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Full text of "Kritische Übersicht der europäischen Vögel. Revue critique des oiseaux d'Europe"

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KRITISCHE UBERSICHT 


EUROPAISCHEN VOGEL. 


REVUE CRITIQUE | 
OISEAUX D'EUROPE. 


Cerrnr] 


KRITISCHE UBERSICHT 


DER 


EUROPAISCHEN VOGEL 


VON 


D'. H. SCHLEGEL. 


CONSERVATOR DES NIEDERLANDISCHEN REICHSMUSEUMS ; MITGLIED DER 
AKADEMIEN UND GELEHRTEN GESELLSCHAFTEN ZU TURIN, MOSKAU, 
HAARLEM, HALLE, FRANKFURT, BASEL, BATAVIA. U.S. W. 


LEIDEN 
bei A. ARNZ u. COMP. 


LEIPZIG — PARIS 
bei FR. FLEICHER. 1844. bei RORET. 


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REVUE CRITIOUE 


DES 


OISEAUX D'EUROPE 


PAR 


/ 


Mm. H. SCHLEGEL. 


DOCTEUR EN PHILOSOPHIE, CONSERVATEUR DU MUSÉE DES PAYS-BAS, 
MEMBRE DES ACADÉMIES ET SCCIÉTÉS SAVANTES DE TURIN, 
DE MOSCOU, DE HARLEM, DE HALLE, DE FRANC- 
FORT, DE BALE, DE BATAVIA, ETC. ETC. 


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LEIDE, 
chez A. ARNZ et COMP. 
LEIPSICK in PARIS 


chez FR. FLEISCHER. 1844. chez RORET. 


HERRN 
C. J. TEMMINCK, 


DEM 


VERFASSER DES MANUEL D’ORNITHOLOGIE 


Gewidmet. 


A 
M". 6.3. TEMMINCK, 


A 


L'AUTEUR DU MANUEL D’ORNITHOLOGIE 


H. SCHLEGEL, 


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VORWORT. 


Da mir Herr Temminck die 
Bearbeitung des Textes zu Su- 
semihl's Abbildungen der Vögel 
Europa’s überlassen hat, so 
glaubte ich, um eine Übersicht 
des jetzigen Zustandes der Wis- 
senschaft möglich zu machen, 
jenem Werke ein kritisches Ver- 
zeichniss aller derjenigen Vögel, 
welche unsern W elttheil bewoh- 
nen, periodisch besuchen, oder 
sich bis jetzt in denselben ver- 
flogen haben, vorausschicken 
zu müssen. Auf diese Weise ent- 
stand vorliegendes Werkchen, 
. welches ich dem Publikum, als 
Grundlage meiner fernern Ar- 
beiten über die europäischen Vö- 
gel, zur Beurtheilung vorlege. 
Die Naturforscher werden mich 
mit einer wohlwollenden Kritik 
desselben, so wie durch die Mit- 


AVANT-PROPOS. 


Mr. Temminck ayant bien vou- 
lu me céder la rédaction du texte 
destiné a accompagner les plan- 
ches d'oiseaux d'Europe pu- 
bliées par M. M. Susemihl, à 
Darmstadt, j'ai jugé convena- 
ble, pour donner une idée de 
l'état actuel de la science, de 
faire précéder cet ouvrage d'un 
catalogue raisonné de toutes les 
espèces d'oiseaux dont l'exis- 
tence et l'apparition périodique 
ou accidentelle en Europe ont 
ete constatées d'une manière ex- 
acte. Voila l’origine de lopus- 
cule que je soumels au juge- 
ment du publie, et qui est des- 
Line à servir de base a mes re- 
cherches ullérieures sur les oi- 
seaux d'Europe. Il offrira aux 
naturalistes l'occasion de me 
Jaire part des observations qui 


lheilung solcher Beobachtungen, 
die mir entgangen seyn mögen, 
verpflichten. 

Ich habe in dieser Übersicht 
weder die in Europa eingeführ- 
ien Arten, noch die in unserem 
Welitheile lebenden Hausvögel 
aufgenommen. Aus leicht zu 
errathenden Ursachen habe ich 
auch Herrn Brehm’s Subspecies 
nicht aufgeführt. Endlich habe 
ich bei Feststellung der Grenzen 
unseres Welttheiles nur auf die 
natürlichen , nicht auf die poli- 
tischen Grenzen Rücksicht ge- 
nommen; es gilt dies besonders 
von Russland, dessen Grenzen 
im Osten am natürlichsten durch 
den Caucasus, den Ural und das 
Uralgebirge bestimmt werden. 


Möchte das Publikum diese, 
in mehr als einer Hinsicht un- 
dankbare Arbeit, mit Nachsicht 
aufnehmen. | 


_— 


| auraient pu m’echapper et de 


m’honorer de leur critique bien- 
vierllante. 

Je n'ai pas compris dans cette 
énuméralion les espèces intro- 
duites en Europe ou vivant chez 
nous a l'état de domesticité. 
J'ai également passé sous si- 
lence, par des raisons faciles 
à deviner, le plus grand nom- 
bre des subspecies établies par 
le pasteur Brehm. Jai enfin 
préféré, en fixant le cadre géo- 
graphique de l'Europe, les li- 
mites nalurelles aux limites po- 
litiques ; cette distinction a par- 
ticulièrement rapport ala Rus- 


: sie dont les limites naturelles 


s'étendent du côté de l'Asie jus- 
qu’ a la chaine du Caucase, 
aux bords de l'Oural et aux 
monts Oural. | 
Que le public veuille accueil- 
lir avec indulgence ce travail 
ingrat sous plus d'un rapport. 


ERSTE ABTHEILUNG. 


PREMIÈRE PARTIE. 


HO PO TEE pate ii 


© RAUBVÔÜGEL OISEAUX DE PROIE, 
TAGRAURVOGEL, OISEAUX DE PROIE DIURIES, 


FALKENARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE FALCONOIDES. 


FALCO. FALHE. FAUCON. 


a. Edelfalken. Faucons nobles. 
Falco candicans. Weisser Falke. Faucon blanc. 


...Gmel. L.$., p.275 n°. 101. — Hierofalco groenlandicus , Brehm, 
Handbuch, p. 57. — Falco groenlandicus, Brehm, Isis, 1826 ,'p. 
999; Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 24l sqq., PI.X, fig. 
E,F,G. — Le Gerfaut, Brisson, I, pl. 30, fig. 2, p. 370, (ad:). — 
Le Gerfaut blanc des pays du Nord, Buffon, PI. Enl. 446, (ad.). — 
Gould, Tab. 19. — Le faucon blanc, Schlegel et Verster, Traite 
de fauconnerie, (Mscpt.) , fig. fem. adult. 


Grönland , Sibirien, nördlichstes Ame- Le Groenland, la Sibérie, l'Amérique 
rika. Im Winter bis Island, Schweden boréale, visite en hiver PIslande, la 
und England. Suède septentrionale et l'Angleterre. 


Falco candicans islundicus (1). Isländischer Falke. Fau- 
con d'Islande. 


Falco islandicus, Brehm, Lehrbuch, I, p. 44 — Hancock, 
Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 241 sqq., PL 10, fig. A,B,D. — 
Falco gyrfalco, Keyserl. u. Blas., die Wirbelth. Europas, p. 28.— 
Schlegel u. Susemihl, die Vögel Europa’s, Tab. 7, fig. 1, (fem. 
ad.). — Le Faucon d’Islande, Schlegel et Verster , Traité de faucon- 
nerie, (Mscpt.), fig. mar. adult. 

* Island. |  LIslande, 


il 
Falco gyrfalco (2). Gierfalke. Gerfaut. 


Giervalk, Gierfalke, Gerfaut, Ierfalcon, Falconariorum. — Falco 
lanarius, Linne, Fauna suecica, p. 22, n°. 62. — Le Faucon d’Is- 
lande, Brisson, I, Pl. 31, p. 373. — Le Gerfaut de Norvège, 
Buffon, Pl. enl. 462. (jun.) ; Hist. Nat. des oiseaux, I, p. 241, 
PI. 13, (ad.). — Le Gerfaut, Schlegel et Verster, Traité de fau- 


connerie, (Mscr.), fig, fem.- jun. et mar. adult. 


Norwegen; die Jungen zuweilen im Habite la Norwege; les jeunes visitent 
Winter an den Küsten Norddeutschlands quelquefois, en hiver, l'Allemagne sep- 
und Hollands. tentrionale et la Hollande. 


Falco sacer (3). Sakerfalke. Faucon sacre. 


Saker Falconariorum. — Le sacre, Buffon, Hist. Nat. des oiseaux, 
p- 24, PL 14. — Falco lanarius, Temm. Man., I, p. 20, (excl. 
syn.). — Pallas Zoogr., I, p. 330, n°. 14, (exc. syn.). — Naumann, 
Tab. 23, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (mas. jun.). — Gould, Pl. 20, 
(ad. et jun.). — Schlegel u. Susemihl, Tab. 7, (ad. et jun.). — Le 
sacre, Schlegel et Verster, Traité de Fauconnerie, (Mscpt.) fig. ad. 


Tatarei, gemässigtes and warmes öst- La Tatarie, les regions tempérées et 
liches Europa. chaudes de l’Europe orientale. 


Falco lanarius (4). Lannerfalke. Faucon lanier. 


Klein , Ordo avium, p. 48, n°. 5. — Le Lanier, Belon, p. 123. — 
Le Lanier, Buffon, Hist. Nat. d. ois., I, p. 243. — Falco Fel- 
deggü, Schlegel, Abh. aus dem Gebiete der Zoologie etc., Tab. 10 
et 11, (mas ad. et jun.) ; Schlegelu. Susemihl, Tab. (fem. ad.). — 
Le Lanier, Schlegel et Verster, Traité de fauconnerie, (Mscpt.), 
fig. fem. ad. 

Dalmatien, Griechenland. | La Dalmatie, la Grèce. 


Falco communis (5). Schlechtfalke. Faucon commun. 


Gmel. Linn., I, p. 170, n°. 14. — Falco peregrinus, auctor. 
recent. — Falco gyrfalco, Linné, Fauna suecica, p. 23, n° 


LIT 


64. — Falco lanarius, Pennant, Brit. Zool., I, p. 221, (jun.). — 
Buffon, PI. enl. 430, (ad.), 421, (ad.), 469, (jun.). — Nau- 
mann, Tab. 24 et 25. — Gould, PI. 21. — Schlegel u. Susemihl, 
Tab. 8. — Le Faucon, Schlegel et Verster, 1. c. fig. fem. ad. et 
mar. jun. 

Europa. | L’ Europe. 


es 


Falco subbuteo. Baumfalke. Faucon hobereau. 


Linn., p. 127, n°. 14. — Hypotriorchis subbuteo, Boie, Isis, 
1828, p. 314 — Naumann, Tab. 26. — Gould, Pl. 22. — Schl. 
u. Susem., Tab. 10, fig. 1. | 


Europa, Afrika, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Afrique , l'Asie temperee. 
Falco Eleonorue (6). Zeonorens Falke. Faucon Eleonore. 


Gene , l’Institut, 1839, 7 Nov. — Memorie Academ. Torino , 1840, 
Tom. II, p. 41, Tab. 1 et , — Ch. Bonaparte, Iconogr. della 
Fauna italica, I, Tav. 24, (jun.). 

Sardinien ,„ Griechenland , Syrien. | La Sardaigne, la Grèce, la Syrie, 


Falco aesalon. Merlinfalke. Émérillon. 


Falco aesalon, auct. recent. — Gmel. Linn. Syst., I, p. 284, n°. 
218. (ex parte). — Falco lithofalco ibid., p. 278, n°. 105, (ex 
parte). — Falco lanarius, Brünn., Orn. bor., p. 1, n°. let 2: 
Mohr, Fors., p. 19, n°. 35. — Falco smirillus, Savigny, Égypte, 
Il edit., vol. 23, p. 279. — Naumann, Taf. 27. — Gould, PI. 24. — 
Schleg. u. Susem., Tab. 10, fig. 2 et 3. — l'Émérillon, Schleg. et 
Verster I. c., fig. mar. ad. et fem. jun. 


Nördliches Europa und nördlichstes L'Europe septentrionale et l'Amérique 
Amerika ; im Winter über ganz Europa boréale; visite en hiver l’Europe tempé- 
bis Nord-Afrika. rée et méridionale ainsi que l'Afrique sep= 


tentrionale, 


IV 


D. Räüttelfalken. Cresserelles. 


Falco tinnunculus (7). Thurmfalke. Faucon cresserelle. 


Linne, Syst. nat., XII, p.127, n°.16. — Cerchneis tinnunculus, 
Boie, Isis, 1828, p. 314. — Naumann, Taf. 30. — Gould, Pl. 26. — 
Schleg. u. Susem., Tab. 11. 


Europa. | L'Europe. 
Falco cenchris (8). Rüthelfalke. Faucon cresserellette. 


Naumann, I, p. 318, n°. 19, Tab. 29. — Tinnunculus faemina 
altera, Aldrovandi Orn., I, 6, p. 360 et 361, c. fig. — Cenchris, 
Frisch , Tab. 89. — Falco tinnunculus ruderum, Storia degli uccel- 
li, Tab. 52, fig. 67. — Falco xanthonyx, Natterer in litteris. — 
Falco tinnunculoides, Schinz in Temm. , Man. d’Ornith. , II éd., I, 
p- 31. — Falco tinnuncularius, Savi, Orn.Tosc.,I,p. 49. — Gould, 
Pl. 27. — Schleg. u. Susem., Tab. 12. 

Südöstliches Europa „ westliches Asien ; Les contrées orientales du midi de 


in Egypten und Nubien auf dem Zuge. l’Europe , ’Asie occidentale; visite PEgyp- 
te et la Nubie. 


Falco rufipes. Rothfuss-Falke. Faucon Kobez. 


Besecke, Vögel Kurlands, p. 13. — Falquet, d’Arcussia, Con- 
ference des Fauconniers, Paris, 1617, onzième journée, p. 41 et 
42. — Falco vespertinus, Linn. , p. 129, no.23. — Naumann, Tab. 
28. — Gould, Tab. 23. — Schleg. u. Susem. , Tab. 13. 


Ostliches und südliches Europa, Si- L'Europe méridionale et orientale, la 


birien. Siberie. 


ASTUR. HABICHT. AUTOUR (9). 
a. Eigentliche Habichte. Autours proprement dits. 
Astur palumbarius (10). Taubenhabicht. Autour commun. 


Cuvier , Règne an., Iled., I, p.33. — Falco palumbarius, Linn. , 
p. 133, n°. 30, (ad.). — Falco gentilis, Linn. , Fauna suec., p. 20, 


V 


n°. 58, (jun.). — Daedalion palumbarius, Savigny, Égypte ‚vol. 25, 
p- 267. — Naumann, Tab. 17 et 18. — Gould, Pl. 17. — Schleg. 
u. Susem., Tab. 28: —!’Autour, Schlegel et Verster I. c., fig. fem. 
ad. et mar. jun. 

Europa, gemässigtes Asien. L’Europe, l’Asie temperee.. 


b. Sperber, Éperviers. 
Astur nisus (11). Finkenhabicht. Epervier commun. 


Astur (Nisus) nisus ,Cuv., Règne an., II ed., I, p. 333. — Falco 
nisus, Linn. , p. 130, n°. 31. — Accipiter nisus, Pallas, Zoogr. I, 
p- 370, n°. 37. — Daedalion fringillarius, Savigny, Égypte mol. 
23, p. 270. — Naumann, Taf. 19 et 20. — Gould, PI. 18. — Schleg. 
u. Susem., Tab. 29. — L’Epervier, Schlegel et Verster, 1. c., fig. 
mar. ad. et fem. jun. 


Europa, Nordafrika , gemässigtes Asien, L’Europe , l'Afrique septentrionale et 
l'Asie tempérée. 


Astur gabar (12). Gabar-Sperber. Épervier gabar. 


. Astur (Nisus) gabar, Cuv., Regn. an., I, p. 333. — Falco gabar, 
Lath, Ind. orn., Suppl., p. X. — Épervier gabar, Daudin, II, p. 
87. — Le gabar, Le Vaillant, Ois. d’Afr., I, p. 136, Pl. 33. — 
PI. col. 122 et 140. — Accipiter erythrorhyncus, Swains. , Birds: 
West. Afr. I, p. 121. 

Griechenland , Afrika. | La Grèce, l’Afrique. 


CIRCUS, WEIRE. BUSARD. 
Circus rufus. Rohrweihe. Busard harpaye. 


Brisson, I, p. 404, no. 30. — Circus palustris, 1bid., p. 491, n°. 
29. — Falco aeruginosus, Linn. ,.p. 130, n°. 29. — Falco rufus, 
Gmel. Linn. , p. 266, n°. 77. — Circus aeruginosus et rufus, Sa- 
vigny, Égypte, vol. 23, p. 263 et 264. — Gould, PI. 32. — Schleg. 
u. Susem., Tab. 36. 


Europa. L'Europe, 


VI 
Circus cyameus (13). Kornweihe. Busard St. Martin. 


Bechstein, Orn. Taschenb,., p. 25, n°. 20. — Falco cyaneus, Linn. , 
p. 126, n°. 10. — Circus gallinarius, Savigny, L. c., p.264. — Nau- 
mann , Taf. 38 et 39. — Gould, PI. 33. — Schleg. u. Susem. , Tab. 37. 

Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, l'Afrique septen- 
trionale. 


Circus cineraceus. Wiesenweihe. Busard Montagu. 


Falco cineraceus, Montagu, Trans. Linn. Soc., IX, p. 188. — 
Falco pygargus, Linn. , p. 126, n°. 11, (diagn.). — Naumann, Taf. 
40. — Gould, Pl. 35. — Schleg. u. Susem., Tab. 38. 


Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee. 


Circus cineraceus pallidus (14). Blasse Weihe.  Busard 
| blafard. 


Circus pallidus, Sykes, Proceed. , 1832, April 10. — Falco dal- 
matinus, Rüppell, Mus. Senkenb., II, p. 177. — Circus Swainsonu,. 
Smith, Illustr. Zool. South-Africa, Birds Pl. 43, fig. 1, (mas ad.), 
fig. 2. (fem.), Pl. 44, (fem. jun.). — Gould, Pl. 34. — Schlegel u. 
Susem. , Tab. 39. | 


Dalmatien, Griechenland, Cap, Dekan. ! La Dalmatie, la Grèce, le Cap de Bon- 
| ne Esperance, le Deccan. 


ADLER. AIGLES. 


a. Aquila. Rauchfussadler. Aigles proprement dits. 
Aquila fulca (15). Steinadler. Aigle commun. 


Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 14. — Falco fulvus et chry- 
saëtos, Linné, XII, p. 125, n°. 5 et 6.— Naumann, Tab.8, (mas 
ad.), Tab. 9, (mas jun.). — Gould, PI.6. — Schleg. u. Susem., 
Tab. 16, (jun.), Tab. 17, (ad.). 

Europa , nôrdliches Asien, Nord-Ame- L'Europe, P’Asie septentrionale et ’Ame- 
rika. rique du Nord. 


vir 
Aquila imperialis (16). Königsadler. Aigle impérial. 


Cuv., Règne an., I, p. 325. — Falco imperialis, Bechstein, 
Orn. Tasch. , III, p. 55, n°. 8. — Aquila heliaca, Savigny, Égypte h 
vol. 23, p. 249, PI. 12. — Aquila chrysaëtos, Leisler, Wetterau. 
Annal., II, 1, p. 170. — Naumann, Tab. 6, (fem. ad.), Tab. 7, (mas 
jun.). — Gould, Pl. 5. — Schleg. u. Susem., Pl. 14, (ad.), Tab. 
15, (jun.). 


Südöstliches Europa, Nordafrika Mit- Les parties orientales du midi de PEu-- 
telasien. rope, PAsie centrale, PAfrique septen- 
trionale, 


Aquila Bonellii (17). Bonellis Adler, Aigle Bonelk. 


Ch. Bonap., List., p. 2. — Falco Bonelli, Temm., Pl. col. 
288. — Marmora, Memor. Acad. Torin, Tom. XXXVII, p. 110, 
Pl. 1 et 2. — Aquila minima, Cetti, Uccelli di Sard., p. 28. — 
Gould, Pl. 7. — Schlegel u. Susem., Tab. 18, (ad.), Tab. 19, 
(jun.). 

Südliches Europa, Nordafrika, Ne- Le midi de l’Europe, l'Afrique sep- 
paul. tentrionale, le Nepaul. 


Aquila naevia (18). Schreiadler. Aigle criard. 


Schwenckfeld , Av. Siles., p. 219. — Falco maculatus, Gmel, 
Linn. , I, p. 258, (jun.). — Aquila clanga, Pallas, Zoogr. , I, p. 
851, -n°. 25. — Naumann, Tab. 10, (mas), Tab. 11, fig. 1, (fem. 
ad.), fig. 2, (fem. jun.). — Gould, Pl. 8. — Schleg. u. Susem., 
Tab. 20, (ad.), Tab. 21, (jun.). 


Ostliches Europa, nördliches und mitt- L’Europe orientale, le centre et le 
leres Asien, Nordafrika. Nord de l’Asie, l'Afrique septentrionale. 


Aquila pennata (19). Zwergadler. Aigle botté. 


Brehm, Lehrbuch, I, p. 20.— Falco pennatus, Gmel. Syst. , 


VIII 


p. 272, no. 90. — Temm., PL col. 33. — Gould, Pl.9. — 
Schleg. u. Susem., Tab. 22, (ad ), Tab. 23, (jun.). 


Europa, Afrika, überall einzeln. L’Europe , l'Afrique, partout en très 
petit nombre. 


b. Haliaötos (20). Seeadler. Aigle-pöcheur. 


Haliaëtos albieilla (21). Gemeiner Seeadler. Aigle-pécheur 
pygargue. 


Aquila albicilla, Brisson, I, p. 427, n°. 5. — Falco ossifragus, 
Linn., p. 124, ne. 4. — Haliaëtus nisus, Savigny, Égypte, vol. 
23, p. 255. — Naumann, Tab. 12, 13, 14 — Gould, PI. 10. — 
Schleg. u. Susem., Tab. 25 et 26. 


Europa, Grönland, Nordafrika , Nörd- L’Europe, le Groenland, le nord de 
liches Asien. l’Afrique et PAsie septentrionale. 


Haliaëtos leucoryphus (22). Pallasischer Seeadler. Aigle-pe- 
cheur Pallas. 


Keyserl. u. Blasius, Wirbelth. Europa’s, p. XXX, n°. 81. — 
Aquila leucorypha , Pallas, Reise, I, Append. n°. 5; Zoogr., I, 
p- 352, n°. 26. | 


Caspischer See. | La mer Caspienne. 


Haliaëtos vocifer (23). Schrei-Seeadler. Aigle-pècheur voci- 
fère. 


Cuv., Règne an., I, p. 326. — Falco vocifer, Lath. Ind. om. , 
Suppl. , p. VI. — Le vocifer, Le Vaillant, Afrique, I, pl. 4. 
Afrika, Griechenland. | L'Afrique, la Grèce. 


Pandion. Flussadler. Balbusard. 


Pandion haliaëtos (24). (Gemeiner Flussadler. Balbusard 
commun. 


Falco haliaëtos, Linn., p. 129. n°. 26 -— Pandion fluvialis, Sa- 


IX 


vigny, Égypte, vol. 23, p. 272. — Naumann, Taf. 16, (mas.). — 
Gould, Pl. 12. — Schleg. u. Susem., Tab. 24. | 
+ Europa. | L'Europe. 


BUSSARDE. BUSES. 


a. Buteo. Eigentliche Bussarde. Buses proprement dites. 


Buteo vulgaris (25). Müuse-Bussard. Buse commune. 


Willughby , Orn. , p. 38. — Falco buteo, Linn. p. 127, n°. 15. — 
Naumann, Taf. 32 et 33. — Gould, Pl. 14. — Schleg. u. Susem. , 
Tab. 33. 


Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, lAsie mineure, lAfrique 
septentrionale. 


Buteo lagopus (26). Rauchfuss-Bussard. Buse patue. 


Cuv., Règne an., I, p. 336. — Falco lagopus, Brünnich, Orn. 
bor., p. 4, n°. 15. — Naumann, Taf. 34. — Gould, PI. 15. — 
Schleg. u. Susem. , Tab. 34. 

Europa , Sibirien, Cap. L’Europe, la Siberie, le Cap de B. 


Esperance. 
b. Pernis. Wespenbussard. Bondrée. 
Pernis apivorus. Gemeiner Wespenbussard. Bondrée commune. 


Cuv., Regn. an., I, p. 335. — Falco apivorus, Linn., p. 130, 
n°.28. — Naumann, Taf. 35 et 36. — Gould, PI. 16. — Schleg. 
u. Susem. , Tab. 35. | 


© Europa, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Asie tempérée. 
c. Circaëtos. Schlangenbussard. Circaete. 


Circaëtos gallicus (27). Gemeiner Schlangenbussard. Circaète 
N Jean-le-blanc. 


Cuv., Règne an., I, p. 328. — Falco gallicus, Gmel. Linn., I, 


x 


p. 259, n°. 52. — Aquila brachydactyla ‚ Meyer et Wolf, Ta- 
schenb. , I, p. 21. — Falco brachydactylus, Temm. M., I, p.46: — 
Naumann, Taf. 15. — Gould, Pl. 13. — Schleg. u. Susem., Tab. 35. 


Südliches Europa. |  L’Europe méridionale. 


MILANE. MILANS. 
a. Milvus. Eigentliche Milane. Milans proprem. dits. 
Milvus regalis. Rother Milan. Milan commun. 


Brisson, Orn., ['p. 414, n°.35.— Falco milvus, Linn., p. 126, 
n°. 12. — Milvus ictinus, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 259. — 
Accipiter regalis, Pallas, Zoogr. ross. as., I, p. 258, n°. 20. — 
Naumann, Taf. 31, fig. 1.— Gould, Pl. 28. — Schleg. u. Susem., 
Tab. 30, fig. 1. 


Europa. | L'Europe. 


Milvus aetolius. Schwarzer Milan. Milan noir. 


Belon, p. 131. — Milvus niger, Brisson, I, p. 413, n°. 34. — 
Accipiter milvus, Pallas, Zoogr., I, p. 356, n°. 29. — Falco ater, 
Gmel. Linn., p. 262, n°: 62. — Naumann, Taf. 31, fig. 2. — Gould, 
Pl. 29. — Schleg. u. Susem., Tab. 30, fig. 1. 


Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée. 
Milvus parasiticus (28). Schmarotzer-Milan. Milan parasites 


Falco parasiticus, Lath., Ind., Suppl., p. V.— Le parasite, Le- 
vaill., Ois. d’Afr., I, p. 88, Pl. 22. — Falco Forskahlii, Gmel. 
Linn. , p. 263, n°. 121. — Falco, Forskal, Descript., p. 1, n°.1. — 
Falco aegyptius, Gmel. Linn., p. 261, n°. 61. — Milvus aetolius , 
Savigny, Ég., vol. 23, p. 260, PI. 3, fig. 1. — Schleg u. Susem, 
Tab. 31. 


Dalmatien, Afrika, | La Dalmatie ; l'Afrique. 


XI 
b. Nauclerus. Schwalben-Milane. Milans-hirondelles. 


Nauclerus furcatus. Gemeiner Schwalben-Milan. Milan-hi- 
rondelle commun. 


Vigors, Zool. Journ., II, p. 386. — Falco furcatus, Linn., p. 
129, n°. 25. — Wilson, PI. 51, fig. 3. — Gould, PI. 30. — 
Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 1. 


"Amerika, zufällig in England. | L’Amerique , accidentellement en An- 
gleterre. 


c. Elanus. Falken-milane. Élanions. 


Elanus melamopterus (29). Gemeiner Falken-Milan. Er 
blac. 


Leach, Zool. Misc., II, Tab. 122. — Elanus caesius, Savigny, 
Égypte, vol. 23, p. 276, Tab. 2, fig. 2. — Falco melanopterus, 
Daudin, Orn., Il, p. 152. — Le Blac, Le Vaill., Ois. d’Afr., I, PI. 
36 et 37. — Gould, Pl. 31. — Brehm, Vögel Deutschl., Taf. 46, 
fig. 3. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 2. 


Afrika, zufällig in Europa. | L'Afrique , accidentellement en Europe. 


GEIERARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE VAUTOURINS. 
(VULTUR Livré.) 


CATHARTES. AASGEIER. CATHARTE. 


Cathartes percnopterus. (remeiner Aasgeier. Catharte ali- 


moche. 
#; 


Temm., Man., I, p. 8. — Vultur percnopterus, Linn., Syst. , XII 
ed. , p. 123, n°. 7. — Neophron percnopterus, Savigny, Descr. de 
l'Égypte, IL ed., vol. 23, p. 239. — Naumann, Tab. 3, fig. 1, (ad), 
fig. 2, (jun.). — Gould, Tab. 3. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 4. 

Südliches Europa, Africa, Dekan. L'Europe méridionale, PAfrique, le 

| Deccan, 


XII 


VULTUR. GEIER. VAUTOUR. 


a. Eigentliche Geier. Vautours proprement dits. 
Vultur fulvus. Weissköpfiger Geier. Vautour griffon. 


Brisson,, I, p. 462, n°. 7. — Vultur leucocephalus, Meyer u. 
Wolf, Taschenbuch, 1, p. 7. — Gyps vulgaris, Savigny, Ég., 
vol. 23, p. 232. — Naumann, Tab. 2. — Schlegel u. Susem., p. 12, 
Tab. 3, (jun.); Tab. 3a, (hornot.). — Gould, Tab. 1, (ad.). 


Dalmatien, Griechenland. I La Dalmatie, la Grèce. 


Vultur fulvus occidentalis (30). Westlicher weissköpfiger 
Geier. Vautour grifon occidental. 


Schlegel u. Susemihl, p. 12, Tab. 2, (ad.). 


Sardinien, Pyrenäen. | La Sardaisne, les Pyrénées. 
b. Adlerartige Geier. Aigles-Vautours. 
Pultur cinereus. Grauer Geier. Vautour arrian. 


Gmel. Linn., I, p. 247, n°. 6, (partim). — Vultur monachus , 
Gmel. Linn., p. 246, no. 4. — Aegypius niger, Savigny ; Ég. + VOR. 
23, p.237, Pl. 11. — Enl. 425. — Naumann, Tab. 1. — Gould, 
Tab. 2. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 1, (mas ad.). 

L'Europe méridionale, PÉgypte, l’'In- 
dostan. 


Südliches Europa, Egypten, Hindustan. 


Vultur auricularis (31). Ohrgeier. Vautour oricou. 


Daudin Orn., vol. II, p. 10. — Vultur Aegypius, Temm. ‚Pl. col. 
407, (Nubia). — V. nubicus, Griffith, Anim. Kingd., vol. V, Pl. 
1, (Nubia). — Schlegel u. Susemihl, Tab. la, (Nubia). 


Griechenland, Nubien. | La Grèce, la Nubie. 


XIII 


GYPAETOS. BARTGEIER. GYPAETE. 
Gypaëtos barbaius. Gemeiner Bartgeier. Gypaete ordinaire. 


Cuvier, Règne an., I, p. 318. — Vultur barbatus, Linn. S., XII, 
p- 123, no. 6. — Phene ossifraga et gigantea, Savigny, Égypte, 
vol. 23, p. 243 et 245, Tab. 4 (ad), Tab. 5 (jun.). — Schlegel u. 
Susemihl, p. 19, Tab. 5 et 6. — PI. col. 431. — Gould., PI. 4. 


Schweizer Alpen. | Les Alpes Suisses. 


Rupeetos barbatus occidentalis (32). Westlicher Bartgeier. 
Gypaete occidental. 


Schlegel u. Susemihl, p. 19. — Küster, Isis, 1835, p. 209. 


Sardinien „ Pyrenäen. La Sardaisne, les Pvrenees. 
? © 2 N 
— EAN 3e a da — 


NACHTRAUBVÜGEL. OISEAUX DE PROIE NOCTURNES, 


(STRIX, List). 


A, OEUS. OHREULEN, HIBOUS, 


a. Grosse Ohreulen oder Uhus, Hibous grands Ducs. 
Otus bubo (33). Gemeiner Uhu. Hibou grand-Duc commun. 


Bubo maximus, Sibbald, Scot. illustr., IT, lib. 3, p. 15. — 
Strix bubo, Linn. , p. 131, n°. 1.— Naumann, Taf. 44. — Gould, 
Pl. 37. 

Europa „ Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 


Otus Ascalaphus. Kurzöhriger Uhu. Hibou grand Duc à 
huppes courtes. 


Cuv. Regn. an. , T.p. 341. — Bubo ascalaphus, Savigny , Egyp- 


XIV 


ie, vol. 23, p. 295, Tab. IE, fig. 2. — Strix ascalaphus, Temm. , 
Pl. col. 57. — Gould, PI. 38. 
‘ Südliches Europa , Egypten , Nordafri- Le Sud de l'Europe , l'Égypte , PAfri- 


ka, Persien. que septentrionale, la Perse. 
b. Mittlere Ohreulen. Hibous moyens Ducs. 


Otus otus (34). Gemeine mittlere Ohreule. Hibou moyen Duc 
3 commun. 


. Cuv., Règne an., I., p. 341. — Strix Otus, Linn., p. 132, n°. A. — 
Otus vulgaris, Fleming, Phil. of Zool. , II, p. 236. — Bubo otus, 
Savigny , Égypte, vol. 23, p. 2933. — Naumann, Taf. 45, fig. 1. — 
Gould, Pl. 39. 


Europa , Sibirien, Egypten. | L'Europe, la Sibérie, PEgypte. 
c. Kurzöhrige Ohreulen. Hibous à huppes courtes. 


Otus brachyotus. Gemeine kurzöhr. Ohreule. Hibou à hup- 
pes courtes commun. 


Cuv., Règne an., I, p. 341. — Strix brachyotos, Forster, Phil. 
Frans. LXIT, p. 284, n°. 2. — Brachyotus palustris, Gould, PI. 
40. — Naumann, Taf. 45, fig. 2. 

Europa, gemässigtes Asien, Nordafri- L'Europe, lPAsie temperee, l'Afrique 
ka, Amerika. septentrionale, l'Amérique. 


d. Zwerg-Ohreulen. Hibous petits ducs. 


Otus Scops (35). Gemeine Zwerg-Ohreule. Hibou petit Duc 
commun. 


Scops Aldrovandıi, Ray, Av., p. 25, n°.8. nr Strix Scops, Linn. 
p- 152, n°. 5. — Scops ephialtes, Savigny, Egypte, vol. 23, p. 
291. — Naumann, Taf. 43, fig. 3. — Gould, pl. 41. 

Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe tempérée et méridionale , 
‚Afrika, l'Afrique, 


XV 


B. STRIX. HAUZE. CHOUVETTES. 


a. Schleierkäuze. Effrayes. 


Strix flammea wor Gemeiner Schleierkauz. Effraye commune. 


ur Syst. p- 133, ne. a mn er m 47, f. 2. — Gould, T. 36. 
Europa. À 1e PA | : L'Europe. 


b. Steinkäuze. Cheveches. 


Strix nociua. Gemeiner Steinkauz. Cheveche commune. 


Retzius, Fauna suec., p. 84, n°.35, (partim). — Strix passerina, 
Becht., Nat. Deutsch., II, p. 963. — Strix nudipes, Nilsson, Orn. 
suec., I, p. 68. — Athene passerina, Boie, Isis, 1822, p. 549. — 
Naumann, Taf. 48, fig. 1. — Gould, PI. 48. 


Gemässigtes Europa, westliches Asien. | I’Europe tempérée, l’Asie occidentale. 


Strix noctua meridionalis (37). Südlicher Steinkauz. Che- 
veche méridionale. 


Strix noctua, Forskal, Descr., pag. 8, n°. 2. — Noctua glaux, 
Savigny, Descr. de l'Égypte, vol. 23, p. 287. — Strix (Noctua) 
passerina, Rüppell, Neue Wirbelthiere, Vögel, p. 45. 

Spanien, Esypten. | L'Espagne, PEgypte. 


€. Rauchfüssige Käuze. Cheveches à pieds emplumes. 


Strix Tengmalmi. Gemeiner Rauchfusskauz. Cheveche à pieds 
emplumes commune. 


_Gmel. Linn. , p. 291, n°. 44. — Strix funerea, Linn., Fauna 
suec., n°- 75. — Strix noctua, Tengmalm, Vet. Acad. Handl., 
1793, p. 289. — Strix dasypus, Bechst., Naturg. Deutschl., IT, 
pe 972, n°. 13. — Naumann , Taf. 48, fig. 2 et 3. — Gould, PI. 49. 


Nördliches Europa, Sibirien, | L'Europe septentrionale, la Sibérie. 


XVI 
d. Sperlingskäuze, Chevechettes. 


Strixæ passerina. (Gemeiner Sperlingskauz. Chevèchette com- 
| mune. 


Linn., Fauna suecica , p. 26, n°. 79. — Strix pygmaea, Bechst. 
Nat. Deutsch. , II, p. 978. — Strix acadica , Temm. , Man. d’Ornith., 
I, p. 96. — Naumann, Taf. 43. — Gould, PI. 50. 


Schweden, Schweiz, Russland. | La Suède, la Suisse, la Russie. 
e. Waldkäuze. Hulottes. 
Strix aluco (38). Gemeiner Waldkauz. Hulotte commune. 


Lion. , p. 132, n°. 7. — Strix stridula, ibid., p.133, n°.9. — 
Syrnium ululans, Savigny, Egypte, vol. 25, p. 299. — Naumann, 
Taf. 46 et 47, fig. 1. — Gould, Pl. 47. 


Europa. | T’Europe. 


f. Kleinaug-Käuze. Chouettes micropes. 


Strix lapponica. Lappländischer Kleinaug-Kauz. Chouette 
micrope de Laponie. | 


Sparrman, Mus. Carlson., fasc. V, Tab. — Strix barbata, Pallas, 
Zoogr., I, p. 318,n°. 7.— Lapp-Ugla, Nilsson, Ill. Fig. , Häft 10, 
Pl. 71. — Syrnium cinereum, Ch. Bonap. List, p. 6. — Gould, 
PI. 42. 


Skandinavien, Sibirien, nördlichstes La Scandinavie, la Sibérie, l’Ameri- 
Amerika. que boréale. 


g. Grossschwanz-Käuze. Chouettes macroures. 


Strix uralensis. Uralischer Langschwanz-Kaux. Chouette - 
macroure de l’oural. 


Pallas, It.T, app. n°. 25. — Strix litturata, Retz., Fauna suec. 
p. 79, n°. 29, — Strix macroura, Natterer in Meyer und Wolf, 


XYIT 


Taschenbuch , I, p.84. — Naumann , Tab. 42, fig. 1, (fem. jun.). — 
Gould, PI. 44. 
Nôrdliches und nordôstliches Europa, 
Sibirien. 


L'Est et le Nord-Est de l’Europe, la 
| Sibérie, 


h. Schneekäuze. Chouettes-harfang. 


Strix nytcea. Gemeiner Schneekauz. 


Chouette- harfang 
commune. 


FA Linné, Faun. Suec., p. 25, n°. 76. — Strix nivea, Thunberg, 
Vet. Acad. Handl. , 1798, p. 184. — Strix candida, Lath., Index, 
IL, p. 14, sp. 3. — Naumann, Taf. 41. — Gould, Pl. 43. 


“ Norden Europa’s und Amerika’s. | 


Le Nord de l’Europe et de l'Amérique. 
&. Sperberkäuze. Chouettes-éperviers. 


Strix funerea. 


Gemeiner Sperberkauz. 


Chouette - epervier 
commune. 


Lath., Ind. orn. ,I, p. 62. n°. 35. — Strix ulula, Linne, Fauna 


suec. ; p. 26 , n°. 78. — Strix nisoria, Meyer, Vögel Liv- u. Esthl. , 
p- 31. — Naumann , Taf. 42, fig. 2. — Gould , Pl. A5. 

Nördliches und östliches Europa, Si- L’Europe septentrionale et orientale, la 
birien, nördliches Amerika. Sibérie, l'Amérique boréale. 


bo 


XVIII 


HOCKVÖGEL. PERCHEURS. 


SCHWALBENARTIGE VOGEL. CHÉLIDONS. 


HIRUNDO. SCHWALBE. HIRONDELLE. 


a. Rauchsehwalben. Hirondelles de cheminée. 


Hirundo rustica. Gemeine Rauchschwalbe. Hirondelle de 
cheminee commune. | 


Linn., p. 343, no. 1. — Hirundo domestica, Plinius, X, ‚cap. 
33. — Pallas, Zoogr., I, p. 528. — Cecropis rustica, Boie, Isis, 
1826, p. 971. — Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 54. 


Europa, westliches Sibirien ,„ Nord- L'Europe, la Sibérie occidentale, l’Afri- 


afrika, que septentrionale. 


Hirundo rustica orientalis (39). Östliche Rauchschwalbe. 
Hirondelle de cheminee orientale. 


Hirundo cahırica, Licht., Catal. , 1823, p. 58. — Hirundo Savig- 
nyi, Steph., Cont. Shaw, Zool., X, I, p. 90. — Cecropis Savignyi, 
Boie, Isis, 1828, p. 316. — Hirundo Riocouri, Audouin, Descr. 
de l'Égypte, vol. XXIII, p. 339, Pl. 4, fig. 4. — Hirundo Bois- 
sonneauti, Temm., Man., III, p. 652. — (Hirundo domestica var. 
Sibiriae orientalis, Pallas, Zoogr., I, p. 529 et 531, Nota 2?) 

Macedonien, Egypten , (östliches Si- La Macedoine , PÉgypte, (la Sibérie 


birien ?). orientale ?). 


Hirundo rufula (40). Röthliche Schwalbe. Hirondelle rousse, 


Temm., Man., III, p. 298, (excl. syn.). 


Sicilien, | Ta Sicile. 


XIX 
b. Hausschwalben. Hirondelles de fenêtre. 


Hirundo urbica. Gemeine Hausschwalbe. Hirondelle de fe- 
nelre commune. 


Linn., p. 344, n°. 3. — Hirundo lagopoda, Pall., Zoogr., I, p. 
532, n°. 156. — Chelidon urbica, Boie, Isis, 1822, p. 550. — 
Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 57. 


Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, PAfrique septen- 


trionale. 
c. Uferschwalben. Hirondelles de rivage. 


Hirundo riparia. Gemeine Uferschwalbe. Hirondelle de rı- 
vage commune. 


Linn., p. 344, n°. 4. — Cotyle riparia, Boie, Isis, 1822, p. 
550. — Naumann, Taf. 146. — Gould, Pl. 58. 


Europa, Sibirien (Nordamerika?). L'Europe, la Sibérie , (PAmérique du 
Nord ?). 


Hirundo rupestris. Felsenschwalbe. Hirondelle de rocher. 


Scopoli, Ann., I, p. 167, n°. 253. — Naumann, Taf. 146. — 
Gould, PI, 56. 


Süd-Europa, Nordafrika, westliches 1’Europe méridionale, lAfrique sep- 
Asien. tentrionale, PAsie occidentale. 


CYPSELUS. SEGLER. MARTINET. 


Cypselus apus. Mauersesler. Martinet de muraille. 


Illiger, Prodromus, p. 230. — Hirundo apus, Linn., p. 344, 
n°. 6. — Micropus murarius, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 


281. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 1. 


Europa, westliches Sibirien, ] L'Europe, la Sibéric occidentale. 


XX 


Cypselus melba. Felsensegler. Martinet & ventre blanc. 


‚Illiger, Prodromus, p. 320. — Hirundo melba, Linn. , p-:345, 
n°. 11. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 2. ; 


Südliches Europa, Nordafrika, Klein- L’Europe méridionale PAfrique septen- 
asien. trionale „ ’Asie mineure. 


CAPRIMULGUS (Al. ZIEGENMELHER. 
ENGOULEVENT. 


Caprimulgus europaeus. (remeiner Ziegenmelker. Engou- 
levent ordinatre. 


Linn. , p. 346, n°. 1. — Naumann , Taf. 148. — Gould, PI. 51. 
Europa, Sibirien. | L'Europe. la Sibérie. à 


Caprimulgus ruficollis. Halsbandziegenmelker. Engoulevent 
a collier roux. 


Temm., Man. d’Orn., I, p. 438. — Gould, PI. 52. 
Spanien , Nordafrika. | L'Espagne, l'Afrique septentrionale. 


WÜRGERARTIGE VOGEL. PIE-GRIECHES. 
LANIUS. WURGER. PIE-GRIECHE. 


Zanius excubitor (42). Grosser Würger. Pie-Grieche com- 
mune. 


Linn., p. 135, n°. 11. — Naumann, Taf. 49. — Gould, PI. 66. 
Europa. | L'Europe. 


Lanius meridionalis. Südlicher Würger. Pie-grieche meri- 
| dionale. 


Temm., Man. d’Ornith., I, p. 143. — Gould, PI. 67. à 


Südliches Europa, Nordafrika. Le Midi de l’Europe, lAfrique sep- 
tentrionale. 


XXI 
Lanius minor. Grauer Würger. Pie-grieche a poitrine rose. 


. Gmel. Linn., p. 308, n°. 49. — Naumann, Taf. 50. — Gould, 
PI. 68. 


Mittleres und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. 


Lunius rufus (45). Rothköpfiger Würger. Pie-grieche rousse. 


Brisson, II, p. 147, n°. 3. — Lanius rutilus, Lath., Ind., L, 
p- 70, sp. 12. — Lanius ruficeps, Bechst., Nat. Deutschl., II, p. 
1327. — Naumann, Taf. 5l. — Gould, PI. 70. 


Mittleres und südliches Europa. | L’Europe temperée et méridionale. 
Lanius collurio. Rothrückiger Würger. Pie-grieche ecorcheur. 


Linn., p. 136, n°. 12. — Lanius spinitorquus, Bechst. Nat. 
Deutschl, II, p. 1335. — Enneoctonus collurio, Boie, Isis, 1826, 
p- 973. — Naumann, Taf. 52. — Gould, PI. 69. 


Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L’Europe, la Sibérie tempérée, PAsie 
Asien, Egypten. mineur , PÉgypte. 


Lanius personatus (44). Maskenwürger. Pie-grièche masquée. 


Temm., PI. col. 256, fig. 2. — Lanius nubicus, Licht., Catalog., 
1823, p. 47, no. 510. 

Griechenland, Egypten, Nubien, Kor- L’Egypte , la Nubie, le Kordofan, 
dofan, Abyssinien , steiniges Arabien. PAbyssinie, l’Arabie pétrée. 


Lonius tchagra (45). Tschagra-Würger. Pie-grièche tchagra. 


Telophonus erythropterus, Swainson, in Natural. Library, Nat. 
Hist. of Birds. , vol, IT, p. 219. — Le Tchagra, Le Vaillant, Ois. 


XXIT 


d’Afr., II, Pl. 70. — Lanius erythropterus, Shaw, Gen. Zool. 
VIII, 2, p. 301, (ex parte). — Pomatorhynchus Tchagra, Boie, 
Isis, 1826, p. 973. — Lanius cucullatus, Temm. Man. , III, p.600. 


Spanien, Cap. | L’Espagne, le Cap de B. Esperance, 
FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHES. 


MUSCICAPA. FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHE. 


Muscicapa grisola. Gefleckter Fliegenfänger. Gobe-mouche 
gris. 


Linn. , p. 328, no. 20. — Butalis grisola, Boie, Isis, 1826 , p. 
973. — Naumann, Taf. 64. — Gould, PI. 65. 


Europa , Nordafrica, | L'Europe, PAfrique septentrionale, 


m 


Muscicapa atricapilla. Schwarzgrauer Fliegenfänger. Gobe- 
mouche bec-figue. 


Linn., p. 326, no. 9. — Emberiza luctuosa, Scopoli, Ann., I, 
p- 146, no. 215. — Muscicapa luctuosa, Temm., Man., I, p- 
155. — Naumann, Taf. 64. — Gould, Pl. 63, fig. 1. 


Europa. |  L’Europe. 


Muscicapa albicollis. Weisshalsiger Fliegenfänger.  Grobe- 
mouche a collier. 


Temm., Man., I, p. 153. — Muscicapa collaris, Bechst. Nat. 
Deutschl., III, p. 427. — Naumann, Taf. 65. — Gould, PI. 63. 
fig. 2. 


Süd- und Mittel-Europa , Arabien. L'Europe femperce et méridionale 
l'Arabie, 


XXIIT 


Muscicapa parva (46). Rothkehliser Fliegenfänger.  Gobe- 


mouche rouche-gorge. 


Bechst., Nat. Deutschl., Ill, p. 442. — Erythrosterna parva, 
Ch. L. Bonap., List, p. 25. — Muscicapa erythaca et rubicola, 
Swainson, Natur. Library, Ornithol., vol. X, 1838, p. 220 et 221, 
PI. XXVII. — Naumann, Taf. 65. — Gould, Pl. 64. 


Südöstliches Deutschland, Vorder-In- Le Sud-Est de PEurope, l'Inde en 
dien. deca du Gange. 


SANGERARTIGE VOGEL. SYLVAINS. 
SYLVIA (47). GRASMUCHE. FAUVETTE. 


Sylvia nisoria. Sperber-Grasmücke. Fauvelte rayée. 


Bechst., Nat. Deutschl. , III, p. 547. — Nisoria undata, Ch. Bo- 
nap., List, p. 15. — Naumann, Taf. 76. — Gould, Pl. 128. 


Östliches Europa. |  L’Europe orientale. 


Sylvia cinerea. Fahle Grasmücke. Fauvette grise. 


Latham, Ind., I, p. 514. — Motacilla sylvia, Linn. , p. 330, n° 
9. — Naumann, Taf. 78. — Gould, Pl. 125, fig. 1. 


Europa, Kleinasien, Nordafrika, Ara- L'Europe, l'Asie mineure, l’Afrique 


bien. septentrionale , l’Arabie, 
Sylvia conspicillata. Brillengrasmücke. Fauvette à lunettes. 


Marmora in Temm., Man., 1, p. 210. — Pl. col. 6, fig. 1. — 
Gould, PI. 126. 


Spanien, Sardinien , Italien. [| L'Espagne, la Sardaigne, l'Italie, 


XXIV 


Sylvia curruca. Müller-Grasmücke. . Fauvette babillarde. 


Latham, Ind. orn., II, p. 509, sp. 9. — Naumann, Taf. 77. — 
Gould, Pl. 125, fig. 2. | 


Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L'Europe, la Sibérie tetatféréeh. l'Asie 
asien, Nordafrika. mineure, l’Afrique septentrionale. 


Par” 


Sylvia subalpina. Südliche Grasmücke. Fauvette subalpine. 


Bonelli in Temm., Man., I, p. 214. — Sylvia leucopogon, Meyer, 
Orn. Tasch., III, p. 91. — Sylvia passerina, Temm., Man., III, p. 
138; Pl. col. 251, fig. 2 et 3 et PI. 6, fig. 2. — Sylvia mystacea, 
Ménétr., Catal., p. 34, n°.69 et Rectifications. — Gould , Pl. 124. 

Süd-Europa , Nord-afrika. + . | L'Europe méridionale, P Afrique sep- 
| tentrionale. 


— 


Sylvia provincialis. Provencer Grasmücke. Fauvette pitte-chou. 


Temm., Man., T,p. 211. — Motacilla provincialis, Gmel. Linn. : 
p- 958, n°. 67. — Sylvia dartfordiensis, Lath., Ind. orn., II, p. 
517 , n°. 31. — Melizophilus provincialis, Leach., Mus. Brit; Selby, 
Brit. Orn., I, p. 219. — Gould, PI. 129. 


England , südliches Europa. |  L’Angleterre, l’Europe méridionale. : 
Sylvia sarda. Sardische Grasmücke. Fauvette sarde. 


Marmora, in Temm. Man. d’Orn., I, p. 204; PI. col. 24, fig. we 
Gould, Pl. 127. 
Sardinien. | La Sardaigne. 


! y 


Sylvia meiamocephala, Schwarzköpfige Grasmücke. Fauvette 
mélanocéphale. MH 


Lath., Ind. orn., II, p. 509, sp. 7. — Motacilla melanocephala, 
Gmel. Linn. , p. 970, n°, 104. — Gould, PI. 129. 


Südliches Europa, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Égypte. 


XXV 


Sylvia Rüppellii (48). Rüppells Grasmücke.  Fauvette de 
: Rüppell. 


Temm., Pl. col. 245, fig. 1. — Rüppell, Atlas, Tab. 19. — 
Sylvia capistrata, Rüppell, Mus. Senk., II, p. 181. — Gould, 


PI. 122. 


Griechenland. | La Grece. 
Sylvia orphea. Orpheus-Grasmücke. Fauvette-Orphee. 


Temm., Man., I, p. 198. — Curruca orphaea, Brehm, Hand- 
buch, 423. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 119. 
“ Südliches Europa, Egypten, Arabien. L’Europe méridionale, l'Égypte, l’Ara- 
bie. 


Sylvia atricapilla. Mönchs-Grasmücke. Fauvette a tele notre. 


“ Lath., Ind. orn., II, p. 508, sp. 6. — Motacilla atricapilla Gmel. 
Linn., I, p. 970, sp. 18. — Curruca atricapilla, Brisson, III, p. 
380, n°. 6. — Naumann, Taf. 77. — Gould, Pl. 120. 

I Europa, Kleinasien , Arabien , Egypten, LEurope „ PAsie mineure, lArabie, 
Nubien. PEgypte, la Nubie, 


Sylvia hortensis. Gartengrasmücke. Fauveite des jardins. 


Bechst., Nat. Deutsch., III, p. 524. — Naumann, Taf. 78. — 
Gould, Pl. 121. 
Europa. | L'Europe. 


FICEDULA. LAUBSANGER, BEC-FIN. 
Ficedula trochilus (49). Fitis-Laubsänger. Bec-fin poukllot. 


Keiserl. u. Blas., p. LVI. — Motacilla trochilus, Linn., p. 338, 
n°. 49. — Ficedula fitis, Koch, Baier. Zool., I, p.159, n°.82. — 
Phyllopneuste trochilus, Ch. Bonap., List, p. 13. — Naumann, 
Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 1. 


Europa, Egypten, Nubien, | L’Europe , l'Égypte, la Nubie, 


XXVI 

| 
ax 7 r « ve ù y 2 b r 1 “pal AT Se | 
. Ficedula rufa. Weiden-Laubsänger. Bec-fin roux. 


Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia rufa , Lath., Ind. Orn., II, p.516, 
n°. 27. — Sylvia hippolais, Penn., Brit. Zool., I, p. 508. — Gould, 
PI. 131, fig. 2. — Naumann, Taf. 80. | 

Europa. | L’Europe. 


Ficedula Bonellii. BonellÜs Laubsänger. Bec-fin Bonell. 


Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia Bonelli, Vieillot, Eneyel. Méth, 
Orn., II, p. 468. — Sylvia Nattereri, Temm., Man. d’Orn., I, p- 
227. — Gould, Pl. 134. 


Südliches Europa. | L'Europe méridionale. 


Ficedula sibilatrix. Grüner Laubsänger. Bec-fin siffleur. 


Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia sibilatrix , Bechst. Nat. Deutschl. 
III, p, 561. — Sylvia sylvicola, Lath., Ind. Orn., Suppl., II, p. 53. — 
Naumann, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 3. 


Europa. | L'Europe. 


Ficedula ambigua (50). Zweideutiger Laubsänger. Bec-fin 
ambigu. 


Griechenland. | La Grece. 


Ficedula hypolais. Garten-Laubsänger. Bec-fin grand-pouiller. 


Keys. u. Blas., p. LVI. — Motacilla hippolais, Linn., p. 330. 
n°, 7. — Hippolais salicaria, Brehm, Handbuch, p. 434 — 
Naumann, Taf, 80. — Gould, Pl. 138. | | 


Europa, {  1’Europe, 


XXVIL 


- + SALICARIA, BOHRSANGER. RIVERAIN, 
Salicaria turdina. Drossel-Rohrsänger. Riverain rousserolle. 


Sylvia turdoides, Meyer, Vögel Livu. Esthl., p. 116. — Sylvia 
turdina, Gloger, Handb., p. 227, n°. 14. — Calamoherpe turdoi- 
des, Boie, Isis, 1822, p. 552. — Turdus arundinaceus, Brisson , 
II, p. 219, n°. 6, T. 22, fig. 1. — Junco, Gessner Av. 573. — 
Turdus junco, Pall. Zoogr., I, p. 458, n°. 99. — Naumann, Taf. 
81. — Gould, PI. 106. 


Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe temperee et méridionale, 
Arabien. | l'Arabie, 


——— 


Salicaria urundinacea. Teich-Rohrsänger. Riverain des ro- 
seaux. 


Selby, Brit. Orn., I, p. 203. — Curruca arundinacea , Brisson , 
III, p.378, no. 5. — Sylvia arundinacea, Lath., Ind., II, p. 510, 
n°. 12. — Calamoherpe arundinacea, Boie, Isis, 1826, p. 972. — 
Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 109. 


‘ Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale, 
Egypten, Nubien. PÉgypte, la Nubie. 


Salicaria palustris (50 bis). Sumpf-Rohrsänger. Riverain 
verderolle. 


Gould, Pl. 109. — Sylvia palustris, Bechst., Nat. Deutschl., III, 
p- 639. — Naumann, Taf. 81. 


Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. 


Salicaria olivetorum (51). Oliven-Rohrsänger. Riverain des 
oliviers. 


Gould , Birds of Europe, Pl. 109. 


Griechenland, | La Grèce, 


nn 


XX VEII 


_Salicaria phragmitis. Schilf-Rohrsänger. : Riverain phrag- 
mite. 


Selby, Brit. Orn., I, p. 201. — Sylvia phragmitis , Bechst., Nat. 
Deutschl. , II, p. 635. — Naumann, Taf. 82. — Gould, PI. 110. 


Europa, gemässigtes Sibirien, Syrien, L'Europe, la Sibérie tempérée , la Syrie, 
Egypten, Nubien. l'Égypte , la jubis, 


Salicaria aquatica (52). Seggen-Rohrsänger. Riverain aqua- 
tique. 


“ Gould, PL. 111, fig. 2. — Sylvia aquatica, Lath., Ind., IL, 'p« 


510, n°. 11. — Naumann, Tab. 82, fig. 4et 5, (hib.). — Sylvia 
cariceti, Naumann, III, p. 668, Taf. 82, fig. 2 et 3, (aest.). 


- Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale. 


Salicaria locustella. Heuschrecken - Rohrsänger.  Riverain 
locustelle. er 


Selby, Brit. Orn., I, p. 199. -— Sylvia locustella, Penn., Brit: 
Zool., I, p. 518. — Naumann, Taf. 83. — Locusiella Rayi, 
Gould, PL 103. ve 


Europa. | L’Europe. 
Salicaria fluviatilis. Fluss-Rohrsänger. Riverain fluviatele. 


‘ Sylvia fluviatialis, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 229. — 
Naumann , Taf. 13. — Gould, PI. 102. 


Ufer der Donau. | Les bords du Danube. 


Salicaria luscinoides. Nachtigallen - Rohrsänger.  Riverain 
luscinoide. 


Sylvia luscinoides, Savi, Orn. Tosc., I, p- 270. — Pseudo- 
_ Luscinia Savü, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, Pl. 104. 


Italien, Provence. ı L'Italie, la Provence. | 


u 


XXIX 


Salicaria galactodes. Rostfarbiger Rohrsänger.  Riverain 
rubigineux. 


Sylvia galactodes , Temm., Man. , I, p. 182. — Turdus rubigi- 
nosus, Meyer, Orn. Tasch., III, p. 66. — Sylvia rubiginosa , 
Temm., Man., III, p. 129; PL col. 251, fig. 1. — Gould, PI. 
112. — Aëdon galactodes, Boie, Isis, 1826, p. 972. 


Spanien. | L’Espagne. 


Salicaria familiaris (53). Ménétriés Rohrsänger. Riverain 
Menetries. 

‚Sylvia familiaris, Ménétr. Cat., p. 32, n°, 60. 

Griechenland, Ufer des Kur. | La Grèce, les bords du Kour. 


Salicaria melanopogon. Schwarzbart-Rohrsänger.: Riverain 
a moustaches notres. 


Sylvia melanopogen, Temm., PI. col. 245, fig. 2. — Gould, 
PI. 111, fig. 2. — Calamodyta melanopogon, Ch. Bonap., List, 
p- 12. — Gould, Pl. 111, fig. 1. 


Südliches Europa. | L'Europe méridionale. 


Salicaria Cettii (54). Cettis Rohrsänger. Riverain Cetti. 


‘ Sylvia Cettii, Marmora, Mem. Acad. Tor., Vol. XXV, p. 254. — 
Sylvia sericea, Natterer in Temm., Man., I, p. 197. — Cettia al- 
tisonans et sericea, Ch. Bonap., List, p. 11 et 12. — Gould, PI. 
114 et 115. 


Südliches Europa, | L'Europe méridionale, 


XXX 


Salicaria lanceolata (55). Gestrichelter Rohrsänger.  Rive- 
rain lancéolé. 


Sylvia lanceolata, Temm., Man., III, p. 614. 
] La Russie meridionale. 


Südliches Russland. 


Salicaria cisticola. ÜCisten-Rohrsänger. Riverain cisticole. 
Sylvia cisticola, Temm., Man., I, p. 228. — Sylvia (Cisticola) 
typus, Rüppell, Neue Wirb., Vögel, p. 113. — Cisticola schoeni- 
cola, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, PI. 113. 
L’Europe meridionale, PEgypte, la Nubie, 


Südliches Europa, Egypten, Nubien. | 


Salicaria caligata (56). Gestiefelter Rohrsänger. Riverain 
— botté. 


Sylvia caligata, Licht. in Eversman, Reise, p. 128. — Lusciola 
(Iduna) caligata, Keys. u. Blas,, p. LVIII, n°. 235. — Motacilla 
salicaria, Pallas, Zoogr., I, p. 492, n°. 127. 

Russland , Sibirien. I La Russie, la Sibérie. 


LUSCIOLA. ERDSANGER. HUMICOLE. 
a. Nachtigallen, Rossignols. 


Eusciola philomela. Sprosser-Nachtigall. Rossignol philomèle. 


Keys. u. Blas., p. LVIIE, n°.233. — Sylvia philomela, Bechst., 
Nat. Deutschl., III, p. 507. — Luscinia major, Brisson , Orn., IT, 


p- 400. a. — Naumann, Taf. 74. — Gould, Pl. 117. 
L’Europe orientale, lAsie occidenta- 


Ostliches Europa, westliches Asien, 
le, l'Egypte. 


Egypten, 


XXXEI 


Lusciola luscinia (57). Gemeine Nachtigall. Rossignol com- 
mun. 


Keys. u. Blas., p. LVIII, no. 234. — Motacilla luscinia, Linn., 
p- 328, n°. 1.— Sylvia luscinia, Lath. Ind., II, p. 506, sp. 1. — 
Naumann, Taf. 74. -— Gould, PI. 116. 

Europa, Klein-Asien „ Arabien , Egypten. ‚L’Europe , l'Asie mineure, PArabie , 

l'Egypte. 


6. Bothschwänzchen. Rouge-queues, 


Lausciola phoenicurus. Garten - Rothschwänzchen. Rouge- 
queue des murailles. 


Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 239. — Motac. phoenicurus, 
Linn., p. 335, n°. 34. — Sylvia phoenicura, Lath., Ind., II, 
p- 511, sp. 15. — Ruticilla phoenicura, Ch. Bon., List, p.15. — 
Naumann, Taf. 79. — Gould, PI. 95. 

Europa, Sibirien, Egypten , Nubien. L’Europe, la Siberie, PEgypte, la 

Nubie. 


Lusciola erythrogastra (58). Güldenstädts Rothschwänzchen. 
Rouge-queue de Güldenstädt. 
Motacilla erythrogastra , Güldenstädt, Nov. Comment. Petr. , XIX, 
1775, p. 469, Tab. 16 et 17. — Motacilla aurorea, var. Cerau- 
nia, Pallas, Zoogr., I, n°. 116, p. 478. 


Kaukasus. | Le Caucase. 
Lusciola thitys. Haus-Rothschwänzchen. Rouge-queue noir. 


Keys, u. Blas., p. LIX, n°. 240. — Sylvia tithys, Scopoli, Ann., 
I, p. 157, n°. 233. — Motacilla Erythacus, Linn., p. 335, n°. 
35. — Naumann, Taf. 79. — Gould, Pl. 96. 

« Europa ,„ Klein-Asien ,„ Nordafrika. L’Europe, lAsie mineure, PAfrique 
septentrionale, 


XXXIT 


c. Bothkehlchen. Rouge-gorges: 


Eusciola rubecula. Gemeines Rothkehlchen. Rouge - gorge 
commun. 


Keys. u. Blas., p. LVIII, n°.238. — Motacilla rubecula, Linn. , 
p- 337, n°. 45. — Sylvia rubecula, Lath., Ind., Il, p. 520, sp. 
42. — Dandalus rubecula, Boie, Isis, 1826, p.972. — Naumann , 
Taf. 75. — Gould, PI. 98. 


Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, . PAsie mineure, l’Afrique 
septentrionale. 


d. Blaukehlichen. Gorge-bleues. 


Lusciola cyanecula. (Gremeines Blaukehlchen. Gorge - bleue 
commune. 


Sylvia cyanecula, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 240. — 
Lusciola suecica, Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 237. — Mota- 
cilla suecica, Linn., p. 336, n°. 37. — Sylvia suecica, Lath., 
Ind., Il, p. 521, sp. 43. — Cyanecula suecica, Brehm, Handb., 
p. 350. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 97. 


+ Europa. | L’Europe. 


Lusciola cyanecula orientalis (59). Östliches Blaukehlchen. 
Gorge-bleue orientale. | 


Motacilla coerulecula, Pallas, Zoogr., T, p.480, n°.118, (ex- 
cl. synon.). 


Rusland, Sibirien. | La Russie, la Sibérie. 


e. Feuerkehlchen. Gorges en feu. 


Lusciola calliope. (Gremeines Feuerkehlchen. Gorge en feu 
calliope. | 


Lusciola (Melodes) calliope, Keys. u. Blas., p. LVII, n°, 
236. — Motacilla calliope, Pallas, Reise, IH, app. n°. 17. — 


XXXIIT 


Accentor calliope, Temm., Man., III, p. 173. — Calliope Latha- 
mu, Gould, Birds of Europe, Pl. 114. 


Ostliches Sibirien, Japan, zufällig in La Sibérie orientale, le Japon, acci- 
Russland. dentellement en Russie. 


STEINSCHMATZER. SAXICOLES. 
SAXICOLA. STEINSCHMATZER. SAXICOLE. 
a. Eigentliche Steinschmätzer. Saxicoles proprement dits. 


Saxicola oenanthe. Grauer Steinschmätzer. Saxicole moteux. 


Bechstein, Orn. Tasch., I, p. 217. — Naumann, Taf. 89. — 
Gould, Pl. 90. 

Europa, Sibirien, Kleinasien , Nord- L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, 
afrika. l'Afrique septentrionale. 


Saæicola saltatriæ (60). Östlicher Steinschmätzer. Saxicole 
oriental. 


Keys. u. Blas., p. LIX, n°. 245. — Saxicola saltator, Méne- 
tries, Catal., p. 30, n°. 56. 


Ural, Ufer des Kaspischen Meeres, L’Oural , les bords de la Mer Caspien- 
Griechenland. ne, la Grèce. 


Saæicola stapazina. Schwarzkehliger Steinschmätzer. Saxti- 
cole stapazin. 


Temm., Man., I, p. 241. — Motacilla stapazına, Linn., p. 
331, n°. 14 — Muscicapa melanoleuca, Güldenst., Nov. Comm. 
Petr., XIX, p.468, Tab. XV. — Naumann, Taf. 90, fig. 1 et 2. — 
Gould, Pl. 91. 

Südliches Europa, steiniges Arabien , L'Europe méridionale , PArabie pe 
Egypten Nubien, trée, l'Egypte, la Nubie. 


3 


XXXIV 


| Saæicola aurita (61). Schwarzohriger Steinschmätzer. Sa- 
xicole oreillard. 


Temm. ) Man. , I, P- 241. FER Gould , PI. 92. 
Südliches Europa, Arabien, Egypten. L’Europe méridionale, l’Arabie, PE- 
gypte. 


Saæicola leucomela (62). Elster - Steinschmätzer. Saxtecole 
leucomele. 


Temm., Man., I, p. 243. — Motacilla leucomela, Pall., Nov. 
Comm. Peirop. , XIV, p. 584, n°. VI, Tab. 22, fig. 3. 


Südliches Russland, Altai, Daourien. La Russie méridionale, PAltai, la 
Daourie. 


Saxicola cachinnans. Weissschwänziger Steinschmätzer. 
Saxicole rieur. 


Temm., Man., I, p. 256. — Turdus leucurus, Gmel. Linn., p. 
820, n°. 66. — Saxicola leucura, Licht., Catal., p. 32. — 
Gould, PI, 88. 


Südliches Europa, Arabien, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Arabie , PÉgvp- 
Nubien. te, la Nubie. 


b. Wiesenschmätzer. Traquets. 


Saxicola rubetra. Braunkehliger Wiesenschmätzer. Traquet 
larter. 


Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 684. — Pratincola rubetra, 
Koch, Baier. Zool., I, p. 191, n°. 112. — Motacilla rubetra, 
Linn., p. 332, n°. 16. — Naumann, Taf. 89. — Gould, PI, 93, 

Europa, Arabien, Egypten. J  LEurope, l'Arabie, PÉgypte, 


XXXV 


Saæicola rubicola. Schwarzkehliger Wiesenschmätzer. Tra- 
quet pdire. 


- Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 694. — Motacilla rubicola, 
Linn., p. 332, n°. 17. — Naumann, Taf. 90, fig. 3. — Gould, 
PI. 94. 
Europa, Sibirien , Kleinasien , Egypten, L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, 
Nubien, Abyssinien, Kap. PEgypte, la Nubie, lAbyssinie, le Cap 
de Bonne Espérance, 


PIEPER. PIPITS. 


ANTHUS. PIEPER. PIPIT. 
Anthus aquaticus. Wasserpieper. Pipit spioncelle. 


Bechstein, Nat. Deutschl., III, p. 745. — Alauda spinoletta, 
Linn., p. 288, n°. 7. — Pl. enl. 661, fig. 2. 


Mittleres und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale, 


Anthus rupestris, Uferpieper. Pipit rupestre. 


Nilsson, Orn. suec., I, p. 245, Tab. 9. — Anthus httoralis, 
Brehm, Lehrbuch, I, p. 239. — Alauda obscura, Pennant, Brit. 
Zool., I, p. 482. — Gould, PI. 138. 


Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale, 


Anthus pratensis. Wiesenpieper. Pipit farlouse. 


Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 732. — Alauda pratensis, Linn. , 
p. 782, n°. 2. — Naumann, Taf. 84 et 85. — Gould, PI. 136. 


Europa, Egypten, | L'Europe, l'Égypte, 


XXXVT 


 Anthus pratensis rufigularis. Braunkehliger Wiesenpieper. 
Pipit farlouse a gorge rousse. 


Anthus rufogularıs, Brehm, Vögel Deutschl., p. 320, n°.12. — 
Motacilla cervina, Pallas, Zoogr., I, p. 511, n°. 142. — Gould, 
PI. 140. | 


Südliches Europa, “Sibirien, Nord- L'Europe méridionale ‚la Sibérie, l'Afri- 
afrika. que septentrionale. 


—— 


Anthus Richardii. Richard’s Pieper. Pipit Richard. 


Vieillot, Nouv. Dict. Deterville, vol. XXVI, p. 491. — Temm., 
PI. col. 101. — Anthus rupestris, Ménétr., Cat., p. 37, n°. 80. — 
Gould, PI. 135. 


Europa , westliches Asien. | L'Europe, PAsie occidentale. 
Anthus campestris. Brachpieper. Pipit rousseline. 


Bechst. , Nat. Deutschl., III, p, 722. — Anthus rufescens, Temm. , 
Man., I, p. 267. — Naumann, Taf. 84. — Gould, Pl. 137. 


‘Gemässigtes und südliches Europa , nord- L'Europe tempérée et méridionale. les 
westliches Afrika. contrées occidentales de l'Afrique sep- 
tentrionale. 


Anthus arboreus. Baumpieper. Pipif des bussons. 


Bechst., Nat. Deutschl., IIT, p. 706. — Naumann, Taf. 84. — 
Gould, Pl. 139. 
Europa , Sibirien, Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep» 
| tentrionale. 


XXXVIT 


BACHSTELZEN. HOCHEQUEUES. 
MOTACILLA. BACHSTELZE. HOCHEQUEUE. 


Eigentliche Bachstelzen. Hochequeues proprement dits. 
Motacilla alba. Weisse Bachstelze. Hochequeue gris: 


Linn. , p. 331, n°. 11. — Motacilla albeola, Pallas, Zoogr., F, 
p- 506, n°. 139. — Naumann, Taf. 86. — Gould, Pl. 143. 


Europa ausser England, Sibirien , Nord- | L’Europe à l'exception de l’Angleter-. 


afrika. re,.la Sibérie , l'Afrique septentrionale. 


Motacilla alba lugubris (63). Trauer- Bachstelse. Hoche- 
queue lugubre. 


‘ Motacilla lugubris, Temm., Man., 1, p. 253. — Mot. Yarrellii, 
Gould, Birds of Europe, PI. 141. 
England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, visite périodiquement 
Europa, einzeln im übrigen Europa. l’Europe occidentale, s’égare quelquefois 
dans les autres parties de l’Europe. 


Motacilla boarula. Schwefelgelbe Bachstelze. Hochequeue 
jaune. 


Penn., Brit. Zool., I, p. 492. — Motacilla sulphurea, Bechst., 
Nat. Deutschl., III, p. 459. — Naumann, Taf. 87. — Gould, 
PI. 147. 

Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, 
Mittel- und Süd-Asien , Nordafrika. l’Asie centrale et méridionale, l'Afrique 

septentrionale. 


XXXVIIE 
b. Schafstelzen. Bergeronnettes. 


Motacilla flava,. Gelbe Schafstelze. Bergeronnette de prin- 
lems. 


Linn., p. 331, n°. 12. — Budytes flava, Cuv. k Règne an., I, 
p- 391. — Motacilla flaveola, Pallas, Zoogr., I, p. 501, n°. 136. — 
Motacilla neglecta, Gould, Pl. 146. 


Europa ausser England. Brütet im ge- L’Europe à l’exception de l’Angleterre, 


niche dans l’Europe tempérée, 


mässigten Europa. 


Motacilla flava Rayi (64). Gelbköpfige gelbe Schafstelze. 
Bergeronnette de printems a tête jaune. 


Motacilla flava, Ray, Syn., p. 75. — Gould, Pl. 145. — Motac. 
flaveola, Temm., Man., III, p. 183. — Budytes Rayi, Ch. Bon., 
List, p. 18, n°. 156. 

England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, passe, lors de l’époque 
Europa. de la migration, par l’Europe occidentale. 


Motacilla flava cinereocapilla. Grauköpfige gelbe Schaf- 
stelze. Bergeronnette de printems à tete grise. 


Motac. cinereocapilla, Savi, Orn. Tosc., III, p. 216. — Ch. 
Bonap., Icon. d. Fauna Ital., I, Tav. 31, fig. 2. 


Brütet in Italien. | En été en Italie, 


Motacilla flava melanocephala. Schwarzköpfige gelbe Schaf- 
stelze. Bergeronnette de printems a tete notre. 


Licht. , in Eversman, Reise, app. , p. 129. — Ch. Bonap. , Ic.d. 
Fauna Ital., I, Tav.31, fig. 3. 


Dalmatien, die Bucharei, Arabien, E- La Dalmatie, la Bocharie, l’Arabie 
gypten, Abyssinien, l'Egypte, PAbyssinie. 


XXXIX 


Motacilla citreola. Citronengelbe Schafstelze. Bergeronnetie 
citrine. 


Pallas, Iter, III, app. n°. 14. — Motacilla citrinella, Pall., 
Zoogr., I, p. 503, n°. 137. — Gould, PI. 144. 

Südöstliches Russland, Sibirien, die 
Bucharei, | 


Les parties meridionales de la Russie 
orientale, la Siberie, la Bocharie, 


DROSSELN. MERLES. 
TURDUS (65). DROSSEL. MERLE. 
a. Walddrosseln. Sylvains. 


Turdus viscivorus. Misteldrossel. Merle draine.. 


Linn. , p. 291, n°. 1. — Naumann, Taf. 66. — Gould, Pl. 77. 
Europa. | L'Europe. 


Turdus pilaris- Woachholderdrossel. Merle litorne. 


Linne, p. 291, n°. 2. — Naumann , Taf. 67. — Gould, PI. 76. 


Europa, Kleinasien. | L’Europe, l'Asie mineure. 
Turdus Naumannii. Naumann’s Drossel. Merle Naumann. 


Temm., Man.,I, p. 170. — Turdus fuscatus, Pall., Zoogr., TI, 
p- 451,n°. 92, c. fig. — Turdus eunomus, Temm., Pl. col. 514, 
.(Japonia). — Naumann, Taf. 68, fig. 1, 2. — Gould, PI 79, 
(Japon.). 

Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon , la Sibérie, aceidentellement 


en Europe. 


Turdus migratorius. Wanderdrossel. Merle voyageur. 


Linn. , p. 292, n°. 6. — Wilson, Pl. 2, fig. 2.— Brehm, Vôg. 
Deutsch., p. 388. — Merula migratoria, Gould, Pl. 74. 


Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique du Nord, accidentellement 
en Europe. 


LA 


XL 
_Turdus paliens. Blassdrossel. Merle blafard. 


Pallas, Zoogr., I, p. 457, n°. 98. — Turdus pallidus, Gmel. 
Linn., p. 815, n°. 45? — Turdus iliacus pallidus, Naum., II, p. 
279. — Turdus Seyffertitziü , Brehm, Vög. Deutschl., p. 387. — 
Turdus Werneri, Gene, Mem. Acad. Tor., XXXVII, p. 291, e. 
fig. — Turdus pallidus, Werner, Atlas du Manuel, fig. s. num. 


Japan, Daourien, einzeln in Europa. Le Japon , la Daourie, accidentellement 
en Europe. 


Turdus iliucus. Rothdrossel. Merle mauvts. 


Linné, p. 292, n°. 3. — Turdus Illas, Gessner, Av., p. 760. — 
Naumann, Taf. 67. — Gould, Pl. 78, fig. 2. 


Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 
Turdus musicus. Singdrossel. Merle grive. 


Linne, p. 292, n°. 4. — Naumann, Taf. 66. — Gould, PI. 78, 
bo. 1. | 
Europa, Sibirien , Klein-Asien , Egypten. ‚L’Europe, la Sibérie, l'Asie mineure, 

l'Egypte. 


Turdus solitarius (66). Einsiedlerdrossel. Merle solitaire. 


Wilson, vol. V, Pl. 43, fig. 2. — Merula solitaria, Swaimson, 
Fauna bor. am., Birds, p. 184, PI. 35. — Turdus minor, (Lath.), 
Naumann, Isis, 1826, p. 520. 


Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique septentrionale, accidentel- 
lement en Europe. 


Turdus auroreus (67). Mondfleckige Drossel. Merle aurore. 


Pallas, Zoogr., I, p. 448, n°. 87. — Rotermund, Isis, 1828 


XET 


p- 1036; Gloger , ibid. , p. 1041. — Gloger, Vögel Eur., p. 173. — 
Turdus Bechsteinii jun., Naumann, Il, p. 314, Taf. 69, fig. 2. 


Zwei Exemplare in Deutschland beo- Observé plusieurs fois en Allemagne; 
bachtet ; bewohnt , nach Pallas, die In- habite, suivant Pallas, Pile de Kadiak, si- 
sel Kadiak an der  Nordwestküste tuée sur la côte occidentale de l’Ameri- 
Amerikas. que du Nord. 


Turdus atrigularis. Schwarzkehlige Drossel. Merle à gorge 
noire. 


Gloger, Vög. Europ., p. 182. — Turdus atrogularis, Temm. , 
Man., I, p. 169. — Turdus Bechsteini, Naumann, II, p. 310, 
n°. 69, Taf. 69, fig. 1. — Merula atrogularis, Ch. Bon., List, p. 
17. — Turdus ruficollis Pallas, Zoogr. , I, p. 452, n°. 93, c. fig. ? — 
Gould, PI. 75. 


Sibirien, Nepaul, einzeln in Europa. La Siberie, le Nepaul, accidentelle- 
ment en Europe. 


Turdus torquatus. Ringdrossel. Merle a plastron. 


Linné, p. 296, n°. 23. — Merula torquata , Gessner, Av., p. 
607. — Naumann, Taf. 70. — Gould, PI. 73. 


Europa, Egypten. | L'Europe, Égypte. 
Turdus merula. Schwarzdrossel. Merle notr. 
Linné, p. 295, n°. 22. — Merula merula, Boie, Isis, 1826, 


p- 972. — Naumann, Taf. 71. — Gould, Pl. 72. 
Europa. | L’Europe. 


eg 


Turdus Whitii Whites Drossel. Merle de White. 


Eyton, Rarer Brit. Birds, p. 92. — Turdus varius, Pall., 
Zoogr., p. 449, n°. 88. — Yarrell, Brit. Birds, I, p. 184, ce. 


XLII 


fig. — Oreocincla Whitei, Gould, Proceed. Zool. Soc., 1837, pe 
45. — Gould, Pl. 81. | 


Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon, la Sibérie, accidentellement 
en Europe. 


Turdus varius (68). Bunte Drossel. Merle varié. 


Horsf., Linn. Trans., XIII, p. 149; Zool. Res., Tab. s. num. — 
Yarrell, Brit. Birds, I, p. 186. 


Java, Australien, zufällig in Europa. Java, PAustralie, accidentellement en 
Europe. 


b. Steindrosseln. Merles de roche. 


Turdus saxatilis. Gemeine Steindrossel. Merle de roche 
commun. 


Linne, p. 294, n°. 14. — Petrocossyphus saxatilis, Boie, Isis, 
1826, p. 972. — Naumann, Tab. 73. — Gould, PI. 86. 


Südliches Europa, Westasien , Nord- L’Europe méridionale, l’Asie occiden- 
afrika. tale, l'Afrique septentrionale, 


Turdus cyaneus. Blaue Steindrossel. Merle de roche bleu. 


Linne, p. 296, n°. 24.— Naumann, Tab. 72. — Gould, Pl. 87. 
Südliches Europa, Egypten. | L’Europe meridionale , PEgypte. 


HALBDROSSELN. TURDOIDES. 
IXOS. HALBDEOSSEL. TURDOIDE. 
Ixos obscurus. Dunkle Halbdrossel. Turdoide obscur. 


Temm., Man., III, p. 608. 


Andalusien , nordwestliches Afrika. L’Andalusie, les parties occidentales du 
Nord de PAfrique, 


fr 


XLITE 


PIROLE. LORIOTS. 
ORIOLUS. PIROL. LORIOT. 


Oriolus galbula. (Gremeiner Pirol. Loriot ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 160, n°. 1. — Naumann, Tab. 61. — 
Gould, Pl. 71. 
Europa. ne | L’Europe. 


WASSERSCHWÄTZER. CINCLES. 
CINCLUS (69). WASSERSCHWATZER, CINCLE. 


Cinclus aquaticus (70). Gemeiner Wasserschwätzer. Cincle 
plongeur. 


Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 103. — Sturnus cinclus, Linne, 
Syst., XII, p. 290, n°. 5. — Merula aquatica, Brisson, V, p. 
252, n°. 19. — Naumann, Tab. 91. — Gould, PI. 83 et 84. 


Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. 


FLUHVOGEL. ACCENTEURS. 
ACCENTOR. FLUHVOGEL. ACCENTEUR. 
Accentor alpinus. Alpen-Fluhvogel. Accenteur des Alpes. 


Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 700. — Motacilla alpina, Gmel. 
Linné , p. 957, n°. 65. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 99. 


Schweizer Alpen, Gebirge Italiens, Les Alpes suisses, les montagnes de 
England. l'Italie, PAngleterre. 


Accentor montanellus. Berg-F luhvogel. Accenteur montagnard. 


Temm., Man, I, p. 251. — Motacilla montanella, Pall., It., 
Il, app., n°. 12. — Naumann, Tab. 92. — Gould, Pl. 101. 


Sibirien, nach Ostereich verirrt, | La Sibérie, observé en Autriche. 


XLIV 


Accentor modularis. Braunellen-Fluhvogel. Accenteur mouchet. 


Cuv., Regne an., I, p. 388. — Motacilla modularis, Linne, 
Syst., XII, p. 329, n°. 3. — Naumann, Tab. 92. — Gould, 
PI. 100. 


Europa. | | L’Europe. 


ZAUNKONIGE. TROGLODYTES. 
TROGLODYTES. ZAUNHONIG. TROGLODYTE. 


Troglodytes troglodytes (71). Gemeiner Zaunkönig. Trog- 
lodyte ordinaire. 


Cuvier, Règne an., I, p. 390. — Motacilla troglodytes, Linné, 
p. 337, n°. 46. — Naumann, Tab. 83. — Gould, Pl. 130. 


Europe. | L'Europe. 


GOLDHAHNCHEN. ROITELETS. 
REGULUS. GOLDHANCHEN. ROITELET. 


Regulus cristatus. Gemeines Goldhähnchen. Rottelet ordinaire. 


Willughby, Orn., p. 163. — Motacilla regulus, Linné, p. 338, 
n°. 48. — Naumann, Tab. 93. — Gould, Pl. 148, fig. 1. | 


Europa , Kleinasien, | L'Europe, l'Asie mineure. 


Regulus ignicapillus. Feuerköpfiges Goldhähnchen. Rortelet 
triple bandeau. 


Naumann, III, p. 983, Tab. 93, fig. 4, 5, 6. — Sylvia igni- 
capilla, Brehm in Temm., Man, I, p. 231. — Regulus pyrace- 
phalus, Brehm, Beitr., II, p. 130. — Naumann, Tab. 93. — 


Gould, Pl. 148, fig. 2. 
Europa. | L'Europe. 


XLV 
Aeguius modestus. Bastard Goldhähnchen. Rottelet bâtard. 
Gould, Birds of Europe, PI. 149. — Motacilla proregulus, Pal- 
las, Zoogr., I, p. 499, n°. 133. — Regulus proregulus, Keys. 
u. Blas., p. LV. 


Dalmatien, Daourien. | La Dalmatie, la Daourie. 


MEISEN. MESANGES. 


PARUS (72). MEISE. MESANGE. 


a. Eigentliche Meisen. Mesanges proprement dites: 
Parus major. Kohlmeise. Mesange charbonniere. 


Linne, p. 341, n°.3. — Naumann, Tab. 94. — Gould, Pl. 150. 


Europa, Sibirien. | I’Europe „ la Sibérie. 
Parus lugubris (73). Trauermeise. Mésange lugubre. 


Natterer im Temm. > Man. , I, p. 293. — Michahelles in Sturm, 
Deutschland’s Fauna, 2 Heft, Tab. 1. — Gould, Pl. 151, fig. 1. 


Dalmatien, Umgegend von Triest, La Dalmatie, les environs de Trieste, 


Ungarn. la Hongrie. 


Parus palustris. Sumpfmeise. Mésange nonnette. 


Linn., p. 341, n°. 8 — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI. 
155, fig. 2. 


Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 
Parus sibiricus. Sibirische Meise. Mésange de Sibérie. 


Gmel. Linn., p. 1013, n°. 24 — PI, enl. 708, fig. 3 — 
Wright, Svensk. Fogl., Häft 26. — Nilsson Skandinav. Fauna, 


XLVI 


Fogl. , 1, p. 337. — Parus lugubris, Leuiersté; Resa 1 Lappm. , I, 
p. 249, Tab. 3. — Gould, PI. 151, fig. 2. 


Sibirien, Skandinavien. | La Sibérie, la Scandinavie. ” 


Parus ater. Tannenmeise. Mésange petite charbonnière. 


Linn., p. 341, n°. 7. — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI. 
155, fig. 1. 


Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 
Parus cristatus. Haubenmeise. Mésange huppee. 


Linn., p. 340, n°. 2. — Naumann, Tab. 34. — Gould, PI. 156. 


Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee. 
Parus coeruleus. Blaumeise. Mésange bleue. 


Linn. , p. 841, n°. 5. — Naumann, Tab. 95. — Gould, PI, 154. 
Europa. | L'Europe. R 


Parus cyaneus. Lasurmeise. Mésange azurée. 


Pallas, Nov. Comment. Petrop., XIV; p. 588. — Naumann, 
Tab. 95, fig. 3. — Gould, PI. 158. 
Sibirien, zufällig in Europa. | La Sibérie, accidentellement en Europe. 


Pb, Schwanzmeisen. Mésanges à longue queue. 


Parus caudatus. Gemeine Schwanzmeise. Mésange a longue 
queue ordinaire. 


Linn., p. 342, n°. 11. — Mecistura caudata , Leach, Mus. Brit, 
et auct, angl. — Naumann, Tab. 95. — Gould, Pl. 157. 


Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie, 


XLVIT 
€. Bartmeisen. Mesanges barbues. 


Parus biarmicus. Gemeine Bartmeise. Mésange barbue com- 
mune. 


Linn., p. 342, n°. 12. — Parus barbatus, Brisson, Orn. , III, 
p. 567, no. 12. — Calamophilus biarmicus, Leach, Mus. Brit. et 
auct. anglic. — Calamophilus barbatus, Keys. u. Blas., p. XLIII. — 
Naumann, Taf. 96. — Gould , PI. 158. 


Europa. | L’Europe. 
d. Beutelmeisen. Mesanges-remiz. 


Parus pendulinus. Gemeine Beutelmeise. Mesange - remız 
ordinaire. 


Linn. , p. 342, n°. 13. — Aegithalus pendulinus, Boie, Isis, 
1822, p. 556. — Naumann, Tab. 97. — Pl. 159. 


Östliches Europa, Sibirien. | L’Europe orientale, la Sibérie. 


BAUMLÄUFER. GRIMPEREAUX. 


CERTHIA (74. BAUMLAUFER. GRIMPEREAU, 


Certhia familiaris. Gemeiner Baumläufer. Grimpereau com- 
mun. 


Linn., Syst., XII, p. 184, n°. 1. — Naumann, Tab. 140. — 
Gould , Pl. 237. 


Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 
TICHODROMA, MAUERLAUFER. TICHODROME. 


Tichodroma muraria. (remeiner Mauerläufer. Tichodrome 
échelette. 


Hliger, Prodr., p. 211, — Certhia muraria, Linn., Syst., XIT, 


XLVIII 


p- 184, n°. 2. — Tichodroma phoenicoptera, Temm., Man., I, 
p. 412. — Naumann, Tab. 141. — Gould, PI. 239. 


Gebirge des südlichen Europa’s bis Les montagnes de l’Europe méridio- 
Persien. nale jusqu’en Perse. 


SPECHTMEISEN. SITELLES. 
SITTA, SPECHTMEISE. SITELLE. 


Sitta europaea. (Gemeine Spechtmeise. sSitelle torchepot. 


Linn., Syst., XII, p. 177, n°. 1. — Naumann, Tab. 139. — 
Gould, Pl. 234. 


Europa. | L’Europe. 


Sitta uralensis. Uralische Spechtmeise. Sitelle de l'Oural. 


Lichtenst. in Gloger, Handb., I, p. 377 et 378, (nota). — Sitta 
europaea var. sibir., Pallas, Zoogr., I, p. 546 et 547. — Sitta. 
asiatica, Temm. in Gould, Pl. 236. — Sitta sericea, Temm., Man. , 
III, p. 645. | 


Sibirien bis zum Ural. | La Sibérie jusqu’a l’Oural. 
Sitta syriaca. Syrische Spechtmeise. Sitelle de Syrie. 


Ehrenberg, Symb. phys., pag. 0. — Sitta Neumayeri, Mi- 
chahelles, Isis, 1830, p. 814. — Sitta rufescens, Temm. in Gould, 
PI. 235. — Sitta rupestris, Cantr. in Temm., Man., III, p. 287. — 
Ch. Bonap., Icon. d. Faun. ital., I, Tav. 26, fig. 2. 


Dalmatien , Syrien, | La Dalmatie , la Syrie. 


XLIX 


SPECHTE. PICS. 
PICUS. SPECHT. PIC: 
a. Schwarzspechte. Pics noirs. 


Picus martius. Gemeiner Schwarzspecht. Pic noir ordinaire: 


Linn., p. 173, n°. 1. — Dryocopus Martius, Boie, Isis, 1826, 
p- 977. — Naumann, Taf. 131. — Gould, PI. 225. 


Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et temperee, la 
Sibirien. Siberie. 


b, Grünspechie. Pics verts. 
Picus viridis. (Gemeiner Grünspecht. Pic vert ordinarre: 


Linn., p. 175, n°. 12. — Gecinus viridis, Boie, Isis, 1828, 
p. 316. — Naumann, Taf. 132. — Gould, PI. 226. 


Europa , westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. 
Picus canus. Grauer Grünspecht. Pic vert cendré. 


Gmelin Linn., p. 434, n°. 45. — Naumann, Taf. 133. — 
Gould, PI. 227. 


Mittleres und östliches gemässigtes Eu- Les parties temperees de l’Europe orien- 
ropa , Sibirien. tale et centrale, la Sibérie, 


c. Buntspechte. Pics variés, 


Picus leuconotos. Weissrückiger Buntspecht. Pic varié à 
dos blanc. 


Wolf u. Meyer, Naturgesch., Heft II, (mas. et fem.) — Picus 
leucotus, Bechst., Orn. Tasch., I, p. 66, n°.6, cum fig. — Gould, 
PI. 228. \ 


Östliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie. 


4 


E, 
Picus major, Grosser Buntspecht. Pic varié epeiche. 


Linn., p.176, n°. 17. — Naumann, Taf.134.— Gould, PI. 229. 
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie, 


Picus medius. Mittlerer Buntspecht. Pic varié a tete rouge. 


Linn. , p. 176, n°. 18. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 230. 
Europa. | L'Europe. 


Picus minor. Kleiner Buntspecht. Pic varié epeichette. 


Linn., p. 176, n°. 19. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 231. 


Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie, 
d. Dreizehige Spechte. Pics tridactyles. 


Picus tridactylus. (Gremeiner dreizehiger Specht. Pic iri- 
| dactyle ordinaire. 


Linn., p. 177, n°. 21. — Apternus tridactylus; Swainson, in 
Rich., Fauna Bor. Amer., Birds, p. 301. — Naumann, Taf. 137. — 
Gould, PI. 232. 


Gebirgswälder Mitteleuropa’s, nördli- Les forêts en montagne de l’Europe 
ches Europa, Sibirien. centrale, le nord de l’Europe, la Sibérie. 


WENDEHALSE.. TORCOLS. 
YUNX. WENDEHALS. TORCOL. 
Yunz Ttorguilla. ces Wendehals. Torcol ordinaire. - 
ia, Syst., XIT, p. 172, n°. 1. — NT 


Gould, PI. 235. 


Europa, nördliches Asien. | L'Europe, l'Asie septentrionale, 


Lt 
- KUCKUCKE. COUCOUS. 
ucvits. wrekvon. coUCor. 
a. Eigentliche Erekucke. Coucous proprement dits. 


Cuculus canorus. Gemeiner Kuckuck. Coucou gris. 


Linn., Syst., XII, p. 168, n°. 1.— Naumann, Taf. 127, 128, 
129. — Gould, Pl. 240. 


Europa, Afrika, nördliches Asien. | L’Europe,l Afrique, l'Asie septentrionale. 
© Pb. Strausskuckucke. Coucous à huppe. 


Cuculus glandarius. (Gemeiner Strausskuckuck. Coucou à 
huppe ordinaire. 


Linn., Syst., XII, p: 169, n°®. 5: — Oxylophus glandarius, Ch. 
Bon., List, p. 40. — Naumann, Taf. 130. — Gould, PI. 241. 

Nordafrika, Syrien, zuweilen im süd- L’Afrique septentrionale, la Syrie, ac- 
lichen Europa. cidentellement en Europe. 


% ©. Brillenkuckucke. Coucous à lunettes. 


Cuculus americanus. Amerikanischer Brillenkuckuck. Cou- 
cou à lunettes d'Amérique. 


Linn., Syst., XII, p. 170, n°. 10. — Cuculus carolinianus , 
Catesby, I, p. 9, F. 9. — Wilson, Pl: 28, fig. 1. — Cuculus 
cinerosus, Temm. Man., III, p. 277. — Erythrophrys americanus, 
Ch. ont Ep. 40. — Gould, PI. 242. | | 
“ Nordafsika, zufällig in Europa. | L'Amérique du Nord, accidentellement 

en Europe: 


LIT 


.  WIEDEHOPFE. HUPPES. 
UPUPA, WIEDEHOPF. HUPPE. 
 Upupa epops. Europäischer Wiedehopf. Huppe d'Europe. 


Linn., Syst., XII, p. 183, n°. 1. — Naumann, Taf. 142, — 
Gould, Pl. 238. | 


Europa, nordwestliches Asien, Nord- | L'Europe, le nord de l’Asie occiden- 


at tale, l’Afrique septentrionale. 


EISVOGEL. MARTIN-PÉCHEURS. 
ALCEDO. EISVOGEL. MARTIN-PECHEUR, 
Alcedo ispida. Gemeiner Eisvogel. Martin-pecheur commun. 


Linn., p. 179, n°. 3. — Naumann, Taf. 144. — Gould, PI. 61. 


Europa, Asien, nördliches Afrika. | L'Europe, P’Asie,l’Afrique septentrionale. 
Alcedo rudis. Geschäckter Eisvogel. Martin-pecheur pie. 


Hasselquist, It., p. 243, n°. 22. — Linn., p. 181, n’. 12. — 
Ceryle rudis, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Gould, PI. 62. 


Südôstliches Europa, Afrika. N Les parties chaudes de l’Europe orien- 
|. tale, l'Afrique. 


BIENENFRESSER. GUEPIERS. 
MEROPS. BIENENFRESSER. GUÉPIER. 
Merops apiaster. Gemeiner Bienenfresser. Guepier vulgaire. 


Linn., p. 182, n°. 1. — Naumann, Taf. 145. — Gould, PI. 59. 
Südliches Europa, Egypten. | L'Europe méridionale , l'Égypte. 


LI 
Merops persica, Südlicher Bienenfresser. Guepier méridional. 
_ Pallas, It., II, app. n°. 16. — Merops aegyptius, Forskal, 
Descr. an., Aves, p. 1, sp. 2. — Guépier Savigny, Levaill., Hist. 
Nat. Promerops etc., Pl. 6 et Pl. 6 bis. — Merops Savignyi, 
Swainson, Birds of West. Afr., II, p. 77, Pl. 7. — Merops 
aegyptius, Ch. Bonap. , Fauna Ital., Tav. 25, fig. 1. 


Nordafrika, kaspisches Meer, zuweilen L’Afrique septentrionale ; les bords de 
im südlichen Europa. la Mer Caspienne, accidentellement dans 
le midi de l’Europe. 


KRAHENARTIGE VOGEL. CORACES. 
CORVUS. HRAHE. CORBEAU.. 


«. Eigentliche Krähen. Corbeaux proprement dits. 
Corvus corax. Rabe. Corbeau. 


Linn., p. 155, n°. 2, — Naumann, Taf. 53. — Gould, PI. 220. 


Europa , Sibirien, auf den Fär-Inseln | IEurope, la Sibérie ;. on observe sou- 
häufig eine weissgefleckte Abart: Corvus vent aux îles Fär une variété tapirée de 
varius, Brünnich , Orn. bor. , p. 8 , n°. 28; blanc du corbeau; c’est le Corvus varius, 
Corvus leucophaeus, Vieill., Galerie, I, Brünnich, Orn. bor., p. 8, n°. 28, 
PI. 100. et Corvus leucophaeus, Vieillot., Gal., I, 

PI. 100. 


Corvus corone (TAbis). Rabenkrähe. Cornerlle notre. 


Gmel. , Latham, Index, I, p. 151, n°. 4 — Naumann, Tab. 
53. — Gould, PI. 221. 4 


Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 


Liv 
Corvus cornia. Nebelkrähe. Corneille mantelée. 


Linné, p. 156, n°, 5, — Naumann, Tab, 54. — Gould, PI, 222. 
Europa, Sibirien. - | L'Europe, la Sibérie, 


Corvus frugilegus, Soalkrähe. Freux. 


Linne, p. 156, n°. 4 — Corvus corone, Linné, Fauna suec., 
p. 29, n°. 86. — Naumann , Tab. 55. — Gould, PI. 224. 
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale, 


b. Dohlen. Choucas. 


Corvus monedulu. Gemeine Dohle. Choucas commun. 


Linné, p. 156, n°. 60, — Monedula turrium, Brehm , Handb. , 
p. 172. — Naumann, Tab. 56. — Gould , Pl. 223. 


Europa, Sibirien, ; .| L'Europe, la Sibérie. 
Corvus monedula nigra (75). Schwarze Dohle. Choucas noir. 


Gmel. Linn., p. 368, no. 6, à. — Monedula nigra; Sperma- 
legus s. frugilega, Frisch, Tab. 68. — Corvus spermologus , 
Vieillot, Nouv. Dict. Déterv., T. 8, p. 40. 


Südliches Frankreich, soll in Spanien | La France méridionale ; commun, à ce, 
gemein seyn, | que Pon dit, en Espagne. 


PICA, ELSTER, PIE. 
Pica vuriu. TWemeine Elster, Pie commune. 


Gessner , Aves, fol. 965. — Corvus pica, Linne, p: 157, n° 
13, — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 216. 


Europa, Sibirien, |  LEurope, la Sibérie, 


+ 
re 


Lv 
Pica cyanea. Blaue Elster. Pie bleue: 
> Wagler, Syst: Avium , sp. 6.— Corvus cyaneus, Pallas, It., II ; 
app- , p- 694, n°. 7. — Gould, PI 217. 
Spanien, Mongolei, Japan. | L'Espagne, la Mongolie , le Japon. 


CARYOCATACTES. NUSSHNACHER. CASSENOIX. 


Caryocatactes caryocatactes. Gemeiner Nussknacker. Casse- 
à | noix ordinaire. 


Cuv., Règne an., I, p. 423. — Corvus caryocatactes, Linné, 
p- 157, n°. 10. — Naumann, Tab. 58 — Gould, PI. 213. 
“ Gebirgsgegenden des gemässigten und Contrees montagneuses de la Siberie et 
nördlichen Europas und Sibiriens. de l'Europe tempérée et septentrionale. - 


GARRULUS. HEHER: GEAI. 
a. Eigentliche Heher. Geais proprement dits. 
Garrulus glandarius. Mussheher: (Gear glandivore. 


Cuv., Règne an., I, p. 422. — Corvus glandarius, Linne, 
p. 156, n°. 7. — Naumann, Tab. 58. — Gould, PI. 215. 


Gemässigtes Europa. Il L'Europe temperee. 


Garrulus glandarius melanocephalus (76). Schwarzköpfiger 
Nussheher.. Great glandivore a calotte notre. 


Garrulus melanocephalus, Gene, Mém. Ac. Turin, XXXVI, D: 
298 , PI. 1. 


Kaucasus, Syrien. | Le Caucase, la Syrie. 
\ 


LVI 
b, Meisenheher. Geais imitateurs. 


Garrulus infaustus, (remeiner Meisenheher. Geai imitateur 
ordinaire. 


Boie, Reise in Norwegen , Append. — Corvus infaustus, Linné, 


Fauna suec., p. 32, n°. 93. — Dysornithia infausta, Swainson, 
Fauna Bor. Am., Birds, p. 495. — Gould, PL 215. 
Nördliches Europa und Asien. | Le nord de l'Europe et de PAsie. 


PYRRHOCORAX. ALPENHRAHE. CHOCARD. 


Pyrrhocorax pyrrhocorax. (remeine Alpenkrähe. Chocard 
des Alpes. 


Cuvier, Règne an., I,p. 379. — Corvus pyrrhocorax, Linné, 
p. 158, n°. 17. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 218. 


Gebirge Südeuropa’s, | Les montagues de l’Europe méridionale. 


FREGILUS. STEINHRAHE. CRAVE. 
Fregilus graculus. Gemeine Steinkrähe. Crave d'Europe. 
Cuv., Règne an., I, p. 458. — Corvus graculus, Linné, p- 
158, n°. 18. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 219. | 


Einige Felsenküsten Grossbritanniens, Les Alpes de la Suisse, du Caucase et 
Alpen , Kaukasus, sibirische Alpen. de la Siberie; se trouve aussi sur plu- 
sieurs points des cötes rocailleuses de la 

| Grande Bretagne. 


RACKEN. ROLLIERS. 
CORACIAS. RACHE. ROLLIER. 


Coracias garrula. Blaue Racke. Rollier vulgaire. 


Linne, Syst., XII, p. 159, n°. 1. — Naumann, Tab. 60. — 
Gould, PI. 60. | | 
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale , PA- 
Nordafrika, westliches Sibirien. frique septentrionale, la Sibérie occiden- 
tale. 


EVII 


SEIDENSCHWANZE. JASEURS. 
BOMBYCILLA. SEIDENSCHWANZ. JASEUR. 


Bombyeilla garrula. Gemeiner Seidenschwanz. Grand Jaseur. 


Vieill., Nouv. Dict., vol. 16, p. 523. — Bombycilla bohemica , 
Brisson, Orn., II, p. 333, n°. 63. — Lanius garrulus, Linne, 
Fauna suec., n°. 82. — Ampelis garrulus, Linné, Syst., XII, 
p- 297, no. 1. — Garrulus bohemicus, Gessner, Av., p. 703. — 
Bombycivora garrula, Temm., Man., I, p. 124. — Bombyciphora 
poliocoelia, Meyer, Vögel Liv. u. Esthl., p. 104. — Naumann, 
Tab. 59. — Gould, PI. 160. 

Nördliches Asien, in gewissen Jahren L'Asie septentrionale, de temps à 
auf dem Zuge in Europa. temps de passage en Europe. 


STAARE. ÉTOURNEAUX. 
STURNUS. STAAR. ÉTOURNEAU. 


Sturnus vulgaris. Bunter Staar. Etourneau vulgaire. 


Linne, Syst., XII, p. 290, n°, 1. — Naumann, Tab. Bar, 
Gould, Pl. 210. | 


Europa, südwestliches Sibirien , Nord- L’Europe . les parties méridionales de la 


afrika. | Sibérie occidentale , le nord de l’Afrique. 


Sturnus vulgaris unicolor. KEinfarbiger Staar. Etourneau 
unticolore. - 


Sturnus unicolor, Marmora in Temm., Man., I, p. 133 et Pl. col. 
111. — Ch. Bon., Icon. d. Faun. ital., I, Tab. 33, fig. 1. — 
Gould, PI. 211. 


Sardinien, Algerien. [| La Sardaigne, l'Algérie, 


LVIIT 
PASTOR, FVIEHVOGEL. MARTIN. 
Pastor roseus. Rosenfarbiger Viehvogel. Martin roselin. 


Temm., Man., I, p. 136. — Merula rosea, Aldrov., Orn., II, 
p- 626. — Turdus roseus, Linné, Syst., XII, p. 294, n°. 15. — 
Pastor roseus, Temm., Man., I, p. 136. — Acridotheres roseus, 
Ranzani, Elem. Zool., III, p. 177. — Ch. Bonap., Icon. Faun. 
ital., I, Tab..32. — Naumann, Tab. 63. — Gould, Pl. 212. 


“ Südöstliches Europa, Afrika, westli- Les contrées chaudes de l'Europe orien- 
ches Asien. tale, l'Afrique, l'Asie occidentale. 


LERCHEN. ALOUETTES. 
ALAUDA. LERCHE. ALOUVETTE. 


a. Bogenschnäblige Lerchen. Alouettes a bee en faux. 


Alauda bifasciata (77). Zweibindige Lerche. Alouette double- 
bande. he 


Gould, Birds of Europe, Pl. 168. -—- Certhilauda bifasciata , 
Ch. Bon., List, p. 37. ) 


Andalusien. | L’Andalousie. 


Alauda Dupontii (78). Dupont’s Lerche. Alouette Dupont. 


Vieill., Faune franc., p. 173, Pl. 76, fig. 2. — Roux, Orn. 
prov., I, p. 285, Pl. 186. — Werner, Atlas du Manuel, Pi. 


Nordafrika? zufällig im südlichen Eu- L’Afrique septentrionale ? accidentelle- 
ropa. | ment dans le midi de l'Europe. 


LIX 
5, Eigentliche Lerchen. Alouettes proprement dites. 
Alauda arvensis (79). Feldlerche. Alouettes des champs. 


Linné , p. 287, n°. 1, — Naumann , Taf. 100. — Gould, PI. 166. 


Europa, Sibirien, Kleinasien, Ara- ‘Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, 
bien, Unteregypten. l'Arabie, la basse Égypte. 


Alauda cristata. Haubenlerche. Alouette cochevis. 


Linné, p. 288, n°. 6. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 
165. 


Gemässigtes und südliches Europa, Si- 


L'Europe tempérée et méridionale, la 
birien, nordöstliches Afrika. 


Sibérie, les parties septentrionales de 
PAfrique orientale. 


Alauda arborea. Baumlerche. Alouette lulu. 


Linne, p. 287, n°. 3, — Naumann, Tab. 100. — Gould, PI. 
167. 


Europa , Sibirien, Kleinasien, | L'Europe, la Sibérie, l'Asie mineure. 


Alauda brachydactyla (80). Kurzzehige Lerche. Alouette 
calandrelle. 


Leisler, Wetter. Ann., III, p. 357. — Melanocorypha arenaria, 
Ch. Bon., List., p. 38, n°. 256. — Naumann, Tab. 98. — Gould, 
PI. 163. 

Südliches Europa, Egypten, Nubien, L’Europe meridionale, PÉgypte, la 
Abyssinien, Nubie, l’Abyssinie, 


Lx 
_ Alauda isabellina. Isabellfarbige Lerche. Alouette isabelle. 


Temm., PI. col. 244, fig. 2. — Alauda deserti, Lichtenst., Ca- 
talog., 1823, p. 28, n°. 286. — Temm., Manuel, III, p. 637. 


Ober-Egypten, Griechenland. - | La haute Égypte, la Grèce. 


Alauda alpestris (81). Berglerche. Alouette à hausse-col noir. 


Linne , p.289 , n°. 10. — Phileremos alpestris, Brehm, Handb., | 
p. 313. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 164. 


Nordôstliches Europa, nôrdliches Asien, Les parties orientales du nord de P’Eu- 
einzeln in Mittel-Europa. rope, l'Asie septentrionale, accidentel- 
lement dans l'Europe centrale. 


ec. Dickschnäblige Lerchen. Alouettes à bec gros. 
Alauda tatarica. Steppenlerche. Alouelte nègre. 


Pallas, It., II, app. n°. 15. — Alauda mutabilis, S. G. Gmel., 
Nov. “Comm. Petrop., XV, p. 479, Tab. 23, fig. 2. — Melano- 
corypha tatarica, Ch. Bon., List, p.38. — Gould, PI. 161. 


Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie. 


Alauda calandra. Kalanderlerche. Alouette calandre. 


Linné, p. 288, ne 9. — Melanocorypha calandra, Boie, Isis, 
1828, p. 322. — Naumann, Tab. 98. — Gould, PI. 162. 


Südliches Europa, Kleinasien, Nord- Le midi de l’Europe, l’Asie mineure, 
afrika. PAfrique septentrionale. | 


Alauda sibirica. Sibirische Lerche. Alouette de Sibérie. 


Gmel. Linné, p. 799, n°. 31. — Alauda calandrae affinis, 
Pallas, It. app., n°. 15. — Alauda leucoptera, Pallas, Zoogr., 
I, p. 518, n°. 147, Tab. XXXIIT, fig. 2. 


Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie. 


LXI 


FINKENARTIGE VÖGEL. FRINGILLOÏDES. 


FRINGILLA. FINH. PINSON. 


a. Eigentliche Finken. Pinsons proprement dits. 
Fringilla coelebs. Buchfink. Pinson ordinaire. 


Linne, p. 318, n°. 3. — Naumann, Tab. 118. — Gould, Pl. 187. 
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l’Afrique septen- 
| trionale. 


Fringilla montifringilla. Bergfink. Pinson de montagne. 


Linne, p. 318, n°. 4. — Naumann, Tab. 119. — Gould, PI. 
188. 


Europa, Kleinasien , Sibirien. | L'Europe, l’Asie mineure, la Sibérie. 
b. Schneefinken. Pinsons de neige. 


Fringilla nivalis. Alpen-Schneefink. Pinson de neige des 
Alpes. 


Brisson, Orn., III, p. 162, Tab. 15, fig. 1. — Montifringilla 
nivalis, Brehm, Handb, p. 269. — Naumann, Tab. 117. — Gould, 
PI. 189. 


* Schweizer Alpen, Kaukasus. | Les Alpes Suisses, le Caucase, 
€. Grünlinge. Verdiers. 
Fringilla chloris. (Gemeiner Grünling. Verdier ordinaire. 


Illiger, Prodr., p. 222. — Loxia chloris, Linné, p. 304, n°. 
27. — Chlorospiza chloris, Ch. Bon., List, p. 30. — Naumann, 
Tab. 120. — Gould, PI. 200. 


Europa. F L'Europe, 


LXIT 
_Fringilla incerta. Bastard-Grünling. Verdier bätard. 


Risso, Hist. nat. de l’Eur. mer., III, p. 52, n°. 135. — Roux, 
Orn. prov., I, Suppl. p. 378, PI. 78 bis (fem.). — Chlorospiza 
incerta, Ch. Bonap., List, p. 30, n°. 206; Fauna italica, I, 
Tab. 38 (mas. et fem.). | 


Südliches Frankreich. | La France méridionale. 


d. Citronenfinken. Venturons. 


Fringilla citrinella. Gemeiner Citronenfink. Venturon ordi= 
naire. 


Linné, p. 320, n°. 16. — Citrinella serinus, Ch. Bonap., List, 
p- 34 — Citrinella alpina, Ch. Bon. Cat., p. 48. — Naumann, 
Tab. 124.,— Gould, PI. 198. 


Südliches Europa, | Le midi de l’Europe. 


e. Hänflinge. - Linottes. 


Fringilla cannabina. Bluthänfling: Linotte vulgaire. 


Linné, p. 322, n°, 28. — Cannabina arbustorum, Brehm 5 
Handb. , p. 277. — Naumann, Tab: 121: — Gould; PI. 191. 
Europa, Kleinasien, Abyssinien. |  L’Europa, l’Asie mineure, PAbyssinie. 


Fringilla flavirostris (82). Berghänfling: Linotte de montagne. 


Linné, p. 322, n°. 27. — Fringilla montium, Gmel. Linné, 
p- 917, n°. 68. — Naumann, Taf. 122. — Gould, PI. 192. 


“ Nôrdliches Europa, im Winter im Le nord de l'Europe, visite en hiver 
gemässigten u. südlichen Europa. té PEurope tempérée et méridionale. 


LXITT 


._ f. Leinfinken. Siserins. 
Fringilla linaria. Gemeiner Leinfink. Siserin ordinaire. 


Linné, p. 322, n°0. 29. — Linaria rubra, Gessner, Aves, p. 
591. — Naumann, Tab. 126. — Gould, PI. 194. 


Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de l'Asie, vi- 


ter im gemässigten Europa. site en hiver l'Europe temperee. 


Fringilla canescens (83). Grauer Leinfink. Siserin grisätre. 


De Selys Longchamps , Faune belge, I, p. 73. — Linaria ca- 
nescens, Gould, Pl. 193. 


Nördlichstes Amerika, Japan, im Win- . L'Amérique du nord, le Japon, enhi- 
ter zufällig in Europa. ver accidentellement en Europe. 


g:. Distelfinken. Chardonnerets. 


Fringilla carduelis. Gemeiner Distelfink. Chardonneret ordi- 
naire. 


Linné, p. 318, n°. 7. — Carduelis nobilis, Albert., Magn., De 
anim., Lib. XXIII, fol. 187. — Naumann, Tab. 124. — Gould, 
PI. 196. | 


Europa, westliches Sibirien , Kleinasien. L’Europe , la Sibérie occidentale, l'Asie 
mineure. 


h. Zeisige. Tarins. 


Fringilla spinus. Erlenseisig. Tarin commun. 


£ 


Linné, p.322, n°. 25. — Chrysomitris spinus, Boie, Isis, 1828, 
p- 322. — Naumann, Tab. 125. — Gould, PI. 197. 
Europa. | L'Europe, 


LXIV 


PASSER. SPERLING. MOINEAU. 


Passer domesticus. Haussperling. Moineau domestique. 


Gessner, Av., p. 643. — Fringilla domestica, Linne,, p. 323, 
n°, 36. — Naumann, Tab. 115. — Gould, PI. 184, fig. 1. 


Gemässigtes und nördliches Europa. | L’Europe temperee et septentrionale, 


Passer domesticus cisalpinus. Jlaliänischer Haussperling. 
Moineau cisalpin. 


Fringilla cisalpina , Temm., Man., I, p. 351. — Fringilla Ita- 
liae, Vieill., Nouv. Dict. Deterv., XII, p. 199; Galer., I, PI 
63, p. 76. — Gould, PI. 184, fig. 2. 


Italien, Kärnthen. | L'Italie, la Carinthie, 


Passer salicarius. Schwarzbrüstiger Sperling. Moineau à 
poitrine notre. 


Passer domesticus salicarius, Keys. u. Blas., p. XL. — Fringilla 
hispaniolensis, Temm., Man., I, p. 353. — Gould , PI. 185, fig. 1 


Inseln und Küsten des Mittelmeeres, Les îles ei.les côtes de la Méditerranée, 
Nordafrika, Bucharei. l'Afrique septentrionale, la Boukharie. 


Passer montanus (63 bis). Feldsperling. Moineau friquet. 


Aldrov. Orn., p. 560. — Fringilla montana, Linné, p. 324, 
n°. 37. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI. 184, fig. 2. 


Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée: 


LXV 


Passer petronia. Sleinsperling. Moineau soulcie. 


Fringilla petronia, Linne, p. 322, n°. 30. — Petronia marina, 
Willughby, Orn., p. 195. — Naumann, Tab. 116. — Gould, 
PI. 186. 


Südliches Europa. | 1’Europe méridionale. 


Passer pusillus (84). Alpensperling. Moineau des Alpes. 


Pallas, Zoogr., II, p. 28, n°. 196, c. fig. 


Kaukasus. _ | Le Caucase. 


COCCOTHRAUSTES. KHERNBEISSER. GROS-BEC. 
a. Eigentliche Kernbeisser. Gros-becs proprement dits. 


Coccothraustes vulgaris. (remeiner Kernbeisser. Gros-bec 
commun. 


Pallas, Zoogr., Il, p. 12, n°. 182. — Loxia coccothraustes, 
Linné, p. 299, n°. 2. — Naumann, Tab. 114. — Gould, PI. 199. 
Europa, Sibirien. |  L’Europe, la Sibérie, 


b. Finken-Kernbeisser. Gros-becs pinsons. 


Coccothraustes caucasicus (85). Alpenkernbeisser. Gros- 
bec des Alpes. 


Pallas, Zoogr., II, p. 13, n°. 183. — Loxia rubicilla, Gül- 
denst., Nov. Comm. Petr., XIX, p. 464, n°. 1, Tab. 12. 


Kaukasus, | Le Caucase, 


LXVI 
PYRRHULA. GINPEL. BO UVRE UIL. 
a. Eigentliche &impel. Bouvreuils proprement dits. 
Pyrrhula vulgaris (86). Gemeiner Gimpel. Bouvreuil commun. 


Temm., Man., I, p. 338. — Loxia pyrrhula, Linné, p. 300, 
no. 4. — Naumann, Tab. 111. — Gould, PI. 209. 


Europa, Sibirien. | L’Europe , la Sibérie. 
b. Grüngimpel. Serins. 
Pyrrhula serinus. (Gemeiner Grüngimpel. Serin cini. 


Keys. u. Blas., p. XLI. — Fringilla serinus, Linne, p. 320, 
n°. 17. — Serinus meridionalis, Brehm, Handb., p. 255. — Nau- 
mann, Taf. 123. — Gould, PI. 195. 


Südliches Europa, Nordafrika. Le midi de l'Europe, l’Afrique sep- 


tentrionale. 


Pyrrhula serinus islandica (87). Isländischer Grüngimpel. 
Serin d'Islande. 


Fringilla islandica, Faber, Isis, 1826, p. 1053. — Loxia seri- 
nus , Faber, Prodromus d. isl..Orn, p. 14; Isis 1824, p. 792, n°. 1. 
Island. | L’Islande. 


€. Rosengimpel. Bouvreuils-rose. 


Pyrrhula githaginea (88). Egyptischer Rosengimpel. Bou- 
vreuil-rose githagine. 


Temm. , Pl. col. 400, fig. 1 et 2. — Fringilla githaginea, Licht., 
Catal., p. 24, n°. 242. — Erythrospiza githaginea, Ch. Bonap., 
Osserv. Règne an., p. 80, sp. 3; Fauna italica, I, Tav. 35, 
fig. 3. — Gould, PI. 208. 

Egypten, Nubien, einzeln im südlichen L’Egypte, la Nubie, en petit nombre 


Europa. dans l'Europe méridionale. 


LXVIL 


Pyrrhula erythrina. Brand-Rosengimpel. Bouvreu:il-rose 
cramotst. 


Temm., Man., I, p. 336. — Loxia erythrina, Pallas, Nov. 
Comment. Petrop., XIV, p. 587. — Erythrothorax rubrifrons , 
Brehm, Handb., p. 249. — Naumann, Tab. 113. — Gould, 
PI. 206. 


Ostliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie. 


Pyrrhula rosea. Sibirischer Rosengimpel.  Bouvreuil - rose 
Pallas. 


Temm., Man., I, p. 335. — Fringilla rosea, Pallas, It., IIT, 
app., no. 26. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 207. 


Östliches Sibirien, einzeln in Ungarn Les parties orientales de la Siberie, 
und Östreich beobachtet. observe en Hongrie et en Autriche. 


d. Hackengimpel. Dur-becs. 


Pyrrhula enucleator. (remeiner Hackengimpel. Dur - bec 
vulgaire. 


Temm., Man., I, p. 333. — Loxia enucleator, Linn., p. 299, 
n°. 3. — Corythus enucleator, Cuv., Règne an., I, p. 415. — 
Naumann, Tab. 112. — Gould, PI. 204. 


Norden beider Welten. | Les regions septentrionales des deux 


mondes. 
LOXIA, HREUZSCHNABEL. BEC-CROISÉ. 


Loxia pytiopsittacus. Kiefernkreuzschnabel. Bec - croisé 
perroquet. 


Bechst., Orn. Taschenb., I, p. 106. — Naumann, Tab. 109. — 
Gould, PI. 201. 


Nôrdliches und gemässigtes Europa. | L’Europe septentrionale et tempérée. 


LXVIIT 


_Loxia curvirostra. Fichtenkreuzschnabel. Bec- croisé des 
pins. 


Linné, p. 299, n°. 1. — Naumann, Tab. 110. — Gould, PI. 
202. 


Gemässigtes und nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale et temperee, 
le nord de l'Asie. 


Loxia bifascata (89). Zweibindiger Kreuzschnabel. Bec-croise 
double bande. 


De Selys Longchamps, Faune belge, p. 76, n°. 68, PI. IV, 
fig. 2. — Crucirostra bifasciata, Brehm, Isis, 1827, p. 820; Or- 
nis, III, p. 85. — Loxia taenioptera, Gloger, Isis, 1828, p. 441; 
Handbuch, p. 354, n°. 1, (ex parte). — Loxia leucoptera, Nils- 
son, Skand. Fauna, Fogl., I, p. 440, n°. 3, (part.); Illum. , 
Fig. PI. 20. 


Im Winter, auf dem Zuge, in vielen Observé en hiver, lors de l’époque de la 
Gegenden Europa’s beobachtet; bewohnt migration, dans plusieurs parties de l’Euro- 
wahrscheinlich das nördlichste Asien. pe; habite probablement l’Asie arctique, 


AMMER. BRUANTS. 


EMBERIZA (9). AMMER. BRUANT. 


Emberiza citrinella. Goldammer. Bruant jaune. 


Linné, p. 309, no. 5, — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 173. 
Europa. | L'Europe. 


Emberisza cèrlus. Zaunammer. Bruant de hate. 
Linné, p. 311, n°. 12. — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 175. 


Südliches und gemässigtes Europa, L'Europe méridionale et tempérée, 
‚Kleinasien. l'Asie mineure. , 


LXIX 


Emberiza chrysophrys (91). Gelbbrauiger Ammer: Bruant 
a sourcils jaunes. 


Pallas, It., IIT, app., n°. 25; Zoogr., II, p. 46, n°. 210, 
c. fig. — De Selys Longchamps, Faune belge, I, p.81, n°. 77, 
PI. 4, fig. 1. 


Daourien, zufällig in Europa. | La Daourie, accidentellement en Europe. 
Emberiza hortulana. Ortolan-Ammer. Bruant ortolan.. 


Linne, p. 309, n°. 4. — Naumann, Tab. 103. — Gould, PI. 176. 


Gemässigtesund südliches Europa , west- L’Europe- tempérée et méridionale, la 
liches Sibirien, Kleinasien. Sibérie occidentale, l’Asie mineure. 


Emberiza caesia. Grauköpfiger Ammer. Bruant cendrillard. 


Emberiza caesia , Mus. Francof., Cretzschmar in Rüppell , Atlas, 
Vögel, p. 17, Tab. 10 B. — Roux, Orn., PI. 112 bis — 
Gould, PI. 181. 


Südliches Europa, Egypten. | Le midi de PEurope, l'Égypte. 


Emberiza cia. Zippammer. Bruant fou. 


Linné , p. 301 , n°. 11. — Naumann. , Tab. 104. — Gould, PI. 179: 
Südliches Europa, | Le midi de l'Europe. 


Emberiza striolata. (Gestreifter Ammer. Bruant striolé. 


Emberiza striolata , Mus. Francof. , Gretzschm. in Rüppell, Reise, 
Atlas, p. 15, Tab. 10 A. 


Nordafrika, Andalusien, zufällig- in L’Afrique septentrionale, l’Andalousie , 


Mitteleuropa. accidentellement dans PEurope centrale. 


LXX 


. Emberiza pithyornus.  Fichtenammer. Bruant à couronne 
lactée. 


Pallas, It., II, app., n°. 22. — Naumann, Tab. 104. — Gould, 
PI. 180. 


Sibirien , zufällig im östlichen Europa. a Sibérie, accidentellement dans l’Eu- 


rope occidentale. 


Emberiza aureola (92). Kragenammer. Bruant aureole. 


Pallas, It., II, app., no. 23. 


Kaltes Sibirien vom Ural bis Kamt- Les regions froides de la Siberie de- 


schatka. puis l’Oural jusqu'au Camtchatka. 


Emberiza schoeniclus. Rohrammer. Bruant des roseaux. 


Linné, p. 311, no. 17. — Naumann, Tab. 105. — Gould, PI. 183. 
Europa, warmes Sibirien. | L’Europe, les regions chaudes de la 
| Sibérie, 


Emberiza palustris. Sumpfammer. Bruant des marais. 


Savi, Orn. Tosc., II, p. 91, et III p. 225. — Emberiza pyrrhu- 
loides , Pallas, Zoogr., Il,p. 49, n°. 212. — Emb. caspia, Men., 
Catal., p. 41, n°. 101.— Ch. Bonap., Fauna ital., I, Tab. 34. — 
Gould, Pl. 184. 


Südliches Europa. | Le midi de l'Europe, 


Emberiza fucata (93). Grossfleckiger Ammer. Bruant peint. 


Pallas, It., app. n°. 22; Zoogr., Il, p. 41, n°. 205, c. 
fig. — Le Gavoué de Provence, Buffon, PI. enl., 656, 1; 


EXXI 


Hist. nat. d. Ois., IV, p. 321. — Emberiza provincialis, Gmel. , 
Linné, I, p. 881, n°. 59. — Emberiza lesbia, Temm., Man., 
III, p. 235. — Emberiza lesbia, Gould, Pl. 178. — Emberiza Du- 
razzi, Ch. Bonap., Fauna Ital., 1, Tav. 35, fig. 2. 


Daourien, Japan, einzeln im südli- | La Daourie, le Japon, en petit nom- 
chen Frankreich. bre dans le midi ‘de la France. 


Emberiza rustica. Feldammer. Bruant rustique. 


Pallas, It., II, app-., n°. 21; Zoogr., Il, p. 43, n°. 207, 
c. Tab. — Le Mitilene de Provence, Buffon, PI. enl. 656, 2; 
Hist. nat.d. Ois., IV, p. 322. — Emberiza lesbia, Gmel. Linné, 
I, p.882, n°. 60. — Emberiza borealis , Zetterst., Resa i Lappm., 
I, p. 107. — Emperiza lesbia, Temm., Man., I, p. 317; Calvi, 
Catal. d. Ornit. di Genova, p. 46; Savi, Orn. Tosc, III, p. 223. — 
Emberiza rustica, Temm.,Man., III, p. 229. — Emberiza Durazzi, 
Ch. Bonap., Fauna Ital., I, Tab. 35, fig. 1 (?). — Gould, 
PI. 177. 


Östliches Sibirien, Kamtschatka, Ja- 


pan, zufällig in Europa. 


La Siberie orientale, le Camtchatka, 


le Japon, accidentellement en Europe. 
Emberiza pusilla (94). Zwergammer. Bruant nain. 


Pallas, It., III, app., n°. 20; Zoogr., II, p. 42, n°. 206. 


Daourien , zufällig in Europa. | La Daourie , accidentellement en Europe, 


Emberiza miliaria. Grauammer. Bruant proyer. 


Linne, p. 308, n°. 3. — Naumann, T. 101. — Gould, Pl. 171. — 
Cynchramus miliaria, Ch. Bon., List, p. 35. 


Europa , Kleinasien, Arabien. | L'Europe, PAsie mineure, l’Arabie, 


LXXII 


. Emberiza melanocephala. Schwarzköpfiger Ammer. Bruant 
crocote. 


Scopoli, Ann., I, p. 142, n°. 208. — Tanagra melanictera , Gül- 
denst. , Nov. Comm. Petr., XIX ,p. 466. — Xanthornus caucasicus, 
Pallas, Zoogr., I, p. 428, n°. 74. — Euspiza melanocephala, 
Ch. Bonap., List, p. 32. — Emberiza granativora, Men., Catal., 
I, p. 40, n°. 99. — Naumann, Tab. 101. — Gould, PI. 172. 


Südöstliches Europa, Kleinasien. Les parties chaudes de l’Europe orien- 
tale, l’Asie mineure. 


PLECTROPHANES. SPORNAMMER. 
PLECTROPHANE. 


Plectrophanes nivalis. Schnee-Spornammer.  Plectrophane 
de neige. 


Meyer, Taschenb., I, p. 187. — Emberiza nivalis, Linne, p. 
308, n°. 1. — Naumann, Tab. 106 et 107. Gould, Pl. 170. 


Arktischer Kreis, besucht im Winter Le cercle arctique, visite en hiver P’Eu- 


das gemässigte Europa. rope temperee. 


Plectrophanes calcaratus. Lerchen-Spornammer. Plectro- 
phane montain. 


Meyer, Taschenb., III, p. 57. — Fringilla lapponica, Linne, 
p- 317, n°. 1. — Fringilla calcarata, Pallas, It., II, app., n°. 
20. — Emberiza calcarata, Temm., Man., I, p. 322. — Nau- 
mann, Tab. 108. — Gould, PI. 169. 


Arktischer Kreis, im Winter in gemäs- Le cercle arctique, visite en hiver les 
sigteren Strichen. | regions tempérées de l’Europe. 


LXXIIL 


HÜHNERARTIGE VÖGEL. GALLINACÉS. 


TAUBENARTIGE VOGEL. COLOMBES. 
COLUMBA. TAUBE. PIGEON. 


a. Eigentliche Tauben. Colombes. 


Columba palumbus. Rıngeltaube. Colombe ramier. 


Linne, p. 282, n°. 19. — Naumann, Tab. 149. — Gould, PI. 
243. 


Europa, einzeln in Sibirien, im Win- L’Europe, rare en Siberie, visite en 
ter in Nordafrika. hiver l'Afrique septentrionale. 


Columba oenas. Holztaube. Colombe colombin. 


Gmel. Linné, p. 769, no.2. — Naumann, Tab. 151. — Gould, 
Pl. 244. 


Europa, westliches Sibirien, im Win- L’Europe, la Sibérie occidentale, visite 
ter in Nordafrika. en hiver le nord de PAfrique. 


Columba livia. Feldtaube. Colombe biset. 


Brisson, Orn., I, p. 82, n°. 3. — Naumann, Tab. 150. — 
Gould, PI. 245. 


Felsige Küsten Südeuropa’s, Eng- Les côtes rocailleuses de l'Angleterre, 


lands und des südlichen Norwegens; Ufer de la Norwege meridionale et du midi de 
des Kaspischen Meeres, Daourien , Nord- l’Europe ; les bords de la mer caspienne , 


afrika, la Daourie, l’Afrique septentrionale, 


LXXIV 


b. Turteltauben. Tourterelles. 


Columba turtur. Gemeine Turteltaube. Tourterelle ordinaire. 


Linné, p- 284, n°. 32. — Turtur auritus, Ray, Av., p. 61, n°. 
2. — Naumann, Taf. 152. — Gould, PI. 246. 


Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. 


Columba aegyptiaca (95). Aegyptische Turteltaube. Tourte- 
relle d'Egypte. 


Latham, Ind. Orn., Il, p. 607, n°. 49. — Temm., Pig. et 
Gall., in 8°, I, p. 370 et 461. — Columba cambayensis, Temm. , 
Pig. in fol., p. 100, Pl. 45.; Descr. de l'Égypte, Vol. XXI, 
P1.5, fig. 9. — Columba maculicollis, Wagler, Syst. Avıum, Co- 
lumba n°. 97. 


Griechenland, Türkei, Kleinasien , La Grèce, la Turquie, P’Asie mineu- 
Aegypten. re, l'Égypte. 


c. Wandertauben. Pigeons voyageurs. 


Columba migratoria. (Gemeine Wandertaube. Pigeon voya- 
geur commun. 


Linné, p. 285, n°. 36. — Ectopistes migratoria, Swainson, 
Fauna bor.-am., Birds, p. 363. — Wilson, Pl. 44, fig. 1. — 
Audubon, PI. 62. 


Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement 
en Europe. 


EIGENTLICHE HUHNERVOGEL. GALLINACÉS PROPREMENT DITS, 


PHASIANUS. FASAN. FAISAR: 
Phasianus colchicus (96). Gemeiner Fasan. Faisan commun. 


Linné, p. 271, n°. 3. — Naumann, Tab. 162. — Gould, 
Pl. 247. 


Ufer des Kaspischen Meeres. | Bords de la mer caspienne. 


ILXXV 


TETRAO. WALDHUHN. TETRAS. 


à. Eigentliche Waldhühner. 


' 


Tetrao urogallus. Auer-Waldhuhn. Tetras auerhan. 


Linne, p. 273,n°. 1. — Naumann, Tab. 154 et 155. — Gould, 
Pl. 248. 


Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et tempérée, 
Sibirien. la ‘Sibérie. 


Tetrao tetrix. Birk-Waldhuhn. Tetras birkhan. 


Linne, p. 274, n°. 2. — Lyrurus tetrix, Swains., in Fauna 
bor. amer., p. 497. — Naumann, Tab. 157. — Gould, Pl. 250. 


Gemässigtes und nördliches Europa, L’Europa septentrionale et temperee, 
Sibirien. la Siberie. 


b. Haselhühner. Gelinottes. 
Tetrao bonasia. (remeines Haselhuhn. Gelinotte commune. 


Linne, p. 275, no. 9. — Bonasia sylvestris, Brehm, Vögel 
Deutschl. , p. 513. — Naumann, Tab. 158. — Gould, PI. 251. 


Gemässigtes und nördliches Europa , 


L’Europe tempérée et septentrionale , 
Sibirien. 


la Sibérie, 


c. Schneehühner. Lagopedes. 
Tetrao saliceti (97). Morast-Schneehuhn. Lagopede des saules. 


 Temm., Man., IT, p. 471. — Tetrao albus, Gmel. Linné, p. 
750, n°. 23. — Lagopus albus, Ch. Bonap., List, p. 44 — 
Naumann, Tab. 159. — Gould, PI 255. 


Nordöstliches Europa, nördliches Asien, Les régions froides de l’Europe orien- 
nördliches Amerika. tale, le nord de l’Asie, l'Amérique sep- 


tentrionale. 


LXXVI 


_ Tetrao saliceti scoticus (98). Schottisches Morast-Schneehuhn. 
Lagopede des saules d’Ecosse. 


Tetrao scoticus, Latham , Ind. Orn. , p. 641, n°.15. — Gould, 
Pl. 252. 
Schottland, England. |  L'Écosse, l'Angleterre. 


Tetrao lagopus (99). Felsen - Schneehuhn. Lagopede ptar- 
migan. 


Temm, Man., II, p. 468. — Naumann, Tab. 161 et 162. — 


Gould, Pl. 253 et 254. 


Alpen, Gebirge Skandinaviens und 
Schottlands, Nordamerika. 


Les Alpes, les montagnes de la Scandina- 
vie et de l’Ecosse; l'Amérique du nord. 


Tetrao lagopus islandicus (100). Isländisches Felsen-Schnee- 
huhn. Lagopede ptarmigan d'Islande. | 


Tetrao islandorum, Faber, Prodr., p. 6, n°. 1. — Tetrao is- 
landicus, Brehm, Lehrb., p. 440. 
Island. | l'Islande, 


TETRAOGALLUS. ALPENHUHN. TETRAOGALLE. 


Tetraogallus caucasicus (101). Kaukasisches Alpenhuhn. 
Tetraogalle du Caucase. | 


Tetrao caucasicus, Pallas, Zoogr., II, p. 76, n°. 225, c. Tab. 


Kaukasus, | Le Caucase. 


LXXVIL 
PERDIX. FELDHUHN. PERDRIX, 
a. Spornfeldhuhner. Francolins. 


Perdix francolinus. Gemeines Spornfeldhuhn. Francolin à 
| collier roux. 


Latham, Ind., II, p. 644, n°. 6. — Tetrao francolinus, Linné, 
p. 275, n°. 10. — Francolinus, Gessner, 228; Brisson, I, p. 


245, n°. 13. — Francolinus francolinus, Cuv., Règne an., I, 
p. 484. — Gould, PI. 259. 

Sicilien, Malta, Griechischer Archi- La Sicile, l’île de Malthe, l’Archipel 
pel, Nordafrika , warmes westliches Asien. de la Grece, le nord de l’Afrique, les 


régions chaudes de l’Asie occidentale. 


b. Rothhuhner. Bartavelles. 
Perdix rubra. Gemeines Rothhuhn. Bartavelle rouge. 


Brisson, Orn., I, p. 236, n®. 10. — Tetrao rufus, Linne, p. 
276, n°. 12. — Naumann, Tab. 165. — Gould, PI. 260. 


Spanien, Frankreich, Italien. | L'Espagne, la France, l'Italie. 
Perdix graeca. Stein-Rothhuhn. Bartavelle grecque. 


Brisson, Orn., I, p. 241, no. 12. — Perdix saxatilis, Meyer 
u. Wolf, Taschenb., I, p. 305. — Naumann, Tab. 164 — 
Gould, PI. 261, fig. 2. 


Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- 
Asien, des de PAsie occidentale. 


Perdix petrosa. Klippen-Rothhuhn. Bartavelle gambra. 
Lath., Ind., II, p. 468, no. 14. — Gould, PI. 261, fig. 1. 


Spanien, Sardinien, Sicilien , Cala- L’Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la 
brien, Nordrand Afrika’s. ! Calabre, l’Afrique septentrionale. 


LXXVIIT 
€. Eigentliche Feldhuhner. Perdrix proprement dites. 
Perdix cinerea. (remeines Feldhuhn. Perdrix grise. 


Brisson, Orn., I, p. 219, n°. 1. — Tetrao perdix, Linné, p. 
276, n°. 13. — Starna cinerea, Ch. Bon., List, p. 43. — Starna 
perdix, Ch. Bon., Catal., p. 55, n°. 312. — Naumann, Tab. 
163. — Gould, PI. 262. 


Europa, westliches gemässigtes Sibi- L'Europe, les parties tempérées de la 
rien, Nordafrika. Sibérie occidentale, le nord de l'Afrique. 


COTURNIX. WACHTEL. CAILLE, 
Coturnix vulgaris. Gemeine Wachtel. Caille ordinaire. 


Klein, Ordo Avium, p. 115, n°. 1. — Tetrao coturnix, Linné, 
p- 278, n°. 20. — Perdix coturnix, Lath., Ind, II, p. 651, n°. 
28. — Naumann, Tab. 166. — Gould, PI. 263. 


L’Europe, l’Asie occidentale, le Nord 
de PAfrique. 


Europa, westliches Asien, Nordafrika. 


HEMIPODIUS (102). LAUFHUHN. TURNIX. 


Hemipodius tachydromus. Europäisches Laufhuhn. Turnix 
tachydrome. 


Temm., Man., II, p. 494 — Turnix africanus, Desfont., Mém. 


Acad., 1787, p. 500. — Tetrao andalusica , Gmel. Linné, p. 766, 
n°. 59. — Gould, PI. 264. 


Spanien, Sicilien, Nordafrika. | L'Espagne, laSicile, le nord del’Afrique; 
PTEROCLES (103), FLUGHUHN. GANGA. 
Pterocles alchata (104). Chata-Flughuhn. . Ganga cata. 


Steph. in Shaw, Zool., XI, II, p. 311. — Tetrao alchata, 


LXXIX 


Linne, p. 276, no. 11. — Pterocles setarius, Temm., Man., II, 
p- 478. — Gould, PI. 258. 

Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- | 
Asien. des de P’Asie occidentale, 


Pterocles arenarius. Ringel-Flughuhn. Ganga unibande. 


Temm., Man, II, p. 476. — Tetrao arenarius, Pallas, Nov. 
Comm. Petrop., XIX, p. 418, Tab. 8. — Naumann, Tab. 153. — 
Gould, Pl. 257. | 


Südliches Europa, Nordafrika, warmes | Le midi de l’Europe, l’Afrique septen- 
westliches Asien. trionale, les parties chaudes de lAsie 
occidentale. 


STELZENLAUFER, GRALLES, 


TRAPPEN. OUTARDES. 
OTIS. TRAPPE. OUTARDE. 


Otis tarda. Grosser Trappe. Outarde barbue. 


Linné, p. 264, no. 1. — Naumann, Tab. 167 et 168. — Gould, 
PI, 267. 


Gemässigte und warme Gegenden des Parties tempérées et chaudes de PEu- 
mitteln und östlichen Europa’s, Sibirien. rope centrale et occidentale, la Sibérie, 


Otis tetrax. Kleiner Trappe. Outarde cannepetiere. 


Linne, p. 264, n°. 3 — Naumann, Tab. 168. — Gould, 
PI. 269. 


Südliches Europa, Tatarie, Nordafrika. | Le midi de l'Europe, la Tatarie, PAfri- 
que septentrionale. 


LXXX 
. Otis Houabara. Kragentrappe. Outarde houabara. 


Gmel. Linné , p. 725, n°. 6. — Naumann, Tab. 170. — Gould, 
PI. 268. 


Nordafrika, Arabien , zufällig in Europa. L’Afrique septentrionale, l'Arabie, ac- 
cidentellement en Europe. 


RENNVOGEL. COURES-VITE. 


CURSORIUS. LAUFER. COURE-VITE. 


Cursorius europaeus.  Isabellfarbiger Läufer. Coure-vite 
isabelle. 


Latham, Ind., II, p. 751, n°. 1. — Cursorius isabellinus, 
Meyer und Wolf, Taschenbuch, II, p. 328. — Naumann, Tab. 
171. — Gould, Pl. 266. | 

Nordafrika, Arabien; zufällig im süd- L’Afrique septentrionale, l'Arabie; ac- 
lichen und gemässigten Europa. cidentellement dans l’Europe méridionale 

et centrale. 


BRACHSCHWALBEN. GLARÉOLES. 


GLAREOLA. BRACHSCHWALBE. GLAREOLE. 


- Glareola pratincola. Gemeine Brachschwalbe.  Glaréole 
pratincole. 


Leach, Linn. Trans., vol. XIII, 1822, p. 131, PI 13. — 
Hirundo pratincola, Linné, Syst., XII, p. 345, n°. 12. — Pra- 
tincola, Kramer, Elench., p. 381, Tab. 1. — Glareola, Brisson, 
Orn., V, p. 141. — Glareola austriaca, Gmelin Linné, p. 69, 
n°. 1. — Naumann, Tab. 234 — Gould, PI. 265. 

Südôstliches Europa, Nordafrika bis Les parties chaudes de l'Europe occi- 


zum Senegal, dentale, l’Afrique septentrionale jusqu’au 
Senegal. 


LXXXI 


Glareola Pallasii (105). Pallasısche Brachschwalbe. Glaréole 
de Pallas. 


Bruch in Mus. Mogunt. — Glareola pratincola, Pallas, Zoogr. , 
II, p. 150, n°. 269 (exl. syn.). 

Wüsten der Tatarei von der Wolga bis Deserts de la Tatarie, depuis le Wol- 
zum Irtisch; auch in Griechenland er- ga jusqu’à PIrtisch ; observé en Grèce. 
legt. 


REGENPFEIFER. PLUVIERS. 


OEDICNEMUS. TRIEZ OEDICNEME- 


Oedicnemus crepitans. Gemeiner Triel. Oedicnème criard. 


Temm., Man., II, p. 521. — Charadrius oedienemus, Linné, 
Syst., XII, p. 255, no. 10. — Naumann , 172. — Gould, PI. 288. 

Südliches und gemässigtes Europa, ni kes parties temperees et chaudes de 
Nordafrika, westliches Asien. Europe, PAsie occidentale, le nord de 
| PAfrique. 


CHARADRIUS. REGENPFEIFER. PLUVIER. 


a. Gold-Regenpfeifer. Pluviers dorés. 


Charadrius pluviulis. (Gemeiner Goldregenpfeifer. 


Pluvier 
dore commun. 


Linne, p. 254, n°. 7. — Charadrius apricarius, ibid., p. 254, 
n°. 6. — Charadrius auratus, Suckow, Naturg., Il, p. 1592. — 
Pluvialis viridis, Wiliushb., Orn., p. 229. — Naumann, Tab. 
173. — Gould, Pl. 294. 

Europa, Asien, Nordafrika. 


L’Europe, PAsie, l’Afrique septentrio- 
|: 


nale. 


6 


LXXXII 
b. Morinell-Regenpfeifer. Guignards. : 


Charadrius morinellus. (remeiner Morinell - Regenpfeifer. 
Guignard ordinaire. 


Linné, S., XII, p. 254, no. 5. — Morinellus, Gessner, Aves, 
p- 615. — Eudromias morinellus, auct. recent. — Naumann, 
Tab. 174. — Gould, Pl. 295. 


Nördliches Europa und Asien. Im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie. En 
ter, im gemässigten und südlichen Europa. hiver, dans Europe centrale et temperee. 


Charadrius asiaticus. Asiatischer Morinell- Regenpfeifer. 
Guignard asiatique. 


Pallas, It., II, app., n°. 32. — Charadrius caspius, Pallas, 
Zoogr., II, p.136, no. 258, c. fig. — Ch. jugularis, Wagler, 
Syst., Char. no. 39. 


Kaspisches Meer, Tatarei, Vorgebirge 
der guten Hoffnung. 


La mer caspienne, la Tatarie, le Cap 


de Bonne Espérance. 
c. Eigentliche Regenpfeifer. Pluviers proprement dits. 


Charadrius pyrrhothoraæx (106). Kragen-Regenpfeifer. Plu- 
vier à collier roux. 


Temm., Man., IV, p. 355. — Gould, PI. 299. 


Warmes Asien bis auf die Inseln Hin- | Les parties chaudes de PAsie jusque 
terindiens ; in Russland beobachtet. dans lArchipel des Indes; tué en Rus- 


sie. 


Charadrius cantianus, Weissstirniger Regenpfeifer. Pluvier 
a collier interrompu. 


Latham, Ind., Suppl., II, p. 66. — Charadrius albifrons, Meyer 
und Wolf, Taschenbuch, Il, p. 323, ne. 5. — Aegialıtes can- 


LXXXIIT 


tianus, Boie, Isis, 1822, p. 774 — Naumann, Tab. 176. — 
Gould, PI. 298. 


Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 


Charadrius hiaticula. Buntschnäbliger Regenpfeifer. Grand 
pluvier a collier. 


Linne, S., XII, p. 253, n°. 1. — Naumann, Tab. 175. — Gould, 
PI. 296. 


Europa, Nordafrika. | L'Europe, PAfrique septentrionale. 


Charadrius minor. Kleiner Regenpfeifer. Petit pluvier à 
collier. 


Meyer und Wolf, Taschenb., IT, p. 324 — Charadrius curo- 
nicus, Besecke, Vögel Curlands, p. 66, n°. 134. — Charadrius 
fluviatilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 422. 


Europa , Sibirien. | L’Europe, la Siberie. 
VANELLUS. HIEBIETZ, VANNEAU, 


a. Eigentliche Kiebietze. Vanneaux proprement dits. 


Vanellus eristatus. (remeiner Kiebielz. Vanneau huppé. 


Meyer und Wolf, Vögel Deutschl. , Band I, Heft 10, c. Tab. — 
Tringa vanellus, Linne, Syst., XII, p. 248, n°. 2. — Naumann, 
Tab. 179. — Gould, PI. 291. 


Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Sibérie, Afrique septen- 


trionale. 
b. KRegenpfeiferkiebietze. Vanneaux-pluviers. 


Wanellus gregarius. Geselliger Regenpfeiferkiebielz. Vanneau- 
pluvier social. 


Vieillot, Tabl. enc., Orn., III, p. 1078, no. 11. — Charadrius 


LXXXIV 


. gregarius, Pallas, It., I, app., n°. 9. — Tringa Keptuschka, 
Lepechin, Tageb., I, p. 229. — Vanellus Keptuschka , Temm., 
Man., III, p. 360; Ch. Bonap., Icon. Faun. Ital., Tav. 41. — 
Gould, PI. 292. 

Südliches Sibirien, südliches Russland , Les parties chaudes de la Russie et de 


zufällig im übrigen südlichen Europa. la Siberie, accidentellement dans le midi 


de l’Europe. 
c. Spornkiebietze. Pluviers armés, 


Charadrius spinosus. (remeiner Spornkiebietz. Pluvier 
arme commun. 


Hasselquist, It., p. 260. — Linne, Syst, XII, p. 256, no. 12. — 
Hoplopterus spinosus, Ch. Bon., List, p. 46. — Gould, PI. 293. 


Südöstliches Europa; warmes, westli- | Les parties chaudes de l'Europe orien- 
ches Asien; Nordafrika. tale et de l'Asie occidentale, le nord de 
l'Afrique. 


d, Goldkiebietze. Vanneaux dorés. 


Vanellus squatarola. (Gemeiner Goldkiebietz. Vanneau doré 
ordinaire. 


Tringa squatarola, Gmel. Linn., p. 682, n°. 23, — Vanellus 
griseus et helveticus, Brisson, Orn., V, p. 100 et 106, no. 2 et 
4. — Vanellus melanogaster, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 356. — 
Squatarola squatarola, G. Cuv., Regne an., I, p. 502. — Nau- 
mann, Tab. 178. — Gould , Pl. 290. 

Nördliche Striche beider Welten „ im Régions septentrionales des deux mon- 


Winter im gemässigten und südlichen des, visite en hiver l'Europe tempérée 
Europa. et méridionale. 


LXXXV 


STEINWALZER. TOURNE-PIERRES. 
STREPSILAS. STEIN WALZER. TOURNE-PIERRE: 


Strepsilas interpres. Gemeiner Steinwälzer. Tourne-pierre 
a collier. 


Illiger, Prodr., p. 263. — Tringa interpres, Linn. , Syst., XII, 
p. 248, m. 4. — Tringa morinella, ibid., p. 249, no. 6. — 
Strepsilas collaris, Temm., Man., II, p. 553. — Naumann, Tab. 
180. — Gould, PI. 318. 


Nördliche Länder beider Welten, im Regions septentrionales des deux mon- 
Winter im gemässigten und südlichen Eu- des, visite en hiver l’Europe tempérée 
ropa. i et méridionale. 


AUSTERNFISCHER. HUITERIERS. 


HAEMATOPUS. AUSTERNFISCHER. 
HUITERIER. 


Haematopus ostralegus. Gemeiner Austernfischer. Huiterier 
pie. 
Linné , Syst, XII, p. 257, n°. 1. — Naumann, Tab. 181. — 
Gould, Pl. 300. 


Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. 
SCHNEPFENARTIGE VOGEL. BÉCASSES. 
SCOLOPAX. SCHNEPFE. BECASSE. 
a. Waldschnepfen. Bécasses proprement dites. 


Scolopax rusticola. Gemeine Waldschnepfe. Bécasse ordinarre. 


Linne , Syst., XII, p. 243, n° 6. — Naumann, Tab. 211. — 
Gould, PI. 319. 
Nördliches Europa und Asien , im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie; fre- 


ter im übrigen Europa und Nordafrika. quente en “hiver les autres parties de 
l'Europe et l'Afrique septentrionale, 


LXXXVI 


b. Sumpfschnepfen. Becassines. 


Scolopax major (107). Grosse Sumpfschnepfe. Becassine 
double. 


Gmel. Linne, p. 661, n°. 36. — Gallinago major, Ch. Bon., 
List, p. 52. — Naumann, Tab. 208. — Gould, PI. 320. 


Nördliches Europa, Sibirien; im Win- Le nord de l’Europe, la Sibérie; vi- 
ter im gemässigten und südlichen Europa. site en hiver l’Europe tempérée et mé- 
ridionale. 


Scolopax gallinago (108). Heers-Sumpfschnepfe. Becassine 
ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 244, no. 7. — Naumann, Tab. 290. — 
Gould, PI. 321, fig. 2. 


Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 
Scolopax gallinula. Moor-Sumpfschnepfe. Becassine sourde. 


Linné, Syst., XII, p. 244, no. 8. — Naumann,. Tab. 210. — 
Gould, Pl. 322. 


Europa, Sibirien. | L’Europe, la Siberie. 


Scolopax Sabimii (109). Sabine's Sumpfschnepfe. Bécassine 
Sabine. 


Vigors, Trans. Linn. Societ., XIV, p.556, Tab. 21. — Jard. 
and Selby, Zool. Illustr., Pl. 27. -— Gould, Pl. 321, fig. 1. 


Vaterland unbekannt ; zufällig in Gross- Patrie inconnue; observée plusieurs fois 


brittanien. en Angleterre. 


€. Strandläuferschnepfen. Bécassines chevaliers. 


Scolopax grisea. Graue Slrandläuferschnepfe.  Bécassine 
chevalier ponctuee. 


Gmelin Lim. , p. 658, no. 27; Scol. novaeboracensis, ibid., p. 


LXXXVII 


658, no. 28. — Macrorhamphus griseus, Steph., in Shaw, Zool., 
vol. XII, p. 61. — Wilson, Pl. 58, fig. 1. — Gould, Pl. 323. 


Nordamerika, zufällig in Grossbritta- L’Amerique du nord, accidentellement 
nien. en Angleterre, 


LIMOSA. PFUHISCHNEPFE. BARGE. 


Limosa melanura. Schwarzchwänzige Pfuhlschnepfe. Barge. 
a queue notre. 


Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., IT, p. 153. — Scolopax li- 
mosa, Linné, Syst., XII, p. 245, n°. 13; Scolopax aegocephala, 
ibid., p. 246, no. 16. — Limosa aegocephala, Ch. Bonap., List, 
p- 52. — Naumann, Tab. 212 et 213. — Gould, PI. 305. 


Kalte und gemässigte Gegenden Euro- Les parties froides et tempérées de 
pas und Sibiriens; im Winter im südli- Europe et de la Sibérie; visite en hiver 
chen Europa und Nordafrika. l'Europe méridionale et le nord de l'Afrique. 


Limosa rufa (110). Rostrothe Pfuhlschnepfe. Barge rousse. 


Brisson, Orn., V, p. 281, no. 5. — Scolopax lapponica, Linné, 
Syst., XII, p. 246, no. 15. — Naumann, Tab. 215. — Gould, 
PI. 306. 


Gemässigtes und nördliches Europa, Les parties froides et tempérées de 
Sibirien; im Winter bis in’s südliche l'Europe et de la Sibérie, fréquente en 
Europa. hiver le midi de l’Europe. 


.. 


Limosa recurvirostra. Sübelschnäblige Pfuhlschnepfe. Barge 
terek. 


Pallas, Zoogr., II, p. 181, no. 293. — Limosa terek, Temm. 
Man. , IT, p. 426. — Scolopax cinerea , Güldenstädt, Nov. Comm. 
Petr. XIX, p. 473, Tab. 19. — Scolopax terek, Lath. Ind. orn., 


LXXXVIII 


an p. 724, n°0. 36. — Terekia javanica, Ch. ar 5 List, p- 
— Gould, Pl. 307. 


Kaspisches Meer, zufällig im übrigen Les bords de la mer caspienne, acci- 
Europa, Asien. dentellement dans les autres parlies de 
l'Europe, l'Asie. 


TRINGA (111) STRANDLAUFER. BECASSEAU. 
a. Eigentliche Strandläufer. Bécasseaux ordinaires. 
Tringa canutus. Canut-Strandläufer. Bécasseau canut. 


Linn., Syst., XII, p. 251, ne. 15. — Tringa cinerea , Brün- 
nich, Orn. bor., n°. 179. — Tringa islandica, Gmel. Linn., p. 
682, n°. 24. — Tringa ferruginea, Meyer und Wolf, Taschenb., 
Il, p. 395. — Naumann, Taf. 183. — Gould, PI. 324. 


Nördliche Gegenden beider Welten; | Les régions septentrionales des deux 
im Winter im gemässigten und südlichen mondes; fréquente en hiver l'Europe tem- 
Europa. pérée et méridionale. 


Tringa maritima. Meerstrandläufer. Bécasseau violet. 


Brünnich, Orn. bor., n°. 182. — Naumann, Taf. 188. — Gould, 
PI. 344. 


Nördliche Länder beider Welten, im Les contrées septentrionales des deux 
Winter bis in’s südliche Europa. mondes; passe en hiver jusque dans le 
midi de lEurope. 


Tringa subarquata (112). Bogenschnäbliger Strandläufer. 
Bécasseau cocorlk. 


Temm., Man., II, p. 609. — Scolopax subarquata, Güldenst, 
Nov. Comm. Petrop., XIX, p. 471, no. 5. — Naumann, Taf. 
185. — Gould, PI. 328. 


Nördliche Gegenden beider Welten; Les régions septentrionales des deux 
im Winter über ganz Europa Lis Nord- mondes; frequente en hiver les autres 
afrika. parties de l’Europe et de l’Afrique sep- 


tentrionale. 


LXXXIX 


Tringa cinclus. Veränderlicher Strandläufer. Bécasseau va- 
riable. 


Tringa cinclus et alpina, Linné, Syst., XII, p. 251, no. 18 et 
p- 249, no. 11. — Numenius variabilis, Bechst., Nat. Deutschl., 
IV, p. 141. — Tringa varıabilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, 
p- 397. — Naumann, Taf. 186. — Gould, PI. 329. 


Nördliche und gemässigte Gegenden Les régions septentrionales et tempé- 
beider Welten; im Winter im südlichen rées de l'hémisphère boreal; visite en 
Europa bis Nordafrika. hiver le midi de PEurope et l’Afrique 

septentrionale. 


Tringa cinclus minor (113). Kleiner veränderlicher Strand- 
läufer. Petit Becasseau variable. 


Tringa Schinzü, Brehm, Beiträge, III, p. 355. — Tringa pyg- 
maea Schinz, Cuvier, Regn. an., deutsche Übersetz., I, p. 782. — 
Naumann, III, p. 221, Taf. 187, fig. 1, 2, 3. 


Europa. | L'Europe. 


Tringa Bonapartei. Bonaparte's Sirandläufer. Bécasseau 
Bonaparte. 


Tringa Schinzii, Ch. Bonap., Synops., n°. 249; Temm., Man. , 
II, p. 401; Gould, PI. 330. 


Nordamerika ; zufällig in England. L’Amerique du nord; accidentellement 


en Angleterre. 


Tringa pectoralis. Brusifleckiger Strandläufer. Bécasseau 
pectoral. 


Ch. Bonap., Syn., n°0. 250. — Gould, PI. 327. 


Nordamerika, zufällig in England. | L'Amérique du nord, accidentellement 


en Angleterre. 


XC 


Tringa minuta. Zwergstrandläufer. Bécasseau échasse. 


Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 74, no. 10. — Tringa 
pusilla, Meyer u. Wolf, Taschenb., Il, p. 391, n°. 7. — Nau- 
mann, Taf. 184. — Gould, PI. 332. 

Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de PAsie, en 
ter im übrigen Europa bis Nordafrika. hiver dans les régions tempérées et mé- 


ridionales de l’Europe et dans l'Afrique 
septentrionale. 


Tringa Temminckii. Temminck's Strandläufer. Bécasseau 
Temmia. 


Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 64, no. 9. — Tringa 
pusilla, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 308. — Naumann, Taf. 
189. — Gould, PI. 333. 

Gemässigtes und südliches Europa, im Les parties temperees et chaudes de 
Winter bis Afrika; überall selten. PEurope , visite en hiver l’Afrique, par- 

tout rare. 


Bb. Sumpfläufer. Becasseaux limicoles. 


Tringa platyrhyneha. Plattschnäbliger Sumpfläufer. Limi- 
cole platyrhynque. 


Temm., Man., Il, p. 616. — Numenius pygmaeus, Lath. Ind., 
p- 713, no. 11. — Limicola pygmaea, Koch, Baier. Zool., I, 
p- 316, n°. 197. — Tringa pygmaea, Savi, Orn. Tosc., II, p. 
291. — Naumann, Taf. 207. — Gould, PI. 331. 


Einzeln im mittleren Europa beobachtet. Observé en petit nombre dans PEuro- 
Bengalen, Java. pe centrale ; le Bengale, Java. 


c. Dreizchige Strandläufer. Becasseaux tridactyles. 


Tringa arenaria. Gemeiner dreizehiger Strandläufer. Bécas- 
casseau tridactyle ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 251, n°. 16. — Charadrius calidris, 1bid., 


XCI 


p- 255, n0. 9. — Arenaria grisea, Bechst., Nat. Deutschl., IV, 
p- 368. — Calidris calidris, Illiger, Prodr., p. 249. — Calidris are- 
naria, Temm., Man., II, p. 524 — Naumann, Taf. 182. — 
Gould, PI 335. 


Nördliches Europa, im Winter im ge- L’Europe septentrionale; frequente en 
mässigten bis ins südliche Europa, Nord- hiver l’Europe tempérée et méridionale. 
amerika, Asien. L'Amérique du Nord, l'Asie. 


d. Kampfstrandlaufer. Combattans. 


Tringa pugnax (114). Gemeiner Kampfstrandläufer. Com- 
battant variable. 


Linne, Syst., XII, p. 247, n°. 1. — Machetes pugnax, Cuv., 
Regn. an., I, p. 527. — Naumann, Taf. 190, 191, 192, 193. — 
Gould, Pl. 328. 


Nördliche und gemässigte Gegenden Parties septentrionales et tempérées de 
Europas und Asiens, Vorgebirge der gu- l'Europe et de l’Asie, le Cap de Bonne 
ten Hoffnung. Espérance. 


ACTITIS. UFERLAUFER. ACTITIS, 


Actitis hypoleucos. Trillernder Uferläufer. Actitis guignette. 


Boie, Isis, 1822, p. 560. — Tringa hypoleucos, Linn., Syst., 
XI, p. 250, no. 14. — Totanus hypoleucos, Temm., Man., II, 
p- 657. — Naumann, Taf. 194. — Gould, PI. 318. 


Europa, Asien, Nordafrika. | L’Europe, P’Asie, ’ Afrique septentrionale. 
Actitis macularia. (Grefleckter Uferläufer. Actitis perle. 


Boie, Isis, 1826, p. 979. — Tringa macularia, Linne, Syst., 
XII, p. 249, n°. 7. — Totanus macularia, Temm., Man., II, p. 
656. — Naumann, Tab. 195. — Gould, Pl. 317. 


Amerika, zufällig in Europa. - | L'Amérique, accidentellement en Europe. 


xcH 
| Actitis rufescens.  Vieillols Uferläufer. Actitis Vieillot. 


Tringa rufescens, Vieillot, Galerie, Il, p. 105, PI. 238. — 
Gould, PI. 326. 


Nordamerika, zufällig in Europa. | L'Amérique septentrionale, accidentel- 
lement en Europe. 


Actitis Bartrami. Bartrams Uferläufer. Actitis à longue 
queue. 


Naumann, VII, p. 43, Tab. 196. — Tringa Bartramia, Wil- 
son, VII, p. 63, PL 59,.fig..2. — Tringa longicauda, Bechst., 
in Lath. Ind., deutsche Übersetzung , p. 453, n°. 46. — Totanus 


Bartramia, Temm., Man., II, p. 650. — Actiturus Bartramius, 

Ch. Bonap., List, p. 51. — Naumann , Tab. 196. — Gould, PI. 313. 

Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement 
en Europe. 


TOTANUS (115). WASSERLÄUFER. CHEVALIER. 


Totanus fuscus. Schwarzbrauner Wasserläufer. Chevalier 
arlequin. 


Leisler, Nachtr. zu Bechst., Nat., p. 47. — Limosa fusca, 
Brisson, Orn., V, p. 276, n°. 4 — Naumann, Tab. 200. — 
Gould, PI. 309. 


Europa. | l’Europe. 


Totanus glottis. Grünfüssiger Wasserläufer. Chevalier 
aboyeur. 


Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 249, n°. 10. — Scolopax glot- 
tis, Linné, Syst., XII, p.245, no. 10. — Naumann, Tab. 201. — 
Gould, PI. 312. 


Europa, nördliches Asien, Nordafrika. L'Europe, les regions froides de PAsie, 
l'Afrique septentrionale. 


XCIII 


Totaxus stagnatilis. Teich-W. asserläufer. Chevalier stagnatile. 


Bechst., Orn. Taschenb., II, p. 292. — Scolopax totanus, 
Linne, Syst., XII, p. 245, ne. 12. — Naumann, Tab. 202. — 
Gould, PI. 314. 


Europa, westliches Sibirien, Afrika. | L'Europe, la Sibérie occidentale, PAfri- 
que. 


Totanis calidris. Rothfüssiger Wasserläufer. Chevalier 
gambette. 


Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 216. — Scolopax calidris, Linne, 
Syst., XII, p. 245, no. 11. — Tringa gambetta, Gmel. Linne, 
p- 671, no. 3. — Naumann, Tab. 199. — Gould, PI. 310. 


Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale, 


Totanus glareola. Wald-Wasserläufer. Chevalier sylvain. 


Temm. , Man., II, p. 654. — Tringa glareola, Linne, Fauna 
suecica, p. 66, n°. 185; Tringa littoria, Linne, Syst. nat., XII, 
p- 251, n°. 17. — Naumann, Tab. 198. — Gould, PI. 315, fig. 2. 


Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- 
tentrionale. 


Totanus ochropus. Getüpfelter Wasserläufer. Chevalier cul- 
blanc. 


Temm., Man., II, p. 651. — Tringa ochropus, Linné, Syst., 
XII, p. 250, n°. 13. — Naumann, Tab. 197. — Gould, Pl. 315, 
fig. 1. 


Europa „ Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- 
tentrionale. 


XCIV 


“Totanus semipalmatus. Schwimmfüssiger Wasserlüufer. Che- 
valier semi-palme. 


Temm., Man., II, p. 637. — Scolopax semipalmata, Gmel. 
Linne, p. 659, n°. 33. — Catoptrophorus semipalmatus, Ch. Bo- 
nap., Syn., n°. 259. — Wilson, PI. 56, fig. 3. — Fauna bor. 
amer. , p. 388, Pl. 67. — Gould, PI. 311. | 


Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement 
en Europe. 


PHALAROPUS. WASSERTRETER. 


Phalaropus cinereus. Schmalschnäbliger Wassertreter. Pha- 
larope hyperbore. 


Brisson, Orn., VI, p. 15, n°. 2. — Tringa lobata, Linne, 
XII, p. 249, n°. 8. — Tringa hyperborea, ibid, p. 249, 
no. 9. — Phalaropus hyperboreus et fuscus Latham, Ind., II, 
p- 775, n°. 1 et 776, n°. 4 — Phalaropus ruficollis et cineras- 
cens, Pall., Zoogr., II, p. 203, no. 212 et n°. 213. — Phalaro- 
pus angustirostris, Naumann, VIII, p.240, no. 236, Tab. 205. — 
Gould, 336. — Lobipes hyperboreus, Cuv., Règne an., I, p. 532. 

Nördliche Länder beider Welten, auf Les regions septentrionales des deux 
dem Zuge bis ins südliche Europa. mondes; visite, lors de l’epoque de la 

migration , l’Europe tempérée et meridio- 
nale. 


Phalaropus rufescens. Breilschnübliger Wassertreter. Pha- 
larope platyrhynque. 


Brisson, Orn., VI, p. 20, n°. 4 — Tringa fulicaria, Linne, 
Syst., XII, p. 249, n°. 10. — Phalaropus rufus, Bechst., Nat. 
Deutschl., IV, p. 381. — Phalaropus platyrhynchus, Temm., 


XCV 


Man. , II, p. 712. — Phalaropus fulicarius, Ch. Bonap., Lyc. New 
York, IT, p. 159. — Naumann, Tab. 206. — Gould, PI. 337. 


Norden beider Welten, auf dem Zuge | Les regions septentrionales des deux 
bis in das südliche Europa. mondes, visite en hiver l’Europe tempé- 


rée et méridionale. 
NUMENIUS. BRACHVOGEL. COTUTRLIS. 
Numenius arquata. Grosser Brachvogel. Courlis cendre. 


Latham, Ind., HI, p. 710, n°. 1: — Scolopax arquata, Linne, 
Syst., XII, p. 242, n°. 3. — Naumann, Tab. 216. — Gould, 
PI. 302. 


Europa, Sibirien, auf dem Zuge bis L'Europe, la Sibérie, fréquente en hi- 
Nordafrika. ver l’Afrique septentrionale. 


Numenius phaeopus. Regenbrachvogel. Courlis corlieu. 


Latham, Ind., II, p. 711, no. 6. — Scolopax phaeopus, Linne, 


Syst., XII, p. 243, n°. 3. — Numenius minor, Brisson, Orn., 
V, p. 317, n°. 2. — Naumann, Taf. 217. — Gould, PI. 308. 

Europa, Sibirien, im Winter bis Nord- L'Europe, la Sibérie; visite en hiver 
afrika. PAfrique septentrionale. 


Numenius tenuirostris. Dünnschnäbliger Brachvogel. Courlis 
a bec grele. 


Vieill., Nouv. Diet. Deterv., VIII, p. 302. — Ch. Bonap., 
Icon. Fauna Ital., Tav. 42. — Naumann, Taf. 218. 
italien, Egypten. ' | L'Italie, PEgypte. 


XCVI 


SABELSCHNABLER. AVOCETTES. 


RECURVIROSTRA. SABELSCHNABLER, 
AVOCETTE. | 


BRecurvirostra avocetta. Gemeiner Säbelschnäbler. Avocette 
ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 256, n°. 1. — Naumann, Taf. 204. — 
Gould, PL 368. 
Europa, Nordafrika, Sibirien, Tatarei. L'Europe, PAfrique septentrionale, la 
Sibérie, la Tatarie. 


STRANDREUTER. ÉCHASSES. 


HIMANTOPUS. STRANDREUTER. ECHASSE. 


Himantopus melanopterus. Europäischer Strandreuter. 
Echasse a manleau noir. 


Ann. d. Weiter Gesellsch., III, I, p. 177. — Himantopus rufi- 
pes, Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 446. — Charadrius himan- 
topus, Linne, Syst., XI, p. 255, n°. 11. — Hypsibates himan- 
topus, Nitzsch in Ersch und Gruber, Encycl., vol. XVI, 1827, 
p- 150. — Naumann, Taf. 203. — Gould, Pl. 289. 


Gemässigtes und südliches Europa, 1! L’Europe tempérée et méridionale, 
Nordafrika , Sibirien, Tatarei. PAfrique septentrionale, la Sibérie, la 
Tatarie. 


REIHERVÖGEL. HERONS. 
ARDEA (116. REIHER. HERON. 


a. Eigentliche Reiher. Herons proprement dits. 


Ardea einerea. Fischreiher. Heron cendre. 


Linn., Syst., XII, p. 236, n°. 11. — Ardea cristata, Brisson, 


 XCVII 


Orn., V, p. 396, n°. 2. — Ardea major, Gmel. Linn., p. 627, 
n°. 12. — Naumann, Tab. 220. — Gould, PI. 273. 


Europa, Afrika, Asien. | L’Europe, l'Afrique , PAsie. 
Ardea purpurea. Purpurreiher. Héron pourpre. 


Linn., Syst., XIL, p. 236, n°. 10. — Naumann, Tab. 221. — 
Gould , Pl. 274. 

Gemässigtes und südliches Europa , l’Europe tempérée et méridionale, 
Asien, Afrika. PAsie, PAfrique. 


b. Silberreiher. Aigrettes. 
Ardea alba (117). Grosser Silberreiher. Grande Aigrette. 


Linne, Syst., XII, p. 239, no. 24. — Ardea candida, Brisson , 
Orn., V, p. 428. — Ardea egretta, Temm., Man., p. 572. — He- 
rodias egretta, Boie, Isis, 1822, p. 559. — Egretta alba, Ch. Bo- 
nap., Osserv., p. 98.— Naumann, Taf. 222. — Gould, PI. 276. 


Südöstliches Europa „ Nordafrika. Les parties chaudes de l'est de l’Eurc- 
pe, l’Afrique septentrionale. 


Ardea garzetta. Kleiner Silberreiher. Petite Aigrette. 


Linné , Syst., XII, p. 237, n°. 13. — Naumann, Taf. 223. — 
Gould, Pl. 277. 


Südliches Europa, westliches Asien. Le midi de l’Europe, l’Asie occiden- 
tale. 


c. Rallenreïher. Herons-crabiers. 


Ardea comata. Gemeiner Rallenreiher. Heron-crabier ordi- 
naire. 


Pallas, It., II, app., n°. 12. — Ardea ralloides, Scopoli, Ann., 
I, p. 88, n°. 121. — Ardeola ralloides, Boie, Isis, 1822, p. 
4 


XCVIIT 


. 559. — Buphus ralloides, Ch. Bonap., List, p. 48. — Naumann, 
Tab. 224. — Gould, Pl. 275. 


Südôstliches Europa; westliches, war- Les parties chaudes de l’est de PEuro- 
mes Asien; Nordafrika. pe et de PAsie occidentale, l'Afrique 
septentrionale. 


Ardea bubulcus (118). Afrikanischer Rallenreiher. Heron- 
crabier garde-boeuf. 


Cuv., Mus. Par.; Audouin in Dosen de l'Égypte Ois., PL 8, 
fig. 1, vol. XXIII, p. 391. — Ardea Verany, Roux, Orn. prov., 
II, PL 136. 


Nordafrika, Senegal, südôstliches Eu- L’Afrique septentrionale , le Senegal, 
ropa, zufällig im übrigen Europa. les contrées chaudes de Pest de PEurope ; 
accidentellement dans les autres parties 

de PEurope. 


..d. Nachtreiher. Bihoreaux. 
Ardea nycticorax. Gemeiner Nachtreiher. Bihoreau d'Europe. 


Linné, Syst., XII, p. 235, ne. 9. — Ardea Gardeni, Gmel. 
Linné, p. 645, no. 81. — Nycticorax Gardeniü, Jardine in Wilson, 
8°, 1832, vol. Ill, p. 5. — Nycticorax nycticorax, Boie, Isis, 
1822, p. 560. — Naumann, Tab. 225. — Gould, PI. 279. 

Europa, Asien, Afrika. | L’Europe, l’Asie, l'Afrique. 


e. Rohrdommeln. Butors. 
_ Ardea stellaris. Gemeine Rohrdommel. Butor d'Europe. 


Linné, Syst., XII, p. 239, no. 21. — Botaurus stellaris, Steph. 
in Shaw, Zool., XI, II, p. 593. — Naumann, Tab. 226. — 
Gould , PI. 280. 


Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Sibérie occidentale. 


XCIX 


Ardea lentiginosa. Nordamerikanische Rohrdommel. Butor 
d'Amérique. 


Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Heron frekled. — Ardea 
minor, Wilson, VIII, p. 35, PI. 65, fig. 3. — Ardea mocoho, 
Vieillot, N. Dict., vol. XIV, p. 440. — Gould, PI. 281. 


Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement 
en Angleterre. 


f. Zwergrohrdommeln. Butors nains. 


Ardea minuta. Gemeine Zwergrohrdommel. Butor nain plon- 
gros. 


Linné, Syst., XII, p. 240, n° 26. — Ardeola naevia, Brisson , 
Orn., V, p. 500, no. 47. — Naumann, Tab. 227. — Gould, PI. 
282. 


Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, PAsie, l’Afrique. 


CICONIA (119). STORCH. CICOGNE- 


Ciconia alba. Weisser Storch. Cicogne blanche. 


Brisson, Orn., V, p. 365, no. 2. — Ardea ciconia, Linné, 
Syst., XII, p. 235, no. 7.— Naumann, Tab. 228. — Gould, 283. 


Europa , westliches warmes Asien, L’Europe,, les parties chaudes de PAsie 
Afrika. occidentale, l’Afrique. 


Ciconia nigra. Schwarzer Storch. Cicogne notre. 


Gessner , Av., p- 273. — Ardea nigra, Linn., Syst., XII, p. 
235, n°. 8. — Ciconia fusca, Brisson , Orn., V, p.362, n°. 1. — 
Naumann, Tab. 229. — Gould, PI. 284. 


Ostliches Europa, westliches warmes L'Europe orientale, les parties chau- 
Sibirien Afrika, des de la Sibérie occidentale, PAfrique. 


C 
TANTALUS. NIMMERSAT. TANTALE. 


Tantalus ibis. Afrikanischer Nimmersatt. Tantale d Afrique. 


Linn., Syst., XII, p. 241, n°. 4 — PI. enl. 389. — Nume- 
nius ibis, Pallas, Zoogr., II, p. 165, n°. 280. 


Senegal, Nordafrika; nach Pallas im Le Senegal, l'Afrique septentrionale ; 
üdlichen Russland. se trouve, suivant Pallas, dans le midi de 
la Russie. 


IBIS. ZBIS. IBIS. 
This falcinellus. Europäischer Ibis. Ibis falcinelle. 


Temm., Man., II, p- 598. — Tantalus falcinellus, Linn. , Syst., 
XII, p. 241, ne. 2. — Naumann, Tab. 219. — Gould, PI. 311. 


Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau- 
Asien, Nordafrika ; zufällig im gemässig- des de l’Asie occidentale, le nord de PAfri- 
ten und nördlichen Europa. que; accidentellement dans l'Europe tem- 


pérée et septentrionale. 


Ibis religiosa. Herliger Ibis. Ibis sacré. 


G. Cuvier, Règne an., 1 édit., I, p. 483. — Numenius ibis, 
G. Cuv., Ann. d. Mus., 1804, IV, p. 134, PL 53; Savigny, Hist. 
nat. et mythologique de l’Ibis, 1805. — Descr. de l'Égypte, Ois. , 
PI. 7. — Abouhannes, Be, Yoy., V,'p. 172..P% 36. — Tan- 
talus aethiopicus, Lath., Ind., p. 305, no. 12. 

Afrika; nach Temminck, Manuel, IV, L’Afrique ; observé, d’après Temminck, 
p- 392, in Griechenland beobachtet. Manuel, 1V, p. 392, en Grece. 


GRUS (12). HRANICH. GRUE' 


Grus cinerea. Grauer Kranich. (Grue commune. 


Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 103. — Ardea grus, Linné, 
Syst., XII, p. 234, no. 4. — Grus vulgaris, Pallas, Zoogr., I, 
p. 106, no. 240. — Naumann, Tab. 231. — Gould, Pl. 270. 


Europa, gemässigtes Asien, Nordafrika. L'Europe. PAsie tempérée, l'Afrique 


septentrionale. 


Ci 
Grus leucogeranos. Weisser Kranich. Grue leucogerane.. 


Pallas, It., IL, app. , n°. 30. — Gould, PL 271. 


Kaspisches Meer, Sibirien, Japan, La mer Caspienne, la Sibérie, le Ja- 


Bengalen. pon, le Bengale. 


Grus virgo. Jungfern-Kranich. (Grue demorselle. 


Pallas, Zoogr. ‚II, p. 108, n°. 241. — Ardea virgo, Linn., Syst., 
XII, p. 234, n°. 2. — PI. enl. 241. — Anthropoides virgo, Vieill., 
Nouv. Dict. Déter., IT, p. 163. — Naumann, Tab. 232. 


Nordafrika, warmes westliches Asien, L'Afrique septentrionale, les parties 
südliches Russland ; zufällig im übrigen chaudes de lAsie occidentale, le midi 
Europa. de la Russie; accidentellement dans les 


‘| autres parties de l’Europe. 


PLATALEA. LOFFELREIHER. SPATULE. 
Platalea leucorodia. Gemeiner Löfelreiher. Spatule blanche. 


Linne, Syst., XII, p. 231. — Naumann, Tab. 230. — Gould, 
PI. 286. 


Gemässigtes und südliches Europa , war- L’Europe tempérée et méridionale, les 
mes westliches Asien, Nordafrika. parties chaudes de l'Asie occidentale, le 


nord de lAfrique. 


FLAMINGOS. FLAMANTS. 
PHOENICOPTERUS. FLAMINGO, FLAMANT. 


Phoenicopterus antiquorum. Europäischer Flamingo. Flam- 
mant rose. 


Temm., Man. d’Orn. , p. 587, remarque. — Phoenicopterus ruber, 
Linne, Syst., XIT, p. 230, no. 1 (ex parte). — Phoenicopterus 


cn 


_roseus, Pallas, Zoogr., II, p. 207, no. 315. — Naumamı, Tab. 
233. — Gould, Pl. 287. | 


Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau- 
Asien, Nordafrika. des de l’Asie occidentale, le nord de 


P Afrique. 
WASSERHUHNER. POULES D’EAU. 


FULICA. BLESSHUHN. FOULQUE, 


Fulica atra. (Gemeines Blesshuhn. Foulque morelle. 


Linné, Syst., XIT, p. 257, n°. 2. — Fulica aterrima, ibid., p. 
257, n°0. 3. — Naumann, Tab. 241. — Gould, PI. 338. 


Europa, Asien „ Afrika. | L'Europe, l’Asie, l’Afrique. 
Fulica cristata. Kamm-Blesshuhn. Foulque à crête. 


Gmel. Linné, p. 704, n°. 25. — Foulque de Madagascar, PI. 
enl. 797. — Foulque caronculée, Barthélemy in Guérin, Revue 
Zool. , 1841, p. 37. — Fulica cristata , Ch. Bonap., Icon. d. Faun. 
Ital., Ucelli, Introduzione, p. 1. 


Afrika, gemein in Algier und Marocco ; L'Afrique, commune dans l’Algerie et 
in Spanien und bei Marseille beobachtet , au Marocco ; observee en Espagne et dans 
(Barthelemy). les environs de Marseille. , (Barthélemy). 


PORPHYRIO. PURPURHUHN. TALÈVE. 


Porphyrio hyacinthinus. Europäisches Purpurhuhn. Taleve 
porphyrion. 


Temm., Man.,II, p. 698. — Porphyrio antiquorum, Ch. Bonap. 
Icon. d. Faun. Ital., I, Tav. 44. — Gould , Pl. 340. 

Sardinien, Sicilien, Nordafrika, südii- La Sardaigne, la Sicile, l'Afrique sep- 
che Ufer des kaspischen Meeres. tentrionale, les bords meridionaux de la 


mer caspienne. 


cl ' 


GALLINULA. WASSERHUHN. POULE D'EAU: 


a. Eigentliche Wasserhühner. Poules d’eau proprement 
dites. 


Gallinula chioropus. (memeines Wasserhuhn. Poule d'eau 
ordinaire. 


Aldrov., Orn., III, p. 449. — Fulica chloropus, Linne, Syst. , 
XI, p. 258, n°. 4 — Naumann, Tab. 240. — Gould, PI. 342. 


Europa, westliches Sibirien, Nord- | L’Europe , la Sibérie occidentale, PAfri- 


afrika. que septentrionale. 


Bb. Sumpf-Wasserhühner. Poules d’eau marouettes. 


Gallinula porzana. Geflecktes Sumpf-Wasserhuhn. Marouette 
ordinaire. | 


Latham, Ind., Il, p. 772, no. 19. — Rallus porzana, Linné, 
Syst. XII, p. 262, n°. 2. — Ortygometra porzana, Steph., in Shaw, 
Zool. — ‚Naumann , Tab. 237.. — Gould, Pl. 343. 

Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Siberie, PAfrique septen- 


trionale. 


Gallinula pusilla. Kleines Sumpf-Wasserhuhn. Petite ma- 
rouelte. 


Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 484. — Rallus pusillus, Gmel. 
Linne, p. 719, n°. 30. — Rallus minutus, Pallas, Ît., Ill, app., 
no, 30. — Naumann, Tab. 238. — Gould, Pl. 345. 

Gemässigtes und südliches Europa, Mit- L'Europe tempérée et méridionale, ’Asie 
telasien. centrale. 


Gallinula Baillonii. Zwerg-Wasserhuhn. Marouette naine. 


Temm., Man., Il, p. 692. — Rallus Bailloni, Vieillot, Nouv. 
Diet. Deterv. , vol. XXVIII, p. 548. — Crex pygmaea, Naumann, 
IX, p. 567, Tab. 239. — Gould, Pl. 344. 


Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale. 


CIV 
CREX. WACHTELHONIG. ROI DES CAILLES. 


Crex pratensis. (Gemeiner Wachtelkönig. Roi des cailles 
commun. 


Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 470. — Rallus crex, Linne, 
Syst., XII, p. 261, n°. 1. — Gallinula crex, Lath., Ind., II, p. 
766. — Naumann, Tab. 236. — Gould, PI. 341. 


Europa, westliches gemässigtes Sibi- L’Europe, les parties temperees de la 
rien. Siberie occidentale. 


RALLUS. RALLE. RALE. 
Rallus aquaticus. Wasserralle. Rale d'eau. 
Linne, Syst., XII, p. 262, no. 2. — Naumann, Tab. 235. — 


Gould, PI. 339. 


Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Siberie occidentale. 


WASSERVÖGEL. OISEAUX AQUATIQUES, 
TAUCHVOGEL. PLONGEURS. 
PODICEPS (121) LAPPENTAUCHER. GREBE. 
Podiceps cristatus. Gehäubier Steissfuss. Grèbe huppé. 


Latham , Ind., II, p. 780, n°. 1. — Cobymbus cristatus, Linné, 
Syst. , XII, p. 222, no. 7. — Colymbus coronatus, Brisson, Orn., 
VI, p. 45, no. 4. — Naumann, Tab. 242. — Gould, Pl. 388. 


Europa, kaltes und gemässigtes Asien, | L’Europe, l’Asie boréale et tempérée, 
Nordamerika. PAmérique du nord. 


CV 


Podiceps rubricollis. Rothkehliger Steissfuss. Grèbe à joues 
grises. 


Latham, Ind., II, p. 783, n°. 6. — Colymbus subcristatus, 
Jacquin, Beitr., Vögel, p. 37. — Naumann, Tab. 243. — Gould, 
PI. 389. 


Europa, Sibirien, Nordamerika. L’Europe, la Sibérie, l'Amérique du 


nord. 
Podiceps cornutus. Gehörnter Steissfuss. Grebe cornu. 


Latham, Ind., II, p. 782, no. 5. — Naumann, Tab. 244. — 
Gould, PI. 390. 


Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée. 


Podiceps cornutus arcticus. Arktischer gehörnter Steissfuss. 
Grèbe cornu arctique. 


Podiceps arcticus, Boie, Tagebuch, p. 308. — Colymbus auri- 
tus, Linné, Fauna suec., p. 54, n°. 152. — Naumann , Tab. 245. 


Nördliches Europa, im Winter im ge- L'Europe boréale, fréquente en hiver 


mässigten Europa. l'Europe tempérée. 


Podiceps auritus. Ohren-Steissfuss. Grèbe orerllard. 


Latham, Ind., II, p. 781, n°. 3. — Colymbus auritus, Brisson , 
Orn., VI, p. 50, n°. 6. — Naumann, Tab. 246. — Gould, PI. 391. 


Europa, Sibirien, nördliches Amerika. | L'Europe, la Sibérie , PAmérique boréale, 


Podiceps minor. Kleiner Steissfuss. Grèbe castagneux. 


Latham, Ind., II, p. 784. — Sylbeocyclus minor, Ch. Bonap., 
List, p. 64. — Naumann, Tab. 247. — Gould, PI. 392. 


Europa. | L’Europe. 


CVI 
COLYMBUS. MEERTAUCHER. PLONGEON: 
Colymbus glacialis. Polar-Meertaucher. Plongeon imbrin. 


Linne, Syst., XII, p. 221, no. 5. — Colymbus torquatus et 
immer, Brünnich, Orn. bor., n°. 134 et 129. — Gould, PI. 393. 


Küsten der kalten und gemässigten | Cötes des pays froids et temperes de 
l 


Länder des nördlichen Halbrundes. . ’hemisphere boréal. 


Colymbus arcticus (122). Arktischer Meertaucher. Plongeon 
lumme. 


Linné, Syst., XII, p. 221, n°. 4 — Gould, PI. 394. 


Nôrdliches Europa und Amerika, im | Le nord de l’Europe et de ’Amerique, 
Winter im gemässigten und südlichen visite en hiver les autres parties de 


Europa. l’Europe. 


Colymbus septentrionalis. Nördlicher Meertaucher. Plongeon 
septentrional. 


Linné, Syst., XII, p. 220, no. 3. — Colymbus lumme, Brün- 
nich, Orn. bor. , n°. 132. — Gould, PI. 395. 


Kalte Gegenden der nördlichen Erd- Regions froides de l’hemisphere bo- 
hälfte, im Winter im gemässigten bis réal, fréquente en hiver l'Europe tem- 
in’s südliche Europa. pérée et méridionale. 


URIA. LUMME GUILLEMOT. 


& 


Uria Brünmichii. Brünnich’s Lumme. Guillemot Brünnich. 


Sabine, Trans. Linn. Society, XII, p. 538. — Uria troile, 
Brünnich , Orn. bor., n°. 109. — Gould, PI. 398. 


Nördliche Gegenden beider Erdhälften. Régions septentrionales des deux mon- 


des, 


CVII 


Uria troile. Troil’s Lumme. Guillemot Troil. 


Temm., Man., II, p. 921. — Uria lomvia, Brünnich, Orn. 
bor., p. 27, n°. 108. — Gould, Pl. 396. 
Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes. 


Uria troile leucophthalmos. Weissgeringelte Lumme. Guil- 
lemot bride. 


Uria leucophthalmos, Faber, Prodr., p. 42. — Uria hringvia , 
Brünnich, Orn. bor., p. 27, no. 111. — Uria lacrymans, Valenc. 
in Choris, Voyage, Pl. XXIII. — Gould, PI. 397. 


Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes. 


— 


Uria grylle (123). Grylllumme. Guillemot à miroir blanc. 


Latham, Ind., II, p. 797, n°. 2. — Colymbus grylle, Linné, 
Syst., XII, p. 220, no. 1. — Cephus columba, Pall., Zoogr., 
II, p. 348, no. 404, (part... — Grylle columba, Ch. Bon., 
Catal., p. 82, n°. 531. | | 


Norden beider Welten. | Pays froids des deux mondes. 


Uria grylle Mandtii. Spitzbergische Grylllumme. Guillemot 
a miroir blanc du Spitzberg. 


Uria Mandtii , Lichtenst., Catal., 1823, p. 88, n°. 926. 
Spitzbergen. | Le Spitzberg. 
ALCA, ALH. PINGOUIN. 
Alca impennis. Grosser Alk. Grand Pingouin. 


Linne, Syst., XIT, p. 210, no. 3. — Gould, PI. 400. 


Hoher Norden Europa’s und Amerika’s. Régions arctiques de l’Europe et de 


l'Amérique. 


GVIIT 
Alca torda. Nordischer Alk. Pingouin commun. 


Linné, Syst., XII, p. 210, n°. 1. — Utamania torda, Leach, 
Mus. Britt. — Gould, PI. 401. 


Norden beider Welten; im Winter im Regions septentrionales des deux mon- 
gemässigten bis in's südliche Europa. des, visite en hiver l'Europe tempérée 
et méridionale. 


MERGULUS,. HRABBENTAUCHER. MERGULE. 


Mergulus alle. Gemeiner Krabbentaucher. Mergule nain. 


Boie, Isis, 1826, p. 980. — Mergulus melanoleucos, Ray, Av., 
p- 135, n°.5. — Alca alle, Linn., Syst., XII, p. 211, m. 5. — 
Alca alce, Gmel. Linn., p. 554, n°. 5. — Uria minor, Brisson, 
Orn., VI, p. 73, no. 2. — Gould, PI. 402. | 


Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux 


mondes. 


MORMON. LARVENTAUCHER. MACAREUX. 


Mormon arcticus. Nordischer Larventaucher. Macareux moine. 


Illiger, Prodr., p. 283. — Alca arctica, Linn., Syst. XII, p. 
211, no. 4. — Mormon fratercula, Temm., Man., Il, p. 933. — 
Gould, PI. 403. 


Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux 
mondes. 


Mormon glacialis. Arktischer Larventaucher. Macareux 
glacial. 


Leach, Mus. Britt. et auct. rec. — Gould, PI. 404. 


Norden beider Welten. en regions septentrionales des deux 
mondes. 


CIX 


ENTENARTIGE VÖGEL. LAMELLIROSTRES. 
ANSER (124). GANS. OIE. 
a. Schneegänse. Oies de neige. 


Anser hyperboreus. (remeine Schneegans.  Oie de neige 
ordinaire. 


Pallas, Spic. Zool., fasc. VI, p.20. — Chen hyperborea, Boie, 
Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 284. — Gould, PI. 346. 


Hoher Norden beider Welten. | Le cercle arctique. 
LB, Eigentliche Gänse. Oies proprement dites. 
Anser cinereus. Graugans. Oie cendrée. 


Meyer und Wolf, Taschenb., Il, p. 562. — Anser ferus, Gess- 
ner, Av., p. 152, (part.). — Anas anser, Linné, Syst. XII, p. 
197, n°0. 9. — Naumann, Tab. 285. — Gould, PI. 347. 

Norden der alten Welt, im Winter im Les régions septentrionales de l’ancien 


gemässigten bis in’s südliche Europa. monde, visite en hiver l’Europe tempé- 
rée et méridionale. 


Anser segetum. Saalgans. Oie vulgaire. 


Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 883. — Anas segetum, Gmel., 
Linné, Syst., p. 512, n°. 68. — Temm., Man., Il, p. 820. — 
Anser arvensis, Brehm, Nat. all. Vög. Deutschl., p. 839. — Nau- 
mann, XI, p. 278, no. 315, Tab. 286. — PI. enl. 985. 


Nördliches Europa, auf dem Zuge im L’Europe septentrionale, frequente en 


übrigen Europa. hiver les autres parties de PEurope. 


Ex 
Anser brachyrhynchus. Kurzschnäblige Gans. Oie à bec court. 


Baillon, Catal., p. 26, n°. 248; Temm., Man., IV, p. 520 
(jun.). — Anser phoenicopus, Bartlett, Proceed. Zool. Soc., 
1839, p. 3. — Anser segetum, Naumann, XI, p. 303, no. 316, 
Tab. 287. 


Nordöstliches Europa, im Winter im Les régions froides de l'Europe orien- 
gemässigten Europa. tale, visite en hiver l’Europe tempérée. 


Anser albifroms (125). Blessgans. Oie rieuse. 


Bechst., IV, p.898 n°. 272. — Anas albifrons, Gmel. Linné, 
p- 509, n°. 64. — Anas erythropus, Linné, Syst., XII, p. 197, 
no. 11. — Naumann, Taf. 289. — Gould, PI. 289. 


Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux 
mondes. 


Anser Temmincki. Zwerggans. Oie naine. 


Boie, Isis, 1822, p. 882. — Anser minutus, Naumann, XI, 
p- 364, n°. 319, Taf. 291. — Anser medius, Temm. in Meyer, 
Taschenb., III, p. 231; Man. d’Orn., IV, p. 519. — Anser ci- 
neraceus, Brehm, Beitr., III, p. 875. 


Auf dem Zuge im östlichen und mit- Observé, lors du tems de la migration, : 


teln Europa. dans l'Europe centrale et orientale. 


c. Seegänse. Bernaches. 


Anser bernicla. Ringelgans. Bernache cravant. 


Illiger, Prodr., p. 277. — Anas bernicla, Linn., Syst., XII, 
p. 198, n°. 13. — Anser torquatus, Frisch, II, Taf. 156. — An- 
ser brenta, Pallas, Zoogr., IT, p.229, no. 323. — Bernicla bren- 


ec Ne RG 


GXI 


ta, Steph., Cont. Sh. Zool., XII, p. 46. — Bernicla torquata , 
Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 292. — Gould, PI. 351. 


Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux 
mondes. 


Anser leucopsis: Weisswangige Seegans. Bernache à joues 
blanches. 


Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 921. — Anser bernicla, Pallas, 
Zoogr., II, p. 230, no. 324. — Naumann, Tab. 291. — Gould, 
PI. 350. 


Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux 
mondes. 


Anser ruficollis. Rothhalsige Seegans. Bernache à cou roux. 


Pallas, Spic. Zool., VI, p. 21, Tab. 4. — Naumann, Tab. 
293. — Gould, PI. 351. 


Nôrdliches Asien, auf dem Zuge ein- | L’Asie septentrionale, accidentellement 


zeln in Europa. en Europe. 


d. Fuchsgänse. Oies-renards. 
Anser aegyptiacus. Gemeine Fuchsgans. Oie-renard d'Égypte. 


Brisson, Orn., V1, p. 284, no. 9. — Anas aegyptiaca, Linné, 
Syst., XII, p. 197, no. 10. — Anas varia, Bechst. , Orn. Tasch., 
IT, p. 454, n°. 39. — Chelanopex aegyptiaca, Steph., Cont. of 
Shaw Zool. , XII, p. 43. — Naumann, Tab. 294. — Gould, Pl. 353. 


Afrika, zufällig im Süden Europa’s. L’Afrique, accidentellement dans le 


midi de PEurope. 
CYGNUS. SCHWAN, CYGNE. 
Cygnus olor. Höckerschwan. Cygne tuberculé. 


Vieillot, Nouv. Diet. Det., vol. IX, p. 37. — Anas olor, Gmel. 


CXIL 


Linn., 1, p. 501, no. 47. — Cygnus mansuetus, Ray, Av., p. 
136. — Cygnus gibbus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p.815. — 
Naumann, Tab. 295. — Gould, PI. 354. 


Norden Europa’s, Sibirien. Les régions froides de L'Europe, la Si- 
bérie, 


Cygnus olor immutabilis. Blassfüssiger Höckerschwan. 
Cygne tuberculé a pieds livides. 


Cygnus immutabilis, Yarrell, Proceed. Zool. Soc., 1838, p- 19; 
British Birds, III, p. 131, c. fig. 


Auf dem Zuge in Grossbrittanien und De passage en Angleterre et en Hol- 
Holland beobachtet. lande. 


Cygnus musicus. Singschwan. Cygne à bec jaune. 


Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 830. — Cygnus ferus, Brissou, 
Orn., VI, p. 292, n°. 12. — Anas cygnus, Gmel. Linn., p. 501, 
no, 1. — Cygnus olor, Pallas, Zoogr., II, p. 211, no. 316. — 
Cygnus melanorhynchus, Wolf u. Meyer, Taschenb. , II, p. 498. — 
Cygnus xanthorhinus, Naumann, XI, p. 478, Tab. 296. — 
Gould, PL 355. 


Nôrdliches Europa, Sibirien ; im Win- L'Europe septentrionale, la Sibérie ; 
ter im gemässigten und südlichen Eu- visite en hiver l'Europe tempérée et mé- 
ropa. ridionale. 


Cygnus musicus minor. Kleiner Singschwan. Petit Cygne 
à bec jaune. 


Cygnus minor, Keyserl. u. Blasius, p. LXXXII. — Cygnus olor 
var. ß minor, Pallas, Zoogr., II, p. 214, n°. 316. — Cygnus 
Bewickü, Yarrell, Trans. Linn. Soc., XVI, p. 445; Jard. u. 
Selby, Zool. Illustr., Pl. 95. — Cygnus islandicus, Brehm, Na- 
turg., p. 832. — Cygnus melanorhinus, Naumann, XI, p. 497, 
Tab. 297. — Gould, PI. 356. 

Island , Sibirien ;.auf dem Zuge in Gross- 1’Islande, la Sibérie; observé, lors de 


brittanien, Frankreich und Deutschland. l’époque de la migration, en Angleter- 
re, en France et en Allemagne. 


CXIII 


ANAS (126). ENTE. CANARD, 
A. SCHWIMMENTEN. CANARDS NAGEURS. 
a. Stockenten. Canards ordinaires. 


Anas boschas. (Gemeine Stockente. Canard ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p.205, no. 40. — Naumann, Tab. 300. — 
Gould , Pl. 361. 


Kalte und gemässigte Zone des nörd- Les regions froides et temperees de 
lichen Halbrundes. Phemisphere boréal. 


b. Krikenten. Sarcelles d’hiver. 
Anas crecca. (Gemeine Krikente. Sarcelle d'hiver ordinarre. 


Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 33. — Querquedula crecca, 
Steph. in Shaw, XII, p. 146. — Naumann, Tab. 304. — Gould, 
Pl. 362. 


Europa, Nordafrika, kaltes und ge- L’Europe,  lAfrique septentrionale, 
mässigtes Asien. | 


l'Asie boréale et tempérée. 
Anas bimaculata. Zweifleckige Krikente. Sarcelle d'hiver 
double tache. 


Pennant, Brit. Zool., II, p. 602, no. 287. — Anas glocitans, 
Gmel. Linn., p. 96. — Gould, PI. 363. 


Nôrdliches Asien; einige Exemplare in | Le nord de l'Asie; observé en Angle- 
England beobachtet. | terre. 


Anas angustirostris. Schmalschnäblige Krikente. Sarcelle 
d'hiver à bec étroit. 


Ménétries, Catal., p. 58, no. 205. — Anas marmorata, Temm., 
Man. , IV, p. 544. — Anas (Fuligula) marmorata, Gould , Pl. 373. — 
8 


CXIV 


. Dafıla marmorata, Eyton, Anat., p. 114, n°0. 4 — Querquedula 
angustirostris, Ch. Bonap., List, p. 57; Icon. Faun. Ital., Tav. 
47, fig. 1 et 2. 


Südliches Europa, Ufer des kaspischen Le midi de l'Europe, les bords de la 
Meeres, Nordafrika. mer caspienne, l’Afrique septentrionale. : 


c. Knäkenten. Sarcelles d’ete. 
Anas querquedula. (remeine Knäckente. Sarcelle d'été ordinaire. 


Linne , Syst., XII, p. 203, n°. 32. — Naumann, Tab. 303. — 
Cyanopterus circia, Eyton, Monogr. Anatid., p. 130, n°. 1. — 
Pterocyanea circia, Ch. Bonap., Catal., p. 71, n°. 438. — Gould, 
PI. 364. 


Europa, Sibirien , Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- 


tentrionale. 


d. Pfeifenten. Canards siffleurs. 
Anus penelope. Gemeine Pfeifente. Canard siffleur ordinaire. 


Linne , Syst., XII, p. 202, no. 27. — Anas fistularis, Gessner, 
Av., p. 117. — Mareca penelope, Ch. Bon., List, p. 65. — Mareca 
fistularis, Steph., Cont. of Shaw, XII, p. 131. — Naumann, 
Tab. 305. — Gould, PI. 359. 


Europa, Sibirien. |  L’Europe, la Sibérie. 


Anas americana. Amerikanische Pfeifente. Canard siffleur 
d'Amérique. 


Gmel. Linn. , Syst., p. 526, n°. 97. — Wilson , PI. 69, fig. 4. — 
Mareca americana, Steph., Cont. of Shaw, Zool., XII, p. 135. 


Nordamerika, in England beobachtet. L’Amerique du nord, observé en An- 


gleterre. 


CXV 


_e. Schnatterenten. Canards ridennes. 


nas strepera. kemeine Schnatterente. Canard ridenne 
ordinaire. 


Gessner, Aves, p. 117. — Linné, Syst., XII, p. 200, no. 20. — 
Chauliodus strepera, Swainson, Journ. Royal Instit., n°. IV, p. 
19. — Chaulelasmus strepera , J. R. Gray, List, II ed., p. 94. — 
Naumann, Tab. 302. — Ktinorhynchus strepera, Eyton, Monogr. 
Anat., p. 137, n°. 1. — Gould, PI. 366. 


Kalte und gemässigte Gegenden der Les régions froides et tempérées de 
nördlichen Erdhälfte. Phémisphère boréal. 


f. Spiessenten. Canards pilets. 
nas acuta. Gemeine Spiessente. Canard pilet ordinaïre. 


Linne, Syst., XII, p. 202, no. 28. — Anas caudacuta, Gess- 
ner, Av. p. 117. — Anas longicauda, Brisson, Orn. VI, p. 369, 
no. 16. — Dafila acuta, Ch. Bonap., List, p. 56. — Dafila cau- 
dacuta, Eyton, Mon. Anat., p. 114, n°0. 3. — Naumann, Tab. 
301. — Gould, Pl. 365. 


Europa, kaltes und gemässigtes Asien. | L’Europe, l’Asie tempérée et boréale. 
g. Löffelenten. Souchets. 


Anas clypeata. Gemeine Löffelente. Souchet ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 200, n°0. 19. — Spathula clypeata, Boie, 
Isis, 1822, p. 564. — Rhynchaspis clypeata, Steph., Cont. of 
Shaw, XII, 115. — Naumann, Tab. 306. — Gould, PI 360. 


Kalte und gemässigte Striche des nörd- Les régions froides et tempérées de 
lichen Haïbrundes. l'hémisphère boréal. 


h. Hôhlenenten. Tadornes. 
Anas tadorna. Gemeine Höhlenente. Tadorne commun. 


Linné , Syst., XII, p. 195, no. 4. — Tadorna tadorna, Flem- 


CXVI 


_ming, Phil. of Zool. II, p. 260. — Tadorna familiaris, Boie, Isis, 
1822, p. 804. — Naumann, Tab. 298. — Vulpanser tadorna, 
Keys. u. Blas., p. LXXXIV. — Gould, Pl. 357. | i 


Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. 


Anas rutila. Rothe Höhlenente. Tadorne kasarka. 


Pallas, Nov. Comm., Petr., XIV, I, p.579, Tab. 22, fig. 1. — 
Anas casarca, Linne, Syst., XII, III, p. 224. — Casarca rutila, 
Ch. Bonap., List, p. 56. — Naumann, Tab. 299. — Gould, 
PI. 358. 


Tatarie, südöstliches Europa, zufällig La Tatarie, ‘les contrées chaudes de 
‘im übrigen Europa. Europe orientale, accidentellement dans 
les autres parties de l’Europe. 


B. TAUCHENTEN. CANARDS PLONGEURS. 


a. Biderenten. Eiders. 
Annas molissima. (Gemeine Eiderente. Eider commun. 
Linné, Syst., XII, p. 198, no. 15. — Anas Cutberti, Pallas, 


'Zoogr., Il, p. 235, n°. 328. — Somateria molissima , Steph. in 
Shaw., Zool., XII, p. 224. — Gould, Pl. 374. 


Arktische Gegenden beider Welten; Le cercle arctique, visite en hiver les 
im Winter bis in das gemässigte Europa. régions temperees de l’Europe. 


Anas spectabilis. Prächtige Eiderente. Eider a tete grise. 


Linne, Syst., XII, p. 195, no. 5. — Gould, PI. 375. 


Arktischer Kreis. | Le cercle arctique. 


Anas Stelleri. Abweichende Eiderente. Canard Jaux-erder. 


Pallas, Spic. Zool. fasc., VI, p. 35, Tab. 5. — Anas dispar , 


CXVIT 


Sparrm., Mus. Carls., Tab. 7 et 8. — Polysticta Stelleni, Eyton, 
Mon. Anat., p. 150. — Stelleria dispar, Ch. Bon., List, p- 57, 
no. 418. — Eniconetta Stelleri, J. R. Gray, List, p. 95. — Gould, 
PI. 372. 


Kamtschatka, Kurillen, zufällig im nörd- Le Camtschatka, les îles Kourilles, ac- 
lichen Europa. cidentellement dans Europe septentrio- 
nale. 


b. Trauerenten. Macreuses. 
Anas nigra. (remeine Trauerente. Macreuse commune. 


Linné, Syst., XII, p. 196, no. 7. — Oidemia nigra, Flem., 
Phil. of Zool., II, p. 260. — Melanitta nigra, Boie, Isis, 1822, 
p. 564. — Gould, PI. 378. 


Arktische Gegenden Europa’s, im Win- Les regions arctiques de PEurope, la 
ter bis in’s südliche Europa; Sibirien. Siberie; visite en ‚hiver les autres parties 


de Europe. 
Anas fusca. Sammet-Trauerente. Double macreuse. 


Linné, Syst., XII, p. 196, n°. 6. — Gould, Pl. 377. 


Nördliche Gegenden beider Welten, | Les régions septentrionales des deux. 
im Winter bis in’s südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe 
| tempérée el méridionale. 


Anas perspicillata. Brillen-Trauerente. Macreuse à large Lec. 


Linné, Syst., XII, p. 195, n°. 5. — Gould, PI. 376. 


Nördliches Amerika, zufällig in Eu- L’Amerique boreale, accidentellement 


ropa. en Europe. 
Eisenten. Canards macroures. 


Anas glacialis. Gemeine Eisente. Canard macroure commun. 


Linné, Syst., p. 203, no. 30. — Anas hyemalis, ibid., p. 202, 


CXVIE 


n°. 9. — Harelda glacialis, Steph. in Shaw, XII, p. 175. — 
Gould, PI. 382. 
Nördliche Länder beider Welten; im Regions septentrionales des deux mon- 
Winter einzeln bis ins südliche Europa. des; s’egare en hiver jusque dans le 
midi de l’Europe. 


Nymphenenten. Canards nymphes. 


Anas mersa. Europäische Nymphenente. Canard nymphe 
d’ Europe. 


Pallas, It., II, app., n°. 29. — Anas leucocephala, Scopoli, 
Ann., I, p.65, n°. 79. — Undina leucocephala, Gould, Pl. 383. — 
Erismatura leucocephala, Eyton, Mon., p. 170. — Erismatura 
mersa, Ch. Bon., List, p. 59. — Undina mersa, Keys. u. Blas., 
p- LXXXVI. — Gould, Pl. 383. 


Südöstliches Europa. Les régions chaudes de l’Europe orien- 
tale. 


Schellenten. Garrots. 


nas clanyula. Gemeine Schellente. Garrot ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 201, n°. 23. — Anas glaucion, ibid., 
n°. 26. — Anas hyemalis, Pallas, Zoogr., II, p.270, no. 350. — 
Clangula clangula, Flemming, Phil. of Zool., p. 260. — Gould, 
PI. 379. 

Norden der alten Welt; im Winter Les régions septentrionales des deux 


bis in’s südliche Kuropa. mondes ; en hiver, jusque dans le midi 


de PEurope. 


Anus Barrowii. Arktische Schellente. Garrot arctique. 


Temm., Man. , III, p. 551. — Clangula Barrovii, Richardson , 
Fauna bor. amer., Birds, p. 456, Pl. 70. — Glaucion islandicum , 
Keys. u. Blas., p. LXXXVI. — Gould, PI. 380. 


Nôrdliches Amerika, Island. | L'Amérique boréale, l'Islande. 


CXIX 
Anas albeola. Zwerg-Schellente.: Garrot nain. 


Forster, Phil. Trans. , I, XII, p. 416, no. 47. — Wilson, VIII, 
p- 51, Pl. 67, fig. 2 et 3. — Anas bucephala, Penn. Arct. Zool., 
p. 559, no. 489. 


Nordamerika, in England erlegt. | L’Amérique du nord, tué en Angle- 
terre. 


Kragenenten. Canards histrions. 


Anus histrionicu. (remeine Kragenente. Canard histrion 
commun. 


Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 35. — Gould, PI. 381. 


Norden beider Welten. | Le cercle arctique. 
Reïherenten. Morillons. 
Anas fuligula. Gemeine Reiherente. Morillon commun. 


Linn., Syst. XII, p 207, n0.45. — Fuligula cristata, Steph., 
in Shaw, Zool., XII, p. 190. — Gould, Pl. 370. 


Norden der alten Welt, im Winter Les regions septentrionales de l’ancien 
bis in’s südliche Europa. monde; fréquente en hiver l’Europe 


tempérée et méridionale, 
Anas rufitorques. Halsband-Reiherente. Morillon à collier. 


Anas fuligula, Wilson, VII, p. 60, Pl. 67, fig. 5. — Fuli- 
gula rufitorques, Ch. Bonap., Syn., p. 393, no. 341. 


Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement 
en Angleterre, 


CXX 
Bergenten. Millouinans, 


Anas marila. (remeine Bergente. Millouinan ordinaire. 


Linné, Syst., XII, p. 196, no. 8. — Gould, PI. 371. 


Norden der alten Welt, im Winter bis . Les contrées septentrionales de lP’an- 
in das südliche Europa. cien monde; visite en hiver l’Europe 


| tempérée et méridionale. 


Anas marila americana. Amerikanische Bergente. Milloui- 
nan d'Amérique. 


Anas marila, Wilson, Pl. 69, fig. 3. — Anas mariloides, Yar- 
rell, Brit. Birds, III, p. 247, c. fig. — Fuligula affinis, Eyton, 
Monogr. , p. 157. 


Nordamerika. | L’Amerique du nord. 
Tafelenten. Millouins. 


Anas ferina. Gemeine Tafelente. Millouin commun. 


Linne, Syst., XII, p. 203, no. 31. — Nyroca ferina , Flem. ; 
Phil. of Zool., II, p. 260. — Aythya ferina, Boie, Isis, 1822 , 


p. 564. Gould, PI. 367. 

Nördliche und gemässigte Gegenden Les contrees septentrionales et tempe- 
der alten Welt, im Winter bis in’s süd- rees de lancien monde, passe en hiver 
liche Europa. jusque dans le midi de l'Europe. 


Anas nyroca. Weıssäugige Ente. Millouin nyroca. 


Güldenst., Nov. Comm. : Petr. XIV, 1, p. 403. — Anas leu- 
cophthalmos, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 1009. — Gould, 
PI. 368. 


Europa. | L’Europe. 


CXXI 
 Kolbenenten. Canards huppés. 
Anas rufina. Gemeine Kolbenente. Canard huppé ordinaire. 


Pallas, It., II, app-, n°. 28. — Branta rufina, Boie, Isis, 
1822, p. 564. — Callichen rufinus, Brehm, Vögel Deutschl. , 
p- 922. — Gould, Pl. 369. 


Südöstliches Europa. Les regions chaudes de l’Europe orien- 


i tale. 


MERGUS. SAGER. HARLE. 
Mergus merganser. Gänsesäger. Grand Harle. 


Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 2. — Mergus castor, ibid., p. 
109, no. 4. — Merganser Raï, Steph., in Shaw, Zool., XIT, 
p- 161. — Gould, Pl. 384. | 


Norden der alten Welt, im Winter Les parties septentrionales de l’ancien 
bis in das südliche Europa. monde; de passage dans les autres par- 
ties de l’Europe. 


Mergus serrator. Langschnäbliger Säger. Harle huppé. 


Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 3. — Gould , Pl. 385. 


Norden beider Welten, im Winter bis Les régions septentrionales des deux 
in’s südliche Europa. mondes ; de passage, en hiver, dans les 


autres parties de l’Europe. 


Mergus cucullatus. Helmsäger. Harle couronne. 


Linne, Syst., XII, p. 207, no. 1. — Gould, PI. 386. 


Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement 


en Europe. 


GXXII 
Mergus albellus (127). Weisser Säger. Merle prette. 


Linné, Syst. , XII, p. 209, n°. 5. — Gould, PI. 387. 


Norden beider Welten, im Winter Les régions septentrionales des deux 
bis in das südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe 
j tempérée et méridionale. 


PELIKANARTIGE VÖGEL (128). STÉGANOPODES. 
PELICANUS. PELIHAN. PELECAN. 


Pelecanus crispus. Riesen-Pelikan. Pelecan frise. 


Bruch, Isis, 1832, p. 1109. — Naumann , Tab. 283. — Gould, 
PI. 406. 


Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orien- 
tale. 


Pelecanus onocrotalus (129). Gemeiner Pelikan. Pelecan 
| blanc. 


Pelecanus onocrotalus orientalis (part.), Linné, Syst., XII, p- 
215, no. 1. — Naumann, Tab. 282. — Gould, PI. 405. | 


Südöstliches Europa, südliches und ge- Les parties chaudes de l’Europe orien- 
mässigtes Asien, Nordafrika. tale, lAsie tempérée et méridionale, 


l'Afrique septentrionale. 
CARBO SCHARBE. CORMORAN., 


Carbo cormoranus (129 bis). Kormoranscharbe. Grand 
cormoran. 


Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 576. — Pelecanus carbo, 
Linn. Syst., XII, p. 216, no. 3. — Phalacrocorax carbo, Guy. , 
Règne an., I, p. 562. — Halieus carbo, Iiliger , Prodr. , p. 279. — 
Naumann, Tab. 279. — Gould, PI. 407. 


Europa, Asien, Nordamerika. |  L’Europe, l'Asie, l'Amérique du nord. 


CXXIIT 
Carbo graculus (130). Krähenscharbe. Comoran nigaud. 


Pelecanus graculus, Linné , Syst., XIT, p.217, n°. 4. — Pelecanus 
cristatus, Fabr., Fauna groenl. , n°. 58. — Carbo cristatus, Temm., 


Man., II, p. 900. — Naumann, Tab. 280. — Gould, PI. 410. 


Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale. 


Carbo graculus mediterraneus. Südliche Krähenscharbe. 
Cormoran nigaud méridional. 


Carbo Desmarestü, Payraudeau, Ann. d. sc. nat., 1826, p. 
460. — Naumann, Tab. 280, fig. 3. — Gould, PI. 411. 


Mittelländisches Meer. | La Mediterranee. 
Carbo pygmaeus. Zwergscharbe. Cormoran pygmée. 


Temm., Man., II, p. 901. — Pelecanus pygmaeus, Pallas, It., 
II, app. , n°. 26. — Naumann, Tab. 281. — Gould, PI. 409. 


Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orientale, 
SULA (131). TOLPEL. FOU. 


Sula bassana. (Gremeiner Tülpel. Fou ordinaire. 


Brisson, Orn., VI, p. 503, no. 5. — Pelecanus Bassanus, 
Linn., Syst., XII, p. 217, no. 5, — Sula alba, Meyer u. Wolf, 
Taschenb. , II, 582. — Naumann, Tab. 278. — Gould, PI. 412. 


Norden der alten Welt. Les regions septentrionales de l’ancien 


monde. 


CXXIV 


MOVENARTIGE VÖGEL (132). LONGIPENNES. : 


LARUS. MOVE. MOUETTE. 


a. Seemöven. Mouettes marines ou Goëlands. 
Larus marinus. Mantelmüve. Goeland à manteau noir. 


Linne, Syst., XII, p. 225, n0. 6. — Naumann, Tab. 268. — 
Gould, Pl. 430. | 


Norden beider Welten, Les régions sepientrionales des deux 
mondes. 


Larus fuscus. Kleine Mantelmöve. Petit Goëland à manteau 
noir. 


Linné, Syst., XII, p. 225, no. 6. — Larus flavipes, Meyer u. 
Wolf, Taschenb., II, p. 469. — Naumann, Taf. 267. — Gould, 
PI. 451. - 


Nördliches Europa, im Winter bis in’s L’Europe septentrionale; visite en hiver 


südliche Europa. l'Europe temperee et meridionale. 


—— 


Larus argentatus (133). Silbermöve. Goëland à manteau gris. 


Brünnich, Orn. bor., p. 44, no. 149. — Naumann, Tab. 
266. — Gould, Pl. 434. 


Norden der alten Welt. | Les parties septentrionales de Pancien 


monde. 


Larus cachinnans. Gelbfüssige Silbermöve. Goëland de Pallas. 


Pallas, Zoogr., Il, p. 318, no. 177. — Larus Michahellesü , 
Bruch, Isis, 1832, p. 1107. 


Südöstliches Europa, Sibirien. Les régions chaudes de l’Europe orien- 


tale, la Siberie. 


CXXV 


Larus glaucus. Grosse weissschwingige Möve. Goëland bour- 
. gemestre. 


‘ Brünnich, Orn. bor., p. 44, n°. 148. — Naumann, Taf. 264. — 
Gould, PI. 432. 
Norden beider Welten, im Winter im Le nord des deux mondes; visite en 


gemässigten Europa. hiver l'Europe tempérée, 


Larus leucopterus. Kleine weissschwingige Möve. Goeland 
leucoptere. 


Faber, Prodr., p. 91, n°. 2. — Larus glaucoides, Temm. in 
Meyer u. Wolf, Taschenb., Zusätze III, p. 197. — Larus islan- 
“ dieus, Edmonston, Mem. Wern. Soc., IV, p. 506. — Larus arcti- 
cus, Mac Gillivray, ibid., V, p. 268. — Naumann, Taf. 265. — 
Gould, Pl. 433. 


Nordamerika, Island. | L’Amerique du Nord, lIslande. 


Larus canus. Sturmmöve. (roëland a pieds bleus. 


Linne, Syst., XII, p. 224, n°. 3. — Larus cyanorhynchus, 
Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 480. — Naumann, Taf. 261. — 
Gould, Pl. 437. 


Europa, ausser Island. | L'Europe, a Pexception de lIslande. 


Larus Audouinii. Buntschnäblige Möve. Goeland Audouin. 


Payraudeau, Ann. des Sc. Nat., 1826, p. 460. — Pl. col. 
480. — Gould, Pl. 438. 


Mittelländisches Meer. | Les côtes de la Méditerranée. 


GXXVI 


Larus eburneus. Rathsherr-Möve. Goeland senateur. 


Gmel. Linn., p. 596, n°. 14. — Gavia eburnea, Boie, Isis, 
1822, p. 876. — Naumann, Taf. 263. — Gould, PI. 436. 
Arktische Meere beider Welten. | Les mers arctiques des deux mondes. 


Larus tridactylus. Stummeldaum-Möve. Goeland à pouce 
imparfait. 


Linné Syst., XII, p.224, n0.2. — Larus rissa, Brünnich, Orn. 
bor., n°. 140. — Rissa tridactyla, Leach, Mus. Britt. et auct. 
angl. — Naumann, Taf. 262. — Gould, Pl. 435. 


Arktische Meere beider Welten, im Parages arctiques des deux mondes; 
Winter bis in das Mittelmeer. fréquente en hiver PEurope tempérée et 
méridionale. 


Larus leucopthalmos. Weissäugige Move. Goeland à iris 
blanc. 


Licht. in Temm., Pl. col. 366. — Temm. Man., III, p. 486. 


Griechenland, rothes Meer. | La Grece, la mer rouge. 
b. Moormöven. Mouettes. 


Larus ridibundus. Lachmöve. Mouette rieuse. 


Linne Syst., XII, p. 225, no. 9. — Xema ridibundus, Boie, 
Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Taf. 260. — Gould, Pl. 425. 


Europa, ausser dem hohen Norden ; L’Europe, à lexception des régions 
Sibirien. arctiques; la Sibérie. 


\ 


CXXVII 


Larus ridibundus minor (134). Kleine. Lachmöve. Petite 
mouelte rieuse. 


Larus capistratus, Temm., Man., II, p. 785. — Xema capis- 
tratum, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., I, Tav. 46, fig. 1. 
Europa, Africa. |  L’Europe, PAfrique. 


Larus atricilla (135). Bleigrauköpfige Möve. Mouette à ca- 
puchon plombé. 


Linné, Syst., XII, p. 225, n°. 8. — Larus plumbiceps, Brehm, 
Lehrb., p. 722. — Gould, PI. 426. 


Nordamerika, zufällig in Grossbritan- L'Amérique du nord, accidentellement 


nien. en Angleterre. 
Larus gelastes. Dünnschnäblige Möve. Mouette a bec grêle. 


Lichtenst., Mus. Berol. ; Thienemann, Fortpfl., V, p. 22, n°. 
391. — Larus Genei, De Breme , in Guérin, Revue Zool., 1839, 
p- 821. — Larus tenuirostris, Temm. , Man., IV, p. 478. — Xema 
Lambruschini, Ch. Bonap., Ic. d. Fauna ital.,I, Tav. 45, fig. 1. 


Mittelländisches Meer. | Les cötes de la Mediterranee. 


Larus melanocephalus (135 bis). Schwarzköpfige Möve. Mou- 
elle a capuchon noir. 


Natterer in Temm. Man., II, p. 777. — Naumann , Tab. 259. — 
Gould , Pl. 427. 


Mittelländisches Meer, | Les cötes de la Mediterranee. 


Larus minutus. Zwergmöve. Mouelte pygmée. 


Pallas, It., III, app. , n°. 35. — Naumann, Tab. 258. — Gould, 
PI. 428. 


Sibirien, ôstliches Europa, selten im La Sibérie, l’Europe orientale, rare- 
übrigcn Europa. ment dans les autres parties de l’Europe. 


GXX VIII 
 Larus ichthyaëtos. Fischmöve. Mouette vchthyaete. 


Pallas, It., II, app. , n°. 27. — Gould, PI. 435. 


Südöstliches Europa. Les parties chaudes de l’Europe orien- 
tale. 


Larus Sabinii. Schwalbenschwanz-Möve. Mouette de Sabine. 


I. Sabine, in Trans., Linn. Soc., XII, p. 520, PI. 29. — Xema 
Sabinüi, Leach in Ross, I voy., app., p. 57. — Gould, PI. 429. 


Arktisches Amerika, zufällig in Gross- Les régions arctiques de l’Amerique , 
britannien. accidentellement en Angleterre. 


Larus Rossii. Keilschwanz-Möve. Mouette de Ross. 


Richardson, in Parry, II voy., app., 359. — Larus roseus, 
Jard. et Selby , Zool. Illustr., Pl. 14. — Rossia rosea, Ch. Bonap., 
List, p. 62. | 


Arktisches Amerika, zufällig in Europa. Les regions arctiques de l’Amérique, 


accidentellement en Europe. 


STERNA (136). SEESCHWALBE. HIRONDELLE 
DE MER. 


a. Echte Seeschwalben. Hirondelles de mer pro- 
prement dites. 


Sterna caspia. Riesenseeschwalbe. Hirondelle de mer tsche- 
grava. 


Pallas, Nov. Comm. Petrop., XIV ,I, p.583. — Sterna megar- 
hynchos, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 457. — Stylochelidon 


CXXIX 


caspia, Brehm, Handb., p. 770. — Naumann, Tab. 248. — 
Gould, PI. 414. 


Gemässigtes und warmes Europa, sel- L'Europe tempérée et chaude, rare- 
ten im westlichen Europa; Asien, Afrika. ment dans l'Europe occidentale; l’Asie, 
l'Afrique. 


Sterna cantiaca. Weissgraue Seeschwalbe. Hirondelle de mer 
caugek. 


Gmel. Linné, p. 606, n°. 15. — Sterna striata, 1bid., p. 609, 
no. 24. — Sterna canescens, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 
458. — Thalasseus cantiacus, F. Boie, Isis, 1822, p. 563. — 
Naumann, Tab. 250. — Gould, PI. 415. 

Europa, Afrika, Nordamerika. L'Europe, l’Afrique, l’Amérique du 

nord. 


Sterna affinis. Rüppell’s Seeschwalbe. Hirondelle de mer 
voyageuse. 


Rüppell, Atlas, p. 23, Taf. 14. — Sterna media, Horsf. Linn., 
Trans., XIII, p. 199, n°. 3. 


Griechenland, Afrika, indischer Ar- ı La Grèce, PAfrique, PArchipel indien. 
chipel. 


Sterna hirundo. temeine Seeschwalbe. Hirondelle de mer 
Pierre Garin. 


Linne, Syst., XII, p. 227, no. 2. — Naumann, Tab. 252. — 
Gould, PI. 417. 
Europa, Afrika, Sibirien, Nordameri- |  L’Europe, P’Afrique, la Sibérie, ’Ame- 


ka. rique du nord. 


Sterna macrura. Langschwänzige Seeschwalbe. Hirondelle 
de mer macroure. 


. Naumann, Isis, 1819, p. 1847. — Sterna arctica, Temm. Man., 
9 


CXXX 


II, p. 742. — Sterna argentata, Brehm, Beitr., III, p- 692. — 
Naumann, Tab. 253. — Gould, PI. 419. Ä 


Norden beider Welten, im Winter Les contrées septentrionales des deux. 
‘einzeln im mittelländischen Meere; Vorge- mondes, visite en hiver en petit nombre 
birge der guten Hoffnung. les côtes de la Méditerranée; le Cap de 


Bonne Espérance. 


Sterna minuta. Zwergseeschwalbe. Petite hirondelle de mer. | 


Linne, Syst., XII, p. 228, n°. 4. — Sternula minuta, Boie, Isis, 
1822, p. 563. — Naumann , Tab. 254. — Gould, Pl. 420. 


Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale, 
Asien. l'Asie. 


‘Sterna paradisea. Brünnich's Seeschwalbe. Hirondelle de mer 
Brunnich. 


Brünnich, Orn. bor., p. 46. — Sterna Dougallii, Montagu, Orn. 


Dict., Suppl., ad voc. Tern roseate. — Naumann, Tab. 251. — 
Gould, PI. 418. 
‘Europa ,„ Nordamerika. | L'Europe, l’Amerique du nord. 


Sterna anglica. Lachseeschwalbe. Hirondelle de mer hansel. 


Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Tern gull-billed. — Gelo- 
chelidon anglica, Ch. Bonap., List, p. 61. — Naumann, Tab. 
249. — Gould, Pl. 416. 


Europa, Arabien, Afrika. | L’Europe, l’Arabie ; l'Afrique. 
b. Bastard-Seeschwalben. Hirondelles de mer bâtardes. 


Sterna nigra. Schwarze Seeschwalbe. Hirondelle de mer 
epouvantall. 


.Brisson, Orn., VI, p. 211, n°. 11. — Sterna naevia, ibid., p- 


CXXXI 


216, , no. 6. — Sterna fissipes, Linné, Syst., XII, p. 228, no. 
7. — Hydrochelidon nigrum, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Nau- 
mann, Tab. 256. — Gould, PI. 422. 

Europa , gemässigtes Asien, Nordame- L'Europe, l'Asie tempérée, l’Améri- 


rikası.) * que du nord. 


Sterna leucoptera. Weissschwingige Seeschwalbe. Hirondelle 
de mer leucoptere. 
Meissner u. Schinz, Vögel der Schweiz, p. 264, no. 238. — 
Sterna nigra, Linn., Syst., XII, p. 227, no. 3. — Naumann, 
Tab. 257. — Gould, PI. 423. 


Südliches Europa, Asien. | L'Europe méridionale, l'Asie. 


Sterna leucopareia. Schnurrbärtige Seeschwalbe. Hirondelle. 
de mer moustac. 


Natterer in Temm., Man., II, p. 746. — Sterna hybrida, Pal- 
las, Zoogr., II, p. 338, n°. 395. — Naumann, Tab. 255. — 
Gould, PI. 424. 

Südliches Europa, Nordafrika, Asien. Le midi de l’Europe, l'Afrique sep- 


tentrionale , l’Asie. 


c. Noddis. Noddis. 
Sterna stolida. Gemeiner Noddi. Noddi commun. 


Linne, Syst., XII, p. 227, no. 1. — Megalopterus stolidus, 
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Gould, PI. 421. 


Südliches Halbrund ; einzeln im mittel- l'hémisphère boréal; observé sur les 


ländischen Meere und an den Küsten côtes de la Méditerranée et de lPAngle- 
Englands beobachtet. terre, 


CXXXII 
PROCELLARIA. STURMVOGEL. PETREL 
c. Procellaria. Eigentliche Sturmvögel. Pétrels. 

Procellaria glacialis. E a Petrel fulmar. 


Linne, Syst., XII, p. 213, no. 3. — Gould, PI. 446. 


Nördliches Europa. | L'Europe boréale, 
b. Puffine. Puffins. Puffinus. 


Puffinus cinereus. Grauer Pufin. Puffin cendre. 


Temm. , Man., III, p. 806 et IV, p. 506. — Gould, PI. 445, 


fig. 1. 
Mittelmeer, bis an die Küsten Eng- | La méditerranée, jusqu’ aux côtes de 
lands. l'Angleterre. 


Puffinus major. Grosser grauer Pufin. Pufin cendre arctique. 


Faber, Prodr., p. 56, no. 2. 


Arktische Gegenden Europa’s, Neu- Les régions arctiques. de l'Europe; la 
fundland. Terre-neuve. 


Puffinus fuliginosus (137). Rauchgrauer Pufin. Pufin 


Juligineux. 


Strickland, Proceed. Zool. Soc., 1832, p. 129. — Puffinus 


cinereus, fem., Gould, Pl. 445, fig. 2. — Puffinus major, fem. 
Temm., Man., IV, p. 508. 

Neufundland,, zufällig in Grossbritan- La Terre-neuve, accidentellement en 
nien. Angleterre. 


Puffinus arcticus (138). Arktischer Pufin. Puffin manks. 


Faber, Prodr., p. 56, n°. 1. — Procellaria puffinus, Brünnich, 


CXXXIIT 


Orn. bor., p: 29. — Procellaria anglorum, Temm., Man., II, 
p- 806. — Naumann, Tab. 277. — Gould, PI. 443. 
Nördliches Europa, Nordamerika. | L'Europe boréale, l'Amérique du nord. 


Puffinus obscurus. Dunkler Pufin. Pufin obscur. 


Boie, Isis, 1826, p. 980. — Procellaria obscura, Gmel. Linne, 
p- 559, no. 7. — Gould, PI. 444. 


Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale. 


THALASSIDROMA. SCHWALBENSTURMVOGEL. 
THALASSIDROME. 


Thalassidroma pelagica. Gemeiner Schwalbensturmvogel. 
Thalassidrome tempete. 


Vigors, et auct. recent. — Procellaria pelagica, Linne , Syst., 
XII, p. 212, n°. 1. — Hydrobates pelagica, Boie, Isis, 1822, 
p- 562. — Naumann, Tab. 275. — Gould, Pl. 477, fig. 2. 


‘ Europa. | L’Europe. 


Thalassidroma Leachii. Leach’s Schwalbensturmvogel. Tha- 
lassidrome de Leach. 


Ch. Bon., List, p. 64. — Procellaria Leachii, Temm, Man., 
IT, p. 812. — Nes Tab. 275. — Gould, PI. 447, fig. 1. 


Atlantischer Ocean, Küsten Frank- | L’Ocean atlantique. les côtes de la 
I 


reichs und Englands. 'rance et de l’Angleterre. 


Thalassidroma Wilsonii (139). Wilsons Schwalbensturmvogel. 
Thalassidrome de Wilson. 


Ch. Bonap., Syn., p. 367. — Procellaria pelagica , Wilson , 
Tab. LX, fig. 6. — Proc. oceanica, Forst., Licht. , Catal., p. 


GXXXIV 


83, n°. 764, nota. — Oceanites Wilsonii , Keyserl. u.. Blas., p: 
XCIIT. | 


Mexicanischer Meerbusen , zufällig an Le Golfe de Mexique. aceidentelle- 


ment en Angleterre. 


den englischen Küsten. 


Thalassidroma Bulweri. Bulwers Schwalbensturmvogel. 
Thalassidrome de Bulwer. 


Gould, Pl. 448. — Procellaria Bulweri, Jard. and Selby, Zool. 
Illust. , Pl. 65. | | 


Azoren, Madeira, an den Küsten Eng- | Les Azores et Madère ; observé sur les 


lands beobachtet. côtes de l’Angleterre. 


LESTRIS. RAUBMOVE. STERCORAIRE. 


Lestris catarractes. (Grosse Raubmüve. Slercoraire ca- 
tarracte. 


Illiger, Prodr., p. 273. — Larus catarrhactes, Linn., Syst. 
nat. , XII, p. 226, no. 11. — Catharacta Skua, Brünn., Orn. bor., 
p- 33, n°. 125. — Naumann, Tab. 270. — Gould, PI. 439. 


Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale. 


Lestris pomarina. Mittlere Raubmüve. Stercoraire pomarine 


Temm., Man., II, p. 793. — Naumann, Tab. 271. — Gould, 
Pl. 440. | 
“Norden beider Welten, im Winter bis Les regions septentrionales des deux 
in das südliche Europa. mondes ; visite en hiver les autres par- 
ties de l'Europe. 


CXXXV 
Lestris parasita. Schmarotzer-Raubmöve. Stercoraire parasite. 


Boie, Reise, p. 129. — Catharacta parasita et coprotheres, 
Brünn., Orn. bor., p. 37, n°. 127 et p. 38, no. 128. — Lestris 
Richardsonii, Swainson , Fauna bor. amer., II, p. 433, Pl. 73. — 
Naumann , Tab. 272, 273. — Gould, PI. 441. 


Nördliches Europa, auf dem Zuge bis L’Europe septentrionale, de passage 
R P P 2 passag 


in das südliche Europa. en hiver dans les autres parties de PEu- 


rope. 


Lestris Buffonii (140). Buflon’s Raubmöve. Stercoraire de 
Buflon 


Lestris Buffonüi , Boie, in Meyer, Taschenb., III, p. 212, n°. 3; 
Isis, 1822, p. 562 et 874 — Lestris crepidata, Brehm, Beitr., 
II, p. 861. — Catharacta cephus, Brünnich, Orn. bor., p. 36, 
n°. 126, c. fig. — Lestris parasiticus, Swains. , Faun. bor. amer. 
Birds, p. 430. — Naumann, Tab. 274. — Gould, PI. 442. 


Nôrdliches Europa, auf dem Zuge im L'Europe septentrionale, visite en hi- 
gemässiglen Europa. ver l'Europe tempérée. 


f Hefe ET 
4 © L _ « Ve À 


ZWEITE ABTHEILUNG. 


SECONDE PARTIE. 


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(1) FALCO CANDICANS 1IS- 
LANDIOUS. Schon Horrebow , 
Descr. del’Islande, I, p.210, 
und nach ihm Faber, Prodr. p. 
3, haben darauf aufmerksam ge- 
macht, dass die weissen Falken, 
wie sie in Grönland vorkommen, 
auf Island nicht brüten, sondern 
diese Insel nur im Winter besu- 
chen. Brehm, I. c., trennte im 
Jahre 1823 den isländischen Fal- 
ken vom grönländischen ; später 
thaten dies auch Hancock, !. c., 
und Keyserl. u. Blasius, l. ce. — 
Wir haben eine Menge, im Som- 
merın Grönland und Island erleg- 
te Individuen dieser beiden Fal- 
ken untersucht und gefunden, 
dass die von den erwähnten Na- 
turforschern angeführten Kenn- 
zeichen, wodurch sich der grön- 
ländische vom isländischen Falken 
unterscheiden soll, grösstentheils 
unstatthaft sind. Nach Brehm 
soll der Schnabel des grönländi- 
schen Falken mit einem doppel- 
ten Zahne, der des isländischen 
mit einem einfachen Zahne ver- 
sehen seyn; Hancock dagegen 
schreibt dem isländischen Falken 
einen Doppelzahn, dem grönlän- 
dischen einen einfachen Zahn 
zu: ein Widerspruch , der um so 

2. 


— rd — 


(1) FALCO CANDICANS 1s- 
LANDICUS. JHorrebow, Descr. 
de l'Islande, T, p. 210, et après 
lui Faber, Prodr. p. 3, ont été 
les premiers à constater que les 
faucons blancs tels qu'ils se trou- 
vent ordinairement au Groenland, 
ne nichent pas en Islande, et 
qu'ils ne visitent cette ile qu’en 
hiver. Ce ne fût cependant qu’en 
1823 que Brehm distinguät com- 
me espèce le faucon du Groenland 
de celui d'Islande, et’ il fut plus 
tard imité à cet égard par Han- 
cock, Keyserling et Blasius. 
Nousavons examiné un assez grand 
nombre de faucons de ces deux 
races, tués en été au Groenland 
et en Islande, et nous avons trou- 
vé que la plupart des caractères 
établis par ces savans pour dis- 
tinguer les deux races de faucon 
que nous venons de citer, sont 
loin d’être constants. Brehm veut 
que le bec du faucon du Groen- 
land soit pourvu d’un double fes- 
ton, tandis que le bec du faucon 
d'Islande n'offre qu'un seul fes- 
ton; Hancock dit au contraire 
que le bec du faucon d’Islande 
présente deux festons et celui du 
faucon d’Islande un simple feston : 
assertions contradictoires qu'il est 


1 


unerklärlicher ist, da beide Na- 
turforscher ganze Reihen Indivi- 
duen dieser Falken von Grönland 
und Island untersucht haben. — 
Hancock giebt ferner an, dass 
beim grönländischen Falken die 
Querflecke der beiden mitteln 
Steuerfedern einander gerade ge- 
genüberstehen, oder mit andern 
Worten, dass diese Flecke unab- 
gebrochene Querbinden bilden, 
während sie beim isländischen 
Falken abwechselnd stehen , und 
daher keine durchgehenden , son- 
dern abgebrochene Querbinden 
bilden. Auch diese Erscheinung 
ist nach meinen Beobachtungen 
zufällig; denn ich fand diese 
Querstreife beim weissen und is- 
ländischen Falken, wie bei den 
übrigen Arten, bald unabgebro- 
chen bald abwechselnd stehend, 
zuweilen bei einem und demsel- 


ben Individuum , auf einer Feder. 


abwechselnd, auf der andern 
durchgehend , oder sogar auf ei- 
ner und derselben Feder theil- 
weise abgebrochen, theilweise 
unabgebrochen. — Nach Han- 
cock soll ferner der Schwanz 
beim grônländischen Falken 2 
Zoll, beim isländischen 11 Zoll 
über die Flügel hinausragen. Wä- 
re ein solcher Unterschied vor- 
handen , so müsste er doch wohl 
seine Ursache in verschiedenen 
gegenseitigen Längeverhältnissen 
der Flügel und des Schwanzes ha- 
ben: von diesen Verhältnissen 
schweigt aber Hancock und seine 
Nachfolger, und nach unsern 
Untersuchungen bestehen sie auch 
wirklich nicht. Keyserling und 
Blasius, 1. c., p. 135, geben 
endlich als Hauptkennzeichen 


d’autant plus difficile de concilier 
que ces savans prétendent avoir 


‘examiné un grand nombre d’in- 
dividus de chacune de ces deux 


races de faucon. Hancock cons- 


Late encore que les taches claires 
des deux pennes mitoyennes de 


la queue forment , dans le faucon 
du Groenland, des bandes conti- 
nues, tandis qu’etant opposées 
dans le faucon d'Islande, elles se 
présentent, dans cette race, sous 
la forme de bandes transversales 
interrompues. Mes propres re- 


cherches m'ont appris que ce ca- 


ractère ainsi que celui tiré de la 
présence d’un double feston au 
bec est absolument dû à des va- 
riétés individuelles, les taches 
dont nous venons de parler étant 
dans les faucons du Groenland et 
d'Islande, comme dans plusieurs 
autres espèces, tantôt opposées, 
tantôt continues, quelquefois 
dans un seul individu sur l’une 
des pennes opposées, sur l’autre 
continues, ou même sur une seule 
penne en partie opposées, en 
partie continues. Hancock pré- 
tend encore que la queue dépasse 
les ailes de deux pouces dans le 
faucon du Groenland et d’un pou- 
ce et demi seulement dans celui 
d'Islande; mais il est évident que 
ce caractère, s’il existait, devrait 
naturellement dépendre de la di- 
versité des dimensions relatives 
de la queue et des ailes de ces 
deux races; mais Hancock ne fait 
nullement mention de ces diffé- 
rences qui, en effet, n'existent pas. 
Les traits distinctifs assignés au 
faucon du Groenland par MM. 
Keyserling et Blasius, p. 135, 
sont les suivans: »L’extremite 


des grönländischen Falken an: | 


»Die dritte Schwinge steht der 
»zweiten näher als der ersten, so 
» dass der Unterschied der zwei- 
»ten und dritten kleiner ist als 
» der ersten und dritten.” Beim 
isländischen Falken sollen da- 
gegen folgende Verhältnisse Statt 
finden: »Die dritte Schwinge 
»steht der ersten näher als der 
» zweiten, so dass der Unterschied 
»der zweiten und dritten grösser 
»ist als der ersten und dritten.” 
Wir können versichern, dass auch 
diese Kennzeichen nicht Stand 
halten, weil sie lediglich von der 
mehr oder weniger volkomme- 
nen Entwickelung der Schwung- 
federn abhängen. — Nach unsern 
Untersuchungen ist der isländische 
Falke vom grönländischen oder 
dem weissen Falken nur durch 
die Färbung, und zwar nur im 
Alter, zu unterscheiden; junge Vö- 
gel sind sich so vollkommen ähn- 
lich, dass auch nicht der: ge- 
ringste Unterschied Statt findet. 
Beim ausgetärbten grönländi- 
schen Falken sind Kopf, Hals, alle 
Untertheile, und oft auch die 
Steuerfedern , mit Ausnahme des 
mittelsten Paares , rein weiss; auf 
den Öbertheilen herrscht eben- 
falls die weisse Farbe vor, und 
die dunkle Farbe erscheint nur auf 
den Federn des Rückens und der 
Flügel, in der Gestalt von herz- 
förmigen Flecken oder unvoll- 
kommenen  Querbinden. Der 
Schnabel ist oft ganz gelblich ; 
die Füsse dagegen sind gewöhn- 
lich blassgelb, oder behalten so- 
gar ihre blauliche Färbung , nach- 
dem der Vogel schon das weisse 
Kleid angelegt hat. Beim ausge- 


»de la troisième rémige plus rap- 
»prochee de l’extremite de la 
» deuxième, d’où il résulte que la 
» distance comprise entre les ex- 
»tremites de la deuxième et de 
» la troisième rémige est moins 
» considérable que la distance 
» comprise entre les extrémités de 
» la première et de la troisième ré- 
» mige.” Le faucon d'Islande offre 
au contraire, selon ces savans , les 
traits distinctifs suivans: » L’ex- 
»tremite de la troisième rémige 
»est plus rapprochée de l’extré- 
» mité de la deuxième; la distance 
» comprise entre les extrémités de 
»la deuxième et de la troisième 
»remige est, par conséquent, 
» plus considérable que la distan- 
»ce comprise entre la premiere 
»et la troisième rémige.” Quant 
à ces caractères, nous avons ob- 
servé qu'ils dépendent du déve- 
loppement plus ou moins parfait 
des rémiges, et qu'ils sont loin 
d'offrir des traits distinctifs sûrs 
et constans. Nous ne sommes par- 
venus à distinguer le faucon d’Is- 
lande de celui du Groenland qu’au 
moyen des caractères empruntés 
aux couleurs, Les jeunes de l’année 
de ces races se ressemblent telle- 
ment qu'il est impossible de les 
distinguer, si leur origine n’a pas 
été préalablement constatée. Le 
faucon du Groenland est, lors- 
qu'il est revêtu de sa livrée par- 
faite, d’un blanc pur sur la tete, 
le cou, les parties inférieures et 
souvent aussi sur les pennes de la 
queue, à l'exception des deux 
mitoyennes; et les taches foncées, 
dont les parties supérieures de- 
puis le dos se trouvent couvertes, 
sont assez petites et se présentent 


färbten isländischen Falken ıst der ! 


Schwanz mit abwechselnden hel- 
len und dunkeln Querflecken ver- 
sehen. Die Brust und die un- 
tern Schwanzdeckfedern sind mit 
kleinen dunkeln Strichen, der 
Bauch mit thränen- und herzför- 
migen Flecken versehen, die auf 
den Seiten als Querflecke erschei- 
nen. Die hellen Flecke der Ober- 
theile haben immer die Gestalt 
mehr oder weniger vollkommener 
Querbänder. Die hellen Quer- 
bänder der obern Schwanzdeck- 
federn sind bläulichweiss, und 
die der Seiten des Bürzels asch- 
grau. Kopf, Nacken, Hinterhals 
und Ohrgegend sind ebenfalls mit 
Strichflecken versehen, und die 
Zügelgegend, so wieder sehr klei- 
ne Backenbart ziehen insschwärz- 
liche. Der Schnabel ist nur an der 
Wurzel gelblich, und die Füsse 
sind ganz gelb, wenigstens an ge- 
trockneten-Exemplaren. 


Die Falkeniere, weiche ‘die 
Falkenarten oft besser kennen als 
die Naturforscher, , unterscheiden 
den grönländischen Falken nicht 
vom isländischen. Sie begreifen 
beide unter dem gemeinschaft- 
lıcheu Namen Zsländer, und 


sous la forme de taches en coeur 
ou de bandes transversales impar- 
faıtes. Le bec est souvent d’un 
jaunätre uniforme; les pıeds sont 
ordinairement d’un jaune päle 
ou offrent même encore la teinte 
bleuâtre, telle qu’elle se voit 
dans les jeunes de l’année. La 
queue du faucon d'Islande est 
pourvue , à l’âge adulte, c’est-à- 
dire, depuis la deuxième année, 
de bandes alternes claires et fon- 
cées. La poitrine et lescouvertures 
inférieures de la queue sont ornées 
de fines raies longitudinales, le 
ventre de petites taches en coeur 
ou en larmes, qui prennent sur 
les grandes plumes des flancs une 
forme transversale. Les taches 
claires des parties supérieures 
offrent toujours la forme de ban- 
des transversales plus ou moins 
parfaites. Les bandes des couver- 
tures supérieures de la queue 
sont d’un blanc bleuätre, et cel- 
les des côtés du croupion tirent 
sur le gris cendré. La tête, la 
nuque, les parties postérieures du 
cou et la région des oreilles sont 
pourvues de taches foncées étroi- 
tes; on voit du noirätre sur la 
région du frem et la tache en 
moustache est également noirätre, 
mais tres-petite. Le bec n'offre 
du jaune qu’à sa base ; les serres 
sont toujours d’un jaune unifor- 
me, du moins dans les individus 
empaillés. 

Les fauconniers qui connais- 
sent les diverses espèces de fau- 
con souvent mieux que les natu- 
ralistes, ne distinguent pas le 
faucon d'Islande du faucon blanc; 
ils les comprennent tous les deux 
sous le nom de l’Islandais. Ces 


alle behaupten einstimmig, dass 
beide einerlei Naturell haben, 
sehr leicht zu zähmen und hierin 
allen übrigen Falken vorzuziehen 
seyen. 


Zu den Synonymen des islän- 
dischen Falken gehören noch: 
Buffon , Pl. ent. 210, le @erfaut 
d'Islande, (ad.); ferner Nau- 
mann, Naturgeschichte,, Neue 
Ausgabe, Tab.21, Fig.2, (ad.), 
und Falco islandicus, Wolf u. 
Meyer, Nat. Deutschl, (fig. mar. 
ad.). — Fig. 1, Taf. 21, des 
Naumann’schen Werkes stellt. den 
alten weissen Falken vor. 


(2) FALCO GYRFALCO, Es ist 
fast räthselhaft, dass diese Art, 
die in Norwegen die Stelle des 
weissen und isländischen Falken 
vertritt, die seit den ältesten Zeiten 
ın bedeutender Anzahl von den 
Falkenieren geholt wird, und im 
Winter die Küsten Norddeutsch- 
lands und Hollands besucht, wo 
sie die Falkeniere fangen, bis jetzt 
von den Naturforschern nicht als 
selbstständig unterschieden wur- 
de, und dass sie selbst den skandi- 
navischen Naturforschern unbe- 
kannt blieb, oder von ihnen ver- 
kannt wurde. Buffon hat den jun- 
gen Vogel abgebildet, und auch 
brisson’s Faucon d’Islande ge- 
hört hierher. Zeinne’s Beschrei- 
bung seines Falco lanarius 
scheint nach einem jungen Vogel 
dieser Art gemacht zu seyn. Das 
von Nilsson, Fauna suec.. p.22, 
und Skandinav. Fauna , Foglar- 


oiseaux ont, à leur avis , le même 
naturel doux; ils sont plus faciles 
a dompter que les autres fau-- 
cons, et par conséquent prefe- 
rables à toutes les autres espèces 
pour être dressés pour la chasse: 
au vol. 

Il convient de ranger parmi les 
synonymes du faucon d'Islande, 
outre ceux déjà indiqués, les 
suivans: Buffon, Pl. ent. 210, 
le Gerfaut d'Islande, (ad.); 
puis Naumann, Histoire na- 
turelle des Otis. d’ Allem. , nouv. 
edition, PI. 21, fig. 2, (ad.), ef 
Falcoislandicus, Wolf u.Meyer, 


Nat. Deutschl., (fig. du mâle 


— 


ad.). L'oiseau figuré dans. 
Naumann, PI 21, fig. 1, est le: 
faucon blanc adulte. 


(2) FALCO GYRFALCO. Où. 
peut s’etonner à juste titre que: 
cette espèce qui remplace en. 
Norwége le faucon blanc et ce- 
lui d'Islande , que les fauconniers 
ont été chercher en Norwége 
depuis des siècles, qui visite en 
hiver les parties septentrionales 
de l'Allemagne et la Hollande ou 
les fauconniers la prennent de 
tems à tems, n'ait pas encore été 
distinguée par les ornithologistes, 
et qu'elle ait été complètement 
ignorée des naturalistes de la 
Scandinavie. Buffon a figuré un: 
jeune individu de cette espèce, 
et je suis porté à regarder 
comme le vieux du gerfaut l’im- 
dividu figuré par Brisson sous le. 
nom de faucon d'Islande. Je 
suppose également que la descrip- 
tion que Zinnaeus a donnée de 
son Falco lanarius a éié faite 
sur un Jeune mäle du gerfaut. 


na, I, p. 15, als Falco lanari- 
us, jun., beschriebene Exemplar 
scheint ebenfalls als junges Männ- 
chen zu unserm Gierfalken , und 
nicht zum Saker (F. lanarius 
auct.), zu gehören, der im Norden 
noch nie beobachtet wurde. Es ist 
dies auch darum wahrscheinlich, 
weil Nilsson den Nacken als weiss- 
lich, und dierostfarbenen Ränder 
der Federn der Obertheile als un- 
deutlich beschreibt, da doch die- 
se Ränder beim Sakerfalken sehr 
breit sind und der Kopf immer in 
das rostfarbene zieht. Vielleicht 
hatteauch Naumann, bei Beschrei- 
bung seines, in der alten Ausgabe 
seines Werkes, Nachträge, p. 
409 sgg., Tab.58, Fig.110, auf- 
. geführten Geierfalken, ein junges 
Weibchen des Gierfalken vor 
sich. Da aber der junge weibli- 
che Gierfalke von den jungen 
männlichen weissen und isländi- 
schen Falken nur durch Unter- 
suchung des Geschlechtes zu un- 
terscheiden ist, und Naumann 
den zufälligen Mangel des zwei- 
ten Zahnes im Schnabel für das 
Hauptkennzeichen des Gierfalken 
der Falkeniere hielt, und seine 
Art im ausgefärbten Kleide nicht 
kannte, so zog er seinen Geierfal- 
ken später, (siehe Veue Ausgabe, 
1822, 1,».278, Tab.22, Frg, 2); 
als Art wieder ein. 


Bis jezt ist der Gierfalke imSom- 
mer nur ın Skandinavien gefun- 


L'oiseau décrit par Nilsson „ 
Fauna suecica, p. 22, et Skan- 
din. Fauna, Oiseaux, I, p. 15, 
sous le nom Falco lanarius, me 
parait n’etre qu’un jeune mâle 
du gerfaut, et ne pas appartenir 
au faucon sacre (Falco lanarius 
auct.) qui n’a pas encore été ob- 
servé dans le Nord. Ce savant con- 
state aussi que la nuque de son 
individu est blanchätre et qu’il of- 
fre des bords des plumes des par- 
ties supérieures assez étroites; on 
sait cependant que ces bords sont 
larges dans le sacre et que les 
parties postérieures de la tête ti- 
rent, dans cette espèce, tou- 
jours au brun ferrugineux. Il 
se peut enfin que Naumann, en 
établissant son gerfaut dans la 
première édition de son ouvra- 
ge, Suppl, p. 409 ef suiv., 
PI. 58, a en effet eu devant les 
yeux une jeune femelle du ger- 
faut. Cependant, comme il est 
impossible de distinguer la jeune 
femelle du gerfaut des jeunes 
mäles des faucons d’Islande et 
de ceux du faucon blanc, sans 
en avoir constaté le sexe par la 
dissection, Naumann ne connais- 
sant pas la livrée parfaite du 
gerfaut de Norwége et prenant 
pour trait essentiel de son ger- 
faut le défaut accidentel du fes- 
ton postérieur du bec, s’avisa, 
en publiant la nouvelle édition 
de son ouvrage, de rayer cette 
espèce du catalogue méthodique, 
ou plutôt il la confondit avec les 
faucons blancs et d’Islande : voir 
le vol. 7, p. 278, Pl. 22, fig. 2, 
de son ouvrage publié en 1822. 

On n’a rencontré jusqü'à pré- 


sent le gerfaut en été qu’en Nor- 


den worden. Es fragt sich aber, | wege; mais ıl se pourrait bien 
ob die von Pallas auf dem Ural | que les faucons observés par Pal- 
und den Sibirischen Alpen beo- | /as sur l’oural et sur les alpes de 
bachteten grossen Falken, die | la Sibérie appartinssent à notre 
sich durch ihre dunklere Färbung | espèce. Ge voyageur, quoique 
vom weissen Falken unterschei- | constatant que les faucons de ces 
den, und von Pallas als Varietät | contrées se distinguent du faucon 
zu dieser Art, welche er Falco | blanc par leurs teintes foncées, 
gyrfalco nennt ‚gezogen werden,. | ne les regarde cependant que 
En auch zu unserm Gierfalken | comme variété de cetie espèce 
gehören, und vom weissen Fal- | qu’ilnomme Falcogyrfalco. Voi- 
ken verschieden sind. Damit jeder | ci ce qu'il en dit dans sa Fauna 
selbst urtheilen könne , setzen wir | rosso-aszatica , I ,.p. 325 et 326.. 
Pallas eigene Worte her. Er sagt 
in der Zoogr. ross. as., 1, Re 
325 et 326. 

'»Gyrfalco sat magna copia in excelsis rupibus Uralensis jugi,. 
» tractuumque Sibiriae alpestrium nidulatur , neque hyeme tempe-- 
» ratiores situs omnino relinquit. Gyrfalcones Uralenses et Altaici 
» praesertim foeminae et juniores colore et variegatione simillimi 
» Iconi in collectione Daubentoni tab. 462, accedunt ad F. lana- 
» rium vel F. peregrinum Juniorem, supra fusci, subtus albido et 
»nigricante densius variegati, cera livida, pedibus coerulescenti- 
» bus. Seniores magis albescunt, et notas nigricantes contrahunt, 
» rarissime ee nauhlor albi, eorum instar qui in Islandia et maxi- 
» me orientali Sibiria atque Gamschatka generantur.” 

Wie dem auch sey, so kann ! Quoiqu'il en soit il est impos- 
nur eme genaue, wiederholte Un- | sible de déterminer au juste à 
tersuchung von Individuen, über | quelle espèce appartiennent ces 
deren Ursprung man volle Gewiss- | faucons décrits par Pallas, sans 
heit hat, Licht auf die genaue | avoir soigneusement comparé des 
Kenntniss der grossen Falkenar- | séries complètes d’invidus origi-- 
ten und ihre Verbreitung wer- | naires des régions d’où ce savant 
fen. Um diese Untersuchungen | tirait les siens. Nous donnerons, 
zu erleichtern, wollen wir hier | dans les lignes suivantes, afin 
die Eschen des norwegi- | de faciliter ces recherches, les 
schen Gierfalken angeben, von | notes caractéristiques du gerfaut 
dem wir, wie von allen übrigen | de Norwege, dont nous nous pro- 
europäischen Jagdfalken, in un- | posons de publier, ainsi que des 
serm grossen Falkenwerke, genaue | autres especes de faucon d’Eu- 
Abbildungen in Lebensgrösse ge- | rope dont on se sert pour la 
ben werden. chasse, dans notre Trarte de fau- 

connerte, des figures faites sur le 
vivant et représentant les oiseaux 
. de grandeur naturelle. 


Un sich einen Begriff von die- 
ser Art zu machen, muss man sich 
den weissen oder isländischen 
Falken in etwas verjüngtem Maass- 
stabe vorstellen, und sich diesen 
Vogel in der J ugend ganz wie die 
Jungen dieser beiden Racen, im 
Alter aber ungefähr wie (den 
Schlechtfalken "sefärbt denken, 
nur mit dem Unterschiede, dass 
der Backenstreif beim Gierfalken 
kleiner und nicht so dunkel ist, 
dass die Füsse, statt gelb, grün- 
lichgelb erscheinen, und dass die 
Flecke der Untertheilenur auf den 
Seiten des Körpers die Gestalt von 
Querbinden annehmen. 


Es folgt aus diesen Angaben, 
dass junge nl Gier- 
falke vom jungen weissen und is- 
ländischen Falken leicht durch 
seine geringere Grösse zu unter- 
scheiden ist, dass dagegen der 
junge weibliche Gierfalke den 
jungen männlichen weissen und 
isländischen Falken in allen Stüc- 
ken vollkommen ähnlich ist. Im 
Alter kann der Gierfalke nicht 
mit den alten weissen und ıslän- 
dischen Falken verwechselt wer- 
den, da er in der Färbung durch- 
aus abweicht, und in dieser 
Hinsicht dem alten Schlecht- 
falken ähnelt. Von letzterem 
aber unterscheidet er sich leicht 
durch seine bedeutendere Grös- 
se, längeren Schwanz, verhält- 
nissmässig kürzere Zehen, wei- 
ter hinab befiederte Läufe, grös- 
sere weichere Federn der Unter- 
theile, und die oben angedeuteten 
Intesschhde ın der Farben 
theilung. 


Il suffit, pour se faire une idée 
precise du gerfaut de Norwege, 
de le comparer au faucon blanc 
ou à celui d'Islande et de s’ima- 
giner qu'il est d’une taille un peu 
moins forte, qu’au jeune âge il 
ressemble parfaitement, par ses 
teintes, aux Jeunes de ces deux 
races, mais qu'il offre au con- 
traire, à l’âge adulte, de l’analogie 
avec le faucon commun dans sa 
livrée parfaite, à cette exception 
près que les pieds sont d’un jau- 
ne verdâtre au lieu de jaune, 
qu'il offre une tache en moustache 
moins apparente et que ce sont 
uniquement les plumes des flancs 
dont les taches se présentent sous 
la forme de raies transversales. 

Il résulte de ces données que 
le jeune mâle du gerfaut se dis- 
tingue au premier abord des jeu- 
nes des faucons blancs et d'Islande 
par sa taille moins forte ; mais que 
la jeune femelle du gerfaut res- 
semble sous tous les rapports aux 
jeunes mâles des faucons blancs 
et d'Islande. Une fois revêtu de sa 
livrée parfaite, le gerfaut se distin- 
gue trop visiblement des vieux des 
faucons blancs et d'Islande pour 
qu’il soit possible de le confondre 
avec ces deux races. Il est inutile 
de constater qu’il se distingue du 
faucon commun par sa taille plus 
forte, par sa queue plus longue, 
par des doigts proportionnelle- 
ment plus courts, par des tarses 
un peu plus emplumés vers le bas, 
par des plumes plus grandes et 
moins raides des parties inféri- 
eures , ainsi que par.la différence 
dans la distribution des temtes 
dont nous avons parlé plus haut. 


Folgendes sind die Maasse des 
Gierfalken : 


Mas. Fem. 


Ganze Länge . . . . 


Länge der Flügel . . [135,115 
» des Schwanzes | 77%,| 9 
» derLäufe .. | 2%| 2% 


» des vordern 


nackten Theiles 


derselben. . . | 123,| 1,% 
» der Mittelzehe 
ohne Nagel. . | 142 141 


Die Falkeniere behaupten ein- 
stimmig, dass der Gierfalke em 
ganz anderes Naturell habe als der 
isländische und weisse Falke, da 
jener störrisch und tückisch ist, 
diese folgsam und sanft sind , wes- 
halb der Gierfalke auch schwerer 
zu zähmen und abzurichten sey, 
als der grönländische und isländı- 
sche Falke. Ich selbst bin wäh- 
rend der Reiherbeize Zeuge von 
vielen Fällen gewesen, welche 
die Richtigkeit dieser Aussage 
bestätigen. 


(3) FALCO SACER. Da diese 
Art in allen Werken über die 
Falkenbeize, ferner von Gess- 
ner, Belon und selbst von Buf- 
Jon, unter obigem Namen aufge- 
führt wurde, und der Zanner- 
falke der Falkeniere und der Fal- 
kenbücher ein ganz anderer Vo- 
gel ist, so haben wir obiger Art 
ihren ursprünglichen Namen 
wieder gegeben. Diese Art fehlt 
noch in vielen Museen. In Eng- 
land soll sie sich in keiner Samm- 
lung finden. Die beiden Exem- 
plare des Berliner Museums wur- 
den von Hemprich und Ehrenberg 


9 


Voici les dimensions d’individus 
des deux sexes du gerfaut: 


_ Mâle. Fem. 


181/21” | Longueurtotale . . 181” 2, 


» desailes . . . 113,5, |15 
9 


» delaqueue. . | 7% 
0) & 
» des tarses . .. | 2% 2 
» dela partie an- 
térieure nue des 
2 3 
tarses .... 12; 1$; 
» du doigt de mi- 
lieu sans ongle] 119 |111 


Les fauconniers s'accordent à 
dire que le gerfaut diffère beau- 
coup des faucons blancs et d’Is- 
lande par son caractère obstiné 
et quinteux, et que ces deux ra- 
ces se prêtent, par leur naturel 
doux et docile, plus facilement à 
l'affaitage que le gerfaut. J'ai été 
à portée de constater moi-même 
ces assertions en assistant au vol 
du gerfaut sur le héron. 


(3) FALCO SACER. Cette es- 
pèce ayant été décrite sous le 
nom de sacre dans la plupart des 
ouvrages de fauconnerie ainsi que 
par Gessner, Belon et même 
par Buffon, et s’eloignant assez du 
lanıer des fauconniers, et des 
traités de fauconnerie , nous avons 
rétabli les noms anciennement 
reçus pour ces deux espèces. Le 
sacre, une des espèces de fau- 
con les plus rares, manque à la 
plupart des collections d'histoire 
naturelle. Il n'existe dans aucun 
des Musées de l'Angleterre. Les 
deux exemplaires qu’en possède 


in der Gegend von Tor in Ara- 
bien gesammelt. Die in den übri- 
gen Sammlungen des Festlandes 
vorhandenen Exemplare scheinen 
alle aus dem Wiener Museum 
herzustammen ; so wenigstens die, 
welche Naumann, das Mainzer 
und unser Museum besitzen. Pal- 
las erwähnt zweier Varietäten 
des Sakerfalken, den er Falco 
lanarius nennt: eine grössere, 
welche das Uralgebirge bewoh- 
nen soll, und eine kleinere, die 
sehr häufig in der grossen Ta- 
tareı und im südlichen Russland 
gefunden wird. 


Nach Pallas ziehen beide Va- 
rietäten im Winter südlich. Es 
sind daher wahrscheinlich die 
Sakerfalken, welche früher in 
Griechenland für die Falknereien 
gefangen wurden, so wie die, 
welche Ehrenberg aus Arabien 
mitbrachte, solche auf dem Zu- 
ge begriffene Vögel. Diese An- 
gaben über die Verbreitung des 
Sakerfalken machen es unwahr- 
scheinlich, dass sich derselbe bis 
in das nördliche oder westli- 
che Europa verfliegt, und wir 
sind auch aus diesen Gründen 
geneigt, das Vorkommen die- 
ser Art in Schweden zu bezwei- 
feln. Die Beschreibung welche 
Pallas von seinem F. lanarius 
giebt, ist nach der vonihm an- 
geführten kleineren Varietät ge- 
macht, die, allem Anscheine 
nach, mit unserm Falco sacer 
übereinstimmt. 

In Nubien und Abyssinien lebt 
eine dem Sakerfalken verwandte 
Art. Sie wurde von Ehrenberg, 


10 


le Muséum de Berlin ont été re- 
cueillis, par MM. Hemprich et 
Ehrenberg', près de Tor en Arabie. 
Il paraît que les individus con- 
servés dans les autres cabinets du 
continent de l’Europe, provien- 
nent tous du Musée de Vienne ; 
du moins ceux des Musées des 
Pays-Bas, de Mayence et de M. 
Naumann sont de ce nombre. 
Pallas fait mention de deux va- 
riétés du sacre qu'il appelle 
Falco lanarius; l'une à taille 
plus forte qui habite la chaine 
de l’oural, l’autre plus petite qui 
se trouve en grand nombre dans 
les déserts de la grande Tatarie 
et de la Russie méridionale. 
L'une et l’autre de ces variétés 
émigrent, en hiver, dans des 
contrées méridionales. Les sacres 
que les fauconniers allaient autre- 
fois chercher en Grèce, aimsi 
que ceux rapportés de l'Arabie 
par les voyageurs berlinois, étaient 
probablement des individus pris 
lors du passage. Ces données re- 
latives à la distribution géogra- 
phique du sacre ne s’accordant 
guère avec la supposition que 
cette espèce s’egare jusque dans 
l'Europe boréale et occidentale, 
nous supposons que les prétendus 
laniers pris en Suede n’appar- 
tiennent pas à cette espèce. La 
description que Pallas a donnée 
du soi-disant faucon lanier, est 
faite d’après la petite variété 
dont il fait mention et qui parait 
se rapporter au véritable sacre. 


Il existe, en Nubie et en Abys- 
sinie, une espèce voisine du sa- 
cre. Elle a été recueillie en assez 


Rüppell und dem Prinzen Paul 
von Würtemberg , in bedeutender 
Anzahl eingesammelt. Rüppell, 
Neue Wirbelthiere, Vögel, p. 
44, hält sie mit Unrecht für ei- 
nerlei mit F. biarmicus, Temm., 
Falco cervicalis, Licht. Mus. Be- 
rol. Es ist dies aber eine neue 
Art, die ım Berliner Museum den 
Namen Falco tanypterus trägt. 
Eine Beschreibung und Abbil- 
dungen derselben sollen ehes- 
tens in unsern. Abhandlungen 
aus dem Gebiete der Zoologie 
etc. erscheinen. Sie ähnelt dem 
Sakerfalken in der Jugend aus- 
serordentlich, ist aber etwas 
kleiner, hat höhere, mit grösse- 
ren, rauheren Schildern bedeck- 
te Läufe, die schon beim jun- 
gen Vogel eine rein gelbe Farbe 
haben, und bietet auch, beson- 
ders im Alter, bedeutende Ab- 
weichungen in der Färbung des 
Gefieders. 


(4) FALCO LaNarius. Es ist 
dies, wie wir in unserm grossen 
Werke über die Falkenbeize aus- 
führlicher darthun werden, der 

„wahre Lannerfalke der Falken- 
bücher. Hier nur so viel, dass der 
Name /anarius von jeher auf sehr 
verschiedene Vögel angewendet 
wurde. So ist z. B. bei Albert 
dem Grossen und nach ihm bei 
den meisten Naturforschern bis 
Frisch , lanarius ein Gattungsna- 
me, und die Arten, die man un- 
ter dieser Gattung begriff, sind 


11 


grand nombre, en Nubie et en 
Abyssinie, par Ehrenberg, Rüp- 
pell et le prince Paul de Würtem- 
berg. Rüppell, Neue Wirbel- 
thiere, Oiseaux, p. 44, rapporte 
à tort cette espèce à une autre 
qui habite le Cap de B. Espé- 
rance, savoir Falco biarmicus, 
Temm. ou Falco cervicalis, 
Lichtenstein, Musée de Berlin. 
Elle porte au Musée de Ber- 
lin le nom de Falco tanypterus. 
Nous nous proposons d’en pu- 
blier des figures et une descrip- 


tion dans la troisième livraison de 


notre ouvrage allemand intitulé : 
Mémoires pour servir à l'his- 
loire naturelle et à l'anatomie 
des animaux. Cette espèce res- 
semble , notamment au jeune âge, 
beaucoup au sacre, mais elle est 
d’une taille moins forte; ses tar- 
ses sont plus longs, couverts 
d’ecailles plus grandes et plus ru- 
des au toucher, et de couleur 
jaune, même au jeune âge; 
la distribution des teintes enfin 
présente, particulièrement dans 
les adultes, des disparités assez 

marquantes. : 


(4) FALCO LANARIUS. C'est le 
véritable lanier des fauconniers 
et des traités de fauconnerie, dont 
nous nous proposons de traiter 
amplement dans notre grand ou- 
vrage sur la fauconnerie. Il suffi- 
ra de constater ici que le nom de 
Lanier a été successivement donné 
à plusieurs oiseaux de proie assez 
divers les uns des autres. Albert 
le Grand par exemple, et après 
lui presque tous les naturalistes 
jusqu'à Frisch ont pris cette dé- 
nomination dans un sens generi- 


die Bussarde, der Thurmfalke und 
die Weihen. Der Falco lanarius 
Linné's und Nelssons ist höchst- 
wahrscheinlich unser Gierfalke. 
Brünnich und Mohr haben den 
Merlin als Falco lanarius aufge- 
führt. Pennants Falco lanarius 
ist ein Junger Schlechtfalke. Vau- 
mann und Pallas, und nach 
ihnen alle spätere Naturforscher , 
haben endlich sehr unrichtig dem 
Sakerfalken den Namen Falco 
lanarius gegeben. Da der Lan- 
nerfalke seit dem Verfall der Fal- 
knerei nicht mehr gefangen wur- 
de, so blieb diese Art den neuern 
Naturforschern unbekannt, bis 
sie Herr von Feldegg im Jahre 
1829 gleichsam auf’s Neue, und 
zwar in Dalmatien, entdeckte. 
Dieser Vogel wurde von Natterer 
für Falco peregrinoides, Tem- 
minck, gehalten, und durch diese 
Nachrichten irre geleitet, führte 
ich letztere Art in Susemihl’s 
Werke als europäisch auf. Als 
ich mir später die Original- 
exemplare zur Ansicht einschic- 
ken liess, fand es sich, dass es 
eine den Naturforschern unbe- 
kannte Art sei, dieich unter dem 
Namen Falco Feldeggii be- 
schrieb, ohne zu ahnen, dass 
diese Art den alten Falkenieren 
bekannt war , und schon von Be- 
lon sehr gut beschrieben wurde. 
Wir führen sie nun wieder un- 
ter dem Namen auf, der ihr mit 
Recht zukommt. 


Ein junges Exemplar des Lan- 
nerfalken scheint auch bei Buf- 


12 


que, et les espèces qu'ils ont ran- 
gées dans ce groupe sont les buses, 
la cresserelle et les busards. 4/- 
drovand décrit sous le nom de 
Lanarius  albus la soubuse. 
Quant au lanier de Linne et de 
Nilsson, cette espece est, selon 
toutes les apparences, identique 
avec le gerfaut de Norwége. 
Brünnich et Mohr ont décrit 
l’emerillon sous le nom de Falco 
lanarius. Le lanarius de Pen- 
nant est un jeune faucon com- 
mun. Naumann et Pallasenfin ont 
assez mal à propos conféré le nom 
de lanier au sacre. Le lanier n’ay- 
ant plus été apporté au centre 
de l’Europe depuis le déclin de la 
fauconnerie, cette espèce demeu- 
rait ignorée de naturalistes et ce 
ne füt qu’en 1829 que Mr. de 
Feldegg en fit, pour ainsi dire 
de nouveau la découverte lors 
de son séjour en Dalmatie. Prise 
par feu Natterer pour le faucon 
pélérinoide, j'introduisis erro- 
nément cette espèce parmi les 
oiseaux d'Europe. Je reconnus 
ensuite, après avoir examiné les 
échantillons rapportés par Mr. 
de Feldegg qu'ils appartiennent 
à une espèce inconnue des natu- 
ralistes, que je publiais sous le 
nom de Falco Feldeggéé, sans 
me douter que cette espèce füt 
assez bien connue des fauconniers 
et que Belon l'avait déjà de- 
crite d’une maniere assez recon- 
naissable. Avant reconnu notre 
erreur, nous nous hatons d’in- 
troduire cette espece sous le seul 
nom qui lui convient à juste 
titre. 

Je remarque encore que l’oi- 
seau représenté par Buffon, PE, 


fon, Pl. ent. 470, unter dem 
Namen faucon sors, und ein 
Individuum in der Mauser im 
zweiten Herbste bei Naumann , 
alte Ausgabe, IV, Tafeln in 
Jolio, Taf. 14, fig. 22, als jun- 
ger Vogel des sogenannten Tan- 
nenfalken, (Falco abretinus , 
Bechst.) abgebildet zu seyn. 


Wir haben kürzlich mehrere 
Exemplare dieser Art aus Grie- 
chenland erhalten. Ein jüngerer, 
bei Hanau geschossener Vogel 
steht im Mainzer Museum. Sie 
stimmt ın Grösse und Bau, so 
wie in den gegenseitigen Ver- 
hältnissen der Theile, durchaus 
mit Falco biarmicus Temm. , 
(Falco cervicalis, Licht. Mus. 
Berol.) vom Cap, überein, un- 
terscheidet sich aber standhaft, 
von dieser Art durch ihre Farbe. 
Auch scheint die erste Schwung- 
feder beim Lannerfalken ver- 
hältnissmässig etwas länger zu 
seyn. Unter den europäischen 
Falken hat sie höchstens , wegen 
gleicher Grösse, einige Ahnlich- 
keit mit Falco communis , ist 
aber leicht von dieser Art durch 
ihren verhältnissmässig länge- 
ren Schwanz, kürzere Zehen, 
schmalen Backenstreif, grössere, 
weichere Federn der Uniertheile , 
und durch die roströthliche 
Färbung des Nackeus zu unter- 
scheiden. Sie gehört daher zu 
der Gruppe der grösseren, lang- 
schwänzigen Edelfalken, Falco 
candicans, islandicus , gyrfalco 
sacer, lanypterus, cervicalis, 
etc., welche sich von den grös- 
seren kurzschwänzigen Arten, 
Falco peregrinus und dessen 


13 


t 


ent. 470, sous le nom de Faucon 
sors, paraît être un jeune lanier ; 
tandis que celui figuré par Nau- 
mann, 1” édit., Planches en 
in folio, Pl. 14, fig. 22, com- 
me le jeune du soi-disant faucon 
des sapins, (Falco abietinus 
Bechst.), est probablement un 
jeune individu du lanier en 
mue. 

Nous venons d’en recevoir plu- 
sieurs individus recueillis en Gre- 
ce. J’en ai vu au Musée de May- 
ence un jeune individu tué près 
de Hanau. Cette espèce est tout- 
a-fait semblable, en ce qui con- 
cerne sa taille et les proportions 
relatives de ses parties, au Falco 
biarmicus, Temm., (ou F. cer- 
vicalis, Licht. Mus. de Berlin) 
du Cap de B. Espér., mais elle 
s’en distingue constamment par 
les teintes. Il paraît aussi que la 
premiere remige est, proportions 
gardées, un peu plus longue dans 
le lanier que dans l'espèce du Cap. 
Quant aux diverses espèces des 
faucons d'Europe, le lanier 
n'offre entre elles aucune ana- 
logie, si ce n’est qu'il ressem- 
ble par sa taille au faucon 
commun, dont ilse distingue ce- 
pendant facilement par sa queue 
plus longue, par des doigts plus 
courts, par la tache en moustache 
assez étroite, par les plumes des 
parties inférieures qui sont plus 
larges et plus molles, et par la 
couleur de la nuque qui tire sur le 
rougeätre. On voit par ces détails 
que cette espèce appartient au 
groupe des faucons nobles à 
longue queue: Falco candicans 
islandicus , gyrfalco, sacer, ta- 
nyplerus, cervicalis, etc., qui 


Racen, und F, peregrinordes, 
durch einen längeren Schwanz, 
kürzere Zehen, schmäleren Bac- 
kenstreif, und. grössere weiche- 
re Federn der Untertheile, un- 
terscheiden. 


(5). FALCO communis. Der 
Schlechtfalke scheint fast über 
alle Länder des Erdbodens ver- 
breitet zu seyn, aber je nach der 
Locahität mehr oder weniger 
abweichende Racen zu bilden. 
So sind z. B. die am Vorgebir- 
ge der guten Hoffnung lebenden 
Schlechtfalken den unsrigen in 
Bau und Färbung durchaus ähn- 
lich,. aber standhaft so viel klei- 
ner, dass das Weibchen des Gap’- 
schen Schlechtfalken die mittel- 
mässig grossen Männchen deseuro- 
päischen Schlechtfalken an Grös- 
se nicht übertrifft. Der Schlecht- 
falke von Nordamerika, (siehe 
Wilson Pl. 76 und Audubon 
P1.16), wird von Ch. Bonapar- 
te, List, p. 4, für eine eigene 
Art gehalten, welche er Falco 
anatum nennt, ohne die Art- 
kennzeichen derselben  anzuge- 
ben. Es scheint in der That, als ob 
der nordamerikanische Schlecht- 
falke gewöhnlich in der Färbung 
etwas abweiche, indem auf den 
Obertheilen das Braun, auf den 
Untertheilen ein blasses Rostroth 
vorherrscht, und das Schwarz 
des Backenstreifes sich gewöhn- 


14 


lich über die ganze Ohrgegend | 


verbreitet. Indessen kommen ın 
Nordamerika auch Schlechtfal- 
ken vor, welke in der Färbung 
den unsrigen durchaus ähnlich 
sind: ein solches Individuum steht 


se distinguent du faucon com- 
mun et des especes ou races voi- 
sines par une queue plus longue, 
des doigts plus courts, une tache 


en moustache plus petite, et par 


les plumes plus larges et plus 
molles des parties inférieures. 


(5) FALCO communis. Il pa- 
rait que cette espèce est répartie 
dans presque toutes les parties 
du globe, mais qu’elle forme, 
suivant les contrées qu’elle ha- 
bite, des races plus ou moins 
disparates. Les faucons com- 
muns, par exemple, que produit 
l'Afrique méridionale, quoique 
tout-à-fait semblables au nôtre 
par leur organisation et leurs 
teintes, sont constamment d’une 
taille moins forte, la femelle du 
faucon commun du Cap ne sur- 
passant pas en grosseur le mâle 
de notre faucon d'Europe. Quant 
au faucon commun de l’Amérique 
du Nord, (voir Wilson, Pl. 76et 
Audubon, PT. 16), Ch. Bonapar- 
te, List, p. 4, le sépare du nôtre 
sous le nom de Falco anatum, tou- 
tefois sans motiver son opinion. Il 
parait en effet que ce faucon 
d'Amérique s'éloigne du nôtre par 
de légères différences dans la dis- 
tribution des teintes, en ce que 
ces teintes sont dans le premier, 
sur les parties supérieures, d’un 
brun foncé, sur le dessous d’un 
brun ferrugineux pale, et que 
le noir de la tache en mousta- 
che s'étend ordinairement sur 
toute la région des oreilles. Mais 
il existe également dans l’Amé- 
rique du Nord des faucons qui 
ressemblent parfaitement au nôtre 
par leurs teintes ; j’ai vu un pa- 


im Berliner Museum. Die in Hinter- 
indien und in Neuholland leben- 
den Schlechtfalken scheinen nicht 
selten den nordamerikanischen 
in der Färbung zu ähneln, nur 
mit dem Unterschiede, dass bei 
denselben die Farbe der Ober- 
theile, statt ins Braune, in das 
Schwarze zieht: Falco melano- 
genys, Gould, Birds of Austra- 
lia, Tafel ohne Nummer. Von 
den sechs Individuen unsrer 
Sammlung sind jedoch nur zwei 
Weibchen so gefärbt; die übri- 
gen, beiderlei Geschlechtes, äh- 
neln unserm Schlechtfalken voll- 
kommen. Es scheint daher, dass 
man den nordamerikanischen und 
indischen oder neuholländischen 
Schlechtfalken mit eben so weni- 
gem Rechte als eigne Art anneh- 
men kann, als die schwarze Va- 
rietät des europäischen Schlecht- 
falken. 


In Nubien kommt eine klei- 
nere, dem Schlechtfalken im 
Bau verwandte Art, mit braun- 
rothem Genicke und gelb-röth- 
lichem Anfluge auf den Unter- 
theilen vor: Es ist dies Falco pere- 
grinordes, Temm., Pl. col. 479, 
die wir, durch falsche Mittheilun- 
gen irre geleitet, als europäisch 
aufgeführt haben: siehe Schleg. 
u. Susem., Nat. d. Vögel Eur. 
p. 39, Pl.9, Fig.. 


(6) FALCO ELEONORAE. Die- 
se ausgezeichnete Art, welche zu 


15 


reil individu dans les galeries du 
Musée de Berlin. Les faucons 
communs qui viennent du grand 
Archipel des Indes et de la Nou- 
velle Hollande paraissent se rap- 
porter à ceux de l'Amérique du 
Nord, et n’en différer que par 
la teinte noirätre, souvent uni- 
forme des parties supérieures ; 
cette variété a été decrite et fi- 
gurée par Gould sous le nom de 
Falco melanogenys, dans son 
ouvrage sur les oiseaux de l’Au- 
stralie. Nous en possedons six 
individus dont deux femelles seu- 
lement offrent une distribution 
semblable à celle que nous ve- 
nons d'indiquer; les quatre au- 
tres, tant males que femelles, 
ressemblent parfaitement au fau- 
con commun d'Europe. Il me 
semble , d’après ce que je viens de 
dire qu’en érigeant au rang 
d'espèces les variétés dont nous 
venons de parler, il convient 
également de séparer de notre 
faucon la variété à joues noires, 
qui se trouve en Europe. 

La Nubie nourrit une espèce 
voisine du faucon commun mais 
d’une taille beaucoup moins for- 
te, à nuque d’un brun rougeä- 
tre et à parties inférieures tirant 
sur le jaune rougeätre. C’est le 
Falco peregrinoides, Temm., 
Pl. col. 479, espèce que nous 
avons introduite à tort, mduits en 
erreur par des communications 
erronnées, parmi les oiseaux 
d'Europe: voir notre travail dans 
Susemihl, Hist. Nat. des ots. 
d'Europe, p. 39, Pl. 9, fig. 1. 


(6) FALCO ELEONORAE. On 
ne peut nier que cette espèce 


der Gruppe der langflügligen 
Edelfalken (Falco subbuteo, con- 
color, Aldrovandii u. s. 
gehört, hat zwar mit Falco con- 
color in der Färbung grosse 
Ähnlichkeit, ist aber viel grös- 
ser, und hat verhältnissmässig 
einen viel längeren Schwanz. 


Folgendes die Maasse ei- 
nes alten weiblichen Vogels aus 
Griechenland. 


Ganze Länge . . . . . 15” 
Länge der Flügel . . . 12 6!" 
» desSchwanzes. . 6” 10 
» der Mittelzehe . . 1” Zu 
» des Nagels dersel- 
ben 61” 
» des So Delson 
Mundwinkel... 1” 
sides Lattes a LME 
Abstand von der Spitze 
der ersten zur Spit- 
ze der zweiten 
Schwinge . . . . 
» von der Spitze der 
dritten zur Spit- 
ze der zweıten 
Schwinge . . .. 


iv 
7 


1710 
6; 


Das Weibchen von Falco con- 
color hat dagegen folgende 
Maasse : 


Ganze Länge . . . . . 13” 

Länge der Flügel . . . 10’ 6 
des Schwanzes. . 5 2 
des Laufes . . . . 1” 42 
der Mittelzehe . . 1” 
des Nagels dersel- 

Bean. de. Br 
» desSchnabels . . 10’” 


III 


Der Schwanz von Falco Eleo- 


w.) | 


aim 


remarquable qui appartient au 
groupe des faucons nobles à lon- 
gues ailes (Falco subbuteo, con- 
color, Aldrovandii etc.) n'offre 
assez d’analogie, par rapport à ses 
teintes, avec le faucon concolore; 
mais elle est d’une taille plus 
considérable, et sa queue est 
beaucoup plus longue. 

Voici les mesures prises sur 
une vieille femelle de cette es- 
pèce, tuée en Grèce. 


Longueur totale . . . 15” 
» des ailes e els Me 12 6 
» delaqueue ... 610 
» dudoigtdemilieu. 1” 3 
» desonongle ... 61 
» du bec depuisl’an- 

gle de la bouche . 1” 
» dutarse 1.5" 

Distance de Vestéalits 

de la première jus- 

qu'à l'extrémité 

de la deuxième ré- 

mige . 
» entre les extrémi- 

tés de la troisième 

et de la deuxième 

rémige . etre tie et 


114 
A 


ım 
6; 


La femelle du faucon conco- 
lore offre au contraire les dimen- 
sions suivantes : 


Longueur totale . . . 13” 

» des ailes: LE} 10” 6 
» de la'queues 7/45. BAER 
» dutarse 4311 
» dudoigtdemilieu. 1” 23 
» de son ongle . . . Be 
» u AU) bee an ae 10 


La queue du faucon Eleonore 


norae ist mit 14 bis 15, der von 
F. concolor nur mit 10 bis 11 
Querbinden versehen. Der Schna- 
bel ist, bei ersterer Art, stärker 
seitlich zusammengedrückt. Die 
Füsse ziehen bei F. Eleonorae 
in das Grünlichgelbe, bei Falco 
concolor sind sie rein gelb. End- 
lich spielt die Färbung des Ge- 
fieders, bei F. Eleonorae, weni- 
ger in’s Aschgraue als bei F. con- 
color. 


Wir wollen nun noch die Un- 
terscheidungskennzeichen dieser 
beiden Arten angeben. 


Farco ErronoRAE. Männchen: 
Flügel 11”, Schwanz 6”. Weib- 
chen : Flügel 121”, Schwanz 
63. Gestalt Suusserst schlank. Füs- 
se verhältnissmässig zart. Steuer- 
federn auf der ınnern Fahne 
mit 14 bis 15 Querbinden. Jung: 
dunkelbraun, die Brust- und 
Bauchfedern röthlichbraun ge- 
säumt. Stirn, Kehle, Vorderhals 
und Hosen, hell röthlichbraun ; 
erstere mit dunkeln Längsflec- 
ken, letztere mit dunkeln Quer- 
flecken. Backenstreif undeutlich. 
Alt: bis auf die hellen Querbin- 
den des Schwanzes, einfärbig 
schwärzlichbraun, mit grauem 
Anfluge. 

In Sardinien, Griechenland 
und Syrien beobachtet. 


Farco concorLor, Temm., Pl. 


col. 330; Gould, Birds of Eu-. 


rope, Pl.25,; Swainson , Birds 

of Western Afrika I, Pl. 3. 

Männchen: Flügel 104”, Schwanz 
2. 


F7 


est orné de 14 à 15, celui du 
Faucon concolore seulement de 
10 à 11 bandes transversales. 
Le bec est plus fortement dé- 
primé dans la premiére espèce. 
Les serres tirent au jaune ver- 
dätre dans cette espèce, elles 
sont d’un jaune pur dans le fau- 
con concolore. Les teintes du 
plumage de cette dernière espèce 
enfin tirent plus fortement sur le 
gris-cendré que dans le faucon 
Eleonore. | 

On peut en consequence de ce 
que nous venons de dire, eta- 
blir les traits distinctifs de ces 
deux especes, comme suit: 

Fazco ELreonorAr. Male: ailes 
11”; queue 6”; Femelle: ailes 
123”; queue 657. Formes élan- 
cées. Serres, par rapport à la taille 
de l’espèce, peu robustes. Pen- 
nes de la queue portant 14 à 15 
bandes transversales sur la barbe 
interne. Jeune: d’un brun fon- 
cé, plumes de la poitrine et du 
ventre liserées de brun rougeà- 
tre. Front, gorge, der du 
cou et plumes des jambes, d’un 
brun-rougeätre clair, couvertes de 
taches longitudinales foncées, qui 
prennent la forme de taches 
transversales sur les plumes des 
jambes. Tache en moustache peu 
distincte. Adulte: à l'exception 
des bandes claires de la queue, 
d’un brun-noirätre uniforme ti- 
rant sur le gris. 

Observé en Sardaigne, en Gre- 
ce et en Syrie. 

Fazco concorLor, Temm., Pl. 
col. 330; Gould, Bere of Eu- 
rope, PI. 25 ; Sbainson, u 
of Western Afrika, L,.B2, 
Mâle, ailes 101”, queue 5”. À 


2 


5. Weibchen: Flügel 101%, 
‚Schwanz 547. Gestalt des Baum- 
falken. Steuerfedern mit 10 bis 
11 Querbinden auf der inneren 
.Fahne. Ubrigens fast einfärbig 
schwärzlich , ın’s bräunliche zie- 
hend und mit starkem asch- 
grauem Anfluge, besonders auf 
dem Rücken und auf den Schul- 
tern. 

Auf der Insel Barakan im ro- 
then Meere, und ım westlichen 
Afrıka beobachtet. 

Die Angaben, dass Falco con- 
color in Europa gefunden wird, 
beruhen, allem Anscheine nach, 
auf einer Verwechslung dieser 
Art mit Falco Eleonorae. Es 
muss daher Falco concolor wie- 
derum aus dem Verzeichnisse der 
europäischen Vögel gestrichen 
werden. 

Falco Eleonorae ist übrigens 
eine schon seit Jahrhunderten 
bekannte Art. Arlalouche de 
Alagona , sicilischer Schriftstel- 
ler des funfzehnten Jahrhun- 
derts, erwähnt derselben, p. 
89, unter dem Namen Saphir- 
falke. D’ Arcussia , p. 52 et 53, 
beschreibt sie unter dem Namen 
faucon tagarot. Huber, Obser- 
vations, p. 15, fig. 16, bildet 
sie selbst ab, aber unter dem 
falschen Namen Alethe, den 
d’ Arcussia eingeführt hat, um ei- 
nen Raubvogel von den Azoren 
zu bezeichnen. 


Wir erhalten so eben, nach- 
dem unser Werk bis hierher ab- 
gedruckt war, die vortrefllichen 
Beiträge zur Ornithologie Grie- 
-chenlands von Heinrich Graf 
von der Mühle, Leipzig, Ernst 


18 


melle, ailes 101”, queue 5im, 
Port du hobereau. Pennes de la 
queue pourvues, à la bande in- 
terne, de dix à ouze bandes trans- 
versales. Plumage d’un brun-noi- 
rätre foncé, tirant fortement au 
gris, notamment sur le dos et 
sur les épaules. dos 


Observé dans l’Afrique occi- 
dentale et à l'ile Baracan si- 
tuée dans la mer rouge. 

En constatant que cette espè- 
ce se trouve en Europe, on l’a, se- 
lon toutes les apparences, confon- 
due avec le Faucon KEleonore. 
Il s'ensuit qu’il convient de rayer 
de la liste des oiseaux d'Europe 
le Faucon concolore. 


Nous ajoutons ici que le Fau- 
con Eleonore est une espèce con- 
nue depuis des siècles. Aréalou- 
che de Alagona, auteur Sicilien 
du quinzième siècle, en parle, 
p.89, sous le nom de Faucon Sa- 
phir ; d’ Arcussia , p.52 et 53, la 
décrit sous le nom de Faucon ta- 
garot; Huber, Observations, p. 
15, fig. 16, en donne même une 
figure, mais sous le faux nom 
d’Alethe, que d’Arcussia avait 
employé antérieurement pour dé- 
signer un autour originaire, à ce 
qu'il paraît, des iles Acores. 


L’excellent ouvrage de Mr. 
von der Mühle, intitulé, Beiträ- 
ge zur Ornithologie Griechen- 
lands, Leipsick, E. Fleicher, 
1844, 8°., nous étant parvenu 
avant de mettre sous presse les 


Fleischer, 1844, 8°, und beei- 
len uns, in unsern Noten das Nö- 
thige aus diesem Werke nach- 
zutragen. Nach diesem Schrift- 
steller kommt der Schlechtfalke, 
{Falco peregrinus, p. 13), das 
ganze Jahr hindurch, einzeln ın 
Griechenland vor. Der, als Falco 
peregrinoides aufgeführte Vogel, 
dürfte wohl als ein altes Männ- 
chen unseres Falco lanarius zu 
betrachten seyn. Ob der Falco 
dantarius des Herrn von der 
Mühle, p.14, wirklich zu die- 
ser Art oder zu Falco sacer ge- 
hört, kann erst durch nähere 
Untersuchungen bestimmt wer- 
den. Falco concolor , ibid., ıst 
ohne Zweifel zu F. Eleonorae 
zu ziehen, da auch wir diese 
Art, und nicht die erstere, aus 
Griechenland erhielten. 


(7) FALCO TINNUNCULUS. Sie- 
he über die ausländischen Ra- 
cen oder verwandten Arten des 
Thurmfalken, was wir in Suse- 
mihls, Vög. Eur., p. 45, Note, 
gesagt haben. 


(8) FALCO CENCHRIS. Wir 
erhielten, aus Steiermark, junge 
Vögel dieser Art imNestkleide Sie 
scheint daher im südöstlichen 
Europa zu brüten. Sérickland, 
Proceed. Zool. Soc., 1836, p. 
97, sagt, dass sie in Klein-Asien 
ihr Nest auf den Dächern der Häu- 
ser anlege. Nach von der Mühle, 
p- 16, brütet sie in Griechenland 
ebenfalls unter Hausdächern. 


19 


dernieres feuilles de notre revue, 
nous sommes à même d’en pro- 
fiter pour nos notes critiques. 
Quant au faucon commun, l’au- 
teur que nous venons de citer, 
affirme que cette espèce (Falco 
peregrinus, p. 13), se trouve, 
quoique en petit nombre, pen- 
dant toute l’année, en Grèce, L’oi- 
seau, pris par Mr. von der Mühle 
pour le Falco peregrinoides , ne 
paraît être qu’un vieux mäle de 
notre lanier; et les individus 
dont il fait mention en parlant 
du Falco lantarius, p. 14, pour- 
raient bien encore se rappor- 
ter au lanier et au sacre. L’oi- 
seau enfin, que Mr. von der Müh- 
le a indiqué sous le nom de F. 
concolor , est probablement iden- 
tique avec le F. Eleonorae, que 
nous avons également reçu de la 
Grèce sous le nom de Faucon 
concolore. 


(7) FALCO TINNUNGULUS. On 
peut consulter, par rapport aux 
races exotiques où aux espèces 
voisines de la cresserelle, les in- 
dications que nous en avons four- 
nies dans l'ouvrage de Susemihl, 


p. 45, note. 


(8) FALCO CENCHRIS. Nous 
en venons de recevoir,de la Styrie, 
plusieurs jeunes mdividus, encore 
en partie couverts de duvet. On 
doit conclure par cela, que cette 
espèce niche dans les parties 
chaudes de l’Europe orientale. 
Suivant Sérickland, Proceed. 
Zool. Soc. , 1836, p. 97, elleéta- 
blit son aire, dans l’Asie mineu- 
re, sur les toits des habitations. 
Elle niche, suivant von der Müh- 


(9) Jardıne und Selby, Zool. 
Tllustr., Pl. 66, haben unter 
dem Namen SPIZAETOS CRIS- 
TATELLUS, Zemm., einen Ad- 
lerhabicht, oder wenn man will, 
einen Rauchfusshabicht abgebil- 
det, der aber von Falco eris- 
tatellus, Temm., Pl. col. 282, 
verschieden ist, und wahrschein- 
lich als älterer Vogel zu einer 
der noch wenig bekannten, das 
Festland Indiens bewohnenden 
Adlerhabichte, gehôrt. Das von 
Jardine und Selby abgebildete 
Individuum wurde an den Küsten 
England’s erlegt. Das entfernte 
Vaterland dieser Art macht es 
wahrscheinlich, dass das fragliche 
Exemplar ein Entkommenes war. 
Wir führen daher diesen Vogel 
vor der Hand noch nicht als eu- 
ropäisch auf, um so mehr, da 
diese Gruppe erst gründlich stu- 
dirt zu werden verdient, ehe man 
sich schmeicheln darf, die Arten 
gehörig zu unterscheiden. Siehe, 
was wir über diese Gruppe in 
Susemihl’sV ögeln Europ. gesagt 
haben. Wir erwähnen hier nur 
noch, dass schon Ray, in Wil- 
lughby's Ornith., Cap. IX, Art. 
XII, p.48, eine Art dieser Gat- 
tung unter dem Namen Falco 
indicus cirratus beschrieben hat, 
welche Art aber von den neuern 
Naturforschern ganz übersehen 
wurde. 


10) Der nordamerikamische 
Taubenhabicht, Falco atricapıl- 
lus, Wilson, PI.52, fig. 3; 
Falco regalis, Temm., Pl. col. 


20 


le, p. 16, en Grèce, de la même 
maniere. | 


(9) L’aigle-autour figuré par 
Sardine et Selby, sous le nom de 
SPIZAËTOS CRISTATELLUS, dif- 
fere, par l’espèce, de l'oiseau 
donné sous ce même nom par 
Mr. Temminck, voir Pl. col. 282. 
Cet individu tué sur les côtes de 
l'Angleterre appartient probable- 
ment à quelqu’une des espèces 
encore mal déterminées d’aigles- 
autours du continent de l’Inde, 
ce qui me fait penser qu'il s'était 
échappé d’une ménagerie. Les 
diverses espèces du genre des ai- 
gles-autours étant encore peu étu- 
diées, nous n’avons pas introduit 
parmi les oiseaux d'Europe celle 
dont MM. Jardine et Selby font 
mention. Nous avons donné quel- 
ques indications sur ce groupe 
dans l'ouvrage de Susemihl, et 
nous ajoutons ici que l’espece la 
plus anciennement connue de ce 
genre est celle que Ray a décrite 
dans Willougshby, Ornith., chap. 
IX, art. XII, p. 48 , sous le nom 
de Falco indicus cirratus, espèce 
totalement omise par les naturalis- 
tes modernes. 


(10) L’autour commun de l’A- 
mérique du nord, Falco atrica- 


pillus, Wilson, PI. 52, fig. 3; 


Falco regalis, Temm. Pl. col. 


495; F. palumbarius Audubon , 
Pl. 141 ; Fauna bor. am. Pl. 26 ; 
Jard. u. Selby, Zool. Ill., Pl. 
121, bildet eine, unserm Tauben- 
habicht zwar verwandte, aber 
durch zahlreiche, feinere Wellen- 
Iinien der Untertheile abwei- 
chende Art. In Japan kommt em 
Taubenhabicht vor, der uns aber 
bloss aus Abbildungen bekannt 
ist. 


(11) Der amerikanische gemei- 
ne Sperber, Falco velox et penn- 
sylvanicus, Wilson, PI. 45, 
Jig.1 (jun.) und Pl. 46, fig. 1 
(ad.) *); Audubon, PI. 374; 
PI. col. 74 (jun.),, scheint sich 
von dem Unsrigen nur dadurch 
zu unterscheiden, dasser ein we- 
nig kleiner ıst, und dass im Ju- 
gendkleide die Zeichnung et- 
was abweicht , indem die Flecke 
der Untertheile eine thränenför- 
mige Gestalt haben. 

Der südafrikanische, gemeine 
Sperber, Falco exilis, Temm., 
Pl. col. 496, scheint sich eben- 
falls von dem Unsrigen nur da- 
durch zu unterscheiden, dass die 
Untertheile im Alter eine rost- 
röthliche Grundfarbe haben, auf 
der die etwas dunkleren Flecke 
wie verwischt erscheinen. 


(12) ASTUR GcaBar. Exem- 
plare dieser Art aus Griechenland 
ım Niederländischen und Mainzer 
Museum. 


 *) Aber nicht F. pennsylvanicus ‚ibid., 
Pl.54, fig.1, was, nach Bonap., List, 
p.3, ein Buteo ist. 


495; Falco palumbarius, Au- 
dubon, Pl.141; Fauna bor. amer., 
P1.26; Jard. et Selby , Zool. Ill., 
Pl. 121, differe de celui d’Europe 
par ses parties inférieures couver- 
tes de raies transversales plus dé- 
licates et plus nombreuses. Le 
Japon produit une troisième es- 
pèce ou race semblable à celle 
d'Europe, mais qui ne nous est 
connue que par des figures. 


(11) L’Epervier commun de 
l'Amérique du nord, Falco velox 
et pennsylvanicus, Wilson, Pl. 
45, fig. 1 (jeune individu) et Pl. 
46, fig. 1 (adulte) *); Audubon, 
PI. 374; Pl. col. 74 (jeune indiv.), 
ne me parait différer de celui 
d'Europe que parce qu’ilest d’une 
taille un peu moins forte, et par- 
ce que les taches des parties infe- 
rieures sont, dans les jeunes de 
l’année, en forme de larmes. 


L’Epervier commun du Cap de 
Bonne Espérance, Falco exihs , 
Temm., Pl. col. 496, ne semble 
seloigner de celui d’Europe que 
par les teintes un peu diverses 
qu'offrent les parties inférieures 
à l’âge adulte; ces parties étant 
d’un rougeätre ferrugineux , rele- 
ve par des taches un peu plus 
foncees et assez indistinctes. 


(12) asTur GaBar. Le mu- 
sée des Pays-Bas et celui de Ma- 
yence possèdent des individus de 
celte espèce; ıls ont été tués en 
Grèce. 

*) Mais non pas le Falco pennsylva- 
nicus, ibid, Pl. 54, fig.1, qui appar- 
tient, selon Ch. Bonaparte, List, p.3, 
au genre Buteo. 


(13) Die amerikanische Korn- 
weihe: Falco uliginosus, Wil- 
son, Pl. 51, fig. 1 (jun.); Ch. 
Bonap., ibid. Pl. 12 (altes Männ- 
chen; Varietät mit wellenförmi- 
gen, verwaschenen Flecken auf 
den Untertheilen); Falco cyaneus, 
Fauna boreali amer., Pl. 29, 
(altes Männchen mit punktarti- 
gen Flecken); Audubon, Pl. 
896 , /ig. 1, (altes Männchen , mit 
ungefleckten Untertheilen) ; Falco 
histrionicus, Uranie, Zool., Pl. 
16, (jun.), Pl. 15 (altes Männ- 
chen, mit Querbändern auf den 
Untertheilen), weicht von unse- 
rer Kornweihe durch etwas hö- 
here Läufe ab. Beim alten Männ- 
chen sind gewöhnlich alle Un- 
tertheile, von der Brust abwärts, 
mit zahlreichen rostbraunen Flec- 
ken oder Querbinden versehen. 
Richardson fand diese Weihe 
bis hinauf zum grossen Bärensee, 
Wilson und Audubon in vielen 
Theilen der vereinigten ‚Staaten 
Nordamerika’s, die französischen 
Reisenden brachten sie von den 
Falklandsinseln mit, und wir er- 
hielten sie von St. Domingo. 


(14) CIRCUS CINERACEUS PAL- 
LIDUS. Dieser Vogel stimmt hin- 
sichtlich seines Baues, der Ver- 
hältnisse der Schwungfedern , 
und überhaupt in jeder Hinsicht, 
bis auf die etwas blässere Fär- 
bung, durchaus mit Circus cine- 
raceus überein, und bildet, wenn 
man will, eigentlich nur eine 


22 


(13) Le Busard St. Martin de 
l'Amérique a été décrit sous les 
noms suivans : Falco uliginosus, 
Wilson, PI. 51, fig. 1, (jeune 
ind.), Ch. Bonap., 1bid, PI. 12, 
(mâle adulte, variété à taches on- 
duleuses et obsolètes sur les par- 
ties inférieures; Falco cyaneus, 


‚Fauna bor.amer., PI, 29, (mä- 


le ad. à petites taches orbiculai- 
res); Audubon, PI. 356, fig. 1, 
(mâle adulte, à parties inférieu- 
res dépourvues de taches); Fal- 
co histrionicus, Uranie, Zool., 
PI.16, (jeuneind.), PJ. 15, (mâle 
adulte, aux parties inférieures 
transversalement rayées). Cette 
espèce se distingue , dans tous les 
ages, du busard St. Martin d'Eu- : 
rope, par des tarses plus élevés. 
Le vieux male a ordinairement 
toutes les parties inférieures, à 
parür de la poitrine, ornées de ta- 
ches nombreuses, soit orbiculai- 
res, soit transversales, d’un brun 
ferrugineux. Richardson a ren- 
contre cette espèce jusquesur les 
bords du grand lac aux ours; elle 
se trouve, suivant Wilson et Au- 
dubon, dans une grande partie 
des états-unis de l'Amérique du 
nord; les voyageurs français l’ont 
rapportée des iles Falkland, et 
notre musée en a recu des .indivi- 
dus tués à St. Domingue. 


(14) CIRCUS CINERACEUS PAL- 
Lipus. Ce busard ne differe du 
busard Montagu que par ses tein- 
tes plus päles, et n’en forme, à 
proprement parler, qu’une variété 
locale de cette dernière espèce. 
C’est donc à tort qu’on l’a com- 
paré au Busard St. Martin, 
dont il s'éloigne par ses ailes plus 


23 


klimatische Varietät dieser Art. 
Man hat sie daher mit Unrecht 
bis jetzt immer mit der Kornwei- 
he verglichen, von der sie eben 


so sehr abweicht als die Wie- 
Man vergleiche, was 


senweihe. 
wir früher über diese Art im 
Susemihl's Werk gesagt haben. 


(15) aquıLa ruLva. Nelsson 
ist der Meinung, dass es im Nor- 


den eine zweite Art Steinadler 


gebe, die sich vorzüglich durch 


einen etwas kürzeren Schwanz 
vom gemeinen Steinadler unter- 
scheiden soll. Wir haben uns bıs 
jetzt noch nicht von dem Be- 
stehen dieser Art oder Nebenart 
überzeugen können. Es ist diess: 
Falco chrysaëtos, Nilsson, Il- 
lum., Figur., Haft 5, pl.16; 
Skandinavisk Fauna, Foglarna, 


T,p. 44. 


(16) Die von G@loger , Handb. 

68, erwähnte vermeintliche 
Varietät der Aquila imperialıs 
vom Vorgebirge der guten Hoff- 
nung (? Falco obsoletus, Licht.) 
gehört, wie wir uns durch eigene 
Ansicht überzeugten, nicht hier- 
her, soudern zu Falco (Aquila) 
rapax, Temm., Pl. col. 455. — 
Nach von der Mühle, p. 21, 
Anmerkung, soll in en 
land nur Æquila fulva, nicht 
aber A. imperialis vorkommen. 


(17) aquırLa Bonerru. Wir 
machen hier noch einmal darauf 
aufmerksam, dass das Haupt- 
kennzeichen dieser Art ın der 
bedeutenden Länge ihrer Zehen 
liegt. Siehe hierüber unsere An- 


_rope ». 


pointues, ainsi que par la longueur 
respective des grandes rémiges. 
On peut consulter ce que nous 
avons dit de cette espèce dans 
notre travail sur les oiseaux d’Eu- 
accompagnant l’ouvra- 


ge iconographique publié par Mr. 


. Susemthl. 


(15) aguıza FuLvA. Nilsson 
suppose qu'il existe deux espèces 
d’aigles communs habitant le nord 
de l’Europe; il appelle l’une Fal- 
co chrysaëtos, l’autre Falco ful- 
vus, et prétend que la première 
se distingue de celle-ci par une 
queue moins longue. Nous n’a- 
vons pas été à même de vérifier 
les observations de Mr. Nilsson, 
qui a publié des descriptions et 
des figures de son Falco chry- 
saëlos dans ses Z{lum. Fig., 5me 
cahier, PI. 16, et dans le Skan- 


_dénavisk Fauna , oiseaux, p.44. 


(16) La prétendue variété de 
l’Aigle impérial, origmaire du 
Cap de Bonne Espérance, et in- 
troduite par G@loger, Handb., p. 
68, sous le nom de Falco obso- 
letus Lichtenstein, appartient, 
comme je l’aipu constater par l'au-- 
iopsie, au Falco rapax, Temm. 
Pl. col. 455. — Mr. von der Müh- 
le, p. 21, remarque que c’est 
l'aigle commun et non pas l’aigle 
impérial qui se trouve en Grèce. 


(17) AQUILA BONELLII. Cette 
espèce se reconnait facilement à la 
longueur de ses doigts; nous ren- 
voyons, pour de plus amples dé- 
tails sur cet oiseau, à la descrip- 
tion que nous en avons donnée 


gaben in Susemihl, die Vögel 
Europa’s, p. 54 Nach von 
‘der Muhle, p. 19, ist diese Art, 
nach dem Steinadler , die gemein- 
ste in Griechenland. 


(18) aquiza naervıa. Man 
hält jetzt beinahe allgemein die, 
auf den Flügeln und Unterthei- 
len weıss oder bräunlichweiss 
gefleckten , Schreiadler (F. ma- 
culatus, Gmel.), für die jünge- 
ren, die einfärbig braunen, (F. 
naevius , (rmel.), für die alten 
Vögel; allen Brehm, Vögel 
Deutschlands, 1831, p. 27, 
führt letztere als eigne Art, 4quila 
pomarina, auf, welche auch 
Fr. Boie, Isis, 1835, p. 259, 
für selbständig hält. Ohne selbst 
standhafte Kennzeichen zur Un- 
terscheidung zweier Arten Schrei- 
adler angeben zu können, und 
ohne uns für die Meinung Brehm’s 
und Boie’s zu erklären, glau- 
ben wir doch darauf aufmerk- 
sam machen zu müssen, 1) dass es 
noch nicht durch direkte Beo- 
bachtungen bewiesen ist, dass 
die gefleckten Schreiadler mit 
dem Alter einfärbig braun wer- 
den; 2) dass einige gefleckte 
Schreiadler vom Harz, welche 
bei uns in der Gefangenschaft 
leben, ihr sogenanntes Iugend- 
kleid im vierten Jahre noch nicht 
abgelegt haben, und 3) dass in 


1) 


gewissen Gegenden, wie z. B. 


in der Provence und in Italien‘, 
nach Temminck, Roux und CA. 
L. Bonaparte, nur gefleckte 
Schreiadier vorkommen, wäh- 
rend wir aus andern Gegenden, 
z. B. aus Ungarn, Abyssinien 
und Indien nur ungefleckte er- 


4 


dans Susemihl, p.54. Le comte 
von der Mühle, p. 19, rapporte 
que cette aigle est, en Grece, 
après l’aıgle commun, l’espece 
la plus abondante. 


(18) aqguıra NAEvVIA. On sait 
que le plumage de l’aigle criard 
est tantôt tacheté de blanc ou 
de blanc brunätre, et tantôt d’un 
brun uniforme, et que l’on re- 
garde les individus tachetés, Fal- 
co maculalus, Gmelin, comme 
les jeunes de ceux à plumage uni- 
forme, Falco naevius, Gme- 
lin. Brehm cependant, Vôgel 
Deutschlands, p. 27 et Boie, 
Isis, 1835, p. 259, séparent de- 
rechef les individus & teintes uni- 
formes sous le nom de Aguzla 
pomarina. N'ayant pu réussir à 
découvrir des caractères con- 
stants servant à distinguer ces 
deux prétendues espèces, nous 
ne saurions entrer pour le moment 
dans les vues des savans que nous 
venons de citer; il faut cepen- 
dant convenir que l’on n’a pas 
encore prouvé par des observa- 
tions directes, que les individus 
tachetés deviennent avec l’âge d’un 
brun uniforme. Nous avons mé- 
me vu plusieurs individus enle- 
vés du nid sur les monts d’Hercy- 
nie, qui à l’âge de quatre ans, 
conservaient encore les taches 
claires que l’on croît être le trait 
distinctif des jeunes. D’ailleurs 
plusieurs naturalistes, tels que 
Temminck, Roux et Ch. Bona- 
parte s'accordent à dire que l’on 
n’observe en Italie et en Proven- 
ce, que des aigles criards tache- 
tés, tandis qu’il ne nous est venu 
d’autres contrées, comme par 


hielten, und Pallas der gefleck- 
ten auch nur beiläufig und als 
blosse Varietät erwähnt. — Es 
ergiebt sich ausdiesen Thatsachen, 
dass die vorliegende Frage nur 
durch neue , an den Brüteplätzen 
dieser Vögel, angestellte Beo- 
bachtungen erörtert werden 
kann. Wir erwarten daher die 
baldige Entscheidung dieser Fra- 
ge durch wahrheitsliebende Na- 
turforscher. 


Die neuerlich durch von der 
Mühle, p. 19, Anmerkung , mit- 
getheilten Andeutungen über zwei 
Arten Schreiadler in Europa, sind 
unzureichend , Licht auf diese 
schwierige Frage zu werfen. 


(19) aquırLa pennara. Es 
bleibt dieser Adler, ungeachtet al- 
ler Forschungen , immer noch ei- 
ner der seltensten Vögel, dessen 
Brüteplatz noch nicht mit Gewiss- 
heit ermittelt ist, und der über- 
all, wo man ihn beobachtete, 
sowohl in Europa als in Afrika, 
nur zufällig angetroffen wurde. 
Dass dieser Vogel zuweilen mit 
dem Rauchfussbussard, Buteo la- 
gopus, verwechselt wurde, davon 
haben mich neuere Erfahrungen 
überzeugt. Wir empfehlen daher 
weniger Geübten, bei vorkom- 
menden Fällen , die bis jetzt über- 
sehenen Kennzeichen, welche 
wir für diese Art in Susemihl, 
Vögel Europa's, p. 57 aufgestellt 
haben, zu berücksichtigen, und 
in’s Besondere darauf acht zu 
geben, dassdie Läufe des Zwerg- 
adlers, wie die aller andren Ad- 
ler, rings herum dicht befiedert 


25 


exemple de la Hongrie, de l’A- 
byssinie et des Indes, que desin- 
dividus à teintes unıformes; aussi 
Pallas ne parle-t-il qu’en pas- 
sant des individus tachetés qu'il 
regarde comme formant une sim- 
ple variété accidentelle. Il ré- 
sulte de l'exposé de ces faits, que 
l'histoire naturelle de l’espèce 
dont nous parlons, ne peut guère 
être éclaircie que par des obser- 
vations faites sur les lieux que 
fréquente cet aigle pendant l’épo- 
que de la propagation. 

Les indications contenues dans 
l'ouvrage de Mr. von der Mühle, 
p. 19, sur l'existence de deux 
espèces voisines d’aigles criards 
sont insuflisantes pour éclaircir 
cette question difficile. 


(19) aquiLa PENNATA. Cette 
espèce, dont on ignore jusqu’à 
présent la véritable patrie, ap- 
partient au nombre des plus 
rares et n’a été observée qu’ ac- 
cidentellement, soit en Europe, 
soit en Afrique. Ayant été quel- 
quefois confondue avec la buse 
patue, il est bon de remarquer 
qu'il existe un caractère assez 
facile à saisir et au moyen du- 
quel on peut distinguer ces deux 
oiseaux dans tous les âges. Il suf- 
fit, pour éviter des erreurs , d’exa- 
miner les tarses de ces oiseaux; 
ceux de l'aigle botié étant, com- 
me dans tous les aigles, revêtus de 
plumes de tous côtés, tandis que 
ceux de la buse patue sont pour- 
vus, tout le long de leur face pos- 
térieure, de plaques assez lar- 
ges. Nous renvoyons pour les 
autres traits distinctifs de cette 
espèce à la description que nous 


sind, während, bei sorgfältiger 
Untersuchung, die Läufe des 
‘Rauchfussbussardes, auf der gan- 
zen hintern Seite, mit grossen 
Schildern bedeckt erscheinen. 
Graf von der Mühle erhielt 
einige Exemplare dieses Adlers 
während seines Aufenthaltes in 
Griechenland ; zwei andre Exem- 
plare wurden in der Umgegend 
Münchens geschossen ; Berträge, 


p. 19. 


(20) Den weissköpfigen See- 
adler, FALCO LEUCOCEPHALUS, 
Linne, haben wir aus der Reihe 
der europäischen Vögel entfernt, 
weil es uns erwiesen scheint, 
dass diese Art ein ausschliessli- 
cher Bewohner Nordamerika’s 
ist, und kein sicherer Beweis 
vorhanden ist, dass sich je Exem- 
plare derselben nach Europa ver- 
flogen haben. Die Beweggründe, 
diesen Vogel als europäisch auf- 
. zuführen, waren, ausser der An- 
gabe Linne’s, dass er auch im 
Norden Europa’s vorkomme, fol- 
gende: 1.) dass die beiden, in der 
vormalıgen Bullockischen Samm- 
lung aufbewahrten weissköpfi- 
gen Seeadler, die in die Samm- 
lunger der abi) Temminck und 
Laugier übergingen, auf den He- 
briden geschossen worden seyn 
sollen; 2.) dass ein Exemplar 
dieser Art früher bei Zürich, ein 
anderes bei Stuttgart geschossen 
seyn sollte; 3.) dass Bore, Rer- 
se, p. 189, während seines Be- 
suches auf den Loffoden, Seead- 
ler mit weissem Kopfe fliegen 
sah, und sie für Falco leucoce- 
phalus hielt. — Was die erste 
Angabe betrifft, so wird diesel- 


26 


en avons donnée dans Susemihl, 
Lie: lai Fat 


Mr. le Comte von der Mühle a 
recueilli plusieurs individus de 
cet aigle en Grèce, et ce savant 
fait en outre mention de deux 
individus tués dans les environs 
de Munich; voyez p. 19 de son 
ouvrage. 


(20) FALCO LEUCOCEPHALUS, 
Linné. Comme il n’a jamais été 
constaté d’une manière évidente, 
que cette espèce eüt été obser- 
vée dans la partie du monde 
que nous habitons, nous avons 
rayé de la liste des oiseaux d’Eu- 
rope cet aigle-pêcheur, qui parait 
habiter exclusivement l'Amérique 
du nord. Les naturalistes mo- 
dernes, en introduisant cette 
espèce comme habitant de l’Eu- 
rope, se sont d’une part appuyés 
sur le témoignage de Linné qui 
veut en effet que cette espèce 
habite le nord de l’Europe; d’au- 
tre part ils se laissaient guider 
par les motifs suivans 1.) qu'il 
existe deux individus de cette 
espèce, conservés autrefois dans 
la collection de Bullock, achetés 
depuis par MM. Temminck et Lau- 
gier et que l’on dit avoir été tués 
sur les îles Hébrides; 2.) qu’on 
prétend qu’autrefois on aurait 
tué un individu de cette espèce 
pres de Stuttgart et un autre 
près de Zurich; 8.) que Mr. Fr. 
Bote fait mention dans la rela- 
tion de son voyage, p. 189, d’ai- 

les-pécheurs qu'il a observés sur 
les îles Loffodes et qui, vus à di- 


be durch die vielfachen Unter- 
suchungen der brittischen Natur- 
forscher, nach welchen dieser 
Vogel nie auf den Hebriden vor- 
kommt, hinlänglich widerlegt. 
Die, angeblich bei Zürich und 
Stuttgart geschossenen Exempla- 
re sind nie von irgend einem Na- 
turforscher beschrieben worden, 
und es ist noch gar nicht ausge- 
macht, ob es nicht vielleicht 
ganz alte weissschwänzige See- 
adler waren, die man bekannt- 
lich in früheren Zeiten, als die 
Unterschiede beider Arten noch 
nicht auseinandergesetzt waren , 
oft für weissköpfige Seeadler 
hielt. Die Seeadler endlich, wel- 
che Herr Boie auf den Loffoden 
sah, waren offenbar alte weiss- 


schwänzige Seeadler, deren 
Kopf und Hals im Sommer, 
durch das Ausbleichen und 


Abreiben der Federn, eine fast 
weisse Farbe erhalten ; denn Nils- 
son sagt ausdrücklich, dass sich 
der weissköpfige Seeadler nie 
in Skandinavien findet, und zu- 
folge der Privatmittheilungen des 
Herrn Dr. Rasch in Christiania, 
der wiederholt und auf länge- 
re Zeit die Loffoden besuchte, 
kommt auf diesen Inseln nur der 
gemeine Seeadler vor. Übrigens 
ist es schon deshalb ungereimt, 
den weissköpfigen Seeadler zu 
einem Bewohner des Nordens 
Europa’s machen zu wollen, weil 
er, als Zugvogel, im Winter, wie 
der weissschwänzige Seeadler, 
das feste Land Europa’s besu- 
chen würde, was aber nicht der 
Fall ıst; denn die vermeintlichen 
Jungen Vögel dieser Art, welche 
man in Deutschland und Frank- 


stance, paraissaient avoir la tete 
blanche. — Quant à la premiere 
assertion, il a été constaté par 
tous les naturalistes anglais, que 
Vaigle-pöcheur à tête blanche 
n’habite pas les iles Hébrides. 
Pour ce qui regarde les indivi- 
dus tués, à ce qu’on prétend, pres 
de Stuttgart et de Zurich, ces 
individus n’ont jamais été dé- 
criis par aucun naturaliste, ce qui 
me fait penser que ce n'étaient 
tout simplement que de très-vieux 
individus de l’aigle-pecheur com- 
mun, espèce que l’on a, com- 
me le sait tout le monde, long- 
temps confondue avec celle de l’A- 
mérique du nord. Je crois enfin 
que Mr. Boie s’est trompé en 
prenant pour des aigles à tête 
blanche, ceux qu’il a observés sur 
les iles Loflodes; car Mr. Nils- 
son dit expressément que cette 
espèce ne se trouve jamais en 
Scandinavie et le docteur Rasch 
de Christiania, qui a visité à plu- 
sieurs reprises ces îles et y a fait 
un séjour assez considérable, me 
mande que les aigles-pécheurs 
qui y habitent appartiennent à 
l'espèce commune. Mr. Boie au- 
ra probablement vu de très-vieux 
individus de cette dernière espè- 
ce, dont la tête et le cou avaient 
pris une teinte très-claire par 
l’action du jour , phénomène tres- 
apparent, avant la mue, dans 
la plupart des oiseaux. Quoiqu'il 
en soit, il y a encore d’autres 
motifs qui militent en faveur de 
notre opinion que l’aigle-pecheur 
à tête blanche n’habite pas l’Eu- 
rope septentrionale. S'il en était 
ainsi, cette espèce, qui appartient 
au nombre de celles qui émi- 


reich angetroffen haben will, 
_ sind nie genau untersucht wor- 
den, und diese Angaben sind da- 
her nur als Vermuthungen zu 
betrachten. | 


(21) Nilsson nimmt zwei Ar- 
ten grösser Seeadler aus dem Nor- 
den Europa’s an. Sein Falco ossi- 
fragus soll grösser seyn, und ei- 
nen längeren Schwanz haben, 
als F. albicilla. Die bis jetzt von 
Nilsson untersuchten Exemplare 
seines F. ossifragus hatten noch 
keinen weissen Schwanz ; nıchts- 
destoweniger vermuthet aber 
Herr Nilsson, dass auch F. oss?- 
fragus, wie F. albicrlla , im ho- 
hemAlter einen weissen Schwanz 
bekomme. Wir haben bis jetzt 
keine hinlänglichen Gründe ge- 
funden, diesen F. ossifragus als 
Art oder als Nebenart aufzuneh- 
men. Siehe über dieselbe: Nrls- 
son, Ornit. suecica, I, p. 14; 


Skandın. Fauna , Fogl., 1, p.45. 


(22) Es folgt hier die Beschrei- 
bung, welche Pallas von dieser 
Art in der Zoogr. rosso astat., 


I, p. 352, n°. 26, gegeben hat. 


grent en hiver, visiterait perio- 
diquement le continent de l’Eu- 
rope; on nel’y voit cependant ja- 
mais. Îlest vrai quel’on prétend 
avoir tue, en Franceet en Alle- 
magne, de jeunes individus de 
cette espèce; mais ces individus 
n'ayant pas été soigneusement 
examinés, on ne peut attacher 
aucune valeur à ces assertions. 


(21) Nilsson veut qu'il existe, 
dans le nord de l'Europe, deux 
espèces d’aigles-pécheurs de gran- 
de taille. Il distingue de l'espèce 
ordinaire, Falco albicilla, une 
espèce d’une taille plus forte et 
a queue plus longue, et qu'il 
appelle Falco ossifragus. Ce sa- 
vant croit que cette dernière 
espèce acquiert également avec 
l’âge une queue blanche, bien 
que pas un seul des individus 
qu'il a examinés ne presentät 
ce caractère. Nous n’avons pas 
cru devoir adopter pour le mo- 
ment cet oiseau, ni comme espè- 
ce, ni comme variété, et nous 
renvoyons pour de plus amples 
détails aux travaux de Nelsson: 
Ornith. Suecica, X, p. 14, et 
Skandın. Fauna, Oiseaux, 1, 


p. 45. 


(22) Pallas, Zoogr. ross. 
asiat., 1, p. 352, n°.26, a de- 
crit cette espèce dans les termes 
suivans : 


AQUILA LEUCORYPHA. 


A. tibiis nudis pallidis, cera livida, corpore fusco, macula ver- 


tıcıs alba. 


Nusquam nisi in australiore Rossia, circa Volgam et Rhymnum 
inferius, in vieinia maris Caspii, et ibi quoque rarius observatur , 


29 


ubi cum praecedente , Ossifraga et Haliaëto circa lacus regnat et 
in arboribus nidulatur. Distinctissima species et licet parva, omni- 
bus tamen notis ad Aquilas referenda, quas et habitu refert, im 
hoc genere cum praecedente minima. 

Deser. Magnitudo paulo supra Clangam; pondus sex librarum. 
Habitus inter Chrysaëtum et Ossifragam medius. Rostrum basi rec- 
tiusculum, nigrum, margine maxillae superioris medio convexo. Ce- 
ra livido-cinerea, glabra, naribus amplis, ovatis, obliquis, concha 
delitescente. Rictus oris albidus; lingua integra, rotundata. Palpe- 
brae concolores, versus marginem plumoso-ciliatae; suggrundium 
supraciliare prominens, nudatum. Irides fusco-gryseae, circulo ni- 
gricante inclusae. Caput supra gryseo-fuscum, macula trianguları 
medii verticis, gulaque nivea; area per latera capitis sub oculis lon- 
gitudinalis subatra. Collum undique plumis acuminatis fuscis, apice 
gryseo-obsoletis jubatum. Dorsum et alae nigricant, plumis margi- 
ne exsoletis. Subtus color exsoletior quam in collo. Remiges 27. sex 
primores extremo angustatae, reliquae exteriore margine gryseae, 
interius versus basin albae. Subtus ala nigrescit, tectricibus basi al- 
bis. Ala secundaria quadripennis. Cauda longiuscula, alis compo- 
sitis 2/7. 6%. longior, aequalis, rigida, nigra, extima utrinque rec- 
trice lituris aliquot pallidis adspersa. Pedes pallido-albicantes, un- 
guibus nigris; tibiae vix ad tertiam partem plumosae; digiti parum 
divaricandi, plicis intercalaribus nullis. — Mensura ad uropygium 
17.5.8". caudae 11/87. ulnae alarum 17. 8.9". expansarum 
5.11” 6". Rostrum ad oris angulos 2. 3. tibiarum 3” 2”. digi- 
torum anticorum medius sine ungue 2’. 5. unguis 1”. 13”, exte- 
rior 1”. 72”. unguis 1”. interior 1”. 6”. unguis 1”. 33”. posticus 
1". 4. unguis 1. 3. 


Ein vonEversmann in derBucharei Mr. Eversmann a rapporté au 


geschossener, im Berliner Museum 
aufbewahrter Seeadler , stimmt 
mit der Pallasischen Beschreibung 
durchaus überein, und weicht 
bloss durch den Mangel des weis- 
sen Nackenfleckes, dessen Pallas 
erwähnt, ab. Keyserling und 
Blasius, p.139, geben nach die- 
sem Exemplare, folgende Züge 
als Artkennzeichen für H. leuco- 
ryphus an: » Die Läufe vorn kaum 
»4 der Länge befiedert; die In- 
 „nenfahne der grossen Schwin- 
„ gen nur bis zur 3ten ausgeschnit- 
„ten; die 2te bis 4te auf der Aus- 


Musée de Berlin, de son voyage à 
Boukhara, un aigle-pécheur qui 
se rapporte parfaitement à l’espe- 
ce de Pallas, quoiqu'il n’offre pas 
le caractère tiré de la tache blan- 
che de la nuque. MM. Keyser- 
ling et Blasius, I. c., p. 139, 
ont emprunté à cet individu les 
traits distinctifs suivans: » Tarses 
» emplumés par devant à peine 
» d’un tiers de leur longueur. Les 
»trois premières rémiges rétré- 
» cies à leur barbe interne; la 
» deuxième jusqu’à la sixième ré- 
» mige rétrécies à la barbe exter- 


» senfahne deutlich, die 5teschwä- 
» cher, die 6te nur sehr schwach 
_» verengt; der Schwanz schwarz, 
» gerade, mit dem Ende 21 Zoll 
» über die Flügel hinausragend, 
» der Schnabel schwarz.’— Nach 
demselben Exemplare habe ich 
folgende kurze Beschreibung ent- 
worfen : Ganze Länge 2’ 6”; Flü- 
gel 1’ 10”; Schwanz 11”; Läufe 
31’. Mittelzehe ohne Nagel 2”. 
Habitus, Bau, Schnabel, Füsse 
und alle sonstige Verhältnisse wie 
bei H. Macei. Schnabel schwärz- 
lich. Hauptfarbe des Gefieders 
erdbraun, unten blässer. Die Fe- 
dern gegen ihre Ränder hin hel- 
ler, besonders die Flügeldeckfe- 
dern; die des Kopfes und Halses 
mit gelblichbraunen Rändern. 
Ohrgegend, und ein von da 
sich verlängernder und auf den 
Seiten des Halses sich verlierender 
Streif, schwärzlichbraun. Grosse 
Schwungfedern und Schwanz 
schwarz; letzterer auf der ersten 
Hälfte schwach weisslich gewäs- 
sert. Obere und untere Schwanz- 
deckfedern blassbraun, ein we- 
nig mit weisslich gemischt. Füsse 
gelblich. Nägel schwärzlich. 
Schwanz kaum merklich abge- 
rundet. 

Es fragt sich, ob Haliae- 
tos lineatus, Gray, Ind. Zool., 
nicht als junger Vogel zu vorge- 
hender Art zu ziehen ıst. Wenn 
man die Gewissheit hätte, dass 
sowohl das Exemplar von Pallas 
als das des Berliner Museums, als 
männliche und jüngere Indivi- 
duen zu betrachten sind, so 
würde ich kein Bedenken tragen, 
H.leucoryphus als identisch mit 
H.Macei, Temm., Pl. col. 8, von 


30 


»ne, mais de sorte que ce ca- 
» ractère est moins apparent sur 
» la cinquième rémige, et peu 
» sensible sur la sixième. Queue 
»noire, coupée carrément à l’ex- 
»trémité, dépassant les ailes de 
» deux pouces et demi. Bec 
» noir.” — J'ai pris sur ce même 
individu la note succincte suivan- 
te: Longueur totale % 6/’; ailes 
1’ 10”; queue 11%; tarses 20 
doigt de milieu, sans ongle 2”. 
Port, bec, pieds et organisation 
comme dans l’Aaliaëtos Macer. 
Bec noirätre. Teinte générale du 
plumage d’un brun de terre, plus 
pâle sur les parties inférieures. 
Plumes, particulièrement les 
couvertures des ailes, à bords 
clairs; celles de la tête et du 
cou liserées de brun jaunätre. 
Région des oreilles et une lar- 
ge raie qui se prolonge depuis 
cette région jusque sur les côtés 
du cou, d’un brun noirätre. Gran- 
des couvertures des ailes et queue 
noires; queue variée de blanc à 
la première moitié de sa longueur. 
Couvertures de la queue d’un 
brun pale, relevé par quelques ta- 
ches blanchätres. Pieds jaunätres. 
Ongles noirätres. Queue insen- 
siblement arrondie a l’extremite. 

Il convient peut-être de re- 
garder comme le jeune de cette 
espèce l’oiseau figuré par Gray, 
dans l’Zndian Zoology, sous le 
nom de Haliaetos lineatus. Le 
sexe des individus observes par 
Pallas et Eversmann n’ayant pas 
été constatés par la dissection, 
c'est en hésitant que nous émet- 
tons l’opinion qu'ils pourraientr 
bien n’être que des mâles jeunes 
ou à l’âge moyen du grand aigle 


Bengalen, ersteren als jungen, 
letzteren als alten Vogel, zu be- 
trachten. 


(23) HALIAETOS VOCIFER. 
Exemplare dieser Art aus Grie- 
chenland im Mainzer Museum. 
Graf von der Mühle erwähnt der- 
selben nicht als griechischen Vo- 


gel. 


(24) PANDION HALIAËTUS. 
Der gemeine Flussadler scheint 
über die ganze Erde verbreitet 
zu seyn, und nach den verschie- 
denen Gegenden, in welchen er 
vorkommt , höchstens einige uner- 
_hebliche Unterschiede in Grösse 
und Färbung darzubieten. In 
wie fern der amerikanische 
Flussadler, Pandion carolinen- 
sis, Ch. Bonap. , von dem uns- 
rigen abweicht, können wir, da 
wir nur wenigelndividuen aus je- 
ner Gegend sahen, nicht angeben. 
Die Flussadler von Japan, Hinter- 
indien und Neuholland , Pandion 
leucocephalus, Gould,sind durch- 
gehends ein wenig kleiner, und 
haben etwas mehr weiss auf dem 
Kopfe. Siehe über die Varietäten 
dieser Art: Verhandel. Neder!. 
 Querz. bezitt., Aves, Artikel: 
Falco (Pandion) humilis. 


(25) BuTEo vurcarıs. Im 
«nördlichen Amerika findet sich 
ein Mäusebussard, den Rrchard- 
son und Swainson, Fauna bor. 


31 


pêcheur du Bengale, connu sous 
lenom de Haliaëtos Macer, Temm., 


Pl. col. 8. 


(23) HALIAETOS VOCIFER. 
J’ai vu au Musée de Mayence 
des individus de cette espece, 
tues en Grece. Mr. le Comte von 
der Mühle n’en fait pas mention 
dans son ouvrage sur les oiseaux 
de la Grèce. 


(24) PANDION HALIAETUS, 
Il parait que le balbusard com- 
mun est repandu sur toutes les 
parties du globe, et qu’il ne for- 
me tout au plus, suivant les lo- 
calités, que de légères variétés 
dans la taille et les couleurs. 
N'ayant vu qu’un petit nombre 
d'individus du balbuzard d’Ame- 
rique, Pandion carolinensis, 
Ch. Bonap., nous ne nous croyons 
pas autorisés à émettre aucune 
opinion sur cette prétendue espè- 
ce. Mr. Gould a séparé le balbu- 
zard de la Nouvelle Hollande, sous 
le nom de Pandion leucocepha- 
lus ; ıl sen trouve de semblables 
au Japon et dans l’Archipel des 
Indes; ils sont constamment un 
peu plus petits que ceux d’Euro- 
pe, et la couleur blanche domi- 
ne sur le dessus de leur tête. 
Consultez par rapport aux varié- 
tés du bulbuzard notre mémoire 
sur le Falco (Pandion) humilis, 
inséré dans l’ouvrage hollandais 
intitulé : Verhandelingen over de 
Ned. Overzeesche bezittingen. 


(25) BUTEO VULGARIS. L’a- 
merique du nord produit une 
buse, que M. M. Richardson, 
Swainson et dudubon regardent 


am., Birds, PI.27, und Audu- 
bon, Pl. 372, für nicht ver- 
schieden von unserm Mäusebus- 
sard halten, und ıhm auch dem 
Namen Buteo vulgaris geben. 
Ch. Bonap. List, p. 3, führt 
ihn aber als eigene Art, unter dem 
Namen Buteo Swainsonit auf. 
Wir haben diesen Vogel in der 
Natur nicht gesehen. 


(26) BUTEO LAGOPUS. So- 
wohl Zevaillant als neuerdings 
Smith, haben diese Art vom Vor- 
gebirge der guten Hoffnung mit- 
gebracht. Diese Erscheinung ist 
um so auffallender, da dieser Vogel 
selbst das südliche Europa nur in 
kalten Wintern besucht. — Der 
nordamerikanische  Rauchfuss- 
bussard , Falco Sancti Johannis, 
Latham, unterscheidet sich von 
dem Unsrigen durch einen stär- 
kern, breiteren Schnabel , grös- 
sere, kräftigere Nägel, und et- 
was höhere Läufe, die weder 
so weit abwärts, noch so weit 
nach hinten befiedert, und 
auf der hintern Hälfte des Lau- 
fes, nach unten, mit grösseren 
Schildern bekleidet sind. Diese 
Art weicht individuell, in der 
Färbung, noch bedeutender ab 
als unser Rauchfussbussard. Es 
ist dies Falco spadiceus (Choco- 
late Falcon), Forst., Phil. Trans., 
LÄII, p.281; Pennant, Arct. 
Zool., II, p.201, Tab. 9 B; Falco 
Sancti Johannis, Gmelin, p.273, 
n°.92; St. John's Falcon, Arct. 
Zool. T.9a; Wilson, Taf. 33, 
Fig. 1; Falco lagopus et niger, 
Audubon , Pl. 422 und Pl. 166; 
Falco lagopus , Richards., Fau- 
na bor. amer., Birds, Pl. 28, 


32 


| 


comme identique avec la buse 
commune d’Europe; c’est le Bufeo 
vulgaris, Fauna bor.amer., PL. 
27, Audubon, Pl! 372. 0 
Bonaparte, List, p. 3, au con- 
traire veut que ce soit une espèce 
distincte qu'il appelle Buteo 
Swainsonii. Je n'ai pas vu cet 
oiseau. 


(26) BUTEO Lacopus. Le- 
vaillant et Smith ont observé la 
buse patue dans la partie meri- 
dionale de l’Afrique, fait d’au- 
tant plus remarquable que cette 
espèce qui habite les regions froi- 
des de l’Europe et de l’Ase, 
n’etend guère ses migrations jus- 
qu'au delà des Alpes que pen- 
dant les hivers très-rigoureux. — 
La buse patue de l’Amérique sep- 
tentrionale, Falco Sancti Johan- 
nis, s'éloigne de l’espèce com- 
mune par son bec plus vigou- 
reux et plus large, par des on- 
gles plus forts et plus longs, ainsi 
que par des tarses un peu plus 
élevés,et dont les plumes ne s’avan- 
cent pas aussi loin vers le bas et 
vers le derrière que dans l’espè- 
ce commune; aussi les plaques 
dont la partie postérieure des 
tarses est revêtue vers le bas sont- 
elles d’une étendue plus considé- 
rable. Cette espèce américaine 
varie selon les individus, par rap- 
port aux teintes, d’une manière 
plus frappante encore que l’espe- 
ce d'Europe, ce qui a donné 
lieu à l'établissement de plusieurs 
espèces nominales. C’est Falco 
spadiceus ou Chocolate Falcon ; 
Forst. Phil. Trans., LXU, p. 
281 ; Pennant Arct. Zool, I, p. 


und F. ferrugineus, Lichtenst., 
Verh. d. Berlin. Acad., 1838, 
p. 428. 


(27) Pallas, Zoogr. ross. 
asıat. I, p. 354, n’. 27, be- 


33 


schreibt unter dem Namen ac. 


CIPITER HYPOLEUCOS einen 
Schlangenbussard aus dem süd- 
lichen Russland, den Keys. u. 
Blasius, die Wirbelth. Euro- 
m4, 9. AAIX, n°. 20, Cir- 
caëtos hypoleucos, als eigene 
Art aufnehmen. Nach der von 
Pallas mitgetheilten Beschrei- 
bung, weicht aber dieser Vogel 
vom gemeinen Schlangenbussard 
nur durch die gelbe Farbe der 
Füsse, und durch pinselförmige 
Büschelchen, welche sich an den 
Spitzen der Nackenfedern befin- 
den, ab. Letztere sind offenbar 
Uberbleibsel des Dunenkleides, 
und die gelbe Farbe der Füsse 
ist wahrscheinlich durch das 
Trocknen entstanden, wie dies 
häufig Statt findet. Auch muss 
man berücksichtigen, dass Pal- 
las unsern gewöhnlichen Schlan- 
genbussard gar nicht aufführt, 
sondern die hierher gehörigen 
Citate, selbst Bufon’s Jean le 
Blanc, Pl. enl. 413, zu seinem 
Acc. hypoleucos zieht. Wir kön- 
nen, aus den angeführten Grün- 
den, diesen Vogel als Art nicht 
eher aufnehmen, bis er auf’s Neue 
untersucht und mit Circaëtus 
2. 


201, Pl.9, fig. B; Falco Sancti 
Johannis, Gmelin, p.273,n".92; 
SE. John's Falcon, Arct. Zool., 
T. 9 a; Wilson, PI. 33, fig. 1; 
Falco lagopus et niger, Audubon, 
Pl. 422 et PI. 166; Falco lago- 
pus, Richardson, Fauna bor. 
amer. , Birds, Pl. 28; et Falco 
Jerrugineus, Lichtenstein, Verh. 


d. Berlin. Acad., 1838, p. 428. 


(27) Pallas, Zoogr. ross.as., 
I, p. 354, n°. 27, a décrit, sous 
le nom d’ACCIPITER HYPOLEU- 
cos, un Circaëte de la Russie mé- 
ridionale, que M. M. Keyserling 
et Dlasius ont adopté comme 
espèce bien établie; c’est leur 
Circaëtos hypoleucos, p. XXTX, 
n°. 20. — À juger de la descrip- 
tion donnée par Pallas, cet oi- 
seau ne s'éloigne du Circaete 
commun que par la teinte jau- 
nätre des serres, ainsi que par la 
presence de petits appendices 
penicilliformes, dont les plumes 
de la nuque sont pourvues. Ces 
appendices sont évidemment les 
restes du duvet qui ne s’est usé 
qu'imparfaitement; quant à la 
couleur jaune des pieds, elle est 
probablement due au desseche- 
ment de ces parties. D’ailleurs Pal- 
las ne fait pas du tout mention du 
Circaëte commun, et il rapporte 
plusieurs synonymes de cette espé- 
ce à son Accipiter hypoleucos, en- 
tre autres même le Jean le Blanc 
de Buffon, Pl.en!.413. Avant d’é- 
tablir l'espèce décrite par Pallas, 
il sera nécessaire de l’examiner 
de nouveau, et de la comparer à 
l'espèce commune et au Circaëte 
pectoral, qui offre des pieds jau- 
nes dans tous les âges. 


3 


34 


gallicus und pectoralis, welcher 
letzterer in jedem Alter gelbe 
 Füsse hat, verglichen wurde. 


Damit Jeder selbst urtheilen | 


kann, in wie fern die von Pal- 
las aufgeführte Art Berücksich- 
tigung verdient, lassen wir seine 


. Quoi qu'il en soit, nous avons 
cru devoir reproduire ici la de- 
scription de Pallas, afin de met- 
tre nos lecteurs à portée de ju- 
ger eux-mêmes, s’il convient d’a- 
dopter pour le moment cette es- 
pece douteuse. | 


Beschreibung hier folgen. 


» Gera pedibusque flavis, corpore fusco subtus albo, plumis eir- 
» vicalibus penicilliferis. 

»In Rossia australi, circa Tanaim et Volgam inferiorem, per 
» regiohes campestres non infrequens, frequentissimus (Gmelinis 
» testi) circa Astrachaniam hyeme, ubi Gallinis, aeque ac in Gal-. 
» lia infestus. Ad orientem Uralensis jugi nunquam observatus fuit ; 
» attamen in australibus Tatariae magnae forte non deest. | 

» Descr. Maximus accipitrum, Aquilae Clangae fere aequalis, sed 
» habitus ab Aquilis alienus et plumae cervicis multo minus acutae. 
» Rostrum breviter aduncum. Gaput et cervix grysea, rhachibus 
» fuscis, subtus albidiora: piumae cervicis mediae fuscidiores, rha- 
»chi apice terminata plumula distincta singulari, penicilliformi , 
»quod in nulla ave observavi, et priores autores non adnotarunt. 
» Dorsum fuscum, plumis margine gryseo-exsoletis. Subtus avis al- 
»ba, jugulo, maculis pectoris et lunulis femoralium gryseo-lutes- 
» centibus. Remiges interius albae. Cauda longior, aequalis, fusca, 
» rectrices laterales interius albae, omnes nigro trifasciatae. Pedes 


» longiusculi, nudi, flavi.” 


Ichkenne, ausser unserer euro- 
päischen, nur noch zwei Arten 
dieser Gattung, nämlich: 1) Cire. 
pectoralis Smith, s. C. thora- 
cicus, Cuv., Mus. Par., von Afri- 
ka, derin der Jugend zwar dem 
C. gallicus täuschend ähnlich 
ist, aber ım Alter eine schwärz- 
liche Brust und gelbliche Füsse 
hat. Herr Müller hat einen ganz 
ähnlichen Vogel auf Timor er- 
legt.2) Circaetos cinereus Vreull., 
Gal., PI. XII, seu Circ. fune- 
reus, Rüppell, Neue Wirb., 
Vögel‘, T. 14, vom Senegal «nd 
Abyssinien. 


(28) MILVUS PARASITICUS. 


Je ne connais que deux espè- 
ces exotiques de ce genre, savoir 
1) Circ. pectoralis, Smith ou 
Circ.thoracicus Cuv., Mus.Par., 
de l'Afrique, assez voisin du Cir- 
caete commun, mais à poitrine 
noirätre, à l’âge adulté, et à pieds 
jaunes. Mr. Müller a tué un oi- 
seau tout à fait semblable, à l’ile 
de Timor. 2) Circaetus cinereus, 
Vieillot, Gal., Pl. XII, ou Cire. 
funereus, Rüppell, Neue Wir- 
belthiere, Vogel, Tab. 14, du 
Sénégal et de l’Abyssinie. 


(28) MILVUS PARASITIOUS. 


Von Herrn von Feldegg im Dal- 
matien, und vom Grafen von der 
Mühle, p. 22, im Griechenland 
gesammelt. Vom schwarzen Mi- 
lan durch einen stärker gegabel- 
ten Schwanz und gelben Schna- 
bel abweichend. Unserem schwar- 
zen Milan ganz ähnliehe Vögel 
kommen vom Senegal, vom Fest- 
lande von Indien, (Milvus g0- 
vinda, Sykes, Proceed. 1832, 
p. Sl), vom indischen Archipel 
und Neuholland, (Melvus affints, 
Gould, Syn. Birds Austr., Ta- 
fel ohne Nummer). Ehe diese Vö- 
gel aber als eigene Arten aufge- 
nommen: werden können, müs- 
sen ihre Kennzeichen, gründli- 
cher als es bis jetzt geschah, aus- 
einandergesetzt werden. Ausser 
den angeführten drei europäi- 
schen Arten sind mir nur noch 
zwei bekannt, nämlich: 1) der 
schöne Milvus .isurus, Gould , 
Birds of Australia, Tafel ohne 
Nummer, von Neu-Holland und 
2) eme neue Art von Japan, Tobi 
der Japaner , an Grösse dem Kö- 
nigsmilan gleichkommend, aber 
dunkel von Farbe, und mit äus- 
serstseicht gegabeltem Schwanze. 


(29) Eranus. Die Kennzei- 
chen der Arten dieser Gruppe 
wurden bis jetzt sehr unvollstän- 
dig angegeben. E/anus melanop- 
ferus, der eigentlich in Afrika 
zu Hause ist, sich aber zuweilen 
nach Europa verfliegt, unter- 
scheidet sich von dem ihm in 
der Färbung, sehr verwandten 


ET, axillaris, standhaft durch ı 


35 


Cette espèce a été recueillie par 
Mr. de Feldegg en Dalmatie et 
par le comte von der Mühle, p. 
22, en Grèce. Elle ne se distin- 
gue du Milan noir que par sa 
queue plus fortement fourchue, 
et par la couleur jaune de son 


bec. Le continent de l'Inde pro- 


duit un Milan en tout point sem- 
blable au Milan noir: c’est le Mil- 
vus govinda,Sykes, Proceedings, 
1832, p.81; ilen existe également 
un à la Nouvelle Hollande : c’est 
le Milvus affinis, Gould, Syn. 
Birds Austr., (plauche sans nu- 
méro). Les caractères de ces oi- 
seaux n'ayant pas encore été ex- 
posés d’une manière satisfaisante, 
il ne convient pas de les admet- 
tre pour le moment comme espe- 
ces parfaitement établies. Outre 
les trois espèces de Milans qui se 
trouvent en Europe, je n’en con- 
nais que deux auires de ce gen- 
re, savoir 1) le Milvus isurus, 
Gould, Birds of Australia, 
(planche sans numéro), belle es- 
pèce dela Nouvelle Hollande, et 
2) une nouvelle espèce du Ja- 
pou, appelée Tobr dans ce pays; 
elle est de la taille du Milan com- 
mun, mais elle offre des teintes 
assez foncées, et sa queue est 
tres-peu échancrée. 


(29) ELcanus. Les traits dis- 
tinctifs des diverses espèces de ce 
genre n’ont été indiqués jusqu’à 
présent que d’une manière assez 
superficielle. L’Elanion blac, qui 
visite accidentellement l’Europe, 
quoique sa véritable patrie soit 
l'Afrique, se distingue constam- 
ment de l’£/anion axtillaire , par 
sa queue beaucoup plus cour- 


einen weit kürzeren Schwanz. 
Die Unterseite der Flügel ist 
immer rein "weiss. 

Elanus axillaris, Gould, 
Birds of Austral., Tafel ohne 
Nummer; Falco axillaris, La- 
tham , Ind. orn.; Circus axilla- 
ris, Vreillot, Encycl. meth., III, 
p. 1212; Elanus notatus, Gould, 
Proceed.,V , p.99, und p. 141, 
kommt vom indischen Archipel 
und Neuholland, hat einen län- 
geren Schwanz, und oft, aber 
nicht immer, schwärzliche gros- 
se untere Flügeldeckfedern. Es 
ist mir nicht gelungen, standhafte 
Kennzeichen aufzufinden, um 
von dieser Art den Falco dispar , 
Temm., Pl. col. 819. (junger Vo- 
gel); Ch. Bonap., Contin. of 
Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu- 
bon, Pl. 352; Elanus leucurus, 
Ch. Bon., List, p. 4, zu unter- 
scheiden. — Eine schöne, dritte 
Art mit winkeligem schwarzem 
Flecke auf der Unterseite der Flü- 
gel bildet der grössere Hlanus 
scriptus, Gould, Proceed. 1842; 
Birds of Australia, (Taf. ohne 
Nummer). Endlich ist als vierte 
Art zu dieser Gruppe zu zählen , 
Gampsonyx Swainsoni, Vi- 
gors, Zool. Journ., II,p. 69, 
seu Elanus torquatus Lesson, 
Traité d'Orn., p. 72 (jun) 
vom warmen Amerika; ausge- 
zeichnet durch seine geringe 
Grösse , und von den drei Vorher- 
gehenden durch seine schöne 
Färbung abweichend. 


36 


te, et par la teinte blanche de la 
partie interne des ailes;. du reste 
ces deux espèces se ressemblent 
assez, par rapport au système de 
coloration. | 

L'Elanus axillaris, Gould, B. 
of Austr.; Falco axillaris, Lath.; 
Circus axillaris, Vieillot, Ency- 
cl. meth., III, p. 1212; Elanus 
notatus, Gould, Proceed.,V ,p99 
et p.141 , qui habite l’Archipel des 
Indes et la Nouvelle Hollande, 
s'éloigne du précédent parsa queue 
plus longue ainsi que par les gran- 
des couvertures internes des ailes 
qui sont le plus souvent d’une 
teinte noire. Je ne vois pas en 
quoi se distingue de cette espèce 
des Indes, celle qui habite I’ Amé- 
rique, et qui a été indiquée sous 
les noms suivans: Falco dispar, 
Temm., Pl. col. 319 (jeune de 
l’année); Ch. Bonap. Contin.of 
Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu- 
bon, Pl. 352; Elanus leucu- 
rus, Bonap., List, p. 4. — Une 
troisieme espece de ce groupe 
vient de la Nouvelle Hollande; 
elle est d’une taille plus forte 
que les deux précédentes et ses 
ailes sont ornées, à leur face in- 
terne, d’une large tache noire 
anguleuse; c’est l'£lanus scrip- 
tus, Gould, Proceed., 1842; Birds 
of Australia, planche sans nu- 
méro. Il convient de placer à 
la suite de ce groupe une belle 
espèce d'assez petite taille et à 
plumage orné de teintes tres-vi- 
ves; elle se trouve dans l’Améri- 
que intertropicale; c’est le Gamp- 


| sonyx Swainsonit, Vigors, Zool. 
| Journ., II, p. 69, dont l’Ela- 


nus torquatus de Lesson ne pa- 


| rait pas différer; voir ZLesson, 


37 


(30) vuLTuR rurvus. Siehe 
über diese und die übrigen, dem 
V. fulvus verwandien Arten 
oder Nebenarten, so wie über- 
haupt über die Synonymie und 
Charakteristik der Geierarten un- 
sere Arbeit über diese Gattung 
in Susemihl, Nat. Vög. Eur., 
p. 10 bis 12. 


(31) VULTUR AURICULARIS. 
Die Mittheilungen Levaillants, 
dass dieser Geier gesellschaftlich 
lebt, sind nach Smith, Proceed. 
Zool. Soc., 1833, p. 45, falsch. Es 

ehört daher diese Art, auch hin- 
sichtlich ihrer Lebensart, zu der 
Gruppe der adlerartigen Geier: 
siehe hierüber unsere Arbeit ın 
Susemihl, Nat. Vög. Eur., p. 
6 sgg. — Graf von der Mühle, 
. 11, hat diesen Vogel nie in 
Griechenland gesehen; er wirft 
daher die Frage auf, ob die, an 
mehrere Sammlungen aus Grie- 
chenland geschickten Bälge die- 
ser Art, nicht vielleicht aus Ae- 
gypten stammen. 


(32) GYPAËTOS BARBATUS. 
Siehe über die Verbreitung und 
die Nebenarten des Bartgeiers: 
Schleg. u. Susem., Nat. Vög. 
Eur., p. 18 u. 19. 


(33) OTUS BUBO. Der gemei- 
ne Uhu artet in kalten Gegenden 
zuweilen in’s Weisse aus. Ein sol- 
ches Exemplar aus Sibirien be- 
findet sich ım Berliner Museum. 
Strix scandiaca , Linne, Fauna 


Traité d’Ornith, p. 72 (descrip- 


tion d’un jeune individu). 


(30) vurrur FuLvus. Nous 
renvoyons pour les détails relatifs 
aux diverses espèces du genre 
Vautour et à leurs variétés, au 
travail que nous avons inséré dans 
l'ouvrage intitulé: Susemihl, Na- 
turgeschichle der Vögel Euro- 
pas, p. 10 ef suiv. 


(31) VULTUR AURICULARIS. 
Smith, Proceed Zool. Soc., 1833, 
p- 45, a réfuté les assertions er- 
ronnées de Levaillant, qui dit 
que cette espèce vit en société 
comme les Vautours proprement 
dits. Elle appartient en consé- 
quence, sous tous les rapports, au 
groupe des aigles-vautours: voir 
notretravail inséré dans Susemrhl, 
Il. ce. p. 6 et suiv. — Mr. von der 
Mühle, p. 11, n'ayant pas ren- 
contre ce vautour en Grèce, il 
suppose que les Echantillons, a- 
dressés de ce pays à diverses col- 
lections, sont originaires de 
l'Egypte. 


(32) GYPAËTOS BARBATUS. 
Consultez, quant aux diverses ra- 
ces du Gypacte et leur distribu- 
tion géographique, ce que nous 
en avons dit dans Susemkhl, l.e:, 


p. 18 et 19. 


(33) OTUS BUBoO, Les régions 
froides produisent quelquefois des 
variétés individuelles blanchätres 
de cette espèce. Nous avons vu, 
au Musée de Berlin, une variété 
semblable provenant de la Sibé- 


suecica, n°. 70, aus Lappland, 
neuerdings von Temminck, Ma- 
nuel, III, p. 53, aufgeführt, 
scheint ebenfalls auf einem weiss- 
lichen Individuum des gemeinen 
Uhus zu beruhen. — Eine ähn- 
liche Erscheinung scheint beim 
nordamerikanischen Ubu , (Zd- 
wards, II, Tab.60,; Bubo vir- 
ginianus, Brisson, Orn., I, 
_p. 14l, n°. 2; Sirix virginiana, 
Gmel. Linn., p.287, n°. 13; 
Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix 
macrorhynchus, Temm., Pl. col. 
62), Statt zu finden, der im ho- 
hen Norden ebenfalls zuweilen 
in’s weissliche ausartet. Wir hal- 
ten daher, mit Ch. Bonaparte, 
List, p. 6, den Sérix (Bubo) 
arctica, Swainson in Fauna bor. 
amer., Birds, Pl. 30, p. 86; 
Heliaptex arcticus, Swainson , 
Nat. Hist. of Birds, II, p. 
217, für eme solche weissliche 
Varietät der Sirix virginiana. 


' (34) orus orus. Nach C4. 

Bonap. List, p. 7, ist die nord- 
amerikanische mittle Ohreule, 
Otus americanus, Ch. Bon.; 
Strix otus, Wilson, Pl.51, fig. 
1; Audubon, Pl. 383 , verschie- 
den von der unserigen. 


(35) oTus scops. Die in Afri- 
ka beobachteten, der gemeinen 
Zwergohreule ganz ähnlichen 
Vögel trennt Swainson, Birds 
oj West. Afr., I, p. 127, als 
eigene Art, unter dem Namen 


38 


rie, et nous croyons qu'il faut 
également regarder comme telle 
le Sérix scandiaca de Linne, 
tué en Lapponie; voir Fauna 
suecica, n°. 70 et Temm., Man., 
III, p.53. — Le plumage du 
grand duc del’ Amerique du nord, 
(Edwards, IT, Tob. 60; :Bubo 
virginianus, Brisson, Orn., I, 
p- 141, n°. 2; Sirix virginia- 
na, (mel. Linn., p. 287, no. 13; 
Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix 
macrorhynchus, Temm., Pl. col. 
62) , est également susceptible de 
subir, dans les régions boréales, 
un changement de couleur ana- 
logue à celui dont nous venons 
de parler. Nous sommes, par 
celte raison, portés à croire, avec 
Mr. Ch. Bonaparte, List, p.6, 
que la prétendue espèce décrite 
par Swainson, sous les noms de 
Strix (Bubo) arctica et d’He- 
liaptex arcticus, (voir Fauna 
dor. am., Birds, Pl. 30, p. 86, 
et Nat. Hist. of Birds, II, p. 
217) n’est tout bonnement qu'une 
variété blanchätre du grand duc 
de l'Amérique du nord. 


(34) orus orus. Ch. Bona- 
parte, List, p. 7, veut que le hi- 
bou moyen-duc de l'Amérique 
du nord diffère par l’espece du 
nôtre; c’est !’Ofus americanus, 
Ch. Bon.; Strix otus, Wilson, 
PI. 51, fig. 1; Audubon, Pl. 
383. 


(35) OTUS scops. Swainson, 
Birds of West. Afr., I, p.127, 
regarde le petit duc commun de 
l'Afrique comme formant une 
espèce diverse de celui d'Europe, 
il l'appelle Scops senegalensis. 


Scops senegalensis. Wir haben 
die von Swainson angegebenen 
Kennzeichen nicht standhaft ge- 
funden. 


(36) STRIX FLAMMEA. Dem 
gemeinen Schleierkautze mehr 
oder weniger ähnliche, oft nur 
durch eine etwas verschiedene 
Färbung des Gefieders abwei- 
chende Vögel, kommen fast in al- 
len Welttheilen vor; aber ihre 
Unterschiede sind bis jetzt noch 
nicht gehörig auseinandergesetzt 
worden. 


(37) STRIX NOCTUA MERI- 
DIONALIS, Diese Abart unseres 
gemeinen Steinkautzes vertritt die 
Stelle desselben in Spanien und 
Aegypten. Exemplare, welche in 
diesen beiden Gegenden erlegt 
wurden, weichen von unserem 
Steinkautze nur durch ihre viel 
biässere Grundfarbe, so wie durch 
den bräunlich weissen Anflug, wel- 
chen die hellen Flecke annehmen, 
und der besonders auf den grossen 
Schwungfedern in das Auge 
fällt, ab. Ferner scheinen die 
hellen Flecke auf der Brust eine 
mehr längliche Gestalt zu haben. 
Die verwaschenen Querbinden 
auf der inneren Fahne der gros- 
sen Schwungfedern sind etwas 
deuthcher, und die hellen Fiecke 
der Steuerfedern, besonders der 
mitteln, sind schmäler , und bil- 
den daher weniger vollkommene 
Querbinden. Endlich scheint auch 
diese Abart durchgängig ein we- 
nig kleiner zu seyn als unser 
Steinkautz, was wir aber nicht 
mit Gewissheit bestimmen kôn- 


39 


Nous n'avons pu retrouver, dans 
nos individus de l'Afrique, les ca- 
racteres qu'il assigne à cette pré- 
tendue espèce nouvelle. 


(36) STRIX FLAMMEA. Il exis- 
ie, dans presque toutes les par- 
ties du monde, des effraies plus 
ou moins voisines de notre ef- 
fraie d’Europe, dont elles ne se 
distinguent souvent que par des 
nuances un. peu modifiées des 
teintes; mais les traits distinctifs 
de ces espèces ou variétés n’ont 
pas encore été. établis jusqu’à 
présent d’une manière précise. 


(37) STRIX NOCTUA MERI- 
DIONALIS. Nous faisons connali- 
tre, sous ce nom , une variété de 
climat de la chevèche, observée 
en Espagne et en Egypte. Elle ne 
se distingue de la cheveche que 
par des teintes plus päles et en 
ce que les taches claires tirent 
sur le brunätre, principalement 
celles des pennes des ailes et de 
la queue. Les taches claires de 
la poitrine offrent en outre une for- 
me plus allongée que d'ordinaire; 
les bandes transversales de la bar- 
be interne des grandes rémiges 
sont plus prononcées et les ta- 
ches claires des pennes de la 
queue, notamment celles des pen- 
nes mitoyennes, sont plus étroi- 
tes et forment par conséquent 
des bandes transversales assez in- 
terrompues. Il paraît aussi que 
cette variété est constamment un 
peu plus petite que la chevé- 
che ordinaire; n’ayant cepen- 
dant examiné que deux indivi- 
dus de cetie variété, nous ne 
sommes pas à même de garan- 


40 


men, da wir nur zwei Exempla- 
re unbestimmten  Geschlechtes 
dieser südlichen Abart vor uns 


haben. 


Maasse eines Exemplares aus 
Spanien: 


Ganze Länge . . . .. . 9” 6” 
dix des Flügels 1 5" 91 
des ERNST EIN 38 
» les Ihauıfesiaur int. IBM 
» der Mittelzehe . . gu 


» 


des Nagels dersel- 


Henri Or aa 4 } azur 
» desSchnabels, vom 

Mundwimkel ... 91. 
Rüppell ,l. c. sagt, dass diese 


Abart in Aegypten sehr häufig 
ist, und auf Dattelbäumen lebt. 
Biellkicht gehört auch hierher 
die vom Grafen von der Mühle 
unter dem Namen Surnia noc- 
tua, var., I. c. p. 24 bis 26 be- 
schriebene Abart des Steinkautzes. 
STRIX MERIDIONALIS, 1550, 
Hist. nat. de l'Eur. mer. vol. 
JII, p. 32, n°. 32, aus der Ge- 
gend von Nizza, ist eine andere 
Art, von der man aber, der un- 
vollständigen Beschreibung we- 
gen, gar nicht einmal sagen 
kann, ob sie wirklich neu ist, 

oder mit irgend einer der schon 
bekannten Arten zusammenfällt. 


(35) STRIX NEBULOSA. For- 
ster, Phil. Trans., LXIT, p. 
386 und 424; Wilson, Pl. 
AXAIIT, Fig. 2, ist mit Ge- 
wissheit Bis jetzt nur in Nord- 


tir l’exactitude de cette dernière 
observation. 


Voici les mesures d’un Re: 
du tué en Espagne: 
® e gr 6, 


Longueur totale . . . 
de l'aile. . . . 5’ gu, 


> 
» de la queue . 3” 
" du tarse . . . 1730, 
» du doigt de 
miles Hernies DR 
» de l’ongle de ce 
doigt Wi. RN, 


du bec 7970 


» gi, 
Rüppell, 1. c., dit que cette 
cheveche est tres-commune en 
Égypte. où elle fréquente les dat- 
tiers. Nous présumons qu’il con- 
vient de ranger ici la variété indi- 
quée par Mr. von der Mühle, 
comme habitant la Grèce; Surnia 
noclua, var. , voir pag. 24 à 26 de 
son ouvrage. La chouette intro- 
duite par Res Hist. de l'Eu- 
rope mer., vol. IT, p. 32, n°. 
32, sous le nom de STRIX ME- 
RIDIONALIS, est une espèce dif- 
férente de notre chevêche méri- 
dionale; mais la description don- 
née par Risso étant assez super- 
ficielle et incomplète, il est im- 
possible de fixer avec certitude 
à laquelle des chouettes connues 
il convient de rapporter cette 
prétendue espèce nouvelle. 


(38) STRIX NEBULOSA. For- 
ster, Phil. Trans., LXIT, 
386 er 424; Wilson, PIXXXIITZ, 
RE 2, espèce qui habite I!’ Ame- 
rique du nord, a été indiquée 


‚amerika gefunden worden. Die 
Angaben, dass sie auch in Skan- 
dinavien vorkommt, beruhen auf 
älteren , unsicheren Nachrichten. 
Auch hat sie nie ein Naturfor- 
scher im Norden Europa’s beo- 
bachtet. 


(39) HIRUNDO RUSTICA ORI- 
ENTALIS. Diese Schwalbe scheint 
sich von unserer gemeinen Rauch- 
schwalbe nur dadurch zu un- 
terscheiden, dass ihre Untertheile 
von der Brust abwärts, mit Ein- 
schluss der untern Schwanzdeck- 
federn, statt weisslich mit bräun- 
lichem Anfluge, einfärbig matt 
kastanienbraun sind. Die im Ma- 
nuel d’Ornithologie beschriebe- 
nen Exemplare, stammen, nach 
Boissonneau’s eigenen späleren 
Berichten aus Macedonien, und 
nicht aus Spanien, wo diese 
Schwalbe bis jetzt noch nicht 
beobachtet wurde. Herundo ja- 
vanica, Sparm., Pl col. 83,2, 
(Hirondelle orientale) ist eine 
unserer Hausschwalbe in der Fär- 
bung ähnliche, aber verschie- 
dene, viel kleinere Art. 

Graf von der Mühle, p. 80, 
hat die östliche Rauchschwalbe 
nie ın Griechenland beobachtet. 


(40) HIRUNDO RuruLa. Man 
hat mit Unrecht diese Art für 
einerleı mit Hirundo capensis , 
Linn. Gmel., p. 1019, n°. 19; 
Pl. enl. 723, 2; Levaill. Afr., 
245, 1, gehalten, von der sie 
sich durch einen schwächeren 
Schnabel, schwächere Füsse, den 


Al 


comme se trouvant également en 
Scandinavie; mais comme elle 
n'y a pas été observée par au- 
cun des naturalistes du nord, 
nous n’hesitons pas de la rayer 
du catalogue des oiseaux d’Eu- 
rope. 


(39) HIRUNDO RUSTICA ORI- 
ENTALIS. [l parait que cette hi- 
rondelle ne se distingue de l’hi- 
rondelle de cheminée ordinaire 
que par la couleur chätaine-pä- 
le dont le dessous du corps, de- 
puis la poitrine jusqu'aux cou- 
vertures inférieures de la queue, 
est orné. Les individus décrits 
dans le Manuel d’Ornithologie 
sont, suivant les indications ré- 
centes de Mr. Boissonneau mé- 
me, originaires de la Macédoine 
et non pas de l'Espagne, où cet- 
te hirondelle n’a pas encore été 
observée jusqu’à présent. Hirundo 
javanica, Pl. col. 83, 2, (Hi- 
rondelle orientale) est une espe- 
ce des Indes, qui ressemble à 
celle d'Europe par la distribu- 
tion générale des teintes, mais 
qui s’en éloigne par sa petite tail- 
le, ainsi que par d’autres carac- 
tères. 

Le comte von der Mühle , p. 80, 
dit n'avoir jamais rencontré en 
Grèce l’hirondelle de cheminée 
orientale. 


(40) HIRUNDO RUFULA. C’est 
à tort que l’on a identifié cette 
espèce avec celle du Cap, Hr- 
rundo capensis, Linn. Gmel., 
p. 1019, n°. 19; Pl. enl. 723,2; 
Le Vaill., Afr., 245, 1. Elle 
s’en distingue par un bec moins 
robuste, par des pieds plus fai- 


% 


:Mangel einer weissen Schwanz- 
“bmde, durch zärtere Schaft- 
striche' auf den Federn der Un- 
tertheile und den blass röthlich- 
braunen Anflug dieser Theile un- 
terscheidet. Hrrundo alpestris, 
Pallas, It., II, app. n°. 9; 
Zoogr. II, p. 534, Tab. XXX, 
fig. 2; Hir. dauurica, Linn. 
-Gmel., p. 1024, n°. 12, vom 
-Altai und Dauurien, würden wir 
‘benfalls hierher gezogen haben, 
wenn nicht Pallas in seiner Be- 
schreibung gesagt hätte, dass die 
äusserste Schwanzfeder gewöhn- 
lich mit einem weissen länglichen 
Fleck versehen ist. Was Gould, 
Birds of Europe, Pl.55, als Hi- 
rundorufula abbildet,ist einesehr 
verschiedene, jedermann bekann- 
te Art von Westafrika nämlich: 
Hir.senegalensis, Brisson, Orn. 


II,p.496 , n° 5, Tab. 45, fig. 1 ; 


Pl. ent. 310; Swainson, Birds of 


West. Afr., IT, Pl.6,p. 72. Sie 
ist viel grösser als Air. capensis 
und Aer. rufula , hat zwar einen 
schwarzen Schwanz wie letz- 
tere Art, weicht aber von beiden 
durch ihre einfärbigen, unge- 
fleckten Untertheile ab. In Java 
lebt eine, der Hier. capensis und 
rufula verwandte Art, Hirundo 
striolata, Temm. Mus. Leid. , 
deren Füsse und Schnabel noch 
kräftiger, die Schafifiecke der Un- 
tertheile noch grösser sind, als bei 
Hir. capensis, deren Schwanz 
aber einfärbig schwärzlich ist, 
wie bei Zir. rufula. 


42 


bles, par l’absence de la ban- 
de blanche sur la queue, par 
des raies longitudinales plus étroi- 
tes sur les plumes des parties in- 
férieures, et par la teinte d’un 
brun-rougeätre pâle qui orne ces 
parties. Nous n’aurions .pas hé- 
sité de rapporter à notre Hiron- 
delle rousse le Hirundo alpes- 
tris de Pallas , voy., IT, app., 
n°.9; Zoogr., 1, p.534, Pl.30, 
fig. 2; ou Hirundo daaurica, 
Linn. Gmel., p. 1024, no. 12, 
originaire de l’Altai et de la 
Daourie, sı Pallas n’avait fait 
mention, dans sa description , 
que la penne externe de la 
queue est ordinairement pourvue 
d’une tache allongée blanchätre. 
L’hirondelle figurée par Gould, 
Birds of Europe, PI 55, sous 
le nom de Hirundo rufula, ap- 
partient à une espèce toute diffé- 
rente et connue de tout le monde: 
c’est Hir. senegalensis, Brisson, 
Orn., II, p. 496, n°.5, PI. 45, 
fig. 1; Pl. ent. 310; Swainson, 
Birds of West Africa, II, Pl. 
6, p. 72. Elle habite le Senegal 
et elle est d’une taille beaucoup 
plus forte que les Hir. capensis 
et rufula, dont elle se distingue 
par la couleur uniforme de ses 
parties inférieures. Sa queue est 
d’un noir uniforme, sans ta- 
ches blanches. L’ile de Java 
produit une espece voisine des 
Hir. capensis et rufula, mais 
à pieds et à bec plus robustes et 
à taches longitudinales plus lar- 
ges que dans l’hirondelle du Cap; 
du reste sa queue est d’un noir- 
âtre uniforme comme dans l’'Hi- 
rundo rufula; c'est l'Hirundo 
striolata, Temm., Mus. de Leide. 


. (41) CAPRIMULGUS CLIMA- 
CURUS, Vieillot , ist bloss nach 
folgender Angabe von Aoux , 
Orn. prov. I, p. 239 unter die 
europäischen V ögelaufgenommen 
worden: 


43 


(41) CAPRIMULGUS CLIMACU- 
Rus. Vieillot. L'introduction de 
cette espèce africaine parmi les 
oiseaux d'Europe repose sur un 
passage de Roux, Orn. prov., I, 
p. 239, note. Get auteur en parle 
dans les termes suivans: 


» Elle parait avoir été accidentellement vue en Provence; je tiens 
» ce témoignage d’une personne digne de foi; mais n'ayant point eu 
» moi-même sous les yeux celte espèce, je n’ai point osé me per- 
» mettre de la décrire parmi les oiseaux dont je fais l’histoire.” 


Eine solche Angabe ist doch 
wohl unzureichend, dieser Art 
das Bürgerrecht als europäischen 
Vogel zu verschaffen. 


(42) Pallas, Zoogr., IT, p. 
401, n°. 55, beschreibt unter 
dem Namen LANIUS MAJOR, e1- 
nen Würger aus dem nördli- 
chen Russland und Sibirien, den 
er für standhaft verschieden von 
L. excubitor und minor (L. 
vigil., Pallas, l. c. p. 403, no. 
57) hält, und den auch Keyser- 
ling und Blasius, Wirbelthiere, 
p- LX,n°.249, ohne den Vogel 
selbst gesehen zu haben, als eigene 
Art annehmen. Wir ahmen dieses 
Beispiel aus folgenden Gründen 
nicht nach: 1) weil die Maasse, 
welche Pallas angiebt, durchaus 
mit denen des Zanius excubilor 
übereinstimmen, 2) weil Pallas 
zu seinem Zanius major die Pie- 
grieche, Buflon, Pl. enl. 445 
eitirt, welche Abbildung unseren 
L. excubitor vorstellt, 3) weil 
die Beschreibung des Lanius 
major durchaus auf das Weib- 
chen oder den jüngern Vogel des 
L. excubitor passt, 4) weil Pal- 
las das Weibchen und die jungen 
Vögel des Zan. excubitor nicht 


Cette indication nous a paru 
insuflisante pour admettre cette 
espèce dans le catalogue des oi- 
seaux d'Europe. 


(42) Pallas, Zoogr., I, p, 
401, n°. 55 a décrit sous le nom 
de LANIUS MAJOR une pie-grie- 
che de la Sıbenie et de la Russie 
septentrionale, qu'il dit différer 
des Zanius excubilor et minor, 
(L. vigil, Pallas, I. c., p. 403, 
n°. 57). Keyserling et Blasius, 
Wirbelthiere, p. LX, no. 249, 
adoptent cette espèce sans l’avoir 
vue. Nous nous abstenons de 
suivre cet exemple par les raisons 
suivantes: 1) parce que les di- 
mensions assignées par Pallas à 
son Lanius major sont absolu- 
ment les mêmes que celles du 
Lanius excubitor, 2) parce que 
Pallas cite, comme appartenant 
à sa nouvelle espèce, la Pl. ent. 
445 de Buffon, figure qui re- 
présente notre pie-grièche com- 
mune, 3) parce que la description 
du Lanius major se rapporte en 
tout point à la femelle ou au jeu- 
nes de la pie-grièche commune, 
4) parce que Pallas, ne donnant 
de description n1 de la femelle ni 
des jeunes de l'espèce commune, 


44 


gekannt zu haben scheint und 
. daher nicht beschreibt, 5) weil 
kein späterer Heisender dieser 
Art wieder erwähnt. — Sollte 
aber Z. major wirklich eine 
eigene Art bilden, so müsste er 
auf’s Neue mit Zanius excubritor, 
meridionalis und den nordame- 
rikanischen Arten, besonders mit 
Lantus borealis verglichen, und 
die Unterscheidungsmerkmale des- 
selben gründlich auseinanderge- 
setzt werden. 


(43) LANIUS RUFUS. Diese Art 
scheint sich , ausser Europa, auch 
im grössten Theile von Afrika zu 
finden , oder auf ihrem Zuge über 
diesen Welttheil zu verbreiten. 
Rüppell, Neues Wirbelthiere , 
Vögel, p. 33, fand sie häufig in 
dem steinigen Arabien, in ganz 
Egypten, in Nubien, Kordofan 
und Abyssinien. Buffon, Pl. enl. 
477, 2, bildete unter dem Namen 
Pie-grieche rousse du Senegal 
einen ganz ähnlichen Würger 
von Senegambien ab. Die Pie- 
grièche rousse des Levaillant, 
Oiseaux d'Afrique, IT, Pl.63, 
vom Cap, scheint ebenfalls unse- 
rem rothkôpfigen Würger durch- 
aus ähulich zu seyn. Swainson, 
Birds of Western Africa, I, p. 
231, untersuchte zwei Individuen 
dieser Art vom Senegal, und fand 
sie den europäischen durchaus 
ähnlich; er zieht auch ZLevarl- 
lant’s Pie-grieche roussehierher. 
Wir erhielten vier Individuen der- 
selben in verschiedenen Kleidern 
vom Senegal. Alle plastischen 
Verhältnisse sind ganz wie bei 
den europäischen. Die am rein- 


paraît avoir ignoré les différences 
des teintes qu’ils présentent com- 
parés avec les adultes; 5) parce 
que tous les voyageurs postérieurs 
à Pallas se taisent sur cette espe- 
ce. — Dans le cas que son exis- 
tence serait prouvée d’une manie- 
re indubitable , il serait, en l’eta- 
blissant , nécessaire de la com- 
parer derechef aux Lanius ex- 
cubitor et meridionalis, ainsi 
qu’aux espèces voisines de l’Amé- 
rique du nord, notamment au 
Lanius borealis. 


(43) LANIUS RUFUS. Il pa- 
rait que cette espèce européenne 
habite également une grande par- 
tie de l'Afrique, ou qu’elle visite 
cette partie du monde lors de ses 
migrations. Rüppell, Neue Wir- 
belthiere, Oiseaux, p. 33, l'a 
rencontrée en grand nombre dans 
l'Arabie Pétrée, par toute !’Egyp- 
te, en Nubie, au Kordofan et 
en Abyssinie. Buffon, Pl. enl. 
477,2, a figuré sous le nom de 
Pie-grieche rousse du Senegal, 
une pie-grieche tout-à-fait sem- 
blable provenant de la Senegam- 
bie. La pie-grieche rousse du 
Cap de Levaillant , Ois. d’Afr., 
Il, Pl. 63, ne parait pas diffe- 
rer non plus de celle d'Europe. 
Swainson, Birds of Western 
Africa, I, p. 231, en décrit 
deux individus originaires du Sé- 
négal, qu'il croit identiques avec 
ceux d'Europe, ainsi qu'avec la 
pie-grièche rousse du Cap, figu- 
rée par Levaillant. Notre Mu- 
sée possède quatre individus de 
différens âges de cette pie-grie- 
che, tous originaires de la Sé- 
négambie. Ils offrent absolument 


sten Ausgefärbten unterscheiden 
sich nur durch etwas blässere 
Farben, und durch die hellen 
Ränder, mit welchen die Flü- 
geldeckfedern und Schwungie- 
dern zweiter Ordnung einge- 
säumt sind; weshalb sie den aus- 
gefärbten Weibchen unseres 
rothköpfigen Würgers sehr ähn- 
lich sind. Die Exemplare ım 
Übergange vom lugendkleide zum 
ausgefärbten Kleide sind noch 
blässer von Farbe, die Ränder 
der Flügelfedern sind sehr breit, 
und der Kopf ist ganz roth; je- 
doch fängt die weisse Farbe der 
Vorderstirne und die schwarze 
Stirnbinde an, sich hie und da 
zu zeigen. — (rmelin zieht den 
rothköpfigen Würger vom Sene- 
gal, den er auf Buffon’s Abbil- 
dung gründet, als Varietät zu 
Lanius collurio, den er nicht 
von Zanius rufus unterscheidet: 
siehe @mel. Linn., I, p. 301, 
n°. 12; Lanius collurio var. à, 
senegalensis. Latham führt ıhn 
als Varietät seines Lanius ruti- 
lus auf, der unser Lanius rufus 
ist: sehe Ind. orn., I, p. 71, 
sp. 12. Herr Temminck, Man., 
III, p, 601, trennt ihn vom euro- 
päischen unter dem Namen La- 
nius rutilans. Lichtenstein, Ca- 
talog, 1823, p. 47, n°. 509, 
beschreibt ein Exemplar im Uber- 
gangskleide unter dem Namen 
Lanius superciliosus. Lanius 
superciliosus Lath., Ind. orn., 
Suppl , p. ÄX, ist jedoch auf 
Levaillants Rousseau, Ois. 
d'Afr, Pl. 66, fig. 2, ge- 
gründet, der Java bewohnt, und 
eine eigene Art bildet. Obschon 
dies Herr Lichtenstein wusste, 


45 


la même organisation et les mé- 
mes dimensions que ceux d’Euro- 
pe. Les individus en livree par- 
faite se distinguent cependant de 
ceux-ci par des teintes un peu plus 
pales et par les bordures claires 
dont les couvertures des ailes et 
les rémiges secondaires sont pour- 
vues; ce qui fait qu'ils se rap- 
prochent des femelles en livrée 
parfaite de notre pie-grièche 
rousse d'Europe. Les individus 
portant la livrée de passage of- 
frent des teintes beaucoup plus 
pales, les bords des plumes des 
ailes sont beaucoup plus larges, 
et la tête est partout d’un roux 
uniforme, quoiqu'on apercoive 
les traces des teintes blanches et 
noires qui ornent le front des adul- 
tes. Gmelin regarde la pie-grie- 
che rousse du Sénégal figurée 
par Buffon, comme variété de 
son Lanius collurio, qu'il ne 
sépare pas du Lanius rufus ; 
voir Syst. nat., I, p. 301, no. 
12: Lanius collurio var. Ô se- 
negalensis. Latham en fait une 
variété de son Lanius rutilus, ' 
qui est notre Zanius rufus : voir 
Index ornith., 1, p. 71, esp. 12. 
Mr. Temminck, Manuel, UT, p. 
601, sépare cette pie-grieche 
du Sénégal de celle d'Europe, et 
lui donne le nom de Zanius ru- 
tilans.Lichtenstein, Catal., 1893, 
p. 47, n°. 509, décrit un indi- 
vidu de la race du Sénégal sous 
le nom de Lanius superciliosus, 
Latham. Ge Lanius supercilio- 
sus, Latham, Ind. Orn. Suppl., 
p. XX, repose cependant sur le 
Rousssau de Levaillant, Ois. 
d’Afr., Pl. 66, fig. 2, espèce 
toute differente, de l’ile de Java. 


citirt er dennoch Buffon’s Pze- 
_grièche rousse du Senegal, Pl. 
enl. 477, 2, zu Lan. superci- 
liosus. Um fernere Missbräuche 
zu vermeiden, wollen wir noch 
darauf aufmerksam machen, dass 
Swainson , Nat. Hist. of Birds, 
II, p. 219, als Lanius super- 
eiliosus , wieder eine andere Art, 
welche Gould, Cent. Him.Birds,, 
Pl. 12, fig. 2, unter dem Na- 
men Lanius erythronotus abge- 
bildet hatte, aufführt; dass 
Swainson, ibid. p. 221, einen 
Tephrodornis superciliosus, und 
Birds of Western Afrika, I, p. 
239, einen Malaconotus super- 
ciliosus beschreibt, und dass 
Vieillot , Diet. Deterv., vol. 26, 
p. 153, aus Levaillant’s Pie- 

rieche sourcil. roux ,  Ois. 
d’Afr., Pl. 76, seinen Lanius 
superciliaris macht; obgleich 
diese Arten alle, streng genom- 
men, in die Familie der Würger, 
oder in die Gattung Lanius im 
weiterem Sinne gehören. — Man 
übersehe auch nicht , dass Zanius 
rufus, Gmelin, auf Lan. mada- 
gascariensis rufus, Brisson, 
II, p. 178, T. 18, fig. 4, und 
Buffon's Pie-grieche rousse de 
Madagascar, Pl. enl. 298, fig. 
2, gegründet, wiederum ein ganz 
anderer Vogel ist, welchen Herr 
Temminck, Pl. col., Tab. méth., 
p. 19, Lanius madagascariensis 
nennt. 


(44) LANIUS PERSONATUS. 
Exemplare aus Griechenland im 
Mainzer und Niederländischen Mu- 


46 


Tout en s’apercevant de cette dif- 
ference, Mr. Lichtenstein ajoute. 
cependant aux synonymes de ce 
Lanius superciliosus la figure 
PI, 477,2, de Buffon, laquelle re- 
présente la pie-grièche rousse 
du Senegal. À cette liste d'erreurs 
se joignent celles que l’on a com- 
mises en appliquant cette &pithe- 
te de sourcilleux à plusieurs 
espèces de pie-griechestres-diffe- 
rentes les unes des autres. Swain- 
son, Nat. Hist. of Birds, U, 
p. 219, nomme Lanius super- 
ciliosus une espèce figurée par 
Gould, Cent. Himal. Birds, Pl. 
12, fıg. 2, sous le nom de ZLa- 
nius erythronotus ; ce même au- 
teur , ibid., p. 221, décrit une au- 
tre pie-grièche sous le nom de Ze- 
phrodornis superetliosus, et dans 
ses Birds of Western Afrika, L, 
p.239, encore une autre espèce 
de ce genre sous le. nom de Ma- 
laconotus superciliosus ; Vieillot 
enfin, Diet. Deterv., vol. 26, 
p. 153, forme de la Pie-grieche 
sourcil-roux de Levaillant , Ois. 
d’Afr., Pl. 76, son Lanius su- 
perciliarıs — Notez encore que. 
le Zanius rufus, Gmelin , basé 
sur le Zanius madagascariensis 
rufus de Brisson, IL, p. 178, 
PL. 18, fig. 4, et sur la pie-grie- 
che rousse de Madagascar. de 
Buffon, Pl. ent. 298, 2, est une 
espèce toute différente de notre 
pie-grièche rousse d'Europe; Mr. 
Temminck l'a nommée ZLanius 
madagascariensis ; voir Pl. col, 


Tabl. méth., p. 19. 


(44) LANIUS PERSONATUS, 
Le Musée de Mayence et celui 
des Pays-Bas possédent des indi- 


seum. Es ist dies Lan. leucome- 
topon, von der Mühle, p. 78. 


(45) LANIUS TCHAGRA. Die 
Exemplare von Spanien ähneln 
denen vom Vorgebirge der guten 
Hoffnung in allen Stücken. Da- 
gegen sind die vom Senegal 
durchgehends lichter gefärbt, 
und, wie es scheint, auch ein 
wenig kleiner: diese Lokalrasse 
ist abgebildet bei Buffon, Pl. 
enl. 479, fig. 1, unter dem Na- 
men Pie-grieche rousse du Se- 
negal. 

Es findet hier also die nämliche 
Erscheinung wie bei Viverra ge- 
netta statt, die am Gap und im 
südwestlichen Europa durchaus 
dieselbe ist, während eine Varie- 
tät oder Localrasse, Viverra se- 
negalensis, ihre Stelle in Sene- 
gambien vertritt. Shaw, l. c., 
hat beide Localrassen obigen Vo- 
gels unter dem Namen Lanius 
erythropterus vereinigt. Swain- 
son, Birds of Western Africa, 
I, p.235, trennt, nach dem Bei- 
spiele Shaw’s, diese beiden Rassen 
nicht. Vierllof, Dictionnaire De- 
terville, vol. III, p. 317, ver- 
einigt sie ebenfalls, unter dem 
Namen Tamnophilus ichagra. 
Boie, L. c., bringt den Tchagra 
in.eine eigne Gattung, die er Po- 
matorhynchus nennt, aber fälsch- 
lich Herrn Horsjfield zuschreibt , 
der die Gattung Pomatorhinus 
nach einem drosselartigen Vogel 
von Java aufstellte, und densel- 
ben Pomat. montanus nannte. 
Lichtenstein, Catalog., p. 49, 
n°. 519, zieht zum Tchagra des 
Levaillant, Lanius senegalus, 


47 


vidus de cette espèce, tués en 
Grece. C’est le Lanius leucome- 
topon, von der Mühle, p. 78. 


(45) LANIUS TCHAGRA. Les 
individus de cette espèce, tues.en 
Espagne, sont en tout point sem- 


‘blables à ceux du Cap de B. 


Espérance. Ceux du Sénégal au 
contraire offrent des teintes plus 
pâles, et il parait également 
qu'ils sont d’une taille un peu 
moins forte: cette race locale est 
figurée par Buffon dans les Pl. 
ent. 479, fig. 1, sous le nom de 
Pie-grièche rousse du Sénégal. 

La Genette, Viverra genetta, 
offre un phénomène analogue: 
les individus de l'Espagne et de 
la France méridionale présentent 
absolument les mêmes teintes que 
ceux du Cap de B. Espérance, 
tandis que ceux du Sénégal, 
Viverra senegalensis, Fr. Cuv., 
ne sen distinguent que par des 
teintes plus pales. Shaw, L. ce. 
a réuni les deux races de la pie- 
grieche dont nous traitons, sous 
le nom de Lanius erythropte- 
rus; et Swainson, Birds of 
West. Afr., I, p. 235, imite 
Shaw en ce point. Vieillot, 
Diet. Deterv., vol. IT, p. 317, 
les réunit également, mais en leur 
conférant le nom de Tamnophi- 
lus tchagra. Bote, l.c., forme 
du Tchagra un genre particulier 
qu'il nomme Pomatorhynchus ; 
mais ıl commet une erreur insi- 
gne, en attribuant l'invention de 
ce nom à Mr. Horsfield, le 
genre Pomatorhinus de ce sa- 
vant étant établi en faveur d’un 
oiseau tout différent de la famille 
des Turdoïdes, savoir le Po- 


Linne. Diese kleinere und ver- 
‚schiedene Art aber ist, Sysé. nat. 
XII, p. 137, no: 21, auf Bris- 
sons Lanius senegalensis ci- 
nereus, (Aves Il, p.167, Tab. 
17, fig. 1), gegründet, zu wel- 
cher Gmelin Linné, XIII, I, 
p. 304, n°. 21, Bufon’s Pie- 
grièche grise du Sénégal, Pl. 
enl. 297, fig. 1 zieht. Herr 
Gould hat den Namen Lanius 
erythropterus auf eine von allen 
den erwähnten sehr verschiedene 
Art vom Himalajagebirge ange- 
wendet: siehe Century Himal. 
Birds, Tab. 11. Rüppel, N. Wir- 
belthiere, Vögel, p. 32, hält die 
von Buffon, 479, 1, abgebilde- 
te Pie-grieche rousse du Séné- 
gal für den wahren Lanius ery- 
ihropterus, zieht aber als Sy- 
nonym fälschlich L. senegalen- 
sis, Lin. Gmel., dazu, weil er 
glaubt, dass die Pie-grieche gri- 
se du Sénégal, Pl. enl. 297, 
fig. 1, ebenfalls als eine verfehlte 
Abbildung des Z. erythropterus 
zu betrachten sey. Endlich führt 
Herr Rüppell den Tchagra des 
Levaillant als eine sehr verschie- 
dene Artan; was daher kommt, 
weil er unter dem Namen Tcha- 
gra eine ganz andre Art, allem 
Anscheine nach, den Telopho- 
nus longirosiris, Swainson , 
Nat. Hist.of Birds, Il, p.219, 
fig. 200, g, beschreibt. — Ubri- 
gens sagt Rüppell von L. ery- 
thropterus. »Ich beobachtete 
»zwei durch climatischen Ein- 
» fluss veranlasste Varietäten; bei 
» dem in Kordofan und im Sen- 
»naar lebenden Vogel ıst Nac- 
» ken und Rückenmitte isabell- 
» farbig, und die ganze untere 


mathorinus montanus qui habite 
l’île de Java. Lichtenstein, Ca- 
tal., p. 49, n°. 519, réunit au 
Tchagra de Levaillant, le Zanius 
senegalus de Linné, Syst. nat., 
XII edit., p. 137, n°. 21; mais 
cette espèce, différente et de taille 
moindre, repose sur le Lanius 
senegalensis de Brisson, Ois ‚ll, 
p. 167, PL 17, fig. 1, que Gme- 
lin, Syst. nat., XIII, 1, p. 304, 
n°. 21, réunit a la Pie-grieche 
rousse de Buflon, Pl. ent. 297, 
1. Gould,Cent. Himal., Birds, Pl. 
11, a conféré l’epithete d’ery- 
ihropterus à une pie-grieche des 
Indes, tres-diflerente de toutes 
celles dont nous venons de par- 
ler. Rüppell, Neue Wirbelthiere, 
Ois., p. 32, prend la pie-grie- 
che rousse du Sénégal, figurée 
Pl. enl. 479, 1, pour le vérita- 
ble Lanius erythropterus ; mais 
dans la supposition erronnée que 
la pie-grieche grise du Senegal 
de upon, Pl. enl. 297, fig. 1, 
appartient également au Lanius 
erylhropterus, il y réunit mal à 
propos le ZLanius senegalensis 
de Gmelin, qui repose sur cette 
figure de Buffon. Mr. Rüppell 
enfin parle du Tehagra de 
Levaillant comme d’une espèce 
tres-differente du Zanius ery- 
thropterus, parce qu'il prend 
pour le Tchagra, à ce qu'il pa- 
rait, une toute autre espèce, 
savoir le Telophophonus lon- 
girostris de Swainson, Nat. 
Hist. of Birds, Il, p. 219, 
fig. 200, g. Mr. Rüppel dit 
du Lanius erythropterus: » J'en 
»ai observé deux variétés , 
» produites par l'influence du 
» climat; dans celle qui habite 


» Körperseite beinahe milchweiss, 
»auch sind die Füsse hellbraun; 
» diejenigen, welche an der abys- 
»sinischen Küste vorkommen , 
»haben den Nacken, die Seiten 
»des Halses und die Rücken- 
»mitte grünbraun, Brust und 
»Bauch blaugrau, und die Füsse 
» dunkelbraun ; sonst sind beide 
» Spielarten durch Statur, Schna- 
»belform und übrige Färbung 
„identisch. Zu bemerken ist, dass 
»zuweilen bei beiden der Unter- 
» schnabel gelblich ist.” Nach die- 
sen Beschreibungen zu urtheilen , 
scheint die Varietät vom Sen- 
naar und Kordofan mit der vom 
Senegal, (Zan. erythropterus) , 
die von der abyssinischen Küste 
mit der von Europa und dem 
Cap, Lan. tchagra, übereinzu- 
stimme. 


Risso, Hist. nat. de l'Eur. 
mer., III, p.33, n°.38, führt 
unter dem Namen LANIUS CAS- 
TANEUS, @mel., Chesnut-backed 
Shrike, Lath., Syn., I, I, p. 
159, n°. 3, einen Würger an, 
der sich das ganze Jahr hin- 
durch in der Gegend von Nizza 
aufhalten, und dort ziemlich ge- 
mein seyn soll. Es scheint fast, 
als ob hiermit unser Zantius 
ichagra gemeint sey. Risso’s Be- 
schreibungen sind aber zu un- 
vollständig, um sich mit Gewiss- 
heit aussprechen zu können. 

2. 


49 


»le Sennaar et le Kordofan, la 
» nuque et le milieu du dos sont 
» couleur isabelle, les parties in- 
» férieures du corps sont à peu 
» pres blanc de lait, et les pieds 
» sont d’un brun clair; dans la 
» variété qui habite les côtes de 
»l’Abyssinie, la nuque, les co- 
» tés du cou et le milieu’ du dos 
» sont d’un brun verdätre; la poi- 
» trine et le ventre sont d’un gris 
» bleuätre et les pieds d’un brun 
» foncé; du reste, ces deux va- 
»riétés sont absolument sembla- 
»bles par rapport à leur tail- 
»le, la forme du bec et la dis- 
» tribution générale des teintes. 
»Il est bon d’observer que la 
» mandibule inférieure de ces 
» deux variétés est quelquefois 
» teinte de jaunâtre.” A juger de 
ces descriptions, il parait que la 
variété du Sennaar et du Kor- 
dofan est identique avec celle du 
Sénégal, (Zanius erythropterus) 
et que celle de la côte de l’Abys- 
sinie ne diffère pas du Zanius 
tchagra , tel qu'il a été observé 
en Espagne et au Cap de Bonne 
Espérance. 

Risso, Hist. nat. de l'Eur. 
mer., III, p. 33, n°. 38, de- 
crit, sous le nom LANIUS CASTA- 
NEUS, (Grmel., Chesnut-backed 
Shrike, Lath., Syn., I, I, p. 159, 
n°. 3, une pie-grieche, qui se 
trouve, pendant toute l’année et 


| en abondance dans les environs 


de Nice. Il se peut que Risso ait 
eu sous les yeux le Zanzus tcha- 
gra, mais ses descriptions étant 
assez superficielles, il est impos- 
sible d'émettre une opinion quel- 
conque sur cet oiseau de la Fran- 
ce méridionale. 


4 


(46) muscicapa Parva. Exem- 
plare dieser Art, aus Vorder In- 
dien, im Pariser und Niederlän- 
dischen Museum. Wie wenig die- 
se Art noch in Frankreich und 
England bekannt zu seyn scheint, 
beweisst dass sie Swainson, 1. ce. 
im Jahre 1838, nach einem Exem- 
plare im Pariser Museum, als ei- 
nen höchst merk würdigen, neuen, 
eine eigene Gattung bildenden Vo- 
gel beschrieb. 


Schinz, Europäische Fauna, 
I, p. 156, führt die nordameri- 
kanische muSCICAPA (SETOPHA- 
GA) RUTICILLA, nach einer An- 
gabe in den Proceed. Zool. Soc. , 
1834, p. 30, als europäisch auf. 
In dieser Schrift wird aber nicht 
die Muse. rutieilla , sondern die 
Phoenicura ruticilla, die nichts 
als unser Gartenrothschwänzchen 
ist, genannt, und von Thompson 
zuerst als irländischer Vogel auf- 
geführt. 


50 


(46) muscıcapa parva. Les 
Musées de Paris et des Pays-Bas 
possedent des individus de cette 
espèce, recueillis au Decan. Al 
paraît qu’elle est encore peu con- 
nue en France et en Angleterre, 
Mr. Swainson, L. c., l'ayant in- 
troduite dans le système, en 1838, 
d’après un individu conservé au 
Musée de Paris, comme espèce 
absolument inconnue et assez re- 
marquable pour servir de type 
à un genre nouveau. | 

Schinz, Europ. Fauna, I, pe 
156, introduit, comme espèce eu- 
ropéenne, la MUSCICAPA (SETO- 
PHAGA) RUTICILLA de l’Ameri- 


que du nord, d’après une indi- 


(47) Risso, Hist. nat. del Eur. 


mér., III, p. 42, n°. 85 führt 
unter dem Namen CURRUCA 
TORQUATA, /auvelle a collier, 
eine bei Nizza beobachtete Grass- 
mücke auf, die aber nach der 
sehr unvollständigen Beschrei- 
bung gar nicht zu bestimmen 
ist. 


Derselbe Schriftsteller /. c., p. 
43, n°. 43, erwähnt auch einer 
Fauvette a cils rouges, SYLVIA 
RUBRICILLA, Risso, die eben so 
wenig als die Vorhergehende zu 


cation contenue dans les Pro- 
ceedings, 1834, p. 30. Cette in- 
dication cependant a été mal in- 
terprétée par Mr. Schinz; car 
Mr. Thompson, qui en est l’au- 
teur, y constate simplement que 
la Phoenicura ruticilla, qui est 
tout bonnement le rouge-queue 
des murailles, Zusciola phoeni- 
curus, à été observé par lui pour 
la première fois en Irlande. 


(47) Risso, Hist. nat. de 
U Eur. mer., III, p. 42, no, 85, 
décrit sous le nom de fauvette 
a collier, CURRUCA TORQUATA, 
une fauveite observée par lui dans 
les environs de Nice; mais il est 
impossible de se former une idée 
précise de cette espèce, vu la 
description incomplète que Mr. 
Risso en a donnée. ir 

Il en est de même de la Fau- 
vette à cils rouges, (SYLVIA RU- 
BRICILLA , Risso) , décrite par le 
même écrivain, 2.c., 9.43, no. 


43. Schinz, Il. c., p. 187, en 


bestimmen ist. Schenz, l. c., p.187, 
der diese Art aufnimmt, nennt 
sie fälschlich Sylvia ruticilla, 
Brisson; denn Brisson, Orn. 
III, p. 403, hat den Namen Syl- 
via ruticilla, Klein, zu seinem 
Rossignol de muraille gezogen, 
der unser Hausrothschwänzchen, 
Sylvia thytlis, ist. 

| SYLVIA ICTEROPS , Menetr. 
Catal., p. 34, n°. 68, von Ch. 
Bonap., List, p. 14, n°. 105, 
als europäisch aufgeführt, wurde 
von Menetries nur auf den Bergen 
von Taliche, südlich vom Kur, 
beobachtet, und scheint, nach 
der Vermuthung von Keyserl. 
u. Blasius, p. LVT, zu Sylvia 
conspicillata zu gehören. 


Schinz, Europ. Fauna, I, p. 
188, führt SYLVIA ANTHOIDES, 
Vieillot; Motacilla novaebora- 
censis, Linn. @mel.; Selurus 
aquaticus, Swains., als euro- 
päisch, zufolge der Angabe auf, 
dass ein Exemplar dieser Art in 
Schweden geschossen wurde und 
in die Sammlung des Herrn Du- 
fresne in Paris kam. So lange wir 
nicht zuverlässigere Mittheilun- 
gen über dieses Exemplar erhal- 
ten, können wir diese Art nicht 
unter die europäischen Vögel 
aufnehmen. 

Endlich führt auch Schinz , 
I. c., p. 194, eine SYLVIA BRUN- 
NEA, Forster, aus England auf, 


die wahrscheinlich als Synonym 


zum Weidensänger, Ficedula 
rufa, gezogen werden muss. 


' (48) SYLVIA RÜPPELLH wur- 
de uns neuerlich, in mehreren 


adoptant cette espece, lui don- 
ne mal à propos le nom de Syl- 
via ruticilla Brisson, car ce 
nom emprunté à Klein a été 
employé par Brisson, Orn., III, 
p. 403, pour désigner son Ros- 
signol de muraille, qui n'est 
autre chose que le rouge-queue 
noir, Sylvia thytis. 

C’est a tort que Ch. Bonaparte, 
List, p. 14, n°. 105, a range 
parmi des oiseaux d’Europe la 
SYLVIA ICTEROPS, Ménétr.Cat., 


p.34, n°. 68, cette espèce n'ayant 


été observée que sur les mon- 
tagnes de Talyche, au sud du 
fleuve Kour. D'ailleurs il parait, 
comme le présument M. M. Key- 
serling et Blasius, p. LVT, que 
cette fauvette ne diffère pas de la 
Sylvia conspicillata. 

Schinz, Europ. Fauna, T, p. 
188, a énuméré parmi les oiseaux 
d'Europe la SYLVIA ANTHOIDES, 
Vierllot, Motacilla novaebora- 
censis, Linn. Gmel., Seiurus 
aqualicus, Siwainson ; il prétend 
qu’un individu de cette espèce 
a été tué en Suède, et que cet 
individu se trouve dans la collec- 
tion de Mr. Dufresne à Paris. Ce 
témoignage indirect sur l’origine 
de cet individu nous parait in- 
suffisant pour admettre, pour le 
moment, cette espèce comme fai- 
sant partie de la Faune d'Europe. 

Mr. Schinz enfin, {. c., p. 194, 
faıt mention d’un bec-fin d’An- 
gleterre, appelé par Forster 
SYLVIA BRUNNEA, mais il paraît 
que cette prétendue espèce ne 
diffère pas de la Ficedula rufa. 


(48) SYLVIA RÜPPELLIL. Nous 
venons d'en recevoir plusieurs 


Exemplaren, von Griechenland 
geschickt. 


(49) SYLVIA ICTERINA , Vreil- 
lot, Nouv. Dict., XT, p. 194; 
Ch. Bon., Icon. Faun. Ital., I, 
Tav. 28, fig. 2; Gould, PI. 1382, 
unterscheidet sich, nach unseren 
Untersuchungen, in nichts von 
Ficed. trochilus. Das einzige im 
den Sammlungen bekannte Exem- 
plar dieser vermeintlichen Art, 
wurde von Herrn Cantraine im 
den Pontinischen Sümpfen erlegt, 
und an das Leidner Museum ge- 
schickt. Es hat die vordersten 
Stirnfedern verloren, was dem 
Vogel das Ansehen giebt, als 
habe er einen Schnabel wie Fc. 
trochilus. Die Abbildungen von 
Ch. Bonaparte und Gould wur- 
den nach diesem Exemplare ge- 
macht. Es fragt sich übrigens, 
ob Vieillot bei Beschreibung sei- 
ner Sylvia icterina wirklich 
denselben Vogel vor sich gehabt 
hat; denn er führt dieselbe gar 
nicht unter der Familie der Laub- 
sänger (Pouillots), sondern unter 
der der Grassmücken, (Fauvet- 
tes), auf, in welche er freilich 
auch die Schilfsänger und viele 
ausländische Arten begreift. Ubri- 
gens ist seine Arbeıt äusserst 
oberflächlich, und so verwirrt, 
dass es unmöglich ist, über seine 
Arten in das Reine zu kommen. 
So führt er z. B. die Sylvia fitis 
und Zrochilus als zwei verschie- 
dene Arten an: /. c., p. 237 und 
p. 241. Seine Sylvia 1icterina 
vergleicht er mit Fie. hypolais, 
und einer für ihn neuen in Frank- 
reich lebenden Art, die er S. 
flaveola nennt, die aber nichts 


52 


individus tués en Grèce. 


(49) Quant à la SYLVIA ICTE- 
RINA, Vieillot, Nouv. Dict., XI, 
p.194; Ch.Bon., Icon.Faun.Ital., 
I, Pl.28, fig. 2; Gould, Pl. 132, 
je ne vois pas en quoi differe 
cette prétendue espèce du Powl- 
lot, Ficedula trochilus. Il n’en 
existe dans les collections qu’un 
seul individu tué par Mr. Can- 
traine dans les marais pontins. 
Cet individu fait partie du Musée 
des Pays-Bas. Les plumes du 
front ayant été en partie enle- 
vées, cet individu a l’apparence 
d'offrir un bec beaucoup plus 
large à sa base que celui du 
Pouillot. Il a servi de modèle 
aux figures publiées par Gould 
et Ch. Bonaparte. Quant à l'in- 
dividu décrit par Vreëllot sous le 
nom de Sylvia icterina, il est 
difficile, sinon impossible, de con- 
stater à quelle espèce il.convient 
de le rapporter; car, selon ce 
savant, la Sylvia icterina n’ap- 
partient pas au groupe des Pouil- 
lots, mais à celui des Fauvettes, 
dans lequel il range également 
plusieurs riverains et un grand 
nombre d’espèces exotiques de la 
grande famille des becs-fins. Du 
reste, le travail que Vieillot a 
publié sur ces oiseaux, est assez 
superficiel et il y règne tant de 
confusion que je n’ai pu parve- 
nir à le débrouiller. En le con- 
sultant, on verra du premier 
abord qu'il a mal à propos sé- 
paré comme espèces diverses les 
Sylvia fitis et trochilus (p. 237 
ei p. 241), qu'il compare sa Syl- 
via icterina à une prétendue 


als Sal. arundinacea zu seyn 
scheint. Dabei hat er noch die 
traurige Sucht der Namenverän- 
derungen , wodurch die Verwir- 
rung noch grösser wird. So nennt 
erz. B. die F. hypolais: Sylvia 
polyglotta , p.200, weil er Mor. 
hypolais, Linn., für eine Varie- 
tät des is hält: p. 193; die 
F. rufa nennt er S. collybita , 
p. 235; S. trochilus : Sylv. fla- 
viventris, p. 241, u.s. w. 


. ‘Zu welcher Art der vom Gra- 
fen von der Mühle, p. 69, als 
Sylvia icterina aus Griechenland 
aufgeführte Vogel gehört, ist mır 
unbekannt. 


(50) FICEDULA AmBIGUA. Eine 
neue Art, von welcher wir 2 
Exemplare aus Griechenland er- 
hielten. 

Grösse und Aussehen der Fr- 
cedula hypolais, aber Flügel 
viel kürzer, Schnabel an der 
Wurzel schmäler, und Färbung 
blässer: oben graulich , unten 
schmutzig gelblichweiss. 


Ganze Länge «1... .. 5 4"! 
Länge der Flügel . . .. 2 6 
» des Schwanzes . . . 2 
» desLaufes . , . . .. 10 
» der Mittelzehe . . . . 41 
» des Nagels derselben . 21 
» der Hinterzehe 3 


53 


nouvelle espèce, originaire de la 
France, qu'il nomme Sylvia fla- 
veola, quoiqu’a la vérité elle ne 
parait guère différer de la Syl- 
via arundinacea, etc. D'autre 
part, les innovations qu'il s’est 
permises en changeant arbitrai- 
rement les noms une fois recus 
des espèces connues, ne laissent 
de contribuer à rendre son tra- 
vail obscur. Il change par exem- 
ple le nom de Sylvia hypolais 
en celui de Sylvia polyglotta , 
parce qu'il prend la Mot. hypo- 
lais pour une variété de la Syl- 
via fitis, (p. 200 ei 193); il ap- 
pelle la Fre. rufa: Sylvia col- 
lybita (p.235), la Fic. trochilus: 
Sylvia flaviventris (p.241) etc. 

J’ignore quelle peut être l’espe- 
ce recueillie en Grèce et indiquée 
par Mr. von der Mühle, p. 69, 
sous le nom de Sylvia icterina. 


(50) FICEDULA AMBIGUA.Espe- 
ce nouvelle qui habite la Grèce, 
d’où nous venons d’en recevoir 
deux individus. 

Elle a la taille et le port de 
la Ficedula hypolais; mais ses 
ailes sont plus courtes, le bec 
est moins large à la base, et ses 
teintes sont plus päles, savoir 
grisatre en dessus, et d’un blanc- 
jaunätre sale sur les parties in- 
férieures. 


Longueur totale... .. 5 ae 
»oueles ailes de sl; 25,0 
».xdendaqueue:.: s.. .12 | 
21 dd larse. ie, UE 10 
» du doigt de milieu 4 
» del’ongledecedoigt 24 
» OLE... AN 3. 


54 


Länge des Nag. derselben 22 
_. »  desSchnabels . . 8 
Breite desselben beim 

Mundwinkel ..... 3. 


Erste Schwinge um 12 bis 21 Li- 
nien länger als die längste ie gros- 
sen äusseren : Flügeldeckfedern. 
Zweite Schwinge eben so lang 
als die sechste, und um 2 Linien 
kürzer als die dritte. Vierte kaum 
merklich, fünfte ein wenig kür- 
zer als die dritte. Dritte bis fünfte 
Schwinge auf der Aussenfahne 
ein wenig verengt. Schwanz in 
der Mitte kaum merklich ausge- 
schnitten, nach den Seiten kaum 
merklich abgerundet. Läufe vorn 
mit vier grossen Schildern, von 
welchen das dritte, grösste, 21 
Linien lang ist, und auf welche 
oben ein, unten drei kleine Schil- 
der folgen. Nägel spitzig und 
ziemlich gekrümmt. Füsse und 
Nägel blass hornfarben. Schna- 
bel ziemlich breit an der Wurzel, 
nach der Spitze hin gleichmässig 
verjüngt zulaufend. Oberschna- 
bel an der Spitze ein wenig ab- 
wärts gekrümmt, blassbräunlich 
hornfarben, mit hellen Rändern; 
Unterschnabel gelblich hornfar- 
ben. Am Mundwinkel und am 
Kinn einige schwarze Borsten- 
haare. Obertheile und Seiten des 
Halses blassbräunlich grau, mit 
olivenfarbigem Anfluge, beson- 
ders auf dem Hinterrücken. Flü- 
gel graulichbraun, alle Federn 
hell gesäumt. Flügel auf der Un- 
ir viel DE. die Schwung- 
federn auf der Innenfahne mit 
breitem , weisslichem Saume. In- 
nere Flügeldeckfedern weisslich. 
Steuerfedern graulichbraun , am 


Longueur de l’ongle du pouce 2 
» du bec 
Largeur du bec près de | 
l’angle de la bouche . 3. 


e ee ee 8 © 


Premiere remige plus courte 
de 12 à 21 lignes que la plus 
longue des grandes couvertures 
extérieures des ailes; deuxième 
rémige de même longueur que 
la sixième, et plus courte de 
deux lignes que la troisième; 
quatrième rémige presque aussi 
longue que la troisième; cin- 
quième rémige un peu plus 
courte que la troisième. Troi- 
sième, quatrième et cinquième 
rémiges un peu rétrécies à la 
barbe extérieure. Queue tant 
soit peu échancrée au millieu, 
légèrement arrondie vers les 
côtés. Tarses garnis par-de- 
vant de quatre grandes plaques, 
dont la troisième, longue de 2 
lignes et demie, surpasse les au- 
tres en étendue; elle est suivie 
en haut d’une seule, en bas de 
trois petites plaques. Ongles poin- 
tus, passablement courbés et, 
ainsi que les pieds, couleur de 
corne pâle. Bec assez large à la 
base, diminuant successivement 
en largeur vers sa pointe; man- 
dibule supérieure un peu cour- 
bee en bas, d’un brun pâle 
couleur de corne, et à bords as- 


| sez clairs; mandibule inférieure 


jaunâtre couleur de corne. On 
voit des soies noires clair-semées 
près de l’angle de la bouche et 
sur le menton. Parties supérieu- 
res de l’oiseau ainsi que les côtés 
du cou d’un gris brunätre päle, 
tirant sur l’olivätre , particuliere- 
ment vers le bas du dos. Ailes 


Innenrande weisslich gesäumt. 
Alle Untertheile weisslich mit 
blass lehmgelblichem Anfluge , 
besonders auf der Vorderbrust ; 
an den Seiten des Rumpfes und auf 
der Ohrgegend in’s blass braun- 
gelblichgraue übergehend. Ein 
weisslicher Streif von den Na- 
senlöchern zum obern Rande der 
Augen. Schenkelfedern weiss, an. 
der Wurzel graubräunlich. 


Ob der von von der Mühle, 
p. 65, unter dem Namen Sa/i- 
caria olivetorum (2) beschriebene 
Vogel aus Griechenland hierher, 
oder wirklich zu letztgenannter 
Art gehört, lässt sich vor der 
Hand nicht ausmachen. 


(50 dis) SYLVIA NIGRIFRONS , 
Bechstein, III, p. 575, Tab. 
27, von der bis jetzt nur zwei 
Paare, eins in Thüringen, (siehe 
Bechstein), und eins in Schlesien, 
(siehe @loger, Handb., p. 560) 
beobachtet wurden , und den die 
meisten Naturforscher für eine 
Varietät des Sumpfsängers hal- 
ten, wurde neuerlich von Ch. Bo- 
naparte, Catal., p.35, n°. 141, 
als selbständige Art, unter dem 
Namen Calamoherpe nigrifrons, 
angeführt. 


55 


d’un brun grisätre, à plumes li- 
sérées d’une teinte claire; face 
interne des ailes beaucoup plus 
pâle que la face externe; bar- 
bes internes des pennes pourvues 
d’un liséré blanchätre assez lar- 
ge. Couvertures intérieures des 
ailes blanchätres. Pennes de la 
queue d’un brun grisätre,, à bar- 
bes internes bordées de blanc. 


Toutes les parties inférieures de . 


l’oiseau sont d’un blanchätre 
nuance , notamment sur le haut de 
la poitrine, de jaune de terre pà- 
le, et passant, sur les flancs et 
sur la région des oreilles, au gris 
jaunätre pâle tirant sur le brun. 
Il existe, entre les narınes et le 
bord supérieur des yeux, une 
raie blanchätre. Plumes des jam- 
bes blanchätres, mais d’un gris. 
brunätre à la base. 

Il est, pour le moment, im- 
possible de constater si l’oiseau ,. 
décrit par le comte von der Müh- 
le, p. 65, sous le nom de Sa- 
licaria olivetorum(?), appartient 
en effet à cette espèce ou à no- 
tre Ficedula ambigua. | 


(50 dis) On est assez générale- 
ment d'opinion que la SyLvia 
NIGRIFRONS, Bechstein , III, 
p.575, Pl.27, dont on n’a ob- 
serve jusqu’a present que deux 
couples, l’un en Thuringue, l’au- 
tre en Silésie, (voir Bechstein 


Le., et @loger, Handb., p. 560), 


ne forme qu’une variété de la 
Sal. palustris; Ch. Bonaparte 
cependant a introduit récemment 
cet oiseau comme espèce distincte 
sous le nom de Calamoherpe ni- 
grifrons : voir Catal,, p.35, n°. 


141. 


(51) SALICARIA OLIVETORUM. 
‚Eine genaue Beschreibung dieser 
seltenen Art wird den Naturfor- 
schern hoffentlich willkommen 
seyn. 

Im Bau und Aussehen am meis- 
ten mit Ficedula hypolais über- 
einstimmend; aber der ganze Vo- 
gel bedeutend grösser, obgleich 
die Flügel kann länger sind 
als bei Ficedula hypolais, der 
Schwanz abgerundet, und die 
Färbung g graulich, unten gelblich- 
weiss. 


Ganze Länge ..... 6” 5 
Länge der Flügel . .. 3" am 
» desSchwanzes. . . 2’ 6 
» des Laufes , 102’ 
» der Mittelzehe . Bin 
» des Nagels derselben Ba 
» der Hinterzehe . . . 31/7 
» des Nagels derselben an 
» des Schnabels vom 

Mundwinkel .... ga 
Breite des Schnabels 

beim Mundwinkel . . AMT, 


Schnabel in der Hauptsache 
mit dem der Fic. hypolais über- 
einstimmend ; aber bedeutend 
grösser, und an der vordern Hälfte 
verhältnissmässig stärker seitlich 
zusammengedrückt. Oberschna- 
bel gegen die Spitze hin etwas 
abwärts gekrümmt, hinter der 
Spitze an den Seitenrändern zahn- 
förmig ausgeschnitten, blassbraun 
hornfarben, mit hellen Rändern. 
Unterschnabel gelblich. Am Kinn, 
an der Wurzel des Unterschna- 
‚ bels, und besonders am Ober- 
schnabel zwischen den Nasen- 


56 


(51) SALICARIA OLIVETORUM. 
Nous esperons que la description 
détaillée que nous donnerons de 
cette espèce rare, sera accueillie 
avec intérêt des naturalistes. 

Elle se rapproche, par son or- 
ganisation et son port, de la Fi- 
cedula hypolais ; mais ses ailes 
ne sont guere plus longues que 
dans cette espèce, quoiqu’ elle 
soit d’une taille considerablement 
plus forte; aussi sa queue est- 
elle arrondie à l'extrémité, et la 
couleur des parties supérieures 
grisätre, celle des parties infé- 
rieures d’un blanc-jaunätre. 


Longueur totale . . . . 6” 5% 
» des ailes Hu. a 
» de la queue "ANNE 
» du tarse sf, SO en MIO 
» du doigt de milieu. 5‘. 
» de l’ongle de cedoigt 21m 
»’ durpouce ud. 31m 
» de l’ongle du pouce 3 
» du bec depuis l’an- 
gle de la bouche . 92 
Largeur du bec près de 
cet anglen mir 4gn 


Bec en général comme dans 
la Fic. hypolais, mais plus grand 
et, proportions gardées, plus 
comprimé à sa partie antérieure. 
Mandibule supérieure un peu in- 
clinée vers la pointe, légèrement 
échancrée derrière la pointe, d’un 
brun pâle couleur de corne, à 
bords trés-clairs. Mandibule in- 
ferieure jaunâtre. On voit des 
soies noires sur le menton à la 
base du bec , particulièrement 
entre les narines et l’angle de la 
bouche. Tour des yeux garni de 
petites plumes blanches clair- 


lôchern und dem Mundwinkel, 
schwarze Borstenhaare. Augen- 
kreis mit weissen Federchen 
ziemlich sparsam besetzt. Läufe 
vorn mit 9 sehr deutlichen Schil- 
dern, von welchen das dritte, 
vierte und fünfte die grössten 
sind, obschon die Länge eines 
‚jeden etwa nur 2 Linien beträgt. 
Nägel sehr blass, gelblich horn- 
farben, spitzig, ziemlich ge- 
krümmt , besonders der der Hin- 
terzehe, der auch kräftiger ist 
als die übrigen. Füsse braun- 
schwärzlich horufarben. Erste 
Schwungfeder um 21 Linien kür- 
zer als die dritte, längste, der 
grossen äussern Flügeldeckfedern. 
Die dritte, längste, Schwungfe- 
der um 14 bis 11 Linie länger 
als die zweite und vierte, die 
gleich lang sind. Die dritte 
Schwungfeder deutlich, die vier- 
te kaum merkbar auf der Aus- 
senfahne verengt. Schwanz nach 
beiden Seiten gleichmässig abge- 
rundet, so dass die äussersten 
Schwungfedern 3 Linien kür- 
zer sind als die mittleren. Ober- 
theile des Vogels, Seiten des Kop- 
fes und Halses, bräunlichgrau 
in’s olivengrüne. Flügel braun mit 
graulichem Schimmer; die klei- 
nen Deckfedern mit breitem, grau- 
lichem Saume ; die Schwungfe- 
dern und die hintern grossen 
Flügeldeckfedern mit breitem, die 
übrigen Federn mit schmalem , 
weissemSaume. Flügel von innen 
blässer: die grossen innern Flü- 
geldeckfedern blass graulich, ge- 
gen die Spitze in’s weisse; die 
kleinen an der Wurzel dunkel- 
braun, an der Spitze weiss. 
Steuerfedern braun mit grauli- 


57 


semées. Tarses munis par devant 
de neuf plaques assez distinctes, 
dont -la troisième, la quatrième 
et la cinquième sont plus gran- 
des que les autres, quoique la 
longueur de chacune d’elles n’ex- 
cède pas deux lignes. Ongles 
d’un jaunätre couleur de corne 
tres-päle, passablement courbés, 
notamment celui du pouce, qui 
surpasse du reste les autres ‚en 
force. Pieds d’un brun-noirätre 
couleur de corne. Premiere ré- 
mige plus courte de 2 lignes et 
demie que la troisième ou la plus 
longue des grandes couvertures 
extérieures des ailes. La troisie- 
me rémige est la plus grande de 
toutes; elle dépasse d’un quart 
ou d’une demie ligne la deuxie- 
me et la quatrième rémiges qui 


sont d’egale longueur. Troisième 


rémige sensiblement, quatrième 
tant soit peu rétrécie à la barbe 
extérieure, Queue assez arrondie 
à l'extrémité, les pennes exte- 
rieures étant de trois lignes plus 
courtes que les mitoyennes. Par- 
ties supérieures de l'oiseau, cö- 
tés de la tête et du cou, d’un 
gris-brunätre tirant sur l’olivätre. 
Ailes brunes à reflets grisätres; 
petites couvertures largement bor- 
dées de grisätre; les autres plu- 
mes des ailes, lisérées de blanc 
qui forme de larges bords sur les 
rémiges et sur les grandes cou- 
verlures postérieures. Parties in- 
férieures des ailes plus pales; les 
grandes couvertures intérieures 
d’un grisätre pale, passant au 
blanc vers la pointe; les petites 
couvertures d’un brun foncé à 
la base, et blanc vers la pointe. 
Pennes de la queue brun à re- 


58 


chem Scheine, unten blässer ; 
. die drei oder vier äusseren Paare 
mit weissem Saume am Innenrand 
und an der Spitze; die äusserste 
am Aussenrande mit breitem , 
weissem Saume. Untere Schwanz- 
deckfedern weisslich, mit gros- 
sen, länglichspitzigen, bräunlich- 
grauen Schaftflecken. Federn der 
Füsse weis, an der Wurzel 
graubraun. Alle übrige Unter- 
theile des Vogels weisslich mit 
blass lehmgelblichem Anfluge, 
besonders auf Brust und Bauch. 
Seiten des Rumpfes gelblichgrau. 
Ein sehr schmaler, weisslicher 
Streif von den Nasenlöchern zum 
oberen Augenrande. 


(52) SYLVIA CARICETI, Nau- 
mann, I. c.; Sylvia striata, 
brehm, Beitr., IT, p. 26, scheint 
mir nichts als Salicaria aqua- 
fica im Sommerkleide zu seyn. 
Es erklärt sich daher auch, war- 
um Sylvia aquatica, Naumann , 
bis jetzt noch nirgends brütend 
angetroflen wurde. 


(53) SALICARIA FAMILIARIS 
ist zwar der Sal. galactodes aus- 
serordentlich verwandt, abernach 
Untersuchung mehrerer Exem- 
plare aus Griechenland und von 
den Uferu des Kur, standhaft 
verschieden. Sie unterscheidet 
sich von 8. galactodes durch 
folgende Merkmale. Ihr Schnabel 
ist auf der vordern Hälfte stär- 


flets grisätres, plus päles sur le 
dessous; les trois ou quatre pai- 
res extérieures à barbes internes 
et à pointes lisérées de blanc; l’ex- 
térieure ornée à sa barbe exté- 
rieure d’un bord blanc très-lar- 
ge. Couvertures inférieures de la 
queue pourvues, le long du tuy- 
au, de larges taches allongées 
en pointe, d’un gris-brunätre. Plu- 
mes des pieds, blanc, qui passe 
au gris-brun à la base. Toutes 
les autres parties inférieures de 
l'oiseau, blanchätre , tirant au 
jaune dargile pâle, notamment 
sur la poitrine et sur le ventre. 
Flancs d’un gris-jaunätre. On voit 
une raie assez étroite et päle en- 
tre les narines et le bord supé- 
rieur des yeux. | 


(52) J’ai lieu de croire que la 
SYLVIA CARICETI de Naumann, 
I. c., ou Sylvia striata, Brehm, 
Beitr., IT, p. 26, n’est établie 
que sur des individus en habit 
d'été de la Salicaria aquatica. 
Ce n’est qu’en admettant cette 
conjecture que l’on parvient à 
expliquer pourquoi la Sylvia 
aquatica de Naumann n’a pas 
encore été observée jusqu’à pré- 
sent lors de l’époque de la pro- 
pagation. 


(53) SALICARIA FAMILIARIS. 
Cette espèce, quoique assez voi- 
sine de la Sal. salactodes, s'en 
éloigne cependant constamment. 
J’en ai examiné plusieurs individus 
tués en Grèce et sur les bords 
du Kour. Elle se distingue de la 
Sal. galactodes par les caracté- 
res suivans. Le bec est plus for- 
tement comprimé à la moitié an- 


ker seitlich zusammengedrückt. 
Die Farbe der Obertheile ist ein 
schmutziges Graubraun, ohne 
Spuren vom rostbräunlichen An- 
fluge, der erst auf den obern 
Schwanzdeckfedern auftritt. Die 
schwarzen Flecke des Schwan- 
zessind grösser, nicht rund und 
isolirt, sondern sie bilden ein 
durchgehendes, breites schwar- 
zes Band. Die erste Schwin- 
ge, die bei Salie. galactodes um 
5 Linien über die grossen äus- 
sern Flügeldeckfedern hinaus- 
reicht, überragt letztere Federn , 
bei Sal. familiaris, nur um eine 
Linie. Endlich ist bei Sal. ga- 
lactodes die zweite Schwinge 
kürzer als die fünfte, während 
diese beide Schwingen bei Sul. 
familiaris von gleicher Länge 
sind. | f 

Es ist dies ohne Zweifel die 
Art, welche von der Mühle, p. 
66, als Salicaria galactodes 
aufgeführt hat. 


(54) Nach Herrn J. Natterer’s 
mündlichen Mittheilungen ist 
SAL. SERICEA nicht von Sal. 
C'ettii verschieden. Ich finde die- 
se Beobachtung an den, von Nat- 
terer in Spanien gesammelten 
Exemplaren, bestätigt. 

SYLVIA CERTHIOLA, Temm. 
Man., I, p. 187, Motacilla 
certhiola, Pallas, Zoogr., I, 
p. 509, n°. 141; Gould, Pi. 
105, bewohnt nach Pallas nur 
das östliche Sibirien. Das von 
Pallas aus der Krimm an Herrn 
Temminck geschickte Exemplar, 
welches jetzt noch im Leidner 
Museum vorhanden ist, gab An- 
lass, diese Art irriger Weise als 


59 


térieure. Le plumage des par- 
ties supérieures est d’un brun 
grisätre sale, seulement nuancé 
de brun ferrugineux sur les cou- 
vertures supérieures de la queue. 
Les taches noires de la queue 
sont plus grandes et elles forment 
une large bande noire, au lieu 
d’être orbiculaires et isolées com- 
me dans la Sal. galactodes. La 
première rémige dépasse, dans 
cette espèce, les grandes couver- 
tures des ailes de cinq lignes; 
dans la Sal. familiaris au con- 
traire cette rémige ne dépasse 
les couvertures des ailes que d’une 
ligne. Enfin, la deuxième rémi- 
ge est, dans la Salic. galactodes , 
plus courte que la cinquième, 
tandis que ces deux rémiges sont 
d’egale longueur dans la Salic. 
Jamiliaris. 

C'est sans doute l'espèce indi- 
quée par Mr. von der Mühle, 
p. 66, sous le nom de Salicaria 
galactodes. 


(54) Je dois à feu Vatterer l’ob- 
servation que la SAL. SERICEA 
est identique avec la Sal. Cettir, 
assertion dont j’ai vérifié l’exac- 
tıtude par l'examen des individus 
recueillis en Espagne par Mr. 
Natterer même. 

SYLVIA CERTHIOLA, Zemm. , 
Man., I, p. 187; Motacilla 
certhiola, Pallas, Zoogr., I, 
p. 509, n°0. 141; Gould, Pl. 
105, n’a été observé par Pallas 
que dans la Sibérie orientale. 
L’individu envoyé par Pallas, 
lors de son séjour en Crimée, 
a Mr. Temminck , fait actu- 
ellement partie du Musee des 
Pays-Bas; il a donné lieu à la 


europäisch aufzuführen. 


(55) SALICARIA LANCEOLATA. 
Nach Mittheilungen des Herrn 
Bruch sind die beiden einzigen 
bekanuten Exemplare dieser Art 
im südlichen Russland , und nicht 
in Deutschland erlegt worden. 
Durrazzi, Degli Uccelli Liguri, 
Genova, 1840, p. 35, sagt, dass 
ein Exemplar dieser Art bei Ge- 
nua gefangen worden sey. 


. (56) SALIACRIA CALIGATA. 
Im Berliner Museum befindet sich 
ein Exemplar dieser seltenen Art. 
Ich habe nach demselben eine 
Beschreibung entworfen, die 
aber durch einen Zufall theilweise 
vernichtet wurde. Ich kann da- 
her nur folgendes über diese Art 
mittheilen. EN 
Grösse der F\. érochilus. Fär- 
bung der der S. arundinacea 
sehr ähnlich. Flügel 2'* 4; 
Schwanz 2”; Läufe 91”. Mit- 
telzehe 5°. Nägel gross, der hin- 
tere stärker gekrümmt als die 
vordern. Schnabel mittelmässig , 
sehr stark seitlich zusammenge- 
drückt; daher fast höher als breit. 
Schwanz etwas abgerundet. 
Läufe vorn mit 4 Schildern , von 
denen das zweite zwei Drittel 
der ganzen Länge des Laufes 
einnimmt; das oberste und unter- 
ste klein; das dritte, doppelt so 
gross als letztere. Schmutzig blass 
olivenfarbig, unten in’s weissli- 
che. Schwung- und Steuerfedern 
graubräunlich ; letztere mit hel- 


supposition erronnée que cette 
espèce habite la Russie méri- 
dionale. mw 


(55) SALICARIA LANCEOLATA. 
Mr. Bruch me mande que c’est 
par erreur que l’on a assigné 
l'Allemagne comme patrie de cet- 
te espèce, les deux individus sur 
lesquels elle a été établie ayant 
été tués dans la Russie méridio- 
nale. Mr. Durazzi, Degli Uc- 
celli Liguri, Genova, 1840, p. 
35, dit cependant qu’il en a re- 
cu un individu pris dans les en- 
virons de Gènes. 


(56) SALICARIA CALIGATA. 
Je n'ai examiné qu’un seul indi- 
vidu de cette espèce bien rare; 1l 
existe au Muséum de Berlin. La 
description que j'en ai faite, 
ayant été en parte détruite, je 
regrette de ne pouvoir donner 
sur cette espèce d’autres détails 
que les suivans. 

Taille de la F. trochilus. Tein- 
tes analogues à celles de la S. 
arundinacea. Ailes 2" 4’; queue 
2’; tarse 91”; doigt de milieu 
5”. Ongles grands, celui du pou- 
ce plus fortement courbé que les 
autres. Bec médiocre, très-com- 
primé, par conséquent presque 
plus haut que large. Queue un 
peu arrondie à l'extrémité. Tar- 
ses munis par-devant de 4 pla- 
ques, dont la deuxième occupe: 
deux tiers de la longueur totale 
du tarse; la supérieure et l’infé- 
rieure sont petites; la troisième 
est du double plus longue que cel- 
les-la. Teinte générale d’un oli- 
vätre pâle et sale, passant, sur 
les parties inferieures, au blan- 


lerem Aussenrande und Spitze. 
Dritte bis sechste Schwungfeder 
auf der Aussenfahne verengt. 


61 


chätre. Pennes des ailes et de la 
queue d’un gris brunätre ; celles- 
ci liserees de blanc à la barbe 


extérieure et à la pointe. Troi- 
sième, quatrième, cinquième et 
sixième rémiges à barbes exté- 
rieures rétrécies. 

M. M. Keyserling et Blasius, 
p. 190, assignent à cette espèce 
les caractères suivans: » Tou- 
»tes les pennes de la queue 
» arrondies: les mitoyennes un 
» peu plus courtes, d’un brun 
» grisätre, à lisere clair ; la pen- 
ne extérieure bordée des deux 
» côtés de blanchätre sale, la 
» suivante seulement bordée de 
» cette teinte à la barbe interne 
»et à l'extrémité. Barbes exter- 


Keyserling und Blasius, p. 
190, geben folgende Kennzeichen 
für diese Art an: »Schwanzfedern 
» alle abgerundet, die mittlern et- 
».was verkürzt, graubraun , blass 
» gesäumt ; die erste ringsum , 
» die folgende innen und am Ende 
»trübweisslich gerandet; die Aus- 
» senfahne der 3te bis Gt Schwin- 
»ge deutlich verengt; Oberseite 
»fahl olivenbräunlichgrau; Un- 
»terseite weisslich; Gurgel reiner 


»weiss; Zügel blassbräunlich- | »nes des 3”, 4me, 5me et 6e 
» weiss, über denselben keine | » rémiges rétrécies. Parties supé- 
»ausgezeichneten Augenbrau- | »rieures d’un gris-brunätre ti- 
»nen.” » rant sur l’olivätre; parties infé- 


» rieures blanchätres; gorge d’un 
» blanc pur; région des freins 
» d’un blanc brunätre pale, sans 
» raies surcilieres apparentes.” 
Pallas enfin s'exprime sur cet- 
te espèce dans les termes suivans: 


Pallas endlich sagt folgendes 
über dieselbe : 


- » M. cinerea subtus alba, supercilüs albis, cauda rotundata. 

» Rossis Talofka (salicaria), versus Jacutiam Pjewunetz (cantator). 
»In Rossia et Sibiria passim in salicetis circa fluvios occurrit , 
»suaviter cantillans, unde in borealibus ad Lenam, ubi aliae de- 
»sunt melodicae, rossicum nomen meruit. Observatur etiam ın 
» Dauuria et studiosus versus mare glaciale, quousque arbusta suppe- 
»tunt, eandem videt. Evolat in cacumen arboris, indeque ex ramo 
»in ramum desultans, productis et continuatis sonis amoenissime 
» cantillat, voce majore quam tantillae aviculae convenire diceres. — 
»Nidus in ramulo bifurcato, e graminibus implexis. Ovula 4 ad 5. 

» Descr. Sylvia multo minor. Rostrum nigrum, basi maxillae 
»inferioris lutescente. Os, anguli oris et lingua bifida flavidissima. 
» Corpus supra gryseo-cinereum. Striga superciliaris a rostro ad 
»occiput, una cum palpebris, albo-pallida. Fasciola fusco obsoleta 
»a rostro per oculos. Subtus avicula cinerascente-alba, jugulo la- 


62 


»teribusque magis cinerascentibus. Alae subtus et subcaudales pal- 
»lidae. Alae fuscescentes, remigibus 19. quarum prima 2 brevior, 
»3—5 exterius angustatae. Gauda obiter rotundata, tota fuscescens; 
»rectricibus subacutis limbo cinerascentibus. Femora inferius cine- 
»rascunt. Pedes longiusculi, corneolo-fuscescentes, digitis subtus 
»flavis; tibialia mtegra. Pondus drachmarum plus minus 21. Longi- 
»tudo vix 3”. caudae 1”. 11/7. alarum expansarum 6”. 6. ulnae 
»2. 217, rostri ad oris angulos 52, ad frontales plumas 31’. ti- 
» biarum 94”. digitus anticus medius (cum ungue 25.) 7%. postici 


»(cum ungue 15/7.) 5147, 


(57) Schinz, Europ. Fauna, 
I, p. 181, erwähnt einen neuen, 
der Nachtigall verwandten Sän- 
ger aus Griechenland, den er vor- 
schlägt SYLVIA SCHUCHH zu nen- 
nen. Da aber dieser Vogel nicht 
genau beschrieben ist, so kön- 
nen wir ihn vorläufig als Art 
noch nicht aufnehmen. Herr 
Schinz sagt bloss, dass er der 
Nachtigall sehr ähnlich ist, sich 
aber durch den stärkern Schna- 
bel, welcher schwarz ıst, durch 
etwas bedeutendere Grösse, auch 
durch eine etwas verschiedene 
Färbung unterscheidet. 


(58) LUSCIOLA ERYTHRO- 
GASTRA. Alles was man bis jetzt 
von diesemV ogel weiss, beschränkt 
sich auf die von Güldenstädt ge- 
gebenen Abbildungen und Be- 
schreibung, welche letztere wir 
daher vollständig mittheilen: 


(57) Schinz, Europ. Fauna, 
I, p. 181, fait mention d’un bec- 
fin inédit, voisin du rossignol 
et originaire de la Grèce. Il pro- 
pose de nommer cet oiseau SYL- 
vıa SCHUCHII, M. Schinz ayant 
négligé d’en donner une descrip- 
tion detaillee, nous ne le sau- 
rions pour le moment admettre 
comme espèce. Cet auteur se bor- 
ne à constater que le bec-fin 
dont nous venons de parler, res- 
semble beaucoup au rossignol, 
mais qu'il s'en éloigne par un 
bec plus robuste et de couleur 
noire, par une taille plus forte, 
et une nuance des teintes un peu 
diverse. | | 


(58) LUSCIOLA ERYTHRO- 
GASTRA. Cet oiseau n’est con- 
nu, que nous sachions, que par 
la description et les figures qu’en 
a publiées Güldenstädt. Cet au- 
teur en parle dans les termes 
suivans: 


»MOTACILLA ERYTHROGASTRA. 


»Quanta de Muscicapa melanoleuca (Saxicola stapazina) et Mo- 
»tacilla leucomela aflinitas depraedicata , tanta etiam depraedicanda 
»de Motacilla erythrogastra nostra et Motacilla phoenicuro Linnaei. 
»Mares sat facile; sed feminas utriusque speciei, a suis maribus 
»toto coelo coloribus diversas et non nisi abdomine et cauda suba- 


63 


»nalogas, difhicillime ex descriptione distmgues. Femina Motacillae 
»erythrogastrae coloribus etiam multum aemulatur Motacillam 
»oenanthem et cum eadem magnitudine convenit, qua Phoenicurum 
»nonnihil superat. Moribus et vitae genere Motacilla erythrogastra 
» aves congeneres imitatur: cursitat ad fluviorum ripas; arbusculis 
»insidens caudam motitat inquietissima, attamen non timida; volans 
»pipit more Motacillae albae; mas feminae strenuus custos et comes 
»fidelis; insectis victitat, pullosque, in nidis herbaceis inter Hippo- 
» phaës ramos, cujus baccas etiam appetit, tuto occultatos enutriunt. 
» Migratoria avis nostra per aestatem habitat cum Loxia rubicilla 
»ad alveos glareosos torrentium Gaucasicorum, quos, hyeme insec- 
»tis infesto superveniente, fine Octobris deserit, clima mitius, 
»insectis pro cibo abundans, austrum versus quaesitura. Figura 
»tabulae XVI. sistit marem et figura tabulae XVII. feminam Mota- 
»eillae erythrogastra magnitudine, figura et colore naturali. Ad 
» maris descriptionem accedam. | 

» Rostrum triquetro-subulatum; apice subincurvo, integerrimo; 
»colore atro; a fronte quinque, a rictu octo linearum longitudine. 
» Vibrissae ad rietum detritae. In cavitate oris lutea lingua bifida. 
» Nares bäsilares, rotundae, perviae. Oculi fusci. 

» Vertex usque in nucham et alarum speculum alba, fuliginoso- 
»sordida; capistrum, gula, genae et tempora, collum et inter- 
»scapulium aterrima; pectus et totum corpus subtus atque crissum 
» utrinque intense castanea. 

» Alae complicatae ultra medietatem caudae vix procedentes, 
»aterrimae, speculo albo quadratico, quod remiges 3—10, quae 
»medio albae sunt, efficiunt. 

»Gauda tres pollices et duas lineas longa, integra, rectricibus 
»duodecim uropygio concoloribus. 

» Femora usque ad genu plumosa, abdominis colore tincta, sed 
»ipso genu atro; tibiae et digiti, quorum tres antici et inter se 
»liberi, quartus posticus nigri coloris; ungues incurvi, acuti, sub- 
»aequales, digitis concolores. 

»Longitudo totius aviculae extensae a rostri apice ad caudae 
»extremum septem pollicum. 

»De femina dicenda habeo sequentia ; rostrum et pedes atra, ut 
»in mare; crissum et cauda castanea ut in mare, sed dilutiora , 
»apicibus rectricum et intermediüs duobus rectricibus totis fusces- 
» centibus ; reliqua tota quanta avis cinerea, supra intensior, infra 
» dilutior et in abdomine cum aliqua ruffescentis mixtura; magnitudo 
»cum mare eadem.” 


Wir entnehmen aus der Abbil- Nous avons emprunté de la fi- 
dung noch folgende Ausmessun- | gure de cette espèce, les mesures 
gen, die wir, wie Güldenstädt, | suivantes, exprimées, comme l’a 


64 


‚nach englischem Maasse angeben. 


Länge des Flügels ....4 11 
» » Laufes FOUT TRS RR >) 
» der Mittelzehe . . . O0 8 
» » Hinterzehe . . O 5 


_ Es erhellt aus obigen Angaben, 
dass dieser Vogel in mehr als 
einer Hinsicht von MOTACILLA 
AUREORA, Pallas, abweicht, 
welche bis jetzt bloss im östlichen 
Sibirien und Japan gefunden , und 
daher mit Unrecht unter die 
europäischen Vögel aufgenom- 
men wurde. Letztere Art unter- 
scheidet sich von Motacilla ery- 
throgastra, Güldenstädt , durch 
folgende drei Hauptpunkte: 1) 
die beiden mittelsten Steuerfe- 
dern sind schwarz und nicht 
braunröthlich; 2) der weisse 
Spiegel der Flügel ist auf die 
Schwungfedern zweiter Ordnung, 
also auf die zehnte bis achtzehnte 
beschränkt, während er bei M. 
erythrogastra die dritte bis 
zehnte Schwungfeder erster Ord- 
nung einnimmt; 3) ist M. aurorea 
bedeutend kleiner , wie folgende 
Ausmessungen, eines von Pallas 
aus dem östlichen Sibirien mit- 
ebrachten, in unserer Sammlung 
sich befindlichen Exemplares, 
zeigen. 


| Engl. Maass. 
Ganze Länge . . . 6 Zoll. O Lin. 
Länge des Flügels . 3 » 1» 

» des Schwanzes 2 » 8» 

» des Laufes . . . 0 » 11 » 
-» der Mittelzehe . O0 » 6» 

» der Hinterzehe. O0 » 3» 


fait Güldenstädt, en pouces an- 
glais. 

Pouces. Lign, 

Longueur des ailes . . . . 4 11 

» . dutarse tr) tte 

» du doigt de milieu O0 8 

» du pouce. . ... 0 5 


On voit par les détails que nous 
venons de donner sur cet oiseau, . 
qu’il s’éloigne sous plusieurs rap- 
ports de la MOTACILLA AUREORA 
de Pallas, espèce seulement ob- 
servée jusqu’ à présent, dans la 
Sibérie orientale et au Japon, et 
que l’on a introduite à tort parmi 
les oiseaux d'Europe. Cette es- 
pèce se distingue facilement de 
la Motacilla erythrogastra par 
les caractères suivans ; 1) les deux 
pennes mitoyennes de la queue 
sont noires et non pas d’un brun- 
rougeätre; 2) le miroir blanc des 
ailes occupe les rémiges secon- 
daires, c’est-à-dire la dixième 
et les suivantes jusqu’ à la dix- 
huitième, tandis qu’il occupe dans 
la Mot. erythrogastra, la 3° 
et les suivantes jusqu’ à la 10me 
des rémiges primaires; 3) M. au- 
rorea est d’une taille beaucoup 
moins forte, comme on peut le 
voir par les mesures suivantes 
prises sur un individu cédé à Mr. 
Temminck par Pallas lui-même, 
qui l’a recueilli dans la Sibérie 
orientale. Ä | 

Mes. angl. 
Longueur totale . ... 6" 0 

» tdessailes . ETC RENNES 

» de la queue :.1:002008: 

». duitarse eis 

» du doigt de milieu. 0 6 

» dupouce .....0 3. 


(59) LUSCIOLA COERULECULA, 

scheint sich zwar von Z. cyane- 
cula nur durch den rothbraunen 
Mittelfleck der blauen Gurgel zu 
unterscheiden; da aber diese Fär- 
bung bei allen in Russland und 
Sibirien beobachteten Exempla- 
ren standhaft vorkommen soll, 
so müssen diese als eine Lokal- 
varietät bildend, betrachtet wer- 
den. 


(60) SAXICOLA SALTATRIX. 
‘Siehe die Kennzeichen dieser Art 
bei Ménétries, und Keyserling 
und Blasius. Sie scheint, wie 
Sax.oenanthe, individuell in der 
Grösse bedeutend abzuweichen. 
Folgende Beschreibung ist nach 
einem solchen kleineren Indivi- 
duum aus Griechenland gemacht. 


Form des Schnabels und des 
Schwanzes, Füsse, gegenseitiges 
Verhältniss derSchwingen, wie bei 
Sax. Oenanthe; aber die Färbung 
verschieden, und die unteren 
Deckfedern. der Flügel weiss, 
ohne schwarze Schuppenflecke. 


. 6" 6" 
8 6 


Ganze Lünge . . .. 
Länge der Flügel . . . 
des Schwanzes . .. 
des Laufes. . . . 
der Mittelzehe . . . 
des Nagels derselben 
der Hinterzehe ... 
des Nagels derselben 
des Schnabels . . . . 


y 


YO S NM VIA 


Erste Schwinge so lang als die 
vierte der grossen äusseren Flügel- 


65 


deckfedern; zweite ein wenig län- 


ger als die fünfte Schwinge; dritte 
2. 


(59) LUSCIOLA COERULECULA , 
On dit que cette race qui rem- 
place le gorge-bleu ordinaire 
en Russie et en Sibérie, s’en dis- 
tingue constamment par sa gorge 
ornée au centre d’une tache d’un 
brun rougeätre. C’est en faveur 
de cette différence que nous l’a- 
vons introduite, dans notre ou- 
vrage, comme race locale. 


(60) SAXICOLA SALTATRIX. 
Voyez pour les caractères de cet- 
te espèce, les ouvrages de Me- 
netries, et de Keyserling et Bla- 
sius. Sa taille parait varier in- 
dividuellement, comme cela a 
aussi lieu dans la Sax. oenanthe.. 
Nous avons emprunté la descrip- 
tion suivante à un individu de 
petite taille, originaire de la 
Grèce. 

Formes du bec, pieds, pro- 
portions respectives des rémiges 
comme dans le traquet moteux; 
mais teintes du plumage differen- 
tes et couvertures inferieures des 
ailes, blanc sans bordures noires. 


Longueur totale. . .. 

» des ailes. . . .. 
de la/queiie 1.10 
datanse Irma, 
du doigt de milieu 
de l’ongle de ce doigt 
du pouce . si LE 
de l’ongle du pouce 
du Lee À h 


» 


Première rémige d’egale lon- 
gueur que la quatrième des gran- 
des couvertures externes des ai- 
les; deuxième rémige un peu 

5 


am längsten, vierte kaum merk- 
lich kürzer als diese, beide 
auf der Aussenfahne deutlich 
verengt. Füsse kräftig. Nägel der 
Vorderzehen wenig gekrümmt, 
der der Hinterzehe gross und 
stärker gebogen. Füsse braun- 
schwarz. Schnabel schwärzlich 
hornfarben. Obertheile bis zum 
Bürzel graubräunlich mit isabell- 
farbenem Anfluge. Schwingen 
dunkler: die zweiter Ordnung 
und die beiden letzten erster Ord- 
nung mit weissgelblichem Aus- 
senrande und Spitzensaume; die 
Schwingen erster Ordnung, von 
der sechsten an, am Aussenrande 
weisslich gesäumt. Alle Schwin- 
gen am Innenrande mit breitem 
weissem Saume, der sich aber ge- 
gen die Spitzen der grossen 
‚Schwingen verliert. : Schwingen 
auf der Unterseite viel blässer. Un- 
tere Flügeldeckfedern weiss; die 
‘grossen mit einem blassgrauen 
Fleck inder Mitte. Steuerfedern an 
der Wurzelhälfte weiss, an der 
Endhälfte schwärzlich braun ; die 
beiden mittelsten bis zwei Drittel 
ihrer Länge schwärzlich braun. 
Alle Untertheile des Körpers aus- 
ser der Bauchmitte, die rein 
weissist, weiss, mit isabellfarbi- 
gemAnfluge; leztere Farbe nimmt, 
auf den Seiten des Rumpfes und 
zumal auf der Vorderbrust, 
den Seiten des Halses und auf der 
Ohrgegend, die Oberhand. Au- 
genkreis weiss. Ein weisslicher 
Streif zieht sich auf jeder Seite 
des Kopfes, von denNasenlöchern 
über das Auge, bis an das Ende 
der Ohrgegend hin. 


66 


plus longue que la cinquième ; 
quatrième rémige, un peu plus 
courte que la troisième qui est 
la plus longue de toutes; toutes 
les deux rétrécies à la barbe 
externe. Pieds robustes; ongles 
des doigts antérieurs, faiblement 
courbés; celui du pouce, assez 
grand et plus fortement arqué. 
Pieds d’un brun noirâtre. Bec 
noirâtre couleur de corne. Par- 
ties supérieures jusque vers le 
croupion, d’un gris brunätre 
nuancé de couleur isabelle. Re- 
miges plus foncées; les rémiges 
secondaires ainsi que les deux der- 
nieres des primaires, bordées de 
blanc jaunätre à la barbe exté- 
rieure et à l’extrémité; rémiges 
primaires depuis la sixième, à 
barbe extérieure blanchätre. Les 
barbes internes de toutes les ré- 
miges, à bord blanc large qui 
se perd vers l'extrémité des pen- 
nes. Face inférieure des rémiges, 
beaucoup plus pâle que la su- 
périeure. Couvertures internes 
des ailes blanches; celles du pre- 


mier ordre, ornées au centre d’une 


tache d’un gris pâle. Moitie ba- 
sale de la queue, noire; l’au- 
tre moitié, brun noirätre; cette 
teinte foncée occupe deux tiers 
de la longueur des deux pen- 
nes mitoyennes. Parties inféri- 
eures du corps, blanc nuancé 
de couleur isabelle, particulière- 
ment sur les flancs, sur les par- 
ties supérieures de la poitrine, 
sur les côtés du cou, ainsi que 
sur la région des oreilles. Milieu 
de l’abdomen, d’un blanc pur. 
Tour des yeux blanc. Une raie 
blanchâtre s'étend de chaque 
côté de la tête, depuis les nari- 


“ir. 


(61) SAxICOLA AuRITA, von 
Keyserl. u. Blas., p. LIX, nach 
dem Beispiele Bonelli’s , Marmo- 
ra’s, Calvi’s und Savı’s , mit Sax. 
stapazina vereinigt, weicht von 
‚dieser Art nicht allein durch 
eine verschiedene Färbung, son- 
dern auch durch kürzere Fuss- 
wurzeln ab. Selbst @loger, 
Handb., p. 194 hält diese beiden 
Arten für verschieden, und Du- 
razzi, Ucelli liguri, p. 41, hat 
sich neuerlich bestimmt für diese 
Meinung erklärt. 


(62) SAXICOLA LUGENS, Zich- 
tenst., Catal., p. 33, no. 364, 
aus Nubien, im Manuel, III, p. 
166, als Sax. leucomela beschrie- 
ben, weicht von Sax. leucomela, 
Pallas, aus Russland durch nichts 
als den kaum merklich stärke- 
ren rostfarbenen Anflug der un- 
tern Schwanzdeckfedern ab. Ein 
von Pallas selbst eingeschicktes 
Exemplar der Sax. leucomela 
wird jetzt noch im Leidner Mu- 
seum aufbewahrt. Nach von der 
Mühle, p. 76 u. 77, stimmen die 
in Griechenland geschossenen 
Elsternsteinschmätzer mit Sax. 
lugens überein, die daher ohne 
Zweifel als identisch mit Sax. 
leucomela zu betrachten ist. 


67 


nes, au-dessus des yeux, jusqu’à 
l'extrémité de la région des oreil- 
les. 


_(61) saxıcorA aurıra. M.M. 
Keyserling et Blasius, p. LIX, 
en imitant l’exemple de Calvr et 
de Savz, ont réuni cette espèce 
à la Saxicola stapazina; elle 
s’en distingue cependant non-seu- 
lement par des modifications dans 
la distribution des teintes, mais 
aussi par des tarses moins élevés. 
Gloger lui-même, Handb., p.194, 
sépare ces deux espèces, et Du- 
razzi s’est également prononcé 
en faveur de cette opinion dans 
son opuscule publié récemment, 
sous le titre de Catalogo degli Üe- 
celli liguri, p. Al. 


(62) SAXICOLA LUGENS, Lich- 
tenst., Catal., p. 33, no. 364, 
de la Nubie, décrite dans le Ma- 
nuel, III, p.166, sous le nom 
de Saxzcola leucomela, Pallas, 
ne se distingue de cette derniere 
espece, qui habite la Russie, que 
par des couvertures inférieures 
de la queue un peu plus forte- 
ment nuancées de brun ferrugi- 
neux. Un individu du véritable 
Traquet leucomèle a été cédé 
autrefois à Mr. Temminck par le 
professeur Pallas; ıl fait actuel- 
lement partie du Musée des Pays- 
Bas. Les individus du Traquet 
leucomele, tués en Grèce par 
Mr. von der Mühle, (voyez p. 76 
et 77 de son ouvage), ne se 
distinguant en rien de la Saxt- 
cola lugens, il est évident que 
cette soi-disant espèce est iden- 
tique avec le Traquet leucomèle. 


"68 


(63) MOTACILLA LUGUBRIS, 
Temm., Man., III, p. 175; 
Gould, Birds of Europe, Pl. 
142; Motacilla albeola, var. 
Camtschatcae, Pallas, Zoogr. 
TI, p. 507 (Nota), ist eine durch 
ihre fast ganz weissen Schwin- 
gen ausgezeichnete Nebenart der 
weissen Bachstelze, die bis jetzt 
nur in Kamtschatka , auf den Ku- 
rilen und in Japan beobachtet, 
und also irriger Weise als euro- 
päischer Vogel aufgeführt wurde. 
Man kann dieser Nebenart den im 
Manuel, III, p. 620, vorge- 
schlagenen Namen, Mofacilla 
dugens, lassen. 


(64) Keyserl. u. Blasius, p 
AXLIX, n°. 176, halten die 
MOTACILLA CAMPESTRIS, Pal- 
las, Zoogr., I, p. 504, n°. 138, 
für identisch mit der englischen 
gelben Bachstelze. Pallas be- 
schreibt aber offenbar unter die- 
sem Namen einen jungen Vogel 
mit dem Halskragen, weshalb 
seine Mof.campestris eben so gut 
zur gemeinen als zur englischen 
gelben Bachstelze gezogen wer- 
den kann. Sundevall, K. Vet. 
Acad. Hand., Stockh. 1842, p. 
47, fügt zu den bekannten Va- 
rietäten der gelben Bachstelze, 
noch eine Mor. flava suecana 
und Hot. flava borealis e Lappo- 
nia. Nach Graf von der Mühle, 
p. 60, ist die grauköpfige gelbe 
Bachstelze, welche in Rumelien 
brütet und die Morea im Winter 
besucht, ausser einer etwas leb- 


| nca. Mr. von der Mühle, 


hafteren Färbung, ganz den in 


(63) MOTACILLA LUGUBRIS, 
Temm. Man. , III, p. 175; Gould, 
Birds of Europe, P!.142; Mo- 
facilla albeola var. Camtschat- 
cae, Pallas, Zoogr., I, p.507 _ 
(note), forme une espèce ou ra- 
ce voisine de la Bergeronnette gri- 
se, mais qui s’en éloigne con- 
stamment par ses remiges pres- 
que entierement d’un blanc pur, 
et qui n’a été observée jusqu’à 
présent qu’au Gamtschatka, aux 
îles Kouriles et au Japon. Il 
résulle de ces données, que 
c'est à tort que l’on a énuméré 
cette race comme faisant partie 
de la faune d'Europe. M. Tem- 
minck, Manuel, III, p. 620, 
l’a désignée sous le nom de Mo- 
tacilla lugens. 


(64) M.M. Keyserling et Bla- 
sius, p. ÂLIX, n°. 176, sont 
d’opinion que le MoTacıLLa 
CAMPESTRIS, Pallas, Zoogr., 
I, p. 504, n°. 138, est identi- 
que avec la Bergeronnette jaune 
d'Angleterre. Cependant, en con- 
sultant la description de Pallas, 
on voit à l'évidence qu’il a dé- 
crit, sous le nom de #of. cam- 
pestris, un jeune individu à col- 
lier foncé, que l’on ne peut rap- 
porter avec certitude à aucune 
des deux races de Bergeronnettes, 
dites à tête jaune et à tete grise. - 
Sundeval ajoute aux variétés dé- 
ja connues de la Bergeronnette 
jaune, deux autres variétés, l’une 
de la Suède, l’autre de la Laponie ; 
voir lesMém. del Ac.deStockholm, 
1842, p. 47: Mot. flava suecana 
et Mot. flava borealis e Lappo- 
p.60, 
constate que la Bergeronnette de 


Deutschland lebenden Individuen 
ähnlich. Ausser dieser Abart 
kommt noch in Griechenland die 
schwarzköpfige gelbe Bachstelze 
vor, die sich nach von der Mühle, 
standhaft, nicht nur durch die 
Färbung ihres Kopfes, sondern 
auch durch einen etwas gestreck- 
teren Körper, so wie einen länge- 
ren, stärkeren und ganz schwar- 
. zen Sehnabel,, unterscheidet. 


(65) Riss, !.c.,p.36,n°.50, 
sagt, dass TURDUS BARBARICUS, 
Gmel., bei Nizza auf dem Zuge 
vorkomme. Da ich nicht enizif- 
fern kann, welcher Vogel damit 
gemeint ist, so sehe ich mich 
genöthigt, diese Angabe unbe- 
rücksichtigt zu lassen. 

Schinz, Europ. Fauna, I, 
p. 163, sagt, dass TURDUS RU- 
FUS, Brisson, aus Nordamerika, 
in England geschossen worden 
seyn soll, ohne die Quelle anzu- 
geben, woher er diese Nachricht 
hat. Da auch uns diese Quelle 
unbekannt ist, so können wir 
auch diese Angabe nicht berück- 
sichtigen. 

TURDUS SIBIRICUS, Pallas, 
It., II, app., n°. 10; Turdus 
leucocillus, Pallas, Zoogr., I, 
p- 450 , im Manuel, III, p. 398, 
nach einem, von Pallas aus der 
Krimm eingeschickten Exemplare, 
irrig als in Russland vorkommend, 
aufgeführt, findet sich, nach Pal- 
las eigenen Angaben, nur im öst- 
lichen Sibirien, und muss daher 
aus der Reihe der europäischen 
Vögel gestrichen werden. Diese 


69 


printems à tête grise, niche en Ru- 
mélie, qu’elle visite en hiver la Mo- 
rée, et qu’elle ne se distingue des 
individus du centre de l’Europe 
que par des teintes plus vives. 
La Bergeronnette de printems à 
tête noire, qui habite également 
la Grèce, se distingue suivant Mr. 
von der Mühle, des races voisi- 
nes, non-seulement par les tein- 
tes de sa tête, mais aussi par 
des formes plus élancées ainsi 
que par un bec plus long, plus 
fort et teint d’un noir uniforme. 


(65) TURDUS BARRARICUS, 
Gmel., fréquente, suivant Risso,, 
l. c.,p. 86, n°. 50, les environs 
de Nice lors de l’époque de la 
migration. Je passe sous silence 
cette espèce douteuse, dont je 
n’ai pu me former une idee pré- 
cise. 

Schinz, L. c., p. 163, prétend 
que l’on a observé en Angleterre 
le TURDUS Rurus de Prisson, 
originaire de l'Amérique du nord. 
Comme il a négligé d'indiquer la 
source où il a puisé cette notice, 
je n'ai pas cru devoir adopter cet- 
te espèce parmi celles obser- 
vées en Europe. 


TURDUS SIBIRICUS, Pallas, 
Voyage, II, app. n°. 10; Tur- 
dus leucocillus, Pallas, Zoogr., 
I, p. 450, introduit dans le Ma- 
nuel, Ill, p. 398, parmi les 
oiseaux d'Europe, d’après un in- 
dividu envoyé par le professeur 
Pallas lors de son séjour en Cri- 
mée, n’habite, selon les indica- 
tions de ce savant même, que la 
Sibérie orientale. Il convient, 
d’après ce que nous venons de 


Art scheint übrigens im grössten 


“ Theile des südlichen und ôstli- 


chen Asiens häufig vorzukommen. 


(66) TURDUS SOLITARIUS. 
Naumann, Il. c., führt diesen 
Vogel unter dem Namen Turdus 
minor, Lath., nach einem am 
22 Dec. 1825 im Herzogthume 
Anhalt-Kôthen gefangenen Ex- 
emplare auf. Seiner Beschreibung 
zufolge gehört aber dieser Vogel 
nicht zu TZurdus minor, sondern 
zu Turdus solitarius, Wilson. 
Naumann erwähnt diesen Vogel 
auch in Wiegmann, Archiv. , 


1838, 7, p. 372. 


(67) TURDUS AUROREUS. Glo- 
ger führt als zu dieser Art gehö- 
rig, eine in Schlesien erlegte Dros- 
sel auf, und zieht als jungen 
Vogel, Naumann’s Turdus Bech- 
steinit jun. dazu. Ob diese bei- 
den Vögel wirklich zu T. auro- 
reus, Pallas, gehören , den wir 
nicht in der Natur gesehen ha- 
ben, müssen fernere Untersu- 
chungen lehren. Jedenfalls wäre 
es wünschenswerth, dass eine 
gute Abbildung des ın Schlesien 
gefangenen alten Individuums be- 
kannt gemacht würde. 


(68) TURDUS wuırn und T. 
varıus. Zwei in Färbung sich 
volkommen ähnliche, aber ın den 
Schnabel- und Flügel-Verhältnis- 
sen standhaft abweichende Arten. 


70 


dire, de rayer du cataléguetdes 


oiseaux d'Europe cette espèce, 
qui parait se trouver dans la 
plus grande partie de l’Asie mé- 

ridionale et orientale. | 


(66) TURDUS SOLITARIUS. 
L’individu de cette espèce, tué 
le 22 Décembre 1825 dans le du- 
ché d’Anhalt-Köthen, a été décrit 
par Mr. Naumann, [. e., sous le 
nom de Turdus minor, Latham. 
Mais en comparant cette derniere 
espèce à la description de Mr. 
Naumann, on voit à l’évidence 
que cet individu est identique avec 
le Turdus solitarius de Wilson. 
Naumann fait aussi mention de 
cet individu dans le journal pu- 
blié par Wiegmann, année 1838, 


I, p. 372. 


(67) TURDUS AUROREUS, @lo- 
ger rapporte comme appartenant 
à cette espèce un individu d’une 
grive tuée en Silésie; la grive 
décrite par Naumann comme 
le jeune du Turdus Bechsteinii, 
est selon Gloger, le jeune du 
Turdus auroreus. N’ayant pas 
vu en nature cette espece, nous 
adoptons les vues de Mr. Gloger, 
jusqu’à ce que de nouvelles re- 
cherches viennent prouver le con- 
traire. En tout cas, il serait à 
désirer que quelque naturaliste 
voulüt se charger de publier 
une figure exacte de l'individu 
tué en Silésie. 


(68) TURDUS wırnu et T. 
vAarıUs. Ces deux espèces, quoi- 
que tout à fait semblables entre 
elles par leurs couleurs, se dis- 
tinguent cependant par les pro- 


Turdus aureus, Holandre, von 
Schinz, l. c., p. 161, nach einem 
im Sept. 1788 bei Metz erlegten, 
und in der Sammlung dieser Stadt 
aufbewahrten Individuum aufge- 
führt , gehört offenbar zu einer 
der beiden erwähnten Arten; zu 
welcher jedoch , lässt sich nach 
der Beschreibung nicht ermitteln.. 


(69) 
Temm., I, p. 177 und III,p. 
107; Gould, Pl. 85; Sturnus 
cinclus , var., 
I, p. 426, !. 10, kommt nach Pal- 
las nur am Baikal See, in Kamt- 
schatka und auf den benachbar- 
ten Inseln vor. Unsere Reisenden 
brachten diese einfärbig braun- 
schwarze Art von Japan mit. 
Sie muss daher aus dem Verzeich- 
nisse der europäischen Vögel ge- 
strichen werden. 


(70) cıncLUS aquarTicus. Es 
ist bis jetzt noch nicht erwiesen , 
ob der schwarzbäuchige Was- 
serschwätzer, Cinclus ling: 

aster, brehm , Lehrbuch, p. 
289; Gould, PI. 84, als zufäl- 
lige, oder als standhaft nach der 
Localität verschiedene Varietät 
vom gemeinen Wasserschwätzer 
betrachtet werden muss. Wir 
können ihn daher vorläufig noch 
nicht als selbstständig aufführen. 


(71) Ein von Herrn Cantraine 


in den pontinischen Sümpfen ge- 
sehener, etwas grösserer und 
lebhafter gefärbter Zaunkönig 


CINCLUS PALLASIEH ,. 


Pallas, Zoogr. ,. 


71 


portions diverses du bec et des 
ailes. Il est évident que le Tur- 
dus auroreus, Holandre, intro- 
duit par Schinz, Lie.,1p. 16h, 

d'après un indiyidu tue en 1788 
pres de Metz et conservé au Mu- 
seum de cette ville, appartient 
à l’une des deux espèces dont 
nous venons de parler; mais il 
est impossible de constater à la- 
quelle de ces deux espèces ıl 
se rapporte, vu la description 


incomplète que l’on en a donnée. 


(69), ciNCLUS PALLASH, 
Temm., Man., I,p. 177 et IIT, 
p. 107; Gui, PI. 85; Sturnus 
eine var. Pallas, Zoogr. , À, 
p. 426, 4 10, ne se trouve, sul- 
vant les indications de Pallas, que 
sur les bords du lac Bakal, au 
Kamtschatka et sur les iles voi- 
sines. Nos voyageurs ont rencon- 
tré cette espèce au Japon. C’est 
donc à tort qu'on l’a indiquée 
comme faisant partie de la faune 
d'Europe. - 


(70) CINCLUS AQUATICUS, On 
sait qu’il existe, en Europe, une 
variété de cette espèce, recon- 
naissable à son ventre noir; mais 
on ignore si cette variété ne se 
trouve qu'accidentellement ou si 
elle forme une race constante, 
propre à certaines localités. L’in- 
certitude qui règne à cet égard 
ne nous permet pas d'introduire 
cet oiseau sous une épithète par- 
ticulière, 


(71) Mr. Cantraine, ayant vu 
lors de ses excursions dans les 
marais Pontins un Troglodyte, 
qui lui a paru étre de plus for- 


pi 5 


als die gemeine Art, hat An- 
‚leitung zu der Frage gegeben, 
ob sich im südlichen Europa, 
eine zweite, dem TROGLOD. 
FUMIGATUS aus Japan ähnlı- 
che Art Zaunkönig finde. Siehe 
Manuel, III, p. 160. — Küs- 
ter, Isis, 1835, p. 225, be- 
schreibt dagegen den sardinischen 
Zaunkönig als dunkler von 
Farbe, als die Zaunkönige des 
übrigen Europa’s. 


(71bis) REGULUS MODESTUS. 
Hancock, Ann. of Nat. Hist., 
1838, p.310, erwähnt eines, am 26 
Sept. 1838, an den Küsten Nord- 
humberlands geschossenen Gold- 
hähnchens, und betrachtet es, als 
zu dieser Art gehörig, die übri- 
gens in mehreren Hinsichten von 
den übrigen Arten abzuweichen 
scheint. Ich habe diesen Vogel nie 
gesehen. 

(72) Die Angabe, dass PARUS 
BICOLOR, Linn., aus Nordame- 
rika, im Norden Europa’s vorkom- 
me, beruht auf älteren, unzuläs- 
sigen Mittheilungen. Gould sagt 
zwar von dieser Artin den Birds 
of Europe: »we have seen 
»specimens, which were un- 
» doubtetly killed in Russia” ; da 
aber weder Nilsson, noch Pal- 
las, noch irgend ein anderer nor- 
discher Naturforscher von dieser 
Art spricht, so glauben wir uns 
gerechtfertigt , wenn wir sie 
erst dann als europäisch auffüh- 
ren, wenn genügendere Nach- 
richten über ihr Vorkommen in 
unserem Welttheile vorliegen. 


te taille et peint de teintes plus 
vives que le Troglodyte ordinai- 
re, on a supposé qu'il pourrait 
se trouver dans l’Europe méridio- 
nale, une seconde espèce de 
Troglodyte, voisine du TRO6LO- 
DYTES FUMIGATUS du Japon, 
décrit dans le Manuel, III, p. 
160. — Küster, Isis, 1835, p. 
225, pretend au contraire que 
les Troglodytes de la Sardaigne 
offrent des teintes plus foncées 
que ceux qui habitent les autres 
parties de l’Europe. 


(71bis) REGULUS MODESTUS. 
Hancock, Ann. of Nat. Hist., 
1838, p. 310, fait mention d’un 
roitelet tué le 26 Sept. 1838 sur 
la côte du Nordhumberland; il 
le regarde comme appartenant 
au Roitelet bâtard, qui paraît s’e- 
loigner sous plusieurs rapports, 
des autres espèces du genre. Nous 
n'avons pas vu cet oiseau ennature. 


(72) PARUS BICOLOR, Linne. 
iln’existe pas d'indication authen- 
tique que cette espèce américai- 
ne ait été observée dans le nord 
de l'Europe. Il est vrai que Mr. 
Gould, en parlant de cette mé- 
sange dans son grand ouvrage 
sur les oiseaux d'Europe, prétend 
en avoir vu des individus tués 
en Russie; mais comme elle n’a 
été observée ni par Nilsson, ni 
par Pallas ou par les autres na- 
turalistes du nord, nous nous 
croyons autorisés d’omettre cet 
oiseau dans notre énumération, 
et d'attendre, avant de l’adopter 
comme espèce européenne, des 
indications plus directes. 


DL 


(73) PARUS LUGUBRIS. Key- 


73 


serling u. Blasius, p. XLIIT, 


n°. 139 , Anmerk. , scheinen diese 
Art weder in der Natur noch nach 
den Abbildungen gekannt zu ha- 
ben; denn sonst würden diese 
genauen Untersucher sie gewiss 
nicht zu Parus sibiricus gezo- 
gen haben. Durch dieses Beispiel 
irre gemacht, hat auch Ch. Bo- 
naparte den Par. lugubris, der 
doch in mehreren Werken sehr 
gut abgebildet ist, in seinem C«- 
Zalogo nicht aufgeführt. 


(73bis) De Selys Longchamps 
beschreibt im Bulletin de l' Acad. 
de Bruxelles, Tome X, n°. 7, 
unter dem Namen PARUS Bo- 
REALIS, eine Meise, welche sich 
von Par. sibiricus nur durch 
einen schwarzen Kopf und die 
weisse Farbe der Seiten des Kör- 
pers unterscheiden , ihre Stelle 
ın Island vertreten, aber auch in 
Norwegen vorkommen soll. 


(74) Ch. Bonaparte, List, p. 
11, n°. 73, führt unter dem Na- 
men CERTHIA NATTERERI, einen 
neuen Baumläufer aus Dalmatien 
auf, den er aber in seinem späler 
erschienenen Catalogo selbstnicht 
wieder aufnimmt. 


_ (74bis) CORVUS CORORNE. Die- 
se Art nistet bekanntlich auf Bäu- 
men. Es ist dies auch der Fall 
in Holland, mit Ausnahme der- 
jenigen Individuen, welche die 
Seedünen bewohnen ‚,. und die, 
aller Regel zuwider ‚ihr Nest auf 
dem Boden anlegen. 


(73) parus LUGUBRIS. M. M. 
Keyserling et Blasius, p.X LTIT, 
n°. 139, ont mal à propos réuni 
cette espèce au Parus sibiricus. 
Cette méprise de la part de ces 
naturalistes provient probable- 
ment de ce qu'ils n’ont pas vu 
l'espèce en nature, et qu’ils ont 
négligé de consulter les figures 
qu'on en trouve dans plusieurs 
ouvrages. Ch. Bonaparte, induit 
en erreur par cet exemple, n’a 
pas non plus adopté cette espèce 
dans son Catalogue. 


(73 bis) De Selys Longchamps 
vient de décrire dans le Dulle- 
tin de l'Académie de Bruxelles, 
vol. X, n°. 7, sous le nom de 
PARUS BOREALIS, une mésan- 
ge de l'Islande, qui ne se distin- 
gue du Parus sibiricus que par 
sa calotte noire et la couleur elai- 
re des flancs. Elle doit se trou- 
ver egalement en Norwege. 


(74) Ch. Bonaparte, List, p. 
11, no. 73, fait mention d’une 
nouvelle espèce de grimpereau, 
originaire de la Dalmatie, et qu’il 
désigne sous le nom dé CERTHIA 
NATTERERI; mais il omet cet 
oiseau dans son Catalogue pu- 
blié récemment. 


(74 bis) CORVUS CORORNE. On 
sait que cette espèce niche sur 
des arbres. Il en est de même en 
Hollande ; mais les individus qui 
fréquentent nos dunes, font con- 
stamment leur nid à terre. 


74 


(75) CORVUS MONEDULA NI- 
GA. Wir haben diesen Vogel 
nicht in der Natur gesehen, und 
können daher nichts Näheres 
über denselben mittheilen. 


(76) GARRULUS GLANDARIUS 
MELANOCEPHALUS scheint vom 
gemeinen Heher nur durch die 
grösseren schwarzen Flecke der 
Kopffedern -abzuweichen. Wir 
erhielten ein Exemplar von Pe- 
tersburg unter dem Namen Gar- 
rulus tliceti! vom Kaukasus. Graf 
von der Mühle, p. 52, traf in 
Griechenland nur den gemeinen 
Heher an. 


(77) ALAUDA BIFASCIATA. Das 
von Gould abgebildete Exem- 
plar aus Spanien ist dunkler ge- 
färbt und ın allen Theilen etwas 
grösser als ein anderes Exemplar 
unserer Sammlung aus Nubien, 
welches in den Planches colo- 
riées 393 abgebildet wurde. Die 
Abbildung eines von ARäppell, 
Atlas, Tab. 5, p. 8, aus dem 
nordöstlichen Afrika emgeschick- 
ten Exemplares, stimmt in der 
Grösse mit dem Exemplare aus 
Spanien, in der Färbung mit dem 
aus Nubien überein. Die Exem- 
plare, welche Lichtenstein, Ver- 
zeichniss ‚1823, p.27, n0.285, 
beschreibt, wurden in Nubien 
erlegt, und scheinen die von 
Gould und Rüppell abgebildeten 
Exemplare an Grösse noch zu 
übertreffen. Es scheint daher die- 
se Art entweder in der Grösse 
individuell abzuändern, oder klı- 
matische Varietäten zu bilden. 


(75) CORVUS MONEDULA NI- 
GRA. N’ayant pas vu cet oiseau 
en nature, nous ne sommes pas 
à même d’en fournir des parti- 
cularites. | 


(76) GARRULUS GLANDARIUS 
MELANOCEPHALUS. Îl paraît que 
cet oiseau ne se distingue du geai 
ordinaire que par les taches noi- 
res plus grandes des plumes de 
la tete. Nous venons d’en rece- 
voir de la part du Musée de St. 
Petersbourg, sous le nom de 
Garrulus ileceti, un individu 
tué au Caucase. Mr. von der 
Mühle, p. 52, dit n’avoir ren- 
contre en Grèce que le geai or- 
dinaire. 


(77) ALAUDA BIFASCIATA. L'in- 
dividu de cette espèce, figuré 
par Gould est originaire de l’Es- 
pagne; il offre des teintes plus 
foncées et une taille plus forte 
qu’un autre individu tué en Nu- 
bie et représenté dans les P/an- 
ches color., 393. L’individu figure 
dans l'Atlas de Rüpell, Pl.5, p. 
8, est également originaire des 
parties orientales de l'Afrique sep- 
tentrionale; 1l est semblable par 
ses teintes à celui représenté dans 
les Planches color., mais sa taille 
est aussi forte que celle de l’in- 
dividu de l'Espagne. Mr. Zichten- 
tenstein a décrit, dans son C'a- 
talogue, 1823, p.27, n°. 285, 
des individus tués en Nubie, et 
qui paraissent même surpasser en 
grandeur ceux figures par Gould 
et Rüppell. Il parait résulter de 
ces données, ou que cette espèce 
est sujette à varier individuelle- 
ment, ou qu’elle présente, sui- 


Im ersten Falle wäre auch Alau- 
da desertorum, Stanly in Salt, 
voy., app., p. LÄ, hierherzu- 
zıehen, und der Art letzterer 
Name beizulegen. 


(78) ALAUDA DUPoNTIEL Wir 
haben diesen Vogel zwar nicht 
ın der Natur gesehen; indessen 
scheint derselbe doch eine eigene 
Art zu bilden, und nicht, wie 
Blas. u. Keyserling, p. AXXVI 
vermuthen, als monströse Ausar- 
tung zur gemeinen Feldlerche zu 
gehören. Man vergleiche mit die- 
ser Art Alauda ferruginea , von 
der Mühle, p. 35, Anmerkung , 
aus Griechenland. 


(79) Ch. Bonaparte, List, p. 
837,n0.249, und Icon. d. Fauna 
téal., Introd. all. Class.d. Ucelli, 
glaubt unter dem Namen ALAUDA 
CANTARELLA , eine kleinere Ne- 
benart der Feldlerche aus Italien 
unterscheiden zu müssen. 


Von der Mühle, p. 36, erwähnt 
ausser der gemeinen Feldlerche 
noch zweier Abarten dieser Art, 
welche er aus Griechenland mit- 
brachte. Ohne genaue Untersu- 
chung und Vergleichung der Ori- 
ginalexemplare lässt sich nicht 
bestimmen, in wiefern alle diese 
verschiedenen Arten und Abarten 
der europäischen Lerchen, als 
selbstständig zu betrachten sind. 


(80) azauDa KoLLyI, Tem- 
ninck , Pl. col. 305, fig. 1; 
Man. III, p.202, ist nur nach 


75 


vant les localités, des variétés de 
climat. Dans le premier cas, il 
conviendrait de retablir, pour 
designer cette espece, le nom 
d’Alauda desertorum , Stanley 
dans Salt, voyage, app. p. LX. 


(78) ALAUDA DuUPonTm. Nous 
n'avons pas vu cet oiseau, qui 
parait former une espèce bien 
établie et ne pas appartenir, 
comme le prétendent Keyserling 
et Blasius, p. AXXVI, comme 
variété monstrueuse à l’alouette 
ordinaire. Comparez à cette espe- 
ce l’alouette de la Grèce, indi- 
quée par Mr. von der Mühle, p. 
35, remarque, sousle nom d’ Alau- 
da ferruginea. 


(79) Ch.Bonaparte, List, p.87, 


n°. 249, et Zcon. d. Faun. ital. . : 


Introd. à la classe des oiseaux, 
prétend qu'il existe en Italie une 
espèce voisine de l’alouette ordi- 
naire, mais qui s’en distingue par 
une taille moins forte; ıl la dé- 
signe sous le nom d’aLaupa 
GANTARELLA. 

Mr. le comte von der Mühle, 
p. 36, fait mention, outre l’alou- 
ette ordinaire, de deux variétés 
de cette espèce recueillies par lui 
en Grèce. On voit par ces don- 
nées, que, sans avoir vu et soi- 
gneusement comparé les individus 
qui ont servi de type aux indi- 
cations sur les diverses espèces 
et races d’alouettes d'Europe, il 
est impossible de les admettre 
comme parfaitement établies. 


(80) ALAUDA KoLLyı, Temm., 
Pl. col. 305, fig. 1; Man. III, 
?. 202, espèce douteuse, établie 


einem verstümmelten, bei Dyon 
‚gefangenen Exemplare, aufge- 
führt, und scheint als Varietät 
zu Al. brachydactyla zu gehören. 

ALAUDA PISPOLETTA, Pal- 
las, Zoogr., I, p. 526, no. 154, 
aus dem südlichen Russland , von 
Ch. Bonap., List, p. 37, als ei- 
gene Art aufgeführt, gehört 
nach den Untersuchungen von 
Keyserl. u. Blas., p. XXXVIT, 
zu Al. brachydactyla. 


ALAUDA BIMACULATA, Me- 
nétr., Cat., p.37, n°. 82, von 
Ch. Bonap., List, .p. 37, no. 
255: Melanocorypha bimacula- 
ta, unter die europäischen Vö- 
gel aufgenommen, wurde von 
Ménétries nur im Süden des Kau- 
kasus, an der persischen Grenze 
beobachtet. 

Es scheint in Griechenland eine, 
der Alauda brachydactyla ver- 
wandte, neue Lerche vorzukom- 
men, die aber bis jetzt sehr un- 
vollkommen bekannt ist. Sie wur- 
de zuerst in der Expedition de 
Moree, III, p.52, als Abart der 
Alauda  brachydactyla aufge- 
führt. Keyserling u. Blasius , 
p. AXXVII, vermutheten schon, 
dass sie eine neue Art bilde. Graf 
von der Mühle, p. 37, erwähnt 
derselben auf’s Neue, und schlägt, 
wenn sie sich als Art bestätigen 
sollte, vor, sie PHILEREMOS 
MOREATICA zu nennen. 


(81) Ch. Bonap., List, p. 37, 
n°. 254, führt unter dem Namen 
PHILEREMOS SCRIBA, (rould, 


76 


d’après un individu mutilé, pris 
dans les environs de Dyon, paraît 
appartenir à l'espèce connue sous 
le nom d’Alauda brachydactyla. 

Il en est de même, suivant les 
observations de Keyserling et Bla- 
sius, p. XXAVII, de l’ALAUDA 
PISPOLETTA, Pallas, Zoogr.,1, 
p. 526, n°. 154, qui habite la 
Russie méridionale et qui a été 
indiquée comme espèce particu- 
lière par Ch. Bonaparte, List, 
p. 87. 

ALAUDA BIMACULATA, Jé- 
nétr., Cat., p. 37, n°. 82, in- 
scrite par Ch. Bonaparte, List, 
p. 37, n°. 255, dans le Catalo- 
gue des oiseaux d'Europe, sous 
le nom de Melanocorypha bima- 
culata, n’a été observée par Mé- 
nétries qu’au Sud du Caucase, 
près des frontières perses. 

Il paraît qu’il existe en Grèce, 
une alouette voisine mais différen- 
te del’. Alouette à doigts courts ; 
on n’en possède malheureusement 
jusqu’à présent, que des notions 
très-imparfaites. Elle a été indi- 
quee, dans l’ Expedition de Mo- 
ree, III, p. 52, comme variété de 
l'alouette à doigts courts. Key- 
serling et Blasius, p. XXX VIT, 
ont été les premiers à :supposer 
qu’elle pourrait bien former une 
espèce nouvelle. Le Comte von 
der Mühle, p. 37, en fait de 
nouveau mention, et propose 
de la désigner sous le nom de 
PHILEREMOS MOREATICA, Si 
son existence comme espèce a élé 
constatée d’une manière décisive. 


(81) Ch. Bonaparte, List, p. 
37, n°.254, introduit parmi les 
oiseaux d'Europe, sous le nom 


eine neue Lerche auf. Man wird 
uns entschuldigen, wenn wir ei- 
nen Vogel, von dem nichts als 
der Name bekannt ist, nicht auf- 
nehmen. 


(82) Schinz, I. c., p. 247, 
führt CANNABINA PALUSTRIS, 
Landbeck, als eigene Art auf, 
obgleich er sie selbst nicht für ver- 
schieden von Fring. flavirostris 
hält. 


(83) FRINGILLA BOREALIS, 
Roux, Orn. prov., I, p. 165, 
Pl. 101 et 102; Vieillot, Faune 
francaise, p. 84, soll nach de 
Selys-Longchamps , Faune Bel- 
ge, p. 72, n°. 58, von Fringilla 
canescens, mit welcher sie bis 
jetzt für einerlei gehalten wurde, 
verschieden sein. De Selys-Long- 
champs sagt von Fr. borealis : 


77 


de PHILEREMOS SCRIBA, Gould, 
une espèce d’alouette, que nous 
n’avons pas jugé convenable d’a- 
dopter, vu que l’on en ignore 
toutes les particularités, hormis 
le nom. 


(82) CANNABINA PALUSTRIS, 
Landbeck, figure dans l'ouvrage 
de Schinz, l. c. p. 247, sous un 
nom particulier, quoique Schinz 
lui-même la croit indentique avec 
la Fring. flavirostris. 


(83) De Selys-Longchamps , 
Faune Belge, p.72,n0.58, prétend 
que la FRINGILLA BOREALIS, 
Roux, Orn. prov., I, p. 165, 
Pl. 101 et 102; Vrerllot, Faune 
française, p.84 diffère par l’es- 
pece de la Frengilla canescens, 
avec laquelle on l’a cru identique 
jusqu'à present. Mr. de Selys- 
Longchamps s'exprime dans les 
termes suivaus sur la Fr. borealis. 


»Ce n’est probablement qu’ une race un peu plus forte du Zi- 
»naria. Îl ne faut pas confondre cette race ou espèce avec la F. 
»canescens qui en différe constamment en ce qu’elle a tout le crou- 
»pion d'un blanc pur en-dessus, une taille encore plus forte, la 
» queue très-longue et le fond du plumage blanc flammé de brun.” 


Ch. L. Bonaparte, List, p. 
34,n°.226, erwähnt einer LINOTA 
BREVIROSTRIS, Gould, ohne 
etwas Näheres über dieselbe anzu- 


geben. 


(83 bis) PASSER MONTANUS. 
Die auf Java und mehreren Inseln 
des indischen Archipels vorkom- 
menden Sperlinge gehören nicht 
zu Passer salicarius, sondern zu 
P. montanus, von welcher Art 


Ch. L. Bonaparte, List, p. 
34, n°. 226, fait mention d’une 
espèce appelée par Gould, xx- 
NOTA BREVIROSTRIS, Sans y 
ajouter la moindre indication sur 
les caractères de cet oiseau. 


(83 bis) PASSER MONTANUS, 
Les moineaux observés à Java et 
sur plusieurs autres iles de l’Ar- 
chipel des Indes forment une es- 
pece trés-distincte du Moineau 
a poitrine noire, mais que je ne 


ich sie wenigstens nicht zu un- 
terscheiden vermag. Nach Herrn 
S. Müller’s Mittheilungen kommt 
aber dieser Vogel ursprünglich 
nicht wild in Indien vor , sondern 
es wurde derselbe, im vorigen 
Jahrhundert, auf Java, wahr- 
scheinlich von Japan aus, einge- 
führt. 


(84) PASSER PUSILLUS. Die- 
ser merkwürdige Vogel ist uns 
nur nach der Abbildung und kur- 
zen Beschreibung , welche Pallas 
von demselben gegeben hat, be- 
kannt. Pallas macht darauf auf- 
merksam , dass derselbe mit Z:- 
narıa montana , Brisson , Orn., 
III, p. 145, n°. 33; Buffon, 
Orn., IV, p. 74; Mountain Lin- 
net, Will. Orn., p. 261. Zool. 
Brit., Tab. 59; Lath. Syn. III, 
p. 1307, n°. 76, zu vergleichen 
sey; allein ein Blick auf die Ab- 
bildung des Passer pusillus 
reicht hin, um sich zu überzeu- 
gen, dass dieser Vogel von allen 
europäischen und auch von den 
ausländischen bekannten finken- 
artigen Vögeln abweicht. Seine 
hohen, dünnen Läufe machen es 
wahrscheinlich, dass er sich mehr 
auf der Erde als auf Bäumen auf- 
hält. Welchen Gruppen der fin- 
kenartigen Vögel er sich am na- 
türlichsten anreiht, lässt sich, 
bei der unvollständigen Kennt- 
niss, die wir von dieser Art 
haben, nicht bestimmen. Wir ha- 
ben ihr daher den von Pallas 
vorgeschlagenen Gattungsnamen 
einstweilen gelassen. 

Was Pallas, L. c. von dersel- 
ben sagt, beschränkt sich auf 
folgende Zeilen. 


78 


sais distinguer du friguei. Sui- 
vant les communications de Mr. 
S. Müller, cette espèce ne se 
trouve pas originairement sur les 
îles que nous venons de citer, 
ayant été introduite, probable- 
ment du Japon, dans le siècle 
passé à l’ile de Java. 


(84) PASSER PUSILLUS. Cet 
oiseau curieux ne nous est connu 
que par la figure et la descrip- 
tion qu’en a données Pallas. Se- 
lon ce voyageur, l’espèce doit être 
comparée au Zinaria montana 
Brisson, Orn., III, p. 145, no. 
33; Buffon, IV, p. 74; Moun- 
tain Linnet, Will. Orn., p. 261; 
Zool. Brit., Tab. 59; Lath. 
Syn., III, p. 1307, no. 76; 
mais ıl suffit de jeter un coup 
d'œil sur la figure du Passer 
pusillus, pour se convaincre, 
que cet oiseau s'éloigne égale- 
ment de toutes les espèces euro- 
péennes et exotiques de la famille 
des Fringilloïdes. À en juger de 
ses tarses grêles et élevés, il paraït 
que cet oiseau se tient plutôt à 
terre que sur les arbres. Nos con- 
naissances de cette espèce étant 
assez incomplètes, il est impos- 
sible de constater les relations qui 
existent entre cet oiseau et les 
nombreuses espèces qui font par- 
tie de la famille des Fréngilloides. 
C'est en raison de l'incertitude 
qui règne à cet égard que nous 
n'avons pas changé le nom con- 
féré par Pallas à cette espèce. 


Pallas, L. ec. la décrit dans 


les 
termes suivans. 


»P. gryseo nigroque vario, ventre albo, fronte testaceo rubra. 

»Circa Caucasum et mare caspium frequens avis, aestate circa 
»nivalia juga cum P. alpicola (Fring. nivalis) et Mot. ceraunia (Lus- 
» ciola erythrogastra) versatur, hyeme in subalpinis Persiae. 

» Deser. Linaria fere minor. Frons testaceo rubra, vertex nigricat. 
»Collum dorsumque plumis gryseis medio fuscis. Venter et subcau- 
» dales alba. Pedes nigri. Rostrum fuscum.” 


Die Maasse dieser Art, so gut 
sich dieselben nach der, aller- 
dings sehr mittelmässigen Abbil- 
dung, angeben lassen, sind fol- 
gende: 


Ganze Länge . . 2... . 8 9/7! 
Länge der Flügel . . . . . 1 10 
. » des Schwanzes . . . 1 3 
» des Laufes 0 
» der Mittelzehe ohne 
Nagel. sf... 0.84 
» der Hinterzehe . . . O 2. 


63 


(85) COCCOTHRAUSTES CAU- 
casıcus. Güldenstädt scheint bis 
jetzt der einzige Naturforscher 
zu seyn, der diesen schönen Vo- 
gel untersucht hat. Wir theilen 
deswegen seine Beschreibung voll- 


Nous avons emprunté a la fi- 
gure publiée de cet oiseau par 
Pallas, les mesures suivantes: 


Longueur totale . . . . . 8 gm 
», ides ailes.....4etsaet Lult) 
». de la/queur 13 
stars een 10 (6 
» du doigt de milieu 

(sans son ongle) . . 0 3 

2 


2 UMROUCE ln 0lte Ah 


7 


4 
1 


DS 


(85) COCCOTHRAUSTES CAU- 
casıcus. Il parait que Gülden- 
städt est le seul naturaliste qui 
ait examiné cette belle espèce. 
On lira par conséquent, avec in- 
térêt, la description que ce savant 


ständig mit: en a donnée. La voici: 


»LOXIA RUBICILLA. 


» Avis, quam sub hoc nomine propono, magnitudine, habitu et 
» colore proxime ad Enucleatorem, rostro ad Goccothraustem acce- 
»dit, et inter hasce duas species congeneres quasi media. Colore 
»suavissimo coccineo , ’albido et cinerascente lepide variegato. Ru- 
» bicilla antecellit Enucleatorem, colore miniato fusco undulato ocu- 
»los minus afficientem. Rostri crassitie Goccothrausti cedit Rubicilla. 
»Avis nostra indigena alpinum caucasicarum aëre frigidiusculo pa- 
»riter ac Enucleator delectatur; praesertim ad alveos glareosos tor- 
»rentium in Gaucaso occurrentium degit et baccas Hippophaës 
» Rhamnoïdis, ad illos copiosissime crescentis, gulae indulgens avi- 
» dissime legit, eandemque disseminat, Familiae numerosissimae 
» Rubicillarum gregatim volitare et vocem Pyrrhulae imitare solent. 
» Sexus differentia vix ulla, nisi quod rubedo feminae minus speciosa 


80 


»sit. Icon staturam et habitum magnitudine naturali exprimit , reli- 
» qua ex descriptione patent, quae nunc dabo.” Ait fs 

» Rostrum incrassato-conicum; capite dimidio brevius, a fronte 
»sex, a rictu octo lineas longum; basi latissimum , diametro per- 
» perpendiculari sex, et transversali quinque linearum ; apice acu- 
» minatum ; mandibula superior fusca, apice recto vix ultra inferiorem 
»promineus; inferior albida, lateribus tantisper introrsum flexa. 
» Lingua integra, truncata. Nares basilares, capistro fusco tectae. 
» Oculi fusci. 

»Caput supra, gula, collum subtus et pectus intense coccinea, 
»leucosticta, maculis acutis triquetris; abdomen et ani regio dilute 
»rosea, albido undulata; caudae tectrices inferiores roseo-fuscae. 
»Collum supra et dorsum canescens cum rosei tinctura; tectrices 
»caudae superiores fusco-rosea. Basis plumarum omnium, quae in 
»situ naturali obtecta et partem maximam totius plumae constituit, 
»intense cinerea. 

» Alae complicatae quoad pollicem unum cauda breviores; remi- 
»gibus et tectricibus primartis fuscis, marginibus obsolete roseis, 
» tectricibus axillae dorso concoloribus. 

» Cauda tres pollices et sex lineas longa, integra; rectricibus 
» duodecim, aeneo-nigris, extima utrinque exteriore margine albido, 
» reliquis margine roseo adumbratis. 

»Femora ad genua usque plumosa, cana; tibiae et digiti, quo- 
»rum tres antici et unus posticus, nigri coloris; ungues digitorum 
»incurvi, acuminati, nigri, anteriorum subaequales, postici maximus. 

» Longitudo aviculae extensae ab apice rostri ad caudae extremum 
»octo pollicum pedis londinensis duodecimalis.” 


Folgende Maasse haben wir der, 
Güldenstädts Beschreibung beglei- 
tendten Zeichnung, entnommen: 


Länge desFlügels . 4Zoll.9 Lin. 
» des Laufes. . . 1 » 1» 
» der Mittelzehe . O0 » 9 » 
» der Hinterzehe. OÖ » 5 » 


(86) De Selys-Longchamps, 
Faune Belge, p. 79, n°. 71, 
führt eine zweite Art des gemer- 
nen Gimpels auf. Wir kennen 
diesen Vogel nicht, und können 
daher den folgenden Angaben des 
Herrn de Selys nichts hinzufügen: 


Voici les mesures prises sur le 
dessin publié par Güldenstädt: 


Longueur de l’aile 4pouc. 9 lign. 
»..! dutarse .:. 114 se 
» du doigt de 
milieu , .- 20023980 


» dupouce .. 0 » 5 » 
(86) Mr. de Selys - Long- 


champs fait mention, dans sa 
Faune Belge, p. 79, n°. 7, 
d’une espèce nouvelle mais très- 
voisine du Bouvreul commun. 
N'ayant pas vu cet oiseau en na- 
ture, nous renvoyons aux, obser- 
vations de Mr. de Selys, qui en 
parle dans les termes suivans: 


81 


» PYRRHULA COCCINEA, de Selys-Longch. BOUVREUIL PONCEAU. 
» Vulgairement grand bouvreuil. 

» Cet oiseau n’est assez probablement qu’une race locale plus 
»grande du Bouvreuil commun. Il est de passage accidentel en 
» Belgique et par troupes à la fin de l’automne. II y a été très- 
» commun en décembre et en janvier 1831. Il m'a paru qu'il a 
» l’espace blanc du croupion plus étendu que chez le bouvreuil 
»commun. Il semble que son chant est plus varié et qu'il ne se 


»mele pas avec le petit Bouvreuil commun.” 


Cuvier, Regne animal, I, p. 
414, hat schon dieser grösseren 
Race des Gimpels erwähnt. 

Die vomGrafen von der Mühle, 
p. 45, unter dem Namen Pyrr- 
hula sinaica? Temminck, auf- 
geführte Art aus Griechenland 
scheint zu P. erythrina zu ge- 
hören. | 

PYRRHULA LONGICAUDA, Tem- 
minck, Man., I, p. 340; Loxia 
sibirica, Pallas, It. Il, app., 
n0.24; Pyrrhula caudata, Pal- 
las, Zoogr., II, p.10, n°. 181, 
nach einem von Pallas aus der 
Krimm geschickten Exemplare als 
europäisch aufgeführt, kommt 
nach Pallas, nur auf dem Altaı 
und ım östlichen Sibirien vor, 
und ist dort überall Standvogel. Es 
ist mir auch kein Beispiel bekannt, 
dass dieser Vogel in Europa beo- 
bachtet worden wäre. 


(87) PYRRHULA SERINUS IS- 
LANDICA. Ich habe zwar diesen 
Vogel nicht in der Natur gese- 
hen, jedoch auf Faber's Zeug- 
niss darf man ıhn wohl, wenn 
auch nur als Nebenart, aufneh- 
men. 


(88) Ch. Bonaparte, List, p. 
34, n°. 227, führt ERYTHROSPI- 
ZA PHOENICOPTERA, Linaria 

2. 


Cuvier, Règne animal, I, p. 
414, a déjà indiqué cette race 
plus forte du Bouvreuil. 

Le Bouvreuil de la Grèce indi- 
qué par Mr. von der Mühle, p. 
45, sous le nom de Pyrrhula 
sinaica? Temminck, ne paraît 
pas différer de la P. erythrina. 


PYRBHULA LONGICAUDA, Tem- 
minck, Man., I, p.340; Loxia 
sibirica Pallas, Voy., II, app., 
n°. 24; Pyrrhula caudata, Pal- 
las, Zoogr., IT, p. 10, no 181, 
indiqué comme espèce européen- 
ne, d’apres un individu envoyé 
par le professeur Pallas de Cri- 
mée , n’habite , selon ce voyageur, 
que l’Altai et la Sibérie orien- 
tale, où elle est sédentaire. À ce 
que je sache , il n’existe aucune 
donnée certaine que cet oiseau 
ait été tué en Europe. 


(87) PYRRHULA SERINUS IS- 
LANDICA. Je n'ai pas vu cet 
oiseau en nature; mais 1l me sem- 
ble que le témoignage d'un na- 
turaliste, tel que feu Faber, suf- 
fit pour l’adopter au moins com- 
me race distincte. 


(88) On ne peut guere se for- 
mer une idée définitive sur l’espé- 
ce, introduite parmi les oiseaux 


6 


phoenicoptera, Gould, als neue 
‚europäische Art auf. Welche Art 
damit gemeint ist, lässt sich, da 
sienur dem Namen nach bekannt 
ist, nicht bestimmen. 


(89) LOXIA LEUCOPTERA : 
Gmel. Linn, p. 844, n°. 12; 
Wilson, Pl. 31, fig.8; de Se- 
lys-Longchamps , Faune belge, 
PI. IV, fig. 3, aus Nordamerika, 
ist bedeutend kleiner und hat ei- 
nen viel schwächeren, stärker zu- 
sammengedrückten und mit län- 
geren Spitzen versehenen Schna- 
bel als L. dbifasciata. Sie ist bis 
jetzt noch nicht in Europa beo- 
bachtet worden. 


(90) EMBERIZA HYEMALIS, 
Linn., Syst., XII, p.308, n°. 
2; Fringilla hyemalis, Linn. , 
Syst., X, p. 183; Wilson, PI. 
16, fig. 6; Struthus hyemalis, 
Ch. Bonap., List, p. 31, n°. 215; 
Gould, Pl. 190, aus Nordame- 
rika, wird im Manuel, III, p.234, 
als europäisch aufgeführt , weil 
sie aufihren Wanderungen zuwei- 
len in Island erscheinen soll. Die 
Nachrichten aber, auf welche diese 
Behauptung gestützt ist, sind von 
der nämlichen Person , welche sie 
mittheilte, widerrufen worden. 
Ch. Bonaparte, Catalogo, p. 
45, n°. 235, erwähnt unter dem 
Namen EMBERIZA BONAPARTI, 
Barthelemy de la Pomm. einen 
mir ganz unbekannten Ammer, 
der im südlichen Frankreich als 
Verirrter beobachtet wurde. Fer- 
ner wird im Catalogo, p. 45, 
n°. 236, eine EMB. CINEREA, 


82 


d'Europe par CA. Bonaparte, 
List, p.34, n°. 227, sous le nom 
d'ERYTHROSPIZA PHOENICOP- 
TERA, Linaria phoenicoptera, 
Gould, cette indication n'étant 
accompagnée d’aucune phrase 
descriptive. 


(89) LOXIA LEUCOPTERA, 
Gmel. Linn., p. 844, n°. 12; 
Wilson, Pl. 31, fig. 3; de Se- 
lys-Longchamps, Faune belge, 
Pl. IV, fig.3, espèce qui habite 
l'Amérique du nord, diffère de la 
Loxia bifasciata par une taille 
moins forte et par un bec plus 
faible, plus comprimé et à poin- 
te assez déliée. Cette espèce n’a 
pas encore été observée en Eu- 
rope. 


(90) EMBERIZA HYEMALIS, 
Linn. Syst., XII, p. 308, n°.2; 
Fringilla hyemalis , Linn. Syst., 
X,p.183; Wilson, PI. 16, fig.6; 
Struthus hyemalis, Ch. Bonap., 
List, p. 31, n°. 215; Gould, PL. 
190, espèce de l'Amérique du 
nord, a été introduite dans le 
Manuel, III, p.234, parmi les 
oiseaux d’Europe, par suite de 
l'indication donnée par une per- 
sonne mal informée, que cette 
espèce visite, lors de ses migra- 
tions, de temps en temps l'Islande, 


Ch. Bonaparte, Catalogo, p, 
45, n°. 235, fait mention, sous 
le nom d’EMBERIZA BONAPAR- 
Tu, Barthélemy de la Pomm., 
d’un bruant, observé dans laFran- 


‘ce méridionale, qu'il visite ac- 


cidentellement. Il est fait men- 
tion dans le même opuscule, 
I. c., n°. 236, d’un bruant de 


Strickland, aus dem östlichen 
Europa angeführt, von der ich 
ebenfalls nichts Näheres zu sagen 
weiss, da mir keine Beschreibung 
derselben bekannt ist. 


(91) EMBERIZA CHRYSO- 
PHRYS. Das einzige, bis jetzt in 
Europa beobachtete Exemplar 
dieser Art wurde bei Lille gefan- 
gen : siehe de Selys-Longchamps, 
lc. 


(92) EMBERIZA RUTILA. Pal- 
das, nach zwei aus der Krimm 
von Pallas geschickten Exempla- 
ren, im Manuel, III, p. 232, 
als Bewohner des südlichen Russ- 
lands aufgeführt, wurde von 
Pallas, Zoogr. ross. as., II, 
p. 53, n°.217, nur in Dauurien 
beobachtet. 


(93) EMBERIZA FUCATA. Die- 
se Art unterscheidet sich leicht 
von Emb. rustica durch ihren 
gekrümmten Schnabel und grös- 
sere Füsse. Bei Emb. rustica ist 
der Schnabel, wie bei Emb. pu- 
silla, gerade und daher pfrie- 
menförmig. Im Tugend- und Win- 
terkleide sind sich Emb. fucata 
und rustica in der Färbung aus- 
serordentlich ähnlich. 


Da ich meine Untersuchungen 
über diese beiden Arten aufzwei 
schlecht erhaltene Exemplare be- 
schränken muss, so bin ich nicht 
ım Stande, ıhre Kennzeichen 


83 


l'Europe orientale, appelé Em: 
BERIZA CINEREA, Sirickland. 
Je ne connais ni l’une ni l’autre 
de ces deux espèces, dont on n’a 
pas même donné des descrip- 
tions, à ce que je sache. 


(91) EMBERIZA CHRYSO- 
PuRrys. Cette espèce n’a été ob- 
servée, jusqu'à présent, qu’une 
seule fois en Europe, savoir 
dans les environs de Lille, où 
un individu fut pris au filet: 
voir de Selys-Longchamps, I. c. 


(92) EMBERIZA RUTILA , Pal- 
las, n’habite, selon les données 
de ce voyageur, que la Daourie : 
voir Zoogr. ross.as., IT, p.53, 
n°. 217. C’est donc à tort que 
les deux individus de cette espe- 
ce, envoyés de la Crimée par le 
professeur Pallas, ont été regar- 
dés comme ayant été iués dans 
la Russie méridionale; voir le 


Manuel, d’Ornit., III, p. 232. 


(93) EMBERIZA FUCATA. Cette 
johe espèce differe de !’_Eimberiza 
rustica par un bec arqué et par 
des pieds plus robustes; le bec 
de la dernière espèce étant droit 
et par consequent en alene, ab- 
solument comme celui de I!’ Em- 
beriza pusilla. En hiver et au 
jeune äge, les deux especes dont 
nous venons de parler, savoir 
Emb. fucata et rustica, se res- 
semblent beaucoup sous le rap- 
port de leurs teintes. 

N'ayant eu à ma disposition 
que quelques individus mal con- 
servés de ces deux espèces, je 
ne suis pas à même d’en établir, 
pour le moment, d'une manière 


gründlich auseinanderzusetzen. 


Der vom Grafen von der Mühle, 
p.42, unter dem Namen Embé 
riza cia aufgeführte Ammer 
scheint in der That zu dieser Art 
und nicht, wie es jener Orni- 
iholog vermuthet, zu Emberiza 
fucata zu gehören. 


(94) EMBERIZA PUSILLA. Das 
am 18 November 1842, in der 
Umgegend von Leiden ne einem 
Tnkenbrende gefangene Weib- 
chen, scheint das erste Beispiel des 
Vorkommens dieser Art in Europa 
zu seyn. Es stimmt vollkommen 
mit der Beschreibung, welche 
Pallas von dieser Art gegeben 
hat, überein. Wir haben nach 
unserem Exemplare folgende Be- 
schreibung entworfen. 

Gestalt des Schnabels, Füsse , 
«and überhaupt alle gegenseitigen 
Formenverhältnisse, so wie die 
Färbung, ganz wie bei Emberiza 
rustica im Winterkleide; der 
‚ganze Vogel aber durchgehends 
kleiner, nn folgende Maasse 
zeigen: 


‚Ganze Länge. . . .. 59,00 
Länge der Flügel | re Pr A 
» des Schwanzes . . . 2 1 
» des Laufes. 0:58 
» der Mittelzehe . . . . O 5 
» des Nagels FT PT O2 
» der Hinterzehe 10 MS 
» des Nagels derselben. O 21 
» des Schnabels vom 
Mundwinkel ....0 41 
Breite des Schnabels beim 
Mundwinkel ....0 22. 


84 


précise, les autres traits Geier 
üfs qu’elles offrent. 

Le bruant indiqué par Mr. von 
der Mühle, p. 42, sous le nom 
TEnmbere cia, parait en effet 
se rapporter à cette espèce et 
non pas à l’Zmberiza fucata , 
comme le suppose l’ornithologiste 
que nous venons de citer. 


(94) EMBERIZA PUSILLA. 1 
parait que cette espèce n’a 
été observée en Europe par au- 
cun autre naturaliste. Nous en 
possédons un individu femelle, 
pris le 18 Novembre 1842 dans 
les environs de Leide. Cet indi- 
vidu, dont nous donnerons une 
description détaillée, se rapporte 
parfaitement à celle que Pallas 
a publiée de cette espèce. 


Les formes du bec de cet oi- 
seau, les pieds et en général tou- 
tes les proportions relatives des 
parties du corps, ainsi que la 
distribution des teintes, sont com- 
me dans l’Æmberiza rustica en 
habit d'hiver; mais il est d’une 
taille beaucoup moins forte, com- 


me il résulte par les mesures sui- 


vantes: ' 


Longueur totale . . . . 
des diles 21.102 
de la queue . . . 
du tarse 
du doigt de it ; 
de son ongle . . 
du pouce. . 
de son ongle . 
du bec, depuis l’an- 
gle de la bouche . . 
Largeur du bec, pres l’an- 

gle de la bouche . . 


» 


Schnabel gerade, stark ver- 
jüngt zulaufend , daher pfrie- 
menförmig , mit scharfer; kaum 
merkbar abwärts gebogener Spit- 
ze; schwärzlich hornfarben, an 
den Ladenrändern, und an der 
untern Wurzel der Unterkinnlade 
in’s gelbliche. Kopf oben, in der 
Mitte, mit einem breiten sölhlieh 
rbinen Längestreifen , der 
auf jeder Seite von einem et- 
was schmäleren, schwärzlichen 
Streifen eingefasst wird. Zügel- 
gegend blass rostfarben; von da 
zieht sich ein !ichter, weisslich 
rostfarbener Streif über dem Auge 
und über der Ohrgegend hin. 
Ohrgegend röthlich rostfarben , 
von unten und hinten schwarz 
gesäumt. Kehle und Vorderhals 
gelblichweiss, von einem Kranze 
schwarzer Flecken eingefasst , 
der seinen Anfang an jeder Sei- 
te der Wurzel des Unterkiefers 
nimmt. Zwischen diesem schwar- 
zen Streif und der Ohrgegend 
ein weisslicher Streif, der schon 
an den Seiten der Wurzel des 
Unterkiefers entspringt, und, sich 
hinter der Ohrgegend umbie gend, 
bis an die Saiten des Chrtekks 
läuft, wo er allmählich ver- 
schwindet. Vorderbrust und Sei- 
ten des Körpers weisslich, mit 
bräunlichgelbem Anfluge; alle 
Federn dieser Theile mit ziemlich 
grossen, schwarzen, braunröth- 
lieh gesäumten Schaftflecken. Alle 
übrigen Untertheile des Körpers, 
mit Inbegriff der untern Schwanz- 
deckfedern weiss. Federn der 
Seiten des Halses, des Hinterhal- 
ses und des Bürzels bräunlich- 
grau mit olivenfarbenem Anfluge, 
und undeutlichen schwärzlich- 


Bec droit, assez conique, par 
conséquent en alène, à pointe 
aiguë insensiblement ouibée en 
bas; d’un noirätre couleur de 
corne, tirant au jaunätre sur les 
bords des mandibules et sur le 
dessous de la base de la mandi- 
bule inférieure. Sommet de la 
tête orné au centre d’une raie 
longitudinale d’un brun couleur 
de rouille rougeätre; cette raie 
est bordée de chaque côté d’une 
raie noirälre un peu plus étroite. 
Freins couleur de rouille pâle; 
une raie plus claire et tirant au 
blanchätre s'étend depuis cette 
région, au dessus des yeux et de 
la région des oreilles, qui est 
couleur de rouille rougeätre , bor- 
dée en bas et par derrière de 
noir. Gorge et parties antérieures 
du cou d’un blanc jaunätre et 
entourées d’une rangée de ta- 
ches noires distribuées sur une 
bande en cercle qui s'étend de 
chaque côté jusqu’à la base de 
la mandibule inférieure. On voit, 
entre cette bande noire et entre 
la région des oreilles, une raie 
blanchätre qui naît, de chaque 
côté, à la base de la mandibule 
inférieure , pour se prolonger 
derrière É région des oreilles, 
en se recourbant en haut sur 
les côtés de la nuque, où elle 
disparaît. Parties supérieures de 
la poitrine et flancs blanchätres, 
nuancées de brunätre ; toutes les 
plumes de ces parties sont pour- 
vues de taches noires loncitudi- 
nales, assez grandes et bordées 
de brun rougeatre. Toutes les 
autres parties inférieures de l’oi- 
seau, y compris les couvertures 
inférieures de la queue, sont d’un 


86 


braunen Schaftflecken. Obere 
Schwanzdeckfedern etwas dunk- 
ler und schmutziger, mit grös- 
seren aber undeutlicher begrenz- 
ten Mittelflecken. Federn des Rüc- 
kens, in der Mitte, mit einem gros- 
sen braunschwarzen Längsflec- 
ke, der nach den Seiten hın in’s 
röthlich rostfarbene, und gegen 
den Rand der Federn, in’s grün- 
lichgraue übergeht. Alle äussere 
Federn des Flügels braunschwarz: 
die Schwungfedern mit weissli- 
chem innerem Rande und rostfar- 
benen äusserem Rande, der auf 
den Schwungfedern erster Ord- 
nung schmäler und blässer als 
auf denen zweiter Ordnung ist; 
Schulterdeckfedern und grosse 
Flügeldeckfedern zweiter Ord- 
nung mit breitem röthlich rost- 
farbenem Saume. Mittle Flügel- 
deckfedern an der Spitze mit 
breitem weissem Saume.Schwanz 
stark gegabelt: das dritte Paar 
Steuerfedern am längsten, und 
um 3 Linien länger als das mit- 
telste Paar, deren innerer Rand 
bis über ein Drittel ihrer Länge 
schräge abgeschnitten ist, Steuer- 
federn schwärzlich , mit äusserst 
schmalem ‚blass rostfarbenemSau- 
me; das mittelste Paar in’s bräun- 
liche mit breiterem Saume. Aus- 
serstes Paar Steuerfedern mit 
einem breiten , weissen , schrägen 
Streifen , der auf der Aussenfahne, 
nahe an der Wurzel der Feder, 
seinen Ursprung nimmt, und die 
ganze Aussenfahne bis auf ıhr 
äusserstes Viertel einnimmt, auf 
der Innenfahne dagegen, nach 
der Spitze der Feder hin, immer 
breiter wird. Auf dem zweiten 
PaarSteuerfedern findet sich eben- 


blanc pur. Les plumes des par- 
ties latérales et postérieures du 
cou ainsi que celles du croupion 
sont d’un gris brunätre nuancé 
d’olivätre, et elles offrent au cen- 
tre des taches peu sensibles d’un 
brun noirätre. Les couvertures 
supérieures de la queue présen- 
tent une teinte plus foncée et 
plus sale que les plumes du crou- 
pion , et leurs taches sont plus 
grandes,mais mal déterminées. Les 
plumes du dos sont pourvues au 
centre d’une grande tache lon- 
gitudinale d’un brun noir, pas- 
sant au brun couleur de rouille 
rougeätre, vers les côtés des plu- 
mes , et au gris verdätre sur les 
bords. Toutes les plumes des 
parties extérieures des ailes sont 
d’un brun noir: les rémiges sont 
bordées à la barbe interne de 
blanchätre; les barbes externes 
offrent des bords couleur de 
rouille, plus pâles et plus étroits 
sur les rémiges primaires que sur 
les secondaires; les couvertures 
des épaules et les grandes cou- 
vertures de la deuxième rangée 
présentent de larges bords couleur 
de rouille rougeätre; les couver- 
tures moyennes enfin sont ornées 
à l'extrémité d’un large bord 
blanc. La queue est fortement 
échancrée à l'extrémité: la troi- 
sième paire des pennes, sur- 
passant les autres en longueur , 
est plus longue de 3 lignes que 
la paire mitoyenne, dont la bar- 
be interne est découpée jusqu’au 
de là du deuxième tiers de leur 
longueur. Ges pennes de la queue 
sont noirätres, etornées d’un liséré 
étroit couleur de rouille pâle; la 
teinte du fond tire au brunätre sur 


87 


falls ein weisser aber schmälerer | les pennes mitoyennes, dont le 
Streif, der erst auf der zweiten | bord est plus large que celui des 
Hälfte ihrer Länge auftritt , und | autres pennes. Paire externe des 
auf der Innenfahne längs dem | pennes de la queue ornée d'une 
Schafte der Feder hinläuft. Füs- | raieblanche assez large et oblique, 
se und Zehen zart, blass gelblich | qui naît près de la base de la 
hornfarben. Nägel spitzig , ziem- | penne sur la barbe externe, dont 
lich gekrümmt, blass schwärz- | elle occupe les trois premiers 
lich hornfarben. Erste Schwung- | quarts de sa longueur, et qui va 
feder von gleicher Länge als die | en s’elargissant sur la barbe in- 
vierte, und kaum um eine Li- | terne à mesure quelle se rap- 
nie kürzer als die zweite und | proche de l'extrémité dela penne. 
dritte. On voit uneraie semblable mais 
plus etroite sur la seconde pai- 
re des pennes de la queue, mais 
elle ne se montre que sur la 
deuxième moitié de la longueur 
de la penne, et elle s'étend sur 
la barbe interne le long du tu- 
yau de la penne. Pieds et doigts 
greles , d’un jaunätre pale cou- 
leur de corne. Ongles pointus, 
assez courbés, d’un noirätre pâle 
couleur de corne. Première ré- 
mige d’égale longueur avec la 
quatrième, et plus courte seule- 
ment d’une ligne que la deuxié- 
me et la troisième. 
Die Beschreibung, welche Pal- Pallas à décrit cette espèce 
las von dieser Art gegeben hat, | dans les termes suivans: | 
lautet wie folgt: 


» Emberiza gryseo fuscoque liturata, capite nigro, fasciis quinis 
»testäceis, rectricibus 2 extimis fascia obliqua alba. 

» In sylvis et salicetis regionum transbaicalensium et Sibiriae ori- 
»entalis frequens, migratoria; saepe a tardiva frigore adventans 
»enecatur. Victitat vere Tenebrionibus. 

» Vix spino aequalis. Similitudo summa cum E. rustica , sed multo 
» minor. Rostrum fusco-corneolum. Caput supra lateribusque varie- 
»gatum fascus longitudinalibus quinis testaceis, interjectisque nigris 
»quatuor. Supercilia albidiora. Macula pone aures ferugineas nigra. 
» Gula pallida, tractu duplici fusco punctata. Lunula utrinque alba, 
»a gula versus cervicem. Jugulum pallidum, punctis crebris, sagit- 
»tahbus. Dorsum passerini coloris; subtus albida, lateribus longi- 
»tudinaliter lituratis. Rectrices utrinque extimae 2. fascia oblique 


» longitudinali alba. Remiges 19. primariae margine exteriore palli- 
»dae, secundariae ferruginae, at interiore omnes albae, 2 ad 4. 
»extremo angustatae. Cervix et uropygium gryseo-cinerascunt, litu- 
» ris fuscis. Cauda magis bifurca , quam praecedentis (Emb. fucatae); 
» rectrices acutiores pallido marginatae, extimae 2. fascia oblique 
»longitudinali alba. Pondus drachmae sesquitertiae. Mensura corpo- 
»ris 3% 21, caudae 2” 1”. alarum expans. 8". compositarum 2/ 7/4, 
» Remiges intermediae aliquot obsoletissime emarginatae. Pedes car- 


» neo-pallidi.” 


(95) COLUMBA AEGYPTIACA. 
Schinz, erhielt diese Art aus 
Griechenland; von der Mühle, 
p. 83, traf sie ebenfalls daselbst 
an. Sirickland, Proceedings 
Zool. Soc., 1836, p. 100, beo- 
bachtete sie häufig auf den Cy- 
pressenbäumen der Todenäcker 
von Smyrna und Constantinopel, 
vermuthet aber, dass sıe daselbst 
eingeführt wurde. 


Naumann, inWiegman, Ar- 


chiv., III, I, p. 106, führt 


eine Taube vom Balkan auf, die 
er, mit Lichtenstein, für eine Vä- 
rietät der Lachtaube hält, ob- 
gleich sie grösser und dunkler 
gefärbt ist. Herr von der Mühle 
macht darauf aufmerksam, dass 
diese Taube zu Col. aegyptiaca 
gehören könne. 


(96) Die Angabe im Manuel, 
IV, p.316, dass der GOLDFASAN 
in Griechenland und am Kauka- 
sus wild vorkomme , bedarf wohl 
der näheren Bestätigung. 


(97) TETRAO BRACHYDACTY- 
LUS, Temm. Man., IV, p.828, 


(95) COLUMBA AEGYPTIACA. 
Schinz possède des individus de 
cette espèce tués en Grèce; vor 
der Mühle Va également obser- 
vée dans ce pays. Sérickland, 
Proceedings Zool. Soc., 1836, 
p. 100, dit qu’elle fréquente en 
grand nombre les cyprès dont 
les cimétières de Smyrne et de 
Constantinople sont plantés, mais 
il suppose que l'espèce a été in- 
troduite d’ailleurs dans ces con- 
irees. 

Naumann, voir Wiegman , 
Archiv., III, T, p. 106, fait men- 
tion d’une tourterelle recueillie 
au Balcan et qu’il prend, avec 
le professeur Lichtenstein, pour 
une variété de la tourterelle 
rieuse, quoiqu’elle soit d’une tail- 
le plus forte et ornée de teintes 
plus foncées que cette espèce. 
Mr. von der Mühle observe qu'il 
se pourrait bien que cette tour- 
terelle appartint à la {ourterel- 
le d'Egypte. 


(96) Nous n’avons trouvé nulle- 
part des renseignemens positifs 
tendant à prouver l'existence sup- 
posée du FAISAN DORÉ au Cau- 
case; voyez le Manuel, IV, p. 316. 


(97) TETRAO BRACHYDACTY- 
Lus’ Temm, Man., IV, p. 328; 


‚89 


Lagopus brachydactylus, Gould, 
Pl.256, weicht von Teirao sa- 
licet! nur durch die reiner weis- 
sen Schwingenschäfte, durch die 
stärker entwickelten Federn an 
den Seiten der Schnabelwurzel, 
und durch die kürzeren Zehen 
ab. Ich habe indessen Individuen 
von Zefrao saliceti aus Norwe- 
gen gesehen, deren Zehen die des 
T. brachydactylus an Länge nicht 
übertrafen. Auch ist es schwer, 
wegen der Befiederung der Zehen, 
die Maasse, zumal an Bälgen, ge- 
nau zu ermitteln. Nach Pallas, 
Zoogr., II, p. 67, werden 
die Schwingenschäfte der alten 
Männchen von Zefr. saliceti zu- 
weilen weiss. Sollte die mit dem 
Namen Teir. brachydactylus be- 
zeichnete Form in so bedeutender 
Anzahl beobachtet, und ihre 
Kennzeichen bei beiden Ge- 
schlechtern und in jedem Alter 
standhaft befunden werden, so 
werden wir keinen Anstand neh- 
men, sie in der Folge als Neben- 
art des Te/rao saliceli aufzu- 
führen. 


. (98) TETRAO SALICETI SCO- 
Tıcus. Weicht von Teirao sali- 
cet nur dadurch ab, dass sie 
im Winter nicht weiss wird. 


(99) TETRAO RUPESTRIS, 
Leach; Lagopus rupestris, 
Gould, Pl. 254, nur nach einem 
in England erlegten Exemplare be- 
kannt, . unterscheidet sich nach 


der Abbildung und Beschreibung, 


Lagopus brachydactylus, Gould, 
PI. 256, ne se distingue du Te- 
trao saliceli que par les tuyaux 
des rémiges teintes d’un blanc 
plus pur, par les plumes plus 
fortement développées à la base 
du bec, et par des doigts plus 
courts. J’aı cependant vu des in- 
dividus du Tetrao saliceti, ori- 
ginaires de la Norwége, et dont 
les doigts étaient aussi courts 
que dans le Tetr. brachydacty- 
le; aussi est-il souvent difficile 
de juger, chez ces oiseaux, de la 
longueur de leurs doigts, vu 
qu'ils sont presque entièrement 
cachés sous le plumage serré 
dont les pieds sont revêtus. Pal- 
las, Zoogr., IT, p. 67, parle 
de ce caractère tiré de la cou- 
leur blanche des tuyaux des ré- 
miges, comme étant exclusive- 
ment propre à de certains mä- 
les tres-vieux du Zagopede des 
saules. Je n’hésiterai pas d’adop- 
ter comme race particulière le 
Lagopede brachydactyle, dès que 
l’on en aura observé une série 
complete d'individus des deux 
sexes et de tous les âges, offrant 
tous les traits distinctifs assignés 
à cette prétendue espèce. 


(98) TETRAO SALICETI SCO- 
TICUS. Cette race ne s'éloigne du 
Lagopede des saules que parce 
quelle ne prend pas de livrée 
blanche en hiver. 


(99) TETRAO RUPESTRIS, 
Lagopus rupestris, Gould, Pl. 
254, connu seulement d’apres un 
individu unique tué en Angleter- 
re, ne se distingue, à juger des 
figures et des descriptions que 


in nichts vom Weibchen des 7. 
lagopus im Sommerkleide. Rz- 
chardson, Fauna Bor. amer. 
Birds , p.354, PI.64, sagt ge- 
radezu , dass der von ıhm, unter 
dem Namen Zagopus rupestris 
abgebildete Vogel aus dem ark- 
tischen Amerika, durchaus dersel- 
ben Art angehöre, wie das Al- 
pen-Schneehuhn , Teirao lago- 
pus, Europa’s. 


(100) Das ISLANDISCHE AL- 
PENSCHNEEHUHN unterscheidet 
sich in jedem Alter vom Alpen- 
schneehuhn durch einen etwas 
kräftigeren Schnabel. 


(101) Eine zweite, dem Te- 
traogallus caucasicus verwand- 
te Art, Tetraogallus Nigelli, 
Gray, Ind. Zool., Taf. ohne 
Nummer, bewohnt die Gebirge 
Nepauls, und unterscheidet sich 
durch höhere Läufe, einen stär- 
keren Schnabel und eine etwas 
verschiedene Färbung. 


(102) HEMIPODIUS LUNATUS, 
Temm., Man., IT, p. 495, muss 
als Art gestrichen werden: siehe 
über dieselbe das Man. IV, p. 
339, remarque. 


(103) SYRRHAPTES PARA- 
Doxus, Illig., wird von Ch. Bo- 
naparte, List, p. 42, no. 281, als 
europäisch aufgeführt, ohne An- 
gabe der Quellen, auf welche 
sich diese Annahme stützt. 


(104) Ch. Bonap., List, p. 
42, no. 284, führt PTEROCLES 


90 


l’on en a données, nullement de 
la femelle en habit d’été du Te- 
frao lagopus. Richardson, Fau- 
na bor. amer., p. 354, PI. 64, 
dit expressément, que l'espèce 
de l'Amérique boréale, figurée 
dans son ouvrage sous le nom 
de Lagopus rupestris , est abso- 
lument identique avec celle des 
Alpes d'Europe. 


(100) Le LAGOPÈDE PTARMI- 
GAN D’ISLANDE se distingue dans 
tous les âges de l'espèce ordi- 
naire par son bec plus robuste. 


(101) Il existe sur les mon- 
tagnes du Nepaul une deuxieme 
espèce du genre Téfraogalle ; 
quoique voisine du Téfraogalle 
du Caucase, elle s’en distingue 
par des tarses plus élevés, par 
un bec plus vigoureux et par des 
teintes diversement modifiées ; 
c'est Tetraogallus Nigelli, Gray, 
Ind. Zool., planche sans nu- 
méro. 


(102) Il convient de rayer de 
la liste des espèces l’HEMIpo- 
DIUS LUNATUS, Temm.,Man.,II, 
p. 495; voir dbid., IV, p. 339, 


remarque. 


(103) SYRRHAPTES PARA- 
poxus. Nous ignorons les motifs 
qui ont pu guider Mr. Ch. Bona- 
parte, List, p. 42, n°. 281, à 
classer cet oiseau curieux par- 
mi les espèces européennes. 


(104) Ch. Bonaparte, List, 
p. 42, n°. 284, ayant introduit 


caspıus, ÂMénétr. Catal., p. 
47, n°. 144, unter den europäi- 
schen Vögeln auf. Keyserl. u. 
Blasius, p. LÄIII, no. 270, 
(Anmerkung) sagen darüber: 
Sollte auch Pferocles caspius 
specifisch von Pter. alchata sein, 
was nach der Beschreibung nicht 
scheint : so darf dieser Vogel doch 
nicht zu den europäischen ge- 
zählt werden, indem er nur bei 
Baku beobachtet ist. 


(105) GLAREOLA PALLASII. 
Diese Art unterscheidet sich sehr 
leicht von Glareola pratincola 
durch folgende Kennzeichen. 
Ihr Schnabel ist schwächer, nie- 
driger und weniger gewölbt ; ihre 
Läufe sind höher, die Zehen kür- 
zer; der Schwanz ist kürzer und 
das Schwarz auf die Endspitzen 
der langen Federn beschränkt ; 
die Kehle ist weiss, und die Flü- 
gel sind auf der Unterseite ein- 
färbig rauchschwarz, während 
bei @Glareola pratincola die 
grossen untern Flügeldeckfedern 
schön rothbraun erscheinen. Ubri- 
ge Färbung und allesonstigen Ver- 
hältnisse, wie bei Glar. pratin- 
cola. Sıe weicht daher von die- 
ser Art weit stärker ab, als G@la- 
reola orientalis, Leach, Linn. 
Trans., vol. XIII, p. 132, Pl. 
AIV, die auf Java gefunden wird, 
und, ausser den etwas kürzeren 
Schwanz, so vollkommen mit 
Glar. pratincola übereinstimmt , 
dass sie kaum als eigene Art be- 
trachtet zu werden verdient. 


9 


parmi les oiseaux d’Europe le 
PTEROCLES CASPIUS de HMe- 
netries, Catal., p. 47, M. M. 
Keyserling et Blasius,p. LXTIT, 
n°. 270, remarque, observent 
qu’à juger de la description four- 
nie par Ménétries de son Pte- 
roeles casprius, cette espèce pa- 
rait identique avec le Pierocles 
aichata. Pourvu même qu’elle 
en diffère spécifiquement, elle ne 
peut être classée parmi les oi- 
seaux d'Europe, parcequ’ elle n’a 
été observée que dans les environs 
de Bakou. 


(105) GLAREOLA PALLASII. 
Cette espèce est facile à distin- 
guer de la Glareola pratincola 
par les caractères suivans. Son 
bec est plus faible, moins élevé 
et moins courbé. Les tarses sont 
plus élevés et les doigts plus 
courts ; la queue est plus courte et 
ce ne sont que les extrémités des 
pennes alongées de la queue qui 
sont teintes de noir; la gorge est 
blanche et les ailes sont à leur face 
interne d’un noir enfumé unifor- 
me, tandis que les grandes cou- 
vertures inférieures des ailes sont, 
dans la @lareola pratincola, d'un 
brun rougeätre vif. Les autres 
parties offrent les mêmes teintes et 
les mêmes proportions que dans la 
Glareola pratincola. Elle s’éloig- 
ne par conséquent d’une manie- 
re beaucoup plus marquante de 
cette dernière espèce que la @la- 
reola orientalis, Linn. Trans., 
vol. XIII, p. 132, PI XIV, 
espèce de l’ile de Java, et, à l’ex- 
ception de sa queue qui est un 
peu plus courte, en tout point 
semblable à la Glareola pratin- 


Ausser Glareola pratincola 
und Glar. Pallassii smd bis jetzt 
nur noch zwei Arten mit Gewiss- 
heit bekannt, nämlich: 

GLAREOLA GRALLARIA , Zem- 
minck, Man., IT, p. 503; Gla- 
reola australis, Leach, Linn., 
Trans., XIIT, Pl. 1822, p. 131, 
Pl. XV, von Neuholland und 
GLAREOLA LACTEA, Temm. , Man., 
II, p. 593; Pl. col. 399, von 
Bengalen. 

Das ım Mainzer Museum auf- 
bewahrte Exemplar der G@lareola 
Pallasii wurde in Griechenland 
erlegt, und ohne Bestimmung 
des Geschlechtes eingeschickt. 
Es ist ein Vogel im Winterkleide , 
der aussieht wie folgt: 

Färbung und Farbenverthei- 
lung überhaupt, ganz wie bei 
Glareola pratincola. Die Federn 
des Genickes und Hinterhalses 
mit sehr deutlichen rostfarbenen 
Rändern. Kehlfleck schmutzig 
weiss, hie und da lehmfarbig 
angeflogen. Der Kranz, welcher 
den Kehlfleck umgiebt, sehr 
schmal, aus blass braunschwar- 
zen Flecken bestehend, hier und 
da unterbrochen. Vorderbrust et- 
was blässer als bei @lar. pratin- 
cola. Flügel auf der inneren Seite 
durchaus rauchschwarz. Gegen- 
seitiges Verhältniss der Schwung- 
federn wie bei Glar. pratincola. 
Schwanz wie gewöhnlich stark 
gegabelt; an der Spitze mit einem 
bräunlich schwarzen Bande, 
welches auf dem Schafte des äus- 
sersten Paares Steuerfedern 8 Li- 
nien, auf dem mittelsten Paare 


cola, de sorte qu’elle ne mérite 
guere d’être considérée comme 
espèce particulière. | 

Je ne connais que deux espe- 
ces exotiques de ce genre, sa- 
voir : | 


GLAREOLA GRALLARIA, Tem- 
minck, Man. , II, p.503; Gla- 
reola australis , Leach. , Linn. , 
Trans., XIIT, 1822, p. 131, 
PI, 15; de la Nouvelle Hollan- 
de, et GLAREOLA LACTEA, Tem- 
minck, Man., II, p. 503; Pi. 
col. 399, du Bengale. 

L’individu de la @lareola Pal- 
lasii, conservé au Musée de Ma- 
yence, a été tué en Grece. On 
ignore à quel sexe il appartient. 
ll porte la livrée d'hiver. Voiei 
la description que j'en ai faite. 


Couleurs et leur distribution en 
général comme dans la @lareo- 
la pratincola. Plumes de la nu- 
que et des parties postérieures. 
du cou à bordures distinctes d’un 
brun ferrugineux. (Gorge d’un 
blanc sale, irregulierement nuan- 
cé de jaune de terre. Le cercle 
qui entoure la gorge est très-étroit, 
interrompu sur plusieurs points 
et composé de taches d’un brun 
noir pâle. Les parties supérieu- 
res de la poitrine sont un peu 
plus pales que dans la @lar. pra- 
Lincola. Parties inférieures des 
ailes d’un noir enfume. Propor- 
tions relatives des rémiges comme 
dans l’espèce commune. Queue 
assez fortement fourchue, pour- 
vue à l'extrémité d’une bande 
d’un noir brunätre, dont la lar- 
geur occupe huit lignes sur les 
tuyaux des pennes externes, et 


93 


Steuerfedern 15 Linien breit ist. | 15 lignes sur les pennes mito- 
yennes. 

Schnabel schwarz, gegen den Bec noir, passant au jatinäire 
Mundwinkel, und an den Seiten | vers l'angle de la bouche et sur 
der Wurzel des Unterkiefers gelb- | les côtés de la base de la man- 
lich; schwächer, weniger ge- | dibule inférieure; plus faible, 
bogen, und niedriger als bei Glar. | moins courbé et moins élevé que 
pratincola. Füsse schwärzlich | dans la &/. pratincola. Pieds noi- 
hornfarben. Läufe höher, vorn | rätre couleur de corne. Tarses 
mit 19 (bei Glar. pratincola | plus élevés que dans cette espe- 
mit 15) Schildern bekleidet. Ze- : ce, garnis par devant de 19 pla- 
hen und Nägel kürzer als bei @/. ques (dans la @l. pratincola on 
pratincola; letztere aber viel | n’en compte que 15); doigts et 


breiter und kräftiger. ongles plus courts, ces deruiers 
beaucoup plus larges et plus vi- 
goureux. 
anne Tänge . . : .....,:96" |, Longueur totale „1... . 946 
Länge der Flügel . . . . . 7 0 » des ailes... ... 70 
» des äussersten Paares » des pennes externes 
Steuerfedern ....38 de la queue . . . . 88 
. » des mittelsten Paares . 2 3 » des pennes mitoyen- 
Höhe des Laufes . . . . . 1 5 nes de la queue . . 2 3 
Länge der Mittelzehe . . . 0 8 > rd; base het dial 1:5 
» des Nagels derselben . 0 3 » du doigt de milieu 0 8 
» des Schnabels, vom » de son ongle....03 
Mundwinkel. . . . . O 10 » du bec, à partir de 
Höhe des Schnabels (bei- l'angle de la bouche O 10 
der Kiefer) am vor- Hauteur des deux mandi- 
dern Ende der Na- bules près de l’angle an- 
senlöcher...1.... 021. térieur des narines. . . O0 21 
Die Beschreibung, welche Pal- Voici la description donnée 


las von dieser Art gegeben hat, | par Pallas de cette espéce: 
lautet wie folgt: 


» Inomni deserto Tatarico a Volga usque fere ad Irtin, quousque 
» campestris et inhabitata regio patet, frequentissima, a fine Aprilis 
» ad autumnum, avis; ultra Irtin etin reliqua Sibiria nusquam appa- 
»ruit. Omnium copiosissime desertum laicense ad Samarum usque 
» frequentat, nec multo ulterius ad septentrionem evagatur. Dicitur, 
»instar Meropis, in cuniculis praeruptorum niduları; saltem nidum, 
»in tanta illarum multitudine obtinere nunquam potui. Semper subgre- 
» garia in desertis vagatur, post educatam prolem congregatur copio- 
»sius. Aquas nunquam frequentat, sed in aridissimis, praesertim sal- 


94 


»suginosis, venatur Gryllos aliaque Insecta, maxime sub vesperam; 
>» vidi ad Samaram cum Turture congregatas Insecta legentes, et 
» Gryllorum praesertim copiam egregie minuunt. Currit instar Chara- 
»drii; hominem parum timet. Subvolat cum clamore (Tirék-tirik !) 
»fere Sternae, vel Vanellı, etiam volantıs sı terreatur. Volatus fere 
» Sternae. Tempestive ad austrum migrat. 

» Magnitudo Turturis. Capitis forma, rostrum et rictus omnino 
» Cuculi. Rostrum convexo-compressum , subincurvum , nigrum , mar- 
» ginibus versus angulos oris fulvis; os tamen intus albet. Lingua 
» cartilaginea , triquetro-plana, acuta, integra. ÂVares ad basin 
»rostri imperviae, depressae, semiovales, membrana ultra dimidium 
» clausae, apertura lineari. /rides oculorum luteo-fuscae, palpebra 
» inferior alba), utriusque margines nudi, nigri. Vertex gryseo-fus- 
» cescens. Lora nigra, sub oculis continuata in annulum ovalem 
»nigrum, gulam sordide albam usque ad medium collum includen- 
»tem. Reliqua subfus cinerascunt; venter albidior. Supra avis tota 
» gryseo-fuscescens, Lusciniae fere colore. Alae longissimae, an- 
» gustae, caudam exsuperantes, subtus, nigrae ‚ praeter rhaches re- 
»migum albas; remiges 25: quarum extima longissima. Uropigii 
»latera alba. Cauda longiuscula, (proportione Sternae) , forcipata 
» rectricibus mediis latibseutis: dimidiato-albis, tribus utrinque exti- 
»mis gradatim longioribus, albis, apice angustissimo nigris. Pedes, 
»ut in Charadrüs, longi, (non rubri, ut Gessnerus et Brissonius) , 
»sed fusci, supra genua nudi, tetradactyli; dégéte breves, plica 
» tantum exterioris insigniore , postieus minutus, cum ungue incur- 
» vus; anteriorum vero wngues longiusculi, subuläti i ara me- 
» dius et interiore acie serratus. — Foeminae exsoletiores, circulo 
» gulae minus expresso, submaculosae. Pulli primo anno rostro paulo 
»breviore, corpore supra scolopaceo (plumis fuscis, margine gry- 
»seis); pectore fusco liturato, uropygio albo, tectricibus caudae 
»apice gryseis, litura fusca Hotels cauda Bra subforcipata , 
» omnibusque rectricibus rotundatis, pedibus livescentibus differunt. — 
» Adultorum pondus unciarum 2! ad 3 et ultra. Longitudo ad uro- 
» pygium 6”. 2/”. rectricum RE 3/,.9/7, mediarum 2, 3", 
»alarum compositarum 7.3”. expansarum 1’. 10‘. 0. rostri ad 
» frontem 72’. ad rictum 111”. femorum ad 51”. nudatorum 1. 
» 10”. tibiarum 1#. 6. digiti medn (c. u. 32‘”.) 17. postici (1.) 
„zu? / 

Je vois par un mémoire de Mr. 
Nordmann, inséré dan le Bulle- 


Ich finde so eben, dass Word- 


mann diese Art unter dem Na- 


men GLAREOLA MELANOPTERA 
unterschieden hat. Siehe Bullet. 
de Moscou, 1842, p. 314, PI. 2. 
Fischer, ibid., hat ıhr darauf den 


lin de Moscou, 1842, p. 314, 
Pl. 2, que ce savant vient de 
decrire cette espece sous le nom 
de GLAREOLA MELANOPTERA ; 


Namen GLAREOLA NORDMANNII 
beigelegt. 


(106) CHARADRIUS PYRRHO- 
THORAX. Eine in ganz Indien 
bis auf die Inseln Hinter-Indiens 
ungemein häufige Art, welche 
in mehreren Sammlungen unter 
dem Namen Charadrius rufi- 
collis, Cuv., Mus. Par., auf- 
gestellt ist. Sie ist ohne Zwei- 
fel den Naturforschern schon 
längst bekannt gewesen , aber nie 
ausführlich beschrieben worden. 
Horsjfield scheint sie inseiner Auf- 
zählung der javanischen Vögel, 
Linn. Trans., XIII, p. 187, 
für Ch. asiaticus gehalten zu 
haben, und Wagler hat sie wahr- 
scheinlich mit einer ähnlichen , 
aber etwas grösseren Art ver- 
wechselt, welche er unter dem 
Namen Ch. Geoffroyt, (Syst. Av. 
Char., n°. 19), beschreibt. 


(107) Ch. Bonap., List, p. 
52, n°. 376, führt Scolopax ma- 
jor, Montagu , unter dem Namen 
SCOL. MONTAGUI, als verschie- 
den von Scolop. major, Gmelin 
auf; warum?, wird nicht gesagt. 


(108) SCOLOPAX BREHMI, 
Kaup, Isis, 1823, p. 1147, s. 
Gallinago Brehmi, Ch. Bonap. 
lcon. d. Fauna ital. I, Tav. 43; 
TELMATIAS PEREGRINA,Brehm, 
Handb., p. 621; scoLOPAX DE- 
LAMOTTH und PYGMAEA , Pail- 
lon, Catal., p. 23, n0.200 u. 
201, und andere von Brehm, 
Isis, 1835, p.116, syg. aufgestell- 
te, der Scol. gallinago verwand- 
te Subspecies, scheinen uns noch 


95 


c’est aussi GLAR. NORDMANNI, 
Fischer, tbid. 


(106) CHARADRIUS PYRRHO- 
THORAX. Cette espèce, très com- 
mune aux Indes orientales et dans 
les îles de ia Sonde, porte dans 
plusieurs collections le nom de 
Charadrius ruficollis, Cuv. Mus. 
Par. Nous ne doutons nullement 
qu’elle n’ait été depuis longtemps 
connue des naturalistes: mais 
elle n’a jamais été décrite d’une 
manière reconnaissable. Il pa- 
rait que Âorsfield l'a pris pour 
le Char. asiaticus,; (voyez son 
enumeration des oiseaux de Java 
dans les Linn., Trans., Vol. 
AIII, p.187); Wagler la con- 
fond probablement avec l’espece 
voisine qu'il décrit sous le nom 
de Ch. Geoffroyt, mais qui s’en 
distingue par une taille plus for- 
te: voir Wagler, Syst. av. Char., 
n°. 19. 


(107) CA. Bonaparte, List, 
p.52, n°.876, fait, sans alléguer 
des raisons pour justifier cette 
distinction, du Scol. major de 
Montagu, une espèce nouvelle 
qu'il nomme SCcoL. MONTAGUI. 


(108) scoLoPax BREHMU, 
Kaup, Isis, 1825, p. 1147, 
Gallinago Brehmit, Ch. Bonap., 
Icon. d. Fauna ital., I, PL. 
43; TELMATIAS PEREGRINA, 
Brehm., Handb., p. 621; sco- 
LOPAX DELAMOTTII et PYG- 
MAEA, Baillon, Catal., p. 23, 
n°. 200 ef 201, ainsi que d’autres 
soi-disant espèces voisines de la 
bécassine ordinaire, établies par 


Brehm, Isis, 1835, p. 116 et 


so wenig begründet, dass wir 
uns selbst nicht einmal getrauen, 
‘sie als Nebenarten oder locale 
Racen von Scol. gallinago auf- 
zuführen. Die Grösse dieser 
Schnepfen, die Zahl, Gestalt und 
Färbung ihrer Schwanzfedern , 
kurz alle von den erwähnten Na- 
turforschern angeführte Kennzei- 
chen haben wir so vielen indivi- 
duellen Abweichungen unterwor- 
fen gefunden, dass wir, trotz 
vielfältiger Untersuchungen und 
Vergleichungen , mit dem besten 
Willen , keine beständigen Kenn- 
zeichen für irgend eine der er- 
wähnten Formen herausfinden 
konnten. 

Naumann, VIII, p 311, An- 
merkung , p. 316, beschreibt eine 
Sumpschnepfe aus Ostindien mit 
26 Steuerfedern, und bildet den 
Schwanz derselben auf pag. 343 
ab. Es ist dies aber keine Varıetät 
der gemeinen Sumpfschnepfe , 
sondern eine eigene, in Ostindien 
sehr häufige Art: Scolopax ste- 
noptera, Mus. Leid. 


(109) Schinz , Le ,p.842, führt 
SCOLOPAX SATURATA, ange- 
blich nach einem in England ge- 
tödeten und in den Linn. Trans., 
Vol. XV, beschriebenen Exem- 
plare, als europäisch auf. Dieser 
Irrthum beruht offenbar auf einer 
Verwechselung mit Scol. Sabr- 
nii. Scol. saturata, Horsfield 
von Java, eine wahre Wald- 
schnepfe , ist übrigens in Band 


96 


XIII, p. 191 der Linn. Trans. | 


beschrieben, und in den Zool. 


suiv., reposent sur des caractè= 
res tellement futiles que je n’ai 
pas même osé les admettre com- 
me races particulières. La taille 
de ces oiseaux, la forme , le nom- 
bre et la distribution des teintes 
des pennes de la queue, bref 
tous les caractères indiqués par 
les naturalistes que nous venons 
de citer, sont sujets à varier 
selon les individus, de sorte qu'il 
m'a été impossible de découvrir 
des caractères constans servant 
à reconnaître les prétendues espè- 
ces dont nous venons de faire 
mention. | 


Naumann, vol. VIII, p.311, 
remarque, p. 316, décrit une 
bécassine des Indes dont la queue 
est pourvue de 26 pennes, et il 
donne une figure de la queue de 
cette espèce à la page 343; mais 
c'est à tort qu'il prend cette bé- 
cassine pour une simple variété 
de notre bécassine ordinaire; c’est 
une espèce parfaitement distine- 
te, tres-commune aux Indes, et 
qui porte au Musée de Leide le 
nom de Scolopax stenoptera. 


(109) Schinz, L.e., p.342, a 
énuméré parmi les oiseaux d’Eu- 
rope la Bécasse de Java, Sco- 
LOPAX SATURATA, qu'il dit avoir 
été tuée en Angleterre et décrite 
dans le /ome XV des Trans., 
Linn. 1l est évident que Mr. 
Schinz a confondu cette espèce 
avec la Scolopax Sabéinii. Du 
reste, la Bécasse de Java est dé- 
crite dans le vol. XIII, p. 191 
des Trans. Linn., et on en voit 
la figure dans les Zool. Resear- 


97 


Researches, Tafel ohne Num- 
mer, abgebildet. 


(110) Es ist uns eben so wenig 
als Keys. u. Blas., p. LXXIV, 
n°.339, Anmerk., gelungen, ı1- 
MOSA MEYERI, Leisler, Nachtr. 
zu Bechst. Nat., p. 172, durch 
sichere Kennzeichen von Limosa 
rufe zu unterscheiden. Man sehe 
über Limosa Meyeri: Naumann, 
VIII, p. 428 bis 445, und Horn- 
schuch, in Wiegman, Archiv , 


1838, I, p. 167 dis 190. 


(111) EURYNORHYNCHUS PYG- 
MAEUS, Nilsson; Platalea pyg- 
maea, Linn., wird von Ch. Bo- 
nap., List, p. 49, no. 344, als 
europäischer Vogel aufgeführt. 
So viel ich weiss, bestehen von 
diesem Strandläufer nur zwei 
Exemplare in den Sammlungen: 
nämlich eins in Schweden, (das 
Originalexemplar, nach welchem 
die Art aufgestellt wurde), und 
eins in der Sammlung des Lord 
Derby. Letzteres wurde erst vor 
einigen Jahren an den Küsten 
Bengalen’s geschossen. Man hat 
daher wohl mit Unrecht früher, 
Surinam als Vaterland dieses sel- 
tenen Vogels angegeben. 

TRINGA INCERTA, ARisso, L. 
C., p. 52, n°. 135, ist nicht zu 
bestimmen. 


(112) Die, unter dem Namen 
FALCINELLUS aufgeführte Gat- 
tung, ist nach zwei Exemplaren 
eines Strandläufers aufgestellt , 

2. 


ches de Horsfield, Planche sans 


numero. 


(110) De même que M. M. Key- 
serling et Blasius, (p. LXXIV, 
n°.339, remarque), je n’ai pu 
réussir à découvrir des caracte- 
res constans pour distinguer la 
barge de Meyer (LIMOSA MEYE- 
m1, Leisler, N.zu Bechst., IT, p. 
172) de la barge rousse. On 
peut consulter sur cette barge 
de Meyer, l'ouvrage de Nau- 
mann, vol. VIII, p. 428 à 445, 
et une dissertation de Horn- 
schuch, insérée dans Wiegman , 


Archiv., 1838, I, p. 167 à 190. 


(111) C’est à tort que M. C4. 
Bonap., List, p. 49, no. 344, 
a énuméré parmi les espèces eu- 
ropéennes l’EURYNORHYNCHUS 
PYGMAEUS, Nilsson; Platalea 
pygmaea, Linn. Il n'existe, 
que je sache, dans les col- 
lections que deux individus de 
ce becasseau, savoir: l’un en 
Suede , le même d’après lequel 
l'espèce a été établie; l’autre 
dans la belle collection de Lord 
Derby, tué il y a quelques an- 
nées, sur les côtes du Bengale. 
Il paraît donc que c’est à tort 
que l’on a indiqué autrefois cette 
espèce rare comme se trouvant 
à Surinam. 

TRINGA INCERTA , Risso, [.c., 
p. 52, n°. 135, appartient au 
nombre des especes qui ne peu- 
vent être déterminées. 


(112) Le genre établi sous le 
nom de FALCINELLE repose sur 
deux individus d’un bécasseau , 
provenant tous les deux de la 


7 


beide aus der Sammlung Levail- 


lants stammend: das eine, im . 


Pariser Museum, angeblich bei 
Neuilly in Frankreich, das an- 
dere im Leidner Museum, ange- 
blich in Südafrika erlegt. Wir 
haben diese beiden Exemplare 
wiederholt und genau untersucht, 
und gefunden, dass es grosse 
Exemplare der Tringa subar- 
quata im Winterkleide sind, de- 
nen die Hinterzehe abgeschnitten, 
und der Schnabel, durch Ol er- 
weicht, über der Lampe krumm 
gebogen wurde. Schon Bazllon, 
Uatal., p.21, note, und Bote, 
hatten eine ähnliche Bemerkung 
gemacht. Cuvier, Règne an., 
I ed., I, p. 486, Il ed., I, p. 
527, hat diesen Vogel zuerst auf- 
geführt, und danach die Gattung 
Falcinellus aufgestellt. Tem- 
minck, Pl. col. 510: Falcinellus 
cursorius, und Vierllot, Galerie, 
IT, PU.232: Erolia varia, ha- 
ben ihn abgebildet. Ch. Bonap., 
List, p.50, nennt ıhn Faleinel- 
lus Cuvieri. Dass Cuvier fälsch- 
lich die Scolopax pygmaea , 
Gmel. Linn., p. 655, n°. 20, 
. hierher zog, hatschon Temminck, 
Man., II, p. 617, remarque, 
gerügt. Die Gattung Falcinellus 
muss daher wie die Gattung Spa- 
ractes , wie der Szerin, (Levail- 
lant, Ois.d’ Afr., Pl.82; Pyrr- 
hocorax hexanemus, Cuv. Règ- 
ne an., ],p.380,) aus dem Sys- 
tem gestrichen werden. Letzterer 
ist nach dem Originalexemplare 
des Leidner Museums, ein gemei- 
ner Pyrrhocorax, dem auf jeder 
Seite des Kopfes drei Palmenfä- 
den eingesteckt wurden. 


98 


collection de Levaillant: l’un de 
ces individus se trouve au Mu- 
seum de Paris, l’autre fait par- 
tie du Musée de Pays-Bas; sui- 
vant les indications de Levail- 
lant, celui-là a été tué près de 
Neuilly en France, celui-ci dans 
l'Afrique méridionale. Après avoir 
plusieurs fois et soigneusement 
examiné ces deux échantillons, 
nous avons acquis la certitude 
que ce sont tout bonnement des 
individus du bécasseau cocorli, 
(Tringa subarquata), dont on a 
enlevé le pouce, et dont le bec 
a été courbé artificiellement, en 
l’exposant à une faible chaleur 
aprés l'avoir humecté d’huile. 
M. M. Baillon, Catalogue, p. 
21 note, et Bore ont été les pre- 
miers à douter de l’existence de 
ce genre d'oiseau. Ïl a été in- 
troduit d’abord par Cuvier, Règne 
an. , éd. Z, p. 486; M. Temminck, 
Pl. col. 510, en a publié une fi- 
gure sous le nom de Falcinellus 
cursorius, Vieillot, Galerie, II, 
Pl. 232, sous celui d'£rolia va- 
ria. Ch. Bonaparte, List, p.50, 
a changé ces noms en celui de 
Falcinellus Cuvierii. Mr. Tem- 
minck, Man, IT, p.617, remar- 
que, a déjà relevé la méprise 
que @. Cuvier a commise, en 
citant comme synonyme de cet- 
te espèce imaginaire, la Scolo- 
pax pygmaea, (rmel. Linn., 
p. 655, n°. 20. Ces données suf- 
firont pour prouver qu'il con- 
vient de rayer du catalogue mé- 
thodique le Falcinelle qu ap- 
partient, comme le Sparacte et le 
Sicrin au nombre des oiseaux fa- 
briqués. Quant au Sicrin de Le- 
vaillant, Ois. d'Afrique, PI.82; 


NUMENIUS PHAEOPUS. Mehr 
oder weniger zahlreiche Flüge 
dieser Art bringen die wärmere 
Jahreszeit in Holland zu, ohne 
zu brüten. Es scheint daher, als 
.ob diese Art erst im zweiten Jahre 
fortpflanzungsfähig ist. 


Graf von der Mühle, p. 111, 
hat unter dem Namen NUMENIUS 
SYNGENICOS, einen neuen Brach- 
vogel nach einem, in Griechen- 
land getödeten Exemplare auf- 
gestellt. Da die Kennzeichen die- 
ses Vogels nicht mit der nöthigen 
Schärfe angegeben werden konn- 
ten, so beschränken wir uns, 
die Ornithologen auf denselben 
aufmerksam zu machen , und fü- 
gen nur noch die Frage hinzu, 
ob es nicht vielleicht ein Bastard 
zweier verwandier Arten, etwa 
des Numenius phaeopus und te- 
nuirostris seyn könnte. 


(113) TRINGA CINCLUS MI- 
nor. Wir haben diesen Vogel 
als Nebenace der Tringa cinclus 
angenommen, weil er zur Brü- 
iezeit an gewissen Localitäten 
selbstständig auftritt. In Holland 
zZ. B., habe ich immer nur diese 
kleinere Race brütend, die grös- 
sere nur auf dem Durchzuge an- 
getroffen. 


99 


Pyrrhocorax hexanemus, Cuv., 
Regne an.,I, p.380 , le Musée des 
Pays-Bas en posséde l'individu 
même qui a servi à l'établissement 
du genre; ce n’est autre chose 
qu’un chocard des alpes, à la 
tête duquel on a attaché, de cha- 
que côté, trois brins de palmier. 

NUMENIUS PHAEOPUS. Des 
bandes plus au moins considéra- 
bles de cette espèce passent la 
belle saison en Hollande, sans y 
faire des nids. Il paraît résulter 
de cette observation que cette 
espèce n'est propre à la propa- 
gation qu'après avoir atteint l’âge 
de deux ans. 

Mr. le Comte von der Mühle, 
p.111, a indiqué, sous le nom 
de NUMENIUS SYNGENICOS, une 
nouvelle espèce de Courlis, éta- 
blie d’après un seul individu tué 
en Grèce. Les caractères de cet 
individu n'ayant pas été consta- 
tés d’une manière rigoureuse, 
nous nous bornons à fixer l’at- 
tention des ornithologistes sur 
cet oiseau douteux, qui pourrait 
bien n'être qu’un métis produit 
par l’accouplement de deux espe- 
ces voisines, comme par exem- 
ple des Numenius phaeopus et 
denuirostres. 


(113) TRINGA CINCLUS Mr. 
nor. Nous avons adopté cette 
race du Bécasseau variable, par- 
cequ'elle habite exclusivement 
certaines localités lors de l’épo- 
que de la propagation. En Hol- 
lande, par exemple, ce n’est que 
cette petite race qui y niche, 
tandis que la grande ne fréquen- 
te ce pays que durant l’époque 
de la migration. 


100 


(114) MACHETES ToRQUA- 
mus, Risso, I. c., p. 71, n°. 
238 , ist als eine zufällige Farben- 
varietät des gemeinen Kampf- 
strandläufers zu betrachten. 


(115) roranus Dupıa, Ärs- 
so, Il. c., p. 73, n°. 250, lässt 
sich nach der unvollkommenen 
Beschreibung gar nicht bestim- 
men. 


(116) Zufolge einer Mitthei- 
lung des Herrn John Youell, 
welche in den Trans. of the 
Linn. soc., vol. XIV, p. 588, 
enthalten ist, soll am 24 Mai 1824, 
ein Exemplar der ARDEA CAYEN- 
NENSiS, Gmel., bei Yarmouth 
gefangen worden sein. Wenn die- 
ses Exemplar nicht etwa aus emer 
Menagerie entkommen ist, so wä- 
re jene schöne Art unter die eu- 
ropäischen Vögel aufzunehmen. 

Schinz, I. c., p. 308, führt 
A. HERODIAS, Zinn., als euro- 
päisch auf, weil sie irgendwo ın 
dun gefangen worden seyn 
soll. Die Quelle, aus welcher jene 
Nachricht geschöpft wurde, ist 
nicht angegeben; .es kann diesel- 
be daher nicht berücksichtigt 
werden. 


(117) Die GRÖSSEREN SIL- 
BERREIHER mit schwarzem 
Schnabel, hat man bis jetzt immer 
für alte Vögel , die kleineren mit 
gelbem Schnabel für die jüngeren 
Vögel gehalten. Rüppell, Mus. 
Senck., II, p.182, führt erstere 
unter dem Namen Ardea alba, 
letztere unter dem Namen Ardea 
egrelta auf. Letzteren Namen 
verwerfen Keyserl. u. Blas., p. 


(114) MACHETES TORqUA- 
TUS, Risso, L. c., p.71, no. 238, 
ne forme qu’une variété acciden- 
telle du combattant ordinaire. 


(115) Il est impossible de dé- 
terminer au juste le Toranus 
puB1A de Aisso, L. :c., p. 73, 
n°. 250. 


(116) John Fouell fait mention 
dans les Trans. Linn.,t{omeXIP, 
p- 588, d'un individu d’ARDEA 
CAYENNENSIS, œmel., pris, le 
24 Mai 1824, près de Yarmouth 
en Angleterre. Dans le cas qu'il 
serait prouvé que cet individu 
ne s'était échappé d’une ména- 
gérie , il conviendrait d'admettre 
cette belle espèce dans le cata- 
logue des oiseaux d'Europe. 


Schinz, d c., p. 308, cite 
l’'ARDEA HERODIAS, Zinné, 
comme ayant été observé en An- 
gleterre, sans faire mention de 
la source d’où il a tiré cette in- 
dication , ce qui nous empêche 
d’énumérer cette espèce dans no- 
tre catalogue. 


(117) La plupart des natura- 
listes sont d'avis que les GRARN- 
DES AIGRETTES de forte taille 


et à bec noir, ne sont que les 


adultes des individus de moindre 
taille et dont le bec est teint de 
jaune. M. Rüppell cependant, 
Mus. Senk., IT, p.182, appli- 
que aux premiers le nom d’Ar- 
dea alba, et aux derniers celui 
d’Ardea egretta. M. M. Keyser- 


101 


LXXXIX, mit Recht, weil der- 
selbe, (siehe @melin, Linn., p. 
629, n°. 34) auf die amerikanı- 
sche Art zu beziehen ist. Keys. 
u. Blasius dagegen nennen den 
kleineren gelbschnäbligen Vogel, 
Ardea alba, den grösseren 
schwarzschnäbligen halten sie 
für identisch mit Ardea orien- 
Lalis, Gray, Ind. Zool.,I, Tab. 
65, welche Abbildung aber eine 
kleine der Ardea garzeita sehr 
verwandte Art, und zwar Ar- 
dea nigripes, Temm. Man., IV, 
p. 376, Ardea melanopus, Wag- 
ler, Isis, 1829, p. 659 , vorzu- 
stellen scheint. 


Ch. Bonap., List, p. 47, n°. 
329 und 330, führt, ausser Zgret- 
ta alba und garzetta, noch 
zwei europäische weisse Reiher, 
EGRETTA NIGRIROSTRIS und 
EGR. ORIENTALIS, (Ardea xan- 
thodactyla, Gmel.), auf, ohne 
die Kennzeichen oder Verwandt- 
schaften derselben anzugeben. . 

ARDEA EGRETTOIDES, (mel.; 
Temm., Man., II, p. 374; Ar- 
dea flavirostris, Wagl., Syst. 
av.; Ard.intermedia, (v. Has- 
selt, Mscpt.) Wagler, Isis, 1829, 
p. 659, ist eme von Ardea alba 
verschiedene , viel kleinere Art, 
die aber mit Gewissheit jetzt nur 
in Hinter-Indien gefunden wurde. 
Die beiden im Manuel, IV, p. 
376, erwähnten, angeblich auf 
Sicilien getödeten Exemplare sind 
zu unsieherer Abkunft, als dass 
diese Angabe Glauben verdiene. 


ling et Blasius, p. LXXAIX, 
observent judicieusement, qu'il 
convient de conférer l’épithète 
d'egretta à l'espèce de l’Améri- 
que, voir Gmelin, Linn.,p.629, 
n°. 34) ; ils désignent les indivi- 
dus de l’aigrette commune de 
taille moindre et à bec jaune sous 
le nom d’Ardea alba; et ils pren- 
nent ,„. comme appartenant aux 
individus de forte taille et à bec 
noir, l’Ardea orientalis de Gray, 
Ind. Zool., I, Pl.65, quoique 
cette dernière figure représente 
une espèce plus petite, voisine de 
la petite aigreite, et qui est pro- 
bablement identique avec l’Ar- 
dea nigripes, Temm., Man., IV, 
p.316, Ardea melanopus , Wa- 
gler , Isis, 1829, p. 659. 

Ch. Bonaparte, List, p. 47, 
n°. 329 et 330, enumere, outre 
la grande et la petite aigrette, 
deux autres aigrettes d'Europe, 
SAVOIr: EGRETTA NIGRIROSTRIS 
et EGR. ORIENTALIS (Ardea 
xanthodactyla, Gmel.),. sans 
cependant indiquer leurs traits 
distinctifs. 

ARDEA EGRETTOIDES, (rmel.; 
Temm., Man., Il, p. 374; Ardea 
Jlavirostris Wagler, Syst. av.; 
Ard. intermedia, (v. Hasselt., 
Mscpt.), Wagler, Isis, 1829, 
p.659, forme une espèce tres-dif- 
férente de la grande Aigrette; 
elle est d’une taille beaucoup plus 
petite, et n’a été observée jus- 
qu’à présent que dans l'archipel 
des Indes. L’indication contenue 
dans le Manuel, IV, p. 376, re- 
lative à deux individus de cette 
espèce, tués à ce que l’on pré- 
tend en Sicile, a besoin d’être 


_eonfirmée par des observations 


10 


In emer späteren Arbeit des 
Ch. Bonaparte, Catalogo met., 
p.66, n°. 395 et 396, wird Ard. 
xzanthodactyla für einerlei mit 
Ardea egrettoides gehalten , und 
Ard. nigrirostris unter dem Na- 
men Egretta nivea, Bonap. , zu 
Rüppell's Ardea eg retta gezogen. 


(118) ARDEA BUBULCVS. Die- 
ser Vogel vertritt im nördlichen 
Afrıka die Stelle der, ın ganz In- 
dien bis Hinterindien , gemeinen 
Ardea russata, Besen: Man. , 
II, p. 566. Beide sind andere 
ausserordentlich verwandt, un- 
terscheiden sich aber durch die 
Maasse und etwas verschiedene 
Färbung, wie man aus folgenden 
Angaben ersehen kann: 


ARDEA BUBULCUS. 


Ganze Lange . ...... 
Länge der, Blusel:.u.. ...,.9 


» des Laufes ...... 3% 
» des nackten Theiles des 
Schienbeines ..... 11 
» des Schwanzes . . . . 84 
» der Mittelzehe. .. .. 22 
» des Schnabels bis zur 
DD Le Le elles ceci 22 


Füsse gelb. Gefieder weiss; beim 
alten Vogel, der Kopfoben und 
die Nackenfedern , die langen un- 
teren Halsfedern, und langen Rüc- 


5) 


Ari 


basées sur des données Du cer- 
taines. 

M. Ch. Bonaparte vient d’ ap- 
porter dans un de ses travaux ré- 
cents, Catalogo met., p.66, no. 
395 et 396, les modifications sui- 
vantes à la synonymie des diver- 
ses espèces d’aigrettes d'Europe. 
Ardea xanthodactyla, Gmel., 
est, selon ce savant, identique avec 
Ard. egrettoides , Temm.; et il 
adopte l’espèce appellée par Rüp- 
pell Ardea egretta, sous le nom 
d’Egretta alba, à laquelle il ré- 
unit aussi lArdea nigrirostris. 


(118) ARDEA BUBULCUS. Cet- 
te race remplace, dans l’Afrique 
septentrionale, l’espèce connue 
sous le nom d'Ardea russala , 
Temm., Man., II, p. 566, et qui 
se trouve en abondance aux In- 
des orientales. Ces deux hérons 
sont assez semblables; mais ilsse 
distinguent entre eux par des dif- 
férences dans la taille, et des 
modifications dans les teintes. Les 
indications suivantes sont desti- 
nées à prouver cette assertion. 


ARDEA BUBULCUS. 


Longueur totale . . . . . . 18% 
»...des Aules ...10-, . 2 
» dutarse....... dig 


» de la partie nue de 
la jambes. 2) 
» Ge la queue . L 2 
» du doigt de milieu . 
» du bec depuis le front 


RO ND CS ui 
Gay 1 ri Ones Net 


Pieds jaunes. Plumage blane, 
nuancé, dans les adultes, sur le 
dessus de la tête, sur les plumes 
de la nuque, sur les longues plu- 


103 


kenfedern äusserst blass braun- 
röthlich, auf dem Kopfe ein we- 
nig in das Rostfarbene spielend. 


ARDEA RUSSATA. 


RPC Lange . ...... 
Länge der Flügel ..... 9j 
we Laufes 2... . . . 9} 
» des nackten Theilen des 
Schienbeines : . . .. 
» des Schwanzes .... 31 
+ der ilelzehe . . . . "21 
» des Schnabels. . . .. 24 


Füsse braun , auf den Zehen in’s 
Schwarze, auf dem Schienbeine 
in’s gelbliche. Gefieder weiss; bei 
alten Vögeln, Kopf und Hals, so 
wie die langen Rückenfedern 
schön feurig rostfarben ; letztere 
aber etwas blässer und in das 
Braunröthliche spielend. 


Diese beiden Vögel sind fast 
immer mit einander verwechselt 
worden. Buffon’s Crabier de la 
côte de Coromandel, Pl. ent. 910, 
wird von Herrn Temminck, und 
wie es scheint, mit Recht, zu 
seiner Ardea russata gezogen. 
Nach dieser Abbildung stellt Ste- 
phens in Shaw Zool. AT, IT, 
p.577, seine Ardea coromande- 
lica auf. Lichtenstein’s Ardea 
coromandelica , Verzeichniss , 
1823, p. 78, no. 796, ist dagegen , 
wie ich mich durch Ansicht der 
Originalexemplare im Berliner 
Museum überzeugt habe, nach 
mehreren in Cypern, Aegypten 
und Nubien erlegten Exemplaren 
der Ardea bubulcus aufgestellt. 
Lichtenstein citirt als zu seiner 
Ardea coromandelica gehörend , 


mes du cou et sur celles du dos, 
d’un rougeätre tres-päle, qui of- 
fre sur la tete une legere nuan- 
ce couleur de rouille. 


ARDEA RUSSATA. 


Longueur totale... . .. Ä 
» US Ailes . + ee NO 

D AU TATSE à et cette 
» de la partie nue de 
lajambe. m. LEUR 2 

» de la queue..... 3 

» du doigt de milieu . 2% 

» AU DECS - tete char 


Pieds brun, tirant au noir sur 
les doigts, au jaunätre sur les 


jambes. Plumage blanc, passant 


dans les adultes, au brun cou- 
leur de rouille vive sur la tête, 
sur le cou et sur les plumes al- 


longées du dos, qui sont cepen- 


dant un peu plus päles et tirant 
an brun rougeätre. 

Ces deux races de hérons ont 
été souvent confondues entre el- 
les. Il paraît que c’est à juste 
titre que Mr. Temminck a réuni 
à l’Ardea russata le Crabier de 
la côte de Coromandel, Pl. enl. 
910. C’est d’après cette même 
figure que Stephens, Cont. of 
Shaw Zool, XT, IT, p. 577 a 
établi son Ardea coromandeli- 
ca; mais l’Ardea coromandelica 
de Zichtenstein, Verzeichniss , 
1823, p. 73, n°. 796, repose sur 
des individus de l’Ardea bubul- 
cus, tués en Chypre, en Egyp- 
te et en Nubie, et qui font par- 
tie du Musée de Berlin, .ou je les 
ai examinés. Lichtenstein cite 
comme synonyme de son Ardea 
coromandelica , la figure du Cra- 
bier de la cote de Coromandel, 


104 


Buffons Crabier de la côte de Co- 
romandel, Pl. ent. 910, und die 

 Descr. de l'Egypte, Ois., Pl.8, 
fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ar- 
dea russata, n°. 12, nota, macht 
schon die Bemerkung, dass die 
Exemplare aus Aegypten und Nu- 
bien kürzere Läufe als die aus 
Java haben. 

Der von Montagu, Linn. , 
Trans., IX, p. 197, und Orn. 
Dict.,Suppl. advoc. Heron little, 
white, aufgeführte, in England 
erlegte Reiher, zu demer Ardea 
aequinoctialis, @mel. Linn. , p. 
641, n°.25, zieht, gehört, wie 
aus der Beschreibung und den 
Maassen, (ganze Länge 20 engl. 
Zoll; Schnabel von der Stirne 
2"; Läufe 31”; nackter Theil der 
Schienbeine 14”) hervorgeht, zu 
Ardea bubulcus, und nicht zu 
Ardea russata. 


Diesen Untersuchungen zufolge 
muss Ardea russata wieder aus 
der Reihe der europäischen Vö- 
gel entfernt werden. Die beste 
Abbildung dieses Vogels findet 
sich übrigens in Gould, Birds of 
Europe, Pl. 278. 


(119) cıconıA AMERICANA, 
Brisson, Orn., V , 369, n°.3; 
Vieillot, Galerie, Pl.254, Ar- 
dea maguari, G@mel. Linn., p. 
623 ,'n0.22; Ciconia maguart, 
Temm. Man., II, p.563; Cico- 
nia jubura, Spix, Av. Bras., 
PI. 89, ist bis jetzt bloss in Süd- 
amerika gefunden worden. Ael- 
tern Nachrichten zufolge sollen 
früher in Frankreich einige Exem- 


Pl. enl. 910, et celle qui se trou- 
ve, dans le grand ouvrage sur 
l'Egypte, Ois., Pl.8, fig. 1. — 
Wagler, Syst. av., Ardea rus- 
sata, n°. 12, a déjà observé que 
les individus, tués en Égypte et 
en Nubie, ont des tarses moins 
élevés que ceux de Java. 


Le héron tué en Angleterre, 
et décrit par Montagu, (Trans. 
Linn., IX, p.197 et Orn. Diet. 
Suppl. ad voc. Heron, little 
white), appartient, comme il ré- 


_sulie de la description des tein- 


tes et de la taille de cet indivi- 
du, (longueur totale 20 pouces 
anglais, bec depuis le front 2 p., 
tarses 3 pouces et demie, partie 
nue de la jambe Ï p. et demi), à 
l’Ardea bubulcus et non pas à 
l’Ardea russata. Montagu lui- 
méme cite comme synonyme de 
son petit heron blanc l’Ardea 
aequinoctialis de Gmelin Linn., 
p. 641, no. 25. 

Ces observations sufhiront pour 
prouver que c’est à tort que l’on 
a admis, parmi les espèces d’Eu- 
rope , l’Ardea russata, dont Mr. 
Gould, Birds of Europe, Pi. 
278, a donné une figure excel- 
lente. | 


(119) cicoNIA AMERICANA, 
Brisson, Orn., p. 369, n°.3; 
Vieillot, Galerie, Pl.254; Ar- 
dea Maguari, Gmel. Linn., p. 
623, n9. 22; Ciconia Maguart, 


Temm., Man. , II, p.563; Ci- 


conia jubura, Spix, Av. Bras., 
PI. 89, n’a été observée jusqu’à 
présent que dans l’Amérique mé- 
ridionale. On prétend que cette 
espèce avait été autrefois tuée en 


105 


plare erlegt worden seyn. Diese 
Nachrichten sind aber keineswegs 
verbürgt und verdienen um so we- 
niger Berüksichtigung, da meh- 
rere französische Naturforscher 
diese Art nicht gehörig zu unter- 
scheiden wussten. Schon Vzezllot, 
MN. Dict. d’h.nat., VII, p.112, 
sagt: »On assure que cette ci- 
» gogne se montre quelquefois en 
» Europe etmême en France. Mais 
»ne l’aurait-on pas confondue 
» avec la nôtre ?’” Und @. Cuvier 
kannte im Jahr 1829 diese Art 
noch so wenig, dass er von ihr 
sagen konnte: » elle differe peu de 
»notre Cic. blanche, si ce n’est 
»par son bec cendré.” (Regn. 
an., I, p. 514, note). 


(120) GRUS ANTIGONE, Pal- 
las; Ardea antigone, Linne, 
Syst. nat., AII, p.235, n°.6, 
der das wärmere Asien bewohnt, 
wird von Keyserling und Bla- 
sius, p. LXIX, nach Pallas 
Angaben, als europäisch aufge- 
führt. Pallas, Zoogr., IT, p. 
102, sagt aber bloss: 


France, mais cette indication n’a 
jamais été constatée d’une ma- 
nière authentique. Vrerllot, Nouv. 
Dict., VIT, p. 112, s'exprime à 
ce sujet de la manière suivante: 
» On assure que cette cicogne se 
» montre quelquefois en Europe 
»et même en France. Mais ne 
» l’aurait-on pas confondue avec 
» la nôtre?” Il paraït en effet que 
certains naturalistes français ont 
très peu connu cette espèce; @. 
Cuvier lui-même en parle en 
1829, dans les termes suivans: 
»elle diffère peu de notre Ci- 
» cogne blanche, si ce n’est par 
» son bec cendré.”! Règne an., 
I, p. 514, note. 


(120) M. M. Keyserling et Bla- 


_sius , p.LXIX, ont introduit par- 


mi les oiseaux d'Europe, d’après 
une indication contenue dans 
Pallas, Zoogr., II, p.102; le 
GRUS ANTIGONE, Pallas, Ar- 
dea antigone, Linn., Syst. nat., 
XII, p. 235, n°. 6, espèce qui 
habite les parties chaudes de l’A- 
sie. Pallas cependant se borne à 
dire de cette grue: 


» Dicitur etiam interdum in deserto Astrachanensi apparere.” 


Ch. Bonaparte, Catal., p.65, 
n°. 391 , führt auch GRUS PAVo- 
VINA als europäisch auf. 


(121) Ch. Bonap., Icon. della 
Fauna ital., Uccelli, Introduz., 
p- 1, führt einen neuen Lappen- 
taucher aus Sardimien auf; er 
nennt ihn PODICEPS LONGIROS- 
TRIS. Er soll von der Grösse des 
Pod. cristatus seyn, in der Fär- 


Ch. Bonaparte, Catal., p.65, 
n°. 391, fait mention du GRUS 
PAVONINA, comme se montrant 
quelquefois en Europe. 


(121) Ch. Bonaparte, Icon. 
della Fauna italica, Uccelli, In- 
trodux., p.1, dit qu’il existe en 
Sardaigne une espèce nouvelle 
du genre grebe; il la désigne 
sous le nom de PODICEPS LON- 
GIROSTRIS, Elle est de la taille 


106 


bung dem Pod. rubricollis ähn- 
_eln, aber einen längeren, an der 
Spitze aufwärts gebogenen Schna- 
bel haben. 


(122) Nach Hornschuch und 
Schilling soll es in Europa eine 
zweite, kleinere Race des COLYM- 
BUS arcrıcus geben, welche 
von jenen Naturforschern coLym- 
BUS BALTICUS genannt wird. 
Siehe über dieselbe, Keys. u. 
Blas., p. ACI. 


(123) uRIA uNICOLOR, Faber, 
Isis , 1824, p. 981, von Island, 
scheint eine zufällige Varietät der 
Uria grylle zu seyn. Wir erhiel- 
ten ein ähnliches Exemplar aus 


Grönland. Grylle carbo, Brandt, . 


die Ch. Bonap. Catal., p. 82, no. 
532 als europäisch auflührt, ge- 
hôrt wahrschemlich hierher. 


(124) Von ANSER GAMBER- 
sis, Brisson, Orn. VI, p. 283, 
n°. 8, vom Senegal, Abyssinien 
und Egypten wurde bis jetzt nur 
ein Exemplar in Europa und zwar 
in England erlegt; es ist wahr- 
scheinlich, dass jenes Exemplar 
ein entkommenes war. 

Dasselbe gilt vielleicht auch von 
ANSER CANADENSIS, neuerlich 
ebenfalls als europäisch aufge- 
führt. 


(125) Naumann, AI, p. 340, 
n°. 317, Tab. 288, führt unter 
dem Namen ANSER INTERME- 
Dius eine Gans auf, welche et- 
was grösser als Anser albifrons 


du grèbe huppé, mais son bec 
est legerement retroussé à la poin- 
te, et les teintes du plumage of- 
frent de l’analogie avec celles du 
grebe à joues grises. 


(122) Hornschuch et Schilling 
prétendent qu’il existe en Europe 
une race du COLYMBUS ARCTI- 
cus, distinguée par sa petitetaille: 
ils la nomment COLYMRUS BAL- 
ricus. Conférez Keyserling et 
Blasius, p. XCI. 


(123) urra UNICOLoR , Faber, 
Isis, 1824, p. 981, ne paraît 
former qu’une variete acciden- 
telle de l’Uria grylle. Nous ve- 
nons d’en recevoir un individu 
du Groenland. C’est probable- 
ment le Grylle carbo, Brandt, 
introduit parmi les oiseaux d’Eu- 
rope par Ch. Bonaparte, Catal., 
p. 82, n°. 532. 


(124) ANSER GAMBENSIS, 
Brisson, Orn., VI, p.283, no. 
8, qui habite le Sénégal, l’Abys- 
sinie et l'Egypte, n’a été obser- 
ve en Europe qu'une seule fois; 
mais on suppose que l'individu 
tué en Angleterre s'était échap- 


f 9 D 
| pé d’une ménagérie. 


La même incertitude règne à 
l'égard de l’ANSER CANADENSIS, 
espèce que l’on a également énu- 
mérée récemment comme faisant 

: : 
partie de la Faune d’Europe. 


(125) Naumann, XI, p. 340, 
n°, 317, Pl. 288, établit, sous 
le nom d’ANSER INTERMEDIUS, 
une nouvelle espèce d’oie, qu'il 
dit différer de l’Anser albifrons 


107 


seyn, und sich von ıhr besonders 
durch einen bei der Stirne und 
an den Ladenrändern schwarz 
gefärbten Schnabel unterscheiden 
solle Naumann hat nur zwei In- 
dividuen dieser Gans gesehen, und 
glaubt, dass sie die Stelle der weiss- 
stirnigen Gans in Island vertritt. 

Pallas, Zoogr., II, p.226, 
dagegen beschreibt eine kleinere 
Varietät des Anser albifrons , 
mit einem an der Kuppe und auf 
der Firste schwarzen Schnabel , 
mit folgenden Worten: 


par une taille un peu plus forte, 
ainsi que par un bec teint de 
noir à la base prés du front, et 
sur les bords de la mandibule 
supérieure. Naumann n’a exa- 
miné que deux individus de cet- 
te oie; il suppose qu’elle rem- 
place, en Islande, l’oie rieuse. 
Pallas, Zoogr., II, p. 226, 
decrit au contraire une variete de 
de l’oie rieuse, à taille moins for- 
te et à mandibule supérieure tein- 
te de noir sur le dessus et à la 
pointe. Voici ce qu'il en dit: 


ȧ. Varietas vel junior, ni fallor, proles autumno simul adven- 


»tat: simillima rostri ungue et carina nigra; capite colloque magis 
»fuscis; ventre immaculato, tantum cinereo-nebuloso; fronte con- 
»colore vel exiguo tantum margine albido rostrum cingente; pedi- 


»bus obsoletissime sordideque e fusco-rubris diversa. 


Alae huic 


»tantıllo longiores , licet ipsa fere minor.” 


(126) Keyserling und Blasi- 
us, p. LXÄXXIV, führen, nach 
Pallas , Zoogr., II, p. 258, no. 
342 , die Bisamente, ANAS Mo- 
SCHATA, Linn., Syst., XII, TI, 
p- 199, n°. 116; Cairina mo- 
schata, Fleming, Phil. of Zool., 
II, p. 260, als europäisch auf. 
Pallas sagt von dieser Art fol- 
gendes: 


(126) Ze canard musqué, ANAS 
MOSCHATA, Linn., Syst., XII, T, 
p. 199, n0. 116; Cairina moscha- 
ta, Fleming, Phil. of Zool, IT, 
p-260, vient d’être admis, d’après 
les données du professeur Pallas, 
Zoogr., IT, p.258, n°. 342, par 
Keyserl.et Blastus,,p.LXXXIV, 
comme espèce européenne. Pal- 
las en parle dans les termes sui- 


vans: 


» Spontanea circa mare Caspium, rariusque in australibus Volgae 
»regionibus et lacubus deserti caspici, praesertim Sarpae observa- 
»tur. Domestica praesertim Astrachaniae et in taurica Chersoneso, 
»e Persia et Turcia illata, Petropoli et Moscuae ex Europa, unde 
»in varias urbes interiores, maxime secundum Volgae tractum, 
»sparsa est. A Sinis quoque adfertur. Producit apud nos crebro 
»cum foemina Bochadis, sibi pennis et gressu, fereque magnitu- 
»dine, rostro et reliquo habitu, defectuque papillarum circa ros- 
»trum matri similiores. Sed haec hybrida non propagantur, obser- 
»vante jam Frischio. In Ornithothrophio quondam Procopi a De- 
»midof etiam cum À. aegyptiaca Brissonit hybrida produxit; mas 
»enim, incubante foemina ita libidinosus est, ut Gallopavonis fe- 


108 


» mellas et Gallinas vi subigat, et posteriores plerumque pondere 
»suo enecet. Odor moschi praesertim masculis, et mirum haec 
_»effectum habere, qui de moscho notus est, easque reddere ma- 
»xime libidinosas , ita ut etiam Anatis moschatae marem, suae spe- 
» Ciel, tunc praeferant, semel passae. 

» Nat. Spontanea mole fere Anseris, maximam partem nigro-aenea, 
» subtus et capite colloque albo maculata, speculo alari albo. Do-. 


»mestica rarius tota alba, plerumque maculoso-varia. 


Es ist aber eine Thatsache,, dass 
die Bisamente vor der Entdec- 
kung Amerika’s in Europa un- 
bekannt war, und dass sie Co- 
lumbus schon gezähmt in West- 
indien antraf. Fast alle spätere 
südamerikanische Reisende bis 
auf die neueste Zeit sprechen von 
ihr als von einer , in diesem Welt- 
theile häufigen, wild vorkom- 
menden Ente. Es sind daher of- 
fenbar die am kaspischen Meere 
lebenden Bisamenten, als verwil- 
dert zu betrachten. 


ANAS PURPUREOVIRIDIS , 


Schinz, Neue Schweiz. Denk- 
schr.,.1,:p. 126; n°0: 41; Bur. 
Fauna, I, p. 421; de Selys 
Longchamps, Faune beige, p. 
140, n°. 242, von der mehrere 
Exemplare in verschiedenen Ge- 
genden der Schweiz und in der 
Picardie beobachtet wurden, ist, 
wie Schinz selbst vermuthet und 

wie es Pallas Beobachtungen über 
“ die Bastarde der Stockente wahr- 
scheinlich machen, nichts als ein 
Bastard der Bisam- und gemeinen 
Ente. 


ANAS SPONSA, wird von 
neueren Schriftstellern als euro- 


C'est cependant un fait avéré, 
que le canard musqué fut incon- 
nu en Europe avant la décou-- 
verte de l'Amérique, et que cette 
espèce existait, aux Indes occi- 
dentales, à l’état de domesticité 
lorsque Colomb aborda dans cette 
partie de monde. La plupart des 
voyageurs qui depuis ont par- 
couru l'Amérique méridionale, y 
ont rencontré ce canard à l’état 
sauvage. Il est clair d’après ce 
que nous venons de dire que les 
canards musqués qui habitent les 
bords de la mer caspienne, ap- 
partiennent à une race domesti- 
que retournée à l’état sauvage. 

ANAS PURPUREOVIRIDIS, 
Schinz, Neue Schweiz. Denk- 
schr. , I, p.:126, 100, LE re 
Fauna, I, p. 421; de Selys 
Longchamps, Faune Belge, p. 
140, n°. 242, dont on a obser- 
ve plusieurs individus en Suisse 
et dans la Picardie, ne parait 
pas former une espèce particu- 
hère. Il est évident, comme il 
résulte des observations que Pal- 
las a communiquées sur les mé- 
tıs du canard commun et comme 
le suppose lui-même Mr. Schenz , 
que cette prétendue espèce n’est 
qu'un métis produit du mélange 
des canards musqué et commun. 

Plusieurs ornithologistes récents 
ont introduit parmi les espèces 


109 


päisch aufgeführt, obschon es 
wahrscheinlich ist, dass die Exem- 
plare, auf welche sich diese 
Angabe gründet , aus Hühnerhö- 
fen oder Menagerien entkommen 
waren. 

ANAS FORMOSA, aus dem 
nördlichen Asien, eine der Anas 
bimaculata verwandte, aber von 
ihr verschiedene Art, wird von 
Ch. Bonaparte, Catal., p. 71, 
n°.436, als europäisch aufgeführt. 
Die Quelle, woraus diese Angabe 
entlehnt ist, ist uns unbekannt. 


(127) MERGUS ANATARIUS, 
Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, 
c. fig, von welchen jetzt nur 
das eine, im Frühjahr 1825 bei 
Braunschweig erlegte Exemplar, 


bekannt ist, halten wir, nach ge- 


nauer Untersuchung dieses Exem- 
plares, mit Herrn Temminck, für 
einen Bastard von Anas clangula 
und Mergus albellus. 


(128) TACHYPETES AqQUILA, 
wird von Meyer und Wolf, Ta- 
schenbuch, IT, p. 580 und von 
Schinz, Eur. Fauna, p. 370, 
als europäisch aufgeführt. Es 
soll nach Bechstein, Naturg., 
1 Ausg., IIT, p. 756 , ein Exem- 
plar dieser Art im Januar 1792 
auf der Weser erlegt worden 
seyn. 


(129) Rüppell, Mus. Senk., 
IT, p. 185—187, trennt die klei- 
neren Exemplare des Pelec. ono- 
crotalus als eigene Art, welche 
er PEL. MINOR nennt. Die übri- 
gen Kennzeichen, welche Herr 


européennes l’ANAS SPONSA de 
l'Amérique du nord; mais il pa- 
raît que les individus qui ont 
donné lieu à cette assertion , pro- 
viennent des basse-cours ou d’une 
ménagérie. | 

ANAS FORMOSA , espéce parti- 
culière, quoique voisine de l’Anas 
bimaculata, et qui habite les 
parties septentrionales de l'Asie, 
a été introduite récemment, dans 
le catalogue méthodique des oi- 
seaux d'Europe, par Ch. Bona- 
parte, Catal., p. 71, n°. 436. 
Nous ignorons de quelle source 
est tirée cette assertion. 


(127) MERGUS ANATARIUS, 
Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, 
avec figure, n’est connu que 
d'après l’mdividu, tué au prin- 
temps de l’année 1825 près de 
Brunsvic ; cet individu nous ayant 
élé communiqué, nous le regar- 
dons, avec Mr. Temminck, com- 
me un métis provenant de l’Anas 
clangula et du Mergus albellus. 


(128) Meyer et Wolf, Ta- 
schenbuch, p. 580 et Schinz, 
Eur. Fauna , p. 370, ont intro- 
duit parmi les oiseaux d’Europe, 
la frégatte, TACHYPETES AQUI- 
LA, un mdividu de cette espèce 
ayant été tué, à ce que rapporte 
Bechstein, Naturgeschichte, 1re 
édition, III, p. 756, en Jan- 
vier 1792, sur les bords du Weser. 


(129) Rüppell, Mus. Senk., 
II, p. 185 à 187, sépare sous 
le nom de PELECANUS MINOR, 
comme espece distincte, les in- 
dividus de petite taille du Pelee. 
onocrotalus. Les autres caracte- 


110 


Rüppell anführt, haben wir nicht 
_ standhaft gefunden. Da fast alle 
Pelekanarten in der Grösse aus- 
serordentlich abändern, so haben 
wir die erwähnte kleine Abän- 
derung des Pelec. onocrotalus 
vorläufignoch nicht als selbststän- 
dige Rage angenommen. 


(129 bis) Nilsson Skandina- 
visk Fauna, Fogl., II, p. 478, 
führt eine, in Schweden vorkom- 
mende, kleinere Race der Cormo- 
ranscharbe auf, welche er PHA- 
LACROCORAX MEDIUS nennt. 


(130) CARBO GRACULUS, 
Temm. Man., II, p. 897, IV, 
p. 565, nach zwei, wahrschein- 
lich aus einer Menagerie her- 
‘stammenden Exemplaren aufge- 
stellt, ist eine, bis jetzt nur ım 
indischen Archipel beobachtete 
Art: Carbo sulcirostris, Brandt, 
Bullet. del’ Acad. de St. Petersb., 
LIT, p. 56. — Carbo graculus, 
Gould, Birds of Europe, PI. 
408, ist eine amerikanische Art: 
Phal. brasiliensis, Ch. Bona- 
parte, List, p.60, n°. 403. Im 
nördlichen Europa werden daher 
nur zwei Arten Scharben ge- 
funden, die sich in jedem Al- 
ter leicht durch die Zahl der 
Schwanzfedern unterscheiden. 
Da schon Linné diese Kennzei- 
chen für seinen Pelecanus carbo 
und graculus angegeben hat, so 
kann über die Synonymik dieser 
Arten kein Zweifel entstehen. 


res indiqués par Mr. Rüppell, 
m’ont paru trop variables, pour 
pouvoir servir comme traits di- 
stinctifs. Cette circonstance et le 
fait que presque toutes les espè- 
ces de pélécans sont assez sujet- 
tes à varier par rapport à leur 
taille, me font hésiter d'adopter 
pour le moment, comme race 
particulière, cette petite variété 
du pélécan commun, introduite 
par Rüppell. | 


(129 dis) Il existe, selon Wefs- 
son, en Scandinavie, une race de 
moindre taille du grand Cormo- 
ran; C’est son PHALACROCORAX 


MEDIUS, Skandinav. Fauna , 
Ois., p. 478. 


(130) CARBO GRACULUS, 
Temm., Man., Il, p.897 et IV, 
p.565, établi d'après deux indi- 
vidus provenant probablement 
d’une ménagerie, appartient à 
l'espèce décrite par Brandt, Bul- 
let. de l’ Acad. de St. Petersb., 
III, p.56, sous le nom de Car- 
bo sulcirostris. Cette espèce n’a 
été observée, à l’état sauvage, 
que dans l’Archipel des Indes. — 
Gould, Birds of Europe, Pl. 
408, a répresenté sous le nom 
de Carbo graculus une espece 
américaine: Phal. brasiliensis, 
Ch. Bonap., List, p. 60, no. 
403. Il n'existe, dans l’Europe 
septentrionale, que deux espe- 
ces de cormorans, qu'il est aisé 
de distinguer, l’une de l’autre, 
dans tous les âges, par le nom- 
bre des pennes de la queue. Lin- 
naeus ayant admis ce caractère 
dans ses diagnoses des Pelecanus 
carbo et graculus, il est facile 


(131) suLa MELANURA, Tem- 
minck, Man., IV, p. 569; Gould, 
P1.413, unterscheidet sich von Su- 
la bassana, wie wir schon frü- 
her an einem andern Orte bemerk- 
ten, durch ihren viel längeren, 
nackten Kehlstreif, und im Alter 
durch ihren schwarzen Schwanz. 
Sie vertritt die Stelle unseres 
Tölpels in Südafrika. Man will 
ein Exemplar dieser Art in Island 
erlegt haben. 


(132) Ein Exemplar der p10- 
MEDEA EXULANS wurde, nach 
den Mittheilungen des Herrn Dra- 
piez in Brüssel, im September 
1833, beiAntwerpen, vonFischern 
mit Rudern erschlagen: siehe 
Boie, Isis, 1835, p. 259. Im 
April 1837 wurden bei Kongsberg 
in Norwegen zwei Exemplare der 
DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS 
gefangen : siehe Asmark in MNyt 
Magazın for Naturwidenska- 
berne , Christiania, vol. I, p. 
256. Wahrscheinlich waren dies 
Vögel, die, wie es oft geschieht, 
von den Matrosen gefangen und 
nachher wieder frei gelassen wur- 
den. Indessen scheinen auch schon 
früher Vögel dieser Gattung in 
Europa beobachtet worden zu 
seyn. So sagt Brünnich, Orn. 
bor., p. 81 nota, » Diomedeae 
»exulantis ad Norvegiam, ut fer- 
»tur, occisi, caput et pedes mon- 
»strantur Hafniae in musaeo R. 
» Di. Volquartz.” Drei ähnliche 
Vögel, 18 bis 22 Pfund schwer, 
mit 41 Zolllangem Schnabel wur- 


111 


d'établir avec justesse la synony- 
mie de ces deux espèces. 


(131) suLa MELANURA , Tem- 
minck, Man., IV, p.569; Gould, 
Pl. 413, se distingue, comme 
nous l’avons remarqué ailleurs, 
de la Sula bassana, par l'étendue 
considérable de la membrane qui 
se prolonge sur la gorge, et par- 
ce que la queue des adultes est 
constamment d’un noir pur. . El- 
le remplace l’espece commune 
dans l'Afrique méridionale. On 
prétend avoir tué un individu de 
cette espèce en Islande. 


(132) M. Bore, Isis, 1835, p. 
259, rapporte, d’après une com- 
munication faite par M. Drapiez 
de Bruxelles, que l’on a tué à 
coups de rames, au mois de Sep- 
tembre 1833, pres d'Anvers, un 
individu de la DIOMEDEA EXU- 
LANS. On voit par une notice 
de Mr. Zsmark, insérée dans le 
Nyt Magazin for Naturwidens- 
kaberne, Christiania , vol. I,p. 
256, qu’on a tué pres de Kongs- 
berg en Norwege, au mois d’A- 
vril 1837, deux individus de la 
DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS., 
Les mätelots des batimens venant 
des contrées tropiques et s’amu- 
sant quelquefois à prendre ces oi- 
seaux et à leur rendre la liberté 
après les avoir gardés sur le pont 
pendant un espace de temps plus 
ou moins considérable, il se peut 
que les individus dont nous ve- 
nous de parler, aient été appor- 
tés de cette sorte dans des para- 
ges que ces oiseaux ne frequen- 
tent jamais spontanément. Il pa- 
rait d’ailleurs que les exemples, 


112 


den im November 1758 bei Chau- 
mont erlegt: Siehe la Chasse au 
fusil, Paris 1788, p. 545; ferner 
v.Wildungen, Weidmanns Feier- 
abende, I, p. 15— 19, und 
Meyer, vbid., II, p. 123. 


(133) Schinz, Eur. Fauna, 
I, p. 380, führt LARUS ARGEN- 
TATOIDES, Fauna bor. am., 
Birds, p. 417, als europäisch auf, 
und sagt, dass sechs alte Exem- 
plare dieser Möve in Irland ge- 
schossen wurden. Diese Nach- 
richt, offenbar den Proceed. Zool. 
Soc., 1835, p. 83, entlehnt , ist 
aber missverstanden, denn Thomp- 
son, der Verfasser des erwähn- 
ten Artikels, sagt bloss, dass er 
sechs in Irland erlegte Individuen 
des Larus argentatus, mit La- 
rus argentatoides, Rich. aus 
Nordamerika verglichen, und ge- 
funden habe, dass letztere Art 
auf zu unsicheren Kennzeichen 
beruhe, um als selbstständig be- 
trachtet zu werden. 


que des especes de ce genre 
se sont égarées en Europe d’une 
maniere ou d’autre, ont eu lieu 
plus frequemment qu’on .ne le 
croit ordinairement. Brünnich 
par exemple rapporte dans son 
Ornith. borealis, p.31, note, la 
notice suivante: » Diomedeae exu- 
» lantis ad Norwegiam, ut fertur, 
» occisi , caput et pedes monstran- 
»tur Hafniae in museo R. Dni. 
» Volquartz.” Je trouve dans d’au- 
tres ouvrages, que trois indivi- 
dus d’une espèce analogue ont 
été tués en Novembre 1758 près 
de Chaumont; le poids de ces 
oiseaux était de 18 à 22 livres, 
et leur bec portait quatre pou- 
ces et demi en longueur; consul- 
tez l'ouvrage intitulé /a Chasse 
au fusil, Paris, 1788, p. 545; 
puis Wildungen, Weidmanns- 
Feierabende, I, p. 15 a 19; et 
Meyer, tibid., IT, p. 128. 


(133) Schinz, Eur. Faun., I, p. 
380 , a introduit parmi les oiseaux 
d'Europe le LARUS ARGENTA- 
TOIDES, Richardson, Fauna 
bor. amer. Birds, p. 417, con- 
statant que l’on a tué en Irlan- 
de six individus adultes de cette 
mouette d'Amérique. Il est évi- 
dent que cette indication est em- 
pruntée d’une notice insérée dans 
les Proceedings, 1835, p. 83, 
et que cette notice a été mal 
interpretee par Mr. Schinz, Mr. 
Thompson qui en est l’auteur, 
constatant simplement quil a 
compare six individus de Zarus 
argentatus, tués en Angleterre, 
avec le Larus argentatoides de 
Richardson, et que cet examen 
lui a appris, que les caractères 


113 


Die Möve, welche Graf von 
der Mühle, p. 142, unter dem 
Namen Larus argentatus be- 
schrieben hat, gehört offenbar zu 
Larus cachinnans. Was dagegen 
derselbe Verfasser, p. 143, als 
Larus cachinnans beschreibt , ist 
eine andere Art, die ich nicht mit 
Gewissheit bestimmen konnte. 
Graf von der Mühle vermuthet, 
dass sein Larus cachinnans iden- 
tisch seyn könne mit einer neuen 
Möve vom rothen Meere, welche 
Naumann erwähnt: Larus leu- 
cophaeus, X, p. 382. Da die An- 
gaben über diese Möve unzurei- 
ehend sind um sich einen deutli- 
chen Begriff von derselben zu 
bilden, so haben wir vorläufig 
diesen zweifelhaften Vogel nicht 
als Art aufgenommen. 


(134) LARUS RIDIBUNDUS 
MINOR, unterscheidet sich von La- 
rus ridibundus nur durch einen 
kleineren, schwächeren Schna- 
bel, etwas kürzere Läufe und 
Zehen, und kleinere Schwimm- 
häute. Herr Temminck erhielt sie 
zuerst vor vielen Jahren von ei- 
nem Wallfischfänger. Sie wurde 
von Lord, Proceed., 1830, p. 
149, in Schottland angetroffen. 
Herr Bruch beobachtete sie meh- 
rere Jahre hinter einander auf 
ihrem Zuge auf dem Rheine, und 
meldet mir, dass sie früher an- 

> 


de cette dernière espèce sont de 
sorte à ne pouvoir servir comme 
traits distinctifs constans. 

La Mouette indiquée par Mr: 
von der Mühle, p. 142, sous 
le nom de Zarus argentatus, 
est evidemment identique avec le 
Larus cachinnans, et celle que 
eet ornithologiste, p. 143, a dé- 
crite sous ce dernier nom, est une 
espèce très-diverse que je ı'ai 
pu rapporter avec certitude à 
aucune de celles indiquées jusqu’à 
présent comme se trouvant en 
Europe. Mr. von der Mühle sup- 
pose qu’elle pourrait appartenir 
à une espèce inédite de la mer 
rouge et dont on voit les dé- 
pouilies au Musée de Berlin; cette 
espèce a été indiquée par Nau- 
mann, À, p. 382, sous le nom 
de Zarus leucophaeus. Les ren- 
seignemens que l’on a donnés sur 
cet oiseau étant insuffisans pour 
s'en former une idée précise, 


| nous n’avons pas cru devoir aug- 


menter le catalogue des oiseaux 


| d'Europe d’une espèce douteuse 


de plus. 


(134) LARUS RIDIBUNDUS 
MINOR, ne se distingue de la 
mouette rieuse que par un bec 
plus petit et plus faible, par des 
tarses et des doigts plus courts, 
ainsi que par des membranes na- 
tatoires moins étendues. M. Tem- 
minck en posséde depuis long- 
temps un individu rapporté par 
un baleinier. Zord, Proceed., 
1830, p. 149, l’a rencontrée en 
Ecosse. M. Bruch l’a observée 
plusieurs années de suite, lors 
de l’époque de la migration, sur 
les bords du Rhin; il me mande 


8 


114 


kommt als die gemeine Lachmö- 
ve, und eine etwas verschiedene 
Stimme .hat: Der Marquis von Du- 
razzo erhielt ein Exemplar aus 
der Gegend von Genua, und Herr 
von Feldegg brachte sie aus Dal- 
matien mit. Herr Verreaux schick- 
te uns ein Exemplar vom Vor- 
gebirge der guten Hoffnung, und 
sie wurde auf dem Zuge bei Dün- 
kirchen, (de Selys, 9.152), und an 
den Küsten Hollands erlegt. Diese 
Beobachtungen bestimmen uns 
diese Möve als eigene Race der 
Lachmöve aufzuführen. Zuwei- 
len scheinen sich aber beide Ra- 
gen zu vermengen oder wenig- 
stens gesellschaftlich zu brüten ; 
denn ich erlegte im Sommer 1843, 
auf einem Moraste, wo nur 2 Paar 
Lachmöven brüteten, zwei davon, 
von welchen das Männchen zur 
grösseren, das Weibchen zur klei- 
neren Race gehörte. | 


Die vom Grafen von der Mühle , 
p.141, unter dem Namen Larus 
atricilla aufgeführte Möve aus 
Griechenland kann, wegen ihrer 
geringen. Grösse, nicht zu dieser 
Art gezählt werden. Sie scheint 
sich nicht von der erwähnten 
kleinen Race des Larus ridi- 
bundus zu unterscheiden. 


. (135) Im Manuel, IT, p. 779, 
Remarque, wird gesagt, dass 
Herr Natterer den Larus atri- 
cilla an den Süd-Küsten Spa- 
niens beobachtet habe. Nach 
Herrn Natterers Mittheilungen ge- 


qu’elle y arrive avant la mouette 
rieuse , dont elle se distingue par 
sa voix un peu différente. Le 
marquis de Durazzo en a. recu 
un individu tué dans les envi- 
rons de Gènes, et Mr. de Feldegg 
Pa rapporté de la Dalmatie. Mr. 
Verreaux nous en a envoyé un 
individu du Gap de B. Esp. ,.et 
elle a été tuée près de Dunker- 
que, (de Selys, p. 152) , et sur les 
côtes de Hollande. Ces faits sem- 
blent militer en faveur de l’opi- 
nion que cetie mouette forme 
une race particulière, différente 
de la mouette rieuse. Il paraît 
cependant que ces deux races 
s’accouplent quelquefois l’une 
avec l’autre, ou qu'elles nichent 
en compagnie, vu que j'ai tué, : 
en été 1843, sur un lac dans les 
environs de Leide, de deux pai- 
res de mouettes rieuses qui y 
avaient leurs nids, deux indivi- 
dus dont le mâle offrait tous les 
caractères du véritable ridbun- 
dus, tandis que la femelle ap- 
partenait à la petite race de 
cette espèce. 

La mouette rapportée de la 
Grèce et introduite par Mr. le 
comte von der Mühle, sous le 
nom de Zarus atricilla,.voir 
p:+ 141 de son ouvrage, me pa- 
rait, à cause de sa petite taille, 
plutôt appartenir à cette petite 
race du Larus ridibundus. 


(135) La mouette, observée 
par Mr. Natterer sur les côtes 
méridionales de l'Espagne, et 
dont ıl est fait mention dans le 
Manuel, IT, p.779, sous le nom 
de Larus atricilla, n'appartient 


115 


hört die von ihm an jenen Küs- 
ten beobachtete Möve nicht zu 
Larus atricilla , sondern zu La- 
rus Audouinti. 


(135 bis) Die Möve, welche 
von der Mühle, p.138, als La- 
rus melanocephalus beschreibt , 
ist nicht neu, sondern gehört 
wirklich zu dieser Art. 


Ch. Bonap., List, p. 62, no. 
461 , führt einen LARUS PLUMI- 
cEPs, dem Namen nach, aus dem 
südlichen Europa auf. Wir wis- 
sen nicht, welche Art damit ge- 
meint ist. 


(136) Neueren Nachrichten zu- 
folge, soll die im grössten Theile 
Afrıkas und Indiens gemeine 
STERNA VELOX, Aäüppell, im 
südöstlichen Europa vorkommen; 
siehe Ch. Bonap. , Catal., p. 77, 
n°. 485. Derselbe Schriftsteller , 
ibid., p. 484 führt auch die 
längst vergessene STERNA NITZ- 
scun, Kaup, wieder als selbst- 
ständig auf. 


(137) PUFFINUS FULIGINOSUS, 
ist eine durch Färbung und Ge- 
stalt des Schnabels von Puf. 
cinereus und major standhaft 
abweichende Art. 


(138) Bole, Isis, 1835, p. 
257, stellt unter dem Namen 
PUFFINUS KUHLII, eine dem ?. 
arcticus sehr verwandte, aber 
durch einen etwas anders ge- 
stalteten Schnabel, und die gelbe 


+ 


pas. à cette dernière espèce, 
mais au Larus Audouinii. (Ob- 
seryation communiquée par feu 
Natterer.) 


(135 dis) La mouette décrite 
par M. von der Mühle, p. 138, 
sous le nom de Zarus melano- 
cephalus, ne forme pas une 
espèce nouvelle; c’est la vérita- 
ble mouette à tête noire. 

Ch. Bonaparte, List, p. G2, 
n°. 461, fait mention, sous le nom 
de LARUS PLUMICEPS, d’une 
mouette de l’Europe méridiona- 
le. Nous ignorons si cette espèce 
est nouvelle ou si elle appartient 
à une de celles connues anté- 
rieurement. 


(136) On dit que l’hirondelle 
de mer véloce, STERNA VELOX, 
Rüppell, espece commune aux 
Indes et dans une grande partie 
de l!’Afrique , fréquente également 
les parties chaudes de l’Europe 
méridionale; voir Ch. Bonap., 
Catal., p. 77, n°. 485. Ce sa- 
vant rétablit aussi, 20ëd., p. 484, 
l'espèce douteuse, décrite par 
Kaup, sous le nom de STERNA 
NITZS CHI. 


(137) PUFFINUS FULIGINOSUS. 
Cette espèce est assez différente 
des Puff. major et cinereus, tant 
par ses teintes que par la forme 
de son bec. 


(138) Bote, Isis, 1835, p. 257, 
etablit sous le nom de PUFFINUS 
KUHLIH, une espèce assez voisi- 
ne du P. arcticus, et qui le rem- 
place dans la Méditerranée. Elle 
doit s’en distinguer par un bec 


116 


Farbe der Füsse und des Schna- 
- bels, abweichende Art auf, wel- 
che die Stelle des P. arcticus im 
Mittelmeere ersetzt. Es fehlt uns 
an hinlänglichen Beobachtungen, 
diesen Vogel, der höchstens eine 
Race des P. arcticus bilden 
kann, als selbstständig aufzufüh- 
ren. 


Ein gleiches gilt vom PUFFINUS 
YELKOUAN, Bullet.des sc. nat., 
XVI, p. 463, der kaum von P. 
obscurus zu unterscheiden ist, 
und dessen Stelle im Mittelmeere 
vertreten soll: Siehe, Temm., 


Man., IV, p. 510. 


(139) Thalassidroma oceani- 
ca, Schinz, Eur. Fauna, p. 
397, gehört als Synonym zu 
Thal. Wilsonir; eben so Procell. 
oceanica, Forster, Licht., Ca- 
tal., 1823, p.83, n°. 764 nota. 
Dagegen ist Thal. oceanica, Ch. 
Bonap., Synops., n°. 309 nofa, 
identisch mit Procellaria gral- 
laria, Licht., !. c. Siehe hier- 
über, Ch. Bonap., Osservaziont, 


1830, p. 135, nota. 


(140) LESTRIS LESSONN, 
Degland, von Schinz, p. 391, 
aufgeführt, ist offenbar nach ei- 
nem jungen Exemplare der Les- 
tris crepidata aufgestellt. 


d’une conformation un peu di- 
verse ainsi que par la couleur 
jaunätre des pieds et du bec. 
Nous nous abstenons pour le mo- 
ment, au defaut d’observations 
suffisantes, d’admettire, comme 
espèce, ce puflin qui doit, à ce 
qu'il paraît, tout au plus former 
une race ou une variété de cli- 
mat du Pufinus arcticus. 

Nous ne pouvons non plus 
émettre aucune opinion sur le 
PUFFINUS YELKOUAN, Bullet. 
des sc. nat., XVT, p. 463, qui 
se distingue à peine du Puf. 
obscurus, qu’il remplace dans 
la Méditerranée; consult. Femm., 
Man., IV, p. 510. 


(139) Il faut énumérer parmi 
les synonymes de la Thalassidro- 
ma Wilsonii, les Procellaria 
oceanica, (Forst.) Zieht, Catal., 
1823, p.83, n°. 764, note et la 
Thal. oceanica de Schinz, Eur. 
Fauna, p. 397. Thal. oceani- 
ca, Ch. Bonap., Synops, n°. 
309, nofe, est, au contraire iden- 
tique avec la Procellaria gral- 
laria, Licht., !. c. Consultez sur 
la synonymie de ces espèces CA. 
Bonap., Osservaziont, 1830, 
p. 135, note. 


(140) LESTRIS LESSONH, 
Degland, dont on trouve une 
description dans Sehinz, !. c., p. 
391, me parait établi d’après 
un jeune individu du Zesiris 


Bufonii. 


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