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Full text of "Ideen-Magazin für Architecten, Künstler und Handwerker"

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in  2010  with  funding  from 

Research  Library,  The  Getty  Research  Institute 


http://www.archive.org/details/ideenmagazinfura02groh 


JiJ/-  59 


IDEEN-MAGAZm 


für 

Architecten^  Künstler  und  Handwerker^ 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzcllxeiten  zu  (hun  haben, 

als 

JMaurer,  ZhmnerJeute  n.s.îv., 

wie  auch 

für   ö  a  u  1)  c  i'  r  f  n    u  n  ïi   iî^  a  r  t  c  n  b  f  0 1 1 }  c  r, 

eothaltend   eine  reichhaltige  Sammlung  von  Zeichnungen   zu   Gebäuden   aller   Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badehäusern,    Tempehi,   Capellcn,   Cabiuetten,   Balcons,   Ba- 
lustraden,  Nischen,   Ziminerverzicrungen,   Thiircn,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Yermachungeu,  Gatterwerken,  geheimen  Cabinctten,   Gondeln, 

Schwanenhäuschen  etc.  etc. 

Itn  englischen,  italienischen,   gofhisclien,  iïirlcischen,  persischen,  indischen  und 

chinesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


ROFESSOR    J. 


GROHBIAN 


Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,    erstes    Heft    von   6  Blättern. 


(ÎPrne   8  ^r.) 


IiEIPZSG,    1836. 

Baumgärtner's     Buclibandlun^. 

C^     [La  description  des  platit^fies  s''y  trouve  aussi  en  français.] 


^efc^rei6«ng.       Rh^'à     Description. 

«raf«l    I.  PLANCHE     J. 


A.  Viin  2anîif;ûuâ  im  cnglifc^oit  ©efc^macf.  Se  ifi 
ganj  mi)  bcm  ncucfîcn  ©tunSfal)  bcr  ©artcnbaufunfi, 
î>cn  bic  englônbct  ûngciiommctt,  auêgcfi'iOtt  :  bicgronte 
fo  oft  mie  mcglit^  ju  untcrbtcc^cn ,  baniit  ce  eine 
lânbut^c  ©cgcnb  nic()t  »crjictc. 

B.  ifi  bcr  ©runbrig  jum  «Pûrtctre  unb  cntf)â(t:  a. 
fin  aSorOûuê,  b.  ein  @cfc[I|d)aftê=  cbct  Simmcc  jum 
grû()fti'icfi'n,  c.  ein  gcogcè  SBSo^njimmcr,  d.  einen  @pcis 
fcfûar,  e.  ein  93acfs  unb  S[Bafc^()auë,  f.  bie  Äi'id;c,  g. 
fine  JBorrat^éfûmmcr. 

C.  2)ct  OJrunbtig  jut  93c«fammetnf(ur. 

C  a  f  e  1   II. 

î>ic  SBerjierung  cincê  ÛLueoê,  au«  roOen  Selfcnfîi'if= 
fcn  gcbûut  unb  mit  (Srbc  belegt;  nur  bie  QSorbetfeitc 
\)aX  eine  einfädle  îlrdjiteftur.  î)ec  ©tunbrif,  }eigt,  rcic 
eine  ®cotte  ober  fiifjlcâ  Simmer  babei  ongobradjt  rocrs 
bcn  fann. 


A.  Une  maison  de  campagne  à  l'anglaise.  Elle 
est  entièrement  d'après  les  nouveaux  principes  de 
l'architecture  jardiuale  adoptée  et  exécutée  par  les 
Anglais,  consistant  à  entrecouper  le  frontispice  aussi 
souTent  que  possible,  afin  de  plus  embellir  une  con- 
trée champêtre. 

B.  Est  le  plan  du  rez-de-chaussée  et  contient  «. 
un  vestibule,  h.  une  chambre  destinée  à  y  recevoir 
du  monde  ou  y  défeiîuer,  c.  une  chambre,  rf.  une 
salie  à  manger,  e.  une  boulangerie  et  buanderie, 
f.  la  cuisine ,  g.  un  magasin. 

C     Le  plan  du  vestibule  du  cabinet  oux  lits. 

Pl^ÄNCHE      II. 

Ornement  d'une  source  ou  fontaine  construite 
dans  le  roc.  Le  tout  est  couvert  de  terre,  et  il  n'y 
a  que  le  frontispice,  qui  est  d'une  simple  archi- 
tecture. Le  plan  b.  sert  à  faire  voir  la  possibilité 
qu'il  y  aurait  iHj  placer  une  grotte  ou  un  endroit 
rafraîchissant. 


€  a  f  ü  I  III. 

a.  ein  engtife^cê  Sanb^ûuê  nebfî  ©runbtig. 

b.  eine  ^orbe  fiir  jungeè  Sebctoief;  ober  Äaninc^en. 

c.  ein  fleincrner  ©artonfiç  im  ôgijptifdjen  ®efd)marf. 

d.  ein  SBogcl^auâ  »on  ro^en  ©tâinmd}cn,  Slodjtroerf 
unb  îra^t. 

e.  ein  point  de  vue  auf  einer  freien  ?in(?é(jc  mit 
SXu^efi^cn. 

f.  eine  5l;i5rc  oon  ro()em  Jg)olje  in  einem  Saun. 

C  a  f  «  i  IV. 

a.  gjîan  wimfc^t  oft  ouf  bom  îanbc  einen  «))fa^  ju 
Oaben,  mo  man  bei  fc^redjtem  SÏBetter  t()ei(è  jum 
»ergmigcn  unb  jur  @ofunb()cit,  tf)cifê  aud)  jum 
exercice  ber  <)>ferbe  bebecft  reiten  fann,  baf,  man 
eine  «rt  »on  9Jeitbaf;n  (;at,  mie  fie  ()ier  bargeflcU 
Ict  if},  unb  roo  man  ein  «Pfotb  on  ber  Songe  laus 
fcn  lafTcn  fann.  !Da«  ©anjc  ifi  »on  Jg>olj  unb 
5(ed)tmerf,  mit  ©tro^  gcbecft  unb,  mie  ber 
@runbri§ 

•>•  W^i  Jitfetrunb.  Sluf  beiben  gegeni'iberfîef)cnbcn 
©eiten  fïnb  SBe^aUnifTc  ongebrac^t,  roo  fid?  in  bem 
einen  bie  Jg)erien  auf,er  bem  i?reife  ber  *t>ferbe,  in 
bem  anbern  aber  bie  ruf;enben  ober  auger  exercice 
fi(^  befinbenben  *)>ferbe  auf(;alten  fonnen. 

c.  eingang  eine«  ©artenè  in  3orm  eineè  «Pavidonè, 
in  gutem  @efd;macf  »on  .Ç>o(js  unb  gicd^troeif  ers 


a. 
h. 

c. 
d. 


PLANCHE    III. 

Maison  de  campagne  à  l'anglaise  avec  plan. 
Une  claie   pour   de  la  jeune  volaille   ou  des  la- 
pins. 

Un  siège  de  pierre  dans  le  goût  égyptien. 
Une  volière  construite  eu  tiges  d'arbrisseaux  en- 
trelacées et  avec  du  fil  d'archal. 
e.    Point  de  vue  sur  une  émineuce  avec  sièges. 

y.    Porte  de  bois  eu  grume  daus  une  haie. 

PIiANCHE     IV. 

a.  On  désire  des  fois  avoir  à  la  campagne  an  en- 
droit à  couvert,  où  l'on  puisse,  lorsqu'il  fait 
mauvais  tems ,  mouler  à  cheval ,  soit  pour  son 
plaisir,  soit  pour  sa  santé,  ou  pour  y  exercer 
son  cheval  ;  telle  est  l'espèce  de  salle  de  manège 
représeutée  sur  notre  planche,  et  oii  l'on  peut 
faire  trotter  uu  cheval  à  la  longe.  Le  tout  est 
en  bois,  entrelacé,  couvert  de  paille  et,  comme 
le  marque  le  plan, 

b.  entièrement  rond.  Ou  a  eu  soin  de  pratiquer 
à  chaque  côté  un  endroit,  dans  l'un  desquels 
peuvent  se  retirer  les  personnes  et  dans  l'autre 
les  chevaux  qui  ne  prennent  point  part  ou 
qui  se  reposent  de  l'exercice. 

c.  Eutrée  d'un  jardin  eu  forme  de  pavillon  d'un  goiU 
recherché,   construit  en   bois,   entrelacé  et  muni 


(^ 


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A^fJ. 


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A^.r.j. 


.,:^^^' 


J t/ff  ri    .  //a^./I.B./.^. 


N.?ff. 


baut  unb   mit  cifcrncn  Spuren  «ctfi'()cn.  —  2)ct 
Unterbau  iji,  >t>ic  bei 
d.    ju  feOt"/  »icti'cfig,  b«  Sluffa^  ober,  n)cfd)ct  nic^t 
ju  bcnu(jcn  gemeint  iji,  iji  ein  ©cc^èccf. 


de    grilles.     La    partie    du   bas    en    est    carrée, 
comme  on  peut  le  Toir  d'après 
d.    mais   la    partie    supérieure   qu'on   ne    peut   faire 
servir  à  rien  est  liexa^ne; 


C  a  €  «  I   V. 

3ji  bîc  3fi<I)nun9  ''"«*  9îur;e(ï|e8  in  einer  »on  les 
beniigen  QSûumiiâmmen  unb  3>ffi3>.'n  gcbitbcten  Saube. 
iOie  gorm  berfcibcn  i|i  oc^tiifig,  bic  Sibfâ^c  in  bct 
S^<i{)i  fïnb  burc^  Sii-'i-'iâi'/  rocîtl)«  en  treillage  gejogcn 
fmb,  gcbilbet  unb  geben  auf  biefc  ÎItt  eine  Ijeceotfptina 
genbc  îSerba^ung  ab.  Suc  ajcti'oDfoaimnung  bet  SBcs 
becfung  unb  î'ecocation  finb  bie  95aum)iâmnie  mit  vo\U 
bcm  SCBein  uma'acl)fen,  n'c(d;et  fid)  über  ^ic^i  erfre  î)o^ 
biê  ju  bem  jiveiten  nati'ictid)  f)inaufiic()ct. 

25ic  jrccitc  auf  biefet  5ofeI  beflnbli^c  Seii^nung 
ij!  ebenfaUé  ein  SKu^jefig,  in  einem  *patf  anmenbbnr. 
!E)et  runb  um  ben  SBaum  Çerumgebcnbc  @i^  witb  yo« 
finet  leid)tcn  @ttoI)bebact>ung  gcfd^û^t. 


PI.ANCHE    V. 

Le  dessin  d'une  place  de  repos  dans  un  ber- 
cean  formé  de  troues  yifs  et  de  braucbages.  La 
forme  de  ce  dernier  est  octogone,  les  intervalles 
du  Laut  sout  formés  par  des  branches  en  treillage, 
et  tiennent  par  ce  moyen  lieu  d'un  toit  saillant. 
La  vigne  vierge  qui  croît  à  l'entour  des  tiges,  et 
qui  monte  en  loriillaut  du  premier  au  second  toit, 
sert  à  les  perfectionner  et  à  les  décorer. 

Le  second  dessin  représenté  sur  cette  même 
planche  est  de  même  un  endroit  de  repos,  prati- 
cable dans  un  parc.  Le  siège  qui  est  à  l'entour  de 
l'arbre  est  à  couvert  sous  un  léger  toit  de  paille. 


3C  a  f  e  I   VL 

a.  gin  ma(eti|({)cc  Singang  unb  ®arten(ogc,  im  *Profi( 
gejcic^net.  èic  fann  uctmôgc  ber  eifetnen  ©ittcr 
unb  5l)ûrcn  ucn  Jebermann  »erfv^loffen  unb  un» 
jugângtid)  rcetben. 

b.  ©tunbtiß  baju. 

c.  Sin  ©artenjimmetc^en  »on  IBaifs  ober  onbetcn 
©teinen  ;  bie  QJotlage  if}  »on  ro()cn  .Çioljfiômmc^on. 

d.  Sin  point  de  vue  aué  .^oi^flâmmc^en  fon  jungen 
SBitfen  unb  JÇjoljtinben ,  mit  (gtrob  gebecft.  5)ec 
@runbti^  }('9t/  bag  auf  jebec  @eite  eine  %anf  an- 
()ebrod)t  ijî. 

e.  Sin  @teg  mit  ®clânber. 

f.  unb  g.  S'V'i  5}riufengclânbor. 

h.  Sin  runbvr  »etfadcner  "Sljutm,  alà  ÄapeQe  }u  bca 
nuyen.  5?aâ  ixxH^  i|î  viecocfig,  «on  @tco()/  unb 
ftel)t  ûuf  Ijôlaocnen  êtâmmdjcn. 


PIiAMCHE     VI. 

a.  Entrée  pittoresque  et  loge  de  jardin  dessinées 
eu  profil.  Chacun  peut  la  fermer  à  l'aide  de 
grille  et  des  pertes,  et  la  rendre  inaccessible. 

h.    Le  plan. 

c.  Cabinet  eu  briques  ou  autres  pierres;  la  partie 
antérieure  est  de  bois  eu  grume. 

d.  Point  de  vue  construit  eu  liges  de  jeunes  bou- 
leaux et  en  écorces  d'arbres,  couvert  de  paille. 
Le  plan  démontre  qu'il  doit  y  avoir  un  baue  à 
chaque  côté. 

e.  Petit  pont  avec  garde-fous. 
y.  g.  Deux  garde-fous. 

h.  Une  tour  ronde,  tombée  en  ruines,  pouvant  ser- 
vir de  chapelle.  Le  toit  de  paille  en  est  carré 
et  repose  sur  des  troncs  d'arbres. 


ANKUENBIIÏUNIS. 


Es  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriiïen. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukimst  zu  thun  hat,  als  für  Zimraerleute,  Maurer  u.  s.  ^v., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zm-  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  "verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrhche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufw  ande  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Pubhcums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichhch  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publicum  dmch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fem  gestochenen  Blättern)  Morden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altem  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Bmimgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 

für 

Architecten,  Künstler  und  Handwerker^ 

die  mit  der  Bauknost  und  iliron  Einzelheiten  zu  thun  haben, 

als 

JMaurer,  Zîmmerleute  u.s.w., 

wie  auch 

für   ö  a  u  l)  c  r  r  f  n    u  n  î>   6  a  r  t  c  n  b  ?  e  i  t  ^  c  r, 

enthaltend  eine  reichhaltige  Sammlung  von  Zeichnungen  zu  Gebäuden   aller   Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

nis: 
«n  Stadt-,  Land-,  Gewächs-  und  Badehäusern,   Tempeln,   Capellen,   Cabincttcn,  Balcons,  Ba- 
lustraden,  Nischen,  Ziinmerverzierungcn,   Thüren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vcrniachungeii ,  Gattcrweriven,  gebcimen  Cabinettcn,   Gondeln, 

Schwanenbäuscben  etc.  etc. 

Lm  efigUscIien,  italienischen ,  gotitischen,  fürkischen^  persischen  y  indischen  und 

»inesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    G.    GROBMANN. 

Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,  zweites  Heft  von  6  Blättern. 

(|)rnô   8  6i%) 


EiESPZEG,     1854. 

Uiiumgärtner's     CucLLaDÜlung. 

Cy     [La  Description  de»  planclies  «'y  trouve  aussi   en  fraM<;ai*.\ 


S3efcf)rei6««g. 

C  a  f  e  I   I. 

fcâ  ®i'bautc  l)at  einen  rociton  sBomlingreen  (gti'men  Sia« 
fenplnjj)  jur  Umgebung,  iinb  î)ic  ÏBalconê  ober  2}iran= 
bei,  incline  Èie  Sluèfid^t  in  bic  ferne  JÇ)cibc  ober  ben 
Sotil  (jinauè  cnveitern,  geroôfjren  jugleic^  einen  ru()igcn 
unb  angencf)incn  @d)aup(û(},  bûâ  2Bilb  fidj  I;ier  unb 
la  in  ïer  Sernung  offen  ju  fe(;en.  Xiaf,  in  einem  fo(cl)en 
®ebnubc  ein  getàumigcr  Saa(  jut  ?(ufnal;mc  einer  jû()(s 
reid)cn  ®efeOfdwft  befinblit^  fein  mûffc,  bcûud}t  >vc(;l 
nid;t  erji  bemctft  }U   ivecben. 

®  a  f  «  I   II. 

5i'irfifd)eï  'PûBidon  mit  einem  gfußbab. 

5)iefer  ^^aoiUon  >rirb  eine  ber  erfîen  3'"ben  in 
ben  gefd^macfv^oU  ongeorbneten  <))artien  «ineè  '^axîiè 
ouêmai^en,  unb  man  wirb  ficî)  nit^t  adcin  burcb  fein 
gcfdjmacfooUeâ  Weußcrc  }u  bemfelben  f)inge}ûgcn  fi'il)len, 
fonbern  ter  $iebî)aber  be6  falten  SBabeè  pnbet  bo)clbfl 
eine  bec|ueme  (£inrid)turtg,  roo  er  bic  »or  JÇ)i|c  ermiibes 
ten  ©lieber  im  ffîaffer  roieber  erquicfen  fann.  ©aè  ©e« 
bâufce,  baè  ©ôuleniuerf  unb  bic  ÄuppcJ  finb  mit  {jeden, 
grellen  gavben  ju  »crjicren. 

€  a  f  e  I  III. 

a.  Sin  maffioeê  Jlanb^auë. 

h.  ®runbrifj  baju. 

c.  S«»«'  5ifd)c  »on  ro^em  ^olj. 

i.  Smei  <Bu\l)U  »on  rol)cm  jÇ)olj. 

e.  ein  l;cimlid)eê  ©eiiind)  »on  roOem  JÇ)oIj. 

f.  (5in  d)inefifd}er  ajogelfnfig,  }.  05.  fur  einen  ^Papagei. 
§•.  Sin  9(ngell)âuëc^cn  auf  einer  ©rûcfc  »on  roljcn  .Çiolj« 

matctialien,  im  90t(;if(^en  ©ti;le. 


sr  a  f  «  I  IV. 

Sine  2au6e/  bic  om  S^uêgang  cineè  ®e6ûf^eê  ju 
einer  freiem,  (;citern  ^^artic  ûngcbtûcljt  roetben  fann. 

C  a  f  «  I  V. 

îDiefer  tûrfifd^c  *))a»i(Ion  finbet,  otê  eine  2(rt  »en 
fpradjtgebôube,  in  ber  !>îqI;c  beô  ©djloffeè,  roo  er  jum 
©cfelift^aftêpiajje  bient,  ober  oud)  in  einer  freien  @es 
genb  beè  *parW,  »on  roo  auê  mon  etroa  bic  2lu8fid)t  auf 
bic  na()c  ^aupt  s  ober  9îefibenj(îabt  genicgt,  feinen  fdjicfs 
lidjen  ^la^;  benn  eê  fpri^t  fi(^  burc^  feine  ètructur  ein 
Suju«  auè,  ber  on  bcnad>6arten  'Prunf  unb  Siufroanb 
erinnert,  roelc^cr  felbfl  im  @d)oof,e  ber  9îa(ur  nod;  gc« 
bietcrifd)  JU  f)errfd;en  fîrebt.  Ueppige  33lumenbeetc,  feine 
^oljen  ïinume,  miiffen  if)n  umgeben,  unb  bic  iBafen, 
roeli^c  bic  buftenbcn  *pf(anjen  faffen,  miSffen  ein  fujuriè« 


Description. 

PI.  ANC  HE    ï. 

LJa  façade  d'un  riant  cliûleaii  de  chasse.  Ce 
bàliment  est  entouré  d'une  grande  pelouse,  et  les 
balcons  ou  virandos,  t|ui  étendent  leur  vue  jusque 
dans  la  bruyère  et  la  forêt  loinlnines,  présentent 
à  la  fois  un  tliéiître  silencieux  et  agréable,  d'où 
l'on  peut  voir  le  gibier  se  Jouer  ça  et  là  dans  le 
lointain.  —  Il  est  superflu  de  dire  que  dans  un  tel 
bûliineut  il  doit  se  trouver  un  sallon  spacieux  pour 
y  être  à  portée  de  recevoir  «ne  société  nombreuse.  — 


PIiANCHE    II. 

Pavillon  à  la  turque   avec  un  baiu  de  rivière. 

Ce  pavillou  formera  «u  des  premiers  orueuiens 
dans  les  parties  d'un  parc  disposées  avec  goût,  et 
l'on  s'y  sentira  non -seulement  attiré  par,  sou  exté- 
rieur élégant,  mais  l'amateur  du  bain  froid  y  trou- 
vera un  arrangement  commode  à  rafraîchir  dans  l'eau 
ses  membres  fatigués  par  la  chaleur.  L'édifice,  les 
colonnes  et  la  coupole  doivent  être  ornés  de  couleurs 
claires  et  frappantes. 


PIiANCHE    III. 

a.  Une  maison  de  campagne  d' ime  structure  massive. 
h,    lie   plan, 

c.  Deux  tables  de  bois  en  grume. 

d.  Deux  chaises  de   bois   eu  grume. 

e.  Des  lieux  d'aisance  de  bois  eu  grume. 

f.  Une  cage  chinoise  qui  serait  par  exemple  bonne 
pour  nu    perroquet. 

g.  Une  maisonnette  propre  à  aller  y  pêcher  à  l'ha- 
meçon, construite  sur  un  pout  de  bois  en  grume 
et  dans  le  goût  gothique. 

PI.ANCHE  IV. 

Berceau  propre  à  être  placé  à  la  sortie  d'un  bo- 
cage à  l'entrée  d'uue  partie  ouverte. 

PIIANCHE    V. 

Ce  pavillon  à  la  turque,  représentant  une  es- 
pèce d'édifice  de  magnificence,  sera  conveuablement 
placé  dans  le  voisinage  du  cliâtenu  où  il  servira  comme 
lieu  de  réunion,  on  bien  dans  quelque  endroit  dé- 
gagé du  parc,  d'oii  l'on  jouit  peut-être  de  la  vue 
de  la  prochaine  capitale  on  ville  principale;  car  par 
sa  structure  il  doit  faire  éclater  un  luxe  qni,  rappe- 
lant tme  magnificeuce  et  une  pompe  voisines,  cher- 
che à  régner  impérieusement,  même  dans  le  sein 
de  la  nature.  Des  parterres  fieurissans,  et  non  des 
arbres  de  haute  tige,  doivent  l' entourer,  et  les  vases 


,Meen    ^  //ay.  J^.£.  2  // 


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y^lcen.  ^y/^aj.ir.B.2.11. 


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y./vv/    ,  //rtt/.  7/.  B  2.  H. 


J'^'  J. 


_y^(tcAinci  n  I  .''  X 


J'f  J. 


Jafcen     .^/lay .  M.S.iJJ^ 


.J^deen.  ^fla^.  S.  7i.  2. 71. 


y:f^. 


fcê  Wv'ufjcrc  im  oticntutifd^cn  ®ofrf;inocf  f)û6crt.  S5of, 
baê  ®ûnje  einen  bunten  unî)  !icl)rcn  Wnflrid^  ct^otfen 
iniiiTe/  btaud)t  woI)l  faum  enuötjnt  ju  mtïen,  fca  fcer 
ti'irfi|d)c  ©efdjinacf  in  Jinfcljuna  bcr  gatbengebung  be; 
fonnt  ifï.  llcbrigenè  »nirb  biefor  spnolUon  aui  ^o(j  gc« 
baut,  iaé  Sauten  s  unb  üiiegehverf  mittclf}  jufnmmenges 
fügtet  Sßretet  »etfd)û(t,  unb  iai  ©anje  mit  Oelfatben 
ungeßrid)en,  iiioà)  fo,  ia^  bie  QSerjierungen  immer  in 
lid^teren  gatben  ben  bunfleten  @runb  crl)ô(;en.  So  rreit 
bie  2Serba(^ung  teic^t^  ifi  bet  ^la^  «m  iai  ©ebäubc 
^ctum  mit  Steinplatten  ju    belegen. 


C  a  f  «  I   VI. 

Fig.  a.    Sin  fleine§  ®cbâube  mit  ^of^en  Senflern  unb 

einem   ©tto^bat^e,    von    cinfo^er,    gefdfliget   gorm. 

(5§  entrait,  roic 
Fig'.  b.    bet  ©tunbti^  jcigt/   ein  floineè  9Sot^auS,  ein 

grc§et«§  3immet  unb   ein  @d)(afcabinett. 
Flg.  c.    Sin  5Bicnen{)ûuèd)cn  mit  jinci  bebecFten  Sei« 

tenJauben,  uon  ^o^,  mit  ©ttof;  gebecft  unb  mit  eis 

«er  QSafe  oon  gebtanntct  Srbc  ferjiert. 
Fig:.  d.    Sin  d)inefifd)eS  ®artencabinettd;en. 
Fig.  e.    Sine  Untet^anbê^ûtte  fi'it  Saget  unb  2Bi(b« 

btet. 
Fiç.  f.  unb  g.  JÇ)ôfjernc  ©einnbcr. 
Fig.  h.  unb  i.  SStûcfen   über  Kanäle. 


qui  renferment  les  plantes  odoriférantes  doivent  #fre 
d'un  extérieur  luxurieux  et  du  goilt  oriental.  Il  est 
inutile  de  prévenir  que  le  tout  doit  être  d'une  teinte 
bigarée  et  claire,  le  goût  oriental  à  l'égard  de  la 
Tariélé  des  eurs  étant  connu.  Du  reste  l'on  con- 
struira ce  pavillon  de  bois,  en  couvrant  les  colonnes 
et  les  verrouils  de  planches  jointes  ensemble,  et  en 
peignant  le  tout  à  l'huile,  mais  de  manière  que  les 
décorations  rélèvent  toujours  le  fond  foncé  par  des 
couleurs  plus  claires.  La  place,  qui  règne  autour  de 
l'édifice  80US  le  toit,  doit  être  pavée  de  dalles  de 
pierre. 

PLANCHE    VI. 

F'ig.  a.  Petit  bâtiment  avec  des  fenêtres  élevée», 
couvert  de  paille,  et  d'une  forme  simple  et  agréa- 
ble. Il  contient,  comme  ou  peut  le  voir  par  le 
plan, 

Pig.  b.  une  petite  anti-chambre,  une  grande  cham- 
bre et  un  cabinet  oti  l'on  peut  placer  un  lit. 

Fig.  c.  Echafaudage  en  bois  pour  des  ruches,  cou- 
vert de  paille,  couronné  d'un  vase  de  terre  cuite, 
et  accompagné  de  denx  berceaux. 

Fig.  ä.  Petit  cabinet  chinois  pour  nn    jardm. 

Fig.  e.     Retraite  pour  des  chasseurs    on    du   gibier. 

Fig,  f.  et  g.  Garde -fous   en   bois. 

Fig.  h,  et  f .  Ponts  sur  des  canaox. 


ANKUZSNDIdUNG. 


Es  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederiun  die  Auflagen  der  be- 
kannten Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriffen. 
Dieselben  enthaUen  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Ziramerleute,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

AUes,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  emer  Men^^e 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
HersteUimg  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Pubhkums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandhmg  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publikum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  fiü-  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altem  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoU,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  üebrige  davon  wird  hei  Seite  gelegt  werden. 

Baunigärtner'6  BucJütamllimg  in  Leipzig. 


{Alle  Bvchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 

f  ü  r 

Archîtecten,  Künstler  und  Handwerker. 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzelheiten  zu  thun  haben, 

als 

IMaurer,  Zini^nerleute  n.s.ig., 

wie  auch 

für   öau  l)crrfn    iuti>   iöartcnbeeit^cr, 

enthaltend   eine   reichhaltige  Sammluug  von   Zeichnungen  zu  Gebäuden   aller   Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Land-  Gewüchs-  und  Badehäusern,   Tempeln,  CapcUen,  (Jabinetten,   Balcons,   Ba- 
lustraden, Nischen,  Ziminerrerzierungcn,  TLüren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gatterwerken,  geheimen  Cabinettcn,  Gondeln, 

Schwanenhiiuschen  etc.  etc. 

Im  e/tglischeîè i  italienischen ^  gotliisclien,  tùrlciacluiîi^  persischen,  indischen  und 

siiiesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    G.    GROHMANIf. 

Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,    drittes   Heft   von   6  Blättern. 

(|)rnô   8  er.) 


LEIPZIG,    1855. 
BaumgSrtoer's     BucbkandluDg;. 

C^     \La   detcription  de*  planc/ien  *'y  trouve   aus*i    eu  //a  ara  in- \ 


S3  e  f  d)  r  c  i  ü  n  n  g. 
c  a  f  £  I  1. 

î)iofcS  ©cOâubc  cnK;iî(t  einen  fdjoiicn  grogcn,  an  bcr 
aSotbeifcitc  offenen  Saat,  unb  ju  beifcen  ©citen  ein 
Oalbrunbeô  Êa&inet.  2)aê  \d)'mc  gccutifpice  tragen 
öicc  êâuten.  9Juf  Deiben  ©eiten  öcr  (gtttfcn  jlc(;t  ein 
5)reifuf;. 

sr  a  f  c  I  IL 

Sin  ®e(»âube  in  ûUbeutfrfjer  Qîouarf,  rocfiJ;e§  jff  man« 
d)erlei  23el)uf  in  einem  ^^aif  angemenbet  ivevben  fann, 
3"  fine:  SBalbgegcnb  biene  ce  otê  3agbfd)irm  gegen 
SBinb  unb  SBetter,  otn  Singange  cineè  <)3aifè  jum 
S(ufent(;alt  beS  aBûtf>terà  ober  @ârtncr§.  aBcr  ce  nut 
juc  QSerjicrung  einer  partie  anlegen  wiH,  mag  bic 
<âtatuc  bec  I;ciligen  OTîuttec  in  î>ie  Sapelle  ftetlen.  55a 
baà  @anjc  au§  rof;en  S8aum|iômmen  jufammengefûgt 
iinrb,  fo  ijl  feine  Sctic^tung  augccjl  DiOig  unb  lM)i 
ûU6fû(;i;bar. 


Ca  f  f  l   III. 

©etreu«  SartTettung  bec  QSiüa  bcô  unfîerblidjen  9îns 
V()ael'ê/  rcic  fie  fit^  in  Dîomê  Umgebung,  unrueit  ber 
aSifla  !5ûrgf;efe,  befinbet.  ginfac()()eit  unb  n)im|ti}enês 
mnl)c  SScqucmlic^feit  cmpfe(;ten  fie  jut  9îail}al;mung 
bei  Sluffii&tung  cincè  îanblid^en  2Bof;nI)a«feö  jum  gom= 
moraufent()a(t,  ober  oud;  juc  ©rrid^tung  eineô  ben  fd)éî 
nen  Äim|}en  l'iber^aupt,  unb  ber  ©amiidung  oor^i'ig: 
lid)cr  @emä(bc  unb  ptafîifd^er  SkOeiten  befonberâ  ges 
iueif)ten  îSfîufeumâ  in  einem  grofien  'iputf. 

c  a  f  e  i  IV. 

ein  ®arten>uoI;n^âuêc^en  fi'ic  eine  Werfen,  baè  in 
einer  ©cène  fon  fieincn»  nieb(id;cn  ßf;utafter  ju  fîes 
Ijcn  fommen  nm§. 

5?ec  ©runbvifj  beô  «parterre  jeigf,  bafj  iai  @ebâutd)en 
ein  regdmüßigee  Wdjtecf  unifd)reibt,  unb  jirei  bebcifte, 
auf  nier  (Säulen  rul;enbc  QJoclauben  f;at/  ivorin  jivei 
^Bânfe  jîel^en. 

Fig.  A.  ifr  ein  Heiner  ©aaf; 

Fig'.  B.  eine  Äi'id)c; 

Fig.  C.  ein  (;eimlid}eô  ©emadj; 

Fi«r.  D.  fleincà  Sabinet  jur  Stufteiuaf^rung  »ctfd^iebencr 
©erâtOfdjaficn; 

Fig-,  E.  5reppe  in  baS  obere  ©tocfitierf,  unb 

Fi-.  F.  finb  bie  fd;on  cr»)âf;nten  bcbccften  «piâ(jc. 

3Daà- obere  (Stocfiuerf  cntl;âtt: 

Fiff.  G.  einen  ©peifefaa(,  bec  imd)  ©laêfenfîer  ctteudjs 

tet  roirb;. 
Fig.  IL  einen  ®ang  ober  dotribot  um  ben  ganzen  ©aal; 
Fig-,  I.  ein  ©(^lafjimmcr,  unb 
Fig.  K.  ein  (Sabinet. 
?îuf  bemfciben  îolatte  befinbet  fid)  eine  ©enbel  mit  eis 

nein  J)inefi|'c^en  >))ainûûn. 


D  escripti  on. 

P£>ANCUE     £. 

Ce  bâtimeut  consiste  eu  une  belle  sale  ouverte  sur 
le  devant,  et  Uanquée  sur  les  côtés  de  caLiuets  à 
moilié  circulaires.  Quatre  colonnes  servent  de  bas« 
au  fronton,  et  deux  trépieds  accompagneut  lea  deux 
côtés  du  degré. 

Pli  AN  CHE    II. 

Un  bâtiment  à  l'antique  dans  l'ordre  d* arcLitccdirc 
allemande  qui  peut  s' employer  à  difréreus  usages 
dans  un  parc.  —  Daus  une  coiilrée  boisée  il  peut 
servir  d'  abri  aux  chasseurs  contre  le  veut  et  les 
injures  du  temps;  à  l'entrée  d'un  parc  il  fonaera 
le  séjour  du  garde  ou  du  jardinier.  —  Si  ou  h. 
veut  seulement  construire  pour  I'  ornement  de  quel- 
que partie  de  jardin,  ou  peut  placer  dans  la  cLa- 
pelle  la  statue  de  la  Sainte  Vierge.  —  Comme  le 
tout  11'  est  composé  que  d' arbres  grossiers,  sa  con- 
struction est  très -peu  coutense  et  aisée  à  exécuter. 

PJLANCHE    III. 

Image  fidèle  de  la  Villa  de  1'  immortel  RapLael, 
telle  qu'  elle  se  trouve  aux  environs  de  Rome,  non 
loin  de  la  Villa  BorgLese.  —  Sa  simplicité  et  toute 
la  commodité  qu'  ou  y  pourra  désirer,  la  rendent 
recommaudable  comme  uiodèle  de  la  construction 
d'un  séjour  cLampêfre  pendant  l'été,  ou  aussi  de 
1' élablissemant  d'un  musée  consacré  aux  beaux  arts 
eu  général,  et  surtout  à  la  collection- de  tableaux 
remarquables  et  d'  ouvrages  plastiques  dans  un  parc. 

BI.A1VCHE    IV. 

Cette  petite  maison  de  jardin  doit  occii|)er  une  place 
distinguée  dans  une  scène,  qui  dédommage,  par  se« 
agrémens,  de  sou  peu  d'  étendue. 

On  voit  par  le  rez-de-cLanssée  que  ce  petit  bûli- 
ment  forme  un  octogone  parfait,  et  que  les  deux 
poriiques  i)'acés  sur  les  côtés,  et  sous  lesquels  ou 
a  mis  des  baucs,   portent  sur  quatre  colonnes. 

l'ig.  A.  petite  salle; 

Fig.  B,  cuisine; 

Fig,   C.  commodités; 

Fig.  D.  petit  cabiuet  destiné  à  serrer  divers  meu- 
bles ; 

Fig.  E.  escalier  pour  monter  au  premier; 

Fig.  F.  les  portiques  dont  il  a  été  parlé. 

Distribution  dti  premier  étage  : 
Fig.  G.  salle  à  manger; 

Fig.  H,  corridor  faisant  le  tout-  de  la  salle; 
Fig.  1.  cliambre  à  coueLcr; 
Fig,  K.  cabinet. 

On  trouve  sur  la  même  plancLe  le  dessciu  d*  une 
gondole  avec  un  pavillon  cLinois. 


J,Ay7>     ■    l/rn/.    J/.n..}.II. 


j\:r-2. 


A/.r//  .    //r,^.  JT.  B.  .JJf. 


3 


■Jcùcn    -^/^a^.  JfB.  J.  H. 


2VS4-. 


a. 


\6.au 


J' 


Jdeen  <^//ay.  H.B.J.JI. 


xm„ 


\6m., 


T 


W,?3. 


^Ä's»SSfe>su^ 


yf/ccn  r /%?.  jr.B.a.Ji. 


X.?6: 


C  a  f  e  I   V. 

Fig.  a.  ein  ûittifcr  Scmpot  ton  S8tucf;iîcincn,  mit  eis 
net  bebccftcn  2Sorf;aßc,  ii'clc^c  «on  ûd^t  I;ûljcrncn  ©nus 
Un  getragen  ivirb.  ©ein  2)ûd;  ifi  »on  <étcor;,  Uc» 
Dec  î)cm  Untccbalfcrt  flnb  ajcrjicvunacn  »on  !8aumrinbe 
aniybxad)t,  \vild)c  i>tm  ®nnjcn  ein  bonfécè  Wnfcf;cn 
geben.  Miè  Uebrigc  ifl  mit  Si'^û'ï"  ûuSgefc^t,  roooon 
ûud;  bie  ©iebelfetbec  nidjt  ûuëgcnommen  finb. 

Fig.  b.  5?cr  um  bie  J^âlftc  »etfreinctte  ©cunbtiß  biefcâ 
Scmpelo.  SJîan  jîeigt  auf  uiet  ©tufen  in  bie  SSors 
&ÛU«  bciTetben. 

Fig-,  c.  ein  S8aber)âuêrf;en  im  QOt\)i\d)m  ©cfc^mûcF. 
©aâ  5)ûil;  ifr  mit  einer  ffeinen  Satcrnc  gefront.  S)o8 
®anje  ifi  uon  @âu(en  unb  Diicgehvctf.  Snivenbig 
um  iaè  Söilb  ifi  eine  SBanf  ûngcbradjt. 

S;er  baruuter  befinblicl;c  ©runbrig  jeigt  bie  ginritbtung 
btefeè  Soabeé. 

Fig.  d.  Sin  od)(ecfiger  *paeiffon,  bcr  bie  ©efialt  einer 
ti'irtifdjen  Sïîofii)ee  {)at.  Qt  ifr  yon  giegeliîcincn  cr* 
baut  unb  mit  ©c^iefcr  ober  Sßted)  gebecft. 

Fig.  e.  ein  îauben^ûuê  im  gotljifc^en  ©efémacP. 

Fig.  f.  eine  ©artenbanf  yon  rot;en  JÇ)o(5|}âmmen  |roi» 
fdjen  jmet  SfGânben  ron  rof;en  SetSl^iufen. 

Fig.  g.  ©(ei^faüä  ein«  ÖJaitenbanP  oon  Sattenroerf. 

«c  a  f  f  I  VI. 

Fig.  a,  ein  lànblic^eà  ©artengeOaube  in  einem  «nrcs 
germnßigcn  3(d)tecf.  £)aè  runbe  ©troljbûd),  baê  von 
ai)t  (^éïjernen  gâulen  gefn'iljt  mirb,  bilbet  an  beiben  ein* 
gangen  eine  geräumige  Sßotlaube  unb  if}  mit  einer  &aU 
lerie  uerfeljen,  auf  njeldje  man  burdj  »ier  ©ieberfenfier 
tritt.  S)ie  obere  ©adcric,  bit^t  unter  bem  Siuêgangc 
beê  ©c^ornfieinô,  fann  ocrmittelfi  einer  «citer  unb  eis 
ner  Eleinen  Saüt^ut  auc^  jum  biffcrn  ©enu^  b«r  ©es 
genb  benugt  iverben, 

Fig.  b.  ©runbrij;  }u  obigem  ©cbaubc,  baS  smei  @â(c 
ober  Simmer,   ein  gabinet  unb  ein  SBorfjauà  cnt(;ârt. 

Fig.  c.  ein  freicâ  ©artencabinet  in  got()ifd)en  SBogen, 
oben  5um  20eU  mit  i>erfd;innften  toOen  ^'oljfîâbdjen 
ouêgelegt.    îDaâ  Siac^  ifî  oon  ©trol>. 

Fig.  d.  ein  SBrunnen  im  baurifd)en  @:fd)macf.  ®ie 
©djale,  au$  iveldjer  jiuei  <£a;Iangen  tiinfen,  jeigt  bic 
jÇieilfamfeit  beè  ISrunnenâ  an. 

Fig.  e.  33ermad}ung  c>on  îattenroerf. 

Fig.  f.  ein  ©t^attenbad),  ba§  »on  »ter  fd)u'ad)cn 
©tûmmdjort  mit  c^incfifi^en  eifüerjierungcn  unb  jirci 
lebenbigen  Säumen  getragen  loirb.  ?(uf  bem  öicfron 
beè  £iad)câ  ge^t  »on  einem  Qîaume  jum  anbcrn  eine 
flcine  ©aflerie. 


PIiANCHE    V. 

Fi'g,  a.  Temple  antique,  couTert  de  cLaimie,  dont 
les  angles  sont  bâtis  en  pierre  de  taille  et  tout  le 
reste  de  la  maçonnerie  eu  briques.  Les  orneweus 
d'  ccorce  qui  règueut  sur  V  arcLilrare  du  temple  et 
de  sou  portique,  soutenu  par  Luit  colouues  de  bois, 
donnent  au  tout  un  air  dorique. 

Flg,  h.  Plau  de  ce  temple,  réduit  de  moitié.  Ou 
eutre  dans  le.  portique  eu  montant  quatre  marches. 

Fig.  c.  Cabinet  de  baius  de  style  gotliiqne,  dont  Ja 
toiture  est  couronnée  d'uue  lanterue,  et  dont  les 
murs  sout  de  cloisonnage. 

Ou  voit  dans  le  plan,  qui  est  au  bas,  la  disposition 
de  ces  bains,  autour  desquels  ou  a  pratiqué  ime 
banquette. 

Fig.  d.  Pavillon  octogone,  en  forme  de  mosquée  tur- 
que, bâti  eu  briques,  et  convert  d'ardoise  ou  de 
plomb. 

Fig.  e.  Colombier  de  style  gothique. 

Fig.  f.  Baue  de  repos,  en  bois  brut,  pratiqué  en- 
tre deux  pieds-droils  de  quartiers  de  j^jchei-s. 

Fig,  g.  Autre  baue  de  treillage. 

PEsANC^E    VI. 

Fig.  a.  Bûlimeut  rustique,  formant  nu  ncfogoue  ir- 
régulier, et  destiné  pour  un  jardin.  Son  toit  de 
paille  est  soulcuii  par  huit  colonnes  de  bois  dispo- 
sées en  rond,  et  forme  un  grand  hangar  devant  les 
deux  i)ortes  d'  entrée.  Il  règne  autour  de  ce  toit 
une  galerie,  ofi  1' ou  parvient  par  quatre  fenêtres 
faîtières.  Quand  ou  veut  jouir  d' une  vue  plus  éten- 
due, on  peut  monter  sur  la  seconde  galerie  par 
une  échelle  placée  sous  une  trape,  qui  s'  onvre  ;': 
côté  de  la  cheminée. 

Fig.  b.  Plan  de  ce  bâtiment,  qui  consiste  eu  une 
salle,  uae  chambre,  un  cabinet  et  un  vestibule. 

Fig.  c.  Cabinet  de  jardin,  isolé,  décoré  d'  omemeus 
gothiques,  revêtu  dans  sa  partie  supérieure  de  pe- 
tits bâtons  de  bois  avec  leur  écorce,  et  couvert  de 
chaume. 

Fig.  d.  Pour  se  faire  nue  idée  de  la  salubrité  «le 
Tean  de  cette  foutaiue,  de  style  rnstique,  il  suffit 
de  jeter  nu  coup  d'oeil  sur  les  serpeus,  qui  boivent 
dans  la  coupe,  qui  lui  sert  de  couronnement. 

Fig,  e.  Clôture  de  treillage. 

Fig.  f.  Abri  contre  le  soleil,  supporté  par  deux  ar- 
bres, ef  par  quatre  faibles  piliers,  décorés  d' orne- 
meiis  chinois,  il  règne  d"  nu  arbre  à  l'autre,  sur 
le  faîte  de  cet  abri,  une  balustrade. 


ANSUENDIGVNG. 


ts  haben  sich  nach  und  nach  imd  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
fcaimten  Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriften. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zimmerleute,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  »Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zm*  Zi^^rde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  beduug,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Publicums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
ai'chitectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
!)is  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entsclilossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publikum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  fur  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  ffir  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Älagazins  M'ird  nm-  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Baumgariîwr's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


[Alle  ßu/Ji/tamt/uugen  nehmen  ßestci/ungen  an.) 


IDEEl^-MAGAZm 


f  Ü  r 


Architecten,  Künstler  und  Handwerker, 


die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzelheiten  zu  (luin  haben, 

als 

IMaurer,  ^{mnierleiite  n.fi.w., 

wie  auch 

für    öauljcrrcn   unîi   6ar  t  cnb  cet  1 5  er, 

enthaltend   eine   reichhaltige  Sammlung  von   Zeichnungen   zu   Gebäuden   aller    Art   und 
Bestimmung,  mit  iliren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
M  Staih.  Land-  Gewächs-  nnd  Badehäusern,   Tempeln,  Capellen,   Cabinetf*n,   Balcons,   Ba- 
lustraden, Nischen,  Zimmerverzierimgen,   Thüren,  Fenstern  und  andern  Eiuzclbeiten,  B»ticken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gatterwerken,  geheimen  Cabinett«u,   Gondeln, 

Schwanenhäuschen  etc.  etc. 

Im  mglîscîmt,  italiem»chcn ,   gotJthcheß,  türkisclien,  per»hcUn,  indisclien  uml 

»biesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzoidinen  in  Sonntags-  uwl  Industrie -Schulen  brauchbar. 

Herausgegeben 
vom 

PROrSSSOR    J.    6.    GROHMANN. 


Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,  viertes  Heft  von  6  Blättern. 


xn^  8  (&r.) 


IiEIPZIG,    183S. 
Banmgärtner's     BuchhaDdlunor- 

\La  description  fU»  pfarwhes  »'y  troMPe   aussi   eu  frfrn^ais\ 


5ö  ef  c()r  ei  buuQ, 

^  at  el   I. 

5)icfcè  f&latt  (nt\)âh  ein  fc^éneë  eommcrâc6ôuî)c  »on 
formt(;ifd)cc  Oitnunâ,  mit  einer  SSorloubc. 

^aè  ^auptgcDûuie  i|î  jirci,  iie  batanfîof^enben  mad 
fmb  aber  nur  ein  ©focf  I;o(i;  unb  iienen  bein  iiveiten 
©tocfe  }u  aitanen. 

îT  a  f  j  I    II, 

»epnbet  f.cf)  in  boni  SBojitf,  in  njcf.I^em  ein  eiiglifAoc 
^ad  ûngeleat  mirb,  ein  i^eirer  «borg,  bcr  ein  fo  trau, 
naeê  unb  tobteè  ?tnfel;en  I;ûf,  aie  ber  auf  bicfem  '»(atw 
»ürgefteüte,  fo  iji  öieHeic^t  fein  beiTcrcr  Q5ebraud)  bû»on 
ju  niûd;on,  ali  ben  ber  Äiinfl-let  Ijier  ongeaeben  l)at. 


er  regte  eine  fîeite,  |îeinernc  5reppc  an,  bie  lu  einem 
éisfeUer  oBer  einer  f.((,(en,  in  icn  Seifen  gef^auenen 
©rotte  fuOrt,  'unb  gab  biefem  SiêfeUer  ober  bicfec 
©roue^bag  2tnfe()en  elneö  ngi;ptifdf;cn  ©rûbmalô.  8tn 
ßer  i(,iir,  ml^i  wn  iiH'item  nid;t8  a\è  eine  tiefe  Dîifihe 
bilbet,  ip  eine  in  ©tcin  gefjaucne  SWumie  aufgcricfjtet. 

C  a  f  e  I   III. 

4)ic  ©ingûfefen,  eine  SSoIferfci^üft  ouf  ber  Snfeî  een= 
Ion,  nennen  eme  geroiffe  «aumgattung  ^eilige  93ôume, 
unö  umjciuncn  ober  ummauern  fie,  roie  auf  unfercr 
Scidjnung  ju  fehlen.  Unter  une  f;errfd)en  feine  SCor^ 
urtf;cilc  bicfer  «rt;  ober  mandjer  üanbbewotiner  hat 
baruni  nidjt  minbcr  feinen  fieblingêbaum.  Sr  rcurbe 
mdieidjt  bei  feiner  ©eburt  gepfianjt,  rcar  ber  Seuqc 
beê  erften  fiebeêgcfîanbnifîeè  gegen  feine  ©attin  u.  f 
f.,  unb  njirb  nun  beffen  îieblingéplàjjd^en. 

feid^t  bikfte  f;ier  unb  bort  ein  fd^öncr  g3aum  ju  fin» 
bcn  fem,  bcr  fl^  ju  einem  foId;en  9îu(;efi(}  eignet, 

«Tafel   IV. 

«erfc^iebene  ©artenwrjicrungen,  roeld^c  fofacnbe  ©eaen^ 
panbc  tjorfjeüen: 

a.  Sine  2)ecoiation  in  einem  ©arten  ju  einer  3aumi= 
nation,  bic  aber  leidjt  jur  Waçabc  eincè  ©artenpas 
»mon«  umgefd;affen  iverbcn  fann. 

b.  ein  d;inefifd)eê  Jç,âuèi)ttt  an  einer  ©artenmauer, 
roeldje«  ouf  beiben  ©citen  auè  bem  ©arten  burch  ei. 
mgc  ©tufen  erfiiegen  ivirb,  unb  bic  2(u«(i*t  auf  bic 
©trajc  unb  umliegenbcn  ©egenben  geroäOrt.  5)er  5fiei[ 
be«  ©artenê  liegt  ()ier  ctroaê  {)b^n  ali  bie  ©trage. 

c.  SDer  ©lunbrif;  f^ieryon. 


Description. 

PIiAItfCHE     I. 

Kons   dounons  daus  celte  planche  une  beUe  maison 
pour  lété,  d'ordre  coriuthieu. 

Le  principal  corps  de  log^is  est  élevé  d'an  étage  «u- 
dessus  des  ailes  qui  lui  servent  de  terrasses? 

PI-ANCHE     II. 

Si,  dans  une  enceinte  que  l'on  aurait  cLoisie  pont  y 
piauler  uu  fardiu  auglais,  il  se  .rouvait  une  mo.i- 
lagne  escarpée,  qui  oifrlt  à  la  vue  un  lablean  aussi 
triste  et  aussi  peu  auiuié  que  celle  qui  est  repré- 
sentée sur  cette  plancLe,  nous  ne  crojons  pas  qti'il 
Ko.t  possible  d'eu  tirer  un  meilleur  parii  que  celui 
queu  a  tiré  l'auteur  de  ce  dessiu. 

Il  a  fait  un  escalier  de  pierre  pour  monter  à  une 
glacière  ou  grotte  taillée  dans  le  roc,  à  l'entrée  de 
laquelle  il  a  donné  la  façon  d'un  tombeau  de  style 
égyptien,  11  a  placé  uue  espèce  de  momie  en  pierre 
devant  la  porte,  qui  ne  représente  de  loin  qu'une 
uicLe  uu  peu  profonde, 

PI.AKCH25     SU, 

Les  CLingalois,  peuple  qui  habite  l'île  de  Ceyian, 
out  une  espèce  d'arbres  qu'ils  regardent  comme 
sacrés;  ils  les  enferment  avec  des  Laies  ou  des 
murs,  aiusi  qu'on  i)eut  le  voir  sur  cette  planche. 
Parmi  nous  il  u' y  a  point  de  semblable  préjugé; 
mais  maint  campagnard  n'en  a  pas  moins  son  arbr« 
de  préduection,  planté  peut-être  le  jour  de  sa  nais- 
sance, et  devenu  ensuite  le  témoin  du  premier  aveu 
qu'ime  épouse  cliérie  a  fait  de  sou  amour.  Le  vil- 
lageois aime  alors  à  se  placer  dessus  et  le  soigne 
de  sou  mieux. 

Ou    trouvera    facilement   çà   et  là  uu  bel  arbre  qui, 
par  sou  ombre,  se  qualilie  à  la  susdite  destination. 

Pli  AN  CHE     IV. 

Ou  voit  dans  cette  planche  différens  enjolivemens 
de  jardin. 

(t.  Decoration  propre  pour  une  illumination  de  jar- 
diu  ou  pour  y  embellir  la  façade  d'un  pavillon, 

b.  Petit  pavillon  chinois  dans  lequel  conduit  un 
perron  à  double  rampe;  il  a  vue  sur  la  rue  et 
sur  les  environs.  Il  est  nécessaire  que  le  terrain 
du  jardin  oii  il  est  situé  soit  beaucoup  plus  élevé 
que  la  rue. 

c.  Plan  îchnographique  de  ce  même  pavillon. 


mÉêm 


M^n  ..  //aj^.  JT.  B.  4-.  Jf. 


S.''  / 


.),/n„      .    ////./.    II.Jl.^i.H. 


-  {■  y 


,J(/,en    -    //^y.    Jl.  n.  4.  JI. 


/  £//^n 


^ .y^^^^          /y^^r 

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^^                ^(^      ii^^ 

-^^p'^'W^      ^^ 

y,hr„    .  //«/.  J1.B.4-.H. 


I . 


■  )r/rc,>    -    //../.  Jl.B.i.E. 


X.?ô. 


J(/,:„.   //,;^.]l.B.UI. 


d.  gin  mobcrnct  «paoiBoii  mit  9îuf)c6ânfcn,  auf  mU 
t^em  mon  bcbccft  in  6ic  Sfßicfcn  Mnî)  Sclbcc  fctjcn 
fann. 

e.  2)et  ©tunbrig  beffelbcn. 

f.  ginc  Dîctivûbc  im  got^ift^cn  ©cfc^mocf  in  einem  bu; 
ft^igcn  %i)iiU  cincè  ©attenô. 

g.  gin  d)incfifc^c8  ©clânbcr. 
h.  gin  gûnapee. 

C  a  f  e  l   V. 

î)ie  «fie  Sigut  i|i  eine  (^incfifdje  93riicfe,  bic  jrocitc 
eine  âtcid}  am  gingange  bc8  «porfè  ongcbrat^te  Sîu» 
l)cbanf  mit  bec  feOr  (aunigcn  3nfd)tift:  „Si'it 
%au\{,"  unb  bie  btitte  ein  ©ottenfop^a  oon  ro^cn 
îBûumjîâmmc^cn. 

«E  a  f  e  l   VI. 

Fig.  a.  gin  ®attcncabinct  con  rol;cn  Saumliâmm^cn, 
mit  einer  Unterlage  »on  grob  juget;auenen  O-uabcrfici» 
«en.    Saâ  ©troljbac^  iji  mit  brci  Äegcln  gcjiert. 

Fig.  b.  gin  ©artcngcbâube  im  gotI)ifcf)cn  ®cfd)mo(F, 
mit  jroci  Simmcrn  unb  einer  fleincn  ©icbelocrjicrung. 
gê  entl)5lt  einen  @cfcufd)aftèfaal,  ein  !)albrunbeè  2Sors 
jimmet  unb  eine  Äurfje.  S)tx  offene  ©iebel  ijl  mit 
einer  gotljifd^cn  S8rujîlef)nc  oerfe^en  unb  bicnt  einer 
fteincn  @efcDfd)aft  jum  @enu§  ber  umljcrtiegcnbcn 
SiuäfK^ten. 

Fig.  d.  ®ec  ©runbciÇ  baju. 

Fig,  e.  gin  @actengcbâubcf)en  »on  fd^iradjen  Stamm» 
(ben  unb  SBaumrinbe.  55ic  bciben  Sljûren  finb  mit 
©elônbern  in  ber  ^ôf)e  »on  ©rujîU^ncn  oermati^t. 

Fig.  f.  ©tunbriÇ  }um  erfîen  ©tocftoetf  biefeê  ®ebaub* 
d)enè.  Sfflan  finbct  Ijicr  nidf)tâ  a(S  einen  mäßigen 
©aal  unb  eine  fidnc  Äitc^e  jur  QScrcitung  beè  Äa^ 
fecô  u.  f.  w. 

Fig.  g.  gin  ®artenjîu()I. 

Fig.  h.  gin  @avtcnfopI)a,  unb 

Fig.  i.  sloic^fadâ  ein  ®artcniiu()I,  fâmmt(id)  »on  roljcn 
<£tâbd>'n. 


d.  Pavillon  dans  le  genre  moderne,  garai  de  bancs 
pour  se  reposer,  et  situé  sur  une  hauteur  d'oA 
l'on  peut  découTrir  à  couvert  la  campagne  et  les 
prairies. 

e.  Son  plan  îchnographique. 

/.  Retraite  solitaire  dans  le  goitt  gothique,  »^léguée 

dans  les  bosquets  d'un  jardin. 
g-,  et  k.  Balustrades  chinoises  et  canapé. 


PI.ANCHB     V. 

La  première  figure  représente  un  pont  chinois;  la 
secoude,  un  banc  que  l'on  trouve  en  entrant  dans 
le  parc  avec  cette  inscription  aussi  fine  qu'ingé- 
nieuse :  Pour  les  paresseux,  et  le  troisième,  un  so- 
fa de  jardin,  fait  de  branches  encor«  convertes  de 
lenr  écorce. 

PI.AIVCHB     VI. 

Fig.  a.  Cabinet  de  jardin,  bâti  avec  de  petites  tiges 
d'arbres,  enveloppées  de  leur  écorce,  sur  deux  cou- 
ches de  pierre  de  taille.  La  toit  de  chaume  est 
orné  de  trois  coues. 

Fig.  b.  Petit  bâtiment  de  style  gothique  potir  iii> 
jardin.  Il  contient  un  salon  de  campagnie,  nue 
antichambre  demi-circulaire  et  nue  cuisine.  Le  fron- 
ton, décoré  d'une  balustrade  gothique,  est  tenu  ou- 
vert pour  ménager  une  vue  agréable  sur  les  ob- 
jets qui  l'environnent. 

Plg.  d.  Plan  de  ce  petit  bâtiment. 

Figi   e.    Autre    petit  bâtiment   coustrnit    en    petites 

tiges  d'arbres  et  en  écorce.     Les  deux  portes   n'en 

sont   fermées  que    par    des  balustrades   à  haiiteiir 

d'appui. 
Fig.  f.    Plan  du  premier  étage,    on  Ton  ne  trouve 

qu'une  salle  médiocre,  et  nne  petite  cuisine   i>onr 

y  faire  du  café  etc. 

Fig,  g.  Chaise  pour  les  jardins. 
Fig.  k.  Sofa  destiné  au  même  usage. 
Fig.  i.  Antre  modèle  de  cliaise,  le  twit  composé  de 
baguettes  grossières. 


ANEUENDIGUNG. 

Es  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflasen  der  be 
kannten  Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  ver<^rißen 
Dieselben  enthalten  für  den  Ai-chitecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thmi  hat,  als  für  Zimmerleute,  Mam-er  u  s  w 
emen  wahren  Schatz,  *' 

AUes,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erschemens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern 
zur  Zierde  oder  zmn  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
EinzeUieiten  zu  verschiedenen  Bestimmmigen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  GeseUschaft  einer  Menge 
Origmal-Zeichmmgen  diu-ch  herrhche  Kupferstiche  dargesteUt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Tlieü 
des  Publicimis  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahh-eiche  Theihiahme  belohnt,  welche  dieselbe 
b,s  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publikum  durch  die  äusserst  büligen  Bedm-unaen  zu- 
gänghch  zu  machen,  welche  sie  fur  die  neue  Auflage  emtreten  läsS 

Die  ersten  Hefte  O'edes  zu  6  fem  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  fur  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theünahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoD,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  Uebrige  davon  wird  hei  Seite  gelegt  werden. 

Bmmtgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig, 


{Mle  Buchhandlungen  nehnwn  Be^telhmgen  an.) 


IDEËN-MAGAZm 

für 

Architecten^  Künstler  und  Handwerker, 

die  liât  der  lîaukuii't  und  ihron  Einzfllu'ittn  zu  tliun  haben, 

als 

JMaurer,  Zhnnierleute  n.n.w., 

wie  auch 

für    ö  a  u  l)  f  r  r  f  n    u  n  ÎJ    05  it  r  t  f  n  b  e  e  i  1 5  c  r, 

iiiiijallond    ti.:c    reiclilialtigv  Saiutulung  von    Zi-ielmungcn   zu   Gebäuden   aller    Art    und 
liestimmuug,  mit  ihren  Tiu-ilen  und  Grundrissen, 

als: 

ZU  Stadt-  Laud-  Gewächs-   und  lîadehausem,    Tempeln,   Capellen,   Cabinelten,    Italcons,   lia- 

liistrailesi,    Xischcii,   Zinimerverzieninj^on,   Tliiircn,  Fenstern  und  andern  EinzcÜu-iten,  linickcn, 

Geländern,  Sitzen,  Veniiaclinnjren,  Gatterwerken,   t:;clieinien  Cabinetten,    Gondehi, 

Scbwaucnhiiusclien  cic.  elc. 

Jm  englischen,  italienischen^    gothischen ,  tïirJàschen,  persischen ,  indischen  und 

sinesischen  (J eschmach. 


Auch  -/.um  .Nachzeiclincn  iu  Sonntags-  und  Industrie. Sclinlcn   litaticliliar. 


II  e 


e  «  e  li   e  n 


PROFESSOR     J.    a.    aROHMANN. 

Neue  veriuelirte  AiiHage. 

Zweiter  Band,    fünftes   Heft    von    6  lîliitterii. 


(Iprciô   8  %x) 


EiEIPZIG,    ISSd. 

UaumgärtDer's     BucfabuodluD^. 

C^^      [////    dtMiifitii.ii    lies   jii«ii;cliex   *'y    tfiiiicc    ii  ii  s  x  i    tu    /iii/iir/is. 


^  e  f  cf)  r  e  i  6  «  Il  q. 

C  a  f  e  I    I. 

3)icfcJ  îBtûtt  jîcttt  in  cinot  fc^oncn  faiibfc^aft  eine  norbs 
nmorifanifcf)c  «Pfian^'iljûttc,  mit  @troI)  gctocff,  ïar; 
Scniî«  unb  îljiircit  oûvan  finö  pyiamibcnféniiig. 


€  af$l   IL 

iDaè  ()ici-  bargcftcUtc  große  @aitcn\(\M,  in  goKjifdjcc 
!8auûit,  uni  jivar  ûuê  ben  Seiten  (ïbiiavb'S  IV.,  ift 
jroar  nur  in  Sliilrtgen  ■om  fol)c  meitein  Umfnnge,  roo 
câ  fii^  in  gcbicteri|'d}ein  «niel;en  l'itet  ûUe  anbern  Qia 
bûubc  be§  <l)arfô  ergeben  foQ,  on  feinem  Orte;  ober 
I)ier  iBitb  ci  aud)  feine  Qöicfung  fid^ec  nidjt  oerfer^ien. 
€eine  ganje  etructur  legt  fid>  van  felbfl  an  bon  îng, 
unb  bie  S8eiiiiem(icl}feit  feineà  innern,  fe(;rbetiâc()t(iif)en 
iXûumeè  lägt  fiif}  o()nc  Singeirjeig  crcatl;on.  ©et 
©tunbtifj  beè  jrociten  ©efrfjoffeè  ifi  inbeffcn  unten  ans 
gegeben,  unb  man  erfiet;et  au«  bemfeiben,  mie  icid)« 
lid)  Defonbcrê  fur  bequeme  ^(â^c  jut  îluèpiljt  in  bie 
fi^éne  9îatut  uml;ec  gcforgt  ifî. 

C  a  f  e  i   III. 

3u  bem  dgi;ptifc^en  ©rabmafe,  bag  ouf  biefem  95(attc 
«orgcffedt  ifi  unb  }ugteicf>  al«  DCuljefil}  bient,  wirb  bet 
®artenfilnfî(er  eine  einfame,  biiftre,  iH'tfdjtoJTene  unb, 
wenn  mit  bicfer  WuêbrucF  erlaubt  ifi,  gfr)eimnifn'oüe 
©cenc  ivQf;ren  mi'ifTen.  (55  empjüel;(t  füd;  burd;  (ïinî 
fat!)()cit  unb  Sefligfeit. 

®ic  5[;citc  beê  ©anjcn,  ivorauf  bie  !ßiif}en  jîefjen,  finb 
OoOl  unb  fo  eingetidjtet,  baf,  bet  SBefiljer  beê  ©artené 
SBi'ic^et  batin  aufben)al;ren  unb  »erfdjlief-en  fann. 

®  a  f  É  I   IV. 

îik  «Ratut  Dirbete  in  fanbfdjafilidjen  ©egcnben  Soffen, 
roo  fie  ei  fût  gut  fanb.  55er  @artenfiinjî(ct  muf,  fie 
nehmen,  rco  unb  iric  et  fie  finbet,  unb  fann  fie  nid)t 
»ettiufen,  foflten  aiid)  bie  um()ev(iegenben  Scenen  boô 
®attenô  fo  befd>affen  fein,  bap,  fie  mit  bet  5e[fenpar= 
tic  nit^t  im  minbeflen  aßl)etifd>en  a3e.I;â(tnif,  fk^en. 
Unb  fo(d)c  Sagen  ron  Seifen  finb,  ivic  unâ  bi'inft,  in 
bet  9îatur  nid)t  feiten. 
Um  bicfeè  aSeil;âItnif,  jmifdjen  bet  umf;ct(iegenben  ©es 
genb  unb  ben  Seifen,  iiieidjeâ  bie  Siegefn  bet  Äunfl 
fd)Ierf)tetbing«  v^etlangen,  r)etjuf}eaen,  iaffen  fic^  im 
Stügemeinen  feine  feften  Dvegetn  angeben,  med  jcbe 
geene,  jebe  Sage  in  bet  3?atut  nad)  35erfd}ieben()eit 
be«  (Sijarafteré  wfdjicben  bcljanbeft  unb  bearbeitet  ircrs 
ben  muß,  unb  eine  jebe  anbete  SJotbeteitungen  obet 
Uebcrgängc  ju  ©ccnen  üon  fd;arf  abfted^enbem  6(ms 
raftet  erforbett. 

SJiefe  QSoröctcitungen  unb  Uebetgange  mi'iffen  f(eif,ig 
ftubirt  unb  mit  ber  gtöfjten  (gorgfaitigfeit  auâgefi'i(;rt 
werben,  wenn  in  einem  ©arten  aufgenommene  Seifen* 
Partien  nid)t  einen  %\)til  bet  ?(nlagcn  entlîeuen  foücn. 
2ßa«  bie  Seifen  feibfî  anfangt,  fo  fönnen  j^le,  um  ir;rc 
9îau(;f)eit  ju  mifbern,  wenn  bet  Sfjaraftct  bcê  Uebrigcn 
tiefe  OJlitberung  r;eifdjt,  mit  aUerfjanb  ranfenben  <)>f(an5 
jcn  beffeibet  werben.  Süejit  jufäüig  jivifdjen  ^cn  Sef; 
fen  ein  ficiner  5Bad>,  obet  \\1  in  iijrct  3Jâl;e  eine  aucOe, 


D  e  S  c  1-  i  p  t  i  <)  n. 

PÏ.AZÏCHE  IT. 
Oll  (lonTe  dans  cette  plaiicLe  un  noiireaii  genre 
d'einbeUissement  pour  un  paysage  agréable.  C'est 
une  cabanue  de  planteur  du  uord  de  i'Aujérique  ;  sa 
couverture  est  de  paille,  ses  portes  et  ses  fenêtres 
sont  d'une  forme  pyramidale. 

PIiÂNCUB     II. 

Le  grand  clirtteaii  de  jardin,,  en  forme  g-olLique  et 
qui  se  date  du  temps  d'Edouard  IV.,  que  nous 
présentous  ici,  n'est  à  la  vérité  pralicable  que  daus 
uu  parc  de  très-grande  étendue  où  il  doit  s'élever 
et  dominer  par  sou  aspect  majesl ueux  tous  les  by- 
lirueiis  d'aleulour;  mais  même  ici  il  ue  manquera 
pas  de  produire  sou  eilet.  —  Toute  sa  structure 
])ar,iît  d'elle-même  daus  tout  son  éclat,  et  la  coni- 
modilé  qu'offre  l'étendue  immense  de  sou  intérieur 
se  devine  aisément.  —  L'icLouog^rapIiie  du  second 
étage  est  cependant  donnée  en  bas,  et  l'on  voit  par- 
là  avec  quelle  abondance  on  a  pris  soin  de  ménager 
des  places  commodes  pour  pouvoir  jouir  de  la  belle 
vue  tout  autour. 

PZ;ABfCHS    IIS. 

Pour  tirer  un  parti  avantag'eux  de  ce  tombeoti  de 
slyle  égyptien,  qui  est  représente  sur  la  troisième 
planrlie,  et  qui  est  drslinc  à  servir  de  siège,  il  faut 
qne  l'artiste  cboisissy  un  lieu  isolé,  soiubre,  et  qui 
porte  à  des  médilalions  profondes.  .Sa  solidité  et 
sa  simplicité  invitent  à   ne  pas   le  né"-li"er. 

Les   parties   sur   lesquelles    rc|)03cnt    les   bustes  sont 

creusas    et    disjiosées   de  façon,    que  le  i)ropriélaire 

peut  y  enfermer  sous  les  clef»  uue  collecliou  de  livres. 

IPÏÏmANCHE     IV. 

I-a  nature  en  formant  des  rocliers  dans  certaines 
contrées  n'a  suivi  d'.mlrcs  r.^gl<-s  que  sou  caprice; 
rar(iste  qui  se  consacre  à  renibcliissenient  des  jar- 
dins doit  clierclicr  A  en  tirer  le  meilleur  parti,  quand 
bien  même  les  parties  environnantes  seraient  dan» 
le  |)!iis  g-rand  conlrasle  avec  eux.  Et  il  nous  semble 
<|u'il  n'est  pas  rare  de  trouver  daus  la  nature  de 
telles   masses  de  rochers. 

Pour  rétablir  entre  les  rocliers  et  les  parties  avoisi- 
naiites  ce  rapport  qu'exigent  absolument  les  règles 
de  l'art,  il  n'y  a  point  de  règles  générales  et  posi- 
tivos,  parce  que  chaque  scène,  chaque  situation  de 
la  nature  doit  être  travaillée  différ-nimenf  selon  la 
diiférence  du  caractère,  et  cpie  chacime  exige  d'au- 
tres préparations  on  passages  à  des  scènes  d'un  ca- 
ractère conlrustaut. 

Il  fant  étudier  avec  application  ces  préparations  et 
ces  passages,  et  les  exécuter  avec  le  plus  grand 
Koin,  si  l'on  ue  veut  pas  quo  le»  rochers  défigurent 
les  autres  parties  d'un  jardin. 

Quant  ù  ce  qui  concerne  les  rochers,  on  pent ,  si 
le  caractère  de  la  scène  le  permet,  adoucir  lenrs 
aspérités  en  le»  recouvrant  de  tontes  sortes  de  plan- 
ti's  rampantes.  Si  un  petit  rnisseau  coule  par  ha- 
s.ird  entre  les  rochers,   ou  bien  »'il  y  a   une  sonrr« 


■   '/f/rrN  ,^JÙt(/.   ÏÏ.B.ôjr. 


X.'.  /. 


.)(/icn     .    //(H/.  JI.B.Ô.n. 


jTr  2. 


J'dcen     '    /fa^.  ÏÏ.B.5.E. 


JTJ. 


^7deen  ^y^.  ÜB. 3.  H. 


A^.f4. 


r  I      I  \2j://^,t. 


y^ctn     .  J/a^.U.B.Ö.H. 


I     r     r    I  i  M  K^'^^ 


^^,?5. 


wrm 


/y      Q 

i 


f'7'^Z^.efte^^^c/f . 


),/,.»    .._  /(a^.  ïïB.ôn. 


j[^.?6: 


fo  ivirb  man  baé  SKaïKt  iunî;  StbfâUe  fo  gut  ali 
niôgtid;  jur  Sßokbun^  Coê  îl>i(cè  bcnu!it;n. 

S^ic  Äcttcnünicfi-,  bic  »on  ciiioc  Sclfcnfpiçc  bicfcê  SBlaf« 
teâ  jur  anban  gcjojcn  i(}  unb  einer  joion  ^partie  einen 
nia!ciifc(;en  TlnbM  giebt,  barf  abet  nut  ba  auè9efi'i(;ft 
ivcrben,  mo  fie  bon  (2c()cin  bet  *nott)iiH'nbiiifeit  ()nt. 
!8ôte  bic  l'ibtiijc  SJndige  beê  ©attenè  bequeme  SJânge 
burd;  baä  îljaï  bnr,  fo  »ui'irbc  man  eè  ber33iïicfe  auf 
bcu  cvfJen  35licf  anfo()en,  bafj  fie  blog  i{)rer  felbfî  megcn 
bo  ifî.  5)îûii  entferne  ûffo,  luetin  man  von  i()r  @e* 
bvaud)  mad^on  ivid,  in  il;vcc  ÏJÎûOe  jeben  bequemen 
iBcj)  burd)  b.i»  îljûL 

5)ie  SBii'icfe  felbjl  i|î  mit  fc^malcn  cid;encn  ^foftcn  k« 
legt,  bie  mit  eifecnen  ^afen  in  bic  ©lieber  ber  Äettc 
einflieifeit,  mie  bie  unten  Definblid;e  gi^ur  jcigt,  unb 
ftatt  beè  ©v'Iânberê  mit  tinec  Äettc  auf  jebcr  ©eite 
ucrfeljen. 

C  a  f  e  I    V. 

a.  (5in  fif)ivcijcrifd^e5  Sûuer^âuôdjcn  on  einem  .Çiigcl, 
iveidjeâ  befonboi-5  boju  geeignet  iiî,  oufjerljatb  eineô 
®artenè  in  einer  fûnbfd;aft  einen  fd^énen  "^rofpect  am 
jubringen. 

b.  Sine  (»ûljcrne  ©riîrfe  über  einen  fleincn  gtug  mit 
einem  bebecften  9îu()optaç. 

c.  Sfigt  ben  ©runbiiê  bauon. 

(1.  Œin  ber  Qßeinlefe  geiveiOtct  runber  ObeH^P,  i^cn  nuäs 
gefudjten  SBeinpfatjfen  erriii)tet,  ireld>e  mit  2Boin(aub 
umiminben  finb.  îln  bcm  <)>of}ttmentc  I;ângt  ein^ed;er 
mit  einer  Weinrebe  umirunben. 

e.  gin  anbercr  oierecfigcr,  bergrnte  goribmet,  oben  mit 
einer  3nfd)rift,  unter  iw(ct)cr  jufammengebunbene  @ars 
ben  (jângen.  3n  bec  gûûung  bed  3uÉge)îeueè  (jdngcn 
jivei  iSid;e(n. 

f.  unb  g'^    Siuei  fleine  5f;i*iren  ju  95Iu mengarten. 

L.  ein  eop()a  jroifd^en  jiuei  <Pûjîamenten,  worauf  man 
^(umentôpfc  fîetlen  fonn. 

C  a  f  e  l  VI. 

3î1J)t  feîten  roirî)  man  in  ber  üli\{)i  eineô  guten  ®o()ns 
gcb.iubeö  burd)  eine  ba()in  gar  nid)t  paffcnbe  SBerfleis 
bung  eincà  2?iunnen'3  ober  eine  fogonannte  SBajfers 
ptumpe  ûuf  iaè  unangenet^nijîe  ûberrafdjt,  weil  fid) 
bic  9tufmerf|amfeit  beS  iSaumeifletè  beâ  JÇ)aufeô  cnts 
roeber  nid)t  bià  auf  itn  îorunnen  etflrecfte,  ober  roeil 
er  i'ie(Ieid)t  gfnubie,  er  erniebrije  feine  ÄuntT,  iiH-nn  er 
fie  }ur  QSerjionmg  einoâ  Sßrunnenö  ûnu'enbete,  uniiat 
f)er  bie  OSeifcitigung  berfciben  einem  gemeinen  5ifd)(er 
ober  Simmermann  l'ibedief;,  ber  fur  €d)iif(id)feit  unb 
Çfnfîanb  feinen  <2inn  unb  jur  jnjecfmâgigenaSerjicrung 
feine  Äenntnif,  (jatte.  ffiir  liefern  ba()er,  um  biefer 
Unfd)iif(ic^feit  abjufielfen/  vier  oerfd}iebene  i5r»nnen'.H'r= 
jieiungen,  eine  im  gotl)ifd)en,  jmei  im  antifen,  unb 
loiebcrum  eine  im  d.nitenfd;en  ®cfd)maif,  bie  bcm  im 
babei  bepnblic^en  (B>biiube  O.rrfc^enben  ®efd;moife  ge« 
maß  g,'ivâ()(t  werbon  muffen. 


à  portée,  il  faut  la  dûtotinier  et  s'en  sei'vîr  autant 
que  ]>ossible  pour  animer   la  vallée. 

Le  pont  à  cLaiiies,  qui  va  d'une  pointe  de  rocLer 
à  i'aulre  et  qui  fait  un  superbe  effet  daus  cetls 
partie,  ne  doit  être  construit  que  dans  un  endroit 
011  il  a  l'air  d'être  nécessaire.  Car  si  I'oq  décon- 
Trait  dans  le  jardin  des  cliemins  plus  commodes  à 
travers  la  vallée ,  on  verrait  au  premier  coup  d'oeil 
que  le  pout  n'est  qu'un  objet  d'embellissement. 
Ainsi  si  l'on  veut  s'en  servir,  il  faut  avoir  soin  de 
ne  laisser  daus  le  voisinage  aucune  route  coinniod« 
pour  traverser  la  vallée. 

Le  pont  est  couvert  de  madriers  de  cLênes,  étroits 
et  altacLés  par  le  moyen  de  crochets  de  fer  aux 
cLaiuous  de  la  chaîne^  comme  le  montre  la  figiir« 
d'en  bas,  qui  représente  les  garde-fous  avec  une 
cLaine  de  chaque  côté. 

PE.ANC83E    V. 

a.  Maison  de  paysan  suisse  appuyée  à  une  Latiteur. 
Ce  jioint  de  vue  dans  la  campagne  fait  nue  diver- 
sion très-agréable  dans  un  jardin. 

b.  Pont  de  bois  snr  nn  petit  ruisseau,  avec  un  ca- 
binet couvert  an  milieu. 

c.  Son  plan  ichnographiqiie. 

tl.  Obélisque  rond  eu  l'honiieiir  de  la  vendange  :  il 
est  formé  avec  des  écliiiliis,  et  orne  de  giiii  landes 
de  piiui)>res  qui  serpentent  autour  de  lui.  Son 
piédestal  est  orné  d'un  trophée  de  ceps  de  vignes 
auxquels  et  suspendue  une  coupe. 

<?.  Autre  obélisque  qiiadiaiigiilaire  en  l'honneur  de 
la  moisson,  orné  d'une  inscription  an-dessous  de 
laquelle  est  un  trophée  de  petites  gerbes  réunies, 
cl  il'ins  le  panneau  du  piédestal  un  second  composé 
de  deux  faucilles. 

y.  et  g.     Deux  petites  portes  de  parterre. 

A.  Sofa  entre  deux  piédestaux ,  sur  chacun  des- 
quels ou  peut  poser  un  pot  à  Ifeiirs. 

PIiANCHIS    VI. 

II  n'est  pas  rare  de  trouver  dans  le  voisinaf^e  d'nn 
bel  édifice  'des  fontaines  ou  pompes  d'un  mauvais 
style,  et  dont  l'aspect  produit  un  effet  désagréable. 
Souvent  cela  vieut  de  la  négligence  de  l'architecte 
de  la  maison,  dont  l'attention  uc  s'est  pas  étendue 
jusque  snr  la  fontaine,  ou  qui  a  peut-être 
cm  avilir  son  art  en  l'employant  à  l'embellisse- 
ment d'une  fontaine,  et  qui  en  a  abandonné 
la  coustriiclion  à  un  menuisier  ou  à  nu  rhar- 
pentier  ignorant  et  entièrement  dépourvu  de  goiVt. 
Nous  donnons  donc  ici,  pour  remédier  ù  cet  incon- 
vénient, quatre  différens  dessins  pour  l'embellisse- 
ment de  fontaines,  un  dons  le  goiU  gothique,  deux 
dans  le  goiit  antique,  et  le  quatrième  dans  le  goiit 
chinois,  II  est  inntile  d'ohserver  qu'il  faut  avoir 
soin  de  choisir  celui  dont  le  genre  convient  le  mienx 
au  style  de  l'édifice  dans  le  voisinage  duquel  on 
vent  construire  lu  fontaine. 


ANKUENDIGUNG. 


IliS  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten Rupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergrilïen. 
Dieselben  enthalten  für  den  Arcliitecten  und  jeden  Küusfier  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zimmerleute,  Mamer  u.  s.  ^y., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiet Jenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten ,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
ïiersieîhmg  dieser  Prachtwerke  bedang,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Publicums  unmöghch,  sich  in  BesiSz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonisclier  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandluug  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publikum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  Averden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfaclier 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
ähern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeilgemäss  und  an- 
wendbar ist;    alles  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  wei-dew. 

Bmimgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{AUf  Huehhundlungen  nehmen  Besfellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 


tu  r 

Architecten^  Künstler  und  Handwerker^ 

die  mit  der  Baukunst  und  iliren  Einzelheiten  zu  thun  haben, 

als 

JVIaurer,  Zimnierleute  u.s.w., 

wie  auch 

für   I3aul)crrfn    unH    (&ar  t  c  nb  c  ôi  t  j  c  r, 

enthaltend   eiae  reichhaltige  Sammlung  von  Zeichnungen   zu  Gebäuden   aller   Art    und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 


als: 


zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badehäusern,    Tonipcln,   Capellcn,   Cahinctten,   Balcons,    Ba- 
lustraden,  Nischen,   Zimnierverzieningcn,   Thiircn,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gatterwerken,  geheimen  Cabinettcn,   Gondcbi, 

Scbwancubäuscben  etc.  etc. 

Im  englischen.,  italienischen,   gofhischen,  türkischen,  persischen,  indischen  und 

sinesischeu  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie -Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    C.    GROHI^ANN. 


Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,  sechstes    Heft   von   6  Blättern. 


(|)rn$   8  er.) 


LEIPZIG,    183». 

Baumgärtner's     Biiclibandlung;. 

Ç^     [La  description  des  planches  «'y   trouve   aussi   en  français.] 


^  c  f  ff)  r  e  i  fe  «  n  g, 

^  a  f  e  l  I. 

-/iuf  einem  ^Hû|c^  ber  ivciiiijfKnê  oon  md;r  ai* 
fin«  Sciti:  eine  ficic  ojîciic  îluèfidjt  geinôfirf,  ober  ûuf 
einem  J^i'igel,  Bec  tcii^e  igccnen  be()erifd;t,  ivitb  biefeè 
einfadK  unb  bod>  isrod^tigc  OTaufoleum  mit  aSottIjeil  am 
aebcûd}t  njcrben  fônnen.  23iec  ©âiige,  bie  ce  bem  l;ers 
ummanbelnben  S8etiiKi;t>'t  untcf  mflnni(t)fa(ti3em  S!id)t  unb 
ouf  i>er|d)iebenen  ©lûnben  seilen,  fi'il;rcn  ju  beni  ©es 
bnubc,  iaè  auf  funfje()n  €tufcn  ciOaben  jîcl;t,  unb  ju 
-effen  eingângen  mon  uon  aücn  via  Seiten  gelûnsen  fann. 
î^ie  2Bal)(  beè  ^lafseâ,  auf  melden  es  ju  fîeOen 
fommen  foU,  fann  feine  leidste  êad)c  fein,  ba  bie  iîlugs 
l)eit  erfoïbert,  »on  einem  ©ebâubc  bec  '^tt  fo  »ielen 
Üjortl;eil  ju  jicl;en  aie  môglid;. 

ST  a  f  «  I   II. 

2)iefe  on  einem  getfenl^ange,  in  einem  l'ippig  gn'is 
nenbcn  Sl;ale  gelegene  0)îûl;lc  empfängt  boé  2Bof|er, 
roe!d;eè  fie  treibt,  auè  einem  £i.ueU,  bet  ouf  bem  gels 
fen  entfpringt  unb  fid)  btaufenb  auf  eine  .flippe  fh'iijt, 
an    >ve(d)cr  eine  funfilofe  5ßaJTeileitung   angebvad;t  \\i. 

©li'idlid;  öer,  tn  beffen  «efil^ungen  ein  fold)eé  Sl)al 
liegt  1 

Caffl    III. 

Ôljne  bog  nur  über  bie  5orm  beê  %a^iè,  in  mU 
djem  iet  von  SBielanb  fel;c;  liebenôi»ûïbig  gefd)i(bertc 
:£;iüi)enc5  uoii  (ginope  )voI;nte,  o(ê  i(;n  îdejanbcr  bec 
yjrofje  bei  (gocintf)  befud)te,  mit  ben  2(ltectl;«m6focfd}em 
einen  geleiteten  Streit  anjufangen  SQîitlenê  niârcn,  nens 
nen  mie  bie  auf  biefem  iBlatte  vorgefîellte  3(rt  oon  ei= 
nem  ©ebauïdjen  2Mogene6l;i'itte.  @ie  ifî  ju  golge 
beë  ajîafiftabè  gro§  genug,  um  einige  *potfonen  bequem 
faffen  ju  fcnnen.  9aif  bec  Spijje  bee  î)adjcè  f}el)t  be« 
Svnif'evê  Den'il;mte  Saterne,  iDomit  et  bei  ()ellem  03îittag 
einen  S)îenfd)en  fu4)te.  QBoüte  man  in  biefem  fleinen 
runbcn  ,3immevd}en  einen  îlDenb  jubvingen,  fo  fonnte 
bic  in  bcc  ifaterne  befinblid;e  glôfetnc  i'ampe  an  einec 
(gc^nuc  l^erabgelaffen  werben. 

Unten  befinbet  fid)  eine  einfädle  ©artenbonf,  mit 
einer  Stvol;*  ober  »i'iafimötte  bebecft. 

^aftl   IV. 

Suroeilen  wirb  bei  Sanbljnufern  gar  feine  (2v'i'f"»''tnc 
bcobadjtet,  fonbern  bnlö  oui  33ebinfiüfj,  balD  ouS  i'aune 
bem  ^auptgebiiube  l;ier  unb  ia  ein  flemer  Sufo^  g.'goben, 
bor  im  Snnern  eine  gtofje  Qjequemlidjfeit  geiiiôl;it,  ol;ne  gos 
robe  viel  Äoilen,  Seitaufiranb  unb  ?{num  ju  erforbern.  Sä 
enttrel,ien  bann  buvd)  eine  fûld)eunl)armonifd)e  Sufnmmcnfej; 
jung  jcgonnnnte  "^Jiljantafiegib'uibe,  bie  befonber*  auf  nid>t 
ganj  freien  ^^laljen  nutl)!  anjUiinpfel;len  fein  biuften.  ffiir 
liefern  l;ier  bic  3bee  }u  einer  füld)en  länbüi^en  é3o(;nung, 
Bie  in  tau|eiibfnd)ev  !Berfdjiebenl;eit  ej;ifîiren  fann,  unb 
tl^un  burct)  iin  ©runbrijä  bar,  wie  bei  oder  äußeren 
5)iêliarmoiiie  beiinod)  eine  tui'mfc^enèmertlK  Orbnung  im 
3i>">rii  StMlt  fjiiben  fann.  2Baf;rfd)einlic^  mirb  fie  bic 
5ieul;eit  bet  Sorm  unb  (Sinrid;tung  nid^t  c(;nc  Siebl;abec 
laffen.  5Me  3imnier  fût  ben  genjûl;nlid)en  Sfufentljaft 
geiüinnen  buci^  biefe  Suf'immenfeljung  ganj  »erfd^iebenc 
2tu8fid;ten,  unb  bie  innere  «(bt^eilùng  bietet  I;in(ängIidE)en 
fînum  für  eine  mäßige  gomilic  bar.  3m  Srbgefdjcf, 
fiübft  man   ein  Speifejimmcr,   ein  @o|eüfd)aft«jimmer, 


Description. 

p  £>  Â  N  e;  H  £   I. 

U  ;s  lieux  les  plus  couvenaMes  au  mausolée 
aussi  simple  que  beau,  représenté  sur  celle  planche,  se- 
raient Uli  coteau  domiuaut  des  sites  ricLes  et  pitto- 
resques, ou  uu  lieu,  qui,  tout  au  moins,  offrirait  de 
plus  d'un  côlé  nue  vue  étendue  et  variée.  L'obser- 
vateur curieux  /  arrive  par  quatre  allées  qui  le  lui 
offreut  sous  des  formes  et  des  aspects  divers.  Oa  y 
moute  des  quatre  cotés  par  uu  degré  de  quinze  marcLes. 

Le  bon  gortt,  qui  exige  non  -  seulement  beau- 
coup de  discernement,  mais  encore  qu'où  lire  tout  le 
parii  possible  d'un  bâtiment,  reud  Irès-diificile  le  choix 
de  la  place  que  doit  occuper  celui-ci. 

PI.  AN  CHE      II. 

Ce  moulin  est  situé  daus  un  vallon  an  pied  d'un 
roc,  d'où  s'élance  une  source  qui  tombe  sur  un  Dt  de 
rochers  formant  saillie,  et  d'oii .  elle  est  portée  par  un 
nqneduc  d'une  grande  simplicité  vers  les  roues  du 
moulin  qu'elle  met   en  mouvemeut. 

Heureux  le   propriétaire  d'une  telle  vallée! 

PI.AIVCHE    m. 

Sans  vouloir  entrer  eu  lice  avec  les  antiquaires 
relaliveiatnt  à  la  forme  dii  tonneau  qu'habitait  Dio- 
gèue  de  Sinope,  lorsqu'Alcxandre  le  Grand  alla  le 
voir  près  de  Corinlhe,  nous  supposerons  que  le  ton- 
neau de  ce  philosojdie,  que  Wieland  nous  a  peint 
sous  des  couleurs  si  piquantes,  avait  la  forme  de  ce- 
lui dont  nous  donnons  le  dessein  dans  notre  troisii'-ni« 
planche.  Sa  capacité  permet  à  i)Iu.sieurs  personnes 
de  s'y  placer  commodément.  On  voit  sur  le  faite  la 
fameuse  laterue  qne  ce  cynique  portait  en  plein  midi, 
lorsqu'il  cherchait  uu  homme.  Si  une  société  avait 
envie  de  passer  sa  soirée  daus  cette  espèce  de  ton- 
neau, elle  pourrait  Jouir  de  la  clarté  de  la  petite  lampe 
de  verre,  qui  est  dans  la  lanterne,  eu  la  descendant 
au  moyeu  d'uue   corde. 

Eu  bas  est  un  banc  de  jardin  fort  simple,  couvert 
par  une  natte  eu   paille.    .. 

PS»  A  NC  HE  IV. 
Quelquefois  on  n'observe  aucune  sjmmétric 
d;ins  la  cuuslructiou  des  maisons  de  campagne,  mais 
l'on  ajoute,  lanlùl  par  besoin,  taulot  par  caprice, 
un  petit  agrandissement  au  principal  corps -de -logis, 
qui  donne  une  grande  commodité  dans  rinîérienr,  sans 
exiger  préclscnicnt  beaucoup  de  dépenses,  de  perle 
de  temps  et  d'éltnduc.  —  Il  résuite  alors  |)àr  une 
«elle  Cüinposiiion  sans  harn:unie  des  bâiiniuns  soi-di- 
sant de  fantaisie,  surtout  rccoinmandables  daus  des 
places  (jui  ne  se  Irouvent  pas  lout-à-fait  isolées.  — 
Nous  donnons  ici  l'idée  d'une  tel'e  demeure  champê- 
Ire,  qui  peut  exister  de  mille  mauièrcs  toutes  va- 
riées, et  nous  prouverons  par  l'ichnographie,  comment, 
m.il^Té  toute  la  disbannonic  extérieure,  il  yieut  y 
avoir  li"n  un  ordre  désirable  dans  sou  intérieur.  Pro- 
bablenieut  qne  la  nouveauté  de  la  forme  et  de  sou 
arrangement  ne  manquera  pas  d'amateurs.  —  Les  pièces 
pour  le  séjour  ordinaire  gagnent  par  cette  composition 
des  vues  louîes  diverses,  et  la  division  iulcrieure  ollVe 


Jfäeen    ^.J^.  Eß.ffH. 


JV.?  / 


.  y>/rat  ._   //ajf.  MB.  ff.II. 


JV,r:i. 


Ca 


/(^y/r  //r.  f. 


/f/cen    r^  //a^.jr.R6:/f. 


HS(b<^ 


MfJ. 


■  )>/an   '-    //»y.  ]£.B.f>:H. 


4++^ 


H*' 


r7/. 


.v,rj. 


y#.T.®V-— ^ 


.>^c«  ^  /4^.  ir.B.6.H. 


Ät*^ 


.Jdee7i  ^/la^.  MB.  ff.H. 


^^,f6: 


ein  etubirjimmcr,  OSotfaal  unb  Sûi)i,  oicxhalb  a&cï 
nict  @d)lafbc()âltmfro,  itamiiunn  fi'r  ti^'  «cbicnung  unb 
cm  ûcvâumiacè  (äoMnct.  £>k  ScuctciKn  fiub  auf  iu 
Scfcn  bcè  Jbûuptgcbâubcâ  I;in3ejû9cn,  um  bcmfclbcn  juï 
ïBcnictung  jubienen,  unb  ce  ragt  nun  fjintct  bcn  bcibcn 
?rnl;ân3cn  al§  ein  für  ftrf?  bcflcfjcnbcô  ©anjc  ()ct»ot. 


ffi  a  f  0  I   V. 

Fi^.  a.  ein  iStumcngoiicü  in  ©errait  cincô  vogclniâtjiâcn 
Ou-iidi.  55ic  ^öluiiicntöpfc  ftdjcn  in  btci  Stocfmcrs 
fcn  libcc  cinant«'. 

Fig.  b.  ein  SMuincnjcflca  in  ©cftaU  cincê  act^tfajcns 
fdigcn  gtorncS.  5)ic  «lumcngcfiif^c  t}cl)cn  9lcid)faUô 
in  öivi  (gteifivcifv-n  übvt  (incintct,  jcbod)  fO/^bnf,  auf 
bcc  Spille  bv§  ©cficUcè  noit)  ein  QSÎumcngcfâê  pl)t, 
mdtfjcö/iücnn  man  roiü,   bie  vncrtc  etngc  einnimmt. 

Fig-.  c.  ein  Obdièf,  mit  SSaumrinbc  bdcgt.  Unter 
bon  Äränjcn  von  nûti'irlid)en  îBlumcn  unb  bcn  »on  @trc^ 
gcfm'ipftcn  ©uirlanbcn  finb   Snfc^tiftcn   angcbtat^t. 

Fig-.  d.  u.  e.  @aitcnv>i'rmail)unäen  von  rot)cn  ^oljiîâbrn. 

Fig'.  f.  eine  Kapelle,  mit  ^Baumrinbc  befteibct.  £iic 
mit  einem  ©iebel  gejicrtc  iBotljnUc  wirb  »on  »icr  roI)en 
«aumjîâmmen  gotiagcn.     2^oè  3>aé)  ifî  üon  €trcl). 

Fig-.  g.  eine  3ifd)etl)rittc  »on  rolK"  33uumpammen, 
mit  @(^ilf  gebccft. 

C  a  f  e  l   vr. 

îîi(I)t  fc(ten  bilbet  bie  îRûtur  »ov  einem  Sci)to|To_ober 
l'anbpalaji  einen  fd)6nen  grünen  Üvafenplal3,  in  bor  Sernc 
mit  einer  jauberitc^en  einfüffung  i>on  mannirfjfnltigen 
îSâumen  unb  ©eltrâudicn  in  taufenbfaiten  ©ruppiruns 
gen.  Jpier  etfnen  fid?  lid}tc  ^urd)fid)te,  ba  fdjimmert 
bcr  ®lan}  bei  Sagoä  nur  ^ivcifdljaft  burd^,  unb  bort 
geben  biegte  ©ruppcn  einen  bunften  fi'ifjlen  @(!^atten. 
Sem  €d;loffe  ober  '■]>û(aftc  gegenüber  roirb  eine  îiuès 
fid)t  gebilbet  über  îBiefcn  unb  gdber  ^in;  burd)  bicfe 
?lusfid}t  fdjUîngdt  fid)  ter  Iln-g  ju  beni  €d}(oCfe.  2<m 
eingange  in  bivfen  son  *î^u|d)iverf  eingefaßten  uîafonplafj 
fann  man  auf  fl.inc  ecl)ül)ungcn  beS  DiafonJ,  ober  oud) 
nid)t  aUju  i)ol)e  guisgejî^-Ue  von  €iein,  aMumentcpfe  in 
folof|ifd)cm  aßer()a(tiii6/  mit  lebenCigcn  Blumen  bepflanjt, 
l)in|leaen,  unb  nad)  ->Ser()â(tnif,  bor  Saljreèjeit  bcn  «tbgang 
ber  fn'il)cvn  «(umon  bur*  fpater  bli'il)enbc  crfo^en.  9?nr 
einer  ober  l)ûd)ftenâ  pvei  füid}cr  grofser  Sßfumcnt&pfe  finb 
fur  ben  greifen  '•^(als  U'  f>iner  ffiorsictung  »Mlig  {^inreid^cnb. 

(Beg.nuHirtigeo  ibUnt  cnKjält  fünf  *)j;utler  ju  QSlu^ 
mentopfen  biefer  '^Irt,  bie,  iijonn  fie  ju  obigem  ®ebraud)e 
bcrrimn't  f'"'^'  '-''>''  gebrannter  erbe  verfertigt  roaben. 
S)ie  iSeriicrutigen"  berfdbcn  fonnen  blef,  gcmait,  ober 
aud)  erl)àben  geaibeiret  unb  bann  nad)  ?(ct  bcr  !)etvuiifd;cn 
iSafcn  gefärbt   »»erben. 

23on  ber  Äunft  angelegte  îBoivîinggicenâ  in  entî 
fernten  (Segenben  beä  ^atfè  merbcn  i>aimA)  gIcid)füUe 
eine  gute  'Iner-ievung  unb  fie  felOjî  nieUeidit  bau'.c^  eine  gros 
^ere  moraIifd)e  S3at)rf(^cin(id)feit  edjatton,  ivcnn  iai  3ufjs 
gefreO,  in  ©eltalt  eine§  2I(tarè,  am  Suf,  einer  ^erme  fîel)t. 

Sßia  ober  fann  man  fid)  iOrer  nidit  ouf  bieje  \K?eife 
bebiencn,  fo  laffc  man  fie  in  bcr  &vbf,c  gen)ôî)nlid)er 
îSIumentépfe  arbeiten  unb  (ege  ber  SSefiljerin  bc§  ©arten« 
auf  il;rcm  iHn-fd)tofTenen  2icbling:-plô|jd}en  ein  QMumens 
pulpett  an.  Um  bicfc  «Stumontöpfe  mcl;r  ju  fc^oncn,  fann 
man  bic  Sßtumcn  in  gemeine  îépfe  pflanjen  unb  bicfe 
bann  in  bie  »crjiertcn  ^ineinfeÇen. 


assez  d'étendue  pour  une  famille  pas  trop  nomurcnsc. 

Au  rez-de-cliaussée  Ton  trouve  un  garde-manger, 

uue  cLambre  de  société,  une  auticLambre  et  la  cuisine  ; 
au-dessus  sout  quatre  chambres  à  coucher ,  des  cham- 
bres pour  les  domestiques  et  un  cabinet  spacieux. 
Les  cheminées  sout  pratiquées  sur  les  coins  du  prin- 
cipal bâtiment  pour  lui  servir  d'ornement,  et  il  s'éhvt- 
aiusi  derrière  les  deux  dépendances  comme  un  entier 
tout  indépeudaut. 

PEiANCSfiS    V. 

Fig.  a.     Amphithéâtre  de  forme  triangulaire,  dispo- 
sé pour  recevoir  trois  rangées  de  pots  de  fleurs. 

Fig.  b.     Antre  amphitéâtre  à  huit  rayons  pour  trois 
rangées  dépôts,  surmontées  au  centre  d'un  pot  unique. 


Fig.  c.     Obélisque  couvert  d'écorce  d'arbres,  décoré 
d'inscriptions   et  de  guirlandes   de  fleurs  naturelles 
liées  avec  de  la   paille. 
Fig.  d.  et  e.     Clôtures  de  jardin  faites  de  bois  brut. 
Fig.  f.     Chapelle  revêtue  d'écorce  d'arbres,  couverte 
de  glu,  et  dont  le  portique,  couronné  d'un  fronton, 
est  soutenu  par  quatre  piliers  de  bois  brut. 
Fig.  g.     Cabane  de  pêcheur,  faite  de   bois   brut   et 
couverte   de   roseaux, 

PI.ANCHE  VI. 
Il  n'est  pas  rare  que,  devant  un  château  ou  une 
maison  de  plaisance,  la  nature  ait  formé  dans  le  loin- 
tain un  beau  tapis  de  verdure  enlonré  de  quanti!»- 
de  groupes  d'arbres  et  de  buissons  di\ers.  Ici  ou  a  la 
vue'' sur  des  parties  éclairées,  là  au  contraire  l'écl;it 
du  jour  paraît  à  peine  ;  plus  loin  des  groupes  serrés  don- 
nent uue  ombre  épaisse  et  fraîche.  Vis-à-vis  dn  châlea.i 
on  s'est  ménagé  une  vue  sur  les  prés  et  les  champs, 
ainsi  que  sur  l'avenue  qui  va  eu  serpentant.  A  l'en- 
trée cî  dans  l'enceinte  dn  lapis  de  verdure,  sur  des 
éiévalions  de  gazon  ou  sur  des  piéd.;slaux  d«;  i>ierr«; 
point  trop  élevés,  on  peut  placer  des  pots  à  iîeurs 
d'une  grandeur  colossale.  Ces  pots  doivent  contenu-  des 
fleurs  vivantes,  et  procurer  le  moyen  de  réparer  U 
perle  des  flenrs  hâtives  par  les  tardives.  Un  senl  ou 
tout  au  plus  deux  de  ces  pois  suifiseiit  pour  orner 
la  plus  grande  place. 


La  planche  ci -jointe  contient  cinq  modèles  de 
pois  à  fleurs  de  cette  espèce,  qui  doivent  être  de  len-e 
cuite  pour  être  employés  de  la  m;iuiere  indiquée  n- 
dessns.  Les  orneraens  peuvent  eu  être  peiuts,  ou 
sculptés  et  colorés  alors  comme  les  vases  étrusques. 

Ces  jiofs  à  fleurs  peuvent  an.ssi  servir  d'ornemeiix 
aux  bowling -greens  des  Anglais,  et  ils  imiteront 
mieux  la  nature,  si  leurs  piédestaux  sont  faits  coniu-.e 
des  autels,   et  qu'ils  se  tiouvent  placés  au  pied  d'un 

terme. 

Si  l'on  ne  peut  r.n  si  l'on  ne  veut  pom!  se  se;  vir 
de  ces  grands  pots  à  flenrs,  qu'on  en  fasse  faire  de 
la  grandeur  ordinaire  ;  on  eu  formera  une  planche  de 
fleurs  dans  l'endroit  du  jardin  où  la  maîtresse  aime 
le  pins  à  se  reposer.  Pour  mieux  ménager  ces  pois, 
on  peut  planter  des  flenrs  dans  des  pots  ordinanes, 
qu'on  mettra  dans  d'antres  faits  avec  des  ornemens. 


ANKUENDIGUNa. 


lîiS  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  iUe  Auflagen  der  be- 
kannten Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriflen. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  lur  Zimmerleule,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  um\  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ic!een  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zm-  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzellieiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrh'che  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
Herstellung  dieser  PrachtAverke  I)edung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Pubhcums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zalilreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihi-en  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publikum  durch  die  äusserst  bilh'gen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
diu-ch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  niu-  ans  den 
altem  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Bmimgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Jlle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEBJT-MAGAZm 


für 

Archîtecten,  Künstler  und  Handwerker^ 

'die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzelheiten  zu  thun  haben, 

als 

JMaurer,  Zhnmerleutc  u.s.w., 

wie  anch 

für   ö  a  u  I)  f  V  r  c  n    w  n  ïi   (ß»  a  r  t  c  n  b  c  e  i  t  j  c  r, 

enthaltend  eine  reichhaltige  Sammlung  von   Zeichnungen   zu   Gebäuden   aller   Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 

zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badebäuscrn,   Tempeln,   Capellcn,   Cabinctten,   Balcons,    lîa- 

lustradcu,   Nischen,   Zimnicrverzieruugcn,   Tüiiren,  Fenstern  und  andern  Einzclliciten,  Brücken, 

Geländern,  Sitzen,  Yerniachungcn,  Gatterwerken,   gcbcinien  Cabinetfcn,   Gondeln, 

Schwanenbäuscben  etc.  etc. 

Im  englùchen,  Ualicimchen ^  gothiacJien ,  türkischen,  persischen ,  indischen  und 

chinesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nacbzcicbncn  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


Tom 


PROFESSUR    J.    G.    GROHMANN. 

Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,   siebentes    Heft  von  6  Blättern. 


(î?rn$   8  er.) 


I.EIPZÏG,    1836. 
Baumgärtner's     BucbLandlung. 

Ç:^    [La  detcription  det  planche*  *'y  trouve  au»*i  en  fratifais.] 


^  c  f  c^  r  c  i  b  II  H  g» 


Description. 


C  a  f  e  1   I. 

Viin    grofjcr  ©attcnfani  im    moèfcuntifrfjcn    ®c* 

fjjmaif,  bct  Me  Çluê|'id;t  in  ciitî  offene  unö  uiannigs 
faltige  Sccnc  gcivâljtt. 

llntec  bcmfclüen  Ocfinbct  fic^ 

a.  ein  runbcâ  Sifc^b(âtt  auf  einen  i&aunifiurj  anju* 
fd^rauben,  unb 

b.  ein  ^(oppenfil^; 

c.  ifi  ter  îDurcï^frfjnitt  Mefcè  ©ijjcê. 

S)iefe  @lnci(I;tung  bicnet  taju,  um  nac^  einem 
Siegen  foglcic^  einen  trocfncn  Sifd;  uni  êilj  ju  J;aben/ 
bonn  iaé  %\\â)hlatt  barf  nur  unigefel^tt  unb  nnebec 
cingefd^raubt  unb  bec  ^(appcnfi^  aufgemacf^t  ivecben. 


PLANCHE     E. 

fxraixle  Balle  de  jardin,  dans  le  goilt  luosoo- 
vite,  d'où  une  scëue  étendue  et  rariée  doit  s'offrir 
à  la  Tiie. 

On  trouve  au-dessous 

a.  une  table  fixée  par  une  vis  sur  une  tige  d'arbre 
encore  en  grume, 

b.  un  siège  brisé, 

c.  et  le  profil  de  ce  siège. 

Celte  façon  a  l'avantage  d'offrir,  desuite  apris 
la  pluie,  une  table  et  un  siège  secs,  en  touriiant 
la  table  de  côté  et  en  obattaut  le  siège. 


^attl  II. 

©teilt  einen  ©orten  s  Sempel  ju  Santon  bar. 
Sic()C  dijAmixti  Dessins  des  edißces  des  CLinois 
pag.  7.  Planche  6.  !£>ie  ë^incfen  fcÇcn  in  bcffen 
îOîitte  einen  Med>erncn  ?t(tot  unb  opfern  ®olb  s 'Papier 
barauf. 


PIiANCHB     II. 

Offre  une  temple,  situé  dans  nu  jardin  à 
Canton.  (Voyez  Dessins  des  édifices  chinois  par 
Chambres  pag.  7.  pi.  6.)  Les  chinois  placent 
ordinairement  un  autel  de  fer -blanc  dans  le  milieu 
d'un  tel  temple,  et  y  offrent  du  papier  doré. 


C  a  f  C  I  III. 

Sine  alte  Siitterrcacte  mit  einer  ®aQerie/  um  einer 
[ebenen  ^uèfït^t  }u  genießen. 


PIiANCHE    III. 

Une    TieîHe    échauguette    accompagnée    d'une 
galerie,  pour  j  jouir  dWe  belle  tu«. 


C  a  f  e  I  IV. 

Sine  9îotunbe  von  3i<d<In.  tibaä),  ®efim$  un^ 
%xitè  fônnen  (;e(Ib(au  angefînc^cn  tverben.  Sfflan  fe()C 
libtigenê,  roal  wir  bei  bcm  1.  SBlattc  beè  XIII.  ^t\e 
Ui  anmerften. 


PLANCHE     IV. 

Rotonde  en  briques.  On  peut  peindre  en 
bleu -ciel  le  toit,  la  corniche  et  la  frise.  Quant 
au  reste,  on  peut  voir  ce  que  nous  avons  remarqua 
dans  le  13me  cahier  au  sujet  de  la  planche  L 


C  a  f  e  I  Y. 

®egenn)âctige8  %(att  (iefect  bie  Slac^a^mung  ein» 
Wntage  in  ben  ®ârten  ju  ©tûnefielb,  unb  fleOt  ein 
juni  5f;cit  verfaOeneê  93ab  »ot,  iai  jïrf)  an  ein« 
Sctfenivanb  ankifnt. 


PLANCHE    ▼. 

On  voit  dans  cette  planche  le  dessin  d'nn 
embellissement  du  jardin  de  Grunefield,  représentant 
on  bain  à  demi -écroulé,  et  adossé  &  an  rocher. 


Id^en.  Ma4/.  JZ.S.    7.  If. 


JV?  /. 


Jt/een.  jUay.  21.  £.    ~  If 


2V?2. 


Z/e^i.Jfa^.  JZ.S.    7.JY. 


/r 


4 


\^ßL 


\      IJe^n.Jfa^.  HB.    7.//. 


Irieefi-Jf,>,/.JT.£.     ~  ff. 


jvys. 


Ideen,.  Mt»  JZ.£.    7  Jï. 


JiTP  6. 


3u  6fiben  ©ntcn  bet  in  bct  iSbetroôtbten  ÎWift^c 
ftcljcnbcn  ©tatu«  Uiuft  boê  SKûffct  ouê  runbm  Ôcff» 
nungcn  in  ein  fîfincrnc«  qSoffïn,  ûuè  n)ft<^cm  jnjci 
eâulcn  cl)nc  SuEgcPcü  cmpoc  lîeiacn,  bic  bm  «tt^i» 
troB  tragen. 

ginc  «nlagc  bct  9lrt  muf,  bur^  lûbi)rintfjifd)c 
©ûngc  in  bicîem,  roilbem  ©efjèljc  gc^irig  unb  mit 
bem  feinjîen  ®ef«t)macfc  »otbcreitet  roctbcn,  rocnn  fu 
lit  9cn>iinf(^t«  ©itfung  t^un  foO. 


Dei  deux  côtés  de  la  Biche  TeAJée  o*  se  trouve 
la  statue,  l'eau  jailHt,  par  deux  ouvertures  rondes, 
dans  un  bassin  de  pierre,  duquel  deux  colonnes 
sans  piédestaux  paroissent  sortir  pour  supporter 
l'arcLitraTe  qui  les  couronne. 

Pour  qu'un  embellissement  de  ce  genre  produise 
l'effet  de  la  surprise  qu'on  s'en  promet,  il  faut  qu'il 
soit  placé  dans  la  partie  la  plus  sauvage  et  la  plus 
touffue  d'un  bois,  et  qu'on  y  soit  conduit  par  des 
allées  tortueuses,  pour  ainsi  dire,  ea  forme  de 
labyrinthe,  dirigées  avec  goût. 


€  a  f  e  I  VL 

entait  iwci  ijetfd)icbcn«  Sbeen  }u  t'tjint\\\é)tn 
©onbeln.  OTan  roitb  jebc^  mo\)l  t\)m,  mnn  mon 
nur  ouf  folgen  gûnâJen  ober  ^Baffm«  @c6tou^  bacon 
mai)t,  in  bcrcn  «Rô^e  f\i)  rccnigflenè  irgcnb  «i«  ®e« 
genpanb  in  bemfciben  ©ef^macfe  bcfïnbct. 


PLANCHE    VI. 

Deux  gondoles  chinoises.  11  est  superflu 
d'observer  qu'U  est  à  propos  de  ne  les  placer  que 
sur  des  canaux  décorés  dans  le  même  style  ou  qui 
aboutissent  à  quelque  bâtiment  analogue.  On  ne 
BBuroit  confondre  des  disparates  ridicules  ou  des 
contrastes  ehoquans  avec  les  agrémen»  de  la  variété. 


ANKÜENDIGÜNG. 


hts  haben  sicli  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten Kupferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriffen. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  iur  Zimmerleute,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  »Sammlungen  an  Ideen  zu  grossem  und  besonders  kleinern, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten ,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  Melchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Tlieil 
des  Publicums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publicum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  Uebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  Merden. 

Baumgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 

fur 

Archîtecten^  Künstler  und  Handwerker. 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Emzellieiten  zu  thun  haben, 

als 

Maitrer,  Zimmerleute  u.a.w., 

v\e  auch 

für   Ö  a  it  1)  f  r  r  f  n    u  n  îi   €>  a  v  t  c  n  b  f  e  i  t  j  c  r, 

enthaltend   eine  reichhaltige  Sammlung  von  Zeichnungen  zu   Gebäuden   aller  Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badehäusern,   Tempeln,   Capellcn,   Calinetten,   Halcons,    Ba- 
lustraden, Nischen,  Ziinuierverzierungen,  Thüren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gattcrweriien,  geheimen  Cabinctten,   Gondeln, 

Schwanenbüuschen  etc.  etc. 

Im  englùchen^  italienischen,  gothischen,  türkischen,  persischen,  indischen  und 

chinesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    G.    GROHl^EANN. 
Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter  Band,    achtes    Heft    von   6  Blättern. 


(|3rn6   8  t»r.) 


LEIPZIG,     1856. 
Baumgärtner'a     Buchhandlung. 

G;^    {La  description  des  planche»  s'y  trouve  aussi   en  français.] 


Zattl   I. 

a.  Viin  3ami(icnî5anb^auê  in  tnâ\\\â)m  ®cfi»macf. 

h.  ginc  fîcmctnc  ©ûrtens^cgc,  ju  bnbtn  ©citcn  (ïnb 
augcn  @artcnfï{5c  angebracht. 

c.  eine  gifc^ct^iittf. 

i.  ein  ruftigct  ©ortcnfï^  in  ti'trfifc^cni  ®cfcl;macf.  Çdô 
Point  de  Vue  auf  einem  ^l'igcl  angebrüllt,  wirb 
«  eine  gute  2Birfung  matten,  ^ier  ift  et  von 
ro(;ein  .^otj. 

e.  (Sin  «parafoJ  »on  ro^em  jÇ)oIj. 


Description. 

PLANCHE     I. 

«.  iflaisoa  de  campagne  à  l'anglaise,  pour  une 
famille. 

b.  Loge  eu  pierre,  aux  deux  côtés  de  laquell«  on 
a  pratique  des  sièges. 

c.  Cabane  de  pêcLeur. 

d.  Siège  en  plain  air  et  de  gortt  turc.  II  poiirroit 
faire  faou  effet  étant  placé  comme  point  de  vue 
sur  uue  colline.    Celui-ci  est  de  bois  en  grume. 

e.  Uu  parasol  du  même  bois. 


C  a  f  e  I  H. 

ein  Sempel,  im  ®ûrtcn  ju  AéfîriÇ  ouêgcfi'i^rt. 
et  iji  in  bct  ionifcf^en  Ocfcnung,  unb  jein  ®iebcï  roirb 
»on  »iet  enuictt  gefii'if^r,  ndd)t  ouf  einem  einfadf)en 
jïufjgofucae  fiei)(n.  Q3ier@tufcn  fi'i(;ren  in  i(;n,  unb  im 
.Ç)intcigrunbe  bolJciben  fîc(;t  ouf  einem  «pofiamcnte  »on 
ber  ^el)t  bet  ©âulenbûfen  eine  roeib(id;c  Statue.  2)ie 
^interroanb  i|i  mit  îûfcin,  unb  bûê  ®icbelfc(b  mit 
einem  fcrbeerfriinic  unb  jivci  «PalrnjiDeigcn  uctjiert. 

Unter  bem  Sempel  befïnbet  fi(^  ein  ft^ôn  ange« 
orbneter  SBIumenfotb  fût  eine  frcunb[id;e  ®flctenpartie. 


PI.AIVCHE     II. 

Temple  d'ordre  Ionien  exécuté  dans  le  jardin 
de  Köstriiz.  Son  froiilon  est  soutenu  par  4  colonnes 
sur  une  base  fort  simple.  On  y  pai-vient  par  un 
perron  de  4  dég^rés.  Ou  apperçoit  en  face,  adossée 
Sil  mur  du  fond,  une  Statue  de  femme,  sur  un  pié- 
dcsial  de  la  mCuie  hauteur  que  la  base  dfls  colon- 
nrs:  Ce  mur  est  orué  de  panneaux  et  le  tympan 
d'uue  couronne  de  laurier  ayant  ponr  support  deux 
branches  de   palmier. 

La  belle  corbeille,  que  l'on  Toît  an  dessous, 
est  destinée  ä  orner  de  fleurs,  la  partie  la  plus 
riante    d'un  Jardin. 


e.at  tl  III. 

3i»ei  Çontainen. 


PI.A1VCHE    III. 

Deux  fontaines. 


C  af  «  l  IV. 

Zii  ber®tunbs  unb  Wufti§  eincS  f))a»iaonê,  mU 
d;et  }u  einem  SBeinbergèi^aufe  jjajfenb  ifï.  Uni  ixn 
fld)teifigen  goal  bcbecft  ein  <2tro(;bûc(;  einen  freien  ®ûng. 
®aè  !l>ai)  n>\xt>  von  xol)tn  SBaumftâmmcn  getragen, 
nclâ)t  mit  iÇjrcm  enbe  in  mit  erbe  angefûUten  giffcrn 
fiel)cn,  in  roeirfje  ivilbcr  33ein  ober  jÇ)opfen  gelegt  unb 
um  ben  95aum  (jcrum  gejogen  i|}. 


PX.AIVCHE     IV. 

Plan  et  éléralion  d'un  pavillon  pouvant  être  re- 
gardé comme  étant  la  demeure  d'un  vigneron.  Un 
toit  de  paille  couvre  une  galerie  ouverte  qui  con- 
duit à  l'entour  de  la  salle  octogone.  Le  toit  est 
soutenu  |)ar  des  troncs  d'arbros  dont  les  extrémités 
se  trouvent  placées  dans  des  tonneaux  remplis  de 
terre,  dans  lesquels  croit  de  la  vigne  vierge  ou  du 
houblon ,   qjii  monte  en  serpentant  autour  de  l'arbre. 


vn.js,^  zr.ß.  ^.JI. 


f  I  I  ■  I  I       — L 


-i \ 1 


JV?/. 


M&'-M 


Ideen-Ma./.  n.£.  SU. 


vT"-?. 


mm::\mm^ 


Äfe^/?_  JKi-^.  /r.  ^.  ä-i/. 


JV?3. 


H. /^ 


If7é^<en.Mi^.jr.£.  SE. 


JVP^. 


Ideen-  Mtff.  JZ.B.  SM. 


.rrs. 


a 


c 


lé^^^fi  .  Jfa_^.  Jl£.  SM. 


JV?6. 


^  attl   V. 

gin  2ûnb()auè  iin  cngtifc^en  @ff(^macf,  fi'it  fine 
nid)t  ia{)lmâ}t  gamilic,  iai  flcf>  &ur(^  f.ine  innere  93c» 
(\mmUâ)Uit  cmppcOlt  unb  burc^  feinen  einfa(i^en  (I()a» 
rafK-r  einet  \i)hnm  Iûnb|'d)ûfrtid}en  Umâebung  jur  pajtenb» 
ften  3>"be  bient.  SJÎan  finbet  im  erbgcfd()o6:  a.  ein 
tB3ol)n}immct ;  b.  einen  ©pcifesgoal;  c  bic  Äiid^e; 
d.  ein  ©tubiereSimmet;  e.  ben  33ors@aaI;  f.  eine 
2$iranba.  —  Xiai  obere  @ef4)oë  ent^âft  hinlänglichen 
Dvaum  ju  einigen  Bimmctn  unb  ê(^Iafbe()û(tnifTen,  nad) 
beliebiger  îlbtbeilun.i),  uiib  über  bemfetben  i(i  Oîaura  ju 
î'oniefiifen  »  SBo^nungcn. 


PI.ANCHE    V. 

Une  campagne  dans  le  goM  anglai«  pour  une 
famille  pen  nombreuse  laquelle  se  recommande  par 
sa  commodité  d'inJérieur  et  qui  serriroit  à  une  belle 
contrée  pour  rrai  ornement.  On  troure  dans  le  par- 
terre a.  nue  cLambre;  6.  une  salle  à  manger;  c.  la 
cuisine;  rf.une  étude;  e.  ranti-chambre;/.uneViranda. 
—  Le  premier  étage  à  assez  d'étendue  pour  quelque« 
chambres  et  alcoyes,  d'après  une  arrangement  quicon- 
que et  au-dessus  de  cet  étage  est  assez  d'espace  pour 
loger  Us  domestiques. 


C  a  f  e  I   VI. 

a.  jeigt  eine  ©tufenbii'icîe  »on  SBflcf«  unb   ae^auen« 
êteinen  in  90t()if(^cm  ©tyl. 

b.  ©tunbtiê  tiefet  QSn'icf«. 

c.  ein  net  Sugluft  gefc^iü^tet,   »on  ^tâftmai  umge» 
benci  unb  Uii)t  überbeefter  &^aütt. 


PI.ANCHE     VI. 

rt.    Un  pont  à  dégrés,    eu   briques    et  en  pierres  d« 
taille  j   de  goût  gotLiqne. 

b.  Plan  de  ce  pont. 

c.  Une  guilée  légèrement  couverte  entourée  de  treil- 
lage, et  où  l'on  peut  se  garder  des  rent«  coulis. 


ANKUENDIGUNG. 


Es  haben  sicîi  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten Rupfer  werke  des  (grossen)  und  kleineu  Ideen -Magazins  vergrifien. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Handwer- 
ker, der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zimmerleute,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinern, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gel)äuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Rupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Publicums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Pul)licum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  (jedes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 
In   dieser   neuen  Ausgabe   des  Ideen  -  Magazins   wird  nur   aus   den 
altem  Werken  das  gezogen,    welches  geschmackvoll,   zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   alles  Uebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Bawngärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 

f  ii  r 

^Irchitecten,  Künstler  und  Handwerker^ 

die  mit  der  Baukunst  und  iliren  Einzelheiten  zu  i.'iun  hüben, 

als 

JMaurer,  Zimmerleule  n.  v.  w., 

wie  auch 

f  ü  r    6 a u  I)  c  r  r  rn    u  n îi   (Ê»  a r  t  c  n b  c s  i  t  ?  c  r, 

enthaltend    eine   reichhaltige  Sammlung  von   Zeichnungen   zu   Gebäuden    all 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

uls: 
zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badehänseru,   Tempeln,   Capellcii,   Caliiietfeu,    Halcous 
lustraden,    Msclieu,   Ziinmervcrzieruiigcn,    Thiiren,  Fenstern  und  andern  Einzcllicil 
tîehiuderu,  Sitzen,  Yei-nuicbungen,  Gatterwerken,  geheimen  Cabiucttcu,   G« 


Art   und 


ru 


Ba- 
cken, 


Schwauenhäuscbcn  etc.  etc. 

Im  eugüstheu,  italienische/t ,   gofliisciteu,  tiirlcischen,  persische Ji ,  indi 

chiuesiscJien  Geschmack. 


'Ischeji  und 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie -Schulen  brauclibar. 

Herausgegeben 
vom 

Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter   Band,    neuntes    Heft    von   6  Blättern. 

(13rne    8  ^r.) 


IJ  il  u  III  u  ;i  r  t  II  e  r'  s      li  u  c  li  ii  a  u  il  I  ii  o  s;. 


C-aT'      \La    dexirip/ioH   ileè   ji/auvlies   «'y   (rouie    et  ii -i  x  i    en  /ru  n^- ai  s. 


§8  c  f  c^  V  c  i  b  u  n  fj. 


Description. 


€&ftl   i. 

^icfcê  ©cbôiibc  im  90t()ifd)cii  ©cfdjmocP  ij}  fût  eine 
gro^e  Somilie  b«(iimmt.  gè  cntl)n(t  in  ter  obcrn  Stnge 

a.  bcn  SSotfaal/ 

b.  93cbientcns@tube/ 

c.  ©arbctobc, 

d.  S8ibliotl)cF, 

h.  bjn  ©pcifcfûûf, 

i.  k.  1.  ©prédis  unb  ©picljimmet, 

ui.  9croôf)n(i(^cè  ©pcifcjimmct, 

n.  SSBo^jnjimnier  bc8  J^crrn, 

g.  Simm«  b«  SWûbam, 

f.  25otrût()êfammcr. 

3n  bcr  untcrn  Stage  Dcfinbet  pc^  bie  Sùii)i,  m 
©pcifcfaal  unb  mcïjrerc  Sinimcr,  bie  in  ©ommcrsSas 
gcn  Mù{)U  geraderen. 


PS.ANCHI:     I. 

Vve  bâtimeut  en  go<)t  gothiqne,  destiné  A  une 
g-raude  famille,  contient  au  premir  étag« 

a.  Antisalle. 

l).  Chambre  des  domestiques. 

c.  Garderobe. 

tî.  Bibliothèque. 

h.  Salle  à  inang'er. 

i.  k.  l.  Parloirs  et  chambres  à  jouer. 

m.  Chambre  à  manger. 

n.  Appartement  du  maStre  de  la  maison. 

g.  Celui  de  la  maltresse. 

f.  Magasin. 

La  cuisine,  une  salle  à  manger  et  plusieurs 
appartements  renfermants  un  air  frais  et  oi^  l'on 
l>uisge  se  retirer  dans  les  grandes  chaleurs  forment  le 
rez  -  de  -  chaussée. 


C  a  f  e  I   II. 

Sin  SSogcH^auê  in  ©cfialt  einer  brcifa^en  dSotljis 
fti^en  ÄapcÜe.  Çê  fief)t  auf  einer  l;Mjerncn  ober  |îeiner= 
nen  Unterlage,  auf  n)e(«^c  an  jeber  ©eite  brci  @tufcn 
fûl)rcn.\  £icr  ganjc  l'ibrigc  S8au  ifi  »on  >Ç)o(j  errichtet, 
unb  mit  îDrûï^tgittcrn  eingcfd^loffen. 

iTer  barunter  befinblidje  ®runbrtÇ  jeigt,  bajj  bie 
(;ô(jerne  ober  fteincrne  UnterInge  ^a  nufljért,  ivo  bic  btei 
fût  bie  93ôgd  befîimmtcn  2(btl)d(ungen,  «ie(d)c  mit  fci« 
nem  ©anbc  beflreut  fïnb,  anfangen. 


PI.  AN  CHE      II. 

Cette  planche  repr<!sente  une  volière  dans  la 
forme  d'une  chapelle  gothique  à  trois  compartiments, 
elle  est  posée  sur  une  base  de  pierre  ou  de  bois,  on 
y  entre  de  chaque  côté,  par  «ne  porte  élcTée  sur 
un  perron  de  trois  degrés.  Tout  le  bâtiment  est  d« 
charpente  fermée  par  »m  grillage  de  fil  de  fer. 

Le  plan  intérieur,  qui  est  au  dessous,  fait  voir 
que  la  base  de  pierres  ou  de  bois,  doit  finir  à  l'en- 
droit ou  commencent  les  compartiments  destinés  aux 
oiseaux,  ces  compartiments  doivent  être  garnies  de 
sable  fin. 


C  a  f  e  1   III. 

îBo  in  bcr  Olnfje  einer  gut  angelegten  Oïîeierei  ein 
SBienentjiuèd^cn  angebradjt  roctben  foU,  fann,  roenn  eè 
fonfi  mit  bcm  ©ti)l  beê  JÇjauptgcbnubeâ  ûiereinjlimmt, 
bic  auf  biefem  ÎBlatte  iuitgetl;ei(te  3cid)nu"g/  bie  fid) 
burdj  eine  gute  Slnorbnung  unb  burd)  rid;tige  aSer(;âltt 
niffe  empfïel;(t,  jum  ÎWu|îcr  bienen. 


PI.  AN  CHE    m. 

Si,  dans  les  environs  d'une  ferme  bien  établie, 
on  vouloit  dresser  un  échalfaud  pour  y  placer  des 
ruches,  on  pourroit  prendre  pour  modèle  le  plan 
dé  celui  que  nous  donnons  dans  cette  planche,  le- 
quel se  distingue  autant  par  la  justesse  de  ses  pro- 
portions que  par  sa  bonne  ordonnance,  en  observant 
toutefois  qu'il  assortisse  au  bâtiment  principal. 


\^-emiimffêfi^T^=^-^::-'i^^fl»^^''i^^^-^^ 


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'iC  J.//e/! 


Jdeen.Ma^.  ILB.  SB. 


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ittmi    ivjfïïi:^    ]mn    raii 


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Jdeen.-Miuf.  J7.£.  S.Jï. 


jvyz. 


Ide^en  .  Jfa^,.  JIB.  S.  M. 


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Jäe^i.Jfa^.  irj.  S.J. 


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IJegfi.^mu^.  JZ.B.  ^9.v5r 


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fdeerv.  Mi^.  U.S.  9.  S. 


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N9  6. 


5)atuntet  eine  SXufjcbanf  jroifd^cn  jroci  Sonif^m 
gu^aejîcDcn,  auf  bcnen  in  ficinetnen  Äiibetn  «pomcran» 
jcnbâumc  fielen. 

Œ  a  f  «  I  IV. 

Sine  lânMi(^e  SEBo^nuna  in  ösm  in  englanb  tjctr» 
frfjcnbcn  ©eft^macf.  £>«  ajîûagfiab,  bct  fid)  tabci 
bcpn&et,  iji  }U  10  gn9tifrf)e  Sug  bcrcd^nct.  a)ic  innere 
gintî)ci(un9  ficljt  man  im  ©tunbdê;  nut  iji  }u  bcmcrs 
fcn,  bog  fid^  in  bcn  bcibcn  ©citcnsOebâubcn  bic  Äi'i(^e 
unb  bûè  »ob  befinben. 


Le  banc  est  placé  entre  deux  piédestaux  ornés 
de  chapiteaux  ioniques,  surmontés  de  deux  orangers 
plantés  dans  des  vases  de  pierre. 

FLANCHE     IV. 

Blaisou  de  cauipague  d'après  le  goût  dominant 
eu  Angleterre.  Ou  peut  juger  de  sa  distribution 
intérieure,  d'après  le  plan  qui  se  trouve  au  dessous; 
il  faut  cependant  observer  que  la  cuisine  et  le  ca- 
binet des  bains  se  trouvent  dans  les  deux  ailes  de 
ce  bâtiment.  L'échelle  qu'on  voit  au  dessous  est 
calculée  à  10  pieds  d'Angleterre. 


C  a  f  e  l   V. 

iDicfe«  Sîlatt  ijt  ganj  im  «petfifdjcn  ©efc^macî. 

a.  ein  «ffio^ngsbâubc,  rocld^eô  nat^  ©utbûnFcn  bcê  St» 
bauerè  eingetijcilt  rccrben  fann.  !Die  obere  ©atletie 
iji  mit  5eppi^en  umijangen,  roelc^c  butt^  SKoUeauj 
aufgcjOâcn  werben  fônncn. 

b.  ein  flcineè  ^artcngebâubt^en,  in  roel^cm  man  »on 
unten  oermittetfi  einer  Sreppe  in  ba8  obere  ©ôl^en 
fommen  fann. 

c.  eine  fpcrfifc^e  5Jlof(^ee,  in  mlâ)a  man  unten  einen 
@aal,  unb  ju  bciben  ©eiten  ein  ëabinct  anbringen 
fbnnte.  SJuê  bcm  einen  gabinet  fû(;rt  eine  fieine 
Sreppe  auf  baê  obere  ©â((^en,  «on  roclc^em  man 
ouf  bic  ©allcrie  fommen  îann. 

d.  ein  ^erfifd^eà  «egrâbnig,  rocic^eè  man  ju  ein«  dues 
fcrji  fûl;lcn  Kctirabe  bcnu^cn  fann.  di  mi'if^ten  bcês 
wegen  im  innorn  SCaume  einige  fîeincrne  SBônfe  ans 
gebracht  werben. 

e.  ein  ©arten s  «portal.  îDicfeê  muffte  in  eine  ©artens 
partl;ie  fiUjren,  worin  I)auptfât^li^  SönumeunbSe* 
fîrôue^e  biefeê  fianbeê  fiûnben,  fo  wie  bieganjcSfn» 
loge  im  ©efd^macf  biefeà  Sonbeè  beliehen  mi'igte.- 


PI.ANCHE    V. 

Les  dessins  de  cette   plauche-ci  sont  tout-a-fait 
de  gortt  perse. 

a.  Edifice  habitable,  et  qui  peut  être  divisé  d'après 
la  volonté  de  celui  qui  en  fait  bâtir  un  pareil. 
La  gallerie  du  haut  est  entourée  d'une  espèce 
de  tapis,  que  l'on  peut  monter  comme  un  rideau 
au  moyen  d'un  rouleau. 

b.  Petit  édifice  pratiquable  dans  un  jardin.  Ou  peut 
monter  dans  la  petit  salle  du  haut ,  par  un  esca- 
lier placé  au  rez-de-chaussée. 

c.  Une  mosquée.  On  peut  y  faire  un  salon,  et 
à  chaque  côtés  un  cabinet;  d'un  de  ces  cabi- 
nets part  un  escalier  qui  conduit  dans  une  salle 
pratiquée  en  forme  de  tourelle,  et  d'oii  l'on  peut 
se  rendre  à  la  gallerie. 

d.  Un  tombeau,  duquel  on  peut  aussi  se  servir  eu 
guise  de  retraite  contre  la  chaleur;  on  devroit  à 
cet  effet  y  faire  mettre  intérieurement  quelqties 
bancs  de  pierre. 

e.  Uu  portail,  qui,  pour  bien  faire  devroit  conduire 
daus  une  partie  de  jardin,  où  l'on  trouva  des 
arbres  et  autres  plantes  oi-iginaire»  de  la  Perse, 
et  dont  l'arrangement  devroit  être  analogue  au 
goût  de  ce  pays. 


C  a  f  «  1    VI. 

3(1  »on  JÇ)mn  @(ï)wenber  erfunben  unb  gcjeiti^» 
net,  unb  entf)â(t  gjîobcuc  ju  SBriWcn  in  ©arten  über 
Äonäle,  unb  »erf^icbene  anbere  ©elônbcrju  Çinfoffungen. 


PI.  AN  CHE     VI. 

Différens  modèles  de   ponts    et  de   balustrades 
de  jardin,  de  l'invention  du  Sr.  Schwender. 


ANKUENDiaUNG. 


Eäh  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  i\ev  be- 
kannten Kupferwerke  des  (gi-ossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergrifïoii. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Hanfl\^ei- 
ker,  der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zinimerleute,  Maurer  il  s.  av., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Ersclieinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleincM», 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passeufie 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten ,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Meniie 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Auhvande  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Publicums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  Vielehe  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entsclilossen ,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publicum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  0edes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  Averden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgeraäss  und  an- 
Av endbar  ist;   alles  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  Averden. 

Baumgärtner' s  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZIN 

f  ii  r 

Architecten^  Künstler  und  Handwerker,, 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzellieiten  zu  thun  haben, 

als 

Maurer,  Zimmerleute  n.s.w., 

wie  auch 

für    Ô  a  u  1)  c  r  rirn    u  n  ïi    6  et  r  t  c  ii  b  c  0  i  t  j  c  r, 

enthaltend   eiae   reichhaltige  Sammlung  von  Zeichnimgen   zu   Gebäuden   aller   Art    und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Land-  Gewächs-   und  Badehäusern,   Tempeln,   Capellen,   Cabinetten,   IJalcoiis,    Ba- 
lustraden,  Nischen,  Ziinuierverzierungen,   Thiiren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Drücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gatterwerken,  geheimen  Cabinettcn,   Gondeln, 

Schwanenhäuschen  etc.  etc. 

Im  englischen,  italienischen,   gothischen ,  türkischen,  persischen,  indischen  und 

chinesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 


Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    G.    OROHMANN. 

Neue  vermehrte  iVuflage. 

Zweiter   Band,    zehntes    Heft    von   6  Blättern. 


flrnô   8  (§1%) 


LEIPZIG,    1856. 

Baumgärtner's     Buchhandlung. 

G-ri»'        [L.a   description   des  ji/rttic/ies  s^y   troiirc    aussi    en    f  ru  lirais. \ 


^  e  f  d)  r  c  i  6  «  u  g. 


Description. 


Caf  el    I. 

vinc  ^ângc;58nuf'e,  nic(d)c  ouf  ïcn  Swcigcn 
jtuîicc  Sidjcit  ruf)ct/  unb  jur  Sctl^wtung  bcè  2d)ivûn= 
fcng  jum  5(;i'it  mit  Letten  an  tcnfclbcn  btfofîigt  if}, 
gic  gcroôf^rt,  roo  fie  ûuêgefûljrt  wcvbcn  fann,  eine  rccl;t 
nttigc  ^att(;ic,  inbcni  fie  nid;t  nur  eine  angenetjnie  3luè- 
fid)t  gcfiûttct,  fonbctn  aurf)  jugteic^  butd)  ein  ^aax 
(jôdjfî:  anmutl)ige  natûtlidK  Snubcn  fiU;rt,  roclc^e  feine 
Äunfl  nacl>}Uû|)mcn  »ctmag. 


PîaANCHE     î. 

Un  pont  siispeuJn,  qui  repose  sur  les  rameaux 
de  deux  cLônes  et  qui  est  allacL(^  en  outre  nvec 
des  ohaines  pour  dimiuuer  le  mouvement  quand  ou 
passe.  — 


^atel  II. 

a.  Sin  fleincS  ©ortengebôube  «on  einigen  ^ieccn,  roels 
d)cê  fid)  in  einer  etit)o§  bûfi^'m,  geftrôud;rei(^en 
partie  am  i^orjûglit^fîen  auêne!)men  roi'irbe. 

b.  ©tunbrijj  beffelbcn. 

c.  îjlenageric  unb  înubcnf^auê.  S)ie  ^ûncrsîCfîenngeric 
Oepnbet  fid)  unten  in  einem  «ietccfigen  9îûum,  Wuf 
einer  ûuô  ber  Witte  (;inauf  fûfjrenben  fleinen  2Bens 
bcltreppe,  beffer  aber  @pinbcI=Seiter,  gelangt  man 
in  baè  oben  befinblidje,  jirfeïrunbe  Saubcnijauê. 

d.  Sine  ®artcntoge  in  igi)pti|'(^em  ®efc^ma(f. 

e.  Sin  ©ebcnffiein  »on  angenel;mer  3otm. 

f.  Sin  »on  ro(;en  ©teinen,  3''9elfteincn  unb  ^ifé  ober 
SXafcn  bcfîe^cnber  îiltar.  a^er  (iorpë  iji  b(o§  »on 
fpifé  ober  9îafen,  bie  Unterloge  uni)  Scfen  »on  ©teis 
nen.  ®er  Slbocuè  ctor  îiedVl  mu^  ober  ouS  feine« 
rem  ©tein  gefertigt  werben. 

g^..  Sin  grogcâ  jwifc^cn  jwei  ôbetièfen  befinbtidjcè  @ars 
tcntI)or;  ju  bciien  ©eiten  Heinere  ifjuren. 


PI.ANCHE     II. 

a.  Un  petit  bûtiment  composé  de  quelques  pièces, 
lequel  feroit  le  meilleur  effet  du  monde  dans  une 
partie  nn  peu  sombre  et  couverte  d'épaisses  broiis- 
sailles. 

b.  Le  plan. 

c.  Ménagerie  et  pigeonnier.  Le  poulailler  se  trouve 
au  bas  dans  une  aire  carrée;  un  petit  escalier 
en  limaçon  ou  plutôt  une  échelle  à  noyau  qui 
s'y  trouve  au  milieu  conduit  au  pig^eonnier  rond 
qui  surmonte  le  tout. 

d.  Une  loge  à  l'égyptienne. 

e.  Une  pierre  de  forme  agréable  j  i>our  conserver  la 
mémoire  de  quelque  chose  de  remarquable. 

y.  Autel  composé  de  pierres  rudes,  de  briques  et 
de  pisé  ou  de  gazon.  Le  corps  est  simplement 
de  pisay  ou  de  gazon,  la  couche  et  les  coing 
sont  eu  pierre;  mais  l'abaque  oa  couvercle  doit 
être  d'une  pierre  plus  fine. 

g.  Une  grand  porte  de  jardin  entre  deux  obélisques, 
aux  deux  cités  de  laquelle  sont  (k  plus  petite» 
portes. 


«  a  f  e  !  m. 

®iefeâ  SBlûtt  entljâlt  ein  3agbf)auè.  Se  fiettet  ein 
@(^(o6  mit  »icr  Slji'irraen  »or,  irooon  aber  brei  »er« 
fâOen  fmb. 


PZ.AIVCHE    III. 

On  voit  dans  cette  planche  une  maison  de 
chasse.  Elle  représente  an  château  â  quatre  tours, 
dont  trois  tombent  eu  ruines. 


Ideen,  Jffof/.  MM.  lOH. 


y?  r. 


••.•??*;^?^. 


Jdeefi .  Ma^.  1I.£.  W.  3. 


A'f2. 


Idei-n  _  Ma^.  M  B.  /Û.  S. 


iV^3. 


JcUe^i-Ma^.JlS.  WM. 


jvr*. 


-  Mt^/.  ÜB.  /OH. 


S?  3. 


Jde^i.Mi^  H-B.  /û.£^. 


jV9  b\ 


€  0  f  «  l    IV. 

ein  ëûbinct  om  (Snbe  cincê  f (einen  ©artend,  ouä 
«jcldjciii  mon  vctmittctfi  bec  nicbcraelûjîcncn  ^intcrt^ûc 
ûbcc  ein  fcftmalcê  ©eroâjtct  auf  eine  ongrenjcnbc  SOBiefo, 
ein  Srembct  jiieä)  nic^t  in  î>en  ©acten  fommen  fonn. 

2)iê  imlti  Sigut  jîcllt  eine  fcebecftc  ®onbcI,  unb 
bie  biittc  eine  mit  èûumrinbcn  Oebecîte  iBtûrfe  bar,  auf 
«wichet  man  6eim  îingcln  »or  bct  @onnc  ôefrfjû^t  ifî. 


PIiANCHE     IV. 

La  Fig.  I.  offre  le  dessin  d'un  cabinet  qui  Jer- 
iniue  uu  petit  jardin  sur  le  bord  d'un  ruisseau.  La 
porte  de  derrière  de  ce  cabinet  forme  en  s'abaissant 
un  pont-levis  par  lequel  on  passe  dans  une  prairie 
à  l'autre  bord. 

La  Fig.  H.  représente  une  gondole  d'une  forme 
nouvelle,  au  moyeu  de  laquelle  une  compagnie  peut 
faire  de  parties  agréables  de  musique  ou  de  simples 
promenades  sur  l'eau. 


c  a  f  e  l   V. 

gin  ©onnenf^irm  ober  ©ccfjclt,  mcidjeê  auf  einet 
^n\)bfjc,  bie  «ne  etfreuenbe  îluêfi^t  bacbictet,  mit  Icid^* 
ter  îW»f;e  aufaufi^logen,  micbct  mcgjuncfimcn  unb  f^nett 
an  jcbcm  anbccn  beliebigen  Orte  rciebct  ju  bcnugen  iji. 
5)ic  gefpannte  iDecfe  beffelbcn  beilcfjt  auè  einem  bi(ï)ten 
55riüig,  ter  innen  unb  augen  mit  Oelfarbc  bemalt  i% 
3)ie  Srage(ii5|e  unb  bcrcn  21rme ,  roct^je  bie  îDccfc  fpans 
ncn ,  fïnb  Bon  gifen.  ©ie  îoîalcrci  unb  bie  2Baf)(  bet 
îfatben  gefîattet  ^ict  bem  ©efcïjmacf  einen  un6efd)ranf= 
tcn  ©pielraum;  unb  raenn  ein  folt^cl  parafe!,  »ermége 
feiner  leidsten  unb  gefälligen  gorm,  fd)on  an  fït^  ein« 
angenctjme  ^axU  unb  ©arten  s  QSerjierung  gewährt,  fo 
mirb  bct  ©cft^macf  in  jener  ^inf"^'  f"'^«  liOeratl  noc^ 
mc^r  JU  lieben  unb  bem  Sofatc  me^r  anjupaffen  mijfcn.. 


PLANCHE    V. 

Un  parasol  ou  teute  qui  se  prête  facilement  à 
être  fermé  et  déployé  à  une  autre  place.  Le  pla- 
fond tendu  en  est  d'une  étoffe  forte,  peinte  en  cou- 
leur d'huile.  Les  supports  et  ses  bras  qui  soutien- 
nent le  plafond  sont  de  fer. 


C  a  f  «  I  VL 

a.  ein  ©attengcbâube  in  got^ifc^em  ©cft^macf.  S>ies 
feS  ©ebdubc  mu§  an  einem  fe^r  f(I)attigen  ôtte  na 
gen  feinet  religiôfen  ?(ugcnfeite  jlef)en. 

b.  Sriangulake  ©artenïoge  »on  ro^cm  ^olj,  Sled^troetf, 
obct  SKatte,  mit  ©tro^  gebecft. 

c.  Sirt  tunber  Salon  in  Sorm  einet  SKof^ee. 

d.  %t)it  JU  einem  Seic^jopfen. 

e.  ©renjfîeirt  tnit  Slummetnft^ilb» 

f.  gin«  ^inefif^e  ®cnbeU 


PIiANCHE    VI. 

a.  Maison  de  jardin  dans  le  goflt  gothique.  Cette 
dernière  doit  être  située  dans  un  endroit  fort  om- 
bragé, â  cause  de  son  ensemble  religieux. 

h.  Loge  de  forme  triangulaire ,  construite  de  bois-  en 
grume  entrelacé,  ou  en  nattes,  et  couverte  de 
paille. 

c.  Salon  rond'  en  forme  de  mosquée. 

d.  Dessin  d'une  bonde. 

e.  Borne  arec  nne  plaque  à  numéro.. 
/".  Gondole  chinoise. 


ANKUENDIGUNG. 


Es  haben  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten Riipferwerke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergriffen. 
Dieselben  enthalten  für  den  Architecten  und  jeden  Künstler  und  Hand\i  er- 
ker,  der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zimraerleute,  Maurer  u.  s.  w., 
einen  wahren  Schatz. 

Alles,  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
jener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  kleinem, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  verschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  findet  man  hier  in  Gesellschaft  einer  Menge 
Original -Zeichnungen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

Der  hohe  Preis,  m  eichen  die  erste  mit  so  vielem  Aufvi  ande  verknüpfte 
Herstellung  dieser  Prachtwerke  bedung,  machte  es  dem  unbemittelteren  Theil 
des  Publicums  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen. 

Reichlich  durch  die  zahlreiche  Theilnahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publicum  durch  die  äusserst  billigen  Bedingungen  zu- 
gänglich zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lässt. 

Die  ersten  Hefte  0edes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  grosse  Reichhaltigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweifel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstv^^erke  fiir  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 
Theilnahme  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbai'  ist;   alles  Uebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Baumgärtner^s  Buchhandlung  in  Leipzig. 


[Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


BaB3agt4*^4rit5S 


IDEEN-MAGAZm 


ur 


Architecten,  Künstler  und  Handwerker. 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzelheiten  zu  thun  haben, 

als 

JMaiirer,  Zimnierleiite  u.s.tv., 

wie  auch 

für    Öauljfvren   unïi   t'artmb  c  0 1 1  j  er, 

enÜialtend   eine   reichhaltige  Sammlung  Ton   Zeichnungen   zu   Gebäuden   aller   Art   und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Land-  Gewächs-  und  Badelmuscrn,    Tempeln,   Capellen,   Cabinctf en,   Balcons,    Ba- 
lustraden,  Nischen,  Zimmervemerungen,   Thiiren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten    Brücken, 
Gelandern,  Sitzen,  Vermaclmngen,  Gatterwerken,   geheimen  Cabmettcn,   Gondeln, 

Schwanenhiiuschen  etc.  etc. 

Im  engUschen,  italienischen,  gothischen,  türlcisclien,  persischen,  indischen  und 

chinesischen  Geschviaclc. 


PROFSSS 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


J.    G.    GROHSIANZf. 


Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter    Band,    eilftes   Heft    von  6  Blättern. 


rnô   8  ^x.) 


LEIPZIG,    1837. 
Baumgärtner' s     Buchhandlung. 

C^    [La  description  des  planches  s'y  trouve  aussi   en  français.] 


ii 


il 


f8  ef  c^r  eib  «ng» 


Description. 


c  a  f  e  I  I. 

^in  cnatifci^cê  Sanbf^auêj     fcinc  SfuffcnfciU  iji 
pUtorcîquc,  unb  ucrbicnt  nac^gcaïjmt  ju  rocckn. 


PIiANCHE     I. 


Ma 


laison    de   campa^e   aogloise.     L'extérienc 
eu  est  pittoresque  et  mérite  d'être  imite. 


c  a  c  e  I  II. 

Sfßic  (icfcrn  ouf  bicfem  53(ûtte  eine  {djont  SamU 
ucrmûd^ung.  @ic  bicntt  jugleid^  ûlè  SBtûcfc,  unb  ijl 
mit  einem  d^incfifd^cn  ®clnnbct  unb  einem  (tuf  @âus 
len  rufjenbcn,  tunbcn  5)>floi(Iort  »etjiccet. 

9îatûi:Iidf)ct  SOBeife  wirb  mon  bicfe  Aanûrueimadjung 
nur  ba  onbvingcn,  \vo  bie  ?(uèfi(^t  ein  Inngertê  Sßecs 
iccKen  (of;nt. 


PLANCHE      II. 

La  fermeture  de  canal,  représentée  sur  cette 
feuille,  est  d'autant  plus  ag^réable,  qu'elle  offre  en- 
core un  pont  orné  d'un  paylllon,  porté  par  des  co- 
lonnes,  et  d'un  gardefou  de  style  chinois. 

II  n'est  assurément  personne,  qui'ne  sente,  que 
cette  fermeture  seroit  absolument  déplacée,  par  tout 
oîk  la  Tue  ne  troureroit  pas  des  sites  qui  pussent 
l'attacher. 


C  a  f  ^  I  III. 

S>tt  QStunnen  bc8  Aûfloc  unb  ^oBuj,  auô  bem 
aBeimarifd^cn  «pacf  cnHcf;nt.  2)aê  SEûffet  faut  ûu8 
bem  SufsacficUc  bct  ©tatuen  in  ein  grogeâ  jîcinecncë, 
mit  SKingen,  olè  fènntc  ce  rocggetragen  luerben,  »ers 
fcl;eneâ  ^ecfen^  lai  auf  brei  @tufen  fte^t. 


PIiANCHE    III. 

Cette  fontaine  est  connue  dans  le  parc  de  Wei- 
mar sous  le  nom  de  Castor  et  PoIIux.  L'eau  sor- 
tant du  piédestal  des  statues  se  décharge  dans  uu 
grand  bassin  de  pierre,  élevé  sur  trois  marches,  et 
pourvu  d'anaeanx  de  fer  qui  semblent  devoir  faci- 
liter son  dépIaceB|«ut. 


€  a  f  e  I  IV. 

Sin  ffeincê  ©attengcDôube  in  fficjiatt  einct  @otf)is 
fd^en  ÄopcIIe.  &  fann  bio^  einen  großen,  l)of;en 
©aal  entt;attcn,  ober  ou4>  in  Heinere  Simmer,  unb 
jUH'i  ©tocfroerfe  cinget()ci(t  roetben. 


PI.ANCHE     IV. 

Petit  bâtiment  de  jardin,  en  forme  de  chapelle 
gothique,  qui  peut  indifféremment  ne  former  qu'une 
salle  spatieuse,  et  de  toute  la  hauteur  de  Fédifice, 
ou  être  divisé  en  plusieurs  petites  chambres,  et  for- 
mer deux  étages. 


c  a  f  e  I  V. 

ein  fd^irimmenbet  ©arten:  bicfe  3bee  ifi  »on  ben 
(S^incfcn  gli'icflid>  entlehnt  roorben,  unb  muß  ouf  gros 
^cn  2Beif)ern  unb  @een  eine  Bortteff(i(^e  SCBitfung  (»aben« 


PIiANCHE    V. 

Un  jardin  flottant,  à  la  chinoise.  Cette  idée  a 
été  prise  aux  chinois,  et  doit  faire  un  excellent 
effet  sur  un  grand  étang  ou  sur  un  lac. 


1        I 


7t/e/'7i,-  Jf^/f.  21.  j;.    //  H 


XV    I. 


/,/.;;i.Ma,y.  M  £ .   //.  N. 


N?:i. 


Idß&ft^Jfa^.  H.  ^.    //  JÏ. 


J^:'3. 


ie^în.  Jfa^.  H.  £.    ri.  JI. 


J^f  ^. 


i      Ide^^-Mi^.  JI.^.  //jff. 


Ml" 


Jfde-^n^-^Jfu^.  JT :B.   //^ 


jVP  ff. 


«Tafel   VI. 


PI.ANCU  B    VI. 


Fi^.  a,  Gine  ©ottcntOiU  ncbji  OScriimi^ung  »on 
rct;cn  ©tnbd^cn  unb  Stcc^hrcrf.  ®ic  5f)ilt  ifi  mit 
@cl;angcn  »oit  Eichenlaub  »crjicrt. 

Fig.  b.  ein  Ultat  üon  3if9>^'jîi'i"«n  uni)  -Ç»"!}/  mit 
@ûtf)if(^cn  aScrjierungtn. 

Fig.  c.  ©in  gnincâ  Äobinctt,  mit  ranfcntcn  ®os 
roät^l'en  Ocfe|t.  S^aè  ÎJadf)  bicnct  ju  einem  ©cjiellc 
fût  Orangerie  ober  Sötumcn,  3u  beibcn  Seiten  bc* 
finben  fic^  Oîu^cbànfe  jroifc^en  «Pfeifern,  roelt^c 
gteic^faüa  SBIumentoffc  tragen. 

Fig,  d.    Sin  Sil  tat,    roie  Fig.  b.  »cn  ^ic^ü^mm 

unb  .Cot}. 
Fig.  e.    Sine  6^incfift^>e  SBriicfê  »on  CottenroerF. 
Fig.  f.    Sine  %ogcnbnufe  »on  ro^cn  ©tammi^en 

unb  3fc^tcn)crf. 
Fig.  g.    Sine  6()inc|ïfc^«  ®onbel  mit  einem  «pa»i(lon. 


Flg.  a.     Porte  et  clôture  de  jardin  en  tiges  de  bois 
eu  grnme.     Cette  porte  est  dëcorée  de  guirlandes 
de  feuilles  de  chêne. 
Fig.  h.     Autel,  en  briqties  et  en  bois,  décoré  d'or- 

uemens  gotliiques. 
Fig.  c.  Cabinet  de  verdure  formé  de  plantes  sar 
menteuses  et  grimpantes.  Son  comble  en  ampUi- 
tLédtre  sert  à  placer  des  orangers  nains  ou  d'au- 
tres fleurs.  On  a  pratiqué  aux  deux  côtés  des 
bancs  de  repos  entre  des  pied-droits  chargés  pa- 
reillement de  pots  de  fleurs. 
Fig,  d.     Comme  la  Fig.  h. 

Fig.  e.     Pont  chinois  en  treillage. 

Fig,  f.     Pont  ceintré ,  en  branches  de  bois  brut. 

Fig.  g.    Gondole  chinoise  aTec  un  pavillon. 


AHKUSNDIGUNG. 


Es  bal)en  sich  nach  und  nach  und  wiederum  die  Auflagen  der  be- 
kannten RupferAverke  des  (grossen)  und  kleinen  Ideen -Magazins  vergrilïen. 
Dieselben  enihahen  für  den  Architecten  und  Jeden  Künstler  und  HandM'er- 
ker,  der  mit  der  Baukunst  zu  thun  hat,  als  für  Zimmerleute,  Maurer  u.  s.  m  ., 

einen  wahren  Schatz.  i    •  ^  „ 

Alles  was  Frankreich  und  England  in  der  Periode  des  Erscheinens 
iener  herrlichen  Sammlungen  an  Ideen  zu  grössern  und  besonders  klemeni, 
zur  Zierde  oder  zum  Vergnügen  bestimmten  Gebäuden,  oder  dafür  passende 
Einzelheiten  zu  Terschiedenen  Bestimmungen  und  in  eben  so  verschiedenen 
Gestalten  und  Geschmack  boten,  fmdet  man  hier  in  Gesellschaft  emer  Menge 
Ori-inal-Zeichnmigen  durch  herrliche  Kupferstiche  dargestellt. 

"^  Der  hohe  Preis,  welchen  die  erste  mit  so  vielem  Aufwände  verknuplte 
HersteUuns  dieser  Praclitwerke  bedung,  machte  es  dem  unberaitteheren  Theil 
des  Publicmns  unmöglich,  sich  in  Besitz  dieser  Reihenfolge  geistreicher 
architectonischer  Erfindungen  zu  setzen.  ,  i.     ..      ,k 

Reichhch  durch  die  zahlreiche  Theünahme  belohnt,  welche  dieselbe 
bis  hierher  fand,  hat  sich  die  Verlagshandlung  entschlossen,  ihren  Schatz 
auch  dem  grösseren  Publicum  durch  die  äusserst  büligen  Bedingungen  zu- 
sändich  zu  machen,  welche  sie  für  die  neue  Auflage  eintreten  lasst. 

Die  ersten  Hefte  0edes  zu  6  fein  gestochenen  Blättern)  werden  über 
die  -rosse  Reichhahigkeit  dieser  Sammlung  keinen  Zweilel  zulassen  und 
durch  die  wahrhaften  Kunstwerke  für  so  geringen  Preis  zu  recht  vielfacher 

rheilnahmc  einladen. 

Zwölf  Hefte  werden  jedesmal  einen  Band  bilden. 

In  dieser  neuen  Ausgabe  des  Ideen  -  Magazins  wird  nur  aus  den 
altern  Werken  das  gezogen,  welches  geschmackvoll,  zeitgemäss  und  an- 
wendbar ist;   aUes  üebrige  davon  wird  bei  Seite  gelegt  werden. 

Bttumgärtner's  Buchhandlung  in  Leipzig. 


{Alle  Buchhandlungen  nehmen  Bestellungen  an.) 


IDEEN-MAGAZm 


für 

Architecten^  Künstler  und  Handwerk  er ^ 

die  mit  der  Baukunst  und  ihren  Einzellieiten  zu  tliun  haben, 

als 

JMaurer,  ^tmmerleute  n.s.tv., 

wie  auch 

für   Ûi\x\\)ixx  t\x   u  n  ÎI   <!5  a  r  t  c  n  b  f  0 1 1  j  c  r, 

enthaltend   eine   reichhaltige  Sammlung  von   Zeichnungen   zu   Gebäuden   aller   Art    und 
Bestimmung,  mit  ihren  Theilen  und  Grundrissen, 

als: 
zu  Stadt-  Laml-  Gewächs-  und  Badehäusern,    Tempeln,   Capellen,   Cabincttcn,   Balcons,    Ba- 
lustraden,  Nischen,   Ziinincrverzierungen,   Thiiren,  Fenstern  und  andern  Einzelheiten,  Brücken, 
Geländern,  Sitzen,  Vermachungen,  Gatterwerken,   geheimen  Cabinettcn,   Gondeln, 

Schwanenbäuschen  etc.  etc. 

Im  englùchen,  italienischen ^   gotJiiscJien ,  türkischen ,  persischen,  indisclten  und 

chinesischen  Geschmack. 


Auch  zum  Nachzeichnen  in  Sonntags-  und  Industrie- Schulen  brauchbar. 
Herausgegeben 


vom 


PROFESSOR    J.    G.    OROHI^ANN. 
Neue  vermehrte  Auflage. 

Zweiter    Band,    zwölftes   Heft  von  6  Blättern. 


|3rft6   8  ^r.) 


IiEIPZIG,    1857. 
Baumgärtner's     Buchhandlung. 

CS^     \La  description  des  planches  s'' y  trouve  aussi  en  français,] 


^  e  f  c^  V  c  i  6  «  n  g. 


D  escr  iption. 


C  a  f  e  l  I. 

vfin  fonb()auâ  fur  einen  cinfomcn  ^artifutict  obct 
eine  fieinc  Samilie,  im  @efrf)macf  einet  ita(ienifcf)cn 
SBiUa.  9Jîûn  fiiniet  im  etbgeft^o^  a.  einen  ©efcufc^aftês 
goal;  b.  ein  Speijejimmet;  c.  einen  3Sorfaa(;  d.  eine 
groge  Äi'idje;  e.  ein  @peiffî@tn)ô(be;  f.  ein  9Sorrat^?s 
Kabinett  ober  ©efinbe^Simmcr;  g.  einen  «portifuê,  ober 
aSiranba.  3m  jirciten  ©efiocf  fonncn  fûglicf)  6,  ober 
nacl>  ÖJefaüen  aud>  mehrere  <piecen   ûb9etl;citt  werben. 


PIiANCHE     I. 


u. 


Jne  maison  de  campagne  pour  un  parti» 
culîer  g^arçon,  ou  mie  petite  famille  du  goilt  d'une 
Tilla  italienne.  Ou  trouve  au  Rez  de  chaussée,  «. 
le  salon;  b.  une  chambre  à  manger;  c.  un  Testibnle; 
<7.  une  grande  cuisine;  e.  un  garde-manger  ;  y.  une 
chambre  pour  les  domestiques;  g,  une  portique  ou 
Viranda.  L'étage  de  dessus  peut  être  partagé  en 
6,  ou  plus  de  pièces. 


C  a  f  «  ï  II. 


PIiANCHE     II. 


S)iefe8  Statt  ent(;â(t  eine  fîcinerne  SBri'icfe,  mit  ei« 
nem  im  ®otI)ifd)cn  @efd)macf  burd)brcd)enen  ®e(ânber 
ï'erfc()en,  unb  mit  einer  ftcincn  .Ç)ei(i3ertfape[le  unb  ^ei* 
ligeniTati'icn  i>erjiert. 


Pont  de  pierre  avec  garde-fous  de  stjle  gothique, 
orné  de  deux  statues  de  saints  et  d'un  Calraire. 


C  a  f  «  I  III. 


PI.ÄNCHE    III. 


Sempel  bet  lônbtirfjen  Sinfamfeit,  mit  einer  offenen 
^adc  unb  einer  f  (einen  Sapeffc,  in  roelt^e  baê  Sic^t 
butc^  bie  Saterne  faut.  S)ie  ©âulen  ^aben  roiHfûrfid^f, 
funfilofe  6apitû(er,  «nb  bie  îatetne  ï;at  tunbe  genfîers 
fi^ciben. 


Temple  de  la  solitude  champêtre,  arec  un  por- 
tique ouTert  et  une  petite  chapelle,  éclaire'e  par  la 
lumière  qui  vient  de  la  lanterne.  Les  colonnes  sont 
ornées  de  chapiteaux  d'un  genre  extrêmement  simple, 
et  la  lanterne  a  des  vitres  rondes. 


C  a  f  e  I  iv. 


PLANCHE     IV. 


(5in  ©avtengebäube  in  ti'irfifd^em  ©efd^macf.  !t<t 
Sdurui,  ber  babei  ongcbrat^t  i^,  bient  olé  Obfetoos 
torium. 


Maison  de  jardin  dans   le  goAt  turc.      La   tour 
qui  la  domiue,  peut  servir  d'observatoire. 


JdeefL-Jià^.  JTJS.  f2^. 


I  I-  I 


S.^f. 


Ide.eTuJ£^.  JZ.S.    fZH. 


Jsrr  ji. 


IdeeTi._Jfa^.  JT.B.  rSlJf. 


JVf'S. 


Ideen^-  Jfa^.  If  £.  /i  J[. 


j\ro/f 


0^^^mm> 


Icie^m.^Jfa^.  RS.  fZE. 


j\r?  s. 


Ide^n.  Jfa^.  2r.£.  /2  K 


JJ-?  6'. 


c  a  f  e  I  V. 


PLANCHE    V. 


2)«  ûuf  bicfcm  iBIatt«  »otgtfîcDtc  mit  Su^cn  6c« 
fleibcte  5S3attt^utm,  tct  einen  fonbctbar  anâcnc^mcn 
Unblicf  geronOrt,  6cfinbct  fic^  im  ^crjoglirfjcn  ^a<ct  ju 
2Bcimar,  roo  et  roegcn  bct  beibcit  gcrounbencn  Ste^pt« 
bit  ©c^necfe  genannt  roitb. 

©atuntct  bêfinbct  fii)  eine  9{u()cbûnf  son  to^em 
jÇ)oI}.  Sîic  îkmleÇneii  fîû^en  fic^  ûuf  große  unbeût* 
bcitefc  eteinc,  cbet  3clfcnf(umpen. 


Cette  loiir  reyêtae  de  Lêtra  ou  de  charmille  s« 
trouve  dans  le  parc  du  Duc  de  Weimar.  Elle  fait 
un  effet  très-agréable,  et  doit  à  ses  deux  escaliers 
en  spirale  le  nom  de  Limaçon  sous  lequel  elle  y 
est  connue. 

Le  banc  de  repos  qu'on  Toit  sur  cette  planche 
est  fait  de  bois  en  grume;  ses  bras  sont  soutenus 
pour  deux  grands  blocs  de  pierre  encor«  bruts. 


C  a  f  e  l   VL 


PI.ANCHE    VI. 


£)û§  ®etû|l  }u  ïorfieÇenbcï  ?lnlage.  (58  ifi,  roie 
mnn  fie^t,  »on  Simmet^olj.  3«  ociî)««  @«>tcrt  ge» 
langt  man  butc^  eine  l^ùt  }U  einer  Sreppe,  bie  in  ei« 
nem  €(^necfengange  }u  einer  ?(uèfid^t  in  bie^èÇe  fûÇtt, 
bie  pà)  getabc  liOct  bcm  gingange  Dcpnbct. 

Ser  baruntet  Ocpnblicl^«  ©runbiig  jcigt,  bûf  ba« 
®ebâube  otal  i^. 


Carcasse  de  la  tour  précédente,  qui,  comme  ou 
le  voit,  est  faite  de  bois  de  charpente.  On  y  entre 
par  deux  portes  qui  conduisent  à  deux  escaliers  par 
lesquels  ou  monte  dans  le  haut  pour  y  jouir  de  la 
vue  des  objets  environnans. 

On  voit  par  le  plan  qu«  cette  tour  est  oyalc. 


In  Baumgärtners   Buchhandlung  ist  erschienen  und  in   allen  Buchhandluneenl 
zu  haben:  ^    i 

ober  {()corettfc^-pwftifd)C  5(tiweifiing  jiim  (ix^ntin,  Seic^ncn  unb  ^(nfcrtigfn  oöcr  bitten  ONcubfee.     (ïtit  Ämibbiid) 
fftr  Hm  an  (ScttJcrbëfcTMiIcn     93î«ijîcr,  Ocfeüe«  ttnb  kl^rlii.ge.     S3ou  ?Ç.   2B,   93ïercfcr.     26^  lôoacn  mi 
36  jTMipfern  m  4.     *Prciö  2  Sl}(r.  -        »         » 

Das  Ornament  e  n  -  B  n  c  Ii. 

Oder 
H.    S  H  A  W  S 

Encyclopädie   der   Verzierungen. 

No.  1.     Preis    7  Groschen. 

Bruchstücke  der  godiisclien  Baukunst. 

Dem  Studium  der  Baukünstler  und  dem  Vergnügen  der  Liebhaber  gewidmet;  zugleich  als  Vorleffe- 
blätter  in  Gewerbs-  und  andern  Schulen  dienlich.  Von  Prof.  J.  G.  Grohmann,  4  Hefte  Zweite 
Auflage,   gr.  4.   br.     Preis    1  ThI.  8  Gr. 

Decorationen  des  Innern  yon  öffendichen  u.Privat-Gebäuden 

oder  ganze  Anordnung  der  Verzierung  von  Concert-  und  Ball -Sälen,  verschiedenen  Zimmern,  Ver- 
seilen, Treppen  und  anderen  Räumen  etc.  etc.  Is  und  2s  Heft.  Von  F.  W.  Mcrcker.  6  Ulatt  iu 
kl.  Folio.     Preis  8  Gr. 


er    Metallarbeiter 

oder  Ideen  zu  Balcons,  Treppengeländern,  Thorwegen,  Thüren,  Fenstern,  Fensterbrüstungen.  Gittern 
Grabmonumeuten,  Stützen  etc.,   Laterneuhaitern  n.  s.  w.    Is  bis  5s  Heft  von  6  Blatt  in  gr  4     Von 
F.  W.  Mercker,     Preis  8  Gr. 

Der   Silberarbeiter, 

oder  Sammlung  von  Zeichnungen  für  Silberarbeiter  und  Silberwaaren -Händler,  enthaltend  alle  Gcen- 
stände  von  Kirchen-,  Tafelgeschirren  und  andern  Geräthen,  mit  Angabe  d.s  ohngefiihren  Gewichts 
jedes  Stückes,  zugleich  als  Vorlegebiätter  iu  Gewerb-  und  andern  Schulen  dienlich.  Nach  Alexan- 
der Lefranc.     Zweite  Ausgabe.     1  s  bis  4s  Heft.  gr.  4.    broch.     Preis  zu  6  Gr. 

Die  Mappe  des  Bautischlers, 

oder  Ideen  zu  Thorwegen,  Hausthüren,  Doppelthüren,  Vorsetzern,  Stubenthüren ,  Gewölbthüren, 
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Praktische 

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1  s  bis  6s  Heft  mit  6  Blättern  in  gr.  4.     Von  F.  W.  31  er ck er.     Preis  8  Gr. 


SPlîClAL 

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