en oiseaux, 
jeunes et vieux, qu'ils surprennent dans leur sommeil et dans les 


filets, en grenouilles, bouziers, hannetons et autres insectes. 


PROPAGATION. 


Le hibou ne se construit pas de nid, mais il cherche les nids 
abandonnés des corneilles, des pies, des pigeons et des écureuils. 
La femelle s’y établit, sans le refaire et y dépose, au mois d'Avril, 
quatré à cinq oeufs blancs el ronds, qu’elle fait éclore, sans le 
secours du mâle. Cependant le mâle lui apporte sa nourriture. 


Tes jeunes, dont l’on voit une representation ci-à côté, sont ha- 


_billés de la mahitre qui suit. 


Le visage est brun-foncé. La membrane tres distincte, qui 
regne des deux côtés du bec et qui entoure les narines encore à 
découvert, est d’un verd d’olive bleuâtre. L’avant-bec bleuätre, 
plus foncé vers la pointe et celle -ci toute blanche; la langue cou- 
leur de chair pie, dentelée vers l'extrémité, l’intérieur du bec 
bleuätre, les coins jaunâtres. La prunelle couleur de safran, Piris 
bleu d’indigo. Les plumes poileuses autour des yeux, et à la nais- 
sance du bec brun-foncé, plus clair vers le bas des oreilles. Le 
menton blanchätre, le front et le dessus des yeux, couverts d’un 
duvet blanc; le reste de la tête blanchâtre nuancée de couleur de 
rouille, avec une quantité de lignes ondulees à peine sensibles; les 
Le der- 


riere de la tête et le manteau rouge-päle, avec un grand nombre 


aigrettes courtes, noirâtres et blanchätres à la pointe. 
de lignes transversales noirâtres. Les plumes des ailes grises, en- 
tremelees d’une quantité de petits points brun-foncé et de 7 à 8 
Les tar- 
ses gantés, c’est-à-dire revètus d’un duvet blanchätre, jusqu’à la 


barres étroites de la même couleur. La queue de même. 

moitié des ergois. Le bout des doigts verdälre, couvert de quel. 
r Q s A . r 

ques écailles; les ongles noirätres et Iustrés. 


UTILITÉ. 


Celle-ci se manifeste en ce qu'il dévore ‚une quantité de sou- 
ris et d'insectes nuisibles. À la pipee et autres chasses aux oiseaux 
et surtout aux corneilles on s’en sert pour appeler les grands et les 
petits oiseaux. Le pic-verd par dessus tout aime à poursuivre la 
chouette.- Les jeunes hibous apprivoisés font l’oflice du chat, à 
l'égard des reptiles. | 

DOMMAGE. 


Il est presqu’ insignifiant. On peut aisément en garantir les 


colombiers où il se glisse quelque fois. Ainsi on deyroit bien ces- 


ser de persécuter cet oiseau, comme un volatile pernicieux. 


ENNEMIS. 


Tous les oiseaux de jour sont ses ennemis au dehors, mais ila 
aussi des ennemis intérieurs, qui lui dévorent les entrailles, Ce sont 
les vers de fil ou filandres tels que le Gordius, ’Echinoryn-. 
chus et la Festucaria oti 

DIFFERENTES MANIERES DE LE CHASSER. 

Il est difiicile d'attraper les vieux, puisqu'ils se tiennent fort 
cachés pendant le jour. On prend les jeunes dans leurs nids et à 
cette occasion, l’on peut aussi s'emparer des vieux, avec des ver- 
gettes ou les tuer au fusil. Naumann les prenoit à une attrape ou 


trébuchet de son invention, dessiné pour les oiseaux de proie. 
REMARQUE. 
Ori à coutume d'attribuer au hibou une sensibilité dans l’organe 


de la vue, qui doit l’empécher de bien voir de jour et de suporter 
Xxx : 


können. Besondere Gründe, woraufman diese Meinung stützet, 
sind uns unbekannt, wenn es nicht etwa folgende sind: 4 

1) Sobald man die Eule in das Licht bringt, so blinzt sie mit 

den Augen; 

2) sie flieht die Helle und sucht am Tage dunkle und finstere 

Orte auf. 

Man erlaube.uns, diesen zwei Gründen, die wir nicht gera- 
dezu verwerfen: wollen, einige andere entgegen zu stellen. 

Zu Nr. ı.. Die Eule blinzt mit den: Augen auch im Dunkeln;. 
auch wenn: man auf sie zugeht, wie ieder Ornitholog weils, der’ 
sie lebendig beobachtet hat. Sie kann das aus Schläfrigkeit, 
oder aus einer andern: Ursache’thun: Iagt man sie bei Tage auf,. 
so weils sie schr gut deu: Bäumen, oder andern ihr entgegen sie- 
henden Hindernissen: auszusyeichen: 

Zu Nr.o2. Sie sucht finstere Orte auf, nicht weil sie das Ta- 
geslicht blendet, sondern: weil’ sie” abends oder morgens auf die: 
Tagd geht, also, müde wird und wenig schläft, folglich am 'Tage’ 
wieder ausruhen. und schlafen.mufs;; endlich. weil.sie fast von: al-. 
len 'Tagvögeln verfolgt wird.. 

Es wäre zu wünschen, dafs über diesen’ Gegenstand: noch: 
mehrere Untersuchungen angestellet werden. möchten:.. 


134 


—— 


la lumière. Nous ignorons les raisons particulières, sur lesquelles 
cette opinion est fondée, à moins que ce ne soientles suivantes. ? 

I. Des qu'on apporte le hibou au grand jour, il clignote 

des yeux. ; 

20. I fuit la lumière et en plein jour il cherche les lieux 

sombres et obscurs. 

Nous répondrons à la première objection, que le hibou clignote 
aussi dans l'obscurité, quand om l’approche; une circonstance, 
connue de tout ornythologiste qui l’a examiné vivant. Cela peut 
arriver, par une grande envie de dormir où par quelqw autre 
cause. Car si on le poursuit de jour, il sait très bien éviter les 
arbres ou les autres obstacles quelconques, qu'il rencontre en 
son. chemin, 

20. Il cherche les retraites sombres, non: parceque la lu- 
miere du jour l’éblouit, mais parcequ’il chasse matin et soir, exer- 
eice fatigant et qui le prive du sommeil et par conséquent il a be- 
soin de reposer et de dormir, durant le jour. D’ailleurs presque 
tous les oiseaux diurnes sont ses ennemis et le poursuivent. 

Il seroit à souhaiter, qu’on fit de nouvelles recherches à 


ce sujet. 


DIE FELDLERCHE 


Saatierche. Himmelslerche. Sanglerche. Ackerlerche. Kornlerche. 

Grofse Lerche: Weglerche. 

Alauda arvenfis. Linn. fyft. nat. pag. 287. nt 1. 

Alauda arvenfis. Gmel: Liun. Lyft. nat. "PI. P. IT. pag. 7914: n..1.: 

L’Aloueite. Buf. 

The Field-lark or Sky-lark: Penn: 

Die Feldlerche: T'rifch Vorftellung der Vögel Deutfehl. Taf. XV. 

Die Feldlerche. Bechfleins ornith. Tafchenb. Th. I. 8. 198. nr. 1.. 

Die Lerche. Naumann’s Naturgefchichte der Land- und Wafferyögel des: 
nördlichen Deutfchlands, B. I. Heft-6.-8.,30. Taf. NI. fig. 6. 


Luft- 


lerche. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Wengen braungrau; die beiden äussem Schwanzfedern an- der’ 
äufsern, und ein Stük der innern Fahne weif, die spitzigen mitt- 
lern an der äufsern Seite weißsgrau, an der innern rosibraun. ein-- 

oO 2 = 


gefalst. 
BESCHREIBUNG. 


Schnabel oben gerundet, vorn stumpf, hornschwärzlieh, an! 
der Seite nach hinten und am Schnabelwinkel rostgelblich, unten 
ins Gelbliche spielend; von den bedekten Nasenlôchern: an bis: 
zum Schnabelwinkel mit herabstekenden gekrummten, schwarz- 
braunen Borsten; Augensiern nufsbraun; Scheitel- Nacken- und: 
Rückenfedern mit schwarzbraunen- Längsflecken auf dem Schaft, 
und rostrôthlichen, Lie und da auf dem Rücken nech mit weilsi- 
chen Rändern; obere Dekfedern: der Flügel schwarzbraun, mit 
rostrôthlichem Rande, die grôfsere roströthlich und weißslieh breit 
gerandet; Schwungfedern schwarzbraun, die drei vordern-auf der 
schmalen Fahne weißlich ; die der zweiten Ordnung rosiroth ge- 
randet und am Ende mit einer Kerbe;- die der dritten: Ordnung: 
schwarzbraun, am:Ennde rostbraun, an der schmalen Fahne weifs- 
lich, die der zweiten Ordnung rostroth gerandet und am Ende mit 
einer Kerbe; die der dritten Ordnung schwarzbraun, am Ende 
rostbraun, an der schmalen Fahne weilslich gerandet; Wangen 
weißslich, über den Augen ein schmaler weilslicher Streifen; die 
Ohrfedern roströthlich mit feinen: schwärzlichbraunen. Strichen. 


LALOUETTE. 


Saatlerche, Himmelslerche.. Sanglerche. Ackerlerche. Kornlerche, Luft- 

Grosse. Lerche. Weglerche. 

Alauda arvensis. Linn. Tyft. nat. pag: 287. nr, 1.: 

Alauda arvenfis. Gmel, Linn. fyit. nat, T, I. P. I. pag. 701. nr. 1, 

L’Alouette, Buß, 

The -Field-lark or Sky-lark.. Penn. 

Die Feldlerche, Frifch Vorftellung der Vögel Deutfchlands Taf. XV. 

Die Feldlerche, Bechfleins ornitholog. Tafchenbuch; Th. T.-S. 193. nr. 1% 

Die Lerche. Naumanns Naturgefchichte der Land und Waffervôgel des 
nördlichen Deutfchlands, B. I. Heft 6, S.30. Taf. VI. fig..6. 


lerche. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. | 


Le joues gris- brun. Aux deux plumes extérieures de la queue 
la barbe extérieure blanche, de même qu'une partie de la barbe 
intérieure. Les plumes pointues du-milieu ont la partie extérieure 
gris-blanc, la partie intérieure a un encadrement couleur de 
rouille. | | 

DESCRIPTION. 

Le bec arrondi par le haut, émoussé à la pointe, noir de 
corne, sur les côtés inférieurs-et dans les-coins du bec, couleur de 
rouille. Les deux narines couvertes jusqu’au coin du: bec, ar- 
mées de poil brun - foncé, inclinées et courbees en bas. L'iris 
couleur de noix foncé. Les plumes de Pocciput, du col et du 
manteau, marquées de’ taches longitudinales: brun — foncé vers la 
tige, entremélées de bordures couleur de rouille et çà et JA lavées 
de blane. Les couvertures supérieures des ailes brun-foncé, li- 
sérées de rouille, les plus grandes pennes avec large liséré, aussi 
de rouille lavé de blanc: Les pennes de vol brun-fone&; les trois 
antérieures avec barbe étroite blanchâtre, celles du second rang 
couleur de rouille et dentelees ala pointe. Celles dutroisieme rang 
brun foncé, l'extrémité couleur de rouille et la barbe étroite, li- 
sérée de blanc. Les joues blanchâtres, une bande étroite et aussi 
blanche au dessus des yeux. Les plumes des oreilles couleur de 
rouille, avec de fines interlignes brun- foncé. Le menton blan- 
chätre, le bas du col jusqu’à la poitrine couleur de rouille, avec 


des taches brun-foncé à la tige des plumes. Le reste du ventre 


Kinn weifslich, Unterhals bis an die Brust voströthlich, mit 
schwarzbraunen Schafiflecken; der ganze übrige Unterleib weifs, 
rostgelblich überlaufen; Schenkelfedern rostgelblich; Schwanzfe- 
dern braunschwarz mit braunen Schäften; die äussere auf der 
schmalen und zur Hälfte auf der breiten Fahne. weifs, mit einem 
weifsen Schaft; die zweite auf der schmalen Fahne weiß, die bei- 
den mittlern sind am kürzesten, in der Mitte schwarzbraun, ge- 
gen die beiden Fahnenränder hin ins Rostrothe übergehend, Füs- 
se im Frühiahr gelbbraun, an den Gelenken schwärzlich; Nägel 
schwärzlich, der Hinternagel gegen die Spitze weitslich; Fufssoh- 
len gelblich. 


Die Flügelspitzen endigen sich ı Zoll vor der Schwanzspitze. 
Länge 64 Zoll; Breite 13 Zoll. 


Beim Weibchen ist die Grundfarbe auf dem Unterhalse mehr 
weifs als roströthlich; überhaupt ist die Grundfarbe heller, und 
die Flecken auf dem Rücken dünkler und gröfser. 


AUFENTHALT. 


Die Feldlerche bewohnt fast die ganze alte Welt. In Europa 
findet man sie bis Nordland in Norwegen unter dem arktischen 
Kreise, in Asien bis Kamtschatka, und in Afrika auf dem Vorge- 
birg der guten Hofnung und am Nil. Sie ist in Deutschland ein 
Zugvogel, der sich im September in Herden sammelt, und zu En- 
de des Oktobers, seltener zu Anfang des Novembers von uns weg, 
sowohl bei Tage, als auch, wenn das Welter ungünstig ist, bei 
Mondschein, gegen Westen in wärmere Gegend zieht. Istiedoch 
der Vorwinter gelinde, und wenig oder gar kein Schnee vorhan- 
den; so bleiben einzelne auch länger zurük. _ Goeze iagte sie oft 
bei tiefem Schnee dutzendweise an dem See bei Aschersleben und 
Frosa aus dem Schilfgrase auf, und traf auch einzelne im Winter 
in Steinbrüchen an. In Schonen sind sie des Winters in grofser 
Menge vorhanden. Ihre Reise geht wahrscheinlich nicht weit, 
welches sich aus ihrer baldigen Wiederkunft vermuthen läfst; denn 
sie stellt sich, wenn die Witterung gelinde ist, wie z. B. in 
diesem Iahr 1806. schon zu Ende Ianuars und Anfang des Februars, 
bei uns ein, und ist also unter den wandernden Vögeln der erste. 
Fällt im Frühiahr ein tiefer Schnee, oder nur Schneegestöber mit 
Frost, so vereinigt sie sich wieder mit ihres Gleichen, und zieht 
an solche Orte, wo sie hervorkeimende Saaispitzen, und bei war- 
men Quellen Gras und Würzelchen findet, die sie dann aus Noth 
zu sich nimmt. Ihr Lieblinsaufenthalt sind Aecker, besonders Ge- 
treideäcker, Wiesen und Heiden; doch irift man sie auch auf ho- 
hen Gebirgen an, und hier soll sie sich auf Bäume und Sträucher 


seizen, welches sie im flachen Lande so leicht nicht thut, 


EIGENSCHAFTEN. 


So gesellschaftlich die Feldlerche im Herbste ist, so ungesel- 
lig ist sie im Sommer. Hat sich ein Päärchen einen Standort aus- 
gesucht, so leidet es kein anderes in seiner Nähe. Das Männchen 
stürzt sich pfeilschnell auf den fremden Gast aus der Luft herab, 
und sucht ihn durch Beifsen fort zu treiben, bei welcher Gelegen- 
heit es Ofiers hitzige.Zweikämpfe gibt. Auch im Zimmer ist sie 
mit ihres Gleichen unyerträglich. Ihren Zorn gibt sie durch be- 
sondere Töne, die wie äh, äh, klingen, zu erkennen. » Dürch ih- 
ven Flug, den sie beim» Singen unternimmt, zeichnet sie sich be- 
sonders aus. Erst steigt sie mehr oder weniger gerade in die Höhe 
und fängt ihr Lied an. Nun schwingt sie sich ganz langsam bald 
gerade, bald schneckenlinienförmig so hoch, dafs sie dem Auge 
nur wie ein Punkt erscheint, Jäfst sich zuweilen etwas herunter, 


steigt wieder und bleibt eine zeitlang in der höhern Luftgegend; 


ton 


blanc, avec une teinte de rouille pâle. Les plumes des tarses 


rouille- clair. Les pennes de la queue brun-foncé, avec tiges 


brunes, Lies plumes extérieures sur le côté étroit de la barbe et 


sur la moitié du large côté sont blanches, avec liges de la même 
couleur. Les secondes plumes ont la barbe étroite blanche. Les 
deux du milieu sont les plus courtes, le milieu brun-fonce, chan- 
geant insensiblement en couleur de rouille, vers les extrémités des 
deux barbes. Les pieds au printems jaune-foncé, noirätre aux 
articulations, les ongles noirätres, l’ergot ou ongle postérieur la 
pointe blanche et la plante des pieds jaunätre, 

Les pointes des ailes dépassent d’un pouce l'extrémité de 
la queue. 

Longueur 6 pouces +; envergure 13 pouces. 

La teinte principale de la femelle, au bas du col tire plutôt 
sur le blanc, que sur la couleur de rouille. En général le fond 
de la couleur est plus clair et les tâches du manteau, plus grandes 


et plus foncées. 
PATRIE. 


L’aloueite habite presque tout l’ancien continent. On la 
trouve en Europe jusques dans la Norvege; sous le pôle arctique, 
en Asie jusqu’au Kamtchatka et en Afrique au Cap de bonne espé- 


rance, ainsi que sur les bords du Nil. Pour l’Allemagne c’est un. 


oiseau de passage, qui se rassemble par troupes, au mois de Sep- 
tembre et qui abandonne nos contrées à la fin d'Octobre et par 
fois, mais très rarement au commencement de Novembre, pour 
gagner des pays plus chauds vers l'Ouest. Œlles voyagent de jour 
et quand le tems n’est pas favorable, aussi la nuit, au clair de 
lune. Cependant si le commencement de lhyver est doux et qu'il 
n’y ait que-peu où poini de neige, où en voit quelques-unes tarder 
Goeze rapporte, que par une neige très 
haute, il les a chassées par douzaines hors des joncs, qui bordent 
le lac d’Aschersleben et de Frose, et qu’il en a même trouvé quel- 
ques- unes isolées, dans des carrières. Dans la Scanie on les ren- 
I est vraisemblable, que leur 


encore plus long -temps. 


contre l’hyver en grand nombre. 
voyage n’est pas long, à en juger par leur retour prématuré. . Car 
elles reparoissent chez nous, quand l’hyver est modéré, avant 
tout autre oiseau voyageur; comme par exemple, par la douce 
température de 1806, nous les avons déjà vû reparoitre à la fin de 
Janvier et au commencement de F'évrier. S'il tombe beaucoup de 
neige au printems, ou seulement des flocons de neige pendant quel- 
ques jours de suite, alors l’alouette cherche ses compagnes et elles 
se rendent, par troupes dans des endroits, où le bled commence à 
pousser, ou près des sources chaudes, où elles trouvent de l'herbe et 
des racines, dent elles se nourrissent au besoin. Ses endroits fa- 
voris sont les champs, sur-tout les champs à bled, les prairies et les 
bruyères. Cependant on la rencontre quelque fois dans de hautes 
montagnes, où elle aime à se percher, sur les arbres et les buis- 


sons, ce qu’elle fait rarement dans la plaine, 
QUALITES, 


Autant Palouette est sociable, en automne, aussi peu l’est-elle 
en êté. Quand un couple s’est une fois choisi un gite, il n’en 
souflre pas d'autre, dans le voisinage. Le mâle s’élance, comme 
un trait, du haut des airs, sur Pinsolent étranger et tâche de le 
chasser à force de coups de bec, ce qui occasione souvent de ‘très 
vifs combats. Elle n’est pas plus sociable en chambre et elle ne 
supporte pas de compagne. Elle exprime sa colère par des cris, 
dont le son répond à aih, aih. Mais ce qui la distingue sur-tout des 


autres oiseaux, c’est son vol, qu’elle entreprend et poursuit en 


chantant. Elle s’éleve d’abord plus où moins perpendiculairement, 


Yyy 


en entonnant sa chanson; ensuite elle continue son vol, tantöt di- 
rectement, tantôt en ligne circulaire, jusqu’à une si grande hau- 
teur, qu’elle ne paroit plus qu'un point à l'oeil; parfois elle re- 


- 


— 


dann sinkt sie allmählig in einer Schneckenlinie bis zu einer ge- 
wissen Höhe herab; nun hört sie auf zu singen, legt die Flügel 
näher angdem Leibz und stürzt sich sehr geschwind auf die Erde 
herab. Um sich’in der Luft besser halten zu können, breitet sie 
den Schwanz fächerförmig aus. Zuweilen zieht sie, wenn sie erst 
gerade aufgestiegen ist, über einige Fluren weg und steigt höher, 
kommt aber, bei dem Niederlassen allezeit wieder in die Gegend 
zurük, von der sie aufgestiegen ist. Oefters sieht man sie ruhig 
hoch aufsteigen. Auf einmal hört ihr Gesang auf, und sie fällt 
wie ein Bleiklumpen herunter, so dafs man glauben sollte, sie wäre 
geschossen worden. Alsdann aber hat sie einen Raubvogel er- 
blikt, vor welchen sie aus Furcht sich so schnell in die Saat ver- 
birgt: Beim Herabsteigem aus der Luft läfsı sie sich niemals in 
der Nähe ihres Nestes, sondern unmer in einiger Entfernung, vom 
demselben nieder, und läuft alsdann unter der Saat vollends dahin. 
Ihren angenehmen Gesang, der aus vielen Strophen besteht, und 
aus hohen und tiefen, irillernden und wirbelnden Tönen zusam- 
men geseztist, läfst sie gewöhnlich im Fluge, aber auch im freien 
Felde auf einem Erdklofs, Stein oder Erdhügel sitzend, hören, 


So wie die Sonne untergeht, sezt sie sich gewöhnlich noch auf ei-. 


nen Erdhügel etc. singtnoch einmal ihr Lied und verstummt dann 
bis der Sonnenaufgang sie zu neuen Hymnen wieder begeistert, 
Sie singt den ganzen Sommer hindurch bis in den August, und Dur 
zur Paarungszeit wird er öfters unterbrochen. Das Weibchen: 
singt auch um diese Zeit einige melodische Strophen, Ihre Lok- 
stimme lautet im Frühiahr wie terle; im Herbste: driet. Sie ist 
gelehrig und lernt im Zimmer, auch wenn sie alt ist, die Gesänge 
anderer Vögel. Jung aufgezogen wird sie sehr zahın. Sie läuft 
rukweise und mehrentheils mit aufgehobenen Scheitelfedern, und 
öfters sehr schnell. Sie ist vor dem Menschen nieht scheu, desto 
mehr aber fürchtet sie sich vor Sperber und dem Merlin (F. Aesa- 
Jon), „welche beide sie so Ängstigen, dafs sie sich in die Häuser 
flüchtet, oder unter den Beinen des Ackermannes einen Schuzort 
sucht, oder sich in die Gleise des Fahrweges drükt. Sie badet sich 
gern im trockenen Sande. In der Gefangenschaft erreicht sie ein 
Alter von acht Iahren. Man hat aber auch Beispiele, dafs sie 20 
und 24 Iahre alt geworden ist. 
NAHRUNG. 

Diese besteht aus allerlei Simereien, z.B. Mohn, Hafer, den 
sie durch Schlagen auf den Boden ausspelzen, Buchweizen und 
Hirse, auch Feldknoblauch (Allium vineale;, von welchem ihr 
Fleisch sehr schmakhaft werden soll, grüne Saat, Hirsegras- und 
Katzenkleesamen (Panicum glaucum et Trifolium arvense L.), In- 
sekten, ihren Larven und Eiern. Der Verdauung. wegen nimmt 
sie Sand zu sich. Im Zimmer gibt man ihr geriebene gelbe Rüben 
mit Brod vermengt, etwas gequeischten Hanf und Ameiseneier, 
auch zuweilen zerhakte Brunnenkresse, Kohl oder Salat. Der 
Käfig mufs etwas groß, etwa zwei Fuß lang, einen Fufs breit, und 
die Decke von Leinwand sein, damit sie sich bei den öftern Ver- 
suchen in die Höhe zu fliegen, nicht den Kopf blutig stôfst. Auch 
troknen, geschlimmten Sand und ein Stükchen grünen Rasen muls 
man in den Käfig thun. 

FORTPFLANZUNG: , 

Sie brütet des Iahrs dreimal. Das Weibchen macht das Nest 
gewöhnlich in Getreidefelder, und auf Wiesen in das hohe Gras, 
seltener in Erbsenfelder, in eine Vertiefung zwischen Erdschollen 
aus dürren Grashalmen, Würzelchen, Haaren und Federn, die 


1236 


descend un peu, remonte’et reste un certain tems dans la haute 


région de Pair, puis elle s’abaisse insensiblement, en tournoyant 
jusqu'à une certaine distance de la terre, alors son chant cesse 
tout à fait, elle rapproche ses ailes et se précipite pour ainsi dire 
äterre. Afım de se soutenir plus facilement en l'air, elle déploye 
sa queue; en forme d’éventail, On la voit quelquefois, après qu’elle 
est montée en droite ligne, parcourir une étendue de terrein, en- 
suite s’clancer plus haut, mais elle revient constamment descendre 
au lieu de son départ. Souvent on lappercoit s'élever tranquille- 
ment; tout à coup son chant cesse ct elle tombe à terre comme une 
piece de plomb, eusorte qu’on la eroiroit tuée. L'aspect inattendu 
d’un oiseau de rapine a causé cette chute subite et elle court se ca- 
cher dans les bleds. En quittant les airs, elle se garde bien de 
descendre près de son nid, nrais toujours à une certaine distance, 
d'où elle va le rejoindre à couvert des plantes céréales. Son chant 
qui est composé de plusieurs cadences, fredonnées sur plusieurs 
notes hautes et basses de la gamme, ne s’entend d'ordinaire que 
durant qu’elle vole. Quelque fois elle chante aussi en plein champ, 
assise sur une pierre, sur une motie de terre, ou un terre, Suivant 
un observateur, quand le soleil est prèt à se coucher, elle se pose 
ordinairement sur un tertre, gazouille encore son air, puis elle 
reste muette, jusqu’à ce que le retour-du flambeau de la Nature l'a 
nime à de nouveaux chants. TL’alouette chante tout Pete jusqu’au 
mois d'Août, excepté à l’époque de ses amours, où elle s’interrompt 
souvent, La femelle alors fait aussi entendre quelque mélodie. 
Son appel au printems produit un son comme terle et en au- 
tomne comme driet. Elle apprend facilement et même dans la 
captivité à imiter Le chant des auires oiseaux. Dans le jeune âge on 
Vapprivoise jusqu’à la familiarité. Elle court aussi à rebours et 
souyent très vite, en dressant les plumes de sa tête, Les hommes . 
ne lui inspirent aucune crainte, mais elle redoute d’autant plus 
Pepervier et lémérillon des fauconiers, (F. Aesalon) ensorte que 
pour les éviter, elle se’ tapit souvent dans les ornières des grands 
chemins. Elle cherche même un abri, jusques dans les maisons 
ou entre les jambes de l’homme, quilaboure. Elle aime à se jouer 
dans un sable aride. Dans la captivité elle atteint ordinairement 
l’âge de Sans. On en a même vù vivre jusqu’à 20 et 24 ans. 


NOURRITURE. R 


Celle-ci consiste en toutes sortes de graines, telles que semen- 
ces de pavots, bled noir, millet et avoine, qu’elles egrainent, en 
les frappant contre terre. Elles aiment aussi l'ail des vignes, (al- | 
lium vineale) qui donne à leur chair un gout appétissant, le bled 
en herbe, la graine du pawic verd ou petit millet et du pied de 
lieyvre. (Panicum glaucum et trifoliumarvense L.) enfin 
les insectes, ainsi que leurs oeufs et leurs nymphes. L’alouette 
avale du sable, pour.digérer. Dans la captivité, on lui donne des 
carotes rapées, mêléés ayec du pain, des oeufs de fourmis, tant 
soit-peu broyés et de tems à autre du cresson de fontaine haché 
menu, des choux et de la salade. Sa cage doit être un peu grande, 
d'environ 2 pieds de long sur un de large. Il faut avoir soin de 
garnir le dessus intérieur d’une toile, afin quelle ne se blesse pas 
la tête, par les efforts multipliés, qu’elle fait pour s’enyoler. 


PROPAGATION. 


Elle couve trois fois l'année, La femelle bâtit ordinairement 
son nid, dans les champs de bled et dans des prairies couvertes 
d’une herbe haute, rarement parmi les pois. Elle le pose dans 
un cieux, enire des mottes de terre. Il est composé de brins 
d'herbe, de petites racines, de cheveux et de plumes, qui sont 


— 157 


das Männchen herbei trägt, und legt darein, vier bis sechs weifs- 
graue, mit braunen Punkten und Flecken besprengte Bier, die es 
in vierzehn 'Tagen ausbrütet. Die Jungen laufen, sobald sie nur 
ein wenig befiedert sind, aus dem Neste und halten sich aus Furcht 
vor ihren Feinden, oft hundert Schritte entfernt von einander. Den 
Alten, welche über dem Acker herum schweben, geben sie sich 
durch Pipen zu erkennen. Sie haben bis zur ersten Mauser über 


den ganzen Körper viele weise Punkte. 


NUTZEN 


Diesen bringt sie theils durch ihren angenehmen Gesang im 
Freien und in der Gefangenschaft, theils durch ihr Fleisch, wel- 
ches eins der schmakhaflesten Vogelgerichte abgibt. Vorzüglich 
sind in der Hinsicht die Leipziger Lerchen und dicienigen, wel- 
Die 


. meisten von denienigen, welche wir unter den Namen Leipziger 


che um Halle und Merseburg gefangen werden, berühmt. 


Lerchen erhalten, werden nach Goeze, nicht sowohl um Leipzig, 
als vielmehr bei einem Städtchen zwischen Leipzig und Dessau, 
wo viel Hirse gebauet wird, gefangen, und nach Leipzig geschikt. 
Im Iahr 1720. wurden in einem Monat 404540. Stük Lerchen in 
diese Stadt gebracht. Sie sollen fetter sein, und einen weit bes- 
sern Geschmak als andere Lerchen haben. Bechstein fand zwi- 
schen den Leipziger und Thüringer Lerchen keinen Unterschied ; 
aber soviel ist gewifs, dafs man in den leztern Gegenden oft in ei- 
nem Abend Lerchen fängt, von welchen ein Theil den gerühmten 
Geschmak hat, der andere nicht. 
denienigen, welche eine zeitlang tod hingen, durchaus dieser Ge- 


Bekanntlich erhält ia auch alles Wildpret, 


Bechstein bemerkte auch, daß 


‚schmak eigen war. 
wenn es einige Tage im Freien hängt, einen feinern Geschmak. 


Der 
SCHADEN 


den sie etwa im Getreide stiften könnte, kommt in keinen Be- 
tracht. 
FEINDE 
hat sie an dem Fuchs, Iltis, dem grofsen und kleinen Wiesel 
- (Mustela erminea et must, vulgaris), dem Hamster (Mus gricetus 
vulgaris), der Spizmaus (Sorex araneus), welche die Eier und 
Junge fressen. Der Rabe (corv, corax) und die Rabenkrähe (corv. 
.. corone) stehlen ihr die Zungen aus dem Neste, und werfen sie zum 
Frafs ihren eigenen Iungen vor. Die Alten werden fast von allen 
grôüfsern und kleinern Raubvögeln, besonders von dem Merlin (F. 
Acsalon), dem Sperber (F.Nis.), Thurmfalken , der Kornweihe 
(F. cyaneus) und dem grolsen grauen Würger (Lan. Excubitor ) 
verfolgt. Inden Gedärmen nährt sie auch Zwirnwürmer, 
IAGD UND FANG. 


{ 


Sie gehört zur niedern Iagd, und wird im Frühiahr einzeln 
für die Küche geschossen. Fällt um diese Zeit Schnee , so wählt 
“ man sich auf einem Felde einen Plaz aus, entblöfst ihn von Schnee, 

streut Haber etc. auf, und stekt Leimruthen hin , mit welcken man 


in kurzer Zeit viele fangen kann. 


Der vorzüglichste Fang aber geschieht mit den Garñ, wovon 
man zweierlei hat, nämlich das Taggarn (Tagnez) und das Nacht- 
garn (Nachtnez, Streichnez, Dekgarn). Mit den erstern, welches 
weite Maschen hat, fängt man bei Tag nachmittag um 5. Uhr, wenn 
heiteres und stilles Wetter ist, auf freiem und ebenem Felde. Die- 
ser Fang endigt sich mit dem Eintritt der Abenddämmerung, und 
ist so ergiebig, dafs man an einem Abende zuweilen sechzig und 
mehr Schok Lerchen mit nach Hause trägt, 


Zza 


apportés parle mâle. Elle pond de 4 jusqu à 6 oeufs gris-blancs, 


marquetés de taches et de points bruns, qu’elle fait éclore en 
dix jours. A peine les jeunes sont-ils emplumés, qu’ils sortent 
du nid, se mettent à courir et se tiennent d'ordinaire à une centai- 
né de pas éloignés les uns des autres, par crainte de’ l'ennemi 
Is appellent l’attention des vieux, qui planent au dessus d'eux, 
par leurs cris pip pip. Leur corps est tout couvert de points 


blancs , jusqu’ à la première mue. 


UTILITÉ. 


On peut ranger sous ce titre son chant agréable, aussi bien 
en plein air, que dans la captivité. Pour ce qui est de sa chair, 
qui ne sait point, que c’est une des plus délicates, parmi celles des 
oiseaux, qui couvrent nos tables? Les alouettes les plus estimées en 
Allemagnesont celles de Leipsick, et celles qu’on chasse entre Halle et 
Mersebourg. La plupart de celles qui se vendent sous la rubrique 
de Leipsick, viennent, suivant Goeze, d’une petite ville située entre 
Dessau et Leipsick, où lon cultive beaucoup de millet et se trans- 
portent dans cette dernière ville. En 1720 on y apporta, dans 
Pespace d’un mois 402540 piéces de ce gibier. Elles passent pour 
être glus grasses et pour avoir un fumet plus,delicat, que les autres 
alouettes. Bechstein assure n’avoir trouvé aucune difference, entre 
Ce qu'il y a de 
certain c’est que, dans les environs de cette ville, on attrane sou- 


les aloueites de Leipsick et celles de la Thuringe, 


vent, dans une même soirée, des alouettes, qui ont ce fumet si vanté 
et d’autres, qui ne l’ont pas. Bechslein a aussi remarqué, que ce 
goût étoit généralement le partage de celles, qui restoient suspen- 
dues quelque tems dans un gä®de - manger aire. Au reste c’est un 
fait constant, que toute espäge de gibier, qui a été suspendue quel- 
ques jours en plein air a un goût plus délicat que d’autre. 


DOMMAGE. 


Celui qu’elles peuvent causer, dans les bleds, n’est absolument 
d'aucune importance. 


ENNEMIS. 


Le renard, la fouine, la grande et la petite belette (Mustela 
érminea et mustela vulgaris), le hamster (Mus gricetus 
vulgaris), la musaraigne (Sorex araneus), dévorent les oeufs 
el les jeunes de lPalouette. Le corbeau (corvus corax) et la 
corneille (coryus corore) lui enlevent sa progéniture dans son 
nid et apportent à manger à leurs propres petits, Quant aux adultes 
elles sont exposées aux poursuites de tous les grands et les petits 
oiseaux de rapine, mais surtout de l’émérillon des fauconiers (F. 
Aesalon) de l’épervier (F. Nis.) de lémouchet, de Poiseau St, 
Martin, (F. Cyaneus) et de la piegriéche (Lan. exoubitor) 
Avec tant d’ennemis au dehors, un ver de la famille des filandres 
lui ronge encore les entrailles. 


MANIÈRES DE LA CHASSER. 


On le 
S'il vient à neiger dans cette 


L’alouette appartient à la petite chasse ou venerie, 
lire au printems pour la cuisine. 
saison, on choisit une place bien unie dans un champ, après en 
avoir déblayé la neige, on y répand de l’ayoine ou d’autres grai- 
ries et l’on plante çà et la des vergettes, avec lesquelles on en 
prend une quantité en très peu de tems. 

Mais la principale maniere de les attraper est au filet, 
en a de deux sortes: le filet de jour et le filet de nuit. 


y 
Avec le 
premier, qui a de grandes mailles, la chasse commence à 3 heu- 
res après midi en plein champ, sur un terrein plat, par un ciel 
serein et tranquille et finit avec le crépuscule. Cette chasse est 
quelque fois si abondante, qu’on en a rapporté jusqu’ à 60 dou- 
zaines et plus dans une après midi. 


nel 


Das Nachtgarn braucht man blofs bei der Nacht. Ie dunkler 
diese ist, desto besser geht der Fang von statten. Bei Tage muls 
man sich aber vorher dieienigen Aecker bemerken, auf welchen 
sich viele Lerchen niedergelassen haben, 

Im September oder August fängt man die Lerchen mit dem 
Falken und dem Tirafs. 
ken (F. subbuteo), der wohl abgerichtet sein und gut auf der 
Hand sizen mufs, und trägt ihn an solche Orte, wo sich Lerchen 
befinden. 
niederfällt, geht darauf zu und bewegt während des Geheus be- 
ständig die Hand , auf welcher der Baumfalke sizt , damit er mit 
den Flügeln fächelt. „Erblikt ihn die Lerche, so liegt sie toden- 
stille und drükt sich platt auf die Erde. Nun kann man sie eht- 
weder, wenn zwei Personen sind, tirassiren, oder wenn es nur 
eine ist, mit einer Art von Hamen, ia wohl gar mit der Hand 


Man wählt in der Absieht den Baumfal- 


Fliegt eine auf, so merkt man sich den Ort, wo sie 


fangen. 

Man fängt sie auch auf besonders dazu eingerichteten Her- 
den, wobei man sich einer Loklerche,, Läuferlerche und eines 
Ruhrvogels bedient. Andere gebrauchen statt der Lokvögel einen 
Spiegel , der sich mittelst einer langen Schmur nach verschiedenen 
Seiten wenden läfst. * Der Vogelfänger sizt in einer in die Erde ge- 
grabenen Höle und regiert den Spiegel sobald 1.erchen angeflogen 
kommen. Erblicken diese-die Lerche in demselben, die sie für eine 
wirkliche halten; so fliegen sie auf sie herab und werden gefangen. 
Will man sich einen guten Sänger verschaffen, so geht man mit 
einer Lerche, der man die Flügel zusammen gebunden und daran 
ein Leimrüthchen befestiget hat, auf das Feld. So bald eine schön 
singende Lerche in der Höhe und nahe genug ist, läfst man die 
Lerche mit der Leimruthe laufen, ES Sänger von Eifersucht ge- 
reizt, stürzt aufseinen Nebenbuhler, sobald er din ansiehtz \ 
herab; und wird gefüngen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Alauda arvensis alba. Die weifsë Feldlerche. 
weifs, oder gelblich weils, und zuweilen mit dunklern Far- 
ben schaitirt. Frisch Vögel. Taf ı6.fig. 2. b. 

Die schwarze Feldlerche. 


Eintweder rein 


2. Alauda arvensis nigra. Rauch- 
schwarz "selten kohlschwarz. Diese dunkle Farbe erhalten 
sie gewöhnlich im Zimmer. 


Die rostrothe Feldierche.  Rostroth- 


5. Alauda arvensis rufa. 

braun. 

Alauda arvensis isabellina. Die semmelfarbige Feldlerche. Isa- 
bellfarbig oder auch rostgelb. Der Bauch ist weifs, der Rü- 
cken mit Weifsgrau untermischt. Wir besitzen diese Abart 
selbst. 

5. Alauda arvensis ruficeps? Die braunköpfige Feldlerche. Roth- 

braun mit schwarzen Strichelchen, die auf dem Kopfe in Strei- 


4 


fen zusammen fliefsen. Borkhausen scheint sie eine besonde- 

re Art, Bechstein eine vom Klima herrührende Abart zusein. 
6. Alauda arvensis varia. Die bunte Feldlerche. Weifs geschäkt. 

Noch unterscheidet man gröfsere und kleinere Feldierchen , 
eben so auch eine hochbeinige, welche etwas höhere Fülse hat. 


158 — 4 


Le second filet ne s’emploie, que de nuit. Plus celle-ci est 
Mais il faut auparavant observer 
de jour les champs, que les alouettes fréquentent en plus grande 


quantité. 4 


obscure, plus la chasse réussit, 


Aux mois d’Août et de Septembre, on chasse les aloueites au 
faucon ou à la tirasse (tonuelle). On choisit à cet effet le hobe- 
reau, (F. Subbuteo) qui doit être bien dressé et poser sur la 
main. On le porte en des endroits, où il y à des alouettes. En 
voit-on s’élever une, on remarque la place, où elle descend, on 
s’en approche et chemin faisant on agite sans cesse la main, où 
le faucon repose, afin qu’il batte des ailes. Des que l’alouette l’ap- 
perçoit elle se couche et s’applatit contre terre , immobile, comme 
si elle étoit morte. Alors, si lon est deux, on peut la prendre à 
la tirasse, ou quand on est seul avec une espèce de truble et même 
avec la main. 

On les attrape aussi sur des aires, arratigées exprès, où l’on 
employe des alouettes d'appel, attachées à une ficelle, 

ll en est d’autres, qui au lieu des oiseaux d’appel se servent 
d’un miroir, auquel par le moyen d’un cordon, ils donnent diffe- 
rentes directions. L'oiseleur assis, dans une fosse creusée à cet 
effet, dirige le miroir, suivant le vol des oiseaux. Lorsque ceux-. 
ci apercoivent dans la glace, l’image de Palouette, qu'ils prennent 
pour une véritable, ils plongent sur elle et on les prend. Veut- 
on se procurer tm oiseau qui chante bien, on va aux champs, avec 
une alouetie, à laquelle on a lié les ailes et qui est attachée à une 
vergette. Des qu’on en observe une, qui a un beau ramage et 
qu'elle est assez proche, on laisse courir l’alouette avec la vergeite. 
La chan!euse, p'eine de jalousie dès qu’elle laperçoit, fond sur 
sa rivale et elle est prise. 


1 


VARIETES. 


ı. Alauda arvensis alba. L/alouette blanche, Elle est d’un 
‘blanc pur, ou jaunätre, avec des ombres plus foncées. Frisch 
cegel. Taf. 16, fig. 2. b. 

2. Alauda arvensis nigra. Ele est couleur de fumée, rare- 
ment couleu‘ de charbon. Elle prend ordinairement cette 
derrière cou:eur, dans la chambre, 

5. Alauda arvensis rufa Alouette couleur de rouille. Rou- 
ille rougeätre. 

4. Alauda arvensis isabellina. T/alouette isabelle, ou jaune 
de rouille. Le ventre blanc, le dos nuancé de gris-blanc. 
Nous possédons nous mêmes cette variété. 

5. Alauda arvensis ruficeps? L’alouette à tête brune. Rou- 
ge-foncé, avec de petites rayes noires, qui se terminent en 
bandes noires sur la tête. Borckhausen semble la considérer, 
comme une espèce particulière, Bechstein au contraire comme 
une variété, provenante du climat, 

6. Alauda arvensis varia. 
blanc. 


L’alouette pie. Mouchetée de 
On distingue encor les petites et les grandes alouettes et les 


alouettes à longues jambes, qui sont montées plus haut que les 
autres. 


Ds) 199 m 
DER FICHTENKERNBEISSER. LE GROS-BEC DU CANADA. 
Fichtendikschnabel. Fichtenhhckeri Finnischer Dompfaffe. Kern- Der Fichtenkernbeisser. Fichtendickschnabel. Fichtenhacker. Finnischer 
fresser. Grofser Kernfresser. Grofser Kreuzschnabel. Roiher Kern- . 


beisser. 
Loxia Enucleator. Linn. fyft. nat. pag. 290. n. 3. 
Loxia Enucleator. Gmel. Linn. fyit. nat. T.J. P. II. pag. 
Le Gros-bec du Canada. Le Durbec. Buf. 
The Pine Grosbeak. Penn. : 


Der Fichtenkernbeisser. Bechfleins ornith. Taschenb. Th. I. S. 107. nr. 3. 


845, nr. 3. 


KENNZEICHEN DER ART. , 
Min nchen. Roth, oder grüngelb; der Oberschnabel geht weit 
über den untern herab, olme sich ‚mit diesem zu kreuzen; 
‚auf den Flügeln eine doppelte weilse Binde; der Schwanz 
 schwärzlich. 
W eibchen. .Kopfund Unterhals rothgelb, grau gewölkt; Bauch 
grau; Rücken graubraun, grau gewölkt. 


bob ve BESCHREIBUNG, 


Der Schnabel gebogen, über den untern herabgehend, brain, 
mit schwachem, röthlichem Schimmer; Unterschnabel vom Grun- 
de an bis zur schwärzlichen Spitze röthlich fleischfarben; ringsum 
auf dem Grunde des Oberschnabels mit steifen bräunlichen Federn 
besezt; Kopf, Hals, Brust, Oberbauch und Steifs hell karmoisin- 
roth; Unterrücken karmoisinroth, mit Aschfarbe untermischt; der 
untere Theil der Flügel, die Mitte des Unterbauchs und Schenkel 
hell aschfarben; von den Nasenlöchern bis zu den Augen läuft eine 
kaum bemerkbare schwarze Linie; die Afterfedern hellgrau, mit 
grofser, weifslicher Einfassung; die obern Flügeldekfedern grau, 
mit karmoisinrother Einfassung und eiwas karmoisinrothen Anflug; 
die zwei Reihen der gröfsern Flügeldekfedern schwärzlich, mit 
einem grofsen weilsen Saum und bilden mit den weifsen Spitzen 
der hintern Schwungfedern zwei weilse Binden, welche hin und 
wieder ebenfalls etwas karmoisinroih sind; die Schwungfedern 
schwärzlich, mit röthlicher Einfassung; Schwanz schwärzlich, uu- 
ien srau, an der äufsern Fahne karmoisinröthlich eingefafst, Die 
Füfe braunschwärzlich. 

Die Flügelspitzen endigen sich etwas über der Mitte des 
Schwanzes. 

Länge 7% Zoll; Breite 12 Zoll. 

Das Weibchen ist vom Männchen merklich verschieden, 
Schnäbel, Augen und Füfe wie beim Männchen; Kopf, Hals, 
Nacken, Brust und die obern Dekfedern des Schwanzes orange- 
roth; der ganze Unterleib aschgrau, elwas ins Orangefarbige spie- 
lend, Rücken und obere Schulterfedern grau, gelbgrünlich ge- 
mischt ;Schwungfedern schwärzlich, die vordern 'grünlich einge - 
fafst; die zwei Reihen grofser Dekfedern schmutzig weils gerandet; 
die inwendigen Flügel und Seiten hell aschfarbig; die Federn des 
schwärzlichen Schwanzes bıäunlich, weils gesäumt, 


AUFENTHALT. 


Das Vaterland dieses Vogels ist Canada bis Zur Hudsonsbay 


hinauf, wo er den ganzen Winter bleibt. In Schweden, Liefland 
und Curland wird er häufig gefunden. Nach Upland, dem nôrdli- 
chen Rufsland und Sibirien kommt er in marichen Jahren in grofser 
Anzahl. Auch in Schottland hat man ihn im August gesehen, wo- 
raus man schliefset, dafs er daselbst brütet, Nach dem nördlichen 


Dompfaffe. : Kernfresser. 
bel. 
Loxia Enucleator, Linn. fyft. nat. pag. 299. nr. 3. 
Loxia enucleator. Gmel. Linn. fyft. nat. T.I. P.II. pag. 845. n. 3 
Le gros-bec du Canada. Le Durbec. Buff. 
The Pine grosbeak, Penn, 


Grosser Kernfresser. Grosser Kreuzschna- 


Rother Kernbeisser, 


Der Fichtenkernbeisser. Bechfleins ornith. Taschenb. T.I. p.107. nr, 3 


0 
- 


CARACTERES SPEOIFIQUES, 


Le mâle. Rouge, ou jaune-verdätre. La mandibule superieure 
du bec dépasse de beaucoup linférieure, sans la croiser; 
une bande blanche sur les ailes, la queue noirätre, 

La femelle. La tête et le’dessous du col jaune-rougeâtre, avec 
des nuances de gris. Le ventre gris, le dos gris-brun, lavé 
d’un gris plus clair, 


DESCRIPTION. 


je er: . Lam; 

La mandibule supérieure se recourbant sur linférieure brune, 
foiblement lustrée de rouge; l’inférieure couleur de chair foncé de- 
puis la base jusqu’à la pointe, qui est noirâtre. La naissance de la 
mandibule supérieure, garnie de plumes roides et brunes, La 
tête, le col, la poitrine, le haut du ventre et le sternum d’un rouge 
tramoisi; le mañteau de la même couleur, nuancé de gris=cendré, 
Le dessous des ailes, le milieu du bas ventre et les cuisses gris- 
cendré clair. Des narines jusqu'aux yeux s’etend une ligne noire, 
qu’on apperçoit à peine. Les plumes du sternum gris-clair, avec 
un large liséré blanchâtre. Les couvertures supérieures des-ailes 
grises, avec une foible teinte de cramoisi et un liséré également 


cramoisi. Les deux ranss des 
8 


grandes couvertures des ailes noirâ- 
tres, bordées d’un grand jiséré blanc, qui forme conjointement ayec 
les: poinies blanches des dernières pennes des ailes deux bandes 
blanches, nuancées çà et là de cramoïisi; les pennes des ailes noi- 
rälres, encadrces de rouge. La queue noirâtre, le dessous gris, 
la barbe extérieure lisérée de cramoisi. Les tarses noir brun, 

Les extrémilés des ailes dépassent un peu la moitié de 
la queue, 

Longueur 7 pouces 3.,; Envergure 12 pouces. 

La femelle se distingue fort du mâle. Le bec, les yeux et les 
tarses sont, à la vérité comme chez le mâle, mais la tete, le col, la 
nuque, la poitrine et les couvertures supérieures de la queue sont. 
d'un jaune orangé; tout le dessus du corps gris-cendré, avec un 
chatoyement orangé, Le manteau et les plumes des poignets dés 
ailes, grisés, nuancées d’un jaune verdätre; les pennes des ailes 
ñoirâtres, les premières ayec un liséré verdätre. Les deux rangs 
des grandes couvertures, bordés d’un blanc sale, l’intérieur des 
ailes et les bords gris-cendré clair; les pennes de la queue brun- 
noirâtre, avec bordure blanche, 


PATRIE. 

Cet oiseau passe pour être originaire du Canada jusqu’à la 
baye de Hudson, où il passe tout Phyver. Il se trouve en foule 
dans la Suede, la Livonie et la Courlande. Dans certaines années 
il arrive aussi par grandes troupes dans PUpland, province sué- 
doise, dans la Russie septentrionale et la Sibérie. On la aussi 


apperçu en Ecosse, au mois d’Aöut; de là on conjecture, qu'il s’y 


Aaaa 


— 140 


Deutschland; z. B, Pommern und Schlesien, kommt er selten, und 
ist hier als ein Zugvogel zu betrachten. In seinem Vaterlande ist 
er ein Strichvogel, der in Gesellschaft seines Gleichen im Herbste 
und Winter von einem Orte zum andern ziehet. Er wohnt im 
Sommer in Schwarzwäldern, im Winter aber an solchen Orten, 


wo er Beeren findet. 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein gutmüthiger, aber auch dummer Vogel, und so wenig 
menfchenfcheu, dafs er fich, besonders wenn er über seinem Fral- 


se begriffen ist, leicht fangen läfst. Er wird daher auch im Zimmer 


leicht sehr zahm, frifst seinem Fülterer aus der Hand, sezt fich . 


ihm aufdie Achsel, u. s. w. Sein Gesang, den er nur im Früh- 
jahr hören läfst, ist leife, aber nicht unangenehm und aus vielen 
Abänderungen zufammen gesezt. Er singt auch bei der Nacht. 


Uebrigens ist er sehr frefsbegierig. Seine 


NAHRUNG 


besteht aus allerlei Sämereien z. B. Fichtensamen, und Beeren. 
Besonders gern frifst er Vogel - Wachholder - und Elsebecren 
(Pyrus torminalis). Er weifs die. Samenkörner selır geschikt aus 
den Beeren zu hülsen. Hat er sich auf einem Baum eingefunden, 
so geht auch das Fressen unaufhörlich fort. In der Gefangen- 
schaft gibt man ihm Hanf, Beeren, Rübsamen und andere Sä- 


mereien, 
FORTPFLANZUNG. 

Das Nest, welches aus Reisern verfertigt und mit Federn aus- 
gefüttert ist, macht er in einer geririgen Höhe auf Bäume. In das- 
selbe legt das Weibchen vier weifse Eier, welche im lulius aus- 
gebrütet werden. Die Jungen sind bräunlich, mit einem gelben 
Im ersten Jahr ist Kopf, Hals, Rücken und Brust roth, 
mit kleinen braunen Flecken; in der Folge werden sie gelb. 


Anstrich. 


NUTZEN. 


Sein Fleisch ist efsbar. Er wird daher im Herbste in Menge 
nach Petersburg auf den Markt zum Verkauf gebracht. 
Gesanges und seines Betragens wegen hat man ihn auch gern in 


Sein 


Seines 


dem Zimmer. 
SCHADEN 


möchte nur dann in einige Betrachtung kommen können, wenn er 
in solchen Gegenden in grofser Menge sich einfindet, wo viele EI- 
sebeeren wachsen, die dem Menschen bekanntlich auch zur Nah- 
rung dienen. 


FEINDE 


wissen wir von ihm nicht anzuführen. 


IAGD UND FANG. 


Er ET sich leicht fangen und schiefsen. Im Spätherbste 


fängt man sie in der Schneulse, 


reproduit. Ils’&mancipe rarement, jusques dans le nord de PAlle- 
magne, comme par exemple dans la Poméranie et la Silésie, en- 
sorte qu’on peut l'y considérer comme un oiseau de passage, Dans 
sa patrie mème il appartient aux oiseaux de cette classe, puisqu'il 
s'envole par troupes avec ses pareils, d’un lieu à un autre, en au- 
tomne et en hyver. Lete il habite les bois de sapins eic.; mais 
Fhyver il prefere les lieux, où il trouve des bayes. j 


QUALITÉS. 


Cet oiseau n’est pas méchant, mais il est sot et il redoute si 
peu l’homme, que lorsqu'il est en train de manger, il se laisse 
aisément attraper. Aussi l’apprivoise-t-on facilement en cham- 
bre; il mange dans la main de celui qui le nourrit, se pose sur ses’ 
épaules etc. Son ramage, qu’on entend au printems sans être très 
marquant, est cependant agréable et renferme beaucoup de varia- 


tions. Il chante aussi la nuit. Du reste c’est un grand mangeur. 


Il fait sa 


NOURRITURE 


de différentes espèces de semences, entr’autres de pin etc. et de 
toutes sortes de bayes. Il aime surtout celles du sorbier, du ge- 
nèvrier et de Palisier torminal (Pyrus torminalis). Il montre 
son adresse, dans sa manière de tirer les semences de leurs enve- 
loppes. Des qu’il est une fois sur un arbre, il ne cesse de dévorer. 
On lui donne dans la captivité des graines de chanvre, de la se- 


mence de lin et autres semences et des bayes de toute espèce. 


PROPAGATION. 


Il bâtit son nid, sur des arbres d’une hauteur médiocre, avec 
de petits morceaux de bois et if garnit l’intérieur de plumes. La 
femelle y dépose 4 oeufs blancs, qu’elle fait éclore en Juillet. Les 
jeunes sont d'une couleur brune, nuancée de jaune. La premiere 
année ils ont la tete, le col, le manteau et la poitrine rouges, avec 


quelques taches brunes. Dans la suite ce rouge devient jaune, 


UTILITÉ: 


- Sa chair est mangeable. Aussi en apporte-t-on une quan- 


tité sur le marché de Pétersbourg en automne. On aime également 


a l'avoir en chambre, à cause de son chant et de sa bonnacité, 


DOMMAGE. 


Il pourroit être sensible, dans les contrées fertiles en cormiers 


et où cet oiseau se trouyeroit en quantité, puisque les bayes de 
cet arbre servent aussi, comme on sait, de nourriture à l’homme. 
ENNEMIS. 
Après l’homme il n’en a sans doute pas d’autres, que les 
oiseaux de proie ordinaires, 
MANIÈRES DE LE CIASSER. 


Il est facile ä prendre et à tuer. Quand l'automne est ayancé, 
on l’attrape sur des aires au filet, 


à 


141  — 


DER SCHNEEAMMER, 


Schneeemmerling. Geschäkter Emmerling, Winicrling. Sehncevogel. 
Wintersperling. Schneesperling. Schneelcrche. 

Emberiza nivalis. Linn. fyft. nat. p. 308. nr. 1. 

Emberiza nivalis. Gmel, Linn. fyft. nat. T. I. P. II. pag. 866. nr. 1. 

Emberiza muftelina - - - - = - - - pag. 867. nr. 7. 

Emberiza montana  - - - - = = - - pag: 867. nr. 25. 

L’ortolan de neige. Buff, 

Snow -Bunting. Penn. 

Der Schnecammer. Teutsche Ornithologie, Heft III. Männchen und 

-  Weibchen. 

Der Schneeammer. Bechfteins ornith. Taschenb. Th. I. S. 137. nr. 6. 

Der Bergammer. EM a NT. 7: 

Die Schneelerche. Naumanns Naturgesch. der Land- und Wasservôgel. 
B. 2. 5.45. B. 4. 8. 6. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Di Schwungfedern weifs, der vordern untere Flälfte schwarz, 
mit weilsen Spitzen; Schwanzfedern schwarz, die drei äufsern 
weifs. 

BESCHREIBUNG, 

Da dieser Ammer in seinem Farbenkleide so sehr veränder- 
lich ist; so wollen wir ihn hier nach seinem verschiedenen Ge- 
schlecht und Alter beschreiben, in der Hiofnung, dafs es uns ge- 
lungen sein mag, die bisher über diese Art obgewalteten Irrthiimer 
za beseitigen und ihre, Naturgeschichie reiner darzustellen, als es 
bisher in den ornithologischen Schriflen geschehen ist, 

Dasalte Männchemim Winterkleide. Der Schna- 
bel schwarz, am Grunde des Unterschnabels gelblich; Augensiern 
braun; Kopf, Hals und der ganze Unterleib rein weils, auf der 
Stirn und zur Seite des-Halses ein undentlicher bräunlicher Fle- 
cken; der ganze Rücken, die Rücken-und Schulterfedern schwarz, 
hin und wieder mit noch etwas merklich bräunlich weilsen Spitzen; 
die Steifsfedern mit breiter weilser Einfassung, die lezten fast ganz 
schmutzig weißs; (die erste Ordnung der Schwungfedern zur Hälfte 
weifs, das übrige schwarz, die andern ganz weils, bis auf die drei 
lezten,. welche wieder schwarz find; die drei Federn des Afterflü- 
gels ganz schwarz; Schwanz gabelförmig; die drei ersten Federn 
rein weils, „mit einem ‚schwarzen Spitzensirich auf der äufsern 
Fahne, die vierte auf der äufsern Seite weiß, mit einem grofsen 
schwarzen Spilzenflck; die innere Seite ganz schwarz, die vier 
mittelsten Federn ganz schwarz, mit weifslicher Spitzeneinfassung. 

Füfse und Nägel schwarz; die Hinierzehe hat einen Lerchensporn 
von der Länge eines halben Zolls. 

‘Das Männchen in der Tugend, oder im Sommer- 
besonders Herbsikleide wach der Mauser. Schnabel 
gélb, an der Spitze schwärzlich; Augenstern braun; Kopf, Nacken 
ünd Wangen rostbraun, mit etwas Weils uniermischt; über den 
Augen und unter der Kehle schmutzigweils ; Obertheil der Brust 
nur wenig hell rostbraun; der übrige Theil derselben, famt Bauch, 
After und der Gegend unter den Flügeln weils; die Rückenfedern 
schwarz, mit Fellbraun und Weifs untermischt‘; Unterrücken rost- 
braun ; die erste Ordnung der Schwungfedern zur Hälfte weils, das 
Uebrige schwarz, mit schwacher weilslicher Einfassung; die folgen- 
den weifs, mit einem kleinen schwarzen Spitzenstrich ; die drei lez- 
ten schwarz, mit grofsen rothbraunen Rändern; die Dekfedern 
der ersten Ordnung schwarz, die übrigen weils; obere Dekfedern 
des. Schwanzes schwarz, mit röthlichweilsen Kanten; Schenkel- 
federn graulich; Schwanz schwarz mit weifsen Federrändern; die 
äufsern Federn weifs und nur zum "Theil schwarz, 


L’ORTOLAN DE NEIGE. 


Schnecammer. Schneeemmerling. Geschäckter Emmerling. Winterling. 
Schneevogel. Wintersperling. Schneesperling. Schneelerche. 

Emberiza nivalis. Linn. fyft. nat. p. 308. nr, 1. 

Emberiza nivalis. Gmel. Linn. fyft. nat. T.I. P.II. p- 866. nr. ı. 

Emberiza muftelina - - — = - - - pag. 857. nr. 7. 

Emberiza montana = = - = - - - pag. 867. nr. 25. 

L’ortolan de neige. Bufon. ! 

Ssox-bunting. Penn. . 

Der Schnecammer. 'Teutsche Ornithologie, Heft III. Male et femelle. 

Der Schneeammer. Bechftcin ormitholog. Taschenb. Th. I. S. 137. nr. 6. 

Den Bersammer | ONE RER ES SEEN TE 

Die Schneelerche. Naumann’s Naturgesch. der Land und Wasservôgel, 


B. 2. 8,43. B. 4, 8.8, 


CARACTERES SPECIFIQUES. | 


LS pennes des ailes blanches, la moïtié inférieure des premières 
plumes noires, avec extrémités blanches; les pennes de la queue 


noires, les trois extérieures blanches. 


DESCRIPTION. 


Comme la livrée de cet oiseau est sujette à beaucoup de yaria- 
tions, nous le décrirons ici, suivant les différences de son âge et 
de son sexe, dans l’esperance d’élaguer les erreurs, qui se sont 
glissees dans toutes les descriptions et d’en donner une histoire 
plus exacte, que n’ont fail jusqu’à présent les ornithologistes. 

Le mäle adulte, dans sa livrée d’hyver. Le bec noir, 
et la base de la mardibule inférieure jaunätre. Liris brune; la 
tête, le col et toute la partie inférieure du corps blanc net; sur le ' 
front et sur les côtés du col une tache brunätre peu marqüée. Le 
manteau etles plumes des poignets des ailes noires, égayées çà et 
la de pointes brunes, foiblement ondoyées de blanc. Les pennes 
du sternum avec large bordure blanche, les dernieres d’un blanc, 
presque sale. Le premier rang des pennes des ailes moitié blan- 
ches, moitié noires, les autres absolument blanches, excepté les 
trois dernières, qui sont aussi noires. Les trois pennes des fausses 
ailes tout à fait noires. Tia queuc fourchue. Les trois premières 
plumes d’un blanc décidé, avec une ligne noire, à la barbe exté- 
rieure. La quatriéme extérieure blanche, avec une grande tache 
noire en pointe; le dessous absolument noir. Les quaire pennes 
du milieu décidément noires, ‘avec un'liséré blanc à'la pomte.. Les 
tarses etles ongles noïres. L’orteil de derrière a un ergot d’alouette 
de la longueur d’un demi- pouce. 

Le mâle jeune âge, dans sa livrée d'été et surtout 
d'automne, après la mue. 

. Le bec jaune, la pointe noirätre, l’iris brune, la tete, la 
nuque et les joues couleur de rouille, entremêlé de blanc. Le 
dessons des yeux et de la gorge blanc sale; sur le haut de la poi- 
trine une légère teinte de rouille claire, le reste blanc, ainsi que le 
ventre, le sternum et vers le dessous des ailes. Les plumes, du 
manteau noires, égayées de brun- clair et de blanc. Le bas du 
manteau couleur de rouille. Le premier rang des pennes des ailes, 
mi-parti blanc et noir, ayec une foible bordure blanclie; les pennes 
suivantes blanches, avec une petite raye noire à la pointe. Les 
trois dernières noires, avec une large bordure brun - rougeâtre, 
Les couvertures du premier rang noires, les autres blanches. Les 
couverlures supérieures de la queue noires, avec un dentelé rouge 
pâle, les plumes des tarses noirätres, la queue noire avec bordure 
blanche, les pénnes extérieures mi-parti blanches et noires. 

Bbbb 


— 149 


Fuüfse und Nägel schwarz. 

‘Das Weibchen in der Iugend, oder im Sommer- 
besonders Herbstkleide nach der Mauser. Schnabel, 
Fülse und Augenstern sind wie beim Männchen. Kopf, Nacken, 
Wangen und Oberbrust sind viel zimmtbrauner, und diese Flecken 
grôfser ausgebreitet als bei dem Männchen; auch auf der Seite sind 
dergleichen Flecken; alles übrige fast wie beim Männchen; nur 
ist der Rücken dunkler;, die äufsern Schwanzfedern mit einem 
grofsen schwarzen Flek; die zweite und dritte mit einem noch gröf- 
sern und schen fast ganz schwarz, die-übrigen schwarz, mit weils- 
licher Einfassung. 

Die Flügelspitzen endigen sich auf der Hälfte des Schwanzes. 

Länge 64 Zoll; Breite 10. Zoll. Paris. Mfs. 

Nach der Mauser sind überhaupt alle rein schwarz gewesene 
Federn mit rothbraun und weifslich untermischten Federrändern 


geziert. 
AUFENTHALT. 

Er bewohnt die Länder innerhalb des arktischen Kreises z.B. 
Spizbergen, Lappland, Grönland, auch Sibirien, und zieht nur 
im Winter weiter aus dem Norden herab nach Schweden, Eng- 
land, Preussen, Pohlen, Pommern, Schlesien, Thüringen, sogar 
nach Oesterreich, zuweilen in grofsen Scharen, besonders, wenn 
der Winter streng ist. Im November.und December kommt er in 
Deutschland an, und kehrt im April wieder zurück in sein Vater- 
land. Er gehört daher unter die Zugvögel. 


EIGENSCHAFTEN. 


Gewöhnlich sieht man ihn in Deutschland nicht auf Bäumen 
und Gebüschen sitzen, sondern auf Fuhrwegen, Grasrainen und 
Stoppeläckern herum laufen und nur dann erst sezt er sich auf Zwei- 
ge, wenn man ihn aufiagt. Diese Gewohnheit mag er aus den 
Schneegebirgen milbringen, wo es wenige Bäume gibt. Erist in 
Der Gang geschieht schrittweise und schnell, 


steter Bewegung. 
Ocfters flattert er 


wie bei der Lerche, in einerlei Richtung fort. 
zugleich mit den Flügeln, um desto gesehwinder fort, zu kommen. 
Wenn ihrer mehrere beisammen sind, so drängen sie sich so, dafs 
man ihrer mehrere auf einmal schiessen kann. Merkwürdig ist 
der Umstand, dafs sie des Nachts sehr unruhig sind und wenig 
schlafen, auch sogleich zu laufen anfangen, wenn man ein Licht 
in ihre Nähe bringt, Ihre Stimme ist ein helles fid, fid, und ein 
schnarrendes zürr, womit immer einer dem andern zuruft. Ihren 
zwitschernden, artigen Gesang, der aus einzelnen Bruchstücken 
des Feldlerchengesangs besteht, lassen sie in ihrer Yeimath neben 
dem Neste und im Zimmer das ganze Frühiahr und im Sommer 


hören. 
NAHRUNG. 

In ihrem Vaterlande nähren sie sich von dem Samen der 
Zwergbirke (Betula nana), der Oiterwurz (Polygonum viviparum) 
und andern Sämereien; in südlichen Ländern fressen sie den Sa- 
men vom Hafer, Leindotter (Anthirrhinum Cinaria), Leinsamen, 
Polygonum aviculare), Wegerich (Plantago), wilde 


Vogelwegtritt ( 
und im Zimmer Mohn, Hirsen, Hanf 


Zichorie (Cichorium intybus), 
und Gerstenschrot in Milch geweicht; auch Mehlwürmer und Flie- 
gen. Aus diesem leztern Umstande schliefst man, dafs er inseinem 
Vaterlande, wie andere Ammerarten, auch von Insektenlebe, und 


seine Jungen damit füttere, 


FORYPFLANZUNG. 


Nach Goezé sollen sie nirgends anders, als in Grönland nistens 


da sie aber im Sommer auch in Lappländischen Gebirgen leben; 


so mögen sie dort ebenfalls brüten. Ihr Nest machen sie in die 


Felsenritzen aus Gras und Federn, und füttern es inwendig mit 


Les pieds et les ongles noirs. 

La femelle jeune âge, ou dans sa livrée d'été et 
surtout d'automne, après la mue. 

Le bec, lixis et les pieds semblables à ceux du mâle, La 
tete, la nuque, les joues et le haut de la poitrine sont d’un brun 
de canelle, plus foncé et les täches plus larges , que chez le mâle; 
il se trouve de pareilles taches sur les côtés. T'outle reste est à peu- 
près comme chez le mâle, excepté que le manteau est plus foncé. 
Sur les plumes extérieures de la queue une grosse tache noire. La 
seconde et la troisiéme avec une tache encore plus grande, ensorte 
qu’elle est presque noire; les autres noires avec bordure blanchâtre. 
Les pointes des ailes se terminent vers la moitie de la queue. 

Longueur 6 pouces 3; Envergure 10 pouces, mesure de Paris. 

En général, après la mue, toutes les plumes, qui étoient au- 
paravant d’un noir décidé, sont ornées d’une bordure rouge- foncé, 


égayée de blanc. QUE 
L PATRIE 

L’ortolan habite les contrées du cercle arctique, telles que le 
Spitzberg, la Laponie, le Groënland et la Sibérie. Ce n’est qu’en 
hyver, qu’il descend vers la Suede, l'Angleterre, la Prusse, la Po- 
logne, la Poméranie, la Silésie et la Thuringe. Il vient même 
jusqu’en Autriche et quelque fois par troupes considérables, sur- 
tout quand lhyver est rigoureux. Son apparition en Allemagne se 
fait aux mois de Novembre et de Decembre, et en Avril il retourne 
Ainsi il appartient aux oiseaux de passage, 


QUALITES. 


En Allemagrie on le voit rarement perché sur des arbres et des 


dans sa patrie. 


buissons, mais il court ordinairement sur les grands chemins, les 
champs couverts de chaume et les rayes, ou lisiéres verdoyantes 
des champs. Ce n’est que lorsqu'on Ven a chassé, qu’il se retire 
sur des branches. Il a sans doute contracté cette habitude dans ses 
montagnes couvertes de neige, où les arbres sont rares. Cet oiseau 
est sans cesse en mouvement. Sa marche est rapide, à petits pas 
et en droite ligne comme celle de l’alouette, Il bat souvent des ai- 
les, pour hâter sa course. Quand les ortolans sont par troupes, 
ils se pressent alors tellement les uns sur les autres, qu’on en peut 
tirer plusieurs d’un seul coup. Une singularité de cet oiseau, c’est, 
qu’il est fort agité la nuit, qu’il dort peu et qu’il se met à courir, 
dès qu’il appercoit une lumière dans son voisinage. Son cri ordi- 
naire est ou un perçant fid, fid, ou un grasseyement enzurr, par 
lequel ils s’appellent les uns les autres. Leur joli ramage est com- 
posé de morceaux détachés du chant de lalouette. Dans leur pa- 
trie ils chantent durant le printems et l'été, à côté de leurs nids et 
même dans la captivité. 
NOURRITURE. 

Dans leur pays natal ils se nourrissent de graines de bouleau 
(betula nana), de la vipérine (Polygonum viviparum) et 
d’autres semences ete. Dans les contrées du midi, Payoine, la se- 
imence de cameline (antirrhinum linaria), plusieurs espèces 
de plantain, la semence de lin, la renouée (Polygonum avieu- 
lare) et la chicorée sauvage (cichorium intybus) forment leur 
nourriture. En chambre on leur donne de la semence de pavot, 
du millet, du chenevis et de l’orge trempés dans du lait, ainsi que 
des mouches et des ténébrions de farine, (Tenebrio molitor). 
De cette derniére particularité on peut conclure, que dans sa pa- 
trie il vit aussi d'insectes, comme les autres espèces d’ortolans et 


qu’il en nourrit ses petits. 
PROPAGATION. 
Coeze prétend, qu'ils ne nichent point ailleurs, que dans le 


Groenland: mais, comme ils passent aussi Pete dans les montagnes 
de la Laponie, il est possible, qu'ils y couvent également. Leurs 


den Haaren des Schneefuchses (Canis Lagopus), aus. Das Weib- 
chen legt darein fünf weifse, besonders am obern Ende stark braun 
geflekte, stumpfe Eier. 


NUTZEN. 


Ihr Fleisch ist eine angenehme Speise, das in manchen nörd- 
lichen Ländern auch sogar getroknet, gegessen wird. In Oester- 
reich wurden sie sonst für Leckermäuler mit Hirse gemästet und 


zugerichtet. Einen : E 
SCHADEN 
wissen wir von ihnen nicht anzuführen. 


FEINDE 
haben sie an dem Sperber, der sie auf ihren Zügen anfällt, 


IAGD UND FANG. 
Sie werden mit der Flinte geschossen. Aufdem Pferdemist, 
der auf den Landstrassen liegt, kann man sie mit einem Garn fan- 
gen. Die Lappländer fangen sie mit Haarschlingen. 


ANMERKUNGEN. 


Die Abarten, welche man gewöhnlich bei diesem Vogel an- 
führt, so wie die beiden Arten: Eimberiza montana und mustellina, 
sind blofse Altersverschiedenheiten. 
eben unter der Synonymie mit aufgezählt. 


Wir haben daher leziere auch 


Da der Schneeammer an der hintern Zehe einen Lerchen- 


sporn, und am Gaumen keine hornartige Erhöhung wie andere 
Ammerarten hat, seine Flügel und sein Gang mehr mit der Ler- 
che übereinstimmt: 
den Lerchen. Wir folgten der Mehrzahl vorzüglicher Ornitholo- 
gen, da der äufsere Bau des Schnabels doch die Gailungskennzei- 
chen enthält, und setzen ihn unter die Ammern. 


so rechnen ihn auch manche Schriftsteller zu 


nids, composés d’herbes et de plumes, reposent dans des fentes de 
rochers et ils les tapissent avec les poils du renard blanc, (Canis 
lagopus). La femelle y pond 5 oeufs de forme obtuse, blancs, 


mais tachetés de brun foncé, sur-tout à la pointe supérieure. 
LA 
UTILITE. 
Leur chair est delicate et dans les pays septentrionaux, onla 
mange aussi séchée. Autrefois on les engraissoit en Autriche, avec 
du millet et c’etoit un mêts favori des gastronomes (gourmands). 


DOMMAGE. 


Celui, qu’ils peuvent faire n’est rien, en comparaison de leur utilité. 


MANIÈRES DE LES CHASSER. 


On les tue au fusil On peut aussi les prendre au filet, sur le 


fumier de cheval, qui se trouve sur les grandes routes, Les La- 


pons,les prennent au lacet. 
_ OBSERVATIONS. 

Les variciés, qu'on a coutume de citer de cet oiseau, ainsi que 
les deux espèces Emberiza montana et mustelina ne sont 
que des variations, occasionnées par la diversité d’äge. C’est pour- 
quoi nous avons aussi placé ces deux dernières parmi les dénomi- 


nations Synonimiques. Comme Yortolan de neige est armé d’un 


ergot, pareil à celui de P 


alouette, au dernier doigt et qu’il'a d’ail- 
leurs les ailes et la démarche de cet oisean, sans avoir, comme les 
autres ortolans, une élévation cornée au palais, plusieurs auteurs 
l'ont placé parmi les alouettes. Cependant nous avons adopté le 
sentiment du grand nombre des plus habiles ornithologistes, d’au- 
tant plus que la forme extérieure du bec renferme les traits caracté- 
ristiques de l'espèce et en conséquence, nous l’avons classé parmi 
les ortolans, 


DIE ASCHGRAUE ENTE, 


Weifsbakente. Weißsbickchen. Entenweifskehlchen, 

Anas cinerascens. ' Bechftein. 

Die aschgraue Ente. 
S. 660. nr. 15. 

Dessen ornith. Taschenbuch, Th. IT. S. 437. nr. 22, 

Die Weilsbakente. Naumanns Naturgeschichte der Land- und Wasservö- 
gel etc. B. 3. 8.1374. Tab. LX. fig. q1. F'em. fig. 92. Mas. 

‘Anas cinerea. S. G. Gmel. Reisen I. Tab. 17. 

Anas nigrescens. Suckow Anfangsgründe d. theoret, und angewandten N. 
G. der Thiere, 2, Th. Ste Abtheïl, S. 1711, 


Bechfleins gem. Naturgesch. Deutschl. 1, Aufl. B. ©, 


‚KENNZEICHEN DER ART. 


Schnabel schwarz, an der Wurzel etwas gefurcht, an der Spitze 
mit einem sehr breiten Nagel; Fülse grün; Brust, After, Rücken 
und Seiten braungrau; Schwanz mit harten sehr starkkieligen 
brauuschwarzen Federn, " 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel an der Wurzel stark gewölbt, in der Mitte ı. Zoll 
breit, 2 Zoll 2. Lin. lang, schwarz, in der Mitte von der Stirn 
bis beinahe an den sehr breiten, glänzendschwarzen Nagel, ein 
schaufelförmiger, weilsgrau gelblicher Flek; Unterschnabel vorn 
mit einem sehr grofsen platten und scharfen Nagel; beide Kinn- 


laden mit einer Reihe platter scharfer Zähne; Nasenlöcher fast in 


der Mitte des Schnabels, inivendig rothgelb; Rachen rothgelb; 
Augenstern graubraun ; Kopf bis unter die Augengegend samt dem 


Nacken dunkelbraun; Wangen, Kehle und Hals weils, hin und 


LE CANARD GRIS-CENDRE. 


Aschgraue Ente. Weifsbackente. Weifsbäckchen. Entenweifskehlchen. 
Anas cinerascens. Bechftein. 
Die aschgraue Ente. 
8. 660: nr 15. 
Dessen ornitl Taschenbuch. Th, II. S. 437. nr. 22. 
Die Weifsbackente. Naumann’s Naturgesch. der Land - und Wasservö- 
gel, B. 3. S. 374. Tab. LX. fig. gı. Fem. fig. 92. Mâle. 
Anas cinerea. S. G. Gmel. Reisen. I. Tab. 17. 
Anas nigrescens. Suckow Anfangseründe der theoret, und angewandten 
N. G. d, Thiere, 2 Th. 3te Abtheil. S. 1711. 
LE 5 
CARACTERES SPECIFIQUES. 


Bechfteins gem. Naturgesch. Deutschl. 1. Aufl. B. 2. 


Le bec noir, légèrement sillonné à la racine, avec un ongle très 
large, à la pointe. Les tarses nuds: La poitrine, le sternum, le 
manteau et les flancs gris-noir, Les plumes de la queue ont le tuyau 


très fort, noir, mêlé de taches brun foncé, 
DESCRIPTION. 


Le bec très courbé à sa naissance, large d’un pouce au mi- 
lieu, long de deux pouces, deux lignes et noir; au milieu depuis 
le front jusqu’à Pongle, qui est très large et d’un noir luisant, se 
trouve une tache, en forme de pelle, gris clair, nuancée de jaune, 
Les deux machoires garnies d’un rang de dents platles et aigues. 
Les ouvertures des narines presqu’au milieu du bec, Pinterieur 
d’un jaune rougsâtre; Piris gris-brun. La tête jusques vers les yeux 
brun foncé, ainsi que la nuque. Les joues, la gorge et le col 


blancs, tigrés ca et là de taches brunätres; la poitrine, le sternum, 


Occc 


— 


wieder bräunlich besprizt; Brust, After, der ganze Rücken und 
die Seiten graubraun; mit etwas helleren Federrändern, wodurch 
diese 'Theile ein etwas gewölktes Ansehen bekommen. Schwung- 
federn dunkelbraun, an der hintern Fahne etwas lichter; in einer 
gewissen Richtung gegen das Licht, haben diese Theile einen et= 
was röthlichen Schiller. Bauch schmutzig silberweifs, mit schwa- 
chen, bräunlichen Fleckchen. Schwanz schwärzlichbraun, ge- 
wöhnlich stark abgestofsen, abgerundet; die mittelsten vier Federn 
‘3. Zoll lang, die übrigen abnehmend kürzer, so dafs die äufserste 
kaum 2. Zoll mifst; alle etwas schaufelförmig ausgehölt und mit 
sehr harten, starken Kielen verschen; Füfse kurz, stark, langze- 
hig, auf der Aufsenseite olivengrün mit Ockergelb untermischt, 
auf der innern heller; Schwimmhäute schwarzgrüm, auf beiden 
Seiten längst den Zehen ein grünlich ockergelber Streifen; Nägel 
schwarzbraun. r 

Die Flügelspitzen endigen sich ı$ Zoll vor der Schwanzspitze. 

Länge ı5# Zoll, Breite 51 Zoll. 

Männchen und Weibchen sind nur sehr wenig von einander 
unterschieden. Bei dem erslern sind die Farben nur lebhafter, 
und Kehle und Backen rein weifs. 


AUFENTHALT. 


Sie ist in Sibirien zu Hause, zieht aber auch nach dem nörd- 
lichen Deutfchlande, wo man sie in den Seen im Frühiahr, Herbst 
und Winter alle Iahre antrif. Im Jahr 1605 wurde den 22 Okt. 
ein Exemplar auf einem grofsen Teiche bei Offenbach geschossen. 
Sie hält sich gern in solchen Seen und Teichen auf, welche tie- 
fes und freies, mit wenigSchilf bewachsenes, Wasser haben. Im 


März zieht sie nach den nördlichen Gegenden, 
EIGENSCHAFTEN, 


Ihr Flug ist ziemlich schnell, ob er ihr gleich viel Anstren- 
gung kostet. Wenn sie vom Wasser aufliegen will, so flattert sie 
erst eine Strecke auf der Oberfläche desselben hin, bis sie im 
Stande ist, sich empor zu heben. Sie fliegt nicht gerne umher, 
sondern taucht beständig, iedoch nicht lange, unter. Uebrigens 
ist sie sehr scheu. N | 

NAHRUNG. 

Sie nährt sich von Fröschen, Fischen, Muscheln, Insekten 
und verschiedenen Wasserpflanzen. Naumann fand öfters, beson- 
ders im Herbste, in ihrem Magen eine Menge knotenartiger, ge- 
keimter Auswiichse einer Wasserpflanze, die ihm Polygonum am- 
phibium oder Potamogeton zu sein schien. Gewöhnlich trift man 
auch eine grofse Menge groben Wassersandes in ihrem Magen 


an. Von ihrer . 


FORTPFLANZUNG 
ist nichts bekannt. Die Jungen beiderlei Gese 
den sich dadurch von den Alien, dafs sie mit viel grauer Farbe 


:chts unterschei- 


überlaufen sind. 


NUTZEN. 
Ihr Fleisch hat einen thranigen und unangenehmen Geschmak. 
SCHADEN 
stiftet sie dadurch, dafs sie Fische wegfängt. Ihre eigentlichen 
FEINDE 


kennt man noch nicht genau. 
IAGD UND FANG. 


Man kann ihr mit der Flinte am ersten beikommen, wenn 


sie auf einem kleinen Teiche ist. 


144 — 


tout le manteau et les flancs gris-brun, avec bordure un peu plus 
claire sur les plumes, ce qui donne à l’ensemble un air floconneux. 
Les pennes des ailes brun-fonce, la barbe exterieure un peu plus 
claire. Dans certaines directions de la lumiere ces parties oflrent 
un chatoyementrougeätre. Le ventre blanc argenté sale, avec de 
petites taches branâtres. La queue d'un brun noirâtre, ordinaire- 
ment très usée et arrondie. Les quatre premières plumes du mi- 
lieu ont 5 pouces de long, les autres vont en diminuant, ensorte 
que la dernière atteint à peine la longueur de deux pouces; toutes 
à peu près creusées en forme de pelles, montées sur des tuyaux 
très durs et très forts. Les pieds courts, forts, les orteils longs, en 
dehors verd d'olive mélangé de jaune d’ocre, en dedans les cou- 
leurs plus claires. ‘Les membranes verd foncé. De chaque côtè 
le long des orteils une raye jaune d’ocre assez marquée; les ongles 
brun- noir. 

Les pointes des ailes terminées à un pouce et 1 de l’extrémilé 
de la queue. 

Longueur 15poucesetz; Envergure 31 pouces. Ily a très peu 
de différence entre le mâle et la femelle, si ce n’est que les couleurs 


du premier sont plus vives, la gorge et les joues d’un blanc plus net, 


PATRIE, 


Ce canard est originaire de la Sibérie, mais il vient aussi em 
Allemagne, où on le trouve annuellement sur les lacs, au prin- 
tems, en automne et en hyver. Le 22. Octobre 1805. on en tua 
un sur un étang profond près d’Offenbach. Il aime de préférence 
les étangs et les lacs, qui ont une eau vive, profonde et peu cou- 
verte de jones; au mois de Mars il retourne vers le nord, 

a LA 
QUALITES. 

Son vol est assez rapide, bien qu'il lui côute des efforts. II 
rase la surface de l’eau et voltige quelque tems avant de pouvoir 
s’elever. Il n’aime point à roder çà et [à, il plonge sans cesse mais 
reste peu de tems sous l’eau; au reste il est très craintif. 


NOURRITURE. 


Il vit de grenouilles, de poissons, de moules, d’insectes et de 
diverses plantes aquatiques. Naumann a souvent trouvé dans leur 
estomac, sur-tout en automne,une quantité d’excroissances noueu- 
ses et déjà germées de plantes aquatiques, qui lui parurent être la 
renouée d’eau, (Polygonum amphibium où Potamoge- 
ton). Leur estomac renferme aussi d'ordinaire une quantité de 
sable ou limon grossier d’eau. 


PROPOGATION. 


On ignore les détails de leur reproduction. Le jeune âge des 
deux sexes se distingue des adultes, par une teinte grisätre plus 


générale. 
UTILITÉ. 
La chair a un gout désagréable d’huile de poisson. 
DOMMAGE. 
Celui qu’il cause, se borne aux poissons qu'il dévore. 
ENNEMIS. 
Ceux-ci sont peu connus. 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 


La manière la plus facile d’atteindre ce palmipede, est la 


chasse au fusil, quand il nage sur de petits étangs. 


DIE GRAUE LUMME. 


Dummes Taucherhun. Troiltaucher. Täuchermeve. Mevenschnabel. Lu- 
mer. Lumme. Loom. (Die leztern drei Namen bedeuten so vielals 
lahm, wegen des lahmen Ganges, der diesen Vögeln eigen ist. 

Uria. Troile. Latham. Ind. orn. II. 796. 

Colymbus Troile. Lin. Syft. nat. T. I. pag. 220. n. 2. 

Colymbus Troile. Gmel. Lin. fyft" nat. D. I. P. II. pag. 585. n. 2. 

Le Guillemot. Briss. orn. VI. p. 70. n. 1. pl. 6. fig. ı. 

Buff. ois. IX. p, 350. pl. 25. PL enlun. 903. 

Fooiish Guillemot. Penn. Britt. Zool. 2. p. 579. Axct, Zool. 2. p. 576. 

Lesser Guillemot. Penn. Britt. Zool. 2. p. 520. t. 83. 

Guillemot, Edw. Av. 7. t. 359. f. 1. Seligmanns Vögel. IX. t. 49. £ 1. 

Lumme. Teisch Vorstellung der Vögel Deutschl t. 285. (Eine fehlerhafte 
Abbildung. ) 

Das dumme Täncherhulin. Bechst. Naturgesch. Deutschl. Th. 9. pag. 764. 
Dessen ornith. 'Waschenb. hi 2. p. 357. 1. 

Das dunme Täucherliuln. Naumann Naturgesch. der Land- und Was- 


servögel, B, 3. p. 397. t 64. £ gg. (\Weibeben.) 


KENNZEICHEN DER ART. 


D er Oberleib braungrau, bald heller bald dunkler, der Unter- 
leib weils; die hintern Schwungfederu mit weifsen Spitzen. 


BESCHREIBUNG. 


Der fchwarze Schnabel zwei Zoll lang, pfriemenförmig zu- 
gespizt, an der Spitze der vbern Kinnlade etwas abwärts gebogen, 
“ mit einem kleinen Ausschnitt versehen, die untere etwas aufsiei- 
gende Kinnlade hat einen Höker; die ritzenförmigen Nasenlöcher 
liegen am Grunde des Schnabels; der Augenstern braun; von dem- 
selben anbefindet sich nach dem Hinterkopfe hin eine kleine Thei- 
lung, der Federn wie ein Einschnitt; Kopf, Hals, Rücken, Flü- 
gel und Schwanz sind graubraun; die Spitzen der hintern Schwung- 
federn. weifs; die Brust und der Bauch weils bis auf einige wenige 
Seitenfedern, welche gleiche Striche von der Farbe des Rückens 
haben. Die dreizehigen Füfse bei alten Vögeln gelbbraun mit 
noch dunklern Schwimmhäuien, die kurzen Flügel reichen kaum 
bis an die Wurzel des zwölflederigen 2 Zoll langen Schwanzes, 
Länge 18 Zell; Breite 26 Zoll. 


Dasvon uns abgebildete alte Männchen hat noch am Kopfe 
- und Halse einzelne wcifse Federn von seinem Jugendkleide, der 
Kopf und Hals sind. rôthlich graubraun; der Rücken, Flügel ,. 


und der Schwanz graubraun.. 


Das abgebillete junge Weibchen hat am Schnabelwinkel emen: 
gelben. Streifen; der obere Theil des Unterhalses und gegen den 
Hinterkopfhin hat kleine graubraune Flecken; die Nüß haben ei- 
ne noch dunklere Farbe als die des alten-Männchen.. 


AUFENTHALT, >» 


Das Vaterland dieses Vogels sind die nördlichen Theile von 
Europa. So findet man ibn vorztiglich auf der unbewohnten Inse 
Pristiolm in der Nachbarschaft der Insel Anglesey, auf einem Fel- 
sen, Godreve genannt, nicht weit von St Ives in Cornwall, auf 
den Feroe- Inseln, an der Küste ven Northumberland, und auf 
den Klippen um Searborugh in Yorkshire. Auf den: Orkadischen 
Inseln sollen sie das ganze Jahr hindurch sich aufhalten.  Beson- 
ders häufigsind sie auf den Eilanden Mygenaes, Waagôe, Skuoe, 
den Dimer und Suderöe. Spizbergen, die Küste von Lappmark, 
die des weifsen und des Bismeers bis Kamtschatka, auf Neufound- 
land und einige andere Gegenden von Nordamerika sind ebenfalls 
Aufenthalisorte der grauen Lumme. Im Winter besucht sie auch _ 
ie Küste von Holland und Italien. und ist also zum Theil ein 

Dadd 


145 


LE GUILLEMOT. 


Die graue Lumme. Dummes Tancherhuhn. Troiltaucher. Tauchermeve. 
Mevenschnabel. Lumer. Lumme. Loom. (Ces trois derniers noms 
signihient boiteux, à la cause de la démarche boiteuse, qui est parlicu- 
liere à ces oiseaux. 

Eria Troile. Latham. Ind. orn. II. 766. 

Colymbus Troile. Lin. Syst. nat. 'T. I. pag. 220: m. 2. 

Colymbus Troile. Gmel. Lin. Syst. nat. T.I.P. II. p. 585. x. 2. 

Le Guillemot. Brisson. orn. VI. p. 70. n. 1. pl. 6. fig. 1. 

— — — Buffon. oiseanx IX. p. 350. pl. 25. PI. enlum. 903. 
Foolish Guillemot. Penn. Britt. Zool. 2. p. 579. Arct, Zool. 2. p. 576- 
Lesser Guillemot. Penn. Britt. Zool. 2. p. 520. t. 83. ° 
Guillemot Edw. Av. 7. t. 359. f1. Seligmann’s Vogel IX. t. 49. £. 1. 
Lumme. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschlands. t. 1, 185. (Une fisu- 

re fautive.) | 

Das dumme Täucherhuhn. Bechst. Naturgesch. Deutschl, Th. 2. p. 764. 
Dessen ornithol. Taschenb. Th. 2. p. 357. 1. | 

Das dumme Tiucherhuhn. Naumann Naturgesch. der Land - und ,.Was- 


sorvögel. B, 3. p. 397. t. 64. £. 99. (La femelle, ) 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


L. dessus du corps gris-brun, tantôt plus clair, tantôt plus foncé; 
le dessous du corps blanc; les pennes inférieures avec extrémités. 


blanches. 
DESCRIPTION. 


Le bec noir, de deux pouces de longueur pointu en forme de 
poineon la mandibule supérieure un peu recourbée en bas, armée 
d’une légère échancrure ; la mandibule inférieure un pewinclirée en 
haut a une bosse; les narines sous la forme d’une fente sont à la 
naissance du bec. À partir de l'iris qui est brun, vers loocipui 
les plumes se trouvent partagées comme par une coupure, La 
tete, le cou, le manteau, les ailes et la queue sont gris-brun; 
les pointes des pennes postérieures blanches; la poitrine etle ven- 
tre blanes, à l’exception de quelques plumes latérales, qui ont 


des rayes de la couleur du dos. Les pattes partagées en 3 or- 


teils sont dans le vieil âge d’un brun jaunätre, avec des membra- 
nes encore plus foncées. Ses ailes très-couries touchent à peine 
la racine des 12 plumes de la queue, qui a deux pouces de long. 
Longueur 18 pouces, nvergure 26 pouces. 

Le vieux mâle dont je viens de faire la description, offre en- 
core sur la tête et au col, quelques plumes blanches isolées, reste 
de sa livrée du jeune âge; la ièle et le col d’un gris-brun, chatoié 
de rouge, le manteau, les ailes et la queue absolument gris-brun, 

La jeune femelle ici représentée a une raye jaune au çoin du 
bec. Au dessus du col et vers l’occiput elle est marquée de peti- 
tes taches gris-brun. Ses pieds sont eucore d’une couleur, plus. 
foncée, que ceux du mâle. | 

PATRIE. 
_ Cet oiseau habite les parties Septentrionales de FEurope. Om 
le rencontre surtout dans: Pile déserte de Pristhelm, dans le voi- 
sinage de l’île d’'Anglesey, sur un rocher appelé Godreve, peu 
éloigné de St. Jves au pays de Cornouailly, dans les îles de Fer, 
sur la côte de Northumberland et sur les écueils de Scarborough 
dans le Yorkshire. On prétend qu'ils demeurent toute l’année, 
dans. les îles Orcades. Ils sont particulièrement en grand nombre 
dans les îles Mygenaes, Waagôe, Skuöe, Dimen et Suderöe, 
La Spitzberg, les côtes de la Laponie, de la mer blanche et de la 
mer glaciale jusqu'au Kamschatka, le Neufoundland et quelques 
autres contrées de l'Amérique Septentrionale sont également habi- 
tés par les Guillemots. Enhyver ils visitent aussi les côtes de la 
Hollande et de l'Italie; ainsi ce sont en partie des oiseaux de pas- 


sage, Ils viennent ausi en Allemagne sur les fleuves, les lacs. et 


Zugvogel. Nach Deutschland zieht sie auf die Flüsse, Seen und 
Teiche, aber nur in harten Wintern und nicht häufig. Den 15 Jä- 
ner 1804 sahen wir diese Lumme auf den Main bey Offenbach. 


EIGENSCHAFTEN. 

Sie ist ein gesellschafilicher Vogel, daher man auch. mehrere 
Hunderte beisammen antrift. Oft ist ein ganzer Berggipfel von 
ihnen völlig bedekt. Ist sie noch nicht scheu gemacht worden, 
und ein Jäger kommt in eine solche Gegend, wo sie sich aufhält, 
so ist sie so dumm oder furchtlos, dafs sie denselben ganz nahe kom- 
men und sich vorzüglich zur Zeit wenn sie brütet, mit den Händen 
fangen läfst. Schiefst man eine tod, so thun die übrigen weiter 
nichts, als dafs sie im Kreise herumfliegen und sich an dieselbe 
Stelle wieder niederlassen. \WVird eine zweite, dritte etc. geschos- 
sen, so geschieht dasselbe, bis die Reihe auch die übrigen trift, 
Ihre Jungen sollen sie im Schnabel von den Bergen ins Wasser tra- 
gen, und dann beständig um sie herum schwimmen, Lieber las- 
sen sie sich tod schlagen, ehe sie sich von ihnen entfernen. Trägt 
man die Lumme weit von der See weg aufs Land, und läfst sie los, 
so macht sie keinen Versuch zu fliegen: bringt man sie aber dem 
Meere wieder näher, so fliegt sie sehr leicht. In einem Behältnifse 
mit frischem Wasser schwimmt sie zwar herum, taucht aber nicht 
gern unter, wenn sie dazu gezwungen wird, so kommt sie bald 
wieder auf die Oberfläche. Ob der Grund hievon in dem ihr un- 
gewohnten \Vasser, oder in dem Mangel der Nahrung liegt, lälst 
sich nicht bestimmen. Auf der See taucht sie, wenn sie Feuer 
sieht, schnell unter. Auf der Elbe und Saale, wo man sie des 
Winters, wenn alles zugefrohren ist, bei offenen Stellen einzeln 
antrift, ist sie ebenfalls schüchtern und läfst sich kaum auf die ge- 
wöhnliche Schufeweite nahe kommen, 

Die Fische, welche sie verschlingt, sieht man öfters mit dem 
Schwanze nochzum Schnabel heraushängen. Der Kopf mul also 
zuerst in den Schlund, weil im Gegentheil der Fisch wegen der 
Schuppen, und dadurch, dafs die meisie Schwere des Fisches nicht 
nach vorne gerichtet ist, nicht so leicht in den Schlund hinab gleitet. 
Sie hat aber diese Eigenschaft nicht allein; auch der scheermes- 
serschnäblige Papageitaucher, und der graue Reiger thun es. 

Sie soll sehr alt werden und im 16 bis 20 Jahr einen krummen 
Schnabel, wie der Kreuzschnabel, bekommen, wodurch sich denn 
auch die sehr Alten von den J ungen leicht unterscheiden lassen. 


NAHRUNG. 
Diese besicht in Fröschen und Fische en, auch rothen Krabben 


und Wasserinsekien. 
FOR FPFLANZUNG. 

Das Weibchen macht sein Nest nahe an das Ufer, auf unzu- 
gängliche Felsen, und legt darein nur ein einziges, 5 Zell langes, 
weifses oder blafs merrgrünes, unregelmäßig schwarz gellektes und 
gestreiftes Fi, welches es in 4 ‘Wochen ausbrütet. WVährend der 


Brütezeit verläfst es das Nest nicht, und das Männchen trägt ihm 


Nahrung zu. Ist das Junge 3 WW u alt, so wird es von der 


Mutter in die See geführt, 
ENGEREN: 

Das Fleisch der Alten ist sehr zähe und mager, und schmekt 
so wie das der Jungen, nach 'Thran. Demungeachtet wird es ein- 
gesalzen und geräuchert von den Feröern, Isländern und Grön- 
lindern gegessen. Noch mehr aber fchätzen diese Völker die du- 
nenartigen Federn, welche zum Ausstopfen der Betten gut ge- 
braucht werden können. Ihre Eier hält man für grofse Lecker- 
Die Kamtschadalen verfertigen sich aus ihren Häuten 
Ihr 


bissen. 

Kleidungsstücke. 
SCHADEN 

ist eben nicht von Bedeutung, und ergibt sich aus ihrer Nah- 


rung. 


146 


ae 


dans les terreins bas et humides, mais seulement en hyver, quand 
le froid est rigoureux et rarement en grand nombre. Le 13 Jan- 
vier 1804, nous appercumes cet oiseau, sur le Mein pres d Of- 
fenbach. 


QUALITES. 


Cet oiseau vit en société, aussi le rencontre-t-on par centai- 
nes. On en voit souvent le sommet d’une montagne tout couvert, 
S'ils ne sont pas encore eflraids et.rendus sauvages et qu'un chas-: 
seur arrive dans les contrées qu’ils habitent, ils sont assez sots 
ou si peu craintifs, qu'ils l’approchent de très près et que même ils 
se laissent prendre à la main, surtout quand ils couvent. L’un 
d’eux vient-il à être tué, les auires ne font autre chose si non de 
voler autour de lui et de revenir reposer à la même place. Si l’on 
en tue un second, un troisieme, ils épique la mème chose, j jusqu 
à ce que le tour des auires soitarrive, Ils portent, dit-on leur ; jeu- 
nes, dans ieurs becs, du haut des montagnes dans l’eau et ils na- 
gent sans cesse autour deux. Alors on peut les tuer, plutôt que 
de les forcer à s’eloigner. Si l’on transporte un Guillemot loin de 
la mer, dans les terres, et qu’on le mette en liberté il n’essaie pas 
du tout de s’envoler, mais si on le raproche de lamer, alors il s’en 
Quand il est dans une cage, avec de l’eau fraiche, 
il se plait à y nager, mais il n’y plonge pas volontiers et si on l’y 
force, il revient tout de suite à la surface. IL est mal-aisé de deci- 
der, si la cause en est 'éspéce d’eau, à la quelle il n’est point ac- 
coutumé ou le manque de nourriture. Sur mer, il plonge aus- 
sitôt qu'il appercoit du feu. Sur l’Elbe et la Saale, lorsque ces 
rivières sont prises, on les rencontre isolés aux endroits, où il ny 
a point de glace, 1à ils sont aussi très sauvages et se laissent à pei- 
ne approcher à la portée du’ fusil. 

Les poissons que le Guillemot avale, lui pendent souvent par 
la queue hors du bec. Ainsi il faut que la tête entre la première, 
car sans cela elle ne glisseroit pas si facilement dans le gosier, à 
cause des écailles el parce que la pesanteur du poisson réside plu- 
tôt, dans le milieu du corps que vers la tîte, 


vole aisément. 


Au reste cette pro- 
prieie lui est commune avec le pingoin et le héron cendré. 

On prétend que cet oiseau atteint un grand âge et de 16in 
20 ans son bec devient crochu, comme celui du bec-croisé, en- 
sorte que par là les jeunes se distinguent facilement des vieux, 


NOURRITURE. 


CHR : » L 
Eile se compose de grenouilles, de poissons, de crabes’rou- 
ges et d'insectes aquatiques. 


PROPAGATION. 


La femelle bätit son nid près de l’eau, sur des rocs inac- 
cessibles et elle y dépose un seul oeuf, de 5 pouces de longueur, 
blanc ou verd de mer pâle, marqué et rayé de taches noires ir 
régulières. Elle est un mois à le couver. Durant l'incubation, 
elle ne quitte pas son nid et le mâle lui apporte sa nourriture. 
Quand le jeune a trois semaines, elle le mène au bord de la mer, 


pour lapprivoiser à cet élément. 


UTILITÉ. 


La chair des vieux est coriace et maigre et sent Phuile de ba- 
leine, comme celle des jéunes. Néanmoins les habitans des iles 
de Fer, d’Island et du Groënland s’en nourrissent, après l’avoir 
salé et fumé. Mais ces peuples estiment surtout leurs plumes , 
qui ressemblent à l’édredon et qu’on peut employer à garnir les 
Bts. On fait une grande friandise de leurs oeufs et les Kam- 
schadales se font des vêtemens de leurs peaux. Le 


DOMMAGE. 


qu'ils causent est insignifiant , d'après leur manière de se 
me 


FEINDE 
haben sie an dem Menschen. 


JAGD UND FANG 

Sie werden in nördlichen Gegenden leicht mit der Flinte er- 
legt; auch sollman sie daselbst mit Prügeln tod schlagen können, 
Der Fang dieser Vögel, mit welchem sich vorzüglich die Feröer- 
abgeben, ist mit unsäglicher Mühe und Gefahr verbunden. Es ist 
auch nicht jeder geschikt dazu, sondern es gibt gewisse Leute un- 
ter ihnen, welehe von Natur schon eine Geschiklichkeit zu diesem 
Geschäft besitzen, und die man Vogelmänner oder Vogelfänger 
nennt. Der Fang wird auf zweierlei Art verrichtet, entweder von: 
unten hinauf, oder von oben herab, 

Wenn sie von unten hinauf steigen, so nehmen sie 
eine eilf bis zwölf Ellen lange Stange, an deren. einem Ende ein 
eiserner Haken ist, Einige andere, welche entweder im Boote oder 
auf der Klippe stehen, befestigen den Haken an dem Hosengürtel 
des Vogelfängers,oder aneinem ihm um den Leib gewundenen Stri- 
cke, und so. helfen. sie ihm anfangs auf den höchsten Absaz der 
Klippe, den sie erreichen können und wo er festen Fırf fassen 
kann. Iezt helfen sie noch einen zweiten hinauf Dieser so wie 
jener, hat seine Vogelstange in der Hand und einen. langen Strik, 
von welchem jeder das Ende nimmt und es um seinen Leib befe- 
stiget. Beide steigen nun so hoch als möglich hinauf. "Treffen: sie 
gefährliche Stellen an, was ôflers geschieht, so hilft einer dem an- 
dern, indem der unten stehende seine Stange unter den Eintern 
des. oben stehenden sezt, und ihn. so lange in:die Höhe schiebt, bis 
er einen Absaz erreicht, auf dem er sich fest halten kann.  Jezt 
ziehet dieser seinen Kameraden mit dem Stricke nach sich und so 
fahren beide fort, bis sie auf die Höhe gekommen sind, wo die Vö- 
gel brüten. Glischt einer bei einer gefährlichen. Stelle aus, so hilft 
ihm der andere vermittelst des Strickes wieder auf. Demungeach- 
tet ereignet sich doch öfters@ler Fall, dafs, wenn der eine nicht fest 
genug steht, oder nicht stark genug ist den andern im Fallen. zu 
halten, lezierer den ersteru ebenfalls umreilset und beide sich:an 
den Felsen eiend zerschellen und des Todes sind, Alle Jahre ha- 
ben einige dies. Schiksal zu gewarten.. . 

Sind sie glüklich an den Ort gekommen:,. wo die Vögel ihre 
Nester haben, so Können sie diese, wenn sie nicht durch öftere Re- 
suche scheu gemacht worden sind, leicht, und so gar mit den Hän— 
den fangen, da sie nicht gern ihre Jungen verlassen. Im Fall sie 
el- 
garn über sie, worin sie sich dann verwickeln. | 

Auf diese Art fangen sie nicht nur Lummen, sondern auch Al 


wegfliegen wollen öder fliegend ankommen,. werfen sie ein Büg 


ken und andere dergleichen Vägel. 

Während diese zwei mit dem Fange beschäfiiget sind, befin- 
det sich unter den Felsen ein Boot mit Beuten , welchen die Vo- 
gelfänger die gefangenen Vögel suwerfen: Bei gutem Wetter und 
reichem Fange bleiben sie acht Tage in den Klippen, ruhen.ia.den 
hin und wieder daselbst befindlichen. Hölen aüıs und lassen sich ihr 

Essen durch Seile zulangen sder sie nehmen es gleich anfangs mit 
sich. Einige andere fahren tiglich mit Booten zu:ihnen und brin- 
gen die gefangenen Vögel nach Hause. 


Wenn man die Klippen von der Wasserseite nicht besteigen 
kann, so unternimmt man den l'ang von oben herunter auf fol- 
gende Weise: 

Der Vogelfinger nimmt eine etwa’achtzig bis hundert Klafter 
lange und drei Zoll dicke Bergleine, deren eines Ende er sich um 
den Leib bindet und zwischen den Beinen durchzieht, so dafs er 
darauf sitzen kann, Sechs Mann halten den Strik und lassen den 
Vogel ngcr, der eine Vogelstange in der Hand hat, nach und nach 
hinab. Damit das Seil von der scharfen Kante des Felsen nicht 
abgericb:n werde und zerreifse. so legen. sie an dieselbe ein run- 
des Stiik Holz, aufwelchem das Seil leichter hinab gleiten kann. 
Aufser diesem hat der Vogelfänger noch ein anderes dünnes Seil um 

Ecee 


147 


ENNEMIS. 


Hs n’em ont pas d’autres que les hommes, 


MANIERE DE LES CHASSER. 


Dans les contrées fort avancées au Nord, il est facile de les 


tuer au fusil, on peut même les assommer à coups de baton. Mais 


plus au midi, comme par exemple dans les îles de Fer, cette chasse 
est extrémement pénible et dangereuse, Aussi tout le monde n’y 
est-il pas propre et if ya parmi les habitans de ces îles, des ho- 
mes doués par la nature d’une adresse particulière à cet effet, qu’on 
apelle attrapeurs d’oiseauxl, oiseleurs. La chasse s'exécute 
de deux manières, du bas en haut ou du haut en bas, 

Pour chasser du bas en haut, ils prennent une perche 
de 10 à 12 pieds de long, dont l’un des bouts est armé d’un cro- 
chet de fer, d’autres qui sont dans un bateau ou sur le rocher, 
attachent le crochet à la ceinture de la: culotte de loiseleur ou à 
une corde qu'il a kée autour du corps et ils le huchent sur le plus 
haut dégré du rocher qu'il leur est possible d’atteindre et où il peut 
prendre pied. Ils y elevent un second de lamöme manière. E’un 
et l’autre de ces oiseleurs sont aussi armés d’une perche et tiennent 
en main une longue corde, dont chacun attache un bout autour de 
son: corps. Ils: grimpent de la sorte le plus haut qu'il leur est pos- 
sible. S'ils rencontrent une place dangereuse, ce qui arrive sou- 
vent, ils se secourent l’un l’autre. Celui d’en bas appuie sa per- 
che contre la partie postériéure de celui d’en haut et le pousse 
jasqu’ à ce qu'il ait atleintun dégré, où il puisse tenir ferme. Alors 
celui-ci tire son camarade à lui avec la corde et ils continuent de 
la sorte, jusqu’ à ce qu'ils soient parvenus à la hauteur, où cou- 
vent les oiseaux, L’un d’eux vient-il &glisser dans un endroit dan- 
gereux, l’autre le releve par le moyen de sa corde. Neänmoins 
il arrive souvent, que si l’un n’est point assez ferme sur ses pieds 
ou que l’autre ne soit point assez. fort pour retenir dans sa chute ce- 
lui qui tombe, celui-ci entraine Paulre et ils périssent tous deux, 
écrasés contre les rothers. Iln’est point d'années, où quelques uns 
n'éprouvent ce malheureux sort. ’ 

Sont-ıls heureusement arrivés au lien, où se trouvent les nids, 
si les possesseurs n’ont point encore élé eflarouches pas de trop 
frequenies visites, ils peuvent aisément les prendre, même avec 
la main, puisque les vieux abandonnent rarement leurs petits. Dans 
le cas eù ils ven!ent s'envoler, on s'ils arrivent en. volant, on jette 
sur eux un fiiet-d'oiseleur, dans le quel ils s’entortillent. 

Vu prend de cetie manitre nou seulement des Guillemots, mais 
aussi dosMacareux, et autres oiseaux de cette espèce. 

Pendant que ces deux oiseleurs sont ainsi occupés, un bateau 
aitend au bas du rocher et recoit les prises qu'ils ont faites Par - 
un tems et une chassé favorable, ils passent quelque fois 8 jours sur 
des rochers, couchent dans les cavernes, qui s’y trouvent çà et là et 
se font monter leur nouriiture avec des cordes, ou ils en prennent 
d’abord une provision avec eux. Cependant d’autres insulaires 
arrivent tous les- jours:en bateaux, pour recueillir les oiseaux pris 
e& les emporter à la maison. 

Quand les rochers sont absolument inabordables du côté de 
Peau, la chasse se fait du haut en bas, de la manière suivante, 

L'uiseleur s'attache autour du corps le bout d’une corde 
de 5 pouces d'épaisseur et de 80 à 100 toises de longueur et il 
la fait pssser entre ses jambes, de manière à pouvoir s’asseoir des- 
sus. Le reste de la corde est ienu par six hommes, qui laissent 
peu à peu descendre Poiseleir , tenant en: main une perche de 
son métier. Mais afin que la corde ne soit point usée par les 
asperils du roc et qu’elle ne vienne point à se briser, ils Pen- 
tourent d’un morceau de bois arrondi, sur le quel elle glisse 
avec plus de facilité. Outre eeite corde le chasseur en a une autre 
plus menue autour du corps , qu’il tire dans l’occasion, en faisant 
certains signes, d’après lesquels on doit I’ élever ou Pabaisser, ou le 
laisser surpendu à Pendroit où il se;trouve. Une pareille descente 


= 348 


den Leib, mit welchem er durch Ziehen gewisse Zeichen gibt, wie 
man mit ihm verfahren, ob man ihn in die Höhe ziehen, herab- 
lassen oder hängen lassen soll, wo erist. Eine solche Niederfahrt 
ist sehr gefährlich , weil durch die Bewegung des Seils leicht ein 
Stük Felsen los werden und dem Vogelfinger auf den Kopf fallen 
kann. Zur Vorsicht sezt er auch gemeiniglich einen schr dicken, 
gut ausgefütterten Matrosenhut auf, damit er den Schlag eines 
solchen herabfallenden Steins, wenn er nicht zu grofs ist, aushal- 
ten kann. Es gehört viel Vortheil dazu, sich am Seile, das sich 
immer herum drehet, geschikt zu halten. Wer es nicht verstchet, 
wird beständig im Kreise herum bewegt, bekommt Sehwindel und 
kann nichts ausrichten. Der Geübte hingegen weils sich vermit- 
telst der Füfse, die er an die Felsen stöfst, auf eine künstliche Wei- 
se hin und her zu schwingen, und sich dahin zu wenden, wo er 
Vögel antrift Auch kann er am Seile frei in-der Luft sitzen und 
mit der Stange in den Händen, die ab- und zufliegenden Vögel 
auffangen. _Die gröfste Kunst besteht indessen darin, sich in ein 
Eoch oder eine Höle, das ein überhängendes Dach wie ein Ge- 
wölbe hat und worin sich die Vögel gern aufhalten , 
sen und daselbst festen Fufs zu fassen. Dies bewerkstelliget er auf 
diese Weise, dafser sich mit dem Fufe einige Klafter weit zurük 
stöfst und sich dann mit der gröfsten Geschwindigkeit in die Höle 


hinein schwingt. Sobald er darin angelangt ist, macht er sich von 


hinein zu las- 


dem grofsen Seile los und befestiget es an einem Stein, damit es ihm 
nicht entfahren kann, geht herum und fängt die Vögel entweder mit 
den Händen oder dem Schlaggarn. Hat er eine hinlängliche Menge 
beisammen, so bindeter sie an den dünnen Strik in ein Bändel, gibt 
’ > 8 
ein Zeichen und lälst es in die Höhe ziehen. Auf diese Weıse ar- 
beitet er den ganzen Tag fort. Will er wieder in die Höhe, so: 
gibt mit der Handleine ein Zeichen, wo- 
Manchmal 


sezt er sich auf sein Seil , 
rauf ihn dann seine Gehülfen in die. Höhe ziehen. 

lettert cr ohne alle Beihülfe und mit Vägeln beladen am Seile in 
die Höhe. 

Zuweilen verrichtet der Vogelfänger die Arbeit ganz allein, Er 
schlägt oben auf dem Berge einen Pfahl schräg in die Erde, befe- 
stiget das Seil daran, läfst sich hinab und klettert auch, wenn der 
Fang geschehen ist, wieder ohne Beihülfe eines andern hinauf. 


Einige Berge sind so beschaflen, dafs man vom Lande aus da- 


hin kommen kann. Alsdann begeben sich zwei Vogelfänger auf 
denselben, fangen so viel Vögel als sie tragen können und bege- 
ben sich dann wieder nach Hause. 

In manchen Jahren fangen die Ferörer, wenn das Wetter gut 
ist, eine unzählige Menge dieser Vögel. Istdas ‘Weiler trüb , so 
ist der Fang am besten, weil alsdann die Vögel sich auf den Ber- 
gen aufhalten; bei hellem Wetter aber, oder wenn die Sonne 
scheint, suchen sie gemeiniglich die See auf Um die Zeit ihres. 
Wegzuges sitzen sie am Sirande in unglaublicher Menge auf den. 
Klippen. 

VERSCHIEDENHEITEN. 

Latham führt folgende Abarten an, welche aber alle nur Al- 
tersverschiedenheiten sind: 

1) mit breiterm und kürzerm Schnabel und gelben Schnabel- 

rändern; 

2) mit schwarzen Sehwanzfedern ; 


5) mit weilsem Augenkreise und einer weifsen Linie hinter-, 


den Augen. 

Wir besitzen einen jungen Vogel, an welchem die Kehle, 
Wangen und der ganze untere Theil des Kopfes bis in den Nacken 
weifs sind; nur die kleine Theilung der Federn, welche von dem 
Se nach dem Hinterkopfe zugeht, ist so gefärbt wie der Schei- 

, Rücken, Flügel und Schwanz, welches ai dunkelgrau ist, 
à einen röthlichen Anflug, hat, 


est fort dangereuse, parce que le frottement de la corde peut aisé- 
ment détacher un éclat de rocher, qui tombe sur la tête de l’oi- 
Aussi se couvre-t-il ordinairement par précaution, d’un 
chapeau de matelot fort épais et bien doublé, afin de pouvoir pa- 
rer le coup d’une semblable pierre , si elle n’est point trop volumi- 
Il faut beaucoup d'adresse, pour se tenir ferme, à cette 
Celui qui est novice, tourne in- 


seleur. 


neuse. 
corde, qui tournoye sans cesse, 
cessamment sur lui même, le vertige le prend et il est incapable de 
rien faire. Celui qui est exercé au contraire sait se balancer adroi- 
tement, en heurtant de ses pieds le rocher et se porter aux endroits, 
où il peut trouver des oiseaux. Ou bien il peut assis librement sur 
sa corde prendre avec la perche qu’il tient en main, les oiseaux 
qui voltigent autour de lui. 'T'outefois le plus grand art consiste à 
s’introduire dans les trous ou cavernes, couvertes par une espèce 
d’auvent ou de voute avancée, où les oiseaux aiment à séjourner 
et d’y prendre pied, pour les attraper. Pour cet effet jil s’agit en 
touchant de ses pieds le rocher de prendre un'élan de quelques 
toises ei en revenant de s’elancer avec rapidité, dans la caverne 
Dès qu’il y estenirc, il se débarrasse de la grosse corde et l’atta- 
che à une pierre, à fin quelle ne puisse lui échapper, se met à 
roder et atlrape les oiseaux, soit avec la main, soit avec un filet 
à deux ailes. En a t-il pris une certaine quantité, il leslie en- 
semble à une ficelle, il fait un signe et on les tire en haut; c’est 
ainsi qu'il travaille toute la journée. Lors qu'il veut enfin re- 
monter, il se replace sur sa corde, fait avec sa ficelle le signe 
convenu ct ses compagnons le tirent en haut. Quelque fois il 
grimpe sans aucun secours, chargé d'oiseaux , le long de sa 
corde et arrive tout seul en haut. 


Alors Loi- 
seleur enfonce obliquement en terre un pieu au haut de la mon- 
tagne, y attache une corde, le long de laquelle il descend et, 
son travail fini, il remonte sans augge assistance, au lieu, d’où 
il est parti. 


On en voit aussi qui vont seuls à cette chasse. 


U y a quelques montagnes maritimes, qu'on peut aborder 
par terre. Alors deux oiseleurs s’y rendent de compagnie, at- 
trapent autant d'oiseaux qu’il leur est possible ar puis 


s’en retournent chez eux. 


La quantité d'oiseaux ‚que les habitans de l’île de Fer pren- 
nent, quand la saison les favorise, est innombrable. Cette chas- 
se réussit le mieux, quand le tems est couvert, parce qu’ alors 
les oiseaux restent dans les montagnes, si au contraire le-tems 
est elair ou que le soleil luise ils descendent ordinairement vers la 
mer. Lorsque leur départ approche, on les voit percher, en 
nombre incalculable sur les rochers, qui bordent le rivage. 


VARIÈTES. 
Latham cite les variétés suivantes, mais qui ne sont que des 
différences, produites par l’âge. 
1) Avec un bec plus large et plus court et bordure du bec 
jaune. 
2) Avec plumes de la queue noires. 


5) Avec un cercle blanc autour de loeil et une raye blan- 
che derrière les yeux. 


Nous. possédons un jeune, dont la gorge ; les jones et toute 
Ja partie inférieure de la tête jusqu’ à la nuque sont blanches; 
il n’y a que la petite partition de plumes, qui s'étend de l'oeil 
vers l’occipui ; qui soit de la même couleur que le crane, le 
manteau, les ailes et la quene, c’est à dire gris-foncé, avec un 
chatoiement rougeätre. 


- 


DIE SCHWARZE LUMME. 


Grylltancher, Täuchertaube. Schwarze Grönländische Taube. Seetaube. 
Schwarze Stechente. 

Uria Grylle. Latham. Ind. Ornithol. II. p. 797. n. 2. 

Colymbus Grylle. Lin. Syst. nat. T. I. pag. 220. n. 1. 

— — — Gmel. Lin. Syst. nat. T. I. P. II. pag. 584 1, 

Le petit Guillemot noir. Buff. 

The black Guillemot. Penn. - 

Spotted Greenland Dove. Edw. nat. hist. pl. 50. (Scligmanns Vögel I. t. 
99. Junger Vogel.) 

Die grönländische Taube. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Suppl. 
pag. 185. B. 

Schwarzes Täucherhun. Bechst. Ornith. Taschenb. Th. II. S. 357. Nr. 2. 
‘Dessen Naturgesch. Deutschl. B. 2. Alle Ausgabe. S. 772. Nr. 2. 

Das schwarze Täucherhulin. Naumann Naturgesch. der Land- und Was- 
servögel. B. III. S. 399. Tab. LXIII. fig. 100. 


KENNZEICHEN DER ART. 
Dites über die Flügel ein breites weifses Band; die Füfse 
roth. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel 12 Zoll lang und schwarz; der Oberschnabel 
vorn abwärts gebogen, spitzig, än den Kanten sehr scharf; der Un- 
terschnabel hat unten eine Erhöhung, beide nach der Spitze hin 
eiwas gezakt; der inwendige Schnabel schön roth; die Nasenlöcher 
länglich; der Augenstern braun ; der Kopf, Hals und Rücken, die 
untere Seite des Körpers und der Schwanz braunschwarz mit hel- 
lern Rändern; die obern und mittlern Dekfedern der Flügel sind 
weifs, und bilden einen Spiegel; die Schwungfedern dunkelbraun, 
die kurzen Füfse, die Schwimmhaut scharlachroih; die Nägel 
schwarz; die Hinterzehe fehlt. 

Die Flügelspitzen endigen sich an der Wurzel des Schwanzes. 

Zwischen Männchen und Weibchen ist kein Unterschied. Die 
Jungen, von welchen hier ein Männchen abgebildet ist, weichen von 
den Alten darin ab, dafs sie am Grunde des Schnabels und auf dem 
Bauche weilse Federränder haben, und die schwarze Farbe ins Grü- 
neschillert. Je jünger der Vogel, desto bunter und grauer ist er. 


AUFENTHALT. 


Das Väterland der schwarzen Lumme ist das nördliche Meer 
vor Europa, Asien und Amerika, die Bassinsel, Schottland, die In- 
sel St. Kilda, wohin es im März kommt. Man sieht sie auch auf 
den Felsen von Llandidno in Caernarvenshire und auf den Farnin- 
seln an der Küste von Northumberland. Nach Deutschland kommt 
sie selten an die Küsten der Nordsee. "Tiefer nach Deutschland 
begibt sie sich nur in sehr strengen Wintern, z. B. auf die Saale 
und Elbe, wo sie die offenen Stellen aufsucht. Frieren die Flüsse 
ganz zu, so geht sie auf die warmen Quellen, Teiche und Sümpfe. 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie hat einen schlechten Flug.- Ihr Gang; ist aufrecht, wa 
ckelnd und schwerfällig. Desto geschikter-ist sie im Untertauchen. 
Ihre Stimme besteht in einem Jattten Pfeifen. Uebrigens ist sie so 
dumm, wie ihre Gattungsverwandtinni, die graue Lumme. Die 
Jungen lassen sich zähmen, sterben aber bald, 


NAHRUNG. 


Diese besteht in Fischen, besonders frifst sie eine Art von 
Rozfisch (Blennius) gern, den sie auch für ihre Jungen auf- 
sucht, 


FfÉE 


LE PETIT GUILLEMOT NOIR. 


Die schwarze Lumme. Grylitaucher, Taucherlaube, Schwarze grônlän- 
dische Tauhe. Scetaube. Schwarze Stechente, 

Uria Grylle. Latham ind. Ornithol. IT. p. 797. n. 2. 

Colymbas Grylle. Linn. Syst. nat. T. I. p. 220. n. 1. 

— — — Gmel. Linn. Syst. nat, T. I. P. II. pag. 584, 1. 

Le petit Guillemot noir. Buffon. 

The black Guillemot. Penn. 

Spotted Greenland Dove. Edw. nat. hist. pl. 50. ( Seligmanns Vögel II. t. 
99. (Jenne.) 

Die grönländische Taube. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. Suppl. 
p. 185. B. 

Schwarzes Taucherhuhn. Bechst. Ornith. Taschenb. Th. II. S. 357. N. 2. 
Dessen Naturgeschichte Deutschl. B. 2. Alte Ausgabe S. 772. N. 2. 

Das schwarze Taucherhuhn. Naumann Naturgesch. der Land - und Was- 
servögel B. IH. S. 399. Tab. LXIII. fig. 100. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 
I; sont noirs, avec une large bande blanche sur les ailes; les 


pieds rouges. 
DESCRIPTION. 


Le bec long d’un demi pouce etnoir. Le bout de la mandi- 
bule supérieure courbé en haüt, pointu, et ses bords très aigus; 
La mandibule inférieure offre en bas une saillie; toutes les deux 
sont legérèment deritelées vers la pointe. Le dedans du bec est 
d’un beau rouge, les narines sont fendues en long; Piris brun; la 
ièle, le col, le dos et le dessous du corps et de la queue brun- 
noir avec bordures plus claires. Les couvertures supérieures des 
plumes et celles du milieu sont blanches et font miroir et les pen- 
nes des ailes brun foncé. Les pieds courts sont couleur d’écarlate 
ainsi que les membranes; les ongles noirs, l’ergot manque. 

Les pointes des ailes se terminent à la naissance de la queue. 

Il n'y a aucune difiérence entre le mäle et la femelle. Les 
jeunes dont on voit un mâle représenté ici, se distinguent des vieux, 
en ce qu'ils ont des bordures blanches à la naissance du bec et 
sur le ventre et que leur couleur noire a une teinte verdâtre. Plus 
l'oiseau est jeune, plus il est gris et bigarre. 


PATRIE. 


Les mers les plus septenirionales de l’Europe, de l’Asie et de 
l'Amérique, l'ile de Bast, lÉcésse et l’île de St Kilda, où il ar- 
rive au mois de Mars. On le trouve aussi sur le rocher de Llan- 
didno , dans le comté de Caernarva et dans lesîles de Faren, sur 
la côte de Northumberland. Il vient raremient en Allemagne sur 
les côtes de la mer du Nord. On ne le rencouvre plus avant dans 
ce pays, que durant des hyvers très rigoureux, sur la Saale et sur 
VEIbe, où il cherche des places, non fermées par la glace. Quand 
ces rivières sont tout à fait prises, il gagne les sources chaudes, 
les étangs et les marais, 


QUALITES, 

Cet oiseau vole mal. Quoi qu’il porte la tête droite, sa dé- 
marche est lourde et chañcelarite. Mais en revanche c’est un ha= 
bite plongeur. Sa voix est un vrai siflement. Du reste il est aussi 
sot que son cher cousiñ le Guillemot gris On peut apprivoiser 
les petits, mais ils meurent bientôt. 


NOURRITURE. 


Elle consiste eh poissons, parmi les quels il préfère une 
espece de (Blennius) qu'il cherche aussi pour en nourrir ses 
petits, 


FORTPFLANZUNG. 


Sie baut ihr Nest in niedrig liegende Felsenlöcher an die Sce- 
ufer, oder tief unter die Erde. Das Weibchen legt dareiæ zu An- 
fang des Jünius eins bis zwei weifsliche, mit vielen ‚grauen und 
schwarzen Flecken versehene Eier, die so grofs wie die Hühner- 
eier sind. Beide Geschlechter leben in Einweiberei und sind in 
ihrem Umgange sehr zärtlich. Die Jungen, welche im ersten Jahr 
hellgrau sind, können, wenn: sie mit den ersten Federn in das Was- 
ser kommen, nieht untertauchen, ob sie es gleich oft versuchen. 


: 


# 


NUTZEN. 


Die Grönländer essen nicht nur ihr Fleisch, sondern brau- 
ehen auch die Haut zur Kleidung und die Füfse als Köder, zum 
Fischfangen, Die Isländer salzen das Fleisch eimund räuchern es. 
Es soll nach einigen sehr schmakhaft sein. Naumann sagt, dafs es. 
sehr thranicht schmecke. Das Fett, welches während des Kochens 
gesammelt wird, soll feiner als Gänseschmalz schmecken. Eben 
so ifst man ihre Eier gern. Ein 


SCHADEN 


ist uns von ihr nicht bekannt. 


FEINDE 


hat sie an den Menshen und den Seehund (Phoca vitulina L.) 
Tüdlich von dieser Phoca verwundet, findet man sie manchmal zur 
Zeit der Ebbe in Holland am Mecerufer. Kann sie das Meer nicht 
wieder gewinnen so wird sie entweder auf dem Strande eine Beute 
der Meven, oder nimmt sie die Fluth wieder mit, dann’ gewöhnlich 
von dem Braunfisch (Delphinus Phocaena) gefressen. Gleiches 
Schiksal hat auch die graue Lumme,{die Alken, Pinquinen und alle 
Taucherarten, | 


IAGD UND FANG. 


Sie kann leicht gesehossen werden. Die Isländer halten es: 
für eine Sünde, die Alten zu töden, die Jungen aber ziehen sie 
mit Haken aus den Klippen und töden sie ohne alles Bedenken. 
Die: Alten sind so dumm, dafs sie sich mit Prügeln todschlagen. 


lassem, 
VERSCHIEDENEHEITER, 


Laiham führt von dieser Art folgende Abarten an: 
:) Rufsschwarz, ‘unten am hellsten; die mittlern Schwungfederm 
mit weifsen Spitzen, daher ein weifser Flek auf den Flügeln.. 
In Analaschka zu Hause, 


Colymbus. Grylle, Lin. Ed. XI. 2.2: p. 584. Nr. ı. £. 


2) Oben bräunlichschwarz, mit Querstreifen von dunklerer Far- 
be; Schläfe und die untern 'T'heile vom Kinne bis zum After 


schmutzig weils, mit hellasehfarbenen Querstreifen; die Dek- , 


federn der Flügel weiss, ein ‘Flieil derselben mit Schwarz ver— 
mischt; die Fülse schmutzig fleischfarben. Aus Grönland. 
Colymbus Grylle. Lin. Ed. XI. 1. 2. p. 584. Nr. 1. 8.. 
Uria balthica. Brunaich, orn. n, 116. 


5) Kopf, Hals und Brust weifs, sehr undeutlich schwarz gellekt, 
mit einigen weifs gerandeten Federn; der Bauch schneeweïls ; 
Flügel und Schwanz schwarz, und.ein weilser Flek auf dem 


erstern. Aus Ohristiansöe. 


4) Oben dunkelschwarz, der Scheitel weils gesprenkelt; der Hin- 
terhals spielt ins Aschgraue ; die gröfßsern Dekfedern der Flü- 
gel unregelmäfsig schwarz und weils bezeichnet; Schwung- 
federn und Schwanz schwarz , die untern 'Theile weils, mit 
undeuilichen dunkelschwarzen Strichen bezeichnet; das Kinn 


150 — 


PROPAGATION. 


Il niche dans des rochers peu élevés, dans des trous au bord 


"de la mer ou fort avant dessous terre. Au comencement de Juin 


fa femelle pond un ou deux oeufs blanchâtres marqués d’une quan- 


tité de tâches grises et noires, et de la grosseur des oeufs de poule. 


Ces oiseaux ne conncissent point la polygamie et ils sont fort tend- 
res dans leurs amours, La livrée des jeunes, dansla première an- 
née est d’un brun clair et quand ils n’ont encore que leur pre- 
mitres plumes, ils ont beau essayer de plonger, ils n’y réussissent 
point, 


UTILITÉ. 


Les Grönlandais mangent non seulement leur chair, mais ils 
font des vêtemens de leur peau et ils emploient leurs pattes, com- 
me une amorce, pour attraper des poissons. Les Islandais salent 
et fument leur chair, qui au dire de quelques personnes est d’un 
très bon goût. Nauman lui trouve une forte odeur d’huile de ba- 
teine. La graisse qu’on en écume, pendant la cuisson doit avoir le 
goût de la graisse d’oie. Ses oeufs sont aussi agréables à manger. 


DOMMAGE. 


Nous ne saurions en indiquer aucun par rapport à l’homme, 


ENNEMIS, 


Il en a de deux sortes: l’homme et le chien de mer (Phoca 
vitulina. L.) On le trouve quelque fois mortellement blessé par 
ee phoca, dans le tems du reflux au bord de la mer d’Hollande. 
Lorsqu'il ne peut plus régagner l’eau, alors ou il devient la proie 
des mouetles, ou s’il est entrainé par le flux le marsouin (Del- 
phinus Phocaena) s’en repait. Le Guillemot gris, les ma- 
careux et toules les espèces d'oiseaux plongeurs ont aussi le même 
sort. 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 


Cet oiseau est facile Aluer. Les Islandais se font un crime 
de tuer les vieux; mais ils arrachent les jeunes, avec des cro- 
chets des écueils, où ils sont cachés et ils les égorgent sans scru- 
pule. La bêtise des vieux est au point, qu’ils se laissent tuer à coups 
de baton. 


VARIÉTÉS: 
Latham cite les variétés suivantes de cette espèce. 


x) Noir de suie, la couleur plus claire sous le ventre; les pennes du 
milicu à pointes blanches, ce que produit une tache blanche 
sur les ailes. Se trouve à Analashka. 

Colymbus Grylle. Lin, Ed. XIIL. L 2. p. 584. No. 1. 8 


2) La partie supérieure noir brunätre, avec bandes transversales 
d’une couleur plus foncée. Les tempes et le dessous du corps, 
depuis le menton jusqu au derrière d’un blanc-sale, avec des 
rayes transversales gris-cendré clair; les couvertures des ailes 
blanches, une partie mélangée de noir; les tarses, couleur de 
chair sal. Dans le Grönland: 

Colymbus- Grylle. Lin. Ed. XIIL 1. 2. p. 584. No, 1.8. 
Uria baltica. Brunnieh. orn.n. 116. 


3) La tête, le col et la poitrine blanche, avec taches noires,’ pres- 
que imperceptibles et quelques plumes bordces de blanc; le 
ventre blanc de neige; les ailes et la queue noires, avec une 
tache blanche sur les premières. De Christiansoe. 


4) Le dessus du corps noir, le sommet de la tête tacheté de blanc, . 
le derrière du col tire sur le gris de cendre; les grandes cou- 
vertures des ailes, marquées de taches irrégulières blanches 
et noires ; les pennes des ailes et la queue noires , avec les 
parties inférieures blanches et marquées de rayes noir foncé 


aq 
— 


weils; die Fufse hellbraun; die Schwimmhaut schwärzlich. 
Aus Kamischatka? 
Colymbus Grylle. Lin. Ed. XUI. ı. 2. p. 584. N. ı. E. 


5) Oben schwarz und weils geflekt; unten weils, oder auch schwarz 


und weils geflekt. 
Colymbus Grylle. Lin. Ed. XII. 1. 2.p. 584. N. 1. 
Uria grylloides. Brunnich orn. Nr, 114. 


presqu” imperceptibles; le menton blanc; les tarses brun clair 
etles membranes nôirâtres. Du Kamschatka ? 
Colymbus Grylle. Lin. Ed. XIU. 1. 2. p. 584. N.1.E. 
5) Le dessus du corps noir, tacheté de blanc, le dessous blanc ou 
tachelé de blanc et noir. 
Colymb. Grylle. Lin: Ed. XIIL 1. 2. p: 584. N. 1. 
Uria grylloides. Brunnich ornith. n. 114. 


2 NP a BEER vla LE EEE Be RE PT TE at Fa ai a nn 


= 


DAS GRÜNFÜSSIGE MEERHUHN. 


Grünfüssiges Wasserhuhn. Grünfufs. Rothbläfschen. 

Braunes Meerhuhn: (jung.) Glutt Meerhuhn (jung.) 
Gallinula chloropus: Latham. 

Fulica chloropus. Lin. syst. nat T. I. p. 258. n.4. 

— — fusca. Linn. syst. nat. I. p.257. n. 1. 

— — fusca Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. L!. pag. 697. 698 

Fulica fistulans. Gn el. Linn. syst nat. T..I. P. II. p. 702. n. 19: 

Poule d’eau. Buflon. 

Poulette d’eau. Buflon. 

The common Water-hen or Morehen. Penn. 


Rothes Blafshuhn. 


Das rothbläfsige kleine Wasserhulin. Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. 


Taf. 209. Männchen. 
Das Oliven- Wasserhuhn. Taf. 210. ein Junges. 
Das rothbläfsige Wasserhuhn, 


À Wasservögel. Band III. S. 137. 'Yaf. 29. Männchen und Junges. 


Grünfüfsiges Meerhukn Bechst.. Ornith. Taschenb. Th. IL 3, 34% m, 3, Si 


342. n. 4,8, 344. ne 7. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Die Stirnhaut und der hintere Theil des Schnabels kochenille- 
roth, der vordere heligelb ; Oberleib olivenbraun; Flügelrand und. 


untere Dekfedern.des Schwanzes weils; Füfe olivengrün. 
BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist einen Zell lang stark zusammen gedrükt, am: 


Grunde schön glänzend kochenilleroth, vorn hellgelb, in der Ju-- 


gend vorn olivengrün, hinten olivenbraun, der Unterschnabel hel- 
ler als der obere; die Siirnhaut glänzend Kkochenillercth, in der Ju- 


‚gend dunkel olivengrün; der Augenstern kochenilleroth; Kopf, 


Ober- und Unterhals grauschwarz; Brust und Bauch dunkelbläu- 


lich aschgrau, in der Gegend des Afters mit weifsen Rändern; die 
äufsersten Federn der Bauchseiten, welche den Vordertheil der: 


Flügel bedecken, mit weilsen Längsflecken; untere Dekfedern des 
Schwanzes weils; Oberleib dunkel olivengrän; Schwungfedern. 
dunkelbraun, die erste an der schmalen lahne mit einem weilsen 
Rande, die übrigen an den Spitzen ins hellbraune übergehend; 


_Schwanzfedern dunkelbraun. Die Füfse olivengrün, über dem 


sogenannten Knie etwas gelb und Kochenilleroth; die Nägel braun. 


Die Flügelspitzen sind von der Schwanzspitze sieben Linien ent- 
fernt. 


Länge ı Fufs 4 Linien; Breite 1 Fufs 6£ Zoll Pariser Maas. 
Das Weibchen ist etwas kleiner; die Stirnhaut eiwas -kleiner 
und die Farbe so wie die des Schnabels und des ganzen Körpers, 
weniger lebhaft. Das alte Weibchen ist schwer von dem Männ- 
chen zu unterscheiden. —. | 


Das Junge welches hier abgebildet ist,: sieht im ersten 
Herbst ganz anders aus, als das Alte, und ist von Linné und an- 
dern Naturforschern für eine besondere Art angesehen, und im 
System unter dem Namen Fulica fusca aufgeführt worden. La- 
iham macht so gar noch eine Art daraus, die er Gallinula fi- 
stulans nennt. Beïde sind nichts anders als Altersverschieden- 
heiten, Das Junge im Herbsikleide hat folgende Farbe: Schnabel 
vorn oliyengrün, hinten dunkler, die Stirnhaut klein, dunkel oli- 


CS e 


Naumann Naturgeschichte der Eand-und: 


LA POULE D'EAU. 


Das grünfüssige Wasserhuhn. Grünfufs. Rothbläschen: Rothes Blass- 
bubn. Braunes Meerhuhn. (iung.) Glutt Meerhuhn (dung. ) 
Gallinula chloropus. Latham. 
Fulica chloropus. Lin. Syft. nat. T. I. pag. 258. n. &, 
— — fusca Lin. syst. nat. I. p. 257. N. 1. 
— — fusca. Gmel. Lin. fyft. nat. TI: P.IT. pag. 697. 698.) 
Fulica fistulans.. Gmel. Lin. syst. nat. T.1.P. II. p. 702. n. 19. 
Poule d'eau. Buffon: 
Poulette d’eau. Buffon. 
"Ihe common Water hen.or Morehen. Penn. 
Das röihbläßsige kleine Wasserhuhn. Frisch Vorstellungder Vögel Deutschl 
Taf. 209. Männchen. 
Das Oliven-Wasserhuhn, Taf. 210. ein Junges. 
Das roihbläfsige W asserhuhn. Naumann Naturgesch. der Land-und Was- 
servôgel. B. III. 8. 137. Taf. 29. Männehen und Junges. 
Grinfüfsiges Meerhuhn. Bechst. ornith. Waschenb, Th, II. S..341. n. 3.5. 
342. n.. 4. 9. 544. 0. 7% 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


L: peau du front, la partie posterieure du bec rouge de coche- 
nille, la partie anterieure jaune clair; le dessus du corps brun d’oli- 
ve; les couvertures inférieures de la queue et le bord des ailes 
blancs , les tarses verd d'olive. 


DESCRIPTION. 


Le bee a un pouee de longueur, extrêmement serré, à la 
naissance d'un rouge éclatant de cochenille, en avant jaune clair; 
dans le jeune âge verd d’olive en avant et brun d'olive en arriére; 
la mandibule inférieure plus claire que la supérieure; la membra- 
me du front d’un rouge de cochenille brillant, dans le jeune âge 
verd d’olive foncé. La prunelle de l’oeil rouge de cocheuille; la 
tete, le dessus et le dessous du col gris noir; la poitrine et le ven- 
tre gris de cendre foncé tirant sur le bleu, avec bordures blanches 
vers la culotte; les premières couvertures des ailes près du ventre, 
avec des taches blanches longitudinales’; les couvertures inférieures 
de la queue blanches ; Pavant-corps verd d’olive foncé; les pennes 
des ailes brun foncé, la premiere du rang étroit avec bordure blan- 
che, les autres vers les éxtrèmités devenant insensiblement d’un 
brun clair ; les pennes de la queue brun foncé. Les tarses verd 
d'olive, sur ce qu’on appelle le genou jaunätre et rouge de coche- 
nille; les ongles bruns. Les pointes des ailes sont à la distance de 
7 lignes seulement de Péxtrémite de la queue. 

Longueur » pied 4 lignes, Einvergure 1 pied 6 pouces 3 me- 
sure de Paris. La femelle est un peu plus petite, elle a la mem- 
brane frontale un peu plus petite et la couleur du bec et ide tout 
le corps moins vive. La femelle qui a vieilli se distingue u 
lement du mâle. ı 

Le jeune oiseau, dont on voit iei la representation paroit dans 
son premier automne tout autre que le vieux et Linné ainsi que 
quelques autres naturalistes en ont fait une espèce distincte; il se 
trouve dans le système sous le nom de Fulica fusca. Latham en 
fait aussi une espèce à part; qu’il nomme Gallinula fistulans. 
Mais l’une et l'autre ne sont que des variétés produites par la dif- 
férence des âges, Le jeune dans sa livrée d’automne offre les cou- 


— 159 


vengrün;, Füfse olivengrun, über dem Knie etwas gelb; Scheitel, 
' Oberhals und der ganze Rücken olivenbraun; Schwungfedern 
dunkelbraun, an den Spitzen hellbräunlich gerandet;, die erste 
Schwungfeder äuf der schmalen Fahne weils gerandet. Schwanz. 
dunkelbraun; die untern Dekfedern des Schwanzes weifs ; in der 
Mitte schwarz ; Kinn und Kehle schmutzigweifs,, an den Spitzen 
rosibräunlich ; der übrige 'Theil des Unterhalses aschgrau, an den 
Bauchseiten in das Olivenbraune übergehend; Schenkel dunkel 
aschgrau; Augenstern braun; unter dem Auge ein halbmondför- 
miger weilser Flek.. 


AUFENTHALT. 

Das grünfüfsige Meerhuhn lebt in Nordamerika von Carolina. 
bis Neujork, in Jamaika, Rufsland und England. In Dänemark 
ist es selten; in Sardinien bleibt es das ganze Jahr. Nach Deutsch 
land kommt es im März, April und Anfang des Mai, und verläfst. 
es zu Ende des Septembers und Anfang des Oktobers wieder, ist 
also ein Deutscher Zugvogel® Fast auf allen Seen, Teichen und 
Flüssen. in Deutschland, welche mit viel Gebüsche und Schilf be- 
wachsen sind, wird es angetroffen, Oefters bleibt es so gar des: 
Winters bei uns, zieht von einem Allasser zum andern, um dem: 
Eise und der Kälte auszuweichen. Ist der Winter strenger, so 
zieht es sich in die wärmern Gegenden von Europa. Im Jahr 1803.. 
den 25. Januar,. waren'alle Weiher stark zugefrohren, und schon 
5. Wochen vorher kaltes Wetter, aber wenig Schnee, und an 
eben diesem Tage erhielten’ wir von einem VWeiïher bei Niimberg 
ein Exemplar, des sogenannten braunen Meerhulns, 


EIGENSCHAFTEN. 


Es ist ein lebhafter Vogel, der einen muntern schreitenden: 
Gang hat, und dabei den Körper vorwärts strekt, den ausgebrei- 
teten Schwanz beständig aufund.niederwärts, so wie den Kopfund: 
Hals vor- und rükwärts bewegt. 
ausbreitet, läuft er auch auf dem Wasser, besonders, wenn sich 
viele Wasserlinsen oder andere Gewächse auf der Oberfläche des- 
selben befinden, sehr schnellhinweg. Ob es gleich keine Schwimm- 


haut hat, so kann es doch vermittelst seiner breiten Brust und der 


mit einer Seitenhaut berandeten Zehen gut schwimmen. Bei au- 
genscheinlicher Lebensgefahr, besonders wenn es von Hunden in 
die Enge getrieben wird, taucht es unter, und gehteine ganze Stre- 
ke unter dem Wasser weg. Dann sirekt es nur den Kopf zur Hälf- 
te hervor, um sich umzuschen, oder Luft schöpfen zu können, 
Merkt es noch Gefahr,. so zieht es.den Kopf schnell wieder zu- 
rük, sucht heimlich das Ufer auf, und verstekt sich hinter einen: 
Busch, aus welchem es nur mit dem Kopfe hervor schielt, um. 
den Feind zu beobachten. 

Sein Flug ist wegen der kurzen Flügel schwerfällig, wobei es, 
wenn er nicht weit geht, die Fülse gerade herunter hängen läft, 
bei einem weiten Zuge aber hinten hinaus strekt. 

Seine Stimme,. welche es im Fluge hören läfst, lautet wie Ke- 
Keke und kih.. Ist es in Angst oder Gefahr, so schreit es: kerrtet 
tet. Ofthört man auch ein helles kex von ihm. 

Es ist zänkisch, und leidet keinen seiner Gattungsverwand— 
So scheu es ist, so wird es doch bald kirre, 

wenn man es an seinem Wobnorte nicht slört. In der Gefangen- 
schaft läuft es überall wie ein Rothkehlchen herum. Dann badet 
_es sich'auch, wie Bechstein an einem beobachtete, mit den: gröfsten 
Eifer regelmälsigdes Mörgens, des Mittags und des Abends inreinem 
Wasser, oder wenn es dieses nicht finden kann, in der Mistjauche. 
Tben dasselbe wanderte auch auf einen. -benachbarten Teich, 
und kam Abends wieder zurük in die Holzschuppe, wo es schlief. 
In der Zugzeit istes die ganze Nacht unruhig und'läfst sein 
Geschrei hören. Ist diese Zeit vorbei, so geht es des Abends 
“bald zur Ruhe und sucht sich in der Hinsicht einige umgeboge- 
ne Schilfstengel auf, worauf es sich sezt und sie dann in der Fol- 


ten in seiner Nähe. 


ge zum gewöhnlichen Lager macht. 


Mit Beihülfe der Flügel, die er 


* les releve. 


leurs suivantes. Le devant du bec, verd d'olive, la partie opposée 
plus foncée, la membrane frontale petite verd d'olive foncé; les 
tarses verd d'olive, un peu jaunes au dessus du genou; le som- 
metde latète, l’avant-col et tout le manteau brun tirant sur Poli- 
ve; les pennes des ailes brun foncé, avec bordures brun clair aux 
extrémités; la première penne de l'aile du rang étroit bordée de 
blanc; la queue brun foncé; les couvertures inférieures de la queue 
blanches, avec le milieu noir; le menton et la gorge blanc sale, et 
les pointes brun de rouille; le reste, de la partie inférieure du col 
gris cendré, changeant vers les côtés du ventre en brun d'olive; les 
cuisses gris de cendre foncé; l'iris brune, au dessous de l’oeil une 
tache blanche, en forme de demilune. 
PATRIE. 

La poule d’eau habite l'Amérique septentrionale depuis la Ca- 
roline jusque’ à Neuyork, la Jamaïque, la Russie et l'Angleterre, 
On la voit rarement en Danemark; elle reste toute l’année dans la 
Sardaigne. Elle arrive en Allemagne, en Mars, Avril et au com- 
mencement. de Mai et l’abandonne au commencement d'Octobre ou 
à la fin de Septembre; ainsi c’est un oiseau de passag: de l’Alle- 
magne. On la trouve sur presque tous les lacs , les étangs'et les 
rivières de l'Allemagne, qui sont couverts de joncs, de cannes et de 
buissons. Il arrive souvent, qu’elle demeure lhyver chez noùs, 
passant d’une conir&e aqueuse à l’autre, pour éviter la glace et les 
rigueurs du froid. Quand l’hyver est rigoureux, elle gagne les pays 
les plus chauds de l’Europe. Le 25 Janvier 1805, tous les étangs 
étoient fortement pris et le froid avoit commencé 5 semaines aupa- 
ravant, sans toute fois qu’il y eut beaucoup de neige, cemèême jour 
nous reçumes un exemplaire de Ja poule d’eau appelée braunes 
Meerhuhn, quiavoit die tué sur un clang, pres de Nuremberg, 


QUARITES. | 

C'est un oiseau trés vif; il a le pas leste et porte le corps en 
avant, il éleve et abaisse sans cesse sa queue, déploïée en éventail 
et sa tele et son col sont dans un mouvement perpétuel en arrière et 
en avant. Avec le secours de ses ailes, qu’elle ouvre alors, on la 
voit courir rapidement sur la surface de l’eau , quand celle-ci est 
couverte de lentilles d’eau et d’autres herbages. Quoique ses pat- 
tes soient dépourvues de membranes elle peut cependant bien na- 
ger, à l'aise de la largeur de sa poitrine et de la peau qui borde ses 
orteils en: dehors. Dans un danger de mort évident, surtont lors 
qu'elle est pressée par les chiens, elle plonge et fait un assez long 
trajet sous l’eau, Ensuite elle passe la tête à moitié hors de l’eau, 
pour regarder autour d'elle ou pour reprendre haleine. Ya-t-il 
encore du danger, elle-replonge bien vite sa tête et gagne clan- 
destinement le rivage, où elle se cache dans un buisson et n’en 
sort que la tête de items en tems, pour observer l’ennemi. Ses 
courtes ailes rendent son vol pesant; si elle ne vole pas loin elle 
laisse pendre ses pieds en bas,. mais dans une longue course, elle 
Les sons qu’elle fait entendre en votant sont ceux de 
kekeke et kih. ans le danger elle crie kerrtet tet. Sou- 
vent l’on entend aussi la syllabe kex bien distincte. Au reste cet 
oiseau est querelleur et il ne souffre aucun autre de son espèce 
dans son voisinage. Quelque sauvage qu'il soit, on l’apprivoise 
facilement, pourvu qu'on ne le irouble point dans son habitation. 
Dans la captivité, il court partout sans crainte comme le rouge- 
gorge. Bechstein en a observé un, qui se baignoit soigneuse- 
went et régulièrement le matin, à midi et le soir dans une eau 
c'aire et quand il n’en irouvoit pas, dans une fosse à. ftunier. 

Le mème oiseau alloit souvent à un étang du voisinage et re- 
venoit le soir à un bucher, où il passoit la nuit; à l’époque du 
passage en d’autres contrées il ma pas de reposet toute la nuit il 
fait entendre son er. Ce iems est-il passé, il se livre. de bonne 
heure au sommeil et cherche à cet effet quelques roseaux courbées, 
sur lesquels il se perche, et qui dans la suite lui servent de gite 


ordinaire. 


Sobald die J ungen ungefähr die Gröfse einer Wachtel erreicht. 
haben, müssen sie selbst für ihren Unterhalt sorgen, und da die 
Selbsternährung nicht immer recht von statten gehen will; so ver- 
folgen sie ihre Aeltern mit kläglichem Geschrei, und verlangen Fut- 
ter. Diese kehren sich aber nicht daran und weisen sie öfters mit 
empfindlichen Hieben ab. Dies ist aber auch, wie Naumann be- 

obachtete, ein Merkmal, dafs sie sich nun zur zweiten Brut an- 
schicken. , Die Erstgebornen nehmen sich um diese sorgfältig an, 
und erleichtern den Aeltern die Erziehung ihrer jüngern Geschwi- 
‚ster,. Ein jedes von den schon erwachsenen ‘Jungen. hat ein Klei- 


nes hinter sich und reicht ihm von Zeit zu Zeit Nahrung. Zuwei- 


len wirdes, wenn. die Familie nicht grofs ist, von zwei I'rwach- 


senern in der. Mitte geführt, welche es wechselsweise füttern. 
NAHRUNG. 
Diese besteht in Wasserinsekten, z. B. Wasserwanzen, Haf- 
ten (Ephem.), Wasserjungfern, WVasserkäfern- etc. ihren Eiern 
„und Larven. Wir fanden in dem Magen eines Männchens auch 
zerbrochene Knochen, die entweder von'einem kleinen Säugthier 


Aufserdem frifst es auch noch Wasserlinsen 
Zur Verdaunng 


oder Vogel waren, 
und andere Wasserkräuter nebst ihren Samen. 
verschlucken. sie auch Quarzkörner.. 


Er INT PNUD IN TE DT NES! 
ı % "LAN UN. 


LOTS 


In April bauen sowohl Männchen als Weibchen an dem Ne 
das sie aus trockenem Schill und Wasserkräulern entweder 
in niedrige Gebüsche an das Ufer, in entblôiste Wurzeln, oder 
, welches- sie eiwa. einen halben Fufs über dem. 
Das Nest ist un- 


ste, 
auch auf Schilf. 
Wasser umbiegen und zur Grundlage machen, 
erdentlich, grois und flach, In dasseibe legt das \Veibchen 5. bis 
8. eirunde ; gelbbräunliche, mit Koih besprizie Bier , weiche bei— 
de Gatten wechselsweise innerhalb drei Wochen ausbrüten. 

Die Jungen- sind anfangs mut schwarzen Dunen bekleidet, und: 
haben. eine ganz kleine rothe Stirnhaut, die sich aber verliert,- 
so bald die Federn anfangen, wach und nach hervor zu keimen, 
Dann sieht: man nichts weiter als eine kleine Firhöhung des Ober- 
schnabels,an der Stirn, die nebst, dem Schnabel eine grüne Far- 
be hat. f 


NUTZEN 


77 


Sein. Fleisch. ist zwar nicht sehr schmakhaft, wird aber doch: 
ölters gegessen. Da die Federn nicht gern ausgehen, so mufs man: 
es gleich nach dem Schufs, wenn es noch warm ist, in kaltes Was- 
ser tauchen. In warmem Wasser werden sie noch fester. Gefan-- 


gen und gezähmt dient es auch zu einem angenelimen Stubenvogel. 


Durch ihre Nahrung thun sie auch der allzu großen. Vermeh- 


zung der Insekten Kinhalt, Einen. 


SCHADEN, 


wissen. wir vomihm nicht anzuführen, Seine 


FEINDE 


sind Katzen und. Wanderratten, welche ihm die Jungen rau- 
ben. 


JAGD UND. FANG. 


Wenn man es schielsen will, so mufs man ihm das Feuer 
auf der Zündpfanne verbergen, weil es sonst, ehe das Schrot es 
erreicht, pfeilschnell untertaucht. Ist es nur leicht angeschossen, 
so verbeilst es sich unter dem \Vasser in einen Schilfstengel, oder 
verkriecht sich am Üfer und stirbt, ohne dafs man es erhalten kann. 

Man fängt es auch in Garnsäcken, welche man in ihre Gän- 
ge ins Schill legt, oder auch mit Siekgarnen. 


Hhhh 


Des que les jeunes ont atteint la grosseur d’une caille, il faut 
qu'ils cherchent eux-mêmes leur nourriture et comme cela ne 
leur réussit pas toujours, ils poursuivent quelque fois, les vieux 
en poussant des cris lamentables, Mais ceux-ci s’en mettent peu 
en peine et les repoussent même quelque fois d’une manière tr&s 
sensible. Cependant, suivant les observations de Naumann, co’ ést 
un signe que les vieux se préparent à une seconde couyée. Les 
ainés prennent un grand soin de leurs cadets et ils soulagent les 
vieux dans leur éducation. Chacun des jeunes de la première 
couvée en a un de la seconde derrière lui, au quel il distribue 
de tems en tems sa nourriture, Quand la famille n'est pas nom- 
breuse, on la voit*quelque fois placée entre deux ainds, qui la 
conduisent et qui la nourrissent iour à tour, 


NOURRITURE. 


Elle consiste en insectes aquatiques, tels que les punaises 
d'eaux, les nolonectes, les ephémères, les demoiselles d’eau les 
dytiques ainsi que leurs oeufs et leurs poupées Nous avons aus- 
si trouvé dans lestomac d’un jeune mâle, des os brisés, qui pro- 
venoient de quelque oiseau ou de quelque quadrupede I se 
repait aussi de lenticules d’eau et d’autres plantes aquatiques et 
pour la digestion il avale des grains de quarz, 


PROPAGATION. 


Au mois d'Avril, le mâle aussi bien que la femelle travail 
lent à un nid, composé de roseaux et de plantes aquatiques 
desséchées; ils le placent tantôt sur d’humbles buissons au bord 


_ de l’eau ou sur des racines exposées à l'air , tantôt sur des ro- 


seaux, qu'ils reploient un demi-pied sous l’eau, pour lui servir 
Ce nid est grand, plat et irrégulier, La femelle 
seufs ovals, 


de fondement, 


y dépose 7 à 8 


d'un jaune brunätre moucheté de 
rouge; le mâle et la femelle les couventtour à tour dans l'espace 
de trois semaines, 

Les jeunes sont d’abord revêtus d’un duvet noir et ont une 
très petite membrane frontale rouge, mais qui disparoït à mesu- 
re que les plumes commencent à pousser. Alors on n’y remar- 
que plus qu'un léger exhaussement de la. mandibule supérieure 
vers le front, qui est vert ainsi que le bec. 


UTILITÉ. 


Où se nourrit heaucoup de sa chair, quoiqu’elle ne soit 
pas d'un goût fort recherché. Comme les plumes de la poule 
l'eau ne se détachent pas facilement, il faut aussitôt qu’on. Pa ti- 
rée et pendant qu’elle est encore chaude, la plonger dans de l’eau 
froide; de Peau chaude ne feroit que raffermir davantage les plu- 
mes. Appriyoisce elle est très agréable en chambre. On peut la 
regarder comme très utile à: la société en ce qu’elle diminue le 


nombre des insectes. 
DOMMAGE. 
Nous: ne saurions laecuser d’aucun, 
ENNEMIS, 


Ce sont les chats et les sur - mulots, qui la privent de ses 
jeunes. 


MANIERE DE LES CHASSER. 


. Quand on veut la tirer, il faut cacher soigneusement le feu 
du bassinet, parce que si elle apperçoit, elle plonge avec la 
vitesse du trait, avant d’être touchée du coup. Si elle n’est pas 
mortellement biessée, elle ronge sa douleur sous Veau, en mor- 
dant un-roseau, ou bien elle se traine sur le rivage, où elle 
meurt ensuite, sans qu’on puisse s’en emparer.| 


On les prend aussi dans des trubles, qu’on place sur leurs 
passages ordinaires , parmi les roseaux ou dans des alliers. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Diese rühren nur von dem verschiedenen Alter her; und die 
Arten: Fulica fusca und fistulans Lin. müfsen daher im System 
ausgestrichen werden. : Das geflekte Meerhuhn Gallinula macu- 
lata scheint nach Bechsteins Urtheil, wie es die verschiedenen Be- 
schreibungen mit sick bringen, bald ein grünfüfsiges Meerhuhn, 
bald ein junger Wiesenknarrer Crex pratensis, bald ein punktir- 
tes Meerhuhn Gallinula Porzana Lath. Rallus Porzana L. zu sein. 
Wir selbst erhielten vor Kurzem Rallus Porzaua Lin. unter dem 
Namen Fulica maculata. . n 


ANMERKUNG. 


An dem grünfüfsigen Meerhuhn, welches wir in der Gefan- 
genschaft hielten, bemerkten wir, dafs ungefähr nach einem hal- 
ben Jahr das Rothe auf dem Schnabel sich immermehr verlohr 
und derselbe an dieser Stelle braungelb war. Das Rothe war 
nicht sowohl eine Haut, als vielmehr eine wachsarüge Materie, 
die sich mit dem Messer leicht wegschaben lief. Am Unter- 
schnabel war die Sielle da, wo das Rothe war, gelb. 


154 en 


VARIÉTÉS. 


Celles-ci ne proviennent que de la différence des âges, et les 
espèces, qu’on a batisées Fulica fusca et fistulans doivent 
être rayées du système. La poule d’eau tachetée, Gallinula 
maculata semble être au jugement de Bechstein, d’après les 
différentes descriptions, tantôt une poule d’eau aux tarses gris, 
tantôt un jeune râle de genêt, Crex pratensis, tantôt un pe- 
tit râle d’eau. Gallinula porzana. Latham. Rallus porza- 
na. Nous ayons reçu nous mêmes il y a quelque tems, un Ral- 
lus porzana Linn. sous le nom de Fulica maculata, 


OBSER VATION. 


Nous avons remarqué ä la poule d’eau aux pieds verds, 
que nous avions en cage, qu'au bout d’un an environ la tache 
rouge du bec disparoissoit peu à peu, pour faire place à une 
tache jaune -brun. Cette rougeur n’etoit pas tant une membra- 
ne, qu’une espèce de cire qui se laissoit gratter avec le couteau. 
A la mandibule inférieure, la place rouge éloit aussi devenue 
jaune. | 


| rer: 


DER WEISKÖPFIGE GEIERADLER. 


Lämmergeyer. Steingeyer. Geyer. Bartgeycr. Schaf 
geyer. Gemsengeyer. Greifgeyer. Goldbrüstiger Geyer. Weifskopf. Joch- 
geyer (vom Pafs Joch in Schwaben, nach Tyrol zu.) 

Gypacius barbatus. Sonnini. 

Vultur barbatus. Lin. syst. nat. I. p. 193. n. 6. 

Falco barbatus, Cmel. Lin. syst. nat. T. I. P. I. p. 252. n. 5%. 

Falco magnus. Ginelins Reise, IH. S. 365. Taf. 38. 

Vultur barbarus. Gm. Lin, syst, nat. T. I. P. I. p. 250, n. 13. 

Vantour doré. Buffon des Ois. I, 151. 

Bearded Vulture. Latham synops. I. p. 11.n. 6. 

Golden Vulture. Eod. p. 18. n. 15. 

L’Avoltoio barbato. Ceiti Uccelli di Sard. p. 16. mit einer Abbildung, 

Apmy. Arist. hist. an. IX. cap. 1. Oppian Aue. 1. 2. 

Vultur aureus. Gessneri historia animalium. Liber III. p. 780. 

Gypaetus barbatus. Steinmüller. Alpina Th. I. p. 252. n. 58. 

Der Bartadler. Bechsteins Naturgeschichte,. B. IL, S. 502.n. 1, Zweite Âu- 
dage, 


Goldgeyer. 


KENNZEICHEN DER ART. 


| x 


M: einem vorwärts stehenden, borstenartigen Bart am Kinne; 
weifsem Scheitel und Oberhalse und hell orangegelbem Unterhalse; 
zu beiden Seiten des Kopfes ein schwarzer Streifen. 


BESCHREIBUNG, 


Der Schnabelist grofs, mit der Krümmung 4. Zoll lang, an 
den Seiten zusammen gedrükt; von der Wurzel an gerade bis in 
die Mitte, von da auf einmal stark gewölbet und dann hakenförmig 
herab gekrümmt; zu beiden Seiten des Hakens zwei seichte Fur- 
chen, die eine oben zumächst am Rücken, die andere in der Mit- 
te, welche beide mit dem Haken gleichweit laufen; der Unter- 
schnabel rinnenförnig; gerade und vorm abgestumpft; die Farbe 
horngrau mit elwas Röthlichem vermischt; die Wachshaut blau; 
die Nasenlôcher eirund, grofs, und nebst der Wachshaut mit 
schwarzen, steifen, borsteuartigen F'edern besezt, die von der Stirn 
über den obern Schnabel herunter hängen; ähnliche Haare sitzen 
auch an den Seiten der Wurzel der untern Kinnlade; vorn am Kini- 
ne steht ein drei Zoll langer glänzend schwarzer Haarbüschel oder 
Bart, dessen Federn Rofshaaren ähnlich schen, die aber, durch 
das Vergröfserungsglas betrachlet, nicht rund, sondern zusammen- 
gedrükt und am Rande mit einer Fahne versehen sind ; die Mund- 
spalte öffnet sieh 4 bis 6 Zoll weit; das Inwendige des Schuabels 
ist blau; die Zunge ist klein, byeit, rinnenförmig, an der Spitze 
hornartig, und hinten durch elastische Zugbänder befestiget, wel- 
che gegen den Kopf hinauf gehen, wie bei den Spechten; die Au- 
gen sind groß, aufsen mit einem breiten zinnoberrothen Ring ein- 
gefafst; der Stern gelb, das Seheloch schwarz; sie sind nicht wie 
bei den Adlern von einem scharfen kervorragenden obern Augen- 
knochen bedekt, sondern der Fläche des Kopfes gleich, eher noch 
etwas hervorstehend; die Augenlieder sind dunkelroih; über dem 
Auge steht eine borstenartige Augenbraune; der Kopf ist auf dem 
Scheitel gegen den Schnabel hin. in die Länge gezogen, flach , spi- 
tzig auslaufend, verhältnismäfsig aufserordentlich klein, und über- 
all mit kleinen, schmalen und kurzen, weilsen Federchen, die mit 
einigen schwarzen vermischt sind , leicht bedekt ; über iedem Au- 
ge sieht ein grofser, schwarzer Flek, der sich von demselben et- 
was nach hinien erstrekt, aus feinen, dichtstehenden, glänzenden, 
haarförmigen , schwarzen Federn besteht und oben auf dem Kopfe 
eine Art von Kranz bildet; von dem Mundwinkel zieht sich nach 
dem Hinterhalse hin ein aus länglichen, haarförmigen Federn be- 
stehender, ungefähr zwei Zoll langer Flek; der Hals ist ganz mit 

Tiii 


LE VAUTOUR DORÉ. 


Lämmergeyer. Geyer. 
Genisengeyer. Gold- 
Jochgeyer , (vom pass Joch, du passage 


Der weissköpfige Geyeradler. Sieingeyer. 


Goldgeyer. Schafgeyer. Greifgeyer. 

Weifskopf. 

appelé Joch, dans la Sonabe, vers le Tyrol. 

Gypaelus barbatus. 

Vultur barbatus. Linn. syst, nat, 1. p. 123. n, 6. 

Falco barbatus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. P. I. p. 252, n, 58, 

Falco magnus. Gmelin’s Reise III. 8. 365. Taf. 38. 

Vultur.barbatus. Gmel. Linn. syst. nat. T. I. p. I. p. 250. n, 13, L 

Vautour doré. Buffon. des Ois. I. 151. 

Bcarded Vulture. Latiham Synops. I. 2. 11. no. 6. 

Golden Vullure. Eod. p. 18. n. 13. 

L’avoltoio barbato. Cetli. Uccelli di Sard. p. 19. in einer Abbildung. (in 
una figura.) 

Aory Arist. hist. an. IX. cap. 1. Oppian. Auc. 1. 2. 

Vulfur aureus. Gessneri historta animalium Liber IIF. p. 780. 

Gypaelus bsrbatus. Steinmuller. Alpina. Th, I. p. 252. no. 58. 

Der Bartadler. Bechsteïns Naturgesch, B. U. 8. 502. n. 1. 2te Auflage, 


Bartgeyer. 
brüstiger Geyer. 


Sonnini. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Are une espèce de barbe poileuse et proéminente au menton, 
la caloite blanche ainsi que le haut du col, le bas du col jaune 
orangé; une raye blanche des deux cöles de la têle. 


DESCRIPTION, 


Le bec gros, long de quatre pouces y compris la courbure; 
écrasé des deux côtés; horizontal depuis sa naissance jusqu’au mi- 
lieu, où il est fortement vouté et recourbé en bas, en forme de 
crochet; de chaque côté du erochet deux- légères rainures , l’une 
ou dessus et touf pres de la coùrbure, l’autre au milieu, toutes 
deuxiparalteles au crochet. La mandibule inférieure en forme de 
sillon , émoussée sur Te devant; la couleur gris de corne, entre- 
mêle de rougeâtre; le céra bleu; les marines ovales, asséz gran- 
des et armées, ainsi que le céra de poils noirs et roides, qui des- 
cendent du front jusques sur la partie supéricure du bec; de sem- 
blables poils bordent également les côtés de la base de la machoire 
inférieure. Devant Îe col s’ éleve une touffe de poils noirs et brillans 
de la longueur de 3 pouces, qui ressemblent à des crins de che- 
val, mais qui considérés au microscope ne sont pas ronds, au con- 
traire applatis sur les bords et garnis d’une barbe. L'ouverture de 
la bouche a de 4 jusqu” à 6 pouces; l’intérieur du bee est bleu; la 
langue petite, large, évasée par le milien, cornée à son extremite 
et attachée derrière par des liens élastiques, qui montent vers la 
tete, comme l’on voit au pic-verd. Les yeux sont grands, enchas- 
ses extérieurement dans un cercle large et rouge comme vermillon; 
la prunelle jaune ‚le point visuel noir; ils ne sont point, comme 
daus les aigles, abrités par un os supérieur, aigu et proeminent, 
Les 
paupières sont d’un rouge foncé et les sourcils ont des poils durs 
et secs. La tête s’allonge dès le sommet vers le bec, elle s’applatit 
en mème tems et devient pointue; elle est petite en proportion 


mais de niveau avec la tête ou plutôt la dépassant un peu. 


avec le corps et. elle est Kégérement couverte de petites plumes, 
Au 


dessus de loeil se trouve une grande tache noire, qui se prolonge 


étroites, courtes et blanches eniremelees ca et là de noires. 


en arriére et qui, produite par tın faisceau épais de plumes brillan- 
tes, serrées noires et semblables a des cheveux, forme une espèce 
de couronne sur la tête. Des coins de la bouche s’étend vers le 
derrière du col une tache de deux pouces de longueur, composée 
de plumes poiteuses et longitudinales. Le col est absolument re- 
vêtu de longues plumes, étroïtes et pointues , qui s’ allongent en- 


core davaniage vers le tronc; le bas du col est d’un jaune orangé 


langen , schmalen, zugespizten Federn bedckt, die gegen den 
Rumpf zu sich immermehr verlängern ; der Oberhals gegen den 
Rücken hin schmutzig weils; der Unterhals bis zur Brust orange- 
gelb und mit weit kürzern, und einigen schwarzen haarförmigen 
Federn versehen; von den beiden untersten Thheilen des Halses 
laufen von den Seiten her einige grofse und breite Federn gegen 
die Brusihöle zu, die unten auf der Brust herzförmig zusammen 
gehen und dunkler und heller orangegelb und schwarzbraun ge- 
flekt sind. Die Brusthöle selbst hat keine Federn, sondern ist, so 
wie überhaupt der ganze Körper, aufder Haut mit einem äußerst 
weichen, weifslich orangegelben Flaum bedekt, der ôflers zwi- 
schen: der Federn hervor sticht; der Bauch, die Seiten, die Beine 
sind mit weilsgelben Federn versehen, die am Eude meistens schön 
orangegelb gerandet sind; die Rückenfedern sind graubraun, breit 
glänzendschwarz eingefafst, äufserst lang und schmal mit einem 
weifsen Schafie, an dessen beiden Seiten ein kleiner weilser Längs- 
flek ist, der an der Spitze am breilesten wird; von der Wurzel bis 
zur Hälfte sind alle Federn rein weifs; die Schwungfedern, — an 


der Zahl 29 bis 50, — sind dunkelaschgrau, in der Mitie der brei- . 


ten Fahne heller, mit weilslichen Schäfien; die zweite Feder ist 
die längste, und mifst 2 Fufs 8 Zoll; die obern Dekfedern der Flü- 
gel haben die Farbe der Rückenfedern, sind aber nicht so zuge- 
spizt wie diese; die untern Dekfedern der Flügel sind hellgrau, 
mit grölsern weifsen Flecken an der Spitze und auf der Falıne 
längs dem Schafte; der Schwanz ist keilförmig und besteht aus 
zwölf Federn, welche in der Mitte grau, am Rande schwärzlich, 
einen weilsen Schaft haben, und am Ende weils, die zwei mitt- 
lern ausgenommen, welche einfärbig und die lingsten sind; von 
den sogenannten Schenkeln hängen-über die Zehen grofse, dicht 
iiber einander liegende, Federbüschel oder Hosen herab, welche 
zwei Zoll länger sind als die lüulse; das sogenannle Schienbein ist 
bis an.die Zehen befiedert; die Zehen sind stark schuppig, blau- 
grau, und die äufsere mit der mitilern durch eine,kleine Haut ver- 
bunden; die Nägel sind schwärzer als der Schnabel, verhältnis- 
mäßig kurz, dik, weniger gebogen als beim Adler, an den Rän- 


dern scharf, am Ende stumpf. 
Die Flügelspitzen endigen sich etwa 5. Zoll vor der Schwanz- 


spilze, à . 
Länge des Minnehens: 4 Fufs; Breite 8 Fuf 73 Zoll, nach 
einem Mafsstab, der einen siarken halben Zoll kinzer ist als der 
Pariser. 
Länge des Weibchens: & Fuß 44 Zell; Breite g Fuß, der 
Schwanz 1 Fufs 10 Zoll lang; oben rings um die Brust herum 2 


Fufs 25 Zoll. 


Das Gewicht ist 10 bis 154 Pfund, das Pfund zu 56 Loih ge- 


rechnet. 
4 Er r 
In Anschung der Farbe scheint zwischen dem Männehen und 


Weibchen kein Unterschied statt zu finden. 
AUFENTHALT. 


Der Geieradler bewohnt mehrere Erdiheile. In Afııka ist er 
in den nördlichen Gegenden; in Asien auf den Persischen Alpen 
und aufdem Altaischen und Taurischen Gebirge. In Europa be- 
wohnt er die südlichen Alpen und soll auch, nach Cettÿs Bericht, 
auf der Insel Sardinien ziemlich häufig zu finden sein. Eben so 
trift man ihn in Tyrol und Salzburg um Hohenschwanngau, Ettal 
und Benediktbeiern, auch in Schwaben beim Pafs Joch nach eu 
vol zu an. In der Schweiz ist er in den gebirgigen Gegenden kei- 
ne Seltenheit. Am häufigsten ist er in den Gebirgen des Glarner- 
und Bündtnerlandes, und in den daran gränzenden Alpenketten, 
z. B. auf dem Wiggis, im Freiberge, in der Limmern-und min 
alp; in den Alpen der Distrikte Utznach und Sargans; im Pratti- 
d auf andern Gebirgen Rhätiens, auf den Wesner- Amm- 
und Wallenstadter Alpen, aufserdem aber auch noch 
berhaupt in den Gebirgen von 


gäu, un 
er - Quininer- 
in Wallis auf dem Gotthardt , u 


156 css, 


et couvert de quelque plumes noires poileuses ; et beaucoup plus 
courtes. Des deux plus bas côtés du col descendent vers la ca- 
vité de Ja poitrine, quelques plumes grosses et larges, formant une 
espèce de coeur, avec des tâches d’un brun noirâtre, egaiées de 
quelques autres jaune orangé, plus ou moins foncé. Ja cavité 
méme de la poitrine n’a point de plumes mais elle est, ainsi que 
tout le corps en général couverte d’un léger duvet très doux, blan- 
chälres ct jaune orangé, qui perce souvent à travers les plumes. 
Le ventre, les côtes, les tarses offrent des plumes d’un blanc jau- 
nâtre, dont les extrémités ont une bordure d’un beau jaune d’oran- 
ge. Les plumes du manteau sont gris-brun, très brillantes, à 
bordure noire, longues et étroites, avec une lampe blanche et aux 
deux côtés sur les barbes une petite tache longuette aussi blanche, 
qui s’ élargit vers la pointe; les plumes, dès leur base jusques vers 
le milieu sont d’un blanc net; les pennes des ailes (au nombre 
de 29-à 50) sont d’un gris de cendre foncé, plus clair vers le mi- 
lieu de la plus large des barbes, avec enmanchures blanches. La 
seconde plume est la plus longue, elle a deux pieds trois pouces 
de longueur. Les couvertures supérieures des pennes des ailes 
offrent la mème couleur que les plumes du manteau, mais ne sont 
pas aussi pointues; les couvertures inférieures des mêmes ailes sont 
gris clair, avec de plus grandes taches blanches aux extrémités et 


-sur la barbe le long du manche. La queue a la forme d’un coin, 


ses douze plumes, grises au milieu sont noirätres sur les bords et 
blanches à la pointe, excepté les deux du milieu qui sont les plus 
longues et d’une seule couleur; leur hampe est blanche. Le long 
des tarses descendent jusques sur les doigts de gros faïscaux de 
plumes, serrés et couchés les uns sur les autres, qui dépassent les 
doigts de la longueur de deux pouces. L? os de la jambe est em- 
plume jusqu’ aux orteils; ceux-ci sont gros, très Ecailleux , gris 
bleu, et l’orteil de côté uni par une peau mice à celui du mi- 
lieu. Les ongles sont plus noires que le bec, courts et épais avec 
proportions et moins recourbés que ceux de l'aigle ; aigus sur les 
bords, émoussés à l'extrémité. 

Les pointes des ailes se terminent 5 pouces au dessus de la po- 
inte de la queue. 


x » : 
Longueur du mäle, 4 pieds; Envergure 8 pieds 7 pouces 
et demi, d’après une mesure, qui est d’un demi pouce plus courte 


que eclle de Paris. 
Longueur de la fem elle 4 pieds 4p. X. Enyergure g pieds. 

La queue a x pied 10 p. de long et les environs de la poitrine ont 
q ] 5 

2 pieds 2 p. + de large, 
Elle pese de 10 à 15 livres #, la livre sur le pied de 18 onces, 
Quant à la couleur, il ne paroit pas, qu’il y ait aucune diffé. 


rence entre le mâle ét la femelle. 
PATRIE. 


Le Vautonr doré habite plusieurs parties du monde. On le 
trouve, dans les contrées septenirionales de l’Afrique, et en Asie, 
sur les Alpes de la Ferse et dans les montagnes d’Alta et de Tau- 
rus. En Europe il frequente les Alpes meridionales et suivant la 
relation de Cetti, il se rencontre assez fréquemment, dans l'ile de 
Sardaigne. On le trouve également dans le Tyrol, le pays de 
Salzbourg auprès de Hohenschwangau, et aux environs d’Ettal et 
de Benedict Bayern, ainsi qu'en Souabe, pres du passage de Joch, 
vers le Tyrol. Il est très commun dans les parties montagneuses 
de la Suisse. Mais où il se trouve en plus grande quantité, c’est 
dans les montagnes de Glarus et des Grisons et dans les chaines des 
Alpes, qui y confinent, comme par exemple sur le Wiggis, le Frei- 
berg, dans les Alpes de Limern et de Sand; dans celles des districts 
d’Utznach et de Sargans, dans lePrattigau et autres montagnes de 
la Rhétie, sur les Alpes de Wesnen, Ammlen, Quinten et Wallen- 


stadt. Ouire cela il habite le canton du Vallis et surtout le mont 


ii“ 


Uri, Schwyz und Unterwalden; auf dem Rigi; im Tintlibuch auf : 
der Schratten, auf der Furka, dem Cryspalt, der Grimsel, dem 
Geltenberg, im Berner Oberlande, auch hin und wieder im Can- 
ton ‘l'essin. Auch soll er ehemals im Canton Appenzell, Innero- 
den, vorzüglich auf den Hundsstein gewohnt haben, iezt aber da- 


‚selbst schr selten sein. 
EIGENSCHAFTEN. 


Er ist der furchtbarste, kühnste und stärkeste unter allen Eu- 
ropäischen Raubvögeln. Gesellschaftlich ist er nicht; und er macht. 
also in der Hinsicht von manchen seiner Gattungsverwandten, wie 
z. B. des Ohrengeiers — Vultur Tracheliotus, Forster, — in Af- 
rika eine Ausnahme; doch soll er sich bisweilen nach der Aussa- 
ge der Gemseniäger im Herbste auf den höchsten Gebirgsrücken 
mit dem gemeinen Adler versammeln, so dafs man oft 10. bis 15. 
Stücke von beiden Arten beisammen , entweder in einem Kreise 
fliegend, oder auf den Felsengräten sitzend, sieht. Im leztern Falle 
sollen sie ein dumpfes, dem Hundegeheul ähnliches Geschrei, 
welches man durch die Silben wuuuu, wuuuu, ausdrücken kann, 
von sich hören lassen.- Im Fluge schreit er lang und durchdrin- 
gend pfiyyy, pfiyyy, und diese Stimme iagt denn auch den mei- 
sten befiederten und säugenden Alpenthieren Furcht und Schre-, 
cken ein. h 

_: In der Geschiklichkeit‘, hoch zu fliegen, übertrift er den 
Adler weit und nähert sich hierin wieder mehr den eigentlichen 
Geiern. Er schwingt sich so hoch, dafs ihn kaum ein scharfes 
. Menschenauge bemerkt, und doch enidekt er aus dieser Ferne die 

an den Alpen. weidende Gemse. Gleich den Geiern läfst er sich 
auch in einer Spirallinie wieder auf die Erde herab, 

. Wenn er steht, so hält er den Körper gerade, den Hals et 
was eingezogen und den Kopf in die kiöhe gerichtet, Beim Auf- 
steigen strekt er den Hals aus, und macht erst wegen seiner kur- 
zen Füfse und langen Flügel einige Sprünge um sich in die Höhe 
zu helfen. Durch das Schwingen seiner Flügel und durch die Be- 
wegung seines grofsen Körpers entsteht allemal ein grofses Ge- 
räusch. 

Er ist sehr blutdürstig und stürzt sich sogar auf Leute herab, 
welche rothe Kleider tragen, vermuthlich, weil er das rothe Tuch 
für Blut hält. Seine Frefsbegierde ist auferordentlich. Hat er 
seinen Magen bis an den Schlund hinauf mit Fleisch und Kno- 
chen angefüllt, so nimmt er doch noch einen zu sich; der ilım 
dann, wenn er nicht ganz in den Rachen geht, zum Schnabel oft 
Stunden lang heraus ragt, bis die untere Lage im Magen verdaut 
ist und der obern Plaz macht, da denn der hervorragende Kno… 
chen nach und nach hinunter gleitet. 

So grofs seine Frefsbegierde ist, so grofsist auch seine Ver- 
dauungskraft, Sein Magen ist ein wahrer Papinianischer Topf! 


Einem Geieradler, den man lebendig in einer eiserneu Falle 
fing, wurde ein Apfel, ein Stokzahn von einer Kuh und den obern 
'Theil eines Kuhfufses vorgeworfen, welchts alles er verschlang. 
Nach 14: Tagen, als es geiôdet und geöffnet wurde, fand man im 
Magen den Zahn nicht mehr, und von ienem Knochen nur noch 
einen Theil, der ganz zerreiblich und mit einem zähen Schleim 
überzogen war. Hr. Dr. Schinz in Zürich fand in dem Magen ei- 
nes andern drei grofse Knochen, die bis in die Speiseröhre hinauf- 
reichten. Der eine schien der Kopf des Hüftknechens einer Kuh 
zu sein, hatte wohl 51 Zoll im Durchmesser, und 5 Zoll Länge, 
und der zweite haite über 6. Zoll Länge, uud war die Schiene ei- 
ner Ziege oder Gemse; ein dritter Knochen war eine halb verdaute 
Rippe des nämlichen Thiers, welche wahrscheinlich auch ganz 
hinunter geschlukt worden war. Mehrere kleine, fast verdaute 
Knochenstücke, einige Hände voll Thierhaare und eine Birkhahns- 
klaue waren noch vorhanden. Bei einem dritten Exemplar fand 


man ein 15, Zoll langes Rükgratgerippe von einem Fuchs, einen 
Kkkk 


157 


2 


Gothard, et dans les contrées montagneuses d'Uri, de Schwitz.e, 
d’Unterwald, le Rigi; dans l’Entlibuch, sur le Schratten, la Furka, 
le Cryspalt, le Grimsel, le Geltenberg; dans la partie supérieure | 
du Canton de Bern ét ça et là dans le Canton de Tessin. Il doit 
avoir autre fois également habité le Canton d’Appenzell et celui. 
d’Inneroden, surtout le Hundstein; mais il y est rare, aujourd’hui. 


QUALITES. 


C'est le plus redoutable, le plus hardi et le plus fort de tous 
les oiseaux de rapine en Europe. Il n’est point sociable et en cela 
il fait une exception à plusieurs oiseaux de son espèce, tels par’ 
exemple que.loricou, — Vultur Tracheliotus, Forster, — 
en Afrique. Cependant, suivant le rapport des chasseurs de daims, 
il se rassemble quelque fois en automne, sur le sommet des plus 
hautes montagnes, avec l’aigle ordinaire, ensorte qu’on en voit 10 
à 15 ensemble, ou volant en rond ou perchés sur des pointes 
de rochers. Dans ce cas ils font entendre des sons pareils aux 
hurlemens des chiens, qu’on pourroit exprimer par les syllabes 
vouououou, vouououou. Tin volant il pousse un cri longl'et per- 
gant, qui revient à pliyyy, pfiyyy et ces sons remplissent de crainte 
et de frayeur tous les volatiles et les quadrupedes de la contrée, 
Par son adresse à s’ élever dans les plus hautes régions, il surpasse 
Paigle et se rapproche des Vautours proprement dits. Il monte si 
haut, qu'il échappe enfin à l'oeil le plus percant et néanmoins de 
cette hauteur il appercoit les daims, qui paissent sur les Alpes. A 
Pexemple des autres vautours, il descend aussi en ligne spirale du 
haut des airs, 


Quand il est debout, il porte le corps droit, le col un peu ren- 
tré et la tête élevée. Quand il veut partir, il porte son col en avant 
etattendu la longueur de ses ailes et la brièveté de ses jambes , il 
Le battement de ses 
ailes et le mouvement d’un si vasle corps produisent chaque fois 


fait quelques sauts, qui l’aident à s élever. 


un grand bruit, 


Cet animal est très sanguinaire et il se précipite quelque fois 
sur des geus vêtus de rouge, vraisemblablement parce qu'il prend 
le drap rouge pour du sang. Sa voracité est extraordinaire, Quand 
même son estomac est rempli de viande et d'os jusqu’au gosier, il 
en avale encore d’autres, qui faute de place lui pendent par fois 
des heuies entières hors du bec, jusqu” à ce que la première por- 
tion soit digérée et cede à la seconde; alors ces os qui dépassoient, 
descendent à leur tour dans son terrible alambic, 


Quelque grandejque soit sa voracité, ses facultés digestives lui 


sont égales. Son estomac est un veritable pot de Papinien 


On s’ ayisa de jeter à un Vautour doré, qui avoit été pris vi 
vant, dans une trape de fer, une pomme et la dent machelière 
avec la partie supérieure du pied d’une vache; il avala le tout. Au 
bout de 15 jours, comme il fut tué et ouvert, on ne trouyaplus la 
dent dans son estomac, et du pied de vache il n’en restoit plus 
qu’une partie entièrement friable et recouverte d’une humeur vis- 
queuse, Le Docteur Schinz de Zurich trouva dans Pestomac d’un 
autre vautour, trois grands os, qui s’ élevoient jusqu? à loesophage 
Le premier sembloit être le gros bout de l’os de la jambe d’une re 
che, il avoit 5 pouces # de diamêtre et 5 pouces de long; le deuxie 
me long de 6 pouces étoit l'échine d’une chèvre en "Pan and 
quant au 5° c'étoit la côte A moitié digérée du même animal f 
sans doute avoit passé tout entier par le même chemin. Il s ÿ trou. 
voit encore plusieurs fragmens d'os, à moitié digérés, quel des 
poignées de poils d’animaux et la serre d’un coq de bruyère en 
fin Pestomac d’un troisième Vautour offrit le squelette de Pe ine 
du dos d’un renard, dans la longueur de 15 pouces, la Mail 
tiere d’un renard, toute la culotte d’un lièvre, plusieurs petits pa 
lerons, environ la 4. partie d’un pied de veau, où se trouvoit en= 


, qui 


: 


158 


ganzen Fuchsschwanz, einen ganzen hintern Lauf von einem Ha- * 


sen, mehrere kleine Schulterblätter und einen Ballen Kälberhaare, 
ungefähr den vierten "Theil eines Kälberbeins, woran noch dasHuf 
befindlich und der völligen Auflösung nahe, der Knochen anallen 
Ecken abgerieben und mit Schleim überzogen war. 

Der Menge, Gröfse und Härte seiner Nahrungsmittel sind aueh 
die Fang- und Frefswerkzeuge, die Füfse, der Schnabel, Speise- 
röhre und Magen angemessen, Seine Klauen sind grofs und stark 
und es entschlüpft ihm so leicht kein Raub, wenn er ihn einmal 
gepakt hat. . In seinem Schnabel besizt er eine solche Stärke, dafs 
er damit den Schädel einer Katze zerdriicken und kleinere Stü- 
cke von Knochen wie Glas zermalmen kann, Seine Schnabelöf- 
nung und sein Schlund sind so weit, dafs man mit einem Arm hin- 
ein langen kann. Der Schlund hat à Zell im Durchmesser der 
Weite, Der Magen hat entweder gar keinen Magenmund, oder 
einen solchen, der mit dem Kropfe, welcher etwa 4. Zoll lang ist, 
gleiche Weite hat. Innerlich befindet sich eine Menge zarter und 
feiner Drüsen, welche den Verdauungssaft liefern und deren Oeff- 
nungen man durch das Vergrölserungsglas entdecken kann. Das 
Herz und die Leber liegen auf der rechten Seite und leztere besteht 
immer nur aus zwei länglichen, dicken, gar nicht breiten Lappen. 

Anstatt des Zwergfells sind verschiedene häulige Behältnisse 
vorhanden, in deren einem das Herz, in einem andern der Magen, 
in einem dritten die Gedärme eingeschlossen sind. 

Die Gedärme haben öfters die Gesialt eines Paternosters, wel- 
che von den einzelnen Knochensiücken herkommt, die in densel- 
ben in Menge hinter einander liegen, 

Der Geierädler läfst sich auch zahm machen, Hr. Dr. Amstein 
in Zizers hatte einen solchen einige Jalıre lang. Wenn er sich ihm 
nahete, so flog erihm auf die Schulter, sireichelte ihm mit dem 
Schnabel die Backen und nahm sich sehr in achtihn mit den Nä- 
Gegen Fremde war er gar nicht se zutraulich. 
Als der jüngere Dr. Amstein diesen Vogel abbildete undihn auf den 
Boden neben sich hinsezte, so unterbrach er ihn häufig, flog zu 
ihm auf den Tisch, und auf seine Schultern und schmeäichelte ihm, 
Im zahmen Zustande nimmt er mit "lodem und Lebendigem, ro- 
hen und gesottenem Fleische, Haut mit Haaren und Knochen vor- 
lieb. Vorgeworfene tode Vögel frafs dieser gezähmte nicht. 


geln zu verleizen. 


Sehr merkwürdig ist auch der Bau des Auges bei diesem Raub- 
vogel. Beiandern Vögeln, sagt Dr. Schinz in Zürich, der es zer- 
gliederte, ist nichts als die Iris sichtbar,. beim Lämmergeier hin- 
gegen bildet die Sclerotica einen Wulst um die Cornea, dessen Far- 
be schön orangegelb ist, so dals man bein ersten Blik die Iris für 
so gefärbt halien würde. Hinter dieser Haut liegt die Iris, welche 
blafsgelb ist, und sich hinter die Sclerotica zurük ziehen kann, 
wenn das Seheloch sich erweitert. Das Corpus eiliare ist sehr 
groß, zierlich um die Kristalllinse angelegt, und bildet ein präch- 
tiges Nez. Die Nezhaut ist tieforangeroth und scheint durch das 
Pigmentum nigrum durch, so dafs die RegenbogenHaut und der 
Augenstern selbst einen rôthlichen Anstrich erhalten, 

Zu ihren Jungen zeigen sie eine grolse Liebe und suchen ie- 
den Feind , derihnen zu nahe kommt mit vielem Muthe abzuhal- 
ten, welches folgende Beispiele beweisen. 


Ein Mann entdekte vor wenigen Jahren auf einem kahlen F el- 
sen im glarnerischen Freiberge ein Nest. Nachdem er mit grofser 
Anstrengung die Sielle, worauf es lag, erkleitert hatte, fand er Zwei 
halbllügge Junge in demselben , die gerade ein Eichhörnchen u 
Haut und Haaren verzehrten. Er band sie an den Fülsen und Flü- 
geln zusammen , hing sie über seinen Rücken und kehrie seinen 
Weg behutsam wieder zurük. Allein sogleich wurden die en 
durch das Geschrei der Jungen herbei gelokt, und da sie den Dieb- 
staht entdekten, flogen sie wütend um den Mann und ihre Jungen 
herum, und drohten alle Augenblicke ihn anzupacken, das auch 


gewifs geschehen wäre, wenn er sich nicht unaufhörlich mit sei- 


core le sabot dans l’état voisin de sa dissolution l’os rong& de tous 
côtés et recouvert de chyle. 


Les instrumens par lés quels il saisit et digère sa proye, 
c'est-à- dire ses pieds, son bec, son oesophage et son esto- 
mac sont aussi proportionnés à la quantité , à la grosseur et à 
la dureté des objels dont il se nourrit Ses serres sont si 
Ha 
dans son bee une telle force, qu'il écrase entre ses mandibules 
la tête d’un chat et qu’il brise de petit os comme du verre, Les 
ouvertures de son bec et de son gosier sont telles, qu’on peut 
y passer un bras. Le gosier a quatre pouces de diamètre dans 
sa largeur, L? estomac ou n’a point d’oritice, on s’ il en a un, 
il doit être aussi large que le jabot, qui a environ 4 pouces de 
long: Il se trouve intérieurement une quantité de glandes fines 
et délicates, qui fournissent les sucs de la digestion, et dont on 


grandes et si fortes, qu’on lui fait rarement lâcher prise. 


peut appercevoir les ouvertures avec le microscope. Le coeur 
et le fuie sont placés du côté droit et celui-ci consiste en deux 
lobes épais et plus longs que larges. Au licu du diaphragme, 
il y a différentes poches de peau, dans lune des quelles sont 
renfermés le coeur, dans l’autre l'estomac et dans une troisième 
les boÿaux. Les boyaux ressemblent souvent à un chapelet, à 
cause des fragmens d’os isolés, qui s y trouvent en quantité l’un‘ 


au bout de l’autre. 


Ce terrible oiseau se laisse pourtant aussi apprivoiser. Le 
Docteur Amstein de Zizers en a gardé un quelques années. 
Quand il s’approchoït , l’animal voloit sur ses épaules, lui ca- 
ressoil les joues de son bec et se gardoit bien de le blesser avec 
ses serres, 11 n’etoit pas aussi familier avec les étrangers. Lors- 
que le jeune docteur Amstein dessina sa figure et le mit à cet 
eflet par terre à côté de lui, loiseau Pinterrompoit souvent, il 
voloit sur sa table et sur ses épaules et le caressoit. Dans l’état 
de domesticité le vautour devore tout: chair morte ou vivante, 
la zeau avec le poil et les os, tout lui est égal. Cependant ce- 
lui, dont nous parlons, refusoit les oiseaux morts, qu'on lui 
présentoit. 


La structure de l'oeil de cet oiseau de rapine est aussi très 
remarquable, Dans d’autres oiseaux, que j'ai disséqués, dit le 
Docteur Schinz de Zurich, il n’y a que l'iris, qui soit, visible, 
mais dans le vautour doré, la sclerotique forme un bourlet au- 
tour de la cornée, dont la couleur est d’un bel orangé, en sorte 
qu'au premier coup d'oeil, l'iris a l’air d’être de cette couleur. 
Mais c’est derrière cette peau que se trouve l'iris qui est d’un 
jaune pâle et qui peut se relirer derrière la sclérotique, quand 
le point visuel s élargit Le corpus ciliare, est très grand 
et agréablement rangé autour de la cristalline; il forme un filet 
magnifique. - Le tissu réticulaire est couleur d’orange foncé et 
brille 4 travers le pigmentum nigrum, de sorte que le tissu 
prismatique et l'iris même en empruntent une teinte rougeäte. 


Ils ont beaucoup de tendresse pour leurs petits et ils mon- 
trent un grand courage à écarter tous les ennemis, qui en ap- 


prochent. En voici des exemples, 


Un homme découvrit, il y a quelques années un nid, sur 
un rocher peié, dans la montagne de Freiberg au canton de 
Glaris. Après ayoir grimpé, non sans de grands eflorts jusqu” 
à l'endroit, il y trouva deux jeunes à demi emplumes, qui dé- 
voroient justement un Éécureuil ayec la peau et les poils tout en- 
semble; il leur lia les pieds et les ailes, les suspendit sur son 
dos et s’ en retourna avec toutes les précautions possibles. Mais 
bientôt les vieux, attirés par le cris des jeunes, découvrirent l’en- 
levement et voltigeant avec fureur autour de lui, ils menaçoient 
à tout moment de Pattaquer, ce qui seroit indubitablement arri- 
ve, s il ne se fut continuellement défendu contr’ eux, avec sa 


ner Holzaxt gegen sie vertheidigt hätte. Sie verfolgten ihn 4 Stun- 
den lang anhaltend bis in das Dorf Schwanden. 

Joseph Scherer bei Ammon am Wallenstattersee wohnhaft, 
ein berühmter Gemsenjäger, kletterte mit seinem Jagdilintchen, das 
an seiner Achsel hing, und olme Schuhe und Strümpfe, um sich 
mit den Zehen besser an die kurzen Vorsprünge halten zu köu- 
nen, auf einem Felsen hin, auf dem ein Geieradler- Nest mit 
Jungen befindlich war, nachdem er vorher das Männchen mit ei- 
nem Schufs geiödet hatte, Ertrafin dem Neste vier ausgewach- 
sene Junge an, befand sich aber ieztin der gröfsten Verlegenheit. 
Die Mutter stürzte nämlich wie eine Furie auf ihn herab, pakie 
ihn mit ihren Klauen um die Lenden herum, verwundete mil dent 
Schnabel seinen Arm, schlug mit seinen Flügelknochen um sich, 
und suchte ihn überhaupt aus dem Gleichgewicht zu bringen, und 

über den Felsen hinab zu stürzen. Ungeachtet dieser unfreundli- 
chen Bewillkommung kam unser Jäger doch nieht aus der Fassung. 
Er stemmte sich mit aller Gewalt erst recht fest an die Felsenwand 
“an, sezte mit der freien Hand den Flintenlauf dem, Vogel auf das 
Herz, spannte mit den Zehen seines nakten Fufses den Hahn, drük- 
te denselben auf eine ähnliche Weise ab, und iôdete auf diese Art 
seinen erbitterten Feind, der ihm auf den Arm so blutig verwundet 
hatte, dafs man die Narbe noch nach zeku Jahren schen konnte, 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus gröfsern und kleinern Säugihieren und Vö- 
geln. Von erstern nimmt er alte und iunge Gemsen, Schafe, Käl- 
ber, Ziegen, Hunde, Füchse, Schweine, Murmelibiere ; Bergha- 
sen, Eichhörnchen; von leztern Birkhüner und verschiedene Lerg- 
hünerarten. Aas geht er nur im Nothfall an. \Venn er eine er- 
wachsene einzeln stehende Gemse erblikt, so fliegt er zuerst im 
Kreise in der Luft über derselben herum, stürzt dann mit Blitzes- 
schnelle in schiefer, nie in senkrechter, Richtung auf dasselbe her- 
ab, ergreift esim Fluge mit den Krallen, und reifst es fliegend über 
Felsen hinaus, versezt dem 'Fhier mit seinen starken Flügeln ei- 
nige heftige Stölse, läfst dasselbe in den Abgrund fallen , fliegi 
dann zu ihm hinunter und fängt an zu fressen. Zuerst reilst er der 
Gemse mit dem Schnabel die Augen aus dem Kopfe; hierauf öf- 
net er den Bauch, und nimmt die edlern Eingeweide heraus, dann 
macht er sich über die übrigen Theile, woran er so lange frilst, bis 
er nichts mehr hinunter würgen kann. Was liegen bleibt, holt er 
sicher die folgenden Tage. Zuweilen hat es sich zugetragen , dals 
ihm ein Jäger die hinab geworfene Gemse wegnahm, oder ihn 
selbst, wenn er sie fortschleppen wollte, auf derselben mit der 
Flinte erlegte. ' 

Junge Gemsen verzehri er entweder auf der Stelle, wo er auf 

sie stôfst, oder er trägt sie in den Klauen durch die Luft an einen 
bequemen sichern Ort. Nur der einseln stehenden alten Gemsen 
kann er sich bemächtigen. Sind mehrere beisammen und wittern 
sie seine Nähe, so springen sie ängstlich zusammen, schliefsen ihre 
Jungen in die Mitte und bewegen sich unaufhörlich in einem Kreise 
herum. Auf diese Art sollen sie sich ver seinen. Angriffen sicher 
stellen. 
Wie kühn er ist, und welche Stärke er besizt, zeigen folgende 
Beispiele: In Bündten schwebte vor wenigen Jahren ein Geierad- 
ler über einem Ochsen, der auf einer hohen Alp weidete, über ci- 
ne Stunde lang. Einigemal stürzte er auf ihn herab, um ihn über 
den Felsen hinaus zu führen und hinab zu schleudern: allein sei- 
ne Kraft-reichte doch wicht zu und er mufste leer abziehen. An 
‚Willen und Festigkeit fehlte esihm nicht! ı 

Auf der Mürtschenalp im: Glarnerlande stiefs einer auf einen 
jungen Fleischerhund, trugihn vor den Augen des Eigenthümers 
undder Sennen weg aufeinen nahe gelegenen Felsenabfaz und ver- 
zehrte ihn. Zu Einnetmoos in Unterwalden nicht weit von dem so- 
‚genannten Drachenloch, sah man einen Geieradler in der Luft flie- 


gen, der einen Fuchs in den Klauen hatte, Dieser war noch le- 
Lill 


19.0 


hache. Ils le poursuivirent sans interruption, l’espace de 4 heu- 
res, jusqu'au village de Schwanden. 

Joseph Scherer, chasseur de daims renommé, du village 
d’Ammon, près du lac de Wallenstaedt ; avec son fusil de chasse 
sur l'épaule et sans bas ni souliers, afin de pouvoir mieux se 
eramponner sur les pointes de rochers, grimpa sur un roc, où il 
y avoit un nid de vautour doré avec des jeunes. Il avoit au- 
paravant iué le mâle d’un coup de fusil. Le nid renfermoit qua- 
ire jeunes encore sans plumes. Mais bientôt il se trouva dans 
le plus grand cmbarras. La mère se jeta tout à coup sur lui, 
comme une furie, se cramponna sur ses hanches avec ses ser- 
res, lui porta de son bec force coups sur le bras, le frappa du 
poignet de ses ailes et fit tous ses eflorts, pour lui faire perdre 
l'équilibre et le précipiter en bas du rocher. Malgré cet accueil un 
peu déplaisant, le chasseur ne se déconcerta pas; il s’appuia de 
toutes ses forces contre la paroi du rocher et armant son fusil de 
la main, qu'il avoit libre, puis le dirigeant contre la poitrine de 
Poiseau, il lächa la détente avec Vorteil de son pied nud et tua 
ainsi son ennemi exaspéré, qui lui avoit fait uue telle blessure au 
bras, qu’on en voyait encore la marque, au bout de dix ans. 


NOURRITURE. À 


file consiste en oiseaux et quadrupedes, jeunes et vieux. Dans 
la premiere classe il dévore le francolin et le coq de bois ou de 
bruyère de plusieurs espèces; dans la seconde il se repait d’une 
foule d’aminaux, iels que jeunes daims, moutons, chevres, veaux, 
chiens, renards, porcs, marmottes, écureuils , lièvres de mon- 
tagnes etc. cen’est que dans le besoin, qu’il a recours aux bêtes 
mortes. S'il appercoit un daim adulte isolé, il commence par vo- 
ler en tournoyant au dessus de lui, puis tout à coup il plonge com- 
me l'éclair, obliquement jamais perpendiculairement sur lui, le 
saisit en volant avec ses serres, l’enleve du rocher, lui porte des 
coups violens avec ses fortes ailes et finit par le lancer dans un 
précipice, où il descend ensuite et en fait sa curée. Il l’entame 
par les yeux, qu’il lui arrache avec-son bec, cela fait il lui ouvre 
le ventre, en tire les parties les plus nobles de$ entrailles, puis il 
attaque les autres membres et il dévore jusqu’ à ce que son esto- 
mac soit absolument gorge. Les restes sont conservés pour le len- 
demain etil ne les oublie pas. Il arrive quelque fois qu'un chas- 
seur lui enleve le daim, qu’il vient de précipiter ou qu’en voulant 
entrainer sa proie, il tombe d’un coup de fusil. 


Pour ce qui est des jeunes daims, ou bien 1l les dévore sur le 
lieu, où il les a trouvés, ou il les emporte à travers les airs, dans 
un endroit plus commode et plus sûr. Il ne peut s'emparer des 
vieux, que quand ils sont seuls. S’ily en’a plusieurs ensemble 
et qu'ils pressentent son approche, ils accourent pleins d’inquie- 
tude, renferment leurs jeunes au milieu d’eux et tournent sans cesse 
en rond, pour embarrasser l’ennemi et de cette manière ils échap- 


pent à son altaque, 


On peut juger de sa hardièsse et dé sa force, par les traits sui- 
vants. H y a quelques années, qu’on vit dans le pays des Gri- 
sons, un Vautour doré planer, une heure entière, au dessus d’un 
boeuf, qui paissoit sur une alpe élevée. H s’élança plusieurs fois 


‘sur lui, pour le chasser du rocher et le précipiter en bas; mais il 


n'eut pas assez de-force pour atteindre son but. Cependant s’ il 


échoua, ce ne fut pas faute de bonne volonté et de persévérance, 


Sur les Alpes de Murten au canton de Glarus, un autre vau- 
tour, appercevant un jeune chien de boucher, l’enleva sous les 
yeux de son maitre et des pätres, le porta sur un rocher voisin et 
le dévora. A Ennetmoos au canton d’Unterwald, à quelque dis 
tance du soi disant Drachenloch (trou de dragon) on vit dans les 
airs un vautour doré, qui emportoit un renard entre ses serres, 
Celui-ci qui étoit encore vivant ; mordit son ennemi au col, ayec 


— 160 


bendig und bifs seinen Räuber so heftig in den Hals, dafs er tod 
zur Erde stürzte, und der Fuchs davon laufen konnte, 

Ein Bündtner Jäger fand in einem Neste ein todes Schaf. Es 
ist eine erwiesene T'hatsache, dafs dieser fürchterliche Räuber 15. 
bis 20 Pfund schwere Bündtner Schafe und Ziegen mit fort schleppt. 
( Das Pfund ist hier zu 56 Loth gerechnet.) 

Einem Glarner Jäger auf Sool hatte einst ein solcher eine 27. 
Pfund schwere Eisenfalle, in der er wahrscheinlich an den Füfsen 
hängen blieb, auf ein hohes, gegenüber stehendes, Gebirg getra- 
gen, nachdem er sie vorher noch mit einer ungeheuern Anstren- 
gung aus einem Holze, in welchem die Falle befestigt war heraus- 
gerissen halte. Er fand sie erst im folgenden Jahre von ungefähr, 
und bemerkte keine Spur vom Vogel daran. 

Allzu grofse Knochen, die er nicht in den Rachen bringen 
kann, wie z. B. Kalbsköpfe trägt er hoch in die Luft und läfst sie 
_ dann auf die Felsen herunter fallen, dafs sie in kleinere Stücken 

zerbrechen. Er hat dabei eine grofse Geduld, und wiederholt, wie 
ein Augenzeuge versichert, das Herabwerfen öfters als zehnmal. 

Zu Morsach im Canton Schwyz stiefs ein Geieradler auf ein 
Schaf, und verwickelte sich so in die Wolle, dafs er nicht im Stan- 
de war sich los zu machen, aber auch nicht Stärke genug hatte, es 
fort zu tragen oder es zuiöden. Das Schaflief mit seinem Feinde 
auf dem Rücken der Sennhütte zu und dieser wurde von den da- 
selbst befindlichen Aelplern getödet. Dafs dor Ceieraller auch die 
Kühnheit hat, einen Menschen anzufallen, mögen folgende That- 
sachen beweisen: \ 

Thomas Platter erzählt in seiner Jugendgeschichie , dafs er 
als ein Ziegenhirt ein paarmal in Gefahr gewesen sei, vom Geier- 
adler angegriffen und weggetragen zu werden. (S. helvetischer Ca- 
lender, Zürich 1790. 8. 51.u. 55.) j 

Ramond sagt: vor wenigen Jahren pakie ein Geieradler ein 
dreiiähriges Kind an, welches er weggetragen hätte, wenn nicht auf 
dessen Angstgeschrei der Vater mit einem Prügel herbei geeilt wäre 
und den Räuber umgebracht hätte. (Ramonds Anmerkungen und 
Zusätze zu Coxe’s Briefen im. Schweizerischen Museo étc.) 

Dr. Zellweger’berichtet: dals vor einiger Zeit ein solcher Vo- 
gel zu Hundweil ein Kind im Angesicht seiner Aeltern, welche auf 
dem Felde gearbeitet, von der Erde aufgehoben und weggetragen 
habe. Die jezt noch lebenden alten Leute erzählen das als eine 
wirkliche Thatsache auch mündlich. 

Ein anderer komischer Vorfall ereignete sich vor etwa 21. 

Jahren in Schuders, 'einem Dorfe, zwei Stunden ob Schiers, in ei- 
ner ziemlich wilden Gegend. Ein Bauer daselbst, Namens Scha- 
maun Kefsler, hatte des Frühlings auf dem schon vom Schnee be- 
freiten Boden sein Vieh zur Lränke geführt. Ein Geieradler stürz- 
te unversehens aus der Luft auf seinen etwa einjährigen Bok, und 
versuchte ihn weg zutragen. Der Eigenthümer wollte sich das 
nicht gefallen lassen, schlug gegen ihn, und wurde mit ihm hand- 
gemeng. Allein der Vogel brauchte nun seine Waflen gegen den 
Bauer, und schlug ihn eudlich aus dem Felde, so dafs der Bauer 
sein Heilin der Flucht suchen und seinen Bok Preifs geben mulste, 
Siegreich flog iezt der Geieradler wieder auf den Bok zurük, hob 
ihn triumphirend vor den Augen seines Eigenthümers in die Luft, 
und verschwand mit demselben im Gebirge. ’ 

Im Jahr 1778. wurde auf der Silbern Alp im Kanton Schwyz 
ein Hirtenbube, der auf einem hervorstehenden Felsenkopf safs, 
-und das Vieh hütete, unverschens durch einen Geieradler herun- 


‘ ter gestürzt, von ibm angefressen und von den Sennen dabei ver- - 


jagt, weswegen man an den Ort, wo der Junge sals, unten, wo 
sein Körper hinfiel, ein Kreuz hinstekie, welche beide in den 
neunziger Jahren noch gestanden sind. 


FORTPFLANZUNG. 
. Die Brütezeit dieses Vogels fängt schon frühe im Jahr an. Hr. 


Prof. Meisner in Bein zergliederte einen frisch getodeten Geier- _ 


une telle violence, qu'il tomba mort’a terre et que le renard put 
encore s'enfuir. 

Un chasseur des Grisons trouva un jour un mouton mort 
dans un nid. Il est prouvé, que ce redoutable brigand enleve 
dans cepays là, des moutons et des cheyres, qui pesent 12 à 15 
livres: la livre à 18 onces. 

N yaplus: un chasseur de Sool, canton de Glarus, perdit un 
piège de fer du poids de 27 livres. C’etoit un de ces vautours, qui 
Pavoit enlevé et transporté. vis à vis sur une haute montagne. I 
y étoit vraisemblablement resté pris par les pieds et il avoit du 
employer les plus grands efforts, pour détacher ce piège d’une ma- 
chine de boïs, à la quelle il étoit assujetti. Le chasseur le retrouva 
seulement l’année suivante par hazard et il n’y remarqua aucune 
trace d'oiseau. 

S’ il est des os, qui par leur grosseur se refusent à passer par 
son gosier, tels que ceux d’une tête de veau, il les emporte fort 
haut dans les airs et ensuite il les laisse tomber sur un rocher, à 
fin de les briser en petits morceaux. ‘Il montre à cet égard une 
grande patience, car au dire d’un témoin. oculaire, il répete sou- 
vent ce jeu plus de dix fois de suite. 

À Morsach dans le canton de Schwitz un vautour doré atta- 
qua un mouton et entortilla tellement ses serres dans la laine, 
qu'il lui fut imposible de s’ en détacher et d’ailleurs il n’&toit point 
assez fort pour ]’emporter, ou pour le tuer. Le mouton courut à 
la bergerie, portant son ennemi sur le dos, qui fut tué par les 
bergers. | 

On verra par les exemples suiyans, que ce yautour ose mê- 
me s'attaquer à l’homme, 

Thomas Platter raconte, dans l’histoire de ses jeunes années, 
qu’ étant gardeur de chèvres, il fut une couple de fois en danger 
d’être attaqué et enlevé par un vautour doré. ( V. le calendrier 
helvétique, Zurich 1790. p. 51. et 55.) 

Ramond raconte, qu’un yautour doré attaqua, il y a quelques 
anndes, un enfant de 3 ans, qu'il alloit enlever, si le pere ne fût 
accouru à ses cris avec un gourdin et n° eût assomme& le brigand. 
(Ramond, remarques et additions aux lettres de Coxe dans le Mu- 
sée helvétique etc.) 

Le Docteur Zellweger rapporte, qu’un de ces oiseaux enleva 
de terre et emporta un enfant, à la vue de ses parens qui travail 
loient aux champs. On peut entendre ce récit de la bouche même 
de ces vieilles gens, qui vivent encore à Hundweil. 

Un autre évenement d’un genre presque comique, arriva, il 
y a environ 21 ans, à Schudoers, village à 2 lieues au dessus de 
Schiers, dans une contrée passablement sauvage. Un paysan du 
lieu, rommé Schamaun Kesler, par un jour de printems, où la 
neige étoit déja fondue, avoit mené son troupeau à l’abbreuvoir. 
Un vautour fond à l’improviste, du haut des airs, sur un cheyreau 
d'environ un an et essaya de Penleyer. Cela n'étant pas du gout 
du propriétaire, il s’ en suivit un combat en regle, Mais l’oiseau 
se servit de ses armes, avec tant d'adresse, que malgré les coups 
que lui porloit le paysan, il resta maitre du champ de bataille et 
que son adversaire dut prendre la fiute en abandonnant son che- 
vreau. Le vainqueur revint sur ce lui-ci, lemporta dans les airs, 
aux yeux du vaincu et s’ enfonga avec sa proie dans les montagnes. 

_ En 1778 un jeune pätre de l’alpe de Silbern, au canton de 
Schwitz, gardant son troupeau, assis sur la pointe d’un rocher 
isolé fut tout à coup jeti& du haut en bas, par un vautour doré, 
qui en dévora une parte et qui fut ensuite chassé par les habitans 
des chalets. On planta deux croïx en mémoire de cet évenement, 
lune au lieu où le jeune berger étoit assis et l’autre à celui où il 
étoit tombé; on les voyoit encore toutes deux il y a une douzaine 
d'années. 

PROPAGATION. 

Ces oiseaux couvent de très bonne heure. Le Professeur Meis- 
ner de Bern, disséqua au comencement de Février un vautour do- 


u 161 


adler zu Anfang des Fébruars, und fand in demselben ein zum Le- 
gen vollkommen reifes Ei, das gröfser als ein Gänseei, selir läng- 


lich und ganz weils war, die Schale rauh und wie Chagrin anzu-. 


fühlen war. Steinmüller fand auch in einem im Februar zerglie- 
derten männlichen Vogel die Testikeln zur Gröfse eines Turtel- 
taubencies angeschwollen. 


Das Nest legt er nicht, wie in manchen ormithologischen 
"Schriften steht, in unzugänglichen Felsenhölen an, sondern im 
Mittelgebirge auf entlegene steile Felsenäbsatze, die nur mit gro- 
ser Gefahr zu erklettern sind. Das Nest hat etliche Fafs im Durch- 
imesser. Der Grund desselben besteht aus ein Paar Lagen kreuz- 
weise übereinander gelegter Holzprügel, über diesen befindet sich 
eine Menge altes Heu und Stroh, und nun erst folgt das eigent- 
lich schön in die Rundung gebaute Nest, welches anfangs aus zar- 
ten in einander gestekten und geflochtenen Stauden besteht , und 
inwendig mit Moos und Heu und ihren eigenen Flaumfedern aus- 
gefüttert ist. Esist so geräumig, dafs Alte und Junge bequem da- 
rin sitzen können. Das Weibchen legt darein 3 bis 7. Eier, wel- 
che weils und braun geflekt und etwas gröfser sind als Gänseeier. 
Diese Anzahl der Eier ist freilich gegen die bisher gemachlen Er- 
fahrungen grofs, indem die Geier- und Adlerarten gewöhnlich nur 
2 bis 5, selten 4. Eier legen; allein von diesen sieben werden nicht 
mehr als 2 bis 3., höchstens 4 Stücke Besgebrzen 


Die Jungen haben anfangs unförmliche Köpfe und Bäuche, 
und sind ganz mit weifsen Flaum überzogen, Der 


NUTZEN, 


welchen dieser fürchterliche Räuber stiftet, ‘ist sehr gering. 
Blofs seine Schwungfedern sollen als gute Schreibfedern gebraucht 
werden können , deren Spulen freilich. eiwas unbequem zu halten 


sein mülsen. Dureh die Verzehrung des Aases wird er ebenfalls 


nüzlich. Sein 
SCHADEN 
ergibt sich aus seiner Nahrung, Einen 
FEIND 


hat er an den Menschen. Aufserdem beherberget er eine Men= 
ge Zangenläuse und eine Milbenart. 


JAGDUND FANG. 


Er wird theils geschossen, theils im Winter und Frühlingmit 
eisernen Fuchsfallen gefangen. Mit Rindsblut oder gerôsietem 
Fuchsfleisch läfst er sich einige Stunden weit herlocken, 


VERSCHIEDENHEITEN. 

Von diesem Vogel führt man eine Abart mit schwarzbraunen 
Kopfe und Halse an. Nach Hrn. Pfarrer Steinmüllers Beobach- 
tung ist dies aber eine besondere Art, von welcher wir, wie wir 
hoffen, in Zukunft mehr sagen werden können. 


Andere Abänderungen in der Farbe sind blofs dem Alter zu- 
zuschreiben. Die jüngern Geieradler sind am Halse, an der Brust 
und am ganzen Unterleibe viel weilser als die ältern. 


ANMERKUNG. 

Buffon kannte den Geieradler nicht genau, und hielt ihn bald 
für eine Abänderung seines Griffon (Vultur fulvus) bald rechnete 
er ıhn zum Kondor. 

Die beste Beschreibung und die genauester Nachrichten von 
seiner Lebensart haben wir Herrn: Pfr. Steinmüller zu Rheinek am 
Bodensee zu danken, (siehe Alpina I. Theil S. 169. Winterthur 
1806.) dessen eigene Worte wir absichtlich in mehreren Stellen 
unserer Beschreibung. brauchten; 


M © mm 


fé, tout récemment tué et il lui trouva un oeuf en parfaite matu- 
rité pour la ponte, très long, tout à fait blanc et plus gros qu’un 
oeuf doie, et dont la coque étoit au toucher grenue comme du 
chagrin. Steinmüller, en disséquant un mâle au meis de Février, 
trouva aussi ses testicules, enflés comme un oeuf de tourtereau. 

I ne bâtit point, ainsi que le prétendent plusieurs ornytholo- 
gistes, dans des trous de rochers inabordables, mais dans les mon- 
tagnes de la moyenne région, sur des pointes de rochers à pic, où 
Von ne sauroit parvenir qu’ avec beaucoup de danger. Son nid 
a quelques pieds de diamètre. Ses fondemens consistent en quel- 
ques assises de coterèts, croisés les uns'sur les autres ; sur ceux- 
ci s’ éleve le nid proprement dit, qui est régulièrement arrondi, 
composé à l’éxtérieur de tendres arbrisseaux et garni intérieure- 
ment de mousse, de foin et du propre duvet de l'oiseau. Il est 
assez grand, pour que les jeunes et les vieux s’ y trouvent à leur 
aise. La femelle y dépose de troïs jusqu” à sept oeufs, marqués 
de taches blanches et bruries, et un peu plus gros que des oeufs 
d’oie, Ce nombre paroit grand, en comparaison des expériences, 
que lon a faites jusqu’ à présent, par lesquelles toutes les espè- 
ces de vautours ne pondent ordinairement que 2, 5 et tout au plus 
4 oeufs. Mais on observera que de ces < oeufs, il n’en éclot que 
2 ou 5 et rarement 4. 

Les jeunes ont, dans le commencement la tête et le ventre très 
informes et ils sont absolument couverts d’un duvet blanc. 


UTILITÉ, 


Les avantages qu’on retire de ce redoutable brigand sont très 
minces. Les pennes de ses ailes peuvent être emploiées à écrire, 
mais attendu la grosseur de leurs tuyaux, elles doivent être fort 
incommodes à tenir, Il est encore utile par la consommation de 
la charogne. Le 

DOMMAGE 

qu’il cause, est sans contredit plus grand et résulte de sa Nour- 

zilures Son principal 


ENNEMI 

c’est ;’hommie. 

poux, de Pespece appelée par Linnée Pediculus recur Yi-ros- 
tra et à une sorte de tignes. 


Ï est outre cela en proie à une quantité de 


MANIERE DE LES CHASSER. 


On le tue au fusil ou onle prend, en hyver et au printems, 
dans des trapes de fer, dressées pour les renards. On peut Pat- 
tirer pendant des heures entières avec du sang de boeuf ou de la 
chair de renard rötie, 

VARIÉTÉS, 

On cite de cette espèce une variété, avec tête et col noir bru- 
nätre. Mais Mr. le pasteur Steinmüller prétend, que c’est une 
espèce particulière; nous espérons pouvoir un jour en dire davan- 
tage à cet égard, 

Les autres diversités dans Ies couleurs ne proviennent que de 
l’âge. Les vautours dorés, dans leur plus jeune äge sont beaucoup 
plus blancs que les vieux au col, à la poitrine et au dessus du ventre. 


REMARQUE. 


Buffon n’a pas exactement connu le vautour doré; il Pa pris: 
tantôt pour une variété de son Griffon (vultur fulvus) tantôt il Pa 
placé parmi les Condors. 

Nous devons la meilleure description de cet oiseau et les ren- 
seignemens les plus exacts, sur son genre de vie à Mr. le curé Stein 
müller de Rheineck sur le lac de Constance, notre ami, (v. Al- 
pina prem. partie p. 169. Winterthur. 1806. Nous ayons à des- 
sein rapporté ses propres termes, dans plusieurs passages de no= 
te description. 


Eben dieser unser Freund schreibt uns auf eine an ihn gerich- 
tete Frage, dafs er noch nicht genau zu bestimmen sich getraue, 
ob der Lämmergeier einen äufserlich sichtbar herabhängenden 


162 


Kropf — wie dies bei mehrern Geiern der Fallist, — habe. Er 


scheine ihm in der Hinsicht von den Geiern abzuweichen, 


Ce mème ami, au quel nous nous étions adressés, nous a re- 
pondu, qu’il n’ osoit point encore décider, si le vautour doré a le ja- 
bot visiblement pepdant, — comme c’est le cas, dans la plupart 
des vautours. — fl lui paroït, que celui-ci diffère des autres à 


cet égard. 


DER MÄUSEFALKE. 


Mäusebussard. Bussard. Mäusegeier. Mäusevogel. Mäuschahicht. 
Hüunerhabicht.. Mäusewächter. Bufsaar. Mäuseaar.. Unkenfresser. Sehlan- 
genfresser. Woaldgeier. Mauser. 

Falco Buteo. Linn. syst. nat. T. I. p. 127. n. 15, 

Paleo Buteo. Gmel. Lin. syst nat. D..I. P. I. p. 26%. n, 15. 

La Buse, Buffon, 

Common Buzzard. Latham. nr 

Der Entenstöfser oder fchwarzbraune Habicht. Frisch Vorstellung der 

Vögel Deutschland. Taf. 74. 
Der Mäuschussard. Bechstein gemeine Naturgesch. Deutschland. B. I. S. 

623. Nr. 13. Zweite Auflage. 

Der Mäuseaar. Naumanns Naturgeschichte der Land-und Wasservögel etc. 

B: IV. S, 206. Taf. 24. 25.. 26.- 


"KENNZEICHEN DER ‘ART. 
Mi graubraunem Augenstern, gelber Wachshaut und gelbem 
nakten Füfsen; weilsen Federschäfien in Flügeln und im Schwan- 
ze; dunkelbrauner Hauptfarbe; grofsen herzförmigen dunkelbrau- 
nen-Fleeken oder Wellenlinien auf dem. Bauche und’ 12. Querbin- 
den. auf dem Schwanze.. 


BESCHREIBUNG. 


Dieser Vogel zeichnet sich von mehrern seiner Gatlungsyer- 
wandten’ durch den dicken‘, oben flachen Kopf, und durch’ den 
kurzen dicken Hals aus. In Absicht auf die Farben: änrlert er so’ 
sehr ab, dsfs man beinahe nicht im Stande ist ein beständiges Far- 
benkleid von ihm anzugeben. In Ganzen genommen, ist jedoch 
die Farbe des Oberleibes dunkel- oder graubraun, mit einem. 
schwachen kupferfarbigen Schiller und. mehr oder wenigern rosi- 
rôthlichen Pederrändern; der Unterleib mit grofsen eirunden ‘oder 
herzförmigen durkelbraunen Flecken oder auch unregelmäfsigen 
‚Wellen. 

Der Schnabel ist von der Stirn an gerechnet, elwas über 1. 
Zoll lang, am Grunde bläulich, vorn horuschwarz; der Ober- 
schnabel vorn sehr gekrümmt und und mit fast unmerklichen Zahn 
versehen;; der Unterschnabel am Grunde heiler; die Nasenlöcher 
eirund, querstehend; die Waehshaut md die Schnabelwinckel 
gelb; die Seiten der Wachshaut von dem hintern Rande der Na- 
senlöcher an, und die ganze Gegend bis zu den Augen sind mit 
braunen gekrümuten Borsten. besezt;. eben so der Grund des Un- 
terschnabels; der Rand der Augenlieder schmutzig:wachsgelb, mit 
schwarzen Borsten ; unter den Augen einhalbmondförmiger weis- 
ser Flek; der Augenstern. graubraun, oder blafsgelblichbraun, im 
Alter grauweißs; der Scheitel, Oberhals ,„ und der ganze Oberleib 
kaffehraun, mit hellern Federrändern und dunklern Schäften; die 
zweite, dritte und vierie Schwungfeder sind etwas unter der Eälfte 
der Länge auf der schmalen Falıne seicht, auf der breiten Fahne 
aber und etwas weiter unten stark ausgeschweift;. die vordern sind. 
auf der schmalen Fahne grauschwarz , und auf _der ersten Hälfte 
wie mit einem weifsgrauen Puder besireut; die breite Fahne ist 
am Schafte herunter graubraun, übrigens weïfs , und mit fünf bis 
sechs dunkelbraunen kurzen, breiten, am Ende getüpfelten Quer- 
bändern” bezeichnet , gegen die Spitze hin schwarzbraun, mit ei- 
nem kupferröthlichen Schiller; die mittlern und hintern Schwung- 


federn sind eben so gefärbt und gezeichnet, nur haben die äufsern. 


LA BUSE. 


Der Miusefalk. Mäusebussard. Bussard. Mäusegeier, Miusevogel. 
Mäuschabicht. Hühnerhabicht. Mausewächter. Bussaar. Mäuscaar. Un- 
kenfresser.. Schlangenftesser. Mauser. 

Falco Buteo. Linn. syst. nat. T. I. p. 127. n. 15. 

Falco Butco: Gmel, Lim. syst. net. T- I. P. I. p. 265. n. 15. 

La Buse. Buffon. 

Gommon Buzzard. Latham: 

Der Entenstösser oder schwarzbraune Habieht. Frisch Vi orstellung der Vö- 
gel Dentschland’s. Taf. 74. Fi; 

Der Mäusebussard. Bechstein gemeine Nalurgesch. Deutschl, B, II. S. 623. 
no. 13. 2te Aullage. 

Der Mäuseaar. Naumann’s Naturgesch. der Land - und Wasservôgel ete. 

B. IV. S. 206. Taf.’24. 25. 26. 


Waldgeier. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Li: gris brun; le céra jaune, les tarses nuds et aussi jaunés; 
les hampes des plumes blanches aux aûles et à la queue; la tè— 
te, brun foncé; de grandes taches brun foncé, en forme de 
coeur ou ondoyantes, sur le ventre et douze bandes. transversa- 
les sur la queue. 


DESCRIPTION; 


Cet oiseau se distingue entre plusieurs autres de son genre; 


par sa tele grosse et platte ainsi que par son col court et épais, _ 


' Quant aux couleurs, dlles varient si souvent, qu’il est presqw im- 


D 


possible de donner un signalement parfait de sa livrée. Toute 
fois la couleur de la partié supérieure de son corps est générale- 
ment gris brun du brun foncé, avec un foible chatoiement couleur 
de cuivre et le liséré des plumes plus ou moins rouge de rouille ; 
la parlie inférieure du corps marquée de grandes taches brun fon- 
cé, de forme ovale ou en coeur on bien d’ondulaliens irrégulières. 

Le béc à partir du front est long d’un pouce et quelques lig- 
nes, la base en est bleue etie devant noir de corne. La mandi- 
bule supérieure très coùrbée em avant et armée d’une dent presqw 
imperceptible, la mandibule inférieure plus claire à sa base. Les 
narines ovales et obliques. Le cera et les coins du bec jaunes les 
côtés du céræ et tout l’espace depuis la partie postérieure des na- 
rines jusqu’ aux yeux sont garnis de poils bruns et evurbes, aïnsi. 
que la base de la mandibule inférieure. Le bord des paupières cou-. 
leur de cire chaune salie avec des poils nems; sous les yeux une 
tache blanche en forme de demi-lune; l'iris gris brun ou jaune, 
pâle tirant sur le brun, dans la vieillesse gris blanc. Le sommet 
de la fête , le dessus du col et tout le manteau brun de caflé avec 
des hampes plus foncéés et des lisérés plus clairs. Les deuxième 
troisième et quatrième pennes de l’aile sont un peu arquées au de 
là de la moitié de leur longueur du côté étroit de la barbe et du 
large côté un peu plus bas, elles le sont davantage; celles du de- 
Vant sont gris noir sur le côté éireit de la barbe et.sur la premie- 
re moitié, elles ont Pair d’être couvertes d’une poudre grisätre. La. 
plus large des barbes est gris brun, le long de la hampe, du res- 
te blanche et marquée de 5 à 6 bandes transversales gris brun 
courtes, larges et pointllées à leur extrémité, vers la pointe elle 
est d’un brun noir, lusiré de rouge de cuivre. Les pennes du mi- 
lieu et les derniöres ont la même couleur et les mêmes marques 


- 


165 


Fahnen den weifsgrauen Puder nicht; die sechs ersten Schwung- 
federn haben weifse, am Einde hellbraune Schäfte, die mitilern 
und hintern sind nur am Grunde weils; die Schwanzfedern haben 
auf grauen oder roströthlichen Grunde neun bis zwölf schmale 
dunkel- oder schwarzbraune Querbinden, von welchen die un- 
terste die breiteste ist ; die Spitze ist roströthlichweils; übrigens 
sind alle Schwanzfedern auf der breiten Fahne am Rande bis über 
die Hälfte hinab weifs; die beiden mittlern ausgenommen, welche 
gar nichts Weifses haben; die Schäfte sind alle weifs, bis zu dem 
lezten dunkeln Bande, wo sie dann auch schwarzbraun werden; 
die Federn am Kinne sind am Grunde weils, dann graubraun mit 
einem dunkelbraunen Schafte; der Unterhals entweder weils, mit 
vielen grofsen graubraunen oder dunkelbraunen Längs- oder ei- 
förmigen Flecken, zwischen welchen mehr oder weniger weifse 
eingestreut sind; oder der Unterhals ist ganz graubraun; die Brust 
und der Bauch weils, mit vielen grofsen eirunden oder herzför- 
migen Flecken, gewöhnlich aber mit vielen graubraunen oder dun- 
kelbraunen WVellenlinien, die Schenkelfedern sind roströthlich und 
braun gewellt; die untern Schwanzdekfedern entweder weiß, und 
nur mit wenigen, oder weifs, mit vielen braunen Vellenlinien ; 
die Füfse sind eiwasunter dem sogenannten Knie befiedert, wachs- 
gelb, die Zehen Kurz, die Nägel wenig gekrünmt, Kurz; der er- 
ste innere und der hintere Nagel sind die längsten, 


Die Flügelspitzen sind von der Schwanzspilze einen Zoll 
entfernt. 


Länge 1 Fufs 10% Zoll; Breite vier Fuß, drei Zoll. Pariser 
Mafs. 


Die Weibchen sind von den Männchen wenig unterschie- 
den; doch waren diejenigen, welche wir zu sehen bekamen, ge- 
wöhnlich grôfser als die Männchen. 


Das hier abgebildete Weibchen unterscheidet sich vor- 
züglich dadurch, dafs die Grundfarbe des Unterhalses und der 
Brust weils und mit grofsen graubraunen Längstlecken, die am 
Schafte hinunter laufen, verschen ist; auf den untern 'Theil der 
Brust, am Bauche und am Afier, so wie auf den untern Dekfe- 
dern des Schwanzes befinden sich auf weilsem Grunde viele herz- 
förmige, bald hell, bald dunkelbraune Flecken; die Seiten der 
‘Brust, des Bauches und die Hosen sind graubraun, mit einigen 
‚weilsen, und auf den Elosen mit vielen rostrôthlich weißen Fle- 
‚cken verschen; die Rückenfarbe ist der des oben beschriebenen 
Männchens völlig gleich; nur hat es weniger helle Federränder als 
dezteres. 


Das abgebildete Junge ist ein Männchen, welches 
wir aus dem Neste erhielten und aufzogen. Es ist etwan ein hal- 


bes Jahr alt. Im September haite es folgende Farben: 


Der Rücken ist dunkler als bei unserm W/eibchen, und so 
‘wie der Nacken nat vielen rostrothen P'ederrändern versehen; eben 
so hat auch der Schwanz mehr Rosirothes, und die braunen Quer- 
bänder sind am Schafte durch eine braune, breite herablaufende 
Zikzaklinie mit einander verbunden; der Unterleib gleieht den 
des Weibehens, nur sind die braunen Flecken dunkler; auf der 
Mitte der Brust befinden sich fast gar keine Flecken und diese Ge- 
gend ist daher ganz rostrüthlich weils; die untern Schwanzdekfe- 
dern haben weniger herzförmige Flecken als beim Weibchen. 


AUFENTHALT. 


Der Mäusefalke bewohnt die Hudsonsbaif und Neuland in 
Amerika, iu Asien um Astrachan und im nördlichen und südli- 
chen 'Theil von Rufsland. In Europa ist er sehr gemein. Hier 
findet man ihn z. B. in Spanien, Frankreich, in der Schweiz, 
in England, Schweden bis Sandmar in Norwegen hinauf. In 

Nnun 


si ce n’est que les barbes extérieures n° ont point cette poudre gri- 
sätre. Les 6 premières pennes des ailes ont les hampes blanches 
et brun clair à la pointe, les hampes du milieu et les postérieures 
n’ ont que le fond blanc. Les plumes de la queue offrent sur un 
fond gris ou rouge de rouille, neuf à douze bandes transversales 
“étroites et gris foncé ou gris brun, dont la plus basse est la plus 
large; la pointe en est blanche, tirant sur le rouge de rouille; au 
reste toutes les pennes de la queue ont le bord de la plus large 
des barbes blanc, jusques passé la moitié de leur longueur, excepté 
les deux du milieu, qui n’ont rien de blanc. Les hampes sont 
toutes blanches, jusqu’ à la dernière bande oncée, où! elles com- 
-mencent aussi à brunir. Les plumes du menton font le fond blanc, 
puis gris brun avec la hampe brun foncé, Le bas du col est tan- 
tôt blanc, avec une quantité de grandes taches longitudinales ou 
ovales gris brun ou brun foncé, parmi lesquelles il y en a plus 
ou moins de blanches entremélées, ou il est tantôt absolument gris 
brun. La poitrine et le ventre blancs, ayec beaucoup de grandes 
taches ovales ou en forme de coeur, mais ordinairement avec une 
quantité de lignes ondulées gris brun ou brun foncé. Les plumes 
des cuisses ondulées de rouge de rouille et de brun. JLes couyer- 
tures inférieures de la queue blanches, tantôt avec peu, tantôt ayee 
beaucoup de lignes ondulées. Les tarses sont légèrement emplu- 
mes au dessous de ce qu'on appelle le genou, mieux le talon, leur 
couleur est jaune de cire, les doigts et les ongles courts, ceux- ci 
un peu crochus; le premier et le dernier ongle font les plus longs. 
‘U y ala distance d'un pouce, entre les pointes des ailes et 
celles de la queue. 
Longueur 1 pied 10 pouces, 
mesure de Paris. 


enverguré 4 pieds 5 pouces, 


Il existe peu de différence entre les mâles et les femelles; ce- 
pendant celles qui sont venues à notre conoissance, étoient d’ordi- 
naire plus grandes que les mâles, 

La femelle représentée ici se disiingue surtout, 
en ce que le bas du col et la poitrine, dont le fond est blanc, off- 
rent de grosses taches longitudinales gris brun, situées le long des 
hampes; sur la partie inférieure de la poitrine, au ventre et au 
sternum , ainsi qu'aux couvertures les plus basses de la queue 
se trouvent sur un fond blanc, quantité de taches. en forme de cocur, 
tantôt brun clair tantôt brun foncé. Les côtés de la poitrine et du 
ventre, ainsi que les culottes sont gris brun, celles-ci marquées 
d’une quantité de taches blanches tirant sur le rouge de rouille et 
les deux premières parlies seulement de quelques taches blanches. 
La couleur du manteau est absolument pareille à celle du mâle 
décrit ci-dessus, excepié les lisérés clairs qui ne sont pas si nom 
breux, 

Le jeune dont on offre ici la figure est un mâle, 
pris dans le nidet que nous avons élevé, Il a environ 6 mois. Au 
mois de Septembre il offroit les couleurs suivantes. 

Le manteau plus foncé que celui de notre femelle et ainsi que 
le col garni de plusieurs bordures rouges de rouille; la queue offre 
aussi plus de rouge de rouille et les bandes transversales brunes 
sont réunies à la lampe par des rayes disposées en sigsag. Le 
bas ventre ressemble à celui de la femelle, excepté que les taches 
brunes sont plus foncées. Au milieu de la poitrine, on n’appercoit 
presque point de tache et par conséquent cette partie est absolu 
ment d'un blanc, tirant sur le rouge de rouille. Les plumes in- 
férieures de la queue ont moins de taches en forme de coeur'que 
la femelle. | 


PATRIE. 


La Buse habite la baye d'Hudson et le Neuland Amérique, 
en Asie les environs d’Astracan et les parties septentrionale et me- 
ridionale de la Russie, Elle est très commune en Europe. On 
la trouve par exemple, en Espagne, en France, en Angleterre 


In Deutschland lebt er überall wo Waldungen sind,_z. B. auf 
dem Harz , in Thüringen , im Anhaltischen, in den Maingegen- 
den, im Fränkischen, Bayerschen etc. Sein liebster Aufenthalt 
sind die Vorhölzer grofser Waldungen , an welche Felder grän- 
zen. Man kann ihn sowohl unter die Stand- als auch unter die 
Strich- und Zugvögel rechnen, da er wenn der Winter nicht zu 
strenge ist,' bei uns aushält, bei grofser Kälte aber in südlichere 
Gegenden zieht, iedoch sogieich wieder zurük kehrt, im Falle 
gelindere Witterung einfällt. In andern Gegenden, wie z. B. im 
Anhaltischen, hat man ihn aber auch im September und Oktober 
in langen Zügen von 5o. 80 bis 100. Stük gegen Abend auswan- 
dern und im März und April von Abend gegen Morgen wieder 
kommen sehen. Einzelne streichen vom Herbste an bis zum 
kommenden Frühjahr herum, bleiben bei einem Gebüsch, wo sie 
Nahrung finden, einige Tage, auch wohl Wochen, und-ziehen 
dann weiter , da indessen ein anderer nachfolgender ihre Stelle ein- 
nimmt, Dieser Wechsel dauert den ganzen Winter hindurch fort. 


EIGENSCHAFTEN. 


| : 
Er ist ein plumper, träger und ungeschikter Vogel. Stunden- 
lang sizt er zusammen gekauert auf einem Baum und geht nicht 
eher auf Raub aus, als bis ihn grofser Hunger dazu zwingt. Er 
kann 8 bis 15 Trage aushalten, ohne einen Bissen zu fressen. So 
grofs erist, so ist er doch fast nicht im Stande ein gesundes Reb- 
huhn oder eine "Taube zu fangen. Beide nimmt er aber der Korn- 
weihe F. cyaneus. Lin. ab, im Falle sich eine solche in seiner Ge- 
gend befindet und für sich ein solches'Stük Wildpret erbeutcte. 
Seine Dummheit geht so weit, dafs er, wenn sich ein Rebhuhn in 
der sogenannten Schneehaube gefangen hat, in dieselbe kriecht, 
das Rebhuhn frifst, sich aber auch zugleich selbst fängt. Bei dem 
allen ist er doch scheu, und läfst den Jäger nicht leicht nahe her- 
an kommen. Sein Flug ist langsam aber hoch. Im Frühjahr , 
wenn er sich paaret, und auf seinem Herbstzuge beschreibt er be- 
sonders bei schönen Wetter, hoch in der Luft grofse Kreise. Sei- 
ne Stimme wird nach Bechstein durch die Silben kriä, kriä, nach 
Naumann durch hiäh, hiäh ete. ausgedrükt. Uns schien sie wie ein 
hohes gaauk, gaank zu lauten. Aufser dieser Stimme gibt er auch 
noch eine andere von sich, die einem groben kurzen Knarren ei- 
ner Thür gleicht, und mehreremale hinter einander von ihm wie- 
derholt wird. WVenn er gefangen und an den Fufs gespannt wird, 
so ist er schr wild und unbändig, legt sich auf den Bauch und 
bleibt eine lange Zeit, ohne sich zu bewegen liegen. Aus Eigen- 
sinn hungert er 8. bis 15 'Tage ehe er sich zum Fressen bequemt; 
ja er stirbt manchmai lieber Hunger, als dafs er sich dazu bequemt, 
wie wir dieses Jahr noch an einem erfahren haben. 


NAHRUNG. 


Da er sehr gefräfsig ist, so macht er keine große Auswahl bei 
seinen Mahlzeiten. Von den Säugthieren verzehrt er junge Hasen, 
Hamster, Maulwürfe , Ratten und Mäuse, Im Herbste sieht man 
ihn öfters bei dem Maulwurfshauien sitzen und anf die Maulwür- 
fe lauern. 


so greift er schnell mit beiden Füfsen durch und ‚zieht seinen Raub 


Bemerkt er eine Bewegung an der aufgewühlten Erde, 
hervor. Er fliegt nicht gern nach seiner Nahrung herum, son- 
dern sezt sich lieber auf einen Baum, Hügel oder Stein, und spä- 
het umher. Sobald er ein Thier erblikt, stöfst er geschwind auf 
dasselbe, und verzehrt es meistens auf dem Platze, wo er es.ergrifl. 
Aufser den oben genannten Säugthieren frilster auch noch, wenn 
er ihrer mächtig werden kann, junge Haushüner, Rebhüner, Tau- 
ben und Krammetsvôgel, die er aus den Schneifsen holt; Frösche, 
Schlangen und Eidechsen, Insekten-und Regenwürmer. So fan- 
den wir in seinem Kropfe und Magen die Garteneidechse Lacerta 
agilis, L. die Blindschleiche Coluber fragilis Lin. die Maulwurfs- 
grille. Grillotalpa, L. und viele Stücke von der Raupe der Sauer- 
ampfereule Rhalaena Noctua Pronuba Lin, | 


x 


164 


dans la Suisse, dans la Suede jusqu’ a Sandmar en Norvege. fn 
Allemagne on la rencontre partout où il y a des forêts, sur le Llarz, 
dans la Thuringe, le pays d’Anhalt et les contrées du Mein, dans 
Elle se tieut 
de préférence à l'entrée des grands bois, bornés par des champs. 


plusieurs parlies de la Franconie, de la Bavière etc. 


On peut la placer parmi les oiseaux à demeure comme parmi ceux 
de passage, attendu qu'elle reste chez nous, quand l’hyver n’est 
pas trop rude et que si elle nous quitte par un très grand froid, 
pour gagner des pays plus chauds, elle revient parmi nous, sans 


* époque fixe, dès que la saison s’adoucit. . Dans d’autres contrées 


cependant on l’a vu, par exemple dans le pays d’Anhalt, dé- 
guerpir vers le couchant par longues troupes de bo, 8o jusqu’ à 
100, aux mois de 7bre et d’ 8bre et revenir du couchant au levant 
en Mars et Avril. Quelques individus isolés rodent cà et là de l’au- 
tomne jusqu’ au printémps, se tiennent dans quelque buisson où 
ils trouvent de la pälure durant quelques jours ou même quelques 
semaines, puis ils vont plus loin et sont remplacés par quelques au- 
tres. Ils changent de la sorte tant que l'hyver dure, 


QUALITES. 


C'est un oiseau lourd, paresseux, mal adroit. U reste des 
heures entières aceroupi sur un arbre et ne le quilte pour chas- 
ser, que lorsqu'il est extrömement pressé par la faim. Il peut jeu- 
ner 8 et même-15 jours, sans avaler une bouchée. Malgré sa 
grandeur il n’est pas capable d’atiraper une perdrix alerte ou un 
pigeon. Mais il dérobe l’une et l’aulre à P’oiseau St. Martin F. 
Cyaneus Lin. quand il apperçoit une telle proie entre les serres de 
cet oiseau. "Telle est sa stupidité que, s’il apperçoit une perdrix 
prise dans le piège, ou filet d’hyver, il s’y introduit, mange la per- 
drix et se prend lui même à ce piège. Cependant il est si peureux, 
qu'il laisse rarement approcher le chasseur trop pres de lui U 
vole lentement mais fort haut. Au printem«, durant ses amours 
et lors de son départ en automne il #’ éleve très haut, dans les 
airs, en décrivant de grands cercles. Son cri suivant Bechstein 
exprime les syilabes kriai, kriai et suivant Naumann celles de hiaih, 
hiaih. Quant à nous, il nous a paru exprimer gaank, gaank sur 
un ton trés élevé. Outre ce cri il en a encore un autre, qui res- 
semble au bruit sourd , produit par les gonds rouillés d’une porte 
et qu’il répete plusieurs fois de suite. Quand il est pris et attaché 
à un pied, il devient furieux et indomptable, il se couche ensui- 
te sur le venire et il reste longtems sans se remuer. Son entête- 
ment ya au point, qu’il jeune 8 et même 15 jours plutôt que de 
manger. Quelque fois mêmel préfère mourir de faim, comme nous 
en avons fait l'expérience, cette année, sur un de ces individus, 


- 


NOURRITURE, 


Sa gourmandise ne lui permet pas de choisir beaucoup ses 

Parmi les quadrupedes, il se repait de jeunes lièvres, de 
mulots, de taupes, de rats et de souris En automne on le voit 
souvent assis pres des taupinières et guetter les taupes. Appercoit 
il quelque mouvement sous le monticule fraichement éboulé, il y 
enfonce vite ses palies et il en relire sa proie. 


mets. 


Il n’ aime point à 
roder en volant, pour chercher sa nourriture, mais il préfére res- 
lier sur un arbre ; une pierre ou une colline, d’ où il observe les 
al entours. Découvre-t-il une proie, il s’ élance promptement des- 
sus ct la dévore ordinairement sur le lieu même, oùil l a saisie, 
Independamment de ces quadrupedes, il mange aussi, lorsqu'il 
peut les aitraper, des poulets, des perdrix, des pigeons et des gri- 
ves qu’il enleve hors des lacets; il ne refuse pas non plus les gre- 
nouilles, les serpens, les lézards, les insectes et les vers de terre. 
Nous avons aussi trouvé dans son gésier et dans son jabot le lézard 
des jardins, Lacerta agilis Lin. la couleuvre, Coluber fra- 
gilis L. le grillon-taupe Gryilo talpa L. et plusieurs débris 
de la Phalene-hibou Phalaena noctua pronuba L. 


— 165 


FORTPFLANZUNG. 


Das Nest-bauen diese Raubvögel meistens anf Buchen und 
Eichen, seltener auf die Fohren und Fichten entweder selbst, oder 
sie nehmen ein altes Krähennest in Besiz und bessern es aus; blei- 
ben sie ungestört in demselben , so kommen sie alljährig zu dem- 
selben zurük. Es ist flach und bestehtiauswendig aus starken, tro- 
ckenen Reisern und ist inwendig mit Moos, Thierhaaren und an- 
dern weichen Materialien ausgefüttert. Das Weibchen legt im 


Mai darein zwei bis drei, höchstens vier weïfshiche, hellbraun 
2 5 


geflekte Eier, welche es in drei Wochen ausbrütet. Die Eier die- 
ses Raubvogels sind sowohl in der Gröfse als auch in der Farbe 
_ von einander sehr verschieden ; bald sind auf weilslichem Grunde 
nur wenige, bald sehr viele braune :Flecken. Die Jungen bleiben 
gegen die Gewohnheit anderer Raubvôgel, lange in dem Neste 
und werden von den Alten wegen ihrer 'Trägheit und Ungeschik- 
lichkeit auch dann noch gefüttert, wenn sie schon fast ausgewach- 
sen und völlig befiedert sind. 


NUTZEN. 


Dieser ergibt sich aus seiner Nahrung. Durch die Vertilgung 
der Feldmäuse , Maulwürfe und Maulwurfsgrillen wird er für den 
Landmann sehr wohlthätig. Sein Feit dient zu einer vortreflichen 
Lederschmiere. Um Lyon wird erim Winter auf die Tafeln ge- 
bracht und für eine gute Speise gehalten. Sein 


SCHADEN 


den er inden Schneusen an den gefangenen Drosselarten an- 
richtet, oder wenn er des Jahrs hindurch einige Rebhüner und 
Tauben würgt, kommt hier wenig in Beirachtung, 


FEINDE 


Auf seinem Körper findet man dreierlei Arten von Läusen 
und kugelarmige und geperlie Bandwürmer Taenia, Kratzerwür- 
mer Echinorynchus, Rundwürmer Ascaris, und Kappenwurmer 


Cucullanus. 


JAGD UND FANG. 


Da er scheu ist, so kann man sich ihm nicht leicht auf die 


gehörige Schufsweite nähern. Am leichtesten kann man ihn beim 
Füttern seiner Jungen erlegen. Am sichersten erhält man ihn auf 
der Krähenhütte. VVenn man seinen Standort weils, den er bei 
der Nacht einnimmt, so kann man ihn beim Mondschein beschlei- 
chen und leicht erlegen. Mit grofsen eisernen Mäusefallen, auf 
welche man einen Maulwurf oder eine Maus bindet, oder im Schlag- 
nez, das von selbst ab- und zuspringt, wenn er die. Lokspeise 
nehmen will, kann man ihn lebendig fangen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Unter den Falkenarten ist wie schon gesagt , nicht leicht ei= 
ner so veränderlich in der Zeichnung und in den Farben als die- 
ser. Und diese Veränderung liegt theils in dem verschiedenen 
Alter , theils in andern uns noch unbekannten Ursachen. Wir 
haben acht Exemplare vor uns , und jedes derselben ist von den 
übrigen merklich verschieden. Bechstein führt folgende Abände- 
zungen an; 

1. Mitrostbraunem Oberleibe, etwas hellerem Unterleibe, oben. 
und unten weifslich oder gelblich gewellt. 


2. Mit fast ganz schwarzem Ober- und Unterleibe. 


3. Mit braunem Oberleibe, rostfarbig und weifsgestreiftem 
Steifse; auf den Dekfedern der Flügel weils geflekt, an der Kehle 
und Brust gelblich mit braunen Längsflecken. 


4, Mit weifslichem Kopfe, graubraunem Rücken, roströthli- 


chen, mit graubraunen länglichen Flecken verschenem, Unterleibe. 
Oo0oo 


PROPAGATION, 


La buse niche d'ordinaire sur les hêtres et les chênes, rare- 
ment sur les pins communs et sur les pins rouges. Quelque fois 
elle s’ empare d’un.vieux nid de corneille et l’arrange à sa guise; si 
elle en reste la maitresse, elle y revient tous les ans. Ce nid est 
plat et il consiste , à l'extérieur, en fortes branches désséchées; le 


dedans est garni de mousse, de poils d'animaux et autres matcri- 


aux doux et flexibles. La ponte est d’un, deux et tout au plus 3 
oeufs blanchâtres, ponctués de brun clair. La femelle les couve 
au mois de Mai durant’ trois semaines. Ces oeufs varient beaucoup 
entr’eux, tant pour la grosseur que pour la couleur; sur le même 
fond blanchâtre les uns ont très peu de tâches brunes, les autres 
en ont une quantité. Contre la coutume des autres oiseaux de ra- 
pine, les jeunes de celui- ci restent longtems dans leurs nids et 
vu leur lâcheté et leur mal adresse, les vieux leur portent encore 
la becquée, que pour la taille et la livrée ils ont presque déjà atteint 
leur perfection. Leur 


UTILITÉ. 


est indiquée par leur nourriture. La destruction des rats 
des champs, des taupes et des grillons-taupes est un bien fait pour 
le cultivateur. Sa graisse est excellente pour frotter le cuir. Dans 
les environs de Lyon il paroit avec honneur sur les tables et on 
fait grand cas de sa chair. Le 


DOMMAGE, 
qu'il cause en volant quelques grives dans les lacets ou en 
égorgeant , durant l’année quelques perdrix ou pigeons, n’est pas 


considcrable. 
ENNEMIS. 


il en porte de trois sortes, sur son corps, tels que des poux 


et des vers solitaires, comme par exemple les Taenia et l’'Echino- 


rynchus, lPascaride et le cucullanus. . 


MANIÈRE DE LES CHASSER, 


Comme cet oiseau est peureux, il n’est pas facile de Pappro- 
cher à là portée du fusil, excepté lorsqu'il donne la becquée à ses 
petits. Mais la manière la plus sure de l’attraper, c’est avec la 
cabane aux corbeaux. Quand on connoït son gite ordinaire de 
huit, on va le guetter au clair de lune et on le tue facilement. Il 
peut s’ attraper vivant, dans de grosses trapes de fer, auxquelles 
on attache une taupe ou une souris, ou bien dans un filet à deux 
ailes, qui s'ouvre et se ferme de soi même, lorsqu'il veut empor- 
ter Fappät. 

VARIÉTÉS. 

Parmi les différentes espèces de faucons, il n’en est point, 
comme nous l'avons déjà observé, qui offre autant de différences 
que celle-ci, dans le dessin aussi bien que dans les couleurs. Et 
ces différences proviennent en partie de la diversité d’äge, en par- 
tie d’autres causes, qui nous sont encore inconnues. Nous en 
avons huit individus sous les yeux et chacun d'eux diffère des au- 
tres d’une manière remarquable. Bechstein cite les variétés qui 
suivent. 

1. Le dessus du corps brun de rouille, qui s’ éclaircit dans la 
partie inférieure, le bas ainsi que le haut, ondulés de blanchätre 
et de jaunâtre. 

2. Le dessus et le dessous du corps, presqu’ entièrement noirs. 

3. La partie supérieure du corps brune, le sternum rayé de 
rouille et de blanc; des tâches blanches sur les couvertures des ai- 
les, la gorge et la poitrine jaunâtres, avec des tâches longitudina- 
les brunes. 

4. La tete blanchätre, le manteau gris brun, le bas ventre 
rouge de rouille marqué de taches longuettes gris brun. 


m 166: 


5. Mit braun und weifs geflektem Leibe, bei welchem ent- 
weder die braune oder weilse Farbe die Oberhand hat. 
6.-Mit ganz weifsem Unterleibe. 
7. Mit ganz weilsem: Ober - und Unierleibe 
Die seltenste Abart. 
Die Abarten Nr. 5. und 6. kommen bei einigen neuern Or- 


nithologen unter dem Namen Falco albidus vor, aus welchem sie 


eine besondere Art machen. Wir können ihnen noch nicht bei- 
treten und verweisen daher unsere Leser auf das, was wir am Eu- 
de der Beschreibung des in diesem Hefte gleichfalls abgebildeten 
Falco albidus gesagt haben. 
Wahrscheinlich gehören. auch noch hieher: 
8. Falco variegatus, der bunte Bussard. Mit braunem Ober- 


> 


leibe, einigen weifs geflekten Federn, dunkelbraunem-Schwanze, 


mit verblichenen Streifen; weifsem, mit braunen Längsflecken ver- 
sehenem Unterleibe und weilsem Steifse. Borkhausen. 

9. Falco communis, gemeiner Falke. Braun, mit röthlichen 
Federrändern; Schwanz mit dunklern Querbinden; Schnabel afch- 
graubläulich; Wachshaut und Füfse trübgelb. 

Nach Naumarn a..a. Ort gibt es eigentlich drei Hauptabar- 


ten, die sich auch unter einander fortpflanzen. 
T. Der. schwarze Mäusefalke. 


Oberteib dunkel graubraun oder auch dunkel chokoladebraun; 
mit sehr schwachen, hin und wieder grau angeflogenen rostfar- 
benen Kanten. Die gleichlangen Schwanzfedern sind auf grau- 
braunem: Grunde mit schmalen, einen Viertelszoll breiten, dun- 
kelbraunen. Querstreifen, wovon der breiteste am Einde fast einen 
Zoll breitist, durchzogen, die Spitzen rostfarbig weils, und die 
verdekte breite Fahne weils, mit Grau durchmasert ; Kehle weils, 
dunkelbraun gestrichelt;. Unterhals dunkelbraun mit roslfarbigen 
Flekchen an den Kanten; Brust und Bauch weiß, mit wellenför- 
migen einen Viertelzoll breiten, dunkelbraunen Querstreifen durch- 
zogen, übrigens noch mit Rostgelb überlaufen, Schenkelfedern 
schwarzbraun mit roströthlichen verleschenen Querllecken; Bei- 
ne und Wachshaut hochgelb; Schwungfedern an der Spitze braun- 
schwarz, oben fahlbraun mit dunkelbraunen Querbinden und an 
der breiten Fahne weils; die Dekfedern unter den Flügeln ha- 
ben weifse und dunkelbraune mit Rostfarbe überlaufene Quer- 
streifen; die Seiten dunkelbraun, bei einigen mit weilsen Quer- 
sireifen durchzogen; der After weiß, mit schmalen dunkelbrau- 
nen Querstreifen. | 

Das Weibchen ist in Ansehung der Farbe wenig vom Männ- 
chen verschieden, und'in der Gröfse findet auch nur bei recht al- 
ten kaum ein merklicher Unterschied statt. 

Wir besitzen ein VFeibchen , auf welches diese Beschrei- 
bung völlig passet, aber auch ein anderes, welches zum "Theil 
wieder davon abweicht. 

Diese Abart ist die gemeinste, denn in der Zugzeit sieht man 
oft Truppen ven 100 Stük, unter welchen oft nicht 20, Stük von 


den andern Abarten zu sehen sind, 


H. Der braune Mäusefalke, 


In der Ferne erkennt man diese Abart an den bräuneren Rü- 
cken und Flügeln und ax der gelblichweilsen, mit braunen Strei- 
fen und Läugsflecken bezeichneten Brust. 

Die Scheitelfedern sind dunkelbraun mit schwarzgrauen Kan- 
ten, über die Äugen geht ein breiter weifs gestrichelter und rosi- 
farben überlaufener Streifen; Backen und Halsfedern sind dunk- 
ler als der Scheitel, rosthraun gerandet; Rücken- und Steifsfe- 
federn dunkelbraun, und in der Mitte neben den Flügeln haben 
die Federn grauweifse, bräunlich gemischte Ränder. Die Schwanz- 
federn sind 9. Zoll lang und haben zwölf dunkelbraune, einen 
Viertel Zoll breite und eben so viel hellere oder graubraune ‚mit 


ber 


5. Le corps marqueié de taches:blanches et brunes, où tan- 
tôt le blanc, tantôt le brun l’emporte sur l’autre couleur. 

6. Le dessous du corps absolument blanc. 

7. Le dessus ainsi que le dessous du corps, tout à fait blancs. 

__ La variété la plus rare de toutes, | 

Les variétés No. 5 et 6. se trouvent chez quelques ornitholo- 
gistes, sous le nom de Falco albidus. Mais nous ne saurions 
adopter leur sentiment et nous renvoyons le lecteur à ce que nous 
avons dit du f'alco albidus, qui est aussi représenté dans ce 
cahier. 

On peut vraisemblablement aussi placer dans cette liste. 

8. Falco variegatus. La buse bigarrée, qui a le dessus du 
corps brun, avec quelques plumes tachetées de blanc, la queue 
brun foncé, lavée de rayures päles; le dessous du corps blanc 
avec des taches brunes en longueur et le siernum blanc. Bork- 
hausen. 

9. Falco communis. Le faucon ordinaire, dont la livrée est 
‘brune, le liséré des plumes blanc, avec des bandes transversales 
plus foncées; le bec couleur de cendre bleuâtre; le céra et les 
tarses d’un jaune sali. 

Suivant Naumann il en existe trois varictés principales, qui 


s 


se propagent entrélles. 5 
I. La Buse noire: 


Le dessus du corps gris-brun foncé ou brun de chocolat fon 
cé, avec de légères bordures couleur de rouille foiblement lavées 
de gris. Les plumes de la queue qui sont d’une longueur égale, 
ent le fond gris brun avec des bandes transversales brun foncé 
étroites, d'un quart de pouce et dont la plus large n’a qu'environ 
un pouce de largeur; les extrémités d’un blanc tirant sur la rouille 
et le côté large de la barbe cache blanc, ponctué de gris, La 
gorge blanche, avec petites rayures brun foncé; le bas du col 
brun foncé avee de petites taches de rouille sur les bords. La 
poitrine et le ventre blancs, ornés de rayures transversales on- 
duiées, brun foncé et d’un quart de pouce dé large, avec chatoie- 
ment jaune de rouille. Les plumes des cuisses brun noir avec des 
taches transversales rouge de rouille pâle; les pieds et les mem- 
branes jaune de cire; les pennes des ailes ont les extrémités brun 
noir la partie supérieure brun fauve, traversée obliquement de 
bandes brun foncé ; et blanche au côté large de la barbe. Les 
couvertures dessous les. ailes offrent des bandes transversales blan- 
ehes et brun foncé, nuancées de couleur de rouille. Les côtés 
brun foncé et quelques fois rayés de lignes obliques blanches. Le 
sternum blanc avec des bandes transversales étroites et brun foncé. 

La femelle diliére peu du mâle quant à la couleur et pour la 
grosseur , dans les individus âgés la difference est à peine remar- 
quable, 

Nous possédons une femelle, à la quelle cette description con- 
vient parfaitement, et une seconde; qui en différe à son tour. 

Cette variété est la plus commune de toutes; car durant la file 
on en appercoit souvent des troupes de cent indiyidus, dont vingt 
à peinc appartiennent à d’autres variétés. 4 | 


IL La Buse brune, ‚ 


On reconnoit die loin cette variété au manteaw et aux ailes 


plus brunes que dans les autres, ainsi qu’ à la poitrine nrarquée de 


rayes et de taches longitudinales brunes. 

Les plumes du sommet de la tête sont brun foncé avec bor- 
dures gris moir ; au dessus des yeux s étend une raye mélangée 
de blanc et nuancée de couleur de roux; les plumes des jours et 
du col sont plus foncées que sur la tete et bordées de roux; le 
manteau et le stérnum brun foncé et dans le milieu à côté des 
ailes les plumes ont une bordure gris blanc, mele de brunätre. Les 
plumes de la queue ont 9 pouces de longueur ei sont marquées 
de douze bandes transversales brun foncé, d’un quart de pouce de 


Rostbraun gemischte, gleichbreite Querstreifen, doch ist die in- 
nere Hälfte der inwendigen Fahne weifs. Die Schwungfedern 
sind an den Spitzen schwarzbraun, oben heller, mit dunklern Quer- 
streifen, welche sich in der halbweiïfsen breiten Fahne verlieren. 
Die dunkelbraunen Dekfedern der Flüge! haben rostbraune und 
weifslich gezakte Kanten; die Schulterfederwsind braun, die Keh- 
le weils, dunkelbraun gestrichelt und etwas rostgelb angeflogen; 
die Unterhals-und Brusifedern an den Wurzeln und Kanten weißs, 


in der Mitte nach der Spitze hin einen länglichen dunkelbraunen _ 


Flek. Sie geben der Brust ein weilses, mit braunen Längsflecken 
beseztes Ansehen.” Der After ist stark rostfarbig überlaufen, und 
hat kleine und runde braune Flecken, die Hosen dunkelbraun mit 
rothen Kanten, die Schwungfedern unten weilsschimmlicht , die 
untern Dekfedern der Flügel braun, mit weilsen rostfarbig. über- 
laufenen zackigen Kanten. 


Unter Männchen und Weibchen findet kein merklicher Un- 
terschied statt. Die Jungen sind von obenher grau überpudert, 
die sehr Alten rostbrauner; auch haben die erstern an der Brust 
und an den Schenkeln mehr Weifses, und die braunen Längs- 

“ flecken der Brust stehen einzelner und sind bei beiden kleiner als 
.bei.denen des mittlern Alters. 


Eine ‚merkwürdige Verschiedenheit, die wahrscheinlich aus 
einer Vermischung der ersten und dieser Abart enistanden‘ist, hat 
einen ganz gelblichweilsen Unterleib , schön regelmäfsig braun in 
die Quere gestreift, wie am Sperber, das Uehrige wie am brau- 
men Mäusefalken. ; 


Hicher gehört wahrscheinlich auch Falco fascus. 


"Die dritte Abart ist der weifse Mäusefalke, welcher hier ab- 
gebildet und besonders. beschrieben ist. 


ANMERKUNG. 


Wir nahmen die weifsem Federschäfte als ein Kennzeichen 
der Art mit auf, weil wir sie beim F. aeruginosus, F. Milvus, F. 
peregrinus, F. palumbarius, F. subbutéo, F, Tinnunculus, F. 
Nisus, F. Äesalon et Lithofalco, F. Islandus etc. nicht, wohl 
‘aber bei dem sogenannten Falco albidus und bei Falco lagopus 
fanden, und dies scheint uns ein Kennzeichen mehr zu sein, dafs 
Talco albidus mit Falco Buleo einerlei Art und keine besondere 
ist, 


167 =. 


largeur et de douze autres plus claires ou gris brun, mélées de brun 
de rouille d’une égale largeur; cependant la moitié de la barbe 
intérieure est blanche. Les pennes des ailes sont d’un brun noir. 
aux extrémités et claires en haut, avec des bandes transversales 
plus foncées, qui disparoissent insensiblement dans le côté large 
de la barbe qui est à moitié blanc. Les couvertures brun foncé 
des ailes ont la bordure dentelée et d’un brun roux et blanchätre. 
Les plumes des épaules sont brunes; la gorge blanche ponctuée 
de brun foncé et quelque nuances de rouille jaunätre. Les plu- 
mes du col inférieur et de la poitrine blanches à leur naissance et 
à leurs extrémités, avec une tâche longitudinale brun- foncé au 
milieu du côté de la pointe; ce qui donne à la poitrine Pair d’être 
marquée de tâches brunes en longueur, sur un fond blanc, Le 
sternum est couleur de rouille très prononcé, parsemé de petites 
tâches, rondés él brunes. Les cülottes sont brun-foncé à bor- 
dure rouge de rouille; les permes des ailes en dessous d’un blanc 
sale, les couvertures inférieures des ailes brunes, avec bordure 
blanche nuancée de roux et dentelee. 

H y a peu de diflörence entre le mâle et la femelle. Les jeu- 
nes sont dans la partie supérieure poudrés de gris, ceux qui sont 
très vieux ont une poudre brun de rouille; les premiers sont aussi 
plus blancs à la poitrine ei les tâches longitudinales de la poitri- 
ne sont isolées et dans les uns et les auires plus petites, que dans 
les oiseaux du moyen âge. 

1] existe encore une différence digne d'observation, qui est 
sans doute provenue de la cohabitation de la première variété avec 
celle-ci ; c’est le bas ventre entièrement jaune blanc, avec de bel 
les bandes transversales régulières brunes, comme dans Pepervier; 
le resie ressemble a la livree de la buse brune, 

Celle qu’on appelle Falco fuscus, appartient vraisemblab= 
lement à ceite variéié, 

La 5e. varicié est la buse blanche, qui est représentée ici, 
avec une description particulière. 


OBSERVATION. 


Nous avons placé les tiges blanches des plumes, parmi les 
traits caractéristiques de l’espèce, parce que nous ne les avons 
point trouvées, dans le Falco aeruginosus, F. Milvus, E. pereg- 
rinus, F. palumbarius, F. Subbuteo, F. Tinnunculus, F, Nisus, 
F. Aesalon et Lithofalco, F. Islandus, etc. mais bien dans le soi- 
disant, Falco albidus et Falco lagopus et cela nous paroit être une 
preuve de plus, que le F, albidus et le F. Buteo ne forment qu’une 
seule et même espèce. 


« 


DER WEISLICHE BUSSARD. 


Weifser Bussard. Weilser Falke. Wcifser Mauseaar. 

Falco albidns. Gmel. Lin. syst. nat. L e. p. 267.10. 79. ? 

Weifslicher Bussard. Bechst. gemein. Nature. B. 11. $S, 639. Zweite Auflage. 
Dessen: omith. Taschenbuch, Th. 1.8. 16. n. 13. 

L’Eimcrillon de la Caroline. Brisson Orm, I. 306. ? 

Buzzardet. Pennants Arct. Zcol. II. p. 211. n. 109. ? 

“Falco minor rufescens. Brown’s Jamaica. 471? 

Der weilslichte Bussard, Weutsche Ornithologie Heft XI. Männchen und 
Weibchen, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mi glatter, schwefelgelber Wachshaut, kurzen, mittelmäßig 
starken schwefelgelben Fülsen; weifsem, mit braunen Flecken be- 
seziem Körper, und Schwanzfedern, die auf roströthlichem oder 
weilsem Grunde schmale, schwarzbraune, am Schafte abgesezte 
Querstreifen haben. 


Pppp 


L’EMERILLON DE LA CAROLINE, 


Weisser Bussard. Weisser a Weisser Mäuseaar, 

Falco albidus. Gmel. Lin, 2 © p. 2674 n. 79. ? 

Weisslicher Bussard, Bechst. gemein. mes B. JE p. 639. 2de edition. 
Ornith. Taschenbuch. Th. 1. S. 16. n. 13. 

L'Emerillén de la Caroline. Brisson on. 1. 306.7 

Buzzardet. Pennants Arct, Zool. II. p. 211. mr. 109, ? 

Falco minor rufescens. 


syst. nat“ 


Brown’s Jamaica. 471.? 
Der weissliche Bussard. Deutsche Ornithologie, Heft XI. Mäle et femelle, 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


L: céra poli et jaune safrané; les tarses couris, médiocrement 
gros et d’un jaune safrané; le corps blanc, parsemé de taches 
brunes; les plumes de la queue ornées, sur un fonds blanc ou 
rouge de rouille, de bandes transversales étroites, brun noir et 
interrompues par la lige. 


je: 


BESCHREIBUNG, 


Die Naturgesehichte dieses Falken ist noch in einige Dunkel- 
heit gehüllt; ia es ist noch nicht einmal ganz ausgemacht, ob er 
wirklich eine eigne Artist Naumann in der oben angeführten 
Stelle betrachtet ihn als eine Abart des Mäusefaiken F. buteo, und 
dies verdenken wir ihm unsern gemachten Erfahrungen zufolge 
gar nicht; denn er hat wirklich sehr viel Aehnliches mit ihm; so 
gar seine Stimme , die wir von mehreren lebendigen, die wir in 
der Gefangenschaft hatten, ‚öfters hören konnten, ist von der des 
Mäusefaiken gar nicht verschieden. Da indessen einige neuere 
Ornithologen, z. B. Bechstein etc. ihn als eine besondere Art 
aufstellen: so folgen wir ihrem Beifpiel, und überlassen es der Zeit 
und den fernern Nachforschungen der Vögelkundigen die Dun- 
kelheit in der Naturgeschichte dieses Vogels auf zu hellen. In- 
dem wir hier eine getreue Abbildung und Beschreibung nebst den 
uns von denselben bekannt gewordenen Nachrichten liefern, und 
ihn dadurch zur gerauern Kenntnifs der Ornithelogen zu brin- 
gen suchen, werden wir es uns zugleich angelegen sein lassen, 
ihn, wo wir Gelegenheit haben, zu belauschen, und dann unse- 
re gemachten Erfahrungen Öffentlich mittheilen. In Absicht auf die 
Farbe ist er sehr veränderlich; doch scheinen im Allgemeinen die 
weifse oder rostrôthlichweifse Farbe des Unterleibes 
und die braune Farbe auf dem Oberleibe mit mehr 
oder weniger weifsen Flecken und Federrändern 
vermischt, die beständigen, und ihn am meisten von andern Fal- 
kenarten unterscheidenden Merkmale zu sein. 

Der Schnabel ist etwas über ı. Zelllang; Oberschnabel vorn 
stark übergebogen , mit einem schwach geschweiften Zahn, an 
der Wachshaut bläulich, vorn hornschwarz, der Unterschnabel 
bläulich; die Wachshaut schwefelgelb; der Augenstern bei un- 
serm wenigstens zwei Jahre alten Weibchen, beständig 


weifsgrau; Kopf weifs, auf dem Scheitel mit kleinen, einzelnen,- 


braunen Strichen; die Nackenfedern am Grunde weils , an der 
Spitze braun; der Rücken und ebere Dekfedern der Flügel braun, 
mit weilsen breiten Rändern; zuweilen sind die Schulter- und 
Dekfedern ganz weifs; die Schwungfedern dunkel fahlbraun , auf 
der breiten Fahne bis über die erste Hälfte weils, mit verlosche- 
men , dunkelbraunen Querbinden auf den drei ersten Federn, auf 
den folgenden mit mehrern und deutlichern Querbinden; die vier 
ersten Schwungfedern sind gegen das Ende hin auf der breiten 
Fahne, und die dritte, vierte und fünfte auch auf der schmalen 
Fahne ausgeschweift und verschmälert; gegen die Spitzen hin wer- 
den die ersten Schwungfedern sehr braunschwarz; der Unterhals 
und ganze Unterleib weils, oder roströthlich weils, zu beiden Sei- 
ten des Kinnes mit kleinen braunen Flecken und Sirichen, welche 
bei manchen Exemplarer sich an den Brustseiien herab ziehen; 
die untern Dekfedern des Schwanzes, so wie die Hosen roströth- 
lichweïfs; der Schwanz an der Wurzel weils, auf der schmalem 
Fahne braun, 'auf der breiten weils, oder roströthlich weifs , mit 
fünf bis sieben,mehr oder weniger deutlichen, am weifsen Schalte 
abgesezien, dunkelbraunen oder schwärzlichen Querbändern. 

Die Füsse sind schwefelgelb, halb befiedert; die Nägel horn- 
schwarz, am Grungesbläulich; der mittlere Nagel hatjan der in- 
nern Seite eine schwarze Kante. 

Das Weibchen ist auf dem Scheitel, Oberhalse und Rücken 
braun, mit voströthlichen Federrändern und weilsen oder röth- 
lichweilsen Flecken; die obern Dekfedern der Flügel braun, mit 
roströthlichen Federrändern; unier den Augen und am Kiunerein- 
weils oder roströthlich. 


Die Länge ist 22 Zoll, die Breite 4 Fufs. Unser nach dem 
Tode gemessenes Weibchen war 19. Zoll lang, 5. Fuf ı0. Zoll 
breit. Pariser Mafs. Die Flügelspitzen endigen sich einen halben 
Zell vor der Schwanzspitze. 


168 — 


„DESCRIPTION. 
1 f - . . 
Il regne encore de I’ obscurit@, dans l’histoire naturelle de 
cet émerillon, il n’est pas même encore décidé, si c’est propre- 
ment une espèce particulière. Naumann, dans le passage cité 


plus haut, le considère comme une variété de la Buse, Falco bu 


tco ; et d’après nos propres observations, nous ne saurions le dé- 
sapprouver, car il a beaucoup de ressemblance avec cet oiseau, 
Le ton même de sajvoix, que nous ayons eu l’occasion d'entendre 
souvent, dans plusieurs individus captifs, ne diffère aucunement 
de celui de la Buse, Cependant plusieurs naturalistes modernes, 
tels que Bechstein ete, l ayant produit comme une espèce parli- 
culièré; nous nous conformons à leur sentiment et nous laissons 
au tems et aux observations ultérieures, la tâche d’ éclairéir I’ ob- 
seurit@ qui couvre encore son histoire, En livrant ici une figure 
et une description fideles de cet oiseau, ainsi que les renseigne- 


mens qui noussont parvenus, nous tächons de le faire connoitre 


plus spécialement aux ornythologistes et cependant nous nous oc- 
cuperons de saisir toutes les occasions de l’observer, encore pour 
ensuile communiquer nos observations au public. Quant à la cou- 
leur, elle est irès changeante. "Toute fois les couleurs générale 
ment les plns constantes et qui le différencient de la manière la 
plus caractéristique, des autres espèces de faucons ou de buses, 
semblent être le blanc ou la couleur de rouille blanchâtre au des- 
sous du corps et le brun au dessus, plus ou moins entremêlés de 
taches et de, bordures blanches aux plumes. 

Le bec a quelque chose au de là d’un pouce dans sa longueur ; 
la mandibule supérieure très courbée en avant, avec un croc peu 
marqué, bleuätre près du céra et en avant couleur de corne; la 
mandibule inférieure bleuätre, le céra couleur de souffre. Liris 
constamment gris blanc, suivant notre femelle qui a au moins deux 
ans. La tete blanche, avec de petits traits bruns, isolés, sur le 
sommet; les plumes de la nuque ont le fonds blanc et la pointe 
noire; le manteau et les couvertures supérieures des aïles bruns, 
avec de larges bordures blanches; les couvertures des plumes et 
les plumes des épaules sont absolument blanches, les pennes des 
ailes brun fauve foncé, le côté large de la barbe blanc jusque pas- 
sé le milieu, les trois premières plumes barrées transversalement 
de bandes d’un brun foncé éteint et les suivantes de plusieurs ban- 
des plus marquées. Les quatre premières pennes des ailes sont 
évidées et relrécies vers l'extrémité sur le côté large de la barbe 
ei les 5? 4° et 5€ sur le côté étroit; les premières pennes des ai- 
les prennent un ton brun noir très décidé vers la pointe. Le bas 
dü col et le dessous du corps entièrement blancs ou rouge de rouil- 
le blanchätre, rembrunis aux deux côtés du menton par de peti- 
tes tâches et rayes brunes, qui dans certains individus se prolon- 
gent jusqu’ à la poitrine, Les couvertures inférieures des plumes, 
rouges de rouille blanchätre ainsi que les culottes; la queue blan- 
che à sa naissance, au reste brune sur le côté étroit de la barbe et 
blanche sur le côté large ou rouge de rouille blanchâtre, ornée de 
5 jusqu’ à 7 bandes transversales, brun foncé ou noirätre, plus 
ou moins apparent et coupé par la blancheur de la tige. 


Les tarses jaune de souflve, à moitié emplumés ; les ongles 


noirs de corne le fond bleuätre,, le doigt du milieu a le bord in- 
térieur aigu. | 

La femelle a le sommet de la tête, le haut du col etle man- 
teau bruns, avec le liséré des plumes rouges de rouille et des ta- 
ches blanches ou rouge de rouille blanchätre; les couvertures su- 
périeures des ailes brunes avec bordures rouge de rouille; le des- 
sous des yeux et le menton d’un blanc net ou rouge de rouille. 

Sa longueur est de 22 pouces, sa largeur ou envergure de 4 
pieds. La femelle que nous possédions, mesurée aprés sa mort, 
avoit 19 pouces de long sur 5 pieds 10 pouces d’envergure, me- 
sure de Paris. Les extrémités des ailes se prolongent jusqu’ à us 
demi pouce au dessus de celles de la queue. | 


AUFENTHALT. 


Er bewohnt die einzelnen Waldungen, besonders die Feld- 
hölzer von Deutschland, namentlich im Meiningischen in der Ge- 
gend des Dorfes Jüchsen, im Anhaltischen und in der Gegend von 
Offenbach. Er gehört, soviel man bis jezt von ihm weils, so 
wohl unter die Strich- als Standvögel. Er streicht im September 
und Oktober weg, und kommt (im Meiningischen) im Februar, 
(im Anhaltischen) im März und April wieder. In manchen Ge- 
genden Deutschlands, wie z. B. im Nürnbergischen, gehört er un- 
ter die seltenen Vögel, so wie er überhaupt nicht häufig anzu- 
treffen ist. 


EIGENSCHAFTEN. - 


So träge wie der Mäusefalke, ja fast noch träger ist der weils- 
liche Bussard. Wir hatten einen in der Gefangenschaft über an- 
derthalb Jahre: aber während dieser ganzen Zeit bemerkten wir 
keine sehr lebhaften Bewegungen an ihm. Zuweilen flog er an 
das Drahigitter, hing sich an dasselbe und bewegte dabei seine 
„Flügel. Wollte er auf seiner Stange gehen, so geschah es lang- 
sam, und er stellte sich dabei ziemlich unbehülflich. Bei einer 
jungen, aber doch ziemlich erwachsenen Dohle, welche man zu 
ihm in sein Behältnifs that, äufserte er alle Merkmale eines Feig- 
herzigen. Der Hunger trieb ihn au, mehrere Angrifle auf die 
Dohle zu machen, wobei er Flügel und Schwanz ausbreitete und 
schon in einiger Entfernungleinen Anlauf nahm : allein so oft die 
Dohle schrie und sich gegen ihn stellte, blieb er mitten im Laufe 
stehen, stiefs auch dann zuweilen einen Schrei aus und gafte die 
Dohle an, Oft hatte er schon die Klauen auf dem Rücken der- 
selben, zog sie aber sogleich erschrocken zurük, wenn diese’ sich 
veriheidigte, oder zu schreien anfing. Endlich flog er wieder 
auf seine Stange, und sah seine nicht erhaltene Beute wehmüthig 
an. Bei einer solchen Gelegenheit gab es oft komische Auftritte: 
Sein Geschrei, das wie gaank, gaank, gaank, gaank, lau- 
tete, und das er mehreremal nacheinander wiederholte, befs er 
öfters des "Tages über, besonders aber wenn er Hunger hatte, und 
ihm sein Futter gereicht wurde, hören. Als er getödet wurde und 
man ihm zu Leibe ging, gab er ein ähnliches klirrendes Geschrei 
von sich, wie mehrere seiner Gattungsverwandten, Er wurde 
nach und nach so zahm, dafs man in sein Behältnifs gehen und ihn 
‚anfassen durfte. Ungeachtet das Fenster seines Behältnifses ihn 
nicht sehr vor der äufsern Kälte [schüzte; so hielt er doch in dem- 
selben zwei Winter aus, ohne dafs ihm die Kälte etwas schadete, 
Im Sommer irank er auch Wasser und badete sich in demselben, 

Uebrigens hat er in seinen Sitten viel Aehnlichkeit mit dem 
Mäusefalken. Inder Luft macht er mit seinem Weibchen schöne 
Schwenkungen. Sizt er auf emem hohen Baum am Rande der 
VW älder oder auf einem hohen Feldbaum; so Kauert er sich noch 
mehr zusammen, als der Mäusefalke. Seine 


: NAHRUNG. 
hat er wohl auch mit diesem gemein. In der Gefangenschaft 
frafs er Vögel, Mäuse, Ochsenherz, junge Kalzen etc. Von seiner 


FORTPFLANZUNG. 


ist noch nichts bekannt. 
im März 1805, ein Päärchen , 
begaitete. Das junge W. eibchen sieht im ersten Jahr im Ganzen 
dem alten weiblichen Vogel ähnlich; nur sind die gewöhnlichen 
braunen Flecken des Unterleibes auf einem röthlichweilsen Grun- 
de; auch bemerkt man sehon auf dem weifsen und röthlich über- 
laufenen Schwanze die gewölinlichen abgesezten Querbinden, 


NUTZEN, SCHADEN, FEINDE, JAGD UND 
FANG, 


hat er mit dem Mäusefalken gemein. 
Da 


Hr. Dr. Becker in Darmstadt sah 
wie es sich auf einer Rothbuche. 


PATRIE. 


!Cet oiseau habite des bois isolés, surlout ceux qui avoisinent 
les champs. Il existe en Allemagne au pays de Meiningen et nom- 
mement aux environs du village de Juchsen, dans le comté d’ 
Anhalt et aux environs d’ Offenbach. D’ après ce qui nous en 
est connu, il appartient autant aux oiseaux de passage qu’ aux oi- 
seaux fixes. Il file en Septembre et Octobre et revient dans le pays 


.de Meiningen en Fevrier et en Mars dans celui d Anhalt, C’est 


une apparition rare dans plusieurs parties de l Allemagne, com- 
me p. ex. sur le territoire de Nuremberg; on ne le trouve même 
nulle parten grande quantité, 


| QUALITES. 


L’ &merillon est aussi paresseux et presque plus paresseux 
encore que la buse. Nous en avons garde un en.cage plusd’ un 
an et demi et pendant tout ce tems nous n’avons remarqué en lui 
aucune marque de vivacité. Il voloit quelque fois au fil d’ archal 
de sa prison, 3’ y cramponnoit et remuoit alors sesailes.: Vouloit 
il monter sur les échelons, il s’ y prenoit fort lentement et d’une 
manicre trés mal adroite. Ayant placé dans sa cage une jeune 
corneille déjà très avancée, il donna toutes les marques d’ une par- 
faite lâcheté. Tia faim le porta à attaquer plusieurs fois cette cor 
neille, alors il s’ éloïgnoit et prenoit un élan, en déployant les ai- 
les et la queue; mais chaque fois que son adversaire crioit ou pre- 
noit la défensive; ils’ arrêtoit au milieu de sa course, poussoit un 
criet contemploit tranquillement la corneille. Plus d’une fois il 
avoit déjà lancé ses griffes sur son dos, qu'il les retiroit tout à 
coup cfiraié, si celle-ci venoit à crier ou à se défendre. Enfin 
il se retiroit sur son échelon, d’où il regardoit tristement la proie, 
Ces attaques donnoient souvent lieu & des 
Son cri ordinaire et qu'il répétoit plusieurs 


qu’il avoit manquée. 
scenes très comiques. 
fois de suite peut se rendre par les mots gaank, gaank, gaank, 
il le faisoit entendre plusieurs fois dans la journée sur tout quand 
il étoit pressé par la faim, ou qu’on lui apportoit sa nourriture, 
Lors qu'on le saisit pour le tuer, il poussa un cri, qui étoit une 
espèce de chevrotement, semblable à celui de plusieurs autres oi- 
seaux'du même genre. Il étoit devenu insensiblement si familier, 
qu'on ‘pouvoit entrer dans sa prison et le prendre avec la main, 
Quoiqu'il fut en cet endroit fort peu garanti du froid extérieur, 
il y résista cependant deux hyvers entiers, sans en éprouver au- 
eune incommodité. ÆEnrété il buyoit aussi de l’eau et s’ y baignoit. 

Au reste les habitudes de I’ emerillon ont une grande affinité 
En compagnie de sa femelle il se balance 
Quand il est perché sur un 
arbre élevé au bord d’un bois ou dans un champ, il se tapit en- 
core davantage que la buse. Sa 


NOURRITURE. 


lui est aussi commune avec cet oiseau. Dans la captivité, il 
mange des oiseaux, des souris, du coeur de boeuf, de jeunes 


avec celles de la buse. 
et tournoye avec grace dans les airs. 


chats etc: 


PROPAGATION. 


Cette circonstance de sa vie est encore inconnue. Le Docteur 
Decker de Darmstadt en a observé une paire qui s’ accouploit 
sur un fau, en Mars 1805. La femelle dans sa première année 
ressemble entièrement à la femelle qui a vieilli; excepté que les 
tâches brunes ordinaires du bas ventre sont sur un fond rougeätre 
et lon commence aussi à appercevoir sur la queue, qui commence 
à prendre une teinte rouge et blanche, les bandes transversales 
coupées qui lui sont ordinaires. | 


UTILITE, DOMMAGE, ENNEMIS, MANIERE 
DE LE CHASSER. 


Tout cela lui est commun avec la buse, 


=“ 


VERSCHIEDENHEITEN. 


Nicht nur in Rüksicht des verschiedenen Geschlechts, son- 
dern auch in Rüksicht eines und desselben Geschlechts und des 
Alters finden sich mehrere Abweichungen. Es gibt Männchen und 
Weibchen: 

a) mit ganz rein weifsem Kopfe und Unterleibe ; 

Weibchen: 

b) mitroströthlichem Unterleibe; bei zunehmendem Alter wird 

er überhaupt immer weilser. | 
Weibchen: 

c) mit weilsem Unterleibe und einzelnen braunen Längsfle- 
cken auf dem Unterhalse; meist weilsen Flügeldekfedern und 
Schulterfedern, die mit mehrern grofsen braunen Decken verse- 
hen sind. ’ 
d) mit roströthlichem Unterleibe und an den Seiten des Un- 
terhalses und der Brust mit braunen herz - und rautenförmigen 
Flecken und an den Hosen mit schwachen, rostrotheny schmalen 
Querflecken bezeichnet; 


e) mit einem breiten, braunen, von der braunen Farbe des 
Nackens abgesonderten Streilen, der von der Wurzel des Unter-_ 


schnabels an den Seiten. des Halses etwas herab läuft; 

f) mit einem Schwanze, dessen zwei oder drei mittlere Fe- 
dern fast ganz weils, und nur gegen das Ende hin dunkler werden, 

Der Augensternist (nach der 'Teutschen Ornithologie ) in zar- 
ter Jugend gelblich, und nimmt mit zunehmenden Jahren eine schö- 
ne gelbe Farbe an. Das Weibchen], welches wir lebendig besa- 
fsen, hatte und behielt seine weilsgrauen Augensterne bis an sein 
Ende. Naumann gibt den Augenstern hellgrau und silberweifs an, 
Unsere Abbildung hat einen bräunlichen Augenstern. 


Vergleichung des weifslichen Bussards mit dem Mäusefalken F.. 
buteo nach der Teutschen Ornithologie. 
Falco albidus. Falco buteo. 

Die Wachshaut ist eben und etwaserhaben oder buckcligund 
glatt, hellgelb; besonders bei Alten ins Oran- 
gefarbene spielend; 

als bei diesen. 

hier sind sie dicker und die Far- 


\ 


Kopf klein und nett; (?) -- 
der Kôrperist uberhaupt kleiner 
die Füfse sind schmächtig und be nähert sich dem Orangegel- 
von: Farbe hellgelb. ben. | 

Die Querbänder des Schwanzes sind (nach der 'Feutschen 
Ornithologie, aus welcher diese Vergleichung genommen ist, die 
wir, aber nichtin allen Punkten unterschreiben,) am Schafte bei 
allen Exemplaren, ihr Alter mag auch noch so ver- 
schieden sein als es wolle, abgesezt. 

Wir vergliechen. sieben Exemplare des E. buteo in Rüksicht 
auf den: Schwanz mit F. albidus, und fanden folgendes: 

Der Schaft des erstern ist dem gröfsten 'Uheile nach weißs, und 
nur etwa. die zwei, seltener die drei lezten dunkelbraunen Bänder 
firbten auch den Schaft braun, und liefen übrigens auf der andern 
Fahne in derselben Richtung fort. Bei F. albidus ist der Schaft 
ganz weils (aber auch nicht bei allen Exemplaren!) auch da, wo 
die lezten Bänder in die Quere laufen; und in so fern weicht er 
also von.F. buteo ab. Eine andere Abweichung ist diese,- dals bei 
lezterem die Bänder weit deutlicher und bestimmter, auch. ihrer 
mehr sind, als bei F. albidus. 

Zur Vergleichung seizen wir noch die Beschreibung eines F, 
buteo her, welcher darin mit F. albidus übereinsimmt, dafs er 
ebenfalls zwei herschende Farben, nämlich Weits und helles Braun 
wie F. albidus hat. 

Kinn und Kehle rein weifs, an den Seiten der erstern 
von der Wurzel des Unterschnabels an mehrere braune schmale 
Längsflecken auf weifsem Grunde; daher ein brauner ar 
fen entsteht" Unterhals und Brust reinweifs, an den Sei- 
ten des erstern mehrere grofse, ei- oder herzförmige, hellbraune 


VARIÉTÉS. 


Elles sont non seulement produites par l’âge, mais elles se 
trouvent dans des individus du même âge et du même sexe. Par 
exemple il y a des mâles et des femelles ; qui ont | 

a) la tête et le bas ventre d’ un blanc net. 

Des femelles 

b) dont le bas ventre est rouge de rouille, qui blanchit, à 
mesure qu’elles vieillissent. 

= Des femelles, 

c) qui ont le bas ventre blanc et des tâches longitudinales ; 
isolées, brunes au bas du col, les plumes des épaules et les cou- 
vertures des ailes, ordinairement blanches, marquées de plusieurs 
grosses tâches brunes, 

d) D’ autres qui ont le bas ventre rouge de rouille, avec des 
tâches brunes, en forme de coeur et de lozange aux deux côtés du 
col inférieur et de la poitrine et les culottes barrées de bandes trans- 
versales, étroites, d’un rouge de rouille pâle, 

e) Item avec une rayure large et brune, mais distincte du 
brun de la nuque, et qui descend légérement de la base de la man- 
dibule inférieure vers les deux côtés du col. 

f) Item avec les deux ou trois plumes du milieu de la queue 
presqu’ entierement blanches et prenant seulement une couleur 
plus foncée vers leurs extrémités. 

Suivant  Ornithologie Allemande l iris du jeune âge est jau- 
nâtre et devient d’un beau jaune avec l âge. La femelle que nous 
poss@dämes vivante avoit l'iris gris blanc et la conserva telle jusqu? 
à sa fin. Naumann lui donne une iris gris clair et blanc d’argent 
et la figure que nous livrons ici a l'iris brunätre, 


Comparison de P’Emerillon avec la buse, F. Buteo, suivant 
lornythologie allemande. 
Falco albidus. Falco buteo. 
Le céra uni et poli. un peu rebondi et tirant sur Fo— 
rangé,sur out dans la yieiliesse. 
La tete petite et bien faite (?) 


Le corps généralement plus pe- que celui du buteo,. 


tit, 
Les tarses menus et d’un jau- Ceux-ci sont plus gros et la 
ne clair. couleur approche de lorangé. 


Suivant Pornithologie allemande, d’où nous avons tiré cette: 
description; mais que nous n’approuyons pas en tous ses points, les 
bandes transversales sont interrompues à latige,dans tous 
les individus, quelle que soit la difference de l’âge, 

Quant à la queue nous avons comparé 7 exemplaires du F. 
Buteo avec le F. albidus; en voici le résultat. 

La plus grande partie de la tige du premier est blanche, il n’y 
a que les deux et rarement les trois dernières bandes brun foncé, 
qui la brunissent aussi; du reste les bandes s’ étendent de l’autre 
côté de la barbe , dans le même ordre que sur la première. Dans 
le F. albidus la tige est tout à fait blanche ( mais non plus sans 
quelques exceptions!) même là où les dernières bandes la cotoyent 
et c’est en cela qu'il diffère du F, buteo. Une autre difference, 
c’est que les bandes, dans ce dernier oiseau sont d’un ton plus 
tranchant et plus décidé et en plus grand nombre que dans le F 
albidus. 

Pour comparaison ultérieure nous offrons ici la description 
d’un autre F. buteo, qui s accorde avec le F. albidus, en ce qu'il 
a comme lui deux couleurs dominantes, savoir le blanc et le brun 
clair. | 

Le mentonetla gorge sont d'un blanc net; aux deux 
côtés du premier, depuis la base de la mandibule inférieurefplusieurs 
tâches longitudinales, étroites, brunes sur un fond blanc, ce qui 
produit une rayure brune. Le bas du col et la poitri- 
ne d'un blanc net, et aux deux côtés du premier plusieurs gros- 


= in 


“ 


Flecken; an den Seiten der Brust einzelne kleine herzförmige brau- 
ne Flecken und Striche; Bauch weifs mit einzelnen herzförmi= 
gen, kleinen, braunen Flecken; die Seiten desselben hellbraun, 
mit mehrern weilsen Flecken; die untern Dekfedern des 
Schwanzes weifs ; Schenkel (Hosen) weils, mit kleinen, 
nicht sehr häufigen, braunen Flecken und Punkten ; Scheitel und 
Oberhals hellbraun, auf lezterm mit breiten, auf ersterm mit schma- 
len, weilsen Federrändern ; (eigentlich sind diese Federn weifs, 
und haben nur in der Mitte einen breiten braunen Längsflecken;) 
Rücken und Dekfedern der Flügel hellbraun , mit vielen weilsen 
Flecken; Schwanz mit einer weilsen Spitze; die braunen Bänder 
auf demselben sind deutlich und bis zum weifsen Schaft lau= 
fend, aber mehrere, besonders auf den mittlern Fe- 
dern, sind so, dafs sie nicht in gleicher Richtung 
fortlaufen, sondern dafs die eine Hälfte des Bandes 
auf der schmalen Fahne tiefer unten als die andere 
Hälfte desselben jenseits des Schaftes auf der brei- 
ten Fahne steht. Der junge hier abgebildete und aus dem Ne- 
ste aufgezogene À. Buteo hat auf den beiden mittlern Schwanzfe- 
dern Bänder, welche ebeu so wie die erst genannten am Schalte 
abgesezt, aber ‘doch alle durch eine breite Verbindungshinie, die 
längs dem Schafte herunter läuft und einen Zikzak bildet, mit ein- 
ander verbunden sind. Bei den übrigen Schwanzfedern ist dies 
bald mehr, bald weniger der Fall. Hätte der Schwanz des vorlez- 
tern Vogels noch ein dem weifslichen Bussard zugehôriges Merk- 
mal mehr; so wurden wir sagen, dals dieser F. Buteo den Ueber- 
gangzu F. albidus macht; und dafs lezterer weiter nichts als ein 
alter F. Buteo ist, Diese Muthmassung erhält noch mehr Wahr- 
scheinlichkeit, wenn man den eben beschriebenen F\, Butco gegen 
das abgebildete Weibchen in der Teutschen Ornithologie hält. Der 
Schaft bei diesem ist da, wo die zwei lezter Bänder in die Quere 


laufen, ebenfalls dunkel. Ferner, sollten nicht selbst die herz- 


förmigen oder pfeiliörmigen restrothen und braunen Flecken an 
den Seiten des Unterleibes und auf den Hosen in der eben ge- 
warnten Abbildung auf die Stammältern des F, albidus hinweisen? 
FT, Buleo hat ebenfalls an den gleichnamigen Theilen solche Fle- 
eken; nur sind sie bier braun. Ist es unwahrscheinlich, dafs die 
braune Farbe im Alter ins Rostrothe sich umwandelt? Endlich ist 
die weilse Farbe ja auch ein Zeichen der Ausartung und des ho- 
hen Alters! doch, wenn sich gegen dieses alles noch Einwen- 
dungen machen lassen, so mögen hier noch folgende Thatsachen 
einen Plaz finden: 

Wir erhielten 1799. im Julius von dem Hrn. Hofrath Langs- 
dorf in Salzhausen bei Nidda einen F. albidus aus einem Neste des 
F. Buico. In diesem befanden sich drei Junge. Zwei davon hat- 
ten die gewöhnliche Zeichnung des F. Buteo, und sahen wie ihre 
Aeltern, die bei dem Neste geschossen wurden, aus. Der dritte 
war der eben genannte F. albidus, welchen wir ebenfalls lebendig 
erhielien. Sein Gesehrei glich dem des I. Buteo, und seine Au- 
gen blieben grau bis an sein Ende, 'nur daß sie zulezt ins Gelbe 
spielien. Ein anderes Weibchen erhielten wir gleichfalls aus dem 
Neste eines F, Buteo. Es, waren zwei Junge in: deniselben. Das ei- 
ne hatte die gewöhnliche l'arbe des jungen F', Buteo, das andere 
war der sogenannte F. albidus. Er lebte auch eine zeitlang, in der 
Gefangenschaft. 

Die Zukunft wird entscheiden, ob unsere Behauptungen durch 


Erfahrungen aus der Natur bestätiget werden. 


Rrrr 


ses tâches brun clair, ovales ou en forme de coeur; aux deux cô+ 
tés de la poitrine de petites tâches et rayes isolées, brunes et aussi 
en forme de coeur. Le ventre blanc avec de petites tâches 
brunes, détachées et formées en coeur; les côtés brun clair avec 
plusieurs taches blanches. Les couvertures inférieures de 
la queue blañches; les culottes blanches, avec de pe- 
tites tâches et points rares de couleur brune. Le sommet de la 
tete et le haut du col brun clair avec lisérés blancs, étroits sur la 
première de ces parties, et larges sur la seconde. (Ces plumes sont 
proprement blanches et ont seulement au milieu une large tache 
brune en longueur. ) Le manteau et les couvertures des plumes 
des ailes brun clair, avec beaucoup de taches blanches. La queue 
est terminée de blanc; les bandes brunes en sont distinctes et 
prolongées jusqu’ à la tige blanche; mais plusieurs, surtout 
celles des plumes du milieu ne vont pas dans la mê- 
me direction, e’est-à— dire la moitié de la bande du 
côté étroit de la barbe descend plus bas que l’autre 
moitié qui est de l'autre côté de la tige, sur le côté 
large de la barbe. Le jeune F. Buteo représenté ici et qui a 
été élevé hors du nid offre, sur les deux plumes du milieu de la 
queue des bandes, qui comme celles décrites ci-dessus sont inter- 
rompues par la tige, mais cepeudant rattachées pour ainsi dire par 
une large ligne de communication, qui descend en forme de zigsae 
le long de la tige. 

plumes de la queue. 
un caractère de plus, parmi ceux qui appartiennent al’ émerillon, 
nous dirions que ce F', buteo sert de transition au F. albidus et que 
ce dernier n’est autre chose qu’un vieux F. buteo. Cette presom- 
tion acquiert encore plus de vraisemblance, si l’on compare le F, 


ll en est plus ou moins de même des autres 
Si la queue de lavant-dermier eiseau ofroit 


buteo ci-dessus décrit, avec la femelle figurée dans l ornithologie 
germanique. La tige dans celle-ci se rembrunit également à len- 
droit où les deux dernières bandes la traversent. D” ailleurs les 
aches rouge de romille et brunes en formes de ceour ou de fleches, 
qui ornent les côtés du bas ventre et les culottes, dans la figure que 
nous venons de citer, ne devroient-elles pas rappeler Porigine du 
FE. albidus ? Le F, buteo offre aux mêmes parties du corps des tà- 
ches semblables, excepié qu’elles sont brunes. Seroit-il invrai- 
semblable que la couleur brune se/changeät en ronge de rouille dans 
la vicillesse?: Enfin le blanc est il un signe de dégénération ou d’un 
âge avancé? ‘Toute fois si tout ce que nous venons de dire étoit 
susceptible d’objeclions, qu’on nous permette de rapporter les faits 
qui suivent. 


En Juillet 1799. nous recumes de Mr. le Conseiller auliqué 
Langsdorf de Salzhausen près Nidda un F. albidus, pris dans un 
nid de F. buteo. Il s’y trouvoit 5 jeunes. Deux portoient la livrée 
ordinaire du F. buteo et ressembloient à leurs père et mère, qui fu- 
renttués pres dunid. Lee étoit le F. albidus ci-dessus, que nous 
recumes vivant. Son cri ressembloit à celui du F. buteo et ses yeux 
resterent gris jusqu” à sa mort, si mon que vers la fin ils tiroient un 


peu sur le jaune. Nous reçumes dans la suite une autre femelle, 


également prise dans le nid d'un F. buteo. Il renfermoit deux jeu- 
nes, dont Fun avoit la couleur ordinaire du jeune F. buteo et L au- 
tre étoit le soi-disant F. albidus. Il vecut quelque iems dans la 
captivité. 


C’est au tems à décider de la valeur de nos assertions, par des 
expériences tirées de la nature, 


DIE GRAUE GRASMÜKE. 


Rothflügelige Grasmücke. Heckenschmatzer. Grasemütsche, Dorn- 
schmätzer. Dornschmaz. Braune Grasmücke. Grasnrükfohle, Waldsänger. 
‚Sylvia cinerea. Bechst. Fahler Säuger. Ornith. Taschenb. T. Th. 8. 170. ur. 6, 
Dessen gemeinnützige Naturgesch, B. IV. 8. 559. Taf. 15. erste Ausg. 
Motacilla sylvia. Lin. syst. nat. 1° I. p 330. nr. g. 
Motacilla sylvia. Gmel. Lin. syst. nat. ©, I. P. IT. p. 956. 
La Fauvette grise on Griscite. Buffon, 
The White- Throat. Pennant. 
The Babling Warbler, Latham, 


KENNZEICHEN DER ART. 


De Oberleib röthlich aschgrau; die grofsen Flügeldekfedern und 
Schwungfedern rosifarbig gerandet; der Unterleib weifslich,; die 
erste Schwanzfeder mit einem grofsen, weifsen, keilförmigen Flek, 
die folgende mit einem kleinern, und die dritte mit einer weilsen 
Spitze. 


BESCHREIBUNG. 


Oberschnabel schwärzlich, an der Spitze gekerbt und aus- 
geschweift; Unterschnabel weilslich, gegen die Spitze schwärzlich; 
am Grunde des Oberschnabels stehen vier abwärts gerichtete, steife, 

chwarze Borsten; der Augenstern umbrabraun; Sürn grauweifs 
8 Borsten; der Augenst brabraun; Sturm g fs, 
Scheitel, Ohr - und Angengegend grau, schwach rosibräunlich 
überlaufen; derganzeltücken graulich rostbraun; die kleinen Dek- 
laufen; derg Riücken graulich rostbraun; die kleinen D 
‚dern der Fliigel braun, aschgrau gerandet; die grofsen schwarz- 
edern der Flügel b , aschgrau gerandet; die groi hwarz 
raun, mit einem breiten rostfarbisen Rande; die langen Ruder- 
2 \ & 8 
federn schwarzbraun , schmal rostfarbig gerandet; die der zwei- 
ten Ordnung schwarzbraun und breit rostfarbig gerandet; die 
Schwanzfedern schwarzbraun, mit einem feinen rostlarbigen Ran- 
de; die äufsersie mit einem weilsen grofsen keilförmigen Flek; die 
zweite an der Spitze weilslich; die dritte nur mit einer kleinen 
weilsen Spitze ; die beiden mittelsten sind am dunkelsten gefärbt; 
Kinn, Kehle und Brust weils, ins Rosenröthliche spielend; an den 
Seiten des Bauches ins Bräunliche übergehend; der Bauch weils; 
die After- und untere Schwanzdekfedern weils, rosenröthlich über- 
1 


laufen. Fülse bräunlich fleischfarbig; die Zehen dunkler. 


Die Flügelspitzen sind von der Schwanzspitze ». Zoll ent- 


fernt. 


Länge 52 Zoll; Breite 8} Zoll. Pariser Mafs. 


‚»Dem Weibchen fehli das Rosenröthliche auf dem Unterhalse, 
und die Füfse sind blaf fleischrôthlich; Zehen und die sogenann- 
ten Schienbeine sind -einfürbig. 


AUFENTHALT. 


Die graue Grasmücke hält sich in ganz Europa auf. Man 
findet sie in Schweden, in Rufsland, in der Schweiz, und in 
Deutschland ist sie allenthalben anzutreflen. Sie ist in lezterm Lan- 
de ein Zugvogel, der in der Mitte des Aprils ankommt, und in der 
lezten Hälfte des Septembers, oder wenn fortdaurende schöne 
Witterung ist, im Anfang des Oktobers, wieder wegzicht. Sie 
lebt bei'uns in Hecken, Büschen, in Feldhölzern und Gärten, 
die am Wege liegen und in dicken Holzschlägen. 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie ist ein lebhafter und frölicher Vogel. Gewöhnlich sizt 
sie auf einem hohen Zweige eines Gebüsches und singt ihren an- 


LA FAUVETTE GRISE OU GRISETTE. 


Die graue Grasmücke. Heckenschmatzer. 


Dornschmaz, Braune Grasmücke. Cras- 


Rothflügeliche Grasmücke, 

Grasemülsche. Doruschmätzer. 

murkfohle. \Yaldsänger, 

Sylvia einerea, Bechst, Fahler Sänger. Ornith. Taschenb. 1. Th.'S. 170. nr. 
6. Dessen gemeinnützige Nalurgesch. B. IV. S. 558. 'Faf, 15. exrfte Ausg, 

Matacilla sylvia. Lin. syst. nat. T'. 1. p. 330. nr. 9. 


Alotacilla sylvia. Gmel. Linn. syst. nat, T. IL. PL p- 956. 


! La fauvelie grise on grisetle. Bullon. 


The while throët. Pennant. 
The babling warkler, Latham, 


CARACTERES SPÉCIFIQUES, 


Ir partie supérieure du corps gris de cendre rougeätre; les gran- 
des couvertures ef les pennes des ailes avec bordures rouges de 
rouille ; le dessous du corps blanchätre. La premiere plume de 
la queue, marquée d’une grande tache blanche en forme de coin, 
la suivante ayant une tache plus petite et la troisième l extrémité 


blanche. | - 
- DESCRIPTION, 


La mandibule supérieure noirâtre, la pointe évidée et armée 
d’un cran; la mandibule inférieure blanchätre, puis noirätre vers 
la pointe, à la base de la mandibule supérieure quatre poils roi- 
des, noirs, dirigés en bas. L'iris couleur de terre d'ombre; le 
front gris blanc; le sommet de la icte et les environs des oreilles 
et des yeux gris, foiblement nuancé de brun de rouille. "out le 
manteau grisälre tirant sur le brun de rouille; les petites couver- 
tures des ailes brunes, lisérées de gris de cendre, les grandes noir 
brunätre, avec une large bordure couleur de rouille. Les longues 
plumes dirigeantes des ailes noir brun avec liséré étroit aussi cou- 
leur de rouille ; celles du second rang noir brun et large bordure 
couleur de rouille. Les plumes de la queue brun noir, avec une 
fine bordure aussi de rouille; la dernière marquée d’une grande 
tache blanche en forme de coin; la seconde à pointe blanchätre et 
la troisième avec une pelite pointe blanche; les deux du milieu 
ont la couleur la plus foncée. Le menton, la gorge et la poilrine 
blanches, tirant sur la couleur de rose et brunissant vers les deux 
côtés du ventre, Le ventre blanc; le siernum et les couvertures 
inférieures de la queue blanches, avec chatoiement couleur dero- 
se. Les pieds couleur de chair brunâtre, les doigts plus foncés. 

Il y a un pouce de distance entre les pointes des ailes et cel- 
les de la queue. 

Longueur 5 pouces ?, Envergure 8 p. 3. mesure de Paris. 

La femelle n’a point le bas du col nuancé de couleur de rose 
et ses pieds sont couleur de chair pâle. Les doigis et les tarses 
de ia même couleur, 


PATRIFE = 


La fauvette grise a l’Europe entiere pour patrie. On la trou- 
ve en Suede, en Russie, en Suisse et dans toutes les parties de 
P Allemagne. 
qui arrive au milieu d’ Avril et qui file dans les derniers quinze 


Pour ce dernier pays c’est un oiseau de passage, 


jours de Septembre on si le beau tems se prolonge, au commen- 
cement d’ Octobre. Elle se tient sur les hayes, les buissons, dans 
les bois qui avoisinent les champs, dans les jardins qui bordent 
les chemins el dans les taillis épais. 


QUALITES. 


- C’est un oiseau plein de vivacité et degaite. Il est ordinai- - 
rement perché sur le rameau élevé d’un buisson, où il siflle sa 


[0 


genehmen Gesang, der anfangs ganz leise ist, endlich aber in ein 
kurzes und lautes, kreischendes Forte ausbricht , bei welchem sie 
sich eine Strecke in die Höhe schwingt, einen kleinen Bogen 
macht, dann, wenn sie ausgesungen hat, wieder herunter auf ih- 
ren Busch fällt. Ihre Lokstimme lautet wie tzä, tzä. Auch hört 
man Öfters, wenn sie in der Hecke herum schlüpft: wät, wät, 
Nähert man sich ihrem Neste , oder ist sie sonst in 
Furcht oder Betrübnifs, so läfst sie ein gedehntes gäh, hören, 
wobei sie die Kopfledern in die Höhe hebt und langsam und trau- 
rigim Dickicht der Hecke nach dem Boden herunter hüpft. Sie 
läfst sich zwar leicht zähmen, besonders wenn sie jung ist: allein 


wät, wat. 


sie „dauert im Zimmer nicht lange, höchstens zwei bis drei Jahre 
aus. Am besten hält sie sich noch, wenn ihr im Sommer rothe 
Hollunderbeeren (Sambucus racemosa) und im Winter aufgequellte 
schwarze Hollunderbeeren (Samb. nigra), nebst dem Nachtigal- 


lenfutler gegeben wird. 
NAHRUNG. 


Sie frifst allerlei Fliegen, Käfer, ihre Larven und Räup- 
chen, und wenn diese nicht mehr zu haben sind, Hollunder - 
und Johannisbeeren. k 


FORTPFLANZUNG. 


Das Nest, welches sie aus Grashalmen und Moos zusammen 
flicht und inwendig mit wenigen Rofshaaren ausfüttert, bringt 
sie in die dichten Stellen der Schlehen — oder Weifsdornbüsche, 
auch zuweilen in hohem Grase an, welches um das Gebüsch ge- 
wachsen ist, oder auch zwischen entblôfste Wurzeln an Gräben 
Das Weibchen legt des Jahrs nur einmal, selten zweimal, 
und jedesmal vier bis finf eiförmige, schmutzigweifse, mit röth- 
liehen und braunrothen Punkten und Strichen bezeichnete Eier, 
weiche beide Gatten in 14. Tagen wechselsweise ausbrüten. Die 
Jungen, werden mit Spinnen, Fliegen und andern kleinen Insek- 


an. 


ten gefüttert. 
NUTZEN: 
stiflet sie dadurch, dafs sie viele schädliche Insekten weg- 
frifst, und durch ihren Gesang den Menschen Vergnügen macht. 


Ihr Fleisch ist zwar schmakhaft: allein es wäre Schade, wenn 
man ein übrigens so unschuldiges Vögelchen, das gar keinen 


SCHADEN 
bringt, seinem Gaumen aufopfern wollte. 
FEINDE 


hates an den Füchsen, Ratten, Raben, Elstern und Sper- 
bern, die seinen Eiern und Jungen nachstellen. Der Kukuk gibt 
ihr auch zuweilen ein Junges zu erziehen, und zerstört dann ihre 


eignen Jungen. 
JAGD UND FANG. 


Man fängt sie mit Leimruthen und Sprenkeln. 


x 


VERSCHIEDENHEIT. 


Sylvia einerea maculata. Nobis. Die gefleckte graue Gras- 
mücke. Meisners systematisches Verzeichnifs der Schweizer Vö- 
gel. S. 28 u. 29. Nr. 106. 


Ssss 


sure 


17 


jolie chansonnette. C’est en commençant un doux et lent adagio, 
qui devient peu à jei un allégro forte bref, éclatant, durant le 
quel il s’ éleve à une certaine hauteur, décrit un petit demi- cer- 
cle, et quand il a cessé de chanter, retombe sur son buisson, Son 
appel produit le son de tzai, za. Quand il parcourt les coins 
et les recoins d’une haye, on l'entend souvent crier vait > vait, 
vait, vait. Si l’on approche de son nid ou sil a quelqu’ autre 
sujet de crainte ou de chagrin, il pousse le cri plaintif et prolon- 
ge de gaih, ses plumes se dressent sur sa tête.et il se retire len-. 
tement et tristement au fond de la haye ou du buisson. La fau- 
vette s’apprivoise facilement, surtout dans le jeune äge,-mais elle 
ne vit pas longtems en chambre et dure tout au plus2 ou 3 ans, 
Pour la conserver long tems, il faut lui donner en été des grai- 
nes du’ sureau A grapes (Sambucus racemosa) ef en hyver la grai- 
ne noire du sureau trempée ( Sambucus nigra ) outre la nourri- 


ture ordinaire, qu'on donne au rossignol. 
NOURRITURE. 


Elle mange toutes sortes de mouches, des scarabées, des che- 
nilles et leurs chrysalides et quand celles-ci manquent, des grai- 
nes de sureau et des groseilles rouges, 


PROPAGATION. 


Son nid est composé de brins d’herbe et de mousse et garni 
intérieurement de quelques crins de cheval. Elle l’etablit dans le 
plus épais des buissons d’aubépine blanche et de prunellier, quel- 
que fois aussi dans l’herbe haute qui croit autour de ces buissons 


La 


femelle ne pond qu une fois, rarement, deux fois l année, quatre 


ou bien dans des fossés à sec sur des racines découvertes. 


à 5 oeufs ovals, d’un blanc sale, marqués de points et de traits 
rougeätres et rouge brun. Le mâle et la femelle couvent tour à 
tour, pendant quinze jours. 


gnées, de mouches et d’autres petits insectes, Son, 


Îls nourrissent leurs jeunes d’ arai-. 


UTILITÉ 


est sensible par la quantité d’insectes nuisibles qu’elle dévore 
et par l’agrément de son chant. Sa chair est à la vérité de bon 
goût, mais il y auroit de la cruauté à sacrifier un petit animal in 
nocent e. agréable, qui ne nous apporte aucun 


DOMMAGE, 


au plaisir de satisfaire sa sensualité. Ses 


ENNEMIS 


sont les renards, les rats, les corbeaux, les pies et les éper- 
viers , qui sont avides de ses oeufs et de scs jeunes. Le coucou 
lui donne aussi quelque fois un jeune à élever et alors il détruit 
les jeunes mêmes de la fauvette, 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 


On les attrape aux vergettes ou au cerceau. 


| VARIETES. 
Sylvia cinerea maculata, Nobis. Die gefleckte graue Grasmü- 
cke. Meisner’s systematisches Verzeichnis der Schweizer Vögel. 


S. 28. et 29. No. 106, 


DIE STEINKRAHE. 


Alpenrabe. Waldrapp. Steinrapp. Eremit. Schweizerkrähe. Fener- 
rabe. Klausrapp (in Steiermark) Meerrappe (in Lothringen und bei dem 
Pfaffyersee. ) 

Corvus Craculus. Lin, syft. nat. I. p. 158. n. 18, 

Corvus Eremita, Lin. I. 1. p. 377. n. 19. 

Corvus Graculus. Gmel. Lin. syst. nat. 

Corvus sylvaticus. Gesners Thierbuch. CXCIX. 

Graculi tertium genus. Gesn. av. 522. 

Coracias. Aldrow. orn. I. p- 766. t. 768. 

Coracias s. Pyrrhocorax. Will orn. 86. £. ı9. 

Corvus Coracias. Läpeirouse, Schwed. Abhandli3. Band S. 104, 
Moncdula Pyrrhocorax. Hasselquist. It. p. 238, n. 19. 

Gracula Pyrrhocorax. Scop. ann. I. p. 4a. n. 46. 

Corvus docilis. S. G. Gmelins Reise. II. 365. Taf. 39. 

Le Coracias. Briss. orn. Il. p. 3. t. 1. f.1. 

Le Coracias. Buff. ois. III. p. t. t. 1. Pl. enlum. 255, 

Cornish. Chough. Raii Syn. p. 40. A. 6. 

Red-Legged Crow. Br. Zool. I. Nr. 80. 

‚Wood Crow from Switzerland. Albin. II. t. 16. 

Le sonneur. Buff. oïs. III. p. 9. 

Gessner’s Wood Crow. Wäll. orn. p. 396, 

Die Steinkrähe. Bechst. gem. Naturg. B. 2. 8. 1239. Nr. 7. Zweite Auflage. 
Dessen Ornith, Taschenbuch. Th, S. g1. Nr, 6. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Schwarz; mit stahlblauem Glanze ; Schnabel länger als der Kopf, 


zusammengedrükt, gebogen, und wie die Füfse vogelbeerroth. 
BESCHREIBUNG, 


Der Schnabel ist 14 Zoll lang, messerförmig gebogen, an den 
Seiten zusammengedrükt, abgerundet und schön vogelbeerroth, der 
Ober schnabel etwas länger als der Unterschnabel, die Spitze zu- 
gerundet; die Seitenkannten stumpf; der Schnabel innwendig so 
roth wie aufsen, nach vorff beinahe gar nicht vertieft, fast wie 
beim Wiedehopf; oben und unten nach der Länge einen Kiel, die 
Zunge kurz, und nur bis zur Hälfte des Schnabels reichend, flach 
rinnenförmig, vorn lief zweitheilig gespalten, fast überall gleich- 
breit, hornarlig, sehr dünn und durchsichtig, safrangelb; die ei- 
gentliche Zunge, d. h, der nicht hornartige 'Theil, ist nur 4 Linien 
lang, der vordere liornartige 6 Linien lang; die Nasenlöcherrund- 
lich ; mit vorwärts dicht auf einander liegenden gebogenen , ab- 
gestuzten, sieifen schwarzen Borsienfedern bedekt, am Kinne ste- 
hen ebenfalls Borsten. 

Der Kopf, Hals, Ober - und Unterleib schwarz , stahlblau 
glänzend‘; Plügel und Schwanz schwarz, grünschillernd ; die un- 
tern Flügeldekiedern sind schwarz, mit einem stahlblauen Schil- 
ler; die Füfse sind roth wie der Schnabel; die sogenannten Schien- 
beine haben keine! Schuppen; die Nägel sind gekrümmt, stumpf, 


hellschwarz. 


Die Flügelspitzen gehen einen Zoll weit über die Schwanz- 


spitze hinaus. 2 


Länge 16 Zoll; Breite 2 Fufs 83 Zoll; Schienbeine lang; die 


Mittelzehe 12 Zoll lang, die Hinterzehe 1 Zoll lang. 
Ein Unterschied zwischen Männchen und Weïbehen ist nicht 


bekannt, | 
AUFENTHALT. 


Die Steinkrähe lebt vorzüglich in Bündten und Lausanne; ver-= 
breitet sich aber auch nach der Insel Candia, Egypten, Persien, 
Italien, Lothringen und in die Tyroler, Steiermärkischen, Kärnth- 
ner, Bayerschen und andere deutsche Gebirge, wie z. D. nach 


LE SONNEUR OU LE CORACIAS, 


Die Steinkrähe. Alpenrabe. Waldrapp. Stcinrapp. Eremit. Schwei- 
zerkrähe. Feuerrabe. Klausrapp. (dans la Styrie) Mecrrappe (eu Lor- 
raine et près du lac de Pfafyer. - 

Corvus Gracnlus. Lin. syst. nat, I. p. 158. n. 18. 

Corvus Eremita. Lan. I. 1. p. 377. n. 19: 

Corvus Graculus. Gmel: Lin. syst. nat. 

Corvus sylvatieus. Gessner Thierbuch CXCIX. 

Graculi terlium genus. Gesn. av. 522. — 
Coracias. Aldrov. orn. I. p. 766. t. 768. 

Coracias. s. Pyrrhocorax Will. orn. 86. f. 19. 

Corvusicoracias. La Peirouse, Schwed, Abhandl. 3. Band S, 104, 
Monedula Pyrrhocorax. Hasselquist. It, p. 238. n. 19. 

Graeula Pyrrhoeorax. Scop. ann. I. p. 42, n. 46. 

Corvus docilis. S. G. Gmelins Reise III. 365. Taf. 39: 

Le Coracias. Briss. orn. II. p. 3. t. 1. f. 1. 

Le Coracias. Buff. Ois. III. p. t. t. 1. pl. exlum. 255. 

Cornish chongh. Raii Syn. p. 40. t. 6. 

Red-lesged Crow. Br. Zool. I. Nr. 80. 

Wood crow from Switzerland. Albin. IH. t. 16, 

Le Sonneur. Buff. ois. III. p. 9. 

Gessners wood erow. Will, orn, p. 396. 

Die Steinkrähe. Bechst. gem: naturg. B. 2.8, 1239. n, 7. 2le Aufl, 
Dessen ornith. Taschenb. Th. S. gı. nr. 6. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


4 
\ 2 « KR 43 à 
N oir, lustré de bleu d’acier; le bec plus long que la tete, écrasé 

’ D E Le] q ? 2 
courbé, et rouge de sorbe ainsi que les pieds. 


DESCRIPTION. 


Le bec a 1£ pouces de long, courbé en forme de couteau; 
écrasé sur les côtés, arrondi et d’un beau rouge-de sorbe. La 
mandibule supérieure un peu plus longue que Pinferieure, la poin- 
te arrondie, les bords extérieurs obtus. Le bec aussi rouge en 
dedans qu'en dehors, point du tout évidé en avant, comme dans 


la huppe. En haul.et en bas une plume perpendiculairement pla- 


cée dans sa longueur; la langue courte et n° atteignant que la moi- 
te du bec, unie en forme de couiow, et profondément fendue 
en deux sur le devant, d’une largeur presque {out à fait égale, très 
mince, transparente et comme d’une matière cornée. La langue 
proprement dite, c’ est à dire la partie non cornée n’a que 4 lignes 
de long, la cornée qui devance LP autre a 6 lignes de longueur. Les 
narines à peu pres rondes et couvertes de poils noirs, longs, roi- 
des , coupés et dirigés en avant les uns sur les autres; le menton 
est aussi armé de poils. Da 

Le corps , le col, le dessus et le dessous du corps noirs, avec 
chatoiement bleu d’acier ; les plumes et la queue noires lustrées de 
verd. Les couvertures inférieures des ailes noires, avec chatoie- 
ment bleu d’acier. Les pieds rouges comme le bec; les tarses n’ont 
point d’ecailles; les ongles sont courbes, obius et d’un noir clair, 

Les pointes des ailes dépassent d’un pouce Pextrémité de la 
queue. 

Longueur 16 pouces, Envergure 2 pieds 8 pouces Z. Les tar- 
ses longs; le doigt du milieu long d’un pouce 7 celui de derriere 
un pouce de longueur. 

On ne remarque aucune diflérence entre le mâle et la femelle. 


PATRIE, 


Le Coracias habite surtout chez les Grisons et à Lausanne: 
Cependant il visite aussi l’ile de Candie, l'Egypte, la Perse, l’Ita- 
lie, la Lorraine, les montagnes du Tyrol, de la Siyrie, de la Car- 
niole , de la Bavière et d’autres pays montagneux de FAllemagne 


— 175 


Böhmen und so gar nach den westlichsten Küsten von England und 
nach Schottland. In Deutschland ist sie ein sehr seltener Vogel, 
so wie sie auch, unseren Nachrichten zufolge, in Bündten nicht 
häufig sich findet. Sie lebt an hochliegenden Orten in alten Schlös- 
sern, T'hürmen und Felsenklüften und kommt selten auf die Ebene 
herab. Gesner sagt, dalssie unter allen Vögeln am ersten hin- 
wegziehen und zwar um den Anfang des Brachmonats. So viel 
wir aber wissen, ist siein Bündten ein Standvogel. Unsere Ex- 
emplare erhielten wir unausgestopft und noch mit dem Fleische, 
ebenfalls im Winter 1804. den 29. Dec. 


EIGENSCHAFTEN. 


Unsern Nachrichten zu Folge sieht man die Steinkrähe wenig- 
stens in einem Theil des Bündtner Landes, nicht in Schaaren bei- 
sammen, sondern mehr einzeln, woher sie denn auch den Namen 
Ihr Flug ist, wenn sie sich in die Hö- 
he schwingen, wirbelförmig. Sie schreit: kräh, kräh, im Auf- 
fliegen und auch zuweilen im Sitzen: krühü, krühü. Sie soll 
auch Worte nachsprechen lernen und glänzende Dinge, so gar 
gJühende Kohlen, wie es mehrere ihrer Gattungsverwanditen ge- 
wohnt sind, siehlen. Nach Gesner fliegt sie sehr hoch. Nach 
eben diesem Schriftsteller lassen sich die Jungen leicht und so zahm 
machen, dafs sie auf das Feld und wieder nach Hause fliegen; 
daher denn auch der Name Corvus docilis. Man muls sie 
aber schon etliche Tage, ehe sie flügge werden, aus dem Neste 
nehmen und mit Brod in Milch geweicht füttern. Nach und nach 
gewöhnen sie sich an allerhand Nahrungsmittel. 


NAHRUNG, 


Eremit erhalten haben mag. 


In Magen fanden wir einige Hanf- und Haberkörner. Nach 
Gesner frifst sie allerhand Insekten, Heuschrecken, Maikäfer- 
larven, Grillen, kleme Frösche und Fische. Auch soll sie gern 
Vy achholderbeëeren fressen. 


FORTPFLANZUNG. 


Mehrentheils nistet sie auf alte hohe Schlofsmauern, Thür- 
me und steile Felsen. Das eine Exemplar welches wir erhielten, 
war von einem Pärchen, welches im Frühjahr vorher auf dem 
Kirchthurm eines hoch im Gebürge liegenden ‚Dorfes bei Chur 
in Bündten brütete. Das Weibchen legt nach Gesner zwei bis 
drei Eier, andern Nachrichten zu Folge soll es,vier bis fünf weilse 
mit schmuziggelben Flecken besezte Eier legen. 

NUTZEN, _ - 

stiftet sie dadurch, dafs sie die schädliehen Maienkäferlar- 
ven und andere schädliche Insekten verzehrt. Ihr Fleisch, be- 
sonders das der Jungen soll einen lieblichen Geschmak haben. 
Einen 

SCHÄDEN 
wissen wir von ihr nicht anzuführen. 


FEINDE, 


Am Kopfe fanden wir mehrere Läuse und eine röthliche 
Milbe. 


e JAGD UND FANG. 


Unsere erhaltenen Exemplare wurden mit der Flinte erlegt. 
Nach Gesner nimmt man die Jungen aus dem Neste. Die Jäger 
lassen sich dann öfters an Seilen von hohen Felsen in die Klüfte 
hinab und nehmen die Jungen heraus. Damit aber die Alten ih- 
ren Wohnort im nächsten Jahr (?) wieder besuchen, so lassen 
die Jäger gewöhnlich ein Junges im Neste, welches dann den Ael- 
tern als Eigenthum bleibt. 


Ttit 


I arrive même jusqu’ aux côtes occidenta- 
En Allemagne c’est un 


tels que la Bohème. 
les de l Angleterre et jusqu’ en Ecosse, 
oiseau fort rare et d’après nos informations, il n’est pas non plus 
très commuu chez les Grisons. Il habite de préférence les lieux 
élevés, les vieux châteaux, les tours, les fentes de rochers et il 
descend rarement dans la plaine. Gesner prétend qu’il est le 
premier de tous les oiseaux, qui quitte nos contrées, ce qui arrive 
déjà au commencement du mois de Juin. ’Tout ce que nous sa- 
vons, cest qu'il est à demeure chez les Grisons. Nous en avons 


mème reçu des exemplaires non rembourrés et encore couverts de 


‘chair, durant l’hyver de 1804, le 29 Dec. 


QUALITES, 

Suivant nos renseignemens on appercoit le coracias presque 
toujours seul et jamais en troupes, du moins dans une partie des 
Grisons ; ce qui lui a sans doute fait donner le surnom d’ hermite. 
Lorsqu'il s’ éleve dans les aivs, son vol est circulaire. Il fait en- 
tendre les sons de krai, krai, en s’ élevant et quelque fois celui de 
kruhu , kruhu, quand il est perché. N apprend aussi à pro- 
noncer des mots et comme plusieurs individus de sa famille, il est 
sujet à dérober des eflets brillans et même des charbons ardens. Si 


Von s en rapporte à Gesner, il vole ires haut. Suivant le même 


‘ auteur cet oiseau s’apprivoise facilement, dans la jeunesse et cela 


au point qu'il vole anx champs et revient ensuite à songiîte. De 
là le nom de corvus docilis. Mais aussi il faut prendre les 
jeunes hors du nid, avant qu'ils soient emplumes et les nourrir 
avec du pain, trempé dans du lait. Dans la suite ils s’ accoutu- 


ment insensiblement à toute sorte de nourriture. 


NOURRITURE. 


Nous avons trouvé dans son estomac des grains de chenevis 
et d’avoine. Il mange aussi, suivant Gesner, toutes sortes d’in- 
secles, des sauterelles, des chrysalides de hanneions , des gril- 
ons, de pelites grenouilles et des poissons, Mais il aime surtous 


les bayes de genièvre. 
PROPAGATION, 


Il niche ordinairement sur les murs de vieux châteanx élevés, 
sur des tours et des rochers escarpés. L’exemplaire, que nous recu- 
mes appartenoit à un couple, qui avoit couye au printems sur le 
clocher d’un village situé sur une hauteur pres de Coire, capitale 
Gesner prétend, que la femelle ne pond que deux 
Ils sont 


des Grisons. 
à trois oeufs, tandis que d’autres lui en donnent 4 à 5. 
blancs, marqués de taches jaune sale. 


La 
UTILITE. 

Celle-ci résulte de la consommation qu'il fait des chrysali- 
des de hannetons, et d’autres insectes nuisibles. Sa chair, surtout 
celle des jeunes, doit Ôtre d’un goût agréable. 

DOMMAGE 
Nous ne saurions l’accuser d'aucun, Ses 


ENNEMIS 


sont l’homme et des poux, ainsi que quelque teignes rougeä- 
tres, que nous lui avons trouvés sur la tête, 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 


Les exemplaires, que nous avons reçus, ont été tués au fu- 
sil. Suivant Gesner on prend d’ordinaire les jeunes, dans leurs 
nids. Pour cet effet les chasseurs se font descendre par une cor- 
de, dans le creux des rochers et ils enlevent les jeunes. Mais afin 
que les vieux reviennent l’année suivante au même endroit, les 
chasseurs laissent communément un petit dans le nid, que les vieux 
regardent alors comme leur propriété, 


VERSCHIEDENHEIT. 


Corvus Graculus albus. Nobis. Die weifse Steinkrähe, 
Der ganze Körper ist weißs; Füfse und Schnabel sind roth. 
Lapeirouse, a. a. ©. 


ANMERKUNGEN. 


Bei der Zergliederung fanden wir, dafs diese Krähe eine wal- 
zenförmige Speiseröhre hat, und das Fett von rothgelber Farbe ist 
Wir liefern hier eine Abbildung, die, 
Natur getreuer ist, 


wie wir glauben, der 
als alle bisker uns bekannt gewordenen Ab- 
bildungen dieses Vogels. Diejenige, welche Bechstein seiner ge- 
meinnützigen Naturgeschichte zweite Auflage Band IL Taf. XVH. 
zum zweitenmal beifügen liefs, ist ein Unding. Die grüne Farbe 
"welche dieser Vogel hat, soll wahrscheinlich den blauen und grü- 
nen Schiller ausdrücken. Gesner ist, wie Bechstein selbst sagt, 
mit diesem künstlich zugerichten Vogel betrogen, und das Fantom 
“durch ihn in allenach ilım erschienenen ornithologischen Schriften 
"übergetragen worden, und doch hat er dieses Unding zum 


zweitenmale abbilden lassen , 


VARIETES. 
albus. Nobis. Le coracias blanc. 


Tout le corps est blanc; les pieds et le bec sont rouges. La- 
peirouse a. a. ©, 


Corvus Graeulus 


OBSERVATIONS. 


En disséquant cet oiseau, nous lui ayons trouvé l’oesophage 
cilindrique et la graisse d’un rouge jaunätre, 

Nous donnons ici'la figure du coracias, que nous croyons 
plus conforme à la nature que toutes celles, qui sont venues jusqu’ 
ici à notre connaissance. Celle que Bechstein a jointe à la 2de 
edition de son histoire naturelle , Tome 2. table 17, est un être 
de raison, La couleur verte qu’on a donnée à cette représentation, 
doit sans doute indiquer le chatoiement bleu et verd. 
avoue lui même que Gesner a été trompé par cet oiseau, un pro- 


Bechstein 


duit de l’art et non de la nature et que ce fantome a passé de ses 
mans, dans tous les ouvrages ornithologiques subséquens, et ce- 
pendant il a fait graver une seconde fois cet être de raison. 


DER TANNENHAÄHER. 


Nufsbeifser. 


Schwarzer Markward. 


Nufskrähe. 
Nufshacker. 
Corvus Caryocatactes. Lin. syft. nat. T. I. p, 157. n. 10. 

‚Corvus Caryotatacies. Gmel. Lin. syft. nat. T. I, P. I. p. 370. 10. 
Casse- noix, Buff, 
Nut-cracker. Latham. - 
Jer Tannenhäher. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Taf. 56. 
Nufskrähe. Bechft. Ornith. Taschenb. Th. I. S. 95. nr. 10. 
Dessen geni. Naturg. 2te Aufl. B. 2, S, 1257. . 
Naumann Naturgesch. der Laud- und Wasservögel des 
B4IV. S, 60. Taf. Y, 


Nufsbrecher. 
Tannenellfler. 


Nufsbreischer. 
Marcolph. 


Nufspicker. 


Der Tannenhäher. 


nördl. Deutschl. fig: 10% 


KENNZEICHEN DER ART. 


S chwarzbrann, mit weisen Tropfen; die Schwanzfedern schwarz, 
mit weifsen Spilzen. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel 14 Zoll lang, schwarz, glatt, an den Seiten 
etwas zusammen gedrükt, an der Spitze ein wenig breit und schnei- 
dend; der Oberschnabel oben an der Wurzel mit einer Kante, 
die sich aber nach und nach abrundet; imwendig hat er am Grun- 
de. mehrere Längsreifen, von welchen aber nur drei sich in die 
Unterschnabel inwen- 
die nach 


ganze Länge des Schnabels hinaus ziehen; 
dig am Grunde mit’ einer scharfkantigen Erhabenheit, 
vorne und hinten niedriger wird und gegen die Spitze des Unter- 
schnabels in der Mitte als ein etwas erhabener Kiel hinläuft; die 
Zunge pergamentartig, vorn tief gespalten; die Spalte palst Ban 
um die hornartige Erhöhung in der untern Kinnlade; die Nasen- 
löcher sind mit vorwärts liegenden, borstenarligen Federn bedekt; 
Augenstern nufsbraun; Scheitel schwarzbraun; Wangen, Ohren, 
Oberhals, Ober - und Mittelrücken und der ganze Unterleib hell 
schwarzbraun , mit vielen verkehrt eirunden, weifsen Schaftfle- 
cken; auf den Schultern sind der Flecken weniger, an der Kehle 
sind es blofse Striche; die obern kleinen Dekfedern der Flügel sind 
schwarz mit weilsen Flecken; die übrigen Dekfedern sehwarz; die 
Schwiingfedern braunschwarz mit einem Schiller; die 5 bis 8 in 
der Mitte auf der breiten Fahne einen weifßsen Flek; die 6 bis 12 
init einer feinen weilsen Spitze; die obern Dekfedern des Schwan- 
zes schwarzbraun, der Schwanz abgestuzt, die äufserste Feder et- 
was kürzer, schwarz am Ende mit einem breiten weisen Band, 


das nach der Mitte hin schmäler wird, so dafs an den beiden mitt- 


LE CASSE - NOIR. 


Der Tannenhäher. Nufskrähe, Nufsbrecher. Nufspicker. Nufsbeifser. 
Nufsbreischer, Nufshacker. Tannenelfler. Schwarzer Mark ward, Marcolpb, 
Corvus Caryocatacies, Lin. syft. nat. T. I. pag. 157. n. 10. 

Corvus Caryocatacles, Gmel, Lin, syft, nat. T. I, P, I. pag. 370. 10. 
Casse-noix, Buf. 

Nut- cracker. Latham, 

Der Tannenhäher. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl, Taf, 56, 
Nufskrähe. Bechtt.: Ornith. Tahoe, Th. 1, S. 95. nr. 10. 
Dessen gem. Naturg. 2ie-Aufl. B, 0. S, 1257, 

Der Tannenhäher. Naumann Naturgesch. der Land- und Wasservögel- -des 

nördl. Deutschl. B. IV. S: 60. Taf, V. fig. 10, 


w 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Bea noir, flambé de blanc; les plumes de la queue noires, à 
pointes blanches. 


DESCRIPTION. 


Le bec long d’un pouce et #, noir, uni, un peu écrasé sur 
les côtés, nn peu élargi et tranchant vers la pointe. La mandi- 
bule supérieure, à sa base, armée d’un cran, qui s’ arrondit peu 
à peu; en dedans le fond offre plusieurs longues proéminences , 
dont seulement les trois dernières parcourent toute la longueur du 
bec. La mandibule inférieure offre intérieurement au fond une 
procminence à côtes aigues, qui s’abaisse en avant et en arriere 
et qui vers la pointe de cette mandibule a l'air dans le milieu d’un 
tuyau un peu élevé; la langue comme du parchemin esttrès fen- 
due et cette fente 5’ ajuste à la proéminence cornée de la mandi- 
bule. Les narines couvertes de plumes poilenses, dirigées en avant, 
L’ iris brun de noix; le sommet brun noirätre; les joues!, les ore- 
illes, le dessus du col, la partie supérieure et le milieu du manteau 
ainsi que tout le dessous du corps noir brun, avec une quantité de 
taches blanches de forme ovale renversée sur les tiges; sur les 
épaules il y a moins de taches et à la gorge ce ne sont que de sim- 
ples raies. Les petites couvertures des ailes supérieures sont noi- 
res , marquées de taches blanches, les autres plumes des couver- 
Les pennes des ailes brun noir lustré; 
les 5 à 8 du milieu ont une tache blanche sur le côté large de la 


barbe ; les 6 jusqu’ à 12 autres ont une fine pointe blanche. Les 


tures simplement noires. 


couvertures superieures de la queue noir brun; la queue coupée, 
les plumes extérieures un peu plus courtes, l’extremite noire avec 
une large bande blanche qui se retrécit vers le mulieu, ensorte 


Be 


lern nur eine weilse Spitze bleibt; die untern Dekfedern des 
Schwanzes weils; die Schenkel schwarzbraun; die Füfse und Nä- 
gelschwarz. Die Flügelspitzen sind von der Schwanzspitze 17 Zoll 
entfernt. 


Länge 12. Zoll; Breite ı Fufs 9 Zoll, 


- Das Weibchen hat eine hellere Grundfarbe, und die wei- 
fsen Flecken sind kleiner und schmutziger. 


AUFENTHALT. 


Der 'Tannenhäher bewohnt ganz Europa bis zum südlichen 
Schweden hinauf und Kamischaika; auch soll er in Nordamerika 
anzutreflen sein. In England ist er sehr selten. In Deutschland ist 
er in mancher Gegenden und in manchen Jahren ebenfalls selten, 
In Thüringen gehört er nicht unter die ungewöhnlichen Vögel, 
wohlaber auf dem Harze. Im Anhaltischen sah man 1754. zu En- 
de des Sept, und Anfang des Oktobers eine grofse Menge; im Jahr 
1760. oder 1761. waren: sie eben so häufig. ı778. sah man nur 
einzelne. 1799. den 50 April erhielten wir aus den gebirgigen Ge- 
genden bei Herspruk im Nürnbergischen einen Jungen. Dann sah 
man in dieser Gegend in mehrern Jahren keinen. 1805 und 1804. 
waren sie vom 12 Sept. an bis zum 8. Okt. wieder häufiger. 1805. 
und 1806. wurde keiner bemerkt. 


Er ist gern in gebirgigen Gegenden, wo stille Laubwälder sind, 
in deren Nähe sich Wiesen und Quellen befinden. Hier bleibt er 
vom März bis in die Mitte des Septembers, dann zieht er sich 
entweder einzeln, oder in kleinen Gesellschaften von etwa 6 bis 
24. Stücken nach den Feldhölzern, wo Eichen, Buchen und Ha- 
selnufsbüsche stehen. In Thüringen und Franken ist er ein Slrich- 
vogel, in kältern Ländern mag er ein Zugvogel sein, 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist so einfältig, dafs er sieh in tiefen stillen Gebirgsgegen- 
den, wo'er selten eines Menschen gewahr wird, von den Kuh- 
hirien mit dem Stecken 1od schlagen läfst; daher ihn die tküringi- 
schen Hirten den Unschuldsvogel nennen. Die Jungen lassen 
sich mit den Händen fangen. Er ist räuberischer, als sein Gat- 
tungsverwandier, der Eichelhäher, und pakt kleine Singvögel, z. 
B. Finken, Zeisige etc. mit einer Heftigkeit an, die man nur von 
Falken gewohnt ist. Sogar einen Eichelhäher besiegt und frilst 
er. Seine Efslust ist immer rege, Wir halten einen Jungen, dem 
wir nicht genug geben konnten. Kaum war der erste Bissen hin- 
unter geschlukt, so schrie er schon wieder nach dem zweiten, Er 
schien nur defswegen im Schreien nachzulassen, weil er nichts 
mehr einnehmen konnte. Er betrug sich sehr ungeschikt, lernte 
lange nicht allein fressen , und lief seinera \Värter allenthalben 
Ein 
altes Männchen, das wir im Käfig hielten, halte folgende beson- 
dere Gewohnheit: 


nach. In seinem Betragen ähnelt er dem grauen Würger. 


Sebald er sein in kleine Stücke zerschniltenes 
Ochsenherz bekam, frafs er einige Brocken, dann nahnı er einen: 
nach dem andern mit dem Schnabel heraus uad verstekte ihn im 
eine Ecke des Käfigs, pakie dann das Näpfchen an und dekte da- 
mit seinen. Mundvorrath zu, sprang einigemal im Käfig hin uud 
her, dann rifs er mit einer grofsen Schnelligkeit das Näpichen 
weg, nahm einige Brocken und verzehrte sie, dekie sodann das- 
selbe wieder darauf. Dies alles wiederholte er so lange, bis alles 
aufgezehrt war. Oefiers klopfte er auch mit seinem Schnabel an 
den Käfig und meiselte das Holz weg. Den lebendigen Vögeln, 
welche man ihm gab, zerknikte er zuerst den Kopf, raufte die 
Federn aus, rifs dann ein Stük vom Körper, den er mit dem ei- 
nen Fuße hielt, und frais es. WVurde in der Stube gesägt, oder 
sonst ein Geräusch gemacht, so schrie er aus Leibeskräften kräk, 
kräk, Kräk, kräk. Dies Geschrei liefs er auch hören, wenn er 
| Uuuu 


177 


qu’on n’appercoit plus qu’une petite pointe blanche, sur les deux 
du milieu. Les couvertures inférieures de la queue blanches. 
Fes tarses brun noirâtre ; les pieds et les ongles noirs.’ Il y ala 
distance d’un pouce 5 entre la pointe des ailes et celle de la queue. 

Longueur 12 pouces; Envergure 1 pied 9 pouces. 

Le fond de la couleur de la femelle est plus clair et les taches 
blanches sont plus petites et plus salies. 

. 


PATRIE. 


Le casse-noix habite:toute l’Europe, jusqu’ à la partie meridio- 
nale de la Suede et au Kamischatka; on prétend aussi Pavoirtrouvé 
dans l'Amérique septentrionale. Il est rare en Angleterre, Il est aussi 
peu commun, dans.certaines parties de l'Allemagne et dans certaines 
années. Cependant on le rencontre assez fréquemment dans la 
A la fin de Septembre 
et au commencement d'Octobre 3754, on en appercut une grande 


Thuringe, mais plus rarement sur le Harz. 


quantité au pays d’Anhalt; en 1760 et 1761, ils y furent en aussi 
grand nombre; mais en 1778 on n’en vit que quelques individus 
isolés. Le 5o Avril 1799 nous reçumes un jeune, pris-dans la 
contrée montagneuse d'iierspruk, au territoire de Nuremberg. De- 
puis lors plusieurs années de suite, on n’en appercut aucun dans 
cette contrée. Mais en 1803 et 1804, ils reparurent en grand 
nombre depuis le 12 Sept. jusqu’ au 8 Octobre; et disparurent en 
z805 et 1806. 

Cet oiseau donne la préference aux pays montagneux et tran- 
quilles couverts de bois gras ou de bois sec, dans le voisinage des 
quels se trouvent des sources et des prairies ; il y reste depuis le 
mois de Mars jusqu’ au milieu de Septembre. Alors il se retire 
soit un à un, soit par petites troupes de 6 à 24 individus, dans les 
bois qui avoisinent les champs et où il y a des chênes, des hêtres et 
des buissons de noisettiers. En Thuringe et en Franconie on pour 
roit |’ appeler un oiseau rodeur, puisqu'il ne quitte pas cescon- 
trces; dans les pays plus froids C’estun véritable oiseau de passage. 


QUALITÉS. 


Cet oiseau est si imbécile, que dans les pays très montagneux 
et solitaires: où il apperçoït rarement les hommes, il se laisse tuer 
à coups de baton par les gardeurs de bestiaux; de là vient que les 
pätres de la Thuringe l’appellent l'oiseau de l’innocence. On prend 
aisément les jeunes ayec la main, Au reste il a les inclinations plus 
voraces que le geai qui est de la même famille et il attaque les 
petits oiseaux de chant, tels par exemple que le serin, avec une 
violence, qui n'appartient ordinairement qu’au faucon, I tue le 
gesi même et le dévore. Sa faim n’est jamais satisfaite, Nous 
avons eu un jeune qu'il nous étoit impossible de rassasier, A peine 
avoit il avalé le premier morceau, qu'il crioit, pour en avoir un 
second, et il sembloit ne cesser de crier, que lorsqu’il ne pouyoit 
plus rien avaler, D'ailleurs il étoit extrêmement gauche, il fut 
longtems sans pouvoir manger seul et il couroit partout après son 
pourvoyeur. Ba conduite ressemble beauconp à celle de la pie 
grieche. 

Nous avons Lenu en cage un vieux mâle, qui avoit une singu- 
lière habitude. Aussitot qu'il avoit reçu son coeur de boeuf, coupe 
en petits morceaux, il en ayaloit quelques bouchées, ensuite il 
prenoit lun après l’autre dans son bec et les cachoit dans un coin 
de sa cage, puis il alloit saisir son écuelle, avec laquelle il cou- 
vroit sa provision; alors il sautoit cà et là dans sa prison et reve- 
nant à son garde-manger, il ötoit l écuelle avec précipitation, pre- 
noit quelques morceaux qu’il devoroit et-recouvroit ensuite le reste, 
Ce qu’il répétoit, jusqu à ce qu'il ne restät plus rien. Souvent il 
becqueloit sa cage et en arrachoit le bois Quand on lui donnoit 
des oiseaux vivans, il leur écrasoit d’abord la tête, les plumoit et 
assujettissant le corps avec une de ses grifles, il en arrachoit un 
morceau après l’autre et le dévoroit. Si l’on venoit à scier dans sa 
chambre ou à faire quelque autre bruit, il crioit de touies ses for- 


«À 


u 178 Io. 


einen Falken sah. Im Freien ertönt eben diese Stinnme gewöhn-= 
lich aufdem Gipfel eines Baums. Seine 


NAHRUNG. 


besteht im Sommer und Herbst aus Mistkäfern, Wespen — 
von welchen sein Magen oft ganz voll ist, — Bienen, und den 
Larven verschiedener Insekten, Regenwürmern, Schnecken, Fich- 
ten- und Tannensamen, Haselnüssen , Bucheckern, Vogelbee- 
ren. Auch nimmt er die Vögel aus der Schneuse, greift junge 
‚Vögel an und holt die Eier aus dem Neste. Dafs er dem Hanf- 
samen nachgehen sollte, bezweifeln wir aus dem Grunde, weil 
ein Lebendiger, den wir im Käfig halten, und dem wir einigemal 
 Hanfkörner gaben, sie zwar begierig frafs, aber auch daran starb. 
Sein Unrath wurde auf dieses Nahrungsmitiel sehr hart. Er be- 
kam ein Stecken in der Luftröhre. Eicheln frafs er nicht; an den 
Haselnüssen klopfte er zwar sehr, konnte sie aber doch nicht 
öffnen. Beide Früchte tragen sie in ihrem Schlunde mit herum 
und verstecken sie, wenn sie nicht hungrig sind. Im Zimmer gibt 
man ihm geriebenes weifses Brod mit Milch benezt. Am besten 
schmekt ihm aber Ochsenherz. 


FORTPFLANZUNG, 


In den tiefsten Waldungen des Thüringischen Gebirges nistert 
‘sie in hohen Bäumen. Auch in den Gebirgsgegenden bei Her- 
‘spruk im Nürnbergischen mülsen sie brüten; denn der oben an- 
geführte Junge, welcher noch Wollenhaare zwisehen seinen Fe- 
dern halte, war aus dieser Gegend. Das Weibchen legt fünfbis 
sechs schmutzig gelbgraue , mit einzelnen rostfarbigen und dun- 
‚kelbraunen Flecken und Punkten versehene Eier. Die Jungen 
lassen sich lange von den Alten füttern, wobei sie ganz stille der 
Reihe nach auf einem Baumzweige sitzen. 


NUTZEN 
Aufserdem, dafs ihr Fleisch eine angenehme Speise ist, nü- 


zen sie auch noch dadurch , dafs sie viele schädliche Insekten 


wegfressen. Der 
SCHADEN 
den sie eiwa durch Verzehrung der Haselnüsse, des Fichten- 


und Tannensamens uud in den Schneusen anrichten, ist von kei- 
ner Bedeutung, 


FEINDE 


Der Baummarder und das Wiesel gehen ihren Jungen nach. 
Auf seinem Kopfe fanden wir Läuse, und in seinen Gedärmen 
‚Würmer. 
JAGD UND FANG, 
Sie können, da sie nicht scheu sind, leicht geschossen wer= 
den. Man fängt sie in den Schneusen. Zur Lokspeise nimmt 
man Vogelbeeren, oder welches noch besser ist, Haselnüsse. 


VERSCHIEDENHEIT. 


1. Corv. Caryocatactes albus. Der weilse Fannenhäher, Ent- 
weder reinweifs oder gelblichweïfs. 

2. Coryus Caryocatacies varıus. 
häher. 

Auf dem Leibe sind die weifsen Flecken unregelmäfsiger und 
grôfser als gewöhnlich. Auch gibt es Beispiele, bei welchen ent- 
weder nur die Flügel oder der Schwanz eine weilse Farbe haben. 


Der geschäkte Tannen- 


dans du lait, 


ces kraik, kraik, kraik, kraik, Il!poussoit le même cri, quand il 
eppercevoit un faucon. Dans les contrées qu’il fréquente, on entend 
souvent un cri pareil retentir du haut de quelques arbres. Sa 


NOURRITURE 


en été et en automne se compose de bouziers, de gnêpes = 
dont son estomac est souvent rempli — d’abeilles, de nymphes 
de divers insectes, de vers de terre, d’ escargots, de semences de 
pin et de sapin, de noisettes, de faines et de sorbes. Il enleve 
aussi des oiseaux sur les aires, attaque les jeunes et dérobe les 
oeufs dans les nids. Nous avons sujet de douter, qu’il aime le 
chenevis, car nous en donnâmes quelque fois à manger à un oi- 
seau de cette espece, que nous avions en cage, ilen avala à la 
vérité plusieurs grains avec avidité mais il en créva. ‘Sa fiente 
avoit durci aprés cette nourriture, qui lui occassiona un étoufle- 
ment dans la trachée artère. Cet oiseau ne mangeoit pas de glands, 
il béquetoit les noisettes avec force , mais il ne parvenoit point à 
les ouvrir. On prétend qu'ils portent ces deux especes de fruits 
dans leur gosier et qu'ils les cachent quelque part, quand ils n’ont 
pas faim. En chambre on les nourrit, avec du pain blanc, broié 
Mais ils donnent la préférence au coeur de boenf. 


PROPAGATION. 


A ES « , 

Dans les forêts les plus profondes de la Thuringe, ils nichent 
sur de grands arbres. Il paroit qu’ils couvent aussi dans les mon 
tagnes pres d’ Herspruck au territoire de Nuremberg, puisque le 
jeune dont nous avons fait mention et qui avoit encore le duvet 
du premier âge entre ses plumes, venoit de cette contrée. La 
ponte est de cinq a 6 oeufs jaune grisâtre sale, avec des taches et 
des points épars, couleur de rouille et brun foncé. Les jeunes 
recoivent longitems la becquée des vieux et pendant cette opéra= 
tion ils sont rangés l’un à côté de l’autre sur un rameau, 


UTILITÉ 


Independamment de ce que leur chair est d’un gout agréable, 
ils sont utiles , par la quantité d'insectes qu’ils devorent, Le 


DOMMAGE, 


qu'ils causent par la consommation des noisettes, des semen= 
ces de; pin et de sapins et des oiseaux pris dans les aires , est de 


peu d’importanec. Ses 


ENNEMIS 
sont la martre et la beleite qui sont avides de ses jeunes. Nous 


avons aussi trouvé de la vermine sur sa tête et des vers dans ses 
boyaux. 


MANIERE DE LES CHASSER: 


Comme cet oiseau n’est pas craintif, il est facile Atuer. On 
le prend aussi dans les aires et pour appât on se sert de sorbes, ou 
ee qui vaut encore mieux de noiseltes, 


VARIÉTÉS. 
‚ 4. Corvus Caryocatactes albus. Le casse-noix blanc. On 
d’un blanc net ou blanc jaunätre. 
2. Corvus Caryocatacles varius. Le casse-noix bigarré, 
Les taches blanches du corps plus irrégulières et plus grandes 
que de coutume. On a aussi des exemplaires, où taniôt les ailes 
seules, tantôt la queue sont marquées de blanc. 


ee 


v 


279 - 


DER ROTHHALSIGE WASSERTRETER. 


Nordischer Strandläufer: Braunes Rohrhuhn. Rothes Baftard- Was- 
serhuhn.,  Schwimmschnepfe. Schwimmender. Strandläufer. Kleinfle 
Schnepfe mit Schwimmfüssen (in Wien). 

Tringa hyperborea. Lin. syft. nat. T. I. p: 249. n. 9. 
—-— Gmel. Lin. syft. nat. TL P. II. p. 675. n. 9. 
— — Retz Linn. faun. suec. p. 183, nr. 152. 
Tringa lobata. Lin. syft. nat. P. I, pag. 240. n. 8. 
— — Gmel, Lin. syft. nat. T.L.P. I. p. 654, n. 8 
Tringa lobata. Brünnich Orn. bar. p. 51. Junges. 
Tringa fulicaria, Lin. syit. nat. I. p. 294. nr. 10. 
Greg Phalarope. Penn. Brit, Zool. 2. p. 4g1. t, 76, Fem, 
Le Phalarope cendré. Buffon, 
Red Phalarope. Penn. Brit. Zool. 2. p. 492. t. 76. Mas. 
Gemeiner YWasserireter. Phal. vulgaris. Bechtt. Ornithr Taschenb. Th. I. 
S. 317.n.1. . 
Schwimmechueple. Natinann Naturg. der Vögelete. Anhang 2s lielt. 5. 80, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mi pfriemenfôrmigem, zugespitztem, vorn abwärts gebogenem 
Schnabel, aschgrauer Brust, dunkler Augengegend und rostfarbe- 


- men Rändern der Rückenfedern. 


Das Männchen unterscheidet sich vorzüglich dadurch yon 
dem Weibchen, dafs es einen rostrothen Nacken hat. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist einen Zoll lang, spitzig, vorn etwas herab ge- 
bogen und schwarz; die Nasenlôcher liegen am Grunde des Schna- 
‘bels; der Augenstern rothbraun; Stirn, Scheitel, die Seiten des Ko- 
pfes und der Hinterkopf bläulich aschgrau; Kinn und Kehle weils; 
Nacken und an den Seiten desselben rosiroih; der untere 'Theil 


. des Unterhalses, die Seiten der Brust und des Bauches sind hell 


bläulich aschgrau, mit weilsen Rändern; die Mitte der Brust und 


des Bauches weils; der Rücken, die Schulterfedern und die obern 


Dekfedern der Flügel sind schwarz, mit bläulichgrauen und rost- 
rothen Rändern; auf.dem untern 'Theile des Oberhalses und auf 
dem Rücken sind hin und wieder rostrothe Flecken; die grofsen 
obern Dekfedern der Flügel sind schwarz, und haben an den Spi- 
tzen weifse Ränder, daher ein weifser, schmaler Querstreifen auf 
den Flügeln entsteht; die Schwungfedern sind dunkelbraun; die 
6 bis 10. mitilern haben einen weilsen Rand; die vordern sind rost- 
vöthlich gerandet; die Schäfte sind weils; die zwölf Schwanzfe- 
dern sind dunkelbraun , die erstern etwas roströthlich gerandet; 


die obern Dekfedern des Schwanzes grau mit weifsen Spitzen, die : 


Steisfedern weifs. 

Die Fülse sind olivengrün, aufsen dunkler; die Zehenlappen 
olivengrün, an der äufsern und mitilern Zehe dimkler, 

Die Flügelspitzen erreichen die Schwanzspitze. 

Länge 64 Zoll, Breite 15 Zoll. : 

Das Weichen ist sehr merklich vom Männchen unterschie- 
den. Die Stirn, die Wangen und das Kinn weiß; über den Au- 
gen ein weilser Streifen; um die Augen ein schwärzlich grauer 
Ring, von welchem aus sich bis an das Ohr ein eben so gefärb- 
ter Streifen zieht; der Unterhals schmutzigweifs , roströthlich an- 
gelaufen; der Unterleib aschgrau, an den Seiten weils; der Schei- 
tel und Oberhals schwärzlichgrau; die Rückenfedern sind mit ei- 
ner lebhaftern Rostfarbe gerandet, Die Schwanzfedern röthlich- 
grau mit gelblichem Saum, die obern Dekfedern weils mit grauen 
Flecken. 

Das Junge, von welchem hier ein Männchen abgebildet ist, 
sieht dem \Veibchen ähnlicher als dem Männchen; nur sind die 
Federränder des Rückens weit lebhafter, die mittlern Schwung- 

X xxx 


LE PHALAROPE CENTRE. 


Der rothhalsise \Vasserireter. Nordischer Strandläufer, Braunes 
Rohzhuln, Rothes baftard-Wasserhuhn. Schwimmsebnepfe. Schwimmender, 
Strandläufer. Kleinite Schnepfe mit Schwimmiüfsen (in Wien. ) 

Tringa hyperborea. Linn. syft. nat. T. I. p. 249. n, 9. 
— — Gmel. Lin. syft. nat. nat. T.I. P. U. p. 675.n..9. 
— — Retz. Lin. Faun. Suec. p. 183. n. 152. 
'Tringa lobata. Lin. syft. nat. P. I. p. 249. nr, 8. 
— — Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. II. p. 674. n, 8, 
Tringa lobata. Brünnieh orn. bor. p. 51. un jeune. 
'Triuga fulicaria. Lin. syft. nat. I. p. 294. n. 10. 
Greg Phalarope. Peun. Brit. Zool. 2. p. 492. t. 76. Femelle, 
Le Phalarope cendré. Bulfon. h 
Red Phalarope. Peun. Brit. Zool, 2. p. 491. t. 76. Mâle. 
Gemeiner Wasserlreler. Phal, vulgaris. Bechft. Ornüih. Taschenb, Th. IL. $, 

317.070. 1. É 

Sehwis@mischnepfe. Naumann Naturg.der Vögel etc. Anhang tes Heft. S. 80, 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Le bec en forme d’alène, pointue, l'extrémité un peu courbée 
en bas; la poitrine gris cendré, les alentours de locil plus foncés 
et les plumes du manteau, avec liséré couleur de rouille. 

Le mäle se distingue sur tout de la femelle, par la couleur 
rouge de rouille de la nuque. 


DESCRIPTION. 


Le bec long dun pouce, pointu, l’extrémité noire etun peu 
eourbée vers le bas. Les narines, situées à la base du bec; Piris 
rouge brun; le front, le sommet et les côtés dela tête, ainsi que 
V occiput gris cendré nuancé de bleuätre. Le menton et la gorge 
blancs; la nuqueet ses deux côtés rouge de rouille, ' La partie 
inférieure du dessous du col, les côtés de la poitrine et du ventre 
gris cendré nuancé de bleuätre, avec bordures blanches; le mi- 
lieu de la poitrine et du venire blancs. Le manteau , les plumes 
des épaules et les couvertures supérieures des ailes noires ; avec 
liseres gris bleuätre et rouge de rouille; le bas du.scapulaire su- 
périeur et le manteau sont marqués çà et là de tâches rouge de 
rouille. Les grandes couvertures supérieures des ailes sont noires, 
égayces de lisérés blancs à la pointe, ce qui forme une bandetrans- 
versale étroite ei blanche sur les ailes. Les pennes de vol sont 
brun foncé; les 6 à 10 du milieu ont la pointe lisérée de blanc, 
les antérieures ont le liscre rouge de rouille. Les tiges sont blan- 
ches. Les douze plumes de la queue sont gris foncé, les premie- 
res avec un foible liséré rouge de rouille. Les couvertures supe- 
rieures de la queue grises à pointes blanches, les plumes du sier- 
num blanches, 

_ Les pieds verds d’ olive, le doigt du milieu et le dernier plus 
foncés. 

Les pointes des ailes atteignent la pointe de la queue. 

Longueur 6 pouces À; envergure 15 pouces. 

H existe une différence remarquable entre le mâle et la fe- 
melle. Celle-ci a le front, les joues et le menton blancs; une raye 
blanche au dessus des yeux et tout autour un cercle gris, d’ où # 
étend une raye de la même couleur jusqu’ à l'oreille, Le dessous 
du col d’un blanc sale, avec nuance rouge de rouille, Le bas du 
corps gris cendré et les côtés blancs. Le sommet de la tête et le 
stapulaire gris noirätre, Les plumes du manteau lisérées d’une 
couleur de rouille plus vive, Les plumes de la queue gris rou- 
geätre avec bordure jaunätre ; les couvertures supérieures blanches 
parsemées de. petites taches grises. 

Le jeune mâle, dont nous offrons ici la figure , ressemble 
plus à une femelle qu’ à un mâle; excepté que les lisérés des plu- 


federn sind fast um das Drittel der Länge am Ende weiß ; die 
Schwanzfedern rôthlichgrau und die Dekfedern desselben weils 
mit einzelnen grauen F lecken. 


AUFENTHALT. 


Der rothhalsige Wassertreter wohnt in Sibirien in der Nach- 


barschaft des Caspischen Sees und in Scandinavien. Von einigen 


‚Weltumseglern ist er auch in Asien und Amerika angetroffen wor- 
den. In die Hudsonsbay kommt er zu Anfang des Junius, nach 
Grönland aber schon im April, und zieht im Sept. wieder weg. 
Auf seinem Zuge siellt er sich auf den Inseln des Balthischen Mee- 
res häufig ein. Im Sommer findet man ihn auch in Lappland, in 
Island, England, Schlesien, Oestreich und in den Maingegenden 


ist er ebenfalls, wiewohl in den leztern Ländern selten anzutref- 


fen. Er wohnt gern an den Ufern der Seen, Flüsse und Bäche, 
Das junge abgebildede Männchen wurde den 2ten Sept. 1805. am 
Main bei Offenbach erlegt. 


EIGENSCHAFTEN. - ® 


Gewöhnlich trift man ihn nur paarweise an. Seiner Nahrung 
halber sieht man ihn oft auf dem Wasser, jedoch mit wenig Ge- 
schiklichkeit, schwimmen. Untertauchen kann er gar nicht. Er 
ist nicht scheu, fliegt sehr schnell und läuft äusserst hurtig und läfst 
beim-Auflliegen ein sehr hohes, helles Schwirren hören. 


» 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus Wasserinsekten, nach welchen er bestän- 
dig im Schwimmen haschet, 


FORTPFLANZUNG. 


Das Weibchen legt vier Eier auf eine trockene Stelle der Ufer. 
In der Hudsonsbay ist die Legezeit in der Mitte des Junius. Im 
August verlassen die Jungen das Nest. 


NUTZEN. 


Sein Fleisch ist sehr wohlschmeckend und er wird deshalben 
in Wien mit andern kleinen Strandläuferarten auf dem Markte ver- 
kauft. | 

SCHADEN 
wissen wir keinen und eben so wenig kennen wir seine 
FEINDE. 


IAGD UND FANG. 


Da er nicht scheuist, so kann er leicht mit der Flinte er2 
legt werden. 


ı80 — ° 


mes du manteau sont d’une couleur plus vive; les plumes de vol 
du milieu sont blanches dans plus d’un tiers de leur longueur en 
avançant vers la pointe; les plumes de la queue gris rougeätre et 
ses couvertures blanches, avec quelques tâches grises isolées. 


PATRIE. 


Le Phalarope cendré babite sur tout la Sibérie, les environs de 
la mer caspienne, et la Scandinavie, Quelques naturalistes l'ont 
aussi trouvé en Asie et en Amérique. Il arrive dans la baye de 
Hudson au commencement de Juin et au Grônland déjà dans le 
mois d'Avril et il file en Septembre. Durant son passage on le voit 
s’ arrêter en grand nombre; dans les îles de la mer Baltique. En 
été on le trouve aussi dans la Laponie. On le rencontre &gale- 
ment en Angleterre, en Islande, dans la Silésie, l Autriche et mê- 
me, quoique plus rarement, dans les environs du Mein. Il séjour- 
ne volontiers aux bords des lacs, des fleuves et des rivières. Le 
jeune mâle représenté ici, a été tué le 2 Sbre. 1805, sur les bords 
du Mein prés d’Offenbach. 


QUALITÉS. 


On trouve communément ces oiseaux deux à deux. On les 
voit souvent nager en pleine eau, pour chercher leur nourriture, 
mais ils y montrent peu d'adresse; ils ne savent pas même plonger. 
Cet oiseau n’est point craintif, cependant sa course et son vol sont 
rapides. En s’ élevant il pousse un cri clair et perçant. 


NOURRITURE. 


Elle consiste en insectes aquatiques, qu’il poursuit sans cesse 
en nageant, 


PROPAGATION. 


La femelle dépose quatre oeufs dans un endroit see du rivage; 
Dans la baye de Hudson elle pond au milieu de Juin, Les jeu- 
nes quittent le nid au mois d’Aoüt, 


UTILITÉ. 


Sa chair est d’un très bon gôut et il se vend à Vienne au mar- 
ché, avec d’auires especes d’oiseaux aquatiques. 


DOMMAGE. * 


Nous ne saurions lui en imputer aucun et nous ne connois= - 
sons pas non plus ses 


EN NEMIS,. 
MANIERE DE LE CHASSER: 


Comme il n’est pas craintif, il est facile à tuer au fusil. 


DER WEISSTIRNIGE REGENPFEIFER, 


Alexandrinischer Regenpfeifer. Kantischer Regenpfeifers 
Charadrius albifrons, Nobis. À 
Charadrius alexandrinus: Lin. syft. nat, T. I. p. 253. Fem. 
— —  Gimel. Lin, syfl. nat. T. LP. II. p. 383. n. 2. Fem, 
— — Brünnichii Ornithologia borealis ete. p. 77: Fem. 
— — Hasselquift. Itin. p. 255. nr. 30? 
Charadrius Cantianus. Latham. 


Kentisch Plover. Lath, Gen. Syn, Sup. II. p. 316.3; 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mit weifser Stirn und weißem Halsbande, hell rostbraunem 
Hinterkopfe, mit einem schwarzen Flecken an den Seiten des Vor- 
derhalses; die zwei äulsern Schwanzfedern sind weils; der Schna- 
bel schwarz; die Fülse sehr dunkelbleifarben. 


LE PLUVIER A FRONT BLANC. 


Der weifsfliirnige Regenpfeifer. Alexandrinischer Regenpfeifer, ‘Kan- 

tischer Regenpfeifer. 
Charadrius albifrons. Nobis: 
Charadrius alexandrinus. Lin. syft. nat. T, I, p. 253. Fem, 

— — Gmel. Lin. syft. nat: T. I. P. I. p. 683. n. 2. Fem, 

— — Brunnichii ornithologia borealis etc, p. 77. Fem. 

— — Hasselquift Itin. p. 255. no. 30? 
Charadrius Cantianus. Latham. 


Kentisch Plover, Lath. Gen. Syn. Sup. II. p. 316, 3, 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Fi blanc et collier blanc; Pocciput brun de rouille clair, avec 
uue tache noire aux côtés de la partie antérieure du col. Les deux 
plumes extérieures de la queue blanches. Le bec noir, les pieds 
couleur de plomb très foncée, 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist schwarz; Augenstern nufsbraun ; auf der 
Stirn ein reinweifses Band, welches sich etwas verschmälert über 
dem Auge an der Seite des Hinterkopfes hinzieht; von dem Na- 
senloche an bis zu dem Auge und durch dasselbe über die Ohren 
weg ein schmaler , schwarzer Streifen; Kinn , Kehle, ein breites 
Band um den Hals, und der ganze Unterleib reinweils; an bei- 
den Seiten des Unterhalses ein großser, etwas gekrümmter, schwarz- 
brauner Flecken; Scheitel und Hinterkopf blafs rostroth; der gan- 
ze Oberrücken graubräunlich mit etwas hellern Federrändern, die 
obern Dekfedern der Flügel dunkel graubraun, die grofsen mit 
weifsen Spitzen, daher ein weifser Streifen auf den Flügeln; die 
Afterflügelfedern dunkelbraun, mit weifsen Spitzenrändern; die 
vordern vier Schwungfedern auf der schmalen Fahne dunkelbraun, 
auf der breiten heller; die übrigen einfärbig hellbraun; die fünf- 
te, sechste und siebente in der Mitte der schinalen Fahne mit ei- 
nem weifsen Flecken; der Schaft der ersten ieder ganz weils ; 
der Schaft der zweiten, dritten, vierten, fünften und sechsten am 
Grunde braun, dann weils, und an der Spitze wieder braun; von 
deu Federn der dritten Ordnung sind einige graubrauu mit breiten, 
weifsen Federrändern, einzelne sind ganz weils; obere Schwanz- 
‘dekfedern dunkelbraun, einige derselben weils ; die erste und 
zweite Schwanzfeder weifs, die dritte weils, bräunlich überlau- 
fen, die übrigen dunkelbraun; untere Schwanzdekfedern weifs; 
L'üfse ganz dunkelbleifarben fast schwarz ; Nägel dunkelbraun. 

Die Flügelspitzen reichen etwas über die Schwanzspitzen 
‚hinaus. s 
| Länge 61 Zoll; Breite 14 Zoll Pariser Mafs. 

Das Weibchen unterscheidet sich merklich von dem Männ- 
“chen; denn es fehlt ihm das schwarze Scheitelband und der 
schwarze Flecken an den Seiten des Halses, und statt des leztern 
zieht sich die graubraune Farbe des Oberhalses an den Halssei- 
ten herum. Eben so fehlt ihm auch der schwarze Streifen von 
der Schnabelwurzel an durch die Augen, und die Farbe ist an dic- 
sen Stellen, so wie auf dem Kopfe graulich roströthlich. 


AUFENTHALT. 


Er findet sich in Egypten am Kanal des Nils; in Rufsland an 
den Salzseen zwischen den Flüssen Argau und Onon; in 
Drontheim und in Norwegen; zu Kent in England; in ‚Ungarn, 
Oestreich und in den Maingegenden. Die sandigen Ufer derF lüs- 
se, vorzüglich aber der Landseen und Moräste auf welchen sich 
einige Sandflächen finden sind sein Aufenthaltsort. Im August 
1806 trafen wir ihn auf seinem Zuge ziemlich häufig am Main- 
ufer zwischen Frankfurt und Hanau an. Im Frühjahr haben wir 
ihn noch nicht bei uns entdeki. 


EIGENSCHAFTEN. 
Es ist ein ausserordentlich scheuer Vogel. Sein Geschrei ist 
ein hellklingendes dra, dra. 


f NAHRUNG. 
Diese besteht aus Wasserinsekten und ihren Larven. 
FORTPFLANZUNG. 


Da er nicht bei uns nistet und wir nirgends auch darüber et- 
was aufgezeichnet finden, so können wir bis jezt nichts weiter da- 
von sagen, ‘als dafs er in Ungarn am Neusiedlersee und andern 
Seen nisten muls, da er sich im Sommer daselbst aufhält 


NUTZEN. 


Wir haben sein Fleisch gegessen und es äusserst schmakhaft 
gefunden. 
“yyy 


DESCRIPTION. 


Lie bec noir, l'iris brun de noix; sur Îe front une bande d’un 
blanc net , qui s’ étend en se retrécissant par dessus Poeil jusqu’ 
aux deux côtés de l’occiput. Une raye noire, étroite commen- 
sank aux narines, passant près de l'oeil jusques par dessus les oreil- 
les. Lie meïton, la gorge, la large bande autour du col et tout le 
dessous du corps d’un blanc net. Au deux côtés du col inférieur 
une grande tâche brun noir un, peu irrégulière; le sommet de la 
iète et locciput rouge de rouille pâle; tout le manteau gris, bru-. 
Les cou- 
vertures supérieures des ailes gris-brun foncé, les grandes avec 


nâtre, égayé de lisérés un peu plus clairs aux plumes. 


pointes blanches, ce qui produit une raye- blanche sur les ailes. 
Les fausses pennes des ailes brun foncé, avec liséré blanc aux 
extrémités. Les quatre pennes de vol antérieures ont la barbe 
étroite brun foncé et la barbe large plus claire; les autres brun 
clair. Les cinquieme, sixieme et septieme portent une tâche blan- 
che sur le milieu de la barbe étroite. La tige de la première plume 
tout à fait blanche, les tiges des deuxieme, troisieme, quatrieme, 
cinquieme et sixieme brunes à leur-base et aux extrémités, blan- 
ches au milieu. Parmi les plumes du troisieme rang les unes sont 
gris-brun avec large liséré blanc, les autres absolument blanches. 
Les couvertures supérieures de la queue brun foncé et seule- 
ment quelques unes blanches. La premiere et la seconde plume 
de la queue blanches, la troisieme blanche nuancée de brunäire, 
les autres brun foncé. Les couvertures inférieures de la queue 
blanches. Les pieds tout à fait couleur de plomb foncé, pres- 
que noïrs; les ongles brun fonce. 
Les pointes dépassent quelque peu celles de la queue. 
Longueur 6 pouces 3. Largeur 14 pouces, mesure de Paris. 
U existe une différence remarquable entre le male et la fe- 
melle. Il manque à celle-ci la bande noire du sommet de la tête 
et la tâche noire aux côtés du col et au lieu de cette dernière le 
gris-brun de la partie supérieure du col descend sur les côtés du 
col. Elle na pas non plus la raye noire partan* de la base du bec 
jusqu’ aux yeux; la couleur de ces parties est rouge de rouille 


grisätre, comme celle de la tete. 


' PATRIE. 


On trouve cet oiseau en Egypte sur le canal du Nil; en Rus- 
sie sur les lacs salés entre les rivières ’Argau et d’Onon; dans 
la province de Drontheim et en Norwege; à Kent en Angleterre, 
en Autriche, en Hongrie et dans les environs du Mein. Il séjour- 
ne volontiers sur les bords sablonneux des rivières, mais surtout 
des lacs el des marais, qui offrent des bancs de sable unis. Au 
mois d’Aoüt 1806 nous en renconträmes une troupe assez consi- 
dérable, qui filoit entre Francfort et Hanau, sur les bords du Mein. 
Nous ne l’avons point encore appercu au printems dans nos en- 
virons. 


QUALITES, 


Cet oiseau est extrémement sauvage. Il pousse un cri fort et 
perçant en dra, dra. 


NOURRITURE. 
“Elle consiste en insectes aquatiques et leurs nymphes. 


PROPAGATION, 


Comme cet oiseau ne niche point dans nos contrées et que 
nous n'avons trouvé sur lui aucuns renseignemens, nous ne sau- 
rions en dire autre chose, si non qu’il niche sans doute en Hongrie 
sur le lac de Neusiedler, puisqu'il y passe Pete. 


UTILITÉ. 


Nous avons fait usage de sa chair et elle nous a paru avoir 
un goût tres délicat. 


en 


SCHADEN 


wissen wir von ihm keinen, 
FE INDE. 
Die Wander- und Wasserratte, der Iltis und die Sumpfweyhe. 
IAGD UND FANG. 


Mit Leimruthen läfst er sich leichter fangen als seiner Schön- 
heit wegen mit der Flinte erlegen. 


183 Pr; 


DOMMAGE 


I nous est impossible d’en indiquer aucun. Ses 
ENNEMIS 
sont les surmulots, les rats d’eau, les fouines et les bussards. 
MANIÈRE DE LE CHASSER. 


Attendu son extrême sauvagerie, il est plus facile de le prendre 
aux vergeltes, que de le tuer au fusil. 


DER KLEINE REGENPFEIFER. 


Curländischer Regenpfeifer. 
Charadrius minor. Nobis. 
Charadrius Curonicus. Beseke. Beiträge zur Naturgeschichte der Vögel Cur- 
lands. S. 66. n. 134 
Charadrius Curonicus, Gmel, Lin. syft. nat. T. I. P. II. p. 692. 
Der Sirandpfeifer. Naumanus Naturgesch. der Land- nnd Wasservögel etc, 
B. II. S. 100. Tab. XV. fig. 19, Männchen. 
Der Regenpfeifer mit dem Halsbande. Bechiteins ornithol, Taschenbuch, II. 
Th..S. 323. 4, 


KENNZEICHEN DER ART. 


D as schwarze Stirnband sehr schmal, das schwarze Scheïtelband 
senkrecht durch und weit unter die Augen herablaufend; die erste 
Schwungfeder mit einem weilsen Schaft; die ersie Schwanzfeder 
weils, mit einem rautenförmigen dunkelbraunen Flecken. Der 
Schnabel am Grunde der Unterkinnlade hellbraun, übrigens ganz 
schwarz. Die Fülse fleischroth etwas gelbbräunlieh überlaufen. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist schwarz, am Grunde der Unterkinnlade 
hellbraun; der Augenliederrand hoch zitronengelb; Augenstern 
dunkelbraun; vorn an der Stirn ein sehr schmales, schwarzes 
Band, welches am Grunde des Oberschnabels herab läuft, breiter 
wird, gerade über die Wangen geht, die Augen ringsum schmal 
begränzt, und sich mit dem senkrecht bis unter die Ohren herab 
laufenden schwarzen Scheitelbande verbindet; Hinterkopf und 
Nacken aschgraubraun, mit blassen rostrôthlichen Federrändern; 
Kinn und das um den ganzen Hals laufende Band weifs; unter die- 
sem ist ein schwarzer Halsring, welcher am Unterhalse breiter ist; 
der, übrige ganze Unterleib und die untern Dekfedern des Schwan- 
zes weils; der ganze Rücken aschgraubraun, mit blassen roströih- 
lichen Federrändern; die schmalen Afierllügelledern dunkelbraun; 
die erste Schwungfeder ‘mit einem weilsen Schafie, und so wie die 
zweite, dritte und vierte auf der sclimalen Fahne dunkelbraun, auf 
der breiten heller; die übrigen einfärbig aschgraubraun, mit ei- 


nem weifslichen Spitzenrande; cinige Federn der dritien Ordnung _ 


sind auf der schmalen Fahne weils; die obern Dekfedern des 
Schwanzes röthlich aschgrau, gegen die Spitzen hin ins Weilse 
übergehend; der Schwanz am Grunde aschgraubraun, gegen das 
Ende hin ins Schwarzhraune übergehend; die erste Feder weils, 
anf der breiten Fahne mit einem rautenförmigen, dunkelbraunen 
Fick und einem kleinen blafsbraunen Strich; die zweite weils, mit 
einem in der Mitte befindlichen, krummen, am Schaft herablaufen- 
den, hellbraunen und dann in einen auf der breiten Fahne sich ver- 
grölsernden, unten sichelförmig ausgeschweiften, dunkelbraunen 
Flecken; die übrigen Federn haben eine weilse Spitze, die den bei- 
den mittlern fehlt; die Füfse sind bräunlich fleischroth; die äufsere 
Zehe ist mit der mittlern durch eine Haut am ersten Gelenk ver- 


bunden; die Nägel schwarzbraun. 


LE PETIT PLUVIER. 


Der kleine Regenpfeifer. Curländischer Regenpfeifer. 

Charadrius minor. Nobis. 

Charadrius curonicus. Beseke. Beyträge zur Naturgesch. der vers Curlands. , 
S. 66. nr. 134. 

Charadrius enronicus. Gmel, Lin. syft. nat. T. I. P. IT, p. 692. 

Der Sirandpfeifer. Naumann Naturgesch, der Lan d- und Wasservôgel. B, 
II. S. 100. Tab. XV. fig. 19. Male. 

Der En mit dem Halshande, Bechfleins Ormilh. Taschenb, Th, II. 
5, 323. 4, 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


LE bande ‘frontale très étroite; la bande du sommet de la tête 
noire et perpendiculaïe, descendant (ort bas au dessous des yeux; 
la première penne de vol à tige blanche; la premiere plume de 
la queue blanche, marquée d’une tache brun foncé en lozange. Le 
bec ala base de la mandibule inférieure brun clair, du reste ab- 
solument noir. Les pieds couleur de chair, un peu nuancés de 
jaune brunätre. 


DESCRIPTION. 


Le bec noir, brun clair à la base de la mandibule inférieure; 
“ bordure jaune de citron foncé autour des paupières. * La partie an- 
térieure du front, ornée d'une bande noire, très étroite, qui des- 
cend en s’ élargissant vers la base de la mandibule supérieure, passe 
sur les joues, forme un cercle étroit autour des yeux et se réunit 
avec la bande noire du sommet de la tête, qui arrive jusques sous 
les oreilles, I occiput et la nuque gris-cendré brun, avec liséré 
des plumes rouge de rouille pâle. Le menton blanc ainsi que la 
bande qui entoure tout le col, Sous celui-ci une espece de col- 
Ler, qui s élargit vers le bas du col. Tout le reste du bas ventre 
et les couveriures inférieures de la queue blancs. Tout le man- 
teau gris cendré brun, avec bordure couleur de rouille pâle. Les 
plumes étroites des fausses ailes brun foncé. La première plume 
de la queue à tige blanche et comme la seconde, la troisieme et la 
qnatrieme brun, foncé sur la barbe étroite et plus clair sur la 
barbe large; les autres gris-cendré brun, avec liséré blanchätre ; 
quelques plumes dû troisieme rang sont blanches au côte étroit de 
la barbe. Les couvertures supérieures de la queue gris- cendré 
rougeätre, blanchissant vers la pointe. , Le fond de la queue gris- 
cendré brun, noircissant vers l'extrémité; la première plume blan- 
che sur la barbe large, avec une lache brun foncé en forme de lo- 
zange et une petite raye brun pâle; la seconde blanche, marquée 
au milieu d’une tache brun clair, irrégulière descendant sur la tige, 
puis d’une autre tache brun-foncé, qui va grandissant sur la barbe 
large, et qui est évidée par le bas en forme de faucille. Les au- 
tres plumes ont la pointe blanche, excepté les deux du milieu, Les 
pieds sont couleur de chair brunätre, le doigt extérieur, uni à la 
première arliculation par une membrane avec celui du Sa 
les as br un noir. 


Die Flügelspitzen endigen sich 3. Linien vor der Schwanz- 
spitze. 


Länge 6 Zoll; Breite 125 Zoll. Pariser Maß. 


Das Weibchen unterscheidetsich dadurch von dem Männ- 
chen, dafs es ein schmäleres weifses Stirnband hat, und der durch 
die Augen senkrecht herablaufende schwarze Streifen unter dem- 
selben schmäler und undeutlicher ist. 


AUFENTHALT. 


Er wird nicht bloß in Curland , sondern auch in Deutsch- 
land, namentlich auf einem Teiche bei Nürnberg, der Dutzend- 
teich genannt, und häufig an dem Rhein und Main angetroffen. 
Bei uns isterein Zugvogel, der sich im April und Mai einfindet, 
und im August und September wieder fort zieht, 
ge, mit etwas Gras bewachsene Ufer sind seine Lieblingsörter. 


EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ungemein schen und läuft mit beständiger Bewegung 
seines Schwanzes an dem Ufer auf und nieder. Oft entgeht er 
seinen Verfolgern dadurch, dafs er sich ganz stille zwischen Stein- 
chen niederdrükt. Seine Stimme ist bald ein helltönendes: dea, 
dea, bald ein gröberes: diu, diu. 

- ge lautet sie wie küh, küh, tull, tull, welche Silben er trillerar- 


Zur Parungszeit und im Flu- 
tig mit einander verbindet: Im Fluge hört man auch besonders 
die Töne: kek, kek, tre-eü, tre-eü, und dabei ein dem der 
Schwalben ähnliches Geschwirre. 


FOR'IPFLANZUNG. 


Sein Nest, welches nur aus einer kleinen Vertiefung besteht, 
"macht er bei uns in dem mit etwas Gras bewachsenen Sande auf 
die kleinen Inseln des Mains, auch wohl in die zunächst dem Was- 
ser gelegenen dürren Sand- und Brachfelder. Die drei bis finf 
birnförmigen, etwas gelblich weilsen, mit vielen kleinen braunen 
und grauen Punkten und Strichelchen besprenkelten Bier werden 
binnen zwei Wochen von dem Weibchen ausgebrütet. 


NAHRUNG. 
Diese besteht Er selten 5 een und kleinen 
Würmern. Aa, 
NUTZEN. 
Sein Fleisch schmekt sehr delikat. 
SCHADEN 
ist uns von Es Keiner bekannt. 
FEINDE, JAGD UND FANG. 
Alles wie bei Charadrius albifrons. 
VERSCHIEDENHRIT. 


Ein Männchen, das wir im Jul. 1805. erhielten, hatte über 
. den Augen einen weilsen Streifen, der sich bis hinter das Ohr hin- 
_ab zieht. Auchist das schwarze Halsband auf den Seiten des Un- 
. terhalses viel breiter und verschmälert sich etwas in der Mitte des 
.Halses. Ebenso ist auch der unter dem Auge befindliche Strei- 
. fen nicht schwarz, sondern. dunkelbraun. 


ANMERKUNG. 


Dieser Regenpfeifer ist zuerst von Beseke beschrieben und als 

ein hur in Curland lebender Vogel bekannt gemacht worden; da- 

her’ er ihm aueh den Namen Curonicus beilegte. Wie unpassend 

aber die Namen sind, welche aus dem Namen eines Landes ge- 
Az 22 


Flache sandi- 


Les pointes des ailes terminées, 5 lignes au dessus de celle de 
Ta queue. 

Longueur 6 pouces, envergure 12 pouces 3 mesure de Paris. 

La femelle se distingue du mâle, en ce que sa bande fron- 
tale blanche est plus étroite et que la rayure noire, descendant per- 
pendiculairement par les yeux est plus étroïie au dessous de ceux- 
ci et moins distincte, que dans le mâle. 


PATRIE. 


On le trouve non seulement en Courlande, mais aussi en Al- 
lemagne et spécialement sur un étang près de Nuremberg; appelé 
Dutzendteich, (les douze étangs) et en quantite sur le Rhin et 
le Mein. 
Avril et en Mai et qui part aux mois/d’Aoüt et de Septembre. Ses 


Pour nous c’est un oiseau de passage ui arrive en 
D 2 


endroits favoris sont des rivages sablonneux, couverts de quelque 
herbages. 


QUALITES. 


Cet oiseau est extrêmement timide. Quand il se promene le long 
d’un rivage, c’est avec un mouvement conlinuel de sa queue. Il 
échappe souvent an chasseur, en se tapissant tout à coup entre 
de petites pierres. Ila diflérens cris ; tantôt c’est un ton élevé en. 
dea, dea, tantôt plus bas diou, diou. Dans le tems de ses amours 
et en volant il fait entendre les sons de kuh, kuh, toull, toull, 
qu'il räpète en frédonnant. En volant il pousse souvent le cri de 
kek, kek, tre-eu, tre-eu, et ily entremêle un ramage semblable.à 
celui de l’hirondelle. | 


PROPAGATION. 


Son nid n’estautre chose qu’un petit enfoncement ; il l’éta= 
blit dans nos contrées sur du sable couvert d’un peu d’herbe, dans 
les petites îles du Mein et aussi tout uniment dans des lieux secs 
et sablonneux ou dans des jacheres voisines de l'eau. Ses oeufs 
au nombre de 5 à 5 ont la forme d’une poire et la couleur d’un 
blanc un peu jaunätre, marquée d’une quantité de petits points et 
traits bruns et gris. La femelle les couve durant quinze jours, 


NOURRITURE. 
Ile se compose d'insectes aquatiques et de leurs nymphes, 


ainsi que de petits vers. 


UTILITÉ 
Sa chair est une délicatesse. 


DOMMAGE, 


Nous ne saurions lui en imputef aucun. 


ENNEMIS, MANIERE DE LES CHASSER. 


Communs avec le Charadrius albifrons, 


’ , 
VARIETES. 

Un mâle, que nous reçumes en Juillet 1806 porte au dessus 
du yeux une raie blanche, qui se prolonge jusques derrière et au 
bas de l'oreille. Le collier qui orne les deux côtés de Ja partie 
inférieure du col est aussi beaucoup plus large et se retrécit un 


peu au milieu du col. La rayure, qui se trouve, au dessous de 
Voeil m'est pas non plus blanche mais brun foncé. 


OBSERVATION. 


„Ce charadrius a été décrit pour la 'premiere fois par Be- 
seke, qui nous Pa annoncé comme habitant la Courlande et :qui 
lui a en conséquence donné le surnom de Curonicus, Mais com- 
bien peu sont appropriées ces dénominations, tirees du nom d’un 


ww 


bildet worden, zeigt nicht nur dieser, sondern auch der in die- 
sem Heft befindliche Kentische Regenpfeifer. Wir gaben ihm den 
Namen Ch. minor, weiler unier den in Deutschland lebenden Re- 
genpfeifern der kleinste ist, 


/ 


Naumann in seinem sonst vortrefilichem Verk hat diesen Vo- 
gel in den meisten Stücken zwar genau beschrieben, aber die Far 
be des Schnabels und der Fülse, die Länge des Vogels, die Far- 
be der Eier und die Angabe seines Geschreies, alles dieses ge 
hört offenbar zu Ch. Hiaticula. Bei seiner Abbildung aber halte 
er unsern Ch. minor vor sich, dem er die Farbe des Schnabels 
von Ch. Hiatieula gab. Aus Bechsteins Anmerkung S. 223. im 
2 Theil seines Ornitholog. Taschenbuches erhellt ganz unleug- 
bar, dafs es nicht Charad. Hiaticula war, den er schofs und be- 
schrieb, sondern unser Char. minor. Einer der Verfasser schofs 
den 14. Jun. 1805. in Holland an der Nordsee mehrmals Ch. Hia- 
ticula; aber der Schnabel war stets von der Wurzel bis zur Mit- 
te gelb, und sicher war dieses doch in der Hekzeit dieses Vo- 
gels. 


DER HALSBAND REGENPFEIFER, 


Strandpfeifer. Sandregerlein. Uferlerche. Seelerche. Griesläufer. 
Seemornell. Kleiner Strandläufer. Ooftvogel. Kobelregerlein. 
Charadrius Hiaticula. Lin. syft. nat. T. I. pag. 253. n. 3. 

— — Hiaticula. Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. II. p. 683. 
Le Pluvier à collier. Fufon, 
The ringed Plover. Pennant. 
Der Strandpfeifer. Bechfteins gem. Naturgesch. B; III. S. 215. 
Der kleinfte Kiewit, Frisch Voritell. der Vögel Deutschl. Taf. 214. 


SDR ZEICHEN DER ART 


A der Sürn ein schwarzes und hinter diesem ein breiteres wei- 
fses Band, welches von einem schwarzen Scheitelband begränzt 
wird; um den Hals ein breites, weilses, und unter diesem ein 
schwarzes Halsband; der Schnabel von der Wurzel bis in die Mit- 
te und die Fülse orangegelb. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel an der Wurzel orangegelb, vorn schwarz; der 
Augenliederrand orangegelb; Angenstern nufsbraun ; über den 
Vordertheil der Stirn läuft ein schwarzes Band, welches sich mit 
den schwarzen breiten Streifen verbindet, der von der Wurzel des 
Oberschnabels bis zu dem Auge, über die Ohren bis in den Na- 
cken sich zieht; hinter diesem ein breiteres weilses Stirnband, wel- 
ches wieder von einem breiten, schwarzen, quer über den Schei- 
tel von einem Auge zum andern laufenden Band begränzt ist; der 


. Hinterkopfbräunlich grau; Kinn und ein breiter Ring um den gan- 


zen Hals weils; unter diesem zieht sich ein anderer schwarzer 


rings herum, nur ist er vorn breiter als hinten; der ganze Un- 
terleib weißs; der Rücken und obere Flügeldekfedern bräunlich 
_aschgrau, mit blassen, rostgelblichen Rändern ; die grofsen Flu- 


geldekfedern mit weilsen Spitzen, daher ein weißser Querstreifen 
auf den Flügeln; die Schwungfedern glänzend braunschwarz ; die 
Schäfte der vier erstern in der Mitte weils; die fünfte bis achte 
Schwungfeder mit einem weifsen Längsflek auf der schmalen Fah- 
ne; die zweite und die folgenden auf der Lreiten Fahne am Grunde 
weils; die Schwungfedern der dritten Ordnung graubraun , mit 
rostgelblich weifsen Rändern; der Schwanz etwas agerumndet, am 
Grunde graubraun, gegen das Ende hin dunkelbraun; die äufser- 


184 


pays, c’est ce que prouve non seulement cel oiscau, mais aussi le 
Charadrius de Kent, qui se trouve également dans ce cahier, Nous 
lui avons donné le nom de Charadrius minor , parce qu’il est en 
ellet le plus petit des Charadrius qui vivent en Allemagne. 


Naumann dans son ouvrage, d’ailleurs excellent, a livré une 
description de cet oiseau, exacte il est vrai, dans la plupart de 
ses parties, mais la couleur du bec et des pieds, la longueur du. 
corps, {la couleur des oeufs et soneri, tout cela appartient evi- 
demment au Charadrius Hiaticula. Dans la représentation il avoit 
sans doute sous les yeux notre Ch. minor, auquel seulement il a 
donné la couleur du bec du Ch. Hliaticula. Par la remarque de 
Bechsiein, dans son Manuel ornithol. pag. 225. 2. partie, il ap- 
pert évidemment que ce n’est point Je Ch. Hiaticula, qu'il a tué 
et décrit, mais notre Ch. minor. Un des collaborateurs de cet 
ouvrage tua le 14 Juin 1805, en Hollande au bord de la mer plu- 
sieurs Ch. Hiaticula; mais tous avoient le bec jaune depuis sa nais- 
sance jusqu'au milieu et cependant c’étoit surement l’époque de 
la couvée de cet oiseau. 


LE PLUVIER A COLLIER, 


Der Halsbandregenpfeifer. Strandpfeifer. Sandregerlein. Uferler- 
che. Seelerche. Griesläufer. Secmornell. Kleiner Strandläufer. Oostvogel. 
Kobelregerlcin. 

Charadrius Hiaticula, Lin. syft. nat. T, I. pag. 253. n. 1. 
— — Hiaticula. Gmel. Lin. syft. nat, T. I. P. IL. p. 683, 
Le Pluvier à collier. Buffon. 
The riuged Plover. Pennant. 
Der Strandpfeifer, Bechftein’s gem. Naturg. B. III. p. 215. 
Der kleinfte Kiewit. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Taf, 214. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Sur le front une bande noire et derriere celle-ci une bande blan- 
che plus étroite, bornde par un bandeau noir, venant du som- 
met de la tèle. Le col orné d’un collier blanc, large et au des- 
sous de celui-ci d’un collier noir, Le bec depuis sa naissance jus- 
qu au milieu jaune orangé, ainsi que les pieds. 


DESCRIPTION. 


Le bec à sa naissance jaune orangé, noir à la pointe. Les 
paupières jaune orangé; luis brun de noix. Le devant du front 
marqué d’une bande noire, qui va se réunir à la raye noire et lar- 
ge, qui s’ étend de la naissance de la mandibule supérieure, jusqu’ 
à l’ocil et par dessus les oreilles jusqu’ à la nuque, Derrière la 
première bande il s’en trouve une autre blanche et large, quiest 
renfermée à son tour par un autre bandeau large et noir, qui 
traverse le front d’un oeil à l’autre. L’occiput gris brunätre; le 
menton et un large cercle autour du col blancs; au dessous de 
celui-ci un autre cercle de la même circonférence, qui est plus 
large devant que derrière. Tout le basventre blanc, Le man- 
teau et les plumes des couvertures supérieures gris cendré bru- 
nätre, avec lisérés jaune de rouille pale. Les grandes couver- 
tures des ailes à pointes blanches, ce qui produit une rayure trans- 
versale blanche sur les ailes. Les pennes de vol brun noir lusire; 
les tiges des quatre premieres ont le milieu blanc; la cinquieme 
et les suivantes jusqu’ à la huitieme penne de vol portent une ta- 
che longueite sur la barbe étroite ; la seconde et les suivantes off- 
rent un fond blanc sur la barbe large; les pennes de vol du troi- 
sieme rang gris -brun, égaiées de lisérés jaune de rouille avec 
chatoyement blanchätre. - La queue un peu arrondie, le fond gris- 


we 1 85 


ste Feder weifs mit einem fast dreieckigen dunkelbraunen Rand- 
‚Slecken auf der breiten Fahne; die Füfse sind vier Linien über dem 
z sogenannten Knie kahl, bei den Alten orangegelb; die äufsere Se 
he ist mit der Mittelzehe am ersten Gliede ze) einer Haut verbun- 


den; die Nägel sind schwarzbraun. 


Die Flügelspitzen endigen sich eiwas vor der Schwanz- 
spitze. 


Länge 7 Zoll; Breite 15. Zoll. 

Das Weibchen unterscheidet sich dadurch von dem Männ- 
chen, dafs es aufdem Scheitel eine schmälere schwarze Querbin- 
de hat, und die schwarze Halsbinde auf dem Oberhalse schwarz- 


braun ist und auf dem Unterhalse sich ins Bräunliche verliert. 


Im Herbste haben die Jungen folgendes Kleid: 


Der Schnabelist am Grunde rostgelb, vorn schwarz; das er- 
ste Stirnband graubraun; das zweite weifse Stirnband zieht sich 
über den Augen weg; der Scheitel und Nacken graubraun, mit 
feinen rostgelblichen Rändern ; der unter dem weifsen Halsbande 
stehende Ring ist auf dem Oberhalse schwarzbraun, und bildet 
an den Seiten des Unterhalses zwei sehr grofse Flecken, welche 

“sich auf der Mitte desselben ins Bräunlichweïfse verlieren; alle 
Bückenfedern haben blasse rostgelbliche Ränder; einige Federn 
der dritten Ordnung sind weils, und haben gegen das Einde hin 
braune Flecken; die äufserste Schwanzfeder weils, auf der brei- 
ten Fahne mit einem braunen, fast dreieckigen Flecken, die zwei- 
te nur an der Spitze weils, übrigens bräunlich, mit einem dunk- 
lern ‚Flecken; die übrigen dunkelbraun , am, Grunde heller, die 
Spitze weils ; den beiden mittlern fehlt die weilse Spitze; die Fü- 


fse rostgelb. 
AUFENTHALT. 


Der Halsbandregenpfeifer lebt in dem nördlichen Asien, und 

in den nördlichen sowohl alsin den gemäfsigtern 'Theilen von 
Nordamerika, auch sogar auf Owaihi, einer der Sändwichinseln. 
In Europa bewohnt er alle Länder. In Deutsehland ist er gar 
nicht selten. Hier ist er ein Zugvogel , 
chaften von sechs bis zwölf Stücken im August allenihalben her- 
um streift, und uns zu Ende des Oktobers verläfst, Meist tritt er 
aber seine Reise einzeln und des Nachts an. Im März und April 
kommt er wieder zurük, und hält sich dann am liebsten an sol- 
chen Flüssen, Teichen und Seen auf, welche liche, sandige Ufer 


haben. 
EIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein scheuer Vogel, der bei Exblickung eines Menschen 
gleich davon Niegt. Im Fluge macht er kurze Absätze, Seine 
Stimme ist ein hellklingendes dea, zuweilen auch, besonders aber 
im Schrecken, ein gröberes diu. Im Fluge schreit er oft tull, 
tull. Alle folgende Eigenschaften hat der Char. albifrens und Ch. 
minor mit ihm gemein. Auf den Fülsen ist er äufserst schnell , 
und kannin kurzer Zeit eine lange Sireeke auf dem Kiesigen Ufer 

weglaufen. Im Stehen bewegt er beständig den Schwanz wie eine 
Bachstelze. - Zuweilen sezt er sich auf die Wassergewächse, im 
Fall sie ihn tragen können, mitien auf dem "Teiche nieder. Des 
Tages über schläft er mehrentheils in Uferhölen bis die Sonne 


untergeht; alsdann kommt er hervor und läfst seine Shinme hören, 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus allerhand Wasserinsekten, ihren Larven, 
“kleinen Wässerschnecken und Regenwürmern. In seinem Ma- 
gen findet man auch kleine Quarzkörner, die er ent weder mit der 
Nahrung hinunter schlukt, oder der Verdauung wegen zu sich 


nimmt. 
Aaaaa 


il se change en brunâtre. 


der in kleinen Gesell- - 


brun .et brun foncé vers l'extrémité ; la plume extérieure blanche 
avec une tâche brun foncé; presque triangulaire à l’extrénuté de 
la barbe large. Les tarses quatre lignes au dessus de l'articulation 
du genou Jaune orange, dans les vieux oiseaux; le doigt extérieur, 
se réunit à la premiere articulation, par une membrane avec le 
doigt du milieu ; les ongles brun noir. 

Les pointes des ailes dépassent un-peu celles de la queue. 
Longueur 7 pouces; envergure 15 pouces. 


La femelle diffère du mâle, en ce que la bande transver- 
sale noire du sommet de la tête est plus étroite et qu’elle a le col- 
lier du haut du col noir brun, au lieu de noir et que sous le col 


En automne les jeunes portent la livrée suivante. 


La base du bec est jaune de rouille , ifest noir à l’extrémité, 
Le premier bandeau frontal gris - brun; de second bandeau qui 
est blanc, passe par dessus loeil ; le sommet de la tête et la nu- 


que gris-brun, avec une fine bordure rouge de rouille. Tie cer- 
cle qui se trouyefau dessous du colliér blanc est brun noir au 
haut du col et forme aux deux côtés du col inférieur, deux gran- 
des tâches, qui vers le milieu prennent une teinte brunätre blan- 
che. "Toutes les plumes du manteau portent des lisérés jaune de 
rouille pale. Quelques 


ponctutes de tâches brunes à leurs extrémités. 


plumes du troisieme rang sont blanches et 
La dernière plu- 
me de la queue est blanche, avec une tâche brune presque trian- 
gulairé , sur la barbe large, La seconde plume n’a que la pointe 
blanche, du reste elle est brunâtre avec une tâche plus foncée. Les 
autres sont brun foncé, plus clair à la base, avéc extrémité blan- 
che; la pointe blanche manque aux deux du milieu, Les pieds 


jaune de rouille, 
P A TR IB. 


On trouve le Bade à collier dans l'Asie septentrionale, 
dans la partie du nord de PAmérique comme dans les régions tem- 
Il n’est 


Chez nous. c’est un oiscau de 


pérées et même sur l'ile d’ Owahiti, une des Sandwich. 
pofai du tout rare en Allemagne. 
passage , qui au mois d’Aöut rode de tous les côtés, par volées de 
5 à 12 individus. Il nous quitte en Octobre, mais alors c’est un à 
Il revient en Mars et 
à fréquenter les rivières, les lacs et les étangs, 


qui ont des bords unis et sablonneux, 


un et de nuit qu'il entreprend son voyage. 
en Avril ctil'aime 


QUALITES, 


Cet oiscan est exirömement timide et il s’ enfuit dès qu'il 
apperçoit un homme., Il fait de courtes pauses en volant. Son 
cri est perçant et exprime les syllabes dea , ‘qu'il change quel- 
que fois ayec diou , d’un ion plus bas, lorsqu'il est effrayé, En 
volant, il crie souvent toull, ioull. Toutes les qualités, suivantes 
lui sont communes avec le Char. albifrons et le Char. minor. Sa 
course à pied est res rapide et on le voit en uninstant parcourir 
un grand bout de chemin sur des rivages caillouteux, Lorsqu’ii 
s’ arrête, sa queue est dans un mouvement continuel, comme celle 
de la hoche-quene. Quelque fois il se pose au milieu d’un étang, 
D’ordi- 
naire il dort pendant le jour, dans des cavernes au bord du rivage, 
jusqu’ à ce que le soleil soit couché; alors il sort de sa niche et fait 
entendre sa voix. 


sur les plantes aquatiques, qui sont en état de le porter. 


NOURRITURE, 


Elle consiste en toutes sortes d’insect®& ‚ qui vivent. sur l’eau, 
et leurs nymphes, en petits ercargots et vers de terre. 
aussi dans son estomac de petits grains de gravier qu’il avale, soit 
avec sa nourriture, soit pour la digestion. 


On trouve 


FORTPFLANZUNG. 


Sein Nest findet man im Sande, Grase oder Schilf an dem 
Ufer, zuweilen aber auch etliche hundert Schritte weit yom Was- 
ser entfernt, auf dürren Sand- und Brachfeldern. Es besteht in 
einer kleinen, artig mit Steinchen ausgelegten Vertiefung. Das 
Weibchen legt drei bis fünf birnförmige , grünlichschmutzig gel- 
be Eier, welche mit vielen grofsen braunen Punkten und Stri- 
chen gesprenkelt sind, die es innerhalb zwei Wochen ausbrütet. 
Die Jungen führt die Mutter, sobald sie ausgekrochen sind, zum 
Wasser. Man sieht sie auch daselbst auf einer Klippe, oder ei- 
nem andern erhabenen Orte sitzen ; wo sie sich von den Alten 
füttern lassen. Die Jungen schen dem Charad. minor sehr ähn- 
lich, unterscheiden sich aber dadurch, dafs sie keine weifsen Fle- 
cken in den Flügeln haben, auch die äußerste Schwanzfeder ganz 
weils ist, n 


NUTZEN. 


Sein Fleisch hat einen vortreflichen Geschmak. Dadurch, 
dafs er viele Insekten wegfrifst, wird er ebenfalls nüzlich, Einen 


SCHADEN 


wissen wir von ihm nicht anzuführen, 
FEINDE 


hat er an dem Iltis und der Wasserratte, welche beide sei- 
ner Brut nachgehen, 


JAGD UND FANG, 


Wenn man ihn behutsam beschleicht, so kann man ihn schie- 
Tsen. Legt man an den Ort, wo er sich beständig aufhält, Re- 
genwürmer , und stekt Leimruthen herum, so kann man ihn bei 
einiger Vorsicht fangen. 


ANMERKUNG. 


Bechstein sagt in seinem Ornithologischen T'aschenbuch, dafs 
die Fülse, die man gewöhnlich gelb angibt, es nur im Kabinette 
werden, und der Schnabel nur nach der Paarungszeit gelb, in der 
Hekzeit aber bei Männchen und Weibchen schwarz sei; an Jun- 
gen sind die Füfse bleifarbig. Wer sieht nicht aus diesem Gan- 
zen, dafs Bechstein hier Char. minor and Char. Hiaticula unter- 
einander mengt ? Er sah wohl beide Vögel, wufste aber nicht, 
dafs es zwei verschiedene Arten sind. 


186 


PROPAGATION. 


N bätitson nid dans les roseaux, dans l'herbe ou sur le sable 
au bord de l’eau, quelque fois aussi à plusieurs centaines de pas 
du rivage, sur un sable aride ou sur des jachères. Ce n’est autre 
chose qu’un petit enfoncement, joliment garni de petites pierres,. 
La femelle y dépose de trois jusqu” à 5 oeufs, en forme de poi- 


res, verdätres et d’un jaune sale, qui sont parsemés d'une quan- 


tité de gros points et traits bruns. Au bout de 15 jours-les petits 
en sortent et à peine sont ils éclos, que la mere les conduit à l’eau. 
Oa les voit alors perchés sur un rocher ou sur un autre endroit - 
élevé recevoir la becquée de leurs père et mère. Les jeunes res- 
semblent beaucoup au Char. minor, excepté qu’ils n’ont point de 
taches blanches aux ailes et que la plume extérieure de la queue 
est absolument blanche. 


UTILITÉ. 


Sa chair est d’un goût excellent. Il est d'ailleurs utile, par 
Ja quantité d’insecies, dont il senourrit, Il seroit dificile de Pac- 


<user d'aucun 


DOMMAGE. 
Quant à ses 
ENNEMIS 


il les trouve dans la fouine et le-rat d’eau, qui sont avides de 
sa progéniture, 


MANIERE DE LE CHASSER. 


En Pepiant avec beaucoup de précaution, il est possible de le 
tuer au fusil. On peut aussi l’attraper, en répandant des vers de 
terre, aux lieux qu’il fréquente et en les garnissant de gluaux. 


REMARQUE. 


Bechstein prétend, dans son Manuel ornithologique, que les 
pieds de cet oiseau, qu’on dit ordinairement jaunes, ne le de- 
viennent que dans le cabinet et que le bec n'est jaune que dans 
le tems de ses amours, mais que durant la couvéeils sont noirs, 
dans le mâle comme dans la femelle et que les jeunes ont les pieds 
couleur de plomb. Qui ne voit à ces assertions, que Bechstein 
confond le Char: minor avec le Char. Hiaticula ? Il aura vu à la 
vérité ces deux oiseaux, mais il ignoroit que ce fussent deux es- 
peces différentes. 


DER BLAUFALKE. 
Steinhabicht.- 'Zwerghabicht. Merlin. Schmeïl. Schmierlem Sprenz- 
chen. Zwergfalk. kleiner Rothfalk. 
Falco caesius. Nobis. 
Falco Lithofalco. . 
Falco Aesalon, Gmel. Linn. syft. nat, T. I. P. I: pag, 278. n 105. T. T. 
P. I. pag. 284, n 218, 
Rochier. Buffon. 
Stone Falcon. Latham Synops: I. 1. pag. 93. 
Der Baumfalk. Frisch Vorttellung der Vögel Dentschl. Tab. LXXXVIL 
Weibchen. 
Der Steinhabicht, Bechfleins Ornith, Taschenb. I. S. 32. nr. 25, 
Ziwerghabicht. Bechft. Ornith: Taschenb. 1. S. 31. nr. 24. 
Der Merlin, Naumanns Naturgesch. der Land- und Wasservögel ete. TR. 
4, 8. 139. Tab: XV. fig, 04. 
Bechfleins gemeinnützige Naturgesch Deutschl. 2te Aufl. Th. 2. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen. Füfe und Wachshaut gelb; Scheitel, Oberleib und 
‘Schwanz bläulich grau, mit schwarzen Schaftstrichen; lezterer 
mit fünf etwas unregelmäfsigen schwarzen Querstreifen , einer 
breiten schwarzen Binde und weiïfsen Schwanzspitze; der Un- 
terleib röthlich weißs, mit dunkelbraunen Schafistrichen und: 
Flecken! 


Weibehen. Oberleib dunkelbraun, mit rostrothen Rändern; 
Schwanz rostrôthlich, mit fünf schwarzbraunen Querstreifen,. ei- 
nem breiten Bande mit roströthlich: weilsen Federspitzen;- 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel bläulich, gegen die Spitze schwarz; der Ober- 
schnabel mit einem scharfen Zahn, der in dieKerbe der Unterkini- 
lade passet ; der Rachen bläulich; die Zunge bläulich, nach unten 
gekrümmt, rimmenfôrmig, vorn mit zwei Spitzen ; die Wachshaut und 
Augenliederrand gelb ; der Augenstern nufsbrauri, Scheitel und 
Hinterkopf dunkelbläulich grau , mit schwarzen Schafistrichen 
und schwachen rostbraunen Rändern; der Nacken bildet ein hal- 


bes Halsband und ist rostroth mit schwarzen’Schafillecken ; Ober- 


rücken bläulichgrau mit schwarzen Schafistrichen; die obern Dek- 
federn der Flügel dunkelbläulichgraumit schwarzen Schaftstrichen; 
die grolsen Dekfedern gegen das Ende schwarz mit grauweifsen 
Spilzerirändern; die Schwungfedern auf der schinalen Fahne grau- 
schwarz, auf der breiten Fahne grauschwarz , mit acht weif- 
sen Querstreifen , einige der mittlern Schwungfederh haben auf 
der schmalen Fahne drei graue rundliche Flecken; die schmale 
und gröfstentheils auch die breite Fahne der Hintern Schwungfe- 
federn bläulichgrau; die breite Fahne der ersten und zweiten 
Schwungfeder gegen das Ende hin ausgeschweift; der Unterrü- 
cken bläulichgrau mit fünf schwarzen Querstreifen auf der brei- 
ten. Fahre und einem breilen von einer weifsen Spitze begränz- 
ten schwarzen Bande, die zwei mittlern Federn , haben nur ei- 
nige zum Theil verloschene schwarze rundliche Flecken; die 
üunterñ Dekfedern der Flügel sind am Flügelrande rostgelblich » 
mit lanzetilörmigen braunen Schaftllecken, die übrigen Dekfe- 
dern sind rostbraun, mit grofsen und kleinen länglichrunden 
weilsen Flecken; die Wangen sind roströthlich weils mit schwarz 
Zweiter Band. 


LE ROCHIER: 


Blahfalke; Steinhabicht. Zwerghabicht. Merlin. Schmerl: Schmierleir, 
Sprenzchen. Zwergfalk. Kleiner Rothfalk, 

Falco cacsius. Nobis.- 

Falco Lithofalco. 

Falco Aesalon. Gmel, Linn, syft. nat. T. I. P.T. p.278. u. oT I. P. À 
‘p. 284. m, 118, 

Rochier. Buflon. 

Stone Falcon. Latham. Synops. 1.1. pag: 93. 

Der Baumfalk: Frisch Vorftellung der Vögel Deutschlands. Tab, LXXXVIE 
femelle. 

Der Steinhabicht. Bechfteins Ornithol. Taschenbuch. I. p. 32. n. 25. 

Zwershabicht. Bechfleins ©. T. I. S. 31. n. 24. 

Der Merlin, Naumanns Naturgesch. der Laud- und Wasservôgel ete. Th. 
4. 5. 139. Tab. XV. fig. 24, j 

Bechfleins gemeinnützige Naturgesch, Deutschl. 2te Auf, Th, 2, 


CARAËTÈRES SPÉCIFIQUES: 


Le mâle Les pieds et la membrane jaunes. Le sommet de la 
tête, le manteau et la queue gris bleuâtre, avec des rayes noi- 
res sur la tige, La queue, transversalement rayée de cinq bandes 
irregulieres noïres, avec une large: bande noire et ses extrémités 
blanches: Le bas ventre blanc roug£atre, entremel& de rayes et 
de taches brun foncé sur la tige. 

La femelle. Le manteau brun foncé, avec bordure rouge de 
vouille. La queue couleur de rouille rougêatre avec cinq rayes 
transversales brun noir et une bande large, les pointes des plumes. 
blanches et rouille rongeätre, 


DÉSCRIPTEON. 


Le bec bleuätre et noir vers son extrémité. La mandibule 
supérieure, armée d’un crochet aigu, qui s’emboite dans le cram 
de la mandibule inférieure. Le gosier'et la langue bleuätre, cel- 
le-ci recourbée eu dessous, en forme de laniere ayec deux poin- 
tes à son extrémité. Le céra et la bordure des paupières jaunes, 
Viris brun de noix, Le sommet de la tête et l’occiput gris- brun, 
tirant sur le bleuätre, les tiges’ des plumes, rayées de noir avec 
bordures de rouille bruniätre très lay&es. La nuque offre un de- 
ii-coilier couleur de rouille, ayec des tâches noires aux tiges. 
Le manteau gris bleuâtre, les tiges, tachetées ou rayées de noir. 
Les couvertures supérieures des ailes d’un- bleuätre foncé tirant 
sur le gris, avec rayes noires sur les tiges.. Les grandes couver- 
tures des’ ailes sont noires vers leurs extremités, avec lisérés gris- 
blanc à la pointe. Les grandes pennes de vol gris< noir aux 
barbes: étroites, avec huit rayes transversales blanches; quelques 
pennes du milieu offrent sur le côté étroit des barbes trois taches 
rondes’ et grises; la barbe étroite et la plus grande partie de la 
barbe large des dernieres pennes de vol sont d’un gris bleu. Be 
large côté de la barbe des premiere’ et seconde pennes de vol sont 
arquées vers l’extrémite. La partie inférieure du dos gris bleu- 
älre avee cinq rayures transversales noires, sur la barbe large est 
une large bande noire , “terminée par une pointe blanche. Les 
deux pennes du milieu n'ont que quelqu#s taches rondes d’un noir 
très pale. Les couvertures inférieures des ailes sont d’un rouille 
jaunâtre , la tige couverte de taches brunes en forme de lancet- 
tes; les autres couvertures sont d’un ‘rouille brun, avec des ta- 
ches blanches ovales, tanidt grandes, tantôt petites. 


A 


Les joues 


m 


braunen Schaftstrichen; Kinn weifs; Unterhals ; Brust, Bauch, 
und untere Dekfedern des Schwanzes roströthlich weifs, am Un- 
terhalse, auf der Brust und an den Seiten mit rostbraunen Längs- 
flecken und schwarzen Schäften, die untern Schwanzfedern mit 
schwarzen Schafistrichen; die Schenkelfedern { Hosen) roströth- 
lich mit schwarzen Schaftstrichen; die Fülse ockergelb, die Nä- 
gel schwarzbraun. Die Flügelspitzen endigen sich einen Zoll 
vor der Schwanzspitze. 

Länge 104 Zoll, Länge des Weibchens 11 Zoll, Breite 23 
Zoll Paris. Mfs. 

Das zweijährige Weibchen, welches hier abgebildet und 
unter dem Namen Falco Aesalon L. bekannt ist, hat folgende 
Scheitel rostroth mit häufigen schwarzen 
Schafistrichen; der Nacken, welcher das halbe Halsband bildet 
roströthlich mit wenigern und feinern schwarzen Schafistrichen ; 


Farbenzeichnung : 


Oberleib graubraun mit schwarzen Schaftstrichen und rostrothen 
Rändern; Schwungfedern schwarzbraun, auf der breiten Fahne 
mit mehrern rostroihen Querflecken, auf der schmalen Fahne 
mit wenigern rundlichen rostrothen Flecken ; Schwanz dunkel- 
braun, mit fünf deutlichen rostrothen Querstreifen ; die Spitze 
rostrüthlichweifs ; über den Augen ein röthlichweifser Streifen ; 
Wangen rostgelblich mit feinen braunen Schaftstrichen, die vom 
Schnabelwinkel am Halse herab etwas dichter stehen und einen 
Brust und Bauch 
roströthlichweifs mit vielen rostbraunen Längsllecken, auf den 


Streifen bilden, die Kehle roströthlich weifs. 


Seiten einige Querstreifen; Schenkel roströthlich mit schmalen 
lanzettförmigen braunen Schaftstrichen ; die untern Dekfedern 
des Schwanzes roströthlichweils mit wenigen‘ schmalen lanzett- 
förmigen braunen Schafistrichen; die untern Dekfedern der iu- 
gel sind wie beim Männchen. In Ansehung der Grôfse fanden 


wir keinen merklichen Unterschied. 


AUFENTHALT. 


Ir bewohnt Amerika,’ die Caraibischen Inseln und Euro- 
pa. in Deutschland irift man ihn in Fhüringen, im Anhaltischen, 
in Franken, in den Rhein und Maingegenden etc. an. Hier ist 
er ein Zugvogel, der im September ankommt, in Oktob. No- 
vemb. und auch wohl in gelinden Wintern hier bleibt. Wir tra- 
fen ihn auch im Dezember 1804. bei 10 Grad Kälte an. Im 
Summer wird er selten gesehen. Er scheint daher bei uns gar 
nicht zu brüten, Seine Standorte sind Gebüsche, weniger das 


freie Feld. 
EIGENSCHAFTEN. 


der aber auch bei 
Sein Flug 


Er ist ein scheuer und beherzter Vogel, 
Verfolgung seines Raubes oft sehr unvorsichtig ist. 
ist ausserordentlich schnell, daher er auch leicht die kleinen Vö- 
gel im Fluge ergreifen kann, auf welche er aus der Höhe her- 
ab in schiefer Richtung stôfst Man sieht ihn aber auch oft dicht 
über der Erde weg nach seinem Raube fliegen. Gröfsere Vö- 
gel, als Drosseln scheint er nicht anzufallen. Sein Muth verleitet 
ihn jedoch zuweilen auf gröfsere Vögel zu fallen, die er nicht 
überwältigen kann. So sah Naumaun einst einen Blaufalken 
zweimal auf seine Lokgans stoßsen. Wenn sich kleine Vögel 
gut auf die Erde drücken Können , so werden sie gewöhnlich 
von ihm übersehen. Er läfst sich leicht zähmen und zur Vögel- 
iagd abrichten. Sein Geschrei gleicht fast völlig dem des Thurm- 
falken. Die zahmen, welche wir in der Gefangenschaft hatten, 
ließen wenn sie frafsen, auch noch eine besondere Stimme, die 


-sont rouge de rouille päle avec des täches brun noir sur la tigez 
le menton blanc. Le bas du col, la poitrine, le ventre et les cou- 
vertures inférieures de la queue rouge de rouille pâle; le bas du 

la poitrine et les côtés entremélés de taches brun de rouil- 
le, en longueur et les tiges noires. Les plumes des cuisses ou cu- 
lottes sont rouge de rouille et la tige rayée de noir. Les pieds cou- 
leur d’ocre, les ongles brun noir. Les pointes des ailes finissent 
à un pouce de l'extrémité de la quene, 

Longueur du mâle 10 pouces £, 
envergure 25 pouces, mesure de Paris. 

La femelle âgée de 2 ans, représentée ici ‘et qui est connue 
sous le nom de Falco Aesalon L. offre les couleurs suivantes. Le 
sommet de la tête est rouge de rouille, avec une quantité de ta- 
ches noires sur les tiges; la nuque du col, qui forme la moitié du 


collier, offre des taches noires plus fines et en moindre quantité 


dela femelle 11 pouces; 


sur les tiges. La partie antérieure du corps est d’un brun gris, 
avec des rayes noires sur Jes tiges et bordure couleur de ruuille, 
Les pennes de vol sont brun noir à la barbe large, entremêlées de 
plusieurs taches transversales rouge de rouille; la barbe étroite 
offre moins de taches et elles sont rondes et couleur de rouille 
rouge. La queue brun foncé, marquée de cinq rayes transversa- 
les très distinctes; la pointe d’un blanc, tirant sur le rouge de 
rouille. On observe au dessus des yeux une raye blanchätre ti- 
rant sur le rouge derouille; les joues jaune de rouille, parsemé de 
fines. rayes brunes sur les tiges; celles qui descendent du coin du 
bec vers le col sont plus fréquentes et forment une bande. La 
gorge rouge de rouille pâle; la poitrine et le ventre de la même 
couleur, mais parsemce de beaucoup de taches longucites brun de 
Bes: avec quelques rayes iransversales sur les côtés. Les cuis- 
ses rouge de rouille, rembruni par quelques taches longuetiesbru- 
Les couvertures infe- 
rieures des ailes ressemblent à celles du mâle. Quant à la taille 


nes et en forme de lancettes sur les tiges. : 


il y a très peu de différence, 


PATRIE 
Cet oiseau habite l'Amérique, les iles Carabies et l'Europe. In 
Allemagne on le irouye dans la Thuringe, au pays d’Anhalt, en 


Franconie, et dans les contrées du Rhin et du Mein, Ici c’est um 
oiseau de passage, qui afrive en Septembre, et qui y séjourne les 
mois d'Octobre, de Novembre et même tout P’hyver,quand cette sai 
son n’est pas rude. Nous l’ayons même rencontré en Decembre 
1904, par un froid de 10 dégrés. On l’apperçoit rarement en été; 
ensorte qu'il en paroit pas couver chez nous. Il aime à se tenir 


dans les buissons, rarement ne pleine campagne. 


QUALITÉS 


Cet oiseau est irès sauvage cependant {rès courageux, mais 
aussi étourdi; ce qu'il montre souvent contre ses ennemis. Son vol 
est très rapide, ce qui le met en ctat d’attrapper aisément les pe- 
lits oiseaux, dans sa course, en plongeant du haut en bas sur eux 
en ligne diagonale. Un le voit aussi quelque fois raser la terre 
de très près pour chercher sa proie, Il ne paroit pas, qu'il s’at- 
taque à de plus gros oiseaux que les merles, Cependant son cou- 
rage l’entraine parfois à tomber sur de plus gros volatiles, dont il 
ne sauroit venir à bout. C’est ainsi que Naumann vit un jour, un 
tel rochier attaquer deux fois son oje d’appeau, Lors que les pe- 
ils oiseaux s’accr oupissent tres près de terre, il passe ordinai- 
rement sans les appercevoir. Cet oiseau est facile à apprivoiser et 
à dresser pour la chasse. Son cri ressemble presqu’entièrement à; 
celui de la cresserelle. (Ceux, que nous avons tenus en captivité, 


faisoient encore entendre, quand ils mangeoient, un autre son, 


= 


Wie zak lautete und ein Wohlbehagen auszudrücken schien. Sein 

Gang ist schreitend. Bemerkt er einen Gegenstand in der Fer- 

ne, so nikt er mehrmals mit dem Kopfe gerade so, als wenn er 

den bemerkten Gegenstand recht ins Auge fassen wollte. 
NAHRUNG. 

Diese besteht aus allerhand kleinen Vögeln z. B. Finken, 
Zeisigen, Goldammern, vorzüglich aber Lerchen. Die Sperlin- 
ge holt er sogar unter den Dächern hervor. Unsere Gezähmten 
frafsen aufser dern Ochsenherz auch Mäuse. Ihre Frefsbegierde 
war nicht gering. So nahm einst der Eine einen Bandspecht (Pi- 
cus_maior) zu sich, an dem er ohne auszuruhen so lange frafs , 
bis er damit fertig war, und gleich nach dieser Mahlzeit verzehr- 


te-er wieder eine Kohlmeise, Merkwürdig ist, dafs sie allemal . 


sich über den Kopf zuerst ker machen, welches mehrere andere 
Raubyôgel freilich auch thun. Seine 


FORTPFLANZUNG 


ist noch einigermassen in Dunkelheit gehüllt. Sein Nest 
soll er in ebenen und gebirgigen Waldungen auf hohen Fich- 
tenbäumen anlegen, und dieses soll aus Reisern, Moos und 
"Fhierhaaren bestehen. Das Weibchen soll 5 — 6‘ weifsliche mit 
Braun besprizte Eier legen. 
NUTZEN 


stiftet er dadurch, däfs man ihn zur Lerchenjagd abrichten 
kann, und daf er Feldmäuse frifst. 


SCHADEN 
richtet er unter den kleinen Vögeln an: 
FEINDE 
wissen wir von ilım nicht anzuführen, 
IAGD UND FANG 


Da er schen ist, so läfst er den Jäger nicht leicht in die 
Schufsweite kommen. Auf der Krähenhütte und auf dem Ler- 
éhenherd wird er am leichtesten geschossen und gefangen. 


ANMERKUNGEN. 


Es ist uns gelungen, die Dunkelheit, welche in den Schrif- 
fen der Ornithologen über den F, Aesalon und den F. Lithofalco 
lag, aufzuhellen. Wir hatten mehrere der erstern Art über zwei 
Jahre lebendig, und endlich das Vergnügen zu sehen, dafs in 
dem dritten Jahr F. Aesalon in den Steinfalken übergeht. Wir 
haben das Männchen gerade so , wie es in der Mauser war und 
den Uebergamg machte, auf der einen Tafel abbilden lassen. 
Ob zwischen dem ganz alten Weibchen und dem Jungen im er- 
sten Jahr noch eine Verschiedenheit statt findet, und welche ? 
können wir noch nicht sagen, da wir bisher noch keine Gele- 
genheit hatten, Erfahrungen zu sammeln. Unsere Vermuthur- 
gen wollen wir so lange zurük halten, bis wir von der Richtig- 
keit oder Unrichtigkeit derselben überzeugt sind. Pennant sagt 
in seiner Brittischen Zoologie, dafs das Weibchen an Gröfse dem 
Männchen gleiche. Bechstein widerspricht dieses, weil es eitie 
Ausnahme von der Regel sei, nach welcher alle Weibchen der 
Falken gröfser als die Männchen sind. Wir mülsen nach unsern 
Erfahrungen der Bechsteinischen Behauptung beitreten. 


Bei einigen Exemplaren, die wir im Herbste erhielten, be- 
merkten wir; dafs beimanchen Exemplaren die Federränder auf 
dem Rücken deutlich rostroth, bei andern aber undeutlich und 

Zweiter, Band: L 


5 


— 


ressemblant au mot zak, et qui avoit l’air d’exprimer leur bien- 
aise. Ce faucon au lieu de sauter ou trotter, marche. S'il ap- 
perçoit quelqu objet de loin ; il porte plusieurs fois la tête en 
avant, comme s'il vouloit l’examiner. 


NOURRITURE. 


Elle consiste en toutes sortes d’oiseaux, tels, que pincons, 
sansonnets, bruants, mais de préférence em’alouettes. Il va cher- 
cher les moineaux, jusques sous les toits. Ceux que nous avions 
apprivoisés, outre du‘coeur de böeuf, mangeoient aussi des souris, 
Ils étoient d’une grande voracité: L’un’d’eux s’empara un jour 
entr’autres d’un pic varié, (Picus major) qu’il s’amusa à dépécer 
sans interruption, jusqu’ à ce qu’il fut entièrement dévoré et in- 
cessamment après ce repas, ilen fit autant d’une grosse niésange, 
Ce qu'il y a de remarquable, c’est qu’ à l'exemple de plusieurs 
autres’ oiseaux de proie, ils commencent toujours par la tête. Sa 


PROPAGATION 


est en quelque sörte encore couverte du voile du mystere. On 
pretend, qu'il pose son nid sur des pins élevés, dans la plaine et 
dans les pays montagneux ; il est composé de branches d'arbres 
séches, de mousses et de poils d’animaux. La femelle pond 5 à 6 
oeufs blanchâtres, parsemés de taches brunes. Son 


ÜTILITÉ 


consiste en ce qu’il mange les rats des champs et qu’on peut 
le dresser A la chasse des alouettes. Il cause dw 


DOMMAGE 
en dévorant les petits oiseaux. 


ÉNNEMIS. 


Quant à ses ennemis, nous ne lui en connoissons d’autres 


que l’homme. 
CHASSE, 


Comme il est très sauvage, il laisse rarement approcher le 
chasseur, à la portée du coup de fusil. C’est en prenant les alouet- 
tes à la pipée, ou audilet, qu’ il est plus facile de l’attraper, ou de 
le tuer. 1 \ 5 

OBSERVATIONS. 

Nous sommes parvenus à éelaircir l’obscurité, qui régnoit en- 
core parmi les ornithologistes touchant les deux espèces F. A e- 
salon et F. Lithofalco. Nous en ayons gardés vivans plu- 
sieurs de la première sorte et nous avons eu le plaisir d'observer, 
que dans la troisième année ces individus ont pris la livrée du 
T,ithofalco. Le mâle est représenté sur l’une des planches, 
tel, quil etoit au moment de la mue etde sa transmutation. Nous 
ne saurions indiquer, s’il existe encore une diflérence entre la toute 
vieille femelle et le jeune d’un an, puisque jusqu’ à présent nous n’a- 
vons pas eu d'occasion de faire des expériences. Nous nesfaisons 
aucun usage de nos présomtions, jusqu’ à ce que nous soyons 
parfaitement convaincus de leur justesse, ou de leur faussete. Pen- 
nant dans sa Zoologie Britannique prétend, que la femelle est égale 
au mâle en grandeur. Il est contredit par Bechstein, parceque 
ce seroit une exception à la regle générale, par laquelle toutes 
les femelles des faucons sont plus grandes que les mâles. D’après 
nos propres observations, nous ne pouvons qu’adopter l’opinion de 
Bechstein. | 

Nous avous observé à quelques exemplaires, qui nous sont 
parvenus en automne, que quelques uns avoient les bordures des 
pennes du dos d’un rouge de rouille très marqué et que d’autresles 
B 


schmäler waren. Erstere hattéñ auch überhaupt und besonders“ 


auf, dem, Unterleibe mehr Rostfarbe. 


schlechtsverschiedenheiten zu sein. 


Uns scheinen sie Ge- 


Zeugungstheile dieser Herbstexemplare konnten wir ebenfalls zu 
Keiner Gewilsheit gelangen, weil wir keine Spur derselben fan:- 
den. Es waren wahrscheinlich Junge. 


Bei der Untersuchung der 


— 


aYoïent plus lavées et plus étroites. Les premiers offroient en géné- 
ral et surtout au bas ventre plus de couleur de rouille, Mais ces 
différences nous paroissent provenir de celle'des sexes. En exami- 
nant les parties génitales de ces individus d’automne, nous n’avons 
pu également acquérir aucune certitude, parceque ces parties 
n’cioient pas visibles. Vraisemblablement que c’étoient des jeunes. 


DER DUNKELBRAUNE WASSER- 
LÄUFER., 


Sirandschnepfe. Roihbein. Geflekter Wasserläufer. Geflekte Pfuhlschne- 
pfe. Geflekte Strandschnepfe. 

J Wasserläufer. Schwimmschnepfe. 

Totanus fuscus. Bechftein Ornithol. Taschenb. Th. II. S. 286, nr. 3. 

maculatus. Bechfleii Ornith. Taschenb, Th. I. 8. 284. ar. 1; ° 

natans. Bechflein. 'S.-286. nr. 4. 

Scolopax fusca. Lin. syft. nat. I. p. 243. nr. 5. 

— — Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. IT. pag. 657. 

©? — — Totanns Lin. L p. 245. Gmel. Lin. T. I. P. If: p. 665, 

Frisch, Vögel.t. 236. (alter Vogel.) 

La Barge brune. Buflon. ; 


— _— 


Dusky Snipe. Aret. Zool.-p. 471. nt. 6. 
Der grofse Rothschenkel. “Naumann Naturéesch, der Land- und Wasseï- 
vögels B, III: S: 36. 1,8 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mit schwarzbraunen — in’der Jugend unten rothen, — an der 
obern Spitze merklich gebogenem Schnabel; dunkel rothbrau- 
nen — in der Jugend orangerothen, — Füfsen; schwarzbraunem 
Oberleibe, mit weifslichen Randflecken; und dunkel röthlichasch- 
grauiem Unterleibe, mit weifslichen feinen Federrändern. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist zwei Zoll, 2 Linien lang, schwach; gerade, 
schwarzbraun; der Unterschnabel ai Grunde fleischfarbig; der 
Oberschnabel an der Spitze etwas abwärts gebogen und glatt; der 
Augenstern bräunlich gelbroth; der Augenrand weifs; Kopf ein- 
färbig braun; Oberhals graubraun mit feinen weilsen Rändern; 
Rücken schwarz oder schwarzbraun mit weilsen Rand- und Spi- 
izenflecken ; die Schwungfedern dunkelbraun inwendig am hell- 
sten, am äufsern Rande und einige der kürzern an beiden Fahnen 
grau geflekt; der Unterrücken weils; der Schwanz braun, in die 
Quere weifslich gestreift, Wangen, Kehle, Vorderhals , der 
ganze Unterleib und die Schenkel dunkel röthlich aschgrau mit 
feinen weilsen Rändern ; die Fülse dunkel röthlichbraun. 


Die F lügelspitzen reichen etwas über die Schwanzspitzen 
hinaus. 

Die Länge ist 11 Zoll; Breite ı Fufs 93 Zoll Pariser Mfs. 
Zwischen Männchen iind Weibchen ist kein Unterschied. In der 
Jugend hat dieser Vogel, wie auch aus der Kupfertafel zu erse- 
hen ist, folgendes Kleid: 


Der Oberschnabel schwarz hornfarbig, an den Nasenlöchern 
grünlichschwarz, der Unterschnabel am Grunde orangeroth ; der 
Augenstern dunkelbraun; über den Augen ein weilser Streifen; 
Scheitel graubraun , mit einzelnen feinen weilsen Strichelchen ; 
von dem Grunde des Oberschnabels bis an die Augen eine grau- 
braune Linie; die Wangen weils, mit braunen Strichen; die 
Kehle weils; der Unterhals weils mit vielen dunkelbraunen Fle- 


Geflekte Schnepfe. Schwimmender ' 


LA BARGE BRUNE. 


Dunkelbrauner Wasserläufer. Strandschnepfe. Rothbein. Geflekter Was- 
serläufer. Geflekte Pfahlschnepfe. Geflekte Strandschnepfe. Ge- 

__ flekte Schnepfe. Schwimmender Wasserläufer. Schwimmschnepfe. 

Totanns fuscus, Bechftein Ornithol. Taschenbuch. Th.-H. S. 286. nr. 3. 

maculatus. Bechftein Ornith. Taschenb. 'Th. II. S, 284, n. 1. 

Bechftein. S. 286, nr. 4. 

Linn, syft. nat. I. p. 243. nr. 5. 

— — Gmel. Lin. syfl. nat. T.I. P. II: pag. 657. 

? — — Totatus. Lin. I. p. 245. Gmel. Lin. T, I-P. II; p: 665. 

Frisch, Vögel, t. 236. (un vieil oiseau.) 

La Barge brune. Buffon. 

Dusky Snipe, Arct. Zool. p. 471. nr. 6. 

Der'grofse Rothschenkel. Naumann Naturg, der Land- und Wasservö- 
gel: B. III: 5. 36.t 8. 


— — 


nalans. 
Scolopax fusca. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Te bec brun noir — rouge en dessous, dans le jeune âge — la 
poirite supérieure trés sensiblement courbée; Les pieds d’un rou- 
ge foncé, tirant sur le brun, dans le jeune âge orange, Le man- 
teau brun foncé avec bordure tachetée de blanc et le bas ventre gris 
cendré foncé tirant sur le rouge, avec un fin liséré blanchâtre. 


DESCRIPTION. 


Le bec a deux pouces, 2 lignes de longueur; il est foible, 
en ligne droite et brun noir. La mandibule inférieure couleur 
de chair à sa naissance, la pointe de la supérieure unie et un peu 
courbée en bas. Ly/iris jaune brunätre tirant sur le rouge; la 
bordure des yeux blanche; la tête uniformément brune. La partie 
supérieure du col gris brun, égaiée par de fins lisérés blancs; le 
dos noir; ou noir brun, avec bordure blanche et taches de la mê- 
me couleur aux pointes. Les pennes de vol brun foncé, plus la- 
vées intérieurement ; à l'extrémité et à quelques unes des plus cour 
tes barbes des taches grises. La partie inférieure du dos blan- 
che; la queue brune marquée de rayes transversales blanchätres. 
Les joues, la gorge, le devant du col, tout le bas ventre et les 
cuisses gris cendré tirant sur une espèce de rouge foncé, avec 
lisérés blancs; les pieds brun-ionc& rougeätre. 

Les extrémités des ailes dépassent un peules pointes de la queue. 

Longueur 11 pouces, envergure 1 pied,, 9 pouces 2/5 me- 
sure de Paris. Il n’existe aucune difference entre le mâle et la 
femelle. Dans son jeune âge cet oiseau porte la livrée suivante, 
ainsi qu’on peut l’observer dans la planche ci- jointe. 

La mandibule supérieure couleur de corne noirâtre, les na- 
rines verd foncé; la base de la mandibule inférieure rouge oran- 
gé, l'iris brun foncé; une raye blanche au dessus des yeux. Le 
sommet de la tête gris brun, parsemé de petites rayes blanches 
déliées, 
yeux une raye gris foncé; les joues blanches rayées de brun; la 


Depuis la base de la mandibule supérieure, jusqu’ aux 


gorge blanche; le bas du col marqué de beaucoup de taches brun 
foncé. La poitrine, le ventre et les couvertures inférieures de ia 


> ES 5 


cken, Brust und Bauch und untern Dekfedern des Schwanzes 
"weils mit dunkelbraunen Querstreifen, welche an den Seiten des 
Unterleibes am häufigsten sind ;- Oberhals graubraun mit feinen 
weifslichen Ränderstrichen ; Rücken olivenbraun mit einzelnen 
wenigen kleinen weilsen Flecken; die obern Flügeldekfedern und 
langen Schulterfedern olivenbraun mit vielen weilsen und dane- 
ben stehenden dunkelbraunen Randflecken; die Schwungfedern: 
braunschwarz, die ersten fünf an der breiten Fahne weils ge- 
sprenkelt, die vorderste kurze hat einen weifsen Schaft; die obern 
Dekfedern des Schwanzes schwarzbraun mit schmalen weifsen 
Querstreifen; der Schwanz eben so und zugerundet. Die F'üfse 

orangeroth. f 
Im Herbste sieht man an: diesem Vogel während der Mau- 


ser auf dem Rücken zweierlei Federn. Einige sind einfarbig: 


schwärzlichgrau, an der Spitze schmal weifslich gerändet; der 


Oberhals und Kopf sind grauer und der Unterhals viel weifser, 
als bei andern Exemplaren. Diefs ist wahrscheinlich das ersie 
Jugendkleid, und in diesem macht er die Art aus, welche Bechstein 
Totanus natans nennt. Andere Rückenfedern sind schwärz- 
lichbraun mit einem grünlichen Schimmer und an beiden Seiten 
zwei weilse Randflecken an jeder Feder. Diefs ist die Farbe im 
zweiten Jahr , und Bechsteins Totauus maculatus, welcher 
leztere wieder mit Scolopax TotanusLin. übereinstimmend 
ist. Jin dritten Jahr erhält der Vogel erst sein beständiges Kleid 


und wird dann 'Fotanus fuscus genannt. 
AUFENTHALT. 


R Dieser Wasserläufer bewohnt Nordamerika und ist an der 
Hudsonsbay gemein. In der Nachbarschaft des Forts Albany 
kommt er zu Ende des Aprils oder zu Anfang des Mai an und 
geht zu Ende des Septembers wieder weg. Bei seiner Rükkehr 
nach Süden bleibt er einige Zeit in Neuyork, zieht aber weiter 
gegen Süden, um daselbst den Winter zuzubringen. In Europa 
lebt er innerhalb des-arktischen Kreises und wandert nach Bufs- 
land und Sibirien. In Deutschland trift man ihn in Thüringen, 
im Meklenburgischen, Schlesien, Anhaltischen, in den Rhein-und 
Maingegenden und im Fränkischen bei Sümpfen und '"Teichen an. 
Er ist bei uns ein Zugvogel, der in der Mitte des Augusts bis zu 
Ausgang des Oktobers seinen Zug vornimmt; im Frühjahr aber 
nur selten bei uns erscheint. Er hält sich truppweise zusammen 
und zieht am Tage, oder auch einzeln beiNacht. Am liebsten wohnt 


er an freiliegenden Wassern, welche seichte Ufer haben. 
BIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein scheuer Vogel: \Venn er einen Raubvogel er- 
blikt, so drükter sich glait auf das Wasser, oder auf die Erde, 
bis die Gefahr vorüber ist. Er steigt bis an den Bauch ins Was- 
ser nach seiner Nahrung, schwimmt aber auch und taucht wie 
die Enten mit dem Kopfe unter. Des Nachts ist er sehr mun- 
ter. Wird es sehr finster, so bleibter am Ufer und schläft ein, 
Seine Stimme ist ein helltönendes toit oder tait, und wenn er sich 
setzen will, ein sanfteres kik oder kak. Er läfst sich zahm ma- 
chen aber schwer an ein Universalfutter gewöhnen, und macht 
durch sein artiges Betragen und seine sonderbaren Stellungen dem 
Besitzer manches Vergnügen. Naumann hatte einen in der Stube 
herum laufen, der so zahm war, dafs er ihm das Futter aus der 


Hand frafs. Seine 


NAHRUNG 
besteht aus Wasserinsekten , jungen Fröschen und Frosch- 


larven. Von seiner 
Zweiter Band, 


queue blanches, rayées de brun foncé et avec plus de profusion 
sur les côtés du bas ventre. La partie supérieure du col gris brun, 
avec une fine bordure blanchâtre. Le manteau couleur d'olive 
foncé, parsemé de quelques petites taches blanches. Les couver- 
tures supérieures des ailes et les longues plumes des épaules olive 
foncé, avec une quantité de taches blanches, accompagnées 
d’autres taches tres brunes sur les bords; les pennes de vol brun 
noir: les 5 premieres ont la barbe large mouchetée de blanc, la 
première et la plus courte a la tige blanche; les couvertures su- 
perieures.de la queue brun foncé, avec des bandes transversales 
étroites et blanches, la queue pareille et arrondie. Les pieds 
couleur d'orange. 

En automne , on remarque à cet oiseau durant la mue deux 
sortes de plumes, au manteau. Les unes sont uniformément d'un 
gris noirâtre, avec une mince bordure blanche à la pointe. Le 
haut du col et la tête sont plus gris et le bas du col plus blanc que 
dans les autres individus: . C’est vraisemblablement la premiere 
livrée du jeune âge et ce qui constitue l'espèce que Bechstein appelle 
Totanus natans. Les autres plumes du manteau sont brun 
noirâtre, avec un chatoiement verdätre et de chaque côté et à 
chaque plume deux bordures blanches. C’est la livrée de cet oi- 
seau dans sa deuxieme añnée; elle constitue le Tot anus ma- 
culatus de Bechstein, ce qni convient également au Scolopax 
Totanus, de Linée. Ce n'est que dans la 5° année que ses cou- 


leurs se fixent et alors il prend le nom de Totanus fuscus, 
PATRIE. 


Cet oiseaw habite PAmérique Septentrionale et on le trouve 
fréquemment dans la baye de Hudson. Il arrive à la fin d'Avril, 
ou au commencement de Mai, dans les environs du fort Albany et 
il s’absente à la fini de Septembre. A son retour au Sud il s'arrête 
quelque tems à Newyorck, ensuite il s’avance plus ayant au Midi 
pour y passer l'hyver. On le trouve dans toute l’étendue du cer- 
cle arctique en Europe, dans la Russie et la Sibérie. En Alle- 
magne, on le rencontre dans la Thuringe, le Mecklenbourg, la 
Silésie , le pays d’Anhalt, aux environs du Rhin et du Mein ainsi 
qu'en Franconie, dans le voisinage des marais et des Ctangs. C’est 
pour nous un oiseau de passage, qui nous arrive vers la mi- Août 
el reste jusqu’en Octobre; on le voit rarement au printems. Ils 
vivent ordinairement en troupes et s’envolent de la sorte pendant 
le jour, ou la nuit un àun. Il préfére pour son séjour les parties 
d'eau isolées et qui ne sont pas profondes. 

QUALITÉS. 

Cet oiseau est craintif. Lorsqu'il appercoit un oiseau de proie, 
il se tapit à plat sur la terre, ou sur l’eau, jusqu’ à ce que le dan- 
ger soit passe. Il s'enfonce jusqu’ au ventre dans l’eau, pour cher- 
cher sa nourriture, cependant il nage aussi et plonge comme les 
canards, la tête en bas. Il est fort éveillé la nuit, mais lors qu’il 
fait très obscur, il reste surle rivage et s'endort. Son cri est un toït 
ou fait très sonore, ou quand il veut se poser quelque part un kik 
On l’apprivoise assez facile- 


x 


ment, mais il est plus difficile de l’accoutumer à une seule nour- 


ou kak, exprimé d’une voix foible. 
riture. Il amuse beaucoup par ses manières gentilles et par ses 
postures singulières Naumann en a possédé un, qu’il laissoit 
courir par la chambre, et qui étoit si apprivoisé, qu'il lui man- 
geoit dans la main. Sa 
NOURRITURE. 

Consiste en insectes aquatiques, en jeunes grenouilles et en 

embrions des mêmes reptiles. Nous ne savons rien de sa 


C 


FORTPFLANZUNG- 
ist. nichts bekannt, 
NUTZEN. 
Sein Fleisch ist wohlschmeckend, - 
SCHADEN 


ist von ihm nicht zu erwarten. Seine 


FEINDE 


sind- verschiedene Raubvôgel: 
JAGD UND FANG. 


Er wird am besten auf Wasserherden gefangen.’ 


» 


DER DIKFUSSIGE WASSERLÄUFER, 


Gemeine Pfuhlschnepfe. Kleiner Keilhaken. Geiskopfschnepfe. Blau- 
fufs, Regenschnepfe. Gecker. 

Totanus leucöphaeus. Bechftein Ornith. Taschenb. Th. IL. $. 289: n. 8. 

Totanus glottis. Nobis. Taschenbuch der “deutschen Vögelkunde, von, Dr! 
Meyer und Dr. Wolf. B. 2." 

Scolopax glottis. Lin. syft. nat. I. pag. 245. - 

Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. U. pag. 664.- 

Scolopax aegocephala. Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. II. p. 667. 


Regenvogel. Grillvogel. 


— — 


— — Jencophea. Latham. Allgemeine Uebersicht der Vögel von Bech- 
ftein übersezt. III. 1. S. 116. m 14, af 

La grande Barge aboyeuse. Buffon. 

Der kleine Keilhaken. Naumann Naturgeschichte der Land - und Wasser- 
vögel. B. IIL S. 31. Tab. VI. £. 6. 


KENNZEICHEN DERART. 


Der Schnabel lang ‚in der Mitte eiwas aufwärts gebogen; der 
Unterschnabel vom Grunde an gegen die Mitte hin fleischfarbig; 
über den Augen ein weißslicher Streifen ; Oberleib dunkelbraun. 
mit röthlichweifsen Rändern ; Brust, Bauch und Unterrücken 
weifs; Schwanz grau, mit schwarzbraunen Querbinden; Füfse 


aschgrau, - 
BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist drei Zoll lang, am Grunde fünf Linien dikz 
gerade; der Oberschnabel in der Mitte etwas nieder gebogen, die 
Spitze desselben etwäs abwärts gehend; Unterschnabel und die 
Seiten des Oberschnabels vom Grunde gegen die Mitte fleischfar-- 
big, oben und’nach vorne ins Braune übergehend; der Augen- 
stern nufsbraun ; Kopf und Oberhals dunkelbraun, auf dem: 
Scheitel mit schmälern, auf dem Oberhalse mit breiten grauwei- 
sen Rändern ; unter dem Auge nach dem Kinne zu weilslich, mit 
wenigen braunen Strichen; Kinn weifs, der Unterhals bis an die: 
Brust blafs bräunlich aschgrau mit bleichbraunen Sitrichen; Brust, 
Bauch, After, Schenkel und Unterrücken weils; die Rücken- und: 
obern Dekfedern der Flügel bräunlichschwarz mit gelbbräunlich: 
weifsen Rändern; die Schwungfedern schwarz mit weifsen Schäf- 
ten, die untere Seite grau; die Schwanzfedern an der Wurzel: 
weifs, von da an weifs mit bräunlich schwarzen Querbinden ;. 
die zwei mittlern ganz in die Quere gestreift; die Fülse bleifar- 
big, oder dunkel aschgrau, unter dem Knie etwas dik. 


Die Flügelspitzen endigen sich einen halben Zoll über der 
Schwanzspitzei 


| Dikfülsiger Wasserläufer.‘ Gemeine’ Pfuhl:ehnepfe. 


PROPAGATION. 
Quant à son 


(UTILITÉ. -- 
Elle consiste dans une chair très appetissante. On ne sau- 


roit l’accuser d’aucun 


+ 


DOMMAGE. 
IF a pour 
ENNEMIS: 
différents oiseaux de proie. 
MANIÈRE DE LA CHASSER. 
On l’attrape:le plus aisément, avec des filets tendus sur l’eau. 


LA GRANDE BARGE ABOYEUSE. 


Kleiner Keilhaken. 
Geiskopfschnepfe, Blaufufs. Regenvogel. Regenschnepfe.  Gecker, 
Grillvogel, 


. Totanus leucophaeus, Bechftein Ornith. Taschenb. Th.II. S: 089. n. 8. 


Totanus glottis. Nobis. Taschenbuch der deutschen Vögelkunde von Dr, 
Meyer und Dr. Wolf: B. 2! 

Scolopax gloliis Lin! syff. nat. L pag. 245: 

+ — Gmel. Lin. syft. nat. 'T. I. P. II. p. 664. : 

Scolopax aegocephala. Gmel. Lin. syft: nat. T. I: P; IE. p: 667. 

— — leucophea. Latham. Allgemeine Uebersicht der Vögel von Bech- 
ftein übersezt. IIL. 1. $. 116. n. 14, a. 

La’grande Barge aboyeuse. Buffon, G 

Der kleine Keilhaken. Naumann Naturgesch. der Land - und Wasservö- 
gel B, IH. S. 31. Tab. VI. £. 6. 


CARACTERES SPÉCIFIQUES: 


Le bec long; un peu élevé vers le milieu; la mandibule-inférieu: 
re couleur de chair, depuis sa base, jusques vers le milieu, Une 
raye blanchätre au dessus des yeux: La partie supérieure du corps 
brun foncé, avec bordure rougéatre pale. La poitrine, le ven- 
tre et le bas du dos blancs; la queue grise avec des rayes trans 


versales brun foncé. Les pieds gris-cendré. 


DESCRIPTION: 


Le bec a trois pouces de longueur; il est épais de cinq lig- 
nes à sa base et tout-droit; la mandibule supérieure un peu écra- 
sée vers le milieu et la pointe un peu courbee vers le bas. La 
mandibule inférieure et les côtés de la mandibule supérieure cou— 
leur de chair, depuis la base jusqu’ au milieu, en haut et vers 
La tête: 
et l’avant col brun foncé, égaié sur le sommet par une bordure 


l extrémité antérieure rembrunie. Liris brun de noix. 
étroite et sur l’avant col par un large liséré gris blanc; le dessous: 
de l'oeil vers le menton blanchätre, avec quelques rayes brunes ; 
le menton blanc. Le bas du col jusqu’ à la poitrine brun pale 
tirant sur le gris cendré.. La poitrine, le ventre, le sternum, les. 
cuisses et le bas du dos blancs. Les plumes du dos et les couver- 
tures supérieures des ailes noir brunätre avec bordure jaune bru- 
nâtre pâle. Les pennes de vol noires à tiges blanches, la partie de 
dessous grise. Les pennes de la queue blanches à leur naissance, 
le reste blanc , mais parsemé de bandes transversales brun noir; 
les deux du milieu transversalement rayées. 
plomb ou gris de cendre foncé, un peu enflés au dessous du genou. 


Les pieds couleur de 


Les pointes des ailes surpassent celles de la queue d’urdemi- 
pouce. 


Die Länge ist 122 auch 13 Zoll; die Breite 285 Zoll Pariser 
Mis, Zwischen Männchen und Weibchen ist kein Unterschied. 
AUFENTHALT. 


Dieser Wasserläufer bewohnt Europa, Asien und Amerika, 
wo er an den Ufern des Meeres, der Seen und Flüsse sich aufhält. 


In Deutschland läfst er sich zuweilen an grofsen Teichen und 


Sümpfen auf Feldern und Angern schen, 

— In Thüringen brütet er am Schwanensee bei Erfurt. Er ist 
ein,deutscher Zugvogel, der im August, oder zu Ende des Septem- 
bers wegzieht, und im Frühjahr zu Anfang des Aprils wieder 
kommt. * 

Zuweilen soll er in unzähliger Menge sowohl als in kleinen 
Herden an die Küsten von England, vermuthlich aus dem Norden 
kommen, und sich den Winter hindurch daselbst in den morasti- 

gen Gegenden, die in der Nähe des Meeres liegen, aufhalten, 
‘Auch in Deutschland findet man ihn zuweilen truppweise allein, 
oder auch unter dem grofsen Brachvogel, Numenius arquata La- 
thum, fliegen. 


. EIGENSCHAFTEN. 

Er ist sehr schüchtern. 
kick, käck, kick. Seine 
NAHRUNG 


sind Wasserinsekten und ihre Larven , Regenwürmer und 
- kleine Schnecken. ? 


Sein Geschrei lautet wie’[ein helles 


FORTPFLANZUNG. 


Sein Nest bauet er aus Binsen in Schilf, worein das Weib- 
chen sechs schmutzig strohgelb aussehende und einzelne leberfar- 
bene und purpurblaue, grofse und kleine Eier legt , welche, von 
der Gröfse der Rebhünereier sind. 


NUTZEN 
stiftet er durch sein Fleisch, welches einen sehr angenehmen 
Geschmak hat. Ein 


SCHADEN 
und seine 

FEINDE 
sind uns nicht bekannt. 


JAGD UND FANG. 


Er wird auf Wasserherden, aber nicht wie einige glauben, 
auf dem Brachyogelherde gefangen. 


VERSCHIEDENHEITEN-= 


finden sich in der dunklern, oder hellern Farbe des Oberleis 
bes und in der Länge des Schnabels. 


ANMERKUNGEN. 


Wir zogen auch: Scolopax Glottis; Gmel. Lin. und Scolopax 
aegocephala Lath. a. a. ©). hicher, da beide Beschreibungen auf 
unsern Vogel passen, die Füfse ausgenommen, welche bei Scol. 
3loitis und Scol. aegocephala Gmel. Lin. grünlich, bei Scolop. 
aegoc. Lath. dunkelbraun und bei Scol. Glottis Lath. dunkelgrün 
sind. Der Schnabel soll bei Scol. Gloitis Lath. schwarz sein. Be- 
kanntlich ändert sich die Farbe der Füfse und des Schnabels bei 
jungen und alten Vögeln, auch sind sie gleich nach dem Tode 
anders gefärbt als im Leben, und daher mögen denn auch die eben 
angegebenen Verschiedenheiten bei den Schriftstellern rühren, 

Zweiter Band. h 


Emsts 


Longueur 12 pouces $ à 15 pouces. Einvergure 28 pouces. ? 
Le mâle et la femelle sont semblables. 


PATRIE. 


mesure de Paris. 


Cette espèce de Barge habite l’Europe, l'Asie et l’ Amérique 
et séjourne sur le rivage de la mer, des lacs et des rivières. On 
la rencontre quelque fois en Allemagne pres des marais, de grands 
étangs, ainsi que dans les champs et les paturäges. 

Dans le 'l'huringe elle couve près du lac de Schwanen, aux en- 
virons d’Erfurt.. Du reste elle est pour l'Allemagne un oiseau de 
passage, qui nous quitte au mois d’Aoüt, ou à la fin de Septembre et 
revient au printems au commencement d'Avril. 

Quelque fois elle arrive, sans doute des contrées plus septen- 
trionales, sur les côtes d’Angleterre, tantôt en très grande quan- 
tité, tantôt en petites troupes et elle y passe l’hÿver, dans des con- 
trées marécageuses peu éloignées de la mer. On lestrouve aussi 
de tems à auire volants en Allemagne, tantôt seuls, tantôt attrou- 


pés avec le Courlis, Numenius arquata Latham. 
QUALITES. 


© est un volatile très peureux. Son cri produit le son très 
perçant de kaik, kaik, kaik. Sa 
NOURRITURE. 


Uonsiste en insectes d’eau et leurs poupées, en vers de terre 
et en petits escargots. 


PROPAGATION. 


Il bâtit son nid dans les roseaux, avec des brins de joncs. La 
femelle y dépose six oeufs couleur de paille sale avec quelques 
autres un à un, qui sont couleur de foie, on bleu tirant sur le pour- 
pre, tantôt plus grands, tantôt plus petits. Les premiers sont com- 


munément de la grosseur des oeufs de perdrix. Son 


UTILITÉ 


est sensible, par la chair délicate et de bon gôut, qu'il nous 
Il ne cause aucun 


DOMMAGE 


donne. 


Ses i 
ENNEMIS 


ne noüs sont pas connus, 


MANIERE DE LA CHASSER. 


-Ön Pattrape au filet sur l'eau, et non de la même maniére 


que les courlis, au dire de quelques auteurs, 


VARIETES. 


Elles consistent dans la couleur plus ou moins claire, ou fon- 
cée de la partie supérieure du corps et dans la longueur. du bec, 


OBSER VAT IONS. 


Nous ayons aussi rangé sous cette espèce le Scolopax Glot- 
tis de Gmel. Lin. et le Scolopax aegocephala de Latham à len- 
droit cité, parceque ces deux descriptions conviennent à notre 
oiseau, à l’exception des tarses, qui dans le Scolopax Glottis et 
dans le Scolopax aegocephala de Gmel. Lin. sont verdätres, dans 
le Scolop.aegoceph. de Latham brun foncé et dans le Scolop. Glot- 
tis de Latham verd foncé. Le Scol. Glottis de Laiham doit aussi 
avoir le bec noir. H est reconnu que la couleur des pieds et des 
becs, varient dans les oiseaux jeunes et âgés et la couleur de ces 
parties change également dès qu'ils sont morts. Delä viennent 
sans doute les différences observées et énoncées par ces auteurs. 

D 


—— 


Scolopax' Glottis Bechstein‘, gehört nicht hieher, ob er gleich 
Scol’Glottis Lin: als Synonym dabei eitirt, 

Latham a, a. O. folg. Seite 117. ‚führt eine Abart an mit den 
Citaten: Gmel. Lin. I. >, p- 667.nr. 16. ete. La grande Barge roüge 
Brisson, welche sich von den oben beschriebenen in folgenden 
Stücken unterscheidet: 


Ueber den Augen ein gelbröthlich weifer Streifen, Kehle und 

Hals gelbroth; 

Unterrücken und Steifs mit dunkeln Flecken, Schwanz und 
Obere Dekfedern desselben schwarz und weifs gestreift. 

Die drei ersten Schwungfedern ein Drittheil vom Ende mit eit 
tem querstehenden weifsen Flecken; 

Die kürzern Schwungfedern haben gelbrothe Ränder und 
Spitzen. 

Die Füfse sind grünlichbraun, 

Diese Abart gehört aber wahrscheinlich nicht hieher, sonderh 
zu Scolopaea Japponica. Lin. 


Le Scolopax Glotiis de Bechstein ne convient pas ici, quoiqu'il 
cité le Scol. Gloitis de Linnée comme Synonime. 


Latham à l’endroit cité page 117. cite une en et Pappuye. 
de la description de Gmel. Linn. I. 2, p. 667. Nr. 


. et la grande 
Barge rouge de Brisson, qui differe des individus ne ci- des- 
sus , par les traits suivants: 


Une raye blanche tirant sur Porang& autour des yeux. 


La gorge et le col rougejaunätre. Le bas du dos et le ster-- 


num marqués de taches brunes. 

La queue et ses couvertures supérieures noires, rayées de 
blanc. h 

Les trois premières pennes de vol offrent vers le dernier tiers 
de leur longueur une tache blanche transversale, 4 

Lies pennes de vol les plus courtes ont des bordures et des 
pointes jaune rougeätre. 

Les pieds sont verdâtre foncé. Mais cette espèce n'appartient 
point ici, elle convient plutôt à la Scolopaea lapponica Lin, 


Æ 2 EEE EEE EEE Ten ÄEE SE EEE | 0 


DER KROPFPELIKAN. 
Pelikan, Riesenpelikan. 


Schwanentaucher, 


Beutelgans. Kropfgans. Sakgans. Meergars. 


Kropfvogel. Wasservielfrafs. 

Pelecanus Onocrotalus.-Lin. sylt. mat. T. I. pag. 205. 1. 

— — Gmel. Linn. syft. nat, T. I. P. II. pag. 596. 

Le Pelican. Buflon. 

White great Pelecan. Latham. 7 

Die Kropfgans, oder der Schwanentaucher. Frisch Vorftellung der Vögel 
Deutschl. Tab. CLXXXVI. 

Grofser Pelikan. Bechfteins Ornith. Taschenb. Th. IL. S. 390, 1: 


Die Kropfgaus, Goeze Europ. Faune. Band 6. S. 462. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Der g ganze Leib blafs rosenroth ; die vordern Schwungfedern 
schwarz; der Kehlsak hellgelb. 
BESCHREIBUNG. 

‘Der Schnabel ist funfzehn bis sechzehn Zoll lang; derÖber- 
schnabel breit und flach, am Ende mit einem roihen Haken ver- 
sehen; von der Stirn bis zu diesem Haken läuft eine abgerunde- 
te graue Erhabenheit, der übrige Theilist gelb, am Rande roth ; 
auf der innern oder untern Seite hat er vier Hohlkehlen, deren 
Ränder fünf Rippen bilden , die beiden, welche die Seiten des 
Schnabels ausmachen, eine in der Mitte und zwei zwischen die- 
ser und denen an der Seite. Die mittlere Rippe, und die bei- 
den, welche die Seiten des Schnabels ausmachen sind scharf, die 
dazwischen. liegenden stumpf und doppelt, da sie eine kleine 

Rinne ausmachen. Die Seiten des Unterschnabels sind auch dop- 
\ pelt, aufsen grau, gegen die Wurzel hin gelb, und haben eine 
Rinne, in welche die scharfen Seiten des Oberschnabels liinein- 
gehen. Er besteht aus zwei Theilen, oder Armen, die am Ende 
des Schnabels zusammen gefügt sind und eine kleine Oeflnung 
yon etwa anderhalb Zoli zwischen sich lassen. Sie sind biegsam 
wie Fischbein, und dehnen sich leicht aus, wenn man sie mit den 
Händen auseinander zieh. Der am Unterschnabel hängende 
häutige Sak ist aufsen gelb, nakt, und nur mit einzelnen kurzen, 
verschieden gefärbten Häärchen oder Federchen besezt, und ist 
diejenige Haut, die bei allen Vögeln die beiden Schenkel der un- 
tern Kinnlade verbindet. Sie erweitert sich allmählich, gehi fast 
einen Fufs herunter, läfst sich ausdehnen und zieht und runzelt 


LE PELICAN, 


Pelikan. Kropfgans. Sak- 
gans. Mecrgans. Sehwanentaucher. Kropfvogel. Wasserviclfrafs. - 

Pelecanus Onocrotalus. Lin. syft. nat. T. I. p. 215. 

= — Gmel, Lim. syft nat: T. I, P. TE p. 596. 

Le Pelican. Bufon, f 

White great Pelecan. Latham, 

Die Kropfgans, oder.der Schwanentaucher, Frisch Vorttellung der Vöge 
Deutschlands. Tab. CLXXXVL 

Grofser Pelikan. Bechfteins Ornithol. Taschenbuch. Th II. S. 390. 1. 

Die Kropfgans. Goeze Europ. Faune. Bd. 6. $. 462. 


Kropfpelikan. Riesenpelikan. Beutelgans. 


 —  ———zzigaEEREE 
CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Le corps entier couléur de rose pâle ; les pennes de voi anté- 
rieures noires; le jabot jaune clair. 
DESCRIPTION. 

Le bec a 15 jusqu’ à 16 pouces de long; la mandibule supé- 
rieure large et applatie, armée d’un crochet rouge à l’ extrémité, 
de ce crochet jusqu’ au front s’éleve une excroissance arrondie: 
le reste est jaune avec bordure rouge. La partie intérieure ou in- 
férieure du bec offre quatre tuyaux creux, dont les élévations for- 
ment pour äinsi dire quaire côtés , savoir deux, qui constituent 
les côtés du bec, une au milieu et deux autres entre cette dernière 
et les deux latgrales. 
aigues ou tranchantes, celles entre deux sont obtuses et doubles 
et formient une rainure. Les côtés de la mandibule inférieure sont 
aussi doubles; grises à l’extérieur et jaunes vers la base et offrent 
une rainure, dans laquelle s’emboitent les côtés tranchans de la 
mandibule supérieure. Il consiste en deux branches, qui se joig- 
nent à P extr&mite du bec, en laissant toutefois une petite ouyer- 
Elles se 
laissent ployer comme les côtes de baleines et s’allongent aisément 


ture d’environ un pouce et demi entre ses deux parties. 
quand on les tire avec les mains. Le sac de peau, suspendu 
au bas de la mandibule inférieure est à l’éxtérieur janne, presque 
nud et seulement couvert de quelques petits poils rares, ou d’un 
duvet de différentes couleurs; c’est cette peau, qui chez tous les 
oiseaux sert à reunir les deux branches de la machoire inférieure, 
Elle s’allonge insensiblement à volonté et descend à la longueur 
d’un pied ; quand on l’a étendue, elle se resserre-et se replie sur 


Celle du milieu et les deux latérales sont ' 


‘ 


— 


sich wieder zusammen. _ Dieser Sak kamı so erweitert werden, 
dafs er dreifsig Pfund Wasser fafst, daher die Thierwärter auch 
mitleichter Mühe sie weit über den ganzen Kopf herab sich zie- 
hen können. 


Die Zunge ist sehr klein und kaum 4 Linien lang und 13 Li- 
nien breit, und besteht aus einer Haut, welche einen an das Zun- 
genbein gefügten Fortsaz bedekt. Sie liegt am Grunde des Beu- 
tels und ist mit dem Luftröhrenkopfe 5—6 Zoll sowohl von dem 
Gaumen als auch den Halswirbelbeinen entfernt, indeni die Luft- 
rôhre die Wirbelbeine verläfst, sich vorwärts wendet, und mit 
dem Grunde der Tasche zusammen geheflet ist. " 


Die Nasenlöcher liegen am Grunde des Oberschnabels in der 
Gestalt feiner Ritzen; die Wangen und die ganze Gegend rings- 
um die Augey sind kahl, weils und weïfsgrau ; der Augenstern 
Der übrige Theil des Kopfes und Halses ist 
mit schönen blafs rosenrothen Flaum, der ganze Rumpf nebst dem 


schön braunroth. 


Schwanze mit eben so schön gefärbten länglichtrunden Federn 
bedekt ; die vordern Schwungfedern sind schwarz, der Schwanz 
Die Fülse sind bräunlich rostroih, die Zehen 
mit tafelförmigen und sechseckigen Schuppen, die Nägel am 


hat 20 Federn. 


Grunde gelb, übrigens braun. Die Flügelspitzen endigen sich an 
der Schwanzwurzel: 

Die Länge beiträgt 51 bis 63 Fu; die Breite 11 bis 15 
Fufs; das Gewicht 18 bis 25 Pfund. Die Füfse vom Bauche 


bis an das Ende der Nägel 15 Zoll; die Mitielzelie 43 Zoll und- 
die hintere 2# Zoll lang. 


Das Weibchen ist dem Männchen völlig gleich , aufser daß‘ 


bei lezterm die Seiten des Unterschnabels blau sind:- 


AUFENTHALT. 

Der Kropfpelikan bewohnt fast ganz Afrıka und Kleinasien. 
Im erstern-kommt er im September an, und ist in Damietie und 
andern Gegenden Aegypiens, an der Küste von Senegall, und 
angränzenden T,ändern, Guinea, und.der Goldküste, und von da 
bis zum Vorgebirg der guten Hofnung in den Buchten’und Flüs- 
sen sehr häufig; An der Küste von Neuholland ist er ebenfalls 
inMenge anzutreflen und erreicht daselbst eine ungeheure Grösse. 
Beauchamp versichert in seiner Reifse von Bagdad nach Bassora 
längs dem Euphrat, dafs bei Samaonat ein Paar Kanäle wären, 
die mit den uriermeßslichen Morästen der Gegend von Mesopo- 
tamienin Verbindung ständen, und auf diesen sowohl als in den 
Morästen sich ein unübersehbares Heer von Pelikanen aufhalte. 
Sie gehen die Flüfse hoch hinauf und kommen in die Binnen- 
Seen: des Rufsischen Asiens, gegen Ostem aber werden sie sel- 
tener , und man findet sie z. B. in den Sibirischen Seen nicht oft, 
doch sind sie am Baikal nieht unbekannt. 
leben sie am schwarzen und Caspischen Meer und an den Kü- 


Des Sommers über 


sten von Griechenland. Von ersteren kommen sie auch einzeln 
in die Donau und auf dieser, wiewohl sehr selten, zurück nach 
Deutschland. 
mal ihrer drei bei der Weichselmünde gesehen , von welchen 
In 


In Preufsen hat man sie auch zuweilen und ein- 


ein an Flügeln gelähmter lange Zeit unterhalten wurde. 
Frankreich hat man auch einzelne hin und wieder in der Pro= 
vinz Dauphiné am Tlufse Saone, in Lothringen und in Eng- 
land zu Horsey-fee gesehen. 
Neuenburger See-in der Sehweiz sind auch schon welche ge- 
schossen worden, und im Jahr 1768. erschien auf dem Boden- 

Zweiter Band, - E 


Auf dem Zuger -Züricher und 


9 


‘ 


elle même. Elle peut s étendre ets” élargir au point de contenir 
trente livres d’eau; aussi ceux qui soignent ces oiseaux s'amusent 
-ils quelque fois à leur tirer cette peau, sans beaucoup de peine, 
par dessus la tête, d’ où elle pend de chaque côté. 

Ils ont la langue très petite, elle a tout au plus 4 lignes de 
longueur et une ligne + de largeur et consiste en-une peau, qui 
couvre un pelit os, placé en avant de l’os de la langue. fllé re- 
pose au fond de la bourse et elle est ainsi que le commericeient 
de la trachée artère éloignée de 5 ou 6 pouces de palais et des ver 
tebres du col, et en 3’ éloignant de la trachée et des vertèbres elle se 
tourne eh ayant, du reste elle est attachée A-la base de la poche. 

Les narines tiennent à la base de la mandibule supérieure, 
sous la forme de petites fentes. Les joues et toute la partie, qui 
environne les yeux sont chauves et de couleur blanche, où gris- 
blanc ; l'iris est d’un beau rouge foncé. Ie reste de la tête et 
du col est. parsèmé de belles’ flammes couleur de rose pâle. T'out 
le bas du corps aïnsique la queue sont également couverts de 
pareilles taches-ovales et de même couleur, Les pennes de vol 
antérieures sont noires, La queue est composée de 20 plumes, 
Les tarses sont d’un rouge de rouille brunätre, les orteils offrent 
des écailles carrées, ou sexagones; les ongles jaunes à leur base, 
du reste bruns. Les pointes des aïles ne dépassent pas la naissance 
de la queue. 

La longueur da Pélican est de 5 pieds £ jusqu” à 6 pieds &, 


Son envergure est de 6nze jusqu” à quinze pieds; il pèse dix huit 


“ Hvyres et va même quelque fois jusqu’ à 25. La longueur de ses 


jambes à compter du ventre jusqu à l’extrémité des ongles est de 
ı5 pouces; Vorteil lu miliéu inporte 4 pouces ? et celui de der- 
rière + pouces Æ de long. 

La femelle est tout à fait semblable au mâle, excépté qu’ à cb 
dernier les côtés de la mandibule inférieure sont bleus. 


PATRIE 


Te séjour;le plus ordinaire du Pélican'est presque toute PAR. 
rique et l’Asie mineure. Il arrive dans la première de ces contrées 


. au mois de Septembre et on le trouve en quantité à Damiette et-en 


d’autres parties de l'Egypte, sur la côte du Sénégal et dans les pays 
Hmitroples, dans la Guinée et sur la côte d’or et de la jusqu’ au 
On 


Pa vu aussi en foule, sur les côtes de la nouvelle Hollande, où it 


Cap de Bonne Espérance, dans les bayes et sur les rivières, 


attémt une grandeur extraordinaire. Beauchamp, dans son yoya- 
ge de Bagdad à Bassora sur PEuphrate païle de quelques canaux 
près de Samaonat,' qui se jettent dans les immenses marécages de 
la Mésopotamie et assure que les uns'et les autres sont peuplés 
dune foule inömbrable de pélicans. Ils rémontent les fleuves fort 
avant vers leurs sources et arrivent jusqu’ aux lacs de Binnen dans 
Ya Russie asiatique; mais vers le lévant ils commencent à devenir 
plus rares,et par exemple on ne les rencontre pas souvent sur les 
lacs dela Sibérie, quoi qu’ils ne soient pas tout à fait inconnussur 
les bords du Baikal. Ils passent l’été au bord de la Mer Noire et 
de la Mer Caspiénne et sur les côtes de la Grèce. En partant de 
ceile premiere mer, ils arrivent aussi un à an sur le Danube et en 
suivant le cours de ce flenve vers sa source ils remontent, quoique 
rarement en Allemagne. On en a vu aussi quelque fois en Prusse 
et dans une certaine année jusqu’ à trois ensemble à l'embouchure 
dela Visiule. L’un de ces trois ayant été blessé à une aile, il fut 
pris et entretenu long tems en vie. On en aussi appercu çà et là 
quelques uns dans la province de Dauphiné, sur la rivière de Sao 
ne, dans la Lorraine et en Angleterre à Horsey-fée. Il en a aussi 


été tué sur les lacs de Zug, de Zurich et de Neuchatel en Suisse 


. — 10 


See sogar eine Gesellschaft von 150. Stük, Erst im vergange- 
nen Frühjahr 1808. wurde einer auf dem Bodensee flügellahm 
geschossen, und lebendig von den Fischern gefangen. Ein Mann 
führte ihn nachher zur Schau lebendig durch mehrere Städ- 
te Deutschlands, untern andern auch nach Nürnberg und Frank- 
furt am Main, wo wir diesen schönen und grofsen Vogel sehen 
nd bewundern und die hier gelieferte sehr treue Abbildung dar- 
nach machen lassen konnten, 


EIGENSCHAFTEN. 


Ungeachtet dieser Vogel eine ziemliche Schwere hat, so ist 
er doch im Stande, sich bis zu einer erstaunlichen Höhe zu er- 
heben, welches yon der besondern Leichtigkeit seiner Knochen 
ünd von der Menge Luft, womit er seinen Körper anfüllen kann, 
herrührt. Sein Flug ist auch ziemlich schnell. Wenn eine Ge- 
sellschaft mit einander zieht, so bildet sie im Fluge einen Win- 
kel , dessen Spitze nach-vorn gerichtet ist, wie bei den wilden 
Gänsen. Von Natur ist er langsam und scheu ; doch erzählt 
Beauchamp , dafs man sich denen, weiche er in Mesopotamien 
sah, ohne alle List nähern und unter sie schiefsen konnte, ohne 
dafses die übrigen der Mühe werih hielten, zu entfliehen. Sie 
lassen sich zähmen, und in diesem Zustande darf sieihr Wärter 
nicht nur anfassen und streicheln, sondern auch ihren Schnabel 
öffnen nnd seinen Kopf, oder ihren gebogenen Hals mit dem Kehl- 
sak wie mit einer Haube überziehen, Zuweilen laufen sie mit 
aufgehobenen Flügeln in die Winkel und grunzen gegen einander, 
oder gegen die Zuschauer wie ein Schwein. Wenn sie sich putzen 
und die Federn durch den Schnabel ziehen, so klappern sie mit 
demselben und der gerunzelte und schlafe Kehlsak schlottert dann: 
hin und her. Er ist ein gesellschafilicher Vogel und bält sich 
nicht blofs zu seines Gleichen, sondern auch zu andern Vögel- 
arten. Ilr Alter erstrekt sich sehr hoch. Nach dem Zeugnils ei- 
niger Alten hat ein zahmer Onocrotalus 80 Jahr in Deutschland 
gelebt; ist dem Kaiser Maximilian immer gefolgt, und über sei- 
nem marschirenden Kriegsheere geflogen, nachher aber auf Be- 
fehl des Kaisers für vier Thaler des "Tages ernährt worden. Ob 
- diese Erzählung seine Richtigkeit habe , lassen wir dahin gestellt 
sein. Die Pelikane, die zu Versailles in grofser Anzahl gehalten 
wurden, waren unter allen Thieren die einzigen von denen keines 
in 12 Jahren gestorben war. F 

Die Beschreibung des innern Körperbaues wollen wir hier 
aus Goezes Europ. Faune mittheilen. 

Der Schlund, welcher gegen den Schnabel zu sehr ausge- 
dehnt ist, zieht sich unten gegen den Hals zu, vermittelst vieler 
lleischichten Fasern , enger zusamimen , welche nachgeben, und 
sich leicht erweitern lassen. 

Aufser diesen Fasern , ist die Gegend des Schlundes noch 
durch zwei Muskeln verenget, die von den hintersten Wirbelbei- 
uen des Halses kommen, sich an das Brusibein anfügen, und den 
Schlund aufjeder Seite zusammen drücken. 

Diese Muskeln, welche gewissermafsen das Amt des Schliefs- 
mäusleins der Blase verrichten, sind der Grund, dafs das Wasser, 
welches der Vogel bei seiner Fischerei in die Tasche bekômmt, 
nicht in den Magen und in die Gedärme geht. 

Der Magen ist, wie bei dem Kormoran, nur eine Fortsetzung 
des Schlundes, der sich nach unten verengert, und sich darauf 
wieder ausdehnt, um sich wieder zu verengern, und darauf noch 
einmal auszudehnen. Diefsmacht gleichsam zwei Mägen, einen 
grofsen nach dem Schlunde zu, und einen kleinen nach dem Pfört- 


ner. Das inwendige Häutchen diefer Mägen bestehet, wie bei dem 


En 1768 il en parut même une troupe de 150 individus sur le lac 
de Constance. Tout récemment au printems de cetie année 1808 
on en a blessé un à Paile sur ce même lac et il a été pris vivant 


‚par lespécheurs. Il a été ensuite amené en Allemagne, où on l’a 


nd . - - Q 7 ” * L . r 
Exposé vivant dans plusieurs villes à la curiosité du public et entr 
autres à Nuremberg et à Frankfort sur le Mein, où nous avons 
eu occasion de voir et d'admirer ce bel ct grand oiseau. La figure 


ci-jointe en est une copie fidèle, que nous fimes exécuter en cette 
occasion. 


QUALITES. 


Quoique cet oiseau soit assez pésant il est pourtant en élat 
de-s élever à une hauteur étonnante , ce qui provient de la sin- 
guliere légèreté de ses os et dela quantité d’air que son corps 
peut contenir. Son vol est assez rapide. . ? 

Quand une troupe s’envole, elle forme,un angle, dont la pointe 
est tournée en ayant, comme chez les oïes sauyages. Il est naturel- 
lement lent etpeureux; cependant Beauchamp rapporte, qu’il pou- 
voit, sans user d'aucun stratagéme s'approcher de ceux qu'il a ren- 
contrés dans la Mésopotamie et tirer au milieu d'eux, sans qu'ils 
se donnässent la peine de s’envoler. ls s’aprivoisent aisément et 
dans l’éiat de domesticité le serviteur de la ménagerie peut non 
seulement les toucher et les flatter de lamain, mais aussi ouvrir leur 


bee et coiffer leurs iètes, ou leur sol courbé du large sac qui leur 


sert de jabot. Quelque-fois ils courent les ailes leydes dans des 
coins ; en grognant les uns contre les autres ou contre les specta- 
teurs, à la manière des porcs. * Quand ils font toilette et qu’ils pas- 
sent leurs plumes par leur bec, ils le font claquer et alors leur 
jabot plissé et tombant va et vient comme un battant. Cet oiseau 
est sociable et il fréquente non seulement ses semblables, mais aus- 
si d'autres espèces de volatiles. Il atteint un âge très avancé, Sui- 
vant le témoignage de quelques anciens auteurs on a vu en Al- 
lemagne un Onocrotalus vivre 8o ans, il suivoit partout PEmpe- 
reur Maximilien et il voloit au dessus de ses armées quand elles 
étoient en marche. Il a été ensuite nourri pour le compte de l’Em- 
pereur ; moyennant quatre écus par jour, Nous ne déciderons 
point, si ce récit est parfaitement conforme à la vérité. Les péli- 
cans, qu'on nourrissoit autrefois en grand nombre à Versailles, 
étoient au nombre des animaux de la ménagerie, dont aucun n’etoit 
mort dans l’espace de 12 ans. 


Nous donnons ici la description de Ja structure intérieure de 
leurs corps d’après la Faune européenne de Goeze, 


L’oesophage, qui est très ouvert vers la naissance du bec, se 
resserre vers le col, par le moyen de plusieurs filaments charnus, 
élastiques et qui se laissent allonger. 


Ouire ces ülaments les environs de l’oesophage ou du gosier 
sont resserrés par deux muscles, qui partent des vertèbres inferieu- 
res du col, se joignent à los de la poitrine et ferment l'entrée du 
gosier de chaque côté, 


Ces muscles, qui font en quelque sorte l'office du petit musele 
qui serre la vessie, empêchent l’eau, que cet oiseäu pompe dans 
son jabot en pêchant, de descendre, dans l’estomac ou dans les 
boyaux. , 

Son estomac est, comme dans le Cormoran, la continuation 
du gosier qui se resserre à son extrémité et qui ensuite s’ élargit, pour 
se resserrer encore et s’élargir une seconde fois. Cela constitue 
en quelque sorte deux estomacs, savoir un grand vers le gosier et 
un petit vers l'issue du premier. La pellicule intérieure de ces esto- 


macs, consiste ainsi que dans le Cormoran, en une quantité in- 


I) it 


Kormorax, aus unzähligen kleinen langen Drüsen, die auf eine 
besondere Art dicht an einander gefügt sind. Er ist aber unten 
nicht fleischigt, sondern häutig. 

- Die Leber ist breit, in der Quere, und nicht in der Länge von 
Sie hat 


zwei Lappen, wovon der linke nicht den achten Theil der Gröfse 


oben nach unten , wie sie bei den meisten Vögeln ist. 


des rechten hat; die Gallenblase ist mitten an die Leber, nach un- 
ten zu geheftet.. Ihre Lage ist auch in der Quere wider die ge- 
wöhnliche Art, 

Die Milz ist ziemlich grofs, von eirunder Gestalt, und an die 
Blase angeheftet. Einige haben daher dem Vogel die Milz ganz 
absprechen wollen, weil sie sie da nicht gefunden haben, wo sie 
bei andern zu sein pflegt, 

Die Gekrösdrüse ist ebenfalls an die Gallenblase geheftet, de- 
ren rechte Seite sie bedekt, so wie die Milz die linke bedekt. Sie 
ist ziemlich, lang, und breitet sich ünten immer weiter und weiter 
aus, wo sie durchbrochen ist, um den Lebergallengang durchzu- 
lassen, welcher quer durch sie durchgeht. 

Die drei Gänge, als der aus der Gallenblase, der aus der Ge- 
krösdrüuse, und der aus der Leber, fügen sich jeder besonders an 
‚das Gedärme. Der Gekrösdrüsengang ist am weitesten von dem 
Pförtner entfernt. , Der Lebergang ist der nächste ; und der Gal- 
lenblasengangin der Mitte. Auch hat man zwei Blinddärme ge- 
funden. ; 
An dem Gerippe hat man bemerkt, dafs die Knochen so leicht 
waren, dafs das ganze Gerippe, so grofs es auch war, nur 25 Un- 
zen wog. Pennant gibt es auf noch nicht anderthalb Pfund an. 


NAHRUNG. 


Diese besteht in grofsen und kleinen Fischen, welche er in 
grofser Menge wegfängt, und sich dabei seines Kehlsackes wie ei- 
nes Hamen bedient. 
Werke. 


nes Flufses und stürzt sich herab, wenn er einen Fisch wahr- 


Er geht beym Fangen auf zweierlei Art zu 
Entweder er fliegt hoch am Rande des Meeres, oder ei- 


zaimmt, betäubt vermittelst seiner Flügel, womit er ins Wasser 
schlägt, den Fisch, so dafs dieser sich leicht fangen läßst; oder er 
gebraucht seinen Kehlsack wie die Fischer ihren Hamen, indem 
er in dem Wasser damit herum fischet. 

Er verschlukt Karpfen von einigen Pfunden; die übrigen Fi- 
sche, welche aufserdem noch in seinem Sacke liegen, hebt er für 
seine Jungen, oder für sich auf, wenn er wieder hungerig wird. 
In Amerika hat man sogar einmal ein neugebornes Indianisches 
Kind in seinem Kehlsacke gefunden. . 

In der Morgendämmerung und in der Mittagszeit stellen sie 
‚auch gemeinschaftlich und besonders in Gesellschaft des Kormo- 
rans eine Fischjagd an. Beide Vögelarten beschreiben in einiger 
Entfernung vom Lande einen grofsen Kreis. Die Pelikane flat- 
tern mit ihren breiten Flügeln über der Oberfläche des Wassers 
‚herum, während die Kormorane untertauchen. Aufdiese Art wer- 
den die Fische, welche sich in diesem Kreise befinden, vorwärts 
gegen das Land hingetrieben, und, so wie der Kreis durch die 
- dichter an einander kommenden Vögel kleiner wird, werden die. 

Fische in einen engen Raum gedrängt. 


FORTPFLANZUNG. 


Das Weibchen baut sein Nest auf die einsamen Inseln der 
Seen, aus Riedgras auf moosige , torfige Stellen, und füttert es 
mit weichem Grase aus. Es ist anderthalb Fufs im Durchmesser 
und tief ausgehölt. 
entfernten Wüsteneien, wohin es dann, um seine Jungen zu er- 

Zweiter Band, 3 


Zuweilen nistet. es auch in weit wom Wasser 


finie de petites glandes longuettes qui tiennent ensemble d’une ma- 
niere particulière. Du reste l estomac n’est point charnu , mais 
n'offre que de la peau à son extrémité. 

Le foie est large et placé transversalement et non du haut en 
bas, dans sa longueur, comme dans les autres oiseaux. U est 
composé de deux morceaux, ou lobes, dont le gauche n’a pas la 
huitième partie de la grandeur de celui à droite. La vessie ren- 
fermant le fiel est attachée en bas vers le milieu du foie; sa posi- 
tion est aussi transversale, contre l’ordinaire des autres oiseaux. 

La rate est passablement grande, de forme ovale et tient à la 
vessie. De là vient que quelques naturalistes l’ont cru tout à fait 
dépourvu de rate, ne Payant point trouvé 4 la place, où elle est 
d'ordinaire chez les autres volatiles. | 

Le mésentère est également attaché à la poche du fiel, dont 
il couvre le côté droit, comme la rate en couvre le gauche. Il est 


. d’une passable longueur et s’élargit de plus en plus vers son extré- 


mité, où.se trouve une ouverture, destinée à laisser passer le ca- 
nal du fiel, qui descend du foie en ligne transversale. = 

Les trois canaux, savoir celui de la vessie du fiel, celui de 
la glande du mésentère et celui du foie, viennent se rattacher 
chacun à part, au boyau. Le canal de la glande du mésentère est _ 
le plus éloigné de l'issue du second estomac. Le canal du foie 
en est le plus proche et celui du fiel au milieu. On lui a aussi 
trouvé deux boyaux caecum. 

En examinant son squeleite on a observé, que les os étoient 
si légers, que toute la carcasse, quelque volumineuse qu’elle fût, 
ne pésoit pas plus de 25 onces. Pennantne lui donne pas tout à 


fait une livre et demie. 


NOURRITURE- 


Elle consisteen poissons, petits et grands, ‚dont il attrape une 
grande quantilé. Al s’y prend pour ‘pêcher de deux manières. 
Tantôt il vole assez haut sur les’bords-de la mer, ou d’une rivière 
et dès qu’il appergoit un poisson à la surface de l’eau, il se preci- 
pite sur lui et l’étourdit tellement, en frappant l’eau de ses ailes, 
qu'il se laisse prendre facilement; ou, en promenant son sac dans 
l'eau, il s’en sert comme les pécheurs du filet, pour attraper tout 
ce qui se présente. 

Il avale des carpes de quelques livres; quand il est repu , les 


autres poissons qui restent dans son sac, il les conserve pour ses 


petits, ou pour lui même, lorsque la faim le reprend. En Amé- 
rique ‚on a mème trouvé, dans la poche d’un de ces oiseaux l’en- 
fani nouveau né d’un naturel du pays. 

Des l’aurore et à Fheure de midi ils font souvent des chas- 
ses aux poissons en commun et particulièrement en socicté avec des 
Cormorans, Ces deux sortes d’oiseaux décrivent, à une certaine 
distance du continent, un grand cercle entr eux. Les pélicans vol- 
tigent avec leurs longues ailes en rond à la surface de l’eau, tan- 
disque les Cormorans font les plongeons. De cette maniere les 
poissons renfermés dans ce cercle, sont chassés en avant vers la 
terre et à mesure que le cercle se retrécit par le rapprochement 
des oiseaux, les poissons se trouvent aussi plus rapprochés et de- 
viennent plus facilement la proie de leurs ennemis. 


PROPAGATION. 


On trouve son nid dans des îles désertes situées sur des lacs; 
la femelle le construit avec des roseaux dans des tourbieres cou- 
vertes de mousse et elle le garnit en dedans, avec de l’herbe fine. 
Il a un pied et demi de diamètre et il est très profond. Il niche 
aussi quelque fois dans des lieux déserts, éloignés de Peau, alors 


F 


halten, im Kehlsack Wasser tragen muß. Eslegt zwei oder mehr 
weilse den Schwaneneiern ähnliche Eier, die es in 50 Tagen aus- 
brütet. 
und sagt, dafser im Neste 4 weise braungewölkte Eier von der 
Gröfse der Gänseeier gefunden’ habe. 


Forskäl hat den Kropfpelikan in Arabien brüten sehen, 


Wenn das Weibchen im 
Brüten gestört wird, so nimmt es die Bier aus dem Neste mit dem 
Schnabel, soll’ siein das Wasser fällen lafsen, und sie dann wieder 
so bald der Feind sich entfernt hat, zurükbringen. Gegen die Jun- 
gen beweisen sie die zärtlichste Treue, indem sie ihnen nicht nur 
so lange’ bis sie fliegen können , Fische und Wasser zufragen , 
söndern sie auch der Sicherheit wegen von eirem Ort zum andern 
schleppen. Bei»der Fütterung beugen die Alten den Unterschna- 
bel nach der Brust zu und lassen die Jungen aus dem Sacke wie 
aus einer Schüssel fressen. Sind die Fische zu grofs, so werden 
sie von den Alten zerstückelt, wodurch denn die Brust mit Blut 
beflekt wird, und dieser Umistand mag denn zu der Fabel ‘Anlafs 
gegeben haben, dafs der Pelikan die Brüst anfreifse und die Jun= 
gen mit seinem Blute tränke, | 

Bei der Parungszeit im Frühjahr schwillt ihnen an der Schna- 
belwurzel ein schwammiger fleischfarbiger Hôcker, in der Grö- 
fse eines Borsdorferapfels hervor, welcher sich im Sommer wie- 
der verliert. 

NUTZEN. , 


Sein Fleisch ist zwar zart, hat aber einen thranigen Ge- 


schmak; am ersten geniefst man noch das von-den Jungen. Der : 


Kehlsak wird genähet und gestikt, und ‘zu allerlei Beutel, Sä- 
cken, Mützen etc. gebraucht. Die Haut gerbt man mit den Fe- 
dern und trägt sie als Pelzwerk, und die Dunen sind so gut wie 
Gänsedunen. In Ostindien-macht man sie zahm und richtet sie 
zum Fischfang ab. Auch in Deutschländ-hat-man diefs nachge- 


ahmt und bewährt gefunden. 
SCHADEN 


stiften sie durch ihre Nahrung. Eine Gesellschaft kann in 
kurzer Zeit einen kleinen See oder 'Teich ausleeren. 


FEINDE 
wissen wir vonihm nicht anzuführen. 


JAGD UND FANG. 
Man erlegt sie mit der Flinte. 
VERSCHIEDENHEITEN. 


Latham giebt die Farbe einiger Theile dieses Vogels anders 
an, als wir beschrieben haben. So ist nach ihm die Erhöhung, 
welche vom Grunde des Oberschnabels, nach dem Haken her- 
ab läuft, karmoisinroth, der Augenstern nufsbrau, die Haut im 
Gesicht fleischfarbig, die Fülse bleifarbig, die Nägel grau; bei 
jungen Vögeln ist der ganze Schnabel gelb. Lathams allgemeine 
Uebersicht der Vögel etc. übersezt von Bechst. B. 6.5,496.nr. 1. 

Die Farbe dieses Vogels verändert'sich nach Alter und Jahrs- 
Zeit. $ 

A. v. Humbold versicherte einem der Verfasser, dafs unter Pe- 
lecanus Onocrotalus, welche man in den verschiedenen Weltthei- 
len gefunden habe, 5 ganz verschiedene Arten stecken; daher die 

verschiedene Farben- und Gröfse- Angebung der Autoren. 
Der Fürst Grassalkovich berichtete einém der Verfasser, dafs 
die, Ziegeuner in Ungarn die Schnäbel der Pelikane trokneten, sol- 
che mit Darmsaiten überzögen und als eine Art Violin gebrauch- 
ten. Nach seiner Ausfage soll es auch auf der Teifs in Ungarn 
“viel Pelikane geben. 


4 


12 — 


il en apporte dans sa poche, pour abbreuver ses jeunes. La fe- 
meile y dépose deux oeufs et quelque fois davantage , qui sont 


. blancs et qui ressemblent à ceux du Oygne.. Elle les fait éclore en 


trente jours. Forskael a vu le Pélican couver en Arabie et il rap- 
porte avoir trouvé dans son nid quatre oeufs'nués de brun et de 
Quand la femelle est troubléé dans 


son incubation, le mäle emporte les oeufs dans son bec et on pre- 


la grosseur des oeufs d'oie. 


tend qu’ alors il les laisse tomber dans l’eau et’ qu'il les rapporte 
aussitôt que l'ennemi s’est éloigné. Ils ont la plus grande tendresse 
pour leurs petits et non seulement ils leur apportent de l’eau et des 
poissons, jusqu’ à ce qu'ils puissent voler, mais ils les transpor= 
tent aussi d’un lieu dans un'autre, qüand ils les croient en dan: 
ger. Lors que les vieux donnent la becquée, ils abbaissent la man 
dibule inférieure sur ta poitrine, et ils laissent manger les jeunes 
dans leur poche, comme dans une écuelle. Quand les poissoné 
sont trop gros, les vieuxles’ brisent en morceaux; une opération 
qui ensanglante leur poitrine et qui a donné lieu à la fable, sui- 
vant laquelle le Pélican-doit déchirér sa poitrine et abbreuver ses 
petits de son sang. 

Durant l’époque de leurs amours au printems , il leur vient 
une excroissance, à la base du bec, qui est de la grosseur d'une 
petite pomme de reinette, et qui disparoit en été. 


i UTILITE 

La chair de cet oiseau est à la vérité tendre, mais elle a une 
odeur d’huile de baleine; ensorte qu'on préfère les jeunes aux 
vieux.: On-brode leur poche et on l’emploie à toutes sortes d’usa- 
ges, tels que sacs, bourses, bonnets etc. On tanne leur peau 
avec les plumes, et les Indiens’ la portent en guise de pélisse; le 
duvet en est aussi estimé et aussi bon, que celui des oyes. Les ha- 
bitants des Indes orientales les apprivoisent et les dressent à la 
chasse aux poissons. On en a aussi fait l’essai en Allemagne et l’on 
a réussi. Le 

DOMMAGE 

qu'ils -causent, tient à leur nourriture. Une troupe de ces 
oiseaux est capable de dépeupler en peu de tems, un petit lac, 
ou un étang. Nous ne connoissons point ses 

ENNEMIS. 
Quant à la 
MANIÈRE DE LE CHASSER. 

On le tue au fusil. 

VARIETES. 

Latham décrit quelques parties du corps de cet oiscau, au- 
trement que nous nie l’avons fait. Ainsi, à l’en croire, l'élévation 
qui s’ étend depuis la base de la mandibule supérieure jusques 
vers le cran, est cramoisi, l'iris brun de noix, la peau du visage 
<ouleur de chair, les pieds couleur de plomb, les ongles gris. Les 
jeunes individus ont tout le bec jaune. Latham Tableau général 
des oiseaux, traduit par Bechsiein. T. 6. p. 496. nr, 1. 

La couleur de cet oiseau change, suivant l’âge et la saison, 

À. de Humbold a assuré à l’un des auteurs de cet ouvrage, que 
notre Pelecanus oriocrotalus, qui a été trouvé dans les différentes 
parties du monde, forme irois espèces tout à fait différentes; de 
la vient aussi la différence des couleurs et de la grandeur, que lui 
attribuent plusieurs auteurs. 

L'un des collaborateurs de cette histoire tient du prince Gras- 
salkowich , que les Bohémiens en Hongrie font sécher le bec du 
Pélican, qu'ils y montent des'cordes et qu’ils s’ en servent en guise 
deviolon. Suivant le même auteur ilse trouve une quantité de Pé- 
licans sur la Teiss, en Hongrie. 


nn > u De EIE HEN EHESTEN IE GEELENSEBsEDaUEnnmmnnnn nn nn 


DER GEHÖRNTE STEISSFUSS. 


Podiceps cornntus. Latham. Allgemeine Uebersicht der Vögel, übersezt 
von Bechstein. B. 5. S. 255. 

Colymbus cornutus. Gmel. Linn. syft. nat. T. I. P. EI. pag. 591. n. 19. 

La petite Grebe cornue. Buffon. 

Grèbe d’Esclavonie, Briff. Pl. en]. 404. fig. a: 

Eared or horned Dobchick. Edw. pl. 49. 

Horzed Grèbe. Arct. Zoolog. Nr. 417. 


Seligmanns Vögel. V. Taf. 40. 


KENNZEICHEN DER ART. 


An beiden Seiten des Hinterkopfes ein kurzer Federbüschel; der 
Kopf fast schwarz mit dunkelgrünem Schiller > von dem Schnabel 
durch die Augen längs dem Schopfe ein breiter rostrother Strei- 
fen ; der rostrothe Hals mit einem sehr lang federigten glänzend 


schwarzen Kragen. 
BESCHREIBUNG. 


Der Schnabelist einen Zoll lang, schwarz, an der Spitzeröth- 
lich; der Unterschnabel kurz vor der Spitze erhöht, am Grunde 
rosenroth, der Augenstern kochenilleroth, um den Sehpunkt ein 
gelber Ring; vom Grunde des Oberschnabels bis zu den Augen 
dunkel roströthlich; der Scheitel schwarz, Oberhals und Rücken 
dunkelbraun; Vorderhals und Brust dunkel rostroih; Brust und 
Bauch glänzendweils; an den Seiten rostrôthlich ; die obern klei- 
nern Flügeldekfedern aschgrau; die gröfsern und die Schwung- 
federn schwarz; die mitilern weils, daher ein weïfer Flek auf 
den Flügeln; die Fülse aufsen schwarz; innen und aufden Lap- 
pen grau und an den Schuppenrändern gelblich, 


Die Flügelspitzen erreichen die Wurzel des Schwanzes. 

Die Länge beträgt 13 Zoll, die Breite 25 Zoll, Schwere 27 
Loth. 

Zwischen dem Männchen und Weibchen ist uns kein Unter- 
schied bekannt. | 


AUFENTHALT. 


Dieser Taucher hält sich bei der Hudsonsbay in süfsen Was- 
sern auf und läfst sich daselbst im Mai zu erst sehen. Im Herb- 
ste zieht er nach Süden zurück, erscheint dann zu Neuyork und 
bleibt daselbst bis zum Frühjahr, wo er nach Norden zurük- 
kehrt. In Deutschland ister selten. Das abgebildete Männchen 
Bes einer der Verfasser auf dem Main bei Offenbach den 30. 
April 1805. bei 7 Gral Wärme und Südwestwind. Ein anderes 
Exemplar wurde auf der Fulde bei ‚Kassel erlegt. 


EIGENSCHAFTEN. 
Er kann sehr gut untertauchen, und wird wegen seiner gro- 
-Isen Fertigkeit darinn die Wasserhexe genannt. Seine 
NAHRUNG 
hat er mit den übrigen Tauchern gemein. 
FORTPFLANZUNG. 


} 
Das Weibchen legtim Junius zwei bis vier weißse Eier zwi- 
‚schen die Wasserpflanzen, Es soll auch das Nest wie einige der 
Zweiter Band. 


LA GREBE CORNUE. 


Der gehoernte Steissfuss, 

Podiceps cornulus. Latham. Allgemeine Uebersicht der Vögel , übersezt 
von Bechstein. B. 5. S. 255. - 

Colymbus cornutus. Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. IT. p. 591. nx. 19. 

La petite Grèbe cornue, Buffon, : 

La Grèbe d’Esclavonie. Brisson. Pl. enl. 404, fig. 2. 

Bared or horned Dobchick. Edw. pl. 49. 

Horned Grebe. Arct. Zoolog. nro, 417. 

Seligmann’s Vögel. V. Taf. 40, 


CARACTERES SPÉCIFIQUES. 


Des deux côtés de Pocciput un court panache. La tête pres- 
que noire avec chatoiement verd foncé, une large raye couleur de 
rouille qui s’ étend depuis le bec et descend par les yeux le long 
de la crête. Le col rouge de rouille, avec un collier garni de très 
longues plumes d’un noir luisant. 


DESCRIPTION. 


Le bec a un pouce de longueur, il est noir, et rougeätre à 
la pointe; la mandibule inférieure courte, avec une élévation 
vers son extrémilé; la base couleur de rose, Piris rouge de coche- 
nille, le point visuel entouré d’un cercle jaune ; l’espace depuis-la 
base de la mandibule supérieure jusqu’ aux yeux couleur derouil- 
le foncé. Le sommet de la tête noir, la queue, le dessus du col 
et le manteau brun foncé. La partie antérieure du col et la poi- 
trine couleur de rouille foncé. Le bas de la poitrine et le ventre 
d’un blanc luisant, avec les côtés rouge de rouille. Les plus pe- 
tites couvertures supérieures des ailes gris-cendré ; les plus gran- 


des, ainsi que les pennes de vol noires; celles du milieu blan- 


ches; ce qui forme une tache blanche sur les ailes. Les tarses 
extérieurement noirs, en dedans et sur les membranes des orteils 
gris et une bordure jaune aux écailles. 

Les pointes des ailes atteignent la naissance de la queue. 

Sa longueur est de 15 pouces, l’envergure de 25 pouces et 
sa pesanteur de 15 onces X. 

On n’appercoit aucune différence entre le mâle et la femelle. 


PATRIE. 


Cet oiseau habite une partie de l’année les eaux douces de la 
baye de Hudson, mais il n’y paroit qu’ au mois de Mai. En au- 
tomne il retourne au Midi et on le voit alors à Neuyorck, où il 
reste jusqu’ au printems pour ensuite revenir au Nord. On le ren- 


contre rarement en Allemagne. Le mâle représenté ici a été tiré- 


par un des rédacteurs sur le Mein, pres d’Offenbach, le 56 Avril 
1805, par une chaleur de 7 dégrés et un vent de Sud-est. Un 
autre exemplaire a été tué sur la Fulde, près de Cassel. 


QUALITES. 


C'est un excellent plongeur, aussi l’appelle t-on-à raison de 
cette adresse die Wasserhexe, la sorcière des eaux. Sa 


NOURRITURE 
est la même que celle des autres oiseaux plongeurs. 


PROPAGATION. 


La femelle dépose au mois de Juin deux jusqu’ à quatre oeufs 
blancs, entre les plantes aquatiques. On prétend qu’ à l’exemple 


CG 


Æ 


andern Taucherarten, bedecken, wenn es sich von demselben ent- 
fernt. Einen 
NUTZEN und SCHADEN 


wissen wir von ihm nicht anzuführen. 


FEINDE 


Auch seine 


sind uns unbekannt.- | 
JAGD UND FANG. 
Er wird auf dieselbe Weise wie die übrigen Taucherarien 
erlegt und gefangen. 


ANMERKUNG. 


Bechstein führt diesen Vogel in seinem Ornithol. Taschen- 
buch als Synonym bei P. auritus an; ein Beweiß, dafs er ihn 
nie sahe. 


14 == 


des autres oiseaux plongeurs, il Couvre aussi son nid, quand il 
_ s’en éloigne. É 


L UTILITÉ oule DOMMAGE, 


1 5° hl ar Li 
qu’il apporte à la société, nous sont inconnus. Nous con- 
ïoissons aussi peu ses 


ENNEMIS 
Quant à la 


MANIERE DE LA CHASSER, 


ou de la prendre, © est la même que celle des! autres oise- 
aux plongeurs. 
OBSERVATIONS. 
Bechstem, dans son Manuel ornithologique cite cet oiseau, 


comme synonime de P. auritus; une preuve, qu'il nel a ja- 
mais vu, 


Po 


DER KLEINE STEISSFUSS, 


Kleiner Taucher. Zwergtaucher. Gemeines Täucherchen. Schwärzli- 

Ducker. Dukchen. 

Podiceps minor. Latham. Allgemeine Uebersicht der Vögel übersezt von 
Bechllein. 

Colymbus minor. Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. IL. p. 585. 14. 

La Grèbe de rivière, ou le Caftagneux. Buflon. 

Little Grèbe. Latham. 

Kleiner Steifsfufs. Bechfteins Ornith. Taschenb. Th. II. S. 355, n. 5. 

Der kleine Taucher. Naumann’s Naturgeschichte der Land- und Wasser- 
vögel, Th. III. S. 454. 


cher Taucher. Ducher. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Kinn schwarzbräunlich; von den Ohren an bis zu den Seiten des 
Halses herab und um die Kehle herum schön rostroih; der übri- 
ge Hals, Kopf, Scheitel und Oberleib glänzend schwarzbraun. 
Zwischen Männchen und Weibchen ist gewöhnlich kein Unter- 
schied. Das hier abgebildete Weibchen wich jedoch auf folgen- 
de Weise vom Männchen ab. Der schwarz bräunliche Flek am 
Kinne ist weit grôfser, mit einzelnen feinen weilsen Strichen; 
“ Unterleib gröfstentheils silberweifs ; Oberleib schwarzbraun und 
bräunlichweifs gemischt; die Seiten des Unterleibes rostgelblich, 
mit schwarzbraunen feinen Strichen. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel nach vorne etwas zusammen gedrükt, schwarz, 
oben ins Braune fallend, die beiden Spitzen weifs; Nasenlöcher 
länglichtrund, der Schnabelwinkel grüngelb; die Haut vom Schna- 
belwinkel bis zum Auge kahl und schwärzlich; der vordere Theil 
des Kinnes kahl, und grüngelblich; der Augenstern gelbbraun, oder 
rothbraun ; der Scheitel, ein schmaler Streifen nach der Länge 
des Nackens, der untere Theil des Ober- und Unterhalses und 
der ganze Rücken graulich schwarzbraun mit einem schwachen 
dunkelgrünlichen Schiller; die Schwungfedern der ersten Ord- 
nung dunkel braungrau; die der zweiten Ordnung am Grunde 
und auf der breiten Fahne weifs, auf der schmalen wie die er- 
stern; Unterrücken rostroth mit schwarzbraunen sehr breiten Fe- 
derrändern; der Schwanz einen Zoll lang und besteht aus weni- 
gen haarähnlichen rostrothen und schwarzbraunen Federn; die 
Seiten des Unterleibes glänzend schwarzbraun mit durchmisch- 


ei 


LA GREBE DE RIVIÈRE. 


Kleiner Sieifs{ufs. 


cherchen. 


Kleiner Taucher, Zwergtaucher. Gemeines Täv- 
Ducher. Ducker, Dukclen. 
Podiceps minor. Latham. Allgemeine Vebersicht der Vögel, übersezt von 

Bechftein. 
Cölymbus minor. Gmel, Linn, syft. nat. T. I. P. II. P- 585. 14. 
La Grèbe de rivière, ou le Caflagneux. Buffon. 
Little Grèbe. Latham. 
Kleiner Steifsfufs. Bechfteins Ornithol. Taschenbuch, THIL. 8, 355, n, 5, 
Der kleine Taucher. Naumanns Natiwrgcschichte der Land- uud Wascr- 
vögel. Th. III, S. 454, 


Schwärzlicher Taucher, 


CARACTERES SPECIFIQUES, 


Es menton noir brunätre; depuis les oreilles jusqu’ aux côtés du 
col et autour de la gorge une belle couleur de rouille. Le reste 
- du col, la tête, le sommet de la tête et le manteau d’un brun noir 
- Juisant. Il n’ existe d’ordinaire aucune différence entre lé mâle et 
la femelle. Cependant la femelle representée ici est différenciée, 
durant la mue, de la manière suivante. La tache brunätre du men- 
ton est beaucoup plus grande et elle est égaiée de quelques rayes 
blanches très fines. Le bas ventre est pour la plupart blanc ar- 
genté, le dessus du corps brun noir entremêlé de brun blanchätre; 
les côtés du bas ventre rouille jaunâtre entremélé de fines rayes 


brunes, üirant sur le noir. 
DESCRIPTION, 


Le bec en avant un peu écrasé, noir, la partie supérieure 
brunälre, les deux pointes blanches, Les narines ovales, les 
coins du bec jaune verdätre; la peau depuis le coin du bec jusqu 
à l’oeil nue et noirätre. La partie antérieure du menton aussi nue 
et jaune verdätre. Liris brunetirant surle jaune, ou sur le rouge. 
Le sommet de la tête, une raye étroite tout le long de la nuque, 
la partie supérieure du col en dessus et en dessous et tout le man- 
teau sont gris, lirant sur le noir brun, avec chatoiement verdätre 
foncé. Les pennes de vol du premier rang gris-brun foncé, cel- 
les du second rang, le fond et la barbe large blancs, la barbe étroite 
semblable à celle du premier rang. Le bas du dos ronge de rouille 
avec très large bordure brune. La queue importe la longueur d’ 
un pouce et consiste en quelques plumes, ressemblantes à du poil 
et couleur de rouille entremélé de.brun noirâtre Les côtés du 


“bas ventre d’un brun noir luisant entremêlé de gris, le fond de ces 


tem Grau; eigentlich sind diese Federn am Grunde weils, ge- 
gen das Ende hin schwarzbraun‘; die Brust und der Bauch glän- 
zend weifs, ins Röthliche spielend und mit Grauschwarz gemischt, 
daher das Weilse ein schmutziges Ansehen erhält ; die Füfse in- 
wendig grau, gelblich überlaufen; aufsen grauschwarz, an dem 


Knie olivenbräunlich ; die Lappen fein gelb gerandet: 


Die Flügelspitzen erreichen die Wurzel des Schwänzchens: 
Die Länge 8$ Zoll, Breite 15 Zoll Paris. Mis. 


Die Jungen sind in ihrer zarten Jugend dicht mit feirrer Wol- 
le bekleidet, der Hals und Oberleib sind rostbraun und schwarz 
gestreift; der Kopf ist ebenfalls schwarz mit rostbraunen und 
weifslichen Streifen; der Unterleib schmutzigweifs; die Füfse 
dunkel aschgrau; der Schnabel gelb; 


Wenn die Jungen älter geworden, und beinahe die Gröfse 
der Aeltern erreicht haben, so sehen sie folgendermassen aus? 
Scheitel, Oberhals und Oberleib graubraun oder oliyenbraun, 
Kinn rostgelblich ; Unterhals rostbräunlich,. Brust und Bauch 
weifs , roströthlich überlaufen, die Seiten roströthlich ; die 
Schwungfedern wie bei den Alten; die untern Dekfedern der 
Flügel weils. 


AUFENTHALT. 


Er bewohnt die Hudsonsbay in Amerika, ist auf dem Phi- 
Éppinischen Inseln und in Asien und Europa anzutreffen. In 
Deutschland wird er besonders auf mäfsig grofsen, mit Schilf 
und Binsen bewachsenen Teichen, die in Wäldern liegen, häu- 
fig angetroffen , dagegen ist er auf Flüssen und schr grofsen 'Tei- 
chen: des freien Landes seltner. Im Sommer sagt Naumann a. 
a. O., verwechselt er oft, wenn er seine Jungen erzogen hat, 
seinen ersten Aufenthaltsort mit einem andern, oft schlechtern. 


Wenn dieser nur einsam liegt, so mag er übrigens grofs oder 


klein sein, es hindert ihn nicht, daselbst oft Monate lang zu blei- 


ben und sich so gar da zu vermausern, So fand er einmal eine. 


kleine Gesellschaft auf einem sehr kleinen 'Teiche mitten im Fel- 
de, der gewöhnlich kein Wasser hatte, und damals gerade von 
einigen starken Regengüssen angeschwollen war. Sie konnten 
sämmtlich nicht fliegen und wurden mit den Händen gefangen. 
Er bleibt im Winter bei uns, so lange er auf 'Feichen noch of- 
fene Stellen findet. Nur wenn auch diese zufrieren, wandert er 
südlicher. Wir erhielten ein Exemplar im Jahr 1707. den 6. 
Febr. da der Schnee wohl schon geschmolzen, das Eis aber noch 
auf den 'Teichen war. Wir treffen ihn alle Winter auf dem 
Main an. 


} 


EIGENSCHÄFTEN. £ 


Er ist ein sehr harter Vogel, der es lange in der rauhe# 


Jahrszeit bei uns aushält, und wenn er gezwungen wird, sich 
wegzuziehen, schon im März sich wieder bei uns einfindet. Es 
fällt ihm schwer eine weite Reise zu machen, da seine Flügel 
sehr kurz sind, ob er gleich ziemlich schnell fliegen kann. Sei- 


‘ne Wanderungen von einem Teiche zum andern stellt er nur 


des Nachts an, bei 'Tage ist er nicht leicht zum Aufliegen zu 
bringen, und an seinem Brüteert gar nicht. Aufgrofsen Flüs- 
sen fliegt er jedoch leichter auf als auf Teichen, Auf das Land 
geht er nie, und wird er dazu gezwungen, so läuft er schnell, 
ziemlich aufrecht und bewegt dabei die Flügel, und kann dann 
nicht leicht wieder aufiliegen, weiler, um sich erst eiwas in die 
Höhe zu schwingen, eine ganze Strecke weit auf dem Wasser 

Zweiter Band. Hu 


15 xs = 


plumes est à proprement parler blanc et vers leurs extrénrités el- 
les sont brun noir. La poitrine est le ventre d’un blanc luisant, 
tirant sur le rouge et mêlé de gris noir, ce qui donne au blanc 
une leinte sale. Les pieds blancs en dedans tirant sur le jau- 
nätre en dehors gris noirätre, et les genoux verd d’olive pâle? 
les membranes avec fine bordure jaune. \ 

Les pointes des ailes arrivent jusqu’ à la naissance de la 
queue. è 

La longueur de cet oiseau est de 8 pouces et £; son envergure 
de15 pouces, mesure de Paris. 

Les jeunes, dans leur tendre enfance sont couverts d’un du- 
vet fin et épais. Le col et F avant-corps rouille foncé , rayé de 
noir., La tête est également noire, avec des rayes rouille - foncé 
et blanchâtres. Le bas-ventre blanc sale, les pieds gris de cen- 
dre foncé; le bec jaune, x 

Lorsque les jeunes sont un peu avancés et qu'ils ont pres- | 
que atteint la grosseur des vieux, voici quelle est leur livrée. Le 
sommet de la tête, le dessus du col et l’avant- corps gris brun ou 
olive foncé, le mentor rouille jaunâtre ; le bas du col rouille fon- 
cé, la poitrine et le ventre blancs avec chatoiement rougeätre de 
rouille; les côtés rougeätres de rouille; les pennes de vol sem- 
blables à eelles des vieux; les couvertures inférieures des ailes 
blanches. | 

PATRIE. 

Cet oiseau est un habitant de la baie d'Hudson en Améri- 
que. On le trouve aussi dans les iles Philippines, en Asie et 
en Europe. En Allemagne ilest très fréquent sur les étangs 
d’une médiocre grandeur, couverts de jones et de roseaux et 
situés dans les bois; en revanche il est plus rare sur les ri- 
vières .et les grands étangs des pays ouverts, Eu été, suivant 
Naumanı , quand il a élevé ses jeunes, il change souvent son do- 
micile, contre un autre quelque fois plus mauvais. Pouryuque 
ce nouveau séjour soit isolé, mimperte qu'il soit plus grand ou 
plus petit,. cela ne l'empêche point d’y passer plusieurs mois et 
mème d'y subir sa mue. Il en trouva par exemple un jour une 
petite troupe sur un très petit étang, au milieu d’un champ, qui 
toit ordinairement à sec, mais qui vemoit jüstement d’être rempli 
par de‘fortes pluyes. C? étoit des jeunes, qui ne pouvoient pas 
encore voler et ils furent tous pris avec la main. Il reste parmi 
nous aussi longtems qu’il trouve sur nos étangs quelque place, qui 
ne soit point encore gelée; ce n’est que lorsque celles-ci sont aussi 
fermées et inaccessibles, qu’il gagne lemidi. Nous en recumes un 
exemplaire le 5 Fevrier 1797, comme la neige à la vérité étoit déja 
fondue, sur terre, mais couyroit cependant encore les étangs. 
Tous les byvers on peut le trouver sur les eaux du Mein. 

QUALITES. 

© est un oiseau très agguerri au froid, qui passe une grande 
partie de Uhyver chez nous et qui lors qu’il est chassé par la ri- 
gueur de la saison, revient déjà au mois de Mars. Il n’est pas 
propre à faire de longs voyages, parceque ses ailes sont trop cour 
tes, ce qui ne l’empèche pas d’avoir un vol très rapide. I ne fait , 
ses courses d’un étang à Pautre que durant la nuit, il n’est pas ju 
cile de le faire envoler de jour et surtout de la place où il couve, 
d’où rien ne le peut faire bouger. Cependant en revanche on le : 

voit voler sur les rivières! Il ne ya jamais sur le continent, 
qu'il n’y soit forcé, ei alors il court passablement vite, assez 
droit et en agitant ses ailes. _ Dans ces occasions il ne .lui est 
pas facile de s’ envoler de nouveau, parceque pour être en étag 
de gagner les airs, il faut qu’il voltige un grand espace, pour 


hinflattert uhd sich dann nut mit Mühe erhebt Desto besser 
kann er untertauchen und in dieser Eigenschaft übertrift er- alle 
übrige Taucherarten. - Er ist sehr scheu und bei Erblickung: ei- 
nes Menschen“, auch in einer ziemlichen Entfernung, augen- 
bliklich unter dem Wasser, schwimmt unter demselben eine 
weite Strecke fort, und kommit oft erst an der entgegengelezten Sei- 
Ver- 


folgt man ihn auf einem Wasser, wo kein Schilf vorhanden-ist 


te des 'Teiches’wieder nur mit‘dem Kopfe zum Vorschein.“ 


und er sich also: nicht verstecken kann , so sücht er sich- einen 
sichern Ort am Ufer aus und legt sich ausgestrekt so auf das Was= 
ser, dafs nur-die Augen, die obere Schnabelhälfte und ein schma- 
ler Strich vom Oberhalse und Rücken aus dem Wasser hervorragk 
In dieser Stellung-liegt er unbeweglich; und man'würde ihn leicht 
für ein Stük Holz ansehen, wenn er nicht, so bald man sich ihm 
näherte, von neuem unterlauchle und an einer ganz’ andern Stel- 
lé wieder hervorkäme, ‘ 'Treibt man ihn zu sehr in die Enge, so 
weils er.sich'am-Einde so zw verbergen,.dafs:man ihn’ nichtmehr. 
sieht, 

Wenn er einmal auf einenr Teiche wohnt; so: verläfst er den- 
selben nicht leicht, und wenn auch’das Ufer nur zwei Schritte 
breit wäre, um zu dem andern zu kommen; - 
Gesicht und Gehör sind schr-fein. Seine Stimme be= 
Für ihre Jungen sind die Al= 


Sein 
steht in einem schr lauten Piepen. 
ten sehr besorgt, so lange leztere niclit selbst in Gefahr kommen. 
Sie halten ihnen anfangs die Insekten vor und die Jungen-neh- 
men sie aus dem Schnabel, dann -legen.sie sie auf das Wasser, 
endlich taucht der Alte mit demi Insekt selbst unter und das Jun- 
ge muf es ihm unter dem Wasser abnehmen und so nach und 
nach seine Nahrung selbst unter dem Wasser aufsuchen’ lernen. 
Bei eintretendem stürmischen Wetter rufen sie ihre Jungen zu- _ 
sammen, diese drängen’sich auf einen Klumpen zusammen, das 
"Alte tauchtunter und erhebt'sich gerade unter dem Klumpen’wie- 
der, so dafs es die Jungen sämmitlich' auf den Rücken bekommt, 
worauf es dann mit ihnen -fortschwimmt, Ueberrascht man sie 
plözlich , so denken sienur an ihre eigene Rettung-und lassen die 
Jungen im Stiche, die man dann mit Händen fangen kann. Im 
Falle sie aber die Gefahr schon.in der Entfernung merken, rufen 
sie die Jungen dureh Zeichen und ängstliche Töne an sich und 


flüchten-sich-mit ihnen ins Schilfrohr und in Binsen. 
NAHRUN®. 


Sie fressen gröfstentheils Wasserinsekièn, die sie {heils un- 
ter dem Wasser fangen, theils von den W asserpflanzen ablesen. 
Aufserdem dienen ihnen auch noch kleine Frösche und Froschlar- 
ven, kleine Fische und Wasserpflanzen zur Nahrung. In ihren 
Magen findet man auch Quarzkôrner. 

FORTPFLANZUNG. 


Das Nest'bauen beide Gatten von Wasserflachs und andern 
halbvermoderten Wasserpflanzen. Sie treiben sie in einen gros- 
sen Klümpen’ zusammen, wölben siein die Höhe, machen eine 
Kleine Vertiefung hinein und befestigen es an einem Schilfblatte 
oder Erlenzweig, der ins Wasser hängt, oder sie lassen es auch 
auf der Oberfläche des Wassers frei herum schwimmen. In das= 
selbe legt das Weibchen drei bis vier grünlichweilse Bier, die oft 
von dem durch das Nest dringenden Wasser schmutzig sind. Das 
Nest ist immer lauwarm von’ der starken Brutwärme des Weib- - 
chens. Wenn dieses sich vom Nesle entfernt, bedekt es dasselbe 
aus Vorsicht mit den Materialien des Nestes. Nach drei Wochen 
sind die Eier ausgebrütet, und die Jungen werden dann sogleich 
in das Wasser geführt; 


pour crisuite s’elever lentement'et avec peine. Iln’en est que plus 
habile plongeon et il surpasse à cet égard tous les autres oiséaux 
pléngeurs. Il est très sauvage et lorsqu'il appercoit une figure hu- 
maine même, à une assez grande distance, il plonge aussitôt, na— 
ge un: fort espace sous l’eau et reparoit à l’extrémité- opposée 
de L étang, seulement avec la tête. - Sivonle poursuit sur une can, 
qui n’a ni jones, ni roseaux, où il puisse se cacher, il cherche un 
endroit sûr près du rivage et s’y couche étendu sur l’eau, de ma- 
niere queles yeüx, la moitié superieure du Bec’et une petite par- 
tie du col et du dos surnagent, I reste immobile dans cette ati 
tude et on‘le prendroit aisément pour nn morceau ‘de bois, si du: 
moment qu'on l’approche, il ne sé relevoit pour plonger dere- 
chef et reparoitre bientôt à une autre place. Si bn continue-à ler 
poursuivre, il sait enfin se cacher de sorte qu’on ne le revoit plus. 
. Quandil a une fois affectionné un étang, il ne le quitte plus 
facilement, quand même il n’y auroit que deux pas à faire du ri- 
vage, pourarriver à un autre étang. Ila la vue et l’ouie très fines. 
Son cri ressemble à celui du poulet, mais d’un ton plus élevé, - 
Les vieux onlgrand soin de leurs petits, tant qu’ils ne’Sont pas eux- 
mêmes en danger. Dans-le commencement ils leur présentent les 
insectes que les jeunes reçoivent de leurs becs, ensuite. ils les pla- 
cent à la surface de l’eau, enfin ils plongent avec l’insecte dans le 
bec et il faut que les petits les leur viennent prendre sous l’eau; 
cest ainsi qu'ils leur enseignent par dégrés à chercher eux-mêmes 
leur nourriture dans l'eau, S'il survient un ora ge ils appellent leurs 
petits, qui se réunissent en un groupe serré, alors un des vieux. 
plonge dans l’eau et se releve directement au dessous de ce grou- 
pe, ensorle qu’il les prend tous sur son dos et ainsi charge il nage 
et les einporte ailleurs. S'ils sontrattaqués à limproviste, alors ils 
ne songent plus qu’ à leur propre sureté, et abandonnent leur pro- 
geniture; qu'on peut alors altraper avec la main. Mais lorsqu'ils 
appercoivent le danger de loin, ils appellentleurs s petits, par tou- 
tes sortes de signes et de éris d'angoisse et ils se réfugient avec: 


eux dans les jones et les roseaux. 
NOURRITURE. 
Hs'se nourrissent ordinairement d’insectes aquatiques,. qu’ils 
attrapent tantôt sous l’eau, tantôt sur les plantes qui croissent dans. 


Veau. 
embrions des mêmes animaux; de pelits poissons.et de petites plan- 


Outre: cela ils mangent’aussi de petites grenouilles et des 


tes aquatiques. On trouve aussi du gravier dans leur estomac. 


PROPAGATION. 

Le mâle etla femelle ensemble construisent leur nid:ayee du. 
crinon d’eau et avec. d’autres plantes aquatiques moitié décompo- 
sées. Ils amassent ces plantes en un mofceau youte et élevé 
ils y forment ensuite un creux et attachent le tout à une feuille 
de roseau ou à une branche d’ ormeau, suspendue dans l’eau ou 
bien ils le laissent aussi floiter çà et là sur l'eau. 
à 4 oeufs blancs tirant sur le verd, qui sorit souvent sa- 


La femelle y 
dépose 5 
lis par l'eau, qui entre dans lenid. Le nid est toujours tiéde de 
la chaleur considérable que lui communique la couveuse. Quand 
elle s’en éloigne, elle le couvre par précaution avec les matériaux 
du.nid. Au bout de 3 semaines les oeufs sont éclos et la progéni- 
ture est aussitôt conduite sur l’eau. 


Us’ batissent aussi souvent leur nid dans les huttes à canards, 
quand elles sont construites à une assez grande profondeur dans 
Veau, et alors ils savent prendre une telle autorité que les canards. 
ne hazardent pas de les y troubler. 


Ocfiers bauen sie auch ihr Nest in Enlenhäuschen, wenn sie 
tief genugins Wasser gemacht sind. Sie wissen sich eim solches 
Anschen zu verschaffen, dafs die Unten es nicht wagen eine solche 
Höle zu beziehen. 

N | NUTZEN. 

Ihr Fleisch kann gegessen werden, wenn man die Haut ab- 

Ihre Federn sind vortref- 


zieht. Mit dieser schmekt es thranig, 


liche Dunen. Einen: VER 
SCHADEN. 

wissen wir von ihnen. nicht anzuführen, wenn man ihnen 

nicht das Wegfressen der wenigen kleinen Fische als solchen an- 
rechnen will, 5 
FEINDE. 

Die Alten" kann so leicht kein Raubvogel überfallen‘: allein 


DU ou 


die Eier und Jungen werden manchmal von den Rohrweihen‘, 


Krähen und Wasserratten geraubet. In iliren Federn beherber- 
gen sie auch eine Art von Liäusen und in ihren Gedärmen eine Art. 
Wiüirmer: : - | 
JAGD UND FANG 

Da sie aufserordentlich scheu sind , so ist ihre Jagd sehr 
schwer, und nur in dem Falle gelingt es dem Jäger einen zu tö- 
den , wenn er sich unvermerkt nahe genng hinschleichen und das 
Feuer auf der Zündpfänne verbergen kann. Die Fischer fangen 
sie zuweilen in den Reusen und Kiebgarnen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


1. Der weilse kleine Steifsfufs. Podiceps: minor albus, Nobis, 

Das Gelieder ist ganz weils. 

Einer der Verfasser sah einsolches Exemplar im Naturalien- 
kabineite zu Bamberg. 5 

2. Der kleine Steifsfufs-auf den Philippinischen Inseln, wel- 
cher aufser der gewöhnlichen Farbe oben purpurfarben überlau- 
fen und an den Wangen und den Seiten des Halses sich ins Gelb- 
rotlie ziehen soll, gehört nach Latham auch hieher. 

Latham allgemeine Uebersicht der Vögel, a: a. O. 


ANMERKUNG. 


Wenn Bechstein in seinem Ornithologischen Taschenbuch: 


a. a. ©. behauptet, dafs die rothbraune Kopflarbe dem Weibchen 
fehle; so müfsen wir dieser Behauptung widersprechen, denn das 
hier abgebildete und beschriebene W eibchen wurde 1804 den 25. 
April geschossen und die Zeugungstheile untersucht. Es hatte ei- 
nen grofsen Evyerstok, 


x 


UTILITE. 
Leur chair est mangeable, quand on la dépouille de sa peau, 
car avec celle-ci elle a une odeur d’huile de poisson. Bes plumes 


donnent un. excellent duvet. 
DOMMAGE. 


Nôus ne saurions lui en attribuer aucun, à nrôiné qu'on né 


veuille faire atlention à quelques petits poissons, qu’il avale, 
ENNEMIS: 5 


I n’est pas facile aux oiseaux de proie- d’ attraper les vieux, 
Mais les oeufs ainsi que les jeunes: sont souvent exposés À deve- 
nir la proie des bussards, des corneilles et des rais d’ead. Is ont 
aussi une espèce de poux, qui s’altachent à leurs plumes et une: 
espèce de vers, qui rongent leurs boyaux: 


MANIÈRE DE LA CHASSER. 


Comnte ils sont extrêmement sauvagés leur chasse est rem= 
plie de diflicultés, et le chasseur ne réussit à en tuer un, que lors= 
qu'il parvient à se glisser de très près, sans être apperçu et à cac 
cher le’ feu de la platine. Les pêcheurs les attrapent quelque fois. 
au filet, .soit-ayec la nasse ou la truble. 


VARIETES: h 


1. La petite grebe blanche. Podiceps minor albus.. Nobis, 

Le plumage est absolument blanc. 

Un des rédacteurs de cet ouvrage en a vu un exemplaire dans- 
le cabinet naturel de Bamberg. 


2. La petite grebe des îles Philippines, qui outre la livrée or- 
dinaire, a sur la partie supérieure du corps un chatoiement pour- 
pre, qui se change en rouge jaunätre aux deux côtés du col et 


É RR: an 4 
aux joues, apparuent 


aussi à cette espèce, suivant Latham. 
Latham tableau général des oiseaux à l’endroit cité: 
OBSERVATION. 

. Nous croyons devoir contredire ici l’assertion de Bechstein,- 
dans son Manuel orhithol. où il prétend, que la femelle n’a point 
la tete d’un rouge brun. La femelle décrite ét représentée ici a: 
été tuée le 25 Avril 1804 et en examinant les parties génitales, 
nous y avons trouvé un ovaire considérable, 


"DER WIEDEHOPF. 


Wiedhoff. Wiedehöppe. Wiesenliopp., Wiedehopfe:: Kothvogel. Stink- 
hahn, Kothhan, Kukusknecht! 

Upupa Epops. Linn. Syft..nat. T. I. pag. 183. n° 1. ; 

— —. Gmel, Linn. syfl-nat. Ti LP. II. p. 466. Br; . 

La Hupype. Buffon. 

Commone Hooppoe. Latham. 

Der Wiedehopf. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Tab. XLIT. 

Ber gemeine Wiedehopf, Bechfteins gemein. Naturgesch, Deutschl. Band 
I.-S. roi. nm. 1. Dessen Ormith. Taschenbyeh Th. LS. 76: 

- Die Wiedehopf;; Nanınanns’ Natnrgeschichte der Land- uud-Wasservôgel. 

B.1.S. 186. À 


KENNZEICHEN DER ART. 
Mi: einer fächerförmig aufgerichteien, rostrothen und oben mit 
schwarzen Flecken versehenen Haube, einem geraden schwar- 


zen. Schwanze, der eine weilse Binde hat. 
Zweiter Band. - 


5 


EA HUPPE. 


Der Wiedehopf. Wiedhof. Wiedhöppe. Wiesenhopp. 
Kothvogel. Stinkhahn. Kothlrahn. Kukuksknecht, 

Upupa Epops. Linn, Syft. nat. T. I. p. 183. n. 1. 

— — Gmel. Lin.»syft. nat. T, I. P. IL p..466.'n. 1. 

£a Huppe. Buffon. 


Wiedehop£ez. 


Commone Hooppoe, Latham. 

Der Wicdehopf. FrischVorftellung der Vögel Dentschl.* Tab. XLIIT. 

Der gemeine Wiedehopf. Bechfteins gemein. Naturgesch. Deutsch], Band! 
IS 1071. n.ı. Defsen Ornith. Taschenb. Th.T. 8.76. ı. 

Die Wiedehopf. Naumann’s Naturgeschichte der Land- und Was: ervögel.- 


B. I. $. 186. 


à PNR RUE 
CARACTERES SPECIFIQUES. 
Avec une buppe droite en forme d’ éventail, rouge de rouille, 
tachetée de noir, une queue horizontale noire, ornée d'une bor- 
dure blanche, : 


BE SCHREIBUNG. 


\ 


Der Schnabel ist zwei Zolllang, vorn etwas klaffend, bogen- 
förmig gekrümmt, schmal, der Ober- und Unterschnabel inwen- 
dig platt, aufsen bläulichschwarz, an der Wurzel blafs fleisch- 
farbig; die Nasenlöcher klein, eirund und liegen an der Stirn ; 
die Zunge herzförmig , sehr kurz ; stumpf, dreieckig und ohne 
Einschnitt; der Stern schwarzbraun; auf dem Scheitel von der 
Stirn an bis zum Hinterkopfe ist ein Federbusch, dessen Federn 
vorn und hinten an Länge abnehmen, in zwei Reihen neben ein- 
ander stehen und orangeroth, vor der Spitze weils, an der Spi- 
tze schwarz sind; der Kopf an den Seiten, der Hals und der 

- obere "Theil der Brust fleischfarbigbraun; der Bauch, die After- 
federn und die untern Dekfedern des Schwanzes weils, dieBauch- 
seiten mit schwarzbräunlichen Streifen; der Oberrücken und die 
kleinsten! obern Dekfedern der Flügel rothgrau; der Unterrü- 
cken schwarz, mit rostgelblich weifsen breiten Bändern; die 
obern Dekfedern des Schwanzes oben weils, unten schwarz; die 
erste Schwungfeder sehr klein, die vierte am längsten, die erste 
Ordnung der Schwungfedern schwarz , jede Feder mit einem 
weifsen Bande; die zweite Ordnung schwärzlich , mit fünf wei- 
fsen Bändern, die beiden leztern Schwungfedern sind schwarz, 
weils und rostgelb gezeichnet; die oberu Dekfedern der Flügel 
der ersten Ordnung sind 'schwarz , die der zweiten schwarz, mit 
weilsgelben Bändern, welche mit den Eändern der Flügel und 
des Rückens sich vereinigen und etwas wellenförmig laufen; der 
Schwanz hat zehn Federn; ist gerade, schwarz, in der Mitte mit 
einem weifsen aufwärts stumpfwinklich gebogenen breiten Quer- 
bande; die Füfse sind bläulich, die Nägel braun, der Hinternagel 
fast gerade und lang, Die Flügelspitzen sind von der Schwanz- 
spitze 13 Zoll entfernt. 

Das Weibchen istvon dem Männchen fast in nichts unter- 
schieden. Nach Bechstein ist es eiwas blässer, an der Brust 

weißslich, mit einigen schwärzlichen Streifen. 


AUFENTHALT. 


Der Wiedehopf ist in Aegypien und Indien, besonders aber 
in Europa bekannt, doch nirgends häufig und in Holland auch 
wenig anzutreilen. Gegen Norden verbreitet er sich bis Schwe- 
den und Norwegen. In den südlichen Wüsten von Rufsland und 
der Tatarei ist er so gemein als in Deutschland. In lezterm ist 
er ein Zugvogel, der sich im April bei uns einstellet und zu En- 
de des Augusis wieder wegziehet, entweder einzeln oder in Ge- 
sellschaft von vier bis acht bei Nachtzeit. Sein Aufenthalt sind 
bei uns gebirgige und ebene Wälder, welche an Wiesen und 
Viehweiden, oder an Dörfer gränzen. 
der Erde anzutreflen , doch sezt er sich, sobald man ihn auf- 
Auch auf Häuser sezt er sich 


Er ist mehrentheils auf 


jaget, auf die nächsten Bäume, 
-öfters, wenn er im Frühjahr wieder kommt und läfst seine Stim- 


me hören. 
BIGENSCHAFTEN. 


Er ist ein etwas scheuer, munterer und gutmüthiger Vogel, 
der gegen andere Keime Feindseligkeiten ausübt. Sein Flug, bei 
welchem er seine Nlügel wegen ihrer abgerundeten Federn oft 

| und schnell bewegen mufs , ist sanft, rukweise und ohne alles 
Geräusch. Während desselben liegt auch sein Federbusch auf 
dem Nacken, im Affekt aber, oder wenn er auf etwas aufınerk- 
sam ist, breitet er ihn wechselsweise fächerförmig aus und schlägt 
ihn wieder nieder. Er läuft sehr hurtig mit etwas herabhängen- 


DESCRIPTION. 


Le bec a deux pouces de longueur, un peu ouvert par devant, 
arqué et étroit, La mandibule supérieure et Pinferieure intéricu- 
rement plates, en dehors d’un bleu tirant sur le noir et couleur de 
chair pâle à sa base. Les narines petites, ovales et situées près 
du front. La langue en forme de coeur, très courte, obtuse, tri- 
angulaire et non fendue. L’iris brun foncé. Le sommet de Ja 
iète depuis le front jusqu’ à l’occiput, garni d’une huppe ou touffe 
de plumes, dont les premières tant devant que derrière vont en 
diminuant; elles forment deux rangées a côté l’une de Pauire, sont 
orange foncé, blanches en approchant de la pointe et celle - ci 
tout à fait noire, Les deux côlés de la iête, le col et le hant de 
la poitrine sont couleur de chair brunätre; le ventre, les plumes 
du sternum et les couvertures inférieures de la queue blanches, les 
côtés’ du ventre avec des bandes noir brun ; le haut du manteau et 
les plus petites couvertures supérieures des ailes gris rougeätre; 
le bas du dos noir, avec de larges rayes couleur de rouille jaunätre 
et chateiement blanchâtre. Les couvertures supérieures de la 
queue blanches en haut ; l'extrémité noire, La première plume 
de vol très petite, la quatrième la plus longue. Le premier rang 
des pennes de vol noir et chacune égaiée d’une raye blanche ; le 
second rang noirâtre avec cing rayes blanches; les deux dernières 
pennes de vol noires, ' marquetées de taches blanches et couleur 
de rouille jaunâtre, Les couvertures supérieures des ailes sont 
noires au premier rang, celles du second rang également noires, 
mais &gaices de bandes d’un jaune blanchätre qui se réunissentaux 
bandes des ailes et du dos sous une forme ondoyante. Ta queue 
est composée de dix plumes, elle est horizontale, noire, ornée 
vers le milieu d’une large bandetransversale blanche, qui s’arron— 
dit vers le haut en un angle oblus. Lies pieds sont bleuâtres, les 
ongles bruns, Vorteil de derrière presque droit et long, Les poin- 
tes des ailes à la distance d’un pouce 3 de la pointe de la queue. 

La femelle n'offre prösqu’ aucune différence , comparée au 
mâle. Suivant Bechstein sa livrée est un peu plus pâle, la poi- 
trine blanchâtre, avec quelques rayes noirätres. 


PATRIE 


On rencontre la Huppe en Egypte, aux Indes et suriout en 


Europe, mais nulle part en grand.nombre et très peu en Holiande, 


Vers le Nord elle arrive jusqu’ en Suéde et en Norvège, Dans les 
déserts meridionaux de la Russie et de la Tartarie elle est presqu’ 
aussi commune, qu’ en Allemagne. Dans cette dernière partie de 
l Europe c’est un oiseau de passage, qui fait son apparition en 
Avril et qui nous quitte à la fin d’ Acüt, soit un à un, soit par 
iroupes de quatre à huit individus et cela pendant la nuit. 11 se 


tient ordinairement dans les bois ‘unis ou montueux, qui confi- 


nent à des villages. On le rencontre ordinairement par terre, 
mais dès qu’on l'approche, il va se percher sur les arbres les plus 
voisins* Il se pose aussi souvent sur les maïsons, quand il re- 


vient au printems et il fait entendre sa voix. 


QUALITÉS. 


C’ est un oiseau un peu sauvage, mais vif et cépendant pa- 


cifique , qui exerce rarement des hostilités contre les autres. Son - 


vol est doux et par bonds ou élans et il ne cause presqu’ aucun 
bruit, quoique à raison de la forme arrondie de ses plumes il soit 
obligé d’ agiter souvent et rapidement ses ailes. Durant qu’ il vo- 
le, sa hupe reste fermée sur la nuque, mais dans la passion et 
quand il observe quelque chose attentivement il Pouyre plusieurs 
fois en forme d’ éventail et la referme tour à tour. 


u court très. 


ir” 


den Flügeln, bükt dabei öfters den Kopf vorwärts, stöfst mit dem 
Schnabel auf die Erde und stochert in derselben. Diese Verbeu- 


gungen macht er auch jedesmal, wenn er seine Stimme hören 


Fißst, diewiehuphuphup oder wutwutwut lautet. Im Wohl- 
behagen rufter auch wekwekwek. Er istalt schwer zu züh- 
men und lebt nicht lange-in der Gefangenschaft. Man gibt ihm 
anfangs Mehlwürmer und Regenwürmer, die man auf Erde in 
einen Schachteldeckel legt. ‚So bald er davon fressen will, bohrt 
er auf eine komische Weise viele Löcher in die Erde und holt 
die Regenwürmer hervor. Auch mit Maikäfern kann man ihn 
nach und nach an anderes Futter gewöhnen. Belustigend ist es, 
wenn er- nach einem hingeworfenen Maikäfer läuft und frifst, 


Unzähligemal wirft er wegen seiner kurzen Zunge einen solchen 


im Schnabel herum, läfst ihn fallen, ergreifiihn wieder, und 
nach vielen’ Bemühungen gelingt es ihm endlich ihn.hinunter zu 


schlucken. Ein Paar Junge, die wir eine Zeitlang in der Gefan- 
genschaft hielten, hatten die Gewohnheit, dafs sie den Schwanz 
ökters ausbreiteten und in die Höhe hoben wie ein Fruthahn, wo- 
bei sie auch mit dem Kopfe Verbeugungen machten und ihre 
Haube ausbreiteten. 


schnabel vorne genau zusammen; bei Alten ist er, wie schon 


Bei diesen pafste der Ober - und Unter- 


gesagt, gewöhnlich klaffend. 
aber beschwerlich zu füttern. Man kann sie, ( schreibt Herr von 
Schauroth in Bechsteins gemein. Naturgeschichte a. a. O:) zu 
allen gewöhnen, wann man nur will. Er gewährt wenn er jung 


aufgezogen wird im Zimmer die angenehmste Unterhaltung, und 


ist nach der Elster der versiändigste Vogel, der jeden Wink sei- * 
8 8€ ) 


nes Herren verstehen lernt, Er fütterte die zwei Jungen, wel- 
che er bekam, mit Fleisch von jungen T’auben grofs (wir glau- 
ben dafs Ochsenherz die Stelle dieses theuren Futters vertreten 
kann;) sie brauchten aberjfast sechs Wochen Zeit, ehe sie allein. 
frafsen. Sie folgten ihm überall hin nach, und wenn sie ihn von 
ferne hörten, machten sie einzwitscherndes Freudengeschrei und 
sprangen an ihm in die Höhe. Sie flogen nicht viel, aber mit 
ziemlicher Leichtigkeit, wenn sie es thaten. Sezte er sich oder 
fülterte er sie, so kleiterten sie an seinen Kleidern in die Flöhe, 
bis sie auf den Schultern oder auf dem Kopfe safsen und sich an 
ilın anschmiegen konnten, Er brauchte aber nur em Wort zu 
sagen, um sich von ihrer Zudringlichkeit zu befreien, so gien- 
gen sie unter den Ofen, überhaupt sahen sie immer nach seinen 
"Augen, um zu bemerken, ob er aufgeräumt war, wornach sie 
äuch ihre Laune richteten. Sie bekamen das Universalfutter 
(weilses geriebenes und mit Milch übergossenes Brod, ) und bis- 
weilen Käfer, welche sie mit ihrem Schnabel so lange zersta- 
chen, bis Füfse und Flügelsdecken absprangen und alles weich 
ward, dann warfen sie dieselben in die Höhe, und bemühten 
sich ihn so zu fangen, dafs er der Länge nach in den Schlund 


fill. Kam er in die Quere, so fiengen sie das VVerfen und Fan- 


gen von.neuem an. Sie badeten sich nicht im Wasser, und 


auf demi Sande wälzten sie sich nur herum, 
auf nahe Wiesen, um sie Insekten fangen zu lafsen, bei wel- 
cher Gelegenheit er ihre angeborne Furcht vor Raubvögeln be- 
merkte, Sobald sich nämlich eine Taube oder ein Rabe im Flu- 
ge sehen liefs, so machten sie in weniger als einer Sekunde ei- 
ne artige Stellung, sie legten sich auf den Bauch nieder, brei- 
teten die Flügelso weit aus, dafs die äufsersten Schwungfedern 
einander berührten, und der Vogel mit einem Kranze von 
Schwung- und Schwanzfedern umgeben war, legten den Kopf 
zurük auf den Rücken, und strekten den Schnabel in die Höhe. 
In dieser Stellung sahen sie einem alten Lumpen ganz gleich. 


Zweiter Band. i K- 


Die Jungen sind leicht zu zähmen 


Er nahm sie mit 


19 = 


vite en laissant un peu tomber ses ailes, alors il porte souvent sa 
tête en avant, et frappe la terre de son bec, en la fourageant. Il 
fait les mêmes gestes, chaque fois qu'il pousse un cri, qui résonne 
à | oreille comme houp houp houp ou bien comme wout 
wout wout, Quandil est content il crie aussi wek wek wek. 
Il est diflieile d’ apprivoiser un vieux et il ne vit pas longtems dans 
la captivité. On lui donne’ dans les commencemens des ténébri- 
ons de farine ou des vers de terre à manger qu’on pose sur de la. 
terre dans le couvercle d’une boite. Qnand il s’en veut repailre, 
il s’y prend d’une manière comique, pour faire des trous dans la 
ierre et en tirer les vers. On peut aussi I’ accoulumer insensi- 
blement aux hannetons, ainsi qu à d'autre nourriture. C’est un 
spectacle.très amusant de le voir courir après un hanneton et d 
examiner sa manoeuvre, pour l avaler, Vu la petitesse de sa lan- 
gue, il le tourne et le retourne une quantité de fois dans le bec; le 
rejette, le reprend et après plusieurs essais il réussit enfin A!’ 
avaler. Nous avons nourri pendant quelque tems une couple de 
jeunes, qui avoient l habitude de faire la roue avec leurs queues. 
et de la dresser en haut comme les coqs- d’ Inde ; ils courboient 
en mme tems leur tête en avant ét déployoient leur hupe. La 
mandibule inférieure et la supérieure de ces deux individus se 
joignoient exactement, tandisque les vieux ont ordinairement le 
Les jeu- 


Mr. de 


Schauroth raconte, dans l’histoire naturelle de Bechstein, qu’on 


bec ent’ ouvert, ainsi que nous l’avons déjà observé. 

res sont faciles à apprivoiser , mais difficiles à nourrir. 
peut les accoutumer à tout, quand on veut, S’ilest élevé très 
jeune dans la chambre, il procure beaucoup d’amusement, car c'est 
après la pie l oiseau le plus intelligent, et il apprend à connoitre 
ét deviner tous les signes de son maitre. L'auteur ci-dessus a 
élevé deux jeunes avec de la chair de pigeonnaux. (Nous croyons 
qu'on peut remplacer cette précieuse nourriture par du coeur de 
boeuf.) 
seuls. Us le suivoient partout et quand ils Pentendoient de loin 


IT se passa six semaines, avant qu'ils pussent manger, 


ils exprimoient leur joie par un gazouillement particulier et sau- 
tojent et voltigeoient après lui. Ils ne voloient pas beaucoup mais 
avec assez de légèreté, quand ils s’en avisoient. 'S’ il s’ asseyoit 
ou s’il leur donnoit à manger ils grimpoient le long de ses habits, 
jusques'sur ses épaules, ou sur sa tête pour le flatter. , Mais ıl n? 
avoit.qu à prononcer un mot pour se délivrer de leurs importu- 
nites, ils se retiroient aussitôt sous le poële. En généralils ex- 
aminoient toujours ses yeux,. pour observer s’il étoit de bonne hu- 
meur et ils s’ arrangeoient en conséquence. On leur donnoit la 
nourriture ordinaire, c’est à dire du pain blanc rapé ét trempé de 
lait et quelque fois des scarabées, Ils, becquetoient alors ceux-ci 
aussi longtems qu'il le failoit, pour leur faire tomber les pieds et 
les ailes et amollir leur corps, ensuite ils les jettoient en l’ air et 
tächoient de les ättraper de manière à ce qu’ils tombâssent en long 
dans leur gosier. Si le hanneton tomboit de travers , alors ils le 
rejettoient en l'air et le rattrapoient jusqu’ à-ce qu'ils eussent réussi 
à leur gré, Usne se baignoient point dans l’eau, mais se rou- 
loient seulement sur le sablehumide. Leur maitre les prenoit quel- 
que fois avec lui dans des prairies voisines, pour leur faire attra- 
per des insectes et dans ces occasions il öut lieu d’ observer la 
crainte qu'ils ont naturellement des oiseaux de proie. Dés qu'ils 
voyeient voler un pigeon, ou un corbeau, ils prenoient, en moins 
d'une minute une attitude très plaisante. Ils se couchoient sur le 
ventre, déployoient leurs ailes, de manière que lespennes de vol 
extérieures des deux côtés se iouchoient entr’ elles et formoient 
avec les pennes de la queue une espèce de couronne autour de lui, 


puis ils courboient la tête en arrière sur le dos, en tenant le bec 


es 20 


War ihr vermeintlicher oder wirklicher Feind aus ihrem Ge- 
sichtskreise, so sprangen sie mit einem Freudengeschrei auf. 
Sie legten sich sehr gerne in die Sonne und strekten sich in der- 
Das Weibchen hatte sein Futter öfters in der Stu- 
be herum getragen und kleine Federn, Fäden und Staub darum 
gewickelt. 


selben aus. 


Diefs machte einen Ballen im Magen’ einer Hasel- 
nufs grofs, woraus denn eine Unverdaulichkeit entsprang, an der 
es auch starb. Das Männchen erlebte den Winter und safs im- 
mer auf dem warmen Ofen. Durch die Wärme. vertroknete: 
sein Schnabel’ aber so sehr, dafs er einen Zoll weit aus einander 
stand, und so mufste er auf eine elende Weise umkommen. Die- 
ser Vogel hatüberhaupt wenig natürliche Wärme, daher er auch: 
immer fröstelt, Bei der Zergliederung hat man gefunden, dafs 
sein Schlund muskulös und‘ mit einer freistehenden Haut ver- 
doppelt ist. An dem Winkel bei der gabelförmigen Theilung der 
Luftröhre sind zwei kleine mit einer feinen Haut bedekte Lö- 
cher; die beiden Zweige eben dieser Lufiröhre werden von’ hin- 
ten durch eine ähnliche faut gebildet, und bestehen vorn aus 
Unter der 
Scheitelhaut liegen’ zwischen den Wirbel und dem Schnabel zwei 


knorpelichen Röhren von halbzirkelförmiger Gestalt. 
besondere Muskeln: WVerden sie in den Nacken herunter ge- 
zogen, so hebt sich der Federbusch, werden sie nach dem Schna-- 
bel gezogen, so senkt er sich. 


Seine' 
NAHRUNG 
besteht aus Mistkäfern, Maulwurfsgrillen, Raupen und an- 
dern Insektenlarven , Aaskäfern, 'Todengräbern, Laufkäfern 
{Carabus Linn.), Maikäfern, 
züglich des Morgens, grofse Niederlagen an, und untersucht in 


Unter diesen allen richtet er vor- 


der Hinsicht das Aas, Kühflaten und andern Unrath, wozu ihm 
sein langer Schnabel gute Dienste leistet. Auch den Ameisen und 
ihren Puppen’ geht er nach. 


FORTPFLANZUNG. 


Er baut sein Nest’ in hole Bäume, am liebsten auf alte hohe 
und niedere Baumstrünke, die eine weiche Unterlage von Erde 
haben, auch auf und unter die Stöcke abgehauener Bäume, in 
alte Mauern - und Felsenlöcher, unter die Brücken der Pferde- 
stäle und andere kothige Orte. Das Nest besteht meistens aus 
Kuhmist, in welchem einige zarte Reiser und Würzelchen sind. 
Diese übelriechenden Materialien und der Koth der Jungen, den 
die Alten nicht, wie es andere Vögel zu thun gewohnt sind, weg- 
tragen, sind die Ursache, warum der Wiedehopf so übel riecht, 
obgleich wir gestehen müfsen, dafs der Geruch bei mehreren Ex- 
emplaren, die wir lebendig erhielten, gar nicht merklich war. 
Bechstein bezweifelt es, dafs er sein Nest aus Menschenkoth ver- 
Goeze fand dasselbe unter den Loche einer Mauer, wo 
Die 
Unterlage war von weichem stinkenden Koth. Nach dem Zeug- 
nisse des Dr. Pallas brütet er am liebsten in stinkendem Aase, Er 
hat auch ein Nest in dem Abtritie eines in der Vorstadt von ‘Fza- 
ritzin gelegenen, unbewohnten Hauses gefunden. Nach Nau- 
mann besteht’ das Nest aus einer geringen Unterlage von verfaul- 
ter Holzerde und Federn. Hr. von Schauroth in Gotha bekam ein 
Wiedehopfennest aus dem Gipfel einer holen Eiche. Es hatte ei- 
ne halbe Kugeldecke von Kühmist mitzarten Wurzeln durchkne- 
tet, und auf faules Flolz war nur etwas Genist gelegt, mit einigen 
Federn, Die Jungen, so wie das Nestrochen natürlich wie Amei= 
senhaufen, Aus diesen Erfahrungen ersieht man, dafs der Wie- 
dehopf sein Nest zwar immer aus faulen Materialien und thieri- 
schen Auswurf, wie wir es auch stets gefunden haben, aber ge- 


fertige. 
die Gosse und Ausflüsse der Kloake zusammen kommen. 


Dans cette attitude ils ressembloient à un vieux morceau 
de linge. Mais aussitôt que leur ennemi réel ou prétendu avoit 


élevé. 


disparu à leurs yeux, ils se relevoient en sursaut et en poussantun 
cri de joie. Ils aimoient beaucoup le soleil et se plaisoient à s’y 
étendre. La femelle avoit une fois trainé sa nourriture, ca et là 
dans la chambre et elle I’ avoit envelppé de plumes, de fil et de 
poussière.” Cela avoit formé dans son estomac une boule de la 
grosseur d’une noisette, qu’ elle ne pütdigérer et elle en ereva. Le 
mâle lui suryeeut d’un hyver, toujours assis sur le pocle. Maisson 
bec se dessécha tellement par la chaleur, qw’il bailloit de la largeur 
_ Cet 
oiseau possède généralement peu de chaleur, et il frissonne tou- 


d’un pouce; ensorte qu’il périt d’une manière malheureuse. 


jours. En l’anatomisant on trouya, que son gosier étoit muscu 
leux et doublé d’une peau isolée. Au coin, où la trachée artère 
se partage en deux branches, on découvrit deux petits trous re- 
couverts d’une peau fine. Les. deux Lranches de cette même tra- 
chée sont formées en arrière par une peau semblable et consistent 
par devant en tuyaux cartilagineux de forme demi - circulaire. 
Sous la peau du sommet de la tête, entre ce sommet et le bec il _ 
existe deux musclés particuliers , qui si on les tire vers la nuque, 
font lever le plumet et le font au contraire baisser, quand on les: 


tire vers le bec. Sa 
NOURRITURE 

Consiste en fouille-merdes, taupegrillons, chenilles et pou= 
pées d’autres insectes, en boucliers, fossoyeurs, (Carabes Linn.) 
„et hannetons, C’est surtout le matin, qu’il fait de grands rayages 
parmi ces pelits animaux et il examine à cet effet les charognes, 
la fiente de vache et autres ordures, en-quoi la longueur de son 
bec lui rend de grands services. Il donne aussi la chasse aux 
fourmis et à leurs chrysalides, 


PROPAGATION. 


I] bâtit son nid sur les ormes, mais il préfère de grosses 
branches brisées, ou basses, où élevées, qui offrent une couche 
de terre molle, ou bien les troncs d’arbres coupés. Ille construit 
aussi dans des trous de vieux murs et de rochers, sous les vou- 
tes des écuries de chevaux et dans d’ autres lieux malpropres. 
Son nid est ordinairement composé de fumier de vaches, mêlé de 
tendres rameaux et de pelites racines. Ce sont ces matériaux in- 
odores et la fente des jeunes, que les vieux ne jettent point hors 
du nid, suivant la coutume des autres oiseaux, qui font que la 
huppe sent si mauvais, quoique, pour dire la vérité, nous n’ayons 
point du tout observé d’odeur, dans plusieurs exemplaires, que nous 
avons possédés vivans. Bechstein ne croit pas, qu’il contruise sow 
nid avec de la fiente d’homıne. Gocze en a trouvé un sous le toit 
d’un mur, qui recevoit les immondices des cloaques; le fond dw 
nid étoit d’une hiatièré molle et puante. Suivant le'temoignage du 
Docteur Pallas, il aime de préférence à tout les charognes puan- 
tés, pour y couver. Îlen a aussi trouvé un nid dans le privé 
d’une maison inhabitée au Faubourg de ‘fzaritzin. Si l’on en 
croit Naumann la première assise du nid de cet oiseau est compo- 
Mr. de Schauroth de 


Gotha a réçu un nid de huppe, qui étoit huche sur le sommet d’ 


‘see de terre de bois pourrie et de plumes. 


un chène creux. Il étoit couvert à moitié de fiente de vache fa- 
çonné en rond, entremölee de quelques tendres racines et le fond 
étoit de petits brins de bois avec quelques plumes. Les jeunes 
ainsi que le nid respiroient l odeur d’une fourmillière. De toutes 
cesexpériences il résulte que la huppe bätit ordinairement son nid 
de matériaux pourris et d’exer&mens ou d’e compositions du regne 


animal, comme nous Pavons toujours observé, mais que certai- 


— 21 


Wifs auch dann aus Menschenkoth erbaue, wennihm dieser in 
der Nähe liegt, und er die andern genannten Materialien nicht 
haben kann, 


Das Weibehen-legt vier, fünf, sechs, ja zuweilen sieben grin- 
lich weilsgraue Hier, die es in vierzehn bis 16 Tagen ausbrütet. 
Nach Bechstein sollen die Eier röthlich aschgrau aussehen,” das 
gegen unsere Erfahrung ganz streitet. Die Jungen werden meh- 
rentheils mit den Larven der Mistkäfer, und mit Regenwürmern 
gefütlert. Sie haben weilse Schnabelwinkel, ein weifsliches 
Kinn, ünd die weifsen Bänder der Dekfedern und der hinter- 
sten Schwungfedern sind rothweifs, und.die schwarzen schwarz- 


braun. 
NUTZEN, 


- Sein Fleisch war den Israëliten zu essen verboten, weil man 
ibn unter die unreinen Thiere rechnete, In Italien wird es ge- 
gessen. Es soll so schmakhaft wie Wachtelfleisch sein. Im Herb- 
ste ist es öfters schr fett. Durch sein Geschrei soll er die Ver- 
änderung des Wetters ankündigen. In Aegypten sieht ihn der 
Landmann defswegen gern, weil er durch seine Erscheinung den 
Abflufs des Nils und mit diesem die Zeit der Aussaat angibt Die 
Ursache seiner Erscheinung sind die Insekten, die er im Schlam- 
me nach dem Abflufs des Wassers findet. Er hat daher unter 
den ägyptischen Hieroglyphen einen wichtigen Plaz. In der Ge- 
fangenschaft macht er dem Vogelliebhaber durch seine F ‚uslig- 
keit und seine possirlichen Stellungen viel’Vergnügen. Einen 

SCHADEN 
wissen wir von ihm nicht anzuführen. Seine‘ 
FEINDE 
sind mehrere Falkenarten. 
# JAGD UND FANG. 

Wenn man ihn schiefsen will, so mufs er öfters auch be- 
schlichen werden. Will man ihn fangen, so bestreicht man ein 
acht Zoll langes Hölzchen mit Vogelleim, bindet an das eine En- 
de einen fingerlangen Faden, an welchen einige lebendige Mehl- 
würmer befestiget sind, und stekt es ganz locker auf einen Maul- 
wurfshaufen. ‘Wenn er die Würmer sieht, so zupft er daran, 
die Leimruthe fällt über ihn und er bleibt daran kleben. 

z VERSCHIEDENHEIT. 
1. Der weifse Wiedehopf. Upupa Epops alba. 


Ein solches Exemplar findet sich im Darmstädter Museum. 


Zweiter Band, ; 19 


3 


) 
nement il n’emploie la fiente de l’homme, que lorsqu'elle est à 
sa porice et que les autres matériaux ci- dessus lui manquent. 

La femelle dépose 4, 5, 6 et quelque fois jusqu’ à'7 oeufs gris 
blanc, tirant sur le verd, qu’elle fait éclore en quatorze, ou-seize 
jours. Suivant Bechstein les oeufs sont gris cendré tirant sur le 
rouge, assertion, quirépugne absolument à nos expériences: La 
nourriture des jeunes consiste pour la majeure partie en chrysa- 
lides des fouillemerdes et en vers de terre. Ils ont le coin du bec 
blanc et la crète blanchätre et les bandes des couvertures des plu- 
mes et des pennes de vol inférieures, au lieu d’ être blanches, sont 
rougeätres et les autres brun noir au lieu de noires, 


UTILITÉ, 


Il éloit défendu aux Israelites de manger de sa chair, parce- 
qu’il étoit rangé dans ia classe desanimaux impurs. On la man- 
ge en lialie; cile doit être d’un goût aussi délicat, que celle des 
cailles: En automne cet oiseau est souvent très gras. On prétend 
qu’il annonce par son eri les changements de température, de.la 
vient, qu'il est bien vü du cultivateur égyptien, parcequ'il annonce 
par sa présence l’écoulement du Nil et la saison des semailles. Sa 
venue est motivée par les insectes, qu’iltrouve dans le limon aban- 
donné, par les eaux du Nil. De là vient aussi, qu'il occupe une 
place importante dans les hyerogliphes égyptiens. Au reste il est 
un sujet de divértissement pour les-amateurs, qui le tiennent em 
chambre, par sa gaité et par ses plaisantes postures. Le 


DOMMAGE 
qu’il peut causer est à peu près nul. Ses 
ENNEMIS- 


sont plusieurs espèces de faucons. 


MANIERE DE LA CHASSER: - 


Î faut l’épier longtems avant de pouvoir le tirer. Quand ox 
veut l’attraper, on enduit de glu un petit baton d’environ 8 pou- 
ces de long et on Penfonce légèrement sur une taupinière * après 
avoir attaché à l’autre bout un fil de la longueur d’un doigt, au- 
quel tiennent quelques ténébrions de farine vivans. Des qu'il ap- 
perçoit ces vers, il les becquete et tire à luile fil, qui fait tom- 


ber sur lui le gluau et il y reste empêtré. 


VARIETÉ. 
1. La huppe blanche. Upupa Epops alba, 
Nous ayons vu un exemplaire de cette couleur, au Musée de 
Darmstadt, 


22 — | 


DER GARTENAMMER. 
Ortolan. Hortolan. Feldammer, Kornfink. Ammerling. Grünzling. 
Jutvogel. Feckengrünling. Windsche. Fettammer. 


Emberiza hortulana. Linn, syft. nat. DT. I. pag. 309. n. 4. 


Emberiza hortulana. Gmel. Lin. syft. nat. T. I. P. II. p. 869. nr. 4. 
Ortolan Buffon. } 


Ortolan Bunting. Latham. 
Der Feitammer, Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Tab. 5. fig. 2. 


Der Gartenammer. Bechiteins gemeinnützige Naturgeschichte Deutschl. 
B. III. S. 283. Taf. VI. 
Dessen Ornith. Taschenb. Th. 1. S. 134. n, 3. 


| 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen mit fleischfarbenem Schnabel, grauhch olivenfarbe- 
‚nem Kopfe, Ober - und Unterhalse; hochgelber Kehle; schwärz- 


lichen Schwanzfedern, wovon die beiden zur Seite weifs, und nur 


nach aufsen schwarz sind. 


Weibchen. Scheitel und Hinterkopf grünlichgrau mitschma- 
fen braunen Schafistrichen; Schñabel oben braun, unten an den 
Seiten röthlieh; Kinn und Kehle gelblich und so wie der übrige 
mehr grate Unterhals mit braunen Schaftstrichen versehen; Un-. 
terleib heller und die Fülse blafsfleischfarbig. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel gelblich fleischiarben ; der Oberschnabel an 
der Spitze gekerbt, an der Wurzel stark, die Seiten der. Unter- 
kinnlade nicht sehr eingedrukt; der Augenstern braun; die Au- 
genlieder mit einer gelben Einfassung; der Kopf, Ober-und Un- 
terhals und ein Streifen vom Grunde des Unterschnabels an der 
Seite des Halses herab graulich olivengrün; Kinn und Kehle und 
ein Streifen vom Schnabelwinkel an den Halsseiten herab schwe- 
felgelb; der Rücken und die Schulterfeder rostbraun mit schwarz- 
braunen Schaftilecken ; der Unterrücken rosibräunlich; die 
Schwungfedern schwarzbräunlich; die der ersten Orduung auf der 
schmalen Fahne mit einem rostgelben Rande, die obern Dekfe- 
dern der Flügelschwarzbraun mit breiten rosibraunen Rande; 
die untern Dekfedern der Flügel schwefelgelb; die Brust und der 
übrige Unterleib und die untern Dekfedern des Schwanzes roth- 
gelb mit hellern Rändern; der Schwanz sehwarzbraun; die bei- 
den äufsersten Federn auf derinnern Fahne mit einem grofsen 
Die 
Flügelspitzen sind von der Schwanzspitze ı4 Zoll entfernt. Paris, 
M&. Länge 53 Zoll, Breite 93 Zoll, 


weilsen keilförmigen Flek; die übrigen rostgelb gesäumt. 


AUFENTHALT. 


Der Garteñammer bewohnt Rufsland und Sibirien, wo er 
Im süudk- 
ehen Europa, als in Italien und Frankreich, ist er ebenfalls zu 


‘sehr gemein ist; weniger häufig ist er in Schweden. 
Hause, jedoch in Sardinien nicht. : In Deutschland ist er ein 
Zugvogel, der zu Ende des Aprils und Anfang des Mai-ankommt, 
und im September in Familien zu drei bis sechs Stücken wieder 
wegzieht. Auf seinem Zuge sieht man öfters einzelne auf den 
Spitzen hoher Bäume sitzen, die aus Leibeskräften locken, um 
vielleicht noch eiñen Kameraden herbei zu locken. 

Er hält sich gern in Gebüschen, 'Weingärten, Gärten, in 


Wiesen, die mit Hecken und Bäumen umgeben sind, undin Feld- . 


und Vorhölzern auf 


“ 


DL’ ORTOLAN, 


Crtolan. Hortolan. Feldammer. Kornfink. Ammerling. 
Grünzling. Jutvogel. Heckengrinling. Windsche. Fettammer. 
Emberiza hortulana. Linn. Syft. nat. T. I. pag. 309. n. 4. 


Emberiza hortulana. Gmel, Linn. syit. nat. T. I. P. IL. pag. 869. n. 4. 
Ortolan. Buffon. 


Ortolan Bunting. Latham. 3 

Der Feitammer. Frisch Vorflellung der Vögel Deutschl. Tab. 5. fig. 2. 

Der Gartenammer. Bechfteins gemeinnülzige Naturgeschichte Deu'schF, 
B. IH. S. 283. Taf. VI. 

Dessen Ornith. Taschenb. Th. I, S. 134, n. 3. a % 


Gartenammer. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Le Mâle. Le bec couleur de chair; la tête, le haut etlebas du 
col grisätres tirant sur la couleur d’olive, le gosier jaune clair. 
Les queues de la plume noirätres, dont les deux latérales seule- 
ment sont noires à l’extérieur, mais intérieurement blanches. 

La femelle. Le sommet de la tête et Poceiput gris verdätre , / 
avec des rayes étroites brunes sur la tige. Le haut du bec brun, 
les deux côtés de la base rougedtres. Le menton et la gorge jau- 
nälres avec tiges à brins bruns ainsi que le reste inférieur du 
col, qui est plus gris. Le bas ventre plus clair et les tarses couleur 
de chair pâle. 

DESCRIPTION. 

Le bec jaunätre tirant sur la’ couleur de chair; Ja mandibule 
supérieure armée d’un cran à la pointe, forte à sa base; les côtés 
de la mandibule inférieure peu écrasés. L’iris brune; les pau- 
pières cernées de jaune. La tête , le haut et le bas du col et une 
raye qui s étend de la base dela mandibule inférieure jusqu’ aux 
côtés du col verd d'olive. Le menton et la gorge, ainsi qu’ une 
raye descendant du coin du bec jusqu’ aux côtés du col, jaune de 
soufre. Le dos et les plumes des épaules rouille foncé, avec des 
taches brum-noir sut les tiges; le bas du dos couleur de rouille 
brunätre. Les pennes de vol noir brun; celles du premier rang 
sur la barbe étroite ont un lisere couleur de rouille jaune. Les 
couvertures supérieures des ailes brun noir, avec large bordure 
rouille foncé; les couvertures inférieures des ailes couleur de souf- 
fre. La poitrineet le reste du bas ventre, ainsi que les couver- 
{ures inférieures de la queue jaune rougtatre, avec bordure plus 
claire. La queue brun foncé; les deux plumes extérieures offrent 
une grosse tache blanche en forme de coin sur la barbe intérieure; 
les äutres bordées de jaune de rouille. Les extrémités des ailes 
sont éloignées d’an pouce } de la pointe de la queue. Longueur - 


5 pouces 3. Envergure q pouces £ mesure de Paris. 
PATRIE, 

1’ Ortolan habite la Russie et la Sibérie, où il est très com- 
mun; il Vest moins en Suède, On le trouve aussi dans l’Europe 
méridionale, comme en Italie et en France; cependant il n’existe 
point en Sardaigne. En Allemagne c’est un oiseau de ‘passage, 
qui arrive à la fin d’Ayril ou au commencement de May et qui file 
au mois de Septembre, par troupes de 3 jusqu a 6 individus, Du- 
rant ses courses on en voit souvent, qui sont perchés isolément 
sur la cime de grands arbres, criant de toutes leurs forces , sans 
doute pour appeler quelques camarades. 

1] fréquente volontiers les bosquels, les vignes, les jardins 
etles prairies, qui sont entourées de hayes et d’arbres, ainsi que 
les jeunes taillis ou les bois, qui touchent aux champs. 


+ 


BIGENSCHAFTEN. 


Eristein unruhiger Vogel, der bei Tage sowohl als bei Nacht 
eine Stimme hören lift Pek, pek, pek, pek schreit er, wenn 
‘er auflliegt; durch göh, göh drükt er seine Leidenschaften aus, 
und zwit, zwit und gye, gye läfst er auf seinen Wanderungen hö- 
ren. Sein Gesang ist dem des Goldammers ähnlich, nur dafs 
die Stimme reiner ist, und die lezien Töne mehr in die Tiefe stei- 
'gen, statt dafs sie beim Goldammer höher werden, 

Sein Flug unterscheidet sich dadurch_von dem des Golden 
Mers, dafs er in einem weg weitere Strecken macht. Er hat noch 
Ob er aber, 
wie Goeze sagt, wenn er des Nachts bei einer Nachtlampe ge- 
füttert wird, in 24. Stunden eine solche Fettigkeit erhält, dafs mart 
vor Fett kein Fleisch sieht, bezweifeln wir. Sein leichtes Fett- 
‘werden war schon den alten Römernbekannt. Varro dere rustica. 
Lib. IH. ce. 5. führt ihn unter dem Namen Miliaria an. Auch ist 
‘er wahrscheinlich der Cenchramosdes Aristoteles denn Kevxpıs be- 


das Eigene, dafs er in kurzer Zeit sehr fett wird. 


‘deutet so viel als Hirse, 
| NAHRUNG. 


Diese besteht vorzüglich aus Hirse, FE ‘aber auch aus Hei- 
‘dekorn, Haferkörnern, allerhand Insekten , mit welchen leztern 
‘er auch seine Jungen füttert. Im Zimmer ernährt man ihn mit 
Hirsen, Mohn und Hafer. 


‘unter obiges Futter auch noch gutes Gewürze und mufs ihn in ein 


Will man ihn mästen, so thut man 


“Zimmer stellen, ‘das bei der Nacht mit einer Laterne erleuchtet 
ist, damit er den Unterschied zwischen Tag und Nacht nicht 
‚merket, und mehr Nahrung zu sich nimmt. Im ehmaligen Hes- 
‘sen wurden sonst für die Fürstliche Tafel viele Ortolane auf die- 
se Art gemästet,- Dadurch wird er so fett, dafs er drei Unzen 
‘wiegt, und wenn er nicht zu rechter Zeit geschlachtet wird, in 


‘seinem eignen Feite erstikt, 
E * FORTPFLANZUNC. 


Sein Nest bauet er nachläfsig aus Grashalmen in Gebüsche 
“and lecken, oder wie es in Loihringen der Fall sein soll, auf, 
‘die Erde und-in das Getreide. In dasselbe legt das Weibchen vier 
bis fünf grauliche oder grauröthliche‘, mit braunen Strichelchen 
besprizte Bier. In Deutschland brütet er nur einmal des Jahrs, 
sn andern Gegenden soll er es zweimal thun. 


NUTZEN. 


-Seines obgleich unbedeutenden Gesanges wegen hältman ihn 
«doch in Norddeutschland gern im Räfig, auch ist sein schmakhaf- 
tes Fleisch eine Leckerspeifse der Vornehmen. In Italien und 
Frankreich wird er häufig gefangen, gerupft, in Schachteln ge- 
pakt und mit Mehl oder Hirsen bestreut und verschikt. Bei den 
Dorfe St. Stoppa auf der Insel Cypern werden schr viele kleine 
Insektenfressende Vögel gefangen, worunter sich auch viele Or- 
tolane befinden , alle diese Vögel werden unter dem Namen Or 
tolane verkauft. Man schneidet ihnen Kopf und Füfse ab, läfsı 
sie im heifsen Wasser aufivallen, legt sie dann mit Gewürz in 
Efsig, pakt sie in Fäfschen und verschikt sie nach den grofsen 
Städten von Europa. InSchweden wird der Ortolan wegen seines 


herrlichen. Geschmaks bisweilen mit einem Dukaten bezahlt. 
SCHADEN 


kann,er, wenu er häufig sich einfindet, in den Hirsefeldern 


anrichten. en 
FEINDE 


hat er mit dem Goldammer gemein. 
Zweiter Band, M 


QUALITES. 


© estun oiseau très alerte, qui fait entendre son chant jour 
et nuit. Pek, Pek, Pek, tel est son cri, quand il s’ élève en l'air; 
il exprime sa passion en criant göh,,göh et quand il file, on len- 
tend crier tour à tour zwit, zwit et gye, gye. Son chant ressemble 
à celui du bruant, si ce n’est que ses tons sont plus nets et que 
vers la fin ils tombent dans le bas, tandisque ceux du bruant mon- 
tent Cet oiseau se distingue aussi du précédent par.un vol plus 
soutenu, ensorte qu'il fait de suite plus de chemin que l'autre. 11 
a aussi cela de particulier, qu’il engraisse trés vite. 

Il nous est cependant permis de-douter de l’assertion de Goe- 
ze, qui prétend, que, nourri de nuit à la lueur d’une lampe, il 
engraisse tellement en 24 heures, qu’on ne distingue pas la chair 
à force de graisse, Sa facilité à engraisser étoit déjà conue des 
Varron de re rustica Lib. II. c. 5. en parle 
sous le nom de Miliaria. 


anciens Romains. 


€? est vraisemblablement aussi le Cen- 
‘chramos d’ Aristote car Keyyprç signifie millet, 


NOURRITURE. 


Elle consiste surtout en millet, puis en bled noir ou sarrasin, 
en avo:ne ei toute sorte d’insectes; ces derniers lui servent aussi à 
“nourrir ses jeunes. Em chambre on lui donne du millet, du pavot 
Quand on veut I’ engraisser, on mêle encore à 


la nourriture cidessus quelque mélange épicé et on le met dans 


ei: de l’avoine, 


une chambre qui est éclairée la nuit par une lanterne, afin qu'il 
n’obferve point la différence entre le jour et la nuit et qu'il mange 
“davantage. La table du Prince de Hesse étoit autre Lois servie 


2 
-d Ortolans, qui avoient été engraissés de cette manière, Lin | les 


{raïtant ainsi on en a vu de si gras, qu’ils pesoient jusqu? à trois 


onces et si on ne les tue pas à propos, ils etouffent dans Jeur pro- 


«Pre graisse, 


PROPAGATION. 

Il construit negligemment son nid avec des brins d’ herbe, 
dans les hay es et les buissons, ou par terre et dans les bleds, ainsi 
qu'on prétend qu’il arrive dans la Lorraine. Les ocufs s s’y trou- 
vent au nombre de quatre à cinq; ils sont grisätves, ou d’un gris 
rougeätre , et marqués de petites rayes brunes. En Allemagne 
la femelle re couve qu une fois par an, ce qu’elle fait ailleurs 
deux fois à ce qu’on prétend, 


UTILITÉ. 


Quoique son chant ne soit pars merveilleux, on aime ce- 
pendant à Pavoir en cage dans l Allemagne septentrionale, Sa 
chair est une des délicatesses de la table des grands, On les at- 

= ” Bi ee 2 3 : : 
trappe en grande quantité en Italie et en France, et après lesavoir 

f r 1 
plumés, on les empaquete en les couvrant de farine ou de millet et 
on les envoye à l'étranger. Les habitants de Pile de Cypre près 
du Village de St. Stoppa prennent une quantité d'oiseaux qui se 
nourrissent d'insectes, parmi lesquels il se trouve aussi des orto— 
lans et tous ces volatiles se vendent sous le même nom d’ortolans. 
On leur coupe la tete et les pieds, on les fait bouillir dans l’eau 
quelques minutes, ensuite ils sont mis avec du vinaigre et des épi- 
ces dans des tonnelets etenvoyés dans toutes les grandes villes de 
PEurope. En Suede ils sont tellemeut estimés , qu’ils se payent 
quelque fois un ducat la pièce, Cet oiseau peut causer du 


DOMMAGE 
dans les champs de millet, où il se trouve en quantité. Ses 
ENNEMIS 


lui sont-communs avec le bruant, 


JAGD UND FANG 


Man fängt ihn im Herbst einzeln auf den "gewöhnlichen Vo- 
gelherden. Hält man es der Mühe’ werth, aufihn besonders Jagd 
zu machen, sö legt man im August auf einem grünen Platze in der 
Nähe von Gebüschen einen kleinen Herd wie einen Finkenherd 
an, macht eine niedrige Umzäurung herum’ und stekt allenthal= 
ben Haferbüschelchen hin. Neben den Herd sezt man einige 
Gartenammer als Lokvögel, und läufert auch wo möglich, einige 
an. Er lälst sich leicht herbei.locken’und fangen: 


VERSCHIEDENHEITEN:. 


1: Der weifse Gartenammer. Einberiza hortulana- candida:- 
A Oriolan blanc. Buflon.: 


) Entweder ganz weils oder gelblich"weifs, oder' auf dem’ 


Rücken, an den Flügeln und auf dem Schwanze mit sei- 
ner natürlichen Farbe etwas vermischt. 


2. Der gelbe Gartenammer. Emberiza hortulana fulya. 
Ortolan jaune. Buffon, 
Ganz strohgelb, den Rand der Flügel und die Schwung- 
federn, welche weifs sind‘, ausgenommen. Schnabel 
und Füfse sind röthlich. 


albicilla, 
Ortolan a queve blanche. Buffon. 
Der Schwanz ist weils, übrigens hat-er seine natiir liche 


Farbe. 


: Der schwarze Gartemammer. Emberiza-hortulana nigra. 


en 


-Ortolan noirätre. Buflon. 
Ganz schwarz, oder an einzelnen 'Theilen anders ge- 
färbt, z. B.-am Kopfe oder Halse grünlich. 


. Der Maellyensische Ammer. Emberiza maelbyensis. Gmel. 


[Sa 


Lin, Sparmann mus. Carls.:t, 21. 


Nach der Abbildung zu urtheïlen, ist diefs sicher ein junger 
Gartenammer männlichen Geschlechts. Er’ ist in Schweden auf 
dem Landgute Maelby gefangen. worden: 

Der Augenkreis, ein Streif über den Augen, Kehle, Seiten 
des Halses, After und Unterschwanz weilslich ;-Kopf, Hinter- 
hals und Oberbrust bleigrau ; Unterbrust und Bauch rostfarbig ; 
Rücken und Schultern mit spitzigen, schwarzen Flecken und 
und rostfarben gemischt wie am Grauammer; die obern Dekfe- 
dern der Flügel schwarz, am äufsern Rande rostfarbig, die un- 
tern schwefelgelb; die Schwungfedern-schwärzlich, am Rande 
blafs rostfarbig; die „wei äufsern Schwanzfedern von der Spitze 
bis zur Mitte weils, am äufsern Rande schwarz, die übrigen 

schwarz; der Schnabel und die Füfse blafsrôthlich.. 


5. Der weifsschwäuzige Gartenammer. Eimberiza:hortulana 


MANIERE DE LE CHASSE: | 
On les attrape en Automné un à un sur les aires ordinaires, 
Quand on trouve, qu'il vaut la peine de leur donner la chasse en. 
particulier,on arrange au mois d” Aöut une aire semblable à celle 
des pincons dans un endroit, couvert de gazon, et dans le voisi- 
nage des buissons, on P entoure d’ une haye basse et on y.sus- 
pend de toutes parts de pelits bouquets d’avoine en épis. On 
place à côté de)’ aire quelques oïseaux de leur espèce en CES 


pour les appeler, ou l’on en laisse voltiger à une ficelle, Alors. 
ils se laissent aisément: attirer et prendre, 


VARIETES. 
i L oxtolan blanc. Emberiza-hortulana candida: 
L’ ortolan blanc. Buffon. 
il est ou tout à fait blanc, ou d’un blanc jaunätre ou-le 


blanc est mêlé à ses couleurs naturelles sur le dos, aux 
ailes ét sur la queue. 


À 


2; L’ ortolan jaune. Emberiza hortulana fulva. 
L’ ortolan jaune. Buffon. 
Absolument couleur de paille, excepté la bordure des ai- 
les et les pennes de vol, qui sont blanches: Le bec et 
les tarses sont rougeälres. 


3. L’ oriclan à queue blanche. Embèriza hortuläna albicilla, 
Grtolan à queue blanche, : Buffon. 
La queue en est blanche ; du reste il a les couleurs ordi 
naires;: 
4 : 


‘ 1? ortolan-noir: Emberiza hortulana nigra: 

L’ ortolan noirätre. Buflon. 

Tout à fait noir ou avec des variétés de couleur, dans quel- 
ques parties, telles que par exemple à la tête ou au cok 
qui sont verdätres. 

5. L’ ortolan de Maelby. Emberiza Maelbyensis, Gmel, Linn; 
Spar: rmann. Mus. Carls. t. 21. 

À en juger par la-représentation celui-ci est surement un 
jeune ortolan mâle. Il a été pris en’ Suede sur la terre de Malby. 
Le cerele autour des yeux, une raye au dessus des yeux, 
la gorge, les deux côtés du col, le sternum et le dessous de la 
queue sont blanchätres; la tête, le derrière du col et le haut de 
la poitrine couleur de plomb; le bas de la poitrine et le ventré 
couleur de rouille; le dos et les épaules avec des taches noires- 


‚ en.pointes,.entremeldes de rouille comme au-proyer. 


Les couvertures supérieures des ailes noires, l extrémité de 
la bordure couleur de rouille, les couvertures couleur de souffre, 
Les pennes de yol noirâtres, avec bordure couleur de rouille pâle, 
Les deux pennes extérieures de la queue ont la pointe blanche - 
jusques vers le mieu, le bord extérieur en est noir; les autres 
pennes de la queue noires. Le bec et les pieds rouge pâle. 


# 


[y] 


DER ASCHGRAUE GEIER. 


Grofser Geier. Aschgrauer Geier. Kahlkopf (in Thüringen. ) 
Vultur cinerens. .Gmel. Lin. syft. nat. T.L.P.I.p.247.n6. 
Vantour, ou grand Vautour. Buffon hift. nat, I. p. 158. t. 5. pl. en], 425. 
Cinereous, or ash - coloured Vulture, Lath. synops. p. 14. n. 8, 

Chincon, oder Chinesischer Geier. Le!Vaillants Naturgesch. der afrikan; 

Vögel von Bechst. übersezt B. I. S. 66. nro. 11. Taf. 12. 

Bechsteins gem, Naturgeschichte. B. 2. S. 473, nr. 1. 


KENNZEICHEN DER ART, 


Fiinterkopf und Nacken kahl und bläulich; auf dem_Unterhalse 
ein aus schwarzbraunen Dunen bestehender, dreieckiger, zu bei- 
den Seiten des Halses mit schräg in die Höhe gerichteten Fe-= 
dern begränzter, Flek; aufieder Schulter ein aufrechter Feder- 
busch; Füfse halb befiedert und fleischfarbig, 


BESCHREIBUNG, 


Der Schnabel vom Mundwinkel an 5 Zoll 6 Linien lang, À 
Zoll 24 Linien breit;an der Wurzel abgerundet, von der Wachs- 
haut an nach den Seiten zusammengedrükt, hornschwarz, auf 


dem Rücken vorn, und an den Seiten da, wo sich die Wachs- : 


haut endigt, blafsbräunlich ; Wachshaut blafs fleischfarbig, hin- 
ter den Nasenlöchern bläulich; oberer Schnabelrand mit einem 
stumpfen Zahn; Nasenlöcher eirund; Unierschnabel blafsbräun- 
lich, Zunge rinnenförmig, an der Spitze abgerundet, hornartig 
und scharf, die Seitenkanten fleischig und stumpf, das hintere 
Ende gefranzt; die vordere Hälfte der untern Fläche hornartig, 
bläulich , die hintere fleischig, auf den Seiten wit elen Kleir 


1e 
Oeflnungen versehen, woraus beim Druk ein ‚gällertartiger, zi- 
her Schleim quillt ; unter der Zunge in der Haut, welche den 
Ausschnitt des Unterkiefers ausfullt, befinden sich ähnliche Oef- 
tungen, aus welchen sich ein solcher Schleim in noch grölserer 
Menge drücken läfst Im Öberkiefer an der Basis des Nagels 
belindet sich ein Kleines Knöpfchen, wo die Spitze des Unterkie- 
fers bei geschlossenem Schnabel widerstößst; von diesem Knöpf- 
chen läuft eine erhöhte Linie bis in die Mitie des Oberkicfers, 
wo sie sich zu einer starken Hervorragung erweitert, die häutig, 
vorn glatt und nach hinten mit sehr vielen Zähnen versehen ist; 
bei geschlossenem Schnabel verschliefst diese Hervorragung die 
durch die Zunge gebildete, nach vorn offene Rinne. Von die- 
ser MHervorragung läuft auf beiden Seiten eine erhöhete , mit 
scharfen Zälnen versebene Linie, die die Zungenrinne von der 
Seite verschliefsen helfen. Dieser merkwürdige Bau dient haupt- 
sächlich zur Erleichterung des Abnagens des an den Krochen be- 
findlichen Fleisches, welches unser Geier so vortreflich ver- 
steht, dafs auch keine Fleischfaser an einem Thierkopfe zu- 
rük bleibt. 


Die Augen sind nicht so schräg und tiefliegend wie beim 
Adler; der Augenstern nulsbraun, die Pupille dunkelblau; die 
Augenwimpern schwarzbraun, die obern lärger als die unter; 
Scheitel und Hinterkopf mit hellbraunem Pflaum, der am Hin- 
terkopf merklich in die Höhe steht und eine kurze Holle bildet; 
vor, hinier und unter den Augen mit schwarzhraunen Borsten- 

baaren ; der hervorstehende AugenKnochert rôthlich und nakt; 
am Kinrte und an den Seiten des Unterschnabels an der Wurzel 
mit schwarzbraunen Borstenhaaren; unter dem Kinme, hinter 
den Augen und im Genik nakt und bläulich; Ohrenlöcher klein, 
rundlich und mit hellbraunem Pflaum umgeben ; die untere Hälf- 
Zweiter Band. 


LE VAUTOUR, OU GRAND VAUTOUR, 
Grofser Geier. Aschgrauer Geier. Kahlkopf (in Thüringen, ) 

Valtur cinéreus. Gmel. Lin. fyst. nat. T. I. P. I. p. 247. n. 6. 

Vautour, ou: grand Vautour. Bufon hist. nat. I, p. 158,t 5. pl. enl. 405, 

Cinereous, or ash- coloured Vulture. Lath. synops. p. 14. n. 8. 

Chincon, oder Chinefischer Geier. Le Vaillants Naturgeschichte der af- 


rikan. Vögel von Bechftein übers. B. I. S. 66. nr. 11. Taf. 12. 
Bechfteins gemein. Naturyeschichte. B. 2. 8. 473. nr, 1, 


CARACTÈRES SPECIFIQUES, 
7’ occiput et le col chauves et bleuâtres; le bas du col marqué 
d’une tache triangulaire , formée par un duvet brun foncé et 
circonscrite des deux côtés du col par des plumes qui s’élevent 
dans une direction oblique ; sur chaque épaule un bouquet de 
plumes perpendiculaire ; les tarses moitié emplumés, moitié coux 
leur de chair. 


DESCRIPTION. 


Le bec long de 5 pouces 6 lignes à partir de Pencoigmure de 
louvérture , large d’un pouce 2% lignes arrondi à sa base, de- 
puis la membrane vers les côtés applati et noir de corne, à la 
partie supérieure et sur les côtés, où la membrane finit brun 
clair; la membrane couléur de chair clair et bleuâtre derrière les 
marines; la bordure supérieure du bec, ärınde d’une dent obtu- 
se, les narires ovales, le bee inférieur brun clair; la langue 
en rainure, ayec extrémité arrondie, cornée et tranchante, les 
bordures laiérales charnues et obtuses, l’éxtrémité postérieure 
à franges: la partie antérieure du dessous cornée et bleuâtre, la 
partie pôsiérieure charnue et pourvue de plusieurs petites ouver- 
tures, d’où par la compression découle une liqueur épaisse 
en forme de gelée ; sous la langue dans la peau qui remplit le 
creux dela mandibule inférieure, il se trouve également de pa- 
reilles couvertures, d’où l'on peut exprimer une pareille liqueur 
en plus grande quantité. A la mandibule supérieure à la base de 
la jomture, se trouve un petit bouton, où aboutit la pointe de 
la mandibule inférieure quand le bec est fermé; de ce petit bou- 
ion on voit une ligne élevée s’allonger jusques vers le milieu de 
la mandibule supérieure, où elle s’elargit et forme une forte émi- 
ñence, qui est charnue, unie par devant el en arriere pourvue 
d’une quantité de dents. Quand le bec est fermé cette proémi- 
nence entre dans la rainure formée en avant par la langue; de 
ceite proéminence se prolonge des deux côtés une ligne aussi 
éminente et armée de dents aigues, qui sert aussi à fermer la rai- 
nure de la langue str les côtés. Cette structure remarquable sert 
principalement à faciliter a cet oiseau le rongement et le dépe= 
cement de la viande qui entoure les os, ce que notre oiseau en- 
tend si parfaitement, quil ne reste pas le plus petit brin de chair 
à la tele d’un animal , tombé entre ses griffes. 

Ses yeux ne sont pas placés aussi obliquement et à une aussi 
grande profondeur que ceux de laigle; l'iris est brun de noix, 
la prunelle bleu foncé; les paupières brunes tirant sur le noir, 
les supérieures plus longues que les inférieures; le crane et l’oc- 
ciput couverts d’un duvet brun clair, qui à l’occiput dresse vi- 
siblement ses brins en l’air et forme me sorte de petit plumet, 
Devant, derrière et sous les yeux s’elevent des poils soyeux bruns, 
tirant sur le noir. La pommette de loeil ou Pos proéminent est 
rougeätre etnud; le menton et les côtés inférieurs du bec vers 
la racine sont garnis de poils soyeux noir - brun; le dessous du 
menton, le derrière des yeux et la nuque sont nuds et bleuâtres ; 


N | 


= se 


te des Oberhalses mit schwarzbraunen Federn, von welchen die 
obere Reibe pflaumartig ist; unter dem nakten Theil des Unter- 
halses steht ein aus schwarzbraunen Federchen bestehendes , 
länglichtes’Dreiek, dessen Spitze nach der Brust zugekehrt ist; 
‘an beiden Seiten desselben sind hellbraune Federn, welche sich 
an den Federkragen des Oberhalses reihen; von den Schulter- 
federn stehen einige der vordern, etwa zwölf an der Zahl, und 
von ungleicher Länge, gerade in die Höhe, — doch nicht im- 
mer, — und bilden einen Federbusch; die Federn des Ober= 
halses und Rückens, die obern Dekfedern der Flügel sind stumpf 
lanzettförmig, die des Unterleibes eben so, nur schmäler und 
länger ; die Federn des Oberleibes dunkelbraun, mit einem ku- 
pferröthlichen Schiller, die des Unterleibes eben so, mit ei 
nem schwächern Schiller ; die Brust-und Bauchfedern haben auf 
der innern Fahne einen gräulichen Anstrich; der Schwanz ab- 
gerundet, von der Farbe der Rückenfedern; die schmale Fahne 
dunkler als die breite; der Schaft schwarzbraun; die unterä 
Dekfedern des Schwanzes lichtgrau, lang und pflaumartig; die 
vordern langen Schwungfedern liegen gewöhnlich bei ruhiger 
Stellung des Vogels unter den mitilern Schwungfedern; die Füfse 
sind von der Zehenwurzel an gerechnet, auf dem sogenannten 
Schienbein hinauf 12 Zoll lang vorn nakt, an den Seiten aber 
gehen die Hosen etwas über die Ferse herab und sind schwärz- 
lich, schmal und geschlissen; die nakte Haut an den Fülsen ist 
blafs fleischrôthlich , überall geschuppt; die Nägel schwarz, 
wenig gebogen, die mittlere Zehe sehr lang. 


Die Länge beträgt 57 Fufs, die Breite über 8. Fuß; der 
Schwanz 15, Zoll lang. 


Die Flügelspitzen endigen sich 2. Zell vor der Schwanz- 
. spitze; 


AUFENTHALT. 


Er wohnt auf den hohen Gebirgen in Schlesien, Böhmen, 
Thüringen, Sachsen, Hessen, Oesterreieh und mandern Län- 
dern von Europa, z. B. in Arragonien. Auch in China wird 
er angetroffen. Im Herbst und Winter begibt er sich in die 
ebenen Gegenden und ist also in Deulschland ein Standvogel. 


EIGENSHAFTEN, 


Vor etwa drei Jahren brachte man einen lebendigen asch- 
grauen Geier nach Nürnberg zur Schau, nach welchem die 
hier gelieferte Abbildung verlertiget wurde. Nachher kaufte 
ihn Herr Ober-Medicinalrath Leisler in Hanau, der ihn eine 
Zeitlang leben liefs, und folgende Beobachtungen an ihm mach- 
te: Sein Blik ist schr gutmüthig. Er betrug sich auch anfangs, 
wie er ihn erhielt, sehr sanft, es konnte sich ihm iedes nahen, 
ihn frei streicheln, ohne die geringste Beschädigung zu befürch- 
ten. Er wurde aber immer wilder und zulezt so böse, dafs es 


nur sein Wächter wagen durfle, ohne Stok in seinen Behäl- 


ter zu gehen. Näherte sich iemand demselben, so suchte er mit 
dem Schnabel und den Füßsen nach ihm zu hauen. Er safs 
beständig in der Hôhe, auf dem Boden hielt er sich nur des Fres- 
sens und Saufens wegen auf. Wenn er sich salt gefressen hat- 
te, so safs er stundenlang auf einem Bein, — diefs thut auch 
der Vultur leucocephalus, — den Hals eingezogen, und rühr- 
te sich nicht. Geht er auf dem Boden herum, so trägt er den 
Körper wagrecht, den Hals fast senkrecht, und den Kopf ent- 
weder in gleicher Richtung, gleichsam als ob er durch seine 
Schwere herunter hinge, oder etwas aufwärts gebogen, den 
Schwanz wie eine Elster in die Höhe gerichtet und fast alle 
Rückenfedern sträubend. In seinen Bewegungen ist er plump 


Les oreilles petites, rondeleites-et garnies d’un duvet brun clair; la 
moitié inférieure du dessus du col a des plumes brunes tirant sur 
le noir, dont la rangée supérieure ressemble à du duvet; sous la 
partie nue du col inférieur se trouve une tache longuette trian- 
gulaire, composée de petites plumes brun-noirätre, dont la poin- 

= Ben LA “ a ’ 
te est dirigée vers la poitrine; les deux côtés de cette tâche 
sont entourés de plumes brun clair, qui serattachent au collier 
plumeux du col supérieur; quant aux plumes des épaules il en 
est environ une douzaine, qui avec des exceptions pourtant, se 
dressent perpendiculairement et de grandeurs inégales, en for- 
mant un bouquet ou pannache. Les plumes du col supérieur et 
du manteau, les couvertures supérieures des ailes sont lancéo= 

h 
Ices obtuses, celles du bas ventre ont la même forme, excepté 
qu’elles sont plus étroites et plus lorigues. “Les plumes du haut 
du ventre sont d’un brun foncé avec chatoiement couleur de 
cuivre , celles du bas ventre de la même couleur, avec chatoie= 
ment plus foible; les plumes de la poitrine et du ventre ont sur 
Aa alle . 2 
la barbe intérieure une icinte grisötre. La queue est arrondie 
A 
S ui la même Fosjen: que les plumes du manteau ; la barbe 
étroite plus foncée que la large; la tige brun- noir; les couyer- 
tures inférieures de la queue sont d’un gris lavé, longues, et 
tiennent du duvet. Les longues pennes antérieures des ailes 
quand l'oiseau est tranquille, reposent ordinairemeut sous les 
pennes du milieu. Les pieds, à compter de la racine des orteils 
jusqu’ à la hauteur de l’os de la jointure de la cuisse ont un pou- 
5 > à 
ce 3 de longucur, ils sont nuds par devant, mais les culottes sur 
les côtés s'étendent un peu au dessous du talon et offrent “ne 
4 A r . ” 

a noirälre, elles sont Etroiles et polies; la peau nue des 
pieds ou larses est d’un couleur de chair pâle partout écaillée, — 
Les ongles noires, peu courbés, l’orteil du milieu très long. 

Sa longueur importe 5 pieds 3; sa largeur ou envergure 8 
pieds; sa queue a 15 pouces de long. 

Les extrémités de Ja queue dépassent de deux pouces les 
poiütes des ailes. | 


PATRIE, ’ 


II habite les hautes montagnes de la Silésie, de la Boheme, 
de la Saxe et de la Fhuringe. On le trouve en Hesse, en Autri- 
che et dans plusieurs autres provinces de l’Europe, par exemple 
en Arragon. On le rencontre également dans la Chine, In 
automne et en hyver il descend'dans la plaine, ainsi c’est un oi- 


seau acclimaté en Allemagne, 


QUALITÉS. 


Il ya quelques années qu'on apporta un grand vautour vi- 
vant à Nuremberg, pour le faire voir ; c’est d’après cet exem- 
plaire qu’a éte exécutée la figure, qu’on donne ici. 1] fut ensuite 
acheté, par le Conseiller de la faculté de médecine Leisler à Ha- 
nau, qui l’a gardé quelque temps en vie et qui a fait à son sujet 


les observations suivantes. Il avoit le regard très bonace. Dans 


. les commencement de son séjour chez le docteur, il se conduisit 


fort doucement, chacun pouyoit l’approcher, le flatter, sans avoir 


à craindre le moindre mal. Mais insensiblement il devint plus 


‘sauvage et enfin si méchant, qu'il n’y avoit que son gardien, qui 


osàt entrer dans son habitation, sans bâlon. 
s’approchoit de lui, il cherchoit à le frapper de ses serres ou de 
bec. Il étoit presque toujours perché en haut et il ne descendoit 
àterre, que pour boire et pour manger. Après s’être suflisam— 


Si quelqu’ autre 


‘ ment repu, il se tenoit pendant des heures enlicres sur un seul 
_ pied (ce que fait aussi Vultur leucocephalus. Gmel. Lin.) le col 


enfoncé, sans se remuer. Quand il marche par terre, il porte 
le corps horizontalement, le col dans une direction presque per- 
pendiculaire vers le bas, et la tete tantôt dans la même position, 


— 


und ungeschikt. Es wurde ein Adler zu ihm gesperrt, der durch 
seine Gewandheit dem viel stärkern Geier stets die besten Bis- 
sen vom Schnabel weg zu schnappen wulste. Zuweilen wurde 
der Geier böse darüber, er äufserte aber dann seinen Zorn auf 
eine sehr komische Art, indem er nämlich auf einmal wie toll 
herum zu springen anfieng, und ob er gleich nicht geradezu 
auf seinen Gegner losging, so traf es sich doch mehrmals, dafs 
ihm dieser unter die Füfse kam , worauf sie von einander ge- 
trennt wurden. Kälte kann er schr gut vertragen. Bei 12 bis 


15 Grad des Thermometers zeigte er nicht die geringste Spur 


von Frost, obgleich sein Behälter im Freien stand und von der 
Westseite nur mit von einander stehenden Latten verwahrt war, 
Eben so wenig Unbequemlichkeit verursachte ihm die Hitze. Er 
trank oft Wasser und badete sich auch gern. 


NAHRUNG . 


_ 


Ob gleich Bechstein in seiner Naturgeschichte behauptet, 
dafs dieser Geier wie ein Adler gern auf lebendigen Raub stofse, 
so ist uns diefs, so wie Hrn. Ober - Medicinalrath Leisler, der 
in dieser Hinsicht mehrere Versuche anstellte, gar nicht wahr- 
scheinlich, und die Bechstein’sche Behauptung scheint auf blo- 
fsen ungewissen Jägersagen zu beruhen, Die beiden aschgrauen 
Geier, welche sieben Jahre lang in der Casseler Menagerie er- 
halten wurden , griflen nie lebendige Thiere an, Hr. Hofin- 
tendant Schaumburg zu Hanau, nüter dessen -Aufsicht sie in 
Cassel standen, hat sie sehr genau beobachtet, und an ihnen die 
"hieren beobachtez, 


r 


nämliche Furchtsamkeit vor lebendigen 
welche Hr. Becker in Darmstadt beim Vultur leucocephalus be- 
obachtete. Hr. Ober- Medicinalrath Leisler that einen leben- 
digen Kolkraben nnd eine Rabenkrähe zu ihm in das Behält- 
nifs. Der Geier fügte ihnen nicht das geringste Leid zx, unge- 
achtet er diese Vögel , wenn sie getödet sind, selm gem frilst. 
Er ließ ihn zwei Tage hungern, sperrte einen lebendigen Ha- 
sen zu ihm, er rührte ihn nicht an, sondern äufserte fast so viel 
Furcht vor dem Hasen, als dieser vor ihm. Der Hase blieb 
vierzehen Tage bei ihm, und ungeachtet der Geier nur schr we- 
nig zu fressen bekam, so liefs er doch bei beständigem Hunger, 
den Hasen unberührt. Tode Katzen frafs er sehr gern , al- 
lein er ergriff schnell die Flucht, sobald sich eine noch be- 
wegte. Vor einer toden Katze, die vermitielst eines Fadens be- 
wegt wurde, sprang erfurchtsam dayon; nach einiger Zeit trieb 
ihn der Hunger wieder herbei, er betrachtete sie von allen Sei- 
ten, that einen Hieb mit dem Fufse darnach, sprang aber schnell 
wieder zurück. Diefs wiederholte er öfter, biser sich von dem 
Tode des Thiers überzeugt hatte. Aufser diesen bestimmtspre- 
chenden Erfahrungen, weiset auch das Betragen des Geiers und 
‚seine Plumpheit darauf hin, dafs er auf tode Thiere angewie- 
sen sei, und es ist daher sehr wahrscheinlich, dafs er, wenn 
er auch irgend einmal ein lebendiges Thier angriff, von dem 
heftigsten Hunger dazu genölhiget wurde, denn dieser treibt ÖF- 
ters, wenn er zu heflig ist, die Thiere zu Handlungen, die ganz 
von ihrem gewöhnlichen Betragen abweichen , aber deishalb 
auch als Folgen eines vorübergehenden’ Zustandes uns Keine 
Aufschlüsse über ihre Lebensart geben können. Die Einwen- 
dung, dafs diese hier angeführten l'olgerungen von einem einge- 
sperrten, in Furchtsamkeit gesezten, und gewissermaßen ge- 
zähmten Geier gemacht worden sind, findet nicht stäit; denn 
thierische Triebe lassen sich wohl dureh Zwang, Mangel und Ge- 
wohnheit eine zeitlang unterdrücken, sie äufsern sich aber alle- 
mal wieder, sobald eine Gelegenheit dazu da ist, sie zu wecken. 


Zweiter Band. , 


27 u 


comme si elle s’aflaissöit sous son propre poids, tantôt un peu 
courbee vers le haut. Sa queue, comme celle de la pie est dressée” 
en l'air et presque toutes les plumes du manteau sont hérissées. 
Il est lourd et maladroit dans ses mouvemens. On enferma avec 
Jui un aigle, qui par son adresse et son agilité, savoitlui enlever 
du bec les meilleurs morceaux, qüoique le vautour fut beaucoup 
plus fort. Quelque fois celui-ci se fächoit et alors il exprimnoit 
sa colère d’une manière fort risible, c’est-à-dire, il commencoit à 
sauter comme sil eut été pris d’un accès de folie et quoi qu'il ne 
s’elançât point directement sur son adversaire il arriva cepen- 
dant plusieurs fois, qw’il le rencontrait sur son chemin; c’est ce 
qui les fitiséparer. Il peut supporter un grand froid. Le ihermo= 
mètre étoit de 12 à 15 degres, sans qu’il en témoignât le moindre 
ressentiment, quoique sa cage füt en plein air et ne füt garantie 
du côté du-couchant que par des lattes rangées à côté lune de 
Vautre, Il éprouvoit aussi peu d’incommodité de la chaleur. U 
buyoit souvent de l’eau et se plaisoit aussi à se baigner. 
NOURRITURE. 

Bechstein, dans son histoire naturelle, prétend que cette es- 
pèce de vautour, à l'exemple de l'aigle, attaque des animausx 
vivans, pour en faire sa proie. Üelane nous paroit pas du tout 
vraisemblable , non plus qu’ à Mr. le premier Conseiller du col- 
lege de médecine Leisler, qui a fait plusieurs expériehcés à ce 
sujet, et l’assertion de Bechstein nous semble reposer uniquement 


sur des traditions incertaines de chasseurs. Les deux grands 


4 r . À 
vautours conservés durant sept ans dans la ménagerie de Cassel, 


n’altaguoient jamais d'animaux vivans. Mr. Schaumbourg , in- 
tendant de la cour de Hanau, sous l'inspection duquel ils setrou- 
voient, les a attentivement observés et il a remarqué en eux la 
même appréhens'on des animaux vivans, que Monsr, Becker de 
Darmstadt a trouvée dans le Vultur leucocephalus. Mr. le 
premier Conseiller de médecine Leisler enferma avec lui dans 
son habitation, un corbeaü et äne corneille noire. Le vautour ne 
leur fit pas le moindre mal, quoiqu'il aime tant à se repaitre de 
la chair de ces animaux, quand ils sont tués. Il le laissa jeuner 
pendant deux jours et alors il enferma avec lui un lièvre vivant, 
non seulément l'oiseau de proie ne le toucha pas, mais il temoigna 
autant de peur du lièvre que celui-ci en avoit de lui. Le lièvre 
resta quinze jours avec lui, on ne donna que rés peu de nour- 
rilure à son compagnon et malgré la faim qui lassiégeoit sans 
cesse, ilne toucha point au lièvre. Il dévoroit avec plaisir les 
chats morts, mais il prenoit la fuite, aussitôt qu'il appercevoit 
en eux le moindre mouyement. On avoit suspendu un chat morf, 
qu'on se mit à faire mouvoir à son approche par le moyen d’une 
ficelle, vous Peussiez vu s’enfuir plein de frayeur; quelque temps 
après la faim l’attira derechef vers cette proye, il Pexamina de 
tous côtés, la frappa avec sa serre, mais il se retira bien vite: 
ce qu’il réitéra plusieurs fois, jusqu’ à ce qu'il se füt parfaite 
ment assuré que l'animal étoit mort. La conduite peureuse et 
gauche de ce vautour, conspire avec les preuves parlantes del’ex- 
perience à nous prouver, qu'il est décidément condamné par la 
nature à se répaitre de bêtes mortes. Par conséquent il est très 
vraisemblable, que s'il attaque aussi par fois un animal vivant 
ce n’est que lorsqu'il est presse d’une faim excessive, car celle-ci 
entraine quelque foisles animaux à desactions tout à fait opposées 
Aleursmoeurs habituelles; mais comme elles ne sont que les effets 
d’un état violent passager, on n’en peut rien conclure sur leur 
manière de vivre ordinaire. 
nuer la force de nos conclusions, en objectant l'insuffisance d’ob- 


C’est en vain qu” ontächeroit d’atté- 


servations , faites sur un individu prisonnier, devenu timide et 
en quelque facon apprivoisé; car on peut bien comprimer pour 
un temps, l'instinct animal, par la force, le besoin, ou l'habitude, 
mais on ne sauroit entièrement l’étoufier et des que l’occasion se 


O 


== 286 


Der graue Geier verzehrie in seiner’ Gefangenschaft ganz faule 
Thiere eben so gierig, wie frische, und von den ältesten Gerip- 
pen nagte er noch das vertroknete Fleisch ab. Er schälte aber 
das Thier nicht aus seinem Balg heraus, wie der Vultur leuco- 
cephalus, sondern frafs es mit Haut und Haaren auf. Von Ka- 
tzen blieb gewöhnlich nichts übrig, als der sehr rein skeletirte 
Kopf. Junge Füchse frafs er mit den Schwänzen. Die Häu- 
te der beharten 'Thiere schien er besonders’ gern zu fressen. 
Vom Vultur leucocephalus wich er auch darin ab, dafs er das 


Gewölle ausspie , jedoch betraf dieses nur die Haare, denn sei- 


ne Verdauung überwältigte verschlukte Knochen yon 4—5 Zoll 
Tänge. Die weichen Knochen der Kalbsfüfse behagten ihm be- 
sonders wohl, und er schlukte zuweilen einen ganzen Teller voll 
hinunter, aber dann war auch sein stets dünner Abgang wie 


eine weilse Farbe. Eine steinhart gefrohrne Katze, die ein sehr 


hungeriger Steinadler verschmähte ; verzehrte' er in kurzer Zeit. 
Fische frafs er auch bei grofsem Hunger nie. Im freien Zu- 
stande geht er auf das Aas der Rehe , Ziegen, Schafe, Ha- 
«sen etc. 


Von seiner 
 FORTPFLANZUNG 
et ehe bekannt, 
NUTZEN 


stiftet er dadurch, dafs er die Luft von ungesunden Dün- 
sten: reiniget, ‘welche das unverzehrte Aas verursachen würde: 


SCHADEN 


stiftete er nur dann, wenn es erwiesen wäre, dafs er leben- 
dige Thiere angriffe. 


JAGD UND FANG, 


Im Winter fängt man ihn mit dem Fuchseisen, auf welches 
man Aas legt. 


hat, so kann er dabei leicht erschlagen oder geschossen werden. 


Wenn er sich an einem Aas recht voll gefressen ' 


= 


présente, onle voitreparaitre. Le grand vautour devorait des 
animaux qui étoient dans un état absolu de putréfaction ayec au- 
tant d’avidité que si leur chair eût encore été toute fraiche , il 
rongeoit même les brins de chair des cadavres les plus desséchés. 
Il ne dépouilloit point auparavant l'animal de sa peau, à Pexemple 
du Vultur leucocephalus, mais il Pavaloit avec la peau et 
les poils tout ensemble, Il ne laissoit ordinairement des chats 
que la tete parfaitement squelettisée. Les jeunes renards il les 


devoroit en entier avec les queues. Les peaux des animaux cou- 


verts de poils paroissoient surtout flatter son goût. II differoit 
encore eh cela du Vultur leucocephalus qu'il rendoit la 
toison des animaux, cependant ce n’étoit proprement que les 
poils, car il pouvoit «digérer des os de 4 à 5 pouces de long. Il 
aimoit de préférence les os tendres des pieds de veaux et il aya- 
loit souvent une assiette entière de ce mêts favori ; mais alors sa 
fiente, qui étoit toujours très claire , ressembloit à urie couleur 
liquide, blanche. On l’a vu manger en peu de temps un chat, gelé 
comme un morceau de glace et qu’un aigle de montagne avoit re- 
fuse. Mais jamais il ne mangeoit de poisson même dans la plus 
grande faim. Quand il est en liberté il cherche les cadayres des 
chevreuils, des chêvres, des moutons et des lieyres etc, 


L'on ne sait rien de sa 
PROPAGATION. 
Il est d'une grande : 
UTILTEE À 


à l'homme; en ce qu'il purge Pair des exhalaisons malsai- 
nes, que la charogne occasionneroil, si elle n’ étoit point consumee, 


ll causeroit du 


DOMMAGE, 
s’il étoit prouvé, qu'il attaque les animaux vivans, 


MANIERE DE LE CHASSER. 


On le prend en hyvér dans des trappes de renards, sur les- 
“quelles on place de la charogne. Il est facile à tirer, ou à tuer 4 
coups de baton, quand il s’est copieusement repu de charogne. 


DER ROTHFUSSIGE FALK. 
Falco rufipes. Beseke, Vögel Kurlands. 8. 13. Taf. 3. Mitnnchen. Taf. 4, 


Weibchen. ER 


Der rothfüfsige Falk, Annalen der Wetterauischen Gesellschaft für die 
gesammte Naturkunde. B. I. S. 47. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnehen: Die Wachshaut, Augenlieder und Füfse ziegelroth; 
Schenkel - und Afierfedern rostbraun; Ober - und Unterleib 
taubenblau. 

Weibchen: Oberleib aschgrau , mit braunen Streifen und 
Querbändern; Unterleib roströthlich mit schwarzbraunen Längs- 
lecken; Schwanz aschgrau mit acht schwärzlichen Binden ; 
Wachshaut, Augenlieder und Füfse orangegelb. 


BESCHREIBUNG. 


Schnabel kurz, stark; Oberschnabel sehr gekrümmt , mit 


einem sehr starken Zahn; Unterschnabel mit einer tiefen Ker- 


be, von der Wachshaut an bis zur Mitte gelblich, übrigens horn- 
blau; Wachshaut, die naklen Augenlieder und Fülse ziegelroth; 


LE FAUCON, AUX PIEDS ROUGES. 


Falco rufipes. Beseke. Vögel Kurlands. S 13, Taf, 3. le mâle. Taf. 4. 
la femelle, = 

Der rothfüfsige Falk. Annalen der Wetteranischen Gesellschaft für die 
gesammte Naturkunde. B. I. S. 47. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


Émile Le cé les paupières et les tarses rouges. Les 
plumes des cuisses et des fausses ailes brun de rouille; les parties 
supérieure et inférieure du ventre, bleu de pigeon. 


La femelle, La partie supérieure du ventre gris- cendré, 


avec des rayes et lignes transversales brunes; le bas ventre rou- 


ge de rouille, avec des taches longitudinales brun-noir ; la queue 
gris--cendré , avec huit bandes noirâtres ; le céra, les paupières 
et les pieds orangé. | 


DESCRIPTION. 


Le bec court et fort; la partie supérieure du bec très cour- 
bée et armée d’une très forte dent, la partie inférieure ayec un 
cran très profond , jaunätre depuis la membrane jusques vers le 
milieu, le reste bleu Le céra, les paupières (à nud) et 


Augenstern dunkelbraun; Kopf, Hals, Ober- und Unterleib und 
Schwanz taubenblau; Schenkel- und Afterfedern rostbraun. 

Die Flügelspitzen endigen sich auf der Schwanzspitze, 
Länge 101 Zoll, Breite 22. Zoll. 


Das Weibchen ist merklich vom Männchen verschieden. 
Die Wachshaut, Füfse und der Augenliederrand orangefarbig, 
die nakte Stelle um das Auge, vorzüglich nach dem Schnabel zu 
hellgelb; Kopf und Nacken rostfarbig mit vielen länglichen , 
schwarzbraunen Strichen ; Kehle und Wangen gelblichweifs , 
Schulter - Rücken - und Flügeldekfedern aschgrau , hin und 
wieder mit etwas Rostfarbe, alle mit braunen Strichen und Quer- 
bändern; Unterrücken aschgrau; Schwungfedern dunkelbraun, 
auf der innern Fahne mit weïfsen Flecken; Schwanz aschgrau, 
mit acht schwärzlichen Binden , von welchen die unterste am 
breitesten ist, die Spitze weilsgrau; Brust und Bauch roströth- 
lich mit dunkelbraunen Längsflecken; Schenkelfedern heH rost- 
farbig; After rein gelblichweils. 

Länge 107 Zoll, Breite 25 — 26. Zoll. Der verstorbene 
Hofr. Germann schofs ein Weibchen, welches 11 Pariser Zoll 
lang, 25 Zoll breit war und 12 Loth wog. Die jungen Männ- 
chen sehen bis zur zweiten Mauser dem Weibchen gleich, 


AUFENTHALT. 


Dieser Falk lebt im Kurland, Eivland, im Oesterreichi- 


schen, in Schlesien, und kommt zuweilen auch nach Fran- ' 


ken und in die Wetterau. ‘In der Gegend von Offenbach z.B. 
ist er schon angetrofien und geschossen worden. Er hält sich in 
Wäldern und Buschhölzern auf und ist ein Zugvogel, der in der 
lezten Hälfte des Aprils aus wärmern Ländern zurük kommt. In 
den grofsen Wäldern in Esthland,so wie in den grofsen W äldern 
an den Peipussee in Livland ist er nicht selten. 


NAHRUNG, 


| Diese besteht gewöhnlich aus Käfern. Er frifst aber auch 
Vögel. Dem Pastor Stollin Gürgensburg in Livland wurde ein 
Weibchen zugleich mit einem jungen Grünspecht gebracht, wel- 
chen derselbe so eben an einem Baum erhascht hatte , und mit 
ihm zugleich geschossen wurde, Von seiner 
FORTPFLANZUNG 

ist sonst weiter nichts bekannt, als dafs erin den Felsen der 

Schweizer Gebirge, auch in Esth- und Livland, nistet. Sein 

NUFZEN UND SCHADEN 
ergeben sich aus seiner Nahrung. 
FEINDE 
hat er vermuthlich mit andern Falken seiner Gröfse gemein. 
JAGD UND FANG. 
Er wird mit der Flinte geschossen. 
VERSCHIEDENHEITEN. 

a) Mit schieferblauer Riückenfarbe. Männchen, 

b) Mit rostrothem Unterleibe. Weibchen. 

c) Mit schönem heller blauem Oberleibe. 

ANMERKUNG. 

Die Füfse an zwei Männchen, welche wir besitzen, sind weit 
schmächtiger als an den beiden dabei befindlichen Weibchen. 
Ob das durchgängig der Fall ist, mufsen fernere Beobachtungen 
lehren. 


29 = 


les pieds sont rouge de brique; Piris brun foncé; la tête, le col , 
le haut et le bas du ventre ainsi que la queue bleu de pigeon; les 
cuisses et les plumes du Sternum brun de rouille. 

Les extrémités des ailes sont aussi longues que celles de la 
queue. Longueur 10 pouces; envergure 22 pouces. 

La femelle se distingue très particulièrement du mâle. Le 
céra , les pieds et le bord des paupières elle les a couleur 
d'orange; le cercle nud autour de l'oeil surtout vers le bec est 
d'un jaune clair; la tête et la nuque du col rouge de rouil- 
le avec plusieurs rayes en longueur brun noir; la gorge et les 
joues sont d’un jaune blanchätre; les épaules, le manteau et les 
couvertures des ailes gris cendté, entremel& ça et là de couleur 
de rouille et le tout orné de rayes et de bandes transversales bru- 
nes; le bas du manteau gris cendré; les pennes des ailes brun 
foncé, bigarré de taches blanches sur la barbe intérieure; la 

* queue gris cendré avec huit bandes noirätres, dont l’inférieure est 
la plus large et la pointe gris blanc; la poitrine et le ventre sont 
rouges de rouille avec des taches longitudinales brun - foncé; 
les plumes des cuisses sont couleur de rouille; le Sternum blanc- 
jaunatre, 

Il a 10 pouces 3 de long et 25 à 26 pouces d'envergure. Feu 
le Professeur Germann tua un jour une femelle, qui avoit rx 
pouces mesure de Paris de longueur et 25. pouces d'envergure; 
elle pesoit 6.onces. Les jeunes’ mâles ressemblent aux femel- 
les jusqu’ à la seconde mue. La 


' PATRIE 

de ce faucon est la Courlande, la Livonie et la Silésie Av- 
trichienne. 1] paroit aussi quelque fois en Franconie et en Vet- 
téravie. Par exemple on l’a rencontré et tué dans les environs 
d’Offenbach. Il habite communément les bois et les buissons, 
Or le range parmi les oiseaux de passage, qui arrivent d’un climat 
Il se 
rencontre assez souvent dans les grandes foréts de l’Esthonie, ainsi 
que dans eelles qui environnent le lac de Peipus, en Livonie, Sa 

NOURITURE 

ordinaire consiste en scarabées. Cependant il mange aussi 

On apporta une fois an pasteur Stoll à Georgen- 


plus chaud, dans les dernières semaines du mois d'Avril, 


des oiseaux. 
bourg en Livorie une femelle de ce vautour avec un jeune pic- 
vert, qu’elle venoit d’attrapper sur un arbre et qui avoit été tué 
avec elle. Quant à sa 
| PROPAGATION 

ce qui nous en est connu, c’est qu'il niche dans les montag- 
nes de la Suisse, ainsi qu’en Ésthonie et en Livonie, On peut 
calculer son 


UTILITÉ 
ou le 
. DOMMAGE 
qu’il cause, d’après sa nourriture. Ses 
ENNEMIS 


sont sans doute les mêmes, que ceux des autres faucons de sa 
grandeur. 


MANIÈRE DE LE CHASSER. 
Onletire au fusil. NL 

VARIETES. 
A. Avec le manteau bleu d’ardoise. Mâle. 
B. Avec le bas ventre rouge de rouille. Femelle, 
©. Avee le haut du ventre d’un beau bleu clair, 


4 REMARQUE, 

Noustrouvons a deux mäles, qui sont en nos mains les pieds 
plus menus qu'aux deux femelles, qui leur tiennent compagnie, 
Ce n’est que par des observations ultérieures, que nous vérifie 
rons sil en est généralement ainsi. 


oo 


Zweiter Band, 


pP 


DER ZAUNAMMER. 


1 


Zaunemmeritze. Zirlammer. Steinammer. 
Zizi. Braunfalber Ammer. 
Emberiza Cirlus,. Gmel. Lin. syst. I. 2. p. 879. n. 12. Fem. 

? Emberiza chlorocephala. Gmel. Lin. syst. I. 2. p. 887. n. 71: 


? Emberiza badensis. Gmel. Lin. syst. I. 2, p. 873. n. 43. 


Heckenammer. Geflekier 


Ammer, 


Emberiza Elcathorax. Bechsteins gem. Naturgesch. B. 111. S. 323. n.5. 
Le Zizi ou Bruyant de haye. Buffon hist. des ois. IV. pag. 347. pl. enl. 
n. 658. £ 142. 


Cirl Bunting. Latham synops. IL 1. p. 190. n. 26: 


KENNZEICHEN DER ART. 


Minnchen: Kinn und Kehle schwarz; Gurgel schwefelgelb; 
Oberbrust olivengrün; Schwanz schwarz , die zwei äufsern F'e- 
dern mit einem keilförmigen weifsen Flek. 


Weibchen: Kinn und Kehle schmutzig blafsgelb, mit ein- 
zelnen schwachen bräunlichen Längsflecken; Brust und Rücken 
blafs braunroth.. 


BESCHREIBUNG, 


Schnabel klein, sehr gedriikt spitzig; Oberschnabel bräun- 
liehblau, Unterschnabel bläulich hornfarben, Nasenlöcher rund; 
Augenstern braun. Oberkopf und Oberhals olivengrün, mit 
kleinen schwarzen Strichen ; von den Nasenlöchern an läuft über 
die Augen an den Seiten des Kopfes hinab ein gelber Streifen; 
ein andererschwarzer Streiien geht von dem Schnabelwinkei an 
durch die Augen über die Ohren weg und verbindet sich einiger- 
massen mit der schwarzen Kehle; unter den Augen-und die Wan- 
gen gelb; unter der Ohrgegend läuft ein breiter halber gelber 
Ring unterhalb der schwarzen Kehle um! den Unterhals herum; 
Oberbrust olivengrün; Unterbrust rostroth;: Unterleib graulich- 
gelb, mit feinen schwärzlichen Schafistrichen; untere Schwanz- 
dekfedern graulichgelb; Oberleib rostroih, mit schwärzlichen 
Schaftstrichen; Schwungfedern schwarzgrau, am äufsern Rande 
olivengrünlich gerandet; Schwanz etwas gespalten, schwarz, die 
zwei äufsern Federn mit einem weifsen keilförmigen Flek, die 
übrigen mit grüngelben Kanten, Füfse fleischfarbig. 

Die Flügelspitzen erreichen das Drittel des Schwanzes, Län- 
ge 33 Zoll, Breite 9 Zoll. 

Das Weibchen unterscheidet sich vom Männchen durch die 
weit helleren Farben merklich. Die gelbe Farbe am Kopfe und 
Halse ist blasser und:schmuiziger; der schwarze Elek auf Kinn 
und Kehle fehlt ganz; der schwarze Sireifen durch die Augen 
unmerklich ; der Oberleib und die Oberbrust sind heller braun- 
roth; Unterhals' hell olivengrün mit einzelnen schwärzlichen 
Strichen. 

Die Jungen sind vor der ersten Mauser am Oberleibe hell- 
braun und schwarz gemischt; am Unterleibe heligelb und schwarz 
gestrichelt; auf der Brust ins Olivengrüne schimmernd. 


AUFENTHALT. 


Er bewohnt Italien, Frankreich und die Schweiz, aber auch . 
Deutschland, und man hat ihn z.B. in "Thüringen, Franken, Hes- 
sen und am Rhein schon angetrofien, in welchen Gegenden er 
ein Zugvogel ist, der im April ankommt und im November wie- 
der wegzieht, Er hält sich gernin kleinen Hölzern der Verberge 
auf, die an Felder gränzen. In der Schweiz ist er ziemlich häufig 
auf VViesen und in Zäunen, besonders an wässerichten Orten.- 


LE ZIZI OU BRUYANT DE HAYE. 


Der Zaunammer. Zaunemmeritze. Zirlammer. Steinammer, Heckcir- 

Geflekter Ammer. Zizi. Braunfalber Ammer. 

Emberiza Cirlus- Gmel. Lin. syft. I. 2. p. 879. n. 12. Tem. 

? Emberiza chlorocephala. Gmel. Lin. sytt. I. 2. p. 887. n. 71. 

? Emberiza badensis. Gmel. Lin. syft. I. 2. p. 873. n. 43. 

Emberiza Eleathorax. Bechsteins gem. Naturgesch. B. III. 3. 323, n. 5. 

Le Zizi ou Bruyant de haye. Buflon hist, des ois, IV, pag. 347. pl. enl. 
14602 Fran, ; : 

Girl Banting. Latham synops. LE, 1. p. 190. n. 26. 


aranter. 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


TE Mâle. Le menton et la gorge noirs; le jabot couleur de soufre, 
le haut de la poitrine vert d'olives; la queue noire; les deux 
plumes extérieures ayant une tache blanche en forme de coin. 

La femelle. Le menton et la gorge d’un jaune pâle et sale, 
avec quelques taches longitudinales isolées d’un brun clair; la 
pointrin® et le manteau d’un brun rougeätre très lavé. 


DESCRIPTION. 

Le bec petit, fort écrasé, pointu; le dessus du bec , d’un 
brun tirant sur le bleu, le dessous du bec couleur de corne bleuä— 
tre; les narines rondes, l'iris brune; le dessus de la tête et dw 
col vert d’olive, avec de fines rayes noires. Depuis les narines 
jusques par dessus les yeux, des deux côtés dé la tête en bas vous 
appercevez une raye jaune, une autre raye noire descend de la. 
racine du bec, par les yeux et par dessus les oreilles et se réunit 
er quelque sorte avec la gorge noire; le dessous des yeux et-les 
joues sont jaunes; aux environs de la partie inférieure de l’oreille 
se trouve un large demi - cercle jaune, qui s'étend jusqu’ à la 
gorge noire autour de la partie inférieure du col; le haut de la 
poitrine couleur d’olive, le bas rouge de rouille; le bas ventre 
grisèlre, avec de fines rayes ndirätres aux tiges; les couvertures 
inférieures de la queue jaune grisâtre; le haut du ventre rouge 
de rouille avec des rayes noirätres sur la tige; les plumes de la, 
queue gris noir; les extrémités ornées d’une bande couleur d’oli- 
ve vert; la queue un peu fendue, noire, les deux plumes exte- 
rieures marquées d’une tache blanche en forme de coin; lesautres 
avec une bordure d’un vert jaunâtre; les pieds couleur de chair. 

Les pointes des ailes arrivent jusqu’au tiers de la queue, 
Longucur 5 pouces et demie; Envergure 9 pouces. 

La femelle est facile à distinguer du mâle par la couleur plus 
claire de ses plumes; le jaune de la tête et du col est plus pâle et 
plus sale; la tache noire sur le menton et la gorge manque ab- 
solument; la raye noire à travers les yeux est presqu’ insensible ;; 
le haut du ventre et celui de la poitrine sont d’un brun rouge plus 
clair; le bas du col vert d’olive pâle avec quelques rayes noirä- 
tres isolces, 

Les jeunes, avant leur première mue ont le haut du ventre 
d’ün brun clair entremel& de noir; le bas du ventre jaune clair 
rayé de noir, avec un chatoiement verd d’olive sur la poitrine, 


PATRIE. 

H habite l'Italie, la France et la Suisse, mais aussi PAlle- 
magne. Par exemple on l’a rencontré, dans la Thuringe, la Fran- 
conie, la Hesse’ et sur le Rhein. Dans ces dernières contrées on le 
regarde comme un oiseau de passage, qui arrive au mois d’Avrilet. 
nous quiite au mois de Novembre. Il séjourne volontiers dans de 
petits bois à la naissance des montagnes, qui touchent aux champs, 
En Suisse .on le trouve fréquemment dans les prairies et sur les 
hayes, sur tout dans des contrées fournies de beaucoup d’eau. 


EIGENSCHAFTEN, 


In dem südlichen Frankreich soll er, wie Buffon erzählt, 
zuweilen, besonders bei regnichten Tragen, sich mit den Fin- 
ken vereinigen und zahlreiche Schaaren bilden. In Deutschland 
‚scheint er weder zahlreich noch gesellschaftlich zu sein. Wenn 
er im Frühiahr ankommt, so sezt er sich gewöhnlich auf die 
Spitze eines Baums, lälst daselbst seine Lokstimme zi, zi, zä, 
zirr hören, und nekt und beifst mitunter den Goldammer, wenn 
sich ein solcher in der Nähe befindet. Sein Gesang ähnelt eini- 
germafsen dem des Goldammers, ist aber nicht so melodisch , 
und besteht aus den Silben zis, ziszir, gör, gör,.gör. Er läuft 
gern und viel auf der Erde, daher manihn auch nach der Pa- 
rung selten mehr hoch sitzen sieht, sondern ihn meistens auf 
einem niedrigen Gebüsche antrift, 
leicht zähinen. 


Im Zimmer läfst er sich 


NAHRUNG, 


Er nährt sich theils von Insekten z. B. von Kohlraupen und 
Erdkäfern, theils von Sämereien, Hafer, Hirsen und Rübsa- 
men. Im Zimmer gibt man im das Futter des Goldammers. 
Als Verdauungsmiltel friist er Quarzkörner. 


FORTPFEANZUNG. 


Sein Nest bauet er in Hecken und Gebüsche aus Grashaë 
men mit Thierhaaren ausgefüttert, worein das Weibehen nur 
einmal des Jahrs drei bis vier gräuliche, mit blutbraunen Fle- 
eken und Punkten bestreute Eier legt. 

NUTZEN. 


= + 
-Er wird im Herbste sehr fett, und da sein Fleisch schmak- 
hafter als das des Goldammers ist, so wird es auch gern ge- 
gessen, Biuen ’ 


SCHADEN 
wissen wir yon: ihm nicht auzuführen; 
FEINDE 


hat er vermuthlich mit andern kleineri Vögeln seiner Ârt 
gemein. 
= JAGD UND FANG 

Im Frühjahr kann man sie, ehe sie sich gepaaret ha- 
ben, auf Lokbüschen mittelst eines gut lockenden Goldammers 
fangen , nur mufs man ihnen die Locke so nahe als möglich 
bringen. Mit der Flinte und dem, Blasrohr kann.er leicht er- 
legt werden. 

ANMERKUNG, 

Bechstein gibt den Augenstern dunkelblau. an, allein er ist 

nach unserer Beobachtung braum- 


À 


Zweiler Band. 


_semences, d'avoine, de millet et de colsat. 
‚ donne la mème nourriture qu’au bruant. 


QUALITÉS. 


Suivant Buflon, dans le midi de la France, on le voit quel- 
que fois et surtout dans des jours pluvieux se rassembler avec des 
pincons et former avec eux des troupes nombreuses. En Allemag- 
ne il semble être peu nombreux et peu sociable, A son arrivée 
au printemps il se perche ordinairement au sommet d’un arbre 
et la il fait entendre son appel zi zi, zai, zirr et s’il se trouve 
quelque bruant dans son voisinage , il le badine et même il le 
mord quelque fois, Son chant ressemble en quelque sorte à ce- 
lui du bruant, cependant il n’est pas aussi mélodieux et consiste 
dans les articulations zis, zis, zir, goir goir, soir. Il aime à cou- 
rir long temps par terre, aussi après le tefme de ses amours an 
le voit rarement perché sur des hauteurs, on le trouve plutôt 
sur des buissons peu élevés. On peut aisément l’apprivoiser en 
chambre. 


NOURRITURE.: 


Il se nourrit en partie d'insectes comme par exemple de 
chenilles qui mangent les choux et de carabes, et en partie de 
En chambre on lux 
Pour favoriser la di 


_gestion ik avale des grains de sable. 


® 


PROPAGATION, 


Il batit son nid sur les hayes et dans les buissons, aves dés 


brins d’herbes et il le garnit de poils d’animaux. La femelle ne 


pond qu’une fois par an, trois à quatre oeufs grisätres, avec des 
taches de sang foncé et des points de la même couleur, 


ÜTILITÉ 


I engraisse beaucoup en automne, et comme sa chair est 


’ Ri A 2 . ‘ 
d'un meilleur goût que celle du bruant, on lui donne aussi la 
préférence, Quant aw 


DOMMAGE 
qu’il peut commettre ; il est insignifiant. 


ENNEMIS 


Ses: 


sont les mêmes sans doute que ceux des autres petits oise= 
aux de son espece, 


MANIÈRE DELE CHASSER. 


Au printemps avant l’époque de ses amours , on peut aise= 
ment Vatträper par le moyen d’un bruasit, qui sert d’appeau, mais 
4 faut approcher celui-ci le plus près qu'il est possible de Pen- 
droit, où il a contume de se percher. On peut aussi le tuer au. 
fusil ou ayec la sarbacane. 3 \ 


, 


REMARQUE. 


= [4 . » LA 
Bechstein prétend que cet oisean a Viris bleu foncé, quant 
à nous , nous l’avons trouvé brun: 


DIE GELBFÜSSIGE MEVE. 


Larus flavipes. Meyeri. 

Larus fuscus. Gmel. Lin. syst. I. 2. p. 599. n. 7. Ein Junges. 

— — Oedmann in den neuen Schwedischen Abhandlungen. B. 4 S« 
S. 104. n. 4. 

Gavia grisea. Brisson: Ornith. VI, p- 171. Junger Vogel. 

nn Be der‘ Vögel Deutschl. tab. 218. Ein nicht ganz’ aller 
Togel. 

Le Goeland gris. Brisson Ornith. VI. p. 162. n, 3. 

Gelbfüfsige Meve. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen. Vö- 
gelkunde, Th. 2.5. 409. n. 2. 


KENNZEICHEN DER ART. an 


Schnabel zitrongelb , auf der Unterkinnlade ein rother Fleck , 


in dessen Mitte ein schwarzer befindlich ; Augenstern, Augenlie- 
der und Füfse gelb;. Hauptfarbe weils; Rucken und Flügeldek- 
federn bräunlichschwarz ; die bräunlichschwarzen Schwung- 
federn weit über den Schwanz hinausragend, die beiden äus- 
sersten vor der schwarzen Spitze mit einem eirunden: weifsen: 
Flek.. | a 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel zitrongelb, auf der Unterkinnlade ein rother 
Flek, in dessen Mitte ein schwarzer befindlich; Obersehnabel 
nach vorne merklich abwärts gekrümmt; Näsenlôcher länglicht 
rund;. Unterschnabel vor der Spitze mit einer starken’ Flervor- 
ragung; Schnabelwinkel und Augenlieder orangegelb; Augen- 
stern schwefelgelb; Kopf, Hals, der ganze Unterleib, der zu- 
gerundete Schwanz. weils ;; Rücken und: obere F lügeldekfedern- 
bräunlichschwarz,. die beiden äußersten vor der schwarzen Spi- 
ize mit einem eirunden weilsen.Flek; diemitilern an der Spitze 
schmal die hintern und die Alterflügelfedern: weils gerandet; die: 
Füfse schön: gelb, die Nägel braunsehwarz.. 

Länge 19 — 20. Zoll; Breite. 
Die Flügelspitzen ragen über zwei Zoll über den Schwanz 


hinaus: 
Zweischen Männchen und: Weibchen ist uns kein-Unterschied: 
bekannt.. ’ 


Bei den Jungen ist @er Schnabel schwarzbraun, am Grun- 
de des Unterschnabels heller ; der Augenstern hellbraun; Kopf, 
Hals, Brust und. der ganze Unterleib weißslich,, mit sehr vie- 
len graubraunen Strichen und Flecken; Rücken — Schulter — 
und Flügelfedern schwarzbraun mit weilsgrauen Pedersaum; die 
grofsen Schwungfedern schwarzhraun, ohne weilse Spitzen; 
Unterrücken und After weils,. mit graubraunen Flecken ; der 


Schwanz von der Wurzel bis zur Hälfte weißslich marmorit 


der übrige Theil schwarzbraun, mit weilsgesäumter Spiize. 
AUFENTHALT. 


An der Pommerschen Küste, zuweilen auch im Sommer , 
vorzüglich im Spätsommer auf ihrem Zuge auf deutschen Flüs- 
sen und Seen, z. B. in Schlesien, auch auf dem Rhein, Main 
und der Fulde. Den 28. Mai ı801. bei 20. Grad Hitze und 


Nordostwind liefs sich ein großer Trupp bei Hanau. auf einer! 


kleinen. Maininsel nieder, aus welchem ein Exemplar geschos- 
sen wurde. An der Holländischen Küste erscheint diese Meve 
zu Ende Oktobers, aber selten. 


LE GOELAND GRIS. 


Die gelbfufsige Meve. 

Larus flavipes. Meyeri. 

Larus fuscus. Gmel. Lin. syst. I. «2. p. 599.n. 7. Un jeune. 

— — Oedmanır ür den neuen Schwedischen Abhandlungen. Tom. 4. 
S. 104, n. 4. j 

Gravia grisea. Brisson Ornilh. VI. p. 171. Un jeune oiseau. 

Frisch Vorstellung der Vögel Deutschl. tab. 218. Un oiscau peu avancé 
en âge. 


Be Goeland gris. Brisson,Ornith. VI. p. 162. m. 3, 


Gelhfüfsige Meve: Meyers und Wolfs Taschenbuch der’ deutschen Vö-' 


gelkunde. Th. 2. 8. 469. n. 2, 


CARACTÈRES SPÉCIFIQUES. 


Le bec couleur de citron, une tache rouge sur Ja machoire in 


férieure et dans le milieu de celle-ci une tache noire; l'iris, les 
sourcils et les pieds jaunes; la couleur dominante esi blanche; 
le manteau et les couvertures des ailes brun noirätre les pennes 
de vol de Ja même couleur et dépassant de beaucoup celles de 


la queue; les deux extérieures ont la pointe noire et au dessus: 


de cette pointe une tache blanche ovale. 


DESCRIPTION. 

Le bec couleur de citron: et marqué d'une tache rouge sur la! 
machoire inférieure, et au milieu de la tache rouge il s’y em 
ironve une noire; la partie supérieure du bec trés sensiblement 
courbée en avant; les narines ovales ; la partie inférieure du bec: 
ayant une proéminence très marquée ayant son extrémité; les 
coins du- bec ei les sourcils couleur d’orange; l'iris jaune de souff- 
re; la tête, le col, tout le bas ventre et la queue blanches,-celle- 
ci est arrondie;- le manteau et les couvertures supérieures des 
ailes noir brunätre; les deux extérieures ont, avant leur extré- 
mie noire, une tâche blanche et ovale; les plumes du milieu 


étroites vers lextrémité, les dernieres ainsi que les fausses plu- 
nes: des ailes bordces de blanc; les tarses d’un bean jaune et les 


ongles d’un noir brun. 

Sa longueur est de 19 à 20 pouces, son envergure de. 

Les extrémilés des ailes dépassent de deux pouces le bout 
des plumes de la queue. s i 

Nous ne connoissons aucune différence entre le mâle et la 
femelle. / 

Les jeunes ont le bec noir brun, mais le fond de la partie 
inférieure du bec plus clair; V iris brun clair; la tete, le cel, la 
poitrine et tout le bas ventreblanchätres, bigarrés d’une quantité 

e rayes et de taches grisbrun; le manteau, les épaules et les 

couvertures des ailes brun noir, avec bordure gris-blanche; les 
grandes pennes de vol noir brun, sans avoir les extrémités blan- 
ches; le bas du manteau et le sternum blancs, entremälcs de tä- 
ches brun noirätre ; depuis la naissance de la queue jusques vers 
son milieu regne une marbrure blanchätre, le reste en est brun 
noir, avec extrémités bordées de blanc. 


PATRIE. 


Il habite les côtes de la Poméranie quelquefois aussi /’Alle- 
magne, en été et surlout à la fin de l'élé, on ie voit filer par ex- 
emple sur les fleuves et les lacs de la Silésie, ainsi que sur le 
Rhin, le Mein.et la Fulda. Le 28 Mai 1801. par-une chaleur de 
20 dégrés et vent Nord ouest on en vit descendre une grande trou- 
pe, près de Hanau, dans une petite île du Mein et l’on en tua 
un individu. Le Goeland gris paroit aussi, mais rarement sur 
les côtes de la Hollande, à la fin d'Octobre. 


LE 


or 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie fliegt sehr gern und schreit mit einer heisern Stimme 
kriäh. Wenn am Strande der Ostsee stürmisches Wetter 
einfällt, so fliegt sie meilenweit in das Land hinein und begibt 
sich auf die Aecker, ‘Wenn sie sich einfindet, so rechnen die 
Fischer auf einen reichen Häringsfang. Sie ist auch so dreist, 


dafs sie ihnen die Fische aus dem Neize raubt. Ihre 


NAHRUNG 
besteht aus Fischen, vorzüglich Häringen; aufserdem nährt 
sie sich auch von schwimmenden toden Vögeln und ausgewor- 
fenen toden Fischen! 


FORTPFLANZUNG. 


Ihr Nest findet man im Sande, oder unter Felsenstücken , 
worein das Weibchen drei braungraue , schwarzgeflekte Eier 


legt. \ 
NUTZEN. 


Ihre Eier und ihr Fleisch werden im Norden gegessen und 
ihre Häute zu Kleidern gebraucht. Daihre Dunen und Federn 
weich und elastisch sind, so verdienen sie als Betifederh gesam- 
melt zu werden. Der 


SCHADEN, 
wenn man ihn in Anschlag bringen will, ergibt sich aus 
ihrer Nahrung. 
JAGD UND FANG, 


Man kann sie theils schielsen, theils in Schlingen oder mit 
geköderten Haken fangen. 


ANMERKUNG. 


Lathams Herrin-Gull gehört offenbar nicht hieher, sondern 
ist ein Larus glaucus, welcher noch nicht sein vollkommenes Al- 
ter erreicht hat, Er sagt ja ausdrüklich, der Rücken unddie Flü- 
geldekfedern seien aschfarben und die Fülse hell fleischfarben. 

Buffon’s Goeland à manteau gris brun ou le Bourguemesire 
VIEL p. 418. gehört auch nicht hieher, sondern ist eine besondere, 
bis jezt in Deutschland noch nicht vorgekommene Art, ‚welche 
fast von allen Ornithologen verkannt oder unrichtig beschrieben 
Temminck hat sie, wiewohl selten, an der Holländi- 
Sie ist nach ihın 50 bis 31 Zoll Jang 


wurde. 
schen Küste angeiroflen, 
und die gröfste aller Meven. 
dem Bauche und Halse bläulich , die grofsen Schwungfedern 
weißslich , mit schwarzen Spitzen, der Schwanz weifs. Er nennt 
sie Larus giganteus. Larus ichthyaetus, Pailas. hält dieser Ormi- 


Der ganze Körper graubraun, auf 


thologe für einen jungen Vogel dieser Art, denn bei denen, wel- 
che er sah, war weder Kopf noch Hals schwarz. _ 


DIE GROSSCHNABELIGE MEER- 
SCHWALBE. 


Caspische Secschwalbe. Wimmermeve. Kreischmeve, Grofse Stüb- 
bersche Kricke. 

Sterna mezarhynchos, Nobis, Meyers und Wolfs Taschenbuch der deut- 
schen Vôselkunde. Th. II. S, 457. n. 1. 

Sterna Caspia,. Gmel, Linn. syst. I. 2. 603. n.'8. 

Sterna Tschegrava. Lepechin in Nov. Comment. Pelr. XIV. 500. t. 13, [.2, 

L’Hirondelle de la mer caspienne. Bonnaterre 96. n. 15. pl. 25. fig. 1. 

The caspian Dern. Latham synops. Ill. 2. 350. n. 1. 


KENNZEICHEN DER ART. 
Schnabel grofs, scharlachroth; Augenstern gelblichbraun, Schei- 


tel und Fülse schwarz; der Körper mit dem kurzen gabelförmi- 


gen Schwanze hellgrau, 
Zweiler Band. 


TER 


QUALITÉS. 

Cet oiseau se plait beaucoup à voler et en volant il crie d’une 
voix pincharde kriaïi. Lors qu'il s’éleve une tempête sur les 
bords de Ja mer d'Allemagne, il s’envöle à quelques milles de 
distance dans l’intérieur et se repose sur les champs. Quand 
il arrive dans une contrée, les pêcheurs en augurent, que la pd- 
che du hareng sera copieuse. Cet oiseau est si hardi qu'il dérobe 
les poissons aux pêcheurs jusques dans leurs filets, Sa 

NOURRITURE 
consiste en poissons et surtout en harengs:; outre cela il se 
repait aussi d'oiseaux morts qui nagent à la surface de l’eau ou 
de poissons crèvés qu’on a jetés au rebut, 


4 
PROPAGATION. 

On trouve le nid de ces oiseaux sur le sable ou sous des mor 
ceaux de rochers; la femelle y dépose trois oeufs gris brun, tae 
chetés de noir. } 

UTILITÉ. 

On: mange là chair et les oeufs de ces volatiles dans les pays 
du nord et on emploie leur peau à des habillemens. Comme leur 
duvet et leurs plumes sont molles et élastiques elles méritent aussi 
qu’on les recueille pour en garnir les lits. Le 

DOMMAGE, 
qu'ils causent, peut s’évaluer d’après leur nouriture, 


MANIERE DE LES CHASSER.. 

On les tire au fusil ou on les prend. dans des lacets „ ainsi 

qu’ à des hamecons, recouverts d’une amorce, 
OBSER VATION. 

Le Herrin- gull de Latham n'appartient évidemment point 
à cette espèce, mais c’est un Larus glaucus quin’a pas même 
atteint l'âge de maturité. I dit même expressément que le man 
ieau elles couvertures des ailes sont gris cendré et les tarses cou- 
leur de chair peu foncé, 

Le Goeland à manteau gris brun ou le Bourguemaitre de 
Buffon T. VIIL p. 418. n'appartient pas non plus à notre Larus , 
mais c’est une nouyelle espèce particulière, qui jusqu’ a present 
w’apointencoreparu en Allemagne et qui a die méconnue et mal 
décrite par presque tous les ornithologistes. "Temminck l’a ren 
contre, quoique rarement sur les côtes de la Hollande. Il a sui- 
vant lui 50 à 51 pouces de long ct il le tient pour le plus grand 
des Goelands. Ce savant lui donne une livrée gris brun, le ven- 
ire et le col bleuâtres, les grandes pennes de vol blanchâtres avec 
extrémités noires et la queue blanche. Il l'appelle Larus gi- 
gauteus. Larus ichthyaetus. 
comme un jeune de son espèce, puisque ceux qu’il a rencontrés 
m’avoient ni la têle nile col noirs. 


Pallas. regarde cet oiseau 


L'HIRONDELLE DE LA MER 
CASPIENNE. 


Die grofsschnäbelige Meerschwalbe. Caspische Seeschwalbe Wimmer- 
meve. Grofse Stübbersche Kricke. 
Steina megarhynchos. Nobis. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deut- 


schen Vögelkunde. Th, 2. S. 457. n. ı. 


Kreischmeve, 


Sterna Caspia. Cmel. Linn. syst, I. 2. 603. n. 8. 

Sterna Tschegrava. Lepechin in novis comment. Petr. XIV. 500. t. 13.4.2, 
L’hirondelle de la mer caspienne. Bonnaterre g6. n. 15. pl. 26. fig, 1, 
The caspian Tern. Latham synops. III. 2, 350, n. 1. 


CARACTERES SPECIFIQUES. 


56 bec grand, rouge d’ecarlate; l'iris brun jaunätre ; le dessus 
de la iète etles pieds noirs; le corps gris clair avec la queue en 


+ 


fourchetie, 


— 34 


BESCHREIBUNG. 

Schnabel bei 4. Zoll lang und länger als an allen Meerschwal- 
ben und Meven, scharlachroth; Schnabelwinkel, Zunge und Ra- 
chen röthlich; Oberschnabel etwas gewölbt, die Nasenlöcher 
länglichrund; Unterschnabel nach vorne etwas gewölbt; Augen- 
stern gelblichbraun; Stirn, Scheitel und Hinterkopf tiefschwarz; 

-Oberhals, Rücken, obere Flügeldekfedern, mittlere und hintere 
Schwungfedern hellgrau, vordere Schwungfedern schwärzlich- 
grau; Schwanz kurz, -gabelförmig, weifsgrau; Wangen, Unter- 
kopf, Unterhals und die Seiten desselben glänzendweils; Fülse 
schwarz; die Schwimmhaut ausgeschnitten. 

Die Flügelspitzen endigen sich einige Zeil über den Schwanz- 
spitzen. 

Länge 20—21. Zoll, Breite 3 Fufs 2. Zoll. 

AUFENTHALT. 

Man hielt diesen Vogel ehedem bloß für einen Bewohner 
“des Caspischen Nieeres, allein nach neuern Beobachtungen trift 
man ihn auch vorzüglich auf der Insel Stübber und andern In- 
seln der Ostsee, und zuweilen auch auf deutschen Seen und 
Flüssen an, Sie ist daselbst ein Zugvogel, der im Frühjahr an- 
kommt. 

EIGENSCHAFTEN. 


Von den übrigen Nleerschwalben zeichnet sie sich dadurch. 
aus, dafs sie etwas eher im Frühjahr ankommt, auch einen weit 
leichter» und hôhern Flug hat als die übrigen. Wie emeHaus- 
schwalbe fährt sie nahe über dem WVasserspiegel weg. Wenn 
sie eine Beute sieht, so stürzt sie sieh blizschnell in einer geraden 
Richtung aus der Luft herab und holt sie,- ihrer langen, zum Un- 
tertauchen nicht sehr geschikten Flügel ungeachtet, unter der 
Oberfläche des \Vassers heryor. Ihre Stimme ist kreischend, und 
lautet wie kri, kri. Sobald sie für ihre Bier Gefahr befürchtet, 
fliegt sie schnell nahe an den Jäger vorbei und begleitet ihn mit 
ihrem Gesehrei. Durch dasselbe warnt sie auch die in ihrer 
Nachbarschaft brittenden Weibchen vor der Gefahr eines heran- 
nahenden Menschen. 

NAHRUNG. 
Diese besteht aus Fischen. 
FORTPFLANZUNG. 

Das Weïbchen legt ihre zwei bis drei weifsen, mit dunkel- 
braunen oder schwarzen Flecken versehene Eier in den Sard 
oder auch auf nakte Klippen, 

Einen 

NUFZEN ODER SCHÄDEN 
wissen wir yon ihr nicht anzugeben. Eben so sind uns ihre: 
besondern 
FEINDE 
nicht bekannt. 
JAGD UND FANG 
Wenn man sich ihrem Neste nähert, und sie fliegt wach 


ihrer Gewohnheit nahe am Jüger vorbei, so kann man sie leicht 
mit der Flinte erlegen. | 
VERSCHIEDENHEFTEN. 

Die ganz Jungen sind unten weiß und oben schwarz und 
braun geltekt; bei ältern ist der Scheitel bis ins dritte Jähr nicht 
rein schwarz, sondern weifs gesprengt, und der Rücken aschgrau. 

Man trift auch Exemplare an: 

a) mit weilsenrSchwanze. 

b) mit einem weifsen halben Mond unter den Augen. 

e) mil dunkelrothem Schnabel ; der Scheitel, die Seiten des 
"Kopfes mit Einschlufs der Augen’ schwarz, weils geflekt; der üb- 
rige Kopf, Hals und dieuntern'l'heile des Leibes weils; der Rü- 
eken- schimmelgrau; die Schwungfedern hellgrau mit weilsen 
Schäften; an den Schulterfedern einige wenige schwärzliche Fle- 
cken; der Schwanz am Ende mit einigen wenigen schwärzlichen 
Streifen durchzogen. Ist in Bombay zu Hause. 

d) mit weifsem Schnabel, schwarzen und weifs geflektem 
Oberkopfe; die Gegend um die Augen schwarz; Rücken und 
Flügel aschgrau; die vordern Schwungfedern an den Spitzen 
schwarz. | 
© "Nach Sparrmann ein Junges. Mus. Carlson. I c; 


DESCRIPTION. ; 

Le beclong d’environ 4 pouces et plus long que celui de tou 
ies les autres hirondelles et des autres Goelands, couleur d’&car- 
late; les coins du bec, la langue et le palais rougeätres; la par- 
tie supérieure du bec un peu courbée, les narines ovales; la parlie 
inférieure du bec un peü voutée en avant; l'iris brun jaunätre ; le 
front, le crane et Poccipüt noirs; le haut du col, le manteau, les 
plumes supérieures des couvertures des ailes, les pennes de vol 
du milieu et celles de derrière gris clair, lespennes de volantérieu- 
res gris noirâtre ; la queue courte; en forme de fourchettes gris 
blanc; les joucs, le bas de la tete, le bas du col etles côtés dumème 


. d’un blane éclatant; les pieds noirs, la membrane ouverte. 


Les pointes des ailes dépassent de quelques pouces les extré- 
milés de la queue: 

Longueur 20 à 21 pouces, envergure 3 pieds 2 pouces. 

PATRIE. 

Ön cröyoit autrefois, que cet oiseau n’habitoit que les bords 
de la mer caspienne, mais si l’on s’en rapporte à des observations 
plus récentes, on le rencontre surtout, dans lile de Stubher et au- 
Les iles de la mer d'Allemagne et quelque fois aussi sur des lacs et 
des fleuves d'Allemagne. Elle y est considérée, comme un oiseau 
de passage, qui arrive au printemps. 


QUALITÉS. 

Ceite hirondelle de mer se distingue parmi les autres de cette 
espèce, en ce quelle arrive au printemps un peu plutôt que les 
autres et qu’elle vole pluslegerement et plus haut qu’elles. À Pex- 
emple del'hirondelle domestique, elle efleure de très près la sur 
face de l’eau. Dèsqu’elle appercoit une proie, elle s’elance dessus 
avec la vitesse de l’eclair, en ligne droite du haut des airs etplon- 
geamt dans la superficie de Peau, elle la saisit et Pemporte, malgré 
la longneur de ses aïles, qui sont peu propres à l'aider à plonger. 
Elle a un eri pinchard, ressemblant aux syllabes kri kri. Si elle 
redoute quelque danger pour ses oeufs, elle vole rapidement prés 
du chasseur etle persécute de ses cris. C’est par ce moyen qu’elle 
avertit aussi la femelle, qui couve dans son voisinage, du danger 
dont elle est menacée, par l’aproche d’un ennemi, 

NOURRITURE. 

Celle ci consiste ordinairement en: poissons. 

PROPAGATION. 


La femelle pond sur le sable on sur des rochers dépouillés, 
deux à trois oeufs blancs, marqués de taches brun foncé ou noi- 
res. Quant à son je 

UTILITE 
ou au 
DOMMAGE 

qu'elle cause, nous ne saurions en citer aucun. Il en est de 

fôme de ses ; 
ENNEMIS 


qui nous son inconnus. 


MANIERE DE LA CHASSER. 


Quand on s’approche de son nid et que suivant sa coufume, 
elle vole près du chasseur, il est facile alors de la tirer. 


VARIÉTÉS, 

Les individus absolument jeunes ont la livrée blancheendes- 
souset noire au dessus, entremèêlé de taches brunes. Chez les vieux 
le crâne n’est pas tout à fait noir jusque dans la troisieme ane 
mais il est tacheté de blanc et le manteau est gris- cendré, 

On trouve aussi des exemplaires, 

a) à queue blanche, 

b) avec une demi lune Llanehe sous les yeux. 

c) avec un bec rouge foncé, le crâne, les côtés de Ja tête, y 
compris les yeux, noirs, tachetés de blanc ; le reste de la tête, le 
col et les parties inférieures du corps blanches, le manteau gris 
moisi; les pennes de vol brun clair avec des tiges blanchesquel- 
ques pétites taches noirätres aux plumes des épaules et la queue 
marquée à son extrémité d’un petit nombre de rayes noirätres. 
Sa patrie est l'ile de Bombay en Asie. 

d) avec un bec blanc, le dessus de la tête noir, marqué deta- 
ches blanches; les alentours des yeux noirs; le manteau etles ailes 
gris cendréetles plumes de volantérieures noires äleursextr&mites, 

Suivant Sparrmann un individu de jeune âge. Mus. Carlson. I. c. 


è { ehe 


DER SCHWARZKOPFIGE 'GEIER- 
ADLER. 


Der braune Bartgeier. Der Lämmergeier. 

Gypaetos melanocephalus. Nobis, Taschenbuch der deutschen Vögelkun= 
. de. Theil I. S. 10. Das Titelkupfer. 

Gypactos barbatus fuscus. Alpina, von C. U, von Salis und Steinmül- 
ler. BI. S. 183. 


KENNZEICHEN DER ART, 


Kopf und Hals schwarzbraun; Unterleib bräunlich grau mit 
schmutzig weifsen Flecken; Oberleib schwarzbraun mit hel- 
lern Spitzen ; und weißen Flecken auf dem Oberrücken, 


BESCHREIBUNG. 


Der Oberschnabel anfangs gerade, ein wenig eingedrükt, 
dann erhaben und stark nach unten gekrümmt, wach den Sei- 
ten etwas zusammen gedrükt; Unterschnabel gerade, vorn ab- 
wärts laufend zugerundet; beide horriblau , der obere vorn an 
den Seiten ‚weilslich; vom Schnabelwinkel bis zur äufsersten 
Krümmung in gerader Linie 23 paris. Zoll lang, bei den Nasen- 
löchern mit dem Unterschnabel 13. Lin. hoch, lezterer am Grun- 
de 16. Lin. dik im Durchschnitt; vom Schnabelwinkel 11, Lin. 
entfernt, und gänzlich von den von der Stirn schräg herab lie- 
genden, 10. Lin, langen schwarzbraunen sieifen Borsten bedekt; 
ähnliche Borsten bedecken auch den Rücken des Schnabels bis 
zur Hälfte und liegen sehr angedrükt auf demselben; der Unter- 
schnabel ist vom Grunde an bis über die Hälfie von solelien Yor= 
wärts stehenden Borsten bedekt, und am Kinne steht ein 13. Lin, 


langer schwarzbrauner ; steifer Borstenbart abwärts und etwas‘ 


rükwärts gerichtet; der Augenstern rothgelb-, die Augenlieder 
mit schwarzen Augenwimpern versehen; das ganze Gesichtmit 
kurzen, schmalen, lanzetiförmigen, am Grunde mit, einerbräun- 
lichweilsen Wolle versehenen Federn, der Scheitel mit braun- 
schwarzen, steifen, lanzeltförmigen Federn; der Unter- und 
Oberhals mit ähnlich gebildeten und gefärbten Federn, welche 
gegen den Oberrücken und gegen die Oberbrust hin länger und 
breiter werden; der ganze Oberleib schwarzbraun,, die obern 
Dekfedern der Flügel mit einem weifslichen Schaft und -meist 
an beiden Seiten desselben und gegen die Spitze hin ins bräun- 
lichweifse sich verlierend; auf dem Oberrücken und an den Sei- 
ten des Oberhalses, da, wo er sich an den Rumpf anschliefst, 
mit mehrern weifsen grofsen Längsflecken, welche zuweilen fast 
die eine ganze Fahne der Feder einnehmen; alle Schwungfedern 
schwarzbraun, in der Nähe des weifsen Schaftes graulich wie be- 
pudert ; der Unterleib bräunlichgrau ; die untern Dekfedern des 
Schwanzes braunschwärzlich; der Schwanz schwarzbraun, auf 
der untern Seite an den Spitzen ins rostrôthlichweifse überge- 
hend; die beiden mittelsten Federn am längsten, die äufsersten 
am kürzesten, die folgenden nach und nach länger, so dafs der 


Schwanz eine spitzig zugerundeie Gestalt bekommt; die Füfse bis: 


an die Zehenwurzel mit kurzen schwarzbraunen Federn; die 
Hosen bräunlichgrau ; die nakten Fülse bläulichgrau, stark ge- 
schuppt und geschildert; die äufsere und mittlere Zehe am Grun- 
de mit einer 6. Linien breiten Zwischenhaut verbunden ; ‘die 
Nägel stark grauschwärzlich, mäfsig gekrümmt, die Spitzen 
derselben stumpf. 

Zweiter Band, 


or 
Qt 
| 


LE GYPAETE À TÊTE NOIRE. 


Der braune Baärtgeier, der Läniniergeier. 

Gypaelos melanocephalus. Nobis. Taschenbuch der deutschen Vögel- 
kunde. Th, I. S. ı0. Das Titelkupfer, 

Gypaetos barbatus fuscus. Alpina von C: U. von Salis und Steinmüller. 
To TI 35.183; 


CARACTÈRES SPECIFIQUES. 


La tête et le col brun noir; le bas ventre gris- brun, avec des 
taches d’un blanc sale; la partie supérieure du corps brun noir, 
avec les pointes des plumes plus claires et des taches blanches 
sur le haut du manteau. 


DESCRIPTION. 


Le bec à sa naissance, droit; un peu écrasé, puis élevé et 
fortement courbé vers le bas, les deux côtés un peu applatis ; 
la partie inférieure du bec droite, l’extrémite arrondie, incli- 
hce vers le bas. l’une et l’autre parties bleu de corne; la su- 
périeure blanchätre sur les côtés. Du coïn du bec jusqu’ à la 
derniere courbure 2 pouces 3 mesüre de Paris de longueur en 
droite ligne. A Pendroit des narines il a 15 lignes de hauteur, 
le bec inférieur compris, ce dernier a au fond 16 lignes d’epais- 
seur par son diamètre. Les narines sont presqu’ ovales, obli- 
ques, la pointe un peu élevée, distante d’onze lignes du coin de 
Poeil, entièrement couvertes par des poils roides, brün noir et 
descendant du front en ligne oblique dans la longueur de ro-lig- 
ñes. De semblables poils couvrent aussi le dos du bec jusqu’ à 
sa moitié et y reposent de très près. Le bec inférieur est égale- 
ment couvert depuis sa naissarıce jusques vers le milieu de poils 
de la même sorte, un peu inclinés en avant et le menton offre 
une barbe des mêmes poils, roides,' brun noir et de la longueur 
de 13 lignes, inclinés en bas et un peuen arrière. Liris rouge 


 jaunâtre, les yeux garnis de cils noirs. Toute la face a des plu- 


mes courtes étroites lancéolées et garnies au fond d’une laine 
brun blanchätre. L’oceiput couvert de plumes brun noir, roi- 
des lancéolées; le haut et le bas du col garnis de plumes de mé- 
mes formies et couleur, qui cependant s’élargissent et sallongent 
vers le haut du manteau et de la poitrine. 'Toute la partie su- 
perieure du corps brun noirâtre, les couvertures supérieures 
des ailes ayant la tige blanchâtre, blariches de deux côtés de 
celte tige et brunissant inseusiblement jusques vers la pointe. Sur 
le haut du manteau et aux deux côtés de la partie supérieure 
du col, à l'endroit ou il tient au tronc, plusieurs grosses iaches 
blanches longitudinales qui couvrent quelque fois toute la barbe 
des plumes. "Toutes les pennes des ailes brun noirâtre, mais 
dans le voisinage de la tige blanche, d’une couleur grisätre et 
comme poudree. Le bas ventre gris brunâtre ; les couvertures 
des plumes de la queue inférieures brun noirätre; la queue 


brun noir, changeant en rouge de rouille sur le côté inférieur 


vers les extrémités; les deux plumes du milieu dépassant les au- 


tres, les extérieures les plus courtes, les autres s’allongeant in- 
sensiblement de chaque côté, ensorte que la queue prend une 
forme pointue et arrondie. Les tarses jusqu’ à la naissance des 
orteils entourés de courtes plumes brun noir, les culottes gris 
brunâtre; les pieds nuds gris bleu, couverts de fortes écailles; les 
orteils extérieurs et ceux du milieu réunis au fond par une mem- 
brane, large de 6 lignes; les ongles ou griffes robustes, gris 
brunätre et mediocrement courbés, les extrémités émoussées, 

S 


Länge 5. Fufs 4. bis 6. Zoll; Breite 7. Fufs; der Schwanz 
2. Fufs 5. Zoll. Die Flügelspitzen endigen sich 3, Zoll vor der 
Schwanzspitze. 


Das Weibchen ist voni Männchen nicht sehr unterschieden, 
wie dieses Hofr. Meyer, einer der Verfasser, an dem alten Weib- 
chen sahe, welches derselbe frisch geschofsen im März 1808.aus 
Bündten erhielt. Anufser den hier angegebenen Farben findet 
man auch noch folgende, welche vermuthlich von dem ver- 
schiedenen Alter herrühren: 


a) mit schwarz bräunlichen Kopffedern ; 


b) mit reinweifsen Hals- und Rückenfedern, unter wel- 
chen einige schwärzliche und gelbbraune sind; 

c) mit bräünlichen Flügelfedern. 

d) Das oben beschriebene Männchen — als ein solches 
wurde es einem der Verfasser geschikt, — haite aufser den 
bräunlichgrauen Federn ‘des Unierleibes auch bräunlich rost- 
farbige, deren Fahnen sehr abgestofsen waren und wie abge- 
fressen aussahen. Vermuthlich sind dieses die ältern Federn 
und die bräunlichgrauen die neuern, welche der Vogel nach 
der Mauser erhielt. Dieses Exemplar wurde in der lezten Hälfte 
des Septembers 1810. in Graubündten geschossen, wo es unter 
Aufenthalt und 
Lebensart hater, so weit unsere Nachrichten gehen, mit dem 
weifsköpfigen Geieradler, ‚den wir in einem der frühern Hefte 
schon beschrieben haben, gemein. In seinem Magen fand einerder 


den Schafen grofse Verheerungen anrichtete. 


Verfasser, Meyer, von einem Murmelthier vieles Haar, dessen 
Magen,das Becken, sammt einen Theil des Rückgrats von 4 Zoll 
Länge, ein 5. Zolllanges Stück des Hüflbeins, den 5. Zoll lan- 
gen Schenkel, einige Wirbel des Rückgrats und noch viele un- 
kenntliche kleine Knochen von diesem 'Thier. 


ANMERKUNG. 


Die Lufiröhre des Weibchens, welche einer der Verfas= 
ser, Meyer, untersuchte, hatie 94: Knorpelringe, ‘welche auf der 
hintern Wand in der Mitte durch eine Haut 2. Linien yon ein- 
ander getrennt abstelien, und nur an dem untern Kehlkopf und 
in der Mitte laufen mehrere als ganz vollkommene Ringe um 
die Luftröhre herum. An den beiden Luftröhrenästen sieht man 
deutlich die Knorpelringe. Die Luftröhre eines alten Männ- 
chens des Gypaetos leucocephalus , welche derselbe Verfasser 
untersuchte, war länger, aber viel schmächtiger und hatte 106. 
Ringe, aber diese waren nicht so stark als Knorpel ausgebil- 
det, auch die Unterbrechung dieser Ringe längs der gänzen l.än- 
ge auf der Mitte der hintern Wand um, vieles grölser und die 
Luftröhrenäste ganz häutig, so wie die Ringe an diesen, und 
keine Spur von Knorpel sichtbar. ] 


Es erhellet aus dieser Untersuchung ; dafs Gypaetos me- 
lanocephalus kein junger Vogel ist, auch nicht wohl das M eib- 
chen des Gypaetos leucocephalus sein kann, sondern man viek- 
mehr berechtigt ist, ibn für eine hesondere Art zu halten, 


Longueur 5. pieds, 4. jusqu’ a 6. pouces; envergure 7. 
pieds; la queue un pied 6. pouces de long ; elle dépasse de 5 
pouces les extrémités des ailes. 2 

La femelle ne diffère pas beauconp du mâle; ainsi que l’a 
observé le Conseiller Meyer, l’un des rédacteurs, à la femelle 
nouvellement tirée et en chair qu'il reçut en Mars 1808. du pays 
des Grisons. Outre les couleurs que nous avons indiquées, on 
trouve encore les suivantes qui proviennent sans doute, de la 
différence des âges. | 

a) La tête couverte de plumes noir brunâtre. 

b) Les plumes du col et du manteau d’un blanc net, parmi 
les quelles il s’en trouve quelques-noiratres et d’un brun tirant 
sur le jaune. 

c) avec des pennes brunätres, 

d) Le mâle décrit ci- dessus (l’exemplaire a été envoyé 
comme tel, a l’un des rédacteurs;) avoit outre les plumes gris 
brunätre du bas ventre, aussi d’autres qui éloient brun de rou- 
ille , dent les tiges étoient très émoussées et avoient Fair d’avoir 
été rongées. Vraisemblablement que ces dernières étoient les 
vieilles plumes et celles gris brunätre les nouvelles, qui avoient 
poussé après la mue. Cet individu fut tué vers la fin de Sep 
tembre 1810, dans le pays des Grisons, où il faisoit de grands, 
ravages parmi les moutons. Autant que nous ayons purecueillix 
il ala méme patrie et le même genre de vie, que le Gypaetos à tête 
blanche, que nous avons deja décrit dans un des cahiers précé- 
dens. Dans l'individu qui possede le Conseiller Meyer il a trou-- 
ve une quantité de poil, l'estomac et le bassin d’une marmotte, 
avec un morceau de l’épine du dos de 4. pouces de longueur, 
un débris de 5. pouces de l'os de la hanche, une cuisse longue 
de 5. pouces quelques chevilles de Pépine du dos et plusieurs 
autres os méconnoissables du même animal, 


REMAR QUE. 


La trachée artère de la femelle, examinée par le Conseiller 
Meyer, l’un des rédacteurs avoit 94. anneaux carlilagineux, 
qui sur la partie inférieure et vers le milieu sont séparés les uns 
des autres, par une peau de deux lignes et ce n’est que vers le 
noeud inférieur de la gorge et vers le milieu qu’il se trouve plu- 
sieurs anneaux complets, autour de la trachde. On voit distinc- 
tement les anneaux cartilagineux aux deux branches de la trachée 
artère. 

La trachée artère d’un vieux mäle du Gypaetos leuco- 
cephalus, examiné par le même rédacteur, étoit plus longue; 
ınäis beaucoup plus mince et elle avoit 106: anneaux, mais le 
cartilage n’éloit pas aussi formé et l’interruption de ces anneaux 
dans ‘toute la longueur et sur le milieu de la paroi postérieure 
étoit beaucoup plus grande et les branches de la trachée abso- 
lament comme de la peau, ainsi que ses anneaux et l’on n’y 
apercevoit aucune trace de cartilage. 

H résulte de cet examen, que leGypaetos melanoce- 
phalus n’est point un jeune oiseau, et ne sauroit être non plus 
la femelle du Gypaetos leucocephalus, mais au contraire 


qu’on est autorisé à le considérer comme une espèce particulière, 


DAS WEISSE WALDHUHN. 


Berghuhn. Wildhuhn. Schratthuhn (vom Schratigebirg 
in der Schweiz.) weifses Moraflhuln (in Livland. ) 

Hasenfülsiges Waldhulin. 

Tetrao Lagopus. Gmel. Lin. sylt. I. 2. p. 749. n. 4. 

Lagopus varia. Conr. Gesneri hiftoria avium. nag.554—557. Ein Männ- 
chen in seiner halbveränderten Sommerkleidung. Die kleinere Ab- 
art ift ein Junges. 

Teirao albus. Gmel. Lin, syft. I. 2. p. 750. n. 25. Im Winterkleide. 

Tetrao rupeflris. Gmel. Lin, syft.I. 2. p. 751. n. 24, 

Le Lagopède. Buffon des ois. II. p. 264, t. 9. 

Le Lagopede de la baye d'Hudson. Buffon des ois. II. p. 276. t. q., 

The Ptarmisan Grouse, Latham syn. II. 2. p. 741. n. 10: 


Schneehnhn, 


White Grouse. Latham synops. IT. 2. p. 743. n. 11. 
Das Schnehuhn. Frisch Vorttellung der Vögel Deutschl, Taf; tro. u. 1114 
Das Schneehuhn. Alpina. B. I. S. 208. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Die sechs ersten Schwungfedern mit schwarzen Schäften; die 
Schwanzfedern schwarz, mit gröfsern oder kleinern weilsen Spi- 
tzen; der übrige Körper im Winter weils, im Sommer weils 
und grau geschekt, mit vielen schwarzen Querflecken, und rost- - 
farbigen und weilsen Wellenlinien. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist kurz und dik, glänzend schwarz; der 
Oberschnabel, gewölbt und gekrümmt mit einer stumpfen Spi- 
tze; die Nasenlöcher sind in den Federn verborgen; der Augen- 
stern nufsbraun; über den Augen ein gelblichrother warziger 
Flek ; die Zügel und hinter den Augen schwarz oder auch weifs; 
der gauze Körper mit den Fülsen schneeweils, die Flügel und 
den Schwanz ausgenommen, welche erstere von der Mitie ge- 
gen das Ende hin schwarzbraune oder schwarze Schäfie haben; 
der Schwanz braunschwarz, an der Basis und an der Spitze rein- 
weils ist; die obern und untern Schwanzdekfedern sind fast so 
lang wie der Schwanz-selbst und ebenfalls weils; die Nägel der 
Fülse schwarzbraun, schaufelförmig. 

Die Flügelspitzen endigen -sich 2% Zoll vor der Schwanz- 
spitze, 

Diefs ist der Vogel im Winterkleide. 

Länge 14% Zoll, Breite 25. Zoll. 

Im Sommerkleide sieht er ganz anders, und zwar auf fol» 
gende Weise aus: 

Kopf, Hals weifs, hie und da rostgelb, mit mehr oder we- 
niger breiten schwarzbraunen Wellenlinien; Oberleib und .zu- 
weilen auch die obern und untern Dekfedern des Schwanzes und 
die Bauchseiten grau, mit schwarzbraunen Punkten und W el- 
lenlinien allenthalben bezeichnet ; die Flügel, der Bauch, der 
After und zuweilen ‘die untern Dekfedern des Schwauzes und 
die Fuüfse weils; die Schäfte der Schwungfedern iu der Mitte 
schwarzbraun. 

Die schwarzen Zügel fehlen im Sommer beiden Geschlech- 
term. Eben so findet man im Winter Exemplare, bald mit 
schwarzen, bald mit weilsen Zügeln. 
hielt . Winterexemplare aus Graubündten, das eine mit, das 


Einer der Verfasser er- 


andere ohne schwarze Zügel, die aber übrigens völlig miteinan- 


Zweiter Band. 


LE LAGOPÈDE. 


Das weilse Waldhuhn. Schneehuhn, Berghuhn. Wildhuhn. Schratihnhn. 
(vom Schrattgebirg in der Schweiz.) Weifses Morafthuhn (in Livland.) 

Hasenfüssiges Waldhuhn, 

Tetrao Lagopus. Gmel. Lin, syft. I» 2. p. 749. n. 4, 

Lagopus varia. Conradi Gesneri hiftoria avium, p. 554—557. Un jeune 

mâle dans sa livrée d'été à moitié changée. La plus petite des varié- 

tés eft un jeune individu. 

Tetrao albus, Gmel. Lin syff. I. 2. p. 750. n. 23. Dans la livrée d'hyver. 

Tetrao rupestlris. Gmel. Lin. sydt. 1:2. P.,751.n.,24, 

Le Lagopède, Buffon des oiseaux: IL. p. 264. T. 9. 

Le Lagopède de la baye d'Hudson. Buffon des oiseaux II. p. 276. T. 9. 

The Ptarmigan Grouse. Latham syn, II. 2. p. 741. n. 10. 

While Grouse, Latham synops. II. 2. p. 743. n. ıt. 

Das Schneehuhn. Frisch Vorftellung der Vögel Deutschl. Taf. 110.et 111. 

Das Schnechuhn, Alpina, T, I. S: 208. 


CARACTERES  SPÉCIFIQUES, 


Les 6. premieres pennes de vol ont la tige noire; les plumes de 
la quete noires, avec des taches blanches, plus ou moins gran- 
des aux extrémités. Le reste du corps blanc en hyver et mou-' 
cheté de blanc et de noir en été; avec plusieurs taches trans- 
versales noires et des lignes ondulantes couleur de rouille et 


blanches, I 
DESCRIPTION, 


Le bec est court et épais, d’un noir luisant; la partie supé- 
rieure du bec convexe et courbée en bas, avec une pointe emous- 
see. Les nariñes cachées sous les plumes, Liris brun de 
noix; au dessus des yeux une espèce de porreau d’un jaune rou- 
geätre; les rayes du coin du bec jusqu à l'oeil et le der- 
riere des yeux noir ou aussi blanc. Tout le corps ainsi que 
les pieds blanc de neige, excepté les ailes et la queue, les 
premières ayant à cdînmencer du milieu jusqu’ à l’ extrémité 
la tige noire ou brun noir; la queue brun noir et d’un blanc nef 
à la base et à la pointe. Les couvertures des ailes supérieures ef 
inférieures sont à peu près de la longueur de la queue même et 
pareillement blanches, Les ongles des orteils brun noir, en for 
me de pelle, 

La queue dépasse les extrémités des ailes de deux pouces 
et un quart. 

Tel est cet oiseau dans sa livrée d’hyver. 

Longueur 14. pouces + Envergure 23. pouces. 

Sa livrée d’été est tout à fait différente et composée de la ma- 
nière suivante: 

La tête et le col blancs, ca et là jaune de rouille, avec des 
lignes ondulces brun noir, plus ou moins larges. Le haut du 
corps et parfois aussi les couvertures supérieures et inférieures 
de la queue et les côtés du venire gris , «Partout entremêlés de 
points brun noir etde lignes ondulées de la même couleur. Les 
venire ailes, le sternum et quelque fois les couvertures inférieures 


de la queue ainsi que les pieds blancs 3 les tiges des pennes de 


-vol brun noir dans leur milieu. 


Les rayes noires du coin du bec jusqu’ a l’oeil manquent en 
été aux deux sexes. On trouve également en hyver des indivi- 
dus ayant ces rayes, tantot blanches, tantôt noires. L’un des ré- 
dacteurs a reçu en hÿver deux exemplaires, l’un ayant les rayes 
en question noires, l’aütre qui en étoit privé; du reste parfaite- 
da 


[2 


der übereinstimmten, so dafs man also nicht zweierlei Arten an- 
zunehmen hätte, wie einige schwedische und russische Ornitho- 
logen geneigt wären. 'Temminck, welcher Schneehühner aus der 


Hudsonsbay, aus Lappland, Amerika, der Schweiz und Deutsch- . 


land besizt, hält allenur für eine und eben dieselbe Art, 


Auch die Schwanzfedern sind nicht immer gleichfärbig 
braunschwarz. Wir besitzen ein Exemplar dessen vier mitilere 
Schwanzfedern am Grunde — wie alle übrige — weifs, in der 
Mitte braunschwarz und grau gesprengt, gegen das Ende hin 


braunschwarz und an der Spitze weils sind. 


Diese Verschiedenheit der Farben findet allemal bei der je= 
desmaligen Mauser statt. Die erste geschieht in der Mitte des 
Aprils und dauert bis zu Anfang des Mai, wo der Vogel seine 
völlige Sommerkleidung hat. Vom Anfang bis in die Mitte des 
Oktobers verliert er die Sommerkleidung und erhält dagegen sei- 


ne weifse WVintertracht, 
AUFENTHALT. 


Das weifse Waldhuhn hält sich zwar vorzughchin den nörd- 
lichen Gegenden von Europa, z.B. Norwegen, Schweden, Rufs- 
land, in der Schweiz besonders in Graubündten, im Glarnerlande 
und im Appenzellerlande, auf, es wird aber auch auf den Wür- 
tembergischen, 'Tyrolischen, Salzburgischen, Kärnthenschen und 
Steyermarkschen Gebirgen zu allen Jahrszeiten angetroffen und 
ist daher ein deutscher Standvogel. Er bewohnt diejenigen Ge- 
birgsgegenden, die näher oder entfernter über der Region des 
Holzwuchses und mehr oder minder den Eisfeldern nahe liegen, 
In Liv- und Esthland wohnt es in grofsen sumpfigen Heiden wo 
viel Vaccinium Myrtillus und uliginosum wächst, auch findet man 
es häufigin feuchten Niedrigungen wo kleines Erlengebüsch und 
niedrige Weidenarten wachsen, und heifst daher mit Recht in 
diesen Ländern Morasthuhn. Sie scheuen die Sommerwär- 
ine und das blendende Sonnenlicht, und bewohnen daher eben 
defswegen in warmen Sommertagen häufiger die nördlich liegen- 
den Berggegenden, oder setzen sich unterskleine T'annengesträu- 
che, Alpenrosenstauden (Rhododendron alpinum), Felsenabsä- 
ze, oder hinter Felsenstiicke und im F rühling auch unter Fir- 
nen, die zunächst dem Boden weggeschmolzen sind, oben aber 
eine noch weit hervor stehende Schnee - und Eissinde haben, 
Wenn im Sommer, während es im l'hale regnet, dem Aelpler 
Schnee beyorsteht, so lassen sich diese. Hüner in die tiefer lie- 
genden Gegenden herab ; will sich hingegen das Wetter bald 
wieder aufheitern, so fliegen sie wieder. allmählig höher hinauf, 
Im Herbste begeben sie sich von ihrem höchsten Aufenthaltsorte 
in. das Mittelgebirg herab, das uninittelbar über den obersten 
tochwäldern liegt, wo sie während des Winters und Frühlings 
verbleiben. Ob sich das Weifshuln Gängein den Schnee gra- 

be oder nicht, darüber weichen die Nachrichten der Jäger ab, 
Manche behaupten, dafs sich dieser Vogel zu Anfange des Win- 
ters auf den hohen Alpen in die ungeheuern Schneemassen ein- 
j grabe, darin erstarre”und im Frühling aus seiner kalten \v oh- 
nung wieder heraus fliege. Man.ireffe daher auch nicht nur auf 
den Gebirgen in dem Schnee an vielen Orten solche Hölen und 
Löcher an, sondern man habe auch schon auf einer Glarner 
Alp in einer Schneehöle zwei solche erstarrte Hüner gefunden, 
und als man sie als tod nach Hause in die Siubenwärme ge- 
bracht, seien sie zum völligen Leben wieder zurük gekommen. 
Die meisten Schweizer- Jäger hingegen behaupten — und zwar 
mit mehr Wahrscheinlichkeit — : ein Theil versammle sich un- 


58 


ment semblables entr’ eux, ensorte qu’on ne pouyoit en faire deux 


espèces différentes , comme certains Ornithologues Suédois et 


Russes seroient tentés d'adopter. : Temminck, qui posséde des 
Lagopèdes de la baye de Hudson, de la Laponie, de l Améri- 
que, de la Suisse et de l’ Allemagne les regarde tous comme une. 
seule et mème espèce. 

Les plumes de la queue ne sont pas non plus constamment 
de la même couleur, c’ est à dire brun noir. Nous possédons un 
exemplaire, dont les quatre plumes du milieu de la queue sont 
au fond blanches comme toutes les autres, noir brun dans le mi- 
lieu avec marbrure grise, vers la in brun noir et blanches à la 
pointe. 

Celte différence des couleurs a toujours lieu à chaque mue 
qu'éprouve loiseau. La première arrive vers le milieu d'Avril 
et dure jusqu'au commencement de Mai, où ce volatile est com- 
plettement habillé d'été. Du commencement d'Octobre jusque 


vers le milieu, il perd sa livrée d'été, pour revûtir celle d’hyver. 


PATRIE. 


Le Lagopede habite à la vérité principalement les parties 
sepientrionales de l'Europe, telles que la Norvège, la Suede, la 
Russie, la Suisse et particulièrement le pays des Grisons, et les 
cantons de Glarus et d’Appenzel, mais on le trouve aussi sur les 
montagnes du Virtemberg, du Tyrol, du pays de Salzbourg, de 
la Carynthie et de la Siyrie, dans toutes les saisons de l’année; 
en sorte qu'il est indigène de PAllemagne. Il séjourne dans les 
contrées montagneuses , élevées au dessus des forêts et qui en 
sont plus ou moins rapprochées des hauteurs couvertes de glaces. 
En Livonie et en Estonie cetoiseau habite!les landes vastes et ma- 
récageuses, où il croit beaucoup de Vaccinium Myrtillus et 
uliginosu m. Il se trouve aussi en quantité dans les contrées bas- 
ses et humides, où croissent de petits buissons d’ormeaux et tou- 
tes sortes de saules en arbustes, en sorte qu’on l’appelle avec rai- 


son dans ces pays la poule des marais. Les lagopèdes redoutent 


la chaleur du soleil et la lumière éblouissante de cet astre; c’ est 
pourquoi durant les chaleureuses journées d’été ils cherchent de 
préférence les sites placés au nord ou. bien ils se perchent sous 
les branchages des sapins de nouvelle crue, sous les rosiers des 
Alpes (Rhododendron alpinum,) sous des pointes de ro- 
chers avancés ou derrière des rocs. Au printemps on les voit 
sur de vieilles neiges, glacées, dont le dessous rapproché de la 
terre est déja fondu, mais le dessus offre encore une croute de 
glace. Lorsqu’ en été il pleut dans la plaine et que les habitants 
des Alpes sont menacés de neige, ces oiseaux descendent dans 
les contrées situées plus bas; mais quand le temps s’apprete à 
changer et à s éclaircir ils remontent peu à peu plus haut. Enau- 
tomne ils quittent leur séjour le plus élevé pour gagner les mon- 
tagnes moyennes, siluées immédiatement au dessus des plus hau- 
tes forêts , et ils y restent tout l’hyver et le printemps. Si les 
Lagopèdes se creusent des retraites dans la neige ou non, c’est sur 
quoi les relations des chasseurs ne sont point d’accord. Quelques 
uns prétendent que ces oiseaux au commencement de l’hyver s’en 
ierrent dans les masses énormes de neige des hautes Alpes, qu'ils 


y restent immobiles de froid et qu’au printemps ils quittent en 


volant ces demeures glaciales. En conséquence que non seule- 


ment on trouve de semblables trous ouretraites creuses dans la 
neige des montagnes en plusieurs différens endroits, mais qu’on 
a même trouvé sur les Alpes de Glarus dans un trou pratiqué au 
milieu dela neige, deux Lagopèdes gelés et que les ayant ap-' 
portés, comme morts à la maison la chaleur de la chambre les 


cc 99 


ter hervorstehenden Felsenwänden, die den Windstürmen nicht 
ausgesezt ünd daher an ihrem Fufse mit wenigem oder gar kei- 
nen Schnee belegt sind; ein anderer Theil halte sich unter den 
niedern strauchartigen Älpentannen auf, derer Aeste bis auf den 
Boden reichen; und noch ein dritter Theil fliege hin und her 
‘im Freien herum , und übernachte öfters auf dem blofsen 

Schnee im offenen Felde. Diese alle lassen sich bei unigestüm- 
mer Witterung, so lange sie anhält, oft6, 7 bis 8 Tage lang 
überschneien. In diesem Zustande bleiben sie dann unbeweg- 
lich liegen‘, ausgenommen‘, dafs sie von Zeit zu Zeit den Kopf 
und die Flügel um sich werfen‘, den Schnee abschütteln, und 
sich dadurch ein kleines Lufiloch erhalten. Sie gchen dann 
nicht eher wieder hervor, als bis entweder die Schnee - und 
Windstürme nachgelassen haben, oder bis der aufs höchste ge- 
stiegene Hunger sie zum hervorgehen nôthiget. Auf solchen Stel- 
len findet man immer eine gröfsere oder kleinere Menge, von 
.ihrer Losung auf einem Häufchen liegen. In diesem Zustande 
geschieht es aber auch bisweilen, dafs hie und da einige von ih- 
nen von herab- oder eingefallenem Schnee verschüttet oder er- 
drükt werden, welche, wenn man sie gerade im Anfange ihres 
verunglükten Zustandes finden würde, vermuthlich wieder zum 
Leben kämen. In Bündten — sagt Hr. Sieinmüller, siche Al- 
pina a. a. O. — findet man wirklich im Frühjahr unter den nie- 
dern Tannen viele erfrohrne und verfaulte YVeilshühner, die von 
der Last des Schnees erdrükt wurden: 


EIGENSCHAFTEN. 


Im Frühling und zu Anfang des Sommers, wenn sich. die 
Weiïfshühner paaren, irift man sie paärweise an, hingegen im 
Winter sind sie scharenweise bei einander, Bei kalter oder ne- 


beliger Witterung im Sommer gehen sie den ganzen Tag; auf 


dem Boden herum nach Art der zahmen Hühner; hingegen ver- 
bergen sie sich an heifsen Sommertagen einige Stunden hinter’ 
herum liegende Sieinstücke oder‘ unter hervorragende Felsen- 
wände, überhaupt an schattige Orte, Ihr Gang und Flug ist 
schnell, weil sie aber schwer sind und kurze Flügel haben, so 
fliegen sie nicht sehr hoch, und wenn es nicht kalte Witte 
zungist, auch nicht weit weg, sondern lassen sich in einiger 
Entfernung wieder auf den Rasen , oder zwischen Felsen- 
stücken; oder in Steinrissen nieder. Beim Auflliegen sind sie 
ganz still. 

Bei nebeligen Wetter laufen sie am meisten auf dem Bo- 
den herum, und glauben im Nebel vor allen feindlichen Nach- 
stellungen. am sichersten zu sein. Auch bei sehr warmer Wit- 
lerung sind sie sehr zahm; da hingegen sie, je kälter es wird, 
desto aufmerksamer und menschenscheuer sind. Ihre Stimme 
lautet wie krögögöögrö, krögögöögrö, und auch: 5 —äö, 5 — 
äögöö, die sie bei starkem Nebelwetter, oder wenn die Wit- 
terung abwechseln und Schnee oder Regen einfallen will, un- 
aufhörlich während des ganzen Tages hören lassen. Wenn sie 
ihre Junge locken, oder einen Raubvogel erblicken, vor dem 
sie dieselben warnen, so schreien die Alten gä - gi- gaggää. 
Die Jungen rufen den Alten zip, zip, zip, zip. 


NAHRUNG, 


Sie fressen meistens Beeren, z. B. Preiselbeeren, Brom- 
beeren, die Beeren von Arbutus uva ursi, vorzüglich Heidel- 
beeren, nebst den Blättern dieser Pflanze, Alpengras , Heide- 
kraut, die Knospen der Alpenrose (Rhododendron alpinum et 
hirsutum ) und der niedern Alpentanne, die Knospen einiger 
‚Ranunkelarten ( Ranunculus pratensis) , Polium montanum, 

Zweiter Band, = 


nl 


avoit absolument rendus à la vie. Cependant la plupart des chas- 
seurs Suisses soutiennent — et à dire vrai, avec plus de vraisem- 
blance — qu'une partie s’assemble sous des morceaux de ro- 
chers, qui débordent et qui les garantissent du vent et où ilsne 
trouvent que peu ou point de neige; qu'une autre partie se ré- 
fugie sous des buissons de jeunes sapins; dont les branches des- 
cendent jusqu” à terre; enfin qu’un autre tiers vole ca et là en 
liberté et passe souvent la nuit sûr la neige en plein champ. ‘Îls 
ajoutent, que toûs ces oiseaux, dans un temps orageux, et aussi 
longtemps qu'il dure et quelque fois dürant 6, 7 à 8. jours ,-se 
laissent couvrir de neige. Ils restent alors immobiles dans celte 
situation, excepté que de temps & autre jls secouent Ja tôte et les 
ailes , pour se débarrasser de la neige et se former une petite 
ouverture, propre à leur faire respirer l'air; qu'on-ne les voit 
point sortir de ces retraites jusqu’ à ce que les ouragans de neige 
aient cessé ou jusqu’ à ce que la faint montée au plus haut degre, 
ne les en ait chassés. En de pareils endroits on en trouve tou- 
jours en plus grande où moindre quantité de leur espèce entassés 
les uns sur les autres. Mais il arrive aussi quelque fois, quedans 
cette situation, quelques uns sont ensevelis ou écrasés par la 
quantité de neige tombée du dehors ou éboulée sur eux; et si 
on les découvyroit immédiatement ou peu après cet accident, on 
pourroit les rappeler à la vie. Dans le pays des Grisons, dit Mr. 
Steinmuller (Voyez Alpina a. Le.) On trouve au printemps be- 
aucoup de ces oiseaux gelés ou putréfaits, qui ont été écrasés 
par le poids des neiges. 


QUALITÉS. 


Au printemps et au commencement de l'été on rencontre les 
couples amourenx toujours deux à deux, tandis qu’en hyver ils 
marchent ordinairement par troupes. Quand l’été a des jours 
froids et nebuleux on les voit toute la journée courir ca et lä par 
terre, à la maniere des poulés doméstiques, dans les chaleurs de 
l'été au contraire ils se cachent pendant quelques heures derrière 
des grosses piérres éparses ou sous dés morceaux de rochers qui 
débordent les autres et en général dans des lieux qui sont à !’om- 
bre. Leur marche et leur vol sont rapides, mais comme ils sont 
lourds et qu'ils ont de courtes ailes, ils ne volent pas très haut et 
quand la saison n’est pas froide, non, plus très loin, mais à quel- 
que distance ils se reposent derechef sur l'herbe ou derrie- 
re quelque morceaux de rocher ôu dans des crévasses de rocs. 


‘ Quand ils s’élevent de terre, ils ne font pas le moindre bruit. 


C’est dans les jours nébuleux, qu’ils aiment surtout à courir çà 
et là par terre, parce qu’ils imaginent que le brouillard les met 
plus à l'abri des poursuites de leurs ennemis. Au milieu des cha- 
leurs ils sont aussi plus faciles à approcher, que lorsqu'il fait froid, 
car ils sont extrémement vigilants et sauvages. Les sons qu'ils 
poussent forment les syllabes kroi goi goioi groi, kroi goi goioi 
groi et aussi 01, aloï, 01, aioi goioi, qu'ils répétent presqu’incessament 
toute la journée, quand il fait un épais brouillard ou quand le 
temps veut changer et qu'il est prêt à pleuvoir ou à neiger. Quand 
ils appellent leurs petits ou qu’ appercevant un oiseau de proie, ils 
veulent les avertir, les vieux crient gai-gai, gaggaiai et les jeunes 
répondent aux vieux zip, zip, zip, zip. 


NOURRITURE. 


Ils se nourrissent ordinairement de fruits ou graines de 
diflérenis arbustes tels que des airelles ponctudes ; des mures 
sauvages ; Arb utus uva ursi, et surtout des airelles on 
bayes de mirtilles, ainsi que des feuilles de ces arbustes, Ils 
mangent aussi de l'herbe des Alpes, de la bruyere, les bourgeons 
de la rôse' dés Alpes, (Rhödodendr'on alpinum set hir- 
. 


N 


-verdanten Hafer aus dem Pferdemist auf der Straße. 


and überall schwarzbraun getüpfelt sind, 


Fe 


Chamaedrys montäna ; Nasturtium alpinum minus,‘aber auch 
zuweilen Insekten, z. B. kleine Mistkäfer , findet man in ih- 
rem.Magen.. Aufdem Weilsenstein ob Berggünn, einem Berg- 
hause in Bündten, auf dem Albula kommen die Weifshühner des 
Sommers und Winters an das Haus hin und fressen den un- 
In den 
nördlichen Ländern;z. B.in Liv- und Esthland findet man oft 
Baumknospen in ihrem Magen, welche sie von dem niederlie- 
genden Gesiräuchen abreïlen, denn auf die Bäume fliegen sie 
nicht, 


FORTPFLÄNZUNG: 


Ihr Nest machen sie in der Mitte und zu Ende des Brachi- 
monats auf den Boden’ in offene, moosige Plätze, oder unter 


niedrige Gesträuche der Alpentanne oder Alprose , wo sie mit 


ihren Zehen eiie Vertiefung einscharren und sie mit Moos oder 


Gras ein wenig ausfüttern. In dasselbe legt das Weibchen 7. 
bis 15. Eier, die etivas gröfser als Taubeneier und gelblichweils 
und in 5. Wochen 
Das Weibchen hat eine solche Liebe zu 
seinen Jungen, dafs es die Eier, 


äusgebrütet werden. 
wenn auch das Männchen 
während der Brütezeit getödet wird, ausbrütet und 
Die Mutter verläfst die Jungen nicht 


sogleich nachdem sie ausgebrütet sind, 


dennoch 
die Jungen auferzichet, 
sondern begleitet sie 
Hoch einige Wochen auf die Weide, sammelt sie von Zeit zu 
Zeit wieder in ihr Nest und schüzt sie unter ihren Flügeln vor 
Kälte, Sobald sich ein Feind nähert, 
‚lich davon, die ‚Jungen hingegen laufen alle pfeilschnell aus- 
einander, und in einem Augenblicke haben sie sich alle ver- 
Ist die G 
pfeift iene ihre Kleinen wieder zusammen , die ihren Ruf wie 


_krochen und: unsichibar gemacht. Gefahr vorüber, 80 
„die Küchlein zahmer Haushühner erwiedern,und sich unter den 
- Flügeln ihrer Beschützerin wieder einfinden. Man stölst öfters 
‚auf, den Alpen auf ein solches Nest‘, das. man nicht eher be- 
‚merkt, bis man die Mutter nahe vor seinem Gesichte geräusch- 
‚voll auffliegen sicht, wodurch man nicht selten heftig erschrekt 
wird,  Fängt man ein Junges lebendig, und dieses gibt Einen 
Laut von sich, so verräth die Mutter, wenn sie in der Nähe 
ist, die grôfste Liebe zu ihren Kindern. 
Weibchen auf den Schrei ihres gefangenen Jungen mit unglaub- 
‚ licher Schnelligkeit und mit einer Art von Verzweillung; hän- 
genden Flügeln, niedergedrüktem Leibe und verlängertem Hal- 
se und Kopfe auf ihn zueilen und hätte sich vielleicht mit der 
‚Hand, fangen lassen, wenn es nieht in der Uebereilung gerade 
in diesem Augenblik wäre geschossen worden. Man hat schon 


Steinmüller sah ein 


Ve ersuche gemacht, ihre Eier einer Haushenne unter zu legen, 
die sie auch ausbrütete, allein sie starben , ob sie gleich Saa- 


Br fi Fe 3 3 . . rg‘, 
-menkörner, Brod und Milch frafsen, doch in wenigen Tagen. 


Die Jungen, ‚wenn sie etwa die Gröfse eines Finken haben, 
sind am Unterleibe und an den Fülsen mit weilsgelbligtem, am 
Oberleibe ‘aber und auf dem Kopfe mit. braunen, schwarzen 
und weifsgelben Flaum bedekt. Die erstiährigen Jungen se- 
hen gegen den "Herbste zu in der Farbe des Gefñeders volle 
ihren Aeltern ähnlich, nur sind sie um ein Merkliches klei- 


ner, daher die auflallende Verschiedenheit ihrer Grôfse in den 
Beschreibungen. 


A 1 NUTZEN. - 


Ihr Fleisch ist schmakhaft und ist vorzüglich im Winter 


‘an Farbe, Geruch und Geschmak dem Fleisch des Hasen sehr 


fliegt die Mutter ängst- 


40 
sutum) et du sapin nain des Alpes, les bourgeons de quelques 
espèces de renoncules (Ranuneuluspraten sis) duPoli um 
montanum, Chamaedrys montana, Nasturtium al- 
pinum minus et quelquefois aussi des insectes; par exem- 
ple des petits fouille merdes se trouvent parfois dans son estomac. 
À Weissenstein ob Berggun, une maison des Alpesdans le pays 
desGrisonssur]’Albula on a vu des Lagopèdes s’approcher Phyver 
et Pete de cette maison etmanger l’avoine non digeree, qu'ils 
trouvoient dans le fumier répandu sur le chemin. Dans les pays 
septentrionaux, comme par exemple en Livonie et en Esthonie, 
on trouve souvent des bourgeons dans leurs estomacs; qu'ils ar- 
rachent des arbustes couchés par terre, car ils. ne volent point 
sur les arbres, 


PROPAGATION. 


Hs batissent leurs nids à la mi-Juin ou à la fin du même mois 
par terre dans des lieux ouverts -et couverts de mousse, ou sous 
les arbustes peu élevés du sapin des Alpes et de la rose des Al- 
pes, où ils creusent des trous avec leurs ongles, les garnissant 
ensuite avec quelque peu de mousse et d'herbe. Lafemeile y 
dépose de 7 jusqu’ à 15 oeufs, un peu plus gros que les oeufs de 
pigeon ; d'un blanc jaunätre et partout marqués de pelits points 
brun noir. La femelle les couve et les fait éclore en trois se- 
maines. Mlle porte un si grand amour à ses pelits, que, 
quand même le mâle vient à être tué durant qu’elle couve, elle 
ne laisse pourtant pas de leur continuer ses soins, de les faireéclo- 
re et de les élever. Eile n’abandonne pas non plus ses jeunes, 
dès qu’ils sont &clos, mais elle les ÉpRpiene encore durant 
plusieurs semaines pour faire la picorée, elle les rassemble aussi 
de temps en'temps dans son nid et les protège conire le froid, en 
les couvrant de ses ailes. Dès qu’un ennemi s’approche, la mère 
s'enfuit pleine d'inquiétude, tandis que les jeunes fuient et s'épar- 
pillent avec la vitesse du trait et en un moment ils sont tapis dans 
quelque coin et devenus invisibles. Quand le danger est passé 
la mère sillle ses petits et lesrassemble de nouveau, ils répondent 
au cri de leur mère, comme les poussins des poules domesti- 
ques et ils reviennent se placer sous les ailes de leur protectrice. 
On rencontre souvent sur les Alpes, de semblables nids, qu’on 
m’appergoit pas jusqu’ à ce que la mère s’envoleet vous passe avec 
grand bruit, devant le visage, non sans causer quelquefois une 
grande frayeur. Si lon-attrape un jeune vivant et qu’il se mette 
à crier, la mère, quand elle est dans le voisinage, ne sauroit 
s’empècher de manifester sa tendresse pour ses petits. Steinmül- 
ler a vu une femelle, aux cris d’un jeune qu'il avoit pris accourir 
avec une vilesse incroyable et avec une sorte de désespoir, les ai- 
les pendantes, le corps incliné, le col et la tete allongés s’appro- 
cher de lui, comme pour redemander l’objet de son amour el peut 
être se seroit-elle laissé prendre à la main, si par une preeipi- 
tation déplacée, elle n’avoit pas été tuée dans ce moment. On a 
déjà essaié de donner ces oeuls à couver à une poule domestique, 
elle parvint à les faire éclore, mais les petits crèverent néan- 
moins au bout de quelques jours, quoi qu'ils mangeässent des 
graines de semence, du pain et du lait Quand les petits ont 
atteint la grosseur d’un pinçon ils ont le bas ventre et les pieds 
couverts d’un: duvet blanc-jaunâtre, mais le haut du corps et la 
tête ont le duvet brun, noir et blanc jaunâtre. Les jeunes d’un 
an d’age ressemblent vers l'automne, pour la couleur de leur plu- 
mage absolument à leurs pères et mères, excepté qu’ils sont beau- 
coup plus petits; de là vient la différence remarquable, qui se 
trouve dans les descriptions, quant à la grandeur, 


‘UTILITÉ. 


Leur chair est d’un bon got et elle ressemble surtout en hy— 
ver, pour la couleur, le fumet et la saveur beaucoup à la chair 


ähnlich, nur mufs es elwas lang kochen. Aus Bündten wird 
im Herbste und Winter alle Wochen eine grofse Anzahl durch 
den Zürcher Boten nach Zürich geführt. 
Sommer durch ikren Aufenthalt die Veränderung des Weiters an. 


SCHADEN 
stiftet dieser Vogel durchaus nicht. 


Auch zeigen sie im 


FEINDE. 


Ihre gröfsten Feinde sind aufser dem Menschen; die Füch- 
se und Marder; die sich im Sommer ganz auf den Alpen auf- 
halten und daselbst auf die Alphühnerarten, ihre Eier und Jun- 
gen Jagd machen. Auch verschiedene Falkenarten , nament- 
lich die Gabelweihe, Falco Milvus Linn. fallen Alte und Junge 
an. Inihren Federn findet man auch Läuse und in ihren Ge- 


därmen eine eigene Art langer Spulwürmer. 
JAGD UND FANG. 


Sie werden hin und wieder , vorzüglich in Bündten, des 
„Herbstes und Winters häufig in Schlingen gefangen, die aus 
mit Wachs [gewichsten Rofshaaren, oder besser aus Messing- 
drahte gemacht werden, weil im leztern Falle der Fuchs und 
Marder die Beute nicht angreift, diese Schlingen werden dann 
entweder an die untersten Aeste der T'annien, oder Zirbelnufs- 
kiefer, oder der Alprose befestiget, so dafs die Schlirigen auf 
dem Boden aufliegen, und sie dann leicht darin gefarigen wer- 
den. Oder man macht auf solchen Plätzen, wo man weifs, dafs 
sie sich öfters aufhalten, einen kleinen, Hag von Zweigen und 
läfst in der Mitte eine Oeflnung. In diese werden die Schlin- 
gen, die sich in einem Holze befinden, das man unter dem 
Schnee verbirgt und im Boden fest macht, gelegt. Die Hühner 
nun, die in diese Gegend kommen und Nahrung suchen, flie- 
gen nicht gern über die Verzäunung weg, sondern gehen durch 
die offene Stelle und werden gefangen. 
werden diese Hühner geschossen.“ In warınen und nebelichten 
Herbsttagen , auch wenn zu Anfang des Winters ein kleiner 
Schnee liegt, trift man sie scharenweise bei einander an, und 


Meistentheils aber 


alsdann sind sie am leichtesten zu schiefsen, so dafs oft man- 
cher Jäger mit einem Schusse zwei bis drei Stücke erlegt. Man 
mufs aber groben Schrot nehmen, weil der kleinkörmnige auf 
In 
Livland, wo sie im Herbste oft in kleinen Rolien bei den auf- 


den dicht auf einander liegenden Federn leicht abprallt. 


gebäuften Kornschobern sich einfinden , und die Achren aus- 
rupfen, können sie von dem Jäger leicht geschossen werden, 
weil sie dort ganz furchtlos sind. Im Sommer sagt Hofr. Ger- 
mann’, schiefst man sie vor dem Hühnerhund, welcher sie oft 


auch selbst fängt und dem Jäger den Schufs erspart. 


ANMERKUNG. 


4 


Die Naturgeschichte des Weifshuhns ist bisher mit mehrern 
Trrthümern angefüllt gewesen, und wir hätten hierin wegen der 
Entfernung wenig Aufklärung geben können, wenn uns unsere 
Freunde in der Schweiz, vorzüglich aber Hr. Pfarrer Steinmül- 
ler in Rheinek, nicht unterstüzt hätten. Lezterer hat die aus- 
führlichsten und genauesten Nachrichten in der Alpina a. a, O. 
gelietert , und durch ihnsind wır auch im Stande folgende Irr- 
ihümer, die sich in den Schriften Gesners, Buflons, Gözes und 
Bechsteins befinden, Zu berichtigen. 

Unrichtig ist es, dafs ihre weifse Farbe die Farbe des 
Schnees übertrifft und ihr Werräther werde, Gerade diese schüzt 

Zweiter Band. 


hi 


du lièvre; il faut cependant qu’elle cuise longtemps. En automne 
et en hyveril en vient une quantité à Zurich, que le messager de 
cette dernicre ville apporte du pays des Grisons. En été ils an- 
noncent aussi par leur séjour le changement prochain du temps. 
Quant au UE | 
| DOMMAGE 

que cet oiseau pourroit causser, il est absolument nul. Ses plus 


grands , 
ENNEMIS, 

après l’homme sont le renard et la fouiné ; qui durant tout 
l'été fixent leur séjour sur les Alpes et donnent la chasse aux La- 
Bopèdes, à leurs oeufs et à leurs jeuñes. Il ya encore differen- 
tes espèces de faucons, entr” autres le Milan royal, Falco Mil- 
vus Linn. qui attaquent et les jeunes etles vieux. On trouve 
aussi une espèce de poux dans leurs plumes et dans leurs boyaux, 


une sorte de l’ascarides. 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 


On les attrappe dans différents pays et surtout chez les Gri- 
Il est fait 
de crin de cheval frotté avec de la cire, ou ce qui vaut mieux le 


sons très souvent au lacet, en automne et en hyver. 


lacet est de laiton, parcequ’ alors les renards et les fouines ne 
touchent point à la proie. ‘Ges lacets s’altachent aux branches 
inférieures des sapins, des arobes ou des rosiers des Alpes, en- 
sorte qu’ils touchent la terre et que les Lagopedes en passant Sy 
prennent facilement. Ou bien l’on observe les endroits qu’ils se 
plaisent à fréquenter, l’on y construit une petite palissade de 
branches d'arbres dans lé milieu de laquelle on laisse une pe- 
tite ouverture. C’est là qu’on place le lacet aitaché à un petit 
morceau de bois, fiché dans la terre et caché sous la neige. Les 
poules qui arrivent à ce passage, en cherchant leur nourriture, 
ne volent pas volontiers par dessus la palissade, mais préfèrent de 
passer par celle ouverture, où elles sont prises. Cependant la plu- 
part de ces oiseaux sont tués au fusil. Dans les journées chaudes 
et nébuleuses de l’ automne, ainsi qu’au commencement de P’hy- 
ver, lorsqu’il y a encore peu de neige, on les trouve rassemblés 
par troupes et couchés les uns près des autres; c’est dans cette 
position qu’il est si facile de les tirer, qu’un chasseur en a souvent 
tués 2 à 5 d'un seul coup. Mais il fant se servir de grosses 
dragées, car les petites ne peuvent percer les plumes couchées 
dans une certaine épaisseur les unes sur les autres. En Livonie 
où ils se rassemblent par petites troupes, autour des gerbes amon-. 
celées en meules, pour en arracher les épis, les chasseurs peu- 
vent aisément lestirer puisqu'ils y demeurent absolument sans 
crainte. En été, dit le conseiller Germann, on les tue devant le 
chien d'arrêt, et souvent ceite espèce de chien les attrape dans 


leur gite etépargne au chasseur son tir et sa poudre, 


REMARQUE. 


L'histoire naturelle des Lagopèdes a été jusqu’ à présent 
remplie d'erreurs, qu'il nous auroit été impossible de redresser, 
dans l'éloignement ou nous noustrouvors, si nous n'avions été 
assistés par nos amis et surtout par Mr. Steinmüller Curé de Rhei- 
neck. Ce dernier a donné sur ces oiseaux , les notices les plus 
exactes et les plus détaillées, dans son Alpina a. 1. c. et c’est 


‘ par son secours, que nous nous trouvons en état de rectifer les 


erreurs suivantes, qui existent dans les ouvrages de Buffon , de 
Gessner, de Goeze et de Bechstein. 

Il est'inexact de dire, que la blancheur de leur livrée sur. 
passe celle de la neige et les trahit. C’est précisément elle, qui les 


X 


sie oft vor den Nachstellungen der Menschen und der Raubvögel, 
weil sie mit dem Schnee einerlei Farbe haben. 


-.  Unrichtig ist es, werm die Ornithologen sagen: „ Uebri- 
gens scheuen sie auch aus angeborner Dummheit die Gegen- 
wart der Menschen nicht, und um sie zu greifen, ist oft weiter 
nichts nôthig,. als ihnen Brod vor zu halten, oder einen Hut vor 
sie hin zu werfen, den sie vielleicht, wie die Rebhühner, für 
einen Raubvogel halten, und alsdanin Schlingen über sie zu 
schleudern, oder sie mit Ruthen von hinten tod zu schlagen. 
Sie können sogar mit Steinen tod geworfen werden.“ Der Jä- 
ger begnügt sich gerne, wenn er ihnen nur in die Schufsnähe 


! 


kommt. 
Unrichtig ist es, dafs die Weifshühner eine Stimme wie ein 
Gelächter von sich hören’ lassen, oder wie Hirsche schreien. 


Der warzige Flek über den Augen ist nicht scharlachroth, 
sondern ‘gelblich - oder ziegelroth. Nach Steinmüller ist der 
Augenstern schwärzlichblau. Wir sind nicht der Meinung, son- 
dern halten ihn für braun. Sehr wahrscheinlich hat- dieser 
Ornitholog nur tode Hühner vor Augen gehabt, und im Tode 
wird das Auge gewöhnlich bläulich; es müfste denn der Augen- 
stern gelb sein, welche Farbe sieh, auch nach dem Tode lange 


Crhält, 


42 


défend souvent contre les embuches de l'homme et des oiseaux de 
proie, parce que leur couleur ressemble à celle de la neige. 

Il est inexact aux Ornithologues de soutenir ,, que du reste 
leur imbécillité naturelle ne leur permet pas de redouter la pré- 
sence dé l’homme et que pour les attrapper, il n’est souvent be- 
soin d’autre chose, que de leur présenter du pain; ou de jetter un 
chapeau dévant eux, qu’ils prennent peut être pour un oiseau de 
proie, à l'exemple des perdrix et älors de jeiter des filets sur eux, 
où ilg se prennent, où de les tuer pas derrière à coups de baguet- 
tes, ou qu’on peut même les tuer à coups de pierres.“ Le chas- 
seur est fort content, lors qu’il est assez heureux pour les ren- 
contrer à la portée du fusil. 

Il n’est pas moins bazardé de prétendre que les Lagopèdes 
poussent des sons, qui ressemblent à des éclats de rire; ou qu’ils 
crient à la manière des cerfs. 

L’ espèce de porreau, qui se trouve au dessus des yeux n’est 


point couleur d’ecarlate, maïs jaunätre, ôu cotleur de brique. Sui- 


vant Stéinmüller l'iris doit étre d’un bleu noirätre. Nous ne som- 


IL est 
vraisemblable, que cet ornithologue n’a eu que des individus 


mes pas de la même opinion, nous la croyons brune. 


morts, sous les yeux; et apfès la mort l’oeil devient ordinaire 
ment bleuäire; à moins que l'iris ne soit jaune, une couleur qui 


se conserve encore long temps après la mort, 


DER ROTHBÄUCHIGE BRACHVOGEL. 


Rothbäuchiger Bracher. Rothbrüftige Schnepfe. Rothbruft. Rothbauch, 

Numenius ferrugineus. Nobis. Taschenbuch der deutschen Vögelkunde. 
B., 11.59:556,.0.3. 

Numenius subarquala. Béchfleins Naturgesch. 2te Aull, 'B. 4. S2 135. 0. 
er 

Numenius variabilis. Bechft. Nafurgesch. 2te Aufl. B: 4. S: 143. Die 
larbenverschiedenheiten Nro. 1 und 2. alles Uébrige gehört zu Trin- 
ga alpina. Linn. 

Scolopax subarquafa. Gmel. Linn. syit. I. 2. p. 658. n. 25. 

Alouette de mer. BuËf pl. enl. n. 851. Junger Vogel. 

Tringa ferruginea. Brünnich ornith, n. 180. 

Naumann Vögel. B. 3. S; 87. t, 20. £. 27. Männchen im Juli. f:28. Jun- 


ger, Vogel, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Schnabel schwärz, etwas unterwärts gekrümmt; Fülse schwarz- 
grau; Hals und Unterleib rostroth; Rücken - und Schulterfe- 
dern ‚schwarz, rostfarbig und weils gerandet; obere und un- 
tere Schwanzdekfedern weils, mit schwarzbraımen Flecken ünd 
Querbändern; die gleichlangen Schwanzfedern glänzend asch- 


grau, 
BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel 14 Zol lang, schwarz; sanft unterwärts ge- 
krümmt; nach der stumpfen Spitze zu sehr dünn und schmal; 
der Oberschnabel etwas länger als der untere; die Nasenlöcher 
länglich in einer Rinne liegend; der Augenstern dunkelbraun ; 
der Augenliederrand weils; der ganze Kopf rostroth , nach der 
Schnabelwurze] hin eiwas,heller; Hinterkopf und Oberhals rost- 
roth, mit schwarzbraunen Längsflecken ; Rücken - und Schul- 
terfedern schwarz; rostfarbig.und weils gerandet; die vordern 
obern Dekfedern der Flügel schwarz, roströthlichgrau geran- 


i’ ALOUETTE DE MER. 


Rothbäuchiger Brachvogel. Rothbäuchiger Bracher. 
Schnepfe: Rothbruft. Rothbauch, 

Numenius ferrugineus Nobis. Taschenbuch der dentschen Vögelkunde, 
MTS 50m 00: | 

Numenius sabarquata. Bechsteins Nalurgesch. 2te Auflage, T. 4, S, 135, 
1. Dot be 

Numenius variabilis. Bechft. Naturgesch. 2te Aufl: B, 4. 8. 143. Les va- 
riétés des couleurs No. ı. et 2. Tout le reile appartient à Tringa 


Rothbrüflige 


alpina Linn. 
Scolopax subarquata. Gmel. Linn. syft. 1.2. p. 658. n. 25. 
Alouette dé mer. Bullon. pl. enl. ni. 851. un oiseau jeuñe âge. 
Tringa ferruginéa. Brunnich ornith. nm 180. 
Naumann Vögel. B. 3. S. 87. t. 20. f. 27. Un jeune mäle en Juillet £, 28, 


um oiseau jeune âge. 


CARACTÈRES SPECIFIQUES, 


Le bec noir, un peu courbé vers le bas ; les tarses gris noir; le 
col et le bas ventre rouge de rouille; les plumes du manteau et 
des épaules noires, nee bordures couleur de rouille et blanches; 
les couvertures supérieures et inférieures des ailes blanches, avec 
des taches brun noir et des bandes transversales de la même cou- 
leur; les plumes de Ja-quèue de grandeur égale et gris - cendre 
éclatant. ; 
DESCRIPTION. 

Le bec lorig d’un pouce et 4, noir, un peu courbé vers le bas, 
mince et étroit vers la pointe, qui est obtuse; la partie supérieu- 
re du bec un peu plus longue que l'inlérieure. Les narines en 
longueur, daris une rainure; liris brun foncé; la bordure des 
paupières blariche. ‘T'oute la iète couleur de rouille, un peu plus 
claire vers la naissance du bec; le derrière de la tête et le com- 
mencement du col rouge de rouille, avec des taches longitudina- 
les brun- noir: le manteau et les épaules à plumes noires, avec 
bordure couleur de rouille et blanche, Les couvertures antérieu- 


+ 


det; die übrigen wie die Rückenfedern; die Schwungfedern 
schwarzbraun , auf den schmalen Fahnen mit feinen weifsen 
Kanten; dieobern Dekfedern des Schwanzes weifs, mit schwarz- 
braunen Flecken und Querbändern; die gleichlangen Schwanz- 
federn glänzend aschgrau; die Füfse schwarzgrau. Die Flü- 
gelspitzen von fast gleicher Länge mit der Schwanzspitze. 


Länge 73 Zoll, Breite 162 Zoll. 


Das Weibchen ist nur Entelich vom Minuchen. unter- 
‘schieden. 


Ein Männchen; welches einer der Verfasser den 20. Mai 
1809. schofs; hatte folgende Zeichnung und ist hier abgebildet. 

Der Scheitel braun mit Weifs gemischt; von dem Schna- 
bel über den Augen ein weilser Streifen; die Kehle weils; der 
Hals bleich rostroth, mit feinen weifsen Strichen; Brust und 
Bauch weifs, mit einzelnen rostroihen Federn and schwarz- 
braunen Querbändern ; an den Seiten der Oberbrüst mit vie- 
len schwarzgrauen Flecken ; Oberleib und Flügeldekfedern 
bräunlichgrau, mit eiñzelnen rostfarbig und schwarz geflekten 
Federn ; die obern und üntern Schwanzdekfedern weils; nur 
einzeln schwarzbraun geflekt. 


Ein Weibchen, welches einer der Verfasser schon ausge- 
stopft erhieli, für dessen Geschlechtsünterschied er also nicht 
stehen kann, hatte folgende Farbenzeichnung : 


Scheitel braun mit rosiröthlichen Rändern, von dem Schna- 
bel über den Augen ein roströthlich weifser Streifen; un- 
ter diesem ein verloschner aus braunen Punkten bestehender 
Streifen; der, ganze Hals mit den Halsseïten, und die ganze 
Brust rostroth, am Halse mit breiten weifsen Rändern , auf 
der Brust mit schmalen weifen Rändern einzelnen weißen 
Randflecken und schwarzbraunen Zikzaklinien, an den Seiten 
mit wenigen schwarzbraunen, kleinen Längsflecken; der Bauch 
und die Seiten desselben und untere Sr RE weils; 
mit einzelnen rostrothen Flecken; und schwarzbraunen Zik- 
zakflecken; Oberleib schwarzbraun und schwärzlichgrau, mit 
roströthlichen Rändern ; ; das Uebrige wie gewöhnlich. 


‚Vielleicht ist dieser Vogel in der Mauser. 
Die Jungen haben folgende Zeichnung: 


Zwischen Schnabel und Augen ein grauer, über dem Au- 
ge eitt Weïlser Streifen;, Scheitel, Hinterhals, Oberleib und Flü- 
geldekfedern graubraun, mit weifslicher Einfassung ; über die 
Vlügel eine weifse Binde; Kehle und Vorderhals weifs, lezte- 
rer bräunlichgrau überlaufen ; Oberbrust bräunlichgrau ( bei 
manchen mit schwärzlichen Längstlecken}) Unterbrust, Bauch, 
Schenkel, obere und untere Schwanzdekfedern reinweils. 


AUFENTHALT. 


Man trift diesen Vogel an den Ufern der Flüsse, Bäche, 


Seen und T'eiche in verschiedenen Gegenden von Deutschland, 
im Frühjahr sehr selten, im Julius und August wenigstens am 
Rhein und Main in kleinen Herden, doch nicht alle Jahre, an. 
In Thüringen kommt er in der Mitie des März an und zieht des 
Nachts vom Julius an bis zur lezten Hälfte des Oktobers wie- 
der weg, ist also ein deutscher Zugvogel. 


EIGENSCHAFTEN. 


Wenn er eines Menschen gewahr wird, so drükt er sich 
platt auf die Erde, und lälst sich fast so nahe kommen , dafs 


man auf ihn treten könnte, Hat man sich einige Schritte von 
Zweiter Band. 


_ res rouge de rouille. 


45 _ 


res des ailesnoires, avec lisere gris, tirant sur le rouge de rouil- 
le, les autres plumes des ailes comme celles di manteau. Les 
pennes de vol brun noir, les barbes étroites et garnies d’un feston 
léger et blanc. Les couvertures supéfieüres de la queue blanches, 
avec des taches bruñ noir et bandes transversales de même cou- 
leur; les plumes de la queue gris cendré éclatant et de gran- 
deur égale; les pieds gris noirâtre. Les extrémilés des ailes 
presqu’ aussi longues que celles des plumes de la queue. 

Longüeur 7 pouces #, Envergure 16 pouces À, 

La femelle differe du mâle d’une manière presqu’ insensible. 

L’un des rédacteurs tua le 20. Mai 180g. le mâle représenté 
dans la figure ci-jointe, avec la livrée telle qu'il suit i 

La tête brune, mêlée de blanc ; des rayes blañches du bec 
jusques pardessus les yeux; la gorge blanche; le col rouge de 
rouille päle avec de finies rayes blanches ; la poitriñe et le ventre 
blancs, avec quelques pluies isolées couleur de rouille rouge et 
des bandes transversales brun noir, Les deux cötes du haut 
de la poitrine marqués d’une quantité de taches brun noir; 
le haut du corps et les couvertures des ailes gris brunätre, avec 
quelques plumes isolées tachetées de couleur de rouille et de noir, 
Les couvertures inférieures et supérieures dé la queue blanches, 
dont quelques unes ont des taches brun noir. 

Une femelle, qu'un des collaborateurs a recue deja empail- 
lee, ei dont il ne sauroit par conséquent garantir le sexe, étoit 
habillée des couleurs suivantes : 

La tête brurie avec bordures rouge de rouille ; depuis le bec 
jusques pardessus les yeux une raye rouge de rouille et blanche et 


‚ ati dessous de celle-ci une aütre raye presqu’ eflacée composte 


de points bruns. Tout le col, les côtés du col et la poitrine en- 
tiere rouge de rouïle, entr emêlé au col de larges bordures blan- 
ches, et sur la poitrine de lisérés étroits aussi blancs, de quel- 
ques tâches isolées blariches aux extrémités et de lignes en zig zag 
brun noir ; et les côtés marqués d’un-petit nombre de petites ta- 
ches nait brun noir. Le ventre et ses deux côtés ainsi 
que les couvertures inférieures des ailes blancs, avec quelques 
taches isolées rouge de rouille et d’autres taches en zig zag brun 
noir, Le haut du corps brun noir et gris noirätre avec bordu- 
Le reste de la livrée comme à l'ordinaire, 

Peut être que cet oiseaü étoit dans la mue. 

Les individus jeune âge sont habillés comme il suit : 

Entre le bec et les yeux une raye grise, qui blanchit sur les 
yeux. da tête, le derrièrè du col, le haut du corps et les cou- 
vertures des ailes gris brun avec bordure blanchätre; une bande 
blanche sur les ailes. La gorge et le devant du col blancs, cette 
dernière partie chatoiée de gris brunâtre. La partie supérieure 
de la poitrine gris brunâtre, quelque fois bigarrée de taches lon- 
gitudinales noivälres. Le bastle la poitrine, lé ventre, les cuisses, 
les‘couveriures supérieures etinférieures de la queue blanc net, 


PATRIE. 


On rencontre cet oiseau sur les bords des rivières, des fleu- 
ves, des lacs et des étangs, dans différentes contrées de l’Alle- 
magie. Au printemps ils sont très rares; dans les mois de Juil-- 
let et d’Aotit on les trouve du moins sur le Rhin et le Mein, par 
petites troupes , mais pas toutes les années. ll arrive en Thu 
ringe au milieu du mois de Mars et il s’en retourne de nuit, de- 
puis le mois de Juillet jusques vers le milieu d'Octobre, “ensorte 
qu’on peut le regarder en Allemagne, comme un oiseau de passage, 


QUALITES. 


Lorsqu'il appercoit un homme; il s’applatit tant qu’il peut 
contre terre et se laisse approcher de si près qu’on pourroit mar- 
Y u 


ihm entfernt, so steht er sogleich ‘wieder auf und geht seiner 

Nahrung nach. Beim Auflliegen läfst er einen feinen, kurz ab- 

‚gebrochenen, pfeifenden "Ton hören und seine Lokstimme ist 

ein feines Geschwirre., Sein Flug ist sehr schnell, 
NAHRUNG. 


Diese besteht aus Wasserinsekten und Würmern mit und 

öhne Gehäuse, Grasspitzen und Graswurzeln. 
FORTPFLANZUNG. 

Er brütet in den nördlichen Gegenden von Europa, Das 
Weibchen legt seine vier bis fünf gelblichen, dunkelbraun 
geflekten Eier auf Gras- und Maulwurfshügel und brütet sie in 
sechzehn "Tagen aus. Die Jungen wissen sich bei heran nahen- 
der Gefahr sehr gut im Grase zu verbergen. 


NUTZEN. 


Sein Fleisch kann zu allen Jahrszeiten gegessen werdeñ 

und ist sehr schmakhaft. Ein 
SCHADEN Pas: 
ist uns nicht von ihm bekannt. 
3 . FEINDE 

hat er an verschiedenen Raubvögeln. Die Rabenkrähe 

geht den Jungen sehr nach. 
JAGD UND FANG. 


Man fängt ihn mit Schlingen, die man in seine Gänge 


stellt. Er ist nicht sehr scheu und kann auf seinem Zug sowohl . 


im Flug als auf dem Lande von dem Jäger erlegt werden. 
ANMERKUNG, 

Naumann ist sehr geneigt, den rothbäuchigen Brachvogel 
und seinen braunen Sandläufer Tringa alpina für einerlei Art zu 
halten , was aber gegen unsere Beobachtung streitet. Bechstein 
stellt zwar in seiner gemeinnützigen Naturgeschichte Deutschl. 2te 
Aufl.B. 4: 8. 141. u: 522. beide Vögelalszwei verschiedene Arten 
auf, beschreibt aber doch ünter sernem Numenius variabilis ihn 
“nd zugleich auch den Linnéschen Alpen-Strandläufer; auch die 


Differentia specifica, welche er von seinem veränderlichen Brach- : 


vogel angibt, palst halb auf diesen, halb auf die Tringa alpina. 
Lin. So wenig als es einen rothbäuchigen Brachvogel 
mit schwarzer Brust gibt, eben so wenig gibt es einen Al- 
pen- Sirandläufer mit rother Brust. Durch folgende 
Kennzeichen sind beitle Vögel genau von einander unterschieden. 


Numenius ferrugineus. Tringa alpina. 
Schnabel ı2Zollläng, ziem- Schnabel 1. Zoll 1. Lin. lang, 
lich rund , am Grunde völlig auf beiden Seiten zusammenge- 
3. Lin. dik, von der Mitte an drükt, besonders an der Wurzel, 
unterwärts gebogen, nach der am Grunde nur eine Linie 
stumpfen Spitze zu sehr dün- dik, etwas unterwärts gebogen, 
ne und schmal; der Oberkie- (doch weniger als bei Numenius 
fer länger als der untere; die ferrugin.) dünne, an der Spitze 
Beine ı. Zoll 2. Linien lang; eiwas dicker; der Oberschnabel 
Schenkel neun Linien, nakt; kaum länger als der untere; die 
Schwanzfedern von gleicher ‚Beine 11. Lin, lang, die Schen- 
Länge. kel 4. Lin. nakt; die zwei mittel- 
sten Schwanzfedern zwei Li- 
nien länger. 


cher sur lui. -Quand on s’est éloigné de lui de quelques pas, il 
se releve aussitôt et court chercher sa pâture. En s’envolant il 
fait entendre une espèce de silllement-tres court et souvent in- 
terrompu et sa voix d'appel est un fin gazouillement. Dale vol 
très rapide. | de: 
NOURRITURE. 

Elle consiste’ en insectes aquatiques, en vers avec où sans 

coques, en brins d’herbe et en petites racines. 


PROPAGATION. 


H se reproduit dans les parties septentrionales de l Europe. 
La femelle pond quatre à cinq oeufs jaunâtres, marqués de ta- 
ches brunes foncées, les déposant sur l'herbe ou sur des buttes 
de taupes et elle les fait eclöre dans l’espace de 16 jours. Les 
jeunes , lorsque quelque danger les menace, savent très bien se 
cacher sous Yherbe, | ; 


UTILITÉ. 

La chair de cet oiseau se mange et elle a dans toutes les sai- 
sons de l’année un très bon gout. Quant au 

DOMMAGE 
qu’il pourroit causer, il nous est inconnu. Ses 
ENNEMIS 
sont différents oiseaux de proie. ‘La corneille noire est très 
friande de ses petits. 
MANIÈRE DE. LES CHASSER. 

On Valtrape dans des lacets, tendus dans les lieux, qu'il a 
accoulume de fréquenter. Il n’est pas très sauvage et le chas- 
seur peut aisément le ürer au vol quand il file, aussi bien que 
quand il séjourne dans le pays. 

REMARQUE. 

Naumann incline beaucoup à croire, que l'Aloüette de mer 
et sa Fringa älpina sont des oiseaux de la même espèce ; ce qui 
cependant ne s'accorde point avec nos observations. Bechstein à 
la vérité nous présente dans son histoire universelle des oiseaux 
2de edition T. 4. p. 141. et 522. ces deux volatiles, comme deux 
espéces différentes, cependant il le décrit sous le nom de sonN u- 
menius variabilis et en même temps sous celui de la T rin- 
ga alpina de Linnée etles différences speeifiques, qu'il indi- 
que dans son Numenius variabilis, conviennent en partie 
à celui-ci et en partie ala Tringa alpina, Ainsi qu'il wexiste 
pas d’Alouelte de mer à ventre rouge, qui ait une tête noire, de 
même n’existe-t-il pas de Fringa alpina qui ait la poi- 
trine rouge. Ces deux oiseaux diffèrent exactement entr’ eux par 
les marques distinctives suivantes. 

\ 


Numenius ferrugineus. Tringa alpina. 


Le bec 1. pouce $ de lon- Le bec a 1. pouce 1. ligne de 
long; les deux côtés applatis l’un 
contre l’autre surtout vers la 
naissance du bec; l'épaisseur n’est 
acte de 3. lignes, depuis son ‘que d’une ligne à sa naissan- 
milieu inférienrement courbé, ce, un peu courbé en bas, mais 
cependant moins qu'au Nu- 
menius ferrugineus, mince, 
| Bi ‚> mais plus épais de quelque chose 
qui est émoussée. La machoi- Ala pointe; la machoire superieu- 
re supérieure plus longue que rieure à peine plus longue que 
Vinférieure. Les jambes 11.lignes 
de longueur et les cuisses 4. lig- 
: nes, sans plumes; les deux plu- 
ses g. lignes, nues; les plu- mes du milieu de la queue 
mes de la queue d’une lon- plus longues de 2 lignes, 
que les autres. 


gueur; passablemend rond , à 
sanaissance del’Epaisseur ex- 


s’amincissant et se retrécis- 
sant beaucoup vers la pointe, 


Pinférieure; les jambes longues 
d’un pouce 2 lignes; les cuis- 


gueur égale. 


7 


DER ROTHBRAUNE STRANDLÄUFER. 


Grofse rothbrüftige Schnepfe. Grofser rothbäuchiger Strandktufer. 

Tringa ferruginea, Nobis. Meyers und Wolfs Tascheubuch der deut- 
schen Vôgelknnde, Th. II, S. 396, nr. 10. | 

Tringa islandica, Gmel, Linn. syft. I. 2. p. 682. n. 24. 

Red Sandpiper. Latham synops. ILE, 1. p. 186. 

Grofse rothbrüflige Schnepfe. Naumanns Naturgeschichte der Eand- 
und Wasservôgel etc, Nachtrag. Heft 2. 8, 64, fol, 19. Weihchen, 


KENNZEICHEN DER AR, 


Schnabel gerade, schwarz ; Füße kurz und schwarz; die Ze: 
hen zu beiden Seiten mit gezähneltem R ande; über den Augen, 
Wangen, Vorderhals und der ganze Unterleib rostroth; Schei- 
tel und Nacken schwarzbraun gestrichelt und geflekt; Rücken - 
und Schulterfedern schwarz, rostroth und grauweils geflekt; 
Schwanz aschgrau. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist etwas über 12 Zolllang, gerade, schwarz, 
stumpf zugespizt; die Spitze des Oberschnabels etwas unterwärts 
gebogen und ein wenig Hnger als die untere; die Nasenlöcher 
Känglich in tiefen Furchen stehend; der Augenstern dunkelbraun; 
Scheitel und Nacken rostroth, mit schwarzbraunen, feinen Strei- 
fen und Flecken; Rücken - und Schulterfedern schwarz, rostrolh 
geflekt und grauweifs gerandet; die vordern Flügeldekfedern 
schwarz mit grauweilsen Rändern; die vordern Schwungfedern 
schwarz, auf der schmalen Fahne mit rostrothen Flecken; Un- 
ferrücken und obere Schwanzdekfedern rostroth, mit schwarz- 
braunen mondförmigen Flecken und weißslichemSaume;Schwanz- 
federn aschgrau; der Unterhals,- Brust; Bauch und After rost- 
roth, an den Seiten mit dreieckigem, schwarzbraunen Flecken; 
untere Schwanzdekfedern blafs rostroth mit wenigen schwarz- 
braunen dreieckigen Flecken; Füfse kurz; Zehen kurz und et- 
was dik, die Fufssohlen eiwas breit, mit schmalen gezähnel- 
ten Rändern. 


Die Flügelspitzen ragen etwas über die Schwanzspitze hin- 
aus. 
Länge 91 bis 10. Zoll, Breite 224 Zoll. 


Das Weibchen weicht nicht merklich vom Männchen ab; 
desto mehr aber die Jurfgen, von welchen wir eins mit folgen- 
der Farbenzeichnung vor uns haben: ein Streifen über den Au- 
gen, Wangen, Kehle, Vorderhals und Brust rostrôthlich, lez- 
tere mit schwarzen, halbmondförmigen und dreieckigen Quer= 
flecken-und weifslichen und grauen Rändern; Bauch und die 
untern Dekfedern des Schwanzes weils, mit wenigen rostrothen 
und dreieckigen dunkelbraunen Flecken; Schwanz aschgrau; 
Scheitel und Nacken grau, schwärzlich geflekt und gestrichelt; 
Schläfe dunkelbraun; Oberrücken und Schuiterfedern schwarz , 
grauweils und einzeln rosiroth geflekt ; Schwungfedern bräun- 
lichschwarz, mit weifsen Schäften; die der zweiten und dritten 
Ordnung graubraun,, an den Kanten und an der Spitze und auf 
der breiten Fahne weils; Unterrücken und obere Schwanzdek- 
federn aschgrau mit schwärzlichen Querflecken. 


Zweiter Band. = Ë 3 


LA BECASSE FERRUGINEUSE. 


Der rothbraune Strandläufer. 


Grofse rothbrüftige, Schnepfe. Grofser 
rothbäncliiger ‚Strandläufer, 

Tringa ferruginea. INobis. Meyers und Wolfs Taschenbuch der dent: 
schen Vögelkunde. Th. II. S. 396. n. 10, 

Tringa islandica. Ginel, Livn. syft. I. 2. p. 682. n. 24, 

Red Sandpiper. Latham synops, III. 1, p. 186. 

Großs» rothbrüflige Schnepfe. Naumanns Naturgeschichte der Land- 


und Wasservögel. Nachtrag. Heft 2, 8. 64. fol, 19. Femelle, 


CARACTERES SPECIFIQUES: 


Le bec en lisne droite, noir; les pieds courts et noirs : les or- 
teils avec bordure denteléé des deux côtés; le dessus des yeux, 
les joues, l’avant-col et tout le bas ventre fouge de rouille, la 
tête et la nuque du co avec taches et rayes noir brun; les plu 
mes du manteau et des épaules noires tachetées de rouge de 


rouille et de gris blanc. La queue gris cendre. 


DESCRIPTION. 


Le bec a un peu plus d’un pouce 3 delong, en ligne droite; 
il est noir la pointearrondie; l'extrémité supérieure du bec un peu 
Les 


narines allongees dans des rainures profondes; l'iris brun foncé; 


courbée en dessous et un pet plus longue que l’inférieure, 


la tête et la nuque du col rouge de rouille, entremétlées de ta- 
ches et de fines rayes brun noir, Le manteau et les épaules noi- 
res, tachetés de rouge de rouille et bordures gris blanc. Les 
couvertures antérieures des ailes noires , bordées de gris blanc; 
les pennes antérieures de vol noires, avec fine bordure sur les 
barbes étroites; celles du milieu ont des taches rouges de rouille 
sur la barbe étroite. Le bas du dos et les couvertüres superieu- 
res de la queue rouge de rouille, avec des taches brun noir en 
forme de petites lunes et liséré blanchâtre; les plumes de la 
queue gris cendré. Le bas du col, la poitrine, le ventre et le 
sternum rougè de rouille, marqués sur les côtés de taches trian- 
gulaires brun noir. Les couvertures inférieures de la queue rou- 
ge de rouille pâle, avec quelques taches triangulaires brun noir, 
Les pieds courts, les orteils courts et un peu épäis, la plante des 
pieds passablement large, avec une étroite bordure, dentelée. 

Les pointes des ailes dépassent de quelque chose les extré- 
miles de la queue. 

Longueur 9. poucés + jusqu’ a 10, pouces. Envergure 22 
pouces 2. 

La femelle ne diffère pas beaucoup du mâle. Mais les jeu- 
nes différent d'autant plus des vieux. Nous en avons mainte- 
nant un sous les yeux, avec la livrée suivante. La raye par des- 
sus les yeux, les joues, la gorge, le bas du col et la poitrine 
rouge de rouille, celte dernière marquée de taches transversa- 
les noires, en forme de demi-lune ou triangulaire. Le ventre et 
les couvertures inférieures de la queue blancs, avec un petit 
nombre de taches rouge de rouille et d’autres taches triangulai- 
res brun noir. La queue gris de cendre. La tête et la nuque gri- 
ses, avec des taches et des rayes noirätres; les tempes brun foncé. 
Le haut du manteau et les plumes des épaules noires, tirant sur 
le gris blanc, quelques unes isolées tachetées de rouge de rouille 
Les plumes de la queue noir brunätre, avec des tiges blanches; 
celles du second et du troisième rang gris brun; les bordures, la 
pointe et la barbe larges sont blanches. Le bas du manteau et 
les couvertures supérieures de la queue gris cendré, ayec des ta- 
ches transversales noirätres. 

2 


AUFENTHALT. 


Dieser Vogel gehört zu den äufserst seltenen in Deutsch- 
land. Naumann traf eine Gesellschaft von drei Stücken auf dem 
Eisleber See an und zwei Exemplare wurden 1807. den 18 April 
an einem kleinen Bache in der Gegend von Offenbach galest 
Er ist ein deutscher Zugvogel. 


EIGENSCHAFTEN. 


Nach Naumann ist dieser Vogel sehr scheu und läfst sich 
nicht leicht mit der Flinte nahe kommen. Die oben genannten 
drei Exemplare liefsen sich auf die schwimmende Blasenconferve 
Conferva bullosa. Lin. mitten im Teiche nieder, auf welchen sie 
sehr geschikt herum liefen, und sich mit senkrecht in die Höhe 
gestrekten Flügeln im Gleichgewicht zu erhalten suchten. Ihre 


NAHRUNG 
besteht aus Insekten und Würmern. Von ihrer 
FORTPFLANZUNG, 


so wie von ihrem 


NUTZEN, SCHADEN UND IHREN FEINDEN 
ist uns nichts bekannt. 


JAGD UND FANG 
Sie werden mit der Flinte erlegt. 
ANMERKUNG. 


Fast alle Ornithologen haben diesen Strandläufer mit Nu- 
menius ferrugineus Meyeri (Scolopax subarquata Linn.) ver- 
wechselt, selbst Bechstein in seiner Naturgesch. Deutschlands 2te 
Aufl. B. 4. Abth. ı. S. 135, n. 5. hat diefs gethan, was aus seiner 
eigenen Beschreibung und aus der t. 6. gelieferten Abbildung er- 
helle. Naumann ist eigentlich der erste deutsche Ornitholog, 
welcher diesen Vogel genau beschrieben und abgebildet hat. Er 
sowohl als Laiham sagen, der Schnabel sei ein wenig unter- 
wärts gebogen, wobei aber der erstere bemerkt, „dafs es kaum 


merklich ist.” 


Dieser Vogel gleicht vielin seiner Gestalt dem aschgrauen 
Strandläufer, Tringa cinerea. Linn. , doch ist der Schnabel bei 
diesem an der Wurzel viel dicker und scheint daher kürzer zu 
sein, die Fersen sind viel tiefer herunter befiedert; die Flügel 
haben mit dem Schwanze gleiche Länge und von Leibe ist er 
schmächtiger als der roihbraune Strandläufer. 


46 


PATRIE. 


Cet oiseau est du nombre de ceux, qu’on rencontre très ra- 


rement en Allemagne. Naumann en a trouvé trois sur le lac d'Eis- 


leben et deux individus furent tués le 18 Avril 1807. sur une pe- 
tite rivière aux environs d'Offenbach, Il appartient aux oiseaux 
de passage en Allemagne. 


QUALITES, 


Suivant Naumann cet oiseau est très peureux et il est difi- 
cile de l’approcher à la portée du fusil. Les 5. individus ci-des- 
sus vinrent descendre sur la conferve bulleuse, Conferva bul- 
losa Linn. au milieu de létang et ils couroient çà et là, avec 
beaucoup d'adresse sur cette plante, tächant de conserver léqui- 
libre en élevant leurs ailes dans une direction perpendiculaire. 


Leur NOURRITURE 
consiste en insectes et en vers. Quant à leur 


PROPAGATION, 


ainsi qu’ à leur 


UTILITÉ ET AU DOMMAGE, 
qu'ils peuvent causer, il nous estimpossible d’en dire quel- 
que chose. La 


MANIERE DE LES CHASSER. 


est de les tirer au fusil. 


REMARQUES. 

Presque tous les Ornithologistes confondent cet oiseau, avec 
le Numenius ferrugineus Meyeri (Scolopax subarquata 
Linn.) Bechstein même dans son histoire Arjprelle de l’Alle- 
magne 2de édition T, 4. ıre division p. 155. n. 3. en a fait au- 
tant, suivant qu’il résulte de la figure insérée au tome 5. de son 
ouvrage. Naumann est proprement le premier des Ornitholo- 
gistes de l'Allemagne, qui ait exactement décrit et représenté 
cet oiseau Ainsi que Latham, il dit, que le bec est un peu 
courbé en dessous, en observant toutefois, ce que Latham a 
omis , que cette courbure est à peine sensible, 

Cet oiseau ressemble beaucoup, pour la forme à la Trin- 
ga cinerea de Linnée, cependantil n’a pas le bec à sa nais- 
ce plus épais, que dans le reste de sa longueur et en conséquence 
il paroit Ctre plus court. Les talons ont des plumes, qui des- 
cendent beaucoup plus bas. Les ailes sont de la même“lon- 
gueur que la queue et son corps est plus grèle que celui de la 


l'ringa ferruginea. 


DER VERÄNDERLICHE STRAND- 
LAUFER. 
Alpen-Strandläufer. Alpen -Strandvogel. Lappländischer Strandläufer. 


Duanlin. 
Mrinsa variabilis. Nobis. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deulschen 


Vögelkunde. S. 397. 
— alpina. Gıinel. Linn, syft. nat. I. 2. p. 676. n. 11. 


— — Bechfleins Naturgesch. Deutschl. 2te Aufl, B. 4. Abth, 1.S. 322.n.ı2, - 


Numenius variabilis. Bechft. Naturgesch. Deutschl. 2te Aufl. B.4. Abıh. 
7. S. ı4ı. ein Theil der Beschreibung und die angegebenen Farben- 
verschiedenheilen, n.2. 3 u. 4. samnıt der Abbild. anf tt. 28. fig. 1. 


La Brunetle. Buflon des ois. VII. p. 493. 
‘Le Cincle. Buffon des ois. VII. p. 353. pl. enl. n. 852. 
Dunlin, Latham synops. IM. 1. p. 185. n. 33. Uebersez, V.S. 156. n. 33. 
Naumanns Nalurgesch. der Vögel B. 3,8. gı. t. 21. fig. 29. Junges 
Männchen. Nachtrag Heft 2.8. 72. t. 10. f, 21. altes Männchen. 
Frisch Vögel t. 241. Junger Vogel. 
——ermn 


LA BRUNETIE. 


Der veränderliche Strandläufer. Alpen Sirandläufer, Alpenftrandvogel, 
Lappläudischer Strandliufer. Dunlin, . 

Tringa variabilis, Nobis, Meyers und Wolfs Taschenbuch jder deutschen 
Vögelkunde, 5. 397. 

— — alpina. Gmel. Linn. syft. nat. I. 2, p. 676. n. 11. 

— — Bechsteins Naturgesch. Deutschl. 2te Aufl. B.4, Abth, 1,8. San n.12. 

Numenius variabilis. Bechft. Naturgesch. Deutschl. 2te Aufl. T, 4, Abth. 
1. S. 141. Une partie de la description et les variétés de couleurs 
qu’il indique n. 2. 3. et 4, conjointement avec la fig. sur la planche 
28. fig, 1. 

La Brunette, BuHon des ois. VII. p. 493. 

Le Cincle, Buffon des ois. VII. p. 353. pl. enl. n. 852. 

Dunlin. Latham synops. III. ı. p. 185. n. 83, Uebersetz. V. T. 156. n. 33. 
Naumanns Naturgesch. der Vögel. B. 3. S, gı. 1 21. fig. 29. Jeune 
mäle. Nachtrag Heft 2. S. 72. T. 10. fig. 21. Vieux mäle. 

Frisch Vögel, T. 241. Jeune âge, 

—————— 


KENNZEICHEN DER ART, 


Der Schnabel schwarz, fast unmerklich unterwärts gebogen, an 
der Spitze etwas dicker; Augenstern und Füfse dunkelbraun; 
Oberleib schwärzlich, rostfarbig und weifs geflekt; die Brust im 
Frühjahr bei Alten kohlschwarz, im Herbst (bei Jungen und Al- 
ten) weils, entweder mit einem halbmondförmigen schwarzen Flek; 
oder nur schwärzlich geflekt; die zwei mittelsten T'edern des 
aschgrauen Schwanzes schwarzbraun und länger als die übrigen, 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel 14. paris. Lin. lang; fast ünmerklich unter- 
wärts gebogen; ari der Wurzel stark, etwas züsammengedrükt , 
dann dünn und-an der Spitze wieder etwas dicker, schwarz, der 
Oberschnabel an der Spitze ein wenig länger ; die Nasenlöcher 
länglicht, eine Linie vom Kopfe entfernt; der Augenstern <unkel- 
braun; Scheitel dunkelbraun mit rostrothen Räudern; vom 
Schnabel über die Augen ein roströthlich weifser Sireifen, unter 
diesem ein etwas verloschener dunkelbräunlicher; Kinn weils mit 
wenigen feinen bräunlichen Punkten; Unterhals, und die Seiten 
desselben roströthlichweifs mit dunkelbraunen Schaftstrichen; 
Oberbrust dunkelbraun mit am Rande breiten, an der Spitze 
schmälern weilsen Rändern, die ganze übrige Brust und Seiten 
schwarz oder braunschwarz; After- und untere Schwanz-Dek- 
federn weils, mit einigen schwarzbraunen Strichen; Oberhals 
mit dunkelbräunlichen Schafistrichen und breiten roströthlich- 
weifsen Rändern; Rücken schwarzbraun mit breiten rostrothen 
Rändern; die oberü Flügeldekfedern schwärzlich am Rande hel- 
ler, die längern schwarzbraun mit weifsen Spitzen ; die ersten 
Schwungfedern schwarzbraun, auf der breiten Fahne heller, die 
vier ersten mit einem weifsen Schaft, die übrigen mit einem brau- 
nen, nur gegen das Ende weïfsen Schaft; die der zweiten Ord- 
nung am Grunde weilt, am Ende schwärzlich ; die leztern haben 
nur einen schwärzlichen Längsflek; die Schwungfedern der drit- 
ten Ordnung sehr. lang, schwarzbraun mit feinen rostfarbigen 
Rändern; die obern Dekfedern des Schwanzes schwarzbraun, 
die kürzern mit feinen rostfarbigen Rändern ; die Schwanzfedern 
aschgrau oder bräunlichweils, die zwei mittlern schwarzbraun, 
eiwas länger als die übrigen; (bei alten Exemplaren sind beson- 
ders die äufsern Federn fast ganz weils und nur bräunlich an- 
gelaufen ;) die Schäfte gegen die Spitze weils; die Fülse dunkel- 
braun. 

Die Flugelspitzen erreichen die Schwanzspitze, 

Länge 7 Zoll, Breite 15% Zoll. 

Dieser Vogel zeigt in seinen Farben, weniger nach dem Ge- 
schlecht als nach der Jahrszeit, eine so aufserordentlich grofse 
Verschiedenheit, dafs man kaum zwei Vögel sieht, welche ein- 
ander vollkommien ähnlich sind. - 


Die alten Vögel haben im Frühjahr folgende Zeichnung: 
Kopf und Hals weilsgrau; mit schwärzlichen Längsflecken ; die 
ganze Brust kohlschwarz , mit kaum merklich weilslichen Rän- 
dern; Bauch und After weils, einzeln schwärzlich geflekt; die 
“ Rücken- und Flügeldekfedern hell kastanienbraun, schwärzlich 
und weilslieh gewölkt. 

Die Jun gen und Herbstvôgel haben mehr oder weni- 
ger folgende Zeichnung: Kopfund Hals hellbraun, mit dunkleren 
Fleckchen; die Kehle schmutzigweifs; die Brust weifs, mit 
schwärzlichen oder schwarzen Flecken, die an den Seiten am 
dichtesten stehen, oder wohl auch bei einigen einen grofsen halb- 
mondförmigen schwarzen Flecken bilden; auf dem braunen Rü- 

Zweiter Band. : 


47 = 


CARACTERES  SPÉCIFIQUES. 


Le bec noir, presqu’ imperceptiblement courbé en dessous, un 
peu plus épais à la pointe. L/iris et les pieds brüñ foncé. Le 
haut du corps noirätre, ‘tacheté de rouge de rouille et blanc. La 
poitrine au printemps noir de charbon dans les vieux individus; 
en automne blanche (dans les jeunes comme danis les vieux,) tan- 
tôt avec une tache noire en forme de demi-lune, tantôt avec une 
tache noirâtre. 
lument du milieu brun noir et plus longues que les autres. 


DESCRIPTION. 


La queue gris cendré et les deux plumes absoi 


Le bec long de 14 lignes mesure de Paris ; Presqu’ imper- 
cepliblement courbé en dessous; fort (épais) à sa base, un peu 
applali, puis s’amineissant et redevenant enfiü un peu plus epais 
La machoire supérieure a la 
Les narines en longueur, à la dis- 


à son extrémité, du reste noir. 
pointe un peu plus longue. 
tance d'une ligtie de la töte. Liris bruni foncé. La tete aussi 
brun foncé avec bordures rouge de rouille. Depitis le bec pär- 
dessus les yeux une raye rouge de rouille blanchissant, et au 
dessous de celle-ci, une autre raye d’un brun un peu plus foncé 
quelque peu effacée. Le front blanc, avec quelques points bru- 
nätres. Lie bas du col et ses côtés, rouge de fouillé blañthôtre, 
avec les brins de la barbe bruni foncé à la tige. Le haüt de la 
poitrine brun foncé avec bordure blanche, large à l'extrémité des 
plumes , étroite à la pointe; le reste de la poitrine avec ses côtés 


noirs ou noir brun, Le sternum et les couvertures inférieures de 


la queue blanches ; avec quelques fines barbes brun noir. Le- 
haut du col avec brins de la tige brun foncé et de larges bordu- 
fes rouges de rouille. Les couvertures süpérieüres des ailes noi- 
rätres, s’éclaircissant sur les bords; les plus lorigues noir brun 
à pointes blanches. Les premières pennes de vol noir brun, plus 
clair sur la barbe large, les quatre premières ayant la tige blan- 
che, les autres à tige brune qui blatichit vers son extrémi te; les 
peñnes du second ordre ont lé fond blanc, noirätre à la fin et 
les dernières n’ont qu’une tache longitudinale noirätre. Les pen- 
nes de vol du troisieme rang sont tres longues, noir brun, avec 
fine bordure rouge de rouille, Les couvertures supérieures de 
la queue brun noir les plus courtes ornées d’un in lizéré rouge 
de rouille, Les plumes de la queue gris cendré ou blanc bru- 
nätre; les deux du milieu noir brun, un peu plus longues que les 
autres. (Les vieux oiseaux ont surtout les plumes extérieures 
presque tout à fait blanches, avec un léger chatoïiement brunä- 
tre). Les tiges blanches vers la pointe, les pieds brun foncé, 
Les pointes des ailes atteignent l'extrémité de la queue. 


} 
Longueur 7 pouces. Envergure 13 pouces : 


2: 

Cet oiseau offre des variétés si extraordinaires, non pas-tant 
d'aprés la différence du sexe que suivant celle des saisons, qu’on 
rencontre à peine deux individus, qui soient parfaitement sem- 
blables. 

Bes vieux oiseaux portent au printemps la livrée suivante. La 
tête et le col gris blanc, avec des taches longitudinales noirätres, 
Toute la poitrine est noire comme du charbon avec bordures 
blanchätres à peme sensibles. Le ventre et le sternum blancs 
meles de quelques taches nojrätres isolées. Les plumes du man- 
teau et les couvertures des aïles chatain clair ayec nuances noi- 
râlres et blanchätres. 

Les jeunes et les oiseaux d'automne ont plus ou 
moins les couleurs suivantes: la tête et le col brun clair, avec de 
petites taches plus foncées;, la gorge d’un blanc sale. La poitri- 
ne blanche parsemée de tachesnoires ou noirätres, qui se trouvent 
en plus grande quantité sur les côtés ou qui, dans quelques indi- 


vidus forment une tache noire demi-circulaire, Le manteau qui 
Aa 


_— ‘Ag 


cken befinden sich schwarze Federn mit weilsen Rändern, und 
dunkelbraune mit hellbraunen und weifsen Rändern untermischt. 
Der stets sanft gekrümmte Schnabel — der also weniger ge- 
krümmt ist als bei Numenius ferrugineus, — die mehr oder 
weniger stark geflekte, bei Alten ganz schwarze 
Brüst, und die zwei mittelsten längern Schwanzfe- 
dern sind diejenigen Kennzeichen, wodurch die- 
ser Strandvogel sich leicht von andern uuter- 
scheiden läfst. | 

Hieher gehört auch noch eine andere Verschiedenheit mit 
folgender Farbenzeichnung‘ Schnabel gerade; Scheitel und 
‘ Hinterkopf rostroth mit schwarzbraunen Schafiflecken; eben so 
der Oberhals und die Halsseiten, nur dafs hier die Farben schwä- 
cher sind; Rücken und obere Flügeldekfedern braunschwarz , 
mit breiten rostrothen hie und da weifsen Rändern; Kim und 
Kehle roströthlichweifs, mit rostbräunlichen fast verloschenen 
Flekchen; Unterhalsroströthlich mit schwarzbraunen Schafistri- 
chen; der ganze Unterleib weils, auf der Vorderbrust mit läng- 
lichtrunden, auf der Hinterbrust mit gröfsern in die Quere lau- 
fenden , schwarzbraunen Flecken, die längern obern Flügeldek- 
federn und die hintern Afterflügelfedern sind an der Spitze weils; 
die Schwungfedern mit weifsen Schälten; alles übrige wie ge- 
wöhnlich, nur dafs auf dem Rücken einige graue Federn sich be- 
finden, die aber nichts anders als Üeberbleibsel vom vorigen 
Warbenkleide und das Merkmal sind, dafs dieser Vogel noch 
nicht ganz vermausert hat. Bechstein gedenkt dieser ganz asch- 
grauen Federn auf dem Rücken ebenfalls a, a. ©. $. 324, sein 
Uxemplar war also ein ähnliches. 


AUFENTHALT. 


‚Dieser Vogel bewohnt eigentlich die Alpen Lapplands und 
andere nürdliche Länder, daher er auch Lappländischer Sirand- 
läufer genannt wird, man trift ihn aber auch in Deutschland an 
Flüssen, Scen und Teichen, im Frühling selten, im August und 
September und manchmal auch im October, wenigstens am 
Rhein und Main sehr häufig an. 

EIGENSCHAFTEN. 


Er hat einen schnellen Flug und läfst dabei seine Stimme, 
die wie stark tönendes drüi lautet, hören. Er läfst sich leicht 
zähmen und an ein Universalfulter gewöhnen. Dieses ihun alle 


Strandläuferarten. 
NAHRUNG. 


Diese besteht aus Insekten und Würmerr. 


FORTPFLANZUNG. 


Das Weibchen legt vier bis fünf schmutzigweilse , einzeln . 


braun geflekte Eier. 
„NUTZEN. 
Sein Fleisch ist ein wohlschmeckendes Wildpret. 
SCHADEN 
ist uns 'keiner. bekannt. 
FEINDE. 
Auf ihn findet man eine Art grauer Läuse, 
JAGD UND FANG. 
Er ist gar nicht scheu, läfst ganz nahe an sich kommen und 


wird daher leicht mit der Flinte geschossen. Auf dem: NV asser- 


schnepfenherd und mit Laufdolinen wird er häufig gefangen. 
gt . De 


= 


est noir, offre des plumes noires à bordures blanches et d’autres 


brun foncé, avec bordures entremêlées de blanc et de brun clair. 


Le bectoüjours un peu courbé, — ainsi moins que celui du 


Numenius ferrugineus;—la poitrine plus ou moins 


marquée de taches et absolument noire, dans les 
vieux individus, et les deux plumes du milieu de 
la queue plus longues que les autres, telles sont 
les marques distinclives, par les quelles la Bru- 


nette se distingue facilement des autres oiseaux. 


de mer. 
On peüt rapporter ici encore une aütre variété, avec les 
couleurs, qui suivent: Le bec en droite ligne. Le dessus de 


la tête et l’occiput rouge de rouille avec des taches noir brun aux 


tiges ; le haut du col et ses deux côiés semblables, excepté que 
les couleurs sont ici plus foibles; le manteau et les couvertures 
supérieures des ailes brun noir, avec de larges bordures rouges 
de rouille entreintlées ca et là de bianches, Le menton et la 
gorge blancs chatoiës de rouge de rouille, avec des taches de 
rouille brunätres très lavees. Le bas du col rouge de rouille 
avec lesbrins de la tige brun noir. Tout le bas du corps blanc 
le devatit de la poitriie marqué de taches ovales brun noir et 
sur le bas de la poitrine les mêmes taches plus grandes et trans 
versales. Les plus grandes pennes des couvertures supérieures 
des ailes et les fausses ailes postérieures blanches à leurs exire- 
mités; les penñes de vol à tiges blanches: Tout le reste comme 
à l'ordinaire, excepté que le manteau offre quelques plumes gris 
ses, mais qui ne sont que les restes de la livrée précédente et 
une preuve que cet oiseau na pas encore subi toute sa mue. 
Bechstein parle ausi de ces plumes, absolument gris cendré, sur 
le manteau a. L. c. Page 524. Ainsi son exemplaire devoit res- 
sembler à celui-ci : 


PATRIE. 


Cet oiseau habite proprement les Alpes ; la Laponie et d’au- 


tres contrées septentrionales, de là vient aussi qu’on lui a donné 
le nom de lappländischer Strandläufer, coureur de rivage de la 
Laponie, Cependant on le rencontre aussi en Allemagne, au 
bord des rivières, des lacs et des étangs, au printemps rarement, 
dans les mois d’Aôut, de Septembre et quelque fois d'Octobre, 
du moins sur le Rhin et le Mein en quantité, 


QUALITES. 


Son vol est rapide et en volantil fait entendre un cri assez 
fort, ressemblant à drui. Il se laisse facilement apprivoiser 
ét saccoutume aussi volontiers à manger toute sorte de nourri= 
ture. C’est ce que font toutes les espèces de Coureurs de riva- 


ges. Sa 
NOURRITURE 
consiste principalement en vers et en insectes. 
PROPAGATION. 


La femelle pond quatre jusqu’ &cing oeufs blancs marqués 
de taches brunes, isolées. 


38 7 
UTILITE. 
Sa chair est un gibier de très bon göut, Nous ignorons, 
qu'il cause aucun 


DOMMAGE. 


Quant à ses 
ENNEMIS, 


Où trouve sur lui une espèce de pous gris. 


MANIÈRE DE LE CHASSER. 
Il n’est point du tout sauvage, il se laisse facilement approcher 
en sorte qu'on peut aisément le tuer au fusil. On Pattrappe aussi 
en quantité sur les aires de bécasses et au lacet. 


oo ER en ran anannnneneenenee 


DER WEISSKÖPFIGE GEIER. 


Weifser Geier. Aschgrauer Aasgeier. Dunggeier. Egyptischer Geier. 

Vultur leucocephalüs. Gmel. Linn. syst. TI: p.248. n. 10. 

Vultur fulvus. Gmel. Linn. syst. T.I. P. I. p. 249. n. 11. 

Vultur percnopterus. Gmel: Linn. TI. P. II. p. 249. n. 7. 

Vultur albicans. Kleins Hift. der Vög. 7. S.44.n. 3. 

2 La Peirouse. Neue Schwedische Abhandlung. IIL 99. | 

Der Alpengeier. Vultür Trencalos. Bechst. gem. Naturg! ate Aufl. B. il. 
S. 479. n. 2. 

Le Percnoptère. 

Percnopterusgeier. 


Buffon des ois. I. p. 149. surtout pl. enl. 426. 
Beckkers teutsche Ornithologie Heft X. t,1. *} 


à KENNZEICHEN DER ART. 


Kopr und Hals mit weifsen Flaumfedern, die Haïlskrause weiis;' 
Schwung- und Schwanzfedern schwarz; die Füfse bleigraw ; 
über der Ferse blofs mit einem weilsen Flaum bedekt; 


BESCHREIBUN:G.. 


Der Schnabel von der Stirn an 52 Zoll, vom Mundwinkel 
an nur 53 Zoll lang, gerade, vorn stark.und fast senkrecht her- 
abgebogen unddie Ränder des Unterschnabels überschlagend ; 
die Spitze des Oberschnabels schwarz; die Nasenlôcher senk- 
recht frei und weit geöffnet; der Rachen bleifarbig ; am Gau= 
men hängt ein kegellörmiges muskulöses Zäpfchen, welches ge 
mau in die Hölung.der Zunge palst, die Zunge ist bleifarbig, sehr 
sinnenförmig, hornartig scharf an der Spitze und zu beiden Sei- 
ten sägeförmig gefranzi; der Augenstern gelbbraun; die obern 
und untern Augenlieder mit schwarzen Augenwimpern ; die Au- 
gengegend kahl und bleigrau; die W angen, bleigrau, mit ein- 

zelnen schwarzen Borste‘ versehen; das Ghr klein und kaun? 

sichtbar; Kopf und Hals mit einer weilsen: Wolle besezt; did 

Wolle am Hinterkopfe etwas länger und so’ wie die des Schei- 

“els, gelblicher als an den übrigen T'heilen; der Hals hat im ru- 

higen Zustande die Form eines lateinischen S und ist am Grun- 

de, auf der obern Seite, also” da, wo'er sich an den Rücken an- 
schliefst, mit einem weifsen Kragen versehen, der aus schma- 
en, langen, stark geschlissenen, an den Spitzen grau brauri- 
rôthlichen Federn besteht; sein sakförmiger Kropf hängt am 

Grunde des Vorderhalses und hat auf der Oberlläche kurze, 

feine, haarähnliche braune Federchen, deren Spitzen in der 

Mitte des Kropfes zusammen laufen und der Länge nach eins 

ordentliche Haarnaht bilden; der Ober - und Unterleib schön 

grau braunroth; die Schäfte der Bauchfedern rôthlichweifs, auf 
dem Rücken weniger; die Schwungfedern schwarz, grau über- 
laufen, die der zweiten Ordnung im ruhigen Zustande des Vo- 
gels über die erste Ordnung herab hängend; die obern Flügel- 
dekfedern von Farbe wie der Rücken, die längsten derselben 
am hellsten; der Schwanz schwarz, die Federn desselben spit- 
zig auslaufend ; die Füfse bleigrau; über der Ferse mit einem 
*) Anmerkung. 

Obgleich die Herren Verfasser und Verleger der deutschen: Ornithologie 
zu Darmftadt uns bisher niemals die Ehre erwiesen, unsere Naturge- 
schichte der Vögel Deutschlands, über deren Werth doch auch bereits 
die besten Ofnithologeñ und Kunstkenner entschieden haben, in ihrer 
Otnithologie zu Gunsten der Wissenschaft unter der Synonymie anzu= 
führen: so wollen wir uns doch nicht einer ähnlichen Sünde schuldig 
machen, und das eben genannte Werk, so wie es schon bisher gesche- 


hen ist, so oft anführen, als wir es zum Besten der Wissenschaft für 


nöthig halten. i 
Die Verfasser. 
Zweiter Band. 


. Weifsköpfiger Geier. 


4 s / IS ES 27 z hl: 

LE VAUTOUR À TETE BLANCHE, 

Weifser Geier. Aschgrauer Aasgeier. Dunggeier, 
Egyptischer Geier. 

Vultur leucocephalus. Gmel. Linn,'syft.: T. I. P. I, p. 248. nro, 10.: 

Vultar fulvus. Gmel. Linn. syst. T-1.:P. L p. 249,:n. ır. 

Vultur perenopterus. Gmel. Linn. T. I. P. II. r*249.n. Ze 

Vultur albicans. Kleins hist. du Vög. 7. S. 44. n. 5. 

? La Peirouse, neue Schwedische Abhandlung. III. ‚99: 

Der Alpengeyer. Vultur Trencalos. Bechst.' gem. Nätürg. ote Auflage. B: 
II. S. 479. n 

Le‘Perenopzere.‘ Buffon des ois. T. p. 149. surtout pl. enl. 426. 


Percnopterusgeyer. Beckkers teitsche Ornitho! ogie. Heft. X. T. L *) 


CARACTERES SPÉCIFIQUES: 


La tête etle co! couverts’ d’un duvet , la’ cravate blanche ; les 
pennes de vol et celles de la queue noires; les pieds gris de 
plomb, couverts seulement au dessus du talon d’un duvet blanc, 


DESCRIPTION. 


Le Er long. de 3 pouces 3 depuis le front et seulement de 
3 pouces ; depuis le coin de la bouche; droit, excey té la’ par- 
tie antérieure qui est presque perpendiculairement inclinée et la 
marge supérieure du bec débordant l’inférieure ; la pointe dır 
bec supérieur noire; les narines perpendiculaires, détachées et 
fort ouvertes; le gosier couleur de plomb; au palais une espèce 
de luette, cylindrique musctileuse, qui s’emboite exactement 


‘ dans le ereu de la‘ langue. La latigue couleur de plomb, ayant 


une rainure très marquée, cartilagineuse, aigue à la pointe et 
déchiquetée en: forme dé scie des deux côtés, L'iris brun jau- 
les’ paupièrés inférieures et.superieures garnies de cils 


noirs ; les environs des yeux nuds et gris de plomb, 


nâlre 3: 
couverts 
Loreille petite et à peine visi- 
ble; la tete et le col garnis d’un duvet blanc, le duvet de l’occi- 
put un peu plus long et comme celui du sommet de la tête plus 
jaunätre que celui des autres parties: 


de quelques poils noirs isolés. 


Le col, quand l'oiseau 
est tranquille, a la forme d’ une S et le fond de la partie supé- 
rieure, contigue à la naissance du dos est orné d’un collier blanc, 
qui est composé de plumes grisbrun, rougeätre à la pointe et a 
ailleurs longues, étroites et très polies. Son jabot en forme de 
à sa surface de pelites 
plumes, courtes, brunes, fines et presque semblables à des poils; 
dont les pointes se réunissent sur le sommet de la tête et for- 
ment dans sa longueur une suture ou: un ourlet régulier, Le 
bas et le haut du ventre d’un beau gris brun rougeätre. Les 
tiges des plumes du ventre blanc rougeätre et plus lavées. sur le 
dos. Les pennes de vol noires, chatoiées de gris; celles du se- 
cond rang dépassent en longueur celles du premier, quand Poi- 
seau est tranquille. 


sac pend-au bas de Pavant- col et offre 


Les couvertures supérieures des ailes de 
è 
la même couleur que le manteau, les plus longues sont les plus 


*) Remarque. 


Messieurs les Rédacteurs et éditeurs de l’Ornithologie Allemande, qui pa- 
roit à Darmstadt ne nous ayant pas fait l'honneur de citer dans leur 
ouvrage, à l’article Synonymie , notre histoire des oiseaux de l’AI- 
lemagne, quoiqu’ils l’eussent pu faire, pour l’avancement de la scien- 
ce, cependant nous ne voulons pas nous reñdre coupables d’une pa- 
reille omission et nous citerons leur ouvrage énoncé ci - dessus, comme 
il a éte fait jusqu’ à présent, toutes les fois que nous le croirons utile 
à cette science, 

Les Rédacteurs, 
Bb 


= 50 


dichten weifsen Flaum ringsum besezt ; die höher oben stehen- 


den Hosen grau braunroth; die äufsere Zehe mit der mittlern 


durch eine halbmondförmige, die innere Zehe mit der mittlern 
durch eine kleinere Haut verbunden; die Nägel schwarz, ziem- 
lich gekrümmt. 

Die Flügelspitzen erreichen das Ende des Schwanzes. 

Länge. von der Schnabel- bis zur Schwanzspitze 4 Fußs; 
Breite7 Fufs 10 Zoll ; der Schwanz 14 Zoll; die längste Schwung- 
feder 21 Zoll lang Paris. Maß. 

Ob das Weibchen von dem Männchen verschieden sei, ist 
uns nicht bekannt, 

AUFENTHALT. 


Dieser Geier bewohnt Egypten, die Schweiz und die Fy- 
roler Alpen. "Er kommt auch zuweilen nach Schlesien und so- 
garin Heereszügen voit 200, Stücken. Im Jahr 1805. den 12. 
Jun. wurde ein solcher auf dem sogenannten Stoppelberge nächst 
Dornhausen, einem zwischen Giesen und Wezlar gelegenen; 
Fürstl. Nassau - Weilburgischen Dorfe von dem Kühhirten und 
zwei erwachsenen Buben auf einem toden Schafe sitzend gese- 
hen, und sogleich Jagd auf ihn gemacht. Er versuchte sich 
in die Höhe zu schwingen; allein da sein Kropf allzusehr mit 
Fleisch angefüllt war: so konnte er wegen der Schwere seines 
Körpers nur 15 bis 16 Fufs hoch sich erheben, und senkte sich, 
nachdem er eine Strecke fort geflogen war, wieder nieder, und 
wurde nach einem lebhaften Gefechte gefangen genommen, und 
Sr. Hohheit dem Grofsherzog von Hessen gebracht, bis zum 24, 
Okt. 1804. lebendig in Darmstadt erhalten und nach seinen 
durch eine Krankheit erfolgten Tode ausgestopft in das dortige 
Museum aufgestellt, 


EIGENSCHAFTEN. 


Vor mehrern Jahren brachte ein Thierhändler Namens Alpi 
diesen Geier nebst andern Thieren lebendig nach Nürnberg zur 
Schau, nach welchen wir unsere Abbildung verfertigen liefsen. 
Da einer der Verfasser ihn öfters beobachten konnte , so sind 
wir im Stande, vereinigt mit den Beobachtungen, welche man 
in Darmstadt an dem auf dem oben genannten Stoppelberge ge= 
fangenen Exemplar machte, von seinen Eigenschaften etwas 
mehr zu sagen, als unsere Vorgänger. Im Allgemeinen bemer= 

ken wir, dafs der zu Nürnberg befindlich gewesene Geier in sei« 
nem Betragen, — in soferne man nämlich ähnliche Beobach- 
‚tungen machen konnte, — ganz mit dem in Darmstadt lebenden 
übereinstimmte. Es ist ein träger Vogel, der, sobald er des Mor- 
gens seine Mahlzeit eingenommen hat, sich aufseinen Siz begibt, 
den Hals einzieht und ihn wie ein lateinisches S Krümmt, Flü- 
gel und Schwanz frei herunter hängen läfst und mit unverwand- 
tem Blicke, wenn nicht eine Zangenlaus , oder irgend ein Ge- 
räusch ihn stört, auf eine Stelle hinsieht und so den Tag über 
sitzen bleibt. Wenn er angegriffen wird, so vertheidigt er sich 
mit seinem Schnabel, den er mit grofser Schnelligkeit wie einen 
Pfeil hervor schnellt und seinen Gegner, wenn er einen verlezli- 
chen Theil trift, damit stark verwundet, Scheuheit, besonders 
aber Furchtsamkeit, zeigte er im Vergleich mit seiner Größeund 
Stärkein einem hohen Grade. Eine zahme Katze, ein wäldes 
Kaninchen, ein lebendiger Bussard, oder eine Eule, welcheman 
zu verschiedenen Zeiten in sein Gefängnifs brachte, jagten ihm 
eine solche Furcht ein, dafs er, ob er gleich vorher drei Tage 
Hunger gelitten hatte, seine dicke Hals- und Kopfhaut runzelte, 
seine Federn sträubte, die Flügel halb öffnete, und seinen Hals 
in einer krummen Lage vorwärts bog, ohne aufeins dieser Thie- 
re los zu gehen. Ein Sperber Falco Nisus, scheuchte ihn sogar 
einst yon seinem Sitze, und eineSumpfeule Strix brachyotos und 


2 


élüires. La queue noire et ses plumes, terminées en pointes. 
Les piedsgris de plomb et tout autour du talon couverts d’un du 
vet blanc épais; les culottes supérieures ou tarses d’un gris brun 
rouge; Vorteil extérieur tient à celui du milieu par une mem- 
brane de forme demi - circulaire et cedernier réuni à l’intérieur 
par une membrane plus petite ; les ongles noirs, passablement 


. courbcs. 


Les pointes des ailes atteignent l'extrémité de la queue. 

Euvergure 7 pieds 10 pouces, longueur depuis la pointe du 
bec jusqu’ à celle de la queue quatre pieds; la queue 14 pou- 
ces; la plus longue des pennes de vel 21 pouces delong, mesure 
de Paris. 

Nous ne saurions dire, si la.femelle diffère du mâle. 


PATRIE, 


Le Percnoptöre habite l'Egypte, la Suisse ét les Alpes du 
Tyrol. Il paroit aussi quelquefois en Silésie et même par trou- 
pes de 200 individus. Le 12 Juin 1805 le pätre et deux gargons 
se trouvant sur le Stoppelberg, près de Dornhausen, village dé- 
pendant de la principauté de Nassau - Veilbourg, entre Giessen 
et Wetzlar, en appercurent un assis sur le cadavre d’un mou- 
ton et se mirent aussilôt à lui donner la chasse. Il essaya de 
s’envoler, mais son jabot étoit tellement bourré de viande et sont 
corps en conséquence si pesant, qu'il ne püt s'élever qu’ à 15 
ou 16 pieds de haut et après avoir volé à quelque distance il 
redescendit. Au bout d’un combat assez vif, il fat pris et pré- 
senté à son Altesse le grand Duc de Hesse. On le conserva vi- 
vant à Darmstadt jusqu'au 14 8br; 1804 où étant mort de ma= 


Jadie, il fut empaillé et placé dans le Musée de cette ville, 
QUALITES. 


Î y a plusieurs années qu’un marchand d’ animaux nom- 
mé Alpi apporta un oiseau de cette espèce vivant à Nuremberg, 
pour le faire voir avec plusieurs autres individus du regne ani- 
mal; c’est d’après lui que nous avons fait tirer la figure ci-jointe. 
L'un des rédacteurs ayant eu lieu de l’examiner plusieurs fois, 
en réunissant ses observations à celles, qui ont été faites à Darm- 
stadtsur l’exemplaire du Stoppelberg, nous nous trouvons en état 
de nous étendre davantage sur ses qualités , que nos predeces- 
seurs. En general nous remarquons que l'individu, qui s’est 
trouvé à Nuremberg (autant qu’on & pu faire les mêmes obser- 
vations des deux côtés) ressembloit parfaitement à celui, qui a 
vécu à Darmstadt. C’est un oiseau indolent. qui, lorsque des le 
matin il a pris sa nourriture, ya se percher à son poste, courbe 
son col dans la forme d’ une S. laissant pendre ses ailes et sa 
queue et à moins qu’une espèce de pou, pediculus corvi, ou 
quelque bruit ne le dérange, demeure toute la journée à la même 
place et les yeux immuablement fixés sur le même paint, Quand 
il est attaqué, il se défend de son bec, qu’il lance avec la rapi- 
dité du trait sur son adversaire et lui fait une forte blessure, lors 
qu’il trouve un endroit sensible. Il manifestoit une timidité et 
même une crainte extrêmes, si on les compare avec sa grandeur 
et sa force. Un chat domestique, un lapin sauvage, un buzard 
vivant, ou une chouette, qu’on enferma à différentes époques 
dans sa prison lui inspiroient une telle peur, que malgré un 
jeune de trois jours, on le voyoit rider la peau épaisse de son 
col et de sa tete, hérisser ses plumes, déployer ses ailes à demi 
et courber son col en avant sans oser attaquer aucun de ces ani- 
maux, On fut même obligé d’ ôter de l'enceinte de sa demeure 
un épervier, Falco nisus, quilui avoit fait quitter son gite, 
une chouette Strix brachyotos et une couleuvre Coluber 


natrix, qu'on ayoit enfermés avec lui pendant huit jours. 


Fr 


eine Ringelnatier Coluber Natrix, welche man 8. Tage lang zu 
ihm einsperrte, mufsten wegen der grofsen Furcht, in welche er 
durch sie gesezt wurde; aus seinem Behälter entfernt werden. 

Er zeigte so lang er in semer Gefangenschaft war, weder 
den wilden Blik der Adler und Falken, noch eine Spur von Bos- 
heit, sondern schien mehr gutmülhig zu sein und liefs sich, wenn 
man die Hand zur Vorsicht mit einem ledernen Handschuh ver- 
wahrt hatte, in seinen Halsdunen mit Behaglichkeit streicheln. 
Ganz zahm wurde er jedoch nie: Nur im Schrecken, und be- 
sonders wenn man ihn. bei den Flügeln herzhaft ergrief, liels er 
eine heisere Stimme, die der bekannten Eselsstimme ähnlich war, 
hören. Auf dem Boden seines Gefingnifses hielt er sich nicht 
gern aufund. nur alsdanır, wenn er seines Futters halber dazu 
genölhiget war, begab er sich herunter. Im Gehen oder Laufen 
hielt er seinen Körper so schr vorwärts, dafs der Schnabel des 
miederhängenden Kopfes ohne Mühe den Boden erreichen konn- 
te. Als zufälliger Weise durch das Herabfallen des Fenster - 
Drahtgitters seines Behälters eine Ocflnung entstund, entrann 
er durch dieselbe, schwang sich unter wiederholten Flügelschlä- 
gen in einer schönen Schneckenlinie zu einer Höhe von wenig- 
stens hundert Fuls; beflog dann die höchste Spitze eines Baums, 
schwang sich von da zum zweitenmal in derselben Flugform weg 
und zog so fort von Baum zu Baum „ worauf er aus Mangel an 
Uebung, sich wiederholt nieder liefs , und endlich, durch den 
Flug ermattet, und durch die ihn nacheilenden Menschen in 
Schrecken gesezt, zwischen niedern Gartenpfählen herabflog und 
ergriffen wurde. Kaum konnten ihn zwei Menschen fest halten 
und beide wurden durch seine Schnabelbisse verwundet, 

Die Wärme und Kälte schien er nur bis zu einem gewissen 
Grade ertragen zu können. Bei 20. Grad des Reaumurschen 
Thermometers keuchte er mit halb geöffnetem Schnabel und sehr 
gesenkien Flügeln; sobald aber dasselbe 11. Grad und darunter 
zeigte, zitterte er heflig vor Fröst, Bei ı4. bis 16. Grad Wärme 
schien esihm am behaglichsten zu sein. Aus seinen Nasenlö- 
ehern flofs besonders des Sommers, eine Feuchtigkeit, die aus 
den dahin führenden Speicheldrüsen abgesondert wurde, welche 
Einrichtung sein ohnehin feines Geruchsorgan wahrscheinlich in 
‚Thätigkeit erhält. Seine Ausdünstung halte einen unangenehmen 
und aashaften Geruch, welcher auch an den Federn selbst be- 
merklich war. Sein Kropf war so reizbar, dafs er, wenn man 
ihn etwas-unsanft berührte, oder er selbst daran stiefs, das ver 
schlukte Fleisch in demselben wieder heraus spie, 


NAHRUNG. 


Er frifst am liebsten frisches, noch bintiges Fleisch, von 
Eingeweiden das Herz, die Leber; die Gedärme und stinkendes 
Fleisch oder eigentliches Aas nur im grofsen Hunger. Auchbe- 
»agt er gern dieFleischknochen. 'Fode Wöget berührfe er nur 
dann,. wenn eine Stelle von Federn entblöfst war. Der in Nürn- 
berg. belindliche wich in sofern von den Darmstädter ab, dafs er 
einem Haussperling, den ihm einer der Verfasser in den Käfig 
warf, einen Theil Federn ausraufte, ihn aber gleichwohl nicht 
frafs. Behaarte Bälge von Säugthieren lief er liegen und gab 
auch nie ein Gewölle wie die Falken durch den Mund von sich. 
Lebendige Thiere tödete er auch nach langer Fastenzeit nicht, 
einen einzigen nicht ganz erwiesenen Fall ausgenommen, wo ein 
wildes Kaninchen, das sich vor ihm furchtsam in einen Winkel 
verkroch, und vor demer sich vorher lange scheuete, des an- 
dern Morgensbis auf die Haut verzehrt angetroffen wurde, Selbst 
bei toden Säugthieren zeigte er Furcht. Stunden lang sah er ein 
solches erst von seinem Sitze aus an, wagte dann einen Sprung 
mit einem Schnabelhieb auf dasselbe, flog aber erschrocken so- 


gleich wieder zurük aufseinen Siz, so bald durch das Zerren des- 
Zweiter Band, 


& 


51 


Tant qu'il fut captif, on ne remarqua en lui ni le regard fe= 
roce del’aigle ou du faucon, ni aucune trace de méchanceté, il 
montra plutôt de la bonhomnie et quand d’une main , revetue 
par précaution d’un gand de peau, l’on grattoit le duvet de son 
col, il manifestoit une sorte de satisfaction. Cependant il ne fut 
jamais tout à fait apprivoisé. Il ne crioit point, excepté dans 
la frayeur et surtout quand on le prenoit hardiment par les ai- 
les, alors il poussoit un cri enrou&, approchant de la voix , si 
agréable, de l’ane. 11 n’aimoit point à rester sur le plancher 
de sa prison, et il ne descendoit, que quand il ÿ étoit forcé pour 
prendre sa nourriture. En marchant et en courant, il cowrboit 
tellement son corps en avant et sa tête en bas, qu’ il pouvoit fa- 
cilement toucher la terre de son bec. _ Le hazard ayant fait 
tomber la fenêtre grillée en! fil de fer de sa demeure, il s’échap= 
pa par louverture et battant des ailes à eoups redoublés, il s’ 
éleva environ à la hauteur d'une centaine de pieds, en-tracant 
une belle ligne circulaire et se reposa ensuite sur le sommet 
d’un arbre. Peu après il s’envola une seconde fois, en tournoy- 
ant comme Ja premiere ef passa ainsi d’arbre en arbre > se re- 
posant chaque fois de lassitude et faute d'exercice. En fin 
épuisé de sa course et eflraie par les gens , qui le poursuivoi- 
ent il descendit entre les palissades d’un jardin, où il fut repris. 
Deux hommes avoient de la peine à le retenir et ils: reçurent 
plusieurs blessures de ses coups de bec. 


N sembloit ne pouvoir supporter le froid et le chaud que 
jusqu’ à un certain dégré. Lorsque le thermomètre de Rean- 
mur marquoit 20 degres, il haletoit le bee à moitié ouvert et les 
ailes très pendantes. Mais lorsque le même instrument offroit 
11 dégrés etau dessous le froid le faisoit extrêmement trembler; 
13 ou 15 dégrés étoient la temperature qui sembloit lui eonye= 
nir davantage. On voyoit découler de ses narines, en été sur= 
tout une humeür, dont la sécrétion se faisoit par les glandes sa= 
hyaires et qui entretenoit sans doute l’activité de son odorat na- 
turellement très fin. Sa transpiration avoit une odeur cadavé= 
reuse fort désagréable , qui's’évaporoit également de son plus 
mage. Son jabot eteit tellement irritable, que si on venoit à le 
toucher un peu: fortement ou sil le heurtoit lui même, il ren- 
doit aussilöt la viande qu’il avoit avalee, 


NOURRITURE, 


Son mêts favori eensiste en viande fraiche et encor san 
glante et parmi les parties nobles, le coeur et le foie; quant aux 
boyaux et à de la chair corrompue on charogne il n’y touche 
que quand il est pressé par la faim. Il aime aussi à ronger les 
os garnis de chair. Il ne touche les oiseaux morts, qu’ aux 
endroits qui sont déplumés. Celui qui se trouvoit à Nuremberg 
ne difléroit de celui de Darmstadt, qu'en ce qu'il arracha, à la 
vérité, les plumes d’un passereau aprivoisé qu'un des rédaca, 
teurs lui jeta dans sa cage, sans pourtant le dévorer. Ilne tou- 
choit point à des peaux couvertes de poil d’animaux mammife- 
res, il ne jeitoit pas non plus de bourre par le bec comme les 
faucons. Il ne tueit aucan animal vivant, même après un long 
jeune. Nous en exceptons un seul fait, qui cependant n’est pas 
suffisamment prouvé, où un lapin sauvage, qui se tapit effraié 
dans un coin de sa cage où on Payoit mis, après avoir long- 
tems fait peur à P’oiseau même, fut cependant trouvé le lende- 
main dévoré jusqu” à la peau. Ilmanifestoit même de la crainte 
pour les animaux mammifères morts. Il considéroit un indi- 
vidu de cette espèce des peures entières du haut de son siège, 
hazardoit d’abord un saut, avec un coup de bec sur la proie, 
puis eflraie il se retiroit aussitôt sur le même siège, quand il lui 
ayoit causé une grande agitation en la tiraillant Ce n’étoit que 

Ce 


= 52. — 


selben eine grofse Bewegung verursacht wurde. Nur nach und 
nach fafste er sich wieder , trat vorsichtig hinzu, und machte 
durch einige schnelle und starke Schnabelhiebe eine Oeffnung in 
die Gegend der Gedärme, durch welche er so dann das Fleisch 
auf eine geschikte Art abrifs und heraus zog. Amphibien hat er 
nie angerührt, Seinen Frafs hielt er mit den Zehen fest und rifs 
mit den Schnabel verschlukbare Stücke davon ab. Reines Was- 
ser liebte er schr‘, badete sich darinnen und soff zuweilen da- 
von. 
Ueber seine : 


FORTPFLANZUNG 
- hat man noch Keine Nachricht. 
NUTZEN 
stiftet er nur in denjenigen Ländern, wo erin grofser An- 


zahl vorhanden ist, wie z. B. in Egypten, durch die Verzehrung 
der über der Erde liegenden Aeser. 


SCHADEN 
stiftet er wohl nicht, 
FEINDE 


hat er an verschiedenen Arten von Zangenläusen, die sich 
in seinem Gefieder aufhalten. Auch fand man in seinem Ma- 
gen eilf, zum Theil 5. Zoll lange Fadenwürmer in einem Knaul 
verschlungen. 


JAGD UND FANG: 


"Wenn er sich vollgefressen hat,so.ist er ohne grofse Schwie-= 
‘rigkeït lebendig zu fangen und leicht zu schiefsen. 


VERSCHIEDENHEITEN. 


‘Die Farbe dieses Geiers ändert sich mit dem Alter. So hat- 
4e der oben angeführte bei’ seiner Gefangennehmung fast die Far- 
be der Gabelweihe Falco Milvus, die aber in der Folge ins 
Braungraue überging. In Ansehung der Grôfse-zeigt er eben- 
falls, wie an drei lebendigen Exemplaren, die sich sichern Nach- 
richten zufolge in der Menagerie zu Paris befinden, zu ersehen 

.ist, eine Verschiedenheit, indem sie merklich kleiner sind als 
die von uns beschriebenen. 


ANMERKUNGEN. 


Aus dem, was wir bei der Nahrung dieses Geiers: gesagt 
haben, erhellet, dafs mehrere ornithologische Schriftsteller ir- 
rig daran sind, wenn sie glauben, dafs die Nahrung dieses Vo- 
gels aus blofsem Aase bestehe, oder dafs er sogar Körner fres- 
se. Ferner mag er wohl ein fleischfressender, aber kein ei- 
-gentlich raubender und tödender Vogel sein, und folglich sind 
auch alle Erzählungen , worin kühne und kraftvolle Räube- 
reien dieser Vögel geschildert sind, übertrieben. Eben so un- 
wichtig ist es auch, wenn Schriftsteller behaupten , dafs unser 
Geier am liebsten sich auf der Erde aufhalte. 


peu à peu qu'il se remettoit, il avancoit ayec précaution et par 
quelques coups de beo’prompts-et violents, il faisoit une ouver- 
re du côté des boyaux, par laquelle il savoit avec adresse arra- 
cher et tirer à lui la chair. Il n’a jamais touché d’amphibies. 
Il tenoit sa proie avec ses serres et il en arrachoit succesivement 
des morceaux adaptés à son gosier. L’ eau pure et fraiche avoit 
pour lui des attraits, il s’y baignoit souvent et en buvoit quel- 
que fois. 
Nous n’avons aucune donnée sur sa 


PROPAGATION. 
Son 


UTILITÉ. 


est evidente dans les pays où il se trouve en grande quan- 
tite, comme par exemple en Egypte, parce qu'il dévore les ca- 
davres ou charogues qui couvrent la terre. 

On ignore qu'il cause aucun 


DOMMAGE, 
Il a cependant différents 
ENNEMIS 


tels que certains pous, pediculus corvi, qui séjournent 
dans son plumage. 
vers de l’espèce du Gordius, en partie longs de 5. pouces, 
entrelacés en un peloton. 


On a aussi trouvé dans son estomac onze 


MANIÈRE DE LE CHASSER. 


Quand il est repu à satiété, on m’a pas grande difficulté & 
le prendre vivant ou à-le tirer. 


VARIETES, 


La couleur de cet oiseau change avec l’âge. Par exemple 
l'individu que nous avons cité, avoit, lorsqu'il fut pris la couleur 
du Milan royal, — Falco milvius, qui dégenéra ensuite en 
gris brun. Quant à la grandeur, elle offre aussi des différen- 
ces, comme il appert par les individus vivans, qui suivant des 
relations authentiques ,. se trouvent maintenant à la ménagerie 
de Paris et qui sont évidemment plus petits, que ceux que nous 
venons de décrire. 


OBSERVATIONS. 


Il résulte de ce que nous avons dit touchant la nourriture 
de ce Vautour que plusieurs ornithologistes, sont dans l’erreur, 
de croire qu'il ne se nourrit que de charogne et qu’il mange 
même des grains. Ainsi on peut bien le ranger parmi les ani- 
maux carnivores, mais point parmi ceux qui enlèvent et tuent les 
oiseaux et par conséquent toutes les relations, où ils sont re- 
présentés comme des ravisseurs hardis et vigoureux, paroissent 
exagérées. Il est également inexact de prétendre, que cet oise- 


‚au préfère séjourner par terre à habiter les hauteurs. 


. DER ZWERGKAUZ. 


Tagkäuzchen. Waldkäuzchen… Tannenkäuzchen. Sperlingseule. Kleinstes 
_Käuzchen. i 
Strix passerina. Linn. 
CO — — Tengmälmi. Retzü fauna sueeica, I. ps 86. n. 36. 
Strix pusilla. Daudin ornithol. 
 Strix acadiensis. Latham Index. T. p. 63. 
— acadica. Gmel. Linn, syst. L pr 296. m 49. 
pygmaca. Bechsteins gem, Naturgesch. B. 2.5, 978. n. T4. 
Le Chevechette, Le Vaillant hist. nat. des ois. d’Afrique. E,T, pl. 46. 
Acadian Owl. Lath. synops- 1. ı. p. 149. n. 93. t. V.£ 0. 
Der Zwergkauz. Meyers und Wolfs Taschenbuch. Th. I» $S. 83: à. 


10: 


KENNZEICHEN DER ART. 


Mit einem W' eihenkopfe; der Oberleib röthlichbraun mit weis- 
sen Punkten; der Unterleib weils, mit dunkelbraunen Längs- 
strichen und dergleichen Querstrichen an den Seiten ; der 
Schwanz mit vier weiïfsen, schmalen Querbinden; die Füfse bis 
an die Nägel stark befiedert. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist.stark, orangegelb, der Oberschnabel sehr 
gekrümmt; die Nasenlöcher rund, an der Seite über der Mitte 
des Schnabels liegend; der Augenstern lebhaft gelb, die Au- 
genlieder gelb eingefafst; die Wangen- und Schläfefedern ab- 
gerundet und anliegend schwarz und weifsbunt; die Halfterfe- 
dern haarförmig und schwarz; die Zügelfedern bilden eine Rin- 
ne, sind grau, sieif, mit steifen Haarspitzen, die theils nachder 
Stirn zu, theils gegen die Schnabelspitze hinreichen ; das Kim 
und der untere Streifen unter den Ohren hin weifs; die Federn 
des Ohrenkreises weifs und dunkelbraun geflekt; die übrigen 
Kopffedern röthlichbraun, aufder Stirn mit deutlichen , weilsen 
runden, auf dem Hinterkopfe mit durchschimmernden ähnlichen 
Punkten, dieim Nacken die Gröfse einer Linse erreichen; der 
Oberleib und die kleinen Flügeldekfedern röthlichbraun , mit 
weilsen etwa Hanfkorn grofsen Flecken; auf den grofsen Dekfe- 
dern zwei grofse weilse Flecken, daher zwei Querbinden auf 
den Flügeln; die Schwungfedern auf der äufsern Fahne rost- 
grau, auf der innern dunkelbraun; die erste vorn sägeförmig und 
auf der äufsern Fahne mit drei weifsen Flecken, welche der zwei- 


ten fehlen, auf den übrigen aber sichtbar sind ; nach dem Ende | 


der innern Fahne mit weilsen, nierenförmigen Flecken, die auf 
den drei lezten Schwungfedern deutliche, durchlaufende, röth- 
lichweifse, am Schafte grauliche Querbinden bilden; um die 
Kehle läuft ein dunkelbraunes mit Weiß gemischtes Band bis 
zu den Ohren; unter diesen ist ein weifses, das sich bis an die 
Halsseiten erstrekt; der Unterleib weifs, an den Seiten der Brust 
mit dunkelbraunen ; elwas rosifarbig eingefalsten Längsstricheu 
und Querbinden; der Schwanz rôthlichbraun mit vier schma- 
len, weilsen Querbinden und einer weils gerandeten Spitze, äl- 
le Schwanzfedern abgerundet, schmal, die Seitenfedern et- 
was kürzer; die Füfßse bis an die Nägel dicht befiedert, grau- 
lichweils; die Zehen unten gelb; die Nägel schwarz, Die Flü- 
gelspitzen endigen sich an der Schwanzwurzel. 


Das Weibchen hat eine dunklere braune Farbe. 


Länge 6. Zoll, Breite 14, bis 15. Zoll. 
Zweiter Band, 


LA CHEVECHETTE. 


Der Zwergkauz. Tagkäuzchen. Waldkäuzchen. 
lingseule. Kleinstes Käuzchen. 

Strix passerina, Linn. 
— — Tengmalmi. Retzii fauna suecica, I. P 86. 1136: 

Strix pusilla. Daudin ornithol. 

Strix acadiensis. Latham Index. I. p. 65. 

+, acadica, Gmel. Linn. syst, L p. 296, n. 43. 

— pygmaea, Bechsteins gem. Naturgesch. B. 2. $- 978% 1. 14: 

La Chevechette-r Le Vaillant hist. nat. des oiseaux d’Afrique. T. I. pl. 46. 

Acadian Owl. Lath. synops- 1. 8. p.140. n. 39, & V. £ 0. 

Der Zwergkauz. Meyers und Wolfs Taschenbnch. Th. 1. $, 83.1. ro. 


Tannenkäuzchen. Sper- 


CHARACTÈRES  SPÉCIFIQUES. 


La têle semblable à celle du Milan, Le haut du corps brun 
rougeätre, parsemé de points blancs; le bas du corps blane avec 
des rayes longitudinales brun foncé et des rayes transversales 
semblables sur les côtés. La queue ornée de quaire bandes blan- 
ches et étroites. Les pieds trés emplumés jusqu’ aux ongles. _ 


DESCRIPTION. 


Le ‘bec fort, orangé, la partie supérieure très courbée; les 
narines rondes ei placées aux deux côtés et vers le milieu du bec. 
L’iris d’un jaune tranchant, les paupières avec bordure jaune. 
Les joues et les plumes des tempes arrondies et applaties bigar- 
rées de blanc et de noir. Celles du licou ou collier poileuses et 
noires. Les plumes de la lore ou bride forment une rainure, 
elles sont roides ainsi que leurs pointes terminées en poils et 
avancent d'un côté jusques sur le front et de l’autre vers la poin- 
te du bee. Le menton blanc et une raye blanche au dessous 
des oreilles; les plumes qui entourent les oreilles également 
blanches, tachetées de brun foncé ; les autres plumes de Fa tete 
rouge brun, avec bordures blanches, très marquées sur le front; 
Pocciput avec des points brillants de la même couleur, qui sur 
le col ont la grosseur d'une lentille. [avant corps et les-petites 
couvertures des ailes brun rouge, avec des taches blanches, à 
peu pres de la grosseur d’une graine de chanvre. Sur les gran- 
des couvertures des ailes deux grosses taches blanches, qui {or 
ment deux bandes transversales, sur les ailes. Les pennes de 
vol gris de rouille, sur la barbe extérieure et brun foncé sur Pin- 
térieure. La première en forme de scie en avant et la barbe ex 
iérieure offre trois taches blanches qui manquent à la seconde, 
mais qui sont visibles sur les autres, Au bout dela barbe in- 
térieure se trouvent des taches blanches, en forme de rognons 
qui forment des bandes transversales continues, très marquées, 
dun blanc rougeätre sur les trois dernières pennes de vol et gri 
sälres sur la tige. Autour de la gorge jusqu'aux oreilles circule 
une bande brun foncé, mêlée de blanc; au dessous de celle-ci 
il s’en trouye une autre blanche, qni s étend jusqu'aux deux 
côtés du col. Le bas du ventre blanc, les côtés de la poitrine, 
entourés de rayes longitudinales et de bandes transversales, gris 
brun, avec un liséré tirant sur le rouille. La queue brun rou- 
geätre , avec quatre bandes transversales , étroites, blanches, à 
pointes lisérées de blanc. Toutes les plumes de la queue ar- 
rondies, étroites, les plumes latérales un peu plus courtes. Les 
tarses très emplumés jusqu'aux ongles , gris blanc ; les orteils 
jaunes en dessous, les ongles noirs, Les pointes des ailes finis- 
sent à la naissance de la queue. 

D d 


54 


Dieses Eulchen, das im Allgemeinen dem rauhfüfsigen ähnelt; 


unterscheidet sich theils durch seine Kleinheit, iheils durch derr 
verhälinifsmäfsig längern Schwanz, durch den: kleinen Kopf mit 
dem hervor gehenden Falkengesicht; durch die weniger zer- 
schlissenen , besser anliegenden und steifern Federn; die Au- 
gen liegen auch nicht wie bei den übrigen Eulen im Mittelpunkt 
des Augenkreises, sondern mehr wie bei den Falken’, und es 
scheint daher auch wirklich den Uebergang von den Eulen zu 
den Weihen zu machen. 


AUFENTHALT. 


Die Verfasser der deutschen Ornithologie (‚XIX. Heft. 


Darmstadt ); glauben ; dafs dieses Eulchen nur ein Bewohner 
Schwedens sei. Nach Bechsteins Naturgeschichte gehört esaber 
zu den deutschen Vögeln, das in hohen Gebirgen des Thürin- 


ger und des Böhmer Waldes, auch im Oesterreichischen an- 


getroffen wird. Auf alten: Schlössern; welchem den Waldge- 

birgen liegen, hat man es schon bemerkt und ist wahrschein- 

lich ein: Standvogel. In Finnland, Livland und Rufsland’ ist 

dieses Eulchen nicht selten; um Petersburg im Frühjahr gemein. 
Merkwürdige 


EIGENSCHAFTEN 
sind uns von ihm nicht bekannt; 
NAHRUNG, 


Diese besteht in Mäusen, Heuschresken', Käfern und 
Schmetterlingen. | 


FORTPFLANZUNG. 

Es soll sein Nest einigen Nachrichten zufolge , auf Bäume, 
nach andern , in Felsenritzen bauen’ und darein 2—%4 vreifse 
Bier legen. Sein 

NUTZEN 
ergibt sich aus seiner Nahrung. Ein 


SCHADEN 
ist uns von ihm: nicht bekannt. Seine 


EEINDE, JAGD UND FANG 


hat es wohl mit andern Eulenarten gemein. 


La femelle a la livrée d’un brun plus foncé. 

Longueur 6 pouces, envergure quatorze à quinze pouces. 

Cette petite chouette, qui ressemble en général à la chouette 
pattue, se distingue, en partie par sa petitesse, et en partie par 
sa queue, qui est proportionnellement plus longue; par sa petite 
tête avec des yeux de faucon sortant de leur cavité, par desplu- 
mes moins polies, plus roides et plus collées au corps. Ses yeux 
ne sont pasnon plus, comme dans les autres chouettes placés au 
centre du cercle de Poeil; mais plutôt à la manière des faucons, 
ét de là vient qu’elle semble former en effet la transition des 
chouettes aux milans, 


PATRIE, 


Les rédacteurs de l’Ornithologie imprimée à Darmstadt, XIX, 
cahier, croyent que cette petite chouette n’habite que la Suede. 
Mais , suivant l’histoire naturelle de Bechstein, elle appartient 
aux oiseaux de l’Allemagne et se rencontre dans les hautes mon 
tagnes de la Thuringe, la forêt dite de Bohème, ainsi qu’en Au- 
triche. 
des montagnes boisées et c’est vraisemblablement un oiseau ade- 


On la aussi observée dans’ de vieux-chateaux; situés sur 


meure, I n’est pas rare non plus en Finlande, en Livonie et ex: 
Courlande et fort commun aux environs de Pétersbourg. 
Nous ne connoissons aucunes’ 


QUALITES: 
remarquables dans cet oiseau: 


Sa te 
NOURRITURE: 


consiste en souris, sauterelles,- scarabées et en: papillons; 
PROPAGATION. 

Suivant quelques relations cet oiseau bâtit son nid sur des 
arbres, d’autres disent dans des fentes de rochers et il y dépose 
2 à 4 oeufs blancs: Son: 

UTILITÉ 

est manifeste par sa manière de se nourrir et nous ne trou 

vons pas qu’il fasse aucum 
“ DOMMAGE. 

Quant à ses 
ENNEMIS 
et à la : 

MÄNIERE DE LA CHASSER 


ils lui sont communs:ayec les autres espèces de chouettes; 


DER SCHWARZSTIRNIGE WÜRGER. 


Kleiner grauer Würger. Kleiner aschgrauer Neuntöder. Kleine Bergelfter. 
Schäckelfter. Grauer Schäckerdikkopf. Reinfter. 

Lanius minor. Gmel: Lin. syst. I. I. p. 308. n. 49. 

Pie-grièche -d’Italie. Buffon des ois. I. p.298, pl. enlon. 32 

Lesser greg Shrike. Latham synops. I, 1. p. 193. n. 50. 

Der mittlere Neuntöder. Frisch Vögel. Taf» 60. fig. 1. x 

Kleiner grauer Würger. Bechft. gem. Naturgesch. B. 2. S: 1320. 2. 

Der schwarzstirnige Würger. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deut- 

schen Vögelkunde. I. S. 88. 2. 
Borkhausens teutsche Ornithologie, Heft 19. t. 5. 6% 


KENNZEICHEN DER ART. 


Die stim schwarz; der Oberleib aschgrau; der Unterleib weils, 
an der Brust rosenroth überlaufen. 


LA PIEGRIÉCHE D'ITALIE. 


Der schwarzftirnige Würger. Kleiner aschgrauer Neuntöder.: Kleine Berg- 
elfter. Schäckelfter. Grauer Schäckerdikkopf. Reinfter. 

Lanius minor. Gmel.-Lin. syft. I. p.! 308. n. 49. 

Pie-grièche d’ Italie. Buffon des ois. I. p. 298. pl. enl. n. 32. 

Lesser greg Shrike. Latham synops. I. 1. p. 193. n. 50. 

Der mittlere Neuntöder. Frisch Vögel. Taf. 60. fig. x. 

Kleiner grauer Würger. Bechft. gem. Naturgesch. B. 2. S. 1320. n. 2. 

Der schwarzftirnige Würger. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutsch. 
Vögelkunde. I. S« 88. 2. - 

Borkhausens teutsche Ornithologie, Heft 19. t. 5. 6. 


ai 


'CARACTERES SPECIFIQUES. 


Lee front noir, Pavant corps gris cendré, le bas du corps blanc; 
ps gr TP 
chatoie de rouge couleur de rose sur la poitrine, 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel glänzend schwarz, stärker als an den: übri- 
gen deutschen \Vürgerarten; der Oberschnabel mit einem gros- 
sen Zahn; die Nasenlöcher rundlich, der Augenstern kaffebraun > 
die Stirn schwarz; durch die Augen ein breiter schwarzer Strei- 
fen; Scheitel, Hinterkopf, Nacken, die Seiten des Halses und 
der Rücken bläulich aschgrau; die obern Flügeldekfedern 
schwarz, die kleinsten aschgrau gerändet; die Schwungfedern: 
schwarz, die vordern vom Grunde an fast bis zur Hälfte weils, 
daher ein weifser Flek auf den Flügeln; der Unterleib weils, 
Brustund Seiten derselben rosenroth überlaufen; der Schwanz 
keilförmig, schwarz, die zwei äulsersten Federn weils mit einem 
schwarzen: Schaft, die dritte und vierte mit einer weilsen Spit- 
ze und von: der Wurzel bis zur llälfte weifs, die fünfte und 
sechste an der Wurzel mit einem wenig bemerkbaren weils- 
_ grauen Flek; die Fülse schwarz. 

Die Flügelspitzen erreichen kaum die Hälfte des Schwanzes. 

Länge 8 Zoll, Breite 12 Zoll Paris, Mafs, 

Das Weibchen ist auf der Brust schmutzig rosenröthlich 
angeflogen , der schwarze Ohrenstreifen nur einen Viertelzoll 
breit; hinter den Augen grau; die schwarze Stirnfarbe weniger 
schwarz und nicht so weit in den Scheitel hinein gehend wie 
beim Männchen; auchist die graue Nackenfarbe und dieschwar- 
3e Flügel- und Schwanzfarbe weniger lebhaft. 


AUFENTHALT. 


In manchen Gegenden Deutschlandes sieht man ihn gar 
“ nicht oder nur selten; in andern aber, namentlich im Branden- 
burgischen, Anhaltschen, Thüringischen, Fränkischen, Oester- 
. reichischen, in der Wetterau, besonders in solchen Gegenden, 
wo Feldhölzer, Büsche und Gärten in der Nähe kleiner Anhö- 
hen sind, gar nicht selten. Erist ein Zugvogel, der im Anfang 
des Septembers unser Vaterland verläfst und zu Anfang des Mais 
wieder konımt. 


EIGENSCHAFTEN, 


Er sizt gern auf erhabenen Orten auf den Gipfeln der Bäu- 
me, woer sich umsehen kann, wo er seine erborgien Gesänge 
hören läfst und auf Beute lauert. Er ahmt nicht nur einzelne 
Strophen und Loktöne aus andern Vögelmelodien, sondern so- 
gar ihre vollständigen Gesänge z. B. den der Nachtigall, der Ler- 
che etc. mit bewundernswürdiger Leichtigkeit nach, nur mit 
dem Unterschiede , dafs er sie leiser singt. Einen eigenen Ge- 
sang scheint er gar nicht zu haben. Sein Lokton lautet wie 
guobä und inder Angst schreit er gäk, gäk, gäk. Mit den 
Elstern , welche zuweilen auf seine Eier und Jungen Jagd ma- 
chen, hat er öfters Streit und verfolgt sie mit aller Macht. Sein 
Flug ist sanft und schön schwimmend, Bei grofsen Entfernun- 
gen macht er sanfte Bogenlinien und schnellt die Flügel ‘dazu 
wie ein Specht. Er ist grausam und iôdet Insekten aus blofser 
Mordlust und ohne sie zu fressen. ‚Er hat auch die Eigenschaft 
des grofsen Würgers, dafs er auf freiem Felde in der Luft auf 
einer Stelle flattert, um Insekten auszuspüren. Die Jungen las- 
sen sich mit Fleisch aufziehen und zähmen. In der Stube ahmt 
er gern den Wachtelschlag nach. Man mufs aber alle andere 
herum laufende Vögel von ihm entfernen oder ihn in einen Kä- 
fig sperren. So gelehrig er ist, so zeigt er doch keine List. 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus Maulwurfsgrillen, Schmetterlingen, Mai- 
Mist- and andern Käfern, Er sezt sich daher auf hohe Bäume, 
Zweiter Band, 


DESCRIPTION. 


Le bec d’un noir brillant, plus fort que celui des autres 
espèces de piegrièches en Allemagne. Le bec supérieur armé 
d’une grosse dent ; les marines à peu près rondes; l'iris couleur 
de café; le front noir. Le crane, l’occiput, la nuque; les côtés 
du: col bleuâtres tirant sur le gris cendré. Les couvertures su- 
périeures noires, les plus petites, gris cendré avec bordure. Les 
pennes de vol noires; les antérieures depuis le commencement 
jusques vers le milieü blanches, ce qui forme une tache blanche 
sur les ailes: Le bas ventre blanc, la poitrine et ses deux côtés 
chatoies de couleur de rose. La queue en forme de coin, noire, 
les deux plumes extérieures blanches, avec une tige noire; la 


3. et la quatrième offrent une pointe blanche et sont aussi de la 


même couleur depuis leur naissance jusqu’au milieu; les cinquie- 
me et sixième avec une nuance assez remarquable de gris blanc 
à leur naissance. Les pieds noirs: | 

Les pointes des ailes arrivent à peine à la moitié de la queue, 

Longueur 8 pouces, Envergure 10 pouces mesure de Paris. 

La femelle offre sur la poilrine une nuance couleur de rose 
sale. La raÿe noire de l'oreille n’a que la largeur d’un quart 
de pouce; le derrière dès yeux est gris; la couleur noire dufront 
moins foncée et pas aussi avancée sur le haut de la tête que chez 
le mâle; la couleur grise de la nuque et le noir des ailes et de 
la queue sont aussi plus laves. 


PATRIE, 


Dans plusieurs parties de I’ Allemagne, on l’apperçoïit rare- 
ment on pas du tout; mais au contraire il est assez fréquent, dans 
les pays de Brandenbourg et d’Anhalt, en Thuringe, en Fran- 
conie, en Autriche et dans la Vétéravie , sur la lisière des boss, 
des buissons, des jardins et aux environs de petites collines, 
C’est un oiseau de passage, qui quitte notre pays au commen- 
cement deSeptembre, pourrevenir dansles premiers jours de Mai. 


QUALITES, 


Il se perche volontiers sur le sommet des arbres datis des 
lieux élevés, d’où il peut regarder autour de soi, épier sa proie 
et chanter les airs, qu’il a empruntés d’auires oiseaux. Il imite 
non seulement des strophes isolées, et la manière de piper des 
autres oiseaux mais aussi des airs entiers, comme par exemple 
ceux du rossignol , de l’alouette etc. avec une admirable facilité, 
avec cette unique différence qu’il les sifle un ton plus bas. Il ne 
paroit pas avoir un chant particulier. Son appel forme un ton 
comme quovai quovai et lorsqu'il estdansla détresse, il criegaik, 
gaik gaik. Il estsouvent en guerre avec les pies, qni donnent 
quelque fois la chasse à ses oeufs et à ses petits et il les persc.- 
cute de toutes ses forces. Son vol est doux et en belles courbes 
ondulantes, Quand il vole au loin, il décrit de longs arcs arron- 
dis et bat des ailes comme le pic-verd. Il a les moeurs cruel- 
les et se plait à tuer les insectes , sans les manger. Il posséde 
aussi latalent de la grande piegrièche de planer en plein champ 
sur la même place, afin de découvrir les insectes. On &leye et 
apprivoise les jeunes, avec de la viande. Mais il faut alors ecar- 
ter autour d’eux tous les autres oiseaux ou l’enfermer seuldans 
une cage. Quelque disposition qu’il ait à apprendre, on ne Jui 
remarque cependant aucune ruse. 


NOURRITURE. 


Elle consiste en grillons-taupe, papillons , en hannetons, 
fouillemerdes et autres espèces de scarabées. C’est pourquoi il 
aime à se percher sur de grands arbres, maïs encore davantage 


E e 


noch lieber aber auf Feldbüsche und Feldstangen, von da aus 
er mit unverwandtem Blicke nach der Erde sieht und auf Beute 
lauert. Sobald er einen Käfeı bemerkt, fliegt er schufsweise 
herab, ergreift ihn mit dem Schnabel, sezt sich dann wieder 
auf seine vorige Stelle, nimmt seinen Raub unter die Füfse und 
verzehrt ihn; nachdem er ihm vorher die Flügeldecken ausge- 
rissen hat. Wenn bei Regenwetter wenige Insekten sich sehen 
fassen, so verfolgt er auch junge Vögel, daher ihm die Bach- 
stelzen, die sonst friedlich neben ihm wohnen, mit grofsem Ge- 
schrei nachfliegen. 


FORTPFLANZUNG: 


Sein-Nest bauet er auf hohe geköpfte Weiden uud Erlen;, 
am liebsten aber auf Birn- und Aepfelbäume. Eis ist grofs, un- 
regelmäfsig und'besteht äufserlich aus Wurzeln, einzelnen Rei- 
sern und grünen Kräutern, nach der Mitte zu mit Wolle dureh- 
wirkt und inwendig mit Wolle und. Federn dicht ausgefüttert. 
In: dasselbe legt das Weibchen sechs längliche Eier, welche grün- 
lichweils, über der Mitte mit einem aus olivenbraunen Punk- 
ten und aschgrauen Flecken bestehenden Kranze umgeben, und 
aufserdemnoch einzeln bespriztsind. Sie werden in 16. bis 16. 
Tagen vom Weibchen und Männchen wechselsweise ausgebrü- 
tet. Da die: Jungen geschwind heran wachsen, sokönnen die Al- 
fen noch zur zweiten Brut schreiten, Die Jungen sehen biszum 
ersten Mausern dem grofsen grauen Würger ähnlich, da ihnen 
bis dahin die schwarze Stirnbinde fehlt, der Oberleib dunkel 
aschgrau, fast unmerklich röthlich gewellt, der Unterleib-weifs, 
an der Brust gelblich überlaufen und an den Seiten röthlich ge- 
wellt ist. 


NUTZEN. 
Dieser ergibt sich, so wie sein 
SCHADEN he 
aus seiner Nahrung. Sein Fleisch, besonders das der Jun- 
gen ist wohlschmeckend. 
| FEINDE. 


Die Elstern gehen. den Eiern und Jungen nach, und rau- 
ben sie ihnen. 


JAGD UND FANG. 


Man kann ihn leicht mit der Flinte erlegen und mit Leim- 
ruthen, die man auf den Feldbusch, auf welchen er gewöhn- 
lich sizt, fangen. Auch auf Sprenkeln, die man an eine über 
sechs Fufs hohe Stange befestiget, fängt er sich leicht, 


sur des buissons, et des perches isolées, du: haut desquels il fixe 
sans cesse ses regards épiant sa proie. Des qu’il appercoit un 
scarabée, il descend comme un trait, le saisit de son bec et re- 
vient à sa place; avec sa proie , qu’ii place sous ses pieds et la 
dévore, après lui avoir auparavant arraché les couvertures des 
ailes. Lorsque, par-un tems de pluie, il appersoit peu d’in- 
sectes, il se met à la poursuite des jeunes oiseaux, de là vient 
aussi, qu’alors les hochequeues, qui. sans cela vivent tranquil- 
lement dans son voisinage, volent après lui, en poussant dé 
grands cris: 


PROPAGATION. 


N bâtit son nid sur des saules et des ormeaux élevés, dont 
on a taillé le sommet, mais plus volontiers encore sur des pom- 
miers et des poiriers. Ce nid est grand, irrégulier et c'mposé 
extérieurement de racines de petit bois et d’herbes vertes, entre- 
laces vers le milieu avec de-la laine; intérieurement il a und 
garniture épaisse de laine et de plumes. La femelle y dépose 
six. oeufs oblongs d’un blanc verdätre, ayant vers le milieu un 
cercle, compoëé de points olive foncé et de taches gris de cendre, 
dont plusieurs sont encore isolément répandues sur la coque. Is 
sont couvés dans Pespace de 15 à 16 jours par le mâle et la fe- 
melle. tour àtour. Comme les jeunes grandissent fort vite, les 
vieux peuvent encore passer à une seconde couvée, Les jeunes, 
jusqu’ à leur première mue, ressemblent à la grande piegrièche 
grise, puis qu’il leur manque jusqu’ alors la bande noire du front. 
L’avant corps est gris de cendre foncé, avec des ondulations rou- 
geätres presqu’ imperceptibles ; le bas ventre blanc, avec cha- 
toiement jaunätre a la poitrine et les côtés légérement ondules- 


de rougeälre. Son 


UTILITÉ, 


ainsi que le 


DOMMAGE,, 


qu’il cause tiennent à sa nourriture. Sa chair, surtout celle 
des jeunes est d’un bon goût. Ses- 


ENNEMIS A 


sont les pies, qui courent apres ses oeufs et ses jeunes.et 
qui les lui enlevent. 


MANIERE DE LA CHASSER, 


Il est facile à tirer au fusil et à prendre aux vergettes ; 
qu’on dresse sur des buissons d’ormeaux, où il est ordinairement 
perché. On le prend aussi au trébuchet, qu’on place sur une 
perche haute de six pieds, 


do en 57 + . 


= 


DIE FELSENMEVE. 


Larus crepidatus. Hawkesw. Voy. vol. I. p. 15: Gmel. Lin. syft. Te I. D. 
, IL. p. 602. n. 20. | 
Catarrhacta Cepphus, Brunaich Ornithol. p. 36. n. 126, 
Lable ou Stercoraire. Buffon des ois. VII. p. 4414 t. 34. pl; enl. n. 991- 
Blacktoed Gull. Britt. Zool. 2. p. 244+t. 86. 
Latham synops. II. % p. 887. n. 15: 
Naumanns Vögel: B.3. S. 181. t. 34. f. 46 
Junger Vogel. 
Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vögelkunde, Th. IL, 
"S. 493, 10, 


KENNZEICHEN DER ART. 


Der Schnabel wenig gekrümmt, und sammt der Wachshatt 
hellgrau blau, Füfse hellgraublau; der ganze Körper schwarz- 
braun, mit hellrostfarbenen Federrändern; die beiden mittel- 
sten Schwungfedern länger als die übrigen. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel nicht ganz ı. Zoll lang, mit der Nasenhaut 
hellgraublau, mit hornschwarzer Spitze ; der Oberschnabel we- 
nig gebogen, der Unterschnabel vor der Spitze mit einiger Her- 
vorragung, die Nasenlöcher länglich und weit vorne liegend; 
der Augenstern dunkelbraun, Augenliederrand dunkelgrau, Kopf 
und‘ Hals dunkelgraubraun, rostrôthlich überlaufen, der ganze 
Oberleib, die obern Tlügeldekfedern und die nuttiern und hin- 
tern Schwungfedern dunkelbraun, mit hellen roströthlichen Fe- 
derrändern; die vordern Schwungfedern schwarzbraun mit weils- 
lichen Spitzen;. Brust, und Bauch graugelblich, allenthalben mit 
graulichbraunen , gegen den Schwanz. hin ‚mit dunkelbraunen 
wellenförmigen Streifen; der Schwanz braunschwarz, die zwei 
mittelsten Federn 1. kleinen Zoll länger als die übrigen ; die Füs- 
se hell graublau; der vordere 'Theil der Schwimmhaut bräun- 
lichschwarz, der. hintere hell graublau. 

Die Flügelspitzen reichen etwas über die kürzern Schwanz- 
federn hinaus. 


Länge 173 Zoll; Breite 3 Fufs 8 Zoll. 


Die Jungen, von. welchen hier eins abgebildet ist, sind von 
den Alten etwas verschieden. Die Nasenhaut blaugrau, die Zügel 
weifsgelb ;' der Scheitel graubraun, mit weifsgrauen Kanten; 
Kehle, Genik und Seiten des Halses gelblichweifs, mit verwa- 
schenen graubräunlichen Streifen vermischt ; Oberleib dunkel- 
braun , mit schmutzig weifsen deutlichen Fedenändern ; die 
obern Schwanzdekfedern mit schmutzig weifsen Tlecken: die 
Schwung- und Schwanzfedern braunschwarz; die zwei mittlern 
der erstern länger als dieübrigen und in derMitte grauüberlaufen; 
der untere l'heil des Halses graubraun, mit undeuilichen schmä- 
lern Kanten; Unterleib rostgelblichweifs mit hellern graubrau- 
nen Querflecken; die untern Schwanzdekfedern schwarzbraun 
mit weifsen Querbändern; die Fülse hellgraublau, die Schwimm- 
häute und Zehen zum dritten Theil, rach der Wurzel zu oben 
und unten hellgraublau, der übrige Theil bräunlich schwarz. 


AUFENTHALT. 


Diese Meve hält sich gewöhnlich auf der Ostsee auf. Man- 


tft sie aber auch häufigin Dänemark sogar unter den Viehher- 


den an, wo sie nach einem langen Fluge ermattet, auszuruhen 
Zweiter Band. 


. LABLE OU LA STERCORAIRE, 


Die Felsenmeve. { 
Larus crepidatus. Hawkesw. Voy. vol: I. p. 15. Gmel« Linn. syft. T. LP. 
I. p. 602. n. 20, … 
Catarrhacta Cepphus. Brunnich Ornithol. p« 36. n. 126, 
L’able ou la Stercoraire; Buffon des ois. VII. p, 442.t. 34. pl, enls n. 99r. 
Blacktoed Gull. Britt; Zool. 2. p. 244. t. 86. ; 
Latham synops. II. 2. p.387. n. 154 
Naumanns Vögel: B. 3: S: 181. t. 34. f. 49. Jeune âge. 
Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vôgelkunde. Ph. IL 


S. 493. 10. 


a de 


CARACTERES ‚SPECIFIQUES, 


Le bec un peu courbe et gris bleu clair, ainsi que le céra. Les 
pieds gris bleu clair. Tout le corps brun noir, et les plumes 
bordées de rouge de rouille clair. Les deux pennes de vol du 


milieu plus longues que les autres. 
DESCRIPTION, 

Le bec à peu près de la longueur d’un pouce et gris bleu 
ainsi que la peau du nez, avec une pointe noire de corne. Le 
bec supérieur légèrement courbé; le bec inférieur dépassant un 
peu le supérieur en avant de la pointe. Les narines.oblongues 
et placées fort en avant. Liris brun foncé, la bordure des pau 
pières gris foncé. La tête et le col, brun gris foncé, avec un 
chatoiement de rouge de rouille. Tout l'avant corps, les cou- 
vertures supérieures des ailes et les pennes de vo] du milieu aïmsi 
que les postérieures brun foncé, avec lisérés rouge de rouille 
clair; les pennes antérieures de vol gris noir à pointes blanchä- 
tres. La poitrine et le venire gris jaunätre parsemés de toutes 
parts de rayes ondulantes, gris brun, et vers la queue d’un brun 


foncé. La queue bren noir, les plumes du milieu environ un 


pouce plus courtes que les autres. Les pieds gris bleu clair; la 
partie antérieure de la membrane brun noir, la postérieure gris 
bleu clair. 

Les poinies des ailes depassent’un peu les plus courtes pen- 
nes de la queue. | 

Longueur 17 pouces }, Envergure 3 pieds 8 pouces. 

Les jeunes, dontnous offrons ici une représentation diffé 
rent en quelque sorte des vieux. La peau du nez gris bleu les 
lores ou brides blanc jaunâtre. Le sommet de la têteYgris bleu, 
avec liseres gris blanc. La gorge, la nuque et les côtés du col 
blanc jaunätre, parsemés de rayes gris brunâtre peu foncé. L’ 
avant corps brun foncé, avec bordures sensibles d’un blanc sale 
aux plumes. Les couvertures supérieures de la queue avec des 
taches d’un blanc sale. . Les pennes de vol et de la queue brun 
noir. Parmi les premières celles du milieu sont plus longues 
que les autres et offrent une nuance de gris vers le milieu. La 
partie inférieure du col gris brun, avec bordures plus étroites et 
très lavées. Le bas ventre jaune de rouille blanchâtre, avec des 
taches iransversales gris brun encore plus claires, les cotıvertu- 
res inférieures de la queue noir brun, avec bandes transversa- 
les blanches. Les pieds gris bleu clair; les membranes et les 
orteils, un tiers, à commencer de la naisance gris bleu clair en 


dessus et en dessous, le reste noir brunätre. 
PATRIE. > 
Ye Ceite Stercoraire habite ordinairement la mer d'Allemagne, 


Mais on la trouve aussi fréquemment en Danemarc, même parmi 
Ff 


Le 


scheinet, um 'ihre Reise weiter fortsetzen können. Aufihrem 
Strich im Herbste, jedoch selten, kommt sie auf die Oder, EI- 
be, den Rhein, Main, die Fulde und andere deutsche Flüsse, 


Den 2. Okt. 1805. wurde ein Exemplar an der Fulde bei Cassel 


lebendig gefangen und im Okt. 1810. liefs sich eine Menge der- 
selben in den Maingegenden sehen. , 


EIGENSCHAFTEN 
sind von ihr uns nicht bekannt. 
NAHRUNG. 


Sie nährt sieh vorzüglich von der blauen Kräuselschnecke, 
Helix janthina. Lin. 
diese findet, roth ist, 
ser - Insekten. 


Daher ihr Abgang in den Ländern wo sie 
Aufserdem frifst sie verschiedene Was- 


FORTPFLANZUNG. 


Ihr Nest macht sie kunstlos aus trockenen Gräsern und 
legt darein zwei hell rostfarbige schwarz geflekte Eier. Von 
ihrem 

NUTZEN, SCHADEN 
und ihren 
FEINDEN _ 


ist uns nichts bekannt. 
JAGD UND FANG; 


Wenn sie auf dem Lande in Dänemark auf ihrem Fluge 
ausruht, kann sie leicht und sogar mit der Hand gefangen wer- 
den. Aufserdem schiefst man sie mit der Flinte, 


ANMERKUNG, A 


Diese Art ist von mehreren Ornithologen mit Larus pa- 
rasiticus verwechselt worden, und Bechstein rechnet sie selbst 
im IV. Band seiner gemein. Naturgesch. S. 669. zu derselben, 
Leztere Meve ist aber wesentlich von ihr verschieden; denn ı) 
ist sie viel gröfser, 19—20 Zolllang; 2) hat sie sehr rauhschup- 
pige Beine; 5) ist die Mitte der Brust und der Oberhals ohne 
alle Flecken; 4) ist die Schwimmhaut ganz schwarz; 5) sind die 
KFiüfse schwarz. Wir werden, damit man diese Vergleichung 
desto eher vornehmen kann, sie bald in einer guten Abbildung, 
folgen lassen. 


58 


les troupeaux, ou fatigude d’un long vol, elle semble se reposer, 
a fin de pouvoir continuer son voyage. Quand elle file en au 
tomne, on la rencontre, quoique rarement, sur ’Oder, l’Elbe, 
le Rhin, le Mein, la Fulde et autres rivières d'Allemagne. Le 
2 Octobre 1805, on en attrapa une vivante sur la Fulde près de 
Cassel et en Octobre 1810 on en appercut une. grande quantité 
dans les contrées arrosées par le Mein. Ses 


QUALITÉS. 
ne nous sont pas connues. Sa 
| NOURRITURE 
. Consiste principalement en l’espèce d’escargot appellé vio- 
lette Helix janthina Linn, De là vient, que dans les pais où 
elle trouve cette sorte de coquillage, sa fiente est rouge. Outre 
cela elle se repait de diflerens insectes aquatiques, 


+ ‘ PROPAGATION. 
Elle n’emploie pas beaucoup d’art à bâtir son nid, qu n’est 
composé que d’herbés séches, où elle dépose deux oeufs, cou- 
leur de rouille clair, marqués de taches noires. Quant à son 


UTILITÉ, 
au 
DOMMAGE, 
qwelle peut causer et à ses 
por ENNEMIS 


ils ne sont pas venus à notre connoissance, 


MANIÈRE DE LA CHASSER, 
Quand après un long vol, elle se repose à terre, dans le 
Danemarc, il est facile de l’attraper, même avecla main, D’ 
ailleurs on la tire aussi au fusil. 


REMARQUE. 

Plusieurs ornithologistes ont confondu cette espèce avec le: 
Larus parasiticus et Bechstein lui même la range, dans cette clas- 
se, au 4 vol. de son histoire naturelle universelle p. 669. Mais 
cette dernicre en diflère essentiellement, 1) en ce qu’elle est 
beaucoup plus grande, car elle a 19 à 20 pouces de longueur.2) 
ses tarses ont une écaïlle très rude. 5) Le milieu de la poitri- 
ne et la partie supérieure du col n’oflrent aucune tache, 4) 
La membrane en est absolument noire. 5) Les pieds sont 
noirs. Afin qu'on puisse mieux faire cette comparaison, nous en 


livrerons bientôt une figure très soignée. 


DIE MANTELMEVE, 


Schwatzrückige Meve. Scemeve. Grofse Seemeve. Gröfste bunte Meve: 
Geflekte grofse Falkenmeve. Grofse Sturmmeve. Grofse graubraune 
Meve. 

Larus marinus. Gmel. Lin. syft. 1.2. p. 5984n. 6. 

Larus nacvius. Gmel. Lin, syft. I. 2. p. 598. n. 5. Junger Vogel. 

Goeland à manteau noir. Buffon des ois. VIII. p. 403. t. 31. pl. enl. n. 996. 

Black-backed Gull. Latham synops. IIf. 2. p. 37t. n. 2. 

Goeland varié ou Grisard. Buffon des ois. VII. p. 413. t. 33. pl. enl. n, 
266. Junger Vogel. 

Wagel Gull. Latham synops. II. 2. p. 375. n. 6, Junger Vogel. 

Mantelmeve. Bechfteins gem. Naturgesch. B. 4. S. 653. 

Mantelmeve. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vögelkunde. 
B. IL S. 465. 


. KENNZEICHEN DER ART. 
W eils, Rücken und Flügel bei ganz Alten schwarz, bei Jün- 


gern bläulich dunkelgrau; die Schwungfedern mit weilsen Spi= 


LE GOFLAND A MANTEAU NOIR, 


Die Mantelmeve. Schwarzrückige Meve. _ Seemeve. 
Gröfste bunte Meve. Geflekte grofse Falkenmeve. 
ve. Grofse graubraune Meve. 

Larus marinus. Gmel. Lin. syft. I. 2. p. 598. n. 6. 

Larus naevius. Gmel. Lin. syft. I. 2. p. 598. n. 5. Junger Vogel. 

Le Goeland à manteau noir. Buffon des ois. VII. p. 405. t.31. pl. enl.n.990, 

Black -baeked Gull. Latham synops. Il. 2. p. 371. n. 2. 

Goeland varié ou-Grisard. Buffon des ois, VIII, p. 413. t. 33. pl. enl, n. 266, 
Junger Vogel. 

Wagel Gull. Latham synops. II. 2. p. 375. m. 6. Junger Vogel} \ 

Mantelmeve. Bechfteins gem. Naturgesch. B. 4. S. 653. 

Mantelmeve. Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vögelkunde, 
B. II. $. 465. j 


Grofse .Seemeve. 
Grofse Sturmme- 


CHARACTERES SPECIFIQUES. c 
Blanc. Le manteau et les ailes noirs dans lesindividus tout à fait 
vieux; dans les plus jeunes bleuatres gris foncé. Les pennes de 


tzen nicht sehr‘ weit über den Schwanz ragend; der Schnabel 
orangegelb mit einem karmoïsinrothen Flek auf der Unterkinn- 
lade; die Füfe röthlichweißs- » 


BESCHREIBUNG. 


Der alte Vogel: Der nakte Schnabel bis zur Befiederung: 
zwei paris. Zoll lang, stark, vorn'sehr hakenförmig herabge- 
krümmt, orangegelb, der Unterschnäbel unten hinter der Spitze 
mit einem: grofsen Höker besézt und mit einem rothen Flek be- 
zeichnet; der Augensterm zitronengelb ,; der Augeñliederrand 

-orangegelb ; der ganzeübrige Körper nebstdem Schwanze weiß; 
der Rücken , die obern Dekfedern der Flügel und die mittlern 
und hintern Schwungfedern bläulich dunkelgrau mit weifsen Spi- 
tzen ; die Afierflügelfedern weißs; die vordern Schwungfedern 
grauschwarz mit weifsen Spitzen; bei ganz Alten sind die ge- 
nannten dunkelgrauen Theile schwarz; die Fülse vierzehig , 
röthlichweifs, die Nägel schwarz, 


Die Flügelspitzen reichen etwas über die, Schwanzspitze 
hinaus. H 
Länge 27 — 28. Zoll; Breite 5. Fufs paris. Mafs. 


Das Weibchen ist wie alle Mevenweibchen, 
Männchen. 


gröfser als das 


Die ganz jungen Vögel sind mit dunkelgrauen Flaumfe- 
dern bedekt. Die einjährigen Jungen haben folgende Zeich- 
nung: der Schnabel ist schwarz, mit weifslicher Spitze; der 
Augenstern braun; der Augenliederrand hellweifs; die Füfse 
weifsgrau; Kopfund Hals weifs, mit vielen hellbräunlichen Stri- 
chen ; Ober- und Urterrücken, Schulter- und Flügeldekfedern 
braun, weifs und aschgraubunt geflekt; Steifs und After weifs, 
mit bleichbraunen Querstreifen ; die vordern Schwungfedern 
rufsschwarz, mit weifsen Spitzen, der Unterleib grau, mit \Yeils 
untermischt; der Schwanz-schwarzbraun und- weifs marmorirt 
und jam Ende der schwarzen Spitze weils gesäumt. Bei der 
zweiten Mauser werden Kopf, Hals und Brust reiner weils 
und der Flecken weniger, aueh der Unterleib weifser; die üb- 
rige Zeichnung ist noch dieselbe, nur dafs auf dem Ober- und 
Unterrücken und auf der Schulter einzelne bläulichgraue Federn 
sind, und der Schnabel am Grunde schmutzig braungelb ist. 
Einer der Verfasser besizt in diesem Alter ein Exemplar, dessen 
ganzes Gefieder graulichweifs, mit vielen bleichbräunlichen Siri- 
chen und Flécken versehen ist; die grofsen Schwungfedern sind 
statt schwarz , weifsgrau. 


Bei den dreijährigen Vögeln in der Mauser ist der Schna- 
bel hell strohgelb und schwarz geflekt, der Flek an der Kinn- 
lade sehr hellroth; der Augensiern braungelb ; der Augenlie- 
derrand orangebraun ; die Füße br äunlich ; der weifse Kopf 
und Hals nur noch mit wenigen Sean Strichen; der Unter- 
leib reinweils; der Mantel und die zweiten en 
dunkelgrau, bräunlich und weilslich gesprenkelt; den ersten 
Schwungfedern fehlen die weilsen Spitzen;/'der weilse Schwanz 
ist nur noch nach der Spitze zu dunkelbraun gesprenkelt. Im 
vierten Jahr bekommt der Vogel sein vollkommenes Gefieder, 


AUFENTHALT. 


Gewöhnlich lebt diese Meve an der Ostsee auf der Insel 
Stübber ; doch sieht man sie auch zuweilen auf dem Rhein und 


Main und auf den Flüssen Schlesiens zur Zeit ihres Zuges. 
Zweiter Band. 


vol & pointes noires, dépassant de peu de chose la queue. Le bec 
orange, avec une tâche cramoisi à la machoire inférieure ; les 
pieds blanc rougeätre, 

DESCRIPTION. 

Oiseau vieux: La partie nue du béc deux pouces de long 
jusqu'aux plumes; le bec fort, inferieurement très courbé en for 
me de crochet, orargé; la partie inférieure du bec ; armée en 
dessous d’un gros cran et marquée d’une taché röuge; l'iris cou- 
leur de citron, la bordure des yeux orangé, tout le reste du corps 
blanc ainsi que la queue. Le manteau, les couvertures supé- 
rieures des ailes et les pennies de vol du milieu et de l'arrière gris 
foncé bleuätre à pointes blanches; les fausses ailes blanches ; les 
pennes de vol antérieures gris noir àvec des pointes blarches ; 
dans les individus absolument vieux ces parties gris foncé se trou 
vent êlre noires. Les pieds ont ‘quatre orteils d’un blanc rou- 
geätre et les ongles noirs. 


Les pointes des ailes sont un pet plus, longues que l'extré- 
mité de la queue. h | 

Longueur de 27 à 28 pouces; envergure 5 pieds mesure de 
Paris. 

La femelle est comme dans toute cette espèce, plus grande 
que le mâle. RN 

Les tout jeunes individus sont couverts d'un duvet gris foncé. 
Les jeunes d'un an ont la livrée suivante: Le bec noir avec une 
pointe blanchäire; liris brun; la bordure des paupières blanc 
clair; les pieds gris blanc; la tte et le col blancs parsemés d’une 
quantité de traits brunätres clairs. Le haut et le bas du manteau, 
le $:-pulaire et les couvertüres des ailes bruns, bigarrés de taches 
blanches et gris de cendre; le eroupion et le sternum blancs, 
avec rayes transversales brun clair, Les pennes antérieures de 
vol noir de suie à pointes blanches; le bas ventre gris, entre- 
mélé de blanc. : La queue brun noir, marbree de blanc et son 
extrémité noire lisérée de blanc. Lors de la seconde mue la tête, 
le colet la poitrine deviennent d’un blanc plus net, le nombre 
des taches diminue et le bas ventre devient aussi pie blanc: Le 
reste de la livrée est toujours la même excepté que le manteau, 
les scapulaires et les épaules offrent quelques plumes isolées gris 
bleuätre et que le bec est à sa naissance d’un brun ; jaune sali. L” 
un des rédacteurs posséde un exemplaire de cet âge, dont tout 
le plumage est blanc grisätre, avec plusieurs traits et taches bru- 


natres päles; les grandes pennes de vol sont gris blanc au lieu 
de noir. 


Durant la mue les individus de trois ans ‚ ont le bec cou- 
leur de paille clair , tachetée de noir; la tache de la mâchoire 
d’un rouge éclatant. Liris jaune brun; la bordure des paupie- 
res orangé foncé, les pieds brunätres; le col et la tête blan- 
ches n’offrent plus que quelques rayes brunes. . Le bas ventré 
d’un blanc net; le manteau et les deuxièmes pennés de vol gris 
brun, moucheté de brun et de blanchâtre. Les premières pen- 
nes de vol n’ont pas la pointe blanche ; la queue blanche n'a des 
taches brun foncé que vers son extrémité. Le plumage de l’oi- 
seau est complet dans sa quatrième année, 


PATRIE, 


Cet oiseau habite ordinairement l'ile de Stubber sur la mer 
d'Allemagne, cependant on le trouve aussi quelque fois sur le 


Rhin et le Mein et sur les rivières de la Silésie, à l’époque de 
son émigration, 
G 8 


e es 60 


EIGENSCHAFTEN. 


Sie ist gesellschaftlich, dreist und besizt eine solche Stär- 
ke, dafs sie nicht nur ihre Bier, und die der Eidergans vor den 
Anfällen ihrer Feinde, des Kolkraben (Corvus Corax) und der 
Struntmeve (Larus parasiticus) schüzt, sondern auch den größs- 
ten-Lachs, wenn er den Flufs hinauf geht, angreift. An den- 
jenigen Stellen der Flüsse nämlich, die im Sommer seicht wer- 
den, kann der Lachs nieht überschwimmen, sondern mufs sich 
mit Hülfe seiner Flofsfedern und dureh Springen hinüber ar- 


beiten. Hier stöfst die Meve auf ihn‘, durchhakt mit ihrem 


Raubschnabel das Band, welches den Bauch mit den Flofsfe= 
dern verbindet, wodurch er denn. die Kraft verliert, sich weiter 
fort zu bewegen, und sterbend ihr zur Beute wird. Ihre Stim- 
me klingt wawag, wawag und ist den Bellen eines Hundes 
ähnlich, aufserdem läfst sie auch noch ein hellklingendes guio- 
vis vonsich hören, Die Isländer machen die Jungen zahm und 
füttern sie mit allerhand groben Speisen, behalten sie, ohne ih- 
nen die Flügel zu beschneiden, zwei Jahre, und setzen sie dann 
in Freiheit. Zuweilen kommen sie im darauf folgenden dritten 
Jahr wieder nach den Häusern und lassen sich füttern. 


NAHRUNG, 


Diese besteht vorzüglich in Schalthieren, aufserdem aber 
auch aus Fischen, jungen Vögeln und schwimmenden Aesern. 


FORTPFLANZUNG. 


Ihre, zwei bis drei grünlich dunkelgrauen , grob und fein 
schwarzbraun -geflekten Eier legen sie in den Sand auf öden 
Inseln, oder auf Klippen. Ihren Jungen bringen sie das Futter 
im Kropfe, 


NUTZEN. 


Man ifst das Fleisch der Jungen, ob gleich es unschmak- 
haft, grob und schwer verdaulich ist. Besser sind die Eier. 
Man hält sie auch des Vergnügens halber in den Häusern. In 
Island passen ihnen die Knaben auf und jagen ihnen die erben- 
teten Fische ab. Ihre Federn scheinen auch einer Bemutzung 
werth zu sein. Aus ihren Federbälgen verfertigen sich die Es- 
kimaux und Grönländer Kleidungsstücke. 


SCHADEN 
stiften sie dadurch , dafs sie Fische fangen. Ihre 
FEINDE 


sind der Kolkrabe, Corvus Corax, welcher ihren Eiern 
and Jungen nachgeht, und die Strunimeve Larus parasitieus;; 
von welcher sieso lange verfolgtwerden, bis sie ihre Beute fal- 
len lassen, die sie dann wegnimmt. 


JAGD UND FANG, 


Sie wird mit der Flinte erlegt. 


QUALITES. 

Cet oiseau est sociable, hardi et doué d’une telle force, que 
non seulement il défend ses oeufs et ceux de l’oie à duvet ou Ei- 
der, contre les attaques de leur ennemi le Corbeau, Corvus 
Corax et du Lable à longue queue, Larus parasiticus, 
mais qu’il attaque aussi dans les fleuves les plus grands saumon, 
quand ils remontent le fleuve. Lorsqu’ en été Peau du fleuve 
baisse, en certains endroits au point de ne pas laisser assez de 
profondeur pourque le saumon puisse y nager et qu’il est obligé 
de sauter pour avancer, alors le Goeland tombe sur lui, le frap- 
pe de son bec meurtrier et brise le lien qui réunit les nageoires 
au ventre, ensorte qu’il perd la force de se remuer et devient 
mourant la proie de son aggresseur. Le cri des Goelands for- 
me à peu près le son de wawag wawag et ressemble beau- 
coup à Paboiement d’un chien. Il pousse quelque fois un son 
plus clair comme guiovis. Les Islandois s'amusent à apprivoi- 
ser les jeunes et les nourrissent de différentes pätures grossiè- 
res, ils les gardent perdant deux ans, sans leur couper les ailes, 
ensuite is les mettent en liberté, 


NOURRITURE. 
Elle consiste principalement en testacées; otre cela ils se 


repaissent aussi de poissons, de jeunes oiseaux et de charognes, 
qui nagent à la surface des eaux. 


PROPAGATION. 
Leurs oeufs sont gris foncé, bigarrés de petites et de gros 
ses taches brun noir. Ils les déposent sur le sable dans des iles 


désertes, ou sur des rochers et ils apportent la nourriture à leurs 
jeunes , dans leurs jabots. - 


UTILLTÉ. 


On mange les jeumes, quoique leur chair soit grossière, dure 
à digérer et qu’elle ait peu de goût. On les garde aussi dans les 
appartements, pour servir d’amusement. En Islande les jeunes 
garcons les épient, pour leur enlever les poissons, qu'ils ont 
attrapés. On pourroïit aussi emploier leurs plumes et les Esqui- 
maux ainsi que Jes Groenlandois se servent des peaux des plu- 
mes, pour en faire des vétements. Le 


DOMMAGE 


qu'ils causent, consiste dans la pêche qu’ils font des pois: 
sons. Leurs 


ENNEMIS 


sont le Corbeau, Corvus corax, qui est à la recherche de 
leurs oeufs et de leurs jeunes, ainsi quele Lable à longue queue, 
Larus parasiticus, qui les poursuit avec acharnement, jus- 
qu à ce qu’ils aient laissé tomber leur proie, dont alors ils se 


$aisissent. 


MANIÈRE DE LES CHASSER. 
On les tire au fusil, 


DER SCHWARZBRAUNE MILAN. 


Schwarze Hünerweihe. Schwarze Gabelweihe. Schwarzer Falk, 
Kleine braune Gabelweile. 

Falco fusco-ater Nobis. Meyers und Wolfs Taschenb. der deutschen 
Vögelkunde, Th. I. S. 27. 

Falco ater. Gmel. Linn. syst. 'F. I. P.I. p. 262. n. 62, 

Milan noir. Buffon hift. nat. des ois. I. p. 203. pl. enl. n, 472. . 

Black Falcon. Latham synops..l. 1. p. 62. n. 14, . 

. Schwarzer Milan. Bechfleins gem. Nature. Dentschl. 23. Ausz. B: II. 
S. 605. Tab, XXI. 

Leisler’s Nachträge, erstes Heft, Seile go. nebst einer Abbildung des 
jungen Vogels. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Der Oberschnabel ohne Zahn; der Schwanz mit neun bis zelın 


63 


vollkommenen Bändern, die äufsern Schwanzfedern nicht über‘ 


einen Zolllänger als die übrigen. 
BESCHREIBUNG. 


Oberschnabel von der Spitze bis am die Wachshaut schwarz, 
Unterschnabel am Grunde gelblich, dann ins Braune und 
Schwarze übergehend; Wachshaut und Schnabelwinkel pome- 
ranzengelb; der Oberschnabel ohne Zahn, die Nasenlöcher ei- 
förmig, schiefstehend. Augenstern braungrau, Scheitel, Hin- 
ierkopf, Ohrgegend und Kinn weißslielr, mit schwarzbraunen, 
lanzettförmigen Schafistrichen; Oberrücken und obere Deckfe- 
dern der Flügel graubraun, mit hellern schmalen Rändern an 
den Flügeldeckfedern; Unterrücken graubraun; Schwungfedern 
dunkelbraun, die schmale Fahne der fünf ersten von der Mitte 
an schimmernd braunschwarz, die hintern äuf der breiten Fah- 
ne mit weifsen Queerstreifen, an den dunkeln Stellen ein fehr 
schwacher purpurrôthlicher Schimmer. Unterhals und Brust 
hellgraubraun, mit dunkelbrauren schmalen Schaftstrichen; 
Bauch, Schenkelfedern und untere Deckfedern des Schwanzes 
hellrostbraun mit schmalen, schwarzen Schafistrichen; der 
Schwanz mit der untern Seite hell bräunlichgrau, mit schieflau- 
fenden schwarzbraunen Bändern; auf der obern Seite graulich- 
braun, mit schwarzbraunen verloschnen Bändern, die auf den 
beiden mittlern Schwanzfedern am deutlichster sind. Auf der 
schmalen Fahne der äufsersten Feder sind die Bänder nicht 
merkbar; die zwei. mitilern Federn am kürzesten, die äufser- 
ste Feder nicht über einen’ Zoll länger als die mittelste, vom 
Grunde an bis zur Spitze gleichbreit, am Ende auf einmal an 
der breiten Fahne schräg abgerundet, daher die Schwanzgabel 
weniger spitzig und auch nicht so lang als bei dem rothen Milan, 
Falco Milvus ist; die Pülse gelb; die Nägel schwarz. 


Das Weibchen ist beträchtlich gröfser”als das Männchen, 
und wir besitzen ein schr altes Weibchen, das an Grölse dem 
rothen Milan nicht nachsteht. In Rücksicht der Farbe ist es 
“dem Männchen sehr-ähnlich, nur am Kopfe weniger weils, und 
mit deutlicheren Bändern auf der oberen Seite des Schwanzes, 


‘ 


Länge 1 Fufs 8 Zollbis 2 Fuß; Breite 43— 5 Fuß, 


Da dieser Vogel von mehreren neueren Ornithologen, na- 
mentlich von Bechstein sowohl in seiner gemeinnützigen Na- 
turgeschichte Deutschlands, als auch in seiner Uebersezung des 
Lathamischen Index ornithologicus, sodann von Vaillant in 


LE MILAN NOIR. 


Schwarze Hunerweihe. Schwarze Gabelweihe. Schwarzer Falk. Klei- 
ne braune Gäbelweilıe. 

Falco fusco ater, nobis. Manuel des oiseaux de ’Allemagne par Maye? 
et Wolf. Ter partie p. 27. 

Falco ater. Gmelin Linn. Syst. T.I. p. 1. p. 262. n. 62. 

Milan noir. Buffon hist. nat. des oiseaux, I. p. 203. pl, enl. n. 472, 

Black l'alcon. Latham Synops. I. p. 62. n. 14. 

Schwarzer Milan. Bechsteins gem. Naturgesch. Deutschl. 23. Ausg. 
B. II. S. 605. Tab. XXI. 

Leislers Nachträge ler Cahier, page go., avec la figure d’un oiseau 


jeune àge. 


_TRAITS CARACTERISTIQUES DE WESPECE. 


LA parlie supérieure du bec, non armée de denis; la queue 
ornée de neuf à dix bandes complettes. Les pennes extérieu- 


res de la queue ne dépassant les autres que d’un pouce. 
DESCRIPTION. 


La partie superieure du bec, depuis la pointe jusqu’au 
céra, noire, sa partie inférieure jaunätre devenant insensible= 
ment brun puis noir; le céra et le coin du bec jaune d’orange. 
La branche supérieure du bec non dentée; les narines ovales 
en travers; les prunelles brun gris; le sommet et le derrière de 
la tête, les alentours des oreilles. et le menton blanchätres et 
les brins des tiges noir brun eten forme de laneettes: Le manteau 
et les plumes supérieares des couvertures des ailes gris brun, 
avec bordures étroites plus claires aux plumes inférieures des’ 
mêmes couvertures. La région inférieure du:dos gris-brun, Les 
pennes de vol brun-foncé. La barbe étroite des cinq premieres 
du milieu d’un brun noir luisant, les suivantes avec des rayes 
transversales blanches et dans les parties plus foncées, chatoicés: 
Œur rouge de pourpre léger. Le bas du col et la poitrine gris 
brun clair, avec des brins étroits brun foncée aux tiges Le 
ventre, les plumes des culottes et les plumes inférieures couvrant 
la queue rouge de rouille clair, avec des brins étroits et noirs 
aux tiges. La face inférieure de la queue gris brunâtre clair, 
avec des bandes obliques brun noir, mais le côté supérieur brun 
grisätre, avec ornée de bandes de layde noir brun qui sont sur- 
Sur la 
barbe-étroite des-plumes de côté les bandes ne s’appercoivent pas, 


tout visibles sur les deux plumes du milieu de la queue. 


Les deux plumes du milieu de la queue sont les plus courtes... 
mais Ja dernière ne dépasse pas d’un pouce celle du milieu, elle 
est d’une largeur égale depuis sa naissance jusqu’au dérnier bout, 
mais à cette extrémité la barbe large est tout à coup arrondie 
de biais, de là vient que la fourchette de la queue est moins poin- 
tue et n’est pas non plus aussi longue que eelle du Milan rouge; 
Falco Mivus. 
femelle est considérablement plus grande que le mâle et nous 


Les pieds sont jaunes etles ongles noires. La 


sommes en possession d’une très vieille femelle, qui ne le cède 
point en grandeur au milan rouge. Quant à la couleur elle res- 
semble beaucoup au mâle, excepté que sa tête est moins blanche 
et que les bandes de la partie supérieure de la queue sont plus 
remarquables. 

Longueur 1 pied 8 pouces, jusqu’à deux pieds, Envergure 
& pieds 3 jusqu’à 5 pieds. 

Cet oiseau a été déclaré par plusieurs ornithologistes; 
nommément par Beehstein aussi bien dans son histoire naturelle 
universelle de l'Allemagne que dans sa traduction de PIndex 
Hh 


seiner Naturgeschichte der afrikanischen Vögel und van Nau- 
mann noch immer für den jungen Vogel des rothen Milans, 
Falco Milvus, erklärt wird, wir aber längst überzeugt waren, 
dafs beide als Arten verschieden sind, und einer der Verfasser 
in ‚seiner Sammlung Männchen, Weibchen und den jungen 
Vogel vom rothen Milan, und Männchen, Weibchen und den 
jungen Vogel im ersten Federkleide vom schwarzen Milan be- 
sitzt, beide Arten oft am Neste beobachtet, sie bei Eiern und 
Jungen geschossen und von beiden Arten die Jungen aufgezo- 
gen, von beiden Arten alie Vögel Jahre lang lebend erhalten 
hat: so können wir nun auch überzeugend darthun, dafs beide 
der Art nach verschieden sind und dafs daher der Streit als ge- 
schlichiet anzuschen ist, Zu dem Ende haben wir hier einen 
jungen schwarzbraunen Milan abbilden lassen und fügen eine 


Vergleichung zwischen diesem und einem jungen rothen Milan - 


bei. Schon bei der flüchtigsten Vergleichung bemerkt man, 
dafs der junge schwarze Milan bedeutend kleiner und schlanker 
ist; dafs er einen verhältnilsmäisig kleinern Kopf und Schwanz 
hat, welcher leztere nur wenig gabelförmig ist, und dafs seine 
Nacken - Schultern - und Flügeldeckfedern weit schmäler als 
beim rothen Milan sind, 


Junger rother Milan vor dem Junger schwarzbrauner Milan 
ersien Federwechsel. vor dem ersten Federwech- 


sel. 


— 


ornithologieus, par Le Vaillant dans son histoire naturelle 
des oiseaux d'Afrique, ainsi que par Naumann, pour l'oiseau 
jeune äge du Milan rouge Falco Milvus. Cependant nous 
soinmes déjà convaincus depuis longtemps que ces deu indivi- 
dus sont deux especes différentes et l’un des rédacteurs de cet 
ouvrage a dans sa collection le mâle et la femelle avec Foiseau 
jeune âge du Milan rouge et le mâle et la femelle ainsi que l’oi- 
seau jeune âge dans son premier plumage du Milan noir; ila 
souvent observé les deux especes dans leur nid, les a tirés sur 
leur oeufs et près de leurs jeunes; il a élevés les jeunes des deux 
espèces, a conservé longtemps vivans les vieux de l’une et de 
l’autre espece, ainsi nous pouvons prouver évidemment; que 
ces deux especes sont parfaitement distinctes et regarder la con- 
testation comme absolument terminée, C’est pourquoi nous 
avons fait représenter ici un oiseau jeune âge du Milan noir 
brun en y joignant la comparaison entre cet individu et un jeune 
Milan rouge. Il suffit d’un coup d’oeil fugitif pour remarquer, 
que le jeune Milan noir est de beau coup plus petit et plus élancé, 
qu'il a la tete et la queue proportionellenient plus petites, que 
celle-ci tient peu de la forme de la fourche et que sa nuque» 
son manteau et les couvertures de ses ailes sont beaucoup plus 
étroites, que celles du Milan rouge. 

Milan rouge jeune âge avantla Milan noir avant le premier 
premiere mue ou le premier changement de plumes, 


changement de plumes. 


Kehle und Wangen über zwei 
Zoll breit weils. 


Ohrenfedern weifs mit wenig 
- dunklen Strichen, 


Der Scheitel gelblich weifs, mit 
einzelnen rothen Flecken. 


Die Nackenfedern breit, gelb- 
lichweifs und rostroih ge- 
fleckt. 

Obérrücken und Schulterfe- 
dern braun, mit gelblichen 
Rändern, ohne besonderen 
Glanz, die Schulterfedern 
besonders sehr breit, 


Die Hauptfarbe der Brust rost- 
: roth, hellgelb gefleckt. 


Die Hauptfarbe der Hosen 
gelblich. Die Afterfedern 
gelblichweifs. Der Schwanz, 
wenn der Vogel rühig sitzt, 

- erscheint auf der untern Sei- 
te, besonders nach der Wur- 
zel zu, sehr hell gefärbt, fast 
weils, und ist nur sparsam 
bandartig gefleckt. 


Die Steifsfedern rostroth. 


Kehle und Wangen rostgelb. 
nur am Schnabelrande weifs. 


Ohrenfedern gröfstentheils dun- 
delbraun, wodurch hier ein 
dunkelbrauner Fleck ent- 
steht. 

DerScheitel dunkelbraun, stark 
rostgelb gestreift. 


Die Nackenfedern 
dunkelbraun, mit rostgelben 


schmal, 


Streifen. 
Oberrücken und Schulterfe- 
dern schwarz, ohne gelbli- 
che Ränder, 


an den Spitzen rostgelb, 


sondern nur 


stark 'glänzend,, die Schul- 
terfedern nur halb so breit, 
als beim rothen Milan. 


Die Hauptfarbe der Brust 
schwarzbraun rostgelb ge- 
flammt. 

Die Hauptfarbe der Hosen 
braun. Die Afterfedern 
zimmibraun. Der nicht aus- 


gebreitete Schwanz ist un- ! 


ten grau, mit sehr vielen, 
fast fingerbreiten schwarzen 
Bändern besetzt. 


Die Steifsfedern schwarzbraun 
mit rostgelben Spitzen, 


La gorge et les joues blanches, 
larges de plus de deux pou- 
ces. 


La plumes des oreilles blan- 
ches, avec un petit nombre 
de brins foncés. 


Le sommet, de la tête blanc 
jaunätre, avec quelques ta« 
ches isolées, rouges. 

Les plumes de la nuque larges, 
d’un blanc jaunätre et tache- 
tées d’un rouge de rouille. 

Le haut du manteau et les plu= 
mes des épaules brunes, avec 
bordure jaunâtre assez terne, 
les plumes des épaules sur- 
tout très larges. 


La couleur dominante de la 
poitrine rouge de rouille, ta- 
chetée de jaune clair. 

La couleur dominante des cu- 
lottes jaunälre, les fausses 

blanc  jaunâtre, 


Quand l'oiseau est tranquil- 


plumes, 
lement huché sa queue 
paroit en dessous, surtout 
vers sanaissance, d’une cou- 
leur tres claire, presque 
blanche, avec des taches ru- 
banées en petite quantité. 
Les 
rouge de rouille, 


plumes du sternum 


La gorge et les joues couleur 
de rouille jaune et blanches 
seulement aux environs du 
bec. 

Les plumes des oreilles pour 
la plupart brun foncé, d’où 
il résulte en cet endroit une 
tache brun-foncé. 

Le sommet de Ja tête brum 
foncé fortement rayé de 
rouille jaune. 

Les plumes de la nuque éfroi- 
tes, brun foncé, avec des 
rayes rouille jaune, 

Le haut du manteau et les plu- 
mes des épaules noires, sans 
bordurejaunälre, excepté les 
pointes qui sont jaune de 
rouille et trés luisantes; les 
plumes des épaules n’ont que 
la moitié de la largeur de 
celles du milan rouge, 


La couleur dominante de la 
poitrine noire, avec des flam- 
mes jaune de rouille. 

La couleur dominante des cu- 
lottes brune; les fausses plu- 
mes brun de canelle, Quand 
sa queue n’est pas déploiée 
elle est grise en dessous, or- 
née d’une quantité de rubans, 
noirs, presque de la largeur 
du doigt. 


Les plumes du sternum noir 
brun avec pointes rouges 


de rouille, 


Der zusammengelegte Schwanz Der zusammengelegteSchwanz 
auf der obern Seite rostroth, 
etwas braun gefleckt. 


oberhalb schwarzgrau, mit 

vielen etwas verloschenen 

schwarzen Bändern. 

Die. mittelste Schwanzfeder Die mittelsie Schwanzfeder £ 
23% Zoll kürzer als die äus- Zoll kürzer als die äufsern, 
sern. 


AUFENTHALT. 


Der schwarzbraune Milan bält sich in Frankreich, Eng- 
land und Deutschland auf. In letzterm ist er besonders in Oest- 
reich und in der Wetterau anzutreffen, wo er auch brütet, 
Seine Wohnorte sind Waldungen, die nahe bey Flüfsen oder 
Fischteichen liegen. Er ist in Deutschland ein Zugvogel. 


EIGENSCHAFTEN. 


Dieser Vogel verräth in seinem Betragen sehr viel Klug- 
heit und viel Gewandheit in seinem Fluge und in der Art, wie 
er sich seine Lebensmittel verschaft. Da er sich die Fische, 
seine Lieblingsnahrung, aus dem Wasser holt, so schwebt er 
auch wie der Flußadler (Aquila Haliaetus) über dem Wasser, 
und stürzt wie ein Pfeil in dasselbe hinein, um seine Beute her- 

‘aus zu holen. 

Er befindet sich in der Gefangenschaft bei der gröfsten 
Kälte munter und gesund, hingegen Falco Milvus stirbt in 
der Gefangenschaft bei starker Kälte. Indem einer der Verfas- 
ser dieses schreibt, ist es (d. 26. Decemb. 1812.) eilf Grad unter‘ 
o und doch ist sein lebender Falco fusco-ater munter und 
gesund. 


NAHRUNG. 


Solche besteht blos in Fischen, die er auf die eben beschrie- 
bene Art aus dem Wasser holt. Ausserdem stöfst er auch auf 
andere lebendige Thiere und im Nothfall begnügt er sich auch 
mit Âas. 


FORTPFLANZUNG. 


Sein Nest bauet er auf die Nebenäste sehr hoher Bäume, 
worin das Weibchen drei bis vier ı Zoll 10 Linien lange, schmu- 
tzige gelblichweilse, mit sehr vielen grofsen zusammen fliefsen- 
den braunen Flecken bedekte Eier legt. Die Jungen füttert er, 
so lang er sie haben kann, mit Fischen, daher auch sein Nest 
nicht so stinkt, als das vom rothen Milan. Einen 


NUTZEN 


wissen wir eben nicht von ihm anzuführen: 


- SCHADEN à 


stiftet er in den Fischteichen durch seine Lebensmittel, die 
er sich aus denselben’ holet. Seine 


FEINDE 


hat er vorzüglich an den Rabenkrähen, die ihn oft in seinem 
Fischfang stören, und ihm zuweilen grofse Fische, dieihn an 
der Ilucht verhindern, abjagen. 


JAGD UND FANG. 


Wenn der Flufs, welchen er des Fischens wegen besucht, 
flache steinige Stellen hat, wo das Wasser sehr reifsend ist, — 


N 


Quand l'oiseau a reploié sa La queue de l'oiseau étant 
queue, la partie supérieure. ploice, le dessus paroit gris 

noir, avec plusieurs bandes 

noires un peu éteintes. 


Les pennes du milieu de la: Les pennes du milieu de la 


paroit rouge de rouille, avec 
quelques taches brunes. 


queue de deux pouces # queue un demi pouce seule- 
plus courtes que celles de ment plus couries que celles 
côté, de côté, 
LE “ 
SEJOUR. 


Le Milan noir -brun séjourne en France, en Angleterre et 
en Allemagne. On le trouve surtout en Autriche et dans la Vé- 
teravie, où il se multiplie. Les lieux qu'il habite de préférence - 
sont les forêts, situées près des fleuves ou des lacs. En Alle- 
magne c’est un oiseau de passage 

QUALITES. 

Cet oiseau décele dans sa conduite beaucoup de prudence, 
une, grande agilité dans son vol et beaucoup d’adresse, dans la 
manière de-se procurer des. vivres. Comme il va chercher lui 
ntème dans l’eau les poissons sa nourriture favorite, il plane, 
à l'exemple de l’aigle aquatique (Aquila Haliaetus) au des- 
sus de l’eau et s’élance dedans, avec la rapidité du trait, pour 
en tirer sa proie. 

Dans la captivité même et par le plus grand froid, il con- 
serve sa vivacilé et sa santé, tandis que le Falco Milvus périty 
quand il est captif et par un tres grand froid. , Au moment, où 
lun des rédacteurs écrit ces lignes, le 26. Décembre 1819. le: 
froid est à onze dégrés au dessous de o et cependant son faucon: 
fusco ater est plein de vivacité et de santé, 


NOURRITURE.. 


Sa nourriture principale consiste en poissons, qu’il attrape: 
dans l’eau, de la manière qui a été rapportée ci-dessus. Outre: 
cela il se nourrit aussi d’autres animaux vivants et en: cas de be 
soin il se contente aussi de charogne: 


PROPAGATION. 


U bâtit son nid sur les branches secondaires d'arbres très 
éléves, où la femelle dépose 5 à quaire oeufs, d’un pouce 10 
lignes de longueur, d’un blanc jaunàâtre sale, parsemé d’une 
quantité de grosses iaches brunes, qui se marient ensemble. Il 
nourrit ses jeunes de poissons, iant quil peut en avoir, de là 
vient que son nid n’est pas aussi puant que celui du Milan rouge, 
Quant à son 


a vas 
UTILITE, 
nous n’en connmoissons aucune, 


Mais il cause du 


DOMMAGE, 


dans les étangs poissonneux, en les mettant à contribution pour 
sa nourriture, 
Les principaux 
ENNEMIS 


sont les corneilles et les corbeaux, qui le troublent souvent dans 
sa pèche, et qui lui enlevent souvent de gros poissons, dont le 
volume l’incommode dans sa fuite. 


MANIERE DE LE PRENDRE, 


Si la riviere, qu'il visite pour y attraper du poisson, offre 
des places pierreuses et horizontales’ou l’eau coule avec rapidité, 
li 


m 


der gewöhnliche Aufenthalt vieler Fische zur Laichzeit, — so 
kann man den schwarzbraunen Milan hier aus einem Hinter- 
halt schiefsen, da er täglich diese Stellen besucht. 
gelingt diefs an seinem Horste, weil er jedesmal, ehe er sich 
demselben nähert, die Gegend umkreist, und bei jeder unge- 
wöhnlichen Erscheinung sich entfernt hält, 

Man fängt ihn auch zuweilen in der Tellerfalle und im 
Habichtsstofs, doch nur auf dem Zuge; denn an seinem: ge- 
wöhnlichen Aufenthaltsort kennt er zu gut die fischreichen Plä- 
tze, als dafs er einer ihm minder angenehmen Nahrung wegen, 
seine Scheu und Klugheit verläugnen sollte. 


Schwerer 


BEMERKUNG, 


Da wir diesen Raubvogel nicht bloßs alt und jung in unsern 
Kabinetten ausgestopft, sondern ihn auch im Leben beobachtet, 
bei dem Neste geschossen, seine Lebensart genau kennen ge- 
lernt, und ihn genau beschrieben und abgebildet haben; so 
möchte nun wohl die Verschiedenheit beider Arten, nämlich 


des Falco Milvus und des Falco fusco-ater keirrem Zweifel mehr | 


unterworfen seyn und die Fierren le Vaillant, Bechstein und 
Naumann werden also wohl ihre Behauptung, dafs der schwarz- 
braune Milan der junge Vogel des rothen Milan sey, zurück 
nehmen mülsen. 


(qui est ordinairement le séjour des poissons, durant la fraie) 
c’est là qu'on peut le tirer du fond d’une embuscade; car il fre- 
Cela est plus difhcile 
à exécuter dans sa forêt, car avant de s’en approcher, il a soin 


quente'journellement de pareils endroits. 


d’en inspecter la circonférence, et à la moindre apparition étran- 
gere, xl s’en éloigne. 

On le prend aussi quelque fois au traquenard ou au filet à 
faucon, mais ee n’est que quand il file; car dans la contrée 
qu’il habite ordinairement, il connoit trop bien les places, 
abondantes en poissons, pour renoncer à sa timidité et à sa 
prudence ordinaires, en faveur d’une nourriture, qui lui seroit . 
micins agreable. 


REMARQUE. 


Comme nous possédons cet oiseau, dans nos cabinets, jeu= 
nes el vieux, non seulement empaillés, mais que nous en avons 
observé de vivans, que nous en avons tirés près de leurs nids, 
que nous ayons par conséquent eu occasion d'observer leur genre 
de vie, ce qui nous a mis en état de les décrire exactement et 
d’en donner une figure de la plus grande fidélité, la distinetior 
des deux especes, savoirleFalco-Milvus etle Faleo fusco- 
ater ne sera certainement plus sujette à aucune difficulté et 


Messieurs le Vaillant, Bechstein et Naumann retracteront sans 
doute leur assertion, que !e Milan noirbrun, n’est autre chose, 
que le Milan rouge. 


DER ROTHE MILAN. 


Gemeine Milane, Mälane. Weichmilans Weib. Rôthliche Weihe, 
Gabelweihe. Königsweihe. Gabelgeier. Schwalbenschwanz. 
Schwimmer. Hüneraar. Scheerschwänzel. 

Falco Milvus. Gmel. Linn. syst. T.I. P.I. p. 267. n. 12. 

Falco austriacus. Gmel. Linn. I. e. p.262: n. 63. der Junge.) 

Buffon des ois. I. p. 197. t,7. pl. enl. n. 424, 

Kite or Glead. Lath. synops. I. p. 6x. n. 43, 

Der rothe Milan, Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vö- 
gelkunde. Th. I. S.25. n. ı. 

Borkhausens und Bekkers etc. tentsche Ornithologie,; Heft 5. Männ- 
ehen und Weibchen. t 


Milan royal. 


KENNZEICHEN DER ART 


Oberschnabel mit einem stumpfen Zahn; Oberleib schwarz- 
braun, mit rostrothen Federrändern; Schwanz rostroth mit un- 
vollkommenen Bändern, die zwey äussersten Federn desselben 
über zwey Zoll länger als die mittelsten. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist von der Wurzel an gerade, nach vornen- 
hin sehr gekrümmt, mit einem stumpfen Zahn und die obere Spi- 
tze weit über die untere herab gehend, die Wachshaut und 
die Schnabelwinkel schön ockergelb, die Näsenlöcher rurdlich, 
der vordere 'Theil des Schnabels schwarz oder schwarzbraun, 
bei sehr alten Vögeln der ganze Schnabel gelb; die Augenge- 
gend gelblich; der Augenstern blafsgelb; der Kopfan sich klein 
und nebst dem obern Theil des Halses weils mit braunen Stri= 
chelchen, durch die sehr vielen Federn aber scheinbar groß, 
daher er leicht durchs Ausstopfen, wenn die Kopfhaut zu weit 
heruntergezogen wird, klein erscheint. 
Halses oben rostroth mit einem schwarzen Flecken auf jeder 


Der übrige 'Theil des- 


LE MILAN ROUGE. 
Gemeiner: Milane. Mälane. Weihmilane. Weih. Röthliche Weihe, 
Gabelweihe. Königsweihe. Gabelgeier. Schwalbenschwanz, 
Schwimmer. Huübneraar. Scheerschwänzel. 
Falco Milvus. Gmel. Linn. Syst. T. I, P.I. p.261. n. 12. 
Falco austriacus. Gmel. Linn, 1. 
Milan royal. Bufon des Ois. I. p. 197. T. 7. ph enlaminde, n.424, 
Kite,or Glead. Latham, Synops. I. p. 61. n, 43, 
Der rothe Milan. Manuel des Oiseaux de l'Allemagne de Meyer et 
MATIN TEE 
Borkhausens und Beckers teutsche Ornithologie Calı. 5. 


femelle, 


c. p. 262. n. 63. oisean jenne âge, 


Mile et 


CARACTERES DE L’ESPECH, 


Ex branche supérieure du bec, armée d'une dent obluse; la 
partie supérieure du corps noir brun, l'extrémité des plumes li- 
sérées de rouge de rouille; la queue rouge de rouille avec des 
lisérées imparfaits; les deux pennes extérieures de la queue plus 
2 
longues de deux pouces que celles du milieu. 
Le) ? 


DESCRIPTION. 


Le bec en ligne droite, à commencer de Ja racine, {rés 
courbe vers l'extrémité, avec une dent émoussée et la pointe su- 
périeure depassant de beaucoup l’inférieure; le eerä et la racine 
du bec, d’un beau jaune d’ocre; les narines rondelettes; Ja par- 
tie antérieure du bee noire eu noir brun; les oiseaux très âgés 
Les alentours des 

La tête en elle 


ont le bec absolument et entièrement jaune. 

yeux sont jaunâties; la prunelle jaune pâle. 
meine petile et de couleur blanche, ainsi que la partie supe- 
rieure du col, avec de petits brins bruns. Par la quantité de 
places vuides elle a seulement l’apparence de la grosseur, mais 
quand elle est empaillée et que la peau de la tête est trop tirée en 


bas, elle reparoit alors petite. Le reste du col est en dessus 


Feder; der Rücken schwarzbraun mit roströthlichen Rändern; 
der Unterrücken rostbraun, an den obern Deckfedern der Flügel 
schwarzbraun, mit breiten rostfarbigen Spitzen. Die langen 
‚ Schwungfedern gekrümmt, die fünf vordern braunschwarz, auf 
der breiten Fahne. vom Grunde an bis zur Mitte schön weils; 
die sechste in der Mitte schwarzbraun, gegen den Rand der 
schmalen Fahne ins Hellbräunliche, auf der breiten ins Weifse 
übergehend; die folgenden Federn eben so, nur haben sie auf 
Der 
Schwanz lang und gabelförmig, rostroth, mit unvollkommenen 
“schwarzbraunen Bändern , welche jedoch. den: beiden: miltelsten: 
zuweilen fehlen. und von: denen: das unterste das breiteste ist; 


der breiten Fahne weiïfse und dunkelbraune Bänder. 


die äufserste Feder auf der schmaler Fahne allmählig schmal 
und spitzig zulaufend und über zwei Zoll länger als die mittel- 
sten; Unterhals,. Brust, Bauch- und’ die sogenannten: Scehenkel- 
federn rostroth mit breiten, schwarzbraunen Schaftllecken; un- 
tere‘ Deckfedern des Schwanzes blafs rostrolh, mit braunen: 
Schäften; die Füfse pommeranzengelb, die Nägel halb zirkel- 
förmig gekrümmt, spitzig, oben rund, unten fach, der hintere 
Nagel am stärksten und längsten; die äufsere und. mittlere Zehe 
am Grunde mit einer grôisern Haut versehen, als bei andern’ 
Valken; die Flügelspitzen endigen sich 23 Zoll vor der Schwanz 
spitze, 

: Länge 2 Fuis 2 Zoll... Breite 4 Fufs 8 Zell. 

Das Weibchen ist größer, denn es mifst in der Länge 2 
Fufs 2 Zoll und die Breite4 Fufs ı ı Zoll. 


Das Weibchen'unterscheidet sich’vom: Männelien nur durch 
die Grölse und durch hellere Farben. 


Die ‚ungen haben vor dem’ ersten Federwechsel folgende‘ 
Zeichnung: Kehle und Wangen über zwei Zoll breit weils; 
‘Ohrenfedern weils mit wenigen" dunkeln Sireifen; der Scheitel: 
gelblichweiß ‚mit einzelnem’wothen Flecken; die Nackerfedern' 
breit gelblichweifs und rostroth gefleckt; Oberrücken-braun, mit 
gelblichen Rändern, ohne besöndern Glanz;, die Schulterfedern: 
besonders sehr breit;. die Hauptfarbe der Brust rostrolh-hellgelb 
gefleckt ; die’ Hauptfarbe der Hosen! gelblich; die Äfterfedern‘ 
gelblichweifs; der Schwanz auf: der untern Seite, besonders 


nach der Wurzel zu, sehr hell gefärbt, fast weifßs und ist nur’ 


sparsam bandartig gefleckt; Schwanz auf der obern Seite rost- 
rolh, etwas braun gefleckt,  Dierganz Jungen sind, wenn sie 
ans dem Neste genommen werden, völlig: in weifse, Federdunen 
gehüllt , aus welöhen nach Verschiedenheit des Alters, mel 
“oder weniger, die hervorkeimenden- rostrothen Federm hervor- 
stehen. Der Augenstern ist bey diesen! graubraun;; die, Wachs- 
haut blafsgelb, ‘der Schnabelwinkel und die -Fülse grünlich- 


B elb. >: | ig se s 


«AUFENTHALT. 


Der rothe Milan verbreitet sich über ganz Europa bis Nor- 
wegen, Asien und bis in das nördliche Afrika. In Deuisch- 


land ist er gemein und wird fast überall, wo gebirgige Wälder 
und grofse Feldhölzer sind, in deren Nähe weite Ebenen liegen, 


angetroffen. Er ist ein Zugvogel, der int März bey uns eintrift, 
im Septeniber und Oktober aber wieder wegzieht. Er bleibt 
auch zuweilen im Winter bey uns und zwar nicht blofs in ge- 
"linden, sondern auch in sirengen, wie z. B. in dem Winter 
1802, wo’einer der Verfasser am 18, Januar ein Exemplar 


65 = 


rouge de rouille, avec une tache noire sur chacune des plumes. 
Le dos est noir brun, avec bordures de rouille rougeâtre, la 


partie inférieure du dos brun de rouille, et les plumes superieu- 


res de la couverture des ailes noir brun avec des pointes larges 
couleur de rouille. Les longues pennes de vol courbees; les 
cinq antérieures brun roir; la barbe large d’un beau blane de- 
puis la naissance des pennes jusques vers le milieu; la sixieme 
du mikhew noir brun, vers l’extrémité de la barbe étroite cha- 
toise de brun clair et de biane sur la barbe éiroite. Les pennes 
suivantes ont les mêmes nuances, éxcepié que la barbe large 
offre des bandes: blanches et brun foncé. La: queue est longue 
et en forme de fotrclie, rouge de rouille avec des bandes inéom- 
plettes noir brun, qui cepeñdant mañqüent quelque fois aux 
deux: du milieu et dont la plus inférieure est la plus large. La 
penne extérieure s’amincissant insensiblement ét devenaut plus 
pointue et dépassant de deux pouces celles du milieu La par- 
tie inférieure de la poitrine, le ventre et les plumes des culôttes’ 
rouge de rouille, avec des taches larges noir brun aux tiges; les 
couvertures inférieures de la queue simplement rouge de rouille 
avec des tiges brunes, Les pieds jaune orangé, les ongles cour- 
bés en demi cercle et pointus, plats en dessus el en dessous, 
Les orteils 
du milieu'et les extérieurs recouverts d’une plus grande peau que 


l’ongle postérieur est le plus fort et le plus long. 
celle des autres faucons.. Les pointes des ailes dépassent de 
deux pouces et + la pointe de la queue. 


Longueur deux pieds deux pouces,  Envergure quatre’ 


pieds huït pouces, 


La femelle est plus grande que le mâle, car elle a 2 pieds’ 
2 pouces de longneür ef quatre pieds 11 pouces d'envergure! 

La femelle ne se distingue du mâle que par sa grosseur et 
par des couleurs plus claires que celles du mâle. 

Voici quelle est là livrée des jeunes, avant quils aient suhi 
la premiere mue. 

ba gorge et les joues, blanches’et plus de deux pouces de’ 
largeur ; les’ plumes des’ oreilles blanches, ayec un petit nombre 
de,rayes obscures. L?occiput blanc jaunätre,,- avec des taches 
rouges isclées: Les plumes de la nuque largement tacheiées d’un 
blanc jaunätre et de rouge deroüille. Le manteau est brun avec 
des: lisérés: jaunâtres,. sans avoir un'grandéclat; les plumes des 
épaules particulièrement irès larges. La couleür dominante ile la 
poitrine couleur de rouille, avec ‚des taches jaune clair. Le 
jaunâire domine aussi dans les culoites, les fausses plumes 
sont d’un blanc jaunätre. Le dessous de la queue, principale- 
ment vers sa naissante, offre une couleur tres elaire et presque 
blanche et n’oflre que quelques taches en förme de rubans; la 
partie supérieure de la queue est rouge de rouille avec quelques 
taches brunes. Les-oiseaux: tout jeunes, quand on les prend hors 
de leurs nids sont absolument vêtus d'un édredon blane, qui à 
mesure de leur croissarice et suivant la différence de l’âge se 
change plus ou moins en plumes couleur de rouille rouge. Leur 
prunelle est gris brun, le cérascouleur de cire jaune, le coin du: 
bec-et les pieds jaune verdâtre: 


SÉJOUR. 


Le Milan rouge étend ses courses sur toute l'Europe, du 
côté du nord jusqu’en Norvege et au midi en Asie et jusqu'a l'A 
frique septentrionale. Ilest commun en Allemagne et on le ren- 
contre presque partout où il ya des bois montagneux et.des fo- 
rêts altenantes à de vastes plaines: C’est un oiseau de passage, 
qui arrive dans nos contrées au mois de Mars, mais qui file tous 
les ans en Septembre et en Octobre: Cependant il reste aussi 
quelque fois parmi nous, quand les hyvers ne sont par rigou- 


reux et même, quoique rarement, quand le froid en est très 


Kk 


erhielt, das aufeinem Vogellieerde bey Nürnberg gefangen wur- 
de. Esist auch bey andern Zugvögeln der Fall, dafs einzelne 
bey uns überwintern, doch sind diefs wahrscheinlich solche 
Individuen, die entweder durch Krankheit, oder späteres He- 
cken, oder irgend eine andere besondere Ursache vom Weg- 
zug abgehalten werden. 


EIGENSCHAFTEN, 


Er ist ein träger, feiger, und ziemlich scheuer Raubvogel, 
den die Krähen und Raben, besonders wenn er sieh in der 
Nähe ihrer Nester blicken läfst, sehr verfolgen: er weils sich 
dann in einer solchen Noth nicht anders, als dadurch zu reiten, 
daf er sich zu einer fast unermelslichen Höhe hinauf schwingt, 
Sein Flug ist 
sehr leicht, wozu ihm seine langen Schwingen und sein langer 


wohin ihm seine Verfolger nicht folgen können. 


Schwanz sehr sehr behülflich sind. Er schwebt oder schwimmt 
vielmehr in weiten Kreisen umher, fast ohne einen Flügel zu 
bewegen, und gehört daher mit Recht unter diejenigen Vögel, 
die man wegen ihres sanften, mit wenigen Bewegungen ver- 
Er holt daher auch, 
wenn er mitten im Walde horstet, ohne sonderliche Beschwer- 
de, täglich meilenweit von dem freien Felde seine Bente, Im 
Frühjahr und Herbste halten sie sich zusammen und machen oft 
eine Gesellschaft von 40—6o Stücken aus. Sie schweben als- 
dann niedrig über der Erde weg, und setzen sich einmal um 


bundenen Flugs, Schwimmer nennt. 


das andere nieder. Ausserdem setzen sie sich selten und nur in 
der heïfsesten Mittagszeit, wenn sie Schnecken und Regenwür- 
mer fangen. Alsdann ziehen sie Steine und Erdklôfse im freien 
Felde den Bäumen vor. 
nen Vogel im Fluge erhaschen, welches darin seinen Grund 
hat, dafs sie, wie alle Vögel, deren Flug mehr von dem grofsen 
Umfang des Gefieders, als von den Muskeln abhängt, nicht 
solcher schnellen Abänderungen ihrer Bewegungen fähig sind, 
wie diejenigen Vögel, bei denen das umgekehrte Verhältnifs 
statt findet, z. B. die Habichte und Edelfalken. Sie bedie- 
nen sich beim Ergreifen ihrer Beute überhaupt mehr ihrer Füfse 
als des Schnabels. Ihrem Raub erlauern sie von der höchsten 
Flöhe herab, in welcher sie sich hin und her wiegen, und so- 
dann bey Ürblickung eines Thieres auf dasselbe mit der gröfsten 


Sie sind ungeschickt und können kei- 


_ Leichtigkeit herabstofsen, 


Seine Stimme lautel wie kyk kyäh. Die noch im Dunen 
eingehüllten Jungen, welche man aus dem Neste nimmt, heu- 
ten fast wie kleine junge Hunde hy—a! hya hıya hy.  Ausser- 
dem haben Alte und Junge noeh eim gewisses Geschrei, das sie 
hören lassen, wenn man sie beunruhiget, und einem Geklirre 
ähnlich ist. 
schwer ist, liegen sie beständig aufder Erde und versteeken ilın, 
und stellen sich wie tod, wenn man sie berührt. Wenn sie et- 
was erwachsen sind und sich allein glauben, so lanfen sie zu- 
weilen mit ausgebreiteten Flügeln auf dem Boden ihres Behält- 
In der Gefangenschaft dauert er wenigstens sechs 


Mit ihrem Kopfe, der grofs und für sie noch zu 


nisses herum. 
bis acht Jahre. 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus Maulwürfen, Feldmäusen, kleinen jun- 
gen Schweinchen, jungen Trut- und Haushühnern, Rebhüh- 
nern, jungen Gänsen, Enten, jungen Tauchern, Wasser- und 
Meerhünern, Lerchen, Fröschen, verschiedenen Schlangen, 
z. B. Blindschleichen, Nattern, Eidechsen, Schnecken und Re- 
genwürmeru. Auch tode Fische und anderes Aas verwirft er 


66 


piquant, comme par exemple dans P’hyver de ı802, où l’un des 


rédacteurs de cet ouvrage en recut un, le 18. Janvier, qui avoit 
été pris aux filets près de Nuremberg. La même chose arrive 
aussi par foisà d’autres oiseaux de passage, qu’on a vus hyverner 
parmi nous. Mais ces individus isolés ont été vraisemblable, 
ment empèchés, par des maladies ou par une couvée tardive, 
ou par quelqu’ autre raison particulière, de se joindre à la cara= 


vane de leurs camarades, lors:de leur départ. 


QUALITÉS. 

Cet oiseau de proie est un être lâche, paresseux et passab- 
lement timide, que les corneilles et les corbeaux poursuivent 
à outrance, surtout lorsqu'ils P’appercoivent: dans le voisinage de 
leurs nids. Dans cette extrémité, il ne sait d’autre expedient, 
pour leur échapper, que de s'élever, en volant, à une hauteur 
immense, où ses persécuteurs ne peuvent le suivre. Son vol est 
très léger, à quoi les longues pennes de ses ailes et de sa queue 
Jui sont d’une grande utilité. Ilse balance où pour mieux dire 
il nage dans les airs, en décrivant des cereles immenses sans 
presque remuer ses ailes et par conséquent il appartient avec 
raison à cette classe d'oiseaux, qu’on appelle nageurs, à {cause 
de la légereté de leur vol, accompagné de mouvements presqu’ 
imperceptibles, Par ce moyen fait-il journellement, quand 
il habite les bois, sans beaucoup de peine des lieues entières, 
pour emporter sa proie du milieu de la plaine, Au printemps et 
en automne ils font société ensemble et forment quelque fois des 
troupes de quarante à soixante individns. Ils planent alors 
fort bas près de la terre et s’y reposent de temps emtemps. Sans 
cela ils descendent rarement à terre et seulement dans les cha- 
leurs de midi, lorsqu'ils donnent la chasse aux escargots et aux. 
Alors ils préfèrent les pierres et les mottes de terre en 
Ils sont si mal adroits, qu'ils ne 


vers 
rase camıpagne aux arbres. 
peuvent attraper aucun oiseau en volant, La raison en est, qu’à 
Pexemple de tous les oiseaux, dont le vol dépend plus de l’ampte 
volume de leurs ailes que des muscles, ils ne sont pas capables 
de changer aussi promtement de direction, que les espèces. d’oi- 
seaux, dont les proportions sont absolument différentes ou même 
inverses, tels que les vautours et les faucons gentils: Pour sai- 


‘ sir leurs proyes, ils se servent généralement plutôt de leurs. ser- 


- vipères, lezards, en escargots et vers de terre. 


res, que de leurs becs. Ils épient leurs proyes d’une hauteur 
très considérable, ‘où ils se balancent dans tous: les, sens, et des 
qu'ils appereoivent un animal à leur conyenance, ils fondent sur 
lui avec la plus grande légéreté, 

Leur voix produit le son de Kik Rüh. Les jeunes encore 
couverts d’édredon, quand on les enleve de leurs nids, pous— 
sent des cris semblables a ceux des jeunes chiens, comme qui 
direithy-a! hya hya hy. Outre celui-là les jeunes et les vieux 
ont encore um cri,: qu’ils font entendre, quand on les inquiète 
et qui ressemble à nn cliquetis. Quant à leur tete, qui est grosse 
et même trop pesante pour eux, ils la baissent constamment vers 
la terre et lorsqu'on les touche, ils la cachent et font semblant 
d’être morts. Quand les jeunes sont un peu avancés et qu’ils 
se croyent seuls, ils parcourent quelque fois le plancher de leur 
cage en courant et en déployant leurs ailes. _ Cet oiseau peut 


vivre dans la captivié, au moins sept à huit ans. 
NOURRITURE. 


Elle consiste en taupes, rats des champs ou mulots, pe- 
tits pourceaux très jeunes, jeunes dindons, .poulets, perdrix, 
jeunes oies et canards, jeunes plongeons, poules d’eau, alouettes, 
grenouilles, différentes espèces de serpens, telles que couleuvres, 
Il ne rebute 
pas non plus les poissons morts et autres charegnes, c’est pour 


Ei 


hicht, weswegen er denn auch längs dem Ufer der Flüfse hin- 
schwebt. In der Gefangenschaft nimmt er, wenn er einmal et- 
was gezähmt ist, mit allerhand thierischen Speisen vorlieb. Wie 
andere seines Gleichen, giebt er auch das Gewölle von.sich, 
Einer der Verfasser gab einem lebendigen rothen Milan vor sei- 
nem 'Tode 3 Finken zu fressen. Vierzehn Stunden darauf fand 
er den Kropfleer, das Gewölle aber ohne alles Fleisch als einen 
änglichrunden Ballen im Magen liegen. 


FORTPFLANZUNG. 


Ehe sich der rothe Milan paart, sieht man öfters beide Ge- 
schlechter, zuweilen auch drei bis vier Männchen und nur ein 
Weibchen, in der Luft herumfliegen. Sie machen alsdann- die 
geschicktesten Schwenkungen, necken einander und belustigen 
oder verfolgen sich, wobei man die hellen Töne kih, kih. hört. 
Das Weibchen legt zw Anfang des Mai drei, zuweilen vier rund- 
liche, weifsliche, mit blafsgelben und röthlichen Flecken, Punk 
ten und kleinen Strichen bezeichnete Eier, welche es innerhalb 
drei Wochen. ausbrütet. Gewöhnlich aber werden: nur zwei 
grofs gezogen. Sie erheben sowohl im Neste als auch wenn sie 
schon-ausgellogen sind und die Alten mit dem. Fuiter ankommen 
schen, ein grofses Gesehrei, wodurch sie sich leicht.verrathen. 


NUTZEN: 


_süften sie durch Verzehrung der Maulwürfe, Feldmäuse und 


des Aases, wodurch die Luft verunreiniget wird. Da sie bei 
heiterm Himmel hoch, bei bevorstehenden Regen aber niedrig 
fliegen und ein dumpfes Geschrei erheben, so kan man sie als 
Wetterpropheten ansehen. 


SCHADEN: 


Diesen richtet er zum Theil durch seine Nahrung an; in- 
dem er Gänse, Enten und Hüner wegfängt, 


FEINDE, 


Diese sind einige Falkenarten, z. B: der Sperber, F. Nisus, 
ungeachtet dieser klein, und verschiedene Rabenarten:, z. B. 
Corvus Corax und Corone, welche ihn verfolgen: und ihm öf- 
ters sogar seinen Raub abjagen. Von den Kiebitzen wird er 
gleichfalls verfolgt. Auf seinem Körper findet man die Thurm- 
falken-Laus (Pediculus 'Tinnuneuli), und in seinen: Gedärmen 
mehrere Arten von Würmern, z. B. Egelwürmer, Fasciola, 
Zwirnwürmer, Filaria, Rundwürmer (einer der Verfasser fand 


zwey Spulwürmer im Magen von 2 Zoll Länge) und verschiede- ' 


ne Arten von Bandwürmern, 
JAGD UND FANG 


Wenn man diesen Raubyogel schiefsen will, so kann es 
nur im dicken Walde, oder aus einem Hinterhalte geschehen, 
indem er im Freien nicht leicht mit der Flinte sich beikommen 
Jäfst. Im T'ellereisen kann man sie lebendig fangen, wenn man 
auf dieselbe einen Maulwurf und in Ermangelung dessen, ein 
Stück Fleisch bindet. 

VERSCHIEDENHEIT. 

Von dieser Art sind als Abarten bekannt: 

1.) Der weißse, Falco Milvus albus 

2.) mit mehr weifsem Kopfe, Hals und Unterleib; 

3.) mit kastanienfarbigem Scheitel und Kehle. 


BEMERKUNG. 
Dafs die noch mit weifsen Flaum bedeckten Jungen, in An- 
sehung ihrer Grölse sehr verschieden sind, und von dreien in 


quoi il plane souvent au bord des fleuves, pour en faire sa curée. 
Dans la captivité, il s’accomode toutes les espèces de nourri- 
tures, qui proviennent du regne animal, quand il est une fois 
apprivoisé. Comme les autres oiseaux de proie de son espèce, 
il rend les. plumes des animaux volatiles, qu'il a dévorés. L’un 
des rédacteurs donna à un Milan rouge, avant sa mort, 3 pin- 
çons. pour sa pitance. Quatorze heures après il trouva son ja- 
bot vuide,, mais les plumes étoient restées dans son estomac, 
sans la moindre chair, roulés en une petite balle de forme ovale. 


PROPAGATION. 


Avant que le Milan rouge s’accouple, on voit souvent les: 
deux amoureux. et quelque fois- aussi treis ou quatre mäles et 
seulement une femelle voltiger ca et là dans les airs. Ils font 
toutes sortes d’adroites évolutions, se provoquent et se diverlis- 
sent en faisant entendre les sons aigus kih.kih. La femelle pond 
au comméncement de Mai trois à quatre oufs, rondelets blan- 
châtres, marqués de taches, de points et de petites rayes d’un 
jaune blanc et rougeätre, qu’elle est trois semaines à faire êclore, 
Cependant ordinairement elle n’en éleve que deux. (Ceux-ci, 
aussi bien quand ils sont encore dans le nid, que quand ils 
Pont quitie, poussent, en voyant arriver les vieux, des:cris, qui 
les trahissent. aisément. Leur 


UTILITÉ, 


est sensible, en ce qu'ils devorent les taupes, les mulots et les 
charognes et que par ce moyen, ils assainissent l’air infecté par 
leurs exhalaisons. D'ailleurs comme ils. s’elevent. fort. haut, 
quand le ciel est serein et qu’ils volent tres-bas et poussent des 
cris sombres, quand on’est menacé de pluies, on peut-les cousi= 
dérer comme des espèces de barometres, Le- 


DOMMAGE,, 


que des niseaux nous causent par leur maniere de se nour- 
rir, consiste en ce qu'ils dévorent les oies,- les: canards: et 
d’autres volailles, 


ENNEMIS: 


Ceux-ci sont quelques espèces de faucons, tels que Peper- 
vier, Falco nisus, quoique celui-ci soit petit sttprès de lui;. 
differentes espèces de corbeaux, tels que Corvus Coraxet C. 
Corona, qui le poursuivent et lui arrachent même quelque fois 
sa proie. Il est aussi exposé aux persécutions du vanneau. On- 
trouve sur son corps l’insecte, appelé Pediculus Tinnun- 
culi et dans ses boyaux différentes sortes de vers, comme par 
exemple Fasciola, les ülandres Filaria, les ascarides. L’un. 
des rédacteurs, erttr'autres a irouvé 2 ascarides de 2 pouces de 
longueur dans son estomac et différentes espèces de vers solitaires: 


MANIERE DE LES PRENDRE, OU BE LES TUER: 


Quand on veut tuer cet oiseau de proie, ce ne peut être 
que dans l'épaisseur du bois ou dans une embuscade, car il est’ 
impossible de l’aborder au fusil en’rase campagne. On peut les 
altraper vivans au traquenard, lorsqu'on y attache une taupe ou 
à son défaut un morceau de viande. 


VARIÉTÉS. 
On connoit comme variétés de cette espèce: 
1.) Le Milan blanc, Falco Milvus albus; 


2.) Avec une tête plus blanche, col et bas ventre de même, 
3) Avecle sommet de la têteet la gorge couleur de chataigne. 


REMARQUES. 


Nous avons aussi remarqué que les jeunes, encore couverts 
de leur duvet blanc, sont d’une grandeur très inégale et que 


Li 


einem Neste das eine auffallend kleiner ist, haben auch wir be- 
obachtet. Doch ist diefs auch bei andern Raubvögeln der Fall, 
denn da diese bald allein fressen,’ so nehmen die Aeltesten öfters 
dem Jüngsten, als dem schwächsten, die von den Alten ihnen 
vorgelegte Nahrung weg,. wodurch sie also schneller wachsen. 
Die Samenbläschen eines im März erhaltenen Exemplars wa- 
ren walzenförmig, an beiden Enden etwas dünner, 1 Zoll lang, 
3 Zoll dick, die Gedärme vom Magen bis zum After 5 Fufs 
lang, 


DER SCHWARZFLÜGELIGE 
STRANDREUTER. 


_Strandreuter. Strandläufer. Riemenfufs. Riemenbein. Rothfüfsiger 
Riemenfufs. Langfufs, Langbein. Dünnbein. 

Himanlopus melanopterus. Nobis. Der schwarzflügelige Strandreuter 
Meyers und Wolfs Taschenb. d. deutschen Vögelkunde B. II. S. 315. 

Charadrius himantopus. Gmel. Linn. Syst. I, 2. p. 690. n. ır. 

L’Echasse. Buffon des ois, VII. p. 114, i. 8. pl, enl. n. 878. 

The long -legged Plover. 


Stelzenläufer, 


Latham synops. III. 1. 105. n. 3. 


Himantopus vulgaris. Bechstems ornithol. Taschenbuch, 8. 325. n, 1. 
mit einer Figur, 

Himantopus rufipes. Bechstein. Dessen gemeinnützige Naturgesehichte 
für Deutschland. Zweite Ausgabe, Band IV. S. 446. 

Naumanns Vögel. III. S. 52. Taf. 12. fig. 12. 

Borkhausens ete. deutsche Ornithologie, Helt 4, +. 5. junges Männchen, 
Heft 13. t. 5, altes Männeliem. 


KENNZEICHEN DER ART. 


Der Schnabel schwarz; die Füfse blutroth; Oberrücken und 
Flugel schwarz; Unterleib weifs. 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ı $ Zoll lang, schwarz, von der Wurzel bis 
zur Spitze allmähkg schmäler, die Oberspitze sanft niedergebo- 
gen und etwas über die untere vorstehend; die Nasenlöcher 
schmal; der Augenstern karmoisinroth; der Kopf klein und 
rund; die,Strn weils, Scheitel und Hinterhals schwarz, bei 
sehr alten weils; Wangen grau; Mücken, obere Flügeldeckfe- 
dern und Schwungfedern schwarz mit schwachem grünen Glan- 
ze, leztere auf der innern Fahne mit einem breiten weißen 
Saum; Unterrücken weils; Schwanz graulichweils, die äufser- 
ste Feder fast ganz weifs, zugerundet; Unterhals und der ganze 
Unterleib rein weiß; die Füfse lang; dünn, zusammengedrükt, 
blutroth, über dem sogenannten Knie weit hinauf nakt, die äus- 
sere Zehe mit der mittlern durch eine kleine Haut am ersten 
Gliede verbunden; die Nägel schwarz. Die Flügelspitzen reichen 
2 Zoll über die Schwanzspitze hinaus. 

Länge 16 Zoll, Breite 2 4 Fufs Par. Maafñs. 


Das Weibchen ist etwas kleiner als das Männchen; der 
Oberrücken desselben mehr braun als schwarz, und die Flügel 
weniger schwarz als beim Männchen. 

Die Jungen haben einen grauen Scheitel und Hinterkopf; 
der ganze Oberleib ist lichtbraun, mit schmutzigweifsen Feder- 
rändern; die längsten Schwungfedern einfarbig schwarz, die 
folgenden weifsgesäumt; die grofsen Dekfedern der Flügel nach 
vorne zu dunkelbraun, glänzend und. die vordersten untersten 


breit weifsgesäumt; die Unterseite wie bei den Alten; die Füfse 


. lorsqu'il yen a trois dans un nid, Pnn est de beaucoup plus pe- 


tit que les autres. Cependant ceci arrive également parmi les 
autres oiseaux de proie, car comme ils apprennent de bonne 
heure à manger d'eux-mêmes, les ainés enlevent souvent aux 
plus jeunes la nouriture que leur présentent les vieux et croissent 
en conséquence plus vite que le culot. Les petites bourses de 
la semence d’un de ces oiseaux jeune âge, attrapé an mois de 
Mars, étoient cilindriques et un peu plus minces à l'extrémité; 
leur longueur étoit d’un pouce et leur largeur d’un demi pouce, 
Les boyaux depuis Pestomae jusqu’au sternum, . avoient cinq 
pieds de long. 


IL’ ECHASSE 
OU LE COUREUR DE RIVAGE AUX AILES NOIRES. 


Riemenfufs. Riemenbein. 


Dünnbein. 


Strandläufer. 
Langfufs. Langbein. 
Himantopus melanopierns. Nobis Der schwarzflügelige Strandreuter, 
Manuel des oïseaux de l'Allemagne de Meyer et Wolf. T. II. p.315. 

Charadrius Himantopus. Gmel. Linn. Syst. I. 2. p. 6go. n. zı. 
L’Echasse, Buflon des oiscaux VIII. p. 114. T.&. pl. enl, n. 878. 
"The long -legged Plover. 
Bechsteins ornithol. Taschenbuch S, 325. n, ı, 


Strandreuter. 


Rothfüfsiger 


Riemenfufs. Stelzenläufer. 


Latham Synops. III. 1. 195. n. 3. 

Himantopus vulgaris. 
avec une figure, 

Himantopus rufipes. Bechstein. Dessen gemeinnützige Naturgeschichte 
für Deutschl. 2te Ausgabe, Vol. IV. p. 426. 

Naumanns Vögel. III. p.52. planche 12. fig, 12. 

Borkhausens ete. deutsche Ornithologie, Cabier 4. pl. 5. jeune mâle, 
Cahier 18. 1. 5, vieux mäle. 


‘ 


CARACTERES DE L’ESPECR. r 


Le bec noir, les pieds rouge de sang; le manteau et les ailes 
noirs; le bas ventre blanc. 


DESCRIPTION. 


Le bec un pouce # de longueur et noir; diminuant insen- 
siblement de largeur depuis la racine jusqu’à la pointe; la pointe 
supérieure un peu courbée et dépassant de quelque chose la 
pointe inférieure; les narines étroites; la prunelle cramoisi; La 
tête petite et ronde, le front blanc; le dessus de la tete et le der- 
rière du col noirs et blanchis dans les individus très âgés; les 
joues grises. Le dos, les couvertures supérieures des ailes et les 
pennes de vol noires, chatoieés de verd, ces dernieres ayant un 
large liseré blanc sur la barbe intérieure. La partie inférieure 
du dos blanche. La queue blanc grisätre, la penne extérieure 
presque tout à fait blanche et arrondie, 


et applalis, rouges de sang, absolument nuds jusques fort avant 


Les pieds longs, minces 
au dessus du genou. Lorteil extérieur réum à celui du milieu 
par une peau mince à la première jointure. Les ongles noirs, 
Les pointes des ailes surpassent la queue de 2 pouces. 

Longueur 16 pouces; envergure deux pieds 1 ? mesure de 
Paris. 

La femelle est un peu plus petite que le mâle; elle a le man- 
teau plutôt brun que noir et les ailes moins noires que le mâle. 

Les jeunes ont le devant de la tête et l’occiput gris. Toute 
la partie supérieure du corps est d’un brun clair et la bordure 
des plumes d’un blanc sale ; les pennes de vol les plus longues 
noir uni et les suivantes lisérées de bianc. Les grandes cou- 
vertures des ailes à leur naissance brun foncé, luisantes et les 
pennes antérieures de dessous, avec large bordure blanche; le 


schmutzig orangefarbig, das sogenannte Knie unförmlich 
dick. 


AUFENTHALT. 


Der schwarzflügelige Strandreuter bewohnt |Amerika von 
Connecticut an bis nach Jamaika, Sina, Ostindien, die Tatarei 


und die Gegend des Caspischen Meeres. In Europa findet mar 
ihn an der Ostsee, vorzüglich in Ungarn in grofsen Brüchen und 
an der Donau: er kommt auf seinen Zügen im Mai und Julius. 
auch nach Deutschland. In einigen Gegenden Schlesiens-soll 
er an Sümpfen und bewachsenen 'Veichen nisten, 


EIGENSCHAFTEN. 


Er wandert aus den nördlichen in die südlichen Gegenden. 
Im Fluge, der sehr schnell ist, strekt er seine langen Beine hin- 
ten weit hinaus, so dafs es aussieht, als habe er einen rothen 
Schwanz. Er kann sehr schnell laufen, daher vermuthlich sem 
Name: Strandreuter. Seine Lokstimme ist, wie Naumann ver- 
sichert, ein helles Gacksen und Pfeifen. 


NAHRUNG. 


Diese besteht aus Froschlarven, Fliegen, Mücken und 
Wasser - Insekten. 


FORTPFLANZUNG, 


Er brütet in grolsen Brüchen und Sümpfem "Weiter ist 
von seiner Foripflanzung nichts bekannt, 


- NUTZEN. 


Das Fleisch der Jungen wird gegessen. Diese werden da- 
her auch im Herbstezu Wien auf den Markt gebracht. 


SCHADEN, 
ist uns. keiner bekannt, Eben so wenig, seine 


FEINDE, 


JAGD UND TANG. 


‘Zur Zeit seines Zuges wird er auf dem Wasserherde ge- 
* fangen. Man kann ihn auch mit der Flinte erschleichen. 


” 


69 


côté inférieur comme chez les vieux. Les pieds couleur d’orange 
sali et le genou d’une grosseur informe, 


SEJOUR. 


T’échasse séjourne en Amérique depuis la -province de 
Connecticut jusqu’à lile de la Jamaique, la Chine, les Jndes 
orientales , la 'Tartarie et les environs de- la Mer Caspienne: 
En Europe on rencontre cet oiseau sur les bords de la Mer du 
Nord, et principalement en l’Hongrie, dans de grands maréca- 
ges sur les bords du Danube et il arrive en Allemagne par gran 
des troupes, dans les mois de Mai et de Juillet. On prétend, 
qu'il niche en Silésie près dés marais et sur le bord des lacs, 
couverts de plantes et d’herbages. 


QUALITÉS. 


Quand il file des’ contrées du nord vers: celles du midi, son 
vol,est très -rapile, il étend ses longs pieds extrêmement en ar- 
rière, ensorte qu'il semble avoir la queue rouge. Il court tres- 
vite, de la sans doute vient le nom de Strandreuter: coureur 
de rivage, que lui donnent les Allemands. Son cri d'appel est, 
au dire de Nauman, un clair gloussement. et sifflement, alter 
nalifs, 


NOURRITURE. 
Elle consiste en nymphes de-grenouilles, cousins, mouches 
et autres insectes aqnaliques, 
PROPAGATION. 
‚Nons n’en savons rapporter autre chose, sinon qu’il fait 
son nid dans de grands marécages. 
= L 
UTILITE. 
On mange la chair des jeunes: Aussi les vend-t-on dans 
les marchés de Vienns en Automne. Le 
DOMMAGE, 


qu'il peut causer, nous est aussi peu connu, que ses 


e 


ENNEMIS. 
_ Quant & la 
MANIERE DE LE CHASSER OU DE LE-PRENDRE, 


on lattrape, quand il file, dans des filets cachés sous l’eau. 
On peut alors aussi Patteindre au fusil. 


70 


DIE SCHMAROTZERMEVE, 


Streuntjäger. Strandjäger. Gestreifier Strandjäger.  Langschwänziger 

Strandjäger. Polmeve. Polarmeve. Arktische Meve. 
Schwarzzehige Meve. 

Larus parasilicus. Gmel. Linn. Syst. 1. 2. p. 6or. n. 10. 

Meyers und Wolfs Taschenbuch der deutschen Vögelkunde. Th. 2. 
S. 490: n. 9. 

Catarrhacta parasitica. Brunn. Ornitlr. n. 127. 198. 

Labbe à longue queue: Buffon des ois: VIII. p. 445. pl. enl. n. 762. 

Arctic Gull. Létham synops. Ill.!2. p. 889. n. 16. t, 99. Uebersetzung, 
VI. S. 342. n. 16. t. 106. altes Männchen.. 

Arctic Bird, Edw. Gleans. t. 148. 149, 


Seligmannus Vögel, V. 1.43. altes Männchen und.t. 44. junger Vogel, 


Î 


KENNZEICHEN DER ART. 


Schnabel kurz > mit stark gekrümmter -Oberspitze ; Fülse 
schwarz, starkbeschuppt mit spitzigen Warzen; die zwey mitt- 
lern Schwanzfedern länger als die übrigen ; Scheitel schwarz ;. 
Oberleib dunkelbraun, Unterleib. weils; 


BESCHREIBUNG. 


Der Schnabel ist 17 Zoll lang , von: der Wurzel bis über 
die Nasenlöcher mit einer dünnen olivenfärbigen VW achshaut; 
die hakenförmige Spitze schwarz; der Unterschnabel mit eiirer' 
Hervorragung vor der Spitze; die Nasenlöcher länglich an der 
Krümmung stehend; der Augenstern braungelb ; Scheitel und: 
Gesicht schwarz ;, Nacken und Halsseiten.. gelblichweifs ; Rü- 
cken, Flügel und Schwanz dunkelbraun, lezterer 6 Zoll lang, 
die zwey mittlern Federn um ı Zoll länger als die übrigen ; 
die obern Schwanzdekfedern dunkelbraun mit weifslichen Kan- 
ten ; die Kehle weilslich mit feinen dunkelbraunen Längsstri- 
chen ; der Unterhals und die Seiten: des Unterleibes weifslich 
mit vielen dunkelbraunen Wellenlinien, (nach Bechstein auf der 
Brust mit einem. aschblaulichen oder dunkelbraunen- Bande) der 
übrige Unterleib ganz weils; die untern Schwanzdekfedern dun- 
kelbraun geflekt; die Füfse schwarz, mit rauhen an der hintern: 
Seite hervorstehenden Schuppen; die Schwimmhaut schwarz; 
die Nägel schwarz und sehr gekrünmt ; die Hinterzehe tief un- 
ten und 7 Linien: lang, Die Flügelspitzen endigen sich etwas 
über einen halben Zoll vor der Schwanzspitze.. 


Länge 19, — 20. Zoll, Breite 29, Zoll, 


Das Weibchen: ist dem Männchen fastganz ähnlich, nur dafs: 
ersteres nach Fabrizius. kleiner seyn: soll,, die: schwarze Kopf-- 
platte breiter und die Rückenfarbe sich an: der Seite wie eini 
Halsband vorziehe,, aber nicht schliefse.. 


AUFENTHALT. 


Diese Meve lebt an: den: nördlichen: Küsten von Europa;,. 


Asia und Amerika, besonders: ist sie in Grönland und. an den: 
Englischen: Küsten und: Inseln häufig, in: der Nord: Osisee aber 
seltener... Nach: der Versicherung des Hrn. Hofr. Langsdorf 
brütet sie aueh auf den beinahe noch unbekannten: Inseln St. 
George und St. Paul, N. N. westlich: von Unalaska. Sie konmt: 
zuweilen auch nach Deutschland. Im. Jahr 1805, den. 15. Ju— 


LABBE A LONGUE QUEUE. 


Die Sehmarotzermeve: Streuntjäger: Strandjäger. Der gestreifte Strand- 
Jäger. Langschwänziger Strandjäger. Polmeve, Polarmeve. 
Arktische Meve. Schwarzzehige Meve. 
Larus parasiticus. Gmel. Linn. Syst. I. 2. p. Got. n, 10: 
Manuel des oïseaux de P’AHcmagne par Meyer ct Wolf. Töme2. p. 493. 
Catarrhacta parasilica. Brimn Ornithol. n. 127. 128, - 
Labbe à lougue quene. Buffon des ois. VIII. p, 445, pl. en]. n. 762. 
Arelic Gull. Latham: Synops IIF. 2. p. 389. n. 16. T. 99. Traduct : 
VI, P. 342: n, ı6. t.. 106. vicux mâle. 
Arctic bird. Edw. Gleans. t, 148. 149. 
Seligmanns Vögel. V,t. 43. vieux mâle, 
et t. 44, jeune oiseau. 


CARACTERISTIQUE DE L’ESPECE. 


Le bec court, avec la pointe supérieure très-arquée, les pieds 
noirs , couvert de fortes écailles et verrues pointues. Les deux 
pennes du milieu de la queue plus longues que les autres ; le 


sommet de la tête noir; la partie supérieure du corps brun fon- 


cé; la partie inférieure-blanche: 


DESCRIPTION. 


r 


Le bec long d’um pouce 7, couvert, depuis la racine jus 


ques par dessus les narines, d’une membrane déliée couleur 


&elive „ la pointe crochue noire ; la partie inférieure du bec dé-- 


bordant la supérieure a la pointe. Les narines en long placées 
à la courbure du bec. La prunelle orangée; le sommet de la 


tête et la face noirs. La nuque et les deux cotés du col blanc: 


jaunätre. Le manteau, les ailes et la queue brun foncé; celle- 


ci longue de 6 pouces, les deux pennes du milieu d'un pouce 


et demi plus longues que les autres ; les pennes des couvertu- 


res supérieures de la queue avec bordures blanchâtres. La gorge’ 


blanchätre avec des brins déliés, brun foncé en longueur. Le 
bas du col et les côtés du bas ventre blanchätres, avec une 
quantité de lignes ondoyantes brun foncé ( suivant Bechstein 
avec une bande bleu cendré où brun foncé) le reste du bas ven- 
tre absolument blanc. Lies pennes inférieures-des couvertures'de 
la queue tacheiées Les pieds noirs, couverts d’ecailles rudes 
et avancani en dehors La membrane noire, les ongles noirs 
et tres courbés Les: orleils de derriere très bas et de la lon- 
gueur de 7 lignes. Les pointes des ailes finissent à plus d’un: 
demi pouce de l'extrémité de la queue: 
Longueur 19 à 20 pouces, envergure 29 pouces. 


La femelle ressemble presqu? entièrement au mâle, si ce: 


n’est que la première, suivant Fabricius, doit être plus petite, la 
calolte noire plus large et que la couleur du manteau s’avance 


sur le devant presqu’en: forme de collier, sans pourtant que les 


deux branches se touchent. ; 


SÉJOUR OU PATRIE: 


Cette espèce d'oiseau habite les côtes septentrionales de‘ 


l'Europe, de l’Asie et de l'Amérique. On le rencontre surtout 
fréquemment dans le Grônland,. sur les: côtes d'Angleterre et 
dans sesiles, mais-plus rarement sur les’ côtes de la mer du nord 
vers l’est. Si l’on en croit l’assertion de Mr. le Conseiller Langs- 
dorf,. il couve aussi dans: les îles presqu’ encore inconnues de 


St. George: et de St, Paul, nord nord ouest d’Unalaska. 11 passe: 


ni wurde ein Exemplar: bey Kostheinr.am Main: geschossen; 
Gröfstentheils- hält sie sich: auf. offenen: Meere und‘in seinen 
Buchten auf, im nördlichen‘ Asien zieht sie sich aber auch auf 


71 


den Flüfsen-bey hundert Meilen ins Land hinein. In England 


ist sie ein. Zugvogel,. der im.Mai. ankommt und. im. August 
wegzieht. 


EIGENSCHAFTEN. .- 


Sie- ist gern in» der: Nachbarschaft. anderer Meven; Scee-- - 


schwalbensund ‚Taucher,  obgleich‘sie selbst zu ihres Gleichen» 
sich -wenig.hält, indem man.immernur zwei.bis drei beisammen“ 
antrift. Ihr Flug ist leicht-und schnell Diese: Schnelligkeit 
zeigt sie besonders;. wenn.sie andere Vögel verfolgt. Sie fängt 


sich nämlich ihre Nahrung nicht immer selbstaus dem Wasser, .- 


sondern - verfolgt: andere: Vôgel,. welche Nahrungsmittel im: 


Schnabel oder. in»der: Speiseröhre haben; . so lange, . bis-diese- 


aus allzustarker- Bewegung, oder:aus Furcht, oder‘ um«sich 


leichter zu machen, den Raub’von’sich-brechen und: fallen -las- - 


sen, welchen sie alsdann; che- er in das - Wasser herabfällt, 
aulfängt -und- verzehret Aus diesen Grunde: erlieben andere 
Meven und'Seeschwalben;, ‚sobald sie sie erblicken, ein-grofses 


Geschrei. Sie verfolgt eine nach der andern; bis sie sich gesät-- 


tiget hat. Da sie sehr leicht ist und .ein grofses Gelieder hat, so 


kann sie nur bis an-die Rlügel untertäuchen und schwimmt nicht: 


gern. Ihre Stimme lautet-wie Ja Ja. Sie ist nicht scheu und: 


läfst sich.in-Grônland durch vorgeworfene Fische, und indem : 
man das-Wort.lab; lab, ausspricht, herbey locken. Ihre : 


NAHRUNG. 


besteht gewöhnlich aus Fischen., Aüch die Eier soll-sie* 


den -Lidergänsen:aus-ihren: Nestern -rauben. 


FORTPFEANZUNG.. 


‚Sie bauctilir Nest Kunstlos aus Gras und Moos auf Hügel, - 
welche in sumpfigen Orten oder ‘an Heideplätzen am Str Na: 
sich befinden, worin sie zwey aschgraue,.-mit:schwarzen: Fle- 
eken‘verseliene Bier: legt... a 


\ NUTZEN. 


Sie hat ein mageres: Fleisch. ImNorwegen: sieht: man sie 
gerne, weilsie ein-gutes Merkmal von-der-Ankunft der-Häringe 
und Schollen- ist. 


SCHADEN 


mag sie wohl nicht süften.- Man müfste ihr denn-den- Raub- 
der: Bidergäusen - Eier. zunı- Verbrechen -anrechiren. - 


FEINDE- 


von-ihr sind uns-nicht bekannt. 


JAG D’UND-FANG.- 


Dasie nicht scheu ist,- so kan sie leicht durch vorgewor- 


fene Fische herbeygelockt und‘geschossen werden. Die Islän-- 


der töden-sie mit Siôcken, oder werfen- sie mit W urßpießsen, 
wenn sie auf dem Wiesner schläft. 

Gewöhnlich-aber sucht man: ihr Nest auf und legt Schlin-. 
gen: über dasselbe, worin-sie mit. dem Kopfe hängen. bleibt, 


wenn'sie sich auf. dasselbe setzen: will Auch:mit: Netzen: wird: 


sie bey. dem.Neste gefangen: 


aussi quelque fois en“Allemagne. Le ı5. Juin’ 1805. il en fut 


aussi tue un pres -de Kostheim sur le Mein. 1 habite de prefe- 
rence la-pleine mer ou les-bayes.- Mais: dans l’Asie septentrio-- 


nale on l’a vu aussi s’avancer sur-les fleuves, cent milles enavant 


dans le pays. En:Angleterre c’est un oiseaude: passage, qui‘ 


arrive en-Mai.et part au mois d’Août.. 


QUALITES:.: 


Cette espèce de Labbe aime la société des'antres espèces 
dé Labbes, dés hirondélles de mer et des plongeons; quoiqi’elle 
se tienne rarement avec celles de son espèce et qu’on’ les‘tfouve 
rarement plus de deux à‘trois-ensemble. Son: vol est légér et 


rapide. Elle: manifeste surtout cette’ vitesse dans la ‘poursuite: 


des autres oiseaux. Car elle n’attrape pas toujours sa proie elle- 


même sur le bord de l’eau, mais-elle poursuit d’autres: oiseaux, - 
qui portent leur nourriture dans leur bec où dans le gosier, jus- 
qu'à ce que ceux-ci, fatigués du“trôp grand exercice; ou par” 
crainte ou pour serendre plus-legers , rendent là proie et la: 


laissent tomber: elle la saisit alors, avant qwelle ne soit tombée 


dansl'eau et la devore. C’est par cette raison que les”autres - 
Labbes: et les-hirondelles de mer élevent de grands cris A son- 


aspect, comme pour sonner le tocsim.' Mais’elle les poursuit 
l’üne après lautre jusqu'à ce qu'elle soit rassasiée. Car il lui 


estplus diflicile qu'aux autres, de plonger et de mager, étant 
tres-legere et ne pouvant entrer dans l’eau. gie jusqu'aux ailes à - 
cause de leur grandeur. : Son'eri ressemble au son de ya ya. Du 
resie elle n’est point sauvage et dans le Grönland on l’attire en: 


lui-jettänt des poissons el en l'appelant Lab Lab.- Sa 


NOURRITURE - 


consisté ordinäirement en poissons. lle derobe aussi les 


oeufs dés oies à duvet, qu’elle va prendre jusque dans leurs nids: 


PROPAGA'FION.: 


L 8 A,» à ee “ e AE 3 9° S 3 + 
Elle bâtit son‘nid, sans beaucoup d’art avec de l'herbe ei 
de la mousse sur des collines ou élévations, qui se trouvent en“ 


des lieux marécageux ou des-bruyères-sur la bord des rivières, 


La femellé y dépose ordinairement deux oeufs gris éendré,-mar 


ques’ de taches-noires.” - 


UTILITÉ... . 


Le Labbe n'offre qu'une maigre chair. Cependant on le voit 


arriver avec plaisir enNorvege, parcé qu’elle pronostique lPar-- 


rivée des harengs:et des’soles. Quant au: 


DOMMAGE, 


elle semble-n’en apporter aucun, ‘à moins qu'on’ ne li: 


fasse un crime d’enlevér-les- oeufs des-oiés-à duvet, 
Ses. 


ENNEMIS: 


ne nous sont pas connu. 


MANIÈRE DE LA PRENDRE, OU D’EN: FAIRE: 
LA’ CHASSE, 


ar à De e Fr 5 . TE a °” 
Comme cet'oiseau West point sauvage, il est aisé de Patti- 


rer à la portée du fusil, en lui jetant des poissons. Les Islan-- 
dais la tuent à coups: de bäton, ou la percent de leurs’javelots, - 


quand’elle dort: sur l’eau. - 


Communément on’cherche à découvrir son-nid et l’on y tend” 


undacet, auquel il reste pris par la tête, quand il veut s’y porter. 
On l’attrappe aussi dans-des filets; tendus-auprès du nid. 


Nr 


Len 


BEMERKUNGEN. 


Diese Meve ist häufig mit der Felsenmeve, Laruscrepi- 
datus, verwechselt worden. Bechstein in-seiner Naturgeschichte 
te Aufl. B. IV. S. 667. u. f. zieht auch die von Prof. Otto be- 

. schriebene Art hieher, welche die Gröse einer Holztaube hat. 
Aber sowohl] die Grölse als auch die Farbenzeichnung scheint 


eher auf die Felsenmeve als auf die Schmarozermeye zu passen.- 


Eben so wenig gehört hieher die von Bechstein S. 660. a: 

a. ©. angeführte Falkenmeve. Larus crepidatus und die auf 

eben derselben Seite weiter unten. von Latham. beschriebene 

Meve, Naumanns Struntiager. B. IH. S, 181. gehört gleichfalls 

‘zu der im vorigen Hefte beschriebenen und abgebildeten Felsen- 
meve Larus crepidatus.. 


Es ist überhaupt unter diesen mit einer Waehshaut. verse 


henen Mevenarten:bei den-Schriftstellerm eine grofse Verwirrung, 
und es scheint, dafs auch noch unter der eigentlichen Felsenmeve 
zwei Arten. verborgen liegen, denn wir besitzen zwei-sehr’ kleine, 
einer Lachtaube an-Gröfse gleichkommende Meven dieser Art, mit 
langen mittleren Schwanzfedern, und wieder mehrere andere 
diesem Paar ähnliche, welche aber bemah so grofs wie Larus 
glaucus, und deren mittlere Schwanzfeder nur: unbedeutend 
größser sind wie die übrigen, und die auch sehr in der Farbe 
von den kleineren. abweichen. 


72 


OBSERVATIONS. 


Cette espèce de Labhe a été fréquemment confondue avec I 
Babbe des rochers Larus: crepidatus. : Bechstein, dans 
son histoire naturelle 2. édition, V. IV. p. 667. classe aussi dans 
cette espèce Poiseau décrit par le Professeur Otto, qui a la gros 
seur du pigeon ramier. Mais autant par sa grandeur que par la 
couleur de sa livrée, elle semble plutôt appartenir au Labbe 
des rochers qu’a celui à longue queué. 

On ne peut pas non plus ranger dans cette espèce le Labbe 
à longue queue, Larus crepidatus cite par Bechstein 
p. 669. ainsi que le Labbe, décrit plus bas sur la même page 
par Latham. Le chasseur de rivage de Naumann, T. III. p.181. 


appartient également au Labbe des rochers, Larus .erepida- 


tus, décrit et figuré dans le cahier pre&cedent; 


I] regne en-général une grande confusion parmi les auteurs, 
au: sujet de ces Labbes, qui ont le céra à la naissance du bec, et 
semble même, que parmi ces Labbes des rochers proprement 
dites, il s'y trouve encore cachée une-troisième espèce. Car 
nous possédons deux très-petits Labbes de cette espèce, de la 
grosseur de la tourterelle des Indes à peu pres,- avec de lon- 


gues pennes au milieu de la queue et plusieurs autres encore, : 
ressemblantes à ce couple, mais qui sont presque de la grandeur 


du Larus glaucus et dont les pennes du milieu-de la queue ne 
dépassent les autres en longueur que d’une manière presque in- 


sensible et qui- différent beaucoup, quant à la couleur, des plus: 


petites. 


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