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BULLETIN
N
Imprimerie de l’Universite Imp£riale. (M. Katkoff.)
1884.
BUELAUES FORMULES DE LA THEORIE DES COMETES.
Par
Th. Bredichin,
Associate of the Royal. Astronomical Society.
Les formules du mouvement hyperbolique d’un point
soumis al’action de la pesanteur et de la force r&pulsive
du soleil se deduisent de la mani£ere suivante.
L’equation de l’'hyperbole &tant
vo» 5
Y=Z= — si on pose 1;e = cos
e. cos v—1 ’ P m v
on aura
Be 0 Do
. e(oos 0 —cost) 2sint(yro)sin:(b—e).
sini(b--v)
sinty—o)
Posons u;
für v=0o u—1 epuv=) uvu=me.
1*
NEN N
Puis on a
2.sen to.cos!
sinz3 (b — v0)
2.sin z Y. 60530
nem sin ! (L— 0) o)
Sa a
v—l_ ; ie
— ing zv.colng sy, colng, ad) — Bd
En posant ing i AV en —= ing: F, on aura
Be —
sin: (Y +0) sims. cos to -+- 6083 Y. sin !'v
ern (d —o) sin a4. cos 20 — cos lb. sin zw
1 -+- Ing vo. cotng. 2 ve 1-+-ingi F
a] — ingzv.coing.3y 1— ing! i
v—= ing (45° +! F), (2)
pour v0—=0 N) u— 1
v—u% F= 390. UO.
On deduit facilement
es
u cos F
_ smilV + 0)
ei comme 4 — en on oblieni
1 } IN _ e— cosv Mr
cos Flut ,)= ecosv —1 (3)
logu = log. sin !(Y -+-v) — log. sin 3 () — v), d’ou
u
= | eoa 14-0) omg —0)| dv, ou
Zn nn m ee
Mn, _
du sinb do |
u 2.sin!(b +»). sin! (U —»)
ei d’apres l’&quation (1)
un ‚ingS.dv, dou
u»
en
9 dw u Ing b du o (4)
A Paide de Pequation (3) on obtient
V R
ecsF-+1l= me ing’ \,
d’ou, en faisant b =». cotng’. \, on 3
| (le er,
rt — p.coing (art) U). ou
5 (4 )+1] r s| e GESEE (5)
En introduisant cette expression de » dans l’&quation (4)
on aura:
o—bi.tng | 26 (1 +). du=K.yp. dt
U
| pr dv—=b’.tingV. |: e( =)e Ig “|
— KR. yb.ting Lt,
1 1 al Er
a € u I Da b’*
et
Reis: BEES
ei pour les logarithmes tabulaires:
In (* -) + iu = a
ou 0g.i1=9.6377843d K=kyp,
k etant le nombre de Gauss et u l’accel6&ration effective
du soleil sur la particule a l’unit& de distance. —
Au lieu de # introduisons mainlenant F.
ar
ing F -5 = etuv=tng (45° +: F), done
x | “Kt
eing F log tng (45°-+- 3 FT,
?
ingzo=timngz F.ing 3)
pour l’hyperbole convexe vers le soleil.
Quand I’hyperbole est concave vers le soleil, on aura:
retng F— log. ing (15° F) A
ing iv = ing ! F: ing ! \.
2. En nommant x et © les coordonndees du noyau, «!
et ©‘ celles du point observ& de la queue et a et d les
eoordonnees du soleil, on aura pour le calcul des
angles de position du rayon vecteur prolonge (p°) et du
point de la queue_(p) au noyau les formules:
ing M = cing d cos (2—a)
ing (a — a). sn M
—ı
ee N Fe TIERE
MIT u co (M-+) -
a
ou m. sın M — cos d. cos (x — a)
m. cos M = sin d
ing N = cing 2.' cos (a! — »),
ing (a! — a) sın N
an cos (“+ N)
_.cing (© + N)
t
en cos p
n sin N = cos 6' cos (a! — a), n. cs N = sin Ö".
s est la distance angulaire entre le point ohserv& et le
noyau. |
3. Reduction de l’angle p — p’ au plan de l’orbite.—
Soient: O le point de l’intersection de la sphere celeste
avec la ligne mende par le noyau perpendiculairement a
Porbite; X — le point ou la ligne, mende du noyau
vers la particule de la queue dans le plan de l’orbite,
rencontre la sphere; Z — le point de la sphere indique
par la ligne menee du noyau vers le centre dela Terre.
Posons OL =S,KL=[T.— Le point O est pris de
la maniere que pour lui le mouvement orbitale du noyau
se presente dans la m&eme direction que le mouvement
de la Terre se pr&sente au pöle nord de Yecliptique. Les
coordonnees (A R et Decl.) g&ocentriques du point O so-
ient A et D. En connaissant l’inclinaison de l’orbite ©
et la longitude ( de son noeud, ou trouvera la longitude
A et la latitude 9 du point O et on les transformera en
Are D:
imgß, ,„.,_. cos(N- e). ing‘
ing Ne‘ s ing ne TEN
BES u
ing D —= ing(N-+e\. sin A
sin N a le signe de sin ß; cos N — le signe de sin A.
cos B. sin X. cos(N -+ ©) —= cos D. sin A. cos N
sin A a le signe de cos (N-+ 8) et cos A le signe de cos A.
Puis on a les formules connues:
ing @ — cing D. cos ( A—a)
ing @ —= cing ©. cos (A—e)
sin @. tng (A—a)
nn cos (@ + 6)
‚_ __ sin @.tng (A—a)
Na. cos (G’-+- .D) |
cing S = — cos P. ing(G@-+6) — cos P'. ing (@’+-D)
S < 180° |
9. sin @ = cos (A—x); 9 cos = ing D
sin 8. sın P = cos D. sin (A — a)
sin S. sin P= c0s 6. sin (A — »)
g'. sin @' — cos (A — #); 9. c0s G = ing &
cos S= —g. sin (@ +5) cos D= —g'. sin (FD) 0os 6
Puis on a: |
ing (u —P)) = — cos 8. ing (p —F)
ing (u—P') = — cos $. ing (p’—P)
cos T = sin $. cos (u —F)
sin T cos (p—P)—= — cos S. cos (w —P')
sin T sin (p—P) = + sin (u—F')
et enfin
0. sın S
A— —-— uv—wu— 2.
sn (T + s) ?
A est la distance lineaire entre la parlicule et le noyau;
oe la distance Terre-noyau et 9 l’angle de A avec le
rayon vecteur prolonge.
4. La vitesse lineaire sur l’orbite est
ou la quantite —_ pour la parabole; elle est positive
pour Pellipse et negative pour l’hyperbole. L’unite de
temps est 58.13244 jours.
Pour calculer l’angle 8 du rayon vecteur avec la tan-
gente dans l’ellipse, on trouve l’angle « de la tangenie
avec l’axe de xx
b’. x
Inga— — ZE-
I
ou == tr. cos (180° — v) — ae
—=r. sin (180° — v)
b’—= a?’ (1 — e?)
A Taide de a donnde on truuve 5, et a l’aide de r
ei v on calcule x, y et a;xetö donnentß.
Il arrive quelquefois de mener la tangente a l’orbite
parabolique par le point de la queue. Soient les co-
ordonndes de ce point =’ et y’ et les coordonnees du
point de tangence x et y. Alors
yayavy ig, Y—im
ara
et (si l’angle v est obtus):
x —qg--r. cos (180 '—v)-+-A. cos (180 '—v—p)
y'=r. sin (180°—v)+A. sin (180°-—-v—p)
et puis r’—(@—q)’-+y’, 0 — I
5. Le point qui se presente situe sur le bord de la
queue ne se trouve pas, generalement parlant, dans le
plan de l’orbite. Dans ce cas la r&duction de l’angle
p—p’ au plan de l’orbite est affectuee d’une erreur plus
ou moins grande, et on sait que Pape (A. N. N® 1173)
a donn6 les formules suivantes pour calculer les valeurs
corrigees (approximativement) 9° et A
on a sin t = sin 8. sin (p—P),
Puis
sin n = sin m. sec.t, sin co —= Ing m. ing. t (1)
ing |
sın m —= sin (T-+-co) —— (2)
sin S
on obtient la valeur approchee de .m en posant pre-
mierement c=( dans la formule (2); alors les formules
(1) donneront les valeurs approchees de co et de n, ei
puis, apres on aura les valeurs plus exactes de m, n et
co, et enfin
V=OHNn-- m
; p. sın S
> sm (T+=s--o)
il faut avoir pourtant la valeur de 2. Si les sections de la
queue normales a son axe &taient des cercles, la valeur de /
de
serait la demi-largeur (angulaire) de la queue pres du point
observ6. Comme cela.n’a pas lieu, on peut prendre pour |
le rayon (angulaire) du conoide (isodynamique) du bord de
la queue, dont on va calculer la largeur a l’aide des
valeurs adoptees de g et@ pour le cas en question.
On comprend que pour le bord posterieur l’application
des formules &crites ci-dessus, pour la plupart est impos-
sible. Elles deviennent inapplicables pour les bords, quand
la quene consiste en conoides isochroniques (synchro-
niques).
N OT ES.
1. Les phenomenes observes principalement par Che-
seaux, dans la queue de la comöte de 1744 ont montre
la vraie significalion des formaltions synchrones (isochro-
nes) dans leur d&veloppement complet. La forme, la di-
rection et la structure de ces conoides se trouvent tout
a fait conformes a la theorie, et, ce qui est tr&s important,
le caleul a montr& clairement leur origine dans les Emis-
sions correspondantes du noyau.
Dans la queue de la comete Donali, on a apercu aussi
quelques bandes inclinees vers l’axe gön6ral de la queue,
et on sait que le Prof. Norton a donne l’explication de
ce phenom&ne (Amer. Journal; 1860, Ne 85, pg. 81):
«They accordingly find 4heir natural explanation in the
quantity of nebulous matter given off simultaneously
{rom Ihe nucleus».—«each had the position of a line *)
*) D’apres ses formules approximatives les synchrones coincident
avec des lignes presque droites passant pres du noyan.
MB || OMAN
connecting particles which started from the region of the
nucleus at a certain previous date, and at the same
instant of time».
Bond a vu ces bandes mieux que les autres observa-
teurs, et on sait d’apres lui que leur position et leur di-
rection etaient tr&s incertaines, et par consequent il füt
impossible de demontrer d’une mani£re tant soit peu per-
suasive leur coincidence avec les synchrones et leur cor-
respondance avec les emissions du noyau. Ainsi l’explication
de Norton ne s’elevait pas au dessus d’une supposition
plus ou moins plausible.
C’est en s’appuyant sur l’accord du calcul fait a P’aide
des formules exactes, avec les phenomenes presenies par
la remarquable comete de 1744 qu’on a obtenu le droit
d’etendre hardiment l’analogie sur la com&te de Donati et
sur les autres come&tes, ou les ph&nom&nes homog£nes ont
et& faibles, peu prononc6ös et difficiles a observer.
2. Quelques uns prötendent que les cometes contien-
nent les combinaisons de l’hydrogene et du carbone et
que, d’apres les donndes spectroscopiques, elles ne peuvent
pas contenir des &l&ments purs. Au lieu de r&pondre &
cette remarque, je citerai les lignes suivantes de M.
Berthelot (Gomptes Rendus; 11 juillet 1881, pgg. 26— 27):
«Suivant le savant astronome anglais (W. Huggins), les
cometes @meitent une lumiere propre qui, d’apres l’ana-
Iyse spectrale, accuse la presence du carbone, de l!’hydro-
gene ei de l’azote: ces &l&ments sont indiques par les
spectres qui caracterisent l’ac&tylene et l’acide cyanhv-
drique. Ces rösultats me paraissent rendre vraisemblable
l’origine &lectrique de la lumiere propre des cometes....
Sans vouloir discuter s’il existe quelque action mecani-
que ou chimique, capable de maintenir a l’&tat d’incan-
descence continue des masses aussi peu considerables
a
que celles qui conslituent le noyau des comeles et les
nebulosites qui les environnent, il semble que l’etat de
combinaison du carbone, de I’hydrogene et de l’azote,
accuse par l’analyse spectrale, et sp&cialement la pre-
sence de l’acide cyanhydrique fourniraient un argument
considerable en faveur de l’hypothese d’une origine &lec-
irique de cette lumiere. En effet, j’ai montre que l’ace-
tylene se produit d’une maniere immediate et n&cessaire,
toutes les fois que ses elöments, carbone et hydrogene,
se frouveni en presence sous l’influence de l’arc electri-
que. Si l’on ajoute de l’azote a Pacetylöne, sous l’influence
des &tincelles ou sous celle de l’arc &lectrique, jai re-
connu qu’il se forme aussitöt de l’acide cyanhydrique,
dont la formation &lectrique constitue peut-etre le ca-
ractere chimique de l’azote le plus net et le plus prompt
a manifester».
«Les spectres de l’actylene et de l’acide cyanhydrique
sont donc caracteristiques de l’illumination electrique d’un
gaz contenant du carbone, de l’hydrogene et de l’azote,
kbres ou combines. Si le spectre de l’acetylene apparait
egalement dans Ja combustion des gaz hydrocarbones,
celui de l’acide cyanhydrique, au contraire, ne r&sulte pas
de la presence de l’azote libre dans les gaz enflammes.
Il n’est guere possible, d’ailleurs, de concevoir une com-
bustion continue dans les matieres cometaires; tandis
qu’une illumination &lectrique est plus facile a com-
prendrw. |
Dl est tres instructif de lire aussi les remarques recentes
de M. Berthelot concernant les conventions et les hy-
potheses atomiques sur le nombre des molecules ou sur
‚leurs poids et leurs volumes (C. R. 21 avr. 1884, pgg.
I52— 956).
2 Kap
3. Pour la th&orie physique des cometes est interes-
sant le resultat obtenu par M. Prazmowski (C. R. 1 aoüt
1881, pg. 263), a l’aide des &tudes polariscopiques: «On
est amene a admettre la constitution gazeuse des cometes,
entrevue par l’Etude du speciroscope; mais, de plus, on
doit supposer que celte matiere gazeuse est dispos&e re-
gulierement autour du noyau».
«En effet, I’'hypothese d’un essaim de matieres solides
ou liquides pulverulentes, ou m&me gazeuses, dispos6es
sans aucune loi, conduit A une reflection diffuse et tu-
multueuse, et par cons@quent a une absence de polari-
sation. C'est ce qui a lieu pour les nuages de notre
atmosphere».
«En resume, ilnous parait que les cometes sont formees
d’une parlie condencee, qui est le noyau, entour&e d’une
atmosphere gazeuse ineandescente, qui reflechit en m&me
temps la lumiere solaire, et, enfin, d’un essaim de ma-
tieres desagrögees, n’obeissant plus a l’atiraction come-
taire et cheminant de conserve sous la seule attraction
universelle».
4. La presence des hydrocarbures et m&me des melaux
non seulement dans les t&tes mais aussi dans les queues
des cometes est maintenant mise hors de doute par les
observations spectroscopiques. Je me contenterai des ci-
tacions suivantes.
Tacchini (C. R. 1 aoüt 1881, pg. 261).... «ai con-
linue l’examen spectroscopique le long de la queue de la
comete (b 1881). J’ai pu voir les trois bandes du carbone
jusqu’au tiers de la longueur a partir du noyau....
Dans la comete c les bandes du carbone &taient visibles
dans la nebulosit6 et dans la queue».
Cruls (C. R. 6 novembre 1882): «Sur le spectre continu
se detachait admirablement un groupe de raies brillan-
Mn
les: celles du sodium et du carbone (la grande comete
1882).... Le spectre de la queue reproduisait l’aspeci
de celui du noyau, les raies &taient seulement beaucoup
plus faibles, quoique bien visibles, tant celles du sodium
que du carbone». |
Copeland et Lohse (Gopernicus; N? 24, pgg. 236— 243):
«Judging from the totality of Ihe appearance presented
by these four large comeis (1881 et 1882), we are
strongly inclined to think, that the difference of spectra
ol nucleus, coma and tail is only One of intensity, ho
wever that may be brought about»...
«On June 6 the whole Comet Wells was seen brilli-
antly in the light of sodium in an open slit, the tail as
well as the head, and in ihe spectrum of the great co-
met of 1882 all ihe bröghter lines extended through the.
whole lengih of the slit, being, however, fuller of light
in the nucleus, thus indicating their presence in the nuc-
leus as well as in the commencement of the taib...
«But not merely an odd one, nay, all the six brighter
‘lines observed in the green and yellow (la grande co-
mete de 1882) correspond to ihe most prominent Iron
lines in that part of the spectrum and even the two
broad bands, noticed there, fall into a group of nume-
rous Iron lines».—
Il me parail que par rapport aux observations spec-
troscopiques on peut encore ajoulter la remarque, que
les bandes de !’hydrogene pur, plus faibles que celles de
ses combinaisons avec le carbone, doivent se placer sur
les bandes obscures correspondantes du spectre conlinu
(solaire) et par cela il sera toujours impossible de les
discerner, sauf quelques circonstances exelusives.—
5. M. Meyer, dans sa recherche interessante sur la r&-
fraction des rayons lumineux dans l’interieur d’une co-
— 16 —
mete (A. Nachr. NeN® 2471, 2477), a trouve que cette
refraction est sensible pres du noyau de la comele 1881
b, et il vient a la conelusion que: «Die Substanz aus
welcher der Kopf des Üometen 1881 Ill (ou 5) bestand,
hatsich optisch wie ein Gas verhalten und seine brechende
Kraft war in einem Abstande von 10200 Kilometern vom
Kerne gleich 0.0000093».
Pour Fool&ogene cette force refringente eorrespond A
0.007 de, la pression almospherique ou a 5 millimet-
res de la hauteur du mercure.
Pour la comete de Halley (1835) M. Meyer a trouve
que cette action relringente est inappreciable.
De notre point de vue les rösultats obtenus pour ces
deux cometes ne sont nullement en contradiction. En
effet, la queue principale de la comete de 1881 b &tait
du II type (voir nos Annales) et consistait en hydrocar-
bures, tandis que la queue de la comete Halley est du
I type qui correspond a I’hydrogene. Or, ce gaz etant
beaucoup moins dense que les hydrocarbures, il en re&-
sulte qu’il ne doit pas produire une röfraction sensible. —
Th. Bredichin.
1884, 15 novembre.
———— a rn FE 8 SERIE EEE EVEN | RZ“ N De A
a a aa a ZT TE na Dan nn na nn --
BIRL = v£ al m 0 Or IV
ARENTE u
NEUE BEITRÄGE ZUR KENNTNISS DER CRUSTAGEEN-FAUNA
DES BAIKALSEES,.
Von
Dr. B. Dybowsk..
Mit 3 Tafel-Abbildungen.
Seit ich die Resultate meiner zoologischen Arbeiten am
Baikalsee veröffentlicht habe *), fand ich, dank der liberalen
Unterstützung seitens der sibir#schen Abtheilung der geo-
graphischen Gesellschaft in Irkutsk, wieder Gelegenheit,
die Fauna dieses höchst interessanten Sees aufs neue
zu untersuchen, und zwar in einem bedeutend weiteren
Umfange, als es bis dahin der Fall gewesen. Ich habe
jetzi nämlich nicht allein viel grössere und weit von
‚einander gelegene Partien des Sees einem genauen Stu-
*) Vergleiche hierüber: Beiträge zur näheren Kenntniss der in dem
Barkalsee vorkommenden Gammariden (Russische entomologische
Zeitschrift 1874). Die Fische des Baikalwassersystemes (Zeitschrift
der sibirischen Abtheilung der geographischen Gesellschaft (1876)
und andere kleinere Abhandlungen in der leztgenanten Zeitschrift
enthalten.
N 3; 1884. 2
RR ee
dium unterworfen, sondern ich zog mehrere der Zuflüsse
so wie den Ausflussstrom des Sees (die untere Angara)
in den Kreis meiner Untersuchung. Diese recenten fauni-
siischen Forschungen des Baikalwassergebietes bereicher-
ten uns mit einer Fülle von neuen und interessanten For-
men, welche gewiss Gelegenheit bieten werden, eine brei-
tere Basis zum Vergleich unserer Fauna mit anderen ihr
verwandten zu bekommen, so wie neue Anhaltspunkte für
die Hypothese ihrer Abstammung und Entwickelung zu
gewinnen. Betrachten wir nur vorläufig die Ergebnisse un-
serer Untersuchungen im Allgemeinen, so zeigt sich, dass
die Crustaceen im Baikalsee die Hauptrolle spielen und
numerisch alle übrigen hier vorkommenden Repraesen-
tanten des Thierreichs zusammengenommen bei weitem
übertreffen. Das Uebergewicht der krebsartigen Thiere
unter anderen der Baikalfauna wird schon aus der ein-
fachen Zusammenstellung der bis jetzt hier aufgefundenen
Arten ersichtlich, so haben wir über 200 Arten Crustaceen
-gesammelt, neben 20 Arten Mollusken, 20 Arten Wäür-
mer, 4 Arten Schwämme (nebst einigen Varietäten), 22
Arten Fische und einer Art Säugethiere, also doppelt mal
so viel Grustaceenspecies als Arten aller übrigen Thierklas-
sen zusammengenommen. |
Aber unter den Grustaceen sind nicht alle Ordnungen,
dieim Baikalsee vorkommen, gleich üppig entwickelt, im
Gregentheile, wir finden nur eine einzige unter ihnen,
welche sich einer besonderen Mannigfaltigkeit der Ar-
ten erfreut; die übrigen Ordnungen stehen in Hinsicht auf
die Zahl der Arten, der ersten bei weitem nach. Die be-
vorzugte Ordnung, die im Baikalsee die bestmöglichen
Bedingungen zur Entwickelung eines unerschöpflichen
Reichthumes von Formen gefunden hat, ist die der Am-
phipoden, sie steht grell gegenüber den übrigen, so den
nn
en
BR I en
Copepoden *), Isopoden, Ostraeoden und Branchispoden,
welche alle hier eine sehr untergeordnete Stellung einneh-
men und nur durch wenige und dabei winzige Arten
repraesentirt sind.
Es soll die Aufgabe dieses Beitrages sein zu zeigen,
wie sich die jede der erwähnten Ordnungen der Üru-
staceen im Baikalsee, nach den für sie günstigen oder
ungünstigen Verhältnissen, entwickelt hat.
Ich fange mit den Isopoden an, also mit demjenigen
Crustaceentypus, welcher in den süssen (Grewässern über
haupt eine schwache Entwickelung erlangt und speciell
im Baikalsee sich kaum nur den allerbescheidensten
Platz zu erkämpfen gewusst hat.
Die Isopoden des Baikalwassersystemes.
Die Zahl der Arten dieser Ordnung, welche von uns
bis jetzt in den Baikalgewässern aufgefunden worden ist,
beläuft sich nur auf zwei; beide Arten sind klein, trei-
ben ein verstecktes Leben und sind wahrscheinlich auch
deswegen von den früheren Forschern unbemerkt und
unerwähnt geblieben. Die eine Art bewohnt den litiora-
len Theil des Sees, sie ist ziemlich häufig, aber nur auf
die Strecke angewiesen, wo der Grund mit felsigen Blöc-
ken bedeckt ist, sie steigt hier bis zu einer Tiefe von
etwa 12 Meter hinunter und lebt dem grellen Lichte ent-
zogen auf der dem Boden zugekehrten Fläche der Steine,
*) Die Copepoden nehmen die zweite Stelle in der Crustaceen-
'fauna des Baikalsees ein und zwar in Hinsicht auf die Individuen-
zahl der hier vorkommenden Arten; so wimmeln z. B. die Uferpar-
tien des Sees den ganzen Frühling hindurch von Millionen dieser
kleinen Thierchen, welche der massenhaften Fischbrut zur Nahrung
dienen.
J%*
BR
oder untergesunkener Baumstämme. Ihre Bewegungen
sind sehr träge, langsam, beinahe kriechend, grell kon-
trastirend mit den munteren, schnellen Bewegungen der
Gammariden. Diese Art scheint ausschliesslich auf den
See angewiesen zu sein, wir haben sie niemals in den
Flüssen gefunden, auch fehlt sie überall dort im See, wo
der Grund mit Lehm, Sand oder Schlamm bedeckt ist,
sie hat somit einen verhältnissmässig beschränkten Ver-
breitungsbezirk, welcher sowohl durch die Tiefe, als auch
durch die Beschaffenheit des Bodens eingeengt wird.
Die zweite Art kommt nur in dem unteren Angara-
usse vor. In diesem reissenden Strome haben wir sie
in ähnlichen Verhältnissen lebend angetroffen, wie die
Baikalsche Art. Beide Arten schliessen sich, wie gesagt,
gegenseitig aus, wenigstens ist uns bis jetzt nie gelun-
gen, sie nebeneinander zu finden, trotz dem, dass zu
diesem Zwecke grosse Strecke des Sees und des Flusses
untersucht worden sind, wir müssen daher die eine Art
als Seeform, die andere als Flussform betrachten, und
ihre Unterschiede, wenngleich als artliche, doch allein
durch die Verschiedenheit der Lebensbedingungen er-
zeugte auffassen. Beide Arten gehören zu der Gattung
Asellus (zeoff. ur
Gattung Asellus Geofl.
Diagnose. Der Körper länglich, depress. Der Schwanz-
theil (Pleon) ziemlich gross zu einem Schilde verwachsen.
Die Fühler ungleich lang, die oberen bedeutend kürzer
als die unteren. Die Augen klein, seitlich am Kopfe, ge-
wöhnlich von schwarzer Farbe, selten weisslich, in letzte-
rem Fall sehr schwer zu erkennen. Die Mandibel unsym-
metrisch: auf der rechten fehlt der Nebenfortsatz; der
Mandibulartaster dreigliedrig. Die vorderen Maxillen
sr
ohne Taster, die hinteren mit einem eingliedrigen Taster.
Die Maxillarbeine mit einem fünfgliedrigen Taster, ihr
Stamm mit zwei, oder drei Lappen versehen: der innere
untere Lappen (der innere bei den Amphipoden) entwe-
der unausgebildet und mit dem inneren oberen (dem
äusseren bei den Amphipoden) verschmolzen (Asellus aqua-
ticus und Asellus Angarensis) oder als deutlicher Lappen
entwickelt (As. baicalensis), dabei mit einfachen Borsten
versehen; der äussere Lappen der Maxillarbeine (bei
den Amphipoden nicht vorhanden) immer nach Aussen
umgeklappt. Daserste Beinpaar subcheliform, ihr dritt-
leiztes Glied (Garpus) klein, schwach entwickelt, mit dem
vorletzten Gliede (Propodos) enger verbunden, als die
übrigen unter einander. Die sechs folgenden Beinpaare
als Gangbeine entwickelt und alle nach einem Typus ge-
baut, am Ende des Propodalgliedes dieser Beine, und
zwar auf seiner oberen Fläche ein eigenthümlicher,
kurzer, dreieckiger Fortsatz angebracht. Das erste Paar
der Schwamzbeine (Pleopodos) kurz, die nächstfolgende
Paare nicht deckend, diese Function übernimmt das
zweite Pleopodenpaar bei den Weibchen, das dritte bei
den Männchen, bei welchen letzteren ein Pleopodenpaar
mehr vorhanden ist und zum “Genitalapparate gehört.
Das letzte Paar der Schwanzbeine gablig gespalten, von
verschiedener Länge. Alle zu dieser Gattung gehörigen
Thiere leben im süssen Wasser.
Uebersicht der Arten.
I. Die letzten gablig gespaltenen Schwanzbeine länger,
oder so lang, als der Schwanzschild.
A. Das Krallenglied der ersten Gnathopoden mit 8 bis
11 Stacheln versehen. Das Krallenglied aller Pereiopoden
mit 4—5 Stacheln.
N
1. Asellus aquaticus Auct. *)
B. Das Krallenglied der ersten Gmathopoden mit zwei
Stacheln versehen.
Das Krallenglied aller Pereiopoden mit einem oder
zwei Stacheln.
2. Asellus Sieboldiüi. Rougem.
II. Die letzten gablig gespaltenen Schwanzbeine kür-
zer, als der Schwanzschild.
A. Diese letzten Schwanzbeine sehr kurz, nur mit der
kurzen Gabel über den Rand des Schwanzschildes hinaus
ragend. Das Krallenglied der ersten Gnathopoden bei
Männchen nur mit 3 Stacheln versehen. Das Propodal-
glied aller Pereiopoden kürzer als das Carpalglied.
3. Aselus angarensis nov. Spec.
B. Die letzten Schwanzbeine ziemlich lang, mit dem
Ende ihres Basalgliedes weit über den Rand des Schwanz-
schildes hinausragend. Das Krallenglied der ersten Gnatho-
poden bei Männchen mit 4 Siacheln versehen. Das
Propodalglied aller Pereiopoden länger als das Garpalglied.
*, Unter diesem Namen sind meiner Ansicht nach mehrere For-
men beschrieben worden. Um sie von einander unterscheiden zu
können, mache ich auf folgende diagnostische Merkmale aufmerk-
sam: 1) Die Form der Hand, 2) DieZahl der Stachel an dem Kral-
lengliede der Beine. 3) Die relative Länge des Carpalgliedes der
Pereiopoden, 4) Die Form der Augen,5) Die Art der Behaarung des
Körpers und der Extremitäten. so wie die Granulation des Ober-
körpers. f
Pad 2 EN
4. Asellus baicalensis nov. spec.
Asellus angarensis nov. Spec.
Diagnose. Die unteren. Fühler etwa °/, der Körper-
länge gleich. Der Schwanztheil nach hinten beinahe gleich-
mässig abgerundet, sein freier Rand mit einem dichten
Besatz von kurzen Borsten versehen. Die Entfernung der
Insertionsstelle der letzten Schwanzbeine von einander
grösser als die Länge dieser Beine. Die gabligen Schwanz-
beine sehr klein, nur mit ihrer kurzen Gabel über den
Rand des Pleons hinausragend. Das Krallenglied der er-
sten Gnathopoden immer kürzer als die Hand (Propodos),
bei den Männchen mit drei Stacheln versehen. Das Pro-
podalglied aller Pereiopoden kürzer als das Carpalglied.
Der Kopf weisslich, stets heller als der übrige Körper
gefärbt.
Zahl der Glieder in der Geissel der oberen Fühler=4 bis 5.
DD » » » der unteren Fühler—=14% bis 15.
| ö =
Bnee des Körpers........:.....2.. 0,372 : 5,12 Mm.
= der»oberen Fühler. ......... . 2: 0,80 0,64 >
> >» Stiele der oberen Fühler... 0,49 0,41 >»
0 75. unteren - Fühler... .......... 2,40 1,90 >
> » Stiele der unteren Fühler. 0,96 0,88 >
> » ersten Gnathopoden....... 1,60 1,44 >
>. >» zweiten Gnathopoden...... 2241 152>
> > letzten Pereiopoden....... 2,18 1,92 >
> > Ietzten Pleopoden......... 0,64 0,41 >
Ze es Rleons.......-.......... 208 1,52 »
breite d. Körpers am? Pereionsegmente, 2,24 2,08 >»
Beil des Pleons: ......2..22.2.22. 00. 216 1,84 >
u
beschreibung.
Der Körper dieser kleinen Wasserassel, welche kaum
ein Vieriel unserer grössten Exemplare der europäischen
Art erreicht, ist depress, länglich, oben schwach gewölbt
und deutlich nach vorn verschmälert; die grösste Breite
des Körpers ist etwa 2'/, bis 3 mal in der Körperlänge
enthalten, und übertrifft die Breite des ersten Pereion-
segmentes um ‘/..
Das Kopfsegment ist verhältnissmässig lang und breit
und zwar um '/, länger als das ihm zunächst liegende
Körpersegment. Von oben betrachtet erscheint der Kopf
wenig kantig, er ist im Gegentheil ziemlich abgerundet,
mit sehr schwach vorstehenden Ecken *). Der Stirnrand
ist beinahe gerade, oder in der Mitte schwach eingebo-
gen, nie aber in eine mediane Spitze oder abgerundete
mediane Ecke verlängert. Die Augen sind klein, mehr
oder weniger rundlich, selten oval, sie liegen ganz nahe
vom Seitenrande, etwas näher vom Vorderrande als von
dem Hinterrande entfernt, ihr Längendurchmesser misst
ungefähr '/ der Kopflänge. Die Rumpf- oder Pereionseg-
mente nehmen allmälig von vorn nach hinten an Breite
zu, dagegen aber an Länge ab, die drei vordersten sind
schwach nach vorn gebogen, die drei hintersten nach
hinten gekrümmt, das vierte in mitten dieser beiden
Gruppen gelegene Segment bleibi beinahe gerade ohne eine
enischiedene Tendenz der Biegung auf die eine oder die
andere Seite zu zeigen. Die Verbindung der Segmenie
unter einander. geschieht nur in ihrem mittleren Theile,
*) Eine im Hintertheile des Seitenrandes spitz nach vorn und
Aussen vortretende Ecke, wie sie bei As. aquaticus entwickelt ist,
komnt bei den baikalischen Arten nicht vor.
von wo aus sie sich seitlich in flache, am Aussenrande
abgeslutzie, durch tiefe Ausschnitte von einander ge-
trennte Fortsätze verlängern. Diese Fortsätze erscheinen
bei flach ausgebreiteiem Körper, als breite rippenförmige
Verlängerungen des mittleren Theiles der Segmente, sie
iragen am Aussenrande und theilweise am Hinterrande
kurze, einfache, ziemlich dicke, spitz zulaufende Borsten.
Die Epimeren. Am Ende aller sieben Fortsätze sieht
man, wenn man den Körper von oben betrachtet, kurze
Nebenfortisätze auftreten, welche unter den scharf ge-
zeichneten Gontouren des Aussenrandes sich deutlich
markiren, dies sind die Coxaltheile der Beine, welche bei
Asellus aqualicus, wenn man das Thier von oben betrach-
iet, nur an den drei leizien Pereionsegmente deutlich
zu erkennen sind. Diese Goxalstiücke oder Epimeren sind
fast unbeweglich mit den Segmenten verwachsen und !}as-
sen sich nur schwer mit den Beinen vom Körper lossreis-
sen, ihre Aussenränder sind mit kurzen Borsten beseizi.
Die relative Lage der Epimeren zum Aussenrande der
Segmente, sowie auch ihre Gestalt ist nicht an allen Seg--
menten gleich, so nehmen die Epimeren am ersien und
zweiten Segmente die vordere Hälfte des Aussenrandes ein,
am dritien sind sie gegen die Mitte des Randes gerückt
und an den drei letzien stehen sie auf dem hinteren
Theile derselben. Was ihre Gestalt anbelangt, so sind
die (sechs ersten) breitbasig und am freien Rande mehr
oder weniger abgerundei, die siebente dagegen isi ziem-
lich lang und am Ende zugespitzt oder im Allgemeinen
der Gestalt der 7-ten Epimere bei Asellus aquaticus
ähnlich. ;
Die Schwanzsegmente oder die Segmente des Pleon
sind zu einem blattförmigen Schilde verwachsen, dieser
Schild zeichnet sich durch eine ziemlich gleichmässige Ab-
Be N
rundung seines hinteren Theiles aus, was ihn vom Schilde
des Asellus aquaticus und As. baicalensis deutlich unter-
scheidet. Von dem verschmälerten kurzen vorderen Theile,
welcher den Pleon mit dem Rumpfe verbindet, breitet
sich der Schwanzschild stark seitlich aus, und erreicht
die grösste Breite schon in dem ersten Drittel seiner
känge; von hier aus beschreibt seine Gontourlinie einen
convexen Bogen, der indem hinteren Theile durch zwei
tiefe Ausschnitte, aus welchen die kurzen gabligen ÜUro-
poden hervortreten, unterbrochen wird. Obgleich alle Seg-
mente des Pleon zu einem Schilde verwachsen sind, so
bemerkt man doch in dem vorderen verschmälerten
Theile desselben, drei parallele querverlaufende Linien,
welche als Ausdruck der vorderen rudimentären Schwanz-
segmente aufgefasst werden müssen. Die Länge des Pleon
erreicht ungefähr die Länge der vier letzten Segmente
des Pereion oder ein Drittel der ganzen Körperlänge,
seine Breite kommt der grössten Breite des Körpers
gleich; der ganze freie Rand des Schwanzschildes ist .mit
kurzen Borsten besetzt, deren Zahl etwa 150 beträgt
und um mehr als das Doppelte die Zahl der Borsten
übertrifft, welche auf dem Rande des Schildes bei As.
baicalensis angebracht sind.
Die Fühler der Angaraschen Art zeichnen sich durch
ihre Kürze aus, besonders, wenn man sie mit den Fühlern
der Europäischen Formen vergleicht: die unteren Fühler
erreichen hier nur ungefähr ein Drittel der Körperlänge,
während sie bei den Europäischen Wasserasseln oft die
Länge des Körpers übertreffen, Die oberen Fühler erschei-
nen besonders kurz und verkümmert, denn sie erreichen
kaum den dritten Theil der unteren, und nach vorn
ausgesireckt, berühren sie etwa nur das Ende des vierten
Stielgliedes der letzteren.
= dm
Die oberen Eühler inseriren sich am Vorderrande des
Kopfsegments ganz nahe bei einander, ihr erstes Stiel-
glied - ist ziemlich lang und mässig dick, die Länge be-
trägt ungefähr den dritten Theil der ganzen Fühlerlänge.
Die Form des Gliedes ist mehr oder weniger eiförmig,
das obere Ende desselben ist abgerundet, dabei die
Verbidungsstelle mit dem zweiten Stielgliede nicht an
seinem Ende gelegen, sondern am Aussenrande, was eine
winkelige Knickung des Fühlers bewirkt. Das zweite Stiel-
glied ist fast zweimal so lang wie das dritte, beide sind
eylindrisch und erreichen zusammengenommen die Länge
des Basalgliedes. Die Geissel ist vier bis fünfgliedrig, die
Glieder sind kurz cylindrisch, das zweite längste ist um
‘/, länger als das erste, das Endglied ist sehr klein bei-
nahe rudimentär. An den Geisselgliedern kann man ein-
fache Borsten und «Geruchspapillen» oder «Leidygsche
Oylinder» unterscheiden, diese letzteren stehen am Ende
der zwei bis drei letzten Glieder, zu je einer, unter dem
Schutze von einer oder zweier einfachen Borsten.
Die unteren Eühler sind dreimal länger als die obe-
ren, ikr Stiel ist ziemlich stark entwickelt, erreicht aber
nicht die Länge der Geissel; die drei ersten Glieder der
Stiele sind kurz unregelmässig napfförmig gestaltet, alle
drei sind fast gleich lang und zusammengenommen so
lang als das vierte Stielglied, welches um '/, kürzer ist
als das Endglied, die beiden letztgenannten Glieder sind
ceylindrisch. Die Geissel ist etwas länger als der Stiel;
die 14 bis'17 Glieder, aus welchen die Geissel zusammen-
gesetzt ist, verschmälern sich allmälig gegen das Ende,
sie sind alle mit Borsten versehen, welche keine regel-
mässige, alternirende Anordnung haben, sondern die
Endränder der Glieder zu je zwei bis vier besetzen; von
Bi le
sogenannten «Gehörhärchen» habe ich an meinen Spiri-
lusexemplaren nichts erkannt.
Die Mundtheile. Die Oberlippe ist stark vortretend,
sie endet mit einem gleichmässig abgerundeten, breiten,
[reien Rande, welcher mit einem dichten Borstenbesatze
versehen ist, die Borsten sind einfach, und diejenigen
unter ihnen, welche dem Aussenrande näher liegen, sind
dünner und länger als diein der Mitie stehenden. (Fig. 6.)
Die Mandibeln sind kräftig gebaut, jede von ihnen
besteht aus einem starken kahnförmigen Stamme (Fig. 7,a),
der nach vorn in zwei Aeste endet (Fig. 7 k und z); von
diesen nenne ich den hinteren, oberen oder inneren Ast
Kauast (fig. 7, k); den vorderen, unteren oder äusseren
Ast Zahnast (fig. 7. z),;, an der Basis des Zahnastes
ist Se der dreigliedrige Mandibulartaster eingelenkt.
(ig. 7 .).
Bei den - Asellus-Arten lässt sich die Homologie der
beiden Mandibularästen mit den Maxillarlappen recht
deutlich erkennen, ja es können sogar die einzelnen sie
zusammensetzenden (rebilde auf die homologen der oben
genannten Lappen zurückgeführt werden, und dadurch
ist auch eine verständliche Deutung jedes agrselhen
ermöglicht.
Um eine solche Deutung leichter Ben zu können,
werfen wir einen Blick auf Fig. 8 u. 9 unserer Tafeln;
hier sind die beiden Maxillen dargestellt worden und zwar
auf der Fig. 8 die vordere Maxille, Fig, 9 die hintere
Maxille; an der vorderen Maxille sind nur zwei Lappen
entwickelt, der kleinere i ist der sogenannte innere Lap-
pen der Maxille, der grössere a, der äussere Lappen der-
selben; an der hinteren Maxille sind dagegen drei Lap-
pen entwickelt, von welchen < den sogenannten inneren
Lappen darstellt, «a den äuseren und t den Taster der
hinteren Maxille.
An jedem Mundorgane bilden der äussere und der
innere Lappen die Hauptbestandtheile, sie fehlen auch
nie, und aus ihrer mehr oder weniger innigen Verwach-
sung unter einander, sowie aus der Verwachsung der
Lappen beider Seiten mit einander, entsteht eine ganze
Masse von Combinationen, welche die Gestalt der Mund-
organe bei den Ürustaceen so mannigfaltig erscheinen
lassen. |
Zu den beiden genannten Hauptbestandtheilen eines
Mundorganes, kommen öfters noch andere Theile hinzu,
die den Bau derselben noch mehr compliciren, von die-
sen sind für die Asellusarten nur der Taster und der
accessorische äussere untere Lappen der Maxillarbeine zu
nennen (fig. 11 aund 12 a). Bei der Betrachtung jedes ein-
zelnen Lappens eines Mundorganes allein für sich, sind
an ihm folgende Theile zu unterscheiden. 1. Der Lap-
pen selbst, welcher in den meisten Fällen ein flach aus-
gebreitetes Blatt, seltener einen conischen oder cylin-
drischen Fortsatz darstellt. 2 Die Borsten, diese besetzen
entweder den Rand des Lappens, oder sind reihenweise auf
der Fläche desselben geordnet. Die Borsten gehen oft so
tiefe Veränderungen ein, dass sie nicht leicht als solche
erkannt werden können, sie sind auch deshalb bald als
Fortsätze des Mundorganes (z.B. an der Mandibel), bald
als Zahnplatten desselben gedeutet worden, (z. B. die Zahn-
platte des Kauhöckers der Mandibel).
Fassen wir nun nach dem Gesagten die Mandibel des
Asellus ins Auge, und versuchen die einzelnen Theile
derselben auf die Lappen der Maxillen zurückzuführen,
so ergiebt sich, dass der Kauast den inneren Lappen
darstellt, der Zahnast den äusseren Lappen. Sobald nun
zn 1
diese Hauptibestandtheile erkannt worden sind, bietet
die Deutung der übrigen Theile keine Schwierigkeit. So
sehen wir denn, dass der Zahnfortsatz (Fig. 7. z f) eine
ungestaltele Borste ist, der Nebenfortsatz (Fig. 7. z n)
ebenfalls eine umgestaltete Borste, hinter welchen die so-
genannte Dorstenreihe (Fig. 7 b), welche aus weniger
umgestalteten Borsten besteht, sich befindet.—Alle diese
Borsten, so der <Zahnfortsatz» der «Nebenfortsatz>, und
die «Borstenreihe», sind als homologe Theile der Rand-
borsten des Maxillarlappens zu betrachten.
Bei den Asellus-Arten hat es keine Schwierigkeit zu er-
kennen, dass an dem Kauaste die Reihe der Zahnplat-
ten den Randborsten des Maxillarlappens entspricht.
Nach diesen kurzen Vorbemerkungen, welche den allge-
meinen Bauplan der Mandibel angeben, werde ich in der
zunächstfolgenden Beschreibung jedes von den erwähn-
ten Gebilden der Mandibel näher zu charakterisiren und
zu erläutern versuchen.
Der Zahnast oder der äussere Lappen der Mandibel
ist stärker entwickelt als der Kauast, er stellt einen kur-
zen von oben und unten zusammengedrückten Lappen
dar, an welchem der vordere freie Rand mit Borsten
besetzt ist. (Fig 7 und 10 z f, zn und b). Die Borsien
stehen bei Asellus nur in einer Reihe, während sie bei
vielen Amphipoden eine doppelireihige Anordnung be-
sitzen. Einige von diesen den Rand des Zahnastes be-
setzenden Borsten sind im Yerhältniss zu den übrigen
stärker entwickelt undan Gestalt ihnen mehr oder weni-
ger unählich.
Die erste Borste ist dick, breitbasig, sie nimmt beinahe
den vierten Theil des ganzen Randes ein, sie ist unbe-
weglich mit dem Lappen verbunden, doch deutet die
Anwesenheit einer zarten (Juerlinie, auf die hier stattge-
fundene Verwachsung der Gelenkflächen. Die Borste
endet mit vier starken Zähnen, welche zum Zerreissen
oder Schneiden der Nahrung dienen, sie wird gewöhn-
lich von den Autoren «Zahfortsatzw processus dentalis
genannt, und für gleichwerthig mit allen zum Zerreissen
der Nahrung dienenden Gebilden der Mandibel gehalten,
dieses ist jedoch in sofern unrichlig, als der Zahnfortsatz
nicht bei allen Crustaceen eine umgestalteie Borste ist,
sondern in vielen Fällen den Rand des Lappens selbst
darstellt. |
Bei den Asellus- und Gammarus-Arten ist der Zahn-
fortsatz immer aus einer Umbildung der ersten Borste
entstanden, welche als solche ohne grosse Schwierigkeit
erkannt werden kann. (Fig. 7 und 10, z f). Neben der
ersten Borste, die zum Zahnfortsatz wurde, steht auf der
linken Mandibel eine zweite ihr an Gestalt ähnliche, eben-
falls mit vier Zähnen versehene Borsie. Diese zweite
Borste (Fig. 7 und 10, zn), welche mit dem Lappen ge-
lenkig verbunden ist, ist etwas kürzer und dünner als die
erste (Fig. 10 und 7 z n) und wird gewöhnlich «Neben-
forisatzw der Mandibel genannt. Auf der rechten Mandi-
bel ist die zweite Borste bei Asellus nie zu einem
Nebenfortsatze entwickelt, sondern hat Jdie Gestalt der
nächstfolgenden Borsten, was gewöhnlich bei der Beschrei-
bung der rechten Mandibel durch den Ausdruck «der
Nebenfortsatz fehlt» angegeben wird..”) Ausser diesen
*) Bei den Amphipoden ist der Nebenfortsatz auf der rechten Man-
dibel anders als auf der linken gebildet. Die Ungleichheit besteht
in folgendem: Der Nebenforisaiz der rechten Seite ist aus einer
Verwachsung von zweien Borstenpaaren entstanden, wobei die bei-
den Borsten der oberen Reihe einen starken, nach oben gegabelten,
mit vielen Zähnen oder Zacken auf der oberen Fläche versehe-
nen Nebenfortsatz bilden, dagegen die beiden Borsten der unteren
— 32
zwei dicken Borsten auf dem Zahnaste der linken Mandi-
bel und einer einzigen auf dem Zahnaste der rechten,
steht noch eine Reihe von 7 bis 9 oder sogar 10 Bor-
sten auf dem freien Rande jedes Zahnastes (Fig. 7 und
10 b), letztere Borsten sind bedeutend dünner als die
ersteren und nehmen gegen den Kauast, etwas an Dicke
ab, sie bilden die sogenannte «Borstenreihe der Man-
dibel. Jede von diesen Borsten stellt einen starken, abge-
rundeten, etwas gebosenen Schaft dar, welcher in seiner
oberen Hälfte und zwar auf der Fläche, die nach oben
gekehrt ist, mit einer Reihe von’ mässig starken, steifen
faserartigen Fortsätzen besetzt ist (Fig. 10 b), die Fa-
sern. sind nicht sehr zahlreich und nicht regelmässig
angeordnet, sie geben den Borsten ein struppiges, ruthen-
artiges Ansehen, was sie von den zierlichen Fiederbor-
sten deutlich unterscheidet, ich nenne die so gestalteten
Borsten Faserborsten. Sie sind auf der rechten Mandibel
mit sröberen und kürzeren Fasern versehen als auf der
linken, und dieses Verhältniss findet nicht allein bei den
Aselliden statt, sondern ist noch deutlicher bei den Am-
phipoden. Die Borstenreihe endet am vorderen Rande des
Zahnastes und läst den oberen Rand, welcher bis zur
Basis des Kauaste reicht, unbesetzi.-
Reihe zueinem ganzen Bündel zarter Borsten umgeformt sind. und
die Basis der hinteren Fläche des Nebenfortsatzes bedecken. Auf
der linken Seite aber ist der Nebenfortsatz aus der Verwachsung
eines einzigen Paares von Borsten entstanden; hier ist die Borste
der oberen Reihe zu einem starken Fortsatze entwickelt, während die
Borste der unteren Reihe in ein Bündel von Fasern aufgelöst ist,
und auf der hinteren-Fläche der Basis der ersteren zu stehen
kommt. Eine speciellere Schilderung dieses Verhältnisses behalte
ich mir vor, hier will ich nur bemerken, dass ein Verständniss dieser
Umstaltungen für die Systematik von grosser Wichtigkeit ist.
Se
Der Kauast (Fig. 7 k) ist nicht flachgedrückt wie der
Zahnast, sondern ceylindrisch, er ist ziemlich lang, erhebt
sich zapfenartig, hoch über die Fläche des Stammes der
Mandibel, und ist unter einem spitzen Winkel zur breiten
Fläche des Zahnastes geneigt. Trotz dem, dass der Kauast
durchaus anders gestaltet ist als der Zahnast und das
flache Blatt eines Mundlappens, können wir doch an dem
kauast dieselben Theile erkennen, welche den inneren
Lappen der Maxille charakterisiren, d.h. den Lappen
selbst und die seinen oberen Rand beseizenden Dorsten.
Was den Lappen anbelangt, so ist derselbe, wie gesagt,
eylindrisch und endet mit einer schief abgestutzten Fläche,
diese Fläche stellt die sogenannte Kaufläche dar. Was
nun die Dorsten betrifft, so sind diese sehr eigenthümlich
Seiormi und sind sogar bei oberflächlicher Betrachtung
schwer als solche zu erkennen. Sie legen sich nämlich
dieht an die Kaufläche und sind dabei voliständig an
derselben angewachsen, so dass sie durch diese Anord-
nung eine Reihe von Zahnplatten darstellen, deren Zahl
hier eiwa 12—15 beträgt; die freie nach oben gekehrte
Fläche jeder Borsie oder Zahnplatte ist mit Zähnchen
versehen, welche als verkürzte oder abgenuzte Fasern
der Borsten (Faserborsten) aufzufassen sind. Die dicht
an einander gelagerten Borsten, mit ihren als Zähnchen
oder vorstehenden Kerbe gestalteten Fasern, stellen ein
Reibapparat dar, weicher zum Zerkleinern der Nahrung
sehr gut geeignet ist. Jede Borste oder Zahnplatte endet
am unteren Rande der Kaufläche mit einem frei empor-
ragenden Zahne, wodurch der ganze genannte Rand mis
einer Reihe von Zähnen besetzt erscheint; diese Zähne
nenne ich Randzähne des Kauastes. Ausser den Borsten,
welche die Zahnplatten bilden, treten noch andere auf
dem Kaufortsatze auf, diese beseizen den unteren Rand
M,3. 1884. 3
a
der Kaufläche so wie auch theilweise die beiden Aussen-
ränder derselben und kommen an der Basis der Rand-
zähne zu stehen. Es sind diese Borsten dünne, einfache,
röhrchenlörmige Fasern, die sich über die Reibplatte er-
heben und keinen Antheil an der Zerkleinerung der Nah-
rung nehmen; sie sind als homologe Gebilde der unteren
Borstenreihe des Zahnastes zu betrachten, welche aber
bei den Asellus-Arten nicht zur Entwickelung kommt.
Diese zarten Borsten des Kauastes müssen hier desto
schärfer ins Auge gefasst werden, als sie die einzigen
Gefühlsborsten der Mandibel repraesentiren.
Diese eben geschilderten ‚Verhältnisse an dem Kauaste
der Mandibel, welche hier so einfach auftreten, lassen
uns eine Einsicht in den weit mehr verwickelten und
complieirten Bau des Kauforlsatzes bei anderen Isopoden
und Amphipoden gewinnen; wir können, nachdem der
Grundgedanke der Entwickelung erkannt worden ist,
überall den Kauast als umgebildeten inneren Lappen deu-
ten und die Zahnplatie so wie andere borstenarlige
Gebilde als umgestaltete Borsten desselben auffassen.
Der Mandibulartaster ist dreigliedrig und um '/, kür-
zer als die Mandibel, sein basales Glied ist ziemlich lang,
schwach nach oben verbreitert und hier mit ein Paar
einfachen Borsten versehen. Das zweite Glied des Tas-
ters ist elwaslänger als das basale; an seinem schwach
convexen inneren Rande und zwar in der oberen Hälfte
desselben sind 5 bis 6 dicke, mit zarten Kammzähnchen
versehene Borsten angebracht. Das Endglied ist um '/, kür-
zer und um die Hälfte schmäler als das zweite Glied, da-
bei schwach sichelförmig gebogen und am Ende abge-
stumpft, in der oberen Hälfte seines Innenrandes stehen
a Ing
10 dicke, mit zarten Kammzähnchen versehene Borsten *),
von welchen die zwei änssersten beinahe doppelt so iang
sind als die übrigen (Fig. 15 und 7) *).
Die Unterlippe besteht aus zwei symeirischen Hälften,
welche an der Basis verwachsen sind, jede Hälfte ist aus
der Verwachsung des inneren und äusseren Lappens
entstanden. Von oben betrachtet hat die Unterlippe die
Gestalt eines Kartenherzens (Fig. 5), wobei die Spitze
desselben nach hinten gerichtet ist, und der Herzeinschnitt
nach vorn; die tiefe Spalte, welche die beiden Hälften
der herzförmigen Unterlippe scheidet, ist mit zarten ein-
fachen Borsten besetzt; diese Borsten sind nach unten
Seneigt und begrenzen von unten den Eingang in die
Mundspalle, sie füllen den ganzen Raum des Herzein-
schnittes aus. Auf dem unteren Theile der Vorderfläche,
oder der oberen Fläche der Unterlippe, seitlich von der
Verwachsungslinie, erhebt sich ein kleines Läppchen,
weiches mit der ganzen Länge seines inneren Randes
angewachsen ist. Dieses Läppchen ist der rudimentäre
innere Lappen der Unterlippe und pflegt in der Regel
bei den Isopoden und Amphipoden in der Entwickelung
weit hint er dem äusseren Lappen zurückzustehen, so
erreicht er z. B. in unserem Falle kaum ‘/, der ganzen
Länge der Unterlippe und weniger als ‘/, ihrer Breite
(Fig. 5. a).
Die vorderen Maxillen (Fig. 8) sind im ganzen
*) Diese Borsten sind für den Taster charakteristisch, ihre zarten
Zähnchen stehen in kammartigen Reihen zu beiden Seiten der
oberen Hälfte des spitz zulaufenden Schaftes; ich nenne solche
Borsten gefiederte Kammborsten zum Unterschiede von den einfachen
Kammborsten, welche gewöhnlich den Rand der Maxillarlappen
besetzen.
3*+
schwach entwickelt, sie haben keinen Taster und bestehen
jede aus zwei dünnen und ziemlich schlanken Lappen,
der innere Lappen ist kleiner und schmäler als der äus-
sere, er ist in der Mitte etwas verbreitert und gegen
seine beiden Enden verschmälert, der freie obere Rand
ist abgestutzt, etwas abgerundet und trägt fünf dicke, ge-
sen die Spitzen stark verdünnte haarige Borsten "). Der
äussere Lappen ist lanzettförmig mit schief nach innen
abgesetztem oberen Rande: auf diesem Bande stehen zwei
Reihen stachelartiger Borsten, deren Zahl ähnlich wie
bei den Amphipoden eil beträgt, sie nehmen von aussen
nach innen allmählig an Länge ab; die vier äussersten
unter ihnen tragen selten Nebenzähne, meistens sind sie
glatt und stumpf, die 6 folgenden haben zarte Neben-
zähnchen und sind zugespitzt, die leizte innerste (die elfte)
ist spitz und entweder glatt, oder mit zarten Kerben
versehen. AR
Die hinteren Mazxillen (Fig. 9) sind dreiblätirig, so
wie bei den Gammariden die vorderen Maxillen, ihre
Gestalt ist aber ganz verschieden, sowohl von den vor-
deren wie auch von den hinteren Maxillen der Amphi-
poden. Versuchen wir die einzelnen Blätler dieser Maxil-
len auf das allgemeine Schema der - Mundexiremitäten
zurückzuführen, so stellt das innere Blatt den äusseren
Lappen dar (Fig. 9 i), das mittlere Blatt den äusseren
*) Solche Borsten sind den Fiederborsten am meisten ähnlich
und waren bis jetzt von demselben nicht unterschieden worden,
obgleich sie sehr leicht zu charakterisiren sind; ihr Unterschied
von den Fiederborsten besteht darin, dass die zarten haarförmigen
Fasern nicht symetrisch an beiden gegenüberliegenden Rändern
der Borsten angebracht sind, sondern von der ganzen Fläche des
Schaftes entspringen. Ich proponire für so gestıltete Borste den
Namen haarige Borsten.
me Gin ci:
Lappen (Fig. 9 a) und das äussere den Taster (Fig.
9 t). Der innere Lappen (Fig. 9 i) ist an der Basis ziem-
lich breit, verschmälert sich allmählig nach oben und
hat im ganzen eine Janzettiörmige Gestalt. Ungefähr in
der Mitte seiner Höhe auf der inneren, dem Munde zu-
gekehrten Fläche träg! das Blati eine schiefe Reihe von
Borsten, welche etwa bis zum zweiten Drittel der Breite
des Lappens reicht. Die Reihe hesteht aus 14 bis 20
einfachen Borsten, die ziemlich lang sind und an ihrer
Basis eine bulbusarlige Anschwellung besitzen. Von die-
ser Reihe ab, befinden sich an dem inneren Rande bis
zur Spitze des Lappens etwa 15 Borsien in zwei Reihen
Seordnet, die innere Reihe besteht aus geraden stache-
ligen, oder einfächerigen Kammborsten, deren Kamm-
zähne dünn und nadelförmig sind, die äussere Reihe
dagegen wird aus schwach S-förmig gebogenen Stachel-
borsten gebildet, deren Spitzen eine Gabelzacke tragen.
Die beiden folgenden Blätter der hinteren Maxille, ü. h.
der äussere Lappen und sein Taster, sind beide sehr
ähnlich gestaltet, beide sind gleich lang und gleich breit,
sie stellen kurze und ziemlich breite Blätter dar, deren
oberer Rand schief abgestutzt ist; auf diesem Rande
stehen stachelige Kammborsten in einer Reihe geordnet,
die Zahl derselben ist an beiden Blättern ungleich,
sie beträgt auf dem äusseren Lappen 9, auf dem Taster
13. Die Borsten der beiden Blälter nehmen von aussen
nach innen allmählig an Länge ab, nur machen die drei
äussersten Borsten der Taster eine Ausnahme davon,
indem sie gewöhnlich kürzer sind als die ihnen zunächst-
stehenden. Alle Borsten sind schwach gegen den Innen-
rand des Lappens gekrümmt und tragen auf ihren con-
caven Flächen zierliche, dichtstehende, feine Zähnchen
oder Kerbe.
BE (len)
Die Maxillarbeine (Fig. 11) sind im Verhältniss zu den
beiden Maxillen stark gebaut zu nennen, sie sind elwas
anders gebildet als die der folgenden Art, ähneln aber
sehr den Maxillarbeinen des Asellus aquaticus...
Betrachtet man die Maxillarbeine von der Fläche wie
sie auf der Fig. 11 dargestellt sind, so sieht man bei der
Angaraschen Art zwei Lappen aus einem gemeinschalft-
lichen Stamme entspringen. Die Deutung dieser Lappen
aber wird dadurch erleichtert, dass wir den Bau der
Maxillarbeine der Baikalschen Art zu Rathe ziehen
(Fig. 12). Hier sehen wir aus einem gemeinschaftlichen
Stamme drei Lappen entspringen, den äusseren (Fig. 12 a),
den inneren unteren (Fig. 12 in) und den inneren obe-
ren (Fig. 12 i o). Mit den Maxillarbeinen der Angara-
schen Art verglichen, sehen wir, dass der zweite Lappen
bei dieser letzteren Art fehlt. Vergleichen wir ferner die
drei Lappen der Baikalschen Art mit dem allgemeinen
Schema einer Mundextremität der Amphipoden, so ent-
spricht der innere untere Lappen dem inneren Lappen
eines solchen Schemas, der innere obere dem äusseren
Lappen, der äussere Lappen dagegen findet keinen
entsprechenden Thei! in dem Mundorgane der Amphipoden
und muss als ein überzähliger angesehen werden.
Dieser äussere Lappen ist charakteristisch für die
Isopoden und zeichnet sie angesichts ihren nächsten Ver-
wandten besonders aus. Es nimmt der äussere Lappen
keinen Antheil an der Function der Nahrungseinnahme
und istnur als Deckblatt der anderen Theile zu betrach-
ten, er liegt auch demgemäss ganz an der Seite des Stam-
mes der Maxillarbeine und indem er sich hohlhandför-
mig an die gewölbte Fläche der drüberliegenden Mund-
theilen anschmiegt, behäit er die Gestalt eines schwach
gebogenen Blaltes bei, breitet man dieses Blait aus,
nn
BR
so hat es eine unregelmässig dreieckige Form (Fig 11u.
12 a). Die Vereinigung des Blattes mit dem Stamme ist
durch eine gelenkige Verbindung zu Stande gebracht, die
äussere obere Ecke des Blattes ist mit wenigen kurzen
einfachen Borsten besetzt, deren Zahl etwa 7 beträgt,
sonst ist der ganze freie Rand haarlos. Der innere un-
tere Lappen fehlt, wie gesagl, beider Angaraschen Art,
und der Stamm des Maxillarbeines erscheint an der Stelle,
wo ein solcher Lappen bei der Barikalschen Art entwi-
ckelt ist, rechtwinklig zugeschnitten, ähnlich wie bei As.
aquaticus. |
Der innere obere Lappen (oder der äussere Lappen der
Amphipoden) ist ganz anders als bei den Gammariden
gestaltet. Während er dort ähnlich wie der äussere Lap-
pen der Maxillen meist flach ausgebreitet ist, so ist er hier
winkelig gecknikt, oder winkelig gefaltet, und zwar in der
Weise, dass die beiden Theile desselben unter einem
rechten Winkel zu einander zu stehen kommen.
Die Kante, welche aus dieser Faltung entsteht, tritt mit
der der anderen Seite in der Medianlinie der Mundrinne
zusammen, und von ihr aus breitet sich der äussere Theil
des Lappens horizontal nach aussen, der innere Theil
steigt senkrecht in die Mundrinne hinein und legt sich an
den inneren Theil des Lappens der anderen Seite flach
an. Am Rande desjenigen Lappenabschnittes, welcher
in die Mundrinne hineingesenkt ist, stehen elf lange und
dicke Borsten, welche auf ihrer ganzen Oberfläche dünne
Haare tragen (haarige Borsten) *) (Fig. 11). Am oberen
Rande des horizontal ausgebreitelen Theiles des Lappens
befinden sich 9 dicke, ziemlich lange, gebogene, nach
*) Diese haarigen Borsten sind eigenthümlich gebaut, sie unter-
scheiden sich von den gewöhnlichen dadurch, dass die Haare nur
in dem unteren Theile des Schaftes auftreten, während der obere
Theil desselben haarlos elatt und stachelartig geformt erscheint.
Be
innen allmählig an Länge abnehmende, mit einem Stachel
endende haarige Borsten. Ausser dieser Randreihe kom-
men noch auf der Fläche des Lappens zwei oder drei kurze
Querreihen von Borsien vor, welche zu je 3 bis 4, sel-
ten 6, am Ende der inneren Fläche des Lappens stehen.
Die Kante, welche die Knickung des Lappens andeuiel,
ist verdickt, hornig und macht den Eindruck als würde
hier eine Verwachsung zweier Bläiter vor sich gegangen
sein, sie reicht nicht bis zur Spitze des Lappens, verläuft
aber geradlinig bis zur Basis desselben und trägt 3—5
kurze, dicke hakenförmig gebogene Borsten, welche au
’hrer schief abgestutzten Spitze mit zwei, drei oder vier
kleinen stumpfen Zähnen versehen sind, die ihrerseits
in 2 Reihen geordnet stehen (Fig. 11 und 12).
Der Taster der Maxwillarbeine ist fünfgliedrig *), er
reicht mil seinen drei letzten Gliedern über das freie
Ende des oberen inneren Lappens hinaus, das Basalglied
"ist kurz und breit, ja kürzer als die übrigen und trägt
nur ein Paar kurze Borsten an seiner oberen äusseren
Ecke. Das zweite Glied ist bauchig aufgetrieben, dabei
länger und breiter als alle übrigen, ihm folgt das dritte
Glied, an Gestalt dem zweiten ähnlich, aber kürzer und
schmäler, worauf dann die beiden letzten bedeutend schmä-
leren Glieder kommen; das erste von diesen ist so lang
wie das zweite Tasterglied und um die Hälfte länger, als
das Endglied, welches stumpf abgerundet endet. Am In-
nenrande der vier letzten Tasterglieder stehen einfache
III PR
*) Weil die Kralle bei den Asellus-Arten an allen Extremitäten
zweigliedrig ist, so wird der Endstachel des Tasters, welcher hier
die Krallenspitze repraesentirt, nicht als besonderes Glied gerech-
net, wollte man aber dem Endstachel des Tasters als ein Glied
betrachten, so müsste der Taster seehsgliedrig genannt werden.
ee
Borsten ineine mehr oder weniger regelmässige Doppel-
reihe geordnet. Die Zahl der Borsten ist nicht constant,
so finde ich am bauchigen Rande des zweiten Gliedes
10 bis 12 Borsten, am Rande des drilien 6 bis 8, am
Rande des vierten 4 bis 6 und ebensoviel am Rande des
Endgliedes, ausserdem trägt dieses letztere eine lange und
mässig dicke Endborste, welche an der Spitze schwach
hakenförmig gebogen ist und als Endspitze der Kralle
angesehen werden muss. Am Aussenrande der Glieder,
und zwar gegen das Ende derselben, stehen meistens 2
kurze einfache Borsten.
Das Geschmacksorgan ist bei den Asellus-Arten, wie
bei den Amphipoden, nicht auf ein einziges Paar der
Mundwerkzeuge beschränkt, sondern ist längs der Mund-
rinne mehr oder weniger constant auf alle den Mund
besetzenden Fresswerkzeuge vertheilt.
Betrachten wir der heihe nach die einzelnen Mund-
stücke, so finden wir auf jedem von demselben borsten-
arlige Gebilde, welche als Geschmackvermitlelnde ange-
sehen werden müssen, zu solchen rechne ich die dün-
nen Borsten der Oberlippe, die dünnen haarförmigen
Borsten auf dem Kauaste der Mandibel, die dünnen
borsten der Unterlippe, die haarigen Borsten der vorde-
ren Mamillen, die Borsten aus der schiefen Reihe der
hinteren Maxillen, die haarigen Borsten des oberen inne-
ren Lappens der Maxillarbeine.
Allen diesen Borsten ist gegenüber den übrigen Bor-
sten der Mundwerkzeuge. als gemeinschaftlichen Charak-
ter, die Zartheit der Outicula eigen; was einerseils ihre
Permeabililät bedingt und sie als gefühlsvermittelnde
Organe anzusehen erlaubt, andererseits sie zu mecha-
nischen Zwecken bei der Nutrition untauglich macht.
Der genannte Charakter der Borsten, ihre Zahrtheit und
Re, , an
ihre Stellung in der Nähe der Mundrinne muss uns vor-
läufig genügen, die Borsten als Geschmackorgane aulzu-
fassen, wenigstens so lange nicht andere unumstössliche
Beweise für die Function der einzelnen Borsten in der
specifischen Gestaltung ihrer Nervenendigungen gefunden
werden *). Die Stellung, welche die Geschmacksborsten
auf den Lappen der Mundtheile einnehmen, sind entweder
der vordere oder innere Rand des Lappens oder die
innere Fläche desselben. Was endlich die Gestalt der
Geschmacksborsten selbst anbelangt, so kann man bei
Asellus-Arten zwei Typen unterscheiden, es sind die Bor-
sten entweder dünne, cvlindrische, einfache Röhrchen,
oder essind haarige Borsten, «dl. h. kurze dicke stämmige
Borsten, deren ganze Oberfläche oder nur die Basis der-
selben mit zarten cylindrischen Häärchen oder Fäserchen
besetzt ist. Den ersien Typus finden wir auf der Ober-
lippe, auf den Mandibeln der Unterlippe und den hin-
teren Maxillen, den zweiten nur auf den vorderen Maxil-
len und den Kieferbeinen.
Die Extremitäten des Pereions. Das erste Paar ist zu
einem Greiforgane ausgebildet, die 6 übrigen Paare zu
Gangbeinen, welche letztere die Function des Örtwechsels
ausüben.
Das erste Paar endet mit einer Hand, die zum Grei-
fen eingerichtet ist (Fig. 14, 15 und 16), sie ist bedeu-
iend kleiner als bei Asellus aquaticus (Fig. 17 u. 18),
*) Es ist im Voraus nicht zu bestimmen, in wie weit genauere
Untersuchungen einen specifischen Unterschied in den Endigungen
der Nervenfasern in den einzelnen Borsten der Mundwerkzeuge nach-
weisen werden, bis dahin müssen aber die Form und die Zartheit
der Borsten selbst oder ihrer Nebenzweige, die nothwendigen Cha-
raktere für die Eintheilung abgeben.
Ba ER
obgleich im ganzen nach demselben Typus gebaut. Das
Charakteristische für die Hand der Asellus Arten ist die
Kürze des Garpalgliedes, welches kaum '/, bis ‘/, des
Propodalgliedes erreicht, ferner die innige Verbindung
dieser beiden Glieder untereinander und schliesslich die
zum Einschlagen gegen das Propodalglied eingerichtete,
zweigliedrige, mit Zähnen oder Stacheln versehene Kral-
len. Charakteristisch für die Gangbeine der Hand gegen-
über, ist die Länge ihrer Garpalglieder, welche die Länge
der Propodalglieder erreichen, ferner die mehr oder we-
niger cylindrische Gestalt dieser letzteren, die fast un-
beweglichen Krallen und der an der Basis der Krallen-
glieder angebrachte dreieckige Fortsatz (Fig. 22, 23, 24
und 25).
Das erste Glied oder das Epimeralglied des ersten
Beinpaares ist kurz, klein, am freien Rande abgerundet
und hier mit wenigen kurzen Borsten besetzt, seine Ver-
bindung mit dem Körpersegmente ist fast unbeweglich.
Das zweite Glied desselben Beines (Basos) und das dritte
(Ischium) sind länglich und haben keine vorstehenden
Ecken an ihren Rändern, das zweite Glied ist beinahe
so lang wie die Hand und etwa um '/, länger als das
dritte Glied, beide tragen vereinzelt-stehende zarte Bor-
sten, die unregelmässig hier und da ihre Ränder beset-
zen. Das vierte Glied (Meros) und das fünfte (Garpus)
sind kurz, dreieckig oder mehr oder weniger herzförmig
gestaltet, jedes von ihnen hat eine stärker vortretende
Ecke, und zwar ist an dem vierten Gliede die Vorder-
ecke vortretend, an dem fünften die Hinterecke *). Diese
*) Bei der Streckung der Beine nach Aussen oder beim Zurück-
ziehen derselben unter den Leib des Thieres, bildet immer den
Dorsalrand der Hand den Vorderrand, der Volarrand den Hinter-
ee
genannten Ecken sind gewöhnlich mit 3 bis & starken
stacheiartigen Borsten besetzt, ausserdem findet man auf
der hinteren abgerundeten Ecke des vierten Gliedes
einige schwächere einfache Borsten stehen. Das sechste
Glied, die Hand (Propodos od. Propodalglied) ist länglich,
schwach aufgelrieben, ohne eine vortretende Ecke auf
dem Volarrande zu haben, deshalb wird auch .die Pal-
marrinne nicht deutlich abgegrenzt. Die Breite der Hand
erreicht bei den Männchen nur die Hälfte der Länge. Von
den die Hand besetzenden Borsten sind folgende zu nennen:
auf dem vorderen gewölbten Rande stehen meistens drei
Paar in gleicher Entfernung von einander, auf dem Hin-
terrande, an der Grenze der Palmarrinne, welche wie
gesagt nicht deutlich abgesetzt ist, stehen bei den Männ-
chen zwei breitbasige, beweglich eingelenkte, eigenthüm-
lich gestaltete Stacheln, welche mit einer dünnen beinahe
haarförmig zulaufenden Spitze versehen sind, bei dem
Weibchen ist gewöhnlich nur ein einziger solcher Stachel
vorhanden, selten sind wie bei deu Männchen zwei ent-
wickelt. Parallel mit der Palmarrinne, auf der gewölbten
oder Dorsalfläche der Hand steht eine ganze Reihe von
einfachen Borsten, etwa 7 bis 10 an der Zahl, ausser-
dem ist die Palmarrinne selbst, bei beiden Geschlechtern
mit einer Reihe zarter, kurzer, wimperartiger Borsten aus-
gerüstet, die nur bei starker Vergrösserung deutlich her-
vorireten.
Die Hand ist bei dem Weibchen (Fig. 16) im Allge-
meinen ähnlich gestaltet wie bei den Männchen, nur ist sie
kleiner und der Voiarrand schwächer gewölbt. Die Kkralle
rand, deshalb glaube ich die, diesen Rändern entsprechende Ecken
weit natürlicher als Vorder und Hinterecke zu bezeichnen, anstatt
sie, wie esgewöhnlich geschieht, obere und untere Ecken zu nennen.
7x»
— i) —
(Daetylos) ist bei beiden Geschlechtern zweigliedrig, sie
ist um '/, bis '/, kürzer als die Hand. Das Basalglied
trägt am convexen Rande 3—5 dünne einfache Borsten,
am concaven Rande bei den Männchen drei Stacheln, bei
den Weibchen nur zwei. Das Endglied der Kralle ist
schwach gebogen, vollkommen glatt, ohne Nebenborsten.
Die folgenden 6 Paar Beine sind alle sehr ähnlich ge-
bildet, die wenigen Kennzeichen, durch welche sie sich
unter einander unterscheiden, beruhen hauptsächlich auf
den mehr oder weniger zahlreichen Borsten, weiche die
Ränder der einzelnen Glieder besetzen, in der relativen
Länge und Breite der Glieder und in der verschiedenen
Stellung der Goxaiglieder zum Endrande der Segmente.
Was aber die Gangbeine der Asellus Arten von den
Beinen anderer Isopoden auszeichnet, ist ein kurzer
Fortsatz, welcher auf der äusseren Fläche des Propodal-
gliedes, am Endrande desselben neben der Basis des
K:allengliedes angebracht ist; dieser Fortsatz stellt ein
kurzes dreieckiges Glied dar und ist gelenkig mit dem
Propodalgliede verbunden, er dient wahrscheinlich dazu
dem Krallengliede mehr Festigkeit beim Vorwärtsschrei-
ten zu geben.
Beim Vergleiche der Beine der Angaraschen Art, die
im schnellfliessendem Wasser lebt, also beständig gegen
den reissenden Strom zu kämpfen hat, mil den im ste-
henden Gewässern lebenden Arten (Asellus aquaticus
und baicalensis) ist hervorzuheben, dass ihre Beine ver-
hällnissmässig kürzer und stärker gebaut sind, die ein-
zelnen Glieder gedrungener und das Propodalglied immer
kürzer ist als das carpale.
Was nun die einzelnen Glieder der Gangbeine anbe-
langt, so möge darüber folgendes erwähnt werden.
ee Re
Die Coxalglieder oder die Epimeren des zweiten Gna-
thopodenpaares und der beiden ersten Pereiopoden, sind
breiter als die der drei letzten Paare und stehen beinahe
in der Mitte des Aussenrandes des Segmentes, während
die Epimeren der drei letzten Pereiopoden am hinteren
Ende des äusseren Randes der Segmente gelegen sind:
besonders schmal und zugespitzt ist das Goxalglied der
letzten Gangbeine (Fig. 3 a bis g).
Das zweite Beinglied (Basos) (Fig. 22 und 24 b) ist
in allen Gangbeinen länger als das dritte, es hat eine
unregelmässige längliche Gestalt, fängt stets verschmälert
an, intumescirt in der Mitte, um wieder verschmälert
zu enden. Der vordere und hintere Rand des Gliedes
sind mit Borsten versehen, diese sind an den drei letzten
Pereiopoden länger als an den übrigen.
Das dritte Glied (Ischium) an Gestalt dem zweiten
ähnlich, ist etwas kürzer und schmäler als jenes; beide
Glieder können gegen einander gebogen werden. Drei
Borsten, welche die Ränder des dritten Gliedes besetzen,
sind steif und kurz (Fig. 22 und 24 i).
Das vierte Glied (Meros) ist gegen das Ende erweitert
und hat eine mehr oder weniger ausgesprochene drei-
eckige oder sogar eine Herzgestalt, seine vordere obere
Ecke ist zugespitzt und mit einer Gruppe von 3 bis 8
stachelartigen Borsten besetzt, der vordere und hintere
Rand des Gliedes tragen nur wenige, zersireute dünne
Borsten. (Fig. 22 und 24 m).
Das fünfte Glied (Garpus) zeichnet sich von dem Car-
palgliede des ersten Beinpaares durch seine starke Ent-
wickelung aus, indem es fast die doppelte Länge des
vierten Gliedes erreicht und das Propodalglied an Länge
übertrifft. Die Gestalt des Gliedes ist länglich viereckig,
die vordere Endecke tritt am meisten vor und ist mit
PER SEE
a
drei Stacheln bewaflnei, der etwas gewölbte vordere
Rand trägt 3 bis 4 Borsten, der hintere Rand 6 bis 8.
(Fig. 22 und 24 c).
Das sechste Glied (Propodos) ist schmal und lang, bei-
nahe zweimal so lang wie breit, es ist steis kürzer als
das Garpalglied, sein vorderer sehr schwach gewölbter
Rand trägt 4 bis 6 Borsten, sein hinterer noch weniger
gewölbter, 3 bis 4 kurze stachelige Borsten und eben-
so viele dünne haarförmige. Am Endrande des Gliedes, auf
der oberen Fläche desselben steht ein dreieckiger, die
Basis des Krallengliedes bedeckender Fortsatz, welcher
die Form eines kurzen, meistens gleichschenkligen Drei-
ecks hat und mit dem Rande des Propodaigliedes, ver-
miitelst eines wenig beweglichen Gelenkes verbunden ist
(Fig. 22 und 24 p).
Das siebente Glied, die Kralle (Dactvlos), ist zwei-
gliedrig, das basale Glied ist dick und immer länger als
das Terminale, es trägt auf der Endhälfte seines vorde-
ren Randes mehrere dünne Borsten und am Ende seines
hinteren Randes zwei kurze Stachein ”) sowohl bei
Männchen, als auch bei Weibchen. Das Endglied ist
stachelförmig und schwach gebogen, steis ohne Bersten
oder Nebenstacheln (Fig. 22 und 24 d).
Alle Gangbeine sind, wie schon oben gezeigt wurde,
kurz, die längsten hintersten Beine betragen etwa °/, der
Körperlänge, sie sind fast um ‘/, länger als das erste
*, Die beiden Stacheln sind gewöhnlich von gleicher Länge, es
kommt aber bisweilen vor, dass der vordere Stachel stärker ent-
wickelt istuid sogar dıe Länge des Endgliedes der Kralle erreicht,
in solchen Fällen hat es den Anschein, als sei die Kralle doppelt.
Diese hypertrophische Entwickelung des vorderen Stachels kommt
aber nie an allen Beinen gleichzeitig vor, sondern tritt nur ver-
einzelt auf.
BER 7
4
(nathopodenpaar und nur um
Paar der genannten Beine.
Die Extremitäten des Pleons. Bei den Männchen ist
das erste Paar anders gestaltet als bei den Weibchen
(Fig. 26 und 27). Bei den ersteren sind die Beine zwei-
gliedrig; das basale Glied ist kürzer und schmäler als
das oblonge blattförmige Endglied, es stellte ein unregel-
mässig abgerundetes Blättchen dar (Fig. 26 b), welches
auf seinem inneren, fast gerade verlaufendem Rande vier
eigenthümlich geformte, schwach gebogene, kurze, schief
abgestutzte Stachel trägt, diese Stachel sind am Ende
mit vier kleinen, in doppelter Reihe geordnete stumpien
Zähnchen versehen.
Das Endglied des ersten Pleopoden ist zweimal so
lang wie das Basale und trägt auf seinem abgerundeten
Ende und seinem schwach convexen Aussenrande 14 bis
17 lange Fiederborsten (Fig. 26 ce).
Bei den Weibchen sind diese Beine eingliedrig (Fig. 27),
sie stellen längliche Blätichen dar, deren abgerundeter
Endrand sowie das Enddrittel ihres Aussenrandes mit
13 bis 19 langen Fiederborsten beseizt ist (Fiz. 27).
Das zweite Pleopodenpaar ist nur bei den Männchen
entwickelt und hier zum äusseren Begatiungsorgane um-
gestaltet. Jedes Bein besteht aus einem breiten blatiför-
migen Basaltheile (Fig. 28 b) und zwei verschieden ge-
stalteten Fortsätzen (Fig. 28 e und d). Der äussere e ist
von dem Basaliheile durch eine schwache Linie geschie-
den, er besteht aus zwei Theilen cc’, welche beweglich
mit einander verbunden sind; von der Fläche betrachtet,
hat das Endglied c’ dieses Fortsatzes einige Aehnlichkeit
mit einer kleinen Eichel, welche wie auf einer napflör-
migen Unterlage, auf dem Theile c ruht. Der äussere
Rand beider Theile des Fortsalzes, ist mit wenigen etwa
länger als das zweite
— 41 —
4 bis 5 Fiederborsten besetzt. Der innere Fortsalz dd’
entspringt etwas unterhalb des äusseren, er ist einglie-
drig aber deutlich durch eine Einschnürung in zwei Theile
geschieden, der obere Theil d ist zweimal kleiner als
der untere d’, er hal eine unregelmässige dreireckige Ge-
stalt und geht continuirlich in den retortenförmigen End-
theil (Fig. 28 d’) über, der schwach nach Aussen und
unten gesenkt, mit einer spitzen höhre endet. In dem
retortenlörmigen Theile sieht man einen länglichen bla-
senartigen Hohlraum, der durch die Endröhre nach Aus-
sen mündet.
Die drei folgenden Pleopodenpaare sind bei beiden
(reschlechtern ähnlich gebaut und dienen als Athmungs-
organe. Jedes Bein besteht aus zwei Blättern, von welchen
das äussere immer grösser ist als das innere und an dem
vordersten Paare so stark entwickelt ist, dass es die
folgenden Beine derselben Seite vollständig deckt, somit
zum Schutzblatte des Kiemenapparates verwendet wird.
Der äussere stark convexe Rand dieses Blattes ist mit
langen Fiederborsten besetzt, deren Zahl etwa 40 be-
trägt (Fig. 29 a). Der innere Rand ist beinahe gerade
und trägt keine Borsten. Vom Aussenrande des äusseren
Blattes und zwar von seinem oberen Drittel läuft schief
zum unteren Theile des Innenrandes eine Linie, welche
das Blatt in zwei ungleiche Theile scheidet, wobei der
obere */, des unteren beträgt, diese Linie deutet auf eine
bewegliche Verbindung beider Theile mit einander.
Das innere Blatt des ersten Kiemenbeines zum Kiemen-
säckchen umgebildet ist verhältnissmässig klein (Fig.
29 i). Das zweite Kiemenbein hat ein äusseres schwach
entwickeltes Blatt (Fig. 30 a), dessen äusserer Rand
nur mit 3 bis 5 kurzen einfachen Borsten besetzt ist,
die Scheidung des Blattes in zwei Theile wird durch
Je 3. 1884. 4
-— 5) —
eine zart angedeutete horizontale Linie angegeben, welche
quer über das Blatt im unteren Theile desselben hin-
reicht. Das innere Blatt des zweiten Kiemenbeines sowie
die beiden Blätter des dritten Kiemenbeines (Fig. 31 a
und i) sind ähnlich gestaltet, sie stellen längliche,
flache Säckchen dar, welche durch eine in ihrer oberen
Hälfte quer verlaufende zarte Linie in zwei ungleiche
Theile geschieden wird, sie tragen keine Borsten. Das
letzte Pleopodenpaar ist sehr klein; die Beine ragen nur
wenig über den Rand des Pleons hinaus (Fig. 1). Jedes
Bein besteht aus einem Basaltheile (Fig. 32 und 33 b)
und zwei neben einander gelagerten Endgliedern (Fig.
32 und 33 c und d). Das basale Glied ist fasi so lang
wie die Endglieder und erreicht kaum '/, der Länge
des Pleons. Die Endglieder sind lanzettförmig, das äus-
sere ist elwas kürzer als das innere, beide tragen 3 bis
5 Endborsten und ein Paar stachelartige Randborsten.
Die Beine der Weibchen (Fig. 33) sind elwas kürzer als
die der Männchen. Die Färbung ist wie bei allen Asellus
Arten eine schmutzig graubräunliche. Die Vertheilung des
Pigmentes über den Körper ist aber für die beiden asi-
atischen Arten sehr eigenthümlich und charakterisirt im
Speciellen jede Art so trefflich, dass 'man nach der Fär-
bung allein sie unterscheiden kann. So zeichnet sich die
in Rede stehende Art durch den pigmentlosen Kopf aus,
was bei der dunklen Färbung der übrigen Körperseg-
mente sehr auffällig ist. Das erste Rumpfsegment und der
ganze Schwanziheil sind immer am intensivsten gefärbt,
die übrigen sind bald dunkler. bald heller tingirt. Das
Pigment ist nicht gleichmässig über die ganzen Segmente
vertheilt, sondern bildet auf denselben symmeirische im
ganzen aber unregelmässig contourirte Zeichnungen, welche
in Fällen starker Färbung den hellen Grund nur als kleine
31 —
Pünktchen erscheinen lassen. Die Extremitäten sind schmui-
zig weisslich. Die Augen schwarz.
Zweite Art. Asellus baicalensis nov.. spet.
Diagnose. Die unteren Fühler erreichen fast °/, der
Körperlänge. Der Schwanztheil hinten merklich zuge-
spitzt, sein freier Rand mit ziemlich langen, weit auseinan-
der stehenden Borsten besetzt. Die Entfernung der Inser-
tionsstelle der letzten Schwanzbeine von einander klei-
ner als die Länge dieser Beine, welche °/, des Schwanz-
schildes erreichen, und mit dem Ende ihres Basalgliedes
weit über die Contourlinie des Pleons hinausgreifen. Das
Krallenglied der ersten Gnatopoden so lang oder länger
als die Hand, bei den Männchen mit vier Stacheln verse-
hen. Das Propodalglied aller Pereiopoden länger als das
Carpalglied. Der Kopf dunkler als der übrige Körper ge-
färbt.
Zahl der Glieder in der Geissel der oberen Fühler—
5 bis 6.
Zahl der Glieder in der Geissel der unteren Fühler
20 bis: 22.
ö 2
Hanse des Körpers. 3. „x... 4,32 .„ 3,04
».. der oberen Fühler ........... 0,22, 0,48
» » Stiele der oberen Fühler.. 0,48 . 0,32
» ». unteren Fühler .......:-..- 2,68 . 1,92
» » stiele der unteren Fühler.. 1,04 . 0,76
» des ersten Gnathopodenpaares 1,56 . 0,64
» » zweiten Gnathopodenpaares 2,08 . 0,88
» » letzten Pereiopodenpaares . 2,56 . 1,04
» ». leizten Pleopodenpaares... 0,82 . 0,51
4*
® ?
Länge der.Pleons: ars Fre a
breite des Körpers am 5 Pereionsseg-
menle.t... na een 1
breite des. Peine ar rar So 88
Die Baicalsche Art unterscheidet sich wesentlich von
der Angaraschen.
Die Unterschiede sind nicht allein auf einzelne Kör-
pertheile beschränkt, sondern beziehen sich in einer mehr
oder weniger ausgesprochenen Weise auf alle Theile des-
selben, die hauptsächlichen führe ich hier vor. Der Kör-
per ist mehr depress, er erreicht seine grösste Breite schon
in der Gegend des fünften oder sechsten Pereionsegments,
von wo er sich nach hinten allmählig verschmälert.
Der Kopf ist schwächer gewölbt, sein Hinterthei! brei-
ter; seine Seitenränder sind mit 4 bis 6 langen und dic-
ken Borsten besetzt (welche bei der Angaraschen Art
dünn und unscheinbar sind). Die Augen sind grösser, der
Diameter derselben beträgt etwa '/, der Kopflänge.
Die Pereionsegmente unterscheiden sich durch die stär-
kere Entwickelung der rippenförmigen Forisätze im Ver-
hältniss zum mittleren Theile des Körpers, durch ihre
mehr flache seitliche Ausbreitung, durch eine ganz an-
ders geformte Abrundung der Ecken der Segmente, be-
sonders aber der drei hintersien, durch eine ganz ver-
schiedene Stellung der Epimeren zum Aussenrande der
Segmente und durch die starke Entwicklung der Rand-
borsten an den Segmenten selbst, sowie an den Epime-
ren. Diese eben genannte Unterschiede sind bildlich dar-
gestellt worden auf der Figur 4.
Der Schwanzschild ist schmäler als der Körper, seine
Gestalt ist eckiger als bei der Angaraschen Art, er ist
— 59 —
weniger abgerundel und deutlich nach hinten verschmä-
lert; der zwischen den Insertionsstellen der beiden letz-
ten Schwanzbeine gelegene Theil ist mehr zugespitzt,
und die Borsten, welche seinen äusseren und hinteren
Rand besetzen, sind dicker, länger und nicht so dicht
geordnet, die Zahl der Borsten längst des ganzen Randes
beträgt etwa 70 (Fig. 2).
Die Fühler sind verhältnissmässig länger, besonders
die unteren, die Länge dieser letzteren beträgt ungefähr
°/, der Körperlänge, die Zahl der Geisselglieder ist grös-
ser, eiwa 20 bis 22.
Die Mundtheile, welche bekanntlich bei allen Orusta-
ceen am wenigsten dem Wechsel unterworfen sind, be-
weisen auch hier ihre Beständigkeit. Die wenigen Unter-
schiede, welche sich hier bemerkbar machen, gehen mei-
stentheils nicht über die Grenze individueller Veränder-
lichkeit hinaus, sondern beziehen sich hauptsächlich auf
die verschiedene Anzahl der die Mundtheile besetzenden
Borsten, was ich auch hier im Kurzen anführen will; der
einzige wesentliche Unterschied betrifft das Auftreten
eines dritten Blattes an den Maxillarbeinen, worüber schon
oben das Nöthiges gesagt worden ist.
Die Borstenreihe auf dem Zahnaste der linken Mandi-
bel besteht aus 8 Borsten, der rechten aus 10 bis 11.
Die Kaufläche des Kauastes ist mit 18 bis 19 Zahn-
platten besetzt.
Der Mandibulartaster hat aul seinem zweiten Gliede
7 bis 8, auf seinem Endgliede 8 kurze und 2 längere
sefiederte Kammborsten.
Die schiefe Reihe der einfachen Borsten auf dem
inneren Lappen der hinteren Maxillen besteht aus 19
' Borsten; die doppelte Randreihe desselben Lappens hat
6 einfächrige Kammborsten und 4 äussere Stachelborsten.
a ER
Der äussere Lappen der hinteren Maxillen trägt auf sei-
nem Rande 8 einlächrige Kammborsten; der Taster 11
solche Borsten.
Die Maxillarbeine haben 3 Blätter (Fig. 12), der in-
nere untere Lappen (Fig. 12 u) fehlt bei der Angara-
schen Art, er stellt ein lanzettförmiges Blättchen dar, des-
sen unterer Rand mit 8 einfachen Borsten besetzt ist.
Der obere innere Lappen hat an dem in die Mundrinne
sesenkten Rande u haarige Borsten und an dem freien
Rande des horizontal ausgebreiteten Theiles 9 Borsten,
ferner auf dem verhornten Faltungsrande 2 bis A kurze
stachelige, am Ende gezähnte Borsten.
Die Gnathopoden und Pereiopoden unterscheiden sich
einerseits durch ihre verhältnissmässig grössere Länge
und Schlankheit, andererseits durch die Gestalt und re-
lative Länge ihrer drei letzten Glieder. Die Hand ist
schlanker als bei der Angaraschen Art, besonders fällt
in die Augen die Länge des Krallengliedes (Fig. 19, 29,
21) im Vergleiche zur Länge des Propodalgliedes, sowie
ferner die 4 langen Stachel, mit welchen das Basaglied der
Kralle bei den Männchen ausgerüstet ist (Fig. 19, 20).
Die Pereiopoden sind überhaupt schlanker als bei der
Angaraschen Art; das Charakteristische aber an diesen
Beinen ist die Länge des Propodalgliedes, weiches im-
mer länger ist als das Garpalglied, in dieser Beziehung
nähern sich die Beine der Baikalschen Art mehr dem
Beintypus des Asellus aquaticus als dem des As. anga-
rensis, ferner ist als charakteristisch hervorzuheben, dass
bei der leiztgenannten Art das Krallenglied der Beine mit
drei Stacheln bewaffnet ist, während es bei As. baicalensis
nur zwei Stacheln trägt. .Die Pleopoden gleichen im Allge-
meinen den der Angaraschen Art, der wesentlichste Un-
terschied an den Kiemenbeinen besteht darin, dass die
Zahl der Fiederborsten am Rande des äusseren Blaties
des ersten Paares uur 24 bis 27 helrägt. Das letzte Paar
der Pleopoden ist länger und bedeutend schlanker (Fig.
31), der Unterschied in der Länge der beiden Endblät-
ter ist bedeutend grösser als bei der vorigen Art.
Die Färbung des Körpers ist dunkler als bei der An-
garaschen Art, besonders intensiv aber ist das Kopf-
segment gefärbil, welches gewöhnlich dunkler tingirt er-
scheint als der übrige Körper.
Erklärung der Abbildungen, welche mit Hülfe der Camera
Iucida gezeichnet worden sind.
Fig. 1. Asellus angarensis (Schematische Darstellung des ganzen
Körpers).
Fig. 2. Asellus baicalensis (Schematische Darstellung des ganzen
Körpers).
Fig. 3. Die Enden der Segmente des Asellus angarensis mit den
entsprechenden Epimeren dargestellt; « erstes Segment, b zweites
Segment und so weiter.
Fig. 4. Die Enden der Segmente des As. baicalensis mit den ent-
sprechenden Epimeren (die Buchstäven wie in der Figur 3).
Fig. 5. Die Unterlippe; « der innere Lappen der Unterlippe.
Fig. 6. Die Oberlippe des As. angarensis.
Fig. 7. Die linke Mandibel des As. angarensis; « der Stamm der
Mandibel; z der Zahnast; k der Kauast; zf der Zahnfortsatz; zn der
Nebenfortsatz; db die Borsten der Borstenreihe; & der Taster.
Fig. 8. Die vordere Maxille des As. angarensis; a der äussere
Lappen; : der innere Lappen.
Fid. 9. Die hintere Maxille des As. angarensis; a der äussere Lap-
pen; © der innere Lappen; t der Taster.
Fig. 10. Das Endstück des Zahnastes der linken Seite bei As. an-
garensis; zf der Zahnfortsatz; zn der Nebenfortsatz; 5 Borsten aus
der Borstenreihe.
Fig. 11. Die Maxillarbeine des As. ang.; a der äussere Lappen;
o der innere obere Lappen; ? der Taster.
Fig. 12. Die Maxillarbeine des As. bazcalensis, a der äussere Lap-
pen; « der innere untere Lappen; o der innere obere Lappen; 2 der
Taster.
Fig. 13. Der Mandibulartaster des As. angarensis.
Fig. 14. Das erste Gnathopod des As. ang.; b das zweite Beinglied
(Basos); g das dritte Glied (Ischium); m das 4 Glied (Meros); ce das
ur. B. Dax MAHb.
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in 1884. BI. ja.
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Ant. B.baxmantr.
Iletin 1884. P II.
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DE IBIUT
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— Ii —
5 Glied, die Hand (Carpus); p das 6 Glied (Propodos); d das 7 Glied
die Kralle (Dactylos).
Fig. 15. Die Hand des 5 des As. angarensis.
Fig. 16. Die Hand des ? des As. angarensis.
Fig. 17. Die Hand des 5 des As. aquaticus aus Dorpat.
Fig. 18. Dıe Hand des 5 des As. aguaticnus aus Warschau.
Fig. 19. Das Gnathopod des 5 des As. baicalensis (Die Buchstaben
wie in der Figur 14).
Fig. 20. Die Hand des 5 des As. baicalensis.
Fig. 21. Die Hand des 2 des As. baicalensıs.
Fig. 22. Das zweite Gnathopod des As. angarensıs.
Fig. 23. Das zweite Gnathopod des As. baicalensis.
Fig. 24. Das letzte Pereiopod des As. angarensis.
Fig. 25. Das letzte Pereiopod des As. bascalensis.
Fig. 26. Das erste Pleopod des 5 des As. angarensis; b das basale
Glied; ce das Endglied.
Fig. 27. Das erste Pleopod des ? des As. angarensis.
Fig. 28, Das zweite Pleopod des 5 des As. angarensis,; b der
Stamm.; c der äussere Fortsatz und zwar c das Basalglied des äus-
seren Fortsatzes; ce’ das Endglied desselben; dd der innere
Fortsatz. |
Fig. 29. Das dritte Pleopod, oder das erste Kiemenbein des 3
des As. angarensis; a dasäussere Blatt; das innere Blatt.
Fig. 30. Das vierte Pleopod, oder das zweite Kiemenbein des
As. angarensis; a das äussere Blatt; © das innere Blatt.
Fig. 31. Das fünfte Pleopod, oder das dritte Kiemenbein des
As. angarensis; a das äussere Blatt; : das innere Blatt.
Fig. 32. Das sechste Pleopod des 5 des As. angarensis.
Fig. 33. Dasselbe Bein des 2 des As. angarensis.
Fig. 34. Dasselbe Bein des 5 des As. baicalensis.
SUR LA GRANDE GOMETEDBE I8ll.
(Avec une planche).
Par
Ih. Bredichin, A.R. A. S.
La queue de cette comete peut eire regardee comme
le representant complet du ] type: les substances des
autres types ne se d&veloppaient en elle que dans une
quantit&E insensible et ne pouvaient pas produire des
perturbations dans la [orme de la queue principale; la
substance du | type y etait par contre tellement abon-
dante, que son conoide füt tres long (0.6) et presentait
la figure normale de la queue, qui a l’interieur creux
et les parois assez denses pour rendre bien visible non
seulement le bord anterieur, mais aussi le bord poste-
rieur.
J’ai deja dit plusieurs fois que la constante provisoire
de la force du I type 1—u=12, caleulee a l’aide de
ia formule approximaltive de Bessel, doit &tre augmentee
de quelques unites, comme le montrent les formules exac-
tes da mouvement hyperbolique.
— 59 —
Le dessin de la comete de 1811, fait le 11 octobre
sur la carte de 5ode (Mon. CGorr. XXIV, pg. 422), donne
ires suffisamment la position des bords de la queue pres
de son bout, de maniere que la position et la figure de
cette queue est plus favorable que les queues de toutes
les autres cometes pour la determination de la force et
de la vitesse initiale du I type.
Le dessin se rapporte a 13° 49” 57° t.m. de Seeberg,
e’est a dire a 14° 0” 42° t.m. de Berlin, done M = oct.
11.583819 t.m. Berl.
Le bord anterieur du conoide passe premierement par
Petoile 5279 B. A. G ei puis au milieu des &toiles 5348
(% Draconis) et 5307 B.A.C; le bord posterieur passe {res
pres de l’etoile 5097 B.A.C (ı Draconis), et d’apres la
carte on irouve que pour lui A l’ascension droite de
l’etoile on doit ajouter 29’. Nous allons calculer les re-
duetions au plan de l’orbite pour ce point d de la queue
et pour Feloile 5097, et nous verrons que ces deux
points se trouvent tres pres Fun de l’autre.
Pour le temps de l’observation M les coordonn&es du
noyau sont:
a ai 2 3, 9.4197 37
et les coordonnees du soleil:
a 196° 24 44° ; == 6° 59°297
Les &l&ments de Porbite d’apres Gauss:
T= 1811, sept. 12, 5” 46” 34° — Sept. 12.240671
t.m. de Berlin.
IFA Isq = 0.015530
i 40 lg m = 9.936833
NER Mouv. retrogr.
A
ZN
1)
emo
— 61 —
Avec = 23° 27 49” on trouve:
A= 52° 39 24” D = -+ 1° 307 12”
La Terre a passe par le plan de l’orbite le 13 aoüt.
Les &l&ments nous donnent pour le temps M:
v= 36° 10° 50”, Igr = 0.059563, Ig > = 0.082620.
Les positions des etoiles de comparaison et du point
d pour 1811,8:
24 RT c%
5279 15" 47” 54°,6 + 56° 23’ 13°
D348 15,58 12154 39.
3307 15: 9211,38 59 2729
5097 15.20: 45,9 59 37 Ai
d 1552274855 +59 37 44
Pour le bord anterieur il faut- caleuler les points:
5279 (a) et la moyenne arithmetique de 5348 et 5307
(b); pour le bord posterieur on a5097(c) et le point d.
Les calculs qui vont suivre pour la plupart sont faits
sous mon con!röle par l’ötudiant P. Sternberg.
Pour les reductions au plan de l’orbite on a d’abord:
G=971306 = 317°37,6
pP 3396 P 184372
D°.. 35 36.0...8, 00 dk
a b C d
»::30°.16502-25751,9 72 1020372 74153
s 2:10:45, 0+.48.238:9,.231271870712 20,3
© 431,6: 8: 4, 3.,21097,0 79317
sh 9.918958... 9.129392 29.720297 9712025
2 0.37772 0.53161 0.418822 0.149072
7 0.092990 0.07539 0.19346 0.18691
Zee
Ces points a, d, c, d sont portes sur la planche dont
l’echelle est 1= 300 millimötres.
Notons en passant que les donn6es pr&cedentes donneni
pour ’axe du conoide &=0.51117, n = 0.13115 s—=14
27.7, d’ou on a d’apres la formuie de Besset 1—u.—10.7.
Tracons maintenant quelques isodynames a l’aide des
_ points correspondants A differentes epoques d’&mission
M, (voir les formules dans mon M&moire: calcul des
ephemerides des queues. Annales, X, 1; Astron. Nachr. etc.)
$g a
a un
> ß
| 0.
>. <<
E
"Cy
>
ans)
555
=
09Q
-
[- 5
IS <
ke
A) 1-u=12 ; Ig K=8.7562777
1 2 3
Sept. 36,0 Sept. 30,0 Sept. 24,0
0,045551 0.0328970 0.0233450
-+29° 57177 —+22°50’ 21” --15° 20° 56°
0,0683917 0.0701194 0.0714479
2°15 28 1° 43’ 13 1° 10° 107
31 19 5 31 41 24 31 58 20
1.386394 12.988756 18.499804
8.663628 9.274430 9.626702
1 41 24 3 6.19 14 41 38
0.046072 0.185743 0.109507
0.001356 0.029796 0.107386
B) 1-u=16 ; lg K=8.8236271
n 5 6
Sept. 30.0 Sept. 24.0 Sept. 20.0
0.0328970 0.0233450 0.0189730
+32%50..21°: 152207 56” -#10°11° 4%
0.052493 0.0534988 0.0539776
16.28.50 0:53: 80 0:35.55
21-3025, 20.31 33 12 %:58 42
12.7408198 18.2870477 22. 043900
—ıb2 —
RE TUE EEE N E
V. 13.85.88. din Song AB A
IR 01443415 0.2258440 0.2827350
Isa 9.397850 9.7384846 9.9011837
& TERN ar A a is
£ 0.246668 0.529113 0.759740
n 0.040372 0.141191 0.260361
En portant les points 1,2...5 sur la planche (petites
eroix et numeros), on voit que l’isodyname de 1—u—16
passe exactement par le milieu de la figure de la queue.
D’apres les mesures d’Olbers, le 14 sept., le rayon li-
neaire de la n£bulosite vers le soleil est &=—=0.00137,
d’ou on a pour I—u—12, g=0.168 et pour 1—u—16
g—0.183. Ges mesures d’Ölbers faites a l’aide d’&toiles
(Mon. Corr. XXV, pg. 6) donnent pour le rayon angu-
laire vers le soleil 413” et pour le rayon perpendicu-
laire a l’axe et passant par le noyau 698”; le rapport du
premier nombre au second est 0,59, tandis que pour la
parabole il doit &tre 0.50. Ainsi le contour de la tete
etait a peu pres parabolique.
Introduisons maintenant dans le calcul, en adoptant
1—yu=16, la vilesse g, en la posant successivement
egale a 0.3, 0,2 et 0.183; pour l’angle G essayons 40°
et 60°.
C) 1-16; M=Sept. 24.0 ;1g K=8.8236971.
7 8 9 10
Ga ge BTL —60° 160°
g 0.300 0.200 0.200 0.183
HE 0.0684084 0.0632585 0.0668289 0.0423370
"ır a" 093200 6500 24
v3) 19°17 73010. 26..30 Bar u 5 5
7 8 J 10
& 17.1519314 17.6953243 17.8951487 17.9485730
ER 60 12.1561: 0,50.:°61,.24 59 5.61.7124
u7718719,44..18 3.14:.18 41 34 14:53 13
gR 0.2220692 0.2193648 0.2238049 0.2174332
lg &. 3718169 . 9.111816. : 9.224995 . 9.720612
£ 1029.3972840 81046 2023.28
& 0.519222 0.509084 _ 0.525235 0.492615
N) 0.065386 0.084457 0.075541 0.183118
Les points T7—10 sont aussi pori&s sur la planche (pe-
tites croix et numeros).
Enfin pour l’axe du Il iype, I—u=]1, on obtient fa-
eilement:
| M, O 5 7
Sept. 30.0 9°#.5 0.01621 0.00258
10.0 25 50.3 0.11836 0.05734
Aoüt 1.0 56 53.4 0.311587 0.48437
d’ou on a la courbe designdee sur la planche par le nu-
mero ll, qui n’a pourtant rien de commun avec la queue
observe&e.
En examinant la planche on s’apercoit aisement que la
vitesse 90.2 avec l’angle G—=60° represente parfaite-
ment les bords de la queue, et cette g est em accord
avec g deduite du rayon de la tete a l’aide de la for-
mule approximative.
On parvienl ainsi a la conclusion que la queue ne
contenait qu’une espece de matiere, car avec une seule
force et une seule vitesse en construit l’axe et les bords
de la queue et le contour de la tete. En general, la
figure de celite queue du I iype, sa structure et sa lar-
geur peuvent pleinement justifier mon opinion el ma con-
BER 3 2
viclion tirees de l’etude comparde, que les queues min-
ces de ce type ne sont que les bords ant&rieurs des co-
noides larges el creux. Le bord posterieur de la queue
du I type a et& vu aussi dans la come&te Donalti, mais
il y &tail excessivement faible.
La vitesse g==0.2 est Equivalente a la vitesse de 5900
metres par seconde.
Les particules observe&es le 11 octobre pres du bout
de la queue ont quitte le noyau le 24 septembre, et il
est facile de calculer qu'elles ont parcouru dans 17.58
jours un espace egal a 0.7285, d’ou leur vitesse moyen-
ne est 9.59 lieues geographiques par seconde.
Il est interessant d’ajouter que cette comete, d’apres
Olbers, Schröter et Herschel avait un noyau dense et
peut &tre meme solide (M. C. XXVII, pg. 458), dont le
diametre embrassait 107 lieues g&ographiques.
Ouire l’observation importante de la queue que nous
avons discut6e, on trouve chez Brandes (Unterhaltungen
für Freunde der Physik und Astrenomie, 2 Heft, pgg.
115—117) les positions de l’axe de la queue tirees d’au-
Ires observations et representees par les cordonnees 9
et A. Nous Jes reproduisons ici en y ajoulant & et
(’n du 9 d&cembre est chez nous reduite a l’&poque du
11 octobre, en etant augmentee de 0.0154):
en, : n
Sept. 10. 3° 53 0.0613 -. 0.0622 .0.0042
7 51 02107 02087 . 0.0988
10 40 0.4327 0.4252 0.0801
1 1 oo ie a
Oct. 11° 755 0.0290 . 0.0287 0.0040
10 26 0.2899 0.2851 , 0.0525
13 25 0.5176 0.5055 0.1201
Be nn
m
A
2 - Z
Nov. 16 6 12 0.0919 0.0914 0.0099
8 44 0.2194 0.2168 0.0339
Di 0. Dl2ll 01009 00148
107 23, , 0.2154, 00113 0.0392
Die 6 1 18: 0.1585 0.1581 9.0119
93,56 0.1449 0.1446: 010099
6.36, 0.3147. 0,3122. 0.0507
Le point du 11 oct. le plus eloign& du noyau se trouve
un peu plus pres de l’axe de £ que le point correspon-
dant calcule par nous. En prenant la moyenne arithm6-
tique de ces deux posilions on trouvera pour l’axe de
la queue la force 1—u=17, et alors tous les points de
Brandes se disposeront tous pres de cet axe a gauche
et a droite de lui.
_Ainsi il parait que le nombre 1—-u—=17 peut öire re-
garde comme la valeur definitive (a quelques dixiemes
pres) de la force du I type. Pour les formules exactes
ceite valeur conviendra aussi mieux a toutes les autres
queues du I iype que j’ai examindes *).
”) M. H. ©. Wilson (observatoire de Cincinnati), dans sa lettre du
16 dee. 1884,—concernant la come&te Pons-Brooks, dont la queue du
I type pour lui &tait deux fois plus longue (0.2) que pour M. Schia-
parelli (0.1), —m’ecrit entre autres: „From a series of observations
made with the 2.5 inch finder of the equatorial I obtain the same
value which you get for 1—u, namely 1—u=2.4. From another se-
ries made with a small opera glass. in which I observed a much
longer tail, reaching even the lensth of 20°% IT obtain an entirely
different value viz. 1—-u>12.0, or=about 19.0%.
3. 1884. 5
u —
Jusqu’au passage au perihelie lemission de la matiere
vers le soleil etait {res uniforme, de sorte que lenve-
Ioppe exterieure (parabolischer Reif) de la tete e£tait toul
a fait dötachee du noyau et de son atmosphere par un
large espace obscur (voir entre autres le dessin d’Olbers;
M. C. XAIV, pg. 6). Plus tard, apres le perihelie, dii
Olbers: «Die Wände des Dunsikegels wurden immer dic-
ker, und so «die Helligkeit des parabolischen Reifens we-
niger von dem innern Raume verschieden... Auch war
der äussere Rand des Reifens schon von der letzten
Hälfte des Septembers an weit weniger scharl abgeschnit-
ten, sondern mit leichtem Dunst umgeben, der sich im
November... in einzelnen Streifen von 25’ bis 30° Länge
parabolisch von der Sonne abwärts krümmien».
W. Herschei deerit (M. C. XXVID) le plenom£ne plus
en detail: «Bei dieser allmähligen Auflösung der Licht»
hülle hatten sich mehrere sonderbare Erscheinungen darge-
boten. Den 4. November zeigte sie sich im 10 füssigen Te-
lescope auf der nach der Sonne gekehrten Seite doppelt,
und theilte sich auf jeder Seite des CGometen-Kopfes in
drei Arme, wovon die äussern sehr kurz und schwach
beleuchtet erschienen. Jedoch waren diese Phaenomene
manchen kleinen Veränderungen unterworfen, und den
14, Dec. war nur noch auf der vordern Seite ein einzi-
ger schwach beleuchleter Arm vorhanden... Den 15. Oci.,
den 5. und 10. November erschien der oben erwähnte
Zweig am längsten; den 3. und 9. November waren sie
auf beiden Seiten sich gleich. Den 13. hatte der hintere
Arm 4° 6° Länge, der vordere dagegen nur 3° 31’; den
14. wurden sie sich wieder gleich, und waren ungefähr
3° 31 lang.... Den 2. Dec. erschienen sie ebenfalls bei-
nahe gleich, und ungefähr 3° 12° lang. Sie hatten nun-
me
mehr ihren Glanz veriohren, und zeigten sich in derselben
Farbe, wie die verwaschene Lichtmasse überhaupt».
li est evident que l’Emission jadis uniforme se divisa
en quelques eflluves particuliers ayanl chacun sa vitesse
initiale quelque peu differente de 0.2, et de cette ma-
niere se sont produits plusieurs conoides, Yun dans lin-
ierieur de Tautre. On voit ces conoides dans les des-
sins de Harding (M. GC. XXVIN). La partie anterieure des
parois du conoide exterieur a &te vue entre autres par
Olbers sous la forme de la queue secondaire: «Seit ges-
iern (M. GC. XXIV, pg. 416), den 11 oct., sehe ich nun
auch deutlich den zweiten Schweif dieses Gomeien: viel
hlässer, viel gerader und kürzer als der andere». Auch
bei unserm Gomeien (M. C. XXV, pg. 13) habe ich vom
9 ociober an schwache, doch deutliche Spuren eines
zweiten Schweifes bemerkt».
Dans sa parlie posterieure ce conoide elait pour OI-
bers plus couri que pour Herschel et se manilestaii a
lui par un «winklichien Einbucht, die die rechte (nach-
folgende) Seite des Gometen-Schweifes hatte».—Sur le
dessin du 11 octobre discule par nous la division des
parois du conoide general n’est pas indiquee.
Il est interessant de lire chez Herschel (M. C. XXVII)
que: «Der Kopf des Cometen (diametre pres de 4: noyau
et son atmosphere) war beständig grünlich oder bläulich-
srün; l’enveloppe exterieure Jumineuse (dont le rayon
vers le soleil avail a peu pres 9.5) «hatle sehr bestimmle
gelbliche Farbe». Enfin la couleur du noyau etait «blass-
röthlich».
.
ar
ERLNE Sker
Nous avons maintenant pour le I Iype I—u=17 ; pour
le type II 1—u. entre 2,4 et 0.8, et pour le Il en mo-
yenne 0.3. |
Si le premier type correspond en effet a l’hydrogene,
RR
- alors a V’aide de la proportion . er (ou © est
1—u sr
le poids moleeulaire et r le rayon de la molecule), en
posant pour I’hydrogene sr —1, nous obtiendrons pour
[4
sr’ des substances du II et du Il types:
17:,2.4=1 7 11:208=21 7170957:
Il est interessant de confronter ces nombres avec les
rapports des poids moleculaires des quelques substances
au poids de l’hydrog£ene:
CH, 3 GH, Jo
C 12 Na 23
GH, 13 GN, 926
N 204 HCy 27
G‚H, 14 Per 008
M. Piazzi Smyth,dans sa Note sur l’hydrogene |libre
dans les cometes (Nature, Vol. 31, N: 797) justifie par-
faitement, a l’aide de ses experiences brillantes, !’invi-
sibilitE du spectre de lI’hydrogene quand celui-ci se de-
veloppe dans la comete en pelile quantite. Dans toutes
les cometes recentes, observees au speectroscope, la queue
du I iype etait en effet a peine visible a cöte de la
queue claire du II type. Seulement dans la comete de
1881 IV la queue du I iype, quoique asser faible, &tait
eg
cependant plus claire que celle du Il iype, et loujours
sans les raies perceptibles de I’'hydrog&ne. Est-ce que
la substance du I type est aussi une combinaison de
Uhydrogene et du carbone tellement plus l&egere que les
autres hydrocarbures?—L’avenir va nous en informer.
1885. 9 fevrier.
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A. Caoanmeea.
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*) Bulletin de la Societ& Imv6eriale des Naturalistes de Moscou.
32335: T. EVII, 282.
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Sabanejeff. n. Dworkowitsch, Annalen. d. Chem. ıı Pharm. 216,23:.
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3upyeTca OA BAlIAHIeMB CBETA, IIpmyemb MOAYdamTca
TIABHbIMb OÖOPa30MB TI0A00HBIA Aie MHOTOYHIOTBEHHBIE
IPOAYKTBI, Hemlabamieca Öe3b PA3IozReHiAd, HEPACTBopn-
Mble MIH OyeHb MAIO PACTBOPUMbIeE Bp OÖbIKHOBEHHBIXB
PacTBopnTelaxp M IeTKO usmbHamınieca mpa Harptranin,
HO EKPOME TOTO Bceraa O0ÖpasyeTca He60ABIMIOE KOAMTECTBO
(30 10 mpoi.) CHMMeTpu4ueckaro TPUOPOMÖER32LA.
SUR LES TETES DES COMETES.
(Avec deux figures).
Par
Th. Bredichin, Ass. R. A. 8.
&
Quand la matiere caudale sort du noyau avec une Vi-
lesse 9 constante pour tous les angles G, alors le con-
lour exierieur de la tie sera une parabole. Pour Ile
conlour parabolique dans l’espace entre le sommel et
laxe de n, il faut que les limites de l’angle @ soient
au moins = 45"; pour plus de simplicite nous n’aurons
en vue que cet espace. Quand l’angle limite de l’&mis-
sion n’atteint pas 45°,—le diametire de la tele sur l’axe
de 4 sera plus petit que le diamelre correspondant pa-
rabolique.
Le contour a peu pres parabolique se voyail dans la
celebre comete de 1811, ou l’&mission vers le soleil &tait
en meme temps tres uniforme pour tous les angles @.
Dans la comete Donali, au contraire, la parabole &tait
sensiblement retrecie.
Un tel retr&ceissement peut &tre explique, par exemple,
Be Voll
par le deceroissement de la vitesse initiale g avec l’aug-
mentalion de l’angle @.
Admetlons, que la variation de g est exprimee par la
formule
g=Xax.005G
ou «x est une constante.
Les @quations connues:
ou =
donnent le contour de la tele avec une cerlaine appro-
ximation.
Dans le cas dg=x.c0os G, on a
n=7.5n2G.cos’G etla valeur
maximum de r, correspond @videmment a 30°, quand
4
2 ur:
1—u.
= 0.65 °
le rayon de la nebulosite vers le soleil etant
h
|
|
I —
On voit que dans ce cas le conlour de la lete est
tres retreci.
Dans le cas de g
constante pour tous les angles on a:
Por:
3 = cing@G.n— our 20
| J I RERENE, v
g°
e lt em ° DEREN) 19 3 8 Y
4. nr. sin2G—2:3n2G.,
Le maximum de », aura lieu pour lange EG = 45°,
ei pour ce cas
Yo
et ur:
Si le conlour n’est pas parabolique m&me dans le cas
de la constance de g,
valeur de
’angle limite @ (g
alors il faut admeltre que Ja
limite de @ est moindre que 45°, et d’apres le rapport
n:2: on peut lrouver cet angle limite.. Ainsi pour la
etant constante) est egal a 20° 16'.—
Quelquefois le conlour de la tele ne differe pas sen-
siblement (de la parabole (p. ex. comete 1811) et cela
nous montre qu’il serait plus probable d’admelitre la con-
stance de g pour tous les angles, et de supposer que
les limites de @ ne sont pas constantes pour toules les
comeötes. Il est possible, enfin, que g decroit avec l’aug-
mentalion de G COM moins rapidement que d’ap-
res la loii g=
=2.005@.
Dans les contours de ass: comefes on a observe
“Je 3. 1884.
un enfoncement a !a place du sommet parabolique de la
6
RE
tete, de maniere que le contour rappelait un peu la
forme de la letire omega.
On sait que la matiere qui se deverse dans la dire-
ction du rayon vecteur, doit passer toujours dans la par-
tie anterieure de la tte, et ce n'est qu’a parlir d’un
certain angle +-G, (dependant de r et g) que la matiere
se deverse dans la partie posterieure de la tele.
Or, il est aise de voir que si par hasard la maliere
ne s’&coule point dans la direction de ce G, (et des @
voisins), le contour exierieur aura un enfoncement cor-
respondant a cette direction.
Pour l’approximation qu’ont les &quations 1., Yangle
G, est egal a 0°, c’est-a-dire la pointe de l’enfoncement
doit se trouver sur le rayon vecleur, ou sur l’axe de &.—
En effet, en &liminant r des &quations 1. on oblient
l’equation 3., et cette Equalion est celle de la courbe de
toutes les parlicules sorties du noyau dans les differents
momenis sous un me&me angle @.—
Admettons que la maliere ne se deverse pas dans la
direction de &, mais qu’elle s’&coule en faisceau, dont
les angles limites sont G@’ et @”. On sait que la courbe
du contour exterieur pour les &missions sous tous les
angles @ est
"D. er — al Eu
| Air
Les €qualions 3. et 5. nous donnent pour la particule
emise sous l’angle @ et se trouvant sur le contour pa-
rabolique de la tete:
g’
6. ee
et pour la coordonnee correspondante 5 on aura
EEE SE
7 EN
A Yaide des valeurs @ et @” ces &quations donnent
deux points sur le contour ideal parabolique; les autres
points du contour reel seront calcules, d’apres l’equa-
tion 3., pour les angles @ et G@”, a l’aide de quelques
valeurs adopiees de n.
Admeitons qu’il y a deux faisseaux, l’un pour les an-
gles @ —= 10" ei @”—= 20°, et !autre pour = 40° et
G’—=50'. Sil y a un faisceau symetrique au premier,
situe de l’autre cölE du rayon vecteur, on aura pour lui
naturellementt = — 10° et G@”= — 20°. Adoptons
enfin que pour la comeie en question on ag=0.05,
1—ı.=2l ee r=(0..
Les coordonnees pour la construction graphique des
faisceaux ei des contours seront:
Pour le contour parabolique dans le cas des @missions
uniformes pour tous les angles:
r
c N
Eq. 5. 0.000157 0.000000
117 157
0.000000 0.000313
Pour le premier faisceau:
G £ ,
Eq. 3. 10° 0.000000 0.000000
10 13 | 15
10 22 30
10 148 45
Eq.6., 7. 10 152 55
15 145 84
20 136 114
Kg. 4. 20 0.000000 0.000200
6*
u
Pour le second faisceau:
Gr £ N)
Eq. 6., 7. 40° 0.000047. 0.000262
50 —0.000065 0.000372
Pour les sommets de ces paraboles et leurs intersec-
tions avec axe de 7:
40 0.000091 0.000154
0.000000 308
50 0.000039 135
0.000000 0.000270
La construction est representee par la fig. 1., ou lE-
chelle est 0.000100 — 10 millim.
®nr. 1.
s ;
Les lignes pointillees ad et eg sont les parlies du con-
tour parabolique correspondant aux &missions sous tous
les angles @: Oab et Oef correspondent aux angles 10°
et 20° a droite et a gauche du rayon vecteur; Ocd—
correspond au faisceau 40°—50".
Pour completer la figure, il faut avoir en vue 1) que
les faisceaux ne se trouvent pas toujours dans le plan
de l’orbite, 2) que la matiere, apres avoir monte vers
les limites ab et ef descend en bas en remplissant ainsi
l’espace de la tete, et 3) que la perspective a toujours
u -
‚une infiuence plus ou moins grande sur l’aspect du phe-
nomene. |
Il est interessaut de comparer ce tracement theorique
avec le. dessin de quelque comete, p. ex. avec le cro-
quis de la grande comete de 1861, fait par O. Struve
(Beobachtungen des grossen Kometen von 1861. M&moi-
res de l’Acad. de S. Pet., VlI serie, T. XI, Ne 5. Fig.
3, 5 Juli), que nous reproduisons ici (fig. 2) d’une ma-
niere Schematique:
Dur. 9.
ac -
DE ET
S
®
La ligne pointillee designe la partie visible du contour
exterieur vers le soleil; les gros traits—les masses prin-
cipales des Emissions, et les autres lignes—les formations
les plus claires de la t&le. Les formes analogues, tres in-
teressantes ei encore plus caracleristiques sont pr&esen
iees aussi par les cometes suivantes: la comete de 1862,
II (Secchi. Bolletino del Coll. Romano, Vol. I, pg. 149
et Planche); la comöte de 1881, II, juin 25 (TYogel. Pu-
Pal, 20
blicationen des Obs. zu Potsdam, Ne 8. Planche.— Kon-
koly. Beobachtungen in OÖ Gyalla, B. IV); la comete
Pons-Brooks (Wilson. Sidereal Messenger, N® 25, pgg.
139, 141—143.—Rayet. Bulletin Astronomique, 1884),
‚eic... |
I! n’est pas difficile de se presenter les formes qui
sont produites par un nombre plus grand des faisceaux
(p. ex. 5 ou 6) et par les jets des differents types, dont
chacun a sa propre vitesse initiale.
Note.-La constante de la force du I type est exprimee jusqu’a
present provisoirement, vu le manque d’observations, par le nombre
12; et j’ai deja repete plusieurs fois que les unites entieres de ce
nombre s’cbtiennent moyennant l’observation avec moins de preci-
sion que les dixiemes de la constante du II type. Une revision ap-
proximative parait indiquer que le nombre provisoire 12 devrait
etre augmente de quelques unites.
On ne peut pas se häter de le faire, quoique ce changement soit
plus favorable & l’hypoth&se sur la constitution chimique des queues:
pour la constante augmentee du I type, les forces les plus intenses
(celles du bord anterieur) du II type peuvent &tre plus facilement
mises en accord avee les poids atomiques des hydrocarbures, dont
la presence est directement indiqu&ee par le spectroscope. Les for-
ces plus faibles de ce type- pourraient ötre rapportees aux poids
plus grands (p. ex. l’azote, les me&taux l&gers etc...), ce qui a pour
soi une probabilite assez consid£rable. 5
La fixation definitive de la constante du I type doit Etre basee
sur des observations plus exactes, qui seront obtenues dans l’a-
venir.
1885, 17 janvier.
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FYGepHIN,
1. Thalictrum minns L.— A$1n0B0.
2. — angustifolium Jacq. v. stenophylium W.et Gr.—bA1H0Bo0.
3. m v. heterophyllum W. et Gr.— 518050.
4. — flavum L.— 1b12080, ‚lecuna.
5. — simplex L.—Bıaısıuna.
6. Pulsatilla patens Mill. —Ceasner.
7. Myosurus minimus L.—lopozent.
8. Ranunculus Flammula L.—Yapcoıp, Tumoxnua.
97a v. radicans Wk.—Cn. Kıenern, BıalsıHa.
10. — acris L.— 151H0B0, Ilepesnukan.
11. — polyanthemos L.—51H050, Ileperuukan.
12. — repens 1.— t1H0B0.
13. — sceleratus L.—Uapcoıt.
14. Ficaria ranunculoides Roth. — AGıHogc.
15. Caltha palustris L.—Itınoso, B.ıansıaHa.
16. Actaea spicata L.—KoHcTautua0R0, HomynoRo.
17. Nymphaea alba L.—0O3. Berukoe ıp., Ilocepıa IB.
18. Nuphar luteum Sm.—Abaaopo.
19. Chelidonium majus L.—Itıno0Bo, Hepepnukan.
22. — palustre DC.—AtınoBo, Bt100NnyToBo, O3. CBaroe.
23. Barbarea vulgaris R. Br. v. arcuata Koch.— A&1H0B0.
24. — stricta Andrz.—KopoCcTopo.
25. Torritis glabra L.—llepesuusaa, Topnext.
26. Cardamine amara 1L.— It1Ho0B0.
2U2 en v. hirta W. et Gr.—llepesnukan.
28. Sisymbrium Sophia L.—.Im6uun.
29. — Thalianum Gaud.—I'oporentv.
30. Erysimum cheiranthoides L.—Topo1reus, Yapcoın.
3l. Farsetia incana R. Br.—Itın0B0, Yımnaptr.
. Nasturtium amphibium R. Br. v. riparium Tausch.— 518080.
2, v. varüfolium DC.-—Atıu080, Jro6uyun, BıaalsııHa.
ge
32. Thlaspi arvense L.—Toponene.
33. Lepidium ruderale L.—Iepesnıkas.
34. Capsella Bursa pastoris Mönch. v. integrifolia Sel1.—At1ao-
BO, Topoxeu®.
35. Raphanus Raphanistrum L.—Yırnape.
36. Bunias orientalis L.— [b1ıHoso.
37. Drosera longifolia L. v. vulgaris Maly.-—Mapcoır.
38. Viola palustris L.—Cu. Kıenern.
39. — mirabilis L.— Homynopo.
40. — canina L.—Topoieus, BEI00NyToRo.
41. — colina Bess.—l'opoxeur.
42. — tricolor L. v. vulgaris Koch.—lepepnnkaa.
43. " v. arvensis Murr.—l'opo1eu®.
44. Polygala comosa Schk.—llepesunkaa, Uapcortz.
45. Dianthus deltoides L.—Uapcoın.
46. Gypsophila muralis L.—Ymmaptr.
47. Silene inflata Sm.—Ceasusi, BE.1a2.
48. — nutans L.—Ceasusı, Keipust. 03. Cpartoe.
49. Lychnis Viscaria L.—Depeeuukasa, Tlomynoeo.
50. — pratensis Spr.—lIepernukaa, O3. Craroe.
51. — Flos cuculi L.—Toporent.
52. Sagina procumbens L.—Cra. Kıeneks, Uapcoız.
55. Arenaria longifolia M. a Brleb.— kenn.
54. — serpyllifolia L. v. glutinosa Koch.—Depernukaa, Cu. Kıe-
NUEM. |
55. Moehringia trinervia Clairv.—llomynogo, On. Kıenexn.
56. Stellaria nemorum L.—Lepesıukan.
57. — Holostea L.—Toporeup. '
58. — glauca With.—Cn. Kıeuexw, Baatıyuna.
59. — graminea L.— Cearusı, Yıımaps, O3. CBartoe.
60. — longifolia Mühlb.—Topoxeus.
61. Cerastium triviale Link. —On. Rıenekn, Yapcoız.
62. Spergula arvensis L. v. sativa Bön.—) mmaptn.
63. „ v. vulgaris Koch.—Yınmapr.
64. Spergularia rubra Pers.—Topoxeur, Cn. Kıenerz, Yırmapz.
65. Herniaria glabra L. ve. scabriuseula Led.—Btıoowyroso, Cn.
Kıenexn. ER? ns
66. Scleranthus annuus L. v. arenarius Rupr.—Toporeus, Yımapt.
67. Tilia parvifolia Ehrh.— At1Bo0so.
68. Hypericum perforatum L.—Ilepesunkas, O3. CBartoe.
69. — quadrangulum L. Yınmapt.
70. Geranium sanguineum L.—Ceızun.
71. — sylvationm L.—llepernukas, Ge1bu.
Ba
N
. Geranium prateuse L.—KoacTasTHBoBR0.
. Erodium cicutarium L’Her.— 11050, Ca. Kıeneen.
. Evonymus verrucosus Scop.—['opo1eus, KoncTaaTenono.
. Rhamnus Frangula L.—T'opolen?.
Genista germanica L.— (eIsun.
. — tinctoria L.—Ceıbner.
. Cytisus ratisbonensis Schaef.—Ce1supt, Keasitr.
. Medicago falcata L.—Reuısusr.
. Trifolium pratense L.—Itıa80s0, Yapeoır.
81. — medium L.—Tppnexr.
82. — montanum L.—.Im6nyun, Ceisun.
83. — repens L.—Ilepepnnkaa, O3. Csartoe.
34. — elegans Savi.-I$180r0, Yapcoır.
85. — spadiceum 1. —Yapcoıs, Docepna.
86. Lotus cormniceulatus L. ». ciliatus Led —B&ıoonyroso, Tlepe-
Ida aıea
DO-AD om Ww
8
BHILKAA.
87. Astragalus Hypoglottis L.—B#100x#YyToB».
83. — arenarius L.—Kessun.
89. Vieia sepium L.—Topoaent, A&1r080.
%. — Cracca L.—Uapeoır.
91. „ t. leptophglla Fries. —Rpusaa.
92. Lathyrus pratensis L.—T opozen®.
93. Orobus vernus L.—T'oposent.
94. Prunus Padus L.—I#1u0r0, Koncrantanos0.
95. Spiraea Filipendula L.—Ilepesuukan.
%. Geum urbanum L.—Ilepesnukaa.
97. Sanguisorba offecinalis L.—Topozent.
35. Alchemilla vulgaris L.—IIcpesuukaa, O3. Yepnoe.
99. Potenvilla anserina L—b&100myToRo.
100. — norvegica L. v. ruthenica—\ mımap+.
101. — argentea L.—Ilepesnukaa, Yımsapt.
102. „ v. incanescens Opiz.—Ceisust, O3. Cpatoe.
103. P. thuringiaca Bernh.—Topoxene.
104. Tormentilla erecta L.—T'opozene.
105. Comarum palustre L.—Ceasıusr, ‚lackoBa.
106. Fragaria vesca L.—Epmoßa.
107. — elatior. Ehrh.—At120B0, Ilepesankaa.
‚108. Rubus Idaeus L.—Kpusan.
109. — fruticosus L—Yapcoıs, O3. Ceatoe.
110. — caesius L.—.Im6uys, KOHCTAHTHBOBO.
111. — saxatilis L.—Topoıeng,. Ceabun.
112. Rosa cinnamomea L.—Toporens, Ceasas.
115. Sorbus Aucuparia L.—Topo1ent.
114.
11...
116.
117.
118.
119.
120.
121.
122.
123
132
134.
135.
186.
137.
138.
139.
140.
141.
142,
148.
144,
148.
146,
147.
148,
149.
150.
151.
152,
158.
154. |
169.
156.
—_
Epilobium palustre L.—Napcoın.
Myriophylium sp. —Os. Bt1oe.
Sedum acre L.—lIepezimmkan.
Chrysosplenium alternifolium L.—KoscranrtuHoßo.
Ribes nigrum L.—I$&1n0so.
Aegopodium Podagraria L.—Topoıexr.
Carum Carvi L.— Ikınose.
Sium latifolium L. „Jwönnuır.
Anthriscus Sylvestris Hoffm.—llepernukan.
23. Viburnnm ÖOpulus L.—Topoxeip, llepeprnukan.
124.
125.
126.
1827.
128.
129.
130.
131.
Lonicera Xylosteum L.—Topo1eitp.
Linnaea borealis L.—Topoıeu
Galium sylvaticum L.—T'opoıen®.
— Mollugo L.—Topo1eup, Ceibpl.
-— verum L.—Topozreup.
— rubioides L—B#100nyToRro.
— palustre L—llepesrukas, Cn. Kıeneku, O3. CBaToe.
— glabrum Maly.—Imwöuuır.
82. — uliginosum L.—IHepesunkas, O3. Beiukoe, Yapcoır.
133.
Valeriana officinalis L.—-Depernukna.
Trichera arvensis Schrad.—b&1an.
Petasites spurius Rchb.— [b1n0£0.
Erigeron acris L.—Ilepesnukas, Cn. Rıenerv, 03. Chhroe.
Filago arvensis L.—Ilepesınkas, VYımnap®.
Gnaphalium dioicum L.—Ilepesnukas, Yınwapr, O3. Ghaioel
— uligınosum L.—Japcoır. Ä
Artemisia procera Willd.—Kopocrogo.
Achillea Millefolium L.—Ilepesaukas, Yapco.ır.
Anthemis tinctoria L.—llepesnıkaa.
Chrysanthemum Leucanthemum L.—Yıursaps, Tioopmeztr.
— inodorum L.—bt100MyToBo, YıMmapte.
Cirsium palustre Scop.—T'ooponeitr.
—- arvense Scop.—.lio6numn, KopocToRo.
-— helenioides All. Ceisup.
Jurinea Pollichii DU.—Keasupr.
Carlina vulgaris L.—Topuern.
Centaurea Cyanus L.—Topozeur.
Leontodon autumnalis L. v. pratensis Koch. — Yınnapb.
— hastilis Koch. — Hoınynosc.
Tragopogon orientalis L. ». revolutus Bisch. eg
Sceersonera humilis L.—Cerpupr.
Crepis tectorum L.—It1u0B0, Arpapenano, Yılmapı-
Hieracium Pilosella L.—Ilepesuukaa, Yırmapı
157.
158.
159.
160.
161.
162.
168.
164.
165.
166.
167.
168.
169.
170.
171.
1722
178.
174.
175.
176.
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178.
179.
130.
131.
132.
133.
134.
185.
186.
187.
188.
189.
1%.
191.
192.
193.
194.
19.
1%.
197.
198.
199.
Ba ur
Hieracium auriculaeforme Fr. Cı. Kıeneen, Yıımaptr.
— praealtum Koch.—Tauoxıma, O3. Csartoe. Topmeitte.
— Nestleri Vill.—Depernikaa, Yapcoız.
— pratense Tausch.—Ilomynoso.
Campanula glomerata L.—.Iwöıryı, CeIsust.
— rotundifolia L.—Reısın.
— patula L.—lIepernukasa, Bıaasıana, O3. Csaroe.
Vaceinium Vitis idaea L.—Ceıpusr, Topmext.
— Myrtillus L’—Ceısus, Napco.ms.
— uliginosum L.—Ceapusı, Kersust, Topnert.
Oxycoccos palustris Pers. —Ceasusı, Jackoga, Yapcoız.
Andromeda calyculata L.—Ceısnst, O3. Beankoe, Braısiuna.
— polifolia L.—.Iackosa, Cn. Kıenesu, Japcoıt.
Calluna vulgaris Salisb.—UCeısno.
Ledum palustre L.—Ceısipı.
Pirola rotundifolia L.—Toporene.
— secunda L —Topoıent.
Gynanchum Vincetoxicum R. Br.—Keıasun.
Gentiana Amarella L.—llepesunkaa, Tocepna.
Menyanthes trifoliata L.—A&ınopo, BıarsııHa.
Primula offleinalis Jacgq.
Androsace elongata L.—llepesnukaa.
— septentrionalis L —Ilepesunkan.
Hottonia palustris L—Cn. Kıenexa.
Lysimachia vulgaris L.—.Icenaa, Yursap®.
— thyrsiflora L. Ceısusı, Baaıtııua.
Trientalis europaea L.—Topoıeur.
Polemonium coeruleum L.—Cespusi. Kpusan.
Symphytum officinale L.—B#t100my1oBo, Ceibus.
Pul:nonaria azurea Bess. Cessas.
Myosotis palustris With. —Hepesnıkaa, Bıanstasa, Yınyapt.
— caespitosa Schultz. —Yapcoıs.
— intermedia Link. —llepepnuran.
— strieta Link.-—Toporent, Ilepesuukan.
— sparsiflora Mik.—Depesunukan.
Echinospermum Lappula Lehm.— 1 #1n080, Ilepesuusan.
Cynoglossum officinale L.—lepesunkaa.
Hyoscyamus niger L.—llepepniıkaa.
Solanum Dulcamara L.—Cı.. Kıremese, Yapcons.
Scrophularia .nodosa L.—Cı. Kıeaeku. O3. Csaroe.
Linaria vulgaris Mill. —Ceıssaor, BE.1aa.
Veronica longifolia L. v. glabra Koch.--IlomyuoBo
— incana L — Ceibun.
EEE EEE
N
. Veronica Anagallis L.—Napcoın.
. — Beccabunga L.—llepepaukaa.
. — offieinalis L.—Ynmaps, O3. Csaroe,
. — Chamaedrys L.— 513080, Os. Cparoe.
. — sceutellata L.—Bıaıııaaa, Yırmap».
. — serpyllifolia L.—T'opoxenzt, lepesuukan, Co. Kıenekn.
. — verna L.—llepesuukaa, Cn. Rıenekr.
. Euphrasia officinalis L.—Y ummape.
. Rhinanthus Crista galli L. v. majon. —KoHCTaBTaH0B0, Y ııMmapt.
. — v. minor. —Y ıMapt.
. Pedicularis comosa L.—Hepesuukaa.
. — palustris L.—RoAcTaHuTtaH0Bo, Ca. Kıenern.
. Melampyrum nemorosum L.—llepepnrtkas.
. — pratense L.—0O3. Cpatoe, Tiopmek®:.
. Calamintha Acinos Clairv.—Trpnuertr.
. Glechoma hederacea L.— N 51H0B0.
. Dracocephalum thymiflorum L.— Ilepesunkaa, Celpist.
. — Ruyschiana L.—Ceisutl.
. Prunella vulgaris L.—KoxcTauTuHoRo, Yapcoız.
. Seutellaria galericulata L.—Cn. Kıeneru, Yınmapt.
. Galeopsis versicolor Curt.—Ymmapt.
. Galeobdolon luteum Huds.—Toponzein.
. Lamium maculatum L.—llepesunkas.
Ajuga reptans L.—T'oporent.
. — genevensis L.—Toposenst, Hepesaskan.
. Plantago media L.—ItıH080, Yımapr.
. — lanceolata L.—llepesuuraa.
. Chenopodium album L.—Y mnapt.
. Polygonum Convolvulus. L—Ymmapt.
. P. amphibium L. ». terrestre -Leers.— It 15080.
„ v. natans Moench.—Tmpmextr.
. Rumex Acetosa L.—Topozent, Iepesuusas.
. — Acetosella L.—TI'opoxent, lleperunkaa, O3. Opatoe.
. — crispus L.—51H0Bo.
. — confertus Willd.—Atın0so, Hair use:
. — conglomeratus Murr.—lloınynoso.
. Thesium ebracteatum Hayne.—Ceısis.
. Asarum europaeum L.—T.opozeat.
. Aristolochia Clematitis L.—ÜOeısusl, Homynopo.
.. Euphorbia virgata W. et K.—Ceupion.
. — pälustris L.—Atauoso.
. Mercurialis perennis L.—KoHcTaaTuH0B0.
. Quercus pedunculata Ehrh.— It1u0s0, YapcoA.
243.
244,
245.
246.
247.
248.
249.
250.
251.
252.
258.
254.
255.
256.
257.
258.
259.
260.
BR NH UNE
Salix Lapponum L.—Cı. Kıeneru, Bıansiuna, O3. Cesartoe.
— repens L. (S. angustifolia Wulf.).— Cersupt, Bıaxsıyna, Jap-
coIR, O3. Cpirtoe.
— myrtilloides L.—ÜCeisup, ‚Jlackopa.
— depressa L. (S. livida Wahl.).—koRcTaHuTHHoB0.
— aurita L.—Topoiens, Cerssuss, On. Kıemeru, Yapcoıs, O3.
ÜBaroe.
— (Gaprea L.—RKoHcTaHTiiHoßo.
— cinerea L.— ‚It#1n080, KoHcTanTunoBo, Kpupas, ‚lecuna.
— stipularis Sm.— Itınoro.
— pruinosa Wendl. (S. acutifolia Willd.).—Arpadenuno.
— amygdalina L. (S. triandra L).— I&ın0so, ‚Jloönyn.
— alba L.— Nt1noBo.
— pentandra L.— AbıHoBo0.
Humulus Lupulus L.—Ilepenırıkaa.
Ulmus effusa Willd.—Ilepesnıkaa.
Betula pubescens Ehrh.—Ceasıer, O3. Besnkoe.
— humilis Schrank. —Cn. Kıeuekn, Bıaysyes.
Alnus glutinosa Gaertn.—O3. Beankoe.
Callitriche palustris L. v. stellata, dubia Rupr. Cır. RKıenern,
Yınsapr.
. Ceratophyllum demersnm L.—0O3. B$ıoe.
2. Orchis incarnata L.—Ilepernusaa, Bbıan.
. — maculata L.—Ilepeuunkaa, Yınmapt.
. Platanthera bifolia Rich. —Yıumapr.
. — chlorantha Cust.—Iloımyıoso.
. Listera ovata R. Br.—KoHcTaHuTtnHopo, IloimynoRo.
. Neottia Nidus avis Rich.—Ilomynoso.
Epipaetis latifolia AN.—Iloınynopo.
. Iris Pseudacorus L.— Ibınoso, Keısım.
. Juncus communis E. Mey.—I'oporeut, Ceıpus.
. — flliformis L—On. Kıeneku, Yapcoız, O3. Ceatce.
— lamprocarpus Ehrh.—Yımapr.
. — compressus Jacq.—MNapcoır, Ilocepxa.
. Luzula pilosa Willd.—Topozeitt.
. L. multiflora Lej.—Ceasusr, Cr. Rıeneke, O3. Cpatoe.
. Convallaria majalis L.—Topozent.
. Polygonatum officinale All.—Ilepesenkaa, Ce1ıban.
. Majanthemum bifolium DC.—Topoıenr.
. Allium angulosum L.—.Imw6nun.
2&U.
231.
282.
288.
284.
255.
286.
23%.
288.
289.
290.
291.
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295.
296.
297.
298.
299.
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301.
302.
308.
304.
305.
306.
307.
308.
809.
310.
311.
312.
319.
314.
315.
316.
317.
öl8.
319.
320
BE
Veratrum album L. v. Lobelianum Koch.—l'oporeun.
Alisma Plantago L.—Bualpiuna.
3 v. lanceolatum Mart.—.Lro6Hyn.
Sagittaria sagittaefolia L.— IbaHoBo.
Triglochin palustre L.—Ilepesuukaa, Ynımap®.
Scheuchzeria palustris L.—.Jackopo.
Hydracharis Morsus ranae L.— I t1n0ea.
Stratiotes aloides L.— Ib xuoBo.
Scirpus palustris L.—I&ıao0so, JIwöiuu, Bıarpiyna.
— lacustris L.—Itınoro, O3. MaptsIEoRo.
— sylvaticus L.—I51H0s0, Yınmapt.
— radicans Schk.— O3. Uepnoe.
Eriophorum angustifolium L.—Topozens, Cessuer, Baaısıuna.
— vaginatum L.
— gracile Koch.--Baapıuna.
Garex chordorrhiza.—Üeibin.
— vulpina L.—.lıo6nuır.
— muricata L.—llonıynogo.
— teretiuscula G00od.—Yurmapt.
— Schreberi Schrank.— AtıHogo, IHeperunkas, Arpadhennno.
— stellulata Go00d.— Vınnapr.
— leporina L.—Ilepesnunkast, VYınmaps, O3. Cpartoe.
— elongata L.—Ieperuukaa, Un. Iisenekn.
— canescens L.—Il'opoıenst, Ceipup, BiIansıuHa.
— loliacea L.—Topo1eunte.
— caespitosa L. (C. Drejeri Lang. C. vulgaris v. Droeri
Kaufm.)— Yıımaptr.
— vulgaris Fr.— 1%51H0B0, Toporenp, Biaimuma.
— acuta L.— N'bxnoBo, llocepua.
— limosa L.—Yurmapr.
— tomentosa L’—ÜeJIbinl.
— pilosa Scop.—loımymopo,
— pallescens 1L.—Topoienm.
-— ampullacea Good.—Toporenn.
— vesicaria L.—|bıu0g0, Toporens, Un. Kıienern.
— filiformis L.—ÜCeıpun.
— paludosa Good.—llepegnıkas,
— hirta L.—I$61a050, Ileperuukaa, Cerben.
Naräus strieta L.—Cu. Rıenekr.
Festuca ovina L.—ArpadenHnno, Yırmapt.
— rubra L.—Cn. Rırenern.
„ v. villosa Koch.—O3. Beimkoe.
Je 3. 1884.
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302.
353.
354.
359.
356.
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. Bromus inermis Leyss.-—/[b1H0Bo, ‚lwöHur.
. Poa annua L.—l'opoıenp, Yınmapr.
. — trivialis L.—Ilepepımnkas.
. — pratensıs L.—I'opoxeu», Ilepesnukan, Cr. Bureiene.
. — v. angustifolia Sm.—Ilepernukaa.
. — compressa L.—TumoxuHa, Yiumapt.
. — nemoralis L.—T'opozeup, KoHCTaHTItHoRo.
. — Tertilis Host. —BıalsIuns.
. Glyceria Huitans R. Br.—Ilepesnukas, Yınvapt.
. Donax borealis Trin.—.lecnuna.
. Melica nutans L.—Toopoıeup.
. Koeleria cristata Pers.—keisın.
. Anthoxanthum odoratum L.—Toponzeitv.
. Avena pubescens L.—llepesuukas.
. Aira caespitosa 1.— Tumoxuna.
. Phragmites communis Trin.—llocepna.
. Calamagrostis lanceolata Roth.—Bıansıuna, Jecuna.
. Agrostis stolonifera L.—Vınwapr.
. — canina L.—Cn. Ruıeuekv.
. Milium effusum L.—lepesnukan. |
. Beckmannia eruciformis Host.—.lecnna.
-. Phalaris arundinacea L.—Bıaısıuna.
. Alopecurus pratensis L. v. obscurus Led.— Ib 1koo.
. — geniculatus L.—Toporcup, Ileperuiukan.
. Sparganium natans L.—Buıaysıına.
. Potamogeton natans 1.— | E1HoBo.
. — perfoliatus L.—Cn. Kıenekun.
. — pusillus L.—Cı. Kıenezn.
. Calla palustris L.— Co. Kıeneen.
. Lemna minor L.—Atınoso.
. L. trisulea L.—0O3. Wepnoe.
Pinus sylvestris L.—Toponeus, Epmosa (Topbar.).
Juniperus communis L.—Topozeut, CO10142.
Polypodium Dryopteris L.—T'oporzeut.
Polystichum Thelypteris Roth.—KoncTaut#Horo.
— Filix mas Roth.—llepernukaa, KOHcTaHuTuaoRo
357. Polystichum cristatum Roth —Toponeus, Yapcoım.
358. — spinulosum DC.—Toporent, KOoBCTaHTHno0Bo, O3. Be.inkoe.
359. Cystopteris fragilis Bernh.—Ilomynogo.
360. Asplenium Filix femina Bernh.—Roncraartua0go, Co. Exerern.
361. Pteris aquilina L.—I'oponeus, Heperzukan.
362. Equisetum sylvaticum L.—T'opoieun.
363. — limosum L.—N$1R0B0, Bıaısıuna.
7*
NOTES SUR L’HISTOIRE GEOLOGI@UE DES DISEAUX.
Communication faite le 20 Döcembre, 1884,
par
A. Pavlow.
Dans les derniers mois de l’annege 1884, la littöraiure
pal&onlologique s’est enrichie d’une description mono-
graphique ires detailldee de U’ Archaeopteryx.
On sait que cet oiseau jurassique joue un röle im-
portant dans l’histoire de la doctrine de l’&volution. La
description nouvellement &ditee d’un exemplaire le
mieux conserve a complete considerablement nos con-
naissances sur cette forme tres-interessante et, en meme
temps, sur l’histeire g&ologique des oiseaux.
Avant de passer a l’objeit de ma communication, je
me permettrai de dire quelques mots sur les moyens, les
methodes et les prineipes dont se servent les pal&eonto-
logues, quand ils cherchent a retablir P’histoire g&ologique
de "un ou de l’autre groupe du monde animal, d’apres
quelques debris disperses dans les couches lerrestres.
On peut dire avec certitude que dans le dernier temps
idee de la modification des &tres, l’idee de parente, se
nn
Te nn m og ng ron vor
— 101 —
manifeste dans lous les ouvrages, comme le fil conducteur
le plus inportant. La tentative de rechercher les liens
Seneriques entre les groupes isoles du monde animal do-
mine dans ces ouvrages. Il est Evident que les formes
intermediaires entire les groupes isol&s doivent exciter
maintenant le plus vif interet des naturalistes. On
concoit l’attenlion qu’excita Ü’ Archaeopterye—Torme inter-
mediaire entre les groupes aussi isoles que le sont
les oiseaux et les reptiles. L’autre principe r&ögnant dans
les travaux pal&eontologiques—la corr&lation des orga-
pes—esi une idee qui date de loin et qui Etait deja
appreciee par Geoffroy Saint-BHilaire et par Cuvier;
d’apres ce principe, l’organisme ne peut exister que quand
une harmonie complete regne dans toutes ses parties.
Tous les organes, et m&me leurs differentes parties, doi-
vent fonctionner dans une correlation resserree entre eux
ınemes et le monde exterieur. L’importance de cette car-
relation, qu’on apercoit meme entre les parties peu impor-
tanles en apparence, a ei prouvee par feu le pr. Ko-
valevsky dans ses recherches sur le carpe et le tarse
des ongules. Ses magnifiques ouvrages serviront toujours
de modele a une recherche paleontologique guidee par les
deux principes que je viens de rappeler.
Les recherches du pr. Kovalevsky avaient jete une
vive lumiere sur les eirconstances tres importantes qui
accompagnent P'histoire du d&eveloppement geologique du
groupe qu’il a Etudie. Mr. Kovalevsky a d&montre que
la reduction du nombre des doigts—direction principale
prise par les ongules dans l’evolution—etait atteinte de
differentes manieres par les membres de ce groupe. Üe
probleme &tant mecanique, peut etre resolu avec des re-
‚ sultats plus ou moins satisfaisants. La nature ne s’est pas
— 1
toujours servi des m&mes moyens et par consequent leel
ne devait pas arriver aux m&mes rösultats.
Comme exemple, je rappellerai les membres de deux
fossiles du groupe des suides: en comparant les pieds
de devant du p&caris (cochon vivant de l’Am£rique) avec
ceux d’un suide gigantesque Fintelodon, nous aperce-
vons que les membres de ces deux animaux se sont re-
duits par l’avortement des doigts lat&raux. Tous les deux
sont devenus pratiquement didactyles. Eintelodon r&soul
ce probl&me assez primitivement: ses doigis latleraux se
retrecissent, mais les os du carpe ne changent pas de
place; les carpiens gardent la m&me disposition que ceux
des animaux tetradaetyles, qui s’appuyaient £galement
sur tous les quatre doigts. Les pecaris ont change ce
mecanisme et s’arrangerent a concenirer tout le poids de
a jambe sur les deux doigis. L’Entelodon est deja eteint;
les pecaris continuent leur developpement progressif. Les
membres du premier type sont caracteristiques pour les
ongules &teints; les membres du second apparliennent aux
formes dominantes parmi les ongul&s actuels.
Pour prouver l’importance du prineipe de la correla-
tion des organes, nous pouvons ciler comme exemple
les oiseaux actuels du groupe Carinatae. On sait que
la possession des organes du vol ne suffit pas pour la
prosperit& du voilier, par rapport a lui m&me et au mi-
lien ou il vit. Nous connaissons les traits qui caracle-
risent la correlation des differents organes de l’oiseau,
correlation qui rend possible l’existence de l’animal dans
son milieu naturel: le sternum tres d&veloppe portant la
earene, qui donne la place a l’inserlion des muscles pec-
toraux; certain arrangement du systeme musculaire, des
metarpiens soudes et des doigts rendant possible le mou-
vement independant du bout de l’aile—partie tres impor-
EEE
— 103 —
tante, car sa mobilit6 rend l’oiseau maltre de ses mou--
vements dans l’air. En meme temps l’oiseau possede: une
queue courte, mais douce de mouvemenis prompis et
forts; des os pneumalises; des sacs aöriens qui rendent
le corps de loiseau plus leger; la situation basse du
centre,de gravile, qui donne au corps la 'consistance,
est en relation avec le de&veloppemeni des muscles pec-
toraux. Toutes ces particularites de l’organisalion de
’oiseau nous prouvent l’importance de la correlation res-
serr&e entire les organes de l’animal et le monde exte-
rieur; elles nous d@montrent l’harmonie parfaite qui pre-
sidait au developpement des organes, en perfectionnant
ce type special des vertöbr&s-voiliers, qui avaient adaptie
au vol les productions epidermiques de leur peau. Sans
doute ce type de lorganisalion doit &ire le resultat de
evolution lente et graduelle d’une longue serie de formes.
Apres avoir atteint un certain stade de son developpe-
- ment, un certain succes pratique dans le perfectionne-
meni du mecanisme de son organisation, le groupe par-
vient a la multiplication et la diversite des formes, dans
les limites permises par l’organisalion du- type, au per-
fectionnement duquei le groupe est redevable, de son
developpement.
Dans les dernieres ramifications de cette souche, les
traits principaux de l’organisation se modifiaient differem-
ment sous l'influnce des caracteres biologiques, et nous
les voyons äa present dans les difförentes phases de leur
developpement et de leur diff@rentiation. Plusieurs de ces
ramilles n’ont pas suivi la direction du d&veloppement de
leur groupe, mais elles se sont detournees et se sont
Iransformdes en groupes aussi speciaux que les pin-
gouins--formes qui s’&tant c«loignes de leurs confreres
volants, sont devenus les citoyens d’un autre milieu—ha-
— 104 —
bitanis des eaux. Plusieurs de ces branches ne pouvaient
pas conlinuer leur perfectionnement: la direction prise
les a amenes a une organisation imparfaite, qui ne pou-
vait pas garantir leur existence dans leur milieu naturel,
c’esi pourquoi ces ramilles ont disparu les unes apres les
autres; ’homme lui m&me a pris part a lextirpation de
quelques unes.
fl serait tres int&ressant de poursuivre pas-a-pas l’his-
toire geologique des oiseaux; etudier les pred&cesseurs de
la branche qui domine a present, suivre les rameaux la-
teraux qui ont disparu avant notre temps, mais qui pou-
vaient etre autrefois tres r&pandus. Malheureusement nous
n’avons qu'un {res petit nombre de restes d’oiseaux des
periodes pretertiaires, ou on doit supposer le d&veloppe-
ment de ce iype special. Nous pouvons enumerer tous
les fossiles qui peuvent avoir un interet plus ou moins
srand: le terrain cretace nous a [ourni des restes d’un
petit groupe d’oiseaux, nommes ÖOdontornites. Ge nom
seul indique le caractere principal de ces animaux. Le
savant am@ricain pr. March, qui les a etudies a fond,
les divise en deux groupes: Odontormae, qui montrent
la parente avec les oiseaux voiliers (Carinatae), et Odon-
tolcae, qui rappellent nos oiseaux coureurs (Ratitae).
Ges fails nous prouveni que ces deux groupes &taient
deja separ&s dans la periode er&iacee.
Nous n’avons que deux formes exir&mement interes-
santes de la periode jurassique; une a eie irouv&e par
le pr. March, en Amerique, et 'decrite sous le nom
de Laopterys; mais malheureusement l’oceiput seul a
öt& trouve; neanmoins le savant professeur, apres avoir
etudi& ces debris, n’hesita pas a ranger le fossile dans
le groupe Ratitae. Queile etait l’organisation de ce
coureur jurassique? Le dit fossile ne r&sout pas la
/
1
!
|
2.08
question. II nous resie encore un fossile, irouve dans
les celebres pierres lithographiques de Solenhofen, c’est
VArchaeopteryx, connu par deux exemplaires qui nous
demontrent assez completement l’organisation de l’ani-
mal. Avant la d&couverte de ces debris, nos connaissan-
ces sur les anciens representants de cette classe n’ötaienl
que tres imparfaites. Malgr& toute la diversite des formes de
la classe des oiseaux, ce groupe se presentait comme
un des plus iseles. Tout ce qu’on connaissait sur ses
anceires n’etait que quelques empreintes des paites
iridactyles dans le sable du Trias, de P’Amörique du
nord, empreintes semblables a celles que laissent les
oiseaux sur le sol humide et limoneux. Ges empreintes
ne permettaient que de faire quelques conjectures plus
ou moins vagues sur V’anciennet6 de cette classe. On con-
coit le vif inleret quexcita la decouverte de restes
indubitables de l’oiseau jurassique, de l’oiseau couvert de
'plumes comme le sont les oiseaux actuels; en oulre ce
fossile avait des caracteres bien etranges pour les
oiseaux. Je me permets de citer ici la letire adressee
par le savant g&ologue allemand Oppel, a son ami pr.
Marcou, lettre qui annoncait cette pr&cieuse trouvaille: “)
Mon cher ami,
J’ai a vous raconter une d&couverte paleontologique
singuliöre que jai faite dans ces derniers temps. Je viens
de passer plusieurs jours dans les environs de Solenho-
fen, et la, jai vu dans une collection, petrifie dans la
pierre lithographique, un animal qui tient le milieu entre
les oiseaux et les reptiles. Il porte une queue comme un
=) Marcou. Explication d’une seconde Edition de la carte gEolo-
gique de la terre 1875. page 52.
— 106 —
Rhamphorhynchus, a a peu pres 20 vertebres ayant une
forme allongee. Un bassin tres petit, comme le posse-
dent les Pterodaetyles. L’animal porte des‘ plumes a la
queue el aux bras. La lete manque a l’echantillon. Les
pieds sont comme chez un oiseau, avec un simple me-
tatarse et trois doigls a longs ongles. C’etait un animal
d’a peu pres un pied et demi de longueur. Depuis
mon retour jen ai fait un dessin (ci-joint dans la leitre)
et une description que j’ai donndee AM. Andre Wagner,
lequel s’en est servi et en a donne une nolice dans une
röunion de l’Acad&mie a Munich, en döclarant que, malgre
les plumes, l’animal etail une reptile (Gryphosaurus).
Pour moi, mon opinion la-dessus est que cet animal est
un oiseau; cependant j’ai pri M. Wagner de ne pro-
noncer ni mon nom, ni mon opinion.
Volre tres devoue
Albert Oppel.
Nous vovons que meme la premiere &iude sur V’Ar-
chaeopterys provoca la diversil& des opinions sur sa na-
ture. Quelque temps apres M. le prof. Owen, apres l’etude
approfondie de cet animal, le placa d#finitivement dans
la classe des oiseaux. Gependant la diversit@ des opi-
nions ne manqua pas A reparaitre: en 1877 fut trouve
le second exemplaire de U’ Archaeopteryx. est le savant
pr. Vogt qui a deerit le premier ce fossile; ses recherches
preliminaires l’ont porteE a admeltre cette forme comme
intermödiaire entre les oiseaux ei les sauriens. Tous ces
faits demontrent toute la singularii&e de cet animal, a
queue longue et faible, couverie des plumes, a membres
de devant Iui servant d’ailes et de paltes, a machoires
— 1017 —
armees de dents, organes vraiment &tranges pour les
oiseaux actuels.
L’opinion du Pr. Vogt ne manqua pas d’exciter bien
des repliques de la part de Seeley, de March et d’autres;
mais tous ces articles etaient encore plus couris que
’&tude du pr. Vogt; tous les pal&ontologistes attendaient
avec impalience une monographie detaillee, accompagnee
de dessins exacis. Cette monographie vient de parailre,
en voici les resultats principaux.
Le pr. Dame&s prend !’Archaeopteryx pour un vrai oiseau;
son opinion est celle de tous les observateurs pr&ecedants, a
l’exception de Vogt et de Wagner. Dames voit meme dans
Porganisation de V’Archaeopterys plusieurs traits corres-
pondant A !’&tat embryonnaire des oiseaux vivants du
sroupe Carinatae; ces traits de ressemblance le force-
rent de deduire la consöquence que ce fossile presente
une stade de developpement de la souche, qui s’est
accomplie par les oiseaux voiliers actuels. Pour ve£rifier
ses idees l’auteur cite plusieurs recherches sur l’embryo-
logie des oiseaux. Le pr. Dames compare la queue de
VArchaeopteryx a celle de ’embryon d’oiseau, au moment
ou il ne s’est pas encore developpe l’urostyl solide por-
tfant un &ventail de rectrices. Quoiqu’il resulte de ceite
comparaison que la queue de l’Archaeopteryx, par sa lon-
gueur et le nombre de vertebres, pr&sente un type ultra-
embryonnaire, ivpe qui n’a pas de pareil chez les
oiseaux, meme dans leur premiere phase de developpe-
ment, n&anmoins la queue de ZArchaeopterys a plus
danalogie avec la queue embryonnaire des oiseaux
qw’avec celle d’un oiseau developpe; ce fait est Eclaire
de plusieurs recherches sur l’embryologie. En comparant
les r@sultats de ces recherches avec ceux qui sont de-
duits des &tudes dötaill&es sur la queue de !’Archaeopteryx,
— 108 —
Fauleur se croit autorise a dire que cetie forme fossile
nous prouve le fait que les ancätres des oiseaux furen!
des animaux a longue queue.
Il est vrai que ce fossile a queue ultraembryonnaire
possede les membres de derriere, qui (a l’exception du
perone) ne different pas beaucsup des membres de la plu-
part des oiseaux acluels; mais organisation des membres.
de devant donne un nouvel appui a l’opinion du professeur.
De meme que celle des oiseaux, la main de Ü’Archaeo-
pteryx possede trois doigts, mais les metacarpiens du se-
cond et du troisieme ne sont pas soudes: les doigts res-
tent libres; le second est le plus long, comme il l’est chez
les oiseaux. En considerant l’organisation dela main, on
est porte a admetire son etati embryonnaire, c’est ce
que Dame&s apprecie dans son ouvrage.
En parlant de l’organisation du thorax de Z’Archaeo-
pteryx, qui differe tant de celui des oiseaux actuels,
Fauteur reconnait lui m&me celie diversite. En effet, Yor-
ganisation du ihorax offre queiques diffieultes pour cette
comparaison, suriout quand les resies sont mal conserve£s.
les cötes exir&mement minces sans processus uncinati:
sans sternocostalıa, l’existence des cötes abdominales (fail
etrange pour les oiseaux),—toutes ces-parlicularites sont
cilees par le pr. Dames comme les caract&res importants
qui distinguenl U’ Archaeopteryx des oiseaux acluels; mais le
savantprofesseur trouve la possibilite de vaincre'cet obstacle;
il remarque que si me&me le ihorax d’oiseau ne se reirouve
pas chez ce fossille—thorax extremement solide gräce a
la ceinture thoracique et son articulation avec les cöles
au moyen des larges sternocosialila—mais les &lements,
d’ou le thorax tire son origine existaient deja: il y
avait un sternum peu d&veloppe (quoique invisible sur
les deux exemplaires connus); il y avait des eötes dont
Ze
les exiremilös en se soudant pouvaient augmenter
le sternum, qui prendrait place entre lies bouts des
cötes abdominales, en les transformant en sternocastalia.
L’auieur concoit que ce n’est que la marche hypothe-
lique du developpement du thorax d’oiseau et que cetle
supposition n’a pas d’appui dans les recherches sur
Pembryologie. En outre l’auteur rappelle le fait que dans
le groupe des reptiles nous ne rencontrons pas de formes
qui aient un tihorax d’une pareille organisation. La pre£-
sence de la furcule, dont l’exemplaire du musce de Berlin
ne laisse voir qu’une partie peu importante, !a presence
du sternum a carene (supposition «du professeur) et des
remiges—tous ces caracleres suffisent au savant proles-
seur pour ranger U’ Archaeopteryx dans le groupe Carindtae
et le regarder comme voilier, quoique voilier maladroit,
a thorax peu developpe, a faibles muscles pectoraux.
Ayant admis P’Archaeopteryx comme le plus ancien repre-
sentant du groupe Carinatae, le prof. Dames remarque que
le developpement de ce groupe allail parall&lement avec
le d&veloppement du groupe Ratitae, depuis le commen-
cement de la periode jurassique, et qu’il faul chercher
les racines de l’un et de l’autre groupe dans les diff@rents
animaux.
Ainsi les recherches de M-r Dames Font porte au
systeme nalurel suivant *).
*) Dames. Ueber Archaecpteryx 1584. p. 72.
— 10 —
Aves.
Körper mit Federn bedeckt, und zwar zuerst mil Em-
bryonal-oder Pinseldunen.
Unterelasse: Ratitae.
Beim ausgewachsenen Thier
nur Dunenfedern vorhanden.
Sternum ohne Kiel. Vorderex-
tremität verkürzt oder rudimen-
tär. Ohne Flugvermögen. Zähne
in einer Rinne.
1) Ungenügend gekannte Ord-
nung.
Laopterye—Jura.
2) Odontoleae Marsh.
Unterkieferäste getrennt. Flü-
gel rudimentär (nur aus dem
Humerus bestehend) Wirbel
mit sattelförmigen Gelenkflä-
chen. Kein Pygostyl.
Hesperornis.— Kreide.
3) Postcretaceische Ratiten.
Ausgewachsen zahnlos. Un-
terkieferäste in mittlerer Sym-
physe verwachsen. Wirbel mit
sattelförmigen Gelenkflächen.
Flügel rudimentär, aber noch
aus Oberarm, Unterarm und
rudimentärer Hand bestehend.
Ratiten der Tertiärzeit, des
Diluviums und der Jetztzeit.
|
|
|
langenzahl redueirt.
Unterelasse: Carinatae.
Beim ausgewachsenen Thier
Dunen- und Conturfedern vor-
handen. Sternum mit Kiel. Vor-
derextremität wohl entwickelt.
Mit Flugvermögen. Zähne in
Alveolen.
1) Saururae Haeckel.
Wirbel biconcav. Metacarpa-
lia unverwachsen. Phalangen-
zahl voll. Schwanzlang, am Ende
nicht zum Pygostyl umgebildet.
Archaeoptery2.—Jura.
3) Odontotormae Marsh.
Unterkieferäste getrennt.
Wirbel biconcav. Metacarpa-
lia verwachsen, Phalangenzahl
Schwanz kurz, am Ende zum
Pygostyl verwachsen.
Ichthyornis.—Kreide.
3) Posteretaceische Carinaten.
Ausgewachsen meist zahnlos*).
Unterkieferästte in mittlerer
Symphyse verwachsen. Wirbel
mit sattelförmigen Gelenkflä-
chen. Flügel wohl entwickelt.
Metacarpalia verwachsen, Pha-
Schwanz
kurz, am Ende zum Pygostyl
verwachsen.
Carinaten der Tertiärzeit, des
Diluviums und der Jetztwelt.
*) Bei Argillornis longipennis sind Zahnalveolen beobachtet.
Se
L’auteur acheve ses recherches par ies mois sui-
vants: *) «Schliesslich sei noch einmal hervorgeho-
ben, dass die beiden, jetzt schon bis zur Juraforma-
jion zurückverfolgbaren Stämme der RBatiten und Üari-
naten, in ihren beobachteten Anfängen sehr scharf von
‘einander geschieden sind, und man in Folge dessen die
Zeit, wo der gemeinsame Stammvater beider existirt hat,
in geologisch noch bedeutend ältere Perioden zurückver-
legen muss. Mögen einzelne der Fussspuren, die man seit
lange namentlich aus der Trias von Gonnecticut kennt,
in der That von Vögeln herrühren oder nicht, jedenfalls
muss man das geologische Alter der Vögel als ebense
bedeutend ansehen, wie das der Dinosaurier, und mau
kann schon aus diesem Grunde die letzteren nicht als
die Stammeltern der ersteren ansprechen, will man dem
bisher Beobachteten und den aus dem Beobachieten zu
ziehenden Schlussfolgerungen Rechnung tragen».
Tels sont les resultats de l’ouvrage du pr. Dames;
ouvrage exir&ememeat exacle et d6taille, contenant le re-
sume crilique de la litierature de l’objet. Les recherches
de ce savant prolesseur nous donnent des explications
suffisantes sur l’organisalion de ce fossile eEnigmatique; il
serait difficile d’ajouter encore quelque chose ä ce que
M-r Dames a dit dans ses recherches, surtout quand on
n’a pas la possibilite d’etudier ce fossile d’apres les res-
tes memes. Mais l’importance de quelques questions re-
veilldes par ces recherches m’engage a pr&senter quel-
_ ques considerations, qui n’ont pas trouve place dans le
—
Sy Dames 1. c. p. 79.
— 112 —
livre du Pr. Dames, mais qui pourraient meriter quelque
attention. Je ne discuterai pas maintepant les questions
touchees par M-r Dames, sur l’origine des oiseaux et
sur les relations de ce groupe au Dinosauriens: cela nous
aurait men& irop loin. Je n’ai qu’a remarquer que le
fait de l’existence contemporaine des oiseaux ei des Di-
nosauriens ne peut pas £ire regarde comme l’opposition
direete (comme le ceroit le Pr. Dames) avec les vues sur
les liens genftiques de ces groupes; de m&me que personne
ne nie a present que les amphibiens peuvent tirer leur
origine des poissons Dipnoi, qui existent jusqu’a present,
tandis que les amphibiens (leurs descendants suppos6ös)
existaient deja dans la periode triasique. L’existence eon-
temporaine des marsupiaux el des placentaires n’exelue
pas non plus la possibilit€ de l'origine de ce dernier
groupe des marsupiaux.
Laissons ces questions, jusqu’a ce que nous ayons plus
de donnees qui puissent &elairer lous ces fails interessants,
et revenons a l’Archaeopteryx. Sans doute, c’est au pr.
Dames que nous sommes redevables de nouvelles connais-
sances sur ce fossile, cependant, il me semble possible
de donner une autre explication de quelques traits de
Forganisation de l’animal. Notre attention est avant tout
atlir&e vers l’organisation du thorax et de la ceinture
ihoracique— parties tres caract£erisiiques pour les oiseaux.
En &tudiant ces parties, la premiere chose qui nous frap-
ne, e’est Ja construction peu solide du thorax: larticu-
lation des veriebres est ires faible, (ce qu’on voil d’apres
la flexibilite de la colonne verti£brale), les apophyses
articulaires des verlebres sont peu d@velopp£es, les cütes
si fines, que Vogt les compare a de fines aiguilles de
ehirurgien. La place qui resie pour le siernum montre
— il —
le faible developpement de ceiui-ci. Les membres de de-
vant de ’_Archaeopteryx ont queiques parlicularit&s &iran-
seres aux voiliers: lextrömile proximale de ’humerus
n’a pas de lete Epaisse, point de trou pneumalique sous la
erete pectorale, la cr&te pectorale (servant chez les oi-
seaux vivants a l’insertion des grands muscles pectoraux)
elle-me&me est absente; le laible developpement des suriaces
et des tubercules a l’extremite proximale du radius et du
cubitus, ainsi qu’a l’extr&mite distale de l’humerus,prouvent
que les muscles servant a melire en mouvement le bout de
l’aile — partie la plus importante de l’organe du vol—sont
peu developpes. L’organisalion des oiseaux leur permet de
faire des mouvemenlis vigoureux, des changements promptis
Jans la situation relative de la surface qui Iraverse les
metacarpiens; quant a PArchaeopteryx, nous pouvons
affrmer, sans hesiter, que la fonction des museles qui
mettaient en mouvement la main, munie de lrois doigts
tres minces, Etait tout-a-fait autre; il est douleux que
ceite partie de l’aile ait pu par elle m&eme contribuer
au vol. Les doigts longs et libres, armes d’ongles cro-
chus et tranchants, montrent qu’outre lv vol,ce membre
avait encore d’aulres fonctions; le röle Je ce mempbre
&tait irop compliqu& pour que cet organe puisse pro-
sresser dans son adaplalion au vol; il s’en suit que nous
n’avons pas le droit de regarder ce membre comme une
des phases de developpement de la main dans la veie
qu’elle a suivie dans sa transformation en aile des voi-
liers. Le mecanisme meine du monvement des deigts,
en tant que nous le connaissons d’apr&s les recherches
du pr. Dames, ne nous permet pas de regarder celle main
comme un des stades de modification de l’aile. Nous sa-
vons que le metacarpien du doigt radial des niseaux est
Je 3. 1884. 8
libre ei porte un aileron, et que les melacarpiens de deux
autres sont soudes et fonetionnent comme un seul os,
representant une surface large adaptee a l’insertion des
muscles et des ligaments des remiges, les doigts memes
ne preösentent praliquement qu’une phalange: rien de pa-
reil dans ia main de 2’Archaeopteryx: au contraire, tous
ses doigis sont libres, en oulre nous apprenons, d’apres
les recherches de Dames, que le second doigt fonction-
nait avec le premier, tandis que le troisicme etait
isole; juste le contraire de ce qu’on s’attendait a voir
dans le prototype de la main d’un oiseau. Le pr. Dames
n’hesite pas a comparer la main de !’Archaeopteryx a l’aile
embryonaire d’un oiseau, et cite ce fail comme exemple
de la correlalion entre le d&veloppement embryonnaire de
Yanimal et sa phylogenie.
Outre les fails (une rangee de carpiens et trois doigis)
(avorables aux opinions du professeur, il yena en-
core d’auires qui ne ie sont pas, mais qui meritent d’&tre
eites, notamment: 1) Une correlafion des doigis, qui ne
peut pas eire consideree comme un iype embryon-
naire, mais comme le r6sultat d’un certain developpe-
ment, d’une certaine differentiation, atleinte par d’autres
voies. 2) La presence du 4-e doigt.a l’extrömite em-
bryonnaire d’un oiseau, doigt qui sous un autre rapport
distingue cet extremit& embryonnaire du membre Irida-
eiyle de U’ Archaeopteryx, deja reduit comme il Pest chez
nos oiseaux developpes. Quoique ceite derniere circon-
stance ait e&ie connue du professeur, (il en parle m&me
plus d’une fois), il attribue cependant, sans hesiter, &
Pextr&mite de VArchaeopteryx le iype embryonnaire du
membre d’un oiseau.
ii me semble que ces faiis peu importanis au premier
abord, et lapresence de la queue ultra-embryonnaire de
de
U’ Archaeopteryx meritent notre plus vif interel; c'est Lout-au
plus si l'embryogenie des autres groupes specialis?s
des verlebres nous oflre des fails oppos6s: les embryons
des ongul&s vivanis presentent, non seulemeni la reduc-
tion des extremites plus faible que leurs anc6lres, mais
ils ent ordinairement la plus part des caracleres des in-
dividus acluels; ce sont done des fossiles et non les
embryons qui indiquent la marche vossible du develop-
pement d’une branche entiere.
En considerant les extr&miles posterieures de I Archaeo-
»pteryx, etre ancien, pour ainsi dire embryonnaire, nous
avons tout le droit de nous alttendre dA rencontrer une
extremil& correspondanie au membre embryonnaire d’un
oiseau. Tout au contraire, nous voyons un membre deja
reduit, qui au premier aspect differe tres peu de celui
de la plupart des oiseaux vivants: les metatarsiens, et les
doigts ne possedent pas du tout les caracleres embryon-
naires; la soudure des tarsiens et des metatarsiens est
plus solide que chez l’oiseau er&lac& Enaliornis Bazetti
Seeley, oiseau, qui apparait plus tard sur les pages de
P’histoire geologique (Daines |. e. page 61). Par le nombre
et la disposition des doigts, PArchaeopteryx ne differe
nullement de nos oiseaux tetradactyles. On ne peui
pas en dire autant de sa jambe: ‘les deux extremites
du perone sont egalement d&velopp6es, cet os prend
part (a ce qu’il parait), a la reunion avec le tarss;
nous ne voyons pas de pareil rapport entre le tibia et
le perone de nos oiseaux vivantis; ce fail nous demontre
que Ü’ Archaeopteryx n’avait pas le tibia-tarsus — cel os si
caract&ristique pour tous les oiseaux. Le perone des
oiseaux est rudimentaire, il s’est modifie de la meme
maniere que les metatarsiens lateraux de V’extremite
reduite des ongul&s: cet os est devenu inutile, car
8*
Vextremite inlerieure de tibia, apres s’eire elargie et
tournee en dehors, a pris la foncetion du perone. Le perone
de VArchaeopteryx ne monlre pas ce raccourssissemenl:
au contraire il est plus long que le tibia. Ce fait (peu
important au premier aspect), mis par le pr. Dames au
nombre des caracleres du Iype embryonnaire du squelelte
de VArchaeopterıx, merite, semble-t-il, plus d’attention.
Cette particularit& nous fait supposer que le me£ca-
nisme de l’articulalion du tarse de l’Archaeoptery® se
developpait d’une aulre maniere que chez les oiseaux
vivantis. Il faut esperer qu’une etude plus detaillee de
cette articulalion dans diff&rents groupes de Dinosau-
viens nous donnera des renseignemenis sur les moyens
dont se servait l’extr&mite des repliles, en se lrauslor-
mant en celle des oiseaux et des differents groupes des
Dinosauriens. Nous ne connaissons pas encore les resles
des oiseaux qui par la construction de leurs membres
de derriere pourraient nous expliquer la marche de ce
procede. Il est probable que ce procede a eu lieu dans
les premiers äges geologiques de l’existence de cetle
classe. Maintenant, quand nous &ludions le dernier ı€-
sultat d’un pareil developpement — membre deja accompli
d’un oiseau—et le comparons a celui des reptiles, nous
peuvons nous figurer Ja marche probable du Jdeveloppe-
went de cet organe; nous pouvons supposer le proctde
suivant: l’extr&mite inferieure du Libia s’&largissait, en se
tournant en dehors aulour de son axe longiludinal, et
s’emparait de lous les os de la premiere rangee du larse;
cela fait, les r&sultais suivants ne manquerent pas a
s’elfectuer: 1) Le perone, deplac& de son conlact avec
le tarse, devint rudimentaire. 2) Tous les tarsiens de la
premiere rangee, en s’articulant avec le tibia seul, com-
meneerent a fonctionner comme un senl os et se sont enfin
ne
soudes. (Nous apercevons encore ce stade chez l’embryon
des oiseaux.) La marche suivante nous parait &vidente:
nous voyons larlieulalion s’6&tablir entre la premiere
et la seconde rangee des tarsiens, qui en me&ıne temps
s’approchent du Libia d’un cöte et des melatarsiens
de lautre, enfin se soudent complelemeni. Parallelemeni
s’effectuait le raccoursissement du premier doigl et Ja
soudure de trois (chez Carinatae) metatarsiens. Ge der-
nier procede ne s’est pas encore accompli chez tous
les oiseaux vivanls: nous savons que les mätalarsiens
des pingouins laissent voir les limites entre ces trois os,
meme quelquefois des espaces vides entre eux. En sup-
posant qu’une pareille marche de d&veloppement de cei
organe s’effeetuait dans les temps geologiques, nous pou-
vons nous expliquer les partieularites de l’organisation
et du developpement embryologique de lVextr&mite des
-OISEAUuNX.
En eonsiderant la jambe de Z!’Archaeopteryx, nous Y
vovons les particularites &trangeres aux oiseaux el nous
rappelant les Dinosauriens; d’un autre cöte nous obser-
vons les melatarsiens soudes et les phalanges r&duites
an iype tetradactyle des oiseaux. A peine pourrail-on,
sans aucune hesitalion, reconnaitre dans un pareil
membre le type embryonnaire de. l’extr&mite de l'oiseau.
En se basant sur ces consid@rations, a peine-pourrail-on
admettre les consequences du professeur Dames que
voici: «Alle diejenigen Eigenschaften, welche die Archaeo-
pteryc auf den ersten Blick so seltsam und isolirt
erscheinen lassen, finden ihre natürliche Erklärung,
wenn man die individuelle Entwickelung des Vogels zum
Vergleich heranzieht und dabei im Auge behält, dass
Archaeopteryx auf einer Slufe der £ntwickelung der Vo-
Selelasse steht, auf welcher dieselbe die Vorderexiremi-
m
tät noch nicht ausschliesslich zum Fluge verwerthele
und dass in Folge dessen eine Reihe von Skeletverände-
rungen, namentlich der Vorderextremität und des Brust-
korbes, noeh nicht vor sich gegangen war oder noch
nicht die letzte Vollendung erreicht hatte, weiche die
Anpassung an die Ausübung des Flugvermögens der
Vorderextremilät allein erheischte.
So stellt Archaeoptery& mit ihren geologischen Nach-
folgern ein schönes Beispiel für die Richtigkeit des bio-
genetischen Grundgesetzes dar, nach welchem das Indi-
viduum heute dieselben Etappen der Entwickelung zu-
rücklegt, wie sein Stamm im Laufe der geologischen Pe-
rioden *).
Il faut admeitre avec le proiesseur que la facnlie du vol
de V_Archaeopteryx a du etre ir&s imparfaite; son thorax et
sa ceinlure thoracique forlifient cet opinion. ‚Il est pro-
bable qu’il ne volait pas du tout, c’est a dire qu’il ne
pouvait pas s’elever dans les airs ei franchir de grandes
espaces a l’aide des ailes; mais cependant on ne peut
pas affirmer que celle aile n’est qu’une des phases du de-
veloppement de l’aile veritable des oiseaux vivants, et
que l’organisation de animal fait voir en lui ie germe
du futur perfectionnement (de l’organisme. Malgre les
recherches approfondies, failes par le pr. Dames sur
organisation de ce fossile, cette forme nous parait elrange
et incompr&hensible; nous doutons encore pour plusieurs
raisons que nous puissons lui donner la place que lui
assigne Dames dans le systeme des oiseaux, la place
un anceire des Carinates vivants. Si celte opinion sur
"_Archaeopteryx ne nous salisfait pas, quelle autre explica-
*, Dames. Ueber Archaeopteryx. Palaeont. Abhandl. Zweiter Band
3 Heft. 1884. p. 62.
unten.
— _
BB
tion pourrons nous en donner? Ge que nous savons de son
organisation est insuffisant pour nous donner une reponse
satisfaisante. Mais il nous reste encore un bon moven,
qui peut, il nous semble, &claireir ce phenomene, encore
obseur jusqu’a present, faute de faits paleontologiques.
fi ne serait pas superflu de voir s’il n’v a pas dans
d’aufres groupes d’animaux, groupes bien &tudies, des
phenomenes plus ou moins analogues. N’y a-t-il pas
parmiles representants d’autres groupes des formes qui
aient des traits parliculiers, qui les distingueraient de leurs
parents? Si de pareilles formes existent, il faut examiner
eomment la science a expliqu& leur apparitien; il faut
essayer d’utiliser les moyens dont se servait la science,
quand elle faisait ses recherches sur les groupes qui
nous ont donne «es maleriaux sürs. Les lois du d&-
veloppement des animaux, et surtout des animaux du
meme iype vertehre, doivent &tre les memes.
Nous savons que, Je tous les representants du type
vertebre, les mammiferes sont le mieux @ludies; il est
vrai que les repr&sentants preterliaires de cette classe
ne sont pas plus connus que lies oiseaux anciens, mais
nos connaissances sur les mammiferes tertiaires sont si
completes que nous pouvons en deduire des consequences
ires interessantes, qui pourrons nous instruire sur la
marche de l’&volution de ce groupe, et ces conseqnences
ne seront pas th&oriques, mais fondees sur des fails cer-
tains. En considerant Jes mammiferes fossiles, en etudiant
histoire g&ologique d’un groupe quelconque, qui soit
viche en representants dans la faune actuelle (les ongules
p. ex.), nous observons que le plus grand perfectionne-
ment dans Jes dernieres epoques geologiques atteint les
sroupes les plus sp&cialises, groupes, qui apres &lre par-
venus a un type determine de l’organisation, adapte
— 120 —
®
a cerlaines conditions biologiques, ont reduit ce tvpeen
’amenant a une certaine organisation terminale.
Parmi les mammiferes nous pouvons citer: les rumi-
pants parmi les paridigites, et les chevaux parmi les im-
paridigites; les uns comme les autres montrent le d&e-
veloppement de la surface triturante des dents d’un cöte
et d’un autre la reduction du mecanisme des membres,
poussee au maximum. Les felides presentent un autre
exemple parmi les carnivores, groupe quia completement
developpe la flexibilit& des doigls et reduit la dentilion.
En eludiani les ancetres de ces groupes, nous voyons
parmi eux les types peu sp£cialises, porlant les caracte-
res ambigus et ne jonant pas de grand röle dans la faune
de leur temps; au contraire, nous connaisons les autres
formes voisines, surpassant m&me les premieres, dans le
developsement «d’un type special poursuivi par le groupe.
Pour le perfectionnement de ce type, il n’ya qu’une voie
la plus süre, mais elle n’etait pas suivie par ces dernie-
res formes, qui avaient presse, pour ainsi dire, leur de-
veloppement, en choisissant une autre direction; c’est
pourquoi leur regne n’a pas dure longtemps: elles dis-
paraissaient peu a peu, donnant place a leurs confreres,
qui suivaient d’une maniere lente la route de leur de-
veloppement.
Le groupe des ongules nous presente une masse
d’exemples d’une pareille marche d’evolution; nous
voyons les ruminants remplacer les Anoplotheridae, formes
qui s’etaient tres töt, mais inadaptivement r&duites; les
cochons remplacer les Entelodons gigantesques, qui dans
le miocöne encore, alteignirent le plus haut degre de la
reduction des membres, r&duction que le groupe rem-
placant n’a pas atteint jusqu’a present; les ‚Paleotheridae
ponner place aux anceires polydactvles des chevaux etc.
-- 491
L’un ei l’autre groupe remplissant, avec ou sans suce®s,
leur probleme biologique, sont si proches l’un de l’autre.
par les traits principaux de l’organisation, que nous avons
tout le sroit de les regarder comme deux branches de
la m&me souche ancienne, avec des caracleres encore moins
determines. .
Une pareille marche de l’@volution nous parait &evidente
pour ‚quelques groupes des mammiferes, qui sont le plus
etudies.
Passons maintenant aux oiseaux. Les oiseaux voiliers
(Carinatae), presentent aussi un groupe terminal extre-
memen! specialise, groupe qui a simplifi& le squelette de
son aile et de ses pieds et qui est parvenu a un type
special de l’organisation du thorax et de la queue.
Pour avoir une id&e de la marcbe de l’&volution du
iype des oiseaux, nous devons (en nous basant sur les
_ documents. embryologiques et pal&ontologiques et sur
l’analogie avec d’auires groupes), arriver a lapensee que
ce type tire son origine d’un anceire plus ou moins
eloigne, qui n’avait pas encore les Lraits caracteristiques
de la elasse (les oiseaux.
A peine pourrions nous croire que cette evolution ne
se faisait que d’une seule maniere: il est probable qu’ii v
avait des branches laterales, qui avaient pris une auire
direction moins süre, avaient continu& leur developpe-
ment jusqu’a un certain stade de specialisalion, avaient
meme surpasse d’autres formes (qui poursuivaient le
meme but, mais d’une autre maniere), et neanmoins dis-
parurent, parce que la voie choisie ne pouvait pas les
amener au perfeclionnement d’une organisation solide,
adaptde a certaines conditions. Ne serail—il pas plus juste
de considerer !’Archaeopterye comme le membre d’une
des branches qui avaient pris une autre direction et
122 _
s’etaient ecarlees de leur rameau paternel qui a abouti
aux oiseaux actuels. Sans doute cet &cartement a eu
eu a une epoque bien eloignee, quand les ancetres des
»iseaux pr&sentaient justement des stades, qui peuvent £fre
compares a ceux que nous observons maintenant dans les
recherches sur l'’embryologie des carinates. Nous serons
obliges alors de conclure que le rameau de T’Archae-
opterix a pris dans son Evolution une auire voi, que
celle qui amena au perfectionnement du type special des
oiseaux vivanis; quil a eu peu de chance dans cetie
lirection et a disparu enfin comme les ongules anciens,
qui ont reduit inadaptivement leurs membres; p. ex. les
Anoplotheridae, les Palaeotheridae l’Entelodon etc. Il est
probable que cette braneche laterale des oiseaux alteignit
'e plus haut degre de son d&veloppement dans la periode
‚urassique ei, parlenombre des individus, jouait un röle
assez important dans la faune locale d’alors, fait dont
nous sommes redevables a deux trouvailles bien con-
servees.
Considerant 2 Archaeopteryr comme membredela branche
disparue du groupe des oiseaux, nous devons, sans
loute, renoncer a la pensee que nous connaissons les
ancelres precreilaces des Üarinates;‘ les connaissances
que neus possedons maintenant sur llorganisalion de
FArchaeopterys ne nous permeltent pas de reconnaitre en
(ui lFanceire jurassique de la souche des Garinates. Il est
vrai que l’embryologie pourrait servir de guide sür
au paleontologiste, qui dispose de peu de documents sur
Uhistoire geologique de cette classe; mais celle science ne
nous indique pas jusqu’a present un siade qui se laisse
aisement comparer au prelendu aneetre jurassique des
OiseauX.
72
a
En me basant sur toutes les consid&rations pr&cedentes,
je me permets de consid&rer en attendant l’embranche-
ment des Saurornites, comme une des trois grandes sub-
divisions de la classe des oiseaux: I Saurornites, II Ra-
titae, MI Carinatae, placant, comme le fait M. Dames,
les Odontolcae parmi les Ratites et les Odontormae parmi
les Carinates.
LISTE DES ALGUES OBSERVEES DANS LE GOUVERNEMENT
| DE MOSCOU.
Par
A. Artari.
Dans cette liste des Algues, je n’offre pas au lecieur
’enumeration complete des representants de ce groupe qui
se rencontrent dans le gouvernement de Moscou; je me
bornerai a citer les especes que j’ai observ&es et de-
terminees dans le courant de l’annde passee ei de cette
anne6e-ci. |
Je me fais un devoir d’exprimer ma profonde recon-
naissance a M. le Professeur Goroschankine pour les indi-
cations qu’il a eu l’extröme obligeance de me donner
plus d’une fois.
Explications des abreviations.
kabh. Fl. Aig.==kabenhorst: Flora Europaea Algarum
aquae duleis et submarinae. 1864—68.
Rabh. Krypt. Fl. v. Sachs. —Rabenhorst: Kryptogamen—
Flora von Sachsen etc. Leipzig. 1863.
Kirchn. Alg.—Kirchner: Algen. Zweiter Band, erste
Hälite «Kryptogamen—Flora von Schlesien» hrsggb v. Prof.
F. Kohn. Breslau. 1878.
Beinsch, Algfl. v. Fr.—P. Reinsch: Die Algenilora des
mittleren Theiles von Franken. Nurenberg. 1867.
Kutz. Tab. Phye.=kutzing: Tabulae phycologicae.
Nordhausen 1869.
(sorosch. Genes.—=boroschankine. Genesis chez les Pal-
mellacees. Moscou. 1874.
Naeg. Gatt. einz. Alg.=Naegeli: (satlungen einzelli-
ser Algen. Zurich, 1849.
Ehrb.
1838.
DBy Conj.—De-Bary: Untersuchungen über die Fam.
der Conjugaten. 1858.
P. Pt. Sp.=P. Petit: Spirogyra des environs de Pa-
ris. 1880.
Die Infusionsthierchen. Leipz.
1u.—1 micromillimetre=0,001 millimetre.
— 126 —
Ordre: Confervoideae °)
a) Oosporeae.
Famille: Coleochaetaceae.
Famille: Oedogoniaceae.
Famille: Sphaeropleaceae.
b) Synzoosporeae et Asexuales.
Famille: Confervaceae.
1 groupe: Cladophorinae.
2 sroupe: Ulotrichinae.
UÜrdre: Siphoneae,
Famille: Vaucheriaceae.
Famille: Botrydiaceae.
Ürdre: Protocoecoideae,
Famille: Volvocaceae.
Famille. Protococcaeeae.
Famille: Palmellaceae.
ÖOrdre: Zygosporeae,
Famille: Conjugatae.
1 groupe: Zygnemeae.
2 groupe: Desmidieae.
*) En fait de Classification, je me guide sur l'ouvrage de M. Kirch-
wer. Algen von Schlesien.
4
w
.
3
42. ee
en Sn a
5
Ordre: Confervoideae.
a) Oosporeae.
Famille: Coleochaetaceae.
Genre: Coleochaete Brev.
1. Coleochaete seutata Br&b. (Rabh. Fl. Alg. 390; Breh.
Ann. des sc. nat. 1844).
Localite. Dans les environs de Moscou (Bogorodsky, Rostokino)
sur les plantes aquatiques (Nuphar luteum, Lemna trisulca).
9. Coleochaete pulvinata A. Br. (Rabh. Fl. Ale. 389;
Kirchn. Alg. 49; Ktz. Tab. phye. IV, 20).
Loealite. Dans les mömes endroits,
3. Coleochaete soluta Pringsh. (Rabh. Fl. Aig. 389;
Kirchn. Alg. 50; Pringsh. Jahrb. fur wiss. Bot. Bd. Il,
1856).
Localite. Dans les mömes endroits.
Famille: Oedogoniaceae.
Genre: Oedogonium Lk.
4. Dedogonium undulatum Kg. (Rabh. Fl. Alg. 351;
Kirchn. Alg. 54).
Diametre des filaments vegetatifs 15_17u ”).
Oogones 5l—54u de largeur.
Localite. Etang de P&trowsky-Rasoumowsky, pres de l’Acade-
mie d’Agriculture.
*, Les dimensions sont indiquees d’apres mes observations.
— 115 —
Famille: Sphaeropleaceae.
Genre: Sphaeroplea. Ag.
5. Sphaeroplea annulina Ag. Seule espece. (Rabh. Fl.
Alz. 318; Kirchn. Alg. 64; Cohn. Ann. des sc. nat. V. 1856).
Diametre des filaments 36—64 u.
Loealite. Sokolniki, dans les fosses de la for&t (Avril): Jardin
botanique de l’Universite, fosse; pres de Rostokino, dans les foss&s
et les marais (Avril, Mai).
Genre: Cylindrocapsa Reinsch.
6. Cylindrocapsa involuta Reinsch. (Kirchn. Alg. 65;
Reinsch, Algfl. v. Fr. 66—67).
Diametre des filaments 27—30u.
l.ocalite. Pres de Bogorodsky, fosse de la foret (Aoüt).
b) Synzoosporeae et Asexuales.
Famille: Corfervaceae.
Genre: Draparnaldia Ag.
7. Draparnaldia glomerata Ag. (Kabh. Fl. Ale. 381;
Kirchn. Alg. 67; Kutz. Tab. phycol. Ill, 3).
Diametre des filaments 45—60u.
Localite. Pres de Bogorodsky, fosse de la foret.
Genre: Chaetophora Schrank.
$. Chaetophora endiviaefolia Ag. (Rabh. Fl. Ale. 385;
Kirchn. Alg. 69; ktz. Tab. phycol. IH, 5).
Diametre des filaments: a) axe 10—12x; rameaux 7— 9%.
Genre: Ulothrix Kg.
9. Ulothrix parietina Kg. ‚Rabh. Fl. Alg. 367 et 368;
Kirchn. Alg. 78; Kiz. Tab. phycol. II, 31).
Diamötre des filaments 13— 15a.
Loealite. Sokolniki, sur les trones d’arbres.
Genre: Conferva Ik.
{0. Conferva vulgaris (Rabh.) (Kirchn. Alg. 79) [Niero-
spora vulgaris Rabh., Fi. Alg. 321].
— 129 —
Diam£tre des filaments 10-—12x.
Localite. Pres de Bogorodsky, dans les fosses. de la foret.
Ordre: Siphoneae.
Famille: Vaucheriaceae.
Genre: Vaucheria DC.
il. Vaucheria geminata DC. (Rabh, Fl. Alg. 263; Kirchn.
Alg 84; Walz, Jahrkb. f. wiss. Bot. V. Bd.p. 147).
Localite. Pres du village Zwiaguino, dans un ruisseau (Aoät).
12. Vaucheria sessilis DC. (Rabh. Fl. Alg: 267; Kirchn.
Alg. 82, Walz. Jahrb. f. wiss. Bot. V, 145—146; Kiz.
Dahb: ;phye. VI, 21). =
Genre: Botrydium Wallr.
13. Botrydium granulatum Grev. Seule esp&ce. (Kirchn.
Alg. 83; Reinsch, Algfl. v: Fr. 219; Rostafinski et Wo-
_ ronin. Ueber Botr. gran. Bot. Zeit. 1877, p. 649).
Localite. Pres de Grandes—Mytistchi; pres de Bogorodsky, sur
la terre humide (Juillet, Aoüt). !
Ördre: Protococeoideae.
Famille: Volvocaceae.
Genre: Volvox Ehrk. .
14. Volvox Globator Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 97; Kirchn.
Als. 86-—87; Gorosch. Genes 233—32; Cohn, Entwickelungs-
gesch. der Gatt. Volvox, Beitr. z. Biol. der Pflanz., I, 1875;
Ehrb. Inf. T. IV, D.
Colonies de 300 & 1.400. de diametre.
Cellules veget. Bu.
Oospores 566 — On. ®)
Localite. Environs de Moscou, dans les eaux stagnantes.
*) D’apres Goroschankine.
Je 3. 1884. g
— 130 —
15. Volvox minor Stein. (Rabh. Fi. Alg. 97; Kirchn.
Als. 87; Stein, der Organismus d. Infusionsthiere, T. XVII,
f, 5—12).
Local. Pres de Bogorodsky, dans une flaque (Belajew).
Genre: Eudorina Ehrb.
16. Eudorina elegans Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 98; Kirchn.
Alg. 88; Gorosh. Genes. 15—25; Ehrb. Inf. T. II, VD).
Colonies 50—140.. de diam. en long.
Cellules 10— 25u.
Oospores 22— 26x. *).
Local. Tres repandu. Dans les flaques remplies d’eau de pluie et
colorees en vert; dans les eaux stagnantes entre les algues filamen-
teuses. .
Genre: Pandorina Bory.
17. Pandorina Morum Bory (Rabh. Fl. Alg. 99; Kirchn.
Alg. 89; Gorosh, Genes. 25—26).
Colonies 20—120.. de diam.
Cellules 6 — 12%.
Zygospores 16 — 20. **)
Local. Tres repandu. Dans les eaux stagnantes.
18. Synura Volvox Ehrb. (Kirchn. Alg. 98; Ehrb. Inf.
E14 £ MR:
Local. Dans les eaux stagnantes des environs de Moscou.
Genre: Gonrium Muller.
19. Gonium pectorale Muller. (Rabh. Fi. Alg. 99;
Kirchn. Alg. 90. Gorosh. Genes. 26—27; Ehrb. Inf. Ul, I).
Colonies 60—80 u. de largeur.
Cellules veget. 8—14 u. ***)
Local. Assez repandu. Dans les eaux stagnantes.
*) D’apres Goroschankine.
**) D’apres Goroschankine.
***, D’apres Goroschankine.
pluie.
— BI —
Genre: Chlamidococcus A. Br.
20. Chlamidococeus pluvialis A. Br. (Kirchn. Alg. 93;
Rabh. Fl. Alg. 93).
Cellules veget. 21—54 p. de larg.
Kystes 40—63 ». de diam.
Local. Environs de Moscou, dans les flaques remplies d’eaux de
Genre: Chlamidomonas Ehrb.
21. Chlamidomonas Pulvisculus Ehrb. (Kirchn. Alg. 92;
Rabh. Fl. Alg. 94; Ehrb. Infth. T. III, X).
Local. Tres repandu. Dans les eaux stagnantes.
22. Chlamidomonas Braunii Gorosch. (Gorosch. Genes.
ee
Cellules veget. 12—20p.
Macrogametes.. 20-22.
Microgametes 6—10R,
Zygospores 18—21u.
Local. Pres de Vladykino, dans les flaques color&es en vert.
Famille: Protococcaceae.
A. Coenobiae.
Genre: Hydrodictyon Roth.
23. Hydrodietyon utrieulatum Roth. Seule espece. (Rabh.
Fl. Alg. 66; Kirchn. Alg. 94; Kutzing, Tabulae phyc. V. 53).
Localite. Dans un &tang pres du bord de 1’Oka (district de Ser-
poukhow).
Genre: Pediastrum Meyer.
24. Pediastrum Boryanum Menegh. (Rabh. Fl. Alg. 74;
Kirchn. Alg. 95; Naeg. Einz. Alg. 95; Reinsch. Algfl. v.
Ir. 96).
Localite. Etang prös de l’Acadömie d’Agriculture (Petrowsky-
Rasoumowsky), entre les algues filamenteuses
*) Cette espece a ete decrite dans l’ouvrage de M. Goroschankine
sous le nom de Chlam. Pulvisculus Ehrb. iR
— 132 —
25. Pediastrum pertusum Kg. (Rabh. Fl. Alg. 75; Kirchn.
Alg. 95; Reinsch, Algfl. v. Fr. 92—94).
Loealite. Dans le möme endroit.
26. Pediastrum Rotula Ehrb. Rabh. Fl. Alg. 79; Kirchn.
Alg. 96).
Localite. Bogorodsky, dans un ruisseau, entre les algues. fila-
menteuses.
Genre: Coelastrum Näg.
27. Coelastrum mieroporum Näg. (Kirchn. Alg. 97; Rabh.
Fl. Alg. 80).
Diametre des cellules 12--14r.
Localite. Etang pres de l’Academie d’Agriculture (Petrowsky-
Rasoumowsky).
Genre: Sorastrum Kg.
28. Sorastrum spinulosum Kg. (Kirchn. Alg. 97; Rabh.
Fl. Alg. 81; Reinsch, Algfl. v. Frank. 86; Naeg. Gatt.
einz. Alg. 91). |
Colonie 36—39u. de diametre.
Cellule 15—152. de largeur.
Localite. Pres de Bogorodsky, dans le fosse de la for&t, entre
les algues filamenteuses.
29. Sorastrum bidentatum (?) Reinsch (Reinsch. Algfl. v.
Fr. 86; Rabh. Fl. Alg. 81). |
Localite. Etang pres de l’Academie d’Agriculture (Petrowsky-
Rasoumowsky).
Genre: Scenedesmus Meyen. |
30. Scenedesmus acutus Meyen (Rabh. Fl. Alg. 64;
Kirchn. Alg. 98).
Cellules 4—5p. de largeur.
Localite. Repandu.
31. Scenedesmus obtusus Meyen. (Kirchn. Alg. 98; Rabh
Fi. Alg. 63; Naeg. Galt. einz. Alg. T. V, f. 1).
Cellules 4—6u, de large.
J.ocalite. Repandu.
— 133 —
32. Scenedesmns caudatus Gorda. (Kirchn. Alg. 98).
Cellules 6-9. de largeur.
Local. Repandu.
33. Scenedesmus dimorphus Kg, (Kirchn. Alg. 95; Rabh.
Fl. Alg. 64).
Cellules 4—4,5e. de larg.
Local. Repandu.
B. Pseudocoenobiae.
Genre: Sciadium A. Br.
34. Seiadium Arbuscula A. Br. (Rabh. Krypt. Fi. v.
Sachs. 138; Kirchn. Alg. 99).
Cellules 4—5g. de larg.
Localite. Pres de Bogorodsky, fosse de la foret, sur les algues
filamenteuses.
G. Eremobiae.
Genre: Characium A. Br.
35. Characium obtusum A. Br. (Rabh. Fl. Alg. 83;
Kirchn. Alg. 83).
Cellules 12—15r. de largeur.
Local. Dans les environs de Moscou, sur les algues filamenteuses.
36. Characium pyriforme A. Br. (Hydrianum pyriforme
Rabh.) [Kirchn. Alg. 101]. |
Cellules 8—10x. de larg.
Local. Bogorodsky, fosse de la foröt, sur les algues filamenteuses-
37. Characium longipes Rabh. (Kirchn. Alg. 102; Rabh.
Fl. Alg. 85). |
Cellules 9,2r. de larg.
27,6u. de long:
Local. Dans le m&me endroit.
— 13 —
. Genre: Protococcus Ag.
38. Protococeus viridis Ag. (Kirchn. Alg. 103).
Diamötre des celllues 3—12.
Local. Assez repandu. Sur les pierres, troncs d’arbres; sur la terre
humide.
Genre: Polyedrium Näg.
39. Polyedrium trigonum Näg. (Rabh. Fl. Alg. 61;
Kirchn. Alg. 104; Reinsch., Algfl. v. Fr. 75, Näg. Gatt.
einz. Alg. 84).
Diametre des cellules 12—18x.
Local. Etang pres de l’Acad. d’Agriculture, Petr.-Rasoumowsky.
Famille: Palmellaceae.
Genre: Dictyosphaerium Näg.
40. Dietyosphaerium Ehrenbergianum Näg. (Kirchn. Alg.
106; Rabh. Fl. Alg. 47, Näg. Einz. Alg. 73).
Cellules 4--7e. de largeur.
Local. Bogorodsky, dans un ruisseau.
Genre: Palmella Lyngb.
41. Palmella uvaeformis Kg. (Kirchn, Alg. 110; Rabh.
Krypt. Fl. v. Sachs. 129).
Cellules 5—7ep. de diame£tre.
Localite. Assez repandu. Dans les eaux stagnantes.
Genre: Gloeocystis Näg.
42. Gloeocystis ampla Rabh. (Rabh. Fl. Alg. 29; Kirchn
Alg. 112).
Cellules 10—12x.
- Localite. Etang de l’Academie d’Agriculture, Petrowsky-Rasou-
mowsky.
Genre: Rhaphidium Kg.
43. Rhaphidium polymorphum Fres. (Kirchn. Alg. 113;
Rabh. Fl. Alg. 44).
Cellules 15—20 fois plus longues que larges; largeur des cellu-
les 2— Ip.
Localite. Assez r&pandu.
ua
Genre: Pleurococcus Menegh.
44. Pleuroccacus vulgaris Menegh. (Kirchn. Alg. 114;
Rabh. Fl. Alg. 24).
Cellules 3—6«. de largeur.
Localite. Repandu. Sur les pierres, troncs des arbres etc.
Genre: Eremosphaera D. By.
45. Eremosphaera viridis D. By. Seule esp&ce (Rabh.
Fl. Alg. 23; Kirchn. Alg. 115; De Bary, Untersuch. ub.
die Fam. der Conjugat. p. p. 55—6b).
Diam£tre des cellules 112—141n. |
Localite. Bogorodsky, fosse de la for&t, entre les Desmidieae.
Ördre: Zygosporeae.
Famille: Conjugatae.
1 groupe: Zygnemeae.
1 sous-groupe: Zygneminae.
Genre: Spirogyra Link.
46. Spirogyra quinina Kg. (Rabh. Fl. Alg. p. 240;
Kirchn. Alg. 118).
Diametre des filaments vegetatifs 27—30n.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les foss&es et les mares.
47. Spirogyra orbicularis Kg. (Kirchn. Alg. 118; Rabh.
RN 245, P. Pi. Sp. p. 31; Ktzo. Tab. phyc. V,
pl. XXVIN.
Diam. des fill. veget. 84—120x.
luocal. Pres de Zwiaguino, dans un foss&e (Aoüt).
48. Spirogyra setiformis Kg. (Rabh. Fl. Alg. 246; Kirchn.
Alg. 119; P. Pt. Sp. 29; Kizg. Tab. phye. V. pl. XXVI.
Diam. des filam. veg. 102—112p.
49. Spirogyra crassa Kg. (Rabh. Fl. Alg. 246; Kirchn.
Be KISEPr Pt. Sp. 32; Ktzo. Tab. phye. V; pl. XV).
Local. Dans un etang pres du bord de 1’Oka (District de Ser-
poukhow).
— 136 —
50. Spirogyra tenuissima Kg. (Rabh. Fl, Alg. 233;
Kirchn. Alg. 119; P. Pt. Sp. 6; Ktzg, » Tab: ©phyc. V,
pl. XXXIM).
Diam. des fil. veg. 10,5—12p.
Local. Assez r&epandu. |
51. Spirogyra Weberi Kg’ (Rabh. Fl. Alg. 233; Kirchn.
Alg.. 120; P,:Pt.: Sps 9; Ktzil Tabisıphyes Map. XXX).
Diam. des fil. veg. 16—28u.
Local. Assez r&pandu. Ä
52. Spirogyra Grewilleana Kg, (P. Pt. Sp. 10); (Kirchn.
Ale. 120) [Sp. Weberi, var. Grewilleana].
Diam. des filam. veget. 24—80n.
Cellules 4 & 10 fois plus longues que larges.
Cellules fructiferes (fortement renflees) 36—40u. de larg.
Zygospores 380—36r. de diam. en larg.
Local. Pres de Bogorodsky, dans un ruisseau.
53. Spirogyra varians Kg. (Rabh. Fl. Alg. 239; Kirchn,
Ale. 121; P. Pi. Sp. 19; Tab. phyc. V, pLXXXXV).
Diam. das fil. veg. 35— 39.
Local. Pres de Bogorodsky, fosses et mares.
54. Spirogyra dubia Kg. (Rahh. Fl. Alg. 243; Kirchn.
Alg. 122; Tab. phyc- V, pag. 9).
Diam. des filam. vegöt. 42—48r.
Local. Dans le m&m> endroit.
55. Spirogyra communis Kg. (Rabh. Fl. Alg. 237; Kirchn.
Als... 122; P. Pt. Sp,.165.Ktz.; Tab. .phye.Vaply AIR).
Diam. des fil. veget. 18— 24p.
Diam. des zygosp. 18—22,.
Local. Dans le m&me endroit.
56. Spirogyra longata Kg. (Rabh. Fl. Alg. 238; P.. Pt.
Sp. 20; Kirchn. Alg. 123; Kzg. Tab. phye. V, pl.-ÄX).
— 137 —
Diam. des fil. veg. 27—804.
Diam. des zygosp. 21—27u.
Local. Assez r&pandu.
57. Spirogyra nitida Lk. (Rabh. Fl. Alg. 245; Kirchn
Alg. 123; P. Pt. Sp. 28; Kiz. Tab. phye, V, pl. AXVIM)
Diam. des fil. veg. 54— 63.
Diam. des zygosp. 52—69n.
Local. Pres de Rostokino, dans un ruisseau.
58. Spirogyra fluviatilis Hilse (Rabh. Fl. Alg. 243; Kirchn.
Ale. 124; P. Pt. Sp. 27).
Diam. des fil. veg. 39u.
Local. Pr&ös du bord de 1’Oka, dans un &tang. (District de Ser
poukhow).
Genre: Sirogonium Kg.
59. Sirogonium stieticum Kg. (Kirchn. Alg. p. 125;
_ Rabh. Fl. Alg. 256; P. Pt. Sp. p. 34; Ktz. Tab. nd V,
’ pl. &).
| Diam. des fil. veget. 40—48u.
‚ Local. Pres de Bogorodsky, dans une fosse.
1 Genre: Zygnema Kg.
| 60. Zygnema eruciatum Ag. (Rabh. Fl. Alg. 251; Kirchn.
| Ale. 126; Tab. phyc. V: pl. 17).
| Diam. des fill. veg. 40—45u.
" Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses et les mares.
2 sous-groupe: Mesocarpinae.
‚Genre: Mesocarpus Hass.
61. Mesocarpus scealaris Hass. (Kirchn. Alg. 128; Rabh.
wi Als. 257; Ktz.. Tab. phyc. V, pl. 5).
Diam. des fil. veg. 25—30u.
— 138 —
2 groupe: Desmidieae.
Genre: Hyalotheca Ehrb.
62. Hyalotheca dissiliens Br&b. (Kirchn. Alg. 131; Rabh;
Fl. Alg. 152).
Diam. des fil. veg. 27—30u.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses de la foret.
Genre: Desmidium Ag.
63. Desmidium eylindricum Grev. (=Didymoprium Gre-
villei Kg). (Kirchn. Alg. 132).
Diam. des filam. 60—63u.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses de la foret.
64. Desmidium Schwartzii Ag. (Kirchn. Alg. 132 Rabh.
Fl. Alg. 154; de By. Conj. p. 76).
Cellules 39—42u. de largeur.
Local. Pr&s de Bogorodsky, dans les fosses et les ruisseaux.
Genre: Penium Breb.
65. Penium interruptum Breb. (Kirchn. Alg. 135; De By.
Conj. Pl. V, f. 1-4).
Cellules 36u. de larg.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses de la foret. entre
les algues filamanteuses.
66. Penlum closterioides Ralfs (Kirchn. Alg. 135).
Cellules 39—42u. de larg.
Local. Dans le m&me endroit.
67. Penium Navicula Breb. (Kirchn. Alg. 135).
Cellules 15u. de larg.
Local. Dans le möme endroit.
Genre: Spirotaenia Breb.
68. Spirotaenia condensata Breb. (Kirchn. Alg. 136;
Rabh. Fl. Alg. 146; De By. Conj. Pl. V, f. 12).
Cellules 21—24u. de large.
Local. Dans le möme endroit.
— 139 —
Genre: Closterium Nitzsch.
69. Closterium gracile Br&b. (Kirchn. Alg. 137).
Cellules 6u. de larg.
Local. Dans le möme endroit.
70. (losterium striolatum Ehrb,. Var, elongatum Rabh.
(Kirchn. Fl. Alg. 139; Rabh. Fi. Alg. 126).
Cellules 30,36u. de glar.
Local. Dans le möme endroit.
71. Glosterium Cornu Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 137; Kirchn.
Alg. 140; Ehrb. Inf. Pl. VI, V).
Cellules 6—7u. de larg.
Local. Dans le m&me endroit.
72. Closterium Dianae Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 133; el
Alg. 140; Ehrb. Inf. Pl. V, XVID.
Cellules . 18u. de larg.
Local. Dans le möme endroit.
73. Closterium Venus Kg. (Rabh. Fl. Alg. 134; Kirchn.
Alg. 140).
Cellules Yu. de largeur.
Local. Dans le m&me endroit.
74. Closterium parvulum Näg. (Rabh. Fl. Alg. 134;
Kirchn. Alg. 141; Naeg. Einz. Alg. p. 106. T. VI. C.
Fr.; De By. Conj. T. V, f. 14—23).
12u. de largeur.
Local. Etang prös de l’Academie d’Agriculture A Petrowsky-
Rasoumowsky; entre les algues filamenteuses.
75. Closterium Ehrenbergii Menegh. (Rabh. Fl. Alg. 131;
Kirchn. Alg. 141).
78u. de larg.
Local. Pres de Bogorodsky, dans un ruisseau.
76. Closterium moniliferum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 131;
— 140 —
Kirchn. Alg. 141; Naeg. einz. Alg. p. 106; T. VI, G,;
Ehrb. Inf: 'T:3V, f:16);
a) Genuinum Kirchn. 48—51u. de larg.
b) angulatum Rabh.
Local. Pres de Zwiagino, dans un ruisseau; pr&esde Bogorodsky.
77. Closterium rostratum Ehrb. (Kirchn. Alg. 141; Ra bh.
Fl. Alg. 135; Ehrb. Inf. T. VI, f. X).
24u. de larg.
Local. Pres de Zwiagino, dans un ruisseau.
78. Closterium Kutzingii Breb. (Kirchn. Alg. 141).
18u. de larg.
Local. Dans le m&me endroit.
Genre: Calocylindrus DBy.
79. Calocylindrus eonnatus Bröb. (Cosmarium connatum
Breb.) [Kirchn. Alg. 143].
48u. de larg.
90u. de long.
Local. Pres de Bogorodsky, fosse de la foröt, entre les algues
filamenteuses. (Une fois).
Genre: Pleurotaenium Näg.
80. Pleurotaenium Trabecula Näg. (Naeg. einz. Alg.
p. 104. T. VI. A; Rahh. Fl. Alg. 141; Kirchn. Alg. 145).
27 — 83u. de larg.
270 — 400u. de long.
Local. Assez r&pandu.
81. Pleurotacnium nodulosum DBy. (P. erenulatum Rabh.)
[Kirchn. Alg. 144].
60u. de largeur.
Local. Pres de Bogorodsky; fosse de la for£t.
82. Pleurotaenium coronatum Rabh. (Rabh. Fl. Alg. 143;
Kirchn. Alg. 144).
|
\
KEEE nn un wern or
— 141 —
40u. de larg.
400u. de: long.
Local. Dans le mäme endroit.
Genre: Cosmarium Corda.
83. Cosmarium tumidum Lindell. (Kirchn. Alg. 147).
30u. de larg.
Son. de long.
S4. Cosmarium punctulatum Breb. (Kirchn. Alg. 148;
Rabh. Fl. Alg. 157).
30u. de larg., 34u. de long.
85. Cosmarinm Meneghini Br&b. (Rabh. Fl. Ale. 163;
Kirchn. Alg. 148; Naeg Eninz. Alg. T. VII A).
18—24u. de larg.
Local. Assez repandu. -
86. Cosmarium margaritiferum Menegh. (Rabh. Fl. Alg.
157; Kirchn. Alg.: 150; Ehrb. Inf. T. 12. f. VII [Euastrum
marg.]).
Var. genuinum Kirchner.
42—-48u. de lare.
Local. Etang de Petrowsky-Rasoumowsky.
87. Cosmarium Botrytis Menegh. (Rabh. Fl. Ale. 158;
Kirchn. Alg. 151).
40—45u. de larg.
51—57u. de long.
local. Assez r&pandu.
88. Cosmarium biretum Breb. (Rabh. Fl. Alg. 171;
Kirchn. Alg. 154).
62u. de larg.
66u. de long.
Local. Etang de Pötrowsky-Rasoumowsky. (Une tois).
— 112 —
Genre: Xanthidium Ehrb.
89. Xanthidium aculeatum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 222;
Kirchn. Alg. 155; Ehrb. Inf. T. X, f. 23).
64u. de largeur.
Local. Pres de Bogorodsky, dans un ruisseau.
90. Xanthidium fasciculatum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 223;
Kirchn. Alg. 155; Ehrb. Inf. T. X. fig, 24).
54u. de larg.
Local. Dans le möme endroit.
Genre: Arthrodesmus Ehrb.
91. Arthrodesmus convergens Ebrb. (Rabh. Fl. Alg. 227;
» Kirchn. Alg. 156; Ehrb. Inf. T. X, f. 18).
42u. de larg.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses.
Genre: Euastrum Ehrb.
92. Euastrum oblongum Ralfs (Rabh. Fl. Alg. 181;
Kirchn. Alg. 157; Ehrb. Inf. T. XI, f. 4).
78 — 84u. de largeur.
144 — 160u. de longeur.
Local. Pres de Romachkowo; pres de Bogorodsky; dans les foss6&s
et les mares.
93. Euastrum ansatum Ralfs. (E. Ralfsii Rabh., Fl. Alg,
184) [Kirchn. Alg. 158].
42u. de larg., 87u. de long.
Local. Pres de Bogorodsky, fosses de la for&t.
94. Euastrum elegans Kg. (Rabh. Fl. Alg. 185; Kirchn.
Alg. 159; Euastr bidenlatum Naeg. Einzel. Alg. T. VI
Dt. 1).
27—36u. de larg. 54—57u. de longueur.
Local. Assez röpandu.
95. Euastrum binale Ralfs (Rabh. Fl. Alg. 186; Kirchn.
'g. 159).
u
15,184. de larg.; 18,21x. de longueur.
Local. Bogorodsky, dans les fosses.
96. Euastrum verrucosum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 179;
Kirchn. Alg. 160; Ehrb. Inf. T. XN).
63,69. de larg.; 78,811. de long.
Local. Pres de Bogorodsky, dans un ruisseau.
Genre: Micrasterias Ag.
97. Mierasterias rotata Ralfs (Kirchn. Alg. 162; Rabh.
Fl. Alg. 191; (M. furcata Ag.); Ehrb. Inf. T. X, f. 1.
Euastrum Rota.).
276,279,281u. de long.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses de la foret.
98. Micrasterias denticulata Breb. (Kirchn. Alg. 162;
Rabh. Fl. Ale, 192. (M. furcata, v. denticulata).
249,251%. de longueur.
Local. Dans le m&me endroit.
Genre: Staurastrum Meyen.
99. Staurastrum muticum Breb. (Rabh. Fl. Als. 200;
Kirchn. Alg. 163).
27—30p. de largeur.
100. Staurastrum orbiculare Ralfs. (Rabh. Fl Alg. 200;
Kirchn. Alg. 164; Ehrb. Inf. T. X, f. 9).
36—45r. de largeur.
Local. Pres de Bogorodsky, dans un ruisseau.
| 101. Staurastrum punctulatum Breb. (Rabh. Fl. Alg. 208;
' Kirchn. Alg. 164).
| 28,du. de largeur.
Local. Dans le möme eudroit.
102. Staurastrum dilatatum Ehrb. (Rabh. Fl. Alg. 207;
' Kirchn. Alg. 165; Ehrb. Inf. T. X, f. 13).
| 21 -27u. de largenr.
— 111 —
103. Staurastrum echinatum Br&b. (Rabh. Fl. Alg. 213;
Kirchn. Alg. 166).
34— 36x. de larg.
Local. Pres de Bogorodsky, foss&; Petr.-Pasoum., etang. pres de
l’Acad. d’Agric.
104. Staurastrum spongiosum Breb. (Rabh.. Fl. Alg. 217;
Phycastrum Griffithianum Naeg. Einz. Alg. T. VII, C.;
Kirchn. Alg. 166).
49—52r. de larg.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses.
105. Staurastrum tetracerum Rabh. (Kirchn. Alg. 168).
24,26x. de largeur.
Local. Etang de Petrowsky-Rasoumowsky.
106. Staurastrum dejeetum Breb. (Rabh. Fl. Alg. 203
Kirchn. Alg. 168; De By., Conj. Tab. VI, f. 25—32).
28—30u. de largeur.
Local. Pres de Bogorodsky, dans les fosses.
Moscou, le 13 Novembre 1884.
EEE Ei SE HE nam
um mn mm ums nn
EIN BEITRAG ZUR KENNTNISS DER IM BAIKAL-SEE
LEBENDEN ANCYLUS-ARTEN
vn
Dr. W. Dybowski in Niankow.
HEiezu Tat. IV.
Die von mir bearbeitete Monographie der Baikal-
chnecken °) veranlasste die beiden Forscher des Baikal-
Sees, den Dr. B. Dybowski und V. Godlewski zu
neuen Untersuchungen am genannten See. Die Aufgaben,
r
N La
‚ welche unsere Forscher in Bezug auf die Gasteropoden-
' Fauna dieses Mal sich gestellt halten, waren folgende:
I)
1) Die Ergründung der von den einzelnen Schnecken-
Arten bewohnten Tiefen, und
2) Die Prüfung der Selbstständigkeit jener Arten.
Diesen wiederholten Forschungen am Baikal-See haben
wir sowohl eine möglichst genaue Angabe über die Tie-
—
*) Cfr. W. Dybowski, die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees
(M&m. de l’Acad. de Sc. de St.-Petersb. VII Ser. Tm. XXIL % 8. 1875).
e 3. 1884. 10
— 116 —
fen, in welchen die einzelnen Schnecken-Arlen sich be-
finden, als auch eine neue, sehr reiche Collection der
Baikal-Mollusken, zu verdanken. Die Resultate ihrer
Untersuchungen haben die beiden Forscher mir, zur wis-
senschaftlichen Bearbeitung, gütigst überlassen.
Eine tabellarische Uebersicht der Wohntiefen aller bis
jetzt bekannten Baikal-Schnecken habe ich veröffentlicht;
mit der Bearbeitung der Mollusken bin ich eben be-
schältigt.
Um mir diese Bearbeitung zu erleichtern, will ich die
einzelnen Gattungen gesendert in Betracht ziehen, und habe
eben die Untersuchung der Ancylus-Arten abgeschlossen,
deren Resultate die vorliegende Mittheilung zum Ge-
senstand hat. In meiner Monographie der Baikal-Schnec-
ken (l. c. p. 61.) habe ich nur zwei Ancylus-Arten
angeführt und zwar: Anc. sibiricus Gerstfeld und Anc.
Troschelii Dybowski; in der neuen Collection habe ich
noch eine dritte Art entdeckt, welche ich zu Ehren
meines hochverehrten Freundes und Fachgenossen, Herrn
Dr. Karl v. Renard, Präsid. d. Kais. naturfor. Gesell. in
Moscou, Ancylus Renardi nennen will.
Abgesehen davon, dass ich die beiden ersteren Arten
schon vorher (l. c,) abgebildet und beschrieben habe,
will ich hier jedoch alle drei Arten beisammen in Betracht
ziehen, um dadurch die Kenntniss über die beiden ersteren
Species, zu erweitern nnd zu vervollständigen.
Bevor ich aber zur speciellen Beschreibung schreite,
will ich hier zwei besondere synoptische Uebersichten
aller Arten vorausschicken. Die eine Synopsis habe ich
nach der Form und Gestalt der Gehäuse, die andere
*) Oft. W. Dybowki, Przyczynck do fauny s’limaköw bajkalchich,
(Wiadomosei z nauk przyrodzonych. Warszawa Tm. I. 1850 v.
dagegen nach der Form und Gestalt der Zahnplatten
zusammengestellt, um dadurch zu zeigen, dass die nach
ihren Schalen nahe zu einander stehenden Arten durch
die Beschaffenheit ihrer Zahnplatten auseinander weichen
und umgekehrt.
Synoptische Uebersicht der Ancylus- Arten.
I. Nach der Form und Gestalt der Gehäuse.
A) Das Gehäuse ist spitz kegelförmig.
a) Der Wirbel ist stark nach bnks umgebogen.
1) Ancylus sibiricus (vid. Tal. IV. Fig. 3, a. b.).
b) Der Wirbel ist nach hinten umgebogen.
2) Ancylus Troschelü (vid. Taf, IV. Fig. 1. a. b.) ").
B) Das Gehäuse ist stumpf kegelförmig.
a) Der Wirbel ist abgerundet und steht in der Mitte
des Gehäuses.
3) Ancylus Renardii (vid. Taf. IV. Fif, 2. a. b.).
Il. Nach der Form und Gestalt der. Zahnplatten.
A) Die Zahnplatten sind länglich schmal und be-
trächtlich an Zahl (75 Glieder zu je 65 Zahnplatten);
der Buckel ist länglich, der Seiten-und Nebenzahn sind
lateralwärtis gestellt.. Die Krone ist lang und schmal.
a) Der Seiten-und Nebenzahn sind stumpf und abge-
rundet.
*) Man sollte erwarten, dass Siese beiden nach ihren Schalen nahe
zu einander stehenden Arten (A. sibiricus und A. Troschelii), eben-
falls ähnlich beschaffene Zahnplatten besitzen; man ist aber überrascht
gerade das Gegentheil zu finden (vid. sinopiis II).
10*
— lis —
1) Anc. Troschelii (vid. Taf. IV. Fig. 5).
b) Der Seiten-und Nebenzahn sind spitz.
2) Anc. Renardii (vid. Taf. IV. Fig.)
b) Die Zahnplatten sind breit und mächtig, und gerin-
ger an der Zahl (60 Glieder zu je 32 Zahnplalten). Der
Buckel ist quergerichtel, dick und plump; der Seiten-
und Nebenzahn sind medialwärts gestellt. Die Krone ist
sehr breit und gross.
3) Ane. sibiricus (vid. Taf. IV. Fig. 6).
Nachdem wir alle drei Arten nach ihren Haupt-
Merkmalen kennen gelernt haben, gehen wir nun zu
specieller Beschreibung dieser Arten über.
N Ancylus sibiricus Gerstfeld.
Taf. IV. Fig. 3 a. b., Fig. 6 und Fig. 7.
1859. Ancylus sibiricus Gersifeld: Ueber Land - und
Süsswasser-Mollusken Sibiriens und des Amurge-
bietes (Mem. des Sav. etrang. Tm. IX p. 326)
Separ. Abdr. p. 23. Taf. I. Fig. 30 a. c.
1875. — — Dybowski: Die Gasteropoden-Fauna
d. Baikal-Sees (Mem. de l’Acad. des Sc. de
St.-Petersb. VII. Ser. Tm. XXI, Ne 8) p. 61.
Taf. IV. Fig. 38—40, Taf. VII. Fig. 11—14.
1880. — — Idem. Przyezynch do fauny slima-
kow bajkalskich (Wiadomosei z nouk przyrodzo—
nych. Warszawa Zeszyt I). Taf. I, Ne 10.
*) Ich muss bemerken, dass die Unterscheidung der Zahnplatten von
Anc. Troschelii und Renardii einer sehr grosse Uebung erfordert,
dagegen erkennt man die Zahnplatten von A. sibiricus schon auf den
ersten Blick. Fast ebenso verhält es sich mit den Gehäusen von An.
Troschelii und sibirieus (nicht Renardii), während man die Schale von
A. Renardii sofort erkennt.
m
Das Gehäuse ist spitzkegellörmig mit breiter, ovaler Ba-
sis. Der Wirbel ist spitz, zusammengedrückt und stark nach
links umgebogen. Die vordere und die rechte Seite des
Gehäuses sind convex, die linke dagegen abgeflacht und
fast ganz steil unter dem Wirbel abfallend, woher das
Sanze Grehäuse etwas unsymmelrisch gestalliet erscheint.
Die Mündung ist eiförmig, vorn breiter ais hinten; der
Mundsaum ist scharf. Die Schale des Gehäuses ist dünn
und durchscheinend; die Epidermis ist ziemlich dick,
derb und entweder ganz weiss oder etwas ins Gelbe
oder Graugelbe spielend. Die Oberfläche des Gehäuses
ist fein quergestreift, wobei die Querstreifen von Strecke
zu Strecke mit dickeren Anwuchsstreifen abwechseln.
Die innere Fläche ist glänzend. Die Dimensionen des
Gehäuses sind folgende: Die Höhe 5, die Länge 8, die
Breite 7 Mm. Die jungen, unausgebildeten Exemplare sind
ähnlich gestaltet, erscheinen aber viel niedriger und
flacher, als die alten.
Das Thier hat die Gestalt des Gehäuses und ist im
contrahirten Zustarde vom Mantelrande gänzlich bedeckt.
Die Oberfläche des Mantels ist schwarz und mit einer
schmalen, weissen Umsäumung am Mantelrande; das Thier
selbst iss mehr oder weniger dunkelgrau gefärbt wobei
der Fuss etwas heller, oder ganz weiss erscheint.
Die fleischige Mundmasse ist beinahe kuglig und nur
nach vorne etwas verlängert; am vorderen Ende der
Mundmasse befindet sich eine schlitzförmige Mundöffnung,
welche rundum mit einem einfachen Kiefer umgeben ist;
auf der unteren Fläche der Mundmasse und etwa in de-
ren Mitte entspringt die Radulascheide, welche als ein
langer und schmaler Fortsatz in horizontaler Richtung
nach hinten hervorragt. Die Länge der Mundmasse be-
— 150 —
trägt 1,5—2, die Dicke (Höhe) 1,6—1,8 Mm. Die Ra-
dula-Scheide ist 1, 1—1,3 Mm. lang und 0,3 Mm. dick.
Die Zahnplalten. Bevor ich zur Beschreibung der
Zahnplatten schreite, ist es nothwendig auf die Nomen-
klatur derselben einen Blick zu werien.
Die Nomenklatur der Zahnplatten der Lungenschnec-
ken ist bisher ganz unberüchsichligt geblieben; um aber
die Beschreibung der genannten Organe zu ermöglichen,
ist die Beschreibung der einzelnen Theile derselben
unentbehrlich. Ich erlaube mir daher eine folgende No-
menklatur zu proponiren *).
\ Synonsis
|) Synopsis.
Basis } 3 IT
Fig.6.K.o)\ Basale Zähne Ben
Zahnplatten !
(vid. Fig. 6) \ Buckel )Nebenzahn (Medialer
| Krone | @ig. 6.K.a) \(Fig.6.B.a) JFig.6.B. a.)
(Fig. 6, a. b.) \ Bereralee
| Zahn. ; Seitenzahn Ne 5.B.a)
) @is. 6.K.b.) $(Ei8.5.B.a}] Medialer
beschreibung.
Jede Zahnplatte der Pulmonaten stellt eine längliche,
ehitinisirte und derbe Lamelle dar, welche der Quere nach
zusammengelegt oder zurückgeschlagen ist. Es entstehen
dadurch zwei zusammenhängende und aufeinander liegende
Lamellen: die untere mag die Basis, die obere die Krone
heissen. (efr. die Synopsis) **) Dass diese heiden Theile
*) Ohne jedoch auf die Autorität irgend welche Ansprüche zu ma-
chen; es wird mich im Gegentheil sehr erfreuen, wenn meine Termini
technici eine bessere Nomenclatur veranlassen.
**, Um diese Bezeichnung zu rechtfertigen vergleiche man die Zahn-
platten von Helix, Lymnaea, Planorbis, Succinea und Amphipeplea-
Arten.
m
sehr manigfaltig gestaitel sein können und dass der eine
Theil das Uebergewicht über den anderen nehmen kann,
liegt auf der Hand.
Die Basis, welche unmittelbar auf der Guticula der
Radula liegt und in dieselbe hineingewachsen ist, er-
scheint stets viel einfacher als die Krone. Sie stellt eine
einfache Lamelle dar, weiche auf ihrem ireien, hinteren
Ende mitunter ausgezackt ist (Fig. 6 c.) oder auf ihrer
Oberfläche kleine, spitzige Auswüchse trägt. Diese Aus-
wüchse, deren Zahl und Gestalt verschieden sein kann,
heissen Basalzähne (z.B. bei den äusseren Seitenplalten
von Limnaea- und Planorbis-Arten) *).
Die Krone ist stets sehr mannigfaltig gestaltet und
lässt zwei Theile unterscheiden; 1) Der vordere un-
mittelbar in die Basis übergehende Theil ist verdickt und
erscheint gleichsam wie eine Erhöhung oder Anschwellung,
ich nenne diesen Theil: der Buckel (Fig. 6. K. a).
Unmiltelbar von dem Buckel entspringt der Zahn
(fr. Fig. 6. K. b.). Der Zahn ist entweder einfach oder
er ist mit einem kleinen Zahn versehen; dieser kleine Zahn
(vid. Fig. 5. b.) heisst der Seitenzahn. Neben dem Zahn
steht mitunter, unmittelbar an dem Buckel, ein zweiter
steis bedeutend kleinerer Zahn; das ist der. Nebenzahn
(vid. Fig. 6. B. a. u. Fig. 5. B. a.), welcher bald late-
ralwärts (vid. Fig. 5. B. a), bald medialwärts (vid. Fig.
6 B. a) stehen kann.
*) Soviel ich weiss, existiren bis jetzt keine entsprechenden Ab-
bildungen der Zahnplatten unserer Binnen-Schnecken. Ich besitze eine
grosse Collection dieser Abbildungen, welche ich nächstens zu ver-
öffentlichen die Absicht habe. Alle diese Abbildungen sind mit Hülfe
der Camera lucida von mir gezeichnet worden.
— 152 —
Nach dieser theoretischen Betrachtung der Zahnplatten
der Lungenathmenden Schnecken gehen wir jeizt zur
Beschreibung der Zahnplatten von Ancylus sibiricus über.
Die Formel ist: 1—1—5—10 (60) a).
Die Mittelplatte (Fig. 6 A.) ist 'länglich, mit einem
zweitheiligen Zahn; der Buckel fehlt oder ist nur undenut-
lich begrenzt. Die Platte ist weiss und durchsichlig.
Die innere Seitenplatte hat eine nach unten (hinten)
sich verschmälernde und am Hinterrande ausgezackte
Basis. (Fig. 6. K. c.); der Zahn ist kräftig und abgerun-
det (vid. Fig. 6. B. b.); der Nebenzahn ist medialwäris
gestellt und ebenfalls abgerundet (l. c. a.). Diese Platte,
wie auch die nachfolgenden 5 Zwischenplalten sind bei
durchfallendem Licht bernstein-gelb, bei auffallendem
dagegen dunkelbraun gefärbt.
Die Zwischenplatten (5 an der Zahl) haben eine nach
hinten sich verschmälernde und ausgezackte Basis (Fig.
6. GC 1—5.). Die Krone ist grösser als die Basis. Der
Buckel ist sehr gross, plump und quergerichtet. Der Zahu
ist sehr gross und ausgebuchtet. Der Nebenzahn fehlt.
Betrachlet man die Zwischenplatten in ihrer Gesammtheit,
so bemerkt man, dass sie von der ersten bis zur dritten
an Grösse zunehmen und dann bis zur 5-ten abnehmen.
Die äusseren Seitenplatten (8—11 an der Zahl) be-
sitzen keine Kronen (vid. Fig. 6. D. 1—10) und stellen
nur die Basis dar, welche als einfache, an beiden Enden
ausgezackte Plättchen erscheinen. Sie nehmen lateralwäris
allmählig an Grösse ab und sind weiss und durchsichtig.
Die zwei ersteren Platten (vid. Fig. 6.D. 1 u. 2.) zeigen
*, Die eingeklammerten Ziffern bedeuten die Gliederzahl auf der
ganzen Radula.
— 1535 —
sanz undeutlich und unregelmässig contourirte Figuren,
welche gleichsam unausgebildeie Kronen darstellen, die
übrigen Zahnplatten dagegen sind viereckige Plättchen,
welche in der Mitte dunkler erscheinen, als an allen vier
Seiten (vid. Fig. 6. D 3—10).
Betrachtet man die ganze Radula unter dem Mikros-
kop (Hartnak Object. N. 4), so erscheint dieselbe als ein
2,5 Mm. langes und 0,5 Mm. breites Band, welches
in der Mediallinie und lateralwärts durchsichtig und weiss
ist, in dem miltleren Abschnitt dagegen gelblich gefärbt
erscheint, was von der verschiedenen Färbung der Zahn-
platten abhängt. Das hintere Ende der Radula ist eben-
_ falls weiss und durchsichtig, weil alle hier befindlichen
Zahnplatten erst in der Bildung begriffen sind und kaum
coniourirt erscheinen.
Die einzelnen Glieder bestehen aus zwei gleichen,symme-
irischen, schräg verlaufenden Zahnplatten-Reihen, welche
in der Mediallinie der Radula unter einem spitzen Win-
kel an einander stossen *). Genau in dem erwähnten
' Winkel und also in der Mediallinie der Radula steht die
‚ Mittelplatte; die allen übrigen Platten füllen die beiden
‚ Hälften des Gliedes (cfr. Fig. 6.) aus.—In dem mittleren
‚ Abschnitt der Radula liegen die einzelnen Glieder se
dicht neben einander, dass die Platten aneinanderstos-
sen; in dem äusseren dagegen weichen sie auseinander und
|
Ri
il
|
E
1
1
|
|
|
)
|
)
jassen einen breiten freien Raum zwischen sich. (Fig. #.
Z.) In jedem freien Raume bemerkt man einen dicken
Streifen, welcher die einzelnen Glieder von einander
irennt (Fig. 6.8.) In Bezug auf die Zahnplatten bietet die
- *) Vid. Dybowski, die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees. (I. e.).
Tab. VII. Fig. 14.
— 11 —
Radula in verschiedenen Abschnilten ein besonderes Aus-
sehen dar. In den allerersten Gliedern der Radula be-
werkt man öfters die ZJahnkroren völlig abgenutzt, so dass
die Basis allein übrig bleiben; etwas weiter fehlen die
Zähne, indem sie bald bis auf die Buckeln, bald aber
nur zum Theil abgenutzt werden, je weiter man nach
hinten (gegen das hintere Ende der Radula) schreitet,
_ desto vollständiger erscheinen die Plaiten *). Die normal
ausgebildeten Platten findet man erst inerhalb des zwei-
ten Viertels der Radula. Am hinteren Ende der Radula
kommen die unausgebildeten Zahnplatten vor (vid. oben).
Der Kiefer von An. sibiricus ist einfach, aber so gross,
dass er die Mundöffnung rundum begrenzt. Die Struktur
des Kiefers ist ganz eigenlhümlich und steht in einer ge-
wissen Beziehung zu dem, die Mundhöhle auskleidenden
Epithel, was nämlich folgendermassen sich verhält:
Die Mundhöhle ist von einem 0,016 Mm. dicken Epi-
thel ausgekleidet, welches aus grossen, 0,010 Mm. breiten
(dicken) Gylinderzellen besteht. Die Zellen scheiden im
vorderen Abschnitt der Mundhöhle eine 0,006 Mm. dicke
Cuticula aus. An der unmittelbar binter der Mundöff-
nung befindlichen Region besteht die Guticula aus meh-
reren Reihen von zarten, weissen und durchsichtigen
Schüppchen, welche bei Ansicht von oben dachziegelför-
mig einander bedecken. (Vid. Fig 8). Neben diesen
Schüppchen entsteht eine einzige Reihe von dicht, pali-
sadenarlig angeordneten und aufs innigste mit einander
verwachsenen Fasern oder Stäbchen, welche die Mund-
*) Diese Erscheinung lässt sich bei allen Pulmonaten ohne Aus-
rahme wahrnehmen, so dass die für eine Species charakteristischen
Zahnplatten erst in dem mittleren Abschnitt der Radula zu suchen
sind.
öffnung kranzartig umgeben. Jedes einzelne Stäbchen
entspricht einer Zelle (vid. Fig. 7) des unmittelbar da-
runter befindlichen Epithels, dessen Produet sie auch
sind. Diese Stäbchenkrone stellt hier eben den sog. Kiefer
2
Die Kieferstäbchen sind 0,04—0,05 Mm. lange und
9,010—0,014 Mm. dicke, chitinisirte, sirukturlose und
zarte Fasern, welche vierkantig-prismatische (restalt ha-
ben; die Farbe derselben ist bei durchfallendem Licht
selb, bei auffallendem dagegen braun. Die Contactflächen
der Stäbchen sind mit Querfurchen versehen, welche an
der Grenzlinie der benachbarten Stäbchen ziekzackförmig
erscheinen. (Vid. Fig. 7. b.).
Die Kieferstäbchen haben eine schräge von unten nach
oben aufsteigende Richtung und sind aul ihrem freien
Ende schräg abgestutzt. Es entsteht dadurch eine Art
Säge, welche leistenartig in die Mundhöhle. hervortritt.
Bei geschlossenem Munde kreuzen sich die Stäbchen
der beiden Gegenhälften des Kielers schräg mit einan-
der, indem die linke Kieferhälfte sich unler die rechte legt.
Maassangaben inMm.
innere äusseren
Mittel- Seiten- Zwischen- Seitenplatten.
platte. platte. platten.
Länge. 0,040 0,036. 0,024—0,040 0,0926 —0,014
Breite. 0,010. 0,024 0,026—0,032 0,020—0,012
Fundorte: 1) Der Baikal-See, in einer Tiefe von 6—
| 30 Mt.
2) Der Fluss Angara. Ueberall sehr häufig.
*) Das, im allgemeinen, als Kiefer bezeichnete Organ. sehe ich als
ein Analogon der Radula an. was ichineiner, eben im Druck befind-
lichen Arbeit, in Wort und Bild, auseinander gesetzt habe.
ri
I) Ancylus Troschelü m.
Taf. IV. Fig. 1 und Fig. 5.
1875. Aneylus Troschelii Dybowski: Die Gasteropoden-
Fauna des Baikal-Sees (M&m. de l’Acad. des Sc. de
St.-Petersb. VII Ser. Tm. XAH Ne 8) p. 64.
Taf. IV. Fig. 35—37. Taf. VII Fig. 12. a—d u.
Fig. 15.
1850. — — Idem. Przycezyuch do fauny slimakow
baikalskich (Wiadomosei z nauk przyrodzonvch
Warszawa Leszyt I) Taf. 1. Ne 14 9).
Das Gehäuse ist von dem der vorhergehenden Art
nur wenig verschieden: der Hauptunterschied besteht da-
rin, dass der Wirbel nach hinten umgebogen ist; die
ganze vordere Seite des Gehäuses ist convex, die hin-
tere dagegen fast steil abfallend; seitlich ist das Ge-
häuse schwach zusammengedrückt, woher die Oefnung nach
hinten schmäler ist) als vorne. Im übrigen stimmt das Ge-
häuse mit dem der vorhergehenden Art überein.
Die Zahnplatten sind völlig verschieden von denen der
vorhergehenden Art und lassen sich schon auf den ersien
Blick erkennen (vid. Fig. 5).
Die Formel: 1—1—17—9 (70).
Die Mittelplatte ist länglich mit zweispitzigem Zahne
und einem undeutlich markirten Buckel.
Die innere Seitenplalte hat einen abgerundeten Zahn
und einen ähnlich gestalteten, aber bedeutend kleineren
lateralwärts gestellten Nebenzahn (Fig. 5. B. a.). Der
Buckel ist länglich und demjenigen der benachbarter
Platten ähnlich.
*) In der Taf. I (l. c.) ist, wegen des Druckfehlers, die Colonn2
von Ancylus Troschelii mit der von Anc. sibiricus umzutauschen.
|
Be
Die Zwischenplatten (17 an der Zahl) sind lang und
schmal. Die Krone ist sehr lang und deckt mitunter
die Basis vollkommen zu. Der Buckel ist langgestrecki
(Fig. 5. G 1—17). Der Zahn ist ausgebuchtet, wobei der
lateralwärls gestellte Seitenzahn abgerundet erscheint.
Der Nebenzahn fehlt. Die Mittelplaiten nehmen bis zu
der sechsten allmälig an Grösse zu und weiter, bis zu
der letzten, ab. Die Farbe dieser Platten ist gelb oder
braun, ebenso wie bei der vorhergehenden Art. Die
äusseren Seitenplatten (9 an der Zahl) sind lamellen-
artig (Fig. 5. D 18—26) mit ausgezacklen Rändern und
stellen nur die Basis vor; die Krone fehlt. Sie sind weiss-
lich, durchsichtig und in der Mitte schwächer licht-
hrechend als an den Rändern. Die Grösse der Platten
ist verschieden, indem sie lateralwärts allmälig kleiner
‚ werden, so dass die letzte kaum bemerkbar wird.
Der Kiefer ist ebenso beschaffen wie bei der vorher-
gehenden Art.
Maassangaben, in Mm.
Mittel- innere Zwischen- äusseren
platte. Seiten- platten. Seitenplatten.
platte.
Länge. 0,030 0,032 0,034—0,024 0,024—0,008
Breite. 0,010 0,010 0,012—0,010 0,010—0,002
Fundort: Der Baikal-See, in einer Tiefe von 10—
30. Mt.
ID. Ancylus Renardi m.
Taf. IV. Fig. 2. u. Fig. 4.
1880. Ancylus sp. Dybowski: przyezynek do fauny sli-
makow haikalskich (Wiadomosei z nauk przyro-
dzonyeh. Jeszyt. I) Tabl. I Ne 13.
— 138 —
Das Gehäuse ist von dem der beiden vorhergehenden
Arten gänzlich verschieden; die Gestalt desselben ist stumpf
kegelförmig d. h. patelloid; der Wirbel ist stumpf, ab-
gerundet und steht genau in der Mitte des Gehäuses; an
der Stelle des Wirbels bemerkt man eine kleine grüb-
chenartige Vertiefung. Im Übrigen stimmt das Gehäuse
mit dem der beiden vorhergehenden Arten (vid. ie 2)
überein.
Die Zahnplatten sind denen von Anc. Troschelii ähn-
lich.
Die Formel: 1—1—21—7. (65— 10).
Der Hauptunterschied besteht darin, dass der Neben-
zahn (vid. Fig. 4. B.) und der Seitenzahn (vid. Fig. 4.
G. 2—21) zugespitzt sind.
Es versteht sich von selbst, dass es oft verschiedene
Uebergänge zwischen zugespitzten und abgerundeten Zahn-
formen giebt; in solchem Falle erkennt man die Radula
vom An. Renardii an den Seitenplatten, (vid. Fig. 4. D.
21—29), welche hier etwas kürzer aber breiter sind.—
Im Uebrigen stimmen die Zahnplatten mit denen der vor-
hergehenden Arten überein.
Maassangaben.
Mittel- innere Zwischen- äussere
platte. Seiten- platten. Seitenplatten.
platte.
Länge. 0,022 0,024 0,026—0,020 0,018—0,006
Breite. 0,008 0,006 0,008—0,006 0,010—0,002
Fundort: Baikal-See, in einer Tiefe von 10-790 Mt.
(sehr selten).
Schliesslich muss ich noch ‘erwähnen, dass nach einer
brieflichen Mittheilung des Herrn J. Clessin, in dem Bai-
kal-See noch eine vierte Ancylus-Art vorkommen soll.
Diese Mittheilung lautet:
— —
a >
«Es giebt noch eine vierte Ancylus-Ari im selben See
' (Baical-See), bei welcher der Wirbel so sehr nach links
gerichtet ist, dass dessen Spitze die Grundfläche sehr
stark überschreitet, und auch die Verticalansicht giebt
eine ganz andere Form. Ich halte diese Art, deren zwei
Exemplare in der Sammlung des Herrn Dohrn in Stettin
' sich befinden, von den obigen (3 meine Arten) für ver-
schieden, weil ein junges Exemplar schon völlig wie das
' grössere, das ich sah, gestaltet ist». (Ochsenfurt, bei
Würzburg d. 10 X. 1880).
In meiner Samlung der Baikal’schen Mollusken habe
ich vergeblich diese Art nachgesucht und kenne sie da-
her aus eigener Anschauung nicht.
Niankow d. 15 Nov. 1884.
Erklärung der Abbildungen.
Fig. 1. Die Schale des Ancylus sibiricus Gerstfe!d. *). Die Fig.
1—3 verdanke ich der liebenswürdigen Gefälliskeit des Herrn Dr.
J. Clessin, Redacteur d. Malacolog. Blätter (in Ochsenfurt bei Würz-
burg), welcher dieselben, nach den von mir zugesandten Fxempla-
ren, anzufertigen die Güte gehabt hat.
a) Die Seitenansicht. b) Die obere Ansicht.
Fig. 2) Die Schale des Ancylus Renardii n. sp. Die Bezeichnung
wie vorher.
Fie. 3). Die Schale des Ancylus Troschelii m. Die Bezeichnung
wie vorher.
Fig. 4 Die Zahnplatten von Ancylus Renardii n. sp. *).
A). Die Mittelplatte.e. B) Die innere Seitenplatte.e C) Die Zwi-
schenplatten (2—21). D) Die äusseren Seitenplatten (22—29).
Fig. 5) Die Zahnplatten vom Ancylus Troschelii m. (Ein halbes
Glied) a) Der Nebenzahn. b.b) Die Seitenzähne.
ie. 6) Die Zahnplatten von Anc. sibiricus Gerstfeld. B) Die
innere Seitenplatte.a) Der medialwärts gestellte abgerun-
dete Nebenzahn. b) Der abgerundete Zahn. |
K) Die letzte Zwischenplatte. a) Der Buckel. b) Der Zahn.
c) Die Basis. d) Die Verlängerung der Basis.
R) Der Rand der Radula.
S) Der Streif, welcher die Glieder von einander trennt.
Z) Der zwischen den äusseren Seitenplatten befindliche freie
Raum.
Fig. 7). Ein Stück des Kicfers. (Schematisch). a) Die Epithelzellen.
b) Die chitinisirten Stäbchen.
Fig. 8). Die dachziegelförmig einander deckenden Sehüppchen des
Kiefers. (Schematisch).
er
I
*) Die Reihen der Zahnplatten in dieser wie auch in den nach-
folgenden Figuren, stellen je ein vollständiges, halbes Glied in situ
dar; alle diese Figuren sind mit Hülfe des Hartnak’schen Zeichen-
prismas (bei d. Object. ® S) dargestellt worden. Die Bezeichnung
ist überall die gleiche.
DE
Biletin BSR.
Anec. Renardii. Ane. sibirieus.
Jur. B. Dax MäHb.
HOBbIE BMAbI POAA JALLA HAHN.
B. E. Akoe.esa.
bp epponelckoii @ayub USBECTEHTL TOABKO OAUHB BHAB
3T0r0 Poaa—J. dumosa Lin.; npaBaa, v Dnöepa, BR ero
Die Europäischen Hemiptera ommcano Tpm Bua 3TOTO PoAa,
HO efO J. nigriventris eCTb He 00.1be KAKb PA3HOBIAHOCTB
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K. TO @opMa ara OTHecena MHORM KB PoAy Barbiger Jak,
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Je 3. 1884. 11
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TaMb HOBATO BNAJA, OCTAaWIarocaA 10 CHXDb UOPB Heonn-
CAHHBIMP.
1. Jalla anthracina n. Sp.
2 Körper breit, ganz schwarz, oben malt, sehr grob
punclirt, Kopf klein, etwas länger als breit, grob punctirt-
gerunzelt; Seitenränder fein ausgeschweilt. Fühler schwarz,
sehr kurz graubehaart; Wurzelglied vier bis fünf mal
kürzer als Glied 2, welches auf ein Drittel länger als 3
und fast gleichlang mit 4; Endglied kaum kürzer als Glied 4.
Halsschild doppelt länger als Kopf und 1'/, mal breiter
als lang; sein Seitenrand breit, dick, fast gerade, etwas
aufgeworfen, sehr grob punclirt und quergerunzelt; in der
Mitte der Seitenränder eine grosse Vertiefung. Schild grob
punelirt, Grundwinkel glatt. Halbdecken und CGonnexivum
fein punctirt. Brust mit zerstreuten, tiefen Puncten, Hin-
terleib sehr fein gestrichelt. Beine schwarz, die Behaarung
der Schienbeine und Füsse, eben so wie die Klauen rost-
braun, Körper unten glänzend, stellenweise mit schwa-
chem Metallschimmer. L. 15, lat. 9 m. m.
Frankreich (Hieres).
2 Tyıosume 601B110e, O4eHb IIMPOROE, BCE yepuaro uBb-
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IYHRTAPOBAHHAA; ÖOKOBbIE Kpag ed MMEIOTB HEFIYOoORYI,
NOA0TYIO BbIeMKYy. YCHkH YepHble, IOKPBITBIE OYeHb KOPOT-
KAM C5POBATBIMH BOAOCHKAMN; OCHOBHOH CYCTaBb HX%
OYeHb KOPOTRIÜ, BB 4—5 pa3b KOPo4e BTOPArO, KOTOPpbIÜ
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— 109 —
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rpyau. Aa. 15, mur. 9 m.n.
Ppaunia (Ko1l. IBepcmana).
2, J. subcalcarata n. Sp.
& Körper oval; Unterseite, Fühler und Schnabel schwarz.
Kopf etwas länger als breit, ziemlich grob und dicht punc-
tirt-gerunzelt, schwarz, vorn gelb gerandet, mit rosigel-
'bem Fleck im Nacken; Stirnschwiele platt, quergerunzelt.
"Fühler schwarz, kurz abstehend gräulichbehaart; Wurzel-
| 11*
— 164 —
glied fünfmal kürzer als Glied 2, welches auf ein Drittel
länger als 3, etwas länger als 4 und fast gleichlang mit
5. Halsschild.1'/, mal länger als Kopf und viel breiter als
lang, Seitenrand in der Mitte fein ausgeschnitten und oben
mit Vertiefung, dicht und ziemlich grob punctirt, schwarz;
Kielförmige Seitenränder, durchlaufende Mittelrippe und
zerstreute kleine Fleckchen am Hintertheile—gelblich.
Schild sehr dicht punctirt-gerunzelt, ohne kallosen Knoten
im Grundwinkel, schwarz, am Ende bräunlich. Halbdecken
bräunlich, sehr dicht schwarz punclirt; Seitenränder der
Halbdecken und Connexivum sehr fein gelb gerandet.
seine pechschwarz, Aussenrand der Schienbeine gelblich,
Klauen rostbraun; Hinterschnekel innen mit stumpfem Zahn.
+43, 1alı2 m. ur.
Songaria (Evm).
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I. Körper ganz schwarz, nur die Klauen rosibraun.
Halssehild doppelt länger als Kopf, sehr grob punctirt.
Seitenrand des Halsschildes breit, grob quergerunzelt.
Hinterschenkel unbewehrt.
J. anthracina n. Sp.
1. Körper schwarz, gelb gezeichnet. Halsschild nur 1'/,
mal länger als Kopf, Seitenrand glatt... .......2
2. Hinterschenkel unbewehrt. Schildgrundwinkel mit
grossen kallosen Knoten, Seitenrand des Halsschildes breit,
Diele a A a ee oa Alan.
2. Hinterschenkel mit einem stumpfen Zahn bewehrt.
Schildgrundwinkel ohne kallosen Knoten. Seitenrand des
Halsschildes sehr schmal; kielförmig. J. subcalcarata n. Sp.
C. Herep6öypr»
20 Anpsıa 1884.
REISE
NACH CHANSKAJA STAFKA UND ZUM GROSSEN BOGDOBERG.
BESCHREIBUNG
der Wylabris melanura—Larve; Verhinderung der Wasserscheu
derch Cetonia aurata; das Vorkommen verschiedener Insekten
und Schmetterlingsvarietäten.
Von
Alex. Becker.
Am i luny 1882 fuhr ich auf einem Dampfer nach
Wladimirofka und von hier weiter am nächsten Morgen
mit Postpferden 4 Stationen und kam am Abend in dem
Dorfe Chanskaja Stafka an. Bis zu diesem Dorf führt von
Wladimirofka eine seit einigen Jahren errichtete 106
Werst lange Telegraphenleitung. Der Postweg nimmt we-
gen der im Frähjahr überschwemmten Wiesen oft einen
bedeutenden Umweg. Hinter der letzten Station vor Chan-
skaja Staika ist viel Salzboden und endlich bis zu die-
sem Dorf eine weite Strecke tiefer Sand, bewachsen von
vielen Elymus sabulosus - Pflanzen, durch deren Wurzeln
der Sand, wo die Pflanzen dicht beisammen standen,
— 165 —
festgehalten und an ihren Seiten vom Winde fortgeblasen,
auch aufgehäuft wurde, wodurch viele schroff abfallende,
oft 1 Faden hohe und breite Hügel gebildet wurden, die
in grossem Raum der Landschaft ein auffallendes Ge-
präge geben. Das Dorf ist umgeben von ansehnlichen, zum
Theil unbewachsenen Sandhügeln, zum Theil mit Populus
alba, Salix Ledebouriana Trautv., S. viminalis L. bewach-
sen. Populus alba zeigt sich nur als Strauch, jedenfalls
Triebe der Wurzeln abgehauener Bäume. Häufig wächst
dazwischen Artemisia inodora var. Steveniana, deren
dickes Holz in der Nähe der Wurzeln das eigentliche
Brennholz des Dorfes ist, welches in den Höfen massen-
haft aufgestapelt wird. Sehr wenige andere Pflanzen kom-
men dort vor, gröstentheils Xanthium Strumarium, X.
spinosum, Kochia hyssopifolia, Malva borealis, Calligonum
Pallasia, Phragmitis communis, Agriophyllum _ arenarium;
Orobanche und Chondrilla waren noch unentwickelt. Was-
ser ist nahe der Oberfläche, aber oft salzig. Das Dorf
ist bewohnt von handeltreibenden Russen und Kirgisen,
welche Buden besitzen, hat einige Strassen, eine Apotheke,
eine Kirche und russische Verwaltung. Der kirgisische
Chan, Dschisgis-Chan, befand sich in St.-Petersburg. In
Entfernung von ungefähr 4 Werst‘' vom Dorf, auf der
Höhe des wieder beginnenden harten Steppenbodens steht
eine Moschee, zu der ich einmal durch die vielen Sand-
hügel ging, zwischen welchen ich viele graue, thönerne,
mit tatarischer Schrift beschriebene Scherben fand. Aus
den Sandhügeln grub ich häufig den ansehnlichen Käfer
Searites bucida Pall., welchen ich früher aueh aus den
Sandhügeln der Insel Tschelegän ausgrub. Obgleich diese
Jnsel im Kaspischen See weit entfernt von Chanskaja
Stafka ist, so ist doch eine auffallende Ähnlichkeit beider
Plätze durch ihre Sandhügel uud diesen Käfer. Von an-
— 169 —
deren Käfern fand ich nur sehr wenige Arten, nur Sap-
rinus osiris, S. biguttatus, Gleonus foveicollis, Cicindela
littoralis, C. hybrida var. Sahlbergi, Blaps convexicollis,
Bl. parvicollis, Labidostomis spec. Auch von anderen
Insekten war sehr wenig da; es ist aber anzunehmen,
dass zu anderer Jahreszeit und bei grösserer Entwicke-
lung der Salzkräuter auch reichlichere und interessante
Insekten vorkommen. Ich hielt mich nur 2 Tage im Dorf
auf und fuhr den 5. Iuny Morgens zurück in Gesellschaft
eines Russen, der aus Poltawa war und bedeutende Ein-
käufe an rohen Häulen gemacht halte, und eines Kirgi-
sen, der bei mir in einem anderen Postwagen sass. Hin-
ter der ersten Station von dem Wege links sahen wir in
Gestält einer langen Mauer den kleinen Bogdo, nach Aus-
sage des Fuhrmannes ungefähr 20 Werst entfernt; auf
und neben dem Wege liefen und flogen viele Syrrhaptes
paradoxus. Dei weiterer Fahrt von einer anderen Station
verirrten sich unsere Fuhrleute auf falschen Wegen. Kin
Kirgise bemerkte den Irrihum, kam uns seitwärts auf
grüner Wiese entgegengeritlen und brachte uns durch
seine Zurechtweisung auf den richtigen Postweg. Wir
hatten aber durch die Irrfahrt so viele Zeit verloren,
dass wir erst in der Nacht nach Wladimirofka kamen.
Ein starker Regen mit Sturm hatte uns die Fahrt von
der letzten Station, während 3 Stuuden noch recht unan-
genehm gemacht. Sehr auffallend waren mir die gerade
blühenden beiden Grasarten Stipa Lessingiana uud St.
sareptana, welche sehr häufig überall in besserem Boden
von Wladimirofka bis Chanskaja Stafka standen, von kei-
nem Botaniker aber bisher bemerkt wurden, da sie we-
gen der Ähnlichkeit mit Stipa pennata und St. capillata
für diese Pflanzen gehalten wurden. Stipa pennata scheint
HE
dort zu fehlen; nur am Bogdo-Berg fand ich sie, wo auch
Jie später biühende St. capillata vorkommt.
Einige Werst seitwärts von Wladimirofka liegt die vor
einigen Jahren erbaute Eisenbahn, welche zum Baskun-
tschack—Salzsee führt. Ich begab mich dahin und fuhr
mit dem Zug dicht an den Salzsee. Von hier musste ich
einen Fuhrmann mielhen, der mich noch 7 Werst weiter
bis zur Wohnung des Aufsehers des Salzsees brachte.
Von hier ging ich in die Sehluchten des Slazseeufers und
auf den Bogdo-Berg und suchte nach mehreren Dingen,
die ich früher gefunden hatte, z. B. Gymnodactylus pipiens,
Eryx jaculus, Pimelia cephalotes, Anatolica subquadrata
Tausch. und andere Käfer, Schmetterlinge und Pflanzen.
Diese waren durch die angebahnte Kultur, durch einen
Posthof und Gärten am Berg, durch Kirgiser, die auf
dem Salzsee arbeiten und mit ihren Familien und Vieh
sich am Berge ansässig gemacht, fast sämmtlich zu Grunde
gegangen. Alle kleineren auf dem Berge zerstreut liegen-
den Steine wurden zusaminengelesen, in Haufen aufge-
setzt und mit vielen Ochsenfuhren zur Eisenbahn beför-
dert. Nur unter diesen Steinen an der Spitze des Berges
befand sich Gymnodactylus pipiens, und da jetzt die
Steine alle fortgenommen werden, findet natürlich diese
zarte geckoarlige Eidechse keinen Verbergungsort mehr.
Dadurch leiden auch die sich verbergenden Käfer, andere
durch die Verminderung, Verstümmelung und Vernichtung
ihrer Futterkräuter. Von mehreren interessanten Pflanzen,
wie Ferula nuda, Glyeyrrhiza asperrima, Eversmannia he-
dvsaroides, deren Plätze ich genau wusste, war schon
niehts mehr zu sehen. Natürlich wird der Botaniker und
Entomolog eine Reise zum Bogdo später nicht mehr an-
züglich und Johnend finden.
| — 1711 —
Die Mylabris melanura - Larve kam aus ihrem 1 Li-
nie langen, '/, Linie breiten, ovalen, blassgelben Ei
am #12 August. Hat an den Mundtheilen, an den Sei-
ten des Kopfes, des Rückens, des Leibes und der Beine
Silberglanz. Unterseite hellgelb mit Silberglanz. Augen
schwarz, rund. Oberseite der vorderen Hälfte des
Körpers und Beine dunkelgelb. Oberseite der hinteren
Hälfte des Körpers schwarz. Die Zwischenräume der 12
Bauchringe silberglänzend, mit Ausnahme der 2 vorder-
sten, welche gelb sind. Kopf dick, quadratisch, dicht an
den, Thorax anschliessend. Die Enden der starken, krum-
men und spitzen Kinnbacken schwarz. Fühler glatt, an
der Spitze dunkel. Die 6 Beine nicht auffallend lang.
Klauen lang und dünn. Bedeckt mit braungelben borstigen
Haaren, zahlreicher auf der hinteren Hälfte des Körpers.
Am Ende des Leihes 2 lange, schwarze, borstenähnliche
Haare. Die Länge der einen Tag alten Larve ist 2 Linien,
Breite ‘/, Linie. Sie läuft sehr schnell, säuft lange Wasser,
krümmt sich bei Berührung und stellt sich todt wie ihre
Mutter, verbleibt in diesem Zustand lange Zeit. Ist offen-
bar nicht diese von mir in diesem Bulletin 1880 Ne 1
beschriebene Mylabris-Larve.
Im Bulletin 1864 Ne 2 erwähnte ich des Goldkäfers
Cetonia aurata, der zerstossen auf Brod einer wasserscheuen
Kuh eingegeben wurde und dieselbe kurirte. Seit der Zeit
sammelte ich immer einen Vorrath von diesem Käfer und
sab oft den Leuten davon, deren Hunde von tollen Hun-
den gebissen wurden, und immer hörte ich, dass die ge-
bissenen Hunde nach dem Gebrauche des. Mittels nicht
toll wurden. Im Sommer 1883 brachte der Mollah- des in
der Nähe von Sarepta liegenden Tatarendorfs seinen Sohn
zu mir, der, auf dem Pferde reitend, von einem tollen
Hunde vom Pferde heruntergerissen und in den Leib ge-
bissen wurde, und bat mich, ihm den Käfer zu geben, von
dem er gehört hatte. Ich gab ihm 2 Käfer uud sagte, dass
er nur einen zerstossen auf Brod gestreut von seinem
Sohne essen lassen möchte. Am nächsten Tage kam eine
Tatarenfrau zu mir und war sehr in Angst, da derselbe
Hund ihr tiefe Wunden in die linke Hand gebissen hatte.
Ich gab ihr 2 Käfer und sagte ihr ebenfalls, dass sie
nur eineu einzunehmen brauche. Die Furcht aber hatte
sie veranlasst gleich beide Käfer zu essen, wie ihr Mann
mir später sagte. Derselbe Hund lief nach Sarepta und
biss hier mehrere Hunde bis er endlich erschlagen wurde.
Auch die Eigenthümer dieser gebissenen Hunde erbaten
sich von mir diesen Käfer. Nach 2 Monaten erkundigte
ich mich nach dem Befinden der gebissenen Leute, welche
sich noch ganz wohl befanden und mir für das Mittel
sehr dankten. Auch die gebissenen Hunde, die die Käfer
gefressen hatten, wurden nicht toll. Da nun schon 9 Mo-
nate vorüber sind, seitdem das Mittel von den Gebisse-
nen gebraucht wurde und sie sich alle wohl befinden, so
scheint der Käfer nicht nur die ausgebrochene Wasser-
scheu zu kuriren, sondern auch die Entwickelung der
Krankheit zu verhindern.
Von dem Monographen der europäischen Ameisen,
Herrn E. Andre in Graz erhielt ich folgende Namen der
bei Sarepta vorkommenden Ameisen: Aphoenogaster bar-
bara L. var., Aph. structor Latr., Gamponotus latera-
lis Ol., €. marginatus Latr., C. pubescens Fab., Cremas-
— 1193 —
togaster sordida Nvl., Formica rufibarbis Fab., F. praten-
sis de Geer, Formicoxenus nitidulus Nyl., Lasius abienus
Foerst, Leptothorax tuberum F. var. unifasciatus Latr.,
Myrmica scabrinodis Nyl., M. lobicornis Nyl., M. rugi-
nodis Nyl., Myrmecocystus cursor Fonsc., Plagiolepis pvg-
maea Latr., Solenopsis fugax Latr., Tetramorium caespi-
tum L. Bei Derbent ist häufig Myrmecoeystus viaticus
Fab. und in Achal-Teke bei Kisil-Arvat fand ich Myrme-
cocystus altisquamis Andre.
Von Hautflüglern sind den sareptaschen noch Systropha
eurvicornis Scop. hinzuzufügen, welche in den Blüthen
von CGonvolvulus arvensis am 28. Juny häufig vorkommt.
Die Wanze Irochrotus lanatus ist bei Sarepta am 26.
July ausgebildet.
Käfer bei Sarepta.
May 19, Grammoptera Kiesenwetteri auf Grambe aspera.
July 1, Cicindela desertorum auf den Wolgainseln.
» €, Clytbra Atraphaxidis auf Stalice sareptana.
» 20, Die schwarzen Galeruca sapertana—Larven auf
Alhagi camelorum.
» 26, Mylabris melanura in Begattung.
». 30, Sitaris apicalis auf Eryngium campestre.
Aug. 4, Myodites subdipterus auf Scabiosa ucranica.
» 9, Eumecops Kittary auf Salzboden.
>» 10, Cryptorhyuchus Lapathi.
Sept. 5, kixus Salsolae auf Kochia prostrata.
Zu der früheren Beschreibung dieses Käfers
(Bull. 1867 Ne 1), der für Lixus Ascanii var.
gehalten wurde, habe ich noch hinzuzufügen,
dass die Punktreihe neben der Nath und die
vielen schwarzen Punkte auf der Unterseite
— 111 —
des Bauches des L. Ascanii bei L. Salsolae
fehlen. Er ist sehr schmal und nur von halber
Grösse des L. Ascanii.
Sept. 22. Larinus Serralulae und Pseudochina eypho-
noides in Serratula xeranthemoides— Samen
köpfen.
» 24, Bruchus tessellatus in Astragalus vulpinus—
Samen.
Aphodius scybalarius, Anihicus Steveni, Leichenum
pietum, Öchthenomus sinuatus, Saprinus biguttatus, S.
osiris.
Sehmetterlinge bei Sarepta,
2, Botys sartalis auf Allium tulipaefolium.
Juny 9, kam Pterogon Gorgon aus der Puppe.
» 15. Thais Polvxena-Raupen auf Aristolochia Üle-
matitis.
» 20, frass die Deilephila lineata—Raupe Linaria
odora.
> 21, Apatura Clytie auf den Wolgainseln.
Julv 17, Epinephele Janira.
» 24, Harpyia inierrupia, Phragmatoecia Castaneae.
» 26, Harpyia aeruginosa, Acidalia Beckeraria.
Aug. 5, Satyrus Arethusa, Mycteroplus puniceago.
» 7, Amphypira teira, Hadena monoglypha.
» 8, Cueullia magnifica auf Alhagi camelorum.
9, Agrotis desertorum, Pterostoma palpina, Ma-
mesira Sodae, M. praedita.
» 10, Ophiusa regularis, Agrotis C. nigrum, Aar.
Christophi, Acidalia marginepunctata, Ac. flac-
cidaria, kam Euclidia triquelra aus der Puppe.
» 11, Dypterygia dentriuscula, Episema trimacula
var. tersina, Macaria allernaria.
— 175 —
Ang. 17, Simyra argentacea; ihre Raupe frisst Statice
sareptana und St. latifolia.
> 20, kam Cucullia argentina aus der Puppe.
Sept. 8, Gucullia argyrea.
>» 21, in dünnen Populus nigra—Zweigen gelbe Cos-
sus—Raupen.
>» 24, kam Orgyia antiqua aus der uns Ihre Raupe
frisst Salix-Blätter.
Gueullia Boryphora, C. Artemisiae=Abrotani, Zygaena
Sedi, Ocneria detrita, Luperina Zollikoferi, Episemargiau-
cina, Agrotis Tritici, Scodonia conspersaria, Arctia Man-
nerheimi, Eugonia Alniaria, Dasypolia Templi.
Von Colias Edusa, Hyale, Erate erscheinen bei Sa-
repta olt Varietäten. Manche sind in Form, Farbe, Zeich-
nung So sehr abweichend, dass sie schon für besondere
Arten gehalten wurden. Bei vielen zieht sich die schwarze
Binde der Oberseite der Vorderflügel schwach gefärbt
bis zum Punkt des Flügels; bei wenigeren stark gefärbt,
und bei diesen sind auf der Unterseite der Vorder—und
Hinterflügel dunkle Zeichnungen. Ich besitze ein grosses
weibliches Thier, dessen Vorderflügel auf der Oberseite
schwarz sind, nur näher der Basis weiss; die Oberseite
der Hinterflügel ist weiss mit einem gelblichen Streifen in
der Mitte. Die Unterseite der Vorderflügel hat an der
Basis und in der Mitte weiss, um diesen Fleck schwarz
in Form der Flügeigestall, fast ein Dreieck bildend; nach
der Spitze der Flügel dunkelgelb, nach unten hell, der
Flügelrand rolh. Die Unterseite des Hinterflügels ist dun-
kelgelb mit braun in der Mitte und brauner zackiger
Zeichnung unfern längs des Flügelrandes. Der grosse und
kleine silberglänzende Augenfleck steht im Braunen. Im
Sommer 1883 fing ich über ein Dutzend dieser Varie-
täten, die grösstentheils der G. Hyale anzugehören schei-
BE
nen. Von C. Erate fing ich einige, dem Aussehen nach
weibliche, deren Oberseite der rechten Flügel mit ihrer
regelrechten schwarzen Binde gelb ist, die Oberseite der
linken Flügel dagegen ist weiss mit derselben schwarzen
Bindenzeichnung. Von Triphysa Phryne fing ich 2 Thiere,
deren linken Flirgei schwarz und die rechten weiss sind.
Da bekanntlich der Mann dieser Art schwarz ist und das
Weib weiss, so sind die zweifarbigen vielleicht Zwitter.
Die zweifarbigen C. Erate können weniger für Zwitter
sehalten werden, weil von dieser Art die weibliche weisse
Varietät Pallida häufig vorkommt.
Zwischen Wladimirofka und Chanskaja Stafka wachsende
Pflanzen.
Artemisia fragrans, Art. austriaca, Art. monogyna,
Art. procera, Achillea Gerberi, Ach. leptophvlla, Are-
naria longilolia, Atriplex laciniata, Alyssum minimum,
Alhagi camelorum, Astragalus virgatus, Astr. eontortup-
licatus, Bromus tectorum, Br. inermis, Br. squarrosus,
Beckmannia erucaeformis, Berteroa incana. Gachrys odon-
talgica, Carduus uneinatus, CGonvolvulus arvensis, Coch-
learia austriaca, Conium maculatum, Ceralocarpus arena-
rius, Garex nutans, C. stenophylla, Chorispora tenelia,
Cannabis sativa, Chenopodium album, Capsella bursa
pastoris, Chondrilla juncea, Gentaurea adressa, Echinos-
permum patulum, Ech. Lappula, Euphorbia Gerardiana,
Elymus sabulosus, Euclidium syriacum, Erigeron cana-
densis, Ferula nuda, F. tatarica, Festuca ovina, Glycyrr-
hiza glandulifera, Glyceria festucaeformis, Galium Apa-
'rine, Gvpsophila muralis, Herniaria odorata, Hierochloa
borealis, Hyoscyamus niger, Halocnemum strobilaceum,
— 111 —
Halimus canus, Halimocnemis crassifolia, Iselepis Holos-
choenus, Juncus bufonius, I. Gerardi, lurinea Eversmanni,
Koeleria glauca, K. cristata, Kochia prostrata, Lepidium
ruderale, L. perfoliatum, Lithospermum arvense, Malva
borealis, Medicago falcata, Melilotus alba, Melandryum
pratense, Mulgedium tataricum, Nasturtium brachycarpum,
Onosma tinctorium, Phragmilis communis, Poa pratensis,
Polygonum Convolvulus, P. aviculare, P. strictum, Po-
tentilla bifurca, P. argentea, P. supina, Phlomis tuberosa,
Phelipaea lanuginosa, Rumex crispus, Ranuneulus oxys-
permus, Sisymbrium pannonicum. S. Sophia, S. toxophyl-
lum, Stipa Lessingiana, St. sareptana, Salsola Kali, Silene
viscosa, Serratula xeranthemoides, Salvia sylvestris, Sta-
lice incana, St. tomentella, Sterigma tomentosum, Triti-
cum desertorum, Tr. sibiricum, Tr. repens Tr. ramosum,
Tr. oorientale, Tr. cristatum, Tr. prostratum, Tragopogon
heterospermus, Taraxacum offieinale, Tulipa biflora, T.
‚tricolor, T. Gsesneriana, Thlaspi arvense, Verhaseum phoe-
ee
niceum, Xanthium spinosum, X. Strumarium.
Sarepta, 13 April 1884.
NOTE SUA LES PECTEN LUCIDUS GOLDF. E. BIFIDUS
MUNST.
Par
ie Marg. Ant. De Gregorie.
Dr. es Sc. nat.
Palerme 24 Janv. 1885.
Ge soni deux especes tres li6es-l’une a l’autre, ou pour
mieux dire, qui passent par des formes intermediaires d’un
type a l’autre. Mr. Deshayes retient le nom de bifidus
pour toutes les deux et il rapporte a la meme espece les
P. Hausmenni Goldf., multisulcatus Braun, asperulus
Münst.
Pecten hifidus Münst.
F-e. type de l’espece (Goldfuss Petr. Germ. t. 97. f. 10—
Speyer Koenen Cassel Tert. t. 18, f. 31.19, f.1, 2,
2,56) |
F-e emblus De Greg. (Speyer Koenen Gassel Tert. t. 19,
. 4; 1. 18, f. 4. type de la iorme).
Ü-e. espirus De Greg, (Idem t. 19, f. 8, 9) Cette forme
fall passage au P. optatus Desh.
Ä
%
0
F-e. ergellus De Greg. (Deshayes An. s. vert. Bassin
Paris t. 79, fi. 21—23).
F-e. sbirtus De Greg. (Speyer Koenen Gassel Tert. t. 28,
1) C’est une forme ou plutöt une espece difierente de
celle de Münster, et qui a beaucoup d’analogie avec
la forme estopus De Greg. (du P. lucidus Goldf.).
Pecten luceidus Goldf. *.
F-e. type de l’espece (Goldf. Petr. Germ. t. 97, f. 10—
Speyer Gassel Tert. t. 30, 1. 2).
F-e. ectopus De Greg. (Speyer Koenen Gassel Tert. t. 30,
f. 1, 3) Cette forme rappelle le P. flabelliformis Brocc..,
qui du reste est different.
F-e. erbus De Greg. (ldem t. 50, f. 4). Forme interm&-
diaire entre la pr&cedente et la suivanle et qui fait passa-
ge au P. bifidus Münst.
F-e. enchilus De Greg. (ldem t. 30, f. 5),
F-e. entebus De Greg. (Idem t. 30, f. 6, 7).
*) Le P. lucidus Jefireys est un Amussium (1873 Thompson
deapths of the sea p. 464,f. 78 etc.) et par consequent il ne faut pas
ehanger son nom.
SEANCES
de la
SOGIETE IMPERIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOT.
SEANCE DU 20 SEPTEMBRE 1884.
La Seance a Et& ouverte par Mr. le Secr&taire de la Societe, le
Professeur Lindemon, par quelques paroles consacrees a la me£-
moire du defunt President de la Societe, Alexandre Grigorevitsch
Fischer de Waldheim, dont la mort arrivee le 13(25) Juillet est une
perte bien sensible, le defunt s’etant voue plus de 50 ans de sa vie
laborieuse au bien &tre de la Societe et & la science en general.
Mr. Fischer, elu Secretaire de la Societe en 1825 et Vice-President
en 1853, remplissait les fonctions de President depuis le commen-
cement de l’annee 1872.
En suite de cette communication, la SocietE a elu par ballotage
Mr. le Docteur Charles Renard, President et Mr. le Professeur Th.
A. Bredichin, Vice-President.
Mr. W. N. Lwow presente un article sous le titre: Beiträge zur
Histologie des Haares, der Borste, des Stachels u. der Feder. Avec
4 planches.
Mr. B. E. Iakevlev a envoy& la description de nr nouvelles
especes du genre Jalla Hahn.
J 3. 1884. 1
NE
Mr. le Professeur H. Trautschold a remis une notice sur les der-
niers travaux des g6ologues d’etat de l’Amerique du Nord.
Mr. V. D. Meschaeff presente une liste des plantes de la partie
septentrionale du Gouvernement de Riasan.
Mr. le Docteur A. Weiss a fait remettre un article intitule: Ce
que devient la bile dans le canal digestif.
Mr. le Professeur N. Sorokine envoie une courte description de
son voyage dans l’Asie Oentrale (1878, 1879).
Mr. le Dr. Vencesl. Dybowski envoie une notice intitule: Über
eine die Entstehung der Baikal-Sees betreffende Hypothese.
Mr. Bachmeteff remet ses Observations meteorologiques faites a
Petrovsky-Razoumovsky pendant les mois de Juillet et d’Aoüt 1834.
Mr. le Professeur Th. Sloudsky presente un essai de solution
du probleme g&odesique.
Mr. le Seerötaire, Professeur Lindeman, fait part a la Societe que
Son Altesse Imp6riale, Monseigneur le Grand Due Nicolas Michai-
lovitsch, a envoy& ses Me&moires sur les Lepidopteres, et aue
le Conseil de la Societe propose de presenter & Son Altesse Impe-
riale les remerciments les plus respectueux, en le priant de vouloir
bien accepter le titre de membre honoraire. La Societ&se joint una-
nimement a la proposition du Conseil.
L’Universite de Kiev annonce la fäte prochaine de son Jubile
cinquantenaire et prie la Societ€ de vouloir bien prendre part a cette
solennite. La Societe a envoy& une adresse de felicitations et prie
ses membres, MM. les Professeurs Theophilaktoff et Avenarius, de
vouloir bien repr6senter la Societe a cette occasion a Kiev.
Le Comite organisateur du 7-eme Congres des Naturalistes et Me-
decins russes a Odessa envoie un exemplaire des conditions pour
le Concours de deux prix Marasly, de 500 roubles chacun.
Mr. le Dr. Lendenfeld de Sydney promet d’envoyer son ouvrage
sur les Coclenterata d’Australie et propose de faire parvenir a Ja
Societe difierents animanx marins et terrestres.
aa
Mr. N. M. Sarandinaky, de Rostov sur le Don, envoie un exem-
plaire du Thrips cercalium quiaparuen grand nombre sur le seigle
des environs de Rostov, en priant de lui donner des renseignements
sur cet insecte nuisible.
Le meme envoie des exemplaires du Calandra granaria, qui fait
aussi des ravages aux environs de Rostov.
MM. A. A. Belopolsky et A. P. Sokoioff remercient la Soeciete
pour leur election comme membres.
Mr. le Baron, Professeur E&. Nordenskiold, remercie pour l’envoi
des Memoires et des Bulletins de la Societe, et fait don d’une
colleetion complete des recits de toutes les expeditions polaires
suedoises et d’un facsimile photographique d’un manuscrit de Marco
Polo, Edite sous la redaction de Mr. Nordenskiold.
Mr. le Professeur Alex. A. Fischer de Waldheim envoie & la So-
ciet6 en don plusieurs ouvrages de son pere, et entre autres un
volume lithographie des lecons de son pere a l’Universit& de Moscou.
Le Departement du Ministere des affaires &trangeres envoie, au
nom du gouvernement hollandais, le texte de l’ouvrage Werbeck,
appartenant & l’Atlas geologique de Sumatra, recu il y a quel-
que temps.
Mr. le Dr. Horwat, Directeur de la station phyllox&rique de Bouda-
Pest, envoie le compte-rendu officiel de cette station pour 1883 et
un travail sur les insectes nuisibles de la Hongrie.
La Societe geographique italienne de Rome envoie le second et
dernier volume des comptes-rendus du 3-&me Congres internationai
s&ographigque.
(
Mr. le Professeur Briosi envoie quelques uns de ses ouvrages
publi&s par la station agronomique de Rome, dont il est le Direc-
teur.
Mr. le Docteur Prestel d’Emden presente plusieurs fascicules me-
teorologiques, publies par lui & differentes &poques.
Mr. le Dr. Guw:do Schenz! envoie ses observations magn&to-me&t&o-
rologiques faites pendant l’ete de 1884 a Bouda-Pest.
Be 1
Mr. le Dr. Just de Carlsrouhe envoie une copie lithographiee du
compte-rendu officiel concernant les spores qui s’attaquent aux VI-
snobles de Baden.
Le Musee national de Rio Janeiro,la Societe Iris de Dresde, l’Ob-
servatoire Royal de Bruxelles, l’Academie des sciences naturelles de
Philadelphie, l’Institut national de Geneve, la bibliotheque Royale de
Dresde. la Soci6t6 Royale de Londres et la Societe des Naturalistes
de Stuttgart prient de leur completer la collection de nos publica-
tions dans leurs bibliotheques.
L’Observatoire astronomique de Dorpat, desirant avoir sa propre
bibliotheque sp£&ciale, prie la Societe de lui envoyer un exemplaire
de nos publications.
Le Cercle litteraire et scientifique russe au Polytechnicum de Dresde
prie de lui envoyer les publications de la Societe.
Mr. le Dr. E. Ragousa, redacteur du journal Naturalista Siciliana,
ainsi que l’Universit& John Hopkins a Baltimore et la Societe d’E-
tudes scientifiques d’Angers proposent l’Echange de leurs publications.
En suite d’une circulaire de notre Societe aux _differentes insti-
tutions scientifiques, qui avait pour but de completer les lacunes de
notre bibliotheque, nous ont envoy& tout ce dont ils ont pu disposer,
les Institutions suivantes:
L’Academie nationale de Bordeaux, la Societ& Iris de Dresde, les
Societes des Naturalistes de Danzig et de Göttingue, l’Institut
national de Gene&ve, la Societ€E physieo-medicale de Wurzbourg,
V’Avademie des sciences de Vienne et la Societe Vaudoise.
La Societe hongroise des Alpes annonce qu’elle a transporte le
lieu de ses seances de Kesmark & luetschay.
Mr. le Professeur I. @. Galle de Breslau remercie pour l’envoi
d’un telögramme ä& l’occasion de son Jubil& cinquantenaire.
MM. H. I. Wild. de Petersbourg, E. D. Felizine d’Ekaterinodar
et Francais Fasbender de Vienne remercient de leur nomination com-
me membres de la Soeiete.
La Societe a recu l’annonce de la mort de MM. Hochstetter &
Vienne, I. Simonin a Nancy et Würtz ä Paris.
Tr
Le Secretaire de la Soci6te, Mr. le Professeur Zindeman, a pre-
sente le Bulletin & 1 de 1884 et les observations meteorologiques
de la premiere moitie de 1884.
Des lettres de remerciments pour l’envoi des publications de la
Societe ont Et& recues de 55 Societes et savants.
Mr. le Professeur Alex. Sabaneeff a fait une communication sur
les travaux les plus importants de Dumas et de Wuriz.
je.
DON.
Livres offerts.
. Johns Hopkins University, Baltimore. Studies from the Biolo-
gical Laboratory. Vol. 3, & 1. Baltimore 1884 in 8°. De la part
de "Universite John Hopkins a Baltimore.
. Revista trimensal de Instituto historico geographico e ethno-
graphico do Brazil. Tomo 46, parte 1 e 2. Rio de Janeiro 1883
in 8°. De la part de VInstitut historico-geographique et etlno-
graphigue du Bresil a Rio de Janeiro.
. Bulletino di Paletnologia italiana. Anno 9 BR 1—7—12 Anno 10.
N 1—4. Reggio dell’Emilia 1883—84 in 8%. De la part de la
Redaction. (P. Strobel).
. Botanisches Gentralblatt. Jahrgang 5. M 1. & 18, 19, 20, 21, 22,
23, 24, 2539. Kassel 1884 in 8°. De la part de Mr. Oscar
Uhlworm a Cassel.
. Garten-Zeitung. Jahrgang 3. M 18, 19, 20, 21, 22, 28, 24—39.
Berlin 1884 in 8°. De la pari de Mr. le Dr. Wittmack a Berlin.
. Bulletin de ’Acad&mie de medecine a Paris 1884. M 18, 19, 20,
21, 23, 23—837. Paris 1884 in 8°. De la part de l’Academie de
medecine de Paris.
. Feuille des jeunes Naturalistes. Annee 14. \ 163, 164, 165 --167.
Paris 1884 in 8%. De la part de Mr. Adrien Dollfus a Parıs.
. Atti della R. Academia dei Lincei. 1883-81. Serie 3. Tran-
sunti. Vol. 8, fasc. 10. Roma 1884 in 8°. De la part de V’Aca-
demie R. de Lincei a Rame.
10.
11:
12
14.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
ER ing a
. Omsems Mockosckaro Ilyd.mıraro u Pymannosckaro Myseerr 34
1879-82 1. Mocksa 1884 in 4°.
Hynusnamwveerik Kabnuerp Mocr. Iy6a. u Pymanı. My3eestr.
Brinyckb 1. Mocksa 1884 in 8°. Les M 9 et 10, De la part des
Musees public et Roumanzoff de Moscou.
Kypna.ss Muuucrepersa Haponnaro Upocsbwmenia. 1884. Aupsus,
Mai, Iron», Ioıas, Aprycrw. C.-JIerep6yprp 1884 in 8°. De la part
de la Redaction.
Jannettaz, Ed. M&moire sur les clivages des saches et sur leur
reproduction. Paris 1884 in 80%. De la part de l’Auteur.
. Mittheilungen des Ornithologischen Vereines in Wien. Jahrg. 8.
\s 4, 5. Wien 1884 in 4°. De la part de la Societe ornithologique
de Vienne.
IIpomoxon: Sachıania Umn. Kaskasckaro Merununckaro QO6me-
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in 8%. De la part de Mr. Wm. Saunders de Londres.
Ilpomoxrosu ronuyHaro sachıania (733) Mmu. Busenckaro Meun-
tuHuckaro Obmecrpa. 1883. N 10. 1884. N 1, 2—5. Buusno 1884
in 8°. De la part de la Societe I. des medecins de Vilna.
Omuem» Kapkasckaro ObimeerBa Ceısckaro Xosaücrsa. 1884. N 1.
4. Tupaucp 1884 in 8°. De la part de la Societe d’agrieulture du
Caucase a. Tiflis.
Hsswemia BocroyHo-Cnönpckaro OTibıa Umu. Pycekaro l'eorpa-
dhuuyeckaro Obmecrpa. Toms 14. & 3. Hpkyreks 1883 in 4°. De
la part de la Societe geographique de la Siberie @ Irkutsk.
Journal of the American Medical Association. Vol. 8. N 16, 17,
18, 19, 20, 21, 22—25. Chigaco 1884 in 8°. De la part de la Re-
daction.
23.
24.
0.
31.
N)
d
um
. Revue mensuelle d’Entomologie pure et appliquee. Vol. 1.5.
St.-Pötersbourg 1884 in 8°. De la part de Mr. VI. Dokhtouroff
a 8t.-Petersbourg.
Nature. 1884. N’ 757, 758, 759, 760, 761, 76?, 768—776. London
1884 in 8°. De la part de la Redaction.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. \ 4, 5—8. Frankfurt a.
M. 1884 in 8°. De la part de la Societe Zoologique de Franc-
fort s. M.
. Mittherlungen der schweizerischen Entomologischen Gesellschaft.
Vol. 6. Heft 10. Vol. 7, Heft 1. Schaffhausen 1884 in 8°. De la
part de la Societe entomologique suisse de Schaffhouse.
. Neues Jahrbuch für Mineralogie etc. Jahrgang 1884. Band 1.
Heft 3. Stuttgart 1884 in 8°. De la part de la Redaction.
‚ Yuusepcumemckirn Mssberia. 1884. N 3, 4, 5, 6. Kies» 1884 in 8°.
De la part de l’Uniwwersite de Kieff.
. Zoologischer Anzeiger. 1884. X: 166, 167, 168, 169, 170-176.
Leipzig 1884 in 8°. De la part de Mr. le Prof. Victor Carus a
Lerpaıg.
. The Geological Magazine. 1884. M. N® 239—242. London 1334
in 80%, De la pari de Mr. Henry Woodward a Londres.
Giornale ed Atti della Societa di Acclimazione ed agricoltura
in Sicilia. Vol. 24. ® 1 e 2. Palermo 1884 in 8°. De la part de
la Societe d’Acchimatation ete.de Palerme.
Bolletino mensuale dell’Observatorio centrale del Real Collegio
0. Alb. in Moncalieri. Ser. 2. Vol. 4. ® 1, 2, Torino 1834 in 4°.
De la part de Mr. Fr. Denza de Turin.
. Chronique de la Societ@ nationale d’Acclimatation de France.
10-&me annee. 1884. & 9, 10, 11. Paris 1884 in 8°. De la part
de la Societe nationale d’Acclimatation de France a Paris.
. Powell, 1. W. Second annual Report of the United States Geo-
logical Survey. 1880—81. Washington 1882 in gr. 8°.
. Dutton, Clar. E. Tertian history of the grand canon district.
With Attas. Washington 1882 in 4°.
4).
4].
43.
44,
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Ba. el
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part de la Societe Academique franco-hispano-portugaise de Tou-
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de Nuncv.
49.
80,
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gique de France a Paris. ’
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lettres de Toulouse. 8-&me Serie. Tome 5. Semestre 1, 2. Tou-
louse 1883 in 8°. De la part de l’Academie des sciences, inscrip-
tions et belles lettres de Toulouse.
Bulletin de la Societe geologique de France. 3-&me Serie. To-
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Vol. 36. Bordeaux. 1882 in 8°. De la part de la Societe Lin-
neenne de Bordeaux.
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part de la Societe d’ Agriculture de Lyon.
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sique a Edimbourg.
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Bericht (11-ter) des Museums für Völkerkunde in Leipzig.
1883. Leipzig 1884 in 8°. De la part du Musee pour la conmais-
sance des peuples a Leipzig.
.% 3. 1884.
15)
59.
60.
63.
04.
69.
66.
67.
68.
69.
70,
Be | one
Atti della R. Accademia delle sceienze di Torino. Vol. 19, Disp.
2, 3. Torino 1884 in 8°. De la part de VAcademie R. des scien-
ces de Turin.
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turalistes d’Odessa.
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2. Sützungsberichte der Naturforscher-Gesellschaft bei der Univer-
sität Dorpat. Band 6, Heft 3. Dorpat 1884 in 8°. Les % 61, 62
de la part de la Societe des Naturalistes de Dorpat.
Tpyov: Hmm. BOIBHArO IEOHOMHYecKaro OÖmtecrza. 1884. Toms 1,
Bir. 4. Tom» 2, Bora. 1. Imap, Imwıs, Asrycr»p. C.-Derep6yprs
1854 in 8°. De la part de la Societe I. libre Eeconomique de St.-
Petersbourg.
Sauvage, H. E. Notice sur le genre Caturus. 1883 in 8%. De la
part de l’Auteur.
Bollettino della Societa africana d’Italia. Anno 3, fasc. 2. Na-
poli. 1854in gr. 8°. De la part de la Societe africaine d’Italie a
Naples.
Joly,. Charles. Note sur les importations et les exportations de
produits horticoles de 1881 & 1883. Paris 1884 in 8°. De la
part de U’ Auteur.
Bulletin mensuel de la Societe nationale d’Acclimatation de
France, 1884. \ 2, 3. Paris 1884 in 8°. De la part de la Societe
nationale d’Acchimatation de France a Paris.
Atti della Societa Toscana di seienze naturali. Processi verbali,
Vol. 4. pages 53—70 et Indice Vol. 2. 3. Pisa 1884 in 8°.
[—— — .— —_—— — — — — — — — u — — —
Memorie. Vol. 6, fasc. 1. Pisa 1884 in 8°. Les M 68, 69 de la
part de la Societe Toscane des sciences naturelles de Pise.
Zeitschrift für Naturwissenschaften. 4-te Folge. Band 3, Heft 1.
Halle a. S. 1884 in 8°. De la part de la SocietE des Naturalistes
de Halle a. 8.
0.
31.
82.
2 IP
71. Petermann’s, A. Mittheilungen. 1834, ® 4. Ergänzungsheft.
74, 75. 5, Gotha 1884 in 4°. De la part de Mr. Justus Perthes.
. Sitzungsberichte der K.Preus. Akademie der Wissenschaften zu
Berlin. I-XVIl. Berlin 1884 in gr. 8°. Dela part de l’Academie
R. prussienne des sciences de Berlin.
. Verslagen en Mededeelingen der K. Akademie von Weten-
schappen. Afdeeling Natuurkunde. Tweade recks. Deel. 18. Am-
sterdam 1883 in 8°.
— Letterkunde. Tweade reeks. Deel. 12. Amsterdam 1883 in 8°
. Jaarbock van de Kon. Akademie von Wetenschappen voor
1882. Amsterdam 1883 in 8°.
. Processen-Verbaal van de gewone Vergaderingen der K. Aka-
demie van Wetenschappen, Afdeeling Natuurkunde van Mai
1882 tot April 1883. Amsterdam in 8°.
. Naam - en Zaakregister op de Verslagen en Mededeelingen der
K. Akademie van Wetenschappen. Afdeeling: lLetterkunde 5
Serie. Tweede Reeks Deel 1-12. Amsterdam 1883 in 8°. Les
M 73—77 de la part de l’Academie Royale des sciences d’Am-
sterdam.
. Verhandlungen der K. K. Zoologisch-botanischen Gesellschaft
in Wien. Band 33. Wien. 1884 in 8°.
. Pelzeln, Aug. v. Brasilische Säugethiere. Wien 1883 in 8°. Les
N\ 78, 79 de la part de la Societe I. R. Zoologique-Botanique de
Vienne.
Amtlicher Bericht über die 56 Versammlung Deutscher Natur-
forscher und Aerzte zu Freiburg im Breisgau 1883. Freiburg
I. B. 1884 in 4°. De la part du Prof. Dr. Claus de Freibourg.
Abhandlungen der Königl. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Göttingen. Band 30. Göttingen. 1883 in 4°.
Nachrichten von der K. Gesellschaft der Wissenschaften zu
Göttingen. Aus dem Jahre 1883. \ 1—13. Göttingen 1883 in &*.
Les % 81, 82 de la part de la Societe R. des sciences a Göftingue.
83.
84.
[0,#)
96.
37.
ua
3anucku Xappkosckaro OrtıbıenHia Hmu. Pycckaro Texanyeckaro
O6mecrsa. 1884. Tor» 3, Bu. 1. Xapbkopp 1884 in 8°. De la
»art de la sectiou de la Sociele Imp. technique russe a Kharkoff.
Hsswcmia Unmn. Pycekaro Teorpabmueckaro O6meersa. Tons 20.
sBin. 1. C.-Ilerep6. 1884 in 8%. De la part de la Societe I. russe
de Geographie de St.-Petersbourg.
. Incroü SKypHaız. 1884. Bemm. 3, 4, 5, 6. C.-Ilerep6. 1884 in 8°,
De la part de la Societe forestiere de St.-Petersbourg.
Braun, m. Schwaznbildung bei einem Erwachsenen. 1881 in 8°.
.— — Ueber die Thätigkeit des Regenwurmes für die Frucht-
barkeit des Erdbodens. in ®°.
.— — DUeber 2 neue in Dorpat beobachtete Brunnenplana-
rien in 8°.
.— — Ueber rudimentaire Schwanzbildung bei einem Er-
wachsenen. in ®°.
.— — Teber die Entwickelung der Enten-oder Teichmu-
scheln.
.— — TDoeber seine Fahrten im finnischen Meerbusen.
2, — — Untersuchungen zur Entwickelungs Geschichte des brei-
ten Bandwurms.
.— — Ueber den Stand der Schrenk’schen Molluskensam-
lung. in 8.
.„— — Embryologische Mittheilungen über Papageyen.
.— — Ueber die Ergebnisse der Untersuchung von 6 Hech-
er
ten. in 8°.
— — Ueber die Entwickelung der Mäusefinnne. in 8°.
Les N’ 86—96 de la part du Professeur Braun de Dorpat.
Compendium of the tenth Census (lune 1, 1880) Part I, Il.
Washington 1883 in 8°. De a pari du Departament de ’Inie-
rieur a Washington.
'98
=:
100.
101.
102.
103.
104.
105.
106,
107.
108.
109.
Ze Pe:
Anales de la Sociedad espanola de historia natural. Tome 13,
Cuaderno 1. Madrid 1884 in 8°. De la part de la Societe espa-
gnole d’histosre naturelle de Madrid.
Bullettino della Societä entomologiea italiana. Anno quindice-
simo. Tremestre 4. Firenze 1884 in 8°. De la part de la Societe
entomologique italienne de Florence.
Anales de la Sociedad cientifica argentina. 1884. Entrega 3, 4.
Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de la Societe scientifigue
argentine de Buenos-Aires.
Boletin del Instituto geografico argentino. Tome 5, Cuaderno 4.
Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de UInstitut geographique
de Buenos .Aires.
Gedder, Patrick. Ru - Statement of the cell Theory. Edinbourgh
1884. De la part de l’auteur.
Memorie della Reale Accademia delle scienze di Torino. Serie
seconda. Tomo 35. Torino 1884 in 4°.
Atti della R. Accademia della scienza di Torino. Vol. 19, disp.
1. Torino 1885 in 8°.
Il primo secolo della R. Accademie delle scienze di Torino.
Notizie storiche e bibliografiche. 1783—1885. Torino 1883 in 4°.
Les M& 108—110 de la part de "Academie R. des sciences de
Turin.
Memoire del Reale Instituto lombardo di scienze e lettere.
Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. 15 fasc. 1. Mi-
lano. 1883 in 4°.
Atli della fondazione scientifica Cagnola della sua istituzione
'ıin Poi. Vol. 7. Milano 1882 in 8°.
Rendiconti. Reale Istituto lombardo di seienze e lettere. Ser,
2. Vol. 15. Milano 1882 in 8°. Les % 106—108 de la part de
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Comptes rendus des seances et Memoires de la Societe de Bio-
logie. Annee 1881. Paris 1882 in 8°. De la part de la Societe
de Biologie de Paris.
110.
113.
112.
113.
114.
115.
116.
147
be)
118.
119.
120.
Be "ei
Omuem» Hnn. Pycckaro Teorpaduueckaro O6mecrpBa 3a 1883 ToNz.
C.-IIerep6. 1884 in 8°. De la part de la Societe I. geographique
russe de St.-Petersbourg.
Pyecxoe Ca1oBoAcTBo. 1884. N 1—19—22. Mocksa 1884 in 4°. De
la part de la Redaction (A. Temuıiant).
Bulletin de la Societe Khediviale de Ge&ographie. Serie 2-de.
N 5. Le Caire 1884 in 8°. De la part de la Societe Khediviale
de Geographie.
Latzina, Franc. La R£&publique Argentine relativement & l’emi-
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la Societe argentine des sciences a Buenos-Aires.
Bulletin astronomique et me&teorologique de l’Observatoire Im-
perial de Rio de Janeiro. 1883. NM 12. Rio de Janeiro 1883 in
fol. De la part de l’Observatoire Imperial de Rio de Janeiro.
3anucku Mnn. O6mectsa Ceısckaro Xosaüctka )xHoü Poccin.
1884. R 3. O1recca 1884 in 8°. De la part dela Societe I. d’agri-
culture du Midi de la Russie a Odessa.
Bollettino della Societa geografica italiana. 1884. fasc. 5. Roma
1884 in 8°. De la part de la Societe geographique italienne de
Rome.
Tpyovı 4-TO IHTOMOIOTHYeCKATO ÜÖNACTHATO CHE31A NPEeACTABHTE-
eh 3emerBp M)xHohi Poccin c» 10-T0 mo 21-e derpara 1884
Onecca 1884 in4’. Dela pari de l’administration locale d’Odessa.
Memoires de l’Institut national genevois. Tome 15. Gen&ve
1883 in 4°. De la part de UInstitut national genevois ü Geneve.
Braun, M. Ueber sogenannte Schneewürmer. Dorpat 1884 in 8°.
De la part de Fauteur.
Taczanovski, L. Liste des vertebr&s de Pologne. 1877 in 8°. De
la part de l’auteur.
121.
122.
Boletin de la Academia nacional de ciencias en Cordoba. Tomo
6. Entrega 1. Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de l’Academie
des sciences de Cordoba (Republ. argentine).
Annales de l’Observatoire de Moscou. Vol. 10 liyr. 1. Moscou
1884 in 4°.
123.
124.
125.
126.
127.
128.
ee
Die Meteoriten-Kreisreihen als Erzeuger der Kometen, Son-
nenflecke etc. etc. in 8°. Les % 127, 128 de la part de l’Obser-
vatoire de Moscou.
Bollettino del Naturalista. Anno 4. M 5. Siena 1884 in 4°. De
la part de la Redaction.
The Quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XI, part.
N\ 158. London 1884 in 8°. De la part de la Societe geologique
de Londres.
Verhandlungen der Naturforschenden Gesellschaft in Basel.
Theil 7, Heft 2. Basel 1884 in 8°.
Die Basler Mathematiker Daniel Bernoulli u. Leonhard Euler.
Basel 1884 in 8°. Les % 131, 132 de la part de la Societe des
Naitwralistes de Basle.
Notizblatt des Vereins für Erdkunde zu Darmstadt. 4-te Folge,
Heft 4. Darmstadt 1883 in 8°. De la part de la Societe geogra-
phique de Darmstadt.
129.
130.
131.
132.
138.
134.
Bulletin de la Societe belge de Microscopie. 10-&me Annee.
N\ 8, 9. Bruxelles 1884 in 8%. De la part de la Societe belge de
Miceroscopie a Bruselles.
Jahresbereicht (68-tes) der Naturforschenden Gesellschaft in
Emden. 1882—83. Emden 1884 in 8°. De la part de la Societe
des naturalistes d’ Emden.
Jahrbuch der K. K. geologischen Reichsanstalt in Wien. Jahr-
gang 1884. N 2. Wien 1884 in gr. 8°.
Verhandlungen der K. K. Geologischen Reichsanstalt. 1884. ®
4—8. Wien 1884 in gr. 8. Les 136, 137 de la part de Institut
I. R. geologique de Vienne.
Mitiheilungen der K. K. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 26, & 10—12. Band 27, & 1, 2. Wien 1883—84 in 8°. De
la part de la Societe I. R. geographique de Vienne.
The Twelfth Annual Report of the Board of Directors of the
Zoological Society of Philadelphia. Philadelphia 1884 in 8°. De
la part de la Societe Zoologique de Philadelphie.
140,
141.
142.
143.
144.
145.
RN, |. Gene
» Cmamuemuvecxta Ta6ımısI POAUBIIKXCH 1 MHOSKCCTBEHRUXB PO-
X086 Br Mockrt 3a HAeBapp 1884. Mocksa 1884 in 4°. De la
part du Comite statistique de Moscow.
. Albrecht, Paul. Snr la fossette vermienne du erane des Mammi-
feres. Bruxelles 1884 in 8°. De la part de l’auteur.
. Journal de Micrographie. 1884. N 5, 6. Paris 1884. De la part
du Dr. I. Pelletan de Paris.
. Sitzungsberichte der gelehrten estnischen Gesellschaft zu Dor-
pat. Dorpat 1884 in 8°. De la part de la Societe savante eston-
nienne de Dorpai.
. Bollettino della Societä Adriatiea di Seienze naturali in Trieste.
Vol. 8. Trieste 1883—84 in 8%. De la part de la Societe adria-
tique des sciences naturelles a Triest.
Report of the Entomological Society of Ontario for the year
1885. Toronto 1884 in 8°. Dela part de la Societe ertomologique
d’Ontario a Toronto.
Tpyov: Teoiormueckaro Kouurera. Tomp 1. % 2. C.-Ierepöypr»
1884 in 4°,
Hsewcmis Teoıorugeckaro Komurera. 1854 r. Tonp3-5 ® 3,4,5.
C.-IJIetep6. 1884 in 8°. Les % 141, 142 de la part du Comite geo-
logique de St.-Petersbourg.
IIpomoxo.» Co6paHia kiesckaro Oömecrsa EcrecTsoncanTatelen.
3 Mapra 1884. Kiers 1884 in 8°. De la part de la Societe des
noturalistes de Kieff.
Thiemen, Felix. v. Die Pilze des Oelbaumes. in 8%. De la part
de l’Auteur.
Sitzungsberichte der Naturforschenden Gesellschaft zu Leipzig.
Jahrgang 10. Leipzig 1884 in 8°. De la part de la Societe des
naturalistes de Leipzig.
- Journal de l’Ecole polytechnique. Cahier 538. Paris 1883 in 4*.
De la part de VEcole polytechnique de Panris.
. HHfamusoss I. H. Coo6utenie o TapıaHaxt. Moeksa 1884 in 4°.
De la part de lauteur.
148.
149,
150
151.
152.
155.
156.
157.
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a
Bulletin de la Societe d’Etudes des sciences naturelles de Ni-
mes. 1884. N 3, 4 Nimes 1884 in 8°. De la part de la Societe
d’etudes des sciences naturelles de Nimes.
Bulletin de ’Acadömie I. des sciences de St.-Petersbeurg. Tome
29, feuilles 15—25. St.-Petersbourg 1884 in 4°. De la part de
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part de l’auteur.
Remsen, Irec. American Chemical Journal. Vol. 6. ® 1, 2. Bal-
timore 1884 in 8°. De la part de Mr..le Redacteur.
La Photographie appliquee aux sciences biologiques et le phy-
siographe universel du Dr. A. L. Donnadieu. Lyon 1884 in 8°.
De la part de Mr. I. B. Carpentier de Lyon.
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mark. Jahrgang 1883. Gros. 1884 in 8°.
. Haupt-Repertorium über sämmtliche Vorträge etc. etc. der in
den Mittheilungen des Grazer Vereines publizirten Materien
von 1863—1883. ‚Beilage zum Jahrgange 1883. Graz. 1884 in 8".
Les M% 153, 154 de la part de la Societe d’histoire naturelle de
Graz.
Oversigt over det Kongelige Danske Videnskabernes Selskabs
Forhandlinge 1883. ® 3. 1884. & 1. Kjobenhavn 1883—84 in 8&.
De la part de l’Academie Royale Danoise des sciences et des
letires de Copenhague.
Phrlosophical Transactions of Royal Society of London. Pol:
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209. London 1879—80 in 8°.
The Royal Society of London. 1-st December. 1879. London
1880 in 4°. Les )% 156—158 de la part de la Societe Royale de
Londres.
Cooöwenir mn Ilporosoısı sackrania Maremarmueckaro OÖmecTBa
. Bb XaptKoBt. 1884 roxa. I. Xappkopp 1884 in gr. 8°. De la part
de la Societe mathematique de Kharkow.
3. 1884. 3
160.
164.
165.
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168,
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170.
171.
er
Records of the geological Survey of India. Vol. 17, part 2. 1884,
Calcutta 1884 in 8°. De la part de la Societe geologique des
Indes @ Calcoutte.
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3. Febrar. 17. Roma 1884 in 8°. De la part de ’Academie pon-
tificale de Nuovi Lincei & Rome.
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kunde der Ostseeprovinzen Russlands aus den Jahren 1877—81.
Riga 1834 in 8°. De la part de la Societe d’histoire et d’anliquites
des provinces baltiques a Riga.
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lenburg. 38-tes Jahr (1884). Abthl. 1. Güstrow 1884 in 8°. De a
port de la Societe des amis d’histoire naturelle de Mecklenbourg.
Russische Revue. Jahrgang 13. Heft 2. St.-Petersburg 1854 in ®.
De la part de Mr. Ch-s. Röttger.
Jahres-Berichte des Naturwissenschaftlichen Vereins in Elber-
feld. Heft 6. Elberfeld 1884 in 8°. De la part de la Societe
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Almanach der K. Bayerischen Akademie der Wissenschaften für
das Jahr 1884. München 1884 in 8°. De la part de l"Academie
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Astronomische, Magnetische u. Meteorologische Beobachtungen
an der K. K. Sternwarte zu Prag im Jahre 1883. Jahrgang 44.
Prag 1884 in 4°. De la part de l’Observatoire I. R. meteoro-
logeque de Prague.
En
‚172.
173.
174.
ee
Memoires sur les Lepidopteres. Rediges par N. M. Romanoft.
Tome 1. St.-Petersbourg 1884 in 8°. De la part de S. Altesse
Imperiale le Grand Duc Nicolai Michailovitsch.
Ammonucw TıaBHoA ®usugeckof O6cepsaropin 1882 r. 1.1 u 2,
Oruerp 3a 1881 vw 1882 tr. m Mereopo1ornsgeckin CHopnukr. T. 8.
C.-Herepo. u 4°.
MHmnepatopckof BoenHnof Mennnuackoä Akarzenin. ‚Änccepramin
42 fasc. C.-Ilerepöyprs 1884 in 8°.
. Hsencmia a YyeHblA Janucku Fva3aHckaro YHHBEePpcHTeTa. JIHB.—
Neka6pp 1885 r. Kasanp in 8°.
. Janucku HoBropoickaro Vömecrpa HyeropoicrBa. Anpbias. 1884.
C.-Herep6yprz in 8°.
. Giornak ed attı della societa di Acclimazione \% 5 u 4. 1884,
Palermo. in 8°.
. Bolletino della Societa Geografica Italiana. 1887. fasc. 6, 7, &.
Firenze. in 8°.
. Proceedings of the Academy of natural sciences of Philadel-
- phia. 1884. Pert 1. in 8°.
. Janucku XAapbKOBckaro YHHBepcntera. 1880. T. 12, 4. Xappkopt.
in 8°.
. epurtckaro YnuBepcnTera. 42 fasc. AkanemuyeckuxBb H3IaHlii 3
1883—84 rom.
Mittheilungen d. Ornithologischen Vereins in Wien. 1884. Iuni,
Iuli. in 4°.
. Verhandlungen der Gesellschaft für Erdkunde. 1884. ® 1—).
Berlin 1884 in 8°.
. Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde. Band XIV Heft 1.
Berlin 1884 in 8°.
. Sitzungsberichte d. k. Akademie der Wissenschaften in Wien.
1884. & 10—14 in 8%.
. Bolletino del R. Comitato Geologico d’Italia 18834 3 u4, 5,
6—8. Firenze in 8°.
187.
183.
139.
ae
Berliner Entomologische Zeitschrift XVIII Band 1 Heft. Ber-
lin in 8°.
Schriften der Universitätzu Kiel aus d. Jahren 1882—83. An-
zahl 29.
Notizblatt d. Vereins für Erdkunde zu Darmstadt. IV Folge.
III Heft. Darmstadt 1882 in 8°.
. Boletin del Instituto Geografico Argentino. Tom V. Cuaderno 6.
Buenos Aires. 1884 in 8°.
. Landwirtschaftliche Jahrbücher 1884. Heft 3. Berlin in 8.
. Bulletin de la Societe de Nimes 1884. ® 5—7. Nimes in 8.
. Memorie Spettroscopisti 1834. April. Palermo in 4°.
. Academie Commerciale Catholique de Montreal 1875—76. Mon-
treal. 1876. De la part de L. A. Huguet-Latour.
. Puissance du Canada. Le grand occident Canadien. Ottawa. 1832.
. Tasse. Le Nord-Ouest. Ottawa. 1832.
. Verhandlungen d. Siebenbürgischen Vereins für Naturwissen-
schaften. Jahrg. 34. (1884). Hermannstadt in 8°.
. Anales de la Sociedad cientifica Argentina. 1854. Tom XV.
ent. 4 u 5, XVII ent. 1. Buenos-Aires in 8°,
. Boletin da Sociedade de geographia de Lisboa. 6, 7—9. Lis-
boa in 8.
. Rogartani Lapok. Füzet 4—6. Budapest. 1854 in 8°.
. Verbeck. Description topographique de Sumatra. Batavia 1883
in 8er:
2. Annales de la Societ€ Belge de microscopie. T. 8. Bruxelles
1882 in 8°.
203. Bulletin du Musee royale d’histoire naturelle de Belgique. 1883.
N 4. Bruxelles in 8°.
. Annales de la Societe geologique de PB, T. 9. Liege.
1882 in 8°.
208.
209.
210.
211.
212.
213.
214.
215.
216.
"rm. 1884. Halle in 9°.
2317.
218.
219.
220.
221.
RT,
. Abhandlungen, herausgegeben vom naturwissenschaftlichen Ve-
reine zu Bremen. Band VIII. Heft 2, Band IX. Heft 1.1883 —34.
. Atti della R. Accademia delle seienze di Torino Vol. XIX.
Disp. 4—7. Torino. 1883—84 in 8°.
. Boletino della Osservatorio della regia Universita di Torino.
1884 in 4°.
Bulletin mensuel de la Societe zoologique d’acclimatation NM
4—9. Paris 1884 in 8°.
Bulletin des sciences de la Soeiet& Vaudoise des sciences natu-
relles. Lausanne in 8°. % 90, 1863. Aoüt. 1864 Juil. 1864 Juil.
1866 Juin. 1874 Fevr. 1876 Oct.
Garten Flora. April—Aug. Erlangen. 1884 in 8°.
Aiti della Soeieta Toscana di scienze naturali. Vol. IV. 1884.
Pisa in 8°.
Bulletin de la Soeiete Botanique de Beleique T. XV. 1876.
Bruxelles in 8°.
Comptes Rendus des seances et m&emoires dela Societe de Bio-
logie & 1—28. Paris. 1884 in 8°.
Mittheilungen der geographischer Gesellschaft in Wien. Band
XXVI. % 3—5 in 8°.
Bulletin de la Societe d’Anthropologie. Mars a Mai. 1884. Pa-
ris in 8°.
Zeitsehrift für die gesammten Naturwissenschaften. Mar al:
Nederlandsch Meteorologisch Jahrbookvor 1883. Utrecht in 4°.
Archives du Musde Teyler. 4 partie. Haarlem. 1883 in 8°.
Archives Neerlandaises des sciences exactes et naturelles. T.
XVII Livr. 2-5. T. XIX. Livr. 1. 2. Haarlem. 1883—84 in 8°.
Archief Middelburg V. 3. 1881 in 8°.
Natuurkundig Tijdschrift voor Nederlandsch—Indie. Batavia.
1883 in 8°. Decl. XLI.
BE
. Atti deli Instituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Disp. 1. 2.
4—10. Venezia in 8.
3. Daniels. Un cas de Leontiasis osseo. Haarlem. 1883.
. sanucku Kaskasckaro Orataa Amu. Pyc. T'eorp. Oömecrsa. En.
XIM. 1884. Tubaucr in 8°.
. Report on the progress of the botanic Gorden. Jear 1883. Ade-
laide.
. Bolletino della Societa Africana d'Italia. Giugno. 1884. Napoli.
in 8°.
. Bulletin de la Societe de Borda Dax 2 trimestre 1884 in 8°.
. Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft XXXVI.
Band 1. Heft. Berlin 1884 in 9.
9. Folie. Douze tables pour le calcul des reductions stellaires.
Bruxelles. 1883.
. Proccedings of the American Philosophical Society. * 115.
Philadelphia. 1883 in 8°.
1. Meddelanden of Societas pro fauna et fiora fennica. Häftet 9 u
10. Helsingfors in 8&.
', Rosenberg. Untersushungen über die erlassen des Cra-
niam. Dorpat. 1884.
. Meteorolog. Beobachtungen in Dorpat. Im Jahre 1877—1880.
. Cantoni Saggio di fisiologia vegetale. Milano. 1883.
. Annales des sciences naturelles de Bordeaux. 1885. Mem. & 4.
in 8°.
. Paescxaro. PacreHia Fuaszeropoickof ry6epkaiea. H. HoBropont.
1884.
. Lataste. Catalogue provisoire d. mammiferes. Bordeaux. 1884.
. Mittheilungen d. deutsehen Gesellschaft für Natur u. Völker-
kunde. Heft 21—30.
. Hugo de Vries. Sur l'affınite des substances dissoutes pour l’eau
in 8°.
240.
241.
242.
243.
244.
245.
246.
247.
248.
249.
280.
259.
Bau Ra
— Untersuchungen über die mechanischen Ursachen d. Zell-
streckung. Leipzig 1877 in 8°.
— Sur la mort des cellules vegetales.
— Ueber Wundholz, Regensburg 1876 in 8%
— Langenwachsthum der Ober-und Unterseite sich krümmen-
der Ranken in 8°.
Jahreshefte des Vereins für vaterländische Naturkunde in Wür-
temberg. Jahrg. 40 (1884) in 8°.
Mittheilungen aus dem Jahrbuche d. k. Ungar. geologischen
Anstalt. Band VI. Heft 7—10. VII. Heft 1. Budapest in 8°.
Foldtani Közlöny XIII Köf 7—12. XIV. 1-3. Budapest 1884
in 8°.
Epvnosa. AbcHof Bonpoc» 8% Poccin in 8°.
Abhandlungen der mathem.-physikalischen. Classe d. Köngl.
Bayerischen Akademie. 15 Band-München 1884 in 4°.
Memoirs of the geological Syrvey of India. Serie X. Vol. IIL
Philadelphia in 4°.
3anucku KieBCcKaloO O6MeEecTBa ecTecTtBoncasrareiei. T. VII, Bsın.
2. Kierp in 8°.
. Bulletin mensuel de l’Observateire meteorol. Upsal. Vol. XV.
1885 in 4°.
. Assncmia Mnmuep. Odmecrsa Imöurerei ecrecrsosuania. ToMB
XLV, sum. 1—8. M. in 4°.
. Sitzumgsberichte d. k. Akademie d. Wissensch. in Wien. ® 17—
19 in 8°.
Omuemo» Kapkasckaro Oömecrsa Ceisckaro Xosaücrsa. M 2—5.
254.
255.
256.
Tadıues. 1884 in 8°.
The Journal of anthropological Institute of Great Britain and
Ireland in 8°. Vol. XIV. 1.
Revista do Sociedade de instruccao do Porto. & 10—12. Porto.
1883 in 8°.
BER) ra
257. Bulletino della Societa entomologica. Italiana. Trim. 1 et 2.
1883. Firenze in 8°. |
258. Blasius. Ueber die letzten Vorkommnisse des Riesen-Alks in &*.
259. — Ueber neue und zweifelhafte Vögel von Celebes. Braun-
schweig. 1883 in 8°. |
260. — Ueber Spermophilus rufescens Keys. u. Blas. in 8°.
261. — Zur Geschichte der Ueberreste von Alca impennis. Linn.
1884 in 8°.
262. .Bulletino della reale accademia di Palermo. N 1—3. 1884 in 4°.
263. Mitthellungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern *
1004—72. 1073—82. 1884 in 8°.
2364. Neues Lausitzisches Magazin. Heft 1. Görlitz. 1884 in 8°.
265. Lotos. Jahrbuch für Naturwissenschaft. Band V. 1884. Prag.
22n Sn
366. Verhandlungen der Schweizerischen naturforschenden Gesell-
schaft 18832—83. Zürich. in 8°.
267. Verhandl. d. naturhistorischen Vereins der preussischen Rhein-
lande und Westfalens. Heft 1. 2. 1883—84. Bonn. in 8°.
268. Jahresbericht d. physikal. Vereins zu Frankf. am Main. 1882—
8 in 8%.
269. Journal of the royal microscopical Society. 1884. Part 4. Lon
don and Edinbursh. in 8°.
270. Banueru Biegckaro O6mecrsa Ecreerpoucımrtarenei T. VII Bin.
2. 1884. Kiesr. in 8°.
271. Anzeiger der kaiserlichen Akademie der Wissenschaften. Wien.
1867: 1—3. 7—14. 1868: 1. 8. 1869: 2.20. 28.1870: 11. 22. 1871—
73. 1874. 1875. 1878: 23. 26. 1881. 1883: 2. 3 in 8°.
272. Beiträge zur Anthropologie und Urgeschichte Bayerns. Heft 1.
278.
München. 1884 in 8°.
Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard Col-
lege. 1883. Cambridge in 8°.
274.
288.
289.
290.
om
Giornale ed Atti Societa di acelimazione ed agricoltura in Si-
eilia. Vol. XXIV & 5 u 6. Palermo in 8°.
. Bulletin de la Societe Belge de microscopie. ® X u XI. Bru-
xelles. in 8°.
. American Chemical Journal. N 3.
. Tojdschr. voor entomologie Aft. 1. 2. Seravenhage in 8&.
. Schriften d. naturforschenden Gesellschaft in Danzig. VI Band.
Heft 1. 1884. Königsberg in 8°.
. Hsenwcmia Tinuep. Pyc. Teorpad. O6imecersa. Bun. 2. C.-Ilerep-
6ypr2. 1884 in 8°.
. Berg. Addenda ad hehe Argentina.
. Memoires de l’Acad&mie Imp. des sciences de St.-Pötersboureg.
T. XXXI. ®& 3—16. T. XXXIL ® 1-3 in 4°.
. Beiträge zur Kenntniss d. Russich. Reiches. Band 6. 7. St.-Pe-
tersbourg in 8°.
. Braun. Physikal u. biolog. Untersuchungen.
. Annali della stazione chimico agraria sperimentale di Roma.
Fase. 10. 1883. Roma in 8°.
. Dechen von. Geologische Briefe aus America. Bonn.
. 15 u 16 Bericht des Offenbacher Vereins für Naturkunde. Offen-
bach am Main. 1876 in 8°.
. Sitzungsberichte der naturwissenschaftlichen Gesellschaft Isis in
Dresden. 1868. ® 1—3. 1869. ® 1—3. 7—9. 1871. Jan.— Juni.
1872. Jan.—März. 1873. Apr.—Decem. 1879. Jan.—Dee. 1880.
Jul.—Dec. ın 8.
Abhandl. v. d. Senckenb. naturforsch. Gesellschaft. Band XIH,
Heft 4.
Memoirs of the literary and philosophical Society of Manche-
ster. Vol. 7. 9. 1832 in 8°.
Proceedings of Manchester. Vol. 20—22. 18860—83 in 8°.
.® 3. 1884. 4
— 2 —
29. Jahrbuch für Mineralogie. Geologie und Paläontologie 1334.
Heft 1. 2. Stuttgart in 8°.
292. Report of the British Association. 1333. London in &.
293. Proceedings of the Royal Society of Queensland. Vol. I, part 1.
1884 in 8°.
294. The Quarterly Journal of the geologieal Society. & 159. Lon-
don 1883 in *.
295. Annuaire Statistigque de Buenos-Ayres. 2 annge. 1882.
29. Record of the geolog. Survey of India, part 3.
297. Mittheilungen aus dem Vereine der Naturfreunde in Reichen-
berg. XV Jahrg. 1884 in 8”.
298. Mittheilungen aus dem Osterlande. Band 2. Altenbourz.
299. Plateau. Recherches experiment. des insectes. 1884.
300. — Recherches des invertebres. 1334.
SEANCE PUBLIQUE DU 3 OCTOBRE 1884.
Le Secretaire de la Societe, Mr. le Professeur Lindeman, fait lec-
ture du compte rendu des travaux de la Be pour Yannee aca-
demique 1383—34.
Mr. le Vice President Bredichin communique des observations sur
Y'ecclipse pleine de la lune qui a eu lieu le 22 Septembre 18834.
Mr. J. Ign. Weinberg parle de la transmission du travail du cou-
rant galvanique & distance. La lecture a &t& aecompagnee de plu-
sieurs demonstrations avec des appareils mis a la disposition de
la Societ& par son membre correspondant Mr. Hamburger, le suc-
cesseur de Mr. Schwabe.
SEANCE DU 18 OCTOBRE 188.
Le Secretaire de la Societe,Mr. le Professeur Lindeman, fait lec-
ture d’une lettre adressee au President de la Societe de la part de
Son Altesse Imperiale Monseigneur le Grand Duc Nicolai Michai-
Iovitsech qui remercie pour son &lection de membre honoraire de la
Societe.
Mr. le Professeur Alex. Sabaneeff remet un travail sur la compo-
sition chimique de la boue d’un des volcans de la presqu’ile de
Tama.
Mr. E. Kislokovsky presente une notice sur l’analyse chimique de
2 speeimens du sel glauberien, provenant du Caucase.
Mr. le Secretaire, Professeur Lindeman, communique que Mr. le
Professeur Goroschankine a annonc& au Conseil de la Soeciete
que les herbiers de la Societe qui se trouvent entre ses mains
sont examines et mis en ordre et que le Conseil dans sa seance
du 12 Octobre a decide, d’apres le $ 3 de son Reglement, de faire
don & l’Universit& de tous ces herbiers en demandant a Mr. Goro-
schankine de prendre les mesures ne&cessaires pour indiquer pour.
toujours que ces herbiers sont un don de la Societe. Ces herbiers
consistent en 73 differentes collections.
S. Exc. Mr. Bitschkoff envoie 12 paquets destines ä la Soci6te, et
venus par la Commission internationale d’&change de la France et.
de l’Amerique.
Le meme envoie sa carte photographiee,
Mr. Venceslav Iv. Dybovski demande si un travail de son frere
sur les Crustac&es du lac Baical pourrait &tre publie sans retard
dans notre Bulletin.
Le meme Ecrit qu’il est occup® d’un travail sur les eponges de la
mer d’Ochotsk, que son frere a rassemblees dans le temps et prie
de ni envoyer les Bulletins qui contiennentle travail de Mr. Tcher-
niavsky sur les eponges de la mer Caspienne.
| La Societe pour Vhistoire et larcheologie des provinces baltiques a
Riga celebrera le 6 (18) Decembre l’anniversaire de 50 ans d’exi-
stence et invite & y prendre part.
Mr. le Dr. E. Kugler de Pfronten en Bavarie envoie le 22-&me
Rapport de la Societe sil&sienne pour l’Echange botanique. Mr. Kug-
ler communique que 75—77000 parts (de plantes) sont & distribuer
cette annee et prie MM. les Auteurs d’envoyer les diagnoses des
nouvelles especes, en particulier de telles qui sont divulgees par la
Societe.
aß
Mr. le Dr. Guido Schenzel envoie ses observations magndto-me-
teorologiques faites a Boudapest pendant le mois de Septembre de
cette annee. i
Mr. le Professeur Dr. Alexandre Pagenstecher, Directeur du Mu-
see d’histoire naturelle de Hambourg, envoie plusieurs de ses publi-
eations et en m&me temps son Rapport imprime sur les travaux ex6-
ceutes et l’etat du: Musde d’histoire naturelle de Hambourg pour
1883 et propose l’öchange des publications.
Mr. Adolph Senoner de Vienne annonce la mortde feu notre mem-
bre, Leopold Fitzinger de Vienne, et ENBagR a prendre part au Ju-
bil& de 50 ans du Professeur Meneghini, qu’on va celebrer au com-
mencement de Decembre a Pise.
M-elle Virginie le Comte annonce le deces de son frere, feu notre
membre Francois Theophile Lecomte, mort le 6 Octobre dans sa
66-e annee,
Mr. le Professeur Ad. Schuster de Krems prie de lui faire savoir
l’adresse‘de. Mr. Hugo Christoff et d’autres Entomologues de la
Russie.
La Bibliotheque publique d’Alexandre ü Samara prie de lui accor-
der nos. publications. |
La Societe Royale bohemienne des sciences a Prague va celebrer le
6 Decembre (24 Novembr ©) le centi&me anniversaire de sa fondation
et invite A prendre part & cette solennite.
Mr. T. Cruls annonce que, par Decret en date du 9 Aoüt, Sa Ma-
jeste l’Empereur du Br&esil a daigne le nommer " Dir ecteur de l’Ob-
servatoire Imperial (le Rio de. Janeiro.
La Societe d’histoire naturelle de Hannovre, la Sociele des N atur @-
listes de Danzig et la Societe Linneenne de Bordeaux ont envoye cha-
cune plusieurs volumes ou livraisons de leurs publications, qui man-
quaient dans notre bibliotheque. D’autres Institutions ou Societes de
l’Allemagne et de la France ont annonc& l’envoi fait de leurs ı ubli-
cations pour remplir les lacunes de notre bibliotheque.
Mr le Professeur Baron Nardenskiold de Stockholm a envoy& le
don annonce des Comptes-rendus de toutes les exp6ditions polaires
suedoises; le: Conseil de, la Societ& propose. en suite de cet envoi
delire Mr. Nor denskiold ‚membre de la Societe.
|
9 > |
La Cotisation pour 1885 a &t€ payce par Mr. Th. A. Sloudsky.
Des remerciments pour l’envoi des publications de la Societe de
da part de l’Universite, de la Bibliotheque publique, de Institut
forestier, de l’Observatoire central, du Comite geologique de St.-PE-
tersbourg, de l’Observatoire me&t&orologique de Dorpat, des Jardins
botaniques de St.-Pötersbourg et de Varsovie,et de administration
des mines de la Finlande a Helsingfors, de MM. Alex. Fischer de
Waldheim de Varsovie, Ed. Bogd. Lindemann d’Elisabethgrad et
F. E. de Herder de St-Petersbourg, de la part de la Societe ame-
ricaine philosophique de Philadelphie, de la Societe d’histoire na-
turelle, Lotos, de Prague, de la Societe entomologique suisse, de la
Societe d’histoire naturelle generale a Berne, de 1’Institut Smith-
son de Washington, et de Mr. Adolph Senoner de Vienne.
Mr. le Professeur A. P. Sabaneeff fait une communication concer-
nant la polemerisation du Brome azetilene.
- Mr. M. A. Mensbier expose les r&sultats de ses observations con-
‚cernant l’osteologie des pinguins.
DONS
Livres offerts.
1. Pagenstecher, H. A. Trematodenlarven u. Trematoden. Heidel-
berg 1857 in 4°.
2.— — Ueber das Lufteinblasen zur Rettung scheintodter Neu-
geborner. Heidelberg 1856 in 8°,
“3. — — Zur Anatomie von Echinorhyngus proteus. 1863 in 8°.
eu 2 jeber Aufstellung der Quallen in den Museen. in 8°.
Pe Die Thierwelt Australiens. 1865 in 8°.
6 — — Mensch und Affe. in 8°.
2. — — Aus dem Agrikulturbericht der Vereinigten Staaten von
Nordamerika für 1871, 1872 u. 1873, 1872, 1874 in 8°. -
8 — — Miszellen zur Thierwirthschaft in Nordamerika. 1373
in 8°,
>
10.
— 30 —
. Pagenstecher, H. A. Zur Entwickelungsgeschichte der Trema-
toden. 1881 in 8°.
— — Dr. Pagenstecher. Ein Kurzes Lebensbild. Heidelberg
1875 in 8".
11. — — DVUeber die Hirsche. 1881 in 8.
12. — — Naturhistorisches Museum zu Hamburg. Hamburg 1884
in 8°,
13
14.
. Fischer, I. G. Ueber einige afrikanische Reptilien, Amphibien
u. Fische des Naturhistorischen Museums zu Hamburg. Ham-
burg 1884 in 8°. Les % 1—13 de la part de Mr. le Dr. A. Pa-
genstecher de Hambourg.
Bulletin of the Torrey botanical Club. Vol. XL * 1—9. New-
Iork 1884 in 8°. De la part du Club botanique Torrey « New
Iork.
. Journal of the American Medical Association. Vol. 3 % 11, 12,
13, 14. New Iork 1884 in 8%. De la part de la Redaction.
. Nature. N 778, 779, 780, 781. London 1884 in 8°. De la part
de la Redaction.
7. Zoologischer Anzeiger. 1884. Jahrgang 7. “ 177, 178, 179. Leip-
zig 1884 in 8°. De la part de Mr. le Prof. Vict. Carus de Leipzig.
. Bulletin de ’Avademie de medecine. 1884. & 89, 40, 42. Paris
1884 in 8%. De la part de l’Academie de medecine de Paris.
.. Feuille des jeunes Naturalistes. 1884. N 168. Paris 1834 in 8°.
De la gart de Mr. Adrien Dollfus de Paris.
. Russische Revue. Jahrg. 13, Heft 3. St.-Petersburg 1884 in 8°,
De la part de Mr. R. Hammerschmidt de St.-Petersbourg.
. Zanucrw UHnu. O6wmeersa Ceisckaro Kosalerzra W)xHon Pocecin.
1884. Mair, Imap, Iwas. Orecca 1884 in 8°. De la part de la So-
ciete I. d’agriculture d’Odessa.
. Ofversigt of finska Vetenskaps-Societetens Förhandlinger. XXV.
1882—83. Helsingfors 1885 in 8°.
. Acta Societatis seientiarum fennica. Tomus XIII Helsingforsiae
1884 in 4°. Les % 22, 23 de la part de la Societe finnoise des
sciences a Helsingfors.
25.
30,
31.
33.
34.
36.
. Comptes Rendus des seances de la Societe de Biologie. 1884. N
29—32. Paris 1884 in 8°. De la part de la Societe de Biologie de
Paris.
Annales des sciences naturelles. Zoologie. Tome 15, \& 5 et 6.
Tome 16. .& 1—3, Paris 1883 in 8°. De la part de MM. Milne-
Edwards de Paris.
. Zeitschrift für Naturwissenschaften. 1854. Mai—Iuni. Halle a. S.
1884 in 8°. De la part de la Societe d’histoire naturelle de
Halle a. 8.
. The London, Edinburgh and Dublin Philosophical Magazinie and
Journal of scienee. Tifth series. & 110. London 1884 in 8°. De
la part de la Redaction.
. Jahresbericht des physikalischen Vereins zu Frankfurt a. M.
für 185657, 1857—58, 185960, 1861-62, 1865—66, 1874—75.
Frankfurt a. M. 1857—76 in 8°. De la part de la Societe physi-
.cale de Francfort s. M.
. Bollettino della Societa geografica italiana. 1884. Fasc. 9. Roma
1884 in 8°. De la part de la Societ€E geographique italienne de
Rome.
Aypnas» MaunHucrepcerga Hapoısaro Ilpocstmeria. 1884. Cer-
Ta6p:. C.-Herep6. 1884 in 8°. De la part de la Redaktion.
Mittheilungen des historischen Vereines für Steiermark. Heft
32. Graz 1884 in 8°.
. Beiträge zur Kunde Steiermarkischer Geschichtsquellen. Jahr-
gang 20. Graz 1884 in 8°.
Stiria illustrata Bogen 9—12. Graz 1884 in 8°. Les .% 31, 32, 33
de la purt de la Societe historique de Graz.
Haemcmia Teoaornyeckaro Komntera. 1884. \ 6. C.-Herepöyprs
1854 in 8°. De la part du Comite geologique de St.-Petersbourg.
. Mittheilungen der K. K. Geographischen Gesellschaft in Wien.
Band 27, %& 6. Wien 1884 in S°. De la part de la Societe geo-
graphique de Vienne.
Trautvetter, E. R. a. Increrınenta florae phaenogamae rossicae.
Fasc. 4. Petropoli 1884 in 8°. De la part de l’Auteur.
I.
9.
40.
41.
45.
4.
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Ba.
Garlen-Zeitung. Jahrganz 3. ® 40, 41, 42. Berlin 1884 in 8°. De
la part de Mr. le Dr. Wittmack.
. Der Naturforscher. 1884. N 25, 26, 28—33, 35—87—39, 40. Ber
lin 1884 in 4°. De la part de Mr. le Dr. Sxlarek,
Mittheilungen aus der Zoologischen Station zu Neapel. Band >,
Heft 2. Leipzig 1884 in 8°. De la part de Mr. le Dr. A. Dohrn
de Naples.
Petermann’s Mittheilungen aus I. Perthes Geographischer An-
stalt. Band 30. Heft VI—VII, IX. Gotha 1884 in 4°. Dela part
de Mr. Justus Perthes de Gotha.
Mau, W. Ueber Scoloplos armiger C. F Müller. Leipzig 1831
in 8°. De la part de !’Auteur.
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Innsbruck. Jahrgang XIII. Innsbruck 1883 in 8*%. De la part de
la Societe d’histoire naturelle et de medecine d’Insbruck.
Mittheilungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern aus
dem Jahre 1882. Heft 2;—aus dem Jahre 1883, Heft 1. Bern
1883 in 5°. De la part de la Societe des Naturalistes de Bern.
Mittheilungen der Schweizerischen Entomologischen Gesell-
schaft. Vol. 7, Heft 1. Schaffhausen 1834 in 8°. De la part de la
Societe entomologique suisse de Schaffhouse.
. Atti della Societa crittogamologica italiana. Anno 27. Ser. 2,
vol. 3. Disp. 3. Varese 1884 in 8°. De la part de la Soeiete de
Criptogammologique a Milan.
. Hzswcmia Humı. Pyeckaro Teorpadunyeckaro Oömeersa. Toms 20,
Bin. 3. C.-Ilerepö. 1884 in 8°.
. Omuemz BocToTE0-Cn6npckaro Orıtıa H. Pyeee. Teorpad. Oö-
zıecrsa 34 1883 rors. C.-Ilerepö. 1884 in 8°.
. — 3anaıao-Ci6nper. OT. Hun. Pycee. Teorpad. Oömeersa 34
1883 r. C.-Ilerepöyprt. 1884 in 8°. Les .£ 46—48 de la part de
la Societe I. geographique russe de St.-Pelersbourg.
Verhandlungen u. Mittheilungen des Siebenbürgischen Vereins
für Naturwissenschaften in Hermannstadt. Jarhgang 34. Her-
mannstadt 1884 in 4°. De la part de la Societe d’histoire natu-
relle de Hermannstadt.
dl.
82.
8.
d4.
‚55.
56.
57.
58.
59.
60,
61.
— 33 —
Report of the scientific results of the voyage of. H. M. $. Chal-
Ienger during the years 187376. Zoology. Vol. 9. Plates. Lon-
don 1884.
Crepin, Francois. Manuel de la flore de Belgique. 5 edit. Bru-
xelles 1884 in 8°. De la part de l’Auteur.
‚Bericht (18-ter) der Oberhessichen Gesellschaft für Natur-u.
‚Heilkunde. Giessen 1879 in 8°. De la rart de la Societe d’his-
toire naturelle et de medecine de Gissen.
Meduneencrii Cöopankp. 1884. Ne 38. Tupıncv 1884 in 8°.
lIpomoroas SIKCTPpaopınuHapHaro Sackıania Hmm. FraBkasckaro
Meaunnsckaro O6mecrsa. 1884. M 5. Tupıncn 1884 in 8°. Les %
54, 55 de la part de la Societe I. des medecins du Caucase a
Tiflis.
Bulletins des travaux de la SocieteE murithienne du Valais de-
puis 1868 jusqu’a 1871. Fascic. 2, 7 et 8, 11,12. Geneve et Neu-
chatel 1873—84 in 8°,
Tissiere, P. G. Guide du Botaniste sur le Grand St. Bernard.
Aigle 1868 in 8°. Les N’ 56, 57 de la part de la Societe muri-
thienne du Valais & Neuchatel.
Anales de la Sociedad cientifica argentina. Entregaz, Tomo 18.
Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de la Societe scientifique
argentine de Buenos-Aires.
The Geological Magazine. 1884. le ben London 1884 in 8°.
De la part de Mr. Woodward.
Jahresbericht der Gesellschaft für Natur-u. Heilkunde in Dres-
den. 1883—84. Dresden 1884 in 8% De la part de la Societe
d’histoire naturelle et de medecine a Dresde.
Neueste Schriften der Naturforschenden Gesellschaft in Danzig.
Band 6. Heft 2 u. 3. Danzig 1861 in 4°.
Schriften der Naturforschenden Gesellschaft in Danzig. Neue
Folge. Band 6, Heft 1. Danzig 1884 in 8°. Les % 61, 62 de la
part de. la Societe d’histoire naturelle de Danzig. .
. Chronique de la Societe nationale d’acclimatation de France.
Annee 10. ® 19, 20. Paris 1834 in 3°. De la part de la Societe
nationale d’acclimatation de Paris.
"3. 1884. 5
606.
67.
69.
70.
71.
12.
78.
BRNO: 7 chin
. Sitzungsberichte der Kön. Preussischen , Akademie’ der Wissen-
schaften zu Berlin. XVII—XXXIX. Berlin 1834 in’. De la
pari de l’Academie R. des sciences de Berlin. |
. Texnuns. 1884. NM 54, 55. Mocksa 1884 in 4% De la’purt de la
Redaction.
. Landwirthschaftliche Jahrbücher. Band XII, Heft 4 u. 6. Band
XII. Supplement 1. Berlin 1884 in 8°. De la part du ministere
d’agrieulture de Prusse a Berlin.
Müller. Konrad. Vergleichende Untersuchung der anatomischen
Verhältnisse der Clusiaceen, Hypericaceen etc. Leipzig 1882 in
8°. De la part de lV’auteur.
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15884 in 8°. De la part de la Societe de Borda Dax.
. Duweps Hons-Banvhreuns A. Kype» borauuku. YUacız I. Bapııasa
1884 in 8°. De la part de l’auteur.
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Carte geologique. NM 7 de la Finlande. Helsingfors 1884 in 8°
et in fol. De la part de l’administration des mines en Finlande
a Helsingfors. |
Bovartani Lapok. 1 Kötet. Füzet 7—9. Budapest 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Redacteur Horwath Geza.
Jahresbericht (1, 2, 5, 6, 7, 9-ter u. 33 ter) der Naturbistori-
schen Gesellschaft in Hannover. Hannover 1851—1884 in 8° u.
4°. De la part de ia Societe des Naturalistes de Hannovre.
Hayden, F. V. Preliminary Report of the United States geolo-
gical Survey of Wyoming. Washington 1872 in 8°. De la part
de lauteur.
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phique americaine de Philadelphie.
. Macoun, John. Catalogue of Canadian Plants. Part 1. Montreal
1883 in 8°. De la part de l’auteur.
. Schomburgk, R. Report of the progress and condition of the
botanic garden etc. during the year 1882. Adelaide 1883 in fol.
De la part de Vauteur
78.
1%
81.
85.
84.
86.
87.
re
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- handlinger. 1873. ® 2. Kjobenhavn 1873 in 8° De la part de
la Soc.et€ Royale des sciences de Copenhague.
. Mittheilungen der Anthropologischen Gesellschaft in Wien.
Band 11, Heft 3 u. 4. Band 12, Heft 11. III, IV. Wien 1882 in
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Joly, Ch. et Andre, Ed. Exposition universelle de la Nouvelle-
Orleans. Paris 1884 in gr. 8. De la part de Mr. Joly.
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De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm de Cassel.
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tritz in Siebenbürgen. Bistritz. 1883 in 8°. De la part de l’au-
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Annual Report of the Board of Regents of the Smithsonian In-
stitution for the year 1879. Washington 1880 in 8°. De la part
de UlInstitut Smithson de Washington.
. Annales de la Societe entomologique de France. Serie 4. Tome
10, partie supplömentaire. Paris 1875 in 8°. De la part de la
Societe entomologique de France de Paris.
Jahr buch der K. K. Geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1881.
\ 1. Jahrg. 1882. ® 2 u. 3. Wien 1881—82 in gr. 8°. De la part
de U’Institut I. R. geologique de Vienne.
Report of Progress for 1880—82. Montreal 1883 in 8°. De la
part de la Societe geologique et d’histoire naturedlle dw Canada
a Montreal.
. Transactions of the American philosophical Society. New se-
ries. Vol. 15, part 2. Philadelphie 1875 in 4°. De la part de la
Societe philosophique americaine de Philadelphie.
Omuems 0 cocroaniu C.-Ilerepöyprexaro ‚IbcHaro Hncruryra 3a
1883 r. C.-IIerep6. 1884 in 8°. De la part de UInstitut forestier
de St.-Petersbourg.
Memeoposoruuecriü C6OPHHKB N3TaBaeMuIH Mmnepar. Akatemiem
Haykt. Toms 6, zii. 2. C.-Derep6. 1879 in 4°. De la part de
Mr. le Dr. H. Wild. de St.- Petersbourg.
88.
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so.
91.
3.
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9».
96.
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mon al
The scientific transactions 0x the Royal Dublin Society. Vol. 1
(serie 2) XX—XXV. Vol. 3. (Ser. 2) 1. Dublin 1882—83 in 4°.
The Scientifie Proceedings of the Royal Dublin Society. Vol. 3
(Hew ser.) N 6, 7. Vol. 4. & 1—35. Dublin 1882—83 in 8°. Les &%
89, 90 de la part de la Societe Royale des sciences de Dublin.
Bulletin mensuel de la Societe nationale d’Acclimatation de
France. Annee 31-&me. \ 5, 6. Paris 1884 in 8°. De la part de
la Societe nationale d’Acclimatation de France de Paris.
Favre, Alphonse. Carte du phenome&ne erratique et des anciens
glaciers du versant Nord des Alpes suisses et de la Chaine du
Montblanc. 4 cartes. Geneve 1884 in gr. fol. De la part de
V’auteur.
. Bulletin del Instituto Geografico argentino. Tomo 5, Cuaderno
9. Buenos-Aires 1884 in 8°. De la part de U’Institut geographi-
que argentin de Buenos-Aores.
Entomologisk Tidskrift. 1884. Häft1 0 2. Stockholm 1884 in 8°.
De la part de la Societe entomnlogique de Stockholm.
Anales de la Sociedad espagnola de historia natural. Tomo 13,
Cuaderno 2. Madrid 1884 in 8%. De la part de la SocielE Espag-
nole d’histoire naturelle de Madrid.
Personalstand der K. K. Franz-Jos. Universität zu Czernowits
1884--85. Czernowitz 1884 in 4%
Verzeichnis der öffentlischen Vorlesungen an der K. K. Franz-
Jos. Universität zu Czernowitz 1884-—-85. Czernowitz 1884 in 4°.
Les N 96, 97 de la part de "Universite de Czernowitz. :
Bulletin de la Societe geologique de France. 3 serie: Tome 9.
% 7. Tome 10, & 7. Tome 12, M 4, 5, 6. Paris 1882—84 in 8°.
De la part de la Societe geologique de France a Paris.
Meavnuxoes, H. Il. Buictasku BB O1ecc$. 1884. O1ecca 1884 in
8°. De la part de V’auteur.
Bulletin de la Soci6te 2 slosidno de France pour l’ann&e 1834.
Parties 1 et 2. Paris 1884 in 8°. De la’part de la Societe zoolo-
gique de France a Paris,
100.
101.
102.
103.
104.
105.
106.
107.
108.
109.
110.
— 31 —
Mittheilungen des K K. Militär-Geographischen Instituts. Band
4. Wien 1884 in 8°. De la part de U’Institut I. R. geoyruphique
militaire de Vienne.
Actes de la Societe Linneenne de Bordeaux. Tome 25, Tome
29 et Tome 30. Bordeaux 1864—73 in 8°. De la part dela So-
ciete Linneenne de Bordeaux.
Bulletin de la Societe botanique de France. Tome 28. Comptes-
rendus 6-bis. Tome 29, Tome 30. Comptes rendus 1—4. Revue
bibliographique A—D. Paris 1881—83 in 8°. De la part de la
Societe botanique de France de Paris.
Annales de la Societ€E entomologique de France. Annee 1883.
Trimestre 1—4. Paris 18893—84 in 8°. De la part de la Societe
entomologique de France de Paris.
Journal of the Royal Microscopical Society. 1884. October. Lon-
don 1884 in 8°. De la part de la Societe Royale de Microscopie
de Londres.
Nuovo Giornale botanico italiano. Vol. 16. % 4. Firenze 1884
in 8°. De la part de Mr. T. Caruel de Florence.
Pycexiü BEcTHukt. 1884. CeHnta6pt. MocksBa 1884 in 8°. De la
part de la Redaction Katkoff.
Bulletin de la Societe Linnöenne de Normandie. 3-e serie. Vol.
7. Caen 1883 in 8°. De la part de la Societe Linneenne de Nor-
mandie a Caen.
Bulletin de la Sociste des sciences de Nancy. Serie 2, Tome
6. Fasc. 16. Paris 1884 in 8%. De la part dela Sociele des scien-
ees de Nancy.
Bulletin de la Societe d’histoire naturelle de Toulouse. Anne
17 et de l’Annde 18 (1884). Janvier—Mars. . Toulouse 1885—84
in 8°. De la part de la Societe d’histoire naturelle de Toulouse.
Danielssen, D. C. og Koven, Johan. Asteroiden. (The Horwegian
_ horth—Atlantic Expedition) met 15 planches. Christiania 1884
111.
in 4°. De la part du Cömite de Vexpedition Norvegienne du
Nord Atlantic.
Tpyodoı Mmn. BoIBHaro Ykonomnyeck. O6mecersa. 1884 r. T. >.
Centa6pst. C.-Herep6. 1884 in 8°. De la part de la Societe T.
libre economique de St.-Petersbourg.
112.
113
114.
118.
119.
-—- 98 —
Annali del Mus&o civico di Storia naturale de Genova. Vol. 18,
19. Genova 1883 in gr. 8. De la part du Musee civique d’histoire
naturelle de Geneve.
Journal de Conchyoliologie. Tome 23. NM 1, 2. Parıs 1383 in
S%. De la part de MM. Crosse et Fischer.
Bulletin de la Societe acadömique franco-hispano-portugaise de
Toulouse. 1884. ® 1. Toulouse 1884 in 8°. De la part de la So-
ciete academique franco-hispano-portugaise.
d. Ompyse. T. Ho noBoıy noasıenia dbmnokceps 85 Kpsmy. Tmb-
Ancs 1881 in 8°.
— ee eu se => => ———u => u LT — — —
— 3% Oyxystt. Tupıncs 1882 in $°.
.ı. —— — — — — —— _ — — — N —_—— -—— — —
— 85 Cyxym#. Tupancr 1884 in 8°. Les % 115—117 de la part
de Mr. le Professeur Ch-s Lindeman.
Jo«rnal de Micrographie, 1884. ® 9. Paris 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Dr. I. Pelletan.
Memoires de l’Acad&mie des sciences, belles lettres et arts de
Lyon. Classe des sciences. Vol. 26. Lyon 1883—84 in gr. 8°. De
la part de l’Academie des SUR de Lyon.
. Nordenskiold, A. E. Vega Expeditionens en Iaktta-
selse. Bandet 1—3. Stockholm 1882—83 in 8°.
.— — Vegasfärd kring Asien och Europa. Del. 1—2. Stock-
holm 1881 in 8.
. Rosny Leon de. Catalogue de la Bibliotheque Japonaise de Nor-
denskiold. Paris 1883 in 8°. Les .% 120—121 de la part de Mr.
A. E. Nordenskiold.
MIEMBRES DI BUREAU
POUR L’ANNEE { 885.
Pnasıwont. Mr. Charles Iv. Renard, Conseiller prive. Staroi
Pimene, maison de Ja Princesse Koudacheff.
VIOR-PRESIDENT: Mr. Theodore Bredichin, Conseiller d’Etat
. ..actuel, & !aPresnia, m. de l’Observatoire at ONO-
. mie de l’Umiversite.
SBORKTAIRI: Mr. Charles Lindeman, Canseiller d’Etat, Pro-
ar 0. desseur & l’Academie de "Petrovs I a Petrovsky-
Razoumovsky.
MEMBIES DU CONSEIL: 0
Mr. Serge Oussoy, Conseiller d’Etat actuel.
. Aphanasievskoi Pereoulok, maison. Fritsch.
Mr. Theodore Sloudsky, Conseiller d’Etat ac-
‚tuel, @ la Pakrovka, maison Alam, ‚pres de l’eglise
Troitzi griazi.
- Mr. Valerien Kiprijanof, oneiller pri-
yo Cheremeticvsky Pereoulok, m. Oheremetieff, % 11.
a Mr. Alexandre Sabaneeft, Professeur ä
Y’Universite. De ao Per. m. de ? u
versile.
LIOTHROAIRI: Mr. Constantin Pirenelkine Rue ale.
ni a mande, Poslanmikov Pereoulok, maison Deisalle.
NSERVATE U RS DES COLLECTIONS:.
“. Adrien Golovatschov, Oonservateur des col-
lections zoologiques. Premiere Metschanskaia, m.
du Jardin botanigque de Y’Unwersite.
2 : Mr. Ch. Lindeman, Professeur, & ’Academie Age i=
eulture de Petrovsky-Razoumovsky,.
nn Mr. JI.N. Goroschankine, Professeur. Oenservateur
‚des collections a au ander botamique de
l’Universite.
ei Mr. Valerien Kiprij no Cons.prive. Conservateur
a des colleetions mineralogique et pal&ontologigue.
a . Cheremetievsky ‚Pereoulok, m. ‚Oheremetich, Ja 11.
E EBRE ADJ OINT pour la Rödaction des M&moires et du Bulletin:
» Mr. Jean Dumouchel, Conseiller d’Etat actuel.
‚ Gonteharnaia, maison Stepanow.
HSORIER ET AIDE-BIBLIOTHECAIRE:
Mi. Alexis Koudriavzev. Arbat, Krivonikolskoi
ee, mM. Magher ovskoi.
TABLE DES MATIERES
CONTENUES DANS CE NUMERO.
Page.
"Quelques formules de la th&orie.des comötes. Par Th. Bre- 4
diehin....22.20 - i Bet R Di
Neue Beiträge zur Ken der Crustheene Pia des Baikal- |
Sees. Von Dr. B. Dybowski. Mit3 Tafel-Abbildungen. Be
Sur la grande com&te de 1811. (Avee une planche). Bar: Th. Ei
Brediehm.:; 432.28. 52.002 ea ee iR Fer Be
O 206mBaBin H nozumepasaniır Bpomanernaesa. A. lab \
Sur les tetes des cometes. (Avec deux figures). Par Th. Bre-
dıchim, www er ee ET
Cnucok$ PacreHif H3b ChBepHoi yacıı Pasauenoit 1yOepei Rn
Buxtopa MSmaeB2. . . „mn nn nenn Bi
"Notes sur Y’histoire geologique des oiseaux- ‚Par A. Paulow. . 10
‚Liste des algues observ&es dans le gouvernement ‚de Moscon. E:
Par A, Artari: .... Ba tn we Sr
‘Ein Beitrag zur Kenntniss der im Baikal-See lebenden en Eee
arten von Dr. W. Bybewski in Niankow. ie Taf. IV. r
Hozsıe suası pora Jalla Hahn. B. E. Izonzesa,. - . . ..
"Reise nach Chanskaja Stafka und zum grossen Boynhbere: Be-
schreibung der Mylabris melanura - Larve; Verhinderung |
der Wasserscheu durch Cetonia- re das ‚Vorkommen
Yon Alex Becker. :-:: a. ea
Note sur les Pecten lucidus Goldf. R. bifidus Nünst. Par 5
Marquis. Ant. de Gregorio. re ee
‚Extrait des protocoles des seances de la Sociöte, des Natu
list£R: 35: SS 35,05 Sn ae 7
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DE MOoscon.
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on du Docteur
ee 2 planches)
.
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EXTRAIT DU REGI
DELk > 0: Er
u
Y ’ - 5 rn
SOCIETE INPERIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU. E5 = = > Ei
Annde 1884, —79-&me de sa fondalion. >
——— 0. LE ee u
Les Membres qui auront paye la eotisafun: de: 4 Rbis- ar suuel ie
ment, ou la somme de 40 Rbls une fois payee, ‚recevront, sans: |
«ane rederance nouvelle, ies Mömcires et le Bulleüön de la Societ@&
L’auteur de tout M&moire inser& dans les publications de k
cite, recevra graiuiiement 50 = de > >
a part. -g
Les travaux presentes & la Societe veurent a öirereige a a
ies les langues generalement en usage. |
la Societe doit a ia munifieence de Sa
somme aunnelle F u r. 4c.
17 Var "
31 Fäeyrier. = ni gi Eee re
14 Mars. a a a pbı
18 u = i: 2. >19-Decen
BULLETIN
SOCIETE IMPERIALE
D53 VATURALISTES
Toms LX
ANNEE 1884.
N Te
MOSCOU.
Imprimerie de l’Universit6 Imp£riale. (M. Katkoff.)
1884.
ENUMERATION DES ESPEGES DE PLANTES VASCULAIRES
DU GAUGASE
par
M. Smirnow
de Tiflis.
L’enumeration de toutes les especes de planles vas-
culaires recueillies jusqu’a ce jour au Gaucase, a l’etat
spontane, avec l’indication des localites, ou elles furent
irouvees, ainsi que ’examen critique des opinions, souvent
contradictoires, exprimees par divers botanistes a l’E-
gard d’un grand nombre de ces plantes, constituent un
iravail pr¶toire indispensable pour les recherches
ulterieures relatives aux rapports de la flore du Caucase
avec celles des autres pays de l!’Europe et de l’Asie.
Les memoires des divers savanis, qui ont consacre leur
temps a l’Eiude de la flore Gaucasienne, sont &pars dans
differeuts recueils p&riodiques, souvent peu repandus et dif-
ficiles a obtenir; la necessite de remonter a ces travaux
originaux, malgr& les obstacles qui se pr&sentent, derive
du peu d’accord qu’on rencontre chez les auteurs plus
recents qui les citent. La Flora Rossica de Ledebour,
N 4. 1884. | 12
— 182 —
terminee en 1853, et la Flora orientalis de M-r Boissier
qui vient d’ötre achevee, sont les deux grands ouvrages
ou se trouvent mentionnees les especes de la Flore Gau-
casienne, mais aucun d’eux nen donne une Enume£ration
complete.
Le nombre des especes decouvertes au Gaucase depuis
l’apparition de la Flora Rossica est tres consid£rable, ei
’oeuvre de M-r Boissier ne les contient pas toutes; le
savant auteur de la Flora Orientalis, s’etant donne Ha
täche de decrire la flore d’un immense territoire, on ne
saurait s’attendre a trouver dans son livre une &nume-
ration complete des especes de chaque province. En outre,
des especes nouvelles ainsi que d’autres qui n’avaien!
pas &te trouvees au Caucase jusqu’alors, tout en £Etant
connues ailleurs, mais qui y furent recueillies apres la
publication des premiers volumes de la Fiora Orientalis,
vinrent former un appoint considerable a la flore du
pays *). I
Get expose des sources ou l’on doit puiser pour obtenir
une enumeration complete des especes qui composent la
vegetation du Caucase, et le catalogue detaille des Ecrits
qui yont trait place a la fin de cette prelace, demontrent
la nEcessite du travail de colligation dont nous nous sommes
charge, en vue d’&tablir une base indispensable pour des
recherches ullerieures d’un ordre plus eleve.
Le nombre et la reputation des savants qui onl con-
tribue a P’etude de la flore du Caucase, soit en collection-
nant dans le pays, soil en examinant les herbiers qui
leur &taient envoyes, nous auforise a penser que les
”) Les descriptions des especes nourelles sont dües & M-r de Trautvet-
ter et se trouvent dans les huit rolumes des Acta Horti Petropolitani.
— 19 —
especes nouvelles, que pourront nous donner les recherches
futures ne sauraient &tre bien nombreuses. Il n’en est pas
de m&me pour les donnees nouvelles relatives a la dis-
tribution des especes dans les differentes regions du Gau-
case. Les notions que nous avons sur ce sujet sont
d’ordinaire bien vagues et bien fragmentaires. La plu-
part des savants qui vinrent visiter le Gaucase, en vue
d’herborisations, ne purent accorder a leurs excursions
hälives qu’une partie de l’et&, et les rares botanistes qui
y sejourneren! plus longtemps, se consacrerent a l’eiude de
certains distrieis de predilection. Le manque de recher-
ches s’etendant du printemps a l’aulomne, explique pour-
quoi la flore des plateaux et des plaines du Caucase
est: bien moins connue que celle des monlagnes, laquelle
developpe toutes ses richesses au coeur de Fete, a l'epo-
que habituelle des herborisations.
Notre but etant de fournir une contributior a l’etude
du Gaucase au point de vue de la geographie botanique,
nous trouvons neEcessaire de faire preceder l’eEnumeration
des especes qui composent la flore Gaucasienne par un
court'apercu de l’orographie et du elimat de son domaine.
Apercu orographique..
L’expose, que nous offrons, des principaux trails oro-
sraphiques du Caucase, n’est qu’une traduclion abregee
d’un excellent article de M-r Salatzky, insere dans les
Memoires de la section caucasienne de la Societe Impe-
riale de geographle. ”) t. VII.
Le territoire designe sous le nom general de Gaucase,
*) Bauucku Kasras. Orataa Hnnep. pycckaro reorpahpay. O6m. r. VII.
12*
— I84 —
comprend Fisthme ponto-caspien et les parties adjacentes
de l’Armenie. Cette region n’est pas renfermee dans des
limites de geographie physique bien tranchees. Nettement
defini & est comme ä l’ouest par les deux mers qu’il
separe, le Caucase n’est delimile au nord et au midi que
par des frontieres politiques, ne coincidant pas tou-
jours avec quelque trait saillant du relief. Au nord, les
plaines du Kouban, de Stavropol et du Terek se confondent
insensiblement avec celles de la Russie du sud-est. La
fronliere administrative de la lieutenance generale du Gau-
case y est indiquee par les cours de deux petits fleuves,
le Kouga-Jeia et ’Jegorlik moyen, et par le sillon oceupe
par les deux Manytchs, dont l’un deverse ses eaux dans
la mer d’Azoff et l’autre se dirige, sans l’alteindre, vers
la mer Gaspienne. Ges minces filets d’eau, acceptes comme
limite septentrionale du CGaucase, separent des plaines qui
ne different sous aucun rapport; mais, a defaut de toute
frontiere plus naturelle, on est bien forc& de s’en contenter.
La limite meridionale du Gaucase n’est pas beaucoup plus
naturelle que la precedenie. Sa ligne sinueuse coincide
bien, dans quelques parties de son trajet, avec des chaines
de montagnes ou avec le cours de l’Araxe, mais ici com-
me au nord, Jes contrees, situees des deux cötes de la
frontiere, ne different pas par leurs caracteres physiques,
La difficulte d’assigner au domaine de la flore, qu’on
eiudie, des limites de geographie physique bien tranchees
aete deja signalee par M-r De-Candolle dans son c&lebre
ouvrage; *) elle apparait loujours, des op est en pre&-
sence d’une vasie region continentale qui n’a pas le ca-
ractere de peninsule.
*), Geographie botanique raisonnee T. Il.
— 15 —
La neeessite de se contenier d’une limite convention-
nelle s’impose donc ici d’elle m&me.
Considere dans le sens etendu qu’on vient d’indiquer,
le Gaucase se trouve compris entre les 46°,, et 38° lat
N. et les 54,3° et 68° long. E. Fer. et embrasse une &ten-
due de 472666 kil. c. dont une moitie est occupee par
des montagnes et dont l’autre est formee de plaines.
La grande chaine qui traverse en diagonale du N. ©.
au S. E. tout l’isihme ponto-caspien, ei a laquelle appar-
tient plus sp&cialement le nom de Caucase applique de-
puis a listhme m&me, divise ce dernier en deux parties
inegales. La partie situee au nord de la grande chaine
ou Ciscaucasie *) a une etendue de 253926 k. c., tandis
que celle, qui est place au sud de la chaine et qui porte
le nom de Transcaucasie, n’embrasse que 218740 k.c. **).
Chacune de ces deux parties de l’isthme presente, outre
les versants parliels, deux versants generaux: l’oceiden-
tal ou pontique, et l’oriental ou caspien. L’aire occupee
par le versant pontique est a celle du versant oriental
dans le rapport de 1:1,4 pour la Ciscaucasie et de 1:3,5
pour la Transcaucasie.
Le versant septentrional ***) de la grande chaine forme
deux saillies hemi-ellipsoidales, separees par le defil& du
Terek (long 62 Fer.) et occupant ensemble 80000 k. c.
ou pres du tiers de l’etendue totale de la Ciscaucasie. La
parlie restante est constituee par des steppes, plus &leves
vers le milieu de !’isthme, plus deprimes vers les cöles,
qui se confondent au nord avec les plaines de la Russie.
*).Y compris le Daghestan.
.**) En y ajoutant les provinces de Batoum et de Kars.
.*==N\ En donnant l’&tendue des versants nous y comprenons tous les
remparts et avant-monts qui se dressent le long de l’axe principal.
Ba ae
Le versant meridional de la grande chaine occupe 63000
k. ec. soit environ un tiers de l’etendue totale de la
Transcaucasie.
Au versant meridional de la grande chaine, vers le 61°,5
Ion. Fer, vient aboutir la rangee des monts Meschiques;
dirigee du S. O. au N. E. elle ratiache Aa l’ardte prinei-
pale de l’isthme, les massils connus sous le nom de petit
Caucase. Les montagnes ainsi designees remplissent le
Sud-Ouest de la Transcaucasie en y formant des chaines
multiples. Elles couvrent une surface de 61000 k. c. Des
94740 k. c. restant pour la Transcaucasie, 25820 kil.
sont compris dans les provinces de Kars et de Batoum,
1925 K. c. sont oceupes par les monts Meschiques, 2,300
kil. c. par les massifs de l’Agri-dagh et de l’Ararat et
3,600 par la chaine du Talysh, au sud—est de l’isthme;
enfin 61,100 k. ce. forment les plateaux inlerieurs et les
plaines compris entre la grande chaine, les massifs du
petit Caucase et la Caspienne.
La direction du N. OÖ. au S. E., suivie par la grande
chaine du Caucase, predomine dans la plupart des autres
massifs de l’isthme. La direction O—E. est la seconde en
importance. Les lignes de soulevement, paralleles au me-
ridien, et celles qui se Jirigent du S.°O. au N. E. jouent
un röle plus efface dans l’orographie du pays.
La grande chaine du Caucase.
La chaine principale du Caucase, fronliere naturelle entre
’Europe et l’Asie, forme une barriere non interrompue,
qui s’etend depuis la peninsule de Taman au N. O. jus-
qu’an cap d’Apscheron au S. E., sur une longueur de
1200 kil., abstraction faite des sinuosites qu’elle deerit.
La largeur moyenne de Ja chaine, mesurde dans la direc-
— 137 —
tion N. E—S. O., atteint 140 kil. et la surface qu’elle
recouvre est de 143009 kil. c., ce qui equivaut environ
a un tiers de la surface totale de l’isthme.
Le versant sepienirional ofire une penie bien moins
forte que le versant oppose. Des deux saillies hemi-ellip-
soidales qui le composent, l’occidentale atteint une longueur
de 600 kil. et une largeur maximum de 110 kil.;les di-
mensions correspondantes pour la saillie orientale sont
de 460 et de 150 kil. La partie la moins large dn versant
septentrional se trouve entre les deux saillies. Elle peut
&tre indiquee par une ligne droite, reliant Vladikavkaz au
col de la Croix et mesurant 65 k.
A peu pres au milieu de sa iongueur, le versant nord
de la grande chaine forme le massif du Songouti-Khogh,
servant de point de depart a une importante crete, dite
«laterale», qui se dirige parallelement a l’aröte principale,
et s’etend vers l’est presque aussi loin'que cetie derniere.
Les deux chaines sont a une distance moyenne de 50 kil.,
et se relient l’une a l’autre par des cr£tes transversales,
qui separent huit grandes vallees, occupant l’espace in-
termediaire. Dans sa moiti& occidentale, le versant sep-
ientrional de la grande chaine &met des contreforts qui
ont d’abord une direction presque perpendiculaire a la
sienne, mais qui s’elargissent plus loin en talus ou gra-
dins, formant, par leurs juxtapositions succesives, des
chaines secondaires paralleles a l’ar&te principale et d’au-
tant moins &levees qu’elles en sont plus &loignees. Les
versants meridionaux de toutes ces chaines sont abrupts,
tandis que les versants opposes s’inclinent en penles
tres douces. Ces remparis secondaires se prolongent &
Pest aussi loin que la grande chaine et conservent la
m&me direction, mais, a parlir du Songouli-Khogh, ils
longent le versant septentrional de la chaine laterale, qui
— 158 —
se dresse enlre eux, et l’arete prineipale. Cette derniere
est une cerete continue qui forme la ligne de partage
entre les bassins de la Ciscaucasie et ceux de la Transcau-
casie. L’altitude movenne de la ligne de faite est assez
variable dans les diverses parties de la chaine. A l’ouest
de l’Adai-Khogh, la plupart des sommets depassent la li-
mite des neiges qui, dans cette partie du Caucase, est ä
un niveau moyen de 10980 p. ang. ou de 3349 m.
Cette altitude considerable se maintient dans la direc-
tion N. O. sur un parcours de 300 kil., jusqu’au mont
Öshten, a partir duquel la crete s’abaisse graduellement,
pour finir aux bords de la mer Noire par les collines
d’Anapa. La partie orientale de l’axe principal comprise
entre l’Adai-Khogh et le Baba-Dagh, sur un trajet de 400
kil., a sa ligne de faite a un niveau moyen de 11240 p.
ang. ou 3427 m. Les sommeis prineipaux qui se succe-
dent de l’Ouest a l’Est et leurs hauleurs respectives sont
indiques dans la petite table qui suit; on y voit que la
crete se releve notablement, tani vers sa, terminaison
orientale que vers le point de depart de la chaine la-
terale.
Long. E. d. Fer alt.
p- an. met.
Zikanilsı u cal 61°36°. 12.563. 3832.
Zilteha Khogh... 61°53°. 12.645. 3853.
Dehakhi,4:.% 62°26°. 12.107. 3692.
‚Barbalo ....... 6252. 10.807. 3296.
Schavi Kilde.... 63°16. 11.314. 3450.
Dide Gwerdi.... 63° 5°. 10.939. 3335.
Salawat:... x 1:58 IB 36
basarseuz.. 5% 65°31°:: -14.722.7:74490.
Tfan dagh...... 65°3%. 13.764. 31%.
— 10
Au dela du mont Babadagh (41°1’, lat. N et 65°58’
long.) qui atteint encore 11934 p. a. ou 3637 m., la chai-
ne se continue vers l’est sur un parcours de 120 kii., et
se termine par les collines qui longent le littoral de la
mer Caspienne. Les sommets les plus &leves de cette
partie de la chaine, ne depassent pas 8917 p. ang. ou
2720 m. La hauteur moyenne des cols, dans la moitie
orienlale de l’ar&te principale, est de 9494 p. ang. ou
2895 m. Le col le plus eleve, celui de Kadlassar, entre
la Liakhwa et le Terek, esta 10770 p. ang. ou 3284 m.
Le col le moins &leve, qui porte le nom de Bouslatchir,
n’atteint que 7746 p. ang. ou 2361 m. La grande chaine
laterale, qui se dresse au nord du Versant septentrional
de l’axe principal, et dont le point de depart a &te deja
indique, ne constitue pas une cr6öte continue; elle est
formee par une serie de massils alignds dans une direc-
lion plus ou moins parallele a celle de l’axe principal,
et separ&s de ce dernier par de hautes vallees, ou pren-
nent naissance les rivieres qui formen! le systeme hydro-
graphique de la Ciscaucasie orientale. Ges cours d’eau
s’echappent des valldes superieures par les defiles qui
separent les massifs formant la chaine laterale. Quoique
le röle de ligne de partage des eaux soit reserve a l’axe
prineipal du Caucase, ce dernier est neanmoins surpasse
par la chaine lat&rale, quant äla hauteur moyenne de la
ligne de faite, et ä l’altitude absolue des sommeis prin-
cipaux. Sous ce dernier rapport le Caucase pr&sente une
frappante analogie avec les Pyr&nees, olı les pics les plus
eleves se trouvent aussi places en dehors de l’axe prin-
‚cipal. Le sommet le plus eleve du Gaucase, le mont Ei-
brous (5646 m.), se dresse au nord du versant sepien-
trional de la chaine principale, en massif ind&ependant,
‚toul en y etant rattach& par de puissants conlreforls. Le
— 1M —
mont Dykhlaou occupe une position analogue, et, a parlir
du point ou commence la chaine laterale, tous les som-
mets les plus &leves se trouvent concentres sur cette
derniere. L’arete principale n’atteint des niveaux plus
eleves que vers sa terminaison orientale, la ou la chaine
laterale s’ecarte vers l’est et s’abaisse brusquement. Dans
sa moitie occidentale la cre&te laterale alteint en moyen-
ne l’altitude considerable de 14420 p. ang. ou 4397 m.,
depassant ainsi de 1775 p. ang. ou 541 m. les sommets
les plus eleves de la partie correspondante de l’axe prin-
eipal. (Le mont Ziltcha-Khogh 3883 m). Plus ä l’est, la
chaine latörale est moins elev6e, mais jusqu’au 63°5 long.
le niveau moyen se maintient au dessus de 12000 p. ou
3660 m. et le col le moins eleve a 10599 p. ou 3232
m. (Le col de Bot chagwis tavi entre Dido et Unkratl).
Le tableau suivant indique les altitudes des principaux
sommets de la chaine laterale.
Long. Altit.
p- an. m.
Schah Dash. a... .,65°40'. -, 13.951. 4255.
Alakhun Dagh.. 64°%58'. 12.655. 3853.
Djulti Dash . 64'339’. 12.435. 379.
Tebulos Dagh... 62°%8. 14.781. 4530.
Kasbekssoa. ee 62°10°. 16.546. 5045.
Ghimerai-Khogsh. 62%. 15.673. 4785.
Adai-Khogh .... 61°%28”. 15.244. A646.
Dykh-taou ..... 61°. 16.928. 5158.
Koschtantaou.... 60°0'. 17.080. 5211.
+), ‚Elbeousass.. 60%. 18.571. 5646.
*) Les trois derniers sommets ne sont pas generalement consi-
deres comme faisant partie de la chaine laterale, ‚laquelle a son point
de depart pres de l’Adai-Khogh, mais ils se dressent au nord
ar&te principale, sur une ligne qui coincide par sa direction avec
celle de la erete laterale. T,e Koschtantaon est du reste tres rapproch®
du faite de partage.
|
— 191 —
Parmi les remparis suecessifs qui s’&chelonnent au
nord de la grande chaine, celui qui se dresse immedia-
tement au pied de cette derniere, surpasse tous les autres,
en longueur comme en altitude. L’ar&te continue, formee
par ce contrefort, porte le nom de Montagnes Noires, et
constilue une chaine imporlante, qui accompagne la crete
prineipale dans la plus grande partie de son parcours.
Les plus hauis sommets des Montagnes Noires s’elevent
dans la region cenirale de cette chaine, el depassent
3000 m. Les contreforls plus septentrionaux ne forment
pas de chaines continues, mais des massifs peu eleves
se dressant au pied des Montagnes Noires, et n’attei-
snant des dimensions consid6rables que dans cetle partie
.orientale de la Ciscaucasie, qui porte le nom de Daghe-
stan. Toute la superficie de cette derniere province, sauf
une eiroile zöne cöliere, esi occupee par de smontagnes,
dont l’ensemble forme un systeme ires complique. Les
recherches geologiques de Mr. Abich ont enfin. permis de
s’orienier dans ce dedale de massifs, dont les apercus
oregraphiques, qui se bornaient A un examen du relief,
ne pouvaieni donner une idee exacte.
L’espace compris entre la chaine laterale et la zöne
cöliere du Daghestan est occupe par des rangees de
montagnes dirigdes du N. ©. au S. E... La crete la plus
rapproch@e de la chaine laterale est la continuation des
Montagnes Noires. Toutes ces rangees sont reliees entre
elles par des ramifications plus ou moins perpendiculai-
res a leur direction, et ce sont ces dernieres eretes qui
forment les lignes de partage des eaux de celte region.
Parmi les cing principaux fleuves du Daghestan, il y en
a trois qui coulent dans des vallees dirigees du S. O. au
N. E., et qui coupent les remparts successifs, echelonn&s
eutre la grande chaine et les montagnes les plus rap-
BB ya
prochees de la cölte. A une petile distance a l’ouesi de
ce dernier rempart, coule le fleuve le plus important
de la province; dans la parlie superieure de son cours,
ce fleure porte le nom de Koisu-Kasykoumyk, plus loin
celui de Soulak; les trois autres fleuves sont les tri-
butaires. La direction suivie par le Soulak est a peu
pres parallele au meridien, et la riviere coupe les chaines
successives qu’elle rencontre sous des angles aigus. Le
Soulak sert de deversoir general pour les eaux de la
moili® oceidentale du Daghestan, et s’&chappe de cette
region montagneuse par une profonde cluse taill&e dans
la crete des monts Salatau. Cette derniere chaine, qui
forme la limite septentrionale du Daghestan, est dirigee
de l’est a l’ouest, et constitue une partie du seuil demi-
eirculaire, servant de ligne de partage entre les eaux
de cette province et celles des plaines situ6es au nord.
La zöne cötiere du Daghestan n’a que des torrents
qui se preecipitent dans la mer apres un cours de quel-
ques dizaines de kilometres. Le seul fleuve considerable,
en dehors du systeme du Soulak, est le Samour, l’artere
principale du Daghestan m£ridional. La moitie superieure
de son cours occupe la profonde valld&ee comprise enire
la grande chaine et la chaine laterale, plus loin le fleuve
se dirige brusquement vers le N. E. en coupant la chai-
ne laterale et les cr&tes suivantes, el se jette dans la
mer Caspienne.
Nous avons deja remarque que les remparts secondai-
res, &chelonnes au nord de la grande chatne, dans la
moitie occidentale de la Ciscaucasie, n’alteignent pas les
mömes dimensions que dans le Daghestan. En face du
massil de l’Elborous les contreforts forment trois rangees
de terrasses .qui s’inclinent vers le nord, en pentes tres
douces, et presentent des escarpements abrupts du cöie
m ne nn - -
— um Tr —
— 199 —
du Sud. Le rempart le plus rapproche de la grande chaine
n’esi que la conlinualion des montagnes Noires, et ses
sommets depassent 2500 m. A une petite distance des
derniers replis, formes par les contreforts que nous ve-
nons de decrire, s’eleve au milieu des plaines le petit
sroupe volcanique qui domine la ville de Piatigorsk. Son
sommet le plus eleve, le mont Beshtau, atteint 4500 p.
(1372 m.). La region centrale de la Ciscaucasie est for-
mee par le plateau de Stavropol, qui s’etend entre les
57'20° et 62'380’ de long; il est limit au nord par
Je sillon que suit le cours du Manytch et au sud par
le Terek et le Kouban. Ce plateau, qui a une longueur
de pres de 400 kil. sur une largeur de 230, atteint pres
de Stavropol une altitude de 2400 p., ou 732 m. A par-
tir de ce point culminant, le plateau s’abaisse dans tou-
tes les directions, et finit par se confondre avec les plai-
nes qui forment les cötes de la mer Noire et de la mer
Caspienne. La surface du plateau est couverle de collines
disposees en rangees generalement paralleles a l’axe prin-
‘cipal du Caucase, et söparedes par des vallons creuses
par les affluents du Manyisch, du Kouban et de la Kou-
ma. Le faite de partage entre les eaux, qui se d&versent
dans la mer Noire et celles qui s’ecoulent vers la Gas-
pienne, peut £tre indiqu& par une ligne unissant P’Elbo-
rous et Stavropol et dirigee ensuite vers les sources du
Manytch occidental. Dans ce 'dernier endroit, le niveau
‚du faite ne depasse pas 60° p. ou 18, 3 m. L’espace
'compris entre le bord occidental du plateau de Stavro-
pol et Ja mer d’Azoff, forme une plaine basse ä surface
unie. La region orientale de 'ces steppes a un sol argilo-
sableux, et les lerrains salins n’y sont pas rares. Dans
la partie occidentale, le terreau noir ou tchernos&me do-
mine; les cours d’eau v sont plus nombreux, el les crues
— 191 —
du printemps donnent naissance a une multitude de ma-
res et de mar£cages, qui se groupent le long du liltoral
el du cours inferieur du Kouban.
Les plaines de la moitie orientale de la Ciscaucasie, au
nord du Terek, sont form&es par des terrains argilo-
sableux et salins tres steriles. Leur surface uniforme
n’est accident&e que par le ravinement des cours d’eau
temporaires qui descendent du plaleau de Stavropol,
par des mares salees et des dunes. Ges dernieres for-
ment une large bande, ie long de la rive gauche du Te-
rek et sur les bords de la Kouma. Les steppes eompris
entre les cours inferieurs du Soulak et du Terek, et qui
portent le nom de plaine des Koumykes, different a peine
des pr&cedents. Mais plus au sud, au pied du versant
septentrional du Gaucase, s’etend une longue zöne de
steppes fertiles et bien irrigu&@s par les nombreux cours
d’eau qui descendent des montagnes. Ges steppes qui se
continuent & l’ouest par ceux du Kouban, constituent
les terriloires des Tcheichenes et des Kabardiens. Riches
en palurages, ils ne sont pas depourvus pourtant de
forets; celles-ci occupent une surface considerable du pays
des Tcheichenes, entre la Sounja et les premiers contre-
forts du Gaucase. Cette zöne fertile est s&paree des plai-
nes arides siluees plus au nord, par les cours du Terek
et de la Sounja et deux rangees de collines elev&es qui
s’etendent le long de l’espace compris entre ces fleuves.
Le versant m&ridional de la grande chaine couvre une
etendue d’environ 63000 kil., et acquiert son plus grand
developpement en largeur entre les 59° et 63° long. A
l’est, comme a l’owest de ces möridiens, sa largeur dimi-
nue et ses pentes deviennent plus abruptes.
Les ramificalions emises par la partie du versant me-
ridional situee a l’ouest du 58° long., remplissent tout
— 19 —
l’etroit espace r&serv& entre la mer Noire et l’axe prip-
cipal, en formant de petites crötes plus ou moins per-
pendiculaires a ce dernier. Ges chainons, qui se termi-
nent brusquement au bord de la mer par des escarpe-
ments souvent verlicaux, separent d’elroites vallees occu-
pees par de pelits cours d’eau irds rapides.
Les vall&es ne s’&largissent qu’a leurs embouchures, et
les petites plaines ainsi formees sont les seules surfaces
plates de cetile zöne cöliere, dont la plus grande largeur,
pres de l’embouchure du Bsyb, ne depasse pas 40 kil.
Plus a l’est, le versant me6ridional de la grande chaine
s’elargit et acquiert une siructure plus compliquee;
dans la partie de son parcours comprise entre les 58°
et 61° long., il emet des ramifications qui conslituent
trails dominants du relief de cette region et s’etendent
en longues cretes suivant une direction generale de I’E.
a l’O. Ges chaines forment les faites de partage enire
cing grandes vall&es occupees par les cours sup6rieurs
des principaux fleuves de la Transcaucasie occidentale:
le Bsyb, le Kodor, l’Ingour, le Tskhenis-Tskhali et le
Rion *). La plus importante de ces crötes est le rem-
part qui limite au sud la haute vall&e de l’Ingour, en la
separant de celle du Tzkhenis-Tzkhali. Ses prineipaux
sommets atteignent 3500 m. d’allitude et depassent la
limite des neiges &ternelles, rabaissee dans cetie partie
du Caucase gräce a l’apport incessant des vapeurs four-
nies par la mer Noire.
La erete qui separe les vallees du Tzkhenis-Tzkhali
et du Rion se «letache de la chaine principale a une
pelite distance de la pr&cedente. Aussi longue, mais moins
*) Ces fleuves se succ&dent du N. O.au S. E. dans l’ordre de leur
enum£ration.
— 196 —
elevee que cette derniere, elle surpasse, par ses dimen-
sions, la rangee des montagnes qui se dressent de l’autre
cöte du Rion et quilimitent, au sud, la haute vallee tra-
versee par le cours superieur de ce fleuve.
Avant d’entrer dans la plaine qui s’6tend au midi des
diverses chaines secondaires que nous venons de d6crire,
’Ingour, le Tzkhenis-Tzkhali et le Bion obliquent vers
le Sud-Ouest. L’Ingour conserve cette derniere direction
jusqu’a son embouchure dans la mer, et le Tzkhenis-Tzk-
hali jusqu’a sa reunion avec le Rion. Cette derniere ri-
viere est l’artere principale de la Transcaucasie occiden-
tale. Au point de sa jonction avec la Kvirila, le princi-
pal affluent de sa rive gauche, le Rion tourne brusque-
ment vers l’ouest et conserve cette direction jusqu’a son
embouchure. Le bassin de la mer Noire est separe de
celui de la mer Caspienne par une suile de montagnes
disposees le long d’une ligne dirigee du S. O. au N. E.
La moitie meridionale de ce faite de parlage est formee
par le massif des monts Meschiques, tandis que sa partie
septentrionale n’est qu’une ramification de la grande
chaine du Caucase, intercalee entre le cours superieur de
la Kvirila et celui de la Liakhva. Entre ce point et le
Mt. Barbalo (62°53’ Ion.) le versant me£ridional de la
grande chaine &met des contreforts qui ont une direction
a peu pres perpendiculaire a celle de l’axe principal,
‚dans la premiere partie de leur trajet, et s’&tendent plus
loin vers le S. E.; parmi ces remparts, ceux qui s&parent
successivement les cours de la Liakhva, de l’Aragwa, de
’Iora et de L’Alazane *) forment seuls des cretes .d’une
certaine importance. Plus a l’est, du Barbalo au Baba-
—
*) Ces quatre fleuves scnt les principaux affluents de la rive
gauche de la Koura.
— 197 —
dagh, sur une longueur de 300 k., les ramifications de
l’arete principale penetrent a peine dans la plaine qui
s’etale a ses pieds. Vers son extr&mite orientale le ver-
sant sud de la grande chaine reprend pourtant une lar-
geur plus considerable, plusieurs pelites cre&les secon-
daires surgissant dans cette region.
‚La chaine principale du Caucase est separde des mas-
sils de la Transcaucasie meridionale par des plaines qui
s’elendent le long des cours inferieurs du Rion et de
la Koura. Cette zöne de surfaces planes n’est interrom-
pue que par la chaine, deja mentionnde, des monts Mes-
chiques et par une rangee de montagnes peu &levees
qui surgit imme&diatement au Nord de Tiflis. La serie
des massifs qui composent la ligne de partage entre les
bassins du Rion et de la Koura, s’etend sur une lon-
gueur de 70 kilometres. Dans la partie la plus &troite
de ce faite, constituee par les monts Meschiques, la dis-
tance entre les bases des deux versants opposes ne de-
passe pas 40 kil. et le niveau s’abaisse au col de Sou-
ram jusqu’a 920 m. Malgre leurs dimensions peu consi-
derables, ces massifs ont une grande imporlance au point
de vue de la g&ographie physique, car, outre qu’ils for-
ment la ligne de partage entre les bassins de deux mers,
ils separent aussi deux regions fort differentes sous le
‘ double rapport du climat et de la veg£talion.
Le fond de la vall&e parcourue par le Rion, apres sa
sortie des dernieres garges de montagnes pres de Kou-
tais, constitue l’unique plaine de la Transcaucasie occi-
‚dentale interieure. Sa longueur, compiee du pied des
monts Meschiques jusqu’au litloral, est de 130 kil, et sa
plus grande largeur ne depasse pas 40 kil. Le niveau
de V’extr&mite orientale de la vall&e n’etant que de 149 m.,
cette derniere s’incline vers la mer en pente a peine sensible.
‚KW 4. 1884. 13
— 198 —
De l’embouchure du Kodor a celle du Tcholokh, sur un
trajet de 100 kil., la cöte de la mer Noire est forme6e
par une bande de terres basses qui alteint une largeur
moyenne de 20 kil et qui est recouverte de sables et
de mar&cages. En dehors de ces limites, les montagnes
s’avancent jusqu’au bord de la mer, et la longue rang6e
des falaises n’est interrompue que par les pelites plaines,
form6es aux embouchures des cours d’eau par les de-
pots d’alluvions.
Les diverses regions de la Transcaucasie occidentale
empruntent leurs noms aux peuplades qui les habilent.
Les vall&es du Bsybe et du Kodor, avec la region cor-
respondante de la cöte, font partie de l’Abkhasie, les
hautes vall&es de !’Ingour et du Tzkhenis-Tzkhali con-
stituent le pays des Souanes, tandis que la region du
cours inl&rieur de ce dernier fleuve et la contree situee
entre sa rive droite et le littoral portent le nom de Min-
grelie. La vall&e inferieure du Rion, en amont du confluent
de ce fleuve avec le Tzkh£nis-Tzkhale, et les montagnes
qui l’encaissent, composaient l’ancien royaume d’Imere-
tie. Actuellement tous ces territoires, a l’exception de
l’Abkhasie, constituent la province de Koutais.
Les plaines qui s’&tendent le long de la Koura com-
mencent au pied du versant oriental des monts Meschi-
ques, a l’endroit ou le fleuve sort du defilE de Borjom
et lourne vers l’est. En amont de Tiflis elles forment
une bande 6troite, interrompue par les contreforts des
chaines voisines, mais au de la de ce point elles s’&lar-
gissent rapidemen! et s’etendent jusqu’au bord de la mer
Caspienre, en occupani une surface de 500 kil de lon-
gueur et d’une largeur moyenne de 130 kil.
L’Alasagne, le principal affluent de la rive gauche de
la Koura, longe le pied du versant m£ridional de la
EP —
— 19
grande chaine Gaucasienne sur un Irajet de 160 kil. La
vall&e de cette riviere et les hauteurs voisines consli-
tuent une region tres fertile, connue sous le nom de
Kakhetie. L’Alasagne d&bouche dans la Koura a 180 kil
en aval de Tiflis, immeödiatement apres sa jonction avec
!’Iora, le principal tributaire de sa rive droite. Jusqu’ä
son confluent avec l’Alasagne, la Koura coule a une pe-
tite distance des massifs echelonnes le long de la fron-
tiere orientale de l’Armenie. Le bas plateau qui separe
les vall&es de l’Iora et de la Koura a une altitude moyen-
ne de 600 m. (uelques cretes qui traversent sa partie
septentrionale s’elevent pourlant jusqu’a 1000 m.
Le plateau qui s’ötend entre les cours de !’lora et de
’Alasagne a le m&me niveau moyen que le pr&cedent,
ses bords se dressent en remparis abrupis, qui alteignent
en plusieurs endroits la hauteur de 900 m.
Du point ou elle est rejoinie par l’Alasagne jusqu’a
som embouchure, la Koura se maintient generalement a
une distance &gale de la grande chaine du Gaucase el
des massils de la Transcaucasie me£ridionale. Le niveau
de la vallee et des plaines limitrophes, qui esi de 170 m.
au confluent avec l’Alasagne, diminue graduellement vers
le sud-est et finit par descendre a 25,5 m. au dessous
de celui de !’Ocean.
La region montagneuse de la Transcaucasie m&6ridio-
nale s’6tend du Nord-Ouest au Sud-Est sur une longueur
de 550 kil et alteint une largeur moyenne de 240 kil.
Elle se rattache directement au haut plateau d’Arm£nie,
dont elle constilue la moili&e orientale, et se relie aux
montagnes de la Perse par les massifs du Karabagh, qui
la limitent au sud. A l’exception des plaines qui s’eten-
dent entre Erivan et l!’Ararat et de quelques vallees, dont
le niveau est de 700—1,000 m., toule ceite contree a
13*
— 200 —
une altitude de plus de 1500 m., et les nombreux mas-
sifs qui s’y Aressent atteignent une hauteur moyenne de
3,000 m. Dans cette partie de la Transcaucasie les chai-
nes d’une longueur considerable sont rares, les monta-
Snes isol&es ou grouppees aulour d’un sommet central
predominent. Les divers massifs sont separes par des pla-
.teaux dont les bords se relevent graduellement en for-
.mant des terrasses et des replis qui vont rejoindre les
‚contreforts des montagnes et dont les parties centrales
-constituent une surface plus ou moins unie.
La chaine la plus longue de cette region est formee
par le rempart qui la limite au Nord. Elle s’&tend de la
mer Noire jusqu’a Tiflis, sur une longueur de 290 kil.,
sa crete coincidant dA peu pres avec la lat. de 41° 48°
N. La vallee superieure de la Koura coupe cette chaine
dans toute sa largeur ei la divise en deux parties a peu
pres egales. La moitie occidentale porte le nom de mon-
tagnes Adjaro-Imeretiennes, la moitie orientale celui de
monts Trialeth. Les sommets les plus eleves de ces cr&-
tes ne depassent pas 3.000 m. et leur largeur moyenne
est de 60 kilom. La chaine Adjaro - Imeretienne e&met
vers Je Nord une ramification qui se rattache aux monts
Mechiques et qui contribue ainsi a former le seuil de
partage entre les bassins de la mer Noire et dela mer
Caspienne. Un contrefort du versant meridional de cette
meine chaine prolonge ce seuil vers lesud en se r&unis-
sant aux cretes qui s’etendent A travers le plateau d’Ar-
menie et qui separent le bassin du Tchorokh de ceux de
la Koura et de l’Araxe.
Le territoire traverse par le Tchorokh et ses princi-
paux affluents: la riviere d’Adjarie, l’Jmerkhevi et ’OI-
titchai, presente un vaste ensemble de montagnes, inter-
— 201 —
rompu seulemenut par les ötroites vall&es des principaux
cours d’eau.
Une serie de cretes, qui se detachent du Saganlou-
dagh et qui traversent, du S. OÖ au N. E.,toute la pro-
vince de Kars, forment le seuil de partage entre les bas-
sins de la Koura et de l’Araxe.
Les prineipaux sommeis situes le long de ce faite ne
s’elevent qu’a 1.000 meires au dessus du niveau gene-
ral du haut plateau, qui atteint, dans cette partie, une
altitude moyenne de 2000 m.
La moiti& meridionale de la province de Kars est
formee par le bassin de l"Araxe. Les surfaces planes y
acquierent une extension consid&rable. Elles Jongent les
cours du Kars-ichai et de l’Arpatchai et se reunissent
au Sud-Esi aux plaines qui s’etendent entre Erivan et
l’Ararat. /
La frontiere meridionale de la province est formee par
une rangee de montagnes dirigee de l’est A l’ouest et
qui separe les vall&es de l’Euphrate (Mourad-tchai) et de
l’Araxe. |
Cette chaine, connue sous le nom de monts Agridagh,
se termine a l’est parle mont Ararat. Les autres sommets
prineipaux, telsque le Parly-dagh, le Bozdagh et Je Tchinguil
depassent 3.000 m. d’altitude. Des massifs considerables
occupent aussi tout l’espace compris enire l’Araxe et la
region plane qui s’etend le long du Karstchai. Cetie
serie de montagnes se termine a l’est par le groupe du
mont Avliar, qui se dresse a une pelite distance de l’Ar-
patchai. |
La plus grande partie du bassin superier de la Koura
est une region essentiellement montagneuse; parmi ses
nombreux sommets, plusieurs atteignent 3000 m. d’alti-
tude, et la hautur moyenne des massifs depasse 2500. m.
ae
Les surfaces planes, qui au centre du bassin n’occu-
pent qu’un espace resireint, acquierent pres d’Ardahan,
a Pest de la Koura, une €lendue considerable, et y for-
ment le haut plateau d’Akhalkalaki. Ce plateau, limite au
Nord par les monts Trialeth, est separ& du bassin de
l’Araxe pas les massifs de ’Outch Tapalar et du Mada-
Tapa qui s’&lendent en rempart continu le long de son
bord meridional.
La limite orientale du plateau est conslituee par une
rangee de sommets volcaniques, dirigee du N. au S, et
qui s’&tend des monts Trialeth aux massifs du Mada-Tapa,
sur un trajet de 60 kil. Les sommets princeipaux de ceite
rangee tels que le Samsar et le Leghly dagh, s’elevent
jusq’a 3.200 m. A une distance de 20 kilometres des
monis Trialeih la chaine volcanique forme un coude et
emet vers le sud une courte ramificalion qui se termine
par le sommet conique du gr. Aboul (3.301 m.). L’espace
compris entre cette ramification et la rangee principale
est occupe par lelac de Taparovan qui sert de recipient
a toutes les eaux de cette partie du plateau. Le niveau
du lac est de 2.095 m., sa superficie n’est que de 50 kil.
car. Les autres bassins lacustres du plateau d’Akhalka-
laki sont encore moins consid6rables que celui de Topo-
ravan; ce dernier n’est surpasse que parlelac de Tchal-
dyr-ghel qui occupe une depression du faite de partage
entre les systemes de la Koura et de l’Araxe. Au massif
susmentionne de Madalapa se rattache la chaine des
monts Somkhetiques qui s’&tend de l’ouest a l’est, sur
une longueur de 80 kil. Ses derniers contreforts s’avan-
cent jusqu’ au bord de la vall&e de la Koura, en aval de
Tiflis. La region comprise entre ce fleuve, les monts Tria-
leihs, la rang6e qui limite a l’est le haut plateau d’Akhal-
kalaki et la chaine des monts Somkhetiques, constitue un
ang.
plateau qui s’incline vers l’est et finit par se confondre
avec les plaines de la Ge&orgie meridionale. Un rempart,
a peu pres parallele a la chaine des monts Somkhetiques,
se dresse a une pelile distance au sud Je cette derni£re.
Les sommets principaux de ce massif, qui est connu
sous le nom de Besobdal, s’&levent jusqu’a 3.000 m. Un
contrefort relie son extermite occidentaleäa la chaine du
Pambak qui forme une lroisieme rangee de montagnes,
parallele aux deux precedentes. La creie des monts Pam-
bak se prolonge a V’est jusqu’au lac de Gokhcha et se
vallache ä une rangee de montagnes qui se dressent entre
la Koura et ce lac. Ges derniers massifs, connus sous le
nom de monis Armeno - gandjiques, s’Elendent dans la
direction du N. O. au S. E., sur une longueur de 180
kil., et forment, ensemble avec la chaine du Pambak, le
faite de partage entre les bassins inferieurs de la Koura
et de P’Araxe. L’altitude moyenne de ces montagnes est
de 2.900 m. et leur sommet le plus &lev& atteint 3.742
m. de hauteur. Le lac de Goktcha, dont l’altitude est de
1.930, occupe une superficie de 1.300 kil. car., il est
entoure de tous les cötes par de hautes montagnes. La
chaine susmentionnee longe son bord oriental, d’autres
massifs se dressent au sud et a l’ouest du lacet remplis-
sent tout l’espace compris enire ce bassin et l’Araxe.
Parmi les nombreux sommets de cette region, plusieurs
depassent 3.500 m. d’altitude (Gesel-dara, Kyzil-dagh,
Ak-dagh). Ges montagnes sont s6pardes du haut plateau
d’Arm£nie par la vall&e de l’Arpatchai et les plaines qui
s’6tendent entre Erivan et le mont Ararat, sur un espace
d’une longueur de 80 kil. et d’une largeur de 50 kil.
Celle region, dont la hauteur moyenne ne depasse pas
900 m., est limit6e au nord par le massif volcanique du
mont Alaghoez, qui se dresse a une petile distance au
— 201 —
sud de la chaine de Pambak et a 75 kil. au N.N. E.
de l’Ararat. Le sommet de l’Alagez n’atteint que 4.190
m. d’altitude, mais le pourtour de sa base n’a pas moins
de 150 kil. en longueur et depasse ainsi celui de l’Ara-
rat. L’imposant massif associe au reeit du deluge se
dresse a proximit& de l’exiremite orientale de la chaine
susmentionnee de l’Agridagh. Le pourtour de sa base me-
sure 130 kil. et son sommet prineipai atteint 5.160 m.
d’altitude. La contree montagneuse qui occupe la plus
grande partie de l’espace compris entre les valiees dela
Koura et de l’Arase, au sud-est du lac de Goktcha, porte
le nom de Karabagh. Ce pays est limite au N. E. par le
rempart des monts Armöno-Somkhetiques et au Sud par
l’etroite vallde de l’Araxe, qui separe la Transcaucasie
de la Perse. Les ramifications de la chaine de Daralaghez,
qui s’etend le long de la rive gauche de l’Araxe sur un
parcours de 150 kilomötres, remplissent toute la partie
meridionale du Karabagh.Le sommetprinecipal de la chaine,
le monit Kapoudjikh, a une hauteur de 3.715 m. Une
crete dirigee du S. OÖ. au N. E. relie la chaine de Da-
ralaghez aux monts Armeno - Somkhetiques. La region
centrale du Karabagh est formöe par un haut plateau:
incline vers le sud-est et que surmenlent des massiis
volcaniques, dont les sommets prineipaux tels que: P’Ishikli
depassent 3.500 m. d’altitude. Le rebord oriental de ce
plateau est form& par la chaine de Schousha qui s’etend
d’abord du S. O, au N. E. et se dirige ensuite vers le
S. E. La longueur totale de ce dernier rempart est de
140 kil. et le sommet te plus eleve, le mont Mikhtoukhan,
atteint une altilude de 3.615 m.
Une region de plaines d’une largeur de SO kil., qui
s’etend de la Koura jusqu’en Perse, spare le haut pays
du Karabagh des monts Talysch.
— 205 —
Ces dernieres montagnes qui constituent le rempart de la
Transcaucasie le plus avance vers le sud-est, se dres-
sent a une petite distance de la mer Caspienne.
La erete sinueuse de la chaine de Talysdr a une direction
generale du S.E. au N. O. Sa partie meridionale constitue
le rebord oriental du haut plateau d’Ardebil, qui forme le
district limitrophe de la Perse.
La partie de la chaine de Talysch comprise dans le
terriloire russe a une longueur de 90 kil. Les sommets
les plus &leves ne d&passent pas 2.500 d’altitude. L’&troi-
ie zöne de basses terres qui forme le littoral sud-
Ouest de la Caspienne s’6largit graduellement vers le
nord et se confond avec les plaines qui s’etendent le
long de la Koura.
Apercu geologique.
Les roches cristallines du CGaucase forment trois grou-
pes distincts. Le groupe le plus ancien consiste en gra-
nites de diverses varieles, prologines, pegmatiles, gneiss
ei micaschistes. Ges roches constituent l’axe principal de
la grande chaine du Caucase dans sa partie la plus
elevee, comprise entre l’Elborous et l’Adai Khogh, ainsi
que le noyau central des M-ts Meschiques. Des roches de
meme nature, mais d’une &poque posierieure d’apres M-r
Abich, se trouvent dans la province de Karabagh, pres
d’Ordubad, et dans les M-ts Pambak. Des granites con-
tenant une moindre proportion de quarlz, des sy£nites et
des diorites relient ce premier groupe au suivant, designe
par M-r Abich sous le nom de porphyrique. La structure
particuliere qui predomine dans ce dernier et qui lui a
valu son nom, se manifeste dans des roches fort differentes
— 206 —
quant a leurs elements conslilulils. On y voit aussi bien
des porphyres feldspathiques et amphiboliques quartzi-
feres que des me&laphyres, diorites, diabases et porphyres
divers dans lesquels le quartz fait defaut. Ges roches se
relient ä leur tour par des transitions insensibles a celles
du troisieme groupe, qui comprend les produits de l’acti-
vite volcanique, tels que les trachytes, dolerites et basaltes.
Les roches des deux derniers groupes acquierent leur
plus grande extension sur le plateau d’Armenie ou l’ac-
tivit& volcanique s’est exerc6e avec une intensite sans
cesse renaissante, et a determine tout le caractere oro-
graphique du pays.
Les roches du groupe porphyrique constituent aussi
un el&ment important de la chaine Adjaro-ImeEretienne,
des M-!s Trialeth et des M-ts Somkhetiques. Des produits
eruptifs de meme nature ont troubl&e les terrains sedi-
mentaires du versant m£ridional de la grande chaine, en
y penetrant sous forme de coulees et de dykes.
Au centre de la grande chaine du CGaucase l’activite
volcanique s’est encore manifest6e au commencement de
i’epoque quaternaire, en y Edifiant les sommets les plus
öleves, tels que l’Elborous, le Kasbek et plusieurs pics
situes entre ces derniers. En dehors de ces limites l’arete
prineipale de la grande chaine est form&e par des couches
de terrains sedimenlaires.
Terrains de Sediment.
Des conglomerats, des gres et des calcaires des &poques
devonienne et carbonifere qui occupent une certaine
partie de la vallee de l’Araxe sont les seuls represen-
tants de l’äge pal&ozoique au Caucase. Les couches des
formations jurassique et cer&ätac6e atteignent au contraire
une grande extension dans le pavs.
Er
C'est au terrain jurassique inferieur que paraissent se
rapporter les schistes argileux, plus ou moins ardoisiers,
qui se trouvent en contact immediati avec les roches
cristallines de la grande chaine du Gaucase. Ges schistes,
qui longent les parties superieures des deux versants
tant que la ligne de falle est formee par des roches
cristallines, constituent, a partir de ’Adai Khogh_jus-
qu’au Daghestan, la crete centrale de la chaine. Les
schistes sont parfois remplaces par des gres quarlzeux A
srain fin. Des gres et des marnes, plus r¢s que les
schistes, mais appartenant encore au lerrain jurassique
inf6rieur, s’&tendent le long des deux versants de la
grande chaine. Ges couches contiennent des depots de
houille. Sur le versant meridional ces terrains furent bou-
leverses par les nombreuses &ruptions plutoniennes que
nous avons deja mentionnees.
Le terrain jurassique superieur acquiert un grand de-
veloppement sur le versant septentrional de la grande
chaine: il constitue la crete Elevee des montagnes Noires
qui accompagnent l’ar&te principale dans toute sa lon-
gueur.
Ce terrain est forme par des calcaires de diverses sortes
et des dolomies. Bien moins developpees sur le versant
meridional, les couches du Jurassique superieur n’y pa-
raissent qu’en lambeaux detaches. Des depots du m&me
äge se relrouvent dans la valldee du Basartchai et pres
de Nakhitchevan.
k’extension au Caucause du terrain cretace est tres
considerable. Le cretace inferieur y est represente par
les &tages: Neocomien et Aptien, et le cr&tac& superieur
par des couches Touroniennes et S@noniennes. Au nord
de la grande chaine le terrain crelace s’elend en zone
continue d’une mer a l’auire.
BB
Il y forme quatre escarpements successils, dont le
premier, qui repose directement sur des couches juras-
siques, est constitu& par des calcaires de l’&tage Neoco-
mien, le second est forme par une puissante assise de
gres aptien et le troisieme par des gres et des cal-
eaires appartenant a un horizon superieur du m&me
tage. Des couches calcaires qui se rapportent a l’etage
Senonien eonstituent le quatri&me escarpement.
Au sud de la grande chaine les depots du terrain
eretace inferieur furent bouleverses par des &ruptions
plutoniennes. Les conglom&rats, breches et gres de diverses
sortes qui correspondent a l’&tage neocomien contiennen!
de nombreux fragments de roches £ruplives qui leur va-
Jurent le.nom de «formation de debris porphyriques». Des
ealcaires ei des marnes qui correspondent aux £&tages
urgonien et aptien atteignent une extension notable le
iong du versant m£ridional de la grande chaine, en Ime-
retie ei au Daghestan. Le cre&tac& superieur, qui est
represente dans les deux regions que nous venons de
nommer par des calcaires de l’etage Senonien, parait
manquer dans la region intermediaire.
En Arm£nie, pres d’Eriwan, et dans le Karabagh, l’Etage
touronien est forme par des calcaires, des conglomerals
et des argiles a Rudistes qui rappellent beaucoup les
eouches de Gösau dans les Alpes orientales. Des depois
de P’horizon Senonien font partie des M-ts Trialeth et
des M-ts Somkhetiques; ils reparaissent encore dans les
massifs du Karabagh et dans les montagnes qui limitent
au sud la vall&e de la Koura.
Une bande d’argiles feuillet&es et de marnes, qui s’e-
tend sur une assez grande distauce le long du versant
septentrional de la grande chaine, est le seul repr&sentant
de l’&poque eocene en Giscaucasie.
— 209 —
Le terrain nummulitique acquiert une grande extension
en Transcaucasie. Le long du versant meridional de la
‘grande chaine ce terrain ne forme que des lambeaux,
‚tels que ceux qu’on observe en Imeretie et dans les
vall&es de la Liakhva, de E’Iora et de L’Alazagne; mais
dans les massifs du petit Gaucase, et notammeut dans
les vallees de L’Araxe et de la Koura sup£@rieure, les
depots nummulitiques atteignent un grand developpement
‘et contiennent une faune riche et variee. La mer num-
mulitique parait avoir occupe la plus grande partie de
’espace qui s’6tend entre L’Armenie et la grande chaine
du Caucase.
Au Daghestan, oü le terrain nummulitique fait defaut,
l’eocene superieur est represent& par des gres et des
marnes feuilletees riches en fucoides, que M-r Abich com-
pare au fiysch des Alpes. Des argiles feuilletees gypsi-
feres, contenant des Ecailles de poissons du g. Meletta et
des traces de naphte s’etendent au nord, comme au
'sud, de la partie orientale de la grande chaine. Dans les
derniers contreforts du versant meridional, enire Tiflis et
L’Alazagne, des couches schisteuses analogues, riches en
gypse et en septaria, reposent sur les depots nummuli-
liques.
Les plus anciens depöts de l’epoque miocene observes
en Armenie sont representes, suivant la localit€e, par des
conglomerats, des gres et des marnes riches en sel et en
sypse, ou par des calcaires. Ces terrains correspondent a
’etage falunien. Les depöts de miocene moins anciens,
qui correspondent a l’etage sarmaltique, atteignent une
extension tres vaste, tant au nord qu’au sud de la grande
chaine du Caucase. Les nombreuses recherches geologi-
ques ex&cutees dans l’Europe orientale out d&montre l’exis-
tence d’une mer miocene, qui s’etendait de L’Autriche
— 210 —
jusqu’au dela de l’Aral, en couvrant toule la Russie du
sud. Entour&e de tous cotes par cette mer, la grande chaine
du Caucase formait une ile etroite et allongee. Limitöe
au sud par le bord du plateau Armenien, cette mer seten-
dait bien loin vers le N. E. *). Les depöts qui for-
maient le fond de ce vaste bassin couvrent la plus grande
partie des plaines de la Ciscaucasie et les derniers con-
treforts de la grande chaine. Ils consistent en calcaires de
diverses sortes, en marnes et en gres. Ges lerrains, qui
constituent tout le plateau de Stavropol, sont en partie
recouverts de d&pots quaternaires et d’alluvions modernes.
En Transcaucasie la mer miocene remplissait tout l’es-
pace compris entre la srande chaine et le haut plateau
d’Armenie. Les nombreux depots sarmaliques qui se trou-
vent dans toutes les vall&es du versant meridional de la
grande chaine et qui alteignent en Imeretie et dans la
province de Tiflis une altitude de 1550 met. et dans le Da-
ghestan oriental jusqu’a 2200-m, indiquent autanı de gol-
[es de l’ancienne mer. Les depots de cet äge ne penötrent
pas aussi profondement dans les chaines qui limitent au
sud les vall&es de la Koura et du Rion.
Le terrain pliocene n’a ei6 constate jusqu’ & present
qu’en Ciscaucasie. Le calcaire des steppes ei les cou-
ches subordonn&es a ce dernier correspondent & l’etage
inferieur de la formation Aralo-Gaspienne de M-rs Mur-
ehison et Verneuil. Ges depots s’etendent au nord du
*) La communication avec l’ocean polaire, & travers la Siberie
occidentale, est admise comme un fait etabli par plusieurs auteurs
qui s’appuient sur des donnees de geographie zoologique. Mais, ainsi
que l’a demontre M-r Helmersen, les preuves decisives font defaut.
— 21ll —
plateau de Stavropol et recouvrent aussi en partie la
presqu’ile de Taman.
La delimitation des terrains pliocene et post-pliocene
est toujours une täche difficile, qui necessite des recher-
ches geolegiques prolongees. Les donnees reueillies jus-
qu’a present au Gaucase ne fournissent que des rensei-
snements forts incomplets relalivement a la nature et ä
l’extension des depots de l’äge quaternaire, et il est fort
possible que plusieurs des terrains, considere&s comme da-
tant de cette periode, seraient en realil&E plus anciens.
En Armenie la premiere phase de la periode qualernaire
est representee par des couches de conglom6rats conte-
nant les debris de toutes les roches des periodes pre-
cedentes. Le ciment calcaire qui unit ces cailloux et
les fr&quents d&pots de traverlin, observes en Armenie et
en Georgie, t&moignent de ’abondance des sources qui
precipilaient cette substance. Le conglomerat forme des
couches horizontales qui reconvrent le terrain tertiaire et
s’elendent le long des flancs ou sur le fond des gran-
des vallees d’erosion. Parmi les cailloux qui les com-
posent on ne voit aucun representant des roches vol-
caniques. Tous les indices de l’activil& volcanique sont
posterieurs a ces depots. Les immenses couldes de lave-
doleritique et trachylique, vomies par les nombreux cönes
qui surgirent apres le Jdepot du conglomerat, comblereni
les profondes vall&es preexistantes ei les converlirent en
plateaux. Des tufs et des conglomerats, debris des roches
trachytiques de l’Alaghoez et du Tchildyr, recouvrent ces
laves dans cerltaines regions du plateau.
Les depots volcaniques subirent une forte Erosion qui
y tailla d’etroits defiles de plus de 100-m. de profon-
deur. Les parois verlicales de ces defiles presentent une
section complete de toutes les coulees de lave, jusqu’ä
— 212 —
la couche de conglomerat sous-jacente. Ces elfets d’erosion
sont nombreux sur les hauts plateaux de Schuraghel,
d’Akhalkalaki, de Lori et dans le Karabagh.
Le comblement des vallees, joint a l’action nivelante
des laves, qui s’etalerent en coulees horizontales sur les
surfaces plus unies, expliquent la predominance des haults
plaieaux dans cette partie de la Transcaucasie.
I,e mode de distrivution des conglome£rats diluviens sur
les versants de la grande chaine du Gaucase prouve que les
vallees principales avaient deja a peu pres leur configuration
actuelle au debut de l’Epoque quaternaire. La plupart
d’enire elles Etaient occupees par des lacs, Etages succes-
sivement les uns au dessus des autres. Les laves Emises
par les sommets les plus &Eleves de la chaine se precipi-
terent dans les vallees du Kouban, de la Malka, du
Terek, de L’Aragwaet de la Liakhva et y recouvrirent
les conglomerats, en formant des coulees de 150-m d’e-
paisseur. |
Une de ces coul&es combla entierement la haute vallee
de Kely, situ&e au sud du Kasbek, et la convertit en un
plateau, \
Les traces de la periode glaciaire au Gaucase, cons-
tatees par M-rs Abich et E. Favre, demontrent que les
glaciers n’atteignirent une grande extension que sur le
versant septentrional de la grande chaine. Ceux du ver-
sant meridional &taient moins consid&rables, tout en sur-
passant les glaciers actuels. Pres de l’Elborous le terrain
erratique ne parait pas en dehors de la grande chaine
Plus a l’est les blocs erratiques s’avancent jusqu’aux
debouches des vall&es et p&netrent m&me dans la plaine.
M-r Favre *) observa un depöt erratique sur un des som-
*) E. Favre. Recher. g£ol. dans la partie centr. de la chaine du
Cauc. pp. 46 et 101.
meis des montagnes Noires, le khodotsek, a une altitude
de 2865-m. Le versant septentrional de celte crete pre-
sente des traces manifestes de polissage glaciaire. Le
ierrain erralique est tres developpe dans la vallee du
Terek, des trainees de blocs se reirouvent m&me pres de
Zmievskoe, a 30 kil. de Wladicaucase.
Les conglomerats ei graviers diluviens qui se voient
dans les vallees inferieures du versant sud de la grande
chaine ne contiennent pas de cailloux stries; on n’a pas
observe non plus de traces de la periode glaciaire dans
les autres parties de la Transcaucasie.
L’&tude detaillee du terrain quaternaire ei des depöts
plus recents du Caucase n’a pas eie entreprise jusqu’a
present. Il est vrai que,vu l’etendue du pays et les dif-
ficultes inherentes a ce genre de recherches, la täche ä
entreprendre exigerait le travail combine de plusieurs
geolegues; mais l’importance des resultats qu’on pourrait
obienir serait equivalente au labeur accompli. La con-
naissance exacte des differents sols qui forment la sur-
face du pays et leur indication sur une carte speciale,
pareille a celle de la Russie d’Europe, editee par le mi-
nistere des domaines, seraient d’une utilite pratique &vi-
dente. Ges donnees fourniraient aussi un des elements
indispensables pour l’apprecialion des causes qui oni
regi la distribution actuelle des especes vegetales, les
problömes relatifs aux origines de la flore Gaucasienne
et a ses connexions avec les flores des autres pays de
’Europe et de l’Asie ne pouvant &tre resolus qu’en te-
‘nant compte des derniers changements survenus dans
la configuration et le relief du territoire.
L’etude approfondie des formations pliocene et qua-
iernaire acquiert ainsi une importance capitale au point
de vue de la geographie botantque.
Mk 4. 1884. 14
— 2 —
Une couche de terre noire idenlique au ichernoseme de la
Russie constitue le sol des steppes du Kouban ei de la plus
grande partie de la province de Stavropol. Elle recouvre
aussi la moitie occidentale de la province du Terek.(CGartede
laregion du tchernoseme. Dokoutchaieft. Rap. a la Societe
Imperiale d’Economie 1882.
Les terrains salins predominent dans les plaines de la
Ciscaucasie orientale. Le sol argileux des steppes qui s’e-
tendent au nord du cours inferieur du Terek est. comp-
letement sterilise par la forte proportion de sel quil
contient. Les plantes qui composent la pauvre veg£tation
de cette r&gion sont toutes des halophytes typiques. Une
flore plus variee ne s’y voit que sur les collines de sable,
qui alternent avec les surfaces argileuses. En Transcau-
casie les terrains salins ont une etendue considerable
dans les vallees de la Koura et de l’Araxe.
Le chlorure de sodium n’y est pas toujours le sel
predominant. Les sulfates de magnesie ei de soude
prennent alors sa place. La raret€ des lacs qui pendani
l'’epoque quaternaire etaient assez nombreux aux pieds
des deux versant de la grande chaine, constitue une
des particularites du Gaucase. Tous les bassins lacusires
de quelque importance qui s’y voient .actuellement sont
concentres sur le plateau Armönien, a une altitude moyen-
ne de 2.000 m.
Sur la grande chaine il n’y a que quelques pieces
d’eau, irop exigues pour meriter le nom de lac. Une de
ces mares permanentes occupe une depression du petit
plateau volcanique de Kely, au sud du Kasbek; sen alti-
tude depasse 3.000 m. et sa surface est gelde la plus
grande partie de l’annde. Les mares salöes des environs
de Tiflis ont des dimensions un peu plus consid6rables;
mais versla fin de l’&ie elles ne prösentent plus qu’une
couche de sel, l’eau ne s’y conservant que quand la saison
ee
215 —
chaude est accompagn&e de pluies suffisanies. Un de ces
petils lacs est envahi par le Ruppia marilima qui v pros-
pere aussi bien que dans l’eau de mer.
Les marais recouvrent une assez grande &tendue de
terrain le long du cours inferieur des principaux fleuves
du Caucase, tels que Je Kouban,ie Terek, le Rion ei la
Koura. Dans le distriet de Lenkoran les marais cötiers
occupent une grande partie du littoral. Le long de la.
rive pontique du -Gaucase, compris entre l’embouchure du’
Kodor et Novorossiisk, les contreforts de la grande chaine
S’avancent jusqu’au bord de la mer et les petites plaines
alluviales aux debouches des cours d’eau sont les seules:
localit6s mar&cageuses de cette region. La zöne des ma-
rais s’6largit au sud du Kodor et atteint un grand deve-
loppement le iong du bas Rion. |
Aperecu Climatologique.
Les contrastes frappants que presentent les elimats des
diff&rente parties du Caucase sont la consequence de
’ötendue du pays (7° de lat. sur 14" de long.) et des nom-
hreuses chaines de montagnes qui le traversent.
Le tableau hypsomötrique qui suit permei de se for-
mer une idee assez exacte du relief du pays. Les.par-:
ties des diverses provinces comprises entre les limites
«daltitude indiquees en tete de chaque colonne sont ex-
primdes en centi@mes des superficies totales *).
.*) Ces chiffres furent obtenusen mesurant au planimetre les aires
orrespondantes de la carte hypsometrique de l’&tat-majöor du Cau-
case. Sur cette carte (A '/jsgoneo) es parties du territoire comprises
entre les altitudes limites — 85” — U pied ang, 0’ — 50U’, 500 — 1000,
1900’ — 2000’, 2000’ — 4000’, 4000’ — 6000’, ..6000’ — 8000’, ‚80007 —
10000’, 10000’ — 12000’, 12000’ et au dessus sont indiquees par dix.
‘ teintes distinctes. les donnees qui ont servi pour la delimitation
des aires sont assez nombreuses, mais vu la petitesse de l’echelle
nous ne saurions attribuer aux chifires du tablau qu’une valeur
‚approximative.
14*
— 216 —
Tableau hypsometrique (les altitu-
Altitudes. in n E =
Provinces.
Konhban Rn... (21°/,) _ 60,6 8,3 12,9
Stavropol.......: (1554)7401,80% 65,9 19,8 11,2
BE NR (13,6) 9,8°/, 28.4 14 17,6
ensemble de la
Ciseaucasie occid.
et centrale...... (50,2) 3,2%), 53.5 13.4 13,6
Daghestan....... (6,5) 7,7 6,4 ö 11
Bakatal-.....r% (0.9) _ _ 26,7 36,3
NIS. ee (8,9) Zr _ 4,1 19,2
Koutaıs.. ....... (4,7) -- 20,6 10,1 18,3
Soukhum....... ld 0) = 20,2 1973 17.1
Tehernomorsk... (2,1) — 11 22,3 30,3
Elisabetpol..... (10,1) _ 22,3 11.1 18,4
Bakom...... 8.02: (8,6) 9,8 50,9 9,8 97
Brivan.. ... .%... (6,3) _ — _ 3,6
Transcaucasie
avec le Daghes-
tat eu a 48) 37 17,3 .. 883 15
Tout le Cau-
EN RAR a (100) 2,9 35,5 10,9 14,3
*) Les chiffres en parentheses qui suivent les noms des provin
surface totale du Caucase. Pour les provinces de Karset de Batoum
encore, mais dans la premiere les trois quarts du territoire depas
passe 2.000 m. occupe plus d’une dixieme de l’etendue totale du Oau
dans les provinces d’Erivan et du Daghestan; dans la premiere,
perfieie.
— 217 —
des sont exprimees en melres).
man ım. m. m. m. m.
6081216; 1216— 1824; 1824— 2432: 24323040 : 30403648; 3648 et au
des.
4,6 81 3 1,5 0,7 0,3
1,3. = = _ - _
7,7 11,6 5,2 3,5 14 0,8
4,4 6,5 37, 1,6 7 0,4
9,7 25,8 25,2 6.6 3 0,5
8,1 14,1 8,9 1,5 4,4 en
29,3 27,2 15,8 3,4 0,7 0,3
12,3 18 6} 6,1 2,9 0,7
11 11,9 9,5 7,2 3 1,1
12,6 11,3 7 4 12 0,3
9.2 19,6 13,2 4,6 1 0,6
7,6 82 3 0,7 0.2 0,1
16,3 29,8 38,8 9,3 2 0,2
14 20,2 16,1 4,8 1,3 0,3
3,2 13,4 9,4 Sl 1 0,3
ces indiquent les superficies de ces dernieres en centiemes de 1a
la determinations des aires de difförentes altitudes n’a pas et& faite
sent 1.800 m. d’altitude. Le territoire dont l’altitude moyenne de-
case. Ces hautes terres acquierent leur plus grand developpement
elles forment la moitie, dans la seconde pr&s d’un tiers de la su-
— 218 —
Les grandes differences d’altitude que signale le lableau
pr&cedent ne constiluent pas ie seul facteur orographi-
que dont il yait lieu de tenir compte dans l’apprecia-
tion des climats caucasiens,. Les directions des chaines
de montagnes exercent aussi une influence par les d&-
rivalions quelles font subir a certaines portions des
srands -couranis almospheriques. {N
Le probleme est donc complexe; seule une longue
suite d’observations faites dans des stations convenable-
ment reparties pourrait nous en fournir la solution. Avec
les donn&ees dont nous disposons nous ne pouvons dres-
ser qu’un tableau fort incomplet des divers el&mentis
climatologiques. Ein ellet, sur les quarante stalions me-
t&orologiques du Caucase il n’y en a que quatre dont la
periode d’observalion atteigne ou depasse vingt anndes
(Tiflis, Bakou, Poti, Stavropol). La plupart des autres
stations n’ont eu qu’une duree bien moindre. En outre
plusieurs parlies du pays, lelles que le Daghestian et
toute la vallde de la Koura en aval de Tiflis, n’ont ete
pourvues de stalions que dans le courant des dernieres
annees et les donnees relalives au climal de la zöne su-
perieure du Caucase, audessus de 2.000 m., se reduisent
aux, observations faites a Goudaour (2,160 m.) pendant
une periode de quatre ans. |
Cela dit voici quelles sont les donnees fournies par les
stations existanles.
Pression atmospherique et regime des vents.
»» Nous ne pouvons offrir qu’un apercu sommaire de la
distribution de la pression atmospherique au Caucase.
La pression v alteint son maximum en hiver et son Mi-
nimum en ei£.
— 219 —
En Janvier l’isthme Caucasien est compris entre les
isobares ‘) de 768 mm. et de 765 mm. es lignes dans les
parties de leurs parcours limitrophes a l’isthme se dirigent
du NO au SE. La premiere coupe la cöte septentrionale de
la mer Caspienne A une assez grande distance du Caucase;
laseconde coincide a peu pres avec la cöte orientale de la
mer Noire.
En juillet les isobares extr&mes sont de 758 mm. ei
de 755 mm. Leur direction est du S.O auN.E, La ligne
de plus haute pression passe par la presqu’ile de Taman
a Pextr&me Nordouest du Gaucase; l’isobare de 755 mm,
coupe la cöte meridionale de la mer Gaspienne.
Ges donn&es sont empruntees aux carles des isobares
de l’Europe et de la partie adjacente de !’Asie. Les obser-
vations m&teorologiques que nous possedons aciuellement
ne suffisent pas pour pouvoir retracer le parcours de ces
lignes audessus de l’isihme me&me.
La position g6ographique du Caucase autorise a pr6-
sumer que les aires de haute ei de basse pression atmos-
pherique qui determinent, conform&öment a leurs posi-
tions respeclives, les directions des isobares et des vents
pr&dominants de l’Europe ei de la Sib@rie occidentale,
exercent aussi une influence nolable sur ce pays. Pour
pouvoir apprecier les effets dus ä ces difierents <cen-
. *) Une carte speciale des isobares du Caucase n’existe pas
La tache de dresser une carte de ce genre pour un pays &
relief aussi vari& que celui du Caucase devient tres delicate. Les
isobares extr&mes que nous indiguons sont empruntdes aux cartes
de M-r Woeikoff „Climats du globe terrestre“ (BoefikoB®: KIHNATBI
3ewHaro mapa) et aux cartes annexdesau memoire de M-r Rykat-
‚cheff. (Rep. Meteorologie IV).
tres J’action de l’atmosphere» *) il est indispensable de
rappeler leur distribution dans les deux p£riodes oppo-
sees de l’annee.
En hiver un anticyclone tres accentue occupe la Si-
berie orientale, un aufre maximum baromötrique se trouve
place audessus de l’oce&an Atlantique entre les 30° et
40° de lat. N. L’aire de basse pression s’etend en cette
saison sur l’Atlanlique septentrional au nord du 60°. Le
maximum et le minimum baromeötriques places au des-
sus de l’oc&an concourrent tous le deux a assurer a la
majeure partie de l’Europe et a la Siberie du Nordouest
la pr&dominance des venis d’O et de S. ©.
Ges vents ne penelrent que raremeut dans l’Europe
du sud-est, ou predomine linfluenee du maximum baro-
metrique de la Siberie orientale. Get antieyelone met
une ramificalion qui s’etend vers les sudouest jusqu’aux
Carpathes **). Les vent d’E et de N E. pr@dominent en
cette saison dans la Russie möridionale et dans la plus
grande partie du Caucase.
En et& le maximum de pression se trouve plac& audes-
sus de l’Atlanlique au N de la lat. de 40°, et une aire
de basse pression s’etend sur l’Asie centrale, il en re-
sulte que les vents d’O et du N OÖ surpasseni en fre-
quence tous les autres tantau Caucase, que dans la plus
grande partie de l’Europe.
Des aires de haule et de basse pression d’un ordre
secondaire viennent modifier les directions des isobares
*) P’emprunte cette denomination ‘au memoire de M-r Teisserenc
de Bart. Comp. Rend. de l’Ac. des Sc. Paris 1832. 13 sep.
*“) Cette ramification de l’aire de haute pression qui occupe en
hiver la Siberie orientale est designee par M-r Woyeikoff sous le
nom de grand axe du continent. Elle determine le regime des
vents d’hiver de la Russie möridionale.
ei des venis determines par les grands centres d’action
de P’atmosphere que nous venons d’indiquer. Un anticyc-
lone de cet ordre s’etablit en hiver audessus du haut
plateau d’Arm£nie et sur la Transcaucasie centrale, tan-
dis que des aires de basse pression s’etendent sur la
mer Noire et la mer Caspienne *).
En ete s’est au contraire l’isthme Caucasien qui de-
vient le siege d’un minimum barometrique et la mer
Noire celui d’un maximum. Audessus de la mer Caspien-
ne la pression doit &ire plus forte en movenne au’audes-
sus de l’isihme, mais ce second maximum n’ atteint pas
la valeur du premier.
Les moyennes barometriques contenues dans le petit
tableau qui suit permeltent de verifier les considerations
que nous venons de developper **).
Movennes baromeiriques mensuelles.
Janv: Juillet.
m. Mm. m.m.
Ba HN a a Rs a EL,
SEMEOBON 7 2 5: - 766,3 756
Be... er 757.2
Bene 2.2 765,9 756,9
Les aires de haute et de basse pression susmention-
nees engendrent des couranis atmospheriques dont les
directions changent ne&cessairement de saison en saison
conform&ment aux d£placements periodiques des aires.
*, Wild. Temperature de l’air en Russie. (Tesueparypa Bosayxa
8» Poceiickoä Hxuepim).
**) Ges moyennes reduites au niveau de la mer et corrigees de la
pesanteur sont extralies du livre de M-r Woyeikoft „Les climats du
globe* p. 440. (Kınsarsı semaaro mıapa).
_.99
Les vents dont il s’agit se manifestent nellement sur les
deux zönes littorales du Caucase *).
Sur le litioral Penlique en hiver les vents qui &ma-
nent de !antieyelone plac& audessus du plateau Arme-
nien soufflent de l’est, tandis qu’en Ei& ce sont les vents
de mer, c'est a dire ceux de l’ouest qui affluent vers le
over d’appel de la Transcaucasie.
Il en resulte qu’en toute saison ces vents ont les me&-
mes directions que les courants generaux &manes des
srands centres d’action de l’atmosph£re. Cette coineidence
donne aux venis du Jittoral oceidental du Caucase la
regularite des moussons.
Sur le littoral Caspien de l'isthme le regime des vents
est moins regulier. Conformement aux posilions respec-
tives de celte cöte et des aires de haute ei de basse
pression d’ordre secondaire, les vents emanes de ces der-
nieres ont dans chaque saison des directions opposees A
celies des courants genöraux de l’almospheres, issus z
grand centres d’aclion.
La table suivante indique la frequence relative des
Jdifferenis vents sur les deux zönes littorales du Cau-
Hivern SKi:
N. NE. E. SE. N.S0.0.NO.| N. NE. E.SE.S. SO. 0.NO.
Poti .... 02 3 39 15 1 7 7.8024 3 8 3 32 18 22
Lenkoran 1218 2 5.4%2%173| 25 9315 8 55
*), Ces ventsacquierent une grande re&gularit& sur les cötes parce
quils y sont moins devies parlesmentagnes que dans Yinterieur du
pays. 1ls soufillentsans interruption plusieurs jours de suite, et ne
"saurajent €tre confondus avec les brizes neriodiques de terre et
de mer purement locales.
**, La fr&quence relative des differents vents estexprimee en cen-
tiemes du nomlre total.
— 12233 —
En groupant ensemble d’une part tous les vents com-
pris entre les direclions NE et SE, et d’une autre tous
. ceux qui sont compris entre les direclions NO et SO on
obtient:
Hiver: Et e:
Vents de Vents de Vents de Vents de
terre. mer. terre. mer.
Poti.......... (NE, E,SE) «NO, 0,50) (NE,E,SE) (NO, 0, S0)
77 22 25 12
Lenkoran,.... (N0,0,S0) (NE,E,SE) (NO,0, SO) (NE, E, SE)
60 25 28 25
Ashur-Ade... (NE,E,SE) (N0,0,S0) (NE,E, SE) (NO, O0, SO)
52 29 1} 8
Les chiffres du tableau precedent d&emontrent que
sur le littoral occidental de la Caspienne les vents &ma-
nes des centres de pression d’ordre secondaire pr&do-
minent sur les courants gensraux. Sur la rive orientale
de cetle mer, a Ashur Ade, les vents predominants souf-
flent dans les direclions determinees par les grands cent-
res d’action, de möme que sur le littoral Pontique du
Caucase *).
“ Les eourants almospheriques subissent dans leur pas-
sage audessus du Caucase de nombreuses d@viations cau-
Sees par les divers massils montagneux qu’ils y rencont-
rent. Il en resulle que pour !a majeure parlie de la re-
sion interieure de l’isthme les indications des girouettes
*) La pr&edominance en hiver des vents continentaux sur les
vents de mer est moins marquee & Ashur-Ade qu’a Poti. Le voisi-
nage de l’anticyclone vlac& audessus de la Transcaucasie centrale
doit etrela cause principale de cette fr&quence des vents d’est sur la
cöte Pontique du Caucase; on ne saurait admettre que l’anticyclo-
ne de la Siberie orientale y exerca une influence plus forte qu’ü
Ashur-Ade.
— au
ne peuvent suflire pour determiner la provenance des
vents *) Une longue serie d’observations simultanees
etendues sur tous les Elements climateriques et recueil-
lies dans un grand nombre de stations pourrait seule
nous permettre de distinguer les vents d’origine locale
des courants generaux.
Sur le littoral de l’Abkhasie et dans la vall&e infe-
rieure du Rion les vents de NE et d’E presentent fre-
quemment tous les caracieres du fochu des Alpes.
Ges vents ne peuvent atleindre le pied du versant me-
ridional qu’a l’etat de courants descendants, et sont tou-
jours suivis d’une el&vation de temperature et d’une £le-
vation de l’humidiie relative. A Soukhoum en hiver la
temperature est de 0,5°a 44° au dessus de la moyenne
de cette saison quand les vents soufflent de ’Eet du NE;
elle est de 1° audessous de cette derniere lorsque regne
le vent du S. **). Malgr& la forte pr&dominance des vents
d’O, l’&tE n’est pas tout A fait exempt de ceux de TE.
Dans cette saison leur secheresse est excessive, ei quand
leur duree se prolonge la vegetation dans la vall&e du
bas Rion se fletrit et certaines especes d’arbres commen-
cent a perdre leurs feuilles. Ces effets sont tres frap-
pants dans une localit& qui se distingue, en general, par
un exc&s d’humidit& etune &xuberance extraordinaire de
la vegetation. Dans la baie de Novorossiisk pres de l’ex-
tr&mite septentrionale du littoral Pontique du Caucase un
vent de NE, semblable a la bora de I’Istrie, est tres fre-
quent en hiver. Il souffle avec la violence d’un ouragan
*, Le vent de N O predomine ä Tiflis l’annde ronde. li est evi-
dent que c’est le relief local qui en est la cause.
**), Woyeikoff. 1. c. p- 526. Des ventssemblables au fochu s’obser-
vent aussi au pied du versant septentrional de la grande chaine.
— 225 —
et entraine a sa suile une baisse de temperature fort
eonsiderable. Les montagnes environnantes sont privees
de vegetalions par ces rafales. L’origine de la bora de
Novorossiisk est semblable a celle de Triest. La vallee,
d’Adegoi, qui setrouve au NE de la baie, n’en est separee
que par la crete du Mt. Warada, qui ne depasse pas
600 m. d’altitude. L’air qui remplit cette vallde du ver-
sant septentrional de la chaine du Gaucase, &tant beau-
coup plus froid en hiver que l’air de la region littorale,
’Equilibre devient instable et des que cette masse d’air
froid et dense atteint le bord peu &l&v& de la vallee, elle
se precipite comme une cascade dans la baie.
La bora est bien moins forte au sud de Novorossiisk
et elle ne s’observe pas au dela du 44°. I. N. ou la chaine
Ju Caucase atteint une grande hauteur; l’etablissement
d’un equilibre instable entre les masses d’air audessus de
la cöte et audessus de la cr&eie ne peut done y avoir
lieu que dans des cas bien rares *).
Les brizes ascendantes et descendantes de jour et de
nuits, analogues aux thalwinds et pontias des Alpes, s’ob-
servent dans un grand nombre de defil&s et dans plusieu-
res vall&es du Gaucase.
En general au Caucase on ne releve que fort peu de
jours ou l’atmosphere soit absolument calme.
ke tableau suivant indique la fr&quence relative des
vents dans les differentes saisons.
”) Woyeikoft. I. c. p. 525 et Baron de Wrangel: Bora de Novo-
rossiisk. Nikolaew. 1876.
") Nombres de ventis constates, exprimes en cenliemes
Ju nombre total d’observations.
N = gs = . = i A - > mu
Eee ee age inte
„a a m = = © 3= © & — 53
win. wa Kran tn, er SEE pE Mike N Mc
hiyer aus, 401:33.585::29 835: 99,89 65 7 LE 77 88
print 33.346,90, 65,82. 9, 9377,.817.18, 45
BIENEN 30... 38. .92,,80,,.80788, 92 56. 1607782 264
autom. er ot: 137 IM 5172 NYANMSSERRO DENN RNLO,
annnee. ... 34 39786 61 82. 95 91 64 69. 738 ..48
On voit d’apres ce tableau que dans trois stations (Len-
koran, Bakou, Shemakha) les vents acquierent la plus
erande fröquence en hiver; dans trois autres (Shousha,
Koutais, Redout-Kal&e) au printemps, et dans les einq res-
tantes en ete.
Temperature,
Les observations des quarante stations meleorologiques
du Gaucase permettent d’offrir un tableau assez complet
‘Je la distribution des temperatures dans ce pays ””).
Pour toutes les localit@s ou les observations ne furent
poursuivies que pendant une courte periode de temps les
moyvennes ont &1& corrigees, suivant la methode adoptee
”) Ce tableau dresse d’apres les donn6es recueillies par le mede-
ein en chefde l’armee du Caucase, est extrait de l’Essai d’une g&o-
graphie medicale du Caucase du D-r Toropow, (Toponos». Onsts ne-
AHIMHCKOB Teorpadin Kaskasa).
“”) Les donnees relatives aux temp6ratures moyennes sont extrai-
tes du beau travail publi& sous la direction de M-r Wild, chef de
observatoire physique central „La temperature de l’air dans l’Empire
de Russie“. Cet ouvrage ä 6t6 edite en !angues russe et allemande.
Un atlas, contenent les cartes des isothermes y est annexe.
en met6&orologie, d’apres les donn6es correspondantes ob-
tenues dans les stations qui ont fonctionne vingt ans sans
interruption.
Des deux tableaux qui suivent, le premier coniient les
temperatures mensuelles et annuelles effectives, le second
ces moyennes reduites au niveau de la mer *).
Un coup d’oeil jete sur le trac& des isothermes de
Janvier et sur celles de Juillet permetira de se rendre
compte des grands contrastes de temp6rature que pre-
sentent les differentes parties du Caucase, independam-
ment de leurs altitudes.
En Janvier la Ciscaucasie toufe entire a une tempe-
rature moyenne audessous du point de congelation. L’iso-
iherme de 0° suit la crete de la grande chaine du Cau-
case d’Anapa jusqu’a un point peu eloigne du littoral
Caspien, ou elle passe sur le versant septentrional pour
atteindre la cöte pres de Derbent.
L’isotherme de — 2° longe le pied du versant nord de
la chaine; celle de — 93° passe au N de Stavropol et la
ligne extreme de— 4° coinceide a peu pres avec le sillon
des deux Manyich **).
Toutes ces lignes se dirigent du NOau SE.
Le trace des isothermes de la Transraucasie esi moins
uniforme.
*) Ces dernieres moyennes ont servi pour le trace des isothermes
du Caucase.
*#) Le trace de cette isotherme de—4° est tres remarquable. Elle
touche l’extremite septentrionale de la Norvege et descend ensuite vers
le S E en passant au sud de Christiania et de Varsovie; apres avoir
traverse la Sussie meridionale cette ligne s’incline encore plus vers le
SE passe par Khiva et le bassin du Lob nor et atteint le bord de la
mer Jaune, non loin de Pekin (lat. 49”).
— 228 —
D’abord paralleles a la grande chaine a une pelite dis-
tance a l’est du meridien de Koutais elles s’inflechissent
brusquemment vers le S OÖ et decrivent des courbes
paralleles au bord de la mer Noire. L’isotherme de 6°
coincide a peu pres avec la partie de la cöte occiden-
iale de la Transcaucasie comprise entre Soukhoum et
Batoum et le prolonge plus loin dans la direction de
l’ouest jusqu’a la mer de Marmara, se repliant ensuite
vers l’est elle passe par Mossoul et atieint la mer Caspien-
ne pres de Rescht.
L’isotherme de 4° decrit d’abord une courbe a peu
pres paralllle a la precedenle, en se maintenant a
une plus grande distance de la cöte pontique, apres
s’eire avancee vers l’ouest bien au dela du centre de
l’"Asie mineure elle revient vers l’est, coupe le lac d’Our-
mia et traverse le littoral Gaspien au sud de Lenkoran.
Wisotherme de 2° longe le pied du versant me£ridional
de la Grande chaine j’usqu’au point ou viennent s’y rat-
tacher le M-ts Meshiques; elle devie ensuite vers le S.O.
et decrit une anse qui entoure le haut plateau d’Arme-
nie. Revenant vers l’est cette courbe passe bien au sud
d’Erzeroum, traverse le lac de Van, ei apr&es avoir coupe
’Araxe pres de Nakhitehevan, remonte vers le N. O.
jusqu’a une petite distance au dela de Tiflis.
Au nord de cette ville l’isötherme de 2°. reprend la
direction du S E qu’elle conserve sur une grande distance;
s’inelinant ensuite vers ie N E elle atteint la cöte de mer
Caspienne entre Bakou et Derbent.
L’anse formee par cetie ligne entoure, ainsi que nous
venons de le dire, le haut plateau d’Armenie. Ge dernier
constitue une zone de froidure tout a fait exceptionnelle.
Les temp6ratures moyennes des mois d’hiver y sont les
ee
memes que dans la partie la plus seplentrionale de la
Ciscaucasie. Les isolhermns de 0°, — 2,, et — 4° qui re-
paraissen! d’une maniere si inattendue sous des latitudes
de 39° — 41° lat. N. forment des courbes ferm6es con-
eeniriques qui ont pour centre l’espace triangulaire com-
pris entre Alexandropol, Kars et Erivan. La moyenne de
janvier d’Alexandropol descend m&me jusqu’a —5,4° et
celle d’Erivan jusqu’a — 6,1°. L’isotherme de — 4° passe
a une petite distance de trois poinis susmentionnees; la
courbe que decrit l’isotherme de — 2° traverse Erzeroum;
et celle que forme llisotherme de 0° touche l’extr&mite
septentrionale du lac de Van, longe la rive occidentale
dulac de Goktcha et s’ötend au N au dela du defil& de
Borjom.
L’aire de iroidure du plateau Armenien se reconnait
deja dans le trace des isothermes d’octobre et ne dispa-
rait qu’a partir du mois d’avril, mais les exces de froid
qu’elle pr&esente ne sont jamais aussi consid&rables qu’en
janvier, les iemperatures moyennes les plus basses de-
passant a peine — 2’ tant en Decembre qu’en Fevrier.
les isothermes de degres au dessous de 0° et möme
celle de 0°’ ne s’observent au Caucase que dans les trois
mois de l’hiver. En Mars l’isotherme de 1° longe la limite
septentrionale de J’isthme, celle de 6° suit la crete de
la grande chaine et la me&me temperature .est indiquee
pour le cenire du plateau. Armevien *). En Novembre
'Fisotherme de 4° passe au N de la limite septentrionale
de Pisthme.
*) TI est remarquable qu’au premier printemps la temperature croit
tres lentement sur le littoral de la Transcaucasie du S E; ä& Len-
koran la moyenne de Mars est la m&öme qu’au pied de la Grande
chaine.
.%b 4. 1884. 15
- 2330 —
La temperature moyenne de Juillet reduite au uiveau
de la mer ne descend nulie part au Caucase au des-
sous de 22,°8. L’isotherme de 23° coineide avec le ber
de la mer Noire, celle de 24° decrit une courbe paral-
lele a la precedente en se maintenant a une petite dis-
tance de la cöte. L’isotberme de 25° s’&tend du Gouriel
a travers la grande chaine jusqu’a Piatigorsk et se dirige
pius loin vers leN E tout comme le font les lignes pre-
cedentes au nord de la mer Noire. Le refroidissement
du a action de cette mer est tres neitement manifeste
par le trace de ces lignes qui contournent toutes son
bassin.
L’isotherme de 26° traverse la region du haut Tcho-
rokh, se relevant vers le nord au centre de la Trans-
caucasie elle passe pres de Tiflis et sincline ensuite vers
je S E jusqu’a Shousha, a l’est de cette derniere ville
elle remonte de nouveau versle N au dela de Shhemakha;
en atteignant ie bord de la mer Gaspienne la ligne change
brusquemment de direction et longe la cöte jusqu’a Len-
koran.
L’isotherme de 28° a peu pres parallele a la prece-
dente passe par Kars, l’extremit& septentrionale du lac de
(soktcha et Shemakha, elle contourne la mer Caspienne
au sud est n’atteint la cöte que pres d’Ashur-Ade. La
temperature moyenne de Juillet reduite au niveau
de la mer est de 30° a Erivan et Nakhitchevan ei
dans cette derniere station la movenne d’Aoüt s’eleve
meme jusqu’a 32°. L’abaissement de la temperature Esti-
vale cause par lamer Caspienne se traduit par l'inflexion
vers le S E des isothermes de 26° — 30° dans le voisi-
nage de son littoral. En examinant la distribution des
temperatures moyennes annuelles du Gaucase on s’aper-
coit aussitöt quieiles dependent plus particulierement des
a
temperatures hivernales. En eifet les isothermes annuel-
les ont une direction generale du NO au SE de möme
que celles des mois d’hiver et deerivent aussi une anse
ires prononcee autour de l’aire de froidure de l’Armenie.
L’isotherme annuelle de 10° coincide avec la limite sep-
tentrionale de listhme caucasien. Celles de 11° et de
12° courent dans une direction parallele a la pr@cedenie,
la premiere passant par Stavropol ei la seconde par
Ekaterinodar et Viadikavkase.
L’isotherme de 13° qui coupe la cöte Pontique du Cau-
case pres de Gelendjik suit le faite de la grande chaine
jusqu’au meridien d’Klisabetpol ou elle passe sur le ver-
sant nord et alleint la cöte de la mer Caspienne au sud
de Derbent. Le long du versant meridional de la chaine
court l'isotherme de 14° qui coupe le littoral Caspien au
N de Bakou. Les deux lignes dont nous venons d’indi-
quer les direclions generales forment enire les meridiens
de Koutais et de Tiflis des anses allongees qui penchent
au sad au dela d’Alexandropol. L’isotherme de 15° qui
atteint le bord oriental de la mer Noire au sud de Poti
ne penetre dans la Valle du Rion que jusqu’a Kontais,
a partir de ce point elle se dirige au S O et decrit en-
suite une courbe qui passe an sud de Kars et du lac de
Gokteha pour ne remonter au N que pres d’Elisabetpol;
elle se dirige ensuile vers JeS E et coupe la cöte Cas-
pienne non loin de Lenkoran.
‚Le trac6 des isothermes que nous venons d’indiquer
permet de faire les rapprochements suivants.
La partie la plus septentrionale du Gaucase a des tem-
peratures moyennes de l’annee qu’on retrouve en Ant-
riche, en Suisse et dans le nord de la France; la zone
meridionale de la Ciscaucasie presente des moyennes qui
au nord des Alpes ne s’ebservent que dans les bassins
15*
— 232 —
du Rhone et de !a Garonne. Enfin en Transcaucasie on
ne releve que des temperalures annuelles semblables a
celle de la moitie septentrionale du bassin mediterraneen.
Tout aulre est le resultat qu’on obtient en examinant le
irace des isothermes de Janvier et de Juillet. En Jan-
vier la plus grande partie:de la Ciscaucasie et le pla-
teau Armenien reproduisent les temp6ralures propres a
Ia Suede et ä la Pologne, etla region qui s’etend au pieıl
meme du versant septentrional de la Grande chaine cel-
les de la Prusse du N E. L’isotherme de — 2° qui longe
ie versant susmentionne se continue vers le N. ©. jus-
qu’en Hongrie d’ou elle se dirige au N en passant pres
de Breslau, Posen et Dantzig. Getle ligne qui devie ensuite
vers le N O iraverse la Suede du sud et s’etend en
Norvege jusqu’au 70° lat. N. en se maintenant a une
petite distance des cötes.
En Transcaucasie, a ’exception du plateau Arm£nien les
moyennes de Janvier sont toutes superieuresä celles de
’Europe centrale ei meme a celles du Piemont, mais ce
n’est que dans la r&gion comprise entre la mer Noire et
les M-ts Meshiques quelles atteignent les degres observ6s
en Provence et en Toscane.
En et& au contraire on ne releve dans tout le Caucase
que des lemp6ratures moyennes egales ou superieures Aa
celles du bassin mediterranden. Ainsi que le fait voir le
tableau hypsomelrique place en tete de cet apercu cli-
matologique les deux cinquiemes du territoire caucasien
ont une allitude audessus de 1,200 m. et plus de la moi-
ie du pays depasse 300 m. de hauteur. Il en resulte
que les temperalures moyennes indiquees par les isoiher-
mes sont en general bien superieures & celles qui se
deduisent direclement des observations. Elles ne sont
donc susceptlible d’application immediates que pour les
— 1233 —
deux r&gions litlorales, les plaines de la Ciscaucasie et
les vallees inferieures du Rion et de la Koura dont.
Paltitude ne depasse pas 100 m.
Parmi les quarante stations du Gaucase il nven ä
que quinze qui salisfassent a cette condition. Les coel-
ficients qui ont servi a reduire les lemperatures des di-
verses stations a leurs valeurs au niveau de la mer ont
ete ealculees par M-r Wild *) d’apres les observations
simultanees (de Tiflis (410 m.), Bielvi Klutch (1150 m.),
Goudaour (2160 m.) et Vladikaucase (680 m.). Les chif-
[res suivants indiquent les varialions de temperature qui
correspondent a des differences d’altitnde de 100 m.
Dee. Jan. Fev. Mars. Av. Mai. Juin.
0249 OB 0A 0A 0 0,578 0,606*
Juil. At: S% O. N. annee.
0,594 0,600° 0,529° 0,462° 0,205° 0,470°
La variation de la lemp6ralure moyenne de Tannee
correspondant a un changement «d’altitude de 100 m.
deduite pour le Gaucase ne differt que fort peu de cel-
les qui ont &te relevees dans les aulres contrees mon-
sagneuses de l’Asie, mais elle est notablement moins con-
tiderable que dans les Alpes. |
Variation de la teınperature moyenne de l’annde pour
une difference de hauteur de 100 m. |
Inde, 2.4.00. 0,42. — 0,60°
Himalaya........ 0,45 — 0,48
Tibet ee,
Kuen-lun........ 0,48 — 0
Andes...... 0... 0,41 — 0,52
Mexique .......- 0,535 —
SUIBSBe nee aus oe 058 — ,„
Caucase......... 0AT —
DE. e:
a
H est necessaire de rappeler que l’erreur inherente a
{oute reduction des lemperatures au niveau de la mer
augmente avec la hauteur de la station. Elle peut aussi
devenir tres considerable quand les stations, dont on re-
Juit les temperatures, different notablement par leurs ca-
racteres orographiques de celles qui ont servi a determi-
ner les eoefficients.
Les chiffres du tableau II montrent que sur le plateau
Armenien les temperatures moyennes des mois d’hiver
et celies de l’annee sont bien plus basses que dans toutes
!es autres regions du Caucase comprises entre les memes
iimites d’altitude et de latitude que ce plateau. Cela se
voit aussi en examinant les temperatures non reduites du
iableau I. Ainsi ies movennes des trois mois d’hiver d’Ale-
xandropol sont de 2" a 3" inferieures a eelles de Gou-
daour situe a 690 m. plus haut et a 2° lat. plus au N,
et les moyennes des memes mois d’Aralykh n’atteignent
pas les iemperaiures correspondantes de Bielyi Kluich,
dont l’emplacement est a 1,5' lat. plusau Net de 320 m.
pius haut.
"A Ardaghan (41°8’1. N. 1786 m.) les observalions n’ont
ete poursuivies que durant une anne» et neul mois, mais
elles suffisent pour noas donner une idee du froid exces-
sif qui peut regner dans ces contrees a une allitude qui
n'atteint pas 2000 m.
L’hiver de l’annee 1880 fut tres rigoureux dans tout le
Caucase; a-Ardaghan les temperatures movennes de Jan-
vier et de Fevrier furent respeclivement de—15,'9 et de—
14°, le minimum absoiu de — 35,4° et trois jours de
suite la moyenne diurne se maintient audessous de— 29".
Par son hiver rigonreux l’Armenie reproduit le ca-
raclere commun a tous les hauts plateaux situes en de-
hors de ja zone tropicale. Le rayonnement du sel des
a
haut plateaux est facilite par la grande secheresse de
l’air et par l’epaisseur amoindrie de Ja couche atmosphe-
rique qui s’etale audessus d’eux. En hiver quand l’inten-
site du rayonnement depasse celle de !’insolation la lem-
perature s’abaisse a tel point qu’elle deprime la moyen-
ne de l’annde bien audessous des degres qui s’observent
a latitude et a altitude egales, mais dans des localites
situ&ees en dehors des plateaux.
L’ete est au contraire relativement plus chaud sur les pla-
teaux. Ainsi par exemple de Juin a Septembre la lempe-
rature a Alexandropol est a peine införieure a celle de
Bielyi Kluich et de 5° plus elevee qu’a Goudaour.
Assurement la reduction des temp£ratures moyennes
des stations armeniennes au niveau de la mer dW’apres
les coefficienis susmentionnes donne des indicalions fort
importanies en demontrani a quel point le caractere de
haut plateau peut modifier les conditions ihermiques de-
terminees par la latitude et la hauteur; mais ces coef-
ficients ne permeitent pas de calculer les temperatures
qui doivent effectivement avoir lieu en Armenie a des
altitudes donnees *).
Pour obtenir des temperalures plus conformes a la reali-
te il faudrait done delerminer les coeflicient de reduc-
tion d’apres des observations simultanees faites a des hau-
teurs differentes sur ie plateaun meme. Malheureusement
nous n’avons que les deux stations d’Alarykh et ’Alexan-
*) 1 est evident que des coefhicients de reluetion calculös d’apres
des observations simultanees d’une station situce sur le plateau et
d’une autre placee au dehors donneraient des resultats encore moins
exacts que les precedents; on trouverait un abaissement de la tempe-
yature avec la hautenr trop rapide en biver et trop lent en öte.
— 236. —
dropol qui Jout en remplissant ces conditions fournissent
en me&me temps des donnees dignes de confiance *).
Les chiffres suivants indiquent la mesure du decrois-
sement des temperalures moyennes qui correspond a une
elevation de niveau de 100 m. d’apres les observations
simultanees d’Aralykh et d’Alexandropol **).
Dee. Ian. Fey. Mars. Av. M. Ju.
0,59° 0,55° 0,92° 1.07 0,95 0,33° 0,98°
Jl. RR S. Ö. N. annee.
118° 1% 085 0,57% 10080 10,79,
Ges valeurs sont toutes bien sup£rieures a celles qui
ont &t& deduites des observations combinees de Tiflis-
Goudaour-Vladikaucase.
En Mars et dans les trois mois de l’ete l’abaissement
de la temperature moyenne avec la hauteur entire Ara-
iykh et Alexandropol alteint 1° par 100 m. ***) Une chute
aussi rapide ne peut &tre due qu’a Vinfluence de la si-
tualion particuliere de l’une des stations sumentionnees.
Il est done evident que les chifires du tableau prece-
*) Les observations d’Erivan n’ont eu qu’une courte duree et ne
presentent pas le degre d’exactitude necessaire- et celles d’Ardaghan
ne commenc£erent qu’apres la cloture des deux autres stations.
“*) La difference des latitudes d’Aralykh et d’Alexandropol ätteig-
nant & peu pres 1° nous avons d’abord reduit les temperatures d’Ara-
lykh & la latitude d’Alexandropol; la correction est de 0,3° pour les
six mois dela periode froide de l’annee et de 0,2° pour les six autres.
=*) Un decroissement de temperature de 1° par 100 m. d’elevation
indique un etat d’equilibre instable des couches aömospheriques et la
formation de courants descendants. La presence de ces derniers expli-
querait l’exces de temperature de la station inferieure, mais la persistan-
ce de pareils courants plusieurs mois de suite ne saurait&tre admissible.,
Nousne pouvons done attribuer la grande difference des temperatures
moyennes d’Aralykh et d’Alexandropo! qu’ä des circonstances locales.
ra -
dent ne peuvent pas donner une mesure du decroisse-
ment de la temperature avec la hauteur applicable a tou-
tes les parties du plateau Armenien. ba recherche d’une
mesure semblable doit ötre remise jusqu’au jour ou nous
aurons un plus grand nombre de stations dans cette region.
Nous avons d&ja observ& que sur les quarante stations
du Caucase il y’en avait quatorze dont lYaltitude ne de-
passait pas 100 m.; il est evident que la reduction de
leur temperatures moyennes au niveau de la mer n’ac-
croit ces dernieres que de quelques dixiemes de degri.
Sept de ces stations sont situees sur le littoral Pontique,
quatre sur celui de la mer Gaspienne et les irois autres
sont placees dans les plaines basses de la Giscaucasie.
Enfin on peut comprendre dans cetie categorie Koutais
dont Paltitude n'est que de 140 m. Toutes les compa-
raisons que nous avons etablies plus haut sous le rap-
port des temp6eratures moyennes entre les diff6rentes r&-
sions de P’Europe et du Gaucase ne s’appliquent direcie-
ment qu’aux stations qui viennent d’etre citees ainsi qu’
aux parties du lerritoire voisin dont l’altitude ne depas-
se pas 100 m.
Les huit autres localites de la Ciscaucasie dont on
possede les observations sont situees a des hauteurs com-
prises entre 300 m. et 750 m. et leurs differences en
Jatitude ne d&passent pas 2,5. L’ecart entre les tempe-
ratures moyennes des deux stations qui different le plus
a la fois par leur positions geographiques et par leurs
hauteurs respectives, Stavropol (lat. 45,3” long. 41,59".
550 m.) et Mikhailowskaja (lat 43,91° long 45,10”, 250
m.) est de pres de 1° pour celle de l’hiver, de 4° pour
celles de l’eie et de 2,5° pour l’annuelle. La grande dif-
ference des temperatures &stivales s’explique facilemen!.
Le decroissement de la temperature avec la hauteur est
— 1238 —
plus rapide en cette saison qu’en toute aulre et en outre,
ainsi que V’indique le trac& des isothermes, la partie orien-
sale 'de la Ciseaucasie est en g6neral plus chaude en te
que les regions centrale et occidentale.
De l’ensemble des donn&es fournies par les huil stations
susmentionnees il r&esulte qu’en Ciscaucasie, dans la zone
comprise entre les altitudes de 300 m. et 750 m. les
iemperalures moyennes de l’annee peuvent varier, selon
les localites, de 8,4° a 10,6°; celles de Janvier *) de—
4,9° a — 2,1° et celies de Juillet de 21° a 24°.
L’isotherme de—2° dont nous avons deja fait connaitre
le trac& marque la limite orientale des contr&es de l’Euro-
pe ou les temperatures moyennes de Janvier r&duites au
niveau de la mer sont superieures a celles de la Ciscau-
casie. Il paraitrait par consequent peu probable de pou-
voir retrouver en Europe quelque part a l’ouest de la
ligne susmentionnee et a des altitudes comprises comme
celles des stalions Ciscaucasiennes, entre 300 m. et 750
m. des moyennes de Janvier aussi basses que dans ces
Jernieres. Neanmoins on en observe dans quelques lo-
calites de l’Europe centrale. Nous citerons comme exem-
*) Temirkhan - Shoura (lat 42°49' H. 42°,5 m.) est la seule localite
en Cicaucasie ou l’on ait observe une moyenne de Janvier s’elevent
Jusqu’a — 2,1. Oceupant une position plus meridionale que toutes
les autres stations dece pays Temirkhan-Shoura quoique placee & une
altitude de 425 m. a pendant la periode la plus froide de l’annee une
temperature sup£rieure & celle de stations situ&ees comme Ekaiterino-
dar & une petite hauteur au dessus de la mer, mais & 2°—2,5® lat. plus
au N. La difference des latitudes suffit ici pour compenser ä la fois
le decroissement de la temperature avec la hauteur et celui qui est
du & une position plus orientale. Dans les autres sept stations du
groupe considere la moyenne de Janvier la plus elevee n'est que
de — 3,5%.
— 239 —
pies Munich ‚(lat 48° H. 530 m.) dont la movenne de
Janvier est de — 3" et Thusis (lat 46,8° H. 706 m.) ou
elle est de — 3,1".
Les temperatures annuelles des station Ciscaucasien-
nes ne diflerent pas de celles qu’on observe a &gale alti-
iude en Suisse.
(CGoire 603 m. 9,1°. Berne 574 m. 8,1°. Interlaken
571 m. 8,7°. Geneve 408 m. 9,7°. Sion 536 m. 10,6°.
Montreux 385 m. 10,5°. Castasegna 700 m. 10°).
En eie le thermometre se maintient en Ciscaucasie ä
Ja meme haufeur que dans l’ltalie centrale.
Le plateau Armenien se signale en hiver, ainsi que nous
P’avons deja dit, par des froidures excessives. La mo-
yenne de Janvier a Alexandropol est de — 10,6° c’est a
dire inierieure de 3,5 a celle ie Goudaour (2.160 m.
et a 1,5° lat plus au N) et de 1,6° a celle du grand
S.-Bernard (a 5° lat. plus au N eta 1000 m. plus haut) *);
mais la moyenne annuelle y est plus elevee 02 2,3° et
de 7,3°) que dans ces deux stations.
En et€ la temperature a Alexandropol est toute aussi
haute que dans l’Europe centrale a des altitudes de 0—
100 m.:; elle :lEpasse de 5° et de 12° les movennes 6sti-
vales de Goudaour et du St. Bernard **).
A Aralvkh situe a 1° lat. au sud d’Alexandropol et a
686 m. plus bas la lemperature de T’ele est la me&me
#) “A Bevers (Canton des Grisons lat 45,5°H. 1.715 m.) dont Y’altitude
depasse celle d’Alexandropol de 240 m. et qui est situece & 6° lat-
plus au N et dans une large vallee participant du caractere des pla-
teaux et constituant une region de froidure exceptionnelle en Suisse
la temperature moyenne de Janvier est pourtant de 1° plus elevee
que dans ia station armenienne.
*#) La moyenne de Juillet y est de 5,7° plus eleves qu’a Bevers.
— 20 —
yu’en Andalousie et dans Pltalie du sud. Sa moyenne an-
nuelle y est de 11,2° &galant a peu pres celle de Came-
Yino (Italie centr. lat 43,6 H. 662 m.) et de Leon (lat
42°,37° H. 850 m.). En revanche la moyenne de Janvier
ı Aralykh n’est que de — 6,5°.
La temperature croit rapidement en hiver a mesure
(u’on s’eloigne du plateau Arm&nien dans la direction de
Vest. A Shousha situ&e dans le N. E. du Karabagh sous
Ja meme latitude qu’Aralykh, mais a 390 m. plus haut,
la moyenne de Janvier depasse celle de la station arme-
nienne de 6°% de Mars a Novembre les moyenne men-
suelles sont au contraire plus elevees dans ceite derniere
et Ja temperature annuelle y est de 2,8° sup6rieure a celle
de Shousha (8,4°).
L’examen comparalif que nous venons de faire demon-
ire le profend conlrast qui existe sous le rapport des
conditions Ihermiques entre le plateau Armenien et le
Karabagh du N. E. Cette derniere region a un climat
bien plus tempere.
Les moyennes des quatre saisons relevees a Shousha
sont assez proches de celles qui s’observent dans diver-
ses parties de la Suisse a des altitudes de 550 m. ä
700 m.
Pour I’hiver et l’automne les differences n’excedent
pas quelques dixiemes de degr&. Dans les deux autres
saisons elles peuvent atteindre 1°—2°. Au. printemps la
temperature est plus &levee dans les stations suisses *).
en &te a Shousha.
Le petit tableau qui suit permet de verifier les rap-
prochements que nous venons de faire. |
”) Elle y est deja plus elevee en Fevrier (de 1° a 2°). Par contre
an Decembre la temperature est d’autant plus haute a Shousha et
e’est ce qui Eegalise les moyennes hivernales.
ER n Hiv. Prin. Ete. Aut. Annee
Thusis2 2.2... 706 — 1. 8,8 17,3 8,6 8,4
TMIyeen ya... 588 052° 8,7 17,2 8,7 8,7
Berne. el. 574 —0,17° 83 16,5 5 8,1
Interlaken ..... 571 —0,1° 91 17,3 8,6 8,7
Shousha ....... 1180 —0,1° 71 18,5 8,3 8,4
Sous le rapport du climat la region centrale de la
Transcaucasie qui s’&tend au nord des massifs du Petit
Gaucase, depuis les M-ts Meshiques jusqu’au meridien de
Shemakha *), differt du plateau Armenien tout autant
que le Karabagh du N. E.
"A Shemakha dont l’emplacement est a 1° lat. au N
d’Aralykh et a 80 m. plus bas, les moyennes des trois
mois de Phiver sont de 2° a 6° plus &levees que dans
cette derniere station. Les temp6ratures s’egalisent entre
les deux localitts en Mars; d’Avril a Septembre elles
sont plus elevees a Aralykh (de 2,5° en Juillet), mais en
Octobre Shemakha reprend le dessus et la moyenne an-
nuelle y est de 0,5° sunerieure A celle de la station arme&-
nienne.
A Tiflis et a Elisabetpol, situes tous les deux a la m&me
altitude (diff. de 30 m.) et sous des latitudes ne diffe-
rant que de 1°, les temperalures moyennes sont a peu
pres **) identiques. Le faible exc&s qu’elles pre&sentent
par rapport a celles de Shemakha, placee sous la m&me
latitude qu’ Elisabetpol, s’expligque par la hauteur plus
considerable (de 300 m.) de la station orientale.
Les moyennes de Döcembre et de Janvier de Tillis et
d’Elisabetpol &galent celles de Milan et de Pavie (lat .45,2'
*) La station m&öme est encore comprise dans la region centrale.
*#) Les moyennes de Juin et de Juillet A Elisabetpol depassent de
1° celle de Tiflis.
en > 3 2 smau-
et 147 m. et 98 m.), mais de Fevrier a Mai les tempe-
ratures mensuelles y sont moins elevees que dans les
deux stalions italiennes, l’Egalite se r&tablit pour !a pe-
riode de Juin a Septembre *), enfin en alllomneikukces
est du cöte des stations caucasiennes.
Les moyennes annuelles d’Elisabetpol et de Pavie sont
identiques (12,8%), celles de Tiflis et de Milan ne .dil-
ferent que de 0,3° (Tiflis 12,6°. Milan 12,39).
A Tzarskvi-koiodtzi, bourgade situee A environ cent
kilometres au S E de Tiflis a une hauteur de S20 m.
les temperatures mensuelles sont de 1” a 2° inferieures
a celles du chef-lieu de la Georgie; elles different un peu
moins des moyennes correspondantes de Shemakha.
Des conditions ihermiques semblables a celles qui fu-
reni constatees dans le Karabagh du N E s’observent
aussi a hauteur egale dans la Trancaucasie cenirale.
Les moyennes mensuelles de Bielvi Klutch, station si-
iude a une cingnantaine de kilometres au S O de Tif
lis .et a 1.150 m. au dessus du niveau de la mer, different
fort peu de celles de Shousha. Le thermometre se main-
tient un peu plus haut (1,5°) dans cette derniere loca-
lite en Janvier ei en Fevrier, mais deMars a Septembre
les temperatures des deux stations sont a peu pres &ga-
les et pour les quatre mois suivants il y a une petile
difference en faveur de Bielyi Klutch.
Le massif des M-is Meshiques qui limite au N Q la
rögion centrale (de la Transcaucasie en la separant du
bassin du Rion, constitue en m&me temps, malgr@ ses di-
mensions peu considerables, une ligne de demarcation
fort importante au point de vue de la geographie physi-
*) La moyenne d’Aout fait exception; elle est de 2% plus Elevea
dans les deux stations caucasiennes.
— 24) —
que. A louest de ce rempart s’etend ie domaine du cli-
mat maritime de la Transcaucasie occidentale; cette r£-
sion qui fait partie du bassin mediterraneen se caracie-
rise par des temperalures hivernales bien plus elevees
que celles de toutes les autres parties du Caucase.
La station de Souram situ&e a quelque kilometres 3
’est du fait de partage, a une altitude de 730 m. parait
etre sousfraite a l’influence mod6ratrice du climat mari-
iime de la region oceidentale. Les iemperatures moven-
nes des mois d’hiver y sont au contraire plus basse que
celles qui s’observent a altitude Egale dans ies localites
de la Transcaucasie centrale plus eloignes des M-is Mes-
hiques dans la direction de l’est. Les movennes de No-
vembre, de Decembre et de Janvier de Souram sont
meme inferieures a celles de Bielyi Klutch, en desaccord
aves les hauteurs respectives des deux stations.
L’abaissement de la temperature hivernale, observee a
Souram se constate egalement a Borjem; il est bien plus
considerable encore a Akhaltzikhe, ainsi que le demon-
irent les chifires du tableau suivants.
Haut:en „
Nor
ah Dee. Jan. Fev. Mar.
SP SHuram..2..... 730 5.3 0,4 —21 —05 32
Bo0mM- 2 .....2.2 : 793 4,4 0,1 —16 —-07 24
Akhaltzikhe...... 1021 -— —_ —718 —55 16
La station d’Akhaltzikhe est situ&e au bord m&me du
plateau Armenien et ses moyennes hivernales ne dilie-
rent de celles d’Alexandropol que de 3° environ.
*) Les moyennes de Borjom sont deduites pour une p6riode de deux
ans. A Akhaltzikhe les observations ne furent poursuivies gqne durant
sept mois. Toutes les moyennes de ces deux stations sont corrigees
d’aprös les observations simultanees de Tiflis.
— 244 —
Nous pouvons conelure des donnees prec&dentes qu’au
lieu d’un surcroit de temperature hivernale, qu’il serail
si naturel d’admettre pour la partie de la Transcauca-
sie centrale contigue au domaine du climat maritime, on
y constate au contraire un abaissement tres considerable,
qui doit &tre altribue a l’influence preponderante exer-
cee par la zone de froidure du plateau Armenien: Nous
avons deja indique& en exposant le trac& des isothermes
que cette influence s’&tendait vers le Nord au-delä du de-
file de Borjom. |
Les moyennes estivales de Souram et de Borjom sont
aussi relativement moins elevdes que dans les auires lo-
calites de la Transcaucasie centrale d’egale altitude, mais
les differences d6passent a peine 1°. A Akhaltzikhe on con-
state au contraire en Ele un surcroit de temperature
tres considerable. La moyenne d’Aoüt y atteint 22,4'.
Cette station, ou l’ecart entre les temperatures de Jan-
vier et de Juillet est de 30°, a un climat continental des
plus accentues, et semblable a celui des localites situees
sur le plateau Armenien.
(a continuer).
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A. D. Ooxoaoen.
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Nucruryra sa 1880—1881 rose» (C.-Ierepövprp, 1882)
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Meiepa 6bILIB NOABEPTHYTb BCEeCTOPOHHeMY PasacMoTpEHiro
boaptumanom®. BB AJBYXb OÖMMPHBIXB Pa0OoTaxT, ToMEb-
INeHHBIXb BB Sitzungsberichte der Wiener Academie der
Wissenschaften sa 1877—178 ro3% *), BoIBTEMaHnB Boc-
*, Ueber die Beziehung zwischen dem zweiten Hauptsatze der
Mechanischen Wärmetheorie und der Wahrscheinlichkeitsrechnung,
respctive den Sätzen über das Wärmegleichgewicht.1877. Octoberheft.
Weitere Bemerkungen über einige Probleme'der mechanischen Wär-
metheorie. 1878. Juniheft.
% 4, 1884. 16
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Mocksa 1885 reza. 10 Anptıa.
ÜUEBER WIEROMYZA SALTATRIX MG. UND ELAGHIPTERA
GORNUTA F.
von
Frofesor K. Lindeman.
‚ Veber die Lebensweise genannter Fliegen ist bis jelzt
noch wenig bekannt. Viel mit dem Studium unserer Ge-
treidefeldern schädlicher Insekten beschäftigt, habe ich Ge-
legenheit gehabt auch über die zwei genannten Fliegen
einige Thatsachen zu beobachten, welche ich im folgenden
mitzulheilen mir erlaube.
Mehrere Jahre beobachle ich ein massenhaftes Erscheinen
ler Meromyza saltatrix auf Sommerweizen, Roggen und
Gerste bei Moscau. Besonders auffallend war die Unmasse
dieser Fliegen im Jahre 1884. Den ganzen Sommer waren
sie auf den Feldern zu finden, aber im Mai urd Anfang Juni
selten. Erst Mitte Juni begann das massenhafle Erscheinen
und dauerte bis in den September.
Obwohl die Fliege in unendlichen Massen an dem Ge-
treide erschien, konnte ich keine Spuren einer schädlichen
RD,
Al U
m [—— —
Thätigkeit des Insecis constatiren. Die von ihr besuchten
Felder wurden im Laufe des Sommers sehr genau untersucht
weil Chlorops taeniopus und Oscinis frit hier ebenfalls
ihr Wesen trieben und zu der Zeit Gegenstand meiner
eingehenden Studien waren. Man sollte denken, dass die
Millionen im Juni und Juli erschienenen Fliegen eine we-
nigstens ebenso grosse Brut hervorbringen werden, deren
Thätigkeit an den Pflanzen uicht verkannt werden könnte:
Aber doch konnte ich keinen Schaden, der einer solchen
Brut zugeschrieben werden musste, an den Getreide-
pflanzen entdecken. Jede untersuchte absterbende Pflanze
war von anderen Insecten .bewont. Es musste also der
Schluss gezogen werden, dass die Larven von Meromyza
saltatrix eniweder an unwichtigen Theilen der Getreide-
pflanzen (B. alten Blättern), oder an Unkräultern leben.
Letztere Möglichkeit hatte wenig für sich, da in dem gut
bestellten Felde die Zahl der Unkräuter noch sehr gering
und eine Beschädigung derselben auch nicht bemerk-
lich war. | ER
Ich wendete darum- meine besondere Aufmerksamkeit
den unteren Blättern des Sommerweizens und Gerste zu
und untersuchte dieseiben im Juli und. August an’ vielen
Pflanzen. Meine Voraussetzung erwies sich bald als rich-
tig. Anfangs August konnte ich, häufiger an Gerst in den
welkenden unteren Blättern sonst ganz gesunder Pflanzen
minirende Larven finden, aus denen es mir gelang die
Meromıza sallalrix zu ziehen. Durch diese Beobachtun-
gen ist also festgestellt, dass die Larve von Meromyza
saltatrix in den Blättern gewisser Getreidearien mini-
rend lebt und eine doppelte Generation hat. Am 15 Au-
gust erschienen die Fliegen der Sommergeheration bei
meinen Zuchtversuchen. lea Dar
‚Die Larve von Meromyza.saltatrix ist weiss, grünlich
Jurehschimmernd. Die Kopistig-
menfräger (fig. 1) sind kurz .und
dick, pilzlörmig; ihr keulenför-
mig verdicktes Ende enthält sie-
ben kurze Thracheenendröhren, de-
ren Öffnungen auf kleinen, hie-
rind drigen Warzen: gelegen: sind. Die
hinteren ‚Stigmophoren haben die Gestalt langer dunkler
Hörner. Die beiden Kopfhaken sind’ gross,
schwarz; und an ihrem Unterrande mit zwei
‘grossen stumpfen Zähnen bewaffnet (fig. 2).
Die Tonnenpuppe ist hellgelb,;‘ beinahe
farblos, mit deutlichen ‚Söbmenleinselnitien.
Aus den am 2 August eingesammelten Pup-
‚Fig. 2, ‚ pen erschienen die Fliegen am 15 August,
wodurch bewiesen‘ wird, ‘dass die Puppenruhe wenig-
stens zwei Wochen dauerl" Die ganze Entwickelung ver-
langt nicht weniger ’als 6 — 7 Wochen, denn ich erhielt
Mitte August erwachsene Fliegen aus Gerstenpflanzen
welche am’ 27 Juni von mir eingezwingert wurden.
Die eben aus der Puppe gekommene Fliege ist farblos;
nur die Augen, zwei Rückenstriemen, die Fühler und Ta-
ster sind dunkel gefärbt. = schom en hald' ‚färbt sie
sich vollständig aus. |
‚Es: gelang mir aus den isoliri nei Puppen der
Menäkuyih saltatrix. auch einen Parasiten zu erziehen.
Es erwies sich derselbe als Ceraphron destructor, also
der nähmliche welcher in: den Larven der Cecidomya de-
strucior schmärotzt. Diese Thatsache scheint mir sehr inte-
ressant und von’ grosser Bedeutung:
— 254 —
Ueber Zlachiptera cornuta F., war schon früher durch
Prof. Nowicki bekannt, dass deren Larve an der Gerste
lebt, wo dieselbe in Gesellschaft der Larve von Chlorops
laeniopus das obere, ährentragende, Halmglied befrisst.
Es gelang mir auch diese Fliege in merklicher Anzahl
bei Moscau, auf den Feldern der landwirthschaftlichen
Academie zu finden und zwar nicht bloss an der Ger-
ste, sondern auch am Sommerweizen. Während Nowicki
bloss die zweile Larvengeneralion kannte, hatte ich Ge-
legenheit die Larven der ersten Generation zu beobach-
ten. Dieselben fand ich schon Mitte Juni erwachsen im
Inneren der jungen Weizenpflänzchen lebend, wo sie, ganz
wie die Larven der Oscinis frit die Knospe und die noch
zarten inneren Blätler ausfressen, in der dadurch verur-
sachten Wunde ein nasses Wurmmehl nachlassend.
Nicht bloss die äusseren Mermale der von dieser Flie-
ge befallenen und absterbenden jungen Pflanze machen
letztere täuschend ähnlich der durch Os-
N cinis frit verdorbenen Pflanze, sondern
= auch die Larven beider Fliegen sind ein-
IS ander so sehr ähnlich, dass nur bei ge-
= nauem Untersuchen die Verschiedenheit
Fig. 3. derselben aufgedeckt wird. Beide Larven
sind dünne, farblose, grünlich durchschimmernde Maden,
nur ist die. Larve von Elachiptera cornula etwas dünner
und länger als die von Oseinis frit. Sie unter-
scheidet sich durch folgende Merkmale. Die Kopf-
stigmenträger der ersteren sind geweihartig,
schlank, und bestehen aus einem dünnen Stiel,
welcher sieben dünne Aeste trägt (fig. 3). Die
: Kopfstigmenträger der Larve von Öseinis frit
Fig. 4. sind pinselförmig, und bestehen aus sechs dün-
nen Fäden, welche ohne Stiel dem Körper aufsilsen
e. 4). Die Kopfhaken von Elachiptera cornuta sind an
ihrem Kaurande sägeartig mit mehreren, ziem-
lich grossen Zähnchen bewaffnet (fig. 5), wäh-
__ rend bei Öscinis frit diese Haken hier kaum ge-
_ | kerbt sind (fig. 6).
Fig 5. Die jungen Weizenpflanzen, deren Inneres
von der Elachiptera ‚cornula Larve ausgefressen wird,
| sterben immer ab, so dass diese Fliege zu den
schädlichen Insecten gehört. Der von ihr ver-
ursachte Schaden wird aber wohl nicht gross
sein, da die Fliege gewöhnlich zu den sel-
teneren Insekten unserer Fauna gehört.
%,7.U D 1 E N
ÜBER. _ ZAHNPLATTEN DER GATTUNG LIMNAER LAM.
von
30 - W. Dybowski iu Niankow.
Hiezu Tafel a
Wir haben schon die Zahnplatten von vier Galtungs-
Typen der Süsswasser-Pulmonaten genauer kennen gelernt;
diese Typen sind:
Ancylus Bourg. ‘). Physa Drap. °). Amp! ‚ipeplea Nils. °)
und Planorbis Guet. ‘).—
In den vorliegenden Studien gehen wir nun zur Be-
trachtung der Zahnplatten von der Gattung Limnaea Lamk.
über, welche den fünften und letzten Typus der lungen-
athmenden Süsswasser-Schnecken repräsentirt.
Die eben erwähnten fünf Gattungstypenzerfallen nach der
Form und Gestalt ihrer Zahnplatten in folgende drei Gruppen.
Physa°’). — Ancylus. — Limnnaea, Amphipeplea und Pla-
norbis.
') Vid. Bullet. de Moscou. Jahrg. 1834 Lief. 3.
2) Vid. Sitzungsber. d. Dorpater. Naturfor. Gesell. 1384.
®) Vid. Malacozool. Bl. N. F. 1885.
+, Vid. Ibid.
5) Die Gattung Aplexa Flem. scheint hierher zu gehören (Vid.
Lehmann, Die lebenden Schnecken u. Muscheln d. Umgeb. Stettins
etc‘) p. 201. Tab. 16. Fig. 71.
— 257 —
Eine genauere Betrachtung der Gruppen muss der Zu-
kunft überlassen werden, weil wir gegenwärtig noch
keine Angaben über die specifischen Unterschiede der
betreffenden Genera besitzen. Wir gehen daher zu unse-
rer Aufgabe über.
ö-ter Typus. Die Zahnplatten der Gattung Limnaea
Lamark: (Fig. 1 — 8).
- Die Formel der Zahnplatten: 1 — 19 — 15 — 15.
Die Mittelplatte (A. Fig. 1, Fig. 3 und 4) ist länglich-
dreieckig und bedeutend schmäler als die beiden benach-
barten Seitenplatten (A. Fig. 1). Der Buckel ist deutlich
abgegrenzt. Der Zahn ist einfach, nach hinten zugespitzt
und breiter als lang (Fig. & A. ): Die Basis ist schmal, läng-
lich — dreieckig und mit einem tiefen Einschnitte am hin-
teren Rande versehen (A. Fig. 3). Die Krone isi sehr kurz
(A. Fig. 3), so dass die Basis fast gänzlich entblösst wird.
Die inneren Seitenplatten. (B.1 — A. Fig. 1,B. 1 u. 2
Fig. 3und B’ 1’. B. 1. Fig. 4) sind durch den Umstand
charakterisirt, dass die erste Platte allein mit einem media-
len ‚Seitenzahn (a. Fig. 3 u. 4.) versehen ist, während alle
übrigen Platten der in Rede stehenden Gruppe (B.) keinen
solchen Zahn besitzen (d. Fig. 1. B. 1—4. u. Fig. 3. B.
12), )).
An der Basis der Platten bemerkt man ein grosses.
etwa rhombisch gestaltetes Feld (k. Fig. 4), welches durch
ein eigenthümliches Lichtbrechungs-Vermögen von dem
übrigen Theil der Basis sich auszeichnet. Der Buckel istsehr
gross und (deutlich abgegrenzt. Der Zahn ist einfach '), Zu-
) Der Seitenzahn tritt erst beider 20-ten (resp. 1-ten mittleren
Platte wiederum auf (Fig. 5. ©. 20. bei a.
»» Mit Ausnahme der ersten Platte, welche einen Seitenzahn hat
(vid. oben).
gespiizt und so lang, dass er die entsprechende Platie des
nachfolgenden Gliedes zum Theil bedeckt (Fig. 1). Der
mediale Seitenzahn an der ersten Platte erscheint als
eine mehr oder weniger tiefe Ausbuchtung des Hauptzah-
nes (a. Fig. 1, 3 u 4). Der Nebenzahn (nz. Fig. 3 u. It.) ist
spitz und stets deutlich abgegrenzt.
Wie die inneren Seitenplatten (in ihrer natürlichen
Lage) in die Längs — und Querreihen (resp. Glieder)
angeordnet sind, veranschaulicht die beigegebene Ab-
bildung (Fig. 1.). Die Platten liegen so dicht neben einan-
der, dass sie sich gegenseitig zudecken. Die beiden entge-
‚gengeseizien Platten (B. 1. u. PB’. 1’. Fig. 4), welche die
Mittelplatten (A. Fig. 1) zwischen sich fassen, treten so
‘nahe an einander, dass sie die Mittelplatten fast gänzlich
zudecken (A. Fig. 4).
Alle Platten der in Rede stehenden Gruppe sind ein-
ander sehr ähnlich ‘) und die Formänderung derselben
lässt sich erst an der drililetzten (resp. 17 — 19-ten)
Platte wahrnehmen. Die Formänderung der Platten be-
steht darin, dass die Platten bedeutend schmäler wer-
‘den, wobei der Zahn sich nach hinten stark verlängert.
Ihrer Form und Gestalt nach sind die 2—3 letzten, inneren
Seitenplatilen den ersten Platten der nachfolgenden Gruppe
(mittlere Seitengruppe) sehr ähnlich, von welchen sie sich
!) Ich muss bier erwähnen, dess allerlei Missbildungen und rarie-
täten der Zahuplatten vorkommen können welche jedoch ziemlich
selten sind. Ist aberein Mal eine gewise Missbildung vorgekommen,
so beschränkt sie sich nicht auf eine einzige Platte, sondern lässt
sich durch die ganze Längsreihe verfolgen. Ist z. B. bei einer gewis-
sen Platte der Nebenzahn doppelt (gespalten), so tritt dieselbe
Erscheinung, genau in derselben Weise, bei allenübrigen Platten der
betreffenden Längsreihe auf.
— a
nur durch die Abwesenheit des Seiten—und basalen Zahnes
auszeichnen.
Die mittleren Seitenplatten (Fig. 2. 5.7 u.8).Die 2—3
ersten Platten dieser Gruppe behalten noch die Gestalt der
vorhergehenden Platten, haben jedoch zwei neue Zähne:
1) den Seitenzahn und 2) den basalen Zahn. Alle übrigen
Platten ändern ihre Form so sehr, dass sie von denen der
vorhergehenden Gruppe gänzlich verschieden erscheinen;
letztere Platten besitzen ausser den eben erwähnten zwei
Zähnen noch die secundären Zähne.
Die Basis ist bei den ersten Platten der Gruppe von der
krone bedeckt (Fig. 5.C, 20), bei den nachfolgenden da-
gegen sireckt sie sich lateralwärts aus, so dass sie mil der
Krone in einer Ebene zu liegen kommt. (Fig. 8). Das rhom-
bische Feld (K. Fig.5. u. 7.) ist auch hier deutlich wahr-
wehmbar. Die Krone streckt sich nach hinten aus und stehl
zu der Basis unter einem stumpfen Wiukel, so dass die
Platten eine winklich gebrochene Lamelie darstellen (Fig. 8).
Der Buckel ist hier nicht abgegrenzt, sondern die Krone
geht unmittelbar in die Basis über (Fig. 5. u. 8).
Der Hauptzahn stellt eine längliche Lamelle dar, (Fig. 5,
7 u. 8), welche mit verschiedenartigen ala) slasl LIED.
Zähnen) versehen ist.
Der Seitenzahn ist bei der aller-ersien Platte (Fig. 5. C.
90. bei a.) seitlich gestellt, bei den 3 — 4 nachfolgenden
dagegen rückt er immer näher und näher gegen die Spitze
des Hauptzahnes herab, woher der Zahn zweispitzig er-
scheint (Fig, 5. 21. u. Fig. 7).
Der Nebenzahn ist bedeutend kleiner, als bei den
vorhergehenden Platten (Fig. 4. u 5 bei nz.\; anfänglich
steht er an der Seite des Zahnes (nz. Fig. 5), dann aber
in dem, zwischen Basis und Krone (Fig. 7. u. 8), eniste-
hendem Winkel.
— 2100 —
Der Basalzahn Itrilt an der ersten, mittleren, Platle als
ein ganz kleiner Vorsprung (bz. Fig. 5) auf, welcher allmäh-
ich grösser wird und auf die Basis der Platten übergeht.
Fig. 7. u. 8).
Die secundären Zähne bilden sich allmählig aus. Zuerst
zeigt sich in dem Ausschnitte des Hauptzahnes ein ganz
kleiner Versprung (m. Fig. 7), welcher bei den nachfol-
senden Platten allmählig grösser wird, so dass der Hauptzahn
dreispitzig wird. Es bildet sich ferner noch ein zweiter (Fig.
8), oder sogar dritter Zahn aus, welche alle jedoch stets
kleiner sind, als die beiden ursprünglichen, lateralen Zähne
Die Zahl der secundären Zähne ist nicht constant und
schwankt zwischen 3 und 5.
Die mittleren Seitenplalten sind in regelmässige Längs-
und Querreihen der Art angeordnet, dass die Krone einer
jeden Plaite die Basis der vorhergehenden Platte bedeckt
(Eig. 2) was ein ungemein zierliches Aussehen darbietet.
Die äusseren Seitenplatten (Fig. 6) erscheinen als läng-
lich—viereckige Lamellen, welche in einer schrägen Rich-
tung, ganz dicht neben einander, angeordnel sind. Die in
Rede siehenden Platten zeichnen sich vor allen übrigen
Platten dadurch aus, dass hier die Basis fast gänzlich zu-
rücktritt und nur in der Gestalt eines ganz kleinen Vor-
sprunges sich wahrnehmen lässt. (Fig, 6).
Das rhombische Feld tritt auf das vordere Ende (K.
Fig. 6) zurück und wird von den Platten des vorher-
gehenden Gliedes bedeckt. Der Nebenzahn fehlt. Der ba-
sale Zahn ist sehr undeullich markirt. Die secundären
Zähne sind deutlich ausgebildet; die Zahl derselben ist
nicht constant und beträgt 3—5; die allerlezien, am
Rande der Radula stehenden Platten sind meistentheils
-ungezähni. Die Platten nehmen gegen den Rand der
a
Radula an Grösse ab (Fig. 6). Der Rand der Radula (v.
Fig. 6), zeichnet sich nicht besonders aus.
Zur Untersuchung sind 10 Radulae von Limnaea Sahne
Var. vulgaris Wsrterl. (aus Niankow) benutzt verden.
Maasangaben.
Das Gehauset.).7, Mau 87 72a 3),
Die Radula,
Die Langen. „2.0, ; 4 Mm.
Diesbreiter. 2... 2... Dar >
Die Zahl der Glieder . . 100 — 109%
Die Zahnplatten.
A. B. C. D.
Die Länge... .. 0,034 0,060 0,064 0,020 bis 0,034
Die Breite ... .. 0,012 0,030 0,030 9,004 bis 0,016
Niankow. Januar 1885.
Erklärung der Abbildungen ?).
Fig. 1 — 8) Die Zahnplatten der Limnaea stagnalis Var. vulgaris
Westerl. (aus einem kleinen Park-Teiche in Niankow)
Fig. 1) Ein Stück der Radula mit den Zahnplatten. A, Drei über
einander stehende Mittelplatten.
B’1—4) Vier innere Seitenplatten in drei über ein-
ander stehenden Querreihen (resp. Glieder) der rechten
Seite.
') Vid. Malakozool. Bl. N. F. 1855.
°) Alle Abbildungen sind mit Hülfe des Hartnack’schen Zeichen-
prismas dargestellt; die Fig. 1 — 2 mit Object. \ 4 und die Fig.
3 — 8 Object. | 8, indem das Zeichen-Papier unmittelbar auf dem
Tisch lag.
N 4. 1884. 7
BR 1)
B’. 1”.) Drei übereinauder stehende innere Seiten-
platten der linken Seite. |
Fig. 2) Ein Stück der Radula mit vier Reihen der mittleren Seiten-
platten. (Rechte Seite).
Fig. 3) Drei Zahnplatten (in situ).
A) Die Mittelplatte.
B 1) Die erste innere Seitenplatite (rechts).
a) Der Seitenzahn.
B 2) Die zweite ınnere Seitenplatte (rechts).
n.z.) Der Nebenzahn (der Seitenzahn fehlt).
Fig. 4) Drei Zahnplatten (in situ).
A) Die Mittelplatte.
Bl) Die erste, innere Seitenplatte (rechts).
a) Der Seitenzahn.
n. zZ.) Der Nebenzahn.
k) Ein rhombisches Feld, welches durch eine eigepthüm-
liche Lichtbrechung ausgezeichnet ist.
B’. 1°.) Die erste innere Seitenplatte (links). Die Be-
zeichnung wie vorher.
Fig. 5) Zwei erste mittlere Seitenplatten:
a) Der Seitenzahn.
n.z.) Der Nebenzahn.
b. z.) Der basale Zahn.
k) Wie in der Fig. #.
Fig. 6) Dreizehn äussere Seitenplatten der rechten Seite (in situ),
k) Wie in der Fig. 4.
Fig. 7. u. 8) Die mittleren Seitenplatten (rechts).
Die Bezeichnung wie ia der Fig. 5.
Tab 2
1884. PT
tin
Nur. B. Dax MAHB.
VER ZIEUGIEN!ESS
DER BEI MOSKAU VORKOMMENDEN BORKENKÄFER.
Von
Prof. K. Lindeman.
Seit vielen Jahren die Borkenkäfer der Umgebungen
von Moscau studirend, habe ich warscheinlich alle hier
vorkommenden Arten dieser Familie eingesammelt, den»
schon seit mehreren Jahren finde ich keine mehr, die mir
nicht schon von früher bekannt wären. Deshalb wird das
Veröffentlichen eines Verzeichnisses der bei uns vorkom-
menden Arien dieser interessanten Familie nicht verfrühet
erscheinen. Die gröste Anzahl der hier zu nennenden Arten
ist im Parke und Forste der landwirthschaftlichen Aka-
demie und deren Umgebungen beobachtet worden.
Folgende 42 Arten kommen demnach bei Moscou vor.
Hylasies decumanus Er. Sehr selten.
> palliatus Gylh. Sehr häufig.
> attenuatus Er. Sehr selten.
> oter Pk. Sehr gemein.
> angustatus Hrbst. Häufig.
> cunicularius Er. Sehr selten.
Hylurgus piniperda L. |
» minor Hart. Beide Arten sehr häufig.
Dendroctonus micans Kug. Sellen.
Carphoborus pelosus Rtzb. Burundukovo, bei Talyza selten.
Ploeophthorus rododactylus Marh. Selten.
Hvlesinus crenatus F.
» fraxini F. Beide bei Talvza. Selten.
17*
— 2 —
Polygraphus pubescens E. Selten.
Crypturgus pusilus Gylh. Häufig.
» cinereus Herbst. Häufig.
Trypodendron domesticum L. Selten.
Xyloterus lineatus Gylh. Sehr häufig.
Ernoporus tikiae F. Häufig.
Cryphalus asperatus Gylh. Häufig.
» abietis Ratzb Häufig.
Stephanoderes alni Lindm. Talyza. Selten.
Xyleborus dispar F. Häufig.
Pityophthorus pytiographus Rizb Selten.
Dryocoetes alni (seorg. Häufig.
> autographus Ratzb. Häufig.
> corylk Perr. Nicht selten.
>” aceris Lindmn. Selten.
Tomieus stenographus Duft. Häufig.
> typographus IL. Seht häufig.
> accuminatus Gylh. Sehr häafig.
> chalcographus L. Häufig.
> bidens F. Sehr häufig.
> laricis. Sehr häufig.
>» nigritus Giylh. Häufig.
> zylographus Sahlb. Sehr häufig.
Scolytus destructor K. Häufig. |
> Ratzeburgü Jans. "Sehr häufig.
> rugulosus hatzb. Sehr häufig. i
» intricatus Ratzb. Häufig,
» © pruni Rizb. Sehr häufig.
) multistriatus Marsh. Selten.
DRITTER BERICHT ÜRER DEN BESTAND MEINES HERBARIUMS.
von
Eduard von Lindemann.
Dr. der Botanik.
Alles ist darin zu finden,
Blätter, Knospen, Blumen, Frucht.
Goethe.
Schon im Jahre 1863 hatte ich die Ehre der Kaiserl.
Naturforscher Gesellschaft zu Moskau einen Bericht über
den Bestand meines Herbariums einzureichen, welchem ich
im jahre 1872 einen zweiten nachfolgen liess.
Dem besonderen Wohlvollen unseres gegenwärtigen
hochverehrten Herrn Präsidenten Hr. von Renard hatte ich
es zu verdanken, das beide in das über die ganze Erde
verbreitete, verdienstreiche Journal: Bulletin de la So-
cite des Naturalistes de Moscou (1863 N® I u. 1873
Ne II) aufgenommen wurden.
Ausser dem Interesse genaue Nachrichten über den
Inhalt einer Sammlung überhaupt zu erhalten, hatte die
Idee kurze Biographien derjenigen Naturforscher, welche an
ihr mitgewirkt hatten, zusammenzustellen, Gefallen gefun-
den, weil dadurch zugleich mancher verdienstvolle, aber
weniger bekannte Name der Vergessenheit entzogen wird.
— 266 —
Bei der mühsamen Zusammenstellung eines derarti-
gen Namensverzeichnisses halten mich beim zweiten Be-
richt unter Anderen die Herren: Kawall, Pastor zu Pus-
sen in Kurland; Beise, Syndik der Kaiserl. Universi-
tät zu Dorpat, wie auch Dr. Senoner in Wien mit man-
chen werthvollen Berichtigungen und Ergänzungen unter-
stützt. Bei diesem dritten Berichte diente mir für die
biologischen Nachrichten als Quellensiudium vorzüglich
die reiche botanische Bibliothek der Kaiserl. Neurussischen
Universität, die ich in ihrem ganzen Bestande durchgesehen
habe: aber ausserdem kamen auch noch die neuesten Jour-
nal—und Zeitungsnachrichten hinzu, die Bezug auf das
Namensverzeichniss hatten.
Da sich mein Herbarium in den letzten dreizehn Jahren
seit dem Erscheinen des zweiten Berichtes, aufs Neue um
ein Bedeutendes vergrössert und vervollständigt hat, so-
mit gegenwärtig gewiss zu den grössten Privatpflanzen-
sammlungen Russland’s gehört, erlaube ich mir widerum
einen neuen Bericht über den gegenwärtigen Bestand der
Sammlung der Kaiserl. Naturforscher (resellschaft vorzu-
legen. |
Zu meinem Herbarium wurde der Grund von meinem
verstorbenen Vater Emanuel v. Lindemann im Jahre 1814,
als er in Dorpat studirte, gelegt. Zehnmal hat im Laufe
der Zeit die Sammlung ihren Standort wechseln müssen,
und befand sich dieselbe namentlich:
in Dorpat 1814 — 1820.
» Mitau 1820 — 1845.
» 8.-Petersburg 1845 — 1860.
Bjelgorod (Gouv. Kursk) 1860 — 1862.
Korotscha (Gouv. Kursk) 18€2 — 1863.
» Michailowka (Gouv. Cherson) 1863 — 1870.
S
v
ar
in Elisabethgrad (1870 — 1875).
» Kischinew (1875 — 1876).
» Odessa #) 1876 —- 1878. |
» Elisabeihgrad 1878 — bis gegenwärlir.
Heute besteht die Sammlung aus 312 sehr stark gefüll-
ten Mappen. Die Zahl der catalogisirten Arten ist bis zum
Augenblicke 23,640, mit ungefähr 62,000 Nummern. Die
Zahl der Exemplare muss annähernd etwas über 200,000
betragen. Alles ist auf das Genaueste nach dem Systeme
von De Candolle geordnet und in weissem Schreibpapier
und grünen Mappen mit Inhaltsaufschrift auf das Sau-
berste gehalten. — Bei der Sammlung befinden sich zwei
Kataloge: 1) ein systematischer (205 Bogen), aber seit 5
Jahren nicht fortgesetzt, 2) ein alphabetischer (163 Bo-
sen), vollständig und mit Nummerangabe, wo eine Pfalnze
im Herbarium sogleich zu finden sei.
Die grosse Anzahl der Doubletiten ermöglichte es mir
mit anderen Botanikern des In—und Auslandes in Tausch-
verker zu treien, so weit es meine Zeit und Mittel
erlaubten. Nach den bei mir befindlichen Notizen, habe
ich seit dem Jahre 1862 bereits 54 grössere bhota-
nische Sendungen gemacht und zwar ins Inland 24,
und 30 ins Ausland, mit 20,765 Nummern. Während
dieser Zeit erhielt ich 69 Sendungen, darunter 32 aus
Russland und 37 aus dem Auslande, mit 20,560 Num-
‚mern.
In der Sammlung befindet sich eine grosse Anzahl höchst
interessanter Handschriften berühmter Botaniker aller
a) Während der Kriegszeit hatten sich besonders die ‚Professoren
J. J. Metschnikow nnd J. J. Walz für das Herbarium interessirt u.
dasselbe, in 7 riesigen Kisten verpackt, im Vorsaale der natur.
historischen Kabinete der Universität aufzubewahren erlaubt.
— 265 —
Länder; was die russische Flora betrifft, z. B. von:
Andrzejowski, Besser, Böber, Bongard, Buhse, v. Bun-
ge, v. Chamisso, Czernajew, v. Eichwald, Eschscholtz,
Fleischer, Gorski, Hofmann, Hohenacker, Kaufmann, v-
Ledebour, Meinshausen, Pallas, Rudolph, Sievers, Sobo-
levski, v. Steven, v. Trautvetter, Trinius, Turezaninow,
Weinmann, Wilhelms, Wolfgang etc.
Auserdem verdienen noch ihres Alters wegen Er-
wähnung einige sehr gut conservirte Pflanzen aus der
Mitte des 17-ten Jahrhunderts von Huest, Breyn und
(legero, welche vielleicht die ältesten Repräsentanten eines
Herbariums in Russland sein möchten.
A) Anzahl der Arten im Herbarium nach den Florage bieten:
I. Europa:
Bislang sn. SS Er 6.500 Arten.
Novala BEMHA. = 4=.. 2.2.2. nee 13.2
DENTANaIn- BEA 2 See see Be
Archaneeln or AN N ADN 1-33
Tappane tt... 2 RU. 388 DE 36.)
Emnland!> X Du cs, 1122
Rechlaads .. IE Jia, Sue! tif 5
Peterslurgisunn]:us2. 83.2; 3 a3 ar
Estland, Livland..... nl Tr 48a
Kurland?»- 2.02 2a on 102235
Talleen u a ee 500.
Poleme. 02200. 000,0. 40.
Voliymien- er. en 499 2
MoSCam ae BE 3022
Tula, Kaluga, Tambow......... 150°
Kursk 2 en en 850
MWoronesh>353&% Jatiarsia 68
Kiewass:22. aan. 420
Bedglien.:o..un..weseseiunen 923
OAEIBEOW...2. 132
ClameoN. 2 NE EHaNT 480
Bolava su er 260
Dkatherinoslaw...222::2.32222: 201
WherSun ss enge 1.200
VERSENDEN ER 700
EIN N IE ERET 1.304
VomeDoniserzenssn se nser 70
Weelva- Gebret-. ..*s23022222° 23%: 390
NND RE ER Ep 48
ÜEESS NS I N: 2.160
Norwegen und Schweden........ 500
Danemarke +22... 850220 5068 26
Deutschland =; 22:02:32. 2 50x 2.500
Schlestens Ders ass esta 390
Oestreich, Böhmen, Steiermark... 850
Drsaın nn san 825
Siebenbürgen ws... es -..neenen. 222
Dalmatian, Istrien, Illyrien..... 800
Adsiatısches Meer: .:. ::..:- ... 55
Sekwele BEN... 2.0. 692
Imre en ea 620
Heloplande: 2.2..2..2.2.22..0 2. 30
Emelaud. - +... .2... ...22....- 143
Belvsien mr Since... 926
Femkrachl 2... 22.202222 1.350
Aitlantisches‘ Meer. .........:..- Do
Italien, Sieilien, Elba, Caprera.. 2.014
Spauien, Portucal...:........, 1.017
Serbien ..... ae 150
Eee nen ee nes 109
Ferternenland. .......:........ 98
— 270 —
II. Asien.
SIDE.
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16
172
370
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IV. America.
| ERalandı are ne
Feen. ss nn
SITea as a
Dominanz... ........0. Ne
amalcal ne. . lesen.
Martinique 0.2... An.
V. Australien, Polynesien.
B) Anzahl der Arten aus verschiedenen
Betershure. 2... enter. Pads;
Bawlowskiul.. #2... 2.
16 Arten.
1187 ,
5nll,
330,
0 „
60,0%
210
u:
140 -,
N,
180. 0.
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120%, ,
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SON,
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DS 00:
botanischen Gärten:
330 Arten.
gen ki
2.860 ,
140 ,
1,500),
Bao“,
MHStCaU su... ee 300 Arteu
Kiew se TER. Shane
5 RER EN LArır!,
Beam. 05.28 ya ee Bez 7503, ,
Brenn Ser ae 1.130:%,
ereibere,;, io. Susan Allın v.,
DESSIEnEZ >. ta ante}
Ausserden einzelne Arten aus den botan. Gärten zu: Abo,
Wilna, Charcov, Upsala, Amsterdam, Leyden, Utrecht, Ham-
burg, Göttingen, Frankfurt a. M, Cassel, Halle, Würzburg,
Erlangen, Freiburg, Paris, Montpellier, Marseille und Pisa.
Verzeichniss derjenigen Botaniker, welche zu meinem Herba-
rium beigetragen haben.
„Ich habe mich gewöhnt beim Vorzeigen meiner Samm-
lung der Personen zu gedenken, durch deren Vermitte-
lung ich das Einzelne erhielt. Die Urheber der Gaben steigen
dann wiederholt vor der Einbildungskraft hervor, man ver-
knüpft mit ihrem Bilde eine angenehme Erinnerung, macht
sich den Undank unmöglich und ein gelegentliches Erwiedern
leicht und wünschenswerth‘“. i
Goethe.
Wahrheit und Dichtung.
ar Artenzabl.
1. Agardh, Carl, Adolph. Geb. zu Bästad bei Lund
23 Jan. 1785; 7 zu Carlstadt 28 Jan. 1859. Seit
1812 Profess. der Botanik zu Lund, zuletzt Bı-
schof zu Carlstadt. Berühmter Algolog.—Agardhia
von Sprengel, Cabrera u Fries...... and. 1
2. Agardh, Jac. Georg. Sammelte in Schweden... 82
is
3. Akermark, Botanisirte in Schweden. .......-.: 2
32
10.
Lage
Artenzahl.
Allamand; Botänisirte m Surinam»... :........
Allvoni, Carl. Geb. zu Turin 23 Septbr. 1725, +
daselbst als Professor 28 Juli 1804. Allionia von
UL, DIL SO OR
Alschinger Andr. Geb. zu Wien 1791, F 10 Juli
1863. Professor zu Zara in Dalmatien. Alschin-
SERAF UNE Vastana le N Eye es
Amblard, Louis. Batanisirte m den Pyrenaeen.
Ambrosi, Francesco, lebte zu Borgo di Valsugana
Anderson, Nils, Joh. Geb. zu Linköping 29 Febr.
1821, j zu Stockholm als Professor 27 Märtz 1880.
Bearbeitete die Flora Lappland’s 1846, Scandi-
naviens 1849 und 1852, die Salicineae zu De Can-
dolle’s Prodromus 1868 und die nordamerika-
nischen Weiden 1899.2.2...22.2. 0 VE TEN
Andorfer, Joseph. Apotheker zu Langenlois in
Nseder- Oestreichr. 4227.05 ED TE
Andre, Ed. Sammelte um Grenoble. .:........
2. Andrzejowski, Anton (AHTous ‚lyrkiaHornurp).
Geb. 1785 in Volhynien, 7 zu Stawicze im Gouv.
Kiew 10 Decembr. 1868. Studirtein Krzemeniec,
wurde Gehilfe DBessers; darauf bekleidete er
zeitweise Professuren in Krzemeniec, Kiew und
Neschin. Bekannt durch seine wissenschaftlichen,
besonders - botanische ° Excursionen zwischen
Dnjestr und Bug 1814—1824; wurde ein Beglei-
ter Eichwald’s auf dessen Reise durch Podolien
1829. Seine letzten Lebensjahre brachte er als pen-
sionirter Gelehrter meist in Nemirow und Bjelo-
Cerkow zu und machte sich einen nicht unbe-
deutenden Rnf als polnischer Sehriftsteller. Nach
seinem Tode wurden seine zahlreichen Papiere
vom Grafen Branicki an Profess. J. Knapp zur
Bearbeitung übergeben. Von mir ist sein Nekro-
log 1869 in der Flora von Regensburg publieirt
36
— 271 —
Artenzahl.
worden. Andrzejowskia von Reichenbach, ausser-
dem Rosa A., Seirpus A., Erysimum A. von
Besser „uw. har RE A
Angelis, Katholischer Geistlicher, botanisirte in
den steirischen Alpen um Admont. Angelisia von
14. Angström, Joh. Sammelte in Lappland. Angströ-
nia. „yon. Sehimper „.=siasiant ech ee
15. Ankerkron. Botanisirte in Schweden.........-.
17,
18.
19.
20.
21.
22.
23.
Anzi, Martino. Presbyter, Abbe und Proiess. im
Seminarium zu Novo Como. Auseezeichneter
Bryo-u. Lichenolog. Prasia A. von Rabenhorst
Ardissone, Francesco. Seit 1863 Professor zu
Genua, dann am Lyceum zu Feno auf Sicilien.
Berühmter.: Algolog.. - »-... na Wa:
Arndt, E. Botanisirte um Greifswald..........
Arnell, H. Botanisirte in Schweden.......-...
Arnold, Fr. Assistent beim Appelationsgerichte
zu Eichstädt. Ausgezeichneter Bryo-u, Licheno-
log. Arnoldia von Massalongo0................
Ascherson, Paul, Friedr., Geb. zu Berlin 4 Juli.
1834, Professor daselbst. Einer der bedeutendsten
Systematiker der Gegenwart. Aschersonia von
Endlicher, ausserdem wurden einige Arten nach
ihm, benannt innen er Re
Aubert, Gust. Geb. zn Lovette St. Pierre 1327.
Auerswald, Bernh. f zu Leipzig 30 Juni 1870
als Lehrer an der Realschule. —Auerswaldia von
Rabenhörst.. a ar ana
Augustinowicz, Thomas. (80oma MargGtesn4s). *)
Studirte in Vilna. War Medicinal-Jnspektor des
Gouv. Kursk. bereiste Sachalin u. Sibirien....
300
20
60
16
20
517
*, Die sternchen bedeuten: *=war oder ist mir persönlich be-
kannt, *= war oder ist mein Correspondent, **—= war oder ist
beides.
Artenzahl.
25. Aulin, F. R. Botanisirte in Schweden......... 1
26. Axell, P. ... in; Schweden... a2... .: 1
27. Daenitz, Carl, Gabriel. Dr. hat gegenwärtig einen
42.
43.
44.
Pflanzentauschverein in Königsberg wo er Leh-
rer ist.—Asperula B. von Heldreich...........
. Daglietto, Francesco. Berühmter italienischer Li-
chenolog.—Bagliettoa von Massalongo........
Omen a lee seien ae ee
ONDESSON. a ee “
balfour J. B. Botanisirte in England und auf
Mauritius. Schrieb über Pandanus 1878........
Ball, John. Sammelte in Spanien, Portugal und
MaroeeO 0. ae Seide ineege
Bannon, H. Botanisirte in Frankreich......... |
:Banse, Botanisirte um Magdeburg............
. Barcelo. Botanisirte auf den Balearen.........
. Barth, J. 7 1875? Tüchtiger Botaniker Sieben-
bureens. —Jnula b. von Schur. ie. un cerier
Bary, Antoine de. y zu Strassburg als Pr ofessor
9 Mai 1877. Berühmter Algo-u. Bryolog.—Barya
on Klobzsch. 2.2. 32. 3 a ee rei
Basson. Sammelte in Frankreich.............
. Bastelier. Botanisirte in Belgien......-....-...
Bauer. Chemiker in Berlin. Sammelte um Ber-
lin 1829 u. in Pommern. 1849... 2....8....
. Bauhin, Caspar. Geb. zu Basel 17 Januar 1560,
y daselbst 5 Decembr. 1624, als Professor der
Anatomie und Botanik, welches Amt er seit 1588
bekleidete; von 1614 erster Stadtarzt u. Profes-
sor der Medicin. Der grösste Botaniker seiner
7 Banhinia, von binnen. van re
baumbach. Dr. Arzt, in Leipzig... ... .»....»-».
Bausch, W. Bryolog in Baden...............
TDORSeh a a ee he ee
Bm tm
45.
Artenzahl.
Bayer, Jolı., Nepom. Geb. zu Gross-Krosse im
östreichischen Schlesien 20 März 1302. Sammelte
in Stever. I BR DEREN D : }- Ä
Beaujeau. Sammelte in Belgien...............
Beaupre .-..... a SR
Beccari, VOdoardo, Bekannt Jurch seine Reisen
längst den Küsten des rothen Meeres und auf
Borneo.—Beccaria von Venturi, ausserdem Da-
vahs>- Bi vor GestL ia: ee >
Becker, Alexander (A1ekcaHıp Ehpniniie Lebt
in Sarepta. Sammelt im Gebiete der Wolga, in
Daghestan, Turkmenien,. überhaupt im Süd-Osten
Russlands. Gleichzeitig eifriger Entomolog.—
Allium B. von Regel; Salvia B. von Trautvetter.
Becker, Friedr. Staabsarzt in Wien........ Sr
Benesch. Botanisirte in Böhmen........... :
Benzon, Alfred. Botanisirte in Dänemark —Ben-
zonia- von: Schumacher 22. 5 2 ER,
Bergelin, R. Sammelte in Schweden...........
Berger, M. Botanisirte auf Madagascar. —Cin-
chona B. von Martins; Crepis B. von Stendel..
Berggren, Sven. Professor zu Lund. Bryolog..
Bergh H. Sanmelte in Schweden..............
Bergius, Carl. Heinr. Geb. zu Berlin 1792, 7 am
Cap. 4 Jan. 1818. Botanisirte als Pharmaceut
fleissig im südlichen Africa. —Bergia von Fürnrohr;
ausserdem Serruria B. von Rob. Brown.......
DBergstädt. Sammelte in Schweden..........-..
Bernard, G. Sammelte in Tyrol. —Bernardia von
Houston 3 IH ein 2.2
Bernhardi. Joh., Jacob. Geb. zu Erfurt 7 Sep-
tembr. 1774, y ebendaselbst als Medicinalrath u.
Professor der Philosophie. Sein Herbar soll gegen
40,000 Arten enthalten haben, namentlich viel
aus der Hedwigschen Sarmmlung.—Bernhardia von
13
234
er >)
N en 04)
ei
64.
. Bieberstein Marschall Baron von, Friedr., August.
66.
67.
Willdenow; ausserdem Aconitum B. von Reichen-
bach en ei When BE
61.
62.
a
Artenzahl.
Bertram, Carl. Sammelte Moose in Braunschweig.
Bertram, Wilhelm. Pastor in Braunschweig....
Besser, Wilibald, Joseph, Gottlieb. (Bnausaısıe
Torın6osnys). Geb. zu Innsbruk in Tyrol 7 Juli
1784; 7 zu Krzemeniec in Volhynien 11 Oktobr.
1842. Schüler von Schiwereck und Schultes. 1307
Doct. med. 1809 Professor der Naturwissenschaf-
ten zu Krzemeniec, darauf 1833—1835 Professor
der Botanik in Kiew. 1835 Mitglied der Kais.
Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg.
Lebte seit 1837 pensionirt. Schrieb 21 Werke
u. Abhandlungen. Sein Herbar kam an die Wla-
dimir-Universität zu Kiew.—Bessera von Schul-
tes; ausserdem wurden noch 22 Arien nach ihm
bematuınt a sa nie Sa
Bicchi, C. Bryo-u. Lichenolog zu Lucca........
Geb. zu Stuttgart 10 Aug. 1768, T zu Merofa
bei Charcow 5 Oktobr. 1826. Botanisirte 1793—
1796 in Taurien, 1797, 1798, 1802 u 1805 im
Caucasus. General-IJnspektor des Seidenbaus im
südlichen Russland. Hat 9 Werke u. Abhandlun-
gen. hinterlassen, darunter seine klassische Flora
taurico-caucasica (1808—1819). Sein Herbar kam
ans Museum der Kaiser]. Akademie der Wissen-
schaften zu St. Petersburg.—Biebersteinia von
Stephan; Marschallia von Bartling; ausserdem
wurden 50 Arten nach ihm benannt......-....
Bienert, Theophil. } zu Riga 1873. Studirte in
Dorpat. 1872 Magister pharmac. Eifriger Beoba-
chter der baltischen Flora.—Bienertia von Bunge.
Bischoff, Gottlieb, Wilhelm. Geb. zu Dürkheim
an der Haardt, wo sein Vater Apotheker war,
K 4. 1884. 18
12
1
4
870
L
43
1
or
— 2178 —
Artenzahl.
1797; 7 zu Heidelberg 11 Septbr. 1854. Schüler
Koch’s zu Kaiserlautern. Ging 1819 in die Ma-
lerakademie nach München, muste aber eines
Augenleidens wegen die Malerei aufgeben. 1821
bezog er die Universität Erlangen. Ging 1822
wieder nach München, wo er die Zeichungen für
Martins brasilianische Reise aufertigte. 1823 Pro-
visor und Doct. philos. zu Erlangen. 1825 Pri-
vatdocent zu Heidelberg und seit 1833 daselbst
Professor der Botanik. —Bischofia von Blume und
Bisehoffia von Decaisne. : un. Fa ie
Bijornstrom. Botanisirte in Schweden......... 1
Blanche, Isidor, H. Französischer Consul zu Tri-
polis in Syrien. —Blanchea von Boissier....... 70
. ABlasch. Dr: 322 SEN EN. 1
Blomberg, J. M., Botanisirte in Norwegen..... 1
Blum, Friedr. Geb. in Hannover. Studirte 1813—
1815 in Dorpat Medicin. War Medicinal-Inspeetor
zu Astrachan. Seine Pflanzen bearbeitete Lede-
bour...2 2. use es. 180
Blyznin, Gregor (Tpuropiü Akop.esuyp). Geb.
zu St-Petersburg 22 Septbr. 1838. Studirte in
Paris. Lehrer der Naturwissenschaften an der
höhern Realschule zu Elisabethgrad..........- 50
Bochkolz, C., W. Botanisirte als Civil-Ingenieur
em: Trier. 22... 02 RI 6
. Böber, Joh. Geb. 1746; 7 1820. Oberst und Di-
rektor des Kadettencorps zu St.-Petersburg aus
Moscau, Charcow, Ekatherinoslaw und Taurien.
Veröffentlichte seine botan. Beobachtungen in
Reichs Magazin des Pflanzenreichs und Pallas
neuen nordischen Beiträgen 1793. Seine Pflan-
zen theilte er besonders Willdenow mit. Böbera
von Willdenow, Lessing u. De Candolle; aus-
serdem Anemi B. von Hoffmann............. 4
76.
78.
79.
s0.
81.
82.
Artenzahl.
nselcger; Dr. Myvcolog...... 2.2... 22.02.
Bosssier, Edmund. Geb. zu Genf 10 Mai 1810.
Professor der Botanik daselbst. Verfasser der
berühmten Flora orientalis 1867—1879.— Bois-
siera von Stendel und Hochstetter; ausserdem
wurden nuch 9 Arten nach ihm benannt.......
Bolander, A. W. Botanisirte in Norwegen.....
Bolle, Carl. Dr. Geb. zu Berlin 21 Novbr. 1821.
Botanisirte in Deutschland u. aufden canarischen
Inseln. Bearbeitete die Algenvegetation Deutsch-
lands und die Farren der Canaren.—Bollea von
Reichenbach fil....... ul LAN a URL ER 21 an
Melus., 4. Botanisirte am Eap.... - 2.2... 2-.
IRRE. N. a en län elle
Bongard, August, Heinrich, Gustav. (Tycrass lIer-
PpoBaUB). Geb. zu Bonn 12 Septbr. 1786; 7 zu
St. Petersburg 25 Aug. 1835. Als Arzt des Für-
sten Barjatinski promovirte er zu Marburg zum
Dr. med. am 5 Mai 1817. Seit 1830 Professor
und Mitelied der Kaiserl. Akademie der Wissen-
schaften zu St.-Petersburg. Bearbeite zum Theil
das von Mertens und Postels aufder Erdumseg-
glung 1823—1826 gesammelte Material. Schrieb
9 Abhandlungen u. eine Monographie. —Bongar-
dia von C. A. Meyer; ausserdem Bauhinia B.
von Stendel., Eriocaulon B. von St. Hilaire,
Agarieus B. von Weinmann..................
Borbas, Vince. Geb. zu Nogrod in Ungarn 29
Juli 1844. Professor an der Staatsoberrealschule
zu Pesth. Eifriger Erforscher der Flora Ungarns.
Bordere. Lehrzr zu Gedre in den obern Pyre-
naeen. Hat unter Anderem das grosse Verdienst
die einst von Babiani gesehene Dioscorea pyre-
naica wieder aufgefunden zu haben, die einzige
europäische Art dieser Gattung..............
106
25
402
200
0.
1:
Artenzahl.
Büren, Pa u HE ee
Bosse, J. A. Privatgelehrter in Odessa. Bota-
nisirte in Podolien, Bessarabien und um Odessa.
. Boswall: Syme, J. Sammelte in Schottland. Gab
1854 English Botany heraus........-...-.--..
Boulay. Abbe und Professor zu Besancon in den
Vogesen. Verdienstvoller Bryolog.............
Bourgeau, Eugen. Sammelte in Spanien u. auf
den canarischen Inseln.—Burgaea u. Astragalus
B- von! Cosson: Sa re
Boutelou, Pablo. Geb. 1817; 7 zu Sevilla 1846.
Ingeniero de Montes in Sevilla.—Bouteloua von
Hornemaın u. Lapasea.:a ra
Braig, Elise. $ zu Triest 18 Novbr. 1870. Bo-
ianisirter in! Istrien... sus au er
Brandis, Dietr. Geb. zu Bonn 21 März 1824..
Braun, Alexander. Geb. zu Regensburg 10. Mai
1805, r als Professor zu Berlin 29 März 1877.
Braunia von PBridel u. Schimper; Sempervivum
B:: on Koch N DE
Braunstengel. Sammelte in Oestreich.........
Brehier. Botanisirte in Frankreich............
‚ Breidler, J. DBotanisirte in Steiermark und
Karnlen u ee
Breutel, Joh., Christ. Geistlicher in Bertelsdorf
bei Herrnhut. Bekannter Bryolog.—Breutelia von
Bridel: u. Schimper.>:22.8.7: A
Breyn, Jacob. Geb. zu Danzig 14 Jan. 1637, 7
ebendaselbst, wo er Kaufmann war, 25 Jan.1697.
Berühmt ist sein Prachtwerk: Exoticarum plan-
tarum centuria 1678.—Breynia von Forster, aus-
serdem Tulipa B. u. Capparis B. von Linne,
Asplenium B. von Retzius, Ranunculus B. von
Crantz u. Guajacum B. von Sprengel.........
50
12
12
10
36
— 281 —
Artenzahl.
100. Bridges, Thomas. Botanisirte in America: 1851
in Chili, 1853 in Californien, 7 9 Septbr. 1865
auf hoher See, während einer Reise nach Nica-
ragua.—bridgesia von Hooker u. Bertoloni..... 2
101. Brinkmann. Bryolog zu Rostock.............
102. .Brittinger, Christian,Casimir. Geb. 30 April 1795,
r als Apotheker zu Linz 1859. Bekannt als Bo-
taniker u. Entomolog. Seine Biographie in Oestr.
botan. Zeitung 1860. 032.0p1z ...2. 10
Bus OmmeRG. Ks. „lei re 1
104. Brondelius. Sammelte in Schweden........... 20
105. Bronikowski. Sammelte in Schweden.......... 1
106. Brosson, P. Botanisirte in Schweden.....
107. Bruch, Phil. 7 17 Febr. 1847 als Apotheker zu
Zweibrücken an seinem Geburtstage. Bryolog.—
Bryich13, von Schwaegrichen.... ....- -...%...:. 2
TOSERBaTTeleller nern Suede 2
109. Buchardt, Wilh. Sammelte auf Rügen und in
Neu Pommemin. 2. 32. 32:88 ae ars. 1
110. Buchwald. Sammelte in Brandenburg......... 1
111. Buek, Joh. Nicol. Geb. zu Hamburg 8 Aug.
1779, 7 zu Frankfurt a.O. 30 Jan. 1856, wo er
Apotheker war. —Buekia von Nees; Canna B. von
Weinmann, Orobanche B. von. Koch........... 3
112. Buhse, Friedr., Alexand. (Peoropp Adekcanıpo-
** zuys). Geb. zu Riga 18 Novbr. 1821. Studirte
in Dorpat 1840—1842. Dr. Philos. Bereiste
1842—1843 Ober-Italien, Illyrien, Dalmatien und
Montenegro; 1847—1849 den Caucasus und Per-
sien. Einer der Stifter und thätigsten Mitglieder
des Naturforscher Vereines zu Riga. Ihm zu
Ehren benannt: Rosa B. von Boissier, Orobanche
B. von Reuter, Reseda B. von Müller, Allium
Es von iepeln.....,02 erneut le 946
113. Dunge, Alexand. von (ArekcaHıpp Auıpeesnyp).
114.
115.
116.
117:
112.
119:
120.
et feed ud
Div
124.
1235.
126.
127.
IND tem
(s)
— 282 —
Artenzahl,
Geb. zu Kiew 24 Septbr. 1803. Anfangs Professor
in Kasan, darauf seit 1835 in Dorpat. Vom Jahre
1833 Mitglied der Kaıs. Akademie der Wissen-
schaften zu St. Petersburg. Begleitete Ledebour
zum Altai u. durch die soongarische Kirgisen-
steppe 1826—1827; in viel späteren Jahren be-
reiste er auch Persien in Begleitung von Bie-
nart. Das älteste Mitglied (seit 1324) der Kai-
ser]. Naturforscher-Gesellschaft zu Moscau. Lebt
gegenwärtig als pensionirter, aber immer noch
wissenschaftlich thätiger Gelehrter zu Dorpat.—
Verfasser von 37 höchst werthvollen Schriften.
Sein grosses Herbar verkaufte er vor vielen
Jahren an Cosson nach Paris. Bungea von C.
A. Meyer; ausserdem wurden 24 Artennach ihm
benannt: -2.:.... SR THE EEE
Burkhard. x 1847. War Apotheker zu Niesky in
der Lausit2. 22.20. 2.ReNR a
Burle, E. A. Sammelte in der Schweiz........
Burmeister. Sammelte um Uralsk...........:..
= Caflisch, Joh., Friedr. Lehrer in Augsburg....
Calavia, Botanisirte in Spanien. .......z.2....
Caldesi, Ludov. Berühmter Mycolog Italiens...
Campana, Antonio, Geb. zu Ferrara 3 April
1751, y daselbst als Professor 2 Mai 1833.....
Carestia, A. j zu Valsesca 1836. Abbe zu Riva
Bekannter Lichenolog.—Peziza Ü. von Üesati..
Carlsson, E. Botanisirte in Schweden.........
Carpinski. Sammelte um St. Petersburg.......
Carrington. Dr. englischer Bryolog..........:.
”* Jaruel,. Theodore. Geb. 1830. Seit 1858 Custos
des naturhistorischen Museums zu Florenz; seit
1871 Professor der Botanik zu Pisa. — Unter sei-
128.
129.
130.
131.
132.
Ba Ga
Artenzahl.
nen Schriften hat ein ganz besonderes Interesse
seine Flora toscana 1860—1864.—ÜCaruelia von
oplatone, 3... Sen eh ee
Casavielo. Botanisirte in Spanien.............
Cesati, Vincenzo, Barone. Professor am National-
kollesium zu Vercelli, darauf von 1868 in Pisa,
gegenwärtig in Neapel.—Berübmter Bryolog.—
Cesatia von Endlicher u. Rabenhorst, ausserdem
Agaricus ÜC. von Rabenhorst, Ricasolia C. von
Massalongo u. Mentha Ü. von Gandoger.......
Chalon, Jean. Botanisirt in Belgien..........
Chamisso de Boncourt, Adalbert, Ludw., Carl.
von. Geb. auf dem Schlosse Boncourt in der
Champagne 27 Jan. 1781; 7 als Kustos des bo-
tan. Kabinets zu Berlin 21 Aug. 1838. Emigrirte
mit seinen Eltern 1790 aus Frankreich. War
Page bei der Königin nnd Leutenant in preussi-
schen Diensten. Studirte in Berlin 1813—1815
Medicin u. Naturwissenschaften. Machte auf
dem Rurik die Entdeckungsreise unter Kotzebue
1815—1818 mit. Ausgezeichneter Botaniker und
einer der grössten deutschen Lyriker. — Das
reiche auf der Reise gesammelte Material bear-
beitete er mit D. F. L. von Schlechtendal in der
Linnaea unter dem Titel: De plantis in expedi-
tione speculatoriaRomanzoffiana observatis 1826—
1836.—Sein Herbarium, aus ungefähr 16,000
Arten bestehend, besitzt die Kaiser. Akademie
der Wissenschaften zu St. Petersburg, ein kleine-
res befindet sich in Berlin. —Chamissoa von Hum-
boldt u. Bonpland; ausserdem wurden noch 25
Arten nach ihm benannt... .....:..-. 2er...
Chaubard, Louis, Anastase. Geb. zu Agen 17
Aug. 1785; $ zu Paris 13 Jan. 1854. Begleitete
40
319
133.
134.
135.
136.
138.
139.
140.
141.
142.
— 281 —
Artenzahl.
die französische Expedition nach Morea.—Chau-
bardia: von: Reichenbach Hl... 2
Chauvin, Franc., Joseph. Geb. zu Vive im De-
partement Calvados; r zu Caen 5 Febr. 1859.—
Algolog.—Chauvinia von Bory, Steudel u. End-
licher’. MET RE RE
Chavannes, Hermine. 7 zu Lausanne im April
1853.— Chavannesia von A. De Candolle.......
Choulette, Sebastian. Geb. zu Toul 1803. Mili-
tair-Apotheker zu Philippoville u. Constantine
in Aleier : 1853 21858. Hr FE ERTE
Chrustalew, Peter. Botanisirte vor ungefähr 40
Jahren fleissig im Gouv. Cherson.— Seine Pflanzen
verkaufte er an das ehemaliche Lyceum zu
Odessara. 2:1. re Ar
Claus, Carl (Kapıs Peıoposuye). Geb. zu Dor-
pat 11 Jan. 1796; r ebendaselbst 24 März 1864.—
Als Provisor machte er sich schon durch seine
Steppenflora 1817 bekannt. Von Kasan aus, wo
er eine Apotheke gründete, machte er wieder-
holte Exkursionen zwischen Ural und Wolga, so
unter Anderen 1827 mit Profess. Erdmann und
1834 von Dorpat aus mit Profess. Goebel. Yon
1839 Proiessor der Pharmazie in Dorpat.—Clau-
sia von Kornuch-Frotzki; ausserdem Astragalus
C. von C. A. Meyer und Heracleum C. von Le-
debour.. 22:02... 2078 EN seen
Claussen, P. Gebürtig aus Dänemark. Botanisirte
mehrere Jahre in Brasilien. —Rhus C. von Turcza-
EI Fe
Clegero. Sammelte um’s Jahr 1688 in Japan...
Cogniaux, Alfred. Conservator des botan. Gartens
zu Brüssel: = SE ee Hi En ee
Collinder, E. Botanisirie in Schweden....... ii
Colomiers. Botanisirte in Frankreich.........
36
36
28
200
143.
144.
145.
146.
147.
148.
149.
150.
151.
452.
153.
154.
155.
— 285 —
Artenzahl.
Coquerray. Botanisirte in Frankreich..... a 1
Cordier, F. S. Cordiera von Richard.......... 5
Cosson, Ernest. Geb. zu Paris 1819. Bereiste
1852 die Ufer des mitländischen Meeres und be-
sonders Algier. Verfasser der Flore des environs
de Paris 1861. Besitzer eines der grössten Her-
barien.—Cossonia von Durieu, ausserdem Brassica
C. von Boissier u, Reuter, Mentha C. von Gan-
Costa y Ouxart, Antonio, Cypriano, Professor zu
Barcelona. Costia von Willkomm; Pulegium C.
Bo Gandogeren.n. aaa ar
Coster, B. S. Sammelte in Schweden.........
Couturier, .L. Sammelte in Belgien............
Coyet, A. Botanisirte in Schweden............
Cramer, Carl. Professor am Polytechnicum zu
Zusich:; Crameria von! Murray...
Crepin, Francois. Geb. 1829. Profess. an der Gar-
tenbauschule zu Gentebrügge in Belgien. Schrieb
Flora Belgiens u. Primitiae monographiae Rosa-
rum. 1874—1876. Rosa U. von Deseglise, Cela-
strophyllum C. von Saporta, Mentha C. von Gan-
Cruse, Carl, Friedr, Wilh. Geb. zu Mitau 13 Mai
1803; j als Professor zu Königsberg 23 Jan.
1873. Schrieb über Cap-Pflanzen. Crusea von
Bhamissor 2 NR
Csato, Joh. Gutsbesitzer zu Contza in Ungarn.
Cuming, Hugh. Geb. zu West-Alvington in De-
vonshire 14 Febr. 1791; 7 zu London 10 Aug.
1865. Hat bis 130,000 getrocknete Pflanzen, be-
sonders aus Süd-Amearika und den Philippinen
zusammengebracht. Cumingia von Don und Kunth;
ausserdem wurden 9 Arten nach ihm benannt..
Curnow. Englischer Bryolog.................
DD SD
50
16
105
2
— 286 —
Artenzahl.
156. Czegl. Sammelte in Oestreich................ 1
157. Czemakowski. Sammelte in der Mongolei...... 4
158. Czernajew, Basilius (Bacnıiü Marsbesuyp). Geb.
+
zu Woronesh 1793; T zu Charkow 21 Febr. 1871,
wo er bis 1863 Professor der Botanik war. Der
gründlichste Kenner der ukrainer Flora. Hat
nur 3 botanische Schriften hinterlassn. Sein Her-
bar, ungefähr 15,000 Arten, erbte die Univer-
sität Charkow, leider ist es aber gegenwärtig
nicht aufgestellt. Czernajewia von Turczaninow.. 170
159. Czetz. Botanisirte in Siebenbürgen............. 17
160. Dahlbery, A. Botanisirte in Schweden........ 3
161. Daldini, A. Kapuzinermönch im Kloster della
Madonna dell Sasso im Canton Tessin. Gelehrter
Mycolog. Lemania D. von Rabenhorst, Aego-
erophila D. von de Notaris etc... ....» - sure. 4
162. Dandois, H. Botanisirte in Belgien........... 3
163. Dabeaux J., Odon. Militairoberapotheker zu Bor-
deux.—Üentaurea D. von Grenier.....22...... 6
164. De Candolle, Auguste, Pyramus, Geb. zu Genf
4 Febr. 1778; 7 daselbst 9 Septbr. 1841. Lebte
anfangs mehr in Paris, dann in Montpellier u.
zuletzt in Genf, wo er Professor war. Einer der
grössten u. verdienstvollsten Botaniker. Candoliea
von Labillardiere u. Raddi; Decandolia von Bas-
ter; ausserdem wurden 17 Arten nach ihm be-
Damnt.. car 32 TR TR: 1
165.-. Defargz. Kapitän. 2. Ta Nee .e
166. Delastre. Botanisirte in Frankreich. Delastrea von
A: Dei:Candolle:: :2:-.2:.1 Bir E Se! 1
167. De la Vigne, Gislain, Francois. Französischer
Emigrant. Studirte zu Erlangen und Göttingen.
Vorgänger Üzernajews als Professor der Bota-
nik in Charkov, wo auch noch bei der Univer-
sität einiges von seinem Herbar vorhanden ist.
168.
169.
170.
AM.
172.
173.
174.
175.
176.
177.
178.
— 287 —
Artenzabl.
Vignea von Palisot de Beauvois, ausserdem Koe-
lerıa D» von: Ezernajew.. 2, 27. PN,
Delbos, Joseph. Professor zu Mühlhausen im Elsass
Delile, Alire, Raffeneau. Geb. zu Versailles 23
Jan. 1778; y Montpellier 5 Juli 1850, als Pro-
jessor. Begleitete Napoleon 1798 nach Eeypten.
Delila von Dumortier, Delilia von Sprengel, Li-
laea von Bonpland; ausserdem Orobanche D. von
Decaisnes a. a AHBBRTEN DIDI
Delongchamp, J. S. A. Dr. med. Verfasser einer
Flora gallica 1806. Longchampia von Willdenow
Deppe. Sammelte in Nord-America. Deppea von
Chamisso u. Schlechtendal;. ausserdem wurden 8
Arten nach. ihm! benamit. .....% . scene...
Deseglise, Alfred. Lebt in Belgien. Hat sich beson-
ders mit den Rosen Süd-Europas, Asiens u. Afri-
kas beschäftigt; schrieb unter Anderen: du genre
Bouer Ionalaaledn.. sea ANA DETES
Detharding, Georg, Gustav. Geb. zu Rostock 22
Juni 1765; + daselbst 1838. Dr. med. und prak-
tischer Arzt zu Warnemünde. Botanisirte vorzüg-
lich in Meklenburg und Holstein. Dethardingia
WON, „INS a a a ee N:
Devaux, Augustin, Nicaise. Geb. zu Poitiers 21
Aug. 1781; 7 in der Nähe von Angers 12 Juli
1856. War seit 1817 Director des botan. Gar-
tens zu Angers. Er soll ein Herbar von 40,000
Arten besessen haben? Devauxia von Poiret....
Devos, Andr. Geb. zu Champlon 1829. Lehrer
an der Ecole moyenne zu Namur in Belgien...
Dierbach, Joh,, Heinr. Geb. zu Heidelberg 23
März 1788; } daselbst als Professor der Medi-
20
14
189)
22
181.
182.
183.
184.
185.
186.
187.
188.
189.
— 2833 —
Artenzahl.
cin, Pharmakologie und Botanik 9 Mai 1845.
Dierbachia ‘von Sprengel han Ne
Dieudonne, Oscar, Baron de. Geb. auf dem Schlos-
se Corbeck-Loo in Belgien, wo er auch gegen-
wärtig»lebt.Dr. seientiar; natural 2 mar:
Döngingk, Alexand. (ArekcaHıpt aBu1oBuyp).
Geb. zu Riga. Gründer und von 1835 —1877 Di-
rektor des botanischen u. landwirthschaftlichen
Gartens zu Kischinew, zog verabschiedet nach
Elisabethpol in den Oaucassus. Seit 1875 Mitglied
der Kais. Akademie der Wissenschaften für Meteo-
Tologien. 2... 0 ER EE B
Dolliner, Georg. Geb. zu Ratschach in Krain 11
April 1794; y als praktischer Arzt zu Idria 16
April 1872. Hatte in Wien seine Studien ge-
macht. Sein Herbar vermachte er dem Krain-
schen Landes-Museum. Dollinera von Sauter....
Dorias-Mycloge..:.n 2 20 REN
Dreesen, Beter.-Bryoleg in Bonn Au.reern 2
Dufour, Leon. Geb. 1779; 7 zu Saint Sever 18 April
1865. Ausgezeichneter Arzt und Naturforcher.
Dufourea von Humboldt, Bory und Grenier.....
Dupuis. Gelehrter Gärtner in Paris, machte mit
Vahl mehrere neue Pflanzen bekannt. Dupuisea
von.Richard. 3.2 2. Ra er
Dupuy Dominique, Geb. zu Lectaure 1818. Abbe
und Professor des Seminarii Auseitani........
Durando, Cajetan. Leutenant in Caraglio, Sam-
meltes in Aa 2 a EEE
Durando-Dugquesney, Don Gaetano. Apotheker und
Direktor des Acclimatisations-Gartens in Algier.
Durandea von Delarbre; ausserdem Chloris D.
On 9Schultesi. 220 0. SEE er.
Durieu de Maisonneuve, Mich., Charl. Geb. 1796;
+ zu Bordeaux 20 Febr. 1878, als Direktor des
18
758
300
11
24
12
190.
197.
194.
195.
— 289 —
Artenzahl.
boten. Gartens daselbst. Duriena von Merat u.
\SUSENENR. EI er RE
Dusla Carl. Sammelte in Schweden...........
Duval-Jouve, Joseph. Geb. zu Boissy-Lambervilie
1810. Inspektor der Akademie zu Strassburg.
Botanisirte 1853—1854 in Algier. Duvalia von
EEE re Aa FARB
. Ecklon, Christ., Friedr. Geb. zu Apenrode bei
Hamburg 17 Decembr. 1795: + zu Captown im
Decembr. 1868. Bereiste das südliche Africa
1829—1833 im Auftrage des würtembergschen
Reisevereins mit Carl Zeyher. Ecklonia von Steu-
del; ausserdem wurden noch 31 Arten nach ihm
VEREIN eo ER AR
Egerström. Botanisirte in Schweden..........-
Ehrenberg, Christian, Gottfried. Geb. zu De-
litzsch in Sachsen 19 April 1795; y zu Berlin
als geheimer Medicinalrath u. Professor. Studirte
1815—1817 in Leipzig u. Berlin zuerst Theolo-
gie, dann aber Medicin und Naturwissenschaften.
Promovirte 1818 zum Dr. med. mit seiner Dis-
sertation: Sylvae mycologicae berolinenses. Be-
reiste 1820—1826, anfangs mit seinem Freunde
Hemprich, welcher jedoch schon 1823 starb
Esypten und Nubien. Zurückgekehrt wurde er
Professor der Medicin zu Berlin. Im Jahre 1829
machte er seine zweite grosse Reise mit Alex.
‘von Humboldt und Gustav Rose durch Russland
u. Sibirien bis an den Altai. Als bis dahin gröss-
ter Beobachter der Mikroorganismen, wurde er
auch der wissenschaftliche Begründer der Infuso-
rienkunde. Ehrenbergia von Sprengel und Mar-
tius; ausserdem Canna E. von Bouche, Euphorbıa
E. von Sweet, Acacia E. von Hayne, Lupinus
20
— 290 —
Artenzahl.
E. u. Wedelia E. von Schlechtendal, Iudigophora
E. z0n. Steudelss..0.....0% 2 m ss Seen 2
196. "”* Eichwald, Eduard von. Geb. zu Mitau 4 Juli
1794; 7 zu St. Petersburg 20 Novbr. 1876. Stu-
dirte 1814—1817 in Berlin. Bereiste darauf
Deutschland, die Schweiz, Frankreich, England
und kehrte 1819 nach Russland zuruck, wo er am
18-ten Mai in Vilna mit seiner Dissertation: de
Selachis Aristotelis zum Dr. med. promovirte.—
Von 1821—1825 Privatdocent in Dorpat; 1323—
1328 Professor der Entbindungskunde und Zoo-
logie zu Kasan; von dort aus unternahm er sei-
ne berühmte heise 1526—1827 nach dem kas-
pischen Meere und dem Caucasus. Wurde 1826
Mitglied der Kais. Akademie der Wissenschaften
zu St. Petersburg. —1828 ging er nach Vilna, wo
er als Professor der Zoologie und Mineralogie
bis 1837 wirkte. Von hier aus unternahm er
1829 seine für die Wissenschaft wichtige Reise
durch die südwestlichen Provinzen Russlands,
darauf besuchte er Deutschland. Italien und Hol-
land. —Vom Jahre 1837—1851 war er Professor
der Zoologie, Mineralogie u. Geologie bei der
Kais. Medico-Chirurgischen Academie zu St. Pe-
tersburg, wo auch der Verfasser dieses Berichtes
1841—1843 sein Zuhörer war. In diese Periode
fallen seine bekannten Reisen durch Estland,
Livland, Nowgorod u. Moscau. wiederholte Rei-
sen ins Ausland, unter Anderem nach Schweden
u. Algier.—Seit 1851 Prof. emerit.—Feierte 1869
sein 50—jähriges Doktorjubiläum. welches in
den Schriften der Kais. mineralogischen (Gesell-
schaft zu St. Petersburg 1870 von mir geschil-
dert worden ist.—E. hat 8. meist mehrbändige
Werke u. 66 AbhandInngen veröffentlicht. —Eich-
— 291 —
Artenzahl.
waldia vou Ledebour, auch erhielt eine fossile
Thiergattung diesen Namen von Billings, einem
ausgezeichneten Paläontologen Canada’s; ausser-
dem wurden noch 35 verschiedene lebende u.
fossile Thiere u. Pflanzen mit seinem Namen
beehrt; zu den lebenden Pflanzen gehören: Am-
modendron E. von Ledebour, Zygophyllum E.
von ©. A. Meyer; Heliotropium E. von Steudel,
Helichrisum‘ B.: von Buhse: .-.:........., 2. 200
197. Eichwald, Karl. Geb. zu Mitau 19 Jan. 1824;
== 4 1854 während des Krieges als Militairarzt in
Sevastopol am Typhus. Studirte in St.-Petersburg
1841—1846 Medicin.—Neffe des Vorigen..... 17
193. Ekelon, C. J. Botanisirte in Schweden......... 1
199. Ekmann, S. E. Botanisirte in Schweden....... 2
200 Eunhtson; D. B.2.02: a0, een 1
201. Endress, Philipp., Anton. Ersten: Geb. zu Lu-
stenau bei Ellwangen 21 Septb. 1806; f zu Stras-
burg 9 Decembr. 1831. —Apotheker und Mitglied
des Esslinger Reisevereins. Botanisirte in Frank-
reich und Spanien. —Endressia von Gay; Centau-
rea E. von Hochstetter u. Steudel............ 10
202. Engström, B. A. Sammelte in Schweden...... 2
203. Eschscholtz, Joh. Friedr. Geb. zu Dorpat 1 No-
vembr. 1793; + daselbst am Nervenfieber 7 Mai
1831. Studirte in Dorpat 1813—1815. Begleitete
Otto v. Kotzebue auf seinen beiden Erdumsege-
lungen: 1815—1817 als Arzt und 1823—1826
als Naturforscher. Wurde, nachdem er von
seiner ersten Reise zurückgekehrt, Professor der
Mediein und Direktor des zoologischen Kabinets
zu Dorpat, welches auch seine von der Reise
mitgebrachten Mineralien erhielt.—Sein Herba-
rium, ungefähr 1300 Arten, in 15,000 Exempla-
ren, kaufte 1825 der Kaiserl. botan. Garten zu
204.
205.
206.
207.
208.
209.
29
Artenzahl.
St. Petersburg für 5000 Rub. B.—E. war mehr
Entomolog als Botaniker. Seine reiche Insekten-
sammlung mag sich auch, wenigstens theilweise,
bei der Universität Dorpat hefinden.—Eschscholt-
zia von Chamisso; ausserdem Claytonia E., Lis-
tera E. Hippuris E., Saxifraga E. von Cha-
misso; Arabis E., Cardamine E. von Andrze-
jowski; Loranthus E. von Martius; Ranunculus
E. von Schlechtendal; Veratrum E. von Gray;
Stellaria'E. von Fenzlk.2. IR. EAN:
Ewers, Joseph, Philipp, Gustav. Geb. zu Ameclun-
xen im Bisthum Corvey 4 Juli 1781; + zu Dor-
pat 8 Novbr. 1830. Studirte 1799—1803 in Göt-
tingen anfangs Theologie, dann Staatswissen-
schaften. 1803 Hauslehrer in Livland, 1808 be-
gleitete er seine Zöglinge nach Moscau, wo er
unter Karamsin’s Leitung die alte russische Ge-
schichte studirte.—1810 Professor der Geographie,
Statistik und Geschichte bei der Universität Dor-
pat. Seit 1818 eine lange Reihe von Jahren Rek-
tor der Universität. 1826 übernahm er das Ka-
theder für Staats—und Völkerrecht. Wurde 1809
Mitglied der Akademie der Wissenschaften zu
St. Petersburg u. 1826 deren Ehrenmitglied.—
Sedum"Prtvon Ledebour HH 3 E
Fabre, Henri. Geb. zu St. Leon 1823. Profess,
ZWSAVIENON. ET TE FE HT
Fabry, Jchann. Geb. zu Lassong im Neograder
Comitate Ungarns 1803.—Profess.. zu Romas-
20m batterie PAS See
Falk, Carl, Martin, Alfred, Emanuel. Geb. zu
Gladsax 30 Oktobr. 1784; f zu Lund 3 Jan. 1871.
Botanisirte in Schweden u Norwegen..........
Favrat, L. Botanisirt in der Schweiz..........
Fedtscherko, Olga, die rühmliche Begleiterin
530
40
23
og
Artenzahl.
ihres Mannes P. F. auf den beschwerlichen und
gefährlichen Reisen durch Turkestan 1868—1871.
Das Material bearbeitete Regel 1873—1880....
210. Fellmann, Nils, 1sak. Botanisirte im russischen
211.
Lappland und um Kola. Schrieb: Plantae vas-
culares in Lapponia orientali collectae 1864—
Fenzl, Eduard. Geb. zu Krummnussbaum an der
=> Donaul1l5? Eehr. 1808;.7 zu" Wien 17 Septbr.
213.
214.
215.
216.
al:
218.
1879, wo er Direktor des botan. Gartens u. Ka-
binets war. Rühmlicher Mitarbeiter an Ledebours
Flora rossica.— Fenzlia von Endlicher u. Bentham,
ausserdem Stellaria F. u. Peperomia F. von
BeselesGihia rk. vonzisteudel2.. 3%. .2...2..7
Ferrari, P. Lychenolog u. Mycolog...........
esie Pastor zu. Bursweida. 2... 2.2. h
Fiedler, Bernh. 7 zu Döritz 3 Juni 1868.—Dr.
med.— Hat die Oryptogamen-Flora Meklenburg’s
untersucht. —Fiedleria von Reichenbach u. Ra-
Ber een ei nalen
Fincke. Apotheker zu Oppeln in Schlesien. —
Binckea von -Rlotzsch..... + „u...
ee RE
* Fischer, Ferdin., Ernst, Ludw. (deropp Borna-
HoBn4yp). Geb. zu Halberstadt 20 Fehr. 1782; 7 zu
St. Petersburg 17 Juni 1854.—Studirte in Halle. —
Dr. med. u. Direktor des Razumofskischen Gar-
tens zu Gorenki.—1812 Profess. adj. in Moscau.
Von 1823 Direktor des Kais. botan. Gartens zu
St. Petersburg; wurde ungerechter Weise 1850
seines Amtes entsetzt, weil er Missbräuche beim
Bau des grossen Palmenhauses aufgedeckt hatte. —
Von ihm sind 46 Schriften gedruckt.--Sein rei-
ches Herbar, «eegen 60,000 Arten enthaltend,
besitzt seit 1855 der Kais. betan. Garten zu St.
NK 4. 1884. 19
10
18
12
MN)
219.
_- 291 —
Artenzahl.
Petersburg. —Fischera von Sprengel u. Swartz:
Fischeria von De Candolle; ausserdem wurden
40 Arten nach ihm benannt... 2 .r FIR it
Fischer, H. Apotheker in Oestreich...........
220. * Fischer von Waldheim, Alexander (Arekcakıps
AlJekcaHıposuygß). Gegenwärtig Professor der
Botanik in Warschau. Verdienstvoller Mykolog u.
Bryolog. Schrieb 20 botan. Abhandlungen, auch
eine Florula bryologica mosquensis 1864......
21. * Fleischer, Joh., Gottlieb. Geb. zu Mitau 15 Oktbr.
222,
1797; y ebendaselbst an Phthisis pulmonum 22
April 1838. Studirte in Dorpat 1817—1821. Pro-
movirte zum Dr. med. 9 Mai 1822. Bearbeitete
mit seinem Freunde Emanuel Lindemann die
Flora der Ostseeprovinzen. Sein Herbar, ungefähr
7000 Arten, wird im Museum zu Mitau aufbe-
Poresgis A. ATI TER RIED et
223. * Forestier, G. von. War Sekretär bei der Univer-
224.
224.
225.
sität Dorpät. --- -- 2.2. nu res.
Forster, Joh., Georg, Adam. Geb. zu Nassenhu-
ben bei Danzig 26 Novbr. 1754; y zu Paris am
Schlagflusse 11 Jan. 1734. Folgte 1765 seinem
Vater Johann Reinhold F. nach Saratow, Peters-
burg u. London.—1771i—1775 begleitete er mit
seinem Vater Cook auf der Erdumsegelung.—
1779—1784 Lehrer der Naturwissenschaiten an
der Ritteracademie zu Kassel.—1784—1785 Pro-
fess. der Naturgeschichte zu Vilna.—1788 Pro-
fess. u. Bibliothekar beim Kurfürsten zu Mainz,
Ausgezeichneter Kenner der orientalischen Spra-
chen.—Forstera von Linne fil. u. Gärtner: aus-
serdem wurden 15 Arten nach ihm benannt..
Possurd.::. Area VE
Fournier, Eug. Dr. En, General-Secretair de
3000
226.
22T.
228.
229.
230.
231.
232.
233.
234.
235.
— 295 —
Arteuzahl.
la Societe botanique de France, Schrieb unter
Anderem, über Farne und Gräser Mexico’s.....
Franqueville, Albert, Comte de Fecamp bei
Pau in Frankreich. Botanisirte in Abyssinien;
Kranguexillea von Salisbüury. 2.22... ..2%%
Franzoni, A. Advokat im Canton Tessin......
Fredrickson, Th. Botanisirte in Schweden......
Freyer, Heinr. Geb. zu Idria 7 Juii 1802; 7 zu
Triest 1866. Custos des Museums zu Laibach.
üreveraivon Reichenbach... 2. u... ne
Freyn, Joseph. Geb. zu Prag. 7 Decembr. 1845.
Ingenieur zu Pola in Istrien. Schrieb eine Flora
von Süd-Istrien
vo ee 0 0 0 0 0 98 8 0 8 8 8 8 9 LT 8 0 Le 8 8 8 8 05 98
ev ve 0 8 0 8 08 080 9 ee 0 08 0
Fries, Elias, Magnus. Geb. auf der Ffarre Fem-
sjö in Smoland 15 Aug. 1794; 7 zu Upsala 8
Febr. 1878.—1814 Docent, 1824 Professor der
Botanik, 1834 Professor der praktischen Ökono-
mie, 1851 Direktor des botan. Museums u. botan.
Gartens der Universität Upsala. Grosser Myco-
log u. ausgezeichneter Redner in schwedischer u.
lateinischer Sprache. Friesia von Sprengel u. De
Candolle; Friesea von Reichenbach; ausserdem
Stellaria F. von Seringe, Statice F. u. Potamoge-
Long BD. von Ruprecht, ete.....20.:..00
Fristedt, Robert. Professor in Upsala Bryolog.
Fritze, R. Apotheker zu Rubrik in Siebenbür-
gen. Botanisirte in Schlesien, Polen, Böhmen,
Spanien etc. Hieracium F. von F. Schultz.....
‘236. Fritzche, Carl. Julius, Philpp. Geb. zu Neustadt
* jn Sachsen 29 Oktbr. 1808; } zu Dresden 28 Juni
1871. 1829 Apotheker u. 1833 Lehrer in Berlin.
Seit 1853 Miteiield der Kais. Akademie der Wis-
senschaften zu St. Petersburg. Bekannt durch
197
60
40
90
10
14
50
237.
238.
240.
241.
244,
— 296 -—
Artenzabl.
seine Werke über den Pollen u. über Campher
ete.. Fritzschia von“ Chamisso.%. .s Sn
Froelich, Joh., Aloys von. Geb. zu Oberndorf im
Algau 19 März 1766; 7 zu Ellwangen 11 März
1841. Medicinalrath zu Ellwangen. Bearbeitete die
Gattungen Hieracium u. Gentiana. Froelichia von
Mönch u. Vahl; ausserdem wurden noch mehrere
Arten"nach. ihm benannt m „ran ee
Fuckel, Leopold. Geb. zu Okriftet bei Hatters-
heim in Nassau; 7 zu Ostrich im Rheingan 8
Mai 1876. Bekannter Mycolog. Schrieb auch eine
Flora. Nassau sau 2 EINEN me
. Funck, Heinr., Christian. Geb. 1771; T zu Gefress
bei Baireuth als Apotheker 14 April 1839. Aus-
gezeichneter Bryolog. Sammelte besonders in Ty-
rol u. im Fichtelgebirge. Sein Cryptogamen-Her-
bar wird im Nationalmuseum zu Tyrol aufbe-
wahrt.. Bunckia” von’ Dennstädtr 2. 2 2m 2a:
Zrnk. Sammelte in. Spamien.o 2a se,
Fürnrohr, Aug., Emanuel. Geb. zu Regensburg
27 Juni 1804; 7 ebendaselbst 6 Mai 1861. Stu-
dirte 1824—1826 zu Erlangen. 1830 Provisor
in der Goldbachschen Apotheke. Später Professor
am Lyceum, Direktor des botan. Gartens u. Prä-
sident der botan. Gesellschaft zu Regensburg. Von
1843—1861 Redaktor der botan. Zeitschrift „Flo-
ra®. "Rürneohria von 6. Koch? re en,
. Fürstenwärther, 1. Baron von. Botanisirte in
Steier..... Rau 1 VIE RR
. Fuss Joh., Mich. Geb. zu Henna 4 Okthr.
1814. Bieter zu Girelsau in Siebenbürgen. Hie-
ractum Pr von»B2 Schultz...22 .Kenperr Al
Gagliardi, Abbe und Professor in Domo dosolla-
Dekannter "Biylogse.. 2... En
28
I
&
3%
es
ed
rn
245.
246.
247.
248.
249.
250.
251.
232.
253.
954.
255.
256.
257:
Artenzahl,
Gander. Botanisirte in Tyrol.—Viola G. von Haus-
NENNE 0 ae a u N
Gariod. Botanisirte in Belgien u. in den Alpen
Gayer. Professor zu Aschaffenburg. Bryolog....
Gebler, Friedr., August. Geb. zu Zeulenroda
(Reuss-Greiz) 15 Decembr. 1782; + zu Barnaul
in Sibirien als Oberarzt der Kolywanschen Hüt-
tenwerke 21 März 1850. Seit 1832 Mitelied der
Kais. Akademie der Wissenschaften zu St. Peters-
burg. Ausgezeichneter Entomolog. Sein Herbar
kaufte 1825 der Kais. botan. Garten zu St. Pe-
tersburg. Geblera von Fischer u. Meyer; ausser-
dem wurden noch 14 Arten nach ihm benannt..
Geheeb, Adelbert. Geb. zu Geissa im Sachsen-
Alamarsehen Bryoloe...........2.....00 00...
Gennarrv, Patrizio. Professor an der Universität
a @aeliarı in Sardinien. 2.2.0.0... nun
Georgi, Joh., Gottlieb. Geb. zu Wachholzhagen
in Pommern 31 Decembr. 1729; 7 zu St. Peters-
burg 27 Oktbr. 1802. Bereiste 1770—1774 Russ-
land u. Sibirien. Georgia von Sprengel; Geor-
aim non, Willdenom.......2.. 2.0.0:
Gerard, Louis. Geb. zu Cotignac in Frankreich
1733; r ebendaselbst als praktischer Arzt 1819.
Schrieb eine Flora gallico-provincialis 1761. Ge-
rardia von Linne; ausserdem wurden 14 Arten
maelhsihm ‚benannt... ..-....220.000neecennene
Gerecke. Gartenmeister zu Königsberg.........
Gersdorf, Baron von. Botanisirte in Persien....
Gibelli, Guiseppe. Professor zu Pavia. Mycolog.
Gilbert. Botanisirte in Belgien. ............-..
Girtanner, Christoph. Geb. zu St. Gallen 26
Oktobr. 1760; F zu Göttingen 17 Mai 1800. Stu-
dirte in Göttingen Medicin, promovirte zum Dr.
med. 1783. Bereiste Deutschland, Schweiz, Frank-
4
30
j
17
26
oOor Pr»
fi ped
258.
260.
261.
262.
a
Artenzahl.
reich u. England. Liess sich 1790 in Göttingen
nieder. Beschäftigte sich wenig mit der ärztli-
chen Praxis, war aber tüchtiger medicinischer
Schriftsteller u. deutscher Historiker. Girtannera
VON Necker u. Su RE On es Er.
Glehn, Peter (Ilerps llerposuys). 7 Custos des
Herbars am Kais. botan. Garten zu St. Petersburg.
Begleitete die sibirische Expedition im Auftrage
der Kais. Geographisshen Gesellschaft 1859—1862.
R0s2'G. von. Schmidt. „2.272 2 RER RL,
Gmelin, Johann, Georg. Geb. zu Tübingen 12
Juni 1709; 7 ebendaselbst 20 Mai 1755. Nachdem
er auf der Universität seiner Vaterstadt seine Stu-
dien vollendet, ging er mit seinen Lehrern Bil-
singer u. Duvernoy nach Petersburg, wo er Mit-
glied der Academie der Wissenschaften u. 1731
Professor ord. der Chemie und Naturgeschichte
wurde. Bereiste 1733—1743 in Begleitung des
Geographen Delisle, Historikers Müller, Kapitäns
Behring etc. Sibirien, u. machte dabei für die
Wissenschaften höchst wichtige Beobachtungen.
1743 kehrte er nach Tübingen zurück wo er
Professor der Chemie u. Botanik bisan sein Le-
bensende war. Berühmt ist seine -Flora sibirica
in 4 Theilen 1749—1769. Gmelinia von Linne;
ausserdem wurden noch 59 Arten nach ihm be-
Hannt a SH ee re,
kGrolen2.: Wen En ei.
Gomez, Bernardino, Antonio. Geb. zu Arcor 1769;
7 zu Lissabon 13 Jan. 1823. Dr. med. Leibarzt
der Königin von Portugal. Gomezia von Robert
Brown: sen „en een ae
Göppert, Heinrich, Robert. Geb. zu Sprottau ia
* Nieder-Schlesien 25 Juli 1800; 7 zu Breslau
1879. 1816—1821 Pharmazeut zu Sprottau und
20:
263.
272.
273.
oe
Artenzahl.
Neisse. Studirte 1821—1825 zu Breslau Medicin.
1826 praktischer Arzt zu Breslau, 1827 Privat-
docent u, 1831 Proiessor der Medicin u. Bota-
nik, wie auch Conservator des botan. Gartens zu
Breslau. Berühmter Paläontolog, den man auch
den «Bernstein-Göppert» zu nennen pfleste. Göp-
pertia von Nees u. Sternberg; Betula G. von
Kesquerreux in en). Aaltariionmneheninzatz
Gorski. Stanisl.; Batys. T zu Polesje im Swecimer
Kreise 3 April 1864. Lithauscher Botaniker u.
Entomolog. Direktor des botan. Gartens zu Vil-
na. Seine Arbeiten benutzte Eichwald in seiner
Naturhistorischen Skizze von Lithauen etc. 1830.
Tragopogon G. von Reichenbach..............
Göth, J. Sammelte in Siebenbürgen...........
ennbmeyen, ©. ENON Ri ae ea een
Graf, Ferdinand Botanisirte in Steiermark.....
Graf, Sigismund. Geb. zu Laibach 23 Juli 1801;
+ daselbst 3 Septbr. 1838. Dr. med. et chem.
Apotheker zu Laibach. Botanisirte vorzüglich um
Gratz. Grafia von Reichenbach................
Graff, von. j. Gelehrter Forstmeister in Ekathe-
rinoslaw. Stipa G. von Steven................
2 Ramzo, een en nl ir:
Gravat, Bryolog in Belgien. Plagiothecium G.
mon Bireya. en NR ee
Gremblich, Julius. Dr. Sammelte in Tyrol......
Grenier, Charl., Jean, Marie. Geb. zu Besancon
1808; 7 daselbst 9 Novbr. 1875 als Professor der
Botanik. Verfasser der Flore de France 1847—
1856.— Greniera von Gay; ausserdem Lamium G.
von Mutel; Cerastium G. u. Orabanche G. von
Schultz. EURER NIAED NS
* Grey. William. 7 ungefähr 1858 zu St. Peters-
burg als Obergärtner des taurischen Gartens.
9
—D
50
14
100
3
to
289.
280.
281.
282.
— 50
Artenzahl.
Seine schöne Insekten Sammlung vermachte er
der entomologischen Gesellschaft zu St. Peters-
buret! En A A
Gries, Jacob. Botanisirte in der Schweiz u. Tyrol.
Grinal. Sigismund. Botanisirte in Ungarn......
Grönwall, T. A. L. Sammelte in Schweden.....
Groh.: Apotheker ‘in Sachsen.:- .... 2... u. 27:
Groschke, Johann, Gottlieb. Geb. zu Tuckum in
Kurland 30 Aug. 1760; 7 zu Mitau 20 März 1828.
Studirte in Berlin u. Göttingen 1778—1780. Von
hier aus lernte er S. Th. Sömmering u. G. For-
ster kennen, die beide damals in Kassel lebten.
Promovirte i Mai 1784 zum Dr. med. et chir.
Ging dann nach Holland, Frankreich und England.
wo er in London bis zum Ende des Jahres 1785
die medicinische Praxis ausübte. Von 1786— 1788
machte er Nachstudien in Edinburgh und besuch-
te damals die schottischen Hochlande und die
Hebriden.—Am Ende des Jahres 1788 kehrte er
nach Kurland zurück, wo er bis an sein Lebensende
die Professur für Physik u. Naturwissenschaften
am damaligen akademischen, späteren Gymna-
sium illustre zu Mitau bekleidete. Von 1791—
1795 war er auch gleichzeitig Hofarzt des letz-
ten Herzogs von Kurland (Peter Byron).—Seine
reiche Mineralien-Sammlung u. sein Herbar, aus
ungefähr 1000 Arten bestehend, werden im
Gymnasium zu Mitau aufbewahrt.............
Groves: Baminelte: in’ Italien... am EI
Grzegorczek, Adelbert. Dr. Botanisirt in Ungarn.
Guding. Botanisirte in der Schweiz...........
Günther, Johann, Christian. 7 zu Breslau als
Medicinalassessor 18 Jun. 1833.—Günthera von
Sprengel; Güntheria von Andrzejowski u. Trevi-
u BEST
EN Li
983.
284.
285.
286.
287.
288.
rau >>
Artenzahl.
ranus; ausserdem Potentilla G. von Pohl.......
Guepin, Jean, Pierre. Geb. zu Angers 1779; 7
daselbst als Arzt und Professor 11 Febr. 1858.
Verfasser der Flore de Maire et Loire. 1830.—
Guepina von Bastard; Guepinia von Fries
Gouillon, A. Botanisirte in Frankreich.........
Guirao, Don Angelo. Direktor dell’Instituto zu
Gullbrandson, V. Botanisirte in Schweden.....
Gundelsheimer, Andreas von. Geb. zu Feucht-
wangen 1668; 7 zu Stettin 17 Juni 1715. Be-
reiste Italien, praktisirte dann ais Arzt in Paris
u. begleitete den berühmten Tournefort nach der
Levante. Nach seiner Rückkehr diente er als Arzt
bei den Armeen in Piemont und Brabant, und
wurde 1713 als erster Königl. Leibarzt nach
Berlin berufen. —Gundelsheimera von Cassini; aus-
serdem. Ziziphora. G:2von? EG. Koch... 2 2.
Haesendonk, L. Botanisirt in Belgien. Eine Uen-
taurea H. wurde nach ihm benannt...........
289. ”* Halaszy, Eugen. Dr. med. Praktischer Arzt in
290.
291.
292.
293.
294.
295.
.. .. . ae ea 0 8 8 r 88 8 8ER Tre rer Te. —e
JRR IN eo ESS
Hampe, Ernst. Geb. zn Fürstenberg an der We-
ser 5 Juli 1795; 7 zu Helmstädt 23 Novbr.
1880.— Apotheker zu Blankenburg im Harz. Fei-
erte am 5-ten Oktobr. 1859 sein 50—Jjähriges
Jubiläum als Pharmaceut. Besass ein Moosher-
bar von nahe an 4000 Arten.--Hampea von
Schleehtendal u: Nees nee 23, 2
Hamström, Coss. Sammelte in Schweden......
Baer ERTEILEN
Hanry, H. Botanisirtin Frankreich und Algier. —
@Echier HR von Jordan 2 TEN.
as, \W.. Herrnhuter m... ne
877
Artenzahl.
296... Hatzy,: A. Botanisirtei in Tyrel22. a 21
297. SARAH ER ARTE RER INNE a A 1
298. Hausmann, Franz, Baron von. Geb. 1810; 7 5
Aug. 1878 zu Botzen. Schrieb eine Flora Ty-
ro!’s.—Hausmannia von Dunker; ausserdem An-
drosace H. von Leybold, Saxifraga H. von Ker-
ner, Verbascum H. von Celakowski, Jnula H. von
299. Haussknmecht, Carl. Magister u. Professor der
Pharmacie zu Weimar. Bereiste den Orient. —
Asplenium H. von Godet u. Reuter, Galeopsis
H. von Ludwig, Pilostylis H. von Guillemain,
Heliotropium‘ H:;vonBunge:! en.
300. Haynald, Ludwig von. Geb. zu Szecseny im Ne-
ograder Comitate 3 Oktbr. 1716. Dr. Theol. War
Erzbischof von Kalocza, gegenwärtig Cardinal. Ei-
friger Botaniker. Sein reiches Herbar enthält
unter Anderem die wichtigen Sammlungen von
Henffel, Kotschy u. Schott. —Haynaldia von Ka-
nitz; ausserdem wurden auch einige Arten nach
ihm benannt, z. B. Athamantha von Borbas u.
Vechtnitz 2.2. BR
301. Hazslinzki, Friedr., A. Geb. zu Kesmark 6 Jan.
1818. Professor am evangelischen Collegium zu
Eperies in Ungarn....... ARE ER 8
302. Heer, Oswald. Geb. zu Niederuzwyl im Canton
Gallen 31 Aug. 1809. Professor der Theologie in
Zürich. Schrieb mehrere Florae fossiles.—Heeria
von Meissner u. Schlechtendal; ausserdem Bia-
.tora H. von Hegetschweiler, Salvia H. von Re-
ge! u. die von ihm 1826 entdeckte (Aretia) An-
drosace H. von Hegetschweiler, von welcher nur
drei Sammlungen, die von Siegfried in Zürich,
die von Reichenbach in Hamburg u. die meinige
Exemplare besitzen. sollen #5. ..2.22:. .MnBESE 19
or
OU
303.
304.
305.
306.
307.
308.
309.
310.
3ll.
312.
313.
314.
Artenzabl.
IMendenmereh. "N. al a Et 2
Bea N a N Bl D
Heldreich, Theodor von. Professer und Direktor
des botan. Gartens zu Athen. —Heldreichia von
Boissıer; ausserdem sind mehrere Arten von Bois-
sier u. Orphanides nach ihm benannt.........
Henning, Johannes (Haar MBanorayr). Studirte
in Dorpat 1829—1832. Vicedirektor der Garten-
baugesellschaft zu Moskau. Sammelte vorzüglich
um Moskau u. am Don. —Henningia von Karelin
u. Kirilow, ausserdem Trinia H. von Hoffmann,
Malya Hl svon Goklbach.a.......2. 12.22.2222.
Nee RR LSABRNTSBSN
Hepp, Philipp. Geb. 1799; 7 zu Frankfurt a.M. 5
Febr. 1867. Arzt zu Neustadt an der Haardt bei
Zürich. Berühmter Lichenolog. Sein Herbar um-
fasste 1S0 Pakete. Henria von Naegeli........
Hepperger, Carl von. Sammelte in Tyrol.......
Herminier. Dr. Bryolog zu Gouadeloupe.—Her-
miniera von Guillemain u. Perrottet.........--
Herrnkohl. Botanisirte in Cleve..............
Houehlen .. ..kuassuiiie kuss al ae
Heufler, Joh. Physicus zu Lugos im Banat.....
Heufler. Micolog zu Insbruck........-.».....
315. *** Heugel, C. A. Apotheker in Riga. Hat sich
316.
31T.
318.
319.
rühmlichst mit den Chenopodiaceen beschäftigt
u. 19 botan. Abhandlungen geschrieben.......-
Heuser, Emilie. Herrnhuterin. Sammelte in Nord-
America in der Umgegend von Novo Eboraco..
Hillmann, Richard. Botanisirte in Schweden...
Hilse. Botanisirte um Gross-Landau........>-
Hinterhuber, Rudolph, Geb. zu Stein bei Krems
1802. Apotheker zu Mondsee unweit Salzburg. —
Hinterhubera von Schultz-Bipont..............
40
300
40
70
321.
323.
324.
BE 2
Artenzahl.
Hladnik, Franz. Geb. zu Idria 29 März 1773;
r als Priester und Professor zu Laibach 25
Septbr. 1844.—Hladnikia von Koch und Reichen-
bach: ausserdem Gentiana H. u. Seabiosa H. von
Host; Scopelia..H; von: Kreyen. AT ER
Hochstetter, Christian, Ferdinand. Geb. zu Stutt-
gart 16 Febr. 1787; 7 zu Reutlingen 20 Febr.
1860. War za Esslingen, wo er mit Steudel den
Reiseverein leitete, Stadtpfarrer, Gymnasialdirek-
tor und Profess. am Schullehrerseminar.—Hoch-
stettera von Spach, Hochstetteria von De Can-
dolle; ausserdem Cerastium H. von Fenzl, Lysi-
machia H. u. Ruellia H. von Steudel, Senecio H.
von Schuliz-Bipont' 22222: 2 Sc Je
Hoffmann. Georg, Franz. Geb. za Markbreit in
Baiern 31 Jan. 1766; T zu Moscau 17 März
1826.—1792— 1304 Professor in Göttingen, 1804—
1826 in Moscau, wo auch sein Herbar, aus un-
sefähr 8000 Arten bestehend, aufbewahrt wird.
Berühmt durch seine Bearbeitung der Umbelli-
feren.—Hofimannia von Willdenow u. Swartz:
ausserdem Trinia H. von Marschall-Bieberstein.
Hofmann, J. E. Gelehrter Gärtner beim Lyceum
zu Krzemeniec in Volhynien............ EN
Hohenacker, Rudolph, Friedr, Geb. zu Zürich
1798; 7 1872? Evangelischer Pastor zu Helenen-
dorf in Transcaucasien, wo er viele Jahre lebte
und botanisirte, bis er 1837 nach Deutschland
zurükkehrte, Pastor zu Esslingen bei Stutt-
gart wurde und sich durch seine b»tan. Kaufan-
stalt grosse Verdienste erwarb. Sein reicher bo-
tan. Nachlass ging an Carl Keck auf Schloss
Aisterhaim in Nieder-Ostreich über. —Hohenacke-
ria von Fischer u. Meyer; ausserdem wurden 24
Arten nach: iim baamıt 7 - Er ZI De
958
En a
325.
326.
327.
328.
30.
331.
— 305 —
Artenzahl.
Holuby, Joseph, Ludwig. Evangelischer Pfarrer
zu Presburg. Hat sich eifrig mit der Gattung
Oleleneeteteiealeenielentenje are).
Holzinger, Joseph. Dr. in Gratz. Lichenolog....
Home, Everard. Geb. zu Hull 1 Mai 1756; f zu
Chelsea 31 Aug. 1832. Ausgezeichneter englischer
Wundarzt und Physiolog zu Edinbureh. Erhielt
durch seinen Schwager J. Hunter die Professur
der Anatomie u. Chirurgie am Königl. Collesiam
der Wundärzte zu London. Später wurde er Prä-
sident dieses Collesiums, Direktor des St. Georg-
Hospitals, 1813 Baronet u. Leibarzt des Prinz-
Hooker, William. Einer der berünihlesten Bota-
niker Englands. Schrieb unter Anderem eine Flora
boreali-americana. 1833. Sein Herbar ist eine
der erössten Privatsammlungen in der Welt.—
Hookera von Salisbury, Hookeria von Smith;aus-
serdem sind 30 Arten nach ihm benannt.......
Hoppe, David, Heinrich. Geb. zu Vilsen in Han-
nover 15 Decembr. 1760; 7 zu Regensburg 1
Aug. 1846. Anfangs Pharmaceut in Celle u. Re-
sensburg. Promovirte 1795 zum Dr. med. Seit
1805 Professor der Naturgeschichte und Botanik
zu Regensburg. Machte fast jährlich Alpenreisen.
Feierte am 5 Mai 1845 sein 50 jähriges Doktor-
jubiläum. Sein Herbar enthielt gegen 5000 Arten,
darunter 1700 Cryptogamen und wurde vom
Gymnasium zu Salzburg angekauft.—Hoppea von
Willdenow, Endlicher u. Reichenbach; Hoppia von
Sprengel u. Nees; ausserdem wurden noch 6 Ar-
tenendeh ihm benannt... ee. nen
Hoppe, E. Botanisirte in Schweden............
332.
332.
333.
334.
335.
Da
Artenzahl.
Horaninow, Paul (llase.ıs Oetoposuye). Leb. zu
Mohilew 1796; 7 zu St. Petersburg 21 Oktbr.
1366. Besuchte 180 das Jesuitenkollesium zu
Mohilew. Wurde 1810 Lehrling in der Hartmann-
schen Apotheke und beim Durchzuge der Franzo-
sen durch Mohilew 1812 Oflicier de sante. Stu-
dirte 1817—1S20 unter Scherer in St. Peters-
burg. 1524 Dr. med. 1825—1851 Professor der
Naturwissenschaften u. Pharmakoiogie bei der
Kais. Medico-Chirurgischen Academie in St. Pe-
tersburg, welche auch nach seinem Tode Herbar
u. Bibliothek für den Spottpreis von 1000 R.
erwarb. Verfasser mehrerer medicinischer und
naturhistorischer, meist origineller Schriften. —
Seinen Nekrolog veröffentlichte ich in der „Flora“
von Regensburg 1867.—Horaninovia von Fischer
U. Meyer... ....33 Sarasin 2 ee
Hornung, Ernst, Gottfried. Geb. zu Frankenleit-
sen in Schwarzburg 15 Septbr. 1795; r zu
Aschersleben in Thüringen 30 Septbr. 1862, wo
er Apotlieker war und am 17 Mai 1860 sein 50
jähriges Jubiläum feierte. Sein Herbar enthielt
8500 Arten in 25,000 Exemplaren. —Hornungia
von Bernhardi und Reichenbach..... u ee
Houttuyn, Mart. Arzt zu Amsterdam im vorigen
Jahrhundert. Schrieb Natural. histor. Amsterdam
1774—1783.—Houttuynea von Thunberg.......
Hübner, J. P. W. Geb. 1772; r zu Hamburg im
Febr. 1847. Bereiste Norwegen. Bekannter Bryo-
log. —Hübneria von Rabenhorst; ausserdem Sphae-
rias H. u. Desmidea H. von Rabenhorst........
Hübner, Wilhelm. 7 16 Juii 1863. Obermilitair-
apotheker zu Dresden. —Hübneria von Reichen-
bach. Er LER
80
20
336.
337.
-—— UT —
Artenzahl.
Huest. Dr. Die im Herbar von ihm stammende
Pflanze (Anagyris) ist mit dem Jahre 1651 be-
ZeIeimele A ee an en
Huet du Pavillon, A. Professor zu Toulon. Gab
seit 1861 die Botanik auf.-—Huetia von Boissier.
. Huguenin, A. y zu Chambery 1860. Sammelte
die Flora Savoyen’s.—Huguenia von Reichenbach.
Hultmark, C. Sammelte in Schweden..........
Huter, Rupert. Piarrer in Tyrol. —Hieracium H.
one Hausmann... N Ele
. Jabornegg, M. Th. von. Verfasser einer Flora
Kärnthen’s.—Achillea J. von Halaczy..........
. Jachmann, Joh., Ludw. Geb. in Livland 1785; +
zu Dorpat 1814; studirte daselbst 1803—1806.
Dr. med. Privatdocent bei der Universität. Grin-
del nannte ihn seinen besten Schüler..........
343. Jack, Joh., Bernh. Apotheker zu Salem in Ba-
den Jackja.ivon: Blume... 32.57 .1.20..2.22. 38%
344. Jacob, B. Botanisirile in der Schweiz.........
345. Jaeger, B. Schrieb über die Flora O -Taiti’s
348.
1830. Jaegera von Gisecke u. Räusch.........
Jan, Georg. Professor in Parma. Jania von La-
IND ae As 0 SR a
.”= Janka, Victor von. Geb. zu Wien 24 Decembr.
1837. Diente als Oberleutenant Dei den östreich-
schen Kürassieren. Seit 1871 Conservator des bo-
tan. Museums zu Pesth. Die Kenntniss der Flora
Ungarn’s, Siebenbürgen’s und des Balkan's hat
er sehr erweitert, daher die ungarischen Botani-
ker ihn auch „Balkanski“ nennen. —Fumaria J.
von Haussknecht, Anemone J. von Fr. Schultz,
Lilium J. von Kerner, Centaurea J. von Simkovicz.
Jenkins. Botanisirte auf Java.—Jenkinsia von
EOOkERLER DENE N IN
112
356.
— 305 —
Artenzahl.
Jensen, Th. Sammelte in Norwegen und Eng-
land; Moose: 3... RR LER NRERR
u Er Son, REOTg a ARE
Inzenga, Guiseppe.Professor zu Palermo. Mycolog.
Jönsson, J. M. A. Botanisirte in Norwegen....
John, Joh., Friedr. Geb. zu Anklam 10 Jan. 1782;
zu Berlin 5 März 1847. Ausgezeichneter Chemi-
ker. 1804—1806 Professor der technischen Che-
mie am ökonomischen Institute zu Moscau. Von
1810, bis zur Auflösung der Universität, Profes-
sor der Chemie u. Pharmacie zu Frankfurt, von
wo er nach Berlin kam.—Johnia von Ruxburgh,
ieht u. Ant 2 EIN REED A RU
Jordan, Alexis. Professor zu Lyon. Specifieirt die
Flora Frankreich’s mit mehr oder weniger Glück,
bis an die Grenzen der Möglichkeit. Sein Herbar
enthielt 1366 gesen 500,000 Exemplare in 1840
Paketen. — Jordania von Boissier u. Heldreich...
Jouffroy, C. 7 15 Febr. 1859. Sammelte in
Frankreich... Aa: 2ER IE
Jundzill, Bonifacius, Stanislaus. Geb. im Dorfe
Jasionci des Lidaschen Kreises 6 Mai 1761; zu
Yilna 27 Mai 1847. Wurde bis zum 14-ten Jahre
im elterlichen Hause, dann bei den Pijaren in
Lida, in deren Orden ertrat, erzogen. Seit 1784
Priester. Studirte in Vilna unter Gilibert u. Georg
Forster, dann in Wien unter Jacquin u. in Frei-
berg unter Werner. 1797 wurde er an die Uni-
versität Vilna berufen. 1798 Doct. philos. 1802
Professor der Naturwissenschaften u. Gründer des
botan. Gartens daselbst. Erblindet, wurde er 1824
emeritirt. Verfasser mehrer botanischer u. zoolo-
MH, Mm
22
19
359.
360.
361.
362.
363.
364.
369.
366.
Ba
Artenzahl.
gischer Schriften in polnischer Sprache.— Jundzillia
von Andrzejowski; ausserdem Rosa J. von Besser.
Juratzka, Jacob. Geb. zu Olmütz 8 Juli 1821;
y zu Wien 22 Novbr. 1878. Bekannter Bryolog.
Jussieu, Adrien de. Geb. zu Paris 23 Decembr.
1794; T ebendaselbst im Juli 1838. Dr. med.,
Mitglied der Academie und Professor der Bota-
nik am Jardin des plantes..
Kablick, Josephine. Geb. zu loffenieihe 9 März
1787; 7 ebendaselbst als Apothekerwittwe 21 Juli
1863. Sammelte im Riesengebirge undin Oest-
reich. Nach ihr sind 8 Arten benannt... .....
Kalchbrenner, Carl. Magist. pharm, Apotheker
zu Langenlois in Nieder-Oestreich.............
Kaleniczenko, Johann (Maut Ocnnosayp). 7 zu
Charcov 1876. Dr. med. Praktischer Arzt und
Professor der Physiologie an der Universität
Charcov bis 1862. Botanisirte unter Anderem in
der Krim und im Caucasus. Entdeckte die von
ihm benannte Daphne Sophia im Gouv. Kursk
1849. Kaleniezenkia von Turczaninow; ausserdem
Euphorbia K. von Üzernajew
arsch 1: ass ass ii
Kappler, A. Sammelte in Surinam 1840.......
Karelin, Gregor (Tpnropiü Cuasup). T- Be-
reiste 1828 u. dann 1832—1833 die Kirgisen-
steppe in naturhistorischem Interesse. 1835 —
1843 besuchte er im Auftrage der Kaiserl. Na-
turforscher Gesellschaft zu Moscau und unter-
stützt von der Regierung mit Kirilow und Mas-
leninow Sibirien nach den verschiedensten Rich-
tungen. Hat viele neue Pflanzen, aus noch ganz
unbekannten Gegenden, entdeckt. Karelinia von
Lessing; ausserdem wurden noch 18 Arten nach
Ihm benannt... .. 2nsaanennen ltd
N 4. 1884. 20
1
m
wm 00 Qt
m
210
Ba
Artenzahl.
367... Kiarl.:Dr.- Lebt: in Wien at ar ee RER 1
368. Karl Pfarrerin Boehmen!k Su kr Ree 4
369. Kastalski, G. Dr. Begleitete die Erdumsegelung
unter Starinkewicz 1826—1829. Sammelte spä-
ter um St. Petersburg. Seine Ausbeute, circa
600 Arten, erhielt die Kaiserl freie ökonomische
Gesellschatt HR ER VOR N I RN
370. Kastrap», G. Botanisirte in Hannover........
371. Kauffmann, Nicolaus (Hurorafi Hukoraesuy®).
"== Geb. zu Moscau 8 Febr. 1834; 7 Daselbst 15
Decembr. 1870. Professor u. Direktor des botan.
Gartens zu Moscau. Schrieb einehöchst werthvolle
Mockogcraa. Pıaopa 1869. und 5 botan. Abhand-
lungen. Kauffmannia von Regel; ausserdem Ra-
nunculus K. von Clerc; Tulipa K., Statice K.,
Eremostachys K. u. Gentiana K. von Regel; Pe-
ziza K. von Tichomirow; Pedieularis K. von
Pinzien u an NR eV olai
372. Kawall, Johann, Heinrich, Carl. Geb. zu Mitau
“= 3 März 1799; T zu Pussen bei Windau in Kur-
land 17 Jan. 1881. Studirte in Dorpat 1818—
1821 Theologie. Bereiste 1825-—1827 Deutschland,
Schweiz, Italien und Frankreich. Wurde Pastor
zu Angermünde u. darauf 1835 zu Pussen, wo
er sich bis an sein Lebensende eifrigst mit Na-
turwissenschaiten, besonders Entomologie beschäf-
tist hat. Sein Herbar, nicht von Bedeutung, er-
hielt der Naturforscher-Verein zu Riga.......-
373. Keck, Carl. Geb. zu Wien 1825. Lebt auf dem
”* Schlosse Aisterheim in Nieder-Oestreich. Der
reiche botan. Nachlass von Hohenacker ist in
seinen Besitz übergegangen. Keckia von Glockner.
374. Kemmiler. Sammelte in Schweden Moose.......
375. Kennedy, Alb. Botanisirte am Cap. Kennedya
von’ Dbenthamsn..n sans
995
270
306:
‚382.
383.
384.
— 3li —
Artenzahl.
Kerner, Anton. Geb. 13 Novbr. 1831. Seit 1861
Professor am Josephs-Polytechnicum zu Ofen,
segenwärtig bei der Universität Insbruck. Ker-
ner von: Reichenbäch..3...1.: 2.200238. Si
Kersten, M. S. Professor zu Freibere.........
Kesselmeyer, Paul, August. Geb. zu Frankfurt
a/M. 1814. Lebte mit Botanik u. anderen natur-
historischen Studien beschäftigt in Frankfurt
a/M bis 1865, in der Schweiz 1866, zu Corte
auf Corsica 1867, darauf zu Freiburg im Breisgau
Kiaer. Dr. Botanisirte in Norwegen...........
a a ee
Kendberg, Nicolai, Conrad. Lector in Linköping.
Schrieb über Lepigonum 1856 u. 1863 und eine
SmenskeRlors KETnasaN.seisen we sunltas
Kirillow, Peter. Studirte in Dorpat. Schrieb über
die Loniceren des russischen Reichs 1849. War
Ordinator am Kalinkinschen Hospital in St. Pe-
tersburg, darauf Profess. adj an der Universität
zu Charcov. Ertrank während des Badens......
Kirilow, Johann. Geb. zu Irkutzk 1822; 7 zu
Arsamas 11 Septbr. 1842 auf der Reise nach
Moscau von der Expedition nach dem östlichen
Soongorien mit Karelin (Vergl. M 366). Kirilovia
von Bunge, Kirilovia von Lindley; ausserdem
Eupatorium K., Pyrethrum K., Senecio K., von
Turczaninow. Halimocnemis K. von Fenzl; Sor-
baria K. von Maximowiez.........c.. lu...
Klinggräff, Hugo von. Geb. zu Wisnievo bei
Löbau in Preussen. Rittergutsbesitzer bei Ma-
rienwerder. Schrieb eine Flora von Preussen 1848
Koch, Carl, Heinr., Emil. Geb. zu Weimar 6 Juni
1809; 7 zu Berlin 25 Mai 1879. Studirte in Jena
- und Würzburg; hier erwarb er sich 1833 den
Doctorgrad mit seiner Dissertation: Monographia
20*
75
750
200
410.
411.
u AUBE 2
Artenzahl.-
generis Veronicae; habilitirte sich darauf in Jena
u. machte 1836—1838 u. 1844— 1845 wissenschaft-
liche Reisen durch Süd-Russland und die Kauka-
sisch. Länder u. in den Orient; zurükgekehrt
wurde er zuerst Professor in Jena u. darauf in
Berlin, wo er sein reiches Reise-Material bear-
beitete. Hat 3S Werke und Abhandlungen ge-
schrieheil : = - ft. zus ger
Kunze, Johann. Botanisirte in Ungarn u. Sach-
. Kühlewein, Paul, Eduard v. Geb. zu Reval r.
Mai 1798; 57 zu Rostock 1780. Studirte uw. pro-
movirte zum Dr. med. in Dorpat. Praktisirte n
St. Petersburg u. lebte seine letzten Jahre in
Rostock. Sein reiches Herbar aus 370 Fascikeln
und mehr als 26.000 Arten, in ungefähr 150.000
Exemplaren bestehend, vermachte er der Univer-
sität Dorpat (Vergl. Willkomm: der. Kaiserl. bo-
tan. Garten zu Dorpat. .1873. 5.49): ..7 2.
Kühn, L. Sammelte Algen in Süd-Afriea......
Kützing, Friedr., Traugott. Geb. zu- Ritteburg
in Thüringen S Decembr. 1807. War anfangs Apo-
theker, studirte dann in Halle Naturwissensehaf-
ten. Entdecekte während seines Aufenthaltes in Ei-
lenburg die durch ihr fossiles Vorkommen so be-
rühmt gewordenen Kieselschalen der Baecillarien.
Untersuchte 1835 die Tange des adriatischen und
mittländischen Meeres. Lehrer der Naturwissen-
schaften an der Realschule zu Nordhausen; her-
nach Professor. Berühmter Alsolog. Kützingea von
Sönder; Callitriche K. von Ruprecht....:.....-
Fortsetzung jolgi.
IN)
30
10
315
BEITRÄGE ZUR HISTOLOGIE DER HAUT DER REPTILIEN
von
W. Lwof.
(Taf. VD.
I, Ueber die Haut der - Crocodile,
Die letzten 15 Jahre wurde die Haut der Reptilien
‘mehrfach untersucht, wobei die Aufmerksamkeit haupt-
sächlich auf jene vielfachen Veränderungen gerichtet
wurde, welche die Epidermis erfährt. Die Arbeiten von
Leydig und Kerbert haben es bewiesen, dass die Schuppe
‘der Reptilien sich aus einer bindegewebigen Papille ent-
wickelt und folglich ein dem Haare und der Feder ho-
mologes Gebilde ist. Nach Kerbert ist die Schuppe am
einfachsten bei den Ascalabotae und Chamaeleonidae gebil-
det, wesshalb man ihre Schuppe als ein Anfangsstadium
in der Entwickelung der Schuppen bei den Reptilien
annehmen darf. Ihre Haut ist mit kleinen Höckerchen
besäet, zwischen welchenstellenweise grössere vorkommen.
‘Jedes Höckerchen stellt eine bindegewebige Papille dar,
“welche von aussen mit Epidermiszellen bedeckt ist.
— 3li —
Indem Kerbert die Entwickelung der Schuppen bei
Tropidonotus natrix verfolgte, fand er, dass die ersten
Anlagen der späteren Schuppen als kleine Höckerchen
auftreten, «entstanden dnrch partielle Wucherung des
unter der Epidermis liegenden Bindegewebes. Es ent-
steht eine Gutispapille, welche anfängt sich von der
übrigen Lederhaut abzugrenzen». Anfangs wächst das
Höckerchen gleichmässig, dann biegt es etwas nach hin-
ten um und wird mehr oder weniger abgeplattet. Nach-
her wächst es schon bilateral-symmetrisch, nnd man
kann eine obere und eine untere Fläche an der Schuppe
unterscheiden *).
Die Schuppen der Eidechsen und Schlangen wurden
auch von Cartier **), Todare ***) Batelli 7) und
Blanchard 7*) untersucht. Nur über die Haut der
Schildkröten und Crocodile wurden keine Untersuchun-
gen angestellt. Desshalb benutzte ich zwei Exemplare
junger Crocodile, die in dem Cabinet der Vergleichenden
Anatomie der hiesigen Universität mir zu Gebote stan-
den: der kleinere derselben (Crocodilus acutus) war
28 cm., der grössere (Crocodilus biporcatus.) 51 cm.
lang.
Die Haut eines jungen Crocodils bietet grosse Vor-
theile bei der Untersuchung der Schuppen, da die Form
*) Ueber die Haut der Reptilien und anderer Wirbelthiere (Arch.
f. mier. An. Bd 13.) 1876.
**) Studien über den feineren Bau der Haut bei den Reptilien
(Arbeiten ans dem. zool.-zoot. Inst. in Würzburg, 1874).
**#) Sulla struttura intima delle pelle d» Retilli. (Atti R. Acad.
Lincei Mem. Sc. Fis. Vol II 1879).
rt) Beiträge zur Kenntniss des Baues der Reptilienhaut. (Arch.
f. mier. An. Bd. 17). 1880.
t*) Recherches sur la structure de la peau des Lezards. (Bulle-
tin de la Societe zoologique de France. 1880).
a u aa da
— 315 —
der Schuppen an verschiedenen Stellen des Körpers
grosse Mannigfaitigkeit bietet. An den Beinen befinden
sich kleine Höckerchen, welche durch ihre äussere Ge-
stalt, sowie durch ihren Bau an ähnliche Höckerchen bei
Ascalabotae und Chamaeleonidae erinnern. An den Seiten
des Rumpfes werden diese Höckerchen grösser und fan-
sen an einander dachziegelförmig zu bedecken, indem sie
die typische Form der Schuppe annehmer. Auf dem
Bauche haben die Schuppen die Form von glatten
viereckigen Platten, die dachziegelförmig gelagert sind.
Am Halse und auf dem Rücken haben die Schuppen
einen Höcker oder Kiel. Auf dem Schwanze errei-
chen diese Kiele- eine bedeutende Grösse und bilden
zwei Kämme, welche dann in einen zusammenfliessen,
wodurch der hintere unpaarige kamm des Schwanzes
gebildet wird. An allen diesen Formen der Schuppen kann
man verfolgen, dass die grössere Entwickelung der
Schuppen von einer grösseren Entwickelung der binde-
gewebigen Papille begleitet wird. Eine besondere Ent-
wickelung erreicht die Papille in den Schuppen welche
einen Kiel tragen, wo sie auf Querschnitten den Eindruck
macht, als ob sie diesen Kiel nach aussen vorgerückt
habe.
Was den micrescopischen Bau der Crocodilhaut be-
trifft, so finden wir einige Beobachtungen nur bei Rathke
und Hoffmann. Rathke °) fand dass die Epidermis bei
dem Embryo des Alligators aus mehreren Zellenschichien
besteht. «Die nach innen gelegenen Zellen der Epidermis
haben die Form von dünnen biconvexen Linsen und be-
sitzen einen rundlichen Kern». (S. 22). Die oberen hal-
*) Untersuchungen über die Entwickelung und den Körperbau der
Crocodile. (1866). S. 19—28.
u
ten so fest zusammen, dass sie mitunter nur nach Behan-
dlung mit Aetzkali sich von einander trennen lassen.
Sie haben die Form sehr dünner Platten und lassen in
der Regel mehr oder weniger deutlich einen verkleiner-
ten und fein granulirten Kern erkennen.
In der Abtheilung «Reptilien» (Bronn’s Klassen und
Ordnungen) *) bietet Hoffmann einige Ahbildungen der
Epidermis des Embryo des Crocodils dar; das sind die
einzigen Abbildungen der Grocodilhaut, die man in der
Literatur findet,
Hoffmann beschreibt bei dem Embryo des Alligators die
besondere Epitrichialschicht. «Dieselbe besteht aus einer
recht schönen Mosaik polygonaler Zellen; in jeder
dieser Zellen liegt ungefähr in der Mitte ein ovaler Kern.
Zwischen den Epitrichialzellen kommen kleine ovale
Löcher vor, den Stomata in der Epidermis der Pflanzen-
zellen nicht unähnlich». (S. 458). Diese Löcher, wie sie
auf der Zeichnung Hoffmanns abgebildet sind, erinnern
durch ihr Aussehen an ähnliche Löcher in der äussersten
Schicht der Epidermis des Frosches. Ich muss bemerken,
dass ich in der Haut jener Crocodile, welehe mir zu
Gebote standen, keine ähnliche Zellen gefunden habe,
welche eine besondere Epitrichialschicht bilden könnten.
Die alleräusserste Schicht der Epidermis hat schon
längst die Aufmerksamkeit aller Autoren, welche die
Reptilienhaut untersucht hatten, aufsich gezogen. Leydig
betrachtet sie als eine wahre Cuticula. Diese Cuticula ist
nach Leydig nicht glatt, sondern zeigt die sogenannte
streifige Sculptur.
*) VI. Band. III Abtheilung S. 457- 460.
— 317 —
Indem Kerbert die Schuppen der Reptilien untersuchte,
fand er, dass jene Schicht, die Leydig Cuticula genannt
hatte, aus platten Zellen zusammengesetzt ist. Diese
äusserste Schicht bezeichnet Kerberi und nach ihm To-
daro und Batelli durch eine besondere Benennung als
Epitrichialschicht (pellicola epidermica-Todaro).
Eigentlich schlug Welker *) die Benennung Epitrichium
für die oberflächliche Zellschicht der Epidermis vor,
welche bei dem Embryo der Säugethiere die behaarten
Stellen des Körpers umhüllt. Bei einigen Thieren (z. B.
bei Bradypus, bei welchem diese Schicht eine Dicke von
1 mm. erreicht) bleibt das Epitrichium bis zur Geburt des
Thieres, bei anderen löst es sich während des Embrvo-
nallebens ab.
Kerbert versteht unter Epitrichialschicht «diejenige
oberflächliche embryonale Schicht der Epidermis, welche
entweder allmählig und theilweise vor oder nach der Ge-
buri des Thieres verloren geht (Säugethiere, Vögel), oder
welche mit der eigentlichen Hornschicht verwächst und
in Zusammenhang mit dieser Hornschicht nach der Ge-
burt bei der ersten Häutung abgeworfen wird. (Reptilien
und Amphibien») **). Aber nachdem findet Kerbert, dass
bei dem ausgewachsenen Thiere bei der Bildung einer
neuen Hornschicht sich eine neue Epitrichialschicht ab-
sondert ***). Aber welche Gründe führt er an für die
*) Ueber die Entwickelung und den Bau der Haut und Haare bei
Bradypus.
**) Ueber die Haut der Reptilien. S. 232—233.
***) Dieser Widerspruch wurde schon von Gardiner bemerkt. In Be-
treff dessen sagt er folgendes. „Dabei scheint Kerbert freilich ver-
gessen zu haben, dass seine Definition des Epitrichiums sich nur auf
den Embryo bezieht, da er von dessen Existenz bei ausgewachsenen
Thieren nichts erwähnt. (Beiträge zur Kenntniss des Epitrichiums und
der Bildung des Vogelschnabels. Arch. f. mier. An. 24 Bd. S. 303.).
— 318 —
Absonderung dieser Epitrichialschicht aus der übrigen
Hornschicht? Nach Kerbert ist sie zusammengesetzt «aus
schönen polygonalen Zellen, in welchen hier und da
deutliche Spuren eines Kernes wahrnehmbar waren» *).
Ferner findet Kerbert, dass man von diesen schönen
polygonalen Zellen» Uebergänge zu den eigenthümlichen,
schmalen, zackigen Zellen der interstitiellen Partien
Schritt für Schritt verfolgen kann **). Dasselbe wurde
von Batelli gefunden, indem er auch einen allmäligen
Uebergang der Zellen seiner Epitrichialschicht in die
Zeilen der eigentlichen Hornschicht bemerkte "**). Daraus
wird es deutlich, dass «die sogenannte Epitrichialschicht
Kerberts keine bestimmte Charakteristik hat, weder eine
morpnologische, noch eine histologische. Desshalb scheint
es mir, dass man keinen Grund hat sie bei ausgewach-
senen Reptilien von der Hornschicht abzusondern.
Was die Haut des Crocodils betrifft, so bemerkt man
auf dem Schnitte, welcher mit Picrocarmin gefärbt ist,
die rothe Malpighi’sche Schicht und die Hornschicht,
welche mit Picrocarmin gelb gefärbt ist. Die untere Lage,
welche der Gutis anliegt, besteht aus cylindrischen oder
cubischen Zellen, welche einen rundlichen Kern enthalten.
(Taf. VI. Fig. 1 b.). Weiter nach oben folgen 1—2
Lagen rundlicher Zellen mit runden Kernen (Fig. 1 c.).
Diese Zellen halten fest aneinander, und die Grenzen
derselben sind nicht immer deutlich zu unterscheiden.
Weiter fangen die Zellen an sich längst der Hautober-
fläche zu strecken und scheinen auf dem Schnitte spin-
delförmig. (Fig. 1. d). Das sind diejenigen Zellen, welche
*) Ueber die Haut der Reptilien. $. 212.
= loc, ect. 3.216.
**) Beiträge zur Kenntniss des Baues der Reptilienhaut. S. 348.
— 319 —
Rathke biconvexe Linsen benannt hat. In der spindel-
förmigen Zelle befindet sich ein ovaler Kern mit einem
Kernkörperchen, welcher nach der Länge der Zelle liegt.
Diese Zellen liegen eng aneinander. Weiter folgt die
Hornschicht. Die Zellen aus welchen sie zusammengesetzt
ist, sind in den unteren Schichten körnig (Fig. 2.) uni
werden in den oberen durchsichtiger. Hoffmann beschreibt
die Zellen der Hornschicht als abgeplattete, verhornie
Zellen mit Kernen und feinen Leisten, welche durch ge-
genseitigen Druck der Ränder der polygonalen Zellen
entstanden sind. Ich glaube, es sind stark zusammenge-
drückte polyedrische Zellen, und die Leisten sind nichts
anderes als die Kanten des polyedrischen Körpers. (Fig. 3).
Man kann sich davon überzeugen, indem man das Deck-
släschen bewegt und die Zelle unter dem Mikrosesp rollen
lässt. Dann werden die Seiten und Kanten abwechselnd
sichtbar. Bei der Mehrzahl dieser Zellen kann man bei
der Isolirung durch Zerzupfung mehr oder weniger deut-
liche Spuren eines Kernes bemerken. In der Horn-
schicht sind sie in geschichteten länglichen Reiheu gela-
gert, und auf feinen Schnitten kann man sehen, wie sich
diese Reihen abblättern, welche aus abgeplatteten Zellen
zusammengeselzt sind. (Fig. A).
In der Hornschicht der Crocodilhaut sind stellenweise
feine, längliche, mit Luft angefüllte Spalten sichtbar. Das
sind wabrscheinlich Lufträume; sie gleichen sehr den
Lufträumen in der Rindensubstanz des Haares und der
Feder.
Einer der Grocodile, die mir zu Gebote standen, (näm-
lich der Crocodilus acutus) war offenbar in der Häutung,
wobei die alte Hornschicht auf dem Rücken schon abge-
worfen war. Auf dem Bauche konnte man von den
Schuppen ein dünnes Hornblatt, die alte Hornschicht,
Be)
leicht abnehmen. Auf dem Schnitte durch die Schuppe,
von welcher dieses Blatt abgenommen war, ist zu be-
merken, dass sich eine neue Hornschicht bildet. Auf
solchen Schnitten sind sichtbar: eine Lage von Gylin-
derzellen, welche an die Culis anliegt, dann rundliche
Zellen, endlich längliche abgeplattete Zellen mit länglichen
ovalen Kernen. Nach diesen Präparaten kann man -glau-
ben, dass bei der Häutung junger Crocodile nur die alte
Hornschicht abgeworfen wird, und anstatt derselben sich
allmählig eine neue bildet.
In der Epidermis junger Crocodile kann man also in
der Malpighi’schen Schicht fo!gendes unterscheiden: 1) eine
Lage von Gylinderzellen (stratum eylindricum); 2) rund-
liche Zellen (stratum dentatum) und 3) platte körnige
Zellen, welche an die Hornschicht grenzen (stratum gra-
nulosum). In der Hornschicht kann man auch die unte-
ren körnigen (stratum granulosum superius von Batelli)
und die oberen durchsichtigen Zellen unterscheiden.
Ich werde die untere cylindrische Schicht näher be-
trachten. Deren Zellen liegen eng aneinander und die
Grenzen derselben sind nicht immer deutlich zu unter-
scheiden; jede Zelle enthält einen grossen rundlichen
Kern. An der unteren Fläche dieser . Zellen auf der
Grenze mit der Cutis längs der ganzen Verbindungslinie
sind feine Streifen bemerkbar, welche von der unteren
Fläche der Cylinderzellen zur oberen Fläche der Cutis
gehen (Fig. 1. a). Manchmal geschieht es, dass die Mal-
pighi’sche Schicht sich von der Cutis trennt. An solchen
Präparaten sind auf der unteren Fläche der Cylinder-
schicht deutliche Zähnchen bemerkbar. Ähnliche Zähn-
chen sind an denselben Schnitten auch auf der oberen
Fläche der Cutis zu sehen (Fig. 5). Der erste Eindruck
von diesen Präparaten führt zu dem Schlusse, dass die
— 321 —
Zähnchen der Epidermis und der Gutis in der normalen
Lage die Vertiefungen zwischen einander einnehmen und
also die Verbindung zwischen diesen zwei Schichten der
Haut befördern.
Wenn wir uns zur Literatur wenden, so finden wir,
dass Franz Eilhard Schulze ähnliche Zähnchen in der
Haut der Fische (bei Leuciscus erythrophthalmus und
beim Stör) und der Amphibien bemerkt hat *). In Be-
ireff dessen sagt er folgendes: «Bei den tiefst gelegenen
Zellen erscheint zunächst die Bildung der auf der Gulis-
oberfläche aufstehenden untern Seite für die Auffassung
von der Verbindung zwischen Lederhaut und Epidermis
im Allgemeinen und somit für eine der interessantesten
und schwierigsten Fragen der Histiologie von der we-
sentlichsten Bedeutung» **). «In der Fischoberhaut habe
ich überall die untere quer abgestutzte Fläche der ge-
wöhnlich langgestreckten und palissadenartig neben-
einander stehenden prismatischen Zellen der tiefsten
Schicht besetzt gefunden mit kleinen blassen, finger-
förmigen senkrecht zur Fläche stehenden Fortsälzen.
Dieselben stehen in gleichmässigen und in ihrem Quer-
durchmesser gleichen Abständen von einander und
sind an derselben Zelle sowie an allen Zellen einer
Gegend ungefähr gleichlang. Bei verschiedenen Fischen
und an verschiedenen Stellen der Haut eines und des-
selben Thieres fand ich diese Zähnchen dagegen oft von
verschiedener Länge. —Ganz dieselben blassen Zähnchen
stehen nun aber auch auf der Oberfläche der Cutis als
directe Fortsätze der obersten hellen Schicht iu ihrem
Durchmesser gleichen Abständen, ohne dass sich indes-
*) Epithel- uud Drüsenzellen. (Arch. f. mier. An. Bd IIl. 1867.
=) loez cıt. 8..141.
-ggBkr-
sen hier Fasern aus der Gutis selbst in sie hinein ver-
folgen lassen». *) Bei den Amphibien (Triton taeniatus,
Triton niger und Rana esculenta) beobachtete Schulze
auch, dass die der Gutis aufsitzenden Zellen durch ihre
Cylinder-oder Palissadenform sich auszeichnen und mit der
Lederhaut selbst durch Ineinandergreilen beiderseitiger
Zähnchen fest verbunden sind. **) Daraus schliesst Schulze
«dass die Forisätze der untersten Epithelzellen zwischen
die gleichgestalteten der Gutisoberfläche» wie die Bor-
sten zweier in einander gesteckter Bürsten «eingreifen,
wodurch eine feste Verzahnung ganz ähnlich derjenigen
der Stachel-und Riffzellen unter sich zu Stande kommb» ***).
Aus meinen Beobachlungen, sowie aus den Beobachtun-
gen von F. E. Schulze wird es klar, dass diese Zähnchen,
welche an den Schnilten der Haut zu sehen sind, die
Epidermis mit der oberen Schicht der Gulis, der soge-
nannten Glashaut (basement membrane der englischen
Autoren) verbinden. Eine ähnliche Ansicht finden wir bei
Ranvier. <Les denis de la face profonde des cellules
&pidermiques de la premiere rangee sont implantees dans
la membrane basale et assurent ainsi union solide de
’epiderme et du derme». 7) Aber Ranvier beschreibt
nur die Zähnchen der Epidermis und erwähnt von den
Zähnchen der Gutis nichts. Nach Ranvier greifen die
Zähnchen der Epidermis in die Glashaut ein.
Es ist klar, dass die Zähnchen der Epidermis Forlsätze
der Cylinderzellen sind. Doch was sind ähnliche Forisälze
der Gutis? Sind es einfach Fortsätze der strukturlosen
=) loe..cit. 8. 142.
=) loc. cit: S. 1:66.
En) locr citS. 143:
7) Traite technique d’histologie. Sixieme fascicule. 1882. S. 884.
—_ 323 —
Schicht oder weisen sie auf irgend einen inneren Bau?
Im letzten Falle muss die Glashaut den Charakter der
strukturlosen Membran verlieren. Das sind die Fragen,
die mich bei der Untersuchung der Verbindung zwischen
Epidermis und Cutis interessierten. Aber bevor ich zur
Beschreibung meiner Beobachtungen übergehe, werde ich
mich zur Literatur wenden, um es klar zu machen, wie
diese strukturlose Glashaut beschrieben wurde.
Alte Autoren, welche die Haut und ihre Anhangsge-
bilde untersucht hatien, finden zwischen der Epidermis
und Cutis eine besondere Membran, die strukturlose
Glashaus (homogene Grenzschicht Leydig’s) *). In Toldt’s
Lehrbuch der Gewebelehre (1877) finde ich folgende
Beschreibung dieser Glashaut. «Unter der Bezeichnung
Grundmembran versteht man ein homogenes durchsich-
tiges Häutchen, welches an gewissen Bezirken der äus-
seren Haut und der Schleimhäute zwischen dem binde- '
gsewebigen und dem epithelialen Stratum eingelagert is-
und an Querdurchschnitten als eine helle Grenzlinie zwil
scher beiden erscheint. Sie wird derzeit fast allgemein
nicht als selbstständige Bildung, sondern als eine Mo-
dification und Verdichtung der obersten Schichte der
bindegewebigen Grundlage aufgefasst» **). Diese Glashaut
wurde gewöhnlich als eine strukturlose Schicht beschrie-
ben. Doch finden sich in der Literatur Anweisungen, dass
sie nicht ganz strukturlos ist. In seinem Artikel «Haut,
Haare und Nägel» beschreibt sie Biesiadecki folgender-
massen. «Die Oberfläche des CGorium ist allenthalben von
einem dünnen Häutchen begrenz!........ Die Grenze dieser
*) Lehrbuch der Histologie. S. 67.
**) Lehrbuch der Gewebelehre. (1877). 3.112.
— 324 —
Membran gegen das Corium hin ist nicht scharf aus-
geprägt, desto schärfer die gegen die Schleimschichte,
welche, abgesehen von seichten Grübchen, in vielen Fäl-
len fein gezahnt ist. Von der Fläche aus gesehen zeigt sie
feine Riffe oder selbst Stacheln, welche zwischen solche
der Schleimzellen hineinragen. Sie lässt (nach Gzerny) nach
der Behandlung mit Silberlösung, wie die Lymphgefäss-
wände, einzelne Felder erkennen» *). Leider erläutert
Biesiadecki nicht, was für Felder es eigentlich sind.
In seiner Schrift «Die Epidermis der Ampibien» **)
(1880) berührt Pfitzner unter anderem die Frage von
der Verbindung zwischen Epidermis und Gutis; aber er
betrachtet diesen Gegenstand von einem anderen Stand-
puncte als Schulze. Die Schrift von Schulze erschien 1867.
Seitdem haben sich die Anschauungen über Stachel-
und Riffzellen wesentlich verändert. Anstatt der Vorstel-
lung Max Schulze’s über zahnradartiges Ineinandergreifen
der Stachel- und Riffzellen entstand eine andere Anschaung
(Dank den Arbeiten von Bizzozero, Flemming, Heitz-
mann u. A.), nach welcher die Zellen unter einander
durch sogenannte Intercellularbrücken verbunden sind,
zwischen denen die Intercellularlücken sich befinden.
Pfitzner fand bei dem Salamander folgendes. «Zwischen
den untersten Epidermiszellen und der Gulis sind bei
jüngeren Thieren die Brücken sehr schwach ausgebildet,
die sich jedoch hier verhältnissmässig stärker entwickeln
als anderswo, so dass sie sich beim erwachsenen Thiere
gerade durch besondere Grösse auszeichnen. Wie sie sich
zum Bindegewebe der CGutis verhalten, ob dieses ihnen
*) Stricker’s Handbuch der Lehre von den Geweben. 1871. Erster
Band. S. 585—586.
**) Morphol. Jahrbuch. Bd. VI.
— 325 —
etwa auch ähnliche Ausläufer entgegen sendet, habe ich
nicht mit Sicherheit feststellen können» *) Ferner sagt
er: «Aber auch nach dem Corium zu kann man Verbin-
dungen verfolgen. Beim erwachsenen Thiere wenigstens,
wo an der Cutisfläche der unteren Epidermiszellen die
Brücken sehr stark entwickelt sind, stehen die von die-
sen gebildeten Hohlräume mit ähnlichen Hohlräumen in
der Cutis in Verbindung. In der oberen parallelfaserigen
und pigmentlosen Grenzschicht der Gutis verlaufen in
horizontaler Richtung Kanäle, die sich mehr oder minder
rechtwinklig umbiegen und bis in die grossen basalen
Intercellularlücken zu verfolgen sind; andere kommen
mehr direct aus der Tiefe» **).
Nach Pfitzner also stehen die Hohlräume, welche
zwischen den Fortsätzen der Epidermiszellen sichtbar
sind, in Verbindung mit ähnlichen Hohlräumen der Cutis.
In der Grenzschicht der Üutis beschreibt er horizontale
Kanäle. Aber Pfitzner hat die Fortsätze der Cutis nicht
gesehen, und lässt die Frage von deren Vorhandensein
in der Gutis des Salamanders unentschieden; so dass es
unerklärt bleibt, wie man die histologische Verbindung
zwischen Epidermis und Cutis sich vorstellen darf.
Um diese Verbindung in der Grocodilhaut zu erklären
beschloss ich solche Präparate zu bekommen, an denen
die obenerwähnten Zähnchen der Epidermis und der Gu-
tis en face zu sehen wären. Deswegen trennte ich an
der Schuppe die Epidermis von der unten gelegenen Cu-
tis, was manchmal ziemlich gut gelang und nachdem ich
mich durch Schnitte überzeugt hatte, dass auf dem Bin-
*) Die Epidermis der Amphibien. S. 496.
—), De chi. 8.491.
.% 4. 1884. 21
ie
degewebe keine Epithelschicht geblieben war, machte ich
einen feinen der Gutisfläche parallelen Schnitt.
An solchen Präparaten stellt die Oberffäche der Cutis
ein Netzwerk von dünnen (Querbalken dar, zwischen .
welchen kleine bald rundliche, bald längliche Zwischen-
räume gelagert sind. (Fig. 6). Diese Querbalken färben
sich gar nicht, ebenso wie die obenerwähnten Zähnchen
der Cutis. Vielleicht sind es jene einzelnen Feider, derer
Biesadecki erwähnt. Pfitzner weist in der oberen Grenz-
schicht der Gutis auf Kanäle, welche in horizontaler Rich-
tung verlaufen. In der That bei dem ersten Anblick kann
man dieses Netzwerk von Querbalken für Kanäle anneh-
men, aber eine aufmerksame Beobachtung überzeugt,
dass es keine Kanäle sind, sondern Leisten, welche sich
über die Oberfläche der Gutis heben und zwischen sich
Vertiefungen oder Zwischenräume lassen.
Indem man die untere Zellschicht von der inneren
Fläche des abgeirennten epidermischen Blattes (welches
vorläufig mit Pierocarmin gefärbt war) mit dem Scaipel
abschabt, uud sie unter dem Microskop betrachtet, kann
man ein ähnliches Bild von einem Netzwerk mit Quer-
balken und Zwischenräumen sehen. Hier erscheinen die
Cylinderzellen als rnnde oder vieleckige Felder, die eng
aneinander anliegen; jede Zelle enthält einen grossen run-
den Kern (Fig. 7). Auf der Fläche der Zellen sind die
obenerwähnten Querpvalken mit Zwischenräumen sichtbar.
(Fig. 7). Ihre verhältnissmässige Grösse ist derart, dass
die Fläche (eigentlich die Unterfläche) jeder Zelle 10—12
solcher Zwischenräume enthält. Die Querbalken sind hell
und färben sich mit Carmin nicht. Sie zeichnen sich
scharf auf der Fläche der Zellen aus, da die Zwischen-
räume körnig und mit Garmin gefärbt sind. Indem man
die Mikrometerschraube dreht, kann man sich überzeugen,
U
Be
dass die Querbalken wie durchsichtige Leisten über die
Fläche der Zellen hervorragen. Es scheint mir, dass, wenn
man diese Bilder mit denjenigen auf welchen die Zähn-
chen sichtbar sind zusammenstellt, man zu dem Schlusse
kommen kann, dass von der unteren Fläche der Epi-
dermis, ebenso wie von der oberen Fläche der Cutis
(von der sogenannten Grenzschicht) Leisten oder Brücken
einander entgegen gehen, welche an Querschnitten als
Zähnchen aultreten. Zwischen ihnen bilden sich Zwischen-
räume, und ich stimme mit Pfitzner überein, wenn er
sagt, dass die von den Brücken der unteren Epidermis-
zellen gebildeten Hohlräume mit ähnlichen Hohlräumen
in der Gutis in Verbindung stehen, obgleich Pfitzner da-
rauf nicht weist wie diese Hohlräume in der Cutis ge-
bildet sind.
Man darf schliessen, dass diese leistenförmigen Fort-
sätze einerseits die Epidermis und die Lederhaut verbin-
den, und dass anderseits die obenerwähnten Hohlräume als
Lymphbahnen aus der CGutis zu den Intercellularräumen
der Epidermis dienen, welche Meinung mit der jetzt in
der Histologie vorherrschenden Ansicht völlig überein-
stimmt. |
Diese Beobachtung an der Crocodilhaut erregt jeden-
falls grosses Interesse, weil sie auf die histologische Ver-
bindung zwischen Epidermis und Cutis weist. Die Frage
ob diese Verbindung eine allgemeine Erscheinung in der
Haut der Wirbelthiere ist, müssen künftige Untersuchun-
sen entscheiden.
Es bleibt mir noch kurz von der Cutis der Crocodil-
haut zu erwähnen. Die oberflächliche Schicht derselben
ist die obenerwähnte Grenzschicht, unter welcher sich
eine Pigmentschichi befindet. Diese letztere hat an ver-
schiedenen Stellen des Körpers verschiedene Dicke. Am
217
— 328 —
Bauche ist sie sehr dünn und verschwindet stellenweise
vollsiändig. Auf dem Rücken, wo die Hant dunkel ge-
färbt ist, wird die Pigmentschicht bedeutend dicker.
Unter der Pigmentschicht sind elastische und binde-
gewebige Faserbündel gelagert, welche sich durchkreuzen.
Die diekeren Faserbündel laufen am Bauche der Ober-
fläche der Schuppe parallel; die dünneren strecken sich
von oben nach unten uud durchflechten sich in allen
Richtungen. An den kleinen Höckerchen der Beine sind
die bindegewebigen Fasern besonders regelmässig gela-
geri da sie hier in parallelen Reihen laufen. In den
Schuppen des Rückens, welche Kiele tragen, sind die
Faserbündel sehr unregelmässig und verwickelt: dazwischen
kommen Zellen des Bindegewebes und Blutgefässe vor.
Bei dem Grocodilus biporcatus waren die Verknöche-
rungen in der Haut schon eingetreten, doch nur an einer
Stelle, nämlich in den Schuppen mit Kielen (auf dem
Rücken). Die Verknöcherungen haben die Gestalt klei-
ner Platten, die dem unbewaffneten Auge sichtbar sind.
Auf Querschnitien erscheint die Verknöcherung als eine
Platte, von der ein dünner Fortsatz in den Kiel läuft.
Die Knochenkörperchen haben die Gestalt von sternför-
migen Zellen des Bindegewebes. Diese Zellen anastomo-
siren mit ihren Forisätzen, welche die Gestalt feiner Ka-
näle in der hellen Knochensubstanz haben. An den Seiten
der Platte sind hie und da die Östeoblasten sichtbar.
1. Ueber die Haut der Hatteria *).
An verschiedenen Stellen des Körpers der Halleria
haben die Schuppen verschiedene Form und Lagerung.
*) Günther. Contributions to the Anatomy of Hatteria (Philosoph.
Transact. of the Royal Society of London. 1867).
— 329 —
Auf der oberen Fläche der Körpers (auf dem Haise, dem
Rücken und dem Schwanze) und auf den Seiten des
Rumpfes, wo die Haut dunkel gefärbt ist, ist die Haut
der Hatteria von kleinen Höckerchen oder Körnchen be-
deckt. Man kann dunkele (braune) und weisse (oder
gelbliche) Höckerchen oder Körnchen unterscheiden. Mei-
stenlheils sind es braune Körnchen, deshalb ist auch die
Haut hier braun gefärbt. Doch zwischen denselben be-
finden sich gruppenweise weisse, zu 3—7 Körnchen in
einer Gruppe. Von der Mittellinie des Rückens nach
den Seiten werden diese Gruppen weisser Körnchen
zahlreicher, und die Anzahl der Körner, welche eine
Gruppe bilden, wird grösser. Auf den Seiten fangen
schon die weissen Körnchen an vorzuherrschen. Zugleich
werden dieselben grösser und gehen nach und nach in
Schuppen über, die dachziegelförmig einander bedecken.
Der Mittellinie des Rückens entlang ziehen sich drei
Kämme. Auf dem Kopfe (von der Mitte seiner Länge an)
und auf dem Halse befindet sich der erste Kamm
aus 11 Zähnen bestehend. Jeder Zahn hat die Form eines
von den Seiten zusammengedrückten Kegels, dessen Spitze
zurückgebogen ist. Etwas weiter hinter jener Stelle wo
die Vorderextremitäten ihren Anfang nehmen, zieht sich
ein zweiter Kamm, der aus 20 Zähnen besteht, welche
dieselbe Form und Grösse haben. Dieser Kamm zieht
sich bis zu jener Stelle wo die Hinterextremitäten Anfang
nehmen. Dem Schwanze entlang geht endlich ein dritter
Kamm, in welchem die Zähne dicker, breiter, aber nie-
driger als in den zwei ersten sind.
Auf der Bauchoberfläche befinden sich biass gelbliche
Schuppen oder Platten. Auf der unieren Fläche des
Kopfes (wo der Unterkiefer ist) haben die Schuppen die
Form von kleinen sechseckigen Platten, welche fest
— 330 —
aneinander anliegen. Weiter, auf dem vorderen Theile
der Bauchoberfläche, dort wo die Vorderextremitäten
ihren Anfang haben, werden diese sechseckigen Plaiten
bedeutend grösser und sind eng aneinander gelagert.
Auf dem DBauche werden die Platten viereckig und
sind „dachziegelföürmig gelagert, so dass die vordere
einen kleinen Theil der hinteren Platte bedeckt. Hier
nehmen die Platten die typische Form von Schuppen an.
Auf dem hinteren Theil des Bauches, wo die Hinterex-
tremitäten ihren Anfang nehmen, verwandeln sich die
Schuppen wieder in sechseckige Platten, die ebenso wie
zwischen den Vorderextremitäten gelagert sind. Allmäh-
lig kleiner werdend ziehen sie sich auf der unteren
Fläche der Hinterextremiläten, wo sie eine rundliche
Form haben. Auf der unteren Fläche des Schwanzes wer-
den die Schuppen wieder zu viereckigen Platten, die
dachziegelförmig gelagert sind *).
Bei mikroskopischen Untersuchungen lässt sich in der
Epidermis dasselbe was auch bei anderen heptilien be-
merken. Die untere Schicht besteht aus einer Lage hoher
Cylinderzellen mit grossen ovalen Kernen, deren längere
Axe der Zelle parallel ist. (Fig. 8. b). Dann folgen 1—2
Lagen Zellen mit runden Kernen (Fig. 8); die Gontou-
ren dieser Zellen sind im Durehschnitte nicht zu sehen,
*) Der Unterschied in der Form und Lagerung der Schuppen auf
der Fläche des Bauches zwischen den viereckigen Platten des Bau-
ches, wo die Platten dachziegelförmig gelagert sind, und den sechs-
eckigen Platten derjenigen Stellen wo die Vorder- und Hinterextre-
mitäten sich befinden, bringt auf den Gedanken, dass die Platten auf
dem Bauche in der Locomotion des Thieres eine Rolle spielen. Diese
Meinung war schon von Günther, zwar auf Grund anderer Betrach-
tungen, ausgesprochen. (Contributions to the Anatomy of Hatteria
S. 610-611).
— 331 —-
doch bei der Isolierung erscheinen rundliche Zellen mit
Kernen und feinen Fortsätzen an den Seiten. (Fig. 9. b).
Weiter dehnen sich die Zellen und Kerne längs der
Oberfläche der Schuppen (Fig. 8 d) und gehen in die
Hornschicht über. Die Zellen der Hornschicht erscheinen
als durchsichtige verhornie Platten, in welchen manch-
mal schwache Spuren von Kernen zu bemerken sind. In
der Epidermis der Haiteria kann man also das siratum
cylindricum, siratum dentatum, stratum granulosum und
die eigentliche Hornschicht (stratum corueum) unter-
scheiden.
Auf dem Rücken, wo die Haut braun gefärbt ist, be-
findet sich das Pigment nicht nur in der Cutis, sondern
auch in der Malpighi’schen Schicht: nämlich in den Cy-
linderzellen und auf der Grenze der Malpighi’schen
Schicht uud der Cutis sind Anhäufungen von Pigment-
zellen zn bemerken (Fig. 8), welche bald eine runde,
bald eine längliche, bald eine unregelmässige sternartige
Gestalt mit vielen Fortsätzen haben. Auf der Bauchober-
fläche sind die Pigmentzeilen in der Gylinderschicht nicht
sichtbar.
Die Grenze zwischen der Malpighi’schen Schicht und,
der Cntis ist nicht immer deutlich zu sehen. Auf dem
Rücken ist sie wegen des Pigments nicht zu bemerken.
Auf dem Bauche, wo es an Pigment fehlt, ist die Grenze
zwischen der Epidermis und der Lederhaut nicht so
deutlich, wie z. B, in der Haut des Grocodils. Auf den
Schnitten ist nur zu sehen, dass es in der äussersten
Schicht der Cutis eine Menge kleiner spaltenähnlicher
Zwischenräume giebt, die sehr unregelmässig geordnet
sind, so dass sie eine Art spongiöses Gewebe bilden. Es
sind wahrscheinlich Lymphräume oder Lymphbahnen der
Cutis. Ich muss erwähnen, dass ich in der Haut der
Hatteria jene Verbindung zwischen Epidermis und Cutis,
die in der Haut des Grocodils so deutlich zu bemerken
ist, nicht gesehen habe. Doch bei Isolirung der Cylin-
derzellen kann man sehen, dass die obere, sowie die
untere Fläche dieser Cylinder von mehr oder weniger
langen zahnähnlichen Fortsätzen bedeckt ist. (Fig. 9. a).
Wahrscheinlich senden auch hier die Cylinderzellen
Fortsäize oder Brücken der Cutis entgegen.
Was die eigentliche Cutis betrifft, so lassen sich darin
an einigen Stellen (rämlich in den Höckerchen des
Rückens) zwei Schichten unterscheiden. In der oberen,
welche aus parallelen dicken Faserbündeln besteht, sind
hie und da unregelmässige sternförmige Pigmentzellen
sichtbar. Sie häufen sich hauptsächlich oben auf der
Grenze mit der Epidermis an und je weiter nach unten,
desto kleiner wird die Anzahl derselben. In der unteren
Schicht, die aus feineren Faserbündeln und. Zellen des
Bindegewebes besteht, giebt es keine Pigmentzellen.Sie sind
nur auf der Grenze zwischen beiden Schichten zu sehen.
Darum kann man die obere—Pigmentschicht, die untere
pigmentlose Schicht nennen. Auf dem Bauche ist kein
scharfer Unterschied zwischen zwei Schichten der Cutis
bemerkbar. Hier ist die Anzahl der Pigmenizellen viel
kleiner. Hie und da lässt sich eine sternförmige Pig-
mentzelle bemerken. Anstalt dessen sind in der oberen
Schicht der Cutis unter der Malpighi’schen Schicht ein-
zeine gelbe Pigmenikörnchen bemerkbar.
Es bleibt noch die Verknöcherungen in der Haut der
Hatteria zu betrachten. Günther, der einzige Autor, bei
dem wir eine kurze Mittheilung über die Haut der Haite-
ria finden, behauptet, dass kein Theil der Haut Ver-
—33) —
knöcherungen enthalte *). In der That befinden sich Ver-
knöcherungen in dem Kamme des Schwanzes, in der
Gestalt kleiner Körnchen die dem unbewaffneten Auge
sichtbar sind. Diese Verknöcherungen strecken sich nicht
der ganzen Länge des Kammes entlang, sondern bilden ein
Körnchen in dem Vordertheile jedes Zahnes. Im Durch-
schnitte erscheinen diese Verknöcherungen als rundliche
oder ovale Platten, deren grösserer Durchmesser 0,3 mın.
und der kleinere 0,24 mm. lang ist. In der durchsich-
tigen Knochenplatte sind Knochenkörperchen mit anasto-
mosirenden Forisätzen zu sehen, welche letztere die ganze
Platte durchsetzen. Manchmal ist die Verknöcherung noch
nicht vollendet. Die Substanz der Platte wird noch
gleichmässig mit Garmin gelärbt, und die Knochenkör-
perchen gleichen den sternförmigen Zellen des Bindege-
webes, in welchen die Körnchen und ein Kern wahrzu-
nehmen sind. Neben der Peripherie der Platte sind spin-
delförmige Zellen des Bindegewebes bemerkbar, so dass
hier der Uebergang der Zellen des Bindegewebes in
Knochenkörperchen deutlich zu sehen ist. Solche Präpa-
rate machen den Eindruck, dass die Verknöcherung noch
nicht vollendet ist.
An anderen Stellen der Haut habe ich keine Ver-
knöcherungen gefunden. Durch dieses ausschliessliche
Vorhandensein derselben in dem Kamme des Schwanzes
kann man erklären, dass Günther sie übersah und auf
die völlige Abwesenheit derselben in der Haut der Hat-
teria hinwies.
*) „No part of the cutis contains any ossification“ (Contributions to
the Anatomy of Hatteria. S. 620).
Fig. 1.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Erklärung der Abbildunsem
Durchschnitt einer Ventralschuppe von Crocodilus biporcatus
(Hartnak. Syst. 7, Oc. 2.).
. Grenzschicht der Cutis von der feine Streifen zur Cylinder-
schicht der Epidermis gehen.
b. Cylinderschicht (stratum cylindricum).
5,
wu DD
Rundliche Zellen der Malpighi’schen Schicht (stratum den-
tatum).
. Körnige Zellen (stratum granulosum),
. Hornschicht (stratum corneum).
. Zellen der Hornschicht, in denen Körnchen noch zu sehen
sind. (Syst. 9, Oc. 2).
. Obere Zellen der Hornschicht (Syst. 7, Oc. 2).
. Querschnitt der Hornschicht (Syst. 7, Oc. 2).
. Durchschnitt einer dorsalen Schuppe von Crocodilus bipor-
catus. (Syst. 9, Oc. 2). Die untere Fläche der Epidermis hat
sich von der oberen Fläche der Cutis getrennt. Auf beiden
Flächen sind feine Zähnchen sichtbar.
. Das Netzwerk der Querbalken mit Zwischenräumen auf der
Fläche der Grenzschicht der Cutis. (Syst. 9, Oc. 2).
. Cylinderzellen der Malpighi’schen Schicht. (Syst. 9, Oc. 2).
. Zelle, an deren unterer Fläche das Netz der Querbalken
siehtbar ist.
. Zelle mit einem Kerne.
. Durchschnitt der Haut von dem Rücken der Hatteria (Syst.
8, 0c. 2).
. Cylinderzellen.
. Rundliche Zellen.
. Körnige Zellen.
e.
cu Cutis mit Pigmentzellen.
Hornschicht.
Fig. 9. Isolirte Zellen der Malpighi’schen Schicht (Syst. 9, Oc. 2).
2.
b.
Cylinderzellen.
Rundliche Zellen,
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ur. B. Dax MAHb.
TABLE GENERALE DES MATIERES
POUR L’ANNEE 1884.
Artari A. Liste des algues observees dans le gouverne-
ment de NOSENNer Seen
Becker Al. Reise nach Chanskaja Stafka und zum grossen
Bogdoberg. Beschreibung der Mylabris melanura-Lar-
ve. Verhinderung der Wasserscheu durch Cetonia
aurata. Das Vorkommen verschiedener Insekten und
DOHRIEBEEFIIMOSYArICtäten . 4.4000.
Bredichin Th. Quelques formules de la theorie des cometes.
— — Sur la grande com£te de 1811. Avec une planche.
— — Sur les tetes des cometes. Avec deux figures...
Dybowski W. Dr. Ein Beitrag zur Kentniss der im Bai-
-kal lebenden Ancylus-Arten. Mit Tafel............
— — Studien über die Zahnplatten der Gattung Lim-
TEEN 0 A RE
Dybowski B. Prof. Neue Beiträge zur Kenntniss der Crus-
taceenfauna des Baikalsees. Mit 3 Tafeln..........
— — Notiz über eine die Entstehung des Baikalsees
betreffende Hypothese........:.eeecserosccsorenee:
Goroschankine J. M&moire sur l’etat des herbiers de l’Uni-
versit€ Imperiale de Moscou et de la Societe Impe£-
riale des Naturalistes de Moscou............ .. aa
Page
II. 124
II. 167
|
II: 58
11.76
11. 145
1. 256
11.082
1:7 197
I. 290
ae
Gregorio. A. Marquis de. Note sur le Pecten lucidus Goldf.
ER DIHAUS, MUnSt sa Me
Herder F. von. Plantae Raddeanae Monopetalae.........
Jakovlev (AkoBıeBb B. E.) Hosne zBnıHu po,a lalla.......
Ignatieff (HrsaTbesr ©. A.) Marepiaım 111 dıopsı Tansop-
CKOU IYÖePEiN ....... N TE a
Joukofsky N. (shykoscrkii. H E.) Pbmerie o1H0i zayayz
B3L TEOPIH- KOMETD. oo nennen ne ER SE
Kisslakoffsky (Kncıakosckiit E.) Xunnyeckiii aHaIıN36b ABYyX5
O6pasloBb EECTECTBEHHON TIAYÖePOBON COIH 135 3a-
KRaBRa35bA .-». . ee. ep ve se se us oe vo 91 0 8 0 0 8 8 te rn ee ..». ....es
Lindemann Dr. E. von. Dritter Bericht über den Bestand
meines Herbarıums 322 2:22. a Ne ae a
Lindeman. Prof, K. Ueber Meromyza saltatrix Mg. und
Hachiptera ornulaZ2..2222: u ee
— -— Verzeichniss der bei Moskau vorkommenden
Borkenkäfer. fs Eee see esse.» .“.... ee. .... 0... ee
— -— Toımunsm Ortyerp Ünneparopckaro MockoBCcKaro
O6mecrsa Benstateleii mpupoası 32 1883—84 I0It..
Lwofj. W. Beiträge zur Histologie. des Haares, der Borste,
des Stachels und der Feder. Mit 4 Tafeln.........
— — Beiträge zur Histologie der Haut der Reptilien.
Meschaieff (M&maesp B. |.) Cuucoks pacreHii 136 CEBep-
Hoi yacıu Pasanckofi TyÖepHiH..... Ann 5
Paulow. A. Notes sur l’'histoire geologique des oiseaux..
Radoszkowski ©. Revision des armures copulatrices des
mäles du genre Bombus. Avec 4 planches.........
Sabaneieff (Cabanterb A. Il.) Xmmmyeckif cocTaBt TPpa3u
OIHON U3b CONOKB TAamakckaro NOIYCCTPOBA...... er
— — 0 106ssanifn MH TOSHMePH3aniT ÖPONAHETHIERA..
Sloudsky Th. Essai de solution du nrobleme g&odesique .
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70
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— 337 —
Smirnow. M. Enum£ration des especes de plantes vascu-
BDEESIAN BAUCASe.... 22.2. ee er ae 11.182
Sokoloff (Coko10B% A. II.) Ho nopony mperaorennaro rt. Bsim-
HeTPaACEHMT BEIBOAA MaHcBe11oBa 3aKOHA.......... II. 246
Sorokine N. Courte description d’un voyage dans 1’Asie
gensrale Ayee une planche 2... ... 2. 220.200. 14295
— — 0(opoxun: H. B. Marepiaısı 114 dıopsı Cpernei
PIRELLI VAOTUNHAMU- enden eneeenen I. 183
Weihrauch K. Studien zur Mittelbildung bei der relativen
Denelnäg kat Sara ee RER I. 1. et 304
Weiss A. Ce que devient la bile dans le canal digestif... 1. 22
Necrologue: Alexandre Grigoriäwitsch Fischer de Wald-
NEIL +5 0.058 ade re ER 1. 331
Extrait des protocoles des seances de la Soeiete 1. des
1
Nommalistesn nn LE ler che
Supplement au Bulletin:
Bachmetieff B. Meteorologische Beobachtungen ausgeführt
am Meteorologischen Observatorium der landwirth-
schaftlichen Akademie in Moscou.—Das Jahr. 1884.
(Erste und zweite Hälfte). Das Jahr. 1885. (Erste
Hälfte).
SEAHCES
de la
SOCIETE IMPERIALE DES NATURALISTES
DE MOSCOU.
SEANUE DU 15 NOVEMBRE 1884.
8. Exec. le Vice-president Th. A. Bredichin a communique les re&-
sultats de ses observations, concernant les com&tes de l’annee cou-
rante.
M. B. N. Bensengre a parl& de l’ozone et de son röle dans le trai-
tement du cholera.
M. N. B. Goronoviich a expos& les resultats de ses recherches
sur la formation des couches embryonnaires et du chorda dorsalis
‘des salmonides.
M.W.J. Beliaef a parle de la structure des microspores et des
antherozoides des Selaginella et des Isoötes.
M. A. P. Artari a expos& ses observations sur les algues du gou-
vernement de Moscou.
Le secretaire de la Societe, M. le professeur Ch. Lindeman, ayant
declare que le terme triennal de son service &tait &coule, il a &te
prie de vouloir bien conserver ses Luueuans pendant les trois an-
nees suivantes.
.k% 4. 1884. 1
J,a societE entomologique russe de St.-Petersbourg annonce qu’elle
va celebrer, le 4 Decembre, le 25-&me anniversaire de sa fondation.
La Societe a decide d’envoyer, & cette occasion, une adresse, qui
sera presentee par M. le secre6taire.
M. le Recteur de l’Universite de Kief envoie un exemplaire des
ouvrages publies pour la fete du jubil& de cette Universit£.
Mr. le Prof. Goroschankine presente un memoire sur l’etat des
berbiers de l’Universite Imperiale et de la Societe Imperiale des
Naturalistes de Moscou.
S. Exc. Mr. Th. Bredichin remet quelques formules de la theorie
des Comötes.
S. Exc. M. Theodore Wechniakoff, membre de 1a Societe, a adresse
a la Societe la proposition verbale suivante:
„J’ai, a-t-il dit, successivement pendant plusieurs anndes forme
une Bibliotheque d’ousrages francais et allemands relatifs a toutes
les branches des connaissances humaines, la mötaphysique exceptee,
dans l’intention d’avoir une base pour constituer et developper une
branche scientifique, non encore formulee. J’ayais en vue de fonder
une Eneyclopedie Synthetique, basee sur une Histoire Generale e£
Comparee des Activites Scientifique et Artistique et une Theorie Gene-
rale des m&mes Activites, basee sur leur Histoire compar&e et g£-
nerale. En marge de plusieurs livres de ma Bibliotheque se trou-
vent mes notes manuscrites, qui ont servi de materiaux a mes re-
eherches.
Je voudrais que de jeunes chercheurs, non encore confines dans
quelque speecialite officielle ou officieuse s’attachent & Elaborer les
mat£riaux, que je n’ai pasencore pu utiliser, pour developper mıeux
que moi les r6sultats g&neraux, que j’ai pu publier jusqu’a present
dans mon Ebauche d’une Economie des Travaux Scientifiques et Es-
thetiques 1860 et dans les Recherches sur les Conditions Anthropologi-
ques de la Production Scientifique et esthetique 1865, 1865, 1870, 1872
et 1873. Dans cette intention je me suis decid& a leguer ou a re-
mettre en partie pendant ma vie la partie Scientifique de ma Bi-
bliotheque a une Institution Scientifique, qui aurait su rendre ma
Bibliotheque accessible a la jeunesse scientifique de deux sexes,
qui auraient le goüt de s’attacher au groupe de recherches, que
jai r&ussi a former. touten ayant soin de conserver intacts les liv-
%
Fa DLR
res et mes notes manuscrites, qui s’y trouvent crayonnees. Il me
serait agr&able d’offrir la partie de ma Bibliotheque, relative aux
sciences Naturelles, a la Societe Imperiale des Naturalistes de Mos-
cou si la Societe daigne prealablement garantir les conditions sui-
vantes, que je me permets .de lui proposer:
1-0. Que cette Bibliotheque forme une section distinete de la
Bibliotheque Generale de !a Societe.
2-0. Que cette möme Bibliotheque deux ou trois fois par semaine,
soit accessible non seulement aux Membres, mais aux personnes
etrangeres, qui s’occupent serieusement des sciences. mais sans
pouvoir prendre aucun ouvrage en dehors du local de la Biblio-
theque.
S’jl plait a la Societe de garantir l’ex&cution de ces clauses, vers
le printemps jJ’aurais &t&E a m&me de remettre a la Societe les ou-
vrages publies jusqu’en 1880 *).
Depuis ma fixation a Moscou depuis plus de 13 ans, J’ai d&pense
chaque annde environ 500 r. arg. pour augmenter ma Bibliotheque.
Voiei & peu pres le nombre d’ouvrages distincts, que renferme ma
Bibliotheque, dont quelques uns comme le monumental Dictionnaire
Eneyclopedique des Sciences Medicales de Dechambre, oeuvre collec-
tive admirable qui n’a de pareille dans aucune langue ni aucune
specialite, est composö de plus de 70 doubles volumes.
A., Seiences Physico-Chimiques, Mineralogie, Geologre—65 ouvrages.
B., Biologie des Plantes et des Antmaus, Pathologie—223 ouvrages
C.. Anthropologie Fonctionnelle et Somatique dans le sens le plus
etendu, selon Bertillon et Letourneau; Psychiatrie, Biographies des
Artisies et des Savans— 219 ouvrages.
_D., Histoire des Arts, des sciences et de la civilisation—185 ouvrages.
E., Materiaun: Eneyclopediques et Philosophie Scientifquwe—107 ou-
vrages.
*) Note de la Redaction. Au mois d’Avril 1885 M. Wechniakoft, a
remis & la societe 222 ouvrages en 650 volumes, avec un Catalogue
de cette premiere serie de son don. r
a
En tout 799 ouvrages scientifiques proprement dits.
Les 300 ouvrages que je n’ai pas mentionnees et qui se ratta-
chent & l’histoire non scientifique et aux sciences dites sociales,
maler& la destination et le caractere encyclop@diqus de notre So-
ciete, ne se rattachent pas & ses attributions et devront se trouver
en dehors du don projete.
La Societe decide d’exprimer sa vive recomnaissance A S. E.M.
T. W. Weschniakof pour le don genereux et important qu’il vient de
faire A la bibliotheque de la Soeiete.
L’Universit€E de John Hopkins « Baltimore en envoyant l’ouvrage
de W. K. Brooks sur le developpement des huitres renou-
velle la proposition d’echange et fait parvenir & la Soeciete une
liste de ses dernieres publications.
Le professeur E. de Martens annonce que la Societe des amis
d’histoire naturelle & Berlin ne possede plus d’exemplaires de ses
Jahresberichte 1863 et 1864 reclam&s par notre Socıdte. L’annee
1884 sera envoy&e au mois de FEvrier 1885.
Mr. le Dr. F. Al. Buhse de Riga en remerciant pour le Bulletin
de la Societe parle dans sa lettre adressee au Pr&sident de la So-
eiete de l’importance de l’article de Mr. le Professeur Weihrauch
de Dorpat commence dans le Bulletin ® 1 de 1884 et envoie en
m&me temps 12 Rbls, la cotisation pour 3 ans.
La Soeiete d’histoire naturellea Bamberg aunonce qu’elle va c£lebrer
le 27 Octobre (8 Novembre) son Jubil&E de 50 ans d’existence et
invite & y prendre part. La Societe n’ayant reeu l’annonce de cette
fete que la veille du jour n’a pu rien faire qu’envoyer un teleEgram-
me de felieitations ce qu’a fait le President de la Soeiete au nom
de la derniere et de Ini-m&öme comme membre honoraire de la Jdite
Societe.
La Societe de medecine et d’histoire naturelle de Jena prie. de lui
indiquer de rechef ce que nous possedons de son Journal: Zeit-
schrift für Medizin u. Naturwissenschaften in Jena. Elle se fera un
plaisir et devoir de remplir autant qu’il est possible les lacunes
aui se trouvent dans notre exemplaire du Journal de Jena.
La famille Sancerotte annonce Ja mort du Docteur Antoine-Con-
stant Sancerotte mort & Lune£ville le3 Novembre dans sa 80 anne&e.
‚Mr. Alex. Karp. Becker de. Sarepta remerciant pour le dernier
Bulletin &crit qu’entre les plantes d’Achal-Teke S. Exc. Mr. Traut-
vetter 3 trouv& beaucoup de plantes interessantes et nouvelles, dont
la deseription Mr. Becker nous enverra au commencement de l’an-
nee 1885.
La Societe d’hisloire naturelle du District de Francfort sur V’Oder
envoie un Numerode ses „Mittheilungen“ qui paraissent chaque mois
et propose l’Echange des publications.
Mr. le Chanoine Dr. J. B. Carnoy, Professeur de la botanique &
l’Universit@ de Louvain fait don de son beau travail ,La Biologie“
fasc. 1 et promet de nous envoyer en öchange de nos publications
la Reyne biologique dont fe ® 1 va paraitre sous peu.
8. Exec. Mr. A. J. betschkoff envoie de la part de la commision
internationale d’echange des publications un paquet de livres am&-
ricains.
La Societe nationale d’acelimatation de France A Paris, la So-
eiete d’kistoire naturelle de Colmar, 1’Ecole des metiers & Bistritz
en Transylvanie, la Societe d’histoire naturelle de Carlsrouhe, |:
Societe d’Anthropologie de Munich ont envoy& autant qu’il etait
possible de leurs publications les numeros ou livraisons pour com-
bler les lacunes qui se trouvent dans leurs publications dans notre
bibliotheque.
- Lettres de remercimens pour }’envoi des publications de la part
de M-Je Ministre des affaires &trangeres, de l’Academie Imperiale des
sciences de St.-Petersbourg, de l’Universit@E de Moscou, de la So-
ceiete Imp6eriale geographique russe, de la Societe libre Economique,
des Instituts des mines et forestier de St.-Petersbourg, de l’Institut
d’agrieulture de Nova Alexandrie, de l’Acad&mie d’agrieulture de
Petrovsky Razoumovsky, de l’&cole d’agriculture et horticulture d’Ou-
man, de la bibliotı&que de Karamsin ä Simbirsk, de la Soeciete 1.
des amis d’histoire naturelle de Moscou, du Comite statistique du
Kouban ä Ekaterinodar, des Societes d’histoire naturelle de Khar-
koft, Kasan et de laroslav, et de la Societ& math&matique de Khar-
koft, de la part des MM. Leder, Buhse, Becker, Ed. Bogd. Lindemann,
Al. Al. Fischer de Waldheim, Warneck; de la part de la Societe R.
zoologique natura artis magistra d’Amsterdam, de l’Acad@mie Roy-
ale Danoise des sciences de Copenhague, de I’Institut Smithson de
Washington, de la Societe nationale d’acclimatation de France &
Paris, de la Societ@ Royale des seiences, d’Upsal, de Y’Institut Lom-
EN IN CEN
barıl des sciences et des lettres & Milan, de la Societe Royale W’E-
dinbourg et de Mr. Ad. Senoner de Vienne.
:Annonce de la mort de notre membre honoraire, conseiller prive
Ivan Timopheevish Glebow le 8 Novembre.
S. Exc. Mr. Ant. Iv. Radoszkowsky & Varsovie remerciant pour
limpression de son article sur les Bourdons (Bulletin 1 de 1884)
communique des extraits de lettres sur l’accueil qu’on a fait a l’e-
tranger & ce travail.
DON
Livres offerts.
1. Haewemis Umi. Pyeckaro leorpahnyeckaro O6mecrsa. Toms 20.
1884. Bun. 1. ©.-Ilerep6. 1884 in 8°. De la part de la Societe 1.
geographique russe a St.-Petersbourg.
2. Janucku Mmn. Xappkosckaro Yuusepcurera. 1581. T. I. Xapp-
koßp 1883 in 8°. De la part de UUniversite de Kharkoff.
3. Der Naturforscher. Jahrgang 1884. N 42, 43, 44. Berlin 1884
in 4°. De la part de Mr. le Dr. Sklarek @ Berlin.
4. Annali del Museo eivico di storia naturale di Genova. Vol. 20.
Genova 1884 in 80%. De la part du Musee eivique d’histoire na-
turelle de Genes. ‘
or
. Journal de Conchyliologie. Tome 23. \% 3, 4. Paris 1833 in se,
De ia part de MM. Orosse et P. Fischer.
6. Brooks, W. K. The Developement and Protection of the oyster
in Maryland. Baltimore 1884 in 4°. De la part de l’Universite
John Hopkins 4 Baltimore.
7. Annals of the New-Iork Academy of seiences. 1883. September
New-lork 1883 in 8°. De la part de !’Academie des Sciences ä
New-Iork.
8. Proceedings of the American Blidsöffhient Society. Vol. 21. N
‘ 115. Philadelphie 1884 in 8°. De la part dela Societe ı americaine
phelosophigue de Philadelphie. i
7
en Ä —
. Jahresbericht der Gesellschaft fur Natur-und Heilkunde in Dres-
10.
11.
12.
13.
14.
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de la Societe pour Vhistoire naturelle et la medecine a Dresde.
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part de PAcademie americaine des arts et des sciences d Boston.
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part de la Redaktion.
Journal of the American Medical Association. Vol. 3. ® 15, 17.
Uhigaco 1884 in 8%. De la part de la Redaction.
. Comptes-rendus hebdomadaires des seances de la Societe de
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i8.
19.
2
2a.
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Biologie. 1884. \ ö8, 34, 85, 36. Paris 1884 in 8°. De la part
de la Societe biologique a Paris.
Bulletin de ’Academie de mödecine. 1884. \ 48, 44, 45. Paris
1884 in 8°. De la part de V’Academie de medecine a Paris.
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me 29, feuilles 26—30. St.-Petersbourg 1384 in 49%. De la part
de l’Academie I. des sciences de St.-Petersbourg.
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de Mr. le Dr. Regel de St.-Petersbourg.
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Halle 1884 in 8°. De la part de la Sociel€E geograpkique de Halle.
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Vol. 12, fasc. 1. 1884. Upsaliae 1884 in 4°. De la part de la
SocietE Royale des sciences d’Upsal.
Jeiy Ch. Note sur la 7-&me exposition de la Soeiete d’horti-
culture d’Epernay. Paris 1384 in 5%. De la part de l’Auteur.
24.
30.
3:
34.
nn
. Bulletin mensuel de la Sociöte nationale d’acelimatation. 1884.
% 7. et pour remplir les lacunes de notre Bibliotheque: 1865.
N 4. 1867. M 1. et 11. 1869. | 4. 1870. N 8. 1873. Ns 5, 9. 1833.
X“ 1. Paris 186°—84 in 8%. De la part de la Societe nationale
d’Acclimatation a Paris.
. Bulletins de la Societe d’Anthıropologie de Paris. 1884. Mai &
Juillet. Paris 1884 in 8°. De la part de la Societe d’Anthropolo-
gie a Paris.
Beiträge zur Anthropologie u. Urgeschichte Bayerns. Band 2,
Heft 3. Band 3, Heft 2. Band 4, Heft 1 u 2. \unchen 1873—
81 in gr. 8%. De la part de la Societe d’Anthropologie de Munich.
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de la Societe botanique de Sondershausen.
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O.-Herep6. 1884 in 8°. De la part de la Redaction.
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De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm.
. Garten-Zeiltung. 1334. N 43, 44, 45, 46. Berlin 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Dr. L. Witimack.
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kra. Budapest 1854 (Anleitung zu erdmagnetischen Messungen).
Buza. Janos. Kultivalt hövenyeink betegsegein: Die Krankheiten
uuserer Culturpflanzen). Budapest 1879 in 5°.
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töl 1850—ig. (Darstellung der ungarischen zoologischen Litera-
ten.) Budapest 1882 in 8".
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leitung zur geograph. Ortsbestimmungen) Budapest 1883 in 8*.
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physiol. Untersuchung. Budapest 1882 in 4*®.
Hagslinsky, Frigyes. A. Magyar birodalom zuzmo-Floraja. (Die
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39.
2%
38.
39.
40.
41.
42.
43.
44.
45.
Er A
Mathematische und Naturwissensckaftliche Berichte aus Ungarn.
Erster Band. Budapest 1884 in 8°. Les & 29 u 35 de la part
de la Societe Royale hongroise d’histoire naturelle a Budapest.
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Göteborg 1877 in 8".
— — Redogöreise för den sevnska Polarexpeditionen ar
1872— 13. Stockholm 1875 in 8°.
— — DUtkart till Istjordans och Belsunds zeologi. Stock-
holm 1875 in 8°.
— — Passage du Nord-est (Expedition polaire su&doise da
1878). Upsale 1879 in 8°.
— — Svenska Färden till Novaja Semlja och Mynningen
of Jenisej sommaren 1875. Göteborg 1876 in 8°.
— — Remarks on the Greenland Meteorites. 1572 in 3°.
— -— Astronomiska ortsbestämningar under Svenska polar-
expeditionen 1868. Stockholm 1870 in 8°.
— — Redosörelse för en expedition till Mynningen of Je-
nissej och Sibirien är 1875. Stockholm 1877 in 8°.
Duner N. and Nordenskiold, A. E. Eixplanatory remarks in
illustration of a Map of Spitzbergen. Stockholm 1565 in 8°.
Deux exemplaires.
Nordenskiold. A. E. Memorial concerning the Arctic expedition
of 1878. Göteborg 1377 in 8°.
46. — — Om sjöfart mellan Ob-Jenisej och Atlanten 1882 in 8.
4%. — — Anmärkningar om thaumasiten 1830 in 8.
48. — — Om Möjlisheten att idka sjöfart i det Sibiriska 1s-
hafvet. 1879 in 8°.
49, — — A. E. Sur la possibilit&e de la navigation commerciale
dans la mer Glaciale de Sibörie. Stockholm 1880 in 8%. Ex. 3.
an
109)
. — — Mineralogiska bidrag M 2, 3, 4, 5. 1878 in 8°.
.— — och Zheel H. J. Redogörelser för de svenska expedi-
tionerna till Mynningen af Jenisej är 1876. Stockholm 1877
in 8°, |
. Jäderin, E. Geografiska Ortbestämningar under svenska expe-
ditionen till Grönland 1870. Stockholm 1871 ın 8°.
53. Sundevall, C. J. Spetsbergens Foglar. Stockholm 1874 in 5°,
54.
ot
ar)
Boheman, C. H. Spetsbergens Insekt-Fauna 1865 in $°.
. Lindström, G. Analyser pa bergarter fran Spetsbergen 1867
in 8°,
. Malmgren, A. J. Om Spetsbergens tiskfauna. Stockholm 1865
in 8°.
.— — Zur Vogelfauna Spitsbergens 1865 in 8".
— — Vfversigt af Spetsbergens Fanerogam-Flora 1862 in 8".
— — Anteckningar till Spetsbergens Fogel-Fauna 1863 in &*.
— — Om tandbyggnaden hos Hyalrossen 1863 in 8°.
. Heer. Ösw. Om de Miocena växter 1873 in &“.
2.— — Anmärkningar öfver de af svenska polarexpedition
1872—73. Stockholm 1874 in 8°.
.— -— Förutskickade anmärkningar üfver Nordgrönlands Krit-
Hlora. Stockholm 1871 in 8°.
. Andersson, N. F. Bitrag till den nordiska Floran 1866 in 8°.
. Duner, N. C. Magnetiska inclinationsbert. pa Spetsbergen. Stoek-
holm 1870 in 8°.
. Eisen. Gust. Redogörelse för Oligochaeter 1878 in S°.
. Karsten, P. A. Funge in insulis Spetsbergen et Beeren Eiland
.1872 in 8°. |
68.
69.
70.
71.
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79.
80.
Ze
Johannessen, .Edv. H. Hydrografiska lakttagelser under en
Fangsttour 1870 rundt om Novaja-Semlia. Stockholm 1871
in 8.
— — Observationer af Strömsätninger etc. pa Novasemlia.
Stockholm 1870 in 8°.
Frier, Th. M. Om Beeren-Islands fanerogam-vegetation. 1869
in 8".
— — Tillägg till Spetsbergens Fanerogam-Flora 1869 in 5°.
Kjelimann, F. R. Nagra tillägg till Kännedomen om Spetsber-
gen. Stockholm 1374 in 5°.
Cleve, P. T. On Diatoms from the Arctie Sea. Stockholm 1873
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. Lagerstedt, N. @. W. Sötvattens-Diatomaceer fran Spetzbergen
Stoekh. 1873 in 8°.
. Malm, A. W. Skelettdelar af Hval. Stockholm 1883 in 8°.
. Wijkander, Aug. Om norrskenets spektrum 1874 in 8.
.— — lIakttagelser öfver luftelektriciteten under den svenska
Polarexpeditionen 1872—73. Stockh. 1874 in 8°.
. Kjeliman, F. R. Om Spetsbergens Marina. I. Stockholm 1875
in 8°. '
— — Bidrag till Kännedomen af kariska hatvets Algvege-
tation. Stockholm 1877 in 8°.
Torell, Otto. Bidrag till Spitsbergens Molluskfauna. Stockholm
"1859 in 8°.
. Heer, Osw. Om de af A. E. Nordenskiold och Blomstrand pa
Spetsbergen upptäkta fossila växter. 1866 in 8°.
. Läljeborg, :W. Hatfs-Entomostraceer. Stockholm. 1875 in 8.
. Wijkander, Aug. Bidrag till Kännedomen om vindförhallandena
et. Stockholm 1875 in 8°.
. Malmgren, A. J. Nya anteckningar till Spetsbergens fogelfauna
1864 in 8&*.
0.
Sl
92.
93.
94.
100.
101.
BERRE. aN
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F. Kjellman 1879 in S°.
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.— — Ishafsfärd 1878—79 in 8°. 0 3, 10. Stockholm 1878—
79 in 8°.
Malmgren, A. J., Bihang till berättelsen om de Svenska expe-
ditionen till Spetsbergen 1864. Stockh. 1868 in 8°.
— — Jakttagelser och anteckningar till Finmarkens och
Spetsbergens Dägsdjurs fauna 1863 in S’.
— -— Annulata polychaeta Spetsbergiae 1863 in 8°.
Theel Hj. Etudes sur les Gephyriens inermes des mers de la
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S’uxberg, Ant. Myriopoder fran Sibirien 1876 in 9°.
. Jäderin, E. Geografiska ortsbestämningar 1876 in 8“.
. Nordenskiold, A. E. Resplan för en Expedition till u ar
1876. Tromsö 1876 in 8°.
.— — Berättelse on Jenisej-Expeditionen är 1876. Tromsö
1876 in 8°.
. Almquwist, E. Lichenologiska iakttagelser pa Sibiriens Nordkust
1879 ın 8°.
. — — Studier öfver Tschuktschernas färgsinne 1873 in: 8°.
Tullberg, T. Collembola borealia. Stockholm 1876 in 8.
Berggren, S. Alger fran Grönlands inlandis. Stockh. 1871 in 8°.
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. Hulke, J. H. Memorandum on some fossil. vertebrate remains.
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. Nyström, ©. Om den sista svenska a lan
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. Nyström, 0. Om järnings-och forr uttnelsepr ocesserna pa Spets-
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. Kjellman., F. R. Om Spetsbergens marina. Stockholm 1877 in 8°.
. Nauckhofj, Gust. Om förekomsten af gediget jern i en Basalt-
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. Nathorst, A. G. Botaniska anteckningar fran nordvestra Grön-
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. Ekman, F. L. Vattenprof 1882 in 8°.
Lindhagen, Arv. Veea-Expeditiones geografiska Ortsbestämnin-
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i Chydenius, Karl. Om ‚ker under Svenska expeditionen till Spets-
bergen är 1861. Stock. 1862 in 8.
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nuari 1869. Stockholm 1870 in 4°,
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stra Delarne. Stockholm 1863 in 4".
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land. Stockholm 1870 in 4".
132.
133.
134.
135.
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Ba
.— — och Duner, N. Forberedande Undersökningar. Stockh.
1864 in 4°.
. Heer. Oswald. Fossile Flora der Bären-Insel. Stockh. 1871
in 4°,
.— — Die Miocene Flora u. Fauna Spitsbergens. Stockholm
1870 in 4°.
. — — Die Kreide-Flora der arctischen Zone. Stockholm
1574 in 4°.
. — — Beiträge zur Steinkohlen-Flora der arctischen Zone.
Stockholm 1574 in 8.
.— — Beiträge zur fossilen Flora Spitsbergens. Stockholm
1876 in 4°.
.— — Fossile Flora von Alaska. Stockholm 1859 in 4.
. — — Nachträge zur Miocenen Flora Grönlands. Stockholm
1574 in &@.
. Thiel, Hj. Les Annelides polychetes des mers de la Nouvelle-
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. — — Memoire sur l’Elpidia. Stockholm 1877 in 4°.
. — — Note sur quelques Holothuries des mers de la Nou-
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. Holwgren, Aug. Em. Bidrag till Kännedomen om Beeren Ei-
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Agardh, 1. G. Bidrag till Kännedomen af Spetsbergens Alger.
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Polar-Expeditionen är 1868. Stockholm 1870 in 4°.
Nathorst, A. G. Bidrag till sveriges fossilia flora. Stockholm
1876 in 4°.
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ped. arctique en 1872—73. Stockholm 1876 in 4°.
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‚1872—73. Stockholm 1875 in 4°,
— — Sibiriens Land-och Sötvatten-Mollusker. I. Stockholm
„1877 in &.
139.
140.
146. ı
147.
148.
149.
150.
151.
— — Astronomiska Observationer 1872—173. Stockholm 1876
„in. 4°.
— — OÖObservations magnötiques faites pendant l’expedition
arctique en 1872—73. I. Stockholm 1877 in 4°.
. Lundstrom, Anel. N. Kritische Bemerkungen über die Weiden
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Auleitsivikfjorden i Grönland. Stockholm 1875 in 4°.
. — — Musei et Hepaticae Spetsbergenses. Stockholm 1375 in 4°.
. Oberg, P. Om Triar-Försteningar fran Spetsbergen. Stockholm
1877 ın 8°.
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Lindahl, Josua. Om pennatulis-slägtet Umbellula Cuv. Stock-
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Zeche, Wilh. Ofversigt öfver de af svenska expeditionerna till
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Fries, Th. M. Lichenes Spitsbergenses. Stockholm 1867 in 4°.
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de Leipzig.
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1874 in 8°.
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Lahuseni n. sp. St.-Petersb. 1876 in 8.
157. — — Ueber die Gattung Stenopora Lonsdale. St.-Pötersh.
1876 in 8°.
155. — — Die mit Lungen versehenen Fische in 4.
159. — — Die Gasteropoden-Fauna des Baikal-Sees. in 8".
160. — — Notiz über die aus Süd-Russland stammenden Spor-
gillen 1838 in 8°.
161. _ — DBenedikt. Einiges über die bathometrischen Arbeiten
am Baikalsee. Dorpat 1878 in ®&°.
162. — — Monographie der Spongilla sibirica. Dorpat in &*.
163. — -- Mittheilung über einen neuen Fundort des Schwanm-
mes Lubomirskia baicalensis 1854 ın 8°.
Kr Einige Bemerkungen über die Veränderlichkeit der
Form u. Gestalt von Lubomirskia baicalensis 1880 in 8°.
165. — — Some Remarks upon the Variability of Form in Lubo-
mirskia baicalensis in 8°.
166. Dybowski. W. Notiz über die Vivipara-Arten des europäischen
Russlands in 8".
.— — Notiz über eine die Enstehung des Baikal-Sees betref-
fende Hypothese 1884 in 8°.
168.
169.
170.
171.
172.
173.
174.
Bi ae
— — Studien über die Süsswasser-Schwämme des Russischen
Reiches. St.-Pötersb. 1882 in 4°.
Avıöoscriü, B. NM. Sambren o Barnaraxp MWixnon Pocein. Xapp-
KoBb 1884 in 8°. 2 Ex. Les % 155—169 de la part de l’Autenr.
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la part de Mr. le Redacteur Saunders.
Zoologischen Anzeiger. 1884. N 180. Leipzig 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Professeur Carus.
Journal of the American Medical Association 1884. N” 16. Chi-
cago 1884 in 8°. De la part de la Redaction.
Ipomoxo4s Sachıania Hmm. Kapkasckaro Merınunncraro O6me-
crBa. 1884. N 6, 7. Tudancr 1884 in 8°. De la part de la Societe
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Pycexoe Canogoncrro. 1884. M 43. Mockra 1884 in 4°. De la
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1W.
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Petermann, A. Dr. Mittheilungen aus Justus Perthes Geographi-
scher Anstalt 1824, X. Gotha 1884 in 4°. De la part de Mr.
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in 8°. De la part de V’Auteur,
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fer-Lippen u. Gesichtsspalten. Berlin in 8°.
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ferspalten. Brüssel 1884 in 8°.
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— — Sur les homodynamies qui existent entre la main et
le pied des mammiferes. Bruxelle 1884 in 8°.
— — Erwiderung auf H. Prof. Hermann v. Meyer’s Aufsatz
„der Zwischenkieferknochen etc. ete., Brüssel 1884 in 8%. Les %
186—190 de la part de l’Auteur.
Rozpriawy i Sprawzdania z posiedzen wydziälu matematyczno-
przyrodniczego Akademii Umiezetnosci-. Tom XI. Krakowie
1834 in 8°.
Zbior Wladomosci do Antropologii Krazowes. Tom 8. W Krako-
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Sprawozdanie Komisyi fizyjograficznej. Tom osmnasty. W Kra-
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1853 in 4°. De la part de VAcademie pontificale de Linca «a
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Moscow.
: Pyeexii Bnemnuxv na 1884 r. Orta6pp. Mockpa 1884 in 8%. De
la part de la Redaction.
. Janueru Umuepar. OömecrBa Geivcraro Xosaherea MW’ xruoh Poc-
cin. 1884. N 8. Oneccea 1884 in 8°. De la part de la Societe I.
d’Agriculture du Sud de la Russie d’Odessa.
199.
200.
201.
202.
204.
205.
206.
Memoires de l’Acad&mie Royale de Copenhague. Classe des
seiences. Vol. 1. & 9, 10. Kjöbenhavn 1884 in 4°.
Bulletin (Oversigt) de l’Academie Royale de Copenhague. 1884.
N 2. Kjobenhavn 1884 in 8°. Les % 199, 200 de la part de l’A-
cademie Royale de Copenhague.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25, ® 9. Frankturt a. M.
in 8°. De la part de la nouvelle Societe zoologique de Francfort
s. M.
Anales de la Sociedad cientifica argentina. Setiembre de 1884.
Buenos Aires 1884 in 8°. De la part de la Societe scientifique
argentine de Buenos-Aüres.
. Giornale ed Atti della Societa di Acclimazione ed Agricoltura
in Sicilia. Vol. 24. Palermo 1884 in 8°. De la part de la Societe
d’acclimatation et d’agriculture en Sicile da Palerme.
Bulletin de la Societe d’histoire naturelle de Colmar. 1860,
1861, 1862, 1863. Colmar 1860-63 in 8°. De la part de la So-
ciete d’histoire naturelle de Colmar.
Programm der Gewerbschule zu Bistritz in Siebenbürgen, 1, 2,
3. Jahresbericht 4, 6 und 10. Bistritz 1875—84 in 8°. De la part
de la Direction de V’Ecole des metiers a Bistritz.
Verhandlungen des Naturwissenschaftlichen Vereins in Carls-
ruhe. Heft 1--6. Carlsruhe 1864—72 in 4° et in 5%. De la part
de la Societe d’histoire natwrelle de Carlsrouhe.
9*F
— 90 —
207. Hemopis WInneparopcraro Vanpepcentera Ce. Bıarunipa cocra-
210.
211.
>1 >.
214.
sn1b Ipod. M. ©. Bıannmwiperiü-braanoer. Toms 1. Kierr
1854 in 8°,
. Hxonruxos:, B. C. Biorpadmwseckiü Cıosaps Ilpodbeccoposs u
npenorzasaresei Hun. Vansepcatera Cs. Bıanumipa 1834—1884.
Kierp 1854 in 8”.
. Hxornuxos, B. C. Mcropuko-CTaTocTnyeckis SaUmckRH 065 yye-
HUXB 5 VYeÖHOBCHOMOTATEIBREHIXB yIpezleHisxp Huu. Vausep-
cnrera Cs. Bıaımwipa 1834—18S4. Riees 1884 in 8°.
Axadexuveczie Cnucku Hua. VruBepceutera Ce. Bıaıwwipa 1834—
1854. Riessz 1854 in 8°. Les N’ 207—210 de la part de P’Univer-
site de Kiep.
Ilaöesı:, H. E. IpesecHuia 0 EyCTapBHa NOPOAE PA3BOIuNUS BE
Pocciu ch VKRA3aHjeM% CTemeHn HX%b BWHOCTTEOCTE. Mocksa 1834
in 8°.
— — Krpes Oömei Borasmen. Pacrenis uBtT£osua. MockBa
1835 in 8°. Les % 211, 212 de la part de !’Auteur.
. Uljanin, Basil. Die Arten der Gattung Doliolum im Golfe von
Neapel u. den angrenzenden Meeresabschnitten. Leipzig 1884
in 4°. De la »art de V’Auteur.
Monatliche Mittheilungen des Naturwissenschaftlichen Vereins
des Regierungsbezirkes Frankfurt a. O. Jahrgang 2. & 7. Frank-
furt a. ©. 1884 in 8°. De la part de la Soeiete d’histoire natn-
relle de Frankfort sur V’Oder.
. Yepsenuoss, ©. Matepialf &5 m3yseHi® eBoHcknxt OTIOZeHiä
Pocein. (Tpyasu Teoıorms. Kowmntera). C-Herep6. 1384 in 4%, De
la part du Comite geologique de St.-Petersbourg.
9. 3. Jundemars. SAMETKH O0 ZH3HN E Tpyaaxs Rosalseraro. De
la part de lV’Autenr.
Baar), nel
Membres elus.
Achifs:
(Sur la proposit. de M. M. Renard et Lindeman).
Mr. le Prof. H. A. Pagenstecher, Direeteur du jardin zoologique
a Hambourg.
Mr. le Dr. Frangois Crepin, Directeur du jardin botanique a Bru-
xelles.
Mr. le Prof. Alphonse Favre, a Göneve.
Mr. le Dr. Geza Horvath, Directeur de la Station phylloxerique a
Boudapest.
(Sur la propos. du Conseil).
M. le Prof. Adolphe Erik Nordenskjeld, & Stockholm.
SEANCE DU 20 DECEMBRE 1884.
M. le professeur A. P. Sabaneief a expos& ses recherches sur
Y’allylene.
M. A. P. Pavlof a communique les recherches de M. Dames sur
V’Archaeopteryx.
S. Exc. M. le Curateur de l’arrondissement scolaire de Moscou
annonce que, sur la demande qui en a 6te faite par la Societe, le
Ministere de V’Instruction-publique a consenti a accorder au fils de
Mme. Matweief, une bourse de pensionnaire au Gymnase de Sym-
‚pheropol.
Sur la proposition du Conseil, la Societ&e a resolu:
1) d’organiser dans les appartements de la Societ& une salle de
lecture, afın de donner au public la possibilite de profiter de la
bibliotheque;
2) de nommer A. E. Koudriavtzef aide-bibliothecaire de la So-
ciei6;
3) d’exprimer & Mr. H. A. Trautschold la plus vive reconnaissan-
ce pour les services qu’il a rendu & la Societe pendant de longues’
annees en qualite de secretaire et de conservateur, et le regret
que cause son refus de continuer de remplir ces fonctions;
4) de charger 8. Exc. M. le membre du Conseil V. A. Kiprianof
des ionctions de conservateur des cabinets geologique et mincralo-
gique;
5) de charger 8. Exc. Mr. V. A. Kiprianof et Mr. le bibliothecaire
K. P. Perepelkine de quelques-unes des fonctions du secretaire, sa-
voir: de l’expedition des publications de la Socidte et de l’annonce
des echanges reguliers faits avec d’autres societös.
Mr. Serg. Nicol. Nikitine de St.-Pötersbourg propose pour inserer
dans les Nouv. M&moires de la Soeciete la suite sur le Jura de
V’Elatma avec 5 planches et 8 politypages. Il desire de faire litho-
graphier les planches a St.-Petersbourg chez Ivanson qui demande
pour la lithographie 175 roubles et: pour le papier et l’impression
de 560 exemplaires 96 roubles en tout 271 roubles.
L’Universit€E de Moscou remercie la Societe du don quelle lui a
fait par son herbier consistant en 73 differentes collections.
Mr. E. Boullet & Corbie (Somme en France) enveie une liste de
Lepidopteres de l’Europe, du Sud de l’Amerique, de l’Asie, de l’Af-
rique et de l’Oc&anie qu’il presente en Echange.
Mr. Leonide Alexeiv. Wojekof a Tambov a envoy& 2 roubles ar-
sent pour le Numero du Bulletin qui contient le Flore du Gouver-
nement de Tamboy par Ignatieff.
Mr. Edmund Reitter de Mödling pres de Vienne. envoie sa 19-&me
liste de Col&opteres qui sont en vente ou pour l’Echange chez lui.
MM. le Baron de Nordenskiold de Stockholm, les Professeurs A.
Pagenstecher de Hambourg et Alphonse Favre de Geneve remer-
cient pour leur &lection comme membres actifs de la Soci6te.
Le President de la Societe annonce la mort de notre ancien mem-
bre du Dr. Ed. Rüppel a Francfort s. M. a l’age de 90 ans passes
(n& le 8 (20) Novembre 1794 et mort le 29 Novembre (11 D&cembre)
Ra
1854. Le defunt avait donne encore au President lors de son pas-
sage par Francfort s. M. en etE sa carte photographiee.
Mr. Frangois Fasbender de Vienne reiterant encore une fois pour
son election de membre de la Socidte envoie sa carte photographi6e
et la cotisation de 4 Rbles pour 1884.
La cotisation de4Rbles pour 1884 a öt& pay6e de möme par MM.
Fed. Fed. Christof, Al. Egor. Riesenkampf et Iv. Iv. Leder (le der-
nier pour 1855) de möme Mr. Jacques de Bedriaga a Nice pour 1885.
Mr. Fed. Fed. Christoff donne quelques details sur ses excursions
entomologiques de cette anndes dans le Caucase, excursions qui, A
cause des froids tardives et de beaucoup de pluies, n’ont pas fourni
tant de papillons et insectes en general comme il avait espere.
Mr. le Dr. Guido Schenzl envoie ses observations magneto-met£-
orologiques faites pendant les mois d’Octobre et Novembre ä Bu-
da-Pest.
Mr. le Dr. A. E. Riesenkampf de Piatigorsk recommande Mr.
Pierre Serg. Sipiagine (Cuuarum») actuellement a Moscou, qui a
rassembl& pendant l’ete de belles collections de plantes dans les
environs de l’Elborous entre lesquelles doivent se trouver un bon
nombre de plantes inconnues et neuves. Mr. Sipiagine voudra ven-
dre son herbier ou les doubles des plantes neuves.
Mr. le Dr. Jul. Christ. Knoch annonce qu’il est nomm& medecin
en chef de l’hopital militaire a Riga et prie de lui envoyer tout ce
qui est destin& pour lui dans la derniere ville et promet en möme
temps d’envoyer sous peu son travail sur Jes maladies des vers
a soie.
La Commissions pour or»aniser la fete du Jubil&E de 50 ans du
Professeur Meneghini a Pise annonce quela fete aura lieu le 2 (14)
Decembre. Mr. le Prösident a envoy& au nom de la Societe un t£-
legsramme de felicitations.
La Societe geologique de Belgique @ Liege prie de lui envoyer: Bul-
letin X 1 de 1874 et les livraisons 1—8 du tome 13 et la livraison
3 du tome 14 de nos Nouveaux M&moires qui manquent dans leur
biblioth&que et s’offre de nous envoyer les volumes de leurs Anna-
les qui manqueraient dans la bibliotheque de notre Socıete. Les de-
siderata ont &t&‘ expeödices.
S. Exec. M. A. I. Bitschkoff de St.-P&tersbourg nous a envoy& plu-
sieurs paquets avec des livres destines ä notre Societ& et venus de
l’Ameörique, de la France, Belgique et d’Italie.
Mr. le Baron Fed. Roman. Osten-Sacken envoie la seconde livrai-
son du tome 4 des Comptes rendu de la Soci6te n&erlandaise de
Botanique a Nimegue pr&sentee par Mr. l’Ambassadeur Hollandais
pour notre Soci6te.
Mr. Marseu! Redacteur de l’Abeille a Paris (12 volumes); l’Ob-
servatoire Royal de Bruxelles (Annales 24 tomes in 4°.) L’Academie
I. des sciences & St.-Petersbourg et la Societe d’agriceulture du Cau-
case & Tiflis ont envoyes tous les desiderata qui leurs ont adresse
de notre part pour remplir les lacunes qui se trouvent dans la bib-
liotheque de notre Soeiete.
Le President de la Societe annonce que le Bulletin ® 2 de 1884
est achev& et pret & ötre envoye (distribue) un de ces jours.
Remercimens pour l’envoi de nos publications de la part de ’U-
niversit& de Varsovie, de l’Administration des mines en Finlande a
Helsingfors, de la Societe des m&decins russes a St.-P&tersbourg, de
la Soeiete I. d’agriculture de Moscou et de la Societe des amis d’hi-
stoire naturelle du Tourkestan a Taschkent, du Societe des Natura-
listes Lotos de Prague et de Basle, de la Societe Royal de Londres.
Le Professeur Neugebauer de Varsovie a envoy& plusieurs osse-
mens fossiles trouves dans la caverne de Gailenreuth.
D.- ON:
Livres offerts.
1. Hzewemia Teoıorugeckaro Komntera 1834. Toms 3-5. % 7. C-Ile-
tepo. 1884 in 8°. De la part du Comite geologique de St.- Peters-
bourg.
2. Der Naturforscher. Jahrgang 17. & 45, 46, 47, 48, 49. Berlin
1884 in 8°. De la part de Mr. le Dr. Sklarek de Berlin.
d. Zoologischer Anzeiger. Jahrgang 7. & 181, 182. Leipzig 1884 in
8°. De la part de Mr. le Prof. I. V. Carus a Leipzig.
— 2) —
4. Nature. 1884. M 785, 786, 787, 788, 789 London 1884 in 4°. D.
7.
10.
11.
18.
14.
15.
la part de la Hedaction.
. Bulletin de ’Acad&emie de medecine 1884. M 46, 47, 48, 49.
Paris 1884 in 8°. De la part de l’Academie de medecine a Paris.
. Journal of the American Medical Association. Vol. d, N 18—
20, 21. Chigaco 1884 in 4°. De la part de l’Association ameri-
caine de medecine a Chicago.
Bollettino della Societa africana d’Italia. Anno 3. fase. 5. Na-
poli 1884 in 8°. De la part .de la Societe africaime d’Ialie a
Naples.
. Memoire of the Museum of Comparative Zoology at Harvard
College. Vol. , N d. Agassiz. Selections from Embryological
Monographs. Cambridge 1884 in 4°. De la part de Mr. Alexan-
dre Agassız.
. Anales de la Sociedad cientifica argentina. Tomo 18. Entrega
4. Buenos Aires 1884 in 8°.
Hoimberg, Ed. Ladisl. La sierra de Curamalal. Buenos Aires
1884 in 8%. Les .% 9 et 10 de la part de la Societe scientifigue
argentine de Buenos Aires.
Bulletin mensuel de la Societe nationale d’Acclimatation de
France. 1884. M 8, 9. Paris 1884 in 8°.
. Chronique de la Societe nationale d’Acelimatation de France.
2-e serie. M 22, 23. Paris 1884 in 8°. Les % 11, 12 de la part
de la Societe nationale d’Acelimatation de France a Paris.
Boletin de la Academia nacional de ciencias en Cordoba. Tomo
6, Entregas 2 y 3. Buenos Aires 1884 in 8%. De la part de
P’Academie nationale des sciences de Cordoba dans la Republique
argentine.
Comptes vendus hebdomaires des sciences de la Societe de
Biologie. 8-Cme Serie. Tome 1. N 37, 38—41. Paris 1884 in 8°.
De la part de la Societe de Biologie de Paris.
Yuusepcumemeria Mspberia. 1854. NM 7, 8. Kies 1884 in 8°. De
la part de ’Unwersite de Kieff.
16.
17.
26.
3anucku HoBropo1ckaro O6mecrsa IMyerosorcrsa. Toms 4. ÖeH-
ra6ps 185584. Hosroporp 1884 in 8°. De la Societe.
Bollettino della Societa geografica italiana. Anno 18, fasc. 10.
Roma 1884 in 8%. De la part de la Societe geographique italienne
de Rome.
. Journal de Micrographie. 1854. \ 10. Paris 1884 in 8°. De la
part de Mr. le Dr. I. Pelletan.
. Botanisches Centralblatt. 1884. N 46, 47, 48, 49, 50. Cassel 1884
in 8°. De la part de Mr. le Dr. Oscar Uhlworm a Cassel.
. Bulletin de la Societe Belge de Microscopie. 10-&me annee
| 12 et 11-&me annee X 1. Bruxelles 1884 in 8%. De la part
de la Socieie Belge de Microscopie «& Bruwelles.
. Bulletin de la Societö d’etude et des sciences naturelles de
Nimes. 1884. & 8 et 9. Nimes 1884 in 8°. De la part de la
Societe d’etude et des sciences naturelles de Nimes.
2. Annals of the New York Academy of sciences. Vol. 5. N
and 2. New York 1883 in 8°.
23. Transactions of the New York Academy of sciences. Vol. 2.
Contents Vol. 2. New York. 1882—83 in 3°. Les N 22, 23 de
la part de VAcademie des sciences de New York.
. Müller, Friedrich. Grundriss der Sprachwissenschaft. Band 3.
Abtheilung 2, Hälfte 1. Wien 1885 in 8°. De la part de l’Au-
teur.
. Gartenflora. 1884. October. Stuttgart 1884 in 8°. De la part de
S. Exc. Mr. Regel.
Bericht (4 ter) der Commission zur wissenschaftlichen Unter-
suchung der deutschen Meere in Kiel für die Jahre 1877—
1881. 7—11 Jahrgang. Abtheilung 3. Berlin 1884 in 4%. De la
part de la Commission pour examiner les mers Allemands a
Kiel.
. Schriften des Naturwissenschaftlichen Vereins in Schleswig-
Holstein. Band V. Heft 2. Kiel 1834 in 8°. De la part de la
Societe d’kistoire naturelle de Schleswig-Holstein a Kiel.
29.
80.
31.
Id.
34.
30.
36.
37.
38.
-Fascicules 21, 22 et 23. Beaune 1884 in 8°. De la part de
> m
ud
— | Sm
. Mitiheilungen des Vereins der Aerzte in Steiermark. XX. Ve-
reinsjahr 1883. Graz 1884 in 8°. De la part de la Socidte des
Medecins a Gra2.
R. Comitato geologico d’Italia. 1884. Bollettino 9 e 10. Roma
1884 in 8°. De la part du Comite R. geologique d’Italie « Rome.
Sitzungsberichte der wathematisch-naturwissenschaftlichen Clas-
se der K. Akademie der Wissenschaften in Wien. 1884. N 20—
23. Wien 1884 in 8°. De la part de V’Academie I. des sciences a
Vienne.
Annales de Observatoire de Moscou. Vol. X, livrais. 2. Moscou
1884 in 4°. De la part de Mr. Th. Bredichin.
3anuckw Kiesckaro Oömecrsa Ecrecrsouenprrareien. Tonp 7,
‚Bill. 2. IIpunokenie. Kiegp 1884 in 4%. De la part de V’Univer-
site de Kieff.
Russisches Revue. Jahrgang 13, Heft 4. St.-Petersburg 1884 in
80, De la part de la Redaction.
Publicazions del Reale Osservatorio di Brera in Milano. M 24.
Milano 1884 in 4°. De la part de V’Observatoire Royal de Brera
a Milan. | |
Atti dell’Accademia pontifica de’Nuovi Lincei. Anno 86. Ses-
sione 1 del 31 Dicembre 1882. Sess. 2. 3. Gennaio 1883, Sess.
3. Febrar. Sess.4. Roma 1883—84 in 4°. De la part de l’Aca-
demie pontificale de Nuovi Lincei a Rome.
Epoınoee, A. Ilo Bonpocy 0 BL1B035 Hamınxs dochopurorr. 1854
in 8°. De la part de l’Auteur.
Andre, Ed. Species des Hymenopteres d’Europe et d’Algerie,
- PAuteur.
39,
40.
Byopuns, II. B. Oryers no onsTHoß (popmb Hncruryra Cen-
ckaro Xosalicrsa m Ibcoponcrsa sp Hopoi Aurekcanıpim 3a 1883
Tort. Bapmara 1884 in 8°. De la part de Institut d’agrieulture
de Novi Alexandrie. |
Transactions of the Norfolk and Norwich Naturalits’Society.
Vol. 3, part 4, 5. Norwich 1883—84 in 8°. Dela part de la So-
ciele des naturalistes & Norwich.
4.
44.
46.
47.
48.
49.
51.
52.
Nova Acta Regii Societatis scientiarum Upsalensis. Seriei teraiet.
Vol. 12, fasc. 1. Upsaliae 1884 in 4°. De la part de la Societe
Royale des sciences de Upsala.
. Garten-Zeitung. Jahrgang 3. | 47, 48, 49, 50. Berlin 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Dr. Wittmack de Berlin.
. Tpydvu Wmu. Bo1BHaro IKOHONHUecKaro Obimecrpa. 1884 r. Tome
3-1 Bull. 2. C.-Ilerep6. 1884 in 8°. De la part de la Societe I.
libre economique de St.-Petersbourg.
Proceedings of the american philosophical Society. Vol. 21. &
115. Philadelphia 1884 in 8°. De la part de la Societe philoso-
phique americaine de Philadelphie.
. Janueru Mmu. Xappkosckaro YHusepceurera.- 18681 r. T. lu
IV. 1882 r., T. 1. Xappkroßp 1889—84 in 8°. De la part de VU-
niversite de Kharkoff.
Memoires de l’Acadömie Royale de Copenhague. 6-&me serie.
Classe des sciences Vol. 2, ® 6. Kjobenhaon 1884 in 4°. De la
part de ’Academie Royale de Copenhague.
Mittheilungen des Vereins für Erdkunde zu Halle a. 8. 1884.
Halle a. S. 1854 in 8°. De la part de la Societe geographique
de Halle.
Mittheilungen des Anthropologischen Gesellschaft in Wien.
Band 14. Heft 2 u 3. Wien 1884 in 4%. De la part de la Societe
anthropologique de Vienne.
Der Zoologische Garten. Jahrgang 25. & 10. Frankfurt a. M.
1884 in 8°. Dela partde la Societe zoologique de Francfort s. M.
. The Canadian Entomologist. Vol. 16. & 8. London 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Redacteur Wm. Saunders.
Pessoa Allen, W. Portugal a Africa. Primeire parte. Lisboa
1884 in 8°. De la part de V’ Auteur.
Lanzi, M. Fungi in ditione florae romanae enumerati. Roma
1884 in 4°. De la part de l’Auteur.
. Dybowski, W. Notiz über einen neuen Mammuthzahn-Fund im
Gouvernement Minsk. St.-Petersburg 1874 in 8°.
54. |
55.
56.
57.
58.
59.
60.
61.
62.
63.
Laggn 2
— — Die mit Lungen versehenen Fische. in 8°.
— — Einige Bemerkungen über die Veränderlichkeit der
Form u. Gestalt von Lubomirskia baicalensis. St.-Petersburg
1880 in 8°. Les » 53—55 de la part de Ü’Auteur.
Feu:lle des jeunes Naturalistes. 15-&me Annde. N" 170, Paris
1884 in 8°. De la part de Mr. Adrien Dollfus.
Mittheilungen der K. K. Mährisch-Scklesischen Gesellschaft
zur Beförderung des Ackerbaues, der Natur—u. Länderkunde
in Brünn. Jahrgange 1858 u. 1878. Brünn 1858 u 1878 in 4°.
De la part de la SocietE I. R. de la Moravie et de la Silesie
pour Vagriculture et de la connaissance de la nature et du pays.
Archives du Mus&e Teyler. Serie II. Vol. 2 premiere partie.
Haarlem 1884 in gr. 8°. Dela part du Musee Teyler de Harlem.
Videnskabelige Meddelelser fra Naturhistorisk Forening i Kjo-
benhavn for Aaret 1885. "= 2. Kjobenhavn 1884 in 8°. De la
part de la Societe d’histoire naturelle de Copenhagne.
“Kypuass Munncreperea Haponaaro Ilpoceturenia. 1884. Hoaöpp-
O.-IIerep6. 1884 in 8°. De la part de la Redaction.
Abhandlungen der Naturforschenden Gesellschaft zu Görlitz.
Band 18. Band 2. Heft 1,2. Band 3. Heft 2. Band 4. Heft 1
u 2. Band 5. Heft 1u2. Band 6. Heft 1 u 2. Band VII. Heft
1. Görlitz 1836—84 in 8°.
Glocker, Ernst Fr. Geognostische Beschreibung der preussischen
Oberlausitz. Görlitz 1857 in 8° et 2 cartes geologiques in fol.
Les & 61 et 62 de la part de la Societe d’histovre naturelle de
Görlitz.
Satzungen der Freien Deutschen Hochstiftes für Wissenschaf-
ten, Künste u. allgemeine Bildung zu Frankfurt a. M. 3-te
Ausgabe. Frankfurt u. M. 1865 in 8°.
‚ Verzeichniss des Hohen Beschützer sowie sammtlicher @enos-
sen der Fr. ©. Hochstiftes. Frankf. a. M. 1876 in 8°.
. Die Feier des Göthe-Tages. Frankfurt a. M. 1880 in 8°,
. Carl August in Frankfurt a. M. Frankfurt a. M. 1880 ın 8°.
69.
S0..
7. Die Schreibung der Deutschen Sprache. Frankf. a. M. 1880.
. Berichte über die Verhandlungen des Freien Deutschen Hoch-
stiftez zu Frankfurt a. M. Erstes Jahrgang. Frankf. a. M. 1861
in 8°,
Berichte des Freien Deutschen Hochstiftes in Göthes Vater-
hause. Vom Lenzmonate 1878. Wintermonat 1879—87. Jahr-
gang 1850—81. Lief. 1. Jahrgang 1851—2. Liefer. 8. Jahrgang
1582—83. Lief. 1—4. Jahrgang 1883—84. Lieferung 1 u. 2.
Frankfurt a. M. 1880-84 in 8°.
. Satzungen der Freien Deutschen Hochstiftes in Frankfurt am
Main 1884 in 8°. Les J% 63—70 dela part de UInstitut Allemand
libre des sciences d’art ete. etc. a Francforl s. M.
Visit of the British Association for the advancement of science
to the City of Quebec. 1884. Montreal in 8°.
. Rayleigh Lord. Address. Montreal 1884 in 8°.
. Programme. Local Arrangements. Montreal Meeting 1884. Mon-
treal 1884 in 8°.
. Second List of Resident and non-resident Membress and Asso-
ciates. Montreal 1884 in 8°.
. Supplementary list and second Supplementary of Resident and
non resident members and Associates. Montreal 1884 in 8°.
. Journal of Sectional Proceedings. & 2—7. Montreal 1884 in 8°.
. Report on Conveyance. Montreal Meeting. Montreal 1884 in 8°.
. List of Visiting members. Montreal Meeting. Montreal 1854
in 8°. Les N? 71—78 de la part de Mr. le Chevalier L. A. Hu-
gurt-Lafour de Montreal.
. Ameriean Chemical Journal. Vol. 6. & 4. Baltimore 1884 in 8°.
De la part de Mr. le Redacteur Ira Remsen a Baltimore.
Transactions of Vassar Brothers Institute and its scientific
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les astronomiques. Tome 1—4. Bruxelles 1878—1833 in 4°. Les
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l’ Auteur.
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. Van den Broeck, E. et Rutot, A. — — — — -— — —
de Bilsen.
Dupont, E. Mourlon. Mich. et Parves .C. — — —
— de Nataye.
— ER.et Mourloan.. — — — — - -— — — — —
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mestriel: Avril, Mai, Juin, Toulouse 1884 in 8°. De la part de
la Societe d’histoire nuturelle de Toulouse.
Bulletin de la Societ& acadömique franco-hispano-portugaise de
Toulouse. Tome 5. ® 2. Toulouse 1884 in 8°. De la part de la
Societe academique franco-hispano-portugaise de Toulouse.
Marseul, S. A. L’Abeille. Journal d’Entomologie. Tome 1—4,
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Denissenko, Gabriel. Einiges über den Bau der Netzhaut des
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vulgaris) u. bei Ophidium barbatum 1881 in 8°.
106.
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111.
112,
113.
114.
115.
116.
117,
ap 2 AN
— — Ueber den Bau u. die Function des Kammes (Pecten)
im Auge der Vögel. in 8°. Les M 104-106 de la part de V’Au-
teur.
Ilpomoxoss Sachyania Unu. Kaskasckaro Mennunnneraro O6me-
cra. 1884. W 8,9. Tudaucs 1884 in 8%. De Ta part de la Societe
Imp. des medecins du Caucase a Tiflis.
Janueru Mn. O6meersa Ceisekaro Xosaüersa KWsknoi Pocein.
1884. ® 9 u 10. Oxecea 1884 in 8°. De Ia part de la Societe
I. d’agriculiure d’Odessa.
Amenoü Juypnanz. 1884, zrım. 9. O.-Ilerep6. 1884 in 8°, De la
part de la Societe forestiere de St.-Petersbourg.
Bulletin of the Torrey Botanical Club. Vol. XL % 10. New-
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Iork.
Pyceriü Bbernukp ua 1884 1. Hoa6ps. Mocksa 1884 in 8°. De
la part de Mr. Katkov a Moskon.
Auöoscriü, B. NonoxnanTeiıpana cBbrbnia KB mo3Hanimo npbcao-
BoAHoN ryOkm Dosilia Stepanovii. Xappkops 1884 in 8°. De la
part de V’Auteur.
Memoria della Regia Accademia di scienze, lettere ed arti in
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Nancy 1884 in 8%. De la part de lV’Academie de Stanislas ä
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Owen, Richard. Description of an Impregnated Uterus and of
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Omuem? Kapkasckaro O6meerpa Ceisckaro Xosatiersa. 1854.
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ture du Caucase 4 Tiflis.
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de la Societe westphalienne des sciences et des arts a Münster.
N
{
h
\
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11%:
120.
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rum. Petropoli 1880 in 8°. Zes J& 119, 120, de la part de Ü’Au-
teur,
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Parrey de Berlın
122. JAundemans. R. O Bunaxt Anisoplia, sRuByuUUXb Bb JLonckon
O6aacrtn. Orecca. 1834.
Membres elus.
Actifs:
(Sur la proposition de M. M. Vechniakoff et Renard).
M. le Prof. J. B. Carnoy a Louvaine.
(Sur la propos. de M. M. Mensbier et Lipdeman).
Philipp Lutey Sclater.
Richard Bowdler Scharve.
Henry Seebohm a Londres-
Corespondants:
(Sur la proposit. de M. M. Renard et Lindeman).
Wen. Iw. Dybovsky a Niankow, pres de Minske.
Premiere serie du don & la Societe Imperiale des
Naturalistes de Moscou de la Bibliotheque des sciences na-
turelles appartenant & M. THEODORE WECHNIAKOFF,
membre de la Societe et auteur des „Recherches sur les
conditions anthropologiques de la production scientifique et
esthetique. 1865— 1873“.
Plusieurs ouvrages contiennent des notes manuscrites en
marge du donateur.
A. Anthropologie Somatique, Fonctionelle, Historique et
Geographique.
62. *) Appun, C. F. Unter den Tropen. Venezuela. Britisch Guyana.
Jena. 1871. B. 1—2. in 8°.
47. Aubert, H. Physiologie der Netzhaut. Breslau. 1864 in 8°.
'22. Baerenbach, F. Das Problem einer Naturgeschichte des Wei-
bes. Jena. 1877 in 8°.
6. Bain, A. Sens et l’intelligence. Paris. 1874 in 8°.
24. Barrier, F. Principes de sociologie. T. 1—2. Paris. 1867 in 8°.
27. Bastian, A. Das Beständige in den Menschenrassen. Berlin. 1868
iN8%
*) Les ouvrages sont classes d’apres les num&ros d’ordre du do-
nateur, lequels numeros sont conserves & ce Catalogue.
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. Biard, F. Deux annees au Brösil. Paris. 1862 in 8°.
. Böhmer, H. Sinneswahrnehmung. Lief. 1—3. Erlangen. 1863—65
in ‘8°,
. Brosius, C. M. Elemente des Irrsinns. Leipzig. 1865 in 8°.
. — Gehirn ist das Organ des Geistes. Neuwied. 1864 in 8°.
. Garrey, E. Le Perou. Paris. 1875 in- 8°.
. Cerise, Des fonctions et des maladies nerveuses. Paris. 1870
in 8°,
Charcot, J.—M. Lecons sur les troubles trophiques conse&cutifs aux
maladies du cerveau. Paris. 1872 in 8°.
Cornelius, C. S. Theorie des Sehens und räumlichen Vorstellens.
Halle. 1861 in 8%.
. Cros,. A. Fonctions sup6rieures du systeme nerveux. Recherche
des conditions organiques et dynamiques de la pensee. Paris.
1875 in 8°.
. Dally, E. Programme d’un cours d’Ethnologie. Extr. de la Philos.
positive. Nov.—Dec. 1861 in 8°.
. D’Avriü, A. Arabie contemporaine. Paris 1368 in 8°.
. Delbgeuf, J. Psychologie comme science naturelle. Son present
et son avenir. Paris. 1876 in 8”.
Dühring, E. Kritische Geschichte der Philosophie. 1-re et 2-me
editions. Berlin. 1869 u. 1873 in 8°.
.. Dupin de Saint Andree, A. Mexique aujourd’hui. Paris. 1884 in 8°.
. Eulenburg, A. Lehrbuch der functionellen Nervenkrankheiten -
auf physiologischer Basis. Berlin. 1371 in 8.
. Ferrier, D. Fonctions du cerveau. Paris. 1878 in 8°.
. Fontpertuis, A. Les &tats Latins de l’Ame£rique. Paris. 1582 in 8°,
Fournie, Ed. Recherches experimentalessur le fonctionnement du
cerveau. Paris. 1573 in 3°.
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. — Peuples de l’Afrique et de l’Amerique. Paris in 16°.
Gratiolet, P. De la physionomie et des mouvements d’expres-
sion. Paris in 8°.
. Guillaume de Moissey, J. A. Nouveau trait® des sensations. T.
1 22 Paris. 1876 ın 8%.
. Houdoy,J. Beaute des femmes dans la litterature et dans les
arts du XII au XVI siecle. Paris. 1876 in 8°.
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v. R. Boehm. Würzburg. 1870 in 8°.
Medem, R. Grundzüge einer exacten Psychologie. Leipzig. 1876
in '8%.
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rika. Stuttgart. 1870 in 8°.
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Wissenschaften. B. 1—2. Leipzig. 1578—1380 in 8°.
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generale en France. Paris. 1867 in 8° gr.
83. — Introduction de l’etude de la mödecine experimentale. Pa-
ris. 1865 in 8°.
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MEMBRES DU BURRAU
K POUR L’ANNEE 1883.
PRESIDENT: Charles Iv. Renard, Conseiller prive. Staroi
nn maison de 1a Princesse Koudacheff.
VIOB-PRESIDEN!: Mr. Theodore Bredichin, Conseiller d’Etat
0. actuel, & la Presnia, m. de?’ Observatoire W’Astrono-
- mir de ?’Universite.
SBORKTAIRE: Eden Konseilier d’Eitat, Pro-
0 fesseur & ls cademie de "Pötrovsky, d Petrovsky-
BRUT SIEN, Y
- MEMBRES Du CONSEIL: |
£ Mr. Ser ge ns er Aftat actuel.
Aphanasievskoi Pereoulok, maison Fritsch.
"Mr. Theodore Sloudsky, Conseiller d’Etat ac-
. tuel, @ la Pakrovka, maison Karpow, pres de Veglise
or Troitzi griazi. ee
= Mr. Valerien Kon Conseiller pri-
ve. Cher emetievsiiy Pereoulök, m. Cher Emetiefj, .% 11.
Mr. Alexandre Sabaneef, Professeur &
Et l’Universite. Dolgor a. ‚Per. m. de P’Uni-
wersile. | | |
BIDLIOTNECKTRE: Mr. din Pörepelkine. Rue alle-
mande, Poslannikov Pereoulok, murson Delsalle.
i CONSERVATEURS DES COLLECTIONS: |
Mr. Adrien Golovatsc! 10v, Conservateur des cal:
lections zoologiques- Premiere Metschanskaia, m.
du Jardin botanique de V’Universite.
a Mr. Ch. Lindeman, Professeur, & l’Academie Agis |
.....euliure de Pötrovsky-Razoumovsky,.
Mr. I. N.Goroschankine, Professeur. Conservateur-
- des collections botaniques, au Jardin botanique de
a ı.LUnwersüe,....
Be Mr. Valerien Kiprijanoft,Cons. prive. Conservateur
ee des collections mineralogique et paleontologigque.
Cheremetidvsky Pereoulok, m. Cheremeticff, 2 11.
NEMBRE ADJ OINT pour la Rödaction des Memoires et du Bulletin:
Mr. Jean Dumouchel, Oonseiller d’Etat actuel.
Gontcharnaia, maison Stepanow. |
i URESORIE R ET AIDE-BIBLIOTHECAIRE:
e ‘Mr. Alexis Koudriavzev. Arbat, Krivonikolskoi
‚ Perdoulok, m. Magherovskor.
TABLE DES MATIERES-
CONTENUES DANS CE NUMERO.
Enumeration des especes de plantes vaseulaire du Caucäse.
Par’ WM: Sirdow.R U ae
Page.
Ilo noso1y npentIomenHaro T. Buunmerpazeruns BBTBONA Manc-
Be1I0oBa 3aKoma. A. Il. Corod1oBa............ BEN mel
Ueber Meromyza saltatrix Mg. und Eikelliptera eornuta F.
Von Prof. K. Lindeman................:2.... es
Studien über die Zahnplatten’ der Galtune Limnaea Lam: Von
‚Dr. W. Dybowski in Niankow. Hiezu Tafel V........
Verzeichniss der;bei Moskau vor kommenden Borkenkaefer. Von
Pr. MR. LUmdeman.. ... ..:.,.. 0. ae.
Dritter Bericht über den Beiden Herbarkuns. Von De
E. Lindemann....... a I
Beiträge zur Histologie der- Haut der Reptilien. Von M
Lwoff. Hiezu Taf. VlI..erzersseeeeer a
Extrait des: protocoles des seances de la Societe des Natura-
liste 20, ee ee RR en
Premiere serie du don ie la Bibkohsaue appartenant a Mr.
Th. Wi. Wechniakoff. .......:-.:...-% 2220.08 00...
a
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&
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