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1 OLUPTÉS jBlZARRES.
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VOLUPTÉS BIZARRES
Roman Erotique.
PAR
GEORGES DE LESBOS.
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wmmmmm
CHAPITRE
I.
CHAMPÊTRES PELOTAGES.
s^elène se promenait, rêveuse, le long
du grand lac, où les aquatiques plan-
tes plongeaient dans l'eau tranquille...
C'était par une belle journée d'été, où l'être,
influencé par les tièdes effluves, se sent tout
disposé aux voluptés, mais à des voluptés
étranges, inconnues ... et la Nature opérait
sur le système nerveux de la jeune femme...
Les oiseaux semblaient chanter de mysté-
rieux refrains d'amour; puis, tout-à-coup,
les gazouillements perdaient de leur primitive
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poésie, et ces coquins d'oiseaux semblaient
avoir des roucoulements canailles. On eût
juré, que, dans le silence coupable des bois,
ils entonnaient, à pleins gosiers, d'égrillards
refrains d'opérette, de ces refrains cochons,
pleins de sous-entendus» qu'on écoute au
beuglant, en frôlant les fesses de quelque
grue, raccrochée on ne sait comment . . .
Et, sous son ombrelle de soie claire, elle
allait, inconsciemment, foulant aux pieds les
saintes marguerites, toute à sa pensée . . .
Oh ! les pensées des femmes, dans ces jour-
nées d'été, où les insectes eux-mêmes ont le
toupet de parler d'amour ! . . .
Et Hélène avait vingt-cinq ans ! . . .
Elle était belle, ai- je besoin de le dire ? et
faite comme la Vénus Aphrodite . . . Des
seins ! oh I de ces seins grassouillets et
fermes, dont le développement faisait la joie
des vieux beaux, quand elle apparaissait,
décolletée à la vierge, (?) dans les salons de
la place B . . .
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Pourquoi ne gardez-vous pas cela pour l'in-
timité? lui avait, un jour, demandé son mari,
lorsque, seins nus, devant la glace de sa
toilette, elle couvrait leurs rondeurs chéries
d'une imperceptible poudre nacrée . . .
— Ce serait dégoûtant, avait-elle carré-
ment répondu.
Le fait est que ça l'aurait été... Livrer
d'aussi beaux seins aux mains décharnées
d'un mari, c'eut été idiot 1 . . .Et si ce
mari avait été présentable, au moins. Ah I
bien oui !.. .
Figurez-vous quelque horrible orang-ou-
tang, échappé de ces mystérieux pays, visités
par Stanley, et je suis convaincu que vous
finirez par vous rallier aux théories de
Darwin . . .
Il était si laid, cet époux ! . . .
Un monstre, un remède à la fidélité con-
jugale, quoi !
Ace point, qu' Hélène n'avait pu s'empêcher
de lui dire, certain soir que les époux avaient
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reçu une invitation à un souper de tètes :
— Ce qu'il y a de bon, mon cher, c'est
que vous n'avez pas la crainte de vous faire
plus laid que vous êtes 1 . . •
Donc, il était laid . . .
Seulement, sa femme était fidèle, ce qui
est bien autrement étrange . . .
Cet horrible époux, poilu comme un singe,
avait réussi à dégoûter la mignonne Hélène
de ces fameux hommes, tant vantés au cou-
vent, pour lesquels elle n'avait guère, main-
tenant, qu'un goût très relatif . . .
Et, mariée depuis six mois, elle avait
accepté avec une joie sincère la proposition
qui lui avait été faite, de venir passer l'été
a la campagne . . .
En ce moraeut, l'époux enfermé dans sa
bibliothèque, piochait quelque indéchiffrable
grimoire . . .
Ne pas se contenter d'être laid !
S'aviser d'être savant et de préparer des
ouvrages sur les six périodes qu'a traversé
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la terre, dans ses évolutions à travers l'infini!
Cela ne veut pas dire que tous les savants
méritent d'être cocus 1 . . .
Oh l non 1
Seulement, Hélène était rêveuse . . .
Ses grands yeux, frangés de longs cils
noirs, criaient, sans se fixer sur rien . . .
Tout-à-coup, elle s'arrêta . . .
Cette eau tranquille, toute pailletée d'or
sous les reflets de Phébus, l'attirait . . .
Elle éprouva comme la sensation de cette
eau fraiche, venant baiser ses durs tétons...
Oui, l'on devait être bien au sein de cette
onde claire, toute nue, dans cette atmosphère
tiède, avec les rayons perdus de ce soleil
brûlant, qui mettait à la peau des picotements
voluptueux ! . . .
Hélène regarda autour d'elle . . .
Personne . . . Aucun œil indiscret ne pour-
rait contempler ses suaves formes.
Elle se retira au milieu des grandes herbes,
et bientôt elle apparut, toute nue, superbe,
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véritablement très désirable, avec l'ampleur
de ses hanches ondulantes, de ses seins ronds,
durs, de ses fesses magnifiques, lourdes comme
un beau marbre, de ses cuisses charnues,
plus blanches que l'hermine, desquelles le
poil blond du petit trou rose se hérissait
agréablement. . .
Un moment Hélène demeura ainsi, debout,
se pelotant gentiment, se disant combien heu-
reux serait celui qui la pourrait voir ainsi 1
Puis, elle s'approcha du lac, et y trempa
ses petits pieds. . .
La sensation froide de l'eau lui fut désa-
gréable. . .
Mais elle avança résolument, regardant l'eau
monter le long de ses cuisses blanches, toute
peureuse de sentir cette eau venir baiser son
solide cul poli. . .
Mais elle se fatigua rapidement de cet
aquatique délassement. . .
Elle sortit de Peau, toute ruisselante.
Alors, elle s'aperçut qu'elle n'avait aucun
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linge pour essuyer son corps charmant. . .
— Bah! je vais m' étendre dans l'herbe;
le soleil me séchera, se dit elle. . .
Mais cette herbe avait des caresses incon-
nues. . .
Des brindilles folâtraient entre ses cuis-
ses. . .
Hélène mit un doigt dans son petit trou,
et commença à se branler.
Que c'était donc bon de pouvoir jouir ainsi,
toute nue, au milieu dè cette belle nature,
qui exhalait des parfums délicieux, loin des
regards indiscrèts, dans un isolement parfait,
où l'on pouvait crier tout à son aise, et dire
bien haut les vilains mots défendus I . .
Tout-à-coup, Hélène s'interrompit. . .
Il lui avait semblé entendre causer, non
loin d'elle. . .
Elle se dressa, et courut à un épais fourré,
d'où ces bruits de voix semblaient devoir
provenir. . .
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Bientôt, elle eut grand peine à retenir un
cri. . .
Couchées dans l'herbe haute, et les jupes
par dessus la tète, deux femmes, le ventre
contre le ventre, paraissaient se livrer aux plus
intimes jouissances. . .
L'une d'elles, à l'aide de courroies, ingé-
nieusement disposées pour cet usage, était
armée d'un godmiché, bonne grosseur, lequel,
au bas de son ventre rebondi, produisait le
plus singulier effet.
— Suzanna 1 murmura Hélène, très rouge. . .
Si bas qu'elle eut murmuré ce nom, la
femme à laquelle il appartenait, avait dressé
la tète, certaine d'avoir entendu quelque
chose de bizarre . . .
Et Hélène la reconnut tout-à-fait. . .
C'était bien là celle, qu'elle avait tant aimée,
autrefois, au pensionnat. . .
— Suzanna, Suzanna ! appel a-t-elle, écartant
le fourré. . .
— La voix d'Hélène ! . .
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Un instant après, les deux raignones étaient
dans les bras Tune de l'autre.
— Enfin ! -je te retrouve ! disait Suzanne,
les jupes encore troussés, étalant avec im-
pudeur son ventre, ainsi qu'une magnifique
paire de fesses . . Et toute nue . . . Aht ca,
est-ce que tu t'amusais toi-même de ton côté,
comme je le faisais, moi ?
— Ma Suzanne 1 . . répliqua Hélène, fré-
missante. . .
— Mais quelle est cette femme, dis-moi, que
tu étais si occupée de peloter?
— Oh I rien . . . mons que rien . . • Une
petite paysanne que j'ai à la maison, bète
comme une oie, mais bâtie comme une prin-
cesse,, qui me fait minettè et que je daigne
baiser quelquefois • . • Tu te rappelles . . .
hein ? comme au pensionnat I . . .
— Renvoie cette fille, que nous soyons seu-
les, fit Hélène, gênée par la présence de la
paysanne . . . Quelques instants après, Su-
zanne revenait auprès de son amie, et, la
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prenant par la taille, elle se mit à la tâter
partout, baisant ses jolis seins durs, dont les
mamelons se redressaient très rouges. . .
— Oh ! je t'aime toujours, murmurait-elle ;
je t'aime plus que jamais 1 . . .
— Mais comment t'ai- je trouvée ici, en
train de faire l'amour avec la plus graillon-
nante des maritornes ?
— J'habite à côté, ma mignonne !
— Tiens ! c'est donc comme moi ?
— Toi aussi ! Quelle chance ! Allons-nous
en faire des parties ! . .
— Si tu me laissais m' habiller . . .
— Pourquoi? N'es-tu pas bien ainsi ... Tu
est si belle ... Oh l la grosse cochonne ï
quelle magnifique paire de fesses elle a ! . .
— Elles ont grossi, heinl depuis le pen-
sionnat?
— Je te crois . . . Elles sont plus belles
que les miennes î
— Oh ! non !
— Comment 1 non ? Tu les a donc vues ?
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— Mais oui . . .
— Et quand ça ?
— Tout-à-l'heure, lorsque tu étais sur le
ventre de ta paysanne ! . . .
— Eh bienl Je t'assure qu'elles sont moins
fortes que les tiennes I . . . Tiens regarde !
Et, se mettant à genoux, très preste,
Suzanne releva ses jupes, dèbouttonna son
pantalon, et étala sous les yeux de sa com-
pagne, une paire de fesses, qui, pour n'être
pas aussi voluptueusement développées que
celles d'Hélène, n'en étaient pas moins fort
agréables à contempler.
Hélène colla se3 lèvres brûlantes sur leur
plantureuse surface, entourant de ses beaux
bras blancs, le ventre satiné de son amie . . .
— Comme autrefois, disait-elle . . .
Maintenant, elles causaient, redevenues sé-
rieuses, que Hélène en oubliât son exquise
nudité, malgré les mains chercheuses de
Suzanne, qui lui pelotaient toujours dans les
endroits mignons . . .
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— Oh I moi, disait Suzanne, je n'ai pas eu
de chance, vois tu ?.. . J'étais très amou-
reuse, tu t'en rappelles, mon Hélène? . . .
aussi, il me fut impossible de résister aux
prières d'un beau jeune homme, M. de Lan-
noy, lequel me touchait de fort près, et je
partis avec lui pour la Bretagne, abandonnant
toute ma famille. Mon père conçut un si
violent désespoir, qu'il contracta une maladie,
laquelle l'enleva en moins de quelques
jours . . . Bientôt, ma pauvre mère s'en alla
le rejoindre, et je restais seule au monde, à
vingt ans, sans autre appui que M. de Lan-
noy . . . Mais cet homme commençait à me
fatigder par ses exigences sans cesse gran-
dissantes ... Je le quittai, pour en prendre
un autre . . . Puis, après celui-là un troisième,
et ainsi de suite . . . J'ai été actrice, ser-
vante de brasseries, que sais-je encore ? . . .
Mais à l'heure actuelle, j'ai un protecteur
riche, un Russe, un type épatant, vicieux
comme pas un, le seul qui puisse encore
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me faire goûter quelque jouissance . . . Mais
tu le verras, car tu vas venir avec moi jus-
qu'à la ville, n'est- ce-pas ?
— Y penses-tu ! . . .
— Je crois bien ... Et quelle bonne nuit
je vais passer à tes côtés! . . . Car tu me
le donneras, cette bonne nuit, n'est ce pas ?. . .
Ça nous rappellera les temps enfuis, lorsque
nous allions nous visiter, au pensionnat . . .
Oh! quelles belles parties de jambes en
l'air! . . .
— Mais je suis mariée, ma chérie !
— Pas possible. . . . Mais cela n> empêche
rien! . . .
Que dirait mon mari, si je ne rentrais
pas? ...
— Il dira ce qu' il voudra ... Oh ! tu en
est encore là, toi ! Est-ce que tu l'aimerais,
par hasard ?
— Moi? Je le déteste!
— Tu vois bien que tu as besoin de mon
godmiché! ... Tu verras comme je le ina-
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nœuvre bien ... Et puis, il est d'une taille
respectable, mon godmiché ... Ça remplit
tout; on en a jusqu' au cœur! . . . Mais
habille-toi, ma chérie ... je t'enlève, je ne
te quitte plus I . . .
Elle l'aida à passer sa chemise, à agraffer
son corset; ce fut elle qui mit les jarretières
roses sur les bas de soie noire, tàtant les
cuisses, et ne pouvant rassasier ses yeux,
des splendeurs des deux magnifiques fesses
de la jolie Hélène . . .
— Viens, fit Suzanne, lorsqu'elle vit sa
compagne complètement vêtue ... La villa
est à deux pas ... le soir, nous serons
seules . . . Mon Russe est allé chez des
amis, où il chasse, grand bien lui fasse! . . .
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CHAPITRE.
II.
PREMIERE NUIT DE NOCE.
es deux jeunes femmes dînèrent en-
semble, Tune près de l'autre, man-
geant dans la même assiette, buvant
dans le même verre, égrenant les perles de
de leur joyeux rire, qui résonnait avec des
bruits de cascades . . .
— Comme ça, faisait Hélène, tu as des
amants ?
— Il faut bien vivre, ma chère . . .
— Tu ne les aimes donc pas?
— Y penses-tu? . . • Pourquoi faire ?
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— Damel ce que l'on fait d'habitude avec
ses amants . . .
— Bah! si tu crois que j'ai besoin d'ai-
mer un homme, pour coucher avec I . . .
— Et tu te livres ainsi à des êtres, pour
lesquels tu ne ressens aucune affection? . . .
— Bien sûr, je te l'ai dit, il faut vivre . . .
D'abord, j'ai une façon de comprendre l'exi-
stance, qui te surprendra certainement, quoiqu'
elle soit, en fin de compte, la seule abso-
lument pratique . . . Les hommes adorent
mes charmes ... Ils m'ont fait la réputa-
tion d'être- bien bâtie, et te dire combien
d'imbéciles ont couru après moi, lors de mon
exhibition sur un petit théâtre de la capi-
tale, serait impossible ... Le costume, vois-
tu ! ou plutôt l'absence de costume, car je
montrais quelque peu ma gorge et mes cuisses,
laissant voir derrière mes fesses, ces belles
fesses, qui ont tourné la tête à des salles
entières 1 . . . Mais, par un hazard regret-
table, tous mes amoureux me semblaient
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très laids, et si je cédais parfois à leurs priè-
res, je t'assure que je ne jouissais pas du
tout, mais pas du tout, entre leurs bras . . .
Nous serions vite sur le sable, ma chérie,
s'il fallait jouir avec chaque homme, auquel
nous faisons l'honneur d'ouvrir notre
couche . . .
— Comment! Tu peux sentir le membre
masculin pénétrer en toi, sans éprouver ça,
je ne sais quoi, qui vient troubler les âmes
les plus corrompues? s'écria Hélène, très
étonnée . . .
— Dame, c'est difficile quelquefois, répli-
qua Suzanne, avec un petit sourire, plein de
sous-eutendus . . . surtout, lorsque le mem-
bre est gros et qu'il chatouille agréablement
toutes les parties de la matrice . . . Mais
on retient son foutre, et l'on feint la jouis-
sance, plus cochonne dans la simulation que
dans la réalité . . . D'ailleurs, je suis quelque
peu dégoûtée des hommes ... Au bout du
compte, c'est toujours la même chose . . .
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Et quand je puis trouver une bonne petite
amie, bien coquine, bien grasse, je t'assure
que je me rattrappe entre ses bras des ex-
cès et des dégoûts de ma triste exis-
tence . . .
— Pauvre petite Suzanne, fit Hélène, en
entourant le cou de cette dernière de ses
deux beaux bras blancs . . . Oui, tu n'es
pas heureuse . . . Hélas ! mon bonheur à
moi a été de courte durée.
— Tu es mariée, ma chérie ? . . .
— Hélas ... Et à quel homme ! ... Tu
crois qu'il se préoccupe de moi ? Oh I bien
oui ! ... Il reste sans cesse plongé dans
ses bouquins, ses nuits se passant à compul-
ser des manuscrits hébreux; il est idiot,
enfin, ce mari, qu'un père féroce m'a forcé
d'épouser . . . D'ailleurs, il a su se faire
haïr, dès les premiers jours de notre union . . .
— Gela leur est si facile, à ces chers
époux . . .
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— Oh! notre première nuit de noces! je
m'en souviendrai toute ma vie! ...
— Vraiment ?
— Elle fut si extraordinaire !
— Ah! bah! . . . Raconte-moi cela! . . +
— Je m'attendais à tant de délicieuses ré-
vélations! Je m'imaginais être tant voluptu-
eusement pelotée ... Ah! bien, oui! . . .
quand nous fûmes seuls, dans la chambre
conjugale, mon mari, me fit part de ses pro-
jets d'avenir ... 11 publierait ceci, il pu-
blierait cela . . . Justement, en ce moment,
il avait découvert certains manuscrits du
docteur Wahu, sur les différentes religions;
et les emprunts qu'il comptait faire à ces
savants ouvrages pour ses livres en prépa-
ration, devaient couvrir son nom de la gloire
la plus productive . . . D'amour? Oh! pas
un mot ... Je pris te parti de me déshabil-
ler et de me mettre au lit, tandis qu'il en
faisait lui-même autant ... En grimpant
sur la couche nuptiale, ma chemisette sere-
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leva très haut, dévoilant mes fesses, ces bel-
les grosses fesses joufflues, qui faisaient la
jalousie de nos amies du pensionnat ... A
cette vue, mon mari oublia et la période
choatique et la période Miocène ... Il s'ar-
rêta court, les yeux écarquillés, et, quelques
instants après, je sentai ses lèvres baiser ma
croupe avec volupté . . .
— A la bonne heure! s'écria Suzanne . . .
mieux vaut tard que jamais, et ton mari me
parait un gaillard, s'y connaissant fort bien,
au contraire . . . Pense donc! Attaquer une
femme par derrière! . . . Les plus célèbres
stratègistes n'ont jamais agi autrement . . .
Mais continue, ma chérie, et dis-moi jusqu'à
quel point ton scélérat d'époux poussa la
cruauté . . . —
— Cruauté, oui, c'est le mot f comme tu le
verras, fit Hélène, devenue rêveuse . . . quel-
ques instants après, dis-je, il s'inséra dans
les draps, et je dois avouer que ses mains
se promenèrent très peu saintement sur mon
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corps . . . Mon mari frétillait très agréable-
ment, et son membre, rencontré dans les
hasards d'un pelotage effréné, me parut d'une
dureté de bon aloi . . . Cependant mon époux
ne paraissait pas satisfait entièrement . . .
Je lui présentai mon ventre nu, et ses mains,
au lieu de s'égarer dans l'intersection de
mes cuisses, patinaient toujours mes hanches
rebondies, cherchant à se glisser sous mes
fesses ... Je me soulevai un peu, très heu-
reuse, je t'assure, de me sentir tout à coup
énergiqueraent tâtée dans cet endroit in-
time ... Je m' enhardis à mon tour, et je
me rendis compte de la chaleur de mon
mari ... Le drôle était très raide, je te
l'assure, mais paraissait prendre un plaisir
tout particulier, à frôler son membre contre
mes hanches . . . Tout d'un coup, je lui
tournai le dos, posant maitenant mes fesses
sur son ventre . . . Alors, je poussai un cri
de terreur . . . Son membre s'enfonçait dans
la fente de mon cul, cherchant à pénétrer
Voluptés Bizarres 2.
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26
dans un trou, où je n'eusse jamais soupçonné
qu'on osât le fourrer ... Je serrai les fesses
et mon mari continuait de manoeuvrer le
ventre ... — „Oh ! ton cul, ton joli petit
cul poli, murmurait-il, jouissant déjà!" Je
me dégageai de son étreinte et me retournai
tout d'une pièce, saississant son dard, avec
la tête duquel je m'astiquai le con . . . En-
fin, il se plaça entre mes cuisses, me disant
de poser mes jambes sur son dos, afin que
la pénétration fut plus facile . . . J'obèissai,
comprenant vaguement que le moment tant
attendu venait de sonner. Il plaça lui-même
son membre sur ma fente entr'ouverte, Pé-
cartant doucement de ses deux mains, et
essaya de l'enfoncer plus profondément. Hé-
las 1 le membre était gros et ne rentrait qu'-
avec difficulté . . . Bientôt, j'eus la sensa-
tion d'une douleur brûlante . . . Cette pine
était un fer rouge, qui me retournait le
ventre ... Je criai, très désappointée, ap-
pelant maman, maudissant un époux qui
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me faisait tant de mal, lorsque je m'étais
figurée éprouver tant de bonheur ... Et
lui, très ennuyé de mes lamentations, retira
son dard de mon trou, me conseilla d'avoir
recours à des ablutions nécessaires, enfonça
le nez dans Poreiller, feignant de dormir . . .
Quand je me fus soigneusement lavée, je
revins me coucher près dé cet homme, qui
me semblait maintenant un être haïs-
sable ... Il dormait, le rustre, au mo-
ment où il venait de remporter une première
victoire! . . . Très désappointée, je pris le
parti de lui tourner le dos, et de chercher
dans un sommeil tranquille le calme de mes
esprits . . . Mais, à peine les couvertures
tirées jusque sous le nez, avais-je tourné le
dos, qu'il se précipita sur moi, relevant jus-
tement ma chemise et collant de nouveau
son ventre à mes rondes fesses, il m'en-
fonça son dard au plus profond de leur
fente ... — ,,Mon Hélène, me dit-il, tu as
encore bien des souffrances à subir, avant
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que de ressentir les célestes jouissances . . .
Mon gros membre a pénétré entre tes cuis-
ses, il faut maintenant qu'il s'enfonce dans
ton merveilleux petit trou du cul ... — Que
dites- vous là ! m'écriai -je, n'en pouvant
croire mes oreilles ... — Mignonne, me
répondit-il, croyez-vous que le Créateur
vous ait donné ce trou-là, pour ne point l'em-
ployer à donner les meilleures voluptés à
votre époux ! . . , Voyons, ne. vous défendez
plus et laisse-moi faire ... — Mais, mon-
sieur, ces choses-là ne se font jamais . . .
Maman ne m'a rien dit de ce trou-la
— Votre mère est une sotte . . . Elle comprend
l'amour à l'ancienne manière ... — Oui,
répliquai-je, tandis que vous le comprenez
d'une autre façon, qui est la bonne! . . .
Cessez ce jeu, monsieur, car c'est infâme,
ce que vous faites làî I! ne me répondit
rien, et il enfouit sa tête dans l'oreiller, où il
ae mit à pleurer nerveusement, comme un
enfant ... Et entre ses sanglhts, il disait
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des mots bizarres, que je ne comprenais pas,
s'adressait les épithètes les plus épouvanta-
bles, maudissant ce dieu, qui permettait aux
hommes d'aussi infâmes passions . . . Fuis,
il se rapprochait de moi, reprit de subites
ardeurs et ses mains cherchaient mes fes-
ses dont, la chaleur communicative paraissait
littéralememt l'affoler . . . — Oh ! mon Hé-
lène, pardonne-moi, murmurait-il de sa
voix, mouillée de pleurs, mais les tortures
auxquelles je livre journellement mon mal-
heureux cerveau, m'ont fait perdre tout sens,
tout équilibre moral ... Je ne t'ai épousée
que pour tes belles fesses, dont j'ai pu ad-
mirer la généreuse ampleur, l'été dernier,
à la plage d'Etretat ... Je suis un misérable,
je le sais, d'avoir voulu . . . d'avoir essayé . . .
de pénétrer au fond de leur trou chéri . . .
Hélas! je ne serai jamais heureux, car tes
fesses idéales me refuseront toujours la seule
volupté, qui me soit chère ..."
— Désormais, Monsieur, lui dis -je, je vous
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serai obligée de faire lit à part . . . — Hé-
las! — Et quand le démon de la chair tour-
mentera vos esprits, repris-je, il est certai-
nes maisons en la capitale, où l'on sera
encore très heureux de mettre a votre
disposition des courtisanes, qui se lais-
seront peut-être faire, ce dont vous n'avez
pas eu de honte à proposer à celle qui, de-
puis ce matin, a le malheur de porter votre
nom ... — Il quitta la chambre conjugale
et il n'y est jamais rentré depuis, acheva
Hélène . . .
— Pauvre mignonne 1 s'écria Suzanne . . .
Eh bienl en voilà une triste nuit de noce,
par exemple ... Et tu paraissais craindre,
tout à l'heure, que ton mari ne fût point
content, en ne te voyant pas rentrer! Mais
lâche-le donc, ce sale muffle, enculeur de
femmes! Ah bien! si pareille aventure me
fût arrivée, à moi, je te reponds qu'il n'au-
rait pas essayé de recommencer!
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-— Puis, après quelques instants de réflex-
ion, Suzanne reprit:
— Je vais partir bientôt à Paris, fit-elle ;
tu m'y suivras ... Je ne veux plus que
tu restes sous le toit d'un pareil drôle . . .
Je serai ton amant ... Oh 1 comme ce sera
amusant I
Elle attira sa compagne sur ses genoux,
relevant ses jupons ; et taquinant le petit trou
d'Hélène, elle lui dit avec des caresses dans
la voix :
— Comme il va bien jouir, cette nuit, ce
joli petit chat adoré . . . Vous allez voir
comme Suzanne a fait des progrès, en amour,
depuis le pensionnatl . . .
Elle sonna, et une camériste parut . . .
— Vous préparerez le lit, fit Suzanne à
la jeune femme. Madame couchera avec
moi! . . .
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CHAPITRE.
III.
VOLUPTÉS LESBIENNES,
oute nue, Hélène était étendue sur
le lit, et Suzanne, également nue, la
baisait partout . . .
— Que tu es belle 1 disait-elle . . . Comme
tes tétons ont poussé! ... Et ton ventre,
est-il assez cochon, ce gros sournois 1 . . .
Elle le léchait avec volupté, taquinant les
hanches magnifiques de la jeune femme . . .
Hélène, un bras autour de la taille de sa
compagne, tâtait les dures fesses de Suzanne,
s'extasiant sur leur beau développement. . .
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Bientôt, Suzanne alla se coucher aux côtes
d'Hélène, frémissante. . . Leurs cuisses as-
treignirent, les doigts disparurent dans les
trous baudants. . .
Tour à tour, elles se sucèrent les seins,
s'amusant prodigieusement, lorsque les mame-
lons durcis se redressaient et paraissaient
bander, eux aussi. . .
Elles frottaient ces mamelons, agaçant leurs
gorges d'un chatouillement exquis, puis, unis-
sant leurs lèvres, se suçant la langue, en
proie aux plus violents désirs. . .
— Ma chérie, disait Suzanne, n'est-ce pas
que je vaux mieux que ces vilains hommes
poilus, qui font mal avec leurs mains dures?
Hélène ne répondit, qu'en embrassant la
jeune femme avec plus d'effusion. . ,
— Viens me faire mimi, dit Suzanne, à
genoux, regardant la mignonne avec de
grands yeux, remplis de tendresse. . .
Suzanne se coucha sur le dos, mettant la
tête très-haut sur l'oreiller, tandis qu' Hélène,
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placée à califourchon sur son ventre, lui pré*
sentait ses deux adorables fesses à l'orifice
tiède. . .
Et tandis que, d'une langue savante, la
malheureuse épouse léchait le petit con de
Suzanne, cette dernière lui tâtait amoureuse-
ment le derrière, promenant ses lèvres dans
le petit trou défendu, qu'elle baisait avec une
sorte d'égarement. . .
La courtisane éprouva bientôt une jouis-
sance infinie. . .
La langue de Suzanne s'humecta d'un
sperme ruisselant, qui vint couler jusque sur
les draps du lit . . . Et la mignonne pompait
l'amoureux liquide, avalant ce jus divin,
essence suprême de ce con, merveilleusement
étroit! Elle en avait la figure toute bar-
bouiléa. . .
— A mon tour maintenant, dit elle . . . Mais
comme tu n'as probablement pas les mômes
goûts que moi, tu . vas te placer autrement . , .
Mets-toi sur le bord du .lit, ma chérie, et
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n'y appuie que ton dos ... Je vais me mettre
à genoux tes belles cuisses sur mes épaules . .
De cette façon, je pouurrai tout, à mon aise,
tater tes grosses fesses. . .
Aussitôt dit, aussitôt fait . . .
Et c'était un tableau exquis, que formaient
ces deux adorables femmes nues, en se
livrant ainsi à leurs péchés mignons.
Suzanne enfonça deux doigts entiers dans
le trou du cul de sa compagne, quand elle
sentit cette dernière se pâmer et jouir. . ,
— Oh! la grosse cochonne, disait-elle!...
Mais ont-ils poussé, ont-il poussé, ces jolies
tétons!
Pendant une longue heure, les deux femmes
restèrent dans les bras l'une de l'autre, seins
contre seins, le con contre le con, qu'elles se
frottaient de temps, en temps pour ne rien
perdre de leur chaleur. . .
— Mon amante, mon amour, disait Suzanne,
je vais me substituer à l'homme raainte-
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nant ... Je veux sentir tes flancs gronder,
ta croupe bondir, tes seins tressaillir de la
plus céleste des joies ... Je veux que tu me
presses entre tes durs tétons avec la môme
ardeur, la même passion, que s'il s'agissait
d'un homme . . . Regarde . . . j'ai mis mon
godmiché au bas [de mon ventre . , . c'est
ingénieux, n'est-ce pas, ce petit instrument
qu'on gonfle à volonté . . . .J'en ai d'autres,
pour mon usage particulier, lesquels manœ-
vrént fort agréablement, rien qu'en pressant
leurs couilles factices. . .
Suzanne s'était mise à genoux et montrait
le godmiché tout raide à Hélène, très sur-
prise. . .
— Ohl fit-elle, si les hommes, avaient
seulement les couilles aussi roses que cela ! . .,
Rien n'y manque, à ton godmiché, pas môme
le poil. . .
— Chérie, répondit Suzanne, en souriant de
la méprise de sa compagne, ne vois-tu pas
que c'est le mien? . . .
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* Elle se coucha sur le ventre d'Hélène et
lui enfonça doucement le godmiché entre lea
cuisses ... les deux jeunes femmes se
tenaient étroitement embrassées, se tenant
aux fesses . . • et, certes, Suzanne n'éprouva
pas une félicité moins grande qu' Hélène,,
lorsque cette dernière couvrit le ventre de
son amie d'un foutre envahisseur. . .
Il y a quelque chose de si absolument
exquis, de si absolument magnifique dans la
jouissance d'une femme, que nous hésitons à.
en entrependre quelque aventureuse descrip-
tion, laquelle, malgré tout ce que nous pour-
rions trouver d'heureux et d'agréable, res-
terait encore au-dessous de la vérité. . .
Il y a des choses qui ne peuvent pas se
raconter, et les termes nous manqueraient
pour exprimer l'état d'une âme, qui se noie
dans un océan de voluptés . . . Un être
impressionnable se sent devenir fou, en pré-
sence de cette jouissance fabuleuse .... Il
ne peut croire à tant de bonheur . . . Tant
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de sensations exquises s'emparent à la fois
de lui, qu'il est tout près de croire à un
monde nouveau où il n'y aurait que de
bonnes et sairtes choses . . . Car la vue de
cette femme pâmée, roulant ses hanches,
qu'elle soulève incousciemment, livrant à ses
regards ce qu'elle refusait peut-être de
montrer l'instant précèdent, cette minute
bénie, loin d'éveiller les sens déjà surexcités,
parle plutôt au cœur, et c'est ce cœur qui
bat avec violence devant cet inexprimable
tableau !
Ohl femmes, qni eélez votre jouissance,
soyez maudites, car la comédie que vous
jugez parfois convenable de jouer aux imbé-
ciles, est un peu trop visible pour obtenir
quelque succès . . . Jouissez franchement,
inondez les ventres de votre foutre, rosée
bienfaisante, pleurs d'amour et de volupté,
qui donneront, au moins quelques instants,
aux cœurs ulcérés, la vision chimérique, mais
exquise, d'un insatiable bonheur. . .
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De nouveau, les deux femmes s'étaient
replacées Tune sur l'autre, un peu lasses,
mais nullement assouvies. . .
— Repose- toi, ma belle amante, disait
Hélène, en couvrant les lèvres de Suzanne
d'ardents baisers . , . Me laisseras-tu t'en-
foncer le godmichè?
— Oh ! ne me parle pas de cela, ma mig-
nonne, répondit la courtisane . . . Je ne suis
malheureusement point comme toi; vois tu,
j'en ai eu entre les mains de tous les calibres,
et le seul reproche que je puise leur faire,
c'est d'avoir été en chair, au lieu de caout-
chouc. . .
— Tu détestes bien les hommes. . .
— Parbleu 1 . . .
— Pourtant. . .
— Oui, je te comprends, c'est à eux que
je dois le luxe qui m' entoure, veux-tu dire...
C'est possible, mais j'ai couché avec tant
d'hommes, que je préfère, je te l'ai dit, les
baisers d'une bonne petite amie comme
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toi ... Mais ces questions que tu me
poses? ... Ah 1 ça, est-ce que mon godmiché
aurait réveillé en toi ces belles ardeurs du
pensionnat? . . .
— J'avoue que je serais heureuse d'être
sincèrement aimée par quelque beau gar-
çon ! • . . répondit Hélène. . .
— Sais-tu que tu vas me rendre jalousel
— Jalouse, allons donc! mais tu es folle ! . . .
— Est-ce que je ne t'aime pas sincère-
ment moi, ma chérie ? reprit Suzanne, en
étreignant sa compagne entre ses bras
robustes . . . Mon affection profoude, sans
partage, ne te serait-elle pas abôulement
suffisante?
— Oh I dame, non, fit Hélène, souriante. . .
— Tu me fais beaucoup de mal. » .
— Que veux tu ! je n'ai point encore passé
par les bras d'un homme passionné, moi, et
ce doit être si bon de se savoir comprise 1 . .
— Tu m' étonnes, Hélène . . .
— Comment cela?
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— Belle, comme tu es, avec l'appât de ta
marmoréenne gorge et dè tes hanches uni-
ques, tu n'as pas déjà découvert quelque beau
galant ?
— Non . . .
— C'est incroyable \
— Mais c'est vrai ! . . . Peut-être seraie-
désormais, plus clairvoyante et plus coquette,
reprit Hélène, en souriant ... Je vais quitter
mon absurde mari, et à ses sales passions. . .
— Tu veux me suivre ¥ . . .
— Oui . . .
— J'ai quelque argent, et . . .
— Oui, mais ces quelqus cents francs
épuisés, tu t'engageras fatalement dans la
voie que j'ai suivie, moi . . .
— Peu m'importe ! j'aurai cinq, dix amants. ...
Tant mieux, la vie sera moins laide avec
de pareilles aflections !.. Oh ! oui, je le sens
je ne puis plus vivre sous le mêm toit que
mon mari ... Je ne t'ai pas dit la vérité,
ma Suzanne, mais, chaque nuit, il profite
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de mone sommeil, pour venir soulever les
draps de mon lit et regarder mes fesses. . ♦
— L'affreux satyre! . .
— Deux fois, déjà, il a été sur le point
d'arriver à son but, et, si je ne m' étais
éveillée à temps, maintenue entre ses bras
d'hercule, j'aurais été abominablement souil-
lée ! . , Aujourd' hui, je te trouve, tu me
proposes de fuir et je n'hésite plus. . . De-
main soir, à la nuit tombante, j'irai prendre
mes bijoux, mon argent, et adieu le toit con-
jugal 1 . .
— Mais penseras-tu quelquefois à moi ?
— Est-ce qu'une amitié comme la notre
peut jamais se refroidir? fit Hélène, qui pelo-
tait les seins de sa compagne avec des re-
muements de fesses, qui ne laissaient rien à
deviner sur les violents désirs qui la tour-
mentaient . . .
— Tu veux encore jouir, n'est-ce pas, ma
belle amante ? dit Suzanne, en tressaillant de
joie ... Eh ! bien I tu changes toutes mes
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résolutions, et ce godmiché, que je ne voulais
point enfoncer dans mon cul, va me faire
jouir aussi dans l'instant où tu te pâmeras...
La courtisane se leva et courut agiter le
cordon d'une sonnette.
— Que fais-tu ? demanda Hélène.
— J'appelle la paysanne, que tu as vue
tantôt . . .
— Pourquoi faire?
— Oh 1 la vilaine petite égoïste !.. Ne
faut-il pas que je jouisse, moi aussi 1
— Mais je n'oserai jamais devant cette
fille . . .
— Bah ! elle en a vu bien d'autres I
Mariette entrait. . .
La paysanne avait quelque peu l'air bète,
mais elle était fort jolie, et de complexion
très amoureuse ... au reste, elle était payée
pour l'être . . .
— Vous avez sonné? demanda-t-elle . . .
— Oui ... Tu vas te déshabiller vive-
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ment ... Tu sais ce que tu auras à faire,
hein ? . .
— Oui, madame . . .
En un tour de mains, la paysanne se fut
mise complètement nue, et elle s'occupa d'a-
juster au bas de son ventre rebondi un god-
miché, d'une longueur et d'une dimension ex-
traordinaires. . .
Pendant ce temps, Suzanne avait fait
placer Hélène en travers le lit . . .
Celui-ci, bas et large comme tous les lits
modernes, semblait pouvoir donner asile à
tout un escadron . . . Suzanne se plaça entre
les jambes de sa compagne, écartant large-
ment les cuisses et présentant ses fesses à
la paysanne, qui les couvrit de son ventre,
enfonçant ainsi au fin fond du con de sa
maîtresse l'énorme godmiché . . .
Ce fut dans cette inénarrable position, que
la jouissance vint encore une fois s'emparer
des deux jeunes femmes ... Et, lorsque,
lasse, épuisée, inondée de foutre, Hélène, les
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yeux mi clos, vit la paysanne se retirer, elle
fut prise d'un insurmontable dégoût et, en-
fouissant sa tête dans Poreiller, malgré les
prières de la chaude Suzanne, elle se dit
que, décidément, ces amours-là étaient aussi
bizarres que la passion de son mari I
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CHAPITRE
IV.
DU DANGER DE FAIRE CACA DANS
UN WAGON.
e lendemain matin, comme les deux
jeunes femmes se promenaient dans
le jardin, la porte de l'allée principale roula
sur ses gonds, et deux hommes pénétrèrent à
l'intérieur . . .
L'un, grand, barbu, bâti en Hercule, taillé
à coups de hache, n'était autre que le pro-
tecteur de Suzanne, le Russe, ce fameux
Russe, si vicieux, dont la courtisane avait en-
tretenu son amie . . . Pinoskoff présenta son
compagnon . . .
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— Raoul Belverge, fit-il, un gaillard qui
mène la vie a grandes guides, et qui sait
s'amuser . . . Avec cela, veuf depuis huit
jours, ce qui est un avantage tout particulier...
— Monsieur est veuf? questionna Hélène,
en rendant le galant salut que lui adressa
le jeune homme ...
— Oui, ma belle, répliqua Raoul, en sou-
riant . . . Ohî c'était un joli petit crampon,
qui s'avisait d'être jaloux avec celai . . .
vous comprenez, si jel'ai lâchée et l'ai ren-
voyée à ses troupeaux 1
— Vous étiez liée avec une gardeuse de
troupeaux 1 . . .
— Oui ... je l'avais découverte, il y a
deux ans, dans une grasse prairie de la
Normandie ... Je l'ai lavée, savonnée, par-
fumée, habillée, et m'en étais fait une petite
femme, tout à fait présentable ... Le mal-
heur, c'est qu'elle s'avisa de m'aimer pour
de bon ... et si cette grande passion ne
s'était point allumée, il est très probable que
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je ne l'aurais pas encore lâchée . . . Car elle
vous avait un galbe tout à fait extraordinaire!...
— Alors, fit Hélène avec surprise, c'est
parce que votre maîtresse vous aimait, que
vous l'avez quittée . . .
— Parbleu 1 oui !
— C'est très drôle!
— N'est-ce pas? . . .
Au déjeuner, Hélène fut placée aux côtés
du snob, qui se laissait aller au charme ré-
pandu par la jeune femme ... On causait
amicalement, tandis que le Russe, grand
buveur et beau parleur, contait à Suzanne
d'invraisemblabes histoires de chasse . . .
Sous la table, les pieds commençaient à
folâtrer . . . Raoul s'était emparé du petit
peton de la jeune femme et son genou
frôlait la cuisse ronde de cette dernière,
effectuant d' expressives pressions, qui trou-
blaient fort la pauvre Hélène. . .
Après le déjeuner, on alla faire un tour au
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jardin, lequel était très vaste et tout planté
*de beaux arbres fruitiers. . .
Hélènn, au bras de Raoul, s'en allait
par les allées, très heureuse de sentir la
main du joli gommeux effleurer les pointes
de ses seins.
Raoul eut un soupir.
— Cœur qui soupire n'a pas ce qu'il désire,
fit Hélène, en plantant son clair regard dans
les yeux du jeune homme.
— C'est vrai, répondit laconiquement
•celui-ci. . .
— Qui vous fait donc soupirer ainsi?
— Oh 1 un tas de choses!
— Et . . . pent-on savoir? . . .
— Cela dépend. . .
— De quoi?
— De vous!
— De moi?
— Promettez-moi de ne pas vous emporter,
si je vous dis le motif de ma tristesse, . .
— C'est promis. . .
Voluptés Bizarres 3.
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— Eh bien! je ressens au cœur un grand
• trouble ... Je suis anxieux, lorsque je me
demande s'il m'est permis de vous aimer I. , .
— Vous m'aimez?
— Gela ne vous froisse pas ? . . .
— Mais non, je vous assure. . .
— Vous me rendez trop heureux, fit Raoul,
en prenant doucement la taille de la jeune
femme, qu'il attira oontre lui, continuant de
marcher à petits pas . . . Ainsi, votre mari
ne serait point un obstacle, et je pourrais
espérer ? . . .
— Mais oui, mon ami, tout ce que vous
voudrez! . . .
— Hélène, Hélène, vous me transportez ! . ..
— Tant mieux ! . . .
Derrière eux, le Russe et Suzanne riaient
aux éclats . . .
— A la bonne heure, ça va bien, ça va
même mieux que ça, disait Pinoskoff à sa
maîtresse ... Ce Raoul a le diable au corps,
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parole 1 ... Eh bien 1 si c'est ça qu'il appelle
venir se mettre au vert 1 . . .
— Il n'est pas comme vous, celui-là, hor-
reur d'homme! . . .
— Certes, car il a vingt-huit ans et j'en
ai cinquante, bien sonnés 1 . . .
— Ce qui veut dire que sans omelette. . .
— Je serais évidemment un homme
flambé. . .
— Grosse canaille 1 . . .
— C'est ça, et passe-moi la main dans les
cheveux 1
Hélène et Raoul poursuivaient leur amou-
reuse causerie. . .
— Si vous saviez quel effet vous me pro-
duisez, faisait Raoul. . .
— Ah ! ... et .. . peut on savoir ! . . .
— Regardez. . .
Elle jeta les yeux sur la braguette, où le
membre raidi laissait sa trace révélatrice. , .
Raoul s'amusa à le faire remuer, et ce
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manège * parut si drôle à la jeune femme,
qu'elle éclata de rire. . .
Mutine, elle frôla de sa main gantée la
verge du bandeur. . .
Oh I combien il eût désiré voir cette main
demeurer là, plus que l'espace d'un clin
d'œil 1 . . .
Au détour d'une allée, Raoul ne put
résister plus longtemps à l'impérieux désir
qui lui mordait le cœur . . . prenat nia jeune
femme aux tétons, il les baisa avec une pré-
cipitation folle, et, comme "Hélène, riant,
faisait tressauter ses seins magnifiques,
Raoul colla ses lèvres sur les lèvres de la
mignonne, éteignan ce, rire perlé qui l'ex-
citait encore. . . .
Elle s'échappa de ses bras, et courutà un
magnifique cerisier, rouge de fruits. . .
Avant que Raoul ait eu le temps de se
reconnaître, elle avait placé une échelle le
long de l'arbre et y avait grimpé . . .
Et lui, sous les jupes courtes, pouvait ad-
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mirer les mollets ronds et bien faits d'Hélène,
les cuisses grosses, et, tout au fond, le gros
fessier, bien épanoui dans la pénombre des
jupons. . .
— Oh ! les beaux fruits, faisait Hélène. . .
— C'est vrai, som-ils gros, répliquait
Raoul. . .
— Jamais je n'en ai vu de pareils. . .
— Ni moi non plus. . .
Et grimpant à l'échelle, il fourra sa tète
sous les jupes de la jeune femme, embrassant
le voluptueux fessier, qui se remuait fort
agréablement. . .
— Voulez vous bien finir! s'écriait Hélène,
qui, s'agitant trop fort, perdit l'équilibre et
vint poser ses fesses sur le visage de Raoul. . .
Un barreau crrqua et les deux jeunes
gens roulèrent à terre, sans grand mal, car
l'herbe des pelouses amortit leur chûte. . .
Mais Hélène avait les jupes par dessus
sa tète, et très étourdie par cette dégringolade
inattendue, elle oubliait de voiler la chair de
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ses cuisses, que la dentelle du pantalon,
retroussé, laissait gai ment sourire. . .
Raoul se précipita entre les splendides
cuisses, et, braquant son membre dans la
fente ménagée dans l'entre-jambe du pantalon,
il essaya de l'enfoncer dans les profondeurs
cythérennes ... Eu sentant pénétrer dans
son ventre l'instrument avec lequel on bâtit
les hommes, Hélène poussa un cri et tenta
de se reculer. . .
Peine perdue . . . Raoul s'était couché
sur elle, et ses deux mains avaient saisi ses
merveilleuses fesses, par lesquelles il la tenait
étroitement enlacée. , .
— On vient, fit Hélène, en entendant crier
le sable de l'alléé. , ,
— Que le diable les emporte ! . . s'écria
Raoul, très ennuyé d'un pareil contre temps.
Il se releva rapidement, tandis qu' Hélène
se rajustait quelque peu, toute ébouriffée. . ,
— Ah ! ah ! je vous y prends, faisait le
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Russe . . . Peste 1 sais-tu que tu vas très
vite en besogne, mon cher Raoul ! . . .
Hélène tourna à dos au Pinoskoff, tandis
que Suzanne, les sourcils froncés, regardait
jalousement Raoul. . .
Le soir, le diner fut triste. . .
Suzanne ne soufflait mot. . .
Le Russe bavardait toujours et était seul
à s'amuser de son incohérent verbiage. . .
Une heure après, Hélène se levait. . .
— Où allez-vous? demanda Raoul, . .
— Je vais chez moi. . .
— Pourquoi? . . .
— Il faut que j'y aille, vous dis-je. . .
— Non point . . . Vous ne retournez plus
chez votre mari, je vous enlève . . . Suzanne
vous prêtera quelques effets de première
nécessité ... Nous partons cette nuit-même...
il l'avait enlacée et la baisait aux lèvres . . .
— Veux-tu fuir ? demanda-t-il.
— Fuyons, répondit-elle . . .
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— Ainsi, vous partez? questionna Suzanne >
blême de colère.
— On ne lui répondit pas. . .
Hélène, sur les genoux de Raoul, causait
amoureusement avec ce dernier . . .
— Le cochon 1 se dit Suzanne, tu me
payeras tout ce que je souffre 1 . . . Viens,
ajouta-t-elle tout haut, en prenant Hélène par
la taille . . .
Et quand elles furent seules, dans la
chambre, où, la nuit précédente, leurs fou-
très avaient coulé, Suzanne fondit en larmes,
jurant qu'elle se vengerait tôt ou tard de ce
sale gardin, qui l'enlevait à son amour . . .
Une heure après, à la gare voisine, Hélène
et Raoul prenaient place dans un coupé spè^
cial,et roulaient à toute vapeur vers Paris. . *
Il l'avait placée sur ses genoux, et la jeune
femme, les jupes troussées par dessus les.
cuisses, appuyait ses petits pieds sur la ban-
quette, écartant les jambes, tandis que Raoul
la branlait avec la tête de son dard . . .
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Tout-à-coup, Hélène se leva, très rouge . . .
— Je vous en supplie, fit-elle, mettez-vous
à la portière ...
— El pourquoi? . . .
— Oh! dépêchez- vous, surtout 1 . . .
— Mais dites-moi ...
— J'ai envie de faire caca . . .
— Que ne le disiez-vous, chèr angel
Il alla mettre le nez à la portière, tandis
qu'Hélène saisissant rapidement un journal
qui se trouvait sur les coussins, relevait ses
jupes, dègraffait son pantalon, et, accroupie
au-dessus du journal déployé, fesse nues,
laissait tomber de son divin anus de jolies
petites crottes, que Raoul entendait choir sur
le papier bavard . . .
N'y tenant plus, il se retourna, le mem-
bre sorti du pantalon, et il se mit à se bran-
ler, regardant la jeune femme, très gênée,
et qui n'osait plus se relever . . .
Mais tout-à coup, elle se dressa, tournant
le cul, qui apparut tout blanc, dans l'envo-
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lement des jupons, et elle jeta par la por-
tière le trop plein de ce gros sournois . . .
Prompt comme l'éclair, Raoul s'était préci-
pité, et sa verge toute raide vint s'enfoncer
entre les fesses splendides de la jeune
femme . . .
— Oh ! que c'est bon, faisait Raoul, pous-
sant du ventre.
Il la culbuta sur les coussins . . .
Et, durant toute cette belle nuit d'été, ja-
mais wagon-coupé, dit la chronique, n'enten-
dit de pareils cris, et n'assista à de semblables
débauches.
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CHAPITRE.
V.
AMOURS SALES.
e ndant un an entier, les deux amants
voyagèrent, visitant les capitales de
l'Europe.
Raoul était un compagnon charmant, très
amoureux,^ et ne regardaut nullement à la
dépense.
11 avait littéralement couvert la jeune
femme de byoux,et, à en juger parleur nom-
breux bagage, on avait dû passer préalable-
ment chez le costumier,
Malgré tout, Hélène s'ennuyait , . .
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Un an, côte à côte avec cet homme, c'était
un peu bien long pour une petite femme,
dont les sens venaient à peine de s'éveil-
ler . . .
Passer les journées à courir les villes,
bras dessus-dessous, cemme de légitimes et
vulgaires époux ; puis, le soir venu, se gou-
cher côte à côte, dans l'éternel et banal lit
d'hôtel, c'était un peu stupide comme mono-
tonie . . .
A Milan, où les deux amants restèrent
un mois entier, Hélène s'éprit du ténor de
la Scala, le fameux Àlbrandini . . .
Un soir, elle fit jeter au cabotin un bou-
quet, dans les profondeurs duquel un petit
ècrin avait été enfoncé ...
Très ému, le ténor vint remercier la dame,
laquelle, sans plus de façon, s'assit sur ses .
genoux, en lui faisant un collier de ses deux
beaux bras . . .
Cet Albrandini avait un charme tout par-
ticulier . . . Comme la plupart de ses com-
M.444444444444444444444444444
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patriotes, il adorait faire minette, et lea
chatouillements savants de l'exellent cabot
contribuèrent pour beaucoup à le faire
aimer . . .
Et tout un moisi . . .
Allez donc débiner les ténors, après celai
Mais, le mois échu, c'est-à-dire la passion
éteinte, Hélène et Raoul s'enfuirent vèrs
Florence. . .
Le pauvre Raoul était un peu bien fatigué.
Les exigences vénériennes de sa maitresse,
l'avaient mis sur le sable . . . Jamais il
n'avait eu affaire à femme aussi chaleureuse,
en vérité, et sa pauvre poitrine sonnait quel-
que peu le creux . . .
Harry Blackson était donc tout désigné
pour remplir, près d'Hélène, les intéressantes
fonctions que Ton devine . . .
Harry était une manière d'Hercule améri-
cain ; il n'avait pas son pareil pour le tra-
pèze double, et certaines petites dames de la
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villa assuraient qu'on ne trouverait point son
rival en inventions voluptueuses . . .
Ce fut Harry qui enseigna à notre belle
dégraffée les mystères de certaines positions..
Il donnait à la jeune femme de véritables
représentations à domicile, et quand, complète-
ment nu, il venait à la donzelle, en marchant
sur les mains, après avoir naturellement
exécuté deux ou trois sauts périlleux, celle-ci
se tenait les côtés de rire et livrait avec une
sensualité de femelle son beau corps gras-
souillet aux baisers du clown . . . que c'a-
vait donc été drôle, lorsqu'il l'avait fait met-
tre à quatre pattes ! . . .
Il s'était placé sous ses fesses, debout, la
tenant par ses merveilleuses cuisses, et lui
avait glissé son membre sous le ventre . . .
C'était bizarre et bon . . .
Harry assurait que toutes les femmes en
étaient très satisfaites . . .
La belle Fanny, avec laquelle il avait dé-
buté, avait vraiment très bien joui, le jour,
L.AAAAA AAAAA A A A A A
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ou, durant la répétition de la brouette, il
l'avait prise ainsi . . .
Et le clown s'étendait, donnait des détails...
Il la tenait comme ceci, avait ses mains
comme cela, sous les cuises nues, dans le
maillot de soie chair; et elles étaient très
belles, ces cuisses-là.
Un peu maigriottes, mais d'un verveux !..
Tout-à-coup, voilà qu'il s'était mis à bander
très fort, lorsque, par un hazard heureux, son
ventre toucha précisément les fesses de
Fanny . . .
Alors, il perdit la tête, et poussa follement
l'acrobate, qui essaya de dégager ses cuisses...
Son tutu se fendit, laissant le cul nu, un cul
très gras, ravissant ainsi ... Il avait tiré
son nœud, et, aux éclats de rire des confrè-
res qui assistaient à cette scène, il avait
baisé la Fanny . . .
Et c'étaient toujours des histoires dans le
même goût, racontées avec les mots crus et
les détails scabreux . . .
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Hélène en était toute énervée . . .
Peu à peu, la jeune femme perdait de cette
exquise retenue, qui lui donnait un faux air
de candide naiveté. . .
D'amoureuse, elle était devenue cochonne,
et, dans ses voluptés, il lui fallait de l'étrange
et du nouveau ... sa jouissance ne lui
paraissait plus acceptable, lorqu'elle avait lieu
dans les conditions banales ordinaires, il lui
fallait le piment des mots rudes, sentant le
bordel, et jamais elle ne s'amusa mieux qu'en
s'arrètant, au bas des ruelles louches, oû
d'inénarables et graillonnantes mari to mes,
poings sur les hanches et mamelles mi-nues,
déguelaient d'affreux blasphèmes . . .
Un soir que, couchée près de Raoul endormi,
elle songeait, une ride au front, elle se leva
doucement, prit dans une malle des vêtements
de paysanne et sortit furtivement de Y hôtel...
On était alors, à Naples et ce fut vers le
port qu'Hélène dirigea ses pas . . .
Elle s'arrêta au coin d'une rue déserte,
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sous le bec de gaz blafard, les deux mains
enfoncées dans la poche de son tablier, et,
quand un homme passait, elle roulait volup-
tueusement les hauches, cambrant sa mince
taille, offrant les splendeurs de ses seins mi-
nus ...
Des matelots revenaient, en chantant joy-
eusement, d'un bouge où ils avaient passé la
soirée . . ,
Hélène s'adressa à l'un . . .
— Viens donc, mon petit! . . .
— Nom de Dieu, la belle fille ! . . .
Le matelot s'approcha, lâchant ses compag-
nons, et saisit la jeune femme par les fesses,
en la collant rudement contre son ventre . . .
— Combien que tu prends, dis?
— Cent sous, mon chat . . .
— Nom de Dieu ! si j'avais su ! ah ! nom
de Dieu, de bon Dieu!
— Quoi donc ? T'as pas l'rond ?
— Pas trop, non ; les garces du boxon m'ont
fait les fouilles, quoi I Ah ! si j'avais su te
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trouver, nom de Dieu ! . . . T'as des nichés
épatants, sais-tu ? . . . Et pis, une Fran-
çaise, une payse ! ... Et dame 1 Zidor pe-
lote pas tous les jours un cul pareil î . . .
— T'as été un boxon ? . . . Que qu' c'est
qu' ca, l'boxon? . . .
— T'es bète ! . . .
— Mais non, j' sais pas . . .
— Ben! un endroit, où, contre trois francs,
une garce se charge quelque fois d* vous
foutre une bonne vérole au bout du nœud!...
Ah l bon Dieu, oui, si j'avais su, sûr j'y
aurais pas été! . . .
— Viens donc ! . . .
— Te dis : pas V rond I . . .
— Tant pis ; j' te gobe ! . . .
— Un béguin ? mince! . . .
— Viens ! via une allée ouverte, la . . .
— Dans une allée ! T'es rien chic ! . . .
Elle l'entraina dans l'allée ...
Et là, dans l'ombre épaisse, le matelot
l'avait troussée, et ses mains pelotaient les
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fesses opulentes de la jeune femme . . .
Et il les trouvait si absolument parfaites,
qu'il ne pouvait se lasser de les palper.
— Laisse-moi donc tirer ton membre, fit
Hélène, en déboutonnant la braguette du ma-
telot ... Tu peuses plus à la chose, alors . . .
Mais il y pensait trop, au contraire, car,
aussitôt le membre à l'air, il écarta bruta-
lement les cuisses d' Hélène et éssaya de le
lui enfoncer sous le ventre . . .
— Des nèfles 1 fît la jeune femme . . . Pour
que tu me fou très la vérole, peut-être.
Mets moi ta main au cul, et branle moi ;
je t'en ferai autant. Mais pour me fourrer
ta pine dans le con, je te l'ai dit: des
nèfles I . . .
— Tes rien drôle! . . .
Il fut obligé d'en passer par là . . .
Et tandis qu'il lui chatouillait le bouton,
elle branlait la grosse verge du matelot, qui
ne tarda pas à lui décharger dans la main . . .
Quand Hélène jouit, elle eut des paroles
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infâmes, des aveux dégoûtants, criant au
matelot d'agiter avec plus d'ardeur le gros
doigt, qu'elle s'était enfoncé dans le trou du
cul, et lorsqu'elle se pama, rien ne peut
donner une idée de ses soupirs, de ses cris . . .
Un garde de la ville, attiré par ce bruit,
vint jeter un coup d'œil dans l'allée . . .
Parbleu ! le doute n'était pas permis.
Les baiseurs étaient bien pris dans le délit
le plu s flagrant,
— Ah ! ah 1 fit-il, je vous pince, mes tour-
tereaux! . . . Vous allez me suivre chez
Monsieur le commissaire . . .
Le matelots très contrarié de l'aventure,
profita de la demi-obscurité où ils étaient
plongés, pour sauter à la gorge de l'agent
qu'il culbuta; le drôle prit alors la clé des
champs, se disant que la putain se tirerait
d'affaire comme elle l'entendrait . . .
Cependant l'agent s'était relevé, et, mena-
çant, il s'avança vers Hélène qui l'attendait,
les bras croisés . . .
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— Salope ! tu vas payer pour l'autre 1
s'écria le policier, dans sa langue maternelle,
laquelle était fort bien comprise de la jeune
femme . . .
— Qu'est-ce que tu veux faire?
— T'arrèter, parbleu !
— Allons donc! on ne m'arrête pas, moi!
— Je t'apprendrai à te faire enculer dans
les allées ! C'est dégoûtant, parole. Allons,
suis-moi, ou je t'empoigne de force . . .
— T'es diablement bète, sais -tu ?
— Cas pas fini de m'insulter, sale peau l . . .
— J'tai dit qu' tétais bête ; j'te le répète î . . .
T'as l'occasion d'faire l'amour à l'œil, et tu
la laisses échapper! . . .
— L'amour, tu n'as pas peur. Une vache
comme toi ! , , ,
— Est-ce que j'en ai l'air, d'une vache?
Et, sous le bec de gaz où elle alla se
placer, elle releva fièrement la tête . . .
L'agent, agreblcment surpris, fit :
— T'as l'air salaud un peul . . .
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Et lorsqu'elle eut relevé sa jupe, par dessus
sa croupe, se montrant ainsi toute nue jus-
qu'à la taille, l'agent policier fut vaincu . . .
— Bordel du pape ! s'ècria-t-il, t'es mieux
bâtie qu'une princesse . . .
— Et tu me laisseras aller, si j't'en donne ?
— Parbleu 1 . . .
— Viens donc, alors, grosse bête 1 . . .
— Ah, non ; pas dans l'allée . . . La-Bas,
sur le port, dans les barriques, on ne sera
pas ennuyé 1 . . .
Et, une heure après, lorsqu'elle s'alla cou-
cher près du pauvre Raoul, la courtisane
avait les sens satisfaits, et s'endormit d'un
lourd somme.
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71
CHAPITRE
VI.
L'ENCULÉE.
ix mois après cette aventure, les
deux amants étaient de retour à Paris.
Raoul avait acheté à sa mai tresse
un petit hôtel ; qu'il meubla avec un luxe
particulier. . .
Là, on recevait beaucoup d'amis; et plus
d'un, nous devons le dire, fut regardé par
Hélène de tendre façon, pratiquant ainsi une
hospitalité par trop écossaise. . .
Le malheureux Raoul était toujours
aveugle. . .
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Il était convaincu d'être seul à partager
les faveurs de sa maîtresse; car elle était
si tiède, il la trouvait toujours si vibrante
et jamais lasse I
Mais un jour, sur le boulevard, Raoul se
trouva nez à nez avec Pinoskoff.
— Tiens! comment va?
— Ca bandilloche toujours. Et Hélène?
— Toujours collé, mon cher. Et Su-
zanne ?
— Elle baise toujours avec la même élé-
gance ?
— Venez donc me voir.
— C'est cela,
Et Pinoskoff était venu, accompagné de
Suzanne,
Les deux jeunes femmes n'avaient pas
tardé a reprendre leurs relations et leurs
journées se passaient dans les voluptés les
plus scrab reuses.
Un jour que, les jupons par dessus la
tête, Hélène se laissait sucer par sa volup-
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tueuse compagne, Raoul entra sur la pointe
«des pieds, suivi de Pinoskofl, et les deux
^hommes cachés dans les plis des lourdes
tentures, purent assister aux ébats des deux
•mignonnes. . ,
Ces cuisses nues, qui s'écartaient avec tant
•d'art, cette odeur de foutre qui remplissait
tout l'appartement, le spectacle de ces affriol-
lantes nudités féminines, affolèrent littérale-
ment les deux hommes. . .
Tous deux se précipitèrent, flamberge au
vent et ces dames parurent les recevoir avec
quelque plaisir. . .
Mais les deux hommes, excités par de trop
fréquents sacrifices, ne bandaient pas. . .
Les mignonnes avaient beau employer tous
les moyens usités en pareil cas, 4 les mem-
bres n'avaient plus la force de se redres-
ser. . .
La brune Suzanne avait placé le gros dard
de son amant entre ses mamelles, et lui
pelotait ardemment les couilles, tandis qu'Hé-
Voluptés Bizarres 4.
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^^^^^
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lène suçait la verge ramollie de son ami.
Rien n'y fit. . .
Alors, les deux jeunes femmes s'empoig-
nèrent par les fesses et sè baisèrent l'une
l'autre, prenant, devant les deux hommes,
les positions les plus scabreuses, les postu-
res les plus révoltantes. . .
Les membres commencèrent à x se re-
dresser.
Ces deux femmes déculottèrent leurs
amants, et, s'emparant chacune d'un marti-
net, frappèrent les fesses nues aves éner-
gie. . .
Raoul, couché sur le ventre, commençait
à bander. . .
Son membre redressé frôlait l'étoffe du
sopha, et les mouvements de son abdomen
démontraient assez, que cette flagellation
interrompue produisait un salutaire. effet. . .
Tant qu'au Russe, rien n'y faisait. . .
Suzanne se mit alors à cheval sur son
ventre, et lui pêta sur le visage, tandis que,
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méditation dernière, son vagin laissait tom-
ber une urine brûlante sur le ventre
du blasé.
Pinoskoff banda alors furieusement, et,
s'étant redressé, il empoigna sa mai tresse à
la poitrine, suçant avec délices les bouts ro-
ses des mamelles.
— Jouissons ensemble I s'écria Suzanne. . .
Et, en moins de temps que nous en met-
tons pour l'écrire, elles eurent quitté leurs
moindres vêtements, ne gardant que leurs
bas et leurs souliers, ce qui ajoutait un
charme de plus à leur opulente nudité. . .
— Comment pourrait on bien s'y prendre?
faisait Pinoskoff, qui, pour ne rien perdre
de sa chaleur, si péniblement acquise, con-
servait son nœud au fond des fesses de Su-
zanne. . .
— Pas malin, répondit celle ci, tu vas
voir . . . Hélène a le cul poli et des hanches
superbes ... Il est donc naturel qu'elle le
montre à son amant . . . Mets-toi à quatre
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TTTTTTiTTTTTTTtT
76
pattes sur le bord du sopha, ma mignonne,
fit-elle, en l'y plaçant et en appliquant sur les
rondeurs d'amoureuses petites tapes . . .
Maintenant, M. Raoul, prenez la en le-
vrette. . .
Raoul exécuta le mouvement et lorsqu'il
eut enfoncé son dard dans le tabernacle du
plaisir, Suzanne s'écria . . .
— Diable ne poussez point encore! nous
partirons emsemble I
Sur les conseils de sa maîtresse, le Russe
se glissa entre les cuisses des deux amants,
de façon à ce que ses mains pussent s'égarer
sur les beaux seins d'Hélène . . .
Debout, et les cuisses largement écartées,
Suzanne se plaça derrière Raoul, dont elle
pelotait les fesses d'une main, tandis que,
de l'autre, elle s'enfonçait la verge du Russe
dans le vagin . . .
Bientôt, le foutre coula à longs flots, et
rien ne peut donner une idée des soupirs et
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des cris que poussèrent à la fois nos quatre
personnages . . .
Ce fut un délire, une jouissance insensée,
qu'on peut éprouver parfois, sans jamais pou-
voir l'exprimer . . .
Quelques jours après la scène que nous
venons de raconter au lecteur, Hélène se
trouvait seule dans le salon, assise sur un
sopha, dont la largeur et la mollesse incitaient
à la volupté . . .
Elle était vêtue d'une gracieuse robe de
chambre, en foulard noir, dont le corsage,
ouvert en pointe sur la poitrine, laissait ad-
mirer, dans son entier, la ligne profonde
des mamelles . . .
Elle songeait . . .
Quelques jours avant, „Au Matou noîr" elle
avait été présentée à un potache de dix huit
ans, imberbe et rose, lequel s'était senti très
ému des avances faites par la courtisane . . .
— Venez me voir quand mon amant sera
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au cercle, lui avait-elle dit; nous nous
amuserons.
Mais, cette nuit là, Hélène, en compagnie
de Suzanne et d'une autre courtisane, amie
de cette dernière, s'était livrée à d'excessives
voluptés, et aucun désir ne venait soulever
son sein . . .
Le potache lui, près d'elle, avait passé un
bras autour de la taille d'Hélène, laquelle,
toujours heureuse de se sentir amoureuse-
ment pressée, résolut de porter à son comble
l'inflammation des sens du rhétoricien.
Elle lui demandait quelle posture il préfé-
rait, s'il était capable de soutenir plusieurs
assauts sans faiblir, et s'il n'avait de saletés
avec ses petits camarades de collège . . .
Lui jurait que non . . .
Oh ! elle, ça n'avait pas été la même chose I
Elle en avait fait du propre, au pensionnat !
Et elle racontait, avec force détails, tout ses
petits crimes contre nature, jouissant d'aise,
en s'apercevant de la souffrance du collégien,
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dont la pine, affreusement dressée, n'osait
sortir de sa retraite . . .
Les hommes, disait-elle, c'est plus dégoû-
tant, car ils se mettent cela dans des en-
droits ! . . . Voyons, il pouvait bien l'avouer . . .
Qu est-ce que cela faisait, puisqu'on était
entre soi ?.. •
Alors il la prit sur ses genoux . . . Elle
retroussa malignement son jupon, découvrant
un tout petit coin de cuisse, que le collégien
se mit à caresser ...
— N'aie pas peur, petit sot, disait elle . . .
Mets donc ta main plus haut . . . oui, là,
entre mes cuisses ... Va donc ! . . . Va
maintenant, écarte la fente et mets ton doigt
dedans . . . Ah! damel je ne suis pas en
chaleur, aussi faut-il que tu me racontes tes
petites histoires de pension ... Je parie que
tu as du en faire de ces saletés 1 . . .
— Dame 1 répliqua- t-il, un peu ! . . .
— Ah ! ah 1 tu vois bien ! . . .
— J'avais un goût très prononcé pour les
^fe^^^t<^fc'^<i^^^d^£<^£<^fc ^^^tf^^^fe^^^^i^fcd^i^t <^b^^ | ^fc | ^fc^b^fe^^ < ^t<^t^fe
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fesses de mes petits camarades . . . Mais je-
ne voulais rien avouer de ma passion ; cepen-
dant un jour . . .
— Quoi donc?
— Nous étions en vacance ... En com-
pagnie de mon cousin Jules, je regardai des.
photographies étranges, que mon grand frère-
n'avait pas eu le temps de ramasser, et dont
la vue enflamma mes sens, a ce point, que^
si j'avais été seul, je me fusse certainement
branlé en les regardant. Sur ses entrefaites,
mon cousin eut envie d'aller aux cabinets . . »
Je l'y suivis ... Le siège, soigneusement
ciré des cabinets, se trouvait placé au-dessous,
d'une fenêtre, aux vitres barbouillées de pein-
ture blanche, et qui donnait sur la cour-
intérieure de la maison que nous habitions . . .
Quand je vis mon petit cousin grimper sur-
le siège, le pantalon baissé, je ne pus me-
défendre de bander très fort, et, dirigeant
mes regards vers l'intersection de ses cuisses^
je m'aperçus qu'il maintenait son dard avec
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'fTfffffff
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sa main, pour que l'urine s'en allât couler dans
la cuvette ouverte . . . Une envie de faire
des saletés" me dominait ... Il se fît un
grand bruit dans la cour . . .
— Je vais voir ce que c'est, fis-je . . .
— Et je montai sur le siège . . . Mais au
lieu de regarder dans la cour, c'était le cul
de mon cousin que je regardai ...
„ Ces jolies fesses grasses d'enfant rose, d'où
s'échappaient des crottes longues, au milieu
de fusées intestinales, portèrent à son comble
la surexcitation de mon être . . .
, .Quand mon cousin se fut torché, chose
que je le regardai faire avec ivresse, il vou-
lait se reculotter, mais je l'en empêchai, l'en-
laçant voluptueusement, disant que l'occasion
était trop belle pour que je laissasse échapper
le moyen de couronner mes études anatomi-
ques, par un examen attentif de ses fesses ..
„I1 me laissait faire, un peu bête . . .
„Mais il me déculotta à son tour et nous
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nous pelotâmes le derrière, prenant les po-
stures les plus choquantes • . .
,,J'avais sorti ma verge, et la lui avais
fourrée entre les fesses, les serrant Tune con-
tre l'autre, et je te laisse à penser, ma belle,
s'il me fallut beaucoup de temps pour arri-
ver à décharger amplement . . .
,, Quand j'eus terminé, il exécuta dans mon
derrière les mêmes manoevres que j'avais -
opérées sur le sien, et durant plusieurs jours
et plusieurs nuits nous nous livrâmes tous
doux aux mêmes exercices.
— Nous couchions ensemble, car la mai-
son ne possédait pas assez de lits pour qu'il
pût en être autrement, et je n'essaierai pas
de te dépeindre les voluptés par lesquelles
nous passions toutes les nuits . . . Noua
étions toujours au cul l'un de l'autre, ne
nous reposant qu'en nous suçant réciproque*
ment notre petit fuseau, toujours raide et
jamais assouvi ... Et une nuit, mon cousin,
sans trop savoir comment, trouva mon dard
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à la porte du trou du cul, où j'essayais de le
lui enfoncer . . . Sans trop de souffrance, ma
pine y pénétra tout entière, de telle sorte
que mes couilles seules dépassaient ... Et
je jouis comme je ne l'avais jamais fait en-
core ... Il me semblait que ce cul me suçait
le gland . . .
— Quand mon Cousin voulut goûter les
mêmes voluptés, il s'aperçut qu'il avait le
membre trop gros, et je souffrais tellement
lorsqu'il essaya de l'enfoncer, qu'il préféra
cesser ce jeu cruel et se laiseser branler.
— Tu le vois, mu chérie, termina le rhéto-
ricien, il n'y a pas que dans les pensionnats
de filles où l'on apprend, de bonne heure, à
approfondir les mystères des voluptés 1 . . .
Durant tout le temps que dura ce récit,
Hélène se sentit impressionnée de diverses
et multiples façons . . .
Les yeux mi-clos, elle avait devant elle la
vision de ces deux enfants, qui s'enculaient
avec la même passion, la même fougue que
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les blasés, les plus absolument dégoûtants.
Elle relevait insensiblement ses jupes, dé-
voilant son ventre, en appuyant ^avantage sa
croupe sur le membre du collé à ses fessea
rebondies . . .
Elle le lui avait sorti du pantalon et le
branlait, allant très bas, le décalottant jusqu'à
sa base, jouissant d'aise en contemplant ce
nœud rose, dont les veines se gonflaient sous
l'action du foutre.
Elle se posa sur la canapé, la tête très,
peu haute, et enfoncée dans les cousins . . .
Le collégien retira son pantalon, et vint se
placer entre les cuisses de la jeune femme,
évoquant son dard à la porte du temple.
— Non, fit-elle . . . Ton petit nœud est
trop joli ... Je veux qu'il me jute dans la
bouche . . •
Elle défit son cosage et mit ses deux belles
mamelles à nu, lui disant c[e se poser dans
leur entre-deux ...
Le collégien ne se le fit pas répéter, et»
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serrant les deux gros tétons contre sa pine,
il se mit à pousser du ventre, tandis qu'Hé-
lène, la tête inclinée sur la poitrine, recevait
le bout rose du nœud dans la bouche . . .
Le collégien juta dedans, inondant les
tétons de son foutre généreux . . .
Et elle y laissa cette ample décharge, très
en chaleur mais ne voulant pas jouir encore . . .
Après quelques instants de repos, elle
s'agenouilla sur le sopha, lui tournant le
dos . . . Et, Payant fait placer debout, derrière
elle, elle se mit toute nue, jetant le peignoir
sur un meuble.
— Mets moi ton joli nœud sous le bras,
fit-elle. Il jouit encore ainsi fort agréable-
ment, et les poils follets des aisselles de la
jeune femme, s'humectèrent du généreux
liquide ...
Maintenant Hélène était suffisamment éner-
vée pour pouvoir ressentir les jouissances
exquises . . .
Se mettant à quatre pattes, elle exposa ses
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belles fesses sous le nez du collégien, eu lui
disant :
— Essaye donc de me fairè ce que tu faisais
à ton cousin Jules . . .
Mais elle avait le trou du cul fort droit et le
membre ne s'y enfonça qu'au prix des plus
cruelles souffrances, supportées avec un cou-
rage héroïque . . .
Elle se faisait enculer, après avoir refusé
la même faveur au seul être qui eût eu légi-
tiraenemcnt droit à ces intimes voluptés 1 . . .
Hélas! la névrosée en était arrivée à cet
instant de la vie, où ses pareilles sont en
proie aux plus terribles épreuves. Assoifffées
de voluptés, elles comprennent que la
jouissance n'est que le résultat d'une souf-
france qu'elles recherchent, mais une souf-
france plus matérielle, si je puis dire . . .
Hélène, se souvenant de la passion de son
mari, avait voulu éprouver cette sensation,
très probablement extraordinaire, qui consiste
en ce que l'on sait ... Et quand les che-
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mins furent ouverts, cela lui sembla très
drôle de sentir un dard la chatouiller ainsi
dans un endroit si peu fait pour les joyeux
ébats . . .
Mais elle ne voulut pas qu'il déchargeât
dans con cul. Elle se retourna, présentant
son trou grand ouvert, à l'amoureux dard qui
y pénétra tout d'un trait ... Et, lorsqu'elle
fût près de se pâmer, elle voulut sentir la
morsure de ses lèvres sur ses mamelles
gonflées . . .
— Mais mords-moi doncl s'écria- t-el le,
au comble de l'exaspération.
Et le collégien, littéralement affolé par
l'étalage de cette chair qui se livrait ainsi,
la mordit cruellement sous le sein, laissant
des traces sanglantes, pendant qu'elle faisait:
Han ! Han ! avec des remuements de son
ventre en délire . . .
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CHAPITRE
VII.
BESTIALITÉS.
•inq années se sont écoulées, au mi-
lieu des jouissances les plus extra-
ordinaires. . .
Hélène s'étant fait surprendre, un beau
jonr, dans une posture intéressante, en
compagnie de certain artiste de café-concert,
Raoul Pavait lâchée, mais il lui avat fait
don de l'hôtel qu'elle habitait, ainsi que de
vingt mille francs, qu'il crut de sa dignité (?)
de lui faire parvenir. . .
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Elle avait vraiment bien besoin de cet
argent! . . .
Durant les sept années qu'elle passa sous
le protectorat du pauvre Raoul, la coquine
avait appris à thésauriser, et elle possédait,
à l'heure actuelle, de solides et bonnes ren-
tes sur l'Etat; et cette fortune relative la
laissait souriante, quand elle y songeait,
Elle se disait, non sans raison, qu'à l'heure
redoutée, où les frimas viendraient blanchir
sa blonde tête et rider ses traits, cette for-
tune lui servirait à trouver ce qu'elle n'au-
rait peut-être pu découvrir avec le seul con-
cours de ses charmes anciens.
En attendant cette décrépitude, Hélène
menait joyeuse vie, en compagnie de Su-
zanne.
Les deux femmes s'aimaient plus que ja-
mais . . . Suzanne surtout, dont les trente
deux ans avaient besoin d'une affection sin-
cère, apportait, chaque jour, des raffinemets
nouveaux dans leurs communs ébats. . .
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Ç'avait été certain souper où les plus bel-
les gougnottes de Paris avaient été invitéees,
et où la nudité la plus absolue avait été
exigée . . .
Et elles se rappelaient, en souriant, toutes
les voluptés de cette fête extraordinaire, où
chaque gougnotte s'était fait sucer par sa
camériste respective ... Et la sauterie
finale II... Ces quinze femmes nues, ar-
mées de godmichès, baisant leurs soubrettes
dans les postures les plus extravagantes d'un
quadrille canaille 1
A quelque temps de là, Hélène s'était
éprise violemment d'un jeune snob, rencon-
tré au Bois ... et la jeune femme n'avait
pas tardé â ne lui laisser ignorer aucun de
ses charmes les plus secrets. . .
Suzanne, un jour qu'elle vint visiter son
amie, ne fut pas reçue par cette dernière,
laquelle, en compagnie de son amant, s'ébat-
tait gentiment. . .
Le lendemain et les jours suivants, la
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porte de l'hôtel demeura également close
pour la courtisane . . . Suzanne en conçut
un violent chagrin, se demandant ce qui
pouvait motiver un pareil changement d'at-
titude chez Hélène . . .
Celle-ci ne Paimait-elle plus ? . . .
Car, nous ne saurions trop le répéter, Su-
zanne aimait Hélène d'un véritable et fol
amour.
Pour conserver la douce certitude de ne
point lui être indifférente, la courtisane eut
tout sacrifié, en admettant qu'elle eut eu
quelque chose à perdre, ce qui nous parait
très douteux . . .
Il n'en est pas moins vrai, que sa passion
pour Hélène tenait du délire, et qu'elle était
prête à tout tenter pour se rapprocher de
son amante . . . Bientôt, elle apprit la liai-
son nouvelle de celle-ci, et se promit de se
venger . . .
Certain soir que notre gardin sortait du
petit hôtel de la rue B***, il se trouva nez
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à nez avec un grand diable, armé d'un énor-
me gourdin, dont la casquette haute et les
inévitables accroche-cœurs, trahissaient suf-
fisamment la profession * . .
Le drôle administra au malheureux snob
une mirifique raclée, qui le tint trois mois
au lit ... Hélène crut que son amant
l'avait oubliée et n'y pensa plus.
Suzanne revint, plus folie que jamais et les
deux courtisanes poursuivirent de concert,
leur aventureux voyage à travers l'inconnu. . ,
Maintenant les deux jeunes, femmes avaient
recours, pour s'exciter, à des moyens fabu-
leux . . .
Un jour, que, toutes nues, elles étaient cou-
chées sur le sopha de la chambre d'Hélène,
un jeune terre-neuve, appartenant à Suzanne,
sauta lestement à leurs côtes . . .
D'abord, elles n'y apportèrent aucune atten-
tion, et elles continuèrent de se baiser, tandis
qu' Hélène, les fesses en l'air, exposait ces
deux globes polis sous le museau du chien. . .
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L'animal, attiré par l'odeur sui generis,
qui émanait de l'entre-cuisse de la jeune
femme, se mit à lécher les deux belles sphè-
res, la queue fétillante, l'œil clair . . .
Hélène, très agréablement surprise par ce
léchage, écarta davantage les fesses, laissant
la langue du chien se promener sur le trou
de son cul . . .
La jouissance lui parut meilleure, et, lors-
qu'elle se fut pâmée, elle se retourna toute
rieuse, regardant le chien, qui, assis sur son
derrière, semblait regretter très vivement le
chômage où on le mettait.
— Est-il mignon, ce chien-là, fit Su-
zanne I . . . Ici, Azor . . . venez entre les
cuisses de ta maîtresse . . .
L'animal obéit, rampant entre les cuisses
rondes et sans doute habitué depuis beau
temps au travail qu'on exigeait de lui, se
mit à lécher le con encore tout humide de
la courtisane . . .
Mais Hélène voulut qu'il lui en fit au-
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tant . . . Les jambes en l'air et maintenues pas
ses deux mains, qu'elle passa sous ses cuisses,
la voluptueuse exposa sous le museau d'Azor
la fente rose de son divin cul, ainsi que son
joli con, encore tout rempli de foutre.
Azor lécha bien pendant quelques délicieux
instants le petit trou chéri, mais bientôt il se
recula, s'assit gravement, et, la langue hors
de la gueule, soufflant puissament, il se livra
à une petite comédie, qui, pour être mimée,
n'en était pas moins fort expressive, car elle
obtint chez les deux femmes, un succès de
fou rire . . .
— Regarde donc, faisait Suzanne . . . Ton
cul qui fait bander Azor . . . Gros cochon !
je parie qu'il veut jouir, lui aussi ! . . .
— Allons, Mr, Azor, dit Hélène, si vous
vouliez reprendre votre travail, et ne plus le
quitter qu'après son achèvement complet , . ,
Le chien, comme s'il eut compris le sens
de cette ivitation, se traîna jusqu'à la jeune
femme, et, après avoir promené amicalement
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sa langue tiède et douce sur les fesses nues
de la courtisane, il se dressa sur ses pattes
de derrière, posa ses deux autres pattes sur
les hanches d'Hélène, et essaya de lui en-
foncer son dard dans le derrière . . .
Suzanne riait à se tordre des efforts comi-
ques du pauvre chien . . .
— Ah 1 ah! faisait-elle . . . Vois tu pas que
vous restiez collés tous deux ! . . .
Hélène se laissait faire ; même, un moment,
elle écarta les lèvres de son con, facilitant
ainsi l'introduction . . .
Mais dès qu'elle sentit le dard pénétrer,
tout brûlant, elle se recula vivement ! . . .
— Ah ! non, fit-elle pas çà, tout de môme !..
— Oh! Ta vilaine laide! dit Suzanne, en
flattant Azor . . . Elle ne veut pas donner du
mou-mour au gros toutou chéri . . . Venez
trouver maîtresse vilain laid ; ça vous ap-
prendra à lui faire des infidélités.
Elle se coucha sur le ventre, écartant,
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comme Hélène l'avait fait, la fente de son
ventre . . .
L'animal y plongea son dard, et se mit à
pousser, soufflant du feu et rouronnant comme
un matou . . .
Les deux jeunes femmes s'amusaient beau-
coup de ce tableau bestial . . .
Et quand Suzanne sentit que le dard du
chien allait lancer un foutre brûlant, elle se
recula vivement, tandis qu' Azor, déçu dans
son espoir, saississait un coussin entre ses
pattes, et venait décharger sur le velours
cramoisi . . .
Et, chaque jour, lorsque Suzanne venait,
accompagnée du terre neuve, Hélène s'amu-
sait des frétillements du bizarre animal, ne
le lâchant, et ne consentant à se livrer à
Susanne, qu'après avoir branlé maître Azor.
Sur ces entrefaites, Suzanne présenta à son
amie un certain Vimol, vieillard de soixante
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ans, lequel s'était follement épris des char-
mes d'Hélène . . .
Ce Vimol était puissamment riche, et son
Age, ses cheveux blancs, son bedon majestu-
eux, avaient décidé Suzanne à cette présen-
tation, certaine que son amie ne s'èpendrait
point de cette caricature . . .
Vimol devint donc le protecteur d'Hélène.
Très galant, il ne savait rien refuser à la
jeune femme, il la couvrait de bijoux, de
diamants et d'or, ne demandant en retour de
pareilles prodigalités, que la petite faveur
d'admirer Hélène dans sa troublante nudité.
Un soir, le vieillard, en venant visiter sa
maîtresse, (?) lui amena une petite fille de
quatorze ans à peine, très belle et très forte
pour son âge . . .
M, Vimol connaissait les passions de sa
courtisane, et il avait cru être du dernier
galant, en présentant à Hélène cette jolie petite
fille ... Et puis, le vieux fouteur n'était
pas sans avoir quelque arrière-pensée . . .
Voluptés Bicarrés 5.
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Son vieux membre devait avoir besoin
d'énergiques stimulants, pour trouver la
force de se redresser . . .
Hélène portait ce soir là, l'un des plus
troublants costumes qu'une imagination de
vieillard ait pu inventer.
Figurez-vous un maillot blanc, tout con-
stellé de paillettes luisantes, collé aux ron-
deurs divines, laissant les seins vous imagi-
ner la magnifique ampleur des deux belles
fesses, grossies encore par la couleur im-
maculée de ce grotesque costume.
M. Vimol en avait fait faire ainsi de tou-
tes les couleurs, et rien ne peut donner une
idée de l'expression lubrique, imprimée & sa
physionomie, lorsqu'il contemplait la jeune
femme, revêtue de cet accoutrement diabo-
lique . . .
La petite fille rougissait fort, en regar-
dant cette „belle dame" d'apparence si dis-
tinguée et qui livrait ainsi au regard de ce
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vieillard, les plus secrètes splendeurs de son
beau corps de femme .. .
— Elle est jolie, la dame, hein? mon bébé,
fit le vieux, souriant affreusement et, passant
sa main décharnée sous le cou rose de la
mignonne . . .
— Oui, bien jolie, répondit-elle ... Ma
pauvre maman ne mourrait plus de faim, car
je saurais bien lui venir en aide, alors.
— Mais, ma petite chérie, fit le vieux, je
t'assure que tu es très jolie et très désira-
ble . . . Et je suis certain que vous devez
avoir déjà de jolis petitts tétons 1 . . .
— Oh ! pas si gros que ceux de la dame 1
— Et des petites fesses très dures . . .
— Oui, mais pas si dures . .
— Mais si, mais si . . . D'ailleurs, on
peut se convaincre, n'est-ce pas, Hélène? . . .
— M ai s oui, mon ami, fit cette dernière,
en s'approcbant de l'enfant, qu'elle troussa
vivement . . .
— - Le vieux tournait tout autour, lorgnant
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le ventre, veuf de tout poil disgracieux, et
s'arrètant surtout dans la contemplation des
deux jolies fesses roses, solidement collées
l'une contre l'autre, et séparées par une ligne
très fine, raide et rapide, comme un trait de
crayon . . .
Posant son lorgnon d'or sur son nez cro-
chu, le vieillard s'exalta, tàtant parfois les
chairs fermes, avec une satisfaction évi-
dente . . .
— Un vrai trésor, un vrai morceau de roi I
fît-il au bout de quelques instants . * .
Tant qu'à Hélène, elle était très excitée
par la vue de ces charmes intimes d'enfant
grassoullet . . .
La petite s'nmusait à tresser les poils de
la jenne femme, laquelle se laissait faire,
écartant malicieusement les cuisses, le con
très ouvert . . .
Tout à coup, Hélène saisit l'enfant par la
taille, et s'ètant assise dans un fauteuil large
et bas, elle posa la mignonne à cheval sur
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ses genoux, lui écartant ainsi largement
les jambes.
— Comment t'appelles-tu? fit Hélène, tan-
dis que le vieillard, approchant une chaise,
venait s'asseoir derrière l'enfant, dont il ta-
potait le joli cul blanc.
— Georgette, répliqua la petite fille, en
rendant à la courtisane les baisers enflam-
mées que celle-ci lui prodiguait . . .
— C'est la première fois que tu te lais-
ses faire?
— Oui, madame ... Il faut bien !
— Pourquoi donc faut-il ?
— Maman est pauvre . . . Elle est ma-
lade, et le Monsieur m'a déjà donné cinq
beaux louis de vingt francs . . .
— Il t'en donnera d'autres, encore ! Es-tu
contente ?
— Oh! oui . . .
— Et tu vas me faire jouir?
— Jouir ? . . .
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— Oui ... Tu t'es bien branlée quel-
quefois ?
Au lieu de répondre, Georgette se suspen-
dit au cou d'Hélène, en s'écriant :
— Ohl comme ça me chatouille 1 . . .
Le vieux, en effet, passant sa main sous
les fesses de Penfant, s'occupait d'agiter le
petit trou vierge . . .
— Laisse faire le monsieur, dit Hélène,
tu verras comme c'est bon . . .
La petite se laissait faire en effet, agré-
ablement chatouillée par l'extraordinaire
vieillard, remuant gentiment les fesses, en
serrant la courtisanè contre ses petits seins,
à peine soulevés . . .
Mais Hélène avait soif de jouissances . . .
Elle posa ses deux bras sur les épaules
de Georgette, et, par une énergique pression,
contraignit l'enfant à poser sa brune tète
sur son ventre nu . . .
La petite embrassait le con de la cour-
tisane, très rieuse, très amusée . . .
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Le vieillard avait tiré sa vieille épée de son
fourreau, et la promenait sur le derrière poli
de Georgette . . .
— Suce-moi, dit Hélène, incapable de se
maîtriser plus longtemps.
El la mignonne se rendit à ce désir; elle
fut très étonnée, lorsqu elle sentit bouillonner
au fond de la matrice le sperme amou-
reux ... Il est vrai qu'elle était toute
jeune et que jamais elle n'avait aussi ample-
ment déchargé.
Quand Hélène se fût pâmée, et que, lasse
et épuisée, les yeux clos, énergiquement
estompés, elle se fût renversée dans le fau-
teuil, le corps mou, Mr. Viraol prit Georgette
dans ses bras, dévoilant le sexe de 1' enfant
et lui mettant dans la main son gros mem-
bre tiède . . .
Georgette regardait cela, curieusement,
très remuéoe, et-elle deviniait sans peine, ce
que le vieillard attendait de sa complai-
sance . . .
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Elle le branla, tandis qu'il la couvrait de
baisers ... Et lorsque la vieille épèe eut
retrouvé quelque chose de sa rigidité passée»
Mr. Vimol la glissa entre les cuisses de l'en-
fant, lui recommandant de serrer énergi-
quement cellès-ci . . .
Une heure après, Georgette quittait l'hôtel*
physiquemeut encore vierge, mais fort bien
renseignée sur les mystères voluptueux.
La mère n'allait-elle pas avoir du pain?
Qu'importait donc!
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CHAPITRE
VIII.
DERNIÈRES DÉBAUCHES.
Jgï^jén an se passa, sans amener de chan-
gement appréciable dans l'existence
tourmentée de la trop célèbre cour-
tisane . . .
Nous croyons qu'il est superflu de racon-
ter les aveutures banales d'Hélène . . .
C'était toujours un peu la même chose . . .
Les aventures purent être différentes, mais
le résultat fut toujours ce qu'il devait être
inévitablement.
Nous en arriverons donc immédiatement
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à la partie presque capitale de cette très vé-
ridique histoire, certain que le lecteur nous
saura gré de passer sous silence tout ce
qui peut être empreint de quelque bana-
lité . . .
Hélène s'éprit donc d'un jeune poète che-
velu, un soir que les hazards de ses courses
vagabondes l'avaient menée „Au Matou
Noir t v que tous les Parisiens connaissent . . .
Marius avait vingt-cinq ans ; c'est dire
assez, qu'il devait posséder ces belles et juvé-
niles ardeurs de la jeunesse . . . 11 était pâle,
de cette pàîeur particulière aux gens qui
ne passent pas très précisément leurs nuits
dans les bras de Morphée, et ses grands,
yeux noirs, estompés par les fatigues d'un
travail incessant, avaient des reflets étranges,
avec quelque chose, dans les profondeurs de
leurs mobiles prunelles, de doux et de mélan-
colique.
Marius était un incompris, et les refus, jadis
peu polis, des éditeurs auxquels il n'avait
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pas craint de soumettre ses œuvres l'avaient
progressivement amené à un dégoût violent
pour tout ce qui l'entourait.
Les femmes lui semblaient bêtes à l'excès,
infâmes, répugnantes.
Il s'engageait dans cette voie sombre, qui
a le spleen pour résulat.
Et voilà qu' Hélène avait mis dans sa vie
comme un rayon de soleil . . .
Maintenant, la vie paraissait plus belle,
le ciel plus bleu ; Marius était sous le charme,
sous ce charme puissant, où Hélène tenait
tous les hommes qui l'approchaient.
Aimer cette femme! . . .
La désirer avec tant d'ardeur et ne pouvoir
l'approcher . . .
Pourquoi Marius n'è tait-il pas riche?
Il se serait plu à couvrir de bijoux pré-
cieux chacune des parties de ce corps mag-
nifique 1 . . .
Mais quels pouvaient être ses espoirs, k
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lui, pauvre diable de poëte, plus riche d'idée»
que d'écus? . . .
Et les nuits de Marius s'écoulaient, lentes,
pénibles, dans une insommie abrutissante,
avec, toujours devant les yeux, l'image chérie,
qu'une jalousie bizarre lui montrait tendre-
ment accolée à d'imaginaires rivaux ! . . .
Deux mois s'écoulèrent ainsi dans un
halètement affreux, dans une fièvre folle ! . . .
Marius ne travaillait plus . . .
Maintenant, la nuit, sous la chaleur intense,
envoyée sur son crâne par la lampe de
travail, il restait là des heures entières,
bouche bée, le regard perdu dans le vague,
incapable de rien, d'aligner deux vers, leur
musique eut elle été destinée à charmer
l'idole . . .
Mais un soir, le poëte n'y tint plus . . .
C'était trop de souffrances . . .
La mort était préférable aux tourments
inouis qu'il endurait ...
11 la voulait, il fallait qu'il la vit . . .
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Il lui peindrait son amour avec tant de
force, tant de vérité, qu'elle ne pourrait
demeurer insensible à de semblables ac-
cents . . .
Et il se rendit ,,Ai* Matou Noir."
Hélène vint, un peu grise . . .
On ne court pas les cabarets de nuit, sans
laisser au fond des verres un peu de sa
raison.
Marius fut magnifique, ce soir-là . . .
Il eut des inspirations géniales . . .
Ses bons amis même, daignèrent le féli-
citer. . .
Et, au milieu d'un concert de louanges,
et des applaudissements féminins, le poète
se laissa choir près d'Hélène, disant, en
s'épongeant le front, moite de sueur, et pour
dérober la furtive rougeur qui envahit ses
joues :
— Vous seule n'applaudissez pas, Ma-
dame ...
Elle le regarda, souriante . . .
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Le poète eut la sensation d'une chaleur
très douce, dans laquelle son cœur anrait
baigné ...
Ecoutez, fit-il, d'une voix brève, je vous
adore comme vous ne pouvez vous l'ima-
giner. Laissez-moi vous reconduire, ce soir,
vous avez besoin dans l'existence d'un être
qui vous soit absolument dévoué, prenez
la mienne ...
On sentait qu'il ne mentait pas . . .
Hélène le comprit bien.
Aussi répondit-elle, après quelques courts
instants de réflexion :
— Ma voiture est là, venez . . .
Ils partirent.
Arivés à l'hôtel de la rue de B**, Hélène
fit entrer le poète dans un magnifique bou-
doir, où elle le laissa, disparaissant dans le
cabinet de toilette, d'où elle sortait, quelques
minutes après, vêtue d'un 'ong peignoir de
gaze verte, dont la transparence idéale
laissait admirer les splendeurs inestimables
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du corps entièrement nu de la Jeune femme.
Mari us poussa un cri, cri de folie, et se
précipita aux genoux de la courtisane, dont il
se mit à baiser les pieds avec passion . . .
Mais elle le releva, et le fit assoir sur le
sopha, tout près d'elle . . .
Sur un guéridon, le Champagne pétillait
dans les coupes . . .
Nouchalamment, et avec un geste déli-
cieux, la courtisane saisit une coupe, et la
porta à ses lèvres, invitant le poète à
l'imiter . . .
— Marius, fit elle alors, je ne t'aime pas,
je ne t'aimerai jamais . . .
— Hélène! . . .
— Quelles richesses déposeras tu donc à
mes pieds, en échange de ces jouissances que
tu sollicites?
— Des richesses ! ... fit le poète, qui re-
tombait ainsi brutalement dans la plus déce-
vante des réalités ... Tu le sais, je n'en
possède point. Mais je t'aime et te désire
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assez, pour te donner ma vie. Dis-moi que
tu seras heureuse de partager ta couche avec
le pauvre Marius ; dis-moi que tu voudras
bien laisser mes mains s'égarer sur les
marmoréennes rondeurs de tes seins, dis-moi
que tu ne me repousseras point, quand mes
lèvres se promèneront sur ton ventre ruti-
lant, sur tes cuisses, sur tes fesses, idéale-
ment blanches ; dis-moi, que, lorsque mon
membre pénétrera au plus profond de ton
être, tu ne me cèleras pas ta jouissance et
ne retiendras pas ton foutre; oh ! dis-moi
tout cela, mon amour, ma folie, et je veux
que cette nuit de délices soit la derrière
pour moi, et je veux ne plus voir l'aurore
aux longs doigts de rose ! . . . Ma vie, en
échange de cette nuit de délices.
J'ai du poison sur moi, le voici ; prends-le
et verse-le toi-même . . . Son effet ne se
produira guère qu'au matin, et, ne voulant
pas te compromettre, j'irai mourir ailleurs . . .
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— Donne, fit Hélène en se saisissant du
flacon. Bile le prit et se leva ...
— Où vas tu? dit-il.
— Je vais donner des ordres et je reviens . . .
— Tu acceptes donc?
— J'accepte ... La proposition est trop
belle pour que je puisse refuser ... Tu
m'aimes assez, je le vois, et pnisque je suis
convaincue de cet amour, je serais une
misérablè, si je refusais à celui qui me sa-
crifie sa vie, les jouissances qu'il réclame
de moi.
Elle sortit, puis entra de nouveau . . .
Elle le prit par la main et le conduisit
dans la chambre à coucher . . .
Marius se dévêtit complètement et enlaça
la courtisane . . .
— Bois, fit-elle, en lui présentant une coupe
où elle avait versé tout autre chose que du
poison
Il but, sans hésitation, avec ivresse, cette
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affreuse boisson, qui lui sembla quelque
nectar ...
Son dard redressait orgueillusement la
tète !.. Il prit la courtisane par dessous
les fesses, et, avec une capacité dont on ne
l'aurait pas cru capable, il l'enleva jusqu'à
hauteur de son dard, tandis qu'elle lui en-
tourait les reins de ses deux jambes en-
lacées . . .
Le membre pénétra tout entier dans la
grotte de volupté, et quand les deux nou-
veaux amants sentirent le foutre gonfler leurs
sexes, ils s'arrêtèrent . . .
Alors, Hélène, le ventre et les seins sur
la chaise longue, les fesses en l'air, écarta
ces dernières de ses deux mains, dévoilant
le tour dépourvu de tout poils . . .
Marius y enfonça sa pine brûlante, passant
ses deux mains sous le ventre de la jeune
femme, dont il se mit à chatouiller le bouton.
Il allait doucement, se pénétrant de cette
volupté inouïe ! . . .
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Mais, tout d'un coup, les rideaux de l'al-
côve furent soulevés, et M. Vimol apparut,
complètement nu, sa longue verge bien re-
dressée, suivi de Suzanne, également nue, et
qui, très excitée par le voluptueux tableau
qu'il lui avait été donné d'admirer, se pe-
lotait les fesses, en roulant des hanches.
On s'expliqua • . .
M. Vimol n'était pas jaloux. Oh 1 nonl
Il comprenait parfaitement qu' Hélène devait
avoir besoin de ces jouissances, qu'il n'était
pas souvent en mesure de lui procurer,
hélas! . . .
Puis, il se répandit en amers reproches . . .
— Eh quoil elle n'avait pas craint de céder
aux prières de ce jeune homme, et l'avait
froidement empoisonné ? . . .
Hélène avoua alors la supercherie à la-
quelle elle avait en recours. Loin d'être un
breuvage de mort, la boisson qu'elle avait
fait prendre à Marius, devait, au contraire,
l'exciter aux voluptueux travaux . . .
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TTTTTTTT
116
M. Vimol était radieux!
Un si joli jeune homme ! ... Et bâti 1 . . .
Des fesses de femme! ... Et un joli petit
dard! . . .
Le Tieillard palpait les jnmelles rondeurs
du poète, frottant son membre redressé con-
tre leurs chairs roses . . .
Il f aillait passer une soirée délicieuse . . .
Tous les quatre bandaient effroyablement.
L'orgie devint complète . . .
Le vieillard eut une idée . . .
S'attachant, au bas de ses vieilles fesses,
un godmiché de belle taille, il annonça
qu'on allait faire la chaine anglaise . . .
Marius se plaça derrière Hélène, dont le
cul, grand ouvert, sollicitait avec succès son
beau dard amoureux.
M. Vimol enfonça sa verge dans le der-
rière du poëte, tandis que le godmiché qui
ornait la partie postérieure de son individu,
pénétrait dans le tèmple arrière de Suzanne
qui se brànlait . . .
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117
Et le foutre coula bientôt avec abondance
Le reste de la nuit s'écoula dans de nou-
velles et excessives jouissances ...
Hélène avait maintenant trente-cinq ans . . .
Elle avait bu à la coupe de toutes les vo-
luptés et n'avait plus rien à désirer.
Un jour d'hiver, elle se rencontra à l'Opéra
avec son malheureux mari. En revoyant sa
femme, celui-ci sentit renaitre en lui son an-
cienne passion.
Il pardonna à Hélène, s'enfuit avec elle en
province, et l'ancienne courtisane, actuellement
âgée de quarante-huit ans, se fait encore
enculer dans les prés, jupes troussées, fesses
au vent, par son mari, le plus heureux des
hommes.
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