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QUADRUPÉDES.
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_ DÉDIÉE AU CITOYEN LACEPEDE,
MEMBRE DE L'INSTITUT NATIONAL,.
QUADRUPEDES.
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RICHMOND
Re É COLLECTION.
À PARIS Ko unS3Z
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. À LA LIBRAIRIE STÉRÉOTYPE |
De P. DIDOT £ "AÎNÉ, GALERIES DU LOUVRE, N° 3,
h ET Firmin DIDOT, RUE DE THIONVILLE , N° 116.
&. AN VIL — 17099.
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HISTOIRE
NATURE LL
ADDITION A L'ARTICLE
DE L'HYENE:
Ed
Nous donnons ici la figure d’une hyène
mâle, qui étoit vivante à la foire Saint-
Germain en 1773, parce que celle que
nous avons donnée *. n’est pas correcte,
par la dificulté qu’eut le dessinateur à la
faire mettre en situation de la bien voir.
Cette première hyène étoit très-féroce,
au lieu que celle dont nous donnons ici
la figure, ayant été apprivoisée de jeu-
nesse , étoit fort douce : car, quoique son
A ; Led L] A A "
maître l’irritât souvent avec un bâton
* Tome [TT , planche XTIT, page 27r.
El
\n A 1 Ma 5
6 HISTOIRE 0 TSF
pour lui faire hérisser sa crinière lors da
spectacle, l'instant d’après. elle ne parois- |
soit pas s'en souvenir; elle jouoit avec
son maître, qui lui mettoit la main dans
la gueule sans en rien craindre. Aü reste,
cette hyène étant absolument de la même
espèce, et toute semblable à celle dont
nous avons donné la description *
, nous
n'avons rien à y ajouter, sinon que cette
dernière avoit la queue toute blanche
sans aucun mélange d'autre couleur. Elle
étoit un peu plus grande que la première ;
car eile avoit trois pieds deux pouces,
et gé avec un cordeau, du bout du
museau à l’origine de la queue. Elle por-
toit la tête encore plus baissée qu’elle ne
paroît l’être dans’ ie dessin. Sa hauteur
étoit de deux pieds trois pouces. Son poil
étoit blanc, mêlé et rayé de taches noires
plus ou moins grandes, tant sur le A
que sur les jambes.
Jlexiste, dans la partie du sud de l'île de
Méroé, une hyène beaucoup plus grande
et plus grosse que celle de Barbarie, et
* Tome. Ii, planche XII.
/
DE L'AHCYCÉCNCE.: | 7
_ qui a aussi le corps plus long à propor-
trows-ct-Je- pacte il one et plus
ressemblant à celui du chién , en sorte
qu'elle ouvre la gucule RE ArNE plus
large. Cet animal est si fort, qu’il enlève
aisément un homme, et l'emporte à une
ou deux lieues sans le poser à terre. Il a
le poil très-rude | plus brun que celui de
l’autre hyène; les bandes transversales
sont plus noires; la crinière ne rebrousse
pas, du côté de la tête, mais du côté de la
queue. M. le chevalier Bruce a observé
lepremier que cette hyène, ainsi quecelle
de Syrie ét de Barbarie, et probablement
de toutes les autres espèces ; Ont un sin-
gulier défaut; c’est qu’au moment qu’on
les force à se mettre en mouvement, elles
sont boiteuses de la jambe gauche : cela
dure pendant environ une centaine de
pas, et d’une manière si marquée, qu'il:
semble. que l'animal arlle Si PAR du.
côté gauche, comme un chien auquel +1
on: blessé la: jambe gauche de. der-
|
rière *
-
* Note commun: iquée par M. je chevalier Brace
à M. de Bu“or. |
LM SX Liba AU Lt 6,7% Lan ‘d x LE MAIS NI)
{ Fe ap AS LR 2 FLN Me VE CITE VAS
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8 HISTOIRE NATURELLE
“
4
ADDITION A L'ARTICLE .
DU CHAT...
J
J'ar dit à l'article du chat *, que ces
animaux dormoient moins qu’ils ne font
semblant de dormir. Quelques personnes
ont pensé, d’après ce passage, que J'étois
dans l’opinion que les chats ne dormoient.
point du tout. Cependant je savois très-
bien qu’ils dorment; mais j'ignorois que
leur sommeil fât quelquefois très-profond:
à cette occasion J'ai recu de M. Pasumot,
de l’académie de Dijon, qui est fort ins-
truit dans les différentes parties de l’his-
toire naturelle, une lettre dont voici l’ex-
trait :
« Permettez-moi, Monsieur, de remar-
« quer que Je crois que vous ayez dit, au
* Tome T, page 340.
# Ÿ DU CH À ERA 1) (y ( 9)
« sujet du chat, qu'iline dormoit point.
« Je puis vous assurer qu’il dert. A la vé-
« rité, il dort rarement; mais son sommeil
« est si fort, que c’est une espèce de
« léthargie. Je l’ai observé dix fois au
« moins sur différens chats. J'étois assez
« jeune quand J'en fis l’observation pour
« la première fois. De coutume je couchois
« avec moi, dans mon lit, un chat que
« je placois toujours à mes pieds; dans
«une nuit, que Je ne dormois pas, je
« repoussai le chat, qui me génoit : je
« fus étonné de le trouver d’un poids si
« lourd, et en même temps si immobile,
« que Je le crus mort; Je le tirai bien vîte
« avec la main, et je fus encore tout aussi
« étonné en le tirant de ne lui sentir
« aucun mouvement; Je le remuai bien
« fort, et à force de l’agiter il se réveilla,
«< mais ce fut avec peine et lentement. J'ai
« observé le même sommeil par la suite
« et la méme dificulté dans le réveil;
« presque toujours c’a été dans la nuit :
« Je l’ai aussi observé durant le jour, mais
«une seule fois à la vérité, et c’est depuis
A que J'aieulu ce aus vous pe du défaut
x HISTOIREN RE ik
L64
«
«
«
LA
y
du sommeil dans: cet animal; je nai
même cherché à l’observer qu’à à cause
de ce que vous en ävez dit. Je pourrois ,
vous citer encore lé témoignage d’une
personne qui, Comme moi, à souvent.
observé le sommeil d’un’ chat, méme
en plein jour et avec les mêmes circons-
tances. Cette personne a même reconnu |
de plus, que quand cet animal dort en
plein jour , c’est dans le fort de la cha-
leur, etsur ss SO HA de la proximité des
orages. »
M. de LAS j RATE" deChälonsen
Champagne, qui faisoit coucher souvent
des chats avec lui, a remarqué :
«
££,
«1°. Que, dans le temps que ces ani-
maux font une espèce de ronflement,
lorsqu'ils sont tranquilles ou qu’ils sem-
blent dormir, ils font quelquefois une
inspiration un peu longue, et aussitôt
une forte expiration, et que, dans ce
moment, ils exhalent par la bouche
une odeur qui ressémble beaucoup à
l’odeur du muse on de la fouine.
« 9°. Quand ils appercoivent quelque
Étbee quilessurprend, commeun chien
PMU MM MRIOTEIT
«où un autre objet qui les frappe inopi-
«. mément, ils font une sorte de sifflement
« faux, qui répand encore lamême odeur.
«< Cette remarque n’est p= particulière’
« aux mâles; car J'ai fait la meinic opse, ”
« vation sur des chattes comme sur des
« chats de différentes couleurs et de diffé
« rens âges. > |
De ces faits, M. de Lestrée sembleroit
croire que le chat auroit dans la poitrine
ou l’estomac quelques vésicules remplies.
d’une odeur parfumée, qui se répand au
dehors par la bouche; mais l’anatomie
ne nous démontre rien de semblable.
_ Nous avons dit * qu'il y avoit à la Chine
des chats à oreilles pendantes : cette va-
riété ne se trouve nulle part ailleurs, et
fait peut-être une espèce différente de celle
du chat: ‘car les voyageurs, par Jant d’un
animal xppelé sumxu, qui est tout-à-fait
domestique à la Chine, disent qu’on ne
peut mieux le comparer qu’au chat, avec
lequel il a beaucoup de rapports. Sa cou-
leur est noire ou jaune , et son poil extrè-
* Tome I, page 350.
ï2 HISTOIRE NATURELLE
mement luisant. Les Chinois mettent à.
ces animaux des colliers d'argent au cou me
et les rendent extrémement: familiers :
comme ilsne sont pas communs, on les
achète fort cher, taut à cause de leur.
beauté, que De qu'ils font aux rats la
plus cruelle guerre. | |
Il y a aussi à Madagascar des AE
sauvages rendus domestiques, dont la
plupart ont la queue tortiliée; on les ap-
pelle saca : maïs ces chats sauvages sont
de la même espèce que les chats domes-
tiques de ce pays, car ils s ‘Matte et
produisent ensemble...
Une autre variété que nous avons ob=.
servée, c’est que, dans notre climat, il.
naît quelquefois des chats avec des pin=
ceaux à l'extrémité des oreilles. M. de
Sève, que j'ai déja plusieurs fois cité;
mécrit (16 novembre 1773) qu'il est né
dans sa maison à Paris une petité chatte
de la race que nous ayons appelée cas
d’Espagne, avec des pinceaux au bout
des oreilles, quoique le père et la mère
eussent les oreilles comme tous les autres
chats, c’est-à-dire sans pinceaux ; et quel-
Zom .14. PT a: Er .
LE CHAT SAUVAGE,
DE LA NOUV * ESPAGNE.
LT
; | É 4 Le) auquel VE
ÉOD AT PT ARBRE AE x
k
28 UTCH AMONT C1 13
-ques mois après, les pinceaux de ‘cette
jeune chatte étoient aussi grands, à pro-.
portion de sa taille , que ceux du lynx de
Canada.
On m'a envoyé récemment de Casenuts
la peau d’un animal, qui ressemble beau-
coup à celle de notre chat sauvage. On
appelle cet animal Laïra dans la Guiane,
où l’on en mange la chair qui est blanche
et de bon goût ; cela seul suffit pour faire
p'ésumer que le haïra, quoique fort res-
semblant au chat, est néanmoins d’une
espèce différente : mais il se peut que le
nom Aaïra soit mal appliqué. ici; car je
présume que ce nom est le même que saï-
ra, et il n'appartient pâs à un chat, mais
à une petite fouine dont nous avons parlé,
CHAT SAUVAGE DE LA NOUVELLE
ESPAGNE.
ON m'a envoyé d'Espagne un dessin
colorié, avec la notice suivante, d’un
chat 4 ou chat des bois, dont ; Je done
ici la figure.
« Chat tigre ; chat des bois. ou chat
à
4
4 HISTOIRE NATURELLE.
: ( ù 14. de
«sauvage de la nouvelle Espagne : sa hau-
5 5
«teur est de près de trois pieds; sa lon-
« gueur , depuis le bout du nez jusqu'à la
« naissance de la queue, de plus de quatre
«pieds; il a les yeux petits et la queue
« assez courte; le poil d’un gris cendré
« bleuâtre, moucheté de noirâtre; ce poil
« est assez rude pour qu’on en puisse faire
« des pinceaux à pointe fixe et ferme. »
Ce chat tigre ou chat des bois de la nou-
velle Espagne me paroît être le même
que le serval dont j'ai donné la figure *
.. * Tome VI, planche XIX , page 139.
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:
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2.
|
ADDITION A L'ARTICLE
DOUTLYNS
ET A CELUI DU CARACAL*
Nous donnons ici la figure d’un lynx
de Canada qui est au Cabinet du roi, et
qui a été. bien préparé : il n’a que deux
Pieds trois pouces de long, depuis le bout
du nez jusqu’à l'extrémité du corps, qui
n’est élevée que de douze à treize pouces ;
le corps est couvert de longs poils gri-
sâtres, mêlés de poils blancs, moucheté
__€t rayé de fauve, les taches plus ow
moins noires ; la tête grisâtre, mêlée de
poils blancs et de fauve clair, et comme
. rayée de noir: en quelques endroits; le
bout du nez est noir ainsi que le bord de
la mâchoire inférieure ; les poils des
moustaches sont blancs, longs d'environ
trois pouces. Les orcilles ont deux pouces
* Tome IIT, pages 255 et 268.
VA VON EL TER RO
#:0/: Q
16 HISTOIRE NATURELLE |
trois lignes de hauteur, et sont garnies de
: grands poils blancs en dedans, et de poils
un peu fauves sur les rebords; le dessus
des oreilles est couvert de poil gris-de-
souris , et les bords extérieurs sont noirs;
à l'extrémité des oreilles il y a de grands
poils noirs, qui se réunissent et forment
un pinceau très-menu de sept lignes de
hauteur. La queue, qui est grosse, courte
et bien fournie de poils, n’a que trois
pouces neuf lignes de longueur; elle est
noire depuis l'extrémité Jusqu'à moitié,
et ensuite d’un blanc roussâtre. Le des-
sous du ventre, les Jambes de derrière,
l'intérieur des jambes de devant «et les
pattes sont d’un blanc sale; les ongles
sont blancs et ont six lignes de longueur.
Ce lyux a beaucoup de ressemblance par
les taches et par la nature de son poil
avec celui quiest gravé *; maïs il en dif-
fère par la longueur de la queue et par
les pinceaux qu'il a sur les oreilles: on
peut donc regarder cet animal du Cauada
gomme une variété assez distincte du
* Tome IIT, planche XIT,
DO FLY NX) 17
lynx ou loup-cervier de l’ancien couti-
nent. On pourroit même dire qu’il s’ap-
proche un peu de l'espèce du caracal par
les pinceaux de poils qu’il a sur les oreilles;
néanmoins il en diffère encore plus que
du lynx par la longueur de la queue ct
par les couleurs du poil. D? ailleurs les ca-
racals ne se trouvent que dans les climats
les plus chauds, au lieu que les ÿux ou
loups-cerviers référent les pays froids.
Le pinceau de poils au bout des oreilles,
qui paroît faire un caractère distincuf,
parce qu'il est fort apparent, n’est cepen-
dant qu'une chose accidentelle, et qui
se trouve dans les animaux de cette es-
pèce, et même dans les chats domestiques
et sauvages. Nous en avons donné un
exemple dans l'addition à larticle du
chat. Ainsi nous persistons à croire que
le Iynx ou loup-cervier d'Amérique ne
doit être regardé que comme une variété
du loup-cervier d'Europe.
_ Le lynx de Norvége, décrit par Pon-
toppidan , est blanc ou d’un gris clair
semé de taches foncées. Ses griffes, ainsi
que celles des autres lynx, sont comme
2
18 HISTOIRE NATURELLE HR 4
celles des chats ; il voûte son dos et saute ‘1
comme eux avec beaucoup de vitesse sur
sa proie. Lorsqu'ilestattaqué parunchien, À
il se renverse sur le dos etse défend avec
ses griffes, au point de le rebuter bien
vite. Cet auteur ajoute qu'il yenaquatre !
espèces en Norvége; que les uns appro=
chent de la figure du loup, les autres de
celle du renard, d’autres de celle du chat,
et enfin-.d’autres qui ont la tète formée
comme celle d’un poulain. Ce dernier
fait, que je crois faux, me fait douter des
précédens. L'auteur ajoute des chôses plus
probables, Ver
« Le loup-cervier, dit-1l, ne court pas
« les champs : il se cache dans les bois et
« dans les cavernes ; 1l fait sa retraite tor-
« tueuse et profonde, et on l'en fait sortir
« par le feu et la fumée. Sa vue est per-
« cante; il voit de très-loin sa proie. Ilne
« mange souvent d'une brebis ou d’une
« chèvre que la cervelle, le foie et les in-
« testins, et il creuse la terre sous les
« portes pour entrer dans les bergeries. »
L'espèce en est répandue non seule-
ment en Europe, mais dans toutes les
DU LYNX. NET rat
provinces du nord de l'Asie. On l'appelle
chulon ou chelason en Tartarie *. Les peaux
en sont fort estimées ; et quoiqu'elles
soient assez communes , elles se vendent
également chères en Norvége, en Russie,
et Jusqu'à la Chine, où l'on en fait un
grandusage pour des manchonsetd’autres
fourrures. k
_ Un fait qui prouve encore que les pin-
ceaux au-dessus des oreilles ne font pas
un caractère fixe par lequel on doive
séparer les espèces dans ces animaux,
c'est qu'il existe, dans cette partie u
royaume d'Alger qu’on appelle Constan-
tine , une espèce de caracal sans pinceaux
au né des oreilles, et qui par-là res-
remble au lynx , mais qui a la queue plus
longue. Son poil est d’une couleur rous-
sâtre avec des raies longitudinales , noires
depuis le cou jusqu'à la queue, et des
taches séparées sur les flancs, posées dans
la même direction, une demi-ceinture
noire au-dessus des jambes de devant, et
* Histoire générale des voyages, tome Vi,
page 6o2.
LE
pe | HISTOIRE NATURELLE
“une bande Fa poil rude sur les dust
jambes , qui s'étend depuis l'extrémité AR : |
pied jusqu'au-dessus du tarse; et ce poil |
est retroussé en haut, au lieu de se diriger
en bas comme le foil de tout le reste du
Rd
moôt Sarah signihoit ckataux oreilles
azoires ; M.le chevalier Bruce in’a assuré
qu'il signifioit chat du désert. HN a vu dans
la partie de la Nubie qu’on appeloit autre-
Lois l'ile de Méroé, un caracal qui a quel-
que différence avec celui de Barbaric,
dont nous ayons donné la figure *. Le
caracal de Nubie a la face plus ronde, les
oreilles noires en dehors, mais sémées de
quelques poils argentés. il n’a pas la croix
de mulet sur le garrot, comme l'ont la
«plupart des caracals "* Barbarie. Sur la
poitrine, le ventre ét l’intérieur descuisses,
il y a de petites taches fauve clair, et
nou pas brun noirâtre, comme dans
ï Note communiquée par M. le chevalier Bruce
à M. de Buffon. > |
3 Tome III, planche XII.
L FT EN
Jar dit, à l’article du caracal, que le
à LE
: 14 4
1
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RER. li
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l'art
LE CARACAL DE BENGA
AUIIT À,
æ Fr»
PO GUN à Do Pi PU 4e OURS 4x.
le caracal de Barbarie. Ces petites diffé-
rences.ne sont que de légères variétés,
dout on peut encore augmenter le nom-
bre ; ear il se trouve même en Barbarie,
ou plutôt dans la Libye, aux environs de
l’ancienne Capsa, un caracal à oreilles
blanches, tandis que les autres les ont
noires. Ces caracals à oreilles blanches ont
aussi des pinceaux , mais courts, minces
et noirs. Ils ont la queue blanche à l’ex-
trémité, et ceinte de quatre anneaux noirs,
et quatre guêtres noires derrière les quatre
jambes , comme celui de Nubie; ils sont
aussi beaucoup plus petits que les autres
caracals, n'étant guère que de la grosseur
d’un grand chat domestique ; les oreilles,
qui sont fort blanches en dedans et gar-
nies d’un poil fort touffu, sont d’un roux
vif en dehors *. Si cette différence dans la
grandeur étoit constante ,on pourroiït dire
- qu’il y a deux espèces de caracals qui se
trouvent également en Barbarie ; l’une
grande, à oreilles noires et longs pinceaux,
* Note communiquée par M. le chevalier Bruce
à M. de Buffon,
—
F
SN
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Rue Y
ME THE ue Ur
» HISTOIRE NATURELLE U
et l’autre beaucoup plus petite, à Greïlés : #
blanches et à très-petits pinceaux. Ilpa=
roît aussique ces animaux, qui varient si
fort par les orcilles, varient également
par la forme ct la ve gueur de la queue,
et par la hauteur de jambes ; car M.
Edwardsnous aenvoyéla figure d’uncara-
cal de Bengale, que nous donnons ici, dont
la queue et les jambes sont bien plus
longues que dans le caracal ordinaire.
Nous donnons ici la figure d’un lynx
du Mississipi, dont les oreilles sont encore
plus dépourvues de pinceaux que celles
du lynx du Canada que nous avons fait
graver dans ce volume, et dont la queue
moins grosse et moins touffue, et le poil
d’une couleur plus claire, semblent le.
rapprocher davantage du lyux ou loup-
cerviér d'Europe; mais Je suis persuadé
que ces trois animaux, dont l’un est de
l'Europe , et les deux autres de l’Amé-
rique septentrionale, ne forment néan-
moins qu'une seule Fe même espèce. On
avoit envoyé celui - ci à feu M. l’abbé Au-
bry, curé de Saint-Louis, sous le nom de
NN
NS XL 7
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ES, he EE LOT TE a: rl
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zLE PETIT CHACAL OU CHACAL ADIVY,
2. LYNX DU MISSISSIPI .
{ FOauquet S.
nest: DONTC TENT 23
chat-tigre du Mississipi ; mais il ne faut
que le comparer avec le iynx dont nous
avons donné la figure, tome Il, pl. XIE,
et avec celui de ce volume , pour recon-
noître évidemment qu'il ne fait qu’une
variété dans l’espèce du lynx, quoiqu'il
n'ait point de pinceaux et que la queue
soit fort petite.
Il a, du nez à l’origine de la queue, deux
pieds cinq pouces de longueur; la queue
est fort courte, n’ayant que trois pouces
trois lignes, au lieu que celle du lynx
d'Europe, tome Ill, planche XIF, a six
pouces six lignes. Celle du lynx du Ca-
nada est beaucoup plus grosse et plus
fournie ; maïs elle est tout aussi courte
que celle du lyrx du Mississipi, dont la
robe est aussi de couleur plus uniforme
et moins variée de taches que dans le lynx
de l’Europe et dans celui du Canada : mais
ces légères différences n’empéchent pas
qu'on ne doive regarder ces trois animaux
comme de simples variétés d’une seule et
méme espèce. \
* ADDITION AUX ARTICLES |
DU JAGUAR, DU COUGUAR,
£r À L'ARTICLE DU MARGAY.
| JAGUAR, où LÉOPARD.
Nous donnons ici la Es d’un animal
de l'espèce des léopar ds ou des jaguars. Le
dessin nous: en a été envoyé par feu M.
Collinson F ais saus nom et sans aucune
autre notice; et comme nous ignorons
s’il appartient à l’ancien ou au nouveau
continent, et qu’en même temps il diffère
de l’once et du léopard par la forme des.
taches , et plus encore du Jaguar et de.
l'ocelot, nous ne pouvons décider auquel
de ces animawx on doit le rapporter;
seulement il nous paroît qu'il a un peu
plus de rapport avec le he à qu’ avec le
Jéopard.
7
J Dauqut: We
Li # ON,
lee
j "I
HISTOIRE NATURELLE, 25
JAGUAR DE LA NOUVELLE ESPAGNE.
Daxs le mois de juin dernier , il a été
donné à M. Lebrun, inspecteur général
du domaine, un jaguar femelle, envoyé
de la nouvelle Espagne, qui étoit fort
jeune , puisqu'il n’avoit pas toutes ses
dents, et qui a grossi depuis qu'il est à
Chaillot, où M. de Sève l’a dessiné au
commencement d'octobre. Nous estimons
qu'il pouvoit avoir neuf à dig mois d'âge.
Sa longueur, du museau jusqu'à l'anus,
étoit d’un pied onze pouces , sur treize à
quatorze pouces. de hauteur au:train de
derrière. Le Jaguar qui est gravé dans lé
tome IT, page 252, pl. XI, avoit deux
pieds cinq pouces quatre lignes de, lon-
gueur, sur un pied quatre pouces neuf
lignes de hauteur au train de derrière ;
mais il avoit deux ans. Au reste, ily a
une grande conformité entre ces deux
animaux , quoique de pays différens. Il y
a quelques différences dans la forme des
taches, qui ne paroissent être que des
variétés individuelles. L’iris est d’un brun
tirant sur le verdâtre; le bord des yeux
Ed
9
4
26 HISTOIRE NATURELLE
est noir, avec une bande blanche aidé À
sus comme au-dessous ; la couleur du poil 4
de la tête est d’un fauve meélé de gris. Cette |
même teinte fait le fond des taches du |
corps , qui sont bordées ou mouchetées dé }
bandes noires. Ces taches et ces bandes
sont sur un fond d’un blanc sale rous-
sâtre, et tirant plus ou moins sur le gris:
Les uréñtés sont noires, etontunegrande
tache très-blanche sur ts par tie externe ;
la queue est fort grande et bien fournic
de Li |
JAGUAR DE LA GUIANE.
M. Sonini de Manoncourt a fait quelques
bonnes observations sur les jaguars de la
Guiane, que Je crois devoir publier. |,
« Le Jaguar, dit-1l, n’a pas le poil crépé
« lorsqu'il est jeune, comme le dit M. de
« Buffon *. J'ai vu de très-jeunes jaguars
«qui avoient le poil aussi lisse que les
« grands. Cette observation m'a été con-.
« firmée par des chasseurs instruits. Quant
* Tome IIT, page 246.
RDA EU DUACRT TU Ge
« à la taille des jaguars, j'ose encore assu-
«rer qu'elle est bien au-dessus de celle
« que leur donne M. de Buffon, lorsqu'il
« dit, page 248, qu'il est à peine dela taille
« d’un dogue ordinaire ou de moyenne
«race, quand il a pris son accroissement
«entier. J'ai eu deux peaux de jaguars
« que l’on m'a assuré appartenir à des
« sujets de deux ou tbis ans, dont l’une
« avoit près de cinq pieds de long , depuis
«ie bout du museau jusqu’à l’origine de
« la queue, laquelle a deux pieds de lar-
« seur. Il y en a de bien plus grands. Jai
« vu moi-même, dans les foréèts de la
« Guiane, des traces dé ces animazx, qui
« faisoient juger, ainsi que l’a dit M. dela
« Condamine, que les tigres ou les ani-
«maux que l’on appelle ainsi en Amé-
« rique , ne différoient pas en grandeur de
« ceux d'Afrique. Je pense même qu’à
« l'exception du vrai tigre (le tigreroyal)},
« celui de l'Amérique est le plus grand des
« animaux auxquels on a donné cette dé-
« nomination , puisque , selon M. de Buf-
«fon, la panthère, qui est le plus grand
« de ces animaux, n’a que cinq ou six
55 HISTOIRE NATURELLE
pieds de longueur lorsqu'elle a pris son |
accroissement entier, ét que bien cer-
LS
|
«
«
«
«
€«
€«
<
“
«
«
«
«
tainement 1l existe en Amérique des
quadrupèdes de ce genre qui passent
de beaucoup cette dimension. La cou-
4
”
RE
icur de la peau du jaguar varie suivant
l'âge : les jeunes l’ont d’un fauve très-
foncé, presque roux etmême brun; cette
M s'éclaircit à mesure que - Pani-
mal vieillit.
« Le Jaguar n’est pas aussi indolent ni
aussi timide que quelques voyageurs,
et d’après eux M. de Buffon, l'ont écrit;
il se jette sur tous les chiens qu'il ren-
contre, loin d’en avoir peur; il fait
Dont de dégât dans les troupeaux :
ceux qui habitent dans les déserts de la
Guiane, sont même dangereux pour les
hommes. Dans un voyage que j'ai fait
dans ces grandes forêts, nous fümes
tourmentés pendant deux nuits de suite
par un jaguar, malgré un très-grand
feu que l’on avoit eu soin d’allumer et
d'entretenir. Il rôdoit continuellement
autour de nous : il nous fut impossible
de le tirer ; car dès qu'il se voyoit cour
DIU, d'AG U"A FR; 29
« ché en joue, 1l se glissoit d’une manière
si prompte, qu'il disparoissoit pour le
« moment : il revenoit ensuite d’un autre
« côté , et. nous tenoit ainsi continuelle-
« ms en alerte. Malgré notre vigilance,
« nous ne pimes jamais venir à bout de
« le tirer. Il continua son manége durant
« deux nuits entières : la troisième, il re-
« vint; mais, lassé apparemment de ne
« pouvoir venir à bout de son projet, et
« voyant d’ailleurs que nous avions aug-
« menté le feu, duquel il craignoit d'ap-
« procher de trop près, il nous laissa en
« burlant d’une. manière effroyable. Son
« Cri, ou , Lou, a quelque chose de plain-
« tif, et ï est grave et fort comme celui
« du Du
À
« Quant au goût de préférence que l'on
« suppose au Jaguar pour les naturels du
« pays plutôt que pour les nègres et les
« blancs , Je présume fort que c’est un
conte. À Cayenne, j'ai trouvé cette opi-
« nion établie : mais j'ai voyagé avec les
«sauvages dans des endroits où les tigres
« d’une grandeur démesurée étoient coim-
« NuuSs ; Jamais Je n’ai remarqué qu'ils
| 5
<
A
% LA Ho MARIE le EP TE dc 1
PEU Re
; A0 HISTOIRE NA TURELLE. *
« aient une peur His grande dépes Fa
«maux. Ils suspendoient , comme nous ,
« leurs hamacs à des arbres, s’éloignoient
« à une certaine distance de nous , et ne
« prenoient pas la même pre lies que
« nous d'allumer un grand feu ; ils se con-
« tentoient d’en-faire un très-petit, qui
le plus souv ent s ‘étcignoit dans le cours |
« de la nuit. Ces sauvages étoient cepen-
dant habitans de l'intérieur des terres,
« ct cOnnoissoient par conséquent le dan-
« ger qu'il y avoit pour eux. J’assure qu’ils
ne prenoient aucune précaution , et .
« qu'ils paroissoient fort peu émus, quoi-
« qu'entourés de ces animaux.»
An
À -
€
La)
<
=
"
<
#"
Je ne puis m'empêcher de remarquer
ici que ce dernier fait prouve, comme Je
l'ai dit, que ces animaux ne sont pas fort
dangereux, du moins pour les hommes.
«La chair des jJaguars n’est pas bonne
« à manger. Is font la guerre avec le plus
« grand sraUREC à toutes les espèces de:
« quadrupèdes du nouveau continent ;
« qui tous les fuient et les redoutent. Lib:
« jaguars n'ont point de plus cruel ennc-
& ini que le fourmilier ou tamanoir, ŒuUOL«
LE COUGAR DE PANSILVANIE,
=
j
1 Paquet : »
FEMELLE.
J Luguet D.
ADOU JF ASG U'AR.S/! 3x
« qu'il n'ait point de dents pour se dé-
« fendre. Dès qu'il est attaqué par un Ja-
«guar, il se couche sur le dos, ‘le saisit
«avec ses griffes, qu’il a d’une Ce
« prodigieuse , l’étouffe et le déchire. »
| MB COUGE AR.
Novs avons donné, tome Il, pl. XT:,la
figure du couguar mâic, etnous donnons
ici celie du couguar femelle, que nous
avons eu occasion de faire dessiner ces
années dernières.
COUG SUAR E PENSIL VANIE,
LE PES ainsi que le couguar ha-
bitent dans les contrées les plus chaudes
de l'Amérique méridionale ; mais 1l y à
une autre espèce de couguar dont nous
donnons ici la figure, qui se trouve dans
les parties tempérées de l'Amérique sep-
tentrionale, sur-tout dans les montagnes
äe la Caroline, de la Georgie, de la Pen-
siivauie et des provinces adjacentes. Le
LA L4
dessin de cecouguar m'a été envoyé d'An-
32 HISTOIRE N A TURELLE
gleterre par feu M. Collinson , avecla des- |
cription ci-Jointe. Si elle est exacte, Ce
couguar ne laisse pas de différer beau-
coup du couguar ordinaire, auquel: on
peut le comparer. Voici ee que m'en a
écrit alors M. Coilinson :
« Lecouguar de Pensilvanie dre tente
«Coup, par sa taille et par ses dimen-
« sions, du couguar de Cayenne. Il est plus
:« bas de jambes, beaucoup plus long de
« Corps , la queue aussi de trois ou quatre
« pouces plus longue. Au reste, ils se
« ressemblent parfaitement par la couleur
« du poil, par la forme de la tête et par
« celle des oreilles. Le couguar de Pensil-
« vanie, ajoute M. Collinson , est un ami-
« mal remarquable par son corps mince
« et très-alongé , ses jambes courtes et sa
« longue queue. Voici ses dimensions. »
pieds. pouc. lign.
Longueur du corps, depuis le mu-
se jusqu'à Panus. in Mr
Longueur de la queue.:.x5 64e 6 ”
Longueur des jambes de devant... # » ,, >
Longueur des jambes de derrière, £ 3
LE COUGAR NOIR:
J Fauguet de
DUT 1 ’
DU COUEUAR re
pieds, phone lan
Hauteur du corps à l’avant...... 7 HAE À
Hauteur du corps à Parrière.,... ZT 10.»
Circonférence du corps à endroit |
. * À M
plus ro, Aus oi s 3 »
" d
M. Edwards, dont l’habileté re l’art
du dessin et Le connoissances en histoire
natureile méritent les éloges de tous les
amateurs des sciences, m'a envoyé quel
ques gravures qu'il n’avoit pas encore
publiées, et qui sont relatives au dessin
ci-dessus , envoyé par feu M. Collinson.
COUGUAR NOIR.
M. de la Borde, médecin du roi à.
Cayenne, m'écrit qu’il y a dans ce conti=.
nent trois animaux de ces espèces voraces,
dont le premier est le jaguar, et que l’on
appelle figre ; le second, lecouguar, qu’on.
nomme tigre rouge, à cause de la couleur
uniforme de son poil roux; que le jaguar
est de la grandeur d’un gros dogue, ct
* Lettre de M. Coliinson à M. de Buffon, 3
avril 1765.
+ EC A
ER
54 HISTOIRE, NATURELLE AU
qu’il pèse environ deux cents livres que l
lecouguar est plus petit, moins dangereux à
eten moindre nombre que le jaguar dans :
les terres voisines de Cayenne, et que ces 4
deux animaux sont environ six ans à .
pr endre leur accroissement entier.
Ii ajoute qu’il y a une troisième espèce
assez commune dans ce même pays, que.
l'on epple. tigre noir, et c'est celui que
nous € fait représenter ici sous Île
nom he couguar noir.
« La tête, dit M. de la Borde, est assez
« CPU DIE: à celle des couguaïs ; mais il à
« le poil noir et long , la queue fou longue
«aussi, avec d'assez fortes moustaches.
« Il ne pèse guère que quarante livres. Il
fait ses +DRS dans des trous d'arbres
4 eux. |
Ce couguar noir pourroit bien étre le
mcme de. que Pison et Maregrave ont
indiqué sous le nom de jJaguarète ou ja-
guar à poil noir, et dont aucun autrevoyas
geur n'a fait meutiou sous ce même nom
de Jaguarèle : Je trouve sculement, dans
une note de M. Sorini de Manoncourt,
que le jaguarète s'appelle à Cayenne,
DU COUGUAR. 35
tigre noir; qu'il est d’une espèce différente
de celle du jaguar, étant d’une plus petite
taille et ayant ie corps fort efälé. Cet ani-
mal est très-méchant et très-carnassier ;
mais il est assez rare dans les terres voi-
sines de Cayenne.”
« Les Jaguars et les couguars , continue
« M. de la Borde, sont fort Météo
«< daus toutes les terres qui avoisin sent la
« rivière des Amazones » jusqu’ à celle de
« Sainte-Marthe ; leur peau estasséz tendre
« pour que les Indiens leur envoient des w
« flèches qui pénètrent avant, poussées
<avec de simples sarbacanes. Au reste,
«tous ces animaux ne sont pas absolu-
« ment avides de carnage ; une seule préié.
« leur suffit. On les rencontre presque tou
« Jours seuls, et quelquefois deux où
« trois ensemble quand les femelles sont
« en chaleur.
« Lorsqu'ils sont fort affamés, ils at-
« taquent les vaches et les bœufs en leur
«sautant sur le dos; ils enfoncent les
« griffes de la patte gauche sur le cou ; et
« lorsque le bœuf est courbé, ils Le dé-
« CSiénr et traînent les lambeaux de la
-
36 HISTOIRE NATURELLE.
LA
« chair dans le bois, après lui avoir OUVErÉ
« la poitrine et le ventre pour boire tout.
« le sang dont ils se contentent pour une !
« prennère fois. Ils couvrent ensuite avec
« des branches les restes de leur proie, et :
«ne s’en écartent Jamais guère; mais,
« lorsque la chair commence à se cor-
«rompre, ils n’en mangent plus. Quel-
« quefois 1ls se mettent à l'affût sur des
_ <arbres pour s’élancer sur les animaux
« qui viennent à passer. Ils suivent aussi
«les troupes de cochons sauvages et
« tombent sur les traîneurs ; mais, s'ils se
« laissent une fois entourer par ces ani-
« maux, ils né trouvent de salutque dans
« la fuite. /
: «Aureste, lesjaguars, ainsi que lescou-
*«guars, ne sont pas absolument féroces ,
«et n’attaquent pas les hommes, à moins
« qu'ils ne se sentent blessés : mais ils
« sont intrépides contre les attaques des
« chiens , et vont les prendre près des ha-
« bitations; lorsque plusieurs chiens les
« poursuivent et ies forcent à fuir par
« leur nombre, ils grimpent surles arbres.
« Ces anumaux rôdent souvent le long
\
BU COUGUAR.. 37
« des bords de la mer, et ils mangent les
« œufs que les tortues viennent y déposer.
« Ils mangent aussi des caïmans, des lé-.
«zards et du poisson, quelquefois les
« bourgeons et les feuilles tendres des pa- rt
« létuviers. Ils sont bons nageurs, et tra
« versent des rivières très-larges pour
« prendre les caïmans; ils $é couchent
« ventre à terre au bord de la rivière, et
« battent l’eau pour faire du bruit, aün
«d'attirer le caïman, qui ne manque pas .
« de venir aussitôt, d de lever la tête, sur
« laquelle le jaguar se jette; il le tue, ctle
« traîne plus loin pour le manger à lobe
« Les Indiens prétendent que a. jaguars
«attirent l’agoutien contrefaisant son cri:
«mais ils ajoutent qu ‘ils attirent aussi
«Je caiman par un cri semblable à celui
« des jeunes chiens, ou en contrefaisant
« la voix d’un Dire qui tousse; ce qui
« est plus difficile à croire.
«Ces animaux carnassiers détruisent
« beaucoup de chiens de chasse qu'ils sur-
« prennent à la poursuite du gibier. Les
« Indiens préteudent qu’on peut préserver
« les chiens de leur attaque en les frottant
Quadrupides. XIV, #
‘38 HISTOIRE NATURELLE
« avec une certaine herbe dont l'odeur
« les éloigne. ME |
« Quand ces animaux sont en chaleur ,
«ils ont uue espèce, de rugissement na
« frayant , et qu’on entend de fort loin.
« Ils ne font ordinairement qu’un petit,
« qu'ils déposent toujours dans de gros
« troncs: d arbres pourris. On mange à
« Cayennetla chair de ces animaux, sur-
« tout celle des jeunes, qui est blanche
« comme Celle du lapin*
Le couguar réduit en captivité est pres-
que aussi doux que Îles autres animaux
domestiques.
« J'ai vu, dit l’auteur des Recherches sur
« les Américains, un couguar vivant, chez
« Ducos, maître des bêtes étrangères : il
« avoit la tranquillité d’un chien et beau-
« coup plus que la corpulence d’un très-
« grand dogue ; il est haut monté sur ses
« jambes, ce qui le rend svelte et alerte ;
«ses dents canines sont coniques et très-
« grandes. On ne l’avoit ni désarmé ni
* Extrait des observations de M. de la Borde,
env y ées à M. de Buffon en 4774
DU. CO UGU:AR. 39
-« emmuselé, et on le conduisoit en lesse.….
« Il se laissoit flatter de la main, et je vis
« de petits garcons monter sur son dos
«et s’y tenir à califourchon. Le nom de
« {ivre poltron lui a été bien donné. >
D U MARGA Y.
Nous devons rapporter à à Toibele du
margay le chat tigre de Cayenne, dont.
M. de la Borde parle dans les termes sui-
vans : hr
« La peau du chat tigre est, comme
« celle de l’once , fort tachetée. n est un
« peu moins cute que le renard; mais il en
«a toùtes les inclinations, On le trouve
ES
« Ii détruit beaucoup de gibier, tel que
« les agoutis, acouchis, perdrix, faisans
« et autresoiseaux, qu’il prend dans leurs
« nids quand ils sont jeunes. Il est fort leste
« pour grimper sur les arbres, où il se
« tient caché, Il ne couft pas vîte, et tou-
« jours en sautant. Son air, sa marche,
« sa manière de se coucher, ressemblent
« parfaitement à celles du chat. Jen ai vu
communément à Cayenne dans les bois.
\
\
4 HISTOIRE NATURELLE
« PP dans les maisons de Cayenne
« qu’on tenoit enchaïînés; ils se laissoient
«un peu toucher sur le dos : maïs il leur
« reste toujours dans la fgure un air fe-
« roce, On ne leur donnoit pour nourri-
« ture que du poisson et de la viande
« cuite ou crue; tout autre aliment leur
< répugne. Ils produisent en toutes sai-
sons} soit l'été, soit l'hiver , et font deux
« petits à la fois dans des creux d’arbres
A
À
« pourris. »
Il y a un autre chat tigre ou plutôt une
espèce de chat sauvage à la Caroline, du-
quel feu M. Collinson m'a envoyé la no-
tice suivante :
« Le mâle étoit de la grandeur d’un
« chat commun; il avoit dix-neuf pouces
« anglois, du nez à la queue, qui étoit de
« quatre pouces de long , et avoit huit an-
« neaux blancs comme le z20c0c0. La cou-
« leur étoit d’un brun clair, mêlé de poils
« gris ; mais ce qu’il avoit de plus remar-
« quable sont les raies noires, assez larges,
« placées en forme de rayons tout le long
« de son corps, sur les côtés, depuis la
« tête Jusqu'à la queue. Le ventre est d’une,
DU MARG A %Y. a
« couleur claire avec des taches noires;
«les jambes sont minces, tachetées de
« noir. Ses oreilles avoient une large ou-
« verture; elles étoient couvertes de poils
« fins. Il avoit deux larges taches noires
« très-remarquables sous les yeux, de
« chaque côté du nez; et de la partie la
« plus basse de cette ich joignant à la
«lèvre, il part un bouquet « de poils roides
«et noirs. La femelle est de taille plus
« mince : elle étoit toute gris roussâtre Ù
« sans aucune tache sur le dos; seulement
« une tache noire sur le ventre, qui étoit
« blanc sale *
+ Lettre de M. Collinson à M. de Buffon , 23
décembre 1766
ES
ADDITION À L'ARTI ner dE
DU TIGRE.
Novs donnons ici la figure d'un jeune
tigre que nous avons vu vivant à la foire
Saint-Germain en 1784.
pieds pouc. lign.
Il avoit, mesuré en ligne droite,
du bout du nez à l’origine de la
PL EDS Nes da Ni 4e 3 5
Et en suivant la courbure du corps 5 SLT
_ Celui dont nous avons la dépouille au
Cabinet du roi, étoit beaucoup plus
grand, parce qu'il étoit plus âgé.
pieds pouc. lign.
Sa peau bourrée a de longueur... 6 6 »
dé
Il nous a paru que les bandes transver-
sales, et qui descendent presque per-
pendiculairement sur les flancs, étoient
beaucoup plusnoirs dans l'animal vivant,
æ 22 2e ñ
MGAN LS 0 5)
TI <
A KI Due
f. 77/4 ae. 2 S
RATES SR 1} RIRE gJRRN CUT DER RANCE]
1, LE TIGRE ROYAL MÂLE
2, LE BIZAAM.
J Lauquet. he
HISTOIRE NATURELLE. 45
qu'elles ne le sont sur la peau bourrée,
dont la couleur s’est probablement effa-
cée,
Ce grand tigre, qu’on appelle #gre royal,
est, comme Je l’ai dit, moins répandu,
et l'espèce en paroïît moins nombreuse
que celle des léopards et des onces.
On pourra voir dans l'ouvrage que M.
le chevalier d’Obsonville va publier sur
les animaux de l'Inde, plusieurs faits in
téressans sur les habitudes naturelles de
à
ce cruel animal, qui fait la désolation
des pays qu’il habite.
ET PE 7)
DU BIZAAR.
M. VosmarERr a donné la description
d’un animal sous le nom de chat bizaam,
dans une feuille imprimée à Amsterdam
en 1771, dont voici l'extrait.
« Sa grandeur est à peu près celle d’un
« chat domestique.La couleur dominante
« par tout le corps est le gris cendré clair,
« rehaussé de taches brunes. Au milieu
« du dos règne une raie noire jusqu'à
« la queue , qui est à bandes noires et
« blanches; mais la pointe en est noire
< ou d’un brun très-foncé. Les pattes de
« devant et de derrière sont brunes en de-
« dans, et grises tachées de brun en de-
« hors; le ventre et la poitrine sont d’un
« gris cendré. Aux deux côtés de la tête
« et sur le nez, se voient des raies brunes;
« au bout du nez et sous les yeux, il ya
« des taches blanches. Les oreilles rondes
« et droites sont couvertes de poils courts
et gris; le nez noir, et de chaque côté
À
4 à de
P ê # Fe dun)" f REA WA
[4
/
HISTOIRE NATURELLE. 45
- «sont plusieurs longs poils bruns et
« blancs. Les pattes sont armées de petites
« griffes blanches et des. be qui se re-
« tirent en dedans. |
« Ce joli animal étoit d’ün naturel un
«peu triste, sans cependant être mé-
« Chant; on le tenoit à la chaîne. 11 man-
«geoit volontiers de la viande, mais
« sur-tout des oiseaux vivans. On ne l’a
« pas entendu miauler; mais quand on
« le tourmentoit, il grommeloit et souf-
« floit comme un chat.»
M. Vosmaër dit aussi qu’il a nourri ce
chat bizaam pendant trois ans, et qu'il
n’a Jamais senti qu'il eût la plus légère
odeur de musc ; ainsi ceux qui l'ont
appelé chat musqué, l'ont apparemment
confondu avec la civette ou la genette
du Cap : néanmoins ces deux animaux
ne se ressemblent point du tout; car M.
Vosmaër compare le bizaam au margay:
« De tous les animaux, dit-il, que M. de
« Buffon nous a fait connoître, le margay
« de Cayenne est celui qui a le plus de
« ressemblance avec le chat bizaam,
« quoiqu’en Îles comparant exactement,
LA * à , : ”À CRAN E "5 js WU}, LA À AMEN
ii y: 3
46 HISTOIRE NATURELLE.
« le margay ait le museau bien plus menu .
< et plus pointu ; il diffère aussi beaucoup
« par la queue et la figure.des taches: »
J'observerai à ce sujet que ces pre-
mières différences ont été bien saisies
par M. Vosmaër; mais ces animaux dif-
fèrent encore par la grandeur, le margay
étant de la taille du chat sauvage, et le
bizaam de celle du chat domestique,
c’est-à-dire, une fois plus petit. D'ailleurs
le margay n’a point de raie noire sur le
dos; sa queue est beaucoup moins longue
et moins pointue; et ce qui achève de
décider la différence réelle de l'espèce du
margay. et de celle du bizaam, c’est que
l’un est de l'ancien continent, et l'autre
du nouveau.
»=
PU
TR
Tom .14, FRE PL 19. Pag 4
2, LE PUTOIS RAYE DE L'INDE.
_2,LA MOUFFETTE DU CHILI.
ADDITION A L'ARTICLE
D'Ü PUTOIS.:
LE PÜTOIS RAYÉ DE L'INDE.
Cer animal, que M. Sonnerat a apporté
de l’Inde, et que dans son Voyage il a
nommé chat sauvage de l'Inde, ne nous
paroît pas être du genre des chats, imais
plutôt de celui du putois. Il n’a du chat
ni la forme de la tête, ni celle du corps,
ni les oreilles, ni les pieds, qui sont courts
dans les chats et longs dans cet animal,
sur-tout ceux de derrière: ses doigts sont
courbés comme ceux des écureuils; les
ongles crochus comme ceux des chats,
et c’est probablement ce dernier caractère
qui a induit M. Sonnerat à regarder cet
‘animal comme un chat: cependant son
corps est alongé comme celui des putois,
auxquels il ressemble encore par la forme
43 HISTOIRE NATURELLE +
des oreilles, qui sont très- -différentes de
celles des chats.
+4 Ve
: +
li
N 2 0 RARES
(
‘
ù
Cet animal, qui habite la côte de Co- |
romandel, a quinze pouces de. ones
du bout du museau à l'anus ; sa grosseur
approche dé celle de 0e ou Et La tete à
qui a quatre pouces du nez à l’occiput,
est d’une couleur brune mélée de fauve;
l'orbite de l'œil est très-grande et bordée
de brun; la distance du bout du museau
à l'angle antérieur de l’œil est de dix
lignes, et celle de l’angle postérieur à l'o=.
reille est de quatorze lignes. Le tour des
yeux, le dessous du nez et les joues sont
d’un fauve pâle; le bout du nez et les
naseaux sont noirs, ainsi que les mous-
taches et les poils au-dessus des yeux.
L'’oreille est plate, ronde, et de la forme
de celle du putois; elle est nue, et il y
a seulement quelques poils blanchâtres
autour du conduit auditif. Six larges
bandes noires s'étendent sur le corps dée-
puis l'oceiput jusqu'au-dessus du crou:
piou, et ces bandes noires sont séparées
es unes des autres alternativement par
cinq longucs bandes blanchâtres et plus:
B'UTPUT OTS. 49
étroites. Le dessous de la mâchoire infé-
rieure est fauve très-pâle, de même que
la face intérieure des Jambes de devant;
Ja face extérieure du bras est brune, mé-
langée de blanc sale; la face externe des
jambes de derrière est brune, mêlée d’un
peu de fauve et de blanc gris; les cuisses
et les jambes de derrière ont la face in-
terne blanche, et en quelques endroits
fauve pâle ; tout le dessous du ventre est
d’un blanc sale ; le plus grand poil d
dessus le corps a huit lignes. |
La queue, longue de neuf pouces,
finit en pointe; elle est couverte de poils
bruns, mélés de fauve comme le dessus
de l’occiput. Les pieds sont longs, sur-
tout ceux de derrière ; car ceux de devant
ont, y compris l’ongle, seize lignes de
longueur , et ceux de derrière vingt-une
lignes. Les cinq doigts de chaque pied
sont couverts de poils blanchätres et
bruns : les ongles des pieds de devant ont
trois lignes; ceux des pieds de derrière,
quatre lignes.
Il y a six dents incisives et deux ca+
nnes en haut comme en bas.
/ É 5 !
! PE
ADDITION A L'ARTICLE
DU CABIAL.
Nov s n’ayous que peu de chose à ajou-
ter aux faits historiques, et rien à la des-
cription très-exacte que nous ayons don-
née de cet animal d'Amérique, et que
nous avons représenté, tome. V, planche
XXVIIT, page 304. M. de la Borde nous a.
seulement écrit qu'il est fort commun à la
Guiane, et encore plus dans les terres qui
avoisinent le fleuve de l’Amazone, où le
poisson est très-abondant : il dit que ces
animaux vont toujours par couple, le
mâle et la femelle, et que les plus grands
pèsent environ cent livres. Ils fuient les
endroits habités, ne quittent pas le bord
des rivières; et s'ils appercoivent quel-
qu'un, ils se jettent à l’eau, sans plonger
comme les loutres, mais toujours na-
geant comme les cochons; quelquefois
néanmoins ils se laisseut aller au fond
A
HISTOIRE NATURELLE. 5
de l'eau, et y restent même assez long-
temps. On en prend souvent de Jeunes
qu’on. élève dans les maisons, où ils s’ac-
coutument aisément- à manger du pain,
du mil et des légumes, quoique, dans leur
état de nature, ils vivent principalement
de poisson. Ils ne font qu'un petit. Ils ne
sont nullement dangereux, ne se jetant
jamais ni sur les hommes uisurles chiens.
Leur chair est blanche, tendre et de fort
bon goût. Ce dernier él semble contre-
dire ce que disent les autres relateurs.,
que la chair du cabiai a plutôt le goût
d'un mauvais poisson que celui duho
bonne viande. Cependant il se pourroit
que la chair du cabiai vivant de pois-
son eut ce mauvais goût, et que celle
du cabiai vivant de pain et de grain fut
en effet très-bonne.
Aureste, comme nous avons eu à pie
cet ctbnl vivant, et que nous l'avons
gardé long-temps , je suis persuadé qu’il
pourroit vivre dans notre climat; c’est
par erreur que j'ai dit, tome V, page 304,
qu'il étoit mort de froid. J'ai été informé
depuis qu'il supportoit fort bien le froid
5 HISTOIRE NATURELLE.
de l'hiver, mais que, comme on l'avoit
enfermé dite un grenier, il se jeta par la
fenêtre et tomba dans un bassin où ilse
noya ; ce qui ne lui seroit pas arrivé s’il
n'eût pas été blessé dans sa chüte sur es j
bords du bassin.
#
r.
ADDITION A L'ARTICLE
DU LIEVRE:;
De l'ÉcUuREUIL, avec un animal anonyme ;
un autre unes nous avons donné: la dé-
nomination de RAT DE MADAGASCAR :
_enfin un autreque nous appelons TAGUAN,
OU GRAND ÉCUREUIL VOLANT.
Î
HE -A I ÈVRE.
Tour le monde sait que les lièvres se
forment un gîte, et qu'ils ne creusent
pas profondément la terre comme les la-
pins pour se faire un terrier; cependant
j'ai été informé par M. Héniteert habile
naturaliste, qui fait travailler Sc tureties
ment aux mines des Pyrénées , que, dans
les montagnes des environs de Baigory,
les lièvres se creusent souvent des tanières
entre des rochers, chose , dit-il, a on ne
remarque nulle TL
1 Tome ÎT, pages 89 et 112.
2 Extrait d'une lettre écrite par M. Hettlinger à
M. de Buffon, datée de Baigory, le 16 juillet 1774.
5
Lé
|
Ss “HISTOIRE NATURELLE
On sait aussi que les hèvres ne se
tiennent pas volontiers dans les endroits
qu'habitent les lapins; mais il paroît que
réciproquement les lapins ne multiplient !
pas beaucoup dans lés pays où les lièvres
sont en grand nombre. "Ehribee 0!
« Dans la Norvége, dit Pontoppidan,
« les lapins ne se trouvent que dans peu
« d’endroits , mais les Hièvres sont en fort
« grand nombre; leur poil brun et gris
«en été devient blanc en hivers cs
« prennent et mangent les souris comme Les
« chats; ils sont plus petits que ceux du
« Danemarck. »
Je doute fort que ces lièvres mangent
des souris, d'autant que ce n’est pas le
seul fait merveilleux ou faux que l’on
puisse reprocher à Pontoppidan.
« À l’île de France, dit M. le vicomte
« de Querhoent, les lièvres ne sont pas
« plus grands que les lapins de France;
« ils ont la chair blanche, et ils ne font
point de terrier; leur poil.est plus lisse
«que celui des nôtres, et ils ont une
« grande tache noire derrière la tête et
« le cou; ils sont très-répaudus. »
À
24
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DR Te ER
SE. Le =, T ae cu S
LS
DU LIÈVRE. 55
M. Adanson dit aussi que Les lèvres du
Sénégal ne sont pas tout-à-fait comme
ceux “He France, qu’ils sont un peu moins
gros, qu'ils tiennent par la couleur du
lapin et du lièvre, , que ieur chair, est déli-
cate 4 d’un goût exquis.
DE L'ÉCUREUIL.
Les écureuils sont plutôt « des animaux
originair es des terres du Nord que. des
contrées tempérées; car ils sont si abon-
dans en Sibérie, qu’on en vend les peaux
par milliers. he Sibériens, à. ce que dit.
M. Gmnelin, les prennent avec des espèces
de trappes, faites à peu près comme des
4 en chiffre, dans lesquelles on met pour
appât un morceau de poisson fumé, et on
tend ces trappes sur les arbres.
Nous avons déja parlé des. écureuils
noirs , qui se trouvent en Amérique.
M. Aubry, curé de Saint-Louis, a dans
son cabinet uu écureuil qui lui a été en-
voyé de la Martinique, qui. est tout noir:
ses oreilles n’ont presque point de poil,
ou du moins n’ont qu’un petit poil très-
56 HISTOIRE NATURELLE
court ; ce qui le HisAEns des autres écu-
Sie |
M. de la Borde, médecin du roi à
Carçnies dit qu'il n’y a à la Guiane.
qu'une seule espèce d’écureuil ; qu il se.
tient dans les bois; que son “poil est
rougeâtre, ct qu'il n’est pas plus grand
que le rat d'Europe; qu'il vit de graine
de z”aripa, d’aouara , de comana, etc.;
qu'il fait ses petits dans des trous d'arbres,
au nombre de deux; qu’il mord comme
le rat, et que cependant il s’apprivoise
aisément ; que son cri est un petit sifile-
ment ; qu'on le voit toujoursseul, sautant
de branche en branche sur les arbres.
Je ne suis pas bien assuré que cet aui-
mal de la Guiane dont parle M. de la
Borde , soit un véritable écureuil , parce
que ces animaux, en général, ne se trou-
vent guère dans 14 climats très-chauds,
tels que celui de la Guiane. Leur espèce
est au contraire fort nombreuse et très-
variée dans les contrées tempérées et
froides de l’un et de l’autre continent.
« On trouve, dit M. Kalm, plusieurs
« espèces d’écureuils en Pensilvanie, et
DE L'ÉCUREUIL 57
« l'on élève de préférence la petite espèce
« ( l’écureuil de terre ), parce qu'il est le
« plus joli, quoiqu'’assez difficile à appri=
« voiser. Les grands écureuils font beau-
«coup de dommage dans les plantations
_« de maïs ; ils montent sur les épis et les
« coupent en deux pour en manger la
« moelle. Ils arrivent quelquefois par cen-
« taines dans un champ, et le détruisent
« souvent dans une seule nuit. On à mis
« leur vie à prix pour tächer de les dé-
« truire. On mange leur chair; mais on
« fait peu de cas de la peau... pe écureuils
« gris sont fort communs en Pensilvanie,
« et dans plusieurs autres parties de l’A-
« mérique septentrionale. Ils ressemblent
« à ceux de Suède pour la forme ; mais en
« été et en hiver ils conservent leur poil
«gris, et ils sont aussi un peu plus gros.
« Ces écureuils font leurs nids dans des
« arbres creux avec de la mousse et de la
« paille. Ils se nourrissent des fruits des
« bois ; mais ils préfèrent le maïs. Ils se
« font des provisions pour l'hiver , et se
«tiennent dansleur magasin dans le temps
« des grands froids. Non seulement ces
58 HISTOIRE NATURELLE M
« animaux font. beaucoup. de tort aux
« maïs, mais encore aux chênes , dont ils :
«coupent la fleur dès. qu alles vient à
« paroître, en_sorte que ces arbres rap- 4
« portent très-peu de gland::,..... On
« préteni qu'ils sont actuellement plus |
« nombreux qu'autrefois dans les cam-
« pagnes de la Pensilvanie:, et qu'ils se
« sont multipliés à mesure qu'on a aüg-
« menté ies plantations de maïs, "4 ils
« font leur proie SH 5 à
ANIMAL ANON YME.
Nous donuons ici la fig sure « un ani-
mal nouveau, c’est-à.- due , inconnu à
tous les naturalistes , dont le dessin a été
fait par 1 M. le chevalier Bruce, qui m'a
permis de le faire copier, Cet an Bal, dont
nous ignorons le nom, et que nous appel-
lerons l’anonyme en attendant qu’on nous :
dise son nom , a quelques rapports avec
le lièvre, et d’autres avec l’écureuil. Voici
ce que M. Bruce m'en a laissé par écrit.
« Il existe dans la Libye, au midi du lac x
«qu'on appeloit autrefois Palus Trita=
-
#
44
L
:
:
D'UN ANIMAL ANONYME. 59
« rides, un tr ès-singulier animal, de neuf
« à dix pouces de long, avec LÉ oreilles
« presque aussi longues que la moitié du
«corps , et larges à proportion ; ce qui ne
«se trouve dans aucun animal quadru-
« pède, à l’excéption de la chauve-souris
« oreillar. 11 a le museau presque comme
« le renard , et cependant il paroît tenir
« de plus près à Pécureuil. Il vit sur les
« paliniérs et en mauge le fruit. Il a les
« ongles courts, qu’il peut encore retirer.
« C’est un très-joli animal ; sa couleur
« est d’un blanc mêlé d’un peu de gris et
« de fauve clair; l’intérieur des oreilles
«n est nud que daus ie milieu ; elles sont
« couvertes d’un petit poil brun mélé de
« fauve , et garnies en dedans de grands
« poils blanés; le bout du nez noir; la
« queue fauve, et noire à son extrémité ;
« elle est assez longue , imais d’une forme
« différente de celle des écureuils; et tout
-« le poil, tant üu corps que de L queue ,
7
« est très- doux au toucher. »
6o HISTOÎRE NATURELLE |
DU RAT DE MADAGASCAR.
gare donnons ici la AR d’un petit .
animal de Madagascar, qui a été dessiné
vivant chez Madame la comtesse de Mar-
san. Îl nous paroît approcher de l’espèce
de l’écureuil ou de celle du pakniste plus.
que de celle du rat; car on nous a assuré
qu'on le trouvoit sur les palmiers. Nous
n'avons pu obtenir de plus amples indica-
tions sur cet animal ; on doit seulement
observer que , comme il n’a point d'ongles
saillans aux pieds de derrière ni à ceux
de devant , il paroît faire une espèce par-
ticulière très-diférente de ‘celle des rats,
et s'approcher de l’écureuil etdu palmiste.
Il semble qu’on peut rapporter à cet ani-
mal le rat de la côte sud-ouest de Mada-
gascar, dont parlent les voyageurs hol-
Jandois : car ils disent que ces rats se
tiennent sur les palmiers, en mangent les.
fruits ; qu'ils ont le corps long , le museau
aigu , les piedscourts,etunelongue queue
tachetée. Ces caractères s'accordent assez
avec ceux que présente la figure que nous
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LE TAGUAN
où GRAND ÉCUREUIL VOLANT.
/ JTauquet. J'
Tom. 14 . ZZ. 16°. Pag. 61,
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LE TAGUAN
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Où GRAND ECUREUIL VOLANT.
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02]
DU RAT DE MADAGASCAR. 6
donnons ici du rat de Madagascar, pour
qu'on puisse croire qu'il estide cette es-
pèce.
Il a vécu plusieurs : années chez Madame
la comtesse de Marsan. Il avoit les mou-
vemens très-vifs, mais un petit cri plus
foible que celui de l’écureuil, et à peu
près semblable; il mange aussi, comme
les écureuils, avec ses pattes de devant,
relevant sa aies , Se dressant et grim-
pant aussi de mème en écartantles jambes.
11 mord assez serré, et ne s’apprivoise pas.
On l’a nourri nie et de fruits. Ilne
sortoit guère de sa caisse que la nuit, et
il a très-bien passé les hivers dans une
chambre où le froid étoit tempéré par un
peu de feu. po
DU TAGUAN ou GRAND ÉCUREUIL
VOLANT. |
Nous avons dit qu'il existe de plus
grands polatouches que ceux dont nous
avons donné la description, et que nous
avions au Cabinet une peau qui ne peut
provenir que d’un animal plus Ps que
62 HISTOIRE N AÉURETER
le polatouche ordinaire. M. Daubenton à
fait la description de cette peau. Cette
peau a en effet cinq pouces et demi de
long , tandis que la peau du polatouche
ordinaire n’a guère que quatre pouces de
longueur; mais cette différence n’est rien
en comparaison de celle qui se trouve,
pour la grandeur, entre notre polätouche
etle taguan des Indes oriéntales, dont la
dépouille a été envoyée de Mahé à S. À. 5,
M3'le prince de Condé, qui a eu assez de
boit pour me le faire voir et en conférer
avec moi. ( Nous en donnonsicilafigure.)
Ce grand écureuil volant , conservé dans
le très-riche cabinet de Chantilly ,'a vingt-
trois pouces de longueur , depuis le bout
du nez jusqu’à l'extrémité du corps. Il se
trouve non seulement à Mahé, mais aux
îles Philippines , et vraisemblablement
dans plusieurs autres endroits des Indes
méridionales. Celui-ci a été pris dans les
terres voisines de la côte du Malabar : c’est
un géant en comparaison du polatouche
de Russie , et méme de celui d'Améri ique ;
car coréen ceux - Ci ü ‘ont que
quatre pouces et deini ou cinq pouces
n.
\
D'UIT TEA GO) MONTE 63
tout au plus. Néanmoins le taguan res-
semble , pour la forme, au polatouche,
dont il a les principaux caractères, tels
que le prolongement de la peau, qui est
tout-à-fait conforme ; mais eomme äl en
diffère excessivement par la grandeur , et
assez.évidemment par d’autres caractères
“que Je vais indiquer , on doit.en faire une
espèce séparée de celle du polatouche, et
c’est par cette raison que nous l'avons in-
diqué par le nom de zaguan , qu'il. porte
aux îles Philippines , selon le: témoignage
de quelques voyageurs. |
1e taguan diffère donc du obus dé
par la grandeur, ayant vingt-trois
pouces de long ; tandis que le polatouche
n’en a pas cinq; 2°. par la queue , qui a
près de vingt-un nes tandis que celle
du polatouche n’a guère que trois pouces
et demi : d’ailleurs la queue n’est point
applatiecomme celle du polatouche, mais
de forme ronde, assez sembläble à celle
du chat, et couverte de longs poils brun
noirâtre, 3°. Il paroît que les yeux et les
oreilles de ce grand écureuil volant sont
placés et enfoncés comme ceux du pola-
64 HISTOIRE NATURELLE
touche , et que les moustaches noirés sont
srhsie lee les mêmes; mais la tête de
ce grand écureuil volant est moins grosse
à proportion du corps que celle du pola- |
touche. 4°. La face est toute noire; les
côtés de la tête et des joues sont mélés de
poils noirâtres et de poils blancs ; le des-
sus du nez et le tour des yeux sont cou-
verts des mêmes poils noirs, roux et
blancs. Derrière les oreilles sont de grands
tés du:cou; ce qui nese voit point
sur le polatouche. Le dessus de la tête :
et de tout le corps , jusqu’auprès de la
queue , est jaspé de poils noirs et blancs
où le noir domine ; car le poil blanc est
us brun musc ouminime, qui couvrent
noirâtre à son origine, etne devient blanc
qu à un tiers de distance-de son: extrémi-
té. Le dessous du corps'est d’un blanc gris
terne , et cette couleur S’étend jusque
sous le ventre. 5°. Le prolongement de la
peau est couvert au-dessus de poils d'un
brun musc, et en dessous de poils cen-
drés et jaunâtres ; les jambés sont d’un
xoux uoir qui se réunit au-dessus de la
queue, et rend la partie supérieure de la
DV ST A GUAN, 65
queue brune. Cette nuance de brun aug-
mente imperceptiblement jusqu’au noir,
qui est la couleur de l’extrémité de la
queue. Les pieds de ce grand écureuil vo-
lant ont le même nombre de doigts que
ceux du polatouche ; mais ces doigts sont
couverts de poils noirs , tandis que ceux
du polatouche le sont de poils blancs. Les
ongles sont courbes et assez minces, et
leur empatement est large et crochu à
l'extrémité, comme dans les chats: Ces
rapports et holsti de la ressemblance de la
queue ont fait donner à cet animal la dé-
nomination de chat volant par ceux qui
l’avoient apporté. Au reste, le plus grand
ongle des pieds de devantavoit cinq lignes
et demie de longueur, et le plus grand
ongle des pieds de derrière, cinq lignes
seulement , quoiqu'il soit d’une forme
plus alongée que ceux de devant.
On peut voir la figure de cet animal
rare, que M. de Sève a dessiné aussi par-
faitement que l’état de sa dépouille pou-
voit le permettre. Nous lui avons donné
le nom de faguan, en conséquence d’un
passage que nous avons trouvé dans les
.
LA
66 HISTOIRE NATURELLE
voyageurs ; et que je dois rapporter ici.
« Lesîles Philippines sont lé seul endroit
« où l’on voit une espèce de chat volant,
«de la grandeur des lièvres ét de la cou-
« leur dés renards ; auquel les insulaires
« donnent le nom de faguan. Ils ont des
« ailes comme les chauve-souris, mais
« couvertes de poil, dont ils se servent
« pour sauter d’un arbre sur l’autre, à
« la distance de trente palmes. »
Hès avoir rédigé cet article; l'ouvrage
. de M. Vosmaër, qui contient la descrip-
tion de fu elpérbs animaux quadrupèdes
et de quelques oiseaux, in’est tombé entre
les mains. J'y ai vu avec plaisir là des-
cription de ce grand écureuil volant, ct
qtickqués notices au sujet dû polatouche
ou petit écureuil volant.
M. Vosmaër dit qu'il a vu deux petits
polatouches vivans , mais qu’ils n’ont pas
véeu long-temps à la ménagerie deS. AS.
ME£r lé prince d'Orange.
«Ils dormoient, dit-il, presque toute
«+ la journée. Guard on les poussoit vives
& ment, ils faisoient bien un ee saut
« Édité e pour voler : mais ils s’esqui+
4
NL ESS
Lé
Le
DUT A:G UIAUN |: 67
-« voient d'abordavec frayeur; car ils sont
«peureux. lis aiment beaucoup la cha-
« leur; et si on les découvroit, ils se four-
« roient au plus vîte sous de la laine qu’on.
« leur donnoit pour se coucher.L eurnour-
« riture étoit du pain trempé, des fruits. 4
«etc. qu'ils mangeoient, de la mêt 1e
« facon que les écureuils, avec leurs pattes
« de devant, et assis sur leur derrière.
«A l'approche de la nuit on les voyoit
« plus en mouvement. La différence. du
«climat influe certainement beaucoup
« dans le changement de nature de ces.
« petits animaux , qui paroissent fort dé-
« licats. » ne
Ce que je viens de citer d’après M. Vos-
maër, est très-conforme' à ce que J'ai vu
moi-même sur plusieurs de ces petits ani-
maux. J'en ai encore actuellement un
( 17 mars 1775) vivant dans une cage, au
fond de laquelle est une petite: cabane
faite exprès. Il se tient tout le jour fourré
daus du coton , et n’en sort guère que le
soir pour prendre sa nourriture. Il a un
très-petit cri, comme une souris, qu'ilne
fait entendre que quand on le force à
1
de
68 HISTOIRE NATURELLE
sortir de son coton ; il mord même assez
serré, quoique ses den ts soient très-petites.
Son poil est de la plus grande finesse au
-toucher.On a dela peine à lui faireétendre
. ses membranes ; il faut pour cela le jucher
haut et l’obliger à tomber, sans quoi il
ne les développe pas. Ce qu’il ya de plus
singulier dans cet animal , c’est qu’il pa-
roît extrêmement frileux, et je ne conçois
pas comment il peut se garantir du froid
pendant l'hiver dans les climats septen-
triôhaux, puisqu’en France, si on ne le
tenoit pas dans la chambre, et qu’on ne
lui donnât pas de la laine ou du coton
pour se coucher et même pour s’envelop-
per, 1l périroit en peu de temps.
A l'égard du taguan ou grand écureuil
volant, voici ce qu’en dit M. Vosmaër :
« Le polatouche décrit par M. de Buffon
«a, sans contredit, une grande confor-
«inmité avec celui-ci; il a les membranes
« pareilles au polatouche, non pas pour
«voler, mais pour se soutenir en l'air
« quand il saute de branche en branche.
« Le grand écureuil volant que je dé- .
DU TAGUAN. 69.
«cris*, ne m'a été envoyé qu'en peau
« desséchée. M. Allamand a donné une des-
« cription abrégée de cet mb et d’après
«un sujet femelle conservé à à Leyde Fr
« le cabinet de l'académie. |
« Valentin est le premier qui en ait bats ;
« il dit qu’il se trouve dans l’île de, Gilolo.
« Il appelle ces animaux des civettes vo-
« Jantes ; 1 dit qu'ils ont de fort longues
« queues, à peu près semblables à celles
« des guenons. Lorsqu'ils sont en repos,
« on ne voit point leurs ailes. Ils sont sau-
« vages et peureux ; ils ont la tête rousse,
« avec un mélange de gris foncé ; les ailes,
« ou plutôt les membranes, couvertes de
« poils en dedans et en dehors. Ils mordent
« fortement, et sont en état de briser très-
« facilement une cage de bois dans une.
* Ce nom me paroïît plus propre que celui de
ehat volant, sous lequel cet animal nous est autre-
ment connu. La tête, les dents et les griffes ont
plus de rapport avec les écureuils que n’en a la
simple queue velue, qui est particulière au chat,
L’épithète de vo/ant convient d’ailleurs assez à
sause du grand saut que fait l’anumal,
yo HISTOIRE NATURELLE |
« seule nuit. Quelques uns les appellent
« des singes volans. Ils se trouvent aussi à -
« l'ile de Ternate, où l’on prit d'abord cet
1f «animal pour un écureuil ; mais ilavoit |
‘« la tête plus effilée et hat es davan-
« tage à un coescoes , ayant le poil gris de-
« puis le museau , avec une raie noire le
« long du dos jusqu’au derrière. La peau
« étoit adhérente au corps, et s’étendoit;
« elle est garnie d’un poil plus blane par-
« dessous, et blanc comme celui du ventre:
« 10 Squ’il saute d’un arbre à l’autre, il
« étend sesmmembranes , etilparoît comme
« s’il étoit applati.
« Dans l'ouvrage de M. l’abbé Prevost;
« on trouve un passage relatif à cet ani-
«mal, qu'il dit, d’après les Lettres édi-
« fiantes , Se trouver aux îles Philippines,
« où on l’appelle saguan.
« J'ai vu quatre pièces relatives à cet.
« animal, l’une au cabinet de Leydé,
« l'autre au cabinet de M. Heéeteren à la
« Haye, tous deux femelles, de couleur
« châtain clair sur le corps, plus foncé
« sur le dos, et le bout de la queue noi-
« râtre. La différence de sexe seconnoissoit.
Hit TAC CAN Ft
« à six petits mamelons placés à distance
« égale en deux rangs à la l'ROITrIRE etau
« ventre, Les deux mâles étoient dans 1é
«cabinet de S. À. S. Mas: le Hess do
«rangé.» si
Voici la do ele que M. Vosma C3
donne de cet animal.
Dimensions prises à la rmnesure du Rhin.
pieds pouc, lien;
“Longueur du corps de l’animal... #5 5 LL. :
Largeur du corps, les membranes
étendues, prise auprès des pieds ù
de devant. ,:...........,..9 0% | A2 #
Largeur du corps , les membranes
étendues, prise auprès des pieds
dederminennl it #0 LEE 1 5: »
Longueur de la queue jusqu’à l’ex- je
émnéodn pois Le, + pie
Les pieds de devant étant écartés, |
la ligne de distance entre le bout
des onglets d’un côté à l’autre,
AOUDE nl daand video s à ad LE » 6.
Et celle des pieds de derrière... x 3 »
« La tête est plus pointue que celle d’un
« écureuil.
92 HISTOIRE NATURELLE ‘4
« Les oreilles petites, pointues, couvertes | |
« en dehors d’un poil brun clair très-court
Je et très-fin : les yeux sont surmontés de
*« deux longs poils d’un brun fauve; Îles
_« paupières paroïissent sans poils. Il y a des
«deux côtés du museau plusieurs poils
«en moustaches , longs, noirs et très-
« roïdes. Le nez est sans poils ; les dents
« sont, comme celles des écureuils, au
« nombre de deux en dessus, et deux en
lessous , d’un jaune ben les inté=
« ticures sont fort Jongues ; les dents mo-.
« laires se trouvent aussi au fond du mu:
« scau.
« Ses pieds de devantet de derrière, sur-
« tout ceux-ci, sont comme cachés sous la
« peau à voler, qui les recouvre presque
« Jusqu’aux pattes, dont les antérieures
« sont divisées en quatre doigts tout noirs,
« les deux du milieu plus longs que les
<auires, sur-tout le troisième. Celles des.
« pieds postérieurs sont aussi noires, ct
«< ont cinq doigts, quatre desquels sont
« d’ésale longueur; mais le c cinquième,
« qui est l’intérieur, est beaucoup plus
« court, €t ne paroît que comime' um
1
D'UUT AG VAN: 2H 98
« simple appendice. Les onglets sont fort
« grands etaigus;, noirs en devant, blancs
< en dessous, et larges à leur origine. Les
« PAST de:ces doigts sont semblas
« bles. à celles des écurenals. 2516470800
« La peau à voler, qui, dans notre
« figure ; se montre “éténdué entre, les
« pieds de devant et ceux de derrière; est
« le plus mince au milieu , où elle a,envi-
« ron quatre pouces de vi de. chaque
«côté, et.ne passe pas l'épaisseur du fin
« papier des Indes. Ailleurs elle est cepen-
«< dant aussi fort mince, d’un tissu clair,
« et garnie de petits poils châtains. Près
« des pieds de devant et de derrière, elle
« devient plus épaisse, ou s’élève en forme
« de coussinet, plus large aux cuisses, et
« allant en se rétrécissant vers l'extrémité
« des pattes. Cette partie est couverte de.
« poils bruns et noirs, fort serrés; sur les
« pattes de devant elle paroît lâche, et
« pend auprès ou par-dessus, comme un
« lambeau qui est rond et revêtu de poils
« drus ; les bords extérieurs de cette peau
« sont courbés d’une lisière épaisse de
« poils noirs et gris. |
Quadrupides, KIV, 7
cn À .
L
7 f
74 HISTOIRE NATURELLE.
e La partie supérieure de la tête, le dos
«et l’origine de la queué sont garnis de
fé poils drus, assez longs, noirs à leur
« partie inférieure , et‘les:Ssommités ou
« extrémités, pour la plupart ,‘d’un-blanc
« grisâtre. Tor DEUE Vo |
_« Les poils de la queue sontnoirs, plus
« gris vers le corps, et dispersés de facon
« que la queue paroît être ronde.
«Les joues, à côté de la tête, sont
«d'un gris brun; le gosier, d’un gris
« blanchâtre clair, ainsi que la poitrine,
« le ventre et en-dessous, vers:la queue;
«la peau à voler a aussi en dessous des
« poils gris, mais fort clair-semés. » *
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LE GRAND ECUREUIL
DE LA CÔTE DE MALABAR.
JS Oaiguet. 8 | Dre 5
}
=
DU GRAND ECUREUIL
DE LA COTE DE MALABAR.
; PT
Can écureuil, dont M. Sonnerat nous
a apporté la peau, est bicu différent des
nôtres par la grandeur et les couleurs du
corps. Il a la queue aussi longue que Île
corps, qui a quinze pouces six lignes de-
puis le bout du museau jusqu'à lorie
de la queue, dix-sept pouces huit lignes
suivant la courbure du corps, et les poils
qui couvrent les oreilles ont une dispo-
sition différente des autres écureuils.
_ Sil’ôn compare donc cet écureuil à ceux
de notre pays, c’est un géant.
pieds. pouc. lign.
Sa he. du bout du nez à locci-
DAS, : 1! ACTA LÉ ETES ASTRA RU 5 3 2
Du bout du nez à P’angle antérieur
de Fly Bas. scie DU NT TZ 6
De l'angle postérieur de l’œil à
Leraiens L L NT »
La face supérieure de la tête est d’un
pue A
7 HISTOIRE NATURELLE. me
brun marron, et forme une srpade ha
-quis’étend déptlis le front jusqu’au milieu
du néz: les autres parties dé la tête sont
couvertes d’un beau jaune orangé, et sur
l'extrémité du nez cette couleur n’est que
jeunâtre , mêlée d’un peu de blanc.
La couleur orangée règne aussiautour
des Fun et sur les } rue
h pieds. pouc, lig.
Les moustaches sont noires, et les | |
plus longs poils ont de longueur * » ob
Il ÿ a aussi près des tempes des LL
DES MAP RL EST » L: 9
€
Les oreilles sont couvertes d’ un poil
très-touflu et peu long qui fait la houppe:
ces poils, qui ont huit lignes de longueur,
se présentent comme une brosse dont on,
auroit coupé les extrémités. La couleur "
de ces poils est d’un marron foncé, ainsi M
que la bande qui prend de l'oreille sur la f
joue en arrière, et tout ce quicouvre l’oc- 3
ciput. Entre les oreilles prend une bande
| blanche, inégale en largeur, qui sépare les
couleurs de la téte'et du cou; de l’occiput
prend une pointe très-noire qui tranche
* DU GRAND ÉCUREUIIS vi
sur le cou, les bras, ets’étend aux épaules
sur le brun mordoré foncé qui couvre tout
le corps et les flancs , ainsi que les jambes
de derrière. Ce même noir prend en bande
au milieu du dos, et s'étend sur Île train
de derrière, les cuisses et la queue.
Le dessous de la mâchoire inférieure ;
du cou, du ventre et des cuisses, est blanc
jaunâtre , ainsi que les jambes et les pieds
de devant; mais cette couleur est plus
orangée sous le ventre et les pieds de der-
rière. La queue a quinze pouces six lignes
de longueur, et elle est couverte de longs
poils très-noirs, a ont deux pes
trois lignes. | |
Au reste, cet écureuil ressemble à notre
écureuil par toutes les formes du corps,
de la tête et des membres ; la seule diffé-.
rence remarquable est dans la queue et
dans le poil qui couvre les oreilles.
g.
L'ÉCUREUIL DE MADAGASCAR.
Ox connoit à Madagascar un gros ÉCu-
reuil qui ressemble, par la forme de la
tête et du corps et par d’autres caractères
extérieurs , à nos écureuils d'Europe,
mais qui en diffère par la grandeur de la
taille, par la couleur du poil, et par la
longueur de sa queue. Il a dix-sept pouces
de longueur en le mesurant en ligne su-
perficielle , depuis le bout du museau
jusqu’à l’origine de la queue, et treize
. pouces deux lignes en le mesurant en
ligne droite, tandis que l'écureuil de nos
bois n’a que huit pouces neuf lignes. De
même la tête, mesurée du bout du museau
à l’occiput, a trois pouces quatre lignes;
au lieu que celle de notre écureuil n'a que
deux pouces. Ainsi cet écureuil d'Afrique
est d’une espèce différente de celle des
écureuils d'Europe et d'Amérique. D’ail-
leurs son. poil est d'un noir foncé : cette
couleur commence sur le nez, s'étend (
Tom . 14, RE mt, ag. 78. —
HISTOIRE NATURELLE. 79
sous les yeux jusqu'aux oreilles, couvre
le dessus de la tête ou du cou, tout le
Li
dessus du corps, ainsi que les faces exter-
nes des jambes de devant, des cuisses, des
jambes de derrière et des quatre pieds. Les
joues, le dessous du cou, la poitrine et
les faces internes des jambes de devant
sont d’un blanc jaunâtré; le ventre et la
face interne des cuisses sont d’un brun
mêlé d’un peu de jaune; les poils du corps
ont onze lignes de longueur. La queue,
qui est toute noire, est remarquable en
ce qu’elle est menue et plus longue que le
corps ; Ce qui ne se trouve Re aucune
autre espèce d’écureuil, Le troncon seul a
seize pouces neuf lignes, sans compter la
longueur du poil, qui l’alonge encore de
deux pouces ; il forme sur les côtés de la
queue un pauache, qui la fait paroître
plate dans son milieu.
ADDITION À L'ARTICLE .
DU PALMISTE.
| 4
Novs avons dit * que cet animal pas-
soit sa vie sur les palmiers, et qu’il se
trouvoit principalement en Barbarie; on
nous à aussi assuré qu'on le trouve très-
communément au Sénégal dans le pays
des Nègres Jalofes , et dans les terres voi-
sines du cap Verd. Il fréquente les lieux
‘découverts et voisins des habitations, ct
il se tient encore plus souvent dans Îles
buissons à terre, que sur les palmiers.
Ce sont de petits animaux très-vifs; on
les voit pendant le jour traverser les che-
mins pour aller d’un buisson à l’autre,
et ils demeurent à terre aussi souvent an
moins que sur les arbres. |
* Tome IV, page 709. \
AY,
2 242
%, A \
10, 7
ui W,
d
LE PETIT-GRIS DE SIBÉRIE.
Nous donnons ici la figure d’un petit-
gris de Sibérie, que M. l’abbé Aubry, curé
de Saint-Louis, conservoit dans son ca-
binet, et qui diffère assez du petit-gris des
autres contrées septentrionales , repré-
senté planche IX, tome IV, pour que nous
puissions présumer qu'ils forment deux
espèces distinctes. Celui-ci a de longs
poils aux oreilles , la robe d’un gris clair,
et la queue blanche et assez courte; au
lieu que le petit-gris de notre planche IX ,
tome IV, a les oreilles nues, le dessus du
corps et les flancs d’un gris cendré, et la
queue de cette même couleur; il'est aussi
un peu plus grand et plus épais de corps à
et il a la queue considérablement plus
longue que le petit-gris de Sibérie, dont
voici les dimensions et la description.
pieds, pouc. lig,
Longueur du corps entier, mesuré
en ligne droite..,,,,.....,.. » 9,49
Ra
82 HISTOIRE NATURAELE
” pieds. pouc, lig.
Longueur de la tête depuis le bout:
du museau jusqu’à l’occiput. . » 2
Longueur des oreilles. ......... » sam
Longueur du tronçon dela queue. » 5 1r.
Longueur des plus. grands. ongles NE A 2
des pieds de devant... .... rs: à NUE
Longueur des plus g grands ongles Lire
des pieds de ARE an ce dt 7 + 3.
Le poil de ce joli petit animal a neuf
lignes de longueur : il est d’un gris ar-
genté à la superficie, et d’un gris foncé
à la racine ; ce;qui donne à cette fourrure
un coup-d’ il gris-de-perle jaspé : cette
‘couleur s'étend sur le dessus du corps,
la tête, les flancs, les jambes et le com-
mencement de la queue. Tout le dessus.
du corps, à commencer dela mâchoire
iuférieure, est d’un beau blanc; le dessus
du museau est gris : mais le front, le
sommet de la tête et les côtés des joues
jusqu'aux oreilles , sont mélés d’une lé-
gère teinte de roux, qui devient plus
schsiiis au-dessus Le yeux et de la mâ-
choire inférieure. Le dedans des oreilles
est garni d’un poil plus gris que celui du
DU PETIT-GRIS DE SIBÉRIE. 93
corps; le tour et le dessus des oreilles por-
tent de grands poils roux, qui forment
une espèce de bouquet d’un pouce quatre
ou ‘cinq lignes de longueur. La face
externe de la moitié des jambés de de-
vant est d’un fauve mêlé de gris cendré ;
la face interne est d’un blanc mêlé d'un
peu de. fauve; les jambes de derrière,
depuis le jarret et les quatre pieds, sont
d’un brun mélangé de roux ; les pieds de
devant ont quatre doigts, ue ceux de der-
rière en ont cinq. Les poils de la queue
ont vingt et une lignes de longueur; ceux
_ qui la terminent à l'extrémité, ont jusqu à
deux pouces : cette queue biche: avec
de si longs poils, paroît très-différ enté’de
celle de l’autre petit-gris. LÉ nes
#
LES GUERLINGUETS.
Ÿ
2,7
JL y.a deux espèces ou variétés constan-
tes de ces petits animaux à la Guiane,
où on. Jeur donne ce nom. La première,
dont nous donnons ici la figure ,.sous le
mom de grand guerlinguet, est de plus du
double plus grande que la seconde. que
nous appelons petit guerlinguet. Toutes
deux nous ont été données par M. Sonimi
de Manoncourt , et nous avons reconnu
que .ce sont ds mêmes animaux dont
M. ‘de la Borde nous avoit parlé sous le
mom d’écureuil; j'en ai fait mention dans
ce volume, page 56. J'ai eu raison de dire
que je n’étois pas assuré que cet animal
fût un véritable écureuil, parce que les
écureuils ne se trouvent point dans les
climats très-chauds. En effet, j'ai été bien
informé depuis qu'il n’y a aucune espèce
de vrais écureuils à la Guiane. L’animal
qu'on y appelle gverlinguet, ressemble, à
la vérité, à l’écureuil d'Europe par la forme
de la tête, par les dents, et par l'habitude
:.2.LE GRAND GUERLINGUET
- 2.LE PETIT GUERLINGUET.
Pauque D,
Y
HISTOIRE. NATURELLE. 85
de relever la queue sur le dos ; mais il en
diffère en ce qu’il l’a plus longue et moins
touffue, et:en général son Corps n’a pas
la même forme ni les mêmes proportions
que celui de notre écureuil. La petite
espèce de Shsrhaguet , qui ne diffère de la
grande qu’en ce qu’elle est plus de deux
fois plus petite, est encore plus éloignée
de celle de notre écureuil : on. a. même
donné à à ce-petit animal un autre nom;
car on l'appelle rat de bois à Cayenne,
parce qu'il n’est pas en effet plus gros
qu'un rat. L'autre guerlinguet est à peu
près de la même taille que nos écureuils
de France, mais il a le poil moins long
et moins roux, et le petit guerlinguet a
le poil encore plus court, et la queue
moins fournie que le premier. Tous deux
vivent dés fruits du palmier; ils grimpent
très-lestement sur les arbres, où néan-
moinsils ne se tuennent pas constamment,
car on les voit. souvent courir à terre. |
Voici da description de ces deux ani-
maux.
* Le grand guerlinguet mâle n’a point de
bouquet de poil aux oreilles comme Îles
86 "HISTOIRE NATURELLE
écureuils; ‘sa queue ne forme j Pre ‘un pa:
nache , et il est plus petit, n ‘ayant que
‘sept pouces cinq lignes depuis l'extrémité
du nez jusqu’à l’origine de la: ‘queue ,
tandis que l’écureuil de nos bois a huit
pouces six lignes. Le poil ést d’un brun
minime à là racine, et d’un TOUX foncé
à l’éxtrémité ; il n’a que: quatre lignes de
longueur; il est d’un brun marron sur
la tête, lé'corps, l° extérieur des jambes et
Ja queüe , et d’un roùx plus. pâle : sur le
cou, Sur là poitrine, LE véntré et l’inté-
riéué des jambes : il y a même du gris
et du ‘blane'jaünâtre sous la mâchoire et
lé cou; mais le roux pâle domine sur Ja
poitrine et sur une partie du ventre, et
cette couleur orangée ‘du poil 4 est mélée de
nuances’ grises sur l’ intérieur des cuisses,
Les éäsliélés sont noires ét longues
d'un pouce neuf lignes. La quéue est aussi
longue que le corps entier, ayant sept
pouces cinq lignes ; ainsi lle est, plus
longue à proportion que celle dél’écureuil
d'Europe; elle est plus plate que ronde,
et d’une grosseur presque égale dans bts
sa longueur; le poil qui la couvre est long
DES GUERLING UETS. 87
de dix à onze lignes, et elle est comme
rayée de bandes indécises de brun et de
fauve; l'extrémité en est terminée par
des poils noirs. Il y a aussi sur la face
interne de l’avant-bras, proche du poi-
gnet, un faisceau de sept ou huit poils
noirs, qui ont sept lignes de longueur,
et ce caractère ne se trouve pas dans nos
écureuils. | |
CURE ‘DEL FE mp n’a que quatre
pouces trois lignes depuis l'extrémité du
nez jusqu’à l’origine de la queue, qui
n'ayant que trois pouces trois lignes de
long, est bien plus courte à proportion
que celle du grand guerlinguet; mais du
reste ces deux animaux se ressemblent
parfaitement pour la forme de la tête,
du corps et des membres : seulement le
_ poil du petit guerlinguet est moins brun;
le corps, les jambes et la queue sont
nuancés d’olivâtre et de:cendré, parce
que le poil, qui n’a que deux lignes de
longueur , est brun cendré à la racine, et
fauve à son extrémité. Le fauve foncé
domine sur la tête, sur le bas-ventre et
sur la face interne des cuisses ; les oreilles
\
88 HISTOIRE NATURELLE.
sout garnies de poils fauves en dedans : :
au lieu que celles du grand guerlinguet
sont nues. Les moustaches sont noires et
composées de poils assez souples, dont
les plus longs ont jusqu’à treize Hignes;
les jambes et les pieds sont couverts d’un
petit poil fauve; les ongles, qui sont noi-
râtres , sont larges à leur origine , et
crochus à leur extrémité, à peu près
comme ceux des chats. La poitrine et le
haut du ventre sont d’un gris-de-souris
mêlé de roux, au lieu que dans le grand
guerlinguet ces mêmes parties sont d’un
roux pâle et blanchâtre. Les poils de la
queue sont mélangés de brun et de fauve.
Les testicules de ce petit guerlinguet
étoient beaucoup plus gros que ceux du
grand guerlinguet, à proportion du corps,
quoique ces parties fussent dans le grand
guerlinguet de la même ets que
dans nos écureuils.
Tom. 14. PU. 21. Pag. 89.
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LE TAGUAN.
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Paquet h
23
ADDITION A L'ARTICLE :
DU TAGUAN.
s,
Nous donnons ici la figure d’un taguan,
qui, quoique beaucoup plus petit que
celui dont la dépouille est conservée
dans le cabinet de S. À. S. M# le prince
de Condé, et duquel nous: avons PE
la figure dans ce volume, page 61, me
paroît néanmoins être dela même ME |
Il a été envoyé des côtes du Malabar à
M. Aubry, curé de Saint-Louis, et il est
maintenant au Cabinet du roi. Il n’a que
quinze pouces neuf lignes de longueur,
ce qui ne fait que les deux tiers de ‘la
grandeur de celui de Mgr le prince de
Condé ; mais aussi est-il évidemment
beaucoup plus jeune, car à peine voit-on
les dents molaires hors des gencives. Il:a,,
eomme les écureuils, deux dents incisives
en haut et deux en bas; la tête paroît -
être petite à proportion du corps; le nez
ÿ
l A
go. HISTOIRE NATURELLE
est noir ; le tour des yeux et les mâchoires
sont noirs aussi, mais mélés de quelques
poils fauves; les joues et le dessus de la
tête sontmèêlésde noir et de blanc; les plus
+
grands poils des moustaches sont noirs et
ont un pouce dix lignes de longueur ; les
oreilles sont, comme dans les écureuils,
garnies de grands poils noirâtres qui ont
jusqu’à quatorze lignes de longueur ; der-
rière les oteïlles, les poils sont d’un brun
marron, et ils ont plus de longueur que
ceux de corps; ke dessous du cou est d’un
fauve foncé, mélangé de noir; les bras
ou jambes dl devant jusqu’au poignet, où
commence le prolongement de la peau,
sont, ainsi que cette peau elle-même,
d'un noir mélangé de fauve; le dessous
| de cette peau est d'une couleur cendrée,
mêlée de fauve et de brun. Tout le poil
de dessus le corps, depuis le sommet de
la tête jusqu’à la queue , ‘est jaspé de noir
et de: blanc, et cette dernière couleur
domine en quelques endroits ; la longueur
de ce poil est d'environ un pouce. Les
cuisses , au-dessous du prolongement dela
peau, sont d'un fauve où le noir domine; .
DU: T'ANCU' AN: CL
les jambes et les pieds sont noirs. Les on-
gles, qui ont cinq lignes de longueur, sont
assez courts. Le dessous du corps est d’un
blanc gris qui s'étend jusque sous le cou.
La queue, longue d’un pied cinq pouces,
est garnie de longs poils qui ont dix-huit
lignes de longueur; ce poil est d’un gris,
noir à l’origine de la queue, et devient
toujours plus noir jusqu’à l'extrémité.
En comparant cette description et la
figure de ce taguan avec celle du taguan
du cabinet de Chantilly , on n’y trouvera
qu’une seule différence, qui d’abord pour-
roit paroître essentielle ; c’est que les
oreilles de ce grand taguan ne paroissent
pas garnies de poils, au lieu que celles
dé celui-ci en sont très: bien fournies :
mais cette différence n'st pas réelle ,
parce que la tête du taguan de Chantilly
avoit été maltraitée et même mutilée,
tandis que celui-ci a été soigneusement
conservé, et est arrivé des Indes en très-
bon état. On doit donc s’en rapporter,
pour la conuoissance exacte de cetanimal,
à cette dernière figure, plutôt qu’à celle
qui a été déja donnée dans ce volume,
DE L'AYE-AYE
À ve-ave est une exclamation des ha-
bitans de Madagascar, que M. Sonnerat
à cru devoir appliquer à cet animal, qui
se trouve dans la partie ouest de cette île.
IL dit « qu’il ne se rapproche d’aucun
« genre , et qu'il tient du maki, de l’é-
« cureuil et du singe. Ses oreilles plates et
« larges ressemblent beaucoup à celles de
« la chauve-souris ; ce sont deux peaux
« noires presque lisses , parsemées de quel-
« ques longs poils noirs terminés de blanc,
« qui forment la robe. Quoique la queue
« paroisse toute noire, cependant les poils
« à leur base sont blancs jusqu’à la moi-
« tié. Son caractère principal, et un des
« plus singuliers, est le doigt du milieu
« de ses pieds de devant ; les deux der-
« nières articulations sont très-longues ,
« grêles , dénuées de poils : il s’en sert
« pour tirer les vers des trous d’arbres ;-et
« pour les pousser dans son gosier ; il
p tes
17/1 es
cine À
F Joauquet. ci
HISTOIRE NATURELLE 93
« semble aussi lui être utile pour s'ac-
« crocher auxbranches.Cet animal paroît
«terrier , me voit pas pendant lejour, et
«son ail couleur. d’ocre derue est comme
« celui du chat-hüant.Ilesttrè ès-paresseux, ;
«et par conséquënt très-doux ; celui-ci
« restoit toujour$ touché , etce n’est qu’ en
« le secouañt plusieurs fois qu'on venoit
« à bout de le fairé relnuér. Îl'a vécu pr ès
« de deux mois, n ayant pour toute nour-
«riture que du riz cuit; 3. il se servoit,
« pour le manger, de ses ‘deux doigts;
« comme les Chinois de baguettes. ni
J'ai examiné ‘de près la peau ! d’un de
ces animaux, ‘qué M. Somicral m'a don-
née pour le Cabinet du roi; ilm'a paru
se rapprocher du genre des écureuils s plus
que d'aucun autre : il a aussi quelque
rapport à l'éspèce de gerboise que j'ai
donnée sous le nom de farsier, tome VI.
Les pieds semblent faire un caractère
unique et très-distinctif par la longueur
des doigts aux x pieds de devant.
Longueur de lanimal mesuré en
ligne droite ; depuis le bout du”
Fos =
f
LA
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AE à! CCR RE :
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94 HISTOIRE NA DURELLE
TOC. SAT. SOU HR Farpieds.s pin: Tige
ds PE y vs
museau. jusqu'à l'origine: de laXUS 101807
- queue. e + . ith Det A … ês Cr 110% “Æt . 4" 3 DA id
su la courbure!du, corps « malus Hé nr 6:
Longnenr de la:tête depuüis.le; bob£ 6: 55100 »
_du museau jusqu'à. 4 occiputs ps | » ba de. 19m
Loc de la jambe ‘de devant LOTS | JA »
depuis le | coude j Jusqu'au poignet :, » RE LrO RUE 4:
Longueur depuis ] Je paient. jus-. Es
LA 4,9 35 € :
qu’ au bout des ongles. nddues st M HMNIONES
Longueur de la jambe depuis. le Gi
genou jusqu’au talon. CT RE ES PRE
Longueur depuis le talon jusqu'au. Re De
bout des ongles... . dde aeme 0 ND NN
Longueur du tronçon dé la queue LA Roi
L: l'A] ù LE :
La couleur dé cèt antnal est re brun
musc mêlé de noir et de gris cendré ; il a
sur Pa tête, autour des Yeux, sur. le corps,
aux cuisses et aux jambes s une couleur
de musgfoncé , dans laquelle néanmoins
le noir domine sur le dos et en plusieurs
endroits du corps et des } jan: bes. Laqueue
est tout-à-fait noire ; les côtés de la tête,
le cou, la mâchoire, et le ‘ventre sont
grisâtres ; des poils laineux de cette cou-
à
DEL CANECAME. I! Jp
leur grise sont au-dessous des grands poils
noirs où blänes’, de deux’ot d'trois pouces
de long, qui Sont sur le Cotpé etes Jam
bês : ; mais les japibes et lès” cuisses ns
” 5h bu: 8 2}
d’un brun rougeâtre ; ÿ le noir ‘domine à
Æ w *: g 39 JOUE
l'approche. des pieds, qui sont couverts
PECPTOTPANEIEU
de petits poils de cette c couleur. A
‘Latéteala forme de gelé de l'écureuil; ;
ilya deux, incisives au-devant de <haque
mâchoire. Les or: cilles, sont. grandes, pues
et sans poils, :larges à eur ouv RE
droites et rondes à leurs extr émités. grub
pieds. pouc. Jigs
Elles ont de. longueur. nese + 29° 7 D. Er3} 2 ë Por
Largeur, à au conduit, auditif. Re: cd
tite e AUTO
I'ÿ à atout dei yeux: ‘une bande bru-
fâtre , ét tes eo a sont noir és. 5 3) D Le
ke? pieds. poueh Hg.
Et ssdheue sb peas'il-y'aide, 510 1988008
-'grands>poils noïrs qui lont de: : : : 4805 ST
longueur. es. 5.50 “LES ZE ) ei2 6 0 : 1 So $
Ceux qui sont aux côtés des joues
PR Riu co 2 É: 40 0
Lé pied-des jambes de devant, pris! :! :: |
‘depuis le poignet jusqu’à l’ex-
trémité des doigts, a... cc 55% ©: 301 Qt
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Le doÿge intéieu qui se pouce, 1£ LA h mue 0:
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mince et rêle , n'ayant qui ne gl M pre
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Le troisième onu? AN LL 2 “#1 ‘2 Fongle 6
Le ‘gutrièmie doigt o où le premier Ed a
° externe). 2 DAS ORNE DIR ON T $ a î
Les ? Side AE GERS ete HE NEA 20! T0 -
€ ss, ÿ Cine Pexiréhiié de ste ere 19
rer:
€
«il eouoq ,2b9i4 * $
Ces doigts à qui ont déux lignes de lar-
geur, sont à peu’ près égaux” en grosseur ; ;
mais Je premier/doigt ;! qui fait pouce et
qui a .de longueur douze lignes , a ‘un
ongle de trois pouces six "Hit » Qui est
De et plat comme ceux des makis. Ce
‘caractère de doigt l'éloigne beaucoup du
genre de l’écureuil. a
: cs … . POUC, . A ds 1rihg.
Le premier doigt. IMÉCNE.. ess LL, 3 l'ongle 5 &
{
Le second doigt. 00 + © © à e « LE f I 417 l’ongle 6
Le troisième doigt........4...0t£:.2 Pongle 6
û
*
1TDE: L'AYE-AE." 1: 97
“A Eh. sh te MENT Éer PE lise d ligs.
Le netie et le premier FR À
Et LRU CE COTE LC MES ï | a longle 6
Ces onalés vas à courbes bi TE TI 9 Ron *
en gouttières "19 ht rits ANT) VPs sh Su
Les poils de la A AUTANT de lon- : :
BUEUT er osossonesdosossessse. 3 Ka »
| x £ \
Ces poils sont rudes SAIS crins
Tout le temps que M. Sonnerat a eu cet
animal vivant, il ne lui a jamais vu por-
ter la queue élevé ée comme les écureuils ;
il ne la portoit que traînante. |
De tous les animaux qui ont le pouce
applati, le tarsier est celui qui se rap-
proche le plus de l’aye-aye ; ils ont entre
eux ce caractère commun, et de plus ils
se ressemblent par la étre ) qui est
longue etcouverte de poils, par les oreilles f
droites, nues et transparentes , et par ce
poil laineux qui couvre immédiatement
la peau. Il y a aussi quelque rapport de
ressemblance dans les pieds; car le tarsier
a les doigts très-longs.
Cet aye-aye étoit femelle; elle avoit
deux mamelqns dans la partie inférieure
9
ÿ5 HISTOIRE NATURELLE,
du ventre : ces mamelons avoient cinq ,
lignes de hauteur +2 HR SEA ARE Ar au:
RTE pe P
* die Dee dé ME, fids ‘ 7 oyage
de AT. de Sonnerat aux Indes orientales ;tomelIl,
page 137. 11 a eu vivans le:môâle.et là fémélle, :. !
AT
d'A à à x rc
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Ce mo
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dé C8.+ 4 44 #1, Mi AM NI rh PL
y RS.
: ADDITION sr CORRECTIONS
DES CT CU UE fu d
PSC RTIOLE
AV RE HALANGER®.
EPS tv4 CS: u 4 4 +84 T4 d' NEA EUSS AR
No OUS étsne mal nes au nous
avons dit que les animaux auxquels nous
avons donnélenom de phalangers, appar-
tenoïient au nouveau continent: Un mar-
chand dont je lés ai ‘achetés , ; me les'avoit
donnés sous le nom de rats de Surinam;
mais probablement il avoit été HOMPE
lui-même. M. Pallas est le prémiér qui. ait
remarqué cette méprise , et nous sommes
maintenant assurés que le phalanger se
trouv e dans les Indes méridionales et
même dans les terres australes, comme à
la nouvelle Hollande. Nous savons aussi
qu’on n’en a jamais vu:dans les terres de
x Voyez _.. du phalangers tome VI ) PRES
83.
LH NPA EEE ‘44
‘ OUT à
% "a à: NRA
166 HISTOIRE FFE PA
| l'Amérique. M. Banks * IAE raison.
que Je me suis ie . Me d qu'il a trouvé
dans la nouvelle Hollande un animal qui
« M Bars parcourant nine >prit un
æ animal de la clâsse ‘des opossuin ; ; C'étoit une
« femelle, et il prit en outre deux petits : il trouva
« qu’ils ressembloient beaucoup au quadrupède
« décrit-par M. de Buffon sous le nom de phalan=
à ger; maïs ce n’est pas le: même. Cet auteur sup-
\
« pose que (celte. espèce est particulière & PAmés
< rique, mais il s’est sûrement tronipé.en ce point ;
«il est probable que le phalanger est indigène
« des Indes orientales, puisque ‘l’animal que prit
«M. Banks, avoit quelque analogie avec lui par
« la conformation extraordinaire de: ses pi ds, en
æ Quoi 1 il diffère de tous les autres grradrnpèdes. »
(77 oyage autour du monde , tome IV, page 56. )
Je crois que cette critique est juste, et que le pha-
langer appartient en effet aux “clifnats des Indes
otientales et méridionales ; mais quoiqu il ait quel:
que ressemblance avec les opossum ou Sarigues, je
mai pas dit qu’il fût du même genre ‘+ j'ai au con«
trairé assuré qu 11 différoit' de ‘tous les sarigues,
marmoses et cayopollins, par la conformation des
pieds qui me paroissoit unique dans cette ‘espèce.
Ainsi je ne me suis pas trompé en avançant que le
7 . R | |
DU PHALANGER" or
a tant de rapports avec le phalanger ,
qu’on! doit les regarder comme deux es-
pèces très- -voisines.
genre des opossum ou sarigues appartient au nou-
veau continent, et ne se trouve nulle pari dans. Pan-x
cien. Au reste, l'éditeur du Foyage de M. Cook
s’est certainement trompé lui-même en disant que
l'animal trouvé par M. Banks étoit de la classe des
opossum ou sarigues; Car le ge MU n'a Vues de
poche sous Le: FODREA 0 NR
Cri to qe ps
D U D AM MAN-ISRA BL.»
ant pre i "
Ê F Lu 9
LA EE
C: *Esr à M. le chevalier Biacé que nous L
devons l'exacte connoissance et la vraie
descri ription du daman, déja bien indiqué
par Prosper Alpin , 4 mal-à-propos rap
porté par le docteur Shaw à la grande ger-
boise. Voici ce que m'a écrit à ce sujet cet
_iliustre voyageur. «Le daman-israël n’est
« point une gerboise ; il est mal indiqué
«par notre docteur Shaw , qui dit que
À
«ses pattes de devant sont courtes en
« comparaison de celles de derrière, dans
« la même proportion que celles des ger-
« boises. Ce fait n’est point vrai. Voicila
« figure de cet animal, que j'ai dessiné
. «moi-même. Il est fort commun aux en-
«virons du mont Liban, et encore plus
« dans l'Arabie pétrée ; il se trouve aussi
« dans les montagnes de l'Arabie heu-
« reuse, et dans toutes les parties hautes
« de l’Abissinie. Il est de la forme et delà
« grandeur. d’un lapin ; les jambes de
_
19 À
PILOTE
Étas _11
ZLE DAMAN ISRAEL.
2LE DAMAN DU CAP.
x 4
HISTOIRE ‘NATURELLE. 103
« devantun peu plus courtes que celles de
« derrière, mais non pas plus que le la-
« pin. Un caractère très - distinct, c’est
« qu’il n’a point du tout de queué, su qu'il
« a trois doigts à chaque patte, à peu près
« comme ceux des singes, sans aucun
« ongle , et environnés d’une chair molle
« d’une formée ronde. Par ce caractère et
« par le manque de queue, il paroîtappro-
« cher du loris. Les oreilles sont petites et
«courtes, couvertes de poil en dedans
« comme en dehors, par où il diffère en-
« core du lapin; tout le dessous du corps
« est blanc, et le ded#ns à peu près de la
« couleur de nos lapins sauvages; il lui
« sort sur le dos et sur tout le dessus du
« corps et des cuisses , de longs poils isolés #
« d’un noir fort he Ces animaux
« vivent toujours dans les cavernes des
« rochers , et non pas dans la terre , puis-
« qu’ils n’ont point d'ongles ». Je donne
ici la figure de cet animal d’après le des-
sin de M. Bruce, et il paroît, par son
témoignage , que le docteur Shaw s’est
. trompé ; et ce qui le confirme encore, c'est
que ne voulant pas s’en tenir à ce que
Yos HISTOIRE NATURELLE
Prosper Alpin avoit dit du daman , que$æ
chair est excellente à manger’, etqu” ilest.
plus gros que notre lapin d'Europe , ilta-
retranché ce dernier fait du passage de
Prosper Alpin, qu’il cite au reste en entier:
Il faut donc rectifier ce que J'en ai dit
moi-même, et rendre à Prosper Alpin læ
justice d’avoir indiqué le premier le da-
man-israël , et de lui avoir donné ses véri-
tables br detre dite
Au reste, il ne barohe: pas Souteué que
ce damar, ou agneau d'Israël, ne soit le
saphan de l’Écriture sainte, M. le chevalier
Bruce dit qu’il l'a vu, non seulement
dans les différentes parties de l’Asie, mais
jusqu’en Abissinie ; mais il existe dans
les terres du cap de Bonne-Espérance une
autre espèce de daman que M. Sonneérat
nous a rapportée , et dont nous donnons
ici la figure. Ce daman du Cap-diffère du
daman-israël par plus de rondeur dans la
taille, et aussi parce qu’il n’a pas autant
de poils saillans ni aussi longs que ceux
du daman-israël ; il a de plus un grand
ongle courbe et creusé en gouttière au
doigt intérieur du pied de derrière; ce qui
DU DAMAN. ÉSRA EEE 105
ne se trouve pas ‘dansJes pieds du dnan-
_israël. Ces caractères nous paroïsent suf-
fisañs pour faire üne espèce distinoté de
ce daman du Cap, ‘et le séparer; comme
nous le faisonsici , de celle du däinan de
Syrie ,‘avec lequel néanmoins ila Fa plus 1
grande ressemblance par la grandeur etla
conformation, par le nombre des doigts
et par le manque de queue. » °° :
Au reste, nous deyons ajouter ici qu'à
l'inspection seule de ce daman du Cap,
nous l'avons reconnu pourile même ani-
mal que celui. dont nous avons donné la
hgure, tome XI, page 68, sous le nom
de marmotte du Cap; en liver aantt ‘en
même temps que je n’adoptoïs cette déno-
mination que provisionnellément, et en
attendant que je fusse mieux informé de
la nature et du vrai nom dé cet animal;
et comme la figure que j'en ai donnée et
que jeviens de citer, a été faite sur un
assez mauvais dessin , on doit consulter
de préférence celle que je donne ici. Ainsi
il faut rapporter à ce daman du Cap ce
que nous avons dit de cette prétendue.
marmotte, et encore tout ce que sous
el F F TUE, ANNE, 2 “IL PP à
es * REA EU A AT ANT
206. HISTOIRE NATURELLE Es
- _donneM Allamandi, d' ‘aprèsM.Klockmers 4
sur ce. même animal, encre "4
tion. de klipdaasou blaireau. dés rochers?
observant. ques par la;se ul ronfe matio
de,ses. pieds, il iline. doit pasétreamis dans
le genxe.des blaireaux ; -etiqhe:c'est mal
à-propos: qu'on-lui en a appliqué: le nom:
: KO EA RES ER. ré ce SOA nt re
«. MM.Pallas. et FR is se das que cet
< animal se.creuse des-trous-en terre,
« comménotre-marmotte: ou notre blai-
«reau., et cela. disent-ils ;parce:que ses
« pieds. sont propres à ,cette «opération =
«.Inais,,,à €N juger par € es‘mêmes pieds ;
« On, seroit porté à croire qu'il ne:s’en sert
« jamais pour un pareil usage; car ils ne:
« paroissent point propres à:creusér : ils
« sont oouverts en dessous d'une peaü fort:
« douce, et les doigts somt;armés d’ongles
« courts ” plats, qui ne‘s’étendent'point:
«au-delà. de la peau, celkæ n'indique guère
« un animal. qui gratte laterré pour s’y
« former une retraite. M HaUSS Meg ‘à la
Y
Pret HP C7
. Tone ÀT > Pagc nés root 49 ONE
D'UDIMANCÉSRANT ‘r
de vtEs;! que les ongles sont trèsicourts,
&- oéplutôt quil n’en à point Épour qu’en
rééreüsant ils ne :s’uüusent: pbs contre les
xrochers, rauinilien desquéléices animaux
x'‘habitent. Cette. raison stingéfieuse-
«ment trouvée; mais ne/séfoit-on pas
« autorisé at assis diré }"e t-peutsttré é'avet
& 'plië’:des fondeinent ; que la à Näture me.
« leur’ 4 donné ‘des ctiglée si côhrts que
« parce qu ie n'ont pas bésbin: dé s'en sér-
«vit pour :creusér ? At “hbins ést-il sûr
« que télni qui est Ainstekdan iñe les
«émploie pas à vela jamais ‘on'he le: voit |
& gratter où creuéer 1 terre. AA tou »
& M. Vosimaët dit! que ces animaux sont
Ca lents’ dans !1étt$ ‘inouvemens! Cela est
«Vrai, ‘sans ‘butée , dé celui: ‘qu Pa vu |
« mais M: Palläs: fon apprend :qu’il étoit
« mort pour avoir trop mañgé. Ainsi ne
« pourroit-On pas supposer que La graisse
« dont'il'étoit surchargé le rendoit lourd
« et pesant? Au moins ceux que M. Klock-
« ner a observés ne sont point tels! au
« contraire, ils sont très-prestés dans leurs
« mouvemens ; ils sautent avec'beaucoup
« d’agilité de haut en bas, et tombent
# ‘4 \E TS %
SAS AT LAS
RATE 7e
on HISTOIRE NAPURELGE
.« tonjours, SU: Jeurs. quatre pattes, Ils
& aiment. à être: sur des ;endroits!4
« Leurs jambes. de derrière: sont.plus lon- |
«< gues. que. célles . de devant;:ce: qui. ait
« que: leur. démarche ressemble plus à célle
« du. cochon: d'Inde que de toutautreani-
« mal ; mais. is,ont celle du cochon quand
«ils, ‘courent. Is pe, dormient: point, pen
« dant, le ; jour; quand:la puit arrive, ils
«se retirent dans leur nid:,.où ils se four-
«rent au milieu du foin ,. dent-ils,se cour
« vrent,:
ut, le corps. On, dit:qu'au Cap
«1ls. ont leur mid. dans. es Fanteso des, ‘Ko-
« de Émile épines, dites servent aussi
« de nourriture, de même que les autres
_« feuilles qui sont peu charnues;.au moins
« celui qui est à Amsterdam paroît les, -pré-
« férer: aux racines et au pain. qu'on.lui
« donne.’ Il ne mange pas volontiers des
«noix ni des amandes. Quand.il mâche ,
«sa mâchoire inférieure se meut comme
« celle des animaux qui ruminent ,. quoi-
« qu’il n’appartienne point à cette classe.
« Si l’on peut juger de toute l'espèce par
«lui, ces animaux ne parviennent pas
1
DU DAMAN-ISRAEX. 109
_« aussi vîte à toute leur grandeur que lés
« cochons d'Inde. Quand il a été pris, il
«étoit de la grosseur d’un rat, et étoit.
« vraisemblablement âgé de cinq ou six
« semaines ; depuis onze mois qu'il est
« dans ce pays, il n’a pas encore la taille
« d’un lapin sauvage, quoique ces ani-
«maux parviennent à celle de nos lapins
« domestiques. |
« Les Hottentots estiment LAS une
« sorte de remède que les Hollandois nom-
« ment pissaf de blaireau; © "esifune subs-
« tance noirâtre, sèche et d’assez mau-
« Vaise odeur, qu’on trouve dans les fentes
« des as et dans des cavernes : on
« prétend que c’est à l’urine de ces bêtes
« qu’elle doit son origine. Ces animaux,
« dit-on, ont la coutuine de pisser tou-
«jours dans le même endroit, et leur
« urine, dépose cette substance, qui, sé-
« chée avec le temps, prend de la consis-
« tance. Cela est assez vraisemblable ; ce-
«lui qui est à Amsterdam lâche presque
« toujours son urine daus le même coin
« de la loge où il est renfermé. |
« Sa tête est petite à proportion de son
Quadrupèdes. XIV: 10
æx0 HISTOIRE NATURELLE
corps ; ses yeux n ont guère que la |
_« moitié de la grandeur de ceux du lapin;
« sa mâchoire inférieure est un peu plus
«courte que celle de dessus ; ses oreilles
_« sont rondes et peu élevées ;' elles sont
« bordées de poils très-fins, mais qui de-
A.
« vienuent plus longs à mesure qu’ils ap-
_« prochent de ceux de la tête ; son cou
« est plus haut que large, et il en est de
«même de tout le corps ; ses pieds de
« devant sont sans poils en dessous, et
« partagés en lobes ; en dessus, ils sont
« couverts de poils jusqu’à la racine des
« ongles. M. Vosmaër dit que ses pieds sont
«nuds : cela ne doit s’entendre que de la
« partie inférieure. Quand il court, les
« jambes de derrière ne paroissent guère
« plus longues que celles de devant. Leurs
« pieds n’ont que trois doigts, dont deux
«sont toujours appliqués contre terre
« quand ils marchent : mais le troisième,
« ou l’intérieur , est plus court et séparé
« des deux autres; quelque mouvement
« que l'animal fasse, il le tient toujours
« élevé. Ce doigt est armé d’un ongle dont
« la construction est singulière. M. Vos-
\
\
DUDAMAN-ISRAEIX #1r
« maër se contente de dire qu'il.a un
« ongle courbe *. M. Pallas n’en dit pas
« davantage, et la figure qu'il en a don-
« née ne le fait pas mieux connoître. Cet
« ongle forme unegouttière dont les bords
« sont fort minces ; ils se rapprochent à
« leur origime;'et s’éloignent en avançant
« au-devant ; puisils serecourbent en des-
« sous , et ils se réunissent ense terminant
«enune petite pointe, qui s'étend dans la
«cavité de la gouttière, presque jusqu’à
«< son imilieu. Ces ongles sont situés de
«facon que la cavité de celui du. pied
« droit est en partie tournée vers celle du
«pied gauche, et en partie vers en bas:
« placés au bout du doigt que l’animal
« tient toujours élevé, ils ne touchent ja-
< mais le sol sur lequel ils marchent.Ilne
« paroît pas vraisemblable qu’ils servent à
« jeter en arrière la terre , comme M. Pal-
_ «las l’a soupconné ; ils sont trop tendres
* Celui qui a traduit ce passage, pour M. de
Buffon, s’est trompé en disant que éest le doigt du
milieu qui a cet ongle ; il auroit dû dire le doigt in-
técieur, comme il y a dans le texte ho!landois.
\
‘rr2 HISTOIRE NATURELLE
« pour cela. M. Klockner a mieux vu quel
« étoit leur usage. L’animal s’en sert pour
«se gratter le corps et se délivrer des
«insectes ou des ordures qui se trou-
< vent sur lui; ses autres ongles, vu leur
« figure, lui seroient inutiles pour cela :
« le Créateur n’a pas voulu-qu’aucun des
«animaux qu'il a formés, manquât de
«ce qui leur étoit nécessaire pour se déli-
« vrer de tout ce qui At les incom-
«ms der.
« On voit sur le corps de notre ESS
« quelques poils noirs parsemés, un'peu
« plus longs que les autres. C’est une sin-
« gularité qui mérite d'être remarquée:
« cependant Je n’en voudrois pas conclure,
«avec M. Pailas, que ces poils peuvent
« êtré comparés aux épines du porc-épic ;
< ils ne leur ressemblent en rien.
« La longueur du corps de cet animal
& 106 MKlockner a observé à Amster-
« dam , est, depuis le museau jusqu’à l’a-
« nus; ‘de ouze pouces trois quarts. Celui
« que j'ai placé au cabinet de nôtre äca- .
« démie, n’a que dix pouces; mais celui
« qui a été décrit par M. Pallas, étoit long
DU DAMAN-ISRAEÏI: 113
« d’un pied trois pouces trois (ue. et
« la longueur de sa tête égaloit trois pouces
. < quatre lignes ; celle de l'individu d’Ams-
« terdam n'étoit axe de trois pouces et
« demi.
« Les femelles de ces animaux n’ont
« que quatre mamelles , deux de us À 4
« côté ; et si elles font plusieurs petits à
« la fois, comme il est très-vraisemblable,
« c’est une nouvelle confirmation de ce
4 « qu'a dit M. de Buffon *, savoir, que le
« nombre des mamelles n’est point rela-
«tif, dans chaque espèce d'animal, au
«nombre des petits que la femelle doit
« produire et allaiter. »
+ Voyez le tome V dé l'édition de Hollande,
page 47. |
/
Fin du tome quatorzième et dernier.
19
Des articles contenus dans ce volume.
je A DI TION à Particle de lhyène, page de
Addition à l’article du chat, 8. | |
Chat sauvage de la nouvelle Espagne, 13.
Addition à l’arucle du lyux, el à celui du caracal,.
ue Gé ÿ EU À |
“Addition aux articles du jaguar, du couguar , et à
l’article du margay, 24.
Jaguar, ou léopard, :b1d.
Jaguar de la nouvelle Espagne, 29.
Jaguar de la Guiane;, 26.
Du couguar, 37.
Couguar de-Pensilvanie, 014.
Couguar noir, 33.
Du margay, 30.
Addition à Particle du tigre, 42.
Du bizaam, 44.
Addition à l’article du putois, 47:
Le putois rayé de l'Inde, 16id
æ
| TABLE. au
SR Ed pabiat 60.
Addition à l’: article du lièvre ; de l’écureuil, avec un
| animal anony me ; un autre auquel nous avons
donné la AUS M dé rat dé! Madagas-
car ; enfiu un autre que nous appelons 7a-
£uan, ou grand écureuil volant, 53
Du lièvre, 2852. | L Hu :0 16 1
De Pécurenil. 55. 1
Animal anonyme, 58
Du rat de Madagascar, 60.
Du taguan ou grand écureuil volant, 61.
Du grand écureuil de la côte de Malabar : Te
L’écureuil de Madagascar, 78.
Addiüon à l’article du palniste, 80.
Le petit-gris de Sibérie , 81.
- Les guerlinguets, 84. si
Addition à l’article du taguan, 89.
De l’aye-aye, 92.
Additionet corrections à l'article du philanger, 90:
Du daman-israël, 102.
LA
+
(en FC
uit 5 ty
DES MATIÈRES
AN dot le, Nu ace de
l'Histoire naturelle des quadrupèdes.
4
Mc Les chiffres romains M eueRe le tome, et les
chiffres arabe es ARMEENE la page.
- A CCOUPLEMENT.
Adive. Figure de l’adive
‘ou petit chacal, XTIT,
d'animaux d'espèces
différentes ,.
À Ch - 4
nashomien résulté,
tome VIII, pag. GE.
et suivantes.
A couchi, ses différences
avec l’agoutt, VIT,
337 ; XI, 2or et suiv.
Adimain , grande brebis
d'Afrique, V, 80.
Adive, n'est peut-être
que le petit chacal,
à ‘ ï LE EC E À
sè LE
: Ë À
{ + V4 : ra WIN PR
r ‘
dont‘ ‘il :!
:— chacal
VI, 154.
2574
description
duchacaladive, XITI,
257.
Afrique. On ne connoît
dans l’Afrique mMéÉrI=
dionale aucun animal
qui perde ses COrnes.
X , 243 «
Agneau, Ï, 202 et suiv.
TABLE.
À gouti, IT , 78 etsuiv.;
XI, 207 et suiv.
Abu,
animal que le tzeïran,
V, 228
Ai, XI, 175 et suiv.
c'est le même
Aigretle, ou mataque
cornu, VII, 132 et
suiv.
Alce et machlis, dans
Pline, ne désignent que
le même animal, et
cet animal est l’élan,
V, 146 et suiv.
ÂAlco, animal domesti-
que au Pérou et au
Mexique avant Parri-
vée des Européens,
VIL, 329.
Allantoide, [, 250 et
253.
. Allocamelus ,
lama qui fut amené
est un
vivant en Hollande en
1558, VI, 46.
Alouate , grande espèce
desapajou, VII, 260;
117
XII, 125. Voyez
Ouarine. |
Alpaca ou paco (l) n’est
pas le même animal
que la vigogne , VITE,
210.
Amble, allure que quel-
ques chevaux ont na- .
turellement , et que:
l’on donne à d’autres,
59:
Amérique. Le plus gros
animal de ce nouveau
continentn’estpas plus
grand qu’un petit mu-
let, LIT, 156. |
Amphibie. Les seuls ani-
maux amphibies, dans
toute la rigueur de
l’acception du terme, :
sont les phoques, les
morses et les laman-
tins, VI, 208.
Âue, I, 115 et suiv.
— et ânesse, VII, 212
et su1v.
— rayé, estlemêmeani-
]
4
A
118
. mal que le 2e a de
ET),
‘lAne et zèbre ; NAT
02 et suiv.
Anes, I, 142; V, 117.
— sauvages , sont diffé-
rens des zthres , E,
| 144
Anesse, I, 138.
Animal, En quoi consiste
la perfection dans la-
nimal, Ï, 276.
_— anonyme, XIV, 58.
Animaux. L’empire de
l’homme sur les ani-
maux est uh empire
légitime qu'aucune ré-
volution ne peut dé-
truire, I, 2.
— rues S'ILS
105 et suiv.
— domestiques et sau-
IL, 7o.
— des deux continens,
III, 98 et suiv.
— propres aux deux con-
nens, Il, 195.
vages,
TABLE
Animaux propres “nc
ticuliers du nouveau
monde , VII, 252.
Animaux du Nord, X,
O1 et suiv.
ÂAnta, ou ant; cest le
même animal que le
tapir, V, 108.
Antilope, V, 222.
— (gazelle), X, 164.
Apar, espèce de tatou,
IV, 114
ÆApe, est le nom que les
Anglois ont donné au
singe sans queue, VII,
87. . (
Apéréa (1) pourroit
bieu être le même
animal que le cori,
VII, 340 et suiv.
Argali (1) de Sibérie
est le même animal
que le mouflon; V, 98.
Âttarsoak, »oy. Phoque
à croissant,
Aurochsouwrus , V,283
VILLE, 149.
DES MATIÈRES 19
Axis, V, 100 et sui- Axis ou daim, X, 37.
vantes, _ Aye-aye, XIV, 92.
B
BABIROUSSA, V, sainte, est le même
299; XIII, Zog. animal que l’hippopo-
Baboun, VII, 9. ttameV, 120.7
— des bois, XII, 60. Belette, 11,240; XI, 40.
— à longues jambes, — et hermine, II, 240.
XII, 62. Belier, [, 207.
— à museau de chien, — d'Islande , X, 123.
XIT, 70. 0 — morvant, X, 1x5.
— à face bleuâtre, XII, — de Tunis, X, 113,
67. en note. |
— cendré, XII, 61. — et brehisde Valache,
— gris, 1b1d, mo. X, 112
— jaune, zbid, 60. Beliers sauvages, X, 123.
Barbaresque, écureuilde Berhé de Guinée, estle
Barbarie, IV, 79et même que la fossane,
, suivantes. VE, a2r.
Bardeau ; VIII, 5 et Bétail. Raison primitive
suiv,, D3 et suiv. de ce que notre bétail
Baurdmannetjes, espèce est si chétif et s1 diffé-
de guenon, voyez Ta- rent de ce qu’il étoit
lapoin, VII, 164. dans l’état de nature,
Rehemoth de l’Écriture V, 30.
Y20.
Bézoard oriental, V,
234. Discussion bisto-
rique sur le bézoard,
par M. Allamand :
D'OR HE
Bézoards orientaux, V,
247. À
dus occidentaux V, 248.
Biches (les), IL, 27.
— de Cayenne, X, 112
et SUV,
Bison, IIL, 129; VIII,
135.
— ou bœuf à bosse des
Indes orientales , V,
5o.
— ou bœuf à bosse, ne
fait pas une espèce
particulière, V, 53.
— ou bœuf à bosse ;
avantage de cette race
- de bœuf sur la race
ordinaire, V, 57.
— blanc, VIII, 153.
Bisons (les) se sont
4 LOIR A MANS, ue à A à SEAT ;
; | VAR CUS MAENEUTE
AE: :
RU \
Bête à la grande dent, |
voy. Morse, V1, 208.
di
L trouvés naturels dans
l'Amérique septen-
trionale , V, 63.
Bizaam, XIV, 44.
Blareau, IE, 205.
— de l'Amérique sep-
tentrionale , XIII,
RE
— des rochers , »0yez
Marmotte du cap de
Bonne-Espérance.
Blanc-nez, XII, 06.
Bobak, VI, 06.
Bœuf (le), I, 150;
VLIT, #39.
— MUsqUé , poY: Bison...
— gris du Mogol, voyez
Nil-oaut.
Bœufs et vaches d'Tslan-
de, sont dépourvus de
cornes, V, 54.
— de Sicile, VIIT, 157,
Boire. Manière diffé-
rente de boire dans les
différens ,
EF; rio
Bonasus d’Aristote, est
animaux
DES MATIÈRES.
le même animal que
le bison, V, 26.
Bounet-chinois, espèce
de guenon, »0y. Mal-
brouck.
Bosbok, X, 224.
— de Juda, V, 20r;
X, 126. |
— à longs sabots, X,
129.
Bouquetin, V, 181.
Brehbis, [, 106.
— d'Islande. à plusieurs
cornes, V, 77.
— des pays chauds, V,
78.
— de Bätbarie et d'A-
rabie, V, 76.
— domestiques de Pîle
de Candie, V, 79.
Cagrar, LIT, 1575 V,
304; VII, 241: XIV,
5Q/:
C
Brebis à large queue, V,
79- £
— (grandes) des pays
méridionaux, V, 80;
VIT, 279. :
— et chèvres, une seule
Bouc, I, 226; VII, 8.
famille, VIT ,.220.
NX, 290:
— de Moldavie, X,13r.
— dé bois de Moldavie,
DL EPA
— de Tartarie, X, 137.
— du cap de Bonne-
Espérance, X, 133.
DE
(to
— de Flandre, X ,130- . si
— de l’île de France,
Bubale, V, 249: X,
269 et sui.
Bubalus, V, 26.
Buflle, LIT, 148 et suiv.>
Vi34; VI.
Cachicame, IV, 122.
Callthuix, VIT, 155.
Callitriche, VII, 155.
s1
222
\Callosités sur la poitrine
. des chameaux, des la-\
mas, et sur les fesses
dés babouins et des
guenons ; leur origine,
. et comment elles sont
produites, VIT, 169.
Campagnol, IT, 275 et
sulv.
Canna, X , 238.
Capricorne, V, 192.
. Caracal ; IN | 206:;
XIV, 55.
ee de Bengale XIV: 22.
est le même animal
que le glouton, VI,
170. ;
— d'Amérique, XIIT,
169. |
Cariacou, V, 273.
Caribou, V, 145 ; X, 50.
Carigueibeju du Bresil,
est le même animal
que- la saricovienne,
VI, 198.
TABLE
Castor, LIT , 36; ; XI 65: À
Caria Capensis de M
Pallas, > v0yez Mar-
motte du cap de Bonne.
Espérance.
Cayopollin , : IV, 2775
XI, 141.
Cerf, 1, 282; IT, 12e
— (one X, 35.
— du Gange, »oy. Axis.
— noir, X, 33.
Cerfs blancs , V, 276.
— des Ardennes, V, 105.
Chacal et adive, LIT,
— de Nubie, XIV, 20.
Carcajou ou kincajou ,
1423 VI, 154.
— XIIT, 256.
— (petit), voy. Adive.
— etisalis, VI, 164.
Chameau , TITI, 122:
V, 1; IX, 3oet suive
— et dromadaire ; IT,
Lare No,
Chameck, estun säpajou
ou coalta de la Guiane,
VII, 273.
Ciioie V, 181;
150,
X,
DES MATIÈRES.
Chat, F; 333 et suiv. ;
RSS HE
— cervier (le) du Ca-
nada, estle même que
notre lyÿnx, [IT, 250.
— de Madagascar, XIV,
12. À
— musqué, XI, 12.
— sauvage de la nouvelle
Espagne, XIV, 13.
— de la Caroline, XIV,
40. “
— tigré de Cayenne
voyez Margay.
— volant, »oy. Taguan,
Chauve-souris, IT, 298;
VI, 136; XIII, 167.
— grande sérotine de la
Guiane, XIII, 175.
— (grande) fer-de-lance
de la Guïane, XIIT,
178, 180.
— fer-de-lance, XIIT,
167
— céphalote, XITT, 167.
— musaraione ; XIII,
173
123
Cheval , 1,6; IIT ,03;
VII , 216,218; VII,
87. 7
—et âne, VII, 217,1
210. 4 |
Chèvre mambrine, V,
190. M
— naine, V, 196.
— de Grimm , voyez
Grimme.
— de Madagascar, X,
A2 |
— bleue du cap de Bon-
ne - Éspérance , Xi
227
— saulante du cap de
Bonne-Espérance, X,
oz, 0e
Chèvres, I, 231; IIT,
193; VIL, 1),
125 et suive :
— d'Angora, [, 240.
Chevreuil, 11,70; X, 39.
— des Indes, X, 226.
— blanc, X, 39.
Chevreuils roux et bruns,
IT, 66.
124
Chevrotain, IIT, 148;
:V, 266; X, 2ro et
Suiv.
— des [Indes orientales,
V, 260.
— du Sénégal, V, 270.
— des grandes Indes,
V 270.
— memina, X, 221.
Chien, [,296; IT, 174;
VII, 185; XIII, 5
et suiv. |
— crabier, voy. Crabier.
— de Groenland, XIT,
TI.
— deKamtschatka, KL
A2i0u
Chiens sauvages, I, 264.
— des climats tempérés,
I, 206.
— sans queue, ut 106,
227 et suive
— sauvages du cap de
_* Bonne - Espérance ,
XII, x |
— de Sibérie, XII, 7.
— siuguliers, XII, x3.
TABLE
Chiens des boïs de C sta
ne, XIII, 19.
er loups, XIIT, ED,
— métis, XIIL, 105 et
suiv.
— provenant d’une lotnib
et d’un braque, XIIT,
39; du mâle Fée FA
génération , 2014. 445
de la femelle première
génération, 101d. 53;
du mâle seconde géné-
ration , 4bëd. 59; de
la femelle seconde gé-
nération ,; cbid, 64;
de la femelle troisième
génération , 2044. 62;
du méle quatrième gé-
nération , z61d, 101;
dela femellequatrième
génération , £6id. 103.
Chéchue > EE D
Chinche , VI, 176.
Choras, XII, 65.
Chulon ou Chelason ,
voyez Lynx ou Loup
cervier, XIV, 19e
DES MATIÈRES.
Cirquinçon, IV, 127.
Citli (le) de Fernandès,
paroît être le même
animal que le tapeti de
Madagascar , VII,
343. CARE
Sete: TE 288:
D. Ù
— volante, : »oy. Taguan.
Coaita, VIE ,268; XII,
à 13 ONE
Coase, VI, 177.
Coati, III, 69 et 73.
— mondi, III, 73.
xT,
— XI, 199, voyez Ra- …
ton. :
Cochon, I ,242; VIIT,
Prb2: "XIII, 209.
— d'Inde, II, 278 ; IIT,
165.
— de Siam, XIIT, 247.
— de Guinée, VI, 323.
— de terre, XI, 184.
Coendou, VI, 14; XT,
216.
— à longue queue, XI,
219.
125
Coescoes des Indes orieu-.
lalesiuXT 742, 008 :
Colus, est le même ani-
mal que le saïga, Ve
NOT.
Condoma, V, 256 ; X,
AE Ç
Conepate, VI, 0:
Coqualin , VI, 85.
- , , F
-Cor1i, voyez Apéréa.
Corine, V, 213.
Cornac, est le nom qu'on
_ donne âux Indes au
_ conducteur de lélé-
: phant, IV, 247.
Cornes des animaux, V,
33 et suiv. L
Cossac, voyez Isatis.
Couagga, roy. Kwagga:
Coudous , V, 282.
Couguar , IE, 252;
XIV, 3r. |
— femelle, XIV, 3r.
— dePensilvanie, XEV,
BTe
— noir, XIV, 33.
Crabier, XI, 190.
11
é | 16%) : 1 MA BU E.
… Cujuacu- apara rt Bresi}, C4 F7
‘me paroît être qu'une coesi" + ? 91
|
ï
variété de notre che- Gyatcéqh ill vit ; 06. LS
vreuil d'Europe, IT, TA oyez Pithéque. 20
88 LE — (le petit), XI, HO
Cuscus ou Cusos des In- Czigithai, SUN 3 190 ; Fi
| . des orientales, XI, VIII, 95, 90.
D
Darm (le), IT, 61; Daman du Cap, XIV,-
VIT, sb55 X, 28. 10e
— Voyez Axis. : Dant, ou Lant de Nu-
— chinois, X, 36. midie, V, 75. à
— de Groenland, X , 49. Desman, [Ii, 302.
Dame,11,68. Douc ; VII, 165; XIT,
Dama, »oyez Nanguer. 123.
Darman Israël, cu A- Dromadaire, . 1; IX,
gneau d'Israël , VI, un |
108 ; XIV, ro2. Dugon, VI, 253.
pi
ÉCUREUIL (CT LE, Écureuil : (grand) de
2485 1V,76; XIV, 55. la côte de Malabar,
— noir de la Martüini- XIV, 79. |
que; XIV, 55. — volant, »oy. Taguan.
DES MATIÈRES.
Écureuil de Madagascar,
XIV, 78.
Égagropiles, pelotes de
poil qui se forment
dans l’estomac de plu-
. sieurs animaux, leur
origine et leur ‘for-
mation, T, a ; de
246%.
Élau, V, 1455 X;, 59
et suiv.
— Voyez Orignal. : -
_ ÆElaphocamelus décrit
par Matthiole, est le
même animal que le
lama, VI, 46.
Élépbant , IV, 180;
VIE, 199:. LX;,r 22.
FISsIPÈDES. Énu-
méralon des animaux
fissipedes, VII, 26.
Foœtus de guenon, XIT,
+ L24 $
Fossane, VI, x10.
‘x27
Éléphans sauvages , IV,
249.
— de mer, »0y. Mae
Encoubert, IV, 118.
Foyez Tatous.
Engourdissement.Vraies
causes de l’engourdis-
sement de la mar-
motte, du loir, ei
qu'on dit communé-
ment dormir pendant
l'hiver, TIT, 13.
Étalon. Comment il fut
nourrir et soigner le
cheval étalon, I, 57.
-Exquima , espèce très-
voisine de celle du
coaïta, VII, 268.
F
Foume, IT, 219. .
— de la Guiane, XI,
14
— de Madagascar, XT,
17.
— et marte, sont deux
L 128
espèces différentes ,
IL, 210.
Fourmilier, IV, 88 ;
t
L
GALERA, »oy. Tayra.
209 ; X, 147.
— pasan, À, 191.
— par M. Allamaud,
X, 154
— antilope, X, 164.
— tzéiran, X, 177.
cap de Bonne - Espé-
rance, X, 192.
— à bourse sur le dos,
X, 200.
— kevel, X, 223.
Genette , I11, 142 et
"#09.
— femelle, XT, 7e
— du cap de Bonne-
Espérance, XI, r2.
Gerbo ou gerboise, VI,
X00.
TAB DE
VE, 2495 XI, ag $
et suiv.: 0, 1
ns: II, 233; ; IT, 149° 4
LE Ro à
‘à di :
Î ' hs %
Gale vi, 100 ; ag,
Gazelle, IIL, 147; V,
_ — (grande) , ou libvre
‘2ÔE;:
| sauteur, X., 262.
— commune, X, 207.
— du désert de Barca,
VX, 287
Gibbon, IIT, 162 ; VIT,
— ou chèvre sautante du :
x05.. |
Girafe, TITI, 122; VII,
26 et suiv.; VIII,
240.
— jeune, par M. Ala-
maud, VIIL, 241.
— (cornes de), VIII,
240. F
Glouton , VI, 170:
XIII, 183.
Gnou, ou niou, VII,
115.
Grimme, ou chèvre de
DES MATIÈRES.
Grimm, V, 263; X,
101.
Grison, XI, 48
Guachi, pourroit bien
être le même animal
que la saricovienne, :
NE 100 l
Guenon, ou singe à lou-
gne queue, VIT, 152.
Guenon, NE SERGE
suive -
— à long nez, XIT, 70.
— à museau alongé,
XII, 90.
HA1ïRA, c’est un ani-
mal de la Guiane qui
ressemble beaucoup au
chat sauvage, XIV,
Her
Hamster, VI, 87; XI,
87:
Haras. Manière d'établir
un haras, [, 55.
Harpies. Les anciens ont
129
Guenon couronnée, XII,
OT. |
— À camail, XII, 06.
— à nez blanc proémi-
went, XIL, xos.
— àface ÉCPES XI,
116.
— à crinière, XII y LIGe
— nègre, XII, 121.
Guépard, VI, 150.
Guerlinguets, XIV, 64.
Guevei, nom du chevro-
tainau Sénégal, V ,270.
Guib, V, 260.
H
He |
d’après le modèle de
la roussetie, IV, 62.
Hérisson , II ,282; XE,
285%.
Hermine , IL, 245 ; XI,
40, |
— apprivoisée , XI, 42,
Hippomanès. Ce que
c'est que lhippoina-
(Le
dessiné les
x30 i) T AB L E” #
4 nès des jumens, Ï , 59. Bippoporanejeune EE, À
Î Ce que c’est que l’hip- 48.
pomanès du poulain, Hypnes is 141, 271;
T, 74. XIV, 5.
Hippopotame, III, 121; — de l’île de Méroé, .
V,120;1X,48 NX XIV, @
I-J
Jacuar (le), III, Sibérie, VI, 98.
124, 246; XIV, 24. Jocko, VII,68% 7o et
— dela Guiane, XIV, suiv.
126: — Le singe décrit sous
— de la nouvelle Espa- ce-nom, tom. VIT,
gne, XIV, 25. ® étoit uu Jeune pongo,
Jaguarète , animal de XII, 6
proie du nouveaucon- fsatis, VI, 164; XIIT,
tinent ; ses différences 260. :
avec Le jaguar, III, Jurmuris, VIT, 216.
249e | — ‘loutce qu'on raconte
— Foyez Couguar noir. à ce.sujet paroît fort
On l'appelle à Cayen- suspect, VIIL, 9,
ne tigre noir, XI V, 33. nôte, 60 et saiv.
Jevraschka, est une es- Jument, voyez Cheval,
pèce de marmotte de A, &.
DES MATIÈRES.
Pr A:
KaBassou, IV,
. Kevel, V, 212.
Kincajou , yes Car-
cajou.
Klipdas, voyez Mar-
motte du cap de Bon-
125.
ne-Espérance,
Klppspringer, ou sau-
teur des rochers, X,
204
Kob, V, 217; X, 270.
Koba, V,217; X, 270.
LA1E, voyez Cochon.
Lama, IIL, 151; VI,
41: VU, 242; VIII,
201I.
Lamantin, VI, 208 et — du Sénégal ,
257; IX, 226.
me (grand) de Kam-
ischatka, IX, 237.
— des Antilles, IX, 246.
K i
Koulan, VIII, 102.
Koupara, ou chien crabe
kde: la nn à VII,
AESES
Kouri, ou le petitunau,
XI, 180.
Kwagga, ou Kouagga,
. VIII, 108.
Kumrech, nom que l’on
donne en Barbarie aux
mulets où jJumarts,
VV) NVREL "O0
L
Lamantin de la mer des
Indes, IX, 25e"
— (petit) d'Amérique,
EX, 257. |
IX
294.
Lapins, IT, TIZetsuir. ;
IIT, I40.
Lard daus diférgntes
193€
 j
re d'animaux, I,
255,
Janimal indiqué par
Belon sous le nom de
loup marin, VI, 207
et suiv,
M VI, 194.
* Léopard, IIT, 225.
Lérot, Il, 318 et suiv.
— à queue dorée, XI,
115.
Lidmée, grande espèce
d’antilope, V, 224.
Lièvre, IT, 89 et suiv. ;
VIL, 1973 XIV, 55.
— sauteur, »oy. grande
Gerloise, X, 287.
Lion, III, 65.
— marin, v0y. Phoque,
VI, 228 et suiv. ; IX,
202.
Lionne, voyez Lion.
Loir, II, 506.
Loriss NI; 153%
— de Bengale, XIT, 180.
TABLE.
Tue , n, 172 et suiv.; I
| 111. ONRES |... ANSE
4 ZLatax (le) d’Aristote, :
est vraisemblablement
— cervier, chat ( cervier »
voyez Lynx, III, 255.
— doré , est. le même
animal sé le don |
VI, 156.
— du Mexique, VIT,
326.
— noïr du Canada, est
de la même espèce
que le loup d'Europe,
IT, 100.
— tigre, est le même
animal que le Epres
VI, i5r.
| Loups-garoux. » II, 104.
Loutre, II, 213; IX,
06.
— de Amérique septen="
trionale > ÎL, A
20T.
— d Égypte, VI, 204. :
— de Cayeune ; IX, 100.
— (petite) d’eau douce
de Cayenne, IX, 100.
— marine, voyez Sari= |
Lé
!
7
_Æ
covienne.
Louve, voyez Loup.
Lowando, »oyez Ouan-
derou, VII ? 124 ;
DES MATIÈRES.
: r. KAS TA
XII 274
Lynx, II, 255; ÿ 414 2
15.
— du BR XIV, 19.
M
MaACAQUE, VII Me ds
— à queue courte, XIT,
63. aa
— etaigrette, VII, 132.
Magot, VII, 13 et rro.
Maimon, VII, 129.
Maïpouri, voyez Tapir.
Maki gris (le petit),
XII, 273.
Maki (autre espèce de},
XIT, 177.
Makis, I1I, 150; VI,
« 124; XII, 160.
Malbrouk, VIT, 140.
Mammouth, n’est: plus
qu’un animal fabu-
leux ; les énormes os-
semeus qu’on Jui at-
tribuoit appartiennent
réellement à l'élé-
phant, IV, 259 et suiv:
Manati, »oyez Laman ..
ün, VI, 257.
Mandrill, VIE,
180
NFE, 20. |
. Mangabey, VII, 148.
Mangouste, VI, 110;
XI, 56.
ban. VOYEZ Le À
ITT, 60.
Mapurita, est le mème
animal que le zorille,
VI, 183.
Maraputi, est le même
animal que le serval ,
VI, z130. |
Marcassins , 1 7 et
suiv,
Margay, VI, 140; XV,
en: |
19
234
Marikina, VII, 294.
Marmose, IV, 174; XI,
137.
Marmotie, III ,6; XI,
165.
— bâtarde Fr A î
XP) 66.
— du Canada, XI, 65.
— du cap de Bonne-
Espérance , XI, 68.
— du Kamischatka, XI,
67.
Marte, IT, 225.
— (grande ) de la Guia-
ne, XI, 61.
Mazames, V, 272.
Mermina, V,270. Voyez
Chevrotain.
Méus, voyez Mulets.
Mico, VIT, 200.
Mococo , voyez Makis,
Dr, 1502 VIT, 1245
XII, 177.
Mona, XII, roo.
Monax, VI, 97; XI, 65.
7’oy.Marmotte du cap
de Bonne-Espérance.
TABLE
Move, VIL, +4 et Fr |
Voyez Makis. 1
Mongous, IIL, 150;
VI, 124; XII, 169.
Morse, VI, 206; IX,
127.
Morve. Origine et siége
de la maladie qu’on
appelle morve dans les
chevaux, [, 112.
Moufettes, VI, 1775
XI, 130.
. Mouflon, V, %6; X,
TI2.
Moustac, VII, 150.
Moutons, [, 200.
Mule, VII, 203 etsuiv.s
VIIT , 27, 66.
— exemple d’accouple=
ment prolifique de la
-mule avec le cheval,
VIIT, 66.
Mulet, T,'r465 VIT,
203 ; VIII, 6.
Mulets féconds de Syrie,
dont parle Aristote,
VII, 203.
À
Mulot, II, 264 et sui-
vantés.
Musaraigne , II, “1
M, xd:
— d’eau, 11,290.
Nacor, V, 280; X,
207.
Nanguer, V, 220.
DES MATIÈRES.
fra
135
Mode du Bresil ,
VII, 330.
Musc,IIL,148 ; V,286;
VIIL 226.
Muscardin, 11, 321.
nn
Nems , ou Neipse, XI,
17
Nil-gaut, X, 5.
O
OgEezorT. VI.'ris..
Oragre,Ï, 144; V, 116;
VIIT, 90. (
One AI, 235,
Ondatra, III, 302.
Opossum, »0yez Sari-
gue; IV, 142.
Orang-outangs, VIT,
405 AIF,:5.
Orignal, voyez Élan.
Ortohua de Fernandès,
paroît être le même
animal que le zorille,
VI, 265.
Ouanderou , VII, 124 ;
XII, 77.
Ouarine , VII, 260.
Ouisuu, VII, 200.
Ours blanc, VIL, 304:
VIII, 190.
— brun, IT, 18.
— élevés en domesticité,
VIII, 190. | |
— marin, VI, 253; IX,
178. Foyez Dugon.
— de mer, où ours blanc,
IIL , 17.
— noir 9 {IT ' 18e
|
He
PACA, IV, 139; XI,
203.
Paco et lama, VI, 43.
Palatne , »oy. Rolowai.
Palmiste, IV,70; XIV,
60.
PE Pangolin, IV, 90.
— et phatagin, IV, o.
Pantherd Aristote, nous
paroît être l’adive ou
petitchacal, VI, 157.
Panthère, ÉLP, 23800
Papion, VIT, xretr14.
Paresseux, VI, 61.
— honteux, voyez Aï.
— mouton, voyez Unau.
Pasau, c’est le nom dela
ei gazelle du bézoard,
Ma 23404
Patas, VII, 136.
— à queuecourte, XII,
87. |
Patira, espèce de cochon,
XII, 243.
Pecari, IV, 40: VII,
243; XIIT, 240.
Pekan , incertitude sur
l'animal auquel on à
donné ce nom, VI,
186.
Pérouasca, VIT, 319.
Petit-eris, IV, 73.
— deSibérie, XIV,8r.
Phalanger , VI, 63;
XIV, 99. $
Phatagin, IV, 00.
Philandre, »oy. Sarigue.
— de Surmam, VIE, .
353$
Phoque (le grand) àmu-
seau ridé, IX, 136.
— à ventre blanc, IX,
TAT. :
= — à capuchon, IX, 161.
— à croissant, IX, 163.
— neit-soak, IX, 167.
— laktak de Kamitschat-
ka, IX, 168.
Phoque gassigiak, IX,
169.
=— commun, IX, 170.
— uisuk, où urksuk,
IX, 150.
Phoques, VI, 206: IX,
232. fl
— sans oreilles, IX :
135.
Pichou (le) de la Loui-
siane est le même ani-
mal que le margay du
Bresil, VI ;' 150.
Pieds-fourchus. Énumé-
ration des animaux à
DE fourchus, VIT,
2,1
Pilori, espèce di rat
runsqué des Anulles,
1: 363.
Pinche, VIT, 296.
Pithèque ,; VIT, 8, 06;
XII, 47.
Polatouche, IV, 67.
— où écureuil volant,
XIV , Gr.
DES MATIÈRES.
de |
_ Polatouche, ou petitécu-
reuil volant,
pou et jocko, VIT, 29 5
XIT, 5!
Porc-épic, VI, 5.
— de Malaca, XI, 233.
XIV,
Potot, voyez Kincajou. “ie !
Pouc, espèce de rat ce gta
Noté. VIL, 3194
Pau. > 20yez Cheval.
\ Puani, voyez Moufeites.
Puma du Pérou, a été :
mal-à-propos appelé
lion ; ses différences
d'avec le vrai lion,
IT, 97.
Putois,. DE, 220; VIT,
248.
— rayé de Inde, XIV,
47. .
Pygargus (le) des an-
ciens est le même ani-
mal que l'algazel, ou
gazelle de l'Égypte ou
dé PArapie, N, 229,
12
8.
QUADRUMANES, XII,
160. .
num He 263 Tite
E#40 ; XI, 83. 104.
F, (= d'eau, Il, 272.
—— blanc du Canada,
VIT 322:
— de Madagascar, XIV,
6o. :
— de blé ,»oy. Hamster.
— de senteur, XI, 86.
_— perchal, XI, ro.
— d'eau de Strasbourg,
voyez Scherman.
Raton, IL, 69; XI,
124.
— crabier, XI, 124.
Renard, IL, 192 ; XIII,
251.
— du Groenland, XIIT,
251:
— du Kamischatka ,
XIIT, 2951.
R
STE UAR UE ARR
; #, EU es best PM Ù
TAB EM ONCN
4 . \ A
EL. d
k
«
o
Quadrupèdes. > 1; 27 3 3
VII, 25. ; pee
Renard de Norvége,
XIII, 170. |
— blanc, XIIT, 254.
Renne, IT, 30; V, 145;
X, 26.
— sauvage ct domesti-
que Ve, 162
Rhinocéros, LIL, 12253
IV, 271; IX, 5.
Risbok, X, 212.
Rolowai, XIE, 112:
Rougette, XIIT, 147.
Roussette et rougeite,
IV, 57; XIII, 147
Ruüminans. Les animaux
ne ruminent pas en=
core lorsqu'ils tettent ,
I, 184.
Rumination. Explication
physique de la rumi-
nation, Ï, 160.
L 7” \ AE ART
Ur À À
*
SACA , ou chat de
Madagascar à queue
tortillée, XIV, 12.
Sagouins, XII, 162.
— vulgairement appelés
singes de nuit, XII,
164. |
Saï, VII, 28r.
Saïga, V, 207 ; X, 142.
Saimiri, VIL, 284;
XII, 167.
Sajou, VII, 278.
— brun, XII, 152.
— nègre, XII, 157.
— cornu, XII, 158.
Saki, VII, 286; XIT,
162. Voyez Yarqué.
DES MATIÈRES
139
S
_—à fo poils ;
Sanglier , 1,266; XIII,
200.
— du cap Verd, VIT,
103et 325; XIII, 210.
— d'Afrique, XIII ,
220.
Sapajous et sagouins ,
VIT} 10,249; 299;
XIE, 2204 302"
Saricovienne, VI, 198;
IX , 108.
Sarigue, IV, 142; its i
T4I.
XI o
135. S
— des Illinois, XI, 132.
Scherman, XI, 107.
Sérotine ( la grande) de
Ja Guiane, XIIT, 175.
. Serval, VE, 139.
Simia:. M
: TJ. Ba-
—Æ,gyptaca.
bouin,
—hamadry as.
Singes , III , 16x; VII, |
5; XIT, 5 et sv.
— ordre dans lequel on
doit les ranger, VII,
13.
Solipèdes, VIT, 26.
Souris, IT, 261; IIT,
149; XI, 03, 104.
st
408
art LS
x40 14 TARBES
Souslik , VII, 320
XAIL, 124.
Srepsiceros de Belon,
V, 62, 226, 228 et
257,
T
Tacuan, XIV, 62,
69. is
Tajacu, III, 157. Voy.
Pecari, IV, 49; XIII,
240.
Talapoin, VII, 161.
Tamandua , IV, 63,
KE. NTÉ2
Tamanoir, IV, 83; XI,
156.
Tamarinm, VII, 268;
XII, 167.
Taurecet tendrac, VI,
EXT T0, 25%
Tapeti, VIT, 342.
Tapir, LIL, 2565,
106; VIT,241; VIII,
270.
Tarsier, VI, 79.
; Sumxu, joli animal de :
la Chine, XIV, 17.
Surikate, VI, 4 XI,
5%
Suemalet, II » 2
Tatouette ou tatuèle |
IVe aeo. |
Tatous, IV, 106; XI,
+1 T0 -
Taupe, IT, 291; XTIT,
127,
— dorée de Sibérie ä
VII, 322.
— du cap de Bonne-Es-
pérance, XIIT, 130.
— de Pensilvanie, XIII,
x 36: |
— blanche, XIII, 128.
— (grande) d Afrique
XIII, 136.
— de l'île de Java,
XIII, 120.
— de Virginie ,
720
XIIT,
* L'IRt
” A
Taupe du (Canada ,
XIIT, 139.
= (très-grande) du Cap,
ou taupe des dunes,
XIE ee
— fauve, XIII, 128.
— jaune, verdâtre, ou
couleur citron, XIII,
126. |
— rouge d'Amérique,
XIII, 136.
— tachetée ou variée,
XIII, 1209.
Taureau , I, 160.
DES MATIÈRES.
. T4
Tayra, VII, 334.
Tendrac, XI, 233.
Tigre, IT, 114; IV,
2743 VII, 247; XIV,
42e |
Tola, c'est un lapin à ;
queue longue , qui se
trouve en Tartarie LE - ÿ
VII, 314
Touan, XI, 635.
True, voyez Cochon,
I, 242.
Tucan , VEL, 338.
_Tzeiran, V,215; XX, 71.
UV
VACHE marine, voyez
Morse, VI, 208; IX,
Er TE
— de Tartarie, VII,
31.
— grognante de T'arta=
Mes VERS) 137.
Vaches, L, 168.
Vampire, 1V,57; XIII,
377.
Vansire, VI, 122; À;
301-5081
Vari, voyez Maki.
Veau, I, 172.
— marin, voyez Pho-
que, VI, 210.
Verrat, cochon mâle,
268
Vigogne, VI, 46; VII,
244; VIII, 207.
À Ryda TABLE DES MATIÈRES.
< ï YA UE SE A TT POP PAPER CNRS 1104 DT
FA : RARE LIN RSS " HE NAT MU
r Se à it
Vison, VI, 186. Unau a) et l'ai son£ À
Urau, VI, 61; XI, deux animaux Fume |
| 175. nans, VI, 7o.
__— (peut), XI, Fb0e Urson, VI, 20.
y
YARQUÉ, espèce de Ysquiepatl, ou mou
saki, XIT, 162. _fette, IV, Me Et
2
ZÈBRE, III, 128; 14, 19.
V, 114; VII, 210; Zibet, LIT, 282.
VIIE, 02. Zimbr, voyez Bison.
Zébu,; V, 75; VEIF, Zirel, VII, 315:
135. ni DATA VI, 176, 162
Zemni, VIE, 317. et suive
Zibelme, VI, 189; XI,
TABLEAU
| DES * Es
DIVISIONS, SOUS-DIVISIONS,
ORDRES ET GENRES
DES MAMMIFÈRES,.
Par Le C* LACEPÉDE,;
Avec l'indication de tontes les on
décrites par Buffon, et leur distribution
dans chacun des genres. |
PAR F M DAUDIN..
PREMIÈRE DIVISION,
. Point d'ailes membraneuses 711 er
71age0 1rese
QUADRUPÉDES PROPREMENT DITS.
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
Les quatre pieds en forme de mains.
QUADRUMANES.
Tome VII, page 5.
PREMIER ORDRE.
Dents incisives, laniaires ét molaires.
PREMIER GENRE.
SINGE. (Siria.)
Quatre dents. incisives à chaque mâchoire ;
angle facial de 65 degrés; point d’aba-
joues ni de queue.
L
ESPÈCES.
r. Le jocko, ou orang-ouiang de la petite espèce,
Simia satyrus. VIT, 59; XII, 5.
ES FE =
TABLEAU DES MAMMIFÈRES. 145.
2. Le orand gibbon. Simia lar. VII, 105.
3. Le petit gibbon. Simia lar, varietas. VIT, 105...
4 Le jocko de Buffon (de sou premier texte),
et le jeune pongo (de ses supplémens). Simia
troglodytes. NE, 59: XF, ,50
SECOND GENRE.
GUENON. ( Cercopithecus.)
Quatre dents incisives à chaque mächoire;
angle facial de 60 degrés; abajoues;
queue; fesses calleuses.
ESPÈCES.
x. La guenon à long nez. Fe Meet Rire
XII, 709.
_ 2. Le douc. Cros re VII, 165;
AE 123;
3. L’ouanderou. Cercopithecus silenus. VIT, 124.
Le lowando. Cercopithecus veter. VIL, 124 ;
XIT, 74 et 77. : |
4. La guenon à face pourprée. XIT, 116.
5. La guenon à crinière. XII, 118.
6. La guenon à camail. Cercopithecus comosus,
XII, 96. |
7. Le mona, ou la mone. Cercopithetus mona.
VIE, 191; XIT, co:
8. Le roloway ou la palatine, lexquima, et Îe
Quadrupides, XIV, 15
ME TABLEAU PRE
coaila. Cercopithecus diana. vu; 268} |
XIT, 112 et 145.
g. Le mangabey, et le mangabey à collier Mn,
Cercopithecus Æithiops. VIE, 148.
‘0. Le malbrouck. Cercopithecus malbrouck. VIT,
140. — Est:ce le simia faunus de Linné ?
11. Le moustac. Cercopithecus cephus. VIT, 159.
12. Le blanc-nez. Cercopiihecus petaurista.
13. La guenon à nez blanc proémment. Cercopi-
thecus nictitans. XIL, 105.
La guenon talapoin. Cercopithecus talapoin.
VII, 161. — Est-cele) Be ou une variété
el
LS
du AGE
15. La guenon nègre. Cercopithecus maurus.
XIT,
16. Le Ra his Saber VII, 155.
17. Le patas à bandeau noir, et le patas à bandeau
blanc. Cercopithecus patas. NII, 136.
TROISIÈME GENRE.
SAPAJOU. (Sapajou.)
Quatre dents incisives à chaque müchoire;
angle facial de 6o degrés; point d’aba-
joues x queue prenante; fesses velues.
ESPRCES. |
1. Lecoaita. Sapajou pari sous. VET,268; XIF,145
= Se à
DES MAMMIFÈ
2. Le sajou cornu. Sapajou cornutus. XII , 158
LA
RES. T4 1
3. Lesaïmiri. Sapajousaïmiri. VIT,284; X1T, 161. f
QUATRIÈME GENRE.
SAGOUIN. (Sagouin.)
Quatre dents incisives à chague mächoire;
angle facial de 60 degrés; point d'aba-
joues; queue non picrante; fesses Pé ee
PRÉC ES, 2
1. Le Cats. VIX, 206. Le sagouin, ou Sing de
_ nuit. XIL[, 164. Peut-être même lyarqué,
; XIT, 162. Sagouin pithecus.
2. Le sagouin à tête blanche. Sagouin leucoce-
phallus. On rapporte à ce quadrumanc l’yar-
qué de Cayenne décrit pa Laborde, à la fin
de l’histoire de ls yarqué. XI 7162.
3. Le sajou brun et le sajou gris. Sagourn Pepile.
VAL, 296 ; ALL etre
. Variété. A. Le sajou nèsre. XII, 157.
4 Le sai. Sagouin capucinus. VIT, 261.
: Variété A. Le saï à gorge blanche. VIT, 28r.
5. Le tamarin. Segouin midas. VII, 268.
Variété A. Le tamarin nègre. XII, 167.
6. Le mico. Sagouin argentatus. VIL, 200.
7. Le pinche. Sagouin œdipus. VII, 296.
8. Le marikina. Sagouin rosalia. VIT, 294:
9. L'ouistii, Sagouin jacchus. VII, 290.
D (TABLEAU HAT
(CINQUIÈME GENRE
ALOUATE. (.4/ouaïta.)
Quatre dents incisives à chaque mächoire ;
téte pyramidale; point d’abajoues; queue
prenante ; fesses velues.
ESPÈCES.
| +. L'alouate et le burleur. #louatia seniculus.
VIT, 260: XIF , x
ER ne Aibigite beclzebut. NX, 260.
SIXIÈÉME GENRE].
MACAQUE. (Macaca.)
- Quatre dents incisives à chaque méchoire;
angle facial de 45 degrés; abajoues ;
fesses calleuses.
| ESPÈCES.
x. Le maimon. VII, 129. — et le patas à queue
courte. XII, 87. Macaca nemestrina.
2. Le macaque à queue courte. Macaca rhesus.
XII, 83.
4 Le ace. Macaca cynomolgus. VIE, 132,
Variété A. L’aigrette. Macaca ay VIT,
132
4. Le bonnet-chinois. Macaca Sinensis. VIT, 140.
Variété A. La guenon couronnée, XIE, 95.
DES MAMMIFÈRES. 71%
5. Le magot. Macaca inuus. VIT, TI0.
Variété A. Le pithèque. Macaca sylvanus:
NU MIN OR AI, 47
6. Le petit cynocéphale. XII, 58.
7. Le grand papion. Macaca sphinx. VII, 114 ©
Variété A. Le petit papion. VIT, 1x4.
B. Le babouin des bois. XIT, 60.
C. Le b:bouin à longuesjambes. XIF, 62,
8. Le babouin à museau de chien. Macaca hama= *
dryas. XIT, 70.
9. La guenon à museau alongé. XII > 00:
SEPTIÈME GENR E.
PONGO. (Pongo.).
Quatre dents incisives à chaque mâchoire ;
angle facial de 30 degrés; abajoues ; —
de queue; fesses calleuses.
: ESPÈCE.
z. Le pongo adulte de Buffon. VIT, 50.
HUITIÈME GENRE.
BABOUIN. ( Cynocephalus.)
Quatre dents incisives à chaque méchoire;
angle facial de 50 degrés; abajoues ;
queue; fesses calleuses.
ESPECE
29 Le mandrill. Cynocephalus maimon. VIT, 129+
15
At
TARDE MN
_ Variété À. Le choras, Cynoccphalus MaÏM ON. 44
XI, 65. |
LUE A
NEUVIÈME GENRE
JM LA RE (Lemur.) 4 iQ
LOVE \ 4 mr e Hs
Quatre dents incisives Supérieures; Six EnCi=.
_ :sives inférieures inclinées en avant.
- ESPÈCES.
x. Le mococo. Lemur catta. VI, 1243 XII, 171.
2. Le grand mongous , ou maki brun. Lemur
mOongoz. XII, 160. |
3, Le vari, autre espèce de maki. Lemur mMaACUCO»
| XII, 177.
4. Le petit maki gris. Lemur murinuse XII , 173.
DIXIEME GENRE.
LORI. (Lori.)
Quatre dents incisives supérieures ; quatre
incisives inférieures inclinées en avant;
téle ronde; museau relevé.
ESPÈCE.
x. Le loi du Bengale. Lors eee VI, 133;
XIT, 160.
TARSIER. | Crréeraahsus )
&
Quatre dents incisives supérieures ; deux M
incisives inférieures; larse trés-long.
ES PHCE. |:
1. Le tarsier. Macrotarsus Indicus. VI, 70.
+
Lu
DEUXIEME SOUS-DIVISION.
RS HE de derrière en forme de mains.
Uk
PÉDIMANES.
DEUXIÈME ORDRE.
Dents incisives, laniaires et molaires.
DOUZIÈME GENRE.
DIDELPHE. (Didelplis.)
Dix dents incisives supérieures; huit inci-
sives inférieures.
ESPÈCES.
x. Le sarigne, ou l’opossum. Didelphis opossum.
La XT , 148
10E né
152
2 2. Le sarig [59e de DUR) A
3. Le sarigue des Ill E. Didelphis Fi Srginianuss. sg
de XI, 122.00 4
2" 4 La marmose. Dita) murin ae 1V, 2745
+ | XT, 0 ar
| 5. Le cayopollin. Didelhis car Pda «M
dorsigera. IV, 177; XE, 145 » ©
6. 14 philandre de Surinarr. Didelphis philander.
VIT, 335. -
PA . crabier. Didelphis cancrivore ; didelphis
marsupialis. XI , 150.
6. La petite loutre d’eau douce de Cayenne. Di-
delphis palmaia. XI, 08.
TREIZIÈME GENRE.
\
PHALANGER. (Phalanger.)
Six dents incisives supérieures; deux incisives
inférieures ; deux ou trois doigts des pieds
* de derrière, réunis jusqu’à l’orgle; queue
touffue et non prenante.
ESPÈCE.
x. Le phalanger. Phalanger orientalis. VI, 83,
_
153
d
La plante des pieds Hub de manière
à s'appuyer sur la terre quand lanimai
marche. :
PLANTIGRADES.
TROISIÈME ORDRE.
Dents incisives, laniaires et molatres.
QUATORZIÈME GENRE.
OURS. ( Ursus.)
Six dents incisives & chaque mâchoire; la
seconde des incisives inférieures de chaque
côté, placée un peu plus en arrière que
les autres.
\
ESPÈCES.
1, L’ours brun. Ursus arctos. ITT, 17; VIII, rgo.
Variété A. L’ours blanc terrestre, IT, 27:
VIII, 198. :
2, L’ours noir de l’ Amérique. Ursus nr nn
IIT, xo.
me
DRAM EN te \ N à 1f FAR Dar none PATES OU
SEE OI ON TABLE AU
Pot ours blanc de mer. Ursus an NV sèe : 4
_ 4. Le Eu Ursus meles. Li paf 205. | +,
5. Le glouton. Mrrois guloe VI , 270 XIII, 183. de
6. Le curcajou. Trsus Latradorius. XIII, 106.
7. Le raton. Tous Vorür. TT, 79; XI, 124.
8. Le raton crabier, Ursus cancriporus. XI, 105.
QUINZIÈME GENRE. x:
CO A EAN ( Coati.)
Sir dents incisives à chaque méchoire; la
seconde des incisives inférieures de chaque
côté, placée un peu plus en arrière que les
autres; nez long et mobile.
ESPÈCES.
1. Le coati. Coati nasua. III, 73; XI, 109.
2. Le coati brun. Coaïi narica. TI, 73.
SEIZIÈME GENRE.
KINCAJOU. (Xincajou.)
Six dents incisives à chaque mächoire; la
seconde des incisives inférieures de chaque
côté, placée un peu plus en arrière qué les :
autres; queue prenante.
ESPÈCE.
3. Le kinkajou poto. K'nkajou caudivolvulus.
Vis ao; XILT, 169.4 4)
, EL ÿ pres at
He y
ÿy
DES MAMMIFÈRES, 155
DIx- SEPTIÈME GENRE
MANGOUSTE. (/chneumon.)
+ à LAN
Six dents incisives à chaque méchoire; l&
seconde des incisives inférieures de chaque
côté, placée un peu plus en arrière que les.
autres ; langue hérissée de papilles dures.
ESPÈC D ES
1. La mangouste rat de Pharaon. Zchneumon
Pharaon. VI, 1105 X, 66.
2. Le nems. Zchneumon mungo. VI, 1t0.
3. Le surikate. Zchneumon tetradactylus. VI, 76;
KMS
4. Le grison. Tobneumon. piutatuse XT, 6e: La
fouine de la Guiane. ue
da A, vansire. ni J'avanicus. VI, 122;
Il faut aussi rapporter ici le mustela galera
de Lainné. |
G. Le tayra, ou galera. Zclneumon barbarus.
VIE, 324
*
ner
mé TABLEAUS
D rXx- HUITIÈME GENRE
Six dents incisives inégales à chaque md&-
SPAIN ï
Un
D
HÉRI SSON. à
choire; laniaires très-courtes; corps cou-
: vert de piquans.
ESPÈCE.
r. Le hérisson. Ærinaceus Europœus. IL, 282;
XE +295.
DIX-NEUVIÈME GENRE.
RATE AR C- QTenrec,
Six dents incisives égales achaqgue mächoire;
laniaires très-longues; corps couvert de
piquans.
ESPÉCES.
z. Le tanrec. Tenrec ecaudatus. VI, 23; XI,
223
2 Le tendrac. T'enrec setosus: VI, 235 XI,
253. |
Lt Lu
DES RU Vas 25
VINGTIÈME GENRE.
MUSARAIGNE. (Sorex.)
Six ou huit dents incisives inégales à chaque
méchoire; la première incisive inférieure
de chaque côté, très-longue et couchée en
arant >; laniaires très-courtes ; corse cou-
vert de poils, |
ESPÈCES.
x. La musaraigne. Sorexz araneus. IL, 287.
2. La musaraigne d’eau. Sorex Daubentonu.
AT, age. À À
3. La musaraione du Brésil. Sorex Brasiliensis.
VIT, 330. |
4. La musaraigne musquée ‘de l'Inde. Sorez
moschatus. XI, 113
VINGT-UNIÈME GENRE.
DESMAN. (Desnan.)
Six ou huit dents incisives inégales à chaque
mächoire; La seconde incisive de chaque
côté, très-longue; laniaires très-courtes ;
corps couvert de poils.
ESPÈCE.
, I. Le desman. Desman moschatus. IT, 302.
14
pet ÿ
6e UITABLENT.
AR due n Chrpsochloris.)
Six ou huit incisives inég cales 02 chaque mn -
choire; la seconde incisive de chaque côté À
très-longue ; laniaires très-courtes ; point
de queue; corps couvert de poils.
x: ESPÈCES.
z. La taupe dorée. Chrysochloris ou, VIT,
NP "A NUS
2. La taupe rouge. Chrysochloris rubra. XI, 138,
3. Le tuvan. VII, 336.
VINGT-TROISIÈME GENRE.
TAUPE. ( Talpa.)
Six dents incisives supérieures et huit infé-
rieures égales; laniaires très-longues.
ESPÈCES.
T7. La taupe. T'a/pa Europæa. IT, 201 ; XIII, 127.
2. La taupe du Canada. T'alpa cristata. XVIT, 130.
3. La taupe de Pensilvanie. T'alpa Fensilvanica.
XIII, 136.
Nota. Les autres taupes décrites par Buffon, sont placées
dans le genre précédent, et dans le quarantième, qui est
le genre TALPOÏDE,
|
|
DES MAMMIFÈRES. 159
QUATRIÈME SOUS-DIVISION.
_ Les doigts sans Sabats. :
"DIGITIGR A DES.
QUATRIÉÈME ORDRE.
Dents incisives , laniaires et molaires.
CARNASSIERS.
VINGT-QUATRIÈME GENRE.
Ÿ CHIEN. (Canis.)
Plusieurs dents incisives échancrées ; mo-
laires nombreuses; langue sans aspérités ;
ongles non rétractiles.
E S P È C ES. |
1. Le chien et toutes ses variétés. cr
Ÿ 2276: XIII, 5,
2. Le loup. Canis A Il; 2725 XIT , 249.
3. Le renard. Canis vulpese TT, 102; XII, 2548
Variété A. Le renard blanc. XIIT, 254.
W..71
DAT END Li ne NN
160 TABLEAU
4. Le loup noir. Canis lycaon. IT , 190; er 250
5. Le loup du D NUE Canis Mexicanus. VIT;
620,
6. L'animal anonyme. Canis zerda.
7. Le chacal. Canis mesomelas. VI, 21543 XIII,
256. — et l’adive. Canis aureus. VI, 1545
XIII, 257.
Rat Canis logonus VER 64 CRIE, 20000
9- L’hyène. Canis hyæna. III, 27r.
.. xo. L’alco. Canis alco. VII, 320. |
VINGT-CINQUIEME GENRE. |
FÉLIS. (PFelis.)
Denis incisives petites et égales; molaires
peu nombreuses et à pointe aiguë; langue
hérissée de papilles dures; ongles rétractiles.
ESPÈCES.
1. Le chat et toutes ses variétés. Felis catus. I, 333.
2. Le lion. Felis leo. III, 83. |
3. Le ugre. Kelis tigris. III, 114, 209.
4 La panihère. Felis pardus. XII, 225.
5. L’once. Felis uncia. LIT, 225.
6. Le léopard. Felis leopardus. \IT, -225.
7. Le jaguar. Felis onoa. LIT, 246.
8. Le jaguar de la nouvelle Espagne. III, 246.
9. Le couguar. Felis concolor. IIL, 246.
_
DES MAMMIFÈRES. :xr6r
ko. Le jaguarète. Felis discolor. III, 246.
: + Variété À. Le couguar noir. IIT, 246.
B. Le couguar de Pensilvanie. IT, 2463
tr. Le lynx oule loup cervier. Felis lynx. IT, FE
12. Le lynx de Canada, III, 255.
Variété. Le lynx de iso IT, a
33. Le caracal. Felis caracal. XII, 268.
Variété. Le caracal de rs MT, 268.
x4 Le serval. Felis serval. VI, 136.
Variété. Le chat sauvage de la nouvelle Espagne
VI, 130.
15. L’ocelot. Felis pardalis. VI, 143.
16. Le margay. Felis tigrina. VI, 140.
47. Le guépard. Felis jubata. VI, 150.
xê. Le chat tigre de la Caroline. Felis ru + |
XIV, 40.
VÉNC RSS on GENRE.
CIVETTE. (/iverra.)
Quatre ou cinq dents molaires de chaque côté;
langue hérissée de papilles ; ongles à demi
rétrachles. |
ESPÈCES,
z. La civette proprement dite. Jiverra cipétts
AE; 282; XF,.5.
14
Mn
co ce A TABLEAU | "
M le zibet. Viverra zibetha. LU, 5 Le fé.
3. La genette, et la genette de France. Per à 4
geneita: LI, 209 | à
4. La genette du cap de Bonne- been. Vriverra | 4
digrina. AE T Te. Lere 2: 1
5. La fossane. V'iverra fossanas WE vd D
VINGT-SEPTIÈME (GENRE.
à MAR TE. (Masteln) * 062
F ; “
Za seconde dent incisive de chaque côté de
la méchoire inférieure, placée plus en
arrière que les autres ; jambes courtes.
ESPÉC'E Se
x. La foume. Mustela foina. W, 219.
2. La petite fouine de "+ pu Mustela C ah TA
(Ziverra id. Lainn.}) XI, x7.
3. La petite fouive de la Guiane. Mustela Guia-
mens VAT, 14
4. La marte, Mustela martes. IE, 225.
9. La grande marte de la Guiane. Airsioha S'uri-
namensis. X , 61. Ceiteespèce est voisine
du mustela barbara Linn. selon Latreille.
6. Le putois proprement dit. Mustela, putorius.
MRES 220.
7. Le putois rayé de l'Inde. Mustela Pr
(F'iverra id. Linn.) IE, 229.
_
DES MAMMIFÈRES. 162
8. Le furet, et le furet-putois. Mustela fura.
114233.
.-9. Le FM Mustela touan. XI, 63.
10. La belette. Mustela vulgaris. it ,2405 X1,23,
11. L’hermine. Mustela erminea.T1, 245 ; XI ,40.
Variété. Le roselet. Mustela æœstiva. XL, 40.
Le roselet est l’hermine dans son pelage d'été,
12. Le pérouasca. Musiela Sarmatica. VIL, 3 319,
23. Le bizam. Mustela tigrina. pere ide
Lann.) 5
14. Le zorille. Mustela zorilla. ( Viverra id,
d'É Linn.)
15. Le pekan. Mustela Canadensis. VI, 166..
16. Le vison. Mustela vison. VI, 166.
17. La moufette du Chili. idee mapurila. |
XI, 730.
18. La zibeline. Mustela Run. VE; 110
KE, To.
Les moufettes, VI, 177: ane
39. Le conépaie. Mustela putida. (Wiverra pu-
| tida Lun.) VI, 177.
20. Le chinche. Mustela mephitis. VI, 177.
21. L'ysquiépatl ou coase., Mustela vulpecula.
(Wiverra id. Linn.) VI Ÿ 177-
Les loutres.
22. La loutre. Mustela lutra. I, 213; IX, 102,
23. La loutre du Brésil. Mustela Brasiliensis,
x64 Mie TABLEAU
24 La saricovienne. Mustela lutris. Vi, 85
IX, ro8. .
25, La loutre du Canada. Mustela Hudsonica: ‘*
CNE, 267 |
pes
:CINQUIÈME ORDRE.
=
Derits incisives et molacires.
RONGEURS.
VINGT- HUITIÈME GENRE.
LIÈVRE. (ZLepus.)
Deux dents incisives supérieures et doubles ;
molaires composées de lames verticales ;
jambes de derrière plus longues que celles
de devant; puit
ESPÈCES. 3
1. Le lièvre. Lepus timidus. IL, 80.
2. Le lapin. Lepus cuniculus. IL, 112 ;
Variété. Le tolai. VIE, 314. à
3. Le tapeui, Lepus Brasiliensis, VII, 342- ÿ
DES MAMMIFÈRES. 165
VINGTNEUVIÈME GENRE.
DAMAN. (Hyrax.)
Deux dents incisives supérieures courbes et
pointues: quatre incisives inférieures plates
et dentelées; point de clavicules ni de.
queue. ; R
ESPÈCES.
2, Le klipdas, ou daman du cap de Bonne-Espé-
rance. Hyrax Capensis. XI , 68... ou mar-
motte du cap de Bonne-Espérance.
2. Daman Israël. Hyrax Syriacus. VI, xor.
TRENTIÉÈME GENRE.
CABIAI. (Cavia.)
Deux denis incisives supérieures; deux inci-
sives inférieures ; dents molaires séllonnées;
point de clavicules ni de queue.
ESPÈCE.
x Le cabiai. Cavia cobaye V, 304.
VC R EN PAT VOUS NON pe TR PONTS viole 2 : HR Ve D
viR LA ONU FE à 1 A
ï ; 6 < ENT A
166 TABLEAU. ENS
TRENTE- UNIÈME GENRE,
4
TR
AGOUTI. CAgouti.) |
| Deux dents incisives supérieures ; deux dents ‘
incisives-inférieures; point de clavicules ; |
queue, 5 |
ESPECES.
Le L’agouu. Aout: Cayanus. TE, 78; XT, 207.
2. Le cochon d'Inde. ÆAgouti cobaya. IL, 278. .
3. L’acouchi. Ægouti acuschy. VAL, 337; XI ,210."%
4. L'apéréa. Agouti aperea. VII, 340. |
5. Le paca. ed paca. AV, 239 ; XI, 203.
TRENTEDEUX IÈME. GENRE.
CASTOR. Carry
Clavicules ; queue ovale, déprimée, el ke (né
d’écailles.
ESPÈCE. .
1. Le castor. Castor fiber. III, 36; XI, Gz.
TRENTE-TROISIÈEME GENRE.
ONDATRA. (Ondatra.),.
Deux dents incisives supérieures non com-
primées; deux incisives inférieures tran-
chantes; imolaires sillonnées ; queue con
primée et écailleuse.
ESPÉCÉ.
x. L’ondatra. Ondatra zibethicas IX, 302.
1 )
ER ne ct:
DES MAMMIFÈRES. 167
TRENTE- QUATRIÈME GENRE.
MARMOTTE. (Arciomys.)
Mur dents incisives supérieures no Com-
priméés; deux incisises inférieures tran-
chantes; dix molaires supérieures; queue
velue. ;
ESPÈCES.
x. La marmotte proprement dite. Ærctomys mar= |
motta. IT, 6.
2. Le souslik. /Æ{rctomys citellus. VIT, 320.
3. Le zisel. ÆArétomyÿs zizel. VIT, 315.
4 Le jevraschka > ou là marmotte de Sibérie.
VI, 98. |
Pallas prétend que le zisel et le HAT sont
le rrême animal que le soushk.
5. Le monax. Ærciomys mônax. XI, 65.
6. Le bobak. AÆrctomys bobac. VE, dé
TRENTE-CINQUIÈME GENRE.
‘HAMSTER. (Hamster.)
Deux dents incisives supérieures non com-
primées ; deux incisives inférieures poin-
tues; six molaires supérieures ; abajoues ;
queue velue.
ESPÈCES.
Lx. Le hamster. Âamster cricetus. ( Mus id
Lainn.) VI,87; XI, 87, go.
y Lui D: IV, 79.
3. Le zemni. Hamster. zemnis (Glis id. séle 1)
(UNIL 3,
TRENTESIXIÈME GENRE.
RAT. (Mus.) 4
- Deux dents incisives supérieures non compri= …
mées ; deux incisives inférieures pointues ;
six molaires supérieures ; point d’abajoues ;
queue écailleuse.
ESPÈCES.
x, Le rat proprement dit. Mus rattus, IT, 253;
XI, 104. . ÿ
2. La souris. Mus musculus. II, 261; XI, 104
3. Le mulot. Mus sylvaticus. ti, 264.
4. Le surmulot. Mus decumanus. LIT, t.
5. Le pouc. Mus Volhinicus. VII, 319
6. Le rat perchal. Aus perchal. XI, 107.
TRENTE-SEPTIEME GENRE.
CAMPAGNOZIZ. (Arvicola.)
“Deux dents incisives supérierrres RON COM=
primées; deux incisives inférieures tran-
chantes ; molaires sillonnées ; point d'aba-.
joues: queue velue. |
ESPÈCES.
r. Le campagnol. 4rvicola arvalis. II, 275.
DES MAMMIFERES. 169
2, Le rat d’eau. ÆArvicola amphibius. II, 272;
NI, 322. |
Variété. Le scherman ou rat es de Stras-
bourg. XI, 100.
3. Le lemming. Arvicola lemmus. VI, 194.
TRENTE-HUITIÈME GENRE.
LOIR (Myoxus.)
Deux dents incisives supérieures non comprials
mées ; deux incisives inférieures pointues
- six molaires supérieures ; point d’ abajoues;
giueue velue.
| ESPÈCES.
. Le loir proprement dit. Myoxus glis. II, 308.
2, Le lérot. Myoxus quercinus. IL, 316.
Variété. Le lérvot à queue dorée. XI, 115.
3. Le muscardin. Myoxus muscardinus. IT, 3214
TRENTE-NEUVIEME GENRE.
TALPOIDE. (Talpoïdes.) :
Deux dents incisives supérieures non com-
primées ; deux incisives inférieures longires
et fortes ; six molaires supérieures; point
d’abajoues ni de queue.
ESFÈCES.
7. Le rat-taupe. Tolpoides typhlus. XIII, 127;
15
d ie
LT TABLEAU
2. La grande taupe du Cap, et la grande taupè |
d'Afrique. Talpoides maritimus: AUX,
130, T4l-
3. La taupe du cap de Bonne-Espérance. Talpoïdes
Capensis. r 130.
.QUARANTIÈME GENRE.
GERBoIsE (Dipus.)
4
mées; deux incisives inférieures pointues ;
six molaires supérieures ; point d'abajoues ;
pieds de derrière beaucoup plus longs que
ceux de devant; queue velue.
ESPÈCES.
1. Le gerbo ou le gerboa. Dipus gerboa. VI, 100;
Xi 201.
2. L'alagtaga. Dipus alagtaga. X, 28r.
Deux dents incisives supérieures nOo1 COMpTi-
QUARANTE-UNIÈME GENRE.
ÉCUREUIL. (Sciurus.)
Deux dents incisives supérieures ; deux inci-
sives inférieures ef comprimées ; queue
garnie de poils épais, et rangés des deux
côtés comme des barbes de plume.
ESPÈCES.
x L’écureuil ordinaire. Sciurus vulgaris. Il, 248.
DES MAMMIFÈRES. 7x
2, L’écureuil de Madagascar. Sciurus Madagas+
cariensts.
‘3. Le grand écureuil de la côte de Malabar. Sciurus
Maximus.
4 Le petit-gris. Serurus cinereus. XV, 73.
Variété. Le pett-gris de Sibérie. IV, 73.
5. Le palmuiste. Sciurus palmarum. IV, 79-
6. Le barbaresque. Soiurus Getulus. IV, 79.
7. Le coquallin. Sciurus vaeriegatus. V1, LS LA
“8e polaiouche. Sciurus volans. IV, 63. Lu
9. Le taguan. Soiurus petaurista, et sciurus
sagiitus
| QUARANT TE-DEUXIÈME GENRE. :
PORC-ÉPIC (Hystrix.)
Corps couvert de longs piquans. :
ESPÈCES
1, Le porc-épic. Æystrir cristata. VI, 5e
2. Le porc-épic de Malaca. Me Malacensis,
XI, 236.
3. L’urson. Hystriz dorsata. VI, 20.
Ho
172
QUARANTE-TROISIE ME GENRE.
COENDOU. ( Coendou. ) 1
Corps couvert de piquans ; la queue prenantes |
ESPÈCES.
ze É< coendou,. Coendou PA VI, 545 4
XI, 218. 1
2. Le Jess À longue queue. eds Lni 4
caudatus. XI, 210. |
SIXIÈME ORDRE.
Dents laniaires et molaires.
QUARANTE-QUATRIÈME GENRE.
PARESSEUX. (Bradypus.)
Les pieds de devant plus longs que ceux de
derrière; Les doigts réunis jusqu'aux ongles.
ESPÈCES.
x. L’unau. Bradypus didactylus. VL 61; XI, #
2 L’ai. Bradypus'tridactylus. VI, 67; "XL, 175 À
3. Le kouri, Braëypus kouri. KE, 18h
DES MAMMIFÈRES. 173
SEPTIÈME ORDRE.
Dents molaires.
QUARANTE- CINQUIÈME GENRE,
TATOU. (Dasypus.) ;
Tome IV, page 106.
Corps recouvert d’un tét.
ESPÈCES.
r. L’apar, ou tatou à trois bandes. Dasypus tri
cinctus. IV, 114.
2. L’encoubert, ou tatou à six bandes. Dusypus
sexcinctus. IV , 118; XI, 168.
3. Le tatuète. Dasypus octocinctus. IV, 120.
4 Le cachicame. Dasypus novemcinctus. IV,
122,
5. Le kabassou. Dasypus unicinctus. IN, 125.
6. Le cirquincon. Dasypus octodecimcinctus. LV,
127. ï
7. Le tatou à longue queue. Dasypus longicau-
datus. XI, 168. ‘
35
{
PART
4 fi
à 1e
De
Coutsres SIXTÈME. np |
ORYÈTÉ R Oo À FA ( Dr es
Museau très-long ; langue très-longue et
déliée ; ongles plats.
ESPÈCE }
re 4
Us # cochon de terre. Orycteropus CHR ax
ne ; JP
\
HUITIÈME ORDRE.
Point de denis. .,
QUARANTESEPTIÈME GENRE.
| FOURMILIER. (Myrmecophaga.)
| Langue très-longue, déliée, extensible; corps
couvert de poils.
ESPÈCES.
x. Le fourmilier. D A db didactyla. IV,
84.
2. Le tamaudua. WMyrmecophaga samandies 1v,
64; XI, 156.
3. Le tamauoir. Myrmecophaga ro LV, & |
XI, 162.
DES MAMMIFÈ ne 195
QUARANTE-HUITIÈME GENRE,
À PANGOLIN. (Manis.)
Langue très-longue , déliée, extensible;
| corps couvert de grandes écailles. |
ESPÈCES.
x. Le pangolin. Manis pentadactyla. IV, 90: |
2. Le phatagin. Manis tetradactyla. IV, gg. |
CINQUIÈME SOUS-DIVISION.
Les doigts renfermés dans une peau très-
épaisse, ou plus de deux sabots.
PACHYDERMES.
NEUVIÈME ORDRE.
Dents incisives, laniatres et molaires.
QUARANTE-NEUVIÈME GENRE.
COCHON. (Sus.).
Denis incisives inférieures couchées en avant;
museau en forme de boutoir; doigts inter-
médiaires de chaque pied touchant seuls la
terre.
ESPÈCES.
x. Le cochon. Sus porcus. I, 242; XIL, 200,
776 ai] TABLEAU DL Le |
2. Le sanglier. Sus scrofa. I, age 0e ÿ "1
+ LE cochon. de Siam. Sus Sinensis, À » 47 s)
XIIT, 247. k » À 44
4. Le pecari ou tajacu. Sus iajassu. Fv, 493
XI1I1, 240.
_ 5. Le cochon de Guinée. Sus Guineensis. VII, 323. ;
6. Le babiroussa. Sus babyrussa. V, 299; XIII 1
239.
7. Le sanglier du cap vor. Sus ne AE Yi, L
325; XIIT, 210. F
8. Le te NN Sus Æthiopicus. XII,
229.
CINQUANTIÈME GENRE.
TAPIR (Tapirus.)
Museau prolongé en trompe courte, mais
mobile.
ESPÈCE.
rs. Letapir. Tapirus Americanus. Ÿ, 108 ; VIIT,
278, 302. Ù
T1
DES MAMMIFÈRES. +7
CINQUANTE-UNIÈME GENRE.
HIPPOPOTAME. (Æippopotamus.)
Quatre dents incisives supérieures recourbées
en dessous ; quatre incisives inférieures
apres er avant. |
ESPÈCE. Ne :
1. L'hippopotame. Hippopotamus amphibius. v
120; IX, 30, 48, 52, 57, 60, 8x.
Y
DIXIÈME ORDRE,
Denis incisives et molaires.
CINQUANTE-DEUXIÈME GENRE.
ÉLÉPHANT. (Ælephas.)
Deux défenses très-longues à la méchoire
. supérieure ; trompe très-mobile et très-
Jfrexible.
ESPÈCE.
x. L’éléphant. Elephas maximus. IV, 160 ; IX,
22, 30,
Re
È Û #; LA
‘et Anhthus”
di ot \£e 178
es
CRE
"00 +
un. À LAS UDARIS molaires: Me Ke
1
LCINQUANTE-TROISLÈME GENRE
en
R # INOCÉROS. CRhinoceros) 0 M à
1 À
Une ou deux grosses COrTneS sur 2 nez ; |
de grands sabots à NUS PA
N : qe ke rvr : 4
| LU MEL sp Eco Es
r. Le node LR Ares tal unicornis. LV, 27%.
2; Le rhinocéros d'Afrique. Rhinoceros bicornis.
CAES ge 10. |
( À j K
Q CC . L
To a |
l à
DES MAMMIFÈRES. x79
SIXIÈME S O US- DIVISION.
Deux ae DA
BISULQUES OU RUMINANS.
DOUZIÈME ORDRE
Dents incisives, laniaires et molaires.
CINQUANTE-QUATRIÈME GENRE.
CHAMEAU. ( Camelus.)
Quaire ou six dents incisives a la mächoire :
inférieure.
ESPÈCES.
z. Le chameau. Camelus Bactrianus. V, 1; 1X,
30, 49. y
2. Le dromadaire, Camelus dromedarius. V, 1;
IX, 45.
3. Le lama. Camelus lama. VI, 43; VIII, 2or.
4. Le paco- Camelus paco. VI, 43.
5, La vigogne. Camelus vicugna. VIII, 207.
CINQUANTE- CINQUIÈME GENRE:
4
CHEVROTAIN. (Moschus.)
rieur'e. À
ES P È CE s. :
x. Le chevrotain. Moschus pygmæus. V, 266.
2. Le chevrotam de Ceylan ,; on le meminas
Moschus meminna. X, 220.
3. Le chevrotain de Java. Fr Javanicus.
XV A2T,
4. Le musc, ou porte-musc. Moschus moschi-
ferus. N, 286; VIII, 228.
TREIZIÈME ORDRE.
Dents incisives et. molaires.
CINQUANTE-SIXIÈME GENRE.
C3
CERF. (Cervus.)
Huit dents incisives à la m& ächoireinférieure; :
des cornes crétacées, annuelles ét rameuses
sur la téte des mâles: des larmiers. =.
ESPÈCES.
z. Le cerf Cervus Va FH Es 12; x, fa.
Ji 1
Huit dents incisives à la mâchoire inférieure;
de longues laniaires à la mâchoire supé-
0
tk
. . €
f 127
Ÿ
DES MAMMIFÈRES. 181
Variété A. Le cerfde Corse. IT, 123 X; 02:
AT. LB Be cerf des A rdenries. FE 2ù hipu
_pelaphus. IL, r25:0Xx , 92.
: ©. Le cerf-cochon. Cereus porcinusi
NSE r 2006.
Le daim. Cerous dama. IL, 65; +. 37-
“Le cheyreml: 'Cervus capreolus IT, Fa da
A8 ge DURE ND HAN SÀ 2
LEE
Le chevreuil des Indes. Cerous muntjäc: X, se
L’axis. Cerous axis. Vy 1005 X, 37
Lélan. Cerous alces. V, x, 65,
Fr
D
Le renne, Cerous tarandus, V, » 145; sh 43), 73.
De: # orignal , De 59: | ms
9: Le’ caribou. x. Adi Le
io. Les mazamiés etle cariacou. Cerous M exicanuss
V, 272
CINQUANTE-SEPTIÈME GENRE,
GIRAF E. ( Carmneloparda lis.)
Deux proéminences du crâne , coniques ,
permanentes, et revétues de pouls touffus.
ESPÈCE.
r La girafe. Camelopardalis giraffa. V1, 263
VIIT, 240, 258.
Quadrupèdes, XIV: 16
ÈS
(33 ui n'a mat
CIN bi TEHUITIÈME CG Exre 14
AN TILOP E. | CAnïilope.)
LE NERU
Rome Y, page ns 5 X, ie
2e) .
h1443:%)
Cornes permanentes, LAS ei et diri-
ægées vers le haut dans la LEP voisine il
NE"
de leur base. 2300) db final} IE
on 57
ESPÈCES.
7. La gazelle. ÆAntilope, Jon ba 209 ; + 147.
2. Le kével. ‘ Antilope kevella. V, 212; X, 223.
3. La corine. Æntilope corinna. V, 213; x, 147e
4 La gazelle tzeiran. Antilope. guturosa. >"
E7T ci
5. La gazelle kob ou Lbbal AE PYEargas
X\, 270. ,
6. tel Antilope gazella. Ÿ, 209°
La gazelle du bézoard. Æntilope oryx. V, 209:
Le nanguer. Antilope dama. X, 207.
9. L’antilope. Antilope cervicapra. X , 164.
10. La gazelle pasan. Æntilope pasan. X, du
194.
CS
71. La chèvre sautante du cap de Bonne-Espé-
rance. ÆAntilope saliens. X, 192.
42, La gazelle à bourse sur le dos. PAC dors
sata. X, 200.
SE
DES MAMMIFÈRES. 163
x3. Le khippspringer. Æntilope klipspringer. X,
AG RARE à LR ME UE
14. Le nagor. .Antilope redunca. X , 207.
15. Le rübok. X, 212.
26. Le bosbok. X, 224,
17. La chèvre bleue. _Æntilope: FOR. X
227.
18. Le bubale. Antilope bubalis, V, 249; X; ,
269, 272.
zo. Le onoû. Antilope gnu. VII, ne 123.
20. Le nil-saut. _Antilope picta. X, DE ee
21. Le canna ‘et le coudous. Antilope orcas. NV
_ 272, 282; X, 256. R
22. Le condoma. Antilope strepsiceros. VW, 200:
" X, 251, 257. |
23. La grimme. Antilope grimmier IV 263 ;
X ,.101,..109- 0
24 Le guib. Antilope scripta. Y, Te JA
Varicté. Le saiga. Antilope saïga. Ÿ, 2073
ù X, 142.
25. Le chamois. Æniilope rupicapra. V, 183.
EU à
A
à r.
IN QUAN TEN EUVIÈME GE ;
M 5 H Ë V.R: E. QE ab qe D: 4
Cornes ne ane comprimées. ét’ ridées
-- transversalement; point de larmier.+
[nn
Eau RAT
ESPÈCES.
b: +. LObot e 1e' chèvre domestique, » et L toutes re, \
variétés. Capra Jurcus. I, fic À 125.
ŒDL aD | Lit D DE
ape
2. si der Capra ibez. Y, pe 1, AE
#»
SOIXANTIÈME GENRE.
RS ee SON NAREE FOUT LS EE
Cornes permanentes, anguleuses, ridées,
dirigées près de leur base en arrière ef en
À ‘en-bas,'et se contournant ensuiteen spirale.
ES PÈCES.. lo ol ti
CCE CAE
A Le bee et la brebis domestique, . toutes
leurs races ou variétés. Ovis aries. À, 198;
PL. I12 20
2. Le mouflon. Ovis ammon. V, 76; X, 112.
3, La brebis s'repsicérus, ou la brebis de Crète.
Obvis strepsiceros. V, 83, 257
{
| RE Pat à Le ile ne a RON 2 a PO
ee DES MAMMIFÈRES. 188
SOIXANTE-UNIÈME GENRE.
a" je : nr ANAL À
| _ BŒUFr. (Bos.)
Cornes permanentes, dirigées latéralement
_et en arrière, et se relevant ensuile en
derri-cercle:
IR |
|
ESPÈCES.
x. Le bœuf et la vache domestique, et toutes leurs
variétés. Bos taurus. 1, 150; VII, 311;
VIII, 135, 146.
2. Le buffle, Bos bubalus. V, 24; VIII, 135,
156.
3. Le bonasus. Bos Bonasus. V, 24.
4. L’aurochs. Bos urus. V, 243; VI{T, 149.
5. Le bison. Bos bison. V, 24 ; VIEIL, 135, 140.
6. Le zébu. Bos Indicus, V, 24, 75; VIII, 135.
.
SEPTIÈME SOUS-DIVISION.
| Un us saboe.
SOLIPÈDES..
QUATORZIÈME ORDRE.
Dents incisives, laniaires et molatires. 1
”
SOIXANTE-DEUXIÈME GENRE,
CHEVAL. (EÆEgquus.)
Six, incisives à chaque mâchoire.
| | ESPÈCES
x. Le cheval et la jument, et leurs variétés. Equus
caballus. 1, 8; VIII, 87.
2. L’âne. Equus asinus. T, 115; VIII, 92. \
Variétés. Le muletet le bardeau. VIII, 5, 66.
3. Lezèbre., Equus zebra. V, 114; VIII, 92, 90.
4. Le czigithai. VIII, 99.
Variété. L’onagre. win, 99-
5. Le koulan. VIII, 1o2.
6. Le kyvagga. Equus quagga. VIIL, 108.
Li
46 OS ani a mag An De
À
DES 'MAMMIFÈRES. 17
SECONDE D IVISION.
Des ailes membraneuses.
MAMMIFÈRES AILÉS.
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
Les pieds de dévant garnis de membranes
_ en forme d'ailes.
CHEIROPTÈRES.
QUINZIÈME ORDRE.
. Dents incisives, laniaires et molaires.
SOIXANTE-TROISIÈME GENRE,
-: CHAUVE-SOURIS. ( F'espertilio.)
‘Avant-bras, bras et quatre des doigts de de-
vant très-alongés; deux ou quatre incisives
supérieures; six ou huilincisivesinférieuTess
‘rsrPÈCEs
x. La chauve-souris. }’espertilio murinus. 1], 208.
Le
ox
2. L oréillar. al chere
erthiie Son M
3. La poctule. Wespertilio noctula. I, 298
4 La s'roine. Fespertilio serotinus. JL, 298...
5. La grinde sérotine de la Guiane. P'eperitie | 4
Gu'ancnsis. XIII, 175. Nan à.
6 La pipistrelle. Fespertilio pipistrellus. IT , 298 1
7. La barbastelle. Fespertilio barbastellus. 1, :
208: de url à
8 Autre chauve-souris de la Guiane. AU ; Lu l
SOIXANTE-QUATRIEME GENRE.
SPECTRE, (Spectrum. )
PSN
Avant-bras.:-bras et quatre des doigts de de-
vant {rès- alongés : deux ou quatre inCisises
supérieures ; quatre incisives inférieures.
{
ESPÈCES.
x. La roussette. Spectrum vampirus. IV, 97-;
XP MTS ;
2. La rougeite. Spectrum rubidum. IN, 573
HART, HA.
DES: MAMMIFÈRES. 189
‘SOIXANTE, CINQUIÈME. GENRE.
RHINOLOPHE. (Rhinolophus. )
Avant-bras, bras et quatre.des doigts de
désant très- -alongés; deux ou quatre inCi=
sives supérieures ; quatre incisives infé-
rieures ; une sorte de créte sur le nez.
ESPÈCES.
x. La chanve-souris. fer- à-chéval. RAïnolophus
__ferrum equinume 11, 206.
2. Laf chauve-souris RE 0 ? Rhinolophus
soricinus. À, LÉ
SOIXANTE- SIXIÈME GENRE.
PHYLLOSTOME. ( Phyllostomus.)
Avant-bras,braset quatre des doigts de desañt
très-alongés ; deux ou quatre incisives su-
périeures; deux ou quatre incisives infé-
rieures; laniaires très-rapprochées du bout
du museau; une membrane en forme de
feuille sur le nez.
ESPÈCES.
4. Le vampire. Phyllosiomus spectrum. 1V, 573
XILL, 177.
LL
Le
4}
me
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CA rs.
“Hasta CA! ET ch à
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NON: VER é x,
“Dents laniaires a rats ke
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SOIXANTESEPTIÈME CENR!
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DES MAMMI Ft CL
Dour -mopte recu ou er Don nn |
TROISIÈME DIVISION. |
Des nageoïr es.
MAMMIFÈRES MARINS.
PREMIÈRE SO oem ON.
Les ., de derrière en for me de nageoires. |
EMPÊTRÉS. g
DIXSEPTIÈEME ORDRE.
Dents incisives, laniaires et molaires.
SOIXANTE-HUITIÈME GENRE,
PHOQUE. (PAoca.)
Tome IX , pages 132, 135.
Six dents incisives supérieures; quatre inCi-
sives inférieures.
Es PÉÈCES.
z. Le grand phoque à museau ridé. Phoca leoninei
VI, 206, 210; IX, 136.
—
Fa
À a. NL phoque à à ventre ‘blanc, laktak 0 s.
Phoca barbata. VI, 2ro3iX, 1h, ER ns
3. Le phoque à capuchon. Phoca’ ‘cristata. IX ; 161 4
4. Le phoque à croissant. Phoca Groentandicæs.
IX, 103.4 x pois
5. Le phoque net-s0ak Phout AE, IX Va
6. Le phoque commun. Phoca Situlina, IX; 17°")
7. L’ours marin. Phoca ursina. IX, 478.
8. Le petit phoque noir. Phoca, pusilla, IX 1 dé.
9e Le Hôn marin: Phoca jette 1x, 202.
+ TT 56 DA TER
SOIXANTENEUVIÈME GENRE.
AY
Mo R S B. Crricheeus.)
Deux dents incisises supérieures : “poinéd'ini
hs
cisives inférieures à grandes laniaires
supérieures ; point de laniaires inférieures.
| i ESPÈCE
“
d” Dé
—, a morse où SPA vache marine. Trichecus rose
marusi N1, 237; 1X, 27.
r r *
:
PL MN APR ENQT | Ta EE
à W: |'4
DES MAMMIFÈRES. 193
&3\
DIX- BUITIÈME ORDRE
Denis Mais e£ molaires.
de du
LA. À
SOIXANTE-DIXIÈME GENRE
DU GON. (Dugong.) —
Deux laniaïressupérieures, droites etcourtes
Fa de laniaires LEA EL |
| ESPÈCE. ANR Les
x. Le dugon. Dugong Tndicus. VI, a
SOIXANTE: ONZIÈME GENRE
LAMANTIN. ( ndtb) y
Tome IX, page 22.
Pieds de berieie el queue entièrement réunis
sous la peau.
ESPÈCES.
1. Le lamantin. Manatus œquatorialis. N1, 257:
2. Le grand lamantin du Kamischatkae Manatus
Borealis. IX, 231.
17
mn”
A TAC NN ET PAR AR
RAM V9) LR MINE NUM EEN OURS
fi a KE # AN
k
94 states ue Mu si
3. Le grand lamantin des. Antilles. Danatus |
australis. IX, 246.
& Le grand SAUTER de là mer des Indes. Mas
natus Indicus. IX, 250. 3
5. Le petitlamantm d° Arabie Manatus minori
AR ST ; nn.
A Le petit lamantin du Sénégal. Manatus Le AS +4
; galensis. IX, 254. F
% k - d !
& DE SD: = DER EEE 5 4 PT RE over ne pen nn tnt n Ernest,
sos AP DITIONS.
AL
Chat sauvage + la el a AS XIV, 15.
C’est le même que le serval. F' elss tanear.
Bizaam. ästela tigrina pe 2
: Le bizaam n’est pas un chat, comme Vosmaër
she © écrit, mais une espèce de marte > selon le
témoiguage de Linné.
Rat de Madagascar. XIV, 60,
Cet animal est un petit écureml, différent de
l’écureuil de Madagascar. Sciurus Madagas-
| cariensis.
Guerlinguets. XIV, 84:
| Les guerlinguets sont des écureuils de la Guiane,
nommés rats de bois par les colons.
A RES Lu
Pa
| DES MAMMIFÈRES #
QUARANTE-UNIÈME GENRE (kbis)-
AYE-AYE. (Ceiromys.)
Deux dents incisives supérieures et deux inci-
sives inférieures très-comprimées:
ESPÈCE.
x. Aye-aye de Madagascar. Cheiromys Mada-
gascariensis. XIV, 92.
DEUXIÈME SOUS-DIVISION.
Point de pieds de derrière.
CÉTACÉES.
Nota. Nous donnerons le tableau des ordres,
genres et espèces renfermés dans cette dernière
sous-division qui termine la classe des MAMMt-
FÈRES, à la fin du volume de l'Histoire naturelle
des cétacées , lequel paroîtra immédiatement après
ceux des poissons.
dx CS #5 ss \°
sde torpaint Leterme
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TABLEAU
| D'ES |
SOUS-CLASSES, DIVISIONS,
SOUS-DIVISIONS, ORDRES
ET GENRES
DES OISEAUX,
Par Le C LACEPÉDE;
Ævco:Vindicotiénies les copèbes
décrites par Buffon, et leur distribution
dans chacun des genres,
ER EF M. DA UP NN:
47
PREMIÈRE SOUS-CLASSE. !
Le bas de la jambe garni de plumes; |
point de doigts entièrement réunis
par une large membrane.
PREMIÈRE DIVISION. .
& À
Deux doigts devant; deux doigtsderrière.
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
Doigts gros et forts.
GRIMPEURS.
PREMIER ORDRE.
Bec crochu.
PREMIER GENRE.
ARA. (Ara.)
Le bec gros et convexe; la mandibule supé--
rieure pointue, recourbée sur l’inférieure,
et mobile ; la langue épaisse, charnue et
arrondie à son extrémité; une plate dénuée
de plumes sur chagie joue.
ESPÈCES.
t: Lara ronge, {ra Macao. XI, 259,
TABLEAU DES OISEAUX. r9g
2. L’ara bleu. ra ararauna. XI, 272.
3. L’ara verd. Æra severus. XI, 274,
4. L’ara noir. 4ra ater. XI, 284.
5. Le petit ara rouge. 4ra aracanga. XI, 259,
6. La perriche ara. {ra makawuanna. XI, 384.
SECOND GENRE.
PERROQUET. (Psitacus.)
Le bec gros et convexe; la mandibule supé-
rieure pointue, recourbée sur l’inférieure,
et mobile; la langue épaisse, charnue et
arrondie ; point de place dénuée de co
sur les joues.
ESPÈCES.
Les kakatoes. XI, 134.
x. Le kakaioe à huppe blanche. Psiftacus cristatus>
XI, 1356.
2. Le kakatoe à huppe jaune. Piitachs ra
reus. XT, +30.
3. Le kakatoe à huppe rouge. Psitiacus rosaceus.
XI, 140.
4. Le petit kakaioe à bec couleur de chair. Pszt-
tacus Philippinarum. XI, 143.
5. Le kakatoe noir. Psitiacus gigas. XI, 145. :
Les perroquets proprement dits. XI, 147.
6. Le jaco, ou perroquet cendré, Psittacis eriz
thacus. À, 140:
L' QU VA UN
NAN
PREANE |
AT
mé “'"TABLEANN Le |
77. Le perroquet verd. Psittacus Sinénsis. xT, : 168, ù
À
8. Le pérroquet varié. Psittacus accipitrinus. É
{
AT, 17027 Re.
0. Le vaza, ou perroquet noir, Psittacus nigere |
ñ -A
X1T 9 172e n
10. Le mascarin. Psittacus mascarinus. XT, 174. 4
z1. Le perroquet à bec couleur de sang. Psittacus
macrorhynchôs. X1, 176. LAN ‘4
x2. Le grand perroquet verd à tête bleue d’ Amboine, ?
Pstitacus gramineus. XI, 177. ;
13. Le perroquet à tête grise. Pszttacus Senegalus.
XI, 178.
a loris. XT, 160.
34. Lelori noira et ses variétés. Psiltacus rhin,
AT, 107 |
25. Le lori à collier. Psrttacus "OUR XI, 166.
26. Le lori tricolor. Psittacus lory. XI, 186.
37. Le lori cramoisi. Psittacus puniceus. XI, 190.
28. Le lori rouge. Psittacus ruber. XI, 197.
29. Le lori rouge eL violet. Psitacus Guebiensis:
XI, 193. |
20. Le grand lori. Rébate grandis. XI, 194
Les loris-perrucbes. XI, 105.
21. Le lori-perruche rouge, Psittacus Borneus.
MILXz06.
22. Le lori-perruche rouge et violet, Psittacus
coccineus. XL, 17e
pot dl 4 |
DES OISE A U X. 20É
23. Le lori-perruche tricolor. Psittacus Amboi-
nensise XI, 108.
Les perruches de l’ancien continent. XI, 199.
24. La grande perruche à collier d’un rouge vif.
Psitiacus Alexandri. X1, 201.
29. La perruche à double collier. Psittacus bitor-
quatus. XT, 204.
26. La perruche à tête rouge. Psittacus Ginginia-
; aus. XT', 205. | |
27e TASER tête bleue, Psiftacus cyano-
cephalus. XL, 206.
29. La perruche lori. Psitiacus ornatus, X1 , 207.
29. La perruche jaune. Psittacus solstitialis. XT,
209.
30. La perruche à iête d'azur. Psittacus Indicus.
KE, 22:
31. Laperruche souris. Psiitacus murinus, XI,211.
32." a perruche à moustaches. Psitiacus Pondi-
cerianus. XY,, ATX
33. La perruche à face bleue. Psittacus hæma-
i0des. KE. 214.
34. La perruche aux ailes chamarrées. Psittacus
olivaceus. X1, 216.
35. La perruche à collier couleur de rose. Psitla-
cus Alexandri, Voyez n° 24, XI, 218.
36. La grande perruche à longs brins. Psittacus
erÿthrocephalus. XI, 224.
202 -TABLEAU :
37. La perruche à ailes rougeâtres. Psittacis eus
patria. XI, 226.
38. La perruche à gorge rouge. Psittécus. incar=
natus. XI, 227. | 4
39- La perruche à bandeau noir. Duval atrie.
capillus. XI, 226.
40. La perruche verte et rouge. Psitiacus J ApO=
nieus. XI, 230.
41. La So a A 7 Peltake Pr OU 232.
Les perruches à courte queue de l’ancien con-
tinent, XE, 234.
42. La perruche à tête bleue. Psittacus galgulus.
XI, 236.
43. La perruche à tête rouge, ou moineau de
Guinée. Psittacus pullartus. XI, 238.
44. La perruche coulacissi. Psitiacus éalguluss
Voyez n° 42, XII, 243.
45. La perruche aux rie d'or. Psitiacus chry-
- sopterus. XI, 245. 34
46. La perruche à tête grise. Psifiacus canus.
XI, 247. ù
47. La perruche aux ailes variées. Pszttacus me-
lanopterus. XI, 248.
48. La perruche aux Fes bleues. Psitlacus Capen-
Hi AT, 290.
49. La perruche à collier, Paitiaeus torquatuse
XI, 251.
si
À
DES OISEAUX. 208
So. La perruche à ailes noires. Psittacus minor.
: XI, 252.
5r. L’arimanon. Psitiacus Taïtianus. XI, 254.
Les perroquets du nouveau continent. XT, 2564
Amazones et criks. XI, 286.
Les perroquets amazones. XI, 203.
52. L'amazone à tête Jaune, et ses variétés. Psit=
lacus amazonicus. XI, 294 ; 206.
53. Le tarabé, ou amazone à tête rouge. Psittacus
tarabe. XI, 290.
54. L’amazone à tête blanche. Psittacus leuco=
cephalus. XI, 300.
55. L’amazone jaune, ou perroquet d'or. Psiftacus
aurora. XI, 303.
56. L’aourou-couraou, et ses variétés. Psittacus
æstious. XI, 304.
Les criks. XI, 3ro.
57. Le crik à tête et à gorge jaunes. Fans
| ochropterus. XI, 317. por
b8. Le meunier , ou ce poudré. Psitiacus pul=
| perulentus. X1, 315, | | 7
59. Le crik rouge et bleu. Psiftacus cæruleo<
cephalus. X1, 317. |
60. Le crik à face bleue. Psitiacus Havanensis:
XI, 319.
6x. Le crik à tête bleue, et ses variétés. Psitiacus
autumnalis, XI, 323
204 (D TABLEAU.
. 64. Le papegai de paradis. Priahs paradisis. 4
62. Lecrik, etses variétés, Psittacus ap. sn 3 204 s |
rer papegais. Ur 335 0 El
XI, 332,
65. Le papegai maillé. Pinus Ycbioulais XF,
334.
66. Le. tavoua. Psittacus festivus. XI, 336 Fa
67. Le papegai à bandeau rouges Psitiacus Do
minicenstise XI, 338. ES
68, Le papegai à ventre Eden 4 El
MER ia 3$q TS
ji
dj: SCA A
menstruus. XI, 340.
mo. Le sassebé. Psittacus collarius. XI, TE
71. Le papegai violet. Psittiaous purpureus. XI;
342. à
72. Le papegai brun. Psitiacus sordidus. XT, 3454
73. Le papegai à tête aurore. Psittacus auroras
XI, 346.
74. Le paragua. Psitiacus paraguanus. XI 347
Les perriches. XT, 349,
75. Le maïipouri. Psittacus melanocephalus. X1,
350. »
76. Le caica. Psittacus caïca. XI, 394e
DES OISEAUX. 205
Les perriches du nouveau continent. XI, 356:
77. La perriche pavouane. Psitlacus Guianensiss
XI, 357.
76. La pesétiié à gorge brune. Psitacus æriigis cr
nosus. XI, 360.
79- La perriche à gorge variée, Psittacus persicolor:
XI, 367. à
60. La perriche à à ailes variées, Psittacus virescensà
Al. 309.
8r. L’anaca. Psittacus anaca. XI, 365.
82. Le jendaya. Psiitacus jendaya. XI, 367.
83. La perriche émeraude. Psitlacus smaragdinuss
XI, 368.
84 Le sincialo: Psittacus rufirostriss XI, 370:
85. La perriche à front rouge. Psitiacus canicu-
laris. XI, 373.
86. L’aputé-juba. Psitiacus pertinax. XI, 379:
67. La perriche couronnée d’or. Psittacus Brasi-
Es INA, 377: |
88. Le guarouba, ou perriche jaune. Psitiacus Zum
teus. XI, 379.
A
89. La perriche à tête jaune. FT Le 1CterOCE<
phalus. XI, 381.
Les touis > ou perriches à courte queue. XT, 386:
90. Le ioui à gorge jaune. Psittacus tout. XT, 3664
gx. Le sosové. Psittacus sosope. XI, 369,
15
LE
FOOD SAN NUE
sé 7TarLERU \4
02. -Le tiricae Psittacus tirica. XI, 3090. | 4
93. L'été, ou toui-été, Psittacus RSA XI; À
392. À
| 94. Le toui à tête d’or. Psitacus fus. AE Lt -
DEUXIÈME ORDRE. ‘4
Bec AAA 4
TROISIÈME GENRE.
FOUCAN, € Ramphastos.)
Le bec convexe, très-léger, très-mèince , el
plus re que la téte.
sPÈCES.
Tr. Le toco. M 1oco. XIII, 356.
2. Le toucan à gorge jaune, Bamphastos dicolorus.,
XIII, 356.
3. Le toucan à ventre rouge. Ramphastos re
XIII, 362.
4. Le ne Ramphastos torquatus. XIII , 364: +
5. Lehochicat. Ramphastos pavoninus. XIE, 366.
_ Les aracaris. XIIT, 367. |
6. Le grigri. Ramphastos viridis. XIII, 368. |
7. Lekoulik, Ramphastos piperiporus. XL , 37x:
DES, OISEAU X. 207
8. L’aracari à bec noir. Ramphastos luteus. XIII,
373.
9. L’aracari bleu. Ramphastos cæruleus. XIIT,
LL | AUTRE | |
QUATRIÈME GENRE.
couroucou. (Trogon)
Le bec court, plus large que haut, entouré &
sa base de soies plus ou moins nombreuses ;
le tarse court, et recouvert en partie de
plumes. |
ESPÈCES.
+. Le couroucou à ventre rouge. Aro curucut.
XII, 7.
2. Le courouvou à venire jaune. Trogon viridiss
3. Le couroucou à chaperon viélet. Trogon viol =
ceus, XII, 16.
CINQUIÈME GENRE.
TOURACO. (Touraco.)
Le bec plus court que la téte, et dénué de
suies à sa base.
ESPÈCE.
3. Letouraco. Touraco Persa. (Cuculus id. Linn.)
XII, 25. :
AMEL AND A PEU TN VO Cr I NON CURE
A LA pt A de A 1 PTT
; #
208 . TA BLE AU
TROISIÈME ORDRE
à Bec échancré.
\
STXLÈME GENRES
BARBU. (Bucco.)
Le bec gros, pointu, comprimé, fendu jus-
qu’au dessous des yeux, et garni à sa base
de soies grosses et roides.
ESPÈCES.
Les tamatias.
7. Le tamatia. Bucco tamatia. XIII, 320.
. Le tamatia à tête et gorge rouges. Bucco Caya=
_nensis. XIII, 323.
3. Le tamatia à collier. Bucco collaris. XITT, 325.
4. Le beau tamatia. Bucco Maynanensis. XII,
ns er. |
. Le tamatia noir. Bucco macrorhynchos. XIIT,
326.
. Le tamatia blanc. Bucco melanoleucos. XIIT;
320:
DES OISEAUX. 209
Les barbus. XIII, 330. l
7. Le barbu à gorge jaune, Bucco no pen
| XIII, 332.
©. Le Barbh à à gorsenoire, Bucconiger. XIII, 333.
g. Le barbu à plastron noir. Bucco capitis Bonæ-
Spei. XIII, 335.
10. Le petit barbu. Bucco parvus. LIT, 5974
11. Le grand barbu. Bucco grandis. XIII » 339°
12. Le barbu verd. Bucce viridis. XIII, p
13. Le barbican. Bucco dubius. XIIL, 377.
QUATRIÈME ORDRE.
Bec droit et comprimé.
SEPTIÈME GENRE.
JACAMAR. (Galbula.)
La langue courte.
ESP ÈCES.
1. Le jacamar proprement dit. Galbula DiridiSe
XIV, 119.
2, Le jacamar à longue queue. Galbula paradisea.
XIV, 1217.
18
LAVE à ATY AE, TA e y ROMEO
: ; h Ne ten a an lat
20 TABLEAU
HUITIÉÈME GENRE.
F1 (Picus. }
La langue très-longue, extensible, ronde ef
garnie à #0n extrémilé de petites pointes
recourbées en arrière.
ESPÈCES.
x. Le pic verd. Picus viridis, XIIT, 206.
2. Le palalaca, où grand pic verd des Philippines.
Picus palalaca. XIII, 227.
3. Le palalaca, ou pic verd tacheté des Philippines.
Picus Philippinarum. XIII, 223. Ê
4 Le pic verd de Goa. Picus Goensis. XIIT , 225.
5. Le pic verd de Bengale. Fès Bengalensis.
XIII, 227.
6. Le goertan, ou pic verd du Sénépal. Picus
goertan. XIII, 220.
7. Le petit pic rayé du Sénégal. Picus Senega-
lensis. XIII, 230.
8. Le pic à tête grise du cap de Bonne aécane:
Picus Capensis. XIII, 237.
9. Le pic rayé de su D ee. Picus striatus,
LIT, 232,
10. Le petit pic olive de Saint-Domingue. Picus
_passerinus. XIIF, 234.
41. Le grand pic rayé de Cayenne. Picus mele-
nochioros. XIII, 236.
J 2.
33.
34.
19.
16.
17.
16.
19.
20.
217.
22°
LR À
24.
29.
26.
DES OISEAUX. 211
Le petit pic rayé de Cayenne. Picus Caya-
nensis. XIIT, 238. 4
Le pic jaune de Cayenne. Picus flavicans.
XIII, 240.
Le pic Rd Picus CIN AMOMEUS. XIIT >
243. :
Le pic à cravate noire. Picus multicolor.
XIIL, 244.
Le pic roux. Picus rufus. XIII, 246.
Le petit pic à gorge jaune. Picus icteroce-
phalus. XITIT, 247. |
Le irès-petit pic de Cayenne. Picus minutis-
simus. XIII, 246.
Le pic aux aïles dorées, Picus auratus. XIIT,
290.
Le pic noir. Picus martius. XIII, 253.
Le grand pic noir à bec blanc. Picus prin-
_ cipalis. XIII, 259
Le pic noir à huppe rouge. Picus Lis
XIII, 262.
L’ouantou, ou pic noir huppé de Done
Picus lineatus. XIII, 265.
Le pic à cou rouge. Pa niger. XIII, 268.
Le petit pic noir. Picus hirundinaceus. XIE,
270.
Le pic noïr à domino rouge. Pieus erÿthra=
eephalus, XIIT, 272.
2x2 TABLEAU
27. L’épeiche, ou pic varié. Picus medius. XITT;
ey4
26. Le petit épeiche. Picus minor. XII, 280.
20. L'épeiche de Nubie, ondé et tacheté. Picus
| Nubicous. XIIT, 283.
30. Le grand pic varié de l’île de Lucon. Pitié
cœrdinalis. XIIT, 285.
31. Le petit épeiche but des îles Moluiques.
Picus Moluccensis. XIII, 287.
32. L’épeiche du Canada. Picus Canadensis.
XIII, 288.
33. E'bisieue du Mexique. Picus tricolor. XIIL,
290.
34. L’épeiche où pic varié de la Jamaïque. Picus
Carolinus. XIIT, 292.
Variété. L’épeiche où pic râyé de la Loui-
siane. XIII, 294. | |
35. L’épeiche ou de varié de la Encénada. Picus
variegatus. XIIT, 296.
36. L’épeiche ou pic chevelu de Virgime. Picus
villosus. XIIT, 297: |
37. L’épeiche ou petit pic varié de Virginie.
Picus pubescens. X\IT, 299.
38. L’épeiche ou pic varié de " Caroline. Picus
varius. XIIT, 300.
39. L'épeiche ou pic varié ondé, Picus undatwuss.
XHI, 302..
: Pa ( ÿ
A °
DES OISEAU X. 213
CINQUIÈME ORDRE.
Bec très-court.
NEUVIÈME GENRE.
TORCOZ (Yunx.)
La langue très-longue, ronde, mince, et
garnie de petites poinies à son extrémité.
SP EC
T. Le torcol. Funx torquilla. XIII, 309.
SIXIÈME ORDRE.
Bec arqué..
DIXIÈME GENRE
coucou. (Cuculus.)
La langue longue et pointue; les ouvertures
des narines entourées d'un rebord saillant.
ESPECES; ti
zx, Le coucou proprement dit, et ses variétés, Cu-
culus canorus. XIF, 31, 92.-
ve)
P
214 -'T À B L EAU
2. Le grand coucou tacheté. Cuculus glandarius.
XII, 105.
3, Le coucou huppé noir et blanc. Cuculus Pisa-
nus. XII, 107. |
4. Le coucou verdôtre de Madagascar. Cuculus
Madagascariensis. XIT, 108.
5. Le coua. Cuculus cristatus. XIL, tio,
6. Le houhou d'Égypte. Cuculus Ægyptius. XI,
112.
4
7. Le rufalbin, Cuculus Senegalensis. XIT, 116.
8. Le bouisallick. Cuculus No quil à Ft ;
116.
9. Le coucou re de Mindanao. A à Min
| danensis. XII, 120.
10. Le cuil. Cuculus honoratus. XII, 121.
11. Le coucou brun varié de noir, Cuculus Tai
\ tensis, XIE, 123.
12. Le coucou brun piqueté de roux. Caculus
punciatus. XIE, 124.
13. Le coucou tacheté de la Chine. Cuculus ma-
culatus. XII, 126.
34. Le coucon bran et jaune à ventre rayé. Cucu-
lus radiatus. XIF, 127. |
15. Le jacobin huppé de la côte de Chr
Cuculus melanoleucos. XII, 126.
16. Le petit coucou à tête grise et venire jaunes
Cuculus flavus. RIT, 130
% T0
DES OISEAUX. 215
+ Les coukeels, XII, 137. 1 PA ER
x7. Le coucou verd doré et blanc. Cuculus auraluss
XIT, We orr |
16. Le coucou à longs brins, Cuculus longipennis
MIS, 130.
x9. Le coucou huppé à éoltiér: Cuculus Coromañ-
dus. XII, 137.
‘20. Le san-hia de la Chine. Ciculus safe AT
139.
21. Le tait-sou, ou coucou bleu. Cuculus Jait-sou.
XII, 141.
22. Lecoucou indicateur. Cuculus indicator. xII,
j 142.
23. Le vourou-driou. Cuculus Afer. xIT, 146.
24 Le coucou vieillard, ou l’oiseau de pluie.
Cuculus pluvialis. XII, 140.
25. Le vieillard à ailes rousses. Cuculus Ameri=
canus. XIL, 149: |
26. Le petit vicillard, où coucou des palétuviers.
Cuculus seniculus. XIL, +40.
27. Le tacco. Cuculus vetula. XII, 153.
28. Le guira-canthara. Cuculus guira. XIT, 159:
29. Le quapactol , ou le rieur. Cuculus ridibundus.
XII, 160.
30. Le coucou cornu, ou l’atingacu du Brésil,
Cuculus cornutus. XITL, 161.
31. Le coucou brun varié de roux. Cuculus va«
riegatus, XIL, 163.
46 .. TABLE
J
32. Le cendrillard.. Cuculus Domiaitts AU ù
165.
4 D" e coucou piaye. Cuculus Ces XII, 166.
34. Le coucou noir de Caÿenne, Cuculus 1ran—
quillus. XII ; 169.
é
À
1
35. Le petit coucou noir de Cayenne. Cuculus
tenebrosus. XIL, 170.
36. Le couroucoucou. Cho Brasiliensis. XII,
ET)
ONZIÈME GENRE.
AUN.I. (Crotophaga.).. |
UueI%
La mandibule supérieure rès-comprimée, el
relevée en carène,
ESPÈCES.
x. L’ani pe savanes. Crotophaga ant. XII, di,
2. L’ani des palétuviers, Crotophaga major. XH,
170.
dt d' BE ET AE ,: | NN À
À CET i
ai * AUS CO PS NOTE
{ PEUT 7
F2
DES OTS AUX. ler
SECONDE DIVISION.
Trois doigts devant; un doigt ou point
de doigt derrière.
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
Ongles forts et très-crocus. k
‘OISEAUX DE PROIE.
Tome I, page TITI.
SEPTIÈME ORDRE.
Bec crochu.
DOUZIÈME GENRE.
VAUTOUR (Fauliur.).
Tome ï, page 206.
Le bec crochu seulement à l'extrémité; la
téte ou le cou dénués de plumes eu tout ou
en partie, et pouvant Se relirer dans un
collier de longues plurnes.
ESPÈCES.
x. Le percnoptère. F’ultur Alpinus. Briss. L, 213.
Quadrupèdes, XIV: 19
Je. PT À Et
\ ILNUTE 5/0 ï
CAS 1 ane AU,
ot J CU
LS TABLEAU
2 Le griffon. Vultur fulous. I, 216.
3. Le vautour, ou grand Yautour. Vuliur cinéreuss
F, 223. Ve
4., Le vautour à aigrettes. 77: nie cristatus.T, np6 :
5. Le petit vautour. Z'ultur leucocephalos. T, 23r.
6. Le vautour de Malte, ou brun. 4 ultur ie
TL, 2m
7, Le vautour PARU 4 Ubu ; perenpterus
1205
8. Le roi des vautours. f’ultur papa. I, 238.
9. L’urubu. 7 yliuyr aura. IL, 244.
10. Le condor. Vultur gryphus. F), 25%
TREIZIÈME GENRE.
AIGLE. (Æquila.)
Le bec crochu à lextrémité; la téte plate
en dessus, et garnie de plumes; la base du
bec recouverte d’une peau molle ou cire;
les ailes très-longues; la première penne
de l’aile très-courte; le 1arse court, gros,
ei garni de plumes en tout ou en partie.
ESPÈCES. |
r. Le grand aigle. ÆAguila chrysætos. À, 23%
2. L’aigle commun. Æquila fulva. 1, 142.
3. Le petit aigle. Æquila nœyia. 1, 746.
DES OÉ SE AUX." 219
4. Le pygargue. Aguila albicilla. X, 255
5. Le balbuzard. Aquila haliætus. L, 16002.
6. L’orfraie. Æguila ossifragas 1, 170.
7. Le jean-le*blanc. -Æquila Latich L, 184.
8. L’aigle des grandes Indes. Æquila Pontice=.
riana. 1, 107. ‘
9. Le petit aigle d'Amérique. SoHEe AIT.
FE, 206.
10. Le Éalbbesve de la Caroline. Due Carolina
I, 197.
11. Le mansfeni. ÆAquila Antillarum. X, 206.
QUATORZIÈME GENRE.
AUTOUR. (Astur.)
Le bec crochu à l’extrémité; la tête plate
en dessus, et garnie de plumes; la base
du bec récousérte d'une cire; les ailes
courtes; la première penne de l’aile très-
courte; le tarse long.
ESPÈCES.
7, L’autour proprement dit, et ses variétés. Æstur
palumbarius. 1, 306.
2. L’autour blond. Æ$tur badius. TL, 314
3. Le petit autour de Cayenne. Æsfür Cayanensis
I, 314
220 TA BTE AM
QUINZIÈME GENRE.
ÉPERVIER. CWisus.) + L.:
Le bec courbé dès la base; a tête plate er!
dessus, et garnie de plumes; la base du
bec recouverte d’une cire : les ailes courtes;
la première penne de l'aile très- -Courte; le
larse long. | À
ÉSRÉCERS.
x. L'épervier proprement dit, et ses variétés.
Nisus vulgaris. T, 42, 44, 148, 303; II ; 36.
2, L'épervier des pigeons. Misus. Me.
I, 42, 44, 148, 303: II, 36.
3. L'épervier à gros bec de Cayenne. Wisus magnt-
rostrise l, 314.
SEIZIÈME GENRE.
BUSE. (Buteo.).
Le bec courbé dès la base; la téte plate en
dessus, et garnie de plumes; la base'du
bec recouverte d’une cire; les ailes très-
longues; la première penne de l'aile très-
courte; le tarse gros et court.
1 . VS ŒONEIRE
x. Labuscetsesvarictés. Buteovulgaris.[,0x, 268.
2. La buse cendrée d’Edyvards. Butea' cinereuss
J, 296; IT, 105.
DES OISEAUX. 22%
3. La hondrée. Butco apivorus L., 2684 4
D'IX- SEPTIÈME GENRE.
BÜSARD.. ( Circus.) …
à bec courbé dès la base; la téte plate en
dessus, et garnie de plumes; la base du
bec recouserte d’une cire; les ailes 1rès-
longues; la première penne de l’aile très-
courte; le tarse long et gréle.
ESPÈCES.
1. Le busard et ses variétés. Circus œruginosus.
FE 203:
2. onde Saint-Martin. Crnst cyaneus. “ 204.
3. La soubuse. Circus pygargus. 1, 204, 200.
4 Laharpaye ,ou busard roux. Circus rufus. 1,295.
DIX-HUITIÈME GENRE:
MILAN. (Miluus.)
Le bec courbé dès la base; la téte plate en
dessus, et garnie de plumes; la base du bec
recouverte d'une cire; les ailestrés-longues;
la première penne de Paile très-courte; le
tarse court et foible. |
ESPÈCES.
3. Le milan proprement dit Milous Pr
a D ni oc ARE
52 OX PO EUE à
2. Le milan de la C: arolme. - Mlous ares Dé
ÆjMer8 , BJOÏ
8. Le it noir ouétoilé. Milous ater. . 274, Le.
Je crois qué le milah noir ést un jeune du niièn |
proprement dit.
\
:
#
È
DIX-NEUVIÈME GENRE.
FAUCON. ( Falco.)
Le bec courbé dès la basé; La tête plate en
- dessus, et garhié de plumes; la basé di
bec recouverte d’une cire; Les ailes très-
longues; la première penné de l’atlé très-
longue; le tarse court et fort.
ESPÈCES.
x. Le faucon et ses variétés. Falco communs. IT ;1.
Le faucon d'Islande. II, 24.
Le faucon noir. II, 24.
Le faucon rouge des [ndes orientales: IT, 27.
2, Le faucon huppé des Indéss Falco cirratus.
IT, 26. À
3. Le ianas. Falco piscator. 11, 31.
4. Le gerfaut. Falco gyrfalco. T, 317.
5. Le lanier. Falco lanarius. 1, 322.
6. Le sacre. Falco sacer: 1, 325.
7. Le hobereau. Falco subbuteo. IT, 33.
DES'OISÉE AU X. 223
8. La crécerelle. Falco tinnuñculus. I, dm
9- Le rochier. Falco lithofalco. Il, 44.
16. 1 ’émérillon. Falco æsalon. 1, 217; IT, 36, 46.
11. L'émérillon des naturalistes. 11, 49.
VINGTIÈME GENRE.
CHOUETTE. CStrix.)
Lé bec courbé dès la base, et dérud de cire :
la téte applatie de devant en arrière; les
yeux entourés de plumes fines et rois
les tarses, et quelquefois les doigts, coù-
veris de plumes.
ESPÈCES. Pire
1. Le düc, ou grand duc. Szrix bubo. II, 100.
2. Le hibou, ou moyen duc. Sfrix otus. IT, 110.
3. Le scops, ou petit duc: Strix scops. II, 123.
4. La bulotte. Strix aluco. IT, 127.
5. Le chat-huant. Strix stridula. 11, 137.
0. L’effraie , où frésaie. Sérix flèrnmea. IT 3 135.
7. La chouette , ou la grande chevêche. Six ulula,
II, 142.
8. Le duc cabure. Strix Brasiliana. 1l, 155.
g- Le harfang. Sfrix nyctea. Il, 160,
10. Le chat-huant de Cayenne. Shriz Cayanensis.
II, 165.
MMS 4. A, SOUS PAS NETLe Lente pur
: DEN PANONUS Fay Fab à 1
#4 TA BLEAM :
TI. La chouette, ou grande clievèche de nr a :
Sirix funerea. IL, 166... Ho 1 00 4
12. La chouette, ou grande chevéches de Saiut+
Domingue. Sirix Dorninicensis. Il, 167.: :
DEUXIÈME SOUS-DIVISION.
Ongles peu tee doigts extérieurs libres,
ou unis seulement le long de la première
phalange.
PASSERE À U X.
HUITIÈEME ORDRE.
Bec dentfele.
VINGT-UNIÈME GENRE.
PHYTOTOME. (Phytotoma.)
Le bec droit et conique; la langue courte
et non pointue.
ESPÈCE.
3. Le guifso balito. Phytotoma Aid 6 VI:
a <
DES OISEAUX. 225
NEUVIÈME ORDRE.
Bec échancreé.
VINGT-DEUXIÈME GENRE.
PIE-GRIÈCHE. (Lanius.).
Tome II, page 53.
L'échancrure du bec très-sensible; le becun
peu comprimé; la mandibule supérieure
un peu crochue vers le bout,
ESPÈCES
1. La pie-grièche grise. Lanius excubitor: Il, 56.
2..La pie-srièche rousse. Lanius rufus. IL, 62.
3. L’écorcheur. Lanius collurio. 11, 65.
pra Le fingah. Lanius cærulescens. 11, 60.
5. Le rouge-queue. Lanius emeria. Il, 71.
6. Le langraien. Lanius leucorhynchos. IL, 72.
7. Le tcha-chert. Lanius viridis. II, 72.
9. La pie-grièche grise de la Louisiane, Lanivs
Carolinus. IT, 69
26 TABLEAU
VINGT-TROISIÈME GENRE.
D: YRA Ne (Tyrannus. 1"
Tome VIIT, page 269.
Le bec long, droit, et garni de soies à sa base. |
ESPÈCES.
Les 1yrañs.
1. Le titiri ou pipiri. T'yrannus pipini. VIT, 277.
2. Le tÿran de la Caroline. Tyrannus Carolinus.
VIII, 277.
3. Le bentaveo ou le cuiriri. Ve ptet
VIII, 2709.
4. Le tyran de Le CAE T'yrännus foros. Lo
281.
5. Le caudec. Tyrannus audaz. VIII, 283.
6. Le tyran de la Louisiane. Tyrannus Ludo-
vicianus. VIIL, 265.
#7. Le drongo. HE pholrtl forficatus. VIIT, um.
8. Le piauhau. Tyrarinus rubricollis. VIII, 292.
Je regarde le piaubau comme unñé espèce de
cotinga.
Les bécardes. II, 73.
9. La bécarde grise. T'yrannus Cayanus. II, 73.
xo. La bécarde tachetée. T'yrannus nævius. IT, 73.
gr. La bécarde à ventre jaune. Tyrannus sulfim w
ratus, Î1, 74.
DES OISEAUX. 2277
12. Le vanga, ou bécarde à ventre blanc. T'yrannus,
curoirostris. Il, 75.
13. La pie-grièche huppée. T'yrqnnus Cancdensiss
Il, 79.
14. Le savana. Tyrannus savana. VIII, AE. : À
VINGT-QUATRIÈME GENRE.
GOBE-MOUCHE. (Muscicapa. )
Tome VIII, page 169.
- Le bec court, droit, et ga ‘ni de soies à sa base.
ESP È C ES.
1. Le gobe-mouche, Muscicapa grisola. VIII, 193.
2. Le gobe-mouche noir à collier, ou gobe-mouche de :
Lorraine. Macon VIII, 196+
3. Le gobe-mouche de l’île-de-France. Muscicapa
undulata. VIII, 205.
4. Le gobe-mouche à bandeau blanc du Sénégal.
_ Muscicapa Senegalensis. VIIT, 207.
. Le gobe-mouche huppé du Sénégal. Jhuscape
cristata. VIil, 210.
6. Le gobe - mouche à gorge brune du Sénégal.
Muscicapa collaris. VIIT, 214.
. Le petit azur, ou gobe-mouche bleu des Phi-
lippines. Musc'capa cærulea. VIT, 216.
8. Le barbichon de Cayenne, Muscicapa barbate
VIIT, 216. |
Cd |
SI
! FAO
228 : TABLEAU
9. Le gobe-mouche brun de Cayenne: Muscicapa |
fuliginosa. VIIT, 225. (4
10. Le gobe-mouche roux à poitrine orangée de “
Cayenne. Muscicapa rufescens. VIII, 223.
11. Le gobe-mouche citrin de la Loüisiane. Mus-
cicapa citrina. VIII, 224. :
12. Le gobe-mouche olive de la Jamaïque et de L de
Caroline. Muscicapa olivacea. VIIT, 225.
13. Le gobe-mouche huppé de la Marti
Muscicapa artinica. VIII, 227. |
14. Le gobe-mouche noirâûtre de la Caroline.
Musvicapa fusca. VIII, 229.
35. Le gillit, ou gobe-mouche pie de Cayenne.
Muscicapa Bicolor. VIIT, 220.
16. Le gobe-mouche brun de la Caroline. Mus-
cicapa virens. VIIL, 237.
17. Le gobe-mouche olive de Cayenne. Muscicapa
agilise VIII, 232.
16. Le gobe-mouche tacheté de Cayenne. Musci-
capa virgata. VIII, 233.
19. Le petit noir-aurore, gobe-mouche d'A mé-
rique. Muscicapa ruticilla. NIIT, 235.
20, Le rubin, ou gobe-mouche huppé de la rivière
des À mazones. Muscicapa coronata. VIII,
237.
21. Le gohe-mouche roux de Cayenne. Muscicapæ
rufescens. VIII, 230.
DES OISEAU X: 229
22, Le gobe-mouche à ventre jaune. Muscicapa
Cayanensis. VIII, 241. |
23. Le roi des gobe- mouches, 7HRSCreapa rer
VIII, 243.
24, Le gobe - moucheron. re minutai
VIIT, 245.
25. Le néberaiNS Mrs pygmée. Muscicapa PIS
mæas VIII, 247.
VINGT-CINQUIÈME GENRE:
MOUCHEROLLE. (Muscisora.)
Tome VIII, page 240.
Le bec court, déprimé, droit, et garni de
soies à sa base. ;
ESPÈCES.
Les moucherolles. |
1, Le moucherolle huppé à tête ae dar.
poli. Muscivora Paradisi. VIT, 253.
2. Le moucherolle de Virginie. Muscivcra Caro-
linensis. VIII, 257.
3. Le moucherolle brun de la Martinique. Musci-
vora petechia. VIII, 250.
4. Le moucherolle à queue fourchue du Mexique,
Muscivora forficata. VIIT, 260.
5, Le moucherelle des Philippines. Muscivor&
Philippensis. VIIT, 262.
20
5. TASER
230. TABLE AU
6. Le Hs heraile de Virginie à huppe verte
Muscivora crinita. VIII, 263,
7. Le kinki-manou de Madagascar. Musoivort
cana. VIII, 286.
8. Le preneur Le mouches rouge. Mussionæ
æstiva. VIII, n
. Les schets.
g+ Le schet-bé. Muscivora rufa. IT, 75.
10, Le schet de Madagascar, Muscivora mutatai |
VIII, 265.
11. Le icha- UDbE Muscivora leucocephala.
Il, 76. |
12. Le gonolek. Musciyora MES II, 77
13. Le cali-calic et le bruia. Muscivora Mada=
gascariensis. Il, 76.
VINGT-SIXIÈME GENRE.
| "MERLE. (Turdus.)
Le bec comprimé au moins près de sa base.
ESPÈCES.
1. La grive. Turdus musicus. V, 330, 3484
2. La grive de la Guiane. Turdus Guisnentite
ONE 358.
3. La grivette d'Amérique. T'urdus mins 359.
4. Le rousserolle. T'urdus grundinaceus. V, 363,
DES OISÉAUX. 233
5. La draine, et ses variétés, T'urdus viscivorus.
NV ;.306, 492
6. La htorne , et ses variétés. Türdus pilaris:
mi La bise. de Gus Tirdus Cayanus.
V, 380.
8. La litorne du Canada. T'urdus RÉSRAAUS
V, 38r.
g- Le mauvis. Turdus Had. V, 383.
10, La grive bassette de Barbarie. T'urdus Ed
Baricus. V, 388.
11. Le tilly, ou grive cendrée d'Amérique. T'urdus
plumbeus. V, 390.
32. La petite grive des Phihppines. Turdus Phi
lippensis. V, 302. |
13. L’hoamy de la Chine. T'urdus Siñensis.NV, 302 |
34. La grivette de Saint-Domingue. 7 urdus au-
rocapillus. V, 393. k
x5. Le petit merle huppé de la Chine. FRNUE
jocosuss V, 395: %°
Les moqueurs. V, 397.
36. Le moqueur francais. Turdus rufus. N, 401.
37. Le moqueur. T'urdus polyglotlus, V, 403.
Les merles.
z8. Le merle, ét ses variétés. T'urdus merulas
VI, 5, 14.
ED 4 ‘ ll 1} D FT EMEN
LHEMUS ! ï Ka 12 7 P'NDOE ur TU
4 ARR Lo CIN
23 TABLEAU
19. Le merle à plastron blanc, et ses variétés. A
T'urdus torquatus, VI, 16, 23.
20. Le merle couleur de rose. Turdus rOSeus:
4 PA. e
21. Le merle de roche, AT je VI, 31
22. Le merle bleu. Turdus cyaneus. VI, 35.
23. Le merle solitaire. Turdus solitarius. VI ; 39e |
24. Le merle sulitaire de Manille. Turdus Ma-
. néllensis. NE, 46.
25. Le merle solitaire des Philippines. Turdus
eremila, NI, 46.
26. Le jaunoir da cap de Bonne-Espérance. Turdus
morio. VI, 50...
27. Le merle huppé de la Chine. T'urdus crista=
tellus. VI, 57.
28. Le podobé du Sénégal. Turdus Men
NES 53.
29. Le Abe de la Chine. Turdus perspicillatus.
VL,:45 :
30. Le rh doré, ou merle à longue queue du
Sénégal. Turdus æneus. NI, 55.
31. Le merle verd d'Angola. T'urdus pitt
WE, 00.
32. Le merle violet de De sh dore auratils:
VI, 6x.
33. Le plastron noir de pi vif Turdus Ceylanuss
VI, 62.
FE
PE, ev ee
DR ST Te. 5 T
DES OISEAUX. 233
34 L’oranverd, ou merle à ventre orangé du Sé-
négal, Pts chrysogaster. VI, 66.
Le fer-à-cheval , ou merle à ‘collier d’Amé-
rique, VI, 57. C’est l’étourneau stourne.
35. L’oranbleu. VI, 67. à
36. Le merle brun un cap de Bonne-Espérance.
Turdus bicolor. VI, 68.
37. Le baniahbou du Bengale. Turdus canorus:
VI, 66.
38. L’ourovang, où merle cendré de Madagascar:
Turdus ourovang: VI, 7o..
39. Le merle des colombiers. T'urdus columbinus.
VI, 71. 2:
40. Le merle olive du cap de: Fonne-Espérance.
Turdus olivaceus. N1, 72.
4t. Le merle à gorge noire de Suint-Demingue.
Turdus ater. NI, 73. ï
42. Le merle du Canada. Türdus Canadensis.
VI, 70.
43. Le merle olive des. Indes. Turdus Tndious.
VI, 76.
44, Le merle cendré des Indes. T urdus cineras-
censa V1, 77.
49. Le merle brun du Sénégal. Turdus Senega-
lensis. VI, 76.
46. Le tanaombé, ou merle de Ms be 4
Madagascariensis. VE, 79e
2Q
—_
% RUV : PUR M Lin pie
l ax Le 1 {
rl A RE
234 TABTE AUS. |
47- Le merle de Mindänaos Turdus Mindanénsiè » : b.
VL, 8o. ‘1
48. Le ta verd de l’île de Phsro Tandis Mau-
ritianus. VI, 63. |
49. Le casque noir, ou merlé à tête noire dà cap
de D Turdus atricapillus.
VI, 632,
5o. Le Len cap de Biub-Eupétéinel Turdus
) Capensis. VI, 85.
51. Le mérle bruñ de la Jamaïque. Turdus léu-
cogenuss VI, 87x
52. Le nierle à crävate de Cayenne. VE, 88.
53. Le merle buppé du cap de Bonne-Ehpérance.
| Turdus Cafer. VI, 69 L 08
54. Le merle d'Amboïne. T'urdus Æmboinensis.
MEL ont |
ss. 15 merle de l’ilé de Bourbon. Tardus st
Bonicus. VI, 92.
56. Le merle dominicain des Philippines. % urdus
dominicähuss VI ; ÿ3: 3
Sr. Le merle verd de la Caroline. Türdus vrais
VI, 94 |
58. Le terat-boulan, ou mere mad Indes. Turdus
ôrteritalis. NI, 65. al "EN
59. Le saui-jala, ou merlé doré de Madagascar
Turdus sauwi-jala. VI, 97 SR
6o. Le merle de Surinam: Turdus Surinamensis.
VI; 00.
64.
69.
DES OISEAU X. 235.
. Le palmisie. Türdus palmarum. VI, 00.
À
. Le merle violet à ventre blanc dé Jüida. arte
léucogaster: VI, ro.
. Le merle roux de on VI, ro.
Le petit merle brun à gorge roussé # À di
Turdus rufigularis. VI, 103.
-Hispäniolènsis. VI, 104.
Baricus. VI, 105.
. Le merle olive de. D ne Turdus
L Le merle olivâätre de Barbarie. T'urdus Bar-
. Le molôxita , ou la [religieuse d’Abyssinie.
Turdus môñacha. NT, 107.
Æthiopicus. VI, 108.
. Le merle noir ét blanc d’ Abyssinie Turdus
Le merle brun d'A byésiie. Turdus Aiys-
stnicuss VE) 109.
70. Le grisin de Cayenne. AE VI, III.
71. Le verdin de la Cochinchiné. T'urdus Cochin
724 L'azurin Turdus cyarurus. VI, 1153 VITE,
73:
mé La brèvé de Ceylan. Turdus Cabrio
chinensis. VI, 113.
120.
Les brèves, VI, 1x7.
La brève des Phitippines.
nen$is. NI, 110.
VI, z19.
1
À
T'urdus Minda+
236 CT ABLE AU
75. La brève du. Bengale. Türdus à rochyuna
NL. 12054514 110
76. La bn ève de NE: Turdus Madécassus.
WT: 120:
#7. Le cincle, ou merle d’eau. Turdus cincluts.
XVL, Samir. | pr
VINGT-SEPTIÈME GENRE.
FOURMILIER. (Myrmecophagu.)
Tome VII, pages 117, 149.
ïe he : et comprimé au moins près de
la base; le tarse alongé; Les diles eb la
queue courtes.
ESPÈCES.
T. L'p roi des fourmiliers. Myimecophaga pe
.; daria. VIIL, 125, *
2. Le: grand béfroi. Myrmecophage tinnicä.
VIIT, 129.
84 Leypetit béfroi. Hyrmecophaga Zen VIT; ;
152. |
4 Le palikour , ou PA Am dit.
Myrmecophaga formicivora. VIIL, 133.
5. Le colma. Myrmecophaga colma. VIIE, 136.
6. Le téiéma. Myrmecophaga tetema. VIII, 137.
g. Le fourmilier huppé. Myrmecophaga cirrataa
VIF, 138.
%
DES OISEAU X. 23
8. Le fourmilier à oreilles blanches. Myrmeco-
phaga aurita. VIII, 140.
9. Le carillonneur. Myrmecophaga campanella,
VIII, 147: A
10. Le bambla. Myrmecophaga bambla. VIII ,
143.
11. L’arada. Myrmecophaga cantans. VIIT, 144.
12. Le coraya. Myrmecophaga coraya. VIII,
190.
13. L’alapi. Myrmecophaga alapi. VIT, 15r.
VINGT-HUITIÈME GENRE.
(d
LORIOT. (Oriolus.)
Le bec conique vers la pointe; le tarse fort.
ESPÈCES.
3. Le loriot. Oriolus galbula. V, 317.
Le coulavan. Oriolus Chinensis. V, 326.
3. Leloriot de la Chine. Oriolus melanocephalus.
V, 326.
. Le loviot des Indes. Oriolus Indicus. V, 326,
. Le loriot rayé. Oriolus radiatus. V, 329.
rt
MES
LS ROMEO eu CR 042200 ECTS ARE EAN ARS
à le, PATES UE VCOMNTALEN TRE
238 CTABLBAU A
VINGT- NEUVIÈME GENRE,
COTINGA. (Ampelis.) :
Tome VIII, page 87.
Le bec déprimé à sa base.
| ÆSFECES.
3. Le jäséut. Æmipélis garrulus. VI, 130, 155.
2. Le cordon bleu. _Ampelis cotinga. VIIT, ox.
3: Le quereiva, Æinpelis Cayaña. VIII, 03.
4. La tersime. Æmpelis tersa. VIIT, 05.
5. Le coungi à plumes soyeuses. Æmmpelis May
nana. VIII, 06. |
6. Le pacapac, où pompadour. Amplis pom<.
padora. VIII, 98, xor.
7. L’ouette, ou cotinga rouge de Cayenne. AM
pelis carn'fex. VII, 103.
8. Le guira-panga, ou cotinga blanc. er
carwnculatas VIIL; 106.
9. L’averano. Æmpelis variegata. VIW 110.
30, Lé guirarou. Æimpélis. pi co VI, is
316, |
DES OISEAUX. 33
TRENTIÈME GENRE
TANGARA. (Tanagra.)
. Tome VII, page 213,
Le bec. conique, pointu, presque Wiangu-
laire à sa base, et un ge incliné vers.
‘Ze bas & sa pointe.
ESPÈCES.
I. Le grand tangara. T'anagra MmaAgnde VIT , 2174
2. La houppette, Tanagra cristata. NII, 219.
3. Le tangavio. Tanagra Bonariensis, VIL, 221e
4. Le scarlatte. Tanagra rubra. VII, 223,
5. Le tangara du Canada. Tanagra Canadensis.
VII, 220.
6. Le tangara du Mississipi. Tanagra Muse
. piensis. VII, 237.
7. Le camail, ou L cravate. Tanagpra a 6
ANAL, : 294:
8. Le ue. Tanagra atricapilla. VII, 236.
g L’onglet, Tanagra striata. VII, 237.
10. Le tangara noir et le tangara roux, el
leucoptera. VIT, 239.
13. Le turquin. Tanagra Brasiliensis. VIT, 247,
32. Le bec d'argent. Tanagra jacapa. VIT, 242.
13, L’esclave. Tanagra Dominice. VII, 247.
4 RATE EST PONTINERE
Lun à Ÿ De NE v
240. TABLEAU
r4. Le bluet. Tanagra episcopus. VIL, 2494
15 Le rouge-cap. Tanapra gularis. VII, 251:
16. Le tangara verd du Brésil. Tanagra virens.
NUIT, GS2.
17. L'olivet. Tanagra olipacea, NUL, 253.
16. Le tangara diable enrhumé. SEE: Mexii
De M dE NO AE |
19. Le verderoux. T'andgra Guianensis. VIL, 257. |
20. Le passe-verd. VII, 258, 267. ;
21. Le tricolor. Tanagra tricolor. VII, 26t.
22. Le gris-olive. Tanagra grisea. VII; 264.
23. Le sepuicolor , ou tangara tatao. Tanagra
tatao, VII, 265.
24. Le tangara bleu. T'anagra cϾrulea. VIT, 270.
29. Le tangara à gorge noire. T! AA nigricollis.
VII, 272.
26. La coiffe noire, Tanagra pileata, VII, 293.
27. Le rouverdin. Tanagra gyrola. VIT, 270.
28. Le syacou. T'anagra sayaca. VIT, 278.
29. L'organiste. Tanagra musica. VII, 2680.
30. Le jacarini. VII, 284.
Cet oïseau est le même que le moineau de
Cayenne.
31. Le téité. Tanagra violacea. VII, ik
32. Le taugara nègre, Tanagra ESS
VII, 200.
33. L'oiseau silencieux. Tanagra silens. V IT, ‘296.
/
DES OISEAUX... 241
DIXIÈME ORDRE.
Bec droit et conique.
TRENTE-UNIÈME GENRE.
CACIQUE. (Cacicus.) R
Le bec à pointe acérée, à base arrondie,
très-gros, très-long, et formant une échan-
crure arrondie dans les plumes du front.
ESPÈCES.
T. Le cacique jaune du Brésil, ou l’yapou, vuls
gairement le cul-jaune, Cacicus Persicuss
V, 294. |
2. Le cacique rouge du Brésil , ou le jupuba, vul-
gairement le cul-rouge. Cacicus hæmorrhous.
V, 296.
3, Le cacique verd de Cayenne, et le cacique
huppé de Cayenne. Cacicus cristatus, V,
301.
4. Le cacique de la Louisiane. Cacicus leucoce-.
phalus. V, 304. :
22
CL DEN DE UE RENSS CAN Lu
4° nl YA RSS M * ("A
' AN Ÿ à »i y
}
TRENTE-DEUXIÈME GENRE.
TROUYIALE. (Jcterus.)
Tome V, page 245.
Le bec à pointe acérée, à base arrondie,
et formant une échancrure pointue dans |
les Ni du dis
ESPÉC ES.
r. Le troupiale. Zeterus vulgaris. V, 250.
2. L’acolchi de Seba. Jcterus novæ Hispanieæ.
V, 254.
3 L'arc-en-queue, Icterus ne A V, 256.
4. Le Japacani. Jcterus japacani. V, 258.
De Le xochitol et le cocostol. Icierus costototl.
V,261t.
6. Le tocolin. Zcterus griseus. NV, 265.
7. Le commandeur. Zcterus phæniceus, V, 266.
+ Le troupiale noir. Zcterus niger. V, 273.
petit troupiale noir. Zdem, V, 275.
LO NL troupiale à calotie noire. Zoterus Mexi-
canus. V, 277:
11. Le troupiale tacheté de Cayenne, Tcterus
melancholicus. V, 278.
12. Le troupiale olive de Cayenne. Zcterus oli=
vaceus. V, 260,
13. Le cap-more. Jcterus tcxtor. VW, 282.
+
H \9 ©
tr
@
DES OISEAUX. 248
x4. Le siffleur. Jcterus viridis. V, 287.
15. Le baltimore. Zcterus baltimore. V, 289.
Variété. Le baltimôre bâtard. Zcterus ne
V, 2 ,2°
Les pics-grimpereaux. XIII , 306.
16. Le picucule de Cayentie. Zcterus picus. XIII,
306.
37. Le talapiot, Joterus scandens. xIN, 306.
TRENTE-TROISIÈME GENRE:
CAROUGE. (Xanthornus. ÿ
Le bec gréle, à pointé acérée, ef à base |
arrondie.
ESPÈCES,
x. Lecarouge proprement dit. Xanthornus bonana:
V, 305.
2. Lé peut cul-jaune de Cayenne. Xanthornus
analis. V, 30).
3. La coiffe Jaune. Xañthornus iclerocéphalus.
MP Or Le |
4 Le carouge olive de la Louisiane. Xanthornus
Ludovicianus: V, 313. :
Cette espèce est nommée par Latham, oriolus
Capensis.
5, Le kiuk, Xanthornus Sinensis. V, 325
-
244 _TABLEAU.
TRENTE- QUATRIÈME GENRE.
É TOURNEAU. (Séurnus.)
Le bec alongé , à pointe acérée, à base
anguleuse ét un peu déprimée; les ouver-
tures des narines un peu recouvertes.
ESPÈCES.
tr. L’étourneau proprement dit. Swrnus MAN |
Vi 277
2. L’étourneau-pie da cap de Bonne-Espérance.
Sturnus Capensise V, 235.
3. L'étourneau de la Louisiane ou le stourne, et
le fer-à-cheval ou merle à collier d’A mé-
rique. Sturnus Ludovicianus. V, 237.
4. Le tolcana. Sturnus juncetr. V, 230.
5. Le cacastol. Siurnus Mericanus. NV, 240.
6. Le pimalot. Siurnus pimalot. Noi 24e,
7. L’étourneau des terres magellaniques ,, ou le
blanche-raie. Sturnus militaris. V, 242,
TRENTE-CINQUIÈME GENRE.
GROS-BEC. (Zoxia.)
Le bec court, très-gros à sa base, et peu
convexe. |
ESPÈCES.
y. Le hec-croisé. Eoxia crucérostra. VI, 164.
2°
3.
4.
D
6.
7
ë.
9.
IC.
II.
12.
13.
T4.
35.
16.
17.
16.
19.
20.
22,
D'ES : OTSEAU X. PR
Le gros-bec proprement dit. Loxia cocco-
thraustes. VI, 158.
Le gros-bec de Coromandel. Loxia Capensis.
VA
Le gros-bec bleu d'Amérique. Loxia grossae
VI, 174.
*- Le dur-bec. ZLoria enucleator. VI, 175.
Le cardinal huppé. Loria cardinalis. V1, 176.
. Le rose-vcorge. Loxia Ludoviciana. VI, 178.
Le grivelin. Loxia Brasiliana. VI, 170.
Le rouge-noir. Loxria erythromelas. VI, 180,
Le flaverd. Loria Canadensis. NI, 185.
La queue-en-éventail. ZLoxia fetetiferes
VI, 182.
Le padda , ou l’oiseau de riz. Loxia orysivora. |
VI, 163.
Le toucnam-courvi. Loxta Philippine. VI,
109.
L’orchef. Loxia Bengalensis. VI, 166.
Le gros-bec nonnette. Loxia collaria, VI, 166,
Le grisalbin. Loria grisea. V1, 167.
Le quadricolor. Loria Malacca. VI, 108.
Le jacobiv. Loxia punciularia. V1, :80,
Le domino. Loria Malacca. VI, 189.
Le baglafecht, Loxia baglafecht. VI, 19+.
Le gros-bec d’Abyssinie, Loxia Abyssinicaæ
VI, 192.
\
22. Le gros-bec tacheté du cap de Boññée-Espé” |
23:
TAËLEZAG
rance. ZLoria aure@. VI; 196. "
Le grivelin à cravate. VI, 107:
Les verdiers.
pe verdier proprement dit. Loxia sp à
VII, 136.
. Le pape. Zoxia ciris. VII, sat 146.
. Le toupet bleu. Loxia cyanopis. VII, x47.
. Le parement bleu. Loria viridis. VIT, 149.
. Le verd-brunet. Loxia butyracea. VII, 150.
Le verdinère. Loria bicolor. VII, 152.
* Lé verderin. Loria Dominicensis. VIi,253.
Le verdier s sans verd. Loxia Africana. VIF,
194.
Les bengalis et les sénégalis.
. Le bengali proprement dit, Zozza Forges
lensis. NII, 45.
Le bengali brun. Lozrta fusca. vi, 40: ,
. Le bengali piqueté. Loxra amandava: VIE, 52.
Le sénégali proprement dit. Loria Senrgal.
VH, 535 5%
. Le sénégal ravé. Lotia astrild. VIT, 56.
. Le sérévan. Loxia serevan. VI, 50.
. Le petit moineau du Sénégal. VIT, 61.
. Le muïa. Loxia maja. NII, 62:
Le maïan. Loria majan. VII, 64.
DES OISEAUX. it
41. Le grenadin. Lozia rt NE VIH, #364 |
Les colious.
42. Le coliou. Lorra colius. VITI, 38. |
TRENTE- SIXIÈME GENRE.
BOUVREUIL. CPyrrhula.) |
Le bec court, très-gros a sa base, et convexe *
par-dessus et par-dessous.
ESPÈCES.
. Le bouvreuil proprement dit, pres Jui
garis. VIII, 5.
. Le bouveret. Pyrrhula auräñtia: VII, 83
. Le bouvreuil à bec blanc. Pyrrhula- torride.
VEIL, 25. à
. Le bouveron. Pyrrhula lineata: VIIL, Lu
. Le bee rohd à ventre roux: Pyrrhula pe
VAT; 26.
. Lebec-rond, ow bouvteuil bou d'Aiériques
Pyrrhula cærulea: VIT, 30:
. Le bouvreuil, ou bec-rond noir et blanc. ur
rhula rigra. VW, 32.
. Le bouvreuil violet de Ia Caroliné. Pyvrhule
puñpurea. NTIT, 33. |
Le bouvreuil violet à gorge et duree rOU2ES,
Pyrrhula violacea: VUA, 34
RTE FAURS LAN UE
248 TT A B La dot 4 à
#0. La huppe noire. Pyrrhula coronata. VIII, 35»
tr. L’hambouvreux. Pyrrhula « VIII,
50.
TRENTE- SEPTIÈME GENRE.
MOINEAU. (Fringille.)
ZE bec court, et peu gros à sa base.
lESPÉCES.
x. Le pinson, et ses variétés. FARÈTS cælebs.
VII, 66, 80.
2. Le pinson d’Ardennes. Fringilla montifrins
Ni Leds VII , 82.
3.: Le grand montain, Fringilla Lapponica. NII ;
94+
4 La niverolle, ou pi pinson de neige. Fringilla
australis. VII, 06.
. Le brunor. Fringilla bicolor. VIT, 98.
. Le brunet, Fringilla pecoris. VII, 00.
. Le bonana. Fringilla Jamaïca. NIET, 100.
. Le pinson à tête noire et blanche. Fringilla
zena. VIT, 1of. |
9. Le pinson noir aux yeux rouges. Fringilla ery-
throphihalma. VII, 103.
ro. Le piuson noir et jaune. Fringilla Capensis.
VIT, 104. ù 10
sr. Le pinson à long bec. Fringilla longirostriss
VIL, 05.
1 A ax
DES OISEAUX. 249
12. L’ohvette. Fringilla Sinica. VIT, 106.
13. Le pinson jaune et rouge. Fringilla Eustachir.
VII, 107.
14. La touite, Fringilla variegata. VIT, 100.
25. Le pinson frisé. Fringilla crispa. NIE, 111.
16. Le pinson à double collier. Fringilla an
MIEL. U112%
17. Lenoir-souci. Fringilla Bonariensis. VIT ,113.
18. Le moineau et ses variétés. Fringilla domes-
tica. VI, 198- FL
19. Le moineau du Sénégal. VI, 210.
20. Le moïneau à bec rouge du Sénégal. Fringrlla
quelea. NI, 211.
21. Le père noir. Fringilla noctis. VI, 212.
22: Le dattier, ou moineau de dattes. Fringilla
capsa. VI, 215.
23. Le friquet. Fringilla montana. VI, 2x7.
24. Le passe-verd. Fringilla viridula. V1, 223.
25. Le passe-bleu. Fringilla cœrulea. VI, 223.
26. Les foudis. Fringilla Madagascariensis. V1,
224. | | :
27. Le friquethuppé. Fringilla cristata. VI, 225,
28. Le beau marquet. Fringilla elegans. VI, 226.
29. La soulcie. Fringilla petronia. V1, 227.
30. Le soulciet. Fringilla Canadensis. VI, 230.
31. Le paroare. Fringilla Dominicana. VI, 235.
32. Le croïssant. Frinoilla arcuata. VI, 232.
|
MS à À
di NHNRMEERER
250 . AT AS CHAN N “M
Le seriñ des Canaries, Fringilla Canaries
VI, 254, 293. |
Le worabte, Fringilla Akyshtoll WI, 298.
L'outre-mer. Fringilla ultra-marina. VI, 300.
Le serin jaune À front couleur de safran. Fréne
gtlla flaveola. VI, 293.
L'habesch de Syrie. Fringilla nero) VE
Jo.
38. La linotte. Fringilla linota. VII, 5, 22.
39. La linotte, ou le gyntel dé Sels bourg Frin-
gtlla Argentoratensis. VII, 23.
4 La linotte de montagne, Fringilla montium.
VIT, 24.
Variété. Le cabaret. vIl, 26:
41. La vengoline. Fringilla Angoleñsis: VI, 36:
42. La linotte gris-de-fer. Fringilla cana. VII,
RE
43. La linotte à tête jaune. Fringillàa Méxicana.
VIE 28:
44 La linotte brune. Fring'lla obscura. VW, 35:
45. Le ministre. Fringilla cyanea. VIH ,- 37.
46. Lé chardonneret, et ses variétés. Fringilla
càrduelis. VII, 156, 174.
47. Le chardonneret à quatre raies Fringilla
| Lulensis. NII, 184.
48. Le chardonneret verd ; ou le maräcaxäo. Frins
gillà melba, VII, 165.
34.
35.
36
37.
DES OISEAUX. 25£
#9. Le chardonneret jaune. he io tristis, VII,
187.
So. Le sizerin. Fringilla linaria. VII, 1917. ,
5r. Le tarin. Fringilla spinus. VIT, 196, 207.
22, Le catotol. Fring'lla cacatotoll. VIT, 217.
53. L’acatéchili. Fringilla Mexicana. NII, 211.
TRENTE-HUITIÈME GENRE.
| BRUANT. (Emberiza.)
Le bec pointu ; la mandibule supérieure plus
ou moins étroite que l’inférieure; la ligne
de réunion des deux mandibules, courtez
une petite éminence osseuse au palais:
ESPÈCES.
4, L'ortolan proprement dit. Æmberisa hortua
lanus. VII, 28. |
2. L'ortolan de roseaux. Æmberiza schæniclus.
VIT, 300.
3. La coquelüche. VIR 314.
4. Le gavoué de Provence. Emberiza Provincialis,
ME) 210.
8. Le nutilène de Provence. F0 Lesbia.
VIT, 316.
6. L'ortolan de Lorraine. 7 Lotharingica :
70 320:
M US ONE AE RAM à LORS
Me + % « *
252 _ TABLE AU
#7. L'ortolan de la Louisiane. Emberizae Ludo»
viciana VII, 323.
6. L’ortolan à ventre jaune du cap de Bonne
Espérance. VIL, 325. |
4 9- L'or! :olan du cap de Banni Es réal E se -
Capensis. VII, 327. |
20. L’ortolan de neige. Emberiza nivalis. VII,
\'320$ 942. ,
II. L'agripenne , ou l’ortolan de riz. Emberiza
oryzivora. VII, 337.
12. L’ortolan de la Li ane. VII, 340.
13. Le bruant de France. Emberiza citrinella.
VII , 342, 348.
14 Le zizi, ou bruant de haies, Emberiza cirluse
VII, 349.
15. Li bruant fou. Emberiza cia. VII, 353.
16. Le proyer. Emberiza miliaria. VII, 356.
17. Leguirnegat.Emberiza Brasiliensis. VII, 362.
18. La thérèse jaune. Emberiza en |
364
ni L’olive. Emberiza olivacea. VII, 365.
. Le bruant amazone. Emberisa amazona.
VIL, 366.
2r. L'embérise à cinq couleurs. ÆEmberiza pla
tensis. VII, 366.
22. Le bruant mordoré. Emberiza Borbonicai
VII, 368.
DES OTSEAUX 235
23. Le gorambouch. Æmberiza.grisea.- VIT, 360.
24. Le bruant familier, LL de SEE ee
VIH ; 370: mis hi
25. Le cul-rousset, Emberiza cinerea. VII, 370.
26. L’azuroux. Émberiza cærulea, VIl. spa
27. Le bonjour-commandeur. Emberiza d à
ES CUP ER ONE, 7 | jo al
26. Le calfat. Emberiza cal at. VI, Sr in
Les veuves. VII, 115.
29. La.yeuveau collier d’or, Æ vrhèri et ar
VII, 120.
30. La veuve à quatre brins, Emberiza regias
VII, 224.
DEL La veuve dominicaine. Emberiza Serena. VIT,
126. 1 du ci “AE
32. La grande veuve. Emberiza. Vu VIT, 128,
33. La veuve à épaulettes. Emberisa longicauda.
Nik, 190. 4 ie
34.-La veuve mouchetée. Emberiza principelis.
WLk. 132. de ts
35. La veuve en feu. Emberiza ME
VIT, 134.
36. La veuye éteinte. : Emberia psiäces. VIL,
135. |
LA
1%
Quadrupèdes, XIV: 22
#4:
RE à
\ HAL
n°0
\
254 | TABLEAU ea C0
ONZIÈME ORDRE.
Bec droit et comprimé.
TRENTE-NEUVIÈME GENRE.
| GRACULE (Gracula)
La base du bec dénuée de plumes; une ow
plusieurs places dénuées de plumes sur
la téte. . PRIT | \
ESPÈCES. |
1. Le mainate des [Indes orientales. Gracula reli=
£L105a« VI, 122, 12.
2. Le goulin. Gracula calva. VI, 127.
3. Le marun. Gracula 1ristis VI, 131:
QUARANTIÈME GENRE.
CORBEAU. (Corvus.)
Le bec gros et fort; les ouvertures des narines
recouvertes par des soies roides; la langue
divisée et cartilagineuse.
ESPÈCES.
x. Le corbeau. Corvus corax. V, 19e
DES! OLSRAUX. 255
2. Le corbeau des Indes, de Bontius, V, 51.
3. La corbine, ou corncille noire. Corpus corone.
V, 156:
4 Le freux, ou la frayonne. Corous de
V, 6 { ;
5. La cnelkK mantelée. Corous cornix. V, 74
6. La corneille du Sénégal. Corvus dauricus. 7 |
82. | \.
7. La corneille de la Jamaïque. Corous J amaïcen-
sise "V, 83.
8. Le choquard ou choucas des Ales onde
_ pyrrhocoraz. V, 93.
g. Le choucas moustache. Corvus Hottentoius.
V, 96. x
10. Le choucas chauve. Cébus calvus. V, 97-
Cet oïseau appartient plutôt au Ge des
colingas. 2E D
11, Le choucas de la nouvelle Guinée. Corous
novæ Guineæ. V, 96.
12. Le choucari de la nouvelle Guinée. Corous
Papuensis. V, 09.
13. Le balicase des Philippines. Corvus roger
ss N3 102, CA
14 Le colnud de Cayenne. Corous nudicollise.
V0:
15. La pie, et ses variétés. Corous pica. V, 104,
116, 119. \
256 |
16. La pie des Antilles. Coteus) Cariieus. V;
17.
10.
30.
Le zanoé. Corous zanoe. NV, 129: )
. Le geai. Corous glandarius. V, 130: :
TT ABLE A U:
ed e PER ; :
[s
L’hocisana. nie Mesicanus Ve 226.
La vardiole. VW, 127.
4:54
Le geai de la Chine à bec rduge. Corpus
erÿthrorhynchos. V, 139.
Le geai du Pérou. Corous Peruvianus: N, 140
Le geai brun du Canada. Corenis Canadensis.
V, 142. qe N :
Le geai de Sibérie. Coreus. PR V, 143.
Le blanche-coiffe , ou geai de Cagenné Cerbus
Cayanus. V, 144.
Le ’garlu,, ou geai à ventre jeunée Coreus
flavus. V,:146. crea ie
Cet oiseau appartient plutôt. au soute des
RYPANEN SLT GO SET SE NN ÿ: 94
Le gea bleu de l'Arhériqué septentrionale.
Corous cristatus. V, 147.1
Le casse-noix. Corus caryacatactes.W, ss
Le crave, ou.le coraciäs»Corpus|gracüls.
Vs DT",
Le coracias huppé, ou le sonneur. Corus
eremita. V, 14.
RS 2 um,
“
DES: OISEAU x, 254
QUARANTE- UNIÈME GENRE
s+7
'ROLÉTEN. CCoracias.)" pe
LE ARE Tome! Lee Pres: 1970 ou js À UE
/
Le bec fort; 1 extrémité de la mandibule f
Ze
2.
3.
La
ÿ.
6.
7e
L#
supérieure | se recourbant ur peu sur l infé-
rieure; les ouvertures des narines dénuées
de sûtes roides et lournées en avant; la
langue Jourchuees Ca TH RER GUSE 20 le Hd
court.
RON ER SPÈ GE sus à > AO GE
Ma (
Le rother nes à Che, ‘Coracias Sinensis. V:
T6I. DC M MS DD A L
Le grivert , ‘ou rolle de. M Coracias
Cayanensis. V, 103. HER
Le noie PR Caracas garrulas iV,
n 16: ARE AU VS ART
Le rollier à Mél Gotaboss Ayssinica.
V, 174. Lhe TV
Le rollier!d’Angola. Cds lots candatas LV,
176. Meur te Hasnue 9!
Le cuit ,- ou rollier de, Milinéc Coratias
Bengalensis. N, 176. |
Le roller des; Indés. Coracias Oct KA VV,
480. €
22
FAN EM.
_ 258 TABTDEAU.
8. Le roles de Madagascar. Coracias | Mag
‘ cartensis. V, 187.
9. Le rollier du Mexique, CRE Mexicanae
V, 182 VERS
x0. Le rollier de paradis. Céracias paradisea.
“" My-x08, ARE
xx. Là cassican. Coracias para. x, 37e
QUARANTE-DEUXIÈME GENRE.
PARADIS. (Paraiisea.) x
Le tour de la base du beciet le front garnis de
PER courtes, serrées ; et.très-soyeuses.
ESPÈCES.
LL L oiseau de paradis proprement dit: Paradisea
apoda. V, 185. |
2./ Le manucode. Paradisea regia. SV le Le
3. Le magnifique de la nouvelle Guinée, ou le
. manucodeà bouquets. ps G magnifces
UV, M |
é. TL. manucode noir de la sévélle Guinée, ow
le superbe. Paradisea superba. V, 207.
5. Le manucode à six filets, ou le sifilet: Para
disea sexsetacea. N, 200. À
6. Lecalyhé de la nouvelle Guinée, Parme
chalybea. V, 212.
DES OISEAUX. 259
+ *,
QUARANTE- T ROISIÈME GENRE. |
SITTELLE. Cine) A
| LOS RE
Le bec alongé: la Pepe dentelée, courte,
et cornée à l'extrémité; la queue CHERE
de pennes très-roides. |
‘ESPÈCES.
1. La sittelle ou torche-pot, et ses variétés. Sitia
Europæa. M. 206 8
2. La petite sittelle: Sita minor. X, 265.
3. La sittelle du Canada. Siza Canadensis. X,
RME D AN Et rad Cat V4 CR
4. La sittelle à huppe ones Sitta Jamaïcensis,
X, 2065. | +;
Variété. La, petite siuelle à. he noire.
X, 265. |
5, La ssittelle à tête noire. Siria. Carolinéntrs,
X, 265. |
6. La asie sittelle à bec crochu. Siua major.
x, 284.
7. La sittelle mrelée Sitta nœpia x, 285.
Ma BAR RAA
( QUARANTE- QUATRIÈME, GExRE,
: 1 AC A D à LA AATA
PIQUE-BŒU F. (Buphaga.)
#
Le bec presqiie COMNRTETS les mandi-
; ..bules. un peu bormnbées. va
Lin y HA A CAL Ke NE, DONS
UMOA SNS 0 RÉNALE
ï. Le pique-bœuf PART Buphage <Africana.
Ni 21
DOUZIÈME" ORDRE:
Bec. droit. ét menu. ae AI
» ! FEES
r ) 53 Are 224
Std “A#
QUARANTE- CINQUIÈME GENRE.
Tnt
MÉSANGE. CR }
“+ Tome X, page 163. en
Le bec étroit, pointu, dur; ps “el Ke RAP
de petites plumes & sa baseïla langue
… {erminée par une sorte. de. ligne. droite eË
par des filamens ; le co, de derrière
grand el ÉOkb Ly1,2, able 8 1Honiesa] ï
ESP ECS
x. Le charbonnitre, où grosse, mésange. Parus
major, X y 164
DES OISEAU X. 26€ .
2. La petite charbonnière. Parus ater. X, 193,
197-
3. La nonnette cendrée. Parus palustris, X, 163°
4 La mésange À tête noire du Canada. Parus
atrieapillus. X, 163.
9. La mésange cendrée de Brisson. Parus cine=
Fous .YX T0‘: |
6. La mésange bleue. Parus cœruleus. X, 208.
7. La mésange moustache. Parus biarmicus. X,
bat pu 10e
8. Le remiz. Parus pendulinus. X, 210.
9. La Fo Parus Narbonensis. X, 2357.
10. La mésange à longue queue. Parus caudatuss
RE 0 COTE AE ; | #
Ses Le petit deuil. Parus Capensis: X ÿ 246. ::
12. La mésanse à ceinture HIAnANE Parus Has
ch Xi, BAR. \ LUE
13. La ee RARE Parus, cristatus. X ,
250. TS CN
14. La mésange huppée de la Grah Parus
bicolor. À, 254... |
35. La mésange à BAPE: Parus riens
Nix 206
16. La mésange à croupion jaune. Parus, Fir=
ginianus. X, 257.
17. La mésange grise à gorge jaune, Parus flasi=
eollis. X, 258.
26% TA BLEAU
16. La grosse mésange bleue. Parus cyanuse
X4 259%
x). La mésange amoureuse. Parus ant AUS X,
260. \
20. La mésange noire. Parus cela. X, 163.
QUARANTE-SIXIÈME GENRE.
ALOUETTE. (4lauda.)
Me:
La langue fourchue; l’ongle du doigt de
derrière presque droit, et très-long.
| ESPÈCES. pe
. L’alouette. Ælauda arvensis. IX, 5, 286.
2 L’alouette noire à dos fauve. Alauda Julva.
DR pe D Tee
3. Le cujelier. Ælauda arborea. IX, 3%
4. La farlouse, ou l’alouette des se on
prâtensis. IX, 41, 48.
5. La farlousane. .4/auda Ludoviciana, IX, 40.
6. L’alouette pipi. Ælauda trivialis. TX, 51.
7. La locustelle. ÆJauda locustella. IX, 55.
8. La spipolette. Ælauda pickerlin. IX, 56. :
9. La girole. ÆAlauda Tialica. IX, 61.
30. La calandre , ou grosse alouette. Ælauda
calandra. 1X, 64. *
xr. La cravate jaune, où calandre du cap de Bon-
ne- Espérance. Alauda Capensis. TK, 70.
SI
amsn.
DES OISEAUX. _ 263
12. Le hausse-col noir, ou l’alouette de Virginie,
ÆAlauda alpestris. IX, 72.
33. L’alouette aux joues brunes de Pensilvanies
ÆAlauda rubra. IX, 74.
z4. La rousseline, ou l’alouette de marais. Æ/auda
ne IX, 77.
19% La ceinture de prètre, ou l’alouette de A Va
IX, 70.
16. La variole. 4/auda rufa. IX, 82.
17. La cendrille. {/auda cinerea. IX, 83.
26. Le sirli du cap de Domi onu Alauda
ÆAfricana. IX, 84.
T0. Le cochevis, ou grosse alouette huppée. Leu da
| cristata. IX, 86.
20. Le lulu, ou petite alouette buppée. Wie
lulu. IX, 95.
21. La coquillade. 4/auda nudata. 1X, Æ .
22. La grisette, ou le cochevis du Sénégal. Alauda
Senegalensis. IX, TOI.
QUARANTE-SEPTIÈME GENRE:
BEC-FIN. (Sy/via.)
Le bec en forme d’aléne ; les tarses et l&
queue courts.
ÉSPÈCES.
x. Le rossignol. Sylvia luscinia. IX, 103, 1434
264 TAB ARE CN
2. Le foudijala. Sybia Ha AE IX;
146. |
3. La fauvetie, et ses variétés. Sylvia PEN | |
IX, 148. | s
4. La passerinette , ou pere fauvette, dc 6
passerina. IX, 156.
|
5. La fauvette à tête noire. Sylia atricapilla.
| IX, 150.
6. La grisette, ou fauvette grise. Sytoia grisellas |
IX, 166.
7. La fauverte babillarde, Sylvia curruca. IX, 170.
8. La roussette, ou fauvette des bois. Sylvia schæ-
nobænus. IX, 174.
g. La fauvette de roseaux. Sylvia salicaria. IX 9
170. !
10. La petite fauvette rousse. Syloia Lfes x 1824
11. La fauvette tachetée. Sylvia nœvia. IX, 166.
12. Le traîne-buisson, ou fauvette d’hiver. Sylv1a
modularis, 1X, 168.
13. La fauvette des Alpes. Sylvia Alpina. IX, 194.
14. Le pitchou. Sy/via Dartfordiensis. IX , 108. ;
19, La fauvette tachetée du, cap-de Bonne-Espé-
rance. Sylvia Africana. TX, 200.
16. La petite fauvette tachetée du cap de Bonne=
Espérance. Sylvia macroura, IX, 20.
57. La fauvetle tachetée de’la Lou DE vd
| . Norçboracensis. EX. 208, 6001 -
DES OISEAUX 265
8. La Rover à FRE jaune de la ARLES
( Syleia trichas. IX, 203.
19. La fauvette verdâtre, IX, 203. |
- 20. La fauvette de Cayenne à queue rousse. Sylvia
ruficauda. 1X, 205. |
21. La fauvette de Cayenne à gorge brune et ventre
jaune. Sylvia fuscicollis. IX, 205.
22. La fauvetie bleuâtre de Samt-Domingue. Sy
pia cærulescens. 1X .. 206.
23, Le cou jaune. Sylpta pensilis. IX, 206.
24. Le rossignol de muraïlle. Sylvia phanicurus 1
EXoranbe 4
25. Le rouge-queue. Sylvia erythacus. IX, 224
26. Le rouge-queue de la Guiane. Sylvia Guias
nensis. IX, 232.
27. Le bec-figue. Sylvia ficedula. TX, 233.
28. Le fist de Provence. Sylvia Massiliensis.
IX, 241.
29. La pivote-ortolane. Sylvia maculata.1X ,242;
30. Le rouge-gorge. Sylora rubecula. 1X, 243
3r. La gorge-bleue, Sylvia Suecica. IX, 253.
32. Le traquet. Sylvia rubicola. IX , 263.
33. Le tarier. Sylvia rubetra. IX, 270.
34, Le traquet ou tarier du Sénégal. Sylvia fers
vida. IX, 273.
35. Le traquet de l’île de Luçon. Sylvia cap} ati
IX, 274.
Ed
22
266 ‘TA B EPA |
36. Le traquet des Philippines. Sylvia fu:babeR |
EX, 2754
37. Le ait traquet des Philippines. Sylvia
Philippensis. IX, 276.
38. Le fitert, ou traquet de Madagascar. 7
sibylla. IX, 277.
39. Le grand traquet. Sylvia magna. IX, 278.
40. Le traquet du cap de Bonne-Espérance. Sylvia
sperata. IX, 280.
41. Le clignot, ou iraquet à lunette. Syloia
perspicillata. IX, 287.
42. Le motteux, ou cul-blanc. Sylvia œnanthes .
IX, 265.
43. Le oué motteux du cap FA Brume des;
Sylvia Hottentotia. 1X , 296.
44. Le motteux brun-verdâtre. Sylvia aurantias
IX, 27e |
45. Le motieux du Sénégal. Sylvia leucorhoa.
IX, 206.
46. Le rouge-gorge bleu de l'Amérique septen«
trionale. Sylvia sialis. IX, 260,
_ Les figuiers. X , 24.
47. Le figuier verd et jaune. Sylvia Zeytnica
N :26.
48. Le chéric. Sylvia Madagascariensis. X, 283
49. Le petit simon. Sylvia Borbonica. X, 30,
DES OISEAUX. 267
5o. Le figuier bleu. Syria livida. X, 33.
Sa
b2.
Da
54.
ou
#6
D7.
56.
59.
60.
Gt.
62.
63.
64.
65.
Le figuier du Sénégal. Syloia rufigastra.
X 5184
Le figuier tacheté. Sylvia æstiva. X , 58.
Le figuier à tête ee Sylvia petecha.
K\..40.
Le figuier à gorge TS Sylvia alhicollis.
D. ON : Cas ï
Le figuier à gorge jaune. Sylvia Ludoviciana.
X;, 42.
Le fguier verd et blanc. S DE chloroleuca.
X, 44. |
Le figuier à gorge Ne io Sylvia auricollis.
Le Be à tête cendrée. oe maculosæ
| “ AT
Le figuier brun. Sa Eee x’, 49.
Le fe aux joues noires. Sylvia pseudo-
trichas. X, 50.
Le fignier tacheté de Mes ur tigrinas |
X ,. 51.
Le figwier brun et jaune. Sylvia fasce-urae
X, 55. É
Le figuier des sapins. Syipia spinils. AS 54.
Le figuier à cravate noire. Sylvia virens. X,
he
Le figuier à tête jaune. Sylvia icterocephalas
X ; 99:
268 TABLEAU
66. Le figuier. cendré à gorge jaune. Syria Do-
minicana. X , 61. . Di
67. Le figuier cendré à collier. pe Ameri-
canae X , 63.
68. Le figuier à ceinture. Syleia cincta: X, 654
69. Le figuier bleu M dde Cana-
| densis. X, 67.
7o. Le figuier varié. Sylvia varia. X, 60.
7z. Le figuier à tête rousse, Syloza ruficapilla. :
Ne Ed
72. Le figüier à ‘poitrine rouge. nt Pensil-
panicas X',) 73.
73. Le figuier oris-de-fer. Sylvia La X ,75.
74 Le figuier aux ailes dorées. a ch
soptera. X, 70.
75. Le figuier couronné d’or. Sylvia coronata.
X, mo: |
76. Le figuier orangé. Sylvia chrysocephala.
À, Ole FA
m7. Le figuier huppé. Sylvia cristata: X, 82.
78. Le figuier noir. Sylvia multicolor. X, 84.
79. Le figuier olive. Sylvia æquinoctialis. X, 86.
80. Le figuier protonotaire. Sylvia PPS RONArIMR
DAEX.. Ba, | |
8r. Le figuier à demi-collier. Éxiabs sémi- Love
quala. X, 0.
82. Le figuier à gorge jaune. Sylvia fuloa. X, 91.
DES OISEAUX. 264
83. Le figuier brun-olive. Sylvia fusca. X. > 924
84 Le figuier grasset, Sylvia pinguis. X, 94.
89. Le figuier cendré à gorge Poe Sylvia
cana. X, 05.
66. Le grand figuier de la Taistquet fx pl
Calidris.X\96. © :°:'
Les demi: fins. X ; 98.
87. Le demi-fin mangeur de vers. Syloia VETMI=
vora. pe I02. |
88. Le demi-fin noir et bleu. Sylvia sRpera
na I04 |
89. Le Ein of noir ét YOUx. S PE Bonariensis.
Xe DTOG NN LE En
90. Le bimbelé, ou la fausse linote. Syria pal-
marume X , 108. ) G:]
91. Le baneniste, Sylvia par X STE.
02. Le demi-fin à büppe et gorge blanches. Ne
elbifroren\ X sr * 4
93. L'habit uni. Sylvia: Tru. à pers
Les pitpits. x: 110.
94. Le pitpit verd. Sylvia cyanocephala. Xi 120
05. Le pitpit bleu, Sylvia Cayana. X, 127 ; 122.
06. Le pitpit varié. Sylvia velia. X, 124.
97. Le pitpit à ne bleue. he lineata. X
+294
98. Le guira- per Ris guira. X 120.
44
235
4 "+ EUVTO
\ 4 à
270. AT) À B L E A. D:
99. Le pouillot, ou.le chantre, Soie poli
X, 126.
| xoo. Le grand, pouillot. Syibia irachiis re
: PCs Ta È
xor. Le troglodyte. Sylvia Pr % 136;
102. Le roitelet. Sylvia regulus. X3 146.
xo3. Le roitelet rubis. Sylvia calendula. X, 197.
104. Le roitelet à tête ne Syria rupina- X
197. |
xos. La mésange grise couronnée d’écarlate. Syt- |
via pipreola. X, 197:
306. Le roitelet mésange. Sylvia clata. À >. I67.
| | QUARANTE- HUITIÈME GENRE. -
MOTACILLE.. CHoracillas)
Tome IX, page 209; be M: à
Le Ben en forme Plane À no tarses et A
queue longs; les dernières ds de Lg. |
— ire cs
SPÈCES..
FA Fons ei Motacilla MUR IX, ao:
2. La bergeronnette grise, : Motacilla :cinerea:
So S
3. La bergeronnette du prinienips. Moiacilla DEra
nalis. X, 10.
DES OISEAU X. -27È
&: La bergeronnette jaune. Motacilla boarula.
A, 13
5. La bergeronnette du cap de Bonnc-Espérance.
Motacilla' Capensis. X, 19.
76. La petite bergeronnetté du cap de’ Bonne-Es+
pérance. Motacilla LAfra. X, 20.
7. La bergeronnette de, l’île de Timor. Motacillé
insularis. X, 21.
8. La bergeronnette de Madras. Le QE a Madère |
Patensis. X , 52. | À
Ve SOU
»3 #°
MN
TREIZIÈME ORDRE. je.
Bec très-court.
QUARANTE-NEUVIÈME GENRE.
HIRONDELLE. CHirundo. 4,
7 Tome XIII, page 5. | “à
Le bec déprimié et très-large@" la base; lx
langue courte, large et in 3 les ailes
très-longues. : ct EN 0
ESPÈCES. AA
%, L’hirondelle de chemmée , où ‘‘doiestique
Hirundo rusticae XUT, 58.
La
0
\
mi ne 2 ea 6
Variété. A. L’hirondelle: d'audiel à gorge cou.
leur de rouille. XILE, 56.
BL Hirondelle ! ‘à ventre crubx de:
az Cayenne. XII, \58 |
C. L’hirondelle au spaces Rad
XIE, 564 SoIL TO ET
2. La grandehiroridelle à: Mc roux du Sénégal.
Hirundo Senegalensis. XIII, 24:
3 L’hirondelle à ceinture blanche Hirundo fas-
cata. XII ;:63 | 4 RS ee NN
4. L’hirondelle ambrée. Hirundo ambrosiaca.
KIT,
5. babudels de fenêtre, ou à ërobpion blanc.
fe Hirundo urbiea. XIIT, 87. |
6. L’hirondelle de rivage. Firundo riparia. XII,
109.
7. L'hirondelle grise des rochers. Hirun do mon.
tañna. XIIT, 120.
8. Le martupet noir. Æirundo apuso XUK, 123.
9. Le petit miartinet noir, er. Jigra. XHIT,
p55: NT €
xo. Le ;:martinét noir et blanc àxceinthre, BE
Hirendo Peruviana. X HE , 158, ;
2T. gr orand martimet noir à x
rundo melbas XIILy 456. | |
#2. Le marumes à collier blanc, Hirundo Caya--
xensise AIT, 159.
DES: OISEAU X. 273
m3. La petite hirondelle noire à ventre cendré. |
© Æirundo noyés. XIIE, 162."
4. L’hirondelle bleue de la Louisiane. Hirundo
x5.
z6.
X7
L2e
purpurea. XIII, 163.
Variété A. L’hirondelle de Cayenne, XIII,
164.
B. L’hirondelle de Cayenne chalybée
XIII, 264 |
C. L’oissau dela Caroline, ou martinet
_ couleur de pourpre. XIII, 164.
Le tapère. Hirundo tapera. XIII, 168.
L'hrondelle brune et blanche, à cemture
brune. Hirundo torquata. XIIT, x70. |
L’hirondelle à ventre blanc de Cayenne. Hi-
rundo leucoptera. XTII, 171. dk
. La salangane, Hirundo esculenta. XWI 17%.
. La grande birondelle brune à ventre he |
ou l’hirondelle des blés. Hirundo Borbo-
nica. XIII, 168, 190.
x
. La petite hirondelle noire à croupion grise
Hirundo Francia. XIII, 197.
. L’hirondelle à croupion roux et à queue quarrée.
Hirundo Americana. XIII ,! 103.
L’hirondelle brune acutipenne de la Louisiane,
Hirundo caudacuta. XIII, 194.
23. L'hirondelle noire acutipenne dela Martiniques
Hirundo acuta, XTIT, 196.
274 TA BLE AU %
CINQUANTIÈNME GENRE
ENGOULEVENT. ( Caprimulgus. Ÿ
Tome XII, page 308
Le bec très-déprimé à sa base, qui est garnie
_ de plumes petites et roides; les yeux très-
grands; longle du doigt du milieu, Fa
telé d’un côté.
ESPÈCES. .
zx. L’engoulevent, ou tette-chèvre. Caprimulgus
Europœus. XIL, 294.
2. L’engoulevent de la Caroline. Caprimulgus
Carolinensis. X1T, 310.
3. Le whip-pour-will. Caprimulgus ste
nus. XII, 32. |
4. Le ouira-querea. Caprimulgus Jamaïcensis.
XIT, 324.
5. L'ile Carina ail XII, Baye |
Variété A. Le petit engoulevent tacheté de
Cayenne, XII, 328.
B. Le grand ibijau. XII, 326.
6. L’engoulevent à lunettes, ou le baleur. Caprix
mulgus ÆAmericanus. XII, 352.
7. L’engoulevent varié de Cayenne. Caprimulgus
Cayanus. XII, 334;
DES OISEAUX. 275.
8. L'engoulevent acutipenne de la Guiane. Capri-
mulgus acutus. XII, 336.
g. L’engoulevent gris. Caprimulgus griseus. ACTES.
Ge 75
10. Le montvoyau de la Guiane. Carol
Guianensis. XII, 33. ;
11. L’engoulevent roux de Cayenne, Caprimulgus.
rufus. XIT, 345.
QUATORZIÈME ORDRE.
Bec arqué.
CINQUANTE-UNIÈME GENRE:
HUPPE. (Upupa.)
Le bec long, gréle, un peu comprimé, et
obtus; la langue obtuse et très-courte.
ESPÈCES.
Les huppes et les promerops. XII, 194.
2. La huppe. Upupa epops. XII, 200, 227.
. La huppe noire et blanche du cap _ Bonnes
Espérance, Upupa Capensis. XII, 220.
3. Le promerops. lpupa paradisea. XII, 232:
276 TABLEAU
4 Le promerops à ailes bleues. Fer Mexicanai
XIT, 234
3. Le promerops à ventre tacheté. Doi ii
merops., XII, 236.
6. Le promerops brun à ventre rayé. Upupæ
Papuensis. XII, 236.-
7 Le grand promerops à paremens frisés. Upupæ
superba. XII, 240. |
8. Le promerops orangé. Upupa aurantia. XII,
243.
CINQUANTE-DEUXIÈME GENRE.
GRIMPEREAU. (Cerihia.)
Tome X, pages 267, 304.
Le bec long et menu; la langue longue
| el aiguë.
ESPÈCES.
x. Le grimpereau. Certhia familiaris. X, 292,
200.
3. Le grimpereau de muraille. des muralis.
À ; 209. :
3. Le soui-manga. Certhia Madagascariensis.
X, 308. SUR
4. Le soui-manga marron pourpré, à poitrine
rouge. Certhia sperata. X, 31I.
=>
DES OISEAU X. 277.
| Variété A. Le petit grimpereau d'Edwards.
à ‘ Certhia pusilla. X, 317.
j B. Le grimpereau ou soui-manga à
gorge violette et à poitrine rouges :
Me 'SIT- | ii 1?
5. Le soui-manga Lori à poitrine rouge. Certhia
Senegalensis. X, 314. |
6. Le soui-manga pourpre. Certhia purpuratae
X, 316.
7. Le soui-manga à collier. tone DEEE
“rN'Br7. |
8. Le soui-manga olive à gorge pourpre. Cerihia |
Zeylonica. X, 322.
9- L'angala-dian. Certhia lotenia. X, 326.
10. Le soui-manga de toutes couleurs. Certluia
omnicolor. X, 320.
11. Le soui-manga verd à gorge nee CENAREE
Afra. X X , 330.
12. Le soui- ste rouge, noir et blanc. Certhia
cruentata. X, 33x.
13. Le soui-manga de l'île de Bourbon. Certhia |
Borbonica. X, 332.
Les soui-mangas à longue queue. X, 334
74: Le soui-manga à longue queue et à capuchon
violet. Certhia violaceu. X, 335.
2%
278. OT ASRL ER ROS
15. Le soui-manga verd-doré changeant, violét,
à longue queue. Certhia pulchella. X, 337.
1x6. Le grand soui-manga verd à longue queue.
| Certhia famosas X, 339. |
x7. L'oiseau rouge à bec de grimpereaux Certhia
coccinea. X, 341. mais :Ë
18. L'oiseau brun à bec de grimpereau. Certhia
gutturalis, X, 344
Les guit-guits d'Amérique. X » 347.
19. Le guit-guit noir et bleu. Certhia cyanea.
X, 348.
20. Le guit-guit verd et bleu à tête noire. Cérthia
spiza. X, 352. |
Variété À. Le guit-guit verd à tête noire. X, 356.
B. Le guit-guit verd et bleu à gorge
blanche. X, 356.
C. Le guit-guit tout verd. X, 356.
21. Le En verd tacheté. Certhit Cayanas
À, 600:
22. Le guit-ouit varié. Certhia variegata. KS
358.
23. Le guit-guit noir et violet. Cr Brasi=
liana. X, 350. \
24. Le sucrier. Certhia flaveola. X, %Go.
25. L'oiseau pourpré à bec de grimpereau. Cer+
thia purpurata. X, 346.
DES OISEAUX. 279
CINQUANTE-TROISIÈME GENRE.
+
COLIBRI. CTrochilus. )
‘ Tome XI, page 64e
Le bec très-gréle ; la langue tubulée et
extensible.
ESPÈCES.
. Le colibri topaze. Trochilus pella. XI, ro.
. Le grenat. Trochilus granatinus. XI, 73
- Le brin blanc. Trochilus superciliosus. X\, 74.
. Le zitzil, où colibri pe Trochilus PH
tulaitus. XI, 76.
5. Le brin bleu. Trochilus cyanurus. XI, 78.
6. Le colibri verd et noir. Trochilus holosericeus,
A: "er:
7. Le colibri huppé. Far paradiseus. XI,
63.
8. Le colibri à queue violette. Trochilus ie
XI, 64. “ |
9. Le colibri à cravate verte. Enr £ularts,
XI, 66.
10. Le colibri à gorge carmin. Thobilus jugu
laris. XI, 68.
© #1. Lecolibri violet. Trochilus piolaceus. XI , 69
32. Le hausse-col verd. Trochilus pectoralis,
XT, 99:
+ OC D
Ro A
280. TABLEAU.
13. Le collier rouge. Trochilus leucurus. XI, 9%
34. Le plasiron noir. Trochilus mango. XI, 93.
195. Le plastron blanc. Trochilus Ann:
XI; 05.
16. Le colibri bleu. Trochilus cyaneus: XI, 96.
37. Le verd-perlé.-Trochilus Dominicus. XI, 97.
36. Le colibri à ventre rougeâtre. T'rochulus Re
suliensis. XI, 08.
39. Le petit colibri. Trochilus thaumantias.
XI, 100. | |
QUINZIÈME ORDRE.
Bec renflé.
CINQUANTE-QU ATRIÈME GENRE.
MOUCHE. (Orthorhynchus.)
Tome XI, page +
Le bec droit et renflé vers le bout.
| ESPÈCES.
LE Le plus petit oiseau mouche. Orthorhynehus |
minimus. XI, 16.
4 4
DES OISEAU X. 284
2 Le rubis. Orthorhynchus colubris. XL, 19.
3. L’améthyste. Orthorhynchus amethystinus.
soX TE es, 4
4. L’orvert. Orthorhynchus viridissimus.: X1, 24,
2 Le huppe-col. Orthorhynchus ornatus. XI, 26.
6. Le rubis-topaze. Orthorhynchus moschitus,
2%, 28. | 4
7. L’oiseau-mouclie huppé. oo ne TS cris=
tatus. XI, 32, |
8. L’oiseau-mouche à raqueties. A À |
platurus. XI , 34.
9. L'oiseau-mouche pourpré. Len cb ru= ne
Ler. XI], 36.
30. La cravate dorée. Orthorl onehus leucogaster.
XE., 7e)
Er. Le chi Orthierhnehus ne XI,
39.
12. Le saphir Étindé Orthor!, Ds Bicolor.
XI, 40.
13. L’émeraude améthyste, Orthor hynchus QUFIS®
sta. XI, 42
24. L’escarboucle. Orthorhynchus carbunculus.
XI, 44.
15. Le verd-doré Orthorhynchus mellisuga.
XI, 46.
16. L’oiseau-mouche à gorge tachetée. Ortño-
rhynchus fimbriaius. XY, 48.
24
DS MN ue
\ ‘ Le { LATTES Le è
AE
282 T ABLE sil wi
17. Le rubis-émeraude. Orthorhiyrichus rubinèuss
XL, 49 |
18. LAS nai à he | MR Onthorhÿnehus
auritus: XI, 5o. 4 TE
379: L’oiseau-mouche à collier, ou la jacobine.
Orthorhynchus mellivorus. X1, 53.
50. L’oiseau-mouche à larges tuyaux. Orthorhyn-
chus latipennis. X1, 55.
21. Eoisauthouche à Hd couleur d'acier
bruni. Orthorhynehus macrourus. XÀ, D :3
22, L’oiseau- mouche violet à queue fourchue.
Orthorhynchus furcatus. XI, 59.
23. L’oiseau-mouche à longue. queue, or, verd et
« bleu. Orfhorhynchus forficatus. XI, 6x.
24 L’oiseau-mouche à longue quete noire. Or-
_thorhynchus polytmus. X1, 62
DÉS" OTEPAUX, : 6.
TROISIÈME SOUSDIVISION.
Dois ois eMbrieurs unis dans presque toute
leur longueur.
ES
SÉIZIÈME ORDRE
Bec FER Fi
CINQUANTE-CINQUIÈME GENRE.
Fe À É Lo. (Buceros)
‘Tome XIV, page 3.
Le bec très-grand, de he mince et
légère, surmonté d’une grande protubé-
rance,.el, pour ainsi. Le d’une fausse
mandibule. |
ESPÈCES.
. Le tock. Buceros nasutus. XIV,
2. Le calao de Manille. Buceros AE
XIV, 1
277 #0 SN "4 Ar” An
À ! L F ñ
{ Û TN NET t
REA À À Ode AA ar
pe #4
12 esta 0 LEO \ Ca
PE ‘
284 TABLEAU..
#
8. Le calao de Pile Panay. Buceros past |
XIV, x9.
4. Le calao des Moluques. Buceros Ay drocoraæs
XIV, 22:
5. Le calao de Malabar. Buceros Halde
KEY. 25.
6. Le brac, ou y Box d’ Afrique) Buceros a
canus. XIV, 32.
7. Le calao d'A byssinie, Buceros s Abyssinious
XIV, 34. KA Ni #s Vel
6. Le calao des Philippines. Buceros isa
XIV, 36. |
_g- Le calao à casque rond. Buceros galeatus.
XIV, 40. 7e En
xo. Le éalao rhinocros. Buceros HE
XLVe 42.
CINQUANTE- SIXIÈME GENRE.
| à" DO Mor. (Momor.)\
© Point de proëminence cornée sur le ‘bec.
| ESPÈCE R
x. Le momot, ou le hontou. Momot Guianensiss
XII, 108.
DES OISEAUX. 285
DIX-SEPTIÈME ORDRE.
Bec droit et comprime.
| CINQUANTESEPTIÈME GENRE,
ALCYON. (A4/cedo.) |
à
Le bec très-long; la langue courte ; le farse
_érés-court. ‘a
=
ESPÈCES.
x. Le martin-pècheur, ou lalcyon. .Æ/cedo 7
pida. XIV, 46. |
2. Le plus grand martin-pècheur. Alced gigan-
lea. XIV, C4.
+. HE DT RER bleu et roux, liege Smyr=
nensis. XIV, 60. ES
4. Le ne crabier. Alcedo Cancro=
phaga. XIV, 68.
5. Lemartin-pêcheur à gros bèci.Aiee -
XIV, 70.
6. Le martin-pêcheur pie. Aleedo rUdIS, XIV, 7
7. Le martin-pêcheur huppé. .Æ/cedo maxima.
XIV75.. à
"ot
‘ AER) ÿ
. 266
Ra
TABLEAUT
8. Le martin-pêcheur à a coiffe noire. Alcedo airis |
capilla. XIV, 77.
9. Le martin-pêcheur à tète Stade. Alcedo chloro-
JO.
Tr.
17,
16.
Y9-
cephala. XIV, 76.
Le martin -pêcheùr À tête et cou couleur de
paille. Æ/cedo leucocephala. XIV, 70.
Le martin-pêcheur à collier blanc. Alcedo
collaris. XIV, 81. ri 8, 0
. Le baboucard._Æ/cedo Baboucardus. XIV, 82.
. Le martin-pêcheur ‘bleu et noir du bin
XIV, 84
Ces numéros 12 €113 sont Dr par Latham
comme des variétés du suivant,
. Le martn-pêcheur à tête Bree Alcedo Sene-
galensis. XIV, 85.
. Le marün-pécheur à froné jaûne. Alcedo
erythaca.: XIV, 86., :
Le martin-pêcheur à Job ph brins. Æ/cedo pi
XIV, 87. Li RES
Le rie bééheur à à tête. Mtéue. ÆAlcedo cœæs=
ruleocephala: XIV, 80.
Le martin-pêcheur roux. Ælcedo Madagas-
cartensis. XIV, ot.
Le martin-pêcheur por Alcedo PHP
XIV, 92.
20. Le martin-pêcheur à bec Hiÿue. 7. leu
corhynchas M 03°
vs ne La
D ES. OISEAUX. 267
2i. Le martin-pêcheur de Bengale. Alcedo Ben-
galensis. XIV, 5.
22. Le vintsi. Æ/cedo ‘cristatas XIV, 99: PLUAVR
23. Le taparara. Alcedo Cayanensis. XIV,
IOT:
24. L’alati. Z/cedo 1orquata. XIV, 103.
25. Le jaguacati. Æ/cedo alcyon. XIV, 106.
26. Le matuitui. Æ/cedo mäculata. XIV, 09e
27. Le martin-pêcheur verd et roux. Æcedo bis
color. XIV, ITi. bé à,
28. Le martin-pêcheur verd et blanc. Acute V
Vireeé caña. XIV, 113-410 ji.
29. Le gip-gip. Alcedo Brasiliensis. XIV, me.
LES 0
30. Le martn-pêcheur verd et orangé. Aleedo,
superciliosa. XIV, 115.
CINQUANTEHUITIÈME GENRE.
cÉYXx. (Ceyx.)
Le bec tres-long ; la langue courte; le tarse
très-court; chaque a ne présentant des
*ÉTOIS rs ou die
ESP Ë ä
z. Le martin-pècheur à trois doigts, Ceyz tria
dactylus. XIV, 97:
Bec droit et comprimé.
a a 3 F PARUS
l
À LINQUANTENEUVENNE GENRE,
à Den
«
Lee rte LA
* | - XIV, page 123.
ï
Le bec long, et entouré à sa base de plumes
, . un peu roides. ;
ESPÈCES. au
7. Le todier de l'Amérique septentrionale. Todus
véridis. XIV, 125. |
. Le Le tic-tic, ou todier de l'Amérique: api
.. . nale. Todus cinereuse XIV, 128.
3, S todier bleu, à ventre orangé. Todus cœrus
_ deus. XIV, 130. .
# | Frs
Bec droit et menu.
#
SOIXANTIÈME GENRE.
MANAKIN. (Pipra.)
… Tome VIII, page 48 ”
Le bec court et dur; la queue courte.
Let ESPÈCES.
2- Le 'ÎHE, 4 grand manakin. a pareolé.… LEE
VIII, 53.
2. Le es Pipra manacus. VIIT, 56. vorà
3. Le manakin rouge: Pipra reola. PHL) 56% ou
4 Le manakin orangé. Pipra aus ntiaca. VIIT, 60. |
Ce manakin n’est sans doute qu une variété
du rouge. M .w
5, Le manakin à tête rouge. Pispra eotirocsphale
| VIII, 62.
Variété A. Le manakin à tête d'or, VIII, 62.
© B. Le manakin à tête rouge. VIII, 62.
C. Le manakin à tête blanche. VIII, 62. |
D. Le manakin à gorge blanche. VIII $ NS
É à d”
Quadrupdes. XIV, \
ET
| LA Le maizi de |
Pr
D à à VIT, pr FARM
9. Le picicitli, ou oiseau du Brésil pet et #
huppé. Pipra cristata. VIIL, 48. ‘is
10, Le coquantototl » Ou pelit oiseau huppé 4 le
figure du moineau. Pipra grisea. VII, 48. pu
ha DUT. Le plumet blanc. Pipra albifrons. VIII, 73.
60 D . L'oiseau ceudré de la Guiane. Pipra Qiri=
à capilla. VII, 75 |
LL” + 13. Le manikor. Pipra Papuensis. VIII, 76,
Ja _ 14 Le coq de roche. Pipra à VIII, 78.
Les naturalistes modernes ont fait, par erreur,
d'après Buffon, une. pie particulière
du coq de roche en jeune âge, ou femelle,
sous le vom de coq de roche du its ;
bia | VAR Re Mrs Leu
1
je
À AUS, AN
Bec arqué.
“
SOIx XANTE- UNIÈME GENRE.
LL 'GUÉÊPIER. (CMerops.)
| Tome XII, page 194. |
Le re pointu; la langue déliée.
ESPÈCES.
z. Le fournier. Merops rufus. XII, 245.
2. Le polochion. Merops Moluccensis. XII ,
É mrar D Lu HS
3. Le rérops rouge et bleu. Merops Brasiliensis, ;
P ô ÿ é |
4. Le Er Marne ts XI 2 A
5. Le guépier à tête jaune et blanche. Merops pi
ie XIT, 263. 4 Ne
- 6. Le guêpier à tête grise. Merops cinereus. “ a
7. Le guëpier gris d'Ethiopie. Merops Car | ui
XII, 266. | 3
| vie :
\ :
2
É.
Er --7e
OT Pen" ae 5 & Las RS 7e,
CE Ea LE FETE Le KE
k
},
SPACE
#},
nt
l
\
-#r. Le grand guépier verd et bleu à gors ge jaur
10. Le guêpier vert à gorge bleue. Moropss 1
XIE, 208 ï
AMerops chrysocephalus. XII, ape AE
12, Le petit guêpier verd et Hièi à queue étagées
Merops Angolensis. XII, 281.
_x3. Le guépier verd à queue d'azur. Merops
Philippinus. XII 5 28%.
14. Le guêpier rouge à tête bleue. Merops cæru-
leocephalus. XIL, 285.
15. Le guêpier rouge et verd du Sénégal. Merops |
erythropterus. XII, 287.
16. Le guèpier à tête rouge. Merops erÿthro-
cephalus. XIT, 28). | she
17. Le guépier verd à aïles et queue rousses.
Merops Cayanensis. XII, 201.
18. L’ictérocéphale, ou le guêpier à tête jaune.
Merops icterocephalus. XII, 203.
DES OISEAUX. 294
—
QUATRIÈME SOUS-DIVISION.
Doigts de devant réunis à leur base par
; _ une membrane.
GALLINACÉES.
VINGT- UNIÈME ORDRE.
_ Bec renflé.
SOIXANTE-DEUXIÈME GENRE.
PIGEON. (Columba.)
Le bec gréle et renflé vers la pointe ; Les
ouvertures des narines recouvertes à demi
parune membrane molleetcomme gonflée;
la langue non divisée; le tarse court.
ESPÈCES. .
. Le pigeon domestique, et ses variétés, Columba |
domestica. IV, 243.
2. Le pigeon biset. Columba via. IV, 243.
3. Le pigeon sauvage. Columba æœnas. IV, 243 ! ‘
4. Le ramier. Columba palumbus. IV, 292. di.
5. Le ramier des Moluques. Columba æœnea, LM
IV, 300. ARE
8. Le pigeon des îles Nicobar. Columba. 1
ï
v:
’
4
q le
;
Ë
6. Le net Colis Madagasea 12
Jo Rex
ONE A (LA 4
7. Le ramirer. Columba speciosa. IV, 303.
Garica. IV, 285. D 4 MR
9. Le pigeon couronné de Banda. Columba coro=
nata, IV, 285. * NT
10. La tourierelle. Co/umba turtur. IV, 308.
11. La tourterelle du Canada. Columèg Cana-
densis. IV, 315.
12. La tourterelle du Sénégal. Columba vinacea.
ENS Sr”: | |
13. Le tourocco. Columba macroura. IV, 3r7.
14. La tourtelette. CoZumba Copa IV, 317.
15. Le turverd, Columba wiridis. AV, 319.
16. La tourte. Columba Carolinensis. IV, 321.
17. Le cocotzin. Columba } |‘ sb ie TV; 323.
SOIXANTE-TROISIÈME GENRE.
TÉ TR AS. (Tetrao.)
Le bec court; les ouvertures des narines
cachées sous des plumes ; une place auprès
_ des yeux dénuée de té aid le tarse Berre
de plumes.
ESPÈCES.
x. Le tétras, ou grand coq de bruyère. T. étrae
urogallus. LIT, 219. s
RE Hé petit tétras, ou coq de. bte à queue
fourchue. Tetrao tetrix. IlT, 242.
3. Le petit tétras à queue pleine. T'etrao betulinuse
fi AIT, 265.
_ 4. Le petit tétras à plumage variable. T'etrao »a-
… riabilis. IIT , 268. 4 4
5. La gélinotte. ; bonasia. II, 271.
6. La gélinotte d'Écosse. Terrao coticus. IIT,
261.
7 Le ganga, Où gélinotte des Pyrénées. T'etrao
alchata. III. > 204.
8. L’attagas. T'etrao attagas. 1II, 204
Variété, L’attagas blanc. IIT, 306.
9. Le lagopède. T'etrao lagopus. III, 309.
10, Le lagopède de la baie d'Hudson. Tetrao
albus. III, 323. :
RES gélinotte de la baie cc T'etrao
Canadensis. 1II, 326. ’
12. Le coq de bruyère à "ri > où la grosse
gélinotte de Canada. Le aa EiE,
326.
13. La gélinotte à longue queue dela baie d'Hudson.
Tetrao phasianellus. IT, 326
X
+ CET LÉ DST DL >: 7 2,22
TAE
SOIXANTEQUATRIÈME C GEN À
PERDRIX. (Perdix F4 LA
Le bec court; les ouvertures des narin(
couvertes d’une callosité ; une place auprès
des yeux dénuée de plumes; le tarse che .
de plumes. de. À
ESPÈCES.
Les perdrix. IV, 128. ù
3. La perdrix grise. Perdix cinerea.IV, de 152.
2. La petite perdrix grise. Perdix Damascena.
:
IV, 154:
3. La perdrix de montagne. Perdix montana.
IV, 197. |
4. La bartavelle , ou perdrix grecque. Perdierafa.
IV, 156.
5. La perdnx rouge, Perdix ve TV, 171, 178.
Celle-ci a été regardée jusqu’à présent comme
une variété de la bartavelle; c’est plutôt une
espèce distincte, . G
6. Le francohn. Perdix francolinus. IV, 179.
7. Le bis-ergot, Perdix bicalcarata. IV, 185.
8. La gorge nue, ou perdrix rouge d'Afrique.
Perdix nudicollis. IV, 186.
9. La perdrix rouge de Barbarie. Perdiz algira.
IV, 168.
zo. La perdrix de roche, ou de la Gambra. Perdiz |
petrosas IV, 189.
4 \ (EE | ; 1 pi Pis
< LÉ Let a A a bi Sd: je: SRE AS NÉE
| DES. OISEAUX.
. La perdri IX perlée de la Chine, Phkdir: ARTE |
IV, 160.
_ 22. La perduix de la nouvelle Angleterre. Perdiz
Marylanda. IV, 190.
Les cailles. |
13. La caille et ses variétés. Perdix coturnir.
\ :
LEN, ro2.
14 Le chrokiel, ou grande caille de Pologne. |
Perdix Polonica. IV, 223.
15. La caille des îles Malouines. Perdix Falklan-
dica. IV, 225.
16. La fraise, ou caille de la Chine. Perdix Chi- |
nensis. IV, 226. *
27. Le réveil-matin, ou caille de Java. Perdix
suscitata. IV, 220.
Les colins, IV, 232.
18. Le zonécolin. Perdix cristata. IV, 236.
19. Le grand colin, Perdiz novæ Hispanie,
IV, 236.
_ 20. Le cacolin. IV, 237.
21. Le coyolcos. Perdir ceyolcos. IV, 237.
22. Le colenicui. Perdir Mexicana. 1V, 238.
23. L’ococolin, ou perdrix de montagne du Mexi-
que. Perdixz nœvia. 1V, 247.
24. Le tocro, ou perdrix de la Guiane. Perdiz
Guianensis. VIII, 187.
ae.
= 7 RER
Sr
Se <
LR NE 7. Tee ASE dt >. OMS MNT —. — PME
LE A
|SOIXANTE- ECINQUIÈNE €
mi) TINAMOU. CTinamus.) |
V4 AR Tome VIT, page 170.
Le bec long; Les ouvertures des na. |
k éloignées Fe la base du bec; u une place |
d' À ” auprès des as garnie de plumes clai
_ AI sernées. j |
#4 ESPÈCES ne AS
:
z. Le magoua. Tinamus Brie VIT, sus
2. Le tinamou cendré. Tinamus cinereuse VIII ‘
102. 10
3. Le tinamou varié. Tinamus variegaius. Vi »
103.
4 Le souïi. Tinamus oui. VIT, 185.
.
SOIXANTE-SIXIÈME GENRE,
TRIDACTYLE. (Tridactylus.) |
Le bec court; les ouvertures des narines
couvertes d’une callosité; une place auprès
des yeux dénuée de plumes; chaque pied.
ne présentant que trois doigts.
ESE È C E.
x Le turnix, ou la caille de Madagascar. Perdis
nigricoilis. 1V, 220
*
1e AUX El RS ion FraN ei de
Mt DES DIS RE di
SOIXANTESEPTIÈME GENRE.
PAON. (Pavo.)
_ Le sommet de la téte orné de plumes très-
relevées, élargies à leur extrémité, ef en
forme d’aigrette.
ESPÈCES.
1. Le paon proprement dit. Pavo cristatus. IV,
TL) 40» 44.
. 2. Le spicifère. Pavo muticus. IV, 02.
3. L’éperonnier. Pavo bicalcaratus. IV, 94.
4. Le chinquis. Pavo Tibetanus. IV, 00.
SOIXANTE-HUITIÈME GENRE.
FAISAN. (Phasianus.)
Une place dénuée de plumes sur chaque
joue : les pennes intermédiaires de la
queue recouvrant les latérales.
ESPÈCES.
LA Le coq et la poule , et leurs variétés. Phasianus-
“gallus. III, 66. \
#
2. Le faisan et ses variétés. Phasianus ions,
IV, 45,71, 72, 73.
3. Le faisan doré , ou le tricolor huppé de la
Chine. Phasianus pictus. IV, 77.
299
hs
a
A
4
L.
;
Ÿ
À
4. Le Eu noir et blant, ou a de le C 2.
Phasianus nyctemerus. IV, 82.
5. L'argus, ou luen , ou faisan de Junon. Phasi |
nus argus. IV, 85. . nr
6. Le katraca. Phasianus motmot. IV, 8.
7. L’hoazin. Phasianus cristatus. IN, ab
8. Le parraka. Phasianus parragua. IV, Ha
9. L’hoitlallotl. Phasianus Mexicanus. IV, 226.
SOIXANTE-NEUVIÈME GENRE.
PEINTADE. (Numida.)
Une proéminence osseuse et recourbée en
arrière sur le sommet de La téte.
ESPÈC E. -
{
Æ La peintade et ses variétés. Numida meleagris.
III, 190. |
SOIXANTE-DIXIÈME GENRE.
DINDON. (Meleagris.) |
La téte couverte de papilles charnues ; le
cou garni de barbillons charnus.
ESPÈCES.
1. Le dindon et ses variétés. Meleagris gailopav®
ALL, 1952,
2. Le napaul. Meleagris satyra. LV, 85,
Var Dr 7 AN
DES pr r das MER NL
SOIXANTE-ONZIÈME GENRE.
Hocco. (Crax.)
Tome IV, page 101.
Une cire sur la base du bec; Les plumes du
dessus de la téte retournées sers le bec,
ou relevées en huppe.
ESPÈCES.
3. Le hocco proprement dit, ou le hocco de la
= Guiane. Crax alector. IV, 102.
2. Le pauxi ou le pierre. Crax pauri, IV, 112.
3. Le chacamel. Crax vociferans. IV, 125.
4. Le caracara. Crax caracara. IV, 123.
Je dois observer, 1°. que le chacamel me
paroît être plutôt un synonyme du petit aigle
d'Amérique ( falco nudicollis); 20. et que le
caracara es! un autre oïseau de proie, et non
pas un hocco , comme l'ont cependant cru
quelques uaturalistes modernes.
4.
bé 2 ER
RE RS RUE
Point vs cire; Les plumes Ha! Lstpee
à retournées vers le bec, ou relevées en }
ES P È CES. s
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\ : 3 us
1. Le marail. Penelope marail. IV, 7
2. L’yacou. Féraens Ghreanerit IVir )
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ra É ET CR ONE TONER, RNA EU AN PL
SECONDE SOUS-CLASSE.
Le bas de la jambe dénué de plumes Ë
ow plusieurs doigts réunis par une
large membranes
Re onision
Trois doigts devant; un doigt ou point
de doigt derrière.
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
Doigis de devant entièrement réunis par une
membrane.
OISEAUX D'EAU.
Tome XIV, page 132.
VINGT-DEUXIEME ORDRE.
Bec croclu.
SOIXANTE-TREIZIÈME GENRE.
FLAMMANT. (PAœnicopterus.)
Le bec grand, large, fléchi vers son milieu.
ESPÈCE.
z. Leflam maut, PAœnicopterus ruber. XVI, eh.
4
SOIXANTEQUATORZIÈME GENR E
ÿ I:
À LB ATROSSE. ( Diomedea:) amet.
\
ÿe bec grand, fort, tranchant, et cu
par un gros crochet; les ouvertures dés
narines placées à l’extrémité d’un petit
rouleau longitudinal ; chaque PES ne
présentant que {rois doigts.
1.
ESPÈCE.
1. L’albatrosse. Diomedea exulans. XVII, 166-
SOIXANTE-QUINZIÈME GENRE.
PÉTREZL.. (Procellaria.)
Tome XVIII, page 120.
Les deux mandibules égales: les ouvertures
des narines placées, à l'extrémité d’un
cylindre longitudinal ; un ongle tenant
lieu du pouce de chaque pied.
ESPÈCES.
3. Le pétrel cendré. Prccellaria cinerea. XVI,
126. /
2. Le pétrel blanc et noir, ou le damier. P7ro-
cellaria Capensis. XV1IT, 120.
3. Le pétrel antarctique, ou le damier brun,
Procellaria antarctica. XNIII, 136.
*
DES OISEAUX. 305
4. Le pétrel blanc , ou de neige. Procellaria
nivea. XNIII, 130.
_ S. Le pétrel bleu. Procellaria Forsteri. XVIII, ï
41.
6. Le très-grand pétrel , ou le quebrantahuessos.
Procellaria gigantea. XVIII, 146.
- 7e Le pétrel-puffin. Procellaria puffinus. XIII,
T47.
6. Le fulmar. Procellaria glacialis. XVIII, 153.
9. Le pétrel-puffin brun. Procellaria æquinoc-
tialis. XVIII, 155. :
30. L'oiseau de tempête. Procellaria pelagica.
X VIII, 156.
VINGT-TROISIÈME ORDRE.
Bec denteleé.
SOIXANTE-SEIZIÈME GENRE -
CANARD. (Anas.)
Tome XVII, page xt.
Le bec large, arrondi à son extrémité , "ei
garni, tout autour des mandibules, de
petites lames verticales.
ESPÈCES.
. Lecygne. Ænas olor. XVIT, 125.
| 26
56 de (TABLEA ENTRE
2. L'oie. nas anser. XVIL, 156: ni MUR
3. L’oie des terres magellaniques. D Maget- &
» : lanica: XVII, 200.. tp t ont 4
1 4e L'be des îles Malouines, où Falkland. nas
leucoptera. XVII, 202. = 4 d pi *
5. L’oiede Guinée. Ænas cycnoïdes. XVII, 206.
6. L’oie armée. Ænas Gambensis. XNI ; 210.
7. L'oie bronzée, Ænas melanotus. XVI, 212.
8. L’oie d'Égypte. nas Ægypliaca XVII, 214.
y. L’oie des Eskimaux. {nas cærulescens. XVII,
216. #3
10. L'oie rieuse. Anas albifronse XNII, 217.
11. L’oie à cravate. Ænas Canadensis. XVII, 219.
” 32. Le cravant. Ænas bernicla. XVII, 224.
13. La bernache. Ænas erythropus. XNII, 230.
( 14. L’eider. {nas mollissima. XVII, 238.
35. Le canard et ses variétés. AnaS boschas.
| XVII, 240.
16. Le canard musqué. Ænas moschata. XVII,
290.
47. Le canard siffleur, et le vingeon ou gingeon.
Anas penelope. XVIT, 206.
x6. Le sieur huppé. nas rufina. XVII, 31r.
xg. Le siffleur à bec rouge et narines jaunes. Anas
autumnalis. XVII, 313.
20. Le siffleur à bec noir, nas arborea, XVII,
SAVE
"4
30.
36.
. Le canard à tête grise. {nas spectabilis:
A: pos À CA Los NT A € ag LE M"
DES! OISEAUX, 307.
* Le chipeau, ou le ridenne. Anas streperas
> LANIT, 317.
. Le Sinaltis ou le rouge. Aide platyrhynchos.
XVII, 32r.
Le pilet, ou canard à longue queue. nas
acuta. XNII, 330.
. Le canard à longue queue de Terre-Neuve.
ÆAnas glacialis. XVIT, 334.
. Le tadorne. nas Sara XVIHT, 5.
. Le millouin. Anas ferina. XVIII, 10.
- Le millouman. Ænas marila. XVIII, 25.
. Le garrot. Ænas clangula. XVIII, 27.
+ Le morillon. Ænas fuligula. XVII, 33, 37.
La macreuse. Ænas nigra. XVII, Fa
: La double-macreuse. Æ4nas fuscas XVIIT,
52.
. La macreuse à large bec, has perspicillata.
XVHIE, 53.
. Le beau canard huppé. Anas sponsa. XVII,
25.
+ Le petit canard à grosse tête. Anas bucephala.
XVITT , 56.
. Le canard à collier de Terre-Neuve. {nas
histrionica. XVIIT, 60.
Le canard brun. nas minuta. XVIII, 65.:
XVIII, 65.
CR} D: PANT OR Pi bd
so,
al dE fat A) à
: BoB mn
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VAOOMR |
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? x,
38. Le canard À face blanche. Anas viduaas
XVIII, 68.
39. Le marec. AÆnas Bahamensis. XVII, 69e.
40, Le maréca. nas Brasiliensis. XVIIT , de
Les here: XVIII, 7o.
LORS
”
Ka]
pe
‘tS
41. La sarcelle commune. .Anas un A
XVIIL, 73.
42. La petite sarcelle. nas crecca. XVIII ÿ 79=
43. La sarcelle d'été. {nas circta. XVIII, 82.
44 Lasarcelle d'Egypte. Anas Africana. XVITI,
88.
45. La sarcelle de Madagascar. Ænas Madagas-
cariensis. XVIII, 80.
46. La sarcelle de Coromandel. Ænas Coroman-
deliana. XVIII, 00.
47. Lasarcelle de Java. Anas falcaria. XVIII, ox.
AS. La sarcelle de la Chine. Anas galericulata.
XVIII, 02.
49. La sarcelle de Féroé. Anas Feroensis. XVIII,
99.
5o. La sarcelle soucrourou. Ænas discors. XVIII,
97:
Br. La sarcelle soucrourette. nas soucrourde
XVIII, go.
92. La sarcelle à queue épineuse. Ænas spinosa.
XVIII, 107.
SN
PE
:
| DES OISEAUX. 30
3 À La sarcelle rousse à longue queue. Ænas Do-
minica, XVIII, 103.
94: La sarcelle blanche et noire, ou la religieuse.
Anas religiosa. XVIII, r1o5.
55. La sarcelle du Mexique. nas novæ His-
paniæ. XVII, 107
56. La sarcelle de la Caroline. ÆAnas Carolinensis.
XVIII _ I09.
572 La sarcelle brune et blanche. Ænas Hudso-
niensis. XVIII, xro.
SOIXANTE-DIX-SEPTIÈME GENRE. |
HA RLE. (Mergus.)
Le bec étroit et alongé: les deux mandibules
garnies de dents pointues, petites, et di-
rigées en arrière.
ESPÈCES.
z, Le harle. Mergus merganser. XVI, 108.
2. Le harle huppé. Mergus serrator. XVI, 194
‘3. La piette, ou le petit harle huppé. Mergus
albellus. XVI, 196 :
4. Le harle à manteau noir. ie a niger. XVI,
198.
5. Le harle étoilé. Mergus Plus. XVI, 200,
6, Le harle couronné. ner cucullatus. XVE,
202:
Li. nn (A
PRE EN AU PRE UE
VINGT- QUATRIÈME ORDRE.
Bec droit et comprimé, ik
SOIXAN TE-DIXHUITIÈME GENR)
BEC-EN-CISEAUX. CRéyncops.)
La mandibule supérieure plus courte que
l'inférieure, dont l'extrémité est rectiligne,
et n’a qu'un seul tranchant.
ESPÉCE
x. Le Benne Rhyncops nigra.
SOIXANTE-DIX-NEUVIÈME GENRE
- PLONGEON. (Urinator.)
Tome XVI, page 168.
Le bec fort et pointu ; quatre M re &
chaque pied. DA
ESPÈCES; w
x. Le grand plongeon - Urinatorimmer. XVI, 171.
2. Le petit plongeon. Urinator striatus, XNI , 174
PP RE AT TA OT ES à OO PTS REP NE E VPANT E na: dieu TA De. Mt PU 7 L'ONU)
170
AÏ:V
Fu d
LOT DISA QI SEEN U x 31t
3. Le plongeon cat-marin, Urinator Bailloni.
: XVI, 176.
4. L’imbrim, ou grand plongeon de la mer du
Nord. Ürinator glacialis. XVI, 170.
5. Le lumme, ou petit plongeon de la mer du
Nord. Urinator arcticus. XNI, 182.
QUATRE-VINGTIÈME GENRE.
GRÈBE. (Colymbus.)
Le bec fort et pointu; quatre doigis à chaque
_-pied; les mernbranes des pieds Alors €es.
ESPÈCES.
x. Le grèbe. Colymbus cristatus. XVI, 130.
Le grèbe cornu est le même animal adulte;
XVI ES
‘2. Le petit grèbe. Colymbus obscurus. XVI,
146.
3. Le grèbe huppé. XVI, 147.
4. Le petit grèbe huppé. Co/ymbus auritus. XVI,
149° |
Variété. Le petit grèbe commu. XVI, 152.
5. Le grèbe duc-aart. Colymbus Thomensise
VI, FE
6, Le grèbe de la Louisiane. Colymbus Ludo-
v»icianus, XVI, 155.
|
7. Le grèbe à joues pa ou ejougri. Cof ml j ;
rubricollis. XNI, 156 |
8 Le grand grèbe. Colymbus Cayanus. ES
x5T.
g- Le castagneux. Colymbus minor. XVI, he. sv
10. Le castagneux des’ Philippines. Co/ymbus \
Philippinus. XVI, 162. nd
1x1. Le castagneux à bec cerclé. Colymbus a
ceps. XVI, 164. | 4
12. Le castagneux de Saint-Domingue. Colymbus
Dominicus. XVI, 165. Lo.‘ =
13. Le grêbe-foulque. Colymbus Surinamensise
XVI, 166. gù
‘ \ K 4
QUATRE-VINGT-UNIÈME GENRE.
GUILLEMOT. CUria. )
s
Le bec un peu haufef pointu ; chaque pied
ne présentant que {rois doigis ; Les ailes
._érès-courtes.
ESPÈCES. Leaf VA
1. Le guillemot. Uria troïle. XVIII, 174.
2. Le petit guilleinot, improprement nommé fa
colombe de Groenland, Uria grille. XVIILE,
-177
DES OISEAUX. \ 3e
| QUATRE-VINGT- DEUXIÈME GENRE.
PINGOUIN. (Pingouin.)
Tome XVIII, page 194.
Le bec arrondi dans le bout, et sillonne :
chaque pied ne présentant que trois doigts ;
les ailes très-courtes.
ESPÈCES.
1. Le pingouin. Pingouin torda XVIII, 210.
2. Legrand pingouin. Psngouini D XVIIL,
214.
3. Le petit pingouin, ou le plongeon de mer
de Belon. Pingouin pica. XVIII, 216.
_ QUATRE-VINGT-TROISIÈME GENRE,
{
MANCHOT. (Æ4prenodytes.)
Le bec droit et pointu; un ongle à la place
du pouce; point de pennes aux ailes.
ESPÈCES!
z. Le grand manchot, Aplenodytes Pathagonicai |
FTAVETE, 219.
27
”
TA BLI AU % À
2. Le manchot moyen. Apienodytes demersa.
XVIII, 223. - ps €
3. Le manchot sauteur. Antibes cheysocomes
XVIII, 220.
gellanica. XVIII, 232. F4
4. Le manchot à bec tronqué. _Apienodytes ee
HA
VINGT- -CINQUIÈME ORDRE.
Bec droit et menu. #
\
“AI
QUATRE-VINGT-QUATRIÈME GENRE.
STERNE. (Sferna.)
4 Tome XVI, page 246.
Le bec effilé et pointu ; Les ouvertures des
narines longues et étroites; les ailes très-
dongues; les tarses courts.
ESPÈCES.
1. Le pierre-garin, ou grande hirondelle de mer.
Sterna hirundo. XVI, 252. |
2. La petite hirondelle de mer. Sterna minuta,
XVI, 250.
44
3. La guifette. Sierra Boysui. XVI, 261.
4. La puifette noire, ou l’é épouvantail. Szerna
fissipes. XVI, 264.
5. Le gachet. Srerna nigra. XNI, 266.
6. L’hirondelle de si Philippines. Sterna
Panaya. XVI, 267.
7. L’hirondelle de mer à grande envergure. Sterna
Juliginosa. XVI, 268. |
8. La grande Lodel de mer de Cayenne.
_ Sterna Cayana. XNI, 271.
9. Le uoddi. Sterna siolida. XVII, co.
VINGT-SIXIÈME ORDRE.
Bec arqué.
QUATRE-VINGT-CINQUIÈME GENRE.
AVOCETTE. (ÆRecurvirostra.)
Le bec très-long, et recourbé vers le haut.
ESPÈCE.
3. L’avocette. Recurviresira avocetta. XVII,
94.
‘ DÉS OISEAUX. 15
7 =:
pe Ce RP Sn LS
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Lu Lu A
" 4
VINGT-SEPTIÈME ORDRE.
Bec renflé.
26
4
QUATRE-VINGT-SIXIÈME GENRE. u4
MAUVE. (Larus.)
Tome XVII, page 5.
Le bec fort et renflé par-dessus et par-dessous;
les ailes très-courtes.
ESPÈCES VI
3. Le goéland- à manteau noir. Larus marinuss
‘à XVII, 20. Ve si à
1 2. Le goéland à manteau gris. Larus glaucus.
XWVIL, 22.
3. Le goéland brun. Larus catarractes. XVII, 25.
4 Le goéland varié, ou le grisard. Larus nœvius,
XVIT, 30.
5. Le goéland à manteau gris-brun, ou le bourg-
mestre. XVII, 36.
6. Le goéland à manteau gris et blanc. XVII, 40.
7. Lamouette blanche, Larus eburneus. X VIT , 42.
8. La mouette tachetée, ou le kutgeghef. Larus
tridactylus. XVII, 44.
9. La grande mouette cendrée, où mouette à pieds
bleus. Larus argentatus. XVII, 48 -
10. La petite mouette cendrée. Larus cinerascens.
XVII, 5r.
11. La mouette rieuse. Larus aireilla VIT! 55.
12. Le inouette d'hiver. Larus 2 rh XVII,
60.
13. Le labbe, ou le stercoraire. FH érepi-
datus. XVII, 64.
14 Le labbe à bee queue. Larus parasiticus.
XVII, 71.
DEUXIÈME SOUS-DIVISION.
Quatre doigts réunis parune largermembrane.
OISEAUX D'EAU LATIRÈMES.
VINGT-HUITIÈME ORDRE.
Bec crochu.
QUATRE-VINGT-SEPTIÈME GENRE.
FRÉGATE. (/Fregata.)
Le bec long, ettrès-crochu vers son extrémité.
_ESPÈCE.
x. La frégate. Fregata aquilus. XVI, 306.
Rens 7
DES OISEAUX 317
| ÀQUATRE-VINGT-HUINIÈME cm
CORMORAN. (Carbo.) ë +7
Le bec un peu comprimé ; la queue srscroides… ;
ESP ÉCEN AUS
1. Le cormoran. Carbo vulgaris. XVI, 229.
2 Le petit cormoran, ou le nigaud. Carbo gra-
| culus. XVI, 236.
+
NA
VINGT-NEUVIÈME ORDRE. |
Bec den tele,
QUATRE-VINGT-KEUVIÈME GENRE.
ne FO U. (Sula.) |
Tome XVI, page 285.
Le bec droit.
ESPÈCES.
1. Le fou commun. Sula vulgaris. XVI, 294."
2. Le fou blanc. Sula Piscator. XVI, 3
3. Le grand fou. Sula major. XVI, 208.
4. Le petit fou. Sula parra. XVI, 300.
DES OISEAUX. #9
5. Le petit fou brun. Sula fiber. XVI, 301.
: 6. Le' fou tacheté. Sula maculaia. XVI, 302.
7. Le fou de Bassan. Sula Bassanus. XVI, 303,
QUATRE-VINGT-DIXIÈME GENRE.
2° PHAÉËÉTON. (Phaëlon.)
Tome XVI, page 273.
Le bec gréle, pointu, un peu déprimé; les”
ailes 1rès-longues.
ESPÈCES.
1. Le grand paiïlle-en-queue: Phaëton œthereus.
XVI, 270.
2. Le petit paille-en-queue. PAaëton rt
XVI, 280..
3. Le paille-en-queue à brins rouges. Phaëton
phœnñicurus. XVI, 283.
QUATRE-VINGT-ONZIÈME GENRE.
ANHINGA. (Plotus.)
Le bec long, pointu et sans aucune sorte de
crochet; des places dénuées de plumes sur
la tête ou sur le cou; le tarse court.
| ESPÈCES. à
x. L’anhinga. Plotus anhinga. XNII, 74
2. L’anhinga roux, Plotus rufus. XVII, 81.
QUATRE-VINGT-DOUZIÈME GENRE.
PÉLICAN. (Pelecanus.)
Le bec long; une sorte de sac sous la gorge:
ESPÈCES.
N
r. Le uit. Pelecanus onocrotalus. XVI,
2043 224 . :
2. Le pélican brun. Pelecanus FRA XVI, 226.
3. Le pélican à bec dentelé. Pelecanus thagus
XVI, 228. |
DES OISEAUX. 3er
\
TROISIÈME SOUS-DIVISION.
Doig vis réunis à leur base parune bone
TRENTE-UNIÈME ORDRE.
Bec crochu.
QUATRE-VINGT-TREIZIÈME GENRE.
MESSAGER. (Serpentarius.)
Le bec très-fort; une cire à sa base.
… ŒSPÉC'E.
3. Le secrétaire, ou le messager. Serpentarius
Africanus. XIV, 235.
QUATRE -VINGT-QUAT ORZIÈME GEN RE.
KAMICHI. (Palamedea.)
Le bec un peu conique auprès de sa base.
J
ESPÈCES.
x. Le kamichi. Palamedea cornuta. XIV, 245.
2, Le cariama. Palamedea cristata. XIV, 231.
GLARÉOLE. | CGlareola.)
Tome XV, page 160 de.
Le bec court, et droit dans une grande parti
desa longueur. | |
E Smcæ's 1 AR
1. La perdrix de mer grises Grerie Aile
"JW, 68, ki |
7 2. La perdrix de mer brune. G/areola Sencga-
lensis. AVS T0 | ; À
3: La giarole. Glareola nœvia. XV, 164.
4 | 4. La perdrix de mer à collier. Glareola torquata.
430 XV, 165.
e.
: TRENTE- DEUXIÈME ORDRE.
Fe droit et conique.
QUATRE-VINGT-SEIZIÈME GENRE.
AGAMI. (Psophia.)
La mandibule pe à plus- longue que
VERSER
ESPÈCE.
x. L'agami. Psophia crepitans. VIII, 153.
Er te E
È “x 4
La
Ÿ - N
A biens he a ACTE Ans "CSN HALLE LÉ AU
DES OISEAUX. 323
TRENTE-TROISIÈME ORDRE.
Bec droit et comprimé.
QUATRE-VINGT-DIX-SEPTIÈME GENRE.
GRUE. r Grus.)
Le bec court, fort, ef un peu pointu; les
ouvertures des narines étroites et alongées :
un sillon longitudinal de chaque côté de
la mandibule supérieure; la langue 77e
tue; plusieurs parties de la téle dénuées
de plumes.
ESPÈCES.
1. L'oiseau royal. Grus pavonina. XIV, 223.
2. La demoiselle de Numidie, Grus »irgo. XIV,
218.
3. La grue. Grus vulgaris. XIV, 194.
4. La grue à collier, Grus 1orquata. XIV, 212.
5. La grue blanche d'Amérique. Grus Ameri-
cana. XIV, 213.
6. La grue brune. Grus Canadensis. XIV, se
7. Le mandapoa. XIV, 192.
PR st
FE"
+. mn "RSS 4
QUATRE VING TDR HUTTÈNE G GE
\ CIGOGNE. |
\
ouvertures des narines étroites et alongées
un sillon longitudinal de chaque côté de
la mandibule supérieure ; a langue} poin-
‘tue; les yeux entourés d’une’ peau nues
ESPÈCES.
zx. ee cigogue. Ciconia vulgaris. XIV, x56.
2. La cigogne noire. Ciconia nigra. XIV, 176:
3. Le maguari. Ciconia maguari. XIV, 100.
QUATRE-VINGT-DIX-NEUVIÈME GENRE:
w. HÉRON. (Ardea.) ®. 4
Ze bec long, fort, et un peu pointu ; les
ouvertures des narines étroites et alongées ;
un sillon longitudinal de chaque côté de
la mandibule supérieure; la langue poin-
tue; les yeux eniourés d'une peau nue,
et situés très-près de la base du bec ; Fonñgle
du doigt du milieu dentelé.
d
ESPÈCES.
1, Le héron commun. 4{rdea major. XIV, 254:
2. Le héron blanc. .4rdea alba. XIV, 278.
( Ciconi id: ) Ü à |
Le bec long, fort, et un peu pointu ; Les
di
| y / 41
DES OISEAUX. 8 À
?
S Le béron noir. Ærdea atra.. XIV, 281, | L.
4. Le héron pourpré. Ardea purpurata. XIV, jé
283 AM Mc , £
5. Le héron violet. Ærdea leucocephala. XIŸ,
Ÿ NN WA | 5
6. La garzette blanche. 4ra ea asian ÿ
XIV, 286. *
7. one. Ardea garzet @e. XIV, 288. |
8. La ide aigrette. Ærdea egreita. XIV, 207:
g L'aigrette rousse. Ardea rufescens. XIV, 293:
10. La demi-aigrette. {rdea DRAP XIV,
2e 4° s Jin | À
zr. Le soco. Ardea cocoi. XIV, 48 ‘4 Pa :
Z2. Le héron blanc à calotte noire. Ardea pe
Ç] V, 27e
13: Let éron brun. Ærdea fusca. XIV, N
14. Le héron agami. Ardea agamï. XIV, 2994
25. L’hocti. Ærdea hoactii. XIV, 300. |
16. Le hobou. 4rdea hohou. XIV, 302. (a
17. Le grand héron d’Amérique. Ardea Heros
dias. XIV, 303.
x8. Le héron de la baie d'Hudson: Ærdea Hude
sonias. XIV, 304,
Les crabiers. XIV, 306.
39. . Lecrabier caiot. Ærdea squaiot{a. XIV, 307.
20. Le crabier roux. rdea badia. XIV, 308
Quadrupèdes, XIV: 38
ke
S SE
22. Le guacô. ne Le
23. Le crabier de Mahon J Aydoai Mehonices
: XIV, 372. | | à
24. Le en omadel, Ardea Coremande
XIV,
23. Létrobtié lan « 1 brun. Ardea Malaccensis.
XIV, 3740 Ra: FOR.
26. Le crabier noir. Ærdea novæ Grise ‘XIV,
315.
27. Le petit ce ÆArdea Philippe
316. | sai
28. Le blongios: Ardei minuta. XIV,
29. Le crabier bleu. Ærdea cærulea.
30.0 crabier bien àcde brun. is cæœTu
ébis. XLV, 3229 V0 7 RE
ês. XIV,
3r. Le crabier gris-de-fer. Ardea roll 2 XIV,
323.
32. Le crabier blanc à bec rouge. \Ardea œqui=)
noctialis. XIV, 325.
33. Le:crabier cendré. 4rdea HAPPUE XIV,
326.
34. Le crabier pourpré. Ardea mr XIV,
327. G SN |
35, Le cracra. Ardea cracra. XIV, 328.
36. Le'crabier chalyhé. Ardea chalybea. XIV,
UT “ain “
DES OISEAUX. ÿ 329
37 Le crabier verd acheté. ‘Ardea arbres
XIV, D DoT- &
38. r zilatat, rdea/silatai, XIV, 332.
39. Le be route W (Be 6 “ueue vertes. Ærdea
Ludoviciana. XIV, 333.
40. Le crabier net ii e si si ue vertes. Ldrdea
F Li we
41. Le butor proprement dit. Ardea stellaris.
XV, 5.
42. Le orand butor. Ærdea botaurus. XV, 19.
43. Le petit butor. Ærdea Marsigli. XN, 2x.
44 Le butor brun rayé. Ærdea Danubialis. XV, di ON
22. |
45. Le butor roux, Ærdea Soloniensis. XV, 23.
46. Le peut butor du Sénégal. Ærdea Senega=
lensis. XV, 25.
47. Le pouacre, ou butor re des Gardeni:
XV, 26. 7e
L'étoilé. C’est une variété du numéro “40.
XV, 20.
48. Le butor j jaune du Brésil Ardea flava. XV,
30.
49. Le petit butor de Ctems. Ardea undulata:
XV, 31.
#
5o. À butor
ke nica. V
| 5x. L'onoré.drdea ,
111. \ Sandi'onorérragés Ardea. n
53. L’onoré des bois. Ar
36. - 4
54. Le bihorean. An ea 4
55. Le bihoreau de as Cora
# XV, 42° !
56. Le courhri, ou oi. Ardea soolpéea-
1 XV, 49, : "
V"N" CENTIÈME GE NA
Fa
NUE | BEC-OUVER Tr. Crians) | +3
_ 4)
we _ Les deux mandibules toujours séparées l'une
re de l’autre, dans une are de leur lon |
ik gueur. | | À
| ie ssrÈcr. EE M
4 x. Le MT LA Hians a À x, |
. 335.
/
;
DES OISEAUX. | 329
du
CENT- -UNIÈME GENRE
R A DE. (Rallus. )
Tome XVI, page 33.
Le bec pointu; la tête petite; le corps corm-
primé; la quete courte: les doigts anté-
_rieurs très-longs.
ES PÈCES.
z. Le râle de terre ou de genêt, ou le roi des cailless
Rallus crex. XVI, 35.
2, Le râle de terre de lag amaique. Rallus cursors. di HS
XVI, 35.
3. Le râle de terre de la Gisne. Rallus Sinensis. : +
XVE, 35.
4. Le räle d’eau. Hetss aquaticus. XVI, 44:
5. La maroueite. Rallus porzana. XVI, 47:
(6. Le üklin, ou râle ds “mr Rellus Phi-
NE: A XVI,
7. Le tiklin brun, Halls "rime XVI, 53.
8. Le tiklin rayé. Rallus striatus, XVI, DÂe
9. Letiklin à collier. Rallus torquatus. XVI, 556
40. Le râle à long bec. Ballus pris VI,
*: 56. :
zx. Le kiolo. Pains ane AI 58.
%
#
330 , * A Fa L E AU ; Hi
12, Le ie tache | de Eee Balls variege
Mal XVI, 60. ï 6 ©" ( |
+ 23. Le râlede vhs Rallus ; grisens. XVI, 622
74. Le bidi-bidi. Rallus J amaïcensis. XVI, 62...
19. Le petit râle de Ceyeie Rallus Cayanensis.
XVI, 637 n
16. Le pa ou petit paon de rose. Fallus
helias. XVI, 63e, ".
Tr
CENT- DEUXIÈME GENRE:
OMBRETTE. (Scope
?
*
»“
_ Le bec long; les mandibules épaisses ; le.
arse I6ng les ongles pelits.
E s PÈC E..
I. L'ombrette. Scopus umbretta. XV, 8.
CENT- TROISIÈME de Lune
- 4
L’extrémité du bec en forme de coin ; chaque |
pied ne pren que trois doigts.
M
re) ES PÈ C F1
5. L huîtrier, vulgairement la pie de mer. Hamas
bé Sp re XVI, 5. ù
D
HUITRIER. | Cemaiopus.)
PAU NT
DES OISEAUX. 39r
NW
il
TRENTE- QUATRIÈME ORDRE.
Bec droit et déprimé.
CENT-QUATRIÈME, GENRE:
SAVACOU. (Cancroma.)
Le bec très-large; les mandibules fortes et
tranchantes. | en. .
Lea j : : ee à "4
ESPÈCE. | 44) "re
1. Le savacou. Cancroma cochlearra. XV, PE ja
CENT-CINQUIÈME GENRE.
SPATULE. (Platalea. j
Le bec long, et élargi en jorme de ac
ë son extrémité,
ESPÈCES. js 14
1. La spatule blanche. Plaialea leucorodia: 2, + .
D2: |
2, La spatule rose. Plaalee sjaja- XV, Sas
M2 TABLE un
ms
TRENT TE- CIN QUIÈME ORDRE.
Bec hr et menu.
nt GENRE
BÉCASSE.. CScolopax.)
Le bec gréle, émoussé, et plus es que la
téte; le doigt de derrière un peu long, et
placé à peu près au niveau de doigts de
_ devant,
ESPÈCES.
3. La bécasse, et ses variétés. SARRUE rusticola.
XV, 66, 85.
2. La bécasse des savanes. - Scolopar paludosas
XV, 87.
3. La bécassine Scolopar gallinago. V, go.
4. La petite bécassine, surnommée la sourde.
Scolopaz gallinule. XN, 97e 1% ; a
5. La brunette, Scolopax pusilla. XV, 100.
6. La bécassine du cap de Bonne - Espérance.
Scolopar Loos: XV, xor.
q- La bécassine de Madagascar. Scolopaz Mada=
gascariensis. XV, z1o2.
.e. La bécas.ine de la Chine. une Sinensrs.
17 CU
XV, 104
o
DES OISEAUX. 333
Les barges. XV, 106.
9: La barge commune. Scolopazx limosa. XV, 110,
10. La barge aboyeuse. RERO totanus. XV,
I12. %
11. La barge variée. Scolopax glottis. XV, 114.
12. La barge rousse. Scolopax À AY,
116.
13. La grande barge rousse. Scolopax oi M
XV, 117.
14. La barge rousse de la baie d'Hudson. Sco-
OPEN XV, 119.
15. La barge brune. Scolopax fusca. XV, 121.
16. La barge blanche. Scolopazx alba. XV, 122.
= Latham a rangé cette + ne dans le genre
des avocettes,
Les chevaliers. XV, _24-
17: a chevalier commun. Scokopax equestriss
XV, 126.
18. Le chevalier aux pieds SFR Scolopax ru
bripes. XV, 126.
19. Le chevalier rayé. Scolopax driata XV. 137.
20. Le chevalier varié. Scolopax littorea. XV, 132.
21. Leckevalierblanc.Sco/opa&candida.XV,:35.
2e Le chevalier verd. me da Bengalensis. XV,
136. L | nu
en a placé cet pis parmi les rèles
16 +
TRENTE-SIXIÈME ORDRE.
Bec arqué. .
/
Le
CENT-SEPTIÈME GENRE. -
JABIRU. (Mycteria.)
Le bec recourbé vers le haut.
ESPÈCE.
x. Le jabiru. Mycteria Americana. XIV, 166,
CENT-HUITIÈME GENRE.
181s (Ibis)
Tome XV, page 173.
Le bec long, fort, tranchant, et, émoussé
à son extrémité; des places dénuées de
plumes sur la tête.
:- ls Mu sAarÈcEs |
à 14 Le couricaca. This Tac ohee: XIV, 182.
2, L'ibis blanc. This candidus. XV, 188.
3, L'ibis noir. Zbis niger. XN, 193.
4. Le courlis rouge. Ibis ruber. XV, 272.
5. Le courlis des bois. Z bis Cayanensis. XV, 223.
EL FAN \
he
GX A
Ace
ou
—
DES OISEAUX. 389
6. L’acalot. Ibis Mexicanus. XV, 225.
7. Le grand courlis de Cayenne. This albicollis,
XV 228. | PRE
8. Le matuitui des rivages. Zbis gris D XV, 227:
g. Le courlis brun à front rouge. His Juscus.
CV, 227.
10. Le ue blanc. Zbis albus. XV, 219-
11. Le courlis verd, ou eourlis d’Italie. Jbis fat
cinellus. XV, 204%
72. Le courlis brun. Tbis dr. XV, 206.
13. Le courlis à tête nue. Ibis calous. XV, 208.
14 Le courlis huppé. Zbis cristatus. XV, 210.
CENT-NEUVIÈME GENRE.
COURLIS. (Tantalus.)
- Le bec long, fort, tranchant, et émoussé à
son extrémité; point de places dénuées de
plumes sur la tête.
| ESPÈCES.
z. Le courlis. Tantalus arcuatus. XV, TO à :
2. Le corlieu , ou petit courlis. T'antalus ect)
XV, 2or. dx
3. Le courlis tacheté. Tantalus Lusoniensiss.
XV, 207:
4. Le gouarona. Tantalus guarauna. AV); 224
f |), 1008
ARS V:
EX Re PR PRE LT ae UN 277
a | _ TABLEAU
CENT-DIXIÈME GENRE
! w we
ASSE. (Macrofarsus.)
Le tarse de et grêle: chaque pied ne prée
sentant que trois doigts.
ESPÈCE. |
+. L’échasse, Macrotarsus himantopus. XV, ‘e.
TRENTE- SEPTIÈME Né OURS
Bec renflé.
CENT-ONZIÈME GENRE.
HYDROGALLINE. ; (Æydrogallina. j
La mandibule inférieure renflée vers son .
extrémité ; une plaque dénuée de plumes
_ sur le front; les doigts non bordés, ou
| bordés d’une membrane très-étroite.
n “YU ESPÈCES..,
2. La poule d’eau. Fydrogallina Méropus. |
XVI, 68.
4
WW
DES OISEAUX. 339
2. La poulette res Far gallina ur AP
74°
3. La porzane, ou grande poule "is nn
gallina porzana. XVI, 7 Pau
4 La grinette. Hydrogallina 4. XVI, 77e
5. Le smirring, Hydrogallina flavipes. XVI, 78.
6. Le glout. Æydrogallina fistularia. XVI ; 7,
7
ô.
, La grande poule d’eau de Cayenne. Æydro-
gallina Cayanensis. XVI, 80. .
Le mittek. ge be du M Groenlandica. XYL.:
82.
9. Le kingalik. Aydr ogallina Barbarica. XVI,
64
40. La poule “Me verte. Hydrogallina viridiss
XVI, 97, 109.
11. La poule sultane brune. Hydrogallina oBs=
j cura. XVI, TIO.
12. L’angoli Hydrogallina Ma hant:
XVI, zx. à
13. La petite pouls sultane. Er Seat Mar-
Zinica. XVI, 113.
T4 La favorite, Hydrogallina flavirostis. XVI, | ja
ER
a5, L’acintli. ÆAydrogallina purpurea. XV jé
116. ke R : 1 di
AR UE NTNENPENN
F su No AE MS
338 | (TABLEAU
CENT- DOUZIÈME GENRE.
ro ae U £. (Fulica.)
La naze éd renflée vers son x
extrémité; une plaque dénuée de plumes
sur le front; les doigts bordés d'une mem- We
brane très-large.
ESPÈCES.
1, La foulque. Fulica atra. XVI, xxro.
2. La macroule, ou grande foulque. Fu ater- |
rima. XVI 5 120:
3. La grande foulque à crête. Fulica cristata.
XVI QE à. A
CENT-TREIZIÈME GENRE.
SAC AN Ai (Jacana. )
Des barbillons cérail auprès de la base du
bec; un aiguillon auprès du métacarpe.
ft ESPÈCES.
1. Le jatino. Jacana chirurgus. XVI, 66.
2. Le jacana noir. Jacana nigra. XVI, 92.
qe jacana verd. Jacana viridis. XVI, 03.
4. Le jacana péca. Jacana Brasiliensis. XVI > 4e
5. Le Em varié. Jacana rofabilies XVI, 96%
DES OISEAUX. us à
CENT-QUATORZIÈME GENRE.
mn
VANNEAU. (Parra.})
gi
Le bec gréle; Le doigt de der à ‘e très-court,
et ne poriant pas à terre quand l'oiseau
_ marche; les doigts de devant non bordés,
ou bordés d’une très-petite membrane.
ESPECES.
1. Le vanneau. Parra vanellus. XV, 229.
* 2. Le vanneau suisse. Parra Helvetica. XV, 244
3. Le vanneau armé du Sénégal. Parra Senegallas
XV, 246.
4. Le vanneau armé des Indes. Parra Goensis..
XV, 246. ù
5. Le vanneau armé) de Cayenne. Parra Caya-
nensise XV, 250. |
6. Le vanneau arrfédetla Louisiane. Parra Eu-
doviciana. XV, 252.
7. Le vanneau Ru Parra squatarola. XV,
254. Fr
8. Lecombattant, où paon de mer,
XV, 137. |
Les maubèches. XV, 146. FF.
ar ap NAT e
4 ie | y 1
- g. La maubèche commune. Parra calidris. XV,
. 340
ZI.
TABLEAU. do
+ La ma biche) tachetée, | Parra, nœviae AVi
149. ci
La maubèche grise. Pa di. XV, 150. k
12. Le sanderling. Parra sanderling. XV, 151.
13. 1
T4.
19.
16.
17.
16,
29.
LE
CENT-QUINZIÈME GENRE.
Le béca lee Parra ochropus. XV, 1924 à
La guignette. Parra hypoleucos. XV, 198
Le tourne-pierre. Parra interpres. XVI, 7
La grive d’eau. Phpà macularia. XVI, 28
Le caout. Parra canutus. XVI, 30.
L’alouette de mer. Parra cinclus. XV, 167.
Le cincle. Parra Alpina. XV, 171.
Le coureur. Parra corrira. XVII, 107. j
!
PHALAROPE.. (Pkalaropus.)
Tome XVI, page 133.
Le S M le doigt de derrière très-court,
+ membrane.
1. Le phalarope curé Phalaropus véoag hi :
ant pas à terre quand l'oiseau
s doigts de devant bordés d’une
“
4 a D ie
N ESP ÉCE Au
4
XVI, 135.
iv
{ na ie LE 4 4 .:
DES OPSEADX.:. 341
2, Le phalarope rouge. Phalaropus Fülicariuss
XVI, 137. sou
3 Le phalarope à festons dénacla Phalaropus
lobaius. XVT, 138.
se Han
CENT-SEIZIÈME GENRE.
PLUVIER. ( Caradrius.)
* Tome XV, page ‘ie
Bec gréle; chaque pied ne présentant quels
{rois doigts. Li
ESPÉCES.
r. Le pluvier doré, CAaradrius pluvialis. XV,
: 271. |
2. Le pluvier doré à gorge noire. Charadrius
apricarius. XV, 276.
3. Le guignard. Charadrius morinellus. XV, 1
278.
4 Le pluvier à collier. Charadri Hate.
XV, 282. ci.
5. Le kildir. Charadrius vociferus. xv, 268.
6. Le pluvier huppé. din hs Shi
290.
7. Le pluvier à aigrette. Charadrius cristatus.
"XV, 292.
4
AS
à
je Le sd coll Charadrius piles. xv,
294. 2 RON PS s ST
9. Le plaies couronné. € Rs coronaius. À
à XV, 205. CNE Par! “A
10. Le pluvier à lambeaux. proranr bilobuss ;
LS LES Su Le L
17. Le pluvian. Charadrius. ne
XV, 290. :
zz, Le nd pluvier, ou courlis de terre. Che-
_ radrius œdicnemus. XV, 300. nu
23. Le pluvier armé de Cayenne. -Charadrius |
| 1 Cayanus. XV, 297. PE
14. Le coure-vite. Charadrius cursorius. AVE,
19. de,
+
CENT-DIX- SEPTIÈME GENRE.
OUTARDE. Couis.)
“Le bec fort les deux ouvertures des narines
L TE quant de très- -près l’une avec
; le tarse long et fort; chaque pied .
ne présentant que trois: doigts. MEHR ARE ,
$ :
BE SrECER
Es L’outarde. Otis larda. III, r.
2. La peute outarde , ou la ‘canepetière. ous.
fetraz, UT, 4T. M4
K
| SBGONDE DIVISION.
ne. L' autruche, Struthio Le re ; ME.
Der æ , (rois ;l ou quatre doige
ge
Éo
SK
4
:
très - forts. … 34
Doigis non réunis à leur base par une
membrane. si
FN
OISEAUX COUREURS.
| LE Tome II, page 168.
"UUR SM:
TRENTE- HUITIÈME ORDRE,
Bec d'or et déprimé.
Ce DE r LS GENRE.
AUTRUCHE. (Ssyuikio.).
Le tarse long et fort; chaque pied ne pré-
‘sentant que deux doigts. ch
ESPÈCE.
12
PREMIÈRE SOUS-DIVISION.
CENT-DIX- NEUVIÈME GENRE. | hu
à Sp "1
TOUYOU. CTouyou.) + "(4
Chaque pied ne présentant que trois doigts;
une tubérosité tenant lieu de pouce.
ENS P E C Er,
x. Le touyou d'Amérique. Touyou ÆAmericanus. jé?
Il, 237.
Bec arquëé SES
5 RO
CENT-VINGTIÈME GENRE.
CAS 6 AR. CRhea.)
Le bec cornprimé; une proéminencesseuse
sur Sommet de la téle ; #4 Que p
qd que trois ni
À ESPÈCE. … "4
z. Lec casoar Rhea “ru, à 249.
XS
” Me
Bec. renflé. ° :
CENT-VINGT-UNIÈME ET T DERNIER
FU MPENRE SK dartet fn
DRONT E. xs: ‘S Mae à
Le Bee pv el fendu jusqu'a
x; quatre ou cé trois a
Ne. prés Fi k
ee
».
, ÆSPÈCES.
7. Le trie Did ineptus. TI, 267. | ie
ie &: sobtaire. A: rare IX. pu 4)