Pibrary of the Museum
OF
COMPARATIVE ZOOLOGY,
AT HARVARD COLLEGE, CAMBRIDGE, MASS. |
Founded by private subscription, in 1861.
(La Seve dace. des Поло ло
| de Або сало".
|
|
| No.'^2.00
|
BULLETIN
DE LA
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE
DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
Tome LI.
ANNÉE 1876.
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Ne 3.
MOSCOU.
Imprimerie de l'Université Impériele,
(M. Katkoff.)
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ETUDE MONOGRAPHIQUE
des MASOREIDES, des TETRAGONODERIDES
et du genre NEMATOTARSUS
par le
Baron de Chaudoir.
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Dans la longue série de.ce qu'on est convenu de nom-
mer les Troncati-pennes, qui se distinguent de la majo-
rité des Carabiques appartenant à la seconde grande sec-
tion de cette famille par la conformation de la languette
entiérement adhérente à ses paraglosses, on ne trouve
qu'un petit nombre de formes dont les jambes, surtout
les quatre postérieures, soient terminées en dedans par
deux longues épines, car la plupart les ont ou tres-courtes
ou du moins courtes relativement à la taille des insectes ou à
la longueur de leurs jambes. Quelques-unes cependant pré-
sentent ce caractère à un haut degré; tels sont les Graphi-
plérides dont je me suis déjà occupé; les Corsyra, qui
quoique voisines des Graphipterus et des Cymindis (re-
panda, equesiris), ne sont pourtant admissibes dans au-
№ 3. 1876. 1
ms
Lophidiws sont aussi plus larges et se touchent presque
derriére le bord antérieur de lalanguette, à l'extrémité
de laquelle je n'ai pu apercevoir les poils qu'on y voit
chez lez Somoplatus, qui de plus ont le corps recouvert
d'une pubescence assez dense, surtout sur les élytres,
tandis qu'il est glabre chez les Lophidius. Les élitres
de ceux-ci sont tronquées et échancrées à l'extrémité, qui
ne recouvre pas l'anus; chez les Somoplatus elles ne
sont qu'obtusément arrondies et nelaissent que fort peu
de l'abdomen à découvert.
Des trois genres à prosternum sans bouquet ad poils,
deux: Caphora et Microus, ont les crochets des tarses
arqués et minces, un peu dentelés en dessous, tandis
que dans le troisiéme, pour lequel je propose à cause de
cela le nom de Colobonichus, ils sont comme avortés,
étant extrémement courts et gros, paraissant comme non
développés, en forme de triangle obtus, sans dentelures
visibles. C'est là surtout ce qui le distingue des Somo-
platus, dont il a la languette et dont les antennes sont
conformées de méme, si ce n'est que dans les Colobonychus
les articles extérieurs sont moins courts, en ovale plus al-
10156; les tarses sont bien plus gréles et plus longs; dans les
mäles les trois premiers articles des tarses antérieurs ne
sont pas plus dilatés que dans les Masoreus, е la vestiture
du dessous et comme chez ceux-ci et non comme chez
les Somoplatus et les Lophidius; le corps est pubescent
comme chez le premier de ees deux. Il est établi sur
le Lophidius brevicollis Dejean.
Les deux autres genres sont glabres et différent entre
eux d'abord par la forme, car les Caphora ont teut à
fait l'aspect de petits Masoreus; tandis que les Microus
ont la forme arrondie des Cyclosomus. Les antennes des
premiers sont minces et filiformes, celles des Microus
UEM E
sont trés-moniliformes et trés-courtes, avec les articles
4 — 10 transversaux; le labre, tronqué carrément dans
les Caphora, est distinctement échancré au milieu dans
les Microus, les tarses sont plus courts dans ceux-ci
et les crochets plus dentelés. Le genre Microus est fon-
dé sur un petit insecte que M. Mocquerys a d'abord trouvé
sur un vaisseau à Rouen, et que M. Raffray a ensuite ren-
contré dans l'ile de Zanzibar, qui est probablement sa
véritable patrie.
Les genres chez lesquels le menton n'apoint de dent,
sont les Masoreus avec leurs sous-genres, et les Ophryo-
gnathus, qui en different d'abord par leur forme qui
est à peu prés celle des Cyclosomus et des Microus,
puis par leurs mandibules finement striées en dessus et
munies le long de leur bord externe d'un rebord fin et
saillant, trés-tranchant (inde nomen), par leur labre visible-
ment et angulairement échancré au milieu du bord antéri-
eur, parles élytres recouvrant tout à fait l'abdomen, le dé-
passant méme et nullement tronquées; les pattes sont con-
formées comme chez les Aephnidius, les antennes sub-
moniliformes comme celles des Anaulacus; le prosternum
est glabre et sans poils à son extrémité postérieure; la
tete courte, large et enfoncée dans l’échancrure anté-
rieure du corselet, qui est profonde; celui-ci est comme
chez les Cyclosomus, mais un peu moins élargi en ar-
riére; il s'adapte exactement à la base des élytres, qui,
comme celle du corselet, est tronquée très-carrément,
elles-mémes sont aussi courtes, mais moins arrondies sur
les cótés, avec les épaules carrées; en dessus elles sont
finement chagrineés et opaques comme dans certains
Aephnidius, sans vestiges de stries, mais sur chacune
on aperçoit sur l'emplacement des 3-е et 5-e interval-
les deux rangées de tubercules lisses, allongés qui dis-
ANT
paraissent vers les deux tiers. Ce genre des plus curieux -
ne renferme encore qu'une espéce, qui habite le littoral
nord et est de l'Amérique méridionale.
Somoplatus.
Dejean, Spec. IV. p. 15.
Malgré la ressemblance qu'il lui trouvait avec les Ma-
soreus, Dejean a éloigné ce genre de ces derniers, par-
ce qu'il lui a semblé qu'il avait quatre articles dilatés
aux tarses antérieurs des males, ce qui est une erreur,
car il n'y en a en réalité que trois qui soient revétus
en dessous de papilles assez longues pour que celles du
3-е article s’étendent en apparence sur le dessous du
quatrième. Les autres caractères sont ceux des JMaso-
reus, à part les différences indiquées plus haut. Lacor-
daire, qui ne connaissait pas tous ces insectes, s’est fi-
guré, on ne sait trop pourquoi, que les Perigona &tai-
ent des Somoplatus, et le Catalogue Harold et Gemmin-
ger répète cette erreur, dissipée par M. Putzeys, qui a fait
voir que c'étaient tout à fait d'autres insectes voisins des
Trechicus, et dont on connait maintenant un assez grand
nombre d'espéces. Une seule espéce de Somoplatus a
été décrite jusqu'à présent sous le nom de
S. Substrictus Dejean, Spec. d. Col. IV. p. 16. —
Icnogr. des Col. d’Eur. IV. pl. 172. fig. 4. = Lophidius
laticollis Boheman, Ins. Caffr. I. p. 188. La figure
citée est assez défectueuse, la téte et le corselet de-
vraient être plus larges, les angles du corselet plus ar-
rondis, et les stries des élytres sont trop indiquées. Ou-
tre le type de Dejean qui est une femelle, j'en possede
un individu mále, pris à Marseille dans des Arachides,
et une femelle, venant du Natal comme l’insecte décrit
par Boheman.
Bie | eae
S. Marseuli Chaudotr Long. 3'/ mm. est une
seconde espéce de ce genre, beaucoup plus petite que
la premiére, mais lui ressemblant beaucoup par la forme;
sa coloration est plus pale; les antennes sont plus cour-
tes, légérement moniliformes, les articles extérieurs a
peine plus longs que larges; le corselet a la méme forme,
il est moins déprimé et moins aplati le long des bords
lateraux, qui sont plus distinctement pointillés, ainsi que
la base; les elytres sont moins amples, proportionnelle-
ment plus courtes, laissant un peu plus l'abdomen à dé-
couvert, le dessus est plus densément pointillé et plus
pubescent, les stries sont encore moins visibles; les pat-
tes plus courtes, les tarses proportionnellement plus gré-
les; l'en possède plusieurs individus importés à Cette par
des vaisseaux.
Lophidius.
Dejean, Spec. des. Col. V. p. 801.
L. testaceus Dejean, ibid. p. 802; Icon. des Col.
d'Eur. НГ. pl. 171. fig. 3. La figure ert défectueuse; la
iète est trop petite, les antennes trop courtes et trop
fortes; le corseiet n'est pas assez échancré antérieure-
ment, et sa base ne devrait pas l'étre du tout; l'extré-
mité des élytres est tronquée presque carrément et pas
sinuée comme dans la figure, et l'anus est à décou-
vert ei non caché comme il est représenté. L’individu
de la collection Dejean, le seul que je connaisse, vient
de Sierra Leone.
Golobonychus.
Chaudoir; Lophidius Dejean.
C. Brevicollis Dejean, Spec. des. Col. V. p. 803.
Long. 4'/, min. Il se rapproche beaucoup plus du So-
BR CUM
mopl. substriatus que du Loph., testaceus auquel De-
jean le compare. La téte est plus étroite; les antennes
sont de la méme longueur, mais plus minces, et les 8
derniers articles, au lieu d’être en rectangle assez large,
sont ovalaires et amincis à leur Базе. Le corselet est moins
large, moin rétréci en avant, tout aussi échaneré, avec le
sommet des angles antérieurs moins arrondis, ainsi que les
côtés; les angles postérieurs sont droits, avec le sommet
un peu arrondi. Les elytres ont la méme forme et la
méme convexité, elles sont plus larges que le corselet
et ne recouvrent pas l'extrémité de l'abdomen, le des-
sus est plus luisant, la pubescence moins serrée, les in-
tervalles d'un soupcon moins plans; les pattes sont plus
minces, les jambes bien moins épineuses sur les côtés,
les épines terminales moins longues, les tarses beaucoup
plus gréles. L'unique individu de la collection Dejean est
un mâle et pas une femelle, comme l'a cru cet entomo- '
logiste; il est également originaire de Sierra Leone.
Caphora.
Schmidt-Gebel, Faun. birm. p. 91.
C. humilis Schmidt-Gebel, ibid. p. 91. T. Ш. fig. 8.
a. b. c. d. Ce petit insecte est suffisamment connu par
la description et la figure qu'en a données l'auteur. Il
ne se trouve pas seulement en Birmanie, mais aussi dans
la présidence du Bengale, d'ou j'en possède quelques
individus.
Microus Chaudoir.
Outre les caractères de ce genre que j'ai déjà relevés,
je ferai observer que le deuxiéme article des antennes
est globuleux et plus court que le suivant, tandis que
X | RE
chez les Caphora le deuxiéme est au contraire plus long
que le troisième. Sa forme courte, ovoide et convexe
lui donnent un aspect trés-singulier.
Spl. Mocquerysi. Long. 3'/,—4 mm. larg. 1‘/,—2 mm.
Téte tres-courte, trés-large, transversale, rentrée jusqu'aux
yeux dans l'échanrcure du corselet, ceux-ci convexes, à peu
préslibres postérieurement; le front sans impressions, fine-
ment chagriné, avec un gros point vers le milieu du bord
interne des yeux, le rebord latéral de la téte se re-
courbe presque à angle droit en dedans immédiatement
devant les yeux et va rejoindre la suture de l'épistome,
qui est en rectangle transversal, assez échancré en arc
de cercle à son bord antérieur, plan, presque lisse, avec
un point pilifere vers le milieu de chacun des côtés,
entre lesquels et le rebord coudé de la tête il y a un
angle rentrant profond, du fond duquel sort le cóté ex-
terne des mandibules qui sont trés-plates en dessus et dont
le bord externe semble former un bourrelet le long des
cötes de l'épistome; la suture postérieure de ce dernier
à peine visible. Corselet trés-court, trés-transversal (res-
semblant à celui des Cyclosomus); moins profondément
échancré antérieurement, avec les angles moins aigus,
plus arrondis au sommet et plus adhérents aux côtés du
col; s’élargissant de même en arrière, nullement arrondi
sur les côtés qui forment avec la base un angle aigu,
presque pas arrondi au sommet; celle-ci coupée carré-
ment avec une très-légère échancrure de la largeur du
pédoncule des élytres, à la base desquelles elle s'adapte
exactement d'une épaule à l'autre; le dessus un peu con-
vexe dans le sens transversal, descendant un peu plus
vers les angles antérieurs, trés-finement chagriné, ligne
médiane trés-fine, n’atteignant pas tout-a-fait les deux
bords, dans la rigole latérale qui est trés-fine, de méme
— "em
que le rebord, trois points sétifères. Elytres en demi-ovale,
tronqué très-carrément à la base qui n'a que la largeur
de celle du corselet, légérement élargies aprés les épau-
les qui sont carrées avec le sommet trés-légérement
arrondi, et commencant à se rétrécir vers l'extrémité
des le premier cinquième en décrivant une courbe assez
forte; l'extrémité à peine tronquée, trés-oblique, avec
langle externe à peine sensible, trés-largement arrondi
recouvrant presque entiérement l'anus; le dessus trés-
bombé en tous sens, avec une légère impression derrière
les cótés du pédoncule basal dans laquelle on voit un
petit point; la surface très-chatoyante, comme chez les
Aephnidius, mais nullement moirée; il n'y a de visible
que les deux stries latérales entre lesquelles on aper-
coit une rangée de points prés de ta base où le neuvie-
me intervalle est étroit, et prés de l'extrémité, ou il
s’elargit aprés le milieu; il y a de plus sur le disque de
chaque élytre sur l'emplacement du 3-e intervalle, deux
points excessivement pelits qu'on n’apercoit qu'à l'aide
d'un tres-fort grossissement. Le dessous du corps encore
plus bombé que le dessus, lisse et glabre; prosternum
arrondi et très-convexe entre les hanches; sa face pos-
térieure a la forme d'un coin et remonte verticalement
vers le pédoncule; le devant du mésosternum est creusé
pour recevoir cette saillie du prosternum; les épi-
sternes du metasteroum, plus longs que larges, ont ce-
pendant antérieurement une assez grande largeur et se
rétrécissent beaucoup en arriére; leurs bords latéraux
sont finement sillonnés. Antennes très-courtes, atteignant
à peine la moitié du corselet, grossissant beaucoup vers
l'extrémité, articles 5 — 10 larges, transversaux, le der-
mier en ovale court, très-obtus à sa base. Pattes plus
robustes que chez les Masoreus, cuisses plus épaisses.
D’un noir un peu brunätre, tres-soyeux en dessus, as-
sez luisant en dessous; antennes, palpes, bords latéraux
du corselet et des élytres avec les épipleures rougeátres,
hanches.et paties plus claires. Port de Rouen (Mocque-
rys);le de Pemba (Raffray).
Masoreus.
Dejean, Spec. des. Col. III. p. 536.
Haspalus Gyllenhal; Trechus Sturm.
Schaum (Berl. entom. Zeitschr. 1863 p. 76.) considére
les Aephnidius et les Anaulacus Mac Leay, ainsi que
mes Macracanthus, comme ne différant pas générique-
ment des Masoreus, mais tout en ne les admettant pas
comme genres distincts, il aurait dû indiquer les carac-
teres qui obligent à les considérer au moins comme des
divisions assez naturelles de ce genre.
Les Aephnidius dont Schmidt-Gebel (Faun. birm. p.
88) a redonné les caractéres, mais en y réunissant les
Anaulacus, différent des vrais Masoreus par les carac-
teres suivants: La languette moins élargie à son extré-
mité est un peu échancrée, le cóté externe des mandibu-
les est plus arqué et plus saillant latéralement, et le
dessus est plus aplani; les trois premiers articles des
tarses antérieurs des males sont plus dilatés, le pro-
sternum est sillonné de chaque cóté entre les hanches,
et le sillon se termine posterieurement par un point
pilifère, de sorte qu'on voit au bout postérieur du
prosternum deux poils qui n'existent pas dans les Ma-
soreus, pas plus que les sillons; les quatre jambes pos-
térieures sont bien plus épineuses sur les côtés, les épi-
nes sont plus longues et plus fortes; à l'extrémité du
Es ee
côté externe des jambes intermédiaires du male on арег-
coit une petite brosse composée de poils jaunes. Les
Macracanthus différent des Masoreus par les mêmes
caractères, mais la languette est arrondie à son extré-
mité; les antennes sont courtes, épaisses et moniliformes
comme dans les Anaulacus, dont ils ont la forme cour-
te et ovalaire.
Chez les Anaulacus, les antennes et les pattes sont
comme dans les Macracanthus, mais le prosternum n'a
ni poils ni sillons, comme dans les vrais Masoreus.
Leur forme est encore plus ramassée que celle des Ma-
eracanthus, quant à la dent que Mac Leay a cru voir
dans l’échancrure de leur menton, Schaum а déjà fait
observer qu’elle n’existait point.
Masoreus sens. propr.
Ligula apice haud libera, ibique lata trigona,
quadrisetosa; paraglossae ei annatae, eam mo-
dice superantes.
Prosternum simplex, inter coxas haud sulcatum,
nec bisetosum.
Tibiae posteriores extus parce spinulosae.
Mandibulae extus haud ampliato-arcuatae.
Antennae tenues, filiformes.
Prothoracis basis elytris haud annixa, pedunculo
distincto.
M. Wetterhali Gyllenkal, Ins. suec. Ш. p. 698;
Jacquelin Duval, Gener. pl. 24. fig. 117; = luxatus
Dejean, Spec. Ш, p. 537; = Trechus laticollis Sturm,
Deutschl. Ins. VI. p. 103. T. CL fig. d. D. Je n'ai pas
ia. o
encore vu d'individus testacés de cette espèce, dans
laquelle le corselet et les élytres sont un peu moins plans,
celles-ci aussi luisantes que le corselet, les stries plus fortes,
distinctement ponctuées, les intervalles ne sont pas tout à
fait plans; les elyérés sont moins arrondies sur les côtés
que dans Раедурйасиз, et un peu moins larges; les angles
postérieurs du corselet un peu moins largement arrondis
et un peu plus indiqués. Les individus des diverses par-
ties de l'Europe tempérée, du nord de l'Espagne et des
provinces transcaucasiennes sont identiques, mais j'en ai
du midi de l'Espagne et de l'Algérie qui paraissent être
moins convexes, avee les intervalles des stries plus plans,
et dont les élytres ont les cótés plus droits, plus pa-
ralleles, de sorte qu'ils ne sauraient étre des aegyptiacus,
dont les élytres sont au contraire élargies et arrondies
sur les cótés. Dans l'Andalousie et dans l'Algérie ces
deux formes se retrouvent ensemble, car je posséde de
vrais aegyptiacus venant de ces deux pays, et l'affinis
Küster est une variété de ce dernier à disque des ély-
tres obscur. Je ne connais pas l’axillaris de ce même
auteur, venant de Sardaigne, qui d'aprés la description
serait beaucoup plus petit et plus allongé, et qui est
peut-étre une espéce distincte, bien que Schaum le réu-
nisse sans autre forme de procès au Wetterhalli.
Wollaston et Schaum ont établi deux espéces distinc-
tes sur deux Masoreus des iles Canaries, dont l'un,
arenicola Wollaston, habiterait prés de la mer à Lanze-
rote et Fortaventure, tandis que l'autre, alticola, ne se
tiendrait que sur les montagnes élevées de Ténériffe. Ne
possédant qu'un individu du premier et aucun du se-
cond, je ne veux pas meprononcer sur la validité de ces
especes; je m'étonne seulement qu'un entomologiste qui
ne veut pas admettre que les Eurygnathus Latreillei
mM I
el parallelus soient deux espéces distinctes. affirme que
larenicola est specifiquement différent du Wetterhalli,
car les différences entre ces deux insectes sont vraiment
bien légéres.
М. aegyptiacus Dejean, Spec. Ш. p. 538. = rotun-
dipennis Reiche, Ann. de la soc. ent. de France 1861
р. 361. = testaceus? Lucas, Expl. scient. de l'Algér.
p. 65. pl. 8. fig. 8.;—Var: M. affinis Chaudoir, Bull.
des Nat. de Mosc. 1843. p. 778; Küster, d. Kaef. Eur.
12. 2. Cette espéce varie par la taille et la coloration;
quelques individus n'ayant que les dimensions du Wet-
terhalli, tandis que d'autres sont un peu plus grands et
surtout plus larges; les angles postérieurs du corselet
sont plus largement arrondis; les élytres le sont davantage
sur les cótés, elles sont plus ternes, les stries plus fines,
à peine ponctuées, les intervalles entierement plans. Les
crochets sont dentelés à peu prés de méme dans l'un et
dans l'autre. Le vrai aegyptiacus ainsi que le rotundi-
pennis et le testaceus est entièrement d'un testacé plus
ou moins foncé, tandis que l’affinis, tant le mien que
celui de Küster, qui sont idenliques, vu qu'ils provien-
nent de la méme source, est plus brun avec la base des
élytres et quelquefois le prothorax rouges. Le type et
la variété se prennent en Egypte, en Algérie, en Sicile
et en Espagne (Carthagéne).
M. orientalis Dejean, Spec. Ш. р. 539; = laticollis
Chaudoir, Bull. des Natur. de Mosc. 1843. p. 778. Il
est sensiblement plus grand que les deux précédents, et
varie aussi du testacé au brun plus ou moins foncé,
mais la base des élytres n’est jamais rougeátre; il est
proportionnellement plus large que le Wetterhalli. Il ha-
bite les Indes orientales; les individus que j'ai décrits
sous le nom de laticollis, viennent d'Egypte, du Sennaar
et d'Abyssinie (Raffray), et ne différent point des indiens.
— 15 —
Aephnidius,
Mac Leay, Annul. javan. p. 23.
Schmidt-Gebel, Faun. birm. p. 88,
Ligula apice minus lata, subemarginata; para-
glossae annatae, angustiores, eamque longius
superantes.
Prosternum inter coxas utrinque sulcatum, po-
stice bipunctatum, punctis setigeris.
Tibiae posteriores extus longius validiusque spi-
nosae.
Mandibulge extus ampliato-rotundatae, supra
deplanatae, laeves.
Antennae tenues, filiformes.
Prothoraz pedunculo distincto, sed breviore ab
elytris sejunctus.
Sect. I. Elytra interstitio tertio evidenter bipune-
tato. Div. I. Elytra sericeolusca.
Mas. madagascariensis Chaudoir, Bull. des Natur.
de Mosc. 1850. I. p. 453. = Mas. aequinoctialis La-
ferté, Rev. et Mag. de Zool. 1853. р. 374;— Mas. Anthra-
cimus Schaum, Berl. entom. Zeitschr. 1863 p. 78.
Ordinairement un peu plus grand et plus large que
l'orientalis, cependant le type de l'aequinoctialis n'a que
les dimensions de ce dernier. Те plus courte et plus
lisse prés des yeux; ceux-ci plus pelits, un peu moins
saillants; corselet plus large, plus transversal, se rétré-
cissant plus en avant que vers la base, plus échancré
à son bord antérieur; élytres proportionnellement plus
larges, moins paralléles, s'élargissant un peu en arrière,
surtout dens les femelles, plus arrondies sur les côtés,
DR MEN
leur base plus rapprochée de celle du corselet, le pé-
doncule basal plus court, l'extrémité moins obtusément
arrondie; le dessus moins aplani, les stries plus fines,
presque lisses; les intervalles finement chagrinés et par-
semés, surtout en arriére, de taches ardoisées (comme
moirés) sur le troisième deux points placés, l'un au
premier tiers, le second au deuxiéme; la rangée du neu-
viéme non interrompue vers le milieu. D'ailleurs d'un
noir modérément luisant sur la téte et le corselet, plus
terne sur les élytres; palpes et antennes d'un brun rou-
geätre, les 3-e et 4-e articles de celles-ci quelquefois
un peu rembrunis; pattes ferrugineuses avec les cuisses
brunes. Je posséde 4 individus venant de Madagascar,
2 du Cap de Bonne Espérance, 4 des possesions fran-
caises et portugaises sur le Sénégal, et 3 du Gabon;
ceux-ci proviennent de la méme source que l'individu
décrit par Schaum.
Mas. fuscipennis Schmidt-Gebel (Aephnidius) Faun.
birm. p. 89. Taille et forme du madagascariensis, mais plus
brun, moins foncé, avec les élytres moirées sur presque tou-
te leur étendue; le corselet est aussi large, mais il n’a pas
l'air d’être plus élargi en arrière; les elytres sont un peu plus
parallèles dans la femelle, seul sexe que jeposséde; elles sont
aussi plus planes et les stries sont bien plus fines; les palpes
et les antennes sont bien plus ferrugineux, plus clairs,
ainsi queles genoux, les tarses et les trochanters; le mi-
lieu des cuisses et les jambes sont un peu rembrunis.
Schmidt Gebel dit que lindividu qu'il a décrit vient
de Birmanie, le mien provient du Deccan. J'ai quelque
doutes sur l'exactitude de l'habitat de toutes les espèces
soit-disamment recueillies par Helfer dans les provinces
birmanes de Martaban et de Tenasserim, et je crois
que plus d'une est originaire du Bengale.
TM [US
Mas. adelioides Mac Leay, Aephnidius, Ann. javan.
p. 23. pl. VII. fig. 2; Schmidt Gebel. Faun. birm.
p. 88. Long. 57/, mm. Beaucoup plus petit que le fusci-
pennis dont il a à peu prés la forme; les angles posté-
rieurs du corselet sont un peu moins largemement ar-
rondis, ce qui lefait paraitre moins rétréci vers la base
que vers l'extrémité; cependant, ainsi que Schmidt-Gebel
l'a déjà observé, la figure de l'Annulosa est trop courte
et les angles du corselet ne sont pas assez arrondis; le
moiré des élytres est plus fort et plus marqué que dans
le madagascariensis, quelques endroits paraissent ve-
loutés; la couleur est aussi noire que dans cette espéce,
mais les reflets sont plus soyeux. Comme dans cette es-
péce les femelles sont plus larges, surtout en arriére,
que les máles, Mac Leay l'a déerit comme venant de
Java, Wallace l'a pris communément à Célébes; j'en ai
aussi un individu de Rangoon en Birmanie.
Mas. sericeus Zimmermann, Monogr. p. 120 Long.
6*/; mm. Les trois exemplaires de ma collection sont
tous plus grands que ladelioides auquel il ressemble
d'ailleurs beaucoup; leur forme est un peu plus allongée,
les élytres sont moins courtes et ont une teinte un peu
bronzée, le milieu de la base du corselet est un peu
plus prolongé; les articles intermédiaires des antennes
et les jambes sont un peu rembrunis. Comme ceux dé-
crits par Zimmermann, ils viennent du Deccan.
Div. IL Elytra haud sericeo-lusca opacula.
Mas. guineensis Chaudoir. Long. 6°, mm. S. Ilest
à peu prés de la taille du madagascariensis, mais de
forme plus allongée, plus étroite et plus parallèle. Tete
plus grosse; corselet tout aussi large, un peu plus ré-
tréci vers son extrémité que vers sa base, fortement
№ 3. 1876. 2
dO NE Le
arrondi sur les côtés, plus échancré à son bord anté-
rieur, avec les angles plus larges et trés-arrondis; ély-
tres pas plus larges que le corselet, aussi longues mais
plus étroites que dans le madagascariensis, ce qui les
fait paraltre plus allongées, un peu plus pédonculées,
plus parallèles; sur le milieu des côtés sur une assez
grande étendue, offrant la méme convexilé; finement
striées, les stries légèrement ponctuées, les points peu
serrés, les intervalles tout à fait plans, trés-finement
chagrinés. Entiérement noir; téte et corselet trés-lisses
et luisants; élytres presqu'aussi luisantes que le devant
du corps, au moins dans le mále, seul sexe que je con-
naisse; bords du labre, palpes et antennes d'un brun
rougeätre, pattes noires, jambes légérement brunätres.
Il m'a été envoyé par M. Thorey, comme venant de
Guinée; je l'aurais considéré comme identique avec le
grandis Zimmermann, s'il n'était dit dans la descrip-
tion; «élytris subtilissime punctulato-striatis, rufopiceis.»
Quant au nobilis Wollaston (Canar. Cel. p. 22), l'au-
teur ne dit rien de sa forme (!), mais ce doit être
une espèce distincte, car les stries sont décrites comme
assez profondes et crénelées, ce qui ne saurait s’appli-
quer au guineensis, mais, comme chez celui-ci, les
crochets des tarses sont à peine dentelés.
Mas. ruficornis Chaudoir, Bull. des Natur. de Mosc.
1850. Г. p. 452. Long. 5‘/ mm. Par sa taille et sa
forme il ressemble beaucoup à l'adelioides, mais les
élytres n’ont pas de taches soyeuses, les yeux sont un
peu moins saillants (dans les males); les côtés et les ang-
les postérieurs du corselet sont plus arrondis, et les an-
térieurs le sont plus largement. Quant aux élytres, elles
ont la méme forme et les mémes proportions, les épau-
les sont un peu plus arrondies; le dessus offre la même
AERO.
convexité; les stries sont bien plus faibles, la premiere
est plus marquée que les autres et entiére, les suivan-
tes sont de plus en plus effacées, surtout vers l'extré-
mité. Il est d'un noir assez luisant, plus terne sur les
élytres, le bout des mandibules, les bords du labre, la
bouche, les palpes, les antennes, les trochanters et les
tarses sont d'un ferrugineux un peu obscur, les jambes
d'un brun rougeátre. Je possède trois mâles, trouvés
par Helfer en Mésopotamie, sur les bords de l'Euphrate.
Une femelle venant du méme pays et de la méme sour-
ce, est beaucoup plus grande (7 mm.) le corselet est
plus élargi en arrière, les élytres sont plus larges et
beaucoup plus ternes (magis alutacea), les stries encore
plus effacées; ces différences sont probablement sexuelles.
Mas. opaculus Zimmermann, Monogr. p. 120. Cette
espéce que je ne connais pas et qui habite les Indes
orientales, ne peut étre que trés-voisine du rwficornis,
mais le labre, les parties de la bouche, les antennes,
les pattés et l'abdomen sont ferrugineux.
Mas. pleuronectes Zimmermann, Monogr. p. 120.
Long. 6 mm., larg. 3 mm. De forme plus raecourcie que
le madagascariensis, les élytres ne sont pas parsemées
de taches soyeuses, mais elles sont d'un noir plus opa-
que que dans le ruficornis dans les deux sexes; le bord
antérieur du corselet est encore plus échancré; ses cô-
iés sont moins arrondis, ainsi que les angles postérieurs,
la base adhére davantage à celle des elytres, dont le
sommet des épaules est plus carré, quoique l'angle droit
soit un peu arrondi; les stries sont encore plus effacées
que dans le rwficornis; la coloration est pareille à celle
de ce dernier. Un mále m'a été vendu par M. S. Ste-
vens comme venant du Malabar; une femelle m'a été
donnée par M. Mocquerys comme prise à Coimbatour
par M. Boulard. 2"
c BD 2
Sectio II. Elytra punctis disci aut omnino de-
ficientibus, aut vix perspicuis.
a. Species americanae.
Mas. Batesi Chaudoir. Long. 6'/,—'7 mm. Cette
espèce et les suivantes ne sont pas noires comme les
précédentes, mais d'un brun plus ou moins foncé, avec
les élytres plus ternes que le reste du corps, les parties
de la bouche, les antennes et les pattes testacées. Le
Batesi a en outre une tache jaunätre allongée sur le
septième intervalle prés de l'épaule, avec l'extrémité des
élytres de la méme couleur; la premiere disparait quel-
quefois; la bordure apicale est très-profondément et
largement échancrée antérieuremeut sur la suture. Tete
comme dans le madagascariensis; corselet à peu prés
aussi large, mais se rétrécissant davantage aprés le mi-
lieu vers la base, ce qui le fait paraitre moins rétréci
vers l'extrémité; le bord tout aussi échancré, le milieu
semblant un peu sinué en avant comme chez certains
Platyderus, les angles antérieurs tout aussi avancés, moins
arrondis au sommet; le milieu des côtés plus arrondi,
ies angles postérieurs le sont moins et sont plus mar-
qués; la base conformée de méme, le sillon médien plus
enfoncé. Elytres à peine plus larges que le corselet,
surtout dans le mále, assez paralléles, moins obtusément
arrondies à l'extrémité, moins convexes, striées de mé-
me, les stries paraissant trés-finement pointillées; les in-
tervalles trés-plans, finement chagrinés, sans taches soyeu-
ses, mais comme uniformément veloutés; les deux points
du troisième tellement petits que méme avec une très-
forte loupe on les distingue à peine. Antennes un peu
plus fortes et un peu plus couries, mais ne grossissant
pas vers l'extrémité. Une paire m'a été cédée par M.
Bates qui l'a prise à Ega, sur les bords du Haut-Amazone.
NC, Ls
Mas. bonariensis Chaudoir. Long. &'/, mm. Il res-
semble en petit au précédent, mais la fête est un peu
plus courte, le corsele moins échancré antérieurement,
avec les angles plus arrondis au sommet, les côtés le sont
peu; l’extrémité antérieure n’est guères plus étroite que
la base; les élytres ont la méme forme, mais à l'excep-
tion de la premiere strie, qui est marquée sur toute sa
longueur, les autres sont à peine indiquées; le dessus est
chagriné et terne comme dans le Batesi; les antennes et
les pattes semblent proportionnellemeut plus minces et
ces derniéres plus courtes. La téte et le disque des ély-
ire sont bruns, le tour du corselet d'un testacé rougeä-
ire avec le disque plus obscur; la région qui avoisine
les épaules, le bord postérieur et la partie postérieure
de la suture sont d'un testacé rougeátre; le dessous du
corps est brun, les épipleures du corselet et des élytres,
le prosternum entre les hanches et le bord postérieur
des quatre derniers segments abdominaux sont testacés;
les parties de la bouche, les antennes et les pattes co-
lorées comme dans le Batesi; le milieu des cuisses est
légérement rembruni de chaque cóté. M. Germain m'en
a vendu un individu trouvé dans Ja République Argentine.
Mas. ampliusculus Chaudoir. Long. 4, mm. De la
taille du bonariensis, mais proportionnellemeut un peu
plus large. Tete comme dans le Batesi, corselet tout aus-
si échancré antérieurement, avec les angles presque aus-
si aigus; ses côtés el surtout les angles postérieurs plus
arrondis; elytres plus courtes, plus arrondies aux épau-
les, ainsi que sur les côtés, plus obtusément arrondies à
l'extrémité, plus planes, plus ternes, plus soyeuses, sans
taches veloutées, sans vestiges de stries, celle de la su-
ture n'étant méme visible qu'à son extrémité. Corselet
d'un brun moins obscur que la téte et les élytres qui
sont unicolores, à l'exception du bord postérieur qui est
étroitement rougeätre; les bordures jaunes des segments
abdominaux sont plus étroites; le reste coloré de méme.
Un mále trouvé à Para par M. Bates.
Mas. piceolus Chaudoir. Long. 3?/, mm. Il se distin-
gue du bonariensis par sa taille moindre, sa forme plus
étroite, son corselet moins large, se retrecissant légére-
ment vers la base, moins échancré antérieurement, pas
plus arrondi sur les cótés, qui forment avec la base des
angles obtus dont le sommet est arrondi; ses élytres plus
étroites, plus paralléles, plus aplanies sur le disque, d'ail-
leurs strieés et chagrinées de méme. La coloration est
presque identique, mais le corselet n'est pas plus clair
que les élytres, le milieu des cuisses n'est pas rembruni.
L'habitat de cette petite espéce est assez étendu, car j'en
posséde 3 individus pris par M. Bates sur les bords de
l'Amazone, un quatriéme trouvé à Cayenne par M. Jelski,
et deux autres provenant des chasses de Pilate dans le
Yucatan.
Species indiana.
Mas. simpler Schmidt-G abel, Faun. birm. p. 89 Long.
4°/, mm. Il ressemble à l’ampliusculus; la tete est un
peu plus large, mais le corselet est presque exactement
semblable, offrant la méme échancrure du bord intérieur,
la méme rondeur des cótés et des angles postérieurs;
les elytres sont visiblement plus allongées et bien plus
paralièles; les stries plus rapprochées de la suture sont
assez distinctes, surtout les deux premiéres, et la par-
tie postérieure du 3-e intervalle est méme un peu rele-
vée. Les antennes sont un peu plus gréles et plus allon-
gées, leurs articles moins courts. La coloration est tout à
fait la méme, mais les segments abdominaux ne sont pas
bordés de rouge, et le milieu des cuisses n'est pas rem-
bruni. Je rapporte sans hésiter les deux individus que
je possède à l'espéce de Schmidi-Gebel; l'un vient du
Bengale, l'autre du Malabar.
Note. Masoreus (Aephn?) rutilus Schaum, Berl. en-
tom. Zeitschr. 1863. p. 79, ne m'est pas connu; mais
d'aprés la description il doit étre voisin des précédents;
l’auteur ne dit pas si les deux points existent sur le troi-
siéme intervalle; il est testacé, le corselet est fortement
échancré intérieurement, la ligne médiane est profonde
et n’atleint pas la base; les élytres sont ovalaires, un peu
soyeuses, et il n'y a que la strie suturale qui soit visible.
Schaum en a trouvé quelques individus en Egypte.
Macracanthus.
Chaudoir, Bull. des Nat. de Mosc. 1846. p. 539.
Antennae breves, moniliatae.
Habitus brevis, ovatus, omnino Anaulaci.
Caetera ut in Aephnidio, sect. Il.
Mas. unicolor Chaudoir. Long. 6 mm., larg. 3 mm.
Il se distingue du sericatus par sa taille plus grande, sa
forme proportionnellement bien plus élargie; sa fete plus
large et plus courte, son corselet plus court, moins ré-
tréci en avant, plus large, bien moins échaneré intérieu-
rement, avec les angles bien moins avancés; ses élytres
plus larges, à peine un peu plus longues que larges,
plus arrondies sur les côtés, plutôt tronqueés oblique-
ment qu'arrondies à l'extrémité, laissant l'abdomen plus
découvert, sensiblement plus bombées, d'ailleurs tout aus-
si peu striées et aussi soyeuses. Coloration générale plus
obscure, brune; il n'y a que le prosternum entre les han-
Se. es
ches ei le bord postérieur des élytres et de l'abdomen
qui soient ferrugineux, comme le sont les parties de la
bouche, le labre, les antennes et les pattes. Un mäle
m'a été cédé par M. Bates qui l'a pris à Ega, sur le Haut-
Amazone.
Mas. sericatus Chaudoir, Bull. des natur. de Mosc.
1846. p. 541. Long. 5 — 5'/, mm. Depuis que j'ai dé-
crit cet insecte, fen ai recu deux autres individus un
peu plus grands, provenant l'un des environs de Rio-
Janeiro (Squires), l'autre de Ste. Catherine. Ils ne diffé-
rent point de mon type, si ce n'est que l'un d'eux est
un peu plus brun sur les élytres, avec les taches rou-
ges plus étroites.
Mas. brevicillus Chevrolat, Ann. de la Soc. ent. de
France. 1863. p. 189. Long. 4'/, mm. Sensiblement plus
petit que le sericatus, proportionnellement plus large et
plus raccourci, mais moins arrondi sur les cótés que
l'unicolor. Téte uu peu plus large que celle du serica-
tus; corselet tout aussi rétréci en avant, encore plus
échancré à son bord intérieur; elytres tout aussi paral-
léles, visiblement plus courtes, avec les épaules un peu
moins largement arrondies; la convexité est la méme,
mais les stries, quoique toujours trés-faibles, sont cepen-
dant plus distinctes, surtout les 4 ou 5 premiéres. L'in-
dividu 4 que je possède, et qui vient aussi de Cuba,
est d'un brun rougeätre; il n'y a que la téte qui soit
plus foncée, ainsi que le disque des élytres; le milieu du
prosternum et les bords postérieurs des segments abdo-
minaux sont plus clairs que le reste du dessous du corps,
qui est d'un brun peu foncé.
2 MS ita
Anaulacus.
Mac Leay, Ann. javan. p. 22.
Ligula apice rotundata.
Prosternum inter coxas nec sulcatum, nec pili-
gerum. |
Antennae breves, moniliatae, apicem versus in-
crassatae.
Habitus brevis, ovatus; prothoracis basis elytris
exacte annixa; his disco haud punctatis.
Mas. fasciatus Schmidt-Gœbel (Aephnidius), Faun.
birm. p. 88. Long. 5'/, mm. larg. 2'/, mm. Je crois que
l'An. sericipennis Mac Leay est différent des deux es-
péces décrites par Schmidt-Gebel, car la position des ta-
ches tant basales qu'apicales est trés-différente, ainsi
qu'on peut s'en assurer facilement en comparant les fi-
gures données par ces deux auteurs, mais il est possible
que les deux espèces de l'entomologiste allemand n’en
fassent qu'une, qui ne différent entre elles que par ce
que le quadrimaculatus est un peu moinslarge, et que
la tache humérale ne se prolonge pas le long de la base
jusqu'à l’écusson. De méme que dans le sericipennis, on
remarque dans le fasciatus sur la moitié intérieure des
côtés du corselet quelques points piliféres, tandisqu'on
n'en voit qu'un dans les autres Masoreus et méme dans
lespéce suivante. L'individu femelle que je possède est
un de ceux que Helfer a pris en Birmanie.
Mas. siamensis Chawdoir. Long. 4°, mm. Bien plus
petit que le fasciatus, dont il diffère en outre par sa
coloration brune en dessus, sans taches et par sa forme
proportionnellement moins large et un peu plus paralléle.
La tete et le corselet sont pareils, ce dernier s'élargit
— OR a
moins en arrière et n'offre qu'un point pilifére de cha-
que côté dans la rigole latérale, un peu avant le milieu;
les élytres sont plus étroites, plus paralléles, ce qui les
fait paraltre plus allongées, leur base et leur extrémité
sont d'ailleurs conformées de méme; le disque est moins
bombé; elles sont finement chagrinées, ainsi que la téte
et le corselet, mais n'ont pas l'apparence soyeuse de
cells du fasciatus; on apercoit des vestiges de presque
toutes les stries, mais il n'y a guéres que les 3 ou 4
premiéres qui soient distinctes. Le dessus est d'un brun
peu terne, assez foncé, quoique légèrement rougeatre,
avec le rebord latéral des élytres clair, ainsi que l'épi-
stome, toutes les parties de la bouche avec le labre, les
antennes et le milieu du dessous de la tête; le dessous
du corps et les pattes sont testacés, les joues et tous
les épisternes un peu rembrunis. Un individu mále acheté
chex M. Stevens, et que le comte de Castelnau a pris
à Bangcok (Siam).
Ophryognathus Chaudoir.
(Voyez plus haut les caractéres de ce nouveau
genre).
Ophr. tuberculatus Chaud oir. Long. 5‘, mm. larg.
3 mm. La forme est encore un peu plus élargie et plus
ovalaire que celle du Mas. fasciatus; la tete est encore
plus courte, plus transversale; la suture de l'épistome
décrit une courberéguliére, dont la convexité est tour-
née vers la base, et qui va depuis l'un des angles in-
térieurs de la tête jusqu'à l’autre; les yeux comme dans
le fasciatus. Le corselet a à peu prés les mémes pro-
portions, mais il est encore plus échancré en avant, avec
les angles plus avancés et nullement arrondis au som-
acd DE —
met qui est méme assez aigu; les cótés sont moins ar-
rondis, ainsi que les angles postérieurs,la base est cou-
pée carrément, ne s'arrondissant un peu que prés des
angles, platement et peu profondément échancrée sur
le milieu; le dessus n'est pas plus convexe, assez lisse;
la partie qui longe la base est légèrement ondulée, la
lisne médiane fine, entiére, un peu déprimée sur le mi-
lieu; de chaque cóté de la ligne, aprés le milieu,
on aperçoit un petit tubercule; dans la rigole étroi-
te qui longe le rebord latéral et qui se prolonge le
long du bord intérieur, vers le milieu duquel elle dis-
parait, on n'apercoit un peu avant le milieu qu'un seul
point pilifère. Les elytres sont plus larges que la base
du corselet, et nesont guéres plus longues que larges; el-
les sont tronquées carrément et méme un peu échancrées
en arc de cercle à leur base, qui s'adapte exactement
à celle du corselet; l'angle huméral est droit, à peine
arrondi au- soramet, et déborde les angles du corselet,
les cótés sont presque paralléles età peine arrondis der-
riere les épaules; l'extrémité est en pointe et l'angle
sutural est aigu; elle dépasse l'abdomen; le dessus n'est
un peu bombé que sur le disque, et descend tres-dou-
cement vers l'extrémité et un peu plus vers les cótés,
il est finement chagriné et terne, sans étre soyeux; on
n'apercoit de vestige de strie que prés de la suture,
mais sur l'emplacement des 3-e et 5-e intervalles on voit
une série de tubercules lisses et allongés, qui ne com-
mencent pas tout à fait à la base; la premiére série fi-
nit aux deux-tiers, la seconde, dont les tubercules sont
plus petits, dés le milieu; il ya un gros point ombili-
qué prés de la base avant la premiére série de tuber-
cules, et une rangée de gros points pareils, interrompue
vers le milieu, sur le 9-e intervalle qui s'écarte davan-
a eee
tage du bord lateral vers l'extrémité; le rebord latéral
est assez relevé, un autre point ombiliqué se trouve
tout a fait au bout du 3-e intervalle. Le dessous du corps
est lisse. L'insecte est entiérement d'une couleur mar-
ron plus ou moins claire avec les parties de la bouche
et les épipleures des élytres testacés. Les téguments pa-
raissent passablement durs. Je suis assez porté à croire
qu'il est myrmécophile.
Note. Schmidt-Gebel a encore décrit un Masoreus
sericans. (Faun. birm. p. 87), mais cet insecte, que j'ai
vu au Musée de Prague, n'appartient point à ce groupe,
il est voisin des Mochtherus, ce qui ressort méme de
la description du corselet, qui n’est guéres plus large
que la tete avec les yeux, avec les cótés presque droits
et les angles postérieurs obtus, un peu releves et quel-
que peu ressortants, ce qui ne se voit dans aucun Ma-
soréide. On se demande comment cet auteur a pu com-
mettre une bévue semblable.
Tetragonoderidae.
C'est aussi pour la premiére fois que ces insectes sont
constitués en groupe distinct, que caractérisent les
.máchoires dont le crochet terminal trés-mince, trés-aigu
‘et assez arqué, est surmonté d'un lobe assez gros, revetu
de poils, qui semble étre le prolongement de la frange
de gros cils qui en garnissent l'intérieur. Les insectes
qui le composent, ont été jusqu'ici dispersés dans divers
groupes très-éloignés les uns des autres, ainsi les Ciclo-
somus et les Tetragonoderus avaient été placés par De-
jean les uns au commencement, les autres à la fin de sa
tribu des Haspalides; certaines espéces de Tetragonode-
rus figurent chez lui parmi les Dromius, exemple qui a
ac gy
été suivi par quelques auteurs. Plus tard Lacordaire a
fourré les Cyclosomus dans le groupe hétéroclite des
Cratocérides, ce que la catalogue Harold et Gemminger
a imité, quoique déjà en 1850, (Bull. des nat. de Mosc.
I. p. 191) jai fait remarquer laffinité de ce genre
avec les Tetragonoderus, affinité qui saute aux yeux.
Quant aux Zetragonoderus, il y a déjà assez long temps
qu'on a reconnu que leur place était avecles Troncati-
pennes, car dés 1846 Leconte avait décrit la Coptodera
fasciata Haldeman comme un Thyreopterus.
Ce groupe peut être subdivisé,d'aprés la conformation
de la languette, qui est tantôt bordée antérieurement par
les paraglosses, comme par ex. dans les Callidides, tantôt
les paraglosses n’en garnissent que les côtés, en la dépas-
sant sous la forme d’un lobe arrondi, finement pubescent.
Sect. I. Ligula margine antico paraglossis ob-
ducto.
À. Labrum antice profunde emarginatum... Cyclo-
$071.45,
В. Labrum subrecte truncatum.
1. Tarsi maris intermedii dilatati, subtus spon-
giosi. Tetragonoderus.
2. Tarsi intermedii in utroque sexu simplices.
b. Mentum dente medio nullo... Telius.
a. Mentum medio dentatum... Mnuphorus.
sect. Il. Ligula paraglossis ad latera annatis,
eandemque evidenter superantibus, puberu-
lis... Peronoscelis.
Cyclosomns.
Latreille, Regn. amin. П. 1829 p. 394; Dejean,
Spec. des. Col. IV. p. 23.
Scolytus Fabricius, Wiedemann.
Ligula ut in Tetragonoderis.
Mentum dente medio apiee emarginato aut
inciso.
Labrum antice profondius emarginatum.
Antennae articulis externis 8 antice obsoletius,
postice densius pubescentibus.
Pedes femoribus subtus et antice pilis rigidis,
longis, serialim dispositis iustructis; éibiis an-
ticis exius totis seriatim spinosis; posteriori-
bus circum valde spinulosis, apice intus longe
bicalcaratis calcaribus subtus serrulatis; Zarsis
interioribus maris quatuor articulis 3 dilata-
tis, anticis subtus lamellato-papillosis, articulo
1^ apice externo in lobum obtusum producto,
2" extus subproducto; intermediis subtus spon-
giosis; wnguiculis simplicibus, parum arcu-
atis, modice longis.
Prosternum inler coxas marginatum, in angulum
acutissimum hastiformem pone coxas produc-
tum, sulculo punctato-piloso.
Abdomen medio laeve, ad latera pilosum; anus
integer.
Habitus suborbiculatus, fere Omophronis.
Caetera ut in Tetragonoderis.
On voit par cet exposé des caractères de ce genre
combien peu les plus essentiels différent de ceux des Te-
tragonoderus, parmi lesquels, et surtout parmi les Pero-
noscelis qui en sont un démembrement, plusieurs espéces,
telle que figuratus crux, insignicollis s'en rapprochent
méme par leur facies. Il constitue une transition assez
Xd ee
naturelle aux Masoreides par les Ophryognathus. La res-
semblance de forme avec les Omophron est telle que
Fabricius et Wiedemann s'y sont trompés. Nietner, en
décrivant une espéce nouvelle de ce genre, a le premier
observé trois caractéres qui avaient échappé aux observa-
teurs antérieurs; c’est 1° le prolongement lobiforme des
máchoires au delà du crochet, 2° les dentelures du
dessous des épines terminales des jambes et 3" le peu
de pubescence sur le cóté intérieur des 8 derniers
articles des antennes. De ces trois caractéres les deux
premiers se retrouvent dans les autres genres de ce
groupe, à l'exception des Tilius où je n'ai pas pu le
constater; quant au 3-e, il est propre aux Cyclosomus, et
peut servir à le distinguer des autres.
C. dytiscoides Nietner, Ann. and Mag. of nat. hist.
XX. 1857. p. 272. Long. 8'/,— 10 mm. On a voulu
(voy. Catal. Har. et Gemm.) en faire une variété du
flexuosus, mais je ne suis pas decet avis. Il est constam-
ment un peu plus grand, le corselet est plus large,
moins rétréci antérieurement, plus arrondi sur la par-
tie intérieure des cótés, et plus distinctement strié le
long du milieu de la base; les elytres sont moins arron-
dies sur la partie antérieure des côtés derrière les épau-
les; les stries sont plus profondes. La coloration est
plus foncée; les élytres sont traversées sur toute leur
largeur par une large bande noire, qui se dilate sur
la suture en grande tache carrée, et s'élargit de nou-
veau prés des côtés, et la petite tache subapicale est
plus marquée. Je renvoie pour les détails à la descrip-
tion minutieuse donnée par Nietner, qui l'a pris abon-
damment dans les plantations de cannelle à Colombo,
dans la partie occidentale de l'ile de Geylan, dans des
trous creusés dans le sable. Je présume qu'il se retrou-
ve sur la côte opposée du continent indien; et j'y rap-
porte comme variété de coloration, le second exemplaire
de la collection de Dejean, qui lui avait été envoyé
par Schoenherr, qui recevait ses insectes de ces ré-
gions; il présente les mémes caracteres, mais la bande
du milieu n'est pas plus étendue que dans le flexuosus,
seulement la partie qni est à cheval sur la suture est
en ligne droite ") et ne forme pas de zigzags comme
dans ce dernier.
C. flexuosus Fabrieius, Mant. ins. I. p. 253.—Scol.
suturalis Wiedemann, Zool. Mag. I. 3. p. 169. Long.
13/, — 8 mm. Cette forme, qui est bien celle décrite
par Wiedemann, car Dejean l'avait recue de Wester-
mann, habite le Bengale et a été retrouvée à Hongkong;
les individus de cette localité ne différent aucunement
de ceux de l'Inde.
C. marginatus Motschulski, Bull. des nat. de Mosc.
1864. II. p. 200. Long. 7'/, mm. ll est encore plus
court et plus arrondi que le flexuosus, le dessin des
élytres est le méme, mais sa coloration générale est
plus elaire, les bords latéraux du corselet et les élytres
sont d'un jaune très-pâle, celles-ci sont plus courtes,
plus arrondies sur les cótés, leurs stries sont encore
moins fortes; les tarses intermédiaires des máles sont
plus étroits.
C. Buqueti Dejean, Spec. des Col. V. p. 812 = C.
equestris Boheman, Ins. Caffr. I. p. 189. Long. 6%,—
7 mm. Il est plus petit que le flezwosus, dont il a à peu
prés la forme, mais dont il se distingue de suite par
la couleur verte du disque du corselet et de la bande
*) Compar. pl. f0 fig. 4 dans Lacordaire Gener. Atlas.
des élytres, quelquefois celle-ci s’oblitére presqu’entie-
rement. Son habitat s'étend sur une grande partie de
l'Afrique; outre le type de Dejean qui vient du Sé-
négal, j'en posséde un pris par Boccandé dans la Séné-
gambie portugaise, et un troisième venant de Nubie;
Boheman l'a décrit comme venant de la Caffrerie.
Tetragonoderus.
Dejean Spec. des Col. IV. p. 485.
Carabus Fabricius et vet. auct.
Bembidium Wiedemann, Germar.
Dromius Reiche, Puizeys, Dejean.
Ligula apice haud libera, utrinque et antice pa-
raglossis obducta, quadrisetosa, his subpu-
bescentibus.
Mentum dente medio simplici, apice subrotundato.
Labrum recte truncatum, interdum leviter emar-
ginatum. |
Antennae filiformes, graciles, basi glabrae, arti-
culis externis utrinque pubescentibus.
Palpi maxillares articulo ultimo procedente pa-
rum longiore; omnes articulo ultimo subacute
rotundato.
Pedes mediocres; femora modice incrassata, par-
ce pilosa; tibiae anticae extus apice tribus
spinis munitae, posteriores quatuor, canalicu-
latae, seriatim spinulosae, spinis externis va-
lidioribus, apice interno bicalearatae, calcari-
bus longis, subtus serrulatis; éarsi graciles; an-
lici maris articulis tribus dilatatis, subcordalis,
Je S570. 3
RS NE
subtus biseriatim lamellato-papillosis; 2néerme-
dii articulis quatuor vel tribus plus minusve
dilatatis, subtus dense spongiosis; quarto om-
nium integro; unguiculi tenues, acuti, subtus
obsoletissime basi, interdum evidentius, den-
ticulati.
Prosternum simplex aut marginatum, postice tum
obtuse, tum acutius rotundatum, interdum ha-
stiforme.
Episterna postica elongata, evidenter appendicu-
lata, laevia.
Abdomen obtusum, elytris longius, ano utrinque
unipunctato, integro aut inciso (in maribus).
Corpus compressum, supra alutaceum; caput in-
ter oculos aut minime aut obsoletissime impres-
sum, oculis majusculis; punctis binis piliferis
utrinque juxta eorum marginem impressis; pro-
thorax planiusculus, quadratus aut subcorda-
tus, subtransversus; utrinque bipunctatus, pun-
cto altero in ipso angulo basali, altero ad mar-
ginem anle medium sito utroque pilifero, pilis
saepius deficientibus; elytra quadrata aut ro-
tundata, peduneulo breviusculo a thorace se-
juncta, basi profundius emarginata, apice plus
minusve truncata, plus minusve evidenter stri-
ata, anum non omnino tegentia.
Ce genre, dont les espéces sont déjà assez nombreu-
ses, est répandu dans l'ancien et le nouveau monde,
mais il est complètement étranger à l'Australie ou parais-
sent le remplacer les Saro-throcrepis; il est à remarquer
qu'à une seule exception prés les espéces américaines
ont le prosternum non reborde enire les hanches, tan-
e ME Lu
dis qu'il l'est dans toutes celles de l'ancien monde; au-
cune de ces derniéres n'a dans les máles une incision
au milieu du bord postérieur de l'anus; tandis que c'est
ordinairement le cas dans les espèces des deux Ameri-
qués; chez celles-ci, quand les tarses intermédiaires des
máles ont quatre articles dilatés, ceux-ci sont plus
étroits et triangulaires, tandis qu'ils sont plus larges et
em rectangle, (au moins les trois intermédiaires) dans
les espéces d'Asie et d'Afrique. Aucune espéce n'est eu-
ropéenne, mais en Asie on en rencontre jusque dans le
Turkestan (45° lat. №), tandisqu'en Afrique on n'en trou-
ve plus en Algérie et dans le Maroc (35° lat. N.) En
Amérique elles ne dépassent guéres les 35° lat. N. et
40° lat. S. |
Sect. I. Tarsi intermedii maris articulis quatuor
dilatatis et subtus spongiosis.
A. Anus maris integer (haud incisus).
1. Tarsi intermedii maris latius dilatati; articu-
lis 2 — 4 quadratis.
a. Elytra parallela, subelongato-quadrata.
a. Prosternum marginatum, postice rotundatum.
Tetr. quadrum Fabricius; Dejean, Spec. des Col.
IV, p. 486. (Olivier, Entom. III, 35, T. IL fig. 120.) Il
. habite les possessions françaises et portugaises sur le Sé-
négal et l'Abyssinie (Raffray).
Tetr. viridicollis Dejean, Spec. IV, p. 489; Icon. des
Col. d’Europ. IV, pl. 202. fig. 6. Remarquable par sa
belle couleur verte, originaire des mêmes contrées que
le quadrum. |
Tetr. quadrimaculatus Gory, Ann. de la soc. ent. de
France. 1833. p. 243. Taille du quadrum, dont il différe
T
dL HA
par sa coloration plus obscure en dessus; les 7°, der-
niers articles des antennes, ainsi que les extrémités des
palpes rembrunis, les cuisses plus claires, les jambes
moins jaunes; le corselet moins strié le long du bord in-
térieur, moins rétréci vers la base; la tache postérieure
des élytres est identique, mais celle intérieure est beau-
coup plus petite, et ne se prolonge jamais jusqu'à la
postérieure, elle se compose de 3 longues taches occu-
pant les intervalles 4 — 6., lesquelles n'atteignant point
la base, l'intermédiaire plus courte que les deux autres,
interne descendant presqu'au milieu, l'externe bien
moins prolongée en arriére; les intervalles plus convexes.
Quatre individus venant des possessions francaises et
portugaises sur le Sénégal.
T. bilunatus Klug, Ber. üb. Madag. Ins. 1833. p. 47.
Trés-voisin du précédent, dont il ne semble différer que
par le dessin des éiytres et par leurs intervalles plus
plans; les deux taches externes de la tache intérieure
sont bien plus courtes; et la tache du 3-e intervalle de
la bande postérieure manque constamment. Cinq individus
venant de Madagascar. M. Raffray en a pris un à Zan-
zibar.
T. obscurus Chaudoir. Long. 6?/, mm. Plus grand
que le bilunatus, à élytres immaculées. Tete plus large,
surtout à sa base; yeux moins saillants dans le mâle,
bord intérieur de l'épistome et du labre légérement
échancré. Corselet plus transversal, plus large, moins ré-
tréci vers la base, moins arrondi sur les côtés. Elytres
plus carrées, à stries plus fines, à intervalles plus plans.
Noir, élytres plus terne, un peu ardoisées, sans taches;
cuisses plus brunes. Un individu trouvé à Madagascar
par Goudot.
T. immaculatus Laferte, Rev. et Mag. de Zool. 1853
Su du —
p. 416. = immaculatus Boheman, Freg. Eugen. Res.
U, p. 8, n°. 17. = simplicissimus Gerstaecker, Beitr.
zur Faun. v. Zanzib. 1866. p. 17. Long. 4'/, — 5 mm.
Sensiblement plus petit et proportionnellement plus court
que le bzlunatus, et comme le précédent sans taches
sur les élytres. Corselet un peu moins large, plus retré-
ci en arrière, angles postérieurs plus obtus; élytres plus
courtes, plus arrondies sur les cótés, moins carrées, le
sommet de l'angle huméral plus arrondi, le bord posté-
rieur légèrement échancré, les stries bien plus fines,
les intervalles plans, plus ardoisés, les articles extérieurs
des antennes d'un brun foncé; la partie extérieure des
cuisses plus rembrunie, ainsi que le bout des jambes, les
tarses bruns. Son habitat parait s'étendre sur toute la
moitié méridionale du continent africain; on le rencon-
ire dans les possessions francaises et portugaises sur le
Sénégal, au Gabon, au Cap de Bonne Espérance et à
Zanzibar.
T. subsulcatus Chaudoir. Long. 2 mm. Il diffère
de l’immaculatus par la profondeur des stries des ély-
tres, dont les intervalles sont trés-convexes; les angles
postérieurs du corselet sont munis d'une trés-petite dent;
les antennes n'ont de testacé que le premier article, les
deux suivants ont des anneaux noirs, les jambes sont
noires comme les cuisses. La profondeur des stries est
trop différente pour que ce ne soit qu'accidentel. Pris
par M. Raffray dans l'ile de Pemba.
T. biguttatus Thunberg; Dejean, Spec. des Col. IV,
р. 496; = Bembidium notatum Wiedemann, Lool.
Mag. t. 3. p. 62. n°. 95. Cette espèce, ainsi que les
trois suivantes se distinguent par les deux fovéoles assez
marquées qu'on voit sur le troisième intervalle de cha-
que élytre. Dans celle-ci la tache jaune antéapicale n'oc-
a ius
cape, ainsi que dans le sericatus, que les intervalles
5 — 8, mais dans le biguitatus, les élytres n'ont pas de
taches soyeuses, et il n’y a qu’un seul article jaune ala
base des antennes; les pattes sont bien plus foncées, Six
individus de l'Afrique australe.
T. intermedius Solsky, Voy. dans le Turkest. II, p.
45. Long. 4'/, mm. (élytr. 3), larg. 2'/, mm. Je ne con-
nais pas cette espèce que l’auteur dit être intermédiaire
entre le biguttatus et l'arcuatus; comme ces deux es-
péces, il offre deux grandes fossettes sur le 3-e intervalle
des élytres, elles sont plus éloignées l'une de l'autre
que dans l’arcuatus. Le corselet a la largeur de celui
du biguttatus, il se rétrécit assez sensiblement vers sa
base, avec les angles postérieurs obtus, faiblement den-
tes; les élytres sont plus allongées que dans ces deux
espéces, plus paralléles, la bande (fascia) antéapicale est
composée de petites taches disposées en arc dont le
convexité est tournée vers la base, et ne touche pas
aux bords; la coloration en dessus est d'un bronzé bru-
nâtre, finement chagriné et un peu soyeux, les deux
premiers articles des antennes sont rougeátres, les pat-
tes d'un brun obscur (fuscopicei). Feu Fedtchenko en a
trouvé quelques individus prés de Maracand.
T. arcuatus Dejean, Spec. des Col. IV, p. 495. Un
peu plus grand que le biguttatus, proportionnellement
plus large, les élytres plus arrondies sur les côtés, le
dessus d’un bronzé moins foncé; la bande antéapicale se
prolonge sur les 4-е et 2-e intervalles, en descendant
vers la suture, formant sur le milieu un coude bien
marqué; antennes et pattes colorées de même; jambes en
général plus jaunátres. Il habite l'Egypte, le Sennaar et
les Indes orientales (Bengale, Deccan).
T. sericatus Dejean, Spec. des Col. IV. p. 498.
= =
Plus petit que l'arcuatus dont il a la forme, mais outre
que les élytres sont toujours plus ou moins moirées, les
3 premiers articles des antennes sont d'un jaune clair,
ainsi que les paites, chez lesquelles le bout seul des
cuisses est un peu rembruni et les tarses sont bruns.
J'en possède des individus d'Egypte, du Natal, d’Abys-
sinie et du Cap de Bonne Espérance (Drége, Dr. Fritsch).
_Т. Leprieurt Gory, Ann. de la soc. ent. de France
1833. p. 244. Long. A'/, mm. Par sa forme il diffère
peu du guadrimaculatus, mais il est beaucoup plus pe-
tit; la tête et le corselet sont plus chagrinés; la sinuo-
sité postérieure des côtés de ce dernier est plus lon-
gue, et les angles postérieurs plus droits, les impres-
sions latérales de la base sont plus linéaires, le
rebord latéral plus droit; les épaules ont une petite
dent au sommet, et l'angle de lourlet basal avec la
rigole marginale est plus aigu; le reste est comme
dans le quadrimaculatus, mais les élytres sont autrement
colorées, elles offrent d'abord à leur base une assez
large bande d'un bronzé clair, allant d'un bord latéral
à l’autre, rétrécie sur les 5-e et 6-e intervalles et qui
s'élargit sur la suture; cette bande est suivie d'une ban-
de d'un jaune clair qui en arrière atteint presque le
milieu, mais qui est fortement échancrée à son bord
postérieur sur les 5-e et 6-e intervalles où elle s'avan-
ce au contraire davantage vers la base, sa partie inter-
ne descend un peu obliquement vers la suture; aprés
le milieu on voit une seconde bande jaune qui est à
peu prés comme celle de l’arcuatus, mais plus large, sur-
tout extérieurement et atteignant la suture, entre les
deux bandes on en voit une limitée par le bord posté-
rieur de l'une et l'antérieur de l'autre d'un jaune bru-
nátre et dont les taches qui la composent ont les deux
ze MN) n
bouts bruns, de sorte qu'entre elles et les deux bandes
jaunes régnent deux lignes brunes trés-en zigzac, l'extré-
mité des élytres est d'un bronzé clair comme la base,
avec le bord latéral et postérieur jaunátre; antennes
brunes avec les 3 premiers articles et les palpes testa-
cés; milieu du prosternum, base des cuisses et trochan-
ters ferrugineux, cuisses, bout des jambes et tarses bruns;
jambes d'un testacé päle; téte et corselet d'un bronzé
clair comme la base des élytres. Dessous du corps noir
luisant. Je ne posséde que le type de la collection Gory,
qui est une femelle venant du Sénégal,
B) Prosternum inter coxas marginatum, postice
acutius angulatum.
T. interruptus Dejean, Spec. IV. p. 488. Long.
7—7'/, mm. Se distingue du quadrum par sa taille
sensiblement plus grande, son corselet bien plus large,
qui a presque la largeur des élytres, nullement rétréci
en arrière, ni strié en avant; par le sommet des épau-
les marqué d'une petite dent aigüe; la tache humérale
touche presque la bande postérieure comme dans le qua-
drum, cependant il y a toujours une séparation entre
celle-ci et l'extrémité des deux taches internes de la
première, les 7‘/, derniers articles des antennes et les
palpes sont un peu plus bruns; les pattes colorées de
méme. Dans cette espéce et les suivantes le prosternum
derriére les hanches n'est pas arrondi, mais il se termi-
ne en angle aigu; mais, comme dans la division pré-
cédente, il est fortement rebordé. Trois individus ve-
nant des possessions françaises et portugaises sur le
Senegal.
T. gabonicus Chaudoir. Long. 6'/, mm. Un peu
plus grand que le quadrum, mais moindre que le pré-
TM oe
cédent. Le corselet est d'une largeur moyenne entre ce
dernier el l'énterruptus, mais sa forme est semblable à
celle de celui-ci. Il n'y a pas de dent à l'angle humé-
ral des élytres, la base des côtés n'est pas aussi arquée
que dans le quadrum; les stries sont aussi mar-
quées. Les bandes des élytres sont placées comme
dans le quadrimaculatus, mais les taches dont elles
se composent sont beaucoup plus petites et n'adhérent pas
les unes aux autres; lintermédiaire dans la bande anté-
rieure est extrémement court et disparait quelquefois,
celles de la bande postérieure, qui est coudée de mé-
me, sont trés-courtes et n'occupent que les 4-е — 8-е
intervalles. Feu le général Pradier m'en a donné deux
individus trouvés au Gabon.
T. quadrinotatus F'abricius; Dejean, Spec. IV. p.
491. Quelques individus venant de diverses parties de la
presqu’ile cisgangétique et de Ceylan.
T. quadrisignatus Quesnel, Syn. ins. I. p. 212; De-
jean, Spec. IV. p. 491. L'un de mes deux individus
(celui de la coll. Dejean), vient des Indes orientales,
l'autre de Hongkong.
6. Elytra ampla, subrotundata (bifasciata).
T. dilatatus Wiedemann Bembidium, Zool. Mag. Il.
1. p. 61; Dejean, Spec. 1V. p. 493. Long. 6. mm; larg.
3, mm., téte et corselet bien plus étroits et plus petits que
dans le quadrum, ce dernier en carré transversal, à côtés
presque paralléles nullement arrondis, excepté prés des
angles antérieurs. Elytres au contraire plus larges, de
forme plus ronde, trés-arrondies sur les côtés, avec la
base plus échancrée et les épaules plus saillantes en
avant; d'ailleurs striées ei ponctuées de méme; sur cha-
AM ee
cune deux bandes (fasciae) assez larges d'un jaune citron,
la premiére à peu prés au premier tiers, teint le rebord
latéral et s'étend jusqu'à la premiére strie, les 5 taches
extérieures beaucoup plus longues que les 3 intérieures
qui sont petites, celles des intervalles 5 — 7 plus avan-
cées vers la base, mais aussi moins prolongées en arrié-
re que les externes, excepté celle du 7-e intervalle qui
s'avance en arriére à égalité des deux voisines; la ban-
de postérieure à peu prés comme celle du quadrimacu-
latus, mais se rapprochant d'un intervalle de plus dela
suture; épipleures, bouche avec les mandibules, palpes,
antennes et pattes entiérement testacés. Pattes postérieu-
res plus longues que dans les précédents, cuisses assez
épaisses. Quatre individus venant du Bengale.
2. Tarsi intermedii maris angustius dilatati. (Elytra
ampla rotundata; prosternum postice acutum
hastiforme).
T. insignicollis Chaudoir Long. 5 mm. Dans cette
espéce qui rappelle un peu celles qui sont voisines du
cruz, les élytres sont aussi amples que dans le dilata-
tus, mais elle s'en distingue par son prosternum se ter-
mipant en pointe entre les hanches, la dilatation moin-
dre des tarses intermédiaires des mäles, les cuisses po-
stérieures non renflées, la forme de son corselet et sa
coloralion. Celle-ci la rapproche beaucoup du puncta-
tus, mais celui-ci a le prosternum arrondi entre les
hanches et trois articles dilatés seulement aux tarses in-
termédiaires du mâle. Comparée à ce dernier, on remar-
que en outre les différences suivantes: yeux un peu moins
proéminents; corselet plus large, plus transversal, allant
en s'élargissant visiblement en arrière, avec les côtés
dis UM ne
presque rectilignes, excepté prés des angles antérieurs;
la base légérement arrondie, à peine sinuée, les angles
postérieurs presque droits, mais peu aigus au sommet,
le bord antérieur plus échancré avec les angles plus
avancés; la surface chagrinée de méme, avec la méme
ligne médiane et de petites stries longitudinales le long
du milieu de la base. Elyires à peu prés de la
méme forme, mais avec les épaules plus avancées et
assez aigües, presque comme dans le P. oxygo-
nus; les cótés, aprés la forte courbe basale, plus rec-
tilignes; les stries plus crénelées. Tête et corselet d'un
bronzé clair, celui-ci avec le bord latéral jaunätre; ély-
tres d'un jaune pâle, avec la région qui entoure lé-
cusson légérement bronzée jusqu'à la 4-e strie, une tache
carrée vers le premier quart sur le 6-e intervalle, et une
bande (fascia) composée de petites taches brunes, trés
en zigzag entreles bandes blanches qui occupent presque
toute la superficie de l'élytre, et qui sont placées com-
me celles qui, dans lé punctatus, limitent en arriére la
bande d'un jaune rougeätre du disque, mais dans Tin-
signicollis le bord antérieur de cette bande se fond en-
. tierement avec la bande antérieure dont aucune tache ne
la sépare; le dessous du corselet et les pattes sont colo-
res de méme, mais les antennes et les palpes ne sont
point rembrunies vers l'extrémité. L'individu mále que je
posséde a été trouvé au Natal par le pasteur Guieinzius,
mais M. Raffray l'a aussi rencontré à Zanzibar.
D. Anus in mare apice incisus.
1. Prosternum marginatum rotundatum.
(Tarsi intermedii angustius dilatatis articulis tri-
gonis, unguiculis evidentius denticulatis).
C. tesselatus Chaudoir. Long. 4 mm. Avec la plupart
c —
des caractères que présentent l’inéersectus et les espe-
ces voisines, il a cependant le prosternum rebordé entre
les hanches. Comparé à l’éntersectus il est d'abord bien
plus petit; le corselet est un peu moins large, plus ré-
tréci postérieurement, plus longuement et plus visible-
ment sinué sur la moitié postérieure des côtés, qui tom-
bent verticalement sur la base, avec les angles tres-
droits, aigus au sommet et plus relevés; le dessus est
plus chagriné. Les élytres ont tout à fait la même for-
me et les mêmes proportions, mais les stries sont plus
profondes et les intervalles moins plans et un peu plus
chagrinés; le dessin est à peu près semblable. mais les
taches jaunes sont bien plus distinctes sur le disque,
de sorte que les élytres sont piutôt jaunes, avec des ban-
des trés-dentelées et ondulées brunes, comme dans Vin-
dividu texien de l'éntersectus dont je fais mention plus
loin. Un individu male venant de la Guayra (port de
Caracas).
2. Prosternum simplex (haud marginatum).
(Tarsi intermedii maris angustius dilatati articu-
lis 2 — 4 subcordato-trigonis, unguiculi evi-
dentius et majore ex parte denticulati).
.T. intersectus. Germar (Bembidium), Ins. spec.
nov. 28; = Lecontei Dejean, Spec. ТУ. p. 499. On le
rencontre dans les Etats méridionaux de l'Union améri-
caine. Dans un individu venant du Texas, le disque des
élytres est presque entièrement jaunâtre, et les taches
de la bande postérieure, occupant les intervalles 5 — 7,
sont plus longues et s'avancent davantage sur le disque.
T. sinuosus Chawdoir. Long. 3 ?/, — 4 mm. Rien
plus petit que l’intersectus, dont il est voisin par tous
ces caractères, mais dont il diffère par son corselet plus
n : esas
étroit, plus rétréci en arrière. plus longuement sinué sur
les cótés avant les angles postérieurs qui sont tout à
fait droits; les elytres ont la méme forme, et sont beau-
coup plus larges que le corselet, leur bord postérieur
est moins sinué, les points du 3-e intervalle et de la
rangée submarginale sont placés de méme, mais les
stries sont beaucoup plus fines, surtout sur le disque et
vers l'extrémité et les intervalles tout à fait plans; la
bande antérieure part presque de l'épaule oü elle est
assez large, et descend obliquement et en s'amincissant
beaucoup jusquà la premiére strie; la seconde est à peu
prés comme dans l’intersectus, mais elle est plus étroite
et plus dentelée sur ses bords. La coloration est d'un
bronzé plus clair sur la téte et sur le corselet. Les
palpes et les antennes sont d'un brun moius foncé, les
3 premiers articles de celle-ci et les pattes d'un testa-
c& clair, ainsi que les épipleures, la pointe postérieure
du prosternum et le milieu du métasternum. Une paire
prise à Cordova (Mexique) par M. Sallé.
T. Lacordairei (Dejean) Chaudoir. Long. 4‘/, mm.
Il ressemble à l’intersectus, mais il est plus petit et un
peu plus étroit; les cótés du corselet sont plus sinués
avant les angles postérieurs qui sont moins obtus. Téte
et corselet plus visiblement chagrinés, plus ternes; taches
des élytres plus petites, l'intérieure ronde, placée à quel-
que distance de la base, sur les 5-e, 6-е et 7-e interval-
les, la seconde subtransversale, un peu ondulée sur ses
bords sur les intervalles 5 — 8. Quelques individus pris
jadis à Cayenne par Lacordaire.
T. quadriguttatus Dejean, Spec. des Col. IV. p. 509.
Long. vix 4 mm. Très-voisin du précédent, mais plus
petit, avec les élytres un peu plus courtes et un peu
plus arrondies sur les cótés; taches des élytres plus gran-
cB iuc
des, occupant les mémes intervalles, mais la tache du
5-e intervalle de l'intérieure descendant plus sur le mi-
lieu que les deux autres; celle postérieure un peu arron-
die, aussi longue que large; sommet des angles postéri-
eurs du corselet presque droit; articles extérieurs des an-
tennes plus courts. Deux individus, dont l'un est le ty-
pe de Dejean, l'autre a été pris par M. Sahlberg fils à
Cantagallo (prov. de Rio-Janeiro).
T. tetragrammus Chaudoir. Long. 4°/, mm. Sensi-
blement plus grand que les trois précédents, de la taille
de l’éntersectus, mais plus élargi, avec les élytres plus
arrondies. Corselet aussi large que dans celui-ci, mais
plus rétréci vers la base, un peu plus sinué avant les
angles postérieurs qui sont droits et aigus au sommet,
base plus rectiligne. Elytres visiblement plus arrondies
sur les cótés, sinuées de méme à leur bord postérieur,
un peu plus opaques; taches comme dans le quadrigutta-
tus, mais plus grandes; l’intérieure, plus arrondie, s'a-
vance plus vers la base et s'étend jusqu'à la 8-е strie;
la postérieure semblable à celle du quadriguttatus, tou-
tes deux d'un jaune plus blanchátre et par là méme
bien plus visibles. Coloration identique, une tache brune
sur le haut du 1-er arlicle des antennes, jambes plus
claires, ainsi que la base des articles des tarses. Un in-
dividu pris par M. Bates à Ega, sur le Haut-Amazone.
T. laevigatus Chaudoir. Long. 3'/, mm. D'une co-
loration plus noire, moins bronzée que les précédents,
plus luisant, moins chagriné; taille du quadriguttatus, for-
me du Lacordavrei, angles postérieurs du corselet plus
obtus; élytres moins sinuées à leur bord postérieur, les
stries beaucoup plus fines, les 2 points du 3-e interval-
le beaucoup moindres; la tache intérieure comme dans
le quadriguttatus, celle postérieure plus transversale,
Loa ae:
moins arrondie, mais occupant les mémes intervalles-
Cuisses et tarses plus noirs; antennes semblables à celle
du Zacordairei pour la longueur et la coloration. Il ha-
bite l'Uruguay, prés de Montevideo, et m'a été donné
par M. Putzeys.
T. subfasciatus Putzeys (Dromius), Mém. de la Soc.
des Scienc. de Liege. II. p. 376. Long. &'/, mm. Taille
du Lacordairei, mais d'un bronzé plus clair, plus oli-
vätre et plus ardoisé; pattes entiérement testacées, sauf
le bout des jambes et les tarses bruns. Corselet plus
étroit, un peu moins arrondi sur les cótés, la base plus
rectiligne; elytres légèrement rétrécies vers la base, un
peu moins sinuées à leur bord postérieur, avec les stri-
es plus imprimées par places, ce qui donne à la surfa-
ce une apparence un peu inégale; les deux points du
disque et ceux de la rangée submarginale plus larges;
la premiere tache en forme de bande transversale étroi-
te et arquée, avec la concavité tournée vers la base,
allant de la 4-e à la 8-e strie, la bande postérieure for-
mée de taches placées sur les intervalles 3 — 8, les qua-
tre externes plus longues et plus avancées. Je possède
Je type de M. Putzeys venant de Cumana (Venezuela).
T. unicotor Chaudoir. Taille du quadriguttatus, mais
plus robuste; élytres sans taches. Tete et corselet un peu
plus larges, le disque de celui-ci plus convexe; elytres
pas plus longues, mais plus carrées, moins arrondies sur
les cótés, stries et points enfoncés du disque plus fai-
bles. Coloration du dessus plus obscure. Deux individus
pris par feu Squires dans la province de Rio-Janeiro.
Sect. II. Tarsi intermedii maris articulis tribus
angustius dilatatis, subtusque spongiosis.
A. Prosternum inter coxas marginatum.
Aa
1. Anus maris integer (haud incisus).
(Unguiculi basi vix perspicue denticulati).
Species indicae.
T. punctatus Wiedemann; Bembidium Dejean,
Spec. des Col. IV. p. 505. Je posséde 5 individus ve-
nant du Bengale, parfaitement pareils à celui décrit par
Dejean, et dans lesquels les parties claires de lélytre
sont d'une couleur jaune uniforme; dans 3 autres, ve-
nant du Deccan, dont deux plus grands que les benga-
lais, les bandes antérieure et postérieure sont d'un blanc
légérement jaunátre, tandis que celle intermédiaire,
qui sépare les deux lignes transversales de petites ta-
ches bronzées qui traversent le disque, est d'un jaune
plus rougeátre; ces individus paraissent se rapporter au
punctatus de Schmidt-Gebel, mais ne me semblent pas
constituer une espéce distincte.
T. discopunctatus Chawdoir, Bull. des Nat. de Mosc.
1850. I. p. 456. Cette espèce qui est très-voisine du
punctatus par ses caractères, se distingue dans ce genre
par la couleur ferrugineuse de la téte et du corselet.
Jerenvoie d'ailleurs à la description que j'en ai donnée;
elle provient des chassesdu Capitaine Boys dans le nord
de l'Hindostan (Simlah.)
T. trifasciatus Chaudoir, Bull. des Natur. de Mosc.
1850. I p. 453. Il provient de la méme source et des mémes
localités; je ne répéterai également pas la description dé-
taillée que j'en ai donnée.
T. rhombophorus Schmidt-Gebel Fauna birm. p. 93,
Je ne connais pas cet insecte, mais il me semble par
sa coloration se rapprocher du discopunctatus; car com-
me dans celui-ci la téte et le corselet sont testacés avec
le milieu plus rougeátre, ce dernier semble plus large;
on Me im
sur les élytres il y a une tache scutellaire, une tache
commune rhomboide sur le milieu de la suture, une lu-
nule humérale, prés de l'extrémité de laquelle il y a
encore une petite tache, et l'extrémité brunes; le centre
de la tache du disque est plus clair. Il habite en Bir-
manie la province de Martaban.
B. Prosternum inter cosas haud marginatum.
1. Anus maris incisus.
(Elytra tesselata)
Species americanae.
T. pictipennis Reiche (Dromius), Rev. de Zool. 1812.
p. 310. Long. vix 4 mm. Zéfe assez étroite, un peu
plus longue que large, avec le col à peine plus étroit
que le front entre les yeux, qui sont grands mais peu
saillants (dans le mâle), très-finement chagrinée; suture
de l'épistome assez marquée, imprimée aux deux extré-
mités. Corselet pas plus large que la tête, presque aussi
long que large, rétréci à sa base, cordiforme, peu échan-
cré devant, avec les angles arrondis, peu avancés; fai-
blement arrondi sur le devant des côtés qui sont très-
longuement sinués en arrière et tombent perpendiculai-
rement sur la base, qui est très-faiblement arrondie; le des-
sus peu convexe, finement chagriné comme la tête, avec
une ligne médiane bien marquée qui se prolonge jus-
qu'à la base, mais n'atteint pas le bord antérieur; les
excavations des côtés de la base assez marquées, un
peu rugueuses, les bords latéraux finement relevés; la
rigole marginale porte un point sétifère au premier tiers
à l'endroit de la plus grande largeur du corselet, les an-
gles postérieurs un peu relevés. Elytres du double au
moins plus larges que le corselet, d'un tiers plus lon-
gues que larges, un peu en rectangle légérement rétréci
JE a: 1820. 1
D OB gee
en avant; le milieu de la base échancré; le pédoneule
assez long; les épaules un peu avancées, mais bien ar-
rondies au sommet, côtés faiblement arrondis surtout
vers le milieu, angle postérieur externe trés-arrondi, bord
postérieur coupé un peu obliquement, légérement sinué;
le dessus modérément convexe; les stries bien marquées,
finement ponctuées, les intervalles légèrement convexes,
finement chagrinés; sur le 3-e un point distinct enfon-
cé un peu avant le milieu contre la 3-e strie; et un se-
cond pareil aux deux tiers, contre la 2-e strie; les points
de la rangée submarginale, plus gros vers le milieu et
à l'extrémité, s'oblitérant vers la base et aprés le milieu;
l'ourlet basal est étroit et ne forme point d'angle à sa
jonction avec la rigole latérale. Téte et corselet d'un
brun assez clair, mais visiblement bronzé, surtout sur
la premiére, bords latéraux du second clairs; élytres
d'un testacé clair avec une tache peu distincte autour
de l'écusson, formant un angle sur la suture, une bande
très-dentelée un peu aprés le milieu, décrivant d'abord
une courbe depuis la 4-e jusqu'à la 5-e strie, puis des-
cendant très-obliquement vers la suture et l'extrémité;
une tache transversale un peu oblique le long du bord
postérieur, dont la sépare une bordure jaune, et quel-
ques petites taches sur la partie antérieure du disque,
brunes; les bords des taches et des bandes peu nette-
ment définis; dessous du corps d'un brun clair, un peu
plus foncé sur les cótés; le labre, toutes les parties de
la bouche, les antennes et les pattes d'un testacé clair.
Je ne possède que le type de M. Reiche, qui vient de
la Nouvelle-Grenade.
T. rivularis Erichson, Wiegm. Arch. 1847 I. p. 69.
Un peu plus grand que le pictipennis, dont il est méme
tellement voisin, qu'il n'en différe que par la largeur
cu NE ue
un peu plus considérable de la téte et du corselet, et
par les élytres qui sont plus arrondies sur les cótés
et par là méme p!us élargies, leurs stries sont moins
marquées; le dessin des élytres est le méme, les taches
brunes sont plus ou moins marquees dans les divers in-
dividus; la coloration de la téte et du corselet est plus
ou moins bronzée, quelquefois jaune; les cótés du cor-
selet sont un peu plus arrondis. Schaum m'en avait en-
voyé 4 individus venant du Pérou; depuis lors le Musée
de Varsovie m'en a donné un 5-е pris à Lima par M.
Jelski.
T. mixtus Chaudoir. A peine un peu plus grand que
le rivularıs auquel il ressemble beaucoup; le corselet
est transversal, sensiblement plus large, les côtés sont
bien plus arrondis et tombent plus obliquement sur la
base, saus que le sommet des angles soit cependant ar-
rondi; les élytres sont aussi plus larges, plus sinuées à
leur bord postérieur, les stries plus fortes; la bande
brune du milieu descend moins obliquement vers l'ex-
trémité, et se retrécit davantage en se rapprochant de
la suture, le fond jaune occupant plus de place sur la
partie postérieure du disque et le long de la suture.
Dans mon individu femelle, qui m'a été donné par le
Musée de Berlin sous le nom que je lui ai conservé,
et qui vient des environs de Valencia (Venezuela), la
téte et le corselet sont d'un jaune légérement bronzé,
les élytres d'un jaune pále, avec le dessin brun bien
distinct, le dessous du corps est testacé, avec les épi-
sternes et le bord latéral de l'abdomen bruns.
T. fasciatus Haldeman (Coptodera), Proc. Ac. nat.
sc. of Philad. I. p. 298; — Thyreopterus fasciatus Le-
conte, Ann. of the Lyc. of. New-York IV. р. 197. I
a les proportions du mixtus, mais le corselet est moins
p
UMS cc | (a
arrondi sur les cótés et moins rétréci vers la base, les
elytres sont plus arrondies et proportionnellement plus
courles, la tache scutellaire est plus large, plus distincte,
les stries sont moins profondes, les intervalles plus plans;
la téte et le corselet sont toujours plus bronzés, avec
les bord latéraux de ce dernier un peu testacés. ll ha-
bite le Texas.
T. undulatus Leconte, List of the Coleopt. of North-
America 1863, Descript. of new spec. p. 6. n. 17. Je ne
connais pas cet insecte que M. le Dr. Leconte distingue
du fasciatus par un corselet plus large, plus plan, à
impressions latérales bien moins profondes, avec les an-
gles postérieurs oblus, mais non arrondis. Le dessin des
élytres est exactement le méme. Il habite la Basse Ca-
lifornie, au Cap S. Lucas.
2. Anus maris haud incisus.
(Elytra haud variegata).
(Unguiculi evidentius denticulati).
Species americanae.
T. chilensis Dejean (Dromius), Spec. des Col. V. p.
358. Long. 4°/, mm. Je n'ai pas grand’chose à ajouter
à la description spécifique du species, cependant job-
serverai que Dejean ne dit rien de la chagrination qui
couvre tout le dessus du corps et lui donne une appa-
rence soyeuse; je ne trouve non plus que les élytres
puissent être appelées parallèles, car les côtés sont as-
sez arrondis, et leur forme passablament ovale. Je n'ai
pas vu d'individu sans tache prés de l'épaule, quoique
Dejean dise qu'elle est souvent complétement effacée; sa
collection n'en contenait plus que 2 individus, quand elle
Kerr -———
a passé dans mes mains, et ceux quej'ai eus de Gué-
rin et de M. Germain, en ont au contraire une fort dis-
tincte. Il est assez commun prés de Cordova dans la
République argentine, et ne se rencontre point au Chili.
T. aeneus Dejean (Dromius) Spec. des Col. V. p.
357. Long. 4?/, mm. Quoique Dejean le décrive comme
chilien, il est probable que de méme que le chilensis,
il est originaire de la République argentine, car il n'a
été retrouvé au Chili ni par Gay, ni par Germain. Com-
paré au chilensis, il en différe par sa coloration d'un
bronzé trés-obscur, avec toutes les parties de la bouche,
les antennes et les pattes d'un noir à peine brunátre,
à l'exception des jambes qui sont un peu rousses. Le
corselet est un peu plus étroit, à peine plus large que
la tête avec les yeux, plus rétréci postérieurement, moins
arrondi sur les côtés; les élytres sont plus étroites, plus
paralléles, striées de méme, mais les points du 3-e in-
tervalle sont bien plus petits, moins visibles, et le second
. est placé peu aprés le milieu; il n'y a aucune tache
pres de l'épaule.
T. chalceus Chaudoir, Long. 4°/, mm. De forme plus
large et moins allongée que l'aemeus, et coloré à peu
prés de méme, cependant le dessus est d'un bronzé plus
cuivreux. Zete plus large, épistome plus transversal;
corselet plus élargi, plus transversal, moins rétréci po-
stérieuremeut, angles postérieurs plus obtus; ligne mé-
diane ne dépassant pas les deux impressions transversa-
les qui sont plus marquées, base plus striée; élytres
plus courtes, plus larges, plus ovalaires, stries tout aus-
si faiblement marquées; les 2 points du 3-e intervalle
placés comme dans le chilensis et tout aussi gros. J'en
ai acquis de M. Germain 3 individus trouvés dans les
Pampas argentins.
T. viridis Dejean (Dromius), Spec. V. p. 356. =
Lebia bembidioides Fairmaire, Rev. et Mag. de Zool.
1849 p. 34. = Coptodera aenescens Motschulski, Bull.
des Natur. de Mosc. 1864. Il. p. 223. Var: Coptodera
chloroptera Motschulskz ibid p. 223. Variat elytris
cupreo-purpureis. En 1848. (Bull. des nat. de Mosc. I. p.
98.) j'avais séparé cet insecte des Dromius et proposé le
nom générique de Crossonychus, mais maintenant l'étude
du genre Tetragonoderus m'a convaincu qu'il en faisait
partie, ainsi que les espèces précédentes. Il est tres-
commun au Chili, et varie pour la coloration qui est
verte, bleue ou bronzée; une jolie variété a la tête et
le corselet d'un beau vert, et les élytres d'un pourpré
cuivreux.
Note. Motschulski (Bull. des. Natur. de Mosc. 1861.
I. p. 99.) dans son Catal. des ins. de l'ile de Ceylan,
décrit encore un Tetragonsderus notaphioides, que je
ne puis rapporter à aucune des espéces que je connais.
«Elongato-ovatus, depressus, subserico-nitidus, nigroae- .
neus, palporum apice, antennarum basi, libiis tarsis-
que rufotestaceis; elytris maculis sinuatis, magnis, late-
raliter utrinque tribus, versus suturam punctisque quin-
que testaceis; capite triangulari, subopaco, oculis mag-
nis, thorace transverso, depresso, subopaco angustissime
marginato, postice angustato, angulis obtusis, apice fere re-
clo prominulis, elytris thorace paulo latioribus, ovalis, stri-
atis, impunctatis, interstitio 3° profunde bifoveolato.»
Long. 2; «lat. %/,.» «Colombo.» On pourrait penser que vu
la profondeur des points sur le 3-e intervalle, sa forme et
sa coloration, c'est un insecte voisin du biguttatus el
de l'arcuatus, mais ses 3 taches sur les côtés des ély-
tres et ses 5 points testacés près de la suture me dés-
orientent complétement, et il n'est d'ailleurs fait aucune
mention des caracteres dont je me suis servi pour mes
subdivisions de ce genre.
Teir. distigma Motschulski, Bull. des Nat. de Mosc.
1864. II. p. 222. du Tennessee n'est probablement qu'un
individu fraichement éclos de l'infersectus, que l'auteur
semble ne pas avoir connu. «Statura fasciati Hald., sed
angustior, magis parallelus, subelongatus, subnitidus,
nigroaeneus, elvtris basi maculisque duabus lateralibus,
antennarum basi pedibusque plus minusve sordide al-
bido-testaceis, corpore subtus infuscato. Long. 17/"; -
lat élytr. Pr
Tetrag. scitulus Boheman, Oefv. af Kon. Vet. Akad.
Fórh. 1860. I. p. 13. est sans doute voisin du guadri-
«maculatus, mais sa taille (long. 4 mm.) est bien moindre,
«oblongus, parum convexus, supra niger, vix nitidus, sub-
«tus ferrugineus, antennis basi, tibiis tarsisque flavotesta-
«ceis, prothorace obsolete punctulato, haud canaliculato,
«latitudine dimidio breviore, lateribus valde rotundato-
«ampliato, posterius angustato, angulis rotundatis; elytris
«subtiliter striatis, singulo maculis duabus dilute flaves-
«centibus ornato, una pone humerum, intus posterius con-
«tinuata, altera pone medium angusta apice introrsum ar-
«cuatim producta.» Afrique australe (L. N'gami).
Tetr. sticticus Erichson, Wiegmann's Arch. I. 1867.
p. 69. trop briévement décrit, mais distinct des espé-
ces qui me sont connues. «Testaceus, capite thoraceque
picescentibus, hoc basim versus angustato, elytris sub-
tiliter striatis, fasciola denticulata pone medium punc-
tis nonnullis versus medium punctoque prope apicem
nigris. Long 2°/,"'. Pérou. C'est probablement une es-
péce voisine du rivularis.
Peronoscelis Chaudoir.
Tetragonoderus Dejean et auct.; Bembidium
Perty.
Ligula margine antico haud limbato; paraglossae
ejusdem lateribus tantum annatae, eandem lon-
gius superantes, apice rotundatae, nec pone li-
gulam confluentes.
Tarsi intermedii maris articulis quatuor modice
dilatatis, subtusque spongiosis.
Prosternum marginatum.
Unguiculi simplices, aut obsoletissime basi den-
ticulati.
Caetera ut in Tetragonoderis.
Ce genre est exclusivement américain.
Sectio I. Anus maris haud excisus.
A. Antennae articulis tribus primis supra pluri-
setosis.
(Prothorax basi vix sinuatus, hae supra unisul-
cata, subcordatus; femora antica subtus seria-
tim setigera; prosternum inter coxas hastatum.
P. velutinus Motschulski, Bull. des Nat. de Mosc.
1864. II. p. 222. Cette charmante espéce a été tres-bien
nommée par Motschulski à cause du velouté dont tout
le dessus du corps et surtout les élytres semblent re-
couverts. Tete comme dans le variegatus, un peu plus
grande; corselet plus large; mais proportionnellement pas
plus court; bord antérieur plus avancé et arrondi sur le
milieu; cótés plus arrondis antérieurement, à peine si-
nués vers la base, angles postérieurs un peu plus obtus,
moins aigus au sommet; base beaucoup moius sinuée,
PRU. s puta
coupée presque droit; le dessus visiblement chagriné
avec une ligne médiane entiére et profonde, surtout prés
de la base; impressions latérales moins fortes; sur le dis-
que des rides transversales assez dislinctes, et d'aulres
longitudinales de chaque cóté de la ligne médiane le long
de la base, bien moins marquées que les stries qu'on y
voit dans d'autres espèces. Elytres sensiblement plus al-
longées et proportionnellement moins larges que celles
du variegatus, ovalaires; épaules un peu anguleuses; cô-
tés un peu arrondis, extrémité conformée de méme; stries
faibles sur le disque et sur les parties bronzées, excepté
pres de l'extrémité, ou elles sont profondes; plus fortes
sur les taches blanches; intervalles plus ou moins plans
suivant la profondeur des stries, finement chagrinés,
d'une apparence soyeuse ou veloutée; les deux points
du 3-e à peine perceptibles. Le cóté antérieur du pre-
mier article des antennes porte plusieurs points d'ou sor-
ient de gros poils; on en voit de pareils à l'extrémité
antérieure des deux suivants, et une rangée de poils
longs et assez forts le long du cóté inférieur des cuis-
ses anlérieures; le prosternum entre les hanches est en
pointe trés-aigüe et fortement rebordé. Tête et corselet
d'un noir brouzé olivätre, élytres plus noires, sur cha-
cune à l'épaule une grande tache blanchátre occupant
le premier tiers, échancrée à la base sur les 4-e.et 5-e
intervalles et s'étendant jusqu'au rudiment de strie pré-
scutellaire, puis échancrée en dedans et se rétrécissant
jusqu'à la 3-e strie, également échancrée à son bord
postérieur et descendant un peu plus en arriere sur
la partie dilatée du 4-e intervalle que sur les côtés; ici
elle touche au bord latéral qui est blanc ainsi que
celle partie de l'épipleure; entre le milieu et l'extrémité
une grande tache de méme couleur, allant de la 2-e à
la 9-e strie, un peu échancrée et anguleuse antérieure-
ment, un peu échancrée aussi derrière, prés de la sutu-
re; le reste de l'épipleure marron, ainsi que le proster-
num eníre les hanches et les trochanters avec les ap-
pendices postérieurs; antennes d'un jaune testacé, deve-
nant plus brunes à partir du 5-e article; base des pal-
pes de méme couleur, avec le dernier des labiaux, le
dernier et la seconde moitié de l'avant-dernier des ma-
xillaires noirs; cuisses noires avec les attaches brunes;
jambes blanchátres avec le bout noir, ainsi que les tar-
ses. Tout le dessous du corps d'un noir brillant. Trois
individus des deux sexes, pris par M. Bates sur les
bords de l'Amazone.
B., Antennae basi haud plurisetosae.
1. Prosternum inter coxas marginatum, acute
angulatum.
(Prothorax basi utrinque profundius sinuatus, hae
supra medio 5 — sulcata, disco haud bifoveo-
lato).
P. variegatus Dejean (Tetragonoderus), Spec. IV. p.
503. = Bembiduim xanthomelanum Perty, Del. anim.
quae in Bras. coll. Spix & Mart., p. 14. Taf. Ш. fig. 11.
Plus petit que l'uzdatus, les parties bronzées plus ob-
scures; la bande intérieure blanche des élytres parse-
mée de quelques points bruns, la bande du milieu bron-
zée comme le corselet sur toute son étendue; la bande
postérieure blanche ne dépasse pas la premiére strie du
côté de la suture, qui reste bronzée. Tout le dessous du
corps d'un brun foncé luisant avec ie milieu des cuisses
et l'extrémité des jambes et de chaque article des tar-
ses rembrunis; corselet plus convexe, moins arrondi sur
— MN uan
les cótés, strié le long du milieu du bord antérieur, avec
la partie postérieure de la ligne médiane formant un
profond sillon, de chaque cóté duquel on en voit deux
autres plus courts et moins forts, séparés les uns des
autres par des côtes assez tranchanles; base assez for-
tement bisinuée, avec une échancrure angulaire derrière
le sillon médian, point de fossettes sur les côtés du dis-
que. Élytres plus élargies en avant, un peu rétrécies
en arrière, un peu plus fortement striées, avec les in-
tervalles plus convexes; l'ourlet basal forme un angle
plus marqué avec la rigole marginale. Assez commun
à Cayenne, en Colombie et sur les bords de l'Amazone.
P. variipennis Chaudorr. Long. &*/, mm. Il ressem-
ble un peu au variegatus, mais il est plus grand et la
forme de ses élytres est plus allongée. Те et corselet
plus distinctement chagrinés, surtout sur la partie po-
sterieure des cótés de ce dernier, ses angles postérieurs
plus obtus et plus arrondis. Elytres plus allongées, plus
visiblement rétrécies vers l'extrémité, avec le milieu des
côtés rectiligne sur une assez grande étendue; le bord
postérieur plus échancré, l'angle externe aigu, denti-
forme; les stries plus profondes, surtout vers l'extrémi-
té où elles forment des sillons; la déviation des 3-e et
4-е sur le milieu plus forte, les intervalles plus conve-
xes; les deux bandes blanches sont à peu prés sembla-
bles, seulement les taches qui les composent sont plus al-
longées et mieux séparées les unes des auires par le
fond noir des stries, leurs bords antérieurs et postérieurs
sont plus dentelés, et la tache presque isolée qui ter-
mine la bande antérieure sur le milieu élargi du 4-e in-
tervalle, descend davantage sur le milieu, les deux sub-
scutellaires atteignent la base, l'extrémité après la se-
conde bande est d'un bronzé aussi foncé que la bande
Bi eal
mediane, sans mélange de jaune. La couleur générale
du dessus est d'un bronzé olivätre pius foncé. Les an-
tennes sont noires avec les 3 premiers articles et la ba-
se du 4-e testacés, les palpes bruns avec les premiers
articles blanchátres, les pattes d'un brun un peu bronzé
avec les trochanters et les attaches jaunes, les jambes
blanches avec le bout obscur. Le dessous du corps en-
tierement d'un brun foncé bronzé. Deux individus pris
par M. Bates sur le Haut-Amazone, le troisième de Valle
Grande en Dolivie.
2. Prosternum inter coxas marginatum, rotun-
datum.
(Prothorax basi valde bisinuatus, hae supra pluri-
striata).
(disco haud bifoveolato).
P. femoralis Chaudoir. Long. 5'/, — 6 mm. Il res-
semble un peu au variipennis, mais il est sensiblement
plus grand et proportionnellement plus large; la tete dif-
fére peu, elle est un peu ridée en long prés des yeux;
le corselet est bien plus large, plus court, bien plus
transversal, avec les angles intérieurs un peu plus avan-
cés, la base plus fortement bisinuée, les cótés de celle-
ci remontant plus obliquement vers les angles, qui sont
un peu obtus, sans être arrondis au sommet; les côtés
ne vont pas en se rapprochant vers la base, l'impression
transversale postérieure est profonde, allant d'une des
fossettes latérales de la base à l'autre; tout l'espace en-
tre les fosseties, l'impression et le bord postérieur dis-
tinctement strié (mais pas sillonné comme dans les pré-
cédents). Les elytres ont la méme forme, mais elles sont
bien plus larges et moins allongées, l'angle postérieur
ess aT 2
externe est arrondi; le dessus est strié et ponctué de
méme, la bande jaune postérieure occupe presque tou-
te l'extrémité de l'élytre, qu'elle traverse entierement y
compris l'épipleure; il n'y a qu'une tache d'un brun fon-
cé qui occupe l'extrémité de plusieurs intervalles inter-
médiaires non loin du bord postérieur; la bande anté-
rieure touche presque à l'ourlet basal, et descend plus
bas que dans le variegatus, laissant une bande bronzée
plus étroite entre les deux bandes jaunes, se réunissant
presque à celle apicale sur les 5-е et 6-e intervalles; il
ny a sur cette bande antérieure qu'un seul point d'un
bronzé verdátre sur le 6-e intervalle, environ au premier
tiers. Le milieu de l'abdomen est un peu rougeätre; les
antennes et les pattes sont colorées comme dans le va-
riipennis, à l'exception des tarses qui le sont comme
dans le variegatus. C'est encore une des découvertes de
M. Bates, qui m'en a cédé 3 individus trouvés par lui
à Ega sur les bords du Haut-Amazone.
Sect. II. Anus maris apice incisus.
A. Prothorax subcordatus, basi parum sinuatus,
supra utrinque disco foveolatus.
P. pictus Рети; (Bembidium), Del. anim. & p. 14.
Taf. III. fig 9. Long 5'/, — 5‘, mm. Il ressemble beau-
coup à l'undatus, avec lequel Dejean l'a méme confon-
du; mais il est toujours sensiblement plus grand, d'une
coloration plus pále sur les élytres, qui ont la bande
brune du milieu quelquefois peu distincte et ordinaire-
ment beaucoup plus claire, et les stries bien moins pro-
fondes, les petites taches brunes sur les parties blan-
chátres sont aussi presque effacées. Le corselet est un
peu plus large, et les élytres ont une forme plus arron-
BERN. ENG
die, leur bord postérieur est moins échancré. J'en pos-
sède une dixaine d'individus venant du Brésil méridio-
nal et de l'Uruguay.
P. undatus Dejean (Tetragonoderus), Spec. des Col.
IV. p. 501. = T. repandus Dejean, ibid. p. 503. =
Bembidium bifoveolum Perty, Del. anim. ete. p. 14. Taf.
Ш. fig. 10. Long. 47, —5'/, mm. Il ne varie guéres
par la forme, mais sa coloration est plus ou moins pále
avec une bande, toujours assez distincte, d'un jaune
plus rougeátre que les bandes antérieure et postérieure,
dont elle est séparée par une bordure brune, générale-
men assez foncée. Il parait assez commun dans tout le
nord de l'Amérique méridionale depuis l'Amazone.
P. mexicanus Chaudoir. Long. 4— 4*/, mm. Plus
petit que l'undatus ou n'égalant que les plus petits in-
dividus de cette espéce, dont il différe par son corselet
plus étroit, bien plus sinué sur la moitié postérieure des
cötes, avec les angles postérieurs plus aigus et méme
un peu ressortants. Les elytres ont à peu prés la méme
forme, avec des stries moins profondes; le dessin est le
méme, à l'exception de la bande blanche postérieure,
qui se rétrécit davantage en se rappochant de la suture
et dont le bord antérieur est plus dentelé. J'en ai recu
quatre individus plus ou moins obscurs de M. Salle,
qui les a pris au Mexique.
Note. Le Dr. Leconte décrit sous le nom de Zetr.
latipennis (Trans. Amer. entom. soc. 1874. p. 44) une
espéce que M. Belfrase à trouvée dans le Texas, et. qui
me parait rentrer dans ce groupe, quoiqu'il la compare
aux fasciatus et undulatus; il dit que le dessin des
élytres est comme dans ces deux derniers mais qu'elle
en différe abondamment par ses autres caractéres; «dé-
primé, d'un bronzé verdátre, sans luisant; corselet de
ey
prés du double plus large que long, arrondi et sinué
sur les cótés, avec le rebord latéral pále; modérément
rétréci en arriére, avec les angles postérieurs droits ou
à peu prés, pas du tout arrondis. Élytres de près du dou-
ble plus larges que le corselet, environ d'un tiers plus
longues que larges, profondément échancrées à la base,
très-arrondies sur les côtés, fortement et obliquement
tronquées à l'extrémilé; stries fines, un peu plus pro-
fondes vers le bout, la 2-e et 3-e un peu sinuées avant
le milieu; deux points dorsaux prés de la 2-e strie (?),
le postérieur immédiatement aprés le milieu; antennes,
palpes et pattes päles».
D. Prothorax anterius subangustatus, basi valde
bisinuatus, disco utrinque haud foveolato.
1. Prosternum inter coxas, marginatum postice
rotundatum. |
P. figuratus Dejean (Tetragonoderus), Spec. V, p.
855. = Tetr: amazonus Motschulski, Bull. des natur.
de Mosc. 1864 II. 221. Long. 8'/,—10 mm.; larg 3°/,—
4°/, mm. Cette espèce et la suivante se distinguent des
autres par les petits poils qui recouvrent le pourtour du
dessus du corselet, par la forme élargie postérieurement
de ce dernier, dont la base, fortement bisinuée, est cou-
pée obliquement prés des angles postérieurs, et surtout
par l'ampleur des élytres, quoique sous ce dernier rap-
port les femoralis, dilatatus et insignicollis s'en rap-
prochent déjà. Téte assez semblable pour la forme à
celle du variegatus, avec les yeux aussi saillanls, mais
plus allongés, un peu ovalaires, les cótés du front dé-
primés longitudinalement, passablement rugueux et ponc-
tués, le milieu et le col presque lisses. Corselet bien
Zee ur
plus large que la tête avec les yeux, prés du double
plus large que long, un peu rétréci vers les angles an-
terieurs qui sont avancés et arrondis, tandisque le mi-
lieu du bord antérieur est coupé carrément; les côtés
arrondis vers les angles antérieurs, le reste rectiligne
et parallele; la base légérement prolongée sur le milieu
en forme de lobe trés-court et arrondi, avec une légére
échancrure au milieu devant l'écusson, est fortement
sinuée de chaque côté de се lobe et remonte ensuite
assez obliquement vers les angles qui sont obtus, sans
étre arrondis au sommet; le dessus assez convexe sur
le disque, visiblement rebordé sur les cótés, qui sont
un peu plus relevés en arriére et aux angles postérieurs,
est presque lisse au milieu, mais le long du bord an-
térieur il est longitudinalement rugueux; les côtés sont
parsemés de petits points, et toute la base est couverte
d'une ponctuation serrée et assez marquée; la ligne mé-
diane, assez fine au milieu, s'effacant presque en avant,
forme sur la base un large et profond sillon, à cóté du-
quel on en voit deux autres beaucoup plus raccourcis
postérieurement, et dont il est séparé par une caréne
assez tranchante; les impressions latérales de la base ar-
rondies et assez profondes. Élytres de moins du double
plus larges que le corselet, de prés de moitié plus lon-
gues que larges, atteignant leur plus grande largeur peu
aprés les épaules, puis allant en se rétrécissant légère-
ment en arriére; base trés-échancrée, remontant assez for-
lement vers l'épaule qui est avancée, marquée, mais
un peu arrondie au sommet; la partie des cótés qui la
suit fortement arquée, le reste assez rectiligne, s'ar-
rondit assez sensiblement prés de l'angle postérieur, qui
est prolongé en dent aigüe plus ou moins longue; le
bord postérieur coupé trés-obliquement, échancré en arc
de cercle; l'angle sutural un peu prolongé en queue
passablement relevée et plus ou moins obtuse au som-
met; le dessus un peu bombé, les stries trés-fines et peu
profondes, légérement ponctuées; un long rudiment prés
de l’écusson; la 1-е et la 4-е un peu sinuées, les in-
tervalles trés-lisses et plans, le premier se rétrécit beau-
coup postérieurement et s'y relève visiblement, le 4-e
s'élargit un peu vers le milieu; la base des extérieurs
fortement arquée en dedans, sur le 3-e deux points
assez petits, placés le premier au premier tiers contre
la 3-e strie, le second peu aprés le milieu prés de la 2-e;
les points ombiliqués du 9-e plus serrés sur le milieu
et prés des deux extrémités; cet intervalle plus étroit
que les autres, surtout vers ses deux bouts; l'ourlet ba-
sal forme un angle trés-obtus et un peu arrondi avec
la rigole marginale; le rebord latéral fin. En dessous le
prosternum et les épisternes sont finement ponctués et
un peu pubescents; le reste est lisse et glabre. Les an-
tennes et les pattes sont comme dans le varzegatus, mais
les jambes intermédiaires, surtout dans les mâles, sont
un peu arquées.
Tête et corselet d'un bronzé olivätre plus ou moins
obscur, élytres d'un noir luisant, avec les bords bronzés,
sur chacune une bande d'un blanc jaunátre, allant de la
9-e strie au rudiment préscutellaire, n'atteignant nulle
part l'ourlet basal, mais s'en rapprochant le plus sur les
deux premiers intervalles, profondément échancrée de-
vant sur les 3-e — 5-е, beaucoup moins sur le 7-е, des-
cendant jusqu'au delà du milieu sur les 7-e et 8-e, se
raccourcissant postérieurement de prés de moitié sur les
6-e— 4-е, et encore plus sur les 3-е et 2-е; sur le
i-e elle forme une petite saillie, sur le disque postérieur
une seconde bande de méme couleur assez large, allant
№ 3, 1876. 5
ir de
de la 8-e à la 1-e strie, arrondie et dentelée antérieuré-
ment, assez profondément échancrée en arc de cercle
sur les 3-e et 5-e intervalles; extérieurement les deux
bandes s'unissent quelquefois sur les 6-e et 8-e inter-
valles, laissant sur le 7-e un point carré noir, de sorte
que sur le disque commun des deux élytres il y a une
erande tache noire un peu en forme de croix, dont les
branches latérales tantôt ne dépassent pas la 5-е
strie, tantôt s'étendenl en zigzag jusqu'au bord laté-
ral; de plus il y a le long de la base une bordure
d'un noir olivátre qui se dilate fortement sur les
3-e — 5-е intervalles, moins sur le 7-e; cette bordure
rejoint par la suture la croix centrale, dont la branche
intérieure se prolonge jusqu'à l'extrémité et y rejoint
une tache apicale noire, qui longe tout le bord posté-
rieur et pénétre profondément dans la 2-e bande blanche
sur les 3-е, 4-е et quelquefois encore le 5-e intervalles.
Le dessous du corps est d'un noir plus ou moins brun,
l'abdomen souvent rougeätre; antennes noires avec les
3 premiers articles et la base du 4-e testacés, quelque-
fois le 3-e est presque noir; les parties de la bouche sont
testacées, avec les deux derniers artieles des palpes ma-
xillaires etle dernier des labiaux noirátres; labre et man-
dibules d'un noir de poix; pattes de cette méme cou-
leur, trochanlers, appendices postérieurs et attaches des
cuisses roux; la grande moitié supérieure des jambes
blanchälre, et quelquefois la base des articles des tarses
rousse. Cette belle espèce parait être assez commune sur
les bords de l'Amazone, où M. Bates l'a prise en divers
endroits jusqu'à son embouchure; j'en posséde un indi-
vidu venant de Demerary (Guyane anglaise), et d'au-
tres pris par M. Bucklay dans la république de l'Ecuador.
P. oxyomus Chaudoir. Taille et coloration du figu-
ratus, dont il ne diffère que par les angles postérieurs
du corselet plus aigus et un peu saillants, et par les
épaules qui au lieu d'étre arrondies à leur sommet, com-
me dans le figuratus, forment un angle aigu bien pro-
noncé; l'ourlet basal rencontre aussi la rigole marginale
sous un angle aigu, nullement arrondi; les stries sont plus
marquées. Je posséde 3 individus brésiliens qui présen-
tent ces caracléres, cependant je voudrais voir cette es-
péce validée par un nombre plus considérable d'individus.
2. Prosternum marginatum, inter coxas hastiforme.
P. стих Dejean (Tetragonoderus), Spec. des Col. IV.
р. 507. Long. 77/, mm. Plus petit que le figuratus, il
en diffère d'abord par la coloration, puis par quelques
différences dans le corselet, enfin par la pointe posté-
rieure du prosternum qui est en forme de fer de lance.
Tete identique; corselet un peu plus élargi aux angles
postérieurs qui sont plus aigus; le disque moins convexe;
la ligne médiane non élargie en sillon ni plus profonde
prés de la base, sans sillons latéraux, impressions ba-
sales moins enfoncées. Elytres de méme forme, moins
bombées sur le disque, stries plus fortes, intervalles
moins plans; elles sont presque entiérement d'un blanc
jaunátre, y compris les épipleures, mais la suture est
d'un brun clair et se dilate peu jusqu'au milieu, ou l'on
voit une bande transversale verdátre qui ne dépasse
guéres la 5-e strie, et dont le bord postérieur est ar-
rondi, celte bande est plus ou moins étroite, plus ou
moins distincte, le rebord latéral est brun; le dessous du
corps d'un brun clair; les antennes, les palpes et les pat-
tes sont d'un testacé peu foncé, les jambes, qui dans le
mále sont arquées de méme, sont en grande partie plus
blanchátres; le labre, les mandibules, l'écusson et le pé-
LU d
9
ВЕ ee
doncule des élytres d'un marron plus ou moins foncé.
Les deux individus que je posséde sont ceux qu'a décrits
Dejean, et viennent de Para, à l'embouchure de l'Amazone.
P. omophronides Chawdoir. Long. 5%, mm. Bien
plus petit que les trois précédents, dont il rappelle
d'ailleurs assez la forme, mais sans vestige de pubes-
cence. Les yeux sont un peu moins saillants, le col est
un peu plus gros, la tête n'est que finement chagrinée,
sans rugosité ni dépressions sur les cótés du front; le
corselet a la méme forme que celui du cruz, mais les
cótés ne sont nullement sinués avant les angles posté-
rieurs qui ne sont point saillants; il se rétrécit de mé-
me depuis ces angles jusqu'aux antérieurs qui sont un
peu moins largement arrondis; le dessus n'est que fine-
ment chagriné, excepté sur le milieu de la base, oü il
est longitudinalement rugueux, et sur les côtés ou il
l'est finement; le disque est ridé en travers, les impres-
sions latérales de la base sont assez creuses. Les
elytres sont un peu moins allongées, la courbe de la
base des cótés aprés l'épaule est un peu moins forte, le
bord postérieur coupé moins obliquement, et l'angle su-
tural moins prolongé et moins aigu, les stries et les in-
tervalles sont comme dans le figuratus; ceux-ci finement
chagrinés et parsemés de quelques points extrêmement
petits; je n'ai pas pu découvrir les deux points du 3-e,
et ceux du 9-e ne sont guéres visibles. Téte et corse-
let d'un bronzé clair, avec les bords de ce dernier jau-
nätres; les élytres paraissent entiérement blanchátres, ce-
pendant on apercoit sur le disque une ombre transver-
sale brunátre, fort peu distincte et coupée en deux par
la suture jaune, le reste coloré comme chez le cruz.
La collection Laferte en contenait un individu également
originaire de Para.
ise Mes
Mnuphorus.
Chaudoir, Berl. entom. Zeitschr. 1873. p. 55.
Cymindis Gebler.
Mentum medio acute dentatum.
Antennae longiores, basi quoque pilosulae.
Tarsi supra pubescentes: intermedii maris haud
dilatati, nec subtus spongiosi; unguiculi sim-
plices.
Prosternum inter coxas marginatum et rotun-
datum.
Corpus totum punctulatum et cum pedibus pube
brevissima vestitum.
Caetera ut in Tetragonoderis.
Ce genre que j'avais proposé, sans en donner toutefois
les caracteres, est trés-voisin, comme on voit, des Tetra-
gonoderus et se rapproche par sa forme de l'arcuatus,
mais il en différe par la ponctuation et la pubescence
qui couvre tout le corps, tant en dessus qu'en dessous,
par les antennes et les pattes qui sont couvertes, les
premieres dés leur base, de poils serrés et courts, par
les tarses intermédiaires qui ne sont point dilatés dans
les máles, enfin par la coloration mélangée de testacé et
de brun, sans rien de bronzé. Les crochets des tarses
sont tout à fait dépourvus de dents en dessous.
Mn. discophorus Chaudoir. Long. 7 mm. Comparé
au tety. arcuatus, il présente les différences suivantes.
Téte semblable, mais entièrement couverte de petits
points modérément serrés; ceux de l'épistome le sont un
peu moins; antennes plus longues, à articles plus allongés.
Corselet moins large et moins court, moins transversal,
plus rétréci vers la base, à peine échancré antérieure-
Er Cm
ment, avec les angles nullement avancés et trés-arrondis;
les côtés plus arrondis vers le milieu, bien plus longue-
ment et plus fortement sinués en arrière, avec les ang-
les postérieurs droits, trés-aigus et méme un peu sail-
lants; le dessus pas plus convexe, ponctué comme la téte,
moins densément sur le disque, la ligne médiane fine,
très-effacée aux deux bouts, la base nullement striée, les
angles postérieurs passablement relevés. Elytres de pres
du double plus larges que le corselet, ayant à peu prés
la forme et les proportions de l’arcuatus; léchancrure
de la base plus étroite, ce qui fait que les épaules sont
plus largement arrondies et que l’ourlet basal est bien
plus court; le dessus est aussi aplani, les stries sont plus
fortes et distinclement ponctuées, les intervalles moins
plans, plus densément ponctués que le corselet; les 2
points du 3-e plus petits et placés contre la 3-e strie,
l'un un peu avant le milieu, l'autre aprés les trois
quarts, ceux du 9-e très-peu distincts, surtout vers le
milieu. Tout le dessus et le dessous du corps est pubes-
cent, celui-ci densément ponctué. Tête et corselet d'un
testace rougeätre, élytres plus pales, avec une tache
noire commune sur le disque, allant jusqu’à la 6-e strie,
coupée un peu plus droit intérieurement, prolongée en
pointe en arrière sur la suture et dentelée, le milieu du
bord antérieur échancré, les angles antérieurs arrondis;
abdomen brun, chaque segment bordé de ferrugineux,
bout des mandibules brun, tout le reste d’un testacé
presqu'aussi rougeâtre que le corselet. Pubescence gri-
sätre. Quatre individus trouvés par le Capitaine Boys et
le D-r Bacon dans le nord de l'Hindostan (Simläh).
Mn. sellatus Gebler (Cymindis), Bull. de ГАсаа. des
sciences de St. Pétersb. 1843. I. p. 36;—Bull. des Natur.
Mosc. 1859. II. p. 318. Long. 6 mm. Un peu plus pe-
MEN, ie
tit que le discophorus et de forme un peu plus étroite.
Tête et corselet un-peu moins plans ponctués de même;
ce dernier plus allongé, moins large, plus arrondi sur les
côtés; la ligne médiane atteignant les deux bouts, Hlytres
de forme moins carrée, plus ovale, avec les côtés plus
arrondis et la base moins large, les épaules plus effacé-
es, le bord postérieur tronqué moins largement et plus
carrément, nullement sinué, l'angle sutural bien arrondi,
les stries plus lisses, les intervalles plus plans, moins
densément ponctués, la série marginale de points plus
distincte; elles sont traversées au milieu jusqu'à la 9-e
strie par une large bande noire, dentelée sur les bords,
qui s'élargit progressivement vers la suture, ou elle
S’avance jusque non loin de la base et de l'extrémité,
ou elle touche à une tache brune substransversale, qui
n'arrive pas au bord postérieur et occupe les interval-
les 2 — 5. Tout le reste est coloré comme dans le dis-
cophorus. Un individu provenant du voyage d'Alexandre
Lehmann en Boucharie. Ménétriés dit qu'il est trés-com-
mun sous le fumier prés du Komoan Daria, au mois de
Mai. Fedtchenko ne l'a pas retrouvé, et il ne figure pas
dans la description des insectes de son voyage dans le
Turkestan, faite par M. Solsky.
Tilius Chaudoir.
Dromius Dejean; Lionychus Chaudoir, Mot-
schulscki.
Mentum simplex, medio dente nullo.
Tarsi intermedii maris haud dilatati; unguiculi
haud denticulati; tibiae apice interno paulo
brevius bicalearatae quam in Tetragonoderts;
calearibus subtus serrulatis?
Prosternum inter coxas haud marginatum, sub-
excavalum.
в:
Caetera ut in Tetragonodero.
Je ne suis pas parvenu à me convaincre, si les épines
terminales des jambes sont dentelées en dessous; je suis
assez porté à croire qu'elles ne le sont point, ce qui
serait une exception dans ce groupe et constituerait une
transition à celui des Droméides par les Lionychus avec
lesquelles on a méme confondu les insectes.
T. holosericeus Chaudoir. (Lionychus), Bull. des Nat.
de Mosc. 1850. I. p. 68. Les différences entre cette es-
péce, que j'ai minutieusement décrite alors, et l'obscu-
rellus, que je ne connaissais pas à cette époque, consi-
stent dans la coloration qui est d'un bronzé verdätre
assez clair, mais avec les mémes taches et reflets soyeux
ou ardoisés sur les élytres, dans la largeur plus consi-
dérable de la téte et du corselet, dont les cótés sont
plus longuement sinués postérieurement et tombant à
angle droit sur la base qui est moins rétrécie; les 3
premiers articles des antennes sont entièrement d’un te-
stacé clair, les jambes plus foncées. Je n’en possède que
les deux individus que j'ai decrits, et qui ont été trou-
vés dans le nord du Bengale par le Capitaine Boys.
T. obscurellus Dejean (Dromius)), Spec. des Col. V.
362. = Lionychus? versicolor Motschulscki, Bull. des
Natur. de Mosc. 1864. II. p. 231. Long. 3/, mm. Sa
couleur en dessus est d'un bronzé un peu cuivreux,
avec des taches soyeuses irréguliéres sur les élytres;
le dessus du corps est finement chagriné et le corselet
parsemé en outre de points excessivement petits, et ridé
légérement vers ies bords latéraux. Tete trés-plate, sans
aucune dépression, moins large que dans l'holosericeus,
les yeux gros, mais modérément saillants; corselet d'un
quart à peine plus large que la fête, mais assez court,
subtransversal un peu rétréci vers la base, subcordi-
Luc ee
forme, assez échancré en avant avec les angles un peu
avancés, fort peu arrondis au sommet, un peu arrondi
sur les cótés qui se redressent avant les angles posté-
rieurs, ceux-ci aigus au sommet; base légérement pro-
longée sur le pédoncule, avec une légére sinuosité de
chaque cóté de celui-ci, et les cótés coupés peu obli-
quement; le dessous plan; la ligne médiane fine effacée
prés de l'extrémité, le rebord latéral extrómement fin,
deux petites excavations latérales prés du bord posi£ri-
eur. Elytres de moins du double plus larges que le cor-
selet, en carré un peu plus long que large, étroitement
mais profondément échancrées au milieu de la base qui
est largement arrondie aux épaules; l'angle postérieur
externe l'est moins, le bord postérieur est coupé à neine
obliquement et n'est guéres échancré; les côtés sont as-
sez paralléles sur le milieu; le dessus est presque plan,
les stries sont presque effacées, à l'exception de l'extré-
mité des 3 premiéres; les deux points sur le 3-e inter-
valle sont trés-peu visibles, le premier est sur le milieu,
le second un peu plus en arrière; la surface est très-
finement chagrinée; les antennes sont noires avec les
trois premiers articles testacés, le premier et le troi-
siéme bronzés en dessus; le dessous du corps est bronzé
mais moins chagriné et plus luisant que le dessus, les
cuisses sont d'un brun bronzé, les trochanters et les
jambes brun-clair, les tarses noirs. Trois individus ve-
nant d'Egypte.
T. subsericeus Chawdoir. Taille et forme de l'ob-
scurellus, dont il differe par son corselet plus retreci
vers les angles postérieurs, plus arrondi sur le milieu
des côtes qui ne sont que très-brièvement sinués devant
les angles de la base, lesquels ne forment qu'une petite
saillie dentiforme le dessus n'est pas rugueux sur les có-
RN.)
tes, mais il est chagriné et entre l'impression transversa-
le postérieure et la base, il est un peu ponctué et ridé en
travers. Les Elytres ont la méme forme et les mêmes
proportions, mais le bord postérieur est plus échancré;
les stries ne sont guéres plus visibles, mais toute lasur-
face est uniformément chagrinée, sans traces de taches ni
de reflets soyeux; la coloration est la méme, si ce n'est
que le dessus est d'un bronzé encore plus cuivreux.
L'unique individu que je posséde m'a été donné par M.
Haag de Rutenberg, comme rapporté du Cap Drége.
Nematotarsus.
Leconte (Nemotarsus), Trans. Amer. phil. soc.
X. 1853. p. 377.
Lebia Dejean.
Ligula basi membranacea, versus apicem coria-
cea trigona, haud libera, apice subrotundata,
quadrisetosa, setis intermediis brevissimis; pa-
raglossae membranaceae, basi cum ligula con-
fusae, anterius ejusdem lateribus annatae, ea-
dem paulo breviores, apice singulatim rotun-
datae, glabrae, extus subrotundatae.
Mazillae angustae, elongatae, subrectae, apice in-
tus arcuatae, subhamatae; acutissimae, intus
tantum spinulis paucis sat brevibus munitae;
lobo externo tenui biarticulato, articulo ultimo
parce pilosulo, subacuto.
Palpi graciles, subelongati, articulo ultimo om-
nium glabro, subovato, apice acuto; ultimo ma-
xillarium praecedente multo longiore.
Mentum planum, antice sat profunde subquadra-
to-emarginatum; sutura basali utrinque longius
ee EUR
unisetoso; lobis acutis trigonis, intus appendi-
culatis, subdivergentibus, in fundo emargina-
tionis acute subangulatum.
Labrum quadratum, latitudine paulo brevius,
planissimum, apice sexselosum, recte trunca-
tum, angulis subrotundatis.
Antennae dimidium corporis vix superantes, gra-
cillimae, articulis tribus primis glabris, primo
parum crassiore, versus basin subatlenuato,
apice unisetoso, secundo sequente multo bre-
viore, tertio sequentes aequante, apice pilis
longioribus coronato; sequentibus tenuibus,
elongatis, cylindricis, basi apiceque attenua-
tis, minus dense sed longius pubescentibus,
singulo apice pilis longioribus coronato.
Mandibulae subporrectae, modice arcuatae, acute.
Pedes graciles, elongati: femora subovata, pa-
rum incrassata, hinc inde pilis longiusculis ob-
sita; éibiae tenues, parce setulosae, setis te-
nuibus, apice intus longius bicalcaratis, calca-
ribus haud serrulatis; Zarsi gracillimi, haud
sulcati, articulis tribus primis sensim, quarto
cilius decrescentibus, hoc integro; antici ma-
ris articulis tribus dilatatis, utrinque longius
setosis, subtus longius biseriatim lamellato pa-
pillosis, primo cordato, sequentibus duobus
longioribus, elongato-cordatis; apice rotunda-
lis; quarto apice emarginato; intermedis haud
dilatati; unguwiculi modice elongati, parum ar-
cuati, tenues, pectinati; dentibus 5 longis, ba-
sin versus decrescentibus.
Prosternum inter coxas angustum, glabrum, haud
marginatum, nec pone coxas productum.
PN (eee
Episterna postica elongato, utrinque sulcata, api-
ce angustissime appendiculatis.
Caput portice rotundatum, anterius attenuatum,
oculis intus haud marginatis; collo constricto
tenui.
Prothorax subtrapeziforme, anterius sat angusta-
tum, basi subrecta, satis longis 2 in angulo
basali et ante medium marginem erectis.
Elytra prothorace duplo latiora, modice elonga-
ta, anterius subangustata, apice truncata, anum
non tegentia, striata, lutea, nigropicta.
Corpus glabrum compressum.
Habitus et color fere Aphelogeniae myopis De-
jean, Lebiadem simulat.
Par leurs caractères ces insectes s'éloignent de tous
les groupes connus, et ne peuvent, vu la longueür des
épines terminales des jambes postérieures, être placés
qu'auprés des Tétragonodérides, dont les distinguent
l'étranglement de la base de la tête, l'absence du lobe
qui dépasse le crochet apical des máchoires et bien
d'autres caractéres. Trompé par une certaine similitude
dans la coloration, Dejean a placé la seule espéce qu'il
connüt, parmi les Lebia, et l'a décrite sous le nom de
Lebia fallax. Plus tard Leconte a établi le genre Nemo-
tarsus sur une seconde espèce de l'Amérique septentrio-
nale, mais dans l'exposó des caractéres, il en a omis
plusieurs des plus importants. L'Amérique méridionale
nous en a fourni trois nouvelles que je vais décrire.
Nem. disciger Chaudoir. Long. 5'/, mm. Beaucoup
plus grand que le fallaz, mais lui ressemblant beaucoup
par la forme et la coloration; téte moins brusquement
rétrécie derrière les yeux et plus allongée; corselet moïns
court: «elytres plus larges, plus élargies en arriére, plus
dat a Se
arrondies sur les cótés, le dessin est presque le méme,
mais là tache jaune sur le disque antérieur est entourée,
méme extérieurement, d'un anneau brun-noirátre qui la
sépare de la bordure jaune latérale. Les 3 individus que
je posséde ont été pris par MM. Sahlberg fils et Squires
dans la province de Rio-Janeiro; dans l'un les élytres
sent presque entiérement d'un jaune clair et l'anneau
noir n'est presque pas visible; dans l'un des trois les
deux bandes longitudinales du corselet sont bien mar-
quées, dans les deux autres elles ont disparu, ce qui est
aussi le cas dans le fallax.
Nem. interruptus Chawdoir. Long. 5 mm. Intermé-
diaire pour la taille entre le disciger et le fallax; il dif-
fere de ce dernier par ses élytres un peu plus allon-
gées et par leur dessin; elles sont entièrement jaunes à l'ex-
ception d'une longue tache brune à la base du troisié-
me intervalle, d'une autre interrompue à la base du sep-
tieme, et d'une bande (vitta) extrémement en zigzag,
composée de petites taches brunes, toutes isolées les
unes des autres, sur le milieu; il y a encore tout prés
de la base de la suture une tache commune allongée de
méme couleur. Deux individus venant de la province de
Minas Geraés.
— Nem. fallax Dejean (Lebia), Spec. V. p. 383. Long.
&'/, mm. J’ajouterai à la description spécifique du Spe-
cies que les yeux dans cette espéce et les voisines ne
sont pas séparés du front par un rebord, ou du moins
il est si fin qu'on ne l'apercoit presque point; la tete
est presque lisse, assez convexe avant Pétranglement, et
près du bord des yeux on voit deux points d'ou sor-
tent de longs poils, dont l'un est situé derrière l'ail.
Le corselet qui est de fort peu plus large à sa base quela
tête avec les yeux, se rétrécit en s'arrondissant jusqu'-
du b ini
au col; et le bord antérieur n'a que la largeur de ce
dernier, il n'est pas échancré, les angles ne sont point
avancés et sont tres-arrondis; Ja partie posterieure des
côtés est presque rectiligne; la base nest pas prolongée
au milieu, mais elle s'arrondit légérement vers les an-
gles postérieurs qui sont droits, mais avec le sommet as-
sez arrondi; le dessus est un peu convexe dans sa par-
tie antérieure, trés-finement chagriné et un peu ridé en
travers sur le disque, la ligne médiane est trés-fine,
l'impression transversale postérieure assez profonde, et
va d'une des petites fossettes latérales à l'autre; le re-
bord latéral, tres-fin antérieurement, se dilate triangulai-
rement prés des augles postérieurs qui sont assez rele-
vés. Les élytres ne sont pas tout à fait du double plus
larges que le corselet, et se rétrécissent légérement vers
la base; elles sont de moitié plus longues que larges, un
peu échancrées au milieu de la base, avec les épaules
un peu avancées, mais trés-arrondies, les côtés le sont
assez derriére les épaules, et un peu avant l'angle po-
stérieur externe, le reste est presque rectiligne; l'extré-
mité tronquée un peu obliquement et assez sensiblement
échanerée, l'angle externe bien marqué, mais arrondi
au sommet, le dessus est modérément convexe et plu-
tôt dans le sens de la largeur, les stries sont profondes
et lisses; elles paraissent alvéolées; les intervalles sont
lisses et assez convexes, surtout vers le milieu; l'ourlet
basal est étroit et décrit une forte courbe uniforme avec
la rigole marginale, le rebord latéral est un peu plus
large vers le milieu; la base du septiéme intervalle est
plus étroite et plus relevée que le reste; sur le troisiè-
me on voit 2 petits points, placés l'un au premier
quart, le second à quelque distance de l'extrémité; la
rangée du 9-e est visible et un peu interrompue vers
NUT MM
le milieu; il y a un rudiment de strie prés de l'écus-
son. Le dessin brun consiste en un X coupé en deux
par le premier intervalle qui est jaune, et dont les
croissants ne touchent ni à la base ni au bord latéral
qui restent páles, de sorte que l'anneau dont parle De-
jean est trés-ouvert extérieurement; il est très-étroit,
ses bords sont plus ou moins dentelés et quelquefois il
s’efface en partie. Plusieurs individus venant les uns de
la Nouvelle Grenade, les autres du Venezuela. Dans les
uns il y a deux bandes longitudinales noires sur le corse-
let, dans les autres ces bandes disparaissent complètement,
Nem. scutellaris Chaudoir. De la longueur du fallax,
mais plus étroit dans le corselet et les élytres, qui
sont plus allongées; les cótés du premier sont moins
arrondis; ces derniéres sont plus étroites, moins élargies
en arrière, et ont une forme plus ovalaire; elles sont
entiérement d'un jaune pále à l'exception d'une assez
grande tache commune d'un brun pâle qui occupe la
base de la suture, et qui s'amincit un peu en pointe
postérieurement, et d'une bande étroite transversale
presque droite, un peu oblique, peu dentelée, allant de
_ Ла seconde à la septième strie. Il n'y a point de bandes
longitudinales noires sur le corselet. Une femelle prise
à Ega par M. Bates.
_ М№т. elegans Leconte, Trans. Amer. phil. soc. X.
1853. p. 377. La taille et la forme de cette espèce différent
peu du fallax, cependant les cótés du corselet sont plus
arrondis, et comme dit le Dr. Leconte, il a, bien plus
que les précédents, une forme semicirculaire; les inter-
_ valles des élytres sont moins convexes sur le milieu,
mais ce qui le distingue surtout, c'est le dessin des
éytres, qui est d'abord bien plus noir, bien plus
large, il s'étend antérieurement jusqu'à la base, ne lais-
a-
Er. М
sant que fort peu de jaune prés de l'écusson; sur la
suture, il s'étend jusqu'a la deuxiéme strie, et la bande
postérieure, large, un peu arquée, est placée aprés le
milieu et se rejoint par le 8-e intervalle avec la bande
noire basale. Téte, corselet et taches des élytres plus
testacés, moins päles. Point de bandes noires sur le
corselet. Deux individus donnés par MM. Sallé et Moc-
querys, et venant de la Louisiane.
Sarothrocrépides.
J'ai établi en 1850 le genre Sarothrocrepis sur le
Carabus corticalis Fabricius que Dejean avait placé
dans le genre Lebia; il a été généralement adopté, com-
me on pouvait s'y attendre, et M. Mac Leay fils en a
décrit quelques espèces. J'ai reconnu que la Геза luc-
tuosa Newman rentrait dans ce genre, dont je possède
en outre plusieurs espéces nouvelles. Les Lebia bene-
fica, tridens et civica Newman, ainsi que la Cymin-
dis inquinata Erickson se rapprochent beaucoup des
Sarothrocrepis, quoique devant constituer un genre dis-
tinct que j'ai nommé Lebiomorphe, et une forme égale-
ment voisine est la Rhinochila Levrati Montrousier
de la Nouvelle Calédonie. En considération des longues
épines de l'extrémité des quatre jambes postérieures qui
sont, quoique moins visiblement, dentelées en scie comme
dans les Tétragonodérides, ces insectes qui formeront
un groupe spécial, devraient trouver leur place dans ce
travail, mais désirant en compléter l'étude sur des ma-
tériaux plus complets que ceux que je posséde, je me
réserve de revenir là-dessus plus tard, et d'en faire le
sujet d'un travail séparé.
TABLE ALPHABETIGUE
des genres et des espéces.
ism Mac Leay.
11 et 15.|
adelioides Mae Leay. ..
fuscipennis Schmidt-Ge-
bel.
quadrimaculatus Schmidt-
Gebel.
Anaulacus Mac Leay.
11 et 2
sericipennis Mac Leay. .
Bembidium.
bifoveolum Pertv. ....
dilatatum Wiedemann. . 41
intersectum Germar. 44
notatum Wiedemann. . . 37.
Diem Derive... 61.
punctatum Wiedemann. 48.
Caphora Schmidt-
оо i2... 4.
humilis Schmidt-Gæbel. 8.
№ 3. 1876.
11.
fasciatus Schmidi-Gæbel. 25-
Lecco hé tSt: 16.
ER 25:
simpler Schmidt-Gebel. 22.
Carabus.
biguttatus Thunberg. . .
corticalis Fabricius. ..
quadrimaculatus Fabri-
quadrisignatus Quensel. 41.
quadrum Fabricius... . 35.
Colobonychus Chau-
doir.
brevicollis Dejean. . . . 7.
Coptodera.
aenescens Motschulski. . 54.
chloroptera Moischulski. 54.
fasciata Haldemann. .. 51.
Corsyra. 1:
Cyclosomus Latreil-
Een AU:
Вначен Dejean. .. ... 32.
dytiscoides Nielner. . . . : 31.
equestris Boheman. 39
flexuosus Fabricius. . .. 3
marginatus Moischulski. 3
6
Cymindis.
inquinata Erichson.
selima Gebler 1... : :
Dromius.
aeneus Dejean. . . . . ..
chilensis Dejean. . ...
obscurellus Dejean. . . .
pictipennis Reiche. ...
subfasciatus Pulzevs. . .
viridis Dejean.......
Lebia.
bembidioides Fairmaire.
benefica Newman. . ...
civica Newman. .....
fallax Dejean. . .....
luctuosa Newman. . ...
tridens Newman... ...
Lyonichus.
holosericeus Chaudoir. .
? versicolor Motschulski. .
Lophidius Dejean.
brevicollis Dejean. . . . .
laticollis Boheman. .. .
testaceus Dejean. ....
Macracanthus Chau-
TT RENNES 11 &
sericatus Chaudoir. . ..
Masoreus Dejean.
adelioides Mac Геау. . .
aegyptiacus Dejean. . ..
aequinoctialis Laferte. .
affinis Chaudoir......
affinis Küster. . .. ...
. 80. | alticola Wollaston.....
71.| ampliusculüs Chaudoir. .
anthracinus Schaum. . .
arenicola Wollaston.
53.|*axillaris Küster. . . ...
59.| Batesi Chaudoir..... .
72.| bonariensis Chaudoir.. .
49.| brevicillus Chevrolat. . .
47.| fasciatus Schmidt-Gebel.
54.| fuscipennis Schmidt-Ge-
bel.) . 5. MB
5% guineensis Chaudoir. ..
30 laticollis Chaudoir. .
80. luxatus Dejean. .....
77 madagascariensis Chau-
80. OR. 7. 2 E
80.| nobilis Wollaston. . . . .
“opaculus Zimmermann. .
orientalis Dejean. ....
72.\ piceolus Chaudoir. . .
19.| pleuronectus Zimmerman '
а | quadrimaculatus Schmidt-
3 Gobel^.... SE
Г.
6 rotundipennis Reiche. .
" ruficornis Chaudoir. . . .
*rulilus Schaum. 2222
sericans Schmidt-Gebel.
93 | serieatus Chaudoir. ...
23. sericeus Zimmermann. .
.. | sericipennis Mac Leay. .
12.' siamensis Chaudoir. . . .
1.| simplex Schmid!-Gebel.
1
14.| testaceus Lucas. .....
45.| unicolor Chaudoir.....
14.| Welterhalli Gyllenhal. . .
ui
Microus Chaudoir. 4.| Rhinochila Montrou-
Mocquerysi Chaudoir. . 9. sier.
Levrati Montrousier. . . 80.
Mnuphorus Chau-
= a eee 69.| SAROTHROCREPIDAE. 80.
discophorus Chaudoir. . 69. Scolytus.
sellatus Gebler. . . 71.| suturalis Wiedemann. . 39.
Nematotarsus Le- Somoplatus Dejean.
conie abe nid 14. 3 et 6.
disciger Chaudoir.. . . . 77. dade die rre
elegans Leconte...... Sa Puts A.
s ER LE rats = TETRAGONODERIDAE. — 98.
interruptus Chaudoir. . . 77.
illis Chaudoir.. . . 79. diei deu a
jean. 5513 Pu M 33.
Ophryognathus aeneus Dejean....... 93.
Chaudoir. . . .. 5.| amazonus Motschulski . 63.
tuberculatus Chaudoir. . 26.| arcuatus Dejean...... 38.
biguttatus Thunberg. . . 37,
_ Perigona. bilunatus Klug. ..... 36.
Peronoscelis Chau- chalceus Chaudoir. ва.
а. Lp | chilensis Dejean. 52.
_ | crux Ва. pue 61.
crux Dejean........ 67.; dilatatus Wiedemann. . . 41.
femoralis Chaudoir. .. . 60. discopunetatus Chaudoir. 48.
figuratus Dejean. .... 63.)*distigma Motschulski. . . 55.
"latipennis Leconte. ... 62.| fasciatus Haldeman. . . . 51,
mexicanus Chaudoir. .. 62.| figuratus Dejean. .... 63.
omophronoides Chaudoir. 68. gabonicus Chaudoir. .. 40.
oxyomus Chaudoir. ... 66.| immaculatus Boheman. . 37.
pictus Per. 2.2. onn 61.| immaculatus Laferté. . . 36.
undatus Dejean. ..... 62.| insignicollis Chaudoir. . 42.
variegatus Dejean.. . . . 58.| *intermedius Solsky. . . . 38.
variipennis Chaudoir. . . 59.| interruptus Dejean. . . . 40.
velutinus Motschulski. . 56.| intersectus Germar. . . . 44.
6*
mu RE Le
Lacordairei Chaudoir.. . 45.| subsulcatus Chaudoir. . . 37.
laevigatus Chaudoir.. . . 46.| tessellatus Chaudoir. .. 43.
latipennis Leconte. .. . 62. | tetragrammus Chaudoir. 46.
Lecontei Dejean. . .... 44. | trifasciaius Chaudoir. . . 48.
Leprieuri Gory. ..... 39 | undatus Dejean. . . . .. 62.
mixtus Chaudoir. .... 51,|'undulatus Leconte. ... 52.
*nolaphioides Motschulski. 54.| unicolor Chaudoir. ... 47.
obscurus Chaudoir. . . . 36.) variegatus Dejean. ... 58.
piclipennis Reiche. ... 49.| velutinus Molschulski. . 56.
punctatus Wiedemann. . 48.| viridicollis Dejean. ... 35.
quadriguttatus Dejean. . 45.| viridis Dejean. ...... 54.
quadrimaeulatus Gory. . 35.
quadrinotatus Fabricius. 41.| Thyreopterus Leconte.
quadrisignatus Quensel. 41.| fasciutus Leconte.. . . . 57.
quadrum Fabricius. . . . 35
repandus Dejean. . . .. 62.| Tilius Chaudoir. .. 51.
*rhombophorus Schmidt- holosericeus Chaudoir. . 72.
Gebel ae eed 48.| obscurellus Dejean. ... 72.
rivularis Eriehson. . . . . 50.| subsericeus Chaudoir. . 74.
*Seitulus Boheman. . ... 55.
sericatus Dejean. .... 38. Trechus.
sumplicissimus, Gerslaer,... À jar os State. NM 12.
CREr. us Eee
sinuosus Chaudoir. ... 44.| Les espèces précédées d'un
“sticlicus Erichson. . . . . 55. |astérisque ne me sont connues
subfasciatus Pulzeys. . . 47.|que par description.
НОВЫЯ ПОЛУЖЕСТКОКРЫЛЫЯ
HEMIPTERA HETEROPTERA
РУССКОЙ ФАУНЫ.
В. Яковлева.
REPAS
Fam. Pentatomides
Subfam. SCUTELLERIDAE.
PO t
Dybowskyia n. gen.
Körper eirundlich, beiderseits hochgewölbt,
kahl. Jochstiicke des Kopfes lanzettlich, anei-
nanderliegend. Augen sehr klein. Kopf vorn et-
was gekrümmt; Kopfrand kielförmig. Schnabel
an das dritte Hüftpaar reichend. Wangenplat-
ten gerade, gleichbreit, so lang als der Kopf.
Fühlerglieder dünn, Glied 1 und 2 zusammen
nicht an das Kopfende reichend; Glied 2% län-
ger als 1 und so lang als 3; Glied 4 sehr kurz,
so laug als Glied 1; Endglied spindelig, so
lang als Glied 3 und 4 zusammen. Schild
breit, den ganzen Rücken deckend, hinter dem
Bucke! abgedacht; Grund gewölbt.
LE. li
Туловище укороченноовальной Формы, выпуклое какъ
съ верхней, такъ и съ нижней стороны. Голова Tpex-
угольвая, узкая, длинная; ковецъ носа очень короткий,
скуловые отростки весьма длинные, вытянутые, боко-
вой край головы передъ глазами сильно вырЪзанъ, такъ
что острые бугорки сидяще y основашя yCHEOBb хо-
рошо видны если глядфть сверху. Весь боковой край
головы окруженъ возвышеннымъ кантикомъ; конецъ
скуловыхъ отростковъ нЪеколько загнутъ книзу. Глаза
очень маленье. Bucculae прямолинейные, сильные, BO
всю длину головы. Усики тоне, нЪжные, особенно 2
и À суставы; основной суставъ очень KODOTKIÜ m BMb-
CTB CO вторымъ едва достигаетъ конца головы; второй
NBCKOIBKO длиннфе перваго и равенъ по длинЪ треть-
сму; четвертый тонкШ и очень короткй, равный пер-
BOMy; пятый толще прочихъ, веретенообразвый, рав-
ный по JANA двумъ предпослФднимъ суставамъ—взя-
тымъ BWbcTb. Хоботокъ Tonkiii, достигаюний до треть-
eii пары Horb. Переднй край переднегруди безъ от-
ростковъ. Переднеспияка кпереди съуженная, кзади до-
вольно выпуклая, съ широкоокругленными боковыми уг-
лами, не шире брюшка; передшй m боковые края силь-
HO выр$заны; переднйй край гораздо шире головы. такъ
что довольно острые, шейные углы далеко отстоятъ OTE
края глазъ. Въ передней части переднеспинки находят-
ся три возвышеня образующихъ поперечный рядъ; од-
HO изъ нихъ приходится по средней лини, а два ле-
жатъ по бокамъ, ближе къ шейвымъ угламъ; эти BO3-
вышешя отдЪлены другъ отъ друга довольно глубоки-
ми впадинами; вдоль переднеспинки, по средней AuHin
ея, идеть очень нЪжное ребро, которое переходитъ на
шитокъ, не доходя до его конца. Щитокъ широк, до-
стигающй KOBUA брюшка, боковые края слабо округ-
= |,
лепные, изъ подъ нихъ видны y3kie края corium и
connexivum. Передняя часть щитка отдЪлена бороздкой,
образующей почти правильный нолукругъ; на концахъ
этой бороздки, у основныхъ угловъ щитка, находится
глубокая впадиза, къ внутреннему краю которой при-
мыкаетъь голое возвышене (callus); средина щитка вы-
пуклая, задняя половина его спускается довольно круто
Kb концу, въ видЪ крыши. Брюшко выпуклое. Ноги ко-
porkis, довольно толстыя. (БолЪе подробваго описаня—
частей груди, крыльевъ и пр. дать невозможно, потому
"TO Bb моемъ распоряжени находился только одинъ эк-
земплярт.)
По eopwb головы родъ этотъ напоминаетъ р. Ancy-
rosoma, а по образованю щитка родъ Psacasta.
D. ussurensis n. sp.
Schwarzbraun, dicht grobpunctirt. Fühler
schwarzbraun, Glied 2, 3 und 4 am Ende róth-
lich. Kopf, Vordertheil des Pronotum, Bauch-
mitte und Schenkel fast schwarz. Schild mit
einzelnen braungelben Knötchen. Pronotum und
Schild mit feiner braungelblicher durchlaufen-
der Mittellinie. Connexivum róthlichbraun mit
schwarzen Winkelflecken. Schenkelende, Schien-
beine und Füsse gelbbraun, Spiracula schwarz.
L. 5 mm. Ussuri.
Весь темнобурый, сильно и часто пунктированный,
безволосый. Голова, углубленя въ передней части пе-
реднеспинки, средина брюшка и бедра почти "epHaro
цвфта; узкая продольная лишя ma переднеспинк$ и щит-
kb, callus, множество мелкихъ бугорковъ ua щиткЪ и
на бокахъ груди, а также ABb широкихь полоски NO
GR —.
бокамъ брюшка изъ нихъ одна — на краю — буровато-
желтаго цвЪта. Connexivum красноватобурый съ червы-
MH пятнами въ основныхъ половинахъ сегментовъ; ROH-
цы бедръ, голени в особенво лапки буроваторыже.
Дыхальца черныя. Усики темнобурые, ковцы втораго,
третьяго и четвертаго суставовъ — красноватые. Длина
5 мм., ширина около 4 мм.
Уссури, uox» 48° c. m. (Dr. Дыбовский.)
Subfam. Pentatomidae.
Neottiglossa metallica n. Sp.
Unterseite, Kopf, Vordertheil des Pronotum
und Schild am Grunde metallisch schwarzvio-
lett. Membran hell, fast durchsichtig, Kopf ver-
längert, nicht gekrümmt. L. 5'/, mm. Ussuri.
Dur» 6anakil къ N. inflexa Wolff u N. obscura Sahlb.
Bea nmxH4a cropona туловища, голова, передняя часть
переднеспинки и широкое оснозан!е щитка черваго цвЪ-
та Cb металлическимъь Ф!олетовымъ блескомъ. Голова
вытянутая, почти прямая; пятно на затылкЪ, боковые
края переднеспинки, два небольшихъ пятна въ перед-
ней ea части, продольная JuHia no ея срединЪ, большя
вытянутыя внизъ Callus въ углахъ щитка, основной край
надкрыльевъ и узюя окраины брюшка снизу — гладюя,
6baaro nbbra. Перепонка полупрозрачная, безцвЪтвая.
Конець corium тупоокругленный и приходится Ha одной
лини cb ковцемъ щитка. Первый суставъ усиковъ ры-
xiii, (остальныхъ Bb моемъ экземплярЪ недостаетъ.)
Форма щитка и ноги — какъ у № inflexa. Дл. 5°, мм.
Orbs другихъ близкихъ видовъ, съ перваго взгляда,
отличается Формою головы почти вытявутой прямо, TOT-
a. ee
да какъ вообще y рода Neottiglossa передняя часть ro-
ловы круто загибается книзу и сильнымъ развитемъ
металлическаго блеска.
Уссури, подъ 48° c. m. (Dr. В. Дыбовский.)
Homalogonia n. gen.
Körper breitoval, kahl, grobpunctirt, Kopf breit,
Kopfrand gerade, Stirnschwiele eingeschlossen.
Wangenplatten .linienförmig, vorn spitzeckig.
Schnabel schlankgliederig, an das Ende der
Hinterbrust lang; Wurzelglied viel kürzer als
der Kopf. Fühlerglieder schlank, lang; Wurzel-
glied dünn, nicht an den Kopf reichend, Glied
2 doppelt so lang als 1, Glied 3 und 4 gleich-
lang, jedes fast um '/, länger als das vorhe-
rige. Endglied dünn, spindelig, länger als A.
Pronotum breit, Schulterecke stumpf, stark zu-
gerundet. Mittelkiel der Mittelbrust an das En-
de des Mittelxvphus reichend. Bauchschiene 2
mit stumpfem Hócker am Grunde.
Родъ этотъ долженъ стоять около p. Carpocoris КИ.
Туловище широкоовальпое, гладкое, пскрытое сверху
частымъ, сильнымъ зунктиромъ. Голсва плоская, широ-
кая; ширина ея въ затылкЪ зназительно короче длины;
боковые края почти прямые, слегка приподнятые квер-
ху; скуловые отростки плоскоокругленные, длинные,
длиннЪе конца носа, который остается открытымъ. Buc-
culae y3kie, линейные, занимающе двЪ трети головы;
спереди они оканчиваются довольно сильнымъ зубцомъ,
а сзади незамфтно уничтожаются. Хоботокъ тонкй, до-
стигаетъ почтн ковца заднегруди; первый суставъ его
гораздо короче головы, такой же длины какъ и buccu-
RR ae
lae, второй — самый длинный. Усики TOoBkie и очень
длинные, гораздо длиннфе головы и переднеспинки взя-
тыхъ BMbcTb; первый суставъ ихъ TOHKiii, коротки, He-
достающий конца головы, второй вдвое его длиннЪе, тре-
Tiii и четвертый равны межлу собою и каждый изъ
нихъ на одну треть длиннЪе втораго; посл$дн! суставъ
TOBEIN, веретенообразный, длиннЪе всЪхъ прочихъ и
втрое длиннзе перваго. Форма головы и хоботка почти
такая же какъ у Carpocoris, но строеше bucculae и
особенно относительная длина суставовъ усиковъ CO-
вершенно иныя. Xyphus переднегруди глубоко вдавлен-
НЫЙ; вдавлен1е это имфетъ Форму копьевидную и окру-
жено высокимъ KAHTOMB; конецъ его прямо обрЪзанъ;
среднегрудь по средивЪ вдавлена какъ у Carpocoris,
вдоль углубленя идетъ ребро, которое достигаетъ до
конца широкаго, прямообр$заннаго и короткаго XYphus.
тогда какъ у Carpocoris это ребро на xyphus средие-
груди не переходить и самый xyphus y этаго рода
имъеть Форму боле удлиненную и узкую. llepeine-
спинка короткая, но широкая; передн! край ея глубоко-
выемчатый, задн передъ щиткомъ прямой, 3aTbMB ис-
подволь заворачивается кпереди и образуетъ весьма ши-
роко округленные, плоске, HECKOALKO приподнятые KBep-
ху плечевые углы; боковые края, вслЪдстве выдавших-
ся плечевыхъ лопастей — глубоко выемчатые и около
шейнаго угла сильно зазубрены. Щитокъ, падкрылья и
ноги—какъ у Carpocoris. Перепонка съ 8 невЪфтвящи-
мися ребрами. Второе брюшное кольцо снизу съ тупымъ
бугоркомъ по срединЪ.
Н. maculata п. sp.
Gelblichgrau, oder bleich röthlichgrau, schwarz
punctirt, Unterseite blassgelblich, farblos punc-
zum.
tirt. Schulterecke schwarz, Schild ganz punc-
tirt und sehwarzgefleckt. Membran bleich
bräunlich, mit zerstreuten schwarzen Flecken
zwischen den Rippen. Fühler braunroth, Wur-
zelglied röthlichgelb, schwarzpunctirt, Glied
4 und 5 schwarz, am Grunde röthlich. Beine
graugelblich, schwarzpunclirt-gestreift, L. 13
mm.
Ussuri.
Все туловище гладкое, безволосое, :ReJrOBaTOCbparo
цвъта, иногда съ слабымъ буроватокраснымъ OTTEHROMP.
Частый и довольно грубый пунктиръ покрываетъ всю
наружную сторону; точки пунктира чернаго цвЪта, свизу
туловище свЪтложелтоватое и пунктиръ безцвфтный;
брюшко снизу покрыто Kpowb того очень мелкими струй-
ками, лишь продольная средняя Jugis почти гладкая.
liluposie въ вид» языка плечевые отростки кажутся
почти черными, OTB очень скученнаго пунктира. Въ
передней части передней спинки 3aMbTHO четыре He-
большихъ гладкихъ возвышенности, которыя лежатъ въ
олномъ поперечномъ ряду. Шитокъ пузктированъ до са-
Maro конца и весь одноцвЪтный, только у основашя его
и по cpeiunb 3aMbTHO нфсколько темвыхъ парныхъ пя-
TCH, происходящихъь OTD большей скученности пун-
ктира. Ha вадкрыльяхъ множество свЪтлыхъ возвышен-
ныхъ гладкихъ mbcts. Перепонка свфтлобурая, ребра
частно того же цвфта, иногда же Tempe; вся она по-
крыта кругловатыми пятнами бураго nbbra. Усики Óy-
роватокрасвые, первый CYCTABB рыжш, покрытый чер-
нымъ крупнымъ пупктиромъ; четвертый и пятый Cy-
ставы чернаго цвфта, но OCHOBABIA ихъ на одну треть
красноватыя. Ноги рыжеватосфрыя, покрытыя черными
ПА
пятнами и точками, особенно бедра, rib ons располо-
жены рядами боле или мене правильными. Послфдв!й
суставъ лапокъ на конц темнобурый, также какъ и
концы когтей. Connexivum почти черноватый, покрытый
весьма сильвымъ и густымъ пунктиромъ; но срединЪ
каждаго сегмента болЪе свЪтлая полоса. Наружвый край
брюшка снизу окаймленъ очень узкой оторочкой чер-
Haro пвФта. Дыхальца свфтлыя, но вблизи ихъ Cb BHY-
тренней стороны лежитъ по небольшому черному пятну
круглой Формы. Иногда посредин$ брюшка находится
HBCKOIBKO очень PEAKO раскиданныхъ червыхъ точекъ.
Перенонка нЪсколько выдается надъ брюшкомъ. Дл.
13 мм., ширива между олечевыми углами—8—8'/, um.
ширина передъ ковцомъ щитка—7— 7, MM.
Уссури подъ 48° c. m. и no берегамъь Япопскаго
моря подъ 43° c. m. Судя uo количеству собранвыхъ
Dr. Дыбовскимъ экземпляровъ, видъ этотъ тамъ He-
рЪдокъ.
Stromatocoris п. gen.
Körper eiförmig, kahl. Kopf viel kürzer als
zwischen den Augen breit. vorn fast gestutzt.
Stirnschwiele durchlaufend. Kopfrand vor den
Augen tief, ausgeschnitten. Augen gross, halb-
kugelig. Pronotumseiten gerade, Schulterecke
stumpf. Schnabel schlankgliederig, Wurzelglied
kurzer als der Kopf; Wangenplatten linien-
förmig, kurz, vorn spitzig. Fürhlerglieder
schlank, Glied 1 das kürzeste, mit dem Ende
der Stirnschwiele gleich, Glied 2 fast 17, mal
länger als 1, Glied 3 länger als 2 und so lang
als 4; Endglied länger als 4, beide spindelig.
Mitielbrusi 2 mit einem Miltelkiel. Fauch-
schiene 2 mit vorstehendem Spiess.
Ролъ этотъ долженъ стоять рядомъ CB p. Piezodorus
къ которому очень близокъ, отличаясь главнымъ обра-
зомъ CTpoemiewb и Формою головы и среднегруди.
Туловище продолговатоовальное или овальное, без-
волосое. Голова еще короче чЪмъ y p. Piezodorus, такъ
что ширина ея въ затылкЪ взятая BMBCTS съ глазами
значительно превышаетъ длину. Конецъ носа открытый,
оканчиваюцийся на одной лини съ скуловыми отрост-
ками; эти послёдШе широюе, пологе, округленные съ
боковъ и передъ глазами сильно вырЪФзанные, спереди
голова почти прямо обрЪзана. Череднеспинка, щитокъ,
надкрылья и ноги—такой же Формы, какъ y рода Pie-
zndorus, только на шейныхъ углахъ переднеспинки по-
_мВщаются болЪе сильные зубцы. Хоботокъ достигаетъ
половины заднегруди; суставы его очень тонке, изъ
нихЪ первый гораздо короче головы. Bucculae линей-
ные, KOpoTkie, занимающие только ABB трети головы,
кзади они округлевы, напереди образуютъ небольшой
зубчикъ. Усики довольно тоне, первый суставъ ихъ
очень короткШ, едва достигающий конца головы, толще
прочихъ, второй въ полтора раза его длиннЪе, третй
_ И четвертый суставы равной длины, каждый изъ HHX'b
на '/, часть длиннЪе втораго; пятый H'BCKOJbKO длиннЪе
четвертаго; второй и третй суставы TOHKIe, къ Bepmuns
едва расширяющиеся, четвертый и пятый— толстые, Bepe-
тенообразной Формы. Вдоль среднегруди проходитъ TOH-
кое, невысокое ребро. Второй cerwenTb брюшка BOO-
руженъ короткимъ, HO сильнымъ зубцомъ, обращеннымъ
остреемъ кпереди, конецъ котораго достигаетъ до зад-
HATO края среднегрули.
Stamoenus n. Sp.
Körper länglichoval, graubraun, theils bron-
seartig glänzend, grobpunctirt. Fühler schwarz,
du mp.
Wurzelglied und Glied 3 oben-róthlich gelb,
(Glied 4 und 5.... fehlt). Kopf, Vordertheil und
Seitenrand des Pronotum kupferroth. Rand des
Pronotum kantig, orangegelb. Pronotum und
Schild mit feiner gelber durchlaufender Mit-
tellinie. Schild orangegelb, am Grunde schwarz
metallisch schimmernd, Schildspitze glatt, weiss;
vor der Spitze zwei schwarze Querrandflecke.
Die kallosen Knoten im Schildgrundwinkel—
orangegelb. Rücken und Connexivum schwarz,
mit grossem Mittelfleck auf jedem Schnittstücke.
Unterseite orangegelb, dicht punctirt. Beine
schmutziggelb, Schenkelende schwarzpunctirt
und gestreift. L. 11 mm.
Ussuri.
Туловище продолговатоовальное, сЪроватобураго mBb-
Ta, MbcTaMH съ сильнымъ металлическимъ отливомъ. Го-
лова грубо пунктированная, вся металлически красно-
ватозеленая, только конецъ носа и Y3kie боковые ок-
раины ея свЪтложелтаго пвЪта. Снизу голова оранжево-
желтаго цвфта, лишь скуловыя части впереди сплошь
металлически зеленыя; сильныя, HO PhAKIA точки пун-
ктира покрывающаго голову CHH3Y имЪютъ металлическй
отливъ. Переднеспинка съ боковыми краями нЪ сколько
приподнятыми кверху; передний и боковые края ея въ BAIS
узкаго гладкаго кантика—оранжевожелтаго цвфта; такого
жецвЪта гладкая продольная полоска, весьма неправильной
Формы, замфчается въ передней части переднеспинки.
Вся переднеспинка грубо пунктирована; впереди точки
сосредоточены чаще, a назади они тораздо рЪже и об-
разуютъ короткя, поперечныя морщинки; вдоль перед-
няго и боковыхъ краевъ ея лежитъ довольно широкая
полоса металлическаго MÉAHOKPACHATO цвЪта, остальная
— 95 —
часть CHPOBATOOYPAI, MbcTaMH Cb оранжевымъ оттЪн-
KOMB. Точки пунктира черныя CB слабымъ металличе-
скимъ OT-IUBOMb; KPOMB того н$фкоторые ряды точекъ
оттвнены буроватымъ цвЪтомъ. Шитокъ желтоватооран-
жевый, конецъ его довольно узюй и закругленный, co-
вершенно гладк!, блестящаго бЪлаго цвфта; передняя
часть щитка, равно какъ и поперечная, широкая полоса
передъ бълымъ остреемъ-—чернаго цвЪта, съ сильнымъ
металлическимъ блескомъ. У основашя щитка, а именно
въ углахъ его и Ho срединЪ находятся Takia возвы-
шен!я неправильной Формы— оранжевожелтаго цвЪта; Hb-
‚сколько такихъ же возвышен!Й раскидано и по всему
черному основаню щитка; вдоль его проходить болЪе
или менфе замфтная средняя полоска оранжеваго HBPTA,
которая раздфляетъ пополамъ черную поперечвую по-
лосу, лежащую передъ бфлымъ концомъ щитка; сред-
няя широкая часть щитка такого же HBBTA и также
пунктирована, какъ задняя половина переднеспинки.
Надкрылья сФроватобураго пвЪта, сплошь покрытыя гру-
бымъ чернымъ пунктиромъ; иногда внутреннй уголь
надкрыльевъ бываетъ совершенно бураго mBbra; ребра
_ гладюя, свЪтлыя. Перепонка значительно длиннЪе брю-
шка—свЪтлая, прозрачная, съ рёзкимъ бурымъ пятномъ
или полоской на варужномъ kpab, передъ KOHNOMB.
Брюшко сверху чернаго mpbra, connexivum выдающийся
изъ-подъ вадкрыльевъ, чернаго же цвЪта; по срединЪ
каждаго сегмента проходить широкая, оранжевожелтая
полоса. Нижняя сторона туловища желтоватооранжевая,
сильно пунктированная, особенно на брюшкЪ. Шейные
углы переднегруди, мъднокраснаго металлическаго nBb-
та; на брюшкь пунктиръ черный съ металлическимъ
отливомъ; Xyphus переднегруди средняя часть средне-
груди и заднегруди, а также дыхальца-—чернаго цвЪта.
E RE
Средняя продольная AUHIA брюшка — гладкая, He пувк-
тированная; боковой край брюшка снизу имФетъ по
черному пятнышку въ переднемъ и задпемъ yrJaXP |
сегментовъ. Ноги грязножелтоватыя, вершина бедръ
покрыта сильными черными точками и кромЪ того
на каждомъ бедрЪ, на внЪшней ero сторонЪ, прохо-
дить короткая черная полоска; голени у основаня
И Kb концу, также какъ и лапки, бурочернаго цв$та;
второй суставъ лапокъ и основаше перваго--—рыжаго
цвфта; концы когтей червые. Первые два сустава хо-
ботка рыж!е, остальные—бурочернаго BTA. Усики чер-
ные (четвертаго и пятаго суставовъ у моихъ экзем-
пляровъ недостаетъ); верхняя сторона основнаго сус-
тава и верхняя часть третьяго-рыжеватаго mpbTa. Уси-
ки и хоботокъ покрыты очень короткими свфтлорусыми
волосками, HOTH—OCOÖECHHO нижняя сторона бедръ и BHy-
тревняя сторона голеней — длинными, такого же цвЪта
волосками. Волоски на бедрахъ снизу расположевы
pbako, прямостояче, имфюще характеръ щетинокъ.
Брюшко покрыто очень р?Ъдкими, тонкими волосками,
едва замфтнымн, HO длинными. Зубцы на шейныхъ уг-
лахъ переднеспинки острые. Длина туловища безъ пе-
репонки 9%, мм., съ перепонкою до 11 мм.; ширина
между плечевыми углами 5 мм., ширина брюшка, передъ
конпомъ щитка— 5 */, MM.
Уссури, подъ 48° c. m. (Dr. Дыбовскй.)
S. musivus n. Sp.
Kórper breitoval, grobpunctirt. Kopf schwarz,
Rand schmal, orangegelb. Fühler schwarz, Glied
2 ganz Glied 3 am Grunde und Ende und
Grundhälfte des 4 Gliedes—röthlichgelb. Prono-
NN iei
tum hinten und Halbdecken braunróthlich; Vor-
dertheil des Pronotum und Schild weisslich,
oder gelblich. Vier Querflecken auf dem Pro-
notum, zwei Flecke am Schulterecke—schwarz.
Schildspitze—breit weissgelblich; vor der Spit-
ze zwei schwarze Randflecke, Grundwinkel mit
schwarzem Fleck; vor der Schildmitte ein
schwarzer Fleck. Rücken schwarz. Unterseite
bleich graugelb, Bauch mit schwärzlichem fle-
ckenweise punctirten Streifen. Beine schmut-
ziggelb, Schenkelende fast ganz schwarz.L.9mm.
Ussuri.
Туловище короткое, широкоовальное, безволосое, силь-
HO пунктированное и неимфющее металлическаго блес-
Ka, KpOMB весьма слабаго отлива на задней части голо-
вы и Bb углублешяхъ переднеспинки около головы.
Задняя часть переднеспинки и надкрыльевъ буровато-
краснаго цвЪта, иногда очень густаго, иногда же Ch
00158 свЪтлымъ сфроватымъ отт$нкомъ; передняя поло-
вина переднеспинки и щитокъ то очевь CHBTJafO, по-
чти бъфловатаго цвЪта, TO переходятъ въ желтоватые OT-
TBHKH, до яркооранжеваго. Эти части украшены разно-
‘образными симметрическими расположенными черными
пятнами. Голова чернаго цвЪта, конецъ носа, узыя 60-
ковыя окраины головы и HBCKOJDKO мелкихъ гладкихъ
возвышенй, особенно на скуловыхъ лопастяхъ—свЪтло-
желтаго или оранжеваго цвфта. Первые три сустава хо-
ботка свЪтложелтоватые, изъ нихъ трети нЪсколько
темнЪе, а посльдый черноватобурый. Усики черные,
второй суставъ, ocHoBauie и вершина третьяго и широ-
кое основан!е четвертаго—рыжаго цвЪта; иногда рыжая
полоска замфтна и на верхней CTOPOHb основнаго су-
става. Изръдка усики бываютъ почти сплошь черные,
‚ №3. 1876. | 7
Kpowb основан!я и BEePIINHbI BTOPATO и OCHOBAHIA чет-
вертаго суставовъ. Зубцы HA шейныхъ углахъ передне-
спинки тупые, иногда довольно широке и округленные,
иногда же заостренные, причемъ острее обращено HB-
сколько кзади. Передн! и боковые края переднеспинки
гладк!е, въ видЪ свЪтлаго канта; на плечевомъ yrJb по
два черныхъ пятна; поперекъ переднеспинки, отдЪляя
заднюю красную часть OTB передней — свЪтлой, идетъ
радъ черныхъ пятенъ, изъ которыхъ четыре довольно
крупныя и HBCKOJIBKO мелкихъ (послфднихъ иногда и
не бываетъ); въ переднихъ углахъ лежатъ больпия по-
перечныя, извилистыя полоски, HeuMBIOMIA пунктира,
также чернаго цвЪта, иногда съ слабымъ металличе-
скимъ Ф1олетовымъ отливомъ. Конецъ щитка широко-
округленный, гладюЙ или бЪлаго цвЪта, или оранжеваго
nPbTa; передъ концомъ по бокамъ щитка расположены
два черныхъ пятна (какъ у многихъ видовъ Strachia);
въ основныхъ углахъ щитка помфщаэтся до трехъ чер-
BbIXb пятенъ, неправильной Формы, окружающихъ боль-
ое гладкое возвышене бЪловатожелтаго цвЪта; въ пе-
редней части щитка, по срединЪ, HBCKOJbEO отступя
отъ основашя лежитъ круглое черное пятно, раздЪлен-
ное пополамъ срединною продольною узкою полоскою.
Надкрылья одноцвЪтныя, грубЪе пунктированныя "bM
остальныя части туловища; иногда во внутреннемъ углу
corium находится большое темное пятно; ребра rJaJkis;
внутренв!й уголъ corium, какъ у этого вида, такъ и y
5. amoenus, сильно вдавленъ. Перепонка длиннфе брюш-
Ka, свфтлая, полупрозрачная, ребра ея у основавя и
самое основаше буроватыя. Брюшко черное, connexivum
почти такой же какъ у предъидущаго вида. Голова сни-
зу, какъ I все туловище, свфтлыя, сфроватожелтыя,
иногда почти бфлыя. Ha брюшк® точки пунктира сли-
— 99 —
ваются въ черныя пятна неправильной Формы, которыя
образують до шести продольныхъ рядовъ. Дыхальца
черныя; средняя лишя брюшка гладкая, свЪтлая. Пе-
реднегрудь HemMbeTb черныхъ пятенъ. Xyphus, средне-
грудь и заднегрудь посрединЪ матовочернаго цвЪта; ре-
бро вдоль среднегруди част черное, частю свЪтлое.
Ноги такого же цвфта, какъ и y предъидущаго вида,
только черный MBETB получилъ здЪсь болЪе сильное
развит!е; такъ, концы бедръ, особенно задней пары,
почти совершенно черные. Волоски на усикахъ, ногахъ
и брюшкЪ Takie же какъ пу S. amoenus. Длина безъ
перепонки — 8 мм., съ перепонкой — 8 /, — 9 мм.; ши-
рина туловища 5 мм.
Уссури, подъ 48° c. m. (Dr. Ası6osekiii.)
Renardia n. gen.
Körper oval, kahl. Kopf gross, länglich, wenig
geneigt. Wangenplatten lineal, vorn spitzeckig.
Schnabel schlankgliederig, an dem Ende der
Hinterbrust lang. Fühlerglieder schlank, Wur-
zelglied kürzer als der Kopf, Glied 2 doppelt
so.lang als Wurzelglied, Glied 3 fast nochmal
so lang als 2; Glied 3, 4 und 5 einander gleich-
lang. Schulterecke des Pronotum vorwärts ge-
richtet, spitz. Pronotum - Seiten bogig aus-
geschnitten, kleinzahnig. Schild ?/, des Rüc-
kens lang, hinter der Mitte verschmälert, En-
de ziemlich spitz. Membran mit acht bis neun
ablaufenden Rippen. Vorderbrust vorn kantig.
Vorderxyphus rinnenfórmig, hinten verengl.
Mittelbrust mit einem Mittelkiel. Bauchmitte
kantig erhoben; Bauchschiene 9 mit vorstehen-
dem Spiess. Beine unbewehrt, Fussglieder stark.
[nr lios
|
— 100 —
Родъ этоть долженъ быть поставленъ рядомъ Ch p.
Rhapigaster; онъ принадлежитъ къ той групп, пред-
ставители которой имфютъ на второмъ брюшномъ коль-
nb снизу — большой шипъ, который y Renardia дости-
гаетъ до половины среднегруди.
Голова большая, плоская, едва наклонная книзу; ши-
рина ея Bb затылкЪ значительно менфе длины; tylus ко-
роткй, закрытый скуловыми отростками. Переднеспинка
почти полулунной Формы, именно плечевыя части им$-
IOTb сильно развитые плосюме отростки, которые пра-
вильно загибаются кпереди, Bb BAA роговъ луны; 60-
ковой край отъ головы до острея плечеваго отростка у-
саженъ довольно сильными зубчиками и образуетъ по-
лулунную вырЪзку. Плечевые углы сзади почти прямые
и также по краямъ усажены р$дкими зубчиками. Пе-
реднй край переднеспинки глубоко BbIpb3aHb, состав-
ляя влагалище для головы; задей край передъ щит-
KOMB — прямой. Шитокъ длинный, довольно y3kiil; KO-
Hemb corium удлинняется значительно далфе пртострен-
Haro конца щитка. Перепонка мелко морщинистая, вы-
дается Halb брюшкомъ n имфетъ OTS восьми до девяти
реберъ. Bucculae yakie, линейные, впереди оканчиваю-
"ica сильнымъ прямымъ зубцомъ. Тонкосуставчатый
хоботокъ почти достигаетъь до брюшка; первый суставъ
его короткШ, гораздо короче головы и равенъ по длин®
четвертому; второй почти въ полтора pasa длиннЪе пер-
ваго и равенъ по длинф третьему. Первый суставъ уси-
KOBb очень KOPOTEIN, далеко He достигающий до конца
головы, второй суставъ на половину длиннфе перваго,
третй почти вдвое длиннЪфе втораго и равенъ по длинЪ
четвертому ий пятому въ отдфльности. Вообще усики
тоне и нЪжные. Переднегрудь спереди оторочена Y3-
KEMb кантомъ; xyphus углубленный, конецъ ero заост-
— 101 —
ренъ; вдоль среднегруди проходитъ довольно высокое
ребро. Connexivum выдается изъ подъ надкрыльевъ.
Вдоль брюшка идетъ сильное, высокое ребро, которое
переходить на второмъ брюшномъ кольцв въ длинный
острый шипъ. Ноги такой же Формы какъ у ВВар!саз-
ter; лапки сильныя, первый CYCTABB ихъ большой, рав-
ный по величинз третьему, второй вчетверо короче каж-
даго изъ нихъ. Когти большие, съ сильными отростками
(агоНае) у основания ^).
R. decempunctata Moisch. Bullet. des Natur. de Mo-
scow 1859, IV, р. 501,—Tropicoris 10-punctata Motsch.
Весь блЪднобуроватозеленый, почти одноцвЪтный, по-
крытый довольно нЪжнымъ черноватымъ пунктиромъ.
Щитокъ, Connexivum и ноги — блёдвобуроваторыже;
кончикъ щитка бфловатый, гладкй, Ha ногахъ также
HbTb точекъ. Первые три сустава усяковъ и основане
четвертаго рыжие, остальная же часть четвертаго и пя-
тый суставъ — чернаго цвфта. Поперекъ переднеспинки
расположены въ одинъ PAXB четыре небольшихъ чер-
ныхъ пятна, четыре такихъ же пятна помфщаются по-
парно Ha щиткз, KPOMB того въ основныхъ углахъ по-
CXbAIBSTO находится по одному углубленному черному же
пятнышку (о которомь Мочульсый не упоминаетъ въ
своей краткой xiarHo35). Одно черное же пятно нахо-
дится почти посрединЪ corium, съ внутренней стороны
главнаго ребра, далеко не достигающаго мембранальнаго
шва и оканчивающагося голымъ плоскимъ бугромъ, ко-
торый приходится какъ разъ сзади чернаго пятна. Бо-
KOBOÏ край надкрыльевъ у основан!я голый. Connexi-
*) Родъ этотъ названъ мною въ честь вице-президента Mockos-
ckaro Общества Испытателей Природы К. И. Ренара.
oe.
vum безъ патенъ, HO часто IHYEKTUPOBAAb; MYHKTUPD,
какъ и Ha Bceü наружной поверхности, —чернаго цвЪта.
Брюшко сверху блфднобуроватое. Туловище снизу очень
блфднаго желтоватаго nBbTa съ безцвтнымъ пункти-
ромъ; между глубокими точками на брюшкЪ множество
тонкихъ волнистыхъ морщинокъ и струекъ. Верхняя
сторова бугорка поддерживающаго усики имфетъ силь-
ную черную полоску. Съ каждой стороны груди нахо-
дится по четыре черныхъ патна; дыхальца также чер-
Haro цвЗта. Конецъ брюшнаго острея, жонцы голеней и
лапки буроватыя, концы когтей чернаго цвЪта. Дл. 20—
21 мм.; ширина туловища между плечевыми углами 11 мм.
Уссури и берегъ Японскаго моря nox» 43° ec. m. (Dr.
Дыбовскй); Амуръ и Шилка (Мочульекй.)
Acrocoris п. gen.
Oval, kahl. Kopf klein, Stirnschwiele einge-
schlossen. Schnabel schlankgliederig, an das
Ende der Hinterbrust reichend. Fühlerglieder
schlank, Wurzelglied kürzer als der Kopf,
Glied 2 kaum kürzer als 1, Glied 3 das läng-
ste, an 4—5 mal länger als 2, Glied 4 nur
?/, von 3, Glied 5... (fehlt). Schulterecke des
Pronotum spitz, rückwarts gerichtet, Prono-
tum-Seitenrand gezähnelt. Schild etwas über
den halben Rücken lang, am Grunde breit,
von der Mitte verschmälert, Ende zugerundet.
Membran mit 7—8 Rippen. Bauchmitte schwach
kielförmig; Bauchschiene 2 mit vorstehendem
Spiess. Beine unbewehrt, lang; Klauenglied
der Hinterfüsse schwächer als das Wurzel-
glied. Mittelbrust mit einem Mittelkiel. Wan-
genplatten linienförmig, ‘vorn gestutzt, spilz-
eckig, auf den halben Kopf lang.
— 103 —
Родъ этоть также принадлежить KB rpynnb Rhapiga-
Strini, имфющей на второмъ брюшномъ кольцъ снизу
длинный шицъ, который y Acrocoris достигаетъ почти
до половины среднегруди. Голова небольшая, tylus пе-
редъ концомъ HBCKOABKO вдавленный, закрытый скуло-
выми отростками, концы которыхъ округлены и не со-
прикасаются между собою; края этихъ отростковъ пе-
редъ глазами имъютъ пологую выемку и несколько за-
гнуты кверху. Хоботокъ тонкочленистый, достигающий
до конца груди; первый суставъ его на одну треть ко-
роче головы, почти равный четвертому; трей самый
длинный, HBCKOJIbKO длиннфе втораго. Усики тонке, до-
вольно длинные; первый суставъ ихъ короткй, не до-
стигаюпий конца головы, второй очень тонкй, нъсколь-
ко короче перваго, трей очень длинный — вчетверо
или HbckKOJbKO Óorbe длиннфе втораго; четвертый на '/,
короче третьяго; пятаго сустава у моихъ экземпляровъ
недостаетъ. Переднеспинка короткая, но сильно разви-
тая въ ширину; плечевые углы вытянуты Bb длинную
лопасть выгнутую дугой, острее которой обращено кза-
ди; передний край переднеспинки HMbeTb возлЪ головы
сильный зубецъ, Narbe же по всему протяженю, до
Camaro плечеваго острея, усаженъ мелкими тонкими
зубчиками, обращенными остреями кзади, такъ что HMb-
eTb Форму пилообразную; онъ сначала образуетъ очень
пологую выемку, но затЪмъ переходя постепенно въ
плечевую лопасть закругляется и завертывается взадъ,
образуя довольно острый крючекъ, вершина котораго
HBCKOJBKO Cph3aHa. Sani край переднеспинки передъ
щиткомъ совершенно прямой. Щитокъ трехугольный,
He широкй и довольно короткШ, оканчивающися ту-
пымъ, плоскоокругленнымъ концомъ; боковые края его
передъ концомъ значительно вогнуты. Надкрылья обык-
— 104 —
новенной Формы, съ перепонкой едва длиннфе брюшка;
послдняя съ 7 — 8 выпуклыми ребрами, изъ которыхъ
нъкоторыя вЪтвятся отъ самаго основашя, Apyria же
далеко не достаютъ до конца. Голова снизу HMBETE
сильно выпуклое горло; скуловыя пластинки (bucculae)
линейныя, достигающя только до половины головы и
впереди оканчиваюпияся довольно сильнымъ зубцомъ.
Вдоль среднегруди идетъ тупое ребро; конецъь es пря-
мо обрЪзанъ. Брюшной mmus довольно тоный и OCT-
рый, достигающий почти половины среднегруди; среди-
на брюшка слабо килеватая. Задние углы брюшныхъ
колець переходятъ въ неболыше, острые зубчики. Ho-
ги TOHKIA, длинныя, невооруженныя; лапки длинныя,
второй cycraB» ихъ очень TOHKii и маленьюй; первый
HECKOABKO длиннЪе и MaccuBHbe третьяго. Когти силь-
ные, придатки ихъ (aroliae) болыше.
А. serraticollis п. Sp.
Bleich bräunlich, oberseits grobpunctirt, Kopf,
Rand des Corium, Schlussnath und Corium-
Ende grünmetallisch. Schulterecke schwarz me-
tallischviolett, Spitze orangegelb. Pronotum
schwarzmetallisch punctirt. Halbdecken schwach
metallischviolett. Schuld bräunlichgrün, ganz
erob zerstreut punctirt.Unterseite bleich schmut-
ziggrün, Bauch glatt, glänzend. Spiracula
schwarz. Rücken, Connexivum und Beine bräun-
lich; Fühler schwarz, Wurzelglied blassbraun,
am Ende schwarz. L. 16 — 17 mm.
Ussuri.
Общий цвЪтъ туловища блфднобуроватый, сверху оно
грубо пунктировано. Голова сверху вся металлически-
зеленаго цвфта съ Ф1олетовымъ оттфнкомъ. Простые
— 105 —
глаза яркокраснаго nBbTa. Усики черные, основной cy-
ставъ ихъ свфтлобуроватый, только вершина ero и по-
лоски по наружному и внутреннему краямъ чернаго
nbbra. Хоботокъ, какъ ивсе туловище, снизу блЪднаго
грязнозеленоватаго Webra. Переднеспинка покрыта р%д-
кими, но крупными точками чернаго цвЪта, съ зеле-
HbIMb металлическимъ отливомъ. Плечевые отростки чер-
ные, съ металлическимъь Ф1олетовымъ OTTBHKOMP, а са-
мое острее плечевыхъ угловъ-—оранжеваго цвЪта.` Щи-
токъ блднобуроватозеленый, покрытый до Camaro кон-
ца сильными, но очень pbAKO расположенными черными
точками. Надкрылья вс очень густо пунктированы, при-
TOMB точки неправильной Формы и часто сливаются Me-
MAY собою; края ихъ—наружный и внутренний приле-
гающ къ щитку (clavus) а также острый конецъ со-
тии—блестящаго металлически 3eJeBaro BETA, средняя
же часть надкрыльевъ блфднаго металлически Ф1олето-
Baro цвфта. Перепонка блфднобурая, сильныя ребра ея
OTTÉHEHBI Cb обЪихъ сторонъ—болЪе темнымъ бурымъ
IBETOMPB, также какъ и самый конецъ es. Брюшко сверху,
Connexivum и ноги OAHONBETABIA, буроватыя; ноги по-
крыты сильнымъ чернымъ пунктиромъ; брюшко гладкое,
‚ блестящее. Части груди покрыты слабымъ безцвЪтнымъ
пунктиромъ. Дыхальца черныя. Снизу плечевые отрост-
ки представляются выдолбленными въ вид ложки или
корыта. Дл. 16 —17 мм.; ширина между плечевыми от-
ростками—12 мм., а ширина брюшка—9 MM.
Уссури, подъ 48° c. m. (Dr. Дыбовекй.)
Strachia festiva L. var. albiventris.
Bauch weiss, schwarzgefleckt.
Orr типической Формы отличается TEMP, что на ниж-
ней cTopomb туловища красный rmpbrb замфненъ Ob-
— 106 —
AbIMb, только наружный край брюшка остается крас-
нымъ. Основаше бедръ средней и задней пары ногъ
также бЪлаго цвЪта.
Elasmostethus dorsalis n. Sp..
Ganz róthlichgelb, grob schwarzpunctirt, Co-
rium geröthet. Schulterecke spitz, schwarz.
Rücken rothgelb, am Grunde schwarz. Conne-
xivum röthlichgelb mit braunen Endflecken der
Schnittstücke. Membran durchscheinend hell,
mit braunen Rippen und Flecken. Bauch un-
ten, Beine und Fühler bleich gelblich; Fühler-
endglied, Schienbeinende und Klauenglied —
bräunlich. Bauchrand sehr zerstreut punctirt.
L. 6 mm. (d$), 8 mm. ($).
Ussuri.
Общий np5r» туловища pbrkii; вся поверхность по-
крыта глубокими черными точками, которыя на TO.IOBE,
конц щитка и среднемъ пол надкрыльевъ мельче,
ybMb Hà остальныхъ частяхъ; вообще точки раскиданы
pB3ko, KPOMB головы, TAB OHB сильно скучены. Грудь
снизу, кром$ широкихъ, боковыхъ краевъ переднеспин-
ки, также грубо пунктирована; брюшко снизу, KPOMb
поперечныхъ струекъ и морщинокъ, имфетъ по бокамъ
очень PAK пунктиръ. Переднеспинка имфетъ такую
же Форму, какъ и y остальныхъ видовъ этаго рода,
только плечевые углы ея вытянуты въ длинное острее,
HECKO.IBKO загнутое кзади; такого сильнаго развитя
плечевыхъ угловъ у другихъ видовъ не встр$чается.
Плечевые углы и первый сегментъ брюшка сверху чер-
Haro цвфта; остальные сегменты красноваторыже, KPO-
MB послЬдняго, который всегда бываетъ темнъе. Conne-
xivum рыжш, въ заднихъ углахъ первыхъ трехъ сег-
— 107 —
ментовъ помфщаются темнобурыя большия пятна. Боко-
вой край надкрыльевъ, также какъ и у переднеспинки
до плечеваго острея, —гладюй, бЪловатый; конецъ над-
крыльевъ болЪе или Membe красноватъ; перепонка про-
зрачная съ бурыми ребрами и пятнами въ задней ея по-
ловинф, которыя часто сливаются между собою. Брюш-
ко снизу, ноги и усики свЪтлорыяже; ocr Hii су-
ставъ усиковъ, концы голеней и когтевой суставъ ла-
покъ—буроватый. Самцы Meme ростомъ самокъ.
Судя по довольно большому количеству экземпляровъ,
собранныхъ Dr. В. Дыбовскимъ, видъ этотъ не ръдокъ
на Уссури.
Dinorhynchus n. gen.
Körper oval. Kopf gross, sehr lang, Stirn-
schwiele kürzer als die vorn zugerundeten
Jochstücke. Schnabel sehr stark, kurz, an das
Mittelbrustende reichend; Wurzelglied kürzer
als der Kopf. Wangenplatten linienförmig, vorn
lappenförmig erweitert. Fühler sehr lang, Wur-
zelglied viel kürzer als der Kopf, Glied 2
sechs -siebenmal länger als 1 und fast so
lang als 3, Glied 4 um ‘, länger als 3, End-
glied bogig, so lang als 3. Schulterecke spitz,
stark vorstehend, Pronotum-Seiten vor den
Schultern fast winkelig geschweift, Vorderhälf-
te ziemlich stark gezähnelt. Bauchgrundschie-
ne mit spitzem Höcker. Membran mit neun
Rippen. Beine lang, unbewehrt.
Родъ этоть принадлежить къ rpynub Asopini и дол-
женъ стоять возлЪ рода Podisus.
Туловище продолговатоовальное. Голова большая,
очень длинная, въ полтора раза бол5е ширины Bb 3à-
— 108 —
тылк$. Tylus KOPOTEIË, скуловые отростки весьма длин-
ные, листоватые, совершенно закрывающие конецъ носа;
напереди эти отростки закругляются и сходятся только
своими концами, такъ что передъ tylus остается сво-
бодное пространство. Хоботокъ koporkiii и очень толстый,
такъ что первый суставъ-—-самый массивный— равняется
?/, ширины головы; этотъ суставъ короткШ, He дости-
rai конца головы, второй длиннЪе прочихъ, сильно
сжать у основаня съ бововъ и изогнутъ саблевидно,
трет! очень короткй и широк, такъ что сверху ка-
жется почти квадратнымъ, конецъ четвертаго сустава
достигаетъ до начала заднегруди. Скуловыя пластинки
листоватыя, короткмя, кпереди широкоокругленныя, а
кзади быстро переходятъ въ линейныя и He достига-
TB до задняго конца головы. Усики тонкосуставчатые,
очень длинные, такъ что равняются длин головы, пе-
реднеспинки и щитка взятыхъ BMBCTS; первый суставъ
ихъ очень короткй, достигающий только до половины
головы, второй въ шестеро или семеро длиннЪфе перваго
и почти равенъ по длинЪ третьему; четвертый на одну
четвертую часть длиннфе третьяго, послфдый суставъ
изогнутый (какъ у р. Alydus), гораздо короче четвер-
таго и равенъ третьему. Xyphus переднеспинки углуб-
ленный, трехугольный, съ сильнымъ продольнымъ реб-
ромъ, которое переходитъ на среднегрудь. Переднеспин-
ка съ сильно вытянутыми плечевыми углами, припод-
натыми кверху и острее которыхъ обращено нЪсколько
взадъ. Боковые края переднеспинки вырфзаны и въ пе-
редней своей части сильно зазубрены. Основной су-
ставъ брюшка снизу вооруженъ шипомъ. Ноги сильныя,
длинныя, ребра невооруженныя. Перепонка узкая, длин-
ная съ деватью ребрами.
— 109 —
D. Dybowskyi n. sp.
Oberseite ganz metallisch smaragdgrün, fein
weiss behaart. Pronotum-Mitte metallisch dun-
kelblau, Schulterecke schwarzgrün: Seitenrand
des Pronotum an dem kórnig gezahnten Thei-
le—weisslich. Pronotum und Schild mit blei-
cher rothbräunlicher durchlaufender Mittelli-
nie. Tylus am Ende, Pronotum hinten, Schild-
spitze und Beine bleich bräunlichroth. Fühler
schwarz, Glied 1 bleich bräunlich, schwarz
gestreift; Endglied bräunlich. Schenkel braun-
gefleckt; Schienbeinende und Füsse braun; Con-
nexivum schwarz mit rothgelbem queren Mit-
telfleck. Unterseite und Schnabel bleich gelb-
lich, Schnabelglied 4—schwarzbraun. Spira-
cula schwarz. L. 18 mm.
Insel Askold.
Голова, переднеспинка и щитокъ весьма сильно пун-
ктированы, на надкрыльяхъ пунктиръ гораздо нЪжнЪе.
Вся наружная поверхность-—прекраснаго, металлическа-
го изумруднозеленаго цвЪта, покрыта нфжными бЪлова-
тыми волосками; поперекъ переднеспинки идетъ широ-
кая полоса металлическаго синяго HBETA; плечевые углы
темнозеленые. Зубцы переднеспинки б$ловатые. Конецъ
носа, продольная лин!я переднеспинки и щитка, задий
край переднеспинки, конецъ и бока щитка, ребра над-
крыльевъ и ноги — блёднаго красноватобураго цвЪта.
Нижняя сторона Hacbkowaro и хоботокъ блфднопалеваго
nBbra, послЬдый суставъ хоботка темнобурый. Дыхаль-
Ha и усики черные; первый суставъ ихъ свЪтлобурый,
съ черными полосами, послфдн! буроватый. Бедра по-
крыты темными пятнами и полосками, концы голеней и
лапки бурыя; второй суставъ лапокъ и OCHOBAHIS пер-
— 110 —
Baro m третьяго—рыж!е. CB каждой стороны передне-
груди по три пятна изумруднозеленаго цвфта; перепон-
ка бурая; connexivum черный, съ рыжими поперечными
полосками по средин$ каждаго сегмента. Длина безъ пе-
репонки 15 — 16 мм., съ перепонкой — 18 мм.; ширина
между плечевыми углами 9 MM., передъ концомъ щит-
ка — 6'/, —7 MM.
Олинъ экземпляръ этаго вида взять Dr. Дыбовскимъ
на остров$ АскольдВ (Японское море подъ 43° c. mr.)
Fam. Lygaeides.
Lygaeus venustus Böb. var. marginatus m.
Clavus schwarz, am Ende roth; Corium schwarz,
alle Ränder roth gesäumt.
Поперечная черная перевязка HA надкрыльяхъ UMB-
erb Форму большаго трехугольнаго пятна, которое до-
ходить до конца corium, нигдЪ однако не достигая его
краевъ; такимъ образомъ Corium является чернымъ, ог-
раниченнымъ CO всЪхъ сторонъ красными краями. Cla-
vus черный, конецъ его красный. Нёжныхъ стоячихъ
волосковъ, которые есть у типической Формы Ha пе-
реднеспинкЪ, у этой разновидности He замфтно. Пере-
понка свЪтлфе, именно буроватая, съ 65.100 широкою
оторочкою. Разновидность эта такой же величины, какъ
и типическая Форма, но HBCKOIBKO уже послЪдней.
Одинъ экземпляръ съ береговъ Уссури, подъ 48° с.
m. (Dr. Дыбовский.)
Fam. Tingitides.
Monanthia capitata n. sp.
Pronotum-Mittelkiel fein, Seitenkiel fehlt. Pro-
notum - Seiten mit feinem Randkiel. Rand-
— 111 —
feld der Netzdecken linear, nur mit einer Rei-
he Maschen. Braungelb, kahl. Kopf, Brust-
stücke und Bauch am Grunde schwarz. Mittel-
feld am Ende und zwei Fleekchen an dem Vor-
dertheil des Pronotum dunkelbraun. Beine,
Fühler und Kopfdorne—róthlichgelb. L. 3'/, mm.
Ussuri.
Относится къ подроду Tropidochila. Боковые края
переднеспинки оторочены весьма тонкимъ кантикомъ;
вдоль переднеспинки до конца отростка (processus) идетъ
очень HEIKHOE срединное ребро; боковыхъ реберъ HBTS,
или замфтны только очень слабые слфды ихъ. Боковой
край сагенъ очень узюй, почти линейный, Bb одинъ
pax» клЪточекъ. Голова, грудь и основныя кольца брюш-
ка снизу чернаго цвЪта; остальное туловище буровато-
рыжее, только два пятна въ передней части передне-
спинки и широюме концы внутренняго поля сагенъ—
темнобурые. Широкое шейное пятно и скуловыя пла-
стинки бЪловатыя. Мелюя клтки перепонки бурыя.
Ноги, усики и тупые головные шипики красновато-
рыжаго nbbTa. Все туловище безволосое, неблестящее,
‚ Кром$ переднеспинки, на которой замЪтенъ слабый полу-
металлическй блескъ. Дл. ?/, мм., ширина около 1 мм.
Отъ другихъ видовъ Tropidochila отличается, съ пер-
Baro взгляда, отсутстыемъ боковыхъ реберъ на передне-
спинк$ и большою головой чернаго HBbTa.
Одинъ экземпляръ этаго вида найденъ Dr. Дыбов-
скимъ на Уссури, подъ 48° с. m.
М. (Platychila) helvina п. sp.
Bräunlichgrau, ganz weisslich behaart. Kopf
schwarz dicht weissfilzig. Pronotum-Mitte dun-
— 112 —
kelbraun. Beine und Fühler bleichröthlichgelb.
Netzdecken und Membran kleinfleckig; Mittel-
kiel des Pronotum am Ende—schwarz. Prono-
tum-Seiten schmal mit einer Reihe Maschen,
Randfeld der Decken mit zwei Reihen klei-
ner Maschen. Halsblase fast viereckig, vorn
gestutzt. Pronotum mit drei Kielen. L. 3 mm.
Ussuri.
Все HacbKOMOEe густо покрыто короткими 6%5.J10BATbIMH
волосками, прилегающими на сагенахъ и HBCKOJbKO при-
поднятыми на переднеспинк$; голова покрыта ими въ
видф войлока, такъ что кажется бЪловатою. Hemmporia
боковыя лопасти переднеспинки образованы изъ одного
ряда клЪточекъ; боковой край сагенъ, также довольно
узкШ, COCTOHTS изъ двухъ рядовъ мелкихъ клфточекъ.
Боковыя лопасти переднеспинки кпереди расширяются;
переднй край переднеспинки прямообрЪзанъ и вдвое
шире головы, боковые края также прямые, плоскоокруг-
ленные на плечахъ. Шейный пузырь почти четырех-
угольный, плоскй, прямообрЪзанный на koHmb. Ребра
переднеспинки явственныя. Весь буроватосфраго цвЪта;
голова, нЪсколько пятнышекъ на сагенахъ и перепонк$,
продолговатое пятно на среднемъ ребрф переднеспинки
передъ концомъ ея и крупныя точки на поперечныхъ
ребрахъ крайнихъ клЪтокъ сагенъ—чернаго mb bra. Сред-
няя часть переднеспинки буроватая. Ноги и усики од-
HOHBBTHbIe, свфтлорыжеватые, густо покрытые волоска-
ми. Дл. 3 мм.; ширина въ плечахъ — 1 MM., передъ кон-
цомъ processus—1'/, MM.
Съ Geperobb Уссури подъ 48° c. ш., только въ од-
How» экземпляр (Dr. Дыбовский.)
re —
Fam. Aradides.
Aradus ussurensis n. Sp.
Fühler stark, Glied 1 kurz, nicht an das Kopf-
ende reichend, Glied 3 um ‘, länger als 2
und so lang als 4. Fühlerglieder schmutzig-
weiss, Glied 2 und 3 am Ende und Glied 3
am Grunde bräunlich, Endglied dunkelbraun.
Zimmtbraun; Pronotum, Schild und Halbdecken
schmutziggelbweiss. Kopf bräunlich. Schnabel
auf die Mittelbrustmitte reichend. Pronotum
am Rande gezahnt. Schild sehr vertieft, Rand
hoch, Schildspitze muldenförmig, schwarz. Kopf,
Pronotum und Schild -- kleinwarzig. Kiele stark,
die seitlichen vorn zusammengebogen, die mitt-
leren in der Mitte genähert. Halbdecken nicht
vollkommen, rudimentär (9). Beine schmut-
zigweiss, braungeringelt. L. 6'/, mm. ($); 8
mm. (2).
Ussuri.
Venen грязноватобълые, трет! суставъ ихъ на чет-
Beprb длиннЪфе втораго, который равенъ четвертому;
первый суставъ &oporkiii, недостигающ!й конца носа, на
половину короче третьяго; noc.bguili темнобурый, сре-
Anna ero свЪтлЪе; вершина втораго и третьяго и OCHO-
ван!е третьяго суставовъ буроватая, также какъ основа-
Hie и наружная сторона перваго сустава. Туловише
каштановобураго цвЪта, переднеспинка, щитокъ и над-
крылья грязныя, желтоватобълыя. Голова буроватая,
шипики на ней свЪтлЪе, сзади глазъ нфсколько 65.10-
ватыхъ шипиковъ. Острый шипъ поддерживающи уси-
ки— двойной. Скулорыя пластиоки бъловатыя. ÀOGOTOKE
№ 3. 1876. 8
— 114 —
достигающий до половины среднегруди— буроваточерный,
первый суставъ его бурый, y основаня бЪловатый. Пе-
релнеспинка съ краями зубчатыми; зубчики неболыше,
неправильной Формы; шейный уголъ оканчивается IHH-
рокимъ зубцомъ, на вершинЪ обрфзаннымъ. ПШлечевые
углы и углублешя передней половины переднеспинки
буроватыя. Тупые и mmpoxie плечевые углы сильно
приподняты кверху. Ребра переднеспинки сильныя, изо-
гнутыя; наружныя Bb BAYS дуги загибающейся кпереди
и далеко не достигающей 10 передняго края, внутрен-
ня ребра сближены по срединЪ, образуя приблизи-
тельно Форму цихры 8. Щитокъ сильно углублевный,
съ высоко поднятыми боковыми краями, усаженными
тупыми зубчиками; конецъ его съуженъ, почти сплюс-
нуть съ боковъ, — черваго цвфта. Голова, переднеспин-
ка и особенно щитокъ усажены плоскими бородавочка-
ми. Надкрылья (4) y OcHOBaHia округленныя, кзади
CHJbHO съуживаюцяся; боковой край ихъ съ мелкими
бородавочками; на концЪ надкрыльевъ и вдоль главнаго
ребра съ внутренней стороны HBCKOABKO черныхъ пя-
тенъ. Перепонка буроватая съ боле свЪтлыми ребрами
и поперечными полосками. У самокъ надкрылья непол-
ныя, зачаточныя, покрывающия только треть брюшка.
Брюшко широкоовальное y © m съ боле прямыми 00-
ками у $. Connexivum съ бЪловатыми пятнышками BB
заднихъ углахъ сегментовъ; noc.rb5inii генитальный сег-
ментъ съ сильнымъ тупымъ зубцомъ снаружи, внутрен-
Had его сторона бЪловатая. Ноги грязноватобълыя съ
буроватыми кольцами на бедрахъ и голеняхъ. ПослБд-
Hi суставъ лапокъ бурый.
Уссури, подъ 48° c. m. (Dr. Дыбовек), въ неболь-
шомъ числЪ экземпляровъ.
Fam. Capsides.
Lopus affinis n. sp.
Ganz braunschwarz, schwarz behaart. Kopf mit
weisslichen Flecken vorn an den Augen; Rand
des Corium weiss, Cuneus schwarzbraun. Füh-
ler schwarz, Fühlerglied 1 am Ende und Glied
2 am Grunde bräunlich. Schenkelende und
Schienbeine schmutzig braungelb. Corium—
Rand weiss behaart. L. 6 mm.
Kurusch (Kaukasus.)
Весь темнобурый; два пятна впереди глазъ m на-
ружный край надкрыльевъ бЪлые. Cuneus бурый, зад-
Hifi край ero и конецъ-—темнЪе. Голени и концы бедръ
грязнаго буроватожелтаго цвзта. Усики черные, Bep-
шина перваго сустава Hx и OCHOBaHie втораго бурые.
Наружная сторона покрыта длинными стоячими черны-
ми волосками, на боковыхъ краяхъ надкрыльевъ TaKie
же волоски бЪлаго цвЪта. Дл. 6 мм.
Видъ этотъ очень близокъ съ L. albomarginatus Klg.,
но отличается однообразнымъ бурочернымъ цвЪтомъ го-
ловы, переднеспинки, щитка и CUNEUS.
Курушъ, на Кавказ (Фаустъ, Христофъ и Беккеръ).
Galocoris rubripes n. sp.
Graugelb, dicht anliegend behaart. Kopf gelb,
braun quergestrichelt, Stirnschwiele am Ende
bräunlich. Fühlerwurzelglied braunroth, Glied
9 schmutziggelb am Grunde und an der obe-
ren Hälfte—röthlichbraun; Glied 3 am Grun-
de weisslich. Pronotum grobpunctirt, vor dem
weissen Hintersaume mit braunem Bande. Pro-
8"
— 116 —
notum - Callus schwarz. Schild fein querrun-
zelig, braun; Schildspitze und Gallus — weiss-
lich. Cuneus weisslich, bräunlich gesäumt.
Membran bleichbräunlich, Zellrippen schmut-
ziggelb. Unterseite bleichgelblich, roth gespren-
kelt. Schenkel gelblich, am Ende roth; Schien-
beine ganz roth, goldgelb behaart und gewim-
pert. Füsse bräunlichgelb, Klauenglied — braun.
L. 8 mm.
Ussuri.
Весь :Ke3TOBaTOCbpbli, густо покрытый такого же
цвЪта прилегающими волосками. Голова и узкЙ кав-
тикъ на переднемъ kpab переднеспинки — желтые. Ha
затылкЪ между глазами два бурыхъ патна, впереди ихъ
на лбу расположены въ два ряда HECKONBEO попереч-
ныхЪ, параллельныхъ между собою черточекъ — также
бураго цвЪта. Tylus на концЪ буроватый. Первый cy-
ставъ усиковъ буроватокрасный, второй грязнорыяяй,
ocHOBaHie ero и широкая вершина красноватобурыя,
также какъ и послЪдне два сустава; основаше третья-
го сустава—бЪловатое. Голова гладкая, блестящая, Ch
глубокой продольной бороздкой на затылкЪ; передне-
спинка грубопунктирована; передняя ея часть также
какъ и довольно широкая полоса вдоль задняго врая—
бурыя, узкая оторочка задняго края—бЪловатая. Глад-
Kia возвышеня въ передней части переднеспинки —
темнобурыя, почти черныя. Щитокъ покрытый нЪжны-
ми поперечными морщинками, весь бурый, только два
HATHA въ основныхъ углахъ его и кончикъ—бъЪловатыя.
Надкрылья одноцвЪтныя, нЪсколько бурзющия Kb концу;
cuneus бЪловатый, узкя окраины его наружная и зад-
няя— блЬднобуроватыя. Ребра мембранальныхъ KIBTOKB
грязножелтоватыя, самая перепонка свЪтлобуроватая;
— 117 —
внутри клётокъ—бурыя полосы; ниже cuneus 3aMbTHO
бурое пятнышко и передъ концомъ перепонки — бурая
поперечная полоса. Нижняя сторона туловища блЪдно-
желтоватая, покрытая рЪдкими красноватыми пятныш-
ками. Бедра желтоватыя, концы Hx», широкое кольцо
no срединз каждаго бедра и голени — краснаго mpra;
HOCIBAHiS покрыты густо золотистожелтыми приподня-
тыми волосками и шипиками. Лапки и когти рыжева-
тыя, посльдн суставъ лапокъ—на концЪ буроватый.
Одинъ экземпляръ этаго вида былъ взятъ Dr. Дыбов-
скимъ на Уссури, nog» 48° c. m.
Lygus adustus п. sp
Ganz punctirt und goldgelb behaart. Kopf braun-
röthlich, Stirnschwiele schwarz. Querleiste im
Nacken braun, Pronotum grünlichgelb, vor dem
lichten Hintersaume mit dunkelbraunem Ban-
de. Schild grünlichgelb, am Grunde braun.
Halbdecken schwarz mit grünlichem Bande.
Cuneus orangegelb, am Ende schwarz. Bauch
und Bruststücke schwarz, Kopf unten und Vor-
derbrust bleichgelblich. Beine röthlichgelb,
Schenkel bräunlichroth. Schienbeine aus schwar-
zen Puncten schwarz behaart. Fühler rothgelb,
Glied 2 am Ende schwarz, Glied 3 und 4 dun-
kelbraun. L. 5 mm.
Ussuri.
Весь пунктированный и покрытый нфжными приле-
гающими волосками желтоватаго UBbTa; Ha передне-
спинк$ пунктиръ очень ABRAM, на надкрыльяхъ гру-
бъе и гуще расположенъ, такъ что точки между собою
часто сливаются. Голова почти гладкая. Шитокъ мелко
— 118 —
пунктированъ, EpoMb TOTO поперекъ ero проходитъ Hb-
сколько сильныхъ морщинокъ. Голова рыжеватая, ty-
115—чернаго цвфта, затылочный кантикъ и пятно на
лбу между глазами—темнобурыя. Переднеспинка зеле-
новатожелтая, съ рыжеватымъ OTTEHKOMB кпереди; на
задней половинф довольно широкая, темнобурая полоса,
самый же кантикъ идуш по краю—свЪтложелтоватый.
Щитокъ зеленоватожелтый, основав!е его, особенно yr-
лы — темнобурые. Надкрылья чернаго nbbra, понерекъ
corium, OFb средины его къ внутреннему углу идетъ
широкая зеленоватая полоса; боковой край надкрыльевъ—
до cuneus — чернаго цвзта; cuneus оранжевожелтый,
кончикъ его черный, а основаше темнобурое. Перепон-
ка буроватая; внутри ихъ ближе къ наружному краю—
по темнобурому пятну; широкй край перепонки—дым-
чатобурый, на этомъ ФонЪ, ниже острея cuneus,—pac-
положены два свЪтлыхъ пятна. Брюшко сверху и снизу,
также какъ и грудь, — чернаго цвФта. Голова снизу и
переднегрудь свЪтложелтыя. Хоботокъ и ноги рыже,
бедра KpOMB основашя — красноватыя, особенно у двухъ
заднихъ паръ ногъ; на заднемъ бедрЪ два широкихъ
темнобурыхъ кольца и одно — узкое, ближайшее къ
Bepmun$. На остальныхъ бедрахъ по два широкихъ
кольца, но они не всегда бываютъ ясно выражены,
особенно на первой nap’. Голени снизу покрыты круй-
ными черными точками и черными же шипиками, са-
мыя основан1я ихъ и концы, — также какъ и два по-
Cabanie сустава лапокъ, — темнобурые; когти рыже.
Усики красноваторыяе, широкая вершина втораго су-
става чернаго цвЪта, четвертый и пятый суставы —
темнобурьте. Гладюя возвьышевн!я на передней части пе-
реднеспинки бываютъ иногда свфтлыя, или же темно-
бурыя. Дл. 5 мм.
— 119 —
Buy» этотъ долженъ быть поставленъ paloma съ L.
limbatus Fall, съ которымъ его сближаютъ пЪкото-
рые признаки, напр. пятнистость голеней, черные ши-
пики расположенные на нихъ и проч.
Собраны въ большомъ количеств Dr. Дыбовскимъ
на Уссури, подъ 48° с. m.
Psallus rubronotatus n. Sp.
Weissgelblich; Kopf und Pronotum glänzend,
kahl, Halbdecken und Abdomen matt, dicht
goldgelb feinbehaart. Kopf im Nacken roth
quergestrichelt. Pronotum-Buckel und Seiten-
streif rothgesprenkelt; Schulterecke und zwei
Hinterrandflecken schwärzlich. Schild röthlich
mit weissem Gallus in jedem Winkel und mit
gelber durchlaufender Mittellinie. Die breite
Querbinde an der Hinterhälfte des Corium braun.
Cuneus weisslich, ohne Flecken. Fühler bräun-
lichgelb, Glied 1 und 2 am Grunde—schwarz,
Fühlerwurzel am Ende weisslich, Glied 3 und
4 bräunlich. Brust und Bauchgrund schwarz
Bauchrand rosenroth. Beine weisslich, schwarz-
punctirt, Schienbeindorne schwarz. L. 4 mm.
Sarepta.
Голова и переднеспинка блестяпия, безволосыя, пвал-
крылья и брюшко матовыя, довольно густо покрытыя
очень нфжными, прилегающими, желтоватыми волосками.
Голова и переднеспинка б%Ъловатыя, также какъ над-
крылья и брюшко. Tylus ограниченъ красными полос-
ками; на головЪ между` глазами H'BCKOJbKO поперечныхъ
красныхъ черточекъ образуютъ рисунокъ напоминающий
букву О. Callus переднеспинки густо ycbamp краспыми
— 120 —
точками, двЪ полоски UAYMIA вдоль боковъ передне-
спинкь также образованы изъ подобныхъ точекъ. Пле-
чевые углы и два небольшихъ пятна на заднемъ краю
переднеспинки передь щиткомъ черноватые. ШЩитокъ
красноватый, въ основныхъ углахъ его два большихъ
голыхъ возвышеня бЪловатаго цвфта, ниже ихъ пара
вдавленныхъ черныхъ пятнышекъ; вдоль щитка замътна
желтоватая полоска. Corium, бывающий иногда съ розо-
ватымъ оттфнкомъ, на концё uMberb широкую, бурую
поперечную полосу, которая захватываетъ и конецъ
clavus. Cuneus бЪловатый, задняя треть его бурая. Пе-
репонка блЪдная, дымчато-бурая, къ концу постепенно
темнфющая, ребра ея клЪтокъ бфловатыя, à самыя клЪ-
тки безъ irent. Усики рыжеватые, а основашя пер-
ваго и втораго суставовъ черныя, вершина перваго су-
става бъловатая, трет и четвертый суставы буроватые.
Части груди и основаве брюшка снизу черныя, широ-
kie боковые края брюшка розовые. Ноги бЪловатыя,
бедра и голени покрыты черными, довольно крупными
точками; на концахъ бедръ и на голеняхъ шипики чер-
ные. Дл. 4 мм. Сарепта (Беккеръ.)
Видъ ororb напоминаеть P. punctulatus Fieb. et
Pul. который также разрисованъ красными ливями,
точками и пятнами, но у этого вида расположене ри-
сунка совершенно иное и кром того много отличй
Bb цвфтЬ другихъ частей туловища.
Auchenocrepis Reuteri n. Sp.
Schwarz und weiss, glänzend, sehr fein be-
haart, Kopf braunroth, Tylus schwarz. Fühler
schwarz, fein weisslichbehaart, Glied 3 und 4
rothgelb. Schild, Clavus, Kopf unten, Xyphus,
Hüften, Bruststücke, Bauchgrund und Schen-
— 121 —
kel—weiss. Schild am Grunde röthlichgelb.
Clavus-Grund und Ende, auch Hinterschenkel
am Ende — schwarz. Schienbeine schwarz, Füs-
se schmutziggelb. L. 3 mm.
Krasnowodsk.
Черный, блестящий мЪстами, покрытый весьма H'É3KHbIMII
едва замЪтными волосками. Голова буроватокрасная, tylus
и пятно на лбу темнобурыя, почти черныя (впрочемъ пятно
на лбу He y BCbXb экземпляровъ выражено ясно). Усики
черные, покрытые нЪжными бЪловатыми волосками, тре-
Tiii и четвертый суставы ихъ яркорыже. Щитокъ бзлый,
широкое основане ero яркооранжеваго Webra; clavus
бЪлый, ocHOBaHie его и конецъ черные; надкрылья очень
темныя, красноватобураго цв$та, кажупияся почти чер-
ными; узкая часть corium прилегающая къ Clavus—056-
лая; cuneus черный, ocHOBaHie ero краснобурое.
Перепонка дымчатобурая, ребра ея клЪтокъ красно-
ватобурыя, пятно ниже сипец$—-бъловатое. Голова снизу,
средина груди, основаше брюшка, основашя ногъ и
бедра передней пары—бЪлыя, бедра средней пары бЪлыя,
на вершин$ буроватыя, бедра задней пары черныя, съ
. бълымъ основашемъ. Голени scb черныя; лапки гряз-
норыжеватыя, посл$дн! суставъ ихъ темнфе. Брюшко
п бока груди блестящ!я черныя. Дл. 3 мм.
Красноводскъ (Христофъ, Фаустъ.)
Видъ этоть близокъ къ A. alboscutellatus, описанному
Пютономъ изъ Алжира, но уже съ перваго взгляда от-
личается по nBbTy усиковъ и головы.
Agalliastes pumilus п. sp.
Ganz bleich röthlichgelb, fein weisslich behaart
und gewimpert. Fühler weissgelblich, Glied 1
— 12 —
ganz schwarz. Halbdecken weisslich, fast durch-
sichtig, fein braun punctirt gefleckt. Beine
gelblichweiss, Clauenglied braunlich; Schenkel
am Ende — besonders die hinteren — unter-
seits schwarzgefleckt; Schienbeine aus braun-
schwarzen Puncten schwarz bedornt. Membran
milchweiss, Zellrippen braunlich, braun ge-
säumt; im Aussengrundwinkel der Membran
ein brauner Winkelfleck bis zur Corium-Ecke,
unterhalb ein Randstreif schwarz. Г. 2 mm.
Astraehan.
Все туловище розоватожелтаго nBbTa; наружная CTO-
рона, кромЪ весьма нЪжныхъ шелковистыхъ волосковъ,
покрыта еще довольно PbIAKHMH длинными стоячими во-
лосками бЪловатаго цвЪта. Усики блЪдножелтоватые,
первый cycTaBb ихъ весь черный. Голова, передне-
спинка и щитокъ одноцвфтные, безъ пятенъ и точекъ;
надкрылья бЪловатыя, полупрозрачныя, покрытыя мел-
кими буроватыми точками. Перепонка почти молочно-
бълаго npbra, ребра клЪточекъ буроватыя, съ внутрен-
ней стороны оттЪненныя; OT внутренней мембранальной
KIBTKH идетъ къ концу перепонки узкая буроватая по-
лоска, которая отдЪляетъ отъ себя такую же вЪточку
Kb виъшнему боковому краю перепонки, нЪсколько ниже
конца cuneus. bo внутреннемъ углу перепонки, по ея
краю идетъ черная полоска. Ноги свЪтложелтоватыя,
EpoM$ послЪдияго сустава лапокъ и когтей, — которыя
бурыя. Концы бедръ снизу покрыты черными точками;
голени также несутъ темнобурыя точки съ такого же
цвЪта шипиками. Дл. 2 мм. Селен!е Яндыковское, Аст-
раханской губернш, Bb koHnb мая.
— 193 —
Fam. Reduvides.
Harpactor Dybowskyi n. sp.
Schwarz, ziemlich glänzend, grau behaart. Kopf
unten, Brustmitte, Schnabelwurzel, zwei Stri-
chean den Augen und ein Fleck zwischen den
Ocellenhöckern — gelb. Seiten und Hinterrand
des Pronotum röthlich. Schild ganz schwarz.
Connexivum gelb, oder roth, die Grundhälfte
der Schnittstücke schwarz. Halbdecken schwarz,
oder braun. Beine ganz gelb, bisweilen Schen-
kel bräunlichroth L. 12 — 13 mm.
Ussuri.
Чернаго цвЪта, довольно блестящй, покрытый не
густыми сЪроватыми волосками. Первый суставъ хоботка
съ внфшней стороны, голова снизу, средина груди и
части ея у основания HOT, пятно на затылк® и по пят-
Hy передъ каждымъ простымъ глазомь—желтаго BTA.
Ja1Hi m боковые края переднеспинки желтоватокрасные,
(y нъкоторыхъ экземпляровъ вся переднеспинка бываетъ
сполна чернаго цвфта); щитокъ весь черный. Conne-
xivum желтый, или красный, съ черными или темно-
бурыми крупными пятнами въ OCHOBAHIAXB каждаго Cer-
мента. Надкрылья буроватыя съ темнобурыми сильными
ребрами, или же бываютъ почти вполнЪ чернаго mpra.
Перепонка дымчатобурая, внутреннй край ея свЪтлЪе.
Брюшко иногда совершенно черное, блестящее, иногда
же по срединЪ ero идетъ свфтлая, буроватожелтая до-
вольно широкая полоса. Ноги или совершенно желтаго
цвзта, или бедра бываютъ, за исключенемъ OCHOBAHIA
и конца, — буроватокрасныя; Ha бедрахъ снизу видны
два полукольца желтаго цвЪта, одно у OCHOBAHIA, дру-
roe no срединъ. Дл. 12 — 13 мм.
cs A nm
Y этаго вида mBbTb нЪкоторыхъ частей туловища
бываетъ очень измфичивъ, только головныя пятна и
HBbTb груди и головы снизу— остается всегда постоян-
HbiMb. Н. Dybowskyi ближе всего стоитъ къ H. car-
nifex Muss., но между ними есть разница въ строен
переднегруди, Форм$ шейнаго кольца, величинЪ и ок-
packt.
Нъсколько экземпляровъ этаго вида было собрано
Dr. Дыбовскимъ на Уссури, подъ 48° c. т.
Астрахань
Августъ 1876 г.
REVISION DER PROCERUS-ARTEN
von
Dr. G. Kraatz.
(Mit 1 Tafel.)
Bereits vor etwa dreissig Jahren sind in dieser Zeit-
schrift ^ die Umriss-Figuren von den bereits länger be-
kannten Procerus scabrosus, Olivieri, caucasicus, tau-
ricus, und den kurze Zeit vorher von Motschulsky be-
schriebenen ") und abgebildeten, angeblich drei neuen
Arten bosphoranus, colchicus und aegyptiacus gegeben
worden. Seit jener Zeit hat dann nur noch Motschulsky
den cribratus und aeneus**”) aufgestellt, welche ebenfalls
von den früher bekannten Arten nicht specifisch verschie-
den sind.
*) Bull. de Moscou 1845. I. tab. II.
**) In einer Note sur quelques Carabides in Guérin's Mag. de Zool.
1844. pl. 150 et 151 p. 1 — 11.
»
***) Käfer Russlands р. 86 et 87.
— 126 —
Ueber die blauen oder blaugrünen Arten haben nun
zwar bereits gelegentlich Ærichson, *) Schaum”) und
Chaudoir “*") Ansichten und Vermuthungen ausgesprochen,
indessen stimmen dieselben weder mit einander ganz über-
ein, noch haben sie sämmtliche Arten im Zusammen-
hange miteinander behandelt; unter diesen Umständen
schien es mir zweckmässig mit der Beschreibung einer
neuen Art eine Besprechung sämmtlicher bekannten zu
verbinden, und zu gleicher Zeit ausser ihrer Abbildung
die des Procerus syriacus zu geben, von dem noch gar
keine existirt, die des Proc. Duponchelii 9, von dem nur
das Männchen abgebildet ist, und die der verschiedenen
Thoraxformen des Proc. scabrosus Ol. und einer bisher
wenig bekannten kleinen Rasse desselben. Allerdings
ist es sehr schwer, gewisse Abweichungen im Bau des
Halsschildes characteristisch wiederzugeben, indessen
dürften die Figuren der Tafel I immerhin das Mögliche
leisten.
Unter der Diagnose jeder Art sind die Varietäten
kurz aufgezählt und darauf in der Art besprochen, dess
jede einzelne mit Bezug auf die Original-Beschrei-
bung durchgesprochen wird; auf diese Weise scheint es
mir am ehesten möglich, dass der Leser sich gleich-
zeitig ein eigenes Urtheil bilden kann.
Uebersicht der Procerus Arten.
A. Stets schwarze Arten.
1. Thorax elongatus, angustior.... Duponchelii Од. (Graecia).
*) Entomol. Jahresber. für 1844. p. 22.
**) Naturgesch. d. Ins. Deutschl. I. p. 179.
*%) Bull. Moscou 1863. I. p. 205 — 207.
— 127 —
2. Thorax transversus, subcordatus. Gigas Creutzer (Germ. mer., Istr.,
Graecia.)
3. Thorax transversus, antice latior. Syriacus Kollar (Syria, Li-
banon.)
B. Blaue oder grünlich-blaue Arten, die bisweilen grün-
lich, messingfarbig, violett oder schwärzlich werden.
4. Thor. transversus, lateribus, subangulatus laticollit Kraatz
(Külek.)
5. Thor. oblongiusculus, subcordatus, lateribus postice
leviter reflexis... scabrosus Oliv. (Turc. europ. et asiat.)
fortius reflexis tawricus Ad. (Taur., Cauc., Mingrel. Armen.)
6. Thor. cordatus, antice fortius angustatus caucasicus Ad. (Caucas.,
| Georg.)
1. Procerus Buponchelii Dejean.
Vide Tafel I. Fig. 1 (9).
Niger, thorace elongato, truncato, antice fortius atte-
nuato elytris punctis elevatis intrivato-catenatis, subse-
riatim dispositis. — Long. 21 lin., at. 8'/, — 10 lin.
Dejean Spec. gén. V. 1881. p. 528. — Brullé Mag. Zool. 1832. Cl.
IN, t 9.
Diese, noch immer àusserst seltene Art ist durch die
Schwarze Farbe und das schmale Halsschild leicht kennt-
lich, wie es scheint, ausschliesslich auf Griechenland
angewiesen.
Dejean's Beschreibung ist nach einem männlichen Ex.
entworfen, welches H. Duponchel der Sohn bei Athen
gefunden haben soll. Da aber die Art meines Wis-
sens in neuerer Zeit weder von H. v. Heldreich noch
von Dr. Krüper bei Athen wieder ' gesammelt worden
ist, so ist wahrscheinlich Brullés Angabe (a. a. O.) die
richtigere, dass der junge Duponchel den Duponcheli
bei Modan aufgefunden habe; Brullé selbst fand ihn am
— 128 —
Fusse des Berges Ithome (jetzt Vourcano), welcher die
Ruinen von Messina beherrscht, und zwar im Mai auf
steinigem, zum Theil mit Vegetation bedecktem Terrain.
Schaum sagt in seinem Beitrag zur Käferfauna Grie-
chenlands (Berlin. Entom. Zeitschr. I. 1857. p. 124), dass
er den Dup. «nur aus Dejeans Beschreibung und der in
der Iconographie gelieferten Abbildung kenne». In der
Iconographie ist aber keine Abbildung gegeben, wohl
aber von Brull& in Guerins Magazin a. a. O. Dieselbe
scheint nach einem Männchen entworfen; das hier auf
Taf. 1. fig. 1 abgebildete Weibchen meiner Sammlung ist
merklich breiter und wurde von Dr. Krüper aus Griechen-
land eingesendet; ein zweites erhielt gleichzeilig Prof.
Schaum; dasseibe hefindet sich gegenwärtig auf dem Ber-
liner kónigl. entomol. Museum; später sind, glaube ich,
noch einzelne Ex. nach Deutschland gekommen.
2. Procerns Gigas Creutzer.
Niger, thorace transverso, subcordato, elytris tuber-
culis elevatis intricato-catenatis. Long. 18 — 23 lin.
Carabus gigas Creutzer Entom. Vers. I. 107. 1. t. 2. f. 13.
Procerus gigas Brulle hist. nat. d. ins. V. 115. 1. — Küster ‘Kat.
Eur. IV. 7. Schaum Naturg. Ins. Deutschl. I. p. 178.
Carabus scabrosus Fabr. Syst. El. I. 168. 1.—Panz. Faun. Germ.
87. 9. — Duftschm. Faun. Austr. I. 18. 1. — Sturm Deutschl. Ins. III.
29.1:
Procerus scabrosus Dejean Spec. gen. II. p. 23. Iconogr. I. p. 273.
pl. 30.
Eine sehr bekannte durch das quere, herzförmige
Halsschild und die schwarze Färbung leicht kenntliche,
wenig variirende Art, die einzige in Deutschland vor-
kommende, und vorzugsweise in Krain zu Hause, von
— 129 —
dort über die Nachbarländer nach Istrien und bis in die
nördliche Steiermark *) verbreitet.
Der Käfer ist in neuerer Zeit auch im nördlichen
Griechenland von Dr. Krüper aufgefunden nnd scheint
dort nicht besonders selten; es ist eigenthümlich, dass
Schaum in seiner Aufzählung der griechischen Carabi-
степ im Beitrage ") zur Käferfauna Griechenlands vom
Vorkommen des gigas daselbst noch nichts wusste und
den Duponchelii nur aus der Abbildung kannte.
In Dalmatien ist der Käfer, so viel ich weiss, noch
nicht aufgefunden.
3. Procerus syriacus Kollar.
(Vide Tafel. I. Fig. 9. 2).
Niger, thorace fortius rugoso, lato, antice latiore, po-
sterius leviter angustato, haud subcordato, angulis po-
sticis obtusis, elytris granulis elevatis majoribus irre-
gulariter subseriatis, concatenatis. — Long. 18%, — 20
lin., lat. 8*/, — 9°/, lin.
Kollar in Russegger Reise I. 2. p. 980.
Den mittleren und kleineren Stücken des gigas an
Grösse gleich, ebenfalls schwarz, kürzer, das Halsschild
viel breiter, so dass die grösste Breite vor der Mitte
liegt, nicht herzförmig, die Flügeldecken viel gröber runz-
lig gekörnelt.
Der Hauptfundort dieses Käfers ist, so viel ich weiss,
der Libanon, doch scheint er selten, da z. B. Baud: in
*) Vergl. Kraatz Entomol. Monatsblatter. I. 1876. № 7. p. 109.
**) Berliner Entomol. Zeitschr. I. 1857. p. 124.
Je 3: 4070: 9
— 130 —
seiner Coleopterorum messis in insula Cypro et Asia mi-
nore etc. (Berl. Ent. Zeit. 1864. p. 196) angiebt, dass
er nur ein Ex. erhalten habe. Die meinigen stammen
von Lederer, das auf Taf. I. fig. 9 Abgebildete ist ein
Weibchen.
. Nach Piochard de la Brülerie ") findet sich der syriacus
auf dem Libanon und Anti-Libanon; Piochard fand auch
nur ein todtes Ex.; nach ihm erscheint er im Winter und
Peyron fand icu Ex. um Saida (Sidou) auf eleinen,
mit Wein bepflanzten Hügeln.
1. Procerus laticollis nov. spec.
(Vide Tafel I. Fig. 6 — 8.)
Niger, supra violaceus, thorace transverso, lateribus
ante medium subangulatis, angulis posticis feminae sub -
rotundatis, elytris subparallelis, basin apicemque versus
minus angustatis, fortius subsecriatim granulatis. —
Long. 18 — 20'/, lin., lat. 8 — 10 lin.; lat. thor. 6— 7
lin., long. thor. 43, lin.
Femina. Vide: Tab. I. fig. 6.
Maris thorax latior. Vide: Tab. L fig. 7.
Maris thorax angustior. Vide: Tab. l. fig. 8.
Bei der grossen Veränderlichkeit und unzweifelhaft
bedeutenden Verbreitungsfähigkeit der Procerus hielt ich
es für meine Pflicht, das vorhandene Material auf das
‚Sorgfältigste zu prüfen, bevor ich zu der Aufstellung ei-
ner neuen Art schritt, welche indessen hier nicht wohl
zu umgehen ist.
—
*) Annal. Soc. Ent. de France 1876. p. 124.
— 131 —
Wenn auch die Ex. des laticollis untereinander nicht
unbedeutende Verschiedenheiten in dem Bau des Hals-
sehildes zeigen, so bleibt dasselbe doch stets nicht nur
viel breiter und kürzer als bei jedem Olivieri, sondern
es erhält auch dadurch eine typische Gestalt, dass die
grösste Breite des Thorax deutlich vor der Mitte liegt
und derselbe von da ab deutlicher als beim Olivieri
verengt ist; dadurch bilden die Seiten des Thorax vor
der Mitte einen deutlichen Winkel, welcher beim Oli-
vieri nicht hervortritt. Das Halsschild des syriacus ist
allerdings noch kürzer, namenllich an der Basis breiter,
ohne den Winkel an den Seiten.
Bei ziemlich gleicher Breite mit dem Olivieri ist der la-
ticollis viel kürzer; die Flügeldecken sind mehr gleich-
breit, in den Schultern breiter, nach hinten weniger zu-
gespitzt. Die Runzeln auf dem Thorax, namentlich aber
die Körner auf den Flügeldecken sind viei gröber, mehr
von einander isolirt als.beim Olivieri, meist in ziemlich
regelmässigen Reihen stehend. Bei einzelnen 2 sind die
Hinterecken des Thorax fast ganz verrundet, was beim
Olivieri nie vorkommt.
Die Farbe der Oberseite ist schón dunkelblau, ohne
beimischung von Purpur oder lichterem, glänzenden Blau.
Die Beine sind kürzer und kräftiger.
Von Haberhauer bei Külek in mehreren Ex. gesam-
melt; ein Exemplar, welches aus der Ledererschen Samm-
lung stammt, ist Karl-Boghd bezetielt.
ла. Procerus scabrosus Olivier.
(Vide Tafel I. fig. 2—5, 10 — 12.)
Niger, supra violaceus, seu cyaneo-violaceus, sew pur-
pureo-violaceus, thorace oblongiusculo, subcordato, | late-
9*
— 132 —
ribus antice leviter reflexis, elytris granulis elevatis in-
tricato-concatenatis. — Long. 16 — 22 lin.
Carabus scabrosus Olivier Ent. Ш. 35. p. 17. n. 7. t. 7. Ё 83.
Procerus scabrosus Chaud. Bull. Mosc. 1863. I p. 205 — J. Duval
Gen. Carab. t. 4. f. 16.
Larva: Schaum Berl. Ent. Zeitschr. 1864. p. 114. t. 2. f. 4. a—b.
Procerus Olivieri Dej. Spec. П. p. 24. 2. Iconogr. I. p. 973. 2.
pl. 31.
Var. (maris) thorace angustiore Procerus cribratus
Motsch. Küf. Russl. p. 87. not. 1. (Constantinopolis)
Var. (feminae) angustior, nigro-violaceus thorace an-
gustiore.
Proc. aegyptiarus - Metsch. Mag. Zool. 1844. p. 8. pl. 151. f. 4.
Bull. Mosc. 1845. I. p. 18. t. 2. f. 7. — Chaud. Bull. Mose. 1863. I.
p. 207. (Constantin., falso Aegyptus) Var. (feminae) thorace breviore
et latiore.
Proc. bosphoranus Motsch. Mag. Zool. 1844. p. 4. pl. 160. f. 2.
Bull. Mose. 1845. I. 17. t. 2. f. 2.
Proc. Sommeri Mannerh. Bull. Mosc. 1844. IV. p. 868.
Var. paullo minor, brevior, laete cyaneo-violaceus,
thorace breviore et latiore. (Brussa). Proc. breviusculus
Kraatz.
Var. multo minor (d 16 — 18 lin, 9 18 — 19 lin.)
nigvo-subviolaceus, thorace saepe breviusculo (Amasia).
Proc. modestus Kraatz.
Proc. bosphoranus Chaudoir Bull. Mosc. 1863. I.
p. 206.
Proc. scabrosus var. cribratus Moischulsky.
(Vide Taf. I. fig. 4, 5.)
Motschulskys Sucht überall seinen Namen anzuhän-
gen, triti bei unserer Untersuchung auch hier deutlich
hervor; Olivier und Dejean beschreiben offenbar dieselbe
— 133 —
schlanke violette Form (der erstere als scabrosus, der letz-
tere als Olivieri), Dejean nennt sie cyaneo-violaceus. nichts
desto weniger nennt Motsch. diese schlanke, schön vio-
lette Form ganz unnütz cribratus, um sie vom angeblich
kürzeren und breiteren Olivieri zu unterscheiden.
Proc. scabrosus var. aegyptiacus (Mén.) Motsch. Da uns
seit der Beschreibung dieser angeblichen Art, von der
sieh das Original-Exemplar im Museum der Kais. Aka-
demie zu St. Petersburg befindet, keine Procerus Art
aus Egypten bekannt wurde, so ist mit Bestimmtheit
anzunehmen, dass sie nach einem schmalen, kleinen
schwirzlich-violetten scabrosus - Weibchen mit schma-
lem Thorax aufgestellt ist. Motschulsky selbst sagt: «vu
un peu de cóté, on apercoit la couleur vielette sur les
bords latéraux.» Chaudoir giebt an (Bull. de Mosc. 1863.
I. p. 207.) dass er zwei schwärzliche Proc. scabrosus
bezitze. Motschulsky (Käf. Russl. I. р. 87) selbst hält
die Art in der Weise aufrecht, dass er sagt: «Proc. sca-
brosus d ist in der äussern schmalen Form dem Pr.
aegyptiacus ähnlich, hat aber eine schöne violette Farbe,»
mithin bildet diese den einzigen Unterschied.
Wenn im Gemminger-Haroldschen Cataloge Asia mi-
nor statt Aegypten als Vaterland angegeben ist, so ist
dazu zu bemerken, dass ähnliche Stücke wie das von
Motsch. abgebildete bis jetzt nur aus Constantinopol be-
kannt geworden sind.
Exemplare des scabrosus Oliv., welche ganz mit den
von Olivier und Dejean gegebenen Abbildungen über-
einstimmen, sind übrigens nach Mannerheim von Dr.
Hedenborg auf der Insel Rhodus gesammelt und von
Boheman an Mannerheim mitgetheilt worden. (Bull. Mose.
1844. p. 869 Note.)
— 131 —
Proc. scabrosus var. bosphoranus Motschulsky («nigro-
violaceus, thoracce transverso, subcordato») wurde von
Motschulsky nach weiblichen Ex. von Rumelien von 21
lin. Länge und 8 lin. Breite beschrieben, deren Thorax
eine Breite von 4%, lin. und eine Länge von 4 lin.
zeigte; als Proc. Olivieri Dej. beschrieb Motschulsky
gleichzeitig einen weiblichen Procerus aus der Krim;
nachdem er nun später den echten Olivieri Dej. (sca-
brosus Ol.) von Constantinopel kennen gelernt hatte,
nannte er die schmalen (meist männlichen) Stücke des-
selben cribratus, und unterschied von diesen seinen bo-
sphoranus durch etwas kürzeres uud breiteres und fei-
ner gerunzeltes Halsschild, durch ‚kürzere, breitere und
hinten an der Spitze mehr ausgeschnittene, weniger
spitze Deckschilde, mit etwas feinerer Granulation; ,,ob
bosphoranus als merkwürdige Varielät mit sehr brei-
tem Halsschilde von Olivieri © anzusehen ist, kann
Motsch. zur Zeit noch nicht entscheiden, da er kein &
von bosphoranus besitzt.» (Vergl. Motsch. die Küfer Russ-
lands p. 81).
Motschulsky's Unterscheidung seines Proc. cribratus
und bosphoranus vom Olivieri erweist sich bei criti-
scher Prüfung als ein kleines sophistisches Meisterstück
um zwei neue Namen einzuschmuggeln; vom cribratus
erwähnt Moisch. nur das Männchen, vom bosphoranus
kennt er nur das Weibchen und den Olivieri lässt er
fast unbeschrieben, denn er sagt nur, Olivieri ($ sie
breiter als cribratus d.
Motschulskys Beschreibungen dieser drei Formen von
Constantinopel berechtigen uns lediglich zu sagen, dass
die eine nach schmalen <, die andere nach breiten 9
des Olivieri Motsch. (non Dej.) entworfen sei, welcher
zwischen den beiden anderen in der Mitte stehen . soll.
— 135 —
Wenn nun Chaudoir vom bosphoranus Motsch. (Bull.
Moscou. 1863. I. p. 206) sagt: derselbe sei nicht grösser
als tauricus, scheine aber durch deutlich kürzeres Hals-
schild (beim 3), welches hinten weniger verschmälert
ist, specifisch vom Olivieri verschieden, und finde sich
häufiger als der scabrosus in Kleinasien, um masia, so
überträgt er den Namen bosphoranus auf emen Procerus,
welchen Motsch. gar nicht gekannt hat, und welcher mei-
nes Erachtens.als eine locale Rasse des Olivieri, aber
nicht als bosphoranus und durchaus nicht als eigene Art
zu betrachten ist.
Proc. Sommeri Mannerh. (Bull. d. Moscou 1844. IV.
p. 868) von Rumelien ist, wie bereits Chaudoir (Bull.
d. Moscou. 1845. I. p. 206) angiebt,—=bosphoranus Motsch.;
die Beschreibung enthält so wenig Abweichendes, dass
man den Sommeri als Synonym des bosphoranus aufzu-
fassen hat, während im Gemminger-Harold’schen Cata-
loge beide als besondere Varietäten des Olivieri aufge-
führt sind, zwischen welche der colchicus Motsch. aus
Mingrelien eingeschoben ist.
Proc. scabrosus var. breviuscutus Kraatz.
(Vide Taf. I. fig. 2, 3.)
Die Procerus von Brussa in Kleinasien, weiche frü-
her hauptsächlich von Em. v. Frivaldszky versendet und
wohl vielfach für europäische Stücke gehalten wurden,
zeigen durchschnittlich ganz merkliche Abweichungen von
den Stücken aus Europa (Constantinopel) Ueber diese
kann man sich aber erst klar werden, wenn man eine
grössere Anzahl Ex. vor sich hat, deren Fundorte man
mit Bestimmtheit kennt. Das ist allerdings weniger leicht,
— 136 —
ais häufig geglaubt wird, da den Entomologen, welche
Europaeer sammeln, in der Regel vorgeredet wird, die
kleinasiatischen Stücke seien bei Constantinopel gesam-
melt. Habe ich es doch noch in den letzten Jahren selbst
erlebt, dass ein Insectenhändler, welcher gar nicht in
Constantinopel gewesen war, behauptete dort eine Suite
Procerus von Brussa selbst gesammelt zw haben, die er
Herrn J. v. Frivaldstzky abgekauft hatte, wie ich aus
des Letzteren eigenem Munde später erfuhr!
Die Brussa Rasse ist in der Regel um ein bis zwei
Linien kürzer als die bei Constantinopel vorkommende,
ihr Halsschild nicht selten verhältnissmässig merklich
breiter; die Flügeldecken zeigen ein schónes und lebhaf-
tes Blau, mit einem schwachen Stich ins Violette, aber
selten oder gar nicht ins Purpurn Violette wie es
bei den Stücken von Constantinopel nicht selten der
Fall ist. So grosse schlanke und schón purpurn-violette
Ex., mit so schmalem Halsschilde, wie sie bei Constanti-
nopel vorkommen, erhielt ich bis jetzt von Brussa
nicht.
Mehr möchte ich kaum über die Brussa-Rasse be-
merken, von welcher der Thorax eines 4 u. 9 auf
Taf. L fig. 2. u. 3 abgebildet ist.
Sobald man uun eine grössere Anzahl Procerus der-
selben Art und sogar von derselben Localität vergleicht,
so findet man, dass die Gestalt des Halsschildes erhebliche
Unterschiede zeigt, welche theils ganz unabhängig vom
Geschlechte sind, theils allerdings mit demselben in
Verbindung zu bringen sind.
Ich besitze grosse, breite weibliche Ex. von Constan-
tinopel, deren Halsschild ebenso schmal als das viel schmä-
lere Männchen ist; ebenso lassen sieh Pärchen zusam-
menstellen, bei denen der Thorax merklich breiter ist.
— 137 —
Das Eigenthümliche im Bau des männlichen Thorax
besteht hauptsächlich darin, dass er nach hinten ver-
hältnissmässig stärker verengt ist als beim Weibchen,
und dass der Seitenrand hinten stärker aufgebogen ist.
Die angegebene Variationsfähigkeit machte es nun na-
türlich einem Moischulsky sehr leicht und plausibel, die
extremen Formen mit besonderen Namen zu belegen,
aber dass Chaudoir an zwei bei Constantinopel vorkom-
mende Arten glauben konnte, ist zu bewundern. Ich muss
mich meinerseits ganz der Ansicht Erichson’s anschlies-
sen, welcher in dem entomogischen Jahresberichte für
1844. p. 22 sagt: „die Gestalt des Halsschildes zeigt
zwar, wenn man einzelne Stücke vergleicht, sehr nam-
hafte Unterchiede, sowohl im Schnitt, als im Verhältniss
der Länge zur Breite, diese Unterschiede zerfliessen aber,
wenn man eine grössere Reihe von Individuen neben ein-
ander hält.“
Proc. scabrosus var. modestus Kraatz.
(Vide Taf. I. fig. 10. 11. 12)
Mit diesem Namen bezeichne ich die bei Amasia vor-
kommende Rasse, welche Chaudoir als eigene Art be-
trachtet und als bosphoranus Motsch. aufgefasst wissen
will. (Bull. de Moscou 1863. I. p. 206.)
In der That sinkt der Olivieri bei Amasia zur Grósse
des tauricus hinab und zwar zeigen von circa 30 mir
vorliegenden Ex. die Männchen durchschnittlich eine Län-
ge von 16 — 18 lin., die Weibchen von 18—19 lin. Kein
einziges Ex. besitzt den lebhaft bläulich violetten Glanz
der Constantinopolitaner und Brussa Stücke; man kann
sie bläulich schwarz, einzelne kleine Männchen auf
der Oberseite fast ganz schwarz nennen. Da die kleine
— 138 —
Rasse durchschnittlich kürzer als die grössere ist, so
erscheint auch der Thorax verhältnissmässig kürzer und
breiter, bei den Männchen noch stärker nach hinten ver-
schmälert (Chaudoir giebt vom Thorax an, er sei bei
den Männchen kürzer, im Uebrigen weniger nach hinten
verschmälert als beim Olivieri, was nicht richtig ist.).
Wählt man indessen schmälere und grössere Ex. her-
aus, so findet man in der Form des Halsschildes deut-
liche Uebergänge zum scabrosus und sehr merkliche
Unterschiede von den kürzeren, mehr typischen Stücken.
Die 3 Figuren 10, 11 u. 12 geben ein recht deutliches
Bild von den Unterschieden der Thorax-Bildung der
modestus Männchen; fig. 10 stellt einen verhältnismässig
kleinen, fig. 12 den normalen mittleren, und fig. 11
einen sehr breiten männlichen Thorax dar.
Proc. modestus ist früher hauptsächlich von Kinder-
mann, in neuster Zeit von Dr. Staudinger bei Amasia
zesammelt worden, welcher mir eine gróssere Anzahl
von Ex. überliess, so dass ich die Veränderlichkeit auch
dieser Form an den Stücken meiner Sammlung nachwei-
sen kann.
9 b. Procerus tauricus (Pallas) Adams.
Niger, supra cyaneus, thorace oblongiusculo | subcor-
dato, lateribus postice distinctius reflexis, elytris granu-
ls elevatis intricato-concatenatis. — Long. 16—22 lim.
Carabus tauricus Adams. Мет. Moscou У. р. 284, № 7. t. 10. f.
1. 2. 4. 5.
Procerus tauricus Dej. Cat. p. 5.—Spec. gen. II. p. 27. Icon. I. p.
DIA. TE 1.
Carabus scabrosus Fischer. Entom. Russ. I. p. 13. t. 2. f. 1. b. d. f.
Proc. scabrosus var. b. Schónh. Syn. Ins. I. p. 167. (Simpheropol.)
1845. I. p. 17. t. 2. f. 6. КА, Russl. p. 87. not. 1.
— 139 —
Vur. minor. Viridis, thoracis lateribus postice mi-
nus reflexis. — Long 16'/, — 18 lin.
Proc. viridissimus Kraatz.
Var. major. Viridi-cyaneus, lateribus thoracis postice
magis reflexis. — Long. 20 — 22 lin.
Proc. Audouini Brullé Hist. nat. d. Ins. V. p. 116. t. 5. f. 2.
Var. Obscure aeneus et aurichalceo-cupreus vel ni-
gro-violaceus, thoracis lateribus minus reflexis. — Long.
18 — 21 lin.
Proc. Olivieri Motsch. Mag. Zool. 1844. t. 151. f. 2. Bull. Mosc.
1845. p. 17.
Proc. aeneus Motsch. Käf. Russl. p. 86. not. 2. et pag. 87. not. 1.
Vav. paullo minor, supra coeruleo-purpureus.
Proc. purpureus Kraatz.
Var. paullo minor, niger, vix nigro coeruleus (As-
irabad).
Proc. nigritulus Kraatz.
Die Stammform dieses Käfers, welche blau ist, be-
schreibt Dejean sehr treffend, indem er sie etwas klei-
ner, schmäler und etwas gewölbter als Olivieri nennt,
ihr Halsschild mehr herzfórmig, nach hinten mehr verengt,
die Seitenränder namentlich nach hinten mehr aufgebo-
gen. Ein Dutzend Ex. von mittlerer Grösse (18 — 18*/,
lin.) welche ich einmal von H. Kumm aus der Krim
erhielt, zeigten fast sämmtlich die characteristische Ge-
stalt des Halsschildes, bei einigen wurde dasselbe beson-
ders klein und schmal, bei einzelnen ging die lebhaft
blàuliche Fárbung sehr deutlich ins Grünliche über.
An diese Ex. schliessen sich zunächst fünf allmählig
immer grösser werdende Stücke aus der Schawm' schen
und Schmidt’schen (Obergärtner in Flottbek) Sammlung
stammende Ex. von anderen Localitäten der Krim an,
— 140 —
bei denen der Thorax verhältnissmässig etwas breiler
erscheint und, namentlich bei den grösseren, weibli-
chen Ex. dem der Olivieri 2 sehr ähnlich wird. Diese
Stücke bilden den vollkommenen Uebergang zum
Proc. Tauricus var. Audouint Brullé von Persien,
aus der Umgegend von Trapezunt, nach Ex. des Jardin
des Plantes beschrieben; ist bisher noch nicht gedentet,
im Gemminger-Harold’schen Cataloge als Varietät des
scabrosus aufgeführt, auf wessen Autorität ist mir un-
bekannt. 3
Einige Ex. aus den Gebirgswäldern zwischen Trapezunt
und Erzerum, welche mir freundlichst von Herrn General-
Lieutenant von Kraatz mitgetheilt wurden, gehören un-
zweifelhaft zu Brullés Audouini; in denselben ist meines
Erachtens eine grosse Form des tauricus zu erkennen,
und zwar aus folgenden Gründen:
Der scabrosus ist mir noch nicht mit grünlichem An-
fluge vorgekommen, während vom tauricus nicht selten
prächtig grüne Ex. vorkommen. Die deutlich aufgebo-
genen Seitenránder des Halsschildes, die den Audouini
vom scabrosus unterscheiden sollen, sind bei den gros-
sen tauricus noch deutlicher aufgebogen als bei den klei-
nen und kaum weniger als bei Audouini, die ich als
grösste tauricus anspreche.
Somit finden wir eine, allein beim tauricus vorkom-
mende Färbung (blau mit grüner Mischung) beim Au-
douini (bleu nuancé de vert sur les cótés du corps)
wieder, zugleich verbunden mit einer characteristischen
Form des Halsschildes; Audouin nennt in seiner hübschen
Characteristik der verschiedenen Procerus-Arten das
Halsschild des tauricus kürzer und hinten schmäler als
beim scabrosus, à bords plus relevés, moins cependant
que ceux du P. Audouini.
— 141 —
Der characteristische Unterschied in den Halsschild-
formen von tauricus und scabrosus prägt sich meines
Erachtens in den gróssten tauricus (-Audouini) am deut-
lichsten aus, während dies bei kleinen Ex. natürlich meist
weniger der Fall sein muss.
Wenn übrigens Brullé angiebt: le corselet est un peu
plus long que large, so ist dies nicht der Fall. Herr v.
Kraatz fand bei seinen Stücken stets den Thorax in
der Mitte um 2'/,—3 mill. breiter als lang, weniger va-
riirend als beim scabrosus, in der Mitte stets von einer
deutlichen Längslinie durchzogen.
Herr Baron v. Chaudoir war so freundlich, das éy-
pische Ex. des Audouini in der Sammlung des Jardin
des Plantes zu untersuchen und mir Folgendes darüber
mitzutheilen: «dasselbe ist ein grünlich gefärbter bos-
phoranus, und bietet nicht den mindesten Unterschied.
Sie kónnen sich ganz auf meine Angabe verlassen.»
In einem späteren Briefe sagt er: «meine 2 Audouini
sind nicht ganz mit bosphoranus identisch, haben mehr
aufgebogene Ränder des Halsschildes, sind auch nicht
tauricus.»
Aus diesen Angaben folgt, dass die Audouini der
Chaudoir'schen Sammlung nicht ganz dem typischen Ex.
und seiner Beschreibung besser entsprechen als das ty-
pische Ex. selbst, denn Brull& hebt ja die bords moins
relevés des scabrosus hervor.
So wird man in der Beurtheilung einzelner Exem-
plare leicht hin und her schwanken, wenn man bei
derselben nicht die Localität und die Eigenthüm-
lichkeiten von Stücken aus den nächst gelegenen Fund-
orten sorgfältig mit in Betracht zieht; im vorliegen-
den Falle habe ich mich dafür entschieden, den Audou-
— 142 —
ini noch zum tauricus zu bringen, während man aller-
dings auch ein einzelnes Ex. als grünen bosphoranus
ansprechen könnte, wenn die Gestalt des Thorax mit
der von Constantinopolitaner Stücken übereinstimmt. *)
Proc. tauricus var. aeneus Motsch. 3 niger, supra
aeneus, vel cyaneo-violaceus, vel nigro-violaceus, tho-
race rugoso, quadrato, postice anticeque subattenuato,
truncato, ad basin transversim impresso, lateribus re-
flexis, elytris elongato-ovatis, punctis elevatis intricato-
concatenatis. — Long. corp. 18'/, lin. lat. 7 lin., long.
thor. 4 lin., lat. 5'/, lin.
Motsch. Käfer Russl. I. p. 86. et 87.
Ф thorace oblongo.—Long. 21 hn. lat. 8 lin; long. thor. 4¢/, lin.
lat. 4%/, lin.
Aus dem Proc. aeneus Motsch. ist sehr schwer klug
zu werden; man móchte fast glauben, Motschulsky habe
die Confusion hier móglichst gross machen wollen; sein
Olivieri vom Jahre 1844 ist 21 lin. lang.; diesen Oli-
vieri tauft er später in aeneus um, welcher nur 18‘, lin.
Lànge hat. Als Vaterland seiner 5 Ex. giebt er die süd-
liche Krim an; vom tauricus wäre sein aeneus durch
weniger eingezogenes Halsschild und mehr aufgehobene
Seitenränder unterschieden, mit einer schwachen Lüngs-
kante; die Farbe ist entweder» «dunkelbraun und mes-
singkupfrig oder ein schwarzes Violett». Im Catal. Gem-
*) In einem dritten Briefe des H. Baron v. Chaudoir schreibt der-
selbe: Audouini ist durchaus nicht mit tauricus identisch, das Hals-
schild ist an den Seiten, besonders vorn mehr aufgebogen und hin-
ten breiter, die Tuberkeln auf den Flügeldecken sind mehr verwor-
ren wie bei caucasicus; er móchte leicht eine besondere Art sein.
Bei der Variabilität des Thorax und der Sculptur vermag ich
mich dieser Ansicht nicht anzuschliessen.
- 143 —
minger-Harold ist Armenien als Vaterland des aeneus
Motsch. angegeben; nach Motschulsky’s Angaben ist es
aber unzweifelhaft die südliche Krim (Tauria m.) und
sind seine aeneus, nach der richtigen Vaterlandsangabe
nichts als verschieden grosse und verschieden gefärbte
tauricus.
Proc. tauricus viridissimus Kraatz.
Drei wiederum von einer anderen Localitat der Krim
stammende, mir noch vom verstorbenen Kretschmar mit-
getheilte Stücke zeichnen sich durch ihre geringe Grös-
se, kleines Halsschild und prächtige grüne Färbung aus;
da bisher der tauricus stets als ein blauer Käfer be-
schrieben wurde, so schien es mir nicht unzweckmässig
auf diese prächtige kleine Farbenvarietät durch einen
besonderen Namen aufmerksam zu machen, da man nicht
gut auf sie den Namen des, zwar auch grünen aber viel
grösseren und weniger lebhaft gefärbten Audouini be-
ziehen kann.
Proc. tauricus var. purpureus Kraatz.
Unter einigen Procerus aus der Krim, welche ich
neuerdings von H. Dr. Schneider erhielt und über de-
ren richtige Vaterlandsangabe nach seiner Versicherung
kein Zweifel waltet, befindet sich ein Ex. von mittlerer
Grösse (19'/, lin.), welches einen schöneren und deut-
licheren Purpurglanz zeigt, als irgend eins meiner
Stücke aus Constantinopel. Auf dieses und ähnlich ge-
färbte Stücke durch einen besonderen Namen aufmerk-
sam zu machen, scheint mir insofern nothwendig, als
man gewohnt war, diese Färbung als eine besondere
Eigenthümlichkeit der Olivieri von Constantinopel zu be-
trachten; da dieses Ex. ein weibliches ist, und seine
— 144 —
Halsschildränder somit hinten schwächer aufgebogen sind
wird es dem scabrosus um so ähnlicher, nur bleibt die-
ser meist grösser.
Proc. tauricus var. nigritulus Kraatz.
Zwei schwarze Ex., welche kaum einen bläulichen
Schimmer zeigen, von der Landenge von Arabad, erhielt
ich von H. Obergärtner Schmidt (Flottbecker Baumschu-
len bei Hamburg). Dieselben sind von gleich grossen mo-
destus von Amasia kaum zu unterscheiden.
Ein vergleichender Rückblick auf das bisher über die
verschiedenen Varietäten der scabrosus Ol. und tauricus
Gesagte zeigt uns nun Folgendes.
1. Beide variiren sehr erheblich in der Grösse und
Färbung; jede Localität drückt den von ihr bewohnten
Ex. einen gewissen Stempel der Gleichmässigkeit auf,
welcher durch Uebereinstimmung in der Grösse und Fär-
bung erzeugt wird; der tauricus ist in sehr verschiede-
der Färbung beobachtet, der scabrossus dagegen noch
nicht in grünen Ex.
2. Beide zeigen eine grosse Variabilität in der Ge-
stalt des Halsschildes und des ganzen Körpers, welche
nur zum Theil mit der Geschlechts-Verschiedenheit in Ver-
bindung zu bringen ist; der einzige Unterschied zwischen
beiden besteht darin, dass beim typischen tauricus der
Seitenrand des Halsschildes hinten etwas deutlicher ab-
gesetzt ist; wählt man indessen mit Sorgfalt unter bei-
den aus, so findet man unschwer Ex., bei denen sich
auch dieser Unterschied völlig verwischt.
Unter solchen Umständen kann man aber wohl unmög-
lich einem einzelnen, nicht einmal stichhaltigen Merk-
ze DEB =
male den Character eines specifischen beilegen, vielmehr
müssen scabrosus und tauricus als Rassen einer weit
verbreiteten Art aufgefasst werden.
Ich bin indessen sorgfältig bemüht gewesen, mit Be-
rücksichtigung der Localitäten die bisher beschriebenen
Formen zum scabrosus oder tauricus zu bringen; der
letztere scheint sich von der Krim bis nach Armenien
hin zu verbreiten. Auf diese Weise wird es am leich-
testen sein, die interessante Frage an neuem Materiale
weiter zu verfolgen; die bisher bekannt gewordenen Va-
rietäten lassen sich am einfachsten übersehen, wenn bei-
de Haupt-Rassen vorläufig noch auseinander gehalten
werden.
Es wird vielleichi von Einzelnen getadelt werden, dass
ich auffallende Farben-Varietäten und locale Formen noch
mit besonderen Namen belegt habe.
Wie soll denn aber der Sammler anders auf solche
Varietäten aufmerksam gemacht und zu ihrer Beachtung
und womüelich zum critischen Studium hingelenkt wer-
den? unbenannte, noch so sorgfältig beschriebene Varie-
täten und Rassen entziehen sich sehr schnell und oft
gànzlich unserer Beachtung, wenn sie nicht in Handbü-
chern aufgenommen sind, und gerade diese vernachlässi-
gen nicht selten die Varietäten auffallend.
Lu meinem Erstaunen ist H. v. Harold ein besonde-
rer Gegner solcher Benennungen von Varietäten, und
allerdings machen dieselben die Cataloge immer umfang-
reicher; wenn wir aber deshalb auf die Benennung der-
selben verzichten sollen, so müssten wir mit demselben
Rechte auf die Beschreibungen neuer Arten verzichten;
diese können aber erst einigermassen zuverlässig wer-
den, wenn wir die bereits beschriebenen critisch kennen.
Je д. 1876. 10
— 146 —
6. Procerus caucasicus Adams.
Niger, supra cyaneus sew viridi-cyaneus, thorace
cordato, antice fortius attenuato, elytris granulis eleva-
tis intricato-concatenatis.— Long. 16—20 lin.
Carabus caucasicus Adams Mém. Soc. Imp. Moscou V. p. 282 t. 10
fig. 8, 6.
Procerus caucasicus Dej. Spec. Gén. II. p. 26. 4. Icon. I. p. 275.
pl. 31. f. 2.—Motsch. Mag. Zool. 1844. t. 150. fig. 4. Bull. Mosc. 1845.
i, p. 19. t. II. fig. 5.
Carabus scabrosus Fischer Entom. Russie. [. p. 13. t. 2. fig. c. e.
Var. (feminae) major, coeruleo-violaceus, long. 22{/, lin. (Mingrel.)
Proc. colchicus Motsch. Mag. Zool. 1844. p. 7. t. 151. fig. 1. Bull.
Moscou. 1845. I. p. 19. t. 2. fig. 6.
Meist kleiner, kürzer und gewölbter als scabrosus,
blau, die Flügeldecken häufig mit einem Stich ins Grün-
liche, vom scabrosus leicht durch das viel stärker nach
vorn verengte Hasschild zu unterscheiden, dessen Vor-
derecken sich unmittelbar an den Hals anschliessen.
Im Caucasus, z. В. bei Piatigorsk; weitere Angaben
über den Verbreitungsbezirk des Käfers wären wünschens-
werlh; bemerkenswerthe Varietäten sind mir kaum vor-
gekommen; nur ein Ex. zeichnet sich durch schmäleres,
nach hinten viel weniger herzfórmig verengtes Halsschild
aus.
Nach Motschulsky’s Angabe (Käf. Russl. p. 87. not. 1.)
kàme der caueasicus auch bei Constantinopel vor, eine
Angabe, die indessen sicher jeden Grundes entbehrt.
Procerus colchicus Motsch. (supra coeruleo-violaceus.,
thorace antice fortiter angustato, postice fortiter reflexo
Q long. 22'/, lin., lat. 9 lin. thor. long 4?/, lin., lat.
7, lim. ist wohl nach einem grossen, blauen weibli-
chen Ex. des caucasicus aus Khoni (Mingrelien) beschrie-
— 147 —
ben; dass das Ex. keine Spur einer vertieften Mittellinie
auf dem Halsschilde zeigte, ist ein Zufall und kein speci-
fisches Merkmal. Motschulsky giebt an *), dass die Gestalt
desThorax der des caucasicus «analog» sei; da nun die-
se systematisch sehr wichtig und bei colchicus die cha-
racteristische des caucasicus ist, so kann der colchicus
nur als ein grosser caucasicus aufgefasst werden.
*) Bullet. de Moscou 1865. IV, p. 299; daselbst spricht sich Motsch.
für die Aufrechterhaltung mehrerer seiner Arten gegen Schaum und
Chaudoir aus.
10°
MONOGRAPHIE DER BORKENKARFER RUSSLANDS.
DIE CRYPHALOIDEN TOMICIDEN.
Von
Professor Dr. K. Lindemann.
ALLGEMEINE EINLEITUNG.
Klassifikation der Rhynehophori und der Tomiciden.
System der cryphaloiden Tomiciden.
Vor einiger Zeit habe ich begonnen, eine Monogra-
phie der Borkenkäfer Russlands, in russischer Sprache
abgefasst, herauszugeben. Der erste erschienene Theil
dieser Monographie enthielt die Bearbeitung des Genus
Scolytus und des Phloeophthorus *). Um meine Arbeit ei-
nem grösseren Kreise von Entomologen zugänglich zu
machen, habe ich nun beschlossen, meine ganze Ar-
beit ins deutsche umzuarbeiten. Der nun erscheinende
*) Е. Линдемань: Монографля корофдовъ Pocciu. Ч. I. 1875.
— 149 —
Theil enthält, ausser einer allgemeinen Klassifikation der
Rhynchophoren und Borkenkäfer, die Bearbeitung der
Cryphalus und Verwandten. Den die Scolytus und Phloe-
ophthorus-Arten behandelnden Theil werde ich später
ebenfalls im deutschen wiedergeben.
Bis auf heute ist es ganz unmöglich gewesen, eine
scharfe Grenze zu ziehen zwischen den Borkenkäfern
und den ihnen nahe verwandten Rüsselkäfern. Zatreille
vereinigte dieselben in eine Familie, welche von ihm
Curculionites benannt wurde. Erichson folgte dem Bei-
spiele von Latreille.—Gerstaecker und Lacordaire, und
mit ihnen die Mehrzahl der heutigen Entomologen, be-
trachten diese beiden Gruppen als verschiedene Famili-
en.—Ein aufmerksames Studium der Autoren überzeugt
aber sehr bald, dass die von denselben angeführten
Gründe von sehr zweifelhafter Beweiskraft sind. So
spricht Lacordaire *) sich folgendermaassen aus über die
gegenseitigen Beziehungen der betreffenden Familien:
«Leurs (d. i. der Borkenkäfer) rapports avec les derniers
genres des Curculionides sont, en effet, si intimes, tant
àl'état parfait, que sous celui de larve, que sil'on prend
Jes deux familles dans leur totalité, il est impossible de
découvrir un seul caractere qui les sépare nettement.
Cependant, si l'on considére que dans celle-ci le cara-
ctére essentiel des Curculionides, c'est-à-dire un véri-
table rostre, fait constamment défaut, l'homogénéité de
ses espéces, au double point de vue de l'organisation et
des habitudes, et le róle special qu'elles jouent daus la
nature, il semble préférable de la regarder comme un
type particulier, rattaché seulement à celui des Curculio-
——
*) Lacordaire. Histoire naturelle des Insectes Coléoptères. T. УП.
p. 350.
— 150 —
nides par quelqu’unes de ces transitions, qu’om rencontre
à chaque pas». — Es ist also, nach Lacordaire, bloss
die Gestalt des Kopfes, welche diese zwei Familien von
einander unterscheidet, und zwar sollen die Rüsselkäfer
einen «rostre», und die Borkenkäfer bloss ein «museau»
besitzen. Es ist klar, dass diese Unterscheidung ganz
künstlich ist. Bei dem heutigen Zustande unserer allge-
meinen zoologischen Kenntnisse ist es ganz unmöglich,
auf so unwesentliche Unterschiede der äusseren Körper-
form, die Trennung von Gruppen von so grossem, syste-
matischem Werthe zu stützen. Dessenungeachtet fand die
Ansicht von Lacordaire Anklang, und wurde von den
meisten Autoren angenommen. Nur vor kurzer Zeit er-
schien ein neues System des schwedischen Entomologen
Thomson, welches ich als einen wahren Fortschritt in
der Klassifikation der sogenannten Pseudo tetrameren Kä-
fer zu begrüssen mir die Freiheit nehme ")— Thomson
lässt die, von Latreille begründete Gruppe Curculionites
geiten, betrachtet dieselbe aber nicht als Familie, son-
dern schreibt derselben einen viel grösseren systemati-
schen Werth zu. Er betrachtet dieselbe als besondere Un-
terordnung (Series), welche er Rhynchophori nennt. Im
Bereiche dieser Unterordnung unterscheidet er acht gleich-
werthige Familien, namentlich folgende:
Bruchidae. Apionidae.
Anthribidae. Curculionidae
Khinomacepidae. Cossonidae.
Attelabidae. Tomicidae.
Obwohl dieses System von Thomson bloss auf äusse-
ren Merkmalen begründet ist, auf Verschiedenheiten der
*) Thomson: Skandinaviens Coleoptera. t. X. 1868. p. 147.
— 151 —
äusseren Gestalt und des Skeletbaues, verdient dieselbe
unsere ganz besondere Anerkennung, weil hier die ver-
wandtschaftlichen Beziehungen der Gruppen, und der
Werth dieser Beziehungen mehr in die Augen fällt und
sich der Wahrheit nähert, als im Systeme von Lacor-
daire.
Meine eigenen Untersuchungen, sowohl der Borkenkä-
fer, als aueh der verschiedenen Rüsselkäfer, haben mich
zu folgendem Systeme gebracht. Wie Thomson, so be-
trachte auch ich die Gruppe der Curculionites von La-
treille als eine grosse, einheitliche Abtheilung, welche
in zwölf kleinere, einander ganz vollkommen gleich-
werlhige Gruppen eingetheilt werden muss, die sich
hauptsächlich durch innere Merkmale von einander un-
terscheiden. Diese zwölf kleineren Gruppen sind felgende:
Bruchidae. Apionidae. Scolytidae.
Anthribidae. Curculionidae. Hylesinidae.
Rhinomaceridae. Rhynchaenidae. Tomicidae.
Attelabidae. hhyncolidae. Platypidae.
Diese Resultate meiner Untersuchungen weichen ziem-
| lieh ab von den heute cirkulirenden Ansichten über die
Verwandschaftsverhältnisse der Borken- und Rüsselkäfer.
Die Resultate, welche in meinem Systeme ihren Aus-
druck gefunden haben, stülzen sich hauptsächlich auf
Thatsachen, mit welchen ich bekannt geworden bin durch
eigene Untersuchungen des Verdauungsapparates, der
Geschlechtsorgane und des Bauchskelettes der betreffen-
den Käfer. Ich sehe mich daher gezwungen, hier der
Auseinandersetzung meines neuen Systemes eine kurze
Darstellung derjenigen der von mir gefundenen Thatsa-
chen vorherzuschicken, welche zur Begründung dieses
Systemes beigetragen haben.
— 152 —
Das Bauchskelett besteht grösstentheiles aus acht Rüc-
kenschienen und sechs Bauchschienen; selten fehlt die
letzte Bauchschiene; noch seltener die achte Rückenschie-
ne. Von den sechs Bauchschienen sind bloss die vor-
deren fünf von aussen sichtbar. Die sechste ist in die
Bauchhöhle zurückgetreten, und liegt hier in der unte-
ren Wand der Kloake. Die sechste Bauchschiene habe
ich Genitalplatte genannt *), weil sie in eine nahe Be-
ziehung zu den Geschlechtsorganen tritt, und nament-
lich bei den Mánnchen, wo sie als Stütze des Kopula-
tionsorganes dient. Bei den Männchen ist die Genital-
platte immer sehr einfach, und erscheint hier als eine
dünne, gelbliche, zuweilen behaarte Platte, welche mit
der ihr corespondirenden Rückenschiene verbunden ist.—
Bei den Weibchen einiger Rhynchophoren ist diese Geni-
talplatte höher entwickelt, indem sich an derselben beson-
dere Anhänge finden, welche mit dem Namen Genitalpal-
pen benannt werden können. Diese Genitalpalpen sind
ein Paar bald einfache, bald gegliederte Anhänge, welche
nach unten aus der Kloake schauen, ziemlich dicke, brau-
ne, chilinige Wandungen besitzen, und mit der Genital-
platte beweglich verbunden sind. So finde ich diese Ge-
nitalpalpen eingliederig bei den Scolytus-Arten, (Fig. 1.
p.); bei Cureulioniden; zweigliederig bei Rhynchaeniden
und Rhyncoliden. Bei Männchen fehlen diese Palpen ganz
constant.
Die Genitalplatte der Weibchen besitzt zuweilen am
vorderen Rande einen mehr oder weniger langen, faden-
fórmigen Auswuchs, welchen ich mit dem Namen Sten-
*) Lindemann: Vergleichend-anatomische Untersuchung über das
männliche Begattungsglied der Borkenkäfer. Mit 5 Tafeln. Bulle-
tin d. l. Soc. Imp. d. Nat. Moscou. 1875. X 2.
— 153 —
gel benenne (Fig. 1. st). Die-
sem Stengel der weiblichen Ge-
nitalplatte entspricht ein, bei al-
len Münnchen vorhandener Theil
des Kopulationsorganes, welchen
ich schon früher unter demsel-
ben Namen dort beschrieben
habe. * An der weiblichen Ge-
nitalplatte ist der Stengel bald
| unbeweglich angewachsen (Sco-
Fig.1. -— lytus); bald ist er von dersel-
spiel lote des Deum ben getrennt, und erscheint dann
yon Scolytus prun. ist: Stenge! das Verhältniss des Stengels zur
o n eS Genitalplatte bei dem Weibchen
ganz gleich demjenigen bei den Männchen.
Die acht erwähnten Rückenschienen des Bauchskelet-
tes verhalten sich auch verschieden bei den verschiede-
nen Geschlechtern derselben Arten. Bei den Männchen
tritt die achte Rückenschiene frei hervor auf die Ober-
fläche des Bauches, und ist also von aussen her sichtbar.
Bei den Weibchen (ausgenommen Xyleborus, Dryocoetes),
. ist die achte Rückenschiene in die Bauchhöhle eingezo-
gen, und in die obere Wand der Kloake eingelagert.
Ich nenne diese Schiene «Analplattev. Diese Analplatte
des Weibchens ist eine dünne, gelbe Platte, welche mit
der Genitalplatte artikulirt, und zum Verschlusse der
weiblichen Kloake dient.
Die angedeuteten Verschiedenheiten im Baue des Bauch-
skelettes haben mir beigetragen zur Begründung meines
Svstemes. Aber noch viel mehr stützt sich dasselbe auf
Verschiedenheiten im Baue des Kawmagens.
AEG
— 154 —
Der grósste Theil der Rhynchophoren, und nament-
lich die Borkenkäfer, besitzen einen besonderen Kau-
magen, welcher zwischen Speiseröhre und Ventriculus
eingeschoben ist, und zur Verkleinerung der verschluck-
ten Speise dient. Dieser Kaumagen hat die Gestalt eines
grossen Sackes, welcher einen grossen Theil der Hóh-
lung des Prothorax einnimmt, und durch besondere chi-
tinige Fortsätze des Skelettes getragen wird. Die Wände
des Kaumageus sind reich an Muskeln; ihre innere Ober-
fläche aber ist bedeckt von einer chitinósen Cuticula,
welche stellenweise zu eigenthümlichen Kauapparaten um-
gestaltet ist. — Der Kaumagen besteht gewöhnlich aus
zwei Abtheilungen; einer vorderen, grösseren, und einer
hinteren, welche gewöhnlich kleiner und schmäler ist,
als die vorhergehende. In dieser hinteren Abtheilung
des Kaumagens befindet sich bei den meisten Rhyncho-
phoren, (uad zwar bei allen Borkenkäfern) eine eigen-
thümliche complicirte Bewaffnung. Diese Bewaffnung be-
steht aus acht, einander ganz gleich zusammengesetz-
ten Apparaten, welche so angeordnet sind, dass sie einen
ganz geschlossenen, quergestellten Ring bilden, welcher
die hintere Abtheilung des Kaumagens beinahe ganz aus-
füllt.
Der Kauapparat ist sehr verschieden zusammengesetzt
bei den verschiedenen Rhynchophoren und giebt sehr
gute Merkmale für die Klassification derselben. Im Be-
reiche der sogenannten Borkenkäfer kann man drei
Haupttypen der Zusammensetzung unterscheiden; diese
drei Haupttypen entsprechen den drei Gruppen, welche
gewöhnlich als Unterfamilien unterschieden worden sind.
Den ersten Typus der Zusammensetzung finde ich bei den
Scolytus. Hier besteht jeder Kauapparat aus zwei Seiten-
туз
— 155 —
theilen (Fig. 2.), an denen eine vor-
dere Partie, Kauplatte (Fig. 2. v.), und
+ eine hintere, Kaulade (Fig. 2. s.) un-
terschieden werden kann. Die Kauplat-
so le ist eine dünne braune Platte, von
s verschiedener Form, deren freie Fläche
CZ _s mit Höckern oder Stacheln besetzt ist.
Die Kaulade ist bewaffnet mit langen,
platten, nach aussen gebogenen Borsten,
welche quer gestellt sind (Fig. 2. s), und
an die Kaulade mit einem grossen Thei-
d gh det le ihrer Basis angewachsen sind.
Eíner von den acht ; к à ;
Kauapparaten des Den zweiten Typus finde ich bei
Scolytus destructor. den echten Tomiciden. Hier finden
v—die Kauplatte. s— sich dieselben Theile wie bei den Sco-
die aus Dorsten zu-
sammengesetzte Kau- lytiden, nur hat sich am inneren Ran-
lade. de jeder Kaulade noch ein besonderer
Theil hinzugesellt, wechen ich Kau-
bürste nenne (Fig. 3. b). Diese Kau-
bürste hat das Aussehen eines dicken,
dunkelbraunen, mehr weniger gebo-
U genen Längswalles. Bei genauer Be-
trachtung, beim Zerzupfen des Wal-
les, kann man sich leicht davon über-
zeugen, dass derselbe keine blosse
=, Verdickung der Cuticula ist, sondern
3 durch sehr viele platte und breite
Borsten gebildet wird, welche auf ei-
nander liegend sich gegenseitig $0
= = bedecken, dass bloss der Rand und
Fig. 3. die Spitze jeder Borste frei, unbe-
Ein Kauapparat vom To- doct bleibt. Die Spitze und der äus-
NN en sere Seitenrand jeder solcher Borste
b: Kaubürste. trägt entweder Zähne, oder feine,lange
AN
(RN
SN
— 156 —
Wimpern. Jede Borste lässt von ihrer
Basis nach aussen einen dünnen Fort-
salz entspringen (Fig. 4), welcher über
die äussere Seitenhälfte der Kaulade,
- die von mir sogen. Abdachung, (Fig.
3.5.) nach aussen zieht in Gestalt einer
Querrille. Diese Querrillen sind der
Cuticula der Abdachung angewachsen.
Fig. 4 Die dritte Form des Kaupparates
Zwei verschiedene Bor- finde ich bei Hylesiniden. Die Kaula-
sten von derKaubürste den sind hier ebenso gebildet wie bei
des Tomicus typogra- BEL : р
phus,mitdenQuerrillen den echten Tomiciden, aber die zwei
» Kauplatten fehlen (Fig. 5). Anstatt
s2v99999V%S desselben finden sich bei den Hy-
3х? $90475 A : : Е
AT Eyes AMA lesiniden viele Querreihen von ei-
AMEN d TE VE Tian
EUM АЕ genthümlichen Borsten, oder Quer-
LÉ CAS
——
rillen, (Fig. 5. v), welche der farblo-
sen Cuticula vor den Kauladen auf-
sitzen. Die von diesen Borstenreihen
oder Querrillen eingenommene Par-
tie ist nicht durch Längsnath in
symmetrische Seitentheile getheilt
(wie bei den erst beschriebenen For-
men), sondern ist immer unpaar. Ich
benenne diese Partie mit dem Na-
men vorderer, unpaarer Ansatz des
Kauapparates. ^)
Fig. 5. INO.
Ein Kauapparat von Hy- *) Eine kurze Beschreibung des Kauap-
lesinus Mor Kir vor de- parates bei Scolytiden ist von mir der Ver-
rer unpaarer Ansatz des- :
salen insi Hbrdtenreihen sammlung in Graz 1875, vorgelegt worden.
und Querrillen. s—seit- У. Tageblatt der 48 Versammlung Deutscher
liche Abdachung der Kau- Naturforscher und Aerzte in Graz. 1875.
lade. b — Kaubürste. p. 102.
— 157 —
Wie bei den echten Borkenkäfern, so finden sich auch
bei anderen Rhynchophori sehr grosse Verschiedenheiten
im Baue des Kauapparates. So z. B. besteht bei den
Rhynchaeniden (Hylobius, Anthonomus elc.) jeder Kauap-
parat bloss aus zwei Kauladen; es fehlen vollkommen
sowohl Kauplatten, als auch vorderer unpaarer Ansatz.
Bei den Curculioniden (Phylobius, Polydrusus) besteht der
Kauapparat ebenfalls bloss aus zwei Kauladen, und er-
scheinen dieselben in der Hinsicht noch einfacher zu-
sammengeselzt, weil hier keine besondere Bürste unter-
schieden werden kann. Jeder Kauapparat besteht hier bloss
aus zwei Längsreihen von langen, gebogenen Borsten.
Der Geschlechtsapparat und das männliche Kopulations-
organ ist schon bei anderer Gelegenheit ausführlich von
mir beschrieben worden. *)
Nachdem ich nun diese kurzen Beschreibungen der
für meine Klassification wichtigsten Theile vorausge-
schickt habe, willich nun zur Charakteristik der von mir
oben angezeigten Gruppen der Rhynchophori schreiten.
Ich charakterisire diese Gruppen in folgender Weise.
I. Scolytidae (sens. strict). Jeder Kauapparat (des Kau-
qagens) besteht aus zwei vollkommen von einander ge-
irennten, dicken Kauplatten. Die Kauladen besitzen keine
Bürsten. Die Genitalplatte der Weibchen besitzt immer
einen ihr angewachsenen Stengel. Die Genitalpalpen sind
eingliederig. Der Aufsatz des Kopulationsorganes ist ge-
wöhnlich wenig complicirt.
*) Lindemann: Vergleichend-anatomische Untersuchung über das
männliche Begattungsglied der Borkenkäfer. — In Bulletin de la
Soc. Imp. d. Nat. d. Moscou. 1875. Ne 2.
— 158 —
Il. Tomicidae. Jeder Kauapparat besitzt zwei vollstän-
dige Kauplatten. Die Kauladen besitzen immer ganz ent-
wickelte Bürsten. Die Genitalplatte der Weibchen hat
keine Paipen.
Ш. Hylesinidae. Der Kauapparat hat keine Kauplatten.
Dieselben sind durch einen vorderen unpaaren Ansatz er-
setzt, welcher mit reihenweise gestellten Borsten bewaff-
net ist. Die Kauladen sind mit Bürsten versehen. Geni-
talpalpen fehlen immer. Genitalplatte der Weibchen im-
mer stengellos.
IV. Rhyncolidae. Der Kauapparat ist ganz abetted ZU-
sammengesetzt wie bei den Hylesiniden. Bei den Weib-
chen ist die Genitalplatte immer mit einem Stengel ver-
sehen, welcher aber von derselben abgetrennt, also selbst-
ständig ist. Genitalpalpen zweigliederig. (Rhyncolus, Cos-
sonus, Calandra).
V. Rhynchaenida. Jeder Kauapparat besteht bloss aus
den zwei Kauladen; dieselben besitzen Bürsten. Genital-
platte mit frei beweglichem Stengel, wie bei den Rhynco-
liden. Genitalpalpen zweigliederig. (Hylobius, Anthono-
mus. Coeliodes. Ceutorhynchus).
VI. Curculionidae. Jeder Kauapparat besteht bloss aus
den Kauladen; letztere besitzen keire Bürsten. Die Geni-
talplatte der Weibchen ebenfalls mit frei beweglichem
Stengel. Genitalpalpen eingliederig. Kopulationsorgan oh-
ne Aufsatz.
УП. Attelabidae. Kauapparat fehlt ganz. Genitalplat-
te des Weibchens mit freiem Stengel. Genitalpalpen
fehlen. Kopulationsorgan mit Aufsatz; dessen Gabel ist
ringförmig. Die Rückenschienen des Bauches sind hornig.
Alle Bauchschienen sind untereinander verwachsen.
VII. Rhinomaceridae. Kauapparat fehlt ganz. Der Sten-
— 159 —
gel der Genitalplatte angewachsen. Genitalpalpen drei-
gliederig. Kopulationsorgan mit Aufsatz; die Gabel ring-
fürmig. Die Rückenschienen des Bauches weich; die
Bauchschienen untereinander beweglich verbunden.
IX. Anthribidae. Kauapparat fehlt. Stenge! der Geni-
talplatte angewachsen. Genitalpalpen zweigliederig. Die
Genitalplatte ist in eine Legeröhre umgewandelt. Die
Bauchschienen sind verwachsen; die Rückenschienen
weich.
X. Bruchidae. Kauapparat fehlt. Stengel der Genital-
platte angewachsen. Genitalpalpen zweigliederig. Lege-
röhre fehlt.
Die Anthribiden und Bruchiden besitzen sowohl eine
Oberlippe als auch zweiladige Unterkiefer, während alle
anderen Rhynchophori eine Oberlippe ganz entbehren, und
an den Unterkiefern bloss eine einzige Lade besitzen.
XI. Apionidae. Kauapparat fehlt. Stengel der Genital-
platte frei. Genitalpalpen zweigliederig. Copulationsor-
gan ohne Aufsatz.
Um die Verschiedenheiten dieser Gruppen noch mehr
vor Augen treten zu lassen, gebe ich folgende Tabelle.
I. Der Kauapparat im Proventriculus fehlt ganz.
1. Unterkiefer mit zwei Laden. Oberlippe vorhanden.
a) mit einer Legeróhre . . . . Anthribidae.
b) eine Legeröhre fehlt. . . . Bruchidae.
2. Unterkiefer mit einer Lade. Oberlippe fehlt.
c) Genitalpalpen dreigliederig. Kopulationsorgan
mit Aufsatz. . . . . . Rhinomaceridae..
— 160 —
d) Genitalpalpen fehlen. Kopulationorgan mit Auf-
за. . . . . . . . . . Altelabidae.
e) Genitalpalpen zweigliederig, Kopulationsorgan
ohne Aufsaz. . . >... Аа
Il. Ein Kauapparat im Proventriculus ist immer vor-
handen.
1. Der Kauapparat besteht bloss aus den Kauladen.
a) Die Kauladen haben keine Bürsten. Curculionidae.
b) Die Kauladen besitzen Bürsten. Rhynchaenidae.
2. Der Kauapparat besteht aus Kauladen und einem un-
paaren vorderen Theil, welcher mit Borsten oder Quer-
rillen bewaffnet ist.
c) Genitalplatte des 2 mit Stengel und Palpen
Rhyncolidae.
d) Genitalplatte ohne Stengel und ohne Palpen
Hylesinidae.
3. Der Kauapparat besteht aus paarigen Kauplatten
und Kauladen.
e) Kauladen ohne Bürsten . . . Scolytidae.
f) Kauladen mit Bürsten. . . . Tomicidae.
Die verwandschaftlichen Beziehungen aller dieser Grup-
pen konnen auf folgende Art graphisch dargestellt wer-
den ^).
*) Ich entnehme diese Darstellungsweise dem ausgezeichneten
Artikel von Prof. Fr. Eh. Schulze Rhyzopoden-Studien. Im Ar-
chiv für microskopische Anatomie. Bd XIII. Heft. 1. 1876. Tafel. 3.
— 161 —
KAUAPPARAT VORHANDEN. KAUAPPARAT FEHLT.
KAUAPPARAT MIT UNPAAREM ANSATZ.
i!T EINER LADE.
DA
n y
| HAUAPPARAT MIT KAUPLATTEN.
i /
RER BEE VOD ENS CC PAS AN АЛИ ES D TL LR comte
|
7
H
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j
m
Я
S]
KAUAPPARAT BLOSS AUS DEN KAULADEN BESTEHEND.
MAXILLEN MIT9, LADEN.
Aus der im Obigen gegebenen Darstellung, und noch
mehr aus der beiliegenden Tafel, folgt es mit Evidenz,
Nee 1846. 11
— 162 —
dass die übliche Vereinigung der Hylesiniden, Tomiei-
den und Scolytiden zu einer Familie der sogenannten
Borkenkäfer, und das Gegenüberstellen dieser «Familie»
den anderen Gruppen, welche unter dem Namen Cur-
culioniden zusammengefasst werden, etwas ganz künst-
liches ist. — Wir sehen, dass die Hylesiniden z. B. sich
viel enger anschliessen an die Rhyncoliden als an die To-
miciden und Scolytiden; die Apioniden, Attelabiden und
Rhinomaceriden, untereinander nahe verwandt, sich sehr
weit entfernen von den meisten anderen Rhynchophoren.
Ich sehe mich daher gezwungen, alle die oben ange-
führten und charakterisirten Gruppen als ganz gleichwer-
thige Familien zu betrachten. Selbst die Benennung
«Borkenküfer» muss man fallen lassen, denn sie stórt
die richtige Auffassung der gegenseitigen Beziehungen
all’ dieser Familien.
Nachdem ich im Vorhergehenden die Grundzüge ei-
ner neuen Klassification der Rhynchophori vorgebracht
habe, will ich, noch ehe ich mich an die Darstellung der
Cryphaloiden Borkenkäfer wende, ein neues System der
Tomiciden im obigen Sinne, vorlegen.
Keiner von meinen Vorgängern hat es versucht, die
Gruppe der Tomiciden (nach meiner Auffassung Fami-
lie der Tomiciden) noch weiter in Gruppen von unter-
geordnetem Werthe, in Subfamilien zu theilen. Es hat
dieses seinen Grund darin, dass die Anzahl der bis jetzt
bekannten echten Tomiciden sehr gering ist. Gar zu oft,
selbst bis auf unsere Tage, verfolgt das entomologische
System hauptsächlich ganz praktische Zwecke, nähmlich
die Erleichterung bei der Bestimmung der Insekten. Die
sehr geringe Zahl der eigentlichen Tomiciden machte
die Bestimmung der hierher gehörigen Genera ohnehin
sehr leicht, und machte eine weitere Gruppirung dieser
— 163 —
Genera für praktische Zwecke ganz entbehrlich. Wendel
man sich aber an das System der Tomiciden mit ande-
ren, nicht bloss praktischen Anforderungen, so bemerkt
man wohl sehr bald, dass die gegenseitigen Beziehungen
der hierhergehórigen Genera nicht alie von gleichem
Werthe sind. Man überzeugt sich leicht, dass gewisse Ge-
nera unter einander enger verknüpft, näher verwandt
sind, als mit anderen. Daraus folgt aber schon die Noth-
wendigkeit, gewisse Abtheilungen, vom Werthe be-
sonderer Subfamilien, anzunehmen, um diese Verwandt-
schaftsverhältnisse der Tomiciden-Genera deutlich her-
vortreten zu lassen. Um dieser, in phylogenetischer Be-
ziehung höchst wichtigen Frage näher treten zu können,
unternahm ich eine eingehende anatomische Untersuchung
verschiedener innerer Theile und Organe der sogenann-
ten Borkenkäfer, und bin zu dem Schlusse gekommen, dass
nähmlich das männliche Begattungsglied ganz ausgezeich-
nete Charactere liefert zu einer Klassification der To-
miciden. Die betreffende vergleichend-anatomische Un-
tersuchung dieses Begattungs-Organes ist schon früher
von mir publicirt worden "). In dieser Arbeit bin ich un-
. ter anderen, zu folgendem allgemeinen Resultate ge-
kommen.
«2. Das Begattungsglied der Borkenkäfer (und zwar
«der Aufsatz des Organs) ist ein Gebilde von sehr gros-
«ser Variabilität; im Bereiche dieser Familie finde ich
«mehrere specielle Typen in seiner Zusammensetzung;
«selbst im Bereiche eines kleinen Genus (wie z. B.'Sco-
«уз oder Hylastes) finde ich einige, nicht unbetracht-
«liche Differenzen in der Bildung seines Aufsatzes.»
*) Bulletin de 1. Soc. Imp. d. Moscou. 1875. № 2.
T
— 164 —
Diese, beinahe unendliche Mannigfaltigkeit im Baue
des Begattungsgliedes muss, meiner Ansicht nach, da-
durch erklärt werden, dass in den weiblichen Geschlechts-
organen überhaupt gar keine Anpassungen an dieses Be-
gattungsglied vorhanden sind. Das Variiren im Baue
dieses Gliedes zwischen sehr weiten Grenzen ist hier
möglich, ohne die physiologische Function des Organes
irgendwie zu beeinträchtigen, denn die weite, ganz ein-
fache Höhle der weiblichen Kloake und Begattungstasche
(Bursa copulatrix) ist gleich geeignet, ein ganz einfaches,
sowohl als verschieden complicirt gebautes Glied in sich
aufzunehmen. Es versteht sich ganz von selbst, dass
die Variabilität des männlichen Begattungsgliedes in
weit engere Grenzen geschlossen wäre, wenn in den
weiblichen Organen der betreffenden Species gewisse
Vorkehrungen vorhanden wären, welche diese Variabili-
tät mehr oder weniger beeinflussen würden. In diesem
Falle könnten die Veränderungen des männlichen Orga-
nes nur denjenigen der weiblichen Organe parallel ge-
hen, und so die Form und die Zusammensetzung sowohl
dieser als jener als etwas mehr constantes auftreten. Es
scheint also, als ob die Natur es für nöthig gefunden
habe, die grosse Menge verschiedener Formen des Begat-
tungsgliedes hervorzurufen, und als Mittel dazu die Ein-
fachheit des weiblichen Geschlechsapparates gebraucht hat!
Wendet man sich nun an das specielle Studium der
vorhandenen Formen des Begattungsgliedes bei den Bor-
kenkäfern, so findet man bald, dass unbeachtet der
gegebenen Möglichkeit einer unendlichen Variation, die
verschiedenen Formen des Gliedes sich dennoch stark
an gewisse sekundáre Typen halten. Diese, gar nicht zu
verkennende Tendenz zur Erhaltung der vorhandenen
Grundlagen der Zusammesetzung lässt uns schliessen,
— 165 —
dass die erwähnten secundären Typen eine Folge von
näherer Verwandtschaft der betreffenden Tomiciden
sind. — Diese Anschauung habe ich meiner Klassification
zu Grunde gelegt, und gestützt auf dieselbe, die Familie
der Tomiciden in folgende vier Subfamilien getheilt.
1. Cryphaloideae.
_ 9. Tomicoideae.
3. Dryocoetoideae und
4. Xyloteroideae.
Diese Subfamilien habe ich benannt nach denjenigen
Genera, welche als Typen derselben betrachtet werden
können. Die Unterschiede der von mir hier begründeten
Subfamilien lassen sich in folgender Tabelle klar aus-
drücken.
I. Im Begattungsglied besteht der Aufsatz bloss aus
den nalen qi
en cea к CRUDE CLOVE Ee.
ll, Der ropes ist zusaminengeselzt aus Endplatien
und aus der Rinne.
" Die Füsschen des Penis sind angewachsen an
den Körper desselben. . . Dryocoetoideae.
* Die Füsschen des Penis sind mit dem Körper
desselben beweglich verbunden. Zomécordeae.
Ш. Der Aufsatz ist zusammengesetzt aus Endplatien,
Rinne und Anker.
i BU Lg eiie db dt i
Im. Börkiche einer jeden vun diesen (Grub
das Begattungsglied, wie gesagt, ganz ungemein
*) Die Erklärung dieser Ausdrücke findet man in meiner Uuter-
suchung über das Begattungsglied der Borkenkäfer. (1. c. ).i
— 166 —
verliert es ganz den Aufsatz, sowohl bei Käfern der ei-
nen als auch der anderen Subfamilien. So z. B. fehlt dieser
Aufsatz ganz bei Crypturgus cinereus, während er bei den
anderen Dryocoetoiden gewöhnlich stark entwickelt ist.
In allen solchen Fällen sind andere Merkmale und Eigen-
thümlichkeiten im Stande, die wahre Stellung des Genus
im Systeme aufzuklären. Es ist ja noch kein einziges
System vorgeschlagen worden, welches nicht solche Aus-
nahmen zulassen musste, und sind ja die letzteren selbst
als nothwendig vorauszusetzen, wenn die jetzt. verbrei-
teten Naturanschauungen überhaupt als wahr gelten sollen!
Die hier zum ersten Male von mir begründete Gruppe
der eryphaloiden Tomiciden wird also hauptsáchlich da-
dureh charakterisirt, dass der Aufsatz des männlichen
Begattungsgliedes nur aus den Endplatten besteht. Nie-
mals finde ich hier in dem Aufsatze irgend welche an-
dere Theile, welche dem Anker, oder den Seitenhaken,
oder endlich der Rinne anderer «Borkenkäfer» als homo-
log betrachtet werden kann. Hat also das Begattungs-
glied das Maximum der Complication in dieser Gruppe
erreicht, so erscheint es bestehend aus dem Körper des
Penis, aus der Gabel, dem Stengel und der Endplatte.
Aber sehr oft kann letztere ganz fehlen, und es besteht
dann das Organ bloss aus den primären Stücken. Bei
einer Species habe ich mich selbst von dem Fehlen der
Gabel überzeugt (E. tiliae), was mir bei keinem ande-
ren Borkenkäfer vorgekommen ist.
Im Bereiche der cryphaloiden Tomiciden müssen wir
einige besondere Genera unterscheiden, welche sich sehr
stark von einander unterscheiden durch Fühlerbildung,
Mundtheile, Kauapparat des Proventriculus.
Ich classificire die europaeischen Gattungen der Cry-
phaloiden auf folgende Weise:
— 167 —
I. Die Kauapparate besitzen keine Kauplatten; diesel-
ben sind hier durch einen unpaaren Ansatz vertreten,
welcher ebenso zusammengesetzt ist wie bei Hylesiniden.
Das Copulationsorgan hat sehr verbreitete Füsschen,
welche mit ihren Spitzen gegenseitig verwachsen sind,
" Mandibeln ohne Anhang... . . . . Ernoporus.
Il. Jeder Kauapparat besitzt zwei Kauplatten. Die
Füsschen des Kopulationsorganes sind nie verwachsen,
immer stabfórmig, frei.
1. Mandibeln mit Anhang.
* Die Genitalplatte ist beim Weibchen chitinisirt,
behaart, und mit einem Stengel versehen.
Stephanoderes.
2. Mandibeln ohne Anhang.
* Die Genitalplatte ist beim Weibchen ganz chiti-
nisirt. Sieben Paar i gei sind vorhan-
LI toc M PER RP . 2 « . Oryphalus.
* Die Genitalplatte ist beim Weibchen weich,
häutig; nur der Stengel derselben ist chitini-
sirt. Nur fünf Paar Bauchstigmen sind vor-
So oa . . « .Hygpoborus.
* Die Genitalplatte des | Weibchens wie bei der
Gattung Hypoborus. Sieben Paare Bauchstig-
men sind vorhanden. . . . Pytiophthorus.
Zur leichteren Bestimmung dieser Genera der Crypha-
loiden gebe ich hier noch folgende Tabelle, welche
hauptsächlich auf aeussere, leicht zu beobachtende Merk-
male gestützt ist.
— 168 —
A). Fühlergeissel 4-gliederig.
* Die Nàthe an der Fühler-Keule, sowohl auf
der oberen, als auch auf der unteren Seite
stark bogenfórmig geschwungen. . Ernoporus.
* Diese Näthe sind bloss auf der oberen Seite
der Keule geschwungen, auf der unteren aber
immer gerade. . . . . . . Oryphalus. *)
B). Fühlergeissel 3-gliederig.
a. Das 3-te und 4-te Glied der Geissel sind gleich
gross.
" Die Genitalplatte beim Weibchen vorhanden.
Stephanoderes.
* Die Genitalplatte beim Weibchen fehlt ganz.
Pytiophthor us.
b.Das 4-te Glied der Fühlergeissel ist kleiner
als das 3-te. ©: . : . . . Hypoborus. 0)
C). Fühlergeissel 3-gliederig.
E . . Pseudocryphalus Ferrrari.
D). Fühlergeissel 6-gliederig.
* Augen getheilt, . . . Xyloctonus Eich.
*) Zu dieser Abtheilung, mit 4-gliederiger Fühlergeissel gehórt
ein neues, von mir hier begründetes Genus, Homoeocryphalus, (H.
Ehlersi Kiesenwetter in litt), welches hier ganz kurz charakterisirt
ist. Die Näthe der Fühlerkeule, sowohl unten als oben, ganz gera-
de. Die Genitalplatte des Weibchens besteht bloss aus dem Stengel.
** Zur Gruppe der Cryphaloiden gehóren noch einige aussereuro-
paeische Genera, welche folgendermaassen an die oben gegebene
Tabelle angeschlossen werden kónnen.
— 169 —
Augen ungetheilt. . . . Hylocurus Eich.
Einige von den hier zu den Cryphaloiden gestellten Ge-
nera sind einander, selbst im Habitus, so ähnlich, dass
dieselben bis vor kurzem von den meisten Autoren als
zu einem Genus, Cryphalus, gehórig betrachtet wurden.
Nur Hypoborus und Pytiophthorus weichen in dieser
Hinsicht etwas von den anderen ab. Was den Hypobo-
rus anbetrifft, so war man aber schon làngst darüber
einig, dass dieses Genus neben Cryphalus gestellt wer-
den muss. Anders Pytiophthorus! Die Stellung dieses Ge-
nus im Systeme war bis auf heute nicht festgestellt. Ei-
nige Autoren betrachten es bloss als eine Abtheilung im
Genus Tomicus! Ich glaube, dass meine Untersuchungen
mir erlauben, auch den Pytiophthorus zu den Cryphaloi-
den zu stellen.
(Fortsetzung folgt.)
ORGANISCHE EINSCHLÜSSE IM BERGKRYSTALL.
MITTHEILUNG
von
J. H. Kawall.
In einer Sendung von Erzstufen und andern Minera-
lien, die ich zu Anfang des Jahres 1870 durch die gros-
se Freundlichkeit der bei der Hüttenverwaltung und den
Goldwäschereien zu Ufalei im Ufaschen . Gouvernement
von Sibirien angestellten Herren Meien und Waschmann
erhielt, befanden sich auch einige Stücke Bergkrystall.
Bei genauerer Ansicht dieser, unter Beihülfe einer Lu-
pe, stellte sich mir ein Stück als ganz besonders merk-
würdig heraus, da ich in demselben organische Einschlüs-
se fand, das Vorkommen solcher aber bisher meist be-
weifelt worden, oder doch nur in Frage gestellt ist. Mei-
ne Erkundigungen nach solchen haben mir keine genü-
gende Antwort gebracht, und die mir zugänglichen lite-
rärischen Hülfsmittel mir auch keine brauchbare Aus-
kunft gegeben. Nur in J. Naumanns Elementen der Mi-
neralogie, 7te Aufl. Leipzig 1868 finde ich S. 209 in der
Anmerkung, dass Kenngott zwar 21 Mineralspecies auf-
führe, die er als in krystallisirtem Quarze eingeschlos-
— 11 —
sen beobachtet, — eine noch grössere Zahl Söchting und
Seyffert, so wie Leonhard, angeben, welcher Letztere 43
Species namhaft mache; von organischen spräche aber
nur Bonnemann, welcher Einschlüsse von Pflanzenresten
in den Quarzkrystallen versteinerter Hölzer nachgewie-
sen habe.
Die Abhandlung von E. Söchting besitze ich im Jahr-
gange 1862 der Verhandlungen der Kaiserl. Gesellschaft
für die gesammte Mineralogie zu St.Petersburg. Die-
selbe erwähnt von organischen Einschlüssen überhaupt
nur Acarus-Reste in Glimmer. Der oben erwähnte Berg-
krystall, ist 10 Loth schwer, in dem untern Theile nicht
vollständig ausgebildet, im Ganzen 75”” hoch, 407”
breit, glashell, im Innern ziemlich feinrissig, mit einigen
_ äusserlichen Verletzungen.
Unter der glätten Oberfläche bemerke ich im Innern
ein hellgrünes nacktes Räuplein, mit dem dunklern
. Kopfe nach unten, das in gewundener Lage 1,7”” lang
ist, und 0,2" Breite hat. Man könnte es für die Rau-
pe von einer Tineine halten, die ich vorläufig Tineites
crystalli nennen möchte. Der gekrümmten und vom Au-
ge abgewendeten Lage wegen, kann ich Bauchfüsse nicht
unterscheiden, dagegen glaube ich ein Paar Brustfüsse
wahrzunehmen. Nachschieber scheinen auch da zu sein.—
Oberhalb dieses Räupleins, sehe ich ein kleineres, mehr -
zusammengezogenes von 0,7""" Länge. Eine andere Fläche
zeigt ein drittes 1,0”” langes Räuplein, hakig ge-
krümmt mit dem Kopfe nach unten, gleichfalls — hell-
grün; links etwas unterhalb noch zwei kleinere grüne.
Ausser diesen würen wohl noch sechs und mehr andere
kleine Räuplein zu zählen, und wieder andere als braun-
grüne und bráunliche Trümmer solcher, nebst manchem
=e
Gemüll, grünem und braunem, welches aus Räuplein-
Excrementen, wahrscheinlich, besteht. Die Thierchen könn-
ten, bald nachdem sie den Eiern eL in die
Kieselflüssigkeit gerathen sein.
Ausser diesem hóchst merkwürdigen Stücke, besitze
ich einen kleinern, ziemlieh klaren, aber defecten Berg-
krystall 37" lang, 15” breit, in welchem ich zwischen
kleinen fadigen, gelbbräunlichem Gemüll, grüne, fadig
. und krümmlich zusammengewundene Substanzen wahr-
nehme, die pflanzlicher Natur sein könnten, etwa Con-
serven oder Algen.
Da zugegeben wird, dass der Bergkrystall aus gesät-
tigter Auflösung von Kieselsäure kalt herauskrystallisire,
und solche Krystallbildungen durch in die Flüssigkeit
hineingerathene Substanzen irgend welcher Art lebhaf-
ter angeregt und befördert werden,— wie unter den Sal-
zen z. B. die Lösung des schwefelsauren Natrons, so konn-
ten ja zufällig recht gut in die Flüssigkeit, aus welcher
der angeführte Krystall sich bildete, jene Partikel hin-
eingerathen sein, die jedenfalls organischer Natur sind.
Ein eifriger Mineralog, Herr Kumberg, Lehrer am Gym-
nasium zu Ekaterinenburg schrieb mir, in Sibirien kä-
men auch seines Wissens, Bergkrystalle mit organischen
Einschlüssen vor, jedoch selten. Er selher besitze, bei-
läufig bemerkt, einen Amethyst mit eingeschlossener Flüs-
sigkeit.
Einem jüngst erhaltenen Briefe von Herrn Clerc, Se-
kretär der uralischen Naturforscher Gesellschaft in
Ekaterinburg, entnehme ich noch folgende Stelle, vom
isten August 1876 datirt: «Quant aux cristaux conte-
nant des objets étrangers, il me souvient d'avoir vu des
améthystes et des cristaux de roche avec des insectes ou
— 113 —
des brins de plantes, mais à mon grand regret, je n'ai
pas la chose assez présente à la memoire, pour Vous en
pouvoir communiquer des détails». ")
Pussen Pästorat,
September 1876.
mn in — e ——áá
*) Es wäre sehr erwünscht, wenn Herr Pastor Kawall den in Re-
de stehenden Quarzkrystall anschleifen liesse, damit eine nähere
Einsicht in die Natur der eingeschlossenen Gegenstände gewonnen
würde. Die Redaction.
MÉMOIRE SUR LES ALLUVIONS VERTICALES
par
le Docteur
M. Stanislas Meunier,
Aide naturaliste au Muséum de Paris.
Avant-propos.
Nous donnons le nom d’Alluvions verticales à des sa-
bles et à des limons amenés à la surface du sol par des
courants d'eau venant de la profondeur et réalisant à la
direction prés qui est perpendiculaire avec la leur, les
mémes effets que les nappes d'eau superficielles.
Plusieurs années d'étude dans des régions variées
nous ont amené à cette conséquence que les alluvions
verticales, en général méconnues, jouent pourtant dans
l'économie du globe un rôle qu'on ne saurait négliger.
Leur examen nous révéle des actions non étudiées jus-
qu'ici et rend compte de l'origine de certains éléments
lithologiques de divers terrains dont on a cru pouvoir
— 175 —
expliquer la présence par des hypothèses en désaccord
complet avec l'observation journalière.
On nous excusera done sans doute d'exposer ici le ré-
sultat de nos recherches en considération de l'importance
des formations géologiques qu'il s'agit ici de faire con-
naitre.
La surface du sol est en communication avec les ré-
gions sous-jacentes par des conduits de diverses sortes.
Les uns, dont nous n’avons pas a parler, et parmi lesquels
se signalent les volcans, aboutissent a des profondeurs si
grandes qu'ils vomissent des matiéres en fusion ignée. Les
autres sont ou ont été le siège de circulations aqueuses
qui transportent parfois divers matériaux soit de l'exté-
rieur à l'intérieur ou de haut en bas (puits absorbants),
soit dans le sens inverse (sources jaillissantes) soit méme,
pour des parts inégales dans les deux directions à la fois
ou alternativement.
L'homme peut creuser des conduits analogues permet-
tant d'apprécier le rôle des accidents naturels qui vont
nous occuper. Les puits artésiens parfois fort profonds
deviennent le siége d'un véritable alluvionnement vertical
des plus intéressants à notre point de vue. Les puits arté-
siens de Grenelle et de Passy, dans Paris méme, amé-
neni au jour, au iravers de toute l'épaisseur du terrain
de craie, des sables verts, provenant du gault, distant
de 500 métres de la surface. Ces sables arrivés à l'exté-
rieur, sont entrainés dans les conduits horizontaux el
vont se stratifier à la maniére des matériaux détrititiques
superficiels ordinaires.
Parmi les conduits naturels qui donnent lieu à des
phénomènes de ce genre, et que nous allons étudier, on
peut distinguer deux groupes tout à fait principaux. Ce
— 176 —
sont d'une part les puits naturels et d'autre part les fail-
les. Ils sont les uns et les autres trop bien connus pour
que nous les décrivions en détail et nous avons hâte
d'arriver aux faits nouveaux qu'il s’agit de faire con-
naitre.
Chapitre premier.
Des Puits naturels dans leur rapports
avec les alluvions verticales.
ll y a longtems que les puits naturels sont l'objet de
l'étude des géologues. lls ont été parfois confondus avec
des accidents tout différents, tels que les marmites de
géants, et on a imaginé pour rendre compte de leur for-
mation des hypothéses trés-nombreuses.
Nous avons eu l'occasion deles examiner surtout dans
les diverses assises des terrains tertiaires et particu-
liérement dans le calcaire grossier, les sables movens, le
travertin de Saint Ouen et le gypse.
1. Calcaire grossier — Nous avous surtout étudié les
puits naturels du calcaire grossier à Ivry prés Paris,
entre Valmondois et Ге Adam, entre Poissy et Briel,
eic. Ce sont toujours des cavités cylindriques trés-pro-
fondes dont il arrive de ne pas trouver le fond et dont
l'intérieur est rempli de graviers mélangés de sable
et d'argile rouge. On remarque toujours que la paroi
calcaire est profondément corrodée et comme pourrie;
d'un autre cóté les puits sont comme doublés d'une
enveloppe continue d'argile fine et de couleur rouge trés-
foncée qui constitue une espèce de salbande. Dans le
fond des puits profonds, cette argile existe seule. Sou-
— 177 —
vent les puits se continuent dans la profondeur sous
forme de conduits diversement contournés el parfois fort
étroits. Dans ces cas, il n'est pas rare d'y trouver l'argile
si absolument pure qu'elle rappelle la lithomarge propre-
ment dite.
2. Sables moyens. ll est beaucoup plus rare de voir
des puits naturels au travers des couches sableuses que
dans les strates calcaires ei cela peut provenir de leur
structure méme: qui ne conserve pas la trace du forage
et qui, d'autre part, peut ne pas fournir un guide à la
direction suivie par les agents de corrosion.
Toutefois nous avons été assez heureux pour en obser-
ver un exemple des plus remarquables dans les sables
moyens de Fleurines, département de l'Oise. On le ren-
contre au lieu dit Les Trieges dans la carriére exploi-
tée par M. Frigaux. П consiste en une colonne cylindri-
que de 6 mètres environ de diamètre, qui d'une ma-
niére trés importante, s'éléve depuis le fond de la carrié-
re jusqu'à la surface du sol au travers de toute l'as-
sise du sable exploité. On dirait la tour ruinée d'un
ancien cháteau fort. Le travail des ouvriers l'avait pa-
rait-il absolument isolée il y a plusieurs mois, mais au-
Jourd'hui des remblais en cachent un côté. Toutefois, il
est facile d'en observer les caractères les plus saillants.
La masse principale de la colonie est constituée
par des bloes de grosseur variée jetés sans ordre les
uns sur les autres et parmi lesquels on distingue sur-
tout du calcaire à grains fins et du grés quartzeux
plus ou moins friable. Entre ces blocs se montrent des
filets d'argile souvent très-compacte et rappelant alors les
lithomarges. On observe aussi des incrustations variées
dont les plus apparentes sont des encrôutements d'oxyde
de fer brun qui revétent plusieurs morceaux de grés
JE se 1976. 12
— 178 —
d'une enveloppe résistante. Diverses régions d'un noir
profond sont imprégnées d'oxyde de manganése et il est
à noter que ces deux métaux si analogues, fer et man-
ganèse très-abondants l'un et l'autre, semblent se re-
pousser mutuellement; ce n’est que sur des points excep-
tionnels qu'on les rencontre ensemble.
Mais le fait le plus remarquable présenté par la colo-
nie de Fleurines est l'enveloppe qui la sépare nette-
ment, avec une forme quasi-géometrique de la masse
de sable ou elle est noyée. Cette enveloppe, d'une gran-
de élégance, consiste en grés botryoide variant suivant
les points, du blanc pur au gris foncé et dont les sphe-
roides, qui souvent comme du chenevis, atteignent et dé-
passent parfois les dimensions d'un oeuf de pigeon. Son
ensemble donne l'idée d'un vaste ruissellement le long
de ce curieux monument naturel.
3. Zravertin de Saint Ouen — Dans beaucoup de lo-
calités le travertin de Saint Ouen est traversé par des
puits naturels dont l'allure et les caractères sont analo-
gues à ceux présentés dans le calcaire grossier.
Nous signalerons seulement ici les puits intéressants
des environs de Varred des prés de Meaux (Seine et Marne)
qui sont diversement ramifiés et, avec un diamétre moyen
de 15 centimètres sont remplis d'une argile rouge re-
marquablement pure et compacte.
4. Gypse — Aprés ce que nous venons de dire, la des-
cription des puits naturels que traversent les assises
gypseuses ne sauraient rien nous offrir de nouveau.
Il suffit ici de constater leur existence par exemple à
Romainville et de dire qu'ils sont ordinairement rem-
plis de matériaux argileux blanchätres ou peu colorés.
— 179 —
Mode de forage des puits naturels.
Le mode de forage des puits naturels a été l'objet
d'hypothéses contradictoires. Certains géologues, tels que
MM. Melleville et Leblanc ont voulu y voir des canaux
d’éjection ayant émis successivement les éléments des
terrains superposés et qui plus tard sont devenus ab-
sorbants comme ils le sont aujourd'hui. Cependant telle
n'est pas la maniére de voir de tous les savants qui
ont étudié les accidents qui nous occupent. D'Archiac,
de Senarmont et beaucoup d'observateurs anglais, admet-
tent au contraire que les puits ont été creusés par les
eaux ruisselant à la surface.
Nous avons pensé que l'observation pure et simple
n'est pas suffisante pour résoudre un probléme de cette
nature et que la forme méme des cavités, tout irrégu-
liére qu'elle soit doit dépendre en partie, du sens suivant
lequel a eu lieu l'attaque de la roche calcaire.
Dans des expériences variées, des blocs de calcaire
furent soumis à l’action de l'eau acidulée à divers de-
grés et arrivant sous des pressions inégales, tantót par-
dessus et tantót par-dessous. Des puits furent toujours
creusés ainsi, mais de formes essentiellement différentes
selon le cas et se rapportant à deux types principaux
tellement nets qu'on reconnait à la premiére vue s'ils ont
été forés par un jet ascendant ou par un jet descen-
dant. Dans le premier cas, on obtient une cavité cono-
ide dont la pointe est dirigée en haut et qui conserve
cette forme lors méme que la perforation des blocs a
été complete. Avec un jet descendant, au contraire, la ca-
vité est grossièrement cylindrique et présente dans ses
irrégularités les analogues les plus intimes avec les cavi-
tés naturelles.
12°
— 180 —
En présence de ces résultats il ne parait pas possible
d'hésiter plus longtemps et de penser encore que les
puits aient été creusés par des eaux geyseriennes. —
Nous rappellerons d'ailleurs qu'on a la preuve que le
forage a été progressif et lent. La disposition des lits de
cailloux, horizontaux, avant le forage et maintenant plus
ou moins inclinés suivant l'axe des puits ne peut s'expli-
quer autrement.
Cette conséquence s'applique au travertin de Saint
Quen et au gypse exactement comme au calcaire gros-
sier. Pour ce qui est du puits naturel signalé à Fleu-
rines dans les sables moyens, il faut remarquer que son.
mode de formation quoique rentrant dans le mécanisme
général a cependant exigé certaines conditions particu-
lieres. |
Tout d'abord, on peut reconnaitre que la colonne est
plus ancienne que le relief actuel de la contrée et qu'elle
date d'une époque où le sable moyen, aujourd'hui à fleur
de sol était recouvert, comme il l'est encore dans la
butte voisine de Saint Christophe des couches de calcai-
re de Saint Ouen. C'est en effet à cette formation qu'ap-
partiennent les blocs calcaires contenus dans la tour na-
turelle de Triéges car on peut y observer les limnea
longiscata, planorbis rotundatus, etc.
Cela posé, nous devons admettre que les eaux super-
ficielles ont exercé sur le travertin inférieur une action
corrosive analogue à celle qui nous occupait tout à l'heure.
Le carbonate de chaux dissous était entrainé au tra-
vers des sables sousjacents et c’est à sa précipitation
qu'il faut attribuer la production des grés en grappes d'un
si remarquable effet. Il se forme donc un cylindre creux
de grès dont le diamètre alla toujours en grandissant au
fur ef à mesure de la corrosion supérieure. En méme
— 181 —
temps, les blocs calcaires et gréseux venant d'en haut
pénétraient plus profondément dans les puits et contri-
buaient à la soliditó toujours menacée par la poussée
des sables. L'absence de grés concrétionné à l'intérieur du
cylindre s'explique aussi aisément en remarquant que c’est
exclusivement par la paroi en contact avec le sable po-
reux que l'acide carbonique contenu dans l'eau pouvait
$e dégager: dans l'intérieur, circulaient toujours des eaux
capables de dissoudre le calcaire et les grés formés d’a-
bord étaient désagrégés puis entrainés sous forme de sable.
Mode de remplissage des puits naturels.
Les faits précédents conduisent donc à reconnaitre
que le forage des puits naturels s'est fait de haut en
bas et que les cavités contiennent beaucoup de matériaux
provenant de la surface. Cependant certains éléments du
remplissage ont une origine différente et il convient
d'autant plus de l'indiquer que l'on verra que les maté-
riaux dont il nous reste à parler prennent rang parmi
les alluvions verticales.
. Ainsi, l'argile rouge contenue dans les puits du caleai-
re grossier se trouve étre identique à elle méme dans une
foule de localités distantes les unes des autres. Elle est
aussi, comme on l'a vu, de plus en plus pure à mesure
qu'on l'étudie dans. des régions plus profondes de facon
que certaines ramifications étroites forment une vraie
lithomarge comparable à celle des filons. Dans les puits
de Varreddes qui traversent le travertin de saint Ouen,
les faits sont absolument les mêmes et l'argile rouge in-
terposée entre les blocs de la tour naturelle de Frieges
est encore pareille.
— 182 —
Nous avons analyse diverses varietes de ces argiles et
les résultats, qui ne peuvent trouver place ici nous ont
montré la plus étroite analogie de ces substances avec
les argiles nettement geyseriennes qui accompagnent les
minéraux de fer en grains où les phosphorites tertiaires.
Cetie argile rouge ne se trouve pas seulement d’ail-
leurs dans les puits naturels mais elle colore aussi l’as-
sise de diluvium qui les surmonte et qui, connue sous
le nom de Diluvium rouge recouvre comme = man-
teau une partie de l'Europe.
La question est de savoir d’où provient cette argile
rouge ei à cet égard encore les opinions sont trés-par-
tagées. Un de nos archéologues les plus distingués М.
Reboux, se basant sur des faits observés par lui en Nor-
wege et en Suède pense que le limon qui nous occupe
a été déposé par une neige tombante à l'époque glaciaire
pendant des milliers d'années au bout desquelles elle
s’est fondue en donnant lieu à des torrents d'eau aux-
quels on altribuerait peut étre en partie le creusement
de nos vallées. Malgré l'autorité justement acquise aux
opinions de M. Reboux, et porté que nous sommes à
penser qu'on a bien exagéré le róle de la neige et de
la glace à l'époque quaternaire, au moins dans nos
environs nous émettrons le voeu que l'opinion qui vient
d'étre indiquée soit appuyée sur des faits plus précis et
plus complets. I faudrait par exemple, indiquer ou la
neige a puse charger d'un limon si abondant et si con-
stamment semblable à lui méme.
Nous avons déjà dit, que, si on examine la maniére dont
largile rouge est distribuée dans les puits naturels, on
reconnait bientót que bien qu'elle teigne toute. la masse,
elle est trés-inégalement repartie dans les diverses ré-
gions. Elle forme comme une sorte de doublure de tous
— 183 —
les puits. Dans le fond des puits parfois elle existe
seule et l'on vient de voir qu'elle se retrouve dans les
canaux d'ascension de diverses substances émises certai-
nement de la profondeur. C'est la gangue ordinaire des
minéraux de fer en grains de la Champagne et de la
Franche Comté; on la retrouve dans le Quercy avec
les phosphorites si recherchés pour l'agriculture et qui
résultent évidemment de concrétions fontigéniques. En-
fin, pour borner nos exemples elle figure au premier
rang parmi les matiéres rejetées au dehors par les puits
naturels du Val de Delemont en Suisse, si bien étudié par
M. Gressly.
Dans cette maniére de voir, l'argile rouge de nos en-
virons serait sortie par les puits pour venir teindre le
diluvium, primitivement gris, qu'elle caractérise mainte-
nant. Les eaux qui la charriaient sous forme d'allu-
vion verticale et qui, dans tant de régions ont déposé
des substances d'origine chimique, pouvaient d'ailleurs
jouir de propriétés dissolvantes par lesquelles s'expli-
queratt l'absence des fossiles dans le diluvium rouge alors
qu'on les retrouve avec tant d'abondance dans les assi-
ses du méme áge mais non rubifiées.
Quand. à la region ou les eaux ascendantes ont été ar-
racher la substance argileuse, c'est ce qu'il est impos-
sible de pr&eiser et l'on peut penser qu'elle résulte du
mélange d'éléments fournis par des couches diverses. Ce
qui le montre, c'est le mélange avec elle de sable pro-
venant de la dissolution méme du calcaire grossier, tou-
jours impur et quartzifére. C'est un point sur lequel
nous avons à revenir et il faut retenir surtout de ce
qui précéde que les puits naturels ont dans beaucoup de
cas livré passage à de vraies alluvions verticales.
— igi —
Chapitre II.
Des failles dans leurs rapports
avec les ailuvions verticales.
Evidemment nous n'avons pas à décrire ici les failles
accidents géologiques connus de tout le monde. Nous de-
vons nous borner à noter que certaines failles ont ouvert
le passage à des alluvions verticales tr&s-volumineuses
et que plusieurs d'entre elles en sont encore remplies.
Nous avons surtout étudié à ce point de vue les fail-
les qui limitent si nettement la vallée de la Seine en-
tre Paris et Rouen et notre attention s'est portée de pré-
férence sur la localité dite la Maladrerie prés de Bey-
nes (Seine et Oise.)
Dans ce point, la faille est ouverte au travers de la
craie à Micraster cor anguinum et de l'argile plastique
qui lui est immédiatement superposée. Son épaisseur est
de plusieurs métres et le sable qui la remplit offre à
l'examen lithologique des grains de nature trés-variée.
Soumis au lavage il abandonne un limon trés fin, mi-
cacé et de nature kaolinique. Il est absolument infusible
au chalumeau et cuit en restant blanc. Le lavage en
queslion s'est parfois réalisé spontanément dans la natu-
re et dans certaines portions du filon c'est le limon qui
remplit toute la faille. Le limon donne souvent par les
acides une très-légère effervescence; elle est due sans
doute à du calcaire provenant d'infiltration.
Le gravier extrait par la lévigation a été soumis à
un triage qui a fourni un irés-grand nombre d'espéces
de grains dont nous ne mentionnerons ici que les prin-
cipales.
Ce qui domine c'est le quartz. Il se presente à plu-
sieurs étais. Des cristaux souvent très-nets se montrent
quelquefois, nous en conservons où la pyramide à six fa-
ces est à peine émoussée. Beaucoup de grains laissent
voir aussi des vestiges de cristallisation. Les grains les
plus fréquents sans comparaison consistent en quartz hya-
lin, mais absolument dépourvu de forme cristalline et ren-
fermant trés-ordinairement des bulles de gaz et de li-
quides comme le quartz ordinaire des granites. — D’au-
ires grains sont laiteux comme le quartz de filons si
fréquents au travers des roches cristallines. Ça et là se
montrent des grains vivement colorés en jaunâtre, en rou-
geätre ou en noirâtre. Parmi eux il en est qui semblent
consister en silex, au moins d’après leur cassure et leur
inaction sur la lumière polarisée. — Enfin certains échan-
lillons de nature quartzeuse paraissent être formés de
grès de quarzites et de meulières de couleurs et de struc-
tures variées.
A coté du quartz ce qui domine c’est le feldspath. Le
feldspath inaltéré est toutefois extrémement rare. On le
reconnait surtout à son clivage et à sa friabilité, car
par son éclat et sa couleur il se rapproche beaueoup
du quartz laiteux mentionné tout à Vheure. Plusieurs
petits grains sont constitués par du feldspath grenu
comme les leptinites ou par du petrosilex agathoide.
Mais c'est sous la forme de fragments crayeux à peine
jaunátres que le feldspath se montre surtout. Il est
alors identique à certaines variétés qu'on peut receuil-
lir à Chanteloube par exemple et qui forment un pas-
sage entre l’orthose intacte et le Kaolin proprement dit.
Cette matiére est encore fusible mais son aspect est déjà
terreux; on y retrouve les clivages de l'orthose qui sont
méme devenus beaucoup plus faciles qu'avant l'ltéra-
tion. La présence simultanée dans le sable granitique
— HA —
du feldspath intact, du Kaolin et de ce minéral in-
lermédiaire parait très-digne d'attention. Elle peut é-
clairer à la fois le mode de formation du Kaolin et le
régime des eaux qui s'élevaient dans les failles.
Nous aurons énuméré les parties les plus facilement
déterminables; du sable en question, quand nous aurons
signalé des débris de corps organisés silicifiés. Is sont
extrémement rares mais parfaitement caracterisés. Nous
avons isolé spécialement des débris de polypiers dont
láge pourra sans doute être déterminé. |
Comme nous lavons déjà dit, nous passons un grand
nombre de substances représeniées par trop peu de ma-
tière pour pouvoir être complètemeut étudiées; mais ce qui
précéde suffii pour montrer combien est complexe la
nature du sable de la Maladrerie. Cette complexité tient
évidemment aux causes multiples d'oü il résulte. Avant
tout, le granite constituant le soubassement de nos ter-
rains stratifiés a été attaqué par des eaux sans doute chau-
des et peut-être chargées de principes salins ou acides.
La Kaolinisation du feldspath opérée vraisemblablement
ou par les eaux ou par les agents externes, postérieure-
meni à lescension du sable n'a pas été complète et
c'est pour cela que le Kaolin est accompagné de
feldspath seulement crayeux et même intact. A cet
égard nous disons que des expériences nombreuses, exé-
cutées au laboratoire de géologie du Museum de Paris
nous ont fait voir que la transformation du granit le
plus compacie en areme tout à fait friable peut étre ob-
tenue de la manière la plus simple par l'application sur
la roche de la chaleur rouge. Un appareil spécial nous
a permis d'étudier l'action simultanée de celte tempéra-
ture, de l'acide carbonique et de la vapeur d'eau sur des
fragments granitiques. Apres plusieurs heures nous п’а-
M 7,
vons pas constaté d'action décomposante sensible sur le
feldspath.
Quoiqu'il en soit dans la faille de la Maladrerie, l'eau
jaillissante a entrainé les matériaux granitiques au travers
d'une épaisse succession de couches stratifiées dont
les éléments insolubles entrérent en mélange avec les
minéraux cristallins. Les silex surtout et les grés ont
présenté des conditons favorables. Enfin on vient de dire
que quelques coquilles silicifiées ont exceptionnellement
échappé aux causes de démolition si nombreuses dans le
courant sableux.
Nous aurons à revenir sur l'analogie de cette alluvion
verticale avec les alluvions horizontales des rivières et
sur la lumiére qui en résulte pour la constitution des
couches plus ou moins profondes qui nous séparent du
granite. Il faut ajouter seulement que les couches infé-
rieures ne sont pas seules à fournir de la substance au
sable qui remplit la faille. Des couches plus récentes
que celles qui forment aujourd'hui la surface du sol et
qui ont été enlevées manifestement par voie de dénuda-
tion ont apporté aussi leur contingent à cette collection
lithologique. Du nombre sont les meuliéres, représentées
par des fragmentis dont l'étude promet d’être très-in-
structive à divers points de vue.
L'un de ces fragments s’est présenté à nous au milieu
méme de la masse sableuse à plus de £ mètres au-des-
sous de la surface du sol et contraste avec tous les autres
par des dimensions relativement considérables. West un
bloe anguleux grossiérement parallélépipédique ayant 18
centimètres de longueur, 15 de largeur et 11 d'épais-
seur. Il fait maintenant partie des collections du Museum
et il conserve encore sur plusieurs de ses faces un em-
pätement Kaolinique qui en ferait reconnaitre l'origine.
— 188 —
Minéralogiquement ce bloc consiste en silex meulier,
assez caverneux, analogue à beaucoup d'égards aux meu-
liers des deux niveaux de la Brie et de la Beauce. Une
section transparente y montre au microscope la structure
ordinaire des meuliers et des vestiges de corps organi-
sés. Les plus nets parmi ces derniers paraissent devoir
étre rapportés à des spores et consistent en ellipsoides
de dimensions fort uniformes dont le petit diamétre est
en moyenne de 0””0198 et le grand de 00264. En
brisant le bloc on reconnait qu'il est comme enveloppé
d'une écorce de plus de 1 centimétre d'épaisseur, non
séparée nettement de la masse interne mais présentant
néanmoins des caractères très-spéciaux. Elle est d'un gris
cendré plus ou moins violacé et parait bulleuse; la pre-
miére pensée, quand elle est séparée de la roche dont
elle fait partie est d'y voir une substance scoriacée. Les
essais chimiques y montrent, outre la silice une propor-
tion notable d'alumine, de facon qu'on est complétement
dérouté lorsque l'on recueille, comme cela est fréquent
de petits fragments de cette substance au milieu du sa-
ble Kaolinique.
Nous avons vu que la meuliére de la Maladrerie est
vacuolaire. Dans les parties centrales du bloc, les vacuo-
les sont à peu prés vides et traversées par des lamel-
les de silex. Vers la periphérie les vacuoles se présen-
tent tout autrement: elles sont en effet remplies d'un sa-
ble trés-fin, brillant sec et rude au toucher. Ce sable sur
lequel s'appelle l'attention d'une manière spéciale est
insoluble dans les acides et dans les lessives alcalins.
L’acide fluorhydrique l'attaque et il se dissout dans la
potasse fondue. On n'y reconnait que de la silice. Au
microscope, il apparait comme exclusivement formé de
— 189 —
eristaux de quartz, absolument réguliers, bipyramidés,
n’offrant que tres-rarement une tendance au groupement;
ilfaut les avoir vus pour se faire une idée de la perfec-
tion de ces cristaux, bien différents de tous ceux que
fournissent les couches parisiennes. П suffit. de comparer
le sable qui nous occupe à celui que fournissent les
caillasses et qui est consideré comme formé de quartz
eristallise pour voir combien les conditions étaient dans
le filon de la Maladrerie plus favorables à la cristallisa-
lion. J'ai examiné le quartz des caillasses recueilli à
Puteaux, à Issy, à Nanierre au Moulin de Jaignes (Sei-
ne et Marne), etc. dans tous les cas, les grains sont
évidemment cristallisés et trés-actifs sur la lumiére po-
larisée; mais aucun n'est tout-à-fait entier et l'immense
majorité présente les formes fragmentaires les plus ir-
réguliéres. A la Maladrerie au contraire, non seulement
les eristaux sont parfaits mais leurs dimensions sont trés-
voisines les unes des auires. Les plus petits ont en lon-
gueur 0770165 et en diamètre 0””0099; les plus gros
0770561 de longueur et 070297 de diamètre. Le plus
grand nombre est voisin de la moyenne entre les extre-
mes; les dimensions qui paraissent revenir le plus sou-
vent sont: longueur 0702614, diamètre 0770139. Un
irait caractéristique de ces cristaux est de présenter vers
leur centre de figure un amas de matière étrangère
noirátre trés-peu abondante et qui parait avoir été re-
foulée comme par une sorte de liquation lorsque la sub-
sfance quarizeuse cristallisait; disposition analogue à
celle des chiastolithes. Une matiére noirátre analogue à
celle des cristaux mais beaucoup plus abondante se pré-
sente dans la masse méme de la meuliére ou l'on re-
marque, comme dans divers autres silex que les vacuo-
les sont souvent encadrées de couches successives plus
— 10 —
ou moins épurées contrastant avec la matière moins choi-
sie qui se trouve plus loin.
Comme on voit, l'état minéralogique de la meuliére qui
vient d'étre décrite montre nettement les actions dé-
veloppées dans l'intérieur du plan lors de l'ascension de
l’alluvion verticale. La présence de la croüte pseudosco-
riacée et surtout celle des cristaux de quartz dans les
vacuoles, affirment une véritable influence métamorpho-
sique éprouvée par la pierre siliceuse. Les cristaux indi-
quent méme davantage étant tout-à-fait comparables à ceux
que M. Daubrée a obtenus dans les tubes oü il avait
soumis du verre à la corrosion de l'eau suréchauffée.
Chapitre III.
Róle géologique des Alluvions verticales.
Leur part dans l'édification de diverses couches quaternaires et
tertiaires.
Ce qui précéde suffit pour faire voir que les alluvions
verticales sont loin de constituer des exceptions dans la
série des espéces stratigraphiques. Nous allons montrer
qu'elles ont à diverses époques joué un róle considé-
rable.
Tout d'abord, il convient de se demander à quel mo-
ment de l’histoire du glohe remonte l'ouverture des
puits et des failles qui leur ont livré passage.
Il y en a de l'époque actuelle: nous avons déjà cité
les forages artificiels comme celui de Grenelle toutes les
eaux jaillissantes et beaucoup de sources amènent au
jour de vraies alluvions verticales. Pour la faille de
Vernon et de Mantes, il parait trés-établi que son ou-
— 191 —
verture date de l'époque où se déposaient les meulié-
res supérieures et on peut croire, d'aprés ce que nous
avons exposé que la sortie des sables a pu se faire pen-
dant un temps prolongé.
Les puits naturels offrent cette circonstance, qui pa-
rait constante, de venir tous déboucher dans les couches
actuellement les plus superficielles, ce qui résulte de leur
mode méme de forage que nous avons vu avoir eu lieu
de haut en bas. En Angleterre ils s'ouvrent sous le plio-
céne; en France sous le diluvium: mais ils sont posté-
rieurs à ces terrains puisque ceux-ci ont pénétré len-
tement, au fur et à mesure du forage dans leur cavité
sans cesse plus profonde.
Toutefois divers faits qu'il faut résumer maintenant
montrent que les alluvions verticales ont contribué à
l'édification de certaines couches quaternaires et méme
de certaines couches tertiaires non remaniées. Le phéno-
mène que nous étudions est donc bien plus ancien qu'il
ne parait à la premiere vue.
Terrains quaternaares.
L'apport dans le diluvium de l'argile qui le teint si
fréquemment en rouge nous a déjà occupé et l'on a vu
comment de ce chef les alluvions verticales émises par
les puits naturels ont contribué à l'édification de cou-
ches quaternaires. Les failles paraissent avoir agi d'une
maniére analogue, comme nons allons le montrer.
Beaucoup de géologues pensent que des actions d'une
énergie exceptionnelle sont nécessaires pour expliquer
le mode de formation des dépóts diluviens. D'autres au
contraire cherchent à prouver que l'existence des gigan-
— 192 —
tesques courants qui, suivant les premiers caractérise-
raient l'époque quaternaire, n’est aucunement démon-
trée et croient reconnaitre que les causes actuellement
agissantes sont capables de donner lieu aux mêmes ef-
fets. Un grand nombre nous conduisent à nous ranger à
cette derniére opinion et sans développer aujourd'hui
tous les détails de la question nous dirons notre manié-
re de voir sur le soi-disant diluvium des plateaux qu'on
observe sur tant de hauteurs autour de Paris.
Ce diluvium, extrémement complexe renferme des élé-
ments dont l'origine est trés-diverse. Nous n'avons en
vue en ce moment que ceux dont la nature est évidem-
ment granitique et qui consistent spécialement en quartz
et en feldspath.
On a généralement cherché à en expliquer la présen-
ce par la supposition de grands courants apportant sur
les cóteaux le produit de la désagrégation des roches
des massifs granitiques les moins éloignés. Or, on ima-
gine ce que devraient étre de semblables torrents pour
charrier ces grains pierreux à de pareilles hauteurs et
à des centaines de kilométres de distance.
C'est en présence de cette difficulté que la pensée
nous est venue de comparer les grains granitiques en
queslion à ceux que conliennent les alluvions verticales
telles qu'on en a décrit précédemment à la Maladrerie.
On arrive' ainsi à en reconnaitre l'identité compléte et
dés lors il est évident qu'on doit renoncer à l'hypothése
non justifiée de grands courants horizontaux pour ad-
mettre l'origine profonde des matériaux en question.
Terrains tertiaires.
1. Glauconie. — Un des repères les plus nettement ca-
ractérisés de la géologie parisienne consiste dans la couche
— 193 —
glauconienne plus ou moins mince qui forme comme le
soubassement du calcaire grossier. Malgré son épaisseur
parfois trés-faible on le retrouve avec le méme aspect
sur une très-vaste surface. Cependant si l'on compare
entre eux des échantillons provenant des diverses loca-
lités ou la couche a été mise à découvert on ne tarde
pas à reconnaître à côté de caractères constants, des
différences notables. L'étude des uns et des autres peut
conduire, surtout en ce qui concerne les alluvions verti-
cales, à des conséquences iniéressantes. Nous avons exa-
miné surtout des échantillons recueillis par nous-méme
à Vaugirard, à Sèvres, à Cordeville (prés Ге Adam) à
Mortainville, à Chaumont en Vexin, à Trolly Breuil dans
la forêt de Compiègne, à Vauxbuin prés de Soissons etc.
Passant sous silence les résultats fournis par les trois
premiéres localités et par la derniére par ce qu'ils font
double emploi avec ceux qui vont étre exposés, nous
rapporterons successivement ce qui résulte de l'examen
lithologique du sable à glauconie des autres points énu-
mérés.
Glauconie de Mortainville. — La couche se présente
ici au-dessus de l'argile plastique qui la sépare du cal-
caire pisolithique et est surmontée par le caicaire gros-
sier inférieur. On y recueille au moins trente espèces
de fossiles dont le plus caractéristique est le Cardita
planicosta (Lamk.). Parmi les fragments lithoïdes qui con-
stituent le sable, les plus apparents sont des silex attei-
gnant parfois le volume du poing et identiques par leur
forme arrondie, avec les galets de la plage de Dieppe
par exemple. En les brisant on reconnait que les uns
sont uniformément noirátres, tandis que d'autres sont
zonaires, reproduisant les deux variétés principales de
silex et de la craie supérieure. Ceci mérite d'autant
Л 3. 1876. | 13
— 194 —
plus d'étre noté que celle-ci n'est nulle part en place dans
le voisinage immédiat de Mortainville. Cette localité est
établie sur le calcaire pisolitiique, reposant sans in-
termédiare sur la craie à Micraster Cor anguinum.
Beaucoup de ces silex présentent l'altération farineu-
se superficielle et l'on trouve à côté d'eux un trés-
grand nombre de petits cailloux de méme nature mais
devenus extrêmement friables. Ceux-ci contrastent par
leur forme avec des fragments angulenx quoique polis
sur toutes leurs surfaces et qui n'ont subi aucune alté-
raiion: vu leur opacité complete, méme sur les arétes
les plus minees, on doit les considérer comme étant
de nature jaspique. A cóté de ces matériaux siliceux il
faut citer des fragments peu nombreux d'un calcai-
re à grains grossiers coloré par la limonite et dont
l’âge géologique n'a pu être déterminé et nous passons
sous silence un cerlain nombre de grains jusqu'ici indé-
terminés. Mais ce qu'il importe de signaler, c'est la pré-
sence de trés-nombreux grains de quartz hyalin, limpi-
des ou laiteux contenant des intrusions de gaz ou de liqui-
des, comme on en observe si fréquemment dans le quartz
des granites. Son origine granitique est affirmée encore
par son abondance qui écarte l'idée qu'il puisse dériver
des géodes cristallines si souvent contenues dans les silex
de la craie. Qu'on examine le sable actuel de la plage de
Dieppe et l'on verra combien le quartz hyalin est rare.
D'ailleurs et ceci achève la démonstration le cristal de
roche de Mortainville est mélangé d'une forte proportion
de grains analogues plus ou moins fibreux et tout im-
prégnés de matiére verte, épidote, clinochlore ou autre,
comme on en observe dans les roches schisto-cristal-
lines. Pour le dire en passant, c'est peut-éire à une al-
tération spéciale de cette matiére verte, qu'il faut rap-
— 195 —
porter l’origine même de la glauconie proprement dite,
laquelle dans le sable que nous étudions constitue une
foule de grains d’un vert sombre passant au noir.
En résumé le sable à glauconie de Mortainville résulte
des mélanges de fragments granitiques avec des matières
fournies par les assises supérieures du terrain crétacé.
Glauconie de Chaumont en Vexin. A Chaumont en
Vexin et au Vivray, la composition de la couche à glau-
conie n’est pas exactement la méme qu'à Mortainville.
D'abord cette couche y est plus épaisse et sépare le
calcaire grossier des sables dits à tétes de chat (à
cause des concrétions tuberculeuses qu'ils contiennent).
Les grains anguleux et polis signalés plus haut appa-
raissent encore, mais ils sont passés à un état voisin de
l'argile ce qui confirme d'ailleurs leur rapprochement
avec le jaspe. Le quariz de granite est extrémement
abondant et comme pour bien témoigner de son origine
primitive il est accompagné de quelques rares grains de
feldspath orthose. J'en conserve un petit échantillon n'ayant
subi aucune altération el montrant un clivage extréme-
ment brillant. On revoit encore le quartz plus ou moins
fibreux et pénétré de silicates verts, rappelant les roches
Schisto-eristallines et les grains glauconieux sont trés-
nombreux. Mais nous avons à signaler des roches non
signalées précédemment.
Tout d'abord un grés quartzeux lies dont les ca-
ractéres se retrouvent dans le grès à inocérames de Fre-
cambault prés Saint Florentin, dans le département de
l'Yonne. Ge dernier appartient à l'étage du gault qui
parait bien, comme d’autres faits vont nous le montrer
tout à l'heure, avoir fourni des éléments à la couche qui,
autour de Paris, préludait au dépót du calcaire grossier.
Le calcaire est représenté dans le sable de Chaumont par
13°
— 196 —
trois variétés de fragments bien distinctes. Les uns sont de la
craie blanche reconnaissable au microscope et àtous ses ca-
ractères. D'autres qui sont gris et friables rappellent les
couches de craie chloritée de Beauvais, de Bellesme et
du Cap La Héve. ll en est enfin qu'on ne pourrait dis-
tinguer d'une roche arénacée du Mont Aimé, dépendant
du calcaire pisolithique.
Le sable de Chaumont en Vexin offre donc à l'examen
lithologique des fragments granitiques mélangés à des
grains paraissant provenir du calcaire pisolithique, de la
craie blanche, de la craie chloritée et du gault, c'est à
dire des principales assises du terrain crétacé.
Glauconie de Trolly Breuil. — Trolly-Breuil, prés de
Cuise Lamotte on trouve des matériaux lithoides tres-
variés en tête desquels se remarqueni encore les diverses
variétés de quartz granitiques. La plupart des grains
quartzeux sont laiteux avec des bulles liquides ou ga-
zeuses; mais il y en a de limpides et dans le nombre de
rosés; certains d'entre eux sont imprégnés de la matière
verle déjà signalée. Le silex est représenté par des frag-
ments anguleux noirätres, très-nets, mais moins abondants
que les fragments de jaspe. Ceux-ci, de nuances variées,
se présentent souvent avec des caractères d'autant plus
remarquables qu'ils sont les mémes malgré la distance
dans la couche correspondante de Sèvres: c’est-à-dire
avec une teinte rosée ou violátre très spéciale et une
structure caverneuse un peu meuliériforme. Je ne men-
tionne pas tous les grains que l'on peut isoler du sable
de Trolly-Breuil, mais je citerai certains grains brunätres,
polis, fragiles et peu durs, que l'essai chimique fait
reconnaitre comme riches en phosphates de chaux. La
présence dans des couches voisines de nombreuses denis
de squales pourrait faire croire qu'il s'agit là de débris
‚ — 197 —
analogues, mais l'examen de la ‘structure suffit pour mettre
en garde contre cette assimilation inexacte et tout porte
à rapprocher les grains phosphates de Trolly, des rognons
de phosphorite du gault. On se rangera d'autant plus
volontiers, je pense, à cette opinion qu'il est facile de
s'assurer que la couche de Trolly-Breuil ressemble inti-
mement dans son ensemble au grés glauconifere avec
quartz et silex de l'étage du gault que l'on rencontre par
exemple à Novion (Ardennes).
Le sable à glauconie de la forét de Compiégne admet
donc en mélange des débris granitiques et des matériaux
provenant des assises inférieures du terrain crétacé.
2. Sables de l'argile plastique. C'est à un horizon un
peu plus lointain que se rencontrent aux environs de
Montereau et dans beaucoup d'autres localités des sables,
subordonnés à l'argile plastique et contenant en abon-
dance le quartz granitique. Le Kaolin y est abondant et
la liaison de ce dernier avec l'argile plastique proprement
dite parait de nature à éclairer la vraie origine, encore
douteuse de celle-ci. On y observe une proportion trés-
notable de silex pyromaque, provenaut de la craie et
finement broyé.
Ce qui conduit d'une maniére irrésistible à regarder
ce sable comme se rattachant aux alluvions verticales,
c'est son analogie avec le sable de Thiverval dont la
composition lithologique de méme que la liaison avec le
sable déjà décrit de la Maladrerie rendent l'origine in-
contestable.
3. Sable de Thiverval.—Le gisement zoologique du sab-
le de Thiverval est fort intéressant, à plus d'un titre. Il
repose sur la craie à Micraster cor angwinwm el sup-
porte une sorte de conglomérat crayeux trés-remarqua-
ble. Plus haut viennent successivement la glauconie su-
— 198 —
périeure trés-fossilifére et diverses couches de calcaire
grossier inférieur. Sa puissance est de plus de trois mé-
tres et sa constitution lithologique assez compliquée. Trai-
té par les acides il donne lieu à une effervescenee sen-
sible due au mélange d'un limon crayeux plus ou moins
abondant suivant les points. Le lavage en sépare du Kao-
lin trés-pur et absolument identique à celui de la. Ma-
ladrerie décrit plus haut. Le gravier qui reste aprés la
séparation du Kaolin contient du quartz de granite, in-
colore, blanc laiteux, rose ou jaunátre, pourvu de bul-
les et trés-abondant. Le feldspath plus ou moins altéré
s'y montre à chaque instant. La masse est toule rem-
plie de trés-petits éclats de silex pyromaque noir, pro-
venant de la craie et donnant à la roche arénacée sou-
vent agglutinée en grés un aspect tout spécial. Nous y
avons reconnu aussi des grains noirs absolument opa-
ques sur les bords minces et qui paraissent devoir étre
rapprochés du jaspe.
4. Conclusion de ce chapitre.—Les faits qui viennent
d'étre exposés rapidement paraissent susceptibles d'une
interprétation trés-simple. On a vu qu'on peut toujours
distinguer dans les sables décrits ci-dessus des matéri-
aux derivant de formations stratifiées plus anciennes et
de matériaux provenant du granite.
Ces derniers semblent à première vue avoir été por-
tés où on les observe par des courants horizontaux com-
parables, à l'époque éocéne, à ceux que beaucoup de
géologues admettent pendant la période dite diluvienne.
Cependant, nous comprenons bien mieux qu'il représente
le produit d'éruptions artésiennes analogues à celles qui,
bien plus récemment, ont amené au jour les sables Kao-
liniques de la Maladrerie. La forme des grains de quartz
est la méme dans les deux cas et le feldspath lui-même
— 199 —
se montre dans le sable éocéne comme dans le sable
éruptif proprement dit. Quant au Kaolin, il a été mé-
langé aux limons et aux argiles voisins, roches qui, d'a-
prés les études récentes sont toutes ehargées de Kaolin.
Quant aux matériaux d'origine stratifiée contenus dans
les sables tertiaires et spécialement dans les sables glau-
conieux, leur disposition aussi bien que leur nature sem-
ble étre caractéristique. L’aspect premier de la couche
répond à ce qu'on appelle le facies littoral, mais la for-
me générale est plutót celle d'un fond de mer tout en-
lier. Pour concilier ces deux conditions d'apparence
contradictoire il suffit de se transporter sur le rivage
actuel de la mer, dans un point oü la dénudation s'e-
xerce avec activité. Le littoral sud de l'Angleterre, par
exemple, fournit à un moment donné un cordon de ga-
lets qui s'accumulent au pied de la falaise. Mais par suite
des progres rapides de la mer sur la terre ferme ce cordon
se comporte comme s'il pénétrait progressivement dans
le bassin marin; relié d'une maniére intime aux galets
dont la formalion a suivi la sienne, il est devenu l'un
des éléments d'une nappe caillouteuse.
Nul doute qu'une pareille nappe ne s'étende sur tout
le fond de la Manche, €umulant l'aspect littoral et la
forme pélagique que nous venons de reconnaitre dans la
couche à glauconie. D'ailleurs, dés qu'un point de la
nappe de galets se trouve suffisamment éloigné de la côte,
par suite de la retraite de celle-ci, pour que les mouve-
ments de la. vague ne s'y fassent point sentir, un sédiment
fin peut s'y déposer entre les silex et les mollusques à
test délicat peuvent s'y établir. C'est exactement de méme
qu'à Mortainville on extrait avec surprise une foule de
coquilles fragiles, d'une couche de grosses pierres arron-
dies. Notre remarque nous parait devoir s'appliquer aussi,
— 200 —
pour le dire en passant, au mode de formation du pou-
dingue de Nemours, si intimement lié au travertin de
Chateau Landry et dont l'origine a fourni la matière de
si nombreuses discussions. D'un autre côté, les variations
que nous avons constatées suivant les localités dans la
nature des grains constitutifs des sables à glauconie,
résultent à la fois de deux causes distinctes.
La premiere dont nous avons observé les effets dans la
faille de la Maladrerie est la contribution fournie par les
couches stratifiées aux alluvions verticales dont le courant
les traverse de bas en haut. La seconde réside dans la
variation des falaises qui bordaient la mer tertiaire aux
points considérés.
À ce dernier égard on reconnait en effet que sur nos
côtes, dont les conditions ordinaires et à part ce qui
concerne les limons les plus fins les éléments des sables
marins dérivent en général de la falaise la plus voisine.
Un fait particulièrement significatif dans le sujet qui nous
occupe concerne le sable actuel de la plage de Dieppe
que nous avons spécialement étudié. Malgré la proximité
des falaises granitiques du déparlement de la Manche, on
n'y recueille des débris de roches cristallines que d'une
manière tout-à-fait exceptionnelle; et c'est méme une
raison de plus pour ne pas croire à l’origine superficielle
du quartz et du feldspath dont nous parlions tout à
l'heure dans les formations tertiaires.
De telle facon qu'il parait résulter des études lithologi-
ques qui viennent d'étre résumées, des notions relatives:
Les unes à la constitution profonde des points sur les-
quels sont recueillis les sables admettant des éléments
d'origine artésienne;
Les autres à la situation et à la composition des fa-
laises détruites par dénudation à l'époque tertiaire.
— 201 —
Ce sont des directions dans lesquelles les recherches
ultérieures promettent également des résultats importants.
Chapitre IV.
Résumé général.
Ce mémoire peut se résumer en quelques mots.
Nous avons cherché à montrer que la considération
jusqu'ici négligée des alluvions verticales semble devoir
fournir à la géologie un grand nombre de notions impor-
tantes. On peut réunir les principales en trois sections.
1? Les alluvions verticales jettent du jour sur la con-
stitution des couches profondes qui supportent le sol au
point ou elles émergent; exactement comme font les
débris rapportés par la sonde lors du forage d'un puits
‚artösien. En poursuivant des études lithologiques analo-
gues à celles dont nous avons donné plus haut le ré-
sultat pour le sable de la Maladrerie on arrivera à dres-
ser des coupes fort instructives de régions inaccessibles.
2" Les alluvions verticales donnent dans une foule de
cas le moyen d'apprécier le travail de dénudation subi
par les points oü elles émergent, depuis le moment ou
se sont ouverts les canaux ascendants qui leur ont
livré passage.
Ainsi par exemple, l'existence dans l'alluvion verticale
de la Maladrerie du bloc de meuliere décrit précé-
demmment est instructif à ce point de vue. Cette pierre
survient en effet au minimum d’amas du travertin de la
Brie et plus vraisemblablement encore des couches de la
Beauce et elle est tombée verticalement dans la faille
comme nous voyons les graviers du diluvium descendre
dans les puits naturels des couches sous-jacentes. fl en
résulte qu'à la Maladrerie même où l'on ne trouve rien
— 202 —
actuellement au-dessus de l'argile plastique il existait,
lors de l'éruption du sable, des assises tertiaires enle-
vées par la dénudation. On peut à la fois apprécier l'é-
norme épaisseur enlevée par la dénudation et reconnaitre
l'allure tranquille de celle-ci puisque l'argile plastique,
si éminemment délayable est néanmoins restée encore
sous forme de lambeau au sommet du monticule. ©
De méme la colonne naturelle de Fleurines, puits ouvert
comme on l'a vu dans les sables moyens parait fournir
une évaluation du travail de dénudation lente subie
par la surface du sol au point oü elle se présente. Voici
comment: la petite colline de Friéges est formée du haut
en bas par les sables moyens mais la butte de Saint-
Christophe à laquelle elle sert, pour ainsi dire de contrefort‘
présente au-dessus de ces sables, des grés, puis le tra-
vertin de Saint Ouen recouvert lui-même par d'autres
formations plus récentes. Or la colonne prouvait qu'au
dessus de Friéges, le Saint-Ouen a existé dans le passé
et, d'autre part, la proximité des points autorisant à sup-
poser que l'épaisseur des couches était sensiblement la
méme sur les deux buttes, on arrive à reconnaitre que
la dénudation subie par le haut du puits naturel, et con-
séquemment par les couches oü il est compris, dépasse
un cinquantiéme de mètre.
5° Enfin la considération des alluvions verticales contri-
buera trés-efficacement à écarter des chapitres de géo-
logie ou elle subsiste encore la supposition de cata-
clvsmes et d'actions violentes dont on ne voit aucun
analogue parmi les phénomènes actuels. Ce que nous
avons dit de l'origine profonde du diluvium des plateaux
nous dispense de revenir sur ce point autrement que
pour en faire une simple mention.
SEANCES
DE LA
SOCIETE IMPERIALE DES NATURALISTES
| DE MOSCOU.
SEANCE DU 15 AVRIL 1876.
Mr. le Baron М. Chaudoir envoie une Monographie des Siagonides:
S. Exc. Mr. J. Weinberg présente ses observations météorologi-
ques faites pour toute l'année 1875 avec le Résumé des observa-
tions météorologiques.
Mr. Nic. Valoukovsky envoie une notice sur la multiplication de
l'anguille fluviatile.
Mr. le Conseiller d'état Dr. Knoch de St.-Pétersbourg mande qu'il
sera chargé par le Ministre des domaines de visiter les bouches
du Volga afin d'y organiser la pisciculture artificielle des esturgeons
et autres accipensers que l'on veut transplanter dans le bassin de
la mer,baltique. — Une partie de cette récolte sera sans doute en-
voyée à l'exposition internationale de Philadelphie comme à la der-
niére exposition à Vienne avait figure la pisciculture des estur-
geons.
L’Academie nationale des sciences exactes de Buenos Aires envoie
les premiers 4 Numéros de son Bulletin et désire entrer en échan-
ge des publications.
XM 3.18976. — 1
QM kv.
Mr. le Professeur Charles Berg de Buenos Aires écrit qu'il est
occupé à rassembler de nouveau pour nos collections d'ici des ob-
jets d'histoire naturelle et d'ethnographie.
M. Popeläeff se proposant d'entreprendre une excursion géogno-
stique dans les Gouvernements de Moscou, Samara et Saratow, prie
de lui procurer l'autorisation pour avoir des relais de poste des ha-
bitans de ces contrées.
Mr. Alexandre Becker de Sarepta remercie pour le Bulletin № 4
de 1875 et écrit qu'il se propose de faire depuis le commencement
du mois de mai une nouvelle excursion à Schemakha, la steppe de
Moyan dans les hautes montagnes du Daghestan. Mr. Becker espé-
re y faire une ample récolte de plantes parmi lesquelles il y aura
sürement aussi beaucoup de nouvelles espéces.
Mr. J. D. E. Schmaltz, Secrétaire du cercle pour l'entretien sur
l'histoire naturelle à Hambourg remercie pour l'envoi du Bulletin
№ 2 de 1875 et exprime le désir de cette corporation d'obtenir aus-
si le № 1 du Bulletin de la méme année et quelques autres publi-
cations de la Société concernant les Lépidoptéres et des Orthoptéres.
Mr. Schmaltz écrit en méme temps que le second volume de
leurs Mémoires va paraitre à la fin de ce mois.
Mr. le Conseiller d'état Ed. Bogd. Lindemann de Kischinew re-
mercie pour le dernier Numero (4) du Bulletin et parle sur le gen-
re Scleranthus dont il possède jusqu’à 113 formes distinctes de
provenance russe parmi lesquelles on pourra sûrement distinguer
jusqu'à 20 espèces bien caractérisées.
Mr. le Dr. G. Planchon de Paris remercie pour sa nomination
comme membre actif de la Société et promet de nous envoyer do-
rénavant tous ses travaux qui pourraient nous intéresser.
Mr. Guido Schenzel envoie ses observations électro-météorologi-
ques faites dans le mois de mars à Bouda-Pest.
Le Comité d'organisation du 5-ème Congrès des Naturalistes et
des Médecins de Varsovie engage à prendre part à cette réunion
.qui aura lieu depuis le 15 jusqu'au 24 août.
Mr. le Dr. Adolf Drechsler, Directeur du Salon physico-mathéma-
tique de Dresde envoie le Catalogue et le Rapport sur ce Salon et
annonce au nom de Mr. Ch-s. Kesselmeyer de Manchester l'envoi
de plusieurs ouvrages; Mr. Kesselmeyer désire de plus faire hom-
mage à la Société d’un exemplaire des grands tableaux de son Ca-
lendarium perpetuum mobile avec 8 planches d’un 1 mètre de hau-
QUO, PAT
teur sur 0,75 m. de largeur, si toutefois Ia Société veut se charger
des frais de transport d'un colis du poids de 5 quintaux.
Mr. le Professeur Alexandre Agassiz de Cambridge annonce, qu’il
a envoyé à MM. C. B. Richard et Bous à Hambourg une caisse
destinée à la Société et contenant une collection de poissons ras-
semblés par Mr. Hassler pendant un voyage aütour du Cap Horn en
Californie et au Brésil. — Mr. le Vice-Président communique qu'il a
déjà reçu l'annonce de l'arrivée de cet envoi à Hambourg et que
les frais de l'expédition depuis New-York jusqu'à Hambourg s’élé-
vent à 25 Mares 50.
Mr. Nic. Valoukovsky envoie sa carte photographique.
La cotisation pour 1876 a été payée par S. E. G. A. Jilenkoff.
Lettres de remercimens pour lenvoi du Bulletin de la part des
Universités de Moscou, St.-Pétersbourg, Kieff, Kazan, Kharkov et
Odessa, de l'Académie médico-chirurgicale, du Jardin botanique,
des Instituts d'agriculture et des mines, de l'Observatoire physique
et de la Société der médecins russes de St.-Pétersbourg, de l’Insti-
tut d’agriculture de Novia Alexandrovna, de l’école d’agriculture
d'Ouman, de la Société I. d’agriculture de Moscou, des Sociétés des
Naturalistes de Kazan et d'Odessa, de MM. le Baron Chaudoir, Re-
gel, E. Lindemann et Herder, de la Société de Senckenberg de
Francfort s. M., de la Société d'histoire naturelle d'Insbrouck, de
l’Athénée d'Amsterdam, de la Société de physique et d'histoire na-
turelle de Genéve, de la Société d'histoire naturelle de Hambourg
et de la Société américaine philosophique de Philadelphie.
Mr. Théod. Vlad. Weschniakoff 1., a fait un rapport verbal sur un
ouvrage de M. Artus Vinchon-Thiesset: La Cause des Effets. Saint
Quentin 1875 et un manuscrit supplémentaire du méme auteur,
quil avait présentés à notre Société. Les Conclusions du rapport
de M. Weschniakoff sont:
a. L'oeuvre de M. Vinchon n’appartient pas au nombre de tra-
vaux d’investigation pure et directe des phénomènes naturels. On
n’y trouve ni expériences ni observations que l'auteur lui-même eût
exécutées en vue de résoudre le probléme complexe qu'il poursuit,
comme l'avaient fait Hooke au XVII siècle et Plateau au XIX pour
imiter en petit et d'une maniére sommaire les grands phénoménes
cosmologiques, qui se trouvent en dehors de notre expérimentation.
b, L'oeuvre de M. Vinchon appartient au groupe des travaux de
condensation constructive, d'appréciation théorique à l'aide de maté-
riaux élémentaires, qui se trouvent dans les sciences physiques et
RE ENS
chimiques. Il faut rendre justice à M. Vinchon qu'il: n’a fait usage
dans son travail que de données, ne dépassant pas les limites de la
positivité scientifique. En indiquant ce caractére de l'oeuvre de M.
Vinchon il faut se rappeler les paroles de l'un des plus illustres ex-
périmentateurs et adversaire des théories fixes et immuables: *) Le
róle des sciences n'est pas seulement de former le repertoire des
faits qu'amasse l'observation et l'expérience; elle doit en saisir la
portée, le lien, l'harmonie et le but. L'esprit de généralisation doit
mettre en oeuvre les matériaux que lui fournit l'esprit d'observati-
on et d'expérimentation.
c. L'objet du travail de M. Vinchon forment les phénomènes ast-
ronomiques et météorologiques qu'il cherche à rattacher les uns aux
autres ап moyen d'une théorie physique en cherchant ensuite à ap-
pliquer cette dernière à chacun des détails. I] cherche à dépasser
les formules fondamentales de la mécanique céleste, qui ont cours
dans la science officielle et officieuse depuis Newton et surtout
depuis la systématisation si détaillée et explicite de Laplace. M.
Vinchon considère la gravitation universelle, comme résultat des
ressorts physiques d'un ordre plus intime et plus délié. D'ailleurs,
surtout depuis la nouvelle phase spectroscopique en astronomie, on
s’habitue de plus en plus à modifier la manière rigide et schémati-
que de considérer les conditions des mouvemens cosmiques. Ainsi
l'illustre astronome de Leipzig, le professeur Zöllner, fait interve-
nir l'électricité et le magnétisme pour expliquer les grands phéno-
menes astronomiques. Dühring de Berlin, aprés Comte, le plus
scientifique et le plus positif parmi les philosophes originaux, s'est
exprimé ainsi sur la portée scientifique de la gravitation univer-
selle, telle qu'elle se trouve exposée dans les traités astronomi-
ques: „La gravitation n'est jusqu'à présent, qu'un fait mathématique,
qu'on observe parmi les corps physiques, mais qui forme encore
une notion inexpliquée dans ses élémens et ses conditions. Le rap-
prochement des masses selon la quantité de la matiére, comme c'est
le cas pour la pesanteur terrestre, est son seulindice naturel; mais
la grande lacune de l'action à distance dans un espace vide sans in-
termédiaire matériel mérite d'attirer l'attention d'un type intellec-
tuel pareil à Huygens.“ **) Sans se prononcer sur la réalité objecti-
ve des déductions astronomiques et météorologiques de M. Vinchon,
я
*) Cl. Bernard. Cours au Museum d’Histoire Naturelle de Paris. Revue
Scientifique. 1876. № 43.
*"* Dühring. Cursus der Philosophie. 1875.
M. Weschniakoff indique parmi les membres prösens M. Weinberg,
physicien et météorologiste savant et distingué comme le plus com-
pétent pour examiner l'ouvrage de M. Vinchon à ce point de vue.
Le méme Theod. Wechniakoff lit un passage d'un travail de l'illus-
tre chimiste, M. Berthelot, destiné au grand public, où cet auteur
signale M. Hermann, notre savant et vénérable collègue, comme pré-
curseur et. premier formulateur scientifique dés 1830, de la grande
théorie des carbures d'hydrogéne, que depuis 1858, M. Berthelot a
de plus en plus consolidée par la mémorable série de la formation
synthétique des corps de la chimie organique au moyen des différents
carbures d'hydrogéne. M. Hermann avait développé cette théorie
lors du régne en chimie des théories arbitraires et moins scientifi-
ques de Berzelius et Liebig, qui laissaient dans l'ombre la théorie
alors naissante de M. Hermann, confirmée et développée seulement
de nos jours. Le passage lu par M. Weschniakoff se trouve dans le
charmant petit volume de M. Berthelot: La Synthése Chimique de
la Bibliothéque Scientifique Internationale. 1876. p. 149.
DONS.
a. Objets offerts.
S. Exc. Mr. le Président de la Société Fischer de Waldheim fait
don d’un exemplaire d’Orthoceratite des environs de Moscou.
X Mr. le Vice-Président, Dr. Renard, présente de la part de Mr. le
Dr. Ch-s Berg de Buenos Aires 6 oeufs d'oiseaux de la Patagonie
et 7 espèces de coquilles en 39 exemplaires tous de Buenos Aires
et de Cordova.
b. Livres offerts.
1. Bollettino della Societa geografica italiana. Vol. 13, fasc. 2. 3.
Roma 1876 in 8°. De la part de la Société géographique ita-
lienne de Rome.
2. Nature. Vol. 18. № 334, 335, 336, 337, 388. London 1876 in 4°.
De la part de la Redaction.
3. Yuusepcumemcria Hspberia. 1876. № 2. Kies» 1876 in 8°. De la
part de l’Université de Kieff.
4. Annual Report of the trustees of the Museum of comparative
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
TNT ARR
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Указатель русской Литературы по Математик, чистымъ и
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3
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съ 1851 no 1876 г. Тифлисъ 1876 in 8°.
Извюьетля KaBkasckaro Отд$ла Ими. Русскаго Географическаго
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Omuems u pub произнесенныя въ Торжественномъь собранш
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etc. etc. de Moscou.
Медицинский Сборникъ издаваемый Имп. Kapkasckumnp Меди-
цинскомъ Обществомъ. № 22. Тифлисъ 1876 in 8°. De la part
de la Société I. des médecins du Caucase de Tiflis.
H3encmia u Ученыя Записки Имп. Казанскаго Университета.
1876. № 1. Казань 1876 in 8°. De la part de l’Université de
Kasan.
Базаровъ, А. О фтороборной kncıort. Kies» 1874 in 8°.
Андреевъ, COR OL еометрическомъ образовани плоскихъ кри-
выхъ. Харьковъ 1875 in 8°. Les № 142 et 143 de la part de
l'Université de Kharkov.
Bapuascxis Университетская Msptcria. 1875. № 6. Варшава
1875 in 8°. De la part de l'Université de Varsovic.
Cora, Guido. Cosmos. Vol. Ш. № 6, 7. Torino 1876 in 4°. De
la part de Mr. le Rédacteur.
Leith Adams, A. On a fossil saurian vertebra Arctosaurus Os-
borni from the arctic regions. Dublin 1875 in 8*. De la part de
l’Auteur.
147.
148.
149.
150.
151.
152.
153.
154.
155.
+ В, =
`Сиповекй, H. Двадцатицятилт1е Кавказскато Общества Сель-’
` ckaro Хозяйства. Тифлисъ 1875 in 8°.
— — Иратьй очеркъ 25TmrbTHeii дфятельности Кавказ-
сказо Общества Сельскаго Хозяйства. Тифлисъ 1875 in 8°. Les
Je 147, 148 de la part de la Société d'agriculture du Caucase à
Tiflis.
Ilempoes, H. Таблицы для опред$лен1я родовъ двукрылыхъ Ha-
сфкомыхъ (Diptera) Ярославь 1875 in 8°. De la part de l’Au-
teur.
Въстникъ Европы. 1876. АрЪль. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part
de la Rédaction.
Bulletin de la Société géologique de France.3-éme série. Tome
4. X 1. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société géologique de
Paris.
Mocxosckiü врачебный ВЪстникъ. 1876. № 5, 6. Москва 1876 in
4°. De la part de la Societe physico-medicale de Moscou.
Geologische Karten (2) der Provinz Preussen. Section 9 und 17.
in gr. fol. De la part de la Societé physico-cconomique de Kö-
migsberg.
Gartenflora. 1876. Februar. Stuttgart 1876 in 8°. De la part de
Mr. le Dr. Regel.
Landwirthschaftliche Jahrbücher. 1876. Heft 1, 2. Band 5. Sup-
plement. Berlin 1876 in 8°. De la part du Ministère prussien
d’agriculture de Berlin.
. Tommasini, Muzio. Sulla vegetazione dell’ isola di Veglia. Tri-
este 1875 in 8°. De la part de РАщеиг.
. Gillebert d’Hercourt fils. Etudes anthropologiques sur soixante-
seize indigenes de l’Afrique francaise. Paris 1878 in 8°. De la
part de l’ Auteur.
Membre élu.
Actif.
(Sur la presentation de MM. Trautschold et Renard.)
Mr. le Professeur Gustave Dewalque de Liege.
SEANCE EXTRAORDINAIRE
en l'honneur et en présence de Sa Majesté |’ Empereur du
Brésil Dom Pedro II,
le 3 Septembre 1876.
Dans cette séance, tenue le 3 septembre 1876 conjointement avec
la Société Impériale des Amis des Sciences naturelles, d'Anthropo-
logie et d'Ethnographie, ont eu lieu les lectures suivantes:
Mr. le Professeur Théod. Bredikhine: sur la cométe-génératrice
des météores du mois d’aoüt de cette année.
Mr. le Professeur Anatole Bogdanoff: sur la stratiographie de la
population du gouvernement de Moscou.
Mr. Nicolas Zograf* sur un nouveau microtome approprié aux
. grandes coupes.
Mr. le Professeur Clem. Timiriazev sur une nouvelle méthode d’a-
nalyse gazométrique.
Mr. le Professeur Hermann Trautschold, sur quelques nouveaux
fossiles du gouvernement de Moscou. —
A la clóture de la Séance, le Président de la Société Impériale
des Naturalistes, Mr. Alexandre Gv. Fischer de Waldheim, a remer-
cié, au nom des deux Sociétés réunies, Sa Majesté par quelques
paroles, de l'honneur qu'Elle a daigné leur faire par Sa présence.
A la prière qui ena été adressée à Sa Majesté, Elle a gracieu-
sement daigné accepter le diplôme de membre honoraire de la So-
ciété Impériale des Naturalistes de Moscou.
№ 3. 1876. 3
a Ce
SEANCE DU 16 SEPTEMBRE 1876.
Mr. le Docteur Albert Regel présente son travail sur l’histoire
de la Cigüe.
Mr. le Professeur H. Trautschold remet la continuation de sa Mo-
nographie sur le calcaire de montagne de Miatschkova.
Mr. Alexandre Kriloff présente ses recherches géologiques faites
dans le Gouvernement de Kostroma.
Mr. Dementieff fait ses observations concernant la formation et la
décomposition du chlorophylle. |
Mr. le Baron Maximilien Chaudoir envoie une étude monographique
sur les Masoréides, les Tétragonodérites et le genre Nématotarsus.
Mr. Basile Jacoviev envoie la description de plusieurs nouveaux in-
sectes de la tribu desHémiptéres hétéroptéres de la faune de la Russie.
Mr. le Professeur Charles Lindemann présente une monographie
des Bostrichides de la Russie. Les Cryphaloidées Tomicidés. Avec
des dessins.
Mr. le Pasteur I. Kawal/ envoie nne notice sur des corps organi-
ques inclus dans des cristaux de roche.
Mr. Nic. Petrov. Wischniakoff confirme dans une lettre adressée
au Vice-Président la prévision exprimée dans le temps par Mr.
Trautschold, que la couche de la formation jurassique devait s'éten-
dre jusqu'à Schouia, ce qui est prouvé par les fossiles que Mr. Po-
poff y a rassemblés.
L'établissement géographique de Bruxelles fondé par Ph. van der
Mallen (quai des Charbonnages. 8) envoie une invitation à souscri-
re à la Carte géologique du bassin houillier de Liége par Mr. Ju-
lien de Macar publiée en 11 feuilles au prix de 40 francs.
Mr. Aiexandre Becker de Sarepta annonce son départ pour les
montagnes du Daghestan et donne quelques détails sur le voyage
explorateur de Mr. Christoph dans l'Est de la Russie asiatique
jusqu'en Californie.
Mr. Bas. Jacovlev d'Astrakhan annonce qu'il prépare pour le Bul-
letin un article sur les Hémiptéres de l'Ussouri et du Japon.
Mr. le Dr. Edouard B. Lindemann de Kichinew appelle l’atten-
tion des membres de la Société sur les collections de feu Hohen-
acker, qui sont devenues la propriété de Mr. le Dr. Charles Keck
à Aistershain en Autriche et annönce que ce dernier offre de les
ic alus.
vendre ou deles échanger contre des plantes russes. ll s'y trouve en-
tre autres des plantes de la Perse de Kotschy, Plantae Indiae orien-
talis et plantae montis Nilageri de Metz, ainsi que les Plantae Abys-
siniae de Schimper et plusieurs autres collections remarquables. —
Mr. Lindemann lui-méme en a acheté une collection de 700 espéces
d'Algues marines. Mr. Lindemann écrit en méme temps, jue le prin-
temps s'est montré cette année-ci à Kichinew de trés bonne heure,
car il avait déjà observé jusqu'au 1 mai plus de 100 différentes es-
peces de plantes en fleur et le 30 avril il avait déjà mangé des ce-
rises trés douces et plus que mûres.
Le méme fait don de 3 dessins de plantes exécutés par H. G. L.
Reichenbach de Dresde.
Mr. Bas. Nic. Oulianine de Sévastopol remercie pour l'envoi
des Bulletins 1872—1875 et écrit que l'arrangement de la station
zoologique est presque achevé et qu'il espére pouvoir nous envoyer
sous peu quelques observations faites à la station z. de Sévastopol.
La Société des Naturalistes deGórlitz fait la demande de lui accor-
der un autre exemplaire des Numéros du Bulletin pour les anné-
es 1856 et 1857, qui ont été perdus dans leur bibliothéque.
Mr. le Dr. Ferdinand Hayden de Washington remercie pour sa
nomination comme membre de notre Société et envoie en méme
temps plusieurs de ses dernières publications.
Mr. le Professeur Alex. Alex. Fischer de Waldheim envoie quel-
ques détails intéressans sur son séjour à Genéve et parle notam.
ment avec les plus grands éloges et reconnaissance de la libérali-
té de Mr. Alphonse DeCandolle qui trés-volontiers offre son riche
herbier et sa considérable bibliothéque à l'usage des botanistes.
La Société économique du Kouban d'Ekatérinograd ouverte dans
cette année-ci envoie ses Reglemens, se recommande à la Société,
exprime le desir de se mettre en relation par lettres avec notre So-
ciété et recevoir nos publications, aussi bien celles qui vont paraitre
que celles d'ancienne date. La Société Imp. décide d'envoyer à la
dite Société le Bulletin et les Mémoires de 1876.
La Société géologique de France à Paris annonce qu'elle tiendra cet-
te année sa réunion extraordinaire à Chálons-sur-Saóne et à Autun.
On se réunira le 24 août à Chalons et on commencera les différen-
tes excursions et études qui se prolongeront jusqu'au 31 août inclu-
sivement. La Société géologique invite notre Sociéte à y prendre part.
Mr. Bas. Nic. Oulianine annonce que la station zoologique a re-
cu la colleetion presque entiére des Bulletins et des Mémoires de
| e.
la Société, remercie de cet don important et annonce l'envoi pro-
chain de son travail sur le Polygordius de la Mer Noire.
Le Vice-Président de lu Société, Dr. Renard. communique que
Mr. le Dr. Albert Regel fils du Dr. Ed. Regel à St.-Péters-
bourg a été nommé médecin du district de Cewmpbuencks et qu'il
est parti au mois d'avril pour Kouldscha sur la frontière de Chine,
lieu de son habitation actuelle. Le Vice-Président à reçu de Mr.
Alb. Regel des lettres de Taschkent qui attestent le succès com-
plet de son voyage en ce quil a permis d'observer le passa-
ges des regions florales et les progrès du développement péri-
odique depuis le Volga jusqu'aux steppes. Mr. Alb. Regel a fait en
méme temps une excursion botanique de 18 jours au Karatau dans
des contrées jusqu'alors trés peu fréquentées et peu explorées.
Mr. le Professeur Gustave Dewalque de Liége remercie de sa no-
mination comme membre actif et envoie sa carte photographique.
La Société de l’entretion d'histoire naturelle à Hambourg envoie la
2-de livraison de ses Annales et réitére sa demande relative l'échange
de ses publications contre celles de notre Société.
La bibliothéque publique de la ville d'Odessa fondée en 1829 par
feu le Prince Woronzow ne possède pas le Bulletin de la Société et
demande qu'il lui soit accordé à l'avenir et même, s'il est possi-
ble, toute la série des anciens Bulletins et Mémoires. Le Vice-Pré-
sident a envoyé à la bibliothèque d'Odessa les Bulletins 1—4 de
1875 et les 2 premiers Numéros de cette année.
L’ Association française pour l'avancement des sciences à Paris an-
nonce que sa 5-&me session aura lieu cette année à Clermont-Fer-
rand du vendredi 18 au vendredi 25 août et invite la Société à y
prendre part. |
Mr. Louis Guidi, envoie ses observations météorologiques faites
depuis le mois de janvier jusqu'au mois d'avril 1876, dans l'Observa-
toire fondé par lui à Pesaro.
Les Sociétés d'acelimatation et géologique de Paris demandent de
leur faire parvenir le Bulletin sous bande, comme elles le font avec
leurs publications.
Mr. le Dr. Alexandre Ross à Toronto au Canada propose une
nouvelle collection de 208 peaux d'oiseaux et de 120 oeufs d'oiseaux.
Mr. le Pasteur Г. Kawall de Poussen en Courlande donne dans
une lettre adressée au Vice-Président quelques observations relati-
yes à la biologie des hirondelles,
BE n
Le Président de la Société I. technique russe à St.-Pétersbourg en-
voie la décision de la Commission nommée par elle par rapport à
l'introduction du systéme métrique dans les mesures et les poids.—
Mr. le Président désire que la Société I. des Naturalistes lui fasse
parvenir son opinion à ce sujet.
Mr. le Dr. Hayden de Washington, le Professeur Philippe Pacini
de Florence, Planchon de Paris et S. Ex. Mr. I. Ign. Weinberg de
Moscou envoient leurs cartes photographiques.
Mr. le Dr. Gwido Schenzl envoie les observations météorologiques-
ozonomiques faites à Budapest pendant les mois d'avril, mai, juin,
juillet et août de cette année.
Mr. le Dr. Charles Berg de Buenos Aires annonce qu'il enverra
prochainement un supplément à son article sur les Lépidoptéres
de la Patagonie.
Mr. le Dr. Buhse de Riga promet d'envoyer dans quelques temps
des plantes persanes recoltées par lui en 1849.
Mr. Alexandre Becker de Sarepta annonce son retour de son
voyage aux montagnes neigeuses dans le Daghestan. Son voyage
s’est étendu jusqu'au Schalbus Dagh et Basardjusi et n'a pas été
exempt de dangers, mais il a été satisfait par la richesse de la
récolte entomologique et botanique présentant un grand intérét
scientifique. Mr. Becker promet d'envoyer plus tard un apercu dé-
taillé des récoltes de cette excursion.
Le Comité pour l’organisation de ia 49-ème Réunion des Natu-
ralistes et des Médecins allemands qui aura lieu au mois de sep-
tembre à Hambourg invite la Société et ses membres à y prendre
part. Le Congrés durera depuis le a jusqu’au = septembre.
Mr. le Chevalier Charles Kesselmeuer de Manchester offre dere-
chef en cadeau son grand Calendarium perpetuum mobile qui con-
sistera en 8 grandes planches dont la derniére est en cours d’exé-
cution ainsi que le support nécessaire pour son emploi, en se char-
geant méme des frais de transport et exprimant le désir d’obtenir plus
tard un rapport de la Société sur l’importance de ce travail.
Le Comité d'organisation de l'exposition horticole internationale
à Amsterdam en 1877 envoie le programme avec tous les détails
sur les objets qu'on désire voir exposés à cette occasion.
Le Vice-Président Dr. Renard, présente les № 1 et 2 du Bulletin
1876 et la 5 livraison du tome XIII des Nouveaux Mémoires qui ont
paru sous sa rédaction. La 5-éme livraison compléte le tome XIII.
204
La Societe Hollandaise des sciences & Harlem envoie le program-
me de ses questions de prix pour 1876, 1877, 1878 et 1880.
La Société archéologique d'Ohio doit tenir un Congrés archéologi-
que à Philadelphie pendant l'exposition internationale: la premiére
séance aura lieu à 2 heures aprés midi le 4 septembre 1876. — La
Société archéologique d'Ohio invite à y prendre part.
Mr. Adolphe Senoner de Vienne envoie un Catalogue de plantes de
Mr. Sebastian Venzo de Lozzo-Cadone que ce dernier offre en échan-
ge ou en vente à des prix trés modérés.
La cotisation pour 1876 à été payée par Mr. F. Buhse de Riga
et Th. Alex. Sloudzki de Moscou le prix du diplôme et eelui du
diplôme seul par Mr. Gorvjankine.
Mr. le Professeur A. A. Fischer de Waldheim fils a fait une
communication verbale sur une nouvelle Ustilaginée qu'il a trou-
vée à 25 verstes au nord-ouest de Moscou dans les parages du vil-
lage de Stépankovo. Elle infeste tous les organes de l'Oseille mari-
time (Rumex maritimus L.) Elle attaque principalement l’inflores-
cence et en général les noeuds, les entrenoeuds de l'axe et la base,
rétrécie en pétiole, des feuilles. La plante attaquée assume l'appa-
rence d'une plante desséchée; ses parties envahies par le parasite
se gonflent considérablement, se raccourcissent, et prennent une
teinte brun-rougeátre. Sous le microscope on découvre facilement
non seulement le mycélium et les filaments sporogénes, mais enco-
re le mode de formation des spores elles-mémes..L'exigüité du dia-
métre des hyphes sporogénes est surtout fort remarquable. Les
spores müres sont d'une couleur violette-foncée, globuleuses, pour
la plupart de 0, 0,12 de diamétre et présentent des aréoles d’in-
crassation héxagonales sur l'épispore, serrées et nombreuses, carac-
téres qui les distingue à premiére vue de celles de l'Ustilago u-
ticulosa, et qui les rapprochent plutôt de l'Ustilago Kühniana. Ce
parasite s'étale d'abord dans le parenchyme primaire des organes
de l'oseille dans l’intérieur de ses cellules; et ce n'est qu'en tout
dernier lieu qu'arrive l'affection des faisceaux fibrovasculaires. Si
l'infection est considérable, les spores farcissent tout l’intérieur de
lorgane attaqué. Finalement son épiderme se rompt et les spores
sortent par la gercure sous l'apparence d'une poussiere violette fon-
cée avec un faible reflet de rouille.— Le développement exubérant
de cette ustilaginée dans la contrée indiquée est fort remarquable;
des centaines d'individus y étaient si fortement attaqués, qu'ils ne
pouvaient produire de fleurs; tandis que les exemplaires dans
leur proximité présentaient dans la méme saison (au commencement
SEE m
de septembre) de luxurieuses panicules toutes couvertes de fruits
mürissants.
Mr. le Professeur Trautschold a parlé sur une dent remarquable
du Cacharias megalodon trouvée sur les bords de la riviére Site
prés Romanoff (gouvernement de laroslav) ce qui fait supposer
que là doit avoir existé une mer tertiaire. Cette dent a été trouvée
par Mr. A. H. Petrovsky à Iaroslav.
Lettres de remercimens pour l'envoie du Bulletin de la part de
l’Académie I. des sciences de St.-Pétersbourg, des Universités de
St.-Pétersbourg, Kieff, Kasan, Dorpat et Varsovie, de l'Académie
médico-chirurgicale et de l'Institut des mines de St.-Pétersbourg, de
la Société I. géographique de St.-Pétersbourg et de la section de
Tiflis, de la Société I. économique de Kasan, de la direction des
mines du Caucase à Tiflis, du Lycée ‘Alexandre: et ‘de l'Observa-
toire physique à St.-Pétersbourg, des Sociétés d'histoire naturelle
d'Odessa, de Kazan, et d'Ekatherinebourg, de l'Ecole d'agriculture
d'Ouman, de l’Institut d'agrieulture de Nouvelle Alexandrie, du Jar-
din botanique de St.-Pétersbourg, des Sociétés des médecins de
Moscou, Vilna, St.-Pétersbourg et d'Odessa, de leurs Exc. MM. le
Ministre des voies de communication, du Prince Schirinsky-Schich-
matow, Comte Lutke, N. B. Issakoff, B. Lapschine, Baron Osten-
Sacken et Ilienkofi, de MM. Ed. Lindemann, Kawall, Jacovlev, de
]a part de l'Académie R. des sciences de Munich, de la Société des
Naturalistes de Hambourg, de la Société I. zoologico-botanique de
Vienne, de la Société Royale de Victoria à Melbourne, de la So-
ciété physicale à Francfort s. M., des Universités de Leide et de
Breslau, de la bibliothéque Royale de Stouttgart, de l'Académie des
arts et des sciences à New Haven, de la Société R. géologique d'Ir-
land, des Sociétés des sciences de Harlem et de Danzig, de l'Hoch-
stift allemand à Francfort s. M., de l'Académie R. danoise des sciences
à Copenhague, de la Société des Naturalistes d'Annaberg, de la Bi-
bliothéque Royale de Munich, du Musée Teyler à Harlem, de la So-
ciété physicale de Berlin, de la Société R. des sciences de Góttin-
gue, de la Société botanique de Berlin, et de MM. Senonec et Schor.
D 0 N S.
Livres offerts.
1. Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe der K.
bayerischen Akademie der Wissenschaften. Band 12. Erste Ab-
theilung. München 1875. in 4°. Dela part de l'Académie В. des
sciences de Munich. |
=]
eo
10.
11.
15.
16.
d Bla
. Nouvelles Archives du Museum d'histoire naturelle de Paris.
Tome 10, fasc. 1. Paris 1874 in 4°. De la part du Musée Vhi-
stoire naturelle de Paris.
. Mittheilungen der К. К. mührisch-schlesischen Gesellschaft zur
Beförderung des Ackerbaues. 1875. Brünn 1875 in 4°. De la
part de la Societe I. В. d’agriculiure de Brunn.
. Petermann, A. Mittheilungen über wichtige neue Erforschun-
gen auf dem Gesammtgebiete der Geographie. 1876. X 3. Gotha
1876 in 4°. De la part de la Rédaction.
. Vausepcumemcxia Извъствя. 1876. № 3. 4, 5, 6, 7. Kieers 1876 in
8°. De la part de lU Universite de Kieff.
. Archiv des Vereins der Freunde der Naturgeschichte in Meck-
lenburg. Jahrg. 29. Neu-Brandenburg 1875 in 8°. De la part de
la Société des amis d'histoire naturelle de Neu-Brandenbourg.
. Lotos. Jahrgang 25. Prag 1875 in 8°. De la part de la Société
d'histoire naturelle, Lotos, de Prague.
. Atti del Reale Istituto Veneto di scienze. Tomo 3, serie 4. Dis-
pensa 7—10. Tomo 3, serie 5, Dispensa 1—8. Venezia 1873—75
in 8. De la part de l'Institut В. des sciences de Venise.
. Annales des sciences naturelles. 6-éme série. Zoologie. Tome
IL, X 3 à 6. Paris 1875 in 8°.
Botanique. Tome 2, № 1. Paris 1875 in 8°. Les № 9 et 10 de
la part de la Rédaction.
Bulletin de la Société botanique de France. Tome 22. Comp-
tes rendus des séances. 2. Revue bibliographique C — D. Paris
1875 in 8°. De la part de la Société botamique de France à
Paris.
. Annales des sciences géologiques. Tome 6. Cahier 3. Paris
1875. in 8°. De la part de la Rédaction.
. Revue politique et littéraire. 5-ème année. № 32, 33, 34, 35.
Paris 1875 in 4°.
. Revue scientifique. 5-ème année, № 32—35. Paris 1876 in 4°.
Les № 13 et 14 de la part de la Redaction.
Das Ausland. 1876. N 15, 16, 17— 25 — 27 — 31. Stuttgart 1876
in 4°. De la part de Mr. de Hellwald.
Terracciano, Nicol. Enumeratio plantarum vascularium in agro
Murensi sponte nascentium. Pisa 1873 in 8*.
21.
22.
29.
90.
91.
=. MS Il
. Terracciano, Su di alcune piante della flora napolitana. Napoli
1867 in 8°. Les .№ 16, 17 de la part de |’ Auteur.
. Всемрный путешественникъ. 1876. Апрфль, Maii, Шюнь, Iwas,
Августъ. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Rédaction.
. Bulletin de l'Académie I. des sciences de St.-Pétersbourg. Tome
21, feuilles 19—36. Tome 22, feuilles 1— 13. St.-Petersbourg
1876 in 4°. De la part de l’Académie I. des sciences de St.-Pe-
tersbourg.
. Льсной Журналь. Tors 6-й. Bun. 2, 3, 4. С.-Петерб. 1876 in 8°.
De la part de la Société forestiere de St.-Pétersbourg.
De lavori accademici del R. Istituto d'incoraggiamento alle
Scienze naturali economiche e technologiche di Napoli. Napoli
1876 in 4°. De la part de l’Institut pour Vencourgement des scien-
ces naturelles à Naples.
Pubblicazioni del Circolo geografico italiano. Anno 1875. Mar-
zo—Agosto. Torino 1876 in 8°. De la part du cercle géographa-
que italien de Turin.
Matthew, G. F. Note sur les mollusques de la formation post-
pliocéne de l'Acadie. Traduit par Thielens. Bruxelles 1874 in
8°. De la part de Mr. Arm. Thielens.
. Journal de Conchyologie. 3-&me série, ® 1 —4. Paris 1873 in
8°. De la part de MM. les Rédacteurs Crosse et Fischer.
: Bihang till Kongl. svenska vetenskaps-akademiens handlingar.
Andra Bandet. Häfte 1, 2. Stockholm 1874—75 in 8°.
. Öfversigt af Kongl. vetenskaps akademiens Förhandlingar. 31
Urgangen 1874. Stockholm 1874—75 in 8°.
. Lefnadsteckningar öfver Kongl. svenska vetenskaps-Academiens.
Band 1, Häfte 3. Stockholm. 1873 in 8°.
. Kongliga svenska vetenskaps-Akademiens Handlingar. Ny Följd.
Bandet 12. Stockholm 1873—75 in 4°.
. Edlund, E. Meteorologiska Jakttagelser i svirige. utgifna afK.
svenska vetenskaps-Academien. 14 Bandet 1872, Stockholm
1874 in 4°. Les № 25—29 de la part de V Académie Е. des scien-
ces de Siockholm.
Ratter, F. Entomologische Nachrichten. Jahrgang 2, Heft 5.
Putbus 1876 in 8°. De la part de Mr. Ratter.
Rocters van Lennep, H. C. Catalogue alphabethique des Cones
actuellement connus in 8°. De la part de ГАщеиг.
Л 3. 1876. 4
32.
33.
34.
95.
36.
37.
38.
39.
40.
41.
42.
43.
44.
45.
46.
Eo MEUS
Bullettino meteorologico. Vol. УП, № 8, 9, 10, 11. Vol. X, №2,
9, 4. Torino 1876 in 4*. De la part de Mr. Denza.
Ежелюдникь Владим!рскато Губернскаго Статистическаго Ko-
митета. Toms 1-й выц. 1-Й. Владим!ръ 1876 in 4°. De la part
du Comité statistique de Vladimir.
Bulletin mensuel de la Société d'acclimatation. 3-e série. To-
me 3, No 3, 4, 5, 6. Paris 1876 in 8. De la part de la Société
d’acclimatation de Paris.
Festschrift zur Feier des 25jährigen Bestehens der K. K. zo-
ologisch-botanischen Gesellschaft in Wien. Wien 1876 in 4°. De
la part de la Société I. R. zoologico-botanique de Vienne.
Журнал Министерства Hapoxnaro Просвф щения. 1876. Апр$Зль,
Maii, Гюнь. Ir. С.-Петерб. 1876 in 8. De la part de la Re-
daction.
Bopwasckia Ymunepourerckia liasberis. 1876. № 1, 2. Варшава
1876 in 8°. De la part de l’Université de Varsovie.
Memorie della Società degli spettroscopisti italiani. 1876. Dis-
pens. 3, 4, 5, 6. Palermo 1876 in 4°. De la part de Mr. Tacchini.
Nature. Vol. 13. № 339, 340, 341, 342. Vol. 14, 343, 344 — 359.
London 1876 in 4°. De la part de Mr. le Redacteur.
Drechsler, Ad. Katalog der Sammlung des Kön. Mathema-
tisch-physikalischen Salons in Dresden. Dresden 1874 in 8°.
Bericht über die Verwaltung der K. Sammlungen für Kunst u.
Wissenschaft zu Dresden in den Jahren 1872 u. 1873. Dresden
1874 in 4°. Les M 40, 41 de la part de Mr. le Dr. Ad. Drechs-
ler de Dresde.
Kesselmeyer Charles August. Datum-Zeiger für 3000 Jahre
Dresden in fol.
— — Stellbarer Universal- Kalender der Christlichen
Zeitrechnung von Anno 1 bis 2000. Manchester in 4".
— — Stellbarer Monatskalender von anno 1 bis 3000.
Dresden in 8°.
— — Kalendarium zur Auffindung der Wochentage. Dres-
den in 8°.
— — Erklärungen zum Calendarium Perpetuum Mobile.
Manchester in 8°.
47.
48.
43.
50.
51.
52.
58.
54.
55.
56.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
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Kesselmeyer Ch. Lichtabdruckbild desselben in 4°.
— — Oylindrischer Wochentagsbestimmer.
— — Immerwährender Taschen-Kalender. Dresden in 24°.
— — Jahrlicher Taschen-Kalender. Dresden in 24°. Les
№ 42—50 de la part de Mr. Kesselmeyer de Manchester.
Ross, À. M. Catalogue to illustrate the animal Resources of
the Dominion of Canada. Toronto 1876 in 8°. De /a part de
l'Auteur.
Mueller, Ferdinandus (Baro). Fragmenta phytographiae Austra-
liae. Vol. IX. Melbourne 1875 in 8*.
— — Descriptive Notes on Papuan plants. Melbourne
1874 in 8°. Les № 52 et 53 de la part de l'Auteur.
Mittheilungen aus dem Jahrbuche der K. Ungarischen Geolo-
gischen Anstalt. Band IV, 2 Heft u. IV, Kótet 3 Füzet. Buda-
pest 1876 in 8°. De la part de l'Institut R. géologique hongroi-
se de Budapest.
Въстникь Имп. Pocciückaro Общества Садоводства. 1876. № 4.
С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Société I. d'horticulture
de St.-Pétersbourg.
Compte-Rendu de la Société entomologique de Belgique. Série
II. № 24, 27. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la Société en-
tomologique de Belgique de Bruxelles.
Valles, M. Е. Les formes imaginaires en Algèbre. Partie 3-ème.
Paris 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
Corrispondenza scientifica in Roma. Vol. 8. № 28, 29. Roma
1876 in 4°.
Bullettino nautico e geografico di Roma. Vol. 6. № 12. Roma
1876 in 4°. Les M 58, 59 de la part de Mr. E. Fabri-Scarpel-
lini de Rome.
Verslagen en Mededelingen der Koninkl. Akademie van We-
tenschappen. Afdeeling Natuurkunde. Tweede reeks. Negende
Deel. Amsterdam 1876 in 8°.
Jaarbock van de K. Akademie van Wetenschappen te Amster-
dam voor 1874. Amsterdam in 8.
Processen-Verbaal van de gewone Vergaderingen der K. Aka-
demie van Wetenschappen, Afdeeling Natuurkunde. Van Mei
1874 tot April 1875. Amsterdam 1875 in 8".
63.
64.
65.
66.
67.
68.
69.
70.
zu.
73.
74.
75.
REN M
Hoeufft, J. H. Ad procum satira Petri Esseiva. Amsteladami
1825 in 8°.
Verhandelingen der K. Akademie van Wetenschappen. Deel
XV. Afdeeling Letterkunde. Deel XIII. Amsterdam 1875 in 8°.
Les № 60—64 de la part de l’Académie В. des sciences d'Am-
sterdam.
Verhandlungen des naturhistorisch-medicinischen Vereins zu
Heidelberg. Neue Folge. Band 1. Heft 3. Heidelberg 1876 in
8°. De la part de la Société d'histoire naturelle et de médecine à
Heidelberg.
Ilpomexoas Годичнато Sachıania Имп. Кавказскато Медицин-
скато Общества. За 1875—76 и за 1866—1867. Томъ Ш. № 3, 4.
Тифлисъ 1876 in 8°. De la part de la Société de médecine du
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Verhandlungen der gelehrten Estnischen Gesellschaft zu Dor-
pat. Band 8, Heft 3. Dorpat 1876 in 8°. De la port de la Soci-
été savante d'Estonie à Dorpat. |
Omboni, G. Della antiche Могепе vicino ad Areo nel Trentino.
Venezia 1876 in 8°. De la part de V Auteur.
Bullettino della Societa entomologica italiana. Anno 8, tri-
mestre 1. Firenze 1876 in 8°. De la part de la Société entomo-
logique italienne de Florence.
Der Naturforscher. Jahrgang 9. Heft 4, 5, 6. Berlin 1876 in 4°.
De la part de Mr. le Dr. Sklarek.
Troschel, F. H. Archiv für Naturgeschichte. Jahrgang 42. Heft
1. Berlin. 1876 in 8°. De la part de Mr. le Rédacteur.
. Bnemnurs Европы. 1876. Kaur. 5, 6, 7, 8, 9. С.-Петерб. 1876 in
8°. De la part de Mr. le Rédacteur Stasoulevitsch.
Журналь Pycckaro химическато Общества и Физическато 06-
щества. Toms 8, вып. 4, 5, 6. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part
de la Redaction.
Monatsbericht der K. Preuss. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. 1876. Februar, März, April. Berlin 1876 in 8°. De la
part de l’Académie В. des sciences de Berlin.
Russische Revue. Jahrgang 5, Heft 4, 5, 6, 7. 8. St.-Petersburg
1876 in 8°. De la part de Mr. le Redacteur Röttiger de St.-Pe-
tersbourg.
76.
TT.
1e
79.
80.
81.
82.
85.
86.
87.
88.
89.
D MN us
Vom Rath, G. Die Zwillingsverwachsung der triklinen Feld-
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darauf gegründete Unterscheidung derselben. Berlin 1876 in 8°.
De la part de l Auteur.
Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. Band 27,
Heft 4. Band 28, Heft 1. Berlin 1875—76 in 8°. De la part de
la Societé géologique de Berlin.
Æypuarr Садоводства. 1876. № 4, 5, 6. Москва 1876 in 8°. De
la part de la Société d’horticulture de Moscou.
Mocxosckiü врачебный ВЪстникъ. 1876 2. № 7, 8, 9— 13 — 16.
Москва 1876 in 4°. De la part de la Société physico-médicale de
Moscou.
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in 8°. De la part de Mr. le Dr. Regel.
Труды Имп. вольнаго экономическаго Общества. 1876 г. Tow
1-й, вып. 4-й. Toms 2-й. Вып. 1, 2, 3. С.-Петерб. 1876 in 8°. De
la part de la Société I. libre économique de St.-Petersbourg.
Schwalbe, B. Die Fortschritte der Physik im Jahre 1871. Jahr-
gang 27. Abtheilung 2. Berlin 1876 in 8°. De la part de la So-
ciete physicale de Berlin.
. В. Comitato geologico d'Italia. Bollettino № 3 e 4. Roma 1876
in 8°. De la part du Comité géologique d'Italie de Rome.
. Nuovo Giornale botanico italiano. Vol. 8. 2, 3. Pisa 1876 in
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Anales de la Sociedad espanola de historia natural. Tomo 5.
Cuaderno 1. Madrid 1875 in 8°. De la part de la Societé espa-
gnole d’histoire naturelle de Madrid.
Bulletins de la Société d'Anthropologie de Paris. 2-de série.
Tome 11-ème, fascicule 1. Paris 1876 in 8°. De la part de la
Société d’Anthropologie de Paris.
Littré, E. et Wyrouboff, G. La philosophie positive. Année
8-ème. Ne 6. Paris 1876 in 8°. De la part de Mr. Wyrouboff.
Cxoposs, M. B. НЪеколько словъ о nman6orbe цфлесообразномъ
продовольстви Кавказской apwim. Тифлисъ 1876 in 8°. De la
part de la Société Caucasienne des médecins à Tiflis.
Bulletin de la Société géologique de France. 3-ème série. Tome
3. feuilles 37—41. Tome 4, feuilles 5—10—16. Paris 1876 in 8°.
De la part de la Société géologique de France.
91.
93.
94.
99.
100.
101.
bi
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103,
c Mh =
. Труды Apaıo-Racniäckoi Экспедищи. Выпускъ 1 ms 2 (Богдано-
ва и Гримма). С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Société
d'histoire natwrelle de St.-Petersbourg.
Записки Kapkasckaro Общества Сельекато Хозяйства 1875. №
3, 4. 1876. № 1, 2. Тифлисъ 1875—7176 in 8°.
2. Описанге празднован1я 25тилЪтней Кавказскаго Общества Сель-
скаго Хозяйства. Тифлисъ 1876 in 8°. Les № 91, 92 de la part
de la Société caucasienne d'agriculture de Tiflis.
Haeckel, Ernst. Die Perigenesis der Plastidule oder die Wel-
lenzeugung der Lebenstheilchen. Berlin 1876 in 8°. De la part
de Ul Auteur.
Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin. Band 11,
Heft 1. Berlin 1876 in 8*.
. Verhandlungen der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin. Band
3. № 1, 2 u. 3. Berlin 1876 in 8”.
. Correspondenzblatt der Afrikanischen Gesellschaft (Red. Prof.
Dr. В. Hartmann) 1876. № 16. Berlin 1876 in 8°. Les № 94 et
96 de la part de la Société géographique de Berlin.
. Berg, C. Ueber im Wasser lebende Bombyx-Raupen. Riga 1876
in 8°. De la part de t) Auteur.
. Nouvelles Archives du Muséum d'histoire naturelle de Paris. To-
me 10, fasc. 2 et 3. Paris 1874 in 4°. De la part du Musée d'hi-
stoire naturelle de Paris.
Zeitschrift für die Gesammfen Naturwissenschaften. 1875. Juli—
October. Berlin 1875 in 8°. De la part de Mr. le Professeur Gie-
bel de Halle.
Notzzblatt des Vereins für Erdkunde zu Darmstadt. Ш Folge,
Heft 14. Darmstadt 1875 in 8°. De la part de la Société géogra-
phique de Darmstadt.
Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaften. Band 10. Heft
1. Jena 1876 in 8'. De la part de la Société de médecine et d’hi-
sioire naturelle de Jena.
. Nachrichten von der K. Gesellschaft der Wissenschaften in Gót-
tingen. Aus dem Jahre 1875. Göttingen 1875 in 8°.
Abhandlungen der K. Gesellschaft der Wissenschaften zu Göt-
tingen. Band 20. Göttingen 1875 in 4°. Les № 102 et 103 de la
part de la Societé Е. des sciences de Göttingue.
104.
105.
106.
107.
108.
109.
110.
111.
E M a
Transactions of the zoological Society of London. Vol. 9, part
5. London 1875 in 4°. De la part de la Société zoologique de
Londres,
Compte-rendu des séances de la Société entomologique de Bel-
gique. Série 2. Ne 25, 26. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la
Société entomologique de Belgique à Bruxelles.
Руеское Сельское Хозяйство. loj» 8. № 4, 5. Москва, 1876 in
8°. De la part de la Société I. d’agriculture de Moscou.
Monatsschrift des Vereines zur Beförderung des Gartenbaues.
1876. Mai, Juni, Juli. Berlin 1876 in 8°. De la part de la Socié-
te d’horticuliure de Berlin.
Bullettino della Società geografica italiana. Vol. XIII, fasc. 4,
5. Roma 1876 in 8*. De la part de la Société géographique de
Rome. |
Entomologische Nachrichten. Jahrgang 2. Heft 6, 7, 8. Putbus
1876 in 8°. De la part de Mr. le Dr. Katter de Putbus.
Die astronomisch-geodätischen Arbeiten des K. K. Militär-geo-
grafischen Instituts in Wien. Band 4. Wien 1876 in 4. De la
part de l’Institut I. В. militaire geographique de Vienne.
Annales de l’Académie de la Rochelle. Année 1874. La Rochel-
le 1875 in 8°. De la part de l’Académie de la Rochelle.
112—114. Mémoires de l’Académie des sciences et lettres de Mont-
116.
116.
‘m
pellier: Mem. de la section des sciences. Tome 8, fasc. 2. Mem.
de la section de medecine. Tome 4, fasc. 6. Mem. de la section
des lettres. Tome 5, fasc. 4. Montpellier 1872—73 in 4°. De la
part de l’Académie des sciences et lettres de Montpellier.
Verhandlungen des botanischen Vereins der Provinz Branden-
burg. Jahrgang 17. Berlin 1875 in 8°. De la part de la Société
botanique de Berlin.
Schriften der naturforschenden Gesellschaft in Danzig. Neue
Folge. Band 3. Heft 4. Danzig 1875 in 8°. De la part de la So-
ciete des Naturalistes de Danzig.
Proceedings of the asiatic Society of Bengal. 1875. № IX. Cal-
cutta 1875 in 8°.
118—119. Journal of the asiatic Society of Bengal. Phlolog. Part
1. № 3. Natural histor. Part 2. № 2, 8. Calcutta 1875 in 8°. Les
Л 117—119 de la part de la Société asiatique du Bengal de Cal-
cutta.
120.
121.
122,
123.
128.
129.
130.
131.
132
zx MES ia
H3encmia Ими. Общества Любителей Естествознанйя, Антропо-
логи и Этнотрафш. Toms XVIII, вып. 2 и 3. Toms XIX, вып.
10, 11 и 12. (Путешестне въ Туркестанъ A. Il. Федченко.)
Москва 1875—76 in 4°. De la part de la Societe I. des amis
de la nature de Moscou.
Записки Имп. Сельскаго Хозяйства Южной Poccin. 1876. Книж-
ка 2. Одесса 1876 in 8°. De la part de la Societe I. d’agricul-
ture du Midi de la Russie d’Odessa.
Извъстия Сибирскато ОтдЪфла Имп. Русскаго leorpadumueckaro
Общества. Toms УП. № 1—2, съ 4 табл. Иркутекъ 1876 in 4°.
и фол. De la part de la section sibérienne géographique d’Ir-
koutsk.
Bulletin trimestriel de la Société Khediviale de Géographie
du Caire. № 1, 2. Le Caire 1876 in 8°. De la part de la Societé
Khédiviale de Géographie dw Caire.
Acta Societatis scientiarum fennicae. Tomus X. Helsingforsiae
1875 in 4°.
. Öfversigt of Finska Vetenskaps-Societetens Förhandlinger. Vol.
XVII. Helsingfors 1875 in 8°.
. Bidrag till Kànnedom of Finlands natur och folk. Vol. XXIV.
Helsingfors 1875 in 8°.
. Observations météorologiques. Année 1873. Helsingfors 1875 in
8°. Les „№ 124—127 de la part de la Société des sciences de Ет-
lande à Helsingfors.
Bulletin mensuel de la Société Linnéenne du Nord de la Fran-
ce. Tom. 3. № 46—48. Amiens 1876 in 8°. De la part de la So-
caete Linnéenne du Nord de la France d'Amiens.
Записки Кавказскато Отдфла Имп. русскаго Географическаго
Общества. Книжка X, вып. 1. Тифлисъ 1876 in 8°. De la part
de la section caucasienne de la Société I. géographique russe de
Tiflis.
Erster Jahresbericht der zoologischen Station in Neapel mit 5
Plänen. Leipzig 1876 in 8°. et fol. De la part do Mr. le Dr.
Antoine Dohrn.
Sotheby, Wilkinson and Hodge. Catalogue of Natural history
specimens. London 1876 in 8°. De la part des MM. Sotheby et
Wilkison.
Omuems O0 дЪйстьяхъ Ими. вольнаго Экономическато Обще-
133.
134.
197.
138.
139.
140,
141.
142.
143.
144.
145.
Me HE e
ства за 1875 г. C.-IIerep6. 1876 in 8°. De la part de la Société
I. libre économique de St.- Pétersbourg.
Лея, H. 065 okuczenim BTOPHAHHXE Оксикислотъ а-ряда. Bap-
mapa 1876 in 8°. De la part de l’Institut agricole de Nouvelle
Alexandrie.
Bulletin de la Société d’histoire naturelle de Toulouse. Année
10-&me, fasc. 1. Toulouse 1876 in 8°. De la part de la Société
d'histoire naturelle de Toulouse.
. Report of the Council of the Zoological Society of London. Ap-
ril 29th, 1876. London 1876 in 8°.
›. A. List of the fellows of the Zoological Society of London.
May 1-st, 1876. London 1876 in 8°. Les A 135 et 136 dela part
de la Societe zoologique de Londres.
Bericht (10-ter) der naturforschenden Gesellschaft zu Bamberg.
Für die Jahre 1871—74. Bamberg 1875 in &°. De la part de la
Societé des Naturalistes de Bamberg.
Mittheilungen der К. К. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 19. N° 4, 5. Wien 1876 in 8°. De la part de la Société
géographique de Vienne.
Записки Юевскаго Общества Естествоиспытателей. Toms 4,
вып. 3. КЛевъ 1876 in 8°. De la part de la Société des Natura-
listes de Kieff.
Annuario della Società dei Naturalisti in Mcdena. Serie 2, an-
no 9, fascic. 8 e 4. Modena 1875 in 8°. De la part de la So-
cıete des Naturalistes de Modene.
Plateau, Felix. Notice sur une sécrétion propre aux Coléopté-
res Dytiscides. Bruxelles in 8°. De la part de l'avteur.
Heyer, Gust. Allgemeine Forst- und Jagd-Zeitung. 1876. Januar,
Februar, April, Mai. Frankfurt a. M. in gr. 8°. Dela part de
Mr. le Dr. Heyer.
Протоколы sactıan. Имп. Birıenckaro Медицинскаго Общества.
1876 г. X 2, 3. Вильно 1876 in 8°. De la part de la Société I.
des médecins de Vilna.
Извъстия Кавказскаго Отдфла Имп. pycckaro Теотрафическаго
Общества. Toms 4. № 3. Тифлись 1876 in 8°.
Указатель Геотрафическаго, статистическаго, историческаго и
этнографическаго waTepiaza въ Ставропольскихъ Губернскихъ
Je 3. 1876. 5
146.
147.
148.
149.
150.
151.
152.
153.
154.
155.
156.
157.
MIN" NS
ВЪдомостяхь 1850 г. Лист. 1, 2. Тифлисъ 1876 in 8°. Les №
144, 145 de la part de la Section Caucasienne de la Societé I.
géographique russe à Tiflis.
Owen, R. Evidence of a Carnivorous Reptile (Cynodraco major
Ow.). 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
Liste des membres de la Société géologique de France au 15
Mai 1876 in 8°.
Ordonnance du Roi qui reconnaît la Société géographique com-
me établissement d'utilité publique in 8°. Les 147 et 148 de
la part de la Société géographique de France à Paris.
Nederlandsch Kruidkundig Archief. Tweede série, 2-e Deel—2e
Stuk. Nejmegen 1876 in 8°. De la part de la Société botanique
de Nimegue.
Tijdschrift voor Entomologie. Jaargang 1875—76. Atlevering 1
en 2. Sgravenhage 1876 in 8°. De la part de la Societe entomo-
logique néerlandaise à Leyde.
Jahres-Bericht der Naturforschenden Gesellschaft Graubündens.
Neue Folge. Jahrgang 19. Chur 1876 in 8°.
Killias, E. Die arsenhaltigen Eisensäuerlinge von Val Sinestra.
Chur 1876 in 8°. Les № 151, 152 de la part de la Société des
Naturalistes de Chorre.
Verhandlungen der physikal-medizin. Gesellschaft in Würz-
burg. Neue Folge. Band 9, Heft 1 u. 2. Würzburg 1875 in 8°
De la part de la Société physico-medicale de Wurzbourg.
Sitzungsberichte der mathematisch-physikalischen Classe cer K.
b. Akademie der Wissenschaften zu München. 1875. Heft 3.
München 1875 in 8°. De la part de l'Académie R. des sciences
de Munich.
Cavanna, G. Rendiconti delle Adunanze. Anno 1876. Firenze
1876 in 8°. De la part de la Société italienne entomologique de
Florence.
Протоколы Имп. Karkasckaro Медицинскаго Общества. 1876 г.
№ 2. Тифлисъ 1876 in 8°. De la part de la Société I. de méde-
cine de Vilna.
Verhandlungen des Vereins für Naturwissenschaftliche Unter-
haltung zu Hamburg. 1875. Band 2. Hamburg 1876 in 8°. De
la part de la Société pour l’entretien sur l’histoire naturelle a
Hambourg.
158.
159.
160.
161.
164.
165.
166.
167.
168.
169.
170.
171.
172
e M
Morren, Ed. Mathias de lObel, sa vie et ses oeuvres. Liège
1856 in 8. De la part de V Auteur.
Bulletin of the United states geological and geographical sur-
vey of the territories. Vol. 2. N° 3. Washington 1876 in 8°. De
la part de Mr. Е. V. Hayden de Washington.
Proceedings of the California Academy of sciences. Vol. 5, part
3. San Francisco 1875 in 8°. De la part de l'Académie califor-
mienne des sciences de Sam Francisco.
Jahrbueh der K. K. geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1876.
N° 1. Wien 1876 in 8°.
. Verhandlungen der K. K. geologischen Reichsanstalt. 1876,
X 1—6. Wien 1876 in 8°. Les 161 et 162 de la part de VIn-
stitut I. R. géologique de Vienne.
. Mittheilungen der anthropologischen Gesellschaft in Wien. Band
6. Ne 1 u. 2. Wien 1876 in 8°. De la part de la Société anthro-
pologique de Vienne.
Guidi, Luigi. Bullettino dell’ Osservatorio Meteorico di Pesaro.
1876 Gennarco — Aprile. Pesaro 1876 in fol. 8°. De la part de
l’Auteur.
Pacini, Filip. Dei fenomeni e delle funzioni di trasudamento
nell’ organismo animale. Firenze 1874 in &.
— — Del mio metodo di respirazione artificiale nella
asfissia e nella sincope. Firenze 1876 in 8°.
— — Sopra il caso particolare di morte apparente. Fi-
renze 1876 in 8°. Les № 165—167 de la part de l Auteur.
Abhandlungen der Königl. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. Aus dem Jahre 1875. Berlin 1876 in 4*. De la part de
l’Académie В. des sciences de Berlin.
Jahreshefte des Naturwissenschaftlichen Vereins für das Für-
stenthum Lüneburg. VI. 1872 u. 1873. Lüneburg 1876 in 8°. De
la part de la Société d'histoire naturelle de Lümebourg.
Vom Rath, G. Ueber die oktaédrischen Krystalle des Eisen-
glanzes vom Vesuv etc. 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
Transactions of the Connecticut Academy of arts and sciences.
Vol. 3, part 1. New Haven 1876 in 8°. De la part de l'Académie
des arts et des sciences de New Haven.
Verhandlungen u. Mittheilungen des siebenbürgischen Vereins
173.
174.
182.
183.
185.
a." LL.
für Naturwissenschaíten zu Hermannstadt. Jahrgang 26. Her-
mannstadt 1876 in 8°. De la part de la Societé d'histoire natu-
relie de Hermannstadt.
Dewalgue, G. Notes sur le dépót scaldisien des environs d'He-
renthals. Liege 1876 in 8°.
— — Complément du Mémoire couronné de MM. de la
Vallée-Poussin et Renard sur les roches plutoniens de la Bel-
gique. 1876 in 8*. Les № 173 et 174 de la part de l'Auteur.
. Müller, Jean. Monographie de la famille des Résédacées. Avec
10 planches. Zurich 1857 in 4°. De la part de l'Auteur.
. Landwirthschaftliche Jahrbücher. Band 5, Heft 3. Berlin 1876
in 8°. De la part du Ministère prussien d'agricu'ture de Berlin.
. Hsencmis Имп. Pycc&aro Географическаго Общества. 1876 г.
Вып. 1 u 2. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Société I.
geographique russe de St.-Petersbourg.
. Cora, Guido. Cosmos. Vol. 3. X 8. Torino 1876 in 4°. De la
part de Mr. Cora.
. Archives du Musée Teyler. Vol. IV, fascic. 1. Harlem 1876 in
8*. De la part du Musée Teyler à Harlem.
. Natuurkundig Tijdschrift voor nederlandsch Indie. Deel 34. Ze-
vende serie. Deel 4. Batavia 1874 in 8°. De la part de la Socie-
{ В. des Naturalistes de lInd» neerlandaise à Batavia.
. Hoffmann, H. Zur Speciesfrage. Harlem 1875 in 4°. De la part
de Vv Académie des sciences de Harlem.
Sitzungsberichte der mathematisch-physikalischen Classe der K.
b. Akademie der Wissenschaften zu München. 1876. Heft 1.
München 1876 in 8*. De la part de l'Académie R. des sciences
de Munich.
Nederlandsch meteorologiseh Jaarbock voor 1871. Utrecht 1875
in 4°. De la part de l'Institut. В. météorologique des Pays-Bas
d’Utrecht.
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ences physiques et naturelles de Bordeaux pendant l’année
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de MS Lui
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Cassel 1876 in 4°. |
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Paris in 8*.
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— — Sur la structure et les mouvemens des feuilles du
Dionaea muscipula. Paris 1876 in 8°.
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dans le chéne-liége. Genève 1860 in 4°. Les № 204—207 de la
part de l'Auteur.
. «kypuaas Садоводства. 1876. X 7. Москва 1876 in 8°. De la
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. Bullettino della Società malacologica italiana. Vol. 2. fasc. 1.
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ne de Pise.
Vom Rath, G. Zwei Vorträge über Syenitgebirge von Ditro etc.
u. Beobachtungen in den Golddistrikten etc. ete. Bonn 1876 in
8°. De la part de l'Auteur.
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for the advancement of science. London 1875 in 8°. De la part
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Berendt, C. Hermann. Remarks on the centres of ancient civi-
lization in Central America. New York 1876 in 8*. De la part
de l'Auteur.
Vom Rath, G. Mineralogische Mittheilungen III. Phakolith.
Leipzig 1876 in 8*. De la part de l'Auteur.
ag
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Университет$. Toms V. Вып. 1, 4, 5, 6. Tow» VI. Bum. 1. Ка-
зань 1876 in 8°.
215. Шелля, IO. Вмяне токовъ на растительные пигменты. 1876.
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216. Сорокин», H. Uctopia passutia Scleroderma verrucoscum. Ka-
зань 1876 in 8°.
217. 09.065, A. II. Краткое 0603phnie работы о 3eMIeTpaceHiAxXb BO-
обще и проч, 1876 in 8°.
218. Протоколы заефдан. Общ. Казанск. Общества Испытателей отъ
28 Января, 14 Марта и 12 Мая 1876 г. Les Л 214—218 de la
part de la Société des Naturalistes de Kazan.
219. Лазаревский, В. M, Объ ucrpe6zeniu волкомъ домалиняго скота
и дичи и объ истреблен1т волка. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la
part de la Redaction du Правит. Въстникъ.
220. Buscds, T. И. Mereopozormseckiii Оборникъ. Town» 5, вып. 1.
C.-Ilerep6. 1876 in 8°. De la part de l’Académie I. des scien-
ces du St.-Petersbourg.
221. Giornale di scienze naturali ed Economiche. Parte 1-a, scienze
naturali. Vol. XI, fasc. 1—4. Palermo 1875 in 4°. De la part
de l'Institut technique de Palerme.
222. Катало находящихся Ha Севастопольской б1ологической Cran-
щи. Одесса 1876 in 8°. De la part de la Société d’histoire na-
turelle d’Odessa.
229. Meneghini Guis. Nota sulle Ammonite del Lias superiore. in 8°.
De la part de l’Auteur.
Objets offerts.
Mr. le Professeur Alex. Agassiz de Cambridge fait-don d’une col-
lection de poissons rassemblés principalement au Brésil (60 diffé-
rentes espéces). |
Mémbre élu.
Actif.
(Sur la présentation des MM. J. A. Weinberg et K. I. Renard.)
Mr. Nicolai Petrovitsch Petroff, Directeur de l'école réale de Ka-
louga.
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BULLETIN
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE
— DES NATURALISTES
DE Moscow.
Tour Ш,
ANNÉE 1876.
Ne 4.
MOSCOU,
imprimerie de l'Université impérinle,
(M. Кащой. }
1371.
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SUR LA GUEUE DE LA COMETE DE 1874, c.
par
Th. Bredichin.
(Avec planche 2.)
Pour l'étude de la queue de cette comète, j'ai profité
des précieuses observations de M. Schmidt, qui se sui-
vent en une série continue du.1 juin au 22 juillet (As-
tron. Nachr. B. 87). Les positions de la cométe et des
points de sa queue ont été tracées par M. Schmidt sur
les cartes de la «Bonner Durchmusterung» et se rap-
portent à l’équinoxe de l'an 1855.
En désignant « et 9 les coordonnées du noyau et par
a’ eto” les coordonnées des points dela queue, on a pour
les temps moyens d’Athenes:
1874 T. m. d’Ath. a ó a! 0’
ост М MC 7B. o
Juin 1 8.4 6 43 27 +68 582 6 AT O0 +69 15
2 89 6 45 45 68 59.4 6 53 51 69 35
3.936 26.5% 69 60.3 6.5351 69 35
$9859 6 481 69 0.8 6 4849 69 6
0 94 6 49:37 69 1.6 6 5551 69 30
№ 4. 1876. 14
1874 T.m.d'Ath. a C TAS. 0’
h h ms о k т 8 Qus
Juin. 6 10.5 6 5120 +69 25 6 58 46 ——69 47
1 9.0 6 5252. 69 то
8 10.7.6 54 40 69 36.7.4 0S5 DEN
9:88 6 5615 69 3.6 6 57 44 Ш
10.40:7 № 5856" 69 Зет
11109. 6 50953 09 25 7 "EBORE
12 107 7 138-269 18 та
13 10.6 1 3-26 69 14 7 10 Sal
14 9071. 8957068577 7 15907] 5l
15.90 1 ТТ 605958 1 49 38 MEER
16 9.8 7 3858.5568 052.2. 7 95 и
17 40.6 7 10 4€ та с
18.112 71 12 37 — 68 419.4 ^1 94 NT eee
19 11.3 7 1438. . 6831.4 7, 2809 SI
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21.12.1 7.18 12... 68 209. т
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30 89 7 3257 65353 1 46 30 DNI
Juillet 1 9.2 7 3418 64585 y 49 Se
2.9.1. 7 35420 6149.3 7 B8. DT ar
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1874 T.m.d’Ath.
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Juillet 7 9.6
8 14.5
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5690 570
5320 54 0
29 30 62 0
58 10 53 0
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5290 51 0
49 30 50 0
4130 6930
1915 47 0
51920 48 0
5335 49 0
56 20 50 6
930 6357
5290 45 0
54 20 46 0
360.64 0
30040: 162 1.0
97 18 71035
40 0 60 30
027 65 4
1640 1 66.0
5556 63 30
io 0 57 f
XU 9 47 10
40 0 5830
0 0 58 12
20 0 85730
— 206 —
1874 T. m. d’Ath. a é gus e
hw m s о 1! h т 8 о |
Juillet 20 9.0 7 49 23 +20 56.0 10 40 0-55 30
» » » » 10. 0 0 52.38
» » » » 9 20.02 Ga
» » » » 8 40 0 3) 12
21.98. 4; 429 A 15 48.0 19 30 0 59 30
» » » » 12. ^9. 4) 54 30
» » » » 11. ?0 В 53 10
» » » » 10 40 0 50 40
» » » » 10 00 46 10
» » » » 9 20 € 39 15
39 asd: L. 98 ET 10 32.0 12 0 0 51 0
» » » » Tl 30 01464
» » » » 10 40 0 44 30
» » » » 10, A 39 0
» » » » 9 200 39 10
En réduisant ces mémes coordonnées de la cométe à
léquinoxe de 1874, on pourrait les employer dans le
calcul des quantités nécessaires pour [a réduction au
plan de l'orbite. Mais, — comme ce calcul a été fait par
moi avant la publication des observations de M. Schmidt, —
jai eu recours à toutes les observations de la comète
contenties dans les volumes 84 et 85 des Astrono-
mische Nachrichten. Les calculs sont faits d'aprés les
formules bien connues, exposées dans les Astron. Nachr.
(Vol. 13, page 193 et Vol. 49, Ne 1173).
Les éléments de l'orbite, calculés par M. Schulhof
(Astr. Nachr., N 2003) sont:
T = 1874 Juillet 8. 85664 T. m. de Greenwich
ne 27015 0721975
у É18 41025 3
T^
— 207 —
+ = 16690 58.6
1094 = 9 829 82.6
Mouvement direct.
A laide de ces éléments on a:
A —16" B6':et D == + 32* 55"
Avec ces valeurs et les coordonnées de la comète
jai caleulé les angles P et S, en prenant les coordon-
nées du soleil dans le Nautical Almanac. En calculant
en ouire les angles p, p° et s,—où р’ est langle de
position du prolongement du rayon vecteur et s la di-
stance angulaire entre le noyau et le point pris sur l'axe
de la queue,—on oblient la table suivante; les som res
de cette table, ainsi que tous les calculs ultérieurs se
rapportent à 9 heures du temps moyen de Greenwich.
1874 P S p p s
ПиН 248059 129484 149736 :39*19' 035
2 21830 122 17 49 0 3829 056
4 218 50 12210 46 2 3746 050
ELEGIR 133.4 53034 37.2), 09.1
Db 219 33 19154 4837 3621 04
6 21955 12143 4121 35.40 059
7 258048 12133 4125 «34:59 1056
8 280 40 12192 4245 3418 11
9 281 2 12114 4056 3334 012
10 28193 121 6 3944 3250 115
11 281 44 12057 44 0 32 6 033
12 282 9 12048 4240 3125 1 20
13 282 34 120 39 4053 3044 0 58
14 28259 12030 4016 30 3 12
ОЕ 12039 3217131 (2929 950
Juillet
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P
283?51'
284 17
284 12
285 11
285 40
286 8
386 37
287 1
287 36
288 7
288 38
289 t
289 10
290 12
290 45
291 19
291 52
292 28
293 4
293 43
294 23
29513
295 46
296 29
297 12
298 2
298 52
»
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S
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119 58
119 46
119 34
119 23
119 11
118 58
118 46
118 33
118 21
118 6
117 50
117 34
117 16
116 56
116 35
116 13
115 50
115 23
114 54
114 19
113 42
113 0
112 12
111 22
110 16
109 8
р
36°16’
36 19
36 31
39 14
32 c4
32 23
31 41
30 39
29 59
40 31
29 21
35 14
28 22
30 53
27 31
24 33
25 31
24 0
29 9
20 42
21 17
22 16
21 11
20 58
19 59
21 9
19 28
23 27
Po
19 8
19 33
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Juillet 13 999°43” 107°48' 93014! CL MICI T
1 SH 14 COG HE 15.3050, 8.9 LUE 159
» » » 16 41 » 9 50
» » » 1225 » 3 55
» » » 18 29 » 5 0
» » » 24 35 » 21, 59
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» » » 18 26 » aud
» » » 26 21 » 26 53
16 302 :5 102 48 25 30 4 18 28 10
» » » 95 6 » 47 21
d. 202 DL. 10052 96 11 Lope 31097
» » » 29 » 60 19
19 2309039. 98 1 98 1 356 b6. 55 52
» » » a 38 » KA 96
» » » 21 до » 33 13
» » » 96 35 » 19 48
Les observations des 20, 21 et 22 juillet ne sont pas
favorables à l'étude de la forme de la queue, à cause
de la proximité de la terre au plan de l'orbite cométaire.
_ Pourtant elles nous seront utiles pour trouver la position
de la courbe de l'axe de la queue.
La question importante dans la théorie des phénomènes
cométaires est de savoir si la queue se trouve dans le
plan de l'orbite. Or, les observations des 20, 21 et 22
. nous donnent le moyen de résoudre cette question posi-
tivement.
Pour ces observations on a:
— 210 —
1874 T. m. d'Ath. p' p $
h o “AS 0 0
Juillet 20 9.0 276 37 2155 213
29 49 31.9
30 29 46.3
31 43 46.9
32 29 52.7
33 30 58.0
33 56 63.3
21 9.0 212 21 35 40 30.6
34 51 40.7
34 47 487
35 21 554
35 57 614
35 44 65.8"
9,0 201 26 40 20 299
39 54 40.5
39 4 288
38 45 57.6
38 8 64.6
bo
19
D'où on a pour les dates respectives les différences
des angles de position p—p*:
Juillet:
20 21 22
111°18' 183? 19° 198° 54°
113. 19 182 30 198 28
113 52 182 26 197 38
115 6 183 0 197 19
115 52 183 36 196 42
116 53 183 23
117 19
— 211 —
On voit immédiatement par ces données, que le 20 et
le 22 juillet là queue présentait une courbure sensihle?
el cette courbure était dirigée à ces deux dates dans
des directions opposées. Le 21 la queue semblait être
droite, et il faut prendre pour elle, a 9^0 T. m.
d'Athénes, l'angle p — p? = 183° 9’.
Mais dans ce jour méme la terre a passé par le plan
de l'orbite cométaire. En effet, d'aprés les éléments de
M. Schulhof on a
0118" 1425.3
el par conséquent le passage a eu lieu le 21 juillet, à
7°.94 T. m. d'Athénes. La variation diurne (du 20 au
21) de l'angle p — p^ pour l'extrémité de la queue
(s = 63°) est 657.7; d’où on a, que cet angle p — p^
était égal à 180° à 7^.9. T. m. d'Athénes, c'est à dire
au moment méme de notre passage par le plan de l'or-
bite de la cométe.
Ainsi. la queue se trouvait exactement dans le plan
de l'orbite.
: La valeur p—p° = 180? (pour le moment du passage)
nous montre que la terre a passé dans l'intérieur de
l'angle formé par l'axe de la queue et par le prolonge-
ment du rayon vecteur. Le méme cas a eu lieu par
rapport à la queue anomale de la grande cométe de 1862.
Dien que ces observations des 20, 21 et 22 ne soient
pas favorables pour le calcul de la forme de la queue,
elles peuvent cependant donner approximativement l'angle
dela queue avec le prolongement du rayon vecteur dans
le plan de l'orbite. Nous ferons ce calcul pour le 20
et le 22 juillet, par rapport à deux points également
éloignés du noyau (s = 31*.9 et 299.9).
Juillet 20
22
et on trouve l'angle cherché:
L5
304°14'
304 17.
le 20 и— и’ = 35°.7
— 39. 6
22
Les signes positifs de ces angles nous montrent, que
la queue était précédée par le prolongement du rayon
vecteur dans le mouvement de la cométe dans son
orbite.
Passons maintenaut aux calculs ultérieurs. L'angle T
et les quanlités r (rayon vecteur de la cométe) e c (di-
stance du noyau à la terre) sont:
1874 T
Juin 1 136°
2 135
3 133
4 129
5 135
6 130
7 130
8 131
9 129
10 128
11 131
13 130
13 128
12
48
log. r
9.0046
9.9986
9.9926
9.9866
9.9804
9.9749
9.9680
9.9618
9.9556
9.9495
9.9134
9,9373
9.9312
log. e
0.0684
0.0544
. 0.0605
0.0530
0.0493
0.0452
0.0413
0.0332
0.0295
0.0252
0.0171
0.0127
0.0945
Juin
Juillet
19
26
27
28
29
30
1
55
khe Es fet цы ©
в S
Sm =I © — ID NO a QC
ho bo
S 1
EA
log. r
9.9251
9.9190
. 9.9130
9.9070
9:905
5.8956
9.8899
2.8843
9.8791
9.8740
9.8689
9.8640
9.8596
9.8554
9.8514
9.8475
9.8441
9.8411
9.8382
9.8558
9.8340
9.8325
9.8311
9.8902
9.8298
9.8299
9.8203
9.8314
9.8321
»
9.8340
»
log. 5
0.0000
9.9954
9.9869
KOT TT
9.9683
9.9591
9.9540
9.9445
9.9347
9.9945
9.9137
9.9032
9,8991
9.8750
9.8631
9.8452
9.8261
9.8130
9.7991
9.7854
9.7709
9.7560
9.7326
9.7158
9.6991
9.6810
9.6628
9.6437
9.6232
»
9.6024
»
1874 T
Juillet 13 61^
» 63
» 70
14 48
» 50
» 52
» 54
» 70
15 48
» 48
» 70
16 63
» 61
17 58
» 10
18 55
» 53
» 54
» 49
RO
“Ib r9 we
-
= e
bo rg
CO po Q2
tS c ©
Ct B QC gm & IN
bi bi Go GO
I
e
1 -—-
m €
OT -1 Qo =
log. v
9.8340
»
»
9.8561
9.8393
»
9.8441
»
9.8475
9.8514
9.5315
log. p
9.6024
»
»
9.5800
»
9.5564
»
»
»
9.5051
»
9.4711
On trouve enfin la quantité ^, l'angle и — u° — c, les
coordonnées reclilignes des points de l'age de la queue
et la force 1 — y:
1874 9
Jeon). + 10725
2 10 47
3 4 "54
И TX
5 13.14
6 6 46
7 TE
log. A
8.0932
8.4404
8.3715
7.4767
8.3155
8.4030
8.3159
log. &
8.0860
8.4327
8.3663
7.4756
8.3038
8.4000
1.3115
log. 1
7.3504
1.1128
1.5594
6.3310
1.6752
7.4743
8.5072
1—u:
0.425
0.904
1.183
0.744
0.479
2.415
1.754
— 215 —
1874 Q logo. loge Toga
Jun 8 +10° 15’ 8.4790 8.4720 7.7293
9 9 17 7.6857 7.6800 6.8934
10 9 0 84764 84710 7.0707
11 15 1 81998 8.1147 75433
12 14 49 8.5068 8.4993 7.9112
13 13 49 8.3451 8.3393 7.7932
14 14 18 8.4940 8.4803 7.8867
15 12 1 82486 8.2390 7.5671
16 11 36 8.6669 8.6579 7.9708
17 19 B8 8.4334 8.4292 7.7844
18 14 37 8.5080 3.4937 7.9100
19 19 45 8.5648 8.5385 8.0936
20 11 23 8.5098 8.5012 7.8051
21 19 30 8.4408 8.4304 7.7761
29 12 49 8.5171 8.5061 7.8631
23 19 33 8.4557 8.4432 7.7927
Dh 19 55 8.0995 8.0814 7.4413
25 15:28 8.4213 8.4053 7.8473
26 14 56 8.3853 8.3704 7.7964
97 OPO Vi 8.5659 8.9147" 8.2271
28 16 98 8.5574 8.5392 8.0099
29 23 15 8.6698 8.6339 8.2661
30 18 21 8.5239 8.5012 8.0223
Juillet 1 13 46 8.5989 8.5862 7.9754
2 17 46 8.7270 8.7058 8.2115
3 16 12 8.6099 8.5923 8.0555
д 16 11 8.5657 8.5481 8.0109
P 12 14 8.5464 8.5364 7.8725
6 15 24 8.5210 8.5051 7.9452
7 19 49 8.5394 8.5132 8.0672
8 18 51 8.4736 8.4496 7.9829
9 20 1 8.6039 8.5768 8.1383
1—y
1.300
0.264
1.789
0.282
0.724
0.387
0.790
0.668
1.937
0.920
0.869
0.521
1.562
1.123
1.299
1.209
0.304
0.747
0.157
0.288
0.944
0.565
0.711
1.603
1.253
1.187 -
1.082
1.904
1.104
0.668
0.636
9.749
1814
Juillet 10
11
12
12
13
13
13
13
13
14
14
14
14
14
15
15
15
16
16
17
LH
18
18
18
18
La planche ci-jointe, — dont
43
+ 38
8
9.2158
9.2056
9.1250
9.2246
9.5632
9.4263
9.3282
9.2162
9.0367
millimétres, — donne les points
coordonnées & et 7. Les points de l'axe éloignés de la
téte sont désignés par les astérisques.
La moyenne arithmétique de toutes les valeurs de 1—u.
est 0.805.
log. €
8.5521
8.5058
8.4220
8.9099
8.2007
8.3550
8.4728
8.5556
8.9821
8.1753
8.3524
8.4755
8.5589
9.0577
8.4810
8.3552
9.0785
9.0920
9.3180
9.1060
9.3435
9.2789
9.1941
9.0799
8.9324
l'échelle
de l'axe d’apres leurs
log. n 1—p
8.0952 0.768
8.1492 0.433
1.9982 0.484
8.6941 0.571
7.6582 0.499
7.9342 0.406
8.0752 0.479
8.2139 0.448
8.7751 0.643
7.5551 0.666
7.8047 0.717
1.9720 . 0.777
8.1164 0.711
8.9303 0.525
8.0405 0.580
1.9167 0.430
9.0512 0.343
9.0106 0.443
9.2148 0.825
9.0367 9.126
9.4651 0.306
9.2726 0.467
9.1599 0.436
9.0505 0.328
8.8273 0.331
est 0.1 — 200
ce MIS —
ll est intéressant d'examiner si la force était sujette
à quelques changements. Calculons, — à laide de la
formule approximative, — pour chaque point donné de
la queue le temps de sa séparation du noyau et distri-
buons les valeurs précédentes de 1 — м dans l'ordre de
ces temps. On aura ainsi:
Temps de sépar. 1—y. | Temps de sépar. 1—1%
1874 Mai 18.3 0.425 Juin 15.7 0.426
19:3 0.904 153 0 151
20.3 0.479 16.1 0.443
293.1 1.183 12 0.944
26.9 0.282 11.6 0.825
28.0 1.300 18.2 0.525
28.7 0.724 18.3 0.711
29.2 0.306 18.7 1.331
2925 2.415 21.0 1.953
29.6 1-254 Dike 0.571
30.3 0.144 2d. 0.613
30,4 0.264 29.6 1.605
31.0 0.587 93.2 1.187
9 1.9 0.790 94.3 1.082
"lin... 1.0 1.789 2547 0.668
2.8 0.521 96.9 6.433
1.4 0.668 26.7 0.636
6.0 0.869 26.9 1.104
6.1 1.937 26.9 0.749
6.1 0.920 21.5 0.448
1.0 0.288 21.9 1.904
ig 2 0.467 28.4 0.768
11:3 1.562 29.3 0.484
11.6 1.123 29.4 0.479
11.8 0.343 30.2 0.406
RAN Sa
Temps de sépar. 1—u Temps de sépar. 1—p
Juin 19.6: - 72 Juillet 1.7 0.711
13.1 0.328 2.4 0.580
13.4 0.565 2.4 0.430
13.5 0.436 sin 3.3 0.777
14,4 SERA P293 0.499
14.3 0.747 4.4 0.717
15.0 0.504 3:9 0.666
En partageant ces données en trois groupes (la pre-
miére 22, la seconde 21 et la troisième 21 jour), on
trouve pour chaque groupe la moyenne arithmétique
sulvant?: be
1-u probable
Pour l'intervalle du 18 mai au 11 juin 0.892 = 0.128
» 11 juin » 21 juin 0.740 2- 0.079
» 22 juin » 6 juillet 0.778 = 0.087
Les différences de ces moyennes n’excédent pas les
limites de leurs erreurs probables.. Ainsi, il est impro-
bable de supposer que l'intensité (réduite à la distance
r — 1) des charges électriques de la matière cométaire,
causées par l'action du soleil, variait avec l'approche de
la comète à son périhélie.
En calculant la courbe de l'axe avec la valeur
1 — v. — 0.8 on remarque tout de suite, que cette courbe
ne se trouve pas en accord avec les points de la queue
éloignés du noyau. |
Pour trouver la cause de ce désaccord, distribuons
les valeurs de 1 — u dans l'ordre des coordonnées crois-
santes £
1— p.
1.562
c
€ Е
* у
0
03 — 0.744 0.
> m
e!
bo
0
Е
0.005
0.012
0.012
0.013
0.015
0.016
0.017
0.020 «
0.081
0.022
0.023
0.023
0.083
0.093
0.024
0.025
0.025
0.026
0.026
0.097
0.027
0.098
0.098
0.030
0.030
0.030
0.030
0.030
0.030
0.031
0.031
N 4. 1876.
1.300
1.789
0.190
0.419
0.777
0.580
0.724
0.869
— 219 —
0.032
0.032
0.032
0.032
0.033
0.033
0.03%
0.035
0.035
0.035
0.036
0.036
0.036
0.038
0.039:
0.039
0.043
0.046
0.051
0.081
0.086
0.096
0.114
0.120
0.120
0.424
0128
_ 0.156
0.190
0.208
0.221
1—4
1.299
DA kdl
1.107
0.133
0.288
0.688
1.904
0.521
0.944
1.082
0.768
- 0.448
0.711
0:749
1.605
1.187 .
0.565
1.937
1.253
0.571
0.381
0.643
0,525
0.348
0.328 :
0.443
0.426
0.436
0.467
0.825
0.206.
19
— 990 —
Les valeurs de & se partagent naturellement, — comme
on le voit aussi sur la planche, — en deux groupes, dans
le premier desquels le plus grand £ est 0.05; dans le
second les £ sont compris entre 0.08 et 0.22.
Pour le premier groupe 1—u— 0.882 = 0.067
» second » » == 0,470, SOS
La difference de ces valeurs de 1 — v. dépasse con-
siderablement les limites des erreurs probables.
D'aprés mes observations du 3 juillet (Annales de l'ob-
servatoire de Moscou; Vol. Il, 1 livr.), la distance du
noyau au sommet du paraboloide de la queue était égale
à 60°. Vers ce temps l'influence de la perspective était
tout à fait insensible, car on a T—93*. A l’aide de
ces 60" et de 1 — в. — 0.8 on calcule la vitesse initiale
de l'émission, qu'on recoit
g = 0.025
ce qui est équivalent d 100 metres par seconde.
Comme le secteur lumineux de l'émission était toujours
assez développé, on peut prendre pour les bords de
la queue les limites de l'angle G égales à = 90°.
En calculant avec les valeurs 1 — u. égales à 0.882
et 0.470 et avec g — 0.025 les courbes des bords pour
le temps du périhélie (8 juillet), on verra que ces courbes
présentent une divergence considérable dans leurs parties
éloignées du noyau. Les courbes des bords, tracées sur
notre planche ont calculées proprement pour 1 — в. =
0.86 et 0.50 (ce qui ne produit pas une différence sen-
sible entre ces courbes et celles qui se rapportent à
4— u.— 0.88 et 0.47): la premiere est désignée par une
ligne continue, et la seconde par une ligne pointillée.
Pour expliquer la difference des valeurs 1 — u. (0.882
et 0.470) et la divergence des courbes de la queue, on
peut supposer, que les charges électriques, emportées
par la matiere émise du noyau, avec le temps se di-
spersent peu à peu dans l'espace céleste
Cet affaiblissement sraduel de la constante de la ré-
pulsion est un résultat, auquel je suis parvenu en étu-
diant les phénoménes de quelques autres cométes et prin-
cipalement de la grande cométe de 1858 (Бредихинъ.
О хвостахъ кометъ. 1862).
Pour le secteur lumineux de l'émission on a d’apres
mes observations (Annales de l'obs. de M. l. c.) les va-
leurs de l'angle »; on en recoit l'angle o à l'aide des
quantités p", P, et S données plus haut. Le signe —
indique la position du secteur en arrière du rayon vecteur.
1874 p o
Juin 29 182° — 34°8
30 186 — 26.5
Juillet 2 208 +233
3 183 — 26.4
4 185 — 21.3
7 181 — 21.4
8 177 — 94.0
10 196 + 9.8
14 147 — 9.8
Moyennne. . . — 15°
Tout ce qu'on peut déduire de ces données, c est
que le secteur lumineux se trouvait en général un peu
en arriere du rayon vecteur; voita pourquoi la clarté du
bord antérieur ne surpassait pas sensiblement celle du
bord postérieur.
15°
>)
Ouire la queue que nous avons examinée, la comete
de 1874 c avait encore une faible queue secondaire pour
la matière de laquelle la force 1— a dü être plus con-
sidérable, car cette queue se érouvait en avant de la
queue principale. M. Schmidt l'a vue vers le temps du
périhélie (Astron. Nachrichten, vol. 87, p. 41): «Juli 7.
Schon seit Juli 5 schien mir am Sucher, dass an der
linken Seite ein Nebenarm des Schweifs vorhanden séi....
. Juli 9. Er (der Schweif) hat gewiss einen Nebenarm; er
lag an der vorangehenden (westlichen) Seite... Juli 10.
Nebenarm schwächer als gestern... Juli 11. Um 9^9
war noch eine Spur des Nebenschweifs vorhanden».
А la queue secondaire, pour laquelle la force répul-
sive était plas grande, doit correspondre une vitesse ini-
tiale g plus considérable, c'est à dire le sommet de cette
queue a dü étre plus distante du noyau. En effet on lit
chez M. Schmidt (ibidem p. 38): «Juli 4. Ausserhalb des
parabolischen Saums der Coma zeigte sich ein sehr feines
Nebellicht von kreisfórmiger Figur.. Juli 6. Ausserhalb
der Coma, gegen die Sonne hin sieht man wieder das
kreisfórmig ausgebreitete zarte Nebellicht.»
La position de la queue secondaire m'est inconnue et
par conséquent je ne suis pas en état de calculer la force
répulsive pour ses particules.
La figure 3 (14 juillet; Annales de l'obs. de Moscou;
vol. If, 1 livr. planche) montre deux appendices qu'on
voit sortir de la téte en forme des deux cornes. Ces
appendices ne sont auire chose que les faisceaux dans
lesquels se divise ordinairement le panache de l'émission
et qui passent dans la queue.
Pour l'axe de la queue en voisinage du noyau l'angle
T = 48° et pour le secteur lumineux, qui est décliné en
^
arrière du rayon vecteur,—cet angle doit étre de 33° à
AT
peu prés. Ainsi, la ligne visuelle forme un angle assez
aigu avec l'axe du panache, dont le sommet se cache der-
riére, le sommet d'une enveloppe plus intérieure, —qui est
récente plus et qui n’a pas encore atteint la limite extérieure
de la tête, —et les faisceaux recourbés du panache semblent
sortir de cette enveloppe.
Il nous reste encore à faire une comparaison entre
les observations de M. Schmidt et celles des autres astro-
nomes, que M. Lorenzoni a recueillies dans son mémoire
«Sulla direzione nello. spazio della coda della cometa Cog-
gia» (Memorie della società degli spettroscopisti italiani.
1876. Dispensa 3). Pour la plupart de ces observations
langle s ne peut étre déduit avec autant de précision
que pour les observations de M. Schmidt, parce qu' on
n'y trouve par les coordonnées des points de la queue,
mais seulement ses angles de position. Ainsi chez M.
Tempel ces angles «sono semplici estimazioni fatte sulla
rete delle carte. La deviazione della coda per ultimi
giorni 4 — 14 luglio vale soltanto per i primi gradi della
.sua lunghezza, perché l'inflessione della coda diventava
ogni giorno piu sensibile» (Pubblicazioni del Reale osser-
vatorio di Brera in Milano Ne У). L'angle s n'est pas
donné non plus dans les. observations de M. Lorenzoni, et
sans cet angle il est impossible de calculer la for-
ce 1 — u..
Ayant en vue une simple comparaison des angles 9
que j'ai calculés d’apres les données de M. Schmidt, avec
les o qu'on recoit des autres observations,—j ai assigné
à l'angle s des valeurs approximatives, en me servant pour
cela des données de M. Abbe (Astr. Nachr. vol. 84) et
de là planche de M. Tempel (l. c.).
— 22i —
Les angles de position p, tels qu'on les trouve dans
‘la table suivante, sont pris dans le mémoire de M.
est calculé à l'aide des quantités P,
S et p", que nous avons données plus haut. И faut ajou-
ter encore, que pour le mois de mai ces quantités, ainsi
que r et 2, sont:
Lorenzoni; l'angle
1874
Mai 184 2
24.4 2
28.4 3
2
i
1874T.m.de Gr. Temp.
0
18.4
24.4
28.4
1.4
Mai
Juin
eo SF Ot oue
Juillet
p'
1941
5 9
12 7
Moyenne
о
50.5
18.5
18.0
16.0
AALS
43.0
41.5
38.0
36.3
36.0
34.6
30.5
28.8
21.8
22.3
25.0
(11.3)
P S
£'29' HSE
5 029 123 21
657 122 53
P
Abbe Lor.
96.5 — —-
18.5 — —
18.0 — —
16.0 — —
43.0 — —
Bib uk —
38.0 — —
— 363 —
36.0 — | —
— 346 —
40.5- 30.5 =
— 28 —
28.5 26.0 —
— 223 —
25.0 25.0 —
CRE ids
24.5 26.0 230 24.5
24.0 23.0 —
23.5
lg r
0.0838
0.0510
0.0282
“) €
DS Q3 "9 RO et DO La DO jb jeé Hi вене
Я
lg 2
0.1335
0.1106
0.0934
— 225 —
la
1874T.m.de Gr. Temp. Abbe Lor. Moyenne Poids
Juillet 3.4 93.5 26.0 240 915
Kaas 349 998
» + 17.4
». 15.4
3
2
Gen Ao 29.0 22.0 72294805 15.8
ВЕ О 293.0 22.0:722.0: 4%» TIT
1.12 220.190: 39:0 2003 > 14.2
8107210 — 19.0 20.0 79 3.5 16.0
9.4 218 — — 218 1 » 22.1
10.4 — — 190 190 1 » 16.8
122° 10, —— "S TROP T » 14.8
19.2 170220. 20.0 AT 31 22.2
DER. 22.002220 20:9 9» -- 24.4
Par rapport à l'angle p du 30 juin, qui est mis en
parenthése, il faut observer qu'il est inexact. En effet
nous avons deux mesures micrométriques de cel angle,
l'une faite par moi (Annales de l'obs. de Moscou, l. c.
p. 86), l'autre par M. Schmidt (Astr. Nachr. vol. 87, p.
40) la première donne p —24.* et la seconde p=
_ 93°.4. Enfin on peut voir plus haut, que des autres ob-
servations de M. Schmidt pour cet angle résulte la va-
leur 27°.5 (pour s = 2.8). Il est facile de s'assurer que
l'erreur de l'angle p —17*2 provient de la position in-
exacte de la cométe, employée par M. Abbe; il en con-
vient lui méme, en parlant de la position du noyau
(Astr, Nachr. Ne 2015, p. 358; 30 juin; «Much doubt
about this position».—Ainsi cette observation doit être
rejetée. |
A la simple inspection des angles 9 et s, on voit que
ses 9 sont tout à fait en accord, — dans les limites des
à
erreurs d'observation, —avec les ¢ de M. Schmidt; par
n ABB uc
conséquent, ils ne pourraient avoir aucune influence
sensible sur la valeur de la force 1—u. trouvée plus
haut.
Je me suis persuadé de cet accord d'une maniére en-
core plus décisive. Avant de réduire rigoureusement
les observations de M. Schmidt,—en calculant les angles
p au moyen des coordonnées des points de la queue,—
jai trouvé ces angles (et les angles s) approximative-
ment,—en tracant la queue sur les cartes et en emplo-
yant simplement un rapporteur.
Je me suis arreté au 15 de juillet, car dans les obser-
vations ultérieures la terre se trouvait déjà trop prés de
l’orbite de la comète, et mon procédé graphique deve-
nait de plus en plus incertain.
A l’aide des quantités connues P, S, p* et p, j'ai cal-
culé l'angle ©; enfin la valeur approximative de s m'a
servi pour trouver les coordonnées & et n et la force 1—p.
Les angles p, o et s sont (pour les 9” de Greenw.):
1874 p 5 9
Juin 1 469.0 0°.6 а
2 50.0 » 11.7
3 46.0 » 8.8
4 40.0 » 3.5
D 51.5 » 15.9
6 44.5 1.0 10.1
Я 46.5 » 13.1
8 38.5 » 5.4
9 38.5 » 6,4
10 41.5 » 14.1
11 41.5 » 12:2
12 40.5 » 12.2
1874 p S o
Juin 13 399.5 » 1291
14 49.0 19,8 16.4
15 38.0 » 12.1
16 3 1.0 » 1974
11 35.0 » 11.1
18 36.0 Di gee 113.9
19 39.0 » 19.4
20 33.0 » 12.1
21 39.5 » 12.7
29 eco). F933 14.2
23 31.0. » 13.2
24 30.0 » 12.9
25 Эс» 15.4
26 30.5 » qu
27 34.0 » 25.3,
28 27.5 » 14.7
29 32.0 » 25.4
30 28.5 9.4 20.4
Juillet 1 25.5 » 15.9
: 25.0 » 16.6
3 25.0 » 18.5
4 24.5 » 19.3
5 91.5 » 14.1
6 22.5 » 18.3
1
8
24.5 » 2572
22.0 3.5 20.9
9 21.0 » 20.1
10 19.5 » 18.1
Tl 21.0 » 23.4
ili? 19.0 » 19.5
13 16.0 » 13.6
14 13.0 » 8.8
15 11.5 » 11.9
— 228 —
Prenons maintenant les moyennes de tous les angles o
(observations des MM. Abbe, Lorenzoni, Schmidt et Tem-
pel) sans perdre de vue leurs poids; partageons ces moyen-
nes en six groupes et prennons la moyenne pour chaque
groupe. On a ainsi: |
Groupes Se о T © Poids.
18 mai— 5 juin inelusivement 0°.5 1.20 135*9 7°10’ 10
6 juin—13 , : 1.0 1.06 129.8 1082779
1477-2100 » L8 0.94. III HITZE
9957, ^ an : 9:30.79 1082913592065
30. 5 aller 3.4 0.60 091.8 «160 9
8 juillet—15, 3 3.9. 0.41 658 1910810
Puis on recoit:
oe Poids.
Mai 30 0.62 10
Juin 10 1.09 10 a
18 0.96 12
26 0.78 16
Juillet 4 0.79 27
12 ‚ 0.64 19
D’ou on a enfin 1 — и = 0.79.
Ainsi cette valeur approximative de 1 — u. ne diffère
qu'insensiblement de sa valeur calculée exactement.
27
1876, Octobre 15.
ZUR FRAGE
über das
GLEICHGEWICHT SCHWIMMENDER KÖRPER,
Von
Th. Sludsky.
Niemand zweifelt daran, dass jeder in einer Flüssig-
keit schwimmende Kórper wenigstens zwei Gleichgewichts-
lagen hat. Wir alle sind davon überzeugt; es existiren
aber keine Beweise dieses Satzes.
in der vörliegenden Note gedenke ich diesen so wich-
tigen Mangel in der Theorie schwimmender Körper aus-
zufüllen.
Zum Beweise werde ich die Eigenschaften der Schwer-
punktsflächen benutzen, die vom französischen Geometer
Dupin in die Theorie schwimmender Körper eingeführt
wurden. Um den Leser nicht mit Citaten zu beschweren,
werde ich die schon bekannten Eigenschaften der Schwer-
punktsflächen aufzählen. Ich werde auch einige neue, zu
meinem Zwecke sehr wichtige Eigenschaften bezeichnen.
N ae
1.
Wollen wir uns zuerst mit dem Schwimmen von Flä-
chen beschäftigen und zu beweisen suchen, dass jede
schwimmende Fläche mindestens zwei Gleichgewichts-
lagen hat.
Erinnern wir uns daran, dass die Bestimmung, der
Gleichgewichtslagen einer schwimmenden Fläche zur Lö-
sung der folgenden Aufgabe führt: Von einer gegebenen
Fläche soll durch eine Gerade ein Theil von gegebener
Grösse so abgeschnitten werden, dass die Schwerpunkte
der ganzen Fläche und des abgeschnittenen, als homogen
angenommenen Theils in einer zur Secante senkrechten
Linie liegen.
Nehmen wir zuerst den Fall, wo die gegebene Fläche
U keine von einander isolirte Theile hat.
Die Secante theilt die Fläche U in zwei Stücke. Die
Richtung der Secante einmal bestimmt, wollen wir den
von ihr rechts liegenden Theil als den labs che
bezeichnen.
Es ist leicht zu sehen, dass wir mit Geraden einer
gegebenen Richtung jeden gegebenen Theil U’ von der
gegebenen Fläche U abschneiden können. Begreiflich
giebt es nur eine Art und Weise, um durch Gerade
einer gegebenen Richtung einen gegebenen Theil'U' von
U abzuschneiden.
Fig. 1. Nun stellen wir uns vor,
dass die Gerade AB (fig. 1)
B den gegebenen Theil U' von
D U abschneidet. Wir werden
6 | eine neue Secante nehmen,
A. die unendlich wenig gegen.
AB geneigt ist und von U den-
es
— 231 —
selben Theil О’ abschneidet. Offenbar wird AB durch
diese neue Secante irgendwo zwischen C und D ge-
schnitten werden—zwischen den äussersten Durchschnitts-
punkten von AB mit dem Contour der Fläche U. Wir
haben nur zu bemerken, dass von den beiden, mit der
neuen Secanten parallelen und durch die Punkte C und
D gehenden Geraden, die Eine einen grösseren Theil als
U’, die Andere einen kleineren abschneidet.
Wenn zwei unendlich wenig gegen einander geneigte
Geraden zwei gleich grosse Stücke von U abschneiden,
so haben diese Stücke einen gemeinschaftlichen endli-
chen Theil, und unterscheiden sich von einander durch
unendlich kleine Theile erster Ordnung.
Es seien AB und CD (fig. Be
2) zwei Geraden, die unendlich
wenig gegeneinander geneigt
sind und von U zwei gleiche
Flächen FAB und FCD ab-
schneiden. Die Schwerpunk-
ie der Flächen FCQB, AQC
und РОВ seien in К, G und H. Die Schwerpunkte der
Flächen FAB und FCD werden auf den Geraden @K und
- HK liegen, in den Punkten Г, und N,deren Lage durch
folgende Proportionen bestimmt wird:
KL GL KN HN
AQC ^ FCQB DQB 7 FCQB
Da die Fläche AQC der Fläche DQB gleich ist, so
folgt aus diesen Proportionen:
— 232 —
Folglich ist die unendlich kleine Gerade ZN parallel
mit GH (oder auch mit AB und CD).
Wollen wir uns das ganze System vonGeraden vorstellen,
die von U gleiche Theile gegebenerGrösse abschneiden. Ein
jeder dieser Theile wird seinen eigenen Schwerpunkt ha-
ben. Die Schwerpunkte je zweier Theile, welche durch zwei
beliebige, unendlich wenig gegen einander geneigte Se-
canten abgeschnitten werden, liegen in einer mit den —
Secanten parallelen Geraden, und sind unendlich nahe
an einander, — ihre Entfernung ist eine unendlich kleine
Grösse erster Ordnung. Der geometrische Ort der Schwer-
punkte ist folglich eine geschlossene, überall convexe
Curve, die keine Spitze hat. Diese Curve wird die Schwer-
punktscurve genannt.
Eine Gerade, vom Schwerpunkte der Fläche U (wir
werden ihn durch © bezeichnen) nach irgend einem Bo-
genelemente der Schwerpunktscurve gezogen, ist gleich
geneigt sowohl gegen das Bogenelement, als auch gegen
die (dem Anfang oder Ende desselben) entsprechende Se-
cante. Wenn sie zum Bogenelemente senkrecht ist, so ist
sie es auch zur Secanten. Diesem Falle entspricht eine
Gleichgewichtslage.
Da die Schwerpunktscurve eine geschlossene Curve
ist, so wird allerdings Einer von ihren Punkten in der
kürzesten Entfernung von O liegen, ein Anderer in der
grössten. Die Tangenten in diesen Punkten sind senkrecht
zu den Radienvectoren, die von О ausgehen. Wir haben
also zwei Gleichgewichtslagen.
2
Wir gehen jeizt zu dem Falle über, wo die gegebene
Fläche U mehrere von einander abgetrennte Stücke
besitzt.
— 233 —
Gesetzt, es bestehe U aus zwei abgetreunten Stücken
ABC und DEF (fig. 3) ^). Fig. 3.
In diesem Falle wird nicht j
eine jede Gerade von ge-
gebener Richtung nur in
einer Weise den gegebe-
nen Theil U' abschneiden
können. Alle Geraden,
welche dieselbe Richtung
wie GH haben und zwi-
schen GH und KL (den
Tangenten zu den Con- а
touren der Flächen ABC und DEF) liegen, schneiden
offenbar ein und denselben Theil ABC ab. Für jede
Richtung, welche zwischen den Richtungen der Linien
DB und AF (den gemeinschaftlichen Tangenten von
ABC und DEF) geht, giebt es eine unendliche Reihe
von parallelen Geraden, die ein und denselben Theil
ABC abschneiden.
Ist der abzuschneidende Theil U’, seiner Grösse nach,
sowohl von ABC als von DEF verschieden, so finden
alle Folgerungen des vorigen Paragraphen auch in diesem
. Falle statt. Die Schwerpunktscurve wird auch hier eine
geschlossene, überall convexe und spitzenlose Curve sein.
Es werden auch hier wenigstens zwei мы
gen exisliren.
Gesetzt, es sei der abzuschneidende Theil U 'eleich ABC.
In usen Falle schneiden zwei beliebige, unendlich we-
nig gegen einander geneigte Secanten, die zwischen DB
*) Unsere Resultate werden keineswegs beeinträchtigt, wenn wir
annehmen, dass die Theile der Fläche U durch unendlich schmale
Fäden (in endlicher Anzahl) mit einander verbunden sind.
2 И =
und AF liegen, eine und dieselbe Fläche ABC ab. Dann
giebt es für alle zwischen DB nnd AF liegenden Secanten
keine entsprechende Bogenelemente der Schwerpunkts-
curve. Allen diesen Secanten entspricht eine Spitze der
Schwerpunktscurve, wo die Tangenten mit DB und AF
parallell sind, und, wie wir annehmen wollen, dieselbe
Richtung, wie diese haben. |
In dem Falle also, wo mehrere von einander abge-
trennte Theile in der gegebenen Fläche U vorhanden
sind, darf die Schwerpunktscurve Spitzen haben. Doch
ist sie auch hier eine geschlossene, überall convexe
Curve.
Wenn eine Gerade, vom Schwerpunkt der Fläche U
nach einer Spitze der Schwerpunktscurve gezogen, senk-
recht ist zu einer der Linien, die zwischen den Tangen-
ten der Spitze liegen, so bekommen \ eine Gleichge-
wichtslage. |
Nun ist es schon leicht zu beweisen, dass auch für
eine discontinuirliche Fläche man wenigstens zwei Gleich-
gewichtslagen hat. Wir haben nur zu bemerken, dass
wenn der zu O am nächsten liegende Punkt, oder der
von O entfernteste eine Spitze der Schwerpunktscurve
ist, so wird der nach diesem Punkt von © aus gezo-
gene Radiusvector zu einer Geraden senkrecht, die
zwischen den Tangenten liegt.
3.
Jetzt werden wir zum Schwimmen der Körper über-
gehen.
Die Bestimmung der Gleichgewichtslagen eines schwim-
menden Kórpers führt bekanntlich zur Lósung der fol-
senden Aufgabe: Von einem gegebenen Volumen V soll
*
— 235 —
durch eine Ebene ein gegebener Theil У’ so abgeschnit-
ten werden, dass die Schwerpunkte des ganzen Körpers
und des, als homogen angenommenen, abgeschnittenen
Theils in einer Geraden liegen, welche zur Schnittebene
senkrecht stehe.
Wir wollen zuerst den Fall betrachten, wo der gege-
bene Körper keine von einander isolirte Theile besitzt.
Wir werden die Richtung der Schnittebene durch die
Richtung ihrer Normale * (irgend welcher von den bei-
den Normalen) bestimmen. Wir wollen denjenigen Theil
des Volumens V als den abgeschnittenen bezeichnen, der
auf der Seite der Normale » liegt.
Es ist leicht einzusehen: 1) dass durch Ebenen einer
gegebenen Richtung ein jeder gegebene Theil V' vom Vo-
lumen V sich abschneiden lässt; 2) dass eine Ebene ge-
gebener Richtung den gegebenen Theil V’ von V nur in
einer Weise abschneiden kann.
Es ist leicht zu beweisen, dass, wenn zwei, unendlich
wenig gegen einander geneigte Ebenen gleichgrosse Vo-
lumina von Y abschneiden, diese Volumina einen ge-
meinschaftlichen endlichen Theil haben, und sich durch
unendlich kleine Theile erster Ordnung von einander un-
terscheiden. |
Man kann sich leicht überzeugen, dass, wenn zwei
unendlich wenig gegen einander geneigte Ebenen gleich-
grosse Theile von V abschneiden, die Schwerpunkte die-
ser Theile in einer Geraden liegen, welche gegen die
Schnittebenen unendlich wenig geneigt (ihnen parallel)
ist. Die Entfernung der Schwerpunkte ist eine unend-
lich kleine Grösse erster ‚Ordnung.
Nun nehmen wir irgend eine Ebene P, die von V
den gegebenen Theil V’ abschneidet. Dann wollen wir
das ganze System der Ebenen ins Auge fassen, die von
№ 4. 1876. 16
— 236 —
V denselben Theil V' abschneiden, unendlich wenig und
zwar gleich gegen P geneigt sind, und sich durch die
Richtung ihrer Durchschnitte mit P unterscheiden. Der
geometrische Ort der Schwerpunkte der Volumina, die
durch diese Ebenen abgeschnitten werden, ist offenbar
eine unendlich kleine, geschlossene Curve. Diese Curve
liegt in der Ebene, die mit P parallel ist, und die den
Schwerpunkt des durch die Ebene Р abgeschnittenen
Theils enthält.
Fassen wir das ganze System der Ebenen in’s Auge,
die vom Volumen V Theile gleicher Grösse ТУ’ ab-
schneiden. Die Schwerpunkte der abgeschnittenen Theile
bilden dann offenbar eine geschlossene, überall convexe
und keine Spitzen besitzende Oberfläche. Diese Ober-
fläche wird die Schwerpunktsfläche genannt.
Eine Gerade, vom Schwerpunkte des Körpers (wir
werden ihn durch О bezeichnen) nach irgend einem
Punkte der Schwerpunktsfläche gezogen, bildet gleiche
Winkel sowohl mit der Tangentialebene in diesem Punk-
te, als auch mit der ihm entsprechenden Schnittebene.
Ist sie zur ersten senkrecht, so ist sie es auch zur zwei-
ten. Diesem Falle entspricht eine Gleichgewichtslage.
Einer der Punkte der Schwerpunktsfläche liegt in der
kürzesten Entfernung von O; ein Anderer — in der grös-
sten. Die Tangentialebenen in diesen Punkten stehen auf
den von O aus gezogenen Radienvectoren senkrecht. Es
giebt also zwei Gleichgewichtslagen.
4.
Wir haben noch zu beweisen, dass wenigstens zwei
Gleichgewichtslagen auch in dem Falle existiren, wo der
gegebene Körper aus isolirten Stücken besteht.
— 237 —
Die Schwerpunktsfläche wird in diesem Falle wieder-
um eine geschlossene, überall convexe Fläche sein. Spi-
izen kann sie aber haben.
Jeder Spitze wird ein ganzes System von Schnittebe-
nen entsprechen. Einer gegebenen Spitze werden alle
die Ebenen enisprechen, die zwischen den Tangential-
ebenen in diesem Punkte liegen (alie die Ebenen, deren
Normalen innerhalb des Kegels der Normalen jener Tan-
gentialebenen liegen).
Wenn der nächste zu O, oder der von O entfernteste
Punkt der Schwerpunktsfläche eine Spitze ist, so steht
der nach diesem Punkte von O aus gezogene Radius-
vector auf einer der Ebenen senkrecht, die zwischen den
Tangentialebenen liegen. Wir haben eine Gleichgewichts-
lage.
BEITRÄGE ZUR FLORA DES TAMBOWSCHEN GOUVERNEMEHTS
von
D. Koschewnikoff.
-......-[-..---
Florula der Umgegend von Koslow.
I Einleitung.
Bekanntlich giebt es zwei verschiedene Arten der
Bearbeitung der Flora eines Gebietes. In dem einen Falle
sucht der Forscher die Vegetation von möglichst vielen
Gegenden zu untersuchen, welche sich von einander
durch ihre geographische Lage, das Klima, die physischen
und chemischen Eigenschaften des Bodens u. s. w. un-
terscheiden. Das Material, welches auf einer grossen
Oberfläche, in Gegenden, die von verschiedenen Ver-
hältnissen beeinflusst werden, gesammelt ist, giebt in die-
sem Falle Möglichkeit, den allgemeinen Charakter der
Vegetation einer durchforschten Gegend richtiger zu
bestimmen, auf die Verschiedenheiten der Flora in
ihren einzelnen Theilen hinzuweisen, die Ursachen auf-
zufinden, von denen diese Verschiedenheiten bedingt
werden und endlich durch die Zusammenstellung der
erlangten Resultaten mit dem, was in derselben Richtung
— 239 —
für andere genau erforschte Gegenden früher gethan war,
zu einer Folgerung allgemeiner botanisch-geographischen
Gesetze zu gelangen. In dem anderen Falle ist die Auf-
gabe des Forschers eine bedeutend begrenztere. Er be-
schränkt sich hier auf ein verhältnissmässig kleineres
Gebiet und stellt sich das Ziel mit möglichster Genauig-
keit die Vegetationsformen, die innerhalb desselben vor-
kommen, zu untersuchen. Da es sich hier um eine mehr
oder weniger gleichbeschaffene Gegend und eine gleichar-
tige Flora handelt, ist es ihm nicht möglich, aus dem
gesammelten Material so zahlreiche und allgemeine Schlüs-
se zu ziehen wie dem Forscher erst besprochener Art;
seine Arbeit soll nur den Boden vorbereiten, auf wel-
chem mit der Zeit die Flora einer ganzen Provinz ent-
stehen kann; indessen ist die Entstehung einer solchen
nur dort denkbar, wo mehrere gut erforschte Localfloren
eine hinreichende Anzahl genauer Fakten liefern, die
als Material zur Ableitung allgemeiner Schlüsse dienen
können.
Von dem Wunsche geleitet mich mit der Verbreitung
der Pflanzen im mittleren Theile Russlands bekannt zu
machen und zu meinem ersten Versuche die Flora des
Tambowschen Gouvernements erwählend, war ich einige
Zeit zweifelhaft, welcher der eben besprochenen Arten
der Erforschung ich den Vorzug geben sollte: war es ge-
rathener mit der Zusammenstellung eines Pflanzenver-
zeichnisses irgend einer Gegend anzufangen oder mich
persönlich mit der Vegetation mehrerer Kreise bekannt
zu machen, um auf Grund der darauf bezüglichen Lite-
ratur, wie auch meiner eigenen Kenntnisse es zu versu-
chen die Flora des ganzen Gouvernements oder eines
mehr oder weniger bedeutenden Theiles desselben zu bear-
beiten. Da aber die letztgenannte Aufgabe eine zu weit-
— 240 —
reichende ist als dass sie ein einzelner Mensch zu lósen
im Stande wäre, so wurde die Wahl der Methode zur
Behandlung der Tambowschen Flora natürlich von dem
Material, welches von írüheren Bearbeitern derselben
gesammelt worden, abhängig gemacht. So weit mir be-
kannt, sind sämmtliche Nachrichten über die Flora des
Tambowschen Gouvernements in folgenden Werken ent-
halien, bei deren Betrachtung ich mir erlaube einige
Zeit zu verweilen.
Obgleich schon im letzten Viertel des vorigen Jahr-
hunderts Pallas"), Falk ") und Güldenstädt’**) in ihren
Reisenotizen einiger Pflanzen erwähnen, welche ihnen
bei ihrem Durchstreifen des südlichen Theiles des Tam-
bowschen Gouvernements auffielen, sehen wir doch die
ersten ausführlichen Nachrichten über die Flora unseres
Gouvernements in der Literatur erst im Jahre 1837
erscheinen, als Weinmann ”""") das erste Verzeichniss
der Pflanzen des Tambowschen Gouvernements herausgab.
*) P. S. Pallas: Reisen durch verschiedene Provinzen des russi-
schen Reiches. Bd. III. (1776). S. 686 — 88. — 16 Arten aus dem
Kreise von Borisoglebsk.
**) J. P. Falk: Beiträge zur topographischen Kenntniss des rus-
sischen Reiches. Bd. If. (1786). Einige Pflanzen mit Angabe der
Steppen des Tambowschen Gouvernements.
++*) J. A. Güldenstädt: Reisen durch Russland und Caucasische Ge-
birge. Bd. L (1787). Einige Worte über die Pflanzen aus der Strec-
ke zwischen Tambow und der Festung Nowo-Chopersk (S. 44). Le-
debour (Fl. Ross.) schreibt mit Unrecht dem Tambowschen Gouver-
nement die Pflanzen zu, welche von Güldenstädt zwischen Nowo-
Chopersk und Astrachan gefunden wurden (S. 48 u. weiter).
*"** Observationes quaedam botanicae ad floram Rossicam spec-
tantes scr. J. A. Weinmann (Bull. d. l. S. I. d. N. d. Mose. 1837.
№ 7. p. 51—74). |
— 241 —
Dieses Verzeichniss enthält die Namen von 153 Arten
und Varietäten, die von Thoermer «in provincia Tambow»
gesammelt wurden; «caeterum, fügt der Autor hinzu,
loca natalia specialiora non ubique sunt indicata» (l. c.
p. 51). Diese Anmerkung ist von Wichtigkeit, weil un-
ter den Pflanzen, die Weinmann anführt, solche sind, die
Niemand ausser ihm weder im Tambowschen, noch in
einem der benachbarten Gouvernements zu finden Ge-
legenheit hatte”), sogar solche, deren Vorkommen im
ganzen russischen Reiche sich nirgends bestätigt findet **).
Da eine Thatsache solcher Art unwillkürlich in uns Zweifel
an der Genauigkeit der Angaben Weinmanns hervorruft,
so müssen wir nur mit äusserster Vorsicht das wissen-
schaftliche Material benutzen, welches von ihm zur Grund-
lage der Tambowschen Flora gelegt ist. Viel wichtiger
ist die Bedeutung, welche die Werke des berühmten
Bearbeiters der Flora verschiedener Theile des russischen
Reiches, des Akademikers C. A. Meyer haben, welcher
auf Grund der Herbarien, die in 6 verschiedenen Krei-
sen (Elatma, Temnikow, Spassk, Morschansk, Lipetzk und
Usman) gesammelt wurden, seine «Florula provinciae
Tambow» ***) verfasste, die ausser der bei Weinmann ge-
nannten Pflanzen noch 157 neue Arten enthält, im Gan-
zen 190 Arten. 10 Jahre spáter wurde von Meyer in Form
eines Nachtrages zu der «Florula» ein Verzeichniss von
203 Arten herausgegeben, die im ersten Werke nicht
genannt waren, aus dem Kreise von Schatzk (dem Dorfe
*) z. B.: Buphtalmum cordifolium Kit. (N* 143), Senecio umbrosus
W. et K. (€ 187) u. a.
**) Genista ovata W. et К. (№ 101), Cirsium glabrum DC (№ 129),
Senecio anthoracaefolius Presl (№ 135).
***) Beiträge zur Pflanzenkunde des russischen Reiches. ] Liefe-
rung. 1844.
— 349 —
Рождествено) und der Umgegend von Lipetzk ") so
wie auch Pflanzen aus dem Kreise von Borisoglebsk **)
(dem Dorfe Ольшанка), unter denen 63 Arten, die frü-
her bei Meyer nicht angeführt waren. So wurden durch
die Werke dieses Gelehrten Nachrichten über die Flora
von 8 Kreisen gesammelt und die ganze Zahl der dort
gefundenen Pflanzen erstreckte sich beinahe bis zur Hälfte
aller Arten der Tambowschen Flora (in wie weit bis
jetzt diese Zahl bekannt ist); aber bei allen diesen gros-
sen Verdiensten leiden Meyer’s Werke wesentlich daran,
dass das Tambowsche Gouvernement in denselben als
ein botanisch-geographisches Ganze behandelt wird, so
dass Meyer einmal auf den Fundort irgend einer Art in
einem der Kreise hinweisend, in den Verzeichnissen der
anderen Kreise dieser Pflanze nicht mehr erwähnt, son-
dern nur die Namen der von ihm noch nicht gefunde-
nen Arten angiebt. Hieraus geht deutlich hervor, dass
kein einziges der von Meyer herausgegebenen Verzeich-
nisse einen vollständigen Begriff der Localflora, auf die
es sich bezieht, zu geben vermag. Noch zur Zeit Meyer's
Forschungen im Gebiete der Tambowschen Flora, erschien
das Werk Semenoffs: «Придонская Флора» (1851), wel-
ches deshalb wichtig ist, weil es ausser einem reichhal-
tigen Pflanzenverzeichniss einen Versuch darbietet, das
von dem Autor durchforschte Gebiet (d. h. das Wasser-
system des Don, und folglich auch den zu demselben
gehörenden Theil unseres Gouvernements) in zwei bota-
*) Verzeichniss einiger im Gouv. Tambow beobachteter Pflanzen,
ein Nachtrag zu der Florula provinciae Tambow. Ebendaselbst: 9
Lieferung. (p. 1—39) 1854.
**) Zweiter Nachtrag zu der Florula von Tambow. Ebendaselbst.
(p. 118—132).
— ee —
tanisch-geographische Bezirke (die des oberen und des
unteren Don) einzutheilen und auf die Pflanzen, welche
beide charakterisiren, hinzuweisen; übrigens finden wir
in Seménoffs Werke keine speziellere Angaben über
die Fundorte der erwähnten Pflanzen. Im Jahre 1865
erschien Petunnikoff’s *) Verzeichniss von 31 Pflanzen
des Kirsanowschen und 180 des Koslowschen Kreises,
welches in der Gesammtliteratur der Tambowschen Flora
das Verdienst hat, dass es die ersten Nachrichten über
die Vegetation der beiden genannten Kreise angiebt und
einige Pflanzen enthält, deren Niemand von den Bearbei-
tern der Tambowschen Flora ausser Petunnikoff erwähnt,
Leider sind auch in diesem Werke, wie in allen, die wir
der Betrachtung unterworfen, keine genauen Mittheilun-
gen über den Fundort einiger interessanten Pflanzen ge-
macht, so dass eine Bestätigung von Petunnikoffs Anga-
ben unmöglich ist. Ein in demselben Jahre erschienenes
Werk Dr. Ikawitz’s: «Медикотопографическое onncanie
Тамбовской ry6epain» (1865) enthält unter Anderem die
Namen von vielen Pflanzen; für uns aber ist die Bedeu-
tung desselben desshalb nicht gross, dass der Verfasser
seine Angaben auf das ganze Gouvernement bezieht,
ohne zu bezeichnen, in welchem Kreise er oder andere
Personen, deren Beobachtungen ihm zu Gebote standen,
diese oder jene Pflanze fanden; ausserdem unterliegt die
Genauigkeit der angeführten Nachrichten in einigen Fäl-
len dem Zweifel "). Das letzte Werk über die Tam-
*) Verzeichniss der im Gouv. Tambow wildwachsender Pflanzen,
zugleich als dritter Nachtrag zu Meyer’s Florula prov. Tambow.
(Bull. Soc. Nat. d. Mosc. 1865. N° III).
**) z. В.: № 491. Juniperus communis Г. „in den südliehen Kreisen,
ziemlich háufig* es ist aber bekannt, dass die südliche Grenze des
— 244 —
bowsche Flora ist das Verzeichniss der im Elatomschen
Kreise gesammelten Pflanzen von Wiazemsky *), wel-
ches 381 wildwachsende Arten enthält; bei jeder ein-
zelnen ist mit genügender Genauigkeit der Fundort und
Verbreitungsgrad innerhalb der Grenzen des genannten
Kreises angeführt.
Wenn wir jetzt betrachten, zu welchen Resultaten die
Forschungen aller oben genannten Bearbeiter der Tam-
bowschen Flora geführt haben, so finden wir, dass durch
ihre sámmtliche Bemühungen die Zahl der innerhalb der
Grenzen dieses Gouvernements gefundenen Pílanzen eine
ziemlich bedeutende (ungefähr 970 Arten) geworden ist;
was aber die Vertheilung dieser Menge von Pflanzen in
den einzelnen Theilen des Gouvernements anbetrifft, so
sind in dieser Hinsicht unsere Kenntnisse bei weitem
nicht ausreichend, da die Werke, welche die Flora des
ganzen Gouvernements behandeln, gar keine speciellere
Anweisungen enthalten, die Pflanzenverzeichnisse für ein-
zelne Kreise aber nicht vollständig genug sind, um ei-
nen mehr oder weniger klaren Begriff von der Vegeta-
tion eines jeden zu geben. Eine ausführlichere Angabe
der Fundorte der Pflanzen, oder irgend welche andere
Beobachtungen über dieselben finden wir in der Lite-
ratur beinahe gar nicht. Eine Ausnahme davon macht
theilweise nur das Werk von Wiazemsky, welches einen
genügend deutlichen Begriff von der Vegetation eines der
Wachholders viel nördlicher liegt (Cfr. Bode: Verbreitungsgränzen
der Holzgewächse des europäischen Russlands in Beiträge z. Kennt-
niss des russischen Reiches. 18 Bnd. Karte IIT, X 45). Ebenso zwei-
felhaft: № 262. Rubus Chamaemorus Г. „in den südlichen Kreisen“
u. S. W.
*) Bull. d. 1. Soc. I. d. Nat. de Mosc. 1870, № 1.
— 245 —
nórdlichen Kreise giebt. — Die Uebersicht der Literatur
der Tambowschen Flora führte mich also zu dem Schluss,
dass in Folge einer ungenügenden Vollständigkeit des
gesammelten Materials noch lange nicht die Zeit einer
allgemeinen Bearbeitung unserer Fiora gekommen sei,
und dass die Aufgabe der Forscher in der Zusammen-
stellung möglichst ausführlicher Verzeichnisse einzelner
Localfloren für verschiedene Theile des Gouvernements
bestehen müsse. Der erste Versuch dieser Art wurde
nicht ohne Erfolg für einen der nördlichen Kreise von
Wiazemsky gemacht; meine jetzige Arbeit hat den Zweck,
eine zweite Localflora des Tambowschen Gouvernements,—
die der Umgegend von Koslow, — zu liefern.
Die Gegend, welche ich zum Gegenstand meines Stu-
diums wählte, war schon vor 12 Jahren von Petunni-
koff durchforscht worden; dennoch halte ich die Heraus-
gabe eines Verzeichnisses der von mir im Laufe der
Sommer 1875 und 1876 in der Umgegend von Koslow
gesammelten Pflanzen nicht für überflüssig, da die Zahl
derselben die der von Petunnikoff angegebenen Arien
bedeutend übersteigt *).—Ich hielt es für nothwendig bei
allen Pflanzen, ausser den überall verbreiteten, auf den
Ort hinzuweisen, an welchem sie gefunden wurden; aus-
*) Ich besitze im Ganzen 629 Arten aus dem Koslowschen Krei-
se, von denen 468 sich nicht in dem Verzeichnisse des Herrn Pe-
tunnikoff und 30 nicht in einem einzigen der mir bekannten Wer-
ke über die Tambowsche Flora vorfinden; aus der Zahl der letzte-
ren sind indessen ungefähr */, solcher, bezüglich derer es nicht
móglich ist, mit Sicherheit zu entscheiden, ob sie nicht schon frü-
her unter anderen Benennungen angeführt worden, da die Herba-
rien der Autoren der Tambowschen Flora, deren Durchsicht das
einzige mögliche Mittel sein könnte, dergleichen Fragen zu beant-
worten, mir nicht zu Gebote standen.
, — 246 —
serdem suchte ich auf Grund meiner Beobachtungen im
den letzten Jahren zu bestimmen, wie häufig und in wie
grosser Zahl der Individuen jede einzelne von den an-
geführten Pflanzen auf dem von mir durchforschten Ge-
biete vorkommt, wie auch die mittlere Blüthezeit und
den Anfang der Frucht- und Samenreife anzugeben.
Obgleich ich ganz offen gestehe, dass die kurze Zeit,
welche ich bis jetzt auf die Bearbeitung der Flora des
Koslowschen Kreises verwenden konnte, nicht hinrei-
chend ist, um ein vollständiges Verzeichniss sàmmtlicher
in demselben vorkommenden Pflanzen zusammenzustellen
und eine mehr oder weniger bedeutende Anzahl von
Beobachtungen in Bezug auf diese zu sammeln, so er-
laube ich mir dennoch zu hoffen, dass meine Arbeit,
wenn sie auch in vielen Einzelheiten der weiteren Aus-
führung bedarf, auch in ihrer jetzigen Form eine Anzabl
neuer Fakten liefert, welche vielleicht nicht ohne Be-
deutung für die weitere Bearbeitung der Flora des Tam-
bowschen Gouvernements bleiben werden.
Zum Schlusse halte ich es für meine Pflicht, dem Herrn
Prof. Goroschankin meinen innigsten Dank auszudrücken,
dessen Freundichkeit ich es verdanke, dass ich die Móg-
lichkeit hatte bei der Bestimmung einiger zweifelhaften
Arten die der Moskauer Universität gehörenden Herba-
rien der Prof. Kaufmann und Hoffmann zu benutzen.
October 1876.
II. Einige Bemerkungen über die Vegetationsverhältnisse in
der Umgegend von Koslow.
Ehe ich zu der Aufzählung der von mir gesammelten
Pflanzen übergehe, halte ich es nicht für überflüssig ei-
nige Bemerkungen bezüglich des allgemeinen Charakters
— 247 —
der Vegetation in der Umgegend von Koslow und der
Verschiedenheit, die man in den einzelnen Theilen der-
selben bemerkt, vorauszuschicken. In meinen Forschun-
gen beschränkte ich mich auf den Centraltheil des Kos-
lowschen Kreises, in einem nicht weiteren Umkreise als
25—30 Werst von der Stadt, deren nächste Umgebung
natürlich am genausten von mir durchforscht wurde.
Wie unbedeutend auch dieses Gebiet ist, erscheint dessen-
ungeachtet die Vegetation desselben nicht überall als
vollständig gleichartig; im Gegentheil man bemerkt in
einigen Beziehungen einen ziemlich scharf hervortreten-
den Unterschied zwischen seinen verschiedenen Theilen.
Die Veränderung des Vegetationshabitus in zwei entge-
gengesetzten Richtungen, kann man am leichtesten ver-
folgen, wenn man untersucht, was für einen Charakter die
Flora der nächsten Umgebungen der Stadt besitzt und
welchen Veränderungen sie an den nach Osten und Nord-
Westen von Koslow liegenden Orten unterworfen ist ").
*) In der folgenden Schilderung werde ich nur diejenigen Pflan-
zen behandeln, welche als besonders charakteristisch entweder für
das ganze von mir durchforschte Gebiet, oder für irgend einen
Theil desselben erscheinen; desshalb wird die Aufzählung der Pflan-
zen, welehe keinen wichtigen Einfluss auf den allgemeinen Habitus
der Vegetation ausüben, ebenso derjenigen, die über den Koslow-
schen und die demselben benachbarten Kreise gleichmässig ver-
breitet sind, von mir ganz unberücksichtigt gelassen. Was einige
Eigenthümlichkeiten betrifft, die sich in der Vegetation zeigen, in-
dem man sich von Koslow nach anderen Richtungen, ausser den
von mir gewählten östlichen und nordwestlichen,—den wichtigsten
in botanisch-geographischer Beziehung, —entfernt, so würde uns die
Betrachtung derselben nur zu einzelnen Fakten von untergeordne-
ter Bedeutung führen; daher halte ich es für passender die nicht
zahlreichen hierzu gehörenden Bemerkungen dem weiter hinzuge-
fügten Verzeichniss der von mir gesammelten Pflanzen anzu-
schiiessen.
ae =
Für die Charakteristik der nächsien Umgebung von
Koslow in botanischer Beziehung sind vor Allem folgende
Umstände von Wichtigkeit: die dichte Schicht Schwarzerde
(черноземъ), welche beinahe ohne Unterbrechung die
ganze Oberfläche des Bodens bedeckt und nur ausnahms-
weise einem Sand-oder Lehmboden Platz macht; ein
vollständiger Mangel an Nadelholz und nur eine unbedeu-
tende Zahl vom Laubwälder, welche hauptsächlich sich
an den Ufern des Flusses Woronesch vorfinden und in
Folge eines unmässigen Aushauens in der letzten Zeit jetzt
nur als kleine vereinzelt dastehende Haine und Gesträu-
cher erscheinen. Wenn wir mit dem Namen Steppe
den ganzen südlichen Theil Russlands bezeichnen, wo
die Tanne vollständig fehlt, wo die Zahl der Wälder ab-
nimmt, und die Schwarzerde als vorherrschender Bo-
den erscheint,—wie es z. B. der Akademiker Ruprecht ")
thut,—so können wir mit vollem Recht diese Benennung
der Umgegend von Koslowbeilegen. Zu diesem Schluss kann
man noch sicherer gelangen, wenn man sich der Ueber-
sicht der Vegetation unserer Gegend zuwendet, wobei
vor Allem das häufige Auftreten solcher Pflanzen in den Um-
gebungen von Koslow ins Auge fällt, welche durch ihr
Vorhandensein gewóhnlich die Schwarzerdesteppe charak-
terisiren, wie: Silene viscosa, Geranium sibiricum, Linum
flavum, Astragalus Cicer, A. Hypoglottis, Coronilla varia,
Vicia pisiformis, Sanguisorba officiualis, Peucedanum alsa-
ticum, Verbascum Lychnitis, Phlomis tuberosa, Nepeta
nuda, Euphorbia procera uud viele Andere. — Salvia pra-
lensis, Arenaria graminifolia, Campanula sibirica (zusam-
men mit C. patula und Polygonum Bistorta) erscheinen
*) „Teo6orannyeckia uscrbropania 0 wuepuosewb.^ Приложеве
KB X тому Зап. Ими. Акад. Haye. № 6. 1866. стр. 13, 14 sgg.
— 249 —
in solcher Menge, dass sie Ende Mai und Anfang Juni
entschieden das Uebergewicht über alle anderen Wiesen-
gräser erhalten, und den Haupttheil der in dieser Zeit
blühenden Gewächse ausmachen; etwas später schliessen
sich ihnen an und treten auf ihre Stelle: Pedicularis co-
mosa, Spiraea Filipendula und viele Andere. Nur auf
niedriger gelegenen Wiesen, nahe am Rande feuchter
Wälder und Gesträucher trifft man solche Arten, welche
nicht ausschliesslich auf die Steppenregion beschrünkt
sind, sondern auch viel nórdlichere Breiten erreichen,
wie 7. D. die bei uns weniger häufig vorkommenden:
Arabis Gerardi, Orchis militaris, Crepis praemorsa, Ane-
mone sylvestris (die letztgenaunte Art wächst auch auf
trockenen, mit Gesträuch bedeckten Hügeln, wo sich zu
ihr zuweilen die bei uns seltene Iris furcata gesellt).
Als die am meisten characteristischen Repräsentanten
der eigentlichen Steppenflora des südlichen und östli-
chen Theiles von Russland erscheinen in der Umgegend
von Koslow: Draba repens (auf trockenen Feldern und
unter Sträuchern, im Frühling, häufig), Pedicularis laeta
(auf grasigen Wiesen), Lepidium latifolium (am Ufer des
Flusses Woronesch, selten) Cirsium esculentum (gegen
das Ende des Sommers auf feuchten Wiesen, häufig ").
Wenn das häufige Vorkommen der genannten und
einiger anderen Arten mehr oder weniger bestimmt auf
den Steppencharakter der Wiesenflora der Umgegend von
Koslow hinweist, so verleiht nichtsdestoweniger das Vor-
handensein einer verhältnissmässig noch ziemlich bedeu-
tenden Anzahl Wälder (die an den Stellen erscheinen,
wo sich keine Schwarzerde befindet) der Landschaft in
*) Bezüglich der Verbreitung dieser Pflanze in Russland vergl.
unten das Verzeichniss unter X 291.
— 250 —
beträchtigem Grade Abwechselung und nimmt ihr den
der typischen Steppe eigenen Charakter der Einförmigkeit
ab, die Vegetation aber dieser bewaldeten Strecken und
noch mehr der sumpfigen Stellen giebt sogleich deutlich
das Auftreten einiger nördlicheren Elemente der Flora
zu erkennen. Die vorherrschenden Baum-und Strauch-
arten in kleinen trockenen Wäldern sind: die Espe,
Eiche, Haselnuss, Acer tataricum, Rhamnus Frangula und
cathartica, Prunus Padus, Viburnum Opulus, Evonymus
verrucosus, denen sich zuweilen anschliessen: Ev. euro-
paeus, Cornus sanguinea, Prunus spinosa, Pyrus Malus,
Sorbus und Andere. Die grósseren und schattigen Haine
bestehen aus Eichen, Ulmen, Ahorn (Acer campestre und
platanoides), Linden und Eschen (selten) In den mora-
stigen, sumpfigen Gegenden, in der Nähe der Flüsse
herrschen vor: Alnus glutinosa, Rhamnus Frangula und
verschiedene Arten von Weiden. Von selteneren Pflanzen
sind bemerkenswerth die in trockenen Gebüschen vor-
kommenden: Sisymbrium Alliaria, Cardamine impatiens,
in schattigen Wäldern: Arabis pendula, Geranium Rober-
tianum; auf Humusboden sind nicht selten: Moehringia
lateriflora, Carex pilosa. In feuchten, sumpfigen Wäldern
finden sich zerstreut: Pedicularis Sceptrum, Cirsium hele-
rophyllum und C. oleraceum, im Wasser selbst: Myrio-
phyllum verticillatum, Hottonia palustris. Niedrig liegende
sumpfige Strecken sind oft ausschliesslich bedeckt mit:
Stellaria glauca, Ptarmica cartilaginea, Beckmannia eru-
caeformis, und mit verschiedenen Arten von Rindgras
(Carex vulpina, leporina, ampullacea und viele Andere) ^).
*) Bei der Charakteristik der Vegetation irgend einer Gegend ist
es ausser der Hinweisung auf die verbreitetsten und bemerkens-
werthesten Arten, sehr wichtig, die Aufmerksamkeit auch auf die
— 251 —
Es erscheinen also viele Pflanzen der Waldgegenden
und der sumpfigen Strecken in der Umgegend von Kos-
low als Repräsentanten einer nördlicheren Flora und ver-
leihen durch ihr Auftreten neben südlicheren Pflanzenfor-
men, unserer Flora einen zweifachen, gemischten Cha-
racter.
Gehen wir jetzt zur Beschreibung der Vegetation der
von Koslow weiter gelegenen Gegenden über, und ver-
suchen wir zu betrachten, welchen Veränderungen sie
in dem östlichen Theile des Kreises unterworfen ist. Die
Gegend, welche zwischen den Flüssen Lesnoi-und Polnoi-
Woronesch liegt, bietet das Bild einer flachen, einför-
migen Ebene dar, welche nur selten von einzelnen Baum- .
gruppen unterbrochen wird; grössere Waldstrecken ma-
chen hier niedrigem Gestráuche Platz, welches sich kaum
über die es umgebenden Wiesengräser erhebt. in diesem
Gesträuche, (in welchem Prunus Chamaecerasus vor-
herrscht) wie auch auf den Wiesenstrecken, welche
jetzt inmitten der sie von allen Seiten umgebenden Aec-
ker nicht mehr als unbedeutende Flecken, — kümmer-
gänzliche Abwesenheit oder auf das seltene Auftreten einiger Pflan-
zen zu richten, welche sehr hàufig in Gegenden auftreten, die dem
untersuchten Gebiete benachbart sind. Dieses zu thun ist aber
nicht immer leicht, da wir bei einer ungenügenden Erforschung
der Vegetation einer gewissen Gegend eine grössere Anzahl von
Arten als fehlend bezeichnen, als solche in der That existiren. Die-
se Bemerkung im Auge behaltend, kánn man doch von einigen
Pflanzen, wie es mir scheint, mit einem genügenden Grad von
Wahrscheinlichkeit sagen, dass sie gar nicht oder wenigstens sel-
ten in der Umgegend von Koslow vorkommen, während sie in nórd-
licher liegenden, der Schwarzerde entbehrenden Gouvernements
sehr verbreitet erscheinen, wie: Lamium album, Galeobdalon lute-
um, Raphanus Raphanistrum, Nardus stricta, viele Cyperaceae und
Andere; von Baumarten fehlen bei uns: die Tanne, Weisserle (Al-
nus incana) und der Wachholder (Juniperus communis).
Ne 4. 1876. 17.
— 252 —
liche Ueberreste einer früh erenausgedehnten Grassteppe,—
hie und da erscheinen, — entwickelt sich gegen die
Mitte des Sommers eine üppige Vegetation, deren haupt-
sächliche Bestandtheile verschiedene Gräser und Compo-
siten bilden; über ihnen erheben sich, eine beträchtliche
Hóhe erreichend, Adenophora liliifolia, Delphinium elatum,
Serratula coronata und heterophylla, Veronica spuria und
auf feuchten Stellen Cirsium canum. Adonis vernalis, Scor-
zonera purpurea, Phleum Boehmeri erscheinen in grosser
Anzahl auf grasigen Wiesen am linken Ufer des Lesnoi
Woronesch nordöstlich von Koslow; in trocknen Gesträu-
chern an demselben Ufer sind sehr gewóhnlich: Hesperis
matronalis, Erysimum strictum, Lychnis chalcedonica. An
offenen Stellen und Wegrändern, ausser Sisymbrium pan-
nonicum, Onobrychis sativa, verschiedenen Arten von Ver-
bascum(V. Lychnitis, V. nigrum, V.orientale)uud von anderen
Pflanzen (deren Menge in ‘östlicher Richtung von Koslow
zunimmt) kommen massenhaft vor: Falcaria Rivini, Achillea
nobilis und seltener Silene chlorantha.—Eine Veränderung
des Vegetationscharakters nach Osten von Koslow wird
schon dicht bei der Stadt, unmittelbar auf dem linken
Ufer des Flusses (Lesnoi Woronesch) in ziemlich scharfer
Form bemerkt. Weiter nach Osten zu verschwinden
allmälig die Waldungen und die Elemente der Steppen-
flora treten mehr und mehr hervor. Die Einförmigkeit
der Ebene, welche sich nach Tambow hin erstreckt, wird
nur von dem Flusse Polnoi Woronesch unterbrochen,
dessen Ufer an manchen Stellen mit Strauchwerk bewach-
sen sind; als bemerkenswerthe Pflanzen erscheinen hier:
Sisymbrium strictissimum, Lythrum virgatum, Senecio
erucaefolius, Galatella insculpta; im Flusse selbst wächst
in Menge Caulinia fragilis.
Ungeachtet dessen, dass die soeben angedeuteten
. blumenreiche Steppe hinzog
— 253 —
Eigenthümlichkeiten der Vegetation der nach Osten von
Koslow liegenden Orten einen mehr oder weniger be-
stimmten Steppencharakter verleihen, begegnen wir doch
nirgends (innerhalb der Grenzen der von mir durch-
forschten Gegend) dem die eigentliche Steppe am meisten
charakterisirenden Repräsentanten, dem Federgrase (Stipa
pennata) Das Verschwinden vieler charakteristischen
Steppengewächse (und hauptsächlich der Stipa-Arten)
beim Ueberackern der Steppe ist eine genügend bekannte
Thatsache. Wir besitzen Beweise dazu, dass ein solches
Verschwinden, welches nach manchen Beobachtungen ^")
mit unglaublicher Schnelligkeit vor sich geht, sich
wirklich in verhältnissmässig kurzer Zeit an den Orten,
welche der von mir durchforschten Gegend mehr oder
weniger benachbart sind, vollzogen hat. Der ganze süd-
östliche Theil des Orlowschen Gouvernements war (nach
Köppen) im Anfang des jetzigen Jahrhunderts eine Fe-
dergrassteppe, während 50 Jahre später Stipa pennata
im genannten Gouvernement schon als eine seltene Pflanze
angesehen wurde"). Für unsere Gegend haben wir Anga-
ben von Falk, dass vor 90 Jahren zwischen Koslow und
Tambow sich eine 40—50 Werst weite, unbewohnte,
"*). Seither konnte. sich
zugleich mit der Bevölkerung und Bebauung derselben,
das Verschwinden des Federgrases vollziehen. Noch um
*) z. B. Veesenmeyer: Die Vegetationsverhältnisse an der mitt-
lern Wolga, in Beiträge z. Pflanzenkunde d. russ. Reiches. 9 Lief.
(1854) p. 55. a
**) Ruprecht: l. c. p. 14 und 85.
*** Es ist dies die sogenannte kleine Jaroslawische Steppe: Falk,
Beiträge zur topographischen Kenntniss des russischen Reiches.
Bnd. I (1785) p. 68.
17:
— 254 —
das Jahr 1854 fan! man es im Schatzkischen Kreise (am
Dorfe Рождествено *), in einer Gegend, welche viel
näher der nördlichen Grenze der Steppe liegt, als die
Umgegend von Koslow. Ich besitze ein Exemplar der
Stipa pennata , welches im Jahre 1864 im Koslowschen
Kreise gefunden wurde, doch ist es mir leider nicht
näher bekannt, aus welchem Theile desselben es herrührt;
in dem Verzeichnisse von Petunnikoff (1865) ist es schon
nicht mehr angegeben. Alle diese Thatsachen geben uns, wie
ich glaube, Recht mit ziemlicher Bestimmtheit anzuneh-
men, dass das Federgras sich früher in der Umgegend
von Koslow vorfand (wie es wirklich einige der ältesten
Ortsbewohner versichern), aber nach und nach durch
die Bebauung der Steppe hinausgedrängt wurde; was
aber den östlichen und südlichen Theil des Kreises an-
betrifft, so ist es nicht unwahrscheinlich, dass diese Pflanze
daselbst auch jetzt vorkommt. Ebenso wie Stipa pennata,
konnten allmälig auch andere Steppenpflanzen aus der
Umgegend von Koslow verschwinden, deren Flora ge-
genwärtig viele charakteristischeRepräsentanten der eigent-
lichen (Federgras-) Steppe fehlen.
Wenn wir vonder Uebersicht der Flora des östlichen Thei-
les des Koslowschen Kreises zu der Vegetation des nord-
westlichen Theiles desselben übergehen, so werden wir zwei
Contrasten begegnen, welche die Flora der Umgegend von
Koslow in zwei entgegengesetzten Richtungen bildet "*).
*) Meyer: l-er Nachtrag. X 8.
**) Bei einer weiteren Schilderung der Vegetationsverhältnisse
im nordwestlichen Theile des Koslowschen Kreises werde ich haupt-
sächlich die am Flusse lowai liegende Gegend berücksichtigen, da
ich Gelegenheit hatte, mich vorzugsweise mit ihr bekannt zu
machen.
— 255 —
Ungefähr 18 Werst nach Nord-West von der Stadt, an
dem Flusse [lowai (einem Zuflusse des Woronesch) treffen
wir solche Verhältnisse des Pflanzenlebens, welche auf
den ersten Blick einen ziemlich scharfen Contrast mil
dem, was wir bis jetzt gesehen haben, bilden. Die Schwarz-
erde hórt hier auf und statt ihrer erscheint vorherrschend
Sandboden, auf welchem sich ein grosser Wald befindet,
der sich in Gestalt eines schmalen Streifens längs dem
Flusse Пома! hinzieht und im Süden an der Mündung
dieses Flusses in Wälder übergeht, welche die von
Schwarzerde entblössten Ufer von Woronesch ”) bedecken.
Auf dem linken Ufer des Ilowai (hinter dem Dorfe shu-
диловка) besteht der Wald stellenweise (auf Sandboden)
nur aus Kiefern; öfters schliesst sich diesen die Birke an;
endlich ist an manchen Stellen die Kiefer gänzlich aus-
gerottet und von verschiedenen Laubholzarten vertreten.
Im Walde, welcher das entgegengesetzte (rechte) Ufer
bedeckt, und sich am oberen Laufe des Flusses (Ilowai)
mit grossen Kronsforsten vereinigt, bildet die Kiefer
nirgends die vorherrschende Baumart, sondern erscheint
nur stellenweise oder verschwindet sogar gänzlich; indessen
bezeugt die Vegetation dieses Ufers deutlich, dass einst-
weilen an der Stelle des jetzigen Laubwaldes sich ein
Kieferwald befand, dessen Flora bis jetzt einige ihrer
charakteristischen Pflanzen hinterliess. Wo die Kiefer als
die einzige, oder wenigstens als die vorherrschende Baumart
auftritt, erreicht die dem Nadeiholzwalde eigenthümliche
Flora ihre volle Entwickelung. Als ihre Repräsentanten,
ausser Moosen, treten auf: Veronica officinalis, Pyrola ro-
tundifolia, Pyrola minor, P. chlorantha, P. secunda und
*| Im westlichen Theile des Koslowschen, im Lebedianschen und
anderen Kreisen.
— 256 —
(die im óstlichen Theile des benachbarten Lebedianschen
Kreises gefundene) P. umbellata. Auf Sandboden am Rande
des Waldes wachsen in Menge: Helichrysum arenarium,
Jasione montana, Veronica incana, Arenaria serpyllifolia,
Asperula tinctoria. Calluna vulgaris bedeckt beträchtliche
Strecken im Kieferwalde, so wie auch an den Stellen,
wo die Kiefer jetzt verschwunden ist, wie z. B. im
Kronsforste auf dem rechten Ufer des llowai (hinter Xo-
ботово und Бригадирское), wo man jetzt nur einzelne
alte Exemplare dieser Baumart antrifft. In diesem Krons-
- Юге treten stellenweise in grosser Menge auf: Vacci-
nium Myrtillus, V. vitis idaea, Lycopodium clavatum;
nach den Angaben der Forstwächter findet sich dort auch
Oxycoecos palustris (wahrscheinlich auch einige Ericaceae
die man gewöhnlich zusammen mit der Moosbeere antrifft).
Obgleich ich selbst die letztgenannien Pflanzen nicht
gefunden habe, werden sie wahrscheinlich nichtsdestowe-
niger mit der Zeit an dem bezeichneten Orte angetroffen,
So trägt die Vegetation der Ufer des [lowai durch das
Vorhandensein einiger Arten aus den Familien der Py-
rolaceen, Vaccinieen und Ericaceen, das deutliche Gepräge
einer nördlicheren Flora, die der Schwarzerderegion ganz
fremd ist; es fehlen dagegen an den Ufern des llowai
viele von den Pflanzen, die in dem Steppentheile unseres
Kreises häufig vorkommen. Wenn man sich aber von der
Uebersicht der Flora des Kieferwaldes, der Vegetation der
Örte zuwendet, die ihm benachbart sind, so triffi man
allmälige Uebergänge an, die den früher bemerkten
Contrast zwischen der Flora des östlichen und des nord-
westlichen Theiles des Koslowschen Kreises ausgleichen.
Schon dicht am Waldrande an offenen Stellen auf Kalk-
boden, (der an beiden Ufern des llowai an der Erdober-
fläche hervortritt) finden sich neben solchen Pflanzen,
— 257 —
welche auch im Kieferwalde verbreitet sind (wie z. B.
Veronica incana und auf sandigem Boden Helichrysum
arenarium) Arten vor, deren häufiges Auftreten gewöhn-
lich die Schwarzerdesteppe characterisirt (wie Salvia ver-
tieillata, die im südlichen Theile des Kreises in Saaten
sehr verbreitet erscheint), und sogar solche Formen,
welche in ihrer Verbreitung durch Russland ausschliess-
lich auf den südlicheren Theil desselben heschränkt
sind (Phelipaea coerulea). Auf den Hügeln am rechten
Ufer des Ilowai, das mit niedrigem Walde bewachsen
ist, finden sich auf Kalk-und Sandboden in Menge:
Asperula tinctoria, Hieracium echioides, Gynanchum Vin-
cetoxicum, Verbascum Thapsus, — Pflanzenformen, die
man mehr oder weniger häufig im ganzen mittleren
Russland (ohne dass hier ein merklicker Zusammenhang
mit der Verbreitung der Schwarzerde stattfindet) antrifft;
nur selten schliessen sich ihnen solche Arten an, welchen
man nicht in der nächsten Umgebung von Koslow und
südlicher begegnet, z. B. die sehr seltene Orchis ustulata.
Eine äusserst interessante Flora mit einigen nördlichen
Vegetationszügen bildet der schattige Wald an den Ab-
hängen des rechten Ufers des Flusses (hinter Жидиловка),
wo man unter Anderem findet: Circaea alpina — auf feuchtem
Sande, und auf Humusboden: Asperula odorata, Epipac-
tis latifolia, Actaea spicata, Polystichum filix mas, von
welchen die 3 letztgenannten Arten auch um Koslow und
etwas südlicher, wenn auch selten, vorkommen. Nicht
weniger bemerkenswerth ist auch die Vegetation des
grossen Kronsforsies, der sich am oberen Laufe des
llowai-Flusses hinzieht: hier wachsen an schattigen Stellen:
Cypripedium Calceolus, Orchis maculata (beide in der
Umgebung von Koslow nicht gefunden), Neottia nidus avis
(kommt auch südlich von der Stadt, aber sehr selten, vor);
— 00
auf Humusboden: Luzula pilosa, Trientalis europaea,
Carex pilosa (die letztere Art auch in grosser Menge in
den Wäldern um die Stadt); an grasigen Stellen in we-
niger schattigen Waldtheilen: Platanthera bifolia, Gym-
nadenia conopsea, Gladiolus imbricatus; auf sandigen
‚Höhen: Potentilla cinerea, Carex pediformis; und endlich
am Rande des Waldes: Anemone Patens, A. sylvestris, und
nur sehr selten trifft man hier die im Schwarzerdegebiete
häufig vorkommende Scorzonera purpurea. — Aber nicht
nur die Vegetation der Orte, welche dem Kieferwalde zu-
nächst liegen, oder solcher, wo der letzte jetzt verschwun-
den und durch Laubwald ersetzt ist, besitzt mehrere
Pflanzenformen, die auch in der Umgebung von Koslow
vorkommen, sondern man muss auch von einigen Re-
präsentanten der Flora der Nadelholzwaldungen selbst
dasselbe sagen, wenigstens in Bezug auf Pyrola rotundi-
folia. Von allen Arten derselben Gattung hält diese Pflanze
sich am wenigsten streng an die Nadelholzwalder ");
demzufolge kommt sie manchmal bei uns in schattigen
Wäldern um die Stadt vor, wo jetzt keine Kiefern vor-
handen sind und, so weit bekannt, nie welche waren.
Wenn wir jetzt für einige Zeit die Grenzen unseres
Gebietes verlassen, und einen Blick auf die benachbarten
Kreise und ihre Vegetation werfen, so wird es nicht
schwer sein, zu bemerken, dass der ganze von Schwarz-
erde entblósste Landstrich längs des Flusses [lowai (und
weiter am Flusse Woronesch) nur als eine Art Insel
inmitten eines ununterbrochenen Schwarzerdegebietes
*) So z. B. wurde sie im nördlichen Theile des Gouv. Woronesch
angetroffen (Семеновъ, [pux. фл. p. 113). Gruner fand sie im Eletz-
kischen Kreise (Gouv. Orel), in einer Gegend, wo gar kein Kie-
ferwald vorhanden ist. (Труд. Общ. Исп. Пр. при Xapse. Универс.
T. УП. 1873.-p..39).
— 259 —
erscheint; dass man weiter nach Norden und Westen
von Koslow in den angrenzenden Kreisen wieder mit
Vegetationsverhältnissen begegnet, welche in den Haupt-
zügen viel Aehnliches mit dem, was wir in dem Step-
pentheile unserer Gegend sahen, haben; dass demzufolge
die in vielen Beziehungen eigenartige Vegetation des
nordwestlichen Theiles des Koslowschen Kreises uns noch
nicht das Recht giebt anzunehmen, dass hier ein beson-
deres botanisch-geographisches Gebiet (das der ununter-
brochenen Nadelholzwaldungen) anfängt. Im Gegentheii
. sind es nur einige besondere geognoslische Verhältnisse,
und das in Verbindung mit dem Verschwinden der
Schwarzerde stehende Auftreten des Kieferwaldes, die
es in dem nordwestlichen Theile des Koslowschen Krei-
ses das Vorhandensein einer besonderen Vegetation bedin-
gen, welche sich von der Flora der sie umgebenden
Schwarzerdesteppe unterscheidet.
Versuchen wir nun alle die Resultaten, zu welchen uns
die Betrachtung der Vegetationsverhältnisse in der Um-
gegend von Koslow geführt hatte, zusammenzustellen, —
so können wir sagen, dass der scharfe Contrast, den
man zwischen dem Steppentheil unseres Kreises und dem
* mit Kieferwald bedeckten Landstriche im Nord-Westen
desselbén bemerkt, durch die Pflanzen des Kalk- und
Sandbodens und denen der mit Laubwäldern vertretenen
Nadelholzwaldungen, vollstándig ausgeglichen wird. Die
Flora der Umgegend von Koslow ist also eine gemischte,
insofern sie Repräsentanten einer südlicheren Steppen-
vegetation gleichzeitig mit denen einer nórdlicheren, der
Region der Nadelholzwaldungen eigenen, enthält. Der
Steppencharakter der Landschaft und der Flora tritt
_ immer mehr und mehr hervor, indem man sich von
Koslow nach Süden und Osten entfernt; ein nórdlicheres
— 260 —
Colorit nimmt die Vegetation im nordwestlichen Theile
des Kreises an, in dem Landstrich, wo die Schwarzerde
fehlt. Es muss noch hinzugefügt werden, das innerhalb
der Grenzen der von uns der Betrachtung unterworfenen
Gegend, keine von diesen beiden entgegengesetzten Rich-
tungen ihre volle Entwickelung erreicht, denn im Süden
und Osten finden wir noch nicht das Federgras und einige
andere charakteristische Steppenpflanzen, der nord westliche
aber und nórdliche Theil des Kreises bleibt seinerseits
weit hinter der südlichen Verbreitungsgrenze der Re-
präsentanten der eigentlichen nördlichen Flora, der Tanne
und Weisserle, zurück. Endlich zeigt der Vergleich mit
den benachbarten Gegenden, dass der nordwestliche Land-
strich des Koslowschen Kreises kein besonderes botanisch-
geographisches Gebiet bildet und dass der Unterschied
seiner Vegetation von der Flora der ihn umgebenden
Schwarzerdesteppe ausschliesslich durch geognostische
Ursachen und das Vorhandensein von Kieferwäldern her-
vorgerufen wird. Die Eigenthümlichkeiten, welche die Ve-
getation dieses Landstriches zeigt, sind nur Örtliche; der
allgemeine Charakter der Flora der Umgegend von Ko-
slow wird aber ausschliesslich durch die zahlreichen und
charakteristischen Pflanzen der Schwarzerdesteppe bedingt.
Zum Schluss sei es noch einmal hervorgehoben, dass
die soeben angeführten Folgerungen, als auf Thatsachen
gegründet, welche ausschliesslich im Centraltheile des
Koslowschen Kreises (im oben angedeuteten Sinne) beo-
bachtet wurden, sich ohne weiteres nur auf diesen Theil
beziehen können. Ob sich etwas Aehnliches in der Ver-
theilung der Pflanzen auch in anderen benachbarten Ge-
genden wiederholt, oder ob dort neue Vegetationsverhält-
nisse auftreten, —das muss eine weitere Durchforschung
des Tambowschen und der mit ihm. angrenzenden Gouver-
nements erweisen.
— 261 —
Ш. Verzeichniss der im Koslowschen Kreise gesammelten
Pflanzen. ”)
—
Ranunculaceae Juss.
1. Thalictrum minus L. var. procerum Rgl. Trockene
Gebüsche, nicht selten. + ?/, Juni.
2. — majus Jacq. Waldränder (Борщевая) -= /,
Juni.
3. — simplex Г. Wälder und Gebüsche (Заворо-
нежское) — ^'/, Juli.
4. — angustifolium Jacq. var. heterophyllum.
Wimm. et Grab. Am Waldrande bei Xo6.
-— Anfang Juni noch nicht blühend.
flavum L. var. rufinerve Rgl. Feuchte Ge-
büsche (Typmacoso etc.) — °/, Juni.
6. Anemone patens L. Am Waldrande neben der
Station Хоботово. — reife Früchte gegen
Ende Mai.
1. — sylvestris Г. Trockene, mit Gebüsch bedeck-
te Hügel (Гремушка), feuchte Gebüsche
e
|
*) Erklärung einiger abgekürzten Ortsnamen:
Хоб. = im Kronsforste am rechten Ufer des Ilowai-Flusses
nach N. W. von Хоботово.
Жид. = am Ufer des Пома! nach N. W. von Жидиловка.
Л. B. — am Ufer des Lesnoi-Woronesch; II. В. == des Polnoi-
Woronesch. : |
Die Bedeutung der Zeichen - , -— und —- nach Kaufmann's
„Московская флора“ (Seite 3).
— 262 —
(Панское) und mit der vorigen Art bei
| OO, — 7, Hu... Ma |
8. — ranunculoides Г. + ?/, u. У, April.
. Adonis vernalis L. Wiesen auf der linken Sei-
te des Л. B. häufig (Лежайка, Typ-
масово) :—
10. Myosurus minimus Г. Brachfelder (Никольское)
ау April:
11. Ranunculus divaricatus Schrank. Stehende und
langsam fliessende Gewässer. — Juni —
em
.. August.
12. — Flammula L. Feuchte Stellen, Sümpfe. —
Juni, Juli.
13. — auricomus L. Feuchte Gebüsche u. Wiesen,
häufig = ?/ Apr. — Juni. Früchte: */,
Juni. |
14. — acris L. An gleichen Orten. = °/, Mai,
Juni, Juli. Fr.: */, Juni.
15. — polyanthemos L. Wiesen u. Wälder. + ”,
Mai bis August.
16. — repens L. Feuchte Gebüsche u. Gärten. —
Mai, Juni. |
17. — sceleratus L. Sümpfe u. feuchte Wiesen —
Juni.
18. Ficaria ranunculoides Roth. == April.; Fr. Juni.
19. Caltha palustris L. :: Ende Apr. u. 7, Mai; Fr.:
Ende Mai. Blüht zuweilen zum zweiten
| Male: ?/, Juli u. August.
20. Trollius europaeus L. — Mai. Fr. °/, Juni.
31. Delphinium Consolida L. — Juni—August.
22.
23.
24.
25.
26.
2 i
28.
29.
30.
— 263 —
— elatum L. var. cuneatum DC. Auf der linken
Seite des Л. B. im Gesträuche (Лежайка,
Турмасово) — Juli. Fr.: August.
Actaea spicata L. Hügelige Wälder u. Gebüsche,
ziemlich selten. (am rechten Ufer des
Flusses bei sKux., Соборные хутора) +
;, Mai — ?/, Juli. Fr.: ?/, Juli.
Nymhaeaceae DC.
Nymphaea alba Г. == Ende Mai — August. Fr.:
Juli.
Nuphar luteum Sm, — Ebenso.
Papaveraceae DC.
Chelidonium majus Г. — Mai — August Fr.: */,
Juni.
Fumariaceae DC.
Corydalis solida Sm. Wilder u. Gebüsche auf
Humusboden: = April.
— Marschalliana Pers. Meyer (Zweiter Nachtrag
Ne 59), Wiazemscky (Verzeichniss N° 26).
Wie die vorige Art. (Заворонежское).
Fumaria officinalis L. Aecker, nicht häufig —
Juli.
Polygaleae Juss.
Polygala comosa Schk. — Mai — August (häufig
nur bis °/, Juni).
31.
32.
33.
40.
— 964 —
Crucifereae Juss.
Nasturtium amphibium В. Br. var. variifolium
DC. Stehende Gewässer. == /, Mai u.
Anfang Juni; Fr: */, Juni.
anceps DC. (Rchb. Je. fl. G. II. fig. 4364.)
== Juni, Juli.
sylvestris В. Br. var. N. lippicensi DC. simil- °
lima, ab icone Rchb. (l. c. fig. 4367)
siliquis leviter curvatis, Yoliis radicalibus
lyratis superficieque scabra differt. Feuchte
Gebüsche bei ee Le = Sul.
palustre DC. — Juni, Juli.
. Barbarea vulgaris В. Br. — Ende April, Mai.
arcuata Rchb. = Mai.
stricta Andrz. + °/, Mai, Juni.
. Turritis glabra L. Lichte Wälder u. Waldränder
= */, Mai bis Juli.
. Arabis pendula L. Gouv. Woronesch, Orel u.
der Bezirk der Cosaken am Don (Ceme-
новъ: Прид. фл. p. 72. N° 76), Elez (Gruner:
Трул. Общ. И. I. X. У. T. VII № 37),
Moskwa (Kaufm.! Моск. oa. p. 50), Gouv.
Simbirsk (Veesenmeyer. Beitr. z. Pfl.-
kunde, IX p. 71), Sarepta (Claus. Lokalfl.
d. Wolgageg. p. 202). Schattige, hügelige
| Wn (Мотастырскя рощи, Жид.), selten
— Juli, Anfang August.
Gerardi Bess. (A. planisiliqua Rchb: Je. fl.
G. II. fig. 4343). Gouv. Samara bei Ser-
giewsk (Claus. Localfl. p. 74), Kiew, Pol-
tawa und Tschernigow (Роговичъ: Ест.
41
42.
. Hesperis matronalis L. Petun. (Verzeich. № 193).
41.
— 265 --
Mcr. Riescs. Окр. p. 8 №66), Smolensk
(Marks!), Dorpai! Petersburg (Rupr: in
hist. st. fl. Petr. diatribae p. 72 in Beitr.
z. Pfl.-k. IV). Feuchte Wiesen u. Gebüsche
(Панское) = %, Mai— Y, Juni.
. Cardamine impatiens L. Gouv. Pensa (Jacquet
ex Ldb. Fl. В. I p. 128), Simbirsk, (Vee-
senmeyer, l. c. p. 71.) Kasan (Claus: |.
c. р. 42, 74), Kiew etc. (Роговичъ: |. c.
р. 9 № 72), Moskwa! Unter Sträuchern
selten (Соборные хутора, Борщевая) —
?/ Mai u. Anfang Juni.
pratensis L. — Mai.
Gouv. Woronesch und am Don (Семен.
l. c. p. 74). Trockene, unfruchtbare Stellen
im Gebüsche auf der linken Seite des J.
B. häufig. — u. — Ende Mai—Juli; Fr:
Ende Juli. -
. Sisymbrium officinale Scop. — Juni, Juli; Fr.
. Ende Juli.
— strictissimum L. (Jacq. Fl. austr. Il. t. 194.)
Gouv. Orel, Woronesch, der Bezirk der
Cosaken (Семеновъ. Прид. фл. p. 72. N°
87), Kiew u. Poltawa (Роговичъ. |. c.
Ne 99), Simbirsk, Samara, Saratow, Oren-
burg (Claus. l. c. p. 76, 205). Gebüsche
auf der rechten Seite des II. В. bei Дми-
тровка), überhaupt selten. :— Juni.
Loeselii L. == Juni, Juli.
— pannonicum Jacq. Ackerränder u. Wege
: Alo
hie und da. (Гремушка, Дмитровка am
TI. В: u.a. Stellen). Juni, а Br.
| August.
48. — Sophia L. + °/, Mai—August; Fr. Juli.
49. — Alliaria Scop. Gouv. Woronesch (Gmelin ex
Ldb. Fl. Ross. p. 182, 183), der Bezirk der
Cosaken u. Rjasan (Сем. 1. c. № 92), Elez
(Gruner. |. c.). Dmitrieff (Hófft. Catal. p.
45), auf der Wolga von Kasan bis Sarepta
(Claus. |. с. p. 205). Wälder u. Gebüsche
(Борщевая u. a. St.) = */ Mai— Juli,
Pr. duh.
50. £rysimum cheiranthoides L. = Juni, Juli.
51 — strictum Gartn. (E. hieraciifolium L. var.
strictum Aschers.) Tambow (Weinmann.
№ 95), Семеновъ (№ 126). Exemplare
aus Kursk (Lindemann!) und Reval (Wie-
demann!) von den unserigen nicht ver-
schieden. Elez (Gruner № 48), Trockene
unfruchtbare Gebüsche u. Flussufer +
Juni, Juli; Fr: August. ;
52. — Marschallianum Andrz. (E. odoratum Ehrh.
var. Marsch. Kaufm.) Unsere Pflanze stimmt
mit den Exemplaren aus Moskwa (Kauf-
mann!) u. Kursk (Lind') zusammen. Wie
die vorige Art.
53. Brassica Rapa L. var. campestris — Ende Mai—
Jul: Er. Jute
54. Sinapis arvensis L. — Ende Mai—Juni.
5. var. incisa Poir. (ex Rupr. Fl. ingr.
p. 99)==S. Schkuhriana Rehb. (Jc. fl. g.
II t. 87): foliis lyratis, siliquis retrorsum
— 267 —
hispidis, stylo curvato, floribus minoribus
a typica differt. Brachfeider, seltener als
die typische Form. :- Juni.
55. Berteroa incana DC. == °/, Mai—August; Fr: ?/,
Juni.
56. Draba lutea DC. (D. nemorosaL. var. a. leiocarpa
Lindl.) — April; Fr: Ende Mai.
57. — repens MB. (Rchb: pl. cr. VIII, f. 1034).
Petun. (Verz. № 197), Икавитцъ (№ 329);
der Bezirk d. Cosaken: Nowo-Tscherkassk
(Henning ex Rchb: |. c. p. 29. Cem. №
11%); Orel (Taratschkoff: Bull. d. |. S. I.
d. N. d. Mose. 1855. Ne 133), Zemliansk
im Gouv. Woronesch (ex Rupr. Зап. Tt.
A. H. T. X. N° 6. p. 85). Aecker, Wie-
sen u. lichte Gebüsche, häufig. — April
u. Anfang Mai; Fr: Juni. Blüht zuweilen
zum zweiten Male im Juli.
58. Cochlearia Armoracia L. Gegenüber der Stadt,
verwildert. — , Juni.
59, Camelina sativa Crantz. == Juni, Juli; Fr: Juli.
60. Thlaspi arvense L. — Ende April — August; Fr:
Juni.
61. Lepidium ruderale L. =: Mai bis zum Herbste;
Fr: Juni.
62. — latifolium L. Икавитцъ (№ 336); der Be-
Ne 4. 1876.
zirk d. Cosaken (Gem. № 133), „ad Wol-
gam ubique* (Claus. |. c. p. 77, 206;
Veesemeyer. 1. c. Ne 66, Wirzen 1. c. N°
54). Charkow (Lindemann: Index pl. Bull.
S. N. Mosc. 1860. № 3. p. 14. Горниц-
xii: Tp. X. 0. И. II. T. V. № 62. T. VI.
18
— $68 —
N° 88) und durch den ganzen südlicheren
Theil Russlands. Am Ufer des Woronesch-
Flusses gegenüber der Stadt, sonst nir-
gends gefunden. == Juli (1873, 1875).
63. Capsella bursa pastoris Mönch. = */, April bis
zum Herbste; Fr: */, Mai.
64. Neslia paniculata Desv. — Ende Mai, Juni; Fr:
August.
65. Bunias orientalis L. — Mai, Juni; Fr: Ende Juli.
Violarieae DC.
66. Viola hirta Г. + ?/, u. %, April.
61.
68.
69.
10.
11.
13.
—
collina Bess. —-? selten. ?/, April.
odorata L. + (Гремушка) ?/, April.
arenaria DC. ~~ häufig. ?/ April u. An-
fang Mai.
canina L. var. typica Trautv. (lucorum
Rchb) und var. montana L. (hierzu V.
Ruppii Ldb [sec. Kaufm. Моск. фл. p. 73]
et Cem. [Ne 154]) = */, Mai, У, Juni.
elatior Fr. Сем. (№ 148). Elez (Gruner. |.
c.) Am Waldrande bei Заворопежское.
+ Ende Mai u. Anfang Juni; Fr: ?/, Juli.
mirabilis L. == ?/, April; Fr: Juli.
tricolor. L. var. vulgaris Koch. und var.
arvensis Murr. —— Ende April — August;
Fr: Juni.
Droseraceae DC.
14. Parnassia palustris L. — ?/, Juli u. August.
— 209 —
Silineae DC.
15. Gypsophila muralis L. typica et var. serotina Hay-
pe. == °/, Juni — August.
16. Dianthus polymorphus MB. var. diutinus Kit. Die
11.
18.
*79.
80.
Pflanze vom Gouv. Moskwa (herb. Kaufm!)
ist von der unserigen nicht verschieden.
Zu dieser Art sind wahrscheinlich zum
Theil zu rechnen die von den Autoren
der Flora von Tambow angegebenen: D.
Carthusianorum (Weinm. № 61, Сем. №
164), D. atrorubens (Meyer. 1-ter Nach-
trag N° 167) u. D. capitatus (Meyer. 2-ter
Nachtrag № 51.). Cfr. Gruner. 1. c. №
64. Im Walde auf der linken Seite des Flus-
ses bei Жид., auf der linken Seite des 4.
В. bei Турмасово. — Juni — August.
seguierii Vill. Trockene Hügel, selten (Tpe-
мушка) — Juli, August.
deltoides L. == Juni, Juli.
arenarius L. Im östlichen Theile des Lebe-
dianschen Kreises von N. Wargin gefun-
den (Каликинъ 150%). Juli 1872.
superbus Г. Wälder u. Gebüsche, häufig—
У Juni — August; Fr. ?/, Juli.
81. Vaccaria vulgaris Host. Nach S. W. von der Stadt
längs der Eisenbahn von Woronesch (Hu-
кольское). _- 7/ Juni.
82. Saponaria officinalis L. = ?/, Juni — August.
$3. Cucubalus bacciferus L. Flussufer u. in Wei-
den =" */ Jui, */ "August; Pr. 7, Aug.
18*
— 270 —
84. Silene viscosa Pers. Wiesen u. Hügel. — °/, Mai
u. Anfang Juni; Fr: Ende Juni.
85. — nutans L. = Ende Mai, Anfang Juni (zum
zweiten Male(?) °/, Juli).
86. — chlorantha Ehrh. Nach O. von Koslow auf
der linken Seite des Л. B. und am II.
B., sehr zerstreut. — Juni, Juli (?)
87. — Otites Sm. Trockene Stellen an Flussufern
(Панское u. a. Stellen bei Koslow), am
Rande des Kieferwaldes bei Жид. zer-
streut. -. Ende Juni, Juli.
88. — inflata Sm. — Juni — August; Fr: Juli.
89. — noctiflora Г. Cultivirter Boden; auf Aeckern
ist die Pflanze niedrig, in Gárten bis ein
Fuss hoch (aber nicht 3-jährig wie Rupr:
Fl. тот. p. 160, 161 bemerkt). =— Ende
Juni bis Anfang August; Fr. 7/ Juli. Die
Blüthen sind von 6 Uhr Abends bis 5 Uhr
Morgens geöffnet.
90. Lychnis chalcedonica L. Auf der linken Seite des
Л. В. im Gebüsche, häufig. — u. — %,
Juni, Juli; Fr: August. |
91. — Flos euculi L. = %, Mai, У, Juni; zum
zweiten Male: Ende Juli, August.
92. — Viscaria Г. variat. floribus dilute roseis —
Ende Mai, ‘/, Juni; zum zweiten Male blü-
hend im August.
93. — pratensis Spr. == Juni — August; Fr: Juli.
94. Agrostemma Githago Г. == Juni — August; Fr:
Ende Juli.
95.
96.
91.
98.
99
100.
101
102.
— 271 —
А] шасеае DC.
Sagina procumbens L. Feuchte Wiesen und Vieh-
weiden —- Juni, Juli.
Spergula arvensis L. Strassen +- Juli.
Lepigonum rubrum Wahlb. Trockene Abhänge,
Aecker u. s. w. = Ende Mai u. Anfang
Juni.
Moehringia lateriflora Fenzl. Gouv. Rjasan u. Tula
(Cem. N° 225), Nowoselsk im Gouv. Tula
(Annenkoff ex Rupr: 3. И. A. H. T. X.
N° 6. p. 85), Orel im Karatschewschen
Kreise (Taratschkoff u. Poganki: ibid.),
Simbirsk (Veesenm. |. c. Ne 103), Ser-
gievs im Gouv. Samara (Claus I. c. p. 83),
Ural (Lessing ex Ldb. Fl. R. I. p. 371,
312). Variat: x. parce ramosa, laete vi-
ridis: auf Humusboden in feuchtem Ge-
büsche (Панское); 5. magis ramosa, sca-
braque, fusco-viridis: trockene Gebüsche
am Ufer des П. B. bei Никольское. —
An verschiedenen Orten blüht von Ende
April bis Ende Juli.
. Arenaria serpyllifolia L. Brachfelder und Aecker;
besonders häufig am Rande des Kiefer-
waldes bei Жид. == Juni, Juli; Fr: °/, Juni.
de Mai — Ende Juni; zum zweiten Male
im Juli; Fr: Juli.
eraminifolia Schrad. Wiesen, häufig. == En-
. Stellaria media Vill. —— °/, Mai — August; Fr:
Ende Mai.
Holostea L. Wälder u. Gebüsche, häufig. =>
?/4 April bis Juni.
— 272 —
103. — glauca With. Sumpfige Wiesen u. Gebii-
sche. — Mai, Juni.
104. — graminea L. — Mai — Juli.
105. Malachium aquaticum Fr. — Mai — August.
106. Cerastium triviale Link. == Mai — August; Fr:
Ende Mai.
107. — arvense L. Feuchte Wiese bei Заворонеж-
ское. — Ende Mai, ‘/, Juni.
Elatineae Camb.
108. Elatine Alsinastrum Г. Meyer (1-ter Nachtr. №
160). Сем. (№ 236). Sümpfe (Панское),
am Ufer des Flusses bei Жид. im Wasser
°/, Mai, Juni, Juli; Fr: */, Juli.
Linaceae DC.
109. Linum flavum L. Im Gebüsche (Гремушка u.a.
Stellen) — ?/, Juni — August.
110. — catharticum Г. Feuchte Wiesen. — Juni,
Juli; Fr: Juli.
Geraniaceae DC.
111. Geranium sylvaticum Г. Trockene Wälder — */,
Mai.
112. — pratense L. — Juni — August.
113. — palustre Г. == */, Juni — August.
114. — sanguineum L. — Juni.
115. — sibiricum L. In Gärten u. in der Nähe der
Wohnungen. + u. — Juni— Aug. Fr. Juli.
18.
119.
— 273 —
— pusillum L. Wie die vorige Art, aber sel-
tener + °/, Mai — Juli; Fr. °/, Juli.
— Robertianum С. Gouv. Woronesch u, der Be-
zirk der Cosaken (Cew. Ne 279). Charkow,
Kiew (Lindem. Index. p. 24). Saratow
(Claus. ]. c. p. 292). Schattige Wälder
(Mouaer. рощи), selten = ?/, Juli.
Krodium cicutarium L'Herit, + Juni — August.
Balsamineae Rich.
Impatiens noli tangere L. Schattige, sumpfige Stel-
len — Ende Juni, Juli.
Hypericineae DC.
. Hypericum perforatum L. = ?/, Juni — August;
Fr, August.
— quadrangulum Г. Wie die vorige Art.
. — hirsutum Г. Am Waldrande (Мопаст. pomu)—
и sunt, Juli.
Tiliaceae Juss.
. Tilia parvifolia Ehrh. = °/, Juni.
Malvaceae R. Br.
. Malva rotundifolia L. = Juli.
— borealis Wallm. == Juni— August.
. Lavatera thuringiaca L. Hügel u. trockene Ge-
büsche, auf Lehmboden. — Ende Juni —
August.
127.
128.
129.
130.
131.
132.
133.
— 971 —
Acerineae DC.
Acer platanoides L. :— Mai.
— campestre Г. = Fr: August.
— tataricum Г. — Mai; Fr: */, Juni.
Celastrineae R. Br.
Evonymus verrucosus Scop. == */, Mai—*/, Juni;
Fr: August.
— europaeus L. Wie die vorige Art, aber sel-
lener.
Rhamneae R. Br.
Rhamnus cathartica L. :- Juni; zum zweiten Male:
?/, August,
— Frangula L. — Juni bis August.
Papilionaceae L.
. Genista tinctoria L. Trockne Wälder u. Gebüsche.
— Juni—August; Fr: August.
». Cytisus ratisbonensis Schaef. Trockne Wälder
== ?/ Mai, Anfang Juni; Fr: Ende Juni.
. Medicago falcata L. — Ende Mai — August.
— lupulina Г. == Ebenso.
. Melilotus alba Desr. — Juni — August; Fr. °,
Juli.
— Officinalis Desr. = Ebenso.
. Trifolium pratense L. == ?/, Mai—August.
— alpestre Г. Waldränder u. Gebüsche =
Juni.
— 275 —
142. Ttifolium arvense L. == °/, Juni— August.
143. — montanum Г. :— °/, Mai, Juni; Fr: */,
August.
144. — repens. L. — Juni bis zum Herbste.
145. — hybridum L.Die am häufigsten vorkommende
Form ist T. elegans Savi (Koch. Synops.
Ed. III p. 151, 152), welche mit Unrecht
als selbstständige Art beschrieben wird.
Tun Juli.
116. — agrarium L. =~ Juni, Juli; Fr: У, August.
147.
148.
Lotus corniculatus L. == */, Mai— August.
Astragalus Cicer L. Ausgehauene Wälder u. tro-
ckene Gebüsche, hie und da. — %, Juni—
August; Fr: ?/, August.
149. — glycyphyllos Г. Wälder u. Gebüsche, im
Schatten. — ?/, Juni, Juli; Fr: Ende Juli.
150. — hypoglottis L. Wiesen u. Waldränder. =:
Mai, Juni.
151. Coronilla varia L. Wegränder, Gebüsche u. Wald-
152.
ränder. <= ?/ Juni—Aug., Fr: Aug.
Onobrychis sativa Lam. Wegränder + (besonders
häufig nach O. und S. von der Stadt), Juni,
Juli; Fr: August.
153. Vicia pisiformis Г. Trockne Gebüsche. = 7,
Juni — August; Fr: Ende Juli.
154. — Cracea Г. — Ende Mai —- August; Fr: Juli.
155. — sepium L. — Ende Mai — Juli; Fr Juli.
156. — angustifolia Roth. var. segetalis Koch. Aecker
u. Brachfelder. = ?/,'Juni, Juli; Fr: Juli.
157. Ervum hirsutum L. Wie die vorige Art. = Juli;
Dyno Juli.
158
159.
160.
161.
162.
163.
ES =
. Lathyrus pratensis L. — Ende Mai—Juli; Fr. ?/,
Juni.
sylvestris L Waldränder u. Gebüsche, hie
u. da. + ?/ Juni — Aug.; Fr: August.
pisiformis L. Trockne Gebüsche, häufig —
Ende Mai, Juni; Fr: Ende Juni.
palustris L. Feuchte Gebüsche, selten (IIan-
ское u. à 5.) = */, Juni.
Orobus vernus L. (Lathyrus vernus C. Koch. E.
Trautvetter: Catal. Vicear. Ross. Труд.
C. JI. b. бал, T. Ш Bun. 12. = Sl:
Rr. 7. "Juni
pallescens MB. (0. canescens L. Lathyrus
pal. C. Koch). Trautvetter (l. c) rechnet
zu dieser Art О. Gmelini Weinm. (№ 102),
was vielleicht wahrscheinlicher ist, als
Ledebour’s Vermuthung (Fl. Ross. I p.
693. Сем. № 328), dass dieselbe zu O.
albus L. gehöre («stylo apice incrassato»
Weinm. l. c.). Gmelin's Abbildung (Fl. Sib.
T. IV. t. 5.) ist für die Entscheidung
dieser Frage ungenügend. Ich besitze ein
trockenes Exemplar, (Mitte Juni 1864 ge-
funden).
Rosaceae Juss.
164. Prunus spinosa L. Waldrander +
165. — Chamaecerasus Jacq. — (besonders häufig
166.
auf der linken Seite des Л. B.) Mai; Fr:
Uo du.
Padus Г. + ?/, April.
— 277 —
167. Spiraea alé Dass 04 dana bis Ende Juli;
to ie Sle
168. — ace L. Wiesen u. u, häu-
fig. Ende Mai, ‘/, Juni; Fr. Juli.
169. Geum urbanum L. Wälder = Ende Mai, Juni, '/,
Juli.
170. — strictum Ait. Gärten; trockne unfruchtbare
| Flussufer u. s. w. — Juni — Aug.
171. — rivaleL. (variat flore pleno). Feuchte Wiesen
. м. Gebüsche. = häufig. ?/, Mai bis Juli.
172. Rubus Idaeus L. — Fr: */, Juli.
173. — caesius Г. ++ Ende Mai bis August; Fr:
Ende Juli.
174. — saxalilis L. Feuchte Walder — Fr. Juli.
175. Fragaria vesca Г. — */, Mai, Anfang Juni.
176. Comarum palustre Г. Sumpfige Wiesen — Juni;
Fr. Juli.
177. Potentilla anserina L. == Mai bis zum Herbste.
178. — recta L. var. obscura Willd. Im Gebüsche
bei Гремушка, selten. — Anfang Juli.
179. — argentea L. Ms Mai — Juli.
180. — intermedia Г. var. canescens Rupr. (P. in-
clinata Ldb. et auct. fl. Tamb.) — Juni,
Juli.
181. — thuringiaca Bernh. var. Goldbachi Kaufm.
(P. Goldbachi Rupr. Fl. ingr. p. 319 —
21) Trockne Gebüsche u. Waldränder.
== Ende Mai, bis August.
182. — Tormentilla Sibth. ..-. °/, Mai, bis August.
183. — cinerea Chaix. Trockene Hügel im Walde
bei Xo6. :_ ?/, April.
184.
185.
186.
187.
188.
189.
190.
195.
196.
— 278
Potentilla alba L. Trockne Gebüsche (Japopone:
ское u. а. S. — Mai.
Agrimonia Eupatoria L. -— Juni, Juli; Fr: August.
Rosa cinnamomea Г. —- Ende Mai bis Ende Juni;
Fr: August. Blüht zuweilen zum zweiten
Male im August.
Alchemilla vulgaris L. =: Mai — August.
Sanguisorba officinalis L. Wiesen u. Gebüsche —
?; Juni bis August.
Pomaceae Lindl.
Pyrus Malus L. —
Sorbus aucuparia L. —
Onagrarieae Juss.
. Epilobium angustifolium L. +: ?/, Juni—August;
Fr: */, Jul.
— hirsutum L. Sümpfe u. feuchte Wälder (An-
дреевка u. а. St.) — Juli.
— montanum L. Trockne, mit Gebüsch be-
deckte Hügel (Соборные хутора) -— Juli.
— palustre Г. +: ?/, Juli, August; Fr: August.
Circaea alpina L. Gouv. Kursk. (Dmitrieff: Höfft.).
Auf feuchtem Sande im schattigen Walde
auf der rechten Seite des Flusses bei
Жид. sehr selten — ‘/, Juli.
Halorageae R. Br.
Myriophyllum spicatum L. Stehende u. langsam
ol].
198.
199.
200.
201.
202.
203.
204.
*305.
— 279 —
fliessende Gewässer. (IT. B. bei Дмитровка,
llowai bei Жид.) = ?/ Juni.
Myriophyllum verticillatum L. var. pinnatifidum
Koch.Ueberschwemmter Wald bei Verse —
°/, Juni, Juli.
Hippurideae Link.
Hippuris vulgaris Г. Sümpfe. +- %, Mai.
Callitrichineae Link.
Callitriche palustris L. (C. verna Kütz:) var. fon-
tana Rupr., caespitosa Rupr. etc. =: Juni,
Juli.
Ceratophylleae Gray.
Ceratophyllum demersum Г. =~ Juli.
Lythrarieae Juss.
Lythrum Salicaria Г. =: °/, Juni, Juli.
— virgatum Г. Feuchte Gebüsche am II. В.
bei Дмитровка. =: Juli.
Paronychiaceae Willk.
Herniaria glabra Г. =~ °/, Mai — Juli.
Scleranthus annuus L. == Ende Mai — Juli.
Crassulaceae DC.
Sempervivum globiferum L. Im östlichen Theile
des Lebedianschen Kreises von N. Wargin
gefunden. (Пристань) Ende Juni 1872.
206.
207.
208.
209.
210.
214.
215.
— 280 —
Sedum acre Г. =: Juni.
— Telephium L. Varietates numerosae adsunt,
partim ad S. maximum Rchb., et ad S.
purpurascentem Koch pertinentes. Trock-
ne Gebüsche und Waldränder. — Ende
Juli, /, August.
Grossularieae DC.
Ribes nigrum L.Schattige, feuchte Wälder (X06.) =
Vs. April
Saxifrageae Vent.
Chrysosplenium alternifolium L. Feuchte u. schat-
tige Stellen. (Соборные хутора. Хоб.) =:
*/, April u. Mai (bis °/,).
Umbellifereae J uss.
Eryngium planum L. Sonnige Hügel u. Wiesen,
nicht häufig. (Соборные хутора, Андре-
евка). — August.
. Cicuta virosa L. Sümpfe u. Ufer stehender Ge-
wässer (Заворон.) — u. — */, Juni, Juli.
. Falcaria Rivini Host. Weg - und Ackerränder auf
der linken Seite des Л. B. + > Ende
Juni — '/, August.
. Aegopodium Podagraria L. =: ?/, Mai — Ende
Juni; Fr: °/, Juli.
Carum Carvi L. =: Mai, Juni; Fr: Juli.
Pimpinella Saxifraga L. var. nigra. Wälder. =
Juli.
216.
217.
218.
219.
220.
221.
222.
223.
224.
225.
226.
— 281 —
Sium latifolium Г. Sümpfe. == */, Juni, Juli; Fr:
August.
Oenanthe Phellandrium L. == häufig. */, Juni,
Juli.
Seseli coloratum Ehrh. Wälder. + August.
Libanotis montana L. var. typica Kaufm. (herb!)
und Uebergangsformen zu L. sibirica Koch
(Г. mont. Г. var. intermedia Rupr). Trockne
Gebüsche (Хорекъ). = ?/, Juni, Juli; Fr:
August.
Cnidium venosum Koch. Wälder u. Gebüsche,
hie und da. — Ende Juli, August.
Selinum Carvifolia №. Trockne Wälder (Пан-
ское) — /, Juli, August.
Conioselinum Fischeri Wim. et Gr. Schattige Wäl-
der. = Juli.
Angelica sylvestris Г. Gebüsche (Соборные xy-
| Topa) + Juli; Fr: August.
Archangelica officinalis Hoffm. Sumpfige Stellen
und Flussufer — ?/, Juli und Anfang
August.
Peucedanum alsaticum L. Trockne, lichte Ge-
büsche (Хорекъ, Красивое) =~ */, Juli,
- August; Fr: Ende August.
Thysselinum palustre Hoffm. forma luxurians: in-
volucri foliis e basi albo-marginata lon-
gissime acuminatis, inaequalibus; involu-
celli foliolis illis similibus, radios superan-
tibus. Ueberschwemmter Wald am Ufer
des Woronesch-Flusses bei Устье. — */,
Juli, Anfang August.
227.
. Heracleum sibiricum L. = u. = ?/, Juni, Juli.
. Laserpitium pruthenicum L. Trockene, lichte Ge-
233.
234.
238.
Re [.—
Pastinaca sativa L. — Juli; Fr: Ende Juli.
büsche (Заворонежское u. a. St.) = %
Juli, August. |
. Torilis Anthriscus Hoffm. Trockne Wälder u. Ge-
busche. = */, Jali.
. Anthriscus sylvestris Hoffm. .-- Mai, Juni; Fr: Juli.
. Chaerophyllum bulbosum L. Variat involucro sub
5-phyllo, foliolis lineari-lanceolatis; caule
ad nodos plerumque haud inflato. Trockne,
unfruchtbare Stellen auf Flussufern und im
Gebüsche = Juni, Anfang Juli.
Conium maculatum Г. == °/, Juni; Fr. August.
Corneae DC.
Cornus sanguinea L. Wälder u. Gebüsche (Заво-
ронежское) = Juni.
Caprifoliaceae Juss.
. Adoxa Moschatellina L. Wälder, Humusboden
(Xopers u. a. 5.) —— 57 Aprıl. 7, Mae
. Viburnum Opulus L. + 3/ Mai, Juni; Fr: August.
Blüht z. zweiten Male: Aug.
. Lonicera Xylosteum L. Schattige u. feuchte Wäl-
der (Хоб.) + Mai; Fr: ?/, August.
Rubiaceae Juss.
Asperula tinctoria L. Wälder u. Gebüsche, auf
Sandboden, besonders häufig bei Жид. =:
u. = Ende Mai, Juni; Fr. August. |
— 289 —
239. Asperula odorata L. Schattiger humoser Wald auf
240.
241
242.
243.
244.
245.
246.
247.
—
der rechten Seite des Flusses bei Жид. —
(Im August ohne Blüthen u. Früchte ge-
funden).
Aparine Schott. Feuchte Gebüsche == Juli,
August.
. Galium Арагше L. = Juni, Juli; Fr: Ende Juli.
——
uliginosum L. — Juni — August. |
palustre L. == sehr häufig. Juni, Juli.
boreale L. Trockne, lichte Gebüsche, häu-
fig == ?/, Juni bis Juli.
rubioides L. Schattige Wälder u. Gebüsche ~
uu 2 Jung Juli.
verum Г. == ?/ Juni— August; Fr: August.
Mollugo L. -: Juni, Juli.
Valerianaceae DC.
248. Valeriana officinalis Г. В. major Koch. — */,
Juni, Juli; Fr: August. var. minor Koch.
(V. angustifolia Tausch.) foliis radicalibus
(in exemplaribus minoribus) saepe 4 — 5
jugis. Cfr: Gruner. l. c. N° 234. Wald-
ränder u. Gebüsche — Ende Mai u. An-
fang Juni.
Dipsaceae DC.
249. Knauthia arvensis Coult. =: häufig. Juni — Au-
gust.
250. Succisa pratensis Mönch. Trockne Gebüsche. ==
August.
X 4 1876. 19
251.
259.
260.
261.
262
263.
— 284 —
Compositae Adans.
Eupatorium cannabinum L. Feuchte Gebüsche u.
Flussufer (Соборвыехутора, Монастырь)-=
?/, Juli, *'/, August.
. Tussilago Farfara Г. — ?/, April u. Anfang Mai.
. Petasites spurius Rchb. Sandige Flussufer nach
S. W. von der Stadt. (am Il. B. bei
Устье) —
. Galatella punctata Lindl. var. insculpta DC. Im
Gebüsche am IT. B. bei Дмитровка. +
$4 Juli—?
. Erigeron аст L. == Juni — Aug.; Fr: ?/, Juni.
— canadensis Г. =: ?/, Juli — Aug.
. Solidago Virga aurea Г. ~ ?/, Juli — Aug.; Fr:
?/, August. |
. Inula salieina L. var. caule inferne foliisque in-
ferioribus ad venas hirtis = var. subhirta
C. A. M. (Florul. pr. Wiatka p. 46. Ne 220).
Inula salicino-hirta? Lindemann (Suppl. III
fl. Elis. Bull. S. N. Mosc. 1875 Ne III.
p. 82). Elez (Gruner. |. c. N° 246). Tula!
Rjasan! Trockne Gebüsche u. Waldrän-
der = */, Juni, Juli.
— hirta Г. Waldränder (Xo6.) = °/, Juni.
— britannica L. — Juli, August.
Pulicaria vulgaris Gártn. Feuchte Viehweiden u.
Wiesen, häufig == ?/, Juli — August.
Bidens tripartitus Г. Schattige u. feuchte Stel-
len. ~~ ?/, Juli, August.
— cernuus L. var. radiatus DC. (Coreopsis Bi-
— 285 —
dens L.). Sumpfige Wiesen häufig. .- à
Juli, August; Fr: Ende August.
264. Filago arvensis L. Aecker, Wegränder u. Ge-
büsche. — Juli.
265. Gnaphalium sylvaticum L. Lichte Wälder u. son-
nige, mit Gebüsch bedeckte Hügel (3a-
ворон., Соборные хутора) — %, Juli,
August.
266. — uliginosum L. ~~ °/, Juni, Juli.
267. — dioicum Г. -- Mai, Anfang Juni.
268. Helichrysum arenarium DC. Sandige Hügel u.
Wälder (in der Nähe der Stadt selten:
JaBopouemckiii лЪсъ), besonders häufig
am Rande des Kieferwaldes bei uy.
Ende Juni, Juli.
269. Artemisia procera Willd. Weg - und Ackerrän-
| der, Ufer; selten (Монастырь) = August.
270. — vulgaris L. — 7 Juli, August.
271. — ln pss N :
273. —
(Дмитровка. am P, 3 2:525 Juli nicht
blühend. WE
274. Tanacetum vulgare oe Ende Juni — August;
Fr: * August. :
275. Achillea Ptarmica L. Sumpfige Wiesen u. Ge-
büsche, häufig. —— ?/, Juni, — August.
276. — Millefolium L. -- Juni — August; Fr: 7/
Juli.
19*
— 286 —
nobilis L. Trockene, sonnige Stellen, Wege +=
(besonders häufig auf der linken Seite
des Л. D.) Juni, Juli. |
. Anthemis tinctoria L. — Juni, Juli.
Cotula Г. (Maruta Cotula DC). -— Juli, Aug.
. Matricaria Chamomilla L. :- Juni — August.
. Chrysanthemum Leucanthemum L. —— Juni — Aug.
inodorum L. =~ Juni, Juli; Fr: Aug.
— corymbosum L. Wälder u. Gebüsche —
*/, Juni, Juli; Fr: Aug.
284. Senecio vulgaris L. Gemüsegürten, hie u. da.-—
286.
Juli, August.
erucaefolius L. 8. tenuifolius DC. Trocke-
ne, hügelige (Красивое am Л. B.) u. feu- .
chte (Дмитровка am П. B.) Gebüsche —
*/, Juli, August; Fr: August. -
Jacobaea L. calyculo interdum sub 5-phyl-
lo. Eine sehr polymorphe Art. Unsere
Pflanze umfasst auch S. aquaticum Huds.;
dasselbe gilt für die Pflanze des Mos-
kauer Gouvernements (Kaufm: Моск. o2.
p. 263, 64 und herb!) welche Pinzger
(«Kritischer Vergleich der im Gouv. Mos-
kau wildwachsenden Pflanzen mit den
gleichen Species der deutschen Flora»
1868.) unter dem Namen S. mosquensis
beschreibt. — Ende Juni bis zum Herb-
ste; Fr: August.
_ В. discoideus Wim. et Gr. (radio nullo). Trockne
Gebüsche bei Красивое, sehr selten =
Ende August.
— 287 —
287. Senecio sarracenicus L. Unter Sträuchern, selten
(Заворонежское) + °/, Juli, 9, August.
288. — campestris DC. (ob ovaria hispida). Die Form
der Blätter wie bei Sen. pratensis DC.; es
sind aber die beiden Arten nach Maximo-
wicz nicht verschieden (Diagnoses breves
pl. nov. Japoniae et Mandshuriae. Mel.
biol. d. l'Ac. I. d. St.-Pirsb. T. VII. Livr.
1. 1871. p. 15). Am Rande eines Gebü-
sches auf der linken Seite des Flusses
unweit Борщевая (+), auf dem IL. B.,
uberhaupt sehr selten. Ende Mai.
289. Cirsium lanceolatum Scop. Wegränder, Gräben.—
Juli; Fr: August.
290. — eriophorum Scop. Sonnige ae =, Juli:
Fr: August.
291. — canum MB. Petun. (Verzeichniss N° 63).
Feuchte Wiesen und Gebüsche auf der
linken Seite des Л. В. bei Турмасово. +
Ende Juni, Juli; Fr: August.
292. — esculentum C. A. Meyer. (De Cirs. ruth.
nonn. р. 3. 4)— C. acaule All. var. si-
biricum Ldb. Petun. (Verzeichn. № 64).
Kirsanow (Tschernajeff ex. C. A. M. 1. c.
p. 4.). «Ist, nach Herder (Plantae Raddea-
nae. Bull. d. 1. S. d. N. d. M. 1870. Ne 1.
— p. 91), hinsichtlich seiner geographischen
Verbreitung auf den Süden Sibiriens, auf
den südöstlichsten Theil des europäischen
Russlands und auf den Caucasus be-
schränkt». Wird aber von Veesenmeyer
und Claus (Localfl. d. Wolgag. p. 118,
— 288 —
232) an der Wolga nach Norden bis Ka-
san und von Meyer im Gouv. Wiatka (No-
linsk: Beitr. z. Pf.-knde V, Ne 204) an-
gegeben. Variat: à. acaulis C. A. M. В.
caulescens C. A. M. Feuchte Wiesen, häu-
fig. -- %, Juli, У, August; Fr: %, Aug.
293. Cirsium oleraceum Scop. Sumpfige Wälder u. Ge-
büsche(CoGopnbie хутора, Красивое) + Juli.
294. — heterophyllum All. Variat foliis integris (C.
helenioides All), vel intermediis plus mi-
nusve pinnatifidis; caule plerumque mo-
no—, rarius 2 — 3-cephalo. Feuchte Wäl-
der (Панское). — °/, Juni, Anfang Juli.
295. — arvense Scop. var. mite Wim et Gr. et var.
setosum Ldb. =~ Juli; Fr: August.
296. Carduus crispus L. == %, Juni, Juli; Fr: %, Juli.
297. — nutans L. Hierher gehört C. Thoermeri
Weinm. (N° 128) als var. y. Thoermeri Lin-
dem. (Suppl. II, ad fl. Elis. Bull. 1872 Ne IL.
р. 302). == ?/, Juni, Juli; Fr: %, Juli.
298. Lappa major Gärtn. = */, Juli.
299. — minor DC. (seltner als die übrigen Arten)—
*/, Juli.
300. — tomentosa Lam. — Juli.
301. Carlina vulgaris L. Die Blätter meist wie bei C.
longifolia Rchb. (Ic. fl. G. XV. Tab. 11.
f. П) = C. Biebersteinii Bernh. welche
aber keine selbstständige Art ist. (Cfr.
Rehb: l. c. Text; Herder: Plantae Rad-
deanae. Bull. 1868 Ne III. Ne 192). Trockne
Wälder (bei Жид). — Ende Juli, */, Aug.
— 289 —
302. Serratula tinctoria L. Wälder u. Gebüsche. — */,
Juli —?/, August; Fr: %, August.
303. — coronata L. Gebüsche auf der linken Seite
des Л. B. bei Турмасово = */, Juli.
304. — heterophylla Desf. Wälder u. Gebüsche (Xo-
peg», Заворон. U. S. W.) — Juni.
305. Jurinea tenuiloba? Bunge. So viel mir das ein-
zige vorhandene, sehr verdorbene Exem-
plar zu urtheilen gestattet, gehórt unsere
Pflanze zu dieser Species (es fehlen aber
die Achenien, daher die Bestimmung nicht
sicher) Pensa (Jacquet ex Ldb: Fl R.
p. 765), Saratow (Claus. l. c. p. 302). —
Ein Exemplar «auf Wiesen» in unserem
Kreise im Jahre 1864 gefunden (Ende Juni).
306. Centaurea Jacea L. var. lacera Koch. == Juli,
August.
307. — phrygia L. variat floribus minoribus albis
(selten). — Juli, August.
308. — Cyanus Г. — Juni — August; Fr; */, Juni.
309. — Scabiosa L. variat floribus albis. = */, Juni,
Juli; Fr: August.
310. Lampsana communis L. Wälder u. Gärten (Mo-
вастырь). + Juni, Juli.
311. Cichorium Intybus Г. == */, Juni—bis zum
Herbste.
312. Leontodon autumnalis Г. == %, Juni — Augusi;
Fr: Ende Juli.
313. — hastalis L. var. vulgaris Koch. Wälder u.
Gebüsche (Хобот.) = Juni, Juli.
314.
315.
316.
317.
318.
319.
320.
321.
322.
323.
— 290 —
Picris hieracioides 1. Aecker u. Brachfelder =-
Juli.
Tragopogon pratensis L. variat: tortilis Meyer.
Wiesen u. Gebüsche = Juni, Juli; Fr: °/,
Juni.
Scorzonera purpurea L. floribus coeruleo — pur-
purascentibus: Jacq: Fl. austr. I. t. 35, (sehr
gut) nec purpureis (Rchb: Ic. fl. G. XiX.
t. 31. D. Wiesen u. Gebüsche auf der lin-
ken Seite des П. B. bei Лежайка u. a.
St. (=); am Waldrande bei der Station
Хоботово (:_). Ende Juni die letzten
Blumen.
Hypochoeris maculata Г. Wiesen u. offene, son-
nige Stellen — Juni, И, Juli.
Taraxacum officinale Wigg. = Ende April bis
zum Herbste.
Lactuca Scariola L. — Auf cultivirtem Boden,
in Gärten u. s. w. == Juli, И, August; Fr:
*/ Juli.
Sonchus oleraceus L. Wie die vorige Art. = Ende
Juni, Juli; Fr: */, Juli.
— asper Vill var. pungens Busk. Feuchte
Aecker u. Gärten, selten. (Борщевая)--
August.
— arvensis L. var. glaber Schult = S. uligi-
nosus MB. Aecker u. trockne Gebüsche. —
Juli, ‘/, August; Fr: ?/, Juli.
Crepis praemorsa Tausch. Feuchte Wiesen u.
Waldrander. (Панское, X06.) — Ende Mai,
23. Juni.
— 291 —
324. Crepis tectorum L. =~ Juni, Juli.
325. — sibirica L. Trockne Wilder и. Gebüsche,
häufig. — Juli, August; Fr: Ende Juli.
326. Hieracium Pilosella L. « vulgare Koch. Trockne
Wälder u. Gebüsche, häufig. —— Juni —
August.
D. varietas caule subunifolio, monocepha-
lo vel bifureo. Nach Koch sind solche
Formen bloss blüthentragende Stolonen
(Synops. Ed. III. p. 380); ob aber dies
für alle Fälle gilt, ist mir zweifelhaft. Cfr.
Gruner (Труд. O. И. II. X. У. VII. X: 315).
Sonnige Hügel im Gebüsche bei jRu.—
August.
327. — angustifolium Hoppe (Rchb. Ic. f. G. XIX.
T. 112. I. sehr gut; nicht mit H. furca-
tum Hoppe identisch, wie Kaufmann:
Моск. ea. p. 298 meint) Wiesen, sehr
selten (Андреевка +); %, August.
328. — praealtum Koch. a. fallax. В. hirsutum. v.
florentinum? (Rchb: pl. er. I. t. 55), setis
validis in foliorum pagina superiore dif-
fert. = Juni — Anfang August.
399. — echioides Wald. et Kit. verum Koch (? М.
*) Bei der ungemeinen Veränderlichkeit, die den Arten der Gat-
tung Hieracium eigen ist, halte ich es für unbequem, und aller-
dings für überflüssig, alle die in unserer Flora vorkommenden For-
men zu beschreiben; daher werde ich mich damit begnügen, dass
ich diejenigen, welche sich den von Koch angenommenen Varietä-
ten annähern, angeben werde, wenn auch die meisten von mir ge-
sammelten Exemplare einige mehr oder weniger wichtige Abwei-
chungen von Koch’s Diagnosen darbieten.
— 292 —
et K. pl. Hung. rar. 1. t. 85. nicht gut);
unsere Pflanze stimmt mit den Exempla-
ren von Petersburg (Meinshausen! sub var.
microcephala) zusammen. Trockene, son-
nige Stellen im Gebüsche auf der rechten
Seite des Flusses bei Жид. — Ende Juli,
Anfang August.
330. Hieracium Nestleri Vill. a. Vaillantii Koch. В. var.
inter autecedentem et hirsutum Koch me-
dia — Juni. |
331. — pratense Tausch. = (Хоб. u. a. St.). Juni.
392. — umbellatum L. Trockne Wälder u. Ge-
büsche == */, Juli, ‘/, August; Fr: Aug.
Ambrosiaceae Link.
333. Xanthium Strumarium L. Strassen u. Wege —
Ende Juli, '/, August; Fr.: August.
Campanulaceae Juss.
334. Jasione montana L. Am Rande des Kieferwaldes
bei Жид., Sandboden + Juli.
335. Campanula rotundifolia L. Trockne, hügelige Ge-
büsche (Борщевая, Красивое). -— Juli.
336. — bonnoniensis Г. Sonnige Hügel u. Ge-
büsche. + Juli. |
337. — Trachelium Г. calyce margine atque ad
venam mediam hispido. Variat flore albo,
Trockene Wälder u. Gebüsche = Ende
Juni, */, Juli.
338. — patula Г. Wiesen u. Waldränder, sehr häu-
fig — Ende Mai bis */, Juni. |
339
340.
341.
342.
343.
— 293 —
. Campanula persicifolia L. Wälder :- Juni, Juli.
— Gervicaria L. Wald bei Xo6. ~ Ende Juni,
Anfang Juli.
— glomerata Г. Variat foliis angustioribus la-
tioribus-ve, petiolis anguste vel magis ala-
tis, capitulis paucis vel numerosis in ra-
cemum fere dispositis; calycis laciniis line-
ari-lanceolatis, acutiusculis, corolla multo
brevioribus. Hierher gehórt C. desertorum
Weinm. (N° 38). Trockne Gebüsche, hàu-
fig + %, Juni — August.
— sibirica L. Wiesen, häufig. — Juni.
Adenophora liliifolia Ldb. (A. suaveolens E. Meyer).
Unsere Form dieser vielgestaltigen Art
unterscheidet sich: foliis petiolatis, infe-
rioribus interdum verticillatis, calycis la-
ciniis plerumque integerrimis. Hügelige
Wälder u. Gebüsche (Борщевая, Изоси-
M0B0); Wiesen, im Gebüsche (Typmacoso)
224 SU y. Aus.
Vaccinieae DC.
344. Vaccinium Myrtillus L. Im Walde bei Xo6. +
345.
Ende April. Mai.
Vitis idaea L. Ebendaselbst. == Mai, An-
fang Juni.
Ericaceae Klotz.
346. Calluna vulgaris Salisb. Auf den Ufern des По-
wai-Flusses: im Kieferwalde bei Жил.,
im trockenen Walde bei Хоб. = Ende
Juli, August.
— 294 —
Pyrolaceae Lindl.
347. Pyrola rotundifolia L. Im Kiefer-u. Laub-walde
am llowai (Xo6., Жид.) (=); seltener in
schattigen Wäldern in der Umgebung der
Stadt (+) Juni bis */, Juli.
UR = chlorantha P" Kieferwald bei Жид. =
349. — minor L sls
350. — secunda Г. she |
*951. — umbellata L. Im östlichen Theile des Lebe-
dianschen Kreises von N. Wargin gefun-
den («Пристань», Anfang Juli 1872).
"352. Monotropa Hypopitys Г. Ebenso (Преображенское,
Ende Juni 1872.).
Oleaceae Lindl.
353. Fraxinus excelsior Г. Wälder, selten (Красивое) —
Ascelepiadeae R. Br.
354. Gynanchum Vincetoxicum R. Br. y. cordatum
Kral. Im Gebüsche, auf Sandboden =
Juni — August.
Gentianeae Juss.
355. Menyanthes trifoliata L. Sumpfige Wälder u. Ge-
büsche =: (Красивое).
356. Gentiana cruciata Г. Trockne Gebüsche (3aBopon.,
Красивое) + Juli; Fr: 77, August.
357.
358.
359.
360.
361.
362.
363.
364.
365.
366.
367.
— 295 —
Gentiana Pneumonanthe L. Im Gebüsche, hie und
da (Изосимово, Дмитровка am Il. p.) —
у Juli, August.
Polemoniaceae Lindl.
Polemonium coeruleum L. — Ende Mai — Juli;
Dp: Jui
Convolvulaceae Juss.
Convolvulus sepium L. Feuchte Wälder, Fluss-
. ufer u. s. w. = %, Juni — Aug.
— arvensis Г. == Ende Mai — August.
Cuscuta europaea L. Auf Nesseln, Hopfen u, a.
Gewächsen +> Juli, Aug.; Fr: ?/, August.
— monogyna Vahl. Gewöhnlich auf Weiden,
sehr häufig. == °/, Juli, August; Fr: */,
August.
Borragineae Juss.
Asperugo procumbens L. Strassen, Wegränder u.
s. w. == '/, Mai, Anfang Juni; Fr: %, Juni.
Echinospermum Lappula Lehm. —- Ende Mai, Juni.
Cynoglossum officinale Г. = ?/, Mai — */, Juni;
zum zweiten Male: Anfang August; Fr: Juli.
Nonnea pulla DC. Brachfelder u. Wiesen. + Juni,
Jul:
Symphytum officinale L. var. lanceolata? Weinm.
(№ 39). Feuchte Gebüsche u. Wiesen. =
?/, Mai — Juli; Fr: Ende Juli.
— 296 —
368. Echium rubrum Jacq. Brachfelder, selten (neben
369
310
311.
312
373.
374.
375.
376.
911.
Соборные хутора) + Ende Juni die letzten
Blumen.
. Pulmonaria officinalis L. + °/, April, И, Mai.
. Lithospermum officinale L. Trockne Gebüsche,
Flussufer u. s. w. — Ende Mai, ‘/, Juni;
zum zweiten Male */, Juli; Fr: Juli.
arvense L. Brachfelder, trockne Gebüsche
(Хорекъ u. a. St.) = 9, Mai, Juni, Fr:
?/, Juli.
. Myosotis palustris With. Sumpfige Wiesen, selte-
ner als die folgende Art. — Juni, Juli.
caespitosa Schult.- sehr häufig. Juni, '/, Juli.
sylvatica Hoffm. Trockne Wälder (Хоб.)
= Juni.
intermedia Link. Brachfelder u. Ackerründer
+ Juni, Juli.
stricta Link. Wie die vorige Art, aber viel
häufiger. ++ ?/, Mai, Juni.
sparsiflora Mik. In der Nähe der Wohnun- .
gen, auf Schutt. —- */, Mai, Anfang Juni;
Fr: */, Juni.
Solaneae Juss.
378. Solanum nigrum L. + Juni, Juli, И, August.
379.
Dulkamara L. Feuchte Gebüsche u. Wälder.
— Juni—‘/, August; Fr: Ende Juli.
380. Hyosciamus niger L. — ?/, Mai— Juli; Fr: Ende Juli.
381
. Datura Stramonium L. Dorfstrassen (Красивое)
— Juli, August.
— 297 —
Scrophulariaceae R. Br.
382. Verbascum Thapsus. L. Sonnige, mit Gebiisch
bedeckte Hiigel auf der rechten Seite des
Flusses bei Жид. — Juli, Anfang August.
383. — Lychnitis L. Wegränder u. Wiesen, häufig.
— */ Juni — */, Juli.
a — nigrum Г. Wegränder u. Gräben. = У,
Juni — August.
385. — orientale MB. Mit den zwei letzten Arten
auf den Wiesen zwischen Il. B. n J. B.
PAPA Suni,
386. — phoeniceum Г. Wälder, Wegränder, sehr
zerstreut —— (Заворонежекое, längs der
Eisenbahn von Woronesch). Ende Mai —
Juli.
387. Scrophularia nodosa L. Feuchte Gebüsche, Fluss-
ufer. — Juni, Juli; Fr: */, Juli.
388. Linaria vulgaris Mill. — Juni, Juli; Fr: Ende Juli.
389. Veronica scutellata L. Feuchte Wiesen — %,
Mai — */, Juni u. später.
. 990. — Anagallis Г. Sümpfe, Bach- u. Fluss-ufer.
+ Juni, Juli.
В. tenella: minor, pilis pedicellorum glandulosis
Rchb: Ie. f. ©. XX t. 1702. fig. II. Feuchte
Viehweiden — Juni.
y. umbrosa m: caule foliisque lineari-lanceolatis
| glabris; inflorescentia tota pilosa, pilis
elongatis simplicibus; bracteis lanceolatis
pedicellis paullo brevioribus; calycis laci-
niis lanceolatis, capsulam (immaturam)
— 298 —
_orbicularem, apice leviter emarginatam
superantibus. Varietas insignis, a typica
caule altiore, debili, foliorum forma race-
misque pubescentibus differt; a V. ana-
galloide Guss. et tenella Rchb. (l. c. p. 47,
48): capsulae forma, pilis simplicibus, sta-
tura multo majore. Im schattigen, feuch-
ten, im Frühjahr überschwemmten Walde
bei Устье + Ende Juli.
391. Veronica Beccabunga L. Schattige Wilder, an Quel-
392.
393.
394.
395. .
396.
397.
398.
399.
400.
len (X06.) = Juni.
Chamaedrys Г. — Mai, '/, Juni; zum zwei-
tem Male: Anfang Aug.
officinalis Г. Kieferwald bei Жид. — Juni;
Nr Juli.
austriaca L. var. pinnatifida Koch. «Auf
Wiesen. 1864.» (selten).
latifolia L. var. major Koch. : Juni, An-
fang Juli; Fr: Ende Juli.
spuria L. Variat flore albo. Gebüsche auf
der linken Seite des Л. В. bei Typma-
сово. = Ende Juni bis Ende Juli.
longifolia L. var. glabra Koch ~~ */, Juni—
Anfang August.
spicata L. 7 June 7; Juli
incana Г. Am Waldrande bei Жид., auf
Sand- u. Kalkboden. + Juli, Anfang
August.
serpyllifolia L. Feuchte Aecker, Gebüsche
u. S. W. — ?/, Mai bis */ Juni; Fr:
?/, Juni. |
— 299 —
101. Veronica veria L. Trockene Hügel, Brachfelder —
!/ Mai; Fr. Ende Mai.
402. Melampyrum cristatum L. Trockene Gebiische.
403. —
AT
405. —
Juni, Juli. Variat bracteis haud coloratis
(im Schaiten, nicht selten).
arvense Г. Gebiische (Гремушка, Турма-
copo) = /, Juni — Juli. Variat bracteis
albis (M. argyrocomum Fisch.). Schattige
Stellen.
nemorosum L. — sehr häufig. Juni, Juli.
pratense Г. о: bracteis dentatis, calyce co-
rolla triplo breviore: Mel. pratense L. var.
iypicum herb. Kaufm! В: bracteis integer-
rimis, calyce corolla duplo breviore; var.
pseudosylvaticum. Kaufm. (differt autem
calycibus brevioribus. Wälder. = Juni,
Juli.
406. Pedicularis comosa L. Wiesen u. Waldränder ne
yee
Ne 4. 1876,
°/, Mai, Juni; Fr: */, Juli.
laeta Stev: a descriptione Fl. Ross. (Ш.
p. 289) foliorum laciniis margine carti-
lagineis bracteisque inferioribus foliaceis
differt. Die Pflanze ist durch die Steppen
des süd-westlichen Theiles von Sibirien
und des Südens des europäischen Russ-
lands verbreitet: Altai-Gebirge (Semenow
ex Herder: Bull. 1867. №3. р. 111. №
816), an den Strómen Irtysch (Schangin,
Karel.u. Kir., Schrenk ex Fl. Ross. p. 289,
90), Ischim (Falk, Lessing) und Tobo! (Pall.
ibid. in den Steppen hinter Ural (Leh-
mann ibid.), bei. Orsk (Lessing unter dem
| 20
EC DM
Namen P. eriostachvs Ldb.: Claus. Localfl.
d. Wolgagegenden p. 136), zwischen Oren-
burg und Uralsk (herb. Hoffm. Ne 4478!
u. d. N. P. purpurea? Herm.), Uralsk (Bur-
meister ex Regel: Труд. C. IL b. Cas. T. I
p. 254); auf der Wolga (nicht bei Sama-
ra: Claus. l. c. p. 282) bei Saratow (Bun-
ge ex Ldb. 1. c. Claus. |. c. p. 306) und
Kamischin (Claus. |. с.); zwischen Wolga
und Choper (Steven ex Ldb. |. c., Cewe-
Hops: Прил. фл. р. 122); im westliche-
ren Theile Russlands im Gouv. Charkow,
im Kreise Isium (lopasnsiä: Труд. O. M.
IL Xap. Y. T. V. p. 89. № 144) und
Walki (ibid. VI. p. 189. Ne 563). Wird
aber nicht im Gouv. Kursk (Hófft: Catal.
d. pl. de Dmitrieff p. 41), Orel (Taratsch-
Кой: Bull. 1855, Ne Ш. p. 22), Kiew,
Tschernizoff und Poltava (Роговичъ: Ест.
Пет. губ. Мевск. округа. p. 92) angege-
ben.— Wiesen auf dem linken Ufer des I.
B. bei Заворонежекое —— Mai.
408. Pedieularis Sceptrum Carolinum L. Schattige
feuchte Wälder, selten = u. : Juli.
409. Rhinanthus Crista Galli Г. var. major et minor.
Ende Mai — Juli.
410. Euphrasia officinalis L. == *, Juni — August.
411. — Odontitis L. — °/, Juli, August.
Crovancneae Juss.
412. Phelipaea coerulea C. A. M. In Gruben zwischen
— 301 —
Kalksteinen auf dem Ufer des llowai-
Flusses bei Жидиловка; auf den Wurzeln
von Artemisia vulgaris = Anfang Aug.
Labiatae Juss.
413. Mentha arvensis L. — Juli.
414. Lycopus europaeus L. Sumpfige Wiesen u. Ge-
büsche, Flussufer. —- Juli.
415. — exaltatus L. Feuchte, schattige Gebüsche u.
Wälder (im südlichen Theile des Kreises
gefunden (bei Знаменка), aber wahrschein-
lich auch in der Umgebung der Stadt) +
Juli. |
416. Salvia pratensis L. Variat: floribus dilute coeru-
leis et flavido-albis. Wiesen u. Waldrän-
der, sehr häufig — Mai, Juni; Fr. An-
fang Juli.
B. floribus duplo minoribus; a S. dumetorum
Andrz. (Meyer. Nachtrag. № 67) foliis flo-
ralibus inferioribus calyce longioribus, ver-
ticillastris saepe 4-floris recedit. Caule fo-
lioso, calycis corollaeque structura a S.
nutante L. et S. ruthenica Weinm. (Ne 10)
et. Petunnikoff (Verzeichn. N° 85.) differt.
Заворонежское. +
417. — verticillata L. Sonnige Hügel, auf Kalkbo-
_ . den bei Жид., im südlicheren Theile des
Kreises in Hafersaaten (Муравьево} —
Juli, August.
418. Origanum vulgare L. — Juli, Anfang August;
Fr: */, August.
20°
a uL.
. Thymus Serpyllum L. var. Marschallianus Willd.
Variat flore albo. =: Mai — Juli.
. Calamintha Acinos Сату. Trockne Wälder u.
Ackerränder (Жид.). — Juni — August.
. Clinopodium vulgare L. —— Ende Juni — August.
. Nepeta nuda L. Trockne Gebüsche, Flussufer. —
?/, Juni — August; Fr: */, Juli.
— cataria L. Auf Schutt in der Nähe der
Wohnungen, u. s. w. + Juni — August;
Fr: °/, Juli.
. Glechoma hederacea L. =: ?/, April, Anfang Mai;
Fr: °/, Juni.
. Dracocephalum thymiflorum L. Brachfelder, Aec-
ker. — */, Mai bis ?/, Juni; zum zweiten
Male Ende Juli; Fr: Juni.
426. — Ruyschiana L. Trockene Wälder = °/
Mai, Juni; Fr: Juli.
427. Lamium purpureum L. Gärten. = °/, Mai, Juni.
428. — maculatum Г. Trockne Gebüsche, unfrucht-
barer Boden — Ende Apr. — Aug.
429. Galeopsis Ladanum L. — Juni — August.
430. — tetrahit L. + Ebenso.
431. — versicolor Court — Ebenso.
432. Stachys sylvatica Г. Wälder (Mosacr. рощи u.
a. St) => an Sali.
433. — palustris L. Aecker, feuchte Gebüsche =~
/, sunt, V nir Fr: 77. Jule
434. — annua Г. Brachfelder u. Aecker — °/, Juni,
Jul; Er: 7/7, Juli.
435. — recta L. Waldränder u. trockne Gebiische
(Никольское, Жид.) = EndeJuni—August.
de WS.
DRE —.
436. Betonica officinalis Г. — °*/, Juni, Anfang Juli;
Fr. ?/, August.
437. Leonurus Cardiaca L. =: Juni — August; Fr: 7/,
Juli.
438. — Marrubiastrum L. Flussufer, Wegrander.
Е Juni, Julia, Er3.77 Juli.
439. Phlomis tuberosa L. Sonnige Hügel u. Waldrän-
ders scm mh, rA au»: Pre Juli.
440. Scutellaria galericulata +- Jani — August.
441. — hastifolia Г. Im feuchten Gebüsche, seltener
als die vorige (Лежайка) — Juni.
442. Prunella vulgaris L. — Ende Mai — Juli.
443. — grandiflora Mönch: Trockne, hügelige Ge-
büsche (Борщевая, Никольское u. a. St.)
-- Ende Juni — August.
444. Ajuga genevensis № Variat floribus dilute coeru-
leis et carneis (im Schatten). Wiesen u.
Wälder — ?/, Mai — Juni.
Lentibularieae Rich.
Utricularia vulgaris L. Am Ufer im Ilowai-Flusse
bei Жид. +- Ende Juli, Anfang August.
Primulaceae Vent.
446. Trientalis europaea L. Schattige Wälder, Humus-
boden (Хоб.) — Mai.
447. Lysimachia thyrsiflora L. Sümpfe u. sumpfige Ge-
büsche == ?/ Mai — ’/, Juni.
448. — vulgaris L. Feuchte Gebüsche, häufig —
4 Juni, Juli.
— 304 — x
449. Lysimachia Nummularia L. Sümpfe u. feuchte Wie-
: sen == */, Juni, Anfang Juli.
450. Primula officinalis Jacq. — April; Fr: Juni.
451. Androsace elongata L. Brachfelder (Никольское) —
?/, April, — ?
152. — septentrionalis L. Maxime variat quoad mag-
nitudinem et scaporum numerum e radice
egredientium. = Mai, Anfang Juni, Fr: Juli.
153. Hottonia palustris L. Ueberschwemmter Wald bei
Устье, im Wasser; selten — °%, Juni die
letzten Blumen.
Plantagineae Juss.
454. Plantago major L. — Juni, Juli; Fr: ?/ Juli.
455. — media L. == %, Mai — Juli.
456. — lanceolata L. — Juni — August.
Amaranthaceae Juss.
457. Amaranthus retroflexus L. — °/, Juni, Juli; Fr:
Ende Juli.
Chenopodeae Vent.
458.”) Chenopodium urbicum Г. — °/, Juli — August.
459. — album Г. = Ende Juni — August.
160. — polyspermum Г. — °/, Juli, Anfang Au-
gust; Fr: */, August.
461. — hybridum. Г. Gärten — August.
*) Kochia arenaria Roth. Aus Morschansk (Sandhügel. Juli 1864.).
— 305 —
462. Blitum virgatum L. In der Nähe der Dórfe, auf
463.
Schutt u. s. w: — Juni; Fr. Juli.
elaucum Koch —- Ende Juli, August.
464. Atriplex hortensis. Г. Gärten, selten = Fr: Ende
465.
476.
477.
Augusi.
nitens Rebent. Flussufer, unfruchtbarer Bo-
den — ?/, Juli, August.
patula Г. -- ?/, Juli, August; Fr: Ende Au-
gusi.
hastata? L. Feuchte Gebüsche (Воронова
1aya) = August (ohne Früchte).
latifolia Wahlb. —- August.
rosea Г. Strassen, häufig — ?/, Juli, Aug.
Polygoneae Juss.
. Rumex maritimus L. Feuchte Gärten, Wegränder,
—=
Flussufer. — */, Juli, August.
obtusifolius L. var. sylvestris Koch. Walder
(Заворонежское} = Ende Juni, */, Juli.
erispus L. — ?/, Juni — ?/, Juli; Fr: ?/, Juli.
domesticus L. — Juni.
maximus? Schreb. Schattige u. feuchte Stellen
neben Gewässern (Заворонежское) = Juli.
confertus Willd. Gärten u. in der Nähe der
Wohnungen. = Ende Mai, Juni.
Acetosa L. — Ende Mai — Juli.
Acetosella Г. == °%, Mai — Juli.
478. Polygonum Bistorta L. Wiesen u. Gebüsche, hàu-
fig. = Ende Mai bis ?/, Juni; zum zwei-
ten Male im Juli.
=) —
479. Polygonum amphibium L. var. «. natans Mönch.
und B. terrestre Leers. — °/, Juni — An-
fang August; $. Juli.
480. — lapathifolium L. + Juli, August.
481. — mite Schrank (P. minus Rehb: pl. crit. V.
t. 686. nec Coss. et Germ.) Sumpfige
Gebüsche. — ?/, Juni, Juli.
182. — Hydropiper L. — Juli, Anfang August.
483. — aviculare L. == Juni — Herbst.
184. — Convolvulus Г. Gärten, Zäune u: s. w. =
Juli; Fr: Ende Juli.
485. — dumetorum L. Trockne Gebüsche, sonnige
unfruchtbare Stellen u. s. w. +> Juli; Fr: .
August.
Santalaceae R. Br.
486. Thesium ebracteatum Hayne. Feuchte Wiesen, un-
ter Sträuchen bei Борщевая — °/, Mai.
Aristolochieae Juss.
187. Aristolochia Clematitis L. Sonnige Hügel u. trock-
ne, lichte Gebüsche = */, Mai, '/, Juni.
488. Asarum europaeum L. =: April.
Euphorbiaceae Juss.
189. Euphorbia virgata Wald. et Kit. Brachfelder, troc-
kene sonnige Hügel, Gebüsche u. s. w.
== Mai — August.
190. — procera MB. Wälder u. Gebüsche :— u
?/, Mai, Juni.
495.
496.
497.
498.
— 307 —
. Mercurialis perennis L. Schattige Wälder, Humus-
boden = °/, April.
Urticaceae Juss.
. Urtica dioica L. — Juni — August.
— urens L. — Juni, Juli.
Cannabineae Blume.
. Humulus Lupulus L. Feuchte, schattige Wälder
u. Flussufer. = ?/, Juni.
Ulmaceae Mirbl.
Ulmus campestris L. —
— effusa Willd. —
Betulineae Rich.
Betula alba L. == und var. pubescens Spach --
(Хоботово).
Alnus glutinosa Gärtn —
Cupuliferae Rich.
. Quercus pedunculata Ehrh. —
. Corylus Avellana L. —
Salicineae Rich.
. Salix pentandra L. Feuchte Wälder u. Gebüsche
ne Mat:
>11
— 308 —
. Salix fragilis Г. = Ende April, Anfang Mai.
alba L. —"Bbenso: —
amygdalina. Г. var. concolor Koch— 5. tri-
andra L. Feuchte Stellen, Wegränder =
*/, April.
cinerea L. Sumpfige und feuchte Gebüsche
— */, April.
nigricans Fries. Feuchte Gebiische, Weg-
ränder — Ebenso.
Caprea Г. Trockne Walder + Ebenso.
depressa L. Feuchte Gebüsche u. Wegrän-
der — Ebenso.
rosmarinifolia Г. Feuchte Gebüsche =
. Populus tremula Г. =
Orchideae Juss.
Orchis militaris L. Feuchte Wiesen (am Wald-
rande bei Панское) — °/, Mai, Anfang
Juni.
ustulata L. A descriptione Kochii et icone
Reichenbachii: Orchid. T. 16, foliis multo
angustioribus differt. Mit Gebüsch bedeckte
Hügel auf der linken Seite des Flusses
bei Жид., sehr selten + */, Juli.
maculata L. Variat foliis immaculatis flori-
busque pallidis. Schattige Walder bei X06.
= Juni, Anfang Juli.
incarnata L. Variat foliis maculatis imma-
culatisve, angustioribus vel latioribus,
caule adpressis vel patulis (das letzte
or
-—
QC
— 309 —
Merkmal wie in O. latifolia L. von wel-
cher Art aber unsere Pflanze sich damit
unterscheidet, dass alle Bracteen länger
als die Blumen sind). Variat flore albido
(sehr selten). Feuchte Wiesen n. Gebüsche
+ Ende Mai — */, Juni; Fr: Ende Juli.
. Gymnadenia conopsea R. Br. Feuchte Gebüsche
und schattige Wälder (auf der linken
Seite des Л. B. bei Турмасово, bei Xo6.)
= ?/, Juni, Anfang Juli.
. Platanthera bifolia Rich. Wälder u. Gebüsche,
selten (Заворовежское, Жид., Хобот.) —
Juni, Anfang Juli.
. Herminium Monorchis R. Br. In einem vertrock-
neten Sumpfe gegenüber dem Rennplatz
(бъгъ) = '/, Juni.
. Epipactis latifolia All. var. varians Rchb: Orchid.
t. 135. (=@. viridiflora Rchb). Schattige
Wälder (auf der rechten Seite des Flusses
bei Жид. ——; nach Süden von der Stadt
bei Никольское =) */, u. */, Juli.
. Neottia nidus avis Rich. Schattige Wälder (bei
Хоб. + Нивольское -—) Juni.
. Cypripedium Calceolus L. Schattige u. feuchte
Wälder (bei Xo6.), sehr selten. — */, Juni.
Irideae Juss.
. Gladiolus imbricatus L. Im Walde bei Xo6. —
?/, Juni.
. Iris furcata MB. (folis caule 1—2 cephalo
longioribus). Sonnige Hügel, im Gebüsche
— 310 —
(nach Süden von der Stadt: Соборные
хутора =, Никольское —) Blüht selten:
Ende Mai.
523. Iris Pseudacorus L. Sümpfe u. stehende Ge-
wässer — ?/, Mai— Y, Juni.
Hydrocharideae DC.
524. Stratiotes aloides L. Stehende Gewässer — Juni,
Juli.
525. Hydrocharis Morsus ranae L. Sümpfe u. stehende
Gewüsser. — Juli, August.
Alismaceae Juss.
526. Alisma Plantago L. == Juni, Juli; Fr: ?/, Juli.
3. lanceolatum. Vertrocknete Sümpfe: (JIezaiika)
7. JL. —
527. Sagittaria sagittaefolia L. — Juni, Juli.
Butomeae Rich.
528. Butomus umbellatus L. — Juni, Juli; Fr: August.
Juncagineae Rich.
529. Triglochin palustre Г. Sumpfige Wiesen (Заворон.
u. а. S). — Ende Mai — Juli.
Colchicaceae DC.
530. Veratrum album L. var. Lobelianum Koch. Sum-
pfige Wiesen u. Gebüsche. =: ?/, Juni, Juli.
536.
*537.
538.
539.
540.
541.
549.
545.
— 311 —
Asparageae Juss.
. Paris quadrifolia L. = Mai—°/, Juni; Fr: ?/, Juli.
. Majanthemum bifolium DC. =: ?/, Mai, '/ Juni;
Fr: %, August.
. Convollaria majalis L. — Mai, Anfang Juni; Fr:
August.
. Polygonatum officinale All. Lichte Wälder (Заво-
ронежское), seltener als die folgende Art
z— Ende Mai.
— multiflorum Desf. = ?/, Mai — ?/, Juni;
Er: 2 dul?
Asparagus officinalis L. Gebüsche, besonders nach
SW. von der Stadt. (Никольское, Tpe-
мушка) — Juni, */, Juli.
Liliaceae DC.
Anthericum ramosum L. Im östlichen Theile des
Lebedianschen Kreises gefunden (N. War-
sin. Ende Juni 1872 :«Пристань»).
Gagea minima Schult. == April.
— "Iuteaysehuli- 2... 10: 5/7, April.
Allium angulosum L. Wiesen u: lichte Wälder
= Juni. |
— rotundum Г. Aecker = °/, Juni, '/, Juli.
— oleraceum Г. Trockne Gebüsche ~~ */,
Juni, Juli.
J uncaceae Bartl.
Juncus effusus L. Sumpfige Wiesen (Xo6. Заворон.)
= Juli.
544.
545.
546.
— 312 —
Juncus lamprocarpus Ehrh. == Juni, Juli.
— compressus Jacq. — Juni, Juli.
Luzula pilosa Willd. Im Walde bei Xo6. = ¥,
April.
Cyperaceae Juss.
. Heleocharis palustris R. Br. Sümpfe u. sumpfige
Flussufer. == %, Mai — Juli.
— acicularis R. Br. Ufer u. Rànder stehender
Gewässer =: Juli, August.
. Scirpus lacustris L. Stehende u. langsam fliessende
Gewässer — Juli; Fr: ?/, Aug.
— sylvaticus Г. Ufer, Gräben. == Juni; Fr:
°/, August. |
. Eriophorum latifolium Hoppe. == °/, April.
. Carex vulpina Г. Sumpfränder == Mai.
— ieretiuscula? Г. Feuchte Wiesen u. Gebüsche
== Maia «Fr: Jul:
— Schreberi Schrank. Sandige Wiesen u. lichte
Wälder == Ende Apr.. Anfang Mai.
— leporina Г. Sumpfige Wiesen (Андреевка)
— Ende Mai, Juni.
— canescens L. Waldsümpfe (Xo6.) :— Mai.
— vulgaris Fr. =: Mai. |
— acuta L. fructibus evidenter nervosis, va-
ginis integris: ad C. prolixam Fries (Rchb.
Ic. f. G. VIII p. 15). Ganz ähnliche Exem-
plare habe ich aus Moskwa gesehen (herb.
Kaufm!). Sümpfe. = Mai.
— 313 —
. Carex pediformis C. A. M. Trockne Wälder (X06.)
= Ende April, Anfang Mai.
— pilosa L. Wälder, auf Humusboden, häufig
(Заворон. Хобот. u. à: SJ). == %, April,
/, Mai,
— pallescens L. Gewöhnlich die Form undu-
lata Kunze. Lichte Wälder u. Gebüsche,
häufig —— Mai.
— Pseudo-Cyperus L. Teich- und Flussufer.
(Заворонежское, Вид.) + Juni; Fr: August.
—- ampullacea Good. Sumpfige Wiesen (Заво-
pog.) — Mai. |
— hirta Г. Am Bache, auf Sand (Гремушка)
— Mai.
Gramineae Juss.
) . Panicum Crus Galli L. NAT Boden. Gärten
u. 5. w. — Juli; Fr: Ende Juli.
B. var. aristata Rchb. Ln Stelle, auf Sand
(Заворон.) = 7/, Juli.
>. Setaria viridis P. d. B. Aecker u. Brachfelder.
=), Julie
. — glauca P. d. B. Wie die vorige Art.
. Phalaris arundinacea L. Feuchte ale (Соборн.
. хутора) = Juli.
. Hierochloa odorata Wahlb. Feuchte Wegränder
im Walde bei Xo6. + °/, April.
‚ Anthoxanthum odoratum L. Wälder u. Gebiische.
xr UM, uud uds
. Alopecurus pratensis L. (certe non A. ruthenicus
Weinm.) — ‘/, Mai bis Anfang Juli.
= d o
512. Alopecurus geniculatus L. —- Ende Mai — Juli.
573. — fulvus Sm. -: Ebenso.
574. Phleum pratense Г. x. typicum: vaginis cylindra-
ceis, panicula spiciformi longa. Feuchte
Gebüsche — Juni, */, Juli.
$. vaginis parum ventricosis, panicula spiciformi
breviore, culmo basi bulbosoincrassato:
bulbosum Host. — sehr häufig.
— Boehmeri. Wib. Wiesen u. Gebüsche (Je-
жайка, Гремушка) = Juni, */, Juli.
. Beckmannia eruciformis Host. Sumpfige Wiesen,
häufig — Juni, Juli; Fr: °/, Juli; zum
zweiten Male im Anfang August blühend.
. Agrostis alba Schrad. (A. stolonifera L.) == Juli.
— canina Г. == Juli.
. Apera Spica venti P. d. B. — Juli, August.
. Calamagrostis lanceolata Roth. Feuchte Stellen
(Соборн. хутора) — °/, Juni.
— epigeios Roth. Trockene, sonnige Abhänge
u. Gebüsche, häufig + °/, Juni — Anfang
August.
— sylvatica DC. Gebüsche (Соборн. хутора)
e s GL.
. Milium effusum Г. Schattige Wälder (Хорекъ) —
Ende Mai, Anfang Juni.
. Stipa pennata L. Anfang Juli 1864 gefunden (siehe
oben).
. Phragmites communis Trin. — August.
. Koeleria cristata Pers. Trockene, sonnige Ab-
hänge u. Hügel -— Juni.
— 315 —
587. Aira caespitosa L. Feuchte Gebüsche u. Wiesen,
häufig =: °/, Juni, Juli. var. В. pallida
Koch — selten (trockne Stellen).
588. Avena pubescens. L: gluma inferiore 1-nervia,
589
№ 4. 1876.
saepe nervis duobus lateralibus; superiore
trinervia, nervis lateralibus medium attin-
gentibus; (gluma inferior superiore lon-
gior) Unsere Pflanze bildet einen Ueber-
gang zu A. amethystina Clairv., unter-
scheidet sich aber «flore inferiore in me-
dio dorsi aristato»; etwas näher steht der
typischen A. pubescens L. (Koch. Syn.
p. 690) die Pflanze von Moskwa (herb.
Kaufm!), unterscheidet sich doch «gluma
superiore trinervia» (nec uninervia). Wäl-
der (Заворон., Хоб.) — Ende Mai, */, Juni.
. Melica nutans L. Wälder u. Gebüsche =: Juni;
zum zweiten Male: ?/, August.
. Briza media Г. Gebüsche (Xo6.) =— ?/, Juni, An-
fang Juli.
. Poa annua Г. == Mai — August.
— pratensis L. — ?/, Mai, Juni.
nemoralis L. Waldränder u. trockne Gebü-
sche. — °/ Juni, Juli.
. Glyceria spectabilis M. et К. +: Ende Juni, Juli;
Fr: August.
. — fluitans В. Br. == Ende Mai — */, Juli.
В. plicata Fr. (Гремушка).
. Catabrosa aquatica P. d. B. Im Bache bei Гре-
мушка — August.
21
597.
607.
608.
609.
610.
BB o.
Molinia coerulea? Mönch var. arundinacea Schrank:
major, spieulis viridibus. Im Kieferwalde
bei Жид. — August.
. Dactylis glomerata L.— Juni, */, Juli.
. Festuca ovina L. == Juni.
co: gubra bir duni, Juli.
6. arenaria Fr: spiculis dense lanuginoso-villosis
(Гремушка).
— elatior Г. Gärten u. Wiesen == Juni.
— gigantea Vill. Schattige Wälder (Монастыр.
рощи, Жид.) = Ende Juni, Juli. ' |
. Brachypodium pinnatum P. d. В. var. caespitosum.
Wälder (Хорекъ) = Ende Juni.
. Bromus secalinus L. (divergens. Rchb: pl. cr. XI.
fig. 1601). In der Nähe der Wohnungen,
auf cultivirtem Boden = */, Juli.
— arvensis L. Aecker = Juli.
— erectus Huds. Gärten, Aecker, häufig. =
?/, Juni. |
— inermis Leysser. Variat aristatus. == Juni.
Triticum repens L. var. dumetorum Rchb. +~
Juni; Fr: Juli.
6. var. Leersianum Rchb: aristis florem subae-
quantibus (Донское) =
— caninum Schreb. Trockne Gebüsche = Juli.
Typhaceae Juss.
Typha latifolia L. Am Ufer des llowai-Flusses
Кид.) + */, Juli.
— 317 —
611. Typha angustifolia L. An den Ufern des J. B.
(Красивое, Заворонежское), == Juni.
612. Sparganium simplex Huds. =~ ?/ Juni, Juli.
613. —
ramosum Huds. Seltener, als die vorige Art
- (bei Красивое —) Juli.
Aroideae Juss.
614. Calla palustris L. Sumpfige Teichufer (Красивое)
21%, Joli:
Potameae Juss.
615. Potamogeton natans |. —
ius qe
D —
He, ue
pins —
lucens Г. = Juni, И Juli.
perfoliatus L. = °/, Juni, Juli.
‚crispus Г. = (Никольское) °/ Juni.
compressus L. Woronesch-Fluss neben der
Stadt. +
pusillus L. var. vulgaris Fr. Ebenso.
pectinatus Г. var. protensus Wallr. */,
Juni.
Najadeae Link.
622. Caulinia fragilis Willd (Najas minor All). Nees
ab Esenbeck: Gen. pl. Fasc. 10. 1. Durch
die ganze südlichere Hälfte des europai-
schen Russlands westlich von der Wolga
verbreitet, aber sehr zerstreut: Simbirsk
(Veesenmeyer: Beitr. z. Pfl.-knde IX №
556), der Bezirk der Cosaken am Don und
21"
— 318 —
Gouv. Woronesch (Güld. Семен. Прид. фл.
Ne 1175), Dmitrieff. im Gouv. Kursk (Höfft:
catal. p. 57), im Dniepr bei Kiew u. Kre-
menschug (Роговичъ: Ест. Ист. Kiesck.
округ. № 1091), Mohilew (Dovnar: Bull.
4..1. S. d. №. d. Mose. 1861 N I. р. 173),
bei Wilna selten (Eichwald: Naturhist.
Skizze. p. 127). Im II. B. bei Дмитровка. --
Lemnaceae Link.
623. Lemna trisulca L. —
624. — polyrrhiza Г. =
625. — minor Г. —
Coniferae Juss.
626. Pinus syvestris L. Jm nord- westlichen Theile des
Kreises, bei Жид. ==
Lycopodiaceae DC.
627. Lycopodium clavatum L. Trockene Wälder (bei
Xo6. häufig =, um die Stadt selten: Co-
борные хутора :—.
Equisetaceae DC.
628. Equisetum arvense Г. =
629. — sylvaticum L. —
630. — palustre L. +
631. — limosum Г. = (Хоботово).
— 319 —
Filices R. Br.
632. Polysiychum Thelypteris Roth. Sümpfe. +
633. — Filix mas Roth. Schattige Wälder (sKn1. -—)
und Gebiische (Соборн. хут. -, Гре-
мушка =)
634. — Spinulosum DC. var. vulgare Koch. Schat-
tige Walder =~
635. Pteris aquilina L. Trockne Wälder u. Gebüsche,
häufig. —
N ee en
MONOGRAPHIE DER BORKENKARFER RUSSLANDS,
DIE CRYPHALOIDEN TOMICIDEN.
Von
Professor Dr. K. Lindemann.
(Fortsetzung).
MAII SIS
Das Genus Ernoporus.
Im Jahre 1865 trennte der bekannte schwedische En-
tomologe Thomson *) im Bereiche der Gattung Crypha-
lus eine kleine Arten-Gruppe ab, welche von den ty-
pischen Arten der Gattung dadurch sich auszeichnete,
dass die Nàthe an der Fühlerkeule nicht grade, sondern
stark bogenfürmig geschwungen verlaufen. “*) Diese Ar-
ten-Gruppe bezeichnete Thomson mit dem Namen Erno-
porus. Er betrachtete seinen Ernoporus nicht als beson-
*) C. G. Thomson: Skandinaviens. Coleoptera, synoptiskt bearbe-
tade. 1859—1868. T. VII. p. 360.
u PT ,Antennae clava subimbricata, articulo 1:0 medio ovali-
corneo, 2:0 basi lunato"......... etc.
— 321 —
deres, dem Cryphalus gleichwerthiges Genus, sondern als
Unterabtheilung des Cryphalus, als blosses Subgenus. Zu
dieser neu festgestelllen Gruppe zog Thomson, als ein-
zige europaeische Species, den Cryphalus fagi N.
Die Gruppe Ernoporus wurde später von Lacordaire ")
und Ferrari”) acceptirt, und ihr von diesen Autoren
derselbe systematische Werth gegeben, wie von Thom-
son. Lacordaire wich nur darin von Thomson ab, dass
er nicht bloss C. fagi N., sondern auch den C. tiliae Е.
zu Ernoporus stellte. Ferrari sagt darüber ^^^) ‚4аз$ Lacor-
daire hierin einen Fehler begangen habe, und versichert,
dass bei C. tiliae F. die Näthe am Fühlerknopfe ' ganz
gerade sind. Den C. tiliae F. aus der Gruppe Ernoporus
entfernend, bereichert Ferrari dieselbe durch eine neue
Species, Ernoporus Jalappae ****). Meine eigenen Unter-
suchungen haben mich davon überzeugt, dass Lacordaire
Recht hatte, und dass der Fühlerknopf bei C. tiliae F.
ganz ebenso gebildet ist wie bei C. fagi N, und dass über-
haupt diese Arten bloss künstlich von einander getrennt
werden kónnen. Thomson und Ferrari haben augen-
scheinlich einen Irrthum begangen, welcher wohl seinen
Grund hat in einer falschen Bestimmung der zu unter-
_ suchenden Exemplare.
Ausser den genannten Species rechne ich zu der Gat-
tung Ernoporus noch eine neue, von mir aus dem nórd-
lichen Kaukasus erhaltene Art, E. caucasicus.
—
* Lacordaire: Histoire naturelle des Insectes. Genera d. Co-
leoptéres, t. VII. 1866. p. 379.
**) Graf Ferrari: Die Forst-und Baumzucht-schädlichen Bor-
kenkäfer. 1867. p. 10.
***) Ferrari: |. c. p. 15. Nota 2.
tant) Ferrari: 1. c. p. 14.
— 322 —
Die so umschriebene Gruppe Ernoporus betrachte ich
als ein besonderes Genus, welches den anderen, Crypha-
lus, Stephanoderes u. s. w. ganz gleichwerthig ist. Ich
thue das darum, weil alle hierhergezogenen Arten nicht
bloss die obengenannte Eigenthümlichkeit im Baue der
Fühlerkeule besitzen, sondern noch viele andere Beson-
derheiten vorzeigen, namentlich im Aufbaue des männ-
lichen Begattungsgliedes, und hauptsächlich in der Zu-
sammensetzung der Kauapparate im Proventriculus. Bei
allen mir bekannten Ernoporus-Arten zeigt sowohl dieses
als jenes Organ solche Eigenheiten, welche bei keinem
Cryphalus, bei keinem cryphaloiden Borkenkäfer vorkom-
men; einige von diesen Characteren kommen überhaupt
bei gar keinem Borkenkäfer vor. Indem nun die ganze
Summe dieser, höchst characteristischen, Merkmale bei
jeder Ernoporus Art ganz beständig vorkommt, halte ich
es für unumgänglich nothwendig, die von ihnen bezeich-
nete Gruppe, als eine gesonderte, als ein eigenes Genus
zu betrachten, denn die Aehnlichkeit der hierhergehöri-
gen Arten untereinander ist viel grösser, als die Ver- -
wandtschaft einer jeden von diesen Arten mit irgend
welchen anderen Cryphaloiden.
Gestützt auf meine eigenen Untersuchung aller vier
obengenannten Ernoporus-Arten, kann ich jetzt folgende
kurze Diagnose der Gattung geben.
«Die Kauapparate des Proventriculus besitzen keine
Kauplatten; dieselben sind (wie bei Hylesiniden) durch
einen unpaaren Ansatz ersetzt, welcher mit vielen
Querreihen von kurzen Borsten und mit Querrillen
bewaffnet ist, welche von einem Seitenrande des An-
satzes zum anderen ununterbrochen fortziehen.»
«Das männliche Begattungsorgan hat sehr stark ver-
— 323 —
breiterte Füsschen. Die Spitzen dieser Füsschen sind
immer untereinander verwachsen. Die Gabel fehlt
zuweilen.
«Die Genitalplatte fehlt sowohl beim Männchen, als
beim Weibchen.»
«Die Mandibeln sind ohne Anhang.»
«Die Fühlergeissel ist viergliederig.»
«Der Fühlerknopf hat geschwungene Näthe, sowohl
auf der oberen, als auch auf der unteren Oberfläche.»
«Der Bauchstigmen sind fünf Paare vorhanden.»
«Das erste Fussglied ist viel länger als das zweite.»
——————
Dieser kurzen Diagnose lasse ich eine genaue Be-
schreibung der Gattung Ernoporus folgen.
I. Skelet und Extremitäten.
Bei allen Ernoporus-Arten ist der Kopf sehr gross,
aufgeblasen und in den Prothorax so eingezogen, dass
bloss die Spitze des Kopfes, mit den Mundtheilen, von
oben her sichtbar ist. Vorne ist der Kopf in einen sehr
kurzen Rüssel ausgezogen. Die Augen sind lang. quer-
gestellt; am Vorderrande haben dieselben keinen Aus-
schnitt. In der Mitte des oberen Randes des Hinterhaupt-
loches haben alle Ernoporus einen grossen dreieckigen
Fortsatz, welcher auch vielen anderen Tomiciden zu-
kommt. Diesem Fortsatz verwachsen die Sehnen von Mus-
keln. Längs der Mitte dieses Fortsaizes verläuft eine
dunkel braun gefärbte Längsnath, welche auf dem Schei-
tel plötzlich endigt.
a NBN —
Der Mundrand des Epicranium ist stark wallfórmig ver-
dickt, gewóhnlich braun gefürbt, und trágt
| auf seiner Mitte einen kleinen Fortsatz, wel-
| cher in der Ebene der Stirne nach unten schaut.
: N) Dieser Fortsatz fehlt mur selten (E. fagi.). Der
Fig.6. jn dem Munde versteckte Epipharynz ist ei-
urn ne dünne, farblose, membranóse Platte von
ur Le 7" trapezoidaler Gestalt. (Fig. 6 und 7). Die Ober-
grössert. fläche derselben ist entweder ganz glatt, oder
E mit vielen sehr dünnen Falten bedeckt,
welche eine bekannte zellenartige Feich-
nung hervorbringen. Die Vorderecken
des Epipharynx sind zuweilen mit äus-
serst feinen Dornen besetzt (E. cauca-
==
Fig. 7.
Epipharynx von E. Sicus).
a e Das Halsschild ist gewöhnlich halb-
rund oder halbelipptisch, nach vorne hin ganz regelmässig
abgerundet; auf den Seitenrändern desselben sind weder
Eindrücke noch Einschnürungen zu bemerken. Die Hinter-
ecken sind grade, niemals abgerundet; der Hinterrand'ge-
wöhnlich verdickt. Die Oberfläche des Halsschildes ist sehr
stark gewölbt, besonders vorne, so dass sie sich über dem
Kopfe haubenartig erhebt, was bei der Profilansicht sehr
in die Augen springt. Die Skulptur der Halsschild- Ober-
flache erinnert an Cryphalus. Wie dort, so auch hier,
bei Ernoporus, befinden sich auf der vorderen Hälfte des
Halsschildes, grosse und dicke dornartige Fortsátze der
Haut, welche hier eine rhombische, dichte Gruppe zusam-
mensetzen. Diese Fortsátze sind blosse Auswüchse der
Haut; sie sind derselben unbeweglich angewachsen, und
haben sehr verschiedene Gestalt; bald sind sie konisch;
bald sind es flache breite Platten, mit abgeschnittener
Spitze. Bei verschiedenen Species sind diese Auswüchse
— 325 —
(Körner) sehr verschieden
gelagert; bald liegen sie
ganz regellos; bald setzen Lax
sie regelmässige Querrei- /
hen zusammen; bald ver- и
wachsen die Körner ei- 7
ner Querreihe mehr oder % À / 4
; ndi NAAR / 7/8
weniger vollständig, und S NORGE / ^,
es entstehen so regelmäs- DL AAD EZ
sige Querwälle, welche zu- Fig. 8.
weilen auf der Mittellinie Die Oberfläche des Halsschildes von
unterbrochen’werden.(Fig. Е. tiliae, vergrössert, um die Lage-
7 rung der grossen Körner darzustel-
8. 9). Am Vorderrande len. Vergrössert.
des Halsschildes ver-
wachsen diese Körner
nie mit einander; in
der Mitte dieses Vor-
derrandes bemerkt
man oft einige (4 —
6) Kórner, die grósser
À = à ©
A Ne [9]
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ANES EAE ei; я
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A] PA a2.
z/ И,
ip 7
1
N (р
sind als die anderen, Fig. 9.
und grade nach vorne pic Oberfäche des Halsschildes von E.
vorstehen. fagi. Vergrössert.
Die runden Hüftpfannen des Prothorax (acetabuli) sind
vollständig getrennt durch einen schmalen, dünnen Fort-
satz des Prosternum. Von hin-
ten sind diese Hüftpfannen
ebenfalls vollständig geschlos-
sen durch eine schmale, quer-
gestellte Platte, welche durch
Маше sowehl mit dem Proster-
Fig. 10.
: Das Prosternum von E. tiliae
DUM als auch mit dem Prono- mit den beiden runden, vollstän-
tum verbunden ist. (F ig. 10. e). dig von einander getrennten
Hüftpfannen der Vorderfüsse.
Ich habe diese Platte mit dem e—Entothorax.
— 326 —
Namen Entothorax I benannt, und halte sie einem Ster-
nite homolog. ") Der Hinterrand dieses Entothorax ist ganz
gerade. |
Vom Episternum, oder überhaupt von Pleuren, ist am
Prothorax nicht die geringste Spur zu finden.
Vom Boden jedes Acetabulum erhebt sich in die Hals-
schildhóhle ein kurzer, stabförmiger Chitinfortsatz, wel-
cher zur Insertion von Muskeln dient. Ausserdem be-
findet sich in dieser Höhle noch ein anderes Paar sol-
cher Fortsätze, welche von den Seitenwänden entsprin-
gen, quer in die Höhle schauen, und mit ihren löffelför-
mig erweiterten Spitzen den Proventriculus unterstützen.
Am Mesothorax hat das Dorsulum immer eine Längsnath.
Das Scutellum ist klein, länglich-dreieckig. Das Episternum
ist dem Sternum angewachsen,
so dass selbst die Nath nurbei
mikroskopischem Beschauen
kaum noch zu bemerken ist.
Das Epimerum ist deutlich von
den Nachbarstücken geschie-
den, und erreicht mit seinem
N unteren Ende den Rand der
TT 9 Hüftpfanne.
\ Am Metathoraz unterschei- .
Fie. 11. *. det man die drei gewöhnlich
Danse Metanotum von E, vorhandenen Tergiten(Fig. 11),
fagi. D—Dorsulum. Ps.—Post- von denen das eigentliche Me-
scutellum. An dem Mittelstücke, tanotum drei Paare von Adern
dem eigentlichen Metanotum vorzeigt, nühmlich: Zängsa-
sieht man die verschiedenen à
Stützadern. dern (Fig. 11), diagonale
*) Линдеманъ: Monorpapia ворофдовъ Poccim. 1875. 13.
— 327 —
Adern, und endlich bogenförmige, welche aber zuweilen
fehlen. (E. caucasicus). Die Schildchenfurche (sulcus scu-
tellaris) ist mit feinen Höckerchen besetzt, welche ge-
wöhnlich in zwei Längsgruppen placirt sind. Das Epi-
sternum dieses Ringes ist gross, dreieckig; das Epime-
rum sehr klein, beinahe rudimentär, und der Spitze des
Episternum unbeweglich angewachsen.
Das Bauchskelet bei Ernoporus zeigt einige Eigen-
thümlichkeiten in der Hinsicht, dass hier die Zahl der
Bauchschienen (Sterniten) vermindert ist im. Vergleiche
mit den meisten anderen Tomiciden. Es sind hier nähm-
lich nur die fünf von aussen sichtbaren Bauchschienen
vorhanden, während die sechste (sogen. Genitalplaite).
sowohl dem Männchen, als auch dem Weibchen ganz
vollständig fehlt; es ist nicht die geringste Spur dieser
Platte zu bemerken. Die Seitenstücke der Bauchsegmen-
te (die Pleuriten) sind immer deutlich, obwohl den
Bauchschienen unbeweglich angewachsen; die ersten zwei
sind miteinander verwachsen. Rückenschienen finden sich
am Bauche, wie gewöhnlich, acht; bei dem Männchen
treten sie alle frei auf die Oberfläche des Bauches vor;
bei den Weibchen ist die achte (Analplatte) unter der
Siebenten versteckt, ist beinahe membranós, hellgelb ge-
färbt, und trägt einige, sehr seltene Haare.
Stigmen besitzen alle Ernoporus sechs Paare; ein Paar
am Prothorax, und fünf Paare am Abdomen. Die ab-
dominalen Stigmen sind rund, und das erste von ihnen
ist gewöhnlich nicht grösser als die folgenden; sie befin-
den sich an dem Seitenrande der fünf vordersten Rü-
ckenschienen. Das prothoracale Stigma ist länglich rund
und von einem ziemlich breiten, braunen Rahmen (Peri-
trema) eingefasst, dessen freie Fläche immer kahl, un-
behaart ist. |
— 328 —
Die Antennen sind nahe vor den Au-
, gen, am Grunde einer kleinen Grube
us WM, befestigt; sie sind neun-gliederig. Von
‘My, diesen neun Gliedern sind das eine —
X УЛ” basale; vier — bilden die Geissel, und
7 die vier letzten — die Keule. (Fig. 12).
Das basale Glied ist verlängert, keulen-
förmig. Das erste Geisselglied ist dick
und gross, abgerundet, und mit einem
kurzen und dünnen Fortsatze an die
Spitze des basalen Gliedes befestigt. Die-
ses grosse erste Geisselglied bildet bei-
nahe die halbe Länge der ganzen Geis-
sel. Das zweite Geisselglied ist zweimal
Fig. $3 kürzer als das erste und viel dünner
Ein Fühler von E. als dasselbe; das dritte und vierte
fagi. Glied sind von gleicher Länge und Brei-
te, und nur wenig kürzer als das zweite. Die Fühlerkeu-
le ist stark abgeflacht, eliptisch; sie ist länger als die
Geissel. Die Näthe der, sie zusammensetzenden - Glieder
sind bogenförmig geschwungen, sowohl auf der oberen,
wie auch auf der unteren Seite; besonders stark gebogen
ist die erste Nath, wodurch das erste Fühlerglied ge-
wöhnlich eine eliptische Gestalt erhält. Die Oberfläche
dieses ersten Gliedes ist hornig, glänzend; die Oberfläche
der folgenden Glieder hat ein schwammiges Aussehen,
was durch die vielen Haare bedingt wird, welche an den
Rändern der Glieder sitzen, und die Oberfläche der Glie-
der bedecken. Die Haare der Keule sind gewöhnlich ein-
fach. Schuppen fehlen dem Fühler überhaupt. |
Die Oberkiefer sind dick und stark, mit stumpfer ab-
gerundeter Spitze und, ebenfalls stumpfen Hóckern am
Kaurande, nahe der Spitze. Ein Appendix, wie er u. A.
— 329 —
den Stephanoderes-Arten zukommt”),
fehlt allen Ernoporus vollständig.
Die Unterkiefer haben eine ziem- —
lich grosse Lade, welche beinahe
das dritte Palpenglied erreicht. Der
Kaurand dieser Lade (Fig. 13) ist
mit wenigen (an sieben) messer-
fórmigen Borsten bewaffnet; die
Spitze der Lade aber mit dünneren, Fig. 13.
gebogenen Dorsten besetzt. Die er- Unterkiefer von E. fagi.
sten zwei Glieder der Palpen sind kurz |
und breit, quer; das 2-te Glied sehr
wenig kürzer als das erste und schmä-
ler als letzteres. Das 3-te Glied ist
schmal und lang, den zwei ersten Glie-
dern zusammen an Länge gleich, oder
selbst länger als dieselben.
Die Unterlippe (fig. 14 und 15)
nach vorne hin bedeutend erweitert; Ede > dope
der vordere Rand derselben tritt nach! ztiliae von unten.
vorne in Gestalt eines breit-dreieckigen Fort-
satzes vor, welcher die Lippentaster von ein- j
ander trennt. Die Ligula ist breit; sie ist 7, £
nieht schmäler als der Vorderrand der Lip- \
pe, an deren Mitte sie sich befestigt. Der
vordere, regelmässig abgerundete Rand die-
ser Ligula reicht bis an die Spitze des er- *
sten Tastergliedes (fig. 15. 1). Die Ober- pig 15.
fläche der Ligula ist mit dicken, seltenen Die Unterlippe
von E.tiliae von
Borsten bewaffnet. oben. 1—ligula.
*) Dieser, von mir entdeckte Appendix der Mandibeln findet sich
— 330 —
Die Schienen sind gespornt (fig. 16) und am Aussen-
und Unter-Rande mit grossen Dornen bewaffnet. Das er-
14 GUY
Fig. 16.
Die Vorderschiene
des Männchens von
E. tiliae. Ein Vorderfuss von E. fagi.
ste Fussglied ist eylindrisch (fig. 17), beinahe doppelt
so lang als das zweite, und etwas dicker als dasselbe;
das 2-te und 3-te Glied sind einander gleich. Die Sohle
des dritten Gliedes trägt eine Bürste aus besonderen Haa-
ren, deren Spitze lóffelfórmig erweitert ist. Das dritte
Glied ist an der Spitze tief ausgehöhlt, und empfängt in
dieser Aushöhlung das kleine vierte Glied, welchem das
fünfte angefügt ist. Dieses letzte, fünfte Glied, ist den drei
ersten zusammengenommen gleich lang. Die beiden Klau-
en sind frei, einfach.
beschrieben und abgebildet in meiner oben citirten Monographie
der Borkenkàfer p. 86, fig. 79 und p. 106, fig. 120a. Erwähnt habe
ich ihn in: , Tageblatt der 48 Versammlung der deutschen Natur-
forscher und Aerzte in Graz. 1875 p. 103.“ Bei Gelegenheit der
Beschreibung von Stephanoderes werde ich diesen Appendix noch
erwähnen und eine Zeichnung desselben geben.
1
— 331 —
Die Flügeldecken sind mit feinen Punkten bedeckt,
welche gewöhnlich in regelmässige Längsreihen angeord-
net sind. (Ausnahme davon ist E. caucasicus). In der
Nähe der Spitze finden sich gewöhnlich kleine, runde
Körnchen.
Die Flügel sind auf der Oberfläche mit feinen gelb-
lichen Borsten dicht besetzt; ihr Hinterrand trägt eine
einfache Reihe langer Wimpern. Einige ähnliche Wim-
pern sitzen auch an der Basis des Vorderrandes; der
grösste Theil des letzteren ist aber kahl, unbehaart.
Die ganze Oberfläche des Körpers, besonders aber die-
jenige des Halsschildes und der Flügeldecken ist dicht
bedeckt mit federförmigen und auch einfachen Haaren,
zwischen welchen sich noch eigenthümliche
Schuppen befinden (fig. 18). Diese Schuppen
sind entweder länglich, oder oval, haben im-
mer einen fein gekerbten Rand und sind mit
sehr feinen Häärchen besetzt. Niemals haben
sie an ihrem Rande grosse zahnartige Fort- F-18
sätze oder Zacken, wie solche an den Schup- Zei verschie-
ene Schuppen-
pen der echten Cryphalus später von mir formen vonden
beschrieben werden sollen. Die erwähnten en
"Schuppen halten eine gewisse Ordnung in ihrer Disposi-
tion ein. So sitzen sie auf dem Halsschilde. bloss an den
Rändern und auf der hinteren Hälfte seiner Oberfläche,
hinter dem Rhombus der grossen Dornen (fig. 8. Seite 6);
auf den Flügeldecken bilden sie ganz regelmässige Längs-
reihen, welche in den Zwischenräumen der Punktreihen
hinziehen. Die Punkte der letzteren tragen immer ganz
feine und kurze Haare.
Je 41870. 22
— 332 —
II. Verdauungsorgane.
Es wurde mir möglich bloss den Ernoporus tiliae 1е-
bendig zu erhalten, da alle anderen Ernoporus-Arten in
Mittel-Russland nicht vorkommen. Darum bezieht sich
das, in Folgendem über die Weichtheile Gesagte, bloss
auf die genannte Species. Die inneren Hartgebilde aber
sind von mir auch an aufgeweichten Exemplaren mit
Erfolg studirt worden.
Der Darmkanal ist bei Ernoporus viel länger als der
Körper, und bildet darum, in der Abdominalhöhle, viele
Schlingen, ebenso wie bei Scolytus und Anderen. Der
Darmkanal muss in drei Hauptabschnitte eingetheilt wer-
den, welche sich scharí unterscheiden durch die histo-
logische Struktur ihrer Wände. Diese Abschnitte sind:
der Vorderdarm, der Mitteldarm, und der Hinterdarm.
Zum Vorderdarm gehóren Oesophagus und Kaumagen
(Taf. Ш, fig. 1. oe. pr.), von denen ersterer die Gestalt einer
gunz geraden cylindrischen Röhre, letzterer — diejenige
einer blasenfórmigen Auftreibung, hat. Zum Mitteldarm
zehórt der Magen (Taf. HE, fig. 1. v.) und der Dünndarm
(fig. 1. It), bis zur Einmündung der Harngefásse. Zum
Hinterdarm endlich gehórt der Dickdarm und das Rectum
(fig. 1.Jc. R). Diese drei Abschnitte unterscheiden sich folgen-
dermaassen durch den Bau ihrer Wandungen. Im Vorder-
darm bestehen die Wandungen aus einer Membrana pro-
pria, welcher von innen eine Lage von Quermuskeln auf-
liegt, die ihrerseits von einem schwer sichtbaren Epithel
und einer dicken Cuticula bedeckt ist.—Im Mitteldarme
besteht die Wandung bloss aus Membrana propria und
Epithel; im Hinterdarme endlich findet sich wieder, sowohl
die Muskelschichte, als auch die innere Cuticula, wie im
Vorderdarme.
— 333 —
Im Oesophagus ist die innere Cuticula ganz glatt; sel-
ten bemerkt man einzelne, ganz zufällige Falten, welche
bei der Anfüllung des Rohres sich ausglätten. Der Kau-
magen besteht, wie immer bei den Borkenkäfern, aus ei-
ner vorderen Abtheilung, und einer hinteren, welche letz-
tere die acht Kauapparate einschliesst. Die vordere Ab-
theilung des Kaumagens ist gewöhnlich grösser als die
hintere und. ist auf ihrer inneren Oberfläche mit dicht-
gestellten Dornen bewaffnet, deren Form und Lagerung
bei den verschiedenen Species verschieden ist. Bei den
einen (z, В. Ernoporus tiliae) ist diese Abtheilung mit
überall ganz gleichgeformten Borsten bewaffnet, und sind
dieselben überall ganz gleichartig angeordnet. Bei ande-
ren Species, (E. fagi), finde ich hier zwei verschiedene
Formen von Borsten, indem ausser den feinen Bórstchen,
welche beinahe die ganze Oberfläche der. Wand bewaff-
nen, noch andere, grosse und dicke Borsten vorkommen,
welche alle dicht aneinader sitzend, auf der unteren
Wand des Proventriculus eine kleine Gruppe bilden.
Bei E. caucasicus geht diese Complication noch weiter;
hier sind die auf der oberen Wand des Proventriculus
sitzenden Borsten kammförmig, während die an der un-
" teren Wand desselben vorhandenen eine andere Form ha-
ben, nähmlich lang haarfórmig sind. °
Der Bau der Kauapparate zeigt bei Ernoporus eini-
ge sehr auffallende Eigenthümlichkeiten, welche diese
Gattung nicht bloss von den anderen Cryphaloiden, son-
dern überhaupt von allen Tomiciden scharf unterschei-
den, und zu gleicher Zeit dieselbe den Hylesiniden nä-
hern.
Die Kauladen zeigen bei den Ernoporus nichts be-
merkenswerthes; sowohl die seitliche Abdachung dersel-
ben, als auch die Kaubürste, zeigen die bekannte, ge-
29°
— 334 —
wöhnliche Zusammensetzung. Die eben erwähnten cha-
rakteristischen Besonderheiten sind bloss im Baue der
vor den Kauladen liegenden Partie zu bemerken, und
bestehen in Folgendem. Bei allen mir bekannten Arten
von Ernoporus fehlen die Kauplatten ganz vollständig;
an Stelle dieser Kauplatten finde ich hier einen unpaa-
ren vorderen Ansatz, ganz wie bei
den Hvlesiniden (Fig. 19. d). Im
Bereiche eines solchen Ansatzes ist
die Cuticula unverdickt, blass und
farblos, ") ganz ebenso wie in der
vorderen Abtheilung des Proven-
triculus; es fehlt auch eine Längs-
nath, welche diesen vorderen An-
satz in zwei Seitentheile trennen
könnte. [m Bereiche dieses Ansat-
zes verlaufen ganz regelmässige,
quergestellte, dünne, gelbe Rillen,
welche der Cuticula angewachsen
sind, und deren freie Fläche mit
Einer von den acht Kau- . :
apparaten aus dem Pro- vielen Kerben besetzt ist, so dass
ERE es den Anschein hat, als sei eine
satz. b-seitliche Abda- jede Querrille durch das Verwach-
Rn dn ger eeu sen von besonderen Borsten oder
Körnern entstanden. Jede Querrille zieht gewöhnlich ganz
ununterbrochen von einem Seitenrande des Apparates zum
anderen. (Fig, 19). Die Zahl der Rillen ist verschieden,
selbst bei den, zu einer und derselben Art gehörenden
Individuen. Sie schwankt zwischen sechs und zehn. Zu-
Fig. 19.
+) Nur bei Е. fagi ist die Cuticula zwischen den hintersten Quer-
rillen etwas gelb gefärbt.
— 335 —
weilen sind die vordersten zwei oder drei hillen in ihrer
Mitte zerfallen, und stellen hier eine
Querreihe von kleinen Borsten vor
(z. B. bei E. fagi und E. caucasicus
fig. 20).
Àn den seitlichen Abdachungen der
Kauladen sind die vordersten Rillen
mit Zähnen bewaffnet.
Die Borsten der Bürsten sind sä-
belförmig, am Rande bewimpert.
Am Dünndarme sind zwei ver- Fig. 20.
schiedene Drüsenarten zu ‚bemerken Ein Kauapparat aus dem
a Proventriculus von E.
(Taf.Ill,fig.1.G.Ge.);die einen sind cy- fagi. d—vorderer unpaa-
lindrisch; die anderen oval, sackfór- PUE ee,
mig. Die ersten sind hier bloss in b—seitliche Abdachung
: ., der Kaulade. c — Kau-
geringer Anzahl vorhanden, und sit- bürste.
zen alle auf einer Hóhe, eine Art Quirl zusammensetzend.
Die sackförmigen Drüsen sind in zwei, einander parale-
le Längsreihen angeordnet; diese Reihen beginnen nicht
hart nach den cylindrischen Drüsen, sondern sind von
der Gruppe der letzteren durch einen kurzen Abstand
getrennt.
Die dem Rectum aufliegenden Drüsen, (rectalen-Drü-
sen) sind stark entwickelt (Taf. III, fig. 1. Gr.). Sie bilden
eine lange und dicke Masse, welche dicker ist als der
Darm. Der Bau dieser Drüse unterscheidet sich ziemlich
stark von dem Baue desselben Organes bei Scolytus oder
Phloeophthorus. Wührend dort die Rektaldrüse aus dicht
zusammengelegten Schlingen der Harngefässe zusammen-
gesetzt ist, besteht dieselbe bei Ernoporus aus grossen,
runden Zellen (Taf. IIT, fig. 5), welche dicht gelegen
und mit einer strukturlosen, homogenen und durchsich-
tigen Masse aneinandergehalten werden. lm frischen Zu-
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stande zeigen diese Zellen ein homogenes Protoplasma
und einen grossen hellen Kern, dessen Form nicht con-
stant ist; bald ist dieser Kern konisch; bald verzweigt,
bald rund. Seiné Kontur ist bald glatt, meistens aber
feingekerbt (Taf. IIT, fig. 11). Untersucht man diese Zel-
len längere Zeit nach dem Tode des Käfers, oder be-
arbeitet man die lebendige Drüse mit Essigsáure, so wird
der Kern oval oder ganz rund; sein Seitenrand wird
glatt und scharf; in der Substanz des Kernes erscheinen
blasse, unregelmässige Körner. Das Protoplasma aber wird
in solchen Fällen dunkel, feinkörnig, und ihre oberfläch-
liche Lage verdickt sich zu einer scharf begrenzten, dop-
pelt-conturirten Membran, welche der lebendigen Zelle
ganz fehlt. |
Wie immer, so sind auch bei Ernoporus 6 Harngefässe
vorhanden; sie sind immer ganz einfache, cylindrische
Röhren, und münden jede mit ihrer besonderen Oeffnung
in den Anfang des muskulósen Dickdarmes. Das innere
Ende jeder Harnröhre ist stark verschmälert, und befe-
stigt sich an die oben beschriebene Rektaldrüse.
Speicheldrüsen sind zwei vorhanden. Es sind kurze und
dünne, einfach-cylindrische nühren, welche zu einem
Knäuel gewunden dem vorderen Ende des Oesophagus an-
hängen.
III. Die Geschlechtsorgane.
1. Die weiblichen Geschlechtsorgane.
Es ist schon oben erwähnt worden, dass eine Geni-
talplatte den Weibchen, ebensowohl als den Männchen
fehlt. Dadurch wird das Genus Ernoporus ebenfalls von
den echten Cryphalus scharf unterschieden,- da bei den
— 337 —
letzteren diese Genitalplatte nicht bloss vorhanden, son-
dern selbst im hohen Grade entwickelt ist. Selbst bei
den Hypoborus und Pytiophthorus-Weibchen, wo die ei-
gentliche Genitalplatte fehlt, ist ihr Stengel doch vor-
handen, und erscheint dann als eigenthümlicher Theil.
In der unteren Wand der Vagina haben alle Ernopo-
rus-Weibchen eine besondere chitinisirte braune Platte,
welche die Gestalt einer kurzen Rinne besitzt (Taf. II,
fig. 2). Diese rinnenfórmige Platte darf aber nicht als
modificirte Genitalplatte angesehen werden, denn sie ist
bloss eine örtliche Verdickung der Kutikula, während
die Genitalplatte ein Skeletstück ist. Dafür spricht auch,
dass z. B. bei Pytiophthorus-Weibchen der Stengel der
Genitalplatte und diese Rinne in der Vagina gleichzeitig
vorhanden sind. Die erwähnte Rinne hat bei den ver-
schiedenen Ernoporus-Arten eine etwas verschiedene
Form; bei E. tiliae ist sie kurz und breit; bei E. fagi
beträchtlich verlängert, und in der Mitte etwas einge-
schnürt.
Die eigentlichen Geschlechtsorgane bestehen bei dem
Weibchen aus der Vagina oder Vestibulum, aus der Bur-
sa copulatrix, Receptaculum seminis, aus Eileiter und
Eiróhren. Besondere Anhangsdrüsen, wie sie bei anderen
Borkenkafern mit der Vagina zusammenhängen ^), fehlen
den Ernoporus-Arten vollstándig. In dieser Hinsicht sind
dieselben den Scolytus-Arten ähnlich ^^). Die histologische
Struktur der verschiedenen Theile des weiblichen Ge-
*) Solche Drüsen sind von mir bei Phloeophthorus früher be-
schrieben und abgebildet worden. Cp. Монограф1я Kopoñopr Poc-
cin. I. I. 1875, стр. 93. Табл. УШ, фиг. 6. gl.
**) Monorpadis корофдовъ Pocein. Стр. 29. Табл. VI, фиг. 19.
— 338 —
schlechtsapparates ist bei Ernoporus ganz derjenigen von
Scolytus ähnlich. Die, der kurzen Vagina folgende Bursa
copulatrix (Taf. Ш, fig. 2 BC) ist ein breites Rohr, wel-
ches nach innen zu sich merklich erweitert, und end-
lich mit einem etwas zugespitzten blinden Ende aufhórt.
Die Wände der Bursa copulatrix sowohl als des Vesti-
bulum bestehen: aus einer membrana propria, welche
reich an Kernen ist; aus einer, ihr von innen aufliegen-
den Lage quergestelller Muskeln; und endlich aus einer
chitinigen Kutikula, welche dünn und farblos ist, und
deren freie Fläche mit vielen feinen und ganz unregel-
mässigen Falten bedeckt ist. Feine Dornen fehlen bei Erno-
porus auf der Kutikula, sowohl der Bursa copulatrix, als
auch im Vestibulum.
Das Receptaculum seminis (Taf. Ш, fig. 2 Rs) ist ein
kleiner, abgerundeter Körper, welcher in das Vestibulum
mit einem langen und dünnen Ausführungsgange mündet.
Wie immer bei den Borkenkäfern, so besteht auch bei
Ernoporus das Receptaculum seminis aus zwei besonde-
ren Theilen, nähmlich aus einer kleineren, unteren Abthei-
lung, deren Höhle retortenförmig (fig. 8 R.), und deren
Kutikula braun gefärbt ist; und aus einer grösseren oberen
Abtheilung (fig. 8 m), deren Hóhlung rund, und deren Ku-
tikula dünn und farblos ist. Von aussen sind diese zwei
Abtheilungen nicht so scharf von einander geirennt wie
es bei anderen, z.B. bei Scolvtus, der Fallist; bei Erno-
porus finden wiran ihrer Grenze bloss ein flache Quer-
furche. In der kleineren, unteren Abtheilung hat die
Höhlung, ebenso wie bei anderen Borkenkäfern eine retor-
tenfórmige Gestalt, und wie gesagt, eine dicke, braune
Kutikula; der, an dem breiten Ende befindliche Theil
dieser Kutikula ist gewöhnlich ganz glatt (fig. 8 ); der-
jenige Theil aber, welcher an dem Hals der Retorte liegt,
— 339 —
zeigt eine zellenartige Zeichnung. Die Kommunication der
beiden Abtheilungen ist eigenthümlich; sie verbinden sich
nühmlieh durch eine Oeffnung, welche an dem hinteren,
breiten Ende der retortenfórmigen Hóhle vorhanden ist.
Bei anderen Borkenkäfern ist dieses Ende gewöhnlich
blind, und die Oeffnung in der Mitte des oberen Randes
der Retorte vorhanden.
Die Wand des Receptaculum seminis besteht aus: einer
membrana propria; aus einer Quermuskel-Lage, und aus
der oben erwähnten Kutikula. Ich konnte keine beson-
dere Epithelschichte unter dieser Kutikula auffinden, we-
der in der oberen, noch in der unteren Abtheilung des
Organes. Dieses Epithel fehlt ebensowohl in der Bursa
copulatrix und auch im Oviduct. Der Ausführungsgang
des Receptaculum seminis ist ein dünnes, cylindrisches
Rohr, dessen Wände dieselbe Zusammmensetzung haben,
wie die Wünde des Receptaculum selbst. |
Der Eileiter (Taf. Ш, fig. 2 0) ist eine eylindrische Röhre,
welche noch einmal so schmal ist wie die Bursa copu-
latrix, und gewöhnlich um ein weniges länger als letztere
ist. Das innere Ende des Eileiters theilt sich in zwei
kurze Aeste, deren jeder zwei Eierstöcke trägt. Die
Wände des Eileiters, und seiner zwei hier erwähnten
Aeste bestehn, wie gewöhnlich, aus einer Membrana pro-
pria, aus einer Quermuskellage und einer Cutieula. Die
letztere ist dünn, farblos, und mit vielen, dünnen farblo-
sen Borsten besetzt, welche in Querreihen angeordnet
sind; jede solche Borste kehrt ihre Spitze nach hinten,
zum Ausgange. (Taf. III, fig. 12). Diese Borsten dienen
dazu, um dem Eie den Rückgang in die Eierstöcke zu
verwehren. |
Wie bei anderen Borkenkäfern, so sind auch hier, bei
Ernoporus, vier Eierstöcke oder Eiróhren vorhanden
— 340 —
(Taf. Ш, fig. 2 ov). Sie liegen symmetrisch zu je zwei
auf jeder Kórperseite; beide Eiróhren einer Körperseite
öffnen sich in den gleichseitigen Ast des Eileiters. Die
Eierstócke haben bei Enorporus eine lang-eliptische Ge-
stalt, mit zugespitzten Enden. Die Wände bestehen aus
einer Membrana propria, deren innerer Oberfläche ein
Epithel aufliegt; letzteres besteht aus grossen runden
Zellen mit rundlichen, hellen Kernen. (Taf. Ш, fig. 9.
10. ov.). y
An die Spitze einer jeden Eiröhre befestigt sich das
bekannte ligamentóse Band, welches den Eierstock an die
Bauchwand befestigt (Taf. III, fig. 9. 10. 1). Dieses Band
bedeckt die Spitze der Eiröhre kappenförmig. Die Dicke
desselben variirt sehr stark; bald ist das Ligament viel
dünner als die Eiröhre (Taf. III, üg. 9. 1.); bald ist es
beinahe ebenso dick wie letztere (Taf. Ш, fig. 10. 1.). So
verschieden wie die Dicke, ist auch die Zusammenset-
zung des Bandes. Bei einigen Individuen besteht dassel-
be aus einer structurlosen, homogenen Masse, welcher ei-
ne sehr geringe Anzahl von ovalen Kórpern, wahrschein-
lich Zellen-Kernen, beigemengt ist (Taf. III, fig. 9. D;
bei anderen scheint das ganze Ligament hauptsächlich
aus grossen ovalen, dicht aneinanderliegenden Zellen zu
bestehen (Taf. Ш, fig. 10. 1.), welche nur stellenweise ei-
ne homogene Intercellularsubstanz bemerken lassen. Ei-
ne jede solche Zelle hat ein homogenes Protoplasma und
einen grossen, ovalen, hellen Kern. Die hier eben be-
schriebene Verschiedenheit im Baue des Ligamentes habe
ich sehr oft beobachtet, immer aber an verschiedenen
Individuen; bei einem und demselben Individuum sind
alle vier Ligamente gewöhnlich gleich gebildet.
Wie schon oben bemerkt worden ist, fehlen den Erno-
porus-Weibchen die aecessorischen Drüsen.
— 941 —
2. Die männlichen Geschlechtsorgane.
Wie schon früher gesagt worden ist, fehlt den Männ-
chen von Ernoporus die Geni-
talplatte ganz.
Das Begattungsglied hat hier
eine Eigenthümlichkeit, welche,
soviel mir bis jetzt bekannt ge-
worden ist, bei keinem ande-
ren Borkenkäfer vorkommt. Die-
selbe besteht darin, dass hier
die Füsse des Penis stark er-
weitert (fig. 21 p.), und so ganz
unähnlich geworden sind den
ihnen homologen Theilen bei Fig. 21.
anderen Borkenküfern, wo sie Pas männliche Begattungsglied
р A S. von E. fagi. b—der Stengel des-
in Gestalt dünner stabfürmiger „pen. а дне beiden Вова:
Fortsätze auftreten. DieSpitzen ten. p—die Füsse. f—die Gabel.
dieser Füsse sind immer mit einander verwachsen, und
zwar so vollständig, dass selbst die geringsten Spuren
dieser Verwachsung verschwunden sind. Diese Erweite-
rung und Verwachsung der Füsschen bedingt das origi-
nelle, linsenförmige Aussehen des Begattungsgliedes bei
den Ernoporus-Arten.
Ausserdem zeigen einige Ernoporus-Arten noch eine
andere Besonderheit in ihrem Begattungsorgan, nähm-
lich die, dass hier die Gabel zuweilen fehlen kann, während
sie bei den anderen immer zugegen ist. So fehlt dieselbe
bei E. tiliae; bei den anderen europaeischen Arten ist
sie vorhanden, und hat die Gestalt einer ziemlich breiten
Platte, welche nur sehr wenig den Körper des Penis
von unten umfasst (fig. 21. f.). Niemals nimmt die Gabel
— 342 —
bei Ernoporus die Gestalt eines ganz geschlossenen Ringes
an. Der Stengel ist immer vorhanden, und ist zuweilen
sehr stark entwickelt, sehr lang und dick,—was wieder
sehr an die Hylesiniden erinnert. (fig. 21 b). Bei den anderen
Tomiciden ist dieser Stengel gewóhnlich dünn, hellbraun.
Ein Aufsatz ist an dem Penis der Ernoporus-Arten
immer zugegen, und besteht bloss aus der Endplatte,
welche bald einfach, ungetheilt ist, (Е. caucasicus. fig.
22 d) oder in zwei symmetrische Seitentheile getheilt
Fig. 22.
Das männliche Begattungsglied von E. cau-
casicus. b— der Stengel. d — die verwachse-
nen Endplatten. p — die Füsschen. f— die
Gabel.
ist (E. fagi. fig. 21 d),welche zuweilen die Gestalt von
eigenthümlichen, hakenförmig gebogenen Stäbchen an-
nehmen. — Andere Stücke fehlen in dem Aufsatze bei
Ernoporus immer.
— 343 —
Im Bereiche des Begattungsgliedes bildet der Ductus
ejaculatorius eine grosse sackfórmige Erweiterung. Die
Innenfläche der Wände dieser Erweiterung sind immer
glatt, niemals mit Dornen bewaffnet.
Die inneren Geschlechtsorgane des Männchens bestehen
aus: Ductus ejaculatorius, Samenblasen; aus den Vasa defe-
rentia und den Samendrüsen,und endlich aus den accessori-
schen Drüsen, oder der Prostata. Der Ductus ejacula-
torius (Taf. Ш, fig. 3 De) ist eine dünne, vielfach ge-
wundene cylindrische Röhre, deren oberes Ende in zwei
kurze Aeste gespalten ist. Jeder dieser Aeste öffnet
sich in eine besondere Samenblase.
Die Samenblasen (Taf. III, fig. 3 Vs) sind zwei kleine,
runde Säckchen, welche jedes auf einer Körperseite liegen,
und den Vas deferens und die accessorischen Drüsen
aufnehmen.
Die Samendrüsen (Taf. III, fig. 3 t) sind zwei grosse,
ovale Säcke, welche viel breiter sind als die Samenblasen.
Jede Samendrüse ist ganz einfach, d. h. sie sind nicht
so gelappt, wie bei Scolytus, oder durch eine Quer-
furche getheilt, wie bei Phloeophthorus; die Höhle der
Drüse ist auch ganz einfach, ohne alle inneren Schei-
dewände. Die Wände der Samendrüse bestehen aus einer
dünnen membrana propria, welche von innen mit einem
Epithel bedeckt ist. Die innere Höhle der Drüse ist ganz
angefüllt mit sehr grossen Zellen (Taf. Ш, fig. 6), wel-
che bald zahlreiche kleine, glänzende Kerne von runder
Gestalt enthaltent; bald angefüllt sind mit Spermatozoiden,
welche die Gestalt feiner, wellenfórmig gebogener Fäden
haben, und hier packetförmig zusammengelegt sind. Sie
besitzen keine kopffórmige Verdickung an einem Ende,
(Taf. Ш, fig. 7.), und zeigen beim Absterben die Eigen-
thümlichkeit, dass eines von ihren Enden sich stark,
oesenförmig umschlagt. (Taf. Ш, fig, 7.).
— 344 —
Bei Ernoporus sind, so wie bei anderen Borkenkäfern,
immer vier accessorische Drüsen vorhanden; sie liegen
zu je zweien auf jeder Körperseite (Taf. Ш, fig. 3.
gl). Wie überall, so auch hier, sind es einfache, cylin-
drische Röhren. Diese Röhren sind kürzer als die Samen-
drüse, und zeigen eine Besonderheit, welche den Erno-
porus eigen ist. Während nähmlich, bei den anderen
Borkenkäfern jede dieser Drüsen für sich, unabhängig
von den anderen in die Samenblase mündet, vereinigen
sich bei Ernoporus beide Drüsen der einen Seite, kurz
vor ihrer Einmündungsstelle, und bilden so einen kurzen
gemeinsamen Ausführungsgang (Taf. Ш, fig. 3 gl.).
Es ist mir nicht gelungen den Bau des centralen Ner-
vensystemes bei Ernoporus zu studiren.
Da die Zarve und Puppe mir bloss von Ernoporus ti-
liae F. bekannt ist, so werde ich dieselben später beschrei-
ben, wenn ich von dieser Species verhandeln werde.
IV. Leber die svstematische Stellung der Gattung Ernoporus,
und über die Klassifikation derselben.
Die Beziehungen der Gattung Ernoporus zu den anderen
Gattungen der Cryphaloiden-Gruppe, und besonders zu
den Cryphalus, bieten ein sehr grosses Interesse! Das
Hauptsächliche desselben besteht darin, dass die Ernopo-
rus-Arten, äusserlich den anderen Cryphaloiden bis zum
Verwechseln ähnlich, innerlich von denselben ganz ver-
schieden sind,und zwar durch Eigenthümlichkeiten, welche
einen ganz besonders grossen systematischen Werth ha-
— 345 —
ben. In der Einleitung zu dieser Arbeit habe ich. dar-
auf hingewiesen, dass die zu den Familien der Tomi-
ciden und Hylesiniden gehörigen Borkenkäfer hauptsäch-
lich unterschieden sind durch den Bau ihrer Kauapparate.
Es wurde darauf hingewiesen, dass allen Hylesiniden die
Kauplatten ganz vollständig fehlen und durch einen be-
sonderen, unpaaren Ansatz ersetzt sind, welcher mit Quer-
reihen von Borsten und Querrillen bewaffnet ist. Bei
den Tomiciden aber besitzt jeder Kauapparat zwei scharf
begrenzte, und vóllig von einander getrennte Kauplatten.
Indem ich diesem Uuterschiede eine hohe systematische
Bedeutung vindicirte, glaube ich nicht voreilig gehandelt
zu haben, denn ehe ich dieses gethan, habe ich beinahe
alle europaeischen Genera der Hylesinidae und Tomicidae
auf ihren Proventriculus untersucht, und überall die
angezeigten Verschiedenheiten vorgefunden. So habe ich
mich davon überzeugt, dass bei den folgenden Gattungen
die Kauplatten immer fehlen, und von einem unpaaren
Ansatz ersetzt sind. ,
Hylastes. Hvlesinus
.. Hylurgus Phloeophthorus.
Dendroctonus.
_ Von europaeischen Hylesiniden-Gattungen sind mir
also nur folgende zwei unbekannt geblieben: Phloeotribus
und Phloeosinus. Andererseits habe ıch mich bei folgenden
Tomiciden von dem contanten Vorhandensein besonderer
Kauplatten im Proventriculus überzeugt.
Polygraphus. X vlocleptes.
Crypturgus. Pytiophthorus.
Hypoborus. Dryocoetes.
Cryphalus. Xyleborus.
Siephanoderes. Xyloteres.
Tomicus.
— 346 —
Aus der ganzen Tomiciden-Gruppe sind mir folglich
bloss zwei europaeische Gattungen unbekannt geblieben,
nähmlich Thamnurgus und Hypothenemus. |
Das so constante Vorkommen der oben angezeigten
Verschiedenheiten im Baue des Kauapparates, gab mir
das Recht dieselben als von hohem systematischem Werthe
zu betrachten, und dieselben meiner Klassifikation der
Unterordnung zu Grunde zu legen. Nach dem Gesagten
ist es nun ganz begreiflich, wie sehr mich die Thatsache
verwunderte, dass bei so nahe verwandten Borkenkäfern,
wie es Ernoporus und Cryphalus sind, deren Arten selbst
von den genauesten Entomologen oft verwechselt, und
für Synonyme gehalten worden sind, der Kauapparat des
Proventriculus so tiefgreifende Verschiedenheiten auf-
weist! Mich verwunderte das Fehlen der Kauplatten bei
Ernoporus, und überhaupt die vollkommene Aehnlichkeit
der Kauapparate dieser Käfer mit denjenigen der echten
Hylesiniden, während bei den Cryphalus und seinen an-
deren Verwandten die Kauapparate nach dem Typus der
echten Tomiciden gebaut sind. Ich dachte selbst an einen
Fall von Concergenz im Sinne von O. Schmidt"), indem
sich mir der Gedanke aufdrängte, dass die Gattung Erno-
porus zu den Hylesiniden gehöre, dass aber die Arten
derselben in ihrer äusseren Erscheinung der Cryphalus-
Arten so äusserst ähnlich geworden sind in Folge von
Anpassung an ganz analoge Lebensbedingungen! Für
die Annehmbarkeit dieser Idee spricht noch das Vorhan-
densein bei allen Ernoporus-Arten einiger ganz beson-
derer Charaktere, wie z. B. das Verwachsen der Penis-
Füsse, die Vaginal-Rinne etc. Ich muss gestehen, dass
*) Oscar Schmidt: Descendenzlehre und Darwinismus. 2-te Auflage.
1875. p. 188.
— 347 —
selbst in diesem Augenblicke mich der Gedanke an Con-
vergenz in diesem Falle nicht verlassen hat, und wenn
ich hier die Gattung Ernoporus zu den Cryphaloiden
stelle, so thue ich es ungern und wahrscheinlich nicht
auf ewige Zeiten.
Ich habe schon gleich beim Anfange darauf hingewie-
sen, dass wir im Augenblicke bloss vier Species kennen,
welche zu der Gattung Ernoporus gestellt werden müssen.
Diese vier Arten sind folgende:
Ernoporus tiliae F. ^ Ernoporus caucasieus Lindmn.
Ernoporus fagi N. Ernoporus Jalappae Letzn.
Die ersten drei Arten leben in Europa; die letzte wird
von ihrem Autor als bloss zufällig nach Europa, aus Me-
xico, eingeschleppte betrachtet, denn sie wurde in den
Wurzelstócken von Ipomaea Jalappa aufgefunden. Mir
sind alle vier genannten Arten bekannt, und mehr we-
niger eingehend von mir untersucht worden. Diese Unter-
suchungen haben mich zu dem Schlusse gebracht, dass
alle vier sogenannte «gute Arten» sind, d. h. sich ge-
genseitig recht scharf unterscheiden lassen. Es sind na-
mentlich folgende Organe, welche sehr gute specifische
Charaktere liefern.
1. Die Bewaffnung des Kaumagens. Nicht bloss die
Kauapparate sind nach Form und Bewafinung verschie-
den, sondern hauptsächlich unterscheidet sich die vor-
dere Abtheilung des Proventriculus bei den verschiedenen
Arten.
2. Das männliche Begattungsglied, Es ist namentlich
die Gestalt des Aufsatzes, welche uns specifische Diffe-
renzen vorzeigt.
Je 4. 1576. ' 23
— 348 —
3. Die Skulptur des Halsschildes, und namentlich die
rhombischen Felder auf demselben.
4. Die Skulptur der Flügeldecken.
Dei allen vier mir bekannten Ernoporus-Arlen lassen
sich gar keine sekundáren Geschlechtsmerkmale auffinden;
darum ist es ganz unmöglich, das Männchen von dem
Weibchen äusserlich zu unterscheiden.
Ich gebe hier eine Tabelle, um die Charaktere der
verschiedenen Species stärker hervortreten zu lassen.
I. Die vordere Abtheilung des Proventrieulus ist, mit
überall ganz gleichen, Borsten bewaffnet.
* Dem Begattungsgliede fehlt eineGabel. E. tiliae F.
Il. In der vorderen Abtheilung des Proventriculus sind
die Borsten nicht gleichartig, sondern an bestimmten
Stellen verschieden geformt.
* Die Endplatte des Begattungsgliedes ist in zwei
gesonderte Seitenstücke getheilt. An der unte-
ren Wand der vorderen Proventriculus-Abthei-
lung befindet sich eine Gruppe von grossen
Bosrsteu eu. +. "6 в. a В
* Die Endplatte des Веро lies ist unge-
theilt. In der vorderen Abtheilung des Proven-
triculus sind drei Formen von Borsten vorhanden.
| Е. caucasicus Lndmn.
* In der vorderen Abtheilung des Proventriculus
sind vier verschiedene Borstenarten vorhanden.
E. Jalappae Letzn.
für leichteren Bestimmung der Ernoporus-Arten gebe
ich hier noch eine analytische Tabelle derselben:
— 349 —
1. Auf dem Halsschild-Rhombus sind die grossen Kór-
ner immer untereinander auf die Art verwachsen, dass
sie ganz regelmässige Querrillen bilden, welche con-
centrisch gelegen sind. . . . . . . Е tiliae Е,
Die Kórner sind niemals so untereinander verwachsen
um ganz regelmässige Rillen zu bilden. . . . . . 2.
-. 9. Vorne ist der Halsschildrand, in der Mitte, mit
einigen grösseren, nach vorne vorstehenden scharfen
Höckern bewaffnet. . . . . TUO UU S.
Solche Hócker fehlen. Die Körner xit dem Halsschild-
rhombus sind sehr klein, und immer ganz unregelmässig
gelegen. . . . ve см. М. Jalappae Гав.
3. Die Körner inl dem Halsschild-Rhombus sind, we-
nigstens vorne, in regelmässige Querreihen SOR USE
Е. fagi N.
Diese Körner sind, namentlich vorne, unregelmässig
gelagert, und bilden hier keine Querreihen, E. cauca-
sicus Lindmn.
Diesen Tabellen lasse ich nun die genaue Beschrei-
bung der hier erwähnten Ernoporus-Arten folgen.
1. Ernoporus tiliae F.
Ratzeburg. Die Forstinsekten. t. L Ed. IL. 1839. p. 199
tab. XII, fig. 20.
Länget— 1:/, Mm.
Die Färbung: ist schwarz oder dunkelbraun; die
Fühler und Füsse sind braun, die Fühlerkeule dunkel ").
*) Gyllenhall (Fauna suecica. t. 3, 369. 14) unterscheidet eine gelbe,
23"
— 350 —
Der Kopf (nämlich die Stirnfläche) ist fein punktirt,
ohne alle Eindrücke. In der Mitte des Mundrandes findet
sich ein ziemlich grosser Fortsatz, dessen Spitze bald
abgerundet, bald ausgeschnitten ist.
Die Fühlerkeule hat etwas undeutliche Näthe, doch kann
man bei aufmerksamen Betrachten gewahren, dass die-
selben nicht grade, sondern bogenförmig geschwungen
sind ”. :
Der Epipharynx ist breit, beinahe halbrund, und dor-
nenlos. |
M
: M
Pet
£ M^
u /
Fig. 24.
Die Unterlippe
Fig. 23. von E.tiliae von
Unterkiefer von E. tiliae. oben. l—ligula.
Anstatt des mandibularen Appendix befindet sich in
der Mundhóhle eine besondere Gruppe von feinen, dicht
gestellten Borsten, welche nahe an dem inneren basalen
schwarzköpfige Varietät, welche auch von Thomson besonders er-
wähnt wird (Skandinaviens Coleoptera. VII, 360). Ich glaube aber,
dass es bloss junge, unausgefärbte Exemplare waren, welche diesen
Autoren vorlágen. Dagegen hat Ferrari (Borkenkäfer. p. 11) wahr-
Scheinlich immer bloss junge Exemplare vor Augen gehabt, denn er
sagt, dass E. tiliae immer hellbraun gefárbt ist.
*) Lacordaire (Genera des Coléoptéres. t. VII. 379) war der erste,
welcher bei E. tiliae einen bogenfórmigen Verlauf der Näthe be.
merkte. Die anderen Autoren fanden die Näthe gerade. Ferrari meint
— 301 —
Winkel der Mandibel gelagert ist. Diese Borstengruppe
ist darum besonders auffallend, weil die ganze übrige
Oberfläche der Mundhöhle ganz glatt ist.
Das Halsschild ist kurz, halbrund; sein Hinterrand ist
elwas verdickt, und beiderseits flach ausgeschnilten. In
der Mitte des vorderen Randes befinden sich, gewöhn-
lich vier, dicht aneinaderstehende grosse Dornen. Auf
dem Halsschildrhombus befinden sich grosse Dornen, von
denen die einen frei, konisch sind; die anderen mit einan-
der verwachsen und so dicke Querwälle bilden (fig. 27).
2
a uU
Fig. 25. Pm oe À
3 : Die Vorderschiene
Die Unterlippe des E. — дез Männchens von
tiliae von unten. E. tiliae.
Sowohl diese Querwälle, als auch die Reihen der freien
Dornen sind immer ganz regelmässig gelagert. Ich finde
gewöhnlich fünf solcher Querreihen. In der ersten Quer-
selbst, dass Lacordaire einen Fehler begangen habe in der Beobach-
tung dieser Näthe (Borkenkäfer. p. 15. Nota 2). Meine genauen,
mikroscopischen Untersuchungen der Füblerkeule haben bewiesen,
dass Lacordaire Recht hatte.
— 352 —
reihe sind die Dornen immer frei; zuweilen sind sie es
auch in der zweiten Reihe. Sowohl in der ersten als
auch in der zweite Reihe zähle ich 10 — 12 Dornen.
Gewöhnlich aber sind die Dornen der zweiten Querreihe
untereinander so verwachsen, dass sie zwei Gruppen
bilden, oder einen in der Mitte durchbrochenen Quer-
wall, dessen Oberfläche gekerbt ist. In der 3, 4 und Sten
Reihe sind die Dornen immer vollständig verwachsen, so
dass diese Dornenreihen ganz einfache, regelmässige Quer-
wälle geworden sind. Diese drei letzien Querwälle sind
auch niemals in der Mitte so unterbrochen wie der zweite
Querwall. Der letzte, hinterste Wall unterscheidet sich
von allen vorhergehenden dadurch, dass er auf seiner
Fig. 27.
Die Oberfläche des Halsschildes von
E. tiliae, vergrössert, um die Lage-
rung der grossen Körner darzustel-
len. Vergrössert.
Fläche einige, (gewöhnlich vier) grosse und tiefe Gruben
trägt; ausserdem geht er nicht den anderen Wällen pa-
rallel, sondern wendet seinen convexen Rand nach hin-
ten, während der convexe Rand der vorderen Wälle nach
vorne gerichtet ist ").
*) Nach Redtenbachér (Fauna Austriaca. Ed. II. 832) sind die
— 353 —
Ausser den grossen Dornen finden sich am
Vorderrande des Halsschildes noch kleine,
runde Körnchen, welche eine unregelmäs- %
sige, dem Vorderrande parallele Reihe bil-
den; nach unten reicht diese Reihe bis an ©
F. 28.
die Hüftpfannen. en
. L -- - 1 hi
Die hintere Hälfte der Halsschild-Ober- 5775 Schuppen.
fläche ist feinpunktirt. formen vonden
Flügeldecken
Die ganze Oberfläche des Halsschildes ist des E. uiae.
von Schuppen und gefiederten Haaren bedeckt. Die Schup-
pen sitzen am vorderen uud hinteren Rande und bilden
noch eine Gruppe, in der Mitte der hintern Halsschild-
hälfte.
Die Flügeldecken sind mit regelmässigen Punktreihen
versehen, die Punkte der Reihen sind gross, dicht ze-
stellt. Die Punktreihen sind nicht furchenartig vertieft.
Jeder von diesen Punkten trägt ein dünnes, einfaches,
kurzes Haar. Die Zwischenráume der Punktreihen sind
breit, flach, querrunzelig und mit Schuppen besetzt, wel-
che mehrere Längsreihen bilden. Nahe an der Flügeldecken-
Halsschild-Dornen nur in den zwei hintersten Querreihen verwachsen;
von den grossen Höckern, welche am Vorderrande des Halsschil-
des sitzen spricht dieser Autor gar nicht. Ferrari(Borkenkàfer p.
11) beschreibt das Halsschild auf folgende Weise ,Brustschild mit
drei concentrischen, von wenigen Kórnchen gebildeten Reihen, von
denen die hintersten fast Leistchen bilden*. Eine Beschreibung die
der meinigen sehr ähnlich ist, finden wir bei Raizeburg (Forstin-
sekten. 1839. Bd. I p. 199). Er sagt: ,Vorderrand des Halsschildes
mit vier vorstehenden Kórnchen, und sehr kurzen {nur drei oder
vier) schwach gebogenen Körnerreihen, deren hintere zwei bis drei
leistenartig verschmelzen, und deren vorderste ein bis zwei unter-
brochen sind“. Eine ganz ähnliche Berschreibung finde ich bei
Bach (Käferfauna. Bd. IL 1854. p. 137). Ratzeburg und Bach haben
die letzte Leiste,swelche die Gruben trägt, übersehen.
— 354 —
spitze werden sowohl die Punktreihen als aueh diese
Schuppenreihen unregelmässig. Am Seitenrande der Flü-
geldecke befindet sich eine, vorne einfache, hinten dop-
pelle Reihe von kleinen, runden, dunkelbraunen Körnern.
An der Flügeldecken-Spitze befindet sich eine unregel-
mässige Gruppe aus 10—15 solcher Körner.
Die Schienen der Vorderfüsse haben — 5
Zähne (fig. 26).
Die Analplatte des Männchens ist gross (fig. 29), halb-
rund, behaart. |
Die Analplatte des Weibchens (fig. 30) ist schmal, hart,
Fig. 29. |
Die Analplatte des Fig. 30.
Männchens von E. ti- Die Analplatte des Weib-
liae. chens von E. tiliae.
braungefärbt: am Hinterrande trägt sie einige Haare; ihr
Vorderrand lässt zwei Fortsätze entspringen, welche als
Muskelansätze fungiren.
Das Begattungsglied charakterisirt sich hauptsächlich
durch das Fehlen der Gabel (fig. 31); ich kenne bis
jetzt keinen anderen Borkenkäfer dem dieses Stück eben-
falls fehlte. Der Ansatz des Begattungsgliedes ist sehr
rudimentär, so dass ich denselben früher gar nicht be-
merkt habe. Die Endplatte besteht hier aus zwei dünnen,
hellgelben, stabfórmigen Kórpern (fig. 31. d), welche neben-
einander liegen und zwischen sich die Geschlechtsóffnung
haben. Diese Oeffnung liegt an der Spitze einer grossen,
farblosen, weichen Papille (fig. 31. c) und ist umgeben
34958 —
von langen, dicken, farblosen Borsten. Die Füsse des Pe-
nis sind kürzer als der Kórper. Der Stengel ist verhilt-
Fig. 31.
Das männliche Kopulalions-Or-
gan von E. tiliae, von unten.
a — Körper des Penis. p — die
mit den Spitzen verwachsenen
Füsschen desselben. d — die
Endplatten. c — die weiche Ge-
schlechtspapille miteinemKran-
ze weisser Dorsten. b—Stengel.
nissmässig dünn, mit einem dünnen Fortsatze nahe am
Hinterende (fig. 31. b).
Die Wände der vorderen Proventriculus-Abtheilung
sind mit überall gleichen kurzen und dünnen, gelbge-
färbten Borsten besetzt. Nirgends findet sich hier eine
Gruppe anders gebauter Borsten. Dadurch unterscheidet
sich E. tiliae scharf von den anderen Ernoporus-Arten.
Die Kauapparate (fig. 32) sind lang und schmal. Der
vordere Ansatz derselben ist mit zehn vollständigen Quer-
leisten bewaffnet; keine von ihnen ist in besondere Kór-
ner zerfallen. Die Oberfläche der Leisten ist feinkörnig.
Die letzte, hinterste Leiste ist in der Mitte getheilt, und
— 356 —
jede Seitenhälfte trägt an ihrem inneren Ende еше brei-
te und lange Borste, welche der Kaubürste aufliegt.
‘Die Kaulade ist zweimal so lang als der vordere Ап-
satz (fig. 32 b); ihre seitliche Abdachung trägt ungefähr
Fig. 32.
Einer von den acht Kau-
apparaten aus dem Pro-
ventriculus des E. tiliae.
d—vorderer unpaarer An-
satz. b-seitliche Abda-
chung der Kauladen. c.c.—
die Kaubürsten.
dreissig Querrillen, von denen die vorderen 4 oder 5 mit
mehreren kleinen Zähnchen bewaffnet sind; die hintersten
tragen bloss ein Zähnchen. An der Basis der Kaubürsten
sind keine gruppenarlig geordnete längere Haare vor-
handen. Die Kauapparate sind bei beiden Geschlechtern
ganz gleich gebaut.
Der Dünndarm trägt vier cylindrische Drüsen und zu
je sieben runden Drüsen in jeder Reihe. (Taf. Ш. fig 1).
— 357 —
Die Larve von E. tiliae. Da mir nur von dieser Species
die Larve bekannt ist, so gebe ich die ganze Beschrei-
hung derselben an dieser Stelle, obwohl viele der hier
zu erwähnenden Charak-
tere, höchst wahrschein-
lich, einen generellen
Werth haben werden.
Die Länge derLarve= | ,
2—2'/, Mm. Wie über- - (s
haupt bei den Borkenkä- Fig. 33.
fern, so ist auch hier die pas Metanotum von E. tiliae mit den
Larve ein weisser, bogen- Adern. 1—die Längsadern. d—die dia-
abit » gonalen Adern. a—die geschwungenen
förmig gekrümmter, fuss- Bogenadern.
und augenloser Wurm, mit grossem gelben Kopfe, ver-
dicktem Vorderleibe und verdünntem Hinterende. Wie bei
Scolytus besteht der Körper der Larve aus drei Brusiseg-
menten und aus neun Bauchsegmenten. Längs der Sei-
tenfläche des Körpers verläuft eine tiefe Furche, welche
auf dem ersten Brustsegmente beginnt und auf dem vor-
letzien Bauchsegmente aufhört. Auf der unteren Seite der
drei Brustsegmente sind, auf jedem, ein Paar runder Fuss-
hócker vorhanden, deren Oberflüche stark beborstet ist.
Die Bauchfläche der Abdominalsegmente ist glatt. Auf der
Rückenflüche der Segmente befinden sich tiefe Querfur-
chen, deren Zahl und Lage ganz dieselbe ist, wie bei
den Larven von Scolytus *). Auf dem Prothorax bildet die
Cuticula niemals solche Verdickungen, wie sie den Lar-
ven von Scolytus und Dendroctonus zukommen. Die Haut
der Larve ist glatt, ohne alle Borsten; nur an den Rän-
dern der Segmente befinden sich seltene Häärchen.
+) Meine ,Monorpadia корофдовъ Pocciu" p. 40. fig. 35.
— 358 —
Die Larve besitzt neun Stigmenpaare. Das eine Paar
befindet sich am Prothorax; die acht anderen—auf den
acht vorderen Abdominalsegmenten; der zweite und dritte
Brustring und der neunte Bauchring sind also stigmenlos,
ebenso wie bei der Larve von Scolytus. Alle Stigmen
sind rund, von einer schmalen, braunen Peritrema um-
6. ringt, und führen in eine trichterförmige
aA Höhle. In diese Höhle öffnen sich besondere
Anhangsgebilde, welche etwas verschieden
sind an den Brust- und Bauchstigmen. In
das prothoracale Stigma öffnen sich zwei läng-
lich eiförmige Säcke (fig. 34) durch einen
Fig. 34 gemeinschaftlichen Ausführungsgang. Die
ЕН Wände eines jeden dieser Säcke sind ge-
der Larve von stützt durch einen dünnen gelblichen Ring,
E. üliae, mit decsen Innenrand mit einigen kleinen Zühn-
den zweisack-
förmigen An- chen bewaffnet ist. Diese sackfórmigen An-
v We hänge könnten leicht als ein besonderer
Verschlussapparat aufgefasst werden; dem wiederspricht
aber das Vorhandensein einer inneren Höhle; dieselbe ist
immer mit Luft angefüllt.
Die Abdominalstigmen besitzen ein jedes bloss einen
sackförmigen Anhang (fig. 35), dessen Bau und Gestalt
ganz ebenso sind wie an dem prothoracalen Stigma.
Die Antennen sind sehr kleine, konische, eingliederige
Körper; sie sind angebracht (fig. 36 a) in der Mitte einer
dünnen, runden Membran, welche fensterartig einen Aus-
schnitt des verdickten Mundrandes bedeckt, nahe an dem
inneren Basalwinkel der Mandibel. Neben der Antenne
sitzen einige, sehr feine und kurze Borsten.
Der Clypeus (fig. 36 c) ist membranös, hellgelb oder
farblos; sein Vorderrand hat einen tiefen, dreieckigen
— 359 —
Einschnitt, welcher einen besonderen Fortsatz der Ober-
lippe aufnimmt.
Die Oberlippe (fig. 36 1.) ist halbkreisförmig, mit einem
grossen dreieckigen Fortsatze am Innenrande. Der freie,
vordere Rand ist regelmässig abgerundet, ohne alle Aus-
schnitte; die Oberfläche ist dicht behaart. Ein dickes,
braunes y-fórmiges Gerüste bildet die Stütze der Ober-
lippe; es beginnt an der Spitze des erwähnten dreieckigen
_ Fortsatzes; verläuft längs seiner Mittellinie nach vorne
und theilt sich bald in zwei auseinandergehende Aeste,
welche bis an die Mitte der Oberlippe reichen.
Die Mandibeln (fig. 36. m) sind ohne Appendix, wie
Fig. 35. Ne
Ein stark vegrössertes Ab- ab
dominal-Stigma der Larve
von E. tiliae. a—die Höh- Larve des E. tiliae. d—vorderer Rand des
le des Stigma. b—der sack- Epicranium. a—Antenne. c—Clypeus. 1—
förmige Anhang dessel- Oberlippe mit der braunen Y förmigen
ben. 59/, Stütze. m—Mandibel.
me
überhaupt bei allen Borkenküfer-Larven; vor der Spitze
sind sie gezähnt.
Die Maxillen sind weich, membranös, beinahe farblos;
nur ihr Seitenrand ist gelb. Ihre Lade erreicht die Spitze
des zweiten Tastergliedes. Der Kaurand ist mit wenigen
(sieben) messerfórmigen Borsten besetzt (fig. 37.). Die
— 360 —
Taster sind zweigliederig; ihr erstes Glied kurz und breit;
das zweite beinahe um das Doppelte länger, und viel
kürzer als das erste.
Die Unterlippe ist halbrund, weich, farblos (fig. 38.);
Fig. 38.
. Unterlippe der Larve
Fig. 37. von E. ine mit der
Unterkiefer der Stütze und den zwei-
Larve von E.ti- gliederigen Lippentas-
liae. tern.
sie ist durch ein dickes, braunes Gerüste gestützt, wel-
ches ebenfalls die Gestalt eines y hat, wie an der Ober-
lippe. Die vorderen Enden dieses Gerüstes erreichen die
Lippentaster und tragen dieselben. In der Mitte des Vor-
derrandes der Lippe sitzen einige wenige Haare, und
neben ihnen jederseits eine kleine Gruppe äusserst feiner
Körnchen. Die Lippentaster sind zweigliederig; das erste
Glied ist sehr kurz und ziemlich breit; das 2te von cy-
lindrischer Gestalt und beinahe dreimal länger als das
erste. Beide Lippentaster sind weit von einander entfernt
und sitzen nahe an dem Vorderrande der Lippe.
Der Darmkanal ist dem Darmkanale bei der Larve
von Scolytus ähnlich, und besteht aus denselben Abthei-
lungen wie dort. Wie überbaupt bei Borkenkäfer-Larven,
so fehlt auch hier der Proventriculus ganz vollständig
(Taf. III, fig. 13); es fehlt also auch ein innerer Kau-
apparat. In den Dünndarm öffnen sich zweierlei Drüsen‘
— 361 —
wie bei dem erwachsenen Käfer, nähmlich zwei cylin-
drische und 4 —6 runde in jeder von den zwei Reihen.
Speicheldrüsen, Rectaldrüsen und Harngefásse sind ganz
ebenso wie bei dem erwachsenen Kifer.
Die Anlagen der Geschlechtsorgane bestehen in Gestalt
von zwei Paar runder Kórper (Taf. III, fig. 14. Gn.), welche,
zu zweien in einem grossen Lappen des Fettkórpers ein-
geschlossen sind. Sie bestehen aus klaren, durchsichti-
gen runden Zellen.
Das Nervensystem. Die Bauchkette ist ebenso wie bei
den Scolytus-Larven stark verkürzt, so dass sie nur das
vordere Drittel des Körpers einnimmt, Es besteht dieselbe
aus zehn Ganglien, welche durch kurze Kommissuren ver-
bunden sind (Taf. III, fig. 15.). Jedes Ganglion besitzt
oben eine ziemlich tiefe Längsfurche. Das erste Ganglion
(g. infraoesophageum) ist gross, rund; das 2-te ist etwas
kürzer als das 1-te; das 3 und 4 sind schmäler als das
2-te, und sind mit einander so verwachsen, dass man sa-
gen kónnte, sie bilden ein, in der Mitte stark eingeschnürtes
Ganglion. Die 5 bis 9 Ganglien sind einander gleich,
zweimal kleiner als das vierte, von eliptischer Gestalt.
Das 10-te ist um das Doppelte grósser als das 9-te, und
entlässt nach hinten einen Nerven, welcher sich sehr
bald in zwei Aeste spaltet.
Die Puppe von E. tiliae F. ist klein, weiss; die
Extremitäten lassen bloss die zwei hintersten Segmente
unbedeckt. Die Rückenseite ist ohne Dornen. Zu jeder Seite
der Analöffnung sitzt eine sehr lange, dünne Borste. Das
Halsschild ist glatt, ohne alle Dornen oder Querieisten;
sein Vorderrand trägt vier gelbe Borsten. Die Stirn ist
mit einer runden Grube versehen.
— 362 —
Mehrere Eigenthümlichkeiten der Form und Organisa-
tion unterscheiden somit den E. tiliae F. von den anderen
Ernoporus-Arten. Hauptsächlich ist es folgende Summe
von Merkmalen, welche es erlaubt diese Art den anderen
gegenüber zu stellen.
1) Das Fehlen der Gabel am Begattungsgliede.
2) Die Einförmigkeit der Borsten in der vorderen Pro-
ventriculus-Abtheilung.
3) Die regelmässig gelagerten Querleisten auf dem
Halsschilde. Villeicht wäre es selbst gerathen diese Art
in ein besonderes, von den anderen Ernoporus verschie-
denes Genus zu stellen. Ich thue dies bloss darum nicht,
weil ich diese Charaktere bis jetzt bloss.an einer Spe-
cies wahrnehme.
‚ Einige Autoren, wie Thomson, Ferrari, betrachten E.
tiliae F. als synonym von Cryphalus abietis Ratzb.; an-
dere halten diesen Cryphalus abietis Ratzb. für eine Va-
rietät des E. tiliae Е. Meine eigenen. Untersuchungen der
beiden Arten haben mich davon überzeugt, dass Crypha-
lus abietis Ratzb. eine besondere Art vorstellt, welche von
E. tiliae nicht bloss specifisch, sondern generisch verschie-
den ist, und zwar zur Gattung Cryphalus in meinem Sinne
gestellt werden muss.
Die Lebensweise von E. tiliae. Diese Art gehört zu
den seltensten Borkenkàfern, sowohl bei uns, als in West-
Europa. So sagt Ratzeburg *), dass er ihn bloss zweimal
lebendig beobachtet habe. Ich habe ihn alljährlich, im
*) Die Waldverderbniss. t- II. p. 341.
— 363 —
Laufe einer langen Reihe von Jahren beobachtet, aber
immer nur an einem Orle, im Parke unserer Forst-Aka-
demie, wo scheinbar eine Colonie von E. tiliae sich nie-
dergelassen hat.
Bei uns lebt dieser Käfer ausschliesslich nur auf der
Linde. Einige westeuropäische Autoren nennen noch die
Buche (Fagus) und die Weissbuche (Carpinus) als Wohn-
bäume, aber schon früher hat Ratzeburg darauf hínge-
wiesen, dass hier wahrscheinlich ein Beobachtungsfehler
gemacht worden ist, und dass überall E. tiliae nur auf
Linden vorkäme ^). Ratzeburg war übrigens selbst der
erste, welcher, auf fremde Worle hin, den Carpinus als
Wohnbaum unserer Art anzeigte **). Diese Bemerkung wur-
de spáter von anderen Autoren aufgenommen, nàhmlich
von Redienbacher ^^^), Bach****) und Ferrari 1); kei-
ner von diesen Autoren sagt aber, dass er selbst den E.
tiliae auf Carpinus oder auf Fagus gefunden habe. Die-
ser letztere Umstand ist von grosser Wichtigkeit und
glaube ich nicht zu irren, wenn ich die Linde als ein-
zigen Wohnbaum des E. tiliae hier anzeige.
Die Flugzeit von E. tiliae fällt in die zweite Hälfte des
Mai. In der ersten Hälfte dieses Monates fand ich die
Käfer immer in den Nestern, wo sie als Larven gelebt
hatten; sie waren schon reif, enthielten Samenfäden in
ihren Testikeln und reife Eier in den Eierstöcken; die
Prostata-Röhren waren aber noch ganz leer, oder enthielten
+) le. posti
** Forstinsekten. Bd. I. 1839. p. 199. 5.
*"**) Redtenbacher: Fauna Austriaca. Ed. IL. p. 832.
**** Bach: Käferfauna für Nord- und Mittel-Deutschland. Bd. I.
p. 137. |
+) Ferrari: Borkenkäfer p. 11.
Je 4. 1876. 21
— 364 —
bloss einige Tropfen einer gelben dicken, óligen Flüssig-
keit, welche sich nicht mit Wasser mischte (Taf. Ш, fig.
A). Die Weibchen waren noch unbelruchtet.
Ich glaube übrigens, dass nicht alle Individuen zu einer
und derselben Zeit erscheinen, denn ich habe, obwohl sehr
selten, auch Larven im Mai gefunden. Unzweifelhafl ist es
aber, dass immer die grössere Masse im Mai erscheint.
Ernoporus tiliae befällt bloss die kürzlich gestorbenen
Zweige der Linde. Dabei scheint er gleich häufig auf
fingerdieken, sowohl als auf armsdicken Zweigen seine
Nester zu machen. Ich fand ihn immer auf Zweigen alter,
hundertjähriger Bäume. Ratzeburg
fand ihn bloss auf jungen, 12 — 15-
jährigen Bäumen. E. tiliae lebt nie
auf todten Aesten liegender Baume,
sondern bewohnt gewöhnlich die un-
teren Aeste und Zweige alter, stehen-
der Linden. Tódtet man im Herbste .
einige Aeste, lässt sie aber am Baume
stehen, so werden dieselben meistens
im Frühlinge von dem Käfer befallen.
Der Ernoporus tiliae macht sein
Nest im Baste und Splinte; der Mut-
Arr tergang liegt gewöhnlich sehr ober-
Fig. 39. IE, :
inde mit den flachlich, so dass er bloss durch eine
Nestern des E. tiliae. Um sehr dünne Rindenschichte von aus-
о ere bedeckt ist. Beim Eintrocknen
Auf der, von der Rinde sen
entblössten Stelle sind platzt diese Schichte gewöhnlich auf.
zwei quer gestellte Mut- ;.. 4 D .
tergänge sichtbar. Die Muttergange habe ich immer nur
quer zum Aste laufend gefunden, ganz ebenso wie es
Noerdlinger angiebt"); nie habe ich einen längs gehen-
NN...
*) Noerdlinger: Nachtráge zu Ratzeburgs Forstinsekten. 1856,
— 365 —
den Muttergang gesehen, obwohl ich mehrere hunderte
dieser Nester untersucht habe. Ich erwähne das hier da-
rum, weil Noerdlinger (Nachträge etc. p. 30) eine ande-
re Beobachtung gemacht hat. Er sagt: «In einigen Fäl-
len, und zwar an Stellen, wo die Käfer einander nicht
beengten, fand ich Lothgänge». Jeder Muttergang öffnet
sich nach aussen bloss mil einer Oeffnung, nähmlich dem
Eingangsloch, welches gewöhnlich in der Mitte des Ganges
liegt. Dieses Loch führt anfänglich in einen kurzen Gang,
welcher in den Muttergang mündet. Ventilationsöffnungen
bohrt dieser Käfer niemals. Eine Rammelkammer bohrt
er ebenfalls nie. Die Länge des Mutterganges ist 25—30
Mm., seine Breite bloss = °/, Mm.
In jedem Neste sitzen zwei Individuen, von denen das
eine männlich, das andere weiblich ist.
Sowohl in der oberen als in der unteren Wand
des Mutterganges machen die Käfer ihre kleinen Eier-
gruben, zu je 20 auf jeder Seite. Das Weibchen legt also
ungefähr 40 Eier, denn ein und dasselbe Weibchen macht
nie mehr als ein Nest.
Die Larvengänge liegen im Baste; sie zeigen das eigen-
thümliche, dass sie nicht in einer Fläche verlaufen, son-
dern bald der Oberfläche näher treten, bald in den Splint
einschneiden, und so vielfach gebogen und geschlüngelt
sind. Das hat zur Folge, dass man beim Entrinden des
p. 30. Es scheint, dass es Ratzeburg nicht geglückt ist, gute Exem-
plare von Nestern des E. tiliae zu sehen, und darum sagt er, dass
es ihm nicht gelungen ist, einen Unterschied zwischen Muttergän-
gen und Larvengángen zu finden; nur einmal schien es ihm, dass die
Muttergänge quer verlaufen; er sagt darüber: „Auch ich habe im
September 1845, in 12 — 15-jährigen Stämmen, als ich den Käfer
zum ersten Male bei Neustadt fand, geglaubt, '/, — 1’’ lange, 2-ar-
mige Wagegänge annehmen zu müssen. (Waldverderbniss IL p. 341).
24"
— 366 —
Zweiges niemals die Larvengänge ganz vollständig, von
Anfang bis Ende, vor Augen bekommt, sondern immer
nur stückweise, wobei die Gänge immer in die Mark-
strahlen einbiegen. In Folge einer solchen Lage der Lar-
vengänge ist es ganz unmöglich, die Länge derselben aus-
zumessen. Ihre Breite beträgt ungefähr 1 Mm.
Die Verpuppung geschieht in tieferen Lagen des Bastes.
Die Entwickelung des E. tiliae dauert sehr lange, so
dass jührlich bloss eine Generation entsteht. Diese Ent-
wickelung stellt aber eine Besonderheit vor, nähmlich die,
dass das Larvenstadium ziemlich kurz ist, dagegen die Zeit,
die der junge Käfer gebraucht, um sich auszufärben,
recht lang ist. So sind die, Ende Mai aus den Eiern ent-
standenen Larven schon Mitte Juli zu Káfern verwandelt.
Diese Kàfer aber werden hellgelb, und bleiben so bis
Ende August, wo sie allmählich dunkler werden. Während
dieser ganzen Zeit, so wie auch während des ganzen fol-
genden Winters, bleiben die jungen Káfer in ihrem Neste,
und fahren fort sich mit den Markstrahlen des Bastes zu
ernähren, ganz ebenso wie sie es als Larven gethan ha-
ben. Sie verlassen dieses Nest bloss im Mai des künfti-
gen Jahres.
In forstwirthschaftlicher Beziehung verdient E. tiliae
keine. besondere Aufmerksamkeit, denn der von ihm an-
gerichtete Schaden ist wohl sehr gering.
Bis jetzt ist Ernoporus tiliae aufgefunden worden: in
Scandinavien, Frankreich, Deutschland, Oesterreich; in
Tyrol und in der Schweiz. In Russland kenne ich ihn
aus Moskau, Orel, Kasan und Piatigorsk. Aus diesen,
obwohl kärglichen Thatsachen, kann man schliessen, dass
der von unserem Käfer besetzte Bezirk sehr gross ist,
und wahrscheinlich mit dem Bezirke der Linde zusam-
menfällt.
— 367 —
2, Ernoporus fagi N.
Gemminger und Harold. Catalogus Coleopterorum ete.
t. IX. p. 2683.
Körperlänge == 2 — 2!/, Mm.
Färbung. Der Körper und die Flügeldecken sind schwarz;
Fühlergeissel und Mundtheile, wie auch die Füsse sind
hellbraun. Die Nath der Flügeldecken und die Dornen
am Halsschilde sind dunkel rothbraun. _
Der Kopf ist stark gewölbt, fein und dicht punktirt;
auf der Stirne ist weder Grube noch Längsfurche zu be-
merken. Der verdickte Mundrand trägt zuweilen auf sei-
ner Mitte einen kleinen Fortsatz, zuweilen aber fehlt der-
;
* zoll
Dr
m
17
J
i
7
fy
Fig. 40. Fig. 41.
Eine Mandibel Ein Fühler von E.
von Е. fagi. fagi.
selbe, (letzteres kommt häufiger bei den Weibchen vor) und
an seiner Stelle findet sich dann ein kleiner Ausschnitt.
— 368 —
Der Epipharynx ist vorne tief ausgeschnitten (fig. 42.),
und auf der Oberfläche mit feinen Fältchen bedeckt,
welche auf derselben eine zellenförmige Zeichnung her-
vorbringen.
Fig. 42.
Epipharynx
von E. fagi,
stark ver-
grossert.
Fig. 43.
Das ganze Metanotum von E. fagi.
D — Dorsulum. Ps. — Postseutel-
lum. An dem Mittelstücke, dem
eigentlichen Metanotum sieht
man die verschiedenen Stützadern.
Das Halsschild ist halbrund; seine Länge ist grösser
als seine Breite; die Hinterecken sind grade; der Hin-
terrand verdickt, beiderseits schwach ausgeschnitten. Das
rhombische Höckerfeld des Halsschildes reicht nach hin-
ten bis über die Mitte des Halsschildes. Auf der Mitte
des vorderen Randes des letzteren befinden sich einige,
N
Fig. 44.
Die Oberflache des Halsschildes von E. 44 ); oi sitzen e^
fagi. Vergrössert. wühnlich ganz frei
e SM Sat ; ar 3 Ju :
a WX LEM G^ ii
gewöhnlich drei gros-
se Zähne, welche gra-
de nach vorne vor-
stehen. Die Dornen des
Rhombus haben die
Gestalt breiter und
dicker Platten mit ab-
sestutzter Spitze (fig.
— 369 —
und nur einige von den hintersten verwachsen unterein-
ander und bilden eine kleine bogenförmige Leiste, welche
in der Mitte des Halsschildes sitzt. Alle diese Dornen
oder Höcker bilden beinahe regelmässige Querreihen,
deren ich gewönlich fünf zähle. Die vorderste von diesen
Reihen ist gewöhnlich die längste, und besteht aus 8 bis
10 Höckern; die folgenden Reihen bestehen gewöhnlich
aus einer kleineren Anzahl derselben. Uebrigens ist die
Höckerzahl in allen diesen Querreihen sehr unbeständig;
selbst bei einem und demselben Individuum sind die Rei-
hen etwas unsymmetrisch, indem die Zahl der Höcker
beiderseits der Mittellinie, und die Form derselben un-
gleich ist. Zuweilen verwachsen einige Höcker in den
zwei hintersten Reihen, und bilden dann einige kurze
Leistchen. Am Vorderrande des Halsschildes zieht sich
eine, ihm parallele Reihe ganz kleiner runder Körnchen
(fig. 44). Die ganze hintere Hälfte der Halsschild-Ober-
fläche ist fein und dicht punktirt.
Die hinter dem Höckerfelde liegende Partie des Hals-
schildes ist mit Schuppen bedeckt; der übrige Theil des-
selben aber nur mit Haaren bewachsen.
Die Flügeldecken sind länglich, dreimal länger als zu-
sammen breit. Auf ihrer Oberfläche bemerkt man ganz
regelmässige Längsreihen runder Punkte. Jede dieser Längs-
reihen ist furchenartig vertieft. Die Zwischenräume der
Punktreihen sind breit, regelmässig, fein unregelmässig
punktirt und querrunzelig. Jeder Zwischenraum trägt
Schuppen, welche bald eine, bald zwei Längsreihen bil-
den. Nirgends sind auf den Flügeldecken solche Körn-
chen vorhanden, wie sie oben bei E. tiliae F. von mir
erwähnt worden sind. |
Die Schienen der Vorderbeine sind gewöhnlich mit 9
Zähnen bewaffnet (fig. 45), zuweilen aber finden sich
— 310 —
=
i oder 11. Auf den Mittel- und Hinterschienen ist die
Zahl der Zähne gewöhnlich geringer.
Die Analplatte ist beim Weibchen schmal (fig. 46),
dünn, beinahe membranös, nur der hintere Rand gelblich
gefärbt. Haare trägt diese Platte hier niemals.
Fig. 46.
Analplatte vom Weibchen des
Ein Vorderfuss von E. fagi. E. fagi.
Dem männlichen Begattungsgliede fehlt die Gabel nicht
(fig. 47). Der Stengel ist dick,
nach hinten verdünnt und mit
einem kleinen Fortsatze ver-
sehen; das vordere Ende ist
dick, abgerundet. Der Körper
des Penis ist eifórmig, am En-
de mit vielen feinen Poren.
Die Füsse sind länger, und tra-
gen auf ihrer verwachsenen
Spitze einen kleinen, dünnen
Fortsatz. Die Gabel ist eine
Fig. 47. schmale, gelbe Querplatte (fig.
Das männliche Begattun gsglied A1. f) welche die Füsse des
von E. fagi. b —der Stengel des- 3 :
selben. a ai Dan Endplat- Penis von unten umfasst; ihr
ten. p—die Füsse. f—die Gabel. Vorderrand hat in der Mitte ei-
en kleinen dreieckigen Vorsprung. Der Aufsatz besteht
— 311 —
aus zwei seitlichen Endplatten, welche die Gestalt dicker,
dunkelbrauner, stabförmiger, haakenförmig gebogener Kör-
per haben. Die hinteren Spitzen dieser Endplatten treten
vor und liegen in einer weichen, farblosen Papille, welche
die Geschlechtsóffnung trägt. Diese Papille ist borstenlos.
Im Vestibulwm der Geschlechtsorgane hat das Weib-
chen, an der unteren Wand, eine schmale rinnenfórmige
Platte, von hellbrauner Farbe; die Oberfläche dieser
Platte ist mit feinen Fältchen bedeckt, welche hauptsäch-
lich quer liegen.
Die Wände der vorderen Proventriculus- Abtheilung
sind mit feinen gelblichen Borsten bewaffnet, deren Basis
blasenförmig erweitert ist. An einer Stelle, an der unte-
ren Wand des Organes, sind diese Borsten stark ver-
srössert, dunkler gelb gefärbt, und viel dichter gelagert.
Dadurch unterscheidet sich der E. fagi sehr scharf von
K. tiliae.
An den Kauapparaten (fig. 48) ist
der vordere, unpaare, Ansatz hinten
gelb gefärbt, während seine vordere
Hälfte ebenso farblos ist wie die Cu-
ticula in der vorderen Abtheilung.
Dieser Ansatz ist sehr stark entwic-
kelt, und bildet beinahe ein Drittel
des ganzen Kauapparates. Vorne ist
derselbe mit kleinen Borsten bewafl-
net (fig. 48), welche in queren Rei-
hen angeordnet sind; hinten besteht en i ee
ihre Bewaffnung aus dünnen gelben fagi. d—vorderer unpaa-
Querleisten, welche ununterbrochen EIE cad Daniam
von einem Seitenrande zum anderen b—seitliche Abdachung
NE . STET der Kaulade. c — Kau-
hinziehen. Ich finde gewöhnlich 7 bürste.
Querreihen (Leisten und Borstenreihen) am vorderen An-
«C
au \ À
{ \ q\ Ü Y
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\ Y | à * ca y
FRESSEN WI
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[ben en) }
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M N
Fig. 48.
— 372 —
satze bei E. fagi N. Die ersten drei Reihen bestehen aus
Borsten, welche bloss an den Seitenrändern des Apparates
unter einander verwachsen und so kurze Leisten bilden
(fig. 48); die vier hintersten Reihen sind gewöhnlich
ganz leistenartig, mit mehr weniger gekörnter Oberfläche.
Die hinterste Leiste trägt auf ihrer Mitte einige dünne
Wimpern, welche zwischen die beiden Kaubürsten schau-
en, und ausserdem zwei lange, gerade Borsten, welche
jede vor einer Kaubürste sitzen. Die Kauladen sind
zweimal länger als der vordere Ansatz; ihre seitliche
Abdachung trägt ungefähr 25 Querrillen, von denen die
10 oder 12 vordersten jede mit einem scharfen Zahne
bewaffnet sind (fig. 48.). Die Kaubürsten sind breit, braun;
jede von ihnen trägt an ihrer Basis einige wenige Bor-
sten (bis 5), welche durch ihre schmale und lange Ge-
stalt sich von den übrigen, breiten und säbelförmigen
Borsten unterscheiden.
Die Lebensweise von Ernoporus fagi N. ist uns bei-
nahe gar nicht bekannt. Wir wissen nur, dass er auf
Buchen vorkommt, und an denselben die unteren kranken
Aeste befallt *); er lebt auf alten, 60—70-jährigen Bau-
men, zusammen mit Xyleborus dispar und Xyloterus
domesticus. Die Käfer wurden paarweise in unregelmässigen
Rindengängen, anfangs Juli gefunden. Bei Ratzeburg (I.
c.) finden wir eine Zeichnung des Nestes von E. fagi.
Nach diesem Autor greift das Nest in den Splint; von
der unregelmässigen Rammelkammer entspringen einige
verzweigte Muttergänge, welche bald schmal, bald wie-
*) Ratzeburg: Waldverderbniss. II. p. 382.
— 319 —
der erweitert sind, und keine bestimmte Richtung in
ihrem Verlaufe einhalten. Mir sind diese Nester ganz un-
bekannt.
Bis jetzt ist Ernoporus fagi N. gefunden worden: in
Hannover, am Rhein (Koblenz), in Tyrol. In Russland
ist er nur noch in Bessarabien aufgefunden.
3. Ernoporus caucasicus Lindmn.
Nova Species.
Körperlänge = 1!/, —1'/, Mm.
Färbung. Der Körper und die Flügeldecken sind
schwarz. Fühler, Mundtheile und Füsse sind braun. Die
Fühlerkeule ist pechbraun. Der ganze Körper, und be-
sonders die Flügeldecken sind dicht gelblich beschuppt.
Der Kopf ist stark gewölbt, fein punktirt, ohne alle
Eindrücke. Der Epipharynx hat vorne einen Aue? Aus-
schnitt, und vorstehende, abgerundete
Vorderecken. Der grösste Theil seiner
Oberfläche ist mit dünnen Fältchen be-
deckt, welche unter einander anastomo-
siren und so ein feines Netz bilden (fig.
49) mit zellenförmigen Maschen. Nur am i jud
Vorderrande des Epipharynx fehlen die- d end tt vor.
se Fältehen, und sind hier durch dicht gróssert.
gedrängte, flache Kórnchen ersetzt. Feine DBórsichen sil-
zen auch an den Vorderecken des Epipharyux.
Der Kaurand der Maxillen trägt gegen 15 breite Borsten.
Die Ligula ist länglich, etwas schmäler als die Unter-
lippe.
Fig. 49.
— 374 —
Das Halsschild ist halb eliptisch; seine Länge ist wenig
grösser als seine Breite; vorne ist er regelmässig abge-
rundet. Die Hinterecken sind gerade; der Hinterrand kaum
merklich geschwungen. Auf der hinteren Hälfte der Hals-
schild-Oberfläche findet sich eine flache, quere Grube.
Das rhombische Hóckerfeld reicht nach hinten bis über
die Mitte des Halsschildes hinaus. In der Mitte des vor-
deren Randes ragen zwei grosse Zähne nach vorne vor.
Die Hócker des Rhombus sind selten und unregelmässig
zelagert (fig. 51); nur in der Mitte des Halsschildes sind
sje elwas regelmüssiger gelegen und bilden zwei oder
drei Querreihen. Die Hócker selbst sind konisch, dick,
rothbraun gefärbt; in den hinteren Reihen sind sie flach,
Fig. 50. Fig. 51.
Ein Fühler von Е. Die Oberfläche des Halsschildes von E.
caucasicus. caucasicus.
abgestutzt. Fast überall sind dieseHöcker frei;nur in der letz-
— 375 —
ten, hintersten Querreihe verwachsen sie mit einander, und
bilden eine haakenförmig gebogene Leiste. Die Höcker
sind unsymmetrisch gelegen.
Die hintere Hälfte des Halsschildes ist fein punktirt.
Die Flügeldecken sind zweimal länger als das Hals-
schild. Neben der Nath hatte jede von ihnen zwei oder
drei Lüngsfurchen; die ganze übrige Cberfläche ist un-
regelmässig punktirt, und diese Unregelmässigkeit selbst
bei mikroskopischer Untersuchung ganz deutlich. An der
Spitze und an dem Seitenrande der Flügeldecken befin-
den sich kleine, dunkle, runde Körner, welche ganz so
wie bei E. tiliae gelagert sind.
Am männlichen Pegattungsgliede ist der Aufsatz eine
ungetheilte Endplatte (fig. 52). Die Gabel hat einen langen
Fig. 59.
Das männliche Begattungsglied von E. cau-
casicus. b— der Stengel. d — die verwachse-
nen Endplatten. р — die Füsschen. f— die
Gabel.
— 376 —
Fortsatz in der Mitte ihres Vorderrandes. Der Stengel
ist lang und dick, schwarz gefärbt.
In der vorderen Abtheilung des Proventriculus finden
wir drei verschiedene Borstenarten. Die obere Wand die-
ser Abtheilung ist mit ganz eigenthümlichen, kleinen,
a> 6
kammförmigen Borsten bewaffnet (fig.53 a). Diese Borsten
bestehen aus einer Basis,
" Pa" m«w,"a«* welche bald blasenförmig,
Opt м ty mW phi и мя m .. . .
«To nangas? bald platlenfórmig, bald li-
nienfórmig ist, und aus eini-
gen kurzen, fadenförmigen
: Fortsätzen, welche dicht an- -
M einandergedrängt dieser ge-
meinsamen Basis aufsitzen.
Die untere Wand der vor-
deren Proventriculus- Abthei-
lung ist bewaffnet mit sehr
feinen, konischen Borsten (fig.
eJ. An dieser unteren Wand
befindet sich aber, gegenüber
den drei unteren Kauappara-
ten, eine bandförmige, schma-
le Gruppe von grossen, un-
regelmássig konischen Dor-
nen, (fig. 53 Г), welche viel
Ei нара ays dir UN grösser und dicker sind als
ventriculus des E. caucasicus. die anderen. Diese grossen
a—einige von den kammförmigen Dornen sind dunkler braun
Borsten, welche auf der oberen
abs Proventrieulus sitzen. gefärbt und dichter gelegen
e—die feinsten Borsten von der .
unteren Wand. als die anderen Borsten der-
f—Eine Gruppe grosser Borsten, selben Höhle.
welche vor den unteren 1 :
Kaupparaten liegt. . An den Kauapparaten ist
d—der vordere unpaare Anzatz. \
b—die seitliche Abdachung der der vordere, unpaare Ansatz
Kaulade. durchsichtig und farblos, und
e—Kaubürste.
— 377 —
mit sieben Querreihen von Borsten bewaffnet. Von die-
sen Querreihen besteht die erste durchaus aus freien,
kleinen konischen Borsten (fig. 53 d); in der 2 und 3
Reihe sind die Borsten nur in der Mitte unverwachsen,
frei; an den Enden aber dieser Reihen sind die Borsten
so mit einander verschmolzen, dass sie hier kurze, dün-
ne Querleistchen bilden. In der vierten und den hinter
ihr liegenden Reihen sind alle Borsten unter einander
verschmolzen, und erscheinen dieselben hier in Gestalt
von ganz vollstándigen Leisten, deren Rand gekórnt isi
"wis. 58 di.
Die Kauladen sind beinahe dreimal länger als der vor-
dere Ansatz (fig.53 c). Die seitlichen Abdachungen tragen
an 25 Querrillen, von denen die vordersten zehn bis
zwölf mit je einem Zähnchen bewaffnet sind; die übrigen
sind glatt.
An der Basis der Bürsten sind keine langen Dorsten,
noch Wimpern zu bemerken.
Den Ernoporus caucasicus habe ich aus dem nördlichen
Kaukasus, nämlich aus Piatigorsk erhalten, wo er, zusam-
men mit E. tiliae in Linden gefunden worden ist. Ueber
seine Lebensweise ist mir weiter nichts bekannt.
4, Ernoporus Jalappae Letzn.
Gemminger und Harold: Catalogus etc. IX. p. 2685.
_ (Cryphalus.)
Körperlänge = 1'/, Mm.
Färbung: Der Körper und die Flügeldecken sind schwarz;
die Fühler und Füsse hellbraun. Der ganze Körper und
die Flügeldecken sind dicht behaart.
zi dat
Der Kopf ist fein gekórnt. Auf der Mitte der Stirne
ist eine feine erhabene Längslinie vorhanden.
- Das Halsschild ist halb eliptisch; seine Oberfläche ist
feinkórnig. Die Dornen des rhombischen Höckerfeldes
sind klein, für die Lupe schwer unterscheidbar, weilläu-
fig und ganz unregelmässig gelegen. In der Mitte des
vorderen Halsschildrandes sind keine zahnartigen Hö-
cker vorhanden.
Die Ue eur sind verlängert, zweimal lähger als
das Halsschild. Ihre Oberfläche. ist grob
punktirt, die Punkte in regelmässige Längs-
reihen angeordnet; die neben der Nath
liegenden Punktreihen sind furchenartig
vertieft. An der Spitze bemerkt man klei-
ne Körner, wie bei E. tiliae.
Der Stengel am Begattingsgliede bei Е.
Jalappae unterscheidet sich sehr durch
seine Dünne, und hellbraune Farbe.
ya “SLA
-oeddejep 'np пол souesJo ©
) -suoryepndoy sop 195097$ pits
Die vordere Abtheilung des Proventriculus ist noch
complicirter bewaffnet als bei E. caucasicus, denn wir fin-
den hier vier verschiedene Formen von Börstchen.Die ganze
untere Wand derselben ist bewaffnet mit grossen, gelben,
halbrunden, plattenfórmigen Borsten (fig. 55 a), deren
freier Rand mit einer, zweien oder mehreren dünnen
Wimpern besetzt ist. Auf der oberen Wand sitzen Bor-
sten, welche den eben erwähnten in ihrer Gestalt sehr
ähnlich, aber viel kleiner sind (fig. 55c). Hart an dem
Vorderrande jedes Kauapparates finden wir die dritte
Art von Borsten, nàhmlich sehr kleine, konische Dornen,
welche gewóhnlich zwei Reihen bilden (flg. 55 d). Die
vierte Art sind lange, haarfórmige Borsten, mit blasen-
förmiger Basis (fig. 55 b); dieselben bilden eine schmale
\
— 379 —
quere bandförmige Gruppe, welche auf der unteren Wand
des Kaumagens, vor den unteren vier Kauapparaten ge-
lagert ist.
in
View IC Vi Us
di
”@
АЗ
ERS,
Ein Kauapparat von E. Ja-
lappae.
a—die Borsten der unteren
Wand der vorderen Abthei-
lung.
b—haarförmies Borsten der-
selben Wand.
c—Borsten der oberen Wand
d—die feinsten Borsten.
An den Kauapparaten (fig. 55) ist der vordere An-
satz sehr wenig entwickelt; er ist fünf oder sechs Mal
kürzer als die Kauladen. Er ist überall ganz durchsich-
tig, und mit 8 oder 9 Querleisten bewaffnet, von denen
nur die erste, vorderste, in der Mitte unterbrochen, die
folgenden aber ganz vollständig sind. Die hintersten drei
Querleisten dieses Ansatzes tragen jede zu zwei langen
Л 4. 1876, 25
— 380 —
und dicken Haaren, welehe den Kaubürsten anliegen. Die
Kauladen sind lang; ihre seitlichen Abdachungen sind mit
ungefähr 30 Querleisten bewaffnet, welche mehrere Zähn-
chen tragen; nur die hintersten 2 oder 3 Leisten sind
zahnlos. Dieser letzte Umstand ist sehr charakteristisch
für E. Jalappae.
—.
Ueber Lebensweise und geographische Verbreitung
von E. Jalappae wissen wir beinahe gar nichts. Selbst
sein Vaterland ist uns noch unbekannt. Ferrari (Borken-
käfer. p. 12) glaubt, dass er von Mexiko aus bei uns
eingeschleppt ist, denn er wurde in den Wurzelstöcken
von Ipomaea Jalappae gefunden. Bei uns, in Russland,
ist dieser Käfer noch nirgends gefunden worden. Mir ist
er bloss bekannt durch einige Exemplare, welche ich der
Güte des Herrn Gehr. H. v. Kiesenwetter verdanke.
(Fortsetzung folgt.)
———— ———
DER
FRANZÖSISCHE KIMMERIDGE UND PORTLAND
verglichen
MIT DEN GLEIC!IIALTRIGEN MOSKAUER SCHICHTEN.
Von
H. Trautschold.
eee
Es sind während der letzten Jahre eine Anzahl ganz
gediegener Monographien über den oberen Jura Frank-
reichs erschienen, welche zu einer Vergleichung mit den
oberen Schichten des Moskaüer Jura herausfordern, die
ich für gleichaltrig mit dem westeuropäischen Kimme-
ridge und Portland halte. Diese Schriften, so weit sie zu
meiner Kenntniss gelangt sind, sind folgende:
Aug. Dollfus. La faune Kimméridienne du cap de la
Héve. Paris 1863.
P. de Loriol et E. Pellat. Monographie paléontologi-
que et géologique des environs de Boulogne-sur-mer.
Genève 1866. |
P. de Loriol, E. Royer et H. Tombeck. Description
25”
— 382 —
géologique et paléontologique des étages jurassiques su.
périeurs de la Haute-Marne. Paris 1872.
P. de Loriol et E. Pellat. Monographie paléontologi-
que et géologique des étages supérieurs de la formation
jurassique des environs de Boulogne-sur-mer. Premiére
partie. Mollusques Céphalopodes et Gastéropodes 1874.
Deuxième partie. Fin de la description des fossiles 1875. |
P. de Loriol et Cotteau. Monographie paléontologique
et géologique de l'étage portlandien du département de
l'Yonne. | | |
Das letztgenannte Werk besitze ich nur in einem Se-
paratabdruck aus dem Bull. soc. sc. hist. et nat. de
l'Yonne 2-e série t. I. ohne Jahreszahl.
Alle die aufgezählten Werke sind mit guten Abbildun-
gen versehen, und gestatten also eine eingehendere Ver-
gleichung.
Wenden wir uns zu dem ältesten der genannten Schrif-
ten, zu der Fauna des kimmeridge vom Cap de la Hé-
ve, $0 stösst uns dort guerst Unicardium excentricum
d'Orb., das ich für identisch halte mit Unicardium he-
teroclitum d'Orb. des Moskauer Jura; vielleicht sind bei
unserem Unicardium die concentrischen Streifen etwas
stärker ausgeprägt, was keinen Speciesunterschied recht-
fertigen kann. In der Beschreibung hat der Autor nicht
auf die Verwandtschaft mit unserem Unicardium hinge-
wiesen.
In dem Verzeichniss der Species ist Lima proboscidea
Sow. aufgeführt, eine Art, deren Vertreter in unserem
Jura mit A. virgatus Osirea pectiniformis ist.
Lima lepida Dollfus pl. ХУ, f 7 — 11 ist nichts als
unsere L. consobrina d'Orb. der Aucellenbank. Die Zeich-
nung stimmt vollkommen mit der von d'Orbigny in der
Géologie de la Russie überein. Der Verfasser weist auch
— 383 —
auf die Aehnlichket mit unserer L. consobrina hin, meint
aber, dass L. lepida sich durch stärkere Wölbung und
Glätte am Umbo und durch concentrische Streifung un-
lerscheide, Merkmale, die vom Zeichner nicht angegeben
sind. Die Uebereinstimmung ist so gross, dass sogar die
Zahl der Rippen dieselben ist.
Pecten intertextus Lesueur p. XV, f. 1. 2. glaube ich
nach Abbildung und Beschreibung für Pecten annulatus
Sow. halten zu müssen. Das Fossil ist von mir im Bull.
de Moscou 1861. I, t. b. f. 2. abgebildet und im dazu
gehörigen Text beschrieben worden. D'Orbigny und Rouil-
lier haben es unter dem Namen P. lens Sow. beschrie-
ben und abgebildet (Géol. de la Russie t. 42. f. 1. 2.
Bullet. de Moscou 1849. t. К. f. 41.)
Rhynchonella inconstans ist im Verzeichnisse aufge-
führt, sie kommt auch bei uns vor.
Littorina pulcherrima Dollfu pl. VI, f. 3 — 6 ist
gleich unserem Turbo Puschianus d’Orb. Die Zeichnung
lässt darüber keinen Zweifel. Im Text vergleicht der Au-
tor das Fossil mit Turbo Meriani Gldf. aber nicht mit T.
Puschianus.
Das an zweiter Stelle angeführte Werk ist die Mono-
graphie der Umgebungen von Boulogne-sur mer von P. de
Loriol et E. Pellat. 1866.
Das erste bekannte Fossil, das uns in die Augen fällt,
ist Ammonites biplex, pl. Il, f. 3, 4, der mit dem gleich-
namigen Ammoniten (A. Pallasii d'Orb., A. biplex bifur-
catus Quenst.) des Kimmeridge von Mniowniki auf das
Vollkommenste übereinstimmt. Eine grössere bis in’s Ein-
zelnste gehende Congruenz ist nicht denkbar. Die Iden-
tität unseres Ammoniten mit dem ächten englischen A.
biplex Sow. aus dem Kimmeridge habe ich schon a. a.
О. nachgewiesen.
— 384 —
Cardium Morinicum de Г. pl. VI, f. 3. 4. 5. ist eine
wenn nicht identische, so doch unserem С. concin-
num v. Buch nahe stehende Art, sie ist aufgeblahter und
runder als das von d'Orb. (Géol. de la Russie t. 38. f.
11 — 13) abgebildete Exemplar von C. concinnum. Auch
sind unsere Cardien kleiner als die von den Verfassern
abgebildeten.
Sehr nahe stehen sich auch Lucina substriata Roem.
pl. VI, f. 11. und Lucina Fischeriana d'Orb. (Géol. d. 1.
Russie t. 95. f. 31. 32.), doch will ich darüber nicht
entscheiden, da die Verfasser nur die Seitenansicht des
Fossils gegeben haben.
Eine grosse Trigonia ähnlich der Tr. Pellati Munier
Chalmas pl. VIII, f. 4. ist in der Aucellenschicht von
Charaschowo gefunden worden, doch ist die Erhaltung
unseres Exemplars zu mangelhaft, als dass sich die Fra-
se über ihre Identität mit Tr. Pellati entscheiden liesse.
Von den übrigen Fossilien ist nur Ostrea expansa Sow.
pl. XI, f. 4. zu erwähnen, eine Form, welche in unse-
rem Kimmeridge von Mniowniki auch nicht selten ist.
Die dritte in Betracht zu ziehende Schrift ist die Be-
schreibung der oberen jurassischen Schichten der Hau-
te-Marne von Loriol, Royer und Tombeck. Auf Tafel V
findet sich in fig. 1. Ammonites Eupalus d’Orb. aus
der Pterocerenschicht des Kimmeridge abgebildet. Es ist
das nichts anderes als A. Panderi d’Orb. unserer Vir-
gatus-Schicht. Der wirkliche A. Eupalus d’Orb. in der
Paléontologie francaise pl. 217, ist dem A. Eupalus der
Haute-Marne viel weniger ähnlich, als unser A. Panderi
d'Orb. Die Verfasser haben indessen diese Verwandt-
schaft ganz aus den Augen gelassen, wie der Text be-
weist.
ИВА —
Unter den im Text aufgeführten Ammoniten befindet
sich noch À. biplex Sow.
Pleuromya tellina Ag. 1. 10. f. 5 — 8, B unserem
Panopaea peregrina d'Orb. sehr nahe, Loriol und Pellat
führen sie unter dem Namen Pl. Voltzii auf, unsere P.
peregrina scheint im Allgemeinen etwas auígeblühter zu
sein, doch bildet Thurmann in seiner Lethaea Pruntru-
tana ein Exemplar ab, wie sie auch bei uns vorkom-
men. Jedenfalls ist Pl. tellina eine unserer P. peregrina
analoge Form, was von Wichtigkeit ist, da P. peregrina
die Rolle eines Leitfossils in unserer Aucellenschicht
spielt. Uebrigens unterscheidet sich unsere P. peregrina
auch nicht wesentlich von P. neocomiensis aus dem Urgo-
nien von Auxerre Yonne. Die Form gehört also zu den
langlebigen. |
Pholadomya tumida Ag. 1. 10. f. 15. ist Ph. canali-
culata Roem., welche in typischen Exemplaren bei uns
in der Aucellenschicht vorkommt.
Thracia incerta Desh. (t. 11. Г. 9. 10.) oder was das-
selbe ist Thr. suprajurensis Desh. ist identisch mit Thr.
Frearsi d'Orb. unserer Aucellenschicht. Die Verfasser ha-
ben im Text dieser nahen Verwandischaft nicht er-
wühnt, ebensowenig die Thr. Chauviniana d'Orb. aus
den Callovien von Plottes, die nach einem Exemplar zu
urtheilen, was ich besitze, ebenfalls wesentlich nicht ver-
schieden von Thr. incerta Dech. ist
Ceromya globosa Buvignier +. XII, f. 9. und t: XIII,
f. 15. ist Unicardium heteroclitum d'Orb. unserer Virga-
ius-Schicht. Die Verfasser scheinen sich nicht mit die-
sem Fossil bekannt gemacht zu haben, denn sie erwäh-
nen desselben nicht im Text.
Cardium morinicum t. 14. f. 9, 10., eine, wie schon
— 386 —
erwähnt, unserem C. concinnum Bach sehr nahe stehen-
de Form.
Trigonia concentrica Ag. i. 16, f. 26. ist gleich der
Tr. clavellata unserer Virgatus-Schicht.
Arca texta Roemer i. 18. f. 6 — 10. ist in der äus-
seren Form vollkommen übereinstimmend mit dem von
Rouillier als Arca oblonga Mill. bestimmten Fossil der
Aucellenschicht von Charaschowo, nur sind die auf der
Vorderseite befindlichen Querfurchen bei A. lexta stärker
ausgeprägt, als bei unserer Arca.
Eine der Lima Magdalena Buvignier t. 21. f. 8. sehr
ähnliche Form kommt in der Virgatus-Schicht bei Cha-
raschowo vor, doch da ich das Fossil nur in Form ei-
nes Sieinkerns besitze, lässt sich die Identität nieht mit
Bestimmtheit nachweisen.
Lima Halleyana Etallon t. 29. f. 1. ist nichts anders
als Lima proboscidea, also eine unserer Ostrea pectini-
formis analoge Form.
Formen, wie Ostrea Matronensis de Loriol t. 23. f. 5—7
sind bei uns nicht selten, und sie laufen schon längst
bei uns unter dem Namen O. plastica, ein wie mir scheint
passender Name, da, wenn diese Austerschalen sich auf
Ammoniten angelegt haben, nicht mit Sicherheit mehr zu
entscheiden ist, welcher anderen Art sie angehört haben.
Östrea Bruntrutana Thurm. t. 24. f. 7 — 18 ist das,
was wir Exogyra spiralis Gldf. nennen, und was in un-
serer Oxfordschicht sehr háufig ist, namentlich im brau-
nen Sandstein von Gshel. Die zahlreichen abgebildeten.
Schalen stimmen ausserordentlich gut zu unserem Fos-
sil, und unterliegt es gar keinem Zweifel, dass Ostrea
Bruntrutana und Exogyra spiralis Synonyma sind. Da O.
Bruntrutana ein Fossil des Portland in Frankreich ist,
— 387 —
so geht daraus hervor, dass das Thier sich im russischen
Meer um vieles früher, als in Frankreich angesiedelt hat.
In dem vierten der angezeigten Werke finden wir
wiederum eine Menge gleicher und nahe verwandter For-
men. Schon auf der ersten Tafel der Monographie der
oberen Etagen der Juraformation aus der Umgegend
von Boulogne-sur-mer von P. de Loriol und P. Pellat
treten uns sehr bekannte Bilder entgegen.
Ammonites Devillei de Lor. pl. I, f. 13, 14. ist ein A.
biplex Sow., dessen Mündung gut erhalten ist. Es scheint
mir der Begriff der Art doch etwas zu eng gegriffen,
wenn man auf Grund eines gut erhaltenen Exemplars
und einer Wohnkammer dem Fossil einen neuen Namen
giebt. Wenn man weiss, dass die Ammoniten andere
Formen im Alter als in der Jugend annehmen, dass die-
selbe Art mit und ohne Einschnürungen vorkommt, so
wird man auch zugeben müssen, dass die Mündung ein
wenig variiren kann. Bei A. Devillei ist die Lobenzeich-
nung dieselbe wie bei A. biplex, und die Rippenthei-
lung unterscheidet sich auch nicht von der des genann-
ten Ammoniten. Zahl der Windungen und Form des Ge-
häuses weicht ebensowenig ab, es ist also nicht recht
einzusehen, dass die Abtrennung von dem ächten A.
biplex nöthig wäre. Dagegen wäre es viel mehr gerecht-
fertigt gewesen, wenn der A. biplex pl. I, f. 1. nicht
unter diesem Namen aufgeführt wäre, da er sich we-
senllich von dem in der Arbeit der beiden Verfasser vom
Jahre 1866 abgebildeten unterscheidet, denn er ist viel
weniger involut und die Windungen sind mehr abge-
flacht, als es bei dem üchten A. biplex je der Fall ist.
Ammon. Quehenensis de Lor. dürfte nicht wesentlich
von A. plicatilis Sow. verschieden sein. Die auf Taf. 1.
f. 15 — 18 abgebildeten Exemplare sehen unserem A.
— 388 —
plicatilis der Cordons ähnlich wie ein Ei dem an-
deren.
Ammon. boucardensis de Lor. ist sehr ähnlich unse-
rem A. Koenigii d’Orb. (non Sow.) der Charaschower
Schicht, doch steht er noch näher dem Perisphinctes spi-
rorbis Neumayr (Gephalopoden der Macrocephalen-Schich-
ten t. 7. f. 2.), denn bei unserem Ammoniten sind die
Windungen umfassender.
Pholadomya tumida Ag. t. 12. f. 8. ist die a oben-
erwähnte Ph. canaliculata unserer Aucellen-Schicht.
Lima rudis Sow. t. 21. f. 10. kommt in derselben
Form in der Aucellenschicht von Charaschowo vor.
Pecten solidus (Roem.) Trd. t. 22. f. 5. ist eine auch
bei uns in der Virgatus-Schicht ziemlich häufig vorkom-
mende Species.
Terebratula insignis Schübler t. 25. f. 10 — 16. ist
eine grosse Terebralel, welche in der Aucellenschicht von
Charaschowa wiederholt gefunden worden ist.
Hinzuzufügen ist noch, dass aus der Aucellenschicht von
Charaschowo ein unvollständiges Exemplar einer grossen
Trigonia vorhanden ist, welche der Tr. cymba Conte-
jean t. 17. f. 1. sehr ähnlich ist, ferner dass Nucula-Ar-
ten wie Nucula Menkii Roem. t. 17. f. 10 in der Aucellen-
schicht und wie Nucula Cottaldiana de Lor. t. 17. f. 11—
15, in der Virgatus-Schicht vorkommen.
Aus der Monographie des Portland des Departements
der Yonne ist Folgendes herauszuheben:
Thracia incerta Dech. t. 9. f. 3 — 5, welche, wie schon
oben bemerkt, gleich ist unserer Thracia Frearsi der
Aucellenschicht.
Corbicella Barrensis (Buv.) de Lor. t. 10. f. 5, 6, ist
sehr ähnlich unserer Cyprina Cancriniana d'Orb. der
Virgatusschicht, oder was dasselbe ist, der C. Chara-
— 889 —
schovensis Rouill. (Bull. de Moscou 1848, t. 11. f. 33.)
jedenfalls ist es eine analoge Species.
Aus dem Vorhergehenden ist ersichtlich, dass im fran-
zösischen Kimmeridge enthalten sind:
3
a, am Cap de la Heve:
Unicardium heteroclitum d'Orb. (Lucina hete-
roclita d'Orb.) ;
Lima proboscidea Sow.
Lima consobrina d'Orb.
Pecten annulatus Sow.
hhynchonella inconstans Sow.
Turbo Puschianus d'Orb.
b, im Dép. Haute Marne:
Ammonites Panderi Eichw.
Thracia incerta Desh. (Thr. Frearsi d'Orb.)
Unicardium heteroclitum d'Orb.
Lima proboscidea Sow.
c, aus der Umgegend von Boulogne.
Ammonites plicatilis Sow.
Pholadomya canaliculata Roem.
Lima rudis Sow.
Pecten solidus Roem.
Terebratula insignis Schübl.
Im franzósischen Portland sind enthalten:
a, im Dép. Haute Marne:
Panopaea peregrina d'Orb.?
Pholadomya canaliculata Roem.
Thracia incerta Desh.
Trigonia concentria Ag.
Arca texta Roem.?
Pecten solidus Roem.
Ostrea plastica Trd.
= se —
b, aus der Umgegend von Boulogne.
Ammon. biplex Sow.
Cardium concinnum v. Buch.?
Lucina Fischeriana d’Orb.?
Ostrea expansa d’Orb.
e, im Dép. Yonne.
Thracia incerta Desh.
Cyprina Charaschovensis Rouill.?
Alle die genaunten Fossilien kommen auch in den bei-
den oberen Moskauer Jura-Schichlen vor, oder haben
wenigstens hier ihre äquivalenten Stellvertreter. Indessen
kommen nicht alle die erwähnten Fossilien aus dem fran-
zösischen Portland in unseren Charaschower Schichten
(die ich für ungefähr gleichaltrig halte), und nicht alle
Fossilien des französischen Kimmeridge in unserer Vir-
gatus-Schicht (dem russischen Kimmeridge) vor, sondern
sie vertheilen sich hier folgendermassen:
Im Moskauer Portland kommen vor folgende Species
des französischen Portland:
Panopaea peregrina d'Orb.?
Pholadomya canaliculata Roem.
Thracia incerta Desh.
Arca texta Roem.?
Cardium concinnum v. Buch.?
Lucina Fischeriana d'Orb.?
Im Moskauer Kimmeridge kommen folgende Species
des französischen Portland vor:
Trigonia eoncentrica Ag.
Pecten solidus Roem.
Ostrea plastica Trd.
Ammon. biplex Sow.
Ostrea expansa.
Cyprina Charaschovensis Rouill.?
— 391 —
Im Moskauer Kimmeridge kommen folgende Species
des franzósischen Kimmeridge vor:
Unicardium heteroclitum d'Orb.
Lima proboscidea Sow. (Ostrea pectiniformis
Ziel.)
Pecten annulatus Sow.
Rhynchonella inconstans Sow.
Turbo Puschianus d'Orb
Ammonites Panderi Eichw.
Pholodomya canaliculata Roem.
Lima rudis Sow.
Pecten solidus Roem.
Ammon. plicatilis Sow.
Im Moskauer Portland finden sich folgende "Diu des
[ranzösischeu Kimmeridge:
Lima consobrina d'Orb.
Thracia incerta Desh.
Pholadomya canaliculata Roem.
Terebratula insignis Schübl.
Die beiden oberen Moskauer Juraschichten haben dem-
nach eine ziemlich grosse Anzahl Species gemein mit
dem französischen Kimmeridge und Portland, so dass an
ihrem nahezu gleichzeitigen Absatz nieht mehr zu zwei-
feln ist, Dass sie sich im verticalen Sinne nicht ganz
gleich vertheilt zeigen, darf bei der grossen Entfernung
der beiden Oertlichkeiten von einander nicht Wunder
nehmen. Wenn eine Wanderung der Thiere in der Vor-
zeit stattfand, konnte eine und dieselbe Species nicht an
den verschiedenen Punkten des Erdballs gleichzeitig auf-
treten. Ä
Aufgefallen ist mir bei der Durchsicht der verschie-
denen Schriften der französischen Autoren, welche den
Be... —
oberen Jura behandelt haben, dass sie die in der Géo-
logie de la Russie enthaltene Arbeit d'Orbigny's über den
russischen Jura nicht zu Rathe gezogen haben. Vielleicht
ist sie desshalb nicht berücksichtigt worden, weil d'Or-
bigny den ganzen russischen Jura für Oxfordablagerun-
zen erklärte. Zum Oxford ist indessen nur die untere
Moskauer Schicht zu stellen. Schon der Virgatus-Schicht
fehlt entschieden der Charakter des Oxford. Wenn die
französischen Geologen bei ihren Bestimmungen das
d’Orbigny’sche Werk über Russland benutzt hätten, wür-
den der Paläontologie einige neue Namen erspart wor-
den sein. Für uns wird in Folge der Vergleichung der
betreffenden Schichten nur die Aenderung eines einzigen
Namens nöthig, nämlich der der Thracia Frearsi, da die
identische Thracia incerta Desh. aus dem Jahre 1840
datirt. |
Eine andere Namensänderung erscheint noch wünschens-
werth, nämlich die des Ammonites Koenigii d’Orb. (non
Sowerby) unserer Portlandschicht von Charaschowo. Sei-
ne Verwandtschaft mit A. boucardensis de Lor. und Pe-
risphinctes spirorbis Neumayr ist schon oben erwähnt;
eine wirkliche Identität mit irgend einem der in der
neueren Zeit entdeckten europäischen und indischen Ar-
ten ist indessen nicht nachgewiesen worden. Es ist dem-
nach eine Namensgebung dringend nothwendig, wie sie
denn auch wiederholt von verschiedenen Seiten gefor-
dert wurde. Ich will daher nicht länger zögern, und
erlaube mir, dafür den Namen A. subditus vorzuschlagen.
Moskau d. 8 Januar 1877.
REISEBRIEFE
an die
Kaiserliehe Naturforschende Gesellschaft zu Moskau.
von
Albert Regel.
Mit wahrhafter Freude und Dankbarkeit ergreife ich
die Gelegenheit, meine ersten Eigenanschauungen einer
Reise nach Innerasien der Kaiserlichen Naturforschenden
Gesellschaft zu Moskau vorzulegen. Der Herr General-
souverneur von Turkestan, General von Kauffmann, hatte
am Ende des Jahres 1875 meine Anstellung als Kreisarzt
von Kuldscha beantragt. Mit ausgezeichneter Liebenswür-
digkeit hatte Seine Hohe Excellenz mir gestattet mit mei-
nen amtlichen Obliegenheiten botanische Untersuchun-
gen zu verbinden. Seitens des Gonseils des Kaiserlichen
Botanischen Gartens zu St.Petersburg war mir eine all-
jährliche Zahlung für meine Sammlungen zugesichert wor-
den. So hatte ich im Frühlinge 1876 in Aussicht, die
Uebergänge der Pflanzenbekleidung und Pflanzenentwick-
lung eines ausgedehnten Striches des russischen Reiches
nacheinander kennen zu lernen und mein Gesichtsfeld
stufenweise zu erweitern.
— 394 —
Als ich den 24-sten April 1876 St.Petersburg mit der
Moskauer Eisenbahn verliess, waren Galanthus, Scilla,
Crocus, Erythronium sowie die einheimischen Chryso-
plenium und Anemone bereits aufgeblüht, und Weiden
und Birken bedeckten sich mit dem ersten Schimmer.
Oede sah es in den Nadelwäldern des Petersburger Gou-
vernements aus; erst im Nowgoroder Gouvernement er-
schienen frische Büschel aus den Föhrenwipfeln hervor.
Oben auf dem Waldai liessen sich in der dunkeln Re-
sennacht einzelne Schneeflecke von den glitzernden Sachen
unterscheiden. Im Gouvernement Twer über wucherte längs
der bereiften Rasenränder grünender Birkenwald die ver-
kohlten Reste der Waldbrände. Caltha, Ficaria vergoldeten
die überschwemmten Triften. Gegen Moskau hin war Prunus
Padus aufgeblüht, und Tussilago Farfara und Leontodon
bekleideten die Eisenbahndämme. Den 25-sten April, einen
Sonntag, verweilte ich in Moscau, wo Jung und Alt in
den grünenden Alleen lustwandelte. Ich hatte die Ehre.
Seiner Excellenz Herrn von Renard mein Manuskript
über die Geschichte des Schierlings und Wasserschier-
lings einzureichen. Herr Garteninspektor Enke führte mich
in seine neuen Anlagen am Kreml.
Als ich in den Abendzug nach Nischni einstieg, traf
ich die jugendlichen Mitglieder der schwedischen Jenissei-
expedition, mit denen ich die angenehmsten Stunden ver-
lebte. Die Vegetation war auf dieser Strecke nicht mehr
vorgerückt als vor Moskau; überschwemmte Niederungen
bedeckte Caltha. Stellenweise wurden die Aecker bebaut.
Auf den Höhen der Oka bei Nischni Nowgorod lag Schnee.
Ein kalter Wind pfff um das Wolgadampfschiff, der alle
Passagiere unter Deck scheuchte. Birken, Weiden und
Pappeln starrten kahl aus der übergetretenen Fluth. Adler,
Enten und Möven strichen quer über den Strom. In der
— 395 —
Frühe des 27-sten April landete das Schiff bei Kasan.
Die Temperatur war — 6? R. Man erzihlte aber, dass die
Kirschen in Astrachan vor 3 Wochen abgeblüht wären.
. Hier nahmen die Skandinavier Abschied.
Ein Versehen hielt mich einen Tag an der Lotsenstation
Bogorodsk gegenüber der Kamamündung fest. Viola hirta,
Tussilago Farfara, Pulmonaria officinalis, Gagea minima
blühten zwischen dem Gestrüppe der Abhänge; aber das
Laub von Evonymus verrucosus, von Tilia, Rosa und
Lonicera war noch unentwickelt oder erfroren. Schnei-
dend zog der Wind über den gefrornen Boden der kah-
len Hóhe, von wo der Blick über das weidenbewachsene
Delta der belebten Kama offen stand. Durch die Schluch-
ten schwirrten Tauben, graue Krähen, Dohlen, Elstern,
Habichte und Enten, und Móven liessen sich auf das
Wasser nieder. Den 28-sten April war die Morgentem-
peratur —3° К.
Auf der Weiterfahrt ging das Dampfschiff bei Spasski
Satop quer durch einen überschwemmten Pappelwald. Ein
schöner Fischadler schwebte am Buge vorbei, und ein
Schmarotzerweihe folgte ihm. Bei Simbirsk wurde die
Witterung milder, und in seinen Obstgärten am rechten
Wolgaufer blühten die Apfelbäume auf. Die Nacht er-
reichte uns unter den Kreidefelsen des Hafens Satop, am
höheren rechten Ufer. Der melodische Schlag des Spros-
sers erweckte mich unter den grünenden und blühenden
Birken, Pappeln und Kirschbäumen der Berge zwischen
Stawropol und Samara. Die Habichte, welche statt der
Krähen auf den Strassen von Samara kreisten, mahnten
an die Nähe der ostrussischen Steppe.
M. .
Bald blieben am 30-sten April die Obstbäume, die
JE d. 1876. 26
— 396 —
Ahorne und Silberpappeln der Vorstädte von Samara
hinter dem davonrollenden Tarantas zurück, und die lange
Birkenallée verschwand im schwarzen Humusstaube. Die
Rasenränder schmückten Adonis vernalis, Farsetia incana
und Carthamus; die ersten Artemisien zeigten sich. Am jen-
seitigen Samaraufer schimmerten. einzelne Schneeflecke.
Die Eisenbahnbrücke über den Kinel harrie noch der
Vollendung, so dass über den ausgetretenen Fluss auf
einem Flosse übergesetzt werden musste. Man streifte bei
dieser Fahrt an die Zweige von Ahornen, Linden, Eichen,
Ulmen, Weiden, Silberpappeln und Cornus sanguinea an,
welche bereits vóllig belaubt waren, und scheuchte zahl-
reiche Enten auf. Von der Station Bobrowsk an war die
Steppe sandig. Man darf sich dabei nicht an die ab-
schreckenden Angaben der ausgehängten Wegebeschrei-
bung halten; denn auf der alten Poststrasse galt es,
den Reisenden für möglichst viele Pferde zahlen zu las-
sen und ihm möglichst wenige zu geben. Zum ersten
Male begrüsste ich Stipa pennata. Unter der Artemisien-
flore thaten sich Artemisia Absinthium und A. scoparia
hervor. Adonis vernalis blühte auch hier. Die Strasse und
das bebaute Feld waren von Zieseln unterwühll, welche
kreuz und quer zu ihren Lóchern zurückhuschten und neu-
gierig aus ihnen hervorlugten. Eulen und kleine Falken
sassen auf den Telegraphendráthen, und von einer Tele-
graphenstange schaute ein grauer Geier herab. Weidende
Pferdeherden vollendeten das neue Bild. Wo die Steppe
kieseliger wurde, blühte Amygdalus nana lieblich zwischen
niedrigem Spiráengestrüpp. Vor der Station Malmyschew-
skaja schmückten den Birkenwald Anemone silvestris und
Pulsatilla. Ein Hain alter Pappeln, von denen das Lied
des Sprossers erscholl, starrie aus der Dunkelheit an der
Samarkaüberfahrt entgegen. Am ersten Maimorgen sah ich
— owl —
in der fruchtbaren Ebene bei der Stadt Busuluk Fritillaria
ruthenica in Blüthe. Weiterhin blieb der Charakter der Ge-
gend unverändert; ich gedenke nur der scharf gezeich-
neten Schichtung bei Perewolozk und der Artemisia pro-
cera bei Worowskaja. Den 2-ten Mai erhob sich der
Weg gegen den Obschtschi Syrt hin. Wieder trat Stipa
pennata zahlreich auf und Pedicularis comosa und Iris
pumila blühten zwischen dem Gestrüppe von Amygdalus
und Spiraea. Nachdem die Strasse bei Tatischtschewo
den pappelwaldbekranzten Uralfluss berührt hatte, stieg
sie nochmals auf die Hóhe des Landrückens empor. Auf
den Telegraphendräthen sass allenthalben ein kleiner Falke.
Hier wie auf den Hóhen von Orenburg waren Cho-
rispora tenella, Pedicularis comosa, Iris pumila, Fritilla-
ria ruthenica vertreten. Das Wäldchen an der Sakmara-
überfahrt besteht aus Salix argentea, Salix purpurea, aus
Silberpappeln, Espen, Ulmen, Eichen, Föhren und Faul-
beerbäumen. Sein Unterholz bilden Spiraeen, Hagedorn,
Mandelsträucher. Wilder Hopfen rankt an den Stäm-
men empor, und Lilium Martagon sprosst unter ihnen.
Die frischen Wiesen sind von Pedicularis comosa, von
Tritillaria ruthenica und Tulipa silvestris besäet.
Ш.
Orenburg ist seinem ganzen Charakter nach die Grenz-
stadt Asiens. Nach Westen hin verschwinden die Hóhen
des Obstchtschi Syrt; nach Osten zu dehnt sich die Kir-
sisensteppe aus, auf welcher die Kameele weiden. In
den Stadtgärten von Orenburg sind Caragana arbores-
cens, Populus argentea, Pinus silvestris und ausserdem
dem Anscheine nach Pinus austriaca angepflanzt. Ich un-
ternahm um der Fritillaria ruthenica willen eine Excur-
26”
u
sion an die Sakmara. Der Civilmedicinalinspector Uscha-
kow, welcher mit Beihülfe seiner Gemahlin ein treffli-
ches Herbarium der Uralflora zusammengestellt hat und
eine reiche Mineraliensammlung besitzt, veranlasste mich
an den folgenden Tagen zu einem Besuche der Salzwerke
von Ilezk. Der erste Abschnitt der Steppe nach dem
kleinen Wáldchen am Uralflusse ist arm. Mehrere Wer-
ste hinter dem Tauschhofe beginnt die berühmte Flor von
Tulipa Gesneriana, die sich 35 Werst weit hinzieht. Pur-
purn, rosa, weiss und gelb sind die Blumen in den kurzen
Rasen hineingesäet; jedoch ist auf grössere Entfernung
nur die gelbe Färbung bemerklich, und hin und wieder
tritt ein schneeweisser Stern im gelben Felde auf. Tulipa
silvestris war seltener. Ornithogalum, Gagea, ein grosses
weisses Allium, Iris pumila, Valeriana tuberosa durch-
wirkten den Tulpenteppich. Lerchen und Steppenhühner
liefen furchtlos am Wege hin. Auf der Anhóhe bei der Stati-
on Dongus wuchs Chorispora tenella. Adler, Bussarde und
Móven kreisten hier. Vor der Stadt Ilezk breitet sich eine
Ebene mit Spiraeengestrüpp aus, die an Steppenvógeln reich
ist. Der freundliche Aufseher, welcher ein kleines Herbarium
anlegt, zeigte mir das Salzwerk. Das klare Salz lieet in
einer Mächtigkeit von nahe 200' auf dem Gypsbette der an-
geblich der Dyasformation angehórig auf und bildet ein Be-
cken von mehreren Wersten imlDurchmesser. Auf den Sand-
hügeln zwischen der offenen Salzgrube und einem kleinen
Salzsee, welcher zum Baden benutzt wird, sammelte ich
Ranunculus polyspermus, Ceratocephalus oxyceras, Alyssum
spathulatum, Chorispora tenella, Caragana frutescens, meh-
rere Astragalus, Valeriana tuberosa, Ephedra vulgaris, Poa
bulbosa, Schismus minutus, Àn dem von früher her befe-
stigten Gypshügel, welcher das Salzbecken an seinem
Nordrande abschliesst, fand ich eine Kochia und strauchige
Salsolaceen in unentwickeltem Zustande.
— 399 —
Den 11-ten Mai verliess ich Orenburg auf dem grossen
Taschkenter Wege, welcher bis Orsk über europäischen
Boden führt. Auf einem schluchtendurchfurchten Plateau
fand ich am folgenden Morgen ein schönes Hedysarum.
Wo der Weg links von dem Uralflusse durch den zwei-
höckerigen Kameelberge eingeengt wird, trat Gestrüpp
von Caragana fruteseens und Spiraeen auf. In der sum-
pfigen Niederung bei Orsk wuchs ein rothes Allium.
Am 13-ten Mai, dem Himmelfahrtstage, befand ich mich
Angesichts der kahlen schwarzen Zackenberge von Guber-
_ linsk. Nur auf dem Birkenberge trotzte eine einsame Birke
dem Wetter. Ueber dieAbhänge einer spröden alten Gestein-
formation wand sich der Tarantas auf Schlangewegen
empor und in den grünen Kessel von Guberlinsk hinun-
ier. Mächtige Weiden und Erlen bilden hier einen lieb-
lichen Hain. Ich erstieg eine Bergkuppe, die nach Nor-
den hin lag. Caragana frutescens bekleidete ihren Fuss.
Oben stand eine gemischte Bergflora und Steppenflora von
Pulsatilla, Ceratocephalus, Chorispora, Alyssum, Asira-
galus Oxytropis, Sedum, Umbilicus, Pedicularis co-
mosa, und Stipa. An dem weiteren Abstiege nach
Orsk trat wiederum ein Hedysarum auf. Zahlreiche
Raubvögel schwebten über dem flachen Wege vor der
weissthürmigen Steppenstadt. Kirgisen steuerten die Ural-
fähre nach Asien hinüber.
(Fortsetzung folgt.)
FORTGESETZTE UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE VERBINDUN-
GEN DER METALLE DER TANTAL-GRUPPE, SO WIE ÜBER
NEPTUNIUM, EIN NEUES METALL.
Von
R. Hermann.
Nachstehende Untersuchungen wurden ursprünglich in
der Absicht unternommen, um weitere Erfahrungen über
die Eigenthümlichkeiten der Verbindungen von Ilmeni-
um und von Niobium zu sammeln.
Bei diesen Untersuchungen fand ich noch ein viertes
zur Gruppe des Tantals gehörendes Metall, das ich Nep-
tunium nennen werde. j
: Da aber in dem mir zu Gebote stehenden Materiale
nur eine geringe Menge Neptunium enthalten war, so
konnte ich nur wenige Versuche über sein chemisches
Verhalten anstellen; doch dürften sie ausreichen, um
die Existenz dieses neuen Metalls zu beweisen.
Am liebsten würde ich allerdings noch länger über
das Neptunium geschwiegen haben, um zuvor mehr Er-
fahrungen über seine Eigenthümlichkeiten zu sammeln.
Aber bei meinem vorgerückten Alter habe ich keine
Hoffnung mehr hinreichendes Material zu diesen Arbeiten
— 401 —
zu erlangen. Es bleibt mir daher nichts übrig, als nach-
stehende Beobachtungen mitzutheilen, um dadurch we-
nigstens die Aufmerksamkeit auf die Existenz dieses
neuen Metalis zu lenken.
Das Material, in dem das Neptunium in geringer Men-
se vorkommt, und das auch zur Darstellung von Tan-
tal, Niobium und IImenium verwendet werden konnte,
erhielt ich, im pulverförmigen Zustande, unter der Be-
zeichnung: Tantalit von Haddam, Conecticut, Nordamerika.
Bei näherer Untersuchung dieses Pulvers ergab es sich
aber, dass es keinesweges aus Tantalit bestand, sondern
ein Gemenge war, aus gleichen Theilen Columbit und
Ferroilmenit.
Beide Mineralien finden sich in der Nähe von Haddam,
auf dem von Herrn Brainards gepachteten Grunde, ein-
gewachsen in Granit.
Da Columbit nach der Formel RO, Me? O*; der Fer-
roilmenit dagegen nach der Formel RO, 2 Me O? zu-
sammengesetzt ist; so erhält man bei der Zerlegung
eines Gemenges aus gleichen Theilen dieser Mineralien
die Metallsäuren des Niobiums, Imeniums und Neptuniums
als Me? O? + 2 Me О? oder kürzer als Me‘ От.
Nur das Tantal, welehes ursprünglich im Columbite
als Ta? 0? und im Ferroilmenite als Ta O? enthalten
ist, oxydirt sich während des Schmelzens des Mineral-
pulvers mit saurem schwefelsaurem Kali zu Ta? O*.
Die aus obigem Materiale abgeschiedenen Metallsäuren
bestanden in 100 Theilen aus:
Ta*O* 32,39
Nb'O" 36,79
007 24,52
Np/O' 6,30
100,00
— 402 —
Trennung der Säuren des Neptuniums von den Säuren
des Tantals, Niobiums und Ilmeniums.
Man schmolz vorstehend erwähntes Mineralpulver mit
saurem schwefelsaurem Kali und reinigte die ausgewa-
schenen Hydrate der Metallsäuren durch successive Dige-
stionen mit Schwefelammonium und verdünnter Salzsäure.
Die nochmals ausgewaschenen Hydrate wurden jetzt,
im noch feuchten Zustande, in Flusssäure gelöst, mit
ihrem Aequivalente Fluorkalium versetzt und dieses Ge-
menge mit soviel kochendem Wasser verdünnt, dass auf
1 Theil Fluorid 40 Theile Wasser kamen.
Beim Erkalten dieser Lösung krystallisirte Kalium-
Tantalfluorid in zarten prismatischen Krystallen.
Die von dem Kalium-Tantalfluoride abgeschiedene sau-
re Lösung wurde nach und nach verdampft. Man erhielt
dabei, durch successive Krystallisationen, ein Gemenge
- von Kalium-Niob- und llmenfluoriden und zuletzt eine
saure Mutterlauge, welche Kalium-Neptunfluorid, gemengt
mit Resten von Kalium Niobfluorid, enthielt.
Man verdünnte diese saure Mutterlauge mit ihrer 20-
fachen Menge Wasser, brachte die Flüssigkeit zum Kochen
und setzte ihr Natronhydrat in Ueberschuss hinzu.
Dabei bildete sich ein amorpher Niederschlag von nep-
tunsaurem Natron, gemengt mit kleinen Krystallen von
niobsaurem Natron.
Nach dem Erkalten der Flüssigkeit sammelte man diesen
Niederschlag auf einem Filter, presste ihn aus und
brachte ihn von Neuem mit seiner 25fachen Es von
Wasser zum Kochen.
Dabei lösie sich das niobsaure Natron auf, während
das neptunsaure Natron ungelóst blieb.
— 403 —
Man schmolz letzteres mit saurem schwefelsaurem Kali,
behandelte die Schmelze mit ikochendem Wasser und
wusch den dabei ungelöst gebliebenen Absatz so lange
mit Wasser aus, als dasselbe noch Schwefelsäure aufnahm.
Dabei bildete sich auf dem Filter Hydrat der Neptun-
säure, welches bei der Temperatur des Zimmers über
Schwefelsäure getrocknet wurde.
Ueber Eigenschaften und Zusammensetzung einiger
Verbindungen des Neptuniums.
Das Neptunium gehört zur Gruppe der Tantalmetalle
und besitzt daher auch die allgemeinen Eigenschaften
derselben.
Daher findet sich auch die Neptunsäure zu Haddam in
Mineralien von der Form des Columbits und als Vertre-
terin von Säuren der anderen Metalle der Tantal-Gruppe.
Hydrat der Neptunsáure wird, ebenso wie die pulver-
förmigen Hydrate der anderen Säuren dieser Gruppe, von
schwachen Mineralsäuren nicht gelöst.
Dagegen wird das Hydrat der Neptunsäure, ebenso wie
die Hydrate der anderen Sáuren der Metalle der Tantal-
Gruppe, von Flusssáure leicht gelóst und bildet, ebenso
wie letztere Fluoride, mit Fluorkalium ein leicht kry-
stallisirendes Fluorsalz.
Lósungen von Fluorneptunium werden durch Schwefel-
wasserstoff nicht gefällt.
Das Hydrat der Neptunsäure wird durch Schwefel-À mmo-
nium weder gefärbt, noch gelöst.
Mit dem Tantalfluorid theilt das Neptunfluorid die Ei-
genschaft, dass kochende Lösungen dieser Fluoride mit
— 404 —
überschüssigem Natronhydrat amorphe Niederschláge bil-
den, die von reinem kochenden Wasser nicht gelöst
werden. |
Dadurch unterscheidet sich das Neptunium von Nio-
bium und Ilmenium, deren verdünnte Fluoride, im kochen-
dem Zustande von überschüssigem Natronhydrat Kry-
stallinische Niederschläge von Natronsalzen geben, die von
25 Theilen kochendem reinen Wasser vollständig gelöst
werden.
Vom Tantal unterscheidet sich das Neptunium beson-
ders dadurch, dass sein Fluorid mit Fluorkalium eine
leicht lösliche Verbindung bildet, während das Kalium-
Tantalfluorid 200 Theile Wasser von 10° zur Lösung
braucht.
Auf diesem verschiedenen Verhalten beruht die Schei-
dung des Neptuniums von den anderen Metallen der Tan-
tal-Gruppe.
Charakteristisch für die Neptunsäure ist die Färbung,
welche sie dem Phosphorsalze in der innern Flamme ertheilt.
Sie färbt nämlich dasselbe weingelb. Intensiver noch ist
diese Färbung durch neptunsaures Natron, welches ein
goldgelbes Glas erzeugt.
Die Säuren der andern Metalle der Tantal-Gruppe ge-
ben bekanntlich dem Phosphorsalze in der innern Flamme
folgende Färbungen:
Säuren des Tantals geben farblose Gläser;
Säuren des Niobium geben blaue Gläser;
Säuren des Ilmeniums geben braune Gläser.
Auch gegen Gallusgerbsäure verhalten sich die Säu-
ren der Metalle der Tantal-Gruppe verschieden.
Wenn man Lösungen der Natronsalze dieser Säuren
— 405 —
mit etwas Galläpfeltinctur vermischt und hierauf Salz-
säure hinzufügt, so entstehen verschieden gefärbte Nie-
derschläge. Die Farbe derselben ist:
Tantalsäuren: schwefelgelb;
Niobsäuren: orange;
Ilmensäuren: ziegelroth;
Neptunsäure: zimmtbraun.
Bei der Zinnprobe verhält sich das Hydrat der Neptun-
säure wie die Hydrate der Säuren von Niobium und Il-
menium, aber ganz verschieden von den Hydraten der
Säuren des Tantals.
Wenn man nämlich 4 Theile lufttrockne Hydrate der
Säuren dieser Metalle mit 200 Theilen starker Salzsäure
in einem kleinen Glaskolben zum Kochen bringt und
dieser Flüssigkeit Zinnfolie zusetzt, so lösen sich die
Hydrate der Säuren von Niobium, Ilmenium und Neptu-
nium zu intensivblau gefärbten Flüssigkeiten auf.
Die Hydrate der Säuren des Tantals hingegen, werden
bei vorstehender Behandlung weder gefärbt, noch gelöst.
Bestimmung des Atom-Gewichts des Neptuniums und
Zusammensetzung des Kaliwm-Neptunfluorids.
Hydrat der Neptunsäure wurde in Flusssäure gelöst,
mit Fluorkalium versetzt und krystallisirt. Man erhielt
dabei ein Kalium-Neptunfluorid von dem Ansehen des
blättrigen Kalium-Niobfluorids. Man löste dasselbe in we-
nig heissem Wasser. Beim Erkalten dieser Lösung er-
starrte sie zu einem Brei zarter Blättchen, die zwischen
Filtrirpapier ausgepresst und bei der Temperatur des
Zimmers getrocknet wurden.
cU. —
Das so dargestellte Kalium-Neptunfluorid gab bei der
Analyse vermittelst Schwefelsäure:
Wasser 6,00.
Neptunsäure 45,75 — 57,54 Neptunfluorid = 37,18 Neptunium.
Schwefelsaures Kali 54.70 = 24,52 Kalium = 11,94 Fluor = 36,46 KF.
Differenz zwischen Metallsäure und Metallfluorid = 11,79.
Fluor des Metallfluorids: 11,79 X 1,727 = 20,36 Fluor.
Proportion von Fluor im Fluorkalium und Metallfluorid: 11,94: 20,36
—1:1,70. Angenommen 1 : 1.75.
Aus dieser Proportion von 1: 1,75 folgt, dass auf 4
Atom Fluorkalium eine Menge von Metallfluorid enthalten
sei, welche 7 Atome Fluor enthält.
Da ausserdem in den blättrigen Kalium-Metallfluoriden
der Metalle der Tantal-Gruppe stets 2 Atome Kalium auf 1
Atom Metall enthalten sind, so erhält man aus obigen
Zahlen, nämlich 24,52 Kalium auf 37,18 Neptunium, das
Atom-Gewicht des Neptuniums zu 118,2, oder in ganzen
Zahlen zu 118.
Die chemische Formel des Kalium-Neptunfluorids ist
nach diesen Berechnungen = 4 К FI J- Np? Fl’ + 2 H*O.
Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
2:Np. == 236... 37,10... 37,18
AK 156 24,46 24,52
11 Fl 209 32,80 32,30
2 H°0 636 5,64 6,00
637 100,00 100,02
Die Atom-Gewichte der Metalle der Tantal-Gruppe bil-
den daher folgende Reihe:
Tantal 176
Neptunium 118
Niobium 114,2
Ilmenium 104,6.
— 407 —
Ueber die Zusammensetzung der Hydrate der nach der
Formel Me‘ 0’ zusammengesetzten Säuren der Metalle
der Tantal-Gruppe.
Wenn man diese Säuren mit ihrer 6fachen Menge
saurem schwefelsaurem Kali schmilzt, die Schmelze bis
zum Glühen erhitzt und hierauf die ungelöst bleibenden
Metallsäuren mit heissem Wasser so lange auslaugt, als
das ablaufende Waschwasser noch auf Schwefelsäure re-
agirt, so bilden sich Hydrate der Metallsäuren, die nach
dem Trocknen über Schwefelsäure, folgende Beschaffen-
heit hatten.
Das Hydrat von №‘ O" bildete ein lockeres weisses
Pulver, von dem Aussehen der Magnesia.
Beim Anfeuchten mit Wasser bildete es eine thonähn-
liche plastische Masse.
Beim Erhitzen des getrockneten Hydrats bis zum Glü-
hen, verlor dasselbe 31,5 pr. Cent. Wasser und zeigte
dabei ein lebhaftes Verglimmen, was eine Veränderung
des Atom-Volumens der in dem Hydrate enthalten ge-
wesenen Metallsäure andeutet.
Die Formel des Hydrats der Neptunsäure ist nach obi-
ger Wasser-Bestimmung: Np* O* + 15 H? О.
Diese Formel giebt nàmlich:
| Berechnet. Gefunden.
Np'O'— 584,00 68,59 68,50
15H? 0 = 270 31,41 31,50
7 854 100,00 100,00
Auf gleiche Weise, durch Schmelzen mit saurem schwe-
felsaurem Kali und Auswaschen dargestellte Hydrate von
Nb'O’ und Il* O* hatten die Zusammensetzung:
Nb*O0* +7 H?O und
1°0°’+8 H* O.
— 408 —
Sie enthielten mithin viel weniger Wasser als das Hy-
drat der Neptunsáure; auch waren sie nicht so locker
als dieses, bildeten mit Wasser keine plastische Massen
und zeigten beim Erhitzen bis zum Glühen kein Ver-
glimmen.
Das spec. Gewicht der aus obigem Hydrate dargestell-
ten Neptunsáure betrug 4,51.
Das spec. Gewicht der aus Nb‘O’+ 7H?O darge-
stellten Niobsäure betrug 4,57 und ihre sterische For-
mel war Pn T ND |
17766
Atom-Volum und spec. Gewicht des Neptuniums.
Da ich nur die geringe Menge von 40 Gran Neptun-
säure-Hydrat zu meiner Disposition hatte, so war es mir
nicht möglich metallisches Neptunium darzustellen und sein
spec. Gewicht und Atom-Volum direct zu bestimmen.
Diese Grössen lassen sich aber berechnen, wenn man
dabei von der Voraussetzung ausgeht, dass die durch
Glühen von Hydrat dargestellte Neptunsäure (Np* О’) die-
selbe sterische Constitution besitzt, wie die auf gleiche
4 7
Weise dargestellte Niobsäure, nämlich: hoe
1 1,66.
Ni ioe
Da das Atom-Gewicht von т 166
584
beträgt sein Atom-Volum: IS 129,5. Zieht man
von dieser Zahl das At.-Vol von
—=ÿ# 581 Jsb s
0:
TC 58,33 ab, so
4
erhalt man als At. Vol. von 2: die Zahl 71,17 oder
— 409 —
als At Vol. von 1 Atom die Zahl ul = 17,79, eine
Zahl, die sehr nahe kommt der Zahl 18, welche man als
Atom-Volum des Neptuniums betrachten kann.
Das spec. Gewicht des Neptuniums würde daher be-
tragen = UU.
Die Atom-Gewichte, Atom-Volume und spec. Gewichte
der Metalle der Tantal-Gruppe sind daher folgende:
Namen At.-Gewichte. At.-Volum. Berechnet. Beobachtete
| sp. Gw. spec. Gw.
Tantal . 176 165 10,66 10,77 H. Rose.
Niobium 114,2 17,0 6,52 6,60 do
IImenium 104,6 11,5 5,94 5,97 H.
Neptunium 118 18 6,55 ?
Man ersieht zugleich aus vorstehender Tabelle, dass
sich auch das Neptunium dem allgemeinen Gesetzte unter-
ordnet, nach welchem die At.-Volume isochemischer Ele-
mente zu einander in rationellen Verhältnissen stehen und
entweder unter einander gleich sind, oder progressive
Reihen mit gleichen Differenzen bilden.
Die Atom-Volume der Metalle der Tantal-Gruppe bil-
den folgende Progression:
Тапа... . soos b RE A
Niobium 16,5 -L 1 0,5 — 17,0
llmenium 16,5 +2 X 0,5 — 17,5
Neptunium 16,5 +3 X 0,5 = 18,0
Verbindungen der Neptunsäure mit Natron.
Wenn man eine mit 25 Theilen Wasser verdünnte Lö-
— 410 —
sung von Neptunfluorid zum Kochen bringt und dersel-
ben Natronhydrat in Ueberschuss hinzusetzt, so erhält man
einen amorphen Niederschlag von neptunsaurem Natron.
Wenn man dann diesen Niederschlag von der Natron-
lauge abscheidet und nun mit seiner 25fachen Menge von
reinem Wasser zum Kochen bringt, so bleibt er ungelöst.
Wenn man dagegen Neptunsäure mit Natronhydrat
zum glühenden Fluss bringt und den Ueberschuss des
Natrons mit Wasser auszieht, so löst sich jetzt das so
dargestellte neptunsaure Natron in kochendem Wasser
vollständig auf und krystallisirt beim Erkalten der Lö-
sung in prismatischen Krystallen.
Das Neptunfluorid und die Neptunsäure verhalten sich
demnach gegen Natron ganz ähnlich wie Tantalfluorid und
Tantalsáure; nur knystallisirt das tantalsaure Natron
nicht in Prismen, sondern in hexagonalen Tafeln.
Dagegen verhalten sich die Fluoride von Niobium und
IImenium gegen Natron ganz verschieden.
Wenn man nämlich diese Fluoride mit Wasser ver-
dünnt zum Kochen bringt und zu diesen Lösungen Na-
tronhydrat in Ueberschuss hinzusetzt, so schlagen sich
die Natronsalze der Säuren des Niobiums und Ilmeniums
krystallinisch nieder und diese Niederschläge sind dann
in ihrer 25fachen Menge von kochendem reinen Wasser
vollständig löslich.
Ueber quantitative Bestimmung der Säuren der Metalle
der Tantal-Gruppe in Gemengen derselben.
Es giebt eine grosse Anzahl von Mineralien, welche
in ihrer Mischung Säuren der Metalle der Tantal-Gruppe
enthalten. Manche dieser Mineralien sind aber so selten,
— À11 —
dass man gewöhnlich nur über geringe Mengen derselben
disponiren kann. Es handelt sich besonders in solchen
Fällen darum, Methoden zu besitzen, um auch in kleinen
Quantitäten solcher 'Gemenge von Metallsäuren ihre ein-
- zelnen Bestandtheile quantitativ bestimmen zu können.
‚In Betreff der Säuren des Tantals und Neptuniums
macht dies keine besonderen Schwierigkeiten, da die
Kalium-Tantalfluoride schwer löslich sind und leicht durch
Krystallisation abgeschieden werden können.
Das Kalium-Neptunfluorid dagegen ist sehr leicht lös-
lich und sammelt sich, nach dem Auskrystallisiren der
Kalium-Niob- und Ilmenfluoride in der Mutterlauge an,
aus der es durch Natronhydrat in Verbindung mit Natron
abgeschieden werden kann.
Durch Eindampfen, sowohl des Kalium-Tantalfluorids,
als auch des neptunsauren Natrons mit saurem schwefel-
saurem Kali, Auswaschen der Schmelze und Glühen der
Hydrate, erhält man die Tantalsäure und Neptunsaure
im reinen Zustande. |
Hat man demnach in einer abgewogenen Quantität des
Gemenges von Säuren der Metalle der Tantal- Gruppe auf
vorstehende Weise die Quantität der Säuren des Tan-
tals und Neptuniums bestimmt, so ergiebt sich aus der
Differenz die Summe der in dem Gemenge enthaltenen
Säuren des Niobiums und Ilmeniums, deren gegenseitige
Proportion aus dem Atom-Gewichte des in ihrem ge-
mengten blattrigen Kalium-Metallfluorides enthaltenen Me-
talls berechnet werden kann.
Ueber Scheidung der Säuren von Niobium und Ilmenium.
Scheidungen der Säuren von Niobium und llmenium
№ 4. 1876. 2
— 412 —
lassen sich nur durch fractionirte Krystallisationen ihrer
Kalium-Metallfluoride und ihrer Natronsalze ausführen,
was den Besitz grösserer Quantitäten von Material vor-
aussetzt. р
Diese Scheidungen beruhen auf der verschiedenen Lös-
lichkeit obiger Verbindungen in Wasser.
Kalium-Niobfluoride brauchen 12—15 Theile Wasser
von 10° zu ihrer Lösung. Kalium-Ilmenfluoride dagegen
25—30 Theile.
Natronsalze der Säuren von Niobium sind fast unlös-
lich in Flüssigkeiten, welche überschüssiges Natronhydrat
enthalten.
Natronsalze der Säuren des llmeniums sind zwar eben-
falls sehr schwer löslich in natronhaltigen Flüssigkeiten,
doch nicht in so hohem Grade, wie die Natronsalze der
Säuren des Niobiums.
Als Beispiel einer Scheidung von Säuren des Niobiums
und Ilmeniums möge Folgendes dienen.
Man stellte aus dem oben beschriebenen Gemenge aus
gleichen Theilen Columbit und Ferroilmenit Kalium-Me-
tallfluoride dar, entfernte das Kalium-Tantalfluorid, und
liess das Gemenge von Kalium-Niobfluorid und Kalium-
Iimenfluorid auskrystallisiren. Eine Probe dieser gemengten
blättrigen Fluoride wurde der Analyse durch Eindampfen
mit Schwefelsäure unterworfen.
100 Theile gaben dabei:
Wasser 6.0.
Metallsäuren 44,50=56,93 Metallfluoride—35,43 Metalle.
Schwefelsaures Kali 55,60—24,91 Kalium—37,04 KF1—12,13 F1.
Differenz zwischen Metallfiuoriden und Metallsäuren 12,43.
Fluor in den Metallfluoriden 12,43 X1,727—21,46.
Metalle in den Metallfluoriden 56,93—21,46—35,47.
Atomgewicht der Metalle 24,91 : 35,43 = 78 : 111,0.
— 413 —
Aus diesem At. Gewicht des Metalls von 111,0 folgt
demnach, dass das Metall ein Gemenge sei, aus °/, Nio-
bium und ?/, Ilmenium, denn:
2 5/101,6—209,9
34114,2—342.6
4895.1. 999)
9
Diese Zusammensetzung des Kalium-Metallfluorids ent-
spricht demnach der Formel
AKFI 4-2(Nb 7, I?/, )FU -- 2H*0.
Diese Formel erfordert námiich:
| Berechnet. Gefunden.
(№. IE] )=990,6 35,50 35,47
4K—156,0 25,09 24,94
11FI—209,0 33,62 . 83,59
93H*0— 36,0 5,79 6,00
621,6 — 100,00 100,00
_ Die aus diesem Kalium-Metallfluoride abgeschiedene
Metallsáure färbte das Phosphorsalz brawn.
880 Theile dieser gemengten Kalium-Metallfluoride
wurden in ihrer 10 fachen Menge heissem Wasser ge-
löst und die Lösung bis 10° abgekühlt. Dabei krystal-
lisirten 220 Theile Kalium-Metallfluorid Ne 1.
Die hiervon abgepresste Lösung wurde auf ihr halbes
Volum eingedampft und wieder abgekühlt. Dabei krystal-
lisirten 230 Theile Kalium-Metallfluorid N° 2.
Auf gleiche Weise wurden noch erhalten 200 Theile
Kalium-Metallfluorid Ne 3.
2
— 414 —
In der hiervon abgeschiedenen Mutterlauge war jetzt
noch ein Gemenge von Kalium-Niobfluorid und Kalium-
Neptunfluorid enthalten, die durch Zusatz von überschüs-
sigem Natronhydrat in Natronsalze umgewandelt und
auf die früher angegebene Weise geschieden wurden.
Was nun die Zusammensetzung dieser fractionirten
Kalium-Metallffuoride anbelangt, so bestand N° 1 gróss-
tentheils aus Kalium-Ilmenfluorid, und № 3 gréssten-
theils aus Kalium-Niofluorid.
Durch Umkrystallisiren dieser Fluoride wurden reine
Kalium-Ilmen-und Kalium-Niobfluoride erhalten.
Ne 3 dagegen bestand aus einem Gemenge von Kalium-
limen- und Kalium-Niobfluoriden und wurde durch Um-
wandeln in Natronsalze zerlegt.
Diese Operation wurde wie folgt ausgeführt.
Man löste die Kalium-Metallfluoride in ihrer 25fachen
Menge kochendem Wasser und setzte zu der kochenden
Lósung auf 1 Theil Fluorid 2 Theile Natronhydrat.
Nach der Abkühlung der starkalkalischen Flüssigkeit
hatten sich die Natronsalze fast vollständig in kleinen
Krystallen abgesetzt.
Man schied dieselben von der alkalischen Mutterlauge,
löste sie in ihrer 25fachen Menge reinem kochenden
Wasser und setzte zu der klaren Lösung nach und nach
in kleinen Portionen Natronlösung so lange hinzu, bis
sich niobsaures Natron anfing auszuscheiden.
Die Flüssigkeit wurde anfänglich in einem bis 50°
erwärmten Raume und später bis 25° langsam abgekühlt.
Dabei bildete sich niobsaures Natron in ziemlich gros-
sen prismatischen Krystallen, während das beigemengte
ilmensaure Natron in Auflösung blieb. |
— 115 —
Aus dieser Lösung fällte man dann die llmensáure
durch Salzsäure und Ammoniak und reinigte sie durch
‘ Umwandlung in Kalium-limenfluorid und Krystallisiren.
Zusammensetzung der aus ‘/, miobiger Säure und */, il-
meniger Säure dargestellten Kalium-Metallfluoride.
Diese Verbindungen hatten dieselbe Form, wie die aus
Nb?O?, NbO?, IPO? und ПО? dargestellten Kalium-Metall-
fluoride.
Sie wurden durch Eindampfen mit Schwefelsäure zer-
legt und gaben dabei folgende Resultate.
a) Kalium-Niobfluorid.
100 Theile gaben:
Wasser 5,89.
*/, niobige Säure (Nb*O") 44,81.
Schwefelsaures Kali 55,18.
. Nach der bereits angegebenen Methode berechnet, ent-
sprechen diese Verhältnisse der Formel: A4KFl + Nb? Fl’
J-2H?0.
Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
2Nb 228,4 36,30 35,70
AK 156,0 24,78 24,73
11Е 209,0 33,20 33,68
2H°0 36,0 Sl? 5,89
629,1 100,00 100,00
Die aus diesem Fluoride abgeschiedene ‘/, niobige
Säure färbte das Phosphorsalz in der innern Flamme inten-
siv blau.
— 116 —
b) Kalium-Ilmenfluorid.
100 Theile gaben:
Wasser 6,33.
*|, ilmenige Säure (I1*0?) 43,77.
Schwefelsaures Kali 55,94.
Diese Proportionen entsprechen der Formel: 4KFi
+ I?FI* + 2H?0. Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
2 II 209,2 34,28 34,60
AK 156,0 25,57 25:07
ИЕ 209,0 34,26 34,00
2 H°0 36,0 5,89 6,33
610,2 100,00 100,00
Die aus diesem Fluoride abgeschiedene ‘/, ilmenige
Säure färbte das Phosphorsalz in der innern Flamme
braun.
Ueber die Zusammensetzung der Natronsalze von
Nb‘O" und IU'O*.
Die krystallisirten Natronsalze der Säuren von Niobium
und Ilmenium wurden aus ihren Fluoriden durch Fäl-
lung mit überschüssigem .Natronhydrat, Wiederauflösung
in ihrer 25fachen Menge reinem kochenden Wasser,
allmähligem Zusatz ven Natronhydrat bis zur anfängli-
chen Ausscheidung und sehr langsamer Abkühlung der
Flüssigkeit dargestellt.
a) Krystallisirtes Natronsalz der ‘/, niobigen Säure.
Dasselbe bildet vierseitige monoklinische Prismen der
Combination oP . OP . + Pec.
— 417 —
Die Krystalle setzen sich gewöhnlich in einzelnen In-
dividuen ab. Sie sind farblos, durchsichtig, glasglänzend
und luftbeständig.
Mit Phosphorsalz in der innern Flamme geschmolzen
geben die Natronsalze der Säuren des Niobiums blaue
Gläser.
Die Analysen der Natronsalze der Säuren des Niobi-
ums und Ilmeniums werden am besten dadurch ausge-
führt, dass man die entwässerten Salze mit saurem,
schwefelsauren Ammoniak schmilzt. Es entsteht dabei eine
klare Schmelze, die bei der Auflösung in Wasser eine
trübe Flüssigkeit giebt, aus der Ammoniak Hydrate der
Metallsäuren fällt, die nach dem Auswaschen und Glü-
hen, die Metallsäuren in Form von Stücken mit glasar-
tigem Bruch und starkem diamantähnlichem Glanze hin-
terlassen.
Das Notronsalz der ‘/, niobigen Säure war nach der
Formel 2 Na?0--Nb:O'— 11H?O0 zusammengesetzt.
Man erhielt nämlich:
Berechnet. Gefunden.
Nb*O' 568,8 63,86 63,20
2 Na?O 124,0 13,92 14,18
11 H°0 198,0 22 99 22,62
89 0. 100,00 100,00
b) Krystallisirtes Natronsalz der ‘/, ilmenigen Säure.
Dieses Salz krystallisirt hexagonal. Es bildet zarte
Prismen, die gewöhnlich zu reifähnlichen, farnkrautblät-
trigen Aggregaten verwachsen sind.
Die Krystalle sind farblos, im frischen Zustande glas-
glänzend und durchsichtig. An der Luft werden sie aber
bald trübe und undurchsichtig.
— A18 —
Mit Phosphorsalz geben die Natronsalze der Säuren
des Ilmeniums braune Gläser.
Die Krystalle, der Natronsalze, nicht allein der ‘/, il-
menigen Säure, sondern auch der anderen nach den
Formeln I?0? und ПО? zusammengesetzten Säuren des
Ilmeniums, können daher leicht von den Natronsalzen
der Säuren des Niobiums, sowohl durch die verschie-
dene Färbung, welche sie dem Phosphorsalze ertheilen,
als auch durch ihre verschiedene Krystallform, ihr ver-
schiedenes Verhalten beim Liegen an der Luft und ihren
verschiedenen Wasser-Gehalt unterschieden werden.
Das Natronsalz der 54/. ilmenigen Säure war nach der,
Formel: 2 Na*0 --I1I*0'--13 H*O zusammengesetzt und
gab bei der Analyse durch schwefels. Ammoniak folgen-
de Resultate:
Berechnet. Gefunden.
11°0° 530,4 59,71 58,97
2 Na°O 124,0 13,95 14,46
13 DO 234,0 26,34 26.51
888,4 100,00 100,00
Ueber die Zusammensetzung der Kalisalze von .Nb*O*
und Il’O'.,
Diese Verbindungen werden am einfachsten dargestellt,
wenn man die pulverförmigen, aus ihren Sulfaten durch
Auswaschen dargestellten Hydrate der Metallsäuren in
kochender Kalilauge löst, welche doppelt soviel Kali-
hydrat enthält, als man Metalisäure verwendet.
Man verdampfe diese Lösungen anfänglich über freiem
Feuer und später, bei grösserer Concentration über
Schwefelsäure im leeren Raume.
Dabei ist zu bemerken, dass das Kalihydrat gewöhn-
— 419 —
lich kleine Mengen von Natronhydrat enthält. In Folge
davon bildet sich, bei grösserer Concentration der Lö-
sungen, ein weisses Pulver, welches auch mannichmal
schuppige und kugelförmige Aggregate bildet, und wel-
ches aus Kali-Natron-Doppelsalzen der Metallsäuren be-
steht, und welches entfernt werden muss, bevor die rei-
nen Kalisalze krystallisiren.
a) Kalisalz der ®/, niobigen Säure.
Dasselbe bildete grosse dicktafelfórmige, monoklinische
Krystalle. Dieselben sind anfänglich klar, werden aber an
der Luft bald trübe.
Beim Erhitzen blähen sich die Krystalle auf, verlieren
ihr Krystallwasser und hinterlassen eine weisse Masse,
die über der Weingeistlampe nicht zum Schmelzen kommt.
Bei der Analyse vermittelst saurem schwefels. Ammoniak
zeigte sich die Verbindung nach der Formel
3K?0,Nb*0*-- 11H?0 zasammengesetzt. Man erhielt nàmlich:
Berechnet. Gefunden.
Nh‘O’ 568,8 54,42 53,48
3K°0 282,0 26,70 27,44
14Н*О 198,0 13,88 19,08
10488 100,00 100,00
b) Kalisalz der */ ilmenigen Säure.
Auf gleiche Weise wie das Kalisalz der ‘/, niobigen
Säure dargestellt, wurden zwei verschiedene Verbindun-
gen erhalten.
Die eine dieser Verbindungen war nach der Formel
3K:0,1°0°’+15H?0 zusammengesetzt; die andere dage-
sen entsprach der Formel 7K?0,211‘0’+27H°V.
— 420 —
Die Verbindung mit 3K°0 war in reihen- und netz-fór-
mig verwachsene Rhomboëdern krystallisirt. =
Die Verbindung mit 7K?O bildete hexagonale Prismen
mit der Basis und Abstumpfungen der Endkanten durch
eine hexagonale Pyramide.
Die Verbindung mit 3K°0 hatte die Zusammensetzung:
Berechnet. Gefunden.
1:0’ 530,4 49,01 49,14
3K°0 282,0 26,05 26,49
15H70... 27200 24,94 24,50
1082,4 100,00 100,13
Die Verbindung mit 7K°0 bestand aus:
Berechnet. Gefunden.
210’ 1060,8 19,32 48,11
ПО 8.0 30,59 31,29
24H°0 — 437,0 20,09 20,00
91508 100,00 100,00
Darstellung von Niobium und Ilmenium.
Zur Reduction dieser Metalle bedient mansich am be-
sten ihrer krystallisirten Kaliumfluoride.
Man vermische Kalium-Niob- oder Kalium-Ilmenfluorid
mit ihrem gleichen Gewichte Chlorkalium und entwäs-
sere das Gemenge durch starkes Erhitzen.
Hierauf zerreibe man das entwässerte Gemisch zu fei-
nem Pulver, bringe dasselbe in einen blanken Tiegel aus
Schmiedeeisen, setze ihm sein halbes Gewicht Kalium
hinzu, bedecke das Gemenge mit einer dicken Schicht
von trocknem Chlorkalium und verschliesse den Tiegel
mit seinem Deckel.
— 421 —
Diesen so beschickten eisernen Tiegel setze man in
einen hohen hessischen Schmelztiegel, fülle den Raum
über dem eisernen Tiegel mit kleinen Stücken frisch
ausgeglühter Kohle aus und bringe das Ganze im Tiegel
befindliche Gemenge in einem Windofen zum Schmelzen.
Die Reduction der Metallfluoride kündigt sich durch
schwache Detonationen an. Nach dem Aufhören dersel-
ben hebe man den Tiegel aus dem Feuer und lasse ihn
langsam erkalten.
Die erkaltete Schmelze schlage man in kleine Stücke
und werfe dieselben in ein mit Wasser gefülltes Gefäss.
Dabei lósen sich. die Salze und das noch verhandene
überschüssige Kalium unter schwacher Wasserstoff-Ent-
wicklung auf, und die reducirten Metalle setzen sich in
der Form von schwarzen Pulvern aus der Flüssigkeit ab.
Man sammle sie auf Filtern, wasche sie aus und troc-
hne sie über Schwefelsäure.
Wenn man die so dargestellten Metalle bei Zutritt von
Luft erhitzt, so verbrennen sie mit schwach leuchtender
Flamme und unter Bildung einer geringen Menge von
Wasser. |
Die schwarzen Metallpulver enthalten daher eine ge-
. ringe Menge von Wasserstoff; doch dürfte derselbe nicht
chemisch gebunden, sondern nur adhärirend sein, da seine
Menge nur sehr gering und vatriirend ist. Das Niobium
enthielt nur 0,726 pr. Cent. und das Ilmenium nur 0,23
pr. Cent Wasserftoff.
Ueber die Quantität von Sauerstoff, welche Niobium und
Ilmenium beim Erhitzen aus der Luft aufnehmen.
Bei der Oxydation, durch Erhitzen an der Luft, neh-
men Niobium und Ilmenium sehr verschiedene Mengen
von Sauerstoff auf.
— 422 —
100 Theile Niobium erhöhten dabei ihr Gewicht auf
120,49 Theile und bildeten dabei unterniobige Säure
(Nb*O?). |
Die unterniobige Säure besteht daher, da 120,49 Theile
100 Theile Niobium enthalten, aus:
Niobium $82,99
Sauerstoff 17,01:
Die Berechnung ergiebt:
Berechnet.
INb=228, 4 82,63
30— 18,0 17,27
276,4 100,00
100 Theile Ilmenium nahmen dagegen beim Erhitzen
an der Luft 37,96 Theile Sauerstoff auf und bildeten
Unterilmensäure (11?0°).
Da nun 100 Theile Ilmenium 137,96 Theile Unteril-
mensäure bildeten, so Lesteht letztere aus:
Ilmenium 72,48
Sauerstoff 27,52
100,00
Eine solche Verbindung entspricht der Formel Il?O*,
welche erfordert:
Berechnet.
211—209,2 72,34
50= 80,0 27,66
280,2 100,00
Vergleichen wir jetzt die Sauerstoff-Mengen, welche
100 Theile Niobium aus der Luft aufnehmen sollen, die
2 498 —
von anderen Chemikern angegeben wurden, so finden wir
folgende Zahlen:
20,60 H. Rose
19,30 Delafontaine
38,0 Marignac.
Woher kommen diese Differenzen?
H. Roses Zahl (20,60) stimmt mit der von mir gefun-
denen Zahl (20,49) nahe überein.
Marignacs Zahl (38) kann sich daher nicht auf Niobi-
um beziehen; stimmt aber mit der Zahl überein, welche
ich für Ilmenium fand, nämlich 37,95.
Es fragt sich jetzt: Wie konnten H. Rose reines Niobi-
um aus Columbit von Bodenmais und Marignac reines
Ilmenium aus Columbit von Haddam erhalten?
Dieses Räthsel wird sich durch folgende Betrachtun-
gen lösen lassen.
H. Rose benutzte, wie gesagt, zu seinen Untersuchun
gen über das Niobium eine Metallsäure, die er aus Co-
lumbit von Bodenmais dargestellt hatte. Diese Metallsäure,
wurde in Chlorid umgewandelt und dieses liess sich in
ein weniger flüchtiges weisses Chlorid und in ein flüchti-
. geres gelbes Chlorid zerlegen. H. Rose verwandte grosse
Mühe und Sorgfalt darauf, um das weisse Chlorid möglichst
rein darzustellen, Dadurch gelang es H. Rose sehr rei-
nes Niobchlorid (Nb Cl?) zu erhalten und konnte daraus
reine unterniobige Säure (Nb? O^) und andere Niob-Prä-
parate darstellen, die er zu seinen Untersuchungen über
das Niobium verwandte.
Deshalb stimmen auch H. Roses Angaben über die Ei-
genschaften der Niobiums und die Zusammensetzung
seiner Verbindungen sehr genau mit den meinigen
überein.
— ey —
Was nun das gelbe Chlorid anbelangt, welches H.
Rose bei diesen Arbeiten erhielt, so war H. Rose der irri-
zen Ansicht, dass dasselbe das Chlorid eines neuen Me-
talls sei, welches er Pelopium nannte. Als charakteristi-
sche Eigenschaften des Pelopiums fand H. Rose ein sehr
hohes spec. Gewicht, welches bis 6,7 stieg und braune
Färbung des Phosphorsalzes.
Als ich dann später fand, dass der Columbit von Bo-
denmais, ausser unterniobiger Säure, eine zwar schwan-
kende aber bis 24,26 pr. C. steigende Quantität von Tan-
talsäure und 18,86 pr. C. unterilmenige Säure enthalte,
welche die charakteristische Eigenschaft besitze, das
Phosphorsalz braun zu fürben, so folgte aus diesen Beo-
bachtungen, dass H. Roses gelbes Pelopchlorid ein Gemenge
von Tantalchlorid und Ilmenchlorid sei und dass H. Roses
Pelopium nicht existire.
H. Rose hat daher durch seine Untersuchungen über
das angebliche Pelopium, durch dessen Eigenschaft das
Phosphorsalz braun zu färben, die Existenz des Ilmeniums,
und durch das hohe spec. Gewicht des Pelopiums, das
Vorkommen von Tantalsäure im Columbit von Bodenmais
bestätigt, allerdings ohne sich dessen bewusst zu sein,
da H. Rose sowohl das Vorkommen der. Tantalsäure in
den Columbiten, als auch die Existenz des Ilmeniums
bestritt.
Was nun den Umstand anbelangt, dass Marignac mit
der Metallsáure des Columbits von Haddam ein Metall-
fluorid erhielt, welches bei der Reduction, statt Niobium,
wie Marignac voraussetzte, IImenium ergab, welches beim
Oxydiren durch den Sauerstoff der Luft, statt 20,49 Theile,
38 Theile Sauerstoff aufnahm, so erscheint dieser Umstand auf
den ersten Blick paradox, um so mehr, als auch Marignac
die Existenz des limeniums nicht allein geleugnet hat,
cai s
sondern auch noch bis jetzt bei seinem Irrthum zu be-
'" harren scheint.
Aber auch dieser Umstand erklärt sich sehr einfach.
Ich habe nämlich gefunden, dass die Metallsäure des
Columbits von Haddam, die Marignac vorzugsweise zu
seinen Untersuchungen über die Verbindungen des Nio-
biums verwandte, bestehe aus: 11,77 Ta? O°; 41,17 №? O°
und 25,74 Il? O°.
Marignac bereitete aus diesem Gemenge Kalium-Me-
tallfuorid und schied das Kalium-Tantalfluorid durch
Krystallisation ab.
Dabei blieb also ein Gemenge von °/, Kalium-Niobfluorid
und ?/ Kalium-Ilmenfluorid in Lösung.
Bei einer fractionirten Krystallisation dieses Gemenges
von Fluoriden konnte also Marignac bei der ersten Krv-
stallisation fast reines Kalium Ilmenfluorid und aus die-
sem durch Reduction Ilmenium erhalten.
Dieser Irrthum war um so leichter zu begehen, da
Kalium-Niobfluorid und Kalium-Ilmenfluorid gleiche Form
und nahe gleiche Zusammensetzung besitzen und daher
nur schwer von einander zu unterscheiden sind, wenn
man bei diesen Untersuchungen nicht das Löthrohr zu
Hülfe nimmt, Marignac giebt aber bei seinen Untersu-
chungen über das Niobium nirgends an, wie sich seine
Präparate beim Zusammenschmelzen mit Phosphorsalz
verhielten und ob sie dasselbe braun oder blau farbten.
Dadurch hat Marignacs sonst so ausgezeichnete und
gewissenhafte Arbeit über das Niobium von ihrem Werthe
verloren, da Marignacs Präparate gewöhnlich Gemenge
von Niobium und Ilmenium enthielten und in einem
Falle sogar aus reinem Ilmenium bestanden.
Glücklicher Weise behalten Marignaes zahlreiche Un-
tersuchungen der Krystallformen der Niob-Verbindungen
— 426 —
ihren vollen Werth, da die Verbindungen von Niobium
und Ilmenium isomorph sind und daher die Krystallformen
der Niob-Verbindungen durch Beimengung von Ilmen-
Verbindungen nicht alterirt werdem.
Ueber Darstellung von Ilmensáuve (Il O?).
Die Ilmensäure mit 3 Atomen Sauerstoff war bisher
nicht bekannt. Kürzlich habe ich aber zufällig diese Ver-
bindung bei einer verunglückten Reduction von Ilmenium
aus Kalium-Ilmenfluorid erhalten. Bei dieser Reduction
war nämlieh das Salz-Gemenge zu lange im Feuer ge-
blieben und der Zutritt von Luft nicht vollständig ge-
hemmt worden.
Als man daher die Schmelze mit Wasser behandelte,
so löste sie sich vollständig auf. Das reducirte Ilmenium
hatte sich daher wieder vollständig oxydirt, hatte aber
dabei, nicht wie bei dem Verbrennen des llmeniums an
der Luft Unterilmensäure (Il? 0°), sondern, in Folge der
gleichzeitigen Einwirkung von Kalium-Oxyd und der hö-
heren Temperatur, Ilmensäure (Il O°) gebildet.
Man benutzte diesen Umstand, um die Eigenschaften
der 3atomigen Ilmensäure, die Zusammensetzung ihrer
Kali- und Natronsalze und ihres Kalium-Ilmenfluords
kennen zu lernen.
1. Ilmensäure. (110°).
Dieselbe wurde erhalten, durch Eindampfen ihres Kalium-
Ilmenfluorids mit Schwefelsäure, Auswaschen der Schmelze
und Glühen des dabei gebildeten Hydrats.
Die so dargestellte Imensäure bildete ein weisses Pul-
ver, welches das Phosphorsalz braun farbte.
— 427 —
Das spec. Gewicht dieser pulverförmigen Ilmensäure
betrug 4,311.
2) Kalium-Ilmenfluorid. (5 K Fl + Il Fl’ + H? ).
Oben erwähnte, bei der verunglückten Reduction von
Ilmenium erhaltene Schmelze, wurde in Wasser gelöst,
die Lösung mit Salzsäure übersäuert und durch Ammo-
niak gefällt.
Der Niederschlag wurde, ohne zuvor ausgewaschen zu
werden, mit Schwefelsäure, unter Zusatz von schwefel-
saurem Kali, eingedampft, das Salz geschmolzen und
die Schmelze mit Wasser behandelt, so lange dasselbe
noch auf Schwefelsäure reagirte.
Dabei blieb pulverförmiges Hydrat der Ilmensaure
ungelöst, welches nach dem Auflösen in Flusssäure un-
ter Zusatz von Fluorkalium, beim Krystallisiren undeut-
liche. körnige Krystalle von Kalium-Ilmenfluorid bildete
Durch Umkrystallisiren derselben bildeten sich blätt-
rige Krystalle, von denen 100 Theile bei der Analyse
gaben: - |
i Wasser 4,53
Ilmensáure 38,01
Schwefelsaures Kali 61,62.
Aus diesen Proportionen ergiebt sich die Zusammen-
setzung des Kalium-Ilmenfluorids=3KFI+IIFl°+H?’O.
Diese Formel erfordert nämlich:
Berechnet. Gefunden.
ll 104,6 25,49 26,05
3K 117.0 28,49 27,63
9F] 171,0 11,64 41,19
НО 180 1,38 4,53
110,6 100,00 — 100,00.
№ 4. 1876. 28
— 428 —
3) Ilmensaures Natron. (2Na^O, 5110*--9 H*O).
Dieses Natronsalz wurde aus vorstehendem Fluoride
durch Fällen mit überschüssigem Natronhydrat und Um-
krystallisiren dargestellt.
Es bildete vierseitige monoklinische Prismen mit den
Flächen oo P. OP.
Bei der Analyse durch Schmelzen des entwässerten
Salzes mit saurem schwefelsaurem Ammoniak wurden
erhalten:
Ilmensäure 61,22
Natron 16,56
Wasser 22,22
100,00
Diese Zusammensetzung entspricht der Formel
2Na°0, 3110°+9H*O.
Diese Formel giebt:
Berechnet
3110:—457,8 61,55
2Na°0—124,0 16,67
9H:0—162,0 21,78
743,8 — 100,00
4) Ilmensaures Kali (KO, Il0:--O5 H*O.
Das Kalisalz wurde dargestellt, durch Auflösen von
pulverfórmigen Ilmensäure-Hydrat in einer Kalilauge,
welche doppelt soviel Kalihydrat enthielt, als Ilmensäure
verwendet wurde.
Diese Lösung wurde anfänglich über freiem Feuer und
später im leeren Raume über Schwefelsäure verdunstet.
— 429 —
Dabei bildeten sich erbsengrosse Krystalle, die bei ober-
flachlicher Betrachtung dicke hexagonale Prismen mit
der Basis zu sein schienen. Bei genauerer Untersuchung
zeigte es sich aber, dass die Basis nicht genau -recht-
winklich gegen die Seitenkanten des Prismas geneigt war.
Auch fand sich, dass die schärfste Seitenkante zwischen
Basis und Prisma, durch eine schmale Fläche abge-
stumpft war.
Die Krystalle waren daher monoklinisch und bestanden
aus der Combination oe P. oePoc.-- Ро. OP.
Bei der Zerlegung des entwässerten Salzes durch sau-
res schwefelsaures Ammoniak erhielt man
Iimensäure 51,14
Kali 30,11
Wasser 18,75
100,00
Diese Zusammensetzung entspricht der Formel:
K°0, 110°+3H?°0.
Dieselbe erfordert:
103 115256 50,77
K°0 94,0 31,27
3H?0 — 54,0 17,96
300,6 100,00.
28”
— 430 —
Nachtra <.
Zusammenstellung der wichtigeren Verbindungen der
Meialle der Tantal-Gruppe.
I. Verbindungen der Metalie der Tanta!-Gruppe mit Sauerstoff. .
1) Nach der Formel RO zusammengesetzte Oxyde.
a) Tantaloxyd (TaO).
Bei der Reduction von Kalium-Tantalfluorid durch Ka-
lium erhielt ich ein schwarzes Pulver, das aus einem
Gemenge von Tantal und:Tantaloxyd bestand..
Durch Schlämmen wurde das Tantaloxyd isolirt.
Dasselbe bildete ein schwarzes Pulver mit dem spec.
Gewichte 7,35.
Beim Erhitzen an der Luft verglimmte das Tantaloxyd
zu Untertantalsáure (Ta?O*):
b) Nioboxyd (NbO).
Nioboxyd wurde von Delafontaine dargestellt, indem er
unterniobige Säure (Nb?O?) in einem Porzellanrohre zum
starken Glühen brachte und darüber so lange Wasser-
stoffgas leitete, als noch Gewichts-Verlust statt fand.
Hierbei verwandelte sich die unterniobige Säure in
ein blauschwarzes Pulver von der Zusammensetzung NbO.
2) Blaue, grüne und braune Oxyde von Niobium und
Ilmenium.
Wenn man Chloride von Ilmenium oder Niobium in
— 431 —
starker Salzsáure lóst, diese Lósungen mit Wasser ver-
dünnt und unter Luftabschluss der Einwirkung von Zink
überlässt, so färbt sich die Flüssigkeit anfänglich blau,
dann grün, zuletzt braun. Nach der Sättigung der freien
Salzsäure durch das Zink schlagen sıch braune Flocken
nieder und die Flüssigkeit wird farblos.
Wenn man diese braunen Niederschläge auf Filtern
sammelt und auswäscht, so verlieren sie, in Folge von
Aufnahme von Sauerstoff aus der Luft, ihre braune Farbe,
und verwandeln sich in weisses Hydrat der unterilmeni-
gen, oder bei Anwendung von Niobiumchlorid in Hydrat
der unterniobigen Säure.
Hydrate der Säuren von Niobium, Ilmenium oder Nep-
tunium werden beim Kochen mit starker Salzsäure und
Zinnfolie zu intensiv blau gefärbten Flüssigkeiten aufge-
löst, also dabei nur bis zum blauen Oxyde reduzirt, das
sich nicht isoliren lässt.
Es ist wahrscheinlich, dass die vorstehend erwähnten
blauen, grünen und braunen salzsauren Lösungen braune,
grüne und blaue Oxyde des llmeniums und Niobiums
enthalten, welche aus verschiedenen Proportionen von
RO und R? О? zusammengesetzt sind.
Auf diese Weise würden sich auch die verschiedenen
Färbungen, welche die Säuren von Tantal, Niobium, Il-
menium und Neptunium beim Zusammenschmelzen mit
Phosphorsalz in der innern Flamme bilden, dadurch er-
klären, dass die Säuren des Tantals dabei nicht veràn-
dert werden und daher. farblose Gläser bilden, während
die Sáuren des Niobiums dabei bis zum blauen Oxyde,
die Säuren des [Imeniums bis zum braunen Oxyde und
die Neptunsäure bis zu einem gelben Oxyde reduzirt
werden.
— 492 —
3) Nach der Formel R^0? zusammengesetzte Säuren.
a) Untertantalige Säure (Ta?O?).
Untertantalige Säure ist in vielen Columbiten enthalten
und vertritt in diesem Minerale Nb?O? und IPO*.
Untertantalige Säure lässt sich aus den Columbiten
nicht unverändert abscheiden, da sie sich, sowohl beim
Schmelzen mit saurem schwefelsauren Kali, als auch bei
der Digestion: mit einem Gemische von concentrirter
Flusssäure und Schwefelsäure zu Ta?O* oxydirt.
Die Gegenwart von Ta*0° im Columbite von Boden-
mais liess sich aber durch die Gewichts-Zunahme nach-
weisen, welche die Bestandtheile dieses Minerals nach
dem Schmelzen mit schwefelsaurem Kali zeigten.
Das Gewicht von 100 Theilen Columbit hatte sich da-
bei auf 103,63 Theile erhöht, wobei selbstverständlich die
Gewichts-Zunahme, welche das Eisen- und Mangan-Oxy-
dul bei ihrer Umwandlung in Oxyde erlitten hatten, in
Abrechnung gebracht wurden.
Die Quantität von Ta?O? in den Columbiten ist sehr
ungleich, wie dies auch schon aus ihren zwischen 5,43
und 6,39 schwankenden spec. Gewichten hervorgeht.
Es enthielten nàmlich: |
Columbit von Bodenmais bis 24,23 pr. Cent. Ta?O*:
» mi Haddam и» 0077 » »
» » Grönland » 0,56 » »
b) Unterniobige Säure (Nb?O?).
Unterniobige Säure findet sich ebenfalls in den Colum-
biten und entsteht durch Erhitzen von Niobium oder
Schwefelniobium an der Luft, so wie durch Zersetzung
von NbCI? durch Wasser.
— 433 —
Man kann verschiedene allotropische Modificationen
der unterniobigen Säure unterscheiden, nämlich:
a) pulverförmige,
b) glasartige, amorphe und
c) krystallinische.
Pulverfórmige unterniobige Säure entsteht beim Ver-
brennen von Niobium oder Schwefelniobium an der Luft,
s0 wie beim Schmelzen derselben mit saurem, schwefels.
Kali, Auswaschen und Glühen. Ihr spec. Gewicht ist 4,85.
Glasartige unterniobige Säure entsteht beim Glühen des
aus Lósungen von unterniobigsauren Salzen durch Salz-
säure und Ammoniak niedergeschlagenen Hydrats. Ihr
spec. Gewicht ist 5,95.
Krystallinische unterniobige Säure entsteht nach H.
Rose durch heftiges Glühen der glasartigen Säure. Ihr
spec. Gewicht ist 4,66—4,71.
Marignac fand das spec. Gewicht der unterniobigen Säu-
re nur wenig schwankend und im Mittel zu 4,50. Doch
muss bemerkt werden, dass der von Marignac untersuch-
ten Niobsäure, gewöhnlich Ilmensäure beigemengt war.
Die sterischen Formeln, Atom-Volume und berechne-
ten spec. Gewichte dieser verschiedenen allotropischen
Zustände der unterniobigen Säuren sind folgende.
Sterische Atom- Atom- Sr Beobachtete
Formeln. gew. volum. spec. Gew.
1 3 Nb? 0’ |
Glasige Säure т i955 9764 5275 5,23 5,25H. Rose.
2 3
Pulverförmige Säure DE em 276,4 56,50 4,89 4,85 H.
2 3
Krystallinische Säure au > 276,4 59,0 4,68 4,685 Rose.
Alle diese verschiedenen Modificationen der unternio-
bigen Säure färben das Phosphorsalz blau.
— 434 —
c) Unterilmenige Säure (Il? 0°).
Die unterilmenige Säure. findet sich zusammen mit
Ta? 0? und Nb? O? in den meisten Columbiten und kann
von diesen Sáuren und im Fall, dass sich auch Neptun-
säure vorfinden sollte, auch von dieser auf dieselbe
Weise geschieden werden, die im Anfang dieser Abhand-
lung für die Darstellung von Il‘ O* angegeben wurde.
Die bisher von mir untersuchten Columbite enthielten
in 100 Theilen folgende Mengen von Säuren der Tan-
tal-Gruppe:
Columbit von Bodenmais: 12018,84; Nb?O? 36,93;
| Ta*0° 24,23.
» ». Haddam: 11°0°25,74; Nb*O" £247;
Ta*0* 113 Y3:
» » Grönland: 1P:0?39,73; Nb*0?38,27;
Ta°0* 0,56.
Zu bemerken wäre aber, dass diese Proportionen in
verschiedenen Krystallen desselben Fundortes grossen
Schwankungen unterworfen sein können. So enthielt ein
Krystall von Columbit aus Grönland obige Proportion von
unterilmeniger Säure, während in einem anderen Kry-
stalle die unterilmenige Säure fast vollständig durch
unterniobige Säure verdrängt worden war.
Die unterilmenige Säure kann, ebenso wie die unter- .
niobige Säure verschiedene Aggregat-Zustände annehmen.
So ist die durch Schmelzen mit saurem schwefels. Kali,
Auswaschen und Glühen dargestellte unterilmenige Sáure
pulverfórmig; während die aus Lösungen gefällte unter-
ilmenige Säure nach dem Glühen Stücke mit glatten,
glasartigen Bruch bildet.
— 435 —
Einen wesentlichen Unterschied im spec. Gewichte
beiden Säuren habe ich aber nicht bemerkt.
Das spec. Gw. der pulverfórmigen Säure betrug 4,35;
das der glasigen Säure dagegen 4,33.
Die unterilmenige Säure färbt das Phosphorsalz braun.
4) Nach der Formel RO? zusammengesetzte Säuren.
a) Tantalige Säure (Ta 0°).
Nach Berzelius bildet sich tantalige Sàure durch hef-
tiges Glühen von Tantalsáure im Kohlentiegel.
Die tantalige Säure zersetzte das Wasser nicht und
oxydirte sich auch nicht bei gewöhnlicher Temperatur
an der Luft. Dagegen nahm sie beim Erhitzen Sauerstoff
auf uud verglimmte zu Untertantalsäure (Ta? O°).
Tantalige Säure kommt auch in der Natur vor.
Nach Berzelius enthält der sogenannte Tantalit mit
zimmtbraunen Pulver und dem hohen spec. Gewicht
von 7,93, tantalige Säure.
Dieses Mineral kann übrigens kein Tantalit gewesen
. sein, da der ächte Tantalit keine tantalige Säure (Ta O?),
sondern Tantalsäure (Ta О?) enthält.
Das von Berzelius untersuchte Mineral war daher
wahrscheinlich ein Ferroilminit (RO, 2Me 0*), indem Me O?
vorwiegend aus Ta 0? bestand.
b) Niobige Säure (Nb O?).
Die niobige Sàure findet sich in folgenden Mineralien,
von denen 100 Theile enthielten:
Pyrochlor. Nb O? 13,65; ПО: 48,0; Ti O? 3,23.
Fergusonit. Nb 0? 29,56; ПО? 13,82; Ti 0° 0,67.
— 436 —
Wöhlerit. Nb 0° 11,53.
Aeschynit. NbO?2,84; 110? 25,80; Ti 0° 18,71,
Samarskit. Nb 0? 25,10; ПО? 19,84; TiO? 7,39; TaO? 7,19.
Ferroilmenit. Nb 0? 16,23; 11 0* 33,74; Ta O? 40,95.
Hermannoiith. Nb 0? 56,15; 11? 0514,91; Ta? O° 7,02.
Die pulverfórmige niobige Säure hatte ein spec. Ge-
wicht—4,55.
Die glasartige niobige Säure hatte ein spec. Gewicht
von 4,40. |
Die niobige Säure färbt das Phosphorsalz blau.
c) IImenige Säure (Il 0°).
Die ilmenige Säure findet sich zusammen mit niobiger
Säure, Titansäure und Säuren des Tantals in vorstehend
erwähnten Mineralien.
Die glasartige ilmenige Säure hat das spec. Gw. 4,20.
Die ilmenige Säure färbt das Phosphorsalz braun.
5) Nach der Formel RO' zusammengesetzte Säuren.
Wenn man 1 Atom Nb?O? und 2 Atome NbO*; oder
1 Atom Il O? und 2 Atome ПО? zusammenmischt, mit
saurem schwefels. Kali schmilzt, die Schmelze mit Was-
ser behandelt und die Hydrate glüht, so erhält man
pulverförmige Säuren von der Zusammensetzung Nb‘O’
und Il*O", welche bei ihrer Verbindung mit Kali und
Natron eigenthümliche Salze bilden, die bereits erwähnt
wurden.
6) Nach der Formel R*O* zusammengesetzte Säuren.
a) Untertantalsäure (Ta? O?).
Untertantalsäure entsteht beim Erhitzen von Tantaloxyd,
Untertantaliger Säure oder Schwefeltantal an der Luft.
— 437 —
Sie bildet sich ferner bei der Zersetzung von Tantal-
chlorid (Ta Cl5) durch Wasser.
Am einfachsten erhält man Untertantalsáure aus den
tantalhaltigen Golumbiten und aus Ferroilmenit nach der
im Anfange dieser Abhandlung angegebenen Weise.
Die Untertantalsäure bildet ein weisses schweres Pul-
ver, das sich nur schwierig in Phosphorsalz löst und
dasselbe auch bei längerem Schmelzen in der innern
Flamme nicht färbt. Ä
Auch in Berührung mit starker Salzsäure und Zink oder
Zinn wird die Untertantalsäure weder gelöst noch ge-
färbt.
b) Unterniobsäure (Nb? 0°).
Die Unterniobsäure ist noch nicht bekannt.
c) Unterilmensäure (N? 0*).
Unterilmensäure bildet sich beim Erhitzen von Ilme-
nium an der Luft. Weisses Pulver, welches das Phos-
phorsalz braun färbt.
7) Nach der Formel RO? zusammengesetzte Säuren.
a) Tantalsäure (Ta O°).
Tantalsäure mit 3 Atomen Sauerstoff findet sich in
dem Tantalite von Kimito.
Ausser 68,30 pr. Cent. Tantalsäure, finden sich in die-
sem Minerale noch 1[0:9,33 pr. C. Sn 0* 6,90 pr. C.
Ti 0?0,61 pr. C.
Das spec. Gewicht der Tantalsäure beträgt 7,0.
— 438 —
Sie bildet ein weisses Pulver mit den chemischen
Eigenschaften der Untertanlalsäure.
b) Niobsàure (Nb O?).
Niobsäure kann aus dem gelben Niobsuperchloride
Nb CIS durch Zersetzung mit Wasser dargestellt werden;
sie ist aber noch nicht näher untersucht worden.
c) Ilmensäure al O°).
Die Darstellung der Ilmensäure mit 3 Atom Sauerstoff
wurde bereits angegeben.
Durch Schmelzen der Ilmensäure mit saurem schwe-
fels. Kali, Auswaschen und Glühen erhält man siein der
Form eines weissen Pulvers mit dem spec. Gewichte von
4,911.
Die Ilmensaure färbt das Phosphorsalz braun.
Il, Verbindungen der Metalle der Tantal-Gruppe mit Schwefel.
1) Schwefeltantal. (Ta S?).
Dasselbe entsteht, wenn man pulverfórmige Untertan-
talsäure in einem Porzellanrohre zum starken Glühen
bringt und darüber so lange Dämpfe von Schwefelkohlen-
stoff leitet, als noch Gas entwickelt wird.
Schwarzes Pulver, welches sich beim Erhitzen an der
Luft entzündet und zu Untertantalsäure (Ta? O°) verbrennt.
Dabei gaben 100;Schwefeltantal 89,51 — 90,0 Unter-
tantalsäure mit 73,06 — 73,46 Tantal. |
Das Schwefeltantal ist daher nach der Formel Таз?
zusammengesetzt. Diese Formel giebt:
— 439 —
Berechnet. Berzelius. H. Rose. H.
Ta^ $7609) 133011319 73.06 1346
98 | 64 26,67 26,81 26,94 26,54
240 100,00 100,00 100,00 100,00
2) Schwefelniobium NV 8°).
Darstellung, aus pulverförmiger unterniobiger Säure,
wie Schwefeltantal,
Schwarzes Pulver, welches sich beim Erhitzen entzün-
det und zu Nb? О? verbrennt. .
100 Theile Schwefelniobium gaben dabei 91,24—91,66
unterniobige Sàure mit 75,4 — 75,74 Niobium.
Das Schwefelniobium entspricht daher der Formel
Nb' S*.
Dieselbe erfordet nàmlich.
Berechnet. H. Rose. H.
IND «209p een Me NEE
85 256,0 24,73 24,6 24,26
1035,4 100,00 100,0 100,00
3) Schwefelilmenium. СШ 65°).
Darstellung wie Schwefeltantal.
| Schwarzer Pulver, welches sich beim Erhitzen an der
Luft entzündet und zu Il? O? verbrennt.
100 Schwefelilmenium gaben dabei 90,90 Theile Il°O°.
Da darin-73,96 Ilmenium enthalten sind, so besteht das
Schwefelilmenium aus:
Berechnet. Gefunden.
11—799.9 14,08 13,96
88—250,0 25,92 26,04
988,2 100,00 100,00
—
— 440 --
Ш, Verbindungen der Metalle der Tantal-Gruppe mit Chlor.
1) Tantalchlorid. (Ta Cl).
Darstellung durch Glühen eines innigen Gemenges von
pulverförmiger Untertantalsäure und Kohle in einemStrome
von Chlor unter sorgfältigem Abschluss von Feuchtigkeit.
Krystallinische gelbe Masse, von der Zusammensetzung
TaCl’.
Berechnet. H. Rose. H.
Ta 176 49,78 49,96 49,0
CL 177,5 50.22 50,75 51,0
353,5 100,00 100,00 100,0
Nach den letzten Angaben von Deville beträgt die
Dampfdichte des Tantalchlorids 185 bei 360°.
Die Berechnung ergiebt:
1 Vol. Tantaldampf 176
5 » Chlor 177,5
353,5
176,75.
2) Niobium und Chlor.
Wenn man pulverförmige unterniobige Säure (Nb*O»*)
mit Kohle mischt und über das glühende Gemenge einen
Strom von trocknem Chlor leitet, so bildet sich ein Ge-
menge von weissem und gelbem Chloride:
Wenn man dieses Gemenge anfänglich schwach und
dann stärker erhitzt, so verflüchtigt sich zuerst das gelbe
Chlorid und später das weisse.
a) Weisses Niobchlorid (NbCl°).
Dasselbe bildet eine weisse schwammige Masse von
der Zusammensetzung NbCI-.
— 441 —
Berechnet. H. Rose. Deville.
Nb 1143 51,75 51,79 51,10
3Cl. 106,5 48,95 18,21 48,90
990,7 100,00 100,00 — 100,00
Die Dampfdichte des weissen Niobchlorids betrug nach
Deville und Trost 113,7 bei 440°.
1 Vol. Niobdampf 114,2
3 » Chlor 106,5
220,7
D
110,35.
b) Gelbes Niobchlorid. (NbCI*).
Dasselbe bildet eine gelbe, krystallinische Masse, die
sich klar in starker Salzsäure löst.
Marignac untersuchte das von Deville dargestellte gelbe
Niobchlorid und erhielt als Zusammensetzung:
Niobium 34,757
Chlor 65,243
100,000
Diese Zusammensetzung entspricht der Formel NbCI*.
Berechnet. Marignac.
Nb 1149 34,99 34,757
6Cl 213,0 65,01 65,243
327.2 100,00 100,000
Seine Dampfdichte betrug nach Deville 158,0 bei 350°.
Die Berechnung ergiebt:
1 Vol. Niobiumdampf 114,2
6 » Chlor 213,0
327,2
5 —163,6
— 442 —
3) Ilmenchlorid. (ПОР).
Darstellung wie Niobchlorid.
In dünnen Schichten erscheint das Ilmenchlorid als ein
geblicher mehliger Anflug; in dickeren Schichten als erb-
sengelbe Rinden.
Als Zusammensetzung ergab sich:
Ilmenium 49,79
Chlor 50,21
100,00 .
Diese Zusammensetzung entspricht der Formel:
Berechnet. Gefunden.
Il 104,6 49,55 . 49,79
3Cl 106,5 50,45 50,21
211,1 100,00 100,00
IV. Verbindungen der Metalle der Tantal-Gruppe mit Fluor.
1) Tantal und Fluor.
Die Hydrate von Ta?O? und TaO? lösen sich leicht in
Flusssäure und bilden TaFl’ und TaFl‘.
Beide Fluoride verbinden sich leicht mit Fluorkalium.
a) Untertantal-Kaliumfluorid.
Bildet sich beim Vermischen von Lösungen von TaFl°
mit Fluorkalium. Zarte Prismen, die ungefähr 200 Theile
Wasser von 10° zur Lösung brauchen.
Die Verbindung ist 2KFI+TaFl’, sie besteht nämlich aus:
Berechnet. Berzelius. Marignas. Ht
Ta 345 45,54 46,44 46,31 44,96
2K | 78; 9 9019.. я са
ТЕ 133 34,31 34,02 33,84 34,84
387 100,00 100,00 100,00 100,00
— 443 —
b) Tantal-Kaliumfluorid.
Diese Verbindung bildet sich beim Auflösen des aus
Tantalit von Kimito abgeschiedenen Hydrats der Tantal-
säure in Flusssäure bei Zusatz von Fluorkalium.
Zarte Prismen von der Zusammensetzung 2KFI+ TaFI*,
Diese Verbindung wurde bisher mit der vorstehenden
verwechselt, da man die Verschiedenheit der aus Co-
lumbit und aus Tantalit abgeschiedenen Säuren des Tan-
tals nicht erkannt hatte.
Die Zusammensetzung ist:
. . Berechnet. H. Rose. H.
Ta 176 43,36 40,96 42,09
9K 78 19,21 20,60 20,95
SFI 152 37,43 38,44 36,96
406 100,00 100,00 100,00
2) Niobium und Fluor.
Wenn man Hydrate von Nb*O? oder NbO® in Fluss-
säure löst und die verdünnten Lösungen mit Ammoniak
versetzt, so werden basische Fluoride gefällt. Beim Aus-
waschen derselben mit Wasser bilden sich Hydrate; dabei
lóst aber die frei werdende Flusssäure einen Theil
dieser Hydrate wieder auf, wodurch sich die Filter ver-
stopfen.
Die Niobsäuren lassen sich demnach nicht durch Am-
moniak von der Flusssäure trennen.
Dies ist der Grund, weshalb ich die Menge des Flu-
ors, welche in den Fluorsalzen enthalten ist, aus der
Differenz zwischen den Gewichten der Fluormetalle und
der Metallsäuren berechne, wie dies im Anfange dieser
Mittheilungen angegeben wurde.
№ 4. 1876. 29
— 444 —
Die Fluoride des Niobiums verbinden sich leicht mit
Fluorbasen zu zahlreichen, meist leicht krystallisirenden
Fluorsalzen, die besonders von Marignac untersucht
wurden.
Eine Eigenthümlichkeit dieser Verbindungen ist ihre
Homóomorphie bei hàufig ganz vorschiedener Alan
Constitution ihrer negativen Fluoride.
_ So haben folgende Verbindungen gleiche Form:
3KFI+ МЕН?
2KFI+ IFI*--H*0
2KFI+ NbFl‘+H°0
2KFI+ ПЕРНО
%KFI+ TiFl‘LH°0
2KFI+ WO°FI:+H°0
4KFI+ Nb?FI'--2H?0
AKFI+ ЕРЕИ НО
AKFI+ Np?Fl°-+2H20.
Aus sauren Lösungen langsam krystallisirt bilden vor-
stehende Verbindungen dicke tafelförmige Krystalle. In
wenig heissem Wasser gelöst, erstarrt die Flüssigkeit
beim Abkühlen zu einem Breie zarter Blättchen.
Marignac hat die Krvstalle nachstehender Verbindun-
gen näher untersucht und dabei folgende Winkel erhalten.
Die Krystalle waren monoklinisch und bestanden aus
den Combinationen: oP. OP. «Px.+Po .-+3P.
9KFI--NbFDJ-H?0 gab coP92°: OP : oePoe 103046;
OP : --Pae 5116".
2KFI-- ТИ“ НО gab œP916": OP : + Роо 51°19’.
2KFI+ WO'FI?+H’O gab oeP90*41'; OP : Ро 51?19'.
Bei den Untersuchungen über die chemische Constitu-
— 445 —
tion der Niobmineralien spielen vorstehende blättrige Ka-
lium-Metallfluoride, wegen ihrer eigenthümlichen chemi-
schen Constitution, eine wichtige Rolle. Mit ihrer Hülfe
lassen sich nämlich die Atom-Gewichte der in ihnen
enthaltenen negativen Metalle berechnen, da 2 Atome
des in der Verbindung enthaltenen Kaliums einem Atome
Metall en'sprechen. Ausserdem sind 2 Atome des in den
negativen Metallfluoriden enthaltenen Fluors einem Atome
Sauerstoff der zur Darstellung der Fluoride benutzten
Metallsäuren aequivalent.
Die Kalium - Niobfluoride hatten folgende Zusam-
mensetzung: |
a) Unterniobiges-Kaliumfluorid.
(2KFl, NbFI*4-H?O).
Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
Nb 1146 37,50 37,00
2K 78,0 25,59 95,37
“BREE 095,0 31,08 30,33
H°0 18,0 5,90 6,50
b) Niobiges-Kaliumfluorid.
(2KFl; NbFl‘+H?O).
Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
Nb 114,6 35,37 35,48
2K 78 24,07 24,80
6Fl 114 35,14 35,00
H°0 18 5,49 6,00
3246 — 100,00 101,28
2y*
u.
3) Ilmenium und Fluor.
Hydrate von Hl? O° und ПО: lösen sich leicht in Fluss-
säure und geben mit Fluorkalium Verbindungen, welche
dieselbe Krystallform besitzen, wie die entsprechenden
Kalium-Niobfluoride Nur sind die Kalium-Ilmenfluoride
etwas schwerer in Wasser von 10° löslich, als die Kali-
um-Niobfluoride, weshalb man sie auf die bereits ange-
gebene Weise durch fractionirte ikke qe Schei-
den kann.
Die Zusammensetzung der Kalium-Ilmenfluoride war
folgende:
a) Unterilmeniges Kaliumfluorid.
(2KFI + Il Fl? + H*0).
Berechnet. Gefunden.
Il 104,6 35,38 35,09
2K 78,0 26,39 25,92
5 FI 950.1! 39.18.00 9 -
H? 0 18,0 6,09 6,50
395,6 10000 99,36
b) Ilmeniges Kaliumfluorid.
2KFI + II Fl‘ + H*0).
Berechnet. Gefunden.
D AWEDNET PO 08 11130
2K 78,0 2479 24.69
GEI .. 1140. 3695 : :: 3580
H: 0 18 5,72 5,74
3146 100,00 — 100,00
— 447 —
c) Ilmenium-Kalifluorid.
(3KFI + Il! FIS + H°0).
Berechnet. Gefunden.
Il 104,6 25,49 26,05
3 K 117,0 28,49 27,63
9 Fl 171,0 41,63 41,79
H? 0 18,0 4,38 4,53
410,6 100,00 100,00 —
V. Verbindungen der Säuren der Metalle der Tantal-Gruppe
mit Kali.
1) Verbindungen der Untertantalsäure mit Kali.
a) °/, untertantalsaures Kali.
Diese Verbindung entsteht durch Schmelzen von Un-
tertantalsäure mit ihrer fünffachen Menge Kalihydrat,
Lösen und Concentriren über Schwefelsäure.
Nach Marignac krystallisirt das Salz aus der syrop-
dicken Lösung in monoklinischen Prismen der Combina-
ИопсоР. (2oP eo). 2Peo. + P.OP. соР 109°. OP:coP 94° 20’;
ОР: + Роо45° 95.
Die Zusammensetzung ist:
Berechnet. Gefunden.
3Ta?0* 1296 66,12 605,50
КО 376 19,18 — 19,58
16 H°0 288 14,10 14,82
1560 1,00,00 100,00
Dieses Salz ist homóomorph mit 4 K°0, 3Nb*0*4-16H*0.
b) Einfach untertantalsaures Kali.
(K* 0, Ta? 05.
Wenn man vorstehendes Salz glüht und hierauf in
— 448 —
Wasser zertheilt, so wird ihm nach Marignac genau 7,
Kali entzogen. Das dabei entstehende unlósliche Salz ist
daher K*O, Ta?O*.
2) Verbindungen der Tantalsäure mit Kali.
a) 177, tantalsaures Kali.
H. Rose schmolz Tantalsäure mit überschüssigem Ka-
lihydrat und behandelte die Schmelze mit Weingeist.
Ich löste Hydrat der Tantalsäure in Kalilauge und
verdunstete die concentrirte Lösung über Schwefelsäure.
Dabei bildeten sich prismatische Krystalle.
Die so erhaltenen Verbindungen waren in beiden Fäl-
len gleich zusammengesetzt und bestanden aus 2 K*O,
3Ta0°+9H?O. Es wurde nämlich erhalten:
Berechnet. H. Rose. H.
ora? pee 69,19 65,96 65,44
9K*0 188, ви
STE 162 15,85 15,57 15,31
1022 100,00 100,00 100,00
3) Verbindungen der unterniobigen Säure mit Kali.
a) °/, unterniobigsaures Kali.
Diese Verbindung erhielt Marignac durch Schmelzen
von unterniobiger Sáure mit kohlensaurem Kali, Lósen
in Wasser und langsamen Verdunsten über Schwefelsäure.
Dabei entstanden dicktafelförmige monoklinische Kry-
stalle der Combinationen: coP. OP.(& P ©). + P. © P
109° 30; ОР: (Pec) 132° 10°.
Die Zusammensetzung war:
— 449 —
Berechnet. Marignac.
3Nb?O* 829,2 55,53 53,88
1K°0 376,0 25,18 25,32
16H?0 288,0 19,29 20,80
1493,2 10000 100,00 —
b) ?/ unterniobigsaures Kali.
. Dieses Salz erhielt Marignac, indem er eine Lósung
des vorstehenden ?/, unterniobigsauren Kalis mit über-
schüssiger Kalilauge versetzte und langsam über Schwe»
felsäure verdunsten liess. |
Dabei bildeten sich monoklinische Krystalle der Com-
binationen: coP . OP. Peo.—P. соР 91° 20.
Das Salz war nach der Formel 3K?0, 2Nb?0?--13H*0
zusammengesetzt.
Berechnet. Marignac.
9Nb*O? 552,4 51,73 51,69
3K°0 282,0 26,39 26,22
13H°0 234,0 21,88 22,25
1068,4 100,00 100,00
4) Verbindungen der niobigen Säure mit Kali.
a) ‘/, niobigsaures Kali.
Dieses Salz wurde mit einem Hydrat der niobigen Säu-
re dargestellt, welches aus einer Lösung von niobigsau-
rem Natron durch Salzsäure und Ammoniak abgeschie-
den worden war. Man löste dasselbe in noch feuchtem
Zustande in überschüssiger Kalilauge und liess die Lösung
langsam über Schwefelsäure verdunsten.
Dabei bildeten sich prismatische Krystalle mit einer
schiefen Endfläche. |
Die Zusammensetzung war 3K°0, 4NbO?--13H^0.
— 450 —
Berechnet. Gefunden.
4 №0° 5848 53,12 53,066
3K:0 9890 — 95,01 25,708
13 PO 3340; 21,27 21,226
1100,8 100,00 100,000
5) Verbindungen der Ilmensäure mit Kali.
a) Einfach ilmensaures Kali.
Darstellung durch Auflösen von pulverförmigen Hydrat
der Ilmensäure (ПО?) in einer Kalilösung, welche dop-
pelt so viel Kalihydrat enthielt, als llmensàure zur Auf-
lösung genommen wurde, und Concentration über Schwe-
felsäure.
Dabei bildeten sich erbsengrosse Krystalle, die aus dicken
sechsseitigen monoklinischen Prismen der Gombinationen
eo P. ec P oo. ОР. + P eo bestanden.
Das Salz war nach der Forme! K°0, ПО: + ЗН? 0
zusammengeselzt.
Berechnet. Gefunden.
11 0? ав 50,77 51,14
K°0 94,0 31,27 30,11
3H°0 — 54,0 17,96 18,75
300,6 100,00 100,00
VI. Verbindungen der Säuren der Metalle der Tantal-Gruppe
mit Natron.
1) Verbindungen der Säuren des Tantals mit Natron.
a) Verbindungen der Untertantalsäure mit Natron.
°/, untertantalsaures Natron.
Wird durch Schmelzen von Untertantalsaure mit über-
— 451 —
schüssigem Natronhydrat, Entfernen des überschüssigen
Natronhydrets durch Ausziehen mit Wasser, Lösen der
rückständigen Verbindung in heissem Wasser und Kry-
stallisiren erhalten.
Dabei bilden sich hexagonale tafelfórmige Krystalle der
Combination eo P. OP. P.
Nach Marignac beträgt die Neigung von OP: P 124°1#.
Das Salz ist nach der Formel 4 Na? 0,3 Ta? 0° + 24H°0
zusammengesetzt.
Berechnet. Marignac.
3T2:0° 1296 68,38 65,35
ENa°O 248 — 1955 1931
94H:0 432 21,87 2234
71976 100,00 100,00
| Einfach untertantansaures Natron.
Nach Marignac entzieht Wasser dem geglühten ?/, un-
tertantalsaurem Natron genau '/, seines Natron-Gehaltes,
worauf einfach untertantalsaures Natron (Na? O, Ta? 0°)
ungelösst bleibt.
b) Verbindungen der Tantalsäure mit Natron.
!/, tantalsaures Natron.
Darstellung wie °/, untertantalsaures Natron.
Hexagonale Tafeln von der Zusammensetzung 2 Na’ 0,
3 Ta O? + 15 H°0
Berechnet. Gefunden.
3Ta0° 672 63,03 63,05
9Na*0 124 11,63 11,74
15H* 0 270 25,32 25,21
1066 100,00 100,00
1‘, tantalsaures Natron mit weniger Wasser.
Wenn man eine heisse Auflösung der vorstehenden
— 152 —
Verbindung mit überschüssigem Natronhydrat versetzt,
so schlägt sich ein weisses Pulver nieder. Diese Verbin-
dung enthält gerade halb so viel Wasser, als die vorste-
hende. Sie ist nämlich: 2 (2 Na* O, 3 Ta O?) + 15 I*O.
6fach tantalsaures Natron.
Bildet sich beim Hindurchleiten von Kohlensáure durch
eine Auflösung von 1‘/, tantalsaurem Natron und Trocknen
bei 100*. Die Verbindung bestand aus: Na° O, 6 Ta O?
+ 4 H 0. |
2. Verbindungen der Säuren des Niobiums mit Natron.
Die Verbindungen der Säuren des Niobiums mit Na-
tron können auf verschiedene Weise dargestellt werden,
nàmlich: |
1. Durch Fällen kochender Lösungen der Kalium-Niob-
fluoride durch überschüssiges Natronhydrat, Lösen des
Niederschlags in seiner 25fachen Menge reinem, kochen-
den Wasser, Zusatz eines geringen Ueberschusses von
Natronhydrat und Krystallisiren bei sehr langsamer Ab-
kühlung.
2. Durch Schmelzen von Säuren des Niobiums mit
überschüssigem Natronhydrat, Entfernen des überschüssi-
sen Natrons durch Ausziehen mit Wasser, Lösen des
Ruckstandes in kochendem Wasser und Krystallisiren.
Bis jetzt sind nur die Natronsalze von Nb* O?, №0:
und Nb*O* untersucht worden.
Alle diese Salze krystallisiren monoklinisch. Sie bilden
kleine Prismen der Combinationen eo P. ОР. + P e;
manchmal tritt dazu noch eo P ec.
— 453 —
Die Krystalle sind farblos, durchsichtig, glasglänzend
und luftbeständig. Sie färben das Phosphorsalz rein blau.
Die Zusammensetzung dieser Salze war folgende:
a) Verbindungen der unterniobigen Säure mit Natron.
Einfach unterniobigsaures Natron.
Die Verbindung war nach der Formel Na?0, Nh°0°+5H°0
zusammengesetzt.
| Berechnet H. Rose H.
Nb^0*. 2712 64,58 60,82 63,01
№0 620 14,44 15,86 ~- 15,27
5H?O 90,0 20,98 23,32 21,72
1292 100,00 10000 100,00
Hierzu wäre zu bemerken, dass das einfach unternio-
bigsaure Natron schwer rein zu erhalten ist, da es grosse
Neigung hat, sich mit mehr Natron zu verbinden. Die von
H. Rose untersuchte Verbindung enthielt offenbar viel
beigemengtes basisches Salz.
Diese Beimengung bewirkte auch, dass die Zusammen-
setzung der von H. Rose untersuchten Verbindungen der
.. unterniobigen Säure mit erdigen und metallischen Oxy-
den nicht gut mit der Theorie übereinstimmt. H. Rose
stellte nämlich diese Verbindungen durch Fällungen ihrer
Lösungen durch unreines einfach unterniobigsaures Na-
iron dar.
b. Verbindungen der niobigen Säure mit Natron.
1'/, niobigsaures Natron.
Diese Verbindung bestand aus 2 Na°O, 3 NbO*-- 8I 0.
— 454 —
Berechnet. Gefunden.
a. b.
. 9NbO' 439,8 62,13 62,03 62,0
QNa?O 1240 1759 17,68 170
8H°0 144,0 20,35 20,29 21,0
707,8 100,00 100,00 100,0
c) Verbindungen der ‘/, niobigen Säure mit Natron.
Halb ‘/, niobigsaures Natron.
Die Verbindung war nach der Formel 2 Na? 0, Nb* 0’
+ 11 H* O zusammengesetzt und bestand aus:
Berechnet. Gefunden.
Nb‘O" 568,8 63,86 63,20
Мат 124,0 °° 13,92. "PETS
11I0.:. 198,0 ‚39.29. 22,62
890,8 100,00 100,00
3) Verbindungen der Säuren des Ilmeniums mit Natron.
Darstellung wie die Verbindungen der Säuren des
Niobiums mit Natron.
Bis jetzt sind Natronsalze von 11?0°, 110°, ПО? und
ПО? bekannt.
Diese Natronsalze enthalten stets mehr Wasser, als die
entsprechenden Natronsalze der Säuren des Niobiums.
Daher haben sie auch eine andere Krystallform. Sie sind
nämlich hexagonal und bestehen aus zarten Prismen, die
gewöhnlich zu reifähnlichen und farnkrautblattrigen Ag-
gregaten verbunden sind.
Im frischen Zustande sind die Krystalle klar und glän-
zend, werden aber an der Luft schnell trübe und un-
durchsichtig.
— 455 —
Auch färben diese Natronsalze der Säuren des llme-
niums das Phosphorsalz nicht blau, sondern braun.
Die Natronsalze der Säuren des Ilmeniums sind daher
leicht durch diese Eigenschaften von den Natronsalzen
der Sáuren des Niobiums zu unterscheiden.
a) Verbindungen der unterilmenigen Sáure mit Natron.
Einfach unterilmenigsaures Natron.
Dieses Salz war nach der Formel Na*O, I?0° + 7 H°0
zusammengesetzt und bestand aus:
Berechnet. Gefunden.
1:0: „287,2 .7 82.711.:.57,26
м0 7820. 19,92 "13.96
7Н’О 126,0 28,31 28,28
44,52 100,00 100,00 —
b) Verbindungen der ilmenigen Säure mit Natron.
1'/, ilmenigsaures Natron.
Die Verbindung war nach der Formel 2Na°0, 310?
+ 12H*0 zusammengesetzt und bestand aus:
| Berechnet. Gefunden. :
310? 409,8 5465 85,2
2Na?0 1240 16,53 15,8
12H°0 216,0 28,82 29,0
749,8 100,00 100,0
c) Verbindungen der ‘/, ilmenigen Säure mit Natron.
Halb ‘/, ilmenigsaures Natron.
Die Verbindung bestand aus 2Na?O, Nb‘0’ + 13H°0.
Diese Formel erfordert:
— 456 —
Berechnet. Gefunden.
Nb:O* 530,4 59,71 58,97
9Na*0 1940 13,95 14,46
13H°0 234,0 26,34 2926,57
888,2 100,00 100,00
d) Verbindungen der Iimensáure mit Natron.
1'/ ilmensaures Natron.
Dieses Natronsalz der Ilmensäure wurde aus dem ll-
men-Kaliumfluorid durch Fällen mit überschüssigem Na-
ironhydrat und Umkrystallisiren dargestellt.
Seine Form war aber eine ganz andere, als die der
vorstehend beschriebenen Natronsalze von II*O, ПО? und
II*0*.
Das Salz bildete nämlich keine blàttrigen Aggregate
hexagonaler Prismen, sondern deutlich ausgebildete mo-
noklinische Prismen der Combination co P.OP.
Seine Zusammensetzung war 2Na°0, 3Il0* -- 9H*0.
Diese Formel giebt:
Berechnet. Gefunden.
3 110% 1.457,85 61,550 001,22
ЭМО 124,0 16,67 16,56
9H*O0 162,0 21,78 22,22
743,8 100,00 100,00.
Zur
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SÉANCES
DE LA
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
SÉANCE DU 21 OCTOBRE 1876.
Mr. le Dr. Stanislas Meunier de Paris envoie un mémoire sur
les Alluvions verticales.
Mr. Dimitri A. Kojevnikoff présente des observations sur la flore
du district de Kozlow du gouvernement de Tambov.
Mr. le Dr. Charles Dohrn, Président de la Société entomologique
de Stettin remercie de l'envoi des derniers Bulletins, donne quel-
ques notices sur l'enrichissiment de ses collections dans l'année
courante et exprime le désir de recevoir un exemplaire du Copris
Tmolus Fischer de Waldheim.
L’Academie R. des sciences de Lisbonne annonce qu'elle vient de
nous envoyer par l'intremédiaire du libraire Brockhaus à Leipzig,
toute la série de ses publications en 39 volumes ou 49 livraisons.
Mr. Nicol. Petr. Petrow de Kalouga remercie de sa nomination de
membre de notre Société. |
Mr. le Baron Ferdinand Müller de Melbourne appelle l'attention
de la Société sur ce que la priorité de la dénomination du genre
Ne 4. 1876. 6
DUK os
Waldheiméa de Karelin et Kirilow, comme donnée déjà en 1842,
doit étre conservée à cette plante quoique plus tard dans leurs ge-
nera plantarum MM. Bentham et Hooker lui aient alloué le nom
d'Allardia, proposé par Mr. Decaisne en 1844.
Mr. Adolf Senoner de Vienne envoie au nom de Mr. le Profes-
seur Todaro de Palerme un mémoire imprimé sur le Foucroya ele-
gans et rend attentive la Société sur les autres ouvrages de Mr. To-
daro et principalement sur son Hortus Botanicus Panormitanus du-
quel ont paru 5 livraisons gr.in fol. et dont il y paraitra en tout 80.
La Société nationale des sciences naturelles de Cherbourg, fondée
1 18
e 30
année-ci l'anniversaire de 25 ans d'existence et invite la Société à y
prendre part.
Mr. le Dr. Viad. And. Tikhomiroff à présenté sa notice imprimée
sur une méthode facile et süre pour découvrir la présence de tri-
chines dans des viandes suspectes.
Mr. Adolf Senoner communique sur la demande du Vice-Président,
quelques détails sur la mort de feu notre membre Fótterle à Vienne.
Мг. Lugi Guidi, Directeur de l'Observatoire météorologique et
magnétique sous le nom de Valerio à Pesaro envoie ses dernières
observations et désire entrer en échange de publications.
Décembre 1851, annonce qu'elle se propose de célébrer cette
La Société pour l'avancement des sciences naturelles de Vienne en-
voie le reste de toute la suite de ses publications et désire rece-
voir s'il est possible, les Bulletins précédens l'année 1875.
La Société I. d’agriculture du Midi de la Russie a Odessa annonce
que depuis le 5—20 Décembre de l'année courante doit avoirlieu le
5-&me Congrés des Agronomes russes et en envoyant plusieurs exem-
plaires du programme projeté engage notre Société à y prendre part.
Mr. le Conseiller d'état Schor actuellement à Nice en remerciant
de l'envoi des Bulletins promet de mettre notre Société en relation
scientifique avec plusieurs Sociétés d'histoire naturelle du Midi de
la France.
La cotisation pour 1876 a été payée par Mr. A. Adamovitsch de
Vilna et la cotisation avec le prix du diplome par Mr. Nic. P. Pe-
troff de Kalouga.
Lettres de remercimens pour l'envoi du Bulletin et des Mémoires
de la part de S. Exe. Mr. le Ministre de l'instruction publique, de
MM. Osten-Sacken, Tchourofisky, Jacovlev, Oulianin, Пепкой, Bec-
И}; eem
ker, Ed. Lindemann et Senoner;—des Universités de St.-Pétersbourg,
Dorpat, Odessa et Varsovie; — de l'Académie médico-chirurgicale,
des Instituts des mines, d'agriculture et du Lycée Alexandre à St.
Pétersbourg, des Sociétés des médécins russes à St.-Pétersbourg, de
la Société néerlandaise des sciences à Middelbourg, celle d'histoire
naturelle à Toulouse, de l'Académie Royale des sciences de Munic
et de l'Athénée et de la bibliothéque d'Amsterdam.
Mr. A. P. Sabanéiéff a verbalement exposé les résultats de ses
recherches concernant le mode de préparation et les qualités de
Vacétiléne bibromique. Son mode de préparation est basé sur la
réaction du zinc avec l'acétiléne quadribromique. L’acétiléne bibro-
mique bout à la température de 106—109°, et manifeste par là des
qualités différentes de celles qui ont été décrites par Mr. Berthelot
qui probablement opérait non sur la substance pure, mais sur un
mélange des deux bromures. Cette correction dans le point d'ébulli-
tion de l'acétiléne bibromique, conjointement avec d'autres recher-
ches de l'auteur l'ont mis à méme de trouver une remarquable loi
fixe dans ses variations (ou fluctuations) entre les séries isoloques
des produits haloidiques des hydrocarbures à doubles atomes d'hy-
drogène. Mr. Sabanéiéf a prouvé ultérieurement que l'action du
zinc en présence de d'acohol constitue la réaction générale d'absorp-
tion des haloides et de restitution des hydrocarbures de leurs pro-
duits haloidiques, et peut servir comme méthode süre et facile pour
la préparation des différents hydrocarbures dans toute leur pureté.
Mr. D. A. Kojevnikoff à parlé sur la distribution des plantes
dans les environs de Kozlov (gouv. de Tambov) en exposant des
échantillons des réprésentants les plus marquants de la flore loca-
le du district de Kozlov. Mr. Kojévnikov est arrivé aux conelu-
sions suivantes: cette flore est mixte, possédant des resprésentants
de la steppe de terre noire méridionale aussi bien, que des con-
trées plus boréales caractérisées par les arbres coniféres. Le ca-
ractére de la flore des Steppes prédomine dans la partie orientale
et méridionale de ce district;- tandis que ce n'est que dans sa con-
tree nordouest,—dans la zone dénuée de terre noire, que la flore |
acquiert son coloris plus boréal; — végétation particulière qui doit
étre considérée comme phénoméne local, tout exceptionnel; tandis-
que le caractère fondamental de la flore de la banlieue de Kozlov
dépend principalement de la prépondérance des représentants de
la végétation de la steppe à terre noire.
Mr. B. N. Oulianine a communiqué ses observations sur l'organi-
sations des espéces du genre Polygordius habitant la Mer noire.
Après avoir décrit en détail la structure des téguments extérieurs
ate NN o
des systémes musculeux et nerveux, du canal alimentaire, des or-
ganes de la circulation, des sécrétions et génératrices, Mr. Oulia-
nine a trouvé que le genre Polygordius présente le plus d’affinite
avec quelques Cbaetopodes, et notamment avec le Saccocirrus pa-
pillocercus. Avec les vers nématoides, auxquels l'a rapproché Mr.
Schneider, le Polygordus n'aurait rien de commun. Cet exposé fut
aecompagné par la démonstration d'un grand nombre d'exemplai-
res vivants qui se sont conservés dans de l’eau marine chez l’au-
teur durant plus de trois mois.
ОМ
Livres offerts.
. Verhandelingen rakende de natuurlijke en geopenbaarde gods-
dienst door Teylers godgeleerd genootschap. Nieuwe serie.
Vierde Deel. Haarlem 1876 in 8°. De la part de la Fondation
Teyler à Harlem.
. Журналь Министерства Народнаго Нросвфщенвия. 1876. Aprycrt,
Сентябрь. С.-Петерб. 1876 in 8°. De /a part de la Redaction.
. Bullettino della Societa geografica italiana. 2-de serie. Vol. 13,
fasc. 6—7. Roma 1876 in 8. De la part de la Société geogra-
phique italienne de Rome.
. Bulletin de la Société géologique de France. 3-ème série. Tome
3-ёте, feuilles 42—48. (№ 10, 11). Paris 1874 à 75 in 8°. De la
part de la Société géologique de Paris.
. The Transactions of the entomological Society of London. 1875,
part 1—3. London 1875 in 8°. De la part de la Société entomo-
logique de Londres.
. The Quarterly Journal of the Geological Society. 1876 M 127.
london 1876 in 8*. De la part de la Société géologique de
Londres.
. Nouvelles Archives du Muséum d'histoire naturelle de Paris. To-
me X, fasc. 4. Paris 1874 in 4*. De la part du Musée d'histoire
naturelle de Paris.
. Transactions of the zoological Society of London. Vol. 9, part
6, 7. London 1876 in 4^ De la part de la Société zoologique de
Londres,
as
9. Zeitschrift für die Gesammten Naturwissenschaften. Neue Fol-
ge. Band XII. Berlin 1875 in 8°. De la part de Mr. le Profes-
seur Giebel.
10. Comitato В. Geologico d'Italia. Boll. № 5 e 6. Roma 1876 in 8°.
De la part dw Comite géologique d'Italie à Rome.
11. Der Zoologische Garten. Jahrgang 1876. № 1—6. Frankfurt a.
M. 1876 in 8°. De la part de la Société zoologique de Franc-
fort s. M.
12. Annales de la Société entomologique de Belgique. Tome 19,
fascic. 1. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la Société ento-
mologique de Belgique à Bruxelles.
13. Yuueepcumemcxia Извъстая. 1876. N° 8. Kierr 1876 in 8°. De la
part de l'Université de Kieff.
14. Всемрный nyremecrseanner, 1876. Сентябрь, Октябрь. С.-Пбр.
1876 in 8°. De la part de la Redaction.
15. Das Ausland. 1876. № 32—36—41. Stuttgart 1876 in 4. De la
part de Mr. de Hellwald de Cannstatt.
16. Landwirthschaftliche Jahrbücher. Band 5. Heft 4. Berlin 1876
in 8°. De la part du Ministère prussien d’agriculture de Berlin.
17. Журналъ Садоводства. 1876. № 8, 9. Москва 1876 in 8°. De la
part de la Société d’amis d’horticulture de Moscou.
18. Procés-verbaux des séances de la Société des sciences de Nan-
cy pour 1874, feuilles 1—3. Nancy 1875 in 8*5De la part de la
Societé des sciences de Nancy.
19. Archief. Vroegere en latere mededeelingen uttgegeven door
het Zeeuwsch-Genootschap der Wetenschappen. Desde deel.
Tweede stuk. Meddelburg 1875 in 8°.
20. Neyt, P. J. Die afdamming van het sloe. Middelburg 1878 in
8°. Les M 19, 20 de la part de la Société scientifique de la Ze-
lande à Middelbourg.
21. Ульянинъ, B. H. О происхождени Кунинъ. Москва 1876 in 4°.
De la part de l'Auteur.
22. Terracciano, N. Seconda relazione intorno alle peregrinazioni
botaniche fatte nella provincia di terra di Lavore. Caserta 1878
in 8°. De la part de t' Auteur.
23. Meneghini, G. e Borremann, G. Aptychus studii microscopici.
Pisa 1876 in 8°. De la part de Mr. G. Meneghini.
24.
25.
28.
37.
cla
Schriften des Naturwissenschaftlichen Vereins für Schloswig
Holstein. Band 2, Heft 1. Kiel 1876 in 8°. De la part de la So-
ciété des Naturalistes de Kiel.
Sitzungsberichte der naturwissenschaftlichen Gesellschaft Isis
in Dresden. Jahrgang 1876. Januar bis Juni. Dresden 1876 in
8° De /a part de la Société d'histoire naturelle „Isis“, à Dresde.
. Bulletin de la Société d’Anthropologie de Paris. Tome XI,
(2-de série), fascicule 2. Paris 1876 in 8°. De la part de la So-
ciété d' Anthropologie de Paris.
. Озембовскй, b. Рефератъ o „НЪеколько словъ въ Истор1и Кол-
туна“, статья Пр. Адамовича. 2 экз. in 8°. De la part de Mr.
Adamovitsch de Viina.
Geyler, H. Th. Ueber fossile Pflanzen .aus den obertertiären
-Ablagerungen Siciliens. Cassel 1876 in 4°. De la part de l’Au-
teur.
. Tommasini, M. Cenni storici e fisici sulla Selvicoltura dell’
Agro Triestino. Trieste 1876 in 8°. De la part de lV Auteur.
. Матерзалы для l'eoxorin Кавказа. Геологическое omneanie Пя-
тигорскаго края. C» Атласомъ. Тифлисъ 1876 in 8°. De la
part de la Direction des mines dw Caucase à Tiflis.
. Bockenheimer, K. G. Gutenbergs Grabstätte. Mainz 1876 in 8°.
De la part de Mr. le Dr. Henri Geier de Mayence.
. Nature. Vol. 14, № 360, 361—364. London 1876 in 4*. De la
part de la Rédaction.
. Cora, Guido. Cosmos. Vol. III. X 9. Torino 1876 in gr. 8°. De
la part de Mr. G. Cora de Twrin.
. Боздановь, Au. Замфтки о зоологическихъ садахъ. C» 6 табли-
цами. Москва, 1876 in 4°. De la part de l’Auteur.
. Bulletin de l'Académie I. des sciences de St.-Pétersbourg. To-
me XXII, feuilles 14—20. St.-Pétersbourg 1876 in 4°. De la
part de l’Académie I. des sciences de St.-Petersbourg.
. Протоколы ЗасЪдавай Общества Русскихъ врачей въ С.-Петер-
бург$. 1875 —76. № 4—13. С.-Петерб. 1875 —76 in 8°. De la
part de la Société des médecins russes de St.-Petersbourg.
Jahresbericht (61-ter) der Naturforschenden Gesellschaft in Em-
den. 1875. Emden 1876 in 8°. De la part de la Société des Na-
turalistes d' Emden.
39.
40.
41.
42.
43.
44,
45.
46.
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48.
49.
50.
UM es
. Протоколы 3acbaanii Русскаго бальнеологическаго Общества
въ ПятигорскЪ. 1874—75 и № 9 1874 года u Прот. 7 года 1875.
Москва 1875 in 8°. De la part de la Société russe de ig
de Piatigorsk.
Xaseukiü, Др. Въ вопросу о Bxianin сфрныхъ водъ Ha Сифи-
лисъ. Пятигорскъ 1876 in 8°. De la part de la Société balnéo-
logique russe de Pratigorsk.
Bulletin mensuel de la Société Linnéenne du Nord de la Fran-
ce. 1876. X» 49—51. Amiens 1876 in 8°. De la part de la Socie-
té Linneenne du Nord de la France d'Amiens.
Bullettino meteorologico dell’ Osservatorio del R. Collegio Car-
lo Alberto in Moncalieri. Vol. 7, № 12. Torino 1876 in 4°. De
la part de Mr. Fr. Denza de Turin.
Memorie della Società degli spectroscopisti italiani. 1876. Dis-
pensa 7, 8. Palermo 1876 in 4°. De la part de Mr. P. Tacchim.
Compte-rendu de la Société entomologique de Belgique. Série
2, № 29. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la Société entomo-
logique de Belgique à Bruxelles.
Hpomoxons засЪдания (659) Имп. Виленскаго Медицинскато O6-
щества. 1876 г. № 4, 6. Вильно 1876 in 8°. De la part de la
Société I. des médecins de Vilna.
Terracciano, N. Terza relazione intoma alle peregrinazioni di
Lavoro. Caserta 1875 in 8°. De la part de VAuteur.
Haencmia Имп. Pycckaro Географическаго Общества. 1876 г.
Вып. 3-Й и 4-й. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Société
I. géographique russe de St.-Petersbourg.
Hsencmia Сибирскаго ОтдЪла Ими. Pyeckaro Географическаго
Общества. Toms VII. № 2-3. Иркутскъ 1876 in 4°. De la part
de la section sibirienne de la Société géographique russe d'Ir-
koutsk. ,
Verhandlungen der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin. Band
3, Ne 4 u. 5. Berlin 1876 in 8°.
Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin. Band XI,
Heft 2. Berlin 1876 in 8°.
Correspondenzblaté der Afrikanischen Gesellschaft. 1876. № 17,
18. Berlin 1876 in 8°. Les M 48 — 50 de la part de la Société
geographique de Berlin.
51.
52.
53
54.
55.
66.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
63.
64.
65.
ey
La Philosophie positive. Revue. Annee 9-&me. X 1, 2. Paris
1876 in 8°. De la part de Mr. G. Wyrouboff.
Тепловъ, M. H. Попытка объяснить, что такое теплота и элек-
тричество. C.-IIerep6. 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
Katter, F. Entomologische Nachrichten. Jahrgang 2. Heft 9,
10. Putbus 1876 in 8°. De la part de Mr. Kalter.
Bulletin mensuel de la Société d'acclimatation. 3-e série. To-
me Ш, № 7, 8. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société d'ac-
climatation de Paris.
Terracciano, Nicol. Florae culturae synopsis. Neapoli 1869 in 4°.
— — Relazione intorno alle peregrinazioni botaniche di
terra di Lavoro. Caserta 1872 in 4°. Les Je 55. 56 de la part
de l'Auteur. |
Jahrbuch der K. K. Geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1876. .
X 2. Wien 1876 in 8°. De la part de l’Institut I. R. géologique
de Vienne.
Записки Kiesckaro Общества Естествоиспытателей. Tow» 5.
Buu. 1. Kies» 1876 in 8°. De la part de la Société des Natura-
listes de Kieff.
Bulletin of the United States geological and geographical sur-
vey of the territories. Vol. 2. № 4. Washington 1876 in 8°. De
la part de Mr. F. Hayden de Washington.
Sitzungs-Berichte der Kurländischen Gesellschaft für Literatur
u. Kunst aus dem Jahre 1875. Riga 1876 in 8°. De la part de
la Société Courlandaise pour la literature et l'art de Mitau.
Записки Имп. Общества Сельскаго Хозяйства Южной Poccix.
1876. Книжка 3-я и 4-я. Одесса 1876 in 8°. De la part de la
Societe I. d’agriculture d’Odessa.
Раевскй, M. западиый районъ Экспедищи по изучен1ю xJb6-
ной торговли и производительности Poccin. Часть 2. (.-Птрб.
1876 in 8°. De la part de i Auteur.
Illwukuws, A. Въ вопросу 06% уменьшенйи вреднаго Jrbücrbis
засухъ на растительность. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part
de l'Institut agricole de Novo Alexandrie.
Monatsschrift des Vereines zur Befórderung des Gartenbaues.
1876. August, September. Berlin 1876 in 8°.
Katalog der Bibliothek des Vereines zur Beförderung des Gar-
66
67.
68.
69.
8.
pr
tenbaues in Berlin. Berlin 1875 in 8°. Les М 64, 65 de la part
de la Societé d'horliculture de Berlin.
Mittheilungen der K. K. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 19. N° 6 u. 7. Wien 1876 in 8°. De la part de la Société
I. В. géographique de Vienne.
The Proceedings of the Linnean Society of New South Wales.
Vol. I, part 2. Sydney 1876 in 8 De la part de la Société Lin-
néenne de Sydney.
H3ewcmia u Ученыя Записки Muu. Казанскаго Университета.
1876. № 3, 4. Казань 1876 in 8°. De la part de VUniversité de
Kasan.
Русское сельское хозяйство. 1876 № 6. Москва 1876 in 8°. De
la part de la Société I. d'agriculture de Moscow.
. Todaro August. Fourcroya elegans Tod. Palermo 1876 in 8°.
De la part de l Auteur.
. Mittheilungen der deutschen Gesellschaft für Natur- u. Vólker-
kunde Ostasiens. Heft 9. Yokohama 1876 in 4*.
. Das schöne Mädchen von Pao. Seite 11-— 22. Yokohama 1876
in 4°. Les № 71, 72 de la part de la Société allemande pour la
connaissance de la mature et des peuples de l'est de l'Asie à
Yokohama.
. Onosvcriü, И. O вмянш хлористоводороднаго Хинина etc. C.-
Петерб. 1876 in 8°.
. Лабенски, II. Xumuyeckie анализы винъ. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Вайтаеевичь, T. Ржаная мука, ея составъ. C.-IIrp6. 1875 in 8°.
‚. Тольдюбель M. Матерлалы къ учен1ю o дЪйстви Эйкалиптола.
С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Величковски, Дм. Матерляль въ фармакологии солянокислаго
хинина. (.-Птрб. 1877 in 8°.
. Дроздовъ, В. Матеры для Патоломи u Тераши ocrparo сочле-
новнаго Ревматизма. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Львов, Ep. О судьбЪ синильной кислоты. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Дубелиръ, Дм. Экспер. изучен:е дЪйств1я ртути. С.-Птрб. 1875
in 8°.
Околовъ, 9. О вмянш салициловой и бензойной кислотъ. C.-
Птрб. 1876 in 8°.
JV 4. 1876. 1
-
89.
95.
96.
97.
cM =
Teuomms, O. А. О raxppanmanim симпатическато нерва. C.-IIrp6.
1876 in 8°.
. Padoccxiü, Hux. Abasia m snanie ея. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Шухов, Вл. Опытъ нзелфдован1я почвы Кладбищъь. С.-Птрб.
1876 in 8°.
. Василевский, Ст. Ko вопросу o судебнохимическомъ изелВдова-
nin при отравленяхъ б$леною и mp. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Копылов, Ник. ИзелЪдован!е тыквенныхъ сфмянъ. С.-Птрб.
1876 in 8°.
. Heauoes, Ник. Объ эфирномъ macrb багульника, С.-Птрб. 1876
in 8°.
. Навроикй, Ив. Marepiaısı къ морфолог1и нервной спстемы
насфкомыхЪъ. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Yemesoe, Влад. О mbücrsin Озона на животныхъ. C.-Ilerepé.
1876 ш 8°.
. Колесниковь, Ник. Пигментная рабдом1ома. С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Штоль, К. Объ измфневи Bbca воворожденныхъ дЪтей. C.-
Петерб. 1876 in 8°.
. Преображенскги, Bac. Алкалоидъ индЪйской конопли. С.-Птрб.
1876 in 8°.
. Daëpocs, П. Матерлалы къ uayuenim вллян1я температуры воды. _
С.-Птрб. 1876 in 8°.
. Щетниковичь, Ст. О стойкости и количественномъ опред$ле-
HiH EOHiHHa. С.-Цтрб. 1876 in 8°.
Kauanoscxiü, Tap. Матерлалыь къ yuenim о JbiücTBiH сжатаго
воздуха HA организмъ человЪка. С.-Птрб. 1875 in 8°.
Горожанкинъ, Dac. Малерлалы для AHatomin и Pu3io1orin Ma-
точныхЪ желЪзъ. C.-Urp6. 1876 in 8°.
Волкенитеинь, A. Ц. Kb вопросу o происхождени Альбуми-
gypiu вел$детв!е раздражен1я кожи. C.-I[rpó. 1876 in 8°.
98—121. Dissertationes (24) Universitatis Petropolitan. 1876 in 8°.
Les № 73 - 121 de la part de l’Université de St.-Petersbourg.
122. Московская медицинская Газета. 1876. № 1—39, 40. Москва
123.
1876 in 4°.
Mamowensoe:, И. ИЪль и задачи Университетскаго Медицин-
cka:o образован1я. Москва 1876 in 8°.
124.
125.
126.
127.
128,
129,
130.
131.
132.
133.
134.
D E.
Ilpoexms номенклатуры болЪфзней для Земской Медицинской
практики. Москва 1876 in 8°.
О воздухъ какъ врачебномъ средствЪ. Москва 1876 in 8°, Les
№ 122—125 de la part de la Société des médecins russes de
Moscou.
Annales de la Société malacologique de Belgique. Tome 9.
Bruxelles 1874 in 8°.
Proces-verbaux des séances de la Société malacologique de Bel-
gique à Bruxelles 1874. CXCII — CCX. 1875. I—XCVIII. Bru-
xelles 1875 in 8°. Les № 126, 127 de la part de la Société ma-
lacologique de Belgique à Bruxelles.
Oudemans, J. A. C. Die Triangulation von Java. Erste Abthei-
lung. Batavia 1875 in 4°. De la part du Bureau scientifique
Central néerlandais à Harlem.
Petermann, A. Mittheilungen über wichtige neue Erforschun-
gen auf dem Gesammtgebiete der Geographie. 1876. № 6, 8. Er-
gänzungsheit № 47. Gotha 1876 in 4°. De la part de la Re-
daction.
Schriften des Vereines zur Verbreitung naturwissenschaftlicher
Kenntnisse in Wien. Jahrgang 1875/,,. Band 16. Wien 1876 in
8°. De la part de la Société pour la propagation des connaissances
d’histoire naturelle a Vienne.
Bericht (IV, des Vereins für Naturkunde in Fulda. Fulda 1876
in 8°. De la part de la Société des sciences naturelles de Foulda.
Württembergische naturwissenschaftliche Jahreshefte. Jahrgang
32, Heft 1 u. 2. Stuttgart 1876 in 8°. De la part de la Société
des Naturalistes de Stouttgart. |
Neues Jahrbuch für Mineralogie, Geologie und Palaeontologie.
Jahrgang 1876. Heft 4. Stuttgart 1876 in 8°. De la part do la
Rédaction.
Jahresbericht des Vereins für Naturkunde zu Zwickau. 1875.
Zwickau 1876 in 8°. De la part de la Société d'histoire naturelle
de Zwickau. |
135 Нечаевь, H. II. Bpamesie легкихъ than дЪйстнемъ тепла руки.
136.
Москва 1876 in 8°. De la part de l'auteur.
Ulrich, Ax. S. Jahres-Bericht (19) des Schwedischen heilgym-
nastischen Institutes in Bremen. Bremen 1876 in 8°. De la
part de P Auteur.
T Mg.
137. Mittheilungen aus der livländischen Geschichte. Band 12. Heft
2. Riga 1876 in 8°.
138. Sitzungsberichte der Gesellschaft für Geschichte u. Alterthums-
Kunde der Ostseeprovinzen Russlands aus dem Jahre 1875. Ri-
ga 1876 in 8° Les № 137 et 138 de la part de la Société pour
l'histoire et les antiquités des provinces baltiques à Riga.
139. Magnus, P. Die botanischen Ergebnisse der Nordseefahrt vom
21 Juli bis 9 September 1872. Berlin 1874 in 4*.
140. — — Bericht über die botanischen Ergebnisse der Un-
tersuchung der Schlei. 1875 in 8*.
141. — -— Mykologische Mittheilungen in 8°.
142. — — Ascomyces Tosquinetii Westendorp. Berlin 1874 in 8°.
148. — — Ueber die weitere Ausbreitung der Puccinia Mal-
vacearum in Deutschland. 1874 in 8°.
144. — — Ueber Accidium Magelhaenicum Berk. in 8°.
145. — — Ueber Eucalyptus globulus. ,
146. — — Ueber die Entwickelungsgeschichte der Laubmocs-
frucht. 1876 in 8°. Les .& 139— 146 de la part de l’Auteur.
147. Troschel, F. H. Archiv für Naturgeschichte. Jahrgang 42, Heft
2. Berlin 1876 in 8°. De la part de Mr. le Redacteur.
148. Nuovo Giornale botanico italiano. Vol. 8, № 4. Pisa 1876 in
8°. De la part de Mr. le Dr. T. Caruel.
149. Leroy Louis. Pepinières et établissement horticole du grand
jardin à Angers. Catalogue général. Angers 1876 in 8°. De la
part de Mr. L. Leroy.
150. Hayden, F. V. Sun pictures of rocky mountain scenery of the
great west. New York 1870 in 4°. De la part de l’Auteur.
151. Bulletin de la Société d'histoire naturelle de Toulouse. 10-&me
année, fasc. 2. Toulouse 1876 in 8°. De la part de la Societe
d'histoire naturelle de Toulouse.
132. De Candolle, Alph. L'áge d'un arbre a-til une influence sur
l’époque moyenne de sa feuillaison? 1876 in 8°. De la part de -
VAuteur.
1:
Vw
3. Bulletin de la Société des Sciences de Nancy. Série 2. Tome 1.
Nancy 1874 in 8°. De la part de la Société des Sciences de
Nancy.
154.
155.
156.
157.
158.
159.
160.
161.
162.
163.
_ 164,
165.
166.
167.
168.
=
Боздановь, Ан. Соотношенля въ историческомъ развит!и зооло-
гическихъ и медициискихъ учении. Москва 1876 in 4°. De la
part de l’Auteur.
Труды Имп. вольнаго Экономическаго Общества. 1876 г. Ав-
густъ, Сентябрь. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la So-
ciété I. libre économique de St.-Petersbourg.
Trémaux, P. Principe universel du mouvement et des actions
de la matiére. 3-éme édition. Paris 1876 in ps De la part de
l’Auteur.
Deutsche Entomologische Zeitschrift. Jahrgang 20. Heft 2. Ber-
lin 1876 in 8°. De la part de la Société entomologique de Berlin.
Der Naturforscher. 1876. Heft 8. Berlin 1876 in 4°. De la part
de Mr. le Redacteur Dr. Sklarek.
Monatsbericht der K. Preuss. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. 1876. Juni. Berlin 1876 in 8°. De la part de l'Académie
R. des Sciences de Berlin.
Anales de la Sociedad espanola de historia natural. Tomo 5.
Cuaderno 2. Madrid 1876 in 8°. De la part de la Société espag-
nole d'histoire naturelle de Madrid.
-Bnemuuxs Европы. 1876. Октябрь. С.-Петерб. 1876 in 8. De la
part de la Rédaction.
Gartenflora. 1876. August. Stuttgart 1876 in 8°. De la part de
Mr. le Dr. E. Regel.
Heyer, Gust. Allgemeine Forst- u: Jagd-Zeitung. 1876. October.
Frankfurt a. M. 1876 in 4°. De la part de Mr. le Rédacteuv.
Rudakoff, B. Handatlas der geographischen Ausbreitung der
im europäischen Russland nistenden Vögel. Lfrg. 1. Moskau
1876 in gr. fol. 4°. De la part de l’ Auteur.
Müller, Friedrich. Grundriss der Sprachwissenschaft. 1 Band.
Abtheil 2. Wien 1877 in 8°. De la part de l'Auteur.
Memoirs of the geological survey of India. Jurassie fauna of
Kutch. Vol. I. 2. Calcutta 1875 in 4°.
Records of the geological survey of India. Vol. 8, part 1, 2.
Calcutta 1875 in 8°. Les № 166, 167 de la part de la Société
géologique des Indes a Calcoutte.
Schriften der Gesellschaft zur Beförderung der gesammten Na-
turwissenschaften zu Marburg. ha di 1 zu Band X.
Cassel 1875 in 4°. s
169.
170.
172.
180.
181.
182.
183.
SA =.
Sitzungsberichte der Gesellschaft zur Befórderung der ges. Na-
turwissenschaften zu Marburg. Jahrgang 1874. Marburg 1875
in 8*. Les № 168 et 169 de la part de la Société des Naturalistes
de Marbourg.
Verslagen en Mededeelingen der K. Akademie van Weten-
schappen. Afdeeling Natuurkunde. 2-de recks. Negende Deel.
Amsterdam 1876 in 8*.
. Jaarbock van de K. Academie van Wetenschappen te Amster
dam. 1874. Amsterdam 1875 in 8°.
Processen-Verbaal van de gewone Verhanderingen der K. Aka-
demie van Wetenschappen van Mei 1874 tat April 1875 in 8°.
. Carmina latina Academiae Amstelodami. 1875 in 8. Les №
170—173 de la part de l'Academie В. des sciences d'Amsterdam.
-
. Bericht über die Senckenbergische naturforschende Gesellschaft. ›
1874—75. Frankfurt a. M. 1876 in 8*.
. Abhandlungen der Senckenbergischen naturforschenden Gesell-
schaft. Band 10, Heft 1 u. 2. Frankfurt a. M. 1876 in 4°. Les-
JM 174 et 176 de la part de la Société de Senckenberg des Natu-
ralistes a Francfort s. M.
. Hóttger, Carl. Russische Revue. 1876. Heft 9. St.-Petersburg
1876 in 8°. De la part de Mr. le Rédacteur.
. Mueller, Ferd. (Baron). Industrial plants in the Colony of Vic-
toria. I. Tea. Ballarat 1876 in 12°.
— — Descriptive notes on Papuan plants. II, Ш. Mel-
bourne. 1876 in 8°. Les „№ 177 et 178 de la part de l'Auteur.
. Senoner, Ad. Revue allemande et italienne. Montpellier 1876
in 8. De la part de РАшеиг.
Berichte über die Verhandlungen der K. Sächsischen Gesell-
schaft der Wissenschaften zu Leipzig. Math. physische Classe.
1873 № 3—7. 1874 X 1, 2. Leipzig. 1874—75 in 8°.
Fechner, G. Th. Ueber den Ausgangswerth der kleinsten Ab-
weichungssumme. N° 1. Leipzig 1874 in 8°.
Neumann, Cal. Ueber das von Weber für die elektrischen
Kräfte aufgestellte Gesetz. № 2. Leipzig 1874 in 8"
Hansen, P. A. Ueber die Störungen der grossen Planeten. Leip-
zig 1875 in 8°.
— UD m
184. Hansen, Von der Bestimmung der Theilungsfehler eines grad-
linigen Maassstabes. Leipzig 1874 in 8°.
185. Harkel, W. G. Elektrische Untersuchungen. 11-te Abhandlung.
Leipzig 1875 in 8°.
186. Geologische Karte der Provinz Preussen. Blatt 16. Königsberg
1876 in gr. 4°. De la part de la Société physico-économique de
Königsberg.
187. Abhandlungen des naturwissenschaftlichen Vereins in Bremen.
Band 4, Heft 4. Bremen 1875 in &°. De la part de la Société
d'histoire naturelle de Bremen.
Mémbres élus.
Honoraire.
(Sur la présentation de MM. le Président et Vice-Président.)
Mr. le Docteur Auguste Le Jolis, Président de la Société des sci-
ences de Cherbourg.
Actefs.
Mr. Henri Jowan Vice-Président de la dite Société de Cher-
bourg.
Mr. le Dr. Emile Bertin, Secrétaire de la dite Société.
Mr. le Dr. Natanael Pringsheim, Professeur à Berlin.
Mr. Casimir De Candolle, Botaniste à Genéve.
Mr. Jean Müller, Professeur et Directeur du Jardin botanique de
Genéve.
(Sur la présentation de MM. Renard et Trautschold.)
Mr. le Dr. Albert Edouard Regel à Kouldja.
SÉANCE DU 18 NOVEMBRE 1876.
Mr. le Professeur Th. Bredichin présente un travail sur la queue
de la Cométe de 1874. Avec 2 tableaux.
Mr. le Professeur Th. Sludzky remet une notice sur l'équilibre
des corps nageants.
Mr. Bas. Nie. Oulianine présente ses observations sur les Poly-
gordius habitans la baie de Sébastopol.—Avec 2 planches.
DE. MESE
L’Institut des provinces de la France fondé en 1838 à Bordeaux
envoie par une circulaire imprimée à toutes les Sociétés savan-
tes et spécialement aussi à la nótre son projet de convoquer à Pa-
ris durant l'exposition universelle en 1878 un Congrés internatio-
nal des délégués des Sociétés savantes de tous les pays qui vou-
draint y prendre part.
Mr. le Dr. Albert Regel parle dans une lettre adressée au Vice-
Président de la Société et envoyée du fort Vernoje de ses excur-
sions dangereuses et pénibles dans les montagnes du Karatau et es-
pére pouvoir envoyer sous peu de Kouldja, lieu de sa résidence et
de son activité médicale le récit détaillé de son voyage.
Mr. le Vice-Président communique que Sa Majèsté l'Empereur du
Brésil, Dom Pedro II, a daigné par son Ambassadeur Baron d’Al-
chandra et par l'entremise du Baron Bühler faire don de 2 exem-
plaires de l'intéressant ouvrage ,l’Empire du Brésil à l'exposition
universelle de 1876 à Philadelphie.*
Le Comité central permenant de géographie institué par Sa Ma-
jesté le Roi du Portugal au ministère de la marine et des Colo-
nies envoie une traduction frangaise de ses statuts et exprime le
désir d'entrer en relation d'échange scientifique avec notre Société.
L'Académie I. des sciences de St-Pétersbourg communique un гар-
port imprimé d'une Commission composée de MM. Helmersen et
Wilde sur le mémoire de Mr. l'ingénieur Wex traitant de la diminu-
tion de la quantité de l'eau dans les sources et dans les riviéres.
L'Académie désire connaitre l'opinion de notre Société sur ce
sujet.
Le Vice-Président annonce la mort de notre membre honoraire
Edouard Iv. Eichwald le 4 Novembre.
Mr. H. К. Morrison à Cambridge Mass. des Etats-Unis d'Amérique
de retour d'un voyage en Géorgie d'Amérique et des montagnes
noires de la Caroline septentrionale (6700 pieds de hauteur), la
dernière région entièrement inexplorée en a rapporté de riches
collections de Lépidoptéres et des Coléoptéres. Ces collections con-
tiennent beaucoup de nouvelles espéces toutes biem conservées et
définies qu'il offre en vente à des prix modérés.
L’Academie Royale Danoise des sciences et des lettres de Co-
penhague a envoyé de son cóté le rapport de MM. Colding, Holten
et Johnstrup sur le Mémoire de Mr. Wex sur la diminution du vo-
lume d'eau dans les sourees et rivieres. Vienne 1873. Le Vice-
Président Dr. Rd. exprime à cette occasion le désir que des re-
eh,
cherches semblables sur l'influence de l'humidité en. général, sur
la culture des champs et le bien-être des hommes soient faites en
Russie.
L'Académie Rouale des sciences de l'Institut de Bologne envoie sa
question de prix pour 1877.
Mr. le Dr. Guido Schenzl envoie ses observations météorologiques
et magnétiques faites pendant le mois d'Octobre à Budapest.
Mr. le Directeur du Musée et de la bibliothéque publics du Caucase
à Tiflis, Gust. Iv. Radde écrit que Son Altesse Impériale le Grand
Duc Nicolas Michailovitsch s'occupe avec beaucoup d'intérét des
Lépidoptéres et a exprimé le désir de recevoir, s’il est possible,
toute la collection des publications de la Société, mais en tout cas
Son Altesse espére pouvoir recevoir encore les derniéres années
des Bulletins.
Mr. le Dr. Albert Regel de Kouldja envoie la cotisation pour 1876
et 1877.
Mr. Serge Nicol. Nikitine a parlé sur les observations que durant
les 2 derniéres années il a faites concernant la formation jurassi-
que des montagnes des Moineaux prés de Moscou. Ces recherches
lui ont procur& plus de 100 espéces qui jusqu'à présent n'avaient
pas encore été trouvées dans cette localité que l'on considérait
en général pauvre en fossiles. Mr. Nikitine est parvenu par №
aux conclusions suivantes: 1. La coupe présentée par Mr. Murchi-
son est généralement exaete. 2. L'existence sur les montagnes des
Moineaux d'une couche riche en fossiles et nommée par Murchison
Inoceramus-grit se trouve corfirmée. 3. Les 3 étages du Jura de
Moscou dont chacune généralement est caractérisée par des fossiles
propres sont le résultat de changemens locaux, mais ne présentent
guère des époques géologiques consécutives.
S. Ex. Mr. Weinberg a fait un rapport verbal sur l’ouvrage de
Mr. le Dr. Wittmann de Mayence concernant la différence des hau-
teurs du Rhin durant une longue série d'années notamment depuis
l'année 70 jusqu'en 1858. La plus basse eau du Rhin a été en 1858
ce qui à donné occasion de découvrir une foule d'objets archéolo-
giques ayant appartenus à la période de pierre. La hauteur la plus
considérable a eu lieu en 1845.
Mr. M. I. Popelaëff a parlé sur des fossiles qu'il a trouvés dans
les formations des montagnes des Moineaux.
Mr. le Professeur Th. Bredichin a parlé sur les lignes spectra-
№ 4. 1876. 8
LI |< Marat
les des nébulosités planétaires qui d’après ses recherches sont les
lignes du fer et de l’hydrogène.
Lettres de remercimens pour l’envoi du Bulletin et des Mémoi-
“res de la part de Leurs Exc. le Prince Schichmatoff-Schirinsky,
Comte Lutke, Lapschine, Illjenkoff, de MM. Herder, Lindemann,
Senoner, Kawall et Regel de Kouldja, des Universités de Moscou,
St-Pétersbourg, Клей, Varsovie, Dorpat, Kasan et de Kharkoff, de
l’Académie I. des sciences et de la Société I. géographique de St.-
Pétersbourg, de la Société d’acclimatation de Moscou, du Jardin
botanique et de la Société I. libre économique de St-Pétersbourg,
de l'Académie R. des sciences à Amsterdam, de la Société des
sciences de Breslau, de la Société d'histoire naturelle de Marbourg, de
l’Académie В. Danoise des sciences de Copenhague, du Musée géo-
logique du Calcutta, du Musée Teyler de Harlem, de l'Académie
Peabody des sciences à Salem, de la Société d'histoire naturelle
de Brunn, du Musée de Zoologie comparative de Cambrige, du cer-
cle de lecture des étudiants allemands à Vienne, et de la Société
Senckenberg des sciences naturelles à Francfort s. M.
DONS.
Livres offerts.
1. Petermann, A. Mittheilungen über wichtige neue Erforschun-
gen auf dem Gesammtgebiete der Geographie. 1876 № 5. Er-
gänzungsheft N° 46. Gotha 1876 in 4°. De la part de la Ré-
daction.
2. Bullettino della Società entomologica italiana. Anno 8, trim 3.
Firenze 1876 in 8°.
. 9. Catalogo della collezione di insetti italiani del R. Museo di
Firenze. Série I. Coleotteri. Firenze 1876 in 8°. Les M 2 et 3
de la part de la Société entomologique italienne de Florence.
4. Abhandlungen des naturwissenschaftlichen Vereins in Bremen.
Band 5, Heft 1. Bremen 1876 in 8°.
5. Peilage N 5 zu den Abhandlungen des naturw. Vereins in Bre-
men. Bremen 1875 in 4. Les № 4 et 5 de la part de la Socié-
te des Naturalistes de Breme.
6. Verhandlungen der K. K. zoologisch-botanischen Gesellschaft
10.
IX
12.
13.
]4.
16.
17.
18.
19.
E TERN
in Wien. Band 25. Wien 1876 in 8*. De la part de la Societé I.
R. zoologico-botanique de Vienne.
. Proceedings of the asiatic Society of Bengal. 1875. №. 10. Cal-
cutta 1875 in 8°.
. Journal of the asiatic Society of Bengal. 1875. Part 1, № 4. Cal-
cutta 1875 in 8°. Les № 7 et 8 de la part de la Société asiatique
du Bengale à Calcutta.
. Neues Lausitzisches Magazin. Band 52. Heft 1. Görlitz 1876 in
8°. De la part de la Société des scwnces de Görlitz.
Verhandlungen der Senckenbergischen naturforschenden Gesell-
schaft. Band 10. Heft 3 u. 4. Frankfurt a. M. 1876 in 4°. De la
part de la Société Senckenberg des Naturalistes à Francfort s. M.
Sitzungsberichte der Gesellschaft zur Beförderung der gesamm-
ten Naturwissenschaften in Marburg. Jahrgang 1875. Marburg
1875 in 8°.
Schriften der Gesellschaft zur Beförderung der gesammten Na-
turwissenschaften zu Marburg. Band 10. Abh. 12. Cassel 1874
in 8°. Les № 11 et 12 de la part de la Société des Naturalistes
de Marbourg.
Memoirs of the geological Survey of India. Ser. IX, 3. Cal-
cutta 1875 in 4%.
Records of the geological Survey of India. Vol. 8, part 3, 4.
Calcutta 1875 in 8°. Les № 13 et 14 de la part de la Societe
géologique des Indes à Calcutta.
. Württembergische naturwissenschaftliche Jahreshefte. Jahrgang
32, Heft 3. Stuttgart 1876 in 8°. De la part de la Société des Na-
turalistes de Stuttgart.
В. Comitato geologico d'Italia. Bolletino № 7 et 8. Roma 1876
in 8°, De la part de Comité géologique d'Italie à Rome.
The transactions of the entomological Society of London. 1875,
part 4 an 5. London 1875 in 8°. De la part de la Société ento-
mologique de Londres.
Berichte über die Verhandlungen der K. sächs. Gesellschaft
der Wissenschaften zu Leipzig. Mathemat. phys. Classe 1874,
№ 3-5 1875. № 1. Leipzig 1875 in 8°.
Hansen, P. A. Ueber die Darstellung der Graden- Seg
u. Abweichung des Mondes. Leipzig 1874 in 8°.
Re pe
. Hansen, Dioptrische Untersuchungen. № IX. Leipzig 1874 in 8°.
31. Hankel, W. G. Elektrische Untersuchungen. 12-te Abhandlung.
Leipzig 1875 in 8° Les .% 18 — 21 de la part de la Societé В.
Saxonne des sciences de Leipzig.
. Verhandlungen des naturforschenden Vereins in Brünn. Band
13. Brünn 1875 in 8°.
23. Katalog der Bibliothek des nafurforschenden Vereins in Brünn.
Brünn 1875 in 8°. Les № 22 et 23 de la part de la Société des
Naturalistes de Brunn. ?
. Bulletin de l'Académie de médecine. 39.éme année Paris 1875
in 8°. De la part de lAeadémie de medecine de Pris.
. Foreningen til norske fortidsmindes merkers bevaring. Aarsbe-
retning for 1874. Kristiania 1875 in 8°. De la part de la Socie-
te archéologique de Christiania.
. Revue scientifique 1876. 5-ème année, 2-de serie № 39—42. Paris
1876 in 4°.
. Revue politique et littéraire. 5-ème année, 2-de serie 1876.
№ 39—42. Paris 1876 in 4°. Les № 26, 27 de la part de la Ré-
dacti n.
. Annuario della Società dei Naturalisti in Modena. Serie 2.
Anno X. Fascicolo 1. Modena 1876 in 8°. De la part de la So-
ciété des Naturalistes de Modene.
. Mittheilungen aus dem Jahrbuche der K. Ungar. geologischen An-
stalt. Band 3, Lieferung 3, Band 4, Heft 1. Budapest 1875 in 8°.
. А. magyar Kir. füldtani intézet Evkönve. Kötet IV, füzet 2.
Budapest 1875 in 8°. Les № 29 et 30 de la part de l'Institut В.
hongrois geologique de Budapest.
. Журналь Munucrepcrsa Народнаго ПроевЪщен1я. 1876. Октябрь.
С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Redaction.
. Nature. 1876. № 365, 356 367, 368. London 1876 in 4°. De la
part de la Redaction.
. Das Ausland. 1876. X. 42, 43. Stuttgart 1876 in 4°. De la part
de Mr. le Baron de Hellwald.
. Russische Revue. 1876, Heft 10. St.-Petersburg 1876 in 8°. De
la part de Mr. Ch-s Röttger.
. Протоколы ЗасЪдан1я Ими. Кавказскато Медицинскаго Обще-
ства. Годъ XIII, № 5, 6, 7. Тифлисъ 1876 in 8°.
36.
37.
39.
40.
41.
42.
49.
IIT". -
Рейнь, M. НЪсколько словъ объ ocrporb 2phnia въ войскахтъ.
Тифлисъ 1876 in 8°. Les M 35, 36 de la part de la Société I. de
médecine du Caucase a Tiflis.
Secretaria d’Estado dos negocios da marinha e uttramar. Co-
missao central permanente de Geographia. Lisboa 1876 in 12°.
De la part de la Commission centrale permanante géographique
de Lisbonne.
. Vuusepcumemeria ИзвЪстля. 1876. № 9. Kien» 1876 in 8°. De la
part de l’Université de Kieff.
Bulletin de la Société vaudoise des sciences naturelles. 2 Ser.
Vol. 14. № 76. Lausanne 1876 in 8°. De la part de la Société
vaudoise des sciences maturelles de Lausanne.
Entomologische Nachrichten. Jahrgang 2. Heft 1. Putbus 1876
in 8°. De la part de Mr. le Dr. Katter.
Monatsschrift des Vereines zur Beförderung des Gartenbaues.
1876. October. Berlin 1876 in 8°. De la part de la Société d'hor-
ticulture de Berlin.
Lagorio, Alex. Microscopische Analyse ost-baltischer Gebirgs-
arten. Dorpat 1876 in 8°.
. Dohnberg, Herm. Die Temperatur am Auge. Dorpat 1876 in 8°.
. Pihlemann, Rob. Untersuchungen über die angeblich präfor-
mirten Verbindungswege zwischen den Blut- u. Lymphgefässen
des Frosches. Dorpat 1876 in 8°.
. Koppe, Oscar. Ophthalmoscopisch-ophthalmologische Untersu-
chungen. Dorpat 1876 in 8°.
. Sorgenfrey, Alex Ueber Wiederbelebung u. Nachkrankheiten
nach Scheintod. Dorpat 1876 in 8°.
. Personal der K. Universität zu Dorpat. 1876. Semester 2. Dor-
pat 1876 in 8°.
. Verzeichniss der Vorlesungen an der K. Universität zu Dorpat.
1876. Semester 2. Dorpat 1876 in 8°. Les № 48—48 de la part
de l’Université de Dorpat.
Neues Jahrbuch für Mineralogie, Geologie u. Paläontologie:
Jahrgang 1876. Heft 7. Stuttgart 1876 in 8°. Dela part de MM.
les Redacteurs.
. Jahresbericht des Lesevereins der deutschen Studenten Wiens
„für das 5-te Vereinsjahr. Wien 1876 in 8°. De la part du cer-
cle de lecture des étudiants allemands à Vienne.
51.
55.
60.
61.
m |e
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Karo завода на УралЪ. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de
l’Auteur.
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73.
14.
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TT.
78.
-— Ma ABER
in 8*. Les M 63, 64 de la part de l'Académie américaine des
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Proceedings of the american Association for the advancement
of science. Vol. 24. Salem 1876 in 8%, De la part de lV Associa-
tion américaine pour l'avancement des sciences à Salem.
Proceedings of the american philosophical Society. Vol. XIV,
№ 95, XVI. № 97. Philadelphia 1875—1876 in 8°. De la part de
la Société américaine philosophique de Philadelphie.
Jahresbericht (29-ter) der Staats-Ackerbaubehórde von Ohio.
Für das Jahr 1874. Columbus, Ohio 1875 in 8*. De la part de la
Société d'agriculture d’Ohio.
The american Naturalist. Vol. VIII. № 2—12. Salem 1874 in 8°.
Catalogue of paintings, bronzes etc. by the Essex Institute. No-
vember 1875. Salem 1875 in 8°.
Sixth annual report of the Trustees of the Peabody Academy
of science. Salem 1874 in 8°.
Memoirs of the Peabody Academy of science. Vol. I. X 4. Sa-
lem 1875 in 4°. .
Robinson, John. Check list of the ferns of North America north
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Illustrated Catalogue of the Museum of comparative Zoolegy
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Zoology in Cambridge for 1874. Boston 1875 in 8^. Les № 74
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brid; ge.
Pickering, Charles. The geographical distribution of animals
and plants. Part 2. Plants in their wild state. Salem 1876 in 4°.
‚De la part de V Auteur.
Lea, Isaac. Further notes on ,Inclusions* in Gems etc. Phila-
delphia 1876 in 8. —
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ladelphia 1876 in 8°. Les № 76, 77 de la part de l’Auteur.
1%
80.
83.
84.
85.
87.
89.
90.
9T.
92.
LEGE
The Transactions of the Academy of science of St. Louis. Vol.
3. M 8. St. Louis 1876 in 8°. De la part de l’Académie des
sciences de £t. Louis.
Bulletin of the Buffalo Society of natural sciences. Vol.3. X 1.
Buffalo 1875 in 8°. De lu part de la Société des sciences natu-
relles de Buffalo. i
. Memoirs of the Boston Society of natural history. Vol. 2, part 2.
N 2, 3. Boston 1875 in 4°.
. Proceedings of the Boston Society of natural history. Vol. XVII,
part 3, 4. Vol. XVIII, part 1. Boston 1875 in 8°.
Hentz, Nicholas Marc. The Spiders of the United States. Bo-
ston 1875 in 8°. Les N° 81—83 de la part de la Société d’hi-
stoire naturelle de Boston.
Hayden, F. V. Report of the United States geological survey
of the territories. Vol. 2. Washington 1875 in 4°. De la part
de V Auteur.
L’Empire du Brésil à l'exposition universelle de 1876 à Phila-
delphie. Rio de Janeiro 1876 in 8°. De (а part de Sa Majeste
l'Empereur du Brésil, Dom Pedro II.
. Bapwaecxia Университетская ИзвЪст1я. 1876. № 3. Варшава
1876 in 8°. De la part de l’Université de Varsovie.
Записки Имп. Харьковскаго Университета. 1875. № 4. Xapr-
ковъ 1876 in 8. De la part de l'Université de Kharkov.
. Извьстия и Ученыя Записки Имп. Казанскаго Университета.
1876. № 5. Казань 1876 in 8°. De la part de l’Université de
Kasan.
Gartenflora. 1876. September, October. Stuttgart 1876 in 8°. De
la part de Mr. le Dr. Ed. Regel. |
Regel, A. Mittheilungen über neue Fundorte u. interessante
Arten der Dorpater Flora. Dorpat 1876 in 8*. De la part de
l’Auteur.
Въстникь Имп. Poccilickaro Общества Садоводства. 1876. № 5.
С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Societe I. d’horticul-
ture de St.- Pétersbourg.
Catalogue des bibliothéques importantes sur les sciences na-
turelles et exactes de feu Van Leppen et feu Van Reenen. Am-
sterdam 1876 in 8°. De la part de Friderik Muller d' Amsterdam.
93.
94.
95.
96.
97.
98.
99.
100.
101.
102
. 103.
104.
105.
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— 65 =
Русское Сельское хозяйство. 1876. № 7. Москва 1876 in 8°.
O3mudoes, H. Л. Moe хозяйство подъ Москвою. Москва 1876
in 8°. Les № 93, 94 de la part de la Société I. économique de
Moscou.
Monatsbericht der K. Preussischen Akademie der Wissenschaf-
ten zu Berlin. 1876. Juli. Berlin 1876 in 8°. De la part de l' Aca-
demie В. des sciences de Berlin.
Compte-rendu de la Société entomologiqne de Belgique. Série
II. № 30. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la Société ento-
mologique de Belgique à Bruxelles.
Memorie della Società degli Spettroscopisti italiani. 1876. Di-
spenza 9, 10. Palermo 1876 in 4*. De la part de Mr. le Prof.
P. Tacchim de Palerme. |
Quaritch, Bern. A. New Catalogue of miscellaneous works. X
304. London 1876 in 8°. De la part de Mr. Quaritch.
Spaeth, L. Preis-Verzeichniss seiner Baumschulen. 1876 — 77.
Berlin 1876 in 8°. De la part de Mr. Spaeth.
Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série II. Tome
II, fasc. 4. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société des scien-
ces de Nancy.
Bulletin de la Société R. de Botanique de Belgique. Tome 14.
Bruxelles 1875 in 8°. De la part de la Société R. de Botanique
à Bruxelles.
Sitzungsberichte der physikalisch-medicinischen Societät zu Er-
langen. Heft 8. Erlangen 1876 in 8°. De la part de la Societe
physico-medicale d’Erlangue.
Rendiconti. Reale Instituto lombardo di scienze e lettere. Sé-
rie II. Vol. VII, fasc. 17—20. Vol. VHI, fasc. 1—4. Milano 1874—
75 in 8°.
Memorie del Reale Istituto lombardo di scienze e léttere. Clas-
se di scienze matematiche e naturali. Vol. XIII, fasc. 2. Mila-
no 1875 in 4°. Les № 103, 104 de la part de Institut Royal lom-
bard des sciences de Milan.
Atti della Società Italiana di scienze naturali. Vol. XVII, fasc.
4. Vol. XVII, fasc. 1. Milano 1875 in 8°. De la part de la So-
се italienne des sciences naturelles de Milan.
Memorie dell’ Academia delle scienze dell’ Istituto di Bologna.
Série III. Tom. V, fasc. 1, 2. Bologna 1874 in 4*.
№4. 1876. 9
= =
107. Rendiconto delle sessioni dell’ Accademia delle scienze di Bo-
logna. Anno accadem. 1874—75. Bologna 1875 in 8°. Les Л 106, -
107 de la part de l’Academie des sciences de Bologna.
108. Всемрный nyremecrsenanxt. 1876. Ноябрь. С.-Петерб. 1876 in
8°. De la part de la Rédaction.
109. Bncmuuxs Европы. 1876. Hoz6ps. С-Петерб. 1876 in 8°. De la
part de la Rédaction.
110. Heyer, Gust. Allgemeine Forst- u. Jagd-Zeitung. 1876. Septem-
ber. Frankf. a. M. 1876 in 8°. De la part de Mr. le Rédacteur.
111. Jahresbericht der Gesellschaft für Natur- u. Heilkunde in Dres-
den. October 1875 bis Juni 1876. Dresden 1876 in 8°. De la
part de la Société d'histoire naturelle et de médecine à Dresde.
112. Proceedings of the asiatic Society of Bengal. 1876. № 1, 2. Cal-
cutta 1876 in 8".
118. Journal of the asiatic Society of Bengal. Part 2. X 3. Calcutta
1875 in 8°. Les № 112, 113 de la part de la Société asiatique
du Bengale à Calcutta.
114. Wittmann, Jos. Chronik der niedrigsten Wasserstände des
Rheins vom Jahre 70 n. Chr. Geb. bis 1858. Mainz 1859 in 8°.
115. — — Einiges über die höchsten Wasserstände des
Rheins bei Mainz. Mainz 1876 in 8°. Les № 114, 115 de la part
de l’Auteur.
116. Abhandlungen des naturwissenschaftlichen Vereins zu Magde-
burg. Heft 7. Magdeburg 1876 in 8°.
117. Jahresbericht (6-ter) des naturwissensehaftlichen Vereins zu
Magdeburg. Magdeburg 1876 in 8°. Les M 116, 117 de la Petit
de la Société d'histoire naturelle de Magdeburg.
118. Hagen, Herm. A. On some insect deformities. Cambridge 1876
in 8°. De la part de Mr. Alex. Agassiz.
119. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology. Vol.3. № 11—
16. Cambridge 1876 in 8°. De la part du Musée de Zoologie
comparée de Cambridge.
120. Reincke J. J. Hamburg in naturhistorischer u. medizinischer
Beziehung. Hamburg 1876 in 8°. De la part de la Société des
Naturalistes de Hambourg.
121. Helmersen, G. Ueber die Nothwendigkeit des Waldschutzes für
122,
123.
M ous
die schiffbaren Ströme Russlands. 1876 in 8°. De la part de
l’Auteur.
Труды Pycckaro Энтомологическато Общества въ С.-Петер-
6ypr#. Томъ VIII. № 4. Toms IX. № 3, 4. С.-Петерб. 1876 in 8°.
Horae Societatis entomologieae rossicae. T. XI. № 4. T. XII.
№ 1. Petropoli 1876 in 8°. Les № 122, 123. de la part de la So-
eiété eatomologiqae russe de St.-Pétersbourg.
124. Geleznow, N. Recherches sur la quantité et la répartition de
125.
126.
197.
128,
129.
leau dans la tige des plantes ligneuses. St.-Pétersbourg 1876
in 8°. De la part de l’Auteur.
Zeitschrift der Deutschen geologischen Gesellschaft. Band 28.
Heft 2. Berlin 1876 in 8°. De la part de la Société géologique
allemande de Berlin.
Bedriaga, Jacques v. Die Faraglione-Eidechse und die Entste-
hung der Farben. Heidelberg 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
Verhandlungen des naturhistorisch-medicinischen Vereins in
Heidelberg. Neue Folge. Band 1. Heft 4. Heidelberg 1876 in
8°. De la part de la Societe d’histoire naturelle et de médecine
de Heidelberg.
Труды Имп. вольнаго Экономическаго Общества. 1876. Toms 3.
Октябрь. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Société I. lib-
re économique de St.-Pétersbourg.
Льсной shypHars. Годъ 6-й, вынускъ 5-й С.-Петерб. 1876 in 8°.
^ De la part de la Rédaction.
130.
151.
Archiv für Naturgeschichte. Jahrgang 42, Heft 3. Berlin 1876
in 8°. De la part de Mr. le Professeur Troschel de Bonn.
Мёллерз, B. KB геологическому очерку южной части Нижего-
родской Губрыи. С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de l'Auteur,
Membres elus.
Actifs:
(Sur la présentation de MM. Renard et Sabanéeff:)
Mr. le Dr. Basile Nicolaévitsch Radakoff a Moscou.
(Sur la présentation de MM Senoner et Renard:)
Mr. le Baron Augie Todaro, Directeur du Jardin ier a
Palerme.
==. em
(Sur la présentation de MM. A. A. Fischer de Waldheim et Re-
nard:)
Mr. le Dr. Paw! Mognus, Botaniste à Berlin.
(Sur la présentation de MM. Weinberg et Renard:)
Mr. le Dr. Joseph Wittmann, Secrétaire de la Société rhenane
d'histoire naturelle à Mayence.
SÉANCE DU 16 DÉCEMBRE 1876.
Mr. R. Hermann a présenté ses recherches ultérieures sur les
combinaisons des métaux du groupe du Tantal et sur un nouveau
métal qu'il a nommé Neptunzum.
Mr. Serge Nicol. Nikitine a remis uu travail sur le Jura des mon-
tagnes des Moineaux avec 1 planche.
Lecture d'une circulaire du Comité préalable du 4-eme Congrès
d'Archéologie qui aura lieu en 1877 à Kasan, dans laquelle il enga-
ge toutes les institutions et Sociétés scientifiques à y prendre part
en y déléguant des Députés qui en méme temps devront se réu-
nir préalablement ce mois de Décembre (le 20) dans le local de la
Société archéologique de Moscou
Mr. le Professeur Gustave Jermy d'Iglo en Hongrie possède de
riches collections minéralogiques et botaniques (toutes bien defini-
es et conservées) de la Hongrie et désire entrer en échange de
minéraux et de plantes russes. Il en offre aussi à la disposition de
la Société.
Mr. Adolf Senoner de Vienne remerciant pour l'envoi des dernit-
res publications de notre Société propose au nom de Mr. Théodore
Lefévre des fossiles tertiaires des environs de Bruxelles.
Mr. le Dr. Raphael Gestro, Sous-Directeur du Musée civique d’his-
toire naturelle de Génes annonce qu'il vient de nous expédier le
tome VIII des Annales publiées par ledit Musée et prie de lui
envoyer 2 Numéros de nos Bulletins 1872 et 1875 qui ne lui sont
par parvenus. |
Le Vice-Président, Dr. Renard, présente le Bulletin № 3 de 1876
qui vient de paraitre sous sa rédaction.
Mr. le Professeur Pringsheim de Berlin, MM. Casimir De Can-
dolle et Jean Müller de Genève remercient pour leur nomination de
membres de la Société et promettent de nous envoyer celles de
leurs publications dont il peuvent encore disposer.
Son Excell. Mr. l'Académicien Abich annonce qu'il a quitté le 30
Octobie la ville de Tiflis et qu'il habite dés le 7 Novembre Vien-
ne où il prie de lui faire parvenir les Bulletins de la Société. Пу
est occupé de publier ses travaux géologiques sur le Caucase.
Mr. le Conseiller d'état Ed. Вода. Lindemann a annoncé de mé.
me qu'à cause de santé il a demandé à étre transféré de Kichinew
à Odessa comme médecin de la 7-&me Division de Cavalerie.
Mr. le Dr. Guido Schenzel envoie ses observations. météorologico-
magnétiques faites pendant le mois de Novembre à l'observatoire de
Buda-Pest. |
La Société zoologique de France à Paris nouvellement fondée en-
vole ses deux premiers Bulletins et propose l'échange des publi-
cations.
La Société d'histoire naturelle de Schleswig Holstein nouvellement
fondée à Kiel envoie le tome 2 de son Journal et désire de méme
entrer en échange de publications.
La Société litéraire, scientifique et artistique d’Apt envoie son pro-
gramme du Concours pour 1876 —77.
Le Mibe president Dr. Renard rend la Société attentif que d’après
les Journaux l’Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg
célébre le 29 Décembre le 150-ème anniversaire de sa fondation et
propose vu les quelques jours qui restent d'envoyer à l’Académie
au moins une adresse de félicitations.
Mr. Théodore Lefèvre de Bruxelles envoie un dessin photogra-
phique d'un fossile remarquable de la Belgique l'Haliterium Uytter-
hoeveni Lef.
Mr. R. Hermann a parlé sur le Neptunium, métal nouvellement
découvert par lui.
Mr. le Professeur Al. Al. Fischer de Waldheim de Varsovie a
fait une communication sur les Ustilaginées qui infectent les plan-
tes de la famille des Polygonées.—Suivant ses observations l'Usti-
lago Kuhniana que Mr. Wolf a décrite en 1874 se développe sur
les deux espéces d'oseilles (Rumex Acetosa et Acetosella) cepen-
EUN. TM
dant elle avait été observée longtemps avant, mais elle fut conton-
due soit avec l'Ustilago utriculosa (Unger, Roussel) soit avec l'Us-
tilago Candollei. On.la rencontre en Suisse, en France et en Alle-
magne. L'Oseille maritime (R. maritimus) est attaquée par une es-
pèce différente que Mr. Fischer a décrite sous le nom d'Ustilaco
Parlatori. Il l'a trouvé l'année passée dans le Nord de l’Allema-
| gne et cette année dans la banlieue de Moseou.— Sur d'autres espè-
ces de Rumex ce ne sont que les Ustilago utriculosa et Candollei,
dont la premiére fut trouvée par Mr. Fischer aux environs de Mos-
eou encore sur les Polygonum lapathifolium et Persicaria et la se-
conde sur la Polygonium Hydropiper.
Mr. le Professeur H. Trawischold a parlé sur quelques ouvrages
qui récemment ont paru sur les sédimens jurassiques supérieurs
i l’Oriole et à Pellat en France. — La comparaison des fossiles de
ces contrées a prouvé que beaucoup d'entre eux sont identiques avec
ceux des couches jurassiques supérieures de Moscou.
S. Exe. Mr. I. Weinberg a fait un rapport succinct sur la portée
des recherches de Mr. Wex concernant le décroissement des eaux
des riviéres. Mr. Weinberg a montré la haute importance de cette
question pour la Russie sous le rapport de la géographie en géné-
ral. Désirant en faire une étude spéciale Mr. Weinberg espére pou-
voir compter sur la coopération de la Société.
Lettres de remercimens pour l'envoi des publications de la Socié-
té de la part de l’Académie médico-chirurgicale et de l'Institut
d’agrieulture de St.-Pétersbourg, de la Société des Naturalistes de
Kasan, des Sociétés des médecins de Vilna et de Tiflis et de la
Société d’agriculture de Moscou, de l'Académie des sciences de Mu-
nich et de la Direction générale de médecine du Departement of
War à Washington et de MM. Senoner de Vienne et Lindemann
d'Odessa.
DONS.
Livres offerts.
1. The american Journal of sciences and arts. 1876. № 64—68. New
Haven 1876 in 8°. De la part de MM. Dana et Silliman de New
Haven.
2. The american Naturalist. Vol. 9. № 1—19. Salem 1875 in 8°.
De la part de l’Académie Peabody des sciences de Salem.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
=,
. Proceedings of the Academy of natural sciences of Philadelphia.
Part III. 1875. Philadelphia 1876 in 8°. De la part de l’Acade-
mie des sciences naturelles de Philadelphia.
. Memoirs of the Boston Society of natural history. Vol. 2, part
4. X 4. Boston 1876 in 4°.
. Proceedings of the Boston Society of naturhistory. Vol. 18, part
2. Boston 1876 in 8°. Les M 4 et 5 de la part de la Société
d'histoire naturelle de. Boston.
; Mittheilungen des historischen V Kd in Steiermark. Heft 24.
Graz 1876 in 8°.
. Beiträge zur Kunde steiermärkischer Geschichtsquellen. Jahr-
gang 18. Graz 1876 in 8%. Les № 6, 7 de la part de la Société
historique de Graz. |
. Jahres-Bericht (53-ter) der Schlesischen Gesellschaft für vater-
ländische Cultur. Breslan 1876 in 8°. De la part de la Societe
silesique des sciences a Breslau.
. Abhandlungen der mathematisch-physikalischen Classe der К.
bayer. Akademie der Wissenschaften. Band 12, Abth. 2. Mün-
chen 1876 in 4°. De la part de l'Académie R. des sciences de
Munich.
Petermann, A. Mittheilungen über wichtige neue Erforschun-
gen auf dem Gesammtgebiete der Geographie. 1876. № IV. VII.
IX. u. Ergänzungsheft ® 45, 48. Gotha = in 4°. De la part
de Mr. le Redacteur. |
Schriften der pysikalisch-ökonomischen Gesellschaft zu Königs-
berg. Jahrgang 16, Abthlg. 1. Königsberg 1875 in 4°. De la part
de la Societé physico-économique de Königsberg.
Godeffroy, Rich. Bestimmung des Atomgewichts von Cäsium u.
Rubidium. Giessen 1876 in 8°.
Spamer, Karl. Ueber Aphasie und Asymbolie. Berlin. 1876
in 8°. |
Hoffmann, Herm. Ueber Accomodation. Giessen 1876 in 4°.
Clemm, Vil.De fragmento quodam alemanico. Gissae 1876 in 4°.
Verzeichniss der Vorlesungen zu Giessen 1876 u. 18"°/,.. Giessen
1876 in 8°. Les № 12—16 de la part de l’Université de Giessen.
Comitato В. geologico d'Italia. Bollettino №9 e 10. Roma 1876
in 8°. De la part du Comité R. géologique d'Italie à Rome.
18.
19;
20.
21.
22.
23.
9 =
Haencmia Кавказскаго Отдфла Ими. Русскаго Геотрафическато
Общества. 1876. № 4. Тифлиеъ 1876 in 8°.
Tenmue. Спешальная Статистика Перси. Тифлись 1876 in 8°.
Les № 18, 19 de la part de la Section caucasienne de la Socie-
té I. géographique à Tiflis.
Журналь Министерства Народнаго Просвфщения. 1876. Ноябрь.
С.-Петерб. 1876 in 8°. De la part de la Redaction.
Nature. Journal of science. Vol. 15. № 369, 371, 372. London
1876 in 4°. De la part de la Rédaction.
Московская Медицинская Газета. 1876. № 46, 48, 49, 50. Москва
1876 in 4°. De la part de la Societe des medecins russes de
Moscou.
Bulletin mensuel de la Société d'Achat 3-e série. To-
me 3. X 9, 10. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société d’ac-
38.
climatation de Paris.
24. Mocxoscriü врачебный ВЪетниЕъ. 1876. № 20, 22. Москва 1876
in 4°. De la part de la Societe physico-médicale de Moscou.
. Morren, Edouard. La digestion végétale. Gand 1876 in 8°. De
la part de Auteur.
. Monatsbericht der K. Preussischen Akademie der Wissenschaf-
ten. 1876. August. Berlin 1876 in 8*. De la part de l'Académie
R. des sciences de Berlin.
. Das Ausland. 1876. № 42, 43, 44, 45, 46, 47. Stuttgart 1876 in
4°. De la part de Mr. le Baron Hellwald.
: Университетская Uspberia. 1876. № 10. Ries» 1876 in 8°. De la
part de l’Université de Kieff.
. Протоколь SachıaH. Ими. Виленскаго Медицинскаго Общества.
1876. № 6, 7. Вильно 1876 in 8°. De la part de la Societe I. de
medecine de Vilna.
Philosophical Transactions of the Royal Society of London.
Vol. 164, part 1, and 2. London 1874 in 4°,
. The Royal Society 30-th November 1875. Londen 1875 in 4°.
. Proceedings of te Royal Society. Vol. XXII. № 151 — 155. Vol.
XXIII. № 156—106. London 1874—75 in 8°. Les № 30—32 dela
part de la Société Royale de Londres.
Revue scientifique de la France et de l'étranger. 2 série. 5-&me
année. № 36—38. № 43, 48, 50—52. Paris 1876 in 4°.
34.
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36.
37.
m
a
— IL
Revue politique et littéraire. 2 série, 5-óme année. № 36 — 38.
№ 44—53. Paris 1876 in 4°. Les № 33 et 34 de la part de la
Redaction. |
Записки Уральскаго Общества Любителей Естествознания. Toms
Ш. № 2. Екатеринбургъ 1876 in 4°. De la part de la Société
ouralienne des amis des sciences naturelles d'Eketherinbourg.
Archiv für die Naturkunde Liv-, Ehst- u. Kurlands. 2-te Serie.
. Biologische Naturkunde. Band 5. Dorpat 1875 in 8°.
Sitzungsberichte der Dorpater Naturforscher Gesellschaft. Band
4. Heft 1. 1875. Dorpat 1876 in 8°. Les N 36, 37 de la part de
la Société des Naturalistes de Dorpat.
. Russow, Edm. Betrachtungen über das Leitbündel- und Grund-
gewebe. Dorpat 1875 in 4°.
. Bergmann, Ernst. Die gegenwärtigen Forschungen über den
Ursprung des Krebses. Festrede. Dorpat 1876 in 4°.
. Petersenii Emendationes ad solemnia С. Universitatis Dorpa-
tensis. Dorpati 1875 in 4°.
. Personal der K. Universität zu Dorpat. 1876. Semester 1. Dor-
pat 1876 in 8°.
. Verzeschniss der Vorlesungen an der К. Universität Dorpat.
1876. Semester I. Dorpat 1875 in 8°.
. Anders, Ernst. Experimentelle Beiträge zur Kenntniss der cau-
salen Momente putrider Intoxieation. Dorpat 1876 in 8°.
. Rathlef, Edw. Zur Diagnostik und Casuistik der epikraniellen
Dermoidcysten. Dorpat 1876 in 8*.
Hörschelmann, Ernst. Anatomische Untersuchungen über die
Schweissdrüsen des Menschen. Dorpat 1875 in 8°.
. Hoffmann, Theod. Die Lungen-Lymphgefüsse der Rana tempo-
raria. Dorpat 1876 in 8*.
. Berg, Fr. Beiträge zur Pharmacologie u. Toxicologie der Jod-
präparate. Dorpat 1875 in 8°.
48. Bätge, Arth. Ueber Keratosis circumscripta multiplex. Dorpat
1875 in 8°.
49. Buchholtz, Leon. Ueber das Verhalten von Bakterien zu eini-
gen Antisepticis. Dorpat 1876 in 8°.
. Trojanovsky, Piers. Ein Beitrag zur pharmakognostischen u.
chemischen Kenntniss des Cacaos. Dorpat 1875 in 8°.
N 4. 1876. : 10
51.
53.
54.
59.
56.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
63.
64.
m— RU
Kieseritzky, Gangelf. Nike in der Vasenmalerei. I. Dorpat 1856
in 8°. Les № 38—51 de la part de l'Umwversité de Dorpat.
. Anales de la Sociedad espanola de historia natural. Tomo II.
Cuaderno 1—3. Tomo III. Cuaderno 1—3. Madrid 1873 — 74 in
8°, De la part de la Société espagnole d'histoire naturelle de
Madrid.
Bericht (5-ter) der Naturwissenschaftlichen Gesellschaft zu
Chemnitz. Chemnitz 1875 in 8°.
Kramer, Franz. Phanerogamen-Flora von Chemnitz n. Umge-
gend. Chemnitz 1875 in 4°. Les 53 et 54 de la part de la So-
ciété d'histoire naturelle de Chemnitz.
Baillon, H. Adanzonia. Paris 1873 in 8°.
Bulletin de la Societ& botanique de France. Tome 22. Revue
bibliographique E. Paris 1875 in 8°.
Liste des Membres de la Société botanique de France au 1
Janvier 1876. Paris 1876 in 8°. Les № 55—57 De la part de la
Société botanique de Paris.
Годичный Актъ Петровской Землед$льческой m лфсной Акаде-
min. 21 Ноября 1876 г. Москва 1876 in 8°. de la part de l’Aca-
.demie d'agriculture de Petrovsky Razoumovsky.
Bulletin de la Société zoologique de France. 1-éme année, part.
1—3. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société zoologique de
France à Paris.
Tijdschrift voor Entomologie. Jaargang 1875 —76. Aflevering 3.
4. SGravenhage 1876 in 8°. De la part de la Société entomologi-
que néerlandaise à Leide.
Att; del Accademia Gioenia di scienze naturali di Catania.
Seria terza. Tomo 6 e tomo 9. Catania. 1870 — 74 in 4*. De la
part de l’Académie des sciences naturelles de Catania.
Neues Jahrbuch der Mineralogie, Geologie u. Paläontologie.
Jahrgang 1876. Heft 5, 6. Stuttgart 1876 in 8°. De la part de
la Redaction.
Memorie della Società degli spettroscopisti italiani. 1876 Dis-
penza 11. Palermo 1876 in 4°. De la part de la Société italien-
ne des spectrologues de Palerme.
Ilpomoxoas (IX) 3achıania pycckaro бальнеологическато Обще-
ства въ ПятигорскЪ. 1876 in 8°. De la part de la Societe bal-
neologique de Piatigorsk.
65.
66.
67.
68.
69.
70.
TE:
72.
73.
74.
75.
76.
7T.
iL S
Cora, Guido. Cosmos. Vol. 3. 1875—76. X XI. Torino 1876 in
8°. De la part de Mr. le Rédacteur Cora.
Всемрный пугешественникъ. 1876. Декабрь. С.-Петербургъ 1876
in 8°. De la part de la Rédaction.
Quaritch, Bern. A new Catalogue of miscellaneous works. №
305. London 1876 in 8°. De la part de Mr. Quaritch.
Compte-rendu de la Société entomologique de Belgique. Serie
IL X 31. Bruxelles 1876 in 8°. De la part de la Société entomo-
logique de Bruxelles.
Monatschrift des Vereines zur Beförderung des Gartenbaues.
Jahrgang 19. November. Berlin 1876 in 8°. De la part de la.
Societe d’horticulture de Berlin.
Bulleitino meteorologico dell’ Osservatorio del В. Collegio
Carlo Alberto in Moncalieri. Vol. X. № 6. Torino 1876 in 4°.
De la part de Mr. Franc. Denza de Turin.
Русское Сельское Хозяйство. 1876. Aprycrs. Москва 1876 in 8°.
De la part de la Société I. d'agricultwre de Moscou.
Журналь Русскаго Химическаго Общества и Физическаго Об-
щества. Томъ УШ. Baur. 8. С.-Цетерб. 1876 in 8°. De la part
de la Rédaction.
Schriften des Vereines zur Verbreitung naturwissenschaftlicher
Kenntnisse in Wien. Band 2—10. Wien 1863 — 70 in 8°. De la
part de la Société pour répandre tes connaissances d’historre na-
turelle à Vienne.
Atti della Societa italiana di scienze naturali. Vol. 18, fasc. 2.
fogli 7 a 15, fasc. 3, folgio 16—22. Milano 1875 in 8°. De la
part de la Société italienne de Milan.
Memorie dell’ Accademia delle scienze dell Istituto di Bologna.
Serie III. Tomo VI, fasc. 1 e 2. Bologna 1875—76 in 4°.
Rendiconto delle Sessioni dell’ Accademia della scienze dell’
Istituto di Bologna anno Accademico 1875—76. Bologna 1876
in 8°. Les Л 75, 76 de la part de l’Académie des sciences de
l’Institut de Bologne.
Schweizerische Meteorologische Beobachtungen. 1864. Lieferung
7, nebst dem Schluss u. Beilagen. Jahrgang 13. Lieferung 2.
Zürich 1875—76 in 4°. De la part de la Société des Naturales-
tes de Zurich.
78.
79.
81.
82.
84.
85.
86.
87.
88.
89.
90.
91.
— 16 —
Annali del Ministero di agricultura, industria e commercio.
Vol. I, parta 1 e 2. Genova 1871—72 in 8°. De la part du Mi-
nistére italien. d'agriculture, d’industrie её du commerce à Rome.
Pamigtnik Akademii Umiejetnosci w Krakowie. Tom drugi. М
Krakowie 1876 in 8°. De la part de l'Académie des sciences de
Cracovie.
. Verhandlungen der physical.-medicin. Gesellschaft in Würz-
burg. Neue Folge. Band 9. Heft 3 u. 4. Würzburg 1876 in 8°.
De la part de la Societe physico-medicale de Wurzbourg.
Tozzetti, Ad. Targioni. Della Malattia del Pidocchio (Phylloxe-
ra vastatrix.) Roma 1875 in 8°. De la part de l Auteur.
Meneghini, Gius. Commemorazione scientifica del Conte Ales-
sandro Spada Lavini. Pisa 1876 in 8°. De la part de l’Auteur.
. Verhandlungen der К. К. geologischen Reichsanstalt. 1876. №
7—10. Wien 1876 in gr. 8. De la part de l’Institut I. В. geo-
logique de Vienne.
Mittheilungen der anthropologischen Gesellschaft in Wien. Band
6. № 3, 4. Wien 1876 in 8°. De la part de la Société anthropo-
logique de Vienne.
Correspondenz-Blatt des zoologisch-mineralogischen Vereines in
Regensburg. Jahrgang 29. Regensburg 1875 in 8°. De ia part
de la Société zoologico-minéralogique de Ratisbonne.
Bremnurs Европы. 1876. Октябрь. C.-IIerep6. 1876 in 8°. De la
part de la Redaction.
Mittheilungen der deutschen Gesellschaft für Natur- u. Völker-
kunde Ostasiens. 1876. Heft 10. Jokohama 1876 in 4°.
Das schöne Mädchen von Pao. Jokohoma 1876 in 4. Les Л 87,
88 de la part de la Société allemande pour la connaissance de
la nature et des peuplades de l'Est de l'Asie а Yokohoma.
Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série II. Tome
1, fascic. 3. Paris 1876 in 8°. De la part de la Société des scien-
ces de Nancy.
Katter, F. Entomologische Nachrichten. Jahrgang 2. Heft 12.
Putbus 1876 in 8°. De la part de Mr. le Rédacteur.
Bulletin mensuel de la Societé Linnéenne du Nord de la Fran-
се. 1876. № 52—54. Amiens 1876 in 8°. De la part de la So-
cieté Linneenne du Nord de la France d'Amiens.
992—103. Orationes et Dissertationes Universitatis Helsingforsiae.
104.
105
_ 106.
107.
108.
109.
110.
1H.
112.
113.
114.
115.
116.
117.
Helsingforsia 1876 in 4° et in 8°. De la part de l’Université de
Helsingfors.
Bericht (15-ter) der Oberhessischen Gesellschaft für Natur-
und Heilkunde. Giessen 1876 in 8°. De la part de la Societe
hessoisse d'histoire naturelle et de médecine de Fressen.
The Journal of the Linnean Society. Botany. Vol. XV. X 81,
82. London 1875 in 8°.
The Jeurnal of the Linnean Society. Zoology. XII. № 60—62.
London 1876 in 8°.
Linnean Society. Proceedings of the session 1874—75. London
1875 in 8*.
Additions of the library of the Linnean Society from June
20, 1874 to June 19, 1875. London 1875 in 8°.
General Index to the transactions of the Linnean Society of
London. Vols. XXVI to XXX. London 1876 in 4*.
The Tramsactions of the Linnean Society of London. Second se-
ries. Botany. Vol. I, part the second. London 1875 in 4°.
The Transactions of the Linnean Society of London. Second se-
ries. Zoology. Vol. I, part the third, London 1876 in 4°. Les #
105—111 de la part de la Société Linneenne de Londres.
Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaft. Band 10. Heft 2
u. 3. Jena 1876 in 8°. De la part de la Société de médecine et
d'histoire naturelle de Jena.
Записки HoBopocciückaro Общества Естествоиспытателей. Toms
4, выпускъ 1. Одесса 1876 in 8°. De la part de la Société des
Naturalistes d’Odessa.
Труды Общества Естеетвоиспытателей въ Казани. Toms 5, вып.
2. Казань 1876 in 8°. De la part de la Société des Naturalistes
de Kazan.
Russische Revue. Jahrgang 5, Heft 11. St.-Petersburg 1876 in
8°, De la part de Mr. Ch-s Róttger de St.-Petersbourg.
Bulletins de la Société d'Antropologie de Paris. Tome 11-éme
(2-de série), fasc. 3. Paris 1876 in 8'. De la part de la Societe
ad’ Anthropologie de Paris.
Büchner, Wilhelm. Gemüse-Album. Tafel 1—4. Erfurt 1876 in
er. fol.
118.
119.
120.
121.
Qul ee
Журналь Садоводства. 1876. № 10, 11. Москва 1876 in 8°. Les
№ 117, 118 de la part de la Société des amis d'horticulture de
Moscou.
Annales de la Société entomologique de Belgique. Tome 19,
fase. 2. Bruxelles 1876, in 8°. De la part de la Société entomo-
logique de Belgique à Bruxelles.
Hsencmis u Ученыя Записки Имп. Казанскаго Университета.
1876. № 6. Казань 1876 in 8°. De la part de l’Université de
Kasan.
Протоколы Sacbxas. Имп. Raskasckaro Медицискаго Общества.
_ Годъ 13, № 8, 9. Тифлисъ 1876 in 8". De la part de la Societé
122.
123.
124.
125.
126,
I. des médecins du Caucase à Tiflis.
Vom Rath, G. 1. Ueber Krystallen des Amazonenstromes und
2. Ueber die Faröer u. das Vorkommen von Kohlenflótzen da-
selbst. Bonn 1876 in 8°.
Brögger, W. C. and Vom Rath, G. On certain large crystals of
enstatite. 1876 in 8°. Les № 122, 123 de la part de Mr. le Pro-
fesseur Vom Rath à Bonne.
Jahresbericht (4-ter) des Annaberg-Buchholzer Vereins für Na-
turkunde. Annaberg 1876 in 8°. De la part de la Société d’his-
toire naturelle d’ Annaberg.
Фишеръ Bons Вальдеймь А. A. Головня moperaro Щабеля. Bap-
шава 1876 in 8°.
— — Труды Ботанической Jla6oparopiu Варшавскаго
Университета. Bau. 2. Варшава 1875 in 8°. Les М 125, 126
de la part de l’Auteur.
Mémbres élus.
Actifs.
(Sur la présentation de MM. Vischniakoff et Renard.)
Mr. le Dr. Théodore Meynert, Professeur d'Anatomie à Vienne,
Mr. le Dr. Georges Pouchet, Professeur de Zoologie à Paris.
(Sur la présentation de MM. Renard et Trautschold:) |
Mr. le Dr. N. Terracciano, Directeur du Jardin botanique à Ca-
serta.
(Sur la présentation de MM. Galavatschoff et Renard:)
Mr. Serge Nicolaévitsch Nikitine à Moscou.
TABLE GENERALE DES MATIERES
POUR L’ANNEE 1876.
Bredichan, Th. Sur ja Queue de la Comète de 1874, c. Avec
une planche. . .
Chaudoir, Мах. le Baron. а des NEUEN,
— — Étude monographique de Masoréides, des Te-
tragonodérites et du genre Nematotarsus.
Дементьев», Ba. Къ вопросу объ M OU И goa
ви хлорофилла.
Hermann, В. Untersuchungen diet Be ee ddr Aiba:
Volume und der AER Gewichte ra
Verbindungen.
— — Fortgesetzte Non gee db die Verbin-
dungen der Metalle der Tantalgruppe, so wie über
Neptunium, ein neues Metall.
Hudendorff, Alexander. Beitrag zur Kenntniss de "Süss-
wasser-Cladoceren Russlands. (Mit 1 Tafel.)
Яковлевъ, В. (Jacovleff B.) Новыя полужесткокрылыя i tho.
miptera heteroptera русской фауны. .
Kaleniczenko, I. Esquisse biologique consacrée à la mé-
moire du Professeur B. M. Czerniaéw.
Kawall, J. H. Zur Biologie der Schwalben. .
— — Organische Einschlüsse im Bergkrystall.
Kessler, K. Ein neuer russischer po Astacus col-
chicus. : ; :
Koschewnikoff, D. Beiträge zur Ae do e
Gouvernements. .
Н.
264:
400.
Kraatz, G. Revision der Procerus-Arten. (Mit 1 Tafel) .
Ерыловь, A. Геологическя изысканая ME ry-
ÖepHin (съ политипажами). BE. :
Lindemann, К. Monographie der Barnier Russie
Die eryphaloiden Tomiciden. Sos Holzschnitten u.
1 Tafel). OO ele Vt re
Ludwig, Rudolph. Fossile Pflanzen aus der Steinkohlenfor-
mation im Lande der Donschen Kosaken. (Mit 1
Tafel). . : ag.
Meunier, Stanislas. Mémoire sur vrbe AME vertido
Owen, Richard. On Petrophryne ae Ow. S Eu.
thodont. Avec des dessins. . . .
Petrowsky, A.Note sur le бе бе ou Gen- nos Fes 1
planche.) up
Kegel, Albert. Beitrag zur Beanie is Зенит ud
Wasserschierlings. MER : ;
— — Reisebriefe.. . Pee gp" р
Скробишевскй, Вл. Has истори развит1я въ esc Ви-
парисовыхъ. (Съ одною таблицей).. ORTEN
Sludsky, Th. Zur Frage über das Gleichgewicht cb
mender Kórper. Mit Holzschnitten.
Trautschold, H. Der französische Kimmeridge und ‘Part
land verglichen mit den siete aen Moskauer
Schichten. .
Weinberg, J. Observations métcoralogiques faites à 'In-
stitut des arpenteurs en 1875.
Corvespondance. Lettres de MM. N. Wischnakof et 6.
Mom Path... : JH 3 4
Extraits des protocoles des Séances de la Société des Na-
Pag.
II. 125.
L 210.
II. 148
et 320.
I T.
П. 174
I. 147.
I. 208.
I. 155.
II. 398
I. 140.
II. 229.
IL, : 581.
e 1
I. 988.
et 299.
turalistes. . . . ee M NT HEELS
et 41.
Bull etin 1876. P. I.
Tieffenbach del.et сс.
Tab.
_ Comèle. de /8t4,c.—
Bulletin 1876. PL.
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ne Yee o TR UAM
Rédaction du Docteur Renard. —
Alexandre Lang, Libraire, Commissionnaire de la Société.
EXTRAIT DU RÉGLEMENT =
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES a
DE MOSCOU.
Année 1876.—71-éme dés sa fondation. .
Les Membres qui auront payé la cotisation de 4 Rbls annuellement, ou
la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans aucune redevanee
nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la Société.
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la Société,
recevra gratuitement 50 exemplaires de son Mémoire, tirés à part.
Les travaux présentés à la Société peuvent étre rédigés dans toutes
les langues généralement en usage. |
Les Membres de l'intérieur de l'Empire peuvent envoyer à la Société
leurs lettres et paquets affranchis de tout droit, en ayant soin de les
adresser à la Société Impériale des Naturalistes de Moscou.
Les Membres étrangers peuvent se servir de la voie des ambassades et
des légations de Russie accréditées auprés de leurs gouvernemens re-
spectifs.
La Société doit à la munificence de Sa Majesté l'Empereur une somme
annuelle de 2,857 r. 14 c.
ARD, Conseiller а État actuel. Milou-
oulok, m metres ee
18 Novemnas. -
D 16 Diicemsa E.
^ hôtel de r l'Université,
D
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS CE NUMÉRO.
Pages.
Étude monographique des Masoreides, des Tetragonodérides
et du genre Nematotarsus par le Baron de CHAUDOIR. 1
Новыя полужесткокрылыя Hemiptera heteroptera русской
фауны; B. HKOBJIEBA....... 2e о
Revision der Procerus Arten von Dr. G. KRAATz. (Mit 1
PRIS АЕ ВОР О MOULE n о 125.
Monographie der Borkenkaefer Russlands, Die cryphaloiden
Tomiciden. Vom Professor Dr. K. LINDEMANN....... 148
Organische Einschlüsse im Bergkrystall. Mittheilung von J.
H. KAWALL............... RE Vim ei « 170
Mémoire sur les Alluvions verticales par le Docteur M. STA-
NISLAS MEUNIER......................,..:... pu
Extrait des protocoles des séances de la Société des Natu-
IRl8í68.. ....2... e SEA RT RR HIR SOC MM
EXTRAIT DU REGLEMENT =
SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES NATURALISTES i ;
DE MOSCOU.
Année 1876.—71-ème des sa fondation.
Les Membres qui auront payé la cotisation de 4 Rbls annuellement, ou
la somme de 40 Rbls une fois payée, recevront, sans aucune redevance
nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la Société.
L'auteur de tout Mémoire inséré dans les publications de la Société,
recevra gratuitement 50 exemplaires de son Mémoire, tirés à part.
. Les travaux présentés à la Société peuvent être rédigés dans toutes
les langues généralement en usage.
Les Membres de l'intérieur de l'Empire peuvent envoyer à la Société
leurs lettres et paquets affranchis de tout droit, en ayant soin de les
adresser à la Société Impériale des Naturalistes de Moscou.
Les Membres étrangers peuvent se servir de la voie des ambassades et
des légations de Russie accréditées auprès de leurs gouvernemens re-
spectifs.
La Société doit à la munificence de Sa Majesté l'Empereur une somme
. aanuelle de 2,857 т. 14 c.
diss 4 Fiscüsn ' re Conseiller.
se e Mestschanskaia, maison Jo va-
^
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- Mr. Cuin Ton Conseiller d'État actuel. Mitou-
tinskos Sa ‚ maison. Askarkhanoff. _
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sale sento DRE
: Professeur à | ‘Académie
Tarcrsceorn,
A ee de Pötrovsky-Razou-
5j
^
2"
ROFF Dan la maison, près de Pho- ;
Paul. | ts |
Makhovaia, maison de ; P Uni-
Y
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Mn Décewbng, | |
‚ maison Samarine. AE
TABLE DES MATIÈRES ———
CONTENUES DANS CE NUMÉRO. |
Pages, | —
Sur la queue de la comète de 1874, c. par TH. BREDICHIN. |
(Avec 1 planche). 427... ось
Zur Frage über das Gleichgewicht schwimmender Körper. Von
TH. SLUDSKY. (Mit Holzschnitten.)................ BAR.
Beiträge zur Flora des Tambowschen Gouvernements von
D. KOSCHEWNIKOFF. ...-... . ,- nn Se 200
Monographie der Borkenkaefer Russlands. Die cryphaloiden
Tomiciden. Von Professor Dr. K. LINDEMANN. (Mit 1
Tafel und .-Holzschnitten.)-. 21... 0 ze. eae ee LEN 320
Der französische Kimmeridge und Portland verglichen mit
den gleichaltrigen Moskauer Schichten. Von и. TRAUT- —
SCHOLD....... Zu Re vie Bite В 381 -
Reisebriefe an die Kaiserliche Naturforschende Gesellschaft zu
Moskau von ALBERT REGEL... ... ............... 393
Fortgesetzte Untersuchungen über die Verbindungen der
Metalle der Tantal-Gruppe, so wie über Neptunium, ein j
neues Metall. Von В, HERMANN. ................. 400
Extrait des protocoles des séances dé la Société des Natu-
р ее eee sul h.e aus de «pee eee deo SES
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