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Full text of "Histoire naturelle"

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PHISTOIRE 
DTA TURELLE 
QUADRUPÉDES. 


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| HISTOIRE "7270 


Par BUFFON, 


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_  DÉDIÉE AU CITOYEN LACEPEDE, 
MEMBRE DE L'INSTITUT NATIONAL,. 


QUADRUPEDES. 
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RICHMOND 
Re É COLLECTION. 
À PARIS Ko unS3Z 


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. À LA LIBRAIRIE STÉRÉOTYPE | 
De P. DIDOT £ "AÎNÉ, GALERIES DU LOUVRE, N° 3, 
h ET Firmin DIDOT, RUE DE THIONVILLE , N° 116. 


&. AN VIL — 17099. 


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HISTOIRE 
NATURE LL 


ADDITION A L'ARTICLE 


DE L'HYENE: 


Ed 


Nous donnons ici la figure d’une hyène 
mâle, qui étoit vivante à la foire Saint- 
Germain en 1773, parce que celle que 
nous avons donnée *. n’est pas correcte, 
par la dificulté qu’eut le dessinateur à la 
faire mettre en situation de la bien voir. 
Cette première hyène étoit très-féroce, 
au lieu que celle dont nous donnons ici 
la figure, ayant été apprivoisée de jeu- 
nesse , étoit fort douce : car, quoique son 

A ; Led L] A A " 
maître l’irritât souvent avec un bâton 


* Tome [TT , planche XTIT, page 27r. 
El 


\n A 1 Ma 5 
6 HISTOIRE 0 TSF 
pour lui faire hérisser sa crinière lors da 
spectacle, l'instant d’après. elle ne parois- | 
soit pas s'en souvenir; elle jouoit avec 
son maître, qui lui mettoit la main dans 
la gueule sans en rien craindre. Aü reste, 
cette hyène étant absolument de la même 
espèce, et toute semblable à celle dont 
nous avons donné la description * 


, nous 
n'avons rien à y ajouter, sinon que cette 
dernière avoit la queue toute blanche 
sans aucun mélange d'autre couleur. Elle 
étoit un peu plus grande que la première ; 
car eile avoit trois pieds deux pouces, 
et gé avec un cordeau, du bout du 
museau à l’origine de la queue. Elle por- 
toit la tête encore plus baissée qu’elle ne 
paroît l’être dans’ ie dessin. Sa hauteur 
étoit de deux pieds trois pouces. Son poil 
étoit blanc, mêlé et rayé de taches noires 
plus ou moins grandes, tant sur le A 
que sur les jambes. 

Jlexiste, dans la partie du sud de l'île de 
Méroé, une hyène beaucoup plus grande 
et plus grosse que celle de Barbarie, et 


* Tome. Ii, planche XII. 


/ 

DE L'AHCYCÉCNCE.: | 7 

_ qui a aussi le corps plus long à propor- 
trows-ct-Je- pacte il one et plus 
ressemblant à celui du chién , en sorte 
qu'elle ouvre la gucule RE ArNE plus 
large. Cet animal est si fort, qu’il enlève 
aisément un homme, et l'emporte à une 
ou deux lieues sans le poser à terre. Il a 
le poil très-rude | plus brun que celui de 
l’autre hyène; les bandes transversales 
sont plus noires; la crinière ne rebrousse 
pas, du côté de la tête, mais du côté de la 
queue. M. le chevalier Bruce a observé 
lepremier que cette hyène, ainsi quecelle 
de Syrie ét de Barbarie, et probablement 
de toutes les autres espèces ; Ont un sin- 
gulier défaut; c’est qu’au moment qu’on 
les force à se mettre en mouvement, elles 
sont boiteuses de la jambe gauche : cela 
dure pendant environ une centaine de 
pas, et d’une manière si marquée, qu'il: 
semble. que l'animal arlle Si PAR du. 
côté gauche, comme un chien auquel +1 
on: blessé la: jambe gauche de. der- 


| 


rière * 


- 


* Note commun: iquée par M. je chevalier Brace 
à M. de Bu“or. | 


LM SX Liba AU Lt 6,7% Lan ‘d x LE MAIS NI) 
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8 HISTOIRE NATURELLE 


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4 


ADDITION A L'ARTICLE . 


DU CHAT... 


J 


J'ar dit à l'article du chat *, que ces 
animaux dormoient moins qu’ils ne font 
semblant de dormir. Quelques personnes 
ont pensé, d’après ce passage, que J'étois 
dans l’opinion que les chats ne dormoient. 
point du tout. Cependant je savois très- 
bien qu’ils dorment; mais j'ignorois que 
leur sommeil fât quelquefois très-profond: 
à cette occasion J'ai recu de M. Pasumot, 
de l’académie de Dijon, qui est fort ins- 
truit dans les différentes parties de l’his- 
toire naturelle, une lettre dont voici l’ex- 
trait : 

« Permettez-moi, Monsieur, de remar- 
« quer que Je crois que vous ayez dit, au 


* Tome T, page 340. 


# Ÿ DU CH À ERA 1) (y ( 9) 


« sujet du chat, qu'iline dormoit point. 


« Je puis vous assurer qu’il dert. A la vé- 
« rité, il dort rarement; mais son sommeil 
« est si fort, que c’est une espèce de 
« léthargie. Je l’ai observé dix fois au 
« moins sur différens chats. J'étois assez 


« jeune quand J'en fis l’observation pour 


« la première fois. De coutume je couchois 
« avec moi, dans mon lit, un chat que 
« je placois toujours à mes pieds; dans 
«une nuit, que Je ne dormois pas, je 
« repoussai le chat, qui me génoit : je 
« fus étonné de le trouver d’un poids si 
« lourd, et en même temps si immobile, 
« que Je le crus mort; Je le tirai bien vîte 
« avec la main, et je fus encore tout aussi 
« étonné en le tirant de ne lui sentir 


« aucun mouvement; Je le remuai bien 


« fort, et à force de l’agiter il se réveilla, 
«< mais ce fut avec peine et lentement. J'ai 
« observé le même sommeil par la suite 
« et la méme dificulté dans le réveil; 
« presque toujours c’a été dans la nuit : 
« Je l’ai aussi observé durant le jour, mais 
«une seule fois à la vérité, et c’est depuis 


A que J'aieulu ce aus vous pe du défaut 


x  HISTOIREN RE ik 


L64 


« 


« 
« 


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du sommeil dans: cet animal; je nai 
même cherché à l’observer qu’à à cause 
de ce que vous en ävez dit. Je pourrois , 
vous citer encore lé témoignage d’une 
personne qui, Comme moi, à souvent. 
observé le sommeil d’un’ chat, méme 
en plein jour et avec les mêmes circons- 
tances. Cette personne a même reconnu | 
de plus, que quand cet animal dort en 
plein jour , c’est dans le fort de la cha- 
leur, etsur ss SO HA de la proximité des 
orages. » 

M. de LAS j RATE" deChälonsen 


Champagne, qui faisoit coucher souvent 
des chats avec lui, a remarqué : 


« 


££, 


«1°. Que, dans le temps que ces ani- 
maux font une espèce de ronflement, 
lorsqu'ils sont tranquilles ou qu’ils sem- 
blent dormir, ils font quelquefois une 
inspiration un peu longue, et aussitôt 
une forte expiration, et que, dans ce 
moment, ils exhalent par la bouche 
une odeur qui ressémble beaucoup à 
l’odeur du muse on de la fouine. 

« 9°. Quand ils appercoivent quelque 
Étbee quilessurprend, commeun chien 


PMU MM MRIOTEIT 
«où un autre objet qui les frappe inopi- 
«. mément, ils font une sorte de sifflement 
« faux, qui répand encore lamême odeur. 
«< Cette remarque n’est p= particulière’ 
« aux mâles; car J'ai fait la meinic opse, ” 
« vation sur des chattes comme sur des 
« chats de différentes couleurs et de diffé 
« rens âges. > | 

De ces faits, M. de Lestrée sembleroit 
croire que le chat auroit dans la poitrine 
ou l’estomac quelques vésicules remplies. 
d’une odeur parfumée, qui se répand au 
dehors par la bouche; mais l’anatomie 
ne nous démontre rien de semblable. 

_ Nous avons dit * qu'il y avoit à la Chine 
des chats à oreilles pendantes : cette va- 
riété ne se trouve nulle part ailleurs, et 
fait peut-être une espèce différente de celle 
du chat: ‘car les voyageurs, par Jant d’un 
animal xppelé sumxu, qui est tout-à-fait 
domestique à la Chine, disent qu’on ne 
peut mieux le comparer qu’au chat, avec 

lequel il a beaucoup de rapports. Sa cou- 
leur est noire ou jaune , et son poil extrè- 


* Tome I, page 350. 


ï2 HISTOIRE NATURELLE 
mement luisant. Les Chinois mettent à. 
ces animaux des colliers d'argent au cou me 
et les rendent extrémement: familiers : 
comme ilsne sont pas communs, on les 
achète fort cher, taut à cause de leur. 
beauté, que De qu'ils font aux rats la 
plus cruelle guerre. | | 

Il y a aussi à Madagascar des AE 
sauvages rendus domestiques, dont la 
plupart ont la queue tortiliée; on les ap- 
pelle saca : maïs ces chats sauvages sont 
de la même espèce que les chats domes- 
tiques de ce pays, car ils s ‘Matte et 
produisent ensemble... 

Une autre variété que nous avons ob=. 
servée, c’est que, dans notre climat, il. 
naît quelquefois des chats avec des pin= 
ceaux à l'extrémité des oreilles. M. de 
Sève, que j'ai déja plusieurs fois cité; 
mécrit (16 novembre 1773) qu'il est né 
dans sa maison à Paris une petité chatte 
de la race que nous ayons appelée cas 
d’Espagne, avec des pinceaux au bout 
des oreilles, quoique le père et la mère 
eussent les oreilles comme tous les autres 
chats, c’est-à-dire sans pinceaux ; et quel- 


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LE CHAT SAUVAGE, 


DE LA NOUV * ESPAGNE. 


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28 UTCH AMONT C1 13 


-ques mois après, les pinceaux de ‘cette 
jeune chatte étoient aussi grands, à pro-. 


portion de sa taille , que ceux du lynx de 
Canada. 

On m'a envoyé récemment de Casenuts 
la peau d’un animal, qui ressemble beau- 
coup à celle de notre chat sauvage. On 
appelle cet animal Laïra dans la Guiane, 


où l’on en mange la chair qui est blanche 


et de bon goût ; cela seul suffit pour faire 
p'ésumer que le haïra, quoique fort res- 


semblant au chat, est néanmoins d’une 


espèce différente : mais il se peut que le 
nom Aaïra soit mal appliqué. ici; car je 
présume que ce nom est le même que saï- 
ra, et il n'appartient pâs à un chat, mais 
à une petite fouine dont nous avons parlé, 


CHAT SAUVAGE DE LA NOUVELLE 
ESPAGNE. 


ON m'a envoyé d'Espagne un dessin 
colorié, avec la notice suivante, d’un 
chat 4 ou chat des bois, dont ; Je done 
ici la figure. 


« Chat tigre ; chat des bois. ou chat 
à 


4 


4 HISTOIRE NATURELLE. 


: ( ù 14. de 
«sauvage de la nouvelle Espagne : sa hau- 
5 5 


«teur est de près de trois pieds; sa lon- 
« gueur , depuis le bout du nez jusqu'à la 
« naissance de la queue, de plus de quatre 


«pieds; il a les yeux petits et la queue 


« assez courte; le poil d’un gris cendré 


« bleuâtre, moucheté de noirâtre; ce poil 


« est assez rude pour qu’on en puisse faire 
« des pinceaux à pointe fixe et ferme. » 
Ce chat tigre ou chat des bois de la nou- 
velle Espagne me paroît être le même 
que le serval dont j'ai donné la figure * 


.. * Tome VI, planche XIX , page 139. 


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ADDITION A L'ARTICLE 
DOUTLYNS 


ET A CELUI DU CARACAL* 


Nous donnons ici la figure d’un lynx 
de Canada qui est au Cabinet du roi, et 
qui a été. bien préparé : il n’a que deux 
Pieds trois pouces de long, depuis le bout 
du nez jusqu’à l'extrémité du corps, qui 
n’est élevée que de douze à treize pouces ; 
le corps est couvert de longs poils gri- 
sâtres, mêlés de poils blancs, moucheté 
__€t rayé de fauve, les taches plus ow 
moins noires ; la tête grisâtre, mêlée de 
poils blancs et de fauve clair, et comme 
. rayée de noir: en quelques endroits; le 
bout du nez est noir ainsi que le bord de 
la mâchoire inférieure ; les poils des 
moustaches sont blancs, longs d'environ 
trois pouces. Les orcilles ont deux pouces 


* Tome IIT, pages 255 et 268. 


VA VON EL TER RO 
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16 HISTOIRE NATURELLE | 


trois lignes de hauteur, et sont garnies de 


: grands poils blancs en dedans, et de poils 


un peu fauves sur les rebords; le dessus 
des oreilles est couvert de poil gris-de- 


souris , et les bords extérieurs sont noirs; 


à l'extrémité des oreilles il y a de grands 
poils noirs, qui se réunissent et forment 
un pinceau très-menu de sept lignes de 
hauteur. La queue, qui est grosse, courte 
et bien fournie de poils, n’a que trois 
pouces neuf lignes de longueur; elle est 
noire depuis l'extrémité Jusqu'à moitié, 
et ensuite d’un blanc roussâtre. Le des- 
sous du ventre, les Jambes de derrière, 
l'intérieur des jambes de devant «et les 
pattes sont d’un blanc sale; les ongles 
sont blancs et ont six lignes de longueur. 
Ce lyux a beaucoup de ressemblance par 
les taches et par la nature de son poil 
avec celui quiest gravé *; maïs il en dif- 
fère par la longueur de la queue et par 


les pinceaux qu'il a sur les oreilles: on 


peut donc regarder cet animal du Cauada 


gomme une variété assez distincte du 


* Tome IIT, planche XIT, 


DO FLY NX) 17 
lynx ou loup-cervier de l’ancien couti- 
nent. On pourroit même dire qu’il s’ap- 
proche un peu de l'espèce du caracal par 
les pinceaux de poils qu’il a sur les oreilles; 
néanmoins il en diffère encore plus que 
du lynx par la longueur de la queue ct 
par les couleurs du poil. D? ailleurs les ca- 
racals ne se trouvent que dans les climats 
les plus chauds, au lieu que les ÿux ou 
 loups-cerviers référent les pays froids. 
Le pinceau de poils au bout des oreilles, 
qui paroît faire un caractère distincuf, 
parce qu'il est fort apparent, n’est cepen- 
dant qu'une chose accidentelle, et qui 
se trouve dans les animaux de cette es- 
pèce, et même dans les chats domestiques 
et sauvages. Nous en avons donné un 
exemple dans l'addition à larticle du 
chat. Ainsi nous persistons à croire que 
le Iynx ou loup-cervier d'Amérique ne 
doit être regardé que comme une variété 
du loup-cervier d'Europe. 
_ Le lynx de Norvége, décrit par Pon- 
toppidan , est blanc ou d’un gris clair 
semé de taches foncées. Ses griffes, ainsi 


que celles des autres lynx, sont comme 
2 


18 HISTOIRE NATURELLE HR 4 
celles des chats ; il voûte son dos et saute ‘1 
comme eux avec beaucoup de vitesse sur 
sa proie. Lorsqu'ilestattaqué parunchien, À 
il se renverse sur le dos etse défend avec 
ses griffes, au point de le rebuter bien 
vite. Cet auteur ajoute qu'il yenaquatre ! 
espèces en Norvége; que les uns appro= 
chent de la figure du loup, les autres de 
celle du renard, d’autres de celle du chat, 

et enfin-.d’autres qui ont la tète formée 
comme celle d’un poulain. Ce dernier 
fait, que je crois faux, me fait douter des 
précédens. L'auteur ajoute des chôses plus 
probables, Ver 

« Le loup-cervier, dit-1l, ne court pas 

« les champs : il se cache dans les bois et 

« dans les cavernes ; 1l fait sa retraite tor- 

« tueuse et profonde, et on l'en fait sortir 

« par le feu et la fumée. Sa vue est per- 

« cante; il voit de très-loin sa proie. Ilne 
« mange souvent d'une brebis ou d’une 

« chèvre que la cervelle, le foie et les in- 

« testins, et il creuse la terre sous les 

« portes pour entrer dans les bergeries. » 

L'espèce en est répandue non seule- 

ment en Europe, mais dans toutes les 


DU LYNX. NET rat 
provinces du nord de l'Asie. On l'appelle 
chulon ou chelason en Tartarie *. Les peaux 
en sont fort estimées ; et quoiqu'elles 
soient assez communes , elles se vendent 
également chères en Norvége, en Russie, 
et Jusqu'à la Chine, où l'on en fait un 
grandusage pour des manchonsetd’autres 
fourrures. k 
_ Un fait qui prouve encore que les pin- 
ceaux au-dessus des oreilles ne font pas 
un caractère fixe par lequel on doive 
séparer les espèces dans ces animaux, 


c'est qu'il existe, dans cette partie u 


royaume d'Alger qu’on appelle Constan- 
tine , une espèce de caracal sans pinceaux 
au né des oreilles, et qui par-là res- 
remble au lynx , mais qui a la queue plus 
longue. Son poil est d’une couleur rous- 
sâtre avec des raies longitudinales , noires 
depuis le cou jusqu'à la queue, et des 
taches séparées sur les flancs, posées dans 
la même direction, une demi-ceinture 
noire au-dessus des jambes de devant, et 


* Histoire générale des voyages, tome Vi, 


page 6o2. 


LE 


pe | HISTOIRE NATURELLE 
“une bande Fa poil rude sur les dust 


jambes , qui s'étend depuis l'extrémité AR : | 


pied jusqu'au-dessus du tarse; et ce poil | 


est retroussé en haut, au lieu de se diriger 
en bas comme le foil de tout le reste du 
Rd 


moôt Sarah signihoit ckataux oreilles 
azoires ; M.le chevalier Bruce in’a assuré 


qu'il signifioit chat du désert. HN a vu dans 
la partie de la Nubie qu’on appeloit autre- 


Lois l'ile de Méroé, un caracal qui a quel- 
que différence avec celui de Barbaric, 
dont nous ayons donné la figure *. Le 
caracal de Nubie a la face plus ronde, les 
oreilles noires en dehors, mais sémées de 
quelques poils argentés. il n’a pas la croix 
de mulet sur le garrot, comme l'ont la 
«plupart des caracals "* Barbarie. Sur la 
poitrine, le ventre ét l’intérieur descuisses, 
il y a de petites taches fauve clair, et 
nou pas brun noirâtre, comme dans 


ï Note communiquée par M. le chevalier Bruce 
à M. de Buffon. > | 


3 Tome III, planche XII. 


L FT EN 


Jar dit, à l’article du caracal, que le 


à LE 


: 14 4 


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RER. li 


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l'art 


LE CARACAL DE BENGA 


AUIIT À, 


æ Fr» 


PO GUN à Do Pi PU 4e OURS 4x. 
le caracal de Barbarie. Ces petites diffé- 
rences.ne sont que de légères variétés, 
 dout on peut encore augmenter le nom- 
bre ; ear il se trouve même en Barbarie, 
ou plutôt dans la Libye, aux environs de 
l’ancienne Capsa, un caracal à oreilles 
blanches, tandis que les autres les ont 
noires. Ces caracals à oreilles blanches ont 
aussi des pinceaux , mais courts, minces 
et noirs. Ils ont la queue blanche à l’ex- 
trémité, et ceinte de quatre anneaux noirs, 
et quatre guêtres noires derrière les quatre 
jambes , comme celui de Nubie; ils sont 
aussi beaucoup plus petits que les autres 
caracals, n'étant guère que de la grosseur 
d’un grand chat domestique ; les oreilles, 
qui sont fort blanches en dedans et gar- 
nies d’un poil fort touffu, sont d’un roux 
vif en dehors *. Si cette différence dans la 
grandeur étoit constante ,on pourroiït dire 
- qu’il y a deux espèces de caracals qui se 
trouvent également en Barbarie ; l’une 
grande, à oreilles noires et longs pinceaux, 


* Note communiquée par M. le chevalier Bruce 


à M. de Buffon, 


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» HISTOIRE NATURELLE U 


et l’autre beaucoup plus petite, à Greïlés : # 
blanches et à très-petits pinceaux. Ilpa= 
roît aussique ces animaux, qui varient si 
fort par les orcilles, varient également 
par la forme ct la ve gueur de la queue, 
et par la hauteur de jambes ; car M. 
Edwardsnous aenvoyéla figure d’uncara- 
cal de Bengale, que nous donnons ici, dont 
la queue et les jambes sont bien plus 
longues que dans le caracal ordinaire. 
Nous donnons ici la figure d’un lynx 
du Mississipi, dont les oreilles sont encore 
plus dépourvues de pinceaux que celles 
du lynx du Canada que nous avons fait 
graver dans ce volume, et dont la queue 
moins grosse et moins touffue, et le poil 
d’une couleur plus claire, semblent le. 
rapprocher davantage du lyux ou loup- 
cerviér d'Europe; mais Je suis persuadé 
que ces trois animaux, dont l’un est de 
l'Europe , et les deux autres de l’Amé- 
rique septentrionale, ne forment néan- 
moins qu'une seule Fe même espèce. On 
avoit envoyé celui - ci à feu M. l’abbé Au- 
bry, curé de Saint-Louis, sous le nom de 


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zLE PETIT CHACAL OU CHACAL ADIVY, 


2. LYNX DU MISSISSIPI . 


{ FOauquet S. 


nest: DONTC TENT 23 
chat-tigre du Mississipi ; mais il ne faut 
que le comparer avec le iynx dont nous 
avons donné la figure, tome Il, pl. XIE, 
et avec celui de ce volume , pour recon- 
noître évidemment qu'il ne fait qu’une 
variété dans l’espèce du lynx, quoiqu'il 
n'ait point de pinceaux et que la queue 
soit fort petite. 

Il a, du nez à l’origine de la queue, deux 
pieds cinq pouces de longueur; la queue 
est fort courte, n’ayant que trois pouces 
trois lignes, au lieu que celle du lynx 
d'Europe, tome Ill, planche XIF, a six 
pouces six lignes. Celle du lynx du Ca- 
nada est beaucoup plus grosse et plus 
fournie ; maïs elle est tout aussi courte 
que celle du lyrx du Mississipi, dont la 
robe est aussi de couleur plus uniforme 
et moins variée de taches que dans le lynx 
de l’Europe et dans celui du Canada : mais 
ces légères différences n’empéchent pas 
qu'on ne doive regarder ces trois animaux 
comme de simples variétés d’une seule et 
méme espèce. \ 


* ADDITION AUX ARTICLES | 
DU JAGUAR, DU COUGUAR, 


£r À L'ARTICLE DU MARGAY. 


| JAGUAR, où LÉOPARD. 


Nous donnons ici la Es d’un animal 


de l'espèce des léopar ds ou des jaguars. Le 


dessin nous: en a été envoyé par feu M. 
Collinson F ais saus nom et sans aucune 
autre notice; et comme nous ignorons 
s’il appartient à l’ancien ou au nouveau 
continent, et qu’en même temps il diffère 


de l’once et du léopard par la forme des. 
taches , et plus encore du Jaguar et de. 
l'ocelot, nous ne pouvons décider auquel 


de ces animawx on doit le rapporter; 
seulement il nous paroît qu'il a un peu 


plus de rapport avec le he à qu’ avec le 


Jéopard. 


7 


J Dauqut: We 
Li # ON, 


lee 


j "I 
HISTOIRE NATURELLE, 25 
JAGUAR DE LA NOUVELLE ESPAGNE. 


Daxs le mois de juin dernier , il a été 
donné à M. Lebrun, inspecteur général 
du domaine, un jaguar femelle, envoyé 
de la nouvelle Espagne, qui étoit fort 

jeune , puisqu'il n’avoit pas toutes ses 
dents, et qui a grossi depuis qu'il est à 
Chaillot, où M. de Sève l’a dessiné au 
commencement d'octobre. Nous estimons 
qu'il pouvoit avoir neuf à dig mois d'âge. 
Sa longueur, du museau jusqu'à l'anus, 
étoit d’un pied onze pouces , sur treize à 
quatorze pouces. de hauteur au:train de 
derrière. Le Jaguar qui est gravé dans lé 
tome IT, page 252, pl. XI, avoit deux 
pieds cinq pouces quatre lignes de, lon- 
gueur, sur un pied quatre pouces neuf 
lignes de hauteur au train de derrière ; 
mais il avoit deux ans. Au reste, ily a 
une grande conformité entre ces deux 
animaux , quoique de pays différens. Il y 
a quelques différences dans la forme des 
taches, qui ne paroissent être que des 
variétés individuelles. L’iris est d’un brun 
tirant sur le verdâtre; le bord des yeux 


Ed 


9 


4 


26 HISTOIRE NATURELLE 

est noir, avec une bande blanche aidé À 
sus comme au-dessous ; la couleur du poil 4 
de la tête est d’un fauve meélé de gris. Cette | 
même teinte fait le fond des taches du | 
corps , qui sont bordées ou mouchetées dé } 
bandes noires. Ces taches et ces bandes 
sont sur un fond d’un blanc sale rous- 
sâtre, et tirant plus ou moins sur le gris: 
Les uréñtés sont noires, etontunegrande 
tache très-blanche sur ts par tie externe ; 


la queue est fort grande et bien fournic 
de Li | 


JAGUAR DE LA GUIANE. 


M. Sonini de Manoncourt a fait quelques 
bonnes observations sur les jaguars de la 
Guiane, que Je crois devoir publier. |, 

« Le Jaguar, dit-1l, n’a pas le poil crépé 

« lorsqu'il est jeune, comme le dit M. de 
« Buffon *. J'ai vu de très-jeunes jaguars 
«qui avoient le poil aussi lisse que les 
« grands. Cette observation m'a été con-. 
« firmée par des chasseurs instruits. Quant 


* Tome IIT, page 246. 


RDA EU DUACRT TU Ge 
« à la taille des jaguars, j'ose encore assu- 
«rer qu'elle est bien au-dessus de celle 
« que leur donne M. de Buffon, lorsqu'il 
« dit, page 248, qu'il est à peine dela taille 
« d’un dogue ordinaire ou de moyenne 
«race, quand il a pris son accroissement 
«entier. J'ai eu deux peaux de jaguars 
« que l’on m'a assuré appartenir à des 
« sujets de deux ou tbis ans, dont l’une 
« avoit près de cinq pieds de long , depuis 
«ie bout du museau jusqu’à l’origine de 
« la queue, laquelle a deux pieds de lar- 
« seur. Il y en a de bien plus grands. Jai 
« vu moi-même, dans les foréèts de la 
« Guiane, des traces dé ces animazx, qui 
« faisoient juger, ainsi que l’a dit M. dela 
« Condamine, que les tigres ou les ani- 
«maux que l’on appelle ainsi en Amé- 
« rique , ne différoient pas en grandeur de 
« ceux d'Afrique. Je pense même qu’à 
« l'exception du vrai tigre (le tigreroyal)}, 
« celui de l'Amérique est le plus grand des 
« animaux auxquels on a donné cette dé- 
« nomination , puisque , selon M. de Buf- 
«fon, la panthère, qui est le plus grand 
« de ces animaux, n’a que cinq ou six 


55 HISTOIRE NATURELLE 
pieds de longueur lorsqu'elle a pris son | 
accroissement entier, ét que bien cer- 


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tainement 1l existe en Amérique des 
quadrupèdes de ce genre qui passent 
de beaucoup cette dimension. La cou- 


4 
” 


RE 


icur de la peau du jaguar varie suivant 


l'âge : les jeunes l’ont d’un fauve très- 


foncé, presque roux etmême brun; cette 
M s'éclaircit à mesure que - Pani- 
mal vieillit. 


« Le Jaguar n’est pas aussi indolent ni 


aussi timide que quelques voyageurs, 
et d’après eux M. de Buffon, l'ont écrit; 
il se jette sur tous les chiens qu'il ren- 
contre, loin d’en avoir peur; il fait 
Dont de dégât dans les troupeaux : 
ceux qui habitent dans les déserts de la 
Guiane, sont même dangereux pour les 
hommes. Dans un voyage que j'ai fait 
dans ces grandes forêts, nous fümes 


tourmentés pendant deux nuits de suite 


par un jaguar, malgré un très-grand 
feu que l’on avoit eu soin d’allumer et 
d'entretenir. Il rôdoit continuellement 
autour de nous : il nous fut impossible 
de le tirer ; car dès qu'il se voyoit cour 


DIU, d'AG U"A FR; 29 
« ché en joue, 1l se glissoit d’une manière 
si prompte, qu'il disparoissoit pour le 
« moment : il revenoit ensuite d’un autre 
« côté , et. nous tenoit ainsi continuelle- 
« ms en alerte. Malgré notre vigilance, 
« nous ne pimes jamais venir à bout de 
« le tirer. Il continua son manége durant 
« deux nuits entières : la troisième, il re- 
« vint; mais, lassé apparemment de ne 
« pouvoir venir à bout de son projet, et 
« voyant d’ailleurs que nous avions aug- 
« menté le feu, duquel il craignoit d'ap- 
« procher de trop près, il nous laissa en 
« burlant d’une. manière effroyable. Son 
« Cri, ou , Lou, a quelque chose de plain- 
« tif, et ï est grave et fort comme celui 
« du Du 


À 


« Quant au goût de préférence que l'on 
« suppose au Jaguar pour les naturels du 
« pays plutôt que pour les nègres et les 
« blancs , Je présume fort que c’est un 
conte. À Cayenne, j'ai trouvé cette opi- 
« nion établie : mais j'ai voyagé avec les 
«sauvages dans des endroits où les tigres 
« d’une grandeur démesurée étoient coim- 
« NuuSs ; Jamais Je n’ai remarqué qu'ils 

| 5 


< 


A 


% LA Ho MARIE le EP TE dc 1 
PEU Re 
; A0 HISTOIRE NA TURELLE. * 


« aient une peur His grande dépes Fa 
«maux. Ils suspendoient , comme nous , 
« leurs hamacs à des arbres, s’éloignoient 
« à une certaine distance de nous , et ne 
« prenoient pas la même pre lies que 
« nous d'allumer un grand feu ; ils se con- 
 « tentoient d’en-faire un très-petit, qui 
le plus souv ent s ‘étcignoit dans le cours | 
« de la nuit. Ces sauvages étoient cepen- 
dant habitans de l'intérieur des terres, 
« ct cOnnoissoient par conséquent le dan- 
« ger qu'il y avoit pour eux. J’assure qu’ils 
ne prenoient aucune précaution , et . 
« qu'ils paroissoient fort peu émus, quoi- 
« qu'entourés de ces animaux.» 


An 


À - 


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La) 


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= 


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#" 


Je ne puis m'empêcher de remarquer 
ici que ce dernier fait prouve, comme Je 
l'ai dit, que ces animaux ne sont pas fort 
dangereux, du moins pour les hommes. 

«La chair des jJaguars n’est pas bonne 
« à manger. Is font la guerre avec le plus 
« grand sraUREC à toutes les espèces de: 
« quadrupèdes du nouveau continent ; 
« qui tous les fuient et les redoutent. Lib: 
« jaguars n'ont point de plus cruel ennc- 
& ini que le fourmilier ou tamanoir, ŒuUOL« 


LE COUGAR DE PANSILVANIE, 


= 
j 


1 Paquet : » 


FEMELLE. 


J Luguet D. 


ADOU JF ASG U'AR.S/! 3x 
« qu'il n'ait point de dents pour se dé- 
« fendre. Dès qu'il est attaqué par un Ja- 
«guar, il se couche sur le dos, ‘le saisit 
«avec ses griffes, qu’il a d’une Ce 
« prodigieuse , l’étouffe et le déchire. » 


| MB COUGE AR. 


Novs avons donné, tome Il, pl. XT:,la 
figure du couguar mâic, etnous donnons 
ici celie du couguar femelle, que nous 
avons eu occasion de faire dessiner ces 
années dernières. 


COUG SUAR E PENSIL VANIE, 


LE PES ainsi que le couguar ha- 
bitent dans les contrées les plus chaudes 
de l'Amérique méridionale ; mais 1l y à 
une autre espèce de couguar dont nous 
donnons ici la figure, qui se trouve dans 
les parties tempérées de l'Amérique sep- 
tentrionale, sur-tout dans les montagnes 
äe la Caroline, de la Georgie, de la Pen- 
siivauie et des provinces adjacentes. Le 


LA L4 


dessin de cecouguar m'a été envoyé d'An- 


32 HISTOIRE N A TURELLE 


gleterre par feu M. Collinson , avecla des- | 
cription ci-Jointe. Si elle est exacte, Ce 
couguar ne laisse pas de différer beau- 
coup du couguar ordinaire, auquel: on 
peut le comparer. Voici ee que m'en a 
écrit alors M. Coilinson : 

« Lecouguar de Pensilvanie dre tente 
«Coup, par sa taille et par ses dimen- 
« sions, du couguar de Cayenne. Il est plus 
:« bas de jambes, beaucoup plus long de 
« Corps , la queue aussi de trois ou quatre 
« pouces plus longue. Au reste, ils se 
« ressemblent parfaitement par la couleur 
« du poil, par la forme de la tête et par 
« celle des oreilles. Le couguar de Pensil- 
« vanie, ajoute M. Collinson , est un ami- 
« mal remarquable par son corps mince 
« et très-alongé , ses jambes courtes et sa 
« longue queue. Voici ses dimensions. » 


pieds. pouc. lign. 


Longueur du corps, depuis le mu- 


se jusqu'à Panus. in Mr 
Longueur de la queue.:.x5 64e 6 ” 
Longueur des jambes de devant... # » ,, > 
Longueur des jambes de derrière, £ 3 


LE COUGAR NOIR: 


J Fauguet de 


DUT 1 ’ 


DU COUEUAR re 

pieds, phone lan 
Hauteur du corps à l’avant...... 7 HAE À 
Hauteur du corps à Parrière.,... ZT 10.» 


Circonférence du corps à endroit | 
. * À M 
plus ro, Aus oi s 3 » 


" d 


M. Edwards, dont l’habileté re l’art 
du dessin et Le connoissances en histoire 
natureile méritent les éloges de tous les 


amateurs des sciences, m'a envoyé quel 


ques gravures qu'il n’avoit pas encore 
publiées, et qui sont relatives au dessin 
ci-dessus , envoyé par feu M. Collinson. 


COUGUAR NOIR. 


M. de la Borde, médecin du roi à. 


Cayenne, m'écrit qu’il y a dans ce conti=. 
nent trois animaux de ces espèces voraces, 


dont le premier est le jaguar, et que l’on 
appelle figre ; le second, lecouguar, qu’on. 
nomme tigre rouge, à cause de la couleur 
uniforme de son poil roux; que le jaguar 
est de la grandeur d’un gros dogue, ct 


* Lettre de M. Coliinson à M. de Buffon, 3 
avril 1765. 


+ EC A 


ER 


54 HISTOIRE, NATURELLE AU 


qu’il pèse environ deux cents livres que l 
lecouguar est plus petit, moins dangereux à 
eten moindre nombre que le jaguar dans : 
les terres voisines de Cayenne, et que ces 4 
deux animaux sont environ six ans à . 
pr endre leur accroissement entier. 

Ii ajoute qu’il y a une troisième espèce 
assez commune dans ce même pays, que. 

l'on epple. tigre noir, et c'est celui que 

nous € fait représenter ici sous Île 
nom he couguar noir. 

« La tête, dit M. de la Borde, est assez 
« CPU DIE: à celle des couguaïs ; mais il à 
« le poil noir et long , la queue fou longue 
«aussi, avec d'assez fortes moustaches. 
« Il ne pèse guère que quarante livres. Il 

fait ses +DRS dans des trous d'arbres 

4 eux. | 

Ce couguar noir pourroit bien étre le 
mcme de. que Pison et Maregrave ont 
indiqué sous le nom de jJaguarète ou ja- 


guar à poil noir, et dont aucun autrevoyas 
geur n'a fait meutiou sous ce même nom 
de Jaguarèle : Je trouve sculement, dans 
une note de M. Sorini de Manoncourt, 
que le jaguarète s'appelle à Cayenne, 


DU COUGUAR. 35 


tigre noir; qu'il est d’une espèce différente 
de celle du jaguar, étant d’une plus petite 
taille et ayant ie corps fort efälé. Cet ani- 
mal est très-méchant et très-carnassier ; 
mais il est assez rare dans les terres voi- 
sines de Cayenne.” 

« Les Jaguars et les couguars , continue 
« M. de la Borde, sont fort Météo 
«< daus toutes les terres qui avoisin sent la 
« rivière des Amazones » jusqu’ à celle de 
« Sainte-Marthe ; leur peau estasséz tendre 


« pour que les Indiens leur envoient des w 


« flèches qui pénètrent avant, poussées 
<avec de simples sarbacanes. Au reste, 
«tous ces animaux ne sont pas absolu- 


« ment avides de carnage ; une seule préié. 


« leur suffit. On les rencontre presque tou 
« Jours seuls, et quelquefois deux où 


« trois ensemble quand les femelles sont 
« en chaleur. 


« Lorsqu'ils sont fort affamés, ils at- 


« taquent les vaches et les bœufs en leur 
«sautant sur le dos; ils enfoncent les 
« griffes de la patte gauche sur le cou ; et 
« lorsque le bœuf est courbé, ils Le dé- 
« CSiénr et traînent les lambeaux de la 


- 


36 HISTOIRE NATURELLE. 


LA 


« chair dans le bois, après lui avoir OUVErÉ 
« la poitrine et le ventre pour boire tout. 
« le sang dont ils se contentent pour une ! 
« prennère fois. Ils couvrent ensuite avec 
« des branches les restes de leur proie, et : 


«ne s’en écartent Jamais guère; mais, 


« lorsque la chair commence à se cor- 
«rompre, ils n’en mangent plus. Quel- 


« quefois 1ls se mettent à l'affût sur des 


_ <arbres pour s’élancer sur les animaux 


« qui viennent à passer. Ils suivent aussi 
«les troupes de cochons sauvages et 
« tombent sur les traîneurs ; mais, s'ils se 
« laissent une fois entourer par ces ani- 

« maux, ils né trouvent de salutque dans 


« la fuite. / 


: «Aureste, lesjaguars, ainsi que lescou- 


*«guars, ne sont pas absolument féroces , 


«et n’attaquent pas les hommes, à moins 
« qu'ils ne se sentent blessés : mais ils 
« sont intrépides contre les attaques des 
« chiens , et vont les prendre près des ha- 
« bitations; lorsque plusieurs chiens les 
« poursuivent et ies forcent à fuir par 
« leur nombre, ils grimpent surles arbres. 
« Ces anumaux rôdent souvent le long 


\ 
BU COUGUAR.. 37 

« des bords de la mer, et ils mangent les 
« œufs que les tortues viennent y déposer. 
« Ils mangent aussi des caïmans, des lé-. 
«zards et du poisson, quelquefois les 
« bourgeons et les feuilles tendres des pa- rt 
« létuviers. Ils sont bons nageurs, et tra 
« versent des rivières très-larges pour 
« prendre les caïmans; ils $é couchent 
« ventre à terre au bord de la rivière, et 
« battent l’eau pour faire du bruit, aün 
«d'attirer le caïman, qui ne manque pas . 
« de venir aussitôt, d de lever la tête, sur 
« laquelle le jaguar se jette; il le tue, ctle 
« traîne plus loin pour le manger à lobe 

« Les Indiens prétendent que a. jaguars 
«attirent l’agoutien contrefaisant son cri: 
«mais ils ajoutent qu ‘ils attirent aussi 
«Je caiman par un cri semblable à celui 
« des jeunes chiens, ou en contrefaisant 
« la voix d’un Dire qui tousse; ce qui 
« est plus difficile à croire. 

«Ces animaux carnassiers détruisent 
« beaucoup de chiens de chasse qu'ils sur- 
« prennent à la poursuite du gibier. Les 
« Indiens préteudent qu’on peut préserver 
« les chiens de leur attaque en les frottant 

Quadrupides. XIV, # 


‘38 HISTOIRE NATURELLE 
« avec une certaine herbe dont l'odeur 
« les éloigne. ME | 

« Quand ces animaux sont en chaleur , 
«ils ont uue espèce, de rugissement na 
« frayant , et qu’on entend de fort loin. 
« Ils ne font ordinairement qu’un petit, 
« qu'ils déposent toujours dans de gros 
« troncs: d arbres pourris. On mange à 
« Cayennetla chair de ces animaux, sur- 
« tout celle des jeunes, qui est blanche 
« comme Celle du lapin* 

Le couguar réduit en captivité est pres- 
que aussi doux que Îles autres animaux 
domestiques. 


« J'ai vu, dit l’auteur des Recherches sur 


« les Américains, un couguar vivant, chez 
« Ducos, maître des bêtes étrangères : il 
« avoit la tranquillité d’un chien et beau- 
« coup plus que la corpulence d’un très- 
« grand dogue ; il est haut monté sur ses 
« jambes, ce qui le rend svelte et alerte ; 
«ses dents canines sont coniques et très- 
« grandes. On ne l’avoit ni désarmé ni 


* Extrait des observations de M. de la Borde, 
env y ées à M. de Buffon en 4774 


DU. CO UGU:AR. 39 
-« emmuselé, et on le conduisoit en lesse.…. 
« Il se laissoit flatter de la main, et je vis 
« de petits garcons monter sur son dos 
«et s’y tenir à califourchon. Le nom de 
« {ivre poltron lui a été bien donné. > 


D U MARGA Y. 


Nous devons rapporter à à Toibele du 


margay le chat tigre de Cayenne, dont. 


M. de la Borde parle dans les termes sui- 
vans : hr 


« La peau du chat tigre est, comme 


« celle de l’once , fort tachetée. n est un 
« peu moins cute que le renard; mais il en 
«a toùtes les inclinations, On le trouve 


ES 


« Ii détruit beaucoup de gibier, tel que 
« les agoutis, acouchis, perdrix, faisans 
« et autresoiseaux, qu’il prend dans leurs 
« nids quand ils sont jeunes. Il est fort leste 
« pour grimper sur les arbres, où il se 
« tient caché, Il ne couft pas vîte, et tou- 
« jours en sautant. Son air, sa marche, 
« sa manière de se coucher, ressemblent 
« parfaitement à celles du chat. Jen ai vu 


communément à Cayenne dans les bois. 


\ 


\ 


4 HISTOIRE NATURELLE 


« PP dans les maisons de Cayenne 
« qu’on tenoit enchaïînés; ils se laissoient 
«un peu toucher sur le dos : maïs il leur 
« reste toujours dans la fgure un air fe- 
« roce, On ne leur donnoit pour nourri- 
« ture que du poisson et de la viande 
« cuite ou crue; tout autre aliment leur 
< répugne. Ils produisent en toutes sai- 
sons} soit l'été, soit l'hiver , et font deux 
« petits à la fois dans des creux d’arbres 


A 


À 


« pourris. » 


Il y a un autre chat tigre ou plutôt une 
espèce de chat sauvage à la Caroline, du- 
quel feu M. Collinson m'a envoyé la no- 
tice suivante : 
« Le mâle étoit de la grandeur d’un 
« chat commun; il avoit dix-neuf pouces 
« anglois, du nez à la queue, qui étoit de 
« quatre pouces de long , et avoit huit an- 
« neaux blancs comme le z20c0c0. La cou- 
« leur étoit d’un brun clair, mêlé de poils 
« gris ; mais ce qu’il avoit de plus remar- 
« quable sont les raies noires, assez larges, 
« placées en forme de rayons tout le long 
« de son corps, sur les côtés, depuis la 
« tête Jusqu'à la queue. Le ventre est d’une, 


DU MARG A %Y. a 
« couleur claire avec des taches noires; 
«les jambes sont minces, tachetées de 
« noir. Ses oreilles avoient une large ou- 
« verture; elles étoient couvertes de poils 
« fins. Il avoit deux larges taches noires 
« très-remarquables sous les yeux, de 
« chaque côté du nez; et de la partie la 
« plus basse de cette ich joignant à la 
«lèvre, il part un bouquet « de poils roides 
«et noirs. La femelle est de taille plus 
« mince : elle étoit toute gris roussâtre Ù 
« sans aucune tache sur le dos; seulement 
« une tache noire sur le ventre, qui étoit 
« blanc sale * 


+ Lettre de M. Collinson à M. de Buffon , 23 
décembre 1766 


ES 


ADDITION À L'ARTI ner dE 


DU TIGRE. 


Novs donnons ici la figure d'un jeune 


tigre que nous avons vu vivant à la foire 


Saint-Germain en 1784. 


pieds pouc. lign. 
Il avoit, mesuré en ligne droite, 
du bout du nez à l’origine de la 


PL EDS Nes da Ni 4e 3 5 


Et en suivant la courbure du corps 5 SLT 


_ Celui dont nous avons la dépouille au 


Cabinet du roi, étoit beaucoup plus 


grand, parce qu'il étoit plus âgé. 


pieds pouc. lign. 


Sa peau bourrée a de longueur... 6 6 » 


dé 


Il nous a paru que les bandes transver- 


sales, et qui descendent presque per- 
pendiculairement sur les flancs, étoient 


beaucoup plusnoirs dans l'animal vivant, 


æ 22 2e ñ 
MGAN LS 0 5) 
TI < 
A KI Due 


f. 77/4 ae. 2 S 
RATES SR 1} RIRE gJRRN CUT DER RANCE] 


1, LE TIGRE ROYAL MÂLE 


2, LE BIZAAM. 


J Lauquet. he 


HISTOIRE NATURELLE. 45 
qu'elles ne le sont sur la peau bourrée, 
dont la couleur s’est probablement effa- 
cée, 


Ce grand tigre, qu’on appelle #gre royal, 


est, comme Je l’ai dit, moins répandu, 
et l'espèce en paroïît moins nombreuse 
que celle des léopards et des onces. 

On pourra voir dans l'ouvrage que M. 
le chevalier d’Obsonville va publier sur 


les animaux de l'Inde, plusieurs faits in 


téressans sur les habitudes naturelles de 


à 


ce cruel animal, qui fait la désolation 


des pays qu’il habite. 


ET PE 7) 


DU BIZAAR. 


M. VosmarERr a donné la description 
d’un animal sous le nom de chat bizaam, 
dans une feuille imprimée à Amsterdam 
en 1771, dont voici l'extrait. 


« Sa grandeur est à peu près celle d’un 


« chat domestique.La couleur dominante 
« par tout le corps est le gris cendré clair, 
« rehaussé de taches brunes. Au milieu 
« du dos règne une raie noire jusqu'à 
« la queue , qui est à bandes noires et 
« blanches; mais la pointe en est noire 
< ou d’un brun très-foncé. Les pattes de 
« devant et de derrière sont brunes en de- 
« dans, et grises tachées de brun en de- 


« hors; le ventre et la poitrine sont d’un 


« gris cendré. Aux deux côtés de la tête 
« et sur le nez, se voient des raies brunes; 
« au bout du nez et sous les yeux, il ya 
« des taches blanches. Les oreilles rondes 
« et droites sont couvertes de poils courts 
et gris; le nez noir, et de chaque côté 


À 


4 à de 
P ê # Fe dun)" f REA WA 


[4 


/ 


HISTOIRE NATURELLE. 45 


- «sont plusieurs longs poils bruns et 
« blancs. Les pattes sont armées de petites 
« griffes blanches et des. be qui se re- 
« tirent en dedans. | 

« Ce joli animal étoit d’ün naturel un 
«peu triste, sans cependant être mé- 

« Chant; on le tenoit à la chaîne. 11 man- 
«geoit volontiers de la viande, mais 
« sur-tout des oiseaux vivans. On ne l’a 
« pas entendu miauler; mais quand on 
« le tourmentoit, il grommeloit et souf- 
« floit comme un chat.» 

M. Vosmaër dit aussi qu’il a nourri ce 
chat bizaam pendant trois ans, et qu'il 
n’a Jamais senti qu'il eût la plus légère 
odeur de musc ; ainsi ceux qui l'ont 
appelé chat musqué, l'ont apparemment 
confondu avec la civette ou la genette 
du Cap : néanmoins ces deux animaux 
ne se ressemblent point du tout; car M. 
Vosmaër compare le bizaam au margay: 
« De tous les animaux, dit-il, que M. de 
« Buffon nous a fait connoître, le margay 
« de Cayenne est celui qui a le plus de 
« ressemblance avec le chat bizaam, 
« quoiqu’en Îles comparant exactement, 


LA * à , : ”À CRAN E "5 js WU}, LA À AMEN 


ii y: 3 
46 HISTOIRE NATURELLE. 
« le margay ait le museau bien plus menu . 
< et plus pointu ; il diffère aussi beaucoup 
« par la queue et la figure.des taches: » 

J'observerai à ce sujet que ces pre- 
mières différences ont été bien saisies 
par M. Vosmaër; mais ces animaux dif- 
fèrent encore par la grandeur, le margay 
étant de la taille du chat sauvage, et le 
bizaam de celle du chat domestique, 
c’est-à-dire, une fois plus petit. D'ailleurs 
le margay n’a point de raie noire sur le 
dos; sa queue est beaucoup moins longue 
et moins pointue; et ce qui achève de 
décider la différence réelle de l'espèce du 
margay. et de celle du bizaam, c’est que 
l’un est de l'ancien continent, et l'autre 
du nouveau. 


»= 


PU 
TR 


Tom .14, FRE PL 19. Pag 4 


2, LE PUTOIS RAYE DE L'INDE. 


_2,LA MOUFFETTE DU CHILI. 


ADDITION A L'ARTICLE 


D'Ü PUTOIS.: 


LE PÜTOIS RAYÉ DE L'INDE. 


Cer animal, que M. Sonnerat a apporté 
de l’Inde, et que dans son Voyage il a 
nommé chat sauvage de l'Inde, ne nous 
paroît pas être du genre des chats, imais 
plutôt de celui du putois. Il n’a du chat 
ni la forme de la tête, ni celle du corps, 
ni les oreilles, ni les pieds, qui sont courts 
dans les chats et longs dans cet animal, 
sur-tout ceux de derrière: ses doigts sont 
courbés comme ceux des écureuils; les 
ongles crochus comme ceux des chats, 
et c’est probablement ce dernier caractère 
qui a induit M. Sonnerat à regarder cet 
‘animal comme un chat: cependant son 
corps est alongé comme celui des putois, 
auxquels il ressemble encore par la forme 


43 HISTOIRE NATURELLE + 
des oreilles, qui sont très- -différentes de 
celles des chats. 


+4 Ve 
: + 
li 
N 2 0 RARES 
( 


‘ 


ù 


Cet animal, qui habite la côte de Co- | 


romandel, a quinze pouces de. ones 
du bout du museau à l'anus ; sa grosseur 
approche dé celle de 0e ou Et La tete à 
qui a quatre pouces du nez à l’occiput, 
est d’une couleur brune mélée de fauve; 


l'orbite de l'œil est très-grande et bordée 


de brun; la distance du bout du museau 
à l'angle antérieur de l’œil est de dix 


lignes, et celle de l’angle postérieur à l'o=. 


reille est de quatorze lignes. Le tour des 
yeux, le dessous du nez et les joues sont 


d’un fauve pâle; le bout du nez et les 


naseaux sont noirs, ainsi que les mous- 
taches et les poils au-dessus des yeux. 
L'’oreille est plate, ronde, et de la forme 
de celle du putois; elle est nue, et il y 
a seulement quelques poils blanchâtres 


autour du conduit auditif. Six larges 


bandes noires s'étendent sur le corps dée- 


puis l'oceiput jusqu'au-dessus du crou: 
piou, et ces bandes noires sont séparées 
es unes des autres alternativement par 


cinq longucs bandes blanchâtres et plus: 


B'UTPUT OTS. 49 
étroites. Le dessous de la mâchoire infé- 
rieure est fauve très-pâle, de même que 
la face intérieure des Jambes de devant; 
Ja face extérieure du bras est brune, mé- 
langée de blanc sale; la face externe des 
jambes de derrière est brune, mêlée d’un 
peu de fauve et de blanc gris; les cuisses 
et les jambes de derrière ont la face in- 
terne blanche, et en quelques endroits 
fauve pâle ; tout le dessous du ventre est 
d’un blanc sale ; le plus grand poil d 
dessus le corps a huit lignes. | 
La queue, longue de neuf pouces, 
finit en pointe; elle est couverte de poils 
bruns, mélés de fauve comme le dessus 
de l’occiput. Les pieds sont longs, sur- 
tout ceux de derrière ; car ceux de devant 
ont, y compris l’ongle, seize lignes de 
longueur , et ceux de derrière vingt-une 
lignes. Les cinq doigts de chaque pied 
sont couverts de poils blanchätres et 
bruns : les ongles des pieds de devant ont 
trois lignes; ceux des pieds de derrière, 
quatre lignes. 
Il y a six dents incisives et deux ca+ 


nnes en haut comme en bas. 
/ É 5 ! 


! PE 


ADDITION A L'ARTICLE 


DU CABIAL. 


Nov s n’ayous que peu de chose à ajou- 
ter aux faits historiques, et rien à la des- 


cription très-exacte que nous ayons don- 


née de cet animal d'Amérique, et que 
nous avons représenté, tome. V, planche 


XXVIIT, page 304. M. de la Borde nous a. 


seulement écrit qu'il est fort commun à la 
Guiane, et encore plus dans les terres qui 
avoisinent le fleuve de l’Amazone, où le 
poisson est très-abondant : il dit que ces 


animaux vont toujours par couple, le 
mâle et la femelle, et que les plus grands 


pèsent environ cent livres. Ils fuient les 
endroits habités, ne quittent pas le bord 
des rivières; et s'ils appercoivent quel- 
qu'un, ils se jettent à l’eau, sans plonger 
comme les loutres, mais toujours na- 
geant comme les cochons; quelquefois 
néanmoins ils se laisseut aller au fond 


A 


HISTOIRE NATURELLE. 5 
de l'eau, et y restent même assez long- 
temps. On en prend souvent de Jeunes 
qu’on. élève dans les maisons, où ils s’ac- 
coutument aisément- à manger du pain, 
du mil et des légumes, quoique, dans leur 
état de nature, ils vivent principalement 
de poisson. Ils ne font qu'un petit. Ils ne 
sont nullement dangereux, ne se jetant 
jamais ni sur les hommes uisurles chiens. 
Leur chair est blanche, tendre et de fort 
bon goût. Ce dernier él semble contre- 
dire ce que disent les autres relateurs., 
que la chair du cabiai a plutôt le goût 
d'un mauvais poisson que celui duho 
bonne viande. Cependant il se pourroit 
que la chair du cabiai vivant de pois- 
son eut ce mauvais goût, et que celle 
du cabiai vivant de pain et de grain fut 
en effet très-bonne. 

Aureste, comme nous avons eu à pie 
cet ctbnl vivant, et que nous l'avons 
gardé long-temps , je suis persuadé qu’il 
pourroit vivre dans notre climat; c’est 
par erreur que j'ai dit, tome V, page 304, 
qu'il étoit mort de froid. J'ai été informé 
depuis qu'il supportoit fort bien le froid 


5 HISTOIRE NATURELLE. 


de l'hiver, mais que, comme on l'avoit 


enfermé dite un grenier, il se jeta par la 


fenêtre et tomba dans un bassin où ilse 


noya ; ce qui ne lui seroit pas arrivé s’il 


n'eût pas été blessé dans sa chüte sur es j 


bords du bassin. 


# 


r. 


ADDITION A L'ARTICLE 
DU LIEVRE:; 


De l'ÉcUuREUIL, avec un animal anonyme ; 
un autre unes nous avons donné: la dé- 
nomination de RAT DE MADAGASCAR : 

_enfin un autreque nous appelons TAGUAN, 
OU GRAND ÉCUREUIL VOLANT. 


Î 


HE -A I ÈVRE. 


Tour le monde sait que les lièvres se 
forment un gîte, et qu'ils ne creusent 
pas profondément la terre comme les la- 
pins pour se faire un terrier; cependant 
j'ai été informé par M. Héniteert habile 
naturaliste, qui fait travailler Sc tureties 
ment aux mines des Pyrénées , que, dans 
les montagnes des environs de Baigory, 
les lièvres se creusent souvent des tanières 
entre des rochers, chose , dit-il, a on ne 
remarque nulle TL 


1 Tome ÎT, pages 89 et 112. 
2 Extrait d'une lettre écrite par M. Hettlinger à 


M. de Buffon, datée de Baigory, le 16 juillet 1774. 


5 


Lé 


| 

Ss “HISTOIRE NATURELLE 

On sait aussi que les hèvres ne se 
tiennent pas volontiers dans les endroits 
qu'habitent les lapins; mais il paroît que 
réciproquement les lapins ne multiplient ! 
pas beaucoup dans lés pays où les lièvres 
sont en grand nombre. "Ehribee 0! 

« Dans la Norvége, dit Pontoppidan, 
« les lapins ne se trouvent que dans peu 
« d’endroits , mais les Hièvres sont en fort 
« grand nombre; leur poil brun et gris 
«en été devient blanc en hivers cs 
« prennent et mangent les souris comme Les 
« chats; ils sont plus petits que ceux du 
« Danemarck. » 


Je doute fort que ces lièvres mangent 
des souris, d'autant que ce n’est pas le 
seul fait merveilleux ou faux que l’on 
puisse reprocher à Pontoppidan. 

« À l’île de France, dit M. le vicomte 
« de Querhoent, les lièvres ne sont pas 
« plus grands que les lapins de France; 
« ils ont la chair blanche, et ils ne font 
point de terrier; leur poil.est plus lisse 
«que celui des nôtres, et ils ont une 
« grande tache noire derrière la tête et 
« le cou; ils sont très-répaudus. » 


À 


24 


—" S- > n 
DR Te ER 
SE. Le =, T ae cu S 


LS 


DU LIÈVRE. 55 

M. Adanson dit aussi que Les lèvres du 
Sénégal ne sont pas tout-à-fait comme 
ceux “He France, qu’ils sont un peu moins 
gros, qu'ils tiennent par la couleur du 
lapin et du lièvre, , que ieur chair, est déli- 
cate 4 d’un goût exquis. 


DE L'ÉCUREUIL. 


Les écureuils sont plutôt « des animaux 
originair es des terres du Nord que. des 
contrées tempérées; car ils sont si abon- 
dans en Sibérie, qu’on en vend les peaux 
par milliers. he Sibériens, à. ce que dit. 
M. Gmnelin, les prennent avec des espèces 
de trappes, faites à peu près comme des 
4 en chiffre, dans lesquelles on met pour 
appât un morceau de poisson fumé, et on 
tend ces trappes sur les arbres. 

Nous avons déja parlé des. écureuils 
noirs , qui se trouvent en Amérique. 
M. Aubry, curé de Saint-Louis, a dans 
son cabinet uu écureuil qui lui a été en- 
voyé de la Martinique, qui. est tout noir: 
ses oreilles n’ont presque point de poil, 
ou du moins n’ont qu’un petit poil très- 


56 HISTOIRE NATURELLE 


court ; ce qui le HisAEns des autres écu- 
Sie | 
M. de la Borde, médecin du roi à 
Carçnies dit qu'il n’y a à la Guiane. 
qu'une seule espèce d’écureuil ; qu il se. 


tient dans les bois; que son “poil est 


rougeâtre, ct qu'il n’est pas plus grand 
que le rat d'Europe; qu'il vit de graine 
de z”aripa, d’aouara , de comana, etc.; 
qu'il fait ses petits dans des trous d'arbres, 
au nombre de deux; qu’il mord comme 
le rat, et que cependant il s’apprivoise 
aisément ; que son cri est un petit sifile- 
ment ; qu'on le voit toujoursseul, sautant 
de branche en branche sur les arbres. 

Je ne suis pas bien assuré que cet aui- 
mal de la Guiane dont parle M. de la 
Borde , soit un véritable écureuil , parce 
que ces animaux, en général, ne se trou- 
vent guère dans 14 climats très-chauds, 
tels que celui de la Guiane. Leur espèce 
est au contraire fort nombreuse et très- 
variée dans les contrées tempérées et 
froides de l’un et de l’autre continent. 


« On trouve, dit M. Kalm, plusieurs 


« espèces d’écureuils en Pensilvanie, et 


DE L'ÉCUREUIL 57 
« l'on élève de préférence la petite espèce 
« ( l’écureuil de terre ), parce qu'il est le 
« plus joli, quoiqu'’assez difficile à appri= 
« voiser. Les grands écureuils font beau- 
«coup de dommage dans les plantations 
_« de maïs ; ils montent sur les épis et les 
« coupent en deux pour en manger la 
« moelle. Ils arrivent quelquefois par cen- 
« taines dans un champ, et le détruisent 
« souvent dans une seule nuit. On à mis 
« leur vie à prix pour tächer de les dé- 
« truire. On mange leur chair; mais on 
« fait peu de cas de la peau... pe écureuils 
« gris sont fort communs en Pensilvanie, 
« et dans plusieurs autres parties de l’A- 
« mérique septentrionale. Ils ressemblent 
« à ceux de Suède pour la forme ; mais en 
« été et en hiver ils conservent leur poil 
«gris, et ils sont aussi un peu plus gros. 
« Ces écureuils font leurs nids dans des 
« arbres creux avec de la mousse et de la 
« paille. Ils se nourrissent des fruits des 
« bois ; mais ils préfèrent le maïs. Ils se 
« font des provisions pour l'hiver , et se 
«tiennent dansleur magasin dans le temps 
« des grands froids. Non seulement ces 


58 HISTOIRE NATURELLE M 
« animaux font. beaucoup. de tort aux 
« maïs, mais encore aux chênes , dont ils : 
«coupent la fleur dès. qu alles vient à 
« paroître, en_sorte que ces arbres rap- 4 
« portent très-peu de gland::,..... On 
« préteni qu'ils sont actuellement plus | 
« nombreux qu'autrefois dans les cam- 
« pagnes de la Pensilvanie:, et qu'ils se 
« sont multipliés à mesure qu'on a aüg- 
« menté ies plantations de maïs, "4 ils 
« font leur proie SH 5 à 


ANIMAL ANON YME. 

Nous donuons ici la fig sure « un ani- 
mal nouveau, c’est-à.- due , inconnu à 
tous les naturalistes , dont le dessin a été 
fait par 1 M. le chevalier Bruce, qui m'a 
permis de le faire copier, Cet an Bal, dont 
nous ignorons le nom, et que nous appel- 
lerons l’anonyme en attendant qu’on nous : 
dise son nom , a quelques rapports avec 
le lièvre, et d’autres avec l’écureuil. Voici 
ce que M. Bruce m'en a laissé par écrit. 

« Il existe dans la Libye, au midi du lac x 
«qu'on appeloit autrefois Palus Trita= 


- 


# 


44 


L 
: 
: 


D'UN ANIMAL ANONYME. 59 


« rides, un tr ès-singulier animal, de neuf 
« à dix pouces de long, avec LÉ oreilles 
« presque aussi longues que la moitié du 
«corps , et larges à proportion ; ce qui ne 
«se trouve dans aucun animal quadru- 
« pède, à l’excéption de la chauve-souris 
« oreillar. 11 a le museau presque comme 
« le renard , et cependant il paroît tenir 
« de plus près à Pécureuil. Il vit sur les 
« paliniérs et en mauge le fruit. Il a les 
« ongles courts, qu’il peut encore retirer. 
« C’est un très-joli animal ; sa couleur 
« est d’un blanc mêlé d’un peu de gris et 
« de fauve clair; l’intérieur des oreilles 
«n est nud que daus ie milieu ; elles sont 
« couvertes d’un petit poil brun mélé de 
« fauve , et garnies en dedans de grands 
« poils blanés; le bout du nez noir; la 
« queue fauve, et noire à son extrémité ; 
« elle est assez longue , imais d’une forme 
« différente de celle des écureuils; et tout 
-« le poil, tant üu corps que de L queue , 


7 


« est très- doux au toucher. » 


6o HISTOÎRE NATURELLE | 


DU RAT DE MADAGASCAR. 


gare donnons ici la AR d’un petit . 
animal de Madagascar, qui a été dessiné 
vivant chez Madame la comtesse de Mar- 
san. Îl nous paroît approcher de l’espèce 
de l’écureuil ou de celle du pakniste plus. 
que de celle du rat; car on nous a assuré 
qu'on le trouvoit sur les palmiers. Nous 
n'avons pu obtenir de plus amples indica- 
tions sur cet animal ; on doit seulement 
observer que , comme il n’a point d'ongles 
saillans aux pieds de derrière ni à ceux 
de devant , il paroît faire une espèce par- 
ticulière très-diférente de ‘celle des rats, 
et s'approcher de l’écureuil etdu palmiste. 
Il semble qu’on peut rapporter à cet ani- 
mal le rat de la côte sud-ouest de Mada- 
gascar, dont parlent les voyageurs hol- 
Jandois : car ils disent que ces rats se 
tiennent sur les palmiers, en mangent les. 
fruits ; qu'ils ont le corps long , le museau 
aigu , les piedscourts,etunelongue queue 
tachetée. Ces caractères s'accordent assez 
avec ceux que présente la figure que nous 


À 


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LE TAGUAN 


où GRAND ÉCUREUIL VOLANT. 


/ JTauquet. J' 


Tom. 14 . ZZ. 16°. Pag. 61, 


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LE TAGUAN 
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Où GRAND ECUREUIL VOLANT. 
Æ prolongement de Lx peau etendue À. 


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02] 


DU RAT DE MADAGASCAR. 6 


donnons ici du rat de Madagascar, pour 
qu'on puisse croire qu'il estide cette es- 
pèce. 

Il a vécu plusieurs : années chez Madame 
la comtesse de Marsan. Il avoit les mou- 
vemens très-vifs, mais un petit cri plus 
foible que celui de l’écureuil, et à peu 
près semblable; il mange aussi, comme 
les écureuils, avec ses pattes de devant, 
relevant sa aies , Se dressant et grim- 
pant aussi de mème en écartantles jambes. 
11 mord assez serré, et ne s’apprivoise pas. 
On l’a nourri nie et de fruits. Ilne 
sortoit guère de sa caisse que la nuit, et 
il a très-bien passé les hivers dans une 
chambre où le froid étoit tempéré par un 
peu de feu. po 


DU TAGUAN ou GRAND ÉCUREUIL 
VOLANT. | 


Nous avons dit qu'il existe de plus 
grands polatouches que ceux dont nous 
avons donné la description, et que nous 
avions au Cabinet une peau qui ne peut 
provenir que d’un animal plus Ps que 


62 HISTOIRE N AÉURETER 


le polatouche ordinaire. M. Daubenton à 
fait la description de cette peau. Cette 
peau a en effet cinq pouces et demi de 
long , tandis que la peau du polatouche 
ordinaire n’a guère que quatre pouces de 
longueur; mais cette différence n’est rien 
en comparaison de celle qui se trouve, 
pour la grandeur, entre notre polätouche 
etle taguan des Indes oriéntales, dont la 
dépouille a été envoyée de Mahé à S. À. 5, 
M3'le prince de Condé, qui a eu assez de 
boit pour me le faire voir et en conférer 
avec moi. ( Nous en donnonsicilafigure.) 
Ce grand écureuil volant , conservé dans 
le très-riche cabinet de Chantilly ,'a vingt- 
trois pouces de longueur , depuis le bout 
du nez jusqu’à l'extrémité du corps. Il se 
trouve non seulement à Mahé, mais aux 
îles Philippines , et vraisemblablement 
dans plusieurs autres endroits des Indes 
méridionales. Celui-ci a été pris dans les 
terres voisines de la côte du Malabar : c’est 
un géant en comparaison du polatouche 
de Russie , et méme de celui d'Améri ique ; 
car coréen ceux - Ci ü ‘ont que 
quatre pouces et deini ou cinq pouces 


n. 


\ 


D'UIT TEA GO) MONTE 63 
tout au plus. Néanmoins le taguan res- 
semble , pour la forme, au polatouche, 
dont il a les principaux caractères, tels 
que le prolongement de la peau, qui est 
tout-à-fait conforme ; mais eomme äl en 
diffère excessivement par la grandeur , et 
assez.évidemment par d’autres caractères 
“que Je vais indiquer , on doit.en faire une 
espèce séparée de celle du polatouche, et 
c’est par cette raison que nous l'avons in- 
diqué par le nom de zaguan , qu'il. porte 
aux îles Philippines , selon le: témoignage 
de quelques voyageurs. | 
1e taguan diffère donc du obus dé 
par la grandeur, ayant vingt-trois 
pouces de long ; tandis que le polatouche 
n’en a pas cinq; 2°. par la queue , qui a 
près de vingt-un nes tandis que celle 
du polatouche n’a guère que trois pouces 
et demi : d’ailleurs la queue n’est point 
applatiecomme celle du polatouche, mais 
de forme ronde, assez sembläble à celle 
du chat, et couverte de longs poils brun 
noirâtre, 3°. Il paroît que les yeux et les 
oreilles de ce grand écureuil volant sont 
placés et enfoncés comme ceux du pola- 


64 HISTOIRE NATURELLE 


touche , et que les moustaches noirés sont 


srhsie lee les mêmes; mais la tête de 
ce grand écureuil volant est moins grosse 


à proportion du corps que celle du pola- | 


touche. 4°. La face est toute noire; les 
côtés de la tête et des joues sont mélés de 
poils noirâtres et de poils blancs ; le des- 
sus du nez et le tour des yeux sont cou- 
verts des mêmes poils noirs, roux et 
blancs. Derrière les oreilles sont de grands 


tés du:cou; ce qui nese voit point 


sur le polatouche. Le dessus de la tête : 
et de tout le corps , jusqu’auprès de la 


queue , est jaspé de poils noirs et blancs 
où le noir domine ; car le poil blanc est 


us brun musc ouminime, qui couvrent 


noirâtre à son origine, etne devient blanc 


qu à un tiers de distance-de son: extrémi- 
té. Le dessous du corps'est d’un blanc gris 


terne , et cette couleur S’étend jusque 


sous le ventre. 5°. Le prolongement de la 


peau est couvert au-dessus de poils d'un 


brun musc, et en dessous de poils cen- 
drés et jaunâtres ; les jambés sont d’un 
xoux uoir qui se réunit au-dessus de la 


queue, et rend la partie supérieure de la 


DV ST A GUAN, 65 
queue brune. Cette nuance de brun aug- 
mente imperceptiblement jusqu’au noir, 
qui est la couleur de l’extrémité de la 
queue. Les pieds de ce grand écureuil vo- 
lant ont le même nombre de doigts que 
ceux du polatouche ; mais ces doigts sont 
couverts de poils noirs , tandis que ceux 
du polatouche le sont de poils blancs. Les 
ongles sont courbes et assez minces, et 
leur empatement est large et crochu à 
l'extrémité, comme dans les chats: Ces 
rapports et holsti de la ressemblance de la 
queue ont fait donner à cet animal la dé- 
nomination de chat volant par ceux qui 
l’avoient apporté. Au reste, le plus grand 
ongle des pieds de devantavoit cinq lignes 
et demie de longueur, et le plus grand 
ongle des pieds de derrière, cinq lignes 
seulement , quoiqu'il soit d’une forme 
plus alongée que ceux de devant. 

On peut voir la figure de cet animal 
rare, que M. de Sève a dessiné aussi par- 
faitement que l’état de sa dépouille pou- 
voit le permettre. Nous lui avons donné 
le nom de faguan, en conséquence d’un 
passage que nous avons trouvé dans les 


. 


LA 


66 HISTOIRE NATURELLE 


voyageurs ; et que je dois rapporter ici. 


« Lesîles Philippines sont lé seul endroit 
« où l’on voit une espèce de chat volant, 
«de la grandeur des lièvres ét de la cou- 
« leur dés renards ; auquel les insulaires 


« donnent le nom de faguan. Ils ont des 


« ailes comme les chauve-souris, mais 
« couvertes de poil, dont ils se servent 
« pour sauter d’un arbre sur l’autre, à 
« la distance de trente palmes. » 

Hès avoir rédigé cet article; l'ouvrage 
. de M. Vosmaër, qui contient la descrip- 
tion de fu elpérbs animaux quadrupèdes 
et de quelques oiseaux, in’est tombé entre 


les mains. J'y ai vu avec plaisir là des- 


cription de ce grand écureuil volant, ct 
qtickqués notices au sujet dû polatouche 
ou petit écureuil volant. 

M. Vosmaër dit qu'il a vu deux petits 
polatouches vivans , mais qu’ils n’ont pas 


véeu long-temps à la ménagerie deS. AS. 


ME£r lé prince d'Orange. 

«Ils dormoient, dit-il, presque toute 
«+ la journée. Guard on les poussoit vives 
& ment, ils faisoient bien un ee saut 
« Édité e pour voler : mais ils s’esqui+ 


4 


NL ESS 


Lé 
Le 


DUT A:G UIAUN |: 67 
-« voient d'abordavec frayeur; car ils sont 
«peureux. lis aiment beaucoup la cha- 
« leur; et si on les découvroit, ils se four- 
« roient au plus vîte sous de la laine qu’on. 
« leur donnoit pour se coucher.L eurnour- 
« riture étoit du pain trempé, des fruits. 4 
«etc. qu'ils mangeoient, de la mêt 1e 
« facon que les écureuils, avec leurs pattes 
« de devant, et assis sur leur derrière. 
«A l'approche de la nuit on les voyoit 
« plus en mouvement. La différence. du 
«climat influe certainement beaucoup 
« dans le changement de nature de ces. 
« petits animaux , qui paroissent fort dé- 
« licats. » ne 

Ce que je viens de citer d’après M. Vos- 
maër, est très-conforme' à ce que J'ai vu 
moi-même sur plusieurs de ces petits ani- 
maux. J'en ai encore actuellement un 
( 17 mars 1775) vivant dans une cage, au 
fond de laquelle est une petite: cabane 
faite exprès. Il se tient tout le jour fourré 
daus du coton , et n’en sort guère que le 
soir pour prendre sa nourriture. Il a un 
très-petit cri, comme une souris, qu'ilne 
fait entendre que quand on le force à 


1 


de 


68 HISTOIRE NATURELLE 
sortir de son coton ; il mord même assez 
serré, quoique ses den ts soient très-petites. 
Son poil est de la plus grande finesse au 


-toucher.On a dela peine à lui faireétendre 
. ses membranes ; il faut pour cela le jucher 


haut et l’obliger à tomber, sans quoi il 
ne les développe pas. Ce qu’il ya de plus 
singulier dans cet animal , c’est qu’il pa- 
roît extrêmement frileux, et je ne conçois 
pas comment il peut se garantir du froid 


pendant l'hiver dans les climats septen- 


triôhaux, puisqu’en France, si on ne le 
tenoit pas dans la chambre, et qu’on ne 
lui donnât pas de la laine ou du coton 
pour se coucher et même pour s’envelop- 
per, 1l périroit en peu de temps. 

A l'égard du taguan ou grand écureuil 
volant, voici ce qu’en dit M. Vosmaër : 

« Le polatouche décrit par M. de Buffon 
«a, sans contredit, une grande confor- 
«inmité avec celui-ci; il a les membranes 
« pareilles au polatouche, non pas pour 
«voler, mais pour se soutenir en l'air 
« quand il saute de branche en branche. 

« Le grand écureuil volant que je dé- . 


DU TAGUAN. 69. 

«cris*, ne m'a été envoyé qu'en peau 
« desséchée. M. Allamand a donné une des- 
« cription abrégée de cet mb et d’après 
«un sujet femelle conservé à à Leyde Fr 
« le cabinet de l'académie. | 

« Valentin est le premier qui en ait bats ; 
« il dit qu’il se trouve dans l’île de, Gilolo. 
« Il appelle ces animaux des civettes vo- 
« Jantes ; 1 dit qu'ils ont de fort longues 
« queues, à peu près semblables à celles 
« des guenons. Lorsqu'ils sont en repos, 
« on ne voit point leurs ailes. Ils sont sau- 
« vages et peureux ; ils ont la tête rousse, 
« avec un mélange de gris foncé ; les ailes, 
« ou plutôt les membranes, couvertes de 
« poils en dedans et en dehors. Ils mordent 
« fortement, et sont en état de briser très- 
« facilement une cage de bois dans une. 


* Ce nom me paroïît plus propre que celui de 
ehat volant, sous lequel cet animal nous est autre- 
ment connu. La tête, les dents et les griffes ont 
plus de rapport avec les écureuils que n’en a la 
simple queue velue, qui est particulière au chat, 
L’épithète de vo/ant convient d’ailleurs assez à 
sause du grand saut que fait l’anumal, 


yo HISTOIRE NATURELLE | 
« seule nuit. Quelques uns les appellent 
« des singes volans. Ils se trouvent aussi à - 
« l'ile de Ternate, où l’on prit d'abord cet 
1f «animal pour un écureuil ; mais ilavoit | 
‘« la tête plus effilée et hat es davan- 
« tage à un coescoes , ayant le poil gris de- 

« puis le museau , avec une raie noire le 

« long du dos jusqu’au derrière. La peau 

« étoit adhérente au corps, et s’étendoit; 

« elle est garnie d’un poil plus blane par- 

« dessous, et blanc comme celui du ventre: 
« 10 Squ’il saute d’un arbre à l’autre, il 
« étend sesmmembranes , etilparoît comme 
« s’il étoit applati. 

« Dans l'ouvrage de M. l’abbé Prevost; 
« on trouve un passage relatif à cet ani- 
«mal, qu'il dit, d’après les Lettres édi- 
«  fiantes , Se trouver aux îles Philippines, 
« où on l’appelle saguan. 
« J'ai vu quatre pièces relatives à cet. 

« animal, l’une au cabinet de Leydé, 

« l'autre au cabinet de M. Heéeteren à la 

« Haye, tous deux femelles, de couleur 

« châtain clair sur le corps, plus foncé 
« sur le dos, et le bout de la queue noi- 
« râtre. La différence de sexe seconnoissoit. 


Hit TAC CAN Ft 
« à six petits mamelons placés à distance 
« égale en deux rangs à la l'ROITrIRE etau 
« ventre, Les deux mâles étoient dans 1é 
«cabinet de S. À. S. Mas: le Hess do 


«rangé.» si 


Voici la do ele que M. Vosma C3 
donne de cet animal. 


Dimensions prises à la rmnesure du Rhin. 


pieds pouc, lien; 
“Longueur du corps de l’animal... #5 5 LL. : 
Largeur du corps, les membranes 
étendues, prise auprès des pieds ù 
de devant. ,:...........,..9 0% | A2 # 
Largeur du corps , les membranes 


étendues, prise auprès des pieds 


dederminennl it #0 LEE 1 5: » 
Longueur de la queue jusqu’à l’ex- je 

émnéodn pois Le, + pie 
Les pieds de devant étant écartés, | 

la ligne de distance entre le bout 

des onglets d’un côté à l’autre, 

AOUDE nl daand video s à ad LE » 6. 
Et celle des pieds de derrière... x 3 » 


« La tête est plus pointue que celle d’un 
« écureuil. 


92 HISTOIRE NATURELLE ‘4 

« Les oreilles petites, pointues, couvertes | | 
« en dehors d’un poil brun clair très-court 
Je et très-fin : les yeux sont surmontés de 
*« deux longs poils d’un brun fauve; Îles 
_« paupières paroïissent sans poils. Il y a des 
«deux côtés du museau plusieurs poils 
«en moustaches , longs, noirs et très- 
« roïdes. Le nez est sans poils ; les dents 
« sont, comme celles des écureuils, au 
« nombre de deux en dessus, et deux en 
lessous , d’un jaune ben les inté= 
« ticures sont fort Jongues ; les dents mo-. 
« laires se trouvent aussi au fond du mu: 
« scau. 

« Ses pieds de devantet de derrière, sur- 
« tout ceux-ci, sont comme cachés sous la 
« peau à voler, qui les recouvre presque 
« Jusqu’aux pattes, dont les antérieures 
« sont divisées en quatre doigts tout noirs, 
« les deux du milieu plus longs que les 
<auires, sur-tout le troisième. Celles des. 
« pieds postérieurs sont aussi noires, ct 
«< ont cinq doigts, quatre desquels sont 
« d’ésale longueur; mais le c cinquième, 
« qui est l’intérieur, est beaucoup plus 
« court, €t ne paroît que comime' um 


1 


D'UUT AG VAN: 2H 98 
« simple appendice. Les onglets sont fort 
« grands etaigus;, noirs en devant, blancs 
< en dessous, et larges à leur origine. Les 
« PAST de:ces doigts sont semblas 
« bles. à celles des écurenals. 2516470800 

« La peau à voler, qui, dans notre 
« figure ; se montre “éténdué entre, les 
« pieds de devant et ceux de derrière; est 
« le plus mince au milieu , où elle a,envi- 
« ron quatre pouces de vi de. chaque 
«côté, et.ne passe pas l'épaisseur du fin 
« papier des Indes. Ailleurs elle est cepen- 
«< dant aussi fort mince, d’un tissu clair, 
« et garnie de petits poils châtains. Près 
« des pieds de devant et de derrière, elle 
« devient plus épaisse, ou s’élève en forme 
« de coussinet, plus large aux cuisses, et 
« allant en se rétrécissant vers l'extrémité 
« des pattes. Cette partie est couverte de. 
« poils bruns et noirs, fort serrés; sur les 
« pattes de devant elle paroît lâche, et 
« pend auprès ou par-dessus, comme un 
« lambeau qui est rond et revêtu de poils 
« drus ; les bords extérieurs de cette peau 
« sont courbés d’une lisière épaisse de 
« poils noirs et gris. | 

Quadrupides, KIV, 7 


cn À . 


L 
7 f 


74 HISTOIRE NATURELLE. 


e La partie supérieure de la tête, le dos 


«et l’origine de la queué sont garnis de 


fé poils drus, assez longs, noirs à leur 

« partie inférieure , et‘les:Ssommités ou 

« extrémités, pour la plupart ,‘d’un-blanc 
« grisâtre. Tor DEUE Vo | 

_« Les poils de la queue sontnoirs, plus 

« gris vers le corps, et dispersés de facon 

« que la queue paroît être ronde. 


«Les joues, à côté de la tête, sont 


«d'un gris brun; le gosier, d’un gris 
« blanchâtre clair, ainsi que la poitrine, 
« le ventre et en-dessous, vers:la queue; 
«la peau à voler a aussi en dessous des 
« poils gris, mais fort clair-semés. »  * 


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Tom. z : LL .7 Lay. g. 


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À LL TAA IS 2 
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, 
LE GRAND ECUREUIL 
DE LA CÔTE DE MALABAR. 


JS Oaiguet. 8 | Dre 5 


} 


= 


DU GRAND ECUREUIL 
DE LA COTE DE MALABAR. 


; PT 
Can écureuil, dont M. Sonnerat nous 
a apporté la peau, est bicu différent des 
nôtres par la grandeur et les couleurs du 
corps. Il a la queue aussi longue que Île 
corps, qui a quinze pouces six lignes de- 
puis le bout du museau jusqu'à lorie 
de la queue, dix-sept pouces huit lignes 
suivant la courbure du corps, et les poils 
qui couvrent les oreilles ont une dispo- 
sition différente des autres écureuils. 
_ Sil’ôn compare donc cet écureuil à ceux 
de notre pays, c’est un géant. 
pieds. pouc. lign. 
Sa he. du bout du nez à locci- 


DAS, : 1! ACTA LÉ ETES ASTRA RU 5 3 2 
Du bout du nez à P’angle antérieur 
de Fly Bas. scie DU NT TZ 6 
De l'angle postérieur de l’œil à 
Leraiens  L  L NT » 


La face supérieure de la tête est d’un 


pue A 
7 HISTOIRE NATURELLE. me 


brun marron, et forme une srpade ha 
-quis’étend déptlis le front jusqu’au milieu 
du néz: les autres parties dé la tête sont 
couvertes d’un beau jaune orangé, et sur 
l'extrémité du nez cette couleur n’est que 
jeunâtre , mêlée d’un peu de blanc. 

La couleur orangée règne aussiautour 
des Fun et sur les } rue 


h pieds. pouc, lig. 

Les moustaches sont noires, et les | | 
plus longs poils ont de longueur * » ob 

Il ÿ a aussi près des tempes des LL 
DES MAP RL EST » L: 9 


€ 


Les oreilles sont couvertes d’ un poil 
très-touflu et peu long qui fait la houppe: 
ces poils, qui ont huit lignes de longueur, 
se présentent comme une brosse dont on, 
auroit coupé les extrémités. La couleur " 
de ces poils est d’un marron foncé, ainsi M 
que la bande qui prend de l'oreille sur la f 
joue en arrière, et tout ce quicouvre l’oc- 3 
ciput. Entre les oreilles prend une bande 

| blanche, inégale en largeur, qui sépare les 
couleurs de la téte'et du cou; de l’occiput 
prend une pointe très-noire qui tranche 


* DU GRAND ÉCUREUIIS vi 
sur le cou, les bras, ets’étend aux épaules 
sur le brun mordoré foncé qui couvre tout 
le corps et les flancs , ainsi que les jambes 
de derrière. Ce même noir prend en bande 
au milieu du dos, et s'étend sur Île train 
de derrière, les cuisses et la queue. 

Le dessous de la mâchoire inférieure ; 
du cou, du ventre et des cuisses, est blanc 
jaunâtre , ainsi que les jambes et les pieds 
de devant; mais cette couleur est plus 
orangée sous le ventre et les pieds de der- 
rière. La queue a quinze pouces six lignes 
de longueur, et elle est couverte de longs 
poils très-noirs, a ont deux pes 
trois lignes. | | 

Au reste, cet écureuil ressemble à notre 
écureuil par toutes les formes du corps, 
de la tête et des membres ; la seule diffé-. 
rence remarquable est dans la queue et 
dans le poil qui couvre les oreilles. 


g. 


L'ÉCUREUIL DE MADAGASCAR. 


Ox connoit à Madagascar un gros ÉCu- 
reuil qui ressemble, par la forme de la 
tête et du corps et par d’autres caractères 
extérieurs , à nos écureuils d'Europe, 
mais qui en diffère par la grandeur de la 
taille, par la couleur du poil, et par la 
longueur de sa queue. Il a dix-sept pouces 
de longueur en le mesurant en ligne su- 
perficielle , depuis le bout du museau 
jusqu’à l’origine de la queue, et treize 
. pouces deux lignes en le mesurant en 
ligne droite, tandis que l'écureuil de nos 
bois n’a que huit pouces neuf lignes. De 
même la tête, mesurée du bout du museau 
à l’occiput, a trois pouces quatre lignes; 
au lieu que celle de notre écureuil n'a que 
deux pouces. Ainsi cet écureuil d'Afrique 
est d’une espèce différente de celle des 
écureuils d'Europe et d'Amérique. D’ail- 
leurs son. poil est d'un noir foncé : cette 
couleur commence sur le nez, s'étend ( 


Tom . 14, RE mt, ag. 78. — 


HISTOIRE NATURELLE. 79 
sous les yeux jusqu'aux oreilles, couvre 
le dessus de la tête ou du cou, tout le 


Li 


dessus du corps, ainsi que les faces exter- 


nes des jambes de devant, des cuisses, des 


jambes de derrière et des quatre pieds. Les 


joues, le dessous du cou, la poitrine et 


les faces internes des jambes de devant 


sont d’un blanc jaunâtré; le ventre et la 
face interne des cuisses sont d’un brun 
mêlé d’un peu de jaune; les poils du corps 
ont onze lignes de longueur. La queue, 
qui est toute noire, est remarquable en 
ce qu’elle est menue et plus longue que le 
corps ; Ce qui ne se trouve Re aucune 


autre espèce d’écureuil, Le troncon seul a 


seize pouces neuf lignes, sans compter la 


longueur du poil, qui l’alonge encore de 
deux pouces ; il forme sur les côtés de la 
queue un pauache, qui la fait paroître 
plate dans son milieu. 


ADDITION À L'ARTICLE . 


DU PALMISTE. 


| 4 


Novs avons dit * que cet animal pas- 


soit sa vie sur les palmiers, et qu’il se 
trouvoit principalement en Barbarie; on 


nous à aussi assuré qu'on le trouve très- 
communément au Sénégal dans le pays 


des Nègres Jalofes , et dans les terres voi- 
sines du cap Verd. Il fréquente les lieux 
‘découverts et voisins des habitations, ct 
il se tient encore plus souvent dans Îles 
buissons à terre, que sur les palmiers. 
Ce sont de petits animaux très-vifs; on 
les voit pendant le jour traverser les che- 
mins pour aller d’un buisson à l’autre, 
et ils demeurent à terre aussi souvent an 
moins que sur les arbres. | 


* Tome IV, page 709. \ 


AY, 


2 242 


%, A \ 
10, 7 
ui W, 


d 


LE PETIT-GRIS DE SIBÉRIE. 


Nous donnons ici la figure d’un petit- 
gris de Sibérie, que M. l’abbé Aubry, curé 
de Saint-Louis, conservoit dans son ca- 
binet, et qui diffère assez du petit-gris des 
autres contrées septentrionales , repré- 
senté planche IX, tome IV, pour que nous 
puissions présumer qu'ils forment deux 
espèces distinctes. Celui-ci a de longs 
poils aux oreilles , la robe d’un gris clair, 
et la queue blanche et assez courte; au 
lieu que le petit-gris de notre planche IX , 
tome IV, a les oreilles nues, le dessus du 
corps et les flancs d’un gris cendré, et la 
queue de cette même couleur; il'est aussi 
un peu plus grand et plus épais de corps à 
et il a la queue considérablement plus 
longue que le petit-gris de Sibérie, dont 
voici les dimensions et la description. 


pieds, pouc. lig, 
Longueur du corps entier, mesuré 


en ligne droite..,,,,.....,.. » 9,49 


Ra 


82 HISTOIRE NATURAELE 
” pieds. pouc, lig. 
Longueur de la tête depuis le bout: 


du museau jusqu’à l’occiput. . » 2 
Longueur des oreilles. ......... » sam 
Longueur du tronçon dela queue. » 5 1r. 
Longueur des plus. grands. ongles NE A 2 

des pieds de devant... .... rs: à NUE 
Longueur des plus g grands ongles Lire 

des pieds de ARE an ce dt 7 + 3. 


Le poil de ce joli petit animal a neuf 
lignes de longueur : il est d’un gris ar- 
genté à la superficie, et d’un gris foncé 
à la racine ; ce;qui donne à cette fourrure 
un coup-d’ il gris-de-perle jaspé : cette 
‘couleur s'étend sur le dessus du corps, 
la tête, les flancs, les jambes et le com- 
mencement de la queue. Tout le dessus. 
du corps, à commencer dela mâchoire 
iuférieure, est d’un beau blanc; le dessus 
du museau est gris : mais le front, le 
sommet de la tête et les côtés des joues 
jusqu'aux oreilles , sont mélés d’une lé- 
gère teinte de roux, qui devient plus 
schsiiis au-dessus Le yeux et de la mâ- 
choire inférieure. Le dedans des oreilles 
est garni d’un poil plus gris que celui du 


DU PETIT-GRIS DE SIBÉRIE. 93 


corps; le tour et le dessus des oreilles por- 
tent de grands poils roux, qui forment 
une espèce de bouquet d’un pouce quatre 
ou ‘cinq lignes de longueur. La face 
externe de la moitié des jambés de de- 
 vant est d’un fauve mêlé de gris cendré ; 
la face interne est d’un blanc mêlé d'un 
peu de. fauve; les jambes de derrière, 
depuis le jarret et les quatre pieds, sont 
d’un brun mélangé de roux ; les pieds de 
devant ont quatre doigts, ue ceux de der- 
rière en ont cinq. Les poils de la queue 
ont vingt et une lignes de longueur; ceux 
_ qui la terminent à l'extrémité, ont jusqu à 
deux pouces : cette queue biche: avec 
de si longs poils, paroît très-différ enté’de 
celle de l’autre petit-gris. LÉ nes 


# 


LES GUERLINGUETS. 


Ÿ 
2,7 


JL y.a deux espèces ou variétés constan- 
tes de ces petits animaux à la Guiane, 
où on. Jeur donne ce nom. La première, 
dont nous donnons ici la figure ,.sous le 
mom de grand guerlinguet, est de plus du 
double plus grande que la seconde. que 
nous appelons petit guerlinguet. Toutes 
deux nous ont été données par M. Sonimi 
de Manoncourt , et nous avons reconnu 
que .ce sont ds mêmes animaux dont 
M. ‘de la Borde nous avoit parlé sous le 
mom d’écureuil; j'en ai fait mention dans 
ce volume, page 56. J'ai eu raison de dire 
que je n’étois pas assuré que cet animal 
fût un véritable écureuil, parce que les 
écureuils ne se trouvent point dans les 
climats très-chauds. En effet, j'ai été bien 
informé depuis qu'il n’y a aucune espèce 
de vrais écureuils à la Guiane. L’animal 
qu'on y appelle gverlinguet, ressemble, à 
la vérité, à l’écureuil d'Europe par la forme 
de la tête, par les dents, et par l'habitude 


:.2.LE GRAND GUERLINGUET 
- 2.LE PETIT GUERLINGUET. 


Pauque D, 


Y 


HISTOIRE. NATURELLE. 85 


de relever la queue sur le dos ; mais il en 
diffère en ce qu’il l’a plus longue et moins 
touffue, et:en général son Corps n’a pas 
la même forme ni les mêmes proportions 
que celui de notre écureuil. La petite 
espèce de Shsrhaguet , qui ne diffère de la 
grande qu’en ce qu’elle est plus de deux 
fois plus petite, est encore plus éloignée 
de celle de notre écureuil : on. a. même 
donné à à ce-petit animal un autre nom; 
car on l'appelle rat de bois à Cayenne, 
parce qu'il n’est pas en effet plus gros 
qu'un rat. L'autre guerlinguet est à peu 
près de la même taille que nos écureuils 
de France, mais il a le poil moins long 
et moins roux, et le petit guerlinguet a 
le poil encore plus court, et la queue 
moins fournie que le premier. Tous deux 
vivent dés fruits du palmier; ils grimpent 
très-lestement sur les arbres, où néan- 
moinsils ne se tuennent pas constamment, 
car on les voit. souvent courir à terre. | 
Voici da description de ces deux ani- 
maux. 
* Le grand guerlinguet mâle n’a point de 
bouquet de poil aux oreilles comme Îles 


86 "HISTOIRE NATURELLE 


écureuils; ‘sa queue ne forme j Pre ‘un pa: 
nache , et il est plus petit, n ‘ayant que 
‘sept pouces cinq lignes depuis l'extrémité 
du nez jusqu’à l’origine de la: ‘queue , 
tandis que l’écureuil de nos bois a huit 


pouces six lignes. Le poil ést d’un brun 


minime à là racine, et d’un TOUX foncé 
à l’éxtrémité ; il n’a que: quatre lignes de 
longueur; il est d’un brun marron sur 
la tête, lé'corps, l° extérieur des jambes et 
Ja queüe , et d’un roùx plus. pâle : sur le 
cou, Sur là poitrine, LE véntré et l’inté- 
riéué des jambes : il y a même du gris 
et du ‘blane'jaünâtre sous la mâchoire et 
lé cou; mais le roux pâle domine sur Ja 
poitrine et sur une partie du ventre, et 
cette couleur orangée ‘du poil 4 est mélée de 
nuances’ grises sur l’ intérieur des cuisses, 
Les éäsliélés sont noires ét longues 
d'un pouce neuf lignes. La quéue est aussi 
longue que le corps entier, ayant sept 
pouces cinq lignes ; ainsi lle est, plus 
longue à proportion que celle dél’écureuil 
d'Europe; elle est plus plate que ronde, 

et d’une grosseur presque égale dans bts 
sa longueur; le poil qui la couvre est long 


DES GUERLING UETS. 87 


de dix à onze lignes, et elle est comme 
rayée de bandes indécises de brun et de 
fauve; l'extrémité en est terminée par 
des poils noirs. Il y a aussi sur la face 
interne de l’avant-bras, proche du poi- 
gnet, un faisceau de sept ou huit poils 
noirs, qui ont sept lignes de longueur, 

et ce caractère ne se trouve pas dans nos 
écureuils. | | 
CURE ‘DEL FE mp n’a que quatre 
pouces trois lignes depuis l'extrémité du 
nez jusqu’à l’origine de la queue, qui 
n'ayant que trois pouces trois lignes de 
long, est bien plus courte à proportion 
que celle du grand guerlinguet; mais du 
reste ces deux animaux se ressemblent 
parfaitement pour la forme de la tête, 
du corps et des membres : seulement le 
_ poil du petit guerlinguet est moins brun; 
le corps, les jambes et la queue sont 
nuancés d’olivâtre et de:cendré, parce 
que le poil, qui n’a que deux lignes de 
longueur , est brun cendré à la racine, et 
fauve à son extrémité. Le fauve foncé 
domine sur la tête, sur le bas-ventre et 
sur la face interne des cuisses ; les oreilles 


\ 


88 HISTOIRE NATURELLE. 

sout garnies de poils fauves en dedans : : 
au lieu que celles du grand guerlinguet 
sont nues. Les moustaches sont noires et 
composées de poils assez souples, dont 
les plus longs ont jusqu’à treize Hignes; 
les jambes et les pieds sont couverts d’un 
petit poil fauve; les ongles, qui sont noi- 
râtres , sont larges à leur origine , et 
crochus à leur extrémité, à peu près 
comme ceux des chats. La poitrine et le 
haut du ventre sont d’un gris-de-souris 
mêlé de roux, au lieu que dans le grand 
guerlinguet ces mêmes parties sont d’un 
roux pâle et blanchâtre. Les poils de la 
queue sont mélangés de brun et de fauve. 
Les testicules de ce petit guerlinguet 
étoient beaucoup plus gros que ceux du 
grand guerlinguet, à proportion du corps, 
quoique ces parties fussent dans le grand 
guerlinguet de la même ets que 
dans nos écureuils. 


Tom. 14. PU. 21. Pag. 89. 


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LE TAGUAN. 


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23 


ADDITION A L'ARTICLE : 
DU TAGUAN. 


s, 


Nous donnons ici la figure d’un taguan, 
qui, quoique beaucoup plus petit que 
celui dont la dépouille est conservée 
dans le cabinet de S. À. S. M# le prince 
de Condé, et duquel nous: avons PE 
la figure dans ce volume, page 61, me 
paroît néanmoins être dela même ME | 
Il a été envoyé des côtes du Malabar à 
M. Aubry, curé de Saint-Louis, et il est 
maintenant au Cabinet du roi. Il n’a que 
quinze pouces neuf lignes de longueur, 

ce qui ne fait que les deux tiers de ‘la 
grandeur de celui de Mgr le prince de 
Condé ; mais aussi est-il évidemment 
beaucoup plus jeune, car à peine voit-on 
les dents molaires hors des gencives. Il:a,, 
eomme les écureuils, deux dents incisives 
en haut et deux en bas; la tête paroît - 
être petite à proportion du corps; le nez 

ÿ 


l A 


go. HISTOIRE NATURELLE 
est noir ; le tour des yeux et les mâchoires 
sont noirs aussi, mais mélés de quelques 
poils fauves; les joues et le dessus de la 
tête sontmèêlésde noir et de blanc; les plus 


+ 


grands poils des moustaches sont noirs et 


ont un pouce dix lignes de longueur ; les 
oreilles sont, comme dans les écureuils, 
garnies de grands poils noirâtres qui ont 
jusqu’à quatorze lignes de longueur ; der- 
rière les oteïlles, les poils sont d’un brun 
marron, et ils ont plus de longueur que 
ceux de corps; ke dessous du cou est d’un 
fauve foncé, mélangé de noir; les bras 
ou jambes dl devant jusqu’au poignet, où 
commence le prolongement de la peau, 
sont, ainsi que cette peau elle-même, 

d'un noir mélangé de fauve; le dessous 
| de cette peau est d'une couleur cendrée, 
mêlée de fauve et de brun. Tout le poil 
de dessus le corps, depuis le sommet de 
la tête jusqu’à la queue , ‘est jaspé de noir 
et de: blanc, et cette dernière couleur 
domine en quelques endroits ; la longueur 
de ce poil est d'environ un pouce. Les 
cuisses , au-dessous du prolongement dela 


peau, sont d'un fauve où le noir domine; . 


DU: T'ANCU' AN: CL 
les jambes et les pieds sont noirs. Les on- 
gles, qui ont cinq lignes de longueur, sont 
assez courts. Le dessous du corps est d’un 
blanc gris qui s'étend jusque sous le cou. 
La queue, longue d’un pied cinq pouces, 
est garnie de longs poils qui ont dix-huit 
lignes de longueur; ce poil est d’un gris, 
noir à l’origine de la queue, et devient 
toujours plus noir jusqu’à l'extrémité. 

En comparant cette description et la 
figure de ce taguan avec celle du taguan 
du cabinet de Chantilly , on n’y trouvera 
qu’une seule différence, qui d’abord pour- 
roit paroître essentielle ; c’est que les 
oreilles de ce grand taguan ne paroissent 
pas garnies de poils, au lieu que celles 
dé celui-ci en sont très: bien fournies : 
mais cette différence n'st pas réelle , 
parce que la tête du taguan de Chantilly 
avoit été maltraitée et même mutilée, 
tandis que celui-ci a été soigneusement 
conservé, et est arrivé des Indes en très- 
bon état. On doit donc s’en rapporter, 
pour la conuoissance exacte de cetanimal, 
à cette dernière figure, plutôt qu’à celle 
qui a été déja donnée dans ce volume, 


DE L'AYE-AYE 


À ve-ave est une exclamation des ha- 
bitans de Madagascar, que M. Sonnerat 
à cru devoir appliquer à cet animal, qui 
se trouve dans la partie ouest de cette île. 
IL dit « qu’il ne se rapproche d’aucun 
« genre , et qu'il tient du maki, de l’é- 
« cureuil et du singe. Ses oreilles plates et 
« larges ressemblent beaucoup à celles de 
« la chauve-souris ; ce sont deux peaux 
« noires presque lisses , parsemées de quel- 
« ques longs poils noirs terminés de blanc, 
« qui forment la robe. Quoique la queue 
« paroisse toute noire, cependant les poils 
« à leur base sont blancs jusqu’à la moi- 
« tié. Son caractère principal, et un des 
« plus singuliers, est le doigt du milieu 
« de ses pieds de devant ; les deux der- 
« nières articulations sont très-longues , 
« grêles , dénuées de poils : il s’en sert 
« pour tirer les vers des trous d’arbres ;-et 
« pour les pousser dans son gosier ; il 


p tes 
17/1 es 


cine À 


F Joauquet. ci 


HISTOIRE NATURELLE 93 


« semble aussi lui être utile pour s'ac- 


« crocher auxbranches.Cet animal paroît 


«terrier , me voit pas pendant lejour, et 
«son ail couleur. d’ocre derue est comme 
« celui du chat-hüant.Ilesttrè ès-paresseux, ; 
«et par conséquënt très-doux ; celui-ci 
« restoit toujour$ touché , etce n’est qu’ en 
« le secouañt plusieurs fois qu'on venoit 
« à bout de le fairé relnuér. Îl'a vécu pr ès 
« de deux mois, n ayant pour toute nour- 
«riture que du riz cuit; 3. il se servoit, 
« pour le manger, de ses ‘deux doigts; 
« comme les Chinois de baguettes. ni 


J'ai examiné ‘de près la peau ! d’un de 


ces animaux, ‘qué M. Somicral m'a don- 


née pour le Cabinet du roi; ilm'a paru 


se rapprocher du genre des écureuils s plus 


que d'aucun autre : il a aussi quelque 


rapport à l'éspèce de gerboise que j'ai 
donnée sous le nom de farsier, tome VI. 

Les pieds semblent faire un caractère 
unique et très-distinctif par la longueur 
des doigts aux x pieds de devant. 


Longueur de lanimal mesuré en 
ligne droite ; depuis le bout du” 


Fos = 


f 
LA 
L 


AE à! CCR RE : 

TAN LE 
Vrieh V9 N 
pt GA 


94 HISTOIRE NA DURELLE 


TOC. SAT. SOU HR Farpieds.s pin: Tige 
ds PE y vs 


museau. jusqu'à l'origine: de laXUS 101807 
- queue. e + . ith Det A … ês Cr 110% “Æt . 4" 3 DA id 


su la courbure!du, corps « malus Hé nr 6: 


Longnenr de la:tête depuüis.le; bob£ 6: 55100 » 
_du museau jusqu'à. 4 occiputs ps | » ba de. 19m 

Loc de la jambe ‘de devant LOTS | JA » 
depuis le | coude j Jusqu'au poignet :, » RE LrO RUE 4: 

Longueur depuis ] Je paient. jus-. Es 


LA 4,9 35 € : 


qu’ au bout des ongles. nddues st M HMNIONES 
Longueur de la jambe depuis. le Gi 

genou jusqu’au talon. CT RE ES PRE 
Longueur depuis le talon jusqu'au. Re De 

bout des ongles... . dde aeme 0 ND NN 
Longueur du tronçon dé la queue LA Roi 


L: l'A] ù LE : 


La couleur dé cèt antnal est re brun 
musc mêlé de noir et de gris cendré ; il a 
sur Pa tête, autour des Yeux, sur. le corps, 
aux cuisses et aux jambes s une couleur 


de musgfoncé , dans laquelle néanmoins 
le noir domine sur le dos et en plusieurs 
endroits du corps et des } jan: bes. Laqueue 


est tout-à-fait noire ; les côtés de la tête, 
le cou, la mâchoire, et le ‘ventre sont 


grisâtres ; des poils laineux de cette cou- 


à 


DEL CANECAME. I! Jp 
leur grise sont au-dessous des grands poils 
noirs où blänes’, de deux’ot d'trois pouces 
de long, qui Sont sur le Cotpé etes Jam 


bês : ; mais les japibes et lès” cuisses ns 
” 5h bu: 8 2} 

d’un brun rougeâtre ; ÿ le noir ‘domine à 
Æ w *: g 39 JOUE 

l'approche. des pieds, qui sont couverts 


PECPTOTPANEIEU 


de petits poils de cette c couleur. A 


‘Latéteala forme de gelé de l'écureuil; ; 
ilya deux, incisives au-devant de <haque 
mâchoire. Les or: cilles, sont. grandes, pues 
et sans poils, :larges à eur ouv RE 
droites et rondes à leurs extr émités. grub 


pieds. pouc. Jigs 
Elles ont de. longueur. nese + 29° 7 D. Er3} 2 ë Por 


Largeur, à au conduit, auditif. Re: cd 


tite e AUTO 


I'ÿ à atout dei yeux: ‘une bande bru- 


fâtre , ét tes eo a sont noir és. 5 3) D Le 
ke? pieds. poueh Hg. 

Et ssdheue sb peas'il-y'aide, 510 1988008 

-'grands>poils noïrs qui lont de: : : : 4805 ST 


longueur. es. 5.50 “LES ZE ) ei2 6 0 : 1 So $ 
Ceux qui sont aux côtés des joues 


PR Riu co 2 É: 40 0 
 Lé pied-des jambes de devant, pris! :! :: | 

‘depuis le poignet jusqu’à l’ex- 

trémité des doigts, a... cc 55% ©: 301 Qt 


} 
{ 


CI x 


4 


Re HISTOIRE NATURELLE | "4 
I à ep 
Le doÿge intéieu qui se pouce, 1£ LA h mue 0: 
Le : premier, < do mt ap | di de 
oBtd sde ip Bu) job 


lu RU Ne NE 5 Ju #7 er aus 
mince et rêle , n'ayant qui ne gl M pre 
ligne d’é épaisseur, a de longueur 2 ‘'yYohsfe à! 
Le troisième onu? AN LL 2 “#1 ‘2 Fongle 6 


Le ‘gutrièmie doigt o où le premier Ed a 

° externe). 2 DAS ORNE DIR ON T $ a î 
Les ? Side AE GERS ete HE NEA 20! T0 - 
€ ss, ÿ Cine Pexiréhiié de ste ere 19 


rer: 


€ 


«il eouoq ,2b9i4 * $ 

Ces doigts à qui ont déux lignes de lar- 
geur, sont à peu’ près égaux” en grosseur ; ; 
mais Je premier/doigt ;! qui fait pouce et 
qui a .de longueur douze lignes , a ‘un 

ongle de trois pouces six "Hit » Qui est 
De et plat comme ceux des makis. Ce 
‘caractère de doigt l'éloigne beaucoup du 
genre de l’écureuil. a 


: cs … . POUC, . A ds 1rihg. 
Le premier doigt. IMÉCNE.. ess LL, 3 l'ongle 5 & 


{ 


Le second doigt. 00 + © © à e « LE f I 417 l’ongle 6 
Le troisième doigt........4...0t£:.2 Pongle 6 


û 


* 
1TDE: L'AYE-AE." 1: 97 
“A Eh. sh te MENT Éer PE lise d ligs. 
Le netie et le premier FR À 
Et LRU CE COTE LC MES ï | a longle 6 
Ces onalés vas à courbes bi TE TI 9 Ron * 
en gouttières "19 ht rits ANT) VPs sh Su 
Les poils de la A AUTANT de lon- : : 


BUEUT er osossonesdosossessse. 3 Ka » 
| x £ \ 


Ces poils sont rudes SAIS crins 
Tout le temps que M. Sonnerat a eu cet 
animal vivant, il ne lui a jamais vu por- 
ter la queue élevé ée comme les écureuils ; 
il ne la portoit que traînante. | 

De tous les animaux qui ont le pouce 
applati, le tarsier est celui qui se rap- 
proche le plus de l’aye-aye ; ils ont entre 
eux ce caractère commun, et de plus ils 
se ressemblent par la étre ) qui est 
longue etcouverte de poils, par les oreilles f 
droites, nues et transparentes , et par ce 
poil laineux qui couvre immédiatement 
la peau. Il y a aussi quelque rapport de 
ressemblance dans les pieds; car le tarsier 
a les doigts très-longs. 

Cet aye-aye étoit femelle; elle avoit 
deux mamelqns dans la partie inférieure 


9 


ÿ5 HISTOIRE NATURELLE, 


du ventre : ces mamelons avoient cinq , 

lignes de hauteur +2 HR SEA ARE Ar au: 
RTE pe P 

* die Dee dé ME, fids ‘ 7 oyage 

de AT. de Sonnerat aux Indes orientales ;tomelIl, 


page 137. 11 a eu vivans le:môâle.et là fémélle, :. ! 


AT 
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: ADDITION sr CORRECTIONS 


DES CT CU UE fu d 


PSC RTIOLE 


AV RE HALANGER®. 


EPS tv4 CS: u 4 4 +84 T4 d' NEA EUSS AR 


No OUS étsne mal nes au nous 
avons dit que les animaux auxquels nous 
avons donnélenom de phalangers, appar- 
tenoïient au nouveau continent: Un mar- 
chand dont je lés ai ‘achetés , ; me les'avoit 
donnés sous le nom de rats de Surinam; 
mais probablement il avoit été HOMPE 
lui-même. M. Pallas est le prémiér qui. ait 
remarqué cette méprise , et nous sommes 
maintenant assurés que le phalanger se 
trouv e dans les Indes méridionales et 
même dans les terres australes, comme à 
la nouvelle Hollande. Nous savons aussi 
qu’on n’en a jamais vu:dans les terres de 


x Voyez _.. du phalangers tome VI ) PRES 
83. 


LH NPA EEE ‘44 
‘ OUT à 
% "a à: NRA 


166 HISTOIRE FFE PA 


| l'Amérique. M. Banks * IAE raison. 
que Je me suis ie . Me d qu'il a trouvé 


dans la nouvelle Hollande un animal qui 


« M Bars parcourant nine >prit un 
æ animal de la clâsse ‘des opossuin ; ; C'étoit une 
« femelle, et il prit en outre deux petits : il trouva 
« qu’ils ressembloient beaucoup au quadrupède 
« décrit-par M. de Buffon sous le nom de phalan= 
à ger; maïs ce n’est pas le: même. Cet auteur sup- 


\ 


« pose que (celte. espèce est particulière & PAmés 


< rique, mais il s’est sûrement tronipé.en ce point ; 
«il est probable que le phalanger est indigène 
« des Indes orientales, puisque ‘l’animal que prit 
«M. Banks, avoit quelque analogie avec lui par 
« la conformation extraordinaire de: ses pi ds, en 
æ Quoi 1 il diffère de tous les autres grradrnpèdes. » 
(77 oyage autour du monde , tome IV, page 56. ) 

Je crois que cette critique est juste, et que le pha- 
langer appartient en effet aux “clifnats des Indes 
otientales et méridionales ; mais quoiqu il ait quel: 
que ressemblance avec les opossum ou Sarigues, je 
mai pas dit qu’il fût du même genre ‘+ j'ai au con« 


trairé assuré qu 11 différoit' de ‘tous les sarigues, 


marmoses et cayopollins, par la conformation des 
pieds qui me paroissoit unique dans cette ‘espèce. 
Ainsi je ne me suis pas trompé en avançant que le 


7 . R | | 
DU PHALANGER" or 


a tant de rapports avec le phalanger , 
qu’on! doit les regarder comme deux es- 
pèces très- -voisines. 


genre des opossum ou sarigues appartient au nou- 
veau continent, et ne se trouve nulle pari dans. Pan-x 
cien. Au reste, l'éditeur du Foyage de M. Cook 
s’est certainement trompé lui-même en disant que 
l'animal trouvé par M. Banks étoit de la classe des 
opossum ou sarigues; Car le ge MU n'a Vues de 
poche sous Le: FODREA 0 NR 


Cri to qe ps 


D U D AM MAN-ISRA BL.» 


ant pre i " 


Ê F Lu 9 
LA EE 


C: *Esr à M. le chevalier Biacé que nous L 


devons l'exacte connoissance et la vraie 
descri ription du daman, déja bien indiqué 
par Prosper Alpin , 4 mal-à-propos rap 
porté par le docteur Shaw à la grande ger- 
boise. Voici ce que m'a écrit à ce sujet cet 
_iliustre voyageur. «Le daman-israël n’est 
« point une gerboise ; il est mal indiqué 
«par notre docteur Shaw , qui dit que 


À 


«ses pattes de devant sont courtes en 


« comparaison de celles de derrière, dans 
« la même proportion que celles des ger- 
« boises. Ce fait n’est point vrai. Voicila 
« figure de cet animal, que j'ai dessiné 
. «moi-même. Il est fort commun aux en- 
«virons du mont Liban, et encore plus 
« dans l'Arabie pétrée ; il se trouve aussi 
« dans les montagnes de l'Arabie heu- 
« reuse, et dans toutes les parties hautes 
« de l’Abissinie. Il est de la forme et delà 
« grandeur. d’un lapin ; les jambes de 


_ 


19 À 
PILOTE 
Étas  _11 


ZLE DAMAN ISRAEL. 


2LE DAMAN DU CAP. 


x 4 

HISTOIRE ‘NATURELLE. 103 
« devantun peu plus courtes que celles de 
« derrière, mais non pas plus que le la- 
« pin. Un caractère très - distinct, c’est 
« qu’il n’a point du tout de queué, su qu'il 
« a trois doigts à chaque patte, à peu près 
« comme ceux des singes, sans aucun 
« ongle , et environnés d’une chair molle 
« d’une formée ronde. Par ce caractère et 
« par le manque de queue, il paroîtappro- 
« cher du loris. Les oreilles sont petites et 
«courtes, couvertes de poil en dedans 
« comme en dehors, par où il diffère en- 
« core du lapin; tout le dessous du corps 
« est blanc, et le ded#ns à peu près de la 
« couleur de nos lapins sauvages; il lui 
« sort sur le dos et sur tout le dessus du 
« corps et des cuisses , de longs poils isolés # 
« d’un noir fort he Ces animaux 
« vivent toujours dans les cavernes des 
« rochers , et non pas dans la terre , puis- 
« qu’ils n’ont point d'ongles ». Je donne 
ici la figure de cet animal d’après le des- 
sin de M. Bruce, et il paroît, par son 
témoignage , que le docteur Shaw s’est 
. trompé ; et ce qui le confirme encore, c'est 
que ne voulant pas s’en tenir à ce que 


Yos HISTOIRE NATURELLE 


Prosper Alpin avoit dit du daman , que$æ 
chair est excellente à manger’, etqu” ilest. 
plus gros que notre lapin d'Europe , ilta- 
retranché ce dernier fait du passage de 
Prosper Alpin, qu’il cite au reste en entier: 
Il faut donc rectifier ce que J'en ai dit 
moi-même, et rendre à Prosper Alpin læ 
justice d’avoir indiqué le premier le da- 
man-israël , et de lui avoir donné ses véri- 
tables br detre dite 
Au reste, il ne barohe: pas Souteué que 
ce damar, ou agneau d'Israël, ne soit le 
saphan de l’Écriture sainte, M. le chevalier 
Bruce dit qu’il l'a vu, non seulement 
dans les différentes parties de l’Asie, mais 
jusqu’en Abissinie ; mais il existe dans 
les terres du cap de Bonne-Espérance une 
autre espèce de daman que M. Sonneérat 
nous a rapportée , et dont nous donnons 
ici la figure. Ce daman du Cap-diffère du 
daman-israël par plus de rondeur dans la 
taille, et aussi parce qu’il n’a pas autant 
de poils saillans ni aussi longs que ceux 
du daman-israël ; il a de plus un grand 
ongle courbe et creusé en gouttière au 
doigt intérieur du pied de derrière; ce qui 


DU DAMAN. ÉSRA EEE 105 


ne se trouve pas ‘dansJes pieds du dnan- 
_israël. Ces caractères nous paroïsent suf- 
fisañs pour faire üne espèce distinoté de 
ce daman du Cap, ‘et le séparer; comme 
nous le faisonsici , de celle du däinan de 
Syrie ,‘avec lequel néanmoins ila Fa plus 1 
grande ressemblance par la grandeur etla 
conformation, par le nombre des doigts 
et par le manque de queue. » °° : 
Au reste, nous deyons ajouter ici qu'à 
l'inspection seule de ce daman du Cap, 
nous l'avons reconnu pourile même ani- 
mal que celui. dont nous avons donné la 
hgure, tome XI, page 68, sous le nom 
de marmotte du Cap; en liver aantt ‘en 
même temps que je n’adoptoïs cette déno- 
mination que provisionnellément, et en 
attendant que je fusse mieux informé de 
la nature et du vrai nom dé cet animal; 
et comme la figure que j'en ai donnée et 
que jeviens de citer, a été faite sur un 
assez mauvais dessin , on doit consulter 
de préférence celle que je donne ici. Ainsi 
il faut rapporter à ce daman du Cap ce 
que nous avons dit de cette prétendue. 
marmotte, et encore tout ce que sous 


el F F TUE, ANNE, 2 “IL PP à 
es * REA EU A AT ANT 


206. HISTOIRE NATURELLE Es 
- _donneM Allamandi, d' ‘aprèsM.Klockmers 4 
sur ce. même animal, encre "4 
tion. de klipdaasou blaireau. dés rochers? 
observant. ques par la;se ul ronfe matio 
de,ses. pieds, il iline. doit pasétreamis dans 
le genxe.des blaireaux ; -etiqhe:c'est mal 
à-propos: qu'on-lui en a appliqué: le nom: 
: KO EA RES ER. ré ce SOA nt re 


«. MM.Pallas. et FR is se das que cet 
< animal se.creuse des-trous-en terre, 
« comménotre-marmotte: ou notre blai- 
«reau., et cela. disent-ils ;parce:que ses 
« pieds. sont propres à ,cette «opération = 
«.Inais,,,à €N juger par € es‘mêmes pieds ; 
« On, seroit porté à croire qu'il ne:s’en sert 
« jamais pour un pareil usage; car ils ne: 
« paroissent point propres à:creusér : ils 
« sont oouverts en dessous d'une peaü fort: 
« douce, et les doigts somt;armés d’ongles 
« courts ” plats, qui ne‘s’étendent'point: 
«au-delà. de la peau, celkæ n'indique guère 
« un animal. qui gratte laterré pour s’y 
« former une retraite. M HaUSS Meg ‘à la 


Y 
Pret HP C7 


. Tone ÀT > Pagc nés root 49 ONE 


D'UDIMANCÉSRANT ‘r 
de vtEs;! que les ongles sont trèsicourts, 
&- oéplutôt quil n’en à point Épour qu’en 
rééreüsant ils ne :s’uüusent: pbs contre les 
xrochers, rauinilien desquéléices animaux 
x'‘habitent. Cette. raison stingéfieuse- 
«ment trouvée; mais ne/séfoit-on pas 
« autorisé at assis diré }"e t-peutsttré é'avet 
& 'plië’:des fondeinent ; que la à Näture me. 
« leur’ 4 donné ‘des ctiglée si côhrts que 
« parce qu ie n'ont pas bésbin: dé s'en sér- 

«vit pour :creusér ? At “hbins ést-il sûr 
« que télni qui est Ainstekdan iñe les 
«émploie pas à vela jamais ‘on'he le: voit | 
& gratter où creuéer 1 terre. AA tou » 

& M. Vosimaët dit! que ces animaux sont 
Ca lents’ dans !1étt$ ‘inouvemens! Cela est 
«Vrai, ‘sans ‘butée , dé celui: ‘qu Pa vu | 
« mais M: Palläs: fon apprend :qu’il étoit 
« mort pour avoir trop mañgé. Ainsi ne 
« pourroit-On pas supposer que La graisse 
« dont'il'étoit surchargé le rendoit lourd 
« et pesant? Au moins ceux que M. Klock- 
« ner a observés ne sont point tels! au 
« contraire, ils sont très-prestés dans leurs 
« mouvemens ; ils sautent avec'beaucoup 
« d’agilité de haut en bas, et tombent 


# ‘4 \E TS % 
SAS AT LAS 
RATE 7e 


on HISTOIRE NAPURELGE 
.« tonjours, SU: Jeurs. quatre pattes, Ils 
& aiment. à être: sur des ;endroits!4 
« Leurs jambes. de derrière: sont.plus lon- | 
«< gues. que. célles . de devant;:ce: qui. ait 
« que: leur. démarche ressemble plus à célle 
« du. cochon: d'Inde que de toutautreani- 
« mal ; mais. is,ont celle du cochon quand 
«ils, ‘courent. Is pe, dormient: point, pen 

« dant, le ; jour; quand:la puit arrive, ils 
«se retirent dans leur nid:,.où ils se four- 
«rent au milieu du foin ,. dent-ils,se cour 
« vrent,: 


ut, le corps. On, dit:qu'au Cap 
«1ls. ont leur mid. dans. es Fanteso des, ‘Ko- 
« de Émile épines, dites servent aussi 
« de nourriture, de même que les autres 
_« feuilles qui sont peu charnues;.au moins 
« celui qui est à Amsterdam paroît les, -pré- 
« férer: aux racines et au pain. qu'on.lui 
« donne.’ Il ne mange pas volontiers des 
«noix ni des amandes. Quand.il mâche , 
«sa mâchoire inférieure se meut comme 
« celle des animaux qui ruminent ,. quoi- 
« qu’il n’appartienne point à cette classe. 
« Si l’on peut juger de toute l'espèce par 
«lui, ces animaux ne parviennent pas 


1 


DU DAMAN-ISRAEX. 109 
_« aussi vîte à toute leur grandeur que lés 
« cochons d'Inde. Quand il a été pris, il 
«étoit de la grosseur d’un rat, et étoit. 
« vraisemblablement âgé de cinq ou six 
« semaines ; depuis onze mois qu'il est 
« dans ce pays, il n’a pas encore la taille 
« d’un lapin sauvage, quoique ces ani- 
«maux parviennent à celle de nos lapins 
« domestiques. | 

« Les Hottentots estiment LAS une 
« sorte de remède que les Hollandois nom- 
« ment pissaf de blaireau; © "esifune subs- 
« tance noirâtre, sèche et d’assez mau- 
« Vaise odeur, qu’on trouve dans les fentes 
« des as et dans des cavernes : on 
« prétend que c’est à l’urine de ces bêtes 
« qu’elle doit son origine. Ces animaux, 
« dit-on, ont la coutuine de pisser tou- 
«jours dans le même endroit, et leur 
« urine, dépose cette substance, qui, sé- 
« chée avec le temps, prend de la consis- 
« tance. Cela est assez vraisemblable ; ce- 
«lui qui est à Amsterdam lâche presque 
« toujours son urine daus le même coin 
« de la loge où il est renfermé. | 

« Sa tête est petite à proportion de son 

Quadrupèdes. XIV: 10 


æx0 HISTOIRE NATURELLE 


corps ; ses yeux n ont guère que la | 
_« moitié de la grandeur de ceux du lapin; 
« sa mâchoire inférieure est un peu plus 
«courte que celle de dessus ; ses oreilles 
_« sont rondes et peu élevées ;' elles sont 
« bordées de poils très-fins, mais qui de- 


A. 


« vienuent plus longs à mesure qu’ils ap- 


_« prochent de ceux de la tête ; son cou 
« est plus haut que large, et il en est de 
«même de tout le corps ; ses pieds de 
« devant sont sans poils en dessous, et 
« partagés en lobes ; en dessus, ils sont 
« couverts de poils jusqu’à la racine des 
« ongles. M. Vosmaër dit que ses pieds sont 
«nuds : cela ne doit s’entendre que de la 
« partie inférieure. Quand il court, les 
« jambes de derrière ne paroissent guère 
« plus longues que celles de devant. Leurs 
« pieds n’ont que trois doigts, dont deux 
«sont toujours appliqués contre terre 
« quand ils marchent : mais le troisième, 

« ou l’intérieur , est plus court et séparé 
« des deux autres; quelque mouvement 
« que l'animal fasse, il le tient toujours 
« élevé. Ce doigt est armé d’un ongle dont 
« la construction est singulière. M. Vos- 


\ 


\ 


DUDAMAN-ISRAEIX #1r 


« maër se contente de dire qu'il.a un 
« ongle courbe *. M. Pallas n’en dit pas 
« davantage, et la figure qu'il en a don- 
« née ne le fait pas mieux connoître. Cet 
« ongle forme unegouttière dont les bords 
« sont fort minces ; ils se rapprochent à 
« leur origime;'et s’éloignent en avançant 
« au-devant ; puisils serecourbent en des- 
« sous , et ils se réunissent ense terminant 
«enune petite pointe, qui s'étend dans la 
«cavité de la gouttière, presque jusqu’à 
«< son imilieu. Ces ongles sont situés de 
«facon que la cavité de celui du. pied 
« droit est en partie tournée vers celle du 
«pied gauche, et en partie vers en bas: 
« placés au bout du doigt que l’animal 
« tient toujours élevé, ils ne touchent ja- 
< mais le sol sur lequel ils marchent.Ilne 
« paroît pas vraisemblable qu’ils servent à 
« jeter en arrière la terre , comme M. Pal- 
_ «las l’a soupconné ; ils sont trop tendres 


* Celui qui a traduit ce passage, pour M. de 
Buffon, s’est trompé en disant que éest le doigt du 
milieu qui a cet ongle ; il auroit dû dire le doigt in- 
técieur, comme il y a dans le texte ho!landois. 


\ 


‘rr2 HISTOIRE NATURELLE 


« pour cela. M. Klockner a mieux vu quel 
« étoit leur usage. L’animal s’en sert pour 
«se gratter le corps et se délivrer des 
«insectes ou des ordures qui se trou- 
< vent sur lui; ses autres ongles, vu leur 
« figure, lui seroient inutiles pour cela : 
« le Créateur n’a pas voulu-qu’aucun des 
«animaux qu'il a formés, manquât de 
«ce qui leur étoit nécessaire pour se déli- 
« vrer de tout ce qui At les incom- 
«ms der. 

« On voit sur le corps de notre ESS 
« quelques poils noirs parsemés, un'peu 
« plus longs que les autres. C’est une sin- 
« gularité qui mérite d'être remarquée: 
« cependant Je n’en voudrois pas conclure, 
«avec M. Pailas, que ces poils peuvent 
« êtré comparés aux épines du porc-épic ; 
< ils ne leur ressemblent en rien. 

« La longueur du corps de cet animal 
& 106 MKlockner a observé à Amster- 
« dam , est, depuis le museau jusqu’à l’a- 
« nus; ‘de ouze pouces trois quarts. Celui 
« que j'ai placé au cabinet de nôtre äca- . 
« démie, n’a que dix pouces; mais celui 
« qui a été décrit par M. Pallas, étoit long 


DU DAMAN-ISRAEÏI: 113 


« d’un pied trois pouces trois (ue. et 

« la longueur de sa tête égaloit trois pouces 

. < quatre lignes ; celle de l'individu d’Ams- 

« terdam n'étoit axe de trois pouces et 
« demi. 

« Les femelles de ces animaux n’ont 


« que quatre mamelles , deux de us À 4 


« côté ; et si elles font plusieurs petits à 
« la fois, comme il est très-vraisemblable, 
« c’est une nouvelle confirmation de ce 
4 « qu'a dit M. de Buffon *, savoir, que le 
« nombre des mamelles n’est point rela- 
«tif, dans chaque espèce d'animal, au 
«nombre des petits que la femelle doit 
« produire et allaiter. » 


+ Voyez le tome V dé l'édition de Hollande, 
page 47. | 


/ 
Fin du tome quatorzième et dernier. 


19 


Des articles contenus dans ce volume. 


je A DI TION à Particle de lhyène, page de 
Addition à l’article du chat, 8. | | 
Chat sauvage de la nouvelle Espagne, 13. 
Addition à l’arucle du lyux, el à celui du caracal,. 
ue Gé ÿ EU À | 
“Addition aux articles du jaguar, du couguar , et à 
l’article du margay, 24. 
Jaguar, ou léopard, :b1d. 
Jaguar de la nouvelle Espagne, 29. 
Jaguar de la Guiane;, 26. 
Du couguar, 37. 
Couguar de-Pensilvanie, 014. 
Couguar noir, 33. 


Du margay, 30. 
Addition à Particle du tigre, 42. 
Du bizaam, 44. 
Addition à l’article du putois, 47: 
Le putois rayé de l'Inde, 16id 


æ 


| TABLE. au 
SR Ed pabiat 60. 
Addition à l’: article du lièvre ; de l’écureuil, avec un 
| animal anony me ; un autre auquel nous avons 
donné la AUS M dé rat dé! Madagas- 
car ; enfiu un autre que nous appelons 7a- 
£uan, ou grand écureuil volant, 53 
Du lièvre, 2852. | L Hu :0 16 1 
De Pécurenil. 55. 1 
Animal anonyme, 58 
Du rat de Madagascar, 60. 


Du taguan ou grand écureuil volant, 61. 


Du grand écureuil de la côte de Malabar : Te 
L’écureuil de Madagascar, 78. 
Addiüon à l’article du palniste, 80. 
Le petit-gris de Sibérie , 81. 

- Les guerlinguets, 84. si 
Addition à l’article du taguan, 89. 
De l’aye-aye, 92. 
Additionet corrections à l'article du philanger, 90: 
Du daman-israël, 102. 


LA 


+ 


(en FC 


uit 5 ty 


DES MATIÈRES 


AN dot le, Nu ace de 


l'Histoire naturelle des quadrupèdes. 


4 


Mc Les chiffres romains M eueRe le tome, et les 
chiffres arabe es ARMEENE la page. 


- A CCOUPLEMENT. 
Adive. Figure de l’adive 
‘ou petit chacal, XTIT, 


d'animaux d'espèces 
différentes ,. 


À Ch - 4 
nashomien résulté, 


tome VIII, pag. GE. 


et suivantes. 
A couchi, ses différences 
avec l’agoutt, VIT, 
337 ; XI, 2or et suiv. 
Adimain , grande brebis 
d'Afrique, V, 80. 
Adive, n'est peut-être 
que le petit chacal, 


à ‘ ï LE EC E À 
sè LE 
: Ë À 
{ + V4 : ra WIN PR 
r ‘ 


dont‘ ‘il :! 


:— chacal 


VI, 154. 


2574 
description 


duchacaladive, XITI, 


257. 
Afrique. On ne connoît 


dans l’Afrique mMéÉrI= 
dionale aucun animal 
qui perde ses COrnes. 


X , 243 « 


Agneau, Ï, 202 et suiv. 


TABLE. 


À gouti, IT , 78 etsuiv.; 
XI, 207 et suiv. 
Abu, 

animal que le tzeïran, 
V, 228 
Ai, XI, 175 et suiv. 


c'est le même 


Aigretle, ou mataque 


cornu, VII, 132 et 
suiv. 

Alce et machlis, dans 
Pline, ne désignent que 
le même animal, et 
cet animal est l’élan, 
V, 146 et suiv. 

ÂAlco, animal domesti- 
que au Pérou et au 
Mexique avant Parri- 
vée des Européens, 
VIL, 329. 

Allantoide, [, 250 et 
253. 

. Allocamelus , 


lama qui fut amené 


est un 


vivant en Hollande en 


1558, VI, 46. 


Alouate , grande espèce 


desapajou, VII, 260; 


117 
XII, 125. Voyez 


Ouarine. | 
Alpaca ou paco (l) n’est 
pas le même animal 
que la vigogne , VITE, 
210. 
 Amble, allure que quel- 


ques chevaux ont na- . 
turellement , et que: 


l’on donne à d’autres, 
59: 

Amérique. Le plus gros 
animal de ce nouveau 
continentn’estpas plus 

grand qu’un petit mu- 
let, LIT, 156. | 

Amphibie. Les seuls ani- 

maux amphibies, dans 
toute la rigueur de 


l’acception du terme, : 


sont les phoques, les 
morses et les laman- 
tins, VI, 208. 
Âue, I, 115 et suiv. 
— et ânesse, VII, 212 
et su1v. 


— rayé, estlemêmeani- 


] 
4 


A 


118 

. mal que le 2e a de 
ET), 

‘lAne et zèbre ; NAT 
02 et suiv. 

Anes, I, 142; V, 117. 

— sauvages , sont diffé- 
rens des zthres , E, 

| 144 
Anesse, I, 138. 

Animal, En quoi consiste 
la perfection dans la- 
nimal, Ï, 276. 

_— anonyme, XIV, 58. 

Animaux. L’empire de 
l’homme sur les ani- 
maux est uh empire 
légitime qu'aucune ré- 
volution ne peut dé- 
truire, I, 2. 

— rues S'ILS 
105 et suiv. 

— domestiques et sau- 

IL, 7o. 

— des deux continens, 
III, 98 et suiv. 

— propres aux deux con- 


nens, Il, 195. 


vages, 


TABLE 


Animaux propres “nc 
ticuliers du nouveau 
monde , VII, 252. 
Animaux du Nord, X, 

O1 et suiv. 
ÂAnta, ou ant; cest le 


même animal que le 
tapir, V, 108. 
Antilope, V, 222. 
— (gazelle), X, 164. 
Apar, espèce de tatou, 
IV, 114 
ÆApe, est le nom que les 
Anglois ont donné au 
singe sans queue, VII, 
87. . ( 
Apéréa (1) pourroit 
bieu être le même 
animal que le cori, 
VII, 340 et suiv. 
Argali (1) de Sibérie 
est le même animal 
que le mouflon; V, 98. 
Âttarsoak, »oy. Phoque 
à croissant, 
Aurochsouwrus , V,283 
VILLE, 149. 


DES MATIÈRES 19 
Axis, V, 100 et sui- Axis ou daim, X, 37. 
vantes, _ Aye-aye, XIV, 92. 


B 


BABIROUSSA, V, sainte, est le même 
299; XIII, Zog. animal que l’hippopo- 

Baboun, VII, 9. ttameV, 120.7 

— des bois, XII, 60. Belette, 11,240; XI, 40. 

— à longues jambes, — et hermine, II, 240. 


XII, 62. Belier, [, 207. 

— à museau de chien, — d'Islande , X, 123. 
XIT, 70. 0 — morvant, X, 1x5. 

— à face bleuâtre, XII, — de Tunis, X, 113, 
67. en note. | 

— cendré, XII, 61. — et brehisde Valache, 

— gris, 1b1d, mo. X, 112 

— jaune, zbid, 60. Beliers sauvages, X, 123. 

Barbaresque, écureuilde Berhé de Guinée, estle 
Barbarie, IV, 79et même que la fossane, 

, suivantes. VE, a2r. 

Bardeau ; VIII, 5 et Bétail. Raison primitive 
suiv,, D3 et suiv. de ce que notre bétail 

Baurdmannetjes, espèce est si chétif et s1 diffé- 
de guenon, voyez Ta- rent de ce qu’il étoit 
lapoin, VII, 164. dans l’état de nature, 


Rehemoth de l’Écriture V, 30. 


Y20. 


Bézoard oriental, V, 
234. Discussion bisto- 
rique sur le bézoard, 
par M. Allamand : 

D'OR HE 

Bézoards orientaux, V, 


247. À 


dus occidentaux V, 248. 


Biches (les), IL, 27. 
— de Cayenne, X, 112 
et SUV, 


Bison, IIL, 129; VIII, 


135. 

— ou bœuf à bosse des 
Indes orientales , V, 
5o. 

— ou bœuf à bosse, ne 
fait pas une espèce 
particulière, V, 53. 

— ou bœuf à bosse ; 
avantage de cette race 

- de bœuf sur la race 
ordinaire, V, 57. 

— blanc, VIII, 153. 

Bisons (les) se sont 


4 LOIR A MANS, ue à A à SEAT ; 
; | VAR CUS MAENEUTE 
AE: : 


RU \ 


Bête à la grande dent, | 
voy. Morse, V1, 208. 


di 
L trouvés naturels dans 
l'Amérique  septen- 

trionale , V, 63. 

Bizaam, XIV, 44. 

Blareau, IE, 205. 

— de l'Amérique sep- 
tentrionale , XIII, 
RE 

— des rochers , »0yez 
Marmotte du cap de 
Bonne-Espérance. 

Blanc-nez, XII, 06. 

Bobak, VI, 06. 

Bœuf (le), I, 150; 
VLIT, #39. 

— MUsqUé , poY: Bison... 

— gris du Mogol, voyez 
Nil-oaut. 

Bœufs et vaches d'Tslan- 
de, sont dépourvus de 
cornes, V, 54. 

— de Sicile, VIIT, 157, 

Boire. Manière diffé- 
rente de boire dans les 

différens , 
EF; rio 

Bonasus d’Aristote, est 


animaux 


DES MATIÈRES. 


le même animal que 
le bison, V, 26. 
Bounet-chinois, espèce 


de guenon, »0y. Mal- 


brouck. 
Bosbok, X, 224. 


— de Juda, V, 20r; 
X, 126. | 

— à longs sabots, X, 
129. 

Bouquetin, V, 181. 

Brehbis, [, 106. 

— d'Islande. à plusieurs 
cornes, V, 77. 

— des pays chauds, V, 
78. 


— de Bätbarie et d'A- 


rabie, V, 76. 
— domestiques de Pîle 


de Candie, V, 79. 


Cagrar, LIT, 1575 V, 
304; VII, 241: XIV, 
5Q/: 


C 


Brebis à large queue, V, 
79- £ 
— (grandes) des pays 

méridionaux, V, 80; 


VIT, 279. : 


— et chèvres, une seule 


Bouc, I, 226; VII, 8. 


famille, VIT ,.220. 


NX, 290: 
— de Moldavie, X,13r. 


— dé bois de Moldavie, 


DL EPA 
— de Tartarie, X, 137. 
— du cap de Bonne- 
Espérance, X, 133. 


DE 


(to 


— de Flandre, X ,130- . si 
— de l’île de France, 


Bubale, V, 249: X, 


269 et sui. 
Bubalus, V, 26. 
Buflle, LIT, 148 et suiv.> 
Vi34; VI. 


Cachicame, IV, 122. 

Callthuix, VIT, 155. 

Callitriche, VII, 155. 
s1 


222 


\Callosités sur la poitrine 


. des chameaux, des la-\ 


mas, et sur les fesses 
dés babouins et des 
guenons ; leur origine, 
. et comment elles sont 
produites, VIT, 169. 
Campagnol, IT, 275 et 
sulv. 
Canna, X , 238. 
Capricorne, V, 192. 
. Caracal ; IN | 206:; 
XIV, 55. 
ee de Bengale XIV: 22. 


est le même animal 
que le glouton, VI, 
170. ; 

— d'Amérique, XIIT, 
169. | 

Cariacou, V, 273. 

Caribou, V, 145 ; X, 50. 

Carigueibeju du Bresil, 
est le même animal 
que- la saricovienne, 


VI, 198. 


TABLE 


Castor, LIT , 36; ; XI 65: À 

Caria Capensis de M 

Pallas, > v0yez Mar- 
motte du cap de Bonne. 
Espérance. 

Cayopollin , : IV, 2775 
XI, 141. 

Cerf, 1, 282; IT, 12e 

— (one X, 35. 

— du Gange, »oy. Axis. 

— noir, X, 33. 

Cerfs blancs , V, 276. 

— des Ardennes, V, 105. 


 Chacal et adive, LIT, 
— de Nubie, XIV, 20. 


Carcajou ou kincajou , 


1423 VI, 154. 
— XIIT, 256. 
— (petit), voy. Adive. 
— etisalis, VI, 164. 
Chameau , TITI, 122: 
V, 1; IX, 3oet suive 
— et dromadaire ; IT, 
Lare No, 
Chameck, estun säpajou 
ou coalta de la Guiane, 
VII, 273. 
Ciioie V, 181; 
150, 


X, 


DES MATIÈRES. 


Chat, F; 333 et suiv. ; 
RSS HE 
— cervier (le) du Ca- 
nada, estle même que 
notre lyÿnx, [IT, 250. 
— de Madagascar, XIV, 
12. À 
— musqué, XI, 12. 
— sauvage de la nouvelle 
Espagne, XIV, 13. 
— de la Caroline, XIV, 
40. “ 
— tigré de Cayenne 
voyez Margay. 


— volant, »oy. Taguan, 


Chauve-souris, IT, 298; 


VI, 136; XIII, 167. 
— grande sérotine de la 
Guiane, XIII, 175. 
— (grande) fer-de-lance 
de la Guïane, XIIT, 
178, 180. 
— fer-de-lance, XIIT, 
167 
— céphalote, XITT, 167. 
— musaraione ; XIII, 


173 


123 

Cheval , 1,6; IIT ,03; 

VII , 216,218; VII, 
87. 7 

—et âne, VII, 217,1 
210. 4 | 

Chèvre mambrine, V, 
190. M 

— naine, V, 196. 

— de Grimm , voyez 
Grimme. 

— de Madagascar, X, 
A2 | 

— bleue du cap de Bon- 
ne - Éspérance , Xi 
227 

— saulante du cap de 
Bonne-Espérance, X, 
oz, 0e 

Chèvres, I, 231; IIT, 
193; VIL, 1), 
125 et suive : 

— d'Angora, [, 240. 

Chevreuil, 11,70; X, 39. 

— des Indes, X, 226. 

— blanc, X, 39. 

Chevreuils roux et bruns, 


IT, 66. 


124 

Chevrotain, IIT, 148; 
:V, 266; X, 2ro et 
Suiv. 

— des [Indes orientales, 
V, 260. 

— du Sénégal, V, 270. 

— des grandes Indes, 

V 270. 

— memina, X, 221. 

Chien, [,296; IT, 174; 
VII, 185; XIII, 5 
et suiv. | 

— crabier, voy. Crabier. 


— de Groenland, XIT, 


TI. 

— deKamtschatka, KL 
A2i0u 

Chiens sauvages, I, 264. 

— des climats tempérés, 
I, 206. 

— sans queue, ut 106, 
227 et suive 

— sauvages du cap de 

_* Bonne - Espérance , 
XII, x | 

— de Sibérie, XII, 7. 

— siuguliers, XII, x3. 


TABLE 


Chiens des boïs de C sta 

ne, XIII, 19. 

er loups, XIIT, ED, 

— métis, XIIL, 105 et 
suiv. 


— provenant d’une lotnib 


et d’un braque, XIIT, 
39; du mâle Fée FA 
génération , 2014. 445 
de la femelle première 
génération, 101d. 53; 
du mâle seconde géné- 
ration , 4bëd. 59; de 
la femelle seconde gé- 
nération ,; cbid, 64; 
de la femelle troisième 
génération , 2044. 62; 
du méle quatrième gé- 
nération , z61d, 101; 
dela femellequatrième 
génération , £6id. 103. 
Chéchue > EE D 
Chinche , VI, 176. 
Choras, XII, 65. 
Chulon ou Chelason , 
voyez Lynx ou Loup 
cervier, XIV, 19e 


DES MATIÈRES. 


Cirquinçon, IV, 127. 

Citli (le) de Fernandès, 
paroît être le même 
animal que le tapeti de 
Madagascar , VII, 
343. CARE 

Sete: TE 288: 
D. Ù 

— volante, : »oy. Taguan. 

Coaita, VIE ,268; XII, 
à 13 ONE 

Coase, VI, 177. 

Coati, III, 69 et 73. 

— mondi, III, 73. 


xT, 


— XI, 199, voyez Ra- … 


ton. : 
Cochon, I ,242; VIIT, 
Prb2: "XIII, 209. 
— d'Inde, II, 278 ; IIT, 
165. 
— de Siam, XIIT, 247. 
— de Guinée, VI, 323. 
— de terre, XI, 184. 
Coendou, VI, 14; XT, 
216. 
— à longue queue, XI, 
219. 


125 


 Coescoes des Indes orieu-. 


lalesiuXT 742, 008 : 
Colus, est le même ani- 
mal que le saïga, Ve 
NOT. 
Condoma, V, 256 ; X, 
AE Ç 
Conepate, VI, 0: 
Coqualin , VI, 85. 


- , , F 
-Cor1i, voyez Apéréa. 


Corine, V, 213. 
Cornac, est le nom qu'on 
_ donne âux Indes au 
_ conducteur de lélé- 
: phant, IV, 247. 
Cornes des animaux, V, 
33 et suiv. L 
Cossac, voyez Isatis. 
Couagga, roy. Kwagga: 
Coudous , V, 282. 
Couguar , IE, 252; 
XIV, 3r. | 
— femelle, XIV, 3r. 
— dePensilvanie, XEV, 
BTe 
— noir, XIV, 33. 


Crabier, XI, 190. 
11 


é | 16%) : 1 MA BU E. 


… Cujuacu- apara rt Bresi}, C4 F7 
‘me paroît être qu'une coesi" + ? 91 


| 
ï 
variété de notre che- Gyatcéqh ill vit ; 06. LS 
vreuil d'Europe, IT, TA oyez Pithéque. 20 
88 LE — (le petit), XI, HO 
Cuscus ou Cusos des In- Czigithai, SUN 3 190 ; Fi 
| . des orientales, XI, VIII, 95, 90. 


D 
Darm (le), IT, 61; Daman du Cap, XIV,- 
VIT, sb55 X, 28. 10e 
— Voyez Axis. : Dant, ou Lant de Nu- 
— chinois, X, 36. midie, V, 75. à 
— de Groenland, X , 49. Desman, [Ii, 302. 
Dame,11,68. Douc ; VII, 165; XIT, 
Dama, »oyez Nanguer. 123. 


Darman Israël, cu A- Dromadaire, . 1; IX, 
gneau d'Israël , VI, un | 
108 ; XIV, ro2. Dugon, VI, 253. 


pi 


ÉCUREUIL (CT LE, Écureuil : (grand) de 
2485 1V,76; XIV, 55. la côte de Malabar, 

— noir de la Martüini- XIV, 79. | 
que; XIV, 55. — volant, »oy. Taguan. 


DES MATIÈRES. 


Écureuil de Madagascar, 
XIV, 78. 

Égagropiles, pelotes de 
poil qui se forment 


dans l’estomac de plu- 


. sieurs animaux, leur 

origine et leur ‘for- 
mation, T, a ; de 

246%. 

Élau, V, 1455 X;, 59 
et suiv. 

— Voyez Orignal. : - 

_ ÆElaphocamelus décrit 
par Matthiole, est le 
même animal que le 
lama, VI, 46. 

Élépbant , IV, 180; 
VIE, 199:. LX;,r 22. 


FISsIPÈDES. Énu- 
méralon des animaux 
fissipedes, VII, 26. 

Foœtus de guenon, XIT, 

+ L24 $ 

Fossane, VI, x10. 


‘x27 
Éléphans sauvages , IV, 
249. 


— de mer, »0y. Mae 


Encoubert, IV, 118. 
Foyez Tatous. 

Engourdissement.Vraies 
causes de l’engourdis- 
sement de la mar- 


motte, du loir, ei 


qu'on dit communé- 
ment dormir pendant 
l'hiver, TIT, 13. 
Étalon. Comment il fut 
nourrir et soigner le 


cheval étalon, I, 57. 


-Exquima , espèce très- 


voisine de celle du 


coaïta, VII, 268. 


F 


Foume, IT, 219. . 

— de la Guiane, XI, 
14 

— de Madagascar, XT, 
17. 


— et marte, sont deux 


L 128 


espèces différentes , 


IL, 210. 


Fourmilier, IV, 88 ; 


t 
L 


GALERA, »oy. Tayra. 


209 ; X, 147. 

— pasan, À, 191. 

— par M. Allamaud, 
X, 154 

— antilope, X, 164. 

— tzéiran, X, 177. 
cap de Bonne - Espé- 
rance, X, 192. 

— à bourse sur le dos, 
X, 200. 

— kevel, X, 223. 

Genette , I11, 142 et 

"#09. 

— femelle, XT, 7e 


— du cap de Bonne- 


Espérance, XI, r2. 
Gerbo ou gerboise, VI, 
X00. 


TAB DE 


VE, 2495 XI, ag $ 
et suiv.: 0, 1 

ns: II, 233; ; IT, 149° 4 

LE Ro à 


‘à di : 
Î ' hs % 


Gale vi, 100 ; ag, 
Gazelle, IIL, 147; V, 


_ — (grande) , ou libvre 


‘2ÔE;: 


| sauteur, X., 262. 

— commune, X, 207. 
— du désert de Barca, 
VX, 287 


Gibbon, IIT, 162 ; VIT, 


— ou chèvre sautante du : 


x05.. | 
Girafe, TITI, 122; VII, 
26 et suiv.; VIII, 
240. 
— jeune, par M. Ala- 
maud, VIIL, 241. 
— (cornes de), VIII, 


240. F 
Glouton , VI, 170: 
XIII, 183. 


Gnou, ou niou, VII, 
115. 
Grimme, ou chèvre de 


DES MATIÈRES. 


Grimm, V, 263; X, 
101. 

Grison, XI, 48 

Guachi, pourroit bien 
être le même animal 
que la saricovienne, : 
NE 100 l 

Guenon, ou singe à lou- 
gne queue, VIT, 152. 

Guenon, NE SERGE 
suive - 

— à long nez, XIT, 70. 

— à museau alongé, 


XII, 90. 


HA1ïRA, c’est un ani- 
mal de la Guiane qui 
ressemble beaucoup au 
chat sauvage, XIV, 

Her 

Hamster, VI, 87; XI, 
87: 

Haras. Manière d'établir 
un haras, [, 55. 


Harpies. Les anciens ont 


129 
Guenon couronnée, XII, 
OT. | 
— À camail, XII, 06. 
— à nez blanc proémi- 
went, XIL, xos. 
— àface ÉCPES XI, 
116. 
— à crinière, XII y LIGe 
— nègre, XII, 121. 
Guépard, VI, 150. 
Guerlinguets, XIV, 64. 
Guevei, nom du chevro- 
tainau Sénégal, V ,270. 


Guib, V, 260. 


H 


He | 
d’après le modèle de 
la roussetie, IV, 62. 

Hérisson , II ,282; XE, 
285%. 

Hermine , IL, 245 ; XI, 
40, | 

— apprivoisée , XI, 42, 

Hippomanès. Ce que 
c'est que lhippoina- 


(Le 
dessiné les 


x30 i) T AB L E” # 
4 nès des jumens, Ï , 59. Bippoporanejeune EE, À 
Î Ce que c’est que l’hip- 48. 
pomanès du poulain, Hypnes is 141, 271; 
T, 74. XIV, 5. 
Hippopotame, III, 121; — de l’île de Méroé, . 
V,120;1X,48 NX XIV, @ 


I-J 


Jacuar (le), III, Sibérie, VI, 98. 
124, 246; XIV, 24. Jocko, VII,68% 7o et 
— dela Guiane, XIV,  suiv. 


126: — Le singe décrit sous 
— de la nouvelle Espa- ce-nom, tom. VIT, 
gne, XIV, 25. ® étoit uu Jeune pongo, 


Jaguarète , animal de XII, 6 
proie du nouveaucon-  fsatis, VI, 164; XIIT, 


tinent ; ses différences 260. : 

avec Le jaguar, III, Jurmuris, VIT, 216. 

249e | — ‘loutce qu'on raconte 
— Foyez Couguar noir. à ce.sujet paroît fort 

On l'appelle à Cayen- suspect, VIIL, 9, 

ne tigre noir, XI V, 33. nôte, 60 et saiv. 


Jevraschka, est une es- Jument, voyez Cheval, 
pèce de marmotte de A, &. 


DES MATIÈRES. 


Pr A: 


KaBassou, IV, 

. Kevel, V, 212. 

Kincajou , yes Car- 
cajou. 

Klipdas, voyez Mar- 
motte du cap de Bon- 


125. 


ne-Espérance, 
Klppspringer, ou sau- 
teur des rochers, X, 
204 
Kob, V, 217; X, 270. 
Koba, V,217; X, 270. 


LA1E, voyez Cochon. 


Lama, IIL, 151; VI, 
41: VU, 242; VIII, 
201I. 


Lamantin, VI, 208 et — du Sénégal , 


257; IX, 226. 
me (grand) de Kam- 
ischatka, IX, 237. 
— des Antilles, IX, 246. 


K i 


Koulan, VIII, 102. 


Koupara, ou chien crabe 


kde: la nn à VII, 


AESES 
Kouri, ou le petitunau, 


XI, 180. 


Kwagga, ou Kouagga, 


. VIII, 108. 

Kumrech, nom que l’on 
donne en Barbarie aux 
mulets où jJumarts, 


VV) NVREL "O0 


L 


Lamantin de la mer des 
Indes, IX, 25e" 

— (petit) d'Amérique, 
EX, 257. | 


IX 
294. 
Lapins, IT, TIZetsuir. ; 
IIT, I40. 
Lard daus diférgntes 


193€ 


 j 


re d'animaux, I, 
255, 


 Janimal indiqué par 
Belon sous le nom de 


loup marin, VI, 207 


et suiv, 


M VI, 194. 


* Léopard, IIT, 225. 


Lérot, Il, 318 et suiv. 

— à queue dorée, XI, 
115. 

Lidmée, grande espèce 
d’antilope, V, 224. 
Lièvre, IT, 89 et suiv. ; 
VIL, 1973 XIV, 55. 
— sauteur, »oy. grande 
Gerloise, X, 287. 

Lion, III, 65. 

— marin, v0y. Phoque, 
VI, 228 et suiv. ; IX, 
202. 

Lionne, voyez Lion. 

Loir, II, 506. 

Loriss NI; 153% 

— de Bengale, XIT, 180. 


TABLE. 


Tue , n, 172 et suiv.; I 


| 111. ONRES |... ANSE 
4 ZLatax (le) d’Aristote, : 


est vraisemblablement 


— cervier, chat ( cervier » 


voyez Lynx, III, 255. 


— doré , est. le même 


animal sé le don | 
VI, 156. 

— du Mexique, VIT, 
326. 

— noïr du Canada, est 
de la même espèce 

que le loup d'Europe, 
IT, 100. 

— tigre, est le même 
animal que le Epres 
VI, i5r. 


| Loups-garoux. » II, 104. 


Loutre, II, 213; IX, 
06. 

— de Amérique septen=" 
trionale > ÎL, A 
20T. 

— d Égypte, VI, 204. : 

— de Cayeune ; IX, 100. 

— (petite) d’eau douce 
de Cayenne, IX, 100. 

— marine, voyez Sari= | 


Lé 
! 


7 


_Æ 


covienne. 
Louve, voyez Loup. 
Lowando, »oyez Ouan- 


derou, VII ? 124 ; 


DES MATIÈRES. 


: r. KAS TA 
XII 274 

Lynx, II, 255; ÿ 414 2 
15. 

— du BR XIV, 19. 


M 


MaACAQUE, VII Me ds 


— à queue courte, XIT, 
63. aa 
— etaigrette, VII, 132. 
Magot, VII, 13 et rro. 
Maimon, VII, 129. 
Maïpouri, voyez Tapir. 
Maki gris (le petit), 
XII, 273. 
Maki (autre espèce de}, 
XIT, 177. 
Makis, I1I, 150; VI, 
« 124; XII, 160. 
Malbrouk, VIT, 140. 
Mammouth, n’est: plus 
qu’un animal fabu- 
leux ; les énormes os- 
semeus qu’on Jui at- 
tribuoit appartiennent 


réellement à l'élé- 


phant, IV, 259 et suiv: 


Manati, »oyez Laman .. 


ün, VI, 257. 
Mandrill, VIE, 


180 
NFE, 20. | 


. Mangabey, VII, 148. 


Mangouste, VI, 110; 
XI, 56. 

ban. VOYEZ Le À 
ITT, 60. 

Mapurita, est le mème 
animal que le zorille, 
VI, 183. 

Maraputi, est le même 
animal que le serval , 
VI, z130. | 

Marcassins , 1 7 et 

 suiv, 

Margay, VI, 140; XV, 

en: | 


19 


234 
Marikina, VII, 294. 
Marmose, IV, 174; XI, 

137. 
Marmotie, III ,6; XI, 
165. 
— bâtarde Fr A î 
XP) 66. 
— du Canada, XI, 65. 
— du cap de Bonne- 
Espérance , XI, 68. 
— du Kamischatka, XI, 
67. 
Marte, IT, 225. 
— (grande ) de la Guia- 
ne, XI, 61. 
Mazames, V, 272. 
Mermina, V,270. Voyez 

Chevrotain. 

Méus, voyez Mulets. 
Mico, VIT, 200. 
Mococo , voyez Makis, 

Dr, 1502 VIT, 1245 

XII, 177. 
Mona, XII, roo. 
Monax, VI, 97; XI, 65. 
7’oy.Marmotte du cap 
de Bonne-Espérance. 


TABLE 


Move, VIL, +4 et Fr | 

Voyez Makis. 1 

Mongous, IIL, 150; 
VI, 124; XII, 169. 

Morse, VI, 206; IX, 
127. 

Morve. Origine et siége 
de la maladie qu’on 
appelle morve dans les 
chevaux, [, 112. 

Moufettes, VI, 1775 
XI, 130. 


. Mouflon, V, %6; X, 


TI2. 

Moustac, VII, 150. 

Moutons, [, 200. 

Mule, VII, 203 etsuiv.s 
VIIT , 27, 66. 

— exemple d’accouple= 
ment prolifique de la 

-mule avec le cheval, 

VIIT, 66. 

Mulet, T,'r465 VIT, 
203 ; VIII, 6. 

Mulets féconds de Syrie, 
dont parle Aristote, 


VII, 203. 


À 


Mulot, II, 264 et sui- 
vantés. 

Musaraigne , II, “1 
M, xd: 

— d’eau, 11,290. 


Nacor, V, 280; X, 
207. 
Nanguer, V, 220. 


DES MATIÈRES. 


fra 


135 
Mode du Bresil , 
VII, 330. 
Musc,IIL,148 ; V,286; 
VIIL 226. 
Muscardin, 11, 321. 


nn 


Nems , ou Neipse, XI, 


17 
Nil-gaut, X, 5. 


O 


OgEezorT. VI.'ris.. 
Oragre,Ï, 144; V, 116; 
VIIT, 90. ( 
One AI, 235, 
Ondatra, III, 302. 
Opossum, »0yez Sari- 
gue; IV, 142. 
Orang-outangs, VIT, 
405 AIF,:5. 
Orignal, voyez Élan. 
Ortohua de Fernandès, 
paroît être le même 
animal que le zorille, 


VI, 265. 


Ouanderou , VII, 124 ; 
XII, 77. 
Ouarine , VII, 260. 


Ouisuu, VII, 200. 


Ours blanc, VIL, 304: 
VIII, 190. 

— brun, IT, 18. 

— élevés en domesticité, 
VIII, 190. | | 

— marin, VI, 253; IX, 
178. Foyez Dugon. 

— de mer, où ours blanc, 
IIL , 17. 

— noir 9 {IT ' 18e 


| 


He 


PACA, IV, 139; XI, 
203. 

Paco et lama, VI, 43. 

Palatne , »oy. Rolowai. 

Palmiste, IV,70; XIV, 
60. 


PE Pangolin, IV, 90. 


— et phatagin, IV, o. 

Pantherd Aristote, nous 
paroît être l’adive ou 
petitchacal, VI, 157. 

Panthère, ÉLP, 23800 

Papion, VIT, xretr14. 

Paresseux, VI, 61. 

— honteux, voyez Aï. 

— mouton, voyez Unau. 
Pasau, c’est le nom dela 

ei gazelle du bézoard, 
Ma 23404 

Patas, VII, 136. 

— à queuecourte, XII, 
87. | 

Patira, espèce de cochon, 


XII, 243. 


Pecari, IV, 40: VII, 
243; XIIT, 240. 


Pekan , incertitude sur 


l'animal auquel on à 
donné ce nom, VI, 
186. 
Pérouasca, VIT, 319. 
Petit-eris, IV, 73. 
— deSibérie, XIV,8r. 
Phalanger , VI, 63; 
XIV, 99. $ 
Phatagin, IV, 00. 
Philandre, »oy. Sarigue. 
— de Surmam, VIE, . 
353$ 
Phoque (le grand) àmu- 
seau ridé, IX, 136. 
— à ventre blanc, IX, 
TAT. : 


= — à capuchon, IX, 161. 


— à croissant, IX, 163. 

— neit-soak, IX, 167. 

— laktak de Kamitschat- 
ka, IX, 168. 


Phoque gassigiak, IX, 
169. 

=— commun, IX, 170. 

— uisuk, où urksuk, 
IX, 150. 

Phoques, VI, 206: IX, 

232. fl 

— sans oreilles, IX : 
135. 

Pichou (le) de la Loui- 


siane est le même ani- 


mal que le margay du 


Bresil, VI ;' 150. 
Pieds-fourchus. Énumé- 
ration des animaux à 
DE fourchus, VIT, 
2,1 
Pilori, espèce di rat 
runsqué des Anulles, 
1: 363. 
Pinche, VIT, 296. 
Pithèque ,; VIT, 8, 06; 
XII, 47. 
Polatouche, IV, 67. 
— où écureuil volant, 


XIV , Gr. 


DES MATIÈRES. 


de | 


_ Polatouche, ou petitécu- 


reuil volant, 
pou et jocko, VIT, 29 5 
XIT, 5! 
Porc-épic, VI, 5. 
— de Malaca, XI, 233. 


XIV, 


Potot, voyez Kincajou. “ie ! 
Pouc, espèce de rat ce gta 


Noté. VIL, 3194 


Pau. > 20yez Cheval. 


\ Puani, voyez Moufeites. 


Puma du Pérou, a été : 
mal-à-propos appelé 
lion ; ses différences 
d'avec le vrai lion, 
IT, 97. 

Putois,. DE, 220; VIT, 
248. 

— rayé de Inde, XIV, 
47. . 
Pygargus (le) des an- 
ciens est le même ani- 
mal que l'algazel, ou 
gazelle de l'Égypte ou 
dé PArapie, N, 229, 


12 


8. 


QUADRUMANES, XII, 
160. . 


num He 263 Tite 


E#40 ; XI, 83. 104. 


F, (= d'eau, Il, 272. 


—— blanc du Canada, 
VIT 322: 

— de Madagascar, XIV, 
6o. : 


— de blé ,»oy. Hamster. 
— de senteur, XI, 86. 


_— perchal, XI, ro. 

— d'eau de Strasbourg, 
voyez Scherman. 

Raton, IL, 69; XI, 
124. 

— crabier, XI, 124. 


Renard, IL, 192 ; XIII, 


251. 

— du Groenland, XIIT, 
251: 

— du Kamischatka , 


XIIT, 2951. 


R 


STE UAR UE ARR 
; #, EU es best PM Ù 
TAB EM ONCN 
4 . \ A 
EL. d 
k 
« 


o 


Quadrupèdes. > 1; 27 3 3 
VII, 25. ; pee 


Renard de Norvége, 
XIII, 170. | 
— blanc, XIIT, 254. 
Renne, IT, 30; V, 145; 
X, 26. 
— sauvage ct domesti- 
que Ve, 162 
Rhinocéros, LIL, 12253 
IV, 271; IX, 5. 
Risbok, X, 212. 
Rolowai, XIE, 112: 
Rougette, XIIT, 147. 
Roussette et rougeite, 
IV, 57; XIII, 147 
Ruüminans. Les animaux 
ne ruminent pas en= 
core lorsqu'ils tettent , 
I, 184. 
Rumination. Explication 
physique de la rumi- 


nation, Ï, 160. 


L 7” \ AE ART 
Ur À À 
* 


SACA , ou chat de 


Madagascar à queue 
tortillée, XIV, 12. 

Sagouins, XII, 162. 

— vulgairement appelés 
singes de nuit, XII, 
164. | 

Saï, VII, 28r. 

Saïga, V, 207 ; X, 142. 

Saimiri, VIL, 284; 
XII, 167. 

Sajou, VII, 278. 

— brun, XII, 152. 

— nègre, XII, 157. 

— cornu, XII, 158. 

Saki, VII, 286; XIT, 
162. Voyez Yarqué. 


DES MATIÈRES 


139 


S 


_—à fo poils ; 


Sanglier , 1,266; XIII, 


200. 

— du cap Verd, VIT, 
103et 325; XIII, 210. 

— d'Afrique, XIII , 
220. 

Sapajous et sagouins , 


VIT} 10,249; 299; 
XIE, 2204 302" 
Saricovienne, VI, 198; 
IX , 108. 
Sarigue, IV, 142; its i 
T4I. 
XI o 
135. S 
— des Illinois, XI, 132. 
Scherman, XI, 107. 
Sérotine ( la grande) de 
Ja Guiane, XIIT, 175. 


. Serval, VE, 139. 


Simia:. M 
: TJ. Ba- 
—Æ,gyptaca. 
bouin, 
—hamadry as. 


Singes , III , 16x; VII, | 
5; XIT, 5 et sv. 

— ordre dans lequel on 
doit les ranger, VII, 
13. 

Solipèdes, VIT, 26. 

Souris, IT, 261; IIT, 
149; XI, 03, 104. 


st 
408 


art LS 


x40 14 TARBES 


Souslik , VII, 320 
XAIL, 124. 


Srepsiceros de Belon, 


V, 62, 226, 228 et 


257, 


T 


Tacuan, XIV, 62, 


69. is 
Tajacu, III, 157. Voy. 


Pecari, IV, 49; XIII, 


240. 
Talapoin, VII, 161. 
Tamandua , IV, 63, 

KE. NTÉ2 


Tamanoir, IV, 83; XI, 


156. 
Tamarinm, VII, 268; 
XII, 167. 


 Taurecet tendrac, VI, 


EXT T0, 25% 
Tapeti, VIT, 342. 
Tapir, LIL, 2565, 


106; VIT,241; VIII, 


270. 
Tarsier, VI, 79. 


; Sumxu, joli animal de : 


la Chine, XIV, 17. 
Surikate, VI, 4 XI, 
5% 
Suemalet, II » 2 


Tatouette ou tatuèle | 
IVe aeo. | 

Tatous, IV, 106; XI, 

+1 T0 - 

Taupe, IT, 291; XTIT, 
127, 

— dorée de Sibérie ä 
VII, 322. 


— du cap de Bonne-Es- 
pérance, XIIT, 130. 

— de Pensilvanie, XIII, 
x 36: | 

— blanche, XIII, 128. 

— (grande) d Afrique 
XIII, 136. 

— de l'île de Java, 
XIII, 120. 
— de Virginie , 

720 


XIIT, 


* L'IRt 
” A 


Taupe du (Canada , 
XIIT, 139. 

= (très-grande) du Cap, 
ou taupe des dunes, 
XIE ee 

— fauve, XIII, 128. 


— jaune, verdâtre, ou 


couleur citron, XIII, 


126. | 
— rouge d'Amérique, 
XIII, 136. 
— tachetée ou variée, 
XIII, 1209. 
Taureau , I, 160. 


DES MATIÈRES. 


. T4 
Tayra, VII, 334. 
Tendrac, XI, 233. 
Tigre, IT, 114; IV, 
2743 VII, 247; XIV, 
42e | 
Tola, c'est un lapin à ; 
queue longue , qui se 


trouve en Tartarie LE - ÿ 


VII, 314 
Touan, XI, 635. 
True, voyez Cochon, 
I, 242. 
Tucan , VEL, 338. 


_Tzeiran, V,215; XX, 71. 


UV 


VACHE marine, voyez 
Morse, VI, 208; IX, 
Er TE 

— de Tartarie, VII, 
31. 

— grognante de T'arta= 
Mes VERS) 137. 

Vaches, L, 168. 

Vampire, 1V,57; XIII, 
377. 


Vansire, VI, 122; À; 
301-5081 

Vari, voyez Maki. 

Veau, I, 172. 

— marin, voyez Pho- 
que, VI, 210. 

Verrat, cochon mâle, 
268 

Vigogne, VI, 46; VII, 
244; VIII, 207. 


À Ryda TABLE DES MATIÈRES. 


< ï YA UE SE A TT POP PAPER CNRS 1104 DT 
FA : RARE LIN RSS " HE NAT MU 
r Se à it 


Vison, VI, 186.  Unau a) et l'ai son£ À 
Urau, VI, 61; XI, deux animaux Fume | 
| 175. nans, VI, 7o. 
__— (peut), XI, Fb0e Urson, VI, 20. 
y 
YARQUÉ, espèce de Ysquiepatl, ou mou 
saki, XIT, 162. _fette, IV, Me Et 
2 


ZÈBRE, III, 128; 14, 19. 
V, 114; VII, 210; Zibet, LIT, 282. 


VIIE, 02. Zimbr, voyez Bison. 
Zébu,; V, 75; VEIF, Zirel, VII, 315: 

135. ni DATA VI, 176, 162 
Zemni, VIE, 317. et suive 


Zibelme, VI, 189; XI, 


TABLEAU 
| DES * Es 
DIVISIONS, SOUS-DIVISIONS, 

ORDRES ET GENRES 

DES MAMMIFÈRES,. 
Par Le C* LACEPÉDE,; 
Avec l'indication de tontes les on 


décrites par Buffon, et leur distribution 
dans chacun des genres. | 


PAR F M DAUDIN.. 


PREMIÈRE DIVISION, 


. Point d'ailes membraneuses 711 er 


71age0 1rese 


QUADRUPÉDES PROPREMENT DITS. 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 


Les quatre pieds en forme de mains. 


QUADRUMANES. 
Tome VII, page 5. 


PREMIER ORDRE. 


Dents incisives, laniaires ét molaires. 


PREMIER GENRE. 


SINGE. (Siria.) 
Quatre dents. incisives à chaque mâchoire ; 


angle facial de 65 degrés; point d’aba- 
joues ni de queue. 


L 


ESPÈCES. 


r. Le jocko, ou orang-ouiang de la petite espèce, 


Simia satyrus. VIT, 59; XII, 5. 


ES FE = 


TABLEAU DES MAMMIFÈRES. 145. 


2. Le orand gibbon. Simia lar. VII, 105. 


3. Le petit gibbon. Simia lar, varietas. VIT, 105... 
4 Le jocko de Buffon (de sou premier texte), 


et le jeune pongo (de ses supplémens). Simia 


troglodytes. NE, 59: XF, ,50 
SECOND GENRE. 


GUENON. ( Cercopithecus.) 


Quatre dents incisives à chaque mächoire; 
angle facial de 60 degrés; abajoues; 
queue; fesses calleuses. 

ESPÈCES. 
x. La guenon à long nez. Fe Meet Rire 
XII, 709. 


_ 2. Le douc. Cros re VII, 165; 
AE 123; 


3. L’ouanderou. Cercopithecus silenus. VIT, 124. 


Le lowando. Cercopithecus veter. VIL, 124 ; 
XIT, 74 et 77. : | 

4. La guenon à face pourprée. XIT, 116. 

5. La guenon à crinière. XII, 118. 

6. La guenon à camail. Cercopithecus comosus, 
XII, 96. | 

7. Le mona, ou la mone. Cercopithetus mona. 
VIE, 191; XIT, co: 

8. Le roloway ou la palatine, lexquima, et Îe 

Quadrupides, XIV, 15 


ME  TABLEAU PRE 
coaila. Cercopithecus diana. vu; 268} | 


XIT, 112 et 145. 
g. Le mangabey, et le mangabey à collier Mn, 
Cercopithecus Æithiops. VIE, 148. 


‘0. Le malbrouck. Cercopithecus malbrouck. VIT, 


140. — Est:ce le simia faunus de Linné ? 


11. Le moustac. Cercopithecus cephus. VIT, 159. 
12. Le blanc-nez. Cercopiihecus petaurista. 


13. La guenon à nez blanc proémment. Cercopi- 
thecus nictitans. XIL, 105. 

La guenon talapoin. Cercopithecus talapoin. 
VII, 161. — Est-cele) Be ou une variété 


el 
LS 


du AGE 
15. La guenon nègre. Cercopithecus maurus. 


XIT, 
16. Le Ra his Saber VII, 155. 


17. Le patas à bandeau noir, et le patas à bandeau 
blanc. Cercopithecus patas. NII, 136. 


TROISIÈME GENRE. 
SAPAJOU. (Sapajou.) 


Quatre dents incisives à chaque müchoire; 
angle facial de 6o degrés; point d’aba- 
joues x queue prenante; fesses velues. 

ESPRCES. | 
1. Lecoaita. Sapajou pari sous. VET,268; XIF,145 


= Se à 


DES MAMMIFÈ 


2. Le sajou cornu. Sapajou cornutus. XII , 158 


LA 


RES. T4 1 


3. Lesaïmiri. Sapajousaïmiri. VIT,284; X1T, 161. f 


QUATRIÈME GENRE. 
SAGOUIN. (Sagouin.) 


Quatre dents incisives à chague mächoire; 
angle facial de 60 degrés; point d'aba- 
joues; queue non picrante; fesses Pé ee 

PRÉC ES, 2 

1. Le Cats. VIX, 206. Le sagouin, ou Sing de 

_ nuit. XIL[, 164. Peut-être même lyarqué, 
; XIT, 162. Sagouin pithecus. 

2. Le sagouin à tête blanche. Sagouin leucoce- 
phallus. On rapporte à ce quadrumanc l’yar- 
qué de Cayenne décrit pa Laborde, à la fin 
de l’histoire de ls yarqué. XI 7162. 

3. Le sajou brun et le sajou gris. Sagourn Pepile. 
VAL, 296 ; ALL etre 

. Variété. A. Le sajou nèsre. XII, 157. 

4 Le sai. Sagouin capucinus. VIT, 261. 

: Variété A. Le saï à gorge blanche. VIT, 28r. 

5. Le tamarin. Segouin midas. VII, 268. 

Variété A. Le tamarin nègre. XII, 167. 

6. Le mico. Sagouin argentatus. VIL, 200. 

7. Le pinche. Sagouin œdipus. VII, 296. 

8. Le marikina. Sagouin rosalia. VIT, 294: 

9. L'ouistii, Sagouin jacchus. VII, 290. 


D (TABLEAU HAT 


(CINQUIÈME GENRE 
ALOUATE. (.4/ouaïta.) 


Quatre dents incisives à chaque mächoire ; 
téte pyramidale; point d’abajoues; queue 
prenante ; fesses velues. 

ESPÈCES. 


| +. L'alouate et le burleur. #louatia seniculus. 


VIT, 260: XIF , x 
ER ne Aibigite beclzebut. NX, 260. 


SIXIÈÉME GENRE]. 


MACAQUE. (Macaca.) 


- Quatre dents incisives à chaque méchoire; 


angle facial de 45 degrés; abajoues ; 
fesses calleuses. 
| ESPÈCES. 
x. Le maimon. VII, 129. — et le patas à queue 
courte. XII, 87. Macaca nemestrina. 
2. Le macaque à queue courte. Macaca rhesus. 
XII, 83. 
4 Le ace. Macaca cynomolgus. VIE, 132, 
Variété A. L’aigrette. Macaca ay VIT, 
132 
4. Le bonnet-chinois. Macaca Sinensis. VIT, 140. 
Variété A. La guenon couronnée, XIE, 95. 


DES MAMMIFÈRES. 71% 
5. Le magot. Macaca inuus. VIT, TI0. 
Variété A. Le pithèque. Macaca sylvanus: 
NU MIN OR AI, 47 
6. Le petit cynocéphale. XII, 58. 
7. Le grand papion. Macaca sphinx. VII, 114 © 
Variété A. Le petit papion. VIT, 1x4. 
B. Le babouin des bois. XIT, 60. 
C. Le b:bouin à longuesjambes. XIF, 62, 


8. Le babouin à museau de chien. Macaca hama= * 


dryas. XIT, 70. 
9. La guenon à museau alongé. XII > 00: 


SEPTIÈME GENR E. 
PONGO. (Pongo.). 

Quatre dents incisives à chaque mâchoire ; 
angle facial de 30 degrés; abajoues ; — 
de queue; fesses calleuses. 

: ESPÈCE. 
z. Le pongo adulte de Buffon. VIT, 50. 


HUITIÈME GENRE. 
BABOUIN. ( Cynocephalus.) 
Quatre dents incisives à chaque méchoire; 
angle facial de 50 degrés; abajoues ; 
queue; fesses calleuses. 

ESPECE 


29 Le mandrill. Cynocephalus maimon. VIT, 129+ 
15 


At 


TARDE MN 


_ Variété À. Le choras, Cynoccphalus MaÏM ON. 44 
XI, 65. | 


LUE A 


NEUVIÈME GENRE 


JM LA RE (Lemur.) 4 iQ 


LOVE \ 4 mr e Hs 
Quatre dents incisives Supérieures; Six EnCi=. 
_ :sives inférieures inclinées en avant. 
- ESPÈCES. 
x. Le mococo. Lemur catta. VI, 1243 XII, 171. 
2. Le grand mongous , ou maki brun. Lemur 
mOongoz. XII, 160. | 


3, Le vari, autre espèce de maki. Lemur mMaACUCO» 


| XII, 177. 
4. Le petit maki gris. Lemur murinuse XII , 173. 


DIXIEME GENRE. 
LORI. (Lori.) 
Quatre dents incisives supérieures ; quatre 
incisives inférieures inclinées en avant; 
téle ronde; museau relevé. 


ESPÈCE. 


x. Le loi du Bengale. Lors eee VI, 133; 
XIT, 160. 


TARSIER. | Crréeraahsus ) 


& 
Quatre dents incisives supérieures ; deux M 


incisives inférieures; larse trés-long. 
ES PHCE. |: 
1. Le tarsier. Macrotarsus Indicus. VI, 70. 


+ 
Lu 


DEUXIEME SOUS-DIVISION. 


RS HE de derrière en forme de mains. 
Uk 


PÉDIMANES. 


DEUXIÈME ORDRE. 


Dents incisives, laniaires et molaires. 


DOUZIÈME GENRE. 
DIDELPHE. (Didelplis.) 


Dix dents incisives supérieures; huit inci- 
sives inférieures. 
ESPÈCES. 
x. Le sarigne, ou l’opossum. Didelphis opossum. 


La XT , 148 


10E né 


152 


2 2. Le sarig [59e de DUR) A 
3. Le sarigue des Ill E. Didelphis Fi Srginianuss. sg 
de XI, 122.00 4 
2" 4 La marmose. Dita) murin ae 1V, 2745 
+ | XT, 0 ar 


| 5. Le cayopollin. Didelhis car Pda «M 
 dorsigera. IV, 177; XE, 145 » © 
6. 14 philandre de Surinarr. Didelphis philander. 
VIT, 335. - 
PA . crabier. Didelphis cancrivore ; didelphis 
marsupialis. XI , 150. 
6. La petite loutre d’eau douce de Cayenne. Di- 
delphis palmaia. XI, 08. 


TREIZIÈME GENRE. 
\ 
PHALANGER. (Phalanger.) 


Six dents incisives supérieures; deux incisives 
inférieures ; deux ou trois doigts des pieds 
* de derrière, réunis jusqu’à l’orgle; queue 
touffue et non prenante. 
ESPÈCE. 
x. Le phalanger. Phalanger orientalis. VI, 83, 


_ 


153 


d 


La plante des pieds Hub de manière 
à s'appuyer sur la terre quand lanimai 
marche. : 


PLANTIGRADES. 


TROISIÈME ORDRE. 


Dents incisives, laniaires et molatres. 


QUATORZIÈME GENRE. 
OURS. ( Ursus.) 


Six dents incisives & chaque mâchoire; la 
seconde des incisives inférieures de chaque 
côté, placée un peu plus en arrière que 
les autres. 


\ 


ESPÈCES. 


1, L’ours brun. Ursus arctos. ITT, 17; VIII, rgo. 
Variété A. L’ours blanc terrestre, IT, 27: 
VIII, 198. : 


2, L’ours noir de l’ Amérique. Ursus nr nn 


IIT, xo. 


me 


DRAM EN te \ N à 1f FAR Dar none PATES OU 


SEE OI ON TABLE AU 


Pot ours blanc de mer. Ursus an NV sèe : 4 
_ 4. Le Eu Ursus meles. Li paf 205. | +, 
5. Le glouton. Mrrois guloe VI , 270 XIII, 183. de 
6. Le curcajou. Trsus Latradorius. XIII, 106. 
7. Le raton. Tous Vorür. TT, 79; XI, 124. 


8. Le raton crabier, Ursus cancriporus. XI, 105. 


QUINZIÈME GENRE. x: 
CO A EAN ( Coati.) 
Sir dents incisives à chaque méchoire; la 


seconde des incisives inférieures de chaque 


côté, placée un peu plus en arrière que les 
autres; nez long et mobile. 


ESPÈCES. 
1. Le coati. Coati nasua. III, 73; XI, 109. 
2. Le coati brun. Coaïi narica. TI, 73. 


SEIZIÈME GENRE. 


KINCAJOU. (Xincajou.) 


Six dents incisives à chaque mächoire; la 
seconde des incisives inférieures de chaque 
côté, placée un peu plus en arrière qué les : 
autres; queue prenante. 

ESPÈCE. 
3. Le kinkajou poto. K'nkajou caudivolvulus. 
Vis ao; XILT, 169.4 4) 


, EL ÿ pres at 


He y 


ÿy 


DES MAMMIFÈRES, 155 


DIx- SEPTIÈME GENRE 


MANGOUSTE. (/chneumon.) 


+ à LAN 

Six dents incisives à chaque méchoire; l& 
seconde des incisives inférieures de chaque 

côté, placée un peu plus en arrière que les. 

autres ; langue hérissée de papilles dures. 


ESPÈC D ES 


1. La mangouste rat de Pharaon. Zchneumon 
Pharaon. VI, 1105 X, 66. 

2. Le nems. Zchneumon mungo. VI, 1t0. 

3. Le surikate. Zchneumon tetradactylus. VI, 76; 
KMS 

4. Le grison. Tobneumon. piutatuse XT, 6e: La 
fouine de la Guiane. ue 

da A, vansire. ni J'avanicus. VI, 122; 


Il faut aussi rapporter ici le mustela galera 
de Lainné. | 
G. Le tayra, ou galera. Zclneumon barbarus. 


VIE, 324 


* 


ner 


mé TABLEAUS 


D rXx- HUITIÈME GENRE 


Six dents incisives inégales à chaque md&- 


SPAIN ï 


Un 


D 


HÉRI SSON. à 


choire; laniaires très-courtes; corps cou- 


: vert de piquans. 


ESPÈCE. 


r. Le hérisson. Ærinaceus Europœus. IL, 282; 


XE +295. 


DIX-NEUVIÈME GENRE. 
RATE AR C-  QTenrec, 


Six dents incisives égales achaqgue mächoire; 
laniaires très-longues; corps couvert de 
piquans. 


ESPÉCES. 


z. Le tanrec. Tenrec ecaudatus. VI, 23; XI, 


223 


2 Le tendrac. T'enrec setosus: VI, 235 XI, 
253. | 


Lt Lu 


DES RU Vas 25 
VINGTIÈME GENRE. 
MUSARAIGNE. (Sorex.) 


Six ou huit dents incisives inégales à chaque 
méchoire; la première incisive inférieure 
de chaque côté, très-longue et couchée en 
arant >; laniaires très-courtes ; corse cou- 
vert de poils, | 

ESPÈCES. 

x. La musaraigne. Sorexz araneus. IL, 287. 

2. La musaraigne d’eau. Sorex Daubentonu. 
AT, age. À À 

3. La musaraione du Brésil. Sorex Brasiliensis. 
VIT, 330. | 

4. La musaraigne musquée ‘de l'Inde. Sorez 
moschatus. XI, 113 


VINGT-UNIÈME GENRE. 
DESMAN. (Desnan.) 


Six ou huit dents incisives inégales à chaque 
mächoire; La seconde incisive de chaque 
côté, très-longue; laniaires très-courtes ; 
corps couvert de poils. 


ESPÈCE. 


, I. Le desman. Desman moschatus. IT, 302. 
14 


pet ÿ 


6e UITABLENT. 


AR due n Chrpsochloris.) 


Six ou huit incisives inég cales 02 chaque mn - 
choire; la seconde incisive de chaque côté À 
 très-longue ; laniaires très-courtes ; point 
de queue; corps couvert de poils. 
x: ESPÈCES. 
z. La taupe dorée. Chrysochloris ou, VIT, 
NP "A NUS 


2. La taupe rouge. Chrysochloris rubra. XI, 138, 
3. Le tuvan. VII, 336. 


VINGT-TROISIÈME GENRE. 
TAUPE. ( Talpa.) 


Six dents incisives supérieures et huit infé- 
rieures égales; laniaires très-longues. 


ESPÈCES. 


T7. La taupe. T'a/pa Europæa. IT, 201 ; XIII, 127. 

2. La taupe du Canada. T'alpa cristata. XVIT, 130. 

3. La taupe de Pensilvanie. T'alpa Fensilvanica. 
XIII, 136. 

Nota. Les autres taupes décrites par Buffon, sont placées 

dans le genre précédent, et dans le quarantième, qui est 


le genre TALPOÏDE, 


| 
| 


DES MAMMIFÈRES. 159 


 QUATRIÈME SOUS-DIVISION. 
_ Les doigts sans Sabats. : 


"DIGITIGR A DES. 


QUATRIÉÈME ORDRE. 
Dents incisives , laniaires et molaires. 


CARNASSIERS. 


VINGT-QUATRIÈME GENRE. 
Ÿ CHIEN. (Canis.) 


Plusieurs dents incisives échancrées ; mo- 
laires nombreuses; langue sans aspérités ; 
ongles non rétractiles. 


E S P È C ES. | 
1. Le chien et toutes ses variétés. cr 
Ÿ 2276: XIII, 5, 
2. Le loup. Canis A Il; 2725 XIT , 249. 
3. Le renard. Canis vulpese TT, 102; XII, 2548 
Variété A. Le renard blanc. XIIT, 254. 


W..71 
DAT END Li ne NN 


160 TABLEAU 


4. Le loup noir. Canis lycaon. IT , 190; er 250 

5. Le loup du D NUE Canis Mexicanus. VIT; 
620, 

6. L'animal anonyme. Canis zerda. 


7. Le chacal. Canis mesomelas. VI, 21543 XIII, 


256. — et l’adive. Canis aureus. VI, 1545 


XIII, 257. 


Rat Canis logonus VER 64 CRIE, 20000 


9- L’hyène. Canis hyæna. III, 27r. 


.. xo. L’alco. Canis alco. VII, 320. | 
VINGT-CINQUIEME GENRE. | 


FÉLIS. (PFelis.) 


Denis incisives petites et égales; molaires 
peu nombreuses et à pointe aiguë; langue 
hérissée de papilles dures; ongles rétractiles. 

ESPÈCES. 


1. Le chat et toutes ses variétés. Felis catus. I, 333. 
2. Le lion. Felis leo. III, 83. | 

3. Le ugre. Kelis tigris. III, 114, 209. 

4 La panihère. Felis pardus. XII, 225. 

5. L’once. Felis uncia. LIT, 225. 

6. Le léopard. Felis leopardus. \IT, -225. 

7. Le jaguar. Felis onoa. LIT, 246. 

8. Le jaguar de la nouvelle Espagne. III, 246. 
9. Le couguar. Felis concolor. IIL, 246. 


_ 


DES MAMMIFÈRES. :xr6r 
ko. Le jaguarète. Felis discolor. III, 246. 
: + Variété À. Le couguar noir. IIT, 246. 

B. Le couguar de Pensilvanie. IT, 2463 
tr. Le lynx oule loup cervier. Felis lynx. IT, FE 
12. Le lynx de Canada, III, 255. 

Variété. Le lynx de iso IT, a 
33. Le caracal. Felis caracal. XII, 268. 

Variété. Le caracal de rs MT, 268. 
x4 Le serval. Felis serval. VI, 136. 


Variété. Le chat sauvage de la nouvelle Espagne 


VI, 130. 
15. L’ocelot. Felis pardalis. VI, 143. 
16. Le margay. Felis tigrina. VI, 140. 
47. Le guépard. Felis jubata. VI, 150. 
xê. Le chat tigre de la Caroline. Felis ru + | 
XIV, 40. 


VÉNC RSS on GENRE. 
CIVETTE. (/iverra.) 


Quatre ou cinq dents molaires de chaque côté; 
langue hérissée de papilles ; ongles à demi 
rétrachles. | 

ESPÈCES, 
z. La civette proprement dite. Jiverra cipétts 


AE; 282; XF,.5. 
14 


Mn 
co ce A TABLEAU | " 
M le zibet. Viverra zibetha. LU, 5 Le fé. 
3. La genette, et la genette de France. Per à 4 

geneita: LI, 209 | à 
4. La genette du cap de Bonne- been. Vriverra | 4 
digrina. AE T Te. Lere 2: 1 
5. La fossane. V'iverra fossanas WE vd D 


VINGT-SEPTIÈME (GENRE. 
à MAR TE. (Masteln) * 062 


F ; “ 

Za seconde dent incisive de chaque côté de 
la méchoire inférieure, placée plus en 
arrière que les autres ; jambes courtes. 


 ESPÉC'E Se 

x. La foume. Mustela foina. W, 219. 

2. La petite fouine de "+ pu Mustela C ah TA 
(Ziverra id. Lainn.}) XI, x7. 

3. La petite fouive de la Guiane. Mustela Guia- 

mens VAT, 14 

4. La marte, Mustela martes. IE, 225. 

9. La grande marte de la Guiane. Airsioha S'uri- 
namensis. X , 61. Ceiteespèce est voisine 
du mustela barbara Linn. selon Latreille. 

6. Le putois proprement dit. Mustela, putorius. 
MRES 220. 

7. Le putois rayé de l'Inde. Mustela Pr 
(F'iverra id. Linn.) IE, 229. 


_ 


DES MAMMIFÈRES. 162 
8. Le furet, et le furet-putois. Mustela fura. 
114233. 

.-9. Le FM Mustela touan. XI, 63. 


10. La belette. Mustela vulgaris. it ,2405 X1,23, 


11. L’hermine. Mustela erminea.T1, 245 ; XI ,40. 
Variété. Le roselet. Mustela æœstiva. XL, 40. 
Le roselet est l’hermine dans son pelage d'été, 

12. Le pérouasca. Musiela Sarmatica. VIL, 3 319, 

23. Le bizam. Mustela tigrina. pere ide 

Lann.) 5 

14. Le zorille. Mustela zorilla. ( Viverra id, 

d'É Linn.) 

15. Le pekan. Mustela Canadensis. VI, 166.. 

16. Le vison. Mustela vison. VI, 166. 

17. La moufette du Chili. idee mapurila. | 

XI, 730. 
18. La zibeline. Mustela Run. VE; 110 
KE, To. 
Les moufettes, VI, 177: ane 

39. Le conépaie. Mustela putida. (Wiverra pu- 

| tida Lun.) VI, 177. 

20. Le chinche. Mustela mephitis. VI, 177. 

21. L'ysquiépatl ou coase., Mustela vulpecula. 

(Wiverra id. Linn.) VI Ÿ 177- 
Les loutres. 
22. La loutre. Mustela lutra. I, 213; IX, 102, 
23. La loutre du Brésil. Mustela Brasiliensis, 


x64 Mie TABLEAU 
24 La saricovienne. Mustela lutris. Vi, 85 
IX, ro8. . 
25, La loutre du Canada. Mustela Hudsonica: ‘* 
CNE, 267 | 


pes 


:CINQUIÈME ORDRE. 


= 


Derits incisives et molacires. 


RONGEURS. 


VINGT- HUITIÈME GENRE. 


LIÈVRE. (ZLepus.) 


Deux dents incisives supérieures et doubles ; 
molaires composées de lames verticales ; 
jambes de derrière plus longues que celles 


de devant; puit 


ESPÈCES. 3 


1. Le lièvre. Lepus timidus. IL, 80. 

2. Le lapin. Lepus cuniculus. IL, 112 ; 
Variété. Le tolai. VIE, 314. à 

3. Le tapeui, Lepus Brasiliensis, VII, 342- ÿ 


DES MAMMIFÈRES. 165 
VINGTNEUVIÈME GENRE. 
DAMAN. (Hyrax.) 


Deux dents incisives supérieures courbes et 
pointues: quatre incisives inférieures plates 
et dentelées; point de clavicules ni de. 
queue. ; R 

ESPÈCES. 


2, Le klipdas, ou daman du cap de Bonne-Espé- 
rance. Hyrax Capensis. XI , 68... ou mar- 
motte du cap de Bonne-Espérance. 

2. Daman Israël. Hyrax Syriacus. VI, xor. 


TRENTIÉÈME GENRE. 
CABIAI. (Cavia.) 
Deux denis incisives supérieures; deux inci- 


sives inférieures ; dents molaires séllonnées; 
point de clavicules ni de queue. 


ESPÈCE. 


x Le cabiai. Cavia cobaye V, 304. 


VC R EN PAT VOUS NON pe TR PONTS viole 2 : HR Ve D 
viR LA ONU FE à 1 A 
ï ; 6 < ENT A 


166 TABLEAU. ENS 
TRENTE- UNIÈME GENRE, 


4 
TR 


AGOUTI. CAgouti.) | 


| Deux dents incisives supérieures ; deux dents ‘ 
incisives-inférieures; point de clavicules ; | 
queue, 5 | 
ESPECES. 
Le L’agouu. Aout: Cayanus. TE, 78; XT, 207. 
2. Le cochon d'Inde. ÆAgouti cobaya. IL, 278. . 
3. L’acouchi. Ægouti acuschy. VAL, 337; XI ,210."% 
4. L'apéréa. Agouti aperea. VII, 340. | 
5. Le paca. ed paca. AV, 239 ; XI, 203. 


TRENTEDEUX IÈME. GENRE. 
CASTOR. Carry 
Clavicules ; queue ovale, déprimée, el ke (né 
d’écailles. 


ESPÈCE. . 
1. Le castor. Castor fiber. III, 36; XI, Gz. 


TRENTE-TROISIÈEME GENRE. 
ONDATRA. (Ondatra.),. 

Deux dents incisives supérieures non com- 
primées; deux incisives inférieures tran- 
chantes; imolaires sillonnées ; queue con 
primée et écailleuse. 


ESPÉCÉ. 
x. L’ondatra. Ondatra zibethicas IX, 302. 
1 ) 


ER ne ct: 


DES MAMMIFÈRES. 167 
TRENTE- QUATRIÈME GENRE. 


MARMOTTE. (Arciomys.) 
Mur dents incisives supérieures no Com- 
priméés; deux incisises inférieures tran- 
chantes; dix molaires supérieures; queue 


velue. ; 
ESPÈCES. 


x. La marmotte proprement dite. Ærctomys mar= | 


motta. IT, 6. 

2. Le souslik. /Æ{rctomys citellus. VIT, 320. 

3. Le zisel. ÆArétomyÿs zizel. VIT, 315. 

4 Le jevraschka > ou là marmotte de Sibérie. 
VI, 98. | 

Pallas prétend que le zisel et le HAT sont 

le rrême animal que le soushk. 

5. Le monax. Ærciomys mônax. XI, 65. 


6. Le bobak. AÆrctomys bobac. VE, dé 


TRENTE-CINQUIÈME GENRE. 
‘HAMSTER. (Hamster.) 

Deux dents incisives supérieures non com- 

primées ; deux incisives inférieures poin- 

tues; six molaires supérieures ; abajoues ; 


queue velue. 
ESPÈCES. 


Lx. Le hamster. Âamster cricetus. ( Mus id 


Lainn.) VI,87; XI, 87, go. 


y Lui D: IV, 79. 


3. Le zemni. Hamster. zemnis (Glis id. séle 1) 
(UNIL 3, 


TRENTESIXIÈME GENRE. 

RAT. (Mus.) 4 

- Deux dents incisives supérieures non compri= … 

mées ; deux incisives inférieures pointues ; 
six molaires supérieures ; point d’abajoues ; 

queue écailleuse. 
ESPÈCES. 

x, Le rat proprement dit. Mus rattus, IT, 253; 

XI, 104. . ÿ 

2. La souris. Mus musculus. II, 261; XI, 104 

3. Le mulot. Mus sylvaticus. ti, 264. 

4. Le surmulot. Mus decumanus. LIT, t. 

5. Le pouc. Mus Volhinicus. VII, 319 
6. Le rat perchal. Aus perchal. XI, 107. 


TRENTE-SEPTIEME GENRE. 
CAMPAGNOZIZ. (Arvicola.) 
“Deux dents incisives supérierrres RON COM= 
primées; deux incisives inférieures tran- 

chantes ; molaires sillonnées ; point d'aba-. 
joues: queue velue. | 
ESPÈCES. 
r. Le campagnol. 4rvicola arvalis. II, 275. 


DES MAMMIFERES. 169 


2, Le rat d’eau. ÆArvicola amphibius. II, 272; 
NI, 322. | 
Variété. Le scherman ou rat es de Stras- 
bourg. XI, 100. 
3. Le lemming. Arvicola lemmus. VI, 194. 


TRENTE-HUITIÈME GENRE. 
LOIR (Myoxus.) 


Deux dents incisives supérieures non comprials 
mées ; deux incisives inférieures pointues 
- six molaires supérieures ; point d’ abajoues; 
giueue velue. 
| ESPÈCES. 
. Le loir proprement dit. Myoxus glis. II, 308. 
2, Le lérot. Myoxus quercinus. IL, 316. 
Variété. Le lérvot à queue dorée. XI, 115. 
3. Le muscardin. Myoxus muscardinus. IT, 3214 
TRENTE-NEUVIEME GENRE. 
TALPOIDE. (Talpoïdes.) : 
Deux dents incisives supérieures non com- 
primées ; deux incisives inférieures longires 
et fortes ; six molaires supérieures; point 
d’abajoues ni de queue. 
 ESFÈCES. 
7. Le rat-taupe. Tolpoides typhlus. XIII, 127; 


15 


d ie 


LT TABLEAU 


2. La grande taupe du Cap, et la grande taupè | 


d'Afrique. Talpoides maritimus: AUX, 
130, T4l- 

3. La taupe du cap de Bonne-Espérance. Talpoïdes 
Capensis. r 130. 


.QUARANTIÈME GENRE. 


 GERBoIsE (Dipus.) 
4 


mées; deux incisives inférieures pointues ; 
six molaires supérieures ; point d'abajoues ; 
pieds de derrière beaucoup plus longs que 
ceux de devant; queue velue. 
ESPÈCES. 
1. Le gerbo ou le gerboa. Dipus gerboa. VI, 100; 


Xi 201. 
2. L'alagtaga. Dipus alagtaga. X, 28r. 


Deux dents incisives supérieures nOo1 COMpTi- 


QUARANTE-UNIÈME GENRE. 


ÉCUREUIL. (Sciurus.) 


Deux dents incisives supérieures ; deux inci- 
sives inférieures ef comprimées ; queue 
garnie de poils épais, et rangés des deux 
côtés comme des barbes de plume. 

ESPÈCES. 


x L’écureuil ordinaire. Sciurus vulgaris. Il, 248. 


DES MAMMIFÈRES. 7x 
2, L’écureuil de Madagascar. Sciurus Madagas+ 
cariensts. 
‘3. Le grand écureuil de la côte de Malabar. Sciurus 
Maximus. 
4 Le petit-gris. Serurus cinereus. XV, 73. 
Variété. Le pett-gris de Sibérie. IV, 73. 
5. Le palmuiste. Sciurus palmarum. IV, 79- 
6. Le barbaresque. Soiurus Getulus. IV, 79. 
7. Le coquallin. Sciurus vaeriegatus. V1, LS LA 
“8e polaiouche. Sciurus volans. IV, 63. Lu 
9. Le taguan. Soiurus petaurista, et sciurus 
sagiitus 


| QUARANT TE-DEUXIÈME GENRE. : 
PORC-ÉPIC (Hystrix.) 
Corps couvert de longs piquans. : 


ESPÈCES 


1, Le porc-épic. Æystrir cristata. VI, 5e 
2. Le porc-épic de Malaca. Me Malacensis, 
XI, 236. 


3. L’urson. Hystriz dorsata. VI, 20. 


Ho 


172 

QUARANTE-TROISIE ME GENRE. 
COENDOU. ( Coendou. ) 1 

Corps couvert de piquans ; la queue prenantes | 


ESPÈCES. 


ze É< coendou,. Coendou PA VI, 545 4 
XI, 218. 1 
2. Le Jess À longue queue. eds Lni 4 
caudatus. XI, 210. | 


SIXIÈME ORDRE. 


Dents laniaires et molaires. 


QUARANTE-QUATRIÈME GENRE. 
PARESSEUX. (Bradypus.) 
Les pieds de devant plus longs que ceux de 
derrière; Les doigts réunis jusqu'aux ongles. 
ESPÈCES. 


x. L’unau. Bradypus didactylus. VL 61; XI, # 
2 L’ai. Bradypus'tridactylus. VI, 67; "XL, 175 À 
3. Le kouri, Braëypus kouri. KE, 18h 


DES MAMMIFÈRES. 173 


SEPTIÈME ORDRE. 


Dents molaires. 


QUARANTE- CINQUIÈME GENRE, 
TATOU. (Dasypus.) ; 
Tome IV, page 106. 


Corps recouvert d’un tét. 
ESPÈCES. 

r. L’apar, ou tatou à trois bandes. Dasypus tri 
cinctus. IV, 114. 

2. L’encoubert, ou tatou à six bandes. Dusypus 
sexcinctus. IV , 118; XI, 168. 

3. Le tatuète. Dasypus octocinctus. IV, 120. 

4 Le cachicame. Dasypus novemcinctus. IV, 
122, 

5. Le kabassou. Dasypus unicinctus. IN, 125. 

6. Le cirquincon. Dasypus octodecimcinctus. LV, 
127. ï 

7. Le tatou à longue queue. Dasypus longicau- 
datus. XI, 168. ‘ 


35 


{ 
PART 
4 fi 
à 1e 

De 


Coutsres SIXTÈME. np | 


ORYÈTÉ R Oo À FA ( Dr es 
Museau très-long ; langue très-longue et 
déliée ; ongles plats. 
ESPÈCE } 


re 4 
Us # cochon de terre. Orycteropus CHR ax 


ne ; JP 


\ 


HUITIÈME ORDRE. 


Point de denis. ., 


QUARANTESEPTIÈME GENRE. 


| FOURMILIER. (Myrmecophaga.) 


| Langue très-longue, déliée, extensible; corps 
couvert de poils. 
ESPÈCES. 
x. Le fourmilier. D A db didactyla. IV, 
84. 
2. Le tamaudua. WMyrmecophaga samandies 1v, 
64; XI, 156. 


3. Le tamauoir. Myrmecophaga ro LV, & | 
XI, 162. 


DES MAMMIFÈ ne 195 
QUARANTE-HUITIÈME GENRE, 
À PANGOLIN. (Manis.) 
Langue très-longue , déliée, extensible; 
| corps couvert de grandes écailles. | 

ESPÈCES. 


x. Le pangolin. Manis pentadactyla. IV, 90: | 
2. Le phatagin. Manis tetradactyla. IV, gg. | 


CINQUIÈME SOUS-DIVISION. 


Les doigts renfermés dans une peau très- 
épaisse, ou plus de deux sabots. 


PACHYDERMES. 


NEUVIÈME ORDRE. 


Dents incisives, laniatres et molaires. 


QUARANTE-NEUVIÈME GENRE. 
COCHON. (Sus.). 


Denis incisives inférieures couchées en avant; 
museau en forme de boutoir; doigts inter- 
médiaires de chaque pied touchant seuls la 
terre. 

ESPÈCES. 
x. Le cochon. Sus porcus. I, 242; XIL, 200, 


776 ai] TABLEAU DL Le | 
2. Le sanglier. Sus scrofa. I, age 0e ÿ "1 


+ LE cochon. de Siam. Sus Sinensis, À » 47 s) 
XIIT, 247. k » À 44 

4. Le pecari ou tajacu. Sus iajassu. Fv, 493 
XI1I1, 240. 


_ 5. Le cochon de Guinée. Sus Guineensis. VII, 323. ; 
6. Le babiroussa. Sus babyrussa. V, 299; XIII 1 
239. 
7. Le sanglier du cap vor. Sus ne AE Yi, L 
325; XIIT, 210. F 
8. Le te NN Sus Æthiopicus. XII, 
229. 


CINQUANTIÈME GENRE. 
TAPIR (Tapirus.) 


Museau prolongé en trompe courte, mais 
mobile. 
ESPÈCE. 


rs. Letapir. Tapirus Americanus. Ÿ, 108 ; VIIT, 
278, 302. Ù 


T1 


DES MAMMIFÈRES. +7 
 CINQUANTE-UNIÈME GENRE. 
HIPPOPOTAME. (Æippopotamus.) 


Quatre dents incisives supérieures recourbées 
en dessous ; quatre incisives inférieures 
apres er avant. | 

ESPÈCE. Ne : 

1. L'hippopotame. Hippopotamus amphibius. v 

120; IX, 30, 48, 52, 57, 60, 8x. 


Y 


DIXIÈME ORDRE, 


Denis incisives et molaires. 


CINQUANTE-DEUXIÈME GENRE. 
ÉLÉPHANT. (Ælephas.) 
Deux défenses très-longues à la méchoire 
. supérieure ; trompe très-mobile et très- 
Jfrexible. 
ESPÈCE. 


x. L’éléphant. Elephas maximus. IV, 160 ; IX, 
22, 30, 


Re 
È Û #; LA 
‘et Anhthus” 


di ot \£e 178 
es 


CRE 


"00 + 


un. À LAS UDARIS molaires: Me Ke 


1 


LCINQUANTE-TROISLÈME GENRE 
en 


R # INOCÉROS. CRhinoceros) 0 M à 


1 À 
Une ou deux grosses COrTneS sur 2 nez ; | 
de grands sabots à NUS PA 
N : qe ke rvr : 4 
| LU MEL sp Eco Es 
r. Le node LR Ares tal unicornis. LV, 27%. 
2; Le rhinocéros d'Afrique. Rhinoceros bicornis. 
CAES ge 10. | 
( À j K 
Q CC . L 
To a | 
l à 


DES MAMMIFÈRES. x79 


SIXIÈME S O US- DIVISION. 


Deux ae DA 


BISULQUES OU RUMINANS. 


DOUZIÈME ORDRE 


Dents incisives, laniaires et molaires. 


CINQUANTE-QUATRIÈME GENRE. 
CHAMEAU. ( Camelus.) 


Quaire ou six dents incisives a la mächoire : 
inférieure. 
ESPÈCES. 


z. Le chameau. Camelus Bactrianus. V, 1; 1X, 
30, 49. y 

2. Le dromadaire, Camelus dromedarius. V, 1; 
IX, 45. 

3. Le lama. Camelus lama. VI, 43; VIII, 2or. 

4. Le paco- Camelus paco. VI, 43. 

5, La vigogne. Camelus vicugna. VIII, 207. 


CINQUANTE- CINQUIÈME GENRE: 


4 
CHEVROTAIN.  (Moschus.) 


rieur'e. À 


ES P È CE s. : 
x. Le chevrotain. Moschus pygmæus. V, 266. 
2. Le chevrotam de Ceylan ,; on le meminas 
Moschus meminna. X, 220. 
3. Le chevrotain de Java. Fr Javanicus. 
XV A2T, 
4. Le musc, ou porte-musc. Moschus moschi- 


ferus. N, 286; VIII, 228. 


TREIZIÈME ORDRE. 
Dents incisives et. molaires. 


CINQUANTE-SIXIÈME GENRE. 


C3 


CERF. (Cervus.) 


Huit dents incisives à la m& ächoireinférieure; : 
des cornes crétacées, annuelles ét rameuses 
sur la téte des mâles: des larmiers. =. 

ESPÈCES. 

z. Le cerf Cervus Va FH Es 12; x, fa. 


Ji 1 
Huit dents incisives à la mâchoire inférieure; 
de longues laniaires à la mâchoire supé- 


0 


tk 


. . € 
f 127 
Ÿ 


DES MAMMIFÈRES. 181 
Variété A. Le cerfde Corse. IT, 123 X; 02: 
AT. LB Be cerf des A rdenries. FE 2ù hipu 

_pelaphus. IL, r25:0Xx , 92. 
: ©. Le cerf-cochon. Cereus porcinusi 
NSE r 2006. 
Le daim. Cerous dama. IL, 65; +. 37- 
“Le cheyreml: 'Cervus capreolus IT, Fa da 
A8 ge DURE ND HAN SÀ 2 


LEE 


Le chevreuil des Indes. Cerous muntjäc: X, se 
L’axis. Cerous axis. Vy 1005 X, 37 


Lélan. Cerous alces. V, x, 65, 


Fr 


D 


Le renne, Cerous tarandus, V, » 145; sh 43), 73. 
De: # orignal , De 59: | ms 
9: Le’ caribou. x. Adi Le 
io. Les mazamiés etle cariacou. Cerous M exicanuss 


V, 272 


CINQUANTE-SEPTIÈME GENRE, 
GIRAF E. ( Carmneloparda lis.) 
Deux proéminences du crâne , coniques , 
permanentes, et revétues de pouls touffus. 
ESPÈCE. 


r La girafe. Camelopardalis giraffa. V1, 263 
VIIT, 240, 258. 
Quadrupèdes, XIV: 16 


ÈS 


(33 ui n'a mat 


CIN bi TEHUITIÈME CG Exre 14 


AN TILOP E. | CAnïilope.) 


LE NERU 


Rome Y, page ns 5 X, ie 


2e) . 
h1443:%) 


Cornes permanentes, LAS ei et diri- 


ægées vers le haut dans la LEP voisine il 


NE" 


de leur base. 2300) db final} IE 


on 57 


ESPÈCES. 


7. La gazelle. ÆAntilope, Jon ba 209 ; + 147. 

2. Le kével. ‘ Antilope kevella. V, 212; X, 223. 

3. La corine. Æntilope corinna. V, 213; x, 147e 

4 La gazelle tzeiran. Antilope. guturosa. >" 
E7T ci 

5. La gazelle kob ou Lbbal AE PYEargas 
X\, 270. , 

6. tel Antilope gazella. Ÿ, 209° 

La gazelle du bézoard. Æntilope oryx. V, 209: 

Le nanguer. Antilope dama. X, 207. 

9. L’antilope. Antilope cervicapra. X , 164. 

10. La gazelle pasan. Æntilope pasan. X, du 
194. 


CS 


71. La chèvre sautante du cap de Bonne-Espé- 


rance. ÆAntilope saliens. X, 192. 


42, La gazelle à bourse sur le dos. PAC dors 


sata. X, 200. 


SE 


DES MAMMIFÈRES. 163 
x3. Le khippspringer. Æntilope klipspringer. X, 
AG RARE à LR ME UE 
14. Le nagor. .Antilope redunca. X , 207. 
15. Le rübok. X, 212. 
26. Le bosbok. X, 224, 
17. La chèvre bleue. _Æntilope: FOR. X 
227. 
18. Le bubale. Antilope bubalis, V, 249; X; , 
269, 272. 
zo. Le onoû. Antilope gnu. VII, ne 123. 
20. Le nil-saut. _Antilope picta. X, DE ee 
21. Le canna ‘et le coudous. Antilope orcas. NV 
_ 272, 282; X, 256. R 
22. Le condoma. Antilope strepsiceros. VW, 200: 
" X, 251, 257. | 
23. La grimme. Antilope grimmier IV 263 ; 
X ,.101,..109- 0 
24 Le guib. Antilope scripta. Y, Te JA 
Varicté. Le saiga. Antilope saïga. Ÿ, 2073 
ù X, 142. 
25. Le chamois. Æniilope rupicapra. V, 183. 


EU à 
A 


à r. 


IN QUAN TEN EUVIÈME GE ; 


M 5 H Ë V.R: E. QE ab qe D: 4 


Cornes ne ane comprimées. ét’ ridées 
-- transversalement; point de larmier.+ 


[nn 
Eau RAT 


ESPÈCES. 


b: +. LObot e 1e' chèvre domestique, » et L toutes re, \ 
variétés. Capra Jurcus. I, fic À 125. 
ŒDL aD | Lit D DE 


ape 


2. si der Capra ibez. Y, pe 1, AE 


#» 


SOIXANTIÈME GENRE. 


RS ee SON NAREE FOUT LS EE 


Cornes permanentes, anguleuses, ridées, 
dirigées près de leur base en arrière ef en 
À ‘en-bas,'et se contournant ensuiteen spirale. 


ES PÈCES.. lo ol ti 


CCE CAE 


A Le bee et la brebis domestique, . toutes 
leurs races ou variétés. Ovis aries. À, 198; 
PL. I12 20 

2. Le mouflon. Ovis ammon. V, 76; X, 112. 

3, La brebis s'repsicérus, ou la brebis de Crète. 
Obvis strepsiceros. V, 83, 257 


{ 


| RE Pat à Le ile ne a RON 2 a PO 


ee DES MAMMIFÈRES. 188 


SOIXANTE-UNIÈME GENRE. 
a" je : nr ANAL À 
| _  BŒUFr. (Bos.) 
Cornes permanentes, dirigées latéralement 
_et en arrière, et se relevant ensuile en 
derri-cercle: 
IR | 


| 


ESPÈCES. 


x. Le bœuf et la vache domestique, et toutes leurs 
variétés. Bos taurus. 1, 150; VII, 311; 
VIII, 135, 146. 

2. Le buffle, Bos bubalus. V, 24; VIII, 135, 
156. 

3. Le bonasus. Bos Bonasus. V, 24. 

4. L’aurochs. Bos urus. V, 243; VI{T, 149. 

5. Le bison. Bos bison. V, 24 ; VIEIL, 135, 140. 

6. Le zébu. Bos Indicus, V, 24, 75; VIII, 135. 


. 


SEPTIÈME SOUS-DIVISION. 


| Un us saboe. 


SOLIPÈDES.. 


QUATORZIÈME ORDRE. 
Dents incisives, laniaires et molatires. 1 


” 


SOIXANTE-DEUXIÈME GENRE, 
CHEVAL. (EÆEgquus.) 
Six, incisives à chaque mâchoire. 
| | ESPÈCES 
x. Le cheval et la jument, et leurs variétés. Equus 
caballus. 1, 8; VIII, 87. 
2. L’âne. Equus asinus. T, 115; VIII, 92. \ 
Variétés. Le muletet le bardeau. VIII, 5, 66. 
3. Lezèbre., Equus zebra. V, 114; VIII, 92, 90. 
4. Le czigithai. VIII, 99. 
Variété. L’onagre. win, 99- 
5. Le koulan. VIII, 1o2. 
6. Le kyvagga. Equus quagga. VIIL, 108. 


Li 


46 OS ani a mag An De 


À 


DES 'MAMMIFÈRES. 17 


SECONDE D IVISION. 
Des ailes membraneuses. 


MAMMIFÈRES AILÉS. 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 
Les pieds de dévant garnis de membranes 
_ en forme d'ailes. 


 CHEIROPTÈRES. 


QUINZIÈME ORDRE. 


. Dents incisives, laniaires et molaires. 


SOIXANTE-TROISIÈME GENRE, 
-: CHAUVE-SOURIS. ( F'espertilio.) 


‘Avant-bras, bras et quatre des doigts de de- 
vant très-alongés; deux ou quatre incisives 
supérieures; six ou huilincisivesinférieuTess 

‘rsrPÈCEs 
x. La chauve-souris. }’espertilio murinus. 1], 208. 


Le 


ox 


2. L oréillar. al chere 


 erthiie Son M 
3. La poctule. Wespertilio noctula. I, 298 
4 La s'roine. Fespertilio serotinus. JL, 298... 
5. La grinde sérotine de la Guiane. P'eperitie | 4 

Gu'ancnsis. XIII, 175. Nan à. 


6 La pipistrelle. Fespertilio pipistrellus. IT , 298 1 


7. La barbastelle. Fespertilio barbastellus. 1, : 
208: de url à 


8 Autre chauve-souris de la Guiane. AU ; Lu l 


SOIXANTE-QUATRIEME GENRE. 
SPECTRE, (Spectrum. ) 


PSN 

Avant-bras.:-bras et quatre des doigts de de- 
vant {rès- alongés : deux ou quatre inCisises 
supérieures ; quatre incisives inférieures. 


{ 


ESPÈCES. 


x. La roussette. Spectrum vampirus. IV, 97-; 
XP MTS ; 

2. La rougeite. Spectrum rubidum. IN, 573 

HART, HA. 


DES: MAMMIFÈRES. 189 


‘SOIXANTE, CINQUIÈME. GENRE. 
RHINOLOPHE. (Rhinolophus. ) 


Avant-bras, bras et quatre.des doigts de 
désant très- -alongés; deux ou quatre inCi= 
sives supérieures ; quatre incisives infé- 
rieures ; une sorte de créte sur le nez. 


ESPÈCES. 
x. La chanve-souris. fer- à-chéval. RAïnolophus 
__ferrum equinume 11, 206. 


2. Laf chauve-souris RE 0 ? Rhinolophus 
soricinus. À, LÉ 


SOIXANTE- SIXIÈME GENRE. 
PHYLLOSTOME. ( Phyllostomus.) 


Avant-bras,braset quatre des doigts de desañt 
très-alongés ; deux ou quatre incisives su- 
périeures; deux ou quatre incisives infé- 
rieures; laniaires très-rapprochées du bout 
du museau; une membrane en forme de 
feuille sur le nez. 


ESPÈCES. 


4. Le vampire. Phyllosiomus spectrum. 1V, 573 
XILL, 177. 


LL 
Le 


4} 


me 


nr air v A 


CA rs. 


“Hasta CA! ET ch à 
NAN OO a ar 


NON: VER é x, 


“Dents laniaires a rats ke 


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SOIXANTESEPTIÈME CENR! 
Lt RAC TILION.* CNoctilio.) + 


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GEAUr doigt des rat de devant | très 


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DES MAMMI Ft CL 


Dour -mopte recu ou er Don nn | 


TROISIÈME DIVISION. | 


Des nageoïr es. 


MAMMIFÈRES MARINS. 


PREMIÈRE SO oem ON. 
Les ., de derrière en for me de nageoires. | 


EMPÊTRÉS. g 


DIXSEPTIÈEME ORDRE. 


Dents incisives, laniaires et molaires. 


SOIXANTE-HUITIÈME GENRE, 
PHOQUE. (PAoca.) 
Tome IX , pages 132, 135. 
Six dents incisives supérieures; quatre inCi- 
sives inférieures. 
Es PÉÈCES. 


z. Le grand phoque à museau ridé. Phoca leoninei 
VI, 206, 210; IX, 136. 


— 


Fa 
À a. NL phoque à à ventre ‘blanc, laktak 0 s. 
Phoca barbata. VI, 2ro3iX, 1h, ER ns 
3. Le phoque à capuchon. Phoca’ ‘cristata. IX ; 161 4 
4. Le phoque à croissant. Phoca Groentandicæs. 
IX, 103.4 x pois 
5. Le phoque net-s0ak Phout AE, IX Va 
6. Le phoque commun. Phoca Situlina, IX; 17°") 
7. L’ours marin. Phoca ursina. IX, 478. 
8. Le petit phoque noir. Phoca, pusilla, IX 1 dé. 
9e Le Hôn marin: Phoca jette 1x, 202. 


+ TT 56 DA TER 
SOIXANTENEUVIÈME GENRE. 


AY 


Mo R S B.  Crricheeus.) 


Deux dents incisises supérieures : “poinéd'ini 


hs 


cisives inférieures à grandes laniaires 
supérieures ; point de laniaires inférieures. 


| i ESPÈCE 


“ 


d” Dé 


—, a morse où SPA vache marine. Trichecus rose 
marusi N1, 237; 1X, 27. 


r r * 
: 


PL MN APR ENQT | Ta EE 
à W: |'4 


DES MAMMIFÈRES. 193 


&3\ 


DIX- BUITIÈME ORDRE 


Denis Mais e£ molaires. 


de du 
LA. À 


SOIXANTE-DIXIÈME GENRE 


DU GON. (Dugong.) — 
Deux laniaïressupérieures, droites etcourtes 
Fa de laniaires LEA EL | 
| ESPÈCE. ANR Les 
x. Le dugon. Dugong Tndicus. VI, a 


SOIXANTE: ONZIÈME GENRE 


LAMANTIN. ( ndtb) y 
Tome IX, page 22. 


Pieds de berieie el queue entièrement réunis 
sous la peau. 


ESPÈCES. 


1. Le lamantin. Manatus œquatorialis. N1, 257: 
2. Le grand lamantin du Kamischatkae Manatus 
Borealis. IX, 231. 
17 


mn” 


A TAC NN ET PAR AR 
RAM V9) LR MINE NUM EEN OURS 
fi a KE # AN 
k 


94 states ue Mu si 
3. Le grand lamantin des. Antilles. Danatus | 
australis. IX, 246. 
& Le grand SAUTER de là mer des Indes. Mas 
natus Indicus. IX, 250. 3 
5. Le petitlamantm d° Arabie Manatus minori 
AR ST ; nn. 
A Le petit lamantin du Sénégal. Manatus Le AS +4 
; galensis. IX, 254. F 


% k - d ! 
& DE SD: = DER EEE 5 4 PT RE over ne pen nn tnt n Ernest, 


sos AP DITIONS. 


AL 


Chat sauvage + la el a AS XIV, 15. 
C’est le même que le serval. F' elss tanear. 


Bizaam. ästela tigrina pe 2 

: Le bizaam n’est pas un chat, comme Vosmaër 

she © écrit, mais une espèce de marte > selon le 
témoiguage de Linné. 


Rat de Madagascar. XIV, 60, 
Cet animal est un petit écureml, différent de 
l’écureuil de Madagascar. Sciurus Madagas- 
| cariensis. 


Guerlinguets. XIV, 84: 
| Les guerlinguets sont des écureuils de la Guiane, 
nommés rats de bois par les colons. 


A RES Lu 


Pa 


| DES MAMMIFÈRES # 
QUARANTE-UNIÈME GENRE (kbis)- 
AYE-AYE. (Ceiromys.) 


Deux dents incisives supérieures et deux inci- 
sives inférieures très-comprimées: 
ESPÈCE. 


x. Aye-aye de Madagascar. Cheiromys Mada- 
gascariensis. XIV, 92. 


DEUXIÈME SOUS-DIVISION. 
Point de pieds de derrière. 


CÉTACÉES. 


Nota. Nous donnerons le tableau des ordres, 
genres et espèces renfermés dans cette dernière 
sous-division qui termine la classe des MAMMt- 
FÈRES, à la fin du volume de l'Histoire naturelle 
des cétacées , lequel paroîtra immédiatement après 
ceux des poissons. 


dx CS #5 ss \° 


sde torpaint Leterme 


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TABLEAU 
| D'ES | 
SOUS-CLASSES, DIVISIONS, 
SOUS-DIVISIONS, ORDRES 
ET GENRES 
DES OISEAUX, 
Par Le C LACEPÉDE; 
Ævco:Vindicotiénies les copèbes 


décrites par Buffon, et leur distribution 
dans chacun des genres, 


ER EF M. DA UP NN: 


47 


PREMIÈRE SOUS-CLASSE. ! 
Le bas de la jambe garni de plumes; | 


point de doigts entièrement réunis 
par une large membrane. 


PREMIÈRE DIVISION. . 


& À 
Deux doigts devant; deux doigtsderrière. 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 
Doigts gros et forts. 
GRIMPEURS. 


PREMIER ORDRE. 


Bec crochu. 


PREMIER GENRE. 


ARA. (Ara.) 

Le bec gros et convexe; la mandibule supé-- 
rieure pointue, recourbée sur l’inférieure, 
et mobile ; la langue épaisse, charnue et 
arrondie à son extrémité; une plate dénuée 
de plumes sur chagie joue. 

ESPÈCES. 
t: Lara ronge, {ra Macao. XI, 259, 


TABLEAU DES OISEAUX. r9g 
2. L’ara bleu. ra ararauna. XI, 272. 
3. L’ara verd. Æra severus. XI, 274, 
4. L’ara noir. 4ra ater. XI, 284. 
5. Le petit ara rouge. 4ra aracanga. XI, 259, 
6. La perriche ara. {ra makawuanna. XI, 384. 


SECOND GENRE. 
PERROQUET. (Psitacus.) 


Le bec gros et convexe; la mandibule supé- 
rieure pointue, recourbée sur l’inférieure, 
et mobile; la langue épaisse, charnue et 
arrondie ; point de place dénuée de co 
sur les joues. 

ESPÈCES. 
Les kakatoes. XI, 134. 


x. Le kakaioe à huppe blanche. Psiftacus cristatus> 
XI, 1356. 

2. Le kakatoe à huppe jaune. Piitachs ra 
reus. XT, +30. 

3. Le kakatoe à huppe rouge. Psitiacus rosaceus. 
XI, 140. 

4. Le petit kakaioe à bec couleur de chair. Pszt- 
tacus Philippinarum. XI, 143. 

5. Le kakatoe noir. Psitiacus gigas. XI, 145. : 


Les perroquets proprement dits. XI, 147. 
6. Le jaco, ou perroquet cendré, Psittacis eriz 


thacus. À, 140: 


L' QU VA UN 
NAN 


PREANE | 
AT 


mé “'"TABLEANN Le | 
77. Le perroquet verd. Psittacus Sinénsis. xT, : 168, ù 


À 
8. Le pérroquet varié. Psittacus accipitrinus. É 
{ 
AT, 17027 Re. 
0. Le vaza, ou perroquet noir, Psittacus nigere | 
ñ -A 

X1T 9 172e n 


10. Le mascarin. Psittacus mascarinus. XT, 174. 4 
z1. Le perroquet à bec couleur de sang. Psittacus 
macrorhynchôs. X1, 176. LAN ‘4 
x2. Le grand perroquet verd à tête bleue d’ Amboine, ? 
Pstitacus gramineus. XI, 177. ; 
13. Le perroquet à tête grise. Pszttacus Senegalus. 
XI, 178. 
a loris. XT, 160. 


34. Lelori noira et ses variétés. Psiltacus rhin, 
AT, 107 | 

25. Le lori à collier. Psrttacus "OUR XI, 166. 

26. Le lori tricolor. Psittacus lory. XI, 186. 

37. Le lori cramoisi. Psittacus puniceus. XI, 190. 

28. Le lori rouge. Psittacus ruber. XI, 197. 

29. Le lori rouge eL violet. Psitacus Guebiensis: 
XI, 193. | 

20. Le grand lori. Rébate grandis. XI, 194 

Les loris-perrucbes. XI, 105. 


21. Le lori-perruche rouge, Psittacus Borneus. 
MILXz06. 

22. Le lori-perruche rouge et violet, Psittacus 
coccineus. XL, 17e 


pot dl 4 | 

DES OISE A U X. 20É 

23. Le lori-perruche tricolor. Psittacus Amboi- 
nensise XI, 108. 

Les perruches de l’ancien continent. XI, 199. 

24. La grande perruche à collier d’un rouge vif. 

Psitiacus Alexandri. X1, 201. 

29. La perruche à double collier. Psittacus bitor- 

quatus. XT, 204. 


26. La perruche à tête rouge. Psittacus Ginginia- 

; aus. XT', 205. | | 

27e TASER tête bleue, Psiftacus cyano- 
cephalus. XL, 206. 

29. La perruche lori. Psitiacus ornatus, X1 , 207. 

29. La perruche jaune. Psittacus solstitialis. XT, 


209. 
30. La perruche à iête d'azur. Psittacus Indicus. 
KE, 22: 


31. Laperruche souris. Psiitacus murinus, XI,211. 
32." a perruche à moustaches. Psitiacus Pondi- 
cerianus. XY,, ATX 
33. La perruche à face bleue. Psittacus hæma- 
i0des. KE. 214. 
34. La perruche aux ailes chamarrées. Psittacus 
olivaceus. X1, 216. 
35. La perruche à collier couleur de rose. Psitla- 
cus Alexandri, Voyez n° 24, XI, 218. 
36. La grande perruche à longs brins. Psittacus 
erÿthrocephalus. XI, 224. 


202 -TABLEAU : 


37. La perruche à ailes rougeâtres. Psittacis eus 


patria. XI, 226. 
38. La perruche à gorge rouge. Psittécus. incar= 
natus. XI, 227. | 4 


39- La perruche à bandeau noir. Duval atrie. 


capillus. XI, 226. 


40. La perruche verte et rouge. Psitiacus J ApO= 


nieus. XI, 230. 
41. La So a A 7 Peltake Pr OU 232. 


Les perruches à courte queue de l’ancien con- 


tinent, XE, 234. 


42. La perruche à tête bleue. Psittacus galgulus. 
XI, 236. 

43. La perruche à tête rouge, ou moineau de 
Guinée. Psittacus pullartus. XI, 238. 

44. La perruche coulacissi. Psitiacus éalguluss 
Voyez n° 42, XII, 243. 

45. La perruche aux rie d'or. Psitiacus chry- 

- sopterus. XI, 245. 34 

46. La perruche à tête grise. Psifiacus canus. 
XI, 247. ù 

47. La perruche aux ailes variées. Pszttacus me- 
lanopterus. XI, 248. 

48. La perruche aux Fes bleues. Psitlacus Capen- 
Hi AT, 290. 

49. La perruche à collier, Paitiaeus torquatuse 
XI, 251. 


si 


À 


DES OISEAUX. 208 
So. La perruche à ailes noires. Psittacus minor. 
: XI, 252. 
5r. L’arimanon. Psitiacus Taïtianus. XI, 254. 


Les perroquets du nouveau continent. XT, 2564 
Amazones et criks. XI, 286. 


Les perroquets amazones. XI, 203. 


52. L'amazone à tête Jaune, et ses variétés. Psit= 
lacus amazonicus. XI, 294 ; 206. 

53. Le tarabé, ou amazone à tête rouge. Psittacus 
tarabe. XI, 290. 

54. L’amazone à tête blanche. Psittacus leuco= 
cephalus. XI, 300. 

55. L’amazone jaune, ou perroquet d'or. Psiftacus 
aurora. XI, 303. 

56. L’aourou-couraou, et ses variétés. Psittacus 


æstious. XI, 304. 
Les criks. XI, 3ro. 


57. Le crik à tête et à gorge jaunes. Fans 

| ochropterus. XI, 317. por 

b8. Le meunier , ou ce poudré. Psitiacus pul= 

| perulentus. X1, 315, | | 7 

59. Le crik rouge et bleu. Psiftacus cæruleo< 
cephalus. X1, 317. | 

60. Le crik à face bleue. Psitiacus Havanensis: 
XI, 319. 

6x. Le crik à tête bleue, et ses variétés. Psitiacus 
autumnalis, XI, 323 


204 (D TABLEAU. 


. 64. Le papegai de paradis. Priahs paradisis. 4 


62. Lecrik, etses variétés, Psittacus ap. sn 3 204 s | 


rer papegais. Ur 335 0 El 


XI, 332, 


65. Le papegai maillé. Pinus Ycbioulais XF, 
334. 

66. Le. tavoua. Psittacus festivus. XI, 336 Fa 
67. Le papegai à bandeau rouges Psitiacus Do 
minicenstise XI, 338. ES 
68, Le papegai à ventre Eden 4 El 
MER ia 3$q TS 


ji 


dj: SCA A 


menstruus. XI, 340. 
mo. Le sassebé. Psittacus collarius. XI, TE 
71. Le papegai violet. Psittiaous purpureus. XI; 

342. à 
72. Le papegai brun. Psitiacus sordidus. XT, 3454 
73. Le papegai à tête aurore. Psittacus auroras 


XI, 346. 
74. Le paragua. Psitiacus paraguanus. XI 347 
Les perriches. XT, 349, 


75. Le maïipouri. Psittacus melanocephalus. X1, 
350. » 


76. Le caica. Psittacus caïca. XI, 394e 


DES OISEAUX. 205 


Les perriches du nouveau continent. XI, 356: 


77. La perriche pavouane. Psitlacus Guianensiss 


XI, 357. 


76. La pesétiié à gorge brune. Psitacus æriigis cr 


nosus. XI, 360. 


79- La perriche à gorge variée, Psittacus persicolor: 


XI, 367. à 
60. La perriche à à ailes variées, Psittacus virescensà 
Al. 309. 


8r. L’anaca. Psittacus anaca. XI, 365. 

82. Le jendaya. Psiitacus jendaya. XI, 367. 

83. La perriche émeraude. Psitlacus smaragdinuss 
XI, 368. 

84 Le sincialo: Psittacus rufirostriss XI, 370: 

85. La perriche à front rouge. Psitiacus canicu- 
laris. XI, 373. 

86. L’aputé-juba. Psitiacus pertinax. XI, 379: 
67. La perriche couronnée d’or. Psittacus Brasi- 
Es INA, 377: | 
88. Le guarouba, ou perriche jaune. Psitiacus Zum 

teus. XI, 379. 


A 


89. La perriche à tête jaune. FT Le 1CterOCE< 


phalus. XI, 381. 


Les touis > ou perriches à courte queue. XT, 386: 


90. Le ioui à gorge jaune. Psittacus tout. XT, 3664 
gx. Le sosové. Psittacus sosope. XI, 369, 


15 


LE 


FOOD SAN NUE 


sé 7TarLERU \4 
02. -Le tiricae Psittacus tirica. XI, 3090. | 4 
93. L'été, ou toui-été, Psittacus RSA XI; À 

392. À 
| 94. Le toui à tête d’or. Psitacus fus. AE Lt - 


DEUXIÈME ORDRE. ‘4 


Bec AAA 4 


TROISIÈME GENRE. 
FOUCAN, € Ramphastos.) 
Le bec convexe, très-léger, très-mèince , el 
plus re que la téte. 
sPÈCES. 


Tr. Le toco. M 1oco. XIII, 356. 
2. Le toucan à gorge jaune, Bamphastos dicolorus., 


XIII, 356. 
3. Le toucan à ventre rouge. Ramphastos re 
XIII, 362. 


4. Le ne Ramphastos torquatus. XIII , 364: + 
5. Lehochicat. Ramphastos pavoninus. XIE, 366. 


_ Les aracaris. XIIT, 367. | 
6. Le grigri. Ramphastos viridis. XIII, 368. | 
7. Lekoulik, Ramphastos piperiporus. XL , 37x: 


DES, OISEAU X. 207 
8. L’aracari à bec noir. Ramphastos luteus. XIII, 
373. 
9. L’aracari bleu. Ramphastos cæruleus. XIIT, 
LL | AUTRE | | 
QUATRIÈME GENRE. 
couroucou. (Trogon) 


Le bec court, plus large que haut, entouré & 
sa base de soies plus ou moins nombreuses ; 


le tarse court, et recouvert en partie de 
plumes. | 
ESPÈCES. 


+. Le couroucou à ventre rouge. Aro curucut. 
XII, 7. 

2. Le courouvou à venire jaune. Trogon viridiss 

3. Le couroucou à chaperon viélet. Trogon viol = 


ceus, XII, 16. 
CINQUIÈME GENRE. 


TOURACO. (Touraco.) 


Le bec plus court que la téte, et dénué de 
suies à sa base. 


ESPÈCE. 


3. Letouraco. Touraco Persa. (Cuculus id. Linn.) 
XII, 25. : 


AMEL AND A PEU TN VO Cr I NON CURE 
A LA pt A de A 1 PTT 
; # 


208 . TA BLE AU 


TROISIÈME ORDRE 


à Bec échancré. 


\ 


STXLÈME GENRES 
BARBU. (Bucco.) 


Le bec gros, pointu, comprimé, fendu jus- 
qu’au dessous des yeux, et garni à sa base 
de soies grosses et roides. 


ESPÈCES. 
Les tamatias. 


7. Le tamatia. Bucco tamatia. XIII, 320. 
. Le tamatia à tête et gorge rouges. Bucco Caya= 
_nensis. XIII, 323. 
3. Le tamatia à collier. Bucco collaris. XITT, 325. 
4. Le beau tamatia. Bucco Maynanensis. XII, 
ns er. | 
. Le tamatia noir. Bucco macrorhynchos. XIIT, 


326. 


. Le tamatia blanc. Bucco melanoleucos. XIIT; 


320: 


DES OISEAUX. 209 

Les barbus. XIII, 330. l 

7. Le barbu à gorge jaune, Bucco no pen 

| XIII, 332. 

©. Le Barbh à à gorsenoire, Bucconiger. XIII, 333. 

g. Le barbu à plastron noir. Bucco capitis Bonæ- 
Spei. XIII, 335. 

10. Le petit barbu. Bucco parvus. LIT, 5974 

11. Le grand barbu. Bucco grandis. XIII » 339° 

12. Le barbu verd. Bucce viridis. XIII, p 

13. Le barbican. Bucco dubius. XIIL, 377. 


QUATRIÈME ORDRE. 


Bec droit et comprimé. 


SEPTIÈME GENRE. 
JACAMAR. (Galbula.) 


La langue courte. 
ESP ÈCES. 
1. Le jacamar proprement dit. Galbula DiridiSe 
XIV, 119. 


2, Le jacamar à longue queue. Galbula paradisea. 


XIV, 1217. 
18 


LAVE à ATY AE, TA e y ROMEO 
: ; h Ne ten a an lat 


20 TABLEAU 
HUITIÉÈME GENRE. 


F1 (Picus. } 


La langue très-longue, extensible, ronde ef 
garnie à #0n extrémilé de petites pointes 
recourbées en arrière. 


ESPÈCES. 


x. Le pic verd. Picus viridis, XIIT, 206. 
2. Le palalaca, où grand pic verd des Philippines. 
Picus palalaca. XIII, 227. 
3. Le palalaca, ou pic verd tacheté des Philippines. 
Picus Philippinarum. XIII, 223. Ê 

4 Le pic verd de Goa. Picus Goensis. XIIT , 225. 

5. Le pic verd de Bengale. Fès Bengalensis. 
XIII, 227. 

6. Le goertan, ou pic verd du Sénépal. Picus 
goertan. XIII, 220. 

7. Le petit pic rayé du Sénégal. Picus Senega- 
lensis. XIII, 230. 

8. Le pic à tête grise du cap de Bonne aécane: 
Picus Capensis. XIII, 237. 

9. Le pic rayé de su D ee. Picus striatus, 
LIT, 232, 

10. Le petit pic olive de Saint-Domingue. Picus 
_passerinus. XIIF, 234. 

41. Le grand pic rayé de Cayenne. Picus mele- 


nochioros. XIII, 236. 


J 2. 


33. 


34. 
19. 


16. 
17. 


16. 
19. 


20. 
217. 


22° 


LR À 


24. 


29. 


26. 


DES OISEAUX. 211 


Le petit pic rayé de Cayenne. Picus Caya- 
nensis. XIIT, 238. 4 

Le pic jaune de Cayenne. Picus flavicans. 
XIII, 240. 

Le pic Rd Picus CIN AMOMEUS. XIIT > 
243. : 

Le pic à cravate noire. Picus multicolor. 
XIIL, 244. 

Le pic roux. Picus rufus. XIII, 246. 

Le petit pic à gorge jaune. Picus icteroce- 
phalus. XITIT, 247. | 

Le irès-petit pic de Cayenne. Picus minutis- 
simus. XIII, 246. 

Le pic aux aïles dorées, Picus auratus. XIIT, 
290. 

Le pic noir. Picus martius. XIII, 253. 

Le grand pic noir à bec blanc. Picus prin- 

_ cipalis. XIII, 259 

Le pic noir à huppe rouge. Picus Lis 
XIII, 262. 

L’ouantou, ou pic noir huppé de Done 
Picus lineatus. XIII, 265. 

Le pic à cou rouge. Pa niger. XIII, 268. 

Le petit pic noir. Picus hirundinaceus. XIE, 
270. 

Le pic noïr à domino rouge. Pieus erÿthra= 
eephalus, XIIT, 272. 


2x2 TABLEAU 

27. L’épeiche, ou pic varié. Picus medius. XITT; 
ey4 

26. Le petit épeiche. Picus minor. XII, 280. 

20. L'épeiche de Nubie, ondé et tacheté. Picus 

| Nubicous. XIIT, 283. 

30. Le grand pic varié de l’île de Lucon. Pitié 
cœrdinalis. XIIT, 285. 

31. Le petit épeiche but des îles Moluiques. 
Picus Moluccensis. XIII, 287. 

32. L’épeiche du Canada. Picus Canadensis. 


XIII, 288. 
33. E'bisieue du Mexique. Picus tricolor. XIIL, 
290. 


34. L’épeiche où pic varié de la Jamaïque. Picus 

Carolinus. XIIT, 292. 
Variété. L’épeiche où pic râyé de la Loui- 

siane. XIII, 294. | | 

35. L’épeiche ou de varié de la Encénada. Picus 
variegatus. XIIT, 296. 

36. L’épeiche ou pic chevelu de Virgime. Picus 
villosus. XIIT, 297: | 

37. L’épeiche ou petit pic varié de Virginie. 
Picus pubescens. X\IT, 299. 

38. L’épeiche ou pic varié de " Caroline. Picus 
varius. XIIT, 300. 

39. L'épeiche ou pic varié ondé, Picus undatwuss. 
XHI, 302.. 


: Pa ( ÿ 
A ° 


DES OISEAU X. 213 


CINQUIÈME ORDRE. 


Bec très-court. 


NEUVIÈME GENRE. 
TORCOZ (Yunx.) 

La langue très-longue, ronde, mince, et 
garnie de petites poinies à son extrémité. 
SP EC 

T. Le torcol. Funx torquilla. XIII, 309. 


SIXIÈME ORDRE. 


Bec arqué.. 


DIXIÈME GENRE 
coucou. (Cuculus.) 


La langue longue et pointue; les ouvertures 
des narines entourées d'un rebord saillant. 
ESPECES; ti 
zx, Le coucou proprement dit, et ses variétés, Cu- 
culus canorus. XIF, 31, 92.- 


ve) 
P 


214 -'T À B L EAU 
2. Le grand coucou tacheté. Cuculus glandarius. 
XII, 105. 


3, Le coucou huppé noir et blanc. Cuculus Pisa- 
nus. XII, 107. | 

4. Le coucou verdôtre de Madagascar. Cuculus 
Madagascariensis. XIT, 108. 

5. Le coua. Cuculus cristatus. XIL, tio, 


6. Le houhou d'Égypte. Cuculus Ægyptius. XI, 
112. 


4 


7. Le rufalbin, Cuculus Senegalensis. XIT, 116. 
8. Le bouisallick. Cuculus No quil à Ft ; 
116. 
9. Le coucou re de Mindanao. A à Min 
| danensis. XII, 120. 
10. Le cuil. Cuculus honoratus. XII, 121. 
11. Le coucou brun varié de noir, Cuculus Tai 
\ tensis, XIE, 123. 
12. Le coucou brun piqueté de roux. Caculus 
punciatus. XIE, 124. 
13. Le coucou tacheté de la Chine. Cuculus ma- 
culatus. XII, 126. 
34. Le coucon bran et jaune à ventre rayé. Cucu- 
lus radiatus. XIF, 127. | 
15. Le jacobin huppé de la côte de Chr 
Cuculus melanoleucos. XII, 126. 
16. Le petit coucou à tête grise et venire jaunes 


Cuculus flavus. RIT, 130 


% T0 


DES OISEAUX. 215 

+ Les coukeels, XII, 137. 1 PA ER 

x7. Le coucou verd doré et blanc. Cuculus auraluss 
XIT, We orr | 

16. Le coucou à longs brins, Cuculus longipennis 
MIS, 130. 

x9. Le coucou huppé à éoltiér: Cuculus Coromañ- 
dus. XII, 137. 

‘20. Le san-hia de la Chine. Ciculus safe AT 
139. 

21. Le tait-sou, ou coucou bleu. Cuculus Jait-sou. 
XII, 141. 

22. Lecoucou indicateur. Cuculus indicator. xII, 

j 142. 

23. Le vourou-driou. Cuculus Afer. xIT, 146. 

24 Le coucou vieillard, ou l’oiseau de pluie. 
Cuculus pluvialis. XII, 140. 

25. Le vieillard à ailes rousses. Cuculus Ameri= 
canus. XIL, 149: | 

26. Le petit vicillard, où coucou des palétuviers. 
Cuculus seniculus. XIL, +40. 

27. Le tacco. Cuculus vetula. XII, 153. 

28. Le guira-canthara. Cuculus guira. XIT, 159: 

29. Le quapactol , ou le rieur. Cuculus ridibundus. 
XII, 160. 

30. Le coucou cornu, ou l’atingacu du Brésil, 
Cuculus cornutus. XITL, 161. 

31. Le coucou brun varié de roux. Cuculus va« 
riegatus, XIL, 163. 


46 .. TABLE 


J 


32. Le cendrillard..  Cuculus Domiaitts AU ù 


165. 
4 D" e coucou piaye. Cuculus Ces XII, 166. 
34. Le coucou noir de Caÿenne, Cuculus 1ran— 


quillus. XII ; 169. 


é 


À 
1 


35. Le petit coucou noir de Cayenne. Cuculus 


tenebrosus. XIL, 170. 
36. Le couroucoucou. Cho Brasiliensis. XII, 


ET) 


ONZIÈME GENRE. 
AUN.I. (Crotophaga.).. | 


UueI% 


La mandibule supérieure rès-comprimée, el 
relevée en carène, 


ESPÈCES. 


x. L’ani pe savanes. Crotophaga ant. XII, di, 
2. L’ani des palétuviers, Crotophaga major. XH, 
170. 


dt d' BE ET AE ,: | NN À 
À CET i 
ai * AUS CO PS NOTE 
{ PEUT 7 

F2 


DES OTS AUX. ler 


SECONDE DIVISION. 
Trois doigts devant; un doigt ou point 
de doigt derrière. 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 
Ongles forts et très-crocus. k 


‘OISEAUX DE PROIE. 


Tome I, page TITI. 


SEPTIÈME ORDRE. 


Bec crochu. 


DOUZIÈME GENRE. 


VAUTOUR (Fauliur.). 
Tome ï, page 206. 

Le bec crochu seulement à l'extrémité; la 
téte ou le cou dénués de plumes eu tout ou 
en partie, et pouvant Se relirer dans un 
collier de longues plurnes. 

ESPÈCES. 

x. Le percnoptère. F’ultur Alpinus. Briss. L, 213. 

Quadrupèdes, XIV: 19 


Je. PT À Et 
\ ILNUTE 5/0 ï 
CAS 1 ane AU, 
ot J CU 


LS TABLEAU 


2 Le griffon. Vultur fulous. I, 216. 

3. Le vautour, ou grand Yautour. Vuliur cinéreuss 
F, 223. Ve 

4., Le vautour à aigrettes. 77: nie cristatus.T, np6 : 

5. Le petit vautour. Z'ultur leucocephalos. T, 23r. 

6. Le vautour de Malte, ou brun. 4 ultur ie 


TL, 2m 
7, Le vautour PARU 4 Ubu ; perenpterus 
1205 


8. Le roi des vautours. f’ultur papa. I, 238. 
9. L’urubu. 7 yliuyr aura. IL, 244. 
10. Le condor. Vultur gryphus. F), 25% 


TREIZIÈME GENRE. 
AIGLE. (Æquila.) 


Le bec crochu à lextrémité; la téte plate 
en dessus, et garnie de plumes; la base du 
bec recouverte d’une peau molle ou cire; 
les ailes très-longues; la première penne 
de l’aile très-courte; le 1arse court, gros, 
ei garni de plumes en tout ou en partie. 

ESPÈCES. | 

r. Le grand aigle. ÆAguila chrysætos. À, 23% 

2. L’aigle commun. Æquila fulva. 1, 142. 

3. Le petit aigle. Æquila nœyia. 1, 746. 


DES OÉ SE AUX." 219 
4. Le pygargue. Aguila albicilla. X, 255 
5. Le balbuzard. Aquila haliætus. L, 16002. 
6. L’orfraie. Æguila ossifragas 1, 170. 
7. Le jean-le*blanc. -Æquila Latich L, 184. 
8. L’aigle des grandes Indes. Æquila Pontice=. 
riana. 1, 107. ‘ 
9. Le petit aigle d'Amérique. SoHEe AIT. 
FE, 206. 
10. Le Éalbbesve de la Caroline. Due Carolina 


I, 197. 
11. Le mansfeni. ÆAquila Antillarum. X, 206. 


QUATORZIÈME GENRE. 
AUTOUR. (Astur.) 


Le bec crochu à l’extrémité; la tête plate 
en dessus, et garnie de plumes; la base 
du bec récousérte d'une cire; les ailes 
courtes; la première penne de l’aile très- 
courte; le tarse long. 

ESPÈCES. 
7, L’autour proprement dit, et ses variétés. Æstur 
palumbarius. 1, 306. 
2. L’autour blond. Æ$tur badius. TL, 314 
3. Le petit autour de Cayenne. Æsfür Cayanensis 
I, 314 


220 TA BTE AM 
QUINZIÈME GENRE. 


ÉPERVIER. CWisus.) + L.: 


Le bec courbé dès la base; a tête plate er! 
dessus, et garnie de plumes; la base du 
bec recouverte d’une cire : les ailes courtes; 
la première penne de l'aile très- -Courte; le 
larse long. | À 

ÉSRÉCERS. 
x. L'épervier proprement dit, et ses variétés. 
Nisus vulgaris. T, 42, 44, 148, 303; II ; 36. 
2, L'épervier des pigeons. Misus. Me. 
I, 42, 44, 148, 303: II, 36. 
3. L'épervier à gros bec de Cayenne. Wisus magnt- 
rostrise l, 314. 


SEIZIÈME GENRE. 
BUSE. (Buteo.). 


Le bec courbé dès la base; la téte plate en 
dessus, et garnie de plumes; la base'du 
bec recouverte d’une cire; les ailes très- 
longues; la première penne de l'aile très- 
courte; le tarse gros et court. 
1 . VS ŒONEIRE 
x. Labuscetsesvarictés. Buteovulgaris.[,0x, 268. 
2. La buse cendrée d’Edyvards. Butea' cinereuss 


J, 296; IT, 105. 


DES OISEAUX. 22% 
3. La hondrée. Butco apivorus L., 2684 4 


D'IX- SEPTIÈME GENRE. 
BÜSARD.. ( Circus.) … 


à bec courbé dès la base; la téte plate en 
dessus, et garnie de plumes; la base du 
bec recouserte d’une cire; les ailes 1rès- 
longues; la première penne de l’aile très- 
courte; le tarse long et gréle. 

ESPÈCES. 
1. Le busard et ses variétés. Circus œruginosus. 
FE 203: 

2. onde Saint-Martin. Crnst cyaneus. “ 204. 

3. La soubuse. Circus pygargus. 1, 204, 200. 

4 Laharpaye ,ou busard roux. Circus rufus. 1,295. 


DIX-HUITIÈME GENRE: 
MILAN. (Miluus.) 


Le bec courbé dès la base; la téte plate en 
dessus, et garnie de plumes; la base du bec 
recouverte d'une cire; les ailestrés-longues; 
la première penne de Paile très-courte; le 
tarse court et foible. | 

ESPÈCES. 
3. Le milan proprement dit Milous Pr 
a D ni oc ARE 


52 OX PO EUE à 
2. Le milan de la C: arolme. - Mlous ares Dé 
ÆjMer8 , BJOÏ 


8. Le it noir ouétoilé. Milous ater. . 274, Le. 
Je crois qué le milah noir ést un jeune du niièn | 
proprement dit. 


\ 
: 
# 
È 


DIX-NEUVIÈME GENRE. 
FAUCON. ( Falco.) 


Le bec courbé dès la basé; La tête plate en 
- dessus, et garhié de plumes; la basé di 
bec recouverte d’une cire; Les ailes très- 
longues; la première penné de l’atlé très- 
longue; le tarse court et fort. 
ESPÈCES. 
x. Le faucon et ses variétés. Falco communs. IT ;1. 
Le faucon d'Islande. II, 24. 
Le faucon noir. II, 24. 
Le faucon rouge des [ndes orientales: IT, 27. 
2, Le faucon huppé des Indéss Falco cirratus. 
IT, 26. À 
3. Le ianas. Falco piscator. 11, 31. 
4. Le gerfaut. Falco gyrfalco. T, 317. 
5. Le lanier. Falco lanarius. 1, 322. 
6. Le sacre. Falco sacer: 1, 325. 
7. Le hobereau. Falco subbuteo. IT, 33. 


DES'OISÉE AU X. 223 
8. La crécerelle. Falco tinnuñculus. I, dm 
9- Le rochier. Falco lithofalco. Il, 44. 
16. 1 ’émérillon. Falco æsalon. 1, 217; IT, 36, 46. 
11. L'émérillon des naturalistes. 11, 49. 


VINGTIÈME GENRE. 


CHOUETTE. CStrix.) 


Lé bec courbé dès la base, et dérud de cire : 
la téte applatie de devant en arrière; les 
yeux entourés de plumes fines et rois 
les tarses, et quelquefois les doigts, coù- 
veris de plumes. 

ESPÈCES. Pire 

1. Le düc, ou grand duc. Szrix bubo. II, 100. 

2. Le hibou, ou moyen duc. Sfrix otus. IT, 110. 

3. Le scops, ou petit duc: Strix scops. II, 123. 

4. La bulotte. Strix aluco. IT, 127. 

5. Le chat-huant. Strix stridula. 11, 137. 

0. L’effraie , où frésaie. Sérix flèrnmea. IT 3 135. 

7. La chouette , ou la grande chevêche. Six ulula, 

II, 142. 

8. Le duc cabure. Strix Brasiliana. 1l, 155. 

g- Le harfang. Sfrix nyctea. Il, 160, 

10. Le chat-huant de Cayenne. Shriz Cayanensis. 

II, 165. 


MMS 4. A, SOUS PAS NETLe Lente pur 
: DEN PANONUS Fay Fab à 1 


#4 TA BLEAM : 


TI. La chouette, ou grande clievèche de nr a : 
Sirix funerea. IL, 166... Ho 1 00 4 


12. La chouette, ou grande chevéches de Saiut+ 
Domingue. Sirix Dorninicensis. Il, 167.: : 


DEUXIÈME SOUS-DIVISION. 
Ongles peu tee doigts extérieurs libres, 


ou unis seulement le long de la première 
phalange. 


PASSERE À U X. 


HUITIÈEME ORDRE. 


Bec dentfele. 


VINGT-UNIÈME GENRE. 
PHYTOTOME. (Phytotoma.) 
Le bec droit et conique; la langue courte 
et non pointue. 
ESPÈCE. 


3. Le guifso balito. Phytotoma Aid 6 VI: 
a < 


DES OISEAUX. 225 


NEUVIÈME ORDRE. 


Bec échancreé. 


VINGT-DEUXIÈME GENRE. 


PIE-GRIÈCHE. (Lanius.). 


Tome II, page 53. 


L'échancrure du bec très-sensible; le becun 
peu comprimé; la mandibule supérieure 
un peu crochue vers le bout, 


ESPÈCES 


1. La pie-grièche grise. Lanius excubitor: Il, 56. 

2..La pie-srièche rousse. Lanius rufus. IL, 62. 

3. L’écorcheur. Lanius collurio. 11, 65. 

pra Le fingah. Lanius cærulescens. 11, 60. 

5. Le rouge-queue. Lanius emeria. Il, 71. 

6. Le langraien. Lanius leucorhynchos. IL, 72. 

7. Le tcha-chert. Lanius viridis. II, 72. 

9. La pie-grièche grise de la Louisiane, Lanivs 
Carolinus. IT, 69 


26  TABLEAU 
VINGT-TROISIÈME GENRE. 


D: YRA Ne (Tyrannus. 1" 


Tome VIIT, page 269. 
Le bec long, droit, et garni de soies à sa base. | 


ESPÈCES. 
Les 1yrañs. 

1. Le titiri ou pipiri. T'yrannus pipini. VIT, 277. 

2. Le tÿran de la Caroline. Tyrannus Carolinus. 
VIII, 277. 

3. Le bentaveo ou le cuiriri. Ve ptet 
VIII, 2709. 

4. Le tyran de Le CAE T'yrännus foros. Lo 
281. 

5. Le caudec. Tyrannus audaz. VIII, 283. 

6. Le tyran de la Louisiane. Tyrannus Ludo- 
vicianus. VIIL, 265. 

#7. Le drongo. HE pholrtl forficatus. VIIT, um. 

8. Le piauhau. Tyrarinus rubricollis. VIII, 292. 
Je regarde le piaubau comme unñé espèce de 

cotinga. 


Les bécardes. II, 73. 


9. La bécarde grise. T'yrannus Cayanus. II, 73. 
xo. La bécarde tachetée. T'yrannus nævius. IT, 73. 
gr. La bécarde à ventre jaune. Tyrannus sulfim w 

ratus, Î1, 74. 


DES OISEAUX. 2277 
12. Le vanga, ou bécarde à ventre blanc. T'yrannus, 
curoirostris. Il, 75. 
13. La pie-grièche huppée. T'yrqnnus Cancdensiss 
Il, 79. 
14. Le savana. Tyrannus savana. VIII, AE. : À 


VINGT-QUATRIÈME GENRE. 


GOBE-MOUCHE. (Muscicapa. ) 
Tome VIII, page 169. 


- Le bec court, droit, et ga ‘ni de soies à sa base. 
ESP È C ES. 
1. Le gobe-mouche, Muscicapa grisola. VIII, 193. 
2. Le gobe-mouche noir à collier, ou gobe-mouche de : 
Lorraine. Macon VIII, 196+ 
3. Le gobe-mouche de l’île-de-France. Muscicapa 
undulata. VIII, 205. 
4. Le gobe-mouche à bandeau blanc du Sénégal. 
_ Muscicapa Senegalensis. VIIT, 207. 
. Le gobe-mouche huppé du Sénégal. Jhuscape 
cristata. VIil, 210. 
6. Le gobe - mouche à gorge brune du Sénégal. 
Muscicapa collaris. VIIT, 214. 
. Le petit azur, ou gobe-mouche bleu des Phi- 
lippines. Musc'capa cærulea. VIT, 216. 
8. Le barbichon de Cayenne, Muscicapa barbate 
VIIT, 216. | 


Cd | 


SI 


! FAO 


228 : TABLEAU 
9. Le gobe-mouche brun de Cayenne: Muscicapa | 
fuliginosa. VIIT, 225. (4 

10. Le gobe-mouche roux à poitrine orangée de “ 
Cayenne. Muscicapa rufescens. VIII, 223. 

11. Le gobe-mouche citrin de la Loüisiane. Mus- 
cicapa citrina. VIII, 224. : 

12. Le gobe-mouche olive de la Jamaïque et de L de 
Caroline. Muscicapa olivacea. VIIT, 225. 

13. Le gobe-mouche huppé de la Marti 
Muscicapa artinica. VIII, 227. | 

14. Le gobe-mouche noirâûtre de la Caroline. 
Musvicapa fusca. VIII, 229. 

35. Le gillit, ou gobe-mouche pie de Cayenne. 
Muscicapa Bicolor. VIIT, 220. 

16. Le gobe-mouche brun de la Caroline. Mus- 
cicapa virens. VIIL, 237. 

17. Le gobe-mouche olive de Cayenne. Muscicapa 
agilise VIII, 232. 

16. Le gobe-mouche tacheté de Cayenne. Musci- 
capa virgata. VIII, 233. 

19. Le petit noir-aurore, gobe-mouche d'A mé- 
rique. Muscicapa ruticilla. NIIT, 235. 

20, Le rubin, ou gobe-mouche huppé de la rivière 
des À mazones. Muscicapa coronata. VIII, 
237. 

21. Le gohe-mouche roux de Cayenne. Muscicapæ 


rufescens. VIII, 230. 


DES OISEAU X: 229 
22, Le gobe-mouche à ventre jaune. Muscicapa 
Cayanensis. VIII, 241. | 


23. Le roi des gobe- mouches, 7HRSCreapa rer 


VIII, 243. 
24, Le gobe - moucheron. re minutai 
VIIT, 245. 


25. Le néberaiNS Mrs pygmée. Muscicapa PIS 
mæas VIII, 247. 


VINGT-CINQUIÈME GENRE: 


MOUCHEROLLE. (Muscisora.) 
Tome VIII, page 240. 
Le bec court, déprimé, droit, et garni de 
soies à sa base. ; 
ESPÈCES. 

Les moucherolles. | 
1, Le moucherolle huppé à tête ae dar. 
poli. Muscivora Paradisi. VIT, 253. 

2. Le moucherolle de Virginie. Muscivcra Caro- 
linensis. VIII, 257. 

3. Le moucherolle brun de la Martinique. Musci- 
vora petechia. VIII, 250. 

4. Le moucherolle à queue fourchue du Mexique, 
Muscivora forficata. VIIT, 260. 

5, Le moucherelle des Philippines. Muscivor& 


Philippensis. VIIT, 262. 
20 


5. TASER 


230. TABLE AU 
6. Le Hs heraile de Virginie à huppe verte 
Muscivora crinita. VIII, 263, 


7. Le kinki-manou de Madagascar. Musoivort 
cana. VIII, 286. 


8. Le preneur Le mouches rouge. Mussionæ 
æstiva. VIII, n 


. Les schets. 


g+ Le schet-bé. Muscivora rufa. IT, 75. 


10, Le schet de Madagascar, Muscivora mutatai | 
VIII, 265. 


11. Le icha- UDbE Muscivora leucocephala. 
Il, 76. | 

12. Le gonolek. Musciyora MES II, 77 

13. Le cali-calic et le bruia. Muscivora Mada= 

gascariensis. Il, 76. 


VINGT-SIXIÈME GENRE. 
| "MERLE. (Turdus.) 
Le bec comprimé au moins près de sa base. 


ESPÈCES. 


1. La grive. Turdus musicus. V, 330, 3484 

2. La grive de la Guiane. Turdus Guisnentite 
ONE 358. 

3. La grivette d'Amérique. T'urdus mins 359. 
4. Le rousserolle. T'urdus grundinaceus. V, 363, 


DES OISÉAUX. 233 


5. La draine, et ses variétés, T'urdus viscivorus. 


NV ;.306, 492 

6. La htorne , et ses variétés. Türdus pilaris: 

mi La bise. de Gus Tirdus Cayanus. 
V, 380. 

8. La litorne du Canada. T'urdus RÉSRAAUS 
V, 38r. 


g- Le mauvis. Turdus Had. V, 383. 

10, La grive bassette de Barbarie. T'urdus Ed 
Baricus. V, 388. 

11. Le tilly, ou grive cendrée d'Amérique. T'urdus 
plumbeus. V, 390. 

32. La petite grive des Phihppines. Turdus Phi 
lippensis. V, 302. | 

13. L’hoamy de la Chine. T'urdus Siñensis.NV, 302 | 

34. La grivette de Saint-Domingue. 7 urdus au- 
rocapillus. V, 393. k 

x5. Le petit merle huppé de la Chine. FRNUE 
jocosuss V, 395: %° 

Les moqueurs. V, 397. 

36. Le moqueur francais. Turdus rufus. N, 401. 

37. Le moqueur. T'urdus polyglotlus, V, 403. 
Les merles. 

z8. Le merle, ét ses variétés. T'urdus merulas 


VI, 5, 14. 


ED 4 ‘ ll 1} D FT EMEN 
LHEMUS ! ï Ka 12 7 P'NDOE ur TU 
4 ARR Lo CIN 


23 TABLEAU 


19. Le merle à plastron blanc, et ses variétés. A 


T'urdus torquatus, VI, 16, 23. 
20. Le merle couleur de rose. Turdus rOSeus: 
4 PA. e 
21. Le merle de roche, AT je VI, 31 
22. Le merle bleu. Turdus cyaneus. VI, 35. 


23. Le merle solitaire. Turdus solitarius. VI ; 39e | 


24. Le merle sulitaire de Manille. Turdus Ma- 
. néllensis. NE, 46. 
25. Le merle solitaire des Philippines. Turdus 
eremila, NI, 46. 
26. Le jaunoir da cap de Bonne-Espérance. Turdus 
morio. VI, 50... 
27. Le merle huppé de la Chine. T'urdus crista= 
tellus. VI, 57. 
28. Le podobé du Sénégal. Turdus Men 


NES 53. 
29. Le Abe de la Chine. Turdus perspicillatus. 
VL,:45 : 


30. Le rh doré, ou merle à longue queue du 


Sénégal. Turdus æneus. NI, 55. 


31. Le merle verd d'Angola. T'urdus pitt 


WE, 00. 
32. Le merle violet de De sh dore auratils: 
VI, 6x. 


33. Le plastron noir de pi vif Turdus Ceylanuss 
VI, 62. 


FE 
PE, ev ee 
DR ST Te. 5 T 


DES OISEAUX. 233 
34 L’oranverd, ou merle à ventre orangé du Sé- 
négal, Pts chrysogaster. VI, 66. 
Le fer-à-cheval , ou merle à ‘collier d’Amé- 
rique, VI, 57. C’est l’étourneau stourne. 
35. L’oranbleu. VI, 67. à 
36. Le merle brun un cap de Bonne-Espérance. 
Turdus bicolor. VI, 68. 
37. Le baniahbou du Bengale. Turdus canorus: 
VI, 66. 
38. L’ourovang, où merle cendré de Madagascar: 
Turdus ourovang: VI, 7o.. 
39. Le merle des colombiers. T'urdus columbinus. 
VI, 71. 2: 
40. Le merle olive du cap de: Fonne-Espérance. 
Turdus olivaceus. N1, 72. 
4t. Le merle à gorge noire de Suint-Demingue. 
Turdus ater. NI, 73. ï 
42. Le merle du Canada. Türdus Canadensis. 
VI, 70. 
43. Le merle olive des. Indes. Turdus Tndious. 
VI, 76. 
44, Le merle cendré des Indes. T urdus cineras- 
censa V1, 77. 
49. Le merle brun du Sénégal. Turdus Senega- 
lensis. VI, 76. 
46. Le tanaombé, ou merle de Ms be 4 
Madagascariensis. VE, 79e 
2Q 


—_ 


% RUV : PUR M Lin pie 
l ax Le 1 { 
rl A RE 


234 TABTE AUS. | 
47- Le merle de Mindänaos Turdus Mindanénsiè » : b. 
VL, 8o. ‘1 
48. Le ta verd de l’île de Phsro Tandis Mau- 
ritianus. VI, 63. | 
49. Le casque noir, ou merlé à tête noire dà cap 
de D Turdus atricapillus. 
VI, 632, 
5o. Le Len cap de Biub-Eupétéinel Turdus 
) Capensis. VI, 85. 
51. Le mérle bruñ de la Jamaïque. Turdus léu- 
cogenuss VI, 87x 
52. Le nierle à crävate de Cayenne. VE, 88. 
53. Le merle buppé du cap de Bonne-Ehpérance. 
| Turdus Cafer. VI, 69 L 08 
54. Le merle d'Amboïne. T'urdus Æmboinensis. 
MEL ont | 
ss. 15 merle de l’ilé de Bourbon. Tardus st 
Bonicus. VI, 92. 
56. Le merle dominicain des Philippines. % urdus 
dominicähuss VI ; ÿ3: 3 
Sr. Le merle verd de la Caroline. Türdus vrais 
VI, 94 | 
58. Le terat-boulan, ou mere mad Indes. Turdus 
 ôrteritalis. NI, 65. al "EN 
59. Le saui-jala, ou merlé doré de Madagascar 
Turdus sauwi-jala. VI, 97 SR 
6o. Le merle de Surinam: Turdus Surinamensis. 


VI; 00. 


64. 


69. 


DES OISEAU X. 235. 
. Le palmisie. Türdus palmarum. VI, 00. 


À 


. Le merle violet à ventre blanc dé Jüida. arte 


léucogaster: VI, ro. 


. Le merle roux de on VI, ro. 
Le petit merle brun à gorge roussé # À di 
Turdus rufigularis. VI, 103. 


-Hispäniolènsis. VI, 104. 


Baricus. VI, 105. 


. Le merle olive de. D ne Turdus 
L Le merle olivâätre de Barbarie. T'urdus Bar- 


. Le molôxita , ou la [religieuse d’Abyssinie. 


Turdus môñacha. NT, 107. 


 Æthiopicus. VI, 108. 


. Le merle noir ét blanc d’ Abyssinie Turdus 


Le merle brun d'A byésiie. Turdus Aiys- 


stnicuss VE) 109. 


70. Le grisin de Cayenne. AE VI, III. 
71. Le verdin de la Cochinchiné. T'urdus Cochin 


724 L'azurin Turdus cyarurus. VI, 1153 VITE, 


73: 


mé La brèvé de Ceylan. Turdus Cabrio 


chinensis. VI, 113. 
120. 
Les brèves, VI, 1x7. 


La brève des Phitippines. 
nen$is. NI, 110. 


VI, z19. 


1 


À 


T'urdus Minda+ 


236 CT ABLE AU 
75. La brève du. Bengale. Türdus à rochyuna 
NL. 12054514 110 


76. La bn ève de NE: Turdus Madécassus. 
WT: 120: 


#7. Le cincle, ou merle d’eau. Turdus cincluts. 


XVL, Samir. | pr 
VINGT-SEPTIÈME GENRE. 
FOURMILIER. (Myrmecophagu.) 

Tome VII, pages 117, 149. 


ïe he : et comprimé au moins près de 


la base; le tarse alongé; Les diles eb la 


queue courtes. 
ESPÈCES. 
T. L'p roi des fourmiliers. Myimecophaga pe 
.; daria. VIIL, 125, * 
2. Le: grand béfroi. Myrmecophage tinnicä. 
VIIT, 129. 
84 Leypetit béfroi. Hyrmecophaga Zen VIT; ; 
152. | 
4 Le palikour , ou PA Am dit. 
Myrmecophaga formicivora. VIIL, 133. 
5. Le colma. Myrmecophaga colma. VIIE, 136. 
6. Le téiéma. Myrmecophaga tetema. VIII, 137. 


g. Le fourmilier huppé. Myrmecophaga cirrataa 
VIF, 138. 


% 


DES OISEAU X. 23 
8. Le fourmilier à oreilles blanches. Myrmeco- 
phaga aurita. VIII, 140. 
9. Le carillonneur. Myrmecophaga campanella, 
VIII, 147: A 
10. Le bambla. Myrmecophaga bambla. VIII , 
143. 
11. L’arada. Myrmecophaga cantans. VIIT, 144. 
12. Le coraya. Myrmecophaga coraya. VIII, 
190. 
13. L’alapi. Myrmecophaga alapi. VIT, 15r. 


VINGT-HUITIÈME GENRE. 


(d 


LORIOT. (Oriolus.) 
Le bec conique vers la pointe; le tarse fort. 


ESPÈCES. 


3. Le loriot. Oriolus galbula. V, 317. 
Le coulavan. Oriolus Chinensis. V, 326. 
3. Leloriot de la Chine. Oriolus melanocephalus. 
V, 326. 
. Le loviot des Indes. Oriolus Indicus. V, 326, 
. Le loriot rayé. Oriolus radiatus. V, 329. 


rt 


MES 


LS ROMEO eu CR 042200 ECTS ARE EAN ARS 
à le, PATES UE VCOMNTALEN TRE 


238 CTABLBAU A 
VINGT- NEUVIÈME GENRE, 


COTINGA. (Ampelis.) : 
Tome VIII, page 87. 

Le bec déprimé à sa base. 
| ÆSFECES. 

3. Le jäséut. Æmipélis garrulus. VI, 130, 155. 
2. Le cordon bleu. _Ampelis cotinga. VIIT, ox. 
3: Le quereiva, Æinpelis Cayaña. VIII, 03. 

4. La tersime. Æmpelis tersa. VIIT, 05. 

5. Le coungi à plumes soyeuses. Æmmpelis May 
nana. VIII, 06. | 
6. Le pacapac, où pompadour. Amplis pom<. 

padora. VIII, 98, xor. 
7. L’ouette, ou cotinga rouge de Cayenne. AM 
pelis carn'fex. VII, 103. 
8. Le guira-panga, ou cotinga blanc. er 
carwnculatas VIIL; 106. 
9. L’averano. Æmpelis variegata. VIW 110. 
30, Lé guirarou. Æimpélis. pi co VI, is 
316, | 


DES OISEAUX. 33 
TRENTIÈME GENRE 


TANGARA. (Tanagra.) 
. Tome VII, page 213, 


Le bec. conique, pointu, presque Wiangu- 
laire à sa base, et un ge incliné vers. 
‘Ze bas & sa pointe. 


ESPÈCES. 


I. Le grand tangara. T'anagra MmaAgnde VIT , 2174 

2. La houppette, Tanagra cristata. NII, 219. 

3. Le tangavio. Tanagra Bonariensis, VIL, 221e 

4. Le scarlatte. Tanagra rubra. VII, 223, 

5. Le tangara du Canada. Tanagra Canadensis. 
VII, 220. 

6. Le tangara du Mississipi. Tanagra Muse 
. piensis. VII, 237. 

7. Le camail, ou L cravate. Tanagpra a 6 

ANAL, : 294: 

8. Le ue. Tanagra atricapilla. VII, 236. 

g L’onglet, Tanagra striata. VII, 237. 

10. Le tangara noir et le tangara roux, el 

leucoptera. VIT, 239. 

13. Le turquin. Tanagra Brasiliensis. VIT, 247, 

32. Le bec d'argent. Tanagra jacapa. VIT, 242. 

13, L’esclave. Tanagra Dominice. VII, 247. 


4 RATE EST PONTINERE 
Lun à Ÿ De NE v 


240. TABLEAU 
r4. Le bluet. Tanagra episcopus. VIL, 2494 
15 Le rouge-cap. Tanapra gularis. VII, 251: 
16. Le tangara verd du Brésil. Tanagra virens. 
NUIT, GS2. 
17. L'olivet. Tanagra olipacea, NUL, 253. 
16. Le tangara diable enrhumé. SEE: Mexii 
De M dE NO AE | 
19. Le verderoux. T'andgra Guianensis. VIL, 257. | 
20. Le passe-verd. VII, 258, 267. ; 
21. Le tricolor. Tanagra tricolor. VII, 26t. 
22. Le gris-olive. Tanagra grisea. VII; 264. 
23. Le sepuicolor , ou tangara tatao. Tanagra 
tatao, VII, 265. 
24. Le tangara bleu. T'anagra cϾrulea. VIT, 270. 
29. Le tangara à gorge noire. T! AA nigricollis. 
VII, 272. 
26. La coiffe noire, Tanagra pileata, VII, 293. 
27. Le rouverdin. Tanagra gyrola. VIT, 270. 
28. Le syacou. T'anagra sayaca. VIT, 278. 
29. L'organiste. Tanagra musica. VII, 2680. 
30. Le jacarini. VII, 284. 
Cet oïseau est le même que le moineau de 
Cayenne. 
31. Le téité. Tanagra violacea. VII, ik 
32. Le taugara nègre, Tanagra ESS 
VII, 200. 
33. L'oiseau silencieux. Tanagra silens. V IT, ‘296. 


/ 


DES OISEAUX... 241 


DIXIÈME ORDRE. 


Bec droit et conique. 


TRENTE-UNIÈME GENRE. 
CACIQUE. (Cacicus.) R 


Le bec à pointe acérée, à base arrondie, 
très-gros, très-long, et formant une échan- 
crure arrondie dans les plumes du front. 


ESPÈCES. 

T. Le cacique jaune du Brésil, ou l’yapou, vuls 
gairement le cul-jaune, Cacicus Persicuss 
V, 294. | 

2. Le cacique rouge du Brésil , ou le jupuba, vul- 
gairement le cul-rouge. Cacicus hæmorrhous. 
V, 296. 

3, Le cacique verd de Cayenne, et le cacique 
huppé de Cayenne. Cacicus cristatus, V, 
301. 

4. Le cacique de la Louisiane. Cacicus leucoce-. 
phalus. V, 304. : 


22 


CL DEN DE UE RENSS CAN Lu 
4° nl YA RSS M * ("A 
' AN Ÿ à »i y 
} 


TRENTE-DEUXIÈME GENRE. 


TROUYIALE. (Jcterus.) 
Tome V, page 245. 


Le bec à pointe acérée, à base arrondie, 


et formant une échancrure pointue dans | 


les Ni du dis 


ESPÉC ES. 


r. Le troupiale. Zeterus vulgaris. V, 250. 

2. L’acolchi de Seba. Jcterus novæ Hispanieæ. 
V, 254. 

3 L'arc-en-queue, Icterus ne A V, 256. 

4. Le Japacani. Jcterus japacani. V, 258. 

De Le xochitol et le cocostol. Icierus costototl. 
V,261t. 

6. Le tocolin. Zcterus griseus. NV, 265. 

7. Le commandeur. Zcterus phæniceus, V, 266. 

+ Le troupiale noir. Zcterus niger. V, 273. 

petit troupiale noir. Zdem, V, 275. 

LO NL troupiale à calotie noire. Zoterus Mexi- 
canus. V, 277: 

11. Le troupiale tacheté de Cayenne, Tcterus 
melancholicus. V, 278. 

12. Le troupiale olive de Cayenne. Zcterus oli= 
vaceus. V, 260, 

13. Le cap-more. Jcterus tcxtor. VW, 282. 


+ 


H \9 © 
tr 
@ 


DES OISEAUX. 248 
x4. Le siffleur. Jcterus viridis. V, 287. 
15. Le baltimore. Zcterus baltimore. V, 289. 
Variété. Le baltimôre bâtard. Zcterus ne 
V, 2 ,2° 
Les pics-grimpereaux. XIII , 306. 
16. Le picucule de Cayentie. Zcterus picus. XIII, 
306. 
37. Le talapiot, Joterus scandens. xIN, 306. 


TRENTE-TROISIÈME GENRE: 
CAROUGE. (Xanthornus. ÿ 


Le bec gréle, à pointé acérée, ef à base | 
arrondie. 
ESPÈCES, 

x. Lecarouge proprement dit. Xanthornus bonana: 
V, 305. 

2. Lé peut cul-jaune de Cayenne. Xanthornus 
analis. V, 30). 

3. La coiffe Jaune. Xañthornus iclerocéphalus. 

MP Or Le | 

4 Le carouge olive de la Louisiane. Xanthornus 
Ludovicianus: V, 313. : 

Cette espèce est nommée par Latham, oriolus 

Capensis. 


5, Le kiuk, Xanthornus Sinensis. V, 325 


- 


244 _TABLEAU. 


TRENTE- QUATRIÈME GENRE. 


É TOURNEAU. (Séurnus.) 


Le bec alongé , à pointe acérée, à base 


anguleuse ét un peu déprimée; les ouver- 
tures des narines un peu recouvertes. 
ESPÈCES. 


tr. L’étourneau proprement dit. Swrnus MAN | 


Vi 277 

2. L’étourneau-pie da cap de Bonne-Espérance. 
Sturnus Capensise V, 235. 

3. L'étourneau de la Louisiane ou le stourne, et 
le fer-à-cheval ou merle à collier d’A mé- 
rique. Sturnus Ludovicianus. V, 237. 

4. Le tolcana. Sturnus juncetr. V, 230. 

5. Le cacastol. Siurnus Mericanus. NV, 240. 

6. Le pimalot. Siurnus pimalot. Noi 24e, 

7. L’étourneau des terres magellaniques ,, ou le 
blanche-raie. Sturnus militaris. V, 242, 


TRENTE-CINQUIÈME GENRE. 
GROS-BEC. (Zoxia.) 


Le bec court, très-gros à sa base, et peu 
convexe. | 
ESPÈCES. 

y. Le hec-croisé. Eoxia crucérostra. VI, 164. 


2° 


3. 
4. 
D 
6. 
7 


ë. 
9. 


IC. 


II. 


12. 


13. 


T4. 
35. 


16. 


17. 


16. 


19. 
20. 
22, 


D'ES : OTSEAU X. PR 
Le gros-bec proprement dit. Loxia cocco- 
thraustes. VI, 158. 
Le gros-bec de Coromandel. Loxia Capensis. 
VA 
Le gros-bec bleu d'Amérique. Loxia grossae 


VI, 174. 


*- Le dur-bec. ZLoria enucleator. VI, 175. 


Le cardinal huppé. Loria cardinalis. V1, 176. 


. Le rose-vcorge. Loxia Ludoviciana. VI, 178. 


Le grivelin. Loxia Brasiliana. VI, 170. 
Le rouge-noir. Loxria erythromelas. VI, 180, 
Le flaverd. Loria Canadensis. NI, 185. 
La queue-en-éventail. ZLoxia fetetiferes 
VI, 182. 


Le padda , ou l’oiseau de riz. Loxia orysivora. | 


VI, 163. 
Le toucnam-courvi. Loxta Philippine. VI, 
109. 
L’orchef. Loxia Bengalensis. VI, 166. 
Le gros-bec nonnette. Loxia collaria, VI, 166, 
Le grisalbin. Loria grisea. V1, 167. 
Le quadricolor. Loria Malacca. VI, 108. 
Le jacobiv. Loxia punciularia. V1, :80, 
Le domino. Loria Malacca. VI, 189. 
Le baglafecht, Loxia baglafecht. VI, 19+. 
Le gros-bec d’Abyssinie, Loxia Abyssinicaæ 


VI, 192. 


\ 


22. Le gros-bec tacheté du cap de Boññée-Espé” | 


23: 


TAËLEZAG 


rance. ZLoria aure@. VI; 196. " 
Le grivelin à cravate. VI, 107: 


Les verdiers. 


pe verdier proprement dit. Loxia sp à 


VII, 136. 


. Le pape. Zoxia ciris. VII, sat 146. 
. Le toupet bleu. Loxia cyanopis. VII, x47. 


. Le parement bleu. Loria viridis. VIT, 149. 
. Le verd-brunet. Loxia butyracea. VII, 150. 


Le verdinère. Loria bicolor. VII, 152. 


* Lé verderin. Loria Dominicensis. VIi,253. 


Le verdier s sans verd. Loxia Africana. VIF, 
194. 


Les bengalis et les sénégalis. 


. Le bengali proprement dit, Zozza Forges 


lensis. NII, 45. 
Le bengali brun. Lozrta fusca. vi, 40: , 


. Le bengali piqueté. Loxra amandava: VIE, 52. 


Le sénégali proprement dit. Loria Senrgal. 


VH, 535 5% 


. Le sénégal ravé. Lotia astrild. VIT, 56. 
. Le sérévan. Loxia serevan. VI, 50. 

. Le petit moineau du Sénégal. VIT, 61. 

. Le muïa. Loxia maja. NII, 62: 


Le maïan. Loria majan. VII, 64. 


DES OISEAUX. it 


41. Le grenadin. Lozia rt NE VIH, #364 | 


Les colious. 


42. Le coliou. Lorra colius. VITI, 38. | 
TRENTE- SIXIÈME GENRE. 


BOUVREUIL. CPyrrhula.) | 


Le bec court, très-gros a sa base, et convexe * 


par-dessus et par-dessous. 


ESPÈCES. 


. Le bouvreuil proprement dit, pres Jui 


garis. VIII, 5. 


. Le bouveret. Pyrrhula auräñtia: VII, 83 
. Le bouvreuil à bec blanc. Pyrrhula- torride. 


VEIL, 25. à 


. Le bouveron. Pyrrhula lineata: VIIL, Lu 
. Le bee rohd à ventre roux: Pyrrhula pe 


VAT; 26. 


. Lebec-rond, ow bouvteuil bou d'Aiériques 


Pyrrhula cærulea: VIT, 30: 


. Le bouvreuil, ou bec-rond noir et blanc. ur 


rhula rigra. VW, 32. 


. Le bouvreuil violet de Ia Caroliné. Pyvrhule 


puñpurea. NTIT, 33. | 
Le bouvreuil violet à gorge et duree rOU2ES, 


Pyrrhula violacea: VUA, 34 


RTE FAURS LAN UE 


248 TT A B La dot 4 à 
#0. La huppe noire. Pyrrhula coronata. VIII, 35» 


tr. L’hambouvreux. Pyrrhula  « VIII, 
50. 


TRENTE- SEPTIÈME GENRE. 
MOINEAU. (Fringille.) 


ZE bec court, et peu gros à sa base. 
lESPÉCES. 


x. Le pinson, et ses variétés. FARÈTS cælebs. 
VII, 66, 80. 
2. Le pinson d’Ardennes. Fringilla montifrins 
Ni Leds VII , 82. 
3.: Le grand montain, Fringilla Lapponica. NII ; 
94+ 
4 La niverolle, ou pi pinson de neige. Fringilla 
australis. VII, 06. 
. Le brunor. Fringilla bicolor. VIT, 98. 
. Le brunet, Fringilla pecoris. VII, 00. 
. Le bonana. Fringilla Jamaïca. NIET, 100. 
. Le pinson à tête noire et blanche. Fringilla 
zena. VIT, 1of. | 
9. Le pinson noir aux yeux rouges. Fringilla ery- 
throphihalma. VII, 103. 
ro. Le piuson noir et jaune. Fringilla Capensis. 
VIT, 104. ù 10 
sr. Le pinson à long bec. Fringilla longirostriss 
VIL, 05. 


1 A ax 


DES OISEAUX. 249 
12. L’ohvette. Fringilla Sinica. VIT, 106. 
13. Le pinson jaune et rouge. Fringilla Eustachir. 
VII, 107. 
14. La touite, Fringilla variegata. VIT, 100. 
25. Le pinson frisé. Fringilla crispa. NIE, 111. 
16. Le pinson à double collier. Fringilla an 
MIEL. U112% 
17. Lenoir-souci. Fringilla Bonariensis. VIT ,113. 
18. Le moineau et ses variétés. Fringilla domes- 
tica. VI, 198- FL 
19. Le moineau du Sénégal. VI, 210. 
20. Le moïneau à bec rouge du Sénégal. Fringrlla 
quelea. NI, 211. 
21. Le père noir. Fringilla noctis. VI, 212. 
22: Le dattier, ou moineau de dattes. Fringilla 
capsa. VI, 215. 
23. Le friquet. Fringilla montana. VI, 2x7. 
24. Le passe-verd. Fringilla viridula. V1, 223. 
25. Le passe-bleu. Fringilla cœrulea. VI, 223. 
26. Les foudis. Fringilla Madagascariensis. V1, 
224. | | : 
27. Le friquethuppé. Fringilla cristata. VI, 225, 
28. Le beau marquet. Fringilla elegans. VI, 226. 
29. La soulcie. Fringilla petronia. V1, 227. 
30. Le soulciet. Fringilla Canadensis. VI, 230. 
31. Le paroare. Fringilla Dominicana. VI, 235. 
32. Le croïssant. Frinoilla arcuata. VI, 232. 


| 


MS à À 


di NHNRMEERER 
250 . AT AS CHAN N “M 
Le seriñ des Canaries, Fringilla Canaries 
VI, 254, 293. | 
Le worabte, Fringilla Akyshtoll WI, 298. 
L'outre-mer. Fringilla ultra-marina. VI, 300. 
Le serin jaune À front couleur de safran. Fréne 
gtlla flaveola. VI, 293. 
L'habesch de Syrie. Fringilla nero) VE 
Jo. 
38. La linotte. Fringilla linota. VII, 5, 22. 
39. La linotte, ou le gyntel dé Sels bourg Frin- 
gtlla Argentoratensis. VII, 23. 
4 La linotte de montagne, Fringilla montium. 
VIT, 24. 
Variété. Le cabaret. vIl, 26: 
41. La vengoline. Fringilla Angoleñsis: VI, 36: 
42. La linotte gris-de-fer. Fringilla cana. VII, 
RE 
43. La linotte à tête jaune. Fringillàa Méxicana. 
VIE 28: 
44 La linotte brune. Fring'lla obscura. VW, 35: 
45. Le ministre. Fringilla cyanea. VIH ,- 37. 
46. Lé chardonneret, et ses variétés. Fringilla 
càrduelis. VII, 156, 174. 
47. Le chardonneret à quatre raies Fringilla 
| Lulensis. NII, 184. 
48. Le chardonneret verd ; ou le maräcaxäo. Frins 


gillà melba, VII, 165. 


34. 
35. 
36 


37. 


DES OISEAUX. 25£ 

#9. Le chardonneret jaune. he io tristis, VII, 
187. 

So. Le sizerin. Fringilla linaria. VII, 1917. , 

5r. Le tarin. Fringilla spinus. VIT, 196, 207. 

22, Le catotol. Fring'lla cacatotoll. VIT, 217. 

53. L’acatéchili. Fringilla Mexicana. NII, 211. 


TRENTE-HUITIÈME GENRE. 
| BRUANT. (Emberiza.) 


Le bec pointu ; la mandibule supérieure plus 
ou moins étroite que l’inférieure; la ligne 
de réunion des deux mandibules, courtez 
une petite éminence osseuse au palais: 


ESPÈCES. 

4, L'ortolan proprement dit. Æmberisa hortua 
lanus. VII, 28. | 

2. L'ortolan de roseaux. Æmberiza schæniclus. 
VIT, 300. 

3. La coquelüche. VIR 314. 

4. Le gavoué de Provence. Emberiza Provincialis, 
ME) 210. 

8. Le nutilène de Provence. F0 Lesbia. 
VIT, 316. 


6. L'ortolan de Lorraine. 7 Lotharingica : 
70 320: 


M US ONE AE RAM à LORS 
Me + % « * 


252 _ TABLE AU 

#7. L'ortolan de la Louisiane. Emberizae Ludo» 
viciana VII, 323. 

6. L’ortolan à ventre jaune du cap de Bonne 
Espérance. VIL, 325. | 

4 9- L'or! :olan du cap de Banni Es réal E se - 

Capensis. VII, 327. | 

20. L’ortolan de neige. Emberiza nivalis. VII, 
\'320$ 942. , 

II. L'agripenne , ou l’ortolan de riz. Emberiza 
oryzivora. VII, 337. 

12. L’ortolan de la Li ane. VII, 340. 

13. Le bruant de France. Emberiza citrinella. 


VII , 342, 348. 
14 Le zizi, ou bruant de haies, Emberiza cirluse 
VII, 349. 


15. Li bruant fou. Emberiza cia. VII, 353. 
16. Le proyer. Emberiza miliaria. VII, 356. 
17. Leguirnegat.Emberiza Brasiliensis. VII, 362. 
18. La thérèse jaune. Emberiza en | 
364 
ni L’olive. Emberiza olivacea. VII, 365. 
. Le bruant amazone. Emberisa amazona. 
VIL, 366. 
2r. L'embérise à cinq couleurs. ÆEmberiza pla 
tensis. VII, 366. 
22. Le bruant mordoré. Emberiza Borbonicai 


VII, 368. 


DES OTSEAUX 235 

23. Le gorambouch. Æmberiza.grisea.- VIT, 360. 

24. Le bruant familier, LL de SEE ee 

VIH ; 370: mis hi 

25. Le cul-rousset, Emberiza cinerea. VII, 370. 

26. L’azuroux. Émberiza cærulea, VIl. spa 

27. Le bonjour-commandeur. Emberiza d à 
ES CUP ER ONE, 7 | jo al 

26. Le calfat. Emberiza cal at. VI, Sr in 


Les veuves. VII, 115. 


29. La.yeuveau collier d’or, Æ vrhèri et ar 
VII, 120. 
30. La veuve à quatre brins, Emberiza regias 


VII, 224. 

DEL La veuve dominicaine. Emberiza Serena. VIT, 
126. 1 du ci “AE 

32. La grande veuve. Emberiza. Vu VIT, 128, 

33. La veuve à épaulettes. Emberisa longicauda. 
Nik, 190. 4 ie 

34.-La veuve mouchetée. Emberiza principelis. 
WLk. 132. de ts 

35. La veuve en feu. Emberiza ME 
VIT, 134. 

36. La veuye éteinte. : Emberia psiäces. VIL, 
135. | 


LA 
1% 


Quadrupèdes, XIV: 22 


#4: 


RE à 
\ HAL 
n°0 
\ 


254 | TABLEAU ea C0 
ONZIÈME ORDRE. 


Bec droit et comprimé. 


TRENTE-NEUVIÈME GENRE. 
| GRACULE (Gracula) 
La base du bec dénuée de plumes; une ow 
plusieurs places dénuées de plumes sur 
la téte. . PRIT | \ 
ESPÈCES. | 
1. Le mainate des [Indes orientales. Gracula reli= 


£L105a« VI, 122, 12. 
2. Le goulin. Gracula calva. VI, 127. 
3. Le marun. Gracula 1ristis VI, 131: 
QUARANTIÈME GENRE. 


CORBEAU. (Corvus.) 


Le bec gros et fort; les ouvertures des narines 
recouvertes par des soies roides; la langue 


divisée et cartilagineuse. 
ESPÈCES. 


x. Le corbeau. Corvus corax. V, 19e 


DES! OLSRAUX. 255 
2. Le corbeau des Indes, de Bontius, V, 51. 
3. La corbine, ou corncille noire. Corpus corone. 
V, 156: 
4 Le freux, ou la frayonne. Corous de 
V, 6 { ; 
5. La cnelkK mantelée. Corous cornix. V, 74 
6. La corneille du Sénégal. Corvus dauricus. 7 | 
82. | \. 
7. La corneille de la Jamaïque. Corous J amaïcen- 
sise "V, 83. 
8. Le choquard ou choucas des Ales onde 
_ pyrrhocoraz. V, 93. 
g. Le choucas moustache. Corvus Hottentoius. 
V, 96. x 
10. Le choucas chauve. Cébus calvus. V, 97- 
Cet oïseau appartient plutôt au Ge des 
colingas. 2E D 
11, Le choucas de la nouvelle Guinée. Corous 
novæ Guineæ. V, 96. 
12. Le choucari de la nouvelle Guinée. Corous 


Papuensis. V, 09. 
13. Le balicase des Philippines. Corvus roger 


ss N3 102, CA 
14 Le colnud de Cayenne. Corous nudicollise. 
V0: 


15. La pie, et ses variétés. Corous pica. V, 104, 
116, 119. \ 


256 | 
16. La pie des Antilles. Coteus) Cariieus. V; 


17. 
10. 


30. 


Le zanoé. Corous zanoe. NV, 129: ) 
. Le geai. Corous glandarius. V, 130: : 


TT ABLE A U: 


ed e PER ; : 


[s 


L’hocisana. nie Mesicanus Ve 226. 
La vardiole. VW, 127. 


4:54 


Le geai de la Chine à bec rduge. Corpus 
erÿthrorhynchos. V, 139. 


Le geai du Pérou. Corous Peruvianus: N, 140 


Le geai brun du Canada. Corenis Canadensis. 
V, 142. qe N : 


Le geai de Sibérie. Coreus. PR V, 143. 


Le blanche-coiffe , ou geai de Cagenné Cerbus 


Cayanus. V, 144. 


Le ’garlu,, ou geai à ventre jeunée Coreus 
flavus. V,:146. crea ie 
Cet oiseau appartient plutôt. au soute des 

RYPANEN SLT GO SET SE NN ÿ: 94 
Le gea bleu de l'Arhériqué septentrionale. 
Corous cristatus. V, 147.1 
Le casse-noix. Corus caryacatactes.W, ss 
Le crave, ou.le coraciäs»Corpus|gracüls. 
Vs DT", 
Le coracias huppé, ou le sonneur. Corus 
eremita. V, 14. 


RS 2 um, 
“ 


DES: OISEAU x, 254 


QUARANTE- UNIÈME GENRE 


s+7 


'ROLÉTEN. CCoracias.)" pe 


LE ARE Tome! Lee Pres: 1970 ou js À UE 


/ 


Le bec fort; 1 extrémité de la mandibule f 


Ze 


2. 


3. 


La 


ÿ. 


6. 


7e 


L# 
supérieure | se recourbant ur peu sur l infé- 
rieure; les ouvertures des narines dénuées 


de sûtes roides et lournées en avant; la 


langue Jourchuees Ca TH RER GUSE 20 le Hd 
court. 
RON ER SPÈ GE sus à > AO GE 


Ma ( 


Le rother nes à Che, ‘Coracias Sinensis. V: 


T6I. DC M MS DD A L 
Le grivert , ‘ou rolle de. M Coracias 
Cayanensis. V, 103. HER 
Le noie PR Caracas garrulas iV, 
n 16: ARE AU VS ART 
Le rollier à Mél Gotaboss Ayssinica. 
V, 174. Lhe TV 


Le rollier!d’Angola. Cds lots candatas LV, 
176. Meur te Hasnue 9! 

Le cuit ,- ou rollier de, Milinéc Coratias 
Bengalensis. N, 176. | 

Le roller des; Indés. Coracias Oct KA VV, 


480. € 
22 


FAN EM. 


_ 258 TABTDEAU. 


8. Le roles de Madagascar. Coracias | Mag 
‘ cartensis. V, 187. 
9. Le rollier du Mexique, CRE Mexicanae 
V, 182 VERS 
x0. Le rollier de paradis. Céracias paradisea. 
“" My-x08, ARE 
xx. Là cassican. Coracias para. x, 37e 


QUARANTE-DEUXIÈME GENRE. 


PARADIS. (Paraiisea.) x 


Le tour de la base du beciet le front garnis de 
PER courtes, serrées ; et.très-soyeuses. 
ESPÈCES. 


LL L oiseau de paradis proprement dit: Paradisea 
apoda. V, 185. | 

2./ Le manucode. Paradisea regia. SV le Le 

3. Le magnifique de la nouvelle Guinée, ou le 

. manucodeà bouquets. ps G magnifces 

UV, M | 

é. TL. manucode noir de la sévélle Guinée, ow 
le superbe. Paradisea superba. V, 207. 

5. Le manucode à six filets, ou le sifilet: Para 
disea sexsetacea. N, 200. À 

6. Lecalyhé de la nouvelle Guinée, Parme 
chalybea. V, 212. 


DES OISEAUX. 259 


+ *, 


QUARANTE- T ROISIÈME GENRE. | 


SITTELLE. Cine) A 
| LOS RE 
Le bec alongé: la Pepe dentelée, courte, 
et cornée à l'extrémité; la queue CHERE 
de pennes très-roides. | 


‘ESPÈCES. 


1. La sittelle ou torche-pot, et ses variétés. Sitia 
Europæa. M. 206 8 

2. La petite sittelle: Sita minor. X, 265. 

3. La sittelle du Canada. Siza Canadensis. X, 


RME D AN Et rad Cat V4 CR 

4. La sittelle à huppe ones Sitta Jamaïcensis, 
X, 2065. | +; 

Variété. La, petite siuelle à. he noire. 

X, 265. | 

5, La ssittelle à tête noire. Siria. Carolinéntrs, 
X, 265. | 

6. La asie sittelle à bec crochu. Siua major. 
x, 284. 


7. La sittelle mrelée Sitta nœpia x, 285. 


Ma BAR RAA 
( QUARANTE- QUATRIÈME, GExRE, 
: 1 AC A D à LA AATA 
PIQUE-BŒU F. (Buphaga.) 


# 


Le bec presqiie COMNRTETS les mandi- 
; ..bules. un peu bormnbées. va 


Lin y HA A CAL Ke NE, DONS 


UMOA SNS 0 RÉNALE 
ï. Le pique-bœuf PART Buphage <Africana. 
Ni 21 


DOUZIÈME" ORDRE: 


Bec. droit. ét menu. ae AI 


» ! FEES 
r ) 53 Are 224 


Std “A# 


QUARANTE- CINQUIÈME GENRE. 


Tnt 
MÉSANGE. CR } 
“+ Tome X, page 163. en 


Le bec étroit, pointu, dur; ps “el Ke RAP 
de petites plumes & sa baseïla langue 
… {erminée par une sorte. de. ligne. droite eË 
par des filamens ; le co, de derrière 
grand el ÉOkb Ly1,2, able 8 1Honiesa] ï 
ESP ECS 
x. Le charbonnitre, où grosse, mésange. Parus 
major, X y 164 


DES OISEAU X. 26€ . 
2. La petite charbonnière. Parus ater. X, 193, 
197- 
3. La nonnette cendrée. Parus palustris, X, 163° 
4 La mésange À tête noire du Canada. Parus 
atrieapillus. X, 163. 
9. La mésange cendrée de Brisson. Parus cine= 
Fous .YX T0‘: | 
6. La mésange bleue. Parus cœruleus. X, 208. 
7. La mésange moustache. Parus biarmicus. X, 
bat pu 10e 
8. Le remiz. Parus pendulinus. X, 210. 
9. La Fo Parus Narbonensis. X, 2357. 
10. La mésange à longue queue. Parus caudatuss 


RE 0 COTE AE ; | # 
Ses Le petit deuil. Parus Capensis: X ÿ 246. :: 
12. La mésanse à ceinture HIAnANE Parus Has 

ch Xi, BAR. \ LUE 
13. La ee RARE Parus, cristatus. X , 

250. TS CN 


14. La mésange huppée de la Grah Parus 
bicolor. À, 254... | 
35. La mésange à BAPE: Parus riens 
Nix 206 
16. La mésange à croupion jaune. Parus, Fir= 
ginianus. X, 257. 
17. La mésange grise à gorge jaune, Parus flasi= 


eollis. X, 258. 


26% TA BLEAU 
16. La grosse mésange bleue. Parus cyanuse 
X4 259% 


x). La mésange amoureuse. Parus ant AUS X, 
260. \ 


20. La mésange noire. Parus cela. X, 163. 
QUARANTE-SIXIÈME GENRE. 


ALOUETTE. (4lauda.) 


Me: 


La langue fourchue; l’ongle du doigt de 
derrière presque droit, et très-long. 
| ESPÈCES. pe 
. L’alouette. Ælauda arvensis. IX, 5, 286. 
2 L’alouette noire à dos fauve. Alauda Julva. 
DR pe D Tee 
3. Le cujelier. Ælauda arborea. IX, 3% 
4. La farlouse, ou l’alouette des se on 
prâtensis. IX, 41, 48. 
5. La farlousane. .4/auda Ludoviciana, IX, 40. 
6. L’alouette pipi. Ælauda trivialis. TX, 51. 
7. La locustelle. ÆJauda locustella. IX, 55. 
8. La spipolette. Ælauda pickerlin. IX, 56. : 
9. La girole. ÆAlauda Tialica. IX, 61. 
30. La calandre , ou grosse alouette. Ælauda 
calandra. 1X, 64. * 
xr. La cravate jaune, où calandre du cap de Bon- 
ne- Espérance. Alauda Capensis. TK, 70. 


SI 


amsn. 


DES OISEAUX. _ 263 
12. Le hausse-col noir, ou l’alouette de Virginie, 
ÆAlauda alpestris. IX, 72. 


33. L’alouette aux joues brunes de Pensilvanies 


ÆAlauda rubra. IX, 74. 

z4. La rousseline, ou l’alouette de marais. Æ/auda 
ne IX, 77. 

19% La ceinture de prètre, ou l’alouette de A Va 
IX, 70. 

16. La variole. 4/auda rufa. IX, 82. 

17. La cendrille. {/auda cinerea. IX, 83. 

26. Le sirli du cap de Domi onu Alauda 
ÆAfricana. IX, 84. 

T0. Le cochevis, ou grosse alouette huppée. Leu da 

| cristata. IX, 86. 

20. Le lulu, ou petite alouette buppée. Wie 
lulu. IX, 95. 

21. La coquillade. 4/auda nudata. 1X, Æ . 

22. La grisette, ou le cochevis du Sénégal. Alauda 
Senegalensis. IX, TOI. 


QUARANTE-SEPTIÈME GENRE: 
BEC-FIN. (Sy/via.) 


Le bec en forme d’aléne ; les tarses et l& 
queue courts. 


ÉSPÈCES. 
x. Le rossignol. Sylvia luscinia. IX, 103, 1434 


264 TAB ARE CN 

2. Le foudijala. Sybia Ha AE IX; 
146. | 

3. La fauvetie, et ses variétés. Sylvia PEN | | 
IX, 148. | s 

4. La passerinette , ou pere fauvette, dc 6 
passerina. IX, 156. 


| 


5. La fauvette à tête noire. Sylia atricapilla. 

| IX, 150. 

6. La grisette, ou fauvette grise. Sytoia grisellas | 
IX, 166. 

7. La fauverte babillarde, Sylvia curruca. IX, 170. 

8. La roussette, ou fauvette des bois. Sylvia schæ- 
nobænus. IX, 174. 

g. La fauvette de roseaux. Sylvia salicaria. IX 9 
170. ! 

10. La petite fauvette rousse. Syloia Lfes x 1824 

11. La fauvette tachetée. Sylvia nœvia. IX, 166. 

12. Le traîne-buisson, ou fauvette d’hiver. Sylv1a 

modularis, 1X, 168. 

13. La fauvette des Alpes. Sylvia Alpina. IX, 194. 

14. Le pitchou. Sy/via Dartfordiensis. IX , 108. ; 

19, La fauvette tachetée du, cap-de Bonne-Espé- 
rance. Sylvia Africana. TX, 200. 

16. La petite fauvette tachetée du cap de Bonne= 
Espérance. Sylvia macroura, IX, 20. 

57. La fauvetle tachetée de’la Lou DE vd 

| . Norçboracensis. EX. 208, 6001 - 


DES OISEAUX 265 


8. La Rover à FRE jaune de la ARLES 
( Syleia trichas. IX, 203. 

19. La fauvette verdâtre, IX, 203. | 

- 20. La fauvette de Cayenne à queue rousse. Sylvia 
ruficauda. 1X, 205. | 

21. La fauvette de Cayenne à gorge brune et ventre 
jaune. Sylvia fuscicollis. IX, 205. 

22. La fauvetie bleuâtre de Samt-Domingue. Sy 
pia cærulescens. 1X .. 206. 

23, Le cou jaune. Sylpta pensilis. IX, 206. 

24. Le rossignol de muraïlle. Sylvia phanicurus 1 
EXoranbe 4 

25. Le rouge-queue. Sylvia erythacus. IX, 224 

26. Le rouge-queue de la Guiane. Sylvia Guias 
nensis. IX, 232. 

27. Le bec-figue. Sylvia ficedula. TX, 233. 

28. Le fist de Provence. Sylvia Massiliensis. 
IX, 241. 

29. La pivote-ortolane. Sylvia maculata.1X ,242; 

30. Le rouge-gorge. Sylora rubecula. 1X, 243 

3r. La gorge-bleue, Sylvia Suecica. IX, 253. 

32. Le traquet. Sylvia rubicola. IX , 263. 

33. Le tarier. Sylvia rubetra. IX, 270. 

34, Le traquet ou tarier du Sénégal. Sylvia fers 
vida. IX, 273. 

35. Le traquet de l’île de Luçon. Sylvia cap} ati 
IX, 274. 


Ed 


22 


266 ‘TA B EPA | 

36. Le traquet des Philippines. Sylvia fu:babeR | 

EX, 2754 

37. Le ait traquet des Philippines. Sylvia 
Philippensis. IX, 276. 

38. Le fitert, ou traquet de Madagascar. 7 
sibylla. IX, 277. 

39. Le grand traquet. Sylvia magna. IX, 278. 

40. Le traquet du cap de Bonne-Espérance. Sylvia 
sperata. IX, 280. 

41. Le clignot, ou iraquet à lunette. Syloia 
perspicillata. IX, 287. 

42. Le motteux, ou cul-blanc. Sylvia œnanthes . 
IX, 265. 

43. Le oué motteux du cap FA Brume des; 
Sylvia Hottentotia. 1X , 296. 

44. Le motteux brun-verdâtre. Sylvia aurantias 
IX, 27e | 

45. Le motieux du Sénégal. Sylvia leucorhoa. 
IX, 206. 

46. Le rouge-gorge bleu de l'Amérique septen« 
trionale. Sylvia sialis. IX, 260, 

_ Les figuiers. X , 24. 

47. Le figuier verd et jaune. Sylvia Zeytnica 

N :26. 


48. Le chéric. Sylvia Madagascariensis. X, 283 
49. Le petit simon. Sylvia Borbonica. X, 30, 


DES OISEAUX. 267 


5o. Le figuier bleu. Syria livida. X, 33. 


Sa 


b2. 
Da 


54. 


ou 


#6 
D7. 
56. 


59. 
60. 


Gt. 


62. 


63. 
64. 


65. 


Le figuier du Sénégal. Syloia rufigastra. 
X 5184 
Le figuier tacheté. Sylvia æstiva. X , 58. 
Le figuier à tête ee Sylvia petecha. 
K\..40. 
Le figuier à gorge TS Sylvia alhicollis. 
D. ON : Cas ï 
Le figuier à gorge jaune. Sylvia Ludoviciana. 
X;, 42. 
Le fguier verd et blanc. S DE chloroleuca. 
X, 44. | 
Le figuier à gorge Ne io Sylvia auricollis. 
Le Be à tête cendrée. oe maculosæ 
| “ AT 
Le figuier brun. Sa Eee x’, 49. 
Le fe aux joues noires. Sylvia pseudo- 
trichas. X, 50. 
Le fignier tacheté de Mes ur tigrinas | 
X ,. 51. 
Le figwier brun et jaune. Sylvia fasce-urae 
X, 55. É 
Le figuier des sapins. Syipia spinils. AS 54. 
Le figuier à cravate noire. Sylvia virens. X, 
he 
Le figuier à tête jaune. Sylvia icterocephalas 


X ; 99: 


268 TABLEAU 

66. Le figuier. cendré à gorge jaune. Syria Do- 
minicana. X , 61. . Di 

67. Le figuier cendré à collier. pe Ameri- 
canae X , 63. 

68. Le figuier à ceinture. Syleia cincta: X, 654 

69. Le figuier bleu M dde Cana- 

| densis. X, 67. 

7o. Le figuier varié. Sylvia varia. X, 60. 

7z. Le figuier à tête rousse, Syloza ruficapilla. : 
Ne Ed 

72. Le figüier à ‘poitrine rouge. nt Pensil- 
panicas X',) 73. 

73. Le figuier oris-de-fer. Sylvia La X ,75. 


74 Le figuier aux ailes dorées. a ch 


soptera. X, 70. 
75. Le figuier couronné d’or. Sylvia coronata. 
X, mo: | 
76. Le figuier orangé. Sylvia chrysocephala. 
À, Ole FA 


m7. Le figuier huppé. Sylvia cristata: X, 82. 
78. Le figuier noir. Sylvia multicolor. X, 84. 
79. Le figuier olive. Sylvia æquinoctialis. X, 86. 
80. Le figuier protonotaire. Sylvia PPS RONArIMR 
DAEX.. Ba, | | 
8r. Le figuier à demi-collier. Éxiabs sémi- Love 
quala. X, 0. 
82. Le figuier à gorge jaune. Sylvia fuloa. X, 91. 


DES OISEAUX. 264 
83. Le figuier brun-olive. Sylvia fusca. X. > 924 
84 Le figuier grasset, Sylvia pinguis. X, 94. 
89. Le figuier cendré à gorge Poe Sylvia 
cana. X, 05. 
66. Le grand figuier de la Taistquet fx pl 
Calidris.X\96. © :°:' 


Les demi: fins. X ; 98. 


87. Le demi-fin mangeur de vers. Syloia VETMI= 


vora. pe I02. | 
88. Le demi-fin noir et bleu. Sylvia sRpera 
na I04 | 
89. Le Ein of noir ét YOUx. S PE Bonariensis. 
Xe DTOG NN LE En 
90. Le bimbelé, ou la fausse linote. Syria pal- 
marume X , 108. ) G:] 
91. Le baneniste, Sylvia par X STE. 
02. Le demi-fin à büppe et gorge blanches. Ne 
elbifroren\ X sr * 4 
93. L'habit uni. Sylvia: Tru. à pers 


Les pitpits. x: 110. 


94. Le pitpit verd. Sylvia cyanocephala. Xi 120 

05. Le pitpit bleu, Sylvia Cayana. X, 127 ; 122. 

06. Le pitpit varié. Sylvia velia. X, 124. 

97. Le pitpit à ne bleue. he lineata. X 
+294 

98. Le guira- per Ris guira. X 120. 


44 
235 


4 "+ EUVTO 
\ 4 à 


270. AT) À B L E A. D: 

99. Le pouillot, ou.le chantre, Soie poli 
X, 126. 

| xoo. Le grand, pouillot. Syibia irachiis re 

: PCs Ta È 

xor. Le troglodyte. Sylvia Pr % 136; 

102. Le roitelet. Sylvia regulus. X3 146. 

xo3. Le roitelet rubis. Sylvia calendula. X, 197. 

104. Le roitelet à tête ne Syria rupina- X 
197. | 


xos. La mésange grise couronnée d’écarlate. Syt- | 


via pipreola. X, 197: 
306. Le roitelet mésange. Sylvia clata. À >. I67. 


| | QUARANTE- HUITIÈME GENRE. - 


MOTACILLE.. CHoracillas) 


Tome IX, page 209; be M: à 


Le Ben en forme Plane À no tarses et A 


queue longs; les dernières ds de Lg. | 


— ire cs 
SPÈCES.. 


FA Fons ei Motacilla MUR IX, ao: 
2. La bergeronnette grise, : Motacilla :cinerea: 


So S 


3. La bergeronnette du prinienips. Moiacilla DEra 
nalis. X, 10. 


DES OISEAU X. -27È 

&: La bergeronnette jaune. Motacilla boarula. 
A, 13 

5. La bergeronnette du cap de Bonnc-Espérance. 
Motacilla' Capensis. X, 19. 

76. La petite bergeronnetté du cap de’ Bonne-Es+ 
pérance. Motacilla LAfra. X, 20. 

7. La bergeronnette de, l’île de Timor. Motacillé 
insularis. X, 21. 

8. La bergeronnette de Madras. Le QE a Madère | 
Patensis. X , 52. | À 


Ve SOU 
»3 #° 
MN 


TREIZIÈME ORDRE. je. 


Bec très-court. 


QUARANTE-NEUVIÈME GENRE. 
HIRONDELLE. CHirundo. 4, 
7 Tome XIII, page 5. | “à 
Le bec déprimié et très-large@" la base; lx 
langue courte, large et in 3 les ailes 
très-longues. : ct EN 0 
ESPÈCES. AA 


%, L’hirondelle de chemmée , où ‘‘doiestique 


Hirundo rusticae XUT, 58. 


La 


0 
\ 


mi ne 2 ea 6 


Variété. A. L’hirondelle: d'audiel à gorge cou. 
leur de rouille. XILE, 56. 
BL Hirondelle ! ‘à ventre crubx de: 
az Cayenne. XII, \58 | 
 C. L’hirondelle au spaces Rad 
XIE, 564 SoIL TO ET 
2. La grandehiroridelle à: Mc roux du Sénégal. 
Hirundo Senegalensis. XIII, 24: 
3 L’hirondelle à ceinture blanche Hirundo fas- 
cata. XII ;:63 | 4 RS ee NN 
4. L’hirondelle ambrée. Hirundo ambrosiaca. 
KIT, 
5. babudels de fenêtre, ou à ërobpion blanc. 
fe Hirundo urbiea. XIIT, 87. | 
6. L’hirondelle de rivage. Firundo riparia. XII, 
109. 
7. L'hirondelle grise des rochers. Hirun do mon. 
tañna. XIIT, 120. 
8. Le martupet noir. Æirundo apuso XUK, 123. 
9. Le petit miartinet noir, er. Jigra. XHIT, 
p55: NT € 
xo. Le ;:martinét noir et blanc àxceinthre, BE 
Hirendo Peruviana. X HE , 158, ; 
2T. gr orand martimet noir à x 
rundo melbas XIILy 456. | | 
#2. Le marumes à collier blanc, Hirundo Caya-- 
xensise AIT, 159. 


DES: OISEAU X. 273 


m3. La petite hirondelle noire à ventre cendré. | 
© Æirundo noyés. XIIE, 162." 
4. L’hirondelle bleue de la Louisiane. Hirundo 


x5. 
z6. 


X7 


L2e 


purpurea. XIII, 163. 
Variété A. L’hirondelle de Cayenne, XIII, 


164. 
B. L’hirondelle de Cayenne chalybée 
XIII, 264 | 


 C. L’oissau dela Caroline, ou martinet 
_ couleur de pourpre. XIII, 164. 
Le tapère. Hirundo tapera. XIII, 168. 
L'hrondelle brune et blanche, à cemture 
brune. Hirundo torquata. XIIT, x70. | 
L’hirondelle à ventre blanc de Cayenne. Hi- 
rundo leucoptera. XTII, 171. dk 
. La salangane, Hirundo esculenta. XWI 17%. 
. La grande birondelle brune à ventre he | 
ou l’hirondelle des blés. Hirundo Borbo- 
nica. XIII, 168, 190. 


x 


. La petite hirondelle noire à croupion grise 


Hirundo Francia. XIII, 197. 


. L’hirondelle à croupion roux et à queue quarrée. 


Hirundo Americana. XIII ,! 103. 
L’hirondelle brune acutipenne de la Louisiane, 


Hirundo caudacuta. XIII, 194. 


23. L'hirondelle noire acutipenne dela Martiniques 


Hirundo acuta, XTIT, 196. 


274 TA BLE AU % 
CINQUANTIÈNME GENRE 


ENGOULEVENT. ( Caprimulgus. Ÿ 
Tome XII, page 308 


Le bec très-déprimé à sa base, qui est garnie 

_ de plumes petites et roides; les yeux très- 
grands; longle du doigt du milieu, Fa 
telé d’un côté. 


ESPÈCES. . 


zx. L’engoulevent, ou tette-chèvre. Caprimulgus 


Europœus. XIL, 294. 


2. L’engoulevent de la Caroline. Caprimulgus 


Carolinensis. X1T, 310. 
3. Le whip-pour-will. Caprimulgus ste 
nus. XII, 32. | 
4. Le ouira-querea. Caprimulgus Jamaïcensis. 


XIT, 324. 


5. L'ile Carina ail XII, Baye | 
Variété A. Le petit engoulevent tacheté de 


Cayenne, XII, 328. 
B. Le grand ibijau. XII, 326. 


6. L’engoulevent à lunettes, ou le baleur. Caprix 


mulgus ÆAmericanus. XII, 352. 
7. L’engoulevent varié de Cayenne. Caprimulgus 
Cayanus. XII, 334; 


DES OISEAUX. 275. 
8. L'engoulevent acutipenne de la Guiane. Capri- 
mulgus acutus. XII, 336. 
g. L’engoulevent gris. Caprimulgus griseus. ACTES. 
Ge 75 
10. Le montvoyau de la Guiane. Carol 
Guianensis. XII, 33. ; 
11. L’engoulevent roux de Cayenne, Caprimulgus. 
rufus. XIT, 345. 


QUATORZIÈME ORDRE. 


Bec arqué. 


CINQUANTE-UNIÈME GENRE: 
HUPPE. (Upupa.) 
Le bec long, gréle, un peu comprimé, et 
obtus; la langue obtuse et très-courte. 
ESPÈCES. 
Les huppes et les promerops. XII, 194. 


2. La huppe. Upupa epops. XII, 200, 227. 
. La huppe noire et blanche du cap _ Bonnes 
Espérance, Upupa Capensis. XII, 220. 
3. Le promerops. lpupa paradisea. XII, 232: 


276 TABLEAU 


4 Le promerops à ailes bleues. Fer Mexicanai 
XIT, 234 


3. Le promerops à ventre tacheté. Doi ii 
merops., XII, 236. 


6. Le promerops brun à ventre rayé. Upupæ 
Papuensis. XII, 236.- 

7 Le grand promerops à paremens frisés. Upupæ 
superba. XII, 240. | 


8. Le promerops orangé. Upupa aurantia. XII, 
243. 


CINQUANTE-DEUXIÈME GENRE. 


GRIMPEREAU. (Cerihia.) 


Tome X, pages 267, 304. 


Le bec long et menu; la langue longue 
| el aiguë. 
ESPÈCES. 

x. Le grimpereau. Certhia familiaris. X, 292, 
200. 

3. Le grimpereau de muraille. des muralis. 
À ; 209. : 

3. Le soui-manga. Certhia Madagascariensis. 
X, 308. SUR 

4. Le soui-manga marron pourpré, à poitrine 
rouge. Certhia sperata. X, 31I. 


=> 


DES OISEAU X. 277. 
| Variété A. Le petit grimpereau d'Edwards. 
à ‘  Certhia pusilla. X, 317. 

j B. Le grimpereau ou soui-manga à 

gorge violette et à poitrine rouges : 

Me 'SIT- | ii 1? 

5. Le soui-manga Lori à poitrine rouge. Certhia 
Senegalensis. X, 314. | 

6. Le soui-manga pourpre. Certhia purpuratae 


X, 316. 


7. Le soui-manga à collier. tone DEEE 
“rN'Br7. | 

8. Le soui-manga olive à gorge pourpre. Cerihia | 
Zeylonica. X, 322. 

9- L'angala-dian. Certhia lotenia. X, 326. 

10. Le soui-manga de toutes couleurs. Certluia 
omnicolor. X, 320. 

11. Le soui-manga verd à gorge nee CENAREE 
Afra. X X , 330. 

12. Le soui- ste rouge, noir et blanc. Certhia 
cruentata. X, 33x. 

13. Le soui-manga de l'île de Bourbon. Certhia | 
Borbonica. X, 332. 


Les soui-mangas à longue queue. X, 334 
74: Le soui-manga à longue queue et à capuchon 


violet. Certhia violaceu. X, 335. 
2% 


278. OT ASRL ER ROS 
15. Le soui-manga verd-doré changeant, violét, 
à longue queue. Certhia pulchella. X, 337. 
1x6. Le grand soui-manga verd à longue queue. 
| Certhia famosas X, 339. | 
x7. L'oiseau rouge à bec de grimpereaux Certhia 
coccinea. X, 341. mais :Ë 
18. L'oiseau brun à bec de grimpereau. Certhia 
gutturalis, X, 344 
Les guit-guits d'Amérique. X » 347. 
19. Le guit-guit noir et bleu. Certhia cyanea. 
X, 348. 
20. Le guit-guit verd et bleu à tête noire. Cérthia 
spiza. X, 352. | 
Variété À. Le guit-guit verd à tête noire. X, 356. 
B. Le guit-guit verd et bleu à gorge 
blanche. X, 356. 
C. Le guit-guit tout verd. X, 356. 
21. Le En verd tacheté. Certhit Cayanas 
À, 600: 
22. Le guit-ouit varié. Certhia variegata. KS 
358. 
23. Le guit-guit noir et violet. Cr Brasi= 
liana. X, 350. \ 
24. Le sucrier. Certhia flaveola. X, %Go. 
25. L'oiseau pourpré à bec de grimpereau. Cer+ 
thia purpurata. X, 346. 


DES OISEAUX. 279 
CINQUANTE-TROISIÈME GENRE. 


+ 


COLIBRI. CTrochilus. ) 


‘ Tome XI, page 64e 


Le bec très-gréle ; la langue tubulée et 
extensible. 
ESPÈCES. 

. Le colibri topaze. Trochilus pella. XI, ro. 

. Le grenat. Trochilus granatinus. XI, 73 

- Le brin blanc. Trochilus superciliosus. X\, 74. 

. Le zitzil, où colibri pe Trochilus PH 

tulaitus. XI, 76. 

5. Le brin bleu. Trochilus cyanurus. XI, 78. 

6. Le colibri verd et noir. Trochilus holosericeus, 
A: "er: 

7. Le colibri huppé. Far paradiseus. XI, 
63. 

8. Le colibri à queue violette. Trochilus ie 
XI, 64. “ | 

9. Le colibri à cravate verte. Enr £ularts, 
XI, 66. 

10. Le colibri à gorge carmin. Thobilus jugu 

laris. XI, 68. 

© #1. Lecolibri violet. Trochilus piolaceus. XI , 69 

32. Le hausse-col verd. Trochilus pectoralis, 
XT, 99: 


+ OC D 


Ro A 

280. TABLEAU. 

13. Le collier rouge. Trochilus leucurus. XI, 9% 

34. Le plasiron noir. Trochilus mango. XI, 93. 

195. Le plastron blanc. Trochilus Ann: 
XI; 05. 

16. Le colibri bleu. Trochilus cyaneus: XI, 96. 

37. Le verd-perlé.-Trochilus Dominicus. XI, 97. 

36. Le colibri à ventre rougeâtre. T'rochulus Re 
 suliensis. XI, 08. 

39. Le petit colibri. Trochilus thaumantias. 

XI, 100. | | 


QUINZIÈME ORDRE. 


Bec renflé. 


CINQUANTE-QU ATRIÈME GENRE. 
MOUCHE. (Orthorhynchus.) 
Tome XI, page + 
Le bec droit et renflé vers le bout. 
| ESPÈCES. 


LE Le plus petit oiseau mouche. Orthorhynehus | 
minimus. XI, 16. 


4 4 
DES OISEAU X. 284 
2 Le rubis. Orthorhynchus colubris. XL, 19. 
3. L’améthyste. Orthorhynchus amethystinus. 
soX TE es, 4 
4. L’orvert. Orthorhynchus viridissimus.: X1, 24, 
2 Le huppe-col. Orthorhynchus ornatus. XI, 26. 
6. Le rubis-topaze. Orthorhynchus moschitus, 
2%, 28. | 4 
7. L’oiseau-mouclie huppé. oo ne TS cris= 
tatus. XI, 32, | 
8. L’oiseau-mouche à raqueties. A À | 
platurus. XI , 34. 


9. L'oiseau-mouche pourpré. Len cb ru= ne 


Ler. XI], 36. 
30. La cravate dorée. Orthorl onehus leucogaster. 

XE., 7e) 

Er. Le chi Orthierhnehus ne XI, 
39. 

12. Le saphir Étindé Orthor!, Ds Bicolor. 
XI, 40. 

13. L’émeraude améthyste, Orthor hynchus QUFIS® 
sta. XI, 42 

24. L’escarboucle. Orthorhynchus carbunculus. 
XI, 44. 

15. Le verd-doré Orthorhynchus mellisuga. 
XI, 46. 


16. L’oiseau-mouche à gorge tachetée. Ortño- 


rhynchus fimbriaius. XY, 48. 
24 


DS MN ue 
\ ‘ Le { LATTES Le è 


AE 


282 T ABLE sil wi 


17. Le rubis-émeraude. Orthorhiyrichus rubinèuss 
XL, 49 | 


18. LAS nai à he | MR Onthorhÿnehus 
auritus: XI, 5o. 4 TE 
379: L’oiseau-mouche à collier, ou la jacobine. 
Orthorhynchus mellivorus. X1, 53. 
50. L’oiseau-mouche à larges tuyaux. Orthorhyn- 
chus latipennis. X1, 55. 
21. Eoisauthouche à Hd couleur d'acier 
bruni. Orthorhynehus macrourus. XÀ, D :3 
22, L’oiseau- mouche violet à queue fourchue. 
Orthorhynchus furcatus. XI, 59. 
23. L’oiseau-mouche à longue. queue, or, verd et 
« bleu. Orfhorhynchus forficatus. XI, 6x. 
24 L’oiseau-mouche à longue quete noire. Or- 


_thorhynchus polytmus. X1, 62 


DÉS" OTEPAUX, : 6. 


TROISIÈME SOUSDIVISION. 


Dois ois eMbrieurs unis dans presque toute 
leur longueur. 


ES 


SÉIZIÈME ORDRE 


Bec FER Fi 


CINQUANTE-CINQUIÈME GENRE. 
Fe À É Lo. (Buceros) 
‘Tome XIV, page 3. 

Le bec très-grand, de he mince et 
légère, surmonté d’une grande protubé- 
rance,.el, pour ainsi. Le d’une fausse 
mandibule. | 

ESPÈCES. 
. Le tock. Buceros nasutus. XIV, 
2. Le calao de Manille. Buceros AE 


XIV, 1 


277 #0 SN "4 Ar” An 
À ! L F ñ 
{ Û TN NET t 
REA À À Ode AA ar 
pe #4 


12 esta 0 LEO \ Ca 


PE ‘ 


284 TABLEAU.. 


# 


8. Le calao de Pile Panay. Buceros past | 


XIV, x9. 


4. Le calao des Moluques. Buceros Ay drocoraæs 
XIV, 22: 


5. Le calao de Malabar. Buceros Halde 


KEY. 25. 


6. Le brac, ou y Box d’ Afrique) Buceros a 


canus. XIV, 32. 
7. Le calao d'A byssinie, Buceros s Abyssinious 


XIV, 34. KA Ni #s Vel 
6. Le calao des Philippines. Buceros isa 
XIV, 36. | 
_g- Le calao à casque rond. Buceros galeatus. 
XIV, 40. 7e En 
xo. Le éalao rhinocros. Buceros HE 
XLVe 42. 


CINQUANTE- SIXIÈME GENRE. 
| à" DO Mor. (Momor.)\ 
© Point de proëminence cornée sur le ‘bec. 
| ESPÈCE R 


x. Le momot, ou le hontou. Momot Guianensiss 


XII, 108. 


DES OISEAUX. 285 


DIX-SEPTIÈME ORDRE. 


Bec droit et comprime. 


| CINQUANTESEPTIÈME GENRE, 


ALCYON. (A4/cedo.) | 


à 
Le bec très-long; la langue courte ; le farse 
_érés-court. ‘a 


= 


ESPÈCES. 


x. Le martin-pècheur, ou lalcyon. .Æ/cedo 7 
pida. XIV, 46. | 
2. Le plus grand martin-pècheur. Alced gigan- 


lea. XIV, C4. 

+. HE DT RER bleu et roux, liege Smyr= 
nensis. XIV, 60. ES 

4. Le ne crabier. Alcedo Cancro= 
phaga. XIV, 68. 

5. Lemartin-pêcheur à gros bèci.Aiee - 
XIV, 70. 

6. Le martin-pêcheur pie. Aleedo rUdIS, XIV, 7 

7. Le martin-pêcheur huppé. .Æ/cedo maxima. 


XIV75.. à 


"ot 
‘ AER) ÿ 
. 266 


Ra 


TABLEAUT 


8. Le martin-pêcheur à a coiffe noire. Alcedo airis | 


capilla. XIV, 77. 


9. Le martin-pêcheur à tète Stade. Alcedo chloro- 


JO. 


Tr. 


17, 
16. 


Y9- 


cephala. XIV, 76. 
Le martin -pêcheùr À tête et cou couleur de 
paille. Æ/cedo leucocephala. XIV, 70. 


Le martin-pêcheur à collier blanc. Alcedo 
collaris. XIV, 81. ri 8, 0 


. Le baboucard._Æ/cedo Baboucardus. XIV, 82. 


. Le martin-pêcheur ‘bleu et noir du bin 


XIV, 84 


Ces numéros 12 €113 sont Dr par Latham 
comme des variétés du suivant, 


. Le martn-pêcheur à tête Bree Alcedo Sene- 


galensis. XIV, 85. 


. Le marün-pécheur à froné jaûne. Alcedo 


erythaca.: XIV, 86., : 
Le martin-pêcheur à Job ph brins. Æ/cedo pi 
XIV, 87. Li RES 
Le rie bééheur à à tête. Mtéue. ÆAlcedo cœæs= 
ruleocephala: XIV, 80. 
Le martin-pêcheur roux. Ælcedo Madagas- 
cartensis. XIV, ot. 


Le martin-pêcheur por Alcedo PHP 
XIV, 92. 


20. Le martin-pêcheur à bec Hiÿue. 7. leu 


corhynchas M 03° 


vs ne La 
D ES. OISEAUX. 267 
2i. Le martin-pêcheur de Bengale. Alcedo Ben- 
galensis. XIV, 5. 
22. Le vintsi. Æ/cedo ‘cristatas XIV, 99: PLUAVR 
23. Le taparara. Alcedo Cayanensis. XIV, 
IOT: 
24. L’alati. Z/cedo 1orquata. XIV, 103. 
25. Le jaguacati. Æ/cedo alcyon. XIV, 106. 
26. Le matuitui. Æ/cedo mäculata. XIV, 09e 
27. Le martin-pêcheur verd et roux. Æcedo bis 
color. XIV, ITi. bé à, 
28. Le martin-pêcheur verd et blanc. Acute V 
Vireeé caña. XIV, 113-410 ji. 
29. Le gip-gip. Alcedo Brasiliensis. XIV, me. 
LES 0 
30. Le martn-pêcheur verd et orangé. Aleedo, 
superciliosa. XIV, 115. 


CINQUANTEHUITIÈME GENRE. 
cÉYXx. (Ceyx.) 


Le bec tres-long ; la langue courte; le tarse 
très-court; chaque a ne présentant des 
*ÉTOIS rs ou die 

ESP Ë ä 
z. Le martin-pècheur à trois doigts, Ceyz tria 
dactylus. XIV, 97: 


Bec droit et comprimé. 


a a 3 F PARUS 


l 


À LINQUANTENEUVENNE GENRE, 


à Den 


« 


Lee rte LA 
* | - XIV, page 123. 


ï 
Le bec long, et entouré à sa base de plumes 


, . un peu roides. ; 


ESPÈCES. au 


7. Le todier de l'Amérique septentrionale. Todus 
véridis. XIV, 125. | 
. Le Le tic-tic, ou todier de l'Amérique: api 
.. . nale. Todus cinereuse XIV, 128. 
3, S todier bleu, à ventre orangé. Todus cœrus 
_ deus. XIV, 130. . 
# | Frs 


Bec droit et menu. 


# 


 SOIXANTIÈME GENRE. 
MANAKIN. (Pipra.) 
… Tome VIII, page 48 ” 

Le bec court et dur; la queue courte. 


Let ESPÈCES. 


2- Le 'ÎHE, 4 grand manakin. a pareolé.… LEE 
VIII, 53. 
2. Le es Pipra manacus. VIIT, 56. vorà 
3. Le manakin rouge: Pipra reola. PHL) 56% ou 
4 Le manakin orangé. Pipra aus ntiaca. VIIT, 60. | 
Ce manakin n’est sans doute qu une variété 
du rouge. M .w 
5, Le manakin à tête rouge. Pispra eotirocsphale 
| VIII, 62. 
Variété A. Le manakin à tête d'or, VIII, 62. 
© B. Le manakin à tête rouge. VIII, 62. 
C. Le manakin à tête blanche. VIII, 62. | 
D. Le manakin à gorge blanche. VIII $ NS 
É à d” 
Quadrupdes. XIV, \ 


ET 


| LA Le maizi de | 


Pr 


D à à VIT, pr FARM 
9. Le picicitli, ou oiseau du Brésil pet et # 
huppé. Pipra cristata. VIIL, 48. ‘is 
10, Le coquantototl » Ou pelit oiseau huppé 4 le 
figure du moineau. Pipra grisea. VII, 48. pu 
ha DUT. Le plumet blanc. Pipra albifrons. VIII, 73. 
60 D . L'oiseau ceudré de la Guiane. Pipra Qiri= 
à capilla. VII, 75 | 
LL” + 13. Le manikor. Pipra Papuensis. VIII, 76, 
Ja _ 14 Le coq de roche. Pipra à VIII, 78. 
Les naturalistes modernes ont fait, par erreur, 
d'après Buffon, une. pie particulière 
du coq de roche en jeune âge, ou femelle, 
sous le vom de coq de roche du its ; 


bia | VAR Re Mrs Leu 


1 


je 
À AUS, AN 


Bec arqué. 


“ 


SOIx XANTE- UNIÈME GENRE. 


LL 'GUÉÊPIER. (CMerops.) 
| Tome XII, page 194. | 
Le re pointu; la langue déliée. 
ESPÈCES. 


z. Le fournier. Merops rufus. XII, 245. 
2. Le polochion. Merops Moluccensis. XII , 


É mrar D Lu HS 
3. Le rérops rouge et bleu. Merops Brasiliensis, ; 
P ô ÿ é | 

4. Le Er Marne ts XI 2 A 
5. Le guépier à tête jaune et blanche. Merops pi 
ie XIT, 263. 4 Ne 

- 6. Le guêpier à tête grise. Merops cinereus. “ a 
7. Le guëpier gris d'Ethiopie. Merops Car | ui 
XII, 266. | 3 

| vie : 

\ : 


2 


É. 
Er --7e 


OT Pen" ae 5 & Las RS 7e, 
CE Ea LE FETE Le KE 


k 
}, 
SPACE 
#}, 
nt 

l 


\ 


-#r. Le grand guépier verd et bleu à gors ge jaur 


10. Le guêpier vert à gorge bleue. Moropss 1 
XIE, 208 ï 


AMerops chrysocephalus. XII, ape AE 
12, Le petit guêpier verd et Hièi à queue étagées 
Merops Angolensis. XII, 281. 
_x3. Le guépier verd à queue d'azur. Merops 
Philippinus. XII 5 28%. 
14. Le guêpier rouge à tête bleue. Merops cæru- 
leocephalus. XIL, 285. 
15. Le guêpier rouge et verd du Sénégal. Merops | 
erythropterus. XII, 287. 
16. Le guèpier à tête rouge. Merops erÿthro- 
cephalus. XIT, 28). | she 
17. Le guépier verd à aïles et queue rousses. 
Merops Cayanensis. XII, 201. 
18. L’ictérocéphale, ou le guêpier à tête jaune. 
Merops icterocephalus. XII, 203. 


DES OISEAUX. 294 


— 


QUATRIÈME SOUS-DIVISION. 


Doigts de devant réunis à leur base par 
; _ une membrane. 


GALLINACÉES. 


VINGT- UNIÈME ORDRE. 
_ Bec renflé. 


SOIXANTE-DEUXIÈME GENRE. 
PIGEON. (Columba.) 


Le bec gréle et renflé vers la pointe ; Les 
ouvertures des narines recouvertes à demi 
parune membrane molleetcomme gonflée; 
la langue non divisée; le tarse court. 
ESPÈCES. . 
. Le pigeon domestique, et ses variétés, Columba | 
domestica. IV, 243. 
2. Le pigeon biset. Columba via. IV, 243. 
3. Le pigeon sauvage. Columba æœnas. IV, 243  ! ‘ 
4. Le ramier. Columba palumbus. IV, 292. di. 
5. Le ramier des Moluques. Columba æœnea, LM 
IV, 300. ARE 


8. Le pigeon des îles Nicobar. Columba. 1 


ï 
v: 

’ 
4 
q le 
; 
Ë 


6. Le net Colis Madagasea 12 
Jo Rex 


ONE A (LA 4 


7. Le ramirer. Columba speciosa. IV, 303. 


Garica. IV, 285. D 4 MR 
9. Le pigeon couronné de Banda. Columba coro= 
nata, IV, 285. * NT 
10. La tourierelle. Co/umba turtur. IV, 308. 
11. La tourterelle du Canada. Columèg Cana- 
densis. IV, 315. 
12. La tourterelle du Sénégal. Columba vinacea. 
ENS Sr”: | | 
13. Le tourocco. Columba macroura. IV, 3r7. 
14. La tourtelette. CoZumba Copa IV, 317. 
15. Le turverd, Columba wiridis. AV, 319. 
16. La tourte. Columba Carolinensis. IV, 321. 
17. Le cocotzin. Columba } |‘ sb ie TV; 323. 


SOIXANTE-TROISIÈME GENRE. 
TÉ TR AS. (Tetrao.) 


Le bec court; les ouvertures des narines 
cachées sous des plumes ; une place auprès 
_ des yeux dénuée de té aid le tarse Berre 
de plumes. 
ESPÈCES. 


x. Le tétras, ou grand coq de bruyère. T. étrae 
urogallus. LIT, 219. s 


RE Hé petit tétras, ou coq de. bte à queue 
 fourchue. Tetrao tetrix. IlT, 242. 
3. Le petit tétras à queue pleine. T'etrao betulinuse 


fi AIT, 265. 
_ 4. Le petit tétras à plumage variable. T'etrao »a- 
… riabilis. IIT , 268. 4 4 


5. La gélinotte. ; bonasia. II, 271. 
6. La gélinotte d'Écosse. Terrao coticus. IIT, 
261. 


7 Le ganga, Où gélinotte des Pyrénées. T'etrao 


alchata. III. > 204. 
8. L’attagas. T'etrao attagas. 1II, 204 
Variété, L’attagas blanc. IIT, 306. 
9. Le lagopède. T'etrao lagopus. III, 309. 
10, Le lagopède de la baie d'Hudson. Tetrao 
albus. III, 323. : 
RES gélinotte de la baie cc T'etrao 
Canadensis. 1II, 326. ’ 
12. Le coq de bruyère à "ri > où la grosse 
gélinotte de Canada. Le aa EiE, 
326. 
13. La gélinotte à longue queue dela baie d'Hudson. 
Tetrao phasianellus. IT, 326 


X 


+ CET LÉ DST DL >: 7 2,22 


TAE 
SOIXANTEQUATRIÈME C GEN À 


PERDRIX. (Perdix F4 LA 
Le bec court; les ouvertures des narin( 
couvertes d’une callosité ; une place auprès 
des yeux dénuée de plumes; le tarse che . 
de plumes. de. À 
ESPÈCES. 
Les perdrix. IV, 128. ù 
3. La perdrix grise. Perdix cinerea.IV, de 152. 
2. La petite perdrix grise. Perdix Damascena. 


: 


IV, 154: 

3. La perdrix de montagne. Perdix montana. 
IV, 197. | 

4. La bartavelle , ou perdrix grecque. Perdierafa. 
IV, 156. 


5. La perdnx rouge, Perdix ve TV, 171, 178. 
Celle-ci a été regardée jusqu’à présent comme 

une variété de la bartavelle; c’est plutôt une 
espèce distincte, . G 

6. Le francohn. Perdix francolinus. IV, 179. 

7. Le bis-ergot, Perdix bicalcarata. IV, 185. 

8. La gorge nue, ou perdrix rouge d'Afrique. 
Perdix nudicollis. IV, 186. 

9. La perdrix rouge de Barbarie. Perdiz algira. 
IV, 168. 

zo. La perdrix de roche, ou de la Gambra. Perdiz | 
petrosas IV, 189. 


4 \ (EE | ; 1 pi Pis 
< LÉ Let a A a bi Sd: je: SRE AS NÉE 


| DES. OISEAUX. 


. La perdri IX perlée de la Chine, Phkdir: ARTE | 


IV, 160. 

_ 22. La perduix de la nouvelle Angleterre. Perdiz 
Marylanda. IV, 190. 

Les cailles. | 


13. La caille et ses variétés. Perdix coturnir. 
\ : 


LEN, ro2. 


14 Le chrokiel, ou grande caille de Pologne. | 


Perdix Polonica. IV, 223. 
15. La caille des îles Malouines. Perdix Falklan- 
dica. IV, 225. 


16. La fraise, ou caille de la Chine. Perdix Chi- | 


nensis. IV, 226. * 
27. Le réveil-matin, ou caille de Java. Perdix 
suscitata. IV, 220. 
Les colins, IV, 232. 


18. Le zonécolin. Perdix cristata. IV, 236. 

19. Le grand colin, Perdiz novæ Hispanie, 
IV, 236. 

_ 20. Le cacolin. IV, 237. 

21. Le coyolcos. Perdir ceyolcos. IV, 237. 

22. Le colenicui. Perdir Mexicana. 1V, 238. 

23. L’ococolin, ou perdrix de montagne du Mexi- 
que. Perdixz nœvia. 1V, 247. 

24. Le tocro, ou perdrix de la Guiane. Perdiz 
Guianensis. VIII, 187. 


ae. 


= 7 RER 


Sr 


Se < 


LR NE 7. Tee ASE dt >. OMS MNT —. — PME 


LE A 


|SOIXANTE- ECINQUIÈNE € 


mi) TINAMOU. CTinamus.) | 
V4 AR Tome VIT, page 170. 


Le bec long; Les ouvertures des na. | 
k éloignées Fe la base du bec; u une place | 
d' À ” auprès des as garnie de plumes clai 
_ AI sernées. j | 
#4 ESPÈCES ne AS 


: 


z. Le magoua. Tinamus Brie VIT, sus 

2. Le tinamou cendré. Tinamus cinereuse VIII ‘ 
102. 10 

3. Le tinamou varié. Tinamus variegaius. Vi » 
103. 

4 Le souïi. Tinamus oui. VIT, 185. 


. 


SOIXANTE-SIXIÈME GENRE, 
TRIDACTYLE. (Tridactylus.) | 


Le bec court; les ouvertures des narines 
couvertes d’une callosité; une place auprès 
des yeux dénuée de plumes; chaque pied. 
ne présentant que trois doigts. 


ESE È C E. 
x Le turnix, ou la caille de Madagascar. Perdis 
nigricoilis. 1V, 220 


* 


1e AUX El RS ion FraN ei de 


Mt DES DIS RE di 
SOIXANTESEPTIÈME GENRE. 


PAON. (Pavo.) 


_ Le sommet de la téte orné de plumes très- 
relevées, élargies à leur extrémité, ef en 
forme d’aigrette. 
ESPÈCES. 
1. Le paon proprement dit. Pavo cristatus. IV, 
TL) 40» 44. 
. 2. Le spicifère. Pavo muticus. IV, 02. 
3. L’éperonnier. Pavo bicalcaratus. IV, 94. 
4. Le chinquis. Pavo Tibetanus. IV, 00. 


SOIXANTE-HUITIÈME GENRE. 


FAISAN. (Phasianus.) 


Une place dénuée de plumes sur chaque 
joue : les pennes intermédiaires de la 
queue recouvrant les latérales. 

ESPÈCES. 


LA Le coq et la poule , et leurs variétés. Phasianus- 
“gallus. III, 66. \ 


# 


2. Le faisan et ses variétés. Phasianus ions, 
IV, 45,71, 72, 73. 

3. Le faisan doré , ou le tricolor huppé de la 
Chine. Phasianus pictus. IV, 77. 


299 


hs 
a 
A 
4 
L. 
; 
Ÿ 
À 


4. Le Eu noir et blant, ou a de le C 2. 
Phasianus nyctemerus. IV, 82. 

5. L'argus, ou luen , ou faisan de Junon. Phasi | 
nus argus. IV, 85. . nr 

6. Le katraca. Phasianus motmot. IV, 8. 

7. L’hoazin. Phasianus cristatus. IN, ab 

8. Le parraka. Phasianus parragua. IV, Ha 

9. L’hoitlallotl. Phasianus Mexicanus. IV, 226. 


SOIXANTE-NEUVIÈME GENRE. 
PEINTADE. (Numida.) 


Une proéminence osseuse et recourbée en 
arrière sur le sommet de La téte. 
ESPÈC E. - 


{ 


Æ La peintade et ses variétés. Numida meleagris. 


III, 190. | 
SOIXANTE-DIXIÈME GENRE. 
DINDON. (Meleagris.) | 
La téte couverte de papilles charnues ; le 
cou garni de barbillons charnus. 


ESPÈCES. 
1. Le dindon et ses variétés. Meleagris gailopav® 
ALL, 1952, 


2. Le napaul. Meleagris satyra. LV, 85, 


Var Dr 7 AN 


DES pr r das MER NL 


SOIXANTE-ONZIÈME GENRE. 
Hocco. (Crax.) 
Tome IV, page 101. 


Une cire sur la base du bec; Les plumes du 
dessus de la téte retournées sers le bec, 
ou relevées en huppe. 


ESPÈCES. 


3. Le hocco proprement dit, ou le hocco de la 
= Guiane. Crax alector. IV, 102. 

2. Le pauxi ou le pierre. Crax pauri, IV, 112. 

3. Le chacamel. Crax vociferans. IV, 125. 

4. Le caracara. Crax caracara. IV, 123. 


Je dois observer, 1°. que le chacamel me 
paroît être plutôt un synonyme du petit aigle 
d'Amérique ( falco nudicollis); 20. et que le 
caracara es! un autre oïseau de proie, et non 
pas un hocco , comme l'ont cependant cru 
quelques uaturalistes modernes. 


4. 


bé 2 ER 
RE RS RUE 


Point vs cire; Les plumes Ha! Lstpee 
à retournées vers le bec, ou relevées en } 


ES P È CES. s 
\ ù 
\ : 3 us 
1. Le marail. Penelope marail. IV, 7 
2. L’yacou. Féraens Ghreanerit IVir ) 
s 4 di ri 
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AA ; Pen 4 Po ds VAE NAN ner Ne 
ra É ET CR ONE TONER, RNA EU AN PL 


SECONDE SOUS-CLASSE. 
Le bas de la jambe dénué de plumes Ë 


ow plusieurs doigts réunis par une 
large membranes 


Re onision 


Trois doigts devant; un doigt ou point 
de doigt derrière. 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 


Doigis de devant entièrement réunis par une 
membrane. 


OISEAUX D'EAU. 
Tome XIV, page 132. 


VINGT-DEUXIEME ORDRE. 


Bec croclu. 


SOIXANTE-TREIZIÈME GENRE. 
FLAMMANT. (PAœnicopterus.) 


Le bec grand, large, fléchi vers son milieu. 
ESPÈCE. 
z. Leflam maut, PAœnicopterus ruber. XVI, eh. 


4 


SOIXANTEQUATORZIÈME GENR E 


ÿ I: 
À LB ATROSSE. ( Diomedea:) amet. 


\ 


ÿe bec grand, fort, tranchant, et cu 
par un gros crochet; les ouvertures dés 
narines placées à l’extrémité d’un petit 
rouleau longitudinal ; chaque PES ne 


présentant que {rois doigts. 


1. 


ESPÈCE. 
1. L’albatrosse. Diomedea exulans. XVII, 166- 


SOIXANTE-QUINZIÈME GENRE. 


PÉTREZL.. (Procellaria.) 
Tome XVIII, page 120. 


Les deux mandibules égales: les ouvertures 
des narines placées, à l'extrémité d’un 
cylindre longitudinal ; un ongle tenant 
lieu du pouce de chaque pied. 

ESPÈCES. 


3. Le pétrel cendré. Prccellaria cinerea. XVI, 
126. / 

2. Le pétrel blanc et noir, ou le damier. P7ro- 
cellaria Capensis. XV1IT, 120. 

3. Le pétrel antarctique, ou le damier brun, 


Procellaria antarctica. XNIII, 136. 


* 


DES OISEAUX. 305 
4. Le pétrel blanc , ou de neige. Procellaria 
nivea. XNIII, 130. 


_ S. Le pétrel bleu. Procellaria Forsteri. XVIII, ï 


41. 


6. Le très-grand pétrel , ou le quebrantahuessos. 


 Procellaria gigantea. XVIII, 146. 


- 7e Le pétrel-puffin. Procellaria puffinus. XIII, 


T47. 
6. Le fulmar. Procellaria glacialis. XVIII, 153. 
9. Le pétrel-puffin brun. Procellaria æquinoc- 
tialis. XVIII, 155. : 
30. L'oiseau de tempête. Procellaria pelagica. 


X VIII, 156. 


VINGT-TROISIÈME ORDRE. 


Bec denteleé. 


SOIXANTE-SEIZIÈME GENRE - 
CANARD. (Anas.) 
Tome XVII, page xt. 

Le bec large, arrondi à son extrémité , "ei 
garni, tout autour des mandibules, de 
petites lames verticales. 

ESPÈCES. 


. Lecygne. Ænas olor. XVIT, 125. 
| 26 


56 de (TABLEA ENTRE 
2. L'oie. nas anser. XVIL, 156: ni MUR 


3. L’oie des terres magellaniques. D Maget- & 
» : lanica: XVII, 200.. tp t ont 4 
1 4e L'be des îles Malouines, où Falkland. nas 

leucoptera. XVII, 202. = 4 d pi * 


5. L’oiede Guinée. Ænas cycnoïdes. XVII, 206. 
6. L’oie armée. Ænas Gambensis. XNI ; 210. 
7. L'oie bronzée, Ænas melanotus. XVI, 212. 
8. L’oie d'Égypte. nas Ægypliaca XVII, 214. 
y. L’oie des Eskimaux. {nas cærulescens. XVII, 

216. #3 

10. L'oie rieuse. Anas albifronse XNII, 217. 
11. L’oie à cravate. Ænas Canadensis. XVII, 219. 


” 32. Le cravant. Ænas bernicla. XVII, 224. 
13. La bernache. Ænas erythropus. XNII, 230. 
( 14. L’eider. {nas mollissima. XVII, 238. 
35. Le canard et ses variétés. AnaS boschas. 
| XVII, 240. 
16. Le canard musqué. Ænas moschata. XVII, 
290. 


47. Le canard siffleur, et le vingeon ou gingeon. 
Anas penelope. XVIT, 206. 

x6. Le sieur huppé. nas rufina. XVII, 31r. 

xg. Le siffleur à bec rouge et narines jaunes. Anas 
autumnalis. XVII, 313. 


20. Le siffleur à bec noir, nas arborea, XVII, 
SAVE 


"4 


30. 


36. 


. Le canard à tête grise. {nas spectabilis: 


A: pos À CA Los NT A € ag LE M" 


DES! OISEAUX, 307. 


* Le chipeau, ou le ridenne. Anas streperas 


> LANIT, 317. 


. Le Sinaltis ou le rouge. Aide platyrhynchos. 


XVII, 32r. 


Le pilet, ou canard à longue queue. nas 


acuta. XNII, 330. 


. Le canard à longue queue de Terre-Neuve. 


ÆAnas glacialis. XVIT, 334. 


. Le tadorne. nas Sara XVIHT, 5. 

. Le millouin. Anas ferina. XVIII, 10. 

- Le millouman. Ænas marila. XVIII, 25. 
. Le garrot. Ænas clangula. XVIII, 27. 

+ Le morillon. Ænas fuligula. XVII, 33, 37. 


La macreuse. Ænas nigra. XVII, Fa 


: La double-macreuse. Æ4nas fuscas XVIIT, 


52. 


. La macreuse à large bec, has perspicillata. 


XVHIE, 53. 


. Le beau canard huppé. Anas sponsa. XVII, 


25. 


+ Le petit canard à grosse tête. Anas bucephala. 


XVITT , 56. 


. Le canard à collier de Terre-Neuve. {nas 


histrionica. XVIIT, 60. 
Le canard brun. nas minuta. XVIII, 65.: 


XVIII, 65. 


CR} D: PANT OR Pi bd 


so, 


al dE fat A) à 
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À 

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VAOOMR | 
"NU 
nn | 


? x, 


38. Le canard À face blanche. Anas viduaas 


XVIII, 68. 
39. Le marec. AÆnas Bahamensis. XVII, 69e. 
40, Le maréca. nas Brasiliensis. XVIIT , de 


Les here: XVIII, 7o. 


LORS 
” 


Ka] 
pe 
‘tS 


41. La sarcelle commune. .Anas un A 


XVIIL, 73. 


42. La petite sarcelle. nas crecca. XVIII ÿ 79= 


43. La sarcelle d'été. {nas circta. XVIII, 82. 

44 Lasarcelle d'Egypte. Anas Africana. XVITI, 
88. 

45. La sarcelle de Madagascar. Ænas Madagas- 
cariensis. XVIII, 80. 

46. La sarcelle de Coromandel. Ænas Coroman- 
deliana. XVIII, 00. 

47. Lasarcelle de Java. Anas falcaria. XVIII, ox. 

AS. La sarcelle de la Chine. Anas galericulata. 
XVIII, 02. 

49. La sarcelle de Féroé. Anas Feroensis. XVIII, 
99. 


5o. La sarcelle soucrourou. Ænas discors. XVIII, 


97: 
Br. La sarcelle soucrourette. nas soucrourde 
XVIII, go. 


92. La sarcelle à queue épineuse. Ænas spinosa. 


XVIII, 107. 


SN 


PE 


: 


| DES OISEAUX. 30 
3 À La sarcelle rousse à longue queue. Ænas Do- 
minica, XVIII, 103. 


94: La sarcelle blanche et noire, ou la religieuse. 


Anas religiosa. XVIII, r1o5. 


55. La sarcelle du Mexique. nas novæ His- 


paniæ. XVII, 107 
56. La sarcelle de la Caroline. ÆAnas Carolinensis. 
XVIII _ I09. 


572 La sarcelle brune et blanche. Ænas Hudso- 
niensis. XVIII, xro. 


SOIXANTE-DIX-SEPTIÈME GENRE. | 


HA RLE. (Mergus.) 


Le bec étroit et alongé: les deux mandibules 
garnies de dents pointues, petites, et di- 
rigées en arrière. 

ESPÈCES. 
z, Le harle. Mergus merganser. XVI, 108. 
2. Le harle huppé. Mergus serrator. XVI, 194 


‘3. La piette, ou le petit harle huppé. Mergus 


albellus. XVI, 196 : 

4. Le harle à manteau noir. ie a niger. XVI, 
198. 

5. Le harle étoilé. Mergus Plus. XVI, 200, 


6, Le harle couronné. ner cucullatus. XVE, 


202: 


Li. nn (A 
PRE EN AU PRE UE 


VINGT- QUATRIÈME ORDRE. 


Bec droit et comprimé, ik 


SOIXAN TE-DIXHUITIÈME GENR) 
BEC-EN-CISEAUX. CRéyncops.) 


La mandibule supérieure plus courte que 
l'inférieure, dont l'extrémité est rectiligne, 
et n’a qu'un seul tranchant. 


ESPÉCE 


x. Le Benne Rhyncops nigra. 


SOIXANTE-DIX-NEUVIÈME GENRE 


- PLONGEON. (Urinator.) 
Tome XVI, page 168. 
Le bec fort et pointu ; quatre M re & 
chaque pied. DA 
ESPÈCES; w 
x. Le grand plongeon - Urinatorimmer. XVI, 171. 


2. Le petit plongeon. Urinator striatus, XNI , 174 


PP RE AT TA OT ES à OO PTS REP NE E VPANT E na: dieu TA De. Mt PU 7 L'ONU) 


170 
AÏ:V 


Fu d 


LOT DISA QI SEEN U x 31t 
3. Le plongeon cat-marin, Urinator Bailloni. 
: XVI, 176. 


4. L’imbrim, ou grand plongeon de la mer du 
Nord. Ürinator glacialis. XVI, 170. 
5. Le lumme, ou petit plongeon de la mer du 


Nord. Urinator arcticus. XNI, 182. 


QUATRE-VINGTIÈME GENRE. 
GRÈBE. (Colymbus.) 


Le bec fort et pointu; quatre doigis à chaque 
_-pied; les mernbranes des pieds Alors €es. 


ESPÈCES. 
x. Le grèbe. Colymbus cristatus. XVI, 130. 
Le grèbe cornu est le même animal adulte; 
XVI ES 
‘2. Le petit grèbe. Colymbus obscurus. XVI, 
146. 
3. Le grèbe huppé. XVI, 147. 
4. Le petit grèbe huppé. Co/ymbus auritus. XVI, 
149° | 
Variété. Le petit grèbe commu. XVI, 152. 
5. Le grèbe duc-aart. Colymbus Thomensise 
VI, FE 
6, Le grèbe de la Louisiane. Colymbus Ludo- 
v»icianus, XVI, 155. 


| 


7. Le grèbe à joues pa ou ejougri. Cof ml j ; 


rubricollis. XNI, 156 | 
8 Le grand grèbe. Colymbus Cayanus. ES 
x5T. 
g- Le castagneux. Colymbus minor. XVI, he. sv 
10. Le castagneux des’ Philippines. Co/ymbus \ 


Philippinus. XVI, 162. nd 
1x1. Le castagneux à bec cerclé. Colymbus a 
ceps. XVI, 164. | 4 
12. Le castagneux de Saint-Domingue. Colymbus 
Dominicus. XVI, 165. Lo.‘ = 
13. Le grêbe-foulque. Colymbus Surinamensise 
XVI, 166. gù 


‘ \ K 4 


QUATRE-VINGT-UNIÈME GENRE. 


GUILLEMOT. CUria. ) 
s 
Le bec un peu haufef pointu ; chaque pied 
ne présentant que {rois doigis ; Les ailes 
._érès-courtes. 


ESPÈCES. Leaf VA 
1. Le guillemot. Uria troïle. XVIII, 174. 
2. Le petit guilleinot, improprement nommé fa 
colombe de Groenland, Uria grille. XVIILE, 
-177 


DES OISEAUX. \ 3e 


| QUATRE-VINGT- DEUXIÈME GENRE. 


PINGOUIN. (Pingouin.) 
Tome XVIII, page 194. 


Le bec arrondi dans le bout, et sillonne : 
chaque pied ne présentant que trois doigts ; 
les ailes très-courtes. 


ESPÈCES. 


1. Le pingouin. Pingouin torda XVIII, 210. 
2. Legrand pingouin. Psngouini D XVIIL, 
214. 


3. Le petit pingouin, ou le plongeon de mer 
de Belon. Pingouin pica. XVIII, 216. 


_ QUATRE-VINGT-TROISIÈME GENRE, 


{ 
MANCHOT. (Æ4prenodytes.) 


Le bec droit et pointu; un ongle à la place 
du pouce; point de pennes aux ailes. 


ESPÈCES! 


z. Le grand manchot, Aplenodytes Pathagonicai | 


FTAVETE, 219. 
27 


” 


TA BLI AU % À 
2. Le manchot moyen. Apienodytes demersa. 


XVIII, 223. - ps € 
3. Le manchot sauteur. Antibes cheysocomes 
XVIII, 220. 


gellanica. XVIII, 232. F4 


4. Le manchot à bec tronqué. _Apienodytes ee 


HA 


VINGT- -CINQUIÈME ORDRE. 


Bec droit et menu. # 
\ 


“AI 


QUATRE-VINGT-QUATRIÈME GENRE. 


STERNE. (Sferna.) 
4 Tome XVI, page 246. 
Le bec effilé et pointu ; Les ouvertures des 


narines longues et étroites; les ailes très- 
 dongues; les tarses courts. 


ESPÈCES. 


1. Le pierre-garin, ou grande hirondelle de mer. 
Sterna hirundo. XVI, 252. | 
2. La petite hirondelle de mer. Sterna minuta, 


XVI, 250. 


44 


3. La guifette. Sierra Boysui. XVI, 261. 
4. La puifette noire, ou l’é épouvantail. Szerna 
fissipes. XVI, 264. 
5. Le gachet. Srerna nigra. XNI, 266. 
6. L’hirondelle de si Philippines. Sterna 
Panaya. XVI, 267. 
7. L’hirondelle de mer à grande envergure. Sterna 
Juliginosa. XVI, 268. | 
8. La grande Lodel de mer de Cayenne. 
_ Sterna Cayana. XNI, 271. 
9. Le uoddi. Sterna siolida. XVII, co. 


VINGT-SIXIÈME ORDRE. 


Bec arqué. 


QUATRE-VINGT-CINQUIÈME GENRE. 
AVOCETTE. (ÆRecurvirostra.) 


Le bec très-long, et recourbé vers le haut. 


ESPÈCE. 
3. L’avocette. Recurviresira avocetta. XVII, 


94. 


‘ DÉS OISEAUX. 15 


7 =: 
pe Ce RP Sn LS 


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VINGT-SEPTIÈME ORDRE. 
Bec renflé. 


26 


4 
QUATRE-VINGT-SIXIÈME GENRE. u4 


MAUVE. (Larus.) 
Tome XVII, page 5. 


Le bec fort et renflé par-dessus et par-dessous; 
les ailes très-courtes. 
ESPÈCES VI 
3. Le goéland- à manteau noir. Larus marinuss 
‘à XVII, 20. Ve si à 
1 2. Le goéland à manteau gris. Larus glaucus. 
XWVIL, 22. 
3. Le goéland brun. Larus catarractes. XVII, 25. 
4 Le goéland varié, ou le grisard. Larus nœvius, 
XVIT, 30. 
5. Le goéland à manteau gris-brun, ou le bourg- 
mestre. XVII, 36. 
6. Le goéland à manteau gris et blanc. XVII, 40. 
7. Lamouette blanche, Larus eburneus. X VIT , 42. 
8. La mouette tachetée, ou le kutgeghef. Larus 
tridactylus. XVII, 44. 
9. La grande mouette cendrée, où mouette à pieds 


bleus. Larus argentatus. XVII, 48 - 


10. La petite mouette cendrée. Larus cinerascens. 
XVII, 5r. 

11. La mouette rieuse. Larus aireilla VIT! 55. 

12. Le inouette d'hiver. Larus 2 rh XVII, 
60. 


13. Le labbe, ou le stercoraire. FH érepi- 
datus. XVII, 64. 
14 Le labbe à bee queue. Larus parasiticus. 


XVII, 71. 


DEUXIÈME SOUS-DIVISION. 


Quatre doigts réunis parune largermembrane. 


OISEAUX D'EAU LATIRÈMES. 


VINGT-HUITIÈME ORDRE. 


Bec crochu. 


QUATRE-VINGT-SEPTIÈME GENRE. 
FRÉGATE. (/Fregata.) 


Le bec long, ettrès-crochu vers son extrémité. 
_ESPÈCE. 
x. La frégate. Fregata aquilus. XVI, 306. 
Rens 7 


DES OISEAUX 317 


| ÀQUATRE-VINGT-HUINIÈME cm 


CORMORAN. (Carbo.) ë +7 


Le bec un peu comprimé ; la queue srscroides… ; 


ESP ÉCEN AUS 


1. Le cormoran. Carbo vulgaris. XVI, 229. 
2 Le petit cormoran, ou le nigaud. Carbo gra- 


| culus. XVI, 236. 


+ 
NA 


VINGT-NEUVIÈME ORDRE. | 


Bec den tele, 


QUATRE-VINGT-KEUVIÈME GENRE. 
ne FO U. (Sula.) | 
Tome XVI, page 285. 

Le bec droit. 


ESPÈCES. 


1. Le fou commun. Sula vulgaris. XVI, 294." 
2. Le fou blanc. Sula Piscator. XVI, 3 
3. Le grand fou. Sula major. XVI, 208. 
4. Le petit fou. Sula parra. XVI, 300. 


DES OISEAUX. #9 
5. Le petit fou brun. Sula fiber. XVI, 301. 
: 6. Le' fou tacheté. Sula maculaia. XVI, 302. 
7. Le fou de Bassan. Sula Bassanus. XVI, 303, 


QUATRE-VINGT-DIXIÈME GENRE. 
2° PHAÉËÉTON. (Phaëlon.) 
Tome XVI, page 273. 
Le bec gréle, pointu, un peu déprimé; les” 
ailes 1rès-longues. 
ESPÈCES. 


1. Le grand paiïlle-en-queue: Phaëton œthereus. 
XVI, 270. 

2. Le petit paille-en-queue. PAaëton rt 
XVI, 280.. 


3. Le paille-en-queue à brins rouges. Phaëton 
phœnñicurus. XVI, 283. 


QUATRE-VINGT-ONZIÈME GENRE. 
ANHINGA. (Plotus.) 


Le bec long, pointu et sans aucune sorte de 
crochet; des places dénuées de plumes sur 
la tête ou sur le cou; le tarse court. 

| ESPÈCES. à 

x. L’anhinga. Plotus anhinga. XNII, 74 

2. L’anhinga roux, Plotus rufus. XVII, 81. 


QUATRE-VINGT-DOUZIÈME GENRE. 


PÉLICAN. (Pelecanus.) 


Le bec long; une sorte de sac sous la gorge: 


ESPÈCES. 


N 
r. Le uit. Pelecanus onocrotalus. XVI, 
2043 224 . : 
2. Le pélican brun. Pelecanus FRA XVI, 226. 
3. Le pélican à bec dentelé. Pelecanus thagus 
XVI, 228. | 


DES OISEAUX. 3er 


\ 


TROISIÈME SOUS-DIVISION. 


Doig vis réunis à leur base parune bone 


TRENTE-UNIÈME ORDRE. 


Bec crochu. 


QUATRE-VINGT-TREIZIÈME GENRE. 
MESSAGER. (Serpentarius.) 
Le bec très-fort; une cire à sa base. 


… ŒSPÉC'E. 


3. Le secrétaire, ou le messager. Serpentarius 


Africanus. XIV, 235. 
QUATRE -VINGT-QUAT ORZIÈME GEN RE. 


KAMICHI. (Palamedea.) 


Le bec un peu conique auprès de sa base. 
J 
ESPÈCES. 


x. Le kamichi. Palamedea cornuta. XIV, 245. 
2, Le cariama. Palamedea cristata. XIV, 231. 


GLARÉOLE. | CGlareola.) 
Tome XV, page 160 de. 


Le bec court, et droit dans une grande parti 
desa longueur. | | 

E Smcæ's 1 AR 
1. La perdrix de mer grises Grerie Aile 

"JW, 68, ki | 

7 2. La perdrix de mer brune. G/areola Sencga- 

lensis. AVS T0 | ; À 
3: La giarole. Glareola nœvia. XV, 164. 

4 | 4. La perdrix de mer à collier. Glareola torquata. 


430 XV, 165. 


e. 
: TRENTE- DEUXIÈME ORDRE. 


Fe droit et conique. 


QUATRE-VINGT-SEIZIÈME GENRE. 
AGAMI. (Psophia.) 


La mandibule pe à plus- longue que 
VERSER 
ESPÈCE. 
x. L'agami. Psophia crepitans. VIII, 153. 


Er te E 
È “x 4 
La 


Ÿ - N 
A biens he a ACTE Ans "CSN HALLE LÉ AU 


DES OISEAUX. 323 


TRENTE-TROISIÈME ORDRE. 
Bec droit et comprimé. 
 QUATRE-VINGT-DIX-SEPTIÈME GENRE. 

GRUE. r Grus.) 


Le bec court, fort, ef un peu pointu; les 
ouvertures des narines étroites et alongées : 


un sillon longitudinal de chaque côté de 


la mandibule supérieure; la langue 77e 
tue; plusieurs parties de la téle dénuées 
de plumes. 

ESPÈCES. 


1. L'oiseau royal. Grus pavonina. XIV, 223. 

2. La demoiselle de Numidie, Grus »irgo. XIV, 
218. 

3. La grue. Grus vulgaris. XIV, 194. 

4. La grue à collier, Grus 1orquata. XIV, 212. 

5. La grue blanche d'Amérique. Grus Ameri- 
cana. XIV, 213. 


6. La grue brune. Grus Canadensis. XIV, se 


7. Le mandapoa. XIV, 192. 


PR st 


FE" 


+. mn "RSS 4 


QUATRE VING TDR HUTTÈNE G GE 


\ CIGOGNE. | 


\ 


ouvertures des narines étroites et alongées 


un sillon longitudinal de chaque côté de 


la mandibule supérieure ; a langue} poin- 


‘tue; les yeux entourés d’une’ peau nues 


ESPÈCES. 
zx. ee cigogue. Ciconia vulgaris. XIV, x56. 
2. La cigogne noire. Ciconia nigra. XIV, 176: 
3. Le maguari. Ciconia maguari. XIV, 100. 


QUATRE-VINGT-DIX-NEUVIÈME GENRE: 
w. HÉRON. (Ardea.) ®. 4 


Ze bec long, fort, et un peu pointu ; les 
ouvertures des narines étroites et alongées ; 


un sillon longitudinal de chaque côté de 


la mandibule supérieure; la langue poin- 
tue; les yeux eniourés d'une peau nue, 
et situés très-près de la base du bec ; Fonñgle 
du doigt du milieu dentelé. 


d 


ESPÈCES. 


1, Le héron commun. 4{rdea major. XIV, 254: 
2. Le héron blanc. .4rdea alba. XIV, 278. 


( Ciconi id: ) Ü à | 


Le bec long, fort, et un peu pointu ; Les 
di 


| y / 41 
DES OISEAUX. 8 À 


? 

S Le béron noir. Ærdea atra.. XIV, 281, | L. 

4. Le héron pourpré. Ardea purpurata. XIV, jé 

283 AM Mc , £ 

5. Le héron violet. Ærdea leucocephala. XIŸ, 

Ÿ NN WA | 5 

6. La garzette blanche. 4ra ea asian ÿ 
XIV, 286. * 


7. one. Ardea garzet @e. XIV, 288. | 
8. La ide aigrette. Ærdea egreita. XIV, 207: 
g L'aigrette rousse. Ardea rufescens. XIV, 293: 
10. La demi-aigrette. {rdea DRAP XIV, 


2e 4° s Jin | À 
zr. Le soco. Ardea cocoi. XIV, 48 ‘4 Pa : 
Z2. Le héron blanc à calotte noire. Ardea pe 

Ç] V, 27e 


13: Let éron brun. Ærdea fusca. XIV, N 
14. Le héron agami. Ardea agamï. XIV, 2994 
25. L’hocti. Ærdea hoactii. XIV, 300. | 
16. Le hobou. 4rdea hohou. XIV, 302. (a 
17. Le grand héron d’Amérique. Ardea Heros 

dias. XIV, 303. 
x8. Le héron de la baie d'Hudson: Ærdea Hude 


sonias. XIV, 304, 


Les crabiers. XIV, 306. 


39. . Lecrabier caiot. Ærdea squaiot{a. XIV, 307. 
20. Le crabier roux. rdea badia. XIV, 308 
Quadrupèdes, XIV: 38 


ke 


S SE 


22. Le guacô. ne Le 


23. Le crabier de Mahon J Aydoai Mehonices 


: XIV, 372. | | à 
24. Le en omadel, Ardea Coremande 


XIV, 
23. Létrobtié lan « 1 brun. Ardea Malaccensis. 
XIV, 3740 Ra: FOR. 
26. Le crabier noir. Ærdea novæ Grise ‘XIV, 
315. 
27. Le petit ce ÆArdea Philippe 
316. | sai 
28. Le blongios: Ardei minuta. XIV, 
29. Le crabier bleu. Ærdea cærulea. 
30.0 crabier bien àcde brun. is cæœTu 
ébis. XLV, 3229 V0 7 RE 


ês. XIV, 


3r. Le crabier gris-de-fer. Ardea roll 2 XIV, 
323. 


32. Le crabier blanc à bec rouge. \Ardea œqui=) 
noctialis. XIV, 325. 

33. Le:crabier cendré. 4rdea HAPPUE XIV, 
326. 

34. Le crabier pourpré. Ardea mr XIV, 

327. G SN | 
35, Le cracra. Ardea cracra. XIV, 328. 
36. Le'crabier chalyhé. Ardea chalybea. XIV, 


UT “ain “ 
DES OISEAUX. ÿ 329 
37 Le crabier verd acheté. ‘Ardea arbres 


XIV, D DoT- & 
38. r zilatat, rdea/silatai, XIV, 332. 
39. Le be route W (Be 6 “ueue vertes. Ærdea 
Ludoviciana. XIV, 333. 
40. Le crabier net ii e si si ue vertes. Ldrdea 
F Li we 


41. Le butor proprement dit. Ardea stellaris. 
XV, 5. 

42. Le orand butor. Ærdea botaurus. XV, 19. 

43. Le petit butor. Ærdea Marsigli. XN, 2x. 


44 Le butor brun rayé. Ærdea Danubialis. XV, di ON 


22. | 
45. Le butor roux, Ærdea Soloniensis. XV, 23. 


46. Le peut butor du Sénégal. Ærdea Senega= 


lensis. XV, 25. 

47. Le pouacre, ou butor re des Gardeni: 
XV, 26. 7e 

L'étoilé. C’est une variété du numéro “40. 

XV, 20. 

48. Le butor j jaune du Brésil Ardea flava. XV, 
30. 

49. Le petit butor de Ctems. Ardea undulata: 
XV, 31. 


# 


5o. À butor 
ke nica.  V 
| 5x. L'onoré.drdea , 
111. \ Sandi'onorérragés Ardea. n 
53. L’onoré des bois. Ar 
36. - 4 
54. Le bihorean. An ea 4 
55. Le bihoreau de as Cora 


# XV, 42° ! 
56. Le courhri, ou oi. Ardea soolpéea- 
1 XV, 49, : " 


V"N" CENTIÈME GE NA 


Fa 


NUE | BEC-OUVER Tr. Crians) | +3 


_ 4) 


we _ Les deux mandibules toujours séparées l'une 


re de l’autre, dans une are de leur lon | 

ik gueur. | | À 

| ie ssrÈcr. EE M 

4 x. Le MT LA Hians a À x, | 
. 335. 


/ 
; 


DES OISEAUX. | 329 


du 


CENT- -UNIÈME GENRE 
R A DE. (Rallus. ) 
Tome XVI, page 33. 


Le bec pointu; la tête petite; le corps corm- 
primé; la quete courte: les doigts anté- 
_rieurs très-longs. 


ES PÈCES. 


z. Le râle de terre ou de genêt, ou le roi des cailless 


Rallus crex. XVI, 35. 


2, Le râle de terre de lag amaique. Rallus cursors. di HS 


XVI, 35. 


3. Le râle de terre de la Gisne. Rallus Sinensis. : + 


XVE, 35. 

4. Le räle d’eau. Hetss aquaticus. XVI, 44: 
5. La maroueite. Rallus porzana. XVI, 47: 
(6. Le üklin, ou râle ds “mr Rellus Phi- 

NE: A XVI, 
7. Le tiklin brun, Halls "rime XVI, 53. 
8. Le tiklin rayé. Rallus striatus, XVI, DÂe 
9. Letiklin à collier. Rallus torquatus. XVI, 556 
40. Le râle à long bec. Ballus pris VI, 
*: 56. : 
zx. Le kiolo. Pains ane AI 58. 


% 


# 


330 , * A Fa L E AU ; Hi 
12, Le ie tache | de Eee Balls variege 
Mal XVI, 60. ï 6 ©" ( | 
+ 23. Le râlede vhs Rallus ; grisens. XVI, 622 
74. Le bidi-bidi. Rallus J amaïcensis. XVI, 62... 
19. Le petit râle de Ceyeie Rallus Cayanensis. 
XVI, 637 n 
16. Le pa ou petit paon de rose. Fallus 
helias. XVI, 63e, ". 


Tr 


CENT- DEUXIÈME GENRE: 


OMBRETTE. (Scope 


? 


* 


»“ 


_ Le bec long; les mandibules épaisses ; le. 
arse I6ng les ongles pelits. 


E s PÈC E.. 
I. L'ombrette. Scopus umbretta. XV, 8. 


 CENT- TROISIÈME de Lune 


- 4 
L’extrémité du bec en forme de coin ; chaque | 
pied ne pren que trois doigts. 


M 
re) ES PÈ C F1 
5. L huîtrier,  vulgairement la pie de mer. Hamas 
bé Sp re XVI, 5. ù 


D 


HUITRIER. | Cemaiopus.) 


PAU NT 
DES OISEAUX. 39r 


NW 
il 


TRENTE- QUATRIÈME ORDRE. 


Bec droit et déprimé. 


CENT-QUATRIÈME, GENRE: 
SAVACOU. (Cancroma.) 


Le bec très-large; les mandibules fortes et 


tranchantes. | en. . 
Lea j : : ee à "4 

ESPÈCE. | 44) "re 
1. Le savacou. Cancroma cochlearra. XV, PE ja 
 CENT-CINQUIÈME GENRE. 

SPATULE. (Platalea. j 
Le bec long, et élargi en jorme de ac 
ë son extrémité, 
ESPÈCES. js 14 
1. La spatule blanche. Plaialea leucorodia: 2, + . 
D2: | 

2, La spatule rose. Plaalee sjaja- XV, Sas 


M2 TABLE un 


ms 


TRENT TE- CIN QUIÈME ORDRE. 


Bec hr et menu. 


nt GENRE 
BÉCASSE.. CScolopax.) 


Le bec gréle, émoussé, et plus es que la 
téte; le doigt de derrière un peu long, et 
placé à peu près au niveau de doigts de 
_ devant, 

ESPÈCES. 


3. La bécasse, et ses variétés. SARRUE rusticola. 


XV, 66, 85. 
2. La bécasse des savanes. - Scolopar paludosas 
XV, 87. 


3. La bécassine Scolopar gallinago. V, go. 

4. La petite bécassine, surnommée la sourde. 
Scolopaz gallinule. XN, 97e 1% ; a 

5. La brunette, Scolopax pusilla. XV, 100. 

6. La bécassine du cap de Bonne - Espérance. 
Scolopar Loos: XV, xor. 

q- La bécassine de Madagascar. Scolopaz Mada= 

gascariensis. XV, z1o2. 


.e. La bécas.ine de la Chine. une Sinensrs. 


17 CU 
XV, 104 


o 


DES OISEAUX. 333 
Les barges. XV, 106. 


9: La barge commune. Scolopazx limosa. XV, 110, 
10. La barge aboyeuse. RERO totanus. XV, 
I12. % 
11. La barge variée. Scolopax glottis. XV, 114. 
12. La barge rousse. Scolopax À AY, 
116. 

13. La grande barge rousse. Scolopax oi M 
XV, 117. 
14. La barge rousse de la baie d'Hudson. Sco- 

OPEN XV, 119. 
15. La barge brune. Scolopax fusca. XV, 121. 
16. La barge blanche. Scolopazx alba. XV, 122. 
= Latham a rangé cette + ne dans le genre 
des avocettes, 


Les chevaliers. XV, _24- 


17: a chevalier commun. Scokopax equestriss 
XV, 126. 

18. Le chevalier aux pieds SFR Scolopax ru 
bripes. XV, 126. 

19. Le chevalier rayé. Scolopax driata XV. 137. 

20. Le chevalier varié. Scolopax littorea. XV, 132. 

21. Leckevalierblanc.Sco/opa&candida.XV,:35. 

2e Le chevalier verd. me da Bengalensis. XV, 
136. L | nu 

en a placé cet pis parmi les rèles 


16 + 


TRENTE-SIXIÈME ORDRE. 


Bec arqué. . 


/ 


Le 


CENT-SEPTIÈME GENRE. - 


JABIRU. (Mycteria.) 
Le bec recourbé vers le haut. 
ESPÈCE. 
x. Le jabiru. Mycteria Americana. XIV, 166, 
CENT-HUITIÈME GENRE. 
181s (Ibis) 
Tome XV, page 173. 


Le bec long, fort, tranchant, et, émoussé 


à son extrémité; des places dénuées de 


plumes sur la tête. 

:- ls Mu sAarÈcEs | 

à 14 Le couricaca. This Tac ohee: XIV, 182. 
2, L'ibis blanc. This candidus. XV, 188. 

3, L'ibis noir. Zbis niger. XN, 193. 

4. Le courlis rouge. Ibis ruber. XV, 272. 

5. Le courlis des bois. Z bis Cayanensis. XV, 223. 


EL FAN \ 

he 

GX A 
Ace 


ou 


— 


DES OISEAUX. 389 
6. L’acalot. Ibis Mexicanus. XV, 225. 
7. Le grand courlis de Cayenne. This albicollis, 
XV 228. | PRE 
8. Le matuitui des rivages. Zbis gris D XV, 227: 
g. Le courlis brun à front rouge. His Juscus. 
CV, 227. 
10. Le ue blanc. Zbis albus. XV, 219- 
11. Le courlis verd, ou eourlis d’Italie. Jbis fat 
cinellus. XV, 204% 
72. Le courlis brun. Tbis dr. XV, 206. 
13. Le courlis à tête nue. Ibis calous. XV, 208. 
14 Le courlis huppé. Zbis cristatus. XV, 210. 


CENT-NEUVIÈME GENRE. 
COURLIS. (Tantalus.) 


- Le bec long, fort, tranchant, et émoussé à 
son extrémité; point de places dénuées de 
plumes sur la tête. 

| ESPÈCES. 


z. Le courlis. Tantalus arcuatus. XV, TO à : 


2. Le corlieu , ou petit courlis. T'antalus ect) 
XV, 2or. dx 

3. Le courlis tacheté. Tantalus Lusoniensiss. 
XV, 207: 


4. Le gouarona. Tantalus guarauna. AV); 224 


f |), 1008 
ARS V: 


EX Re PR PRE LT ae UN 277 


a | _ TABLEAU 


CENT-DIXIÈME GENRE 


! w we 
ASSE. (Macrofarsus.) 


Le tarse de et grêle: chaque pied ne prée 
sentant que trois doigts. 


ESPÈCE. | 
+. L’échasse, Macrotarsus himantopus. XV, ‘e. 


TRENTE- SEPTIÈME Né OURS 
Bec renflé. 


CENT-ONZIÈME GENRE. 
HYDROGALLINE. ; (Æydrogallina. j 


La mandibule inférieure renflée vers son . 
extrémité ; une plaque dénuée de plumes 

_ sur le front; les doigts non bordés, ou 
| bordés d’une membrane très-étroite. 


n “YU ESPÈCES.., 


2. La poule d’eau. Fydrogallina Méropus. | 
XVI, 68. 


4 


WW 


DES OISEAUX. 339 

2. La poulette res Far gallina ur AP 
74° 

3. La porzane, ou grande poule "is nn 
gallina porzana. XVI, 7 Pau 

4 La grinette. Hydrogallina 4. XVI, 77e 

5. Le smirring, Hydrogallina flavipes. XVI, 78. 

6. Le glout. Æydrogallina fistularia. XVI ; 7, 

7 

ô. 


, La grande poule d’eau de Cayenne. Æydro- 
gallina Cayanensis. XVI, 80. . 
Le mittek. ge be du M Groenlandica. XYL.: 
82. 
9. Le kingalik. Aydr ogallina Barbarica. XVI, 
64 
40. La poule “Me verte. Hydrogallina viridiss 
XVI, 97, 109. 
11. La poule sultane brune. Hydrogallina oBs= 
j cura. XVI, TIO. 
12. L’angoli Hydrogallina Ma hant: 
XVI, zx. à 
13. La petite pouls sultane. Er Seat Mar- 
Zinica. XVI, 113. 


T4 La favorite, Hydrogallina flavirostis. XVI, | ja 


ER 
a5, L’acintli. ÆAydrogallina  purpurea. XV jé 
116. ke R : 1 di 


AR UE NTNENPENN 
F su No AE MS 


338 | (TABLEAU 
 CENT- DOUZIÈME GENRE. 


ro ae U £. (Fulica.) 


La naze éd renflée vers son x 
extrémité; une plaque dénuée de plumes 
sur le front; les doigts bordés d'une mem- We 
brane très-large. 


ESPÈCES. 
1, La foulque. Fulica atra. XVI, xxro. 


2. La macroule, ou grande foulque. Fu ater- | 


rima. XVI 5 120: 


3. La grande foulque à crête. Fulica cristata. 


XVI QE à. A 


CENT-TREIZIÈME GENRE. 
SAC AN Ai (Jacana. ) 


Des barbillons cérail auprès de la base du 
bec; un aiguillon auprès du métacarpe. 


ft ESPÈCES. 


1. Le jatino. Jacana chirurgus. XVI, 66. 

2. Le jacana noir. Jacana nigra. XVI, 92. 

qe jacana verd. Jacana viridis. XVI, 03. 
4. Le jacana péca. Jacana Brasiliensis. XVI > 4e 
5. Le Em varié. Jacana rofabilies XVI, 96% 


DES OISEAUX. us à 
CENT-QUATORZIÈME GENRE. 


mn 


VANNEAU. (Parra.}) 
gi 


Le bec gréle; Le doigt de der à ‘e très-court, 
et ne poriant pas à terre quand l'oiseau 

_ marche; les doigts de devant non bordés, 
ou bordés d’une très-petite membrane. 


ESPECES. 


1. Le vanneau. Parra vanellus. XV, 229. 
* 2. Le vanneau suisse. Parra Helvetica. XV, 244 
3. Le vanneau armé du Sénégal. Parra Senegallas 


XV, 246. 
4. Le vanneau armé des Indes. Parra Goensis.. 
XV, 246. ù 


5. Le vanneau armé) de Cayenne. Parra Caya- 
nensise XV, 250. | 

6. Le vanneau arrfédetla Louisiane. Parra Eu- 
doviciana. XV, 252. 


7. Le vanneau Ru Parra squatarola. XV, 
254. Fr 


8. Lecombattant, où paon de mer, 


XV, 137. | 
Les maubèches. XV, 146. FF. 


ar ap NAT e 
4 ie | y 1 


- g. La maubèche commune. Parra calidris. XV, 


. 340 


ZI. 


TABLEAU. do 
+ La ma biche) tachetée, | Parra, nœviae AVi 
149. ci 
La maubèche grise. Pa di. XV, 150. k 


12. Le sanderling. Parra sanderling. XV, 151. 


13. 1 


T4. 
19. 
16. 


17. 
16, 


29. 
LE 


CENT-QUINZIÈME GENRE. 


Le béca lee Parra ochropus. XV, 1924 à 
La guignette. Parra hypoleucos. XV, 198 
Le tourne-pierre. Parra interpres. XVI, 7 
La grive d’eau. Phpà macularia. XVI, 28 
Le caout. Parra canutus. XVI, 30. 
L’alouette de mer. Parra cinclus. XV, 167. 


Le cincle. Parra Alpina. XV, 171. 


Le coureur. Parra corrira. XVII, 107. j 


! 


PHALAROPE.. (Pkalaropus.) 


Tome XVI, page 133. 


Le S M le doigt de derrière très-court, 


+ membrane. 


1. Le phalarope curé Phalaropus  véoag hi : 


ant pas à terre quand l'oiseau 
s doigts de devant bordés d’une 


“ 


4 a D ie 
N ESP ÉCE Au 


4 


XVI, 135. 


iv 


{ na ie LE 4 4 .: 


DES OPSEADX.:. 341 
2, Le phalarope rouge. Phalaropus Fülicariuss 
XVI, 137. sou 


3 Le phalarope à festons dénacla Phalaropus 
lobaius. XVT, 138. 


se Han 
CENT-SEIZIÈME GENRE. 
PLUVIER. ( Caradrius.) 
* Tome XV, page ‘ie 


Bec gréle; chaque pied ne présentant quels 
{rois doigts. Li 


ESPÉCES. 


r. Le pluvier doré, CAaradrius pluvialis. XV, 

: 271. | 

2. Le pluvier doré à gorge noire. Charadrius 
apricarius. XV, 276. 

3. Le guignard. Charadrius morinellus. XV, 1 
278. 

4 Le pluvier à collier. Charadri Hate. 
XV, 282. ci. 

5. Le kildir. Charadrius vociferus. xv, 268. 

6. Le pluvier huppé. din hs Shi 
290. 

7. Le pluvier à aigrette. Charadrius cristatus. 


"XV, 292. 


4 


AS 
à 


je Le sd coll Charadrius piles. xv, 


294. 2 RON PS s ST 
9. Le plaies couronné. € Rs coronaius. À 
à XV, 205. CNE Par! “A 
10. Le pluvier à lambeaux. proranr bilobuss ; 
LS LES Su Le L 
17. Le pluvian. Charadrius. ne 
XV, 290. : 

zz, Le nd pluvier, ou courlis de terre. Che- 

_ radrius œdicnemus. XV, 300. nu 
23. Le pluvier armé de Cayenne. -Charadrius | 
| 1 Cayanus. XV, 297. PE 
14. Le coure-vite. Charadrius cursorius. AVE, 

19. de, 


+ 
CENT-DIX- SEPTIÈME GENRE. 


OUTARDE. Couis.) 


“Le bec fort les deux ouvertures des narines 

L TE quant de très- -près l’une avec 

; le tarse long et fort; chaque pied . 

ne présentant que trois: doigts. MEHR ARE , 
$ : 


BE SrECER 
Es L’outarde. Otis larda. III, r. 


2. La peute outarde , ou la ‘canepetière. ous. 
fetraz, UT, 4T. M4 


K 


| SBGONDE DIVISION. 


ne. L' autruche, Struthio Le re ; ME. 


Der æ , (rois ;l ou quatre doige 


ge 
Éo 
SK 


4 
: 


très - forts. … 34 


Doigis non réunis à leur base par une 
membrane. si 


FN 


OISEAUX COUREURS. 


| LE Tome II, page 168. 
"UUR SM: 


TRENTE- HUITIÈME ORDRE, 


Bec d'or et déprimé. 


Ce DE r LS GENRE. 


AUTRUCHE. (Ssyuikio.). 


Le tarse long et fort; chaque pied ne pré- 
‘sentant que deux doigts. ch 


ESPÈCE. 


12 


PREMIÈRE SOUS-DIVISION. 


CENT-DIX- NEUVIÈME GENRE. | hu 
à Sp "1 
TOUYOU. CTouyou.) + "(4 


Chaque pied ne présentant que trois doigts; 
une tubérosité tenant lieu de pouce. 


ENS P E C Er, 


x. Le touyou d'Amérique. Touyou ÆAmericanus. jé? 


Il, 237. 


Bec arquëé SES 


5 RO 


CENT-VINGTIÈME GENRE. 


CAS 6 AR. CRhea.) 

Le bec cornprimé; une proéminencesseuse 
sur Sommet de la téle ; #4 Que p 
qd que trois ni 


À ESPÈCE. … "4 


z. Lec casoar Rhea “ru, à 249. 


XS 


” Me 


Bec. renflé. ° : 


CENT-VINGT-UNIÈME ET T DERNIER 
FU MPENRE SK dartet fn 


DRONT E. xs: ‘S Mae à 


Le Bee pv el fendu jusqu'a 
x; quatre ou cé trois a 


Ne. prés Fi k 


ee 


». 
, ÆSPÈCES. 


7. Le trie Did ineptus. TI, 267. | ie 
ie &: sobtaire. A: rare IX. pu 4)