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Full text of "Cris de guerre et devises des états de l'Europe, des provinces et villes de France et des ..."

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DE GCERRï 



DEVISES 

'm DE L'ïiMrB, m no\\%a vt ïiuis de fbakh . 
FAMILLES NOBLES 






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[S DE GUERRE ET DEVISES 



CRIS DE guërrIé: 



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DEVISES 

DES ÉTATS DE L'EUROPE, 

DIS PIOTINGBS BT YILLKS DB FRANCK 

R 

DES FAMILLES NOBLES 



De France, d'Angleterre, des Pays-Bas, d'Italie, de Belgique, etc., elc 

Des Abbayes et Chapitres nobles, 

Des ordres civils et loilitiires, etc., etc. 

Par le comte de Qmt^^^M^^^ % 




PARIS 

HPRIHERIË H. SIMON DAUTREVILLE ET C% 

RUK NECVE-DES-BONS-EXFANrS, 3. 

1852. 



fipym 




aa 



INTRODUCTION. 



Au milieu de l'intérêt toi]yours croissant 
qu'inspire l'étude des faits qui ont concouru à 
jeter de l'éclat sur l'histoire de notre pays^ des 
hommes de cœur et d'intelligence ont compris 
que cette étude ne devait point, à peine d'être 
incomplète, se borner à connaître les faits 
principaux , non plus qu'à scruter en détail les 
plans de politique des princes. L'histoire des 
rois ne forme qu'une partie de l'histoire du 
pays;etcelui->-làn'a qu'une science incomplète, 
qui n'a point embrassé dans ses recherches les 
diverses classes de la nation* Aussi, de tous 
temps j mais plus encore maintenant, s'est-on 
occupé avec une louable curiosité de tout ce 
qui pouvait avoir rapport à l'ordre de la no* 
blesse : on a interrogé avec une attention 
scrupuleuse, on a compulsé tout ce qui était 
de nature ^ jeter quelque jour sur son institua 



— 6 — 
tioii, ses développements ou sa coaduîle; i 
livres nombreux traitent de la science i 
armoiries ; d'Hozier et La Chcsnaye des Ba 
ont consacré leur vie b réunir les généalc^ 
(les grandes maisons de France ; et, tout i 
comment encore , M. Jouffroy d'Eschavannes 
publié un livre qui contient le Itiôme de près< 
dix mille écussons. Ce sont là, sans doute, i 
nobles travaux ; mais une seule chose m'étonn 
c'est que, parmi tant d'hommes s'occupanti 
la même science, aucun n'ait encore songé 
faire des cris de guerre et des devises de i 
mêmes familles, le but de quelques rech<! 
ches. El pourtant les armoiries appartienne 
en quelque sorte à l'histoire privée des 1 
milles; tandis que leurs devises font réell 
nient partie de l'histoire générale du pays. 

En effet, ce ne son t plus ici des signes , pol 
ainsi dire, hiéroglyphiques ; ce sont des i 
dicatious curieuses, des données positives s 
les opinions, les passions, les pensées et 1 
principes des grands. Or, n'est-ce pas d' 
près ces mêmes principes, qu'ils ont adopté' 
plan de conduite qui les a immortalisés; ne son 
ce point ces mêmes pensées qui ont dépo 



dans leur cœur le germe des grandes et nobles 
actions 7 En contemplant les armoiries de leur 
famille^ les gentilshommes se rappelleront qu'ils 
sont nés nobles ; en lisant la devise loyale et 
courageuse de leurs pères, ils sauront à quel 
prix leurs ancêtres ont acquis la noblesse , à 
quelles conditions, descendants, ils la perpétue- 
ront. Il ne sufBt point de savoir qu'on a Thon- 
neur d'être au-dessus de ses semblables, il 
faut encore connaître et ne pas oublier les 
devoirs qu'imposent ce rang et cette supé- 
riorité. « Pour moi, » dit en quelque endroit 
un écrivain de mérite, c si j'avais à ins* 
9 truire un jeune prince, je voudrais le faire 
» par la devise. Je ferais peindre toutes les de- 
9 vises que les princes ont portées, et celles 
» qui ont été faites pour eux en diverses 
9 rencontres; j'y ajouterais les devises des 
9 grands hommes , non-seulement pour les 
» faire connaître tous au jeune prince, mais 
» encore pour l'animer à la vertu parleur exem- 
» pie. Je ferais des devises sur tous les devoirs 
• du prince, tant à l'égard de Dieu qu'à l'égard 
» de ses sujets et de soi-même. Par les unes 
> et par les autres, il apprendrait aisément et 



— 8 — 

» avecplaisirnon-senlementla morale et la po- 
1 litiqae^ mais encore l'histoire héroïque. » 

Telle est la lacune que mes efforts tendent à 
combler. Un travail aussi considérable ne sau 
rait avoir la prétention d'être complet ; j'ai 
néanmoins réuni dans ce petit recueil plus de 
3,000 cris de guerre ou devises. Les familles 
étrangères y ont trouvé place , la plupart des 
pairs et des baronets anglais y figurent^et une 
notice historique sur l'origine des cris de 
guerre complète ces recherches. 

J'ai adopté^ comme plus commode, le clas-l 
sèment alphabétique; je crois donc devoir 
prévenir que les pairs d'Angleterre, représen- 
tant pour la plupart plus d'une pairie, c'est i 
leur nom de famille qu'on les trouvera, non 
à leur titre. Ainsi, pour connaître la devise des 
ducs de Norfolk, comtes de Surrey et d'Anm- 
del, c'est à Howard qu'il faudra chercher. Ai 
surplus, pour faciliter les recherches, on trou* 
vera à la fin de ce volume une table alphabéti* 
que des titres anglais avec le renvoi au non 
de Camille. 



NOTICE 



SDR 



LES GRIS DE GUERRE ET ]IES DEVISES 






De tontes le83oimi€eB, le Uasot eâl celle où il im^ 
porte lopluide bien e^entendre sur les mots, et, 
saas contredit, celle où Ton s'entend le moins. Que 
de vérités avérées dont un faux emploi de termes a 
fait des erreurs grossières. Des auteurs sérieux, de 
grayes écrivains ne nous ont-ils pas donné les ar- 
moiriei de Moïse, d*Ënée ou de David : à cela on 
sourit de pitié, et néanmoins rien de plus vrai en 
réduisant la question aux proportions d*nne querelle 
de mot. 

r 




Si, en effet, les auteurs qui ont traite de la science, 
objet de ces recherofaeSi et le nombre eu est grand, 
nvaiem d'abord reconHD que les armoiries soni des 
emblèmes elles devises aussi, Ils se seraient épargné 
bien des dissertations à perle de vue, et les opinions 
qui, au premier coup d'œil, sembleot les plus contra- 
dictoires et les plus erronées , paraîtraient, ans yeux 
de tous, pleines de raison et de vérité. Je vais tenter 
lie le prouver. 

En premier lieu, les armoiries ne sont pas aussi 
anciennes que l'aUinnent quelques écrivains : les ar- 
moiries proprement dites, telles que nous les coq- 
naissons, soumises à des règles fixes et invariables, 
règles de couleurs, règles de forme, ne femontenl 
pas au-delà des Croisades. Avant cette époque, on 
voyageait peu : les seigneurs abandonnaient rarement 
leurs liefs, si ce n'est pour suivre le roi à la gaerro, 
et les ligures que, dans ce dernier cas, ils faisaient 
peindre sur leurs bannières , loi'squ'ils étaient assez 
considérables pour avoir le droit d'en porter, ces 
(igares , dis-je , prises au hasard , résultat d'une 
Taniaisie, ne sauraient être regardées comme des 
armoiries sérieuses, mais bien comme des emblêoies 
primitifs, que les seigneurs purent conserver dans la 
suite, mais qui ne dépendaient ni du nom, ni du fief, 
■l'avaient point été reçus des aïeux, et n'étaient pas, 
de toute nécessité, transmissibles aux enfants. Un 
seul système différent de celui que je développe ici, 
tu' a paru digne d'être discuté. 

Des auteurs savants et consciencieux ont avancé 



— 11 — 

que les armoiries étaient déjà connues depuis quel- 
que temps, lorsque commencèrent les Croisades, et 
que ce furent les tournois, joutes et jeux chevaleres- 
ques qui les mirent en usage. Us s'appuient, à cet 
égard, sur Tétymologie du mot blason, Tenu de l'al- 
lemand blaxetij sonner du cor, parce que, disent*ils, 
avant que les preui entrassent en lice, les hérauts 
qui se tenaient aux yrtes du champ clos, procla- 
maient, à son de trompe, les armes des4enants et des 
assaillants. Conmie question de fait, ceci est sans ré* 
plique, mais l'induction qu'on <îherche à en tirer ne 
me semble pas logique, puisque rien ne prouve que les 
hérauts blasonnassent autre chose, sinon les meubles 
de l'écu, ces meubles, emblèmes primitif^, qui, ainsi 
que je l'ai dit, existaient depuis long-temps et for- 
maient, si je puis m'exprimer ainsi, l'enfance 
de l'héraldicité. En effet, le nom même des diver* 
ses couleurs et fourrures qui constituent le champ 
de l'écu et les distinguent entre eux, n'en in- 
dique-t-il pas l'origine? Tout le monde est d'accord 
pour reconnaître que le terme gueulei, qui exprime 
la couleur rouge, axtir, qui exprime la couleur bleue, 
viennent de ce qu'en persan et en arabe, la rose 
rouge se nomme gui, dont les peuples de l'Asie ont 
fait le nom propre Gulistan, et le bleu lazurd. Il en 
est de même de sinople (vert), qui vient de ce que la 
ville de Sinople, en Asie-Mineure, portait des éten- 
dards de cette couleur, ou bien plutôt de ce qu'on 
recueillait, dans les environs de Sinople, un bol vert. 
(Voyez Dictionnaire de Lamartiniêre^ tome VIL) U 



— 12 — 

est d'ailleurs éTident qa'tTant les expéditions de la 
TeiTe-Sainte« les année des cheTaliers« que les hé- 
rauts criaient à son de trompe, n'étaient point des 
armes héréditaires. Chaque combattant tenait, durant 
le temps de la joute, sa TÎûère baissée, tant pour 
éviter d'être blessé au visage qu'afin de n'être point 
reconnu. Or, on conçoit que les hérauts commen- 
çant par crier les armes des Rigueurs qui devaient 
garder Tincognito , ceux-ci aunient tout aussi bien 
pu Ikire crier leur nom que des vmes héréditaires. 
Nous ne voyons pas, d'ailleurs , que l'usage d'atu- 
cher à un poteau, à l'entrée de la lice, les armes 
du poursuivant, soitantérieur aux Croisades. Le code 
des Tournois, rédigé en 938 à Magdebourg, par l'em- 
pereur Henri l'Oiseleur, ne fait aucune mention d'ar- 
moiries. Mais, dira-tr-on , pour tenir un Pas-Kl'annes, 
il fallait être noble, et conséquemment avoir des armoi- 
ries. Encore une fois, les armes ne sont point inhéren- 
tes à la noblesse, ou du moins n'étaient pas, à cette 
époque, inhérentes à la noblesse, ne constituaient pas 
la noblesse, qui avait pour se vérifier beaucoupd'autres 
moyens que ceux du blason régulier. Enfin, Ménes- 
trier, savant et judicieux écrivain, dit en un endroit 
de sa Méthode du blason : a Bientôt ceux mêmes qui 
n'avaient pas été du voyage en Palestine , se mon- 
trèrent jaloux de cette distinction. Chaque seigneur, 
chaque gentilhomme voulut aussi avoir un emblème 
distinctif. On n'eût osé se présenter à un Pas^i'armes 
si Ton n'eût eu sur son armure et sur le caparaçon 
de son cheval une devise en broderie. » (Devise est 



— 13 — 

ici pour annoirie). Ce qui prouve cependant que si 
les tournois ne donnèrent pas naissance aux armoi- 
ries régulières, ils contribuèrent du moins à en pro- 
pager l'usage. L'auteur que je viens de citer est 
de cet avis; il fait remarquer, d'ailleurs, qu'une 
grande partie des pièces qui meublent les écus tirent 
leur origine des tournois, comme les ptU^^ qui repré- 
sentent les palissades placées autour de la lice pour 
en fermer l'entrée. 

Convenons donc qu'avant 1009, époque où Philippe- 
Auguste entrq>rit la première croisade, les armoiries 
régulières n'étaient pas connues, et que ces signes ou 
figures que les chevaliers portaient sur leurs écus, 
n'étaient autre chose que des emblèmes. Je convien- 
drai alors volontiers moi-même que, sous ce point 
de vue, les emblèmes sont d'une haute antiquité. 
Rome portait povr symbole un aigle , Athènes un hi- 
bou, et l'on vit des familles conserver héréditaire- 
ment les marques adoptées par leur chef, mais sans y 
être tenues en aucune façon. L'histoire romaiue nous 
en fournit trois exemples : les Corvini qui portaient 
un corbeau, les Torquati un collier, les Cincinnati 
une touffe de cheveux. Les villes mêmes de l'Anti- 
quité adoptèrent souvent des emblèmes parlants, 
comme témoignent les monnaies de Ces cités qui 
sont parvenues jusqu'à nous. Leontium portait un 
lion sur le revers de ses monnaies ; Clydes , une 
clef. 

Ces emblèmes distinclifs formaient en réalité le 
corps d'une devise, et étaient presque toujours ac- 



— u — 

compagnes de quelques mots qui en composaient 
l'âme et en complétaient le sens. Aussi Xénophon 
et un grand nombre d'auteurs grecs nous ont-ils con- 
servé les devises de Gyrus, de Darius, de Gambyse, 
de Xercès, d'Arsace ; il ressort de là que ce que cer- 
tains bérauts ont confondu avec des armoiries n'était 
autre cbose que des devises parfaites ; que ces sym- 
boles datent d'une très baute antiquité , et qu'ils 
étaient en faveur bien long-temps avant l'établisse- 
ment des premières armoiries régulières. Disons ici 
quelques mots de l'origine et du but du cri de guerre 
et des devises, aux temps modernes. 

Le cri de guerre, hellieus clamor^ ou tignum mtVt- 
tare, selon Robert le Moine, pris au propre, date du 
premier combat que les hommes se livrèrent', car ce 
cri n'est autre cbose que la clameur poussée par les 
guerriers au moment d'entamer l'action. Il ne faut 
pas le confondre avec le cri d'armes {proclamatio 
amwrum ), qui n'était autre que la publication du 
ban. Tacite avoue que le cri de guerre des Barbares 
faisait tressaillir les Romains les plus courageux. Les 
Germains, ditril, poussaient ce cri en approchant de 
leurs lèvres le bord de leurs boucliers. Outre ce cri, 
ils entonnaient encore, au moment d'engager le corn- 
bat, un cantique appelé le Bardit, et ils auguraient 
du succès de leurs armes selon le plus ou moins de 
vigueur de leur chant. Voici le texte de Tacite : 
a Les Germains disent avoir eu aussi parmi eux un 
Hercule, et de tous leurs héros, c'est le premier qu'ils 
célèbrent en allant au combat. Ils ont aussi de ces 



— 15 — 

chansons de guerre qu*ils entonnent avec cette sorte 
de cri qui se nomme Bardit. Ils s'en servent pour 
exalter leur courage, et à leur chant seul ils augu- 
rent du succès qu'aura la bataille. Ils sont intrépides 
ou intimides suivant que leur cri de guerre a été 
plus ou moins bruyant. £t,-dans ce cri, illeur semble 
entendre l'accent même de la valeur; ils 's'attachent 
surtout à produire des sons rudes et un bruit rauque, 
ayant soin de mettre leurs boucliers devant leur 
bouche, afin que leur voix rejaillisse en échos plus 
terribles et plus retentissants. » 

Le cri de guerre, tel que nous l'entendons de nos 
jours, est un monument de la féodalité, et a dû pré- 
céder de beaucoup l'usage des écussons réguliers. Il 
se rattache d'ailleurs intimement à l'institution pri- 
mitive de la noblesse. Les feudataires, contraints par 
la condition même de leur vasselage, non-seulement 
de suivre le roi à la guerre, mais encore de lai four* 
nir un certain nombre d'hommes dont ils avaient le 
commandement sous le roi ou le général en chef, 
sentirent la nécessité d'avoir un cri de guerre per- 
sonnel et indépendant de celui du commandant 
en chef. Aussi l'usage de Cfier s'éteignitril sous 
Charles Vil, lorsque ce prince établit, sous des for- 
mes régulières, les compagnies d'ordonnance, et dis- 
pensa la noblesse de l'obligation de se rendre en per- 
sonne à l'armée. Tout seigneur, possesseur d'une 
terre inféodée et conduisant sous ses drapeaux trois, 
quatre ou cinq hommes, ne pouvait cependant adop- 
ter un cri. Les châtelains et les bannerets avaient 



— 46 — 

ieuls ce droit, qui résultait de celui de porter ban- 
nière. De là vient que nous trouvons fréquemment 
dans les écrivains du moyen-âge Texpression : crier 
hannière. On lit : 



« Et oiflsiez crier Montjoic, 
Que la bataille ne remaigne 
Saint-Pol, Ponti, Drues et Champaigne , 
Meiun, Bourgogne, Ferrières, 
Et aultres diverses bannières. • 

GoiLLAUm GOVART* 



Tous les fils d'un ehâtelaia ou d'un chevalier ban^ 
neret n'avaient pas non plus le droit de faire crier ; 
car il résulte des coutumes des diverses provinces, 
que l'atné possédant seul le fief, était seul tenu de 
conduire ses vassaux à la guerre* et seul consëqaeHi- 
ment pouvait crier bannière; mais les puinés des 
maisons illustres conservaient néanmoins le cri de 
leur aine, qu'ils ajoutaient à leurs armes , soit avec, 
soit à la place de la devise, afin d'indiquer plus posi- 
tivement encore le sang dont ils étaient issus. Cet 
usage se retrouve surtout en Flandre, en Artois et 
dans les provinces du Nord de la France. Les cris 
servaient dans diverses circonstances : tantôt c'était 
dans le but de rallier les soldats qui fuyaient et de les 
réunir de nouveau autour de la personne de leur 
chef, tantôt lorsque ce chef lui-môme se trouvait qq 



— 17 — 

danger, il criait son cri pour appeler au secours. 
Raymond d'Agiles dit quelque part : a Tandem excla^ 
» mavimus signum solitum in neeessitatibus noslris : 
» Deiu adjuva ! Deus adjuva ! » — ce Enfin nous criâmes 
le cri usité dans les cas pressants : Dieu aide ! Dieu 
aide l » Et nous voyons dans la chronique manuscrite 
de Bertrand Duguesclin ; a L'Enseigne va criant pour 
avoir du secours. » 

Le cri devint aussi quelquefois une ruse, et Ton 
entendit une troupe en danger crier le cri des enne- 
mis, et échapper ainsi au péril qui la menaçait. Nous 
eu lisons un exemple dans Tbistoire des Albigeois : 
Fugientes hostes j>rœ timoré mortis exclamabant for^ 
titer : Monsfortis ! Monsforlis ! ut sic se fingerent 
esse de nostris et de manibus persequentium evadcrunt 
arte tali. — ce Les ennemis, qui fuyaient par crainte 
» de la mort, se mirent à crier à haute voix : Mont- 
» fort ! Montfort! feignant ainsi d'être des nôtres, et 
ï) échappèrent par cette ruse aux mains de ceux qui 
)} les poursuivaient. » On s'en servait encore dans le 
dessein d'effrayer les ennemis et de leur donner lieu 
de croire que Tannée était beaucoup plus considérable 
qu'elle ne l'était en réalité. Dans le combat de Pont- 
à-€ommiers, livré en 1382, le maréchal de Sancerre, 
s'adressant à la troupe qu'il commandait, lui dit : 
ce Tenons-nous ici tous ensemble et attendons tant 
qu'il soit le jour et que nous voyions devant nous les 
Flamands, et quand ils viendront nous crierons nos 
cris tous d'une voix, chacun son cri, ou le cri de son 
seigneur à qui il est« Jaçoit que tous les seigneurs 



— 18 — 

ne soient pas ici. Par cette voix et ces cris nous les 
ébahirons, et puis frapperons en eux de grande vo« 
lonté. » 

Outre le cri particulier à chaque seigneur, il y 
avait celui du commandant. Quand le roi était à 
l'armée, quel que fût le général, on criait : ce Mont- 
Joie SairU-Denis ! » Le cri du banneret ne pouvait 
être proféré que lorsque son possesseur était en per* 
sonne sous les drapeaux. 

Il était encore d*usage de crier le cri dans les joutes, 
après avoir blasonné Fécu, et au nombre des ordon- 
nances des Tournois, dressées par René d* Anjou, 
nous trouvons celle-ci : « Et adonc, crieront ceux 
qui porteront les bannières, avec les serviteurs à 
pied et à cheval, les cris, chacun de leur maître 
tournoyant, puis les deux batailles se assemble- 
ront* » 

Le cri de guerre jouait encore un grand rôle parmi 
les droits des seigneurs. Ainsi, lorsque le vassal ren- 
dait hommage à son suzerain, ce dernier faisait arbo- 
rer sa bannière sur les murs du château de son vas- 
sal, et ordonnait en même temps qu'on criât son cri. 
Seigues, veuve du comte d'Estrac, vit la bannière de 
Raymond, comte de Toulouse, flotter sur les tours de 
sa demeure, et entendit le viguier du comte crier : 
Toulouse l 

S'appuyant sur ce que, dans les historiens du 
moyen-âge , on retrouve souvent le mot cri pour 
exprimer le mot d'ordre, quelque&wis ont cru que le 



-- 19 — 

mot d'ordre avait dû remplacer le cri, ce qui est une 
grave erreur : le mot d'ordre a de tous temps changé 
le jour et la nuit; ainsi Boutbeillier, parlant des pri- 
vilèges des connétables, dit:c</(em, à la charge 
de demander au roi toutes les nuits le cri de la 
nuit et de le faire savoir aux maréchaux, les ma- 
réchaux de le faire savoir aux capitaines de gens 
d'armes. » 

Après avoir examiné quelles étaient les personnes 
qui avaient le droit d'user du cri de guerre, et dans 
quelles circonstances on avait coutume de s'en ser- 
vir, il me reste naturellement à faire quelques obser- 
vations sur les divers motifs qui engagèrent certains 
seigneurs à adopter de préférence un cri plutôt 
qu'un autre; car le hasard ne présidait pas seul à ce 
choix. 

Le plus souvent les seigneurs crièrent tout simple* 
ment leur nom : les Mailly, Maillyl les Damas, Da- 
mas lies Gaucourt, GaucourtI Les Picards, cepen* 
dant, ne comprennent point Torgueil de cette pensée, 
puisqu'un dicton assez répandu dans la province 
s'exprime ainsi : 

« Rembures, Rubemprô, Renty, 
• BeUes aimes et piteux cxj. • 

Il arrivait alors fréquemment que, bien que ces 
familles se fussent divisées en diverses branches, et 
que plusieurs d'entre elles eussent acquis des terres 



— 20 — 

el des domaines considérables et en eussent pris le 
nom, elles conservaient néanmoins leur nom origi- 
naire pour en de guerre. Les rois de Navarre 
criaient : Bigarre t Bigarre l Les comtes de Derby : 
Laneastre au eonUe Derby l D*autres, au contraire, 
et ceci se remarquera principalement parmi les prin« 
ces souverains, criaient le nom de leur {dus riche 
domaine, de leur fief le plus important. Les ducs de 
Bretagne : Saint-Malo au noble duc l Les ducs d'An- 
jou : y allie l VaUie! et non Rallie! Rallie l comme 
ont cru quelques écrivains. Rennerus, parlant du 
comte de Loz, dit : a Clamans tertio titulum sui 
comilalûtf scilicet Loz, audacter hoslium cuneos pe^ 
netravit, » — « Et criant par trois fois le titre de son 
comté, c'est-à-dire X02, il enfonça courageusement 
les bataillons ennemis. » 

Quelquefois encore le cri de certaines familles fai- 
sait allusion, soit à leurs armes, soit à Tune des 
pièces qui les meublaient. Les comtes de Flandres, 
qui portaient : d*or au lion de sAle armé et lam- 
passé de gueules, criaient : Flandres au lion! Fiers 
de quelque dicton de leur province qui exaltait telle 
ou telle de leurs vertus, ceux-ci le criaient : Bousiet ! 
Bousies au bon fiz! tandis que ceux-là conservaient 
avec un religieux respect le cri qui devait servir à 
transmettre le souvenir d'une action d'éclat. Gler- 
mont-Montoison crie : A la rescousse^ Uontoison l 

Quant aux souverains, ils adoptèrent en général, 
soit le nom du patron de leurs États, comme les rois 
de France, qui criaient : M(mtjoi$ Sadnt^Iknis ! Les 



— 2^ — 

rois d* Angleterre : Saint-Oeùrges ! Les rois de Cas- 
tille : SahiP-Jaeque$ f soit le nom de leur capitale, 
comme Ottocar, roi de Bohême : Prague! Prague i 
Enfin les provinces criaient volontiers le nom de lenr 
ville principale, les Normands : Jtouen / et les Gas- 
cons : Bordeaux ! 

Passons maintenant aux devises. 

Ainsi que je Fai dit plus haut, Fosage de peindre 
sur les boucliers des sentences appropriées au carac- 
tère ou à la passion dominante de celui qui les in- 
ventait ou les choiûssait, remonte à la plus haute an- 
tiquité ; aussi le français ancien confondait-il sou- 
vent dans un même terme la devise et Técu. On 
alla même plus loin et Ton prit le mot devise pour 
armoirie , le mot deviser pour blasonner. Fauchet 
nous en fournit une preuve, lorsqu'au livrel, pageQl, 
de YOrigine des chevaliers, il dit : a Et je croirai 
bien que depuis que lesdits ducs virent les armoiries 
de France arrêtées, afin de montrer qu'ils étaient du 
sang royal, qu'ils écartelèrent de France leurs pre- 
mières devises qui étaient : de bulles ou bandes d'or 
de six pièces à là bordure componée d'argent et de 
gueules ; » et. ce passage plus explicite encore : 
ce Cette coutume donc de laisser par delà les écus, 
volontiers fut cause de retenir et rendre familières à 
ceux qui voulaient entretenir la réputation de leurs 
ancêtres, de porter les mêmes devises ou blasons. » 
Alain Cbartier, dans son poème intitulé : La Dame 
$an$ Mereyt s'exi^ime ainsi pour peindre le déses- 



— 22 — 

poir d*un chevalier : a le noir portait et sans devise, » 
voulant dire que son ëcu était de sable, sans être 
partagé par aucune pièce héraldique. Devise, dans 
cette dernière acception, vient de dividere^ et dans 
son sens propre, de l'italien diviso^ pensée. 

Insensiblement l'usage s'établit d'annexer la devise 
de son père aux armoiries qu'on avait reçues de lui, 
et de transmettre le tout à ses enfants. La devise 
exprimait en général une vertu, et Ton imposait ainsi 
à ses descendants l'obligation de la pratiquer en leur 
rappelant sans cesse que la noblesse n'est, selon 
l'expression de Gicéron , autre chose qu'une vertu 
connue. Les uns adoptèrent un mot, une sentence 
qvà perpétuait le souvenir d'un haut fait d'armes, 
d'un service rendu au roi ou au pays; les autres une 
maxime tirée des Écritures. 

A ces devises qu'ils avaient reçues de leurs pères, 
ceux-ci en ajoutèrent une personnelle, ceux-là en 
reçurent une du prince, en récompense d'une fidélité 
éprouvée par de longs services ou par une action 
d'éclat. Une devise décèle en quelque sorte l'âme de 
celui qui l'a choisie : qui marque sa piété, qui son 
amour pour son roi , qui , par une sentence amou- 
reuse, exalte les attraits de sa maîtresse. Aussi un 
Italien célèbre regarde-t-il les devises comme le 
langage des héros (linguagio degli ertn)^ ou bien 
encore comme la philosophie des gentilshommes 
(una filosofia dei eavalieri). 

Il en est cependant qui ne furent mus par aucun 
de ces sentiments dans le choix qu'ils firent de leur 



— 23 — 

devise; une consonDance agréable ou curieuse suffît 
souvent à la leur faire adopter. D'autres fois aussi 
ils trouvèrent moyen d'introduire leur nom dans la 
composition d'une sentence ou d'une maxime. 

La famille Bon de Lignim porte : d'argent à la 
tour crénelée d'azur de trois pièces, ouverte et ajou- 
rée du champ, maçonnée de sable et surmontée de 
trois têtes de léopards du même posées une et deux, 
avec les mots : Semper H ubique bonus. 

Ce genre de devises devint surtout à la mode sous 
le règne de Charles YII, qui fut aussi celui des rébus 
et des jeux de mots, ainsi que je l'ai fait remarquer 
dans l'ouvrage intitulé : Chinan et Àgnèi Sorelj où 
j'en donne quelques exemples. Il arrivait encore 
assez fréquemment que les devises se rapportaient 
à l'écu qu'elles accompagnaient* Celles-ci étaient 
en même temps les plus ingénieuses et les plus régu- 
lières. 

Je dis les plus régulières, car si l'usage a introduit 
dans la composition des armoiries certaines lois 
auxquelles on ne saurait se soustraire, les devises, 
elles aussi, sont soumises à certaines règles que le 
bon goût impose et dont on ne doit conséquem- 
ment pas s'écarter. Voici quelques-unes de ces 
règles. 

Les devises sont réellement des métaphores qui 
représentent aux yeux ce qu'une figure de rhétorique 
représente à l'esprit. Aussi, pour être complète, une 
devise doit^elle se composer de deux choses, le corps 
et l'âme. Le corps est l'objet qui forme le rapport, le 



— 24 — 

point de comparaison; l'âme est le mot on It tour 
tence qui l'explique. Devise sans corps, devise nulle; 
devise sans âme, devise nulle. De plus, comme il 
faut, pour qu'une comparaison soit Juste, que lepoinl 
de comparaison soit plus grand que TobJ et compare , 
dans les devises, qui ne sont autre chose qu'une 
comparaison d'un homme et de ses passions à an 
autre être et à ses passons, le bon sens veut que le 
corps de la devise soit plus grand et plus noble que 
l'homme, ou bien que les passions qui meuvent cet 
être soient plus vigoureusement, plus nettement pro- 
noncées chez lui que chez Thomme. 

Comparez la douceur de la femme à celle de la 
colombe, iicvA eolumba mitiê ; le courage et la fierté 
du soldat à la fierté du lion, sùmt leo furens, La de-^ 
vise est un symbole ; elle doit présenter aux yeux et 
à l'imagination un sens abstrait, mais non un sens 
obscur. On s'abstiendra donc de choisir pour corps 
soit un être monstrueux, soit des objets qui n'ont 
aucun rapport entre eux; car ces objets étant de 
convention, chacun serait en droit de les interpréter 
à sa façon. 

Le corps d'une devise ne doit pas se composer 
d'un homme, car on ne saurait comparer une chose 
avec elle-même. Le père Bouhours, du reste fort 
instruit sur l'art des devises, prétend rejeter aussi les 
dieux du paganisme ; mais il est, selon moi, dans l'er- 
reur, car les divinités, chez les anciens, n'étaient que 
la personnification de certaines vertus ou de certains 
vices : et dès lors, emblèmes eux-mêmes, pourquoi 



— 25 — 

ces dieax ne poorraienl^ils concourir à fonnei^ nn 
autre emblème, {MMinru qu'on âitsoin de ne leur faire 
représenter que la passion ou le sentiment dont ils 
étaient le symbole. 

La règle veut encore que Tâme de la devise forme 
avec son corps un sens complet et ressortant telle- 
ment de lui, qu'oit ne puisse séparer l'un de l'autre 
sans en rendre le sens complètement inintelligible; 
exemple : un serpent qui se mord la queue : ad me 
redeo^ Traduisez ces trois mots en retranchant le 
corps auquel ils se rapportent , ^ /« rmneiu à moi, 
n'a plus de signification. 

Lorsque les devises sont purement personnelles, 
il faut éviter qu'tUes présentent à l'esprit un sens 
faux ou amlûgu; aussi remarque^trim plaisamment 
que Marguerite de Valois, prenant pour devise un 
toumesof avec ces mots de Virgile : Ntm imfmiera 
seeutuij se rend conpsd>le d'un solécisme. 

En général, les familles ou les particuliers qui ont 
ajouté des sentences à leurs armes, les ont tirées du 
latin, et cela pour trois motifs : En premier lieu, à 
cause de la concision de cette langue, qui facilite 
l'expression en un petit nombre de mots, des pen- 
sées les plus complexes; en second lieu, parce que 
les Écritures, dont la traduction en latin est si fami- 
lière aux catholiques, et les auteurs latins eux*>mémes 
fournissent un choix varié de sentences, de maximes 
religieuses, guerrières, amoureuses; enfin, parce que 
la langue latine étant la plus généralement répandue, 
au moins parmi les savants, à l'époque du moyens 



— 26 — 

âge, les familles ont préféré an langage qui les faisait 
comprendre partout, à des mots vides de sens pour 
tout autre qu'un compatriote. Aussi la plupart des 
devises en français ne remontent-elles guèrea au- 
delà du XV* siècle. 

Quelques-unes des plus illustres maisons de France 
portaient des devises italiennes, prises lors de la con- 
quête du royaume de Naples par Charles YIII, ou 
pendant la guerre du Milanais, sous François I*', ce 
qui autorise à penser que les devises en italien ne 
sont point, pour la msgeure partie, antérieures à It 
seconde moitié du xv* siècle. 

Les grandes familles d'Angleterre adoptent volon- 
tiers la langue française, pour marquer leur extrac- 
tion des familles originaires du continent, antérieu- 
rement à la conquête de Guillaume-le-Bâtard. 

Quant aux Espagnols, ils placent leur devise dans 
récU| inscrite sur une bordure qui se blasonne 
comme meuble. Les villes insèrent également leur 
devise dans le corps de Técu, en la faisant tenir soit 
sur le feuillet d'un livre, comme Venise , soit entre 
les pattes d'un lion, d'un aigle, ou de tout autre 
animal. 

Outre ces devises, que l'on conservait avec soin, il 
y en avait d'autres qu'on adoptait pour une circons- 
tance quelconque, comme les tournois, les fêtes au 
XVII* siècle. Celles-ci étaient souvent en espagnol, à 
cause du brillant et du sonore de cette langue. Dans 
les XVI* et xvu* siècles, la coutume se répandit de 
composer des devises pour toutes les fêtes et céré- 



— 27 — 

monies religieuses ou civiles. Au mariage des rois, 
on en gravait sur le piédestal des statues qui ornaient 
les jardins, représentant la Tertu, l'hymen, le bon- 
heur, la sagesse , la libéralité , et sur le fronton des 
arcs de triomphe ou des colonnades. Yulson de la 
Golombière en rapporte de nombreux exemples dans 
son Théâtre d'Honneur qu'on pourra consulter à ce 
sujet , surtout l'article intitulé : Le magnifique et 
admirable earrotel qui fût fait à Paris dans la 
place Royale, le cinq, le six et le septième jour 
d'avril , l'an mil six cent et douze, pour les réjouis- 
sances de la double alliance , pour les mariages du 
roi Louis XIII et de madame sa soeur, etc.» etc. 

Il était aussi d'usage , lorsqn*un roi, un prince, ou 
même un grand seigneur mourait, d'exposer autour 
de l'église, soit la devise que lui-même- avait portée 
pendant sa vie, soit des sentences qu'on se plaisait 
à composer en son honneur. Aux funérailles de 
Cosme de Médicis, on voyait la mort appuyée sur sa 
faulx, et le désespoir peint dans toute son attitude ; 
au-dessous ces mots : Quid egiT vivU, vivetque 
sempert Aux obsèques de l'empereur Mathias, 
on écrivit sa propre devise : Concordi lumine 
major» 

Lorsque ces sentences étaient de pure invention, 
on avait soin que chacune d'elles exprimât une des 
vertus du défunt ou rappelât une des actions de sa 
vie. Il y avait là une haute pensée morale et guer- 
rière : Soldat qui meurt, héros qui natt t 

En Angleterre, il était d'usage, lorsqu'un chef de 



— 28 — 

famille mourait, que les volets de ses fenêtres res- 
tassent fermes pendant une année entière. Au-dessus 
de la porte d*entrée on exposait les armes de la fa- 
mille recouvertes d'un crêpe noir, et. on substituait à 
la devise ordinaire une devise de circonstance tirée 
en général des Écritures, comme celles-ci : Resur- 
gam ! ou : Ubi, mon, stimuhtê lntM f \ 

Dans cette dernière contrée, les devises jouent un 
rôle beaucoup plus important que ches nous. Les fa- 
milles anglaises en portent toutes une qui fait en 
quelque sorte partie des armoiries , tandis qu'il est 
peu de maisons françaises qui aient conservé la leur 
sans lui faire subir de changement. Aussi ne 
trouve-t-on qu'un nombre fort restreint de devises 
dans les armoriaox faits sur les grandes familles 
de notre pays. Il n'en est pas de même en An- 
gleterre ou dans les Pays-Bas. Les Espagnols ont 
peu de' devises, du moins de devises hérédi- 
taires. 

Lorsque Tusage des devises se répandit, tout sui- 
vit l'impulsion : l'on vit chaque province, chaque 
ville, chaque corporation adopter une sentence quel- 
conque. Les corps savants, comme les académies, 
par exemple, s'en composèrent une ; les parlements 
et cours de justice, les régiments, les ordres reli- 
gieux, civils ou militaires, les chapitres nobles, sui- 
virent l'exemple qui leur était tracé. 

Ainsi la ville de Tours portait : de sable à trois 
tours couvertes d'argent pavillonnées de gueules gi- 
rouettées du même, au chef cousu de France, avec 



— 89 — 

la devise : SustinerU Ulia iurres, par allusioA aux 
meubles de Tëcu. 

Enfin les libraires et imprimeurs des xv et xvi« 
siècles, estampillèrent les ouvrages sortis de leurs 
presses d'une certaine marque à laquelle ils joignaient 
une devise quelconque. Maurice de la Porte avait 
adopté pour estampille un pauvre couvert de hail- 
lons, sortant d'une ville en feu, avec les mots : 
Meeum porto omnia mea. 

Mais il est temps de s'arrêter : si vaste est le champ 
que nous parcourons, qu'il fournira sans doute car- 
rière à de meilleurs, sinon à de plus consciencieux 
travaux que ceux-ci; ce sera toujours pour moi une 
bonne fortune que de leur avoir ouvert la voie, et 
je les y suivrai avec joie. 



lie eomte de € 



•••• 



m 



2^ 



CRIS DE GUERRE 



ET 



DEVISES. 



■<f ^ . » 



aOTAUMXS. 



Angleterre. — Voyez GRANDE-BRBTAflNi. 

Arabie. — - Le calife Motaded : La nécessité exclal 
tout choix et toute liberté. 

Arménie. — Annénie au noble roy. 

Autriche (Empire d'). — il dextre et à senettre! — 
Hongrie! — Notre-Dame à la Reseoune ! ^Vem- 
pereur Othon : jRome /=Maximilien : A. E. L 0. U. 
(Austriacorum Est Imperare Orbi Universol ou 
Aqnila Electa Jovis Omnia Yincit.) — Chacun son 



— 32 — 

temps. ssMalhias : Amal Victoria curam. — Con- 
Gordi lamine magor. = Henri Y : Mortem optare 
malom; timoré peju, == marguerite #'Aa|ricke: 
Fortana Infortuoat fortiter nnam. 

Bavière. — Gerecht unt beharrlich. = Marguerite 
de Bavière : Lacessitos. 

Belgique. — Les comtes de Flandres : Flandres au 
lion! sz: Les comtes de Haynaut : Notre-Dame 
Haynautt — HayMttf M nokU eonUe! — Haynavtt 
Haynaut! = Les ducs de Brabant : Louvain au 
riche duel — Limbourg à celui qui l'a conquis. — 
Louvain! Louvain! — Limbourg! Limbourg! = 
Les Révoltés de Gand : Gandi Gond! Les chape- 
rons blancs! Les chaperons blancs! es Guillaorne 
comte d*Ostrevant : Evertit et squat. = Le 
royaume de Belgique actuel : L'Union fait la 
force. 

BomÈKE.^Chrislus! Christus! — Prague! Prague! 

Brunswick -WoLFENBUTTBL. -* Nunquam retror^ 
sùm. 

ClIeves. — Eberhardtde Wurtemberg : Benevolentia 
bonissima guardia. 

Danevark. <-- Dominus mibî adjutor. 

Deux-Siciles. — Malo mon quam fœdari. = René 
d* Anjou : Montjoie d'Anjou! — - Pas à pas. =s René 
d'Aigou : Dévot luy suis.— Arco per lentare piaga 
non sana.— D*ardent désir.s=Ladi8las: Aut Gcesar 
aut nihil. 

Espagne. '^Santiago! ou San la^o / »Gharles«« 
Quint : Ncc plus ultra. = Philippe I<" : Quis vult? 



— 33 — 

ss Philippe II : Ut qaiescal Atlas ou Dondnus mihi 
adjittor. a Philij^e m : Et patri et patrise. 
ËTÀT8 DM L*£!isus£. — Notr^JOatHc Saint Pierre t — 
Samt Pierre! »« Clément YIII : Regardez-nous, ô 
Dieu, notre protecteur I ou Si mei non fuerint domi- 
nati , tum immaculatus essem. » Grégoire XYI : 
Delubra ad summa. = Martin IV : Portio mea sit 
in terra yiyentium. = Paul lY : Dominus mihi adju- 
tor. = Sixte-Quint : De YenU'e matris meae, tu es 
Deus protector meus 1 » Urbain YIII : Sponte fa* 
Tos, segre spicula. 
Fbancb. — Montjoie Saint Denytt — Non laborant 
neque nent.= Louis IX : Horp cestanel point n*ay 
d'amour. = Charles Y : Rectè et fortiter. =3 
Charles YI : Hoc Coesar me donavit. « Louis XI : 
Ultus avos trojae. = Anne de Bretagne : Potius 
mori quam foedari. s= Louis Xn : Immensi tremor 
Oceapi. — Cominùs et eminùs. « François I»*" : 
Nutrisco et extinguo. = Claude de France : Can- 
dida candidis. « Henri II:Plena est semula solis. 
— Donec Uytum im|4eat orbem. »= François II : 
Sic spectanda fides. — « Lumen rectis. — Unus non 
suiBcit orhîa, »■ Henri III : Pietate et justitia. =» 
Charles IX : Hapet ultima cœlo.=s: Louise de Yau- 
démont : Aspice 1 ut aspiciar. ss: Henri lY : Invia 
Yirtati nulla ^ Tia. — Yide et fide. — Undique 
tutus. » Lpuis XIY : Née ploribus impar. 
GKAMBK-BRiTAfiifi. -r- Mimlj^ie Jf^re^Dame Saini- 
George t — Dieu et mon droit. « Le prince do 
Galles : Ich Dien. «Edouard I«r : Hinc fortius ibo. 



— 34 — 

= Henry VU : Non dormit, qui cnstodit.— Rmi- 
lans rosa sine spina. — Ecosse. — Hellioimrt m 
Ponthimt — - In defens. — Pro lege et pro grege! 
— Dulce meoni terra tegit.-- Irlandb. -* Kin go 

brah! 

* 

Hanovre. — Suscipere et finire. 
Liechtenstein. — Fidelitate etlabore. 
LiicQUEs. — Deus et dies. 

Mantoue. — Fîdes. = Charles de Gontagne : Pio 
oltre. = Louis le Rodomont : Qui rlTeiis ccedit, 
morte meditur. = Hercule de Gonzagae : Laceoi- 
tus. ss Julie de Gonzague : Non moritunu 

Milan. — Milan au vaillant dtcc/ — Pavie au m- 
gneur de MUan! = Yalentine de Milan : Plm ne 
m'est rien, rien ne m'est plus! == François Sforce: 
Quietum nemo impune lacessit. » Brivio Sforce : 
Obluctatus validiùs. 

Montfebeat. — Undique frustra. 

Nataibb. — Bigorre ! Bigorre t — Bûwrbon WMirt 
Dame! — Notre Dame I Notre Dame!-^ B^urbiml 
Bourbon! — -Espérance! » Charles de Bourbon: 
Requies haec certa laborum.= Charles II, cardinal 
de Bourbon : Folium ejus non defluit ou N'espoir 
ni peur. = Charles HI , cardinal de Bonrbwi : 
Superat candore et odore ou Gloria immoitalls. ■* 
Louis, cardinal de Vendôme : Melior forUina no^ 
tabit. » Jean I*' : Sub sole , sub umbra Tirem. = 
Jean II:Par obitus.ssHenri I«' : Quo fotatrahont* 



— 35 — 

a Henri il : Te nonquam timui. « Marie , du^ 
chesse de Hontpensier : In manibus luis sortes 

meae. » Ëléonore, abbesse de Fontevrault : I. H. 
S. et M. A. Spesmea a juventute mea. 
OLDEmKnmG. — Ein GoU, ein Recht, eine Wah* 
reit. 

Pays-Bas. — Les Provinces-Unies : Concordia res 
parvae crescunt ou EEndraclit maakt mact. =: Les 
princes d'Orange et leroyaumeacUiel de Hollande : 
Je maintiendrai 1 »> La province de Zëlande i Lue- 
tor et emergo. = Guillaume de Nassau : Audaces 
fortuna juvat ou Mediis tranquillus in undis. = 
Maurice de Nassau : Pro lege, grege et rege cm 
Bonae spei ou Tandem fit surculus arbor* 

Portugal. In hoc signe vinces. 

Redss. — Ich bau auf Gott. 

San-Marino. — Libertas! 

Savoie. — Savoye! Savoyel — Saint Maurice!'^ 
Bonnes nouvelles! — Fertt Fertl FertI — (Forti- 
tudo E^us Rhodum Tenuit.)«= Philippe de Savoie: 
Paratior. » Charles I^^' : Non tamen inde minus 
= Chrétien de France : Plus de fermeté que 
d*éclat. s Humbert : J. D. D. (Jussi Domini 
Dei. ) 

Saxe. — Saint Pierre ! = Auguste de Saxe : Bona 
causa tandem triumphat. » Chrétien de Saxe : 

^ Fide sed vide. 

SoËDE ET NoRWÉGE. — Droit et vérité. 

ToscAKE. — Cosme de Médicis : Animi conscientia 



— 36 — 

et ôducia fati. — Semper. ^-^ FèsUna lente. — 
Ov^£ fiotf a)laxoo^p>> == Jean de Médicis : B die 
non puote amore? = Pierre : In Teridi tenebm 
exurit flamma medullas. =: Marie de Hédieû: 
Solem sola sequor. = Catherine de Médicis : Ar^ 
dorem extincta testatur vivere flamma. 

Turquie. *- Ailahl Allah I — B^jaiet : Alach U» 
ery^ T<ûul Mahomet 

Yàud (Canton de). •* Liberté et patrie. 

Venisb. — Pax Ubi Harce eTangeliata Biens. -^ Sab 
umbra alarum tuarum. 

WuETUBBio. — Furchtios und ^reu. e» Eberard 
de Wurtemberg : Glaire à Dieu ! Guerre u 
monde ! 



87 



«bahm riart^ 



"K^^^imm 



Anjou. — Follifl V(aHe1'''MoniJoie Anjou! 
Artois. — Montjoie au blanc épervier! 
Auvergne. — Clermont au dauphin d'Auvergne! sm 

Maison de la Tour-d* Auvergne. — La Tour ! 
AuxERRE. — Nostre-Dame d^Auxerre ! 
Bàr. — Bar au riche duc! — Au feu I Au feu ! 
Bbrrt (Jean, duc de). — Orsine le temps viendra. 
Bourgogne. — Chastillon au noble Duc! -^Montjoiê 

Notre-Dame Bourgogne ! — Bourgogne ! Bourgogne ! 
Bretagne. — Saint Yves ! Saint Malo! — A ma vie ! 
Champagne. — Fassavant li meillor! « Thibaut, 

comte de Champagne. — Passat^ant là Thifhaud I 
Flandres. — Arras ! 
Normandie, -^Dtex c»>, Dame Diex aïe! — Rouen I 

Rouen! • 

3 



— 38 — 



AbbbyIllb. — Fidelis. 

Agen. — Nisi Dominus castodieriu 

Albt. — Sut baculus, vigilatque leo, tarreflqne 

tuetun 
Amiens. — Liliis ienaci Timine jnngor. 
Arlks. — Aima, leonig uri ArelatenaU hosUbos at 
^ niai. — Ab iraleonis. 
Atignon, -* Unguibos et rostro. 
BBÀUVAis.—Pala8 ut hic fixas, coostans etfinnaBii* 

ncbo. 
Besançon. — Plût à Dieu ! — Deo et GcBBari fiddb 

perpetuô. 
BoDLB-TBaBANjBaA. — BuUa Terranera. 
BouLOU* — La villa del Yolo. 
Boukbon-Vendéb. — T prairial an xiu 
Bourges. — Summa imperii penes Bituriges. 
Chàblbyillb. — Solus dédit, solus protegit. 
CouunDiiEBs, — Prudentes ut serpentes, didees il 

columte. 



— 89 — 

DuoN. — Ifoull me tarde. 

Douât. — Jhuay I 

DouLLENS.— Infinita décos lilia mihi pnestanl. 

La RioiJ.*-IMi legiit iamni AfoUula* 

La Rochblli. — Serrabor redore Deo. 

Lyon. — Ung Dieu, ung roy, une loy. 

Mébs. — De rosis ad lUia. 

MoNTBKiiON. — Ad expiandum hostile scelus. 

MoNTPELLiEB. — A. M. (Ave Maria). 

MoRLAix. — Slls të mordent, mors-les. 

Namgt* *** Non innltas premor. 

Nantbs. — In te sperant Domine ocoli omnium^ c* . v 

NuMBS. — GoL Nem. (Golonia Nemanseiisis). A' ~f>^* *^«^ 

Paris. — Flactuat nec mergitnr. \ •- f ^ . / t . } 

Pbsula. — • Pesilla. 

Reims. — Dieu en soit garde. 

Rodez. *- Fidelis Deo et regL 

Saimt-Dbnis. — Montjoie Saint Denys* 

8ARREBoim«. — Urbs Sarraburgiensi» èom ipeis Ims- 

iem repolit et repellit. 
Sarreloois. — Di^pat atqoe foyeu 
SiDAN* «^ Undiqoe robor. 
Tours. — Sostinent lilia torres. 
Vertus. — Yirtas j^œstat» ?ivit post ftioera tiiti». 
YiEiniB, (Daqiibkié} — Vie&na ciVitas saneta. * 



^ 40 — 



Adobation de là Cboix (Ordre de !")• »- Salos et 0» 

ria. 
Aiqls-Blang de Polof^ne (Ordre de T). — Pro Me» 

lege et rege. 
AiGLE-NoiB de Prusse (Ord. de F). — Frederica^ lex. 

Sur le collier : — Suum cuique. 
AiLB DE Saint-Michel de Porlugil (Ordre de V). — 

Quis ut Deus? 
Akabanthb de Suède (Ordre de T). — Dolee nella 

memoria. 
Amodb du Prochain (Ordre de V). — Amor proximi. 
Annonciade de Savoie (Ordre de T). -^ Fortitodo ej» 

Rhodum tenuit. 
Bain (Ordre du). -- Tria juncta in uno. 
Babeith du margraviat de Bareith (Ordre de). — . Tou- 
jours les mêmes. 
Ghabdon ou de Saint-Andbé (Ordre du). — Nemome 

impunè lacessit. — In defens. 
Chabité-Chbétiennb (Ordre dela]« — Pour avoir biea 

servL 



— 41 — 

GoNGoibi (Ordre de la). — Concordant. 
Croix de Bourgogne (Ordre de la). — Barbaria. 
DAMS8 PELi Cioix (Ordre des). — Sains et gloria. 
Dames de la Croix Ëtoilée (Ordre des). — Forti- 

tudo. 
Dames de la Vertu (Ord. des). — Sola trinniphat 

ubiqae. 
Danebrog en DanemariL (Ord. milit. de). -^ G. S. 

— W. C— C. V. Restitntor. 
£cu d*Or (Ordre de F). — Allen. 
ËPÉB DE Chtfre (Ord. de T)* — Secoritas regnl. 
Étoile (Ordre de F). — Monstrant rêgibns astra Yiam. 
FmtuTt (Ord. de la). — In felicissiiùaB unionis me- 

moriam. 
Générosité (Ordre de la). — La Générosité. 
GEffEfT en France (Ord. du). '— Deos exaltât humiles. 
Hermine et l'Ëpi de Bretagne (Ord. de T)* -^ A ma 

vie. 
Jarretière (Ord. de la). —Honni soit qui mal y pense.i 
Mérite MiLiTànB (Ord. dn). -<• Pro virtnte bellica. 

Sdr le réf. :-^ Lodoyicns XY institoit. 
Noble Passion (Ord. de la). — J'ayme Thonnenr qui 

vient par la vertu. — Sur le rev. : Société de la 

NoblePassion instituée par J. G. D. D.S. W. 1704. 
Notre-Dame du Chardon (Ord. de). — Allen. 
Porc-Êpic (Ord. du). — Cominùs et eminùs. 
PRÉascx Sang deMantoue (Ord. du). — Nihil isto 

triste recepto. 
Saint-André de Russie (Ord. de). — « Le Czar conser- 
vateur de toutes les Russies. 



— 48 — 

Sainte-Cathbuiii de Russie (Qrd. de). "-^ParPamov 

et U fidélité envers U patrie. 
SAiNT-Espirr au droit Diau (Les Chevilien du). — 

Au droit détiri 
Saint-George (Ord. de). — Fid., just, et fort. 
Saint-Hubert (Ord. de). -^ In fide stt firmîter. 
Saint-Jacques de l*Êpée en Espagne (Ord. de). — 

Rubet ensis sangoine Arabum. 
Saint-Jean de Latran ou de rËkPBROK k Rome (Ord. 

de). Pnemium virtati et pietati. 
Saini^Laiarb (Ord. de). -» AtaTÎs et armis» 
Saint-Louis (Ord. de). — Ladovicos magmift inttitiiit 

leos. — Sur le leT. : *^ Bellicao Tirtutia pmÙBn. 
Saint-Marc de Venise (Ord. de). — Pax tSn lUrce 

evangelista mens. 
Saditi-Marie-Madbibihe. (Ordre) — Optimtnpif 

tem elegit. 
Saint-Maur (Ord. de). — Pax. 
Saint-Patrici (Ord. de). — Quls separabit. 
TftTK-MoRTE (Ord. de la). -^ Mémento mori. 
Vierge (Ordre dela}« «<- Sancta Maria.*-^bi hoc sifM 

Tîncan. 



— 43 — 



Alix (Chapitre d'). — AaspiceGalliaram Patrone. -^ 

Sar le revers : Nobilis insignia voti. 
BBAUME-LEs-MEssiEUKS(Ghap. Doblc à BesaoçoD) • — 

Nobilis ecclesiae Balmeatis decas. 
Brioude (Ghap. noble de). — Ecclesîa comitam Lug' 

duni. — Ladovicus decimus qaintus instituit. 
CiTEAux (Abbaye de).— Quia mecum solus certasti, 

mecum solas sedebis. 
Lyon (Chanoines, comtes de). — Prima fides Gallia- 

rum. — Sur le rev. : Ecclesia comitam Lugdoni. 
M1NIMB8 (Ordre des). — Charitas. . , 
Neutille-en-Bresse (Chapitre noble de). — Genus, 

decns et virtus. 
Oratoire (Prêtres de T). -— Jésus, Mariai 
Paix (Abbaye de la) près Tournai. — Pacificè. 
Pénitbntsbleus de Montpellier (Confrérie). — Christo 

et régi, egenis et defunctis. 
Sainte-Croix DE LA Bretonnerie (Chanoines de For- 

dre de). — In hoc signo vinces. 
Saint-Bbnis (Abbaye de). — Montjoie Saint Denysl 



— 44 — 

Saint-Etibivxb de Melz (Chapitre noble). — Religio- 

Dis decus et virtutis praemiam. 
Sainte-Maiie db Leigxbu (Chapitre de). — Louis XY 

en a honoré le chapitre en Tan 1787. 
Sâikt-Mabti!)! de Salles (Chapitre de). — Virtotit 

nobililatisqne decas. 
Saint-Victoe de Marseille (Chapitre de). — Divi fie- 

tons Massiiiensis. » Monumentis et nobiliute in- 

signis. 



<m 



AiBALÉTEiEEs do Douai. — Gloire aux Tidorieul 
GaBTAU-LtfiBBs. — Celeres ardore. 

— de Bourgogne. — Votissectatnr enn- 

dem. 
-* de Berry. — Par non feret in vita 

^irtus. 
GixAABHEs ECOSSAIS. — In omnî modo fidelis. 

— Â?sGLAis. — Tuus ad te nos Tocat ardor. 
— • FLàvA>DS. — Nec pluribus impar, 
Xbtees. (Officiers de l'élection de) — Les élus sont 
pour le ciel. 



~ i5 ~ 



Abbl db Chbtallbt. — Ferrer forte e speiio* 
Abbllt. — A Domino fadam etl. 
Abercbohbt. (G.-B.) — VWe ul Tîfat. 
Abuino. — Cassis lotisaima, rirtna. 
Aboiv. — Union maintient. 
Agsat. — Jamais las d'acher. 
AcHÉ db Labbet. — Bellica virtns. 
AcLAND (baronet). (a.*B.) — laëkraBlekle» 
A*GooBT (baron Heyleslmry)* (G.-B.) — Grandescimt 

aucta labore. 
Addimgton (vicomte de Sidmoath). (G.-B.) — Lt-* 

bertas sub rege pio. 
AooBNO. — Restate nniti per esser forti. 
Affbt. — Voyez Aybt. 
Agab (comte de Northampton). (G.-B.) — Via triti, 

via tuta. 
Agab-Ellis (baron Mendip et vicomte de Glifden). 

(G.-B.) — Non haec sine numine. 
Agnbl-Boubbon. — Probitas, virtus et fidelitas. 
Agout db Bbauvisin. — Avidns committere pognam. 

3* 



ft 



— 46 — 

Agut. *- Sagittœ potentis acutae. 

Akaku. — Quœçumque ferat, fortuna ferenda est. 

AiLLT. — Ailly\ 

AiMARS (des). — Stimnlis agitabit amaris. 

AiMARS (des). — Voyez Escâlin. 

AiNSLiE (baronet). (G.-B.) — Pro rege et patria. 

AiNYÂL. — Nescit labi virtus. 

Albb. (Est.) — Voyez Toledo. 

Albbitas. — Talis noster amor. = Antonio Albbi- 

TAS ou Albertazzo. — Fata viam invement. 
Albignac. — Nihil in me nisi yator. 
Albon (d*) et de GaAiiiTAirDAN. <— A trace TioUrla. 
Alesso. ^ Cbarkaiis opos. 
Albxandeb (comte de Caledoo). Cifr.'^l.) *« Per iufe« 

per terras. 
Alexandre D'HANAGBEg.— Partout el toijottrsfMèie 

à Dieu et au roi. 
Alingb. — * Sens Tarier. 
AuBMAN (d'). — > Robwrl on Plaei^ piaeê è ma 4mmê t 

— Tôt in corde qnot in armis. 
Allen (vicomte Allen). (O.-B.) — Trtnmpho norle 

tam yita. 
Alletne (baronet). (O.-S.) -— Non taa te moreaiH» 

sed publica vota. 
Alrigs (des). — Tant qu*il Inirar. 
Altyillars ou Aryillars.— Nube altius.-^HaIaac« 
Ambel. — > Sed TÎrtus nescia frangî. 
Amblt. — Pour la gloire. 
Akboisb. •— Voyez Ghaumont. 
AxBiois. — Sancte Ambrosî, tni sunns. 



— 47 — 

Ambrtàl. *- Boulogne ! 

Amherst (comte d*Ainherst}. (G.-B.) ^-^ Constantia 

et virtute. 
Andebson-Pelhax (baron Tarborongh). (G.-B.) •— 

Vincit amor patrise. 
Andigné. — Aquila non capit moscas. 
Andràda. (Est.) — Ave Maria, gratia plena. 
Andrée de Renoard. — • Je croîs, pour être utile. 
Andrews (baronet). (G.-B.) — » Yictrix fortnnae sa- 

pientia. 
Angelin de Chaxplenets. — A jamais. 
Angeyille. — In bis renascimnr omnes. 
Anglure. — Saladin! ou Damait 
Anneslet (comte de Uountnorris). (0.-B.)-«* Virtutis 

amore. 
Anstruthbr (baronet). {0.-B.)«— Periissent ni periis- 

sem. 
Antoing. — Bury I 
Applaincovrt. — Alors comme aîors. 
Aprbece (baronet). (G.-B.)— Labora ut insetemum 

vîvas. 
Arasola d'Ognata. (Esp. et P.-B). — Ara soli Deo. 
Arbalestb de Yillargbault.— Domine, ut yîdeam. 
Arbalestier de Montclar. — Le coup n*én faut. 
Arbaud de Jouques. -* Nascitur et périt ira. 
Abborio. (Ital.) — Yincendum aut moriendum. 
Arbuthnot (vicomte d'Arbutbnot) . (G.-B.)~Laus Deo. 
Arcel. — Voyez Ardaki. 
Arces. — Le tronc est vert, et les feuilles sont arses. 

— Ni duc ni prince ne veux être. 



— 48 — 

Abces de RAaumont. — M'a piqué la plus belle. 
Abchambault. — In armis leones. 
Abchikto. (Ital.). — Haurietis in gaudio. 
Abdani, (Uiàt Abcel. *^ L'honneur y gist. 
Abden (baron Alvanley). (G.-B.) — Patientia vinces* 
Abgiot db u Febbiëbe. — • Pro rege mec sangoit 

meus. 
Abloz. «— Nobilis miles, potens. 
Abmand. — Régi armandus et legi. 
Abxuet de Bonbepos. — Deum time. — Arma mil» 

requies. 
Abmtnot du Ghatelet. — Armis notus. 
Abnaud de l'Estakg. — Ypris coram rege capUa. 
Abod de Ghassieu. *— Sans rien craindre. 
Absoli. (Ital.). -^ Post fata resurgo. 
Abthdts.— Franc au roi suis. 
Abundell (baron Arundell de Wardour). (O.-B.) ^ 

Deo data. 
AscANio (le cardinal). (Ital.) — Adimit quo ingraia 

refulget. 
AscH TAN Wtck. (P.-B.). — Ore et corde idem. 
AsciiLL. (0.-B.) *— Sui oblitus commode. 
Asbbubnham (comte de Ashbumham). (G»-B.) — Le 

roi et l'État. 
. AsPBEMONT. — Àspremont ! 
Aston. — Prêt d'accomplir. 
Aston (baronet). (G.-B.) — Numini et patrise Asto. 
AsTUABD. — Foi à qui l'a. 
AuBEBjON. — Maille à maille se fait TAuberjon. 
AuBEBT. ^ Sustinent imperium Tirtus et lancea. 



— 49 — 

Aubier de Monteilhe. — Unguibus et rostro fidelis. 

AuBREBiÉ. — Régi et patriae. 

AuBuissoN. — L'honneur est mon seul guide. 

AuDiFFRET DE YsNASQUE. — ^Viitos omui obico major. 

AuLNis. -* Prudence et fidélité. 

AuMALE Van Romondt. (P.-B.) — • Trinitas. 

AuMONT (duc de Yillequier). — Uni militât astro. 

AuTiÉ DE VuxExoifTÉE. — • Ncc dura nec aspera 

terrent. 
AuTRST. — Dre an mor. 
AvALOs DE Aquino (marquis de Pescara , prince de 

Francayilla). (Bip. et Hat.) — • Finiunt pariter re- 

noyantque labores. 
Ayeme. — Tenui meditatur avena. 
Ayennes.'— Fortis simul et prudens. 
Ayogrado de Gasahoya. — Nisi laceflsitus tedo. 
Ayrt. (Sois.) —Au plus Yaillant héros. 
AzANNE.— • Auspicium terris hsec domus babet,manot 

altéra cœlis. 

B. 

Bagbeuer. — Proprios ostentat honores. 

Bacbet. — *Nescit labi Yirtus. 

Bacon (baronet). (G.-B.) — Mediocra firma. 

Bacquehem . — NeufvUle l 

Baglion. — Omne solum forti patrîa est. 

Bagot (baron Bagot). (g.-b.)-— Antiquum obtinens. 

Baile. — Qui croit en Dieu, crott. 

Baillet. — Non omnibus idem. 



— 50 — 

Barloncourt on Baillescoubt. — Landoê l 

Bains-Banist. -* Peregrinatio et militia. 

Baisset. -— Assez monte qui s'abaisse. 

Baisset. (Bourgogne.) — Vive ut post rivas. 

Balbian de Vial. -* Praeyide futura. 

Bamfylde (baronet). (a.-B.)-*I>electareia Domino. 

Banks (baronet). (G.-B.) — • NulHns in Toiiia. 

BArriNDiER. — • Durât cnm sanguine virtus aromm. 

Barbier de Lanyernen. — Sur ma yie. 

Barres (des). — Ad superos tandem stemmata pemn 

Tehit. 
BARRET-LBifiiARD (barouet). (CK-B.)-«* Pour bien dé" 

sirer. 
Barbihgtoii (baronet). (O.-B.) — Ung durant nt 

vie. 
Babbubl-Bbauybrt. *- Virtutesidens. 
Barsgaou ou Parscaou. — - Temporiser. 
Bartheubi. — Cœli enarrant gknriam. 
Barton de Montras» — Sans y penser. 
Babville. — Dieu à nous! — Soldat et brave. 
Basemon. — Prudens simplicitas. 
Bassabat de Poubduc. — Il m'est fidèle. 
Bassompiebre. — Quod nequent tôt sidéra prœstat 
Bataille de Mandelot. — Bataille pour Dieu. —Ex 

belle pax* 
Bateman. — Sidus adsit amicum. 
Batemin. — Nec prèce, née pretio. 
Bathubst (comte-baron Bathurst). (G.-B.) — Tiens 

ta foi. 
Baudet. — Cambraisù! 



— »! — 

Baudry Dm LoziIeiies* ~ Lsesns sed inTictQS. 

Bausset. — Sola salus servîre Deo, 

Batabd [eu Terniil). — Sans peur et sans reproche. 

Batgnati de la JomiElATE. — Je seay sans doatance 

An paliM SMS offense. 

Batnks (baronet). (O.-B.) — Fiiror arma ministrat. 
Beaulaimcourt. — Pour le mteiuu 
BBACOuar-^FiocTOR (baronet). (O.-B.) — Tonjonrs 

fidèle. 
Bbauclbrk db Vers (dac de Samt-Aftana, comte de 

Burferd). — Auspicium meHoria «tL 
BBAOcoimiOT. <-* Ma\jor in pndHs. 
BKAOffORT. •*• la bello forûs. 
Bbadfort Svoifviir. «» In b^o fovtii. 
BBAomsHBTi. — Wavrint 
Bbaufrbmont dbCharïit. — Beoufremonil «-Fins 

deuil que joie. 
BBAiniARfiAïa. •* Autre ne aen. 
BAfOGHia. -* ChâtUlùnt 
Bbaumanoir db Layarmh. ^BoUtmêanf, Emmâa» 

noift — J'ayme qui m'ayne. 
Bbauhoht. ^ Biaumon$^ BBommo/r^t — Imponridun 

ferlent rulnae. 
Bbauxont. — Pour la défense. 
Beaumont (baronet). (G.-B.) — Brectus non elatua. 
Bbauvaw-Vouty. — A cruce salus. 
Beautbau. -— Beauveaut — Sans départir. 
Beauvoir. — Wallinooiurti 
Beauyoir do Rocrb-Grimoard. — A Tetustate robur. 
BBCDBi.iftTRE. — Hoe tegmîne tutus. 



— 52 -^ 

Brckwith (baronet). (O.-B.) — Joie en bien. 

Bbctoz. — Plaisir et los. 

Dedingfibld (baronet). (O.-B.) — Despicio terrena, 

Boiem contempto. 
Débagub. -~ Bon guet chasse maie aventure. 
Bbllàsste. — Bonne et belle assez. 
Bbllbcombe. — Bellecombe I 
Bbllbbonds. — > {Voyex Gigâult di Bbllifonm). 
Belleforièrb. — Bememieourt! 
Bblli. — Nec interit onquàm. 
Bbneya?(S. — Jamais arrière. 
Bengt db Put VÂtLÈB. — Bien faire et laisier dire. 
Bbnnbt (comte de Tankerville, baron d'OatalatoB) 

(G.-B.) — De bon Yonloir servir le roi. 
Bbnoibt db Li Pbunarèdb. ««- Voca me cmn beoo' 

dictis. 
Bbntinck. (P.-B.) ^ Craignez bonté. 
Bbntivoguo (Ferdinand de). ^ Exilis, non innaltis. 

=Bbntivoglio (Gbarles).--Vici8sim servarefidMi. 
Bbbâbd. — Suaviteret fortiter. « 

Bbbbm db Dragt. — Sicut ovis. 
Bbrbisbt. — Et faetum est ita. 
Berbsford (vicomte de Beresford). (0.-B.) ^Nil niii 

cruce. 
BbbgbesSawt WntNOCKs. — BerghetI 
Bebgieb. — Finis praecepti cbaritas. 
Bbbkelbt. — Dieu avec nous. 
Bbblâbbb. (P.-B.) — Fide, sed cui vide. 
BBtNÂBD (baronet). (G.-B.) •— Bear and forbear. 
Bermaid de MoiiTBBitON. — Et pace et bello. 



— 53 •- 

Bernet (baronet). (O.-B.) — Nil temeré neque tknore. 
Bernier. — Hostium terror tutatur amicos, 
Bernière. — Ah! Fuge! 
Bernon dk la Gdillkmandièrb. ^ Virtutem a stirpe 

traho. 
Berrutbe. — Meliorà sequtentur. 
Berrt (baronet). (G.-B.) — Per ardua. 
Bbrt. — Securo sensu, cura semota metuque. 
Bertie. — ^ Virtus ariete fortior. 
Bertriir. — Ex labore fructus. 
Bertringourt. — Boulogne l 
Besudb d'Ayarat. — Vicit iter durum pietas. 
Béthist. — Et virtus et sanguis. 
Béthune-Sdllt. --^Béthunel — Disulere mihi fugeo. 

» SoLLT. — Ardeo ubi aspicior, 
Bbufrur. — Sunt etiam praemia landi. 
Beterme. — - Beveme ! 

Biaudos-Gasteja.— • In bello leones, in pace colomb». 
BiGKBRTON (baronet). (G.-B.) — ProDeo et rege< 
BfBAL d'Asfbld. (Soi.)— Bellicaeyirtutis in Hispania 

pRéinium. 
Bigot de IPontbodin. — • Tout de par Dieu. 
BiLioTTi, anciennement VuLPELLi.(lTAL.) — S. P. Q. 

F. (SenatusPopulusQue Fiorentinus). — Jésus rex 

noster et Deus noster. 
BiLLEHÉ deValemsart. (P.-B.) •— Qulnou potest spe* 

rare desperet nihil. 
BiNET. — Je le vieil. 
BiNGHAM (baron Clanmorris ). (0.-B.) — Spes mea 

Ghristus. 



— 54 — 

BiOTiÈRB. <-« Tarn fortis qnam nobilis. 
BiRAGUE. ^ Jubet agnns ans. 

BiRON. — FoyCJS GONTADT. 

BisHOP (baronet). (G.-B.) — Pro Deo et ecclesia. 
Blacas. — Vaillance \ — Pro Deo, pro rege. 
Blagkett (baronet). (G.-B.) -—Noos trayaillerons en 

Tespérance. 
Blackwood (baron Dufferin et Glaneboye). (0.-B.) 

— Per vias rectus. 
Blake (baron Wallsconrt). (O.-B.) — Virtos ida 

nobilitas. 
Blamont. — Blamont! 
Blanc. — Sine macula.— Toat tient à point. — En 

tout candeur. 
Blanot. — Tandem flayescent. 
Blatnet (baron Monagbam). (O.-B.)— Integra mens, 

augustissima possessio. 
Blé (Du). — • En tous temps du blél 
Blegourt. — • CambraisU ! 
Bligh (comte de Darnley et baron Clifton). (O.-B.) 

— Finem respice. 
Blois (de). — • Agere et pati fortia. 
Blois (baronet). (G.-B.) — Je me fie en Dieu. 
Blonat. (Bat.) — Pur comme For, prompt comme 

Féclairl 
Blondel. — > Gonnelieu! 
Bloomfield (baron Bloomfîeld). (o.-B.) '— Fortes ' 

fortuna juvat. 
Blount. (baronet) (G.-B.) — Lux tua, via mea. 
BocHART. — - Inventis, fidus abstinet. 



— 55 — 

Bock. — Qui scil mon nihil timot. 

BoGsozEL-MoNTGONTiER. — - Qooy qu'il en advienne. 

BoER. (P.-B.) — Pro Deo, rege et patria. 

BoEVBT (baronet). (0.-B.) — Esse ({nam videri. 

BoFFiN. — Deo, régi, patrûe, pietas et fides. ^«Capnt 
inseret astris. 

BoGÀEROB ns TsMRUGaB. (P.*fi.} — Ex arbore fructus. 

BoiLBAu ns CiSTELMÀU. — De tout mon cœnr. 

Bois (Du). — Loué soit Diea! 

BoisBocBisBL. — Soligestant insignia fortes. 

Boisson. — TcUUat 

Bois d'Esgordal. — Fortis et generosus. 

BoisGBLiN DE Kbrgoet. — In virtQte vis. 

BoisGUÉHÉNBUc. — Garantez ar guiriones. 

BoissÂT. — Ny regret du passé, ny penr de l'avenir. 

BoissBAC nu RosET. — Selon le temps. 

Bon nB Lignih. — - Semper et abique l>onus. 

BoNÀDONÀ. (Ital.) — Hœc sant bona virtutis dona. 

BoNGÀis. — Bon sang ne faille.^ 

BoNNÀT. ^-x Oneqoes ne dévie. 

BoNNEFOT DB Brbta0villb. — ^ Homieur, courage et 
fidélité. 

BoNNEL. — • Fortitudo et virtus. 

BoNV db Lâvbrgne. <— Bisantiis nummis pauperibus 
adest. 

BooTHBT (baronet). (O.-B.)— MorsChristiimorsmor- 
tis mibi. 

BooTLE-WiLBRAHAK (barou Skelmersdale). (O.-B.)— 
In portu quies. 

BoQuiT. — • Pr«minm virtutii honor. 



— 56 — 

BoRCH VAN Wbrwoldb. (P.-B.)*-IntegriUie et eon*' 

tantia. 
Bordes. — Gratas honore labor. 
BoREL d'Hauterite. — Jusques où? 
BoreeldbMaurbgnault. (P.-B.) — Vaincre ou mou- 
rir. 
BoRGHÈsB. (Itaim) — Ardet in œtemiim. 
BoRGiA. (Ital.). — Aut Goesar, autnihU. 
BoRLuuT. (P.-B.) — Grœninghe velt. 
BoscAWEN (comte et vicomte de Falmouth). (O.-B.) 

— Patience passe science. 
Bosch yan Drakbnstbin. (P.-B.)*— Virtute et labore. 
BossDET. — * Rébus in est velut orbis. 
BoTiGNEAU. -— A Tadventure. 
Bodbbrs-Abbbyillb-Tunc. -— ÀbbevUlê! -— Fidelior 

in adversis. 
Boucher de la Motte. — - Honor et rex. 
BooGBBRAT. — Partout fidèle. — Nocte dieque vigiL 

» BoocHERAT (Nicolas). — Qiue nocent, docent 
BouciGAUT. Voyei Le Meingre. 
BocJCQUBAU YAN YiLLERAiE. (P.-B.)— Frangi non flecti. 
BouFFiER. — Dextra lilium sustinet. 
BouFFLERS. — Camberon l 
BouGHTON (baronet) • (O.-B.) — Omne bonom Djri 

donom* 
BouGT. — PerscYerando ac sperando. 
Bouille du Gharriol. — Le Charriol t — A Ycro 

belle Ghrbti. — Tout par labeur. 
BouRcoDRD. (P.-B.) — Deus, rei et patria. 
Bourguignon-Lamurb, — Contra hostem surrectnk 



— 57 — 

Bouiu (eomte-Ticomte de Mayo). (fik-B.) — A cmoe 

sains. 
BouRNONYiLLE. — BcmmonvUlc ! 
Bourrelier de Mautrt. — Loyal et gay. 
BousiEs. — Lêi Corbeaux! — Bousies au bon fix. 
Bout. — De bont en bout. 
BouTBEUER. — Marte etiam inyicto. 
Bouton de Ghamillt. — Àillevr$ iamais l — Le sou^ 

venir tue Bouton. 
BouYENS. — Plus n'est possible. 
Bouvier. — Gaput inseret astrîs. 
Bouvier de Portes. — Gaveto. 
BowYsm (baronet). (o.-b.) — Gontentement passe ri- 
chesse. 
BoTD. (baronet). (0.-a.) — - Confido. 
BoTER. — S'il vient à point m*en souviendra. 
BoTLE (baron Boyle, Banden-Bridge, Broghill, tW 

comte Dungarvan etKinalmeaky, comte deGork éL 

d'Orrery). (a.-B.) — Vivit post funerà virtus. 
BoTLE (baron de Gastle-Martyr, Garlton, vicomte 

Boyie, comte de Shannow). (o.-B.) — Spectemur 

agendo. 
BoTLE (baron Boyle, Ross, vicomte Kelburne, comte 

de Glascow). (G.«B.) — Dominus providebit. 
BoTNTON (baronet). (G.-B.) — Il tempo passa. 
Brabaion (comte de Meath et baron de Ghaworth). 

(O.-B.) — Vota vita mea. 
Brancas ou Brangacgio. (Ital.). ^ Di fuor di leggi. 
BRÀNaFORTE (comte de Mazarino de). (Ital.). -* Do* 

minus fortitudo. 



— 58 — 

Bband (baron Dacre). (0.*B.) — Pour bien dëdrer. 
Braque. — In homine virtus opressa resurget. ■■ 

Braque (Robert). — Tonc aatiabor. 
Bréauté (Adrien de). — Fit via fati. s Biéauté 
(Amiral Adrien II de). — iBquora place'at. ■■ 
Bréauté (Adrien III de).— Membris agit altra vol- 
nera. = Bréautâ (Pierre de). — - Unus canota 
mibi. 

[ Les autres devises attribuées à quelques person- 
nages de cette famille^ paraissent apocryphes.] 

BrÉHAN. — Foi de Bréhtn 

Mieux vaut qa'argeDt. 

BrAxond. *- Ex tota anima mea et toto corde meo« 

Bretagne. — Ne quid nimis. 

Breugel. (P.-B.) — In trinitate fortitodo. 

Brunt di Laubrièrk. — Sans détour. 

BuGGs (baronet). (O.-B.)* •— Virtus est Dei. 

Brimbu. — * Plus que toutes. = Bumir (Datid de). 

— Quand sera*ce? -^ Autrefois mieux. 
fiRonncK (vicomte de Middleton). (o.-«.)— * A eus- 

pide corona. 
Broglie. — A nul autre. 
Brooravb (baronet). (o.-B.) — Finis dat esse. 
Briçonnkt. — Dilat servata fides. 
BaoHHEAn (baronet). (G.-B.) — Goncordia crescimns. 
Bromlst (lord Montfort, baron Horsebeath) . (O.-B.). 

— Non inferiora secutus. 

Brossard de Glért. — AudentI succedit opus. 
Brosse. — Quo fata sequor. 
Brou. — Spes mea in Deo est. 



— 59 — 

Brougham (baron Brougham et Vaax).(o.»B.)— Pro 

rege, lege , grege. 
Beowm ds Bongtown. (0.*B.) — Caute et sedulo. 
Bkown .(D'fiastfield). (Ok-B.) — Delectat et ornât. 
Brown (baronet). (0.-B.) — Gaudeo. 
Brown dk Dolpbmtikw. (G.-B.) — Labor omnia Tin- 

dt. 
Brownb (Baron Kilmaine). (O.-B.) — -SuiTez raison. 

ss Brownk (marquis de Sligo, comte d'Altamont, 

vicomte Westport, lord Monteagle). — {Même de- 

vite») 
Bruc» — - Flos florom, équités equitum. 
Bruce (baron Bruce , comte d'£lgin et de Bruce). 

(0.-B.) — Fuimus. 
Brudeneix-Brugb (marquis -comte d^Ailesbury). 

(G.-B.).— Fuimus. 
Brudbniu. (baron Brudenell, comte de Cardigan). 

(G.-B.). — En grâce afiTe. 
Brubts DR SouYioNARGUEs. — Oculi moi semper ad 

Dominum. 
Brum de Mxraumomt. (P.-B.). — Fortis ubique. 
Bruiv de Montesquiou. — Invincible. 
Bruslard. — Animis illabere nostris. = Bruslârd 

(Denys). — Inconsumptibilis ardet. 
BrutIerss-Chalabre. — Sola fidessuffîcit. 
Brctret. — Fideli obsequio. 
Bûcher. — Neque te munera, nec preces. 
BuDBs DE GuÉBRUNT, — Suporis vîctoria faustis. 
BuiGHT DE Braillt. — Va ferme à Va$$auUj Buigny^ 

àlaprùe! 



— 60 — 

Bnissr. — Attente nuit, Baissy. 

BuNBURT (baronet). (G.-B.) — Firmum in Tha niUl. 

BuRGEss (baronet). (G.-B.) — Leyins fit patientia. 

BoRGH (baron Downes). (o.-B.) — A cruce ralm. 

BuRLE. — Gruore Ghristi comseo. 

BuRNABT (baronet). (O.-B.) — Pro rege. 

BuRRELL (baronet). (G.-B.) — Sob libertate quietem. 

BuRRouGBs (baronet). (G.-B.) — Audaces forUmajo- 

vat. 
BuRTEUR. — Vulcana tela ministrant 
BuRY. — Bury! 
BuRT (comte de Gharleville, baron Tallamore). (G.-B.) 

— Virtus snb cmce crescit. 
Bus DE Ghisignies (Du). — Finis laborum palma. 
BussT. — Encore ne me tenez. 
BuTET. — La vertu mon but est. 
Butler (vicomte Kerrin, comte de Carrick). (G.-B.) 

— Soyez ferme. 
Butler (vicomte et baron Gaher, comte de Glengall). 

(G.-B ) — God be my guide. 
Butler (comte de Kilkenny). (G.-B.) — Depressoi 

extollor. 
Butler (comte deLanesborougb). (G.-B.)— Liberté 

tout entière. 
Butler (vicomte Thurles, baron Arkiow, comte de 

Ossory, marquis et comte d'Ormond). (G.-B.) — 

Gomme je trouve. 
BuvBS. — Buvet tost assis I 
Btng (vicomte de Torrington). (G.-B.)— Tuebor. 
Btron (lord Byron). (G.-B.) — Crede Byron. 



— 61 — 

C. 

Caan (P.-a.)*— Pnidenter , fldeliter et penerertiiier. 

Gabàrrus. — Fidepublica. 

Cabiion. •— Virtos et konor. 

Cabot. — Semper cor caput Cabot» 

Cadimbt. — Nec timeas nec optes* 

Caixmâii (comte de Cadogan). (o.-b.) -^ Qui incidet, 

minor est. 
Cahidboc. •— Antiqua fortis yirtute. 
Caldkb (baronet). (0.-B.) — Yigilans non cadeL 
Caldbrati. (Esp.) -— Hasta la muerte. 
Calf de Noidans. (P.-B.). -^ Virtus et aves. — Vs'» 

lear et droiture. 
Calkorn. (P.-B.)—- Persererando. 
Gall (baronet). (O.-B.) — Grata mann. 
Gallakobb (baronet). (0.-B.) -^ Et domi et foris. — 

Meanwell. 
Calobn-Aremts. (P.-B.) — - Vim vi. 
Cakbbrltn d'Amougies. (P.-BO"— Strenae, fideliter. 
Camblin. — Deo favente. 
Camfbeu (duc, marquis et comte d'Argyle). (O.-B.) 

— Vix ea nostra voco. 
Campbell (marquis de Breadalbane). (O.-B.) — Fol- 

low me. 
Campbell (comte de Cawdor). — Be mindful. 
Cambbu. — Enn kichen ru ema komeru. 
Campbau. -— EseaUkm denaing I 
Canning (baron Gar?agb]. (O.-B.) — Ne cède malis» 

sed contra. 

k 



— 62 — 

Cannt. — CroUUÎei ! 

Gamtaing. — Cambresis I 

Cantillon db Ballthioub. -^ Fortit in bello. 

Capoya db Conga. — • Negligit ima. 

Caradok (baron Howden). (O.-B.) — IMUtni non 

victus. 
Cardbyag d'Ayrimcoubt. -^i iamaU Carêtmul^ 

Au éid BeaumotUi on Mitum numrir çuê Umkrl 
Cardon d'Anglure. — Ne crains rien. 
Carbw (baronet). (0.-B.) — * Nil conscire sibi. 
Caret (vieomte FaUiland). («.-B.)— In otroque fidelis. 
Caritat db Condobcbt. -— Charitas I 
Gailbton (baron de Dorcheater). (d.-B.) *-* Onan-" 

dam his yicimur armis. 
Carné. — Plutôt rompre qne plier. 
CARNB6IB (comte de Northeak, lordRosehill el loglii- 

nuUdy). (G«-B.) — Tâche aana tache. -^ Britnnnia 

victrix. 
Carnin. (P.-B.) -^ Yirtna aibi praemiom. 
Carondblet. (P.-B.) •— À mêi ChaMeif! -^ Aqnila 

et leo. 
Garpbntbr (comte de Tyrconnell). (O.-B.) -« Per 

acuta beiii. 
Carpbntibr. (P.-B.) •— Dioa y el rey. 
Carpentibr de Crégt. — Carpentier t 
Carpentin de Cuxont. — Atout. 
Carre de Luzangat. — « Nusquam devius. 
Cartoisin. — • Duce non erramua Olympo. 
Cassard. — • Sans venin. 
Castelbajag. — Lilia in cruce floruere. 



— 63 — 

Castil-Gicaia* — Numqnam retrorsùm. 

Gastbeâ. — > Si consistant adversum me castra, non 

timebit cor meam. 
Càstillon. -— JHêûÊ d voitl — Deo regibusqne sem- 

per Qt olim. 
Castolu)!! dk MiimsiK. «- Praemiom vit», mon pro 

patria. 
CASTiLum DS SADiT-MAKTnf. — A laquco malignan- 

tiom libéra mea Domine. * 

Catebait (comte de Calheart). (O.-B.) — I hope to 

speed. 
Gathbbinb db YAiAifaBs. •— Hîs virtus evecta roUs. 
Gatin db Flatignbrot. — • Spoliatis aroia sapergunU 
Gatibat. -^ Omnia virtnti parent. 
Gaulaimgoubt. •— Désir n'a repos. 
Gaulibbs. •— Sicttt erat in prîncipio. 
Caulfibld (comte de Gharlemont). (0.-B.) — • Deo 

doca, ferro comitante. 
CAUMOifT. — • Fortior coronatnr. 
CAUifOinr LA FoBGB. — Ferme Caumamt! 
Gaunt. — CroUUles t 
Caybgh. — • GraineaurtI 
Catendish (comte de Burlington). (O.-B.)-— Cavendo 

lotos. 
CATBifDifH-BsNTiifCK (doc do Portland). (0.*B.) — 

Craignez honte. 
Caittbt de Blanchbtal. — Cave, cave eanem ! 
Cathix. -— La folie I 
CBGiL(marqQi8 comte d'Exeter). (0.-B.)-"Coranum, 

via ona. 



— 64 — 

Cbntàl db Là Touk d*Aigub8. — - Satiabor com ftpp»- 

raerit. 
Cesarini. -— Frangor et flector. 
Ghàbannes. — Je ne le cède à nul antre. 
CflABBaT. — Postes portasqne refregit. 
Chabku. •— Tant vaut Thomme, tant vaut la terre. 
Chabot (Philippe de). — - Goncussus surgo. 
Chabrillànt. — Voyêx Mobbtou de Chabrillaiit. 
• Chaïxudbt. — • Désir sans vanité. 
Chakbobant. — Onques ne faillis. 
Chambbàt. — Ifegit nidum majoribus alis. 
Chakf (Du). — Tout bien du champ. 
CHafPiAux-YAnxDiMBs. •— Diex el volt. 
Champieb. — Tu ne cède malis, sed contra adven- 

tior ito. 
Champnets (baronet). (O.-B.) — Pro patria non ti- 

midns morire. 
Chanallbillbs. — Fideliter et alacriter. — Canes le- 

gati. 
Changel de la Gbanob. — Chancel ne cbancelle 

mie. 

ChandiÉ. — - Ev To froviiv airkîBOtoç' 

Chandieu. — Pour FEtemitét 
Chanlegt. — Yirtus mihi uumen et ensis. 
Chapbl de la Pachbbie. — Murât t 
Chapellieb. — Rerum prudentia yictrix. 
Chapponat. — - Gallo canente spes redit. 
Chabbonnel du Bets. — In corde decus et honor. 
CBABLi DE Ttbebghaxpb. (P.-B.) — Justus Bmat \th 
cem. 



— 65 — 

Cbaihaisl. — Fere magiora. — Non javat ex f acili. 
GiUBiiT. — Chamif ! Chamy ! 
CBABPKicTm DB BEAUTiLLt. -~ Secori sccurus. 
ChaipiiI dbFoogerollis. — In hoc signo vinces. 
Ghaebd» dk la RocHi. — - Semper in orbita. 
GHABTBBt OF AMTsnELD. (O.-B.) — This is oiiT chaiv 

ters. 
GHAifBBBAs. •— Tempora tempore tempera. 
Cbassbfot di Bbaumont. — Semper yigil. 
Cbastelbt. — Priny ! Printf l 
Cbastellux. — Fermeté et loyauté. 
CHASTiLLon-CHiMUXA. — ChMOUon l CkaMiUlon t 
Ghateaubriànt. — ChâteaubriatUt — Je sème l'orl 

— - Mon aang teint les bannières de France I 
Chatbaugsamm. — Selon le lieu. 
CHATBAiHsiBoif. •— Penscz-y^ cc qoc VOUS voudrox. 

CHATBAUIfBUF-RAKDON. <—* CkâUoWMUfl <— DCO JU- 

vante. 
Chatkaotillaim. -« CkâtmmMlain h Varbr$ d'ori 
Chatbi. (Du). — Mar car done. — Da Val Etery. 
Gbatham. (O.-B.) — Foyex Pitt. 
Chattbbton (baronet). (o.nB.) — Loyal à mort. 
Gbau«t dbRoussillon. —Vous m'avez, vous m'avez! 
GiAUMOiiT d'Amboisb. — Ambo%$€l >= d'Amboisb 

(Charles). -— Mitem animum agresti sub tegmine 

serve I 
Ghauvbton db Saint-Légbr. -~ Deus, rex, honor. 
Ghauvignt. — Chevalier$ pleuvent! Jérusalem l 
Ghbbbb (baronet), (o.-b.) — Praemium virtuUs honor. 
Ghbf ou Bois. — Penhouet ! 



mu 



— 66 — 

Chitwooo (baronet). (G.-B.) — Corosa mea Cbrîslw. 
Ghbtwtnd-Talbot (comie de Talbot). (CL-B.) •— Hit> 

mani nihil alienum. >■ Ghetvtmdi (vioomie de Gbet* 

wind). — Probitas yerus honor. 
CHEYALisa Dv GoiTDiAT. — - Mullo laboro* 
Ghetillabd. -^ Je rapporte fidèlementoeqae je troure. 
Ghetlus. — • Fè et honour. 
Chichbstkb (marquis el comte de Ik^aegal). (Ok-S.) 

— - Inyitiun secpiitar bonor. 
Chibl. — Ny tost ny tard. 
Chiflot. — Flos semper vtrens, Tirtot. 
GHiLD-YiLUias. (comte de Jersey). (••-&) 
Ghiss*. -— Toujours. 
Ghitallst. — Liberté aigulDonue. 
GHoufOMDBLBT. (o.-B.) — Gassîs tutissimi virlos. 
Ghristoplv. — En^nent ondique vires. 
GiBO. (P.-B.) -r- Van gui in besses* 
GiLLABT DE Kebmaingut. — Mou cor et mon sang. 
GiBBT DE llAeNT. *— Virtuto duce, comité fortana. 
Glayesoiv. (O.-B.) — Stat fortis in arduis. -— Gœlormn 

crux mibi clavis erit. 
Glatton (baronet). (G.-B.) — Virtus in actione eon- 

sistit. 
Glattob (baronet). (G.-B.) — - Probitatem quam di- 

vitias. 
Glements (comte de Leitrim). (o.-B.) — - Patriis yir- 

tutibus. 
Glbrc-la-Dbtbzb. — Virtute dara. 
GlAbembaut de Yendeuil. — De Yendeuil nous 

sommes. 



— 67 — 

GURM9T. «^ Clemumî deLodève! 

GlermonivTonnerre. — Si omnes ego non. 

Cliffobd (baron Glifford). (G.-B.) — Semper paratns. 

Clifton (baronet). (O.-B.) —Tenez le droit. 

Clinciuxpiis BiLLfeGÀi»!. — Pro Deo et rege. 

Cliti (comte ëe Powis). (O.-B.) "^ Âadacter et sin- 
cère» ' 

CuManYiixE Di Bbixb. — Fac et spera. 

CLUGKTrTÉnfBSffr. — Généreux et fidèle. 

CocHRÀNB (comte deDundonald). (0.-B.) <-* Virtute et 
làbopo. 

Cocu (c«mte Sommers). (0.-8.) -• Prodease quam 
conapici. 

GoKTAiiGouaT. — Ha galon Tat. 

CoBTÂiii.mb — GerminaTit sieirt IHinm. 

CoBTBNFAo. — FoyM Keihobht bs Goetbnfao. 

GoBTaoumBDBNc. -^JemecoDtmite. 

CoRirr. — Preat te. 

GomiB' oa Oobtlbon . — Humble el loyah 

CoBTMMoii. — • A peb emser. 

C!oBTL08Q9iT. — • Ffanc et loyal. 

C!oBTifAKAGi. <— A bien viendra par la grâce de Dieu ! 

GoBTvnf. — BaryafKjm^t 

GoBmilCB. -i- Soit! 

C!oBTifBim. — Aultre n'auray. 

GOBTUDÀYBL. — Rct YC. 

CoBTQnBLFBN. — Bcz a e Peoch. 
CoRUH. — A cœur vaillant rien impossible. 
CoFFiN (baronet). (O.-B.)— >Exstantrectifactisprs&- 
mia. 



— 68 — 

CocHiLL (bironet). {«.-&) — Non dorait qù cos- 

todit. 
Gqhes. — OswrikbMr! 
GoLàs AD VmàXB, — AhiQs ardei. 
CoLUKT. — Perite et recte. » Goukit (sorintca* 

dut ëes iuMes;. — Senrat ^ abstineL 
CoLB (coBle d*Ennisfcil1cD). (G.-B.) — Deom oole. 



GouBMioc ièanmcti. (Ow-B.) -^ Sob bosa qwat ho- 



GouvT Là Chassuib. — L'Ame et rhonneiir. 

Goujtt-Wbuislei (marqaii Welleslej). (Ow-K) — 
Pono aniim est necessaiimn. 

Gouc!iT. — Je les éprouve toot. 

GououDO-MAiisrBLB. — Ebec peperit Tirtos. 

CoLOHBBf. — SîiBplidtas. 

CouoHB. — Eo fedeha fioiro la vita. 

Goio!C3CA. (Ital.) — Flectimar doq frangioiiir «mUs. 
SK CouHRiA (Jérôme). — Foldt et omat. =s Go« 
lOec (Marc-Antoiae). — Erit altéra m^cet. 

CoLQCBOc.x (baronet). (O.-B.) — Si je pais. 

GoLT (baronet). (G.-B.) — Yincit qoi palitor. 

CoLviLLi (lord Golville). (G.-B.) — Oublier ne pois. 

CoLTUJt (comte de Portmore). (G.-B.) — Avance. 

Omubqcb. — Cum arca. 

CoMBACD. — J^OMr6on ! 

Coxiaroan. (G.-B.) — So ho Dea ne. 

CoaMuas* — Sob pennis ejiis sperabo. 
k<— Sans mal. 
s. ^ En vivant nous amendons. 



— 69 — 

CoMPTON (màrqais et comte de Northampton). (o.«B.) 
— A'ifi dominui / — Je ne cherche qu'un. 

CoNSN. — Qui est sot a son dam. 

GoNiMGK. (P.-B.) — Rex, grex, lex. 

CoNTiiGHAM. (o.-B.) — Otcf fork OYCr. 

Constant de Rebecqub. — In arduis constans. 

Contamine. — Unquam te contamina. 

Constantin. — Sans reproche. 

CoPE (baronet). (o.-B.) — ^quo adeste animo. 

CoPLET (baron Lyndhurst). (O.-B.) — Ultra pergere, 

Copous. (EsF.) — Edomitum virtute yitium. 

CoppiETEBS* — Sitio justîtiam. 

CoiBBT (baronet). (O.-B.) — Deus pascît corvos. 

Cobdes-Watripont (Des). — Ciel à ciel ! 

CoRDOu. — Tout sans contrainte. 

CoRDouB. — Ferme dans TadTcrsité. 

CoRGENOU. — Tout est bien. . 

Corn. — Dieu est tout. 

Cornet. (P.-B.)^ Fortîter et honeste. 

CoRNEWALL. (O.-B.) — La YÎe durant. 

Corsant. — Altius. 

Cortbn. (P.-B.) — Cort en goet. 

CosNB DE Cardanyille. — Dcus ct rex. 

Gosst-BRissAG. — - iJSquabo si faveas. 

CossiN. — Spesmea Deus. 

CosTAiNG. — Prospérité. 

CosTE. (Ital.) — Di giorno in giorno. 

CoTTEREAu. — Bcnc vivcrc et cœlari. 

CoTTBRBLL (barouct). (O.-B.} — Non repui , sed re^ 
cepi. 



— 70 — 

GoTTON (baronet). (G.-B.) -— Fidelitas tindl. 
Couct-Ghateadtieux. — iVofre-Dame au êeigneur de 

Coucyî ^- Bel avis, «w Coucy & la wterveUlil oo 

Place à la bannière I 

Ne fait roy ni prlnee anisy 
Je mit le lire de Goiicy. 

C0URCELLE8. — Pour jamais. 

GouRcoL DE Baillàngoubt. (P.-B.) — Fulmina et 
astra. 

C0UB8AMT. — Gonrs sans cesse. 

GouRT (Du). (P.-B.) — Âlio sub sole virescam. 

GouRTENAT (comto deDoYOD). (0.-B.) — Ubi lapsost 
quid feci? 

CouRTETiLLE DE HooiCQ. — Pour jai^ais Courte- 
ville. 

Cousin. — -Fides exercîtuum. 

GoDTANCE. *— Constantia, justitia et fidelitas. 

CoYENTRT (comte de CoTentry). (Ck-B.) — Can- 
dide et constanter. 

CopER (comte de Coper). (o.-B.) — • Taom est. 

CoTsu. — Pietate et patientia. 

Cramailles. — Au guet î 

Cramezel. — Fidelis patrie, régi generosus et a^ 
dens, confestim vires animumque utrique repono. 

Cranstoun. (O.-B.) — Thou shalt want ère vrant. 

Craon. — Non sum timendus. 

Graven (comte de Craven). 

Crechqderavlt. «—Tu dispone. 

Creighton (comte d'£me}. (o.-B.]— God send grâce. 



— 74 — 
CiÉQOi* *« A Créquif le grand baron I 

Créqui bambaroo» 
Gréqui haut renonb 

GiftQinr (Aintôine, eardinal de). — -Priscft lax, ddx 
certa salutis. = Baudoin , (sire de Gréquy et de 
Fressin.) — Nul ne 8*7 frotte eu Sourentm^en eftt« 
Crescbntio. -— Aspice, Qrescam. 
Crbton D'BMroimMn..—Gre(on/'-y aillant sor la crête. 
€noinLLKB. — A fide salus. 
Cbstegobur. — La Tour-Landry. 
Cbewb (lord Crewe). (G.-B.} — Seqmofnecinferior* 
Cughtoii-Stuâit (marquis de Bote). — Nobilis est 

ira leonist -— ATito Tir et honore* 
GaiLLOH. — Fidft ton deToir. 
Guaioras G<mjokb* -— Por castilla, y por Léon nueto 

mundo hallo colon. 
CaoBSKR DB BsR«E8 *(P.-B.) — Hcsure dnre. 
CSrott (iMQNmet).. (•.*B0 ^ Plus esse quant Tideri. 
CaorroN (baron Crofton). (G.-B). — Dédit Deus in- 

crementum. 
Crofton (baronet). (G.-B.) — DatDeusincrementum. 
CiETANT-D'HcwifcaBs. — UHonueur y g^. 
Cboist de Montàlemt. — Nomen in cruce, salus in 

fide. — le me contente. 
CaoMBRUGGHB. (P.-B.) -— 6ran(f / ffand / —Espérons 

de nos yertus. = GaoïiBBUOGHB de Wetee. -~ 

Yûrtute decet non stemmate niti. 
Cbot-Solre. — • Je maintiendrai. »• Qur de Ceot 

(seigneur de Ghièvres). — Dulcia ttrîxia malis. « 

Cbot. -^ Souyenanee* 



-.72 — 

Crozàt. — Grux cœlomm, cnix mihi clayis erit* 

Grupillt. — Sorel t 

Grussol. — Ferro non auro. 

GuFFB (comte de Desart]. (O.-B.) — Virtiis repidsa 

nescia ^ordidae. 
CuGNAG. — - Ingratis servire nefas. 
GuLANT. — • ilu peigne d'or I 
GoLLUM (baronet). (O.-B.) •— Sustineatur. 
GoMiNG-GoRDON (barooet). (O.-B.) — Sans crainte.— 

Gourage. 
CuNLiFFE (baronet). (G.-B.) — Fideliter. 
CuRTU (baronet). (O.-B.) — Gradatim Tiacimos. 
GoRTiâ (baronet). (O.-B.) -~ Per ardoa. 
GuRzoN (baron Scarsdale). (O.-B.) — Rectè etsuaviter. 
CuRzoN-HowB (comte de Howe). (O.-B.) — * Let Car* 

zon bold what Gurzon held. 
CosAGK. ^- En Dieu est mon espoir* 
GuiT (comte de firownlow). (O.-B.) — Opéra illioi 

mea sunt. 
GuTLEN (P.-B.) — Ex ungue leonem. 
GuTPERs (P.-B) — Je soutiendrai Gaypert. 
GzARTORTSKi. (PoL.) — Lc jour Tiendra. 

D. 

IOàlzell (comte de Carwath). (o,-B.) —Dure. 

Damas. — Damas! 

Danes. — Yérîtë et justice. 

0ARBON. Courage et peur. 

Daughy. — MofUigny Saint ChriêUfkêl 



r 



— 73 — 

Datid fflQ. '--Hëiliièiïto boniiïie D'aVîd. 

Datik. — Aèspice Chiristo. 

Dawm AT (vicomte deDowne).to.-ÂO--'^inèipWorèm. 

Dawson (baron de Cremome). (G^-ft.) --* YoïlfoQn 

propice. 
Dawson (coiliie dé Pôrtarlingtôn).— Vitâe Vit» Vfr^ 
Dean. — Yigor iîi Vlrtaté. 
DsANB (baron MàAeirry). (Û.-É.) — Forli èi A- 

deli nibil dlAdlë. 
Di Blaquî^ (biùron de ftlaquiërcO. (tt.-Â.) —tiens 

à la vérité. 
De Bua«H (manjpitè et éomte deClandcaî^ie). (d.4É.} 

— Comme Je trônvé. 
De Cocjrgt (1^ K{n|[8alè). (d.-iio — ^ocit omiifii 

Veritas. 
De Gbbt (cointe dé 6)^y). (é.-B.) — Qaatis afi in- 

cepto. BB De Gret (baron de Walsinghain). -^ 

Bsellire non Mebeséëre. 
De la PoitihBttiBSPdàD (HHUr^ais de WateHérd). 

(O.-B ) — Nil nisi cmce. 
Deubt (séigtienr d'Agnens et d<$ ninémàmll). — 

J. D. D. (Jossa Domini Del.) 
DELOif • — Sènwart Crèvecœor. 
Delfbini (le cardinal). — Primitnr non oppri* 

miuir* 
Delvon-Saint-Stlvesteb.— Nulle qnatîttir impétti. 
0E MoimtOKEHCT (baron de Hoiintmorrés).(4.4i.j*- 

Dien ayde. 
Demman ( baron Demnan). («.-ftO — Pnîdentia et 

Constantia. 



Derbt. (O.-B.)— Laneastreau comte Derby! 
Derimg. — Terrere nolo, tlmere nescio. 
De Ro8. — Grom a boo. 
Dbscxabes. — Chiêvret 
Desmaisières. — WaUincourt t 
Dbsset du Leiris. — Preux et courtois. 
Dessofft de Gsernee. (Aut.). — Pro aris et focîs. 
DB880LE. — Certa fulgent sidéra. 

DEfTENE DE DaMAS. (P.-B.) — BollO dUKI. 

Deteredx (Ticomte Hereford). (G-B.) — Virtutis 

cornes invidîa. 
DiBBBTs. (P.-B.) — Arma nobilitant. 
Dickson. (O.-B.) — Fortes fortuna juvat. 
DvRT. (P.-B.) — Nec temerè nec tinnidè. 

DnEULETECLT DE LaUNAT. — DiCX IC TOlt. 

DiGBT (comte de Dif^y). (0.-B.)— Dec non for- 
tuna. 

DiLLON (baron Clonbrock). (0.*B.) — Auxilium ab 
alto. = DiixoN (comte de Roscommon). «*- Même 
devise. « 

DiLLOM-LiK (Ticomte Dillon). «^ Dùm Wf^ spero. 

DiNAN. «— Bary avaiU I 

Dion de Yamdonme. — Domino ad a^iavandum me 
festina. — Dieu en ayde. 

DismiEu. — Il n'est nul qui dise mieux. 

Doue. ^Quod dixi, dixi. 

boORN YAN WeSTCAPEIXEv (P.«B.) — D06 WCl 60 lie 

niet om. 

DoNGQUER DE PsERRoiLOPFR. -^Post tcncbras apero 
lucem. 






>% 



*• 



s 



^ 75 — 

DinGtiMKi. — Franc comme Tor. 

BoMum (iMffoii Donner). (G.-B.) — Gi6 che Dio 
▼noie, io Toglio. 

Demi. — Ftctis fiacta adomat. 

DonTAMs. — Mienx j'attends. 

Doublas (baron Douglas). (G.-B.) — Dougloi Saint-' 
Gilles ! — Jamais arrière, s Douglas (comte de 
Morton). — Look sicker* « Douglas (comte de 
Selkifk}. — Jamais arrière! — Firmior cpiè para- 
fer. ■■ Douglas (marqnis de Quensberry). — For- 
ward. 

Douglas. (•.-•.) — Audax et promptns. 

DouTiLLB. — Fais bien, on te nomme. 

DoTLB, — Fortitndine TÎndt. 

D'Otlkt. («."B.) — Do no yll, quoth D*Oyle. 

Drakb. — Anxilio diyino. — Sic panris magna. 

Drbshat (Du). — En bon espoir. 

DaujON ni Bbaulibu. — Gara quod acqnisti. 

DauMMOND (baron Willongfabyde Eresby). (G.-B.)-— 
Animas non déficit aeqaus. 

DnuHMom(dac de Melfort.) (G.-B.)— ffan^TTart/y/ 
— Ab ano ad omnes. — Sanguis regnm Hunga- 
riae. 

DuBAftiT (Comtesse). '— Boatez en avant. 

DucKBTT. — Je veux le droil. * 

DocuiiinLtt. — Ubi amor, M fides. 

DuciBST DB YiLLSMEUTE. — Pcr sidcra cresco. 

DuvF (comte de Fife). — Yirtate et opéra. 

QuauseLiii. — A^oIrt^Domefiniiellii; — Dat virtos 
quod forma negat. 



— 76 - 

DuMiiTz DE GoiifF^ -rr ÇrescU ykmv ip ^cpîGulo. 
DoM^SDE GuLTDBES. --^ |Ialoi^oni q\i^ l9s4lMrî. 
Dumas de Pbtsac. — In hoc signo viac^s, 
DuMOMCEAu (P.-B.) — HejyrinoiMruig vaff iBeiJieiMt>in« 
DoNBAR (baron Duffas). oa.r||.}-r-$9b fipe« 
DuNcoip9E (l^aron F^.en^aH9). ifi.rj^.y-rr^ p^, |Ufl 

Ddn][>49 ÛMiTpn Dandas}. (O.Hp.) — JÇ^y^z i 
DiJPE9ivi|i {b^iTon d*ns»a]|;4* r-r Ni v^pitë ni ibflMwe* 
Du Pless^1|Ioiu(at. — ^lie el V^vle. 
Dupont-Labbé. — Rep chang. 
DuPBAT. — SfG^ me^ Peua. = Dpi«^ tfje «biuieii- 

lier}. — Yire^it vul^are virtua. 
DuPUT. — Pro Deo et r^ ipe mti4$i tfur». 
DuBAMT ()e caf^inal). tt Jioien\9i divaipl* 

DuBANTT. -r Di (v^Qf i|i legge. 

DURFOBT DE DuBAS. -rr J>tcraf / 

DuasEN (p.-){|.) Nec ^mefà nec timi^ 
Dimiroi* -- VAP!^ ^^ rhoonaqr. 
DuTiiEu. — Bien faire et nt riea euiiidlre, 
Dotai, m ^eauluu. -^ Fiielitile. a? Ik^xàM. nf 
I. r- Même deviae. 



ËABDUET-TwiautOH-Fiimsi. (<kf>.>— Jfanai pgaaa 

aninpiqau 
Eait. (0.-J9.) rr-f^ayanee. 
SDBif (toron AnckUn^. («.<»•*) -p. S aîl 
= Edbn. — Même devise. 



— 7T — 

Emcouèm (comte de Mbant-Edgcmnbe). (Û.-B.) -^ 

An plUilr fort de Dieu: 
BMMmvroHi. (0>A;) — Yirtus: aoget honorem. 
Edwaedbs (lord KensingtOD]. (C^>B.)'*— Itici^/-^ 

Garde It foi. 
Ebcbauti. (Bil.) — • Grimherghei! 
EesKTON (comte de Wilton] (d.-B.) — Virtuti {non 

armis fido. 
Elbens. (G.-B.) -^ El piilr (ëdele. 
Elfoid. (G.-B.) — Dîfficfliàquae pùlcba. 
Bluot (comte de Sulnt^ermainj. (à.-B:) — Occar« 

rent nnbeg. 
ELuoT-MuiiAr-KtNT)«MOND. (G.-B.) — Sûaviter ef 

fortiter. 
Elus (lord Howard de Walden). (G.-B.) — N'en 

quo, aed quomiôdo. » Ellis (baron Seaford].— 

(Même devise). 
Elphinstone (lordEtphlûstone). (G.-B.)— Cause eau- 

Bit. 
Eue de Saint-Jolliem. — Yinco dulcedine robur. — 

Vires dulcedine vinco. 
EiirrAifBi>EGirr88iGiaB6(de8). (Pi-B.) — Virtuti, fide?. 

— Dat Tirtus in armis. 
Eon de Beauxont. — Vigil etandax. 
Ebâid d'HellertillièM.' (û^abéié:) — Non griflhm 

Danorum ducis Erardl, sed solum* illiiià pédèl 

tronco ligatos cernivimus. 
Ebaihb; -^ €edo nulli. 
Ebe. — Hamtl/tVf/ 
JUtàcAi -« If asci, Itborare, mott' 



— 78 — 

Erm. — Non sanguine parcus. 

Erskine (comte de Buchan). (O.-B.) — Jadge nonght. 

s= Marr (comte de). — Je pense plus. » Erskoik 

(lord). — Trial by jury. 
Ertrorn. (P.-B.) — Spes mea Deus. 
EscÀiLLON. — Beaumés t 
EscALiM DBS Am ARS. — Par moi seul. 
EscAUFFODRs. — Moncieourt I 
EsNs ou Aisne. -~ Impavidi fnimus. 
EspiENNEs. (P.-B.) ^- De spims ad rosas. 
EsTOUFF DE MiLBT DE MuREÂULT. — Auspldum in 

terris haec domus habet; manet altéra ccsli^ 
EstrighA^Baràcé. — Nullibi non victor et oirans. 
Eternac. — Main droite ! 
Eyams-Freke (baron Garbery). — Libertas. 
Etbrts. (P.-B.) — Usque defendam. 
Etnattem. — Enatent yel evolent. 
Etre (comte de Newburgb). (O.-B.) — Si je puis. 

F. 

Faqel. (P.-B.) — In recto decus. 

Fages. — Intacta I -~ Régi fidelitatem liliacoronanU 

Faillt. — Renty t 

Faiole. — * Régi patriaequae fidelis. 

Fairfax (lord Fairfax), (G.-B.) — Fare, fac. 

Faletans. — Une fois Faletans. 

Fallet. — In spe. 

Falcoz.— • Semper inaltum. sFalcoidk Malital. 

— Ad quid venisti. 
Fane (comte de Westmoreland}.(<fr.-B.)— NeTile£uio« 



- 79 - 

FamIesb (Alexandre). — Hoc Jupiter uIior« 

Fakqithâk. — Mente manuque. 

Passion. — Fulget et floret. 

Faucomioèke. — Qnid est qnod fuit. 

Faux. — Tempus edax rerum. 

Fayrb (barons de Peroges et d'Aiguebelette, seigneurs 

de Yaugelas et de Yillaret). — - Fermeté. 
Faytn Mtpont. — My pont difficile à passer. 
Fat (du). — Faites bien et laissez dire. 
Fatil (du). — Pietate et armis. 
Fatolle. — Nonilnsedubique*«BFATOLLS la Toubnb. 

— - Tendit ad gloriam. 
Fbilding (comte de Denbigh). (O.-B.) — Cresch sub 

pondère Tirtus. 
Fbillbns. ^- Valeur! 
Feillsns (seigneurs de Channy et de Volagne). <— En 

Dieu TOtrc vouloir. 
Félix du Mut. — Felices fuerent fidèles. 
Ferquson. — Dulcis ex asperis. 
FxRiAiiD. — Pro fide, pro rege, pro me. 
Feeiari. (Ital.) — Ferrea raro rident. 
Ferion. — • Ferro cadit auréa messis. 
Ferron du Cheshe. — Sans tache. 
Perron de la Perronnats. — In hoc ferro vinces. 
Ferrus. — Fides perpétua. 
Fescbal. — Rien qui ne Ta. 
Fbttes. *-^ Industria. 
FpRsiiGH (baron Ffrench). — Malo mori quam fcs- 

dari. 
Fnrrts. ««• Saint Paul eamp d'ÂTaine. 



— 80 — 

• m. m • ^ 

FiiNNXi. — • Àrfoiê U ^nol^le l 
Fibnnbs-Pblham-Clinton (duc dç Newcasde}. *- 
(0.*B.) Loyaultc n*a hoote. 

FiNCB (comte d'Ailesford). (0»-B,} — Apeito.^ifiTinc^ 

▼oto. 
Finch*Hàtton (comte de Wiacl41fiea). (4.-90 — 

Nil coQScire sibi. 
FisicAT. ^- Aes, nonyerba. 
FiTZGEiALD (duc de Lelnster). (G.-B.) — • Grpm. i 

boot 
FiTzeuBON (comte de Çlare). (O.-BO — Nil adoûirari 
Fitz-Herbebt (baron Saint-Helen's]. (G.-BO — lo; 

taminaiis honoribus. 
FiTZROT (duc de Grafton). (0.*»B.)— Etdecnsetpre 

tium recti. 
FiTZwiLLUM (comte de Fitzmlliam]. (G«-Q^) — Ap- 

petitus rationi parcat. 
Flayimbs. — Le Leubantoeux. 
Fleming. — Pax, copia, sapientia* 
Fletcher. *- Nec quaerere nec sperQere honoreSi 
Fletgheb. — Martis non cupidinia* 
Flocquette. — GrUHwall 
Floris. — • Florebuat et non déficient — Floe e 

Tirtus. 
Florisone. (P.-B.) — NttUus sine flore firoctu^. 
Flotte de Saint-Martin. — To«( flfHtA* 
Foix (Pierre cardinal de). — • Senrire !>«>« regnan 

est. as Foix (duc de). — Lon|^ ieris aort fereft. s= 

Fon (Pbœbos de). — TocqnoftigtOMt 

TMldlÉft^ il ttt'VlMM. 



— M ~ 

««iFon (comtes de). -^Nt^rBDimè RUrké ôa Béwmt 
Fout (baron Foley). (Gt-B.) — ' Utproâiin. 
Fouir. — Foliam ejus nanquam defltitt. 
Fouus. — Qui sera sera. — PHncipils obsta. 
FoRTAHCBs. — Tout aidsi Fontatageà. 
Fomv (baron ForbëS). — Grâce me guidé. 
FôusB (cdmte ide Granard].' — Pat inetitlii, in'ceiï- 

dium gloriae. 
FoiD. — Omnium rerum vicissitudo. 
FoiKtm (baron Forester). (G.-B.) — Semper eadem. 
Fû nf MUia (comtede Fortescbe)^ (di-V.)*— Forte scth 

tom Balu» ducmn. 
Foetu-d'Urban. — Turris fortissîma virtus. 
Fossiz (du). — Goncordia victrix. 
FoucàVLT.— Ofes'à eux. 
FouMUkf. — Sunt milii in custodiam. 
FovLLON. — Dietrle yeut. 
FouQUET DE BsixisLB. ^ QùA^ flOfi asCèudisim. 
FouBC DB Laneau (du). — Sont glorlde stiioiiali. 
Fox-STBAMQirATB (comto d'IIcbeâter). (G.-B;) —Fair^ 

sans dire. 
FoTAL. — Virtus iddidit alas. 
FaAMOMT. — Vires dulcedinè vinco. 
FiASEï (lord Saltoun). (G.-B.} — In God is ail. 
FiASBi. — Je jpis prêt. 
FnBVAU'HiTFoiD (baron Redesdàle). (G.-B.) — 

iBquabiliter et diligenter. 
FnoosB. — Ni matar me, ni espantar me. 
FitmOT. — ^c virtus super astra Tefait. 
Mmahm lanmi. -^TMiis lob rtmls. 



~ 8Î - 

Fbemiis. — Eicaillon Denaing! 

Frodlat. — Pro rege et pro fide. 

Fugger-Bàbembausen. (Au.) — GoU und M ariau 

FuBSTENBEBG. — Et si omoes, ego uod. 

Ftot. — En doubtant je m'assure. =:Ftot d*Abiou 
(Jean). — Fines tuos Jano. = Ftot db Babaik, 
(François). — Dam nascor fio, fioqae dum morior, 



G. 



Gage (vicomte Gage). (O.^B.) — Courage sans peur. 
Gaguano (princes de Torremuzza.) (iTâk) — Allicii 

et territ. 
Gagne. — Recalcitrantem cogo. 
Gaione d*Ornée. — In me fel nullom. <= Gaigni 

d'Obmée (Barthélémy). — Grespitantem excito* 
Gaigmeau de Chateaumoband. — Que fata. 
Gailhag. —Elle guide pour Thonneur. 
Gaillabd. — In excelsis. 
Gaillabd ab Baggabat. — Deus et honos. 
Galle AN. •— Semper magitt — Ab obice saevior ibil 
Gallien. — Praemium yirtutis honos* 
Galwet. — y incit Veritas. 
Gamacbes. — Gamaehes I 
Gamom. — Yirtus in arduis. 
Ganat. .— Non rostro , non ungne» aed ails itnr a( 

astra. 

GaND de M&BODE, de MoNTMOBENGT, DlSBNGHIBlf Bl 

Mamimes et db Yillain XIV. -" XIY I XIV 1 ^ 
Sans reproche* -« Gand à ViUaia aam reproche. 



— 83 — 

Gantés d'Aioàinstelle. -— Noble sang, noble cœur. 

— Sensere gigantes. 
Garagnol. — Sarsùm. 
Gardner (baron Gardner). — • Valet ancbora, Tir- 

tus. 
Gasgoighe-Gecil (marquis et comte de Salisbury.) 

(G.-b:) — Sero, sed serio* 
Gaugourt. — Gaucourt ! 
Gaude de Martainyille — C'est mon plaisir. 
Gaudot de Haurot. — Partae sunt mihi. 
Gautier de Yalabres. — Dédit aemula virtus. 
Gayre; (P.-B.) — Gayre au chapelet. 
Gayrier de Yergennes. — Recta ubique. 
Gat. — En tous temps Gay. 
Gâtaidon. — Yincit Léo de tribu Juda. 
Gearie. — Chase. 

Geblhand. (P.-«.)— Animo et fortitudine. 
Geen. (P.-B.) — Fidelis gratusque. ' 
Geer. (P.-B.) — Non sans cause. 
Gkiilis. -— Foirex Sillert. 
Gentil. — Du cœur de Gentil. 
Gérard. — En Dieu est mon espérance. 
Gérard DE Hielet yan Coehooric, (P.-B.)— «Faire que 

deyra^ ayienne que pourra. 
Gbrbais. — Si n'estoit. 
Gerigkb yan Hbrwtnbn. (P.-B.) — Labore, cons- 

tantia, integritate. 
Geryais. — g. g. g. (GeneroseGerit Geryasius). 
Geyaerts. (P.'B.) — Per tôt discrimina rerum. 
GiYACDAN. — Cruci regique fidelis. 



I--*' 



~ 84 — 

Gbtbbs Dktmoot. — Constans aç tarlii». 
Guc (le maréchal de). —Dieu ganlele pèlerin*. 
GiBBEs. — Tenax propositi* 
GiBEBTis. — Praemiamartis. 
GiiON wj CouBDiç* — Semen ah alto, 
GiFFOBD (haron Gifford). — Non sine oomiiie*. 
GiLBBBT CoLONGEs. — Le desseiD en est pris.^ 
GiuEB. — Foniuidine et humilitate. . 
GiLLBB. (F.-BO — la.setermuii non . e(maKi^çI)îr 

tiir. 
GiLLBB (Nicole). — UDg Pieu, une loy, onefer* 
GiLLOif. — Deicordis ! 
G1NB8TOU8. — Stahit atque Ooreblt. 
GiNUL(comted'AtUone). (G^-B.)— Malp mori^oim 

foBdari. 
GiBÂBD nu PBT^^fp^ — Cmx» décos étapes*; 
GiBÂun. —De prèa, de loin. 
Glabgbs. — Montigny au bélier! 
Gléon. — Au seigneur de GUw^t ^ Attea.prie <pii 

se complainte. 
Glutz-Blozheim, — Fortiter et soavU|Sr. 
Gltnm. — - Finn to my trust. 
GoAzouHÀixi. ^r- Oher ha tevel. 
Godbbie. -— Graineaurt Saint-Équbertt 
Gonm* — Hwrdaing le sénéchal t 
GoBTHALs. (P.-B.) — In als Goet. 
GuxoM TAU Babsbchem. (P.-JB.)— Çofd^t / Cordes ts» 

GiixoN db GcniABiKiqu^^ (Uirne al). 



~ 85 — 

GoHOiT Di LÀ TocA* ^ SpirHus etçor, . 

GouLAiD. — «.^irœa et,plac)da8i spari^^ Ufit^^i 

GoMBERT. — Stabont, me custode. 

GoiwT (doc4e ReU). — Noa Bine labpre^ . 

GoHTAirr-BuoN. — Périt sed in m/^^^Xf^ 
Biron. 

GoifTHiB&. — . AmpBT aans crainte. 

GoocH. — Fide et virtute. 

GooLD. — Deofi 4nihi jiroYidebi^ , 

GoiMK (oouii^ d'Âl^ferd^i^)* (G.-B^ -r Tqntnna^^er , 
qoatur. ■■ Gordon (comte d'Aboyne, baron Ah|^- 
dram). — Stant ccBtera Ugno* = Goiipoii (dnc.dt: 
Gordon, comte4'Iiiverne$6), — Ai^mo'noaastat^., 
= GoR^N (vicomte de Kepmure)..— DreadGpd^. 

GoRi (comte d'Arr^]. ciwO|.>^lnJioç«i|noTiiK^ 

GoRWGifBT. -p^.Enjitt^QdwtBiieuj^;, 

GoRRBTOD (doc dc Pont-de-Yau^ipiiarguif dellan^j). 
^ Pour à jamais. 

GoTHD oa.GoTTo. -^ Ab^ortii ad occasum. 

GocAT. — Unguibusneç. ro^tijo sed Iflis» 

Goo«B-CULTHR||fp^. (barop Galtl^^^^ (CMi.) -^. 
Grado diverso, Tia una. 

Goujon db Thuist. — Sans mal penser, 

GouLAiNi. — A ce)tti->ci, à celt)irU, je doppe la i^WÊtt-. 
ronne. 

GouNONCorRT. — P.,M. Q. F. 

GoiTRio. -— Diejime tue. 

GoTON DR llATifiNpK«>- Litsêê à Mo^ign^f^t 

GoiOM. —Le raioqpieiirda drafe»«: 



— 86 — 

GozzÂDiNi. (Bolm«b]. — Reqaies mea. 

Gkaham. (G.-B.) — Reason contents me. 

Graham (baron de Lynedocb). (0.-B.) — Candide, 

sincère. 
Graham (duc, marquis, comte de Hontrose). (G.-B.) 

— Ne oubliez. 
Grammoiit. — Lo soy que soy. 

Grammont de Vachères. — A resistente coronor. 
GRAiiDPRt. — Animus imperat. 
GiANSON. — A petite clocbe, grand son. 
GiANT-OoiLYiE (comte de Seafield). (tf .-B.) -> Stand 

fut. 
Graincourt. — Saint-Haubert ! 
GiAifTELLE (le cardinal de). — Gonstanter. 
GiAS. — Volabunt et non déficient, altiora petens. 
GiASSB. — Prome, Domine, responde. 
Grasse. {DâmmaL) — Bonne renommée. 
Grattet. — Tout à tous. 
Gratz. — Stat fortisinarduis. 
Grates (lordGraTCS, baron de Gravesend.) (G.-B.) 

— Aquila non captât muscas. 
Grat (lord Gray. ) (G.-B.) — < Ancbor fast an- 

cbor. 
Grerert. — Haueùurti 
Grebn. — ^uam senrare mentem. 
GrRÉGoiRE DE LA Gache. — Saus s'ondormir. 
Grenu. — O Dieu, tu me yois Grenu. 
Greslet. — Melior fide quam fortnna. 
Gretillb (comte de Brooke et de Warwick.)(G.-B.) 

— Yix ea nostra toco. 



— 87 - 

Gkst (comte Grey). (G.-B.) *-Debon vouloir servir 

leroy. 
GivT (comte de SUmford et deWarrington). (a.«B.} 

— - A ma ]iQls8tnce. 
Gui. (P.-B.) — Utinam citios. 
GiiBALDi. — Plus penser que dire pour parvenir. 
Gbionàbt de Ghampsayot. — Spes mea. 
GauxB. — Nititur in vetitum. 
GaiMALDi (prince de Monaco). -« Deo Juvante. 
GmuuD^KOQim. — Intrépide. 
GanfSTOM (comte de Verulam). («•*«.) *-. Mediocra 

firma. 

GrOKNINGX van ZOELEN tan RiDDERKEaK. (P.-B.) •— 

Patriae haud segnis. 

GaoLÉE. — Je $uii Grolée! — Format regendo co- 
ronas, ou Assai avanza chi fortuna passa. = Louis 
PE Grolée. — Remigiis utar, si non afflaveril 
aura.= Atmon SB GaoLtE.— Turbant sed extoUunl. 

Gros. — Utinam! 

Grosvenor (marquis de Westminster). (0.-«.) — No- 
bilitatis virtosi non stemma^ diaracter* 

Gruel. — Yigilantia. 

GuAT (du). — Fidelis et audax. 

GDAT-TROUTii'(du). — < Dédit haec insignia virtus. 

GuÉBRiANT. — Dieu y pourvoira. * 

GuENaAT. — Trésor. 

GuER. — Sine macula. 

GutRiN. — Intrino omnia, et uno. 

GuBRNizAC. — Ped brebel. 

GcBSMET* — Tuiissima lorica virtus. 



— 85 — 

QcKàMHm^'^JÀeû me tue. 

GuicBBMON ▲ Bourg. — Fidelis praemia penn».. 

Goorrur m Bountast. -* Hile <|aiiL ^bital«: 

GCIGNARD DE SaINT-PRIEST. — FWt «4 femOlt* . 
GUILLAUMANCHES DE BOflCâflB. — 6Mkm9KamckiÊêi'^ 

— .Nimqiiam jugtu». — IndoûUia.jqgiunfalL^f— 

Indomitus Oerik . 
GoiON. — Vis unita fit forlîQr. 
GuiRAiiAiiD mi Sadolbt..— C'eal.iuLRUalfr* 
Guise.— (a) Chacun a ioaiOQr»'*-UBdiqii^4mmRi: 

Gunoir. — < Dieo «yt^. 

Gunnuig. — - Imperio régit unus aequo. 



H, 



HicutHA. -*- Mtfrendoi 

HAtisoLTB. (P.4.) -^ Omnia tempot hiAPii.- 

Halamzt. — A ma valeur. 

HAtE0. — Y!r oniti fortfor. 

Hakel (du). (PUnui). — EteaiHùn IkH&ln§l 

Haiiel. — A toute heure. 

Hakel-Bellenglue- DE- Grand -"RouiGOURT <d6}. 

(Abtois}. — Qui 8*y frotte 8*7 pique. 
Hakelamcourt. — Séchelles. 
Hamilton (baron Belhaven et Stenton). (0;-B.)— 

Ride througb. 
Hamiltom (vicomte Boyne). (G.-«.) — Throught — 

Nec timeo, nec sperno. «■ Hamilton (marquis 

d'Abercom}.— nroivA I ^-SoU nattas, Tirliis.as 



— 89 — 

Hàmiltom (duc d'Hamilton, dc^Bv^do^manii^s d^ 
Dougtas et dfi^ Gl^ydesdale, comte d*Apgus,.d'Anrw 
et de LanariK, lord Hancashire^ baroa IHitkuil. -r- 
Throught = Haiolton. — Throvigk! 

Hàmilton (comte d'Haddingtonj. (Ok-nJ -r. PraegUi 
et persto. 

Hamon de Boutet. — En boa espoir» 

Hampson. — Nunc aut nunquam. 

HfNDGOGK (Tîcomte Gastlemaine)^ (^«-B.) -r.YigUato 
et orate. 

IUme. (P^B.) — A Deo et rege» 

Haugest. — Hangest ! 

Hànhbr. — Garde l'honneur. 

Haeboep (baron Suffîeld). (O.-B.) — • Equai4n4teit . 

HAKCBiEgt -7- EHerpy ! 

Harcourt. — Pour ma défense. = B^bcourt <cb^ 
valier d']. — Hinc lumen, bine fulmiiift. 

Hardenbroek. (P.^^.) — Semper idem, 
« Hardouir de Perefixe de B^iUMOMT..— Usque ar- 
dent fixa nec errant. 

Har9 (comte de Ustowel}, (G.-B.) — Odiprofanum.- 

Hareng de la GoNDAMUfE. — Nul bieasai)^ peine^ 

Harlbt (comte d*Oxford et de Hortimer). (G.-B.} r-n 
Virtute et fide. 

Harrinoton. — Nodo firme. 

Harris (baron Harris). (O.-B.) — Hydery — >li[y 
prince andmy country. =.Harru (comte, d^^llalr 
mesbury). — Je . maintiendrai. -^ Ubiqii^ p^triam 
reminisci. 

HARTET-HfWff (lord Hawke). («^*B.) --. Suil^ 



— 90 - 

Hâspkes. — Wàttaineourt! 

Hastings (comte de Hontingdon). (G.-B.) ^ In Teri* 

tate Victoria. 
HAsnNGs. (G.-B.) — Vincit veritas. 
Hàtzfeld. — Virtus et bonos. 
Hauchin. — Montigny Saint-Cristophet 
Haucourt. — WMaincourt! 
Haosst. — Haussy ! 
Hautefort. — ÂUfju et fortis! — Force ne peut 

vaincre peine. 
Haotier de YiLLEMOiCTÉE. — - Nec dura nec aspera 

terrent. 
Hat. (o.-b.)— Serva jugum.=: Hat (comte de Tweed- 

dale et de Gifford). — Spare nougbt. =Hat-Garr 

(comte d'Errol). — Serva jugum. » Hat-Drummond 

(comte de Kinnoul). — Renovate animos. 
Head. (G.-B.) — Stndy quiet. 
Hédouville. — Totum pro Deo et rege. 
Heldbwier. (P.-B.) — Pietas ante omnia. 
Hemert de Beaulieu. — Antiqua fortis virtote. 
Hehrigourt de Grunne. (P.-B.) — Hemrieourt! — La 

foy, la loy et le roy. 
Henin de Citvillers. — Nihil agere pœniten- 

dum. 
Henlet (baron Henley). (G.-B.) — Si ait pra- 

dentia. 
Henneouin . — Goronabo. 
Hennker-Hajor (baron Henniker). (G.-B.) — Deos 

major columna. 
Hbnrt de Bohal. ^ Potins mori qnam fœdari. 



^9i - 

HiiiiT Di jAiNiotT.— DadH Uli nomen quod esl sih 

p0r omne noineii. 
Hbiht db la MoraL *- Tom*oars en ris, jamais ea 

pleurs. 
Héiâl. — Neqne Caribs, neque Sejrlla. 
HsmBnT (eomte dé CarainroD)* (tt.-B.) «— Ung je ser* 

jriray. 2= HnainT (comte de Pembroke et de 

Hontgommery.) — Hème devise. 
HiRON. — Ardna peUt ardea. 
Heisaktdd Bubon. — Evertit et aaqaat. 
HEaTAiifG* — IhiboU de Hove t 
HiBYET (martiub et comte de Bristol). (O.-B.) — Je 

n'ooblieray jamais. 
Hbsecques de HaaiGouiT. •— A jamais Hésec- 

ques. 
HssiLBifiaE. •— Pro aris et focis. 
Hewet. — Ne te quaesireris extra. 
> Hbwitt (Ticointe et baron Lifford). (O.-B.) — « Be just 

and fear not. 
HisBOiHB* *— SuaTior. 

HiLDTÀBD. — n)i80v mytiw TravTOç. 

Hiox (baron Hill). (G.-B.) — Âvane$% l 

HiLL (marquis de Downshire). (G.-B.) — Per Deum 

et femnn obtinui. 
HiLLàBT. — Virtntinil inrium. 
Hmoiosà. — Deus clypeus meus. 
HimsLiT. (G.-B.) — Amicitiae virtutisque foedus. <* 

Hiprounr de Yatton. — Non mibi sed patrite. 
Honnrrr. OP.-B.) «*- Optimos qniaque nobilissî- 



— 9Î — 

HoBTKfDcm (P.-B.) ^ Nil totem U m iT d mu u 
HoGENDORP. (P.-«.) — Ne Jupiter, quidon omnibnt^ 

s= HoesNDOBF TAN HômvEftBN. — Ittoie dtfrîMu 
HoGHTON. — Malgré le tort. 
HoHENLOHE. -^ Bk flaiBBlit orior. 
Hounu» m Bmupvlt. — Fidèle à mon deToir. 
HoLBon» (comte de Sbeffield). («.-B.) — Qutm.le 

Deus dsse jussit. - 
HoLTCBT. (P.-B.) — Halo mori quam macukri. 
HoiUN. — Hmdo som. 

HONNEGOURT. — OUy ! 

HoNTwooD. (G.-B.) — Omoe boninndetiiper. 
HooD (vicomte Hood). (G -B.) -— Yenlls secmkUKs: 

BàiiMPOBT (baroD^de). — Steadj. 
HooKE DE l'Etang. -^ Signa fortium. 
HooRN TAN BuRGH. (P.'-B.) — j^ectos a Deo bea* 

tus. 
HopB (comte d'Hopetoon). (G.-B.) — Ai spes noB. 

fracta. 
HoREAL. — Semper virtute. = Hobbal (Joseph de). 

— Laus Deo ! 
HoRSLET-BEREsroBD (baroo. Heeies). (C^-Bk) ^ Nil 

niai cmce. 
HoTHAM (baron Hotham). (G.-B ) — Leadom 
Houx DE YioMÉNiL. — To^jours . fidèle k rhon- 

neur. 
HowABB (coBita de Carliale). (a.-x) •. — Y«lo« mm 

tbImk w HewABB (lord Howaid). — llrtBB Brille 

seBtB.^= H»WABB (dBB do 'Norfolk)»:— AolB Tfatm 

ioTicta. ■■ HowABB (comte de Soffolk et de BeriL- 



~M — 

aUn^-*- KaM mAintieBiroaB. ss Btmuj^ (comie 

de Wicklow). — Senrire Deo et laetare. 
Hownfc-ïmmauMr :(]Muron Thorlaw). (•.-;■«) -*Q«o 

fata Tocant* 
HouKEDB Ssiiainr. — El habetaaa sidéra teUus» 
enana flianm DinoièeD). (tt^-B.) — Rliad duw a 

rhyddid. 
HirausT DB StMOicnixE. — Candor et robuK 

HULDENBBRGSI TAN DBR BORCH. (P.-B.) — Hicat U- 

bore aunim. 
HuMB. (G.-B.) — True to the end. 
HuMB DB GwRUT. — Fidèle jusqu'au bout. 
HinuoT SB CiBTBiiiT. — Certat msgoribus aatris. 
HuBTADO DB Mbndoça (duc de rinfantado). (Bar.) — 

Ave Maria, gratia plena. 
HuTGHQfpoH (comte de Donoughmore}. (G.-B.) — 

Fortiter gerit crucem. 
HoTTBAU d'Oriont. — Deo et régi fidea impayida. 
HoiMHB. (B.-B.) — Nosce te ipaom. 



L 



lyBBTaoM. — Vol liber et morior* 
iDDBEiMeB. (i^.-B.) — Fidesed cuiTk 
Imbuzb tanBatbnburq. (P.-B.)— Sebrie,tigUaiiter. 
Iiiaua. — - Reett facieado aecorus. 
ImBRT DB LA Platièrb. — Nesctt labî viitua. 
iBeuiMBBRT. — Finnaaturab astria. 
llwHbEitt (duc et cwne de Rosbuti^ (a--B.} «^ 
Vro Chiîaio al RatriA,, 4ulM|MkttlaflDu 






/^ 



» \ 



^94 - 

tfiBT (lord Boston.) (O.-B.) — Honor fidelitttift pn& 

mioin. 
IsHiM. (O.-B.)— Ostendo, non ottento.— Onthing 

transilory resteth no glory. 
IsLE (de 1'}. — Fraya Pkalempint 
IsMÂiD. — Si approchez, elles piquent. -— Lastima 

apretadas. 



J- 



Jàcob. — Parta tuere. 
Jàcobdb la GomitBE. — Soin et yaleur. 
Jacobsbn de la CBOSNiiBE. — Wysellck yromelyck 
yjAMEs. — rayme a jamais. 
Jassacd. — Lux et virtus meae. 
Jannel. — Galas suorum strage fugatur. — J*ai ei 

elle confiance. 
Jas. — Rochêehouari I 
Jenkinson (comte de Liverpool). (O.-B.) -* Palm 

non sine pulvere. 
Jebningham. (G.-S.) — Virtus basis vit». 
Jebtis (vicomte Saint-Vincent). (G.-B.) — Tlius« 
JoGELTN (comtede Roden). (G.-B.)^Faire mondevoii 
Johnson. (O.4.) — Deo regique debeo. 
JotNvnxE. --* JoinvUle! 
JoLT. — Magnus amoris amor. « Iolt de Cwnâ 

-^ Toujours serai. 
JoLT DE Maizebot. — GcbIo tutB qulcs. 

JOLT DE ChOIN Et M LtABBNS DE DaNGES ET BK GlAU 

Lou VBBS. ^ A Domino factum est istod* 



— gs — 

JoHif (Ticoiiite Ranelagh). (a«4i.) — Cœlitùs mihi 

Tires. 
JoMKs. {0.-B.) — JOeus pascit corvos. 
JOO0 DB TSE BsEiar (P.-B.) — Fidelitas mea lex. . 
JossA-Làuyràins. — Fulmina, si cessant, metamen 

urit amor. 
JoDBNMB d'Esgrignt. — In hoc signe vinces. — Pins 

et fidelis. 
JoCFFiET. — Luis en croissant. 
JouRDAUf. — Senrire Deo, regnare est. 
JouaDÀN (le maréchal). — J. B. J. (Jean-BapUsle 

Jourdan). 
JoTTÀC. — Fais bien et laisse dire. 
JuBit. -^Illorum ope h»c dilata Gallia. 
Jdch. — La Nonpareille. 
JuuiN** — BaUons et abattons I — Ad alta. 
JmpiLLEs. — Utinam virtus tenet juncta nobili animo 

meate» 

KittuicN. «- Deus, honor et gloria. 

Kardel. — Omnia nobis prospéra. 

Kat. — Scuto divine 

Katb. -— Kyndy Kynn, Knaone, Kepe. 

KEitH-FALGOKEi (comto do Kintore). (0«-B.) -— Quae 

KsLLBT. — Auxiliom ab alto. 
Kbhpenaâr. (P.-B.) — Fides.socia viri. 
Kennedy (marquis et baron d'Ailsa). (tt.-B.) — Avi** 
sez la fin. 



— 96 — 

KtfNTOU (biron de CSrediiigliMi). ^*^i) -^ Màgflà* 

nimiter cracem susiine. 
Kbppbl (comte d^A!bemàrf6). (il.4.)— Ifb âdeMlft. 
KEft (mairqilii et côiiiite de l^NkiÉii). (41.40-^ Mri» 

sed série. 
Kbiâeret. — Pa elly. 
KnAKcoviT. — DéfèndMoi! 
Keiangouez. — - Mutoudez. 
KEiÂifGUEN. — Luca éuet. 
Kbbatht. — GetaU dé bien ptKèiht j^iptont. 
KiiAOTittt. — Mérihé%i t 
Kebgkboye (P.-B.) — • Endurer pour dur^. 
Kbbempitil. — Qui m Seeti Mtêrt. 
KEBeiBiou. — Là oà tillettlrs. 
Kbbgobt. — Si Dieu plaist^ 
KBBGOBLAt.-^Hono^ et pBtrla. — Aidë-tol, Cér* 

gorlay, le ciel t'aidera. 
Kebgoubnàdbg. — • Yi^fez Kebeoent db UiMdI' 

MÀ0BC. 

Kbbgoz. *— h qui TM. (Aime qui t*aime}. 

KBiGBOAnBz. — BâMm eipoir. 

Kbbgboas. — En bonne benrè. 

Kbbguelbm. — Vert en tout tempe. 

Kbbhoent du IkniàvautT. — Sur m6n bônneorl =s 

KBMfOtMT DB OOEItTOTAO. -— Bb D&eiî eH. èm 

Kebhoent de Kebgoubnàdbg. — En Men èpl^s 
Kbbhobnt de LocmabU. -^ Biett aoitlovél . 

Kbbutbb. — Meillenr que beau. 

KBBLnnmr. «^ Ypnl Doé. 

KiBLOAGUBM. -— Sansefiroj. . . 



— 97 — 

Kraigui. — Foyez EsBiuvAir. 

Kkimàit» . — A tous dix. 

KiuiÂTAN ou Cabmen . — Diox avant. 

KiuoNGUT. — Tout pour le mieux. 

Kbboas. — Ardius superîores. 

KiBOuar. — Pour le mieux. 

Kbiouàbtz. — Tout en Thonneur deDieu. 

Kkhousbbé. —Laisse faire. — List! 

Kbriet. — Tevel bac ober. 

Kbhsâikt. — Vùyex Lb Chat de Kbbsaint. 

Kbbsâuou. — Tout pour Dieu. 

KufG (baron Ockham.) (0.-B.)~ Prest pour mon pays. 

Kmq (comte de Kingston.) (G.-B.) — Spes tutis3im» 

cœlis.M KiNO (vicomte de Lorton).— Même devise. 
KmosiiiLL. (G.-B.) — Do wel], doubt not. 
Klbbck (P.-B.) — Fidelisregi patriseque. 
Knatcbbull. — In crucifixa gibria mea. 
Kxowuis. — • Semper paratus. 
Kmox (comte de Ranfurly.) (O.-B.)— Hoveo etprofi^ 

cior. 
KBirpr {P.-9.) —Ad astra per arcem. 



L. 



t.ABAio K Vuitk. -^ In recto perstairç se^iper. 
La Baub. — £temité. 
La Baub dbs Habes. ^ Sans espoir. 
La Babbb hb Flani^bb, (P.-B.) — 1(out pour Vbon- 
neor. 

6 



— 98 — 

La BÀum Montketel. — La Baume ! « La Bàuiib 

Pluyinel. — L'honneur guide mes pas. 
La Baume-Suzb. — Dulce et décorum est. 
La Bedollièrb. — Foye^ Bbllefonss Gigault (de). 
Labina db Baussbn. — Deo et régi. 
La Boubxièbb. — Tout en paix. 
Labboub. — In manibus Dominî sors mea. — Cum 

Tirtute nobilitas. 
Lacgbb db Gamflong. — A mon honneur. 
Lachatbb. — A V attrait des bons chevaliers I — Gloriae 

et amori. 
La Gottbbib. ^ Soin et valeur. 
La Coub. — Discite justitiam moniti. 
La Gboix (Edme de), abbé de Gtteaux. — Munditia 

et labore. 
La GBODL-GHBYBiftBBS. — Guerre ! Guerre ! — Indo- 

mitum domuére cruces. — Yi^tricia signa secutus. 

=La Cboix db Satyb. — Même devise. 
Lagboix db Tonignan. — A cruce salus. 
Ladouvb. — Saint-Àubert ! ^ 

La Fabb db la Sallb. — Lux nostris, hostibus 

ignis. 
La Fbbté. — C'est pour bien. 
La Fons. — Aut mors, aut vita décora. 
La Font. — J'irai sonner jusque dans les cieux. 
La Fobêt DiTOiiNB. — Tout au travers. 
La Fobbt db Goasvbn. — Point gesnant, point gesnë. 
La Fobbt. -— Loyal ou mort. 
La Gbangb. — In spe et consilio. — Pibbbk db La* 

GBAN6B. — Conscientia et fama. 



— 99 — 

La Gruthusc. — Plus est en vous Gruthuse. 

La Guighb. — Au plus haut. 

Lahouze de Basquut. — At avis et armis. 

L'AiGUE. — En arrosant. 

Laisné. — Sine macula, ou Unica, unicam relinquo. 

Laizer de Siaugeat. — At avis et armis. 

Lakb. — Un Dieu, un roi, un cœur. 

Lalaing. — Croisilles ! — Sans reproche. == Lalaing 

(Charles de). — Aultre ne quiert. 
La Lange de Moranyille. — Hac vîrtutis. 
Laus-Marayal. — Yirtutis ingenuitas comes. 
Lallt-Tolendal. — Just and vallant. — Intaminatis 

fulget honoribus. 
La Mallardière. — Gedatur feriens. 
Lamb (vicomte Melbourne). (O.-B.) — Virtuteet fide. 
Lambert. — Seguitando si giunge. 
Lambron de Lignim. — Tenax in suâ fide. 
Lambton (comte de Durham). (O.-B.) — Le jour 

viendra. 
La Mbillerate. — Portarum claustra revellit. 
Lameth. — Sans redire, ou Nocuit diffère paratis. 
Lamire (seigneur de Gaumont, de Houvion et de 

Bachimont). — Yirtutis régula mirae. 
Lamothb-Baragé. — Lenitatis fortitudo comes. 
Lamothe. — In tenebris adest. 
La Mothb. — Tout ou rien. 
La Moussaye. — Honneur à Moussaye! 
Landi de Yaldetaro. — Fidelitas. 
L*Angb. *— Hac ad illam. — Nomine TAnge et omine. 
Langham. — Nec sinit esse feros. 



L*Angudk. ^ Faisons bien, laissons dire« 

Lannion. — Prementem pungo* 

Lannois. — Votre plaisir. 

Lannoy de Sulmone. — Me quodurit inseqaor. 

La Noue. — Amor et fides. 

Lanriyinen. — Espoir pie conforte. 

Lantin. -— Nec fallere nec falli. 

Lantity. — Qui désire n'a repos. 

La Palu. — Eh ! Dieu, aydez^moy t 

La Poippe. — Nec temerè, nec timide. 

La Poix de Fréminyillb. — En avant ! 

La Porte. — Pour elle tout mon sang. 

Laporte. — Auspicium in terris hsec domos habet, 

manet altéra cœlis. 
Laplanghe. — Fiennes I 
Lardbnois de Ville. — Franc et loyal. 
La Riyière. — Nodos Yirtute resolYO. 
La BocHÊ.(Boim«ôcMB.)— Sublimi feriam ûderaYertice. 
La Roche. — Lassus firmius figit pedem. 
Laroche-Fermoi. — Valore et Yirtute. 
La Roghe-Fontenilles." — Guyenne ! Guyenne I 
LAROGHEiPÔÛGAULT. — G'cst mou plaisir. 
La Rochejacquelein. — Voyez du Verger de La 

R(M!Hfe JAGQUELEÏN . 

La Roghelamrert. — Amour ou guerre. *— Ni 

crainte ni enYie. — Valé me Dios* 
La Rochette. — Franc et leal. 
La Rodde. — Audaces fortuna juYat. 
La^caris. — Làscarorum felicitati. 
Lasgazes. — Semper paraf us. 



— 104 — 

i - ■ . J . . . - ♦ ■ 4 . 

Xàscélues (comte de Harewood.) (0.-a.) — In Deo 

solo salus. 
Latour do Pin.-— Courage et loyauté. — Turris for- 

titùdo mea. 
La Tour (Henri de] (duc de Bouillon.) — Dant ad« 

versa decus. 
La Tour-Taxis. — Perpétua fide. . : . 

Latour (comte de Boulogne). — Latour Ber^ 

trand ! 

. . ■ - ■ -.■.. \ .. . 

La Trémouills. — La Trémouille ! — jSafis sortir de 
l'ornière. = La Trémouille (Jean de). — Ne 
m'oubliez. 

LattiÊr.— - Pour trois. = Branche de Bayonne: La 
foy, le royi la loy. 

Laugier de Beaurecueil. — Yicit Léo. 

Laum6nier. — Le pauvre désire Laumônier.^ . . ^ 

Laurencin de Ghanzé. — Lux in tenebris. — - PoH 
tenebras spero lucem. . 

Laurières (marquis dePompadour). — Ifagoreidonèc 
superem. 

Lauta Van Atsma. (P.-b.) _ Antiqua virtute ac 
fide* 

Lautrec (Odet de Foix). — Dove é gran fuoco è gran 
fumo. 

Lauwerbtns. — Diepenhede ! Dieperihede ! — Ad Uo- 
rum non aurum. = Lauwereyns de Diepensçi» 
DE RoosBNDAELE. — Diepenhede ! — At avis et armis. 

Laval. — Spes mea crux et amor, — Pour une au- 
tre, non. 

• -* 

Latauttk. — Plosquàm Talor, ralete ralet. = 

6* 



— 402 — 

Louis db Lavàlbtte (dac d'Ëpçrnon). — Glarius 

in adversis. 
Là Ybrnb. — Yernum tempos. 
Là Villb db Fbkrollbs des Doudes. — Tiens ta 

foi. 
Làw (baron Ellenborough). (O.-B.) — Composituni 

jus fasque animi. — Law and eqnity. 
Làw de Làuriston. — Nec obscora, nec ima. 
Làwless. (O.-B.) — Yirtute et nomine. 
Làwson. (O.-B.) — Lève et reluis. 
Làze. — Paix à Laze. 

Le Bàsclb d'Argbnteuil. — Sine macula, macla. 
Le Blanc du Pbrct. — L'honneur guide mes pas. 
Leborgne (baron du Pin). — Monstrat yirtus hono- 

rem. 
Le Bourgeois de Tournai. — Reddite Dec et 

Goesari. 
Le Brbuil. — Cœlare divinum opus. 
Le Càrlier de Herlt. — Buenne vèndegies ! 
Le Chat de Kersàint. — Mauvais chat, mauvais 

rat. 
Le Clément de Sàint-Màrcq. — Clémence et vail- 
lance. 
Leglbrc. — Chantas I 
Leclerc. (FLamdbbs). — • Bernemicourtt 
Le Clerc de Frànconville. — Tu tibi sis ipse for- 

tuna. — Susceptum perfice munus. 
Lecointe de Màrcillàc. — Merces exercituum. 
Le CoMPÀSSEUR. — Cuncta adamussim. 
Le Divezàt. -^ Spera in Deo. 



— 403 — 

LbdotnAb. — Descordes! 

Lbb. ^- Verum atque decens. 

Lbbs. — Exegi. 

Lbbson (comte de Millown). (O.-B.) — Clarior e te- 
nebris. 

Lbfbburb. — Animo forti nil forte. — > Hodie mihi, 
cra8 tibi. 

Lbfbbtbb. — Etiam industria nobilitas. 

Lbfbybb-Obàinthbyille. — A Cédât des Roses I — « 
Nihil lilia sine cruce. » Lbfèybe db la Maillar- 
DiÈRB. — Cedatur feriense. »== Lefèvrb db là 
FAUTBADikBB DB Beaufort. — DedU hsec insignia 
virtus. 

Lbfébubb db la Donchamps. — Yolabant et non dé- 
ficient. 

LBFOBBsnBR. — Fortis et fidelis. 

Lbgard. — Per crucem ad stellas. 

Lbggb (comte et baron de Dartmouth.) (O.-B.)— Gau- 
dettutamine virtus. 

Lb Goux (Pierre). — Inflexus stîmulis omnibus. 

Lbgrand. — In variis nunquam varius. 

Lb Gris. — Avec le temps. 

Lb Hardt. — J^ec leporem féroces procréant imbel- 
lem leones. 

Lbigestbr. (o.-b.) — Tu Domine, gloria mea, 

Lbighton. (O.-b.) — Dread shame. 

Lbigontb de Rangouge. — Virtus et honor. 

Leinimgen. — Gott thut retten. 

Lejeune de la Fdrjonière. — Nul ne s'y frotte. 

^ Leje^kb m MAiUBKRs, — - In adversis clarius. 



~ 104 — 

LBiiMONiER DS u KAmcHB.'-^Fortes creântor foi> 

tibus. 
Lelt yan Oudbwàter. (v.-b.). — Ab ahisstmo saiàt' 

mea vestimenû plus qnain regia*. 
Lemâitee de Ferrières. — Angor etaDgo. 
Le ICabant. — Bonâ Yorùntate. 
Le Makchant de Caugnt. — Nostri senrabitdSoràn. 
Lemate de MbTffiAux. — Qaerèhs anima joiî.' 
Lemps. — Le temps j^atiends. 
LEirniÈ. — Quiévi. 

Lenfemnat. — Qui faiibièn^ renfer'n'a. 
Lennox (dac de LennoxéldéRichemond}. — >%dta 

rose je fleuris. 
Lbnoir de la Roghe. — Alborlatet! 
Lenongourt. — Lenoncourt ! 
Lbntilhac. — Non lentùs in annîs. 
Le Nt. — Hnmble et loyal. 
Le Peixetier'dè Gi^tignyI» Piâèns'Àiàii'dÏE'. 
Le Plastre . — Non est mortale qnôd bpfo! ' 
Le-Poer-Trench (comte de Clâncairty). (tf.-4B.y — 

Gonsilio et prùdéntîa. — Hùesdiêû bdèâden. 
Le. Prévost dIrat. — Yotùm ï)eo regiqiie toyiI.' 
Le Royer de la SAUYAGfcR'B.'— Pro fidè et pàtiiâ, 
Lescouet. — Maquit mad. 
Lesgours. — Régi soo semper fidelîâ. 
Lesdiguières (François de Bonne). ^— Frângit inae- 

cessa. — Penne nido majores. « LssDiGuiÈREi 

(Bonne de). — Nul ne s*y frotte. 
Le Sens de Folle Ville. — Fides sanétificaTit. 
Lbslib (èém' û& téféû et de Ùà^iH (a.-Hl.j''-. 



— 105 — 

Pro rege Bt patrla. = Lesuk (comte de Rothes). -« 

Grip fasi ! 
Lesfimasse. *- Sans chimères et sans reproches. 
L'espins. — Décos et tutamen. 
Lestkànge. — YisTirtutem fcvet. 
Lesyàl. — Stat Tirtos nixa fide. 
Letelliee de SouTiÉ (marquis de Louvois]. — tfe- 

lius frangi qnam flecti. = Le ministre de Loutois: 

Ut te soli explicit uni. 
Lethbridge. (G.-b.) — Spesmea in Deo. 
Letonmelier de Breteuil. — Nec penâ nec mettt« 
Leuchtemberg. ^^ Autre ne se sert. 
Leuriot. — > Goulet Roucy. 
Ledsse. — Credula turba sumus. 
Leyal. — Eadem mensura. 
Leyavasseitr (seigneur d'Hiéville et de Cerisy). — 

Fortis et prudens. 
Le YÀTEB.—i Omnibus carus. = Le Yater de Yan-* 

TBTiL. — Môme devise. 
Leyeson-Oower <(comte de Granville). (G.-B.) — 

Frangas non flectes. = Leyeson (duc de Suther- 

land). -—Même devise. 
Levis. — Dieu aide au second chrétien. — Duris dura 

Frango. — Inania Pello. 
Le Yoter d'Argenson (marquis dePaulmy )^ Major 

fama. 
L'hermitb (Tristan). •— Prier vaut à l'hermite. 
L'homme de Yerclose. — L'homme sois homme. 
L'hospital. — Semper vigil. 
LuNCOURT. — Liancourl ! «- Liancourt invincible. 



— 106 — 

LiDDBLL (baron de Ra¥eiisworth).(0.-B.) — Unas et 
idem. r= Liddell. — Fama semper yivit. 

Lietix-Fâmat. — Saint-Aubert! — Gambraitts? 

LiGNiiuiBS. — Ligniêres ! 

LiLLEB0!OiB. — NoUem cessisse minore. — La Corro. 

Lmosix Dalheim. -^ Fortes creantor fortibas. 

LixDSAT (comte de Balearres). (G.-B.) — Astra cas- 
tra, nomen lumen. 

Lionne de Lbissens. — Scandit fastigia Tîrtns. — Im- 
pavidussursùm yigilat. 

LiOTAUD DU Seere. — Signavît per orbem . 

LipPiNCOTT. — Secundis, dubiis(pie rectos. 

LuTEK (baron de Riblesdale.) (O.^B.) — Retinens 
yestigia famae. 

LiTTELTON. (o.-B.) — Ung Diea et ung roy.« Littel- 
TON (baron de Littelton). ^ Même devise. 

LrrTLEHALES.(0.-B.) — finis coronatopns. 

LiviSTON. (O.-B.) — Si je puis. 

Llotd (baron Mostyn). (O.-B.) — Heb ddûw Heb ddmy 
DDûwadygam. = Lloyd. — Même devise. 

LoBKOwiTz. — Pope! sem, popel badu. 

LocKHABT. ^ Corda serata pando. — Semper para- 
tas pugnare pro patria. 

LoGKABU. — Voyez Kebhoent de Locmabia. 

Lobwbkstein-Webthbim . — Constantia et pnidentia. 

LoPTDs (marquis et comte d'Ely.) — - Loyal à la mort. 
— Prends-moi tel que je suis. 

LoisiBB (Jean)^ abbé de Gtteaux. — Dita servata Gde. 

Long (baron Famborough.) (o.-B.) — Ingenuas sas- 
cipit artes. 



— 107 — 

LoNGUVTAL-BcrcQuoY. — 3rag(m! 

LoNGUBYUXB. — Arcentque domantque. 

LoNQYT (le cardinal de Givry de].— Abundantia dili- 

gentibas. 
LoNSAAT. — Cambraisis ! 
LoPBz DS Haro (don Diego). — (Esp.) 

D'un dolor que Dios os goarde 
Fae cenrada à questa puerta 
Quando esperança fue muerta. 

LoRAiME (baronet). (O.-B.) — Lauro scutoque resnrgo. 

LoRAs, — Un jour Tauras. 

LoRT DE Sbriqnàn. — Què non ascendam. 

Louis. (0.-B.) — Saint-Domingo* — In canopo nt ad 

canopum. 
LouRDET. — Labor omnia yincit. 
LouYART DE PoNTLEYOTB. — Fortis forUorl cediu 
LouYAT. — Lnpus in fabula. 
LowRT-CoRRT (comte de Bebnore). (C^<rB.) . — . Vir- 

tus semper Yiridis. 
Lamrait {coûtent baron de CaYan). (0«4.)— Vtqno- 

cumque paratus. 
LowTBER (comte de Lou8dale).(o.-B.)— Magistratua 
indicat Yirum. 

LoTsiB. — Tout à Loigy. 

Loz. — Loz ! 

LuiBRSAc. -^ In praeliia promptus. 

LuBOMiRSKi. — Patriam yersus. 

LuG»QB. — Uaquequè. 

LuDLow (comte Ludlow). (0.-B.) ^ Spero intotis, 

metuo secundis. 



— 108 — 

LuttiiTs. — Le content est riche. 

LiwtBT-SÀTiLLB (comte de Scarborough). (6.-B 
Monu aeneoSv conscientia sana. 

Lutcàut. — Semper fidelld. 

LuxBMBOumG, -— Votre veoil. = Louis dk Luxem- 
bourg. — Obstantia nubila solvel. = Jbah ra 
Luxembourg (sire de Beanroir). — Nemo ad ini- 
possibile tenetur. t=: Jean db Luxkmboubg Hau- 
BOUBDiN. — J'y entrerai, si le soleil y entre* 

LuTBiBux, — Belle sans blâme. 

Ltlb-Galuan. — An X, May. 

Ltmâbb Gbabbonnibb. — De ebarbon clieTance. 

Ltnch. — Sémper fidelis. 

Ltùbabp. — Pensez-y belles, fiez-yous y. = Lro- 
BABD ( René de) (seigneur de Ghastellard él'ses 
frères Claude, trésorier de Tordre de Malte, et 
Gboigb). — iToga, religione et armis. 

Lton-Bowes (comte deSirathmore et de Kingliom]. 
(Ck^B.) — Ib te dominé speraTl. 

Ltoni. -» Ex génère etyirtate Leones, 

LtiAiÉT (biimi Lisle}. (O.-tt.) — JBella, horrida belh* 



llAeDONAin (duc de Tarente.) — M y hope is constant 
inthee. ' 

Macheco de Pbémeaux. — J'ai bon bec et bon 
ongle. 

Machutelu (Vincent]. — Qaanio ii mostrt mes, 
tatflo è pi« bella» 



t* ' I 



— 409 — 

Macip.. — Sicut cervus desiderat ad fontes aqnarom , 

ita anima mea ad te, Deus. 
IIackat (lord Reay). (a.-B.) -—Manu forte. 
Màckbnzie (baronet). — In utrumque paratus. 
IIackworth (baronet). — Gwell angan na Cbywyld. 
IIagphbisoh. — Sic narravére bardi. 
Macquaat. — Gonsilio et virtute. 
Madeg. — Nullis perterrita monstris. 
Maqalotti. (Ital.) — Libertas 1 
llA6DEBoni« (Daniel, arcbevéquede).— Pudeat nos 

perdidisse diem. 
Magnin du Collet. — Sans luy, rien. 
Mahon (baron Hartland). (0.-B.) — Periculum for* 

titudine evasL 
Maillac. — Fides mea salvum fecit. 
Kaillaks. — SwvT8 ôavavTs. 
Maillart de Kandreyillb. — Etiam nascendo 

tremendus. 
Maillabdoz. — Feriendo triumphat. 
Maillé. — Stetit nnda fluens. 
Maillt. — Mailly ! MaiUy ! — Hogne qui vonra. 
Mainwaring (baronet). — Devant I je te suis l 
MALADiÈRE-QuiNciEt7. — Mort non paour. 
Malaingodrt. — WaUaincourt ! 
Malarmet* — Sam peur I — Amor in honore. 
Malestroit. — Maleslroil! 
Malet de Grayille. — Ma force d'en haut. 
Malingre AU d'Hembize. (F.-B.) — Yirtuti nibil 

obstat. 
Maltoisin, — A Deo solo, 

7 



* 



— ilO - 
Uakcigoubt •— CrtoeecKir t 
Man d'Hobbdge. (p.-B.) — Virilit». 
Uandon de Mokde. — Svpenu licet, i 

lilia Mcrum. 
HAirasanB. — Aat vaon, ant vita decort. 
Hahgoi. — Probe et incorraptè. — Màimot di 

SciGfcu8. — Poat tendiras spero lacem. 
Hâhh (baroDet). — Per ardua stabilù. 
Hahneks-Sctton (dac de RuUand). (•-».) — Po«r 

7 parrenir. «Uiimu (baron Hannen).— Même 

devise. 
Hahocut. — Régi fidelis. 
Uakibl (baronet). — Qnod valt, raldè Tolt. 
Hue. — Jnsiitia mibi constant et perpetaa Tolnn- 

us. 
UiRct. — Aite et marte. 
llutOU (dn). — Forti flde. ~ 

HutCBIMDE CuiXONT DK DOHBI. — iforcUl I 

Mabcillïc. NuDquam marccsceal. 
MiHB. C--B.) Houricuretlrayail. 
MiMÈfMàL. — Cœloqne Koloqne. 
HiBBSCOT. — In hoc sigiio Tincei. 
HuEBCon. — Sans douter. ' 
HABonEBiB. — Cherche qui n'a. 
ViBiDÂT. — Dextera Domini fedt T&tatem. 
Hun. — Fragile n, ma bello 1 
Hauhi. — Ne noceanl. 
HitiTRTZ. Quid obstet. 
Miamiii (comte de ftonme;}. (O^B.) — Non lUni 
sedpateix. 



— 111 — 

MARTDfPiBT DE ViLLEFONT. — Pro fide pugnando. 
Maitin (baronet.) — Initium sapientise, timor Domini. 
MiàTm (baronet). — Pro patria.— -Auxilio ab alto. 
HimyiLUE DE ViGNEMONTÉ. — Facero benè et laetari. 
ICasskris IfouN. — Geluy a le cœur dolent, qui 

doit mourir et ne sait quand. 
IfASSBT (baron Clarina). (O.-B.)— Pro libertate pa* 

tri». 
IfASsmo. (Ivâii.) — Cunetando restituit. — Flecti- 

mnr sed non frangimur undis. 
IIamt (baron Massy). (O.-B.) —-Pro libertate pa- 

trûe. 
IIathan. — Mcohan ! — Au féal rien ne fall. — Nil 

de est timentibus Deum. 
IIatihbl. — Nec dominare, nec dominari. 
Macbbc. — Maubee! 
IfAUDB (Ticomte Hawarden). (O.-B.) Yirtute se- 

Gurus. 
Hâucukoii db MoiniÉANs. -^ Infringet solido. 
Maulb (baron Panmure).(0.-B.) — Glementiaetani' 

mis. 
Maunt, — Baynault Vancien ! — Mauny ! Mauny t 
If AuniBCHÉ. — Bellicae virtutis praemia. 
Mauhegnault. (V.-b.) — Vaincre ou mourir. 
Mawbet (baronet). — Auriga yirtutum prudenUa. — 

Always liberty. 
Maxwell (baron Fambam). (<>fr«-B.) •>- Je suis 

prêt. 
Maxwell. (a.-B.) — Thing on. 
Mat (du). — Cœlum non ruinera. 



— 112 — 
Matengs (Albert, archevêque de). — Hors ultima 

linearenun. — Concedo aHllL 
Matmàrd (vicomte et baron Matnàro). (Ck4.) — 

Manus josta, nardos. 
Màzemàjh, (P.-B.) — Melior vigilanlia somiio. 
Mbade (comte de GlanwilUam). (0.-8.) -* Toigonrs 

prêt. 
Mean. C.-b.) — Domine non recoso laborem. 
Hedina (Gusman de). ^ Le roi l'emporte sur le 

sang. 
Meikcgre hb Bougigaut (Le). — la altîs habito. 
BfEHEMZE. — Fortitodine, suavitate. 
Meugnan de Teignam • — Yirtas et honor. 
Mello ou Merlo. — MeUo t 
Melort. (P.-B.) — Honestè vivere. 
Helun (les vicomtes de). — A nwy Melmm t — ^Piai|l(H 

cet montes Deus. '- Ut inter spiritos sacres ora 

viator. — Yirtus et honor. 
Melvill Van Garmrée. (V.-B.) — Deniipie cos- 

lom. 
Menard de la HenardiIere. — Nul ne s*y frotte. 
Menardeau. ^ Tells opponit acumen. 
Mbndoça de RtAL. (Esp.) — Ave Maria , gratia 

plena. 
Hbnon. — Ni deuil ni joie. 
Hercastel de Montfort. — Hongne qui vonra. 
MERGcniR. — Plus fidei quam vits. 
Herez. — Evertit fortissima virtus. 
Merle de la Gorge. — Or, sus, fieH! 
Mbsorignt. — Deus fortitudo mea» 



— 113 — 

Mbsmat. — De rien je ne m'esmâye. 

Mesnàed ou Màtnard. — Pfo Deo el rege. 

MAnil-Simon. -^ L'effiroi des Sarrasins. 

MKtnMftBKns. fP.-B.) «^ i£gro6 vigUaniia serval. 

Mbtàxa. — Jttstum et tenacemproposuit* 

MtticuiFB (baronei). «-> Conqniesco. ' 

MBTTXftNicH-WiNNEB0UR6.(AixEM.) — Eraftliid recht. 

Mbuéiiiki. — El Tires el animos. 

Mbulbiuerb (V.-B.) — Amanli nihil difflcile.> 

Mbulh. — Bénin sans venin. 

Mbtnieb de la Salle, •— Major fama. 

MicHAL DE LA Pauj. •— Je Teille. — Pti^ili vigUat. 

MicauiJLDN. --» Yiritts cceli gradus. 

Michels. — Signe, manu, voce vinco. 

MiGUBLs SE Kessekicb. (V.-8.) -^ Ailes door en 

Toor den konîng. 
MtMiLBTOM (baronet). •*- Regalrdez mon droit. 
MiLDMAT (baronet). — Alla ta Hara. 
MiLL (baronet). — Aides Dieu. 
MiLLiiRE. — Juris tiUmn legimos, 

MiLLINI. — M« 

MiLLOTET. — Invitai mellitns honos. 

MiLON d'Ahnon. -«*- Non est quod noceat. 

MiLONi. — Spinse superani rosas* 

Mirabeau. (Voyez Riquetti). 

MiRBBBL. — Oh quel regret mon eorar y a I 

MissiBiBN. — Drë an mon 

MlffAïuBB. — Quod vigili datur, studio aecreseil 

vitse. 
Minaau.. «-^ Sapiens qui assidutts. 



i 



— 114 — 

MoESLiBif . — Seel pople. 

Moeurs. — ^ Mœwrs au wnUe! 

MoGEs-BuBON. — - Gœlam non soliim. ^ 

Moisson. *— Sine messe famés. =HftiJi^Mofittoii db 

Set. -— En Moisson loyauté. 
MoLAc (Le Sénéchal de Kercado de) .—Crie à Molae t 

— Bonne vie. 
MoLEswoRTH (vicomte Molesworth). (Ck-B.) — ^Vindt 

amor patri». 
Molesworth. *- Sic fidem teneo. 
MoLiEN. — (VayezMoESLan). 
MoLLERus. — Labore ad salutem. 
MoLTNEcx (comte de Sefton). (a.*B.) — Vivere sat 

vincere. : • 

MoNGK (0.-B.) (comte de Rathdown). — Fortiter, 

fideliter, féliciter. 
MoNCKTON Arundsix (0.-B.; {Voyez Galwat.) — - Fa- 

mam eitendere factis. 
MoNNÀT. — Numine, regé et patria^ 
MoNNiBR. — En Bien ma fiance. 
MoNNiEB DE Bonaparte. — lo la difesi. 
MoNSo. — Pro fidelitate. 
MoNSON. — Prest pour mon pays. 
MoNSPBT. — J'en rejoindrai les pièces. 
Mont. — Loyal. 
MoNTÀFiLAN. — Hary avaiUI 
MoNTÀGu (Auvergne). — Mmiagut 
MoNTAGu.— L L. p. A. D.E.L.T. — (JeTaiiNromis à 

Dieu et l'ai tenu.) — J*ai le corps délié. 
MoNTAGD (baron de Rokeby). (Ck-B.) — Solo Deo 



-- H5 — 

salus. a MoNTACiu (duc de Manchester). — Dispo- 
nendo me non mutando me. » Montàgu (comte 
Sandwich). » Post tôt naufragia portmn. 

MoNTÀCiu-DouGLAS-ScoTT (O.-B.) (duc de Buccleogh 
et de Qtteensberry). — Amo. = Montagu (baron 
Montaigu). — Spectemur agendo. 

MoNTAiifAiD. — Pluiôt mourir I •— Pro Deo» fide, et 
rege. 

MoMTAtBMBSRT. — Fcrrum fero, ferro feror. — 

MONTALEMBERT DE CeR8. '— (MémC dCTise). -— Co* 

eidi, $ed ^gam. 
MoNTBOissiER. — Nunquam impunè. 
MoNTBRUN. — Et quoy plus. 
MoNTCHAL. — Gertamine parta. 
HoNTCBENU. — Montehenu! -— La droite voie. 
HoNTCORNBT. ~ Montcomett 
Hont-d'Or. — « Melius mori quàm inquinari. 
MoNTECLER. — Magnus inter pares. 
HoNTEREDx. — Pro fido et rege. 
Montesquiou-Fezemsac — Hinc labor, hinc merces. 
MoMTET DB LÀ Ferràdb. — Ferme et loyal. 
MoNTFORT (Simon de). — Toulouse! Toulouse! — 

Monîjoie ! 
MoNTGARDÉ. — MorUgordé ! 
MoNTGOMERT. (O.-B.). — Gardez bien. = Momtgo^ 

VBRT (comte d'Eglington). —Même deyise. 
MoNTGRiLLET. — Ad (Bthera virtus. 
MoNTHiBRS. — Anuelis suit mandarit de te. 
MoNTHOLON. •— Subvenite opresso. 
MoNTiGHT DU Thticbitr. — Causa latet. 



— 116 — 

MoKT-JouxT. «— Dieu seul mon joag est. 
MoNTLOUu. — (Voyez Pboustbau db Momtloois). 
Montmàtbub. -^Ungnibuset rostro. — &ecta ferar 

et non conniyebo. 
MoNTMOMENCT. — Dieu ayde au premier baron ehré^ 

%\en\ — Air^ocvoç* 
HoNTS (des). — Fofitf «1 monf / — Dabit Peus bis 

quoque finem. 
MooEB (comte de Drogbeda). (0.-B.) — ForUs ca- 

dere, cedere non potest. 
MooRE (comte deMounlbcasbell). (O-a.) — Yisnnita 

fortior. 
MoBAKT. — A candore décos. 
MoMB. — Gomme je fus. 
MOKEL. — Lilia Francigenum deffendam boc Tindice 

ferro. — Pugna pro patria. 
MoAeton de Ghabbillax. — Moreton ! Moreton! — 

Antès quebrar que doblar. 
MoBHiEB. — Morhier de l'extrait des preux! 
MoBiN DE Bebtontille. — Forlis fidelîsque simul. 
MoBiN DE Gbomet (baronct). — Mori ne timeas. 
MoBisoT. — Fert mataros prudentia fraetus. 
Moboces. — Dieu ayde au Maure chrétien. 
MoBONO (Esp.) — Nigra sum, sed formosa. 
MoBTEHABT. — {Voycz Rocbccbouart). 
MosTTN (baronet). — Auxilium meom a Domino. 
Motet. — Post tenebras lax evergo. 
MoTTET (du). — Tout droit. 
MousTiEB. — Moustier sera malgré le Sarrasin. 
MoDTTiNHO DE LiMA. — Spcs iu Deo. * 



— 117 — 

Mmrr. •— SiehiOisi — Savtûùunt 

MotRu. — In Tîa virtuti nalla ecdTÎa. 

MuLLiNsonMoLUiBS (baroQ Vcotry). (o.*B.) -* Ti^ 
vere sat tincere. 

Mon — NU ultra. 

MuHCX (fr.-B.) — ATirtm et constantia. 

MuBAT. — Yim utraque repello. =Mo8AT ve l'Es- 
TÂifCi. -^ Yim fimitate repello. 

MuRBÀT (dac, marquis et comte d'Aiholl) (o.-S.)— - 
Furth fortune, and fill the fetter8.= M ukrat (comte 
deDomaMre). == MuuATQord Glenlyon). — Même 
devise. ssMubiat (ccmite dé Mansfield). «* Uni 
9eqau8 yirtutis. 

MuBRAT (baron Elibank). (0.-B.) — « Virtote fldeque 

MuiiAT. (0.<«.) — Een do, bail spair noda. 

MuàaïAYg (batoneC). ^ Sans changer. 



N. 



Nmuni. (AuuBH.) — Ave. 

Naibnb (lord Naime).^ (G.-B.) — Esp^'rance me 

confort. 
NiPiBB. (0.*S.) — Sans tocAe/ -—Ready, ayeready. 
NiBBoivinD-PELBT. •— Nou culm sine causa gla- 

dium portant. — Ws nescia Tinci sine causa., 

» NABBoimE-LÂBA.—- Nos descendonos de reges 

si no los reges de nos. 
Nàtaiixes. — A un tada no es haheado. 
Nataissb. — - In Domino confido. 
Nedonghbl. » Antiqeitas et nobilitas. 

7* 



— 118 — 

Neemum (comte et monte Kifanorey)» (««41.)-^ 

Nanc aut nnsfiiaiB. 
NnmM (P.-B.) » Viitos radore poittnr. 
Nelson (comte NdsoD). (tt.^J— Palmam qui 

menût famam. 
Neufoustel (seigneurs de), (inss^. ^» Ewpmauri à 

VEêeouêt 
Neufforoe. (P.-B.) «- Ad alta petantor* 
Nets. (P.-«.) — Wwêêt Waréêl 
Nbtet. — Per ach, 
Nbtujle (comte d'AbeffaTe&nj). (6«-8.) — Ne Tîle 

Telis.=NBTiiu(loiilBn7]HtMke).f---lfémedefi8e. 
NoBLET. — Nobilitat Tirios. 

NOCBT. — Molta DOCOBt. 

Noël Oiaron Barfaam). (Ck-B.) — To«t bien oa rieo. 
NoEL-Hnx (baron Berwick). (Ck-S.) — QilBti seit» 

ei bona. 
NoRTH (comte de Guilford)* (0.-B.) •— Animo etfide. 
NoRTHCOTE (baronet) . — Quîsti cmx est mea Inx. 
NoBTON (lord Grantley). (O.-BJ — ATinamenntnr 

aTonim* 
NoTTBBT DE Sàimt-Lts. — Dco BC rcgL 
Notées. <— Noyen ! 
NuoBirr. (0.-B.) — DecrevL »■ Nubeht (oiarqds et 

comte de Westmeatb).— Même deTise.= Ndobht- 

TknPLB-GBBNYiLLB. — TcmpU qnam 



O. 



Obeekampt. — Eectè et Tifilanter« 



— 119 — 

Oun. — Bro lamine virtos. 

O'Bbten (marquis deThomond). (tt.*S.) — Vigueuf 

de dessus* 
O'Gallagham (yicomte Lismore). (O.-B.) — Fidus et 

audax. 
Odebbrt. — SuaTÎter sed fortiter. 
CEttik«en. »- Dominas providebit. 
Offbrbmont. — « Olferemont! 
Ogiltt (comte d'Airlie et de Lintrathen]. (o.-B.)'— 

Afin. 
Oglaiohui* — Senrare munia TÎts. 
0*GoÊMàn. (a.-B.)— To Bach cathaagus deireadh air I — - 

Primi et vltimi in belle. 
O'GiABT (yicomte Guillamore). (0.-a.) — Yolnera* 

tos non Tictos. 
O'HsaBRTT. (a«4B«) •— Nec flectitur, nec mutam. 
O'Kbbffs. — Forti et fideli nihil difficile. 
O'Kbllt. —0/ KeUie abau. -* Turris fortis mihi 

Deus. 
O'KouBKB DB GousBN (seigneur de Gousen, en Flan- 
dres). — Fictortotis/—- Prou de pis, peu de pairs, 

point de plus. 
OuiEN SB PoBSBRLB. (P.-B.) — Rorum Tigilanlia 

custos. 
O'Maboiit. -^ Victoria in flammis. 
O'Màixbt. — Terrae marique potens. 
O'MoRB. <— Spes mea Deus. 
O'Nbill. — Lam dearg Eirin. 
Oncilbt (baron Ongley). (0.-B.) —Mihi cura futuri. 
Oif oiATi. — Libertas t 



— 120 — 

Onslow (0.-B.) — Festina lèntè. » Onslow (comte 

d*ODsloiiv). — Même devise. 
Orde-Powlett (baron Bolton). (G.-S.) -— Aimez 

lojaultë. 
Orgeix. ^ Semper fidclis. 
Orglande. (P.-B.) — Gandore et ai)|ore. 
Orkamdt de Frejàques. — Il adviendra. 
Ornàno. — Deo favente, Cornes Gorsiae. 
Ortt. (P.-B.) — Sum quod fui. 
Ortillb. — Hesdaing, Wallaincourt! 
OsBORN. (o.-B.) •— Quantum in rébus immane. 
OsBORNE (duc de Leeds). (o.-B.) — Pax in belle. 

— Francha, Leal et oge. = Osbobnk (lord Godol- 

pbin). — Même devise. 
OsMOND. — Nibil obstat. 
0*SuLUVAN DE Gbass. — Modcstla victrix. 
OUDABT. »-£'«tr^0/ • 

OwKN (baronet). — Honestas optima politia. 
OzT. (P.-B.) — - Arte, labore, patientia. 



P. 



Pacius. — Mus» pacis amie», 

Pagak. — Forlior pugnavi. 

Paget (baron Paget). (O.-B.) — Péril suo contrario. 

=: Paget (marquis d'Anglesey). — Même devise. 
Paige de Bar. — Où que tu soies suivrai toy. 
Pakenham (comte et baron de Longford). (0.-B.) — 

Gloria virtutis umbra. 
Pallavioni. — - Servir a guardar. 



-— 121 — 

Pauibi (buronet). — Palma virtati. 
Palmer (baronet). — Par sit fortana laboris. 
Palmes-d'Espàing. -'- In adversis yirtus. 
Pàlm-Gundelfingen. — Justus ut palma. 
Pàluàt de Jàlamondes. »- Animns et prudentia. 
Pantin. — Pantin, JMrdi, en avarU! — Gmx dox 

certa salatis. 
Parc de Loomaria (Du). » Tout est beau. ^ Yainere 

ou mourir. 
Pargbtaux. •— S*il plaist à Dieu. 
Parkbr (comte de Macclesfield). (G.-B.] — Sapere 

aude. 
Parker (comte de Morlay). (G.-B ) — Fideli certa 

merces. 
Parktns (baron Rancliffe). (o.-B.) -— Uonestè au- 

dax. 
Parsons (comte de Rosse). (o.-OB.)— Pro Dec et rege. 
Pascal de Kerenteter. — Sanguinem quid plnra. 
Paschal db Merins. — > Spes mea Gbristus. 
Paslet (baronet). -^ Pro rege patria pugnans. 
Pastorxt. — • Bonus semper et fldelis. 
Paterin. — Le duc me Ta donné. *- C'est par 

la vertu. 
Patodl. — Yirtute duce. « Patoul de Fisura. 

— Même devise. 
Paul. — Ut palma florebit. 
Paul (baronet). •— Pro rege et republica. 
Paolbtt (marquis de Winchester). (o^B.) — Hsec 

generi incremeata fides. 
Pauncefotb. — « Penses forte. 



Patik Crkchàngobr. — Dissmml hataoo. 

Paten. — In ardids forti(»>* 

Pbàchbt (baron Selsey). (O.-B.) — Memor ti fidelis. 

Pechfetbou. — Ul faU irahnnt. 

Peacoge (baronet). — Yincit Tentas. 

PsLBAïf (comte de Chichester). (0.-B.) — Yinch 

amor patri». 
Pkucht. — Yolnorat et sanat. a Peugkt mk Luai- 

TEBTELDE. — Même deyise* 
Pbumibb Dbmiâmqbs. — Semper inmiacolatos ero. 
Pbixbtbr nm MAiTÂiimLu. — Adrenb moyeri 

nef as. 
Pbllbt mes GaAHfiBi. — Vis nesda Tind» 
Pbixbw (Ticomte Ezmoath). (tt.-S.) -^Deo ûdjwomUêt 

— •Algieni 
Pbluw. (6.-B.) — Deo joTante. — Deo, non fortona. 
PiLussBE D« Là CosTB.— Yinote tton dolo. — Stella 
. dnce. 

Penân coBT DB Kbbooal. — A bop Pen lealdeL 
PEiauBCH. — Bepret. 
Penkeioton (baronManca8ttt).(Ck-B.)— Yincit amor 

patri». 
Pbnntman (O.-B.) » Fortiter et fideliter. 
Pbvfbrbll. — Yirtnte parta tnemini. 
Pbpts (baronet). — Mens cojosqoe is est qois- 

qoe. 
Pbbàbo db Yaitbb. — Yietrix per ardua Tirtos. 
Pbicbtal (baron Arden). (a.-B.) — Sob cmee can- 

dida.=PBBGBTAL (comtod'Egmont).— MâmedoTise. 
Pbbgt (doc de Northnmberland). («.-»•) — Bspë- 



— 125 -^ 

rance en. Diea« == Pbrct (comte de Beverley]; 

— Même devise. 
Peuéool. — SutrU et Tigil, 
Perub. — Ad sidéra ramos. 
Pbrruzi (Ital.) — Datom desuper. 
PtKUén DB8 Ciis. — Per usum folget. 

Pbrt (comte de Limerick). (O.-B.) — Yirtate Qon 

astutia. 
Pbtrb (baron Petre.] (0.-B.) — Sans Dieu, rien. 
Pbttt Fit^-Maubicb (marquis de Lansdowne). (O.-B.) 

— Yirtute non yerbis. 

Petton (baronet). — Patior potior. 

PesuvES. — Je me contente. 

PBir#f (comte de Mnlgraye). (0.*B.) = Yirtate 

qnies. 
Picot raDumBEEE. — Nullus extingnitar. 
PuTBT DB StfifiT. (•mtBi) — Sustinc et abstine. 
PiBBBBPOMT (comte de Manvers). (0.-B.) — Pie 

reponete. 
P1BUB8 DB NiBSàT. — Pour soutenir loyauté. 
PioNiOL. — Deus et meus Rex. 
P» (du].— Fidem peregrinans tester. 
PnouB (comte de Beauchamp), (Ck-B.) — Ex fide 

fortis« 
Fdcbl bb la Taule. — Mihi fidelitas decus. 
Pnos. — L'un des neuf barons de Catalogne. 
PiOLBNC. — Gampi tui repletuntur ubértate. 
PiossAiQinB. — Qui. 
Prrr. — (comte de Chatbam). (0.4I.) — Benigno 

owiiiie. 



— 124 — 

PiTT-RiTXM (baron Riven). (0.-B.) «^ Mg^aam ser- 

Tare mentem. 
Plaines tan Terbruggen. (^.•^8.) «« Pour ijUÂtt ne 

plaige mourir. 
Plantade. — Garitasnescia Tind. 
Plessets le Lerguk m PiNMAT (du). »« A Jamais 

celle. 
Plessis (du.) — Ab obice, msgor. 
PLESsis-GaBNBnAH. — Plessii^Maorùn! 
Plessis-Rioiblibu (du) {Voy9t Yniisiot.) 
Ploesquellec. — Aultre ne veiiz. 
Plgbuc. — L'âme et rhonneoir. 
Plumkett (baronet). — Festina tenté. = P&whkitt 

(comte deFingall). «^ PunsEn (lord Lo«âi). =z: 

Plunkett (lord Dunsany). = Plunkbtt db Raie- 

MORB. «^ Mémo derise. 
PoiLLQT n'OifiNT. -^ Meliorférlona notabiu 
PoLB. — • PoUet Yirtos. 
PoLiBR DB BRBnGNT. — Et Phoebi et Martii« 
PouGNAc. — In amiquissimia. «■ Pouaiuc (le piafit 

de). — Sacer custos pacîa. 
PoLiGNi. — YerUi et fortnae. 
PoLLALioN (baron de GlaoBia6)« (€K-BJ <-* lieaM à 

Pollalion. 
PoLLOD. — Contra andentior ito. 
PoMEROT (yicomte4iaronHarburton). (<L»B.)-— VU> 

tutis fortuna cornes. 

PONCELIN DE LA ROGHETILHAC. — Finuior pttm, 

PoEODiSKi. (Pii.)« -— Telle est la Tie. 

PoNsoNBT (baron Ponsonby). (O.-B.)— Pro rtf atlagOi 



— 125 — 

grege. :±: fonsoiNBT (comte d6 Borboroogh). -— 

Même devise. 
Pont (du). — Amico pâtri», patriae carissîmo. 
PoNTALLiraL — Pontallier 1 
PoNTÀUBBTOTE b'Otsontillis. — Viitttte et labore. 
PoNTCROix. — Naturellement. 
PoMTETEz. — Separata ligat. — Fluctuantibus obs- 

tat. — Mediis tutus in undis. 
PoNTis DES DouRBES. — In Domino facis virtutem. 
Pont-Jarno d*Ai7banutb. — Spes mea Deus. 
PoNTLABBt. — Hep chang. 
Port (du). — Gingit et obstat. 
Portai. 

Portier.— De tous châteaux, Portier. 
PosANGÈs. — Nonsibi sed patrise. 
PossoN. (P.-B.) — Dei nonbacchi. 
PosTEL. — Ou tout te heurte, tout t'appuie. 
Pot (seigneur de Piégu-Pot). — À la btUei — Tant 

Lyaut. (ïant elle vaut). 
Potier. — Deiterafecit virtutem, dextera salvabitme. 
PouQET de Nadaillac (dù). — Yirtus in hœredes. 
Podlett (vicomte Hinton.) (O.-B.) — Gardez la foi. 
PouL&ARiEz. -^ Yigil et àlacer. 
PouufiB. — De bien en mieux. 
PouLPiQOET. — De peu assez. 
PowTs (baron Lilford). (O.-B.) Parta tueri. 
PoTET DE Beine. — JustitisB columuam sequitur leo. 
Pozzo Di BoRGO. (Ital,) — Gousilio et virtute. 
PiATT (marquis et comte Gamden). (O.-B.) — Judi« 

cium pârium, aut lex terr». 



PiATs DB Hatuxoii. — Paitout tU AneAne. 
PiÉÂUX — César^Àuguttê! 
Pbbcontal. — Partout vil Ancftiie. 
pBEtTON(Ticomt6Gorman8tOD).(€i^B.)— Sans Uche. 
Pbétost de GkQWMO%. — Spet naquit , metQS luiqium. 
Pbetost de la Gboix. — Magb acmagis. 
Pbte ou VwME.—^ant à {'om^oimp/— Nondegeoer orto. 
Pbimbose (comte de Roseberry). (€k-a.) — Fide et 

fidocia. 
Pbittie (baron Dnnalley).(6.-B.)— In omnlaparatns. 

m 

Probt (comte de Garysfort). (6.-B.) * Hanos haec 
inimica tyrannis. 

Pboustbàu de Montlouis. — Pront sto in pericnlb 
audentior. 

Pbud'homme d*Hàiu.t de NnuBOOBT. (P.-S.)— Ton- 
Jours Prendhomme. = Pbudhomhb. d'Hàillt db 
YEBOUMifEDL. — Même doTise. 

Peubieb. — Tnrris meaDens. 

PDCK(.EB-Mu8KAn. (Aujoi.) — Amor et Tfartna. 

PusiONAN. » Prospérité t 

PoT-ia-CBEssoMTiLLB (du). — PfO Doo et Rage me 
snstinet tnrris. 

Pot-Melgueil (du). — C.E.I.S.E.E.E. (Cntando 
enixè inimos sanct^ Ecclesis , Ecclesia elerat.) 

PuT-MoNTBBUif . — Vicit leo. 

Ptcke. (P.-B.) — Pelias liasta. 

Q. 

QuABLEs TAN Uftobd. (P.-b.)— AquUa non captât 
muscas. — Qui invidet minor est. 



— 127 — 

QUSI.BN. — En Peb emser Queleii. » Quilbh (duc 

de U YaugayoD). — Ayize, ame. 
QusmKLLEs. — Envers et contre tous. 
QuiLLDUDBG. -^ Hep remet. 
QoiifMN. — Suavis suavi. 
QiriQUBKi^ DB Beaujbu. — Flandim ! — A tout Te- 

nanlBeaiyea! — - Vis contra yim. 
QuiLLiBN. -«- Tevel hac ober. 
Qvninus (P«-^) »- Vis unita fortior. 
QuiBiT. — Va ferme à l'àesaut Quirit^ à la prise ! 

Râbibbs. — Victoria! 

Radbbiughbr. (P.-B.) — • Mediocritas. 

Radziwill. (Pol.) — Bog nam radzi. 

Râfbus db Bboybs. — Genus et virtus. 

Rambcoubt. — loconcussible. 

Ràuomd-Modème. — Saucias et défendis. 

Rais. — Baie! 

Rimbaud. •— Et habet sua gandia luctns. 

Rambt-Hovb (comte de Home). (O.-B.) — True to 

the end. 
Ramsat (comte de Dalbousie). (G.-B.) *- Ora et la- 

bora. 
Raksat. (O.-B.) — Aspiro. 
Ramcbbe. — Geleritas atque fidelitas. 
Ranchicoubt.— Unguibusetrostro armatns inbos- 

tem. 
Rasoib. — Usqoe ad metam. 



— 128 — 

Raybu — Talore et prodeatia fortier. 
RAWDOif-HifTUfcak (nnrquift d'fiMiiiigi). (ft^4i.) — 

Et nos qooque tdâtpaaviiniis. 
Raymond. — Are du mon no ravdera. 
Rbad (baronet). — Cédant arma tog». 
Réaitx (des). — Sie fortis nt btuBases. 
Regoubt. — Sic ooùiia. = Rioocn (DUtter de) (sei- 
gneur de Rivière). — Droit dire de eœor. 
Rbgoubt du Sàbt (seigneur de Bmèreif. ^^Àmm ehd^ 

(WoMif/ — Andader ^ sincère. • 
Rebdb. (P.-B.) — Malo mon quam foedari. » Rbbdb 

YAïf Athlon B (même devise). = Rbbdb yan Ouds- 

HOOBN (même devise^! 
Rbyugb. — Yictrix innocentia. 
Rbhâbd. (Say.) ~« A tout regard. 
Rbgnauld. — Ardens et aqaum. 
Rbiffbnbbbg. '^Reiff6nb€r§lReifHib€r§t 
Rbmbbvillb. — Aderit YOcaUis i^Uo*-<- Mesû- 

nlsse juvabit* 
Rbnabd du Sbbbb. — Marte et arte. 
Rbndobp. (P.-9.) — Yirtiite duce. = Rbmimm» yan 

Habqubttb (même devise), 
Rbntt. — Reniyt 

Rbpblabb. (P.-B.) -— Patriœ fàta seqnor» 
Rbqubna. — Veritas vincit. 
Rbstaubant. — Yirtus vetat mon. 
Rbthbl. — Relkill 
Rbtmondis. — Ad altiora. 
Rbynbgom. (P,-B.) — Rien sans envie. » Rbtnbgom 

YAN BuzBT (même devise). 



— 129 — 

RmoLDikMoBiTON (lord Ducie). (a.4.) — Perse- 
▼erando. 

■ 

RHnNÀ-W<tt9B€K« — • Votre plaisir* 

RiBEiKO. (Pom.) — Quoflaity fert. 

RiBAiMOHT* -— A moi, Ribaumont! 

Ricard. — A la vie, à la mort. 

Riccft. •— Quae sunt Cxsaris Caesari, qusa sfinl Del 
Bec. 

RiGB (baron Dynevor). (G.-B.) — Secret et hardi. 

RiGBAAp. (Bourgogne). — Quo jiutior eô ditior. 

RicBABD. (Bretagne). — Caret Doé, meuli Doé, mori 
Doé. 

RicBÀKM. ^aronet). — Honore et amore* 

RiDinix. (baronet). — De apulia — Utile et dulce. 

RiDLBT. (baronet). — Gonstans fidei. 

Risux. -« A tout heurte Rieux ou A tout heurte bé- 
lier, à tout heurte Rieux. 

RiQUBTK-lfuuBEAu. — Juvat piotaB. 

RiYÀROL. — Léo meruit aqoilam. 

RivERs. (0.-B.) — Secus rivos aquarum. 

RiYiku. — Pour les Dieux.. 

RivoiRB. — - Née si cœlum ruât. 

RoBÀULx. — Quocumque ferar. 

RoBB-MiRBBSL. — Pour Famour d'elle. 

ROBEBT DE LiGNERAC DE GaTLUS. — Dum SpîrO, 

spero* 
RoBiÀNO D*HouG0UM0NT. (F.-B.) — Sicut lilium. 
RoBum . — Rac^Bihan I — Sans vanité ni faiblesse. 
RoRoi. (ITAL.) — Pin forte nel awersità. 
RoBusoM (comte de Ripon). (G.HB). — Foy est tout. 



— «30 — 

ROCHBGHOUÀMT M HORTEHÂBT. — Alite mWt UOdC. 

RocHBFOKT. — Bien fondé Rocliefort. 

RocHEFOKT (Foretz). — lilia sostin^ Tirtns. 

RocHKMOEB. — Ruj^ag firmior. 

Rode tàii Schblubiouck* (P.«-B.) — FidelKis td 
principem. 

RoD!iBT (lord Rodney). (a.-B.) — Non générant 
aqnilae colnmbas. 

RocnoMT. — À moit 

RoGEis ni WisMWE (baronet). — Nos nmtraqne 
Deo. 

RoHAN. — PlaUanee! — Roi je ne penx, dae Je ne 
veax, Rohan je sois I ^ RoHAN-CrirtMÉiiÉ (prin- 
cesae Anne de). — I^|>e8 durât ayoram. » Le maré- 
chal de GiÉ —A la bonne heore nous prit la ploie. 

RoLiima (Gantelme des). — Tolat fama per orbem. 
= RoLANns-RuLHÀNBTB. —Même derise. 

RoLiN (Chancelier de Bourgogne)* — Nil agere pœ- 
nitendum, pudendom imo reparandom. 

RoLULNn. — Nomine magnas, Tirtotemi^r. 

RoLLE (baron Rolle). (O.-B.) — Nec rege, nec popolo, 
sed utroque. 

RoLLO (lord RoUo). (a."B.)-"Fortane passe partout. 

RoPEE-GoRzoïc (baron Teynham). (0.-B.) — Spesmea 
in Deo. 

RosiÈiES. — Grand joie î — Sine dente rosaa 

RosLÀN. — Fidèle et sincère. 

RosMADBcnEGouÀELO. — Uuo STulsonou defidt aH^. 

RosMÀDEG nE TiTÀBLEir. — En bon espiHr. ■« Sébas- 

TiBii DB RosiuDBc. — Yirtus dédit, mors negatit. 



— 43i — 

Rosraic. -^ Fidei et amoris. 

RoMBL* — Festina lente. 

RoaTRBNBff • — Oultre I 

RoTBBGBiLD. — Goncordia, integritas, industria. 

Rouillé du Goudrât. — Moderatur et urget. 

RouRE (du). — Ferme en tous temps. — A vetustate 

robur. 
Rous (comte de Stradbroke). (G.-B.)— Je vive en espoir. 
RounB-BouGBTOif (baronet). — Omne bonum Dei 

donom. 
Rourmou. — Yirtus et ombra. 
RoTkKi. —Force et vertu. 
RowLBT (baron Langford). (G.-B.)— Bearand forbear. 
RozEN • — Malgré Latour les roses fleuriront. 
RoziBOT. — Spera quod licet. 
RuiBMPiÉ. — - Rubempril 
RuBscAS. (P.4.} — Ubi bene, ibi patria. 
Rufvo-la.-Fàrb. -~ Vis unita fortior. 
RuoLz. — Toiyours prêt. 
RuFPiBRiK. — Superbia immanes. 
RutBoUT (baron Northnvick). (G.-B.) — Par tem is 

suppar. 
RussELL (duc et comte de Bedford). (G.-^.) — Che 

sarà^ sarà««BRus8BLL (baron fiowland).— Même 

devise. 
RuTcwis VAK RosiifiUEG. (P.^B.) — Charitatc et in* 

duatria. 
RuTHTEM (lord Ruthten). (G.-B.) -^ Deed sbaw. 
RoTV SB Bebeenbeoube. (P.-4I.} — Antes morir, que 

•ertraidor. 



— 132 — 

RrcKEL. (P.-B.) — Generose et pradenter. 
Rtckbtobsel. (P.-B.)* — Condit opes Tirtoi. 
Rtder (comte de Harrowby). (O.-B.) — Serratt fidet 
cineri. 

S. 

SABBijf. — Noli irritare leonem. 

Sàillâns.— Dieu l'a permis. — Virtutit fHraemiam 
est Yîrtus. 

Saillt. — Du plus haut Sailly. 

Saint-Belin. — Ex utroque fortis. 

Saint-Ghàiians. — Nil nisi yindt amor. 

Sàinte-Colombi. — Spes mea Deus. 

Saist. — Qui est Saisy est fort. 

Sales (Sav.) — Nec plus, nec minas. = Saum (mar- 
quis de Bullëgneville). — La tour du Seigaenr est 
ma forteresse. 

Salinis. — Sic sale viresco. 

Salis. — Non auro sed virtute. 

Sallmaed de Ressiz. — Labor in armis est nostri 
testis honoris. 

Salm. — Onques, ni jamais. 

Salmon du Chastellieb. — Franc et sans dol. 

Salus la Mante. (Sav.) — Leit, leit. 

Saltaing. — A Salvaingiy le plus Gorgias! — Que ne 
ferais-je pour elle I = Dents de Salyaui (pre- 
mier président de la Cour des comptes). — Régi 
deyota JoYiqae.BsSALYAiNG (Aymonde).— Josques 
à ma fin. 



— 133 — 

Salyaihb d'Alitrag. — Sempre il Re. 

Sangbrkb. -^Notre-Dame Sancerre! 

Sandbkeg tan den Essenbuegh. (P.*B«) — • Serra 

fidem. 
Sàndfoed (baron Mount-Sandford). (CL-»B.)' — Cor 

unum, via una. 
Sàhdilànds (lord Torplûchen). (0.-B.) — Spero me--. 

liora. 
San Loebnzo t Paeque. (Esp.)— ^on espaerzo levante 

la bandesa de mi fe. 
Sànthbuvbl. (P.-b.) — Hayomm virti^) nepotum 

gloria. 
Sapin. -~ In altnm aspiciam. 
SAETI6B8. — Lilium pro virtute* 
Sassenagb (marquis du Pont). — Sassenaget -" J'en 

ai k garde du pont/ -— Si fabula, nobîlls illa est, 

— Sur tontes. 
Saucocet. — Saueourtî 
Saulx-Tavannbs. — Semper leo. 
Saumaeez (baron de Saumarez). (G.-B. ] — InDeo 

spero. 
Saumeet. •— Ami seur. 
Saumdbe^-Dundas (vicomte Melville). (0.-B.)«-Qu5d 

potni perfeci. 
Saveuse. — Saveuse f 
Sa VILLE (comte de Mexborongb). (0.-B.) — > Be 

fast. 
Savonnièebs. — Diex el volt. — Âbsit miki gloriari 

nisi in cruce Domini. 
Sayotb-Raconis. —Tout net. 

8 



— 134 — 

SATN*WlTTGElf8TSIN-H0BElf8TBIM. (Ali.) — Meltte 

ehre geb' ich niemand. 
Satyk. — Velis quod prosis. 
SciRRON (Pierre, évéque de Grenoble). — Vis duplex 

fulget in uno. 
ScÉPEÀUx. — In spem contra spem. 
ScHELWENBi (bârou d'Hohenlandperg). (Au..)*- Durât 

et lucet. 
ScHERFP. (P.-B.) — Per aspera ad astra. 
ScHiETEiE. (P.-B.) — Omnium rerum yidssitado. 
ScHiNNE. (P.-B.) — Per aspera ad astra. 
ScHOBNBORM. — Pro fido ot patria. 
ScHOLTEM (P.-B.) ^ Plus osse quam yideri. 
Scott (comte et vicomte de Clonmel). (o.-B.)— Fearto 

transgress. 
Scott (comte d*Eldon). (O.-B.)— Sitsinelabe decus. 

as Scott (baron Storwell). — Sit sine labe. 
Scott. (O.-B.) Régi patriaeque fidelis. 
Sebille. (P.-B.) — Sol sybillam dirigit. 
SÉGODfG.—Pietas homini tutissima virtus. 
Séguier. — Indole bonus. 
Selles. — Selles! 
Senàrclens de Granct tan Haamwick. (P.4i.) — 

Sans décliner. 
Sbnecet. — In Tirtute senesce. 
Serpillon* — Cerf, pie, lion. 
Serre. — Bien régnerez. 
SfcTB. — JtMttce / 
Sbimandi de Saint-Gbryais. — Une foi, une loi, un 

Dieu, un roi. 



— 135 — 

SiTHOum PB Constant. — In ardais Consians. 
Sbtmour (duc de Sommerset). (G.-B.) — . Foy ponr 

devoir. 
SiTMOUB-CoNWTAT (marquîs et comte de Hertford). 

(a.-B.)— Fide et amore. 
SfczB. — 96 Décembre 1792. 
Shaw. — YiQcit qui patitur. 
Shbiard (comte de Harboro!igli).(a.-B.} — Hostis 

honori invidU. 
taiMMBLFBNNiNGK (P.-B.) — Honos antè divitias. 
SaiBLBT (comte Ferrers). (••-B.) — Honor, virtutis 

pnemium. 
Shokb ( baron Feignmouth). (G.-B. ) — Perimus 

licitos. 
Shugkbuigh (baronet). — Haecmanas ob patriam. 
SiBBÀLD. — Domino factum est. 
SaLBBT DB Gbnus. — Àu çuet I au guet t 
SonANB. — Gertamine parta. — Snstinant lilia 

turres, 
SiNGLAiB (comte de Caithness). tG.-B.)— Commit thy 

work to God. 
&NBTT.— Yirtote nitet. —In candore décor. 
SiBTEMA VAN Gbovestins. (P.-B.) — Nœt to Goed, 

noet te Tioed. 
Six van Otbblbck*— (P.-B.) — Stella duce. 
Skbffington (vicomte Ferrard).(G.-B.)— Renascen- 

tur. = Skbffington (vicomte Hassereene). — Per 

angusta ad augusta. 
ÂUNOBLANDT. (P.-B.) — Candide et cordate. 
Smissabbt. (P.-B.} — Pour mieux j'endure. 



— 156 — 

SmsstK TAN CoKTBinma; (P.-B.) — Vestigia nnlla 

retrorsùm. 
Smm (baron Carrington). (a.-B.) — Tenaz et fi- 

delis. 
Smith-Stànlet (comte de Derby). (O.-B.) -^ Sans 

changer. 
SjfiTH (baronet).— Semperfidelis. 
Smith (baronet). — Marte et ingenio. 
Smith (baronet). — Spes, decus etrobnr. 
Smithe (vicomte Strangford). (Q«-B.)— Virtôsinceûdit 

vires. 
Smtth. (G.-B.) — Qoi capit capitur. 
Smtthb. (G.-B.) — Régi semper fidelis. 
SoBNBNs. (P.-B.) — Justitia et pax oscolatae sont 
SoLAGEs. — Sol agens. 
SoLABA — Tel fiert qui ne tne pas. 
SoMERSBT (dnc de Beaufort). (G.->B.) ^— Maître Ve! 

timere sperno. 
SoMEBviLLE (lord Somervillc). (G.-B.) — Fear Ood 

in life. 
SouASTBEs.— Non déficient. 
SouRDEAu DE RAMifiNiES-CHiif.— Do Sourdeau hXftkt 

aox villains. 
SouTHWELL (vicomte Southvell). (G.-B.) -« Née nale 

notus eques. 
SouTEET. — Altmn petit, ima i^Iinqnens. 
SoTEcooET. — Sùyeeourt ! 
Spaen. (P.-B.) — Yivit post funera virtiis. 
Spencee (baron Chorchill). (G.-B.)— Diea ddfend lè 

droit. » Spencee (comte Spencer). -- Même devise. 



— 137 — 

=SpBNCBE(diiC de Uarlborough)««->Fiel perô des- 

dichado; 
Splam (Le). — Plaid me déplaîst. 
Spontini di Saint-Andrcba.-*- Spunto e mai spento. 
SiiNT-BKLDf. — Ex utroque fortis. 
âiniT-CLAiB (baron Sinclair). (0.-B.)—Fight. 
Saint-Glaib-Erskine (comte de Rosslyn). (O.-B.]— < 

Rinasce più gloriosa. 
Saint-Georges. — Nisitur per ardua virtas. 
Saint^erhàIn. >— Perge, âge, Tince omnem, miles 

TÎrtiite làborem. 
Saint-Hilairb. — Amantes ta! ama. 
Saint-John (yicomte Bolingbroke et Saint-John) 

(O.-B.) — Nec quasrere nec spernere honores. »» 

Saint-John (baron St-Jobn). — Data fata secutas. 
Saini^Lawiance (comte de Howtb). (tt.-B.} — Qui 

P^ISCa 

Saint^Légeb (vicomte Doneraile ). (û.^'B») ^ Haut 

et bon. 
Saint-Martin d*Agli*, -~ In armis jurai — Sans 

départir. 
Sainte-Maure. — Sainte- Jf dure/ 
Saint-Madris en Montagne, — Antique, fier et sans 

tache.— Crux estsignumChristi, lîlîasunt Mariée. 

— Plus deuil que joie. 
Saint-Pont. — Moderata durant. 
Saint-Sétère. — Brosse I 
Saint-Sodfus. — Yirre pour mourir et mourir pour 

vivre. 
Saïnt-Tiusk. — Qui me alit, extinguit. 

8* 



— 1S8 — 
$AiNT-WoL8TON8. •— Fortîs et fidelis. 
STÀProRihjBBNiifGHAM (baroii de Stafford). (G.-B.) — 

Virtas basis vit». 
Stanhope (comte de Chesterfield). (a.-B.) — A Deo 

et rege. » Stamhope (comte de Stanhope). — - 

Même deYise.= Stanhope (comte de Harrington.) 

— Môme devise. 
Stanley (baron Stanley). (o.-B.) Voir Debbt. 
Stanlet. (G.-B.) — Sans changer. 
Stapleton. — Fide sed cui vide. ^ Stapleton- 

GoTTON (vicomte Gombermere). — - Salamanca. — 

In utraque fortuna paratus. 
Stassart de Goriodl. — Semper fidelis. 
Stepnbt (baronet). — Fide et vigilantia. 
Stbwart (lord Blantyre). (a.-«.) — Sola javâtvirtus. 

=Stewaet (comte de Galloway).^ Même devise. 
Stewaet* (G.-S.) — -ForwardI = Stewabt (comte 

de Gastle-Stewart). >— Même devise. 
Stibling. (baronet). — Gang forward. 
Stogken. (P.-B.) — Fortiter et féliciter. 
Stolbebg. — Spes nescia falli, 
Stopfobd (comte de Coortown). (G.-B.) — Patriae 

infelici, fidelis. 
Stoubton (lord Stourton). (G.-B.) — Loyal je serai 

durant ma vie. 
Stbaten-Wallat (Van der). (P.-B.) — Preux et 

loyal. 
Stbigk van Linschoten. (P.-B.) — Yirtus vincit. 
Strickland (baronet). — A la volonté de Dieu. 
Strozzi. (Ital.). — Morto, val più virtate e baont 



~ 139 — 

fama, che tutto Toro che TaTaro brama. —Le bel 
et bon. = Steozzi (Pietro). — Fortitudo mea Do- 
minus. = Stbozzi (Charles). — Rapit ut serret, 
serval ut juvet. 

Stuait (comte de Moray). (G.-B.)«^Salus perChrii- 
tum redemptorem. 

SnjAiT (baron StuartdeRothesay). (G.-B.) — Avito 
Yiret honore. = Stuàrt-Wortlet-Màgui<izib 
(baron Wbamcliffe). — Même devise. 

SruiJtT (comte de Traquhaîr). (o.-B.)— Indux trought. 

SoFraiM (marquis de SaintrTropez). — Dieu y pour- 
voira. 

SuLEOWSKi. (PoL.)— Tout pour la patrie. 

SoLUTAïf . — Lamh fois dineoch an- nachtar. 

SuRGàRES* — Post tenebras spero lucem. 

ScinuiT Di Sàint-Remt. — Pietà, Fedeltà. 

SuTTON. — Toujours prêt. 

SwiNBuiNB (baronet). — Semel etsemper. 

Stn 6B (baronet). •— Gœlesta canimus. 

STTZÀifA. — Rectè faciendo neminem timeas. 



T. 



Taifb (vicomte Taafe). (Cr.-B.) — In hoc signe spes 

mea. 
Taffin. — Pense à ta fin. 
Tàuxàbd ou Taillefeb. — Frangas non flectes. 
Taillefbb. — r Non quod sed ubi. 
Talbot (comte de Shrewsberry.) (0.-B.)— Prest d'ac« 

complir. 



— 140 — 
Tàllu. — GdBlesUa cum terrestribtts. 

4 

Tartereau de Berthemont. — InfrâCtss etfiddto. 
Taurug. -^ Nil timet. 
Tatora. (Portugal.) — Quoscumque findit* 
Tatlotr (marquis de Headfort). — Consequitor qood- 

cumqoe petit. 
Tempest (baronet). — Love as yonfind. 
Temple. (G.-B.) — - Templa qaitm dilecta^aaTsiiPLE- 

Ndoemt-Brtdobn (duc et marquis de Buckinghara 

et de Ghandos). — Même devise.=:TE]fPLB( vicomte 

Palmerston). — Flecti non fhingi. 
Texier D*HAirrEFEuuLE. — Splendf^ honoris, tirtuti 

fidelitas. 
TteLLussoN (baron Bendlesliam). (a.4i.) — LaI>ore 

et lionore. 
Tbepault. — Dieu sur le tout. 
Thets.-— De tout me tais. 
Thesan. — Pro aris et focis. 
Tui-zuT. — Quod sis esse velis. 
Tbiballibr. (8a¥.) — Dùm spiro, spero. 
Thicknesse-Tuchbt (lord Audley). (G.-B.) — Je le 

tiens. 
Thiennes. (P,-B.) — - Qu'une voie tienne, qud que 

advienne. 
Thierry. — Fortitodo mea Deus. 
Thomas. — - Non est mortale quod opto. =: Jacques 

Tbomai db YAMRMiiBi* •— Crescal llos debitus 

astris. 



— 141 — 

Thomas (baroiket).— Honestyisthebest policy. 
THOMAS DE LA Valbtte. — Godftfridus mlhidedit. 
Thou — Ut prosint aliîs. 
Throckmôbton. (0.-S.) -* Virtus sola nobilitas. — 

Moribus antiquis. 
THTHm (marquis de Bath). (O.-B. ) — Tay bonne 

cause. s=: THTNTfB (barou Carterel). -^ Héme 

devise. 
TiiXET. — Nil panim, nil nimis. 
TicHBORNE (baronet). — • Pugna pro patria. 
TiEGHEH DE Ten Bbrghe. (P.-B) -* Me stell 

duce. 
TiLUA. ^— Coelestia cum terrestribus* 
TiLLT. — Nostro sanguine tinctum. 
Tisserand. — En travail, repos. 
Toier-Damas. — Premi potui, sed non depremi. 
ToiCT (du). — A Diosy al rei. 
ToLEDo. (B8P.)= ToLBDO(duc d'Albe).-* Âl parecer 

de TAlba s*ascondan las estellas. 
ToNDCTi. (Ital.) — /{al{fon$-notf«/— Etiamsuperata 

▼incit. 
ToNsoN (baron Riversdale). (G.-B.) — Hanus haec 

inimica tyrannis. 
ToQOET. — Speravi et spero. 
ToRCHEittON. — Optima fata dant animum. 
ToRiflinr. — Brevior at clarior. 
Tour (du). — - La Pucdlel 
Tour (du). (P.-B.) — Deus mihi propugnaculum. » 

Tour en Tour van Belunchave. — Uéme devise. 
TouRNEMiNE. — Aultre n'auray. 



— «« — 

ToDRNiMOucBi. — Plus mellis qjukm mellis. 
TouufON. — ilii plui dru! — Polenlia et Tirtote. = 

ToumNOM (le cardinal de.) — ^Non qaat soper ierram. 
TousTÂiN. — TausUUn ! — Toustain de sang. 
TocmMouTiE. — Tout en outre ! — Tout passe. 
TowNfHKND (vicomte Sydney). (O.-B.) — Droit en 

avant. asTownsHsiiD (marqois de Townshend). — 

Hœc generi incrementa fides. 
Tbaille. — Discrimine salas. 
TRAMEGOuaT. — ViTtus ct nobUîtas. 
Teateib. (P.-B.) — Altyd de Zelve. 
Trbdbrii • — - Ha soez vè. 
Trefdsis (baron Ginton.) (G.«-B.} — Tout vient de 

Dieu. 
Trelawiiv (baronet.) — Yirtus patrimoni nobilior. 
Teemoleti de Montpezat. — Gygnus ant Victoria 

ludit in undis. 
Teench (baron Asbtovn). (O.-B.) — Yirtatis fortnna 

comes. 
ÏEEVELTAïf (baronet). — Time trieth troth. 
Trêves (Jacob, archevêque de.) — Ex fmgalitate 

obertas. 
Taivou.^Pa garro doué. 
Trie et Piquent. — Boulongnel 
Trier de TiIsge. (P.-«.) — Per ardna cresco. 
Trim OND DE PuTMicHRL. — In hoc signo vinces. 
Trimquere. — Ut monis. 

TaistÀMT. (Catalomb.) — Conctis hoc virtote rébus. 
Tro€10ff. — - Tout du tout. 
Tronson . — Yirtuti non divitiis. 



TfT^BUF. — Visu et nisu. — Levât non abripit aura. 
ToFTON (comte de Thanet). (G.^B.) — Alis yolat pro- 

priis. 
TuiuNGH (Witte) YÀN Oldenbàrneyelt. (P.-B.) — ^Fide 

patiens in crace, ignea superstes virtute. 
TuRNouR (comte de Winterton). (G.-B.)~Esse, quàm 

vider!. 
ToRPiNDB Crissé. — Tici victnrus vivo. 
TwisDEN (baronet).—- Praeviso mala pereunt* 



U. 



Uptou (vicomte Templetown). (O.-B.) — Yirtutit 

avorum praemimn. 
Urre. — En tous lieux et à toute heure. 
Ursiks. — Sauciat et défendit. 



V. 



Vache (du.) — Fax in virtute. = Vache de Saluces. 

•— Di giove amata assai. 
Vachon. — Solerti simplicitati. 
VAILL4G. — Ne fren ne tempo. 
Val-Bonneval (du.) — Dei gratia et avito jurt. 
Valéry.— VcUeryt 
Vallier. — Sic Vallier. 
Valpergue. — Ferme toi. 
Vançay. — La vertu, en nous, a l'âge devance. 
Vane (marquis et comte de Londonderry). (0,-B.) ^ 



Metaenda corolla Draçonis.» Yàns (comte Vase). 

— Même devise* 
Yànneck (baron HuntingGeld). (O.-B.) — Droit ei 

loyal. 
Vansittàrt (baron Bexley). (€k*B.) — Grata qnies 
Yaeagnb. -^ DeojuvanU i — Nulli cedo. 
Yàràx. — Varaœ! 

Yàrenàrd de Billt. — • Sans tromperie. 
Yàrgàs. (Es».) — Nigrasum, sedfonnosa. 
Yàssàll (baron HoUand). (G.-B.) — Et vitam im- 

pondère yero. 
Yassan. — Yirtns vulnere virescit. 
Yassy. — Chastillon! — Nodos virtute resoWo. 
Yaucbé. — (Fby<?z Yache). 
Yaudenat. — ^tt bruit ! 
Yaudrey — A tont Vaudray. — J'ai valu, vaux ci 

vaudray. = Yaodrey-Saint-Phale. — Mém< 

devise. 
Yaughan (comte et vicomte de Lisbume). (G.-B.) — 

Non revertar inultus* 
Yauthibr de Baillamont.(P.-B.) — ^Fortiter et dsmtè, 
Yedeau de Grandmont. — Ex humilitate eordît per- 

gam ad astra. • 

Yelsen. (P.-b.) — Honor et patria. 
Yera. TB») — Yerîtas vîncit. 
Yeranneman. (P.-b.) — Veranneman ! 
Yerdier (du). — Invicto fulmine crescet. 
Yereker (vicomte Gort). (a.»B.)*- Yincit T6rîtas« 
Yergbr de La Roghbiaqubkbin (du). — Vendéen 

Bardeaux t Vindée t 



-- U5 — 

Viifir* *— Vergif^Notre-Dame ! — Sans Tarîer. 

VsBHKTEH. (P.-B.) — Provide et constanter. 

Ver etden deVàrick. (P.-B.) — Fidem servabo ge- 

naaipie. 
ViRTHAHOif . — Fais que dois^ advienne que pourra. 
Veset. = Vesey-Fitzgerald (vicomte de Vesey). 

(O.-B.) — Sub hoc signo vinces. 
Vevet de Bus^y. (Suisse). — Dum vivo» multa video. 
VuRD. — VIvit et ARDet. 
Vus. — Yias tuas, Domine> demonstra mihi. 
ViDART. — Aux Maures. 
Vienne (de). — Tout bien à Vienne. — Tôt ou tard 

Vienne. — A bien Vienne. 
ViBssE DE Marmont. — PatriîB totus et nbiqne. 
ViGNEROT (du Plessis de Richelieu). » Richelieu (le 

cardinal de). — Non deserit alta. « Richelieu (le 

maréchal de). — Arda para subir. 
ViGNiER DE RiCEY. — Tuuc satiabor. 
ViGNOD. — Siïreté et confiance. 
ViLLAiN XIV. Voyez Gand. 
ViuAiNESDE Saint- Aubin. — Dum spiro, spero. 
ViLLEGAS DE Glergamp. — Vilia ne legas. 
ViLLfcLE. — Tout vient à point à qui sait attendre. 
Villemur. — Dum clavum teneam. i 

Villeneuve. (Provence.) — Â tout ! — Per b«c re- 

gnum et imperium^ — Libéralité. = Villeneuve 

DE VfeNGE. — Même devise. 
Villeneuve. — Sicut solemicat eusis. 
Villbnoir. — A la belles 
VuxEQUiBfli--^ Uni militât aslro. 

9 



— 146 — 

ViLiERÀSB DE Castblnau. — NoD mihi, sed Deo. 

YiLLEBOT (le marquis de). — Nec sine gloria cadet. 

YiLLERS. — Villers! 

YiLLiERS (comte de Glarendon). (G.-B.) — Fidei co- 
ticula crux. 

ViLLiERS DE Lisle-Adàm. ^— Va oultre. 

Vincent (baronet). — Yincenti dabitur. 

YiNCENT Pheuppe. — Je me contcnte. 

YiNCENT Sayoilhans. — Alnsi le veux. 

Yincent* (DADPHnii). — Omnia yirtuti cédant. 

YiNCENT. (Picardie). — - Gloria» palma, cedrus, glo- 
ria, fama, decus. 

YiNDÉ. — Nescit labi virtus. 

YiNTiMiLLE. — ^Prse millibus unus.— Nec me fulgura« 

YiRiEu. — Yirescit yirtus et sine fine. 

YiROT. — Yirtus vulnere viret. 

YiRY. — A virtute viri. 

YiscHER. (P.-B.) — Sans fard. r= Yisgher de Celles. 

— Même devise. 

VissEC DE LaTode de Ganges. — Sistor, non sistor. 
YiTALUNO. (iTAL.) — Qui 86 humiliat exaltabitur, ou 

Exaltabitur sicut unicornis. 
ViTTON DE Saint-Allais. — Scmpcr fuerunt, semper. 
YiTiER DE Fay-Sougnac (du). -- Nihil, nisi divinum 

timere. 
YiYONNE. ^ Tua munera jacto. — Ultra non mire. 
YoGnÉ DE MoNTLOR. — Sola vel Yoce leones terreo. 

— Yigilantia. 

Voisins de Guxac. — Profide, 
V&BDENBURGH. (P.-B.) --> Agro cvelUte spinas. 



— 147 — 

VRifcBV. ^ Régi et palrte. 

VuLSON DE LA GoLOMBiÈBE. ^— PouF bieo faire. — 

Uno ayulso non deflcit aller. — In utrumqne pa« 

ratus. 



W. 



Waernewigk d*Ange8t. (P.'B.).Laet vaerennydt. 

Wàke (baronet). — Vigila etora. 

Wàldegiaye (baron de Radstock). (o.-B.) — Saint 
Vincent. »= Waldegrave (comte deWaldegrave). 
— Passez avant. 

Wall. — Aut Gœsar aut Nullus. 

Wall (Van de). (P.-B.) — Virtus nobilitalis decus. 

Wallop (comte de Portsmouth). (G.-B.) — En sui- 
vant la vérité. 

Walpole (comte d'Oxford). (G.-B.) — Fari qnscsen- 
tias. 

Wapenaert d*£rpe. (P.-B.) — Semper armecer 
triumphat. 

Ward (baron Ward). (O.-B.) — Gomme je fus. 

Waed (vicomte Bangor). (O.-B.) — Sub cruce salus. 

Warin. (P.-B.) — Vîvit post funera virtus. 

Waroqoier. — Hersin! — A jamais Waroquier. — 
Dux Burgundiœ 1340 mihi dédit. = François de 
Waroquier. — Recta ubique et sic et cor. 

Warren (baron de Tabley). (O.-B.) — Tenebo. 

Warren. (O.-B.) *- Léo de Juda est robur riostrum. 

Warrender (baronet). — Industria. 

Wassenaer. (P.-B.) — Mit Gansck trouwe. 



«- U8 — 

Wàtson (lord Sondes). (G.-B.) — Esto quod esse vi* 

deris. 
Waudripont. (p,-B.) — Cul à cul Waudripont ! 
Waotier. (P.-B.) — Respice finem. 
Wavrin d'Helissard. — Wavrin ! Wavrin ! 

— Moins que le pas. 
Weiss-Albi. — Altior adversis. — Patria in cœlo. 
Wellens yan Ten Meulenberg. (P.-B.) — Coelesli- 

bus auspiciis. 
Wellesley (baron Gowley). (G.-B.) — Porrè unum 

est necessarium. = Wellesley-Polb (baron de 

Maryborough). — (Même devise). = Wellesley 

(duc de Wellington). — Virtulis forluna cornes. 
Wemyss-Gharteris-Douglas (comte de Wemyss et 

de March). (G.-B.) — Je pense. 
Wescombe. (G.-B.) — Festina lente. 
West (comte Delaware). (G.-B.) — Jour de ma vie ! 
Westenra (baron de Rossmond). (G.-B.) — Post 

praelia, praemia» 
Westreenbn van Tiellandt. (P.-B.) — Fortiter et 

prudenter. 
Wheate (baronet). — Virtus invicta gloriosa. 
Wheler (baronet). — Facie tenens. 
Whichcote (baronet). — Juste et droit. 
White (comte de Banlry). (G.-B.) — The noblest 

motive is the public good. 
WhitwortH'Aylmer (lord Aylmer). (G.-B.) — > 

Steady. 

Wignacourt. — Quieret! — Durum patientia 
frapgo. 



— 149 — 

WiLLUM-PowiBTT (baron Bayning), (G.-B.) •— Slare 

super vias antiquas. 
Williams (baronet}. — Virtus in cumbet honorî. 
WiLLiAMSON (baronet). — Venturae and win. 
WiLLOT DE Beauchemin. — Is mihi pro aris et rege 

animus. 
WiLLOUGBBT (lord Middloton). (G.-B.) — Vérité sans 

peur. 
WiLsoN (baronet), *— Pro legibus ac regibus. 
WiNDHAM (comte d*Egremont) (G.-B.) — Au bon 

droit. =WiNDHÀM-QoiN (comte de Duoraven et de 

MountearI)« — Quae sursùm volo videre. 
WiNDsoH (comte de Plymouth). (G.-B.) *- Je me fie 

en Dieu. 
WiNGFiELD (vicomte Powerscourt). (G.-B.) — Fidélité 

est de Dieu. 
WiNNiNGTON (baronet). — Grata sume manu. 
WiTTE. (P.-B.) — Tute vide. 
WoDEHOusE (baron Wodehouse). (G.-B.) — Agincourt. 
WoLFF (baronet). — Dante Deo. 
WoLSTENHOLME (barouct). -^ In ardua virtus. 
WoMBWELL (baronet). — In well beware. 
WooDFORo (baronet). — Libertate quietem. 
WoRSLET-HoLMES (barouct). — Vectis. 
Whay (baronet). — Et juste et vray. 
Wrede. — Virtuti pro patria. 
Wrey (baronet). — Le bon temps /iendra. 
WuRUBRAND. — Ich mciu's. 
Wynn (baron Newborough), (G.-B.) — Suaviter in 

modo, fortiter in re. 



— 450 — 
Wyns. (P.-B.) Gordis dos optima candor. 

Y. 

Yba (baronet). — Esto semper fidelis. 

Yelterton (vicomte Avonmore). (o.-a.) — Reiras* 

centur. 
YoNGE (baronet)* — Fortitudine et prudentia» 
YoRKE (comte deHardwicke). (G.-B.) — Nec cupias, 

nec metuas. 
YouNG (baronet). — Press tbrough. 
YsEBRAND DE Betertoorde. (P.-B.) •— Per mare, 

per terras. 
YsEMBÀRT DE Wreichem. (P.-B.) — Fortitudîno et 

temperantia. 
YsuÀRD. — Les vaut trop mieux. 
YvoT TAN Hangest. (P.-B.) -— Ex cinere reviyo* 



Z. 



Zachareis. (All). — Lieb (Amour). 
Zamoiski. (PoL.) — Utraqne civis, 
ZoTLSN tanNtetelt. (P.-B.) — Qui nihil speratdes- 
peret nihiL 



-<8^K^- 



TABLE 



PES 



PAIRIES D'ANGLETERRE 

Avec Renvoi au nom de Famille. 



Â. 



Abeldram. — Voyez Gordon. 
Abergobn. — Voyez Hamilton. 
Abbbdeen. -* Voyez Gordon. 
Abebgayennt. — Voyez Neville. 
Abotne. — Voyez Gordon. 
Ailesbdry. — Voyez Brudenell- Bruce. 
Ailesfobd. — Voyez Finch. 
AiLSÀ. — Voyez Kennedy. 
AiRLiE. — Voyez Ogilvy. 
Albemarle. — Voyez Reppel. 
Altamout. — Voyez Browne. 
Alyanlet. — Voyez Arden. 
Angleset. — Voyez Paget. 
Angus. — Voyez Hamilton. 
Antrim. — Voyez Macdonnel. 
Arden. — Voyez Perceval. 



— 152 — 

Argyle. — Voyez Campbell. 

Arklow. — Voyez Butler. 

Arràn. — Voyez Gore. 

Arran. — Voyez Hamilton. 

AsHTOWN. — Voyez Trench. 

Avwu^lis. -T^Ycueg, Mplm). 

Atboll. — Voyez Mnrray. 

AuBiGNT. — Voyez Lennox, duc de Lennox et d 

Richemond. 
Auckland. — Voyez Eden. 
AuDLET. -- Voyez Thicknesse-Tucket. 
Atilie. — Voyez Ogilvy. 
Ayonmorb. — Voyez Yelverton. 
Aylmer. — Voyez Whitworth-Aylmer. 



B. 



Balgàrres. — Voyez Lindsay. 
Banden-Bridge. — Voytz Boyle. 
Bangor. — Voyez Ward. 
Bantrt. — Voyez White. 
Barhau. — Voyez Noël. 
Bath. — Voyez Thyone. 
Batning. — Voyez WilHam-Powlett 
Beadghamp. — Voyez Piadar. 
Beaufort. — Voyez Somerset. 
Bedford. — Voyez Russell. 
Belhaten. — Voyez Hamilton, 
Belmore. — Voyez Lowry-Corry. 
Bendlesham. — \oyez Thdussoo. 



— 153 — 

Bhntingk — Voyez Gavendish-Benlinck. 

Bebkshire. ^ Voyez Howard. 

Berwick. — Voyez Noél HHI. 

Besborough. — - Voyez Ponsonby. 

Beyeblet. — Voyez Percy. 

Bbxlet. — Voyez Vansittart. 

Blânttre. — Voyez Stewart. 

B0LIN6BBOKE. — Voyez Saint-John. 

BoLTON. — Voyez Orde-Powlell. 

BoBBOBOUGH. — Voyez Ponsonby. 

Boston. — Voyez Irby. 

BoTNE. — Voyez Hamillon. 

Brandon. — Voyez Hamilton. 

Bbatbbooke. — Voyez Neville. 

Bbeadàlbane. — Voyez Gampbell. 

Bridport. — Voyez Hood. 

Bristol. — Voyez Hervey. 

Broghill. — Voyez Boyle. 

Brooke. — Voyez Greville. 

Brownlow. — Voyez Cust. 

BuccLEDGH. — Voyez Montagu-Douglas -Scott. 

BccHÀN. — Voyez Erskiue. 

BucKiNGHAM ET Ghandos. — Voyez Tcmple-Nagant. 

Burlington. — Voyez Gavcndish. 

Bote. — Voyez Crichlon-Sluart. 



G. 



Gaher. — Voyez Butler. 
Gaithness. — Foj/(?2 Sinclair. 

10 



— 154 — 

Calbdon* — Voyez Alexander. 
Càlthorpe. — Voyez Gough-Calthorpe. 
Cambermere. -- Voyez SUpleton-Gotton. 
Càmden. — Voyez Pratt. 
Garbert. — Voyez Evans-Freke. 
Cardigah. — Voyez Brudenell. 
Garlislv. — Voyez Howard. 
Garlton. — Voyez Boyle. 
Garnaryon. — Voyez Herbert. 
Garrick. — - Voyez Butler. 
Garbington. — Voyez Smith. 
Gartbret. — Voyez Thyone. 
Garwath. — Voyez Daizell. 
Garysfort. — Voyez Proby. 
Gastlemaine. — Voyez Handcock. 
Gastle-Marttr. — Voyez Boyle. 
Gastle-Stewart. — Voyez Stewart. 
Gayan. — Voyez Lambart. 
Gayb. 

Gawdor. — Voyez Gampbell. 
Ghandos. — Voyez Temple. 
Gharleyille. — Voyez Bury. 
Gbarlbmont. — Voyez Gaulfield. 
Gbatham. — Voyez Pitt. 
Ghaworth. -^ Voyez BrabazoQ. 
Ghesterfield. -— Voyez Stanhope. 
Ghighester. — Voyez Pelham. 
Ghdrghill. — Voyez Spencer. 
Glanboye.^ Voyez Blackwood. 
Glangarthy. *- Voyez Le Poer-Trencli. 



J U I> 

-— 100 — 

GiANMORRis. <— Voyez Bingham. 
Clànhicarde. — Voyez De Burgh, 
Glànwillum. — Voyez Meade. 
Glare. — Voyez Fitzgibbon. 
Glarendon. — Voyez Villiers. 
Glarina. — Voyez Massey. 
GuFDEN. — Voyez Agar-EIlis. 
GuFTON. — Voyez Bligh. 
Glinton. — Voyez Trefusis. 
Glonrrock. — Voyez Dillon. 
Glonmel. — Voyez Scott. 
Gltdesdale. -— Voyez Hamilton. 
Gourermere. — Voyez Stapleton. 
GoRK. — Voyez Boyle. 
GouRTOWN. — Voyez Stopford. 
GowLEY. — Voyez Wellesley. 
Gremorne. -— Voyez Dawson. 



D. 



Dalhousie. — Voyez Ramsay. 
Barmouth. — Voyez Legge. 
Barnley. — Voyez Bligh. 
Decies. — Voyez Horsiey-Beresford. 
Delaware. — Voyez West. 
Denrigh. — Voyez Feilding. 
Derrt. — Voyez Smilh-Stanley. 
Desart. — Voyez Guffe. 
Deton. — Voyez Gourtenay. 
DiNORREN. — Voyez Hughes. 



— 156 -^ 

DONEGALL* — Voyez Ghichester. 

BoNBBAiLE. — Voyez Saint-Lëger* 

DoNonGHMORE. — Voyez Hutchinson. 

DoRCHESTBR. — Voyez Garleton. 

Douglas — Voyez Hamilton. 

DowNE. — Voyez Dawnay. 

DowNSHiRE. — Voyez Hill. 

DowNES. — Voyez Burgh. 

Drogheda. — Voyez Moore. 

IhrciE. — Voyez Reynolds-Moreton, 

DuFFERiN. — Voyez Blackwood. 

DuFFOS. — Voyez Dunbar. 

DuNALLET. — Voyez Prittie. 

DcNDONALD. — Voyez Gochrape. 

DuNGARYAN. — Voycz Boylc. 

DcNMORE. — F<n/e« Murray, 

DuNRATEN et MouNTEARL. — Fbt/^« Wyndham-Quin. 

DcNSANT. — Voyez Plunkelt. 

DuRHAM. — Voyez LambtQn. 

DuTTON, — Voyez Hamilton. 

Dtneyob.— - Voyez Rice. 



E. 



Eglington. «— Foye^Montgomery. 
Egmont. — Voyez Perceval. 
Egremomt. — Voyez Windham. 
Eldon. — Voyez Scott. 
Elgin. — VoyezBruce, 
Eubank. — Voyez Murray. 



r *.-' 

■W.: 



VA- 4 



- '57 - \ 

Ellenborougr. — Voyez Law. > 

Ely. — Voyez LoTlus. 

Enniskillen. — Voyez Cole, 

Erne. — Voyei Greighlon. 

Errol. — Voyez Hay-Garr. 

ExBTER. — Voyez Cecil. 

ExMOUTH. — > Voyez Pellew. 



F. 



Falkland. — Voyez Carey. 
Falmouth. — Voyez Boscawen. 
Farnborough. — Voyez Long. 
Farnham . — Voyez Maxwell. 
Feigtimouth. — Voyez Shorc. 
Ferrard. — Voyez Skeffington. 
Ferrers. '— Voyez Shirley. 
Feyersham. — Voyez Duncombe. 
Fife. — Voyez Duff. 
FiNGALL. — Voyez Plankett. 
Fitzgerald et Vesey. — Voyez Vesey. 
Fitzgerald de Ros. ~ Voyez De Ros. 



G. 



Galloway. — Voyez Stewart. 
Galway. — Voyez Monckton-Aruodell. 
Garyagh. — Voyez Ganning. 
GiFFORD. — Voyez Hay. 
Glaomas. — Voyez PolIadioD. 



— 158 -" 

Glasgow. — Voyez Boyle. 
Glengàll. — Voyez Butler. 
Glenlton. — Voyez Murray. 
GoDOLPHiN. — Voyez Osborne. 
GoBMANSTON. — Voyez Preston. 
GoBT. — Voyez Vereker. 
Grafton. — Voyez Fitzroy. 
Granard. — Voyez Forbes. 
Grantlet. — Voyez Norton. 
Grantille. — Voyez Leveson-Gowcr, 
Grayesend» — Voyez Graves. 
Gredington. — Voyez Kenyou. 
GuiLFORD. — Voyez North. 
Guillamore. — Voyez O'Grady. 



H. 



Haddington. — Voyez Hamilton. 
Harborodgh. — Voyez Sherard. 
Harburton. — Voyez Pomeroy. 
Hardwicke. — Voyez Yorke. 
Habewood. — Voyez Lascelles. 
Habbington. — Voyez Stanhope. 
Habbowby. — Voyez Ryder. 
Hartington. — Voyez Gavendish. 
Habtland. — Voyez Mahou. 
Hastings. — Voyez Rawdon-Hastings. 
Hawabden. — Voyez Maude. 
Rawke. — Voyez Harvey- Hawke. 
Headfort. — Voyez Taylour» 



— 159 — 

Hereford. — Voyez Devereux. 
Hertford. — Voyez Seymour-Conway. 
Hettesbort. — Voyez A'Gourt. 
HiNTON. — Voyez Poulett. 
HoLLAND. — Voyez Yassall. 
Home. — Voyez Ramey-Home. 
HuNTiNGDON. — Voyez Hastings. 
HopETOUN. — Voyez Hope. 
HoRSEHEATH. — Voyez Bromley. 
Howard de Walden. — Voyez Ellis. 
HowDBN. — Voyez Garadok. 
HowE. — Voyez Curzon-Howe. 
HowLAND. — Voyez Russell. 
HowTH. — Voyez Saint-Lawrance. 
HuNTiNGFiELD. — Voyez Yanneck. 

I. 

Ikerrin. — Voyez Butler. 
Ilchester. — Fot/ezFox-Strangways. 
Inglismaldt. — Voyez Carnegie. 
Interness. — Voyez Gordon. 

J. 

Jersey. — Voyez Ghild-Yilliers. 

K. 

Kelburise. — Voyez Boyle. 
Kekmcee. — Voyez Gordon. . 



~ 160 — 

Remsimgton . -* Voyez Edwardes. 
Kerrin. — Voyez Butler. 
KiLKENNT. — Voyez Butler. 
KiLMAiNE. — Voyez Browne. 
RiLHORET. — Voyez Needham. 
KiNALMEAKT. — Voyez Boyle. 
RiNGHORN. — Voyez Lyon-Bowçs. 
Kingston. — Voyez King. 
KiNGSDALE. — Voyez De Courcy. 
KiNNOUL. — Voyez Hay-Drummond. 
KiNTORE. — Voyez Keith-Falcouer. 



L. 



Lanark.— Foyei Hamilton. 
Lanesborough. — Voyez Butler. 
Langford. — Voyez Rowley. 
Lansdownb. — Voyez Petty-Fitzmaurice. 
Leeds. — Voyez Osborae. 
Leinster. — Voyez Fitzgerald. 
Leitrim. — Voyez Cléments. 
Leten. — Voyez Leslie. 
LiFFORD. — Voyez Hewitt. 
LiLFORD. — Voyez Powys. 
LiMERicK. — Voyez Pery. 
LiNTRATHEN. — Voycz Ogilvie. 
LisBURNE. — Voyez Yaughan. 
LisLE. — Voyez Lysaght. 
LisMORE. — Voyez O'Gallaghan. 
LiSTOWELL. — Voyez Hare. 



— 161 — 

LiYERPOOL. — Voyez Jenkinson. 
LoNDONDERRT. — Voyez Vane. 
LoNGFORD. — Voyez Padcenham. 
LoRTON. — Voyez King. 
LOTHUN. — Voyez Ker. 
LousDALE. — Voyez Lowtber. 
LoDTH. — Voyez Plunkett. 
Lyndhdrst. — Voyez GopLey. 
Ltkedoch — Voyez Graham. 

M. 

Macclesfield. — Voyez Parker, 

Malmesburt. — Voyez Harris. 

Mancashire. — Voyez Hamilton. 

Manchester. — Voyez Montagu. 

Mansfield. — Voyez Murray. 

Manyers. — Voyez Pierrepont. 

March. — Voyez Wemyss-Charteris- Dougla«« 

Marlborough. — Voyez Spencer. 

Marr. — Voyez Ërskine. 

Martborough. — Voyez Wellesley-Pole. 

Massereene. — Voyez Skeflingtoa. 

Mato. — Voyez Bourke. 

Meath. — Voyez Brabazoo. 

Melbourne. — Voyez Lamb. 

Meldrum. — Voyez Gordon. 

Melfort, — Voyez Drummond. 

Melrose. — Voyez Hamiiton. 

Melville. — Voy(z Saunders-Dundas. 



_ 16Î — 
Meltille. — Voyex Leslie. 
Ubndip. — Voytt Agar-Ellis. 
HEXBOionGH. — Veyes Saville. 
UiDDLETON. — yojfMBrodrict. 
MiDDLETON. — Votm Willoughby. 
MiLLOWN. — Voj/ea- Leeson. 
MiNTO. — Voyez Elliot-Murray-KynyamoQd. 
MoNiGHAM. — Voyez filayney. 
HoKTEAGLE. — Voyei Browne. 
HoNTFOBT. — Voyez Broraley, 
HoNTQOMEBT. — Voytz Herbert. 
HoNTROSE. — Voyez Graham. 
MoBAY. — Toget Stuart, 
MoBJur. — Voyez Parker 
UOBTiMEB. Voyez Harley. 
MoBTON. — Voyez Doublas. 
HoETTN. — Voyez Lloyd. 
MouNTCASHELL. — Voyez Hoore. 
MounT-EuflECUMBE. — Voyiz Edgectunbe. 
Mou^THOBBEs. — Voyez De Montmorency. 
Mo□NT^oBnIS. — Tcyez Annesley. 
MomT-S«iDKOBD. — Voytx Smitori. 
MoLGBiVE.— VoyezThippi. 
HoHCÀSTEB. — Voyez Penningloa, 
MtisKBBKT. — Voyez Deaae. 

N. 

Nbwbobocgh. .— Voyez Wyna. 
Nbwboigb. — Voyez Eyre. 



— 163 — 

Newcastle. — Voyez Fiennes-Pelham-Glintoni 
Norfolk. — Voyez Howard. 
NoRTHAMPTON. — Voyez Agar. 
NoRTHAMPTON. — Vopez ComptOD. 
NoRTHESK. — Voyez Carnegie. 
NoRTHOHBERLAND. — Voyez Percy. 
NoRTHwicK. — Voyez Rushout. 

0. 

OcKHAM. — Voyez King. 
Ormond. — Voyez Butler. 
Orrery. — Voyez Boyie. 
OssoRY. — Voyez Butler. 
OssDLSTON. — Voyez Bennet. 
Oxford, — Voyez Walpole. 
Oxford. — Voyez Harley. 

P. 

Palmerston. — Voyez Temple. 
Panhdre. — Voyez Maule. 
Pembroke. — Voyez Herbert. 
Plymouth. — VotjezWindsoT. 

PORTARLINGTON. — VoyeZ DdWSOD. 

PoRTLAND. — Voyez Gavendish-Bentinck. 
PoRTHORE. — Voyez Colyear. 
PoRTSMouTH. — Voycz Wallop. 
PowERScouRT. — Voyez Wingfield. 
Powys. — Voyez Clive. 



— 16i -^ 

Q. 

QuEBNSBERET. — * Voyez Douglas. 
QuERHOKNT. — Voyez Kerhoént. 

R. 

Radstock. — Voyez Waldegrave. 
Rancuffe. — Voyez Parkyns. 
Ramelagh. — Voyez Jones. 
Ranfurly. — Voyez Knox. 
Rathdown. — Voyez Monck. 
Rayensworth. — Voyez Liddell. 
Reat- — Voyez Mackay. 
Redesdale. — Voyez Freeman-Mitford. 
Rendleshaii. — Voyez Thelusson. 
RiBLESDALE. — Voyez Lister. 
RiCHEMOND. — Voyez Lennox. 
RiPON. — Voyez Robinson. 
RiYERS, — Voyez Pitt-Rivers. 
RiYERSDALE. — Voyez Tonson. 
RoDEN. — Fbye^ Jocelyn. 
RoKEBY. — Voyez Montaga. 
RoMNET. — Voyez Marsbam. 
RosEBERRY. — Voyez Primrose. 
RosEHiLL. — Voyez Carnegie. 
RoscHiLT. — Voyez Carnegie. 
RoscoMMON. — Voyez Dillon. 
Ross. — Voyez Boyle. 
Rosse. -^ Voyez Parsous. 



— 165 — 

RossLTN. — Voyez Saint-Clair-Erskinc. 
RossMOND. — Voyez Wistusra. 
RoTHEs. — Voyez Leslie. 
RoTHESAY. — Voyez Stuart-Rothesay. 
RoTHESAT. — Voyez Stuart. 
RoxBDRGH. — Voyez Innes-Ker. 
RuTLAND. — Foye^Manners-Sutton. 



S. 



Sage. — Voyez Eardley-Twisleton-Fiennes. 
Saint-Germain. — Voyez Elliot. 
Saint-Helens. — Voyez Fitz-Herbert* 
Saint-Vincent. — Voyez Jervis. 
Salisbdrt. — Voyez Gascoigne-Cecil. 
Saltodn. — Voyez Fraser. 
Sandwich. — Voyez Montagu. 
ScARBORODGH. — Foye^T Lumlej-Savil le. 
ScARSDALE. — Voyez Gurzou. 
Seafield. — Voyez Grant-Ogilvîe. 
Seaford. — ' Voyez EUis. 
Sefton. — Voyez Molyneux. 
Selkirk. — Voyez Douglas. 
Sele. -— Voyez Eardley-Twisleton-Fiennes. 
Selsey. — Voyez Peachey. 
Shadbroke. — Voyez Rqu9. 
Shaftesbury. — Voyez Ashley-Cooper. 
Shangford. — y oyez Smithe. 
Shannow. — Voyez Boyle. 
SuBFFiBLD. '^ Voyez Holroyd. 



— 166 — 

SHREwsBERRr. — Voyez Talbot. 
Skelhersdale. — Voyez Bootle-Wilbraham. 
SiDBiODTH. — Voyez Addington. 
Sinclair. — Voyez Saint-Clair. 
Sligo. — Voyez Browne. 
SouMERSET. — Voyez Seymour. 
SoMsiERS. — Voyez Gocks. 
Sondes. — Voyez Watson. 
Stamford. — Voyez Grey. 
Stenton. — Voyez Hamilton. 
Storwell. — Voyez Scott. 
Strathuore. — Voyez Lyon-Bowes. 
SoFFiELD. — Voyez Harbord. 
Sdffolk. — Voyez Howard. 
SoTHERLAND. — Voyez Lcveson. 
Sydney. — Voyez Townshend. 



T. 



Table Y. — Voyez Warren. 
Talbot. — Voyez Cheswynd-Talbot. 
Tankeryille. — Voyez Bennet. 
Templetown. — Voyez Uptou. 
Teynham. — Voyez Roper-Gurzon. 
Thanet. — Voyez Tuflon. 
Thomond. — Voyez 0*Brien. 
Thurles. — Voyez Butler. 
ToRPHicHEN. — Voyez Sandilands* 
ToRRiNGTON. — Voyez Byng. 
Traquhair. — Voyez Stuart. 



— 167 — 

TulLàmore. — Voyez Bury. 
TwEEDDALB. — Vot/ez Hay. 
Ttbgonnel. — Voyez Carpenter. 

V. 

Vaux. — Voyez Broughani. 
Ventry. — Voyez Mullins. 
Verulam. — Voyez Grimston. 

W. 

Wallscourt. — Voyez Blake. 

Walsinghah. — Voyez De Grey. 

Warrington. — Voyez Grey. 

Warwick. — Voyez Greville. 

Waterford. — Voyez De la Poer-Beresford. 

Waterloo. — Voyez Wellesley. 

Waterpark. — Voyez Gavendish. 

Wellesley. — Voyez Colley ou Cowley-Vellesley. 

Wellington. — Voyez Wellesley. 

Westmeath. — Voyez Nugent. 

Westminster. — Voyez Grosvenor. 

Westmoreland. — Voyez Fane. 

Westport. — Voyez Browne. 

Wharncliffe. — Voyez Stuart-Worlley-Mackenzîe. 

WicKLow. — Voyez Howard. 

WiLLouGHBY DE Eresby. — Voyez Drummond. 

Wilton. — Voyez Egerton. 

Winchester. — Voyez Paulett. 



t ■ » ■ 

..•■.-■ . —468 — 

^INCHILSEA. — Voyez Finch-Hatton. 
WiNTEBTON. — Voyez TnmouT, 



Y. 



Yarborougb* — Voyez Anderson-Pelham, 



FIN.