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■jp
DE GCERRï
DEVISES
'm DE L'ïiMrB, m no\\%a vt ïiuis de fbakh .
FAMILLES NOBLES
pauis. £»
?|I13 ■r'.lSTliVATOX.UllllAmï,
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[S DE GUERRE ET DEVISES
CRIS DE guërrIé:
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DEVISES
DES ÉTATS DE L'EUROPE,
DIS PIOTINGBS BT YILLKS DB FRANCK
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DES FAMILLES NOBLES
De France, d'Angleterre, des Pays-Bas, d'Italie, de Belgique, etc., elc
Des Abbayes et Chapitres nobles,
Des ordres civils et loilitiires, etc., etc.
Par le comte de Qmt^^^M^^^ %
PARIS
HPRIHERIË H. SIMON DAUTREVILLE ET C%
RUK NECVE-DES-BONS-EXFANrS, 3.
1852.
fipym
aa
INTRODUCTION.
Au milieu de l'intérêt toi]yours croissant
qu'inspire l'étude des faits qui ont concouru à
jeter de l'éclat sur l'histoire de notre pays^ des
hommes de cœur et d'intelligence ont compris
que cette étude ne devait point, à peine d'être
incomplète, se borner à connaître les faits
principaux , non plus qu'à scruter en détail les
plans de politique des princes. L'histoire des
rois ne forme qu'une partie de l'histoire du
pays;etcelui->-làn'a qu'une science incomplète,
qui n'a point embrassé dans ses recherches les
diverses classes de la nation* Aussi, de tous
temps j mais plus encore maintenant, s'est-on
occupé avec une louable curiosité de tout ce
qui pouvait avoir rapport à l'ordre de la no*
blesse : on a interrogé avec une attention
scrupuleuse, on a compulsé tout ce qui était
de nature ^ jeter quelque jour sur son institua
— 6 —
tioii, ses développements ou sa coaduîle; i
livres nombreux traitent de la science i
armoiries ; d'Hozier et La Chcsnaye des Ba
ont consacré leur vie b réunir les généalc^
(les grandes maisons de France ; et, tout i
comment encore , M. Jouffroy d'Eschavannes
publié un livre qui contient le Itiôme de près<
dix mille écussons. Ce sont là, sans doute, i
nobles travaux ; mais une seule chose m'étonn
c'est que, parmi tant d'hommes s'occupanti
la même science, aucun n'ait encore songé
faire des cris de guerre et des devises de i
mêmes familles, le but de quelques rech<!
ches. El pourtant les armoiries appartienne
en quelque sorte à l'histoire privée des 1
milles; tandis que leurs devises font réell
nient partie de l'histoire générale du pays.
En effet, ce ne son t plus ici des signes , pol
ainsi dire, hiéroglyphiques ; ce sont des i
dicatious curieuses, des données positives s
les opinions, les passions, les pensées et 1
principes des grands. Or, n'est-ce pas d'
près ces mêmes principes, qu'ils ont adopté'
plan de conduite qui les a immortalisés; ne son
ce point ces mêmes pensées qui ont dépo
dans leur cœur le germe des grandes et nobles
actions 7 En contemplant les armoiries de leur
famille^ les gentilshommes se rappelleront qu'ils
sont nés nobles ; en lisant la devise loyale et
courageuse de leurs pères, ils sauront à quel
prix leurs ancêtres ont acquis la noblesse , à
quelles conditions, descendants, ils la perpétue-
ront. Il ne sufBt point de savoir qu'on a Thon-
neur d'être au-dessus de ses semblables, il
faut encore connaître et ne pas oublier les
devoirs qu'imposent ce rang et cette supé-
riorité. « Pour moi, » dit en quelque endroit
un écrivain de mérite, c si j'avais à ins*
9 truire un jeune prince, je voudrais le faire
» par la devise. Je ferais peindre toutes les de-
9 vises que les princes ont portées, et celles
» qui ont été faites pour eux en diverses
9 rencontres; j'y ajouterais les devises des
9 grands hommes , non-seulement pour les
» faire connaître tous au jeune prince, mais
» encore pour l'animer à la vertu parleur exem-
» pie. Je ferais des devises sur tous les devoirs
• du prince, tant à l'égard de Dieu qu'à l'égard
» de ses sujets et de soi-même. Par les unes
> et par les autres, il apprendrait aisément et
— 8 —
» avecplaisirnon-senlementla morale et la po-
1 litiqae^ mais encore l'histoire héroïque. »
Telle est la lacune que mes efforts tendent à
combler. Un travail aussi considérable ne sau
rait avoir la prétention d'être complet ; j'ai
néanmoins réuni dans ce petit recueil plus de
3,000 cris de guerre ou devises. Les familles
étrangères y ont trouvé place , la plupart des
pairs et des baronets anglais y figurent^et une
notice historique sur l'origine des cris de
guerre complète ces recherches.
J'ai adopté^ comme plus commode, le clas-l
sèment alphabétique; je crois donc devoir
prévenir que les pairs d'Angleterre, représen-
tant pour la plupart plus d'une pairie, c'est i
leur nom de famille qu'on les trouvera, non
à leur titre. Ainsi, pour connaître la devise des
ducs de Norfolk, comtes de Surrey et d'Anm-
del, c'est à Howard qu'il faudra chercher. Ai
surplus, pour faciliter les recherches, on trou*
vera à la fin de ce volume une table alphabéti*
que des titres anglais avec le renvoi au non
de Camille.
NOTICE
SDR
LES GRIS DE GUERRE ET ]IES DEVISES
De tontes le83oimi€eB, le Uasot eâl celle où il im^
porte lopluide bien e^entendre sur les mots, et,
saas contredit, celle où Ton s'entend le moins. Que
de vérités avérées dont un faux emploi de termes a
fait des erreurs grossières. Des auteurs sérieux, de
grayes écrivains ne nous ont-ils pas donné les ar-
moiriei de Moïse, d*Ënée ou de David : à cela on
sourit de pitié, et néanmoins rien de plus vrai en
réduisant la question aux proportions d*nne querelle
de mot.
r
Si, en effet, les auteurs qui ont traite de la science,
objet de ces recherofaeSi et le nombre eu est grand,
nvaiem d'abord reconHD que les armoiries soni des
emblèmes elles devises aussi, Ils se seraient épargné
bien des dissertations à perle de vue, et les opinions
qui, au premier coup d'œil, sembleot les plus contra-
dictoires et les plus erronées , paraîtraient, ans yeux
de tous, pleines de raison et de vérité. Je vais tenter
lie le prouver.
En premier lieu, les armoiries ne sont pas aussi
anciennes que l'aUinnent quelques écrivains : les ar-
moiries proprement dites, telles que nous les coq-
naissons, soumises à des règles fixes et invariables,
règles de couleurs, règles de forme, ne femontenl
pas au-delà des Croisades. Avant cette époque, on
voyageait peu : les seigneurs abandonnaient rarement
leurs liefs, si ce n'est pour suivre le roi à la gaerro,
et les ligures que, dans ce dernier cas, ils faisaient
peindre sur leurs bannières , loi'squ'ils étaient assez
considérables pour avoir le droit d'en porter, ces
(igares , dis-je , prises au hasard , résultat d'une
Taniaisie, ne sauraient être regardées comme des
armoiries sérieuses, mais bien comme des emblêoies
primitifs, que les seigneurs purent conserver dans la
suite, mais qui ne dépendaient ni du nom, ni du fief,
■l'avaient point été reçus des aïeux, et n'étaient pas,
de toute nécessité, transmissibles aux enfants. Un
seul système différent de celui que je développe ici,
tu' a paru digne d'être discuté.
Des auteurs savants et consciencieux ont avancé
— 11 —
que les armoiries étaient déjà connues depuis quel-
que temps, lorsque commencèrent les Croisades, et
que ce furent les tournois, joutes et jeux chevaleres-
ques qui les mirent en usage. Us s'appuient, à cet
égard, sur Tétymologie du mot blason, Tenu de l'al-
lemand blaxetij sonner du cor, parce que, disent*ils,
avant que les preui entrassent en lice, les hérauts
qui se tenaient aux yrtes du champ clos, procla-
maient, à son de trompe, les armes des4enants et des
assaillants. Conmie question de fait, ceci est sans ré*
plique, mais l'induction qu'on <îherche à en tirer ne
me semble pas logique, puisque rien ne prouve que les
hérauts blasonnassent autre chose, sinon les meubles
de l'écu, ces meubles, emblèmes primitif^, qui, ainsi
que je l'ai dit, existaient depuis long-temps et for-
maient, si je puis m'exprimer ainsi, l'enfance
de l'héraldicité. En effet, le nom même des diver*
ses couleurs et fourrures qui constituent le champ
de l'écu et les distinguent entre eux, n'en in-
dique-t-il pas l'origine? Tout le monde est d'accord
pour reconnaître que le terme gueulei, qui exprime
la couleur rouge, axtir, qui exprime la couleur bleue,
viennent de ce qu'en persan et en arabe, la rose
rouge se nomme gui, dont les peuples de l'Asie ont
fait le nom propre Gulistan, et le bleu lazurd. Il en
est de même de sinople (vert), qui vient de ce que la
ville de Sinople, en Asie-Mineure, portait des éten-
dards de cette couleur, ou bien plutôt de ce qu'on
recueillait, dans les environs de Sinople, un bol vert.
(Voyez Dictionnaire de Lamartiniêre^ tome VIL) U
— 12 —
est d'ailleurs éTident qa'tTant les expéditions de la
TeiTe-Sainte« les année des cheTaliers« que les hé-
rauts criaient à son de trompe, n'étaient point des
armes héréditaires. Chaque combattant tenait, durant
le temps de la joute, sa TÎûère baissée, tant pour
éviter d'être blessé au visage qu'afin de n'être point
reconnu. Or, on conçoit que les hérauts commen-
çant par crier les armes des Rigueurs qui devaient
garder Tincognito , ceux-ci aunient tout aussi bien
pu Ikire crier leur nom que des vmes héréditaires.
Nous ne voyons pas, d'ailleurs , que l'usage d'atu-
cher à un poteau, à l'entrée de la lice, les armes
du poursuivant, soitantérieur aux Croisades. Le code
des Tournois, rédigé en 938 à Magdebourg, par l'em-
pereur Henri l'Oiseleur, ne fait aucune mention d'ar-
moiries. Mais, dira-tr-on , pour tenir un Pas-Kl'annes,
il fallait être noble, et conséquemment avoir des armoi-
ries. Encore une fois, les armes ne sont point inhéren-
tes à la noblesse, ou du moins n'étaient pas, à cette
époque, inhérentes à la noblesse, ne constituaient pas
la noblesse, qui avait pour se vérifier beaucoupd'autres
moyens que ceux du blason régulier. Enfin, Ménes-
trier, savant et judicieux écrivain, dit en un endroit
de sa Méthode du blason : a Bientôt ceux mêmes qui
n'avaient pas été du voyage en Palestine , se mon-
trèrent jaloux de cette distinction. Chaque seigneur,
chaque gentilhomme voulut aussi avoir un emblème
distinctif. On n'eût osé se présenter à un Pas^i'armes
si Ton n'eût eu sur son armure et sur le caparaçon
de son cheval une devise en broderie. » (Devise est
— 13 —
ici pour annoirie). Ce qui prouve cependant que si
les tournois ne donnèrent pas naissance aux armoi-
ries régulières, ils contribuèrent du moins à en pro-
pager l'usage. L'auteur que je viens de citer est
de cet avis; il fait remarquer, d'ailleurs, qu'une
grande partie des pièces qui meublent les écus tirent
leur origine des tournois, comme les ptU^^ qui repré-
sentent les palissades placées autour de la lice pour
en fermer l'entrée.
Convenons donc qu'avant 1009, époque où Philippe-
Auguste entrq>rit la première croisade, les armoiries
régulières n'étaient pas connues, et que ces signes ou
figures que les chevaliers portaient sur leurs écus,
n'étaient autre chose que des emblèmes. Je convien-
drai alors volontiers moi-même que, sous ce point
de vue, les emblèmes sont d'une haute antiquité.
Rome portait povr symbole un aigle , Athènes un hi-
bou, et l'on vit des familles conserver héréditaire-
ment les marques adoptées par leur chef, mais sans y
être tenues en aucune façon. L'histoire romaiue nous
en fournit trois exemples : les Corvini qui portaient
un corbeau, les Torquati un collier, les Cincinnati
une touffe de cheveux. Les villes mêmes de l'Anti-
quité adoptèrent souvent des emblèmes parlants,
comme témoignent les monnaies de Ces cités qui
sont parvenues jusqu'à nous. Leontium portait un
lion sur le revers de ses monnaies ; Clydes , une
clef.
Ces emblèmes distinclifs formaient en réalité le
corps d'une devise, et étaient presque toujours ac-
— u —
compagnes de quelques mots qui en composaient
l'âme et en complétaient le sens. Aussi Xénophon
et un grand nombre d'auteurs grecs nous ont-ils con-
servé les devises de Gyrus, de Darius, de Gambyse,
de Xercès, d'Arsace ; il ressort de là que ce que cer-
tains bérauts ont confondu avec des armoiries n'était
autre cbose que des devises parfaites ; que ces sym-
boles datent d'une très baute antiquité , et qu'ils
étaient en faveur bien long-temps avant l'établisse-
ment des premières armoiries régulières. Disons ici
quelques mots de l'origine et du but du cri de guerre
et des devises, aux temps modernes.
Le cri de guerre, hellieus clamor^ ou tignum mtVt-
tare, selon Robert le Moine, pris au propre, date du
premier combat que les hommes se livrèrent', car ce
cri n'est autre cbose que la clameur poussée par les
guerriers au moment d'entamer l'action. Il ne faut
pas le confondre avec le cri d'armes {proclamatio
amwrum ), qui n'était autre que la publication du
ban. Tacite avoue que le cri de guerre des Barbares
faisait tressaillir les Romains les plus courageux. Les
Germains, ditril, poussaient ce cri en approchant de
leurs lèvres le bord de leurs boucliers. Outre ce cri,
ils entonnaient encore, au moment d'engager le corn-
bat, un cantique appelé le Bardit, et ils auguraient
du succès de leurs armes selon le plus ou moins de
vigueur de leur chant. Voici le texte de Tacite :
a Les Germains disent avoir eu aussi parmi eux un
Hercule, et de tous leurs héros, c'est le premier qu'ils
célèbrent en allant au combat. Ils ont aussi de ces
— 15 —
chansons de guerre qu*ils entonnent avec cette sorte
de cri qui se nomme Bardit. Ils s'en servent pour
exalter leur courage, et à leur chant seul ils augu-
rent du succès qu'aura la bataille. Ils sont intrépides
ou intimides suivant que leur cri de guerre a été
plus ou moins bruyant. £t,-dans ce cri, illeur semble
entendre l'accent même de la valeur; ils 's'attachent
surtout à produire des sons rudes et un bruit rauque,
ayant soin de mettre leurs boucliers devant leur
bouche, afin que leur voix rejaillisse en échos plus
terribles et plus retentissants. »
Le cri de guerre, tel que nous l'entendons de nos
jours, est un monument de la féodalité, et a dû pré-
céder de beaucoup l'usage des écussons réguliers. Il
se rattache d'ailleurs intimement à l'institution pri-
mitive de la noblesse. Les feudataires, contraints par
la condition même de leur vasselage, non-seulement
de suivre le roi à la guerre, mais encore de lai four*
nir un certain nombre d'hommes dont ils avaient le
commandement sous le roi ou le général en chef,
sentirent la nécessité d'avoir un cri de guerre per-
sonnel et indépendant de celui du commandant
en chef. Aussi l'usage de Cfier s'éteignitril sous
Charles Vil, lorsque ce prince établit, sous des for-
mes régulières, les compagnies d'ordonnance, et dis-
pensa la noblesse de l'obligation de se rendre en per-
sonne à l'armée. Tout seigneur, possesseur d'une
terre inféodée et conduisant sous ses drapeaux trois,
quatre ou cinq hommes, ne pouvait cependant adop-
ter un cri. Les châtelains et les bannerets avaient
— 46 —
ieuls ce droit, qui résultait de celui de porter ban-
nière. De là vient que nous trouvons fréquemment
dans les écrivains du moyen-âge Texpression : crier
hannière. On lit :
« Et oiflsiez crier Montjoic,
Que la bataille ne remaigne
Saint-Pol, Ponti, Drues et Champaigne ,
Meiun, Bourgogne, Ferrières,
Et aultres diverses bannières. •
GoiLLAUm GOVART*
Tous les fils d'un ehâtelaia ou d'un chevalier ban^
neret n'avaient pas non plus le droit de faire crier ;
car il résulte des coutumes des diverses provinces,
que l'atné possédant seul le fief, était seul tenu de
conduire ses vassaux à la guerre* et seul consëqaeHi-
ment pouvait crier bannière; mais les puinés des
maisons illustres conservaient néanmoins le cri de
leur aine, qu'ils ajoutaient à leurs armes , soit avec,
soit à la place de la devise, afin d'indiquer plus posi-
tivement encore le sang dont ils étaient issus. Cet
usage se retrouve surtout en Flandre, en Artois et
dans les provinces du Nord de la France. Les cris
servaient dans diverses circonstances : tantôt c'était
dans le but de rallier les soldats qui fuyaient et de les
réunir de nouveau autour de la personne de leur
chef, tantôt lorsque ce chef lui-môme se trouvait qq
— 17 —
danger, il criait son cri pour appeler au secours.
Raymond d'Agiles dit quelque part : a Tandem excla^
» mavimus signum solitum in neeessitatibus noslris :
» Deiu adjuva ! Deus adjuva ! » — ce Enfin nous criâmes
le cri usité dans les cas pressants : Dieu aide ! Dieu
aide l » Et nous voyons dans la chronique manuscrite
de Bertrand Duguesclin ; a L'Enseigne va criant pour
avoir du secours. »
Le cri devint aussi quelquefois une ruse, et Ton
entendit une troupe en danger crier le cri des enne-
mis, et échapper ainsi au péril qui la menaçait. Nous
eu lisons un exemple dans Tbistoire des Albigeois :
Fugientes hostes j>rœ timoré mortis exclamabant for^
titer : Monsfortis ! Monsforlis ! ut sic se fingerent
esse de nostris et de manibus persequentium evadcrunt
arte tali. — ce Les ennemis, qui fuyaient par crainte
» de la mort, se mirent à crier à haute voix : Mont-
» fort ! Montfort! feignant ainsi d'être des nôtres, et
ï) échappèrent par cette ruse aux mains de ceux qui
)} les poursuivaient. » On s'en servait encore dans le
dessein d'effrayer les ennemis et de leur donner lieu
de croire que Tannée était beaucoup plus considérable
qu'elle ne l'était en réalité. Dans le combat de Pont-
à-€ommiers, livré en 1382, le maréchal de Sancerre,
s'adressant à la troupe qu'il commandait, lui dit :
ce Tenons-nous ici tous ensemble et attendons tant
qu'il soit le jour et que nous voyions devant nous les
Flamands, et quand ils viendront nous crierons nos
cris tous d'une voix, chacun son cri, ou le cri de son
seigneur à qui il est« Jaçoit que tous les seigneurs
— 18 —
ne soient pas ici. Par cette voix et ces cris nous les
ébahirons, et puis frapperons en eux de grande vo«
lonté. »
Outre le cri particulier à chaque seigneur, il y
avait celui du commandant. Quand le roi était à
l'armée, quel que fût le général, on criait : ce Mont-
Joie SairU-Denis ! » Le cri du banneret ne pouvait
être proféré que lorsque son possesseur était en per*
sonne sous les drapeaux.
Il était encore d*usage de crier le cri dans les joutes,
après avoir blasonné Fécu, et au nombre des ordon-
nances des Tournois, dressées par René d* Anjou,
nous trouvons celle-ci : « Et adonc, crieront ceux
qui porteront les bannières, avec les serviteurs à
pied et à cheval, les cris, chacun de leur maître
tournoyant, puis les deux batailles se assemble-
ront* »
Le cri de guerre jouait encore un grand rôle parmi
les droits des seigneurs. Ainsi, lorsque le vassal ren-
dait hommage à son suzerain, ce dernier faisait arbo-
rer sa bannière sur les murs du château de son vas-
sal, et ordonnait en même temps qu'on criât son cri.
Seigues, veuve du comte d'Estrac, vit la bannière de
Raymond, comte de Toulouse, flotter sur les tours de
sa demeure, et entendit le viguier du comte crier :
Toulouse l
S'appuyant sur ce que, dans les historiens du
moyen-âge , on retrouve souvent le mot cri pour
exprimer le mot d'ordre, quelque&wis ont cru que le
-- 19 —
mot d'ordre avait dû remplacer le cri, ce qui est une
grave erreur : le mot d'ordre a de tous temps changé
le jour et la nuit; ainsi Boutbeillier, parlant des pri-
vilèges des connétables, dit:c</(em, à la charge
de demander au roi toutes les nuits le cri de la
nuit et de le faire savoir aux maréchaux, les ma-
réchaux de le faire savoir aux capitaines de gens
d'armes. »
Après avoir examiné quelles étaient les personnes
qui avaient le droit d'user du cri de guerre, et dans
quelles circonstances on avait coutume de s'en ser-
vir, il me reste naturellement à faire quelques obser-
vations sur les divers motifs qui engagèrent certains
seigneurs à adopter de préférence un cri plutôt
qu'un autre; car le hasard ne présidait pas seul à ce
choix.
Le plus souvent les seigneurs crièrent tout simple*
ment leur nom : les Mailly, Maillyl les Damas, Da-
mas lies Gaucourt, GaucourtI Les Picards, cepen*
dant, ne comprennent point Torgueil de cette pensée,
puisqu'un dicton assez répandu dans la province
s'exprime ainsi :
« Rembures, Rubemprô, Renty,
• BeUes aimes et piteux cxj. •
Il arrivait alors fréquemment que, bien que ces
familles se fussent divisées en diverses branches, et
que plusieurs d'entre elles eussent acquis des terres
— 20 —
el des domaines considérables et en eussent pris le
nom, elles conservaient néanmoins leur nom origi-
naire pour en de guerre. Les rois de Navarre
criaient : Bigarre t Bigarre l Les comtes de Derby :
Laneastre au eonUe Derby l D*autres, au contraire,
et ceci se remarquera principalement parmi les prin«
ces souverains, criaient le nom de leur {dus riche
domaine, de leur fief le plus important. Les ducs de
Bretagne : Saint-Malo au noble duc l Les ducs d'An-
jou : y allie l VaUie! et non Rallie! Rallie l comme
ont cru quelques écrivains. Rennerus, parlant du
comte de Loz, dit : a Clamans tertio titulum sui
comilalûtf scilicet Loz, audacter hoslium cuneos pe^
netravit, » — « Et criant par trois fois le titre de son
comté, c'est-à-dire X02, il enfonça courageusement
les bataillons ennemis. »
Quelquefois encore le cri de certaines familles fai-
sait allusion, soit à leurs armes, soit à Tune des
pièces qui les meublaient. Les comtes de Flandres,
qui portaient : d*or au lion de sAle armé et lam-
passé de gueules, criaient : Flandres au lion! Fiers
de quelque dicton de leur province qui exaltait telle
ou telle de leurs vertus, ceux-ci le criaient : Bousiet !
Bousies au bon fiz! tandis que ceux-là conservaient
avec un religieux respect le cri qui devait servir à
transmettre le souvenir d'une action d'éclat. Gler-
mont-Montoison crie : A la rescousse^ Uontoison l
Quant aux souverains, ils adoptèrent en général,
soit le nom du patron de leurs États, comme les rois
de France, qui criaient : M(mtjoi$ Sadnt^Iknis ! Les
— 2^ —
rois d* Angleterre : Saint-Oeùrges ! Les rois de Cas-
tille : SahiP-Jaeque$ f soit le nom de leur capitale,
comme Ottocar, roi de Bohême : Prague! Prague i
Enfin les provinces criaient volontiers le nom de lenr
ville principale, les Normands : Jtouen / et les Gas-
cons : Bordeaux !
Passons maintenant aux devises.
Ainsi que je Fai dit plus haut, Fosage de peindre
sur les boucliers des sentences appropriées au carac-
tère ou à la passion dominante de celui qui les in-
ventait ou les choiûssait, remonte à la plus haute an-
tiquité ; aussi le français ancien confondait-il sou-
vent dans un même terme la devise et Técu. On
alla même plus loin et Ton prit le mot devise pour
armoirie , le mot deviser pour blasonner. Fauchet
nous en fournit une preuve, lorsqu'au livrel, pageQl,
de YOrigine des chevaliers, il dit : a Et je croirai
bien que depuis que lesdits ducs virent les armoiries
de France arrêtées, afin de montrer qu'ils étaient du
sang royal, qu'ils écartelèrent de France leurs pre-
mières devises qui étaient : de bulles ou bandes d'or
de six pièces à là bordure componée d'argent et de
gueules ; » et. ce passage plus explicite encore :
ce Cette coutume donc de laisser par delà les écus,
volontiers fut cause de retenir et rendre familières à
ceux qui voulaient entretenir la réputation de leurs
ancêtres, de porter les mêmes devises ou blasons. »
Alain Cbartier, dans son poème intitulé : La Dame
$an$ Mereyt s'exi^ime ainsi pour peindre le déses-
— 22 —
poir d*un chevalier : a le noir portait et sans devise, »
voulant dire que son ëcu était de sable, sans être
partagé par aucune pièce héraldique. Devise, dans
cette dernière acception, vient de dividere^ et dans
son sens propre, de l'italien diviso^ pensée.
Insensiblement l'usage s'établit d'annexer la devise
de son père aux armoiries qu'on avait reçues de lui,
et de transmettre le tout à ses enfants. La devise
exprimait en général une vertu, et Ton imposait ainsi
à ses descendants l'obligation de la pratiquer en leur
rappelant sans cesse que la noblesse n'est, selon
l'expression de Gicéron , autre chose qu'une vertu
connue. Les uns adoptèrent un mot, une sentence
qvà perpétuait le souvenir d'un haut fait d'armes,
d'un service rendu au roi ou au pays; les autres une
maxime tirée des Écritures.
A ces devises qu'ils avaient reçues de leurs pères,
ceux-ci en ajoutèrent une personnelle, ceux-là en
reçurent une du prince, en récompense d'une fidélité
éprouvée par de longs services ou par une action
d'éclat. Une devise décèle en quelque sorte l'âme de
celui qui l'a choisie : qui marque sa piété, qui son
amour pour son roi , qui , par une sentence amou-
reuse, exalte les attraits de sa maîtresse. Aussi un
Italien célèbre regarde-t-il les devises comme le
langage des héros (linguagio degli ertn)^ ou bien
encore comme la philosophie des gentilshommes
(una filosofia dei eavalieri).
Il en est cependant qui ne furent mus par aucun
de ces sentiments dans le choix qu'ils firent de leur
— 23 —
devise; une consonDance agréable ou curieuse suffît
souvent à la leur faire adopter. D'autres fois aussi
ils trouvèrent moyen d'introduire leur nom dans la
composition d'une sentence ou d'une maxime.
La famille Bon de Lignim porte : d'argent à la
tour crénelée d'azur de trois pièces, ouverte et ajou-
rée du champ, maçonnée de sable et surmontée de
trois têtes de léopards du même posées une et deux,
avec les mots : Semper H ubique bonus.
Ce genre de devises devint surtout à la mode sous
le règne de Charles YII, qui fut aussi celui des rébus
et des jeux de mots, ainsi que je l'ai fait remarquer
dans l'ouvrage intitulé : Chinan et Àgnèi Sorelj où
j'en donne quelques exemples. Il arrivait encore
assez fréquemment que les devises se rapportaient
à l'écu qu'elles accompagnaient* Celles-ci étaient
en même temps les plus ingénieuses et les plus régu-
lières.
Je dis les plus régulières, car si l'usage a introduit
dans la composition des armoiries certaines lois
auxquelles on ne saurait se soustraire, les devises,
elles aussi, sont soumises à certaines règles que le
bon goût impose et dont on ne doit conséquem-
ment pas s'écarter. Voici quelques-unes de ces
règles.
Les devises sont réellement des métaphores qui
représentent aux yeux ce qu'une figure de rhétorique
représente à l'esprit. Aussi, pour être complète, une
devise doit^elle se composer de deux choses, le corps
et l'âme. Le corps est l'objet qui forme le rapport, le
— 24 —
point de comparaison; l'âme est le mot on It tour
tence qui l'explique. Devise sans corps, devise nulle;
devise sans âme, devise nulle. De plus, comme il
faut, pour qu'une comparaison soit Juste, que lepoinl
de comparaison soit plus grand que TobJ et compare ,
dans les devises, qui ne sont autre chose qu'une
comparaison d'un homme et de ses passions à an
autre être et à ses passons, le bon sens veut que le
corps de la devise soit plus grand et plus noble que
l'homme, ou bien que les passions qui meuvent cet
être soient plus vigoureusement, plus nettement pro-
noncées chez lui que chez Thomme.
Comparez la douceur de la femme à celle de la
colombe, iicvA eolumba mitiê ; le courage et la fierté
du soldat à la fierté du lion, sùmt leo furens, La de-^
vise est un symbole ; elle doit présenter aux yeux et
à l'imagination un sens abstrait, mais non un sens
obscur. On s'abstiendra donc de choisir pour corps
soit un être monstrueux, soit des objets qui n'ont
aucun rapport entre eux; car ces objets étant de
convention, chacun serait en droit de les interpréter
à sa façon.
Le corps d'une devise ne doit pas se composer
d'un homme, car on ne saurait comparer une chose
avec elle-même. Le père Bouhours, du reste fort
instruit sur l'art des devises, prétend rejeter aussi les
dieux du paganisme ; mais il est, selon moi, dans l'er-
reur, car les divinités, chez les anciens, n'étaient que
la personnification de certaines vertus ou de certains
vices : et dès lors, emblèmes eux-mêmes, pourquoi
— 25 —
ces dieax ne poorraienl^ils concourir à fonnei^ nn
autre emblème, {MMinru qu'on âitsoin de ne leur faire
représenter que la passion ou le sentiment dont ils
étaient le symbole.
La règle veut encore que Tâme de la devise forme
avec son corps un sens complet et ressortant telle-
ment de lui, qu'oit ne puisse séparer l'un de l'autre
sans en rendre le sens complètement inintelligible;
exemple : un serpent qui se mord la queue : ad me
redeo^ Traduisez ces trois mots en retranchant le
corps auquel ils se rapportent , ^ /« rmneiu à moi,
n'a plus de signification.
Lorsque les devises sont purement personnelles,
il faut éviter qu'tUes présentent à l'esprit un sens
faux ou amlûgu; aussi remarque^trim plaisamment
que Marguerite de Valois, prenant pour devise un
toumesof avec ces mots de Virgile : Ntm imfmiera
seeutuij se rend conpsd>le d'un solécisme.
En général, les familles ou les particuliers qui ont
ajouté des sentences à leurs armes, les ont tirées du
latin, et cela pour trois motifs : En premier lieu, à
cause de la concision de cette langue, qui facilite
l'expression en un petit nombre de mots, des pen-
sées les plus complexes; en second lieu, parce que
les Écritures, dont la traduction en latin est si fami-
lière aux catholiques, et les auteurs latins eux*>mémes
fournissent un choix varié de sentences, de maximes
religieuses, guerrières, amoureuses; enfin, parce que
la langue latine étant la plus généralement répandue,
au moins parmi les savants, à l'époque du moyens
— 26 —
âge, les familles ont préféré an langage qui les faisait
comprendre partout, à des mots vides de sens pour
tout autre qu'un compatriote. Aussi la plupart des
devises en français ne remontent-elles guèrea au-
delà du XV* siècle.
Quelques-unes des plus illustres maisons de France
portaient des devises italiennes, prises lors de la con-
quête du royaume de Naples par Charles YIII, ou
pendant la guerre du Milanais, sous François I*', ce
qui autorise à penser que les devises en italien ne
sont point, pour la msgeure partie, antérieures à It
seconde moitié du xv* siècle.
Les grandes familles d'Angleterre adoptent volon-
tiers la langue française, pour marquer leur extrac-
tion des familles originaires du continent, antérieu-
rement à la conquête de Guillaume-le-Bâtard.
Quant aux Espagnols, ils placent leur devise dans
récU| inscrite sur une bordure qui se blasonne
comme meuble. Les villes insèrent également leur
devise dans le corps de Técu, en la faisant tenir soit
sur le feuillet d'un livre, comme Venise , soit entre
les pattes d'un lion, d'un aigle, ou de tout autre
animal.
Outre ces devises, que l'on conservait avec soin, il
y en avait d'autres qu'on adoptait pour une circons-
tance quelconque, comme les tournois, les fêtes au
XVII* siècle. Celles-ci étaient souvent en espagnol, à
cause du brillant et du sonore de cette langue. Dans
les XVI* et xvu* siècles, la coutume se répandit de
composer des devises pour toutes les fêtes et céré-
— 27 —
monies religieuses ou civiles. Au mariage des rois,
on en gravait sur le piédestal des statues qui ornaient
les jardins, représentant la Tertu, l'hymen, le bon-
heur, la sagesse , la libéralité , et sur le fronton des
arcs de triomphe ou des colonnades. Yulson de la
Golombière en rapporte de nombreux exemples dans
son Théâtre d'Honneur qu'on pourra consulter à ce
sujet , surtout l'article intitulé : Le magnifique et
admirable earrotel qui fût fait à Paris dans la
place Royale, le cinq, le six et le septième jour
d'avril , l'an mil six cent et douze, pour les réjouis-
sances de la double alliance , pour les mariages du
roi Louis XIII et de madame sa soeur, etc.» etc.
Il était aussi d'usage , lorsqn*un roi, un prince, ou
même un grand seigneur mourait, d'exposer autour
de l'église, soit la devise que lui-même- avait portée
pendant sa vie, soit des sentences qu'on se plaisait
à composer en son honneur. Aux funérailles de
Cosme de Médicis, on voyait la mort appuyée sur sa
faulx, et le désespoir peint dans toute son attitude ;
au-dessous ces mots : Quid egiT vivU, vivetque
sempert Aux obsèques de l'empereur Mathias,
on écrivit sa propre devise : Concordi lumine
major»
Lorsque ces sentences étaient de pure invention,
on avait soin que chacune d'elles exprimât une des
vertus du défunt ou rappelât une des actions de sa
vie. Il y avait là une haute pensée morale et guer-
rière : Soldat qui meurt, héros qui natt t
En Angleterre, il était d'usage, lorsqu'un chef de
— 28 —
famille mourait, que les volets de ses fenêtres res-
tassent fermes pendant une année entière. Au-dessus
de la porte d*entrée on exposait les armes de la fa-
mille recouvertes d'un crêpe noir, et. on substituait à
la devise ordinaire une devise de circonstance tirée
en général des Écritures, comme celles-ci : Resur-
gam ! ou : Ubi, mon, stimuhtê lntM f \
Dans cette dernière contrée, les devises jouent un
rôle beaucoup plus important que ches nous. Les fa-
milles anglaises en portent toutes une qui fait en
quelque sorte partie des armoiries , tandis qu'il est
peu de maisons françaises qui aient conservé la leur
sans lui faire subir de changement. Aussi ne
trouve-t-on qu'un nombre fort restreint de devises
dans les armoriaox faits sur les grandes familles
de notre pays. Il n'en est pas de même en An-
gleterre ou dans les Pays-Bas. Les Espagnols ont
peu de' devises, du moins de devises hérédi-
taires.
Lorsque Tusage des devises se répandit, tout sui-
vit l'impulsion : l'on vit chaque province, chaque
ville, chaque corporation adopter une sentence quel-
conque. Les corps savants, comme les académies,
par exemple, s'en composèrent une ; les parlements
et cours de justice, les régiments, les ordres reli-
gieux, civils ou militaires, les chapitres nobles, sui-
virent l'exemple qui leur était tracé.
Ainsi la ville de Tours portait : de sable à trois
tours couvertes d'argent pavillonnées de gueules gi-
rouettées du même, au chef cousu de France, avec
— 89 —
la devise : SustinerU Ulia iurres, par allusioA aux
meubles de Tëcu.
Enfin les libraires et imprimeurs des xv et xvi«
siècles, estampillèrent les ouvrages sortis de leurs
presses d'une certaine marque à laquelle ils joignaient
une devise quelconque. Maurice de la Porte avait
adopté pour estampille un pauvre couvert de hail-
lons, sortant d'une ville en feu, avec les mots :
Meeum porto omnia mea.
Mais il est temps de s'arrêter : si vaste est le champ
que nous parcourons, qu'il fournira sans doute car-
rière à de meilleurs, sinon à de plus consciencieux
travaux que ceux-ci; ce sera toujours pour moi une
bonne fortune que de leur avoir ouvert la voie, et
je les y suivrai avec joie.
lie eomte de €
••••
m
2^
CRIS DE GUERRE
ET
DEVISES.
■<f ^ . »
aOTAUMXS.
Angleterre. — Voyez GRANDE-BRBTAflNi.
Arabie. — - Le calife Motaded : La nécessité exclal
tout choix et toute liberté.
Arménie. — Annénie au noble roy.
Autriche (Empire d'). — il dextre et à senettre! —
Hongrie! — Notre-Dame à la Reseoune ! ^Vem-
pereur Othon : jRome /=Maximilien : A. E. L 0. U.
(Austriacorum Est Imperare Orbi Universol ou
Aqnila Electa Jovis Omnia Yincit.) — Chacun son
— 32 —
temps. ssMalhias : Amal Victoria curam. — Con-
Gordi lamine magor. = Henri Y : Mortem optare
malom; timoré peju, == marguerite #'Aa|ricke:
Fortana Infortuoat fortiter nnam.
Bavière. — Gerecht unt beharrlich. = Marguerite
de Bavière : Lacessitos.
Belgique. — Les comtes de Flandres : Flandres au
lion! sz: Les comtes de Haynaut : Notre-Dame
Haynautt — HayMttf M nokU eonUe! — Haynavtt
Haynaut! = Les ducs de Brabant : Louvain au
riche duel — Limbourg à celui qui l'a conquis. —
Louvain! Louvain! — Limbourg! Limbourg! =
Les Révoltés de Gand : Gandi Gond! Les chape-
rons blancs! Les chaperons blancs! es Guillaorne
comte d*Ostrevant : Evertit et squat. = Le
royaume de Belgique actuel : L'Union fait la
force.
BomÈKE.^Chrislus! Christus! — Prague! Prague!
Brunswick -WoLFENBUTTBL. -* Nunquam retror^
sùm.
ClIeves. — Eberhardtde Wurtemberg : Benevolentia
bonissima guardia.
Danevark. <-- Dominus mibî adjutor.
Deux-Siciles. — Malo mon quam fœdari. = René
d* Anjou : Montjoie d'Anjou! — - Pas à pas. =s René
d'Aigou : Dévot luy suis.— Arco per lentare piaga
non sana.— D*ardent désir.s=Ladi8las: Aut Gcesar
aut nihil.
Espagne. '^Santiago! ou San la^o / »Gharles««
Quint : Ncc plus ultra. = Philippe I<" : Quis vult?
— 33 —
ss Philippe II : Ut qaiescal Atlas ou Dondnus mihi
adjittor. a Philij^e m : Et patri et patrise.
ËTÀT8 DM L*£!isus£. — Notr^JOatHc Saint Pierre t —
Samt Pierre! »« Clément YIII : Regardez-nous, ô
Dieu, notre protecteur I ou Si mei non fuerint domi-
nati , tum immaculatus essem. » Grégoire XYI :
Delubra ad summa. = Martin IV : Portio mea sit
in terra yiyentium. = Paul lY : Dominus mihi adju-
tor. = Sixte-Quint : De YenU'e matris meae, tu es
Deus protector meus 1 » Urbain YIII : Sponte fa*
Tos, segre spicula.
Fbancb. — Montjoie Saint Denytt — Non laborant
neque nent.= Louis IX : Horp cestanel point n*ay
d'amour. = Charles Y : Rectè et fortiter. =3
Charles YI : Hoc Coesar me donavit. « Louis XI :
Ultus avos trojae. = Anne de Bretagne : Potius
mori quam foedari. s= Louis Xn : Immensi tremor
Oceapi. — Cominùs et eminùs. « François I»*" :
Nutrisco et extinguo. = Claude de France : Can-
dida candidis. « Henri II:Plena est semula solis.
— Donec Uytum im|4eat orbem. »= François II :
Sic spectanda fides. — « Lumen rectis. — Unus non
suiBcit orhîa, »■ Henri III : Pietate et justitia. =»
Charles IX : Hapet ultima cœlo.=s: Louise de Yau-
démont : Aspice 1 ut aspiciar. ss: Henri lY : Invia
Yirtati nulla ^ Tia. — Yide et fide. — Undique
tutus. » Lpuis XIY : Née ploribus impar.
GKAMBK-BRiTAfiifi. -r- Mimlj^ie Jf^re^Dame Saini-
George t — Dieu et mon droit. « Le prince do
Galles : Ich Dien. «Edouard I«r : Hinc fortius ibo.
— 34 —
= Henry VU : Non dormit, qui cnstodit.— Rmi-
lans rosa sine spina. — Ecosse. — Hellioimrt m
Ponthimt — - In defens. — Pro lege et pro grege!
— Dulce meoni terra tegit.-- Irlandb. -* Kin go
brah!
*
Hanovre. — Suscipere et finire.
Liechtenstein. — Fidelitate etlabore.
LiicQUEs. — Deus et dies.
Mantoue. — Fîdes. = Charles de Gontagne : Pio
oltre. = Louis le Rodomont : Qui rlTeiis ccedit,
morte meditur. = Hercule de Gonzagae : Laceoi-
tus. ss Julie de Gonzague : Non moritunu
Milan. — Milan au vaillant dtcc/ — Pavie au m-
gneur de MUan! = Yalentine de Milan : Plm ne
m'est rien, rien ne m'est plus! == François Sforce:
Quietum nemo impune lacessit. » Brivio Sforce :
Obluctatus validiùs.
Montfebeat. — Undique frustra.
Nataibb. — Bigorre ! Bigorre t — Bûwrbon WMirt
Dame! — Notre Dame I Notre Dame!-^ B^urbiml
Bourbon! — -Espérance! » Charles de Bourbon:
Requies haec certa laborum.= Charles II, cardinal
de Bourbon : Folium ejus non defluit ou N'espoir
ni peur. = Charles HI , cardinal de Bonrbwi :
Superat candore et odore ou Gloria immoitalls. ■*
Louis, cardinal de Vendôme : Melior forUina no^
tabit. » Jean I*' : Sub sole , sub umbra Tirem. =
Jean II:Par obitus.ssHenri I«' : Quo fotatrahont*
— 35 —
a Henri il : Te nonquam timui. « Marie , du^
chesse de Hontpensier : In manibus luis sortes
meae. » Ëléonore, abbesse de Fontevrault : I. H.
S. et M. A. Spesmea a juventute mea.
OLDEmKnmG. — Ein GoU, ein Recht, eine Wah*
reit.
Pays-Bas. — Les Provinces-Unies : Concordia res
parvae crescunt ou EEndraclit maakt mact. =: Les
princes d'Orange et leroyaumeacUiel de Hollande :
Je maintiendrai 1 »> La province de Zëlande i Lue-
tor et emergo. = Guillaume de Nassau : Audaces
fortuna juvat ou Mediis tranquillus in undis. =
Maurice de Nassau : Pro lege, grege et rege cm
Bonae spei ou Tandem fit surculus arbor*
Portugal. In hoc signe vinces.
Redss. — Ich bau auf Gott.
San-Marino. — Libertas!
Savoie. — Savoye! Savoyel — Saint Maurice!'^
Bonnes nouvelles! — Fertt Fertl FertI — (Forti-
tudo E^us Rhodum Tenuit.)«= Philippe de Savoie:
Paratior. » Charles I^^' : Non tamen inde minus
= Chrétien de France : Plus de fermeté que
d*éclat. s Humbert : J. D. D. (Jussi Domini
Dei. )
Saxe. — Saint Pierre ! = Auguste de Saxe : Bona
causa tandem triumphat. » Chrétien de Saxe :
^ Fide sed vide.
SoËDE ET NoRWÉGE. — Droit et vérité.
ToscAKE. — Cosme de Médicis : Animi conscientia
— 36 —
et ôducia fati. — Semper. ^-^ FèsUna lente. —
Ov^£ fiotf a)laxoo^p>> == Jean de Médicis : B die
non puote amore? = Pierre : In Teridi tenebm
exurit flamma medullas. =: Marie de Hédieû:
Solem sola sequor. = Catherine de Médicis : Ar^
dorem extincta testatur vivere flamma.
Turquie. *- Ailahl Allah I — B^jaiet : Alach U»
ery^ T<ûul Mahomet
Yàud (Canton de). •* Liberté et patrie.
Venisb. — Pax Ubi Harce eTangeliata Biens. -^ Sab
umbra alarum tuarum.
WuETUBBio. — Furchtios und ^reu. e» Eberard
de Wurtemberg : Glaire à Dieu ! Guerre u
monde !
87
«bahm riart^
"K^^^imm
Anjou. — Follifl V(aHe1'''MoniJoie Anjou!
Artois. — Montjoie au blanc épervier!
Auvergne. — Clermont au dauphin d'Auvergne! sm
Maison de la Tour-d* Auvergne. — La Tour !
AuxERRE. — Nostre-Dame d^Auxerre !
Bàr. — Bar au riche duc! — Au feu I Au feu !
Bbrrt (Jean, duc de). — Orsine le temps viendra.
Bourgogne. — Chastillon au noble Duc! -^Montjoiê
Notre-Dame Bourgogne ! — Bourgogne ! Bourgogne !
Bretagne. — Saint Yves ! Saint Malo! — A ma vie !
Champagne. — Fassavant li meillor! « Thibaut,
comte de Champagne. — Passat^ant là Thifhaud I
Flandres. — Arras !
Normandie, -^Dtex c»>, Dame Diex aïe! — Rouen I
Rouen! •
3
— 38 —
AbbbyIllb. — Fidelis.
Agen. — Nisi Dominus castodieriu
Albt. — Sut baculus, vigilatque leo, tarreflqne
tuetun
Amiens. — Liliis ienaci Timine jnngor.
Arlks. — Aima, leonig uri ArelatenaU hosUbos at
^ niai. — Ab iraleonis.
Atignon, -* Unguibos et rostro.
BBÀUVAis.—Pala8 ut hic fixas, coostans etfinnaBii*
ncbo.
Besançon. — Plût à Dieu ! — Deo et GcBBari fiddb
perpetuô.
BoDLB-TBaBANjBaA. — BuUa Terranera.
BouLOU* — La villa del Yolo.
Boukbon-Vendéb. — T prairial an xiu
Bourges. — Summa imperii penes Bituriges.
Chàblbyillb. — Solus dédit, solus protegit.
CouunDiiEBs, — Prudentes ut serpentes, didees il
columte.
— 89 —
DuoN. — Ifoull me tarde.
Douât. — Jhuay I
DouLLENS.— Infinita décos lilia mihi pnestanl.
La RioiJ.*-IMi legiit iamni AfoUula*
La Rochblli. — Serrabor redore Deo.
Lyon. — Ung Dieu, ung roy, une loy.
Mébs. — De rosis ad lUia.
MoNTBKiiON. — Ad expiandum hostile scelus.
MoNTPELLiEB. — A. M. (Ave Maria).
MoRLAix. — Slls të mordent, mors-les.
Namgt* *** Non innltas premor.
Nantbs. — In te sperant Domine ocoli omnium^ c* . v
NuMBS. — GoL Nem. (Golonia Nemanseiisis). A' ~f>^* *^«^
Paris. — Flactuat nec mergitnr. \ •- f ^ . / t . }
Pbsula. — • Pesilla.
Reims. — Dieu en soit garde.
Rodez. *- Fidelis Deo et regL
Saimt-Dbnis. — Montjoie Saint Denys*
8ARREBoim«. — Urbs Sarraburgiensi» èom ipeis Ims-
iem repolit et repellit.
Sarreloois. — Di^pat atqoe foyeu
SiDAN* «^ Undiqoe robor.
Tours. — Sostinent lilia torres.
Vertus. — Yirtas j^œstat» ?ivit post ftioera tiiti».
YiEiniB, (Daqiibkié} — Vie&na ciVitas saneta. *
^ 40 —
Adobation de là Cboix (Ordre de !")• »- Salos et 0»
ria.
Aiqls-Blang de Polof^ne (Ordre de T). — Pro Me»
lege et rege.
AiGLE-NoiB de Prusse (Ord. de F). — Frederica^ lex.
Sur le collier : — Suum cuique.
AiLB DE Saint-Michel de Porlugil (Ordre de V). —
Quis ut Deus?
Akabanthb de Suède (Ordre de T). — Dolee nella
memoria.
Amodb du Prochain (Ordre de V). — Amor proximi.
Annonciade de Savoie (Ordre de T). -^ Fortitodo ej»
Rhodum tenuit.
Bain (Ordre du). -- Tria juncta in uno.
Babeith du margraviat de Bareith (Ordre de). — . Tou-
jours les mêmes.
Ghabdon ou de Saint-Andbé (Ordre du). — Nemome
impunè lacessit. — In defens.
Chabité-Chbétiennb (Ordre dela]« — Pour avoir biea
servL
— 41 —
GoNGoibi (Ordre de la). — Concordant.
Croix de Bourgogne (Ordre de la). — Barbaria.
DAMS8 PELi Cioix (Ordre des). — Sains et gloria.
Dames de la Croix Ëtoilée (Ordre des). — Forti-
tudo.
Dames de la Vertu (Ord. des). — Sola trinniphat
ubiqae.
Danebrog en DanemariL (Ord. milit. de). -^ G. S.
— W. C— C. V. Restitntor.
£cu d*Or (Ordre de F). — Allen.
ËPÉB DE Chtfre (Ord. de T)* — Secoritas regnl.
Étoile (Ordre de F). — Monstrant rêgibns astra Yiam.
FmtuTt (Ord. de la). — In felicissiiùaB unionis me-
moriam.
Générosité (Ordre de la). — La Générosité.
GEffEfT en France (Ord. du). '— Deos exaltât humiles.
Hermine et l'Ëpi de Bretagne (Ord. de T)* -^ A ma
vie.
Jarretière (Ord. de la). —Honni soit qui mal y pense.i
Mérite MiLiTànB (Ord. dn). -<• Pro virtnte bellica.
Sdr le réf. :-^ Lodoyicns XY institoit.
Noble Passion (Ord. de la). — J'ayme Thonnenr qui
vient par la vertu. — Sur le rev. : Société de la
NoblePassion instituée par J. G. D. D.S. W. 1704.
Notre-Dame du Chardon (Ord. de). — Allen.
Porc-Êpic (Ord. du). — Cominùs et eminùs.
PRÉascx Sang deMantoue (Ord. du). — Nihil isto
triste recepto.
Saint-André de Russie (Ord. de). — « Le Czar conser-
vateur de toutes les Russies.
— 48 —
Sainte-Cathbuiii de Russie (Qrd. de). "-^ParPamov
et U fidélité envers U patrie.
SAiNT-Espirr au droit Diau (Les Chevilien du). —
Au droit détiri
Saint-George (Ord. de). — Fid., just, et fort.
Saint-Hubert (Ord. de). -^ In fide stt firmîter.
Saint-Jacques de l*Êpée en Espagne (Ord. de). —
Rubet ensis sangoine Arabum.
Saint-Jean de Latran ou de rËkPBROK k Rome (Ord.
de). Pnemium virtati et pietati.
Saini^Laiarb (Ord. de). -» AtaTÎs et armis»
Saint-Louis (Ord. de). — Ladovicos magmift inttitiiit
leos. — Sur le leT. : *^ Bellicao Tirtutia pmÙBn.
Saint-Marc de Venise (Ord. de). — Pax tSn lUrce
evangelista mens.
Saditi-Marie-Madbibihe. (Ordre) — Optimtnpif
tem elegit.
Saint-Maur (Ord. de). — Pax.
Saint-Patrici (Ord. de). — Quls separabit.
TftTK-MoRTE (Ord. de la). -^ Mémento mori.
Vierge (Ordre dela}« «<- Sancta Maria.*-^bi hoc sifM
Tîncan.
— 43 —
Alix (Chapitre d'). — AaspiceGalliaram Patrone. -^
Sar le revers : Nobilis insignia voti.
BBAUME-LEs-MEssiEUKS(Ghap. Doblc à BesaoçoD) • —
Nobilis ecclesiae Balmeatis decas.
Brioude (Ghap. noble de). — Ecclesîa comitam Lug'
duni. — Ladovicus decimus qaintus instituit.
CiTEAux (Abbaye de).— Quia mecum solus certasti,
mecum solas sedebis.
Lyon (Chanoines, comtes de). — Prima fides Gallia-
rum. — Sur le rev. : Ecclesia comitam Lugdoni.
M1NIMB8 (Ordre des). — Charitas. . ,
Neutille-en-Bresse (Chapitre noble de). — Genus,
decns et virtus.
Oratoire (Prêtres de T). -— Jésus, Mariai
Paix (Abbaye de la) près Tournai. — Pacificè.
Pénitbntsbleus de Montpellier (Confrérie). — Christo
et régi, egenis et defunctis.
Sainte-Croix DE LA Bretonnerie (Chanoines de For-
dre de). — In hoc signo vinces.
Saint-Bbnis (Abbaye de). — Montjoie Saint Denysl
— 44 —
Saint-Etibivxb de Melz (Chapitre noble). — Religio-
Dis decus et virtutis praemiam.
Sainte-Maiie db Leigxbu (Chapitre de). — Louis XY
en a honoré le chapitre en Tan 1787.
Sâikt-Mabti!)! de Salles (Chapitre de). — Virtotit
nobililatisqne decas.
Saint-Victoe de Marseille (Chapitre de). — Divi fie-
tons Massiiiensis. » Monumentis et nobiliute in-
signis.
<m
AiBALÉTEiEEs do Douai. — Gloire aux Tidorieul
GaBTAU-LtfiBBs. — Celeres ardore.
— de Bourgogne. — Votissectatnr enn-
dem.
-* de Berry. — Par non feret in vita
^irtus.
GixAABHEs ECOSSAIS. — In omnî modo fidelis.
— Â?sGLAis. — Tuus ad te nos Tocat ardor.
— • FLàvA>DS. — Nec pluribus impar,
Xbtees. (Officiers de l'élection de) — Les élus sont
pour le ciel.
~ i5 ~
Abbl db Chbtallbt. — Ferrer forte e speiio*
Abbllt. — A Domino fadam etl.
Abercbohbt. (G.-B.) — VWe ul Tîfat.
Abuino. — Cassis lotisaima, rirtna.
Aboiv. — Union maintient.
Agsat. — Jamais las d'acher.
AcHÉ db Labbet. — Bellica virtns.
AcLAND (baronet). (a.*B.) — laëkraBlekle»
A*GooBT (baron Heyleslmry)* (G.-B.) — Grandescimt
aucta labore.
Addimgton (vicomte de Sidmoath). (G.-B.) — Lt-*
bertas sub rege pio.
AooBNO. — Restate nniti per esser forti.
Affbt. — Voyez Aybt.
Agab (comte de Northampton). (G.-B.) — Via triti,
via tuta.
Agab-Ellis (baron Mendip et vicomte de Glifden).
(G.-B.) — Non haec sine numine.
Agnbl-Boubbon. — Probitas, virtus et fidelitas.
Agout db Bbauvisin. — Avidns committere pognam.
3*
ft
— 46 —
Agut. *- Sagittœ potentis acutae.
Akaku. — Quœçumque ferat, fortuna ferenda est.
AiLLT. — Ailly\
AiMARS (des). — Stimnlis agitabit amaris.
AiMARS (des). — Voyez Escâlin.
AiNSLiE (baronet). (G.-B.) — Pro rege et patria.
AiNYÂL. — Nescit labi virtus.
Albb. (Est.) — Voyez Toledo.
Albbitas. — Talis noster amor. = Antonio Albbi-
TAS ou Albertazzo. — Fata viam invement.
Albignac. — Nihil in me nisi yator.
Albon (d*) et de GaAiiiTAirDAN. <— A trace TioUrla.
Alesso. ^ Cbarkaiis opos.
Albxandeb (comte de Caledoo). Cifr.'^l.) *« Per iufe«
per terras.
Alexandre D'HANAGBEg.— Partout el toijottrsfMèie
à Dieu et au roi.
Alingb. — * Sens Tarier.
AuBMAN (d'). — > Robwrl on Plaei^ piaeê è ma 4mmê t
— Tôt in corde qnot in armis.
Allen (vicomte Allen). (O.-B.) — Trtnmpho norle
tam yita.
Alletne (baronet). (O.-S.) -— Non taa te moreaiH»
sed publica vota.
Alrigs (des). — Tant qu*il Inirar.
Altyillars ou Aryillars.— Nube altius.-^HaIaac«
Ambel. — > Sed TÎrtus nescia frangî.
Amblt. — Pour la gloire.
Akboisb. •— Voyez Ghaumont.
AxBiois. — Sancte Ambrosî, tni sunns.
— 47 —
Ambrtàl. *- Boulogne !
Amherst (comte d*Ainherst}. (G.-B.) ^-^ Constantia
et virtute.
Andebson-Pelhax (baron Tarborongh). (G.-B.) •—
Vincit amor patrise.
Andigné. — Aquila non capit moscas.
Andràda. (Est.) — Ave Maria, gratia plena.
Andrée de Renoard. — • Je croîs, pour être utile.
Andrews (baronet). (G.-B.) — » Yictrix fortnnae sa-
pientia.
Angelin de Chaxplenets. — A jamais.
Angeyille. — In bis renascimnr omnes.
Anglure. — Saladin! ou Damait
Anneslet (comte de Uountnorris). (0.-B.)-«* Virtutis
amore.
Anstruthbr (baronet). {0.-B.)«— Periissent ni periis-
sem.
Antoing. — Bury I
Applaincovrt. — Alors comme aîors.
Aprbece (baronet). (G.-B.)— Labora ut insetemum
vîvas.
Arasola d'Ognata. (Esp. et P.-B). — Ara soli Deo.
Arbalestb de Yillargbault.— Domine, ut yîdeam.
Arbalestier de Montclar. — Le coup n*én faut.
Arbaud de Jouques. -* Nascitur et périt ira.
Abborio. (Ital.) — Yincendum aut moriendum.
Arbuthnot (vicomte d'Arbutbnot) . (G.-B.)~Laus Deo.
Arcel. — Voyez Ardaki.
Arces. — Le tronc est vert, et les feuilles sont arses.
— Ni duc ni prince ne veux être.
— 48 —
Abces de RAaumont. — M'a piqué la plus belle.
Abchambault. — In armis leones.
Abchikto. (Ital.). — Haurietis in gaudio.
Abdani, (Uiàt Abcel. *^ L'honneur y gist.
Abden (baron Alvanley). (G.-B.) — Patientia vinces*
Abgiot db u Febbiëbe. — • Pro rege mec sangoit
meus.
Abloz. «— Nobilis miles, potens.
Abmand. — Régi armandus et legi.
Abxuet de Bonbepos. — Deum time. — Arma mil»
requies.
Abmtnot du Ghatelet. — Armis notus.
Abnaud de l'Estakg. — Ypris coram rege capUa.
Abod de Ghassieu. *— Sans rien craindre.
Absoli. (Ital.). -^ Post fata resurgo.
Abthdts.— Franc au roi suis.
Abundell (baron Arundell de Wardour). (O.-B.) ^
Deo data.
AscANio (le cardinal). (Ital.) — Adimit quo ingraia
refulget.
AscH TAN Wtck. (P.-B.). — Ore et corde idem.
AsciiLL. (0.-B.) *— Sui oblitus commode.
Asbbubnham (comte de Ashbumham). (G»-B.) — Le
roi et l'État.
. AsPBEMONT. — Àspremont !
Aston. — Prêt d'accomplir.
Aston (baronet). (G.-B.) — Numini et patrise Asto.
AsTUABD. — Foi à qui l'a.
AuBEBjON. — Maille à maille se fait TAuberjon.
AuBEBT. ^ Sustinent imperium Tirtus et lancea.
— 49 —
Aubier de Monteilhe. — Unguibus et rostro fidelis.
AuBREBiÉ. — Régi et patriae.
AuBuissoN. — L'honneur est mon seul guide.
AuDiFFRET DE YsNASQUE. — ^Viitos omui obico major.
AuLNis. -* Prudence et fidélité.
AuMALE Van Romondt. (P.-B.) — • Trinitas.
AuMONT (duc de Yillequier). — Uni militât astro.
AuTiÉ DE VuxExoifTÉE. — • Ncc dura nec aspera
terrent.
AuTRST. — Dre an mor.
AvALOs DE Aquino (marquis de Pescara , prince de
Francayilla). (Bip. et Hat.) — • Finiunt pariter re-
noyantque labores.
Ayeme. — Tenui meditatur avena.
Ayennes.'— Fortis simul et prudens.
Ayogrado de Gasahoya. — Nisi laceflsitus tedo.
Ayrt. (Sois.) —Au plus Yaillant héros.
AzANNE.— • Auspicium terris hsec domus babet,manot
altéra cœlis.
B.
Bagbeuer. — Proprios ostentat honores.
Bacbet. — *Nescit labi Yirtus.
Bacon (baronet). (G.-B.) — Mediocra firma.
Bacquehem . — NeufvUle l
Baglion. — Omne solum forti patrîa est.
Bagot (baron Bagot). (g.-b.)-— Antiquum obtinens.
Baile. — Qui croit en Dieu, crott.
Baillet. — Non omnibus idem.
— 50 —
Barloncourt on Baillescoubt. — Landoê l
Bains-Banist. -* Peregrinatio et militia.
Baisset. -— Assez monte qui s'abaisse.
Baisset. (Bourgogne.) — Vive ut post rivas.
Balbian de Vial. -* Praeyide futura.
Bamfylde (baronet). (a.-B.)-*I>electareia Domino.
Banks (baronet). (G.-B.) — • NulHns in Toiiia.
BArriNDiER. — • Durât cnm sanguine virtus aromm.
Barbier de Lanyernen. — Sur ma yie.
Barres (des). — Ad superos tandem stemmata pemn
Tehit.
BARRET-LBifiiARD (barouet). (CK-B.)-«* Pour bien dé"
sirer.
Barbihgtoii (baronet). (O.-B.) — Ung durant nt
vie.
Babbubl-Bbauybrt. *- Virtutesidens.
Barsgaou ou Parscaou. — - Temporiser.
Bartheubi. — Cœli enarrant gknriam.
Barton de Montras» — Sans y penser.
Babville. — Dieu à nous! — Soldat et brave.
Basemon. — Prudens simplicitas.
Bassabat de Poubduc. — Il m'est fidèle.
Bassompiebre. — Quod nequent tôt sidéra prœstat
Bataille de Mandelot. — Bataille pour Dieu. —Ex
belle pax*
Bateman. — Sidus adsit amicum.
Batemin. — Nec prèce, née pretio.
Bathubst (comte-baron Bathurst). (G.-B.) — Tiens
ta foi.
Baudet. — Cambraisù!
— »! —
Baudry Dm LoziIeiies* ~ Lsesns sed inTictQS.
Bausset. — Sola salus servîre Deo,
Batabd [eu Terniil). — Sans peur et sans reproche.
Batgnati de la JomiElATE. — Je seay sans doatance
An paliM SMS offense.
Batnks (baronet). (O.-B.) — Fiiror arma ministrat.
Beaulaimcourt. — Pour le mteiuu
BBACOuar-^FiocTOR (baronet). (O.-B.) — Tonjonrs
fidèle.
Bbauclbrk db Vers (dac de Samt-Aftana, comte de
Burferd). — Auspicium meHoria «tL
BBAOcoimiOT. <-* Ma\jor in pndHs.
BKAOffORT. •*• la bello forûs.
Bbadfort Svoifviir. «» In b^o fovtii.
BBAomsHBTi. — Wavrint
Bbaufrbmont dbCharïit. — Beoufremonil «-Fins
deuil que joie.
BBAiniARfiAïa. •* Autre ne aen.
BAfOGHia. -* ChâtUlùnt
Bbaumanoir db Layarmh. ^BoUtmêanf, Emmâa»
noift — J'ayme qui m'ayne.
Bbauhoht. ^ Biaumon$^ BBommo/r^t — Imponridun
ferlent rulnae.
Bbauxont. — Pour la défense.
Beaumont (baronet). (G.-B.) — Brectus non elatua.
Bbauvaw-Vouty. — A cruce salus.
Beautbau. -— Beauveaut — Sans départir.
Beauvoir. — Wallinooiurti
Beauyoir do Rocrb-Grimoard. — A Tetustate robur.
BBCDBi.iftTRE. — Hoe tegmîne tutus.
— 52 -^
Brckwith (baronet). (O.-B.) — Joie en bien.
Bbctoz. — Plaisir et los.
Dedingfibld (baronet). (O.-B.) — Despicio terrena,
Boiem contempto.
Débagub. -~ Bon guet chasse maie aventure.
Bbllàsste. — Bonne et belle assez.
Bbllbcombe. — Bellecombe I
Bbllbbonds. — > {Voyex Gigâult di Bbllifonm).
Belleforièrb. — Bememieourt!
Bblli. — Nec interit onquàm.
Bbneya?(S. — Jamais arrière.
Bengt db Put VÂtLÈB. — Bien faire et laisier dire.
Bbnnbt (comte de Tankerville, baron d'OatalatoB)
(G.-B.) — De bon Yonloir servir le roi.
Bbnoibt db Li Pbunarèdb. ««- Voca me cmn beoo'
dictis.
Bbntinck. (P.-B.) ^ Craignez bonté.
Bbntivoguo (Ferdinand de). ^ Exilis, non innaltis.
=Bbntivoglio (Gbarles).--Vici8sim servarefidMi.
Bbbâbd. — Suaviteret fortiter. «
Bbbbm db Dragt. — Sicut ovis.
Bbrbisbt. — Et faetum est ita.
Berbsford (vicomte de Beresford). (0.-B.) ^Nil niii
cruce.
BbbgbesSawt WntNOCKs. — BerghetI
Bebgieb. — Finis praecepti cbaritas.
Bbbkelbt. — Dieu avec nous.
Bbblâbbb. (P.-B.) — Fide, sed cui vide.
BBtNÂBD (baronet). (G.-B.) •— Bear and forbear.
Bermaid de MoiiTBBitON. — Et pace et bello.
— 53 •-
Bernet (baronet). (O.-B.) — Nil temeré neque tknore.
Bernier. — Hostium terror tutatur amicos,
Bernière. — Ah! Fuge!
Bernon dk la Gdillkmandièrb. ^ Virtutem a stirpe
traho.
Berrutbe. — Meliorà sequtentur.
Berrt (baronet). (G.-B.) — Per ardua.
Bbrt. — Securo sensu, cura semota metuque.
Bertie. — ^ Virtus ariete fortior.
Bertriir. — Ex labore fructus.
Bertringourt. — Boulogne l
Besudb d'Ayarat. — Vicit iter durum pietas.
Béthist. — Et virtus et sanguis.
Béthune-Sdllt. --^Béthunel — Disulere mihi fugeo.
» SoLLT. — Ardeo ubi aspicior,
Bbufrur. — Sunt etiam praemia landi.
Beterme. — - Beveme !
Biaudos-Gasteja.— • In bello leones, in pace colomb».
BiGKBRTON (baronet). (G.-B.) — ProDeo et rege<
BfBAL d'Asfbld. (Soi.)— Bellicaeyirtutis in Hispania
pRéinium.
Bigot de IPontbodin. — • Tout de par Dieu.
BiLioTTi, anciennement VuLPELLi.(lTAL.) — S. P. Q.
F. (SenatusPopulusQue Fiorentinus). — Jésus rex
noster et Deus noster.
BiLLEHÉ deValemsart. (P.-B.) •— Qulnou potest spe*
rare desperet nihil.
BiNET. — Je le vieil.
BiNGHAM (baron Clanmorris ). (0.-B.) — Spes mea
Ghristus.
— 54 —
BiOTiÈRB. <-« Tarn fortis qnam nobilis.
BiRAGUE. ^ Jubet agnns ans.
BiRON. — FoyCJS GONTADT.
BisHOP (baronet). (G.-B.) — Pro Deo et ecclesia.
Blacas. — Vaillance \ — Pro Deo, pro rege.
Blagkett (baronet). (G.-B.) -—Noos trayaillerons en
Tespérance.
Blackwood (baron Dufferin et Glaneboye). (0.-B.)
— Per vias rectus.
Blake (baron Wallsconrt). (O.-B.) — Virtos ida
nobilitas.
Blamont. — Blamont!
Blanc. — Sine macula.— Toat tient à point. — En
tout candeur.
Blanot. — Tandem flayescent.
Blatnet (baron Monagbam). (O.-B.)— Integra mens,
augustissima possessio.
Blé (Du). — • En tous temps du blél
Blegourt. — • CambraisU !
Bligh (comte de Darnley et baron Clifton). (O.-B.)
— Finem respice.
Blois (de). — • Agere et pati fortia.
Blois (baronet). (G.-B.) — Je me fie en Dieu.
Blonat. (Bat.) — Pur comme For, prompt comme
Féclairl
Blondel. — > Gonnelieu!
Bloomfield (baron Bloomfîeld). (o.-B.) '— Fortes '
fortuna juvat.
Blount. (baronet) (G.-B.) — Lux tua, via mea.
BocHART. — - Inventis, fidus abstinet.
— 55 —
Bock. — Qui scil mon nihil timot.
BoGsozEL-MoNTGONTiER. — - Qooy qu'il en advienne.
BoER. (P.-B.) — Pro Deo, rege et patria.
BoEVBT (baronet). (0.-B.) — Esse ({nam videri.
BoFFiN. — Deo, régi, patrûe, pietas et fides. ^«Capnt
inseret astris.
BoGÀEROB ns TsMRUGaB. (P.*fi.} — Ex arbore fructus.
BoiLBAu ns CiSTELMÀU. — De tout mon cœnr.
Bois (Du). — Loué soit Diea!
BoisBocBisBL. — Soligestant insignia fortes.
Boisson. — TcUUat
Bois d'Esgordal. — Fortis et generosus.
BoisGBLiN DE Kbrgoet. — In virtQte vis.
BoisGUÉHÉNBUc. — Garantez ar guiriones.
BoissÂT. — Ny regret du passé, ny penr de l'avenir.
BoissBAC nu RosET. — Selon le temps.
Bon nB Lignih. — - Semper et abique l>onus.
BoNÀDONÀ. (Ital.) — Hœc sant bona virtutis dona.
BoNGÀis. — Bon sang ne faille.^
BoNNÀT. ^-x Oneqoes ne dévie.
BoNNEFOT DB Brbta0villb. — ^ Homieur, courage et
fidélité.
BoNNEL. — • Fortitudo et virtus.
BoNV db Lâvbrgne. <— Bisantiis nummis pauperibus
adest.
BooTHBT (baronet). (O.-B.)— MorsChristiimorsmor-
tis mibi.
BooTLE-WiLBRAHAK (barou Skelmersdale). (O.-B.)—
In portu quies.
BoQuiT. — • Pr«minm virtutii honor.
— 56 —
BoRCH VAN Wbrwoldb. (P.-B.)*-IntegriUie et eon*'
tantia.
Bordes. — Gratas honore labor.
BoREL d'Hauterite. — Jusques où?
BoreeldbMaurbgnault. (P.-B.) — Vaincre ou mou-
rir.
BoRGHÈsB. (Itaim) — Ardet in œtemiim.
BoRGiA. (Ital.). — Aut Goesar, autnihU.
BoRLuuT. (P.-B.) — Grœninghe velt.
BoscAWEN (comte et vicomte de Falmouth). (O.-B.)
— Patience passe science.
Bosch yan Drakbnstbin. (P.-B.)*— Virtute et labore.
BossDET. — * Rébus in est velut orbis.
BoTiGNEAU. -— A Tadventure.
Bodbbrs-Abbbyillb-Tunc. -— ÀbbevUlê! -— Fidelior
in adversis.
Boucher de la Motte. — - Honor et rex.
BooGBBRAT. — Partout fidèle. — Nocte dieque vigiL
» BoocHERAT (Nicolas). — Qiue nocent, docent
BouciGAUT. Voyei Le Meingre.
BocJCQUBAU YAN YiLLERAiE. (P.-B.)— Frangi non flecti.
BouFFiER. — Dextra lilium sustinet.
BouFFLERS. — Camberon l
BouGHTON (baronet) • (O.-B.) — Omne bonom Djri
donom*
BouGT. — PerscYerando ac sperando.
Bouille du Gharriol. — Le Charriol t — A Ycro
belle Ghrbti. — Tout par labeur.
BouRcoDRD. (P.-B.) — Deus, rei et patria.
Bourguignon-Lamurb, — Contra hostem surrectnk
— 57 —
Bouiu (eomte-Ticomte de Mayo). (fik-B.) — A cmoe
sains.
BouRNONYiLLE. — BcmmonvUlc !
Bourrelier de Mautrt. — Loyal et gay.
BousiEs. — Lêi Corbeaux! — Bousies au bon fix.
Bout. — De bont en bout.
BouTBEUER. — Marte etiam inyicto.
Bouton de Ghamillt. — Àillevr$ iamais l — Le sou^
venir tue Bouton.
BouYENS. — Plus n'est possible.
Bouvier. — Gaput inseret astrîs.
Bouvier de Portes. — Gaveto.
BowYsm (baronet). (o.-b.) — Gontentement passe ri-
chesse.
BoTD. (baronet). (0.-a.) — - Confido.
BoTER. — S'il vient à point m*en souviendra.
BoTLE (baron Boyle, Banden-Bridge, Broghill, tW
comte Dungarvan etKinalmeaky, comte deGork éL
d'Orrery). (a.-B.) — Vivit post funerà virtus.
BoTLE (baron de Gastle-Martyr, Garlton, vicomte
Boyie, comte de Shannow). (o.-B.) — Spectemur
agendo.
BoTLE (baron Boyle, Ross, vicomte Kelburne, comte
de Glascow). (G.«B.) — Dominus providebit.
BoTNTON (baronet). (G.-B.) — Il tempo passa.
Brabaion (comte de Meath et baron de Ghaworth).
(O.-B.) — Vota vita mea.
Brancas ou Brangacgio. (Ital.). ^ Di fuor di leggi.
BRÀNaFORTE (comte de Mazarino de). (Ital.). -* Do*
minus fortitudo.
— 58 —
Bband (baron Dacre). (0.*B.) — Pour bien dëdrer.
Braque. — In homine virtus opressa resurget. ■■
Braque (Robert). — Tonc aatiabor.
Bréauté (Adrien de). — Fit via fati. s Biéauté
(Amiral Adrien II de). — iBquora place'at. ■■
Bréauté (Adrien III de).— Membris agit altra vol-
nera. = Bréautâ (Pierre de). — - Unus canota
mibi.
[ Les autres devises attribuées à quelques person-
nages de cette famille^ paraissent apocryphes.]
BrÉHAN. — Foi de Bréhtn
Mieux vaut qa'argeDt.
BrAxond. *- Ex tota anima mea et toto corde meo«
Bretagne. — Ne quid nimis.
Breugel. (P.-B.) — In trinitate fortitodo.
Brunt di Laubrièrk. — Sans détour.
BuGGs (baronet). (O.-B.)* •— Virtus est Dei.
Brimbu. — * Plus que toutes. = Bumir (Datid de).
— Quand sera*ce? -^ Autrefois mieux.
fiRonncK (vicomte de Middleton). (o.-«.)— * A eus-
pide corona.
Broglie. — A nul autre.
Brooravb (baronet). (o.-B.) — Finis dat esse.
Briçonnkt. — Dilat servata fides.
BaoHHEAn (baronet). (G.-B.) — Goncordia crescimns.
Bromlst (lord Montfort, baron Horsebeath) . (O.-B.).
— Non inferiora secutus.
Brossard de Glért. — AudentI succedit opus.
Brosse. — Quo fata sequor.
Brou. — Spes mea in Deo est.
— 59 —
Brougham (baron Brougham et Vaax).(o.»B.)— Pro
rege, lege , grege.
Beowm ds Bongtown. (0.*B.) — Caute et sedulo.
Bkown .(D'fiastfield). (Ok-B.) — Delectat et ornât.
Brown (baronet). (0.-B.) — Gaudeo.
Brown dk Dolpbmtikw. (G.-B.) — Labor omnia Tin-
dt.
Brownb (Baron Kilmaine). (O.-B.) — -SuiTez raison.
ss Brownk (marquis de Sligo, comte d'Altamont,
vicomte Westport, lord Monteagle). — {Même de-
vite»)
Bruc» — - Flos florom, équités equitum.
Bruce (baron Bruce , comte d'£lgin et de Bruce).
(0.-B.) — Fuimus.
Brudeneix-Brugb (marquis -comte d^Ailesbury).
(G.-B.).— Fuimus.
Brudbniu. (baron Brudenell, comte de Cardigan).
(G.-B.). — En grâce afiTe.
Brubts DR SouYioNARGUEs. — Oculi moi semper ad
Dominum.
Brum de Mxraumomt. (P.-B.). — Fortis ubique.
Bruiv de Montesquiou. — Invincible.
Bruslard. — Animis illabere nostris. = Bruslârd
(Denys). — Inconsumptibilis ardet.
BrutIerss-Chalabre. — Sola fidessuffîcit.
Brctret. — Fideli obsequio.
Bûcher. — Neque te munera, nec preces.
BuDBs DE GuÉBRUNT, — Suporis vîctoria faustis.
BuiGHT DE Braillt. — Va ferme à Va$$auUj Buigny^
àlaprùe!
— 60 —
Bnissr. — Attente nuit, Baissy.
BuNBURT (baronet). (G.-B.) — Firmum in Tha niUl.
BuRGEss (baronet). (G.-B.) — Leyins fit patientia.
BoRGH (baron Downes). (o.-B.) — A cruce ralm.
BuRLE. — Gruore Ghristi comseo.
BuRNABT (baronet). (O.-B.) — Pro rege.
BuRRELL (baronet). (G.-B.) — Sob libertate quietem.
BuRRouGBs (baronet). (G.-B.) — Audaces forUmajo-
vat.
BuRTEUR. — Vulcana tela ministrant
BuRY. — Bury!
BuRT (comte de Gharleville, baron Tallamore). (G.-B.)
— Virtus snb cmce crescit.
Bus DE Ghisignies (Du). — Finis laborum palma.
BussT. — Encore ne me tenez.
BuTET. — La vertu mon but est.
Butler (vicomte Kerrin, comte de Carrick). (G.-B.)
— Soyez ferme.
Butler (vicomte et baron Gaher, comte de Glengall).
(G.-B ) — God be my guide.
Butler (comte de Kilkenny). (G.-B.) — Depressoi
extollor.
Butler (comte deLanesborougb). (G.-B.)— Liberté
tout entière.
Butler (vicomte Thurles, baron Arkiow, comte de
Ossory, marquis et comte d'Ormond). (G.-B.) —
Gomme je trouve.
BuvBS. — Buvet tost assis I
Btng (vicomte de Torrington). (G.-B.)— Tuebor.
Btron (lord Byron). (G.-B.) — Crede Byron.
— 61 —
C.
Caan (P.-a.)*— Pnidenter , fldeliter et penerertiiier.
Gabàrrus. — Fidepublica.
Cabiion. •— Virtos et konor.
Cabot. — Semper cor caput Cabot»
Cadimbt. — Nec timeas nec optes*
Caixmâii (comte de Cadogan). (o.-b.) -^ Qui incidet,
minor est.
Cahidboc. •— Antiqua fortis yirtute.
Caldkb (baronet). (0.-B.) — Yigilans non cadeL
Caldbrati. (Esp.) -— Hasta la muerte.
Calf de Noidans. (P.-B.). -^ Virtus et aves. — Vs'»
lear et droiture.
Calkorn. (P.-B.)—- Persererando.
Gall (baronet). (O.-B.) — Grata mann.
Gallakobb (baronet). (0.-B.) -^ Et domi et foris. —
Meanwell.
Calobn-Aremts. (P.-B.) — - Vim vi.
Cakbbrltn d'Amougies. (P.-BO"— Strenae, fideliter.
Camblin. — Deo favente.
Camfbeu (duc, marquis et comte d'Argyle). (O.-B.)
— Vix ea nostra voco.
Campbell (marquis de Breadalbane). (O.-B.) — Fol-
low me.
Campbell (comte de Cawdor). — Be mindful.
Cambbu. — Enn kichen ru ema komeru.
Campbau. -— EseaUkm denaing I
Canning (baron Gar?agb]. (O.-B.) — Ne cède malis»
sed contra.
k
— 62 —
Cannt. — CroUUÎei !
Gamtaing. — Cambresis I
Cantillon db Ballthioub. -^ Fortit in bello.
Capoya db Conga. — • Negligit ima.
Caradok (baron Howden). (O.-B.) — IMUtni non
victus.
Cardbyag d'Ayrimcoubt. -^i iamaU Carêtmul^
Au éid BeaumotUi on Mitum numrir çuê Umkrl
Cardon d'Anglure. — Ne crains rien.
Carbw (baronet). (0.-B.) — * Nil conscire sibi.
Caret (vieomte FaUiland). («.-B.)— In otroque fidelis.
Caritat db Condobcbt. -— Charitas I
Gailbton (baron de Dorcheater). (d.-B.) *-* Onan-"
dam his yicimur armis.
Carné. — Plutôt rompre qne plier.
CARNB6IB (comte de Northeak, lordRosehill el loglii-
nuUdy). (G«-B.) — Tâche aana tache. -^ Britnnnia
victrix.
Carnin. (P.-B.) -^ Yirtna aibi praemiom.
Carondblet. (P.-B.) •— À mêi ChaMeif! -^ Aqnila
et leo.
Garpbntbr (comte de Tyrconnell). (O.-B.) -« Per
acuta beiii.
Carpbntibr. (P.-B.) •— Dioa y el rey.
Carpentibr de Crégt. — Carpentier t
Carpentin de Cuxont. — Atout.
Carre de Luzangat. — « Nusquam devius.
Cartoisin. — • Duce non erramua Olympo.
Cassard. — • Sans venin.
Castelbajag. — Lilia in cruce floruere.
— 63 —
Castil-Gicaia* — Numqnam retrorsùm.
Gastbeâ. — > Si consistant adversum me castra, non
timebit cor meam.
Càstillon. -— JHêûÊ d voitl — Deo regibusqne sem-
per Qt olim.
Castolu)!! dk MiimsiK. «- Praemiom vit», mon pro
patria.
CASTiLum DS SADiT-MAKTnf. — A laquco malignan-
tiom libéra mea Domine. *
Catebait (comte de Calheart). (O.-B.) — I hope to
speed.
Gathbbinb db YAiAifaBs. •— Hîs virtus evecta roUs.
Gatin db Flatignbrot. — • Spoliatis aroia sapergunU
Gatibat. -^ Omnia virtnti parent.
Gaulaimgoubt. •— Désir n'a repos.
Gaulibbs. •— Sicttt erat in prîncipio.
Caulfibld (comte de Gharlemont). (0.-B.) — • Deo
doca, ferro comitante.
CAUMOifT. — • Fortior coronatnr.
CAUifOinr LA FoBGB. — Ferme Caumamt!
Gaunt. — CroUUles t
Caybgh. — • GraineaurtI
Catendish (comte de Burlington). (O.-B.)-— Cavendo
lotos.
CATBifDifH-BsNTiifCK (doc do Portland). (0.*B.) —
Craignez honte.
Caittbt de Blanchbtal. — Cave, cave eanem !
Cathix. -— La folie I
CBGiL(marqQi8 comte d'Exeter). (0.-B.)-"Coranum,
via ona.
— 64 —
Cbntàl db Là Touk d*Aigub8. — - Satiabor com ftpp»-
raerit.
Cesarini. -— Frangor et flector.
Ghàbannes. — Je ne le cède à nul antre.
CflABBaT. — Postes portasqne refregit.
Chabku. •— Tant vaut Thomme, tant vaut la terre.
Chabot (Philippe de). — - Goncussus surgo.
Chabrillànt. — Voyêx Mobbtou de Chabrillaiit.
• Chaïxudbt. — • Désir sans vanité.
Chakbobant. — Onques ne faillis.
Chambbàt. — Ifegit nidum majoribus alis.
Chakf (Du). — Tout bien du champ.
CHafPiAux-YAnxDiMBs. •— Diex el volt.
Champieb. — Tu ne cède malis, sed contra adven-
tior ito.
Champnets (baronet). (O.-B.) — Pro patria non ti-
midns morire.
Chanallbillbs. — Fideliter et alacriter. — Canes le-
gati.
Changel de la Gbanob. — Chancel ne cbancelle
mie.
ChandiÉ. — - Ev To froviiv airkîBOtoç'
Chandieu. — Pour FEtemitét
Chanlegt. — Yirtus mihi uumen et ensis.
Chapbl de la Pachbbie. — Murât t
Chapellieb. — Rerum prudentia yictrix.
Chapponat. — - Gallo canente spes redit.
Chabbonnel du Bets. — In corde decus et honor.
CBABLi DE Ttbebghaxpb. (P.-B.) — Justus Bmat \th
cem.
— 65 —
Cbaihaisl. — Fere magiora. — Non javat ex f acili.
GiUBiiT. — Chamif ! Chamy !
CBABPKicTm DB BEAUTiLLt. -~ Secori sccurus.
ChaipiiI dbFoogerollis. — In hoc signo vinces.
Ghaebd» dk la RocHi. — - Semper in orbita.
GHABTBBt OF AMTsnELD. (O.-B.) — This is oiiT chaiv
ters.
GHAifBBBAs. •— Tempora tempore tempera.
Cbassbfot di Bbaumont. — Semper yigil.
Cbastelbt. — Priny ! Printf l
Cbastellux. — Fermeté et loyauté.
CHASTiLLon-CHiMUXA. — ChMOUon l CkaMiUlon t
Ghateaubriànt. — ChâteaubriatUt — Je sème l'orl
— - Mon aang teint les bannières de France I
Chatbaugsamm. — Selon le lieu.
CHATBAiHsiBoif. •— Penscz-y^ cc qoc VOUS voudrox.
CHATBAUIfBUF-RAKDON. <—* CkâUoWMUfl <— DCO JU-
vante.
Chatkaotillaim. -« CkâtmmMlain h Varbr$ d'ori
Chatbi. (Du). — Mar car done. — Da Val Etery.
Gbatham. (O.-B.) — Foyex Pitt.
Chattbbton (baronet). (o.nB.) — Loyal à mort.
Gbau«t dbRoussillon. —Vous m'avez, vous m'avez!
GiAUMOiiT d'Amboisb. — Ambo%$€l >= d'Amboisb
(Charles). -— Mitem animum agresti sub tegmine
serve I
Ghauvbton db Saint-Légbr. -~ Deus, rex, honor.
Ghauvignt. — Chevalier$ pleuvent! Jérusalem l
Ghbbbb (baronet), (o.-b.) — Praemium virtuUs honor.
Ghbf ou Bois. — Penhouet !
mu
— 66 —
Chitwooo (baronet). (G.-B.) — Corosa mea Cbrîslw.
Ghbtwtnd-Talbot (comie de Talbot). (CL-B.) •— Hit>
mani nihil alienum. >■ Ghetvtmdi (vioomie de Gbet*
wind). — Probitas yerus honor.
CHEYALisa Dv GoiTDiAT. — - Mullo laboro*
Ghetillabd. -^ Je rapporte fidèlementoeqae je troure.
Ghetlus. — • Fè et honour.
Chichbstkb (marquis el comte de Ik^aegal). (Ok-S.)
— - Inyitiun secpiitar bonor.
Chibl. — Ny tost ny tard.
Chiflot. — Flos semper vtrens, Tirtot.
GHiLD-YiLUias. (comte de Jersey). (••-&)
Ghiss*. -— Toujours.
Ghitallst. — Liberté aigulDonue.
GHoufOMDBLBT. (o.-B.) — Gassîs tutissimi virlos.
Ghristoplv. — En^nent ondique vires.
GiBO. (P.-B.) -r- Van gui in besses*
GiLLABT DE Kebmaingut. — Mou cor et mon sang.
GiBBT DE llAeNT. *— Virtuto duce, comité fortana.
Glayesoiv. (O.-B.) — Stat fortis in arduis. -— Gœlormn
crux mibi clavis erit.
Glatton (baronet). (G.-B.) — Virtus in actione eon-
sistit.
Glattob (baronet). (G.-B.) — - Probitatem quam di-
vitias.
Glements (comte de Leitrim). (o.-B.) — - Patriis yir-
tutibus.
Glbrc-la-Dbtbzb. — Virtute dara.
GlAbembaut de Yendeuil. — De Yendeuil nous
sommes.
— 67 —
GURM9T. «^ Clemumî deLodève!
GlermonivTonnerre. — Si omnes ego non.
Cliffobd (baron Glifford). (G.-B.) — Semper paratns.
Clifton (baronet). (O.-B.) —Tenez le droit.
Clinciuxpiis BiLLfeGÀi»!. — Pro Deo et rege.
Cliti (comte ëe Powis). (O.-B.) "^ Âadacter et sin-
cère» '
CuManYiixE Di Bbixb. — Fac et spera.
CLUGKTrTÉnfBSffr. — Généreux et fidèle.
CocHRÀNB (comte deDundonald). (0.-B.) <-* Virtute et
làbopo.
Cocu (c«mte Sommers). (0.-8.) -• Prodease quam
conapici.
GoKTAiiGouaT. — Ha galon Tat.
CoBTÂiii.mb — GerminaTit sieirt IHinm.
CoBTBNFAo. — FoyM Keihobht bs Goetbnfao.
GoBTaoumBDBNc. -^JemecoDtmite.
CoRirr. — Preat te.
GomiB' oa Oobtlbon . — Humble el loyah
CoBTMMoii. — • A peb emser.
C!oBTL08Q9iT. — • Ffanc et loyal.
C!oBTifAKAGi. <— A bien viendra par la grâce de Dieu !
GoBTvnf. — BaryafKjm^t
GoBmilCB. -i- Soit!
C!oBTifBim. — Aultre n'auray.
GOBTUDÀYBL. — Rct YC.
CoBTQnBLFBN. — Bcz a e Peoch.
CoRUH. — A cœur vaillant rien impossible.
CoFFiN (baronet). (O.-B.)— >Exstantrectifactisprs&-
mia.
— 68 —
CocHiLL (bironet). {«.-&) — Non dorait qù cos-
todit.
Gqhes. — OswrikbMr!
GoLàs AD VmàXB, — AhiQs ardei.
CoLUKT. — Perite et recte. » Goukit (sorintca*
dut ëes iuMes;. — Senrat ^ abstineL
CoLB (coBle d*Ennisfcil1cD). (G.-B.) — Deom oole.
GouBMioc ièanmcti. (Ow-B.) -^ Sob bosa qwat ho-
GouvT Là Chassuib. — L'Ame et rhonneiir.
Goujtt-Wbuislei (marqaii Welleslej). (Ow-K) —
Pono aniim est necessaiimn.
Gouc!iT. — Je les éprouve toot.
GououDO-MAiisrBLB. — Ebec peperit Tirtos.
CoLOHBBf. — SîiBplidtas.
CouoHB. — Eo fedeha fioiro la vita.
Goio!C3CA. (Ital.) — Flectimar doq frangioiiir «mUs.
SK CouHRiA (Jérôme). — Foldt et omat. =s Go«
lOec (Marc-Antoiae). — Erit altéra m^cet.
CoLQCBOc.x (baronet). (O.-B.) — Si je pais.
GoLT (baronet). (G.-B.) — Yincit qoi palitor.
CoLviLLi (lord Golville). (G.-B.) — Oublier ne pois.
CoLTUJt (comte de Portmore). (G.-B.) — Avance.
Omubqcb. — Cum arca.
CoMBACD. — J^OMr6on !
Coxiaroan. (G.-B.) — So ho Dea ne.
CoaMuas* — Sob pennis ejiis sperabo.
k<— Sans mal.
s. ^ En vivant nous amendons.
— 69 —
CoMPTON (màrqais et comte de Northampton). (o.«B.)
— A'ifi dominui / — Je ne cherche qu'un.
CoNSN. — Qui est sot a son dam.
GoNiMGK. (P.-B.) — Rex, grex, lex.
CoNTiiGHAM. (o.-B.) — Otcf fork OYCr.
Constant de Rebecqub. — In arduis constans.
Contamine. — Unquam te contamina.
Constantin. — Sans reproche.
CoPE (baronet). (o.-B.) — ^quo adeste animo.
CoPLET (baron Lyndhurst). (O.-B.) — Ultra pergere,
Copous. (EsF.) — Edomitum virtute yitium.
CoppiETEBS* — Sitio justîtiam.
CoiBBT (baronet). (O.-B.) — Deus pascît corvos.
Cobdes-Watripont (Des). — Ciel à ciel !
CoRDOu. — Tout sans contrainte.
CoRDouB. — Ferme dans TadTcrsité.
CoRGENOU. — Tout est bien. .
Corn. — Dieu est tout.
Cornet. (P.-B.)^ Fortîter et honeste.
CoRNEWALL. (O.-B.) — La YÎe durant.
Corsant. — Altius.
Cortbn. (P.-B.) — Cort en goet.
CosNB DE Cardanyille. — Dcus ct rex.
Gosst-BRissAG. — - iJSquabo si faveas.
CossiN. — Spesmea Deus.
CosTAiNG. — Prospérité.
CosTE. (Ital.) — Di giorno in giorno.
CoTTEREAu. — Bcnc vivcrc et cœlari.
CoTTBRBLL (barouct). (O.-B.} — Non repui , sed re^
cepi.
— 70 —
GoTTON (baronet). (G.-B.) -— Fidelitas tindl.
Couct-Ghateadtieux. — iVofre-Dame au êeigneur de
Coucyî ^- Bel avis, «w Coucy & la wterveUlil oo
Place à la bannière I
Ne fait roy ni prlnee anisy
Je mit le lire de Goiicy.
C0URCELLE8. — Pour jamais.
GouRcoL DE Baillàngoubt. (P.-B.) — Fulmina et
astra.
C0UB8AMT. — Gonrs sans cesse.
GouRT (Du). (P.-B.) — Âlio sub sole virescam.
GouRTENAT (comto deDoYOD). (0.-B.) — Ubi lapsost
quid feci?
CouRTETiLLE DE HooiCQ. — Pour jai^ais Courte-
ville.
Cousin. — -Fides exercîtuum.
GoDTANCE. *— Constantia, justitia et fidelitas.
CoYENTRT (comte de CoTentry). (Ck-B.) — Can-
dide et constanter.
CopER (comte de Coper). (o.-B.) — • Taom est.
CoTsu. — Pietate et patientia.
Cramailles. — Au guet î
Cramezel. — Fidelis patrie, régi generosus et a^
dens, confestim vires animumque utrique repono.
Cranstoun. (O.-B.) — Thou shalt want ère vrant.
Craon. — Non sum timendus.
Graven (comte de Craven).
Crechqderavlt. «—Tu dispone.
Creighton (comte d'£me}. (o.-B.]— God send grâce.
— 74 —
CiÉQOi* *« A Créquif le grand baron I
Créqui bambaroo»
Gréqui haut renonb
GiftQinr (Aintôine, eardinal de). — -Priscft lax, ddx
certa salutis. = Baudoin , (sire de Gréquy et de
Fressin.) — Nul ne 8*7 frotte eu Sourentm^en eftt«
Crescbntio. -— Aspice, Qrescam.
Crbton D'BMroimMn..—Gre(on/'-y aillant sor la crête.
€noinLLKB. — A fide salus.
Cbstegobur. — La Tour-Landry.
Cbewb (lord Crewe). (G.-B.} — Seqmofnecinferior*
Cughtoii-Stuâit (marquis de Bote). — Nobilis est
ira leonist -— ATito Tir et honore*
GaiLLOH. — Fidft ton deToir.
Guaioras G<mjokb* -— Por castilla, y por Léon nueto
mundo hallo colon.
CaoBSKR DB BsR«E8 *(P.-B.) — Hcsure dnre.
CSrott (iMQNmet).. (•.*B0 ^ Plus esse quant Tideri.
CaorroN (baron Crofton). (G.-B). — Dédit Deus in-
crementum.
Crofton (baronet). (G.-B.) — DatDeusincrementum.
CiETANT-D'HcwifcaBs. — UHonueur y g^.
Cboist de Montàlemt. — Nomen in cruce, salus in
fide. — le me contente.
CaoMBRUGGHB. (P.-B.) -— 6ran(f / ffand / —Espérons
de nos yertus. = GaoïiBBUOGHB de Wetee. -~
Yûrtute decet non stemmate niti.
Cbot-Solre. — • Je maintiendrai. »• Qur de Ceot
(seigneur de Ghièvres). — Dulcia ttrîxia malis. «
Cbot. -^ Souyenanee*
-.72 —
Crozàt. — Grux cœlomm, cnix mihi clayis erit*
Grupillt. — Sorel t
Grussol. — Ferro non auro.
GuFFB (comte de Desart]. (O.-B.) — Virtiis repidsa
nescia ^ordidae.
CuGNAG. — - Ingratis servire nefas.
GuLANT. — • ilu peigne d'or I
GoLLUM (baronet). (O.-B.) •— Sustineatur.
GoMiNG-GoRDON (barooet). (O.-B.) — Sans crainte.—
Gourage.
CuNLiFFE (baronet). (G.-B.) — Fideliter.
CuRTU (baronet). (O.-B.) — Gradatim Tiacimos.
GoRTiâ (baronet). (O.-B.) -~ Per ardoa.
GuRzoN (baron Scarsdale). (O.-B.) — Rectè etsuaviter.
CuRzoN-HowB (comte de Howe). (O.-B.) — * Let Car*
zon bold what Gurzon held.
CosAGK. ^- En Dieu est mon espoir*
GuiT (comte de firownlow). (O.-B.) — Opéra illioi
mea sunt.
GuTLEN (P.-B.) — Ex ungue leonem.
GuTPERs (P.-B) — Je soutiendrai Gaypert.
GzARTORTSKi. (PoL.) — Lc jour Tiendra.
D.
IOàlzell (comte de Carwath). (o,-B.) —Dure.
Damas. — Damas!
Danes. — Yérîtë et justice.
0ARBON. Courage et peur.
Daughy. — MofUigny Saint ChriêUfkêl
r
— 73 —
Datid fflQ. '--Hëiliièiïto boniiïie D'aVîd.
Datik. — Aèspice Chiristo.
Dawm AT (vicomte deDowne).to.-ÂO--'^inèipWorèm.
Dawson (baron de Cremome). (G^-ft.) --* YoïlfoQn
propice.
Dawson (coiliie dé Pôrtarlingtôn).— Vitâe Vit» Vfr^
Dean. — Yigor iîi Vlrtaté.
DsANB (baron MàAeirry). (Û.-É.) — Forli èi A-
deli nibil dlAdlë.
Di Blaquî^ (biùron de ftlaquiërcO. (tt.-Â.) —tiens
à la vérité.
De Bua«H (manjpitè et éomte deClandcaî^ie). (d.4É.}
— Comme Je trônvé.
De Cocjrgt (1^ K{n|[8alè). (d.-iio — ^ocit omiifii
Veritas.
De Gbbt (cointe dé 6)^y). (é.-B.) — Qaatis afi in-
cepto. BB De Gret (baron de Walsinghain). -^
Bsellire non Mebeséëre.
De la PoitihBttiBSPdàD (HHUr^ais de WateHérd).
(O.-B ) — Nil nisi cmce.
Deubt (séigtienr d'Agnens et d<$ ninémàmll). —
J. D. D. (Jossa Domini Del.)
DELOif • — Sènwart Crèvecœor.
Delfbini (le cardinal). — Primitnr non oppri*
miuir*
Delvon-Saint-Stlvesteb.— Nulle qnatîttir impétti.
0E MoimtOKEHCT (baron de Hoiintmorrés).(4.4i.j*-
Dien ayde.
Demman ( baron Demnan). («.-ftO — Pnîdentia et
Constantia.
Derbt. (O.-B.)— Laneastreau comte Derby!
Derimg. — Terrere nolo, tlmere nescio.
De Ro8. — Grom a boo.
Dbscxabes. — Chiêvret
Desmaisières. — WaUincourt t
Dbsset du Leiris. — Preux et courtois.
Dessofft de Gsernee. (Aut.). — Pro aris et focîs.
DB880LE. — Certa fulgent sidéra.
DEfTENE DE DaMAS. (P.-B.) — BollO dUKI.
Deteredx (Ticomte Hereford). (G-B.) — Virtutis
cornes invidîa.
DiBBBTs. (P.-B.) — Arma nobilitant.
Dickson. (O.-B.) — Fortes fortuna juvat.
DvRT. (P.-B.) — Nec temerè nec tinnidè.
DnEULETECLT DE LaUNAT. — DiCX IC TOlt.
DiGBT (comte de Dif^y). (0.-B.)— Dec non for-
tuna.
DiLLON (baron Clonbrock). (0.*B.) — Auxilium ab
alto. = DiixoN (comte de Roscommon). «*- Même
devise. «
DiLLOM-LiK (Ticomte Dillon). «^ Dùm Wf^ spero.
DiNAN. «— Bary avaiU I
Dion de Yamdonme. — Domino ad a^iavandum me
festina. — Dieu en ayde.
DismiEu. — Il n'est nul qui dise mieux.
Doue. ^Quod dixi, dixi.
boORN YAN WeSTCAPEIXEv (P.«B.) — D06 WCl 60 lie
niet om.
DoNGQUER DE PsERRoiLOPFR. -^Post tcncbras apero
lucem.
>%
*•
s
^ 75 —
DinGtiMKi. — Franc comme Tor.
BoMum (iMffoii Donner). (G.-B.) — Gi6 che Dio
▼noie, io Toglio.
Demi. — Ftctis fiacta adomat.
DonTAMs. — Mienx j'attends.
Doublas (baron Douglas). (G.-B.) — Dougloi Saint-'
Gilles ! — Jamais arrière, s Douglas (comte de
Morton). — Look sicker* « Douglas (comte de
Selkifk}. — Jamais arrière! — Firmior cpiè para-
fer. ■■ Douglas (marqnis de Quensberry). — For-
ward.
Douglas. (•.-•.) — Audax et promptns.
DouTiLLB. — Fais bien, on te nomme.
DoTLB, — Fortitndine TÎndt.
D'Otlkt. («."B.) — Do no yll, quoth D*Oyle.
Drakb. — Anxilio diyino. — Sic panris magna.
Drbshat (Du). — En bon espoir.
DaujON ni Bbaulibu. — Gara quod acqnisti.
DauMMOND (baron Willongfabyde Eresby). (G.-B.)-—
Animas non déficit aeqaus.
DnuHMom(dac de Melfort.) (G.-B.)— ffan^TTart/y/
— Ab ano ad omnes. — Sanguis regnm Hunga-
riae.
DuBAftiT (Comtesse). '— Boatez en avant.
DucKBTT. — Je veux le droil. *
DocuiiinLtt. — Ubi amor, M fides.
DuciBST DB YiLLSMEUTE. — Pcr sidcra cresco.
DuvF (comte de Fife). — Yirtate et opéra.
QuauseLiii. — A^oIrt^Domefiniiellii; — Dat virtos
quod forma negat.
— 76 -
DuMiiTz DE GoiifF^ -rr ÇrescU ykmv ip ^cpîGulo.
DoM^SDE GuLTDBES. --^ |Ialoi^oni q\i^ l9s4lMrî.
Dumas de Pbtsac. — In hoc signo viac^s,
DuMOMCEAu (P.-B.) — HejyrinoiMruig vaff iBeiJieiMt>in«
DoNBAR (baron Duffas). oa.r||.}-r-$9b fipe«
DuNcoip9E (l^aron F^.en^aH9). ifi.rj^.y-rr^ p^, |Ufl
Ddn][>49 ÛMiTpn Dandas}. (O.Hp.) — JÇ^y^z i
DiJPE9ivi|i {b^iTon d*ns»a]|;4* r-r Ni v^pitë ni ibflMwe*
Du Pless^1|Ioiu(at. — ^lie el V^vle.
Dupont-Labbé. — Rep chang.
DuPBAT. — SfG^ me^ Peua. = Dpi«^ tfje «biuieii-
lier}. — Yire^it vul^are virtua.
DuPUT. — Pro Deo et r^ ipe mti4$i tfur».
DuBAMT ()e caf^inal). tt Jioien\9i divaipl*
DuBANTT. -r Di (v^Qf i|i legge.
DURFOBT DE DuBAS. -rr J>tcraf /
DuasEN (p.-){|.) Nec ^mefà nec timi^
Dimiroi* -- VAP!^ ^^ rhoonaqr.
DuTiiEu. — Bien faire et nt riea euiiidlre,
Dotai, m ^eauluu. -^ Fiielitile. a? Ik^xàM. nf
I. r- Même deviae.
ËABDUET-TwiautOH-Fiimsi. (<kf>.>— Jfanai pgaaa
aninpiqau
Eait. (0.-J9.) rr-f^ayanee.
SDBif (toron AnckUn^. («.<»•*) -p. S aîl
= Edbn. — Même devise.
— 7T —
Emcouèm (comte de Mbant-Edgcmnbe). (Û.-B.) -^
An plUilr fort de Dieu:
BMMmvroHi. (0>A;) — Yirtus: aoget honorem.
Edwaedbs (lord KensingtOD]. (C^>B.)'*— Itici^/-^
Garde It foi.
Ebcbauti. (Bil.) — • Grimherghei!
EesKTON (comte de Wilton] (d.-B.) — Virtuti {non
armis fido.
Elbens. (G.-B.) -^ El piilr (ëdele.
Elfoid. (G.-B.) — Dîfficfliàquae pùlcba.
Bluot (comte de Sulnt^ermainj. (à.-B:) — Occar«
rent nnbeg.
ELuoT-MuiiAr-KtNT)«MOND. (G.-B.) — Sûaviter ef
fortiter.
Elus (lord Howard de Walden). (G.-B.) — N'en
quo, aed quomiôdo. » Ellis (baron Seaford].—
(Même devise).
Elphinstone (lordEtphlûstone). (G.-B.)— Cause eau-
Bit.
Eue de Saint-Jolliem. — Yinco dulcedine robur. —
Vires dulcedine vinco.
EiirrAifBi>EGirr88iGiaB6(de8). (Pi-B.) — Virtuti, fide?.
— Dat Tirtus in armis.
Eon de Beauxont. — Vigil etandax.
Ebâid d'HellertillièM.' (û^abéié:) — Non griflhm
Danorum ducis Erardl, sed solum* illiiià pédèl
tronco ligatos cernivimus.
Ebaihb; -^ €edo nulli.
Ebe. — Hamtl/tVf/
JUtàcAi -« If asci, Itborare, mott'
— 78 —
Erm. — Non sanguine parcus.
Erskine (comte de Buchan). (O.-B.) — Jadge nonght.
s= Marr (comte de). — Je pense plus. » Erskoik
(lord). — Trial by jury.
Ertrorn. (P.-B.) — Spes mea Deus.
EscÀiLLON. — Beaumés t
EscALiM DBS Am ARS. — Par moi seul.
EscAUFFODRs. — Moncieourt I
EsNs ou Aisne. -~ Impavidi fnimus.
EspiENNEs. (P.-B.) ^- De spims ad rosas.
EsTOUFF DE MiLBT DE MuREÂULT. — Auspldum in
terris haec domus habet; manet altéra ccsli^
EstrighA^Baràcé. — Nullibi non victor et oirans.
Eternac. — Main droite !
Eyams-Freke (baron Garbery). — Libertas.
Etbrts. (P.-B.) — Usque defendam.
Etnattem. — Enatent yel evolent.
Etre (comte de Newburgb). (O.-B.) — Si je puis.
F.
Faqel. (P.-B.) — In recto decus.
Fages. — Intacta I -~ Régi fidelitatem liliacoronanU
Faillt. — Renty t
Faiole. — * Régi patriaequae fidelis.
Fairfax (lord Fairfax), (G.-B.) — Fare, fac.
Faletans. — Une fois Faletans.
Fallet. — In spe.
Falcoz.— • Semper inaltum. sFalcoidk Malital.
— Ad quid venisti.
Fane (comte de Westmoreland}.(<fr.-B.)— NeTile£uio«
- 79 -
FamIesb (Alexandre). — Hoc Jupiter uIior«
Fakqithâk. — Mente manuque.
Passion. — Fulget et floret.
Faucomioèke. — Qnid est qnod fuit.
Faux. — Tempus edax rerum.
Fayrb (barons de Peroges et d'Aiguebelette, seigneurs
de Yaugelas et de Yillaret). — - Fermeté.
Faytn Mtpont. — My pont difficile à passer.
Fat (du). — Faites bien et laissez dire.
Fatil (du). — Pietate et armis.
Fatolle. — Nonilnsedubique*«BFATOLLS la Toubnb.
— - Tendit ad gloriam.
Fbilding (comte de Denbigh). (O.-B.) — Cresch sub
pondère Tirtus.
Fbillbns. ^- Valeur!
Feillsns (seigneurs de Channy et de Volagne). <— En
Dieu TOtrc vouloir.
Félix du Mut. — Felices fuerent fidèles.
Ferquson. — Dulcis ex asperis.
FxRiAiiD. — Pro fide, pro rege, pro me.
Feeiari. (Ital.) — Ferrea raro rident.
Ferion. — • Ferro cadit auréa messis.
Ferron du Cheshe. — Sans tache.
Perron de la Perronnats. — In hoc ferro vinces.
Ferrus. — Fides perpétua.
Fescbal. — Rien qui ne Ta.
Fbttes. *-^ Industria.
FpRsiiGH (baron Ffrench). — Malo mori quam fcs-
dari.
Fnrrts. ««• Saint Paul eamp d'ÂTaine.
— 80 —
• m. m • ^
FiiNNXi. — • Àrfoiê U ^nol^le l
Fibnnbs-Pblham-Clinton (duc dç Newcasde}. *-
(0.*B.) Loyaultc n*a hoote.
FiNCB (comte d'Ailesford). (0»-B,} — Apeito.^ifiTinc^
▼oto.
Finch*Hàtton (comte de Wiacl41fiea). (4.-90 —
Nil coQScire sibi.
FisicAT. ^- Aes, nonyerba.
FiTZGEiALD (duc de Lelnster). (G.-B.) — • Grpm. i
boot
FiTzeuBON (comte de Çlare). (O.-BO — Nil adoûirari
Fitz-Herbebt (baron Saint-Helen's]. (G.-BO — lo;
taminaiis honoribus.
FiTZROT (duc de Grafton). (0.*»B.)— Etdecnsetpre
tium recti.
FiTZwiLLUM (comte de Fitzmlliam]. (G«-Q^) — Ap-
petitus rationi parcat.
Flayimbs. — Le Leubantoeux.
Fleming. — Pax, copia, sapientia*
Fletcher. *- Nec quaerere nec sperQere honoreSi
Fletgheb. — Martis non cupidinia*
Flocquette. — GrUHwall
Floris. — • Florebuat et non déficient — Floe e
Tirtus.
Florisone. (P.-B.) — NttUus sine flore firoctu^.
Flotte de Saint-Martin. — To«( flfHtA*
Foix (Pierre cardinal de). — • Senrire !>«>« regnan
est. as Foix (duc de). — Lon|^ ieris aort fereft. s=
Fon (Pbœbos de). — TocqnoftigtOMt
TMldlÉft^ il ttt'VlMM.
— M ~
««iFon (comtes de). -^Nt^rBDimè RUrké ôa Béwmt
Fout (baron Foley). (Gt-B.) — ' Utproâiin.
Fouir. — Foliam ejus nanquam defltitt.
Fouus. — Qui sera sera. — PHncipils obsta.
FoRTAHCBs. — Tout aidsi Fontatageà.
Fomv (baron ForbëS). — Grâce me guidé.
FôusB (cdmte ide Granard].' — Pat inetitlii, in'ceiï-
dium gloriae.
FoiD. — Omnium rerum vicissitudo.
FoiKtm (baron Forester). (G.-B.) — Semper eadem.
Fû nf MUia (comtede Fortescbe)^ (di-V.)*— Forte scth
tom Balu» ducmn.
Foetu-d'Urban. — Turris fortissîma virtus.
Fossiz (du). — Goncordia victrix.
FoucàVLT.— Ofes'à eux.
FouMUkf. — Sunt milii in custodiam.
FovLLON. — Dietrle yeut.
FouQUET DE BsixisLB. ^ QùA^ flOfi asCèudisim.
FouBC DB Laneau (du). — Sont glorlde stiioiiali.
Fox-STBAMQirATB (comto d'IIcbeâter). (G.-B;) —Fair^
sans dire.
FoTAL. — Virtus iddidit alas.
FaAMOMT. — Vires dulcedinè vinco.
FiASEï (lord Saltoun). (G.-B.} — In God is ail.
FiASBi. — Je jpis prêt.
FnBVAU'HiTFoiD (baron Redesdàle). (G.-B.) —
iBquabiliter et diligenter.
FnoosB. — Ni matar me, ni espantar me.
FitmOT. — ^c virtus super astra Tefait.
Mmahm lanmi. -^TMiis lob rtmls.
~ 8Î -
Fbemiis. — Eicaillon Denaing!
Frodlat. — Pro rege et pro fide.
Fugger-Bàbembausen. (Au.) — GoU und M ariau
FuBSTENBEBG. — Et si omoes, ego uod.
Ftot. — En doubtant je m'assure. =:Ftot d*Abiou
(Jean). — Fines tuos Jano. = Ftot db Babaik,
(François). — Dam nascor fio, fioqae dum morior,
G.
Gage (vicomte Gage). (O.^B.) — Courage sans peur.
Gaguano (princes de Torremuzza.) (iTâk) — Allicii
et territ.
Gagne. — Recalcitrantem cogo.
Gaione d*Ornée. — In me fel nullom. <= Gaigni
d'Obmée (Barthélémy). — Grespitantem excito*
Gaigmeau de Chateaumoband. — Que fata.
Gailhag. —Elle guide pour Thonneur.
Gaillabd. — In excelsis.
Gaillabd ab Baggabat. — Deus et honos.
Galle AN. •— Semper magitt — Ab obice saevior ibil
Gallien. — Praemium yirtutis honos*
Galwet. — y incit Veritas.
Gamacbes. — Gamaehes I
Gamom. — Yirtus in arduis.
Ganat. .— Non rostro , non ungne» aed ails itnr a(
astra.
GaND de M&BODE, de MoNTMOBENGT, DlSBNGHIBlf Bl
Mamimes et db Yillain XIV. -" XIY I XIV 1 ^
Sans reproche* -« Gand à ViUaia aam reproche.
— 83 —
Gantés d'Aioàinstelle. -— Noble sang, noble cœur.
— Sensere gigantes.
Garagnol. — Sarsùm.
Gardner (baron Gardner). — • Valet ancbora, Tir-
tus.
Gasgoighe-Gecil (marquis et comte de Salisbury.)
(G.-b:) — Sero, sed serio*
Gaugourt. — Gaucourt !
Gaude de Martainyille — C'est mon plaisir.
Gaudot de Haurot. — Partae sunt mihi.
Gautier de Yalabres. — Dédit aemula virtus.
Gayre; (P.-B.) — Gayre au chapelet.
Gayrier de Yergennes. — Recta ubique.
Gat. — En tous temps Gay.
Gâtaidon. — Yincit Léo de tribu Juda.
Gearie. — Chase.
Geblhand. (P.-«.)— Animo et fortitudine.
Geen. (P.-B.) — Fidelis gratusque. '
Geer. (P.-B.) — Non sans cause.
Gkiilis. -— Foirex Sillert.
Gentil. — Du cœur de Gentil.
Gérard. — En Dieu est mon espérance.
Gérard DE Hielet yan Coehooric, (P.-B.)— «Faire que
deyra^ ayienne que pourra.
Gbrbais. — Si n'estoit.
Gerigkb yan Hbrwtnbn. (P.-B.) — Labore, cons-
tantia, integritate.
Geryais. — g. g. g. (GeneroseGerit Geryasius).
Geyaerts. (P.'B.) — Per tôt discrimina rerum.
GiYACDAN. — Cruci regique fidelis.
I--*'
~ 84 —
Gbtbbs Dktmoot. — Constans aç tarlii».
Guc (le maréchal de). —Dieu ganlele pèlerin*.
GiBBEs. — Tenax propositi*
GiBEBTis. — Praemiamartis.
GiiON wj CouBDiç* — Semen ah alto,
GiFFOBD (haron Gifford). — Non sine oomiiie*.
GiLBBBT CoLONGEs. — Le desseiD en est pris.^
GiuEB. — Foniuidine et humilitate. .
GiLLBB. (F.-BO — la.setermuii non . e(maKi^çI)îr
tiir.
GiLLBB (Nicole). — UDg Pieu, une loy, onefer*
GiLLOif. — Deicordis !
G1NB8TOU8. — Stahit atque Ooreblt.
GiNUL(comted'AtUone). (G^-B.)— Malp mori^oim
foBdari.
GiBÂBD nu PBT^^fp^ — Cmx» décos étapes*;
GiBÂun. —De prèa, de loin.
Glabgbs. — Montigny au bélier!
Gléon. — Au seigneur de GUw^t ^ Attea.prie <pii
se complainte.
Glutz-Blozheim, — Fortiter et soavU|Sr.
Gltnm. — - Finn to my trust.
GoAzouHÀixi. ^r- Oher ha tevel.
Godbbie. -— Graineaurt Saint-Équbertt
Gonm* — Hwrdaing le sénéchal t
GoBTHALs. (P.-B.) — In als Goet.
GuxoM TAU Babsbchem. (P.-JB.)— Çofd^t / Cordes ts»
GiixoN db GcniABiKiqu^^ (Uirne al).
~ 85 —
GoHOiT Di LÀ TocA* ^ SpirHus etçor, .
GouLAiD. — «.^irœa et,plac)da8i spari^^ Ufit^^i
GoMBERT. — Stabont, me custode.
GoiwT (doc4e ReU). — Noa Bine labpre^ .
GoHTAirr-BuoN. — Périt sed in m/^^^Xf^
Biron.
GoifTHiB&. — . AmpBT aans crainte.
GoocH. — Fide et virtute.
GooLD. — Deofi 4nihi jiroYidebi^ ,
GoiMK (oouii^ d'Âl^ferd^i^)* (G.-B^ -r Tqntnna^^er ,
qoatur. ■■ Gordon (comte d'Aboyne, baron Ah|^-
dram). — Stant ccBtera Ugno* = Goiipoii (dnc.dt:
Gordon, comte4'Iiiverne$6), — Ai^mo'noaastat^.,
= GoR^N (vicomte de Kepmure)..— DreadGpd^.
GoRi (comte d'Arr^]. ciwO|.>^lnJioç«i|noTiiK^
GoRWGifBT. -p^.Enjitt^QdwtBiieuj^;,
GoRRBTOD (doc dc Pont-de-Yau^ipiiarguif dellan^j).
^ Pour à jamais.
GoTHD oa.GoTTo. -^ Ab^ortii ad occasum.
GocAT. — Unguibusneç. ro^tijo sed Iflis»
Goo«B-CULTHR||fp^. (barop Galtl^^^^ (CMi.) -^.
Grado diverso, Tia una.
Goujon db Thuist. — Sans mal penser,
GouLAiNi. — A ce)tti->ci, à celt)irU, je doppe la i^WÊtt-.
ronne.
GouNONCorRT. — P.,M. Q. F.
GoiTRio. -— Diejime tue.
GoTON DR llATifiNpK«>- Litsêê à Mo^ign^f^t
GoiOM. —Le raioqpieiirda drafe»«:
— 86 —
GozzÂDiNi. (Bolm«b]. — Reqaies mea.
Gkaham. (G.-B.) — Reason contents me.
Graham (baron de Lynedocb). (0.-B.) — Candide,
sincère.
Graham (duc, marquis, comte de Hontrose). (G.-B.)
— Ne oubliez.
Grammoiit. — Lo soy que soy.
Grammont de Vachères. — A resistente coronor.
GRAiiDPRt. — Animus imperat.
GiANSON. — A petite clocbe, grand son.
GiANT-OoiLYiE (comte de Seafield). (tf .-B.) -> Stand
fut.
Graincourt. — Saint-Haubert !
GiAifTELLE (le cardinal de). — Gonstanter.
GiAS. — Volabunt et non déficient, altiora petens.
GiASSB. — Prome, Domine, responde.
Grasse. {DâmmaL) — Bonne renommée.
Grattet. — Tout à tous.
Gratz. — Stat fortisinarduis.
Grates (lordGraTCS, baron de Gravesend.) (G.-B.)
— Aquila non captât muscas.
Grat (lord Gray. ) (G.-B.) — < Ancbor fast an-
cbor.
Grerert. — Haueùurti
Grebn. — ^uam senrare mentem.
GrRÉGoiRE DE LA Gache. — Saus s'ondormir.
Grenu. — O Dieu, tu me yois Grenu.
Greslet. — Melior fide quam fortnna.
Gretillb (comte de Brooke et de Warwick.)(G.-B.)
— Yix ea nostra toco.
— 87 -
Gkst (comte Grey). (G.-B.) *-Debon vouloir servir
leroy.
GivT (comte de SUmford et deWarrington). (a.«B.}
— - A ma ]iQls8tnce.
Gui. (P.-B.) — Utinam citios.
GiiBALDi. — Plus penser que dire pour parvenir.
Gbionàbt de Ghampsayot. — Spes mea.
GauxB. — Nititur in vetitum.
GaiMALDi (prince de Monaco). -« Deo Juvante.
GmuuD^KOQim. — Intrépide.
GanfSTOM (comte de Verulam). («•*«.) *-. Mediocra
firma.
GrOKNINGX van ZOELEN tan RiDDERKEaK. (P.-B.) •—
Patriae haud segnis.
GaoLÉE. — Je $uii Grolée! — Format regendo co-
ronas, ou Assai avanza chi fortuna passa. = Louis
PE Grolée. — Remigiis utar, si non afflaveril
aura.= Atmon SB GaoLtE.— Turbant sed extoUunl.
Gros. — Utinam!
Grosvenor (marquis de Westminster). (0.-«.) — No-
bilitatis virtosi non stemma^ diaracter*
Gruel. — Yigilantia.
GuAT (du). — Fidelis et audax.
GDAT-TROUTii'(du). — < Dédit haec insignia virtus.
GuÉBRiANT. — Dieu y pourvoira. *
GuENaAT. — Trésor.
GuER. — Sine macula.
GutRiN. — Intrino omnia, et uno.
GuBRNizAC. — Ped brebel.
GcBSMET* — Tuiissima lorica virtus.
— 85 —
QcKàMHm^'^JÀeû me tue.
GuicBBMON ▲ Bourg. — Fidelis praemia penn»..
Goorrur m Bountast. -* Hile <|aiiL ^bital«:
GCIGNARD DE SaINT-PRIEST. — FWt «4 femOlt* .
GUILLAUMANCHES DE BOflCâflB. — 6Mkm9KamckiÊêi'^
— .Nimqiiam jugtu». — IndoûUia.jqgiunfalL^f—
Indomitus Oerik .
GoiON. — Vis unita fit forlîQr.
GuiRAiiAiiD mi Sadolbt..— C'eal.iuLRUalfr*
Guise.— (a) Chacun a ioaiOQr»'*-UBdiqii^4mmRi:
Gunoir. — < Dieo «yt^.
Gunnuig. — - Imperio régit unus aequo.
H,
HicutHA. -*- Mtfrendoi
HAtisoLTB. (P.4.) -^ Omnia tempot hiAPii.-
Halamzt. — A ma valeur.
HAtE0. — Y!r oniti fortfor.
Hakel (du). (PUnui). — EteaiHùn IkH&ln§l
Haiiel. — A toute heure.
Hakel-Bellenglue- DE- Grand -"RouiGOURT <d6}.
(Abtois}. — Qui 8*y frotte 8*7 pique.
Hakelamcourt. — Séchelles.
Hamilton (baron Belhaven et Stenton). (0;-B.)—
Ride througb.
Hamiltom (vicomte Boyne). (G.-«.) — Throught —
Nec timeo, nec sperno. «■ Hamilton (marquis
d'Abercom}.— nroivA I ^-SoU nattas, Tirliis.as
— 89 —
Hàmiltom (duc d'Hamilton, dc^Bv^do^manii^s d^
Dougtas et dfi^ Gl^ydesdale, comte d*Apgus,.d'Anrw
et de LanariK, lord Hancashire^ baroa IHitkuil. -r-
Throught = Haiolton. — Throvigk!
Hàmilton (comte d'Haddingtonj. (Ok-nJ -r. PraegUi
et persto.
Hamon de Boutet. — En boa espoir»
Hampson. — Nunc aut nunquam.
HfNDGOGK (Tîcomte Gastlemaine)^ (^«-B.) -r.YigUato
et orate.
IUme. (P^B.) — A Deo et rege»
Haugest. — Hangest !
Hànhbr. — Garde l'honneur.
Haeboep (baron Suffîeld). (O.-B.) — • Equai4n4teit .
HAKCBiEgt -7- EHerpy !
Harcourt. — Pour ma défense. = B^bcourt <cb^
valier d']. — Hinc lumen, bine fulmiiift.
Hardenbroek. (P.^^.) — Semper idem,
« Hardouir de Perefixe de B^iUMOMT..— Usque ar-
dent fixa nec errant.
Har9 (comte de Ustowel}, (G.-B.) — Odiprofanum.-
Hareng de la GoNDAMUfE. — Nul bieasai)^ peine^
Harlbt (comte d*Oxford et de Hortimer). (G.-B.} r-n
Virtute et fide.
Harrinoton. — Nodo firme.
Harris (baron Harris). (O.-B.) — Hydery — >li[y
prince andmy country. =.Harru (comte, d^^llalr
mesbury). — Je . maintiendrai. -^ Ubiqii^ p^triam
reminisci.
HARTET-HfWff (lord Hawke). («^*B.) --. Suil^
— 90 -
Hâspkes. — Wàttaineourt!
Hastings (comte de Hontingdon). (G.-B.) ^ In Teri*
tate Victoria.
HAsnNGs. (G.-B.) — Vincit veritas.
Hàtzfeld. — Virtus et bonos.
Hauchin. — Montigny Saint-Cristophet
Haucourt. — WMaincourt!
Haosst. — Haussy !
Hautefort. — ÂUfju et fortis! — Force ne peut
vaincre peine.
Haotier de YiLLEMOiCTÉE. — - Nec dura nec aspera
terrent.
Hat. (o.-b.)— Serva jugum.=: Hat (comte de Tweed-
dale et de Gifford). — Spare nougbt. =Hat-Garr
(comte d'Errol). — Serva jugum. » Hat-Drummond
(comte de Kinnoul). — Renovate animos.
Head. (G.-B.) — Stndy quiet.
Hédouville. — Totum pro Deo et rege.
Heldbwier. (P.-B.) — Pietas ante omnia.
Hemert de Beaulieu. — Antiqua fortis virtote.
Hehrigourt de Grunne. (P.-B.) — Hemrieourt! — La
foy, la loy et le roy.
Henin de Citvillers. — Nihil agere pœniten-
dum.
Henlet (baron Henley). (G.-B.) — Si ait pra-
dentia.
Henneouin . — Goronabo.
Hennker-Hajor (baron Henniker). (G.-B.) — Deos
major columna.
Hbnrt de Bohal. ^ Potins mori qnam fœdari.
^9i -
HiiiiT Di jAiNiotT.— DadH Uli nomen quod esl sih
p0r omne noineii.
Hbiht db la MoraL *- Tom*oars en ris, jamais ea
pleurs.
Héiâl. — Neqne Caribs, neque Sejrlla.
HsmBnT (eomte dé CarainroD)* (tt.-B.) «— Ung je ser*
jriray. 2= HnainT (comte de Pembroke et de
Hontgommery.) — Hème devise.
HiRON. — Ardna peUt ardea.
Heisaktdd Bubon. — Evertit et aaqaat.
HEaTAiifG* — IhiboU de Hove t
HiBYET (martiub et comte de Bristol). (O.-B.) — Je
n'ooblieray jamais.
Hbsecques de HaaiGouiT. •— A jamais Hésec-
ques.
HssiLBifiaE. •— Pro aris et focis.
Hewet. — Ne te quaesireris extra.
> Hbwitt (Ticointe et baron Lifford). (O.-B.) — « Be just
and fear not.
HisBOiHB* *— SuaTior.
HiLDTÀBD. — n)i80v mytiw TravTOç.
Hiox (baron Hill). (G.-B.) — Âvane$% l
HiLL (marquis de Downshire). (G.-B.) — Per Deum
et femnn obtinui.
HiLLàBT. — Virtntinil inrium.
Hmoiosà. — Deus clypeus meus.
HimsLiT. (G.-B.) — Amicitiae virtutisque foedus. <*
Hiprounr de Yatton. — Non mibi sed patrite.
Honnrrr. OP.-B.) «*- Optimos qniaque nobilissî-
— 9Î —
HoBTKfDcm (P.-B.) ^ Nil totem U m iT d mu u
HoGENDORP. (P.-«.) — Ne Jupiter, quidon omnibnt^
s= HoesNDOBF TAN HômvEftBN. — Ittoie dtfrîMu
HoGHTON. — Malgré le tort.
HoHENLOHE. -^ Bk flaiBBlit orior.
Hounu» m Bmupvlt. — Fidèle à mon deToir.
HoLBon» (comte de Sbeffield). («.-B.) — Qutm.le
Deus dsse jussit. -
HoLTCBT. (P.-B.) — Halo mori quam macukri.
HoiUN. — Hmdo som.
HONNEGOURT. — OUy !
HoNTwooD. (G.-B.) — Omoe boninndetiiper.
HooD (vicomte Hood). (G -B.) -— Yenlls secmkUKs:
BàiiMPOBT (baroD^de). — Steadj.
HooKE DE l'Etang. -^ Signa fortium.
HooRN TAN BuRGH. (P.'-B.) — j^ectos a Deo bea*
tus.
HopB (comte d'Hopetoon). (G.-B.) — Ai spes noB.
fracta.
HoREAL. — Semper virtute. = Hobbal (Joseph de).
— Laus Deo !
HoRSLET-BEREsroBD (baroo. Heeies). (C^-Bk) ^ Nil
niai cmce.
HoTHAM (baron Hotham). (G.-B ) — Leadom
Houx DE YioMÉNiL. — To^jours . fidèle k rhon-
neur.
HowABB (coBita de Carliale). (a.-x) •. — Y«lo« mm
tbImk w HewABB (lord Howaid). — llrtBB Brille
seBtB.^= H»WABB (dBB do 'Norfolk)»:— AolB Tfatm
ioTicta. ■■ HowABB (comte de Soffolk et de BeriL-
~M —
aUn^-*- KaM mAintieBiroaB. ss Btmuj^ (comie
de Wicklow). — Senrire Deo et laetare.
Hownfc-ïmmauMr :(]Muron Thorlaw). (•.-;■«) -*Q«o
fata Tocant*
HouKEDB Ssiiainr. — El habetaaa sidéra teUus»
enana flianm DinoièeD). (tt^-B.) — Rliad duw a
rhyddid.
HirausT DB StMOicnixE. — Candor et robuK
HULDENBBRGSI TAN DBR BORCH. (P.-B.) — Hicat U-
bore aunim.
HuMB. (G.-B.) — True to the end.
HuMB DB GwRUT. — Fidèle jusqu'au bout.
HinuoT SB CiBTBiiiT. — Certat msgoribus aatris.
HuBTADO DB Mbndoça (duc de rinfantado). (Bar.) —
Ave Maria, gratia plena.
HuTGHQfpoH (comte de Donoughmore}. (G.-B.) —
Fortiter gerit crucem.
HoTTBAU d'Oriont. — Deo et régi fidea impayida.
HoiMHB. (B.-B.) — Nosce te ipaom.
L
lyBBTaoM. — Vol liber et morior*
iDDBEiMeB. (i^.-B.) — Fidesed cuiTk
Imbuzb tanBatbnburq. (P.-B.)— Sebrie,tigUaiiter.
Iiiaua. — - Reett facieado aecorus.
ImBRT DB LA Platièrb. — Nesctt labî viitua.
iBeuiMBBRT. — Finnaaturab astria.
llwHbEitt (duc et cwne de Rosbuti^ (a--B.} «^
Vro Chiîaio al RatriA,, 4ulM|MkttlaflDu
/^
» \
^94 -
tfiBT (lord Boston.) (O.-B.) — Honor fidelitttift pn&
mioin.
IsHiM. (O.-B.)— Ostendo, non ottento.— Onthing
transilory resteth no glory.
IsLE (de 1'}. — Fraya Pkalempint
IsMÂiD. — Si approchez, elles piquent. -— Lastima
apretadas.
J-
Jàcob. — Parta tuere.
Jàcobdb la GomitBE. — Soin et yaleur.
Jacobsbn de la CBOSNiiBE. — Wysellck yromelyck
yjAMEs. — rayme a jamais.
Jassacd. — Lux et virtus meae.
Jannel. — Galas suorum strage fugatur. — J*ai ei
elle confiance.
Jas. — Rochêehouari I
Jenkinson (comte de Liverpool). (O.-B.) -* Palm
non sine pulvere.
Jebningham. (G.-S.) — Virtus basis vit».
Jebtis (vicomte Saint-Vincent). (G.-B.) — Tlius«
JoGELTN (comtede Roden). (G.-B.)^Faire mondevoii
Johnson. (O.4.) — Deo regique debeo.
JotNvnxE. --* JoinvUle!
JoLT. — Magnus amoris amor. « Iolt de Cwnâ
-^ Toujours serai.
JoLT DE Maizebot. — GcbIo tutB qulcs.
JOLT DE ChOIN Et M LtABBNS DE DaNGES ET BK GlAU
Lou VBBS. ^ A Domino factum est istod*
— gs —
JoHif (Ticoiiite Ranelagh). (a«4i.) — Cœlitùs mihi
Tires.
JoMKs. {0.-B.) — JOeus pascit corvos.
JOO0 DB TSE BsEiar (P.-B.) — Fidelitas mea lex. .
JossA-Làuyràins. — Fulmina, si cessant, metamen
urit amor.
JoDBNMB d'Esgrignt. — In hoc signe vinces. — Pins
et fidelis.
JoCFFiET. — Luis en croissant.
JouRDAUf. — Senrire Deo, regnare est.
JouaDÀN (le maréchal). — J. B. J. (Jean-BapUsle
Jourdan).
JoTTÀC. — Fais bien et laisse dire.
JuBit. -^Illorum ope h»c dilata Gallia.
Jdch. — La Nonpareille.
JuuiN** — BaUons et abattons I — Ad alta.
JmpiLLEs. — Utinam virtus tenet juncta nobili animo
meate»
KittuicN. «- Deus, honor et gloria.
Kardel. — Omnia nobis prospéra.
Kat. — Scuto divine
Katb. -— Kyndy Kynn, Knaone, Kepe.
KEitH-FALGOKEi (comto do Kintore). (0«-B.) -— Quae
KsLLBT. — Auxiliom ab alto.
Kbhpenaâr. (P.-B.) — Fides.socia viri.
Kennedy (marquis et baron d'Ailsa). (tt.-B.) — Avi**
sez la fin.
— 96 —
KtfNTOU (biron de CSrediiigliMi). ^*^i) -^ Màgflà*
nimiter cracem susiine.
Kbppbl (comte d^A!bemàrf6). (il.4.)— Ifb âdeMlft.
KEft (mairqilii et côiiiite de l^NkiÉii). (41.40-^ Mri»
sed série.
Kbiâeret. — Pa elly.
KnAKcoviT. — DéfèndMoi!
Keiangouez. — - Mutoudez.
KEiÂifGUEN. — Luca éuet.
Kbbatht. — GetaU dé bien ptKèiht j^iptont.
KiiAOTittt. — Mérihé%i t
Kebgkboye (P.-B.) — • Endurer pour dur^.
Kbbempitil. — Qui m Seeti Mtêrt.
KEBeiBiou. — Là oà tillettlrs.
Kbbgobt. — Si Dieu plaist^
KBBGOBLAt.-^Hono^ et pBtrla. — Aidë-tol, Cér*
gorlay, le ciel t'aidera.
Kebgoubnàdbg. — • Yi^fez Kebeoent db UiMdI'
MÀ0BC.
Kbbgoz. *— h qui TM. (Aime qui t*aime}.
KBiGBOAnBz. — BâMm eipoir.
Kbbgboas. — En bonne benrè.
Kbbguelbm. — Vert en tout tempe.
Kbbhoent du IkniàvautT. — Sur m6n bônneorl =s
KBMfOtMT DB OOEItTOTAO. -— Bb D&eiî eH. èm
Kebhoent de Kebgoubnàdbg. — En Men èpl^s
Kbbhobnt de LocmabU. -^ Biett aoitlovél .
Kbbutbb. — Meillenr que beau.
KBBLnnmr. «^ Ypnl Doé.
KiBLOAGUBM. -— Sansefiroj. . .
— 97 —
Kraigui. — Foyez EsBiuvAir.
Kkimàit» . — A tous dix.
KiuiÂTAN ou Cabmen . — Diox avant.
KiuoNGUT. — Tout pour le mieux.
Kbboas. — Ardius superîores.
KiBOuar. — Pour le mieux.
Kbiouàbtz. — Tout en Thonneur deDieu.
Kkhousbbé. —Laisse faire. — List!
Kbriet. — Tevel bac ober.
Kbhsâikt. — Vùyex Lb Chat de Kbbsaint.
Kbbsâuou. — Tout pour Dieu.
KufG (baron Ockham.) (0.-B.)~ Prest pour mon pays.
Kmq (comte de Kingston.) (G.-B.) — Spes tutis3im»
cœlis.M KiNO (vicomte de Lorton).— Même devise.
KmosiiiLL. (G.-B.) — Do wel], doubt not.
Klbbck (P.-B.) — Fidelisregi patriseque.
Knatcbbull. — In crucifixa gibria mea.
Kxowuis. — • Semper paratus.
Kmox (comte de Ranfurly.) (O.-B.)— Hoveo etprofi^
cior.
KBirpr {P.-9.) —Ad astra per arcem.
L.
t.ABAio K Vuitk. -^ In recto perstairç se^iper.
La Baub. — £temité.
La Baub dbs Habes. ^ Sans espoir.
La Babbb hb Flani^bb, (P.-B.) — 1(out pour Vbon-
neor.
6
— 98 —
La BÀum Montketel. — La Baume ! « La Bàuiib
Pluyinel. — L'honneur guide mes pas.
La Baume-Suzb. — Dulce et décorum est.
La Bedollièrb. — Foye^ Bbllefonss Gigault (de).
Labina db Baussbn. — Deo et régi.
La Boubxièbb. — Tout en paix.
Labboub. — In manibus Dominî sors mea. — Cum
Tirtute nobilitas.
Lacgbb db Gamflong. — A mon honneur.
Lachatbb. — A V attrait des bons chevaliers I — Gloriae
et amori.
La Gottbbib. ^ Soin et valeur.
La Coub. — Discite justitiam moniti.
La Gboix (Edme de), abbé de Gtteaux. — Munditia
et labore.
La GBODL-GHBYBiftBBS. — Guerre ! Guerre ! — Indo-
mitum domuére cruces. — Yi^tricia signa secutus.
=La Cboix db Satyb. — Même devise.
Lagboix db Tonignan. — A cruce salus.
Ladouvb. — Saint-Àubert ! ^
La Fabb db la Sallb. — Lux nostris, hostibus
ignis.
La Fbbté. — C'est pour bien.
La Fons. — Aut mors, aut vita décora.
La Font. — J'irai sonner jusque dans les cieux.
La Fobêt DiTOiiNB. — Tout au travers.
La Fobbt db Goasvbn. — Point gesnant, point gesnë.
La Fobbt. -— Loyal ou mort.
La Gbangb. — In spe et consilio. — Pibbbk db La*
GBAN6B. — Conscientia et fama.
— 99 —
La Gruthusc. — Plus est en vous Gruthuse.
La Guighb. — Au plus haut.
Lahouze de Basquut. — At avis et armis.
L'AiGUE. — En arrosant.
Laisné. — Sine macula, ou Unica, unicam relinquo.
Laizer de Siaugeat. — At avis et armis.
Lakb. — Un Dieu, un roi, un cœur.
Lalaing. — Croisilles ! — Sans reproche. == Lalaing
(Charles de). — Aultre ne quiert.
La Lange de Moranyille. — Hac vîrtutis.
Laus-Marayal. — Yirtutis ingenuitas comes.
Lallt-Tolendal. — Just and vallant. — Intaminatis
fulget honoribus.
La Mallardière. — Gedatur feriens.
Lamb (vicomte Melbourne). (O.-B.) — Virtuteet fide.
Lambert. — Seguitando si giunge.
Lambron de Lignim. — Tenax in suâ fide.
Lambton (comte de Durham). (O.-B.) — Le jour
viendra.
La Mbillerate. — Portarum claustra revellit.
Lameth. — Sans redire, ou Nocuit diffère paratis.
Lamire (seigneur de Gaumont, de Houvion et de
Bachimont). — Yirtutis régula mirae.
Lamothb-Baragé. — Lenitatis fortitudo comes.
Lamothe. — In tenebris adest.
La Mothb. — Tout ou rien.
La Moussaye. — Honneur à Moussaye!
Landi de Yaldetaro. — Fidelitas.
L*Angb. *— Hac ad illam. — Nomine TAnge et omine.
Langham. — Nec sinit esse feros.
L*Angudk. ^ Faisons bien, laissons dire«
Lannion. — Prementem pungo*
Lannois. — Votre plaisir.
Lannoy de Sulmone. — Me quodurit inseqaor.
La Noue. — Amor et fides.
Lanriyinen. — Espoir pie conforte.
Lantin. -— Nec fallere nec falli.
Lantity. — Qui désire n'a repos.
La Palu. — Eh ! Dieu, aydez^moy t
La Poippe. — Nec temerè, nec timide.
La Poix de Fréminyillb. — En avant !
La Porte. — Pour elle tout mon sang.
Laporte. — Auspicium in terris hsec domos habet,
manet altéra cœlis.
Laplanghe. — Fiennes I
Lardbnois de Ville. — Franc et loyal.
La Riyière. — Nodos Yirtute resolYO.
La BocHÊ.(Boim«ôcMB.)— Sublimi feriam ûderaYertice.
La Roche. — Lassus firmius figit pedem.
Laroche-Fermoi. — Valore et Yirtute.
La Roghe-Fontenilles." — Guyenne ! Guyenne I
LAROGHEiPÔÛGAULT. — G'cst mou plaisir.
La Rochejacquelein. — Voyez du Verger de La
R(M!Hfe JAGQUELEÏN .
La Roghelamrert. — Amour ou guerre. *— Ni
crainte ni enYie. — Valé me Dios*
La Rochette. — Franc et leal.
La Rodde. — Audaces fortuna juYat.
La^caris. — Làscarorum felicitati.
Lasgazes. — Semper paraf us.
— 104 —
i - ■ . J . . . - ♦ ■ 4 .
Xàscélues (comte de Harewood.) (0.-a.) — In Deo
solo salus.
Latour do Pin.-— Courage et loyauté. — Turris for-
titùdo mea.
La Tour (Henri de] (duc de Bouillon.) — Dant ad«
versa decus.
La Tour-Taxis. — Perpétua fide. . : .
Latour (comte de Boulogne). — Latour Ber^
trand !
. . ■ - ■ -.■.. \ .. .
La Trémouills. — La Trémouille ! — jSafis sortir de
l'ornière. = La Trémouille (Jean de). — Ne
m'oubliez.
LattiÊr.— - Pour trois. = Branche de Bayonne: La
foy, le royi la loy.
Laugier de Beaurecueil. — Yicit Léo.
Laum6nier. — Le pauvre désire Laumônier.^ . . ^
Laurencin de Ghanzé. — Lux in tenebris. — - PoH
tenebras spero lucem. .
Laurières (marquis dePompadour). — Ifagoreidonèc
superem.
Lauta Van Atsma. (P.-b.) _ Antiqua virtute ac
fide*
Lautrec (Odet de Foix). — Dove é gran fuoco è gran
fumo.
Lauwerbtns. — Diepenhede ! Dieperihede ! — Ad Uo-
rum non aurum. = Lauwereyns de Diepensçi»
DE RoosBNDAELE. — Diepenhede ! — At avis et armis.
Laval. — Spes mea crux et amor, — Pour une au-
tre, non.
• -*
Latauttk. — Plosquàm Talor, ralete ralet. =
6*
— 402 —
Louis db Lavàlbtte (dac d'Ëpçrnon). — Glarius
in adversis.
Là Ybrnb. — Yernum tempos.
Là Villb db Fbkrollbs des Doudes. — Tiens ta
foi.
Làw (baron Ellenborough). (O.-B.) — Composituni
jus fasque animi. — Law and eqnity.
Làw de Làuriston. — Nec obscora, nec ima.
Làwless. (O.-B.) — Yirtute et nomine.
Làwson. (O.-B.) — Lève et reluis.
Làze. — Paix à Laze.
Le Bàsclb d'Argbnteuil. — Sine macula, macla.
Le Blanc du Pbrct. — L'honneur guide mes pas.
Leborgne (baron du Pin). — Monstrat yirtus hono-
rem.
Le Bourgeois de Tournai. — Reddite Dec et
Goesari.
Le Brbuil. — Cœlare divinum opus.
Le Càrlier de Herlt. — Buenne vèndegies !
Le Chat de Kersàint. — Mauvais chat, mauvais
rat.
Le Clément de Sàint-Màrcq. — Clémence et vail-
lance.
Leglbrc. — Chantas I
Leclerc. (FLamdbbs). — • Bernemicourtt
Le Clerc de Frànconville. — Tu tibi sis ipse for-
tuna. — Susceptum perfice munus.
Lecointe de Màrcillàc. — Merces exercituum.
Le CoMPÀSSEUR. — Cuncta adamussim.
Le Divezàt. -^ Spera in Deo.
— 403 —
LbdotnAb. — Descordes!
Lbb. ^- Verum atque decens.
Lbbs. — Exegi.
Lbbson (comte de Millown). (O.-B.) — Clarior e te-
nebris.
Lbfbburb. — Animo forti nil forte. — > Hodie mihi,
cra8 tibi.
Lbfbbtbb. — Etiam industria nobilitas.
Lbfbybb-Obàinthbyille. — A Cédât des Roses I — «
Nihil lilia sine cruce. » Lbfèybe db la Maillar-
DiÈRB. — Cedatur feriense. »== Lefèvrb db là
FAUTBADikBB DB Beaufort. — DedU hsec insignia
virtus.
Lbfébubb db la Donchamps. — Yolabant et non dé-
ficient.
LBFOBBsnBR. — Fortis et fidelis.
Lbgard. — Per crucem ad stellas.
Lbggb (comte et baron de Dartmouth.) (O.-B.)— Gau-
dettutamine virtus.
Lb Goux (Pierre). — Inflexus stîmulis omnibus.
Lbgrand. — In variis nunquam varius.
Lb Gris. — Avec le temps.
Lb Hardt. — J^ec leporem féroces procréant imbel-
lem leones.
Lbigestbr. (o.-b.) — Tu Domine, gloria mea,
Lbighton. (O.-b.) — Dread shame.
Lbigontb de Rangouge. — Virtus et honor.
Leinimgen. — Gott thut retten.
Lejeune de la Fdrjonière. — Nul ne s'y frotte.
^ Leje^kb m MAiUBKRs, — - In adversis clarius.
~ 104 —
LBiiMONiER DS u KAmcHB.'-^Fortes creântor foi>
tibus.
Lelt yan Oudbwàter. (v.-b.). — Ab ahisstmo saiàt'
mea vestimenû plus qnain regia*.
Lemâitee de Ferrières. — Angor etaDgo.
Le ICabant. — Bonâ Yorùntate.
Le Makchant de Caugnt. — Nostri senrabitdSoràn.
Lemate de MbTffiAux. — Qaerèhs anima joiî.'
Lemps. — Le temps j^atiends.
LEirniÈ. — Quiévi.
Lenfemnat. — Qui faiibièn^ renfer'n'a.
Lennox (dac de LennoxéldéRichemond}. — >%dta
rose je fleuris.
Lbnoir de la Roghe. — Alborlatet!
Lenongourt. — Lenoncourt !
Lbntilhac. — Non lentùs in annîs.
Le Nt. — Hnmble et loyal.
Le Peixetier'dè Gi^tignyI» Piâèns'Àiàii'dÏE'.
Le Plastre . — Non est mortale qnôd bpfo! '
Le-Poer-Trench (comte de Clâncairty). (tf.-4B.y —
Gonsilio et prùdéntîa. — Hùesdiêû bdèâden.
Le. Prévost dIrat. — Yotùm ï)eo regiqiie toyiI.'
Le Royer de la SAUYAGfcR'B.'— Pro fidè et pàtiiâ,
Lescouet. — Maquit mad.
Lesgours. — Régi soo semper fidelîâ.
Lesdiguières (François de Bonne). ^— Frângit inae-
cessa. — Penne nido majores. « LssDiGuiÈREi
(Bonne de). — Nul ne s*y frotte.
Le Sens de Folle Ville. — Fides sanétificaTit.
Lbslib (èém' û& téféû et de Ùà^iH (a.-Hl.j''-.
— 105 —
Pro rege Bt patrla. = Lesuk (comte de Rothes). -«
Grip fasi !
Lesfimasse. *- Sans chimères et sans reproches.
L'espins. — Décos et tutamen.
Lestkànge. — YisTirtutem fcvet.
Lesyàl. — Stat Tirtos nixa fide.
Letelliee de SouTiÉ (marquis de Louvois]. — tfe-
lius frangi qnam flecti. = Le ministre de Loutois:
Ut te soli explicit uni.
Lethbridge. (G.-b.) — Spesmea in Deo.
Letonmelier de Breteuil. — Nec penâ nec mettt«
Leuchtemberg. ^^ Autre ne se sert.
Leuriot. — > Goulet Roucy.
Ledsse. — Credula turba sumus.
Leyal. — Eadem mensura.
Leyavasseitr (seigneur d'Hiéville et de Cerisy). —
Fortis et prudens.
Le YÀTEB.—i Omnibus carus. = Le Yater de Yan-*
TBTiL. — Môme devise.
Leyeson-Oower <(comte de Granville). (G.-B.) —
Frangas non flectes. = Leyeson (duc de Suther-
land). -—Même devise.
Levis. — Dieu aide au second chrétien. — Duris dura
Frango. — Inania Pello.
Le Yoter d'Argenson (marquis dePaulmy )^ Major
fama.
L'hermitb (Tristan). •— Prier vaut à l'hermite.
L'homme de Yerclose. — L'homme sois homme.
L'hospital. — Semper vigil.
LuNCOURT. — Liancourl ! «- Liancourt invincible.
— 106 —
LiDDBLL (baron de Ra¥eiisworth).(0.-B.) — Unas et
idem. r= Liddell. — Fama semper yivit.
Lietix-Fâmat. — Saint-Aubert! — Gambraitts?
LiGNiiuiBS. — Ligniêres !
LiLLEB0!OiB. — NoUem cessisse minore. — La Corro.
Lmosix Dalheim. -^ Fortes creantor fortibas.
LixDSAT (comte de Balearres). (G.-B.) — Astra cas-
tra, nomen lumen.
Lionne de Lbissens. — Scandit fastigia Tîrtns. — Im-
pavidussursùm yigilat.
LiOTAUD DU Seere. — Signavît per orbem .
LipPiNCOTT. — Secundis, dubiis(pie rectos.
LuTEK (baron de Riblesdale.) (O.^B.) — Retinens
yestigia famae.
LiTTELTON. (o.-B.) — Ung Diea et ung roy.« Littel-
TON (baron de Littelton). ^ Même devise.
LrrTLEHALES.(0.-B.) — finis coronatopns.
LiviSTON. (O.-B.) — Si je puis.
Llotd (baron Mostyn). (O.-B.) — Heb ddûw Heb ddmy
DDûwadygam. = Lloyd. — Même devise.
LoBKOwiTz. — Pope! sem, popel badu.
LocKHABT. ^ Corda serata pando. — Semper para-
tas pugnare pro patria.
LoGKABU. — Voyez Kebhoent de Locmabia.
Lobwbkstein-Webthbim . — Constantia et pnidentia.
LoPTDs (marquis et comte d'Ely.) — - Loyal à la mort.
— Prends-moi tel que je suis.
LoisiBB (Jean)^ abbé de Gtteaux. — Dita servata Gde.
Long (baron Famborough.) (o.-B.) — Ingenuas sas-
cipit artes.
— 107 —
LoNGUVTAL-BcrcQuoY. — 3rag(m!
LoNGUBYUXB. — Arcentque domantque.
LoNQYT (le cardinal de Givry de].— Abundantia dili-
gentibas.
LoNSAAT. — Cambraisis !
LoPBz DS Haro (don Diego). — (Esp.)
D'un dolor que Dios os goarde
Fae cenrada à questa puerta
Quando esperança fue muerta.
LoRAiME (baronet). (O.-B.) — Lauro scutoque resnrgo.
LoRAs, — Un jour Tauras.
LoRT DE Sbriqnàn. — Què non ascendam.
Louis. (0.-B.) — Saint-Domingo* — In canopo nt ad
canopum.
LouRDET. — Labor omnia yincit.
LouYART DE PoNTLEYOTB. — Fortis forUorl cediu
LouYAT. — Lnpus in fabula.
LowRT-CoRRT (comte de Bebnore). (C^<rB.) . — . Vir-
tus semper Yiridis.
Lamrait {coûtent baron de CaYan). (0«4.)— Vtqno-
cumque paratus.
LowTBER (comte de Lou8dale).(o.-B.)— Magistratua
indicat Yirum.
LoTsiB. — Tout à Loigy.
Loz. — Loz !
LuiBRSAc. -^ In praeliia promptus.
LuBOMiRSKi. — Patriam yersus.
LuG»QB. — Uaquequè.
LuDLow (comte Ludlow). (0.-B.) ^ Spero intotis,
metuo secundis.
— 108 —
LuttiiTs. — Le content est riche.
LiwtBT-SÀTiLLB (comte de Scarborough). (6.-B
Monu aeneoSv conscientia sana.
Lutcàut. — Semper fidelld.
LuxBMBOumG, -— Votre veoil. = Louis dk Luxem-
bourg. — Obstantia nubila solvel. = Jbah ra
Luxembourg (sire de Beanroir). — Nemo ad ini-
possibile tenetur. t=: Jean db Luxkmboubg Hau-
BOUBDiN. — J'y entrerai, si le soleil y entre*
LuTBiBux, — Belle sans blâme.
Ltlb-Galuan. — An X, May.
Ltmâbb Gbabbonnibb. — De ebarbon clieTance.
Ltnch. — Sémper fidelis.
Ltùbabp. — Pensez-y belles, fiez-yous y. = Lro-
BABD ( René de) (seigneur de Ghastellard él'ses
frères Claude, trésorier de Tordre de Malte, et
Gboigb). — iToga, religione et armis.
Lton-Bowes (comte deSirathmore et de Kingliom].
(Ck^B.) — Ib te dominé speraTl.
Ltoni. -» Ex génère etyirtate Leones,
LtiAiÉT (biimi Lisle}. (O.-tt.) — JBella, horrida belh*
llAeDONAin (duc de Tarente.) — M y hope is constant
inthee. '
Macheco de Pbémeaux. — J'ai bon bec et bon
ongle.
Machutelu (Vincent]. — Qaanio ii mostrt mes,
tatflo è pi« bella»
t* ' I
— 409 —
Macip.. — Sicut cervus desiderat ad fontes aqnarom ,
ita anima mea ad te, Deus.
IIackat (lord Reay). (a.-B.) -—Manu forte.
Màckbnzie (baronet). — In utrumque paratus.
IIackworth (baronet). — Gwell angan na Cbywyld.
IIagphbisoh. — Sic narravére bardi.
Macquaat. — Gonsilio et virtute.
Madeg. — Nullis perterrita monstris.
Maqalotti. (Ital.) — Libertas 1
llA6DEBoni« (Daniel, arcbevéquede).— Pudeat nos
perdidisse diem.
Magnin du Collet. — Sans luy, rien.
Mahon (baron Hartland). (0.-B.) — Periculum for*
titudine evasL
Maillac. — Fides mea salvum fecit.
Kaillaks. — SwvT8 ôavavTs.
Maillart de Kandreyillb. — Etiam nascendo
tremendus.
Maillabdoz. — Feriendo triumphat.
Maillé. — Stetit nnda fluens.
Maillt. — Mailly ! MaiUy ! — Hogne qui vonra.
Mainwaring (baronet). — Devant I je te suis l
MALADiÈRE-QuiNciEt7. — Mort non paour.
Malaingodrt. — WaUaincourt !
Malarmet* — Sam peur I — Amor in honore.
Malestroit. — Maleslroil!
Malet de Grayille. — Ma force d'en haut.
Malingre AU d'Hembize. (F.-B.) — Yirtuti nibil
obstat.
Maltoisin, — A Deo solo,
7
*
— ilO -
Uakcigoubt •— CrtoeecKir t
Man d'Hobbdge. (p.-B.) — Virilit».
Uandon de Mokde. — Svpenu licet, i
lilia Mcrum.
HAirasanB. — Aat vaon, ant vita decort.
Hahgoi. — Probe et incorraptè. — Màimot di
SciGfcu8. — Poat tendiras spero lacem.
Hâhh (baroDet). — Per ardua stabilù.
Hahneks-Sctton (dac de RuUand). (•-».) — Po«r
7 parrenir. «Uiimu (baron Hannen).— Même
devise.
Hahocut. — Régi fidelis.
Uakibl (baronet). — Qnod valt, raldè Tolt.
Hue. — Jnsiitia mibi constant et perpetaa Tolnn-
us.
UiRct. — Aite et marte.
llutOU (dn). — Forti flde. ~
HutCBIMDE CuiXONT DK DOHBI. — iforcUl I
Mabcillïc. NuDquam marccsceal.
MiHB. C--B.) Houricuretlrayail.
MiMÈfMàL. — Cœloqne Koloqne.
HiBBSCOT. — In hoc sigiio Tincei.
HuEBCon. — Sans douter. '
HABonEBiB. — Cherche qui n'a.
ViBiDÂT. — Dextera Domini fedt T&tatem.
Hun. — Fragile n, ma bello 1
Hauhi. — Ne noceanl.
HitiTRTZ. Quid obstet.
Miamiii (comte de ftonme;}. (O^B.) — Non lUni
sedpateix.
— 111 —
MARTDfPiBT DE ViLLEFONT. — Pro fide pugnando.
Maitin (baronet.) — Initium sapientise, timor Domini.
MiàTm (baronet). — Pro patria.— -Auxilio ab alto.
HimyiLUE DE ViGNEMONTÉ. — Facero benè et laetari.
ICasskris IfouN. — Geluy a le cœur dolent, qui
doit mourir et ne sait quand.
IfASSBT (baron Clarina). (O.-B.)— Pro libertate pa*
tri».
IfASsmo. (Ivâii.) — Cunetando restituit. — Flecti-
mnr sed non frangimur undis.
IIamt (baron Massy). (O.-B.) —-Pro libertate pa-
trûe.
IIathan. — Mcohan ! — Au féal rien ne fall. — Nil
de est timentibus Deum.
IIatihbl. — Nec dominare, nec dominari.
Macbbc. — Maubee!
IfAUDB (Ticomte Hawarden). (O.-B.) Yirtute se-
Gurus.
Hâucukoii db MoiniÉANs. -^ Infringet solido.
Maulb (baron Panmure).(0.-B.) — Glementiaetani'
mis.
Maunt, — Baynault Vancien ! — Mauny ! Mauny t
If AuniBCHÉ. — Bellicae virtutis praemia.
Mauhegnault. (V.-b.) — Vaincre ou mourir.
Mawbet (baronet). — Auriga yirtutum prudenUa. —
Always liberty.
Maxwell (baron Fambam). (<>fr«-B.) •>- Je suis
prêt.
Maxwell. (a.-B.) — Thing on.
Mat (du). — Cœlum non ruinera.
— 112 —
Matengs (Albert, archevêque de). — Hors ultima
linearenun. — Concedo aHllL
Matmàrd (vicomte et baron Matnàro). (Ck4.) —
Manus josta, nardos.
Màzemàjh, (P.-B.) — Melior vigilanlia somiio.
Mbade (comte de GlanwilUam). (0.-8.) -* Toigonrs
prêt.
Mean. C.-b.) — Domine non recoso laborem.
Hedina (Gusman de). ^ Le roi l'emporte sur le
sang.
Meikcgre hb Bougigaut (Le). — la altîs habito.
BfEHEMZE. — Fortitodine, suavitate.
Meugnan de Teignam • — Yirtas et honor.
Mello ou Merlo. — MeUo t
Melort. (P.-B.) — Honestè vivere.
Helun (les vicomtes de). — A nwy Melmm t — ^Piai|l(H
cet montes Deus. '- Ut inter spiritos sacres ora
viator. — Yirtus et honor.
Melvill Van Garmrée. (V.-B.) — Deniipie cos-
lom.
Menard de la HenardiIere. — Nul ne s*y frotte.
Menardeau. ^ Tells opponit acumen.
Mbndoça de RtAL. (Esp.) — Ave Maria , gratia
plena.
Hbnon. — Ni deuil ni joie.
Hercastel de Montfort. — Hongne qui vonra.
MERGcniR. — Plus fidei quam vits.
Herez. — Evertit fortissima virtus.
Merle de la Gorge. — Or, sus, fieH!
Mbsorignt. — Deus fortitudo mea»
— 113 —
Mbsmat. — De rien je ne m'esmâye.
Mesnàed ou Màtnard. — Pfo Deo el rege.
MAnil-Simon. -^ L'effiroi des Sarrasins.
MKtnMftBKns. fP.-B.) «^ i£gro6 vigUaniia serval.
Mbtàxa. — Jttstum et tenacemproposuit*
MtticuiFB (baronei). «-> Conqniesco. '
MBTTXftNicH-WiNNEB0UR6.(AixEM.) — Eraftliid recht.
Mbuéiiiki. — El Tires el animos.
Mbulbiuerb (V.-B.) — Amanli nihil difflcile.>
Mbulh. — Bénin sans venin.
Mbtnieb de la Salle, •— Major fama.
MicHAL DE LA Pauj. •— Je Teille. — Pti^ili vigUat.
MicauiJLDN. --» Yiritts cceli gradus.
Michels. — Signe, manu, voce vinco.
MiGUBLs SE Kessekicb. (V.-8.) -^ Ailes door en
Toor den konîng.
MtMiLBTOM (baronet). •*- Regalrdez mon droit.
MiLDMAT (baronet). — Alla ta Hara.
MiLL (baronet). — Aides Dieu.
MiLLiiRE. — Juris tiUmn legimos,
MiLLINI. — M«
MiLLOTET. — Invitai mellitns honos.
MiLON d'Ahnon. -«*- Non est quod noceat.
MiLONi. — Spinse superani rosas*
Mirabeau. (Voyez Riquetti).
MiRBBBL. — Oh quel regret mon eorar y a I
MissiBiBN. — Drë an mon
MlffAïuBB. — Quod vigili datur, studio aecreseil
vitse.
Minaau.. «-^ Sapiens qui assidutts.
i
— 114 —
MoESLiBif . — Seel pople.
Moeurs. — ^ Mœwrs au wnUe!
MoGEs-BuBON. — - Gœlam non soliim. ^
Moisson. *— Sine messe famés. =HftiJi^Mofittoii db
Set. -— En Moisson loyauté.
MoLAc (Le Sénéchal de Kercado de) .—Crie à Molae t
— Bonne vie.
MoLEswoRTH (vicomte Molesworth). (Ck-B.) — ^Vindt
amor patri».
Molesworth. *- Sic fidem teneo.
MoLiEN. — (VayezMoESLan).
MoLLERus. — Labore ad salutem.
MoLTNEcx (comte de Sefton). (a.*B.) — Vivere sat
vincere. : •
MoNGK (0.-B.) (comte de Rathdown). — Fortiter,
fideliter, féliciter.
MoNCKTON Arundsix (0.-B.; {Voyez Galwat.) — - Fa-
mam eitendere factis.
MoNNÀT. — Numine, regé et patria^
MoNNiBR. — En Bien ma fiance.
MoNNiEB DE Bonaparte. — lo la difesi.
MoNSo. — Pro fidelitate.
MoNSON. — Prest pour mon pays.
MoNSPBT. — J'en rejoindrai les pièces.
Mont. — Loyal.
MoNTÀFiLAN. — Hary avaiUI
MoNTÀGu (Auvergne). — Mmiagut
MoNTAGu.— L L. p. A. D.E.L.T. — (JeTaiiNromis à
Dieu et l'ai tenu.) — J*ai le corps délié.
MoNTAGD (baron de Rokeby). (Ck-B.) — Solo Deo
-- H5 —
salus. a MoNTACiu (duc de Manchester). — Dispo-
nendo me non mutando me. » Montàgu (comte
Sandwich). » Post tôt naufragia portmn.
MoNTÀCiu-DouGLAS-ScoTT (O.-B.) (duc de Buccleogh
et de Qtteensberry). — Amo. = Montagu (baron
Montaigu). — Spectemur agendo.
MoNTAiifAiD. — Pluiôt mourir I •— Pro Deo» fide, et
rege.
MoMTAtBMBSRT. — Fcrrum fero, ferro feror. —
MONTALEMBERT DE CeR8. '— (MémC dCTise). -— Co*
eidi, $ed ^gam.
MoNTBOissiER. — Nunquam impunè.
MoNTBRUN. — Et quoy plus.
MoNTCHAL. — Gertamine parta.
HoNTCBENU. — Montehenu! -— La droite voie.
HoNTCORNBT. ~ Montcomett
Hont-d'Or. — « Melius mori quàm inquinari.
MoNTECLER. — Magnus inter pares.
HoNTEREDx. — Pro fido et rege.
Montesquiou-Fezemsac — Hinc labor, hinc merces.
MoMTET DB LÀ Ferràdb. — Ferme et loyal.
MoNTFORT (Simon de). — Toulouse! Toulouse! —
Monîjoie !
MoNTGARDÉ. — MorUgordé !
MoNTGOMERT. (O.-B.). — Gardez bien. = Momtgo^
VBRT (comte d'Eglington). —Même deyise.
MoNTGRiLLET. — Ad (Bthera virtus.
MoNTHiBRS. — Anuelis suit mandarit de te.
MoNTHOLON. •— Subvenite opresso.
MoNTiGHT DU Thticbitr. — Causa latet.
— 116 —
MoKT-JouxT. «— Dieu seul mon joag est.
MoNTLOUu. — (Voyez Pboustbau db Momtloois).
Montmàtbub. -^Ungnibuset rostro. — &ecta ferar
et non conniyebo.
MoNTMOMENCT. — Dieu ayde au premier baron ehré^
%\en\ — Air^ocvoç*
HoNTS (des). — Fofitf «1 monf / — Dabit Peus bis
quoque finem.
MooEB (comte de Drogbeda). (0.-B.) — ForUs ca-
dere, cedere non potest.
MooRE (comte deMounlbcasbell). (O-a.) — Yisnnita
fortior.
MoBAKT. — A candore décos.
MoMB. — Gomme je fus.
MOKEL. — Lilia Francigenum deffendam boc Tindice
ferro. — Pugna pro patria.
MoAeton de Ghabbillax. — Moreton ! Moreton! —
Antès quebrar que doblar.
MoBHiEB. — Morhier de l'extrait des preux!
MoBiN DE Bebtontille. — Forlis fidelîsque simul.
MoBiN DE Gbomet (baronct). — Mori ne timeas.
MoBisoT. — Fert mataros prudentia fraetus.
Moboces. — Dieu ayde au Maure chrétien.
MoBONO (Esp.) — Nigra sum, sed formosa.
MoBTEHABT. — {Voycz Rocbccbouart).
MosTTN (baronet). — Auxilium meom a Domino.
Motet. — Post tenebras lax evergo.
MoTTET (du). — Tout droit.
MousTiEB. — Moustier sera malgré le Sarrasin.
MoDTTiNHO DE LiMA. — Spcs iu Deo. *
— 117 —
Mmrr. •— SiehiOisi — Savtûùunt
MotRu. — In Tîa virtuti nalla ecdTÎa.
MuLLiNsonMoLUiBS (baroQ Vcotry). (o.*B.) -* Ti^
vere sat tincere.
Mon — NU ultra.
MuHCX (fr.-B.) — ATirtm et constantia.
MuBAT. — Yim utraque repello. =Mo8AT ve l'Es-
TÂifCi. -^ Yim fimitate repello.
MuRBÀT (dac, marquis et comte d'Aiholl) (o.-S.)— -
Furth fortune, and fill the fetter8.= M ukrat (comte
deDomaMre). == MuuATQord Glenlyon). — Même
devise. ssMubiat (ccmite dé Mansfield). «* Uni
9eqau8 yirtutis.
MuBRAT (baron Elibank). (0.-B.) — « Virtote fldeque
MuiiAT. (0.<«.) — Een do, bail spair noda.
MuàaïAYg (batoneC). ^ Sans changer.
N.
Nmuni. (AuuBH.) — Ave.
Naibnb (lord Naime).^ (G.-B.) — Esp^'rance me
confort.
NiPiBB. (0.*S.) — Sans tocAe/ -—Ready, ayeready.
NiBBoivinD-PELBT. •— Nou culm sine causa gla-
dium portant. — Ws nescia Tinci sine causa.,
» NABBoimE-LÂBA.—- Nos descendonos de reges
si no los reges de nos.
Nàtaiixes. — A un tada no es haheado.
Nataissb. — - In Domino confido.
Nedonghbl. » Antiqeitas et nobilitas.
7*
— 118 —
Neemum (comte et monte Kifanorey)» (««41.)-^
Nanc aut nnsfiiaiB.
NnmM (P.-B.) » Viitos radore poittnr.
Nelson (comte NdsoD). (tt.^J— Palmam qui
menût famam.
Neufoustel (seigneurs de), (inss^. ^» Ewpmauri à
VEêeouêt
Neufforoe. (P.-B.) «- Ad alta petantor*
Nets. (P.-«.) — Wwêêt Waréêl
Nbtet. — Per ach,
Nbtujle (comte d'AbeffaTe&nj). (6«-8.) — Ne Tîle
Telis.=NBTiiu(loiilBn7]HtMke).f---lfémedefi8e.
NoBLET. — Nobilitat Tirios.
NOCBT. — Molta DOCOBt.
Noël Oiaron Barfaam). (Ck-B.) — To«t bien oa rieo.
NoEL-Hnx (baron Berwick). (Ck-S.) — QilBti seit»
ei bona.
NoRTH (comte de Guilford)* (0.-B.) •— Animo etfide.
NoRTHCOTE (baronet) . — Quîsti cmx est mea Inx.
NoBTON (lord Grantley). (O.-BJ — ATinamenntnr
aTonim*
NoTTBBT DE Sàimt-Lts. — Dco BC rcgL
Notées. <— Noyen !
NuoBirr. (0.-B.) — DecrevL »■ Nubeht (oiarqds et
comte de Westmeatb).— Même deTise.= Ndobht-
TknPLB-GBBNYiLLB. — TcmpU qnam
O.
Obeekampt. — Eectè et Tifilanter«
— 119 —
Oun. — Bro lamine virtos.
O'Bbten (marquis deThomond). (tt.*S.) — Vigueuf
de dessus*
O'Gallagham (yicomte Lismore). (O.-B.) — Fidus et
audax.
Odebbrt. — SuaTÎter sed fortiter.
CEttik«en. »- Dominas providebit.
Offbrbmont. — « Olferemont!
Ogiltt (comte d'Airlie et de Lintrathen]. (o.-B.)'—
Afin.
Oglaiohui* — Senrare munia TÎts.
0*GoÊMàn. (a.-B.)— To Bach cathaagus deireadh air I — -
Primi et vltimi in belle.
O'GiABT (yicomte Guillamore). (0.-a.) — Yolnera*
tos non Tictos.
O'HsaBRTT. (a«4B«) •— Nec flectitur, nec mutam.
O'Kbbffs. — Forti et fideli nihil difficile.
O'Kbllt. —0/ KeUie abau. -* Turris fortis mihi
Deus.
O'KouBKB DB GousBN (seigneur de Gousen, en Flan-
dres). — Fictortotis/—- Prou de pis, peu de pairs,
point de plus.
OuiEN SB PoBSBRLB. (P.-B.) — Rorum Tigilanlia
custos.
O'Maboiit. -^ Victoria in flammis.
O'Màixbt. — Terrae marique potens.
O'MoRB. <— Spes mea Deus.
O'Nbill. — Lam dearg Eirin.
Oncilbt (baron Ongley). (0.-B.) —Mihi cura futuri.
Oif oiATi. — Libertas t
— 120 —
Onslow (0.-B.) — Festina lèntè. » Onslow (comte
d*ODsloiiv). — Même devise.
Orde-Powlett (baron Bolton). (G.-S.) -— Aimez
lojaultë.
Orgeix. ^ Semper fidclis.
Orglande. (P.-B.) — Gandore et ai)|ore.
Orkamdt de Frejàques. — Il adviendra.
Ornàno. — Deo favente, Cornes Gorsiae.
Ortt. (P.-B.) — Sum quod fui.
Ortillb. — Hesdaing, Wallaincourt!
OsBORN. (o.-B.) •— Quantum in rébus immane.
OsBORNE (duc de Leeds). (o.-B.) — Pax in belle.
— Francha, Leal et oge. = Osbobnk (lord Godol-
pbin). — Même devise.
OsMOND. — Nibil obstat.
0*SuLUVAN DE Gbass. — Modcstla victrix.
OUDABT. »-£'«tr^0/ •
OwKN (baronet). — Honestas optima politia.
OzT. (P.-B.) — - Arte, labore, patientia.
P.
Pacius. — Mus» pacis amie»,
Pagak. — Forlior pugnavi.
Paget (baron Paget). (O.-B.) — Péril suo contrario.
=: Paget (marquis d'Anglesey). — Même devise.
Paige de Bar. — Où que tu soies suivrai toy.
Pakenham (comte et baron de Longford). (0.-B.) —
Gloria virtutis umbra.
Pallavioni. — - Servir a guardar.
-— 121 —
Pauibi (buronet). — Palma virtati.
Palmer (baronet). — Par sit fortana laboris.
Palmes-d'Espàing. -'- In adversis yirtus.
Pàlm-Gundelfingen. — Justus ut palma.
Pàluàt de Jàlamondes. »- Animns et prudentia.
Pantin. — Pantin, JMrdi, en avarU! — Gmx dox
certa salatis.
Parc de Loomaria (Du). » Tout est beau. ^ Yainere
ou mourir.
Pargbtaux. •— S*il plaist à Dieu.
Parkbr (comte de Macclesfield). (G.-B.] — Sapere
aude.
Parker (comte de Morlay). (G.-B ) — Fideli certa
merces.
Parktns (baron Rancliffe). (o.-B.) -— Uonestè au-
dax.
Parsons (comte de Rosse). (o.-OB.)— Pro Dec et rege.
Pascal de Kerenteter. — Sanguinem quid plnra.
Paschal db Merins. — > Spes mea Gbristus.
Paslet (baronet). -^ Pro rege patria pugnans.
Pastorxt. — • Bonus semper et fldelis.
Paterin. — Le duc me Ta donné. *- C'est par
la vertu.
Patodl. — Yirtute duce. « Patoul de Fisura.
— Même devise.
Paul. — Ut palma florebit.
Paul (baronet). •— Pro rege et republica.
Paolbtt (marquis de Winchester). (o^B.) — Hsec
generi incremeata fides.
Pauncefotb. — « Penses forte.
Patik Crkchàngobr. — Dissmml hataoo.
Paten. — In ardids forti(»>*
Pbàchbt (baron Selsey). (O.-B.) — Memor ti fidelis.
Pechfetbou. — Ul faU irahnnt.
Peacoge (baronet). — Yincit Tentas.
PsLBAïf (comte de Chichester). (0.-B.) — Yinch
amor patri».
Pkucht. — Yolnorat et sanat. a Peugkt mk Luai-
TEBTELDE. — Même deyise*
Pbumibb Dbmiâmqbs. — Semper inmiacolatos ero.
Pbixbtbr nm MAiTÂiimLu. — Adrenb moyeri
nef as.
Pbllbt mes GaAHfiBi. — Vis nesda Tind»
Pbixbw (Ticomte Ezmoath). (tt.-S.) -^Deo ûdjwomUêt
— •Algieni
Pbluw. (6.-B.) — Deo joTante. — Deo, non fortona.
PiLussBE D« Là CosTB.— Yinote tton dolo. — Stella
. dnce.
Penân coBT DB Kbbooal. — A bop Pen lealdeL
PEiauBCH. — Bepret.
Penkeioton (baronManca8ttt).(Ck-B.)— Yincit amor
patri».
Pbnntman (O.-B.) » Fortiter et fideliter.
Pbvfbrbll. — Yirtnte parta tnemini.
Pbpts (baronet). — Mens cojosqoe is est qois-
qoe.
Pbbàbo db Yaitbb. — Yietrix per ardua Tirtos.
Pbicbtal (baron Arden). (a.-B.) — Sob cmee can-
dida.=PBBGBTAL (comtod'Egmont).— MâmedoTise.
Pbbgt (doc de Northnmberland). («.-»•) — Bspë-
— 125 -^
rance en. Diea« == Pbrct (comte de Beverley];
— Même devise.
Peuéool. — SutrU et Tigil,
Perub. — Ad sidéra ramos.
Pbrruzi (Ital.) — Datom desuper.
PtKUén DB8 Ciis. — Per usum folget.
Pbrt (comte de Limerick). (O.-B.) — Yirtate Qon
astutia.
Pbtrb (baron Petre.] (0.-B.) — Sans Dieu, rien.
Pbttt Fit^-Maubicb (marquis de Lansdowne). (O.-B.)
— Yirtute non yerbis.
Petton (baronet). — Patior potior.
PesuvES. — Je me contente.
PBir#f (comte de Mnlgraye). (0.*B.) = Yirtate
qnies.
Picot raDumBEEE. — Nullus extingnitar.
PuTBT DB StfifiT. (•mtBi) — Sustinc et abstine.
PiBBBBPOMT (comte de Manvers). (0.-B.) — Pie
reponete.
P1BUB8 DB NiBSàT. — Pour soutenir loyauté.
PioNiOL. — Deus et meus Rex.
P» (du].— Fidem peregrinans tester.
PnouB (comte de Beauchamp), (Ck-B.) — Ex fide
fortis«
Fdcbl bb la Taule. — Mihi fidelitas decus.
Pnos. — L'un des neuf barons de Catalogne.
PiOLBNC. — Gampi tui repletuntur ubértate.
PiossAiQinB. — Qui.
Prrr. — (comte de Chatbam). (0.4I.) — Benigno
owiiiie.
— 124 —
PiTT-RiTXM (baron Riven). (0.-B.) «^ Mg^aam ser-
Tare mentem.
Plaines tan Terbruggen. (^.•^8.) «« Pour ijUÂtt ne
plaige mourir.
Plantade. — Garitasnescia Tind.
Plessets le Lerguk m PiNMAT (du). »« A Jamais
celle.
Plessis (du.) — Ab obice, msgor.
PLESsis-GaBNBnAH. — Plessii^Maorùn!
Plessis-Rioiblibu (du) {Voy9t Yniisiot.)
Ploesquellec. — Aultre ne veiiz.
Plgbuc. — L'âme et rhonneoir.
Plumkett (baronet). — Festina tenté. = P&whkitt
(comte deFingall). «^ PunsEn (lord Lo«âi). =z:
Plunkett (lord Dunsany). = Plunkbtt db Raie-
MORB. «^ Mémo derise.
PoiLLQT n'OifiNT. -^ Meliorférlona notabiu
PoLB. — • PoUet Yirtos.
PoLiBR DB BRBnGNT. — Et Phoebi et Martii«
PouGNAc. — In amiquissimia. «■ Pouaiuc (le piafit
de). — Sacer custos pacîa.
PoLiGNi. — YerUi et fortnae.
PoLLALioN (baron de GlaoBia6)« (€K-BJ <-* lieaM à
Pollalion.
PoLLOD. — Contra andentior ito.
PoMEROT (yicomte4iaronHarburton). (<L»B.)-— VU>
tutis fortuna cornes.
PONCELIN DE LA ROGHETILHAC. — Finuior pttm,
PoEODiSKi. (Pii.)« -— Telle est la Tie.
PoNsoNBT (baron Ponsonby). (O.-B.)— Pro rtf atlagOi
— 125 —
grege. :±: fonsoiNBT (comte d6 Borboroogh). -—
Même devise.
Pont (du). — Amico pâtri», patriae carissîmo.
PoNTALLiraL — Pontallier 1
PoNTÀUBBTOTE b'Otsontillis. — Viitttte et labore.
PoNTCROix. — Naturellement.
PoMTETEz. — Separata ligat. — Fluctuantibus obs-
tat. — Mediis tutus in undis.
PoNTis DES DouRBES. — In Domino facis virtutem.
Pont-Jarno d*Ai7banutb. — Spes mea Deus.
PoNTLABBt. — Hep chang.
Port (du). — Gingit et obstat.
Portai.
Portier.— De tous châteaux, Portier.
PosANGÈs. — Nonsibi sed patrise.
PossoN. (P.-B.) — Dei nonbacchi.
PosTEL. — Ou tout te heurte, tout t'appuie.
Pot (seigneur de Piégu-Pot). — À la btUei — Tant
Lyaut. (ïant elle vaut).
Potier. — Deiterafecit virtutem, dextera salvabitme.
PouQET de Nadaillac (dù). — Yirtus in hœredes.
Podlett (vicomte Hinton.) (O.-B.) — Gardez la foi.
PouL&ARiEz. -^ Yigil et àlacer.
PouufiB. — De bien en mieux.
PouLPiQOET. — De peu assez.
PowTs (baron Lilford). (O.-B.) Parta tueri.
PoTET DE Beine. — JustitisB columuam sequitur leo.
Pozzo Di BoRGO. (Ital,) — Gousilio et virtute.
PiATT (marquis et comte Gamden). (O.-B.) — Judi«
cium pârium, aut lex terr».
PiATs DB Hatuxoii. — Paitout tU AneAne.
PiÉÂUX — César^Àuguttê!
Pbbcontal. — Partout vil Ancftiie.
pBEtTON(Ticomt6Gorman8tOD).(€i^B.)— Sans Uche.
Pbétost de GkQWMO%. — Spet naquit , metQS luiqium.
Pbetost de la Gboix. — Magb acmagis.
Pbte ou VwME.—^ant à {'om^oimp/— Nondegeoer orto.
Pbimbose (comte de Roseberry). (€k-a.) — Fide et
fidocia.
Pbittie (baron Dnnalley).(6.-B.)— In omnlaparatns.
m
Probt (comte de Garysfort). (6.-B.) * Hanos haec
inimica tyrannis.
Pboustbàu de Montlouis. — Pront sto in pericnlb
audentior.
Pbud'homme d*Hàiu.t de NnuBOOBT. (P.-S.)— Ton-
Jours Prendhomme. = Pbudhomhb. d'Hàillt db
YEBOUMifEDL. — Même doTise.
Peubieb. — Tnrris meaDens.
PDCK(.EB-Mu8KAn. (Aujoi.) — Amor et Tfartna.
PusiONAN. » Prospérité t
PoT-ia-CBEssoMTiLLB (du). — PfO Doo et Rage me
snstinet tnrris.
Pot-Melgueil (du). — C.E.I.S.E.E.E. (Cntando
enixè inimos sanct^ Ecclesis , Ecclesia elerat.)
PuT-MoNTBBUif . — Vicit leo.
Ptcke. (P.-B.) — Pelias liasta.
Q.
QuABLEs TAN Uftobd. (P.-b.)— AquUa non captât
muscas. — Qui invidet minor est.
— 127 —
QUSI.BN. — En Peb emser Queleii. » Quilbh (duc
de U YaugayoD). — Ayize, ame.
QusmKLLEs. — Envers et contre tous.
QuiLLDUDBG. -^ Hep remet.
QoiifMN. — Suavis suavi.
QiriQUBKi^ DB Beaujbu. — Flandim ! — A tout Te-
nanlBeaiyea! — - Vis contra yim.
QuiLLiBN. -«- Tevel hac ober.
Qvninus (P«-^) »- Vis unita fortior.
QuiBiT. — Va ferme à l'àesaut Quirit^ à la prise !
Râbibbs. — Victoria!
Radbbiughbr. (P.-B.) — • Mediocritas.
Radziwill. (Pol.) — Bog nam radzi.
Râfbus db Bboybs. — Genus et virtus.
Rambcoubt. — loconcussible.
Ràuomd-Modème. — Saucias et défendis.
Rais. — Baie!
Rimbaud. •— Et habet sua gandia luctns.
Rambt-Hovb (comte de Home). (O.-B.) — True to
the end.
Ramsat (comte de Dalbousie). (G.-B.) *- Ora et la-
bora.
Raksat. (O.-B.) — Aspiro.
Ramcbbe. — Geleritas atque fidelitas.
Ranchicoubt.— Unguibusetrostro armatns inbos-
tem.
Rasoib. — Usqoe ad metam.
— 128 —
Raybu — Talore et prodeatia fortier.
RAWDOif-HifTUfcak (nnrquift d'fiMiiiigi). (ft^4i.) —
Et nos qooque tdâtpaaviiniis.
Raymond. — Are du mon no ravdera.
Rbad (baronet). — Cédant arma tog».
Réaitx (des). — Sie fortis nt btuBases.
Regoubt. — Sic ooùiia. = Rioocn (DUtter de) (sei-
gneur de Rivière). — Droit dire de eœor.
Rbgoubt du Sàbt (seigneur de Bmèreif. ^^Àmm ehd^
(WoMif/ — Andader ^ sincère. •
Rebdb. (P.-B.) — Malo mon quam foedari. » Rbbdb
YAïf Athlon B (même devise). = Rbbdb yan Ouds-
HOOBN (même devise^!
Rbyugb. — Yictrix innocentia.
Rbhâbd. (Say.) ~« A tout regard.
Rbgnauld. — Ardens et aqaum.
Rbiffbnbbbg. '^Reiff6nb€r§lReifHib€r§t
Rbmbbvillb. — Aderit YOcaUis i^Uo*-<- Mesû-
nlsse juvabit*
Rbnabd du Sbbbb. — Marte et arte.
Rbndobp. (P.-9.) — Yirtiite duce. = Rbmimm» yan
Habqubttb (même devise),
Rbntt. — Reniyt
Rbpblabb. (P.-B.) -— Patriœ fàta seqnor»
Rbqubna. — Veritas vincit.
Rbstaubant. — Yirtus vetat mon.
Rbthbl. — Relkill
Rbtmondis. — Ad altiora.
Rbynbgom. (P,-B.) — Rien sans envie. » Rbtnbgom
YAN BuzBT (même devise).
— 129 —
RmoLDikMoBiTON (lord Ducie). (a.4.) — Perse-
▼erando.
■
RHnNÀ-W<tt9B€K« — • Votre plaisir*
RiBEiKO. (Pom.) — Quoflaity fert.
RiBAiMOHT* -— A moi, Ribaumont!
Ricard. — A la vie, à la mort.
Riccft. •— Quae sunt Cxsaris Caesari, qusa sfinl Del
Bec.
RiGB (baron Dynevor). (G.-B.) — Secret et hardi.
RiGBAAp. (Bourgogne). — Quo jiutior eô ditior.
RicBABD. (Bretagne). — Caret Doé, meuli Doé, mori
Doé.
RicBÀKM. ^aronet). — Honore et amore*
RiDinix. (baronet). — De apulia — Utile et dulce.
RiDLBT. (baronet). — Gonstans fidei.
Risux. -« A tout heurte Rieux ou A tout heurte bé-
lier, à tout heurte Rieux.
RiQUBTK-lfuuBEAu. — Juvat piotaB.
RiYÀROL. — Léo meruit aqoilam.
RivERs. (0.-B.) — Secus rivos aquarum.
RiYiku. — Pour les Dieux..
RivoiRB. — - Née si cœlum ruât.
RoBÀULx. — Quocumque ferar.
RoBB-MiRBBSL. — Pour Famour d'elle.
ROBEBT DE LiGNERAC DE GaTLUS. — Dum SpîrO,
spero*
RoBiÀNO D*HouG0UM0NT. (F.-B.) — Sicut lilium.
RoBum . — Rac^Bihan I — Sans vanité ni faiblesse.
RoRoi. (ITAL.) — Pin forte nel awersità.
RoBusoM (comte de Ripon). (G.HB). — Foy est tout.
— «30 —
ROCHBGHOUÀMT M HORTEHÂBT. — Alite mWt UOdC.
RocHBFOKT. — Bien fondé Rocliefort.
RocHEFOKT (Foretz). — lilia sostin^ Tirtns.
RocHKMOEB. — Ruj^ag firmior.
Rode tàii Schblubiouck* (P.«-B.) — FidelKis td
principem.
RoD!iBT (lord Rodney). (a.-B.) — Non générant
aqnilae colnmbas.
RocnoMT. — À moit
RoGEis ni WisMWE (baronet). — Nos nmtraqne
Deo.
RoHAN. — PlaUanee! — Roi je ne penx, dae Je ne
veax, Rohan je sois I ^ RoHAN-CrirtMÉiiÉ (prin-
cesae Anne de). — I^|>e8 durât ayoram. » Le maré-
chal de GiÉ —A la bonne heore nous prit la ploie.
RoLiima (Gantelme des). — Tolat fama per orbem.
= RoLANns-RuLHÀNBTB. —Même derise.
RoLiN (Chancelier de Bourgogne)* — Nil agere pœ-
nitendum, pudendom imo reparandom.
RoLULNn. — Nomine magnas, Tirtotemi^r.
RoLLE (baron Rolle). (O.-B.) — Nec rege, nec popolo,
sed utroque.
RoLLO (lord RoUo). (a."B.)-"Fortane passe partout.
RoPEE-GoRzoïc (baron Teynham). (0.-B.) — Spesmea
in Deo.
RosiÈiES. — Grand joie î — Sine dente rosaa
RosLÀN. — Fidèle et sincère.
RosMADBcnEGouÀELO. — Uuo STulsonou defidt aH^.
RosMÀDEG nE TiTÀBLEir. — En bon espiHr. ■« Sébas-
TiBii DB RosiuDBc. — Yirtus dédit, mors negatit.
— 43i —
Rosraic. -^ Fidei et amoris.
RoMBL* — Festina lente.
RoaTRBNBff • — Oultre I
RoTBBGBiLD. — Goncordia, integritas, industria.
Rouillé du Goudrât. — Moderatur et urget.
RouRE (du). — Ferme en tous temps. — A vetustate
robur.
Rous (comte de Stradbroke). (G.-B.)— Je vive en espoir.
RounB-BouGBTOif (baronet). — Omne bonum Dei
donom.
Rourmou. — Yirtus et ombra.
RoTkKi. —Force et vertu.
RowLBT (baron Langford). (G.-B.)— Bearand forbear.
RozEN • — Malgré Latour les roses fleuriront.
RoziBOT. — Spera quod licet.
RuiBMPiÉ. — - Rubempril
RuBscAS. (P.4.} — Ubi bene, ibi patria.
Rufvo-la.-Fàrb. -~ Vis unita fortior.
RuoLz. — Toiyours prêt.
RuFPiBRiK. — Superbia immanes.
RutBoUT (baron Northnvick). (G.-B.) — Par tem is
suppar.
RussELL (duc et comte de Bedford). (G.-^.) — Che
sarà^ sarà««BRus8BLL (baron fiowland).— Même
devise.
RuTcwis VAK RosiifiUEG. (P.^B.) — Charitatc et in*
duatria.
RuTHTEM (lord Ruthten). (G.-B.) -^ Deed sbaw.
RoTV SB Bebeenbeoube. (P.-4I.} — Antes morir, que
•ertraidor.
— 132 —
RrcKEL. (P.-B.) — Generose et pradenter.
Rtckbtobsel. (P.-B.)* — Condit opes Tirtoi.
Rtder (comte de Harrowby). (O.-B.) — Serratt fidet
cineri.
S.
SABBijf. — Noli irritare leonem.
Sàillâns.— Dieu l'a permis. — Virtutit fHraemiam
est Yîrtus.
Saillt. — Du plus haut Sailly.
Saint-Belin. — Ex utroque fortis.
Saint-Ghàiians. — Nil nisi yindt amor.
Sàinte-Colombi. — Spes mea Deus.
Saist. — Qui est Saisy est fort.
Sales (Sav.) — Nec plus, nec minas. = Saum (mar-
quis de Bullëgneville). — La tour du Seigaenr est
ma forteresse.
Salinis. — Sic sale viresco.
Salis. — Non auro sed virtute.
Sallmaed de Ressiz. — Labor in armis est nostri
testis honoris.
Salm. — Onques, ni jamais.
Salmon du Chastellieb. — Franc et sans dol.
Salus la Mante. (Sav.) — Leit, leit.
Saltaing. — A Salvaingiy le plus Gorgias! — Que ne
ferais-je pour elle I = Dents de Salyaui (pre-
mier président de la Cour des comptes). — Régi
deyota JoYiqae.BsSALYAiNG (Aymonde).— Josques
à ma fin.
— 133 —
Salyaihb d'Alitrag. — Sempre il Re.
Sangbrkb. -^Notre-Dame Sancerre!
Sandbkeg tan den Essenbuegh. (P.*B«) — • Serra
fidem.
Sàndfoed (baron Mount-Sandford). (CL-»B.)' — Cor
unum, via una.
Sàhdilànds (lord Torplûchen). (0.-B.) — Spero me--.
liora.
San Loebnzo t Paeque. (Esp.)— ^on espaerzo levante
la bandesa de mi fe.
Sànthbuvbl. (P.-b.) — Hayomm virti^) nepotum
gloria.
Sapin. -~ In altnm aspiciam.
SAETI6B8. — Lilium pro virtute*
Sassenagb (marquis du Pont). — Sassenaget -" J'en
ai k garde du pont/ -— Si fabula, nobîlls illa est,
— Sur tontes.
Saucocet. — Saueourtî
Saulx-Tavannbs. — Semper leo.
Saumaeez (baron de Saumarez). (G.-B. ] — InDeo
spero.
Saumeet. •— Ami seur.
Saumdbe^-Dundas (vicomte Melville). (0.-B.)«-Qu5d
potni perfeci.
Saveuse. — Saveuse f
Sa VILLE (comte de Mexborongb). (0.-B.) — > Be
fast.
Savonnièebs. — Diex el volt. — Âbsit miki gloriari
nisi in cruce Domini.
Sayotb-Raconis. —Tout net.
8
— 134 —
SATN*WlTTGElf8TSIN-H0BElf8TBIM. (Ali.) — Meltte
ehre geb' ich niemand.
Satyk. — Velis quod prosis.
SciRRON (Pierre, évéque de Grenoble). — Vis duplex
fulget in uno.
ScÉPEÀUx. — In spem contra spem.
ScHELWENBi (bârou d'Hohenlandperg). (Au..)*- Durât
et lucet.
ScHERFP. (P.-B.) — Per aspera ad astra.
ScHiETEiE. (P.-B.) — Omnium rerum yidssitado.
ScHiNNE. (P.-B.) — Per aspera ad astra.
ScHOBNBORM. — Pro fido ot patria.
ScHOLTEM (P.-B.) ^ Plus osse quam yideri.
Scott (comte et vicomte de Clonmel). (o.-B.)— Fearto
transgress.
Scott (comte d*Eldon). (O.-B.)— Sitsinelabe decus.
as Scott (baron Storwell). — Sit sine labe.
Scott. (O.-B.) Régi patriaeque fidelis.
Sebille. (P.-B.) — Sol sybillam dirigit.
SÉGODfG.—Pietas homini tutissima virtus.
Séguier. — Indole bonus.
Selles. — Selles!
Senàrclens de Granct tan Haamwick. (P.4i.) —
Sans décliner.
Sbnecet. — In Tirtute senesce.
Serpillon* — Cerf, pie, lion.
Serre. — Bien régnerez.
SfcTB. — JtMttce /
Sbimandi de Saint-Gbryais. — Une foi, une loi, un
Dieu, un roi.
— 135 —
SiTHOum PB Constant. — In ardais Consians.
Sbtmour (duc de Sommerset). (G.-B.) — . Foy ponr
devoir.
SiTMOUB-CoNWTAT (marquîs et comte de Hertford).
(a.-B.)— Fide et amore.
SfczB. — 96 Décembre 1792.
Shaw. — YiQcit qui patitur.
Shbiard (comte de Harboro!igli).(a.-B.} — Hostis
honori invidU.
taiMMBLFBNNiNGK (P.-B.) — Honos antè divitias.
SaiBLBT (comte Ferrers). (••-B.) — Honor, virtutis
pnemium.
Shokb ( baron Feignmouth). (G.-B. ) — Perimus
licitos.
Shugkbuigh (baronet). — Haecmanas ob patriam.
SiBBÀLD. — Domino factum est.
SaLBBT DB Gbnus. — Àu çuet I au guet t
SonANB. — Gertamine parta. — Snstinant lilia
turres,
SiNGLAiB (comte de Caithness). tG.-B.)— Commit thy
work to God.
&NBTT.— Yirtote nitet. —In candore décor.
SiBTEMA VAN Gbovestins. (P.-B.) — Nœt to Goed,
noet te Tioed.
Six van Otbblbck*— (P.-B.) — Stella duce.
Skbffington (vicomte Ferrard).(G.-B.)— Renascen-
tur. = Skbffington (vicomte Hassereene). — Per
angusta ad augusta.
ÂUNOBLANDT. (P.-B.) — Candide et cordate.
Smissabbt. (P.-B.} — Pour mieux j'endure.
— 156 —
SmsstK TAN CoKTBinma; (P.-B.) — Vestigia nnlla
retrorsùm.
Smm (baron Carrington). (a.-B.) — Tenaz et fi-
delis.
Smith-Stànlet (comte de Derby). (O.-B.) -^ Sans
changer.
SjfiTH (baronet).— Semperfidelis.
Smith (baronet). — Marte et ingenio.
Smith (baronet). — Spes, decus etrobnr.
Smithe (vicomte Strangford). (Q«-B.)— Virtôsinceûdit
vires.
Smtth. (G.-B.) — Qoi capit capitur.
Smtthb. (G.-B.) — Régi semper fidelis.
SoBNBNs. (P.-B.) — Justitia et pax oscolatae sont
SoLAGEs. — Sol agens.
SoLABA — Tel fiert qui ne tne pas.
SoMERSBT (dnc de Beaufort). (G.->B.) ^— Maître Ve!
timere sperno.
SoMEBviLLE (lord Somervillc). (G.-B.) — Fear Ood
in life.
SouASTBEs.— Non déficient.
SouRDEAu DE RAMifiNiES-CHiif.— Do Sourdeau hXftkt
aox villains.
SouTHWELL (vicomte Southvell). (G.-B.) -« Née nale
notus eques.
SouTEET. — Altmn petit, ima i^Iinqnens.
SoTEcooET. — Sùyeeourt !
Spaen. (P.-B.) — Yivit post funera virtiis.
Spencee (baron Chorchill). (G.-B.)— Diea ddfend lè
droit. » Spencee (comte Spencer). -- Même devise.
— 137 —
=SpBNCBE(diiC de Uarlborough)««->Fiel perô des-
dichado;
Splam (Le). — Plaid me déplaîst.
Spontini di Saint-Andrcba.-*- Spunto e mai spento.
SiiNT-BKLDf. — Ex utroque fortis.
âiniT-CLAiB (baron Sinclair). (0.-B.)—Fight.
Saint-Glaib-Erskine (comte de Rosslyn). (O.-B.]— <
Rinasce più gloriosa.
Saint-Georges. — Nisitur per ardua virtas.
Saint^erhàIn. >— Perge, âge, Tince omnem, miles
TÎrtiite làborem.
Saint-Hilairb. — Amantes ta! ama.
Saint-John (yicomte Bolingbroke et Saint-John)
(O.-B.) — Nec quasrere nec spernere honores. »»
Saint-John (baron St-Jobn). — Data fata secutas.
Saini^Lawiance (comte de Howtb). (tt.-B.} — Qui
P^ISCa
Saint^Légeb (vicomte Doneraile ). (û.^'B») ^ Haut
et bon.
Saint-Martin d*Agli*, -~ In armis jurai — Sans
départir.
Sainte-Maure. — Sainte- Jf dure/
Saint-Madris en Montagne, — Antique, fier et sans
tache.— Crux estsignumChristi, lîlîasunt Mariée.
— Plus deuil que joie.
Saint-Pont. — Moderata durant.
Saint-Sétère. — Brosse I
Saint-Sodfus. — Yirre pour mourir et mourir pour
vivre.
Saïnt-Tiusk. — Qui me alit, extinguit.
8*
— 1S8 —
$AiNT-WoL8TON8. •— Fortîs et fidelis.
STÀProRihjBBNiifGHAM (baroii de Stafford). (G.-B.) —
Virtas basis vit».
Stanhope (comte de Chesterfield). (a.-B.) — A Deo
et rege. » Stamhope (comte de Stanhope). — -
Même deYise.= Stanhope (comte de Harrington.)
— Môme devise.
Stanley (baron Stanley). (o.-B.) Voir Debbt.
Stanlet. (G.-B.) — Sans changer.
Stapleton. — Fide sed cui vide. ^ Stapleton-
GoTTON (vicomte Gombermere). — - Salamanca. —
In utraque fortuna paratus.
Stassart de Goriodl. — Semper fidelis.
Stepnbt (baronet). — Fide et vigilantia.
Stbwart (lord Blantyre). (a.-«.) — Sola javâtvirtus.
=Stewaet (comte de Galloway).^ Même devise.
Stewaet* (G.-S.) — -ForwardI = Stewabt (comte
de Gastle-Stewart). >— Même devise.
Stibling. (baronet). — Gang forward.
Stogken. (P.-B.) — Fortiter et féliciter.
Stolbebg. — Spes nescia falli,
Stopfobd (comte de Coortown). (G.-B.) — Patriae
infelici, fidelis.
Stoubton (lord Stourton). (G.-B.) — Loyal je serai
durant ma vie.
Stbaten-Wallat (Van der). (P.-B.) — Preux et
loyal.
Stbigk van Linschoten. (P.-B.) — Yirtus vincit.
Strickland (baronet). — A la volonté de Dieu.
Strozzi. (Ital.). — Morto, val più virtate e baont
~ 139 —
fama, che tutto Toro che TaTaro brama. —Le bel
et bon. = Steozzi (Pietro). — Fortitudo mea Do-
minus. = Stbozzi (Charles). — Rapit ut serret,
serval ut juvet.
Stuait (comte de Moray). (G.-B.)«^Salus perChrii-
tum redemptorem.
SnjAiT (baron StuartdeRothesay). (G.-B.) — Avito
Yiret honore. = Stuàrt-Wortlet-Màgui<izib
(baron Wbamcliffe). — Même devise.
SruiJtT (comte de Traquhaîr). (o.-B.)— Indux trought.
SoFraiM (marquis de SaintrTropez). — Dieu y pour-
voira.
SuLEOWSKi. (PoL.)— Tout pour la patrie.
SoLUTAïf . — Lamh fois dineoch an- nachtar.
SuRGàRES* — Post tenebras spero lucem.
ScinuiT Di Sàint-Remt. — Pietà, Fedeltà.
SuTTON. — Toujours prêt.
SwiNBuiNB (baronet). — Semel etsemper.
Stn 6B (baronet). •— Gœlesta canimus.
STTZÀifA. — Rectè faciendo neminem timeas.
T.
Taifb (vicomte Taafe). (Cr.-B.) — In hoc signe spes
mea.
Taffin. — Pense à ta fin.
Tàuxàbd ou Taillefeb. — Frangas non flectes.
Taillefbb. — r Non quod sed ubi.
Talbot (comte de Shrewsberry.) (0.-B.)— Prest d'ac«
complir.
— 140 —
Tàllu. — GdBlesUa cum terrestribtts.
4
Tartereau de Berthemont. — InfrâCtss etfiddto.
Taurug. -^ Nil timet.
Tatora. (Portugal.) — Quoscumque findit*
Tatlotr (marquis de Headfort). — Consequitor qood-
cumqoe petit.
Tempest (baronet). — Love as yonfind.
Temple. (G.-B.) — - Templa qaitm dilecta^aaTsiiPLE-
Ndoemt-Brtdobn (duc et marquis de Buckinghara
et de Ghandos). — Même devise.=:TE]fPLB( vicomte
Palmerston). — Flecti non fhingi.
Texier D*HAirrEFEuuLE. — Splendf^ honoris, tirtuti
fidelitas.
TteLLussoN (baron Bendlesliam). (a.4i.) — LaI>ore
et lionore.
Tbepault. — Dieu sur le tout.
Thets.-— De tout me tais.
Thesan. — Pro aris et focis.
Tui-zuT. — Quod sis esse velis.
Tbiballibr. (8a¥.) — Dùm spiro, spero.
Thicknesse-Tuchbt (lord Audley). (G.-B.) — Je le
tiens.
Thiennes. (P,-B.) — - Qu'une voie tienne, qud que
advienne.
Thierry. — Fortitodo mea Deus.
Thomas. — - Non est mortale quod opto. =: Jacques
Tbomai db YAMRMiiBi* •— Crescal llos debitus
astris.
— 141 —
Thomas (baroiket).— Honestyisthebest policy.
THOMAS DE LA Valbtte. — Godftfridus mlhidedit.
Thou — Ut prosint aliîs.
Throckmôbton. (0.-S.) -* Virtus sola nobilitas. —
Moribus antiquis.
THTHm (marquis de Bath). (O.-B. ) — Tay bonne
cause. s=: THTNTfB (barou Carterel). -^ Héme
devise.
TiiXET. — Nil panim, nil nimis.
TicHBORNE (baronet). — • Pugna pro patria.
TiEGHEH DE Ten Bbrghe. (P.-B) -* Me stell
duce.
TiLUA. ^— Coelestia cum terrestribus*
TiLLT. — Nostro sanguine tinctum.
Tisserand. — En travail, repos.
Toier-Damas. — Premi potui, sed non depremi.
ToiCT (du). — A Diosy al rei.
ToLEDo. (B8P.)= ToLBDO(duc d'Albe).-* Âl parecer
de TAlba s*ascondan las estellas.
ToNDCTi. (Ital.) — /{al{fon$-notf«/— Etiamsuperata
▼incit.
ToNsoN (baron Riversdale). (G.-B.) — Hanus haec
inimica tyrannis.
ToQOET. — Speravi et spero.
ToRCHEittON. — Optima fata dant animum.
ToRiflinr. — Brevior at clarior.
Tour (du). — - La Pucdlel
Tour (du). (P.-B.) — Deus mihi propugnaculum. »
Tour en Tour van Belunchave. — Uéme devise.
TouRNEMiNE. — Aultre n'auray.
— «« —
ToDRNiMOucBi. — Plus mellis qjukm mellis.
TouufON. — ilii plui dru! — Polenlia et Tirtote. =
ToumNOM (le cardinal de.) — ^Non qaat soper ierram.
TousTÂiN. — TausUUn ! — Toustain de sang.
TocmMouTiE. — Tout en outre ! — Tout passe.
TowNfHKND (vicomte Sydney). (O.-B.) — Droit en
avant. asTownsHsiiD (marqois de Townshend). —
Hœc generi incrementa fides.
Tbaille. — Discrimine salas.
TRAMEGOuaT. — ViTtus ct nobUîtas.
Teateib. (P.-B.) — Altyd de Zelve.
Trbdbrii • — - Ha soez vè.
Trefdsis (baron Ginton.) (G.«-B.} — Tout vient de
Dieu.
Trelawiiv (baronet.) — Yirtus patrimoni nobilior.
Teemoleti de Montpezat. — Gygnus ant Victoria
ludit in undis.
Teench (baron Asbtovn). (O.-B.) — Yirtatis fortnna
comes.
ÏEEVELTAïf (baronet). — Time trieth troth.
Trêves (Jacob, archevêque de.) — Ex fmgalitate
obertas.
Taivou.^Pa garro doué.
Trie et Piquent. — Boulongnel
Trier de TiIsge. (P.-«.) — Per ardna cresco.
Trim OND DE PuTMicHRL. — In hoc signo vinces.
Trimquere. — Ut monis.
TaistÀMT. (Catalomb.) — Conctis hoc virtote rébus.
Tro€10ff. — - Tout du tout.
Tronson . — Yirtuti non divitiis.
TfT^BUF. — Visu et nisu. — Levât non abripit aura.
ToFTON (comte de Thanet). (G.^B.) — Alis yolat pro-
priis.
TuiuNGH (Witte) YÀN Oldenbàrneyelt. (P.-B.) — ^Fide
patiens in crace, ignea superstes virtute.
TuRNouR (comte de Winterton). (G.-B.)~Esse, quàm
vider!.
ToRPiNDB Crissé. — Tici victnrus vivo.
TwisDEN (baronet).—- Praeviso mala pereunt*
U.
Uptou (vicomte Templetown). (O.-B.) — Yirtutit
avorum praemimn.
Urre. — En tous lieux et à toute heure.
Ursiks. — Sauciat et défendit.
V.
Vache (du.) — Fax in virtute. = Vache de Saluces.
•— Di giove amata assai.
Vachon. — Solerti simplicitati.
VAILL4G. — Ne fren ne tempo.
Val-Bonneval (du.) — Dei gratia et avito jurt.
Valéry.— VcUeryt
Vallier. — Sic Vallier.
Valpergue. — Ferme toi.
Vançay. — La vertu, en nous, a l'âge devance.
Vane (marquis et comte de Londonderry). (0,-B.) ^
Metaenda corolla Draçonis.» Yàns (comte Vase).
— Même devise*
Yànneck (baron HuntingGeld). (O.-B.) — Droit ei
loyal.
Vansittàrt (baron Bexley). (€k*B.) — Grata qnies
Yaeagnb. -^ DeojuvanU i — Nulli cedo.
Yàràx. — Varaœ!
Yàrenàrd de Billt. — • Sans tromperie.
Yàrgàs. (Es».) — Nigrasum, sedfonnosa.
Yàssàll (baron HoUand). (G.-B.) — Et vitam im-
pondère yero.
Yassan. — Yirtns vulnere virescit.
Yassy. — Chastillon! — Nodos virtute resoWo.
Yaucbé. — (Fby<?z Yache).
Yaudenat. — ^tt bruit !
Yaudrey — A tont Vaudray. — J'ai valu, vaux ci
vaudray. = Yaodrey-Saint-Phale. — Mém<
devise.
Yaughan (comte et vicomte de Lisbume). (G.-B.) —
Non revertar inultus*
Yauthibr de Baillamont.(P.-B.) — ^Fortiter et dsmtè,
Yedeau de Grandmont. — Ex humilitate eordît per-
gam ad astra. •
Yelsen. (P.-b.) — Honor et patria.
Yera. TB») — Yerîtas vîncit.
Yeranneman. (P.-b.) — Veranneman !
Yerdier (du). — Invicto fulmine crescet.
Yereker (vicomte Gort). (a.»B.)*- Yincit T6rîtas«
Yergbr de La Roghbiaqubkbin (du). — Vendéen
Bardeaux t Vindée t
-- U5 —
Viifir* *— Vergif^Notre-Dame ! — Sans Tarîer.
VsBHKTEH. (P.-B.) — Provide et constanter.
Ver etden deVàrick. (P.-B.) — Fidem servabo ge-
naaipie.
ViRTHAHOif . — Fais que dois^ advienne que pourra.
Veset. = Vesey-Fitzgerald (vicomte de Vesey).
(O.-B.) — Sub hoc signo vinces.
Vevet de Bus^y. (Suisse). — Dum vivo» multa video.
VuRD. — VIvit et ARDet.
Vus. — Yias tuas, Domine> demonstra mihi.
ViDART. — Aux Maures.
Vienne (de). — Tout bien à Vienne. — Tôt ou tard
Vienne. — A bien Vienne.
ViBssE DE Marmont. — PatriîB totus et nbiqne.
ViGNEROT (du Plessis de Richelieu). » Richelieu (le
cardinal de). — Non deserit alta. « Richelieu (le
maréchal de). — Arda para subir.
ViGNiER DE RiCEY. — Tuuc satiabor.
ViGNOD. — Siïreté et confiance.
ViLLAiN XIV. Voyez Gand.
ViuAiNESDE Saint- Aubin. — Dum spiro, spero.
ViLLEGAS DE Glergamp. — Vilia ne legas.
ViLLfcLE. — Tout vient à point à qui sait attendre.
Villemur. — Dum clavum teneam. i
Villeneuve. (Provence.) — Â tout ! — Per b«c re-
gnum et imperium^ — Libéralité. = Villeneuve
DE VfeNGE. — Même devise.
Villeneuve. — Sicut solemicat eusis.
Villbnoir. — A la belles
VuxEQUiBfli--^ Uni militât aslro.
9
— 146 —
ViLiERÀSB DE Castblnau. — NoD mihi, sed Deo.
YiLLEBOT (le marquis de). — Nec sine gloria cadet.
YiLLERS. — Villers!
YiLLiERS (comte de Glarendon). (G.-B.) — Fidei co-
ticula crux.
ViLLiERS DE Lisle-Adàm. ^— Va oultre.
Vincent (baronet). — Yincenti dabitur.
YiNCENT Pheuppe. — Je me contcnte.
YiNCENT Sayoilhans. — Alnsi le veux.
Yincent* (DADPHnii). — Omnia yirtuti cédant.
YiNCENT. (Picardie). — - Gloria» palma, cedrus, glo-
ria, fama, decus.
YiNDÉ. — Nescit labi virtus.
YiNTiMiLLE. — ^Prse millibus unus.— Nec me fulgura«
YiRiEu. — Yirescit yirtus et sine fine.
YiROT. — Yirtus vulnere viret.
YiRY. — A virtute viri.
YiscHER. (P.-B.) — Sans fard. r= Yisgher de Celles.
— Même devise.
VissEC DE LaTode de Ganges. — Sistor, non sistor.
YiTALUNO. (iTAL.) — Qui 86 humiliat exaltabitur, ou
Exaltabitur sicut unicornis.
ViTTON DE Saint-Allais. — Scmpcr fuerunt, semper.
YiTiER DE Fay-Sougnac (du). -- Nihil, nisi divinum
timere.
YiYONNE. ^ Tua munera jacto. — Ultra non mire.
YoGnÉ DE MoNTLOR. — Sola vel Yoce leones terreo.
— Yigilantia.
Voisins de Guxac. — Profide,
V&BDENBURGH. (P.-B.) --> Agro cvelUte spinas.
— 147 —
VRifcBV. ^ Régi et palrte.
VuLSON DE LA GoLOMBiÈBE. ^— PouF bieo faire. —
Uno ayulso non deflcit aller. — In utrumqne pa«
ratus.
W.
Waernewigk d*Ange8t. (P.'B.).Laet vaerennydt.
Wàke (baronet). — Vigila etora.
Wàldegiaye (baron de Radstock). (o.-B.) — Saint
Vincent. »= Waldegrave (comte deWaldegrave).
— Passez avant.
Wall. — Aut Gœsar aut Nullus.
Wall (Van de). (P.-B.) — Virtus nobilitalis decus.
Wallop (comte de Portsmouth). (G.-B.) — En sui-
vant la vérité.
Walpole (comte d'Oxford). (G.-B.) — Fari qnscsen-
tias.
Wapenaert d*£rpe. (P.-B.) — Semper armecer
triumphat.
Ward (baron Ward). (O.-B.) — Gomme je fus.
Waed (vicomte Bangor). (O.-B.) — Sub cruce salus.
Warin. (P.-B.) — Vîvit post funera virtus.
Waroqoier. — Hersin! — A jamais Waroquier. —
Dux Burgundiœ 1340 mihi dédit. = François de
Waroquier. — Recta ubique et sic et cor.
Warren (baron de Tabley). (O.-B.) — Tenebo.
Warren. (O.-B.) *- Léo de Juda est robur riostrum.
Warrender (baronet). — Industria.
Wassenaer. (P.-B.) — Mit Gansck trouwe.
«- U8 —
Wàtson (lord Sondes). (G.-B.) — Esto quod esse vi*
deris.
Waudripont. (p,-B.) — Cul à cul Waudripont !
Waotier. (P.-B.) — Respice finem.
Wavrin d'Helissard. — Wavrin ! Wavrin !
— Moins que le pas.
Weiss-Albi. — Altior adversis. — Patria in cœlo.
Wellens yan Ten Meulenberg. (P.-B.) — Coelesli-
bus auspiciis.
Wellesley (baron Gowley). (G.-B.) — Porrè unum
est necessarium. = Wellesley-Polb (baron de
Maryborough). — (Même devise). = Wellesley
(duc de Wellington). — Virtulis forluna cornes.
Wemyss-Gharteris-Douglas (comte de Wemyss et
de March). (G.-B.) — Je pense.
Wescombe. (G.-B.) — Festina lente.
West (comte Delaware). (G.-B.) — Jour de ma vie !
Westenra (baron de Rossmond). (G.-B.) — Post
praelia, praemia»
Westreenbn van Tiellandt. (P.-B.) — Fortiter et
prudenter.
Wheate (baronet). — Virtus invicta gloriosa.
Wheler (baronet). — Facie tenens.
Whichcote (baronet). — Juste et droit.
White (comte de Banlry). (G.-B.) — The noblest
motive is the public good.
WhitwortH'Aylmer (lord Aylmer). (G.-B.) — >
Steady.
Wignacourt. — Quieret! — Durum patientia
frapgo.
— 149 —
WiLLUM-PowiBTT (baron Bayning), (G.-B.) •— Slare
super vias antiquas.
Williams (baronet}. — Virtus in cumbet honorî.
WiLLiAMSON (baronet). — Venturae and win.
WiLLOT DE Beauchemin. — Is mihi pro aris et rege
animus.
WiLLOUGBBT (lord Middloton). (G.-B.) — Vérité sans
peur.
WiLsoN (baronet), *— Pro legibus ac regibus.
WiNDHAM (comte d*Egremont) (G.-B.) — Au bon
droit. =WiNDHÀM-QoiN (comte de Duoraven et de
MountearI)« — Quae sursùm volo videre.
WiNDsoH (comte de Plymouth). (G.-B.) *- Je me fie
en Dieu.
WiNGFiELD (vicomte Powerscourt). (G.-B.) — Fidélité
est de Dieu.
WiNNiNGTON (baronet). — Grata sume manu.
WiTTE. (P.-B.) — Tute vide.
WoDEHOusE (baron Wodehouse). (G.-B.) — Agincourt.
WoLFF (baronet). — Dante Deo.
WoLSTENHOLME (barouct). -^ In ardua virtus.
WoMBWELL (baronet). — In well beware.
WooDFORo (baronet). — Libertate quietem.
WoRSLET-HoLMES (barouct). — Vectis.
Whay (baronet). — Et juste et vray.
Wrede. — Virtuti pro patria.
Wrey (baronet). — Le bon temps /iendra.
WuRUBRAND. — Ich mciu's.
Wynn (baron Newborough), (G.-B.) — Suaviter in
modo, fortiter in re.
— 450 —
Wyns. (P.-B.) Gordis dos optima candor.
Y.
Yba (baronet). — Esto semper fidelis.
Yelterton (vicomte Avonmore). (o.-a.) — Reiras*
centur.
YoNGE (baronet)* — Fortitudine et prudentia»
YoRKE (comte deHardwicke). (G.-B.) — Nec cupias,
nec metuas.
YouNG (baronet). — Press tbrough.
YsEBRAND DE Betertoorde. (P.-B.) •— Per mare,
per terras.
YsEMBÀRT DE Wreichem. (P.-B.) — Fortitudîno et
temperantia.
YsuÀRD. — Les vaut trop mieux.
YvoT TAN Hangest. (P.-B.) -— Ex cinere reviyo*
Z.
Zachareis. (All). — Lieb (Amour).
Zamoiski. (PoL.) — Utraqne civis,
ZoTLSN tanNtetelt. (P.-B.) — Qui nihil speratdes-
peret nihiL
-<8^K^-
TABLE
PES
PAIRIES D'ANGLETERRE
Avec Renvoi au nom de Famille.
Â.
Abeldram. — Voyez Gordon.
Abergobn. — Voyez Hamilton.
Abbbdeen. -* Voyez Gordon.
Abebgayennt. — Voyez Neville.
Abotne. — Voyez Gordon.
Ailesbdry. — Voyez Brudenell- Bruce.
Ailesfobd. — Voyez Finch.
AiLSÀ. — Voyez Kennedy.
AiRLiE. — Voyez Ogilvy.
Albemarle. — Voyez Reppel.
Altamout. — Voyez Browne.
Alyanlet. — Voyez Arden.
Angleset. — Voyez Paget.
Angus. — Voyez Hamilton.
Antrim. — Voyez Macdonnel.
Arden. — Voyez Perceval.
— 152 —
Argyle. — Voyez Campbell.
Arklow. — Voyez Butler.
Arràn. — Voyez Gore.
Arran. — Voyez Hamilton.
AsHTOWN. — Voyez Trench.
Avwu^lis. -T^Ycueg, Mplm).
Atboll. — Voyez Mnrray.
AuBiGNT. — Voyez Lennox, duc de Lennox et d
Richemond.
Auckland. — Voyez Eden.
AuDLET. -- Voyez Thicknesse-Tucket.
Atilie. — Voyez Ogilvy.
Ayonmorb. — Voyez Yelverton.
Aylmer. — Voyez Whitworth-Aylmer.
B.
Balgàrres. — Voyez Lindsay.
Banden-Bridge. — Voytz Boyle.
Bangor. — Voyez Ward.
Bantrt. — Voyez White.
Barhau. — Voyez Noël.
Bath. — Voyez Thyone.
Batning. — Voyez WilHam-Powlett
Beadghamp. — Voyez Piadar.
Beaufort. — Voyez Somerset.
Bedford. — Voyez Russell.
Belhaten. — Voyez Hamilton,
Belmore. — Voyez Lowry-Corry.
Bendlesham. — \oyez Thdussoo.
— 153 —
Bhntingk — Voyez Gavendish-Benlinck.
Bebkshire. ^ Voyez Howard.
Berwick. — Voyez Noél HHI.
Besborough. — - Voyez Ponsonby.
Beyeblet. — Voyez Percy.
Bbxlet. — Voyez Vansittart.
Blânttre. — Voyez Stewart.
B0LIN6BBOKE. — Voyez Saint-John.
BoLTON. — Voyez Orde-Powlell.
BoBBOBOUGH. — Voyez Ponsonby.
Boston. — Voyez Irby.
BoTNE. — Voyez Hamillon.
Brandon. — Voyez Hamilton.
Bbatbbooke. — Voyez Neville.
Bbeadàlbane. — Voyez Gampbell.
Bridport. — Voyez Hood.
Bristol. — Voyez Hervey.
Broghill. — Voyez Boyle.
Brooke. — Voyez Greville.
Brownlow. — Voyez Cust.
BuccLEDGH. — Voyez Montagu-Douglas -Scott.
BccHÀN. — Voyez Erskiue.
BucKiNGHAM ET Ghandos. — Voyez Tcmple-Nagant.
Burlington. — Voyez Gavcndish.
Bote. — Voyez Crichlon-Sluart.
G.
Gaher. — Voyez Butler.
Gaithness. — Foj/(?2 Sinclair.
10
— 154 —
Calbdon* — Voyez Alexander.
Càlthorpe. — Voyez Gough-Calthorpe.
Cambermere. -- Voyez SUpleton-Gotton.
Càmden. — Voyez Pratt.
Garbert. — Voyez Evans-Freke.
Cardigah. — Voyez Brudenell.
Garlislv. — Voyez Howard.
Garlton. — Voyez Boyle.
Garnaryon. — Voyez Herbert.
Garrick. — - Voyez Butler.
Garbington. — Voyez Smith.
Gartbret. — Voyez Thyone.
Garwath. — Voyez Daizell.
Garysfort. — Voyez Proby.
Gastlemaine. — Voyez Handcock.
Gastle-Marttr. — Voyez Boyle.
Gastle-Stewart. — Voyez Stewart.
Gayan. — Voyez Lambart.
Gayb.
Gawdor. — Voyez Gampbell.
Ghandos. — Voyez Temple.
Gharleyille. — Voyez Bury.
Gbarlbmont. — Voyez Gaulfield.
Gbatham. — Voyez Pitt.
Ghaworth. -^ Voyez BrabazoQ.
Ghesterfield. -— Voyez Stanhope.
Ghighester. — Voyez Pelham.
Ghdrghill. — Voyez Spencer.
Glanboye.^ Voyez Blackwood.
Glangarthy. *- Voyez Le Poer-Trencli.
J U I>
-— 100 —
GiANMORRis. <— Voyez Bingham.
Clànhicarde. — Voyez De Burgh,
Glànwillum. — Voyez Meade.
Glare. — Voyez Fitzgibbon.
Glarendon. — Voyez Villiers.
Glarina. — Voyez Massey.
GuFDEN. — Voyez Agar-EIlis.
GuFTON. — Voyez Bligh.
Glinton. — Voyez Trefusis.
Glonrrock. — Voyez Dillon.
Glonmel. — Voyez Scott.
Gltdesdale. -— Voyez Hamilton.
Gourermere. — Voyez Stapleton.
GoRK. — Voyez Boyle.
GouRTOWN. — Voyez Stopford.
GowLEY. — Voyez Wellesley.
Gremorne. -— Voyez Dawson.
D.
Dalhousie. — Voyez Ramsay.
Barmouth. — Voyez Legge.
Barnley. — Voyez Bligh.
Decies. — Voyez Horsiey-Beresford.
Delaware. — Voyez West.
Denrigh. — Voyez Feilding.
Derrt. — Voyez Smilh-Stanley.
Desart. — Voyez Guffe.
Deton. — Voyez Gourtenay.
DiNORREN. — Voyez Hughes.
— 156 -^
DONEGALL* — Voyez Ghichester.
BoNBBAiLE. — Voyez Saint-Lëger*
DoNonGHMORE. — Voyez Hutchinson.
DoRCHESTBR. — Voyez Garleton.
Douglas — Voyez Hamilton.
DowNE. — Voyez Dawnay.
DowNSHiRE. — Voyez Hill.
DowNES. — Voyez Burgh.
Drogheda. — Voyez Moore.
IhrciE. — Voyez Reynolds-Moreton,
DuFFERiN. — Voyez Blackwood.
DuFFOS. — Voyez Dunbar.
DuNALLET. — Voyez Prittie.
DcNDONALD. — Voyez Gochrape.
DuNGARYAN. — Voycz Boylc.
DcNMORE. — F<n/e« Murray,
DuNRATEN et MouNTEARL. — Fbt/^« Wyndham-Quin.
DcNSANT. — Voyez Plunkelt.
DuRHAM. — Voyez LambtQn.
DuTTON, — Voyez Hamilton.
Dtneyob.— - Voyez Rice.
E.
Eglington. «— Foye^Montgomery.
Egmont. — Voyez Perceval.
Egremomt. — Voyez Windham.
Eldon. — Voyez Scott.
Elgin. — VoyezBruce,
Eubank. — Voyez Murray.
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- '57 - \
Ellenborougr. — Voyez Law. >
Ely. — Voyez LoTlus.
Enniskillen. — Voyez Cole,
Erne. — Voyei Greighlon.
Errol. — Voyez Hay-Garr.
ExBTER. — Voyez Cecil.
ExMOUTH. — > Voyez Pellew.
F.
Falkland. — Voyez Carey.
Falmouth. — Voyez Boscawen.
Farnborough. — Voyez Long.
Farnham . — Voyez Maxwell.
Feigtimouth. — Voyez Shorc.
Ferrard. — Voyez Skeffington.
Ferrers. '— Voyez Shirley.
Feyersham. — Voyez Duncombe.
Fife. — Voyez Duff.
FiNGALL. — Voyez Plankett.
Fitzgerald et Vesey. — Voyez Vesey.
Fitzgerald de Ros. ~ Voyez De Ros.
G.
Galloway. — Voyez Stewart.
Galway. — Voyez Monckton-Aruodell.
Garyagh. — Voyez Ganning.
GiFFORD. — Voyez Hay.
Glaomas. — Voyez PolIadioD.
— 158 -"
Glasgow. — Voyez Boyle.
Glengàll. — Voyez Butler.
Glenlton. — Voyez Murray.
GoDOLPHiN. — Voyez Osborne.
GoBMANSTON. — Voyez Preston.
GoBT. — Voyez Vereker.
Grafton. — Voyez Fitzroy.
Granard. — Voyez Forbes.
Grantlet. — Voyez Norton.
Grantille. — Voyez Leveson-Gowcr,
Grayesend» — Voyez Graves.
Gredington. — Voyez Kenyou.
GuiLFORD. — Voyez North.
Guillamore. — Voyez O'Grady.
H.
Haddington. — Voyez Hamilton.
Harborodgh. — Voyez Sherard.
Harburton. — Voyez Pomeroy.
Hardwicke. — Voyez Yorke.
Habewood. — Voyez Lascelles.
Habbington. — Voyez Stanhope.
Habbowby. — Voyez Ryder.
Hartington. — Voyez Gavendish.
Habtland. — Voyez Mahou.
Hastings. — Voyez Rawdon-Hastings.
Hawabden. — Voyez Maude.
Rawke. — Voyez Harvey- Hawke.
Headfort. — Voyez Taylour»
— 159 —
Hereford. — Voyez Devereux.
Hertford. — Voyez Seymour-Conway.
Hettesbort. — Voyez A'Gourt.
HiNTON. — Voyez Poulett.
HoLLAND. — Voyez Yassall.
Home. — Voyez Ramey-Home.
HuNTiNGDON. — Voyez Hastings.
HopETOUN. — Voyez Hope.
HoRSEHEATH. — Voyez Bromley.
Howard de Walden. — Voyez Ellis.
HowDBN. — Voyez Garadok.
HowE. — Voyez Curzon-Howe.
HowLAND. — Voyez Russell.
HowTH. — Voyez Saint-Lawrance.
HuNTiNGFiELD. — Voyez Yanneck.
I.
Ikerrin. — Voyez Butler.
Ilchester. — Fot/ezFox-Strangways.
Inglismaldt. — Voyez Carnegie.
Interness. — Voyez Gordon.
J.
Jersey. — Voyez Ghild-Yilliers.
K.
Kelburise. — Voyez Boyle.
Kekmcee. — Voyez Gordon. .
~ 160 —
Remsimgton . -* Voyez Edwardes.
Kerrin. — Voyez Butler.
KiLKENNT. — Voyez Butler.
KiLMAiNE. — Voyez Browne.
RiLHORET. — Voyez Needham.
KiNALMEAKT. — Voyez Boyle.
RiNGHORN. — Voyez Lyon-Bowçs.
Kingston. — Voyez King.
KiNGSDALE. — Voyez De Courcy.
KiNNOUL. — Voyez Hay-Drummond.
KiNTORE. — Voyez Keith-Falcouer.
L.
Lanark.— Foyei Hamilton.
Lanesborough. — Voyez Butler.
Langford. — Voyez Rowley.
Lansdownb. — Voyez Petty-Fitzmaurice.
Leeds. — Voyez Osborae.
Leinster. — Voyez Fitzgerald.
Leitrim. — Voyez Cléments.
Leten. — Voyez Leslie.
LiFFORD. — Voyez Hewitt.
LiLFORD. — Voyez Powys.
LiMERicK. — Voyez Pery.
LiNTRATHEN. — Voycz Ogilvie.
LisBURNE. — Voyez Yaughan.
LisLE. — Voyez Lysaght.
LisMORE. — Voyez O'Gallaghan.
LiSTOWELL. — Voyez Hare.
— 161 —
LiYERPOOL. — Voyez Jenkinson.
LoNDONDERRT. — Voyez Vane.
LoNGFORD. — Voyez Padcenham.
LoRTON. — Voyez King.
LOTHUN. — Voyez Ker.
LousDALE. — Voyez Lowtber.
LoDTH. — Voyez Plunkett.
Lyndhdrst. — Voyez GopLey.
Ltkedoch — Voyez Graham.
M.
Macclesfield. — Voyez Parker,
Malmesburt. — Voyez Harris.
Mancashire. — Voyez Hamilton.
Manchester. — Voyez Montagu.
Mansfield. — Voyez Murray.
Manyers. — Voyez Pierrepont.
March. — Voyez Wemyss-Charteris- Dougla««
Marlborough. — Voyez Spencer.
Marr. — Voyez Ërskine.
Martborough. — Voyez Wellesley-Pole.
Massereene. — Voyez Skeflingtoa.
Mato. — Voyez Bourke.
Meath. — Voyez Brabazoo.
Melbourne. — Voyez Lamb.
Meldrum. — Voyez Gordon.
Melfort, — Voyez Drummond.
Melrose. — Voyez Hamiiton.
Melville. — Voy(z Saunders-Dundas.
_ 16Î —
Meltille. — Voyex Leslie.
Ubndip. — Voytt Agar-Ellis.
HEXBOionGH. — Veyes Saville.
UiDDLETON. — yojfMBrodrict.
MiDDLETON. — Votm Willoughby.
MiLLOWN. — Voj/ea- Leeson.
MiNTO. — Voyez Elliot-Murray-KynyamoQd.
MoNiGHAM. — Voyez filayney.
HoKTEAGLE. — Voyei Browne.
HoNTFOBT. — Voyez Broraley,
HoNTQOMEBT. — Voytz Herbert.
HoNTROSE. — Voyez Graham.
MoBAY. — Toget Stuart,
MoBJur. — Voyez Parker
UOBTiMEB. Voyez Harley.
MoBTON. — Voyez Doublas.
HoETTN. — Voyez Lloyd.
MouNTCASHELL. — Voyez Hoore.
MounT-EuflECUMBE. — Voyiz Edgectunbe.
Mou^THOBBEs. — Voyez De Montmorency.
Mo□NT^oBnIS. — Tcyez Annesley.
MomT-S«iDKOBD. — Voytx Smitori.
MoLGBiVE.— VoyezThippi.
HoHCÀSTEB. — Voyez Penningloa,
MtisKBBKT. — Voyez Deaae.
N.
Nbwbobocgh. .— Voyez Wyna.
Nbwboigb. — Voyez Eyre.
— 163 —
Newcastle. — Voyez Fiennes-Pelham-Glintoni
Norfolk. — Voyez Howard.
NoRTHAMPTON. — Voyez Agar.
NoRTHAMPTON. — Vopez ComptOD.
NoRTHESK. — Voyez Carnegie.
NoRTHOHBERLAND. — Voyez Percy.
NoRTHwicK. — Voyez Rushout.
0.
OcKHAM. — Voyez King.
Ormond. — Voyez Butler.
Orrery. — Voyez Boyie.
OssoRY. — Voyez Butler.
OssDLSTON. — Voyez Bennet.
Oxford, — Voyez Walpole.
Oxford. — Voyez Harley.
P.
Palmerston. — Voyez Temple.
Panhdre. — Voyez Maule.
Pembroke. — Voyez Herbert.
Plymouth. — VotjezWindsoT.
PORTARLINGTON. — VoyeZ DdWSOD.
PoRTLAND. — Voyez Gavendish-Bentinck.
PoRTHORE. — Voyez Colyear.
PoRTSMouTH. — Voycz Wallop.
PowERScouRT. — Voyez Wingfield.
Powys. — Voyez Clive.
— 16i -^
Q.
QuEBNSBERET. — * Voyez Douglas.
QuERHOKNT. — Voyez Kerhoént.
R.
Radstock. — Voyez Waldegrave.
Rancuffe. — Voyez Parkyns.
Ramelagh. — Voyez Jones.
Ranfurly. — Voyez Knox.
Rathdown. — Voyez Monck.
Rayensworth. — Voyez Liddell.
Reat- — Voyez Mackay.
Redesdale. — Voyez Freeman-Mitford.
Rendleshaii. — Voyez Thelusson.
RiBLESDALE. — Voyez Lister.
RiCHEMOND. — Voyez Lennox.
RiPON. — Voyez Robinson.
RiYERS, — Voyez Pitt-Rivers.
RiYERSDALE. — Voyez Tonson.
RoDEN. — Fbye^ Jocelyn.
RoKEBY. — Voyez Montaga.
RoMNET. — Voyez Marsbam.
RosEBERRY. — Voyez Primrose.
RosEHiLL. — Voyez Carnegie.
RoscHiLT. — Voyez Carnegie.
RoscoMMON. — Voyez Dillon.
Ross. — Voyez Boyle.
Rosse. -^ Voyez Parsous.
— 165 —
RossLTN. — Voyez Saint-Clair-Erskinc.
RossMOND. — Voyez Wistusra.
RoTHEs. — Voyez Leslie.
RoTHESAY. — Voyez Stuart-Rothesay.
RoTHESAT. — Voyez Stuart.
RoxBDRGH. — Voyez Innes-Ker.
RuTLAND. — Foye^Manners-Sutton.
S.
Sage. — Voyez Eardley-Twisleton-Fiennes.
Saint-Germain. — Voyez Elliot.
Saint-Helens. — Voyez Fitz-Herbert*
Saint-Vincent. — Voyez Jervis.
Salisbdrt. — Voyez Gascoigne-Cecil.
Saltodn. — Voyez Fraser.
Sandwich. — Voyez Montagu.
ScARBORODGH. — Foye^T Lumlej-Savil le.
ScARSDALE. — Voyez Gurzou.
Seafield. — Voyez Grant-Ogilvîe.
Seaford. — ' Voyez EUis.
Sefton. — Voyez Molyneux.
Selkirk. — Voyez Douglas.
Sele. -— Voyez Eardley-Twisleton-Fiennes.
Selsey. — Voyez Peachey.
Shadbroke. — Voyez Rqu9.
Shaftesbury. — Voyez Ashley-Cooper.
Shangford. — y oyez Smithe.
Shannow. — Voyez Boyle.
SuBFFiBLD. '^ Voyez Holroyd.
— 166 —
SHREwsBERRr. — Voyez Talbot.
Skelhersdale. — Voyez Bootle-Wilbraham.
SiDBiODTH. — Voyez Addington.
Sinclair. — Voyez Saint-Clair.
Sligo. — Voyez Browne.
SouMERSET. — Voyez Seymour.
SoMsiERS. — Voyez Gocks.
Sondes. — Voyez Watson.
Stamford. — Voyez Grey.
Stenton. — Voyez Hamilton.
Storwell. — Voyez Scott.
Strathuore. — Voyez Lyon-Bowes.
SoFFiELD. — Voyez Harbord.
Sdffolk. — Voyez Howard.
SoTHERLAND. — Voyez Lcveson.
Sydney. — Voyez Townshend.
T.
Table Y. — Voyez Warren.
Talbot. — Voyez Cheswynd-Talbot.
Tankeryille. — Voyez Bennet.
Templetown. — Voyez Uptou.
Teynham. — Voyez Roper-Gurzon.
Thanet. — Voyez Tuflon.
Thomond. — Voyez 0*Brien.
Thurles. — Voyez Butler.
ToRPHicHEN. — Voyez Sandilands*
ToRRiNGTON. — Voyez Byng.
Traquhair. — Voyez Stuart.
— 167 —
TulLàmore. — Voyez Bury.
TwEEDDALB. — Vot/ez Hay.
Ttbgonnel. — Voyez Carpenter.
V.
Vaux. — Voyez Broughani.
Ventry. — Voyez Mullins.
Verulam. — Voyez Grimston.
W.
Wallscourt. — Voyez Blake.
Walsinghah. — Voyez De Grey.
Warrington. — Voyez Grey.
Warwick. — Voyez Greville.
Waterford. — Voyez De la Poer-Beresford.
Waterloo. — Voyez Wellesley.
Waterpark. — Voyez Gavendish.
Wellesley. — Voyez Colley ou Cowley-Vellesley.
Wellington. — Voyez Wellesley.
Westmeath. — Voyez Nugent.
Westminster. — Voyez Grosvenor.
Westmoreland. — Voyez Fane.
Westport. — Voyez Browne.
Wharncliffe. — Voyez Stuart-Worlley-Mackenzîe.
WicKLow. — Voyez Howard.
WiLLouGHBY DE Eresby. — Voyez Drummond.
Wilton. — Voyez Egerton.
Winchester. — Voyez Paulett.
t ■ » ■
..•■.-■ . —468 —
^INCHILSEA. — Voyez Finch-Hatton.
WiNTEBTON. — Voyez TnmouT,
Y.
Yarborougb* — Voyez Anderson-Pelham,
FIN.