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KRITISCHE UBERSICHT
EUROPAISCHEN VOGEL.
REVUE CRITIQUE |
OISEAUX D'EUROPE.
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KRITISCHE UBERSICHT
DER
EUROPAISCHEN VOGEL
VON
D'. H. SCHLEGEL.
CONSERVATOR DES NIEDERLANDISCHEN REICHSMUSEUMS ; MITGLIED DER
AKADEMIEN UND GELEHRTEN GESELLSCHAFTEN ZU TURIN, MOSKAU,
HAARLEM, HALLE, FRANKFURT, BASEL, BATAVIA. U.S. W.
LEIDEN
bei A. ARNZ u. COMP.
LEIPZIG — PARIS
bei FR. FLEICHER. 1844. bei RORET.
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REVUE CRITIOUE
DES
OISEAUX D'EUROPE
PAR
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Mm. H. SCHLEGEL.
DOCTEUR EN PHILOSOPHIE, CONSERVATEUR DU MUSÉE DES PAYS-BAS,
MEMBRE DES ACADÉMIES ET SCCIÉTÉS SAVANTES DE TURIN,
DE MOSCOU, DE HARLEM, DE HALLE, DE FRANC-
FORT, DE BALE, DE BATAVIA, ETC. ETC.
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LEIDE,
chez A. ARNZ et COMP.
LEIPSICK in PARIS
chez FR. FLEISCHER. 1844. chez RORET.
HERRN
C. J. TEMMINCK,
DEM
VERFASSER DES MANUEL D’ORNITHOLOGIE
Gewidmet.
A
M". 6.3. TEMMINCK,
A
L'AUTEUR DU MANUEL D’ORNITHOLOGIE
H. SCHLEGEL,
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VORWORT.
Da mir Herr Temminck die
Bearbeitung des Textes zu Su-
semihl's Abbildungen der Vögel
Europa’s überlassen hat, so
glaubte ich, um eine Übersicht
des jetzigen Zustandes der Wis-
senschaft möglich zu machen,
jenem Werke ein kritisches Ver-
zeichniss aller derjenigen Vögel,
welche unsern W elttheil bewoh-
nen, periodisch besuchen, oder
sich bis jetzt in denselben ver-
flogen haben, vorausschicken
zu müssen. Auf diese Weise ent-
stand vorliegendes Werkchen,
. welches ich dem Publikum, als
Grundlage meiner fernern Ar-
beiten über die europäischen Vö-
gel, zur Beurtheilung vorlege.
Die Naturforscher werden mich
mit einer wohlwollenden Kritik
desselben, so wie durch die Mit-
AVANT-PROPOS.
Mr. Temminck ayant bien vou-
lu me céder la rédaction du texte
destiné a accompagner les plan-
ches d'oiseaux d'Europe pu-
bliées par M. M. Susemihl, à
Darmstadt, j'ai jugé convena-
ble, pour donner une idée de
l'état actuel de la science, de
faire précéder cet ouvrage d'un
catalogue raisonné de toutes les
espèces d'oiseaux dont l'exis-
tence et l'apparition périodique
ou accidentelle en Europe ont
ete constatées d'une manière ex-
acte. Voila l’origine de lopus-
cule que je soumels au juge-
ment du publie, et qui est des-
Line à servir de base a mes re-
cherches ullérieures sur les oi-
seaux d'Europe. Il offrira aux
naturalistes l'occasion de me
Jaire part des observations qui
lheilung solcher Beobachtungen,
die mir entgangen seyn mögen,
verpflichten.
Ich habe in dieser Übersicht
weder die in Europa eingeführ-
ien Arten, noch die in unserem
Welitheile lebenden Hausvögel
aufgenommen. Aus leicht zu
errathenden Ursachen habe ich
auch Herrn Brehm’s Subspecies
nicht aufgeführt. Endlich habe
ich bei Feststellung der Grenzen
unseres Welttheiles nur auf die
natürlichen , nicht auf die poli-
tischen Grenzen Rücksicht ge-
nommen; es gilt dies besonders
von Russland, dessen Grenzen
im Osten am natürlichsten durch
den Caucasus, den Ural und das
Uralgebirge bestimmt werden.
Möchte das Publikum diese,
in mehr als einer Hinsicht un-
dankbare Arbeit, mit Nachsicht
aufnehmen. |
_—
| auraient pu m’echapper et de
m’honorer de leur critique bien-
vierllante.
Je n'ai pas compris dans cette
énuméralion les espèces intro-
duites en Europe ou vivant chez
nous a l'état de domesticité.
J'ai également passé sous si-
lence, par des raisons faciles
à deviner, le plus grand nom-
bre des subspecies établies par
le pasteur Brehm. Jai enfin
préféré, en fixant le cadre géo-
graphique de l'Europe, les li-
mites nalurelles aux limites po-
litiques ; cette distinction a par-
ticulièrement rapport ala Rus-
: sie dont les limites naturelles
s'étendent du côté de l'Asie jus-
qu’ a la chaine du Caucase,
aux bords de l'Oural et aux
monts Oural. |
Que le public veuille accueil-
lir avec indulgence ce travail
ingrat sous plus d'un rapport.
ERSTE ABTHEILUNG.
PREMIÈRE PARTIE.
HO PO TEE pate ii
© RAUBVÔÜGEL OISEAUX DE PROIE,
TAGRAURVOGEL, OISEAUX DE PROIE DIURIES,
FALKENARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE FALCONOIDES.
FALCO. FALHE. FAUCON.
a. Edelfalken. Faucons nobles.
Falco candicans. Weisser Falke. Faucon blanc.
...Gmel. L.$., p.275 n°. 101. — Hierofalco groenlandicus , Brehm,
Handbuch, p. 57. — Falco groenlandicus, Brehm, Isis, 1826 ,'p.
999; Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 24l sqq., PI.X, fig.
E,F,G. — Le Gerfaut, Brisson, I, pl. 30, fig. 2, p. 370, (ad:). —
Le Gerfaut blanc des pays du Nord, Buffon, PI. Enl. 446, (ad.). —
Gould, Tab. 19. — Le faucon blanc, Schlegel et Verster, Traite
de fauconnerie, (Mscpt.) , fig. fem. adult.
Grönland , Sibirien, nördlichstes Ame- Le Groenland, la Sibérie, l'Amérique
rika. Im Winter bis Island, Schweden boréale, visite en hiver PIslande, la
und England. Suède septentrionale et l'Angleterre.
Falco candicans islundicus (1). Isländischer Falke. Fau-
con d'Islande.
Falco islandicus, Brehm, Lehrbuch, I, p. 44 — Hancock,
Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 241 sqq., PL 10, fig. A,B,D. —
Falco gyrfalco, Keyserl. u. Blas., die Wirbelth. Europas, p. 28.—
Schlegel u. Susemihl, die Vögel Europa’s, Tab. 7, fig. 1, (fem.
ad.). — Le Faucon d’Islande, Schlegel et Verster , Traité de faucon-
nerie, (Mscpt.), fig. mar. adult.
* Island. | LIslande,
il
Falco gyrfalco (2). Gierfalke. Gerfaut.
Giervalk, Gierfalke, Gerfaut, Ierfalcon, Falconariorum. — Falco
lanarius, Linne, Fauna suecica, p. 22, n°. 62. — Le Faucon d’Is-
lande, Brisson, I, Pl. 31, p. 373. — Le Gerfaut de Norvège,
Buffon, Pl. enl. 462. (jun.) ; Hist. Nat. des oiseaux, I, p. 241,
PI. 13, (ad.). — Le Gerfaut, Schlegel et Verster, Traité de fau-
connerie, (Mscr.), fig, fem.- jun. et mar. adult.
Norwegen; die Jungen zuweilen im Habite la Norwege; les jeunes visitent
Winter an den Küsten Norddeutschlands quelquefois, en hiver, l'Allemagne sep-
und Hollands. tentrionale et la Hollande.
Falco sacer (3). Sakerfalke. Faucon sacre.
Saker Falconariorum. — Le sacre, Buffon, Hist. Nat. des oiseaux,
p- 24, PL 14. — Falco lanarius, Temm. Man., I, p. 20, (excl.
syn.). — Pallas Zoogr., I, p. 330, n°. 14, (exc. syn.). — Naumann,
Tab. 23, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (mas. jun.). — Gould, Pl. 20,
(ad. et jun.). — Schlegel u. Susemihl, Tab. 7, (ad. et jun.). — Le
sacre, Schlegel et Verster, Traité de Fauconnerie, (Mscpt.) fig. ad.
Tatarei, gemässigtes and warmes öst- La Tatarie, les regions tempérées et
liches Europa. chaudes de l’Europe orientale.
Falco lanarius (4). Lannerfalke. Faucon lanier.
Klein , Ordo avium, p. 48, n°. 5. — Le Lanier, Belon, p. 123. —
Le Lanier, Buffon, Hist. Nat. d. ois., I, p. 243. — Falco Fel-
deggü, Schlegel, Abh. aus dem Gebiete der Zoologie etc., Tab. 10
et 11, (mas ad. et jun.) ; Schlegelu. Susemihl, Tab. (fem. ad.). —
Le Lanier, Schlegel et Verster, Traité de fauconnerie, (Mscpt.),
fig. fem. ad.
Dalmatien, Griechenland. | La Dalmatie, la Grèce.
Falco communis (5). Schlechtfalke. Faucon commun.
Gmel. Linn., I, p. 170, n°. 14. — Falco peregrinus, auctor.
recent. — Falco gyrfalco, Linné, Fauna suecica, p. 23, n°
LIT
64. — Falco lanarius, Pennant, Brit. Zool., I, p. 221, (jun.). —
Buffon, PI. enl. 430, (ad.), 421, (ad.), 469, (jun.). — Nau-
mann, Tab. 24 et 25. — Gould, PI. 21. — Schlegel u. Susemihl,
Tab. 8. — Le Faucon, Schlegel et Verster, 1. c. fig. fem. ad. et
mar. jun.
Europa. | L’ Europe.
es
Falco subbuteo. Baumfalke. Faucon hobereau.
Linn., p. 127, n°. 14. — Hypotriorchis subbuteo, Boie, Isis,
1828, p. 314 — Naumann, Tab. 26. — Gould, Pl. 22. — Schl.
u. Susem., Tab. 10, fig. 1. |
Europa, Afrika, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Afrique , l'Asie temperee.
Falco Eleonorue (6). Zeonorens Falke. Faucon Eleonore.
Gene , l’Institut, 1839, 7 Nov. — Memorie Academ. Torino , 1840,
Tom. II, p. 41, Tab. 1 et , — Ch. Bonaparte, Iconogr. della
Fauna italica, I, Tav. 24, (jun.).
Sardinien ,„ Griechenland , Syrien. | La Sardaigne, la Grèce, la Syrie,
Falco aesalon. Merlinfalke. Émérillon.
Falco aesalon, auct. recent. — Gmel. Linn. Syst., I, p. 284, n°.
218. (ex parte). — Falco lithofalco ibid., p. 278, n°. 105, (ex
parte). — Falco lanarius, Brünn., Orn. bor., p. 1, n°. let 2:
Mohr, Fors., p. 19, n°. 35. — Falco smirillus, Savigny, Égypte,
Il edit., vol. 23, p. 279. — Naumann, Taf. 27. — Gould, PI. 24. —
Schleg. u. Susem., Tab. 10, fig. 2 et 3. — l'Émérillon, Schleg. et
Verster I. c., fig. mar. ad. et fem. jun.
Nördliches Europa und nördlichstes L'Europe septentrionale et l'Amérique
Amerika ; im Winter über ganz Europa boréale; visite en hiver l’Europe tempé-
bis Nord-Afrika. rée et méridionale ainsi que l'Afrique sep=
tentrionale,
IV
D. Räüttelfalken. Cresserelles.
Falco tinnunculus (7). Thurmfalke. Faucon cresserelle.
Linne, Syst. nat., XII, p.127, n°.16. — Cerchneis tinnunculus,
Boie, Isis, 1828, p. 314. — Naumann, Taf. 30. — Gould, Pl. 26. —
Schleg. u. Susem., Tab. 11.
Europa. | L'Europe.
Falco cenchris (8). Rüthelfalke. Faucon cresserellette.
Naumann, I, p. 318, n°. 19, Tab. 29. — Tinnunculus faemina
altera, Aldrovandi Orn., I, 6, p. 360 et 361, c. fig. — Cenchris,
Frisch , Tab. 89. — Falco tinnunculus ruderum, Storia degli uccel-
li, Tab. 52, fig. 67. — Falco xanthonyx, Natterer in litteris. —
Falco tinnunculoides, Schinz in Temm. , Man. d’Ornith. , II éd., I,
p- 31. — Falco tinnuncularius, Savi, Orn.Tosc.,I,p. 49. — Gould,
Pl. 27. — Schleg. u. Susem., Tab. 12.
Südöstliches Europa „ westliches Asien ; Les contrées orientales du midi de
in Egypten und Nubien auf dem Zuge. l’Europe , ’Asie occidentale; visite PEgyp-
te et la Nubie.
Falco rufipes. Rothfuss-Falke. Faucon Kobez.
Besecke, Vögel Kurlands, p. 13. — Falquet, d’Arcussia, Con-
ference des Fauconniers, Paris, 1617, onzième journée, p. 41 et
42. — Falco vespertinus, Linn. , p. 129, no.23. — Naumann, Tab.
28. — Gould, Tab. 23. — Schleg. u. Susem. , Tab. 13.
Ostliches und südliches Europa, Si- L'Europe méridionale et orientale, la
birien. Siberie.
ASTUR. HABICHT. AUTOUR (9).
a. Eigentliche Habichte. Autours proprement dits.
Astur palumbarius (10). Taubenhabicht. Autour commun.
Cuvier , Règne an., Iled., I, p.33. — Falco palumbarius, Linn. ,
p. 133, n°. 30, (ad.). — Falco gentilis, Linn. , Fauna suec., p. 20,
V
n°. 58, (jun.). — Daedalion palumbarius, Savigny, Égypte ‚vol. 25,
p- 267. — Naumann, Tab. 17 et 18. — Gould, Pl. 17. — Schleg.
u. Susem., Tab. 28: —!’Autour, Schlegel et Verster I. c., fig. fem.
ad. et mar. jun.
Europa, gemässigtes Asien. L’Europe, l’Asie temperee..
b. Sperber, Éperviers.
Astur nisus (11). Finkenhabicht. Epervier commun.
Astur (Nisus) nisus ,Cuv., Règne an., II ed., I, p. 333. — Falco
nisus, Linn. , p. 130, n°. 31. — Accipiter nisus, Pallas, Zoogr. I,
p- 370, n°. 37. — Daedalion fringillarius, Savigny, Égypte mol.
23, p. 270. — Naumann, Taf. 19 et 20. — Gould, PI. 18. — Schleg.
u. Susem., Tab. 29. — L’Epervier, Schlegel et Verster, 1. c., fig.
mar. ad. et fem. jun.
Europa, Nordafrika , gemässigtes Asien, L’Europe , l'Afrique septentrionale et
l'Asie tempérée.
Astur gabar (12). Gabar-Sperber. Épervier gabar.
. Astur (Nisus) gabar, Cuv., Regn. an., I, p. 333. — Falco gabar,
Lath, Ind. orn., Suppl., p. X. — Épervier gabar, Daudin, II, p.
87. — Le gabar, Le Vaillant, Ois. d’Afr., I, p. 136, Pl. 33. —
PI. col. 122 et 140. — Accipiter erythrorhyncus, Swains. , Birds:
West. Afr. I, p. 121.
Griechenland , Afrika. | La Grèce, l’Afrique.
CIRCUS, WEIRE. BUSARD.
Circus rufus. Rohrweihe. Busard harpaye.
Brisson, I, p. 404, no. 30. — Circus palustris, 1bid., p. 491, n°.
29. — Falco aeruginosus, Linn. ,.p. 130, n°. 29. — Falco rufus,
Gmel. Linn. , p. 266, n°. 77. — Circus aeruginosus et rufus, Sa-
vigny, Égypte, vol. 23, p. 263 et 264. — Gould, PI. 32. — Schleg.
u. Susem., Tab. 36.
Europa. L'Europe,
VI
Circus cyameus (13). Kornweihe. Busard St. Martin.
Bechstein, Orn. Taschenb,., p. 25, n°. 20. — Falco cyaneus, Linn. ,
p. 126, n°. 10. — Circus gallinarius, Savigny, L. c., p.264. — Nau-
mann , Taf. 38 et 39. — Gould, PI. 33. — Schleg. u. Susem. , Tab. 37.
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, l'Afrique septen-
trionale.
Circus cineraceus. Wiesenweihe. Busard Montagu.
Falco cineraceus, Montagu, Trans. Linn. Soc., IX, p. 188. —
Falco pygargus, Linn. , p. 126, n°. 11, (diagn.). — Naumann, Taf.
40. — Gould, Pl. 35. — Schleg. u. Susem., Tab. 38.
Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee.
Circus cineraceus pallidus (14). Blasse Weihe. Busard
| blafard.
Circus pallidus, Sykes, Proceed. , 1832, April 10. — Falco dal-
matinus, Rüppell, Mus. Senkenb., II, p. 177. — Circus Swainsonu,.
Smith, Illustr. Zool. South-Africa, Birds Pl. 43, fig. 1, (mas ad.),
fig. 2. (fem.), Pl. 44, (fem. jun.). — Gould, Pl. 34. — Schlegel u.
Susem. , Tab. 39. |
Dalmatien, Griechenland, Cap, Dekan. ! La Dalmatie, la Grèce, le Cap de Bon-
| ne Esperance, le Deccan.
ADLER. AIGLES.
a. Aquila. Rauchfussadler. Aigles proprement dits.
Aquila fulca (15). Steinadler. Aigle commun.
Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 14. — Falco fulvus et chry-
saëtos, Linné, XII, p. 125, n°. 5 et 6.— Naumann, Tab.8, (mas
ad.), Tab. 9, (mas jun.). — Gould, PI.6. — Schleg. u. Susem.,
Tab. 16, (jun.), Tab. 17, (ad.).
Europa , nôrdliches Asien, Nord-Ame- L'Europe, P’Asie septentrionale et ’Ame-
rika. rique du Nord.
vir
Aquila imperialis (16). Königsadler. Aigle impérial.
Cuv., Règne an., I, p. 325. — Falco imperialis, Bechstein,
Orn. Tasch. , III, p. 55, n°. 8. — Aquila heliaca, Savigny, Égypte h
vol. 23, p. 249, PI. 12. — Aquila chrysaëtos, Leisler, Wetterau.
Annal., II, 1, p. 170. — Naumann, Tab. 6, (fem. ad.), Tab. 7, (mas
jun.). — Gould, Pl. 5. — Schleg. u. Susem., Pl. 14, (ad.), Tab.
15, (jun.).
Südöstliches Europa, Nordafrika Mit- Les parties orientales du midi de PEu--
telasien. rope, PAsie centrale, PAfrique septen-
trionale,
Aquila Bonellii (17). Bonellis Adler, Aigle Bonelk.
Ch. Bonap., List., p. 2. — Falco Bonelli, Temm., Pl. col.
288. — Marmora, Memor. Acad. Torin, Tom. XXXVII, p. 110,
Pl. 1 et 2. — Aquila minima, Cetti, Uccelli di Sard., p. 28. —
Gould, Pl. 7. — Schlegel u. Susem., Tab. 18, (ad.), Tab. 19,
(jun.).
Südliches Europa, Nordafrika, Ne- Le midi de l’Europe, l'Afrique sep-
paul. tentrionale, le Nepaul.
Aquila naevia (18). Schreiadler. Aigle criard.
Schwenckfeld , Av. Siles., p. 219. — Falco maculatus, Gmel,
Linn. , I, p. 258, (jun.). — Aquila clanga, Pallas, Zoogr. , I, p.
851, -n°. 25. — Naumann, Tab. 10, (mas), Tab. 11, fig. 1, (fem.
ad.), fig. 2, (fem. jun.). — Gould, Pl. 8. — Schleg. u. Susem.,
Tab. 20, (ad.), Tab. 21, (jun.).
Ostliches Europa, nördliches und mitt- L’Europe orientale, le centre et le
leres Asien, Nordafrika. Nord de l’Asie, l'Afrique septentrionale.
Aquila pennata (19). Zwergadler. Aigle botté.
Brehm, Lehrbuch, I, p. 20.— Falco pennatus, Gmel. Syst. ,
VIII
p. 272, no. 90. — Temm., PL col. 33. — Gould, Pl.9. —
Schleg. u. Susem., Tab. 22, (ad ), Tab. 23, (jun.).
Europa, Afrika, überall einzeln. L’Europe , l'Afrique, partout en très
petit nombre.
b. Haliaötos (20). Seeadler. Aigle-pöcheur.
Haliaëtos albieilla (21). Gemeiner Seeadler. Aigle-pécheur
pygargue.
Aquila albicilla, Brisson, I, p. 427, n°. 5. — Falco ossifragus,
Linn., p. 124, ne. 4. — Haliaëtus nisus, Savigny, Égypte, vol.
23, p. 255. — Naumann, Tab. 12, 13, 14 — Gould, PI. 10. —
Schleg. u. Susem., Tab. 25 et 26.
Europa, Grönland, Nordafrika , Nörd- L’Europe, le Groenland, le nord de
liches Asien. l’Afrique et PAsie septentrionale.
Haliaëtos leucoryphus (22). Pallasischer Seeadler. Aigle-pe-
cheur Pallas.
Keyserl. u. Blasius, Wirbelth. Europa’s, p. XXX, n°. 81. —
Aquila leucorypha , Pallas, Reise, I, Append. n°. 5; Zoogr., I,
p- 352, n°. 26. |
Caspischer See. | La mer Caspienne.
Haliaëtos vocifer (23). Schrei-Seeadler. Aigle-pècheur voci-
fère.
Cuv., Règne an., I, p. 326. — Falco vocifer, Lath. Ind. om. ,
Suppl. , p. VI. — Le vocifer, Le Vaillant, Afrique, I, pl. 4.
Afrika, Griechenland. | L'Afrique, la Grèce.
Pandion. Flussadler. Balbusard.
Pandion haliaëtos (24). (Gemeiner Flussadler. Balbusard
commun.
Falco haliaëtos, Linn., p. 129. n°. 26 -— Pandion fluvialis, Sa-
IX
vigny, Égypte, vol. 23, p. 272. — Naumann, Taf. 16, (mas.). —
Gould, Pl. 12. — Schleg. u. Susem., Tab. 24. |
+ Europa. | L'Europe.
BUSSARDE. BUSES.
a. Buteo. Eigentliche Bussarde. Buses proprement dites.
Buteo vulgaris (25). Müuse-Bussard. Buse commune.
Willughby , Orn. , p. 38. — Falco buteo, Linn. p. 127, n°. 15. —
Naumann, Taf. 32 et 33. — Gould, Pl. 14. — Schleg. u. Susem. ,
Tab. 33.
Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, lAsie mineure, lAfrique
septentrionale.
Buteo lagopus (26). Rauchfuss-Bussard. Buse patue.
Cuv., Règne an., I, p. 336. — Falco lagopus, Brünnich, Orn.
bor., p. 4, n°. 15. — Naumann, Taf. 34. — Gould, PI. 15. —
Schleg. u. Susem. , Tab. 34.
Europa , Sibirien, Cap. L’Europe, la Siberie, le Cap de B.
Esperance.
b. Pernis. Wespenbussard. Bondrée.
Pernis apivorus. Gemeiner Wespenbussard. Bondrée commune.
Cuv., Regn. an., I, p. 335. — Falco apivorus, Linn., p. 130,
n°.28. — Naumann, Taf. 35 et 36. — Gould, PI. 16. — Schleg.
u. Susem. , Tab. 35. |
© Europa, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Asie tempérée.
c. Circaëtos. Schlangenbussard. Circaete.
Circaëtos gallicus (27). Gemeiner Schlangenbussard. Circaète
N Jean-le-blanc.
Cuv., Règne an., I, p. 328. — Falco gallicus, Gmel. Linn., I,
x
p. 259, n°. 52. — Aquila brachydactyla ‚ Meyer et Wolf, Ta-
schenb. , I, p. 21. — Falco brachydactylus, Temm. M., I, p.46: —
Naumann, Taf. 15. — Gould, Pl. 13. — Schleg. u. Susem., Tab. 35.
Südliches Europa. | L’Europe méridionale.
MILANE. MILANS.
a. Milvus. Eigentliche Milane. Milans proprem. dits.
Milvus regalis. Rother Milan. Milan commun.
Brisson, Orn., ['p. 414, n°.35.— Falco milvus, Linn., p. 126,
n°. 12. — Milvus ictinus, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 259. —
Accipiter regalis, Pallas, Zoogr. ross. as., I, p. 258, n°. 20. —
Naumann, Taf. 31, fig. 1.— Gould, Pl. 28. — Schleg. u. Susem.,
Tab. 30, fig. 1.
Europa. | L'Europe.
Milvus aetolius. Schwarzer Milan. Milan noir.
Belon, p. 131. — Milvus niger, Brisson, I, p. 413, n°. 34. —
Accipiter milvus, Pallas, Zoogr., I, p. 356, n°. 29. — Falco ater,
Gmel. Linn., p. 262, n°: 62. — Naumann, Taf. 31, fig. 2. — Gould,
Pl. 29. — Schleg. u. Susem., Tab. 30, fig. 1.
Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée.
Milvus parasiticus (28). Schmarotzer-Milan. Milan parasites
Falco parasiticus, Lath., Ind., Suppl., p. V.— Le parasite, Le-
vaill., Ois. d’Afr., I, p. 88, Pl. 22. — Falco Forskahlii, Gmel.
Linn. , p. 263, n°. 121. — Falco, Forskal, Descript., p. 1, n°.1. —
Falco aegyptius, Gmel. Linn., p. 261, n°. 61. — Milvus aetolius ,
Savigny, Ég., vol. 23, p. 260, PI. 3, fig. 1. — Schleg u. Susem,
Tab. 31.
Dalmatien, Afrika, | La Dalmatie ; l'Afrique.
XI
b. Nauclerus. Schwalben-Milane. Milans-hirondelles.
Nauclerus furcatus. Gemeiner Schwalben-Milan. Milan-hi-
rondelle commun.
Vigors, Zool. Journ., II, p. 386. — Falco furcatus, Linn., p.
129, n°. 25. — Wilson, PI. 51, fig. 3. — Gould, PI. 30. —
Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 1.
"Amerika, zufällig in England. | L’Amerique , accidentellement en An-
gleterre.
c. Elanus. Falken-milane. Élanions.
Elanus melamopterus (29). Gemeiner Falken-Milan. Er
blac.
Leach, Zool. Misc., II, Tab. 122. — Elanus caesius, Savigny,
Égypte, vol. 23, p. 276, Tab. 2, fig. 2. — Falco melanopterus,
Daudin, Orn., Il, p. 152. — Le Blac, Le Vaill., Ois. d’Afr., I, PI.
36 et 37. — Gould, Pl. 31. — Brehm, Vögel Deutschl., Taf. 46,
fig. 3. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 2.
Afrika, zufällig in Europa. | L'Afrique , accidentellement en Europe.
GEIERARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE VAUTOURINS.
(VULTUR Livré.)
CATHARTES. AASGEIER. CATHARTE.
Cathartes percnopterus. (remeiner Aasgeier. Catharte ali-
moche.
#;
Temm., Man., I, p. 8. — Vultur percnopterus, Linn., Syst. , XII
ed. , p. 123, n°. 7. — Neophron percnopterus, Savigny, Descr. de
l'Égypte, IL ed., vol. 23, p. 239. — Naumann, Tab. 3, fig. 1, (ad),
fig. 2, (jun.). — Gould, Tab. 3. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 4.
Südliches Europa, Africa, Dekan. L'Europe méridionale, PAfrique, le
| Deccan,
XII
VULTUR. GEIER. VAUTOUR.
a. Eigentliche Geier. Vautours proprement dits.
Vultur fulvus. Weissköpfiger Geier. Vautour griffon.
Brisson,, I, p. 462, n°. 7. — Vultur leucocephalus, Meyer u.
Wolf, Taschenbuch, 1, p. 7. — Gyps vulgaris, Savigny, Ég.,
vol. 23, p. 232. — Naumann, Tab. 2. — Schlegel u. Susem., p. 12,
Tab. 3, (jun.); Tab. 3a, (hornot.). — Gould, Tab. 1, (ad.).
Dalmatien, Griechenland. I La Dalmatie, la Grèce.
Vultur fulvus occidentalis (30). Westlicher weissköpfiger
Geier. Vautour grifon occidental.
Schlegel u. Susemihl, p. 12, Tab. 2, (ad.).
Sardinien, Pyrenäen. | La Sardaisne, les Pyrénées.
b. Adlerartige Geier. Aigles-Vautours.
Pultur cinereus. Grauer Geier. Vautour arrian.
Gmel. Linn., I, p. 247, n°. 6, (partim). — Vultur monachus ,
Gmel. Linn., p. 246, no. 4. — Aegypius niger, Savigny ; Ég. + VOR.
23, p.237, Pl. 11. — Enl. 425. — Naumann, Tab. 1. — Gould,
Tab. 2. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 1, (mas ad.).
L'Europe méridionale, PÉgypte, l’'In-
dostan.
Südliches Europa, Egypten, Hindustan.
Vultur auricularis (31). Ohrgeier. Vautour oricou.
Daudin Orn., vol. II, p. 10. — Vultur Aegypius, Temm. ‚Pl. col.
407, (Nubia). — V. nubicus, Griffith, Anim. Kingd., vol. V, Pl.
1, (Nubia). — Schlegel u. Susemihl, Tab. la, (Nubia).
Griechenland, Nubien. | La Grèce, la Nubie.
XIII
GYPAETOS. BARTGEIER. GYPAETE.
Gypaëtos barbaius. Gemeiner Bartgeier. Gypaete ordinaire.
Cuvier, Règne an., I, p. 318. — Vultur barbatus, Linn. S., XII,
p- 123, no. 6. — Phene ossifraga et gigantea, Savigny, Égypte,
vol. 23, p. 243 et 245, Tab. 4 (ad), Tab. 5 (jun.). — Schlegel u.
Susemihl, p. 19, Tab. 5 et 6. — PI. col. 431. — Gould., PI. 4.
Schweizer Alpen. | Les Alpes Suisses.
Rupeetos barbatus occidentalis (32). Westlicher Bartgeier.
Gypaete occidental.
Schlegel u. Susemihl, p. 19. — Küster, Isis, 1835, p. 209.
Sardinien „ Pyrenäen. La Sardaisne, les Pvrenees.
? © 2 N
— EAN 3e a da —
NACHTRAUBVÜGEL. OISEAUX DE PROIE NOCTURNES,
(STRIX, List).
A, OEUS. OHREULEN, HIBOUS,
a. Grosse Ohreulen oder Uhus, Hibous grands Ducs.
Otus bubo (33). Gemeiner Uhu. Hibou grand-Duc commun.
Bubo maximus, Sibbald, Scot. illustr., IT, lib. 3, p. 15. —
Strix bubo, Linn. , p. 131, n°. 1.— Naumann, Taf. 44. — Gould,
Pl. 37.
Europa „ Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Otus Ascalaphus. Kurzöhriger Uhu. Hibou grand Duc à
huppes courtes.
Cuv. Regn. an. , T.p. 341. — Bubo ascalaphus, Savigny , Egyp-
XIV
ie, vol. 23, p. 295, Tab. IE, fig. 2. — Strix ascalaphus, Temm. ,
Pl. col. 57. — Gould, PI. 38.
‘ Südliches Europa , Egypten , Nordafri- Le Sud de l'Europe , l'Égypte , PAfri-
ka, Persien. que septentrionale, la Perse.
b. Mittlere Ohreulen. Hibous moyens Ducs.
Otus otus (34). Gemeine mittlere Ohreule. Hibou moyen Duc
3 commun.
. Cuv., Règne an., I., p. 341. — Strix Otus, Linn., p. 132, n°. A. —
Otus vulgaris, Fleming, Phil. of Zool. , II, p. 236. — Bubo otus,
Savigny , Égypte, vol. 23, p. 2933. — Naumann, Taf. 45, fig. 1. —
Gould, Pl. 39.
Europa , Sibirien, Egypten. | L'Europe, la Sibérie, PEgypte.
c. Kurzöhrige Ohreulen. Hibous à huppes courtes.
Otus brachyotus. Gemeine kurzöhr. Ohreule. Hibou à hup-
pes courtes commun.
Cuv., Règne an., I, p. 341. — Strix brachyotos, Forster, Phil.
Frans. LXIT, p. 284, n°. 2. — Brachyotus palustris, Gould, PI.
40. — Naumann, Taf. 45, fig. 2.
Europa, gemässigtes Asien, Nordafri- L'Europe, lPAsie temperee, l'Afrique
ka, Amerika. septentrionale, l'Amérique.
d. Zwerg-Ohreulen. Hibous petits ducs.
Otus Scops (35). Gemeine Zwerg-Ohreule. Hibou petit Duc
commun.
Scops Aldrovandıi, Ray, Av., p. 25, n°.8. nr Strix Scops, Linn.
p- 152, n°. 5. — Scops ephialtes, Savigny, Egypte, vol. 23, p.
291. — Naumann, Taf. 43, fig. 3. — Gould, pl. 41.
Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe tempérée et méridionale ,
‚Afrika, l'Afrique,
XV
B. STRIX. HAUZE. CHOUVETTES.
a. Schleierkäuze. Effrayes.
Strix flammea wor Gemeiner Schleierkauz. Effraye commune.
ur Syst. p- 133, ne. a mn er m 47, f. 2. — Gould, T. 36.
Europa. À 1e PA | : L'Europe.
b. Steinkäuze. Cheveches.
Strix nociua. Gemeiner Steinkauz. Cheveche commune.
Retzius, Fauna suec., p. 84, n°.35, (partim). — Strix passerina,
Becht., Nat. Deutsch., II, p. 963. — Strix nudipes, Nilsson, Orn.
suec., I, p. 68. — Athene passerina, Boie, Isis, 1822, p. 549. —
Naumann, Taf. 48, fig. 1. — Gould, PI. 48.
Gemässigtes Europa, westliches Asien. | I’Europe tempérée, l’Asie occidentale.
Strix noctua meridionalis (37). Südlicher Steinkauz. Che-
veche méridionale.
Strix noctua, Forskal, Descr., pag. 8, n°. 2. — Noctua glaux,
Savigny, Descr. de l'Égypte, vol. 23, p. 287. — Strix (Noctua)
passerina, Rüppell, Neue Wirbelthiere, Vögel, p. 45.
Spanien, Esypten. | L'Espagne, PEgypte.
€. Rauchfüssige Käuze. Cheveches à pieds emplumes.
Strix Tengmalmi. Gemeiner Rauchfusskauz. Cheveche à pieds
emplumes commune.
_Gmel. Linn. , p. 291, n°. 44. — Strix funerea, Linn., Fauna
suec., n°- 75. — Strix noctua, Tengmalm, Vet. Acad. Handl.,
1793, p. 289. — Strix dasypus, Bechst., Naturg. Deutschl., IT,
pe 972, n°. 13. — Naumann , Taf. 48, fig. 2 et 3. — Gould, PI. 49.
Nördliches Europa, Sibirien, | L'Europe septentrionale, la Sibérie.
XVI
d. Sperlingskäuze, Chevechettes.
Strixæ passerina. (Gemeiner Sperlingskauz. Chevèchette com-
| mune.
Linn., Fauna suecica , p. 26, n°. 79. — Strix pygmaea, Bechst.
Nat. Deutsch. , II, p. 978. — Strix acadica , Temm. , Man. d’Ornith.,
I, p. 96. — Naumann, Taf. 43. — Gould, PI. 50.
Schweden, Schweiz, Russland. | La Suède, la Suisse, la Russie.
e. Waldkäuze. Hulottes.
Strix aluco (38). Gemeiner Waldkauz. Hulotte commune.
Lion. , p. 132, n°. 7. — Strix stridula, ibid., p.133, n°.9. —
Syrnium ululans, Savigny, Egypte, vol. 25, p. 299. — Naumann,
Taf. 46 et 47, fig. 1. — Gould, Pl. 47.
Europa. | T’Europe.
f. Kleinaug-Käuze. Chouettes micropes.
Strix lapponica. Lappländischer Kleinaug-Kauz. Chouette
micrope de Laponie. |
Sparrman, Mus. Carlson., fasc. V, Tab. — Strix barbata, Pallas,
Zoogr., I, p. 318,n°. 7.— Lapp-Ugla, Nilsson, Ill. Fig. , Häft 10,
Pl. 71. — Syrnium cinereum, Ch. Bonap. List, p. 6. — Gould,
PI. 42.
Skandinavien, Sibirien, nördlichstes La Scandinavie, la Sibérie, l’Ameri-
Amerika. que boréale.
g. Grossschwanz-Käuze. Chouettes macroures.
Strix uralensis. Uralischer Langschwanz-Kaux. Chouette -
macroure de l’oural.
Pallas, It.T, app. n°. 25. — Strix litturata, Retz., Fauna suec.
p. 79, n°. 29, — Strix macroura, Natterer in Meyer und Wolf,
XYIT
Taschenbuch , I, p.84. — Naumann , Tab. 42, fig. 1, (fem. jun.). —
Gould, PI. 44.
Nôrdliches und nordôstliches Europa,
Sibirien.
L'Est et le Nord-Est de l’Europe, la
| Sibérie,
h. Schneekäuze. Chouettes-harfang.
Strix nytcea. Gemeiner Schneekauz.
Chouette- harfang
commune.
FA Linné, Faun. Suec., p. 25, n°. 76. — Strix nivea, Thunberg,
Vet. Acad. Handl. , 1798, p. 184. — Strix candida, Lath., Index,
IL, p. 14, sp. 3. — Naumann, Taf. 41. — Gould, Pl. 43.
“ Norden Europa’s und Amerika’s. |
Le Nord de l’Europe et de l'Amérique.
&. Sperberkäuze. Chouettes-éperviers.
Strix funerea.
Gemeiner Sperberkauz.
Chouette - epervier
commune.
Lath., Ind. orn. ,I, p. 62. n°. 35. — Strix ulula, Linne, Fauna
suec. ; p. 26 , n°. 78. — Strix nisoria, Meyer, Vögel Liv- u. Esthl. ,
p- 31. — Naumann , Taf. 42, fig. 2. — Gould , Pl. A5.
Nördliches und östliches Europa, Si- L’Europe septentrionale et orientale, la
birien, nördliches Amerika. Sibérie, l'Amérique boréale.
bo
XVIII
HOCKVÖGEL. PERCHEURS.
SCHWALBENARTIGE VOGEL. CHÉLIDONS.
HIRUNDO. SCHWALBE. HIRONDELLE.
a. Rauchsehwalben. Hirondelles de cheminée.
Hirundo rustica. Gemeine Rauchschwalbe. Hirondelle de
cheminee commune. |
Linn., p. 343, no. 1. — Hirundo domestica, Plinius, X, ‚cap.
33. — Pallas, Zoogr., I, p. 528. — Cecropis rustica, Boie, Isis,
1826, p. 971. — Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 54.
Europa, westliches Sibirien ,„ Nord- L'Europe, la Sibérie occidentale, l’Afri-
afrika, que septentrionale.
Hirundo rustica orientalis (39). Östliche Rauchschwalbe.
Hirondelle de cheminee orientale.
Hirundo cahırica, Licht., Catal. , 1823, p. 58. — Hirundo Savig-
nyi, Steph., Cont. Shaw, Zool., X, I, p. 90. — Cecropis Savignyi,
Boie, Isis, 1828, p. 316. — Hirundo Riocouri, Audouin, Descr.
de l'Égypte, vol. XXIII, p. 339, Pl. 4, fig. 4. — Hirundo Bois-
sonneauti, Temm., Man., III, p. 652. — (Hirundo domestica var.
Sibiriae orientalis, Pallas, Zoogr., I, p. 529 et 531, Nota 2?)
Macedonien, Egypten , (östliches Si- La Macedoine , PÉgypte, (la Sibérie
birien ?). orientale ?).
Hirundo rufula (40). Röthliche Schwalbe. Hirondelle rousse,
Temm., Man., III, p. 298, (excl. syn.).
Sicilien, | Ta Sicile.
XIX
b. Hausschwalben. Hirondelles de fenêtre.
Hirundo urbica. Gemeine Hausschwalbe. Hirondelle de fe-
nelre commune.
Linn., p. 344, n°. 3. — Hirundo lagopoda, Pall., Zoogr., I, p.
532, n°. 156. — Chelidon urbica, Boie, Isis, 1822, p. 550. —
Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 57.
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, PAfrique septen-
trionale.
c. Uferschwalben. Hirondelles de rivage.
Hirundo riparia. Gemeine Uferschwalbe. Hirondelle de rı-
vage commune.
Linn., p. 344, n°. 4. — Cotyle riparia, Boie, Isis, 1822, p.
550. — Naumann, Taf. 146. — Gould, Pl. 58.
Europa, Sibirien (Nordamerika?). L'Europe, la Sibérie , (PAmérique du
Nord ?).
Hirundo rupestris. Felsenschwalbe. Hirondelle de rocher.
Scopoli, Ann., I, p. 167, n°. 253. — Naumann, Taf. 146. —
Gould, PI, 56.
Süd-Europa, Nordafrika, westliches 1’Europe méridionale, lAfrique sep-
Asien. tentrionale, PAsie occidentale.
CYPSELUS. SEGLER. MARTINET.
Cypselus apus. Mauersesler. Martinet de muraille.
Illiger, Prodromus, p. 230. — Hirundo apus, Linn., p. 344,
n°. 6. — Micropus murarius, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p.
281. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 1.
Europa, westliches Sibirien, ] L'Europe, la Sibéric occidentale.
XX
Cypselus melba. Felsensegler. Martinet & ventre blanc.
‚Illiger, Prodromus, p. 320. — Hirundo melba, Linn. , p-:345,
n°. 11. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 2. ;
Südliches Europa, Nordafrika, Klein- L’Europe méridionale PAfrique septen-
asien. trionale „ ’Asie mineure.
CAPRIMULGUS (Al. ZIEGENMELHER.
ENGOULEVENT.
Caprimulgus europaeus. (remeiner Ziegenmelker. Engou-
levent ordinatre.
Linn. , p. 346, n°. 1. — Naumann , Taf. 148. — Gould, PI. 51.
Europa, Sibirien. | L'Europe. la Sibérie. à
Caprimulgus ruficollis. Halsbandziegenmelker. Engoulevent
a collier roux.
Temm., Man. d’Orn., I, p. 438. — Gould, PI. 52.
Spanien , Nordafrika. | L'Espagne, l'Afrique septentrionale.
WÜRGERARTIGE VOGEL. PIE-GRIECHES.
LANIUS. WURGER. PIE-GRIECHE.
Zanius excubitor (42). Grosser Würger. Pie-Grieche com-
mune.
Linn., p. 135, n°. 11. — Naumann, Taf. 49. — Gould, PI. 66.
Europa. | L'Europe.
Lanius meridionalis. Südlicher Würger. Pie-grieche meri-
| dionale.
Temm., Man. d’Ornith., I, p. 143. — Gould, PI. 67. à
Südliches Europa, Nordafrika. Le Midi de l’Europe, lAfrique sep-
tentrionale.
XXI
Lanius minor. Grauer Würger. Pie-grieche a poitrine rose.
. Gmel. Linn., p. 308, n°. 49. — Naumann, Taf. 50. — Gould,
PI. 68.
Mittleres und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Lunius rufus (45). Rothköpfiger Würger. Pie-grieche rousse.
Brisson, II, p. 147, n°. 3. — Lanius rutilus, Lath., Ind., L,
p- 70, sp. 12. — Lanius ruficeps, Bechst., Nat. Deutschl., II, p.
1327. — Naumann, Taf. 5l. — Gould, PI. 70.
Mittleres und südliches Europa. | L’Europe temperée et méridionale.
Lanius collurio. Rothrückiger Würger. Pie-grieche ecorcheur.
Linn., p. 136, n°. 12. — Lanius spinitorquus, Bechst. Nat.
Deutschl, II, p. 1335. — Enneoctonus collurio, Boie, Isis, 1826,
p- 973. — Naumann, Taf. 52. — Gould, PI. 69.
Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L’Europe, la Sibérie tempérée, PAsie
Asien, Egypten. mineur , PÉgypte.
Lanius personatus (44). Maskenwürger. Pie-grièche masquée.
Temm., PI. col. 256, fig. 2. — Lanius nubicus, Licht., Catalog.,
1823, p. 47, no. 510.
Griechenland, Egypten, Nubien, Kor- L’Egypte , la Nubie, le Kordofan,
dofan, Abyssinien , steiniges Arabien. PAbyssinie, l’Arabie pétrée.
Lonius tchagra (45). Tschagra-Würger. Pie-grièche tchagra.
Telophonus erythropterus, Swainson, in Natural. Library, Nat.
Hist. of Birds. , vol, IT, p. 219. — Le Tchagra, Le Vaillant, Ois.
XXIT
d’Afr., II, Pl. 70. — Lanius erythropterus, Shaw, Gen. Zool.
VIII, 2, p. 301, (ex parte). — Pomatorhynchus Tchagra, Boie,
Isis, 1826, p. 973. — Lanius cucullatus, Temm. Man. , III, p.600.
Spanien, Cap. | L’Espagne, le Cap de B. Esperance,
FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHES.
MUSCICAPA. FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHE.
Muscicapa grisola. Gefleckter Fliegenfänger. Gobe-mouche
gris.
Linn. , p. 328, no. 20. — Butalis grisola, Boie, Isis, 1826 , p.
973. — Naumann, Taf. 64. — Gould, PI. 65.
Europa , Nordafrica, | L'Europe, PAfrique septentrionale,
m
Muscicapa atricapilla. Schwarzgrauer Fliegenfänger. Gobe-
mouche bec-figue.
Linn., p. 326, no. 9. — Emberiza luctuosa, Scopoli, Ann., I,
p- 146, no. 215. — Muscicapa luctuosa, Temm., Man., I, p-
155. — Naumann, Taf. 64. — Gould, Pl. 63, fig. 1.
Europa. | L’Europe.
Muscicapa albicollis. Weisshalsiger Fliegenfänger. Grobe-
mouche a collier.
Temm., Man., I, p. 153. — Muscicapa collaris, Bechst. Nat.
Deutschl., III, p. 427. — Naumann, Taf. 65. — Gould, PI. 63.
fig. 2.
Süd- und Mittel-Europa , Arabien. L'Europe femperce et méridionale
l'Arabie,
XXIIT
Muscicapa parva (46). Rothkehliser Fliegenfänger. Gobe-
mouche rouche-gorge.
Bechst., Nat. Deutschl., Ill, p. 442. — Erythrosterna parva,
Ch. L. Bonap., List, p. 25. — Muscicapa erythaca et rubicola,
Swainson, Natur. Library, Ornithol., vol. X, 1838, p. 220 et 221,
PI. XXVII. — Naumann, Taf. 65. — Gould, Pl. 64.
Südöstliches Deutschland, Vorder-In- Le Sud-Est de PEurope, l'Inde en
dien. deca du Gange.
SANGERARTIGE VOGEL. SYLVAINS.
SYLVIA (47). GRASMUCHE. FAUVETTE.
Sylvia nisoria. Sperber-Grasmücke. Fauvelte rayée.
Bechst., Nat. Deutschl. , III, p. 547. — Nisoria undata, Ch. Bo-
nap., List, p. 15. — Naumann, Taf. 76. — Gould, Pl. 128.
Östliches Europa. | L’Europe orientale.
Sylvia cinerea. Fahle Grasmücke. Fauvette grise.
Latham, Ind., I, p. 514. — Motacilla sylvia, Linn. , p. 330, n°
9. — Naumann, Taf. 78. — Gould, Pl. 125, fig. 1.
Europa, Kleinasien, Nordafrika, Ara- L'Europe, l'Asie mineure, l’Afrique
bien. septentrionale , l’Arabie,
Sylvia conspicillata. Brillengrasmücke. Fauvette à lunettes.
Marmora in Temm., Man., 1, p. 210. — Pl. col. 6, fig. 1. —
Gould, PI. 126.
Spanien, Sardinien , Italien. [| L'Espagne, la Sardaigne, l'Italie,
XXIV
Sylvia curruca. Müller-Grasmücke. . Fauvette babillarde.
Latham, Ind. orn., II, p. 509, sp. 9. — Naumann, Taf. 77. —
Gould, Pl. 125, fig. 2. |
Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L'Europe, la Sibérie tetatféréeh. l'Asie
asien, Nordafrika. mineure, l’Afrique septentrionale.
Par”
Sylvia subalpina. Südliche Grasmücke. Fauvette subalpine.
Bonelli in Temm., Man., I, p. 214. — Sylvia leucopogon, Meyer,
Orn. Tasch., III, p. 91. — Sylvia passerina, Temm., Man., III, p.
138; Pl. col. 251, fig. 2 et 3 et PI. 6, fig. 2. — Sylvia mystacea,
Ménétr., Catal., p. 34, n°.69 et Rectifications. — Gould , Pl. 124.
Süd-Europa , Nord-afrika. + . | L'Europe méridionale, P Afrique sep-
| tentrionale.
—
Sylvia provincialis. Provencer Grasmücke. Fauvette pitte-chou.
Temm., Man., T,p. 211. — Motacilla provincialis, Gmel. Linn. :
p- 958, n°. 67. — Sylvia dartfordiensis, Lath., Ind. orn., II, p.
517 , n°. 31. — Melizophilus provincialis, Leach., Mus. Brit; Selby,
Brit. Orn., I, p. 219. — Gould, PI. 129.
England , südliches Europa. | L’Angleterre, l’Europe méridionale. :
Sylvia sarda. Sardische Grasmücke. Fauvette sarde.
Marmora, in Temm. Man. d’Orn., I, p. 204; PI. col. 24, fig. we
Gould, Pl. 127.
Sardinien. | La Sardaigne.
! y
Sylvia meiamocephala, Schwarzköpfige Grasmücke. Fauvette
mélanocéphale. MH
Lath., Ind. orn., II, p. 509, sp. 7. — Motacilla melanocephala,
Gmel. Linn. , p. 970, n°, 104. — Gould, PI. 129.
Südliches Europa, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Égypte.
XXV
Sylvia Rüppellii (48). Rüppells Grasmücke. Fauvette de
: Rüppell.
Temm., Pl. col. 245, fig. 1. — Rüppell, Atlas, Tab. 19. —
Sylvia capistrata, Rüppell, Mus. Senk., II, p. 181. — Gould,
PI. 122.
Griechenland. | La Grece.
Sylvia orphea. Orpheus-Grasmücke. Fauvette-Orphee.
Temm., Man., I, p. 198. — Curruca orphaea, Brehm, Hand-
buch, 423. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 119.
“ Südliches Europa, Egypten, Arabien. L’Europe méridionale, l'Égypte, l’Ara-
bie.
Sylvia atricapilla. Mönchs-Grasmücke. Fauvette a tele notre.
“ Lath., Ind. orn., II, p. 508, sp. 6. — Motacilla atricapilla Gmel.
Linn., I, p. 970, sp. 18. — Curruca atricapilla, Brisson, III, p.
380, n°. 6. — Naumann, Taf. 77. — Gould, Pl. 120.
I Europa, Kleinasien , Arabien , Egypten, LEurope „ PAsie mineure, lArabie,
Nubien. PEgypte, la Nubie,
Sylvia hortensis. Gartengrasmücke. Fauveite des jardins.
Bechst., Nat. Deutsch., III, p. 524. — Naumann, Taf. 78. —
Gould, Pl. 121.
Europa. | L'Europe.
FICEDULA. LAUBSANGER, BEC-FIN.
Ficedula trochilus (49). Fitis-Laubsänger. Bec-fin poukllot.
Keiserl. u. Blas., p. LVI. — Motacilla trochilus, Linn., p. 338,
n°. 49. — Ficedula fitis, Koch, Baier. Zool., I, p.159, n°.82. —
Phyllopneuste trochilus, Ch. Bonap., List, p. 13. — Naumann,
Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 1.
Europa, Egypten, Nubien, | L’Europe , l'Égypte, la Nubie,
XXVI
|
ax 7 r « ve ù y 2 b r 1 “pal AT Se |
. Ficedula rufa. Weiden-Laubsänger. Bec-fin roux.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia rufa , Lath., Ind. Orn., II, p.516,
n°. 27. — Sylvia hippolais, Penn., Brit. Zool., I, p. 508. — Gould,
PI. 131, fig. 2. — Naumann, Taf. 80. |
Europa. | L’Europe.
Ficedula Bonellii. BonellÜs Laubsänger. Bec-fin Bonell.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia Bonelli, Vieillot, Eneyel. Méth,
Orn., II, p. 468. — Sylvia Nattereri, Temm., Man. d’Orn., I, p-
227. — Gould, Pl. 134.
Südliches Europa. | L'Europe méridionale.
Ficedula sibilatrix. Grüner Laubsänger. Bec-fin siffleur.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia sibilatrix , Bechst. Nat. Deutschl.
III, p, 561. — Sylvia sylvicola, Lath., Ind. Orn., Suppl., II, p. 53. —
Naumann, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 3.
Europa. | L'Europe.
Ficedula ambigua (50). Zweideutiger Laubsänger. Bec-fin
ambigu.
Griechenland. | La Grece.
Ficedula hypolais. Garten-Laubsänger. Bec-fin grand-pouiller.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Motacilla hippolais, Linn., p. 330.
n°, 7. — Hippolais salicaria, Brehm, Handbuch, p. 434 —
Naumann, Taf, 80. — Gould, Pl. 138. | |
Europa, { 1’Europe,
XXVIL
- + SALICARIA, BOHRSANGER. RIVERAIN,
Salicaria turdina. Drossel-Rohrsänger. Riverain rousserolle.
Sylvia turdoides, Meyer, Vögel Livu. Esthl., p. 116. — Sylvia
turdina, Gloger, Handb., p. 227, n°. 14. — Calamoherpe turdoi-
des, Boie, Isis, 1822, p. 552. — Turdus arundinaceus, Brisson ,
II, p. 219, n°. 6, T. 22, fig. 1. — Junco, Gessner Av. 573. —
Turdus junco, Pall. Zoogr., I, p. 458, n°. 99. — Naumann, Taf.
81. — Gould, PI. 106.
Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe temperee et méridionale,
Arabien. | l'Arabie,
———
Salicaria urundinacea. Teich-Rohrsänger. Riverain des ro-
seaux.
Selby, Brit. Orn., I, p. 203. — Curruca arundinacea , Brisson ,
III, p.378, no. 5. — Sylvia arundinacea, Lath., Ind., II, p. 510,
n°. 12. — Calamoherpe arundinacea, Boie, Isis, 1826, p. 972. —
Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 109.
‘ Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale,
Egypten, Nubien. PÉgypte, la Nubie.
Salicaria palustris (50 bis). Sumpf-Rohrsänger. Riverain
verderolle.
Gould, Pl. 109. — Sylvia palustris, Bechst., Nat. Deutschl., III,
p- 639. — Naumann, Taf. 81.
Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Salicaria olivetorum (51). Oliven-Rohrsänger. Riverain des
oliviers.
Gould , Birds of Europe, Pl. 109.
Griechenland, | La Grèce,
nn
XX VEII
_Salicaria phragmitis. Schilf-Rohrsänger. : Riverain phrag-
mite.
Selby, Brit. Orn., I, p. 201. — Sylvia phragmitis , Bechst., Nat.
Deutschl. , II, p. 635. — Naumann, Taf. 82. — Gould, PI. 110.
Europa, gemässigtes Sibirien, Syrien, L'Europe, la Sibérie tempérée , la Syrie,
Egypten, Nubien. l'Égypte , la jubis,
Salicaria aquatica (52). Seggen-Rohrsänger. Riverain aqua-
tique.
“ Gould, PL. 111, fig. 2. — Sylvia aquatica, Lath., Ind., IL, 'p«
510, n°. 11. — Naumann, Tab. 82, fig. 4et 5, (hib.). — Sylvia
cariceti, Naumann, III, p. 668, Taf. 82, fig. 2 et 3, (aest.).
- Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Salicaria locustella. Heuschrecken - Rohrsänger. Riverain
locustelle. er
Selby, Brit. Orn., I, p. 199. -— Sylvia locustella, Penn., Brit:
Zool., I, p. 518. — Naumann, Taf. 83. — Locusiella Rayi,
Gould, PL 103. ve
Europa. | L’Europe.
Salicaria fluviatilis. Fluss-Rohrsänger. Riverain fluviatele.
‘ Sylvia fluviatialis, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 229. —
Naumann , Taf. 13. — Gould, PI. 102.
Ufer der Donau. | Les bords du Danube.
Salicaria luscinoides. Nachtigallen - Rohrsänger. Riverain
luscinoide.
Sylvia luscinoides, Savi, Orn. Tosc., I, p- 270. — Pseudo-
_ Luscinia Savü, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, Pl. 104.
Italien, Provence. ı L'Italie, la Provence. |
u
XXIX
Salicaria galactodes. Rostfarbiger Rohrsänger. Riverain
rubigineux.
Sylvia galactodes , Temm., Man. , I, p. 182. — Turdus rubigi-
nosus, Meyer, Orn. Tasch., III, p. 66. — Sylvia rubiginosa ,
Temm., Man., III, p. 129; PL col. 251, fig. 1. — Gould, PI.
112. — Aëdon galactodes, Boie, Isis, 1826, p. 972.
Spanien. | L’Espagne.
Salicaria familiaris (53). Ménétriés Rohrsänger. Riverain
Menetries.
‚Sylvia familiaris, Ménétr. Cat., p. 32, n°, 60.
Griechenland, Ufer des Kur. | La Grèce, les bords du Kour.
Salicaria melanopogon. Schwarzbart-Rohrsänger.: Riverain
a moustaches notres.
Sylvia melanopogen, Temm., PI. col. 245, fig. 2. — Gould,
PI. 111, fig. 2. — Calamodyta melanopogon, Ch. Bonap., List,
p- 12. — Gould, Pl. 111, fig. 1.
Südliches Europa. | L'Europe méridionale.
Salicaria Cettii (54). Cettis Rohrsänger. Riverain Cetti.
‘ Sylvia Cettii, Marmora, Mem. Acad. Tor., Vol. XXV, p. 254. —
Sylvia sericea, Natterer in Temm., Man., I, p. 197. — Cettia al-
tisonans et sericea, Ch. Bonap., List, p. 11 et 12. — Gould, PI.
114 et 115.
Südliches Europa, | L'Europe méridionale,
XXX
Salicaria lanceolata (55). Gestrichelter Rohrsänger. Rive-
rain lancéolé.
Sylvia lanceolata, Temm., Man., III, p. 614.
] La Russie meridionale.
Südliches Russland.
Salicaria cisticola. ÜCisten-Rohrsänger. Riverain cisticole.
Sylvia cisticola, Temm., Man., I, p. 228. — Sylvia (Cisticola)
typus, Rüppell, Neue Wirb., Vögel, p. 113. — Cisticola schoeni-
cola, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, PI. 113.
L’Europe meridionale, PEgypte, la Nubie,
Südliches Europa, Egypten, Nubien. |
Salicaria caligata (56). Gestiefelter Rohrsänger. Riverain
— botté.
Sylvia caligata, Licht. in Eversman, Reise, p. 128. — Lusciola
(Iduna) caligata, Keys. u. Blas,, p. LVIII, n°. 235. — Motacilla
salicaria, Pallas, Zoogr., I, p. 492, n°. 127.
Russland , Sibirien. I La Russie, la Sibérie.
LUSCIOLA. ERDSANGER. HUMICOLE.
a. Nachtigallen, Rossignols.
Eusciola philomela. Sprosser-Nachtigall. Rossignol philomèle.
Keys. u. Blas., p. LVIIE, n°.233. — Sylvia philomela, Bechst.,
Nat. Deutschl., III, p. 507. — Luscinia major, Brisson , Orn., IT,
p- 400. a. — Naumann, Taf. 74. — Gould, Pl. 117.
L’Europe orientale, lAsie occidenta-
Ostliches Europa, westliches Asien,
le, l'Egypte.
Egypten,
XXXEI
Lusciola luscinia (57). Gemeine Nachtigall. Rossignol com-
mun.
Keys. u. Blas., p. LVIII, no. 234. — Motacilla luscinia, Linn.,
p- 328, n°. 1.— Sylvia luscinia, Lath. Ind., II, p. 506, sp. 1. —
Naumann, Taf. 74. -— Gould, PI. 116.
Europa, Klein-Asien „ Arabien , Egypten. ‚L’Europe , l'Asie mineure, PArabie ,
l'Egypte.
6. Bothschwänzchen. Rouge-queues,
Lausciola phoenicurus. Garten - Rothschwänzchen. Rouge-
queue des murailles.
Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 239. — Motac. phoenicurus,
Linn., p. 335, n°. 34. — Sylvia phoenicura, Lath., Ind., II,
p- 511, sp. 15. — Ruticilla phoenicura, Ch. Bon., List, p.15. —
Naumann, Taf. 79. — Gould, PI. 95.
Europa, Sibirien, Egypten , Nubien. L’Europe, la Siberie, PEgypte, la
Nubie.
Lusciola erythrogastra (58). Güldenstädts Rothschwänzchen.
Rouge-queue de Güldenstädt.
Motacilla erythrogastra , Güldenstädt, Nov. Comment. Petr. , XIX,
1775, p. 469, Tab. 16 et 17. — Motacilla aurorea, var. Cerau-
nia, Pallas, Zoogr., I, n°. 116, p. 478.
Kaukasus. | Le Caucase.
Lusciola thitys. Haus-Rothschwänzchen. Rouge-queue noir.
Keys, u. Blas., p. LIX, n°. 240. — Sylvia tithys, Scopoli, Ann.,
I, p. 157, n°. 233. — Motacilla Erythacus, Linn., p. 335, n°.
35. — Naumann, Taf. 79. — Gould, Pl. 96.
« Europa ,„ Klein-Asien ,„ Nordafrika. L’Europe, lAsie mineure, PAfrique
septentrionale,
XXXIT
c. Bothkehlchen. Rouge-gorges:
Eusciola rubecula. Gemeines Rothkehlchen. Rouge - gorge
commun.
Keys. u. Blas., p. LVIII, n°.238. — Motacilla rubecula, Linn. ,
p- 337, n°. 45. — Sylvia rubecula, Lath., Ind., Il, p. 520, sp.
42. — Dandalus rubecula, Boie, Isis, 1826, p.972. — Naumann ,
Taf. 75. — Gould, PI. 98.
Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, . PAsie mineure, l’Afrique
septentrionale.
d. Blaukehlichen. Gorge-bleues.
Lusciola cyanecula. (Gremeines Blaukehlchen. Gorge - bleue
commune.
Sylvia cyanecula, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 240. —
Lusciola suecica, Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 237. — Mota-
cilla suecica, Linn., p. 336, n°. 37. — Sylvia suecica, Lath.,
Ind., Il, p. 521, sp. 43. — Cyanecula suecica, Brehm, Handb.,
p. 350. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 97.
+ Europa. | L’Europe.
Lusciola cyanecula orientalis (59). Östliches Blaukehlchen.
Gorge-bleue orientale. |
Motacilla coerulecula, Pallas, Zoogr., T, p.480, n°.118, (ex-
cl. synon.).
Rusland, Sibirien. | La Russie, la Sibérie.
e. Feuerkehlchen. Gorges en feu.
Lusciola calliope. (Gremeines Feuerkehlchen. Gorge en feu
calliope. |
Lusciola (Melodes) calliope, Keys. u. Blas., p. LVII, n°,
236. — Motacilla calliope, Pallas, Reise, IH, app. n°. 17. —
XXXIIT
Accentor calliope, Temm., Man., III, p. 173. — Calliope Latha-
mu, Gould, Birds of Europe, Pl. 114.
Ostliches Sibirien, Japan, zufällig in La Sibérie orientale, le Japon, acci-
Russland. dentellement en Russie.
STEINSCHMATZER. SAXICOLES.
SAXICOLA. STEINSCHMATZER. SAXICOLE.
a. Eigentliche Steinschmätzer. Saxicoles proprement dits.
Saxicola oenanthe. Grauer Steinschmätzer. Saxicole moteux.
Bechstein, Orn. Tasch., I, p. 217. — Naumann, Taf. 89. —
Gould, Pl. 90.
Europa, Sibirien, Kleinasien , Nord- L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure,
afrika. l'Afrique septentrionale.
Saæicola saltatriæ (60). Östlicher Steinschmätzer. Saxicole
oriental.
Keys. u. Blas., p. LIX, n°. 245. — Saxicola saltator, Méne-
tries, Catal., p. 30, n°. 56.
Ural, Ufer des Kaspischen Meeres, L’Oural , les bords de la Mer Caspien-
Griechenland. ne, la Grèce.
Saæicola stapazina. Schwarzkehliger Steinschmätzer. Saxti-
cole stapazin.
Temm., Man., I, p. 241. — Motacilla stapazına, Linn., p.
331, n°. 14 — Muscicapa melanoleuca, Güldenst., Nov. Comm.
Petr., XIX, p.468, Tab. XV. — Naumann, Taf. 90, fig. 1 et 2. —
Gould, Pl. 91.
Südliches Europa, steiniges Arabien , L'Europe méridionale , PArabie pe
Egypten Nubien, trée, l'Egypte, la Nubie.
3
XXXIV
| Saæicola aurita (61). Schwarzohriger Steinschmätzer. Sa-
xicole oreillard.
Temm. ) Man. , I, P- 241. FER Gould , PI. 92.
Südliches Europa, Arabien, Egypten. L’Europe méridionale, l’Arabie, PE-
gypte.
Saæicola leucomela (62). Elster - Steinschmätzer. Saxtecole
leucomele.
Temm., Man., I, p. 243. — Motacilla leucomela, Pall., Nov.
Comm. Peirop. , XIV, p. 584, n°. VI, Tab. 22, fig. 3.
Südliches Russland, Altai, Daourien. La Russie méridionale, PAltai, la
Daourie.
Saxicola cachinnans. Weissschwänziger Steinschmätzer.
Saxicole rieur.
Temm., Man., I, p. 256. — Turdus leucurus, Gmel. Linn., p.
820, n°. 66. — Saxicola leucura, Licht., Catal., p. 32. —
Gould, PI, 88.
Südliches Europa, Arabien, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Arabie , PÉgvp-
Nubien. te, la Nubie.
b. Wiesenschmätzer. Traquets.
Saxicola rubetra. Braunkehliger Wiesenschmätzer. Traquet
larter.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 684. — Pratincola rubetra,
Koch, Baier. Zool., I, p. 191, n°. 112. — Motacilla rubetra,
Linn., p. 332, n°. 16. — Naumann, Taf. 89. — Gould, PI, 93,
Europa, Arabien, Egypten. J LEurope, l'Arabie, PÉgypte,
XXXV
Saæicola rubicola. Schwarzkehliger Wiesenschmätzer. Tra-
quet pdire.
- Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 694. — Motacilla rubicola,
Linn., p. 332, n°. 17. — Naumann, Taf. 90, fig. 3. — Gould,
PI. 94.
Europa, Sibirien , Kleinasien , Egypten, L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure,
Nubien, Abyssinien, Kap. PEgypte, la Nubie, lAbyssinie, le Cap
de Bonne Espérance,
PIEPER. PIPITS.
ANTHUS. PIEPER. PIPIT.
Anthus aquaticus. Wasserpieper. Pipit spioncelle.
Bechstein, Nat. Deutschl., III, p. 745. — Alauda spinoletta,
Linn., p. 288, n°. 7. — Pl. enl. 661, fig. 2.
Mittleres und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale,
Anthus rupestris, Uferpieper. Pipit rupestre.
Nilsson, Orn. suec., I, p. 245, Tab. 9. — Anthus httoralis,
Brehm, Lehrbuch, I, p. 239. — Alauda obscura, Pennant, Brit.
Zool., I, p. 482. — Gould, PI. 138.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale,
Anthus pratensis. Wiesenpieper. Pipit farlouse.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 732. — Alauda pratensis, Linn. ,
p. 782, n°. 2. — Naumann, Taf. 84 et 85. — Gould, PI. 136.
Europa, Egypten, | L'Europe, l'Égypte,
XXXVT
Anthus pratensis rufigularis. Braunkehliger Wiesenpieper.
Pipit farlouse a gorge rousse.
Anthus rufogularıs, Brehm, Vögel Deutschl., p. 320, n°.12. —
Motacilla cervina, Pallas, Zoogr., I, p. 511, n°. 142. — Gould,
PI. 140. |
Südliches Europa, “Sibirien, Nord- L'Europe méridionale ‚la Sibérie, l'Afri-
afrika. que septentrionale.
——
Anthus Richardii. Richard’s Pieper. Pipit Richard.
Vieillot, Nouv. Dict. Deterville, vol. XXVI, p. 491. — Temm.,
PI. col. 101. — Anthus rupestris, Ménétr., Cat., p. 37, n°. 80. —
Gould, PI. 135.
Europa , westliches Asien. | L'Europe, PAsie occidentale.
Anthus campestris. Brachpieper. Pipit rousseline.
Bechst. , Nat. Deutschl., III, p, 722. — Anthus rufescens, Temm. ,
Man., I, p. 267. — Naumann, Taf. 84. — Gould, Pl. 137.
‘Gemässigtes und südliches Europa , nord- L'Europe tempérée et méridionale. les
westliches Afrika. contrées occidentales de l'Afrique sep-
tentrionale.
Anthus arboreus. Baumpieper. Pipif des bussons.
Bechst., Nat. Deutschl., IIT, p. 706. — Naumann, Taf. 84. —
Gould, Pl. 139.
Europa , Sibirien, Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep»
| tentrionale.
XXXVIT
BACHSTELZEN. HOCHEQUEUES.
MOTACILLA. BACHSTELZE. HOCHEQUEUE.
Eigentliche Bachstelzen. Hochequeues proprement dits.
Motacilla alba. Weisse Bachstelze. Hochequeue gris:
Linn. , p. 331, n°. 11. — Motacilla albeola, Pallas, Zoogr., F,
p- 506, n°. 139. — Naumann, Taf. 86. — Gould, Pl. 143.
Europa ausser England, Sibirien , Nord- | L’Europe à l'exception de l’Angleter-.
afrika. re,.la Sibérie , l'Afrique septentrionale.
Motacilla alba lugubris (63). Trauer- Bachstelse. Hoche-
queue lugubre.
‘ Motacilla lugubris, Temm., Man., 1, p. 253. — Mot. Yarrellii,
Gould, Birds of Europe, PI. 141.
England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, visite périodiquement
Europa, einzeln im übrigen Europa. l’Europe occidentale, s’égare quelquefois
dans les autres parties de l’Europe.
Motacilla boarula. Schwefelgelbe Bachstelze. Hochequeue
jaune.
Penn., Brit. Zool., I, p. 492. — Motacilla sulphurea, Bechst.,
Nat. Deutschl., III, p. 459. — Naumann, Taf. 87. — Gould,
PI. 147.
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale,
Mittel- und Süd-Asien , Nordafrika. l’Asie centrale et méridionale, l'Afrique
septentrionale.
XXXVIIE
b. Schafstelzen. Bergeronnettes.
Motacilla flava,. Gelbe Schafstelze. Bergeronnette de prin-
lems.
Linn., p. 331, n°. 12. — Budytes flava, Cuv. k Règne an., I,
p- 391. — Motacilla flaveola, Pallas, Zoogr., I, p. 501, n°. 136. —
Motacilla neglecta, Gould, Pl. 146.
Europa ausser England. Brütet im ge- L’Europe à l’exception de l’Angleterre,
niche dans l’Europe tempérée,
mässigten Europa.
Motacilla flava Rayi (64). Gelbköpfige gelbe Schafstelze.
Bergeronnette de printems a tête jaune.
Motacilla flava, Ray, Syn., p. 75. — Gould, Pl. 145. — Motac.
flaveola, Temm., Man., III, p. 183. — Budytes Rayi, Ch. Bon.,
List, p. 18, n°. 156.
England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, passe, lors de l’époque
Europa. de la migration, par l’Europe occidentale.
Motacilla flava cinereocapilla. Grauköpfige gelbe Schaf-
stelze. Bergeronnette de printems à tete grise.
Motac. cinereocapilla, Savi, Orn. Tosc., III, p. 216. — Ch.
Bonap., Icon. d. Fauna Ital., I, Tav. 31, fig. 2.
Brütet in Italien. | En été en Italie,
Motacilla flava melanocephala. Schwarzköpfige gelbe Schaf-
stelze. Bergeronnette de printems a tete notre.
Licht. , in Eversman, Reise, app. , p. 129. — Ch. Bonap. , Ic.d.
Fauna Ital., I, Tav.31, fig. 3.
Dalmatien, die Bucharei, Arabien, E- La Dalmatie, la Bocharie, l’Arabie
gypten, Abyssinien, l'Egypte, PAbyssinie.
XXXIX
Motacilla citreola. Citronengelbe Schafstelze. Bergeronnetie
citrine.
Pallas, Iter, III, app. n°. 14. — Motacilla citrinella, Pall.,
Zoogr., I, p. 503, n°. 137. — Gould, PI. 144.
Südöstliches Russland, Sibirien, die
Bucharei, |
Les parties meridionales de la Russie
orientale, la Siberie, la Bocharie,
DROSSELN. MERLES.
TURDUS (65). DROSSEL. MERLE.
a. Walddrosseln. Sylvains.
Turdus viscivorus. Misteldrossel. Merle draine..
Linn. , p. 291, n°. 1. — Naumann, Taf. 66. — Gould, Pl. 77.
Europa. | L'Europe.
Turdus pilaris- Woachholderdrossel. Merle litorne.
Linne, p. 291, n°. 2. — Naumann , Taf. 67. — Gould, PI. 76.
Europa, Kleinasien. | L’Europe, l'Asie mineure.
Turdus Naumannii. Naumann’s Drossel. Merle Naumann.
Temm., Man.,I, p. 170. — Turdus fuscatus, Pall., Zoogr., TI,
p- 451,n°. 92, c. fig. — Turdus eunomus, Temm., Pl. col. 514,
.(Japonia). — Naumann, Taf. 68, fig. 1, 2. — Gould, PI 79,
(Japon.).
Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon , la Sibérie, aceidentellement
en Europe.
Turdus migratorius. Wanderdrossel. Merle voyageur.
Linn. , p. 292, n°. 6. — Wilson, Pl. 2, fig. 2.— Brehm, Vôg.
Deutsch., p. 388. — Merula migratoria, Gould, Pl. 74.
Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique du Nord, accidentellement
en Europe.
LA
XL
_Turdus paliens. Blassdrossel. Merle blafard.
Pallas, Zoogr., I, p. 457, n°. 98. — Turdus pallidus, Gmel.
Linn., p. 815, n°. 45? — Turdus iliacus pallidus, Naum., II, p.
279. — Turdus Seyffertitziü , Brehm, Vög. Deutschl., p. 387. —
Turdus Werneri, Gene, Mem. Acad. Tor., XXXVII, p. 291, e.
fig. — Turdus pallidus, Werner, Atlas du Manuel, fig. s. num.
Japan, Daourien, einzeln in Europa. Le Japon , la Daourie, accidentellement
en Europe.
Turdus iliucus. Rothdrossel. Merle mauvts.
Linné, p. 292, n°. 3. — Turdus Illas, Gessner, Av., p. 760. —
Naumann, Taf. 67. — Gould, Pl. 78, fig. 2.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Turdus musicus. Singdrossel. Merle grive.
Linne, p. 292, n°. 4. — Naumann, Taf. 66. — Gould, PI. 78,
bo. 1. |
Europa, Sibirien , Klein-Asien , Egypten. ‚L’Europe, la Sibérie, l'Asie mineure,
l'Egypte.
Turdus solitarius (66). Einsiedlerdrossel. Merle solitaire.
Wilson, vol. V, Pl. 43, fig. 2. — Merula solitaria, Swaimson,
Fauna bor. am., Birds, p. 184, PI. 35. — Turdus minor, (Lath.),
Naumann, Isis, 1826, p. 520.
Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique septentrionale, accidentel-
lement en Europe.
Turdus auroreus (67). Mondfleckige Drossel. Merle aurore.
Pallas, Zoogr., I, p. 448, n°. 87. — Rotermund, Isis, 1828
XET
p- 1036; Gloger , ibid. , p. 1041. — Gloger, Vögel Eur., p. 173. —
Turdus Bechsteinii jun., Naumann, Il, p. 314, Taf. 69, fig. 2.
Zwei Exemplare in Deutschland beo- Observé plusieurs fois en Allemagne;
bachtet ; bewohnt , nach Pallas, die In- habite, suivant Pallas, Pile de Kadiak, si-
sel Kadiak an der Nordwestküste tuée sur la côte occidentale de l’Ameri-
Amerikas. que du Nord.
Turdus atrigularis. Schwarzkehlige Drossel. Merle à gorge
noire.
Gloger, Vög. Europ., p. 182. — Turdus atrogularis, Temm. ,
Man., I, p. 169. — Turdus Bechsteini, Naumann, II, p. 310,
n°. 69, Taf. 69, fig. 1. — Merula atrogularis, Ch. Bon., List, p.
17. — Turdus ruficollis Pallas, Zoogr. , I, p. 452, n°. 93, c. fig. ? —
Gould, PI. 75.
Sibirien, Nepaul, einzeln in Europa. La Siberie, le Nepaul, accidentelle-
ment en Europe.
Turdus torquatus. Ringdrossel. Merle a plastron.
Linné, p. 296, n°. 23. — Merula torquata , Gessner, Av., p.
607. — Naumann, Taf. 70. — Gould, PI. 73.
Europa, Egypten. | L'Europe, Égypte.
Turdus merula. Schwarzdrossel. Merle notr.
Linné, p. 295, n°. 22. — Merula merula, Boie, Isis, 1826,
p- 972. — Naumann, Taf. 71. — Gould, Pl. 72.
Europa. | L’Europe.
eg
Turdus Whitii Whites Drossel. Merle de White.
Eyton, Rarer Brit. Birds, p. 92. — Turdus varius, Pall.,
Zoogr., p. 449, n°. 88. — Yarrell, Brit. Birds, I, p. 184, ce.
XLII
fig. — Oreocincla Whitei, Gould, Proceed. Zool. Soc., 1837, pe
45. — Gould, Pl. 81. |
Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon, la Sibérie, accidentellement
en Europe.
Turdus varius (68). Bunte Drossel. Merle varié.
Horsf., Linn. Trans., XIII, p. 149; Zool. Res., Tab. s. num. —
Yarrell, Brit. Birds, I, p. 186.
Java, Australien, zufällig in Europa. Java, PAustralie, accidentellement en
Europe.
b. Steindrosseln. Merles de roche.
Turdus saxatilis. Gemeine Steindrossel. Merle de roche
commun.
Linne, p. 294, n°. 14. — Petrocossyphus saxatilis, Boie, Isis,
1826, p. 972. — Naumann, Tab. 73. — Gould, PI. 86.
Südliches Europa, Westasien , Nord- L’Europe méridionale, l’Asie occiden-
afrika. tale, l'Afrique septentrionale,
Turdus cyaneus. Blaue Steindrossel. Merle de roche bleu.
Linne, p. 296, n°. 24.— Naumann, Tab. 72. — Gould, Pl. 87.
Südliches Europa, Egypten. | L’Europe meridionale , PEgypte.
HALBDROSSELN. TURDOIDES.
IXOS. HALBDEOSSEL. TURDOIDE.
Ixos obscurus. Dunkle Halbdrossel. Turdoide obscur.
Temm., Man., III, p. 608.
Andalusien , nordwestliches Afrika. L’Andalusie, les parties occidentales du
Nord de PAfrique,
fr
XLITE
PIROLE. LORIOTS.
ORIOLUS. PIROL. LORIOT.
Oriolus galbula. (Gremeiner Pirol. Loriot ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 160, n°. 1. — Naumann, Tab. 61. —
Gould, Pl. 71.
Europa. ne | L’Europe.
WASSERSCHWÄTZER. CINCLES.
CINCLUS (69). WASSERSCHWATZER, CINCLE.
Cinclus aquaticus (70). Gemeiner Wasserschwätzer. Cincle
plongeur.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 103. — Sturnus cinclus, Linne,
Syst., XII, p. 290, n°. 5. — Merula aquatica, Brisson, V, p.
252, n°. 19. — Naumann, Tab. 91. — Gould, PI. 83 et 84.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
FLUHVOGEL. ACCENTEURS.
ACCENTOR. FLUHVOGEL. ACCENTEUR.
Accentor alpinus. Alpen-Fluhvogel. Accenteur des Alpes.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 700. — Motacilla alpina, Gmel.
Linné , p. 957, n°. 65. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 99.
Schweizer Alpen, Gebirge Italiens, Les Alpes suisses, les montagnes de
England. l'Italie, PAngleterre.
Accentor montanellus. Berg-F luhvogel. Accenteur montagnard.
Temm., Man, I, p. 251. — Motacilla montanella, Pall., It.,
Il, app., n°. 12. — Naumann, Tab. 92. — Gould, Pl. 101.
Sibirien, nach Ostereich verirrt, | La Sibérie, observé en Autriche.
XLIV
Accentor modularis. Braunellen-Fluhvogel. Accenteur mouchet.
Cuv., Regne an., I, p. 388. — Motacilla modularis, Linne,
Syst., XII, p. 329, n°. 3. — Naumann, Tab. 92. — Gould,
PI. 100.
Europa. | | L’Europe.
ZAUNKONIGE. TROGLODYTES.
TROGLODYTES. ZAUNHONIG. TROGLODYTE.
Troglodytes troglodytes (71). Gemeiner Zaunkönig. Trog-
lodyte ordinaire.
Cuvier, Règne an., I, p. 390. — Motacilla troglodytes, Linné,
p. 337, n°. 46. — Naumann, Tab. 83. — Gould, Pl. 130.
Europe. | L'Europe.
GOLDHAHNCHEN. ROITELETS.
REGULUS. GOLDHANCHEN. ROITELET.
Regulus cristatus. Gemeines Goldhähnchen. Rottelet ordinaire.
Willughby, Orn., p. 163. — Motacilla regulus, Linné, p. 338,
n°. 48. — Naumann, Tab. 93. — Gould, Pl. 148, fig. 1. |
Europa , Kleinasien, | L'Europe, l'Asie mineure.
Regulus ignicapillus. Feuerköpfiges Goldhähnchen. Rortelet
triple bandeau.
Naumann, III, p. 983, Tab. 93, fig. 4, 5, 6. — Sylvia igni-
capilla, Brehm in Temm., Man, I, p. 231. — Regulus pyrace-
phalus, Brehm, Beitr., II, p. 130. — Naumann, Tab. 93. —
Gould, Pl. 148, fig. 2.
Europa. | L'Europe.
XLV
Aeguius modestus. Bastard Goldhähnchen. Rottelet bâtard.
Gould, Birds of Europe, PI. 149. — Motacilla proregulus, Pal-
las, Zoogr., I, p. 499, n°. 133. — Regulus proregulus, Keys.
u. Blas., p. LV.
Dalmatien, Daourien. | La Dalmatie, la Daourie.
MEISEN. MESANGES.
PARUS (72). MEISE. MESANGE.
a. Eigentliche Meisen. Mesanges proprement dites:
Parus major. Kohlmeise. Mesange charbonniere.
Linne, p. 341, n°.3. — Naumann, Tab. 94. — Gould, Pl. 150.
Europa, Sibirien. | I’Europe „ la Sibérie.
Parus lugubris (73). Trauermeise. Mésange lugubre.
Natterer im Temm. > Man. , I, p. 293. — Michahelles in Sturm,
Deutschland’s Fauna, 2 Heft, Tab. 1. — Gould, Pl. 151, fig. 1.
Dalmatien, Umgegend von Triest, La Dalmatie, les environs de Trieste,
Ungarn. la Hongrie.
Parus palustris. Sumpfmeise. Mésange nonnette.
Linn., p. 341, n°. 8 — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI.
155, fig. 2.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Parus sibiricus. Sibirische Meise. Mésange de Sibérie.
Gmel. Linn., p. 1013, n°. 24 — PI, enl. 708, fig. 3 —
Wright, Svensk. Fogl., Häft 26. — Nilsson Skandinav. Fauna,
XLVI
Fogl. , 1, p. 337. — Parus lugubris, Leuiersté; Resa 1 Lappm. , I,
p. 249, Tab. 3. — Gould, PI. 151, fig. 2.
Sibirien, Skandinavien. | La Sibérie, la Scandinavie. ”
Parus ater. Tannenmeise. Mésange petite charbonnière.
Linn., p. 341, n°. 7. — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI.
155, fig. 1.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Parus cristatus. Haubenmeise. Mésange huppee.
Linn., p. 340, n°. 2. — Naumann, Tab. 34. — Gould, PI. 156.
Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee.
Parus coeruleus. Blaumeise. Mésange bleue.
Linn. , p. 841, n°. 5. — Naumann, Tab. 95. — Gould, PI, 154.
Europa. | L'Europe. R
Parus cyaneus. Lasurmeise. Mésange azurée.
Pallas, Nov. Comment. Petrop., XIV; p. 588. — Naumann,
Tab. 95, fig. 3. — Gould, PI. 158.
Sibirien, zufällig in Europa. | La Sibérie, accidentellement en Europe.
Pb, Schwanzmeisen. Mésanges à longue queue.
Parus caudatus. Gemeine Schwanzmeise. Mésange a longue
queue ordinaire.
Linn., p. 342, n°. 11. — Mecistura caudata , Leach, Mus. Brit,
et auct, angl. — Naumann, Tab. 95. — Gould, Pl. 157.
Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie,
XLVIT
€. Bartmeisen. Mesanges barbues.
Parus biarmicus. Gemeine Bartmeise. Mésange barbue com-
mune.
Linn., p. 342, n°. 12. — Parus barbatus, Brisson, Orn. , III,
p. 567, no. 12. — Calamophilus biarmicus, Leach, Mus. Brit. et
auct. anglic. — Calamophilus barbatus, Keys. u. Blas., p. XLIII. —
Naumann, Taf. 96. — Gould , PI. 158.
Europa. | L’Europe.
d. Beutelmeisen. Mesanges-remiz.
Parus pendulinus. Gemeine Beutelmeise. Mesange - remız
ordinaire.
Linn. , p. 342, n°. 13. — Aegithalus pendulinus, Boie, Isis,
1822, p. 556. — Naumann, Tab. 97. — Pl. 159.
Östliches Europa, Sibirien. | L’Europe orientale, la Sibérie.
BAUMLÄUFER. GRIMPEREAUX.
CERTHIA (74. BAUMLAUFER. GRIMPEREAU,
Certhia familiaris. Gemeiner Baumläufer. Grimpereau com-
mun.
Linn., Syst., XII, p. 184, n°. 1. — Naumann, Tab. 140. —
Gould , Pl. 237.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
TICHODROMA, MAUERLAUFER. TICHODROME.
Tichodroma muraria. (remeiner Mauerläufer. Tichodrome
échelette.
Hliger, Prodr., p. 211, — Certhia muraria, Linn., Syst., XIT,
XLVIII
p- 184, n°. 2. — Tichodroma phoenicoptera, Temm., Man., I,
p. 412. — Naumann, Tab. 141. — Gould, PI. 239.
Gebirge des südlichen Europa’s bis Les montagnes de l’Europe méridio-
Persien. nale jusqu’en Perse.
SPECHTMEISEN. SITELLES.
SITTA, SPECHTMEISE. SITELLE.
Sitta europaea. (Gemeine Spechtmeise. sSitelle torchepot.
Linn., Syst., XII, p. 177, n°. 1. — Naumann, Tab. 139. —
Gould, Pl. 234.
Europa. | L’Europe.
Sitta uralensis. Uralische Spechtmeise. Sitelle de l'Oural.
Lichtenst. in Gloger, Handb., I, p. 377 et 378, (nota). — Sitta
europaea var. sibir., Pallas, Zoogr., I, p. 546 et 547. — Sitta.
asiatica, Temm. in Gould, Pl. 236. — Sitta sericea, Temm., Man. ,
III, p. 645. |
Sibirien bis zum Ural. | La Sibérie jusqu’a l’Oural.
Sitta syriaca. Syrische Spechtmeise. Sitelle de Syrie.
Ehrenberg, Symb. phys., pag. 0. — Sitta Neumayeri, Mi-
chahelles, Isis, 1830, p. 814. — Sitta rufescens, Temm. in Gould,
PI. 235. — Sitta rupestris, Cantr. in Temm., Man., III, p. 287. —
Ch. Bonap., Icon. d. Faun. ital., I, Tav. 26, fig. 2.
Dalmatien , Syrien, | La Dalmatie , la Syrie.
XLIX
SPECHTE. PICS.
PICUS. SPECHT. PIC:
a. Schwarzspechte. Pics noirs.
Picus martius. Gemeiner Schwarzspecht. Pic noir ordinaire:
Linn., p. 173, n°. 1. — Dryocopus Martius, Boie, Isis, 1826,
p- 977. — Naumann, Taf. 131. — Gould, PI. 225.
Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et temperee, la
Sibirien. Siberie.
b, Grünspechie. Pics verts.
Picus viridis. (Gemeiner Grünspecht. Pic vert ordinarre:
Linn., p. 175, n°. 12. — Gecinus viridis, Boie, Isis, 1828,
p. 316. — Naumann, Taf. 132. — Gould, PI. 226.
Europa , westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
Picus canus. Grauer Grünspecht. Pic vert cendré.
Gmelin Linn., p. 434, n°. 45. — Naumann, Taf. 133. —
Gould, PI. 227.
Mittleres und östliches gemässigtes Eu- Les parties temperees de l’Europe orien-
ropa , Sibirien. tale et centrale, la Sibérie,
c. Buntspechte. Pics variés,
Picus leuconotos. Weissrückiger Buntspecht. Pic varié à
dos blanc.
Wolf u. Meyer, Naturgesch., Heft II, (mas. et fem.) — Picus
leucotus, Bechst., Orn. Tasch., I, p. 66, n°.6, cum fig. — Gould,
PI. 228. \
Östliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie.
4
E,
Picus major, Grosser Buntspecht. Pic varié epeiche.
Linn., p.176, n°. 17. — Naumann, Taf.134.— Gould, PI. 229.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie,
Picus medius. Mittlerer Buntspecht. Pic varié a tete rouge.
Linn. , p. 176, n°. 18. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 230.
Europa. | L'Europe.
Picus minor. Kleiner Buntspecht. Pic varié epeichette.
Linn., p. 176, n°. 19. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 231.
Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie,
d. Dreizehige Spechte. Pics tridactyles.
Picus tridactylus. (Gremeiner dreizehiger Specht. Pic iri-
| dactyle ordinaire.
Linn., p. 177, n°. 21. — Apternus tridactylus; Swainson, in
Rich., Fauna Bor. Amer., Birds, p. 301. — Naumann, Taf. 137. —
Gould, PI. 232.
Gebirgswälder Mitteleuropa’s, nördli- Les forêts en montagne de l’Europe
ches Europa, Sibirien. centrale, le nord de l’Europe, la Sibérie.
WENDEHALSE.. TORCOLS.
YUNX. WENDEHALS. TORCOL.
Yunz Ttorguilla. ces Wendehals. Torcol ordinaire. -
ia, Syst., XIT, p. 172, n°. 1. — NT
Gould, PI. 235.
Europa, nördliches Asien. | L'Europe, l'Asie septentrionale,
Lt
- KUCKUCKE. COUCOUS.
ucvits. wrekvon. coUCor.
a. Eigentliche Erekucke. Coucous proprement dits.
Cuculus canorus. Gemeiner Kuckuck. Coucou gris.
Linn., Syst., XII, p. 168, n°. 1.— Naumann, Taf. 127, 128,
129. — Gould, Pl. 240.
Europa, Afrika, nördliches Asien. | L’Europe,l Afrique, l'Asie septentrionale.
© Pb. Strausskuckucke. Coucous à huppe.
Cuculus glandarius. (Gemeiner Strausskuckuck. Coucou à
huppe ordinaire.
Linn., Syst., XII, p: 169, n°®. 5: — Oxylophus glandarius, Ch.
Bon., List, p. 40. — Naumann, Taf. 130. — Gould, PI. 241.
Nordafrika, Syrien, zuweilen im süd- L’Afrique septentrionale, la Syrie, ac-
lichen Europa. cidentellement en Europe.
% ©. Brillenkuckucke. Coucous à lunettes.
Cuculus americanus. Amerikanischer Brillenkuckuck. Cou-
cou à lunettes d'Amérique.
Linn., Syst., XII, p. 170, n°. 10. — Cuculus carolinianus ,
Catesby, I, p. 9, F. 9. — Wilson, Pl: 28, fig. 1. — Cuculus
cinerosus, Temm. Man., III, p. 277. — Erythrophrys americanus,
Ch. ont Ep. 40. — Gould, PI. 242. | |
“ Nordafsika, zufällig in Europa. | L'Amérique du Nord, accidentellement
en Europe:
LIT
. WIEDEHOPFE. HUPPES.
UPUPA, WIEDEHOPF. HUPPE.
Upupa epops. Europäischer Wiedehopf. Huppe d'Europe.
Linn., Syst., XII, p. 183, n°. 1. — Naumann, Taf. 142, —
Gould, Pl. 238. |
Europa, nordwestliches Asien, Nord- | L'Europe, le nord de l’Asie occiden-
at tale, l’Afrique septentrionale.
EISVOGEL. MARTIN-PÉCHEURS.
ALCEDO. EISVOGEL. MARTIN-PECHEUR,
Alcedo ispida. Gemeiner Eisvogel. Martin-pecheur commun.
Linn., p. 179, n°. 3. — Naumann, Taf. 144. — Gould, PI. 61.
Europa, Asien, nördliches Afrika. | L'Europe, P’Asie,l’Afrique septentrionale.
Alcedo rudis. Geschäckter Eisvogel. Martin-pecheur pie.
Hasselquist, It., p. 243, n°. 22. — Linn., p. 181, n’. 12. —
Ceryle rudis, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Gould, PI. 62.
Südôstliches Europa, Afrika. N Les parties chaudes de l’Europe orien-
|. tale, l'Afrique.
BIENENFRESSER. GUEPIERS.
MEROPS. BIENENFRESSER. GUÉPIER.
Merops apiaster. Gemeiner Bienenfresser. Guepier vulgaire.
Linn., p. 182, n°. 1. — Naumann, Taf. 145. — Gould, PI. 59.
Südliches Europa, Egypten. | L'Europe méridionale , l'Égypte.
LI
Merops persica, Südlicher Bienenfresser. Guepier méridional.
_ Pallas, It., II, app. n°. 16. — Merops aegyptius, Forskal,
Descr. an., Aves, p. 1, sp. 2. — Guépier Savigny, Levaill., Hist.
Nat. Promerops etc., Pl. 6 et Pl. 6 bis. — Merops Savignyi,
Swainson, Birds of West. Afr., II, p. 77, Pl. 7. — Merops
aegyptius, Ch. Bonap. , Fauna Ital., Tav. 25, fig. 1.
Nordafrika, kaspisches Meer, zuweilen L’Afrique septentrionale ; les bords de
im südlichen Europa. la Mer Caspienne, accidentellement dans
le midi de l’Europe.
KRAHENARTIGE VOGEL. CORACES.
CORVUS. HRAHE. CORBEAU..
«. Eigentliche Krähen. Corbeaux proprement dits.
Corvus corax. Rabe. Corbeau.
Linn., p. 155, n°. 2, — Naumann, Taf. 53. — Gould, PI. 220.
Europa , Sibirien, auf den Fär-Inseln | IEurope, la Sibérie ;. on observe sou-
häufig eine weissgefleckte Abart: Corvus vent aux îles Fär une variété tapirée de
varius, Brünnich , Orn. bor. , p. 8 , n°. 28; blanc du corbeau; c’est le Corvus varius,
Corvus leucophaeus, Vieill., Galerie, I, Brünnich, Orn. bor., p. 8, n°. 28,
PI. 100. et Corvus leucophaeus, Vieillot., Gal., I,
PI. 100.
Corvus corone (TAbis). Rabenkrähe. Cornerlle notre.
Gmel. , Latham, Index, I, p. 151, n°. 4 — Naumann, Tab.
53. — Gould, PI. 221. 4
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Liv
Corvus cornia. Nebelkrähe. Corneille mantelée.
Linné, p. 156, n°, 5, — Naumann, Tab, 54. — Gould, PI, 222.
Europa, Sibirien. - | L'Europe, la Sibérie,
Corvus frugilegus, Soalkrähe. Freux.
Linne, p. 156, n°. 4 — Corvus corone, Linné, Fauna suec.,
p. 29, n°. 86. — Naumann , Tab. 55. — Gould, PI. 224.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale,
b. Dohlen. Choucas.
Corvus monedulu. Gemeine Dohle. Choucas commun.
Linné, p. 156, n°. 60, — Monedula turrium, Brehm , Handb. ,
p. 172. — Naumann, Tab. 56. — Gould , Pl. 223.
Europa, Sibirien, ; .| L'Europe, la Sibérie.
Corvus monedula nigra (75). Schwarze Dohle. Choucas noir.
Gmel. Linn., p. 368, no. 6, à. — Monedula nigra; Sperma-
legus s. frugilega, Frisch, Tab. 68. — Corvus spermologus ,
Vieillot, Nouv. Dict. Déterv., T. 8, p. 40.
Südliches Frankreich, soll in Spanien | La France méridionale ; commun, à ce,
gemein seyn, | que Pon dit, en Espagne.
PICA, ELSTER, PIE.
Pica vuriu. TWemeine Elster, Pie commune.
Gessner , Aves, fol. 965. — Corvus pica, Linne, p: 157, n°
13, — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 216.
Europa, Sibirien, | LEurope, la Sibérie,
+
re
Lv
Pica cyanea. Blaue Elster. Pie bleue:
> Wagler, Syst: Avium , sp. 6.— Corvus cyaneus, Pallas, It., II ;
app- , p- 694, n°. 7. — Gould, PI 217.
Spanien, Mongolei, Japan. | L'Espagne, la Mongolie , le Japon.
CARYOCATACTES. NUSSHNACHER. CASSENOIX.
Caryocatactes caryocatactes. Gemeiner Nussknacker. Casse-
à | noix ordinaire.
Cuv., Règne an., I, p. 423. — Corvus caryocatactes, Linné,
p- 157, n°. 10. — Naumann, Tab. 58 — Gould, PI. 213.
“ Gebirgsgegenden des gemässigten und Contrees montagneuses de la Siberie et
nördlichen Europas und Sibiriens. de l'Europe tempérée et septentrionale. -
GARRULUS. HEHER: GEAI.
a. Eigentliche Heher. Geais proprement dits.
Garrulus glandarius. Mussheher: (Gear glandivore.
Cuv., Règne an., I, p. 422. — Corvus glandarius, Linne,
p. 156, n°. 7. — Naumann, Tab. 58. — Gould, PI. 215.
Gemässigtes Europa. Il L'Europe temperee.
Garrulus glandarius melanocephalus (76). Schwarzköpfiger
Nussheher.. Great glandivore a calotte notre.
Garrulus melanocephalus, Gene, Mém. Ac. Turin, XXXVI, D:
298 , PI. 1.
Kaucasus, Syrien. | Le Caucase, la Syrie.
\
LVI
b, Meisenheher. Geais imitateurs.
Garrulus infaustus, (remeiner Meisenheher. Geai imitateur
ordinaire.
Boie, Reise in Norwegen , Append. — Corvus infaustus, Linné,
Fauna suec., p. 32, n°. 93. — Dysornithia infausta, Swainson,
Fauna Bor. Am., Birds, p. 495. — Gould, PL 215.
Nördliches Europa und Asien. | Le nord de l'Europe et de PAsie.
PYRRHOCORAX. ALPENHRAHE. CHOCARD.
Pyrrhocorax pyrrhocorax. (remeine Alpenkrähe. Chocard
des Alpes.
Cuvier, Règne an., I,p. 379. — Corvus pyrrhocorax, Linné,
p. 158, n°. 17. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 218.
Gebirge Südeuropa’s, | Les montagues de l’Europe méridionale.
FREGILUS. STEINHRAHE. CRAVE.
Fregilus graculus. Gemeine Steinkrähe. Crave d'Europe.
Cuv., Règne an., I, p. 458. — Corvus graculus, Linné, p-
158, n°. 18. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 219. |
Einige Felsenküsten Grossbritanniens, Les Alpes de la Suisse, du Caucase et
Alpen , Kaukasus, sibirische Alpen. de la Siberie; se trouve aussi sur plu-
sieurs points des cötes rocailleuses de la
| Grande Bretagne.
RACKEN. ROLLIERS.
CORACIAS. RACHE. ROLLIER.
Coracias garrula. Blaue Racke. Rollier vulgaire.
Linne, Syst., XII, p. 159, n°. 1. — Naumann, Tab. 60. —
Gould, PI. 60. | |
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale , PA-
Nordafrika, westliches Sibirien. frique septentrionale, la Sibérie occiden-
tale.
EVII
SEIDENSCHWANZE. JASEURS.
BOMBYCILLA. SEIDENSCHWANZ. JASEUR.
Bombyeilla garrula. Gemeiner Seidenschwanz. Grand Jaseur.
Vieill., Nouv. Dict., vol. 16, p. 523. — Bombycilla bohemica ,
Brisson, Orn., II, p. 333, n°. 63. — Lanius garrulus, Linne,
Fauna suec., n°. 82. — Ampelis garrulus, Linné, Syst., XII,
p- 297, no. 1. — Garrulus bohemicus, Gessner, Av., p. 703. —
Bombycivora garrula, Temm., Man., I, p. 124. — Bombyciphora
poliocoelia, Meyer, Vögel Liv. u. Esthl., p. 104. — Naumann,
Tab. 59. — Gould, PI. 160.
Nördliches Asien, in gewissen Jahren L'Asie septentrionale, de temps à
auf dem Zuge in Europa. temps de passage en Europe.
STAARE. ÉTOURNEAUX.
STURNUS. STAAR. ÉTOURNEAU.
Sturnus vulgaris. Bunter Staar. Etourneau vulgaire.
Linne, Syst., XII, p. 290, n°, 1. — Naumann, Tab. Bar,
Gould, Pl. 210. |
Europa, südwestliches Sibirien , Nord- L’Europe . les parties méridionales de la
afrika. | Sibérie occidentale , le nord de l’Afrique.
Sturnus vulgaris unicolor. KEinfarbiger Staar. Etourneau
unticolore. -
Sturnus unicolor, Marmora in Temm., Man., I, p. 133 et Pl. col.
111. — Ch. Bon., Icon. d. Faun. ital., I, Tab. 33, fig. 1. —
Gould, PI. 211.
Sardinien, Algerien. [| La Sardaigne, l'Algérie,
LVIIT
PASTOR, FVIEHVOGEL. MARTIN.
Pastor roseus. Rosenfarbiger Viehvogel. Martin roselin.
Temm., Man., I, p. 136. — Merula rosea, Aldrov., Orn., II,
p- 626. — Turdus roseus, Linné, Syst., XII, p. 294, n°. 15. —
Pastor roseus, Temm., Man., I, p. 136. — Acridotheres roseus,
Ranzani, Elem. Zool., III, p. 177. — Ch. Bonap., Icon. Faun.
ital., I, Tab..32. — Naumann, Tab. 63. — Gould, Pl. 212.
“ Südöstliches Europa, Afrika, westli- Les contrées chaudes de l'Europe orien-
ches Asien. tale, l'Afrique, l'Asie occidentale.
LERCHEN. ALOUETTES.
ALAUDA. LERCHE. ALOUVETTE.
a. Bogenschnäblige Lerchen. Alouettes a bee en faux.
Alauda bifasciata (77). Zweibindige Lerche. Alouette double-
bande. he
Gould, Birds of Europe, Pl. 168. -—- Certhilauda bifasciata ,
Ch. Bon., List, p. 37. )
Andalusien. | L’Andalousie.
Alauda Dupontii (78). Dupont’s Lerche. Alouette Dupont.
Vieill., Faune franc., p. 173, Pl. 76, fig. 2. — Roux, Orn.
prov., I, p. 285, Pl. 186. — Werner, Atlas du Manuel, Pi.
Nordafrika? zufällig im südlichen Eu- L’Afrique septentrionale ? accidentelle-
ropa. | ment dans le midi de l'Europe.
LIX
5, Eigentliche Lerchen. Alouettes proprement dites.
Alauda arvensis (79). Feldlerche. Alouettes des champs.
Linné , p. 287, n°. 1, — Naumann , Taf. 100. — Gould, PI. 166.
Europa, Sibirien, Kleinasien, Ara- ‘Europe, la Sibérie, l’Asie mineure,
bien, Unteregypten. l'Arabie, la basse Égypte.
Alauda cristata. Haubenlerche. Alouette cochevis.
Linné, p. 288, n°. 6. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI.
165.
Gemässigtes und südliches Europa, Si-
L'Europe tempérée et méridionale, la
birien, nordöstliches Afrika.
Sibérie, les parties septentrionales de
PAfrique orientale.
Alauda arborea. Baumlerche. Alouette lulu.
Linne, p. 287, n°. 3, — Naumann, Tab. 100. — Gould, PI.
167.
Europa , Sibirien, Kleinasien, | L'Europe, la Sibérie, l'Asie mineure.
Alauda brachydactyla (80). Kurzzehige Lerche. Alouette
calandrelle.
Leisler, Wetter. Ann., III, p. 357. — Melanocorypha arenaria,
Ch. Bon., List., p. 38, n°. 256. — Naumann, Tab. 98. — Gould,
PI. 163.
Südliches Europa, Egypten, Nubien, L’Europe meridionale, PÉgypte, la
Abyssinien, Nubie, l’Abyssinie,
Lx
_ Alauda isabellina. Isabellfarbige Lerche. Alouette isabelle.
Temm., PI. col. 244, fig. 2. — Alauda deserti, Lichtenst., Ca-
talog., 1823, p. 28, n°. 286. — Temm., Manuel, III, p. 637.
Ober-Egypten, Griechenland. - | La haute Égypte, la Grèce.
Alauda alpestris (81). Berglerche. Alouette à hausse-col noir.
Linne , p.289 , n°. 10. — Phileremos alpestris, Brehm, Handb., |
p. 313. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 164.
Nordôstliches Europa, nôrdliches Asien, Les parties orientales du nord de P’Eu-
einzeln in Mittel-Europa. rope, l'Asie septentrionale, accidentel-
lement dans l'Europe centrale.
ec. Dickschnäblige Lerchen. Alouettes à bec gros.
Alauda tatarica. Steppenlerche. Alouelte nègre.
Pallas, It., II, app. n°. 15. — Alauda mutabilis, S. G. Gmel.,
Nov. “Comm. Petrop., XV, p. 479, Tab. 23, fig. 2. — Melano-
corypha tatarica, Ch. Bon., List, p.38. — Gould, PI. 161.
Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie.
Alauda calandra. Kalanderlerche. Alouette calandre.
Linné, p. 288, ne 9. — Melanocorypha calandra, Boie, Isis,
1828, p. 322. — Naumann, Tab. 98. — Gould, PI. 162.
Südliches Europa, Kleinasien, Nord- Le midi de l’Europe, l’Asie mineure,
afrika. PAfrique septentrionale. |
Alauda sibirica. Sibirische Lerche. Alouette de Sibérie.
Gmel. Linné, p. 799, n°. 31. — Alauda calandrae affinis,
Pallas, It. app., n°. 15. — Alauda leucoptera, Pallas, Zoogr.,
I, p. 518, n°. 147, Tab. XXXIIT, fig. 2.
Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie.
LXI
FINKENARTIGE VÖGEL. FRINGILLOÏDES.
FRINGILLA. FINH. PINSON.
a. Eigentliche Finken. Pinsons proprement dits.
Fringilla coelebs. Buchfink. Pinson ordinaire.
Linne, p. 318, n°. 3. — Naumann, Tab. 118. — Gould, Pl. 187.
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l’Afrique septen-
| trionale.
Fringilla montifringilla. Bergfink. Pinson de montagne.
Linne, p. 318, n°. 4. — Naumann, Tab. 119. — Gould, PI.
188.
Europa, Kleinasien , Sibirien. | L'Europe, l’Asie mineure, la Sibérie.
b. Schneefinken. Pinsons de neige.
Fringilla nivalis. Alpen-Schneefink. Pinson de neige des
Alpes.
Brisson, Orn., III, p. 162, Tab. 15, fig. 1. — Montifringilla
nivalis, Brehm, Handb, p. 269. — Naumann, Tab. 117. — Gould,
PI. 189.
* Schweizer Alpen, Kaukasus. | Les Alpes Suisses, le Caucase,
€. Grünlinge. Verdiers.
Fringilla chloris. (Gemeiner Grünling. Verdier ordinaire.
Illiger, Prodr., p. 222. — Loxia chloris, Linné, p. 304, n°.
27. — Chlorospiza chloris, Ch. Bon., List, p. 30. — Naumann,
Tab. 120. — Gould, PI. 200.
Europa. F L'Europe,
LXIT
_Fringilla incerta. Bastard-Grünling. Verdier bätard.
Risso, Hist. nat. de l’Eur. mer., III, p. 52, n°. 135. — Roux,
Orn. prov., I, Suppl. p. 378, PI. 78 bis (fem.). — Chlorospiza
incerta, Ch. Bonap., List, p. 30, n°. 206; Fauna italica, I,
Tab. 38 (mas. et fem.). |
Südliches Frankreich. | La France méridionale.
d. Citronenfinken. Venturons.
Fringilla citrinella. Gemeiner Citronenfink. Venturon ordi=
naire.
Linné, p. 320, n°. 16. — Citrinella serinus, Ch. Bonap., List,
p- 34 — Citrinella alpina, Ch. Bon. Cat., p. 48. — Naumann,
Tab. 124.,— Gould, PI. 198.
Südliches Europa, | Le midi de l’Europe.
e. Hänflinge. - Linottes.
Fringilla cannabina. Bluthänfling: Linotte vulgaire.
Linné, p. 322, n°, 28. — Cannabina arbustorum, Brehm 5
Handb. , p. 277. — Naumann, Tab: 121: — Gould; PI. 191.
Europa, Kleinasien, Abyssinien. | L’Europa, l’Asie mineure, PAbyssinie.
Fringilla flavirostris (82). Berghänfling: Linotte de montagne.
Linné, p. 322, n°. 27. — Fringilla montium, Gmel. Linné,
p- 917, n°. 68. — Naumann, Taf. 122. — Gould, PI. 192.
“ Nôrdliches Europa, im Winter im Le nord de l'Europe, visite en hiver
gemässigten u. südlichen Europa. té PEurope tempérée et méridionale.
LXITT
._ f. Leinfinken. Siserins.
Fringilla linaria. Gemeiner Leinfink. Siserin ordinaire.
Linné, p. 322, n°0. 29. — Linaria rubra, Gessner, Aves, p.
591. — Naumann, Tab. 126. — Gould, PI. 194.
Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de l'Asie, vi-
ter im gemässigten Europa. site en hiver l'Europe temperee.
Fringilla canescens (83). Grauer Leinfink. Siserin grisätre.
De Selys Longchamps , Faune belge, I, p. 73. — Linaria ca-
nescens, Gould, Pl. 193.
Nördlichstes Amerika, Japan, im Win- . L'Amérique du nord, le Japon, enhi-
ter zufällig in Europa. ver accidentellement en Europe.
g:. Distelfinken. Chardonnerets.
Fringilla carduelis. Gemeiner Distelfink. Chardonneret ordi-
naire.
Linné, p. 318, n°. 7. — Carduelis nobilis, Albert., Magn., De
anim., Lib. XXIII, fol. 187. — Naumann, Tab. 124. — Gould,
PI. 196. |
Europa, westliches Sibirien , Kleinasien. L’Europe , la Sibérie occidentale, l'Asie
mineure.
h. Zeisige. Tarins.
Fringilla spinus. Erlenseisig. Tarin commun.
£
Linné, p.322, n°. 25. — Chrysomitris spinus, Boie, Isis, 1828,
p- 322. — Naumann, Tab. 125. — Gould, PI. 197.
Europa. | L'Europe,
LXIV
PASSER. SPERLING. MOINEAU.
Passer domesticus. Haussperling. Moineau domestique.
Gessner, Av., p. 643. — Fringilla domestica, Linne,, p. 323,
n°, 36. — Naumann, Tab. 115. — Gould, PI. 184, fig. 1.
Gemässigtes und nördliches Europa. | L’Europe temperee et septentrionale,
Passer domesticus cisalpinus. Jlaliänischer Haussperling.
Moineau cisalpin.
Fringilla cisalpina , Temm., Man., I, p. 351. — Fringilla Ita-
liae, Vieill., Nouv. Dict. Deterv., XII, p. 199; Galer., I, PI
63, p. 76. — Gould, PI. 184, fig. 2.
Italien, Kärnthen. | L'Italie, la Carinthie,
Passer salicarius. Schwarzbrüstiger Sperling. Moineau à
poitrine notre.
Passer domesticus salicarius, Keys. u. Blas., p. XL. — Fringilla
hispaniolensis, Temm., Man., I, p. 353. — Gould , PI. 185, fig. 1
Inseln und Küsten des Mittelmeeres, Les îles ei.les côtes de la Méditerranée,
Nordafrika, Bucharei. l'Afrique septentrionale, la Boukharie.
Passer montanus (63 bis). Feldsperling. Moineau friquet.
Aldrov. Orn., p. 560. — Fringilla montana, Linné, p. 324,
n°. 37. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI. 184, fig. 2.
Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée:
LXV
Passer petronia. Sleinsperling. Moineau soulcie.
Fringilla petronia, Linne, p. 322, n°. 30. — Petronia marina,
Willughby, Orn., p. 195. — Naumann, Tab. 116. — Gould,
PI. 186.
Südliches Europa. | 1’Europe méridionale.
Passer pusillus (84). Alpensperling. Moineau des Alpes.
Pallas, Zoogr., II, p. 28, n°. 196, c. fig.
Kaukasus. _ | Le Caucase.
COCCOTHRAUSTES. KHERNBEISSER. GROS-BEC.
a. Eigentliche Kernbeisser. Gros-becs proprement dits.
Coccothraustes vulgaris. (remeiner Kernbeisser. Gros-bec
commun.
Pallas, Zoogr., Il, p. 12, n°. 182. — Loxia coccothraustes,
Linné, p. 299, n°. 2. — Naumann, Tab. 114. — Gould, PI. 199.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie,
b. Finken-Kernbeisser. Gros-becs pinsons.
Coccothraustes caucasicus (85). Alpenkernbeisser. Gros-
bec des Alpes.
Pallas, Zoogr., II, p. 13, n°. 183. — Loxia rubicilla, Gül-
denst., Nov. Comm. Petr., XIX, p. 464, n°. 1, Tab. 12.
Kaukasus, | Le Caucase,
LXVI
PYRRHULA. GINPEL. BO UVRE UIL.
a. Eigentliche &impel. Bouvreuils proprement dits.
Pyrrhula vulgaris (86). Gemeiner Gimpel. Bouvreuil commun.
Temm., Man., I, p. 338. — Loxia pyrrhula, Linné, p. 300,
no. 4. — Naumann, Tab. 111. — Gould, PI. 209.
Europa, Sibirien. | L’Europe , la Sibérie.
b. Grüngimpel. Serins.
Pyrrhula serinus. (Gemeiner Grüngimpel. Serin cini.
Keys. u. Blas., p. XLI. — Fringilla serinus, Linne, p. 320,
n°. 17. — Serinus meridionalis, Brehm, Handb., p. 255. — Nau-
mann, Taf. 123. — Gould, PI. 195.
Südliches Europa, Nordafrika. Le midi de l'Europe, l’Afrique sep-
tentrionale.
Pyrrhula serinus islandica (87). Isländischer Grüngimpel.
Serin d'Islande.
Fringilla islandica, Faber, Isis, 1826, p. 1053. — Loxia seri-
nus , Faber, Prodromus d. isl..Orn, p. 14; Isis 1824, p. 792, n°. 1.
Island. | L’Islande.
€. Rosengimpel. Bouvreuils-rose.
Pyrrhula githaginea (88). Egyptischer Rosengimpel. Bou-
vreuil-rose githagine.
Temm. , Pl. col. 400, fig. 1 et 2. — Fringilla githaginea, Licht.,
Catal., p. 24, n°. 242. — Erythrospiza githaginea, Ch. Bonap.,
Osserv. Règne an., p. 80, sp. 3; Fauna italica, I, Tav. 35,
fig. 3. — Gould, PI. 208.
Egypten, Nubien, einzeln im südlichen L’Egypte, la Nubie, en petit nombre
Europa. dans l'Europe méridionale.
LXVIL
Pyrrhula erythrina. Brand-Rosengimpel. Bouvreu:il-rose
cramotst.
Temm., Man., I, p. 336. — Loxia erythrina, Pallas, Nov.
Comment. Petrop., XIV, p. 587. — Erythrothorax rubrifrons ,
Brehm, Handb., p. 249. — Naumann, Tab. 113. — Gould,
PI. 206.
Ostliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie.
Pyrrhula rosea. Sibirischer Rosengimpel. Bouvreuil - rose
Pallas.
Temm., Man., I, p. 335. — Fringilla rosea, Pallas, It., IIT,
app., no. 26. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 207.
Östliches Sibirien, einzeln in Ungarn Les parties orientales de la Siberie,
und Östreich beobachtet. observe en Hongrie et en Autriche.
d. Hackengimpel. Dur-becs.
Pyrrhula enucleator. (remeiner Hackengimpel. Dur - bec
vulgaire.
Temm., Man., I, p. 333. — Loxia enucleator, Linn., p. 299,
n°. 3. — Corythus enucleator, Cuv., Règne an., I, p. 415. —
Naumann, Tab. 112. — Gould, PI. 204.
Norden beider Welten. | Les regions septentrionales des deux
mondes.
LOXIA, HREUZSCHNABEL. BEC-CROISÉ.
Loxia pytiopsittacus. Kiefernkreuzschnabel. Bec - croisé
perroquet.
Bechst., Orn. Taschenb., I, p. 106. — Naumann, Tab. 109. —
Gould, PI. 201.
Nôrdliches und gemässigtes Europa. | L’Europe septentrionale et tempérée.
LXVIIT
_Loxia curvirostra. Fichtenkreuzschnabel. Bec- croisé des
pins.
Linné, p. 299, n°. 1. — Naumann, Tab. 110. — Gould, PI.
202.
Gemässigtes und nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale et temperee,
le nord de l'Asie.
Loxia bifascata (89). Zweibindiger Kreuzschnabel. Bec-croise
double bande.
De Selys Longchamps, Faune belge, p. 76, n°. 68, PI. IV,
fig. 2. — Crucirostra bifasciata, Brehm, Isis, 1827, p. 820; Or-
nis, III, p. 85. — Loxia taenioptera, Gloger, Isis, 1828, p. 441;
Handbuch, p. 354, n°. 1, (ex parte). — Loxia leucoptera, Nils-
son, Skand. Fauna, Fogl., I, p. 440, n°. 3, (part.); Illum. ,
Fig. PI. 20.
Im Winter, auf dem Zuge, in vielen Observé en hiver, lors de l’époque de la
Gegenden Europa’s beobachtet; bewohnt migration, dans plusieurs parties de l’Euro-
wahrscheinlich das nördlichste Asien. pe; habite probablement l’Asie arctique,
AMMER. BRUANTS.
EMBERIZA (9). AMMER. BRUANT.
Emberiza citrinella. Goldammer. Bruant jaune.
Linné, p. 309, no. 5, — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 173.
Europa. | L'Europe.
Emberisza cèrlus. Zaunammer. Bruant de hate.
Linné, p. 311, n°. 12. — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 175.
Südliches und gemässigtes Europa, L'Europe méridionale et tempérée,
‚Kleinasien. l'Asie mineure. ,
LXIX
Emberiza chrysophrys (91). Gelbbrauiger Ammer: Bruant
a sourcils jaunes.
Pallas, It., IIT, app., n°. 25; Zoogr., II, p. 46, n°. 210,
c. fig. — De Selys Longchamps, Faune belge, I, p.81, n°. 77,
PI. 4, fig. 1.
Daourien, zufällig in Europa. | La Daourie, accidentellement en Europe.
Emberiza hortulana. Ortolan-Ammer. Bruant ortolan..
Linne, p. 309, n°. 4. — Naumann, Tab. 103. — Gould, PI. 176.
Gemässigtesund südliches Europa , west- L’Europe- tempérée et méridionale, la
liches Sibirien, Kleinasien. Sibérie occidentale, l’Asie mineure.
Emberiza caesia. Grauköpfiger Ammer. Bruant cendrillard.
Emberiza caesia , Mus. Francof., Cretzschmar in Rüppell , Atlas,
Vögel, p. 17, Tab. 10 B. — Roux, Orn., PI. 112 bis —
Gould, PI. 181.
Südliches Europa, Egypten. | Le midi de PEurope, l'Égypte.
Emberiza cia. Zippammer. Bruant fou.
Linné , p. 301 , n°. 11. — Naumann. , Tab. 104. — Gould, PI. 179:
Südliches Europa, | Le midi de l'Europe.
Emberiza striolata. (Gestreifter Ammer. Bruant striolé.
Emberiza striolata , Mus. Francof. , Gretzschm. in Rüppell, Reise,
Atlas, p. 15, Tab. 10 A.
Nordafrika, Andalusien, zufällig- in L’Afrique septentrionale, l’Andalousie ,
Mitteleuropa. accidentellement dans PEurope centrale.
LXX
. Emberiza pithyornus. Fichtenammer. Bruant à couronne
lactée.
Pallas, It., II, app., n°. 22. — Naumann, Tab. 104. — Gould,
PI. 180.
Sibirien , zufällig im östlichen Europa. a Sibérie, accidentellement dans l’Eu-
rope occidentale.
Emberiza aureola (92). Kragenammer. Bruant aureole.
Pallas, It., II, app., no. 23.
Kaltes Sibirien vom Ural bis Kamt- Les regions froides de la Siberie de-
schatka. puis l’Oural jusqu'au Camtchatka.
Emberiza schoeniclus. Rohrammer. Bruant des roseaux.
Linné, p. 311, no. 17. — Naumann, Tab. 105. — Gould, PI. 183.
Europa, warmes Sibirien. | L’Europe, les regions chaudes de la
| Sibérie,
Emberiza palustris. Sumpfammer. Bruant des marais.
Savi, Orn. Tosc., II, p. 91, et III p. 225. — Emberiza pyrrhu-
loides , Pallas, Zoogr., Il,p. 49, n°. 212. — Emb. caspia, Men.,
Catal., p. 41, n°. 101.— Ch. Bonap., Fauna ital., I, Tab. 34. —
Gould, Pl. 184.
Südliches Europa. | Le midi de l'Europe,
Emberiza fucata (93). Grossfleckiger Ammer. Bruant peint.
Pallas, It., app. n°. 22; Zoogr., Il, p. 41, n°. 205, c.
fig. — Le Gavoué de Provence, Buffon, PI. enl., 656, 1;
EXXI
Hist. nat. d. Ois., IV, p. 321. — Emberiza provincialis, Gmel. ,
Linné, I, p. 881, n°. 59. — Emberiza lesbia, Temm., Man.,
III, p. 235. — Emberiza lesbia, Gould, Pl. 178. — Emberiza Du-
razzi, Ch. Bonap., Fauna Ital., 1, Tav. 35, fig. 2.
Daourien, Japan, einzeln im südli- | La Daourie, le Japon, en petit nom-
chen Frankreich. bre dans le midi ‘de la France.
Emberiza rustica. Feldammer. Bruant rustique.
Pallas, It., II, app-., n°. 21; Zoogr., Il, p. 43, n°. 207,
c. Tab. — Le Mitilene de Provence, Buffon, PI. enl. 656, 2;
Hist. nat.d. Ois., IV, p. 322. — Emberiza lesbia, Gmel. Linné,
I, p.882, n°. 60. — Emberiza borealis , Zetterst., Resa i Lappm.,
I, p. 107. — Emperiza lesbia, Temm., Man., I, p. 317; Calvi,
Catal. d. Ornit. di Genova, p. 46; Savi, Orn. Tosc, III, p. 223. —
Emberiza rustica, Temm.,Man., III, p. 229. — Emberiza Durazzi,
Ch. Bonap., Fauna Ital., I, Tab. 35, fig. 1 (?). — Gould,
PI. 177.
Östliches Sibirien, Kamtschatka, Ja-
pan, zufällig in Europa.
La Siberie orientale, le Camtchatka,
le Japon, accidentellement en Europe.
Emberiza pusilla (94). Zwergammer. Bruant nain.
Pallas, It., III, app., n°. 20; Zoogr., II, p. 42, n°. 206.
Daourien , zufällig in Europa. | La Daourie , accidentellement en Europe,
Emberiza miliaria. Grauammer. Bruant proyer.
Linne, p. 308, n°. 3. — Naumann, T. 101. — Gould, Pl. 171. —
Cynchramus miliaria, Ch. Bon., List, p. 35.
Europa , Kleinasien, Arabien. | L'Europe, PAsie mineure, l’Arabie,
LXXII
. Emberiza melanocephala. Schwarzköpfiger Ammer. Bruant
crocote.
Scopoli, Ann., I, p. 142, n°. 208. — Tanagra melanictera , Gül-
denst. , Nov. Comm. Petr., XIX ,p. 466. — Xanthornus caucasicus,
Pallas, Zoogr., I, p. 428, n°. 74. — Euspiza melanocephala,
Ch. Bonap., List, p. 32. — Emberiza granativora, Men., Catal.,
I, p. 40, n°. 99. — Naumann, Tab. 101. — Gould, PI. 172.
Südöstliches Europa, Kleinasien. Les parties chaudes de l’Europe orien-
tale, l’Asie mineure.
PLECTROPHANES. SPORNAMMER.
PLECTROPHANE.
Plectrophanes nivalis. Schnee-Spornammer. Plectrophane
de neige.
Meyer, Taschenb., I, p. 187. — Emberiza nivalis, Linne, p.
308, n°. 1. — Naumann, Tab. 106 et 107. Gould, Pl. 170.
Arktischer Kreis, besucht im Winter Le cercle arctique, visite en hiver P’Eu-
das gemässigte Europa. rope temperee.
Plectrophanes calcaratus. Lerchen-Spornammer. Plectro-
phane montain.
Meyer, Taschenb., III, p. 57. — Fringilla lapponica, Linne,
p- 317, n°. 1. — Fringilla calcarata, Pallas, It., II, app., n°.
20. — Emberiza calcarata, Temm., Man., I, p. 322. — Nau-
mann, Tab. 108. — Gould, PI. 169.
Arktischer Kreis, im Winter in gemäs- Le cercle arctique, visite en hiver les
sigteren Strichen. | regions tempérées de l’Europe.
LXXIIL
HÜHNERARTIGE VÖGEL. GALLINACÉS.
TAUBENARTIGE VOGEL. COLOMBES.
COLUMBA. TAUBE. PIGEON.
a. Eigentliche Tauben. Colombes.
Columba palumbus. Rıngeltaube. Colombe ramier.
Linne, p. 282, n°. 19. — Naumann, Tab. 149. — Gould, PI.
243.
Europa, einzeln in Sibirien, im Win- L’Europe, rare en Siberie, visite en
ter in Nordafrika. hiver l'Afrique septentrionale.
Columba oenas. Holztaube. Colombe colombin.
Gmel. Linné, p. 769, no.2. — Naumann, Tab. 151. — Gould,
Pl. 244.
Europa, westliches Sibirien, im Win- L’Europe, la Sibérie occidentale, visite
ter in Nordafrika. en hiver le nord de PAfrique.
Columba livia. Feldtaube. Colombe biset.
Brisson, Orn., I, p. 82, n°. 3. — Naumann, Tab. 150. —
Gould, PI. 245.
Felsige Küsten Südeuropa’s, Eng- Les côtes rocailleuses de l'Angleterre,
lands und des südlichen Norwegens; Ufer de la Norwege meridionale et du midi de
des Kaspischen Meeres, Daourien , Nord- l’Europe ; les bords de la mer caspienne ,
afrika, la Daourie, l’Afrique septentrionale,
LXXIV
b. Turteltauben. Tourterelles.
Columba turtur. Gemeine Turteltaube. Tourterelle ordinaire.
Linné, p- 284, n°. 32. — Turtur auritus, Ray, Av., p. 61, n°.
2. — Naumann, Taf. 152. — Gould, PI. 246.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
Columba aegyptiaca (95). Aegyptische Turteltaube. Tourte-
relle d'Egypte.
Latham, Ind. Orn., Il, p. 607, n°. 49. — Temm., Pig. et
Gall., in 8°, I, p. 370 et 461. — Columba cambayensis, Temm. ,
Pig. in fol., p. 100, Pl. 45.; Descr. de l'Égypte, Vol. XXI,
P1.5, fig. 9. — Columba maculicollis, Wagler, Syst. Avıum, Co-
lumba n°. 97.
Griechenland, Türkei, Kleinasien , La Grèce, la Turquie, P’Asie mineu-
Aegypten. re, l'Égypte.
c. Wandertauben. Pigeons voyageurs.
Columba migratoria. (Gemeine Wandertaube. Pigeon voya-
geur commun.
Linné, p. 285, n°. 36. — Ectopistes migratoria, Swainson,
Fauna bor.-am., Birds, p. 363. — Wilson, Pl. 44, fig. 1. —
Audubon, PI. 62.
Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement
en Europe.
EIGENTLICHE HUHNERVOGEL. GALLINACÉS PROPREMENT DITS,
PHASIANUS. FASAN. FAISAR:
Phasianus colchicus (96). Gemeiner Fasan. Faisan commun.
Linné, p. 271, n°. 3. — Naumann, Tab. 162. — Gould,
Pl. 247.
Ufer des Kaspischen Meeres. | Bords de la mer caspienne.
ILXXV
TETRAO. WALDHUHN. TETRAS.
à. Eigentliche Waldhühner.
'
Tetrao urogallus. Auer-Waldhuhn. Tetras auerhan.
Linne, p. 273,n°. 1. — Naumann, Tab. 154 et 155. — Gould,
Pl. 248.
Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et tempérée,
Sibirien. la ‘Sibérie.
Tetrao tetrix. Birk-Waldhuhn. Tetras birkhan.
Linne, p. 274, n°. 2. — Lyrurus tetrix, Swains., in Fauna
bor. amer., p. 497. — Naumann, Tab. 157. — Gould, Pl. 250.
Gemässigtes und nördliches Europa, L’Europa septentrionale et temperee,
Sibirien. la Siberie.
b. Haselhühner. Gelinottes.
Tetrao bonasia. (remeines Haselhuhn. Gelinotte commune.
Linne, p. 275, no. 9. — Bonasia sylvestris, Brehm, Vögel
Deutschl. , p. 513. — Naumann, Tab. 158. — Gould, PI. 251.
Gemässigtes und nördliches Europa ,
L’Europe tempérée et septentrionale ,
Sibirien.
la Sibérie,
c. Schneehühner. Lagopedes.
Tetrao saliceti (97). Morast-Schneehuhn. Lagopede des saules.
Temm., Man., IT, p. 471. — Tetrao albus, Gmel. Linné, p.
750, n°. 23. — Lagopus albus, Ch. Bonap., List, p. 44 —
Naumann, Tab. 159. — Gould, PI 255.
Nordöstliches Europa, nördliches Asien, Les régions froides de l’Europe orien-
nördliches Amerika. tale, le nord de l’Asie, l'Amérique sep-
tentrionale.
LXXVI
_ Tetrao saliceti scoticus (98). Schottisches Morast-Schneehuhn.
Lagopede des saules d’Ecosse.
Tetrao scoticus, Latham , Ind. Orn. , p. 641, n°.15. — Gould,
Pl. 252.
Schottland, England. | L'Écosse, l'Angleterre.
Tetrao lagopus (99). Felsen - Schneehuhn. Lagopede ptar-
migan.
Temm, Man., II, p. 468. — Naumann, Tab. 161 et 162. —
Gould, Pl. 253 et 254.
Alpen, Gebirge Skandinaviens und
Schottlands, Nordamerika.
Les Alpes, les montagnes de la Scandina-
vie et de l’Ecosse; l'Amérique du nord.
Tetrao lagopus islandicus (100). Isländisches Felsen-Schnee-
huhn. Lagopede ptarmigan d'Islande. |
Tetrao islandorum, Faber, Prodr., p. 6, n°. 1. — Tetrao is-
landicus, Brehm, Lehrb., p. 440.
Island. | l'Islande,
TETRAOGALLUS. ALPENHUHN. TETRAOGALLE.
Tetraogallus caucasicus (101). Kaukasisches Alpenhuhn.
Tetraogalle du Caucase. |
Tetrao caucasicus, Pallas, Zoogr., II, p. 76, n°. 225, c. Tab.
Kaukasus, | Le Caucase.
LXXVIL
PERDIX. FELDHUHN. PERDRIX,
a. Spornfeldhuhner. Francolins.
Perdix francolinus. Gemeines Spornfeldhuhn. Francolin à
| collier roux.
Latham, Ind., II, p. 644, n°. 6. — Tetrao francolinus, Linné,
p. 275, n°. 10. — Francolinus, Gessner, 228; Brisson, I, p.
245, n°. 13. — Francolinus francolinus, Cuv., Règne an., I,
p. 484. — Gould, PI. 259.
Sicilien, Malta, Griechischer Archi- La Sicile, l’île de Malthe, l’Archipel
pel, Nordafrika , warmes westliches Asien. de la Grece, le nord de l’Afrique, les
régions chaudes de l’Asie occidentale.
b. Rothhuhner. Bartavelles.
Perdix rubra. Gemeines Rothhuhn. Bartavelle rouge.
Brisson, Orn., I, p. 236, n®. 10. — Tetrao rufus, Linne, p.
276, n°. 12. — Naumann, Tab. 165. — Gould, PI. 260.
Spanien, Frankreich, Italien. | L'Espagne, la France, l'Italie.
Perdix graeca. Stein-Rothhuhn. Bartavelle grecque.
Brisson, Orn., I, p. 241, no. 12. — Perdix saxatilis, Meyer
u. Wolf, Taschenb., I, p. 305. — Naumann, Tab. 164 —
Gould, PI. 261, fig. 2.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau-
Asien, des de PAsie occidentale.
Perdix petrosa. Klippen-Rothhuhn. Bartavelle gambra.
Lath., Ind., II, p. 468, no. 14. — Gould, PI. 261, fig. 1.
Spanien, Sardinien, Sicilien , Cala- L’Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la
brien, Nordrand Afrika’s. ! Calabre, l’Afrique septentrionale.
LXXVIIT
€. Eigentliche Feldhuhner. Perdrix proprement dites.
Perdix cinerea. (remeines Feldhuhn. Perdrix grise.
Brisson, Orn., I, p. 219, n°. 1. — Tetrao perdix, Linné, p.
276, n°. 13. — Starna cinerea, Ch. Bon., List, p. 43. — Starna
perdix, Ch. Bon., Catal., p. 55, n°. 312. — Naumann, Tab.
163. — Gould, PI. 262.
Europa, westliches gemässigtes Sibi- L'Europe, les parties tempérées de la
rien, Nordafrika. Sibérie occidentale, le nord de l'Afrique.
COTURNIX. WACHTEL. CAILLE,
Coturnix vulgaris. Gemeine Wachtel. Caille ordinaire.
Klein, Ordo Avium, p. 115, n°. 1. — Tetrao coturnix, Linné,
p- 278, n°. 20. — Perdix coturnix, Lath., Ind, II, p. 651, n°.
28. — Naumann, Tab. 166. — Gould, PI. 263.
L’Europe, l’Asie occidentale, le Nord
de PAfrique.
Europa, westliches Asien, Nordafrika.
HEMIPODIUS (102). LAUFHUHN. TURNIX.
Hemipodius tachydromus. Europäisches Laufhuhn. Turnix
tachydrome.
Temm., Man., II, p. 494 — Turnix africanus, Desfont., Mém.
Acad., 1787, p. 500. — Tetrao andalusica , Gmel. Linné, p. 766,
n°. 59. — Gould, PI. 264.
Spanien, Sicilien, Nordafrika. | L'Espagne, laSicile, le nord del’Afrique;
PTEROCLES (103), FLUGHUHN. GANGA.
Pterocles alchata (104). Chata-Flughuhn. . Ganga cata.
Steph. in Shaw, Zool., XI, II, p. 311. — Tetrao alchata,
LXXIX
Linne, p. 276, no. 11. — Pterocles setarius, Temm., Man., II,
p- 478. — Gould, PI. 258.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- |
Asien. des de P’Asie occidentale,
Pterocles arenarius. Ringel-Flughuhn. Ganga unibande.
Temm., Man, II, p. 476. — Tetrao arenarius, Pallas, Nov.
Comm. Petrop., XIX, p. 418, Tab. 8. — Naumann, Tab. 153. —
Gould, Pl. 257. |
Südliches Europa, Nordafrika, warmes | Le midi de l’Europe, l’Afrique septen-
westliches Asien. trionale, les parties chaudes de lAsie
occidentale.
STELZENLAUFER, GRALLES,
TRAPPEN. OUTARDES.
OTIS. TRAPPE. OUTARDE.
Otis tarda. Grosser Trappe. Outarde barbue.
Linné, p. 264, no. 1. — Naumann, Tab. 167 et 168. — Gould,
PI, 267.
Gemässigte und warme Gegenden des Parties tempérées et chaudes de PEu-
mitteln und östlichen Europa’s, Sibirien. rope centrale et occidentale, la Sibérie,
Otis tetrax. Kleiner Trappe. Outarde cannepetiere.
Linne, p. 264, n°. 3 — Naumann, Tab. 168. — Gould,
PI. 269.
Südliches Europa, Tatarie, Nordafrika. | Le midi de l'Europe, la Tatarie, PAfri-
que septentrionale.
LXXX
. Otis Houabara. Kragentrappe. Outarde houabara.
Gmel. Linné , p. 725, n°. 6. — Naumann, Tab. 170. — Gould,
PI. 268.
Nordafrika, Arabien , zufällig in Europa. L’Afrique septentrionale, l'Arabie, ac-
cidentellement en Europe.
RENNVOGEL. COURES-VITE.
CURSORIUS. LAUFER. COURE-VITE.
Cursorius europaeus. Isabellfarbiger Läufer. Coure-vite
isabelle.
Latham, Ind., II, p. 751, n°. 1. — Cursorius isabellinus,
Meyer und Wolf, Taschenbuch, II, p. 328. — Naumann, Tab.
171. — Gould, Pl. 266. |
Nordafrika, Arabien; zufällig im süd- L’Afrique septentrionale, l'Arabie; ac-
lichen und gemässigten Europa. cidentellement dans l’Europe méridionale
et centrale.
BRACHSCHWALBEN. GLARÉOLES.
GLAREOLA. BRACHSCHWALBE. GLAREOLE.
- Glareola pratincola. Gemeine Brachschwalbe. Glaréole
pratincole.
Leach, Linn. Trans., vol. XIII, 1822, p. 131, PI 13. —
Hirundo pratincola, Linné, Syst., XII, p. 345, n°. 12. — Pra-
tincola, Kramer, Elench., p. 381, Tab. 1. — Glareola, Brisson,
Orn., V, p. 141. — Glareola austriaca, Gmelin Linné, p. 69,
n°. 1. — Naumann, Tab. 234 — Gould, PI. 265.
Südôstliches Europa, Nordafrika bis Les parties chaudes de l'Europe occi-
zum Senegal, dentale, l’Afrique septentrionale jusqu’au
Senegal.
LXXXI
Glareola Pallasii (105). Pallasısche Brachschwalbe. Glaréole
de Pallas.
Bruch in Mus. Mogunt. — Glareola pratincola, Pallas, Zoogr. ,
II, p. 150, n°. 269 (exl. syn.).
Wüsten der Tatarei von der Wolga bis Deserts de la Tatarie, depuis le Wol-
zum Irtisch; auch in Griechenland er- ga jusqu’à PIrtisch ; observé en Grèce.
legt.
REGENPFEIFER. PLUVIERS.
OEDICNEMUS. TRIEZ OEDICNEME-
Oedicnemus crepitans. Gemeiner Triel. Oedicnème criard.
Temm., Man., II, p. 521. — Charadrius oedienemus, Linné,
Syst., XII, p. 255, no. 10. — Naumann , 172. — Gould, PI. 288.
Südliches und gemässigtes Europa, ni kes parties temperees et chaudes de
Nordafrika, westliches Asien. Europe, PAsie occidentale, le nord de
| PAfrique.
CHARADRIUS. REGENPFEIFER. PLUVIER.
a. Gold-Regenpfeifer. Pluviers dorés.
Charadrius pluviulis. (Gemeiner Goldregenpfeifer.
Pluvier
dore commun.
Linne, p. 254, n°. 7. — Charadrius apricarius, ibid., p. 254,
n°. 6. — Charadrius auratus, Suckow, Naturg., Il, p. 1592. —
Pluvialis viridis, Wiliushb., Orn., p. 229. — Naumann, Tab.
173. — Gould, Pl. 294.
Europa, Asien, Nordafrika.
L’Europe, PAsie, l’Afrique septentrio-
|:
nale.
6
LXXXII
b. Morinell-Regenpfeifer. Guignards. :
Charadrius morinellus. (remeiner Morinell - Regenpfeifer.
Guignard ordinaire.
Linné, S., XII, p. 254, no. 5. — Morinellus, Gessner, Aves,
p- 615. — Eudromias morinellus, auct. recent. — Naumann,
Tab. 174. — Gould, Pl. 295.
Nördliches Europa und Asien. Im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie. En
ter, im gemässigten und südlichen Europa. hiver, dans Europe centrale et temperee.
Charadrius asiaticus. Asiatischer Morinell- Regenpfeifer.
Guignard asiatique.
Pallas, It., II, app., n°. 32. — Charadrius caspius, Pallas,
Zoogr., II, p.136, no. 258, c. fig. — Ch. jugularis, Wagler,
Syst., Char. no. 39.
Kaspisches Meer, Tatarei, Vorgebirge
der guten Hoffnung.
La mer caspienne, la Tatarie, le Cap
de Bonne Espérance.
c. Eigentliche Regenpfeifer. Pluviers proprement dits.
Charadrius pyrrhothoraæx (106). Kragen-Regenpfeifer. Plu-
vier à collier roux.
Temm., Man., IV, p. 355. — Gould, PI. 299.
Warmes Asien bis auf die Inseln Hin- | Les parties chaudes de PAsie jusque
terindiens ; in Russland beobachtet. dans lArchipel des Indes; tué en Rus-
sie.
Charadrius cantianus, Weissstirniger Regenpfeifer. Pluvier
a collier interrompu.
Latham, Ind., Suppl., II, p. 66. — Charadrius albifrons, Meyer
und Wolf, Taschenbuch, Il, p. 323, ne. 5. — Aegialıtes can-
LXXXIIT
tianus, Boie, Isis, 1822, p. 774 — Naumann, Tab. 176. —
Gould, PI. 298.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Charadrius hiaticula. Buntschnäbliger Regenpfeifer. Grand
pluvier a collier.
Linne, S., XII, p. 253, n°. 1. — Naumann, Tab. 175. — Gould,
PI. 296.
Europa, Nordafrika. | L'Europe, PAfrique septentrionale.
Charadrius minor. Kleiner Regenpfeifer. Petit pluvier à
collier.
Meyer und Wolf, Taschenb., IT, p. 324 — Charadrius curo-
nicus, Besecke, Vögel Curlands, p. 66, n°. 134. — Charadrius
fluviatilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 422.
Europa , Sibirien. | L’Europe, la Siberie.
VANELLUS. HIEBIETZ, VANNEAU,
a. Eigentliche Kiebietze. Vanneaux proprement dits.
Vanellus eristatus. (remeiner Kiebielz. Vanneau huppé.
Meyer und Wolf, Vögel Deutschl. , Band I, Heft 10, c. Tab. —
Tringa vanellus, Linne, Syst., XII, p. 248, n°. 2. — Naumann,
Tab. 179. — Gould, PI. 291.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Sibérie, Afrique septen-
trionale.
b. KRegenpfeiferkiebietze. Vanneaux-pluviers.
Wanellus gregarius. Geselliger Regenpfeiferkiebielz. Vanneau-
pluvier social.
Vieillot, Tabl. enc., Orn., III, p. 1078, no. 11. — Charadrius
LXXXIV
. gregarius, Pallas, It., I, app., n°. 9. — Tringa Keptuschka,
Lepechin, Tageb., I, p. 229. — Vanellus Keptuschka , Temm.,
Man., III, p. 360; Ch. Bonap., Icon. Faun. Ital., Tav. 41. —
Gould, PI. 292.
Südliches Sibirien, südliches Russland , Les parties chaudes de la Russie et de
zufällig im übrigen südlichen Europa. la Siberie, accidentellement dans le midi
de l’Europe.
c. Spornkiebietze. Pluviers armés,
Charadrius spinosus. (remeiner Spornkiebietz. Pluvier
arme commun.
Hasselquist, It., p. 260. — Linne, Syst, XII, p. 256, no. 12. —
Hoplopterus spinosus, Ch. Bon., List, p. 46. — Gould, PI. 293.
Südöstliches Europa; warmes, westli- | Les parties chaudes de l'Europe orien-
ches Asien; Nordafrika. tale et de l'Asie occidentale, le nord de
l'Afrique.
d, Goldkiebietze. Vanneaux dorés.
Vanellus squatarola. (Gemeiner Goldkiebietz. Vanneau doré
ordinaire.
Tringa squatarola, Gmel. Linn., p. 682, n°. 23, — Vanellus
griseus et helveticus, Brisson, Orn., V, p. 100 et 106, no. 2 et
4. — Vanellus melanogaster, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 356. —
Squatarola squatarola, G. Cuv., Regne an., I, p. 502. — Nau-
mann, Tab. 178. — Gould , Pl. 290.
Nördliche Striche beider Welten „ im Régions septentrionales des deux mon-
Winter im gemässigten und südlichen des, visite en hiver l'Europe tempérée
Europa. et méridionale.
LXXXV
STEINWALZER. TOURNE-PIERRES.
STREPSILAS. STEIN WALZER. TOURNE-PIERRE:
Strepsilas interpres. Gemeiner Steinwälzer. Tourne-pierre
a collier.
Illiger, Prodr., p. 263. — Tringa interpres, Linn. , Syst., XII,
p. 248, m. 4. — Tringa morinella, ibid., p. 249, no. 6. —
Strepsilas collaris, Temm., Man., II, p. 553. — Naumann, Tab.
180. — Gould, PI. 318.
Nördliche Länder beider Welten, im Regions septentrionales des deux mon-
Winter im gemässigten und südlichen Eu- des, visite en hiver l’Europe tempérée
ropa. i et méridionale.
AUSTERNFISCHER. HUITERIERS.
HAEMATOPUS. AUSTERNFISCHER.
HUITERIER.
Haematopus ostralegus. Gemeiner Austernfischer. Huiterier
pie.
Linné , Syst, XII, p. 257, n°. 1. — Naumann, Tab. 181. —
Gould, Pl. 300.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
SCHNEPFENARTIGE VOGEL. BÉCASSES.
SCOLOPAX. SCHNEPFE. BECASSE.
a. Waldschnepfen. Bécasses proprement dites.
Scolopax rusticola. Gemeine Waldschnepfe. Bécasse ordinarre.
Linne , Syst., XII, p. 243, n° 6. — Naumann, Tab. 211. —
Gould, PI. 319.
Nördliches Europa und Asien , im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie; fre-
ter im übrigen Europa und Nordafrika. quente en “hiver les autres parties de
l'Europe et l'Afrique septentrionale,
LXXXVI
b. Sumpfschnepfen. Becassines.
Scolopax major (107). Grosse Sumpfschnepfe. Becassine
double.
Gmel. Linne, p. 661, n°. 36. — Gallinago major, Ch. Bon.,
List, p. 52. — Naumann, Tab. 208. — Gould, PI. 320.
Nördliches Europa, Sibirien; im Win- Le nord de l’Europe, la Sibérie; vi-
ter im gemässigten und südlichen Europa. site en hiver l’Europe tempérée et mé-
ridionale.
Scolopax gallinago (108). Heers-Sumpfschnepfe. Becassine
ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 244, no. 7. — Naumann, Tab. 290. —
Gould, PI. 321, fig. 2.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Scolopax gallinula. Moor-Sumpfschnepfe. Becassine sourde.
Linné, Syst., XII, p. 244, no. 8. — Naumann,. Tab. 210. —
Gould, Pl. 322.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Siberie.
Scolopax Sabimii (109). Sabine's Sumpfschnepfe. Bécassine
Sabine.
Vigors, Trans. Linn. Societ., XIV, p.556, Tab. 21. — Jard.
and Selby, Zool. Illustr., Pl. 27. -— Gould, Pl. 321, fig. 1.
Vaterland unbekannt ; zufällig in Gross- Patrie inconnue; observée plusieurs fois
brittanien. en Angleterre.
€. Strandläuferschnepfen. Bécassines chevaliers.
Scolopax grisea. Graue Slrandläuferschnepfe. Bécassine
chevalier ponctuee.
Gmelin Lim. , p. 658, no. 27; Scol. novaeboracensis, ibid., p.
LXXXVII
658, no. 28. — Macrorhamphus griseus, Steph., in Shaw, Zool.,
vol. XII, p. 61. — Wilson, Pl. 58, fig. 1. — Gould, Pl. 323.
Nordamerika, zufällig in Grossbritta- L’Amerique du nord, accidentellement
nien. en Angleterre,
LIMOSA. PFUHISCHNEPFE. BARGE.
Limosa melanura. Schwarzchwänzige Pfuhlschnepfe. Barge.
a queue notre.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., IT, p. 153. — Scolopax li-
mosa, Linné, Syst., XII, p. 245, n°. 13; Scolopax aegocephala,
ibid., p. 246, no. 16. — Limosa aegocephala, Ch. Bonap., List,
p- 52. — Naumann, Tab. 212 et 213. — Gould, PI. 305.
Kalte und gemässigte Gegenden Euro- Les parties froides et tempérées de
pas und Sibiriens; im Winter im südli- Europe et de la Sibérie; visite en hiver
chen Europa und Nordafrika. l'Europe méridionale et le nord de l'Afrique.
Limosa rufa (110). Rostrothe Pfuhlschnepfe. Barge rousse.
Brisson, Orn., V, p. 281, no. 5. — Scolopax lapponica, Linné,
Syst., XII, p. 246, no. 15. — Naumann, Tab. 215. — Gould,
PI. 306.
Gemässigtes und nördliches Europa, Les parties froides et tempérées de
Sibirien; im Winter bis in’s südliche l'Europe et de la Sibérie, fréquente en
Europa. hiver le midi de l’Europe.
..
Limosa recurvirostra. Sübelschnäblige Pfuhlschnepfe. Barge
terek.
Pallas, Zoogr., II, p. 181, no. 293. — Limosa terek, Temm.
Man. , IT, p. 426. — Scolopax cinerea , Güldenstädt, Nov. Comm.
Petr. XIX, p. 473, Tab. 19. — Scolopax terek, Lath. Ind. orn.,
LXXXVIII
an p. 724, n°0. 36. — Terekia javanica, Ch. ar 5 List, p-
— Gould, Pl. 307.
Kaspisches Meer, zufällig im übrigen Les bords de la mer caspienne, acci-
Europa, Asien. dentellement dans les autres parlies de
l'Europe, l'Asie.
TRINGA (111) STRANDLAUFER. BECASSEAU.
a. Eigentliche Strandläufer. Bécasseaux ordinaires.
Tringa canutus. Canut-Strandläufer. Bécasseau canut.
Linn., Syst., XII, p. 251, ne. 15. — Tringa cinerea , Brün-
nich, Orn. bor., n°. 179. — Tringa islandica, Gmel. Linn., p.
682, n°. 24. — Tringa ferruginea, Meyer und Wolf, Taschenb.,
Il, p. 395. — Naumann, Taf. 183. — Gould, PI. 324.
Nördliche Gegenden beider Welten; | Les régions septentrionales des deux
im Winter im gemässigten und südlichen mondes; fréquente en hiver l'Europe tem-
Europa. pérée et méridionale.
Tringa maritima. Meerstrandläufer. Bécasseau violet.
Brünnich, Orn. bor., n°. 182. — Naumann, Taf. 188. — Gould,
PI. 344.
Nördliche Länder beider Welten, im Les contrées septentrionales des deux
Winter bis in’s südliche Europa. mondes; passe en hiver jusque dans le
midi de lEurope.
Tringa subarquata (112). Bogenschnäbliger Strandläufer.
Bécasseau cocorlk.
Temm., Man., II, p. 609. — Scolopax subarquata, Güldenst,
Nov. Comm. Petrop., XIX, p. 471, no. 5. — Naumann, Taf.
185. — Gould, PI. 328.
Nördliche Gegenden beider Welten; Les régions septentrionales des deux
im Winter über ganz Europa Lis Nord- mondes; frequente en hiver les autres
afrika. parties de l’Europe et de l’Afrique sep-
tentrionale.
LXXXIX
Tringa cinclus. Veränderlicher Strandläufer. Bécasseau va-
riable.
Tringa cinclus et alpina, Linné, Syst., XII, p. 251, no. 18 et
p- 249, no. 11. — Numenius variabilis, Bechst., Nat. Deutschl.,
IV, p. 141. — Tringa varıabilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., II,
p- 397. — Naumann, Taf. 186. — Gould, PI. 329.
Nördliche und gemässigte Gegenden Les régions septentrionales et tempé-
beider Welten; im Winter im südlichen rées de l'hémisphère boreal; visite en
Europa bis Nordafrika. hiver le midi de PEurope et l’Afrique
septentrionale.
Tringa cinclus minor (113). Kleiner veränderlicher Strand-
läufer. Petit Becasseau variable.
Tringa Schinzü, Brehm, Beiträge, III, p. 355. — Tringa pyg-
maea Schinz, Cuvier, Regn. an., deutsche Übersetz., I, p. 782. —
Naumann, III, p. 221, Taf. 187, fig. 1, 2, 3.
Europa. | L'Europe.
Tringa Bonapartei. Bonaparte's Sirandläufer. Bécasseau
Bonaparte.
Tringa Schinzii, Ch. Bonap., Synops., n°. 249; Temm., Man. ,
II, p. 401; Gould, PI. 330.
Nordamerika ; zufällig in England. L’Amerique du nord; accidentellement
en Angleterre.
Tringa pectoralis. Brusifleckiger Strandläufer. Bécasseau
pectoral.
Ch. Bonap., Syn., n°0. 250. — Gould, PI. 327.
Nordamerika, zufällig in England. | L'Amérique du nord, accidentellement
en Angleterre.
XC
Tringa minuta. Zwergstrandläufer. Bécasseau échasse.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 74, no. 10. — Tringa
pusilla, Meyer u. Wolf, Taschenb., Il, p. 391, n°. 7. — Nau-
mann, Taf. 184. — Gould, PI. 332.
Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de PAsie, en
ter im übrigen Europa bis Nordafrika. hiver dans les régions tempérées et mé-
ridionales de l’Europe et dans l'Afrique
septentrionale.
Tringa Temminckii. Temminck's Strandläufer. Bécasseau
Temmia.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 64, no. 9. — Tringa
pusilla, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 308. — Naumann, Taf.
189. — Gould, PI. 333.
Gemässigtes und südliches Europa, im Les parties temperees et chaudes de
Winter bis Afrika; überall selten. PEurope , visite en hiver l’Afrique, par-
tout rare.
Bb. Sumpfläufer. Becasseaux limicoles.
Tringa platyrhyneha. Plattschnäbliger Sumpfläufer. Limi-
cole platyrhynque.
Temm., Man., Il, p. 616. — Numenius pygmaeus, Lath. Ind.,
p- 713, no. 11. — Limicola pygmaea, Koch, Baier. Zool., I,
p- 316, n°. 197. — Tringa pygmaea, Savi, Orn. Tosc., II, p.
291. — Naumann, Taf. 207. — Gould, PI. 331.
Einzeln im mittleren Europa beobachtet. Observé en petit nombre dans PEuro-
Bengalen, Java. pe centrale ; le Bengale, Java.
c. Dreizchige Strandläufer. Becasseaux tridactyles.
Tringa arenaria. Gemeiner dreizehiger Strandläufer. Bécas-
casseau tridactyle ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 251, n°. 16. — Charadrius calidris, 1bid.,
XCI
p- 255, n0. 9. — Arenaria grisea, Bechst., Nat. Deutschl., IV,
p- 368. — Calidris calidris, Illiger, Prodr., p. 249. — Calidris are-
naria, Temm., Man., II, p. 524 — Naumann, Taf. 182. —
Gould, PI 335.
Nördliches Europa, im Winter im ge- L’Europe septentrionale; frequente en
mässigten bis ins südliche Europa, Nord- hiver l’Europe tempérée et méridionale.
amerika, Asien. L'Amérique du Nord, l'Asie.
d. Kampfstrandlaufer. Combattans.
Tringa pugnax (114). Gemeiner Kampfstrandläufer. Com-
battant variable.
Linne, Syst., XII, p. 247, n°. 1. — Machetes pugnax, Cuv.,
Regn. an., I, p. 527. — Naumann, Taf. 190, 191, 192, 193. —
Gould, Pl. 328.
Nördliche und gemässigte Gegenden Parties septentrionales et tempérées de
Europas und Asiens, Vorgebirge der gu- l'Europe et de l’Asie, le Cap de Bonne
ten Hoffnung. Espérance.
ACTITIS. UFERLAUFER. ACTITIS,
Actitis hypoleucos. Trillernder Uferläufer. Actitis guignette.
Boie, Isis, 1822, p. 560. — Tringa hypoleucos, Linn., Syst.,
XI, p. 250, no. 14. — Totanus hypoleucos, Temm., Man., II,
p- 657. — Naumann, Taf. 194. — Gould, PI. 318.
Europa, Asien, Nordafrika. | L’Europe, P’Asie, ’ Afrique septentrionale.
Actitis macularia. (Grefleckter Uferläufer. Actitis perle.
Boie, Isis, 1826, p. 979. — Tringa macularia, Linne, Syst.,
XII, p. 249, n°. 7. — Totanus macularia, Temm., Man., II, p.
656. — Naumann, Tab. 195. — Gould, Pl. 317.
Amerika, zufällig in Europa. - | L'Amérique, accidentellement en Europe.
xcH
| Actitis rufescens. Vieillols Uferläufer. Actitis Vieillot.
Tringa rufescens, Vieillot, Galerie, Il, p. 105, PI. 238. —
Gould, PI. 326.
Nordamerika, zufällig in Europa. | L'Amérique septentrionale, accidentel-
lement en Europe.
Actitis Bartrami. Bartrams Uferläufer. Actitis à longue
queue.
Naumann, VII, p. 43, Tab. 196. — Tringa Bartramia, Wil-
son, VII, p. 63, PL 59,.fig..2. — Tringa longicauda, Bechst.,
in Lath. Ind., deutsche Übersetzung , p. 453, n°. 46. — Totanus
Bartramia, Temm., Man., II, p. 650. — Actiturus Bartramius,
Ch. Bonap., List, p. 51. — Naumann , Tab. 196. — Gould, PI. 313.
Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement
en Europe.
TOTANUS (115). WASSERLÄUFER. CHEVALIER.
Totanus fuscus. Schwarzbrauner Wasserläufer. Chevalier
arlequin.
Leisler, Nachtr. zu Bechst., Nat., p. 47. — Limosa fusca,
Brisson, Orn., V, p. 276, n°. 4 — Naumann, Tab. 200. —
Gould, PI. 309.
Europa. | l’Europe.
Totanus glottis. Grünfüssiger Wasserläufer. Chevalier
aboyeur.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 249, n°. 10. — Scolopax glot-
tis, Linné, Syst., XII, p.245, no. 10. — Naumann, Tab. 201. —
Gould, PI. 312.
Europa, nördliches Asien, Nordafrika. L'Europe, les regions froides de PAsie,
l'Afrique septentrionale.
XCIII
Totaxus stagnatilis. Teich-W. asserläufer. Chevalier stagnatile.
Bechst., Orn. Taschenb., II, p. 292. — Scolopax totanus,
Linne, Syst., XII, p. 245, ne. 12. — Naumann, Tab. 202. —
Gould, PI. 314.
Europa, westliches Sibirien, Afrika. | L'Europe, la Sibérie occidentale, PAfri-
que.
Totanis calidris. Rothfüssiger Wasserläufer. Chevalier
gambette.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 216. — Scolopax calidris, Linne,
Syst., XII, p. 245, no. 11. — Tringa gambetta, Gmel. Linne,
p- 671, no. 3. — Naumann, Tab. 199. — Gould, PI. 310.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale,
Totanus glareola. Wald-Wasserläufer. Chevalier sylvain.
Temm. , Man., II, p. 654. — Tringa glareola, Linne, Fauna
suecica, p. 66, n°. 185; Tringa littoria, Linne, Syst. nat., XII,
p- 251, n°. 17. — Naumann, Tab. 198. — Gould, PI. 315, fig. 2.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep-
tentrionale.
Totanus ochropus. Getüpfelter Wasserläufer. Chevalier cul-
blanc.
Temm., Man., II, p. 651. — Tringa ochropus, Linné, Syst.,
XII, p. 250, n°. 13. — Naumann, Tab. 197. — Gould, Pl. 315,
fig. 1.
Europa „ Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l'Afrique sep-
tentrionale.
XCIV
“Totanus semipalmatus. Schwimmfüssiger Wasserlüufer. Che-
valier semi-palme.
Temm., Man., II, p. 637. — Scolopax semipalmata, Gmel.
Linne, p. 659, n°. 33. — Catoptrophorus semipalmatus, Ch. Bo-
nap., Syn., n°. 259. — Wilson, PI. 56, fig. 3. — Fauna bor.
amer. , p. 388, Pl. 67. — Gould, PI. 311. |
Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement
en Europe.
PHALAROPUS. WASSERTRETER.
Phalaropus cinereus. Schmalschnäbliger Wassertreter. Pha-
larope hyperbore.
Brisson, Orn., VI, p. 15, n°. 2. — Tringa lobata, Linne,
XII, p. 249, n°. 8. — Tringa hyperborea, ibid, p. 249,
no. 9. — Phalaropus hyperboreus et fuscus Latham, Ind., II,
p- 775, n°. 1 et 776, n°. 4 — Phalaropus ruficollis et cineras-
cens, Pall., Zoogr., II, p. 203, no. 212 et n°. 213. — Phalaro-
pus angustirostris, Naumann, VIII, p.240, no. 236, Tab. 205. —
Gould, 336. — Lobipes hyperboreus, Cuv., Règne an., I, p. 532.
Nördliche Länder beider Welten, auf Les regions septentrionales des deux
dem Zuge bis ins südliche Europa. mondes; visite, lors de l’epoque de la
migration , l’Europe tempérée et meridio-
nale.
Phalaropus rufescens. Breilschnübliger Wassertreter. Pha-
larope platyrhynque.
Brisson, Orn., VI, p. 20, n°. 4 — Tringa fulicaria, Linne,
Syst., XII, p. 249, n°. 10. — Phalaropus rufus, Bechst., Nat.
Deutschl., IV, p. 381. — Phalaropus platyrhynchus, Temm.,
XCV
Man. , II, p. 712. — Phalaropus fulicarius, Ch. Bonap., Lyc. New
York, IT, p. 159. — Naumann, Tab. 206. — Gould, PI. 337.
Norden beider Welten, auf dem Zuge | Les regions septentrionales des deux
bis in das südliche Europa. mondes, visite en hiver l’Europe tempé-
rée et méridionale.
NUMENIUS. BRACHVOGEL. COTUTRLIS.
Numenius arquata. Grosser Brachvogel. Courlis cendre.
Latham, Ind., HI, p. 710, n°. 1: — Scolopax arquata, Linne,
Syst., XII, p. 242, n°. 3. — Naumann, Tab. 216. — Gould,
PI. 302.
Europa, Sibirien, auf dem Zuge bis L'Europe, la Sibérie, fréquente en hi-
Nordafrika. ver l’Afrique septentrionale.
Numenius phaeopus. Regenbrachvogel. Courlis corlieu.
Latham, Ind., II, p. 711, no. 6. — Scolopax phaeopus, Linne,
Syst., XII, p. 243, n°. 3. — Numenius minor, Brisson, Orn.,
V, p. 317, n°. 2. — Naumann, Taf. 217. — Gould, PI. 308.
Europa, Sibirien, im Winter bis Nord- L'Europe, la Sibérie; visite en hiver
afrika. PAfrique septentrionale.
Numenius tenuirostris. Dünnschnäbliger Brachvogel. Courlis
a bec grele.
Vieill., Nouv. Diet. Deterv., VIII, p. 302. — Ch. Bonap.,
Icon. Fauna Ital., Tav. 42. — Naumann, Taf. 218.
italien, Egypten. ' | L'Italie, PEgypte.
XCVI
SABELSCHNABLER. AVOCETTES.
RECURVIROSTRA. SABELSCHNABLER,
AVOCETTE. |
BRecurvirostra avocetta. Gemeiner Säbelschnäbler. Avocette
ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 256, n°. 1. — Naumann, Taf. 204. —
Gould, PL 368.
Europa, Nordafrika, Sibirien, Tatarei. L'Europe, PAfrique septentrionale, la
Sibérie, la Tatarie.
STRANDREUTER. ÉCHASSES.
HIMANTOPUS. STRANDREUTER. ECHASSE.
Himantopus melanopterus. Europäischer Strandreuter.
Echasse a manleau noir.
Ann. d. Weiter Gesellsch., III, I, p. 177. — Himantopus rufi-
pes, Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 446. — Charadrius himan-
topus, Linne, Syst., XI, p. 255, n°. 11. — Hypsibates himan-
topus, Nitzsch in Ersch und Gruber, Encycl., vol. XVI, 1827,
p- 150. — Naumann, Taf. 203. — Gould, Pl. 289.
Gemässigtes und südliches Europa, 1! L’Europe tempérée et méridionale,
Nordafrika , Sibirien, Tatarei. PAfrique septentrionale, la Sibérie, la
Tatarie.
REIHERVÖGEL. HERONS.
ARDEA (116. REIHER. HERON.
a. Eigentliche Reiher. Herons proprement dits.
Ardea einerea. Fischreiher. Heron cendre.
Linn., Syst., XII, p. 236, n°. 11. — Ardea cristata, Brisson,
XCVII
Orn., V, p. 396, n°. 2. — Ardea major, Gmel. Linn., p. 627,
n°. 12. — Naumann, Tab. 220. — Gould, PI. 273.
Europa, Afrika, Asien. | L’Europe, l'Afrique , PAsie.
Ardea purpurea. Purpurreiher. Héron pourpre.
Linn., Syst., XIL, p. 236, n°. 10. — Naumann, Tab. 221. —
Gould , Pl. 274.
Gemässigtes und südliches Europa , l’Europe tempérée et méridionale,
Asien, Afrika. PAsie, PAfrique.
b. Silberreiher. Aigrettes.
Ardea alba (117). Grosser Silberreiher. Grande Aigrette.
Linne, Syst., XII, p. 239, no. 24. — Ardea candida, Brisson ,
Orn., V, p. 428. — Ardea egretta, Temm., Man., p. 572. — He-
rodias egretta, Boie, Isis, 1822, p. 559. — Egretta alba, Ch. Bo-
nap., Osserv., p. 98.— Naumann, Taf. 222. — Gould, PI. 276.
Südöstliches Europa „ Nordafrika. Les parties chaudes de l'est de l’Eurc-
pe, l’Afrique septentrionale.
Ardea garzetta. Kleiner Silberreiher. Petite Aigrette.
Linné , Syst., XII, p. 237, n°. 13. — Naumann, Taf. 223. —
Gould, Pl. 277.
Südliches Europa, westliches Asien. Le midi de l’Europe, l’Asie occiden-
tale.
c. Rallenreïher. Herons-crabiers.
Ardea comata. Gemeiner Rallenreiher. Heron-crabier ordi-
naire.
Pallas, It., II, app., n°. 12. — Ardea ralloides, Scopoli, Ann.,
I, p. 88, n°. 121. — Ardeola ralloides, Boie, Isis, 1822, p.
4
XCVIIT
. 559. — Buphus ralloides, Ch. Bonap., List, p. 48. — Naumann,
Tab. 224. — Gould, Pl. 275.
Südôstliches Europa; westliches, war- Les parties chaudes de l’est de PEuro-
mes Asien; Nordafrika. pe et de PAsie occidentale, l'Afrique
septentrionale.
Ardea bubulcus (118). Afrikanischer Rallenreiher. Heron-
crabier garde-boeuf.
Cuv., Mus. Par.; Audouin in Dosen de l'Égypte Ois., PL 8,
fig. 1, vol. XXIII, p. 391. — Ardea Verany, Roux, Orn. prov.,
II, PL 136.
Nordafrika, Senegal, südôstliches Eu- L’Afrique septentrionale , le Senegal,
ropa, zufällig im übrigen Europa. les contrées chaudes de Pest de PEurope ;
accidentellement dans les autres parties
de PEurope.
..d. Nachtreiher. Bihoreaux.
Ardea nycticorax. Gemeiner Nachtreiher. Bihoreau d'Europe.
Linné, Syst., XII, p. 235, ne. 9. — Ardea Gardeni, Gmel.
Linné, p. 645, no. 81. — Nycticorax Gardeniü, Jardine in Wilson,
8°, 1832, vol. Ill, p. 5. — Nycticorax nycticorax, Boie, Isis,
1822, p. 560. — Naumann, Tab. 225. — Gould, PI. 279.
Europa, Asien, Afrika. | L’Europe, l’Asie, l'Afrique.
e. Rohrdommeln. Butors.
_ Ardea stellaris. Gemeine Rohrdommel. Butor d'Europe.
Linné, Syst., XII, p. 239, no. 21. — Botaurus stellaris, Steph.
in Shaw, Zool., XI, II, p. 593. — Naumann, Tab. 226. —
Gould , PI. 280.
Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Sibérie occidentale.
XCIX
Ardea lentiginosa. Nordamerikanische Rohrdommel. Butor
d'Amérique.
Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Heron frekled. — Ardea
minor, Wilson, VIII, p. 35, PI. 65, fig. 3. — Ardea mocoho,
Vieillot, N. Dict., vol. XIV, p. 440. — Gould, PI. 281.
Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement
en Angleterre.
f. Zwergrohrdommeln. Butors nains.
Ardea minuta. Gemeine Zwergrohrdommel. Butor nain plon-
gros.
Linné, Syst., XII, p. 240, n° 26. — Ardeola naevia, Brisson ,
Orn., V, p. 500, no. 47. — Naumann, Tab. 227. — Gould, PI.
282.
Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, PAsie, l’Afrique.
CICONIA (119). STORCH. CICOGNE-
Ciconia alba. Weisser Storch. Cicogne blanche.
Brisson, Orn., V, p. 365, no. 2. — Ardea ciconia, Linné,
Syst., XII, p. 235, no. 7.— Naumann, Tab. 228. — Gould, 283.
Europa , westliches warmes Asien, L’Europe,, les parties chaudes de PAsie
Afrika. occidentale, l’Afrique.
Ciconia nigra. Schwarzer Storch. Cicogne notre.
Gessner , Av., p- 273. — Ardea nigra, Linn., Syst., XII, p.
235, n°. 8. — Ciconia fusca, Brisson , Orn., V, p.362, n°. 1. —
Naumann, Tab. 229. — Gould, PI. 284.
Ostliches Europa, westliches warmes L'Europe orientale, les parties chau-
Sibirien Afrika, des de la Sibérie occidentale, PAfrique.
C
TANTALUS. NIMMERSAT. TANTALE.
Tantalus ibis. Afrikanischer Nimmersatt. Tantale d Afrique.
Linn., Syst., XII, p. 241, n°. 4 — PI. enl. 389. — Nume-
nius ibis, Pallas, Zoogr., II, p. 165, n°. 280.
Senegal, Nordafrika; nach Pallas im Le Senegal, l'Afrique septentrionale ;
üdlichen Russland. se trouve, suivant Pallas, dans le midi de
la Russie.
IBIS. ZBIS. IBIS.
This falcinellus. Europäischer Ibis. Ibis falcinelle.
Temm., Man., II, p- 598. — Tantalus falcinellus, Linn. , Syst.,
XII, p. 241, ne. 2. — Naumann, Tab. 219. — Gould, PI. 311.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau-
Asien, Nordafrika ; zufällig im gemässig- des de l’Asie occidentale, le nord de PAfri-
ten und nördlichen Europa. que; accidentellement dans l'Europe tem-
pérée et septentrionale.
Ibis religiosa. Herliger Ibis. Ibis sacré.
G. Cuvier, Règne an., 1 édit., I, p. 483. — Numenius ibis,
G. Cuv., Ann. d. Mus., 1804, IV, p. 134, PL 53; Savigny, Hist.
nat. et mythologique de l’Ibis, 1805. — Descr. de l'Égypte, Ois. ,
PI. 7. — Abouhannes, Be, Yoy., V,'p. 172..P% 36. — Tan-
talus aethiopicus, Lath., Ind., p. 305, no. 12.
Afrika; nach Temminck, Manuel, IV, L’Afrique ; observé, d’après Temminck,
p- 392, in Griechenland beobachtet. Manuel, 1V, p. 392, en Grece.
GRUS (12). HRANICH. GRUE'
Grus cinerea. Grauer Kranich. (Grue commune.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 103. — Ardea grus, Linné,
Syst., XII, p. 234, no. 4. — Grus vulgaris, Pallas, Zoogr., I,
p. 106, no. 240. — Naumann, Tab. 231. — Gould, Pl. 270.
Europa, gemässigtes Asien, Nordafrika. L'Europe. PAsie tempérée, l'Afrique
septentrionale.
Ci
Grus leucogeranos. Weisser Kranich. Grue leucogerane..
Pallas, It., IL, app. , n°. 30. — Gould, PL 271.
Kaspisches Meer, Sibirien, Japan, La mer Caspienne, la Sibérie, le Ja-
Bengalen. pon, le Bengale.
Grus virgo. Jungfern-Kranich. (Grue demorselle.
Pallas, Zoogr. ‚II, p. 108, n°. 241. — Ardea virgo, Linn., Syst.,
XII, p. 234, n°. 2. — PI. enl. 241. — Anthropoides virgo, Vieill.,
Nouv. Dict. Déter., IT, p. 163. — Naumann, Tab. 232.
Nordafrika, warmes westliches Asien, L'Afrique septentrionale, les parties
südliches Russland ; zufällig im übrigen chaudes de lAsie occidentale, le midi
Europa. de la Russie; accidentellement dans les
‘| autres parties de l’Europe.
PLATALEA. LOFFELREIHER. SPATULE.
Platalea leucorodia. Gemeiner Löfelreiher. Spatule blanche.
Linne, Syst., XII, p. 231. — Naumann, Tab. 230. — Gould,
PI. 286.
Gemässigtes und südliches Europa , war- L’Europe tempérée et méridionale, les
mes westliches Asien, Nordafrika. parties chaudes de l'Asie occidentale, le
nord de lAfrique.
FLAMINGOS. FLAMANTS.
PHOENICOPTERUS. FLAMINGO, FLAMANT.
Phoenicopterus antiquorum. Europäischer Flamingo. Flam-
mant rose.
Temm., Man. d’Orn. , p. 587, remarque. — Phoenicopterus ruber,
Linne, Syst., XIT, p. 230, no. 1 (ex parte). — Phoenicopterus
cn
_roseus, Pallas, Zoogr., II, p. 207, no. 315. — Naumamı, Tab.
233. — Gould, Pl. 287. |
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau-
Asien, Nordafrika. des de l’Asie occidentale, le nord de
P Afrique.
WASSERHUHNER. POULES D’EAU.
FULICA. BLESSHUHN. FOULQUE,
Fulica atra. (Gemeines Blesshuhn. Foulque morelle.
Linné, Syst., XIT, p. 257, n°. 2. — Fulica aterrima, ibid., p.
257, n°0. 3. — Naumann, Tab. 241. — Gould, PI. 338.
Europa, Asien „ Afrika. | L'Europe, l’Asie, l’Afrique.
Fulica cristata. Kamm-Blesshuhn. Foulque à crête.
Gmel. Linné, p. 704, n°. 25. — Foulque de Madagascar, PI.
enl. 797. — Foulque caronculée, Barthélemy in Guérin, Revue
Zool. , 1841, p. 37. — Fulica cristata , Ch. Bonap., Icon. d. Faun.
Ital., Ucelli, Introduzione, p. 1.
Afrika, gemein in Algier und Marocco ; L'Afrique, commune dans l’Algerie et
in Spanien und bei Marseille beobachtet , au Marocco ; observee en Espagne et dans
(Barthelemy). les environs de Marseille. , (Barthélemy).
PORPHYRIO. PURPURHUHN. TALÈVE.
Porphyrio hyacinthinus. Europäisches Purpurhuhn. Taleve
porphyrion.
Temm., Man.,II, p. 698. — Porphyrio antiquorum, Ch. Bonap.
Icon. d. Faun. Ital., I, Tav. 44. — Gould , Pl. 340.
Sardinien, Sicilien, Nordafrika, südii- La Sardaigne, la Sicile, l'Afrique sep-
che Ufer des kaspischen Meeres. tentrionale, les bords meridionaux de la
mer caspienne.
cl '
GALLINULA. WASSERHUHN. POULE D'EAU:
a. Eigentliche Wasserhühner. Poules d’eau proprement
dites.
Gallinula chioropus. (memeines Wasserhuhn. Poule d'eau
ordinaire.
Aldrov., Orn., III, p. 449. — Fulica chloropus, Linne, Syst. ,
XI, p. 258, n°. 4 — Naumann, Tab. 240. — Gould, PI. 342.
Europa, westliches Sibirien, Nord- | L’Europe , la Sibérie occidentale, PAfri-
afrika. que septentrionale.
Bb. Sumpf-Wasserhühner. Poules d’eau marouettes.
Gallinula porzana. Geflecktes Sumpf-Wasserhuhn. Marouette
ordinaire. |
Latham, Ind., Il, p. 772, no. 19. — Rallus porzana, Linné,
Syst. XII, p. 262, n°. 2. — Ortygometra porzana, Steph., in Shaw,
Zool. — ‚Naumann , Tab. 237.. — Gould, Pl. 343.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Siberie, PAfrique septen-
trionale.
Gallinula pusilla. Kleines Sumpf-Wasserhuhn. Petite ma-
rouelte.
Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 484. — Rallus pusillus, Gmel.
Linne, p. 719, n°. 30. — Rallus minutus, Pallas, Ît., Ill, app.,
no, 30. — Naumann, Tab. 238. — Gould, Pl. 345.
Gemässigtes und südliches Europa, Mit- L'Europe tempérée et méridionale, ’Asie
telasien. centrale.
Gallinula Baillonii. Zwerg-Wasserhuhn. Marouette naine.
Temm., Man., Il, p. 692. — Rallus Bailloni, Vieillot, Nouv.
Diet. Deterv. , vol. XXVIII, p. 548. — Crex pygmaea, Naumann,
IX, p. 567, Tab. 239. — Gould, Pl. 344.
Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale.
CIV
CREX. WACHTELHONIG. ROI DES CAILLES.
Crex pratensis. (Gemeiner Wachtelkönig. Roi des cailles
commun.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 470. — Rallus crex, Linne,
Syst., XII, p. 261, n°. 1. — Gallinula crex, Lath., Ind., II, p.
766. — Naumann, Tab. 236. — Gould, PI. 341.
Europa, westliches gemässigtes Sibi- L’Europe, les parties temperees de la
rien. Siberie occidentale.
RALLUS. RALLE. RALE.
Rallus aquaticus. Wasserralle. Rale d'eau.
Linne, Syst., XII, p. 262, no. 2. — Naumann, Tab. 235. —
Gould, PI. 339.
Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Siberie occidentale.
WASSERVÖGEL. OISEAUX AQUATIQUES,
TAUCHVOGEL. PLONGEURS.
PODICEPS (121) LAPPENTAUCHER. GREBE.
Podiceps cristatus. Gehäubier Steissfuss. Grèbe huppé.
Latham , Ind., II, p. 780, n°. 1. — Cobymbus cristatus, Linné,
Syst. , XII, p. 222, no. 7. — Colymbus coronatus, Brisson, Orn.,
VI, p. 45, no. 4. — Naumann, Tab. 242. — Gould, Pl. 388.
Europa, kaltes und gemässigtes Asien, | L’Europe, l’Asie boréale et tempérée,
Nordamerika. PAmérique du nord.
CV
Podiceps rubricollis. Rothkehliger Steissfuss. Grèbe à joues
grises.
Latham, Ind., II, p. 783, n°. 6. — Colymbus subcristatus,
Jacquin, Beitr., Vögel, p. 37. — Naumann, Tab. 243. — Gould,
PI. 389.
Europa, Sibirien, Nordamerika. L’Europe, la Sibérie, l'Amérique du
nord.
Podiceps cornutus. Gehörnter Steissfuss. Grebe cornu.
Latham, Ind., II, p. 782, no. 5. — Naumann, Tab. 244. —
Gould, PI. 390.
Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée.
Podiceps cornutus arcticus. Arktischer gehörnter Steissfuss.
Grèbe cornu arctique.
Podiceps arcticus, Boie, Tagebuch, p. 308. — Colymbus auri-
tus, Linné, Fauna suec., p. 54, n°. 152. — Naumann , Tab. 245.
Nördliches Europa, im Winter im ge- L'Europe boréale, fréquente en hiver
mässigten Europa. l'Europe tempérée.
Podiceps auritus. Ohren-Steissfuss. Grèbe orerllard.
Latham, Ind., II, p. 781, n°. 3. — Colymbus auritus, Brisson ,
Orn., VI, p. 50, n°. 6. — Naumann, Tab. 246. — Gould, PI. 391.
Europa, Sibirien, nördliches Amerika. | L'Europe, la Sibérie , PAmérique boréale,
Podiceps minor. Kleiner Steissfuss. Grèbe castagneux.
Latham, Ind., II, p. 784. — Sylbeocyclus minor, Ch. Bonap.,
List, p. 64. — Naumann, Tab. 247. — Gould, PI. 392.
Europa. | L’Europe.
CVI
COLYMBUS. MEERTAUCHER. PLONGEON:
Colymbus glacialis. Polar-Meertaucher. Plongeon imbrin.
Linne, Syst., XII, p. 221, no. 5. — Colymbus torquatus et
immer, Brünnich, Orn. bor., n°. 134 et 129. — Gould, PI. 393.
Küsten der kalten und gemässigten | Cötes des pays froids et temperes de
l
Länder des nördlichen Halbrundes. . ’hemisphere boréal.
Colymbus arcticus (122). Arktischer Meertaucher. Plongeon
lumme.
Linné, Syst., XII, p. 221, n°. 4 — Gould, PI. 394.
Nôrdliches Europa und Amerika, im | Le nord de l’Europe et de ’Amerique,
Winter im gemässigten und südlichen visite en hiver les autres parties de
Europa. l’Europe.
Colymbus septentrionalis. Nördlicher Meertaucher. Plongeon
septentrional.
Linné, Syst., XII, p. 220, no. 3. — Colymbus lumme, Brün-
nich, Orn. bor. , n°. 132. — Gould, PI. 395.
Kalte Gegenden der nördlichen Erd- Regions froides de l’hemisphere bo-
hälfte, im Winter im gemässigten bis réal, fréquente en hiver l'Europe tem-
in’s südliche Europa. pérée et méridionale.
URIA. LUMME GUILLEMOT.
&
Uria Brünmichii. Brünnich’s Lumme. Guillemot Brünnich.
Sabine, Trans. Linn. Society, XII, p. 538. — Uria troile,
Brünnich , Orn. bor., n°. 109. — Gould, PI. 398.
Nördliche Gegenden beider Erdhälften. Régions septentrionales des deux mon-
des,
CVII
Uria troile. Troil’s Lumme. Guillemot Troil.
Temm., Man., II, p. 921. — Uria lomvia, Brünnich, Orn.
bor., p. 27, n°. 108. — Gould, Pl. 396.
Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes.
Uria troile leucophthalmos. Weissgeringelte Lumme. Guil-
lemot bride.
Uria leucophthalmos, Faber, Prodr., p. 42. — Uria hringvia ,
Brünnich, Orn. bor., p. 27, no. 111. — Uria lacrymans, Valenc.
in Choris, Voyage, Pl. XXIII. — Gould, PI. 397.
Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes.
—
Uria grylle (123). Grylllumme. Guillemot à miroir blanc.
Latham, Ind., II, p. 797, n°. 2. — Colymbus grylle, Linné,
Syst., XII, p. 220, no. 1. — Cephus columba, Pall., Zoogr.,
II, p. 348, no. 404, (part... — Grylle columba, Ch. Bon.,
Catal., p. 82, n°. 531. | |
Norden beider Welten. | Pays froids des deux mondes.
Uria grylle Mandtii. Spitzbergische Grylllumme. Guillemot
a miroir blanc du Spitzberg.
Uria Mandtii , Lichtenst., Catal., 1823, p. 88, n°. 926.
Spitzbergen. | Le Spitzberg.
ALCA, ALH. PINGOUIN.
Alca impennis. Grosser Alk. Grand Pingouin.
Linne, Syst., XIT, p. 210, no. 3. — Gould, PI. 400.
Hoher Norden Europa’s und Amerika’s. Régions arctiques de l’Europe et de
l'Amérique.
GVIIT
Alca torda. Nordischer Alk. Pingouin commun.
Linné, Syst., XII, p. 210, n°. 1. — Utamania torda, Leach,
Mus. Britt. — Gould, PI. 401.
Norden beider Welten; im Winter im Regions septentrionales des deux mon-
gemässigten bis in's südliche Europa. des, visite en hiver l'Europe tempérée
et méridionale.
MERGULUS,. HRABBENTAUCHER. MERGULE.
Mergulus alle. Gemeiner Krabbentaucher. Mergule nain.
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Mergulus melanoleucos, Ray, Av.,
p- 135, n°.5. — Alca alle, Linn., Syst., XII, p. 211, m. 5. —
Alca alce, Gmel. Linn., p. 554, n°. 5. — Uria minor, Brisson,
Orn., VI, p. 73, no. 2. — Gould, PI. 402. |
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux
mondes.
MORMON. LARVENTAUCHER. MACAREUX.
Mormon arcticus. Nordischer Larventaucher. Macareux moine.
Illiger, Prodr., p. 283. — Alca arctica, Linn., Syst. XII, p.
211, no. 4. — Mormon fratercula, Temm., Man., Il, p. 933. —
Gould, PI. 403.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux
mondes.
Mormon glacialis. Arktischer Larventaucher. Macareux
glacial.
Leach, Mus. Britt. et auct. rec. — Gould, PI. 404.
Norden beider Welten. en regions septentrionales des deux
mondes.
CIX
ENTENARTIGE VÖGEL. LAMELLIROSTRES.
ANSER (124). GANS. OIE.
a. Schneegänse. Oies de neige.
Anser hyperboreus. (remeine Schneegans. Oie de neige
ordinaire.
Pallas, Spic. Zool., fasc. VI, p.20. — Chen hyperborea, Boie,
Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 284. — Gould, PI. 346.
Hoher Norden beider Welten. | Le cercle arctique.
LB, Eigentliche Gänse. Oies proprement dites.
Anser cinereus. Graugans. Oie cendrée.
Meyer und Wolf, Taschenb., Il, p. 562. — Anser ferus, Gess-
ner, Av., p. 152, (part.). — Anas anser, Linné, Syst. XII, p.
197, n°0. 9. — Naumann, Tab. 285. — Gould, PI. 347.
Norden der alten Welt, im Winter im Les régions septentrionales de l’ancien
gemässigten bis in’s südliche Europa. monde, visite en hiver l’Europe tempé-
rée et méridionale.
Anser segetum. Saalgans. Oie vulgaire.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 883. — Anas segetum, Gmel.,
Linné, Syst., p. 512, n°. 68. — Temm., Man., Il, p. 820. —
Anser arvensis, Brehm, Nat. all. Vög. Deutschl., p. 839. — Nau-
mann, XI, p. 278, no. 315, Tab. 286. — PI. enl. 985.
Nördliches Europa, auf dem Zuge im L’Europe septentrionale, frequente en
übrigen Europa. hiver les autres parties de PEurope.
Ex
Anser brachyrhynchus. Kurzschnäblige Gans. Oie à bec court.
Baillon, Catal., p. 26, n°. 248; Temm., Man., IV, p. 520
(jun.). — Anser phoenicopus, Bartlett, Proceed. Zool. Soc.,
1839, p. 3. — Anser segetum, Naumann, XI, p. 303, no. 316,
Tab. 287.
Nordöstliches Europa, im Winter im Les régions froides de l'Europe orien-
gemässigten Europa. tale, visite en hiver l’Europe tempérée.
Anser albifroms (125). Blessgans. Oie rieuse.
Bechst., IV, p.898 n°. 272. — Anas albifrons, Gmel. Linné,
p- 509, n°. 64. — Anas erythropus, Linné, Syst., XII, p. 197,
no. 11. — Naumann, Taf. 289. — Gould, PI. 289.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux
mondes.
Anser Temmincki. Zwerggans. Oie naine.
Boie, Isis, 1822, p. 882. — Anser minutus, Naumann, XI,
p- 364, n°. 319, Taf. 291. — Anser medius, Temm. in Meyer,
Taschenb., III, p. 231; Man. d’Orn., IV, p. 519. — Anser ci-
neraceus, Brehm, Beitr., III, p. 875.
Auf dem Zuge im östlichen und mit- Observé, lors du tems de la migration, :
teln Europa. dans l'Europe centrale et orientale.
c. Seegänse. Bernaches.
Anser bernicla. Ringelgans. Bernache cravant.
Illiger, Prodr., p. 277. — Anas bernicla, Linn., Syst., XII,
p. 198, n°. 13. — Anser torquatus, Frisch, II, Taf. 156. — An-
ser brenta, Pallas, Zoogr., IT, p.229, no. 323. — Bernicla bren-
ec Ne RG
GXI
ta, Steph., Cont. Sh. Zool., XII, p. 46. — Bernicla torquata ,
Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 292. — Gould, PI. 351.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux
mondes.
Anser leucopsis: Weisswangige Seegans. Bernache à joues
blanches.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 921. — Anser bernicla, Pallas,
Zoogr., II, p. 230, no. 324. — Naumann, Tab. 291. — Gould,
PI. 350.
Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux
mondes.
Anser ruficollis. Rothhalsige Seegans. Bernache à cou roux.
Pallas, Spic. Zool., VI, p. 21, Tab. 4. — Naumann, Tab.
293. — Gould, PI. 351.
Nôrdliches Asien, auf dem Zuge ein- | L’Asie septentrionale, accidentellement
zeln in Europa. en Europe.
d. Fuchsgänse. Oies-renards.
Anser aegyptiacus. Gemeine Fuchsgans. Oie-renard d'Égypte.
Brisson, Orn., V1, p. 284, no. 9. — Anas aegyptiaca, Linné,
Syst., XII, p. 197, no. 10. — Anas varia, Bechst. , Orn. Tasch.,
IT, p. 454, n°. 39. — Chelanopex aegyptiaca, Steph., Cont. of
Shaw Zool. , XII, p. 43. — Naumann, Tab. 294. — Gould, Pl. 353.
Afrika, zufällig im Süden Europa’s. L’Afrique, accidentellement dans le
midi de PEurope.
CYGNUS. SCHWAN, CYGNE.
Cygnus olor. Höckerschwan. Cygne tuberculé.
Vieillot, Nouv. Diet. Det., vol. IX, p. 37. — Anas olor, Gmel.
CXIL
Linn., 1, p. 501, no. 47. — Cygnus mansuetus, Ray, Av., p.
136. — Cygnus gibbus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p.815. —
Naumann, Tab. 295. — Gould, PI. 354.
Norden Europa’s, Sibirien. Les régions froides de L'Europe, la Si-
bérie,
Cygnus olor immutabilis. Blassfüssiger Höckerschwan.
Cygne tuberculé a pieds livides.
Cygnus immutabilis, Yarrell, Proceed. Zool. Soc., 1838, p- 19;
British Birds, III, p. 131, c. fig.
Auf dem Zuge in Grossbrittanien und De passage en Angleterre et en Hol-
Holland beobachtet. lande.
Cygnus musicus. Singschwan. Cygne à bec jaune.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 830. — Cygnus ferus, Brissou,
Orn., VI, p. 292, n°. 12. — Anas cygnus, Gmel. Linn., p. 501,
no, 1. — Cygnus olor, Pallas, Zoogr., II, p. 211, no. 316. —
Cygnus melanorhynchus, Wolf u. Meyer, Taschenb. , II, p. 498. —
Cygnus xanthorhinus, Naumann, XI, p. 478, Tab. 296. —
Gould, PL 355.
Nôrdliches Europa, Sibirien ; im Win- L'Europe septentrionale, la Sibérie ;
ter im gemässigten und südlichen Eu- visite en hiver l'Europe tempérée et mé-
ropa. ridionale.
Cygnus musicus minor. Kleiner Singschwan. Petit Cygne
à bec jaune.
Cygnus minor, Keyserl. u. Blasius, p. LXXXII. — Cygnus olor
var. ß minor, Pallas, Zoogr., II, p. 214, n°. 316. — Cygnus
Bewickü, Yarrell, Trans. Linn. Soc., XVI, p. 445; Jard. u.
Selby, Zool. Illustr., Pl. 95. — Cygnus islandicus, Brehm, Na-
turg., p. 832. — Cygnus melanorhinus, Naumann, XI, p. 497,
Tab. 297. — Gould, PI. 356.
Island , Sibirien ;.auf dem Zuge in Gross- 1’Islande, la Sibérie; observé, lors de
brittanien, Frankreich und Deutschland. l’époque de la migration, en Angleter-
re, en France et en Allemagne.
CXIII
ANAS (126). ENTE. CANARD,
A. SCHWIMMENTEN. CANARDS NAGEURS.
a. Stockenten. Canards ordinaires.
Anas boschas. (Gemeine Stockente. Canard ordinaire.
Linné, Syst., XII, p.205, no. 40. — Naumann, Tab. 300. —
Gould , Pl. 361.
Kalte und gemässigte Zone des nörd- Les regions froides et temperees de
lichen Halbrundes. Phemisphere boréal.
b. Krikenten. Sarcelles d’hiver.
Anas crecca. (Gemeine Krikente. Sarcelle d'hiver ordinarre.
Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 33. — Querquedula crecca,
Steph. in Shaw, XII, p. 146. — Naumann, Tab. 304. — Gould,
Pl. 362.
Europa, Nordafrika, kaltes und ge- L’Europe, lAfrique septentrionale,
mässigtes Asien. |
l'Asie boréale et tempérée.
Anas bimaculata. Zweifleckige Krikente. Sarcelle d'hiver
double tache.
Pennant, Brit. Zool., II, p. 602, no. 287. — Anas glocitans,
Gmel. Linn., p. 96. — Gould, PI. 363.
Nôrdliches Asien; einige Exemplare in | Le nord de l'Asie; observé en Angle-
England beobachtet. | terre.
Anas angustirostris. Schmalschnäblige Krikente. Sarcelle
d'hiver à bec étroit.
Ménétries, Catal., p. 58, no. 205. — Anas marmorata, Temm.,
Man. , IV, p. 544. — Anas (Fuligula) marmorata, Gould , Pl. 373. —
8
CXIV
. Dafıla marmorata, Eyton, Anat., p. 114, n°0. 4 — Querquedula
angustirostris, Ch. Bonap., List, p. 57; Icon. Faun. Ital., Tav.
47, fig. 1 et 2.
Südliches Europa, Ufer des kaspischen Le midi de l'Europe, les bords de la
Meeres, Nordafrika. mer caspienne, l’Afrique septentrionale. :
c. Knäkenten. Sarcelles d’ete.
Anas querquedula. (remeine Knäckente. Sarcelle d'été ordinaire.
Linne , Syst., XII, p. 203, n°. 32. — Naumann, Tab. 303. —
Cyanopterus circia, Eyton, Monogr. Anatid., p. 130, n°. 1. —
Pterocyanea circia, Ch. Bonap., Catal., p. 71, n°. 438. — Gould,
PI. 364.
Europa, Sibirien , Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep-
tentrionale.
d. Pfeifenten. Canards siffleurs.
Anus penelope. Gemeine Pfeifente. Canard siffleur ordinaire.
Linne , Syst., XII, p. 202, no. 27. — Anas fistularis, Gessner,
Av., p. 117. — Mareca penelope, Ch. Bon., List, p. 65. — Mareca
fistularis, Steph., Cont. of Shaw, XII, p. 131. — Naumann,
Tab. 305. — Gould, PI. 359.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie.
Anas americana. Amerikanische Pfeifente. Canard siffleur
d'Amérique.
Gmel. Linn. , Syst., p. 526, n°. 97. — Wilson , PI. 69, fig. 4. —
Mareca americana, Steph., Cont. of Shaw, Zool., XII, p. 135.
Nordamerika, in England beobachtet. L’Amerique du nord, observé en An-
gleterre.
CXV
_e. Schnatterenten. Canards ridennes.
nas strepera. kemeine Schnatterente. Canard ridenne
ordinaire.
Gessner, Aves, p. 117. — Linné, Syst., XII, p. 200, no. 20. —
Chauliodus strepera, Swainson, Journ. Royal Instit., n°. IV, p.
19. — Chaulelasmus strepera , J. R. Gray, List, II ed., p. 94. —
Naumann, Tab. 302. — Ktinorhynchus strepera, Eyton, Monogr.
Anat., p. 137, n°. 1. — Gould, PI. 366.
Kalte und gemässigte Gegenden der Les régions froides et tempérées de
nördlichen Erdhälfte. Phémisphère boréal.
f. Spiessenten. Canards pilets.
nas acuta. Gemeine Spiessente. Canard pilet ordinaïre.
Linne, Syst., XII, p. 202, no. 28. — Anas caudacuta, Gess-
ner, Av. p. 117. — Anas longicauda, Brisson, Orn. VI, p. 369,
no. 16. — Dafila acuta, Ch. Bonap., List, p. 56. — Dafila cau-
dacuta, Eyton, Mon. Anat., p. 114, n°0. 3. — Naumann, Tab.
301. — Gould, Pl. 365.
Europa, kaltes und gemässigtes Asien. | L’Europe, l’Asie tempérée et boréale.
g. Löffelenten. Souchets.
Anas clypeata. Gemeine Löffelente. Souchet ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 200, n°0. 19. — Spathula clypeata, Boie,
Isis, 1822, p. 564. — Rhynchaspis clypeata, Steph., Cont. of
Shaw, XII, 115. — Naumann, Tab. 306. — Gould, PI 360.
Kalte und gemässigte Striche des nörd- Les régions froides et tempérées de
lichen Haïbrundes. l'hémisphère boréal.
h. Hôhlenenten. Tadornes.
Anas tadorna. Gemeine Höhlenente. Tadorne commun.
Linné , Syst., XII, p. 195, no. 4. — Tadorna tadorna, Flem-
CXVI
_ming, Phil. of Zool. II, p. 260. — Tadorna familiaris, Boie, Isis,
1822, p. 804. — Naumann, Tab. 298. — Vulpanser tadorna,
Keys. u. Blas., p. LXXXIV. — Gould, Pl. 357. | i
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Anas rutila. Rothe Höhlenente. Tadorne kasarka.
Pallas, Nov. Comm., Petr., XIV, I, p.579, Tab. 22, fig. 1. —
Anas casarca, Linne, Syst., XII, III, p. 224. — Casarca rutila,
Ch. Bonap., List, p. 56. — Naumann, Tab. 299. — Gould,
PI. 358.
Tatarie, südöstliches Europa, zufällig La Tatarie, ‘les contrées chaudes de
‘im übrigen Europa. Europe orientale, accidentellement dans
les autres parties de l’Europe.
B. TAUCHENTEN. CANARDS PLONGEURS.
a. Biderenten. Eiders.
Annas molissima. (Gemeine Eiderente. Eider commun.
Linné, Syst., XII, p. 198, no. 15. — Anas Cutberti, Pallas,
'Zoogr., Il, p. 235, n°. 328. — Somateria molissima , Steph. in
Shaw., Zool., XII, p. 224. — Gould, Pl. 374.
Arktische Gegenden beider Welten; Le cercle arctique, visite en hiver les
im Winter bis in das gemässigte Europa. régions temperees de l’Europe.
Anas spectabilis. Prächtige Eiderente. Eider a tete grise.
Linne, Syst., XII, p. 195, no. 5. — Gould, PI. 375.
Arktischer Kreis. | Le cercle arctique.
Anas Stelleri. Abweichende Eiderente. Canard Jaux-erder.
Pallas, Spic. Zool. fasc., VI, p. 35, Tab. 5. — Anas dispar ,
CXVIT
Sparrm., Mus. Carls., Tab. 7 et 8. — Polysticta Stelleni, Eyton,
Mon. Anat., p. 150. — Stelleria dispar, Ch. Bon., List, p- 57,
no. 418. — Eniconetta Stelleri, J. R. Gray, List, p. 95. — Gould,
PI. 372.
Kamtschatka, Kurillen, zufällig im nörd- Le Camtschatka, les îles Kourilles, ac-
lichen Europa. cidentellement dans Europe septentrio-
nale.
b. Trauerenten. Macreuses.
Anas nigra. (remeine Trauerente. Macreuse commune.
Linné, Syst., XII, p. 196, no. 7. — Oidemia nigra, Flem.,
Phil. of Zool., II, p. 260. — Melanitta nigra, Boie, Isis, 1822,
p. 564. — Gould, PI. 378.
Arktische Gegenden Europa’s, im Win- Les regions arctiques de PEurope, la
ter bis in’s südliche Europa; Sibirien. Siberie; visite en ‚hiver les autres parties
de Europe.
Anas fusca. Sammet-Trauerente. Double macreuse.
Linné, Syst., XII, p. 196, n°. 6. — Gould, Pl. 377.
Nördliche Gegenden beider Welten, | Les régions septentrionales des deux.
im Winter bis in’s südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe
| tempérée el méridionale.
Anas perspicillata. Brillen-Trauerente. Macreuse à large Lec.
Linné, Syst., XII, p. 195, n°. 5. — Gould, PI. 376.
Nördliches Amerika, zufällig in Eu- L’Amerique boreale, accidentellement
ropa. en Europe.
Eisenten. Canards macroures.
Anas glacialis. Gemeine Eisente. Canard macroure commun.
Linné, Syst., p. 203, no. 30. — Anas hyemalis, ibid., p. 202,
CXVIE
n°. 9. — Harelda glacialis, Steph. in Shaw, XII, p. 175. —
Gould, PI. 382.
Nördliche Länder beider Welten; im Regions septentrionales des deux mon-
Winter einzeln bis ins südliche Europa. des; s’egare en hiver jusque dans le
midi de l’Europe.
Nymphenenten. Canards nymphes.
Anas mersa. Europäische Nymphenente. Canard nymphe
d’ Europe.
Pallas, It., II, app., n°. 29. — Anas leucocephala, Scopoli,
Ann., I, p.65, n°. 79. — Undina leucocephala, Gould, Pl. 383. —
Erismatura leucocephala, Eyton, Mon., p. 170. — Erismatura
mersa, Ch. Bon., List, p. 59. — Undina mersa, Keys. u. Blas.,
p- LXXXVI. — Gould, Pl. 383.
Südöstliches Europa. Les régions chaudes de l’Europe orien-
tale.
Schellenten. Garrots.
nas clanyula. Gemeine Schellente. Garrot ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 201, n°. 23. — Anas glaucion, ibid.,
n°. 26. — Anas hyemalis, Pallas, Zoogr., II, p.270, no. 350. —
Clangula clangula, Flemming, Phil. of Zool., p. 260. — Gould,
PI. 379.
Norden der alten Welt; im Winter Les régions septentrionales des deux
bis in’s südliche Kuropa. mondes ; en hiver, jusque dans le midi
de PEurope.
Anus Barrowii. Arktische Schellente. Garrot arctique.
Temm., Man. , III, p. 551. — Clangula Barrovii, Richardson ,
Fauna bor. amer., Birds, p. 456, Pl. 70. — Glaucion islandicum ,
Keys. u. Blas., p. LXXXVI. — Gould, PI. 380.
Nôrdliches Amerika, Island. | L'Amérique boréale, l'Islande.
CXIX
Anas albeola. Zwerg-Schellente.: Garrot nain.
Forster, Phil. Trans. , I, XII, p. 416, no. 47. — Wilson, VIII,
p- 51, Pl. 67, fig. 2 et 3. — Anas bucephala, Penn. Arct. Zool.,
p. 559, no. 489.
Nordamerika, in England erlegt. | L’Amérique du nord, tué en Angle-
terre.
Kragenenten. Canards histrions.
Anus histrionicu. (remeine Kragenente. Canard histrion
commun.
Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 35. — Gould, PI. 381.
Norden beider Welten. | Le cercle arctique.
Reïherenten. Morillons.
Anas fuligula. Gemeine Reiherente. Morillon commun.
Linn., Syst. XII, p 207, n0.45. — Fuligula cristata, Steph.,
in Shaw, Zool., XII, p. 190. — Gould, Pl. 370.
Norden der alten Welt, im Winter Les regions septentrionales de l’ancien
bis in’s südliche Europa. monde; fréquente en hiver l’Europe
tempérée et méridionale,
Anas rufitorques. Halsband-Reiherente. Morillon à collier.
Anas fuligula, Wilson, VII, p. 60, Pl. 67, fig. 5. — Fuli-
gula rufitorques, Ch. Bonap., Syn., p. 393, no. 341.
Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement
en Angleterre,
CXX
Bergenten. Millouinans,
Anas marila. (remeine Bergente. Millouinan ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 196, no. 8. — Gould, PI. 371.
Norden der alten Welt, im Winter bis . Les contrées septentrionales de lP’an-
in das südliche Europa. cien monde; visite en hiver l’Europe
| tempérée et méridionale.
Anas marila americana. Amerikanische Bergente. Milloui-
nan d'Amérique.
Anas marila, Wilson, Pl. 69, fig. 3. — Anas mariloides, Yar-
rell, Brit. Birds, III, p. 247, c. fig. — Fuligula affinis, Eyton,
Monogr. , p. 157.
Nordamerika. | L’Amerique du nord.
Tafelenten. Millouins.
Anas ferina. Gemeine Tafelente. Millouin commun.
Linne, Syst., XII, p. 203, no. 31. — Nyroca ferina , Flem. ;
Phil. of Zool., II, p. 260. — Aythya ferina, Boie, Isis, 1822 ,
p. 564. Gould, PI. 367.
Nördliche und gemässigte Gegenden Les contrees septentrionales et tempe-
der alten Welt, im Winter bis in’s süd- rees de lancien monde, passe en hiver
liche Europa. jusque dans le midi de l'Europe.
Anas nyroca. Weıssäugige Ente. Millouin nyroca.
Güldenst., Nov. Comm. : Petr. XIV, 1, p. 403. — Anas leu-
cophthalmos, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 1009. — Gould,
PI. 368.
Europa. | L’Europe.
CXXI
Kolbenenten. Canards huppés.
Anas rufina. Gemeine Kolbenente. Canard huppé ordinaire.
Pallas, It., II, app-, n°. 28. — Branta rufina, Boie, Isis,
1822, p. 564. — Callichen rufinus, Brehm, Vögel Deutschl. ,
p- 922. — Gould, Pl. 369.
Südöstliches Europa. Les regions chaudes de l’Europe orien-
i tale.
MERGUS. SAGER. HARLE.
Mergus merganser. Gänsesäger. Grand Harle.
Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 2. — Mergus castor, ibid., p.
109, no. 4. — Merganser Raï, Steph., in Shaw, Zool., XIT,
p- 161. — Gould, Pl. 384. |
Norden der alten Welt, im Winter Les parties septentrionales de l’ancien
bis in das südliche Europa. monde; de passage dans les autres par-
ties de l’Europe.
Mergus serrator. Langschnäbliger Säger. Harle huppé.
Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 3. — Gould , Pl. 385.
Norden beider Welten, im Winter bis Les régions septentrionales des deux
in’s südliche Europa. mondes ; de passage, en hiver, dans les
autres parties de l’Europe.
Mergus cucullatus. Helmsäger. Harle couronne.
Linne, Syst., XII, p. 207, no. 1. — Gould, PI. 386.
Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement
en Europe.
GXXII
Mergus albellus (127). Weisser Säger. Merle prette.
Linné, Syst. , XII, p. 209, n°. 5. — Gould, PI. 387.
Norden beider Welten, im Winter Les régions septentrionales des deux
bis in das südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe
j tempérée et méridionale.
PELIKANARTIGE VÖGEL (128). STÉGANOPODES.
PELICANUS. PELIHAN. PELECAN.
Pelecanus crispus. Riesen-Pelikan. Pelecan frise.
Bruch, Isis, 1832, p. 1109. — Naumann , Tab. 283. — Gould,
PI. 406.
Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orien-
tale.
Pelecanus onocrotalus (129). Gemeiner Pelikan. Pelecan
| blanc.
Pelecanus onocrotalus orientalis (part.), Linné, Syst., XII, p-
215, no. 1. — Naumann, Tab. 282. — Gould, PI. 405. |
Südöstliches Europa, südliches und ge- Les parties chaudes de l’Europe orien-
mässigtes Asien, Nordafrika. tale, lAsie tempérée et méridionale,
l'Afrique septentrionale.
CARBO SCHARBE. CORMORAN.,
Carbo cormoranus (129 bis). Kormoranscharbe. Grand
cormoran.
Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 576. — Pelecanus carbo,
Linn. Syst., XII, p. 216, no. 3. — Phalacrocorax carbo, Guy. ,
Règne an., I, p. 562. — Halieus carbo, Iiliger , Prodr. , p. 279. —
Naumann, Tab. 279. — Gould, PI. 407.
Europa, Asien, Nordamerika. | L’Europe, l'Asie, l'Amérique du nord.
CXXIIT
Carbo graculus (130). Krähenscharbe. Comoran nigaud.
Pelecanus graculus, Linné , Syst., XIT, p.217, n°. 4. — Pelecanus
cristatus, Fabr., Fauna groenl. , n°. 58. — Carbo cristatus, Temm.,
Man., II, p. 900. — Naumann, Tab. 280. — Gould, PI. 410.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale.
Carbo graculus mediterraneus. Südliche Krähenscharbe.
Cormoran nigaud méridional.
Carbo Desmarestü, Payraudeau, Ann. d. sc. nat., 1826, p.
460. — Naumann, Tab. 280, fig. 3. — Gould, PI. 411.
Mittelländisches Meer. | La Mediterranee.
Carbo pygmaeus. Zwergscharbe. Cormoran pygmée.
Temm., Man., II, p. 901. — Pelecanus pygmaeus, Pallas, It.,
II, app. , n°. 26. — Naumann, Tab. 281. — Gould, PI. 409.
Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orientale,
SULA (131). TOLPEL. FOU.
Sula bassana. (Gremeiner Tülpel. Fou ordinaire.
Brisson, Orn., VI, p. 503, no. 5. — Pelecanus Bassanus,
Linn., Syst., XII, p. 217, no. 5, — Sula alba, Meyer u. Wolf,
Taschenb. , II, 582. — Naumann, Tab. 278. — Gould, PI. 412.
Norden der alten Welt. Les regions septentrionales de l’ancien
monde.
CXXIV
MOVENARTIGE VÖGEL (132). LONGIPENNES. :
LARUS. MOVE. MOUETTE.
a. Seemöven. Mouettes marines ou Goëlands.
Larus marinus. Mantelmüve. Goeland à manteau noir.
Linne, Syst., XII, p. 225, n0. 6. — Naumann, Tab. 268. —
Gould, Pl. 430. |
Norden beider Welten, Les régions sepientrionales des deux
mondes.
Larus fuscus. Kleine Mantelmöve. Petit Goëland à manteau
noir.
Linné, Syst., XII, p. 225, no. 6. — Larus flavipes, Meyer u.
Wolf, Taschenb., II, p. 469. — Naumann, Taf. 267. — Gould,
PI. 451. -
Nördliches Europa, im Winter bis in’s L’Europe septentrionale; visite en hiver
südliche Europa. l'Europe temperee et meridionale.
——
Larus argentatus (133). Silbermöve. Goëland à manteau gris.
Brünnich, Orn. bor., p. 44, no. 149. — Naumann, Tab.
266. — Gould, Pl. 434.
Norden der alten Welt. | Les parties septentrionales de Pancien
monde.
Larus cachinnans. Gelbfüssige Silbermöve. Goëland de Pallas.
Pallas, Zoogr., Il, p. 318, no. 177. — Larus Michahellesü ,
Bruch, Isis, 1832, p. 1107.
Südöstliches Europa, Sibirien. Les régions chaudes de l’Europe orien-
tale, la Siberie.
CXXV
Larus glaucus. Grosse weissschwingige Möve. Goëland bour-
. gemestre.
‘ Brünnich, Orn. bor., p. 44, n°. 148. — Naumann, Taf. 264. —
Gould, PI. 432.
Norden beider Welten, im Winter im Le nord des deux mondes; visite en
gemässigten Europa. hiver l'Europe tempérée,
Larus leucopterus. Kleine weissschwingige Möve. Goeland
leucoptere.
Faber, Prodr., p. 91, n°. 2. — Larus glaucoides, Temm. in
Meyer u. Wolf, Taschenb., Zusätze III, p. 197. — Larus islan-
“ dieus, Edmonston, Mem. Wern. Soc., IV, p. 506. — Larus arcti-
cus, Mac Gillivray, ibid., V, p. 268. — Naumann, Taf. 265. —
Gould, Pl. 433.
Nordamerika, Island. | L’Amerique du Nord, lIslande.
Larus canus. Sturmmöve. (roëland a pieds bleus.
Linne, Syst., XII, p. 224, n°. 3. — Larus cyanorhynchus,
Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 480. — Naumann, Taf. 261. —
Gould, Pl. 437.
Europa, ausser Island. | L'Europe, a Pexception de lIslande.
Larus Audouinii. Buntschnäblige Möve. Goeland Audouin.
Payraudeau, Ann. des Sc. Nat., 1826, p. 460. — Pl. col.
480. — Gould, Pl. 438.
Mittelländisches Meer. | Les côtes de la Méditerranée.
GXXVI
Larus eburneus. Rathsherr-Möve. Goeland senateur.
Gmel. Linn., p. 596, n°. 14. — Gavia eburnea, Boie, Isis,
1822, p. 876. — Naumann, Taf. 263. — Gould, PI. 436.
Arktische Meere beider Welten. | Les mers arctiques des deux mondes.
Larus tridactylus. Stummeldaum-Möve. Goeland à pouce
imparfait.
Linné Syst., XII, p.224, n0.2. — Larus rissa, Brünnich, Orn.
bor., n°. 140. — Rissa tridactyla, Leach, Mus. Britt. et auct.
angl. — Naumann, Taf. 262. — Gould, Pl. 435.
Arktische Meere beider Welten, im Parages arctiques des deux mondes;
Winter bis in das Mittelmeer. fréquente en hiver PEurope tempérée et
méridionale.
Larus leucopthalmos. Weissäugige Move. Goeland à iris
blanc.
Licht. in Temm., Pl. col. 366. — Temm. Man., III, p. 486.
Griechenland, rothes Meer. | La Grece, la mer rouge.
b. Moormöven. Mouettes.
Larus ridibundus. Lachmöve. Mouette rieuse.
Linne Syst., XII, p. 225, no. 9. — Xema ridibundus, Boie,
Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Taf. 260. — Gould, Pl. 425.
Europa, ausser dem hohen Norden ; L’Europe, à lexception des régions
Sibirien. arctiques; la Sibérie.
\
CXXVII
Larus ridibundus minor (134). Kleine. Lachmöve. Petite
mouelte rieuse.
Larus capistratus, Temm., Man., II, p. 785. — Xema capis-
tratum, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., I, Tav. 46, fig. 1.
Europa, Africa. | L’Europe, PAfrique.
Larus atricilla (135). Bleigrauköpfige Möve. Mouette à ca-
puchon plombé.
Linné, Syst., XII, p. 225, n°. 8. — Larus plumbiceps, Brehm,
Lehrb., p. 722. — Gould, PI. 426.
Nordamerika, zufällig in Grossbritan- L'Amérique du nord, accidentellement
nien. en Angleterre.
Larus gelastes. Dünnschnäblige Möve. Mouette a bec grêle.
Lichtenst., Mus. Berol. ; Thienemann, Fortpfl., V, p. 22, n°.
391. — Larus Genei, De Breme , in Guérin, Revue Zool., 1839,
p- 821. — Larus tenuirostris, Temm. , Man., IV, p. 478. — Xema
Lambruschini, Ch. Bonap., Ic. d. Fauna ital.,I, Tav. 45, fig. 1.
Mittelländisches Meer. | Les cötes de la Mediterranee.
Larus melanocephalus (135 bis). Schwarzköpfige Möve. Mou-
elle a capuchon noir.
Natterer in Temm. Man., II, p. 777. — Naumann , Tab. 259. —
Gould , Pl. 427.
Mittelländisches Meer, | Les cötes de la Mediterranee.
Larus minutus. Zwergmöve. Mouelte pygmée.
Pallas, It., III, app. , n°. 35. — Naumann, Tab. 258. — Gould,
PI. 428.
Sibirien, ôstliches Europa, selten im La Sibérie, l’Europe orientale, rare-
übrigcn Europa. ment dans les autres parties de l’Europe.
GXX VIII
Larus ichthyaëtos. Fischmöve. Mouette vchthyaete.
Pallas, It., II, app. , n°. 27. — Gould, PI. 435.
Südöstliches Europa. Les parties chaudes de l’Europe orien-
tale.
Larus Sabinii. Schwalbenschwanz-Möve. Mouette de Sabine.
I. Sabine, in Trans., Linn. Soc., XII, p. 520, PI. 29. — Xema
Sabinüi, Leach in Ross, I voy., app., p. 57. — Gould, PI. 429.
Arktisches Amerika, zufällig in Gross- Les régions arctiques de l’Amerique ,
britannien. accidentellement en Angleterre.
Larus Rossii. Keilschwanz-Möve. Mouette de Ross.
Richardson, in Parry, II voy., app., 359. — Larus roseus,
Jard. et Selby , Zool. Illustr., Pl. 14. — Rossia rosea, Ch. Bonap.,
List, p. 62. |
Arktisches Amerika, zufällig in Europa. Les regions arctiques de l’Amérique,
accidentellement en Europe.
STERNA (136). SEESCHWALBE. HIRONDELLE
DE MER.
a. Echte Seeschwalben. Hirondelles de mer pro-
prement dites.
Sterna caspia. Riesenseeschwalbe. Hirondelle de mer tsche-
grava.
Pallas, Nov. Comm. Petrop., XIV ,I, p.583. — Sterna megar-
hynchos, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 457. — Stylochelidon
CXXIX
caspia, Brehm, Handb., p. 770. — Naumann, Tab. 248. —
Gould, PI. 414.
Gemässigtes und warmes Europa, sel- L'Europe tempérée et chaude, rare-
ten im westlichen Europa; Asien, Afrika. ment dans l'Europe occidentale; l’Asie,
l'Afrique.
Sterna cantiaca. Weissgraue Seeschwalbe. Hirondelle de mer
caugek.
Gmel. Linné, p. 606, n°. 15. — Sterna striata, 1bid., p. 609,
no. 24. — Sterna canescens, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p.
458. — Thalasseus cantiacus, F. Boie, Isis, 1822, p. 563. —
Naumann, Tab. 250. — Gould, PI. 415.
Europa, Afrika, Nordamerika. L'Europe, l’Afrique, l’Amérique du
nord.
Sterna affinis. Rüppell’s Seeschwalbe. Hirondelle de mer
voyageuse.
Rüppell, Atlas, p. 23, Taf. 14. — Sterna media, Horsf. Linn.,
Trans., XIII, p. 199, n°. 3.
Griechenland, Afrika, indischer Ar- ı La Grèce, PAfrique, PArchipel indien.
chipel.
Sterna hirundo. temeine Seeschwalbe. Hirondelle de mer
Pierre Garin.
Linne, Syst., XII, p. 227, no. 2. — Naumann, Tab. 252. —
Gould, PI. 417.
Europa, Afrika, Sibirien, Nordameri- | L’Europe, P’Afrique, la Sibérie, ’Ame-
ka. rique du nord.
Sterna macrura. Langschwänzige Seeschwalbe. Hirondelle
de mer macroure.
. Naumann, Isis, 1819, p. 1847. — Sterna arctica, Temm. Man.,
9
CXXX
II, p. 742. — Sterna argentata, Brehm, Beitr., III, p- 692. —
Naumann, Tab. 253. — Gould, PI. 419. Ä
Norden beider Welten, im Winter Les contrées septentrionales des deux.
‘einzeln im mittelländischen Meere; Vorge- mondes, visite en hiver en petit nombre
birge der guten Hoffnung. les côtes de la Méditerranée; le Cap de
Bonne Espérance.
Sterna minuta. Zwergseeschwalbe. Petite hirondelle de mer. |
Linne, Syst., XII, p. 228, n°. 4. — Sternula minuta, Boie, Isis,
1822, p. 563. — Naumann , Tab. 254. — Gould, Pl. 420.
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale,
Asien. l'Asie.
‘Sterna paradisea. Brünnich's Seeschwalbe. Hirondelle de mer
Brunnich.
Brünnich, Orn. bor., p. 46. — Sterna Dougallii, Montagu, Orn.
Dict., Suppl., ad voc. Tern roseate. — Naumann, Tab. 251. —
Gould, PI. 418.
‘Europa ,„ Nordamerika. | L'Europe, l’Amerique du nord.
Sterna anglica. Lachseeschwalbe. Hirondelle de mer hansel.
Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Tern gull-billed. — Gelo-
chelidon anglica, Ch. Bonap., List, p. 61. — Naumann, Tab.
249. — Gould, Pl. 416.
Europa, Arabien, Afrika. | L’Europe, l’Arabie ; l'Afrique.
b. Bastard-Seeschwalben. Hirondelles de mer bâtardes.
Sterna nigra. Schwarze Seeschwalbe. Hirondelle de mer
epouvantall.
.Brisson, Orn., VI, p. 211, n°. 11. — Sterna naevia, ibid., p-
CXXXI
216, , no. 6. — Sterna fissipes, Linné, Syst., XII, p. 228, no.
7. — Hydrochelidon nigrum, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Nau-
mann, Tab. 256. — Gould, PI. 422.
Europa , gemässigtes Asien, Nordame- L'Europe, l'Asie tempérée, l’Améri-
rikası.) * que du nord.
Sterna leucoptera. Weissschwingige Seeschwalbe. Hirondelle
de mer leucoptere.
Meissner u. Schinz, Vögel der Schweiz, p. 264, no. 238. —
Sterna nigra, Linn., Syst., XII, p. 227, no. 3. — Naumann,
Tab. 257. — Gould, PI. 423.
Südliches Europa, Asien. | L'Europe méridionale, l'Asie.
Sterna leucopareia. Schnurrbärtige Seeschwalbe. Hirondelle.
de mer moustac.
Natterer in Temm., Man., II, p. 746. — Sterna hybrida, Pal-
las, Zoogr., II, p. 338, n°. 395. — Naumann, Tab. 255. —
Gould, PI. 424.
Südliches Europa, Nordafrika, Asien. Le midi de l’Europe, l'Afrique sep-
tentrionale , l’Asie.
c. Noddis. Noddis.
Sterna stolida. Gemeiner Noddi. Noddi commun.
Linne, Syst., XII, p. 227, no. 1. — Megalopterus stolidus,
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Gould, PI. 421.
Südliches Halbrund ; einzeln im mittel- l'hémisphère boréal; observé sur les
ländischen Meere und an den Küsten côtes de la Méditerranée et de lPAngle-
Englands beobachtet. terre,
CXXXII
PROCELLARIA. STURMVOGEL. PETREL
c. Procellaria. Eigentliche Sturmvögel. Pétrels.
Procellaria glacialis. E a Petrel fulmar.
Linne, Syst., XII, p. 213, no. 3. — Gould, PI. 446.
Nördliches Europa. | L'Europe boréale,
b. Puffine. Puffins. Puffinus.
Puffinus cinereus. Grauer Pufin. Puffin cendre.
Temm. , Man., III, p. 806 et IV, p. 506. — Gould, PI. 445,
fig. 1.
Mittelmeer, bis an die Küsten Eng- | La méditerranée, jusqu’ aux côtes de
lands. l'Angleterre.
Puffinus major. Grosser grauer Pufin. Pufin cendre arctique.
Faber, Prodr., p. 56, no. 2.
Arktische Gegenden Europa’s, Neu- Les régions arctiques. de l'Europe; la
fundland. Terre-neuve.
Puffinus fuliginosus (137). Rauchgrauer Pufin. Pufin
Juligineux.
Strickland, Proceed. Zool. Soc., 1832, p. 129. — Puffinus
cinereus, fem., Gould, Pl. 445, fig. 2. — Puffinus major, fem.
Temm., Man., IV, p. 508.
Neufundland,, zufällig in Grossbritan- La Terre-neuve, accidentellement en
nien. Angleterre.
Puffinus arcticus (138). Arktischer Pufin. Puffin manks.
Faber, Prodr., p. 56, n°. 1. — Procellaria puffinus, Brünnich,
CXXXIIT
Orn. bor., p: 29. — Procellaria anglorum, Temm., Man., II,
p- 806. — Naumann, Tab. 277. — Gould, PI. 443.
Nördliches Europa, Nordamerika. | L'Europe boréale, l'Amérique du nord.
Puffinus obscurus. Dunkler Pufin. Pufin obscur.
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Procellaria obscura, Gmel. Linne,
p- 559, no. 7. — Gould, PI. 444.
Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale.
THALASSIDROMA. SCHWALBENSTURMVOGEL.
THALASSIDROME.
Thalassidroma pelagica. Gemeiner Schwalbensturmvogel.
Thalassidrome tempete.
Vigors, et auct. recent. — Procellaria pelagica, Linne , Syst.,
XII, p. 212, n°. 1. — Hydrobates pelagica, Boie, Isis, 1822,
p- 562. — Naumann, Tab. 275. — Gould, Pl. 477, fig. 2.
‘ Europa. | L’Europe.
Thalassidroma Leachii. Leach’s Schwalbensturmvogel. Tha-
lassidrome de Leach.
Ch. Bon., List, p. 64. — Procellaria Leachii, Temm, Man.,
IT, p. 812. — Nes Tab. 275. — Gould, PI. 447, fig. 1.
Atlantischer Ocean, Küsten Frank- | L’Ocean atlantique. les côtes de la
I
reichs und Englands. 'rance et de l’Angleterre.
Thalassidroma Wilsonii (139). Wilsons Schwalbensturmvogel.
Thalassidrome de Wilson.
Ch. Bonap., Syn., p. 367. — Procellaria pelagica , Wilson ,
Tab. LX, fig. 6. — Proc. oceanica, Forst., Licht. , Catal., p.
GXXXIV
83, n°. 764, nota. — Oceanites Wilsonii , Keyserl. u.. Blas., p:
XCIIT. |
Mexicanischer Meerbusen , zufällig an Le Golfe de Mexique. aceidentelle-
ment en Angleterre.
den englischen Küsten.
Thalassidroma Bulweri. Bulwers Schwalbensturmvogel.
Thalassidrome de Bulwer.
Gould, Pl. 448. — Procellaria Bulweri, Jard. and Selby, Zool.
Illust. , Pl. 65. | |
Azoren, Madeira, an den Küsten Eng- | Les Azores et Madère ; observé sur les
lands beobachtet. côtes de l’Angleterre.
LESTRIS. RAUBMOVE. STERCORAIRE.
Lestris catarractes. (Grosse Raubmüve. Slercoraire ca-
tarracte.
Illiger, Prodr., p. 273. — Larus catarrhactes, Linn., Syst.
nat. , XII, p. 226, no. 11. — Catharacta Skua, Brünn., Orn. bor.,
p- 33, n°. 125. — Naumann, Tab. 270. — Gould, PI. 439.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale.
Lestris pomarina. Mittlere Raubmüve. Stercoraire pomarine
Temm., Man., II, p. 793. — Naumann, Tab. 271. — Gould,
Pl. 440. |
“Norden beider Welten, im Winter bis Les regions septentrionales des deux
in das südliche Europa. mondes ; visite en hiver les autres par-
ties de l'Europe.
CXXXV
Lestris parasita. Schmarotzer-Raubmöve. Stercoraire parasite.
Boie, Reise, p. 129. — Catharacta parasita et coprotheres,
Brünn., Orn. bor., p. 37, n°. 127 et p. 38, no. 128. — Lestris
Richardsonii, Swainson , Fauna bor. amer., II, p. 433, Pl. 73. —
Naumann , Tab. 272, 273. — Gould, PI. 441.
Nördliches Europa, auf dem Zuge bis L’Europe septentrionale, de passage
R P P 2 passag
in das südliche Europa. en hiver dans les autres parties de PEu-
rope.
Lestris Buffonii (140). Buflon’s Raubmöve. Stercoraire de
Buflon
Lestris Buffonüi , Boie, in Meyer, Taschenb., III, p. 212, n°. 3;
Isis, 1822, p. 562 et 874 — Lestris crepidata, Brehm, Beitr.,
II, p. 861. — Catharacta cephus, Brünnich, Orn. bor., p. 36,
n°. 126, c. fig. — Lestris parasiticus, Swains. , Faun. bor. amer.
Birds, p. 430. — Naumann, Tab. 274. — Gould, PI. 442.
Nôrdliches Europa, auf dem Zuge im L'Europe septentrionale, visite en hi-
gemässiglen Europa. ver l'Europe tempérée.
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ZWEITE ABTHEILUNG.
SECONDE PARTIE.
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(1) FALCO CANDICANS 1IS-
LANDIOUS. Schon Horrebow ,
Descr. del’Islande, I, p.210,
und nach ihm Faber, Prodr. p.
3, haben darauf aufmerksam ge-
macht, dass die weissen Falken,
wie sie in Grönland vorkommen,
auf Island nicht brüten, sondern
diese Insel nur im Winter besu-
chen. Brehm, I. c., trennte im
Jahre 1823 den isländischen Fal-
ken vom grönländischen ; später
thaten dies auch Hancock, !. c.,
und Keyserl. u. Blasius, l. ce. —
Wir haben eine Menge, im Som-
merın Grönland und Island erleg-
te Individuen dieser beiden Fal-
ken untersucht und gefunden,
dass die von den erwähnten Na-
turforschern angeführten Kenn-
zeichen, wodurch sich der grön-
ländische vom isländischen Falken
unterscheiden soll, grösstentheils
unstatthaft sind. Nach Brehm
soll der Schnabel des grönländi-
schen Falken mit einem doppel-
ten Zahne, der des isländischen
mit einem einfachen Zahne ver-
sehen seyn; Hancock dagegen
schreibt dem isländischen Falken
einen Doppelzahn, dem grönlän-
dischen einen einfachen Zahn
zu: ein Widerspruch , der um so
2.
— rd —
(1) FALCO CANDICANS 1s-
LANDICUS. JHorrebow, Descr.
de l'Islande, T, p. 210, et après
lui Faber, Prodr. p. 3, ont été
les premiers à constater que les
faucons blancs tels qu'ils se trou-
vent ordinairement au Groenland,
ne nichent pas en Islande, et
qu'ils ne visitent cette ile qu’en
hiver. Ce ne fût cependant qu’en
1823 que Brehm distinguät com-
me espèce le faucon du Groenland
de celui d'Islande, et’ il fut plus
tard imité à cet égard par Han-
cock, Keyserling et Blasius.
Nousavons examiné un assez grand
nombre de faucons de ces deux
races, tués en été au Groenland
et en Islande, et nous avons trou-
vé que la plupart des caractères
établis par ces savans pour dis-
tinguer les deux races de faucon
que nous venons de citer, sont
loin d’être constants. Brehm veut
que le bec du faucon du Groen-
land soit pourvu d’un double fes-
ton, tandis que le bec du faucon
d'Islande n'offre qu'un seul fes-
ton; Hancock dit au contraire
que le bec du faucon d’Islande
présente deux festons et celui du
faucon d’Islande un simple feston :
assertions contradictoires qu'il est
1
unerklärlicher ist, da beide Na-
turforscher ganze Reihen Indivi-
duen dieser Falken von Grönland
und Island untersucht haben. —
Hancock giebt ferner an, dass
beim grönländischen Falken die
Querflecke der beiden mitteln
Steuerfedern einander gerade ge-
genüberstehen, oder mit andern
Worten, dass diese Flecke unab-
gebrochene Querbinden bilden,
während sie beim isländischen
Falken abwechselnd stehen , und
daher keine durchgehenden , son-
dern abgebrochene Querbinden
bilden. Auch diese Erscheinung
ist nach meinen Beobachtungen
zufällig; denn ich fand diese
Querstreife beim weissen und is-
ländischen Falken, wie bei den
übrigen Arten, bald unabgebro-
chen bald abwechselnd stehend,
zuweilen bei einem und demsel-
ben Individuum , auf einer Feder.
abwechselnd, auf der andern
durchgehend , oder sogar auf ei-
ner und derselben Feder theil-
weise abgebrochen, theilweise
unabgebrochen. — Nach Han-
cock soll ferner der Schwanz
beim grônländischen Falken 2
Zoll, beim isländischen 11 Zoll
über die Flügel hinausragen. Wä-
re ein solcher Unterschied vor-
handen , so müsste er doch wohl
seine Ursache in verschiedenen
gegenseitigen Längeverhältnissen
der Flügel und des Schwanzes ha-
ben: von diesen Verhältnissen
schweigt aber Hancock und seine
Nachfolger, und nach unsern
Untersuchungen bestehen sie auch
wirklich nicht. Keyserling und
Blasius, 1. c., p. 135, geben
endlich als Hauptkennzeichen
d’autant plus difficile de concilier
que ces savans prétendent avoir
‘examiné un grand nombre d’in-
dividus de chacune de ces deux
races de faucon. Hancock cons-
Late encore que les taches claires
des deux pennes mitoyennes de
la queue forment , dans le faucon
du Groenland, des bandes conti-
nues, tandis qu’etant opposées
dans le faucon d'Islande, elles se
présentent, dans cette race, sous
la forme de bandes transversales
interrompues. Mes propres re-
cherches m'ont appris que ce ca-
ractère ainsi que celui tiré de la
présence d’un double feston au
bec est absolument dû à des va-
riétés individuelles, les taches
dont nous venons de parler étant
dans les faucons du Groenland et
d'Islande, comme dans plusieurs
autres espèces, tantôt opposées,
tantôt continues, quelquefois
dans un seul individu sur l’une
des pennes opposées, sur l’autre
continues, ou même sur une seule
penne en partie opposées, en
partie continues. Hancock pré-
tend encore que la queue dépasse
les ailes de deux pouces dans le
faucon du Groenland et d’un pou-
ce et demi seulement dans celui
d'Islande; mais il est évident que
ce caractère, s’il existait, devrait
naturellement dépendre de la di-
versité des dimensions relatives
de la queue et des ailes de ces
deux races; mais Hancock ne fait
nullement mention de ces diffé-
rences qui, en effet, n'existent pas.
Les traits distinctifs assignés au
faucon du Groenland par MM.
Keyserling et Blasius, p. 135,
sont les suivans: »L’extremite
des grönländischen Falken an: |
»Die dritte Schwinge steht der
»zweiten näher als der ersten, so
» dass der Unterschied der zwei-
»ten und dritten kleiner ist als
» der ersten und dritten.” Beim
isländischen Falken sollen da-
gegen folgende Verhältnisse Statt
finden: »Die dritte Schwinge
»steht der ersten näher als der
» zweiten, so dass der Unterschied
»der zweiten und dritten grösser
»ist als der ersten und dritten.”
Wir können versichern, dass auch
diese Kennzeichen nicht Stand
halten, weil sie lediglich von der
mehr oder weniger volkomme-
nen Entwickelung der Schwung-
federn abhängen. — Nach unsern
Untersuchungen ist der isländische
Falke vom grönländischen oder
dem weissen Falken nur durch
die Färbung, und zwar nur im
Alter, zu unterscheiden; junge Vö-
gel sind sich so vollkommen ähn-
lich, dass auch nicht der: ge-
ringste Unterschied Statt findet.
Beim ausgetärbten grönländi-
schen Falken sind Kopf, Hals, alle
Untertheile, und oft auch die
Steuerfedern , mit Ausnahme des
mittelsten Paares , rein weiss; auf
den Öbertheilen herrscht eben-
falls die weisse Farbe vor, und
die dunkle Farbe erscheint nur auf
den Federn des Rückens und der
Flügel, in der Gestalt von herz-
förmigen Flecken oder unvoll-
kommenen Querbinden. Der
Schnabel ist oft ganz gelblich ;
die Füsse dagegen sind gewöhn-
lich blassgelb, oder behalten so-
gar ihre blauliche Färbung , nach-
dem der Vogel schon das weisse
Kleid angelegt hat. Beim ausge-
»de la troisième rémige plus rap-
»prochee de l’extremite de la
» deuxième, d’où il résulte que la
» distance comprise entre les ex-
»tremites de la deuxième et de
» la troisième rémige est moins
» considérable que la distance
» comprise entre les extrémités de
» la première et de la troisième ré-
» mige.” Le faucon d'Islande offre
au contraire, selon ces savans , les
traits distinctifs suivans: » L’ex-
»tremite de la troisième rémige
»est plus rapprochée de l’extré-
» mité de la deuxième; la distance
» comprise entre les extrémités de
»la deuxième et de la troisième
»remige est, par conséquent,
» plus considérable que la distan-
»ce comprise entre la premiere
»et la troisième rémige.” Quant
à ces caractères, nous avons ob-
servé qu'ils dépendent du déve-
loppement plus ou moins parfait
des rémiges, et qu'ils sont loin
d'offrir des traits distinctifs sûrs
et constans. Nous ne sommes par-
venus à distinguer le faucon d’Is-
lande de celui du Groenland qu’au
moyen des caractères empruntés
aux couleurs, Les jeunes de l’année
de ces races se ressemblent telle-
ment qu'il est impossible de les
distinguer, si leur origine n’a pas
été préalablement constatée. Le
faucon du Groenland est, lors-
qu'il est revêtu de sa livrée par-
faite, d’un blanc pur sur la tete,
le cou, les parties inférieures et
souvent aussi sur les pennes de la
queue, à l'exception des deux
mitoyennes; et les taches foncées,
dont les parties supérieures de-
puis le dos se trouvent couvertes,
sont assez petites et se présentent
färbten isländischen Falken ıst der !
Schwanz mit abwechselnden hel-
len und dunkeln Querflecken ver-
sehen. Die Brust und die un-
tern Schwanzdeckfedern sind mit
kleinen dunkeln Strichen, der
Bauch mit thränen- und herzför-
migen Flecken versehen, die auf
den Seiten als Querflecke erschei-
nen. Die hellen Flecke der Ober-
theile haben immer die Gestalt
mehr oder weniger vollkommener
Querbänder. Die hellen Quer-
bänder der obern Schwanzdeck-
federn sind bläulichweiss, und
die der Seiten des Bürzels asch-
grau. Kopf, Nacken, Hinterhals
und Ohrgegend sind ebenfalls mit
Strichflecken versehen, und die
Zügelgegend, so wieder sehr klei-
ne Backenbart ziehen insschwärz-
liche. Der Schnabel ist nur an der
Wurzel gelblich, und die Füsse
sind ganz gelb, wenigstens an ge-
trockneten-Exemplaren.
Die Falkeniere, weiche ‘die
Falkenarten oft besser kennen als
die Naturforscher, , unterscheiden
den grönländischen Falken nicht
vom isländischen. Sie begreifen
beide unter dem gemeinschaft-
lıcheu Namen Zsländer, und
sous la forme de taches en coeur
ou de bandes transversales impar-
faıtes. Le bec est souvent d’un
jaunätre uniforme; les pıeds sont
ordinairement d’un jaune päle
ou offrent même encore la teinte
bleuâtre, telle qu’elle se voit
dans les jeunes de l’année. La
queue du faucon d'Islande est
pourvue , à l’âge adulte, c’est-à-
dire, depuis la deuxième année,
de bandes alternes claires et fon-
cées. La poitrine et lescouvertures
inférieures de la queue sont ornées
de fines raies longitudinales, le
ventre de petites taches en coeur
ou en larmes, qui prennent sur
les grandes plumes des flancs une
forme transversale. Les taches
claires des parties supérieures
offrent toujours la forme de ban-
des transversales plus ou moins
parfaites. Les bandes des couver-
tures supérieures de la queue
sont d’un blanc bleuätre, et cel-
les des côtés du croupion tirent
sur le gris cendré. La tête, la
nuque, les parties postérieures du
cou et la région des oreilles sont
pourvues de taches foncées étroi-
tes; on voit du noirätre sur la
région du frem et la tache en
moustache est également noirätre,
mais tres-petite. Le bec n'offre
du jaune qu’à sa base ; les serres
sont toujours d’un jaune unifor-
me, du moins dans les individus
empaillés.
Les fauconniers qui connais-
sent les diverses espèces de fau-
con souvent mieux que les natu-
ralistes, ne distinguent pas le
faucon d'Islande du faucon blanc;
ils les comprennent tous les deux
sous le nom de l’Islandais. Ces
alle behaupten einstimmig, dass
beide einerlei Naturell haben,
sehr leicht zu zähmen und hierin
allen übrigen Falken vorzuziehen
seyen.
Zu den Synonymen des islän-
dischen Falken gehören noch:
Buffon , Pl. ent. 210, le @erfaut
d'Islande, (ad.); ferner Nau-
mann, Naturgeschichte,, Neue
Ausgabe, Tab.21, Fig.2, (ad.),
und Falco islandicus, Wolf u.
Meyer, Nat. Deutschl, (fig. mar.
ad.). — Fig. 1, Taf. 21, des
Naumann’schen Werkes stellt. den
alten weissen Falken vor.
(2) FALCO GYRFALCO, Es ist
fast räthselhaft, dass diese Art,
die in Norwegen die Stelle des
weissen und isländischen Falken
vertritt, die seit den ältesten Zeiten
ın bedeutender Anzahl von den
Falkenieren geholt wird, und im
Winter die Küsten Norddeutsch-
lands und Hollands besucht, wo
sie die Falkeniere fangen, bis jetzt
von den Naturforschern nicht als
selbstständig unterschieden wur-
de, und dass sie selbst den skandi-
navischen Naturforschern unbe-
kannt blieb, oder von ihnen ver-
kannt wurde. Buffon hat den jun-
gen Vogel abgebildet, und auch
brisson’s Faucon d’Islande ge-
hört hierher. Zeinne’s Beschrei-
bung seines Falco lanarius
scheint nach einem jungen Vogel
dieser Art gemacht zu seyn. Das
von Nilsson, Fauna suec.. p.22,
und Skandinav. Fauna , Foglar-
oiseaux ont, à leur avis , le même
naturel doux; ils sont plus faciles
a dompter que les autres fau--
cons, et par conséquent prefe-
rables à toutes les autres espèces
pour être dressés pour la chasse:
au vol.
Il convient de ranger parmi les
synonymes du faucon d'Islande,
outre ceux déjà indiqués, les
suivans: Buffon, Pl. ent. 210,
le Gerfaut d'Islande, (ad.);
puis Naumann, Histoire na-
turelle des Otis. d’ Allem. , nouv.
edition, PI. 21, fig. 2, (ad.), ef
Falcoislandicus, Wolf u.Meyer,
Nat. Deutschl., (fig. du mâle
—
ad.). L'oiseau figuré dans.
Naumann, PI 21, fig. 1, est le:
faucon blanc adulte.
(2) FALCO GYRFALCO. Où.
peut s’etonner à juste titre que:
cette espèce qui remplace en.
Norwége le faucon blanc et ce-
lui d'Islande , que les fauconniers
ont été chercher en Norwége
depuis des siècles, qui visite en
hiver les parties septentrionales
de l'Allemagne et la Hollande ou
les fauconniers la prennent de
tems à tems, n'ait pas encore été
distinguée par les ornithologistes,
et qu'elle ait été complètement
ignorée des naturalistes de la
Scandinavie. Buffon a figuré un:
jeune individu de cette espèce,
et je suis porté à regarder
comme le vieux du gerfaut l’im-
dividu figuré par Brisson sous le.
nom de faucon d'Islande. Je
suppose également que la descrip-
tion que Zinnaeus a donnée de
son Falco lanarius a éié faite
sur un Jeune mäle du gerfaut.
na, I, p. 15, als Falco lanari-
us, jun., beschriebene Exemplar
scheint ebenfalls als junges Männ-
chen zu unserm Gierfalken , und
nicht zum Saker (F. lanarius
auct.), zu gehören, der im Norden
noch nie beobachtet wurde. Es ist
dies auch darum wahrscheinlich,
weil Nilsson den Nacken als weiss-
lich, und dierostfarbenen Ränder
der Federn der Obertheile als un-
deutlich beschreibt, da doch die-
se Ränder beim Sakerfalken sehr
breit sind und der Kopf immer in
das rostfarbene zieht. Vielleicht
hatteauch Naumann, bei Beschrei-
bung seines, in der alten Ausgabe
seines Werkes, Nachträge, p.
409 sgg., Tab.58, Fig.110, auf-
. geführten Geierfalken, ein junges
Weibchen des Gierfalken vor
sich. Da aber der junge weibli-
che Gierfalke von den jungen
männlichen weissen und isländi-
schen Falken nur durch Unter-
suchung des Geschlechtes zu un-
terscheiden ist, und Naumann
den zufälligen Mangel des zwei-
ten Zahnes im Schnabel für das
Hauptkennzeichen des Gierfalken
der Falkeniere hielt, und seine
Art im ausgefärbten Kleide nicht
kannte, so zog er seinen Geierfal-
ken später, (siehe Veue Ausgabe,
1822, 1,».278, Tab.22, Frg, 2);
als Art wieder ein.
Bis jezt ist der Gierfalke imSom-
mer nur ın Skandinavien gefun-
L'oiseau décrit par Nilsson „
Fauna suecica, p. 22, et Skan-
din. Fauna, Oiseaux, I, p. 15,
sous le nom Falco lanarius, me
parait n’etre qu’un jeune mâle
du gerfaut, et ne pas appartenir
au faucon sacre (Falco lanarius
auct.) qui n’a pas encore été ob-
servé dans le Nord. Ce savant con-
state aussi que la nuque de son
individu est blanchätre et qu’il of-
fre des bords des plumes des par-
ties supérieures assez étroites; on
sait cependant que ces bords sont
larges dans le sacre et que les
parties postérieures de la tête ti-
rent, dans cette espèce, tou-
jours au brun ferrugineux. Il
se peut enfin que Naumann, en
établissant son gerfaut dans la
première édition de son ouvra-
ge, Suppl, p. 409 ef suiv.,
PI. 58, a en effet eu devant les
yeux une jeune femelle du ger-
faut. Cependant, comme il est
impossible de distinguer la jeune
femelle du gerfaut des jeunes
mäles des faucons d’Islande et
de ceux du faucon blanc, sans
en avoir constaté le sexe par la
dissection, Naumann ne connais-
sant pas la livrée parfaite du
gerfaut de Norwége et prenant
pour trait essentiel de son ger-
faut le défaut accidentel du fes-
ton postérieur du bec, s’avisa,
en publiant la nouvelle édition
de son ouvrage, de rayer cette
espèce du catalogue méthodique,
ou plutôt il la confondit avec les
faucons blancs et d’Islande : voir
le vol. 7, p. 278, Pl. 22, fig. 2,
de son ouvrage publié en 1822.
On n’a rencontré jusqü'à pré-
sent le gerfaut en été qu’en Nor-
den worden. Es fragt sich aber, | wege; mais ıl se pourrait bien
ob die von Pallas auf dem Ural | que les faucons observés par Pal-
und den Sibirischen Alpen beo- | /as sur l’oural et sur les alpes de
bachteten grossen Falken, die | la Sibérie appartinssent à notre
sich durch ihre dunklere Färbung | espèce. Ge voyageur, quoique
vom weissen Falken unterschei- | constatant que les faucons de ces
den, und von Pallas als Varietät | contrées se distinguent du faucon
zu dieser Art, welche er Falco | blanc par leurs teintes foncées,
gyrfalco nennt ‚gezogen werden,. | ne les regarde cependant que
En auch zu unserm Gierfalken | comme variété de cetie espèce
gehören, und vom weissen Fal- | qu’ilnomme Falcogyrfalco. Voi-
ken verschieden sind. Damit jeder | ci ce qu'il en dit dans sa Fauna
selbst urtheilen könne , setzen wir | rosso-aszatica , I ,.p. 325 et 326..
Pallas eigene Worte her. Er sagt
in der Zoogr. ross. as., 1, Re
325 et 326.
'»Gyrfalco sat magna copia in excelsis rupibus Uralensis jugi,.
» tractuumque Sibiriae alpestrium nidulatur , neque hyeme tempe--
» ratiores situs omnino relinquit. Gyrfalcones Uralenses et Altaici
» praesertim foeminae et juniores colore et variegatione simillimi
» Iconi in collectione Daubentoni tab. 462, accedunt ad F. lana-
» rium vel F. peregrinum Juniorem, supra fusci, subtus albido et
»nigricante densius variegati, cera livida, pedibus coerulescenti-
» bus. Seniores magis albescunt, et notas nigricantes contrahunt,
» rarissime ee nauhlor albi, eorum instar qui in Islandia et maxi-
» me orientali Sibiria atque Gamschatka generantur.”
Wie dem auch sey, so kann ! Quoiqu'il en soit il est impos-
nur eme genaue, wiederholte Un- | sible de déterminer au juste à
tersuchung von Individuen, über | quelle espèce appartiennent ces
deren Ursprung man volle Gewiss- | faucons décrits par Pallas, sans
heit hat, Licht auf die genaue | avoir soigneusement comparé des
Kenntniss der grossen Falkenar- | séries complètes d’invidus origi--
ten und ihre Verbreitung wer- | naires des régions d’où ce savant
fen. Um diese Untersuchungen | tirait les siens. Nous donnerons,
zu erleichtern, wollen wir hier | dans les lignes suivantes, afin
die Eschen des norwegi- | de faciliter ces recherches, les
schen Gierfalken angeben, von | notes caractéristiques du gerfaut
dem wir, wie von allen übrigen | de Norwege, dont nous nous pro-
europäischen Jagdfalken, in un- | posons de publier, ainsi que des
serm grossen Falkenwerke, genaue | autres especes de faucon d’Eu-
Abbildungen in Lebensgrösse ge- | rope dont on se sert pour la
ben werden. chasse, dans notre Trarte de fau-
connerte, des figures faites sur le
vivant et représentant les oiseaux
. de grandeur naturelle.
Un sich einen Begriff von die-
ser Art zu machen, muss man sich
den weissen oder isländischen
Falken in etwas verjüngtem Maass-
stabe vorstellen, und sich diesen
Vogel in der J ugend ganz wie die
Jungen dieser beiden Racen, im
Alter aber ungefähr wie (den
Schlechtfalken "sefärbt denken,
nur mit dem Unterschiede, dass
der Backenstreif beim Gierfalken
kleiner und nicht so dunkel ist,
dass die Füsse, statt gelb, grün-
lichgelb erscheinen, und dass die
Flecke der Untertheilenur auf den
Seiten des Körpers die Gestalt von
Querbinden annehmen.
Es folgt aus diesen Angaben,
dass junge nl Gier-
falke vom jungen weissen und is-
ländischen Falken leicht durch
seine geringere Grösse zu unter-
scheiden ist, dass dagegen der
junge weibliche Gierfalke den
jungen männlichen weissen und
isländischen Falken in allen Stüc-
ken vollkommen ähnlich ist. Im
Alter kann der Gierfalke nicht
mit den alten weissen und ıslän-
dischen Falken verwechselt wer-
den, da er in der Färbung durch-
aus abweicht, und in dieser
Hinsicht dem alten Schlecht-
falken ähnelt. Von letzterem
aber unterscheidet er sich leicht
durch seine bedeutendere Grös-
se, längeren Schwanz, verhält-
nissmässig kürzere Zehen, wei-
ter hinab befiederte Läufe, grös-
sere weichere Federn der Unter-
theile, und die oben angedeuteten
Intesschhde ın der Farben
theilung.
Il suffit, pour se faire une idée
precise du gerfaut de Norwege,
de le comparer au faucon blanc
ou à celui d'Islande et de s’ima-
giner qu'il est d’une taille un peu
moins forte, qu’au jeune âge il
ressemble parfaitement, par ses
teintes, aux Jeunes de ces deux
races, mais qu'il offre au con-
traire, à l’âge adulte, de l’analogie
avec le faucon commun dans sa
livrée parfaite, à cette exception
près que les pieds sont d’un jau-
ne verdâtre au lieu de jaune,
qu'il offre une tache en moustache
moins apparente et que ce sont
uniquement les plumes des flancs
dont les taches se présentent sous
la forme de raies transversales.
Il résulte de ces données que
le jeune mâle du gerfaut se dis-
tingue au premier abord des jeu-
nes des faucons blancs et d'Islande
par sa taille moins forte ; mais que
la jeune femelle du gerfaut res-
semble sous tous les rapports aux
jeunes mâles des faucons blancs
et d'Islande. Une fois revêtu de sa
livrée parfaite, le gerfaut se distin-
gue trop visiblement des vieux des
faucons blancs et d'Islande pour
qu’il soit possible de le confondre
avec ces deux races. Il est inutile
de constater qu’il se distingue du
faucon commun par sa taille plus
forte, par sa queue plus longue,
par des doigts proportionnelle-
ment plus courts, par des tarses
un peu plus emplumés vers le bas,
par des plumes plus grandes et
moins raides des parties inféri-
eures , ainsi que par.la différence
dans la distribution des temtes
dont nous avons parlé plus haut.
Folgendes sind die Maasse des
Gierfalken :
Mas. Fem.
Ganze Länge . . . .
Länge der Flügel . . [135,115
» des Schwanzes | 77%,| 9
» derLäufe .. | 2%| 2%
» des vordern
nackten Theiles
derselben. . . | 123,| 1,%
» der Mittelzehe
ohne Nagel. . | 142 141
Die Falkeniere behaupten ein-
stimmig, dass der Gierfalke em
ganz anderes Naturell habe als der
isländische und weisse Falke, da
jener störrisch und tückisch ist,
diese folgsam und sanft sind , wes-
halb der Gierfalke auch schwerer
zu zähmen und abzurichten sey,
als der grönländische und isländı-
sche Falke. Ich selbst bin wäh-
rend der Reiherbeize Zeuge von
vielen Fällen gewesen, welche
die Richtigkeit dieser Aussage
bestätigen.
(3) FALCO SACER. Da diese
Art in allen Werken über die
Falkenbeize, ferner von Gess-
ner, Belon und selbst von Buf-
Jon, unter obigem Namen aufge-
führt wurde, und der Zanner-
falke der Falkeniere und der Fal-
kenbücher ein ganz anderer Vo-
gel ist, so haben wir obiger Art
ihren ursprünglichen Namen
wieder gegeben. Diese Art fehlt
noch in vielen Museen. In Eng-
land soll sie sich in keiner Samm-
lung finden. Die beiden Exem-
plare des Berliner Museums wur-
den von Hemprich und Ehrenberg
9
Voici les dimensions d’individus
des deux sexes du gerfaut:
_ Mâle. Fem.
181/21” | Longueurtotale . . 181” 2,
» desailes . . . 113,5, |15
9
» delaqueue. . | 7%
0) &
» des tarses . .. | 2% 2
» dela partie an-
térieure nue des
2 3
tarses .... 12; 1$;
» du doigt de mi-
lieu sans ongle] 119 |111
Les fauconniers s'accordent à
dire que le gerfaut diffère beau-
coup des faucons blancs et d’Is-
lande par son caractère obstiné
et quinteux, et que ces deux ra-
ces se prêtent, par leur naturel
doux et docile, plus facilement à
l'affaitage que le gerfaut. J'ai été
à portée de constater moi-même
ces assertions en assistant au vol
du gerfaut sur le héron.
(3) FALCO SACER. Cette es-
pèce ayant été décrite sous le
nom de sacre dans la plupart des
ouvrages de fauconnerie ainsi que
par Gessner, Belon et même
par Buffon, et s’eloignant assez du
lanıer des fauconniers, et des
traités de fauconnerie , nous avons
rétabli les noms anciennement
reçus pour ces deux espèces. Le
sacre, une des espèces de fau-
con les plus rares, manque à la
plupart des collections d'histoire
naturelle. Il n'existe dans aucun
des Musées de l'Angleterre. Les
deux exemplaires qu’en possède
in der Gegend von Tor in Ara-
bien gesammelt. Die in den übri-
gen Sammlungen des Festlandes
vorhandenen Exemplare scheinen
alle aus dem Wiener Museum
herzustammen ; so wenigstens die,
welche Naumann, das Mainzer
und unser Museum besitzen. Pal-
las erwähnt zweier Varietäten
des Sakerfalken, den er Falco
lanarius nennt: eine grössere,
welche das Uralgebirge bewoh-
nen soll, und eine kleinere, die
sehr häufig in der grossen Ta-
tareı und im südlichen Russland
gefunden wird.
Nach Pallas ziehen beide Va-
rietäten im Winter südlich. Es
sind daher wahrscheinlich die
Sakerfalken, welche früher in
Griechenland für die Falknereien
gefangen wurden, so wie die,
welche Ehrenberg aus Arabien
mitbrachte, solche auf dem Zu-
ge begriffene Vögel. Diese An-
gaben über die Verbreitung des
Sakerfalken machen es unwahr-
scheinlich, dass sich derselbe bis
in das nördliche oder westli-
che Europa verfliegt, und wir
sind auch aus diesen Gründen
geneigt, das Vorkommen die-
ser Art in Schweden zu bezwei-
feln. Die Beschreibung welche
Pallas von seinem F. lanarius
giebt, ist nach der vonihm an-
geführten kleineren Varietät ge-
macht, die, allem Anscheine
nach, mit unserm Falco sacer
übereinstimmt.
In Nubien und Abyssinien lebt
eine dem Sakerfalken verwandte
Art. Sie wurde von Ehrenberg,
10
le Muséum de Berlin ont été re-
cueillis, par MM. Hemprich et
Ehrenberg', près de Tor en Arabie.
Il paraît que les individus con-
servés dans les autres cabinets du
continent de l’Europe, provien-
nent tous du Musée de Vienne ;
du moins ceux des Musées des
Pays-Bas, de Mayence et de M.
Naumann sont de ce nombre.
Pallas fait mention de deux va-
riétés du sacre qu'il appelle
Falco lanarius; l'une à taille
plus forte qui habite la chaine
de l’oural, l’autre plus petite qui
se trouve en grand nombre dans
les déserts de la grande Tatarie
et de la Russie méridionale.
L'une et l’autre de ces variétés
émigrent, en hiver, dans des
contrées méridionales. Les sacres
que les fauconniers allaient autre-
fois chercher en Grèce, aimsi
que ceux rapportés de l'Arabie
par les voyageurs berlinois, étaient
probablement des individus pris
lors du passage. Ces données re-
latives à la distribution géogra-
phique du sacre ne s’accordant
guère avec la supposition que
cette espèce s’egare jusque dans
l'Europe boréale et occidentale,
nous supposons que les prétendus
laniers pris en Suede n’appar-
tiennent pas à cette espèce. La
description que Pallas a donnée
du soi-disant faucon lanier, est
faite d’après la petite variété
dont il fait mention et qui parait
se rapporter au véritable sacre.
Il existe, en Nubie et en Abys-
sinie, une espèce voisine du sa-
cre. Elle a été recueillie en assez
Rüppell und dem Prinzen Paul
von Würtemberg , in bedeutender
Anzahl eingesammelt. Rüppell,
Neue Wirbelthiere, Vögel, p.
44, hält sie mit Unrecht für ei-
nerlei mit F. biarmicus, Temm.,
Falco cervicalis, Licht. Mus. Be-
rol. Es ist dies aber eine neue
Art, die ım Berliner Museum den
Namen Falco tanypterus trägt.
Eine Beschreibung und Abbil-
dungen derselben sollen ehes-
tens in unsern. Abhandlungen
aus dem Gebiete der Zoologie
etc. erscheinen. Sie ähnelt dem
Sakerfalken in der Jugend aus-
serordentlich, ist aber etwas
kleiner, hat höhere, mit grösse-
ren, rauheren Schildern bedeck-
te Läufe, die schon beim jun-
gen Vogel eine rein gelbe Farbe
haben, und bietet auch, beson-
ders im Alter, bedeutende Ab-
weichungen in der Färbung des
Gefieders.
(4) FALCO LaNarius. Es ist
dies, wie wir in unserm grossen
Werke über die Falkenbeize aus-
führlicher darthun werden, der
„wahre Lannerfalke der Falken-
bücher. Hier nur so viel, dass der
Name /anarius von jeher auf sehr
verschiedene Vögel angewendet
wurde. So ist z. B. bei Albert
dem Grossen und nach ihm bei
den meisten Naturforschern bis
Frisch , lanarius ein Gattungsna-
me, und die Arten, die man un-
ter dieser Gattung begriff, sind
11
grand nombre, en Nubie et en
Abyssinie, par Ehrenberg, Rüp-
pell et le prince Paul de Würtem-
berg. Rüppell, Neue Wirbel-
thiere, Oiseaux, p. 44, rapporte
à tort cette espèce à une autre
qui habite le Cap de B. Espé-
rance, savoir Falco biarmicus,
Temm. ou Falco cervicalis,
Lichtenstein, Musée de Berlin.
Elle porte au Musée de Ber-
lin le nom de Falco tanypterus.
Nous nous proposons d’en pu-
blier des figures et une descrip-
tion dans la troisième livraison de
notre ouvrage allemand intitulé :
Mémoires pour servir à l'his-
loire naturelle et à l'anatomie
des animaux. Cette espèce res-
semble , notamment au jeune âge,
beaucoup au sacre, mais elle est
d’une taille moins forte; ses tar-
ses sont plus longs, couverts
d’ecailles plus grandes et plus ru-
des au toucher, et de couleur
jaune, même au jeune âge;
la distribution des teintes enfin
présente, particulièrement dans
les adultes, des disparités assez
marquantes. :
(4) FALCO LANARIUS. C'est le
véritable lanier des fauconniers
et des traités de fauconnerie, dont
nous nous proposons de traiter
amplement dans notre grand ou-
vrage sur la fauconnerie. Il suffi-
ra de constater ici que le nom de
Lanier a été successivement donné
à plusieurs oiseaux de proie assez
divers les uns des autres. Albert
le Grand par exemple, et après
lui presque tous les naturalistes
jusqu'à Frisch ont pris cette dé-
nomination dans un sens generi-
die Bussarde, der Thurmfalke und
die Weihen. Der Falco lanarius
Linné's und Nelssons ist höchst-
wahrscheinlich unser Gierfalke.
Brünnich und Mohr haben den
Merlin als Falco lanarius aufge-
führt. Pennants Falco lanarius
ist ein Junger Schlechtfalke. Vau-
mann und Pallas, und nach
ihnen alle spätere Naturforscher ,
haben endlich sehr unrichtig dem
Sakerfalken den Namen Falco
lanarius gegeben. Da der Lan-
nerfalke seit dem Verfall der Fal-
knerei nicht mehr gefangen wur-
de, so blieb diese Art den neuern
Naturforschern unbekannt, bis
sie Herr von Feldegg im Jahre
1829 gleichsam auf’s Neue, und
zwar in Dalmatien, entdeckte.
Dieser Vogel wurde von Natterer
für Falco peregrinoides, Tem-
minck, gehalten, und durch diese
Nachrichten irre geleitet, führte
ich letztere Art in Susemihl’s
Werke als europäisch auf. Als
ich mir später die Original-
exemplare zur Ansicht einschic-
ken liess, fand es sich, dass es
eine den Naturforschern unbe-
kannte Art sei, dieich unter dem
Namen Falco Feldeggii be-
schrieb, ohne zu ahnen, dass
diese Art den alten Falkenieren
bekannt war , und schon von Be-
lon sehr gut beschrieben wurde.
Wir führen sie nun wieder un-
ter dem Namen auf, der ihr mit
Recht zukommt.
Ein junges Exemplar des Lan-
nerfalken scheint auch bei Buf-
12
que, et les espèces qu'ils ont ran-
gées dans ce groupe sont les buses,
la cresserelle et les busards. 4/-
drovand décrit sous le nom de
Lanarius albus la soubuse.
Quant au lanier de Linne et de
Nilsson, cette espece est, selon
toutes les apparences, identique
avec le gerfaut de Norwége.
Brünnich et Mohr ont décrit
l’emerillon sous le nom de Falco
lanarius. Le lanarius de Pen-
nant est un jeune faucon com-
mun. Naumann et Pallasenfin ont
assez mal à propos conféré le nom
de lanier au sacre. Le lanier n’ay-
ant plus été apporté au centre
de l’Europe depuis le déclin de la
fauconnerie, cette espèce demeu-
rait ignorée de naturalistes et ce
ne füt qu’en 1829 que Mr. de
Feldegg en fit, pour ainsi dire
de nouveau la découverte lors
de son séjour en Dalmatie. Prise
par feu Natterer pour le faucon
pélérinoide, j'introduisis erro-
nément cette espèce parmi les
oiseaux d'Europe. Je reconnus
ensuite, après avoir examiné les
échantillons rapportés par Mr.
de Feldegg qu'ils appartiennent
à une espèce inconnue des natu-
ralistes, que je publiais sous le
nom de Falco Feldeggéé, sans
me douter que cette espèce füt
assez bien connue des fauconniers
et que Belon l'avait déjà de-
crite d’une maniere assez recon-
naissable. Avant reconnu notre
erreur, nous nous hatons d’in-
troduire cette espece sous le seul
nom qui lui convient à juste
titre.
Je remarque encore que l’oi-
seau représenté par Buffon, PE,
fon, Pl. ent. 470, unter dem
Namen faucon sors, und ein
Individuum in der Mauser im
zweiten Herbste bei Naumann ,
alte Ausgabe, IV, Tafeln in
Jolio, Taf. 14, fig. 22, als jun-
ger Vogel des sogenannten Tan-
nenfalken, (Falco abretinus ,
Bechst.) abgebildet zu seyn.
Wir haben kürzlich mehrere
Exemplare dieser Art aus Grie-
chenland erhalten. Ein jüngerer,
bei Hanau geschossener Vogel
steht im Mainzer Museum. Sie
stimmt ın Grösse und Bau, so
wie in den gegenseitigen Ver-
hältnissen der Theile, durchaus
mit Falco biarmicus Temm. ,
(Falco cervicalis, Licht. Mus.
Berol.) vom Cap, überein, un-
terscheidet sich aber standhaft,
von dieser Art durch ihre Farbe.
Auch scheint die erste Schwung-
feder beim Lannerfalken ver-
hältnissmässig etwas länger zu
seyn. Unter den europäischen
Falken hat sie höchstens , wegen
gleicher Grösse, einige Ahnlich-
keit mit Falco communis , ist
aber leicht von dieser Art durch
ihren verhältnissmässig länge-
ren Schwanz, kürzere Zehen,
schmalen Backenstreif, grössere,
weichere Federn der Uniertheile ,
und durch die roströthliche
Färbung des Nackeus zu unter-
scheiden. Sie gehört daher zu
der Gruppe der grösseren, lang-
schwänzigen Edelfalken, Falco
candicans, islandicus , gyrfalco
sacer, lanypterus, cervicalis,
etc., welche sich von den grös-
seren kurzschwänzigen Arten,
Falco peregrinus und dessen
13
t
ent. 470, sous le nom de Faucon
sors, paraît être un jeune lanier ;
tandis que celui figuré par Nau-
mann, 1” édit., Planches en
in folio, Pl. 14, fig. 22, com-
me le jeune du soi-disant faucon
des sapins, (Falco abietinus
Bechst.), est probablement un
jeune individu du lanier en
mue.
Nous venons d’en recevoir plu-
sieurs individus recueillis en Gre-
ce. J’en ai vu au Musée de May-
ence un jeune individu tué près
de Hanau. Cette espèce est tout-
a-fait semblable, en ce qui con-
cerne sa taille et les proportions
relatives de ses parties, au Falco
biarmicus, Temm., (ou F. cer-
vicalis, Licht. Mus. de Berlin)
du Cap de B. Espér., mais elle
s’en distingue constamment par
les teintes. Il paraît aussi que la
premiere remige est, proportions
gardées, un peu plus longue dans
le lanier que dans l'espèce du Cap.
Quant aux diverses espèces des
faucons d'Europe, le lanier
n'offre entre elles aucune ana-
logie, si ce n’est qu'il ressem-
ble par sa taille au faucon
commun, dont ilse distingue ce-
pendant facilement par sa queue
plus longue, par des doigts plus
courts, par la tache en moustache
assez étroite, par les plumes des
parties inférieures qui sont plus
larges et plus molles, et par la
couleur de la nuque qui tire sur le
rougeätre. On voit par ces détails
que cette espèce appartient au
groupe des faucons nobles à
longue queue: Falco candicans
islandicus , gyrfalco, sacer, ta-
nyplerus, cervicalis, etc., qui
Racen, und F, peregrinordes,
durch einen längeren Schwanz,
kürzere Zehen, schmäleren Bac-
kenstreif, und. grössere weiche-
re Federn der Untertheile, un-
terscheiden.
(5). FALCO communis. Der
Schlechtfalke scheint fast über
alle Länder des Erdbodens ver-
breitet zu seyn, aber je nach der
Locahität mehr oder weniger
abweichende Racen zu bilden.
So sind z. B. die am Vorgebir-
ge der guten Hoffnung lebenden
Schlechtfalken den unsrigen in
Bau und Färbung durchaus ähn-
lich,. aber standhaft so viel klei-
ner, dass das Weibchen des Gap’-
schen Schlechtfalken die mittel-
mässig grossen Männchen deseuro-
päischen Schlechtfalken an Grös-
se nicht übertrifft. Der Schlecht-
falke von Nordamerika, (siehe
Wilson Pl. 76 und Audubon
P1.16), wird von Ch. Bonapar-
te, List, p. 4, für eine eigene
Art gehalten, welche er Falco
anatum nennt, ohne die Art-
kennzeichen derselben anzuge-
ben. Es scheint in der That, als ob
der nordamerikanische Schlecht-
falke gewöhnlich in der Färbung
etwas abweiche, indem auf den
Obertheilen das Braun, auf den
Untertheilen ein blasses Rostroth
vorherrscht, und das Schwarz
des Backenstreifes sich gewöhn-
14
lich über die ganze Ohrgegend |
verbreitet. Indessen kommen ın
Nordamerika auch Schlechtfal-
ken vor, welke in der Färbung
den unsrigen durchaus ähnlich
sind: ein solches Individuum steht
se distinguent du faucon com-
mun et des especes ou races voi-
sines par une queue plus longue,
des doigts plus courts, une tache
en moustache plus petite, et par
les plumes plus larges et plus
molles des parties inférieures.
(5) FALCO communis. Il pa-
rait que cette espèce est répartie
dans presque toutes les parties
du globe, mais qu’elle forme,
suivant les contrées qu’elle ha-
bite, des races plus ou moins
disparates. Les faucons com-
muns, par exemple, que produit
l'Afrique méridionale, quoique
tout-à-fait semblables au nôtre
par leur organisation et leurs
teintes, sont constamment d’une
taille moins forte, la femelle du
faucon commun du Cap ne sur-
passant pas en grosseur le mâle
de notre faucon d'Europe. Quant
au faucon commun de l’Amérique
du Nord, (voir Wilson, Pl. 76et
Audubon, PT. 16), Ch. Bonapar-
te, List, p. 4, le sépare du nôtre
sous le nom de Falco anatum, tou-
tefois sans motiver son opinion. Il
parait en effet que ce faucon
d'Amérique s'éloigne du nôtre par
de légères différences dans la dis-
tribution des teintes, en ce que
ces teintes sont dans le premier,
sur les parties supérieures, d’un
brun foncé, sur le dessous d’un
brun ferrugineux pale, et que
le noir de la tache en mousta-
che s'étend ordinairement sur
toute la région des oreilles. Mais
il existe également dans l’Amé-
rique du Nord des faucons qui
ressemblent parfaitement au nôtre
par leurs teintes ; j’ai vu un pa-
im Berliner Museum. Die in Hinter-
indien und in Neuholland leben-
den Schlechtfalken scheinen nicht
selten den nordamerikanischen
in der Färbung zu ähneln, nur
mit dem Unterschiede, dass bei
denselben die Farbe der Ober-
theile, statt ins Braune, in das
Schwarze zieht: Falco melano-
genys, Gould, Birds of Austra-
lia, Tafel ohne Nummer. Von
den sechs Individuen unsrer
Sammlung sind jedoch nur zwei
Weibchen so gefärbt; die übri-
gen, beiderlei Geschlechtes, äh-
neln unserm Schlechtfalken voll-
kommen. Es scheint daher, dass
man den nordamerikanischen und
indischen oder neuholländischen
Schlechtfalken mit eben so weni-
gem Rechte als eigne Art anneh-
men kann, als die schwarze Va-
rietät des europäischen Schlecht-
falken.
In Nubien kommt eine klei-
nere, dem Schlechtfalken im
Bau verwandte Art, mit braun-
rothem Genicke und gelb-röth-
lichem Anfluge auf den Unter-
theilen vor: Es ist dies Falco pere-
grinordes, Temm., Pl. col. 479,
die wir, durch falsche Mittheilun-
gen irre geleitet, als europäisch
aufgeführt haben: siehe Schleg.
u. Susem., Nat. d. Vögel Eur.
p. 39, Pl.9, Fig..
(6) FALCO ELEONORAE. Die-
se ausgezeichnete Art, welche zu
15
reil individu dans les galeries du
Musée de Berlin. Les faucons
communs qui viennent du grand
Archipel des Indes et de la Nou-
velle Hollande paraissent se rap-
porter à ceux de l'Amérique du
Nord, et n’en différer que par
la teinte noirätre, souvent uni-
forme des parties supérieures ;
cette variété a été decrite et fi-
gurée par Gould sous le nom de
Falco melanogenys, dans son
ouvrage sur les oiseaux de l’Au-
stralie. Nous en possedons six
individus dont deux femelles seu-
lement offrent une distribution
semblable à celle que nous ve-
nons d'indiquer; les quatre au-
tres, tant males que femelles,
ressemblent parfaitement au fau-
con commun d'Europe. Il me
semble , d’après ce que je viens de
dire qu’en érigeant au rang
d'espèces les variétés dont nous
venons de parler, il convient
également de séparer de notre
faucon la variété à joues noires,
qui se trouve en Europe.
La Nubie nourrit une espèce
voisine du faucon commun mais
d’une taille beaucoup moins for-
te, à nuque d’un brun rougeä-
tre et à parties inférieures tirant
sur le jaune rougeätre. C’est le
Falco peregrinoides, Temm.,
Pl. col. 479, espèce que nous
avons introduite à tort, mduits en
erreur par des communications
erronnées, parmi les oiseaux
d'Europe: voir notre travail dans
Susemihl, Hist. Nat. des ots.
d'Europe, p. 39, Pl. 9, fig. 1.
(6) FALCO ELEONORAE. On
ne peut nier que cette espèce
der Gruppe der langflügligen
Edelfalken (Falco subbuteo, con-
color, Aldrovandii u. s.
gehört, hat zwar mit Falco con-
color in der Färbung grosse
Ähnlichkeit, ist aber viel grös-
ser, und hat verhältnissmässig
einen viel längeren Schwanz.
Folgendes die Maasse ei-
nes alten weiblichen Vogels aus
Griechenland.
Ganze Länge . . . . . 15”
Länge der Flügel . . . 12 6!"
» desSchwanzes. . 6” 10
» der Mittelzehe . . 1” Zu
» des Nagels dersel-
ben 61”
» des So Delson
Mundwinkel... 1”
sides Lattes a LME
Abstand von der Spitze
der ersten zur Spit-
ze der zweiten
Schwinge . . . .
» von der Spitze der
dritten zur Spit-
ze der zweıten
Schwinge . . ..
iv
7
1710
6;
Das Weibchen von Falco con-
color hat dagegen folgende
Maasse :
Ganze Länge . . . . . 13”
Länge der Flügel . . . 10’ 6
des Schwanzes. . 5 2
des Laufes . . . . 1” 42
der Mittelzehe . . 1”
des Nagels dersel-
Bean. de. Br
» desSchnabels . . 10’”
III
Der Schwanz von Falco Eleo-
w.) |
aim
remarquable qui appartient au
groupe des faucons nobles à lon-
gues ailes (Falco subbuteo, con-
color, Aldrovandii etc.) n'offre
assez d’analogie, par rapport à ses
teintes, avec le faucon concolore;
mais elle est d’une taille plus
considérable, et sa queue est
beaucoup plus longue.
Voici les mesures prises sur
une vieille femelle de cette es-
pèce, tuée en Grèce.
Longueur totale . . . 15”
» des ailes e els Me 12 6
» delaqueue ... 610
» dudoigtdemilieu. 1” 3
» desonongle ... 61
» du bec depuisl’an-
gle de la bouche . 1”
» dutarse 1.5"
Distance de Vestéalits
de la première jus-
qu'à l'extrémité
de la deuxième ré-
mige .
» entre les extrémi-
tés de la troisième
et de la deuxième
rémige . etre tie et
114
A
ım
6;
La femelle du faucon conco-
lore offre au contraire les dimen-
sions suivantes :
Longueur totale . . . 13”
» des ailes: LE} 10” 6
» de la'queues 7/45. BAER
» dutarse 4311
» dudoigtdemilieu. 1” 23
» de son ongle . . . Be
» u AU) bee an ae 10
La queue du faucon Eleonore
norae ist mit 14 bis 15, der von
F. concolor nur mit 10 bis 11
Querbinden versehen. Der Schna-
bel ist, bei ersterer Art, stärker
seitlich zusammengedrückt. Die
Füsse ziehen bei F. Eleonorae
in das Grünlichgelbe, bei Falco
concolor sind sie rein gelb. End-
lich spielt die Färbung des Ge-
fieders, bei F. Eleonorae, weni-
ger in’s Aschgraue als bei F. con-
color.
Wir wollen nun noch die Un-
terscheidungskennzeichen dieser
beiden Arten angeben.
Farco ErronoRAE. Männchen:
Flügel 11”, Schwanz 6”. Weib-
chen : Flügel 121”, Schwanz
63. Gestalt Suusserst schlank. Füs-
se verhältnissmässig zart. Steuer-
federn auf der ınnern Fahne
mit 14 bis 15 Querbinden. Jung:
dunkelbraun, die Brust- und
Bauchfedern röthlichbraun ge-
säumt. Stirn, Kehle, Vorderhals
und Hosen, hell röthlichbraun ;
erstere mit dunkeln Längsflec-
ken, letztere mit dunkeln Quer-
flecken. Backenstreif undeutlich.
Alt: bis auf die hellen Querbin-
den des Schwanzes, einfärbig
schwärzlichbraun, mit grauem
Anfluge.
In Sardinien, Griechenland
und Syrien beobachtet.
Farco concorLor, Temm., Pl.
col. 330; Gould, Birds of Eu-.
rope, Pl.25,; Swainson , Birds
of Western Afrika I, Pl. 3.
Männchen: Flügel 104”, Schwanz
2.
F7
est orné de 14 à 15, celui du
Faucon concolore seulement de
10 à 11 bandes transversales.
Le bec est plus fortement dé-
primé dans la premiére espèce.
Les serres tirent au jaune ver-
dätre dans cette espèce, elles
sont d’un jaune pur dans le fau-
con concolore. Les teintes du
plumage de cette dernière espèce
enfin tirent plus fortement sur le
gris-cendré que dans le faucon
Eleonore. |
On peut en consequence de ce
que nous venons de dire, eta-
blir les traits distinctifs de ces
deux especes, comme suit:
Fazco ELreonorAr. Male: ailes
11”; queue 6”; Femelle: ailes
123”; queue 657. Formes élan-
cées. Serres, par rapport à la taille
de l’espèce, peu robustes. Pen-
nes de la queue portant 14 à 15
bandes transversales sur la barbe
interne. Jeune: d’un brun fon-
cé, plumes de la poitrine et du
ventre liserées de brun rougeà-
tre. Front, gorge, der du
cou et plumes des jambes, d’un
brun-rougeätre clair, couvertes de
taches longitudinales foncées, qui
prennent la forme de taches
transversales sur les plumes des
jambes. Tache en moustache peu
distincte. Adulte: à l'exception
des bandes claires de la queue,
d’un brun-noirätre uniforme ti-
rant sur le gris.
Observé en Sardaigne, en Gre-
ce et en Syrie.
Fazco concorLor, Temm., Pl.
col. 330; Gould, Bere of Eu-
rope, PI. 25 ; Sbainson, u
of Western Afrika, L,.B2,
Mâle, ailes 101”, queue 5”. À
2
5. Weibchen: Flügel 101%,
‚Schwanz 547. Gestalt des Baum-
falken. Steuerfedern mit 10 bis
11 Querbinden auf der inneren
.Fahne. Ubrigens fast einfärbig
schwärzlich , ın’s bräunliche zie-
hend und mit starkem asch-
grauem Anfluge, besonders auf
dem Rücken und auf den Schul-
tern.
Auf der Insel Barakan im ro-
then Meere, und ım westlichen
Afrıka beobachtet.
Die Angaben, dass Falco con-
color in Europa gefunden wird,
beruhen, allem Anscheine nach,
auf einer Verwechslung dieser
Art mit Falco Eleonorae. Es
muss daher Falco concolor wie-
derum aus dem Verzeichnisse der
europäischen Vögel gestrichen
werden.
Falco Eleonorae ist übrigens
eine schon seit Jahrhunderten
bekannte Art. Arlalouche de
Alagona , sicilischer Schriftstel-
ler des funfzehnten Jahrhun-
derts, erwähnt derselben, p.
89, unter dem Namen Saphir-
falke. D’ Arcussia , p. 52 et 53,
beschreibt sie unter dem Namen
faucon tagarot. Huber, Obser-
vations, p. 15, fig. 16, bildet
sie selbst ab, aber unter dem
falschen Namen Alethe, den
d’ Arcussia eingeführt hat, um ei-
nen Raubvogel von den Azoren
zu bezeichnen.
Wir erhalten so eben, nach-
dem unser Werk bis hierher ab-
gedruckt war, die vortrefllichen
Beiträge zur Ornithologie Grie-
-chenlands von Heinrich Graf
von der Mühle, Leipzig, Ernst
18
melle, ailes 101”, queue 5im,
Port du hobereau. Pennes de la
queue pourvues, à la bande in-
terne, de dix à ouze bandes trans-
versales. Plumage d’un brun-noi-
rätre foncé, tirant fortement au
gris, notamment sur le dos et
sur les épaules. dos
Observé dans l’Afrique occi-
dentale et à l'ile Baracan si-
tuée dans la mer rouge.
En constatant que cette espè-
ce se trouve en Europe, on l’a, se-
lon toutes les apparences, confon-
due avec le Faucon KEleonore.
Il s'ensuit qu’il convient de rayer
de la liste des oiseaux d'Europe
le Faucon concolore.
Nous ajoutons ici que le Fau-
con Eleonore est une espèce con-
nue depuis des siècles. Aréalou-
che de Alagona, auteur Sicilien
du quinzième siècle, en parle,
p.89, sous le nom de Faucon Sa-
phir ; d’ Arcussia , p.52 et 53, la
décrit sous le nom de Faucon ta-
garot; Huber, Observations, p.
15, fig. 16, en donne même une
figure, mais sous le faux nom
d’Alethe, que d’Arcussia avait
employé antérieurement pour dé-
signer un autour originaire, à ce
qu'il paraît, des iles Acores.
L’excellent ouvrage de Mr.
von der Mühle, intitulé, Beiträ-
ge zur Ornithologie Griechen-
lands, Leipsick, E. Fleicher,
1844, 8°., nous étant parvenu
avant de mettre sous presse les
Fleischer, 1844, 8°, und beei-
len uns, in unsern Noten das Nö-
thige aus diesem Werke nach-
zutragen. Nach diesem Schrift-
steller kommt der Schlechtfalke,
{Falco peregrinus, p. 13), das
ganze Jahr hindurch, einzeln ın
Griechenland vor. Der, als Falco
peregrinoides aufgeführte Vogel,
dürfte wohl als ein altes Männ-
chen unseres Falco lanarius zu
betrachten seyn. Ob der Falco
dantarius des Herrn von der
Mühle, p.14, wirklich zu die-
ser Art oder zu Falco sacer ge-
hört, kann erst durch nähere
Untersuchungen bestimmt wer-
den. Falco concolor , ibid., ıst
ohne Zweifel zu F. Eleonorae
zu ziehen, da auch wir diese
Art, und nicht die erstere, aus
Griechenland erhielten.
(7) FALCO TINNUNCULUS. Sie-
he über die ausländischen Ra-
cen oder verwandten Arten des
Thurmfalken, was wir in Suse-
mihls, Vög. Eur., p. 45, Note,
gesagt haben.
(8) FALCO CENCHRIS. Wir
erhielten, aus Steiermark, junge
Vögel dieser Art imNestkleide Sie
scheint daher im südöstlichen
Europa zu brüten. Sérickland,
Proceed. Zool. Soc., 1836, p.
97, sagt, dass sie in Klein-Asien
ihr Nest auf den Dächern der Häu-
ser anlege. Nach von der Mühle,
p- 16, brütet sie in Griechenland
ebenfalls unter Hausdächern.
19
dernieres feuilles de notre revue,
nous sommes à même d’en pro-
fiter pour nos notes critiques.
Quant au faucon commun, l’au-
teur que nous venons de citer,
affirme que cette espèce (Falco
peregrinus, p. 13), se trouve,
quoique en petit nombre, pen-
dant toute l’année, en Grèce, L’oi-
seau, pris par Mr. von der Mühle
pour le Falco peregrinoides , ne
paraît être qu’un vieux mäle de
notre lanier; et les individus
dont il fait mention en parlant
du Falco lantarius, p. 14, pour-
raient bien encore se rappor-
ter au lanier et au sacre. L’oi-
seau enfin, que Mr. von der Müh-
le a indiqué sous le nom de F.
concolor , est probablement iden-
tique avec le F. Eleonorae, que
nous avons également reçu de la
Grèce sous le nom de Faucon
concolore.
(7) FALCO TINNUNGULUS. On
peut consulter, par rapport aux
races exotiques où aux espèces
voisines de la cresserelle, les in-
dications que nous en avons four-
nies dans l'ouvrage de Susemihl,
p. 45, note.
(8) FALCO CENCHRIS. Nous
en venons de recevoir,de la Styrie,
plusieurs jeunes mdividus, encore
en partie couverts de duvet. On
doit conclure par cela, que cette
espèce niche dans les parties
chaudes de l’Europe orientale.
Suivant Sérickland, Proceed.
Zool. Soc. , 1836, p. 97, elleéta-
blit son aire, dans l’Asie mineu-
re, sur les toits des habitations.
Elle niche, suivant von der Müh-
(9) Jardıne und Selby, Zool.
Tllustr., Pl. 66, haben unter
dem Namen SPIZAETOS CRIS-
TATELLUS, Zemm., einen Ad-
lerhabicht, oder wenn man will,
einen Rauchfusshabicht abgebil-
det, der aber von Falco eris-
tatellus, Temm., Pl. col. 282,
verschieden ist, und wahrschein-
lich als älterer Vogel zu einer
der noch wenig bekannten, das
Festland Indiens bewohnenden
Adlerhabichte, gehôrt. Das von
Jardine und Selby abgebildete
Individuum wurde an den Küsten
England’s erlegt. Das entfernte
Vaterland dieser Art macht es
wahrscheinlich, dass das fragliche
Exemplar ein Entkommenes war.
Wir führen daher diesen Vogel
vor der Hand noch nicht als eu-
ropäisch auf, um so mehr, da
diese Gruppe erst gründlich stu-
dirt zu werden verdient, ehe man
sich schmeicheln darf, die Arten
gehörig zu unterscheiden. Siehe,
was wir über diese Gruppe in
Susemihl’sV ögeln Europ. gesagt
haben. Wir erwähnen hier nur
noch, dass schon Ray, in Wil-
lughby's Ornith., Cap. IX, Art.
XII, p.48, eine Art dieser Gat-
tung unter dem Namen Falco
indicus cirratus beschrieben hat,
welche Art aber von den neuern
Naturforschern ganz übersehen
wurde.
10) Der nordamerikamische
Taubenhabicht, Falco atricapıl-
lus, Wilson, PI.52, fig. 3;
Falco regalis, Temm., Pl. col.
20
le, p. 16, en Grèce, de la même
maniere. |
(9) L’aigle-autour figuré par
Sardine et Selby, sous le nom de
SPIZAËTOS CRISTATELLUS, dif-
fere, par l’espèce, de l'oiseau
donné sous ce même nom par
Mr. Temminck, voir Pl. col. 282.
Cet individu tué sur les côtes de
l'Angleterre appartient probable-
ment à quelqu’une des espèces
encore mal déterminées d’aigles-
autours du continent de l’Inde,
ce qui me fait penser qu'il s'était
échappé d’une ménagerie. Les
diverses espèces du genre des ai-
gles-autours étant encore peu étu-
diées, nous n’avons pas introduit
parmi les oiseaux d'Europe celle
dont MM. Jardine et Selby font
mention. Nous avons donné quel-
ques indications sur ce groupe
dans l'ouvrage de Susemihl, et
nous ajoutons ici que l’espece la
plus anciennement connue de ce
genre est celle que Ray a décrite
dans Willougshby, Ornith., chap.
IX, art. XII, p. 48 , sous le nom
de Falco indicus cirratus, espèce
totalement omise par les naturalis-
tes modernes.
(10) L’autour commun de l’A-
mérique du nord, Falco atrica-
pillus, Wilson, PI. 52, fig. 3;
Falco regalis, Temm. Pl. col.
495; F. palumbarius Audubon ,
Pl. 141 ; Fauna bor. am. Pl. 26 ;
Jard. u. Selby, Zool. Ill., Pl.
121, bildet eine, unserm Tauben-
habicht zwar verwandte, aber
durch zahlreiche, feinere Wellen-
Iinien der Untertheile abwei-
chende Art. In Japan kommt em
Taubenhabicht vor, der uns aber
bloss aus Abbildungen bekannt
ist.
(11) Der amerikanische gemei-
ne Sperber, Falco velox et penn-
sylvanicus, Wilson, PI. 45,
Jig.1 (jun.) und Pl. 46, fig. 1
(ad.) *); Audubon, PI. 374;
PI. col. 74 (jun.),, scheint sich
von dem Unsrigen nur dadurch
zu unterscheiden, dasser ein we-
nig kleiner ıst, und dass im Ju-
gendkleide die Zeichnung et-
was abweicht , indem die Flecke
der Untertheile eine thränenför-
mige Gestalt haben.
Der südafrikanische, gemeine
Sperber, Falco exilis, Temm.,
Pl. col. 496, scheint sich eben-
falls von dem Unsrigen nur da-
durch zu unterscheiden, dass die
Untertheile im Alter eine rost-
röthliche Grundfarbe haben, auf
der die etwas dunkleren Flecke
wie verwischt erscheinen.
(12) ASTUR GcaBar. Exem-
plare dieser Art aus Griechenland
ım Niederländischen und Mainzer
Museum.
*) Aber nicht F. pennsylvanicus ‚ibid.,
Pl.54, fig.1, was, nach Bonap., List,
p.3, ein Buteo ist.
495; Falco palumbarius, Au-
dubon, Pl.141; Fauna bor. amer.,
P1.26; Jard. et Selby , Zool. Ill.,
Pl. 121, differe de celui d’Europe
par ses parties inférieures couver-
tes de raies transversales plus dé-
licates et plus nombreuses. Le
Japon produit une troisième es-
pèce ou race semblable à celle
d'Europe, mais qui ne nous est
connue que par des figures.
(11) L’Epervier commun de
l'Amérique du nord, Falco velox
et pennsylvanicus, Wilson, Pl.
45, fig. 1 (jeune individu) et Pl.
46, fig. 1 (adulte) *); Audubon,
PI. 374; Pl. col. 74 (jeune indiv.),
ne me parait différer de celui
d'Europe que parce qu’ilest d’une
taille un peu moins forte, et par-
ce que les taches des parties infe-
rieures sont, dans les jeunes de
l’année, en forme de larmes.
L’Epervier commun du Cap de
Bonne Espérance, Falco exihs ,
Temm., Pl. col. 496, ne semble
seloigner de celui d’Europe que
par les teintes un peu diverses
qu'offrent les parties inférieures
à l’âge adulte; ces parties étant
d’un rougeätre ferrugineux , rele-
ve par des taches un peu plus
foncees et assez indistinctes.
(12) asTur GaBar. Le mu-
sée des Pays-Bas et celui de Ma-
yence possèdent des individus de
celte espèce; ıls ont été tués en
Grèce.
*) Mais non pas le Falco pennsylva-
nicus, ibid, Pl. 54, fig.1, qui appar-
tient, selon Ch. Bonaparte, List, p.3,
au genre Buteo.
(13) Die amerikanische Korn-
weihe: Falco uliginosus, Wil-
son, Pl. 51, fig. 1 (jun.); Ch.
Bonap., ibid. Pl. 12 (altes Männ-
chen; Varietät mit wellenförmi-
gen, verwaschenen Flecken auf
den Untertheilen); Falco cyaneus,
Fauna boreali amer., Pl. 29,
(altes Männchen mit punktarti-
gen Flecken); Audubon, Pl.
896 , /ig. 1, (altes Männchen , mit
ungefleckten Untertheilen) ; Falco
histrionicus, Uranie, Zool., Pl.
16, (jun.), Pl. 15 (altes Männ-
chen, mit Querbändern auf den
Untertheilen), weicht von unse-
rer Kornweihe durch etwas hö-
here Läufe ab. Beim alten Männ-
chen sind gewöhnlich alle Un-
tertheile, von der Brust abwärts,
mit zahlreichen rostbraunen Flec-
ken oder Querbinden versehen.
Richardson fand diese Weihe
bis hinauf zum grossen Bärensee,
Wilson und Audubon in vielen
Theilen der vereinigten ‚Staaten
Nordamerika’s, die französischen
Reisenden brachten sie von den
Falklandsinseln mit, und wir er-
hielten sie von St. Domingo.
(14) CIRCUS CINERACEUS PAL-
LIDUS. Dieser Vogel stimmt hin-
sichtlich seines Baues, der Ver-
hältnisse der Schwungfedern ,
und überhaupt in jeder Hinsicht,
bis auf die etwas blässere Fär-
bung, durchaus mit Circus cine-
raceus überein, und bildet, wenn
man will, eigentlich nur eine
22
(13) Le Busard St. Martin de
l'Amérique a été décrit sous les
noms suivans : Falco uliginosus,
Wilson, PI. 51, fig. 1, (jeune
ind.), Ch. Bonap., 1bid, PI. 12,
(mâle adulte, variété à taches on-
duleuses et obsolètes sur les par-
ties inférieures; Falco cyaneus,
‚Fauna bor.amer., PI, 29, (mä-
le ad. à petites taches orbiculai-
res); Audubon, PI. 356, fig. 1,
(mâle adulte, à parties inférieu-
res dépourvues de taches); Fal-
co histrionicus, Uranie, Zool.,
PI.16, (jeuneind.), PJ. 15, (mâle
adulte, aux parties inférieures
transversalement rayées). Cette
espèce se distingue , dans tous les
ages, du busard St. Martin d'Eu- :
rope, par des tarses plus élevés.
Le vieux male a ordinairement
toutes les parties inférieures, à
parür de la poitrine, ornées de ta-
ches nombreuses, soit orbiculai-
res, soit transversales, d’un brun
ferrugineux. Richardson a ren-
contre cette espèce jusquesur les
bords du grand lac aux ours; elle
se trouve, suivant Wilson et Au-
dubon, dans une grande partie
des états-unis de l'Amérique du
nord; les voyageurs français l’ont
rapportée des iles Falkland, et
notre musée en a recu des .indivi-
dus tués à St. Domingue.
(14) CIRCUS CINERACEUS PAL-
Lipus. Ce busard ne differe du
busard Montagu que par ses tein-
tes plus päles, et n’en forme, à
proprement parler, qu’une variété
locale de cette dernière espèce.
C’est donc à tort qu’on l’a com-
paré au Busard St. Martin,
dont il s'éloigne par ses ailes plus
23
klimatische Varietät dieser Art.
Man hat sie daher mit Unrecht
bis jetzt immer mit der Kornwei-
he verglichen, von der sie eben
so sehr abweicht als die Wie-
Man vergleiche, was
senweihe.
wir früher über diese Art im
Susemihl's Werk gesagt haben.
(15) aquıLa ruLva. Nelsson
ist der Meinung, dass es im Nor-
den eine zweite Art Steinadler
gebe, die sich vorzüglich durch
einen etwas kürzeren Schwanz
vom gemeinen Steinadler unter-
scheiden soll. Wir haben uns bıs
jetzt noch nicht von dem Be-
stehen dieser Art oder Nebenart
überzeugen können. Es ist diess:
Falco chrysaëtos, Nilsson, Il-
lum., Figur., Haft 5, pl.16;
Skandinavisk Fauna, Foglarna,
T,p. 44.
(16) Die von G@loger , Handb.
68, erwähnte vermeintliche
Varietät der Aquila imperialıs
vom Vorgebirge der guten Hoff-
nung (? Falco obsoletus, Licht.)
gehört, wie wir uns durch eigene
Ansicht überzeugten, nicht hier-
her, soudern zu Falco (Aquila)
rapax, Temm., Pl. col. 455. —
Nach von der Mühle, p. 21,
Anmerkung, soll in en
land nur Æquila fulva, nicht
aber A. imperialis vorkommen.
(17) aquırLa Bonerru. Wir
machen hier noch einmal darauf
aufmerksam, dass das Haupt-
kennzeichen dieser Art ın der
bedeutenden Länge ihrer Zehen
liegt. Siehe hierüber unsere An-
_rope ».
pointues, ainsi que par la longueur
respective des grandes rémiges.
On peut consulter ce que nous
avons dit de cette espèce dans
notre travail sur les oiseaux d’Eu-
accompagnant l’ouvra-
ge iconographique publié par Mr.
. Susemthl.
(15) aguıza FuLvA. Nilsson
suppose qu'il existe deux espèces
d’aigles communs habitant le nord
de l’Europe; il appelle l’une Fal-
co chrysaëtos, l’autre Falco ful-
vus, et prétend que la première
se distingue de celle-ci par une
queue moins longue. Nous n’a-
vons pas été à même de vérifier
les observations de Mr. Nilsson,
qui a publié des descriptions et
des figures de son Falco chry-
saëlos dans ses Z{lum. Fig., 5me
cahier, PI. 16, et dans le Skan-
_dénavisk Fauna , oiseaux, p.44.
(16) La prétendue variété de
l’Aigle impérial, origmaire du
Cap de Bonne Espérance, et in-
troduite par G@loger, Handb., p.
68, sous le nom de Falco obso-
letus Lichtenstein, appartient,
comme je l’aipu constater par l'au--
iopsie, au Falco rapax, Temm.
Pl. col. 455. — Mr. von der Müh-
le, p. 21, remarque que c’est
l'aigle commun et non pas l’aigle
impérial qui se trouve en Grèce.
(17) AQUILA BONELLII. Cette
espèce se reconnait facilement à la
longueur de ses doigts; nous ren-
voyons, pour de plus amples dé-
tails sur cet oiseau, à la descrip-
tion que nous en avons donnée
gaben in Susemihl, die Vögel
Europa’s, p. 54 Nach von
‘der Muhle, p. 19, ist diese Art,
nach dem Steinadler , die gemein-
ste in Griechenland.
(18) aquiza naervıa. Man
hält jetzt beinahe allgemein die,
auf den Flügeln und Unterthei-
len weıss oder bräunlichweiss
gefleckten , Schreiadler (F. ma-
culatus, Gmel.), für die jünge-
ren, die einfärbig braunen, (F.
naevius , (rmel.), für die alten
Vögel; allen Brehm, Vögel
Deutschlands, 1831, p. 27,
führt letztere als eigne Art, 4quila
pomarina, auf, welche auch
Fr. Boie, Isis, 1835, p. 259,
für selbständig hält. Ohne selbst
standhafte Kennzeichen zur Un-
terscheidung zweier Arten Schrei-
adler angeben zu können, und
ohne uns für die Meinung Brehm’s
und Boie’s zu erklären, glau-
ben wir doch darauf aufmerk-
sam machen zu müssen, 1) dass es
noch nicht durch direkte Beo-
bachtungen bewiesen ist, dass
die gefleckten Schreiadler mit
dem Alter einfärbig braun wer-
den; 2) dass einige gefleckte
Schreiadler vom Harz, welche
bei uns in der Gefangenschaft
leben, ihr sogenanntes Iugend-
kleid im vierten Jahre noch nicht
abgelegt haben, und 3) dass in
1)
gewissen Gegenden, wie z. B.
in der Provence und in Italien‘,
nach Temminck, Roux und CA.
L. Bonaparte, nur gefleckte
Schreiadier vorkommen, wäh-
rend wir aus andern Gegenden,
z. B. aus Ungarn, Abyssinien
und Indien nur ungefleckte er-
4
dans Susemihl, p.54. Le comte
von der Mühle, p. 19, rapporte
que cette aigle est, en Grece,
après l’aıgle commun, l’espece
la plus abondante.
(18) aqguıra NAEvVIA. On sait
que le plumage de l’aigle criard
est tantôt tacheté de blanc ou
de blanc brunätre, et tantôt d’un
brun uniforme, et que l’on re-
garde les individus tachetés, Fal-
co maculalus, Gmelin, comme
les jeunes de ceux à plumage uni-
forme, Falco naevius, Gme-
lin. Brehm cependant, Vôgel
Deutschlands, p. 27 et Boie,
Isis, 1835, p. 259, séparent de-
rechef les individus & teintes uni-
formes sous le nom de Aguzla
pomarina. N'ayant pu réussir à
découvrir des caractères con-
stants servant à distinguer ces
deux prétendues espèces, nous
ne saurions entrer pour le moment
dans les vues des savans que nous
venons de citer; il faut cepen-
dant convenir que l’on n’a pas
encore prouvé par des observa-
tions directes, que les individus
tachetés deviennent avec l’âge d’un
brun uniforme. Nous avons mé-
me vu plusieurs individus enle-
vés du nid sur les monts d’Hercy-
nie, qui à l’âge de quatre ans,
conservaient encore les taches
claires que l’on croît être le trait
distinctif des jeunes. D’ailleurs
plusieurs naturalistes, tels que
Temminck, Roux et Ch. Bona-
parte s'accordent à dire que l’on
n’observe en Italie et en Proven-
ce, que des aigles criards tache-
tés, tandis qu’il ne nous est venu
d’autres contrées, comme par
hielten, und Pallas der gefleck-
ten auch nur beiläufig und als
blosse Varietät erwähnt. — Es
ergiebt sich ausdiesen Thatsachen,
dass die vorliegende Frage nur
durch neue , an den Brüteplätzen
dieser Vögel, angestellte Beo-
bachtungen erörtert werden
kann. Wir erwarten daher die
baldige Entscheidung dieser Fra-
ge durch wahrheitsliebende Na-
turforscher.
Die neuerlich durch von der
Mühle, p. 19, Anmerkung , mit-
getheilten Andeutungen über zwei
Arten Schreiadler in Europa, sind
unzureichend , Licht auf diese
schwierige Frage zu werfen.
(19) aquırLa pennara. Es
bleibt dieser Adler, ungeachtet al-
ler Forschungen , immer noch ei-
ner der seltensten Vögel, dessen
Brüteplatz noch nicht mit Gewiss-
heit ermittelt ist, und der über-
all, wo man ihn beobachtete,
sowohl in Europa als in Afrika,
nur zufällig angetroffen wurde.
Dass dieser Vogel zuweilen mit
dem Rauchfussbussard, Buteo la-
gopus, verwechselt wurde, davon
haben mich neuere Erfahrungen
überzeugt. Wir empfehlen daher
weniger Geübten, bei vorkom-
menden Fällen , die bis jetzt über-
sehenen Kennzeichen, welche
wir für diese Art in Susemihl,
Vögel Europa's, p. 57 aufgestellt
haben, zu berücksichtigen, und
in’s Besondere darauf acht zu
geben, dassdie Läufe des Zwerg-
adlers, wie die aller andren Ad-
ler, rings herum dicht befiedert
25
exemple de la Hongrie, de l’A-
byssinie et des Indes, que desin-
dividus à teintes unıformes; aussi
Pallas ne parle-t-il qu’en pas-
sant des individus tachetés qu'il
regarde comme formant une sim-
ple variété accidentelle. Il ré-
sulte de l'exposé de ces faits, que
l'histoire naturelle de l’espèce
dont nous parlons, ne peut guère
être éclaircie que par des obser-
vations faites sur les lieux que
fréquente cet aigle pendant l’épo-
que de la propagation.
Les indications contenues dans
l'ouvrage de Mr. von der Mühle,
p. 19, sur l'existence de deux
espèces voisines d’aigles criards
sont insuflisantes pour éclaircir
cette question difficile.
(19) aquiLa PENNATA. Cette
espèce, dont on ignore jusqu’à
présent la véritable patrie, ap-
partient au nombre des plus
rares et n’a été observée qu’ ac-
cidentellement, soit en Europe,
soit en Afrique. Ayant été quel-
quefois confondue avec la buse
patue, il est bon de remarquer
qu'il existe un caractère assez
facile à saisir et au moyen du-
quel on peut distinguer ces deux
oiseaux dans tous les âges. Il suf-
fit, pour éviter des erreurs , d’exa-
miner les tarses de ces oiseaux;
ceux de l'aigle botié étant, com-
me dans tous les aigles, revêtus de
plumes de tous côtés, tandis que
ceux de la buse patue sont pour-
vus, tout le long de leur face pos-
térieure, de plaques assez lar-
ges. Nous renvoyons pour les
autres traits distinctifs de cette
espèce à la description que nous
sind, während, bei sorgfältiger
Untersuchung, die Läufe des
‘Rauchfussbussardes, auf der gan-
zen hintern Seite, mit grossen
Schildern bedeckt erscheinen.
Graf von der Mühle erhielt
einige Exemplare dieses Adlers
während seines Aufenthaltes in
Griechenland ; zwei andre Exem-
plare wurden in der Umgegend
Münchens geschossen ; Berträge,
p. 19.
(20) Den weissköpfigen See-
adler, FALCO LEUCOCEPHALUS,
Linne, haben wir aus der Reihe
der europäischen Vögel entfernt,
weil es uns erwiesen scheint,
dass diese Art ein ausschliessli-
cher Bewohner Nordamerika’s
ist, und kein sicherer Beweis
vorhanden ist, dass sich je Exem-
plare derselben nach Europa ver-
flogen haben. Die Beweggründe,
diesen Vogel als europäisch auf-
. zuführen, waren, ausser der An-
gabe Linne’s, dass er auch im
Norden Europa’s vorkomme, fol-
gende: 1.) dass die beiden, in der
vormalıgen Bullockischen Samm-
lung aufbewahrten weissköpfi-
gen Seeadler, die in die Samm-
lunger der abi) Temminck und
Laugier übergingen, auf den He-
briden geschossen worden seyn
sollen; 2.) dass ein Exemplar
dieser Art früher bei Zürich, ein
anderes bei Stuttgart geschossen
seyn sollte; 3.) dass Bore, Rer-
se, p. 189, während seines Be-
suches auf den Loffoden, Seead-
ler mit weissem Kopfe fliegen
sah, und sie für Falco leucoce-
phalus hielt. — Was die erste
Angabe betrifft, so wird diesel-
26
en avons donnée dans Susemihl,
Lie: lai Fat
Mr. le Comte von der Mühle a
recueilli plusieurs individus de
cet aigle en Grèce, et ce savant
fait en outre mention de deux
individus tués dans les environs
de Munich; voyez p. 19 de son
ouvrage.
(20) FALCO LEUCOCEPHALUS,
Linné. Comme il n’a jamais été
constaté d’une manière évidente,
que cette espèce eüt été obser-
vée dans la partie du monde
que nous habitons, nous avons
rayé de la liste des oiseaux d’Eu-
rope cet aigle-pêcheur, qui parait
habiter exclusivement l'Amérique
du nord. Les naturalistes mo-
dernes, en introduisant cette
espèce comme habitant de l’Eu-
rope, se sont d’une part appuyés
sur le témoignage de Linné qui
veut en effet que cette espèce
habite le nord de l’Europe; d’au-
tre part ils se laissaient guider
par les motifs suivans 1.) qu'il
existe deux individus de cette
espèce, conservés autrefois dans
la collection de Bullock, achetés
depuis par MM. Temminck et Lau-
gier et que l’on dit avoir été tués
sur les îles Hébrides; 2.) qu’on
prétend qu’autrefois on aurait
tué un individu de cette espèce
pres de Stuttgart et un autre
près de Zurich; 8.) que Mr. Fr.
Bote fait mention dans la rela-
tion de son voyage, p. 189, d’ai-
les-pécheurs qu'il a observés sur
les îles Loffodes et qui, vus à di-
be durch die vielfachen Unter-
suchungen der brittischen Natur-
forscher, nach welchen dieser
Vogel nie auf den Hebriden vor-
kommt, hinlänglich widerlegt.
Die, angeblich bei Zürich und
Stuttgart geschossenen Exempla-
re sind nie von irgend einem Na-
turforscher beschrieben worden,
und es ist noch gar nicht ausge-
macht, ob es nicht vielleicht
ganz alte weissschwänzige See-
adler waren, die man bekannt-
lich in früheren Zeiten, als die
Unterschiede beider Arten noch
nicht auseinandergesetzt waren ,
oft für weissköpfige Seeadler
hielt. Die Seeadler endlich, wel-
che Herr Boie auf den Loffoden
sah, waren offenbar alte weiss-
schwänzige Seeadler, deren
Kopf und Hals im Sommer,
durch das Ausbleichen und
Abreiben der Federn, eine fast
weisse Farbe erhalten ; denn Nils-
son sagt ausdrücklich, dass sich
der weissköpfige Seeadler nie
in Skandinavien findet, und zu-
folge der Privatmittheilungen des
Herrn Dr. Rasch in Christiania,
der wiederholt und auf länge-
re Zeit die Loffoden besuchte,
kommt auf diesen Inseln nur der
gemeine Seeadler vor. Übrigens
ist es schon deshalb ungereimt,
den weissköpfigen Seeadler zu
einem Bewohner des Nordens
Europa’s machen zu wollen, weil
er, als Zugvogel, im Winter, wie
der weissschwänzige Seeadler,
das feste Land Europa’s besu-
chen würde, was aber nicht der
Fall ıst; denn die vermeintlichen
Jungen Vögel dieser Art, welche
man in Deutschland und Frank-
stance, paraissaient avoir la tete
blanche. — Quant à la premiere
assertion, il a été constaté par
tous les naturalistes anglais, que
Vaigle-pöcheur à tête blanche
n’habite pas les iles Hébrides.
Pour ce qui regarde les indivi-
dus tués, à ce qu’on prétend, pres
de Stuttgart et de Zurich, ces
individus n’ont jamais été dé-
criis par aucun naturaliste, ce qui
me fait penser que ce n'étaient
tout simplement que de très-vieux
individus de l’aigle-pecheur com-
mun, espèce que l’on a, com-
me le sait tout le monde, long-
temps confondue avec celle de l’A-
mérique du nord. Je crois enfin
que Mr. Boie s’est trompé en
prenant pour des aigles à tête
blanche, ceux qu’il a observés sur
les iles Loflodes; car Mr. Nils-
son dit expressément que cette
espèce ne se trouve jamais en
Scandinavie et le docteur Rasch
de Christiania, qui a visité à plu-
sieurs reprises ces îles et y a fait
un séjour assez considérable, me
mande que les aigles-pécheurs
qui y habitent appartiennent à
l'espèce commune. Mr. Boie au-
ra probablement vu de très-vieux
individus de cette dernière espè-
ce, dont la tête et le cou avaient
pris une teinte très-claire par
l’action du jour , phénomène tres-
apparent, avant la mue, dans
la plupart des oiseaux. Quoiqu'il
en soit, il y a encore d’autres
motifs qui militent en faveur de
notre opinion que l’aigle-pecheur
à tête blanche n’habite pas l’Eu-
rope septentrionale. S'il en était
ainsi, cette espèce, qui appartient
au nombre de celles qui émi-
reich angetroffen haben will,
_ sind nie genau untersucht wor-
den, und diese Angaben sind da-
her nur als Vermuthungen zu
betrachten. |
(21) Nilsson nimmt zwei Ar-
ten grösser Seeadler aus dem Nor-
den Europa’s an. Sein Falco ossi-
fragus soll grösser seyn, und ei-
nen längeren Schwanz haben,
als F. albicilla. Die bis jetzt von
Nilsson untersuchten Exemplare
seines F. ossifragus hatten noch
keinen weissen Schwanz ; nıchts-
destoweniger vermuthet aber
Herr Nilsson, dass auch F. oss?-
fragus, wie F. albicrlla , im ho-
hemAlter einen weissen Schwanz
bekomme. Wir haben bis jetzt
keine hinlänglichen Gründe ge-
funden, diesen F. ossifragus als
Art oder als Nebenart aufzuneh-
men. Siehe über dieselbe: Nrls-
son, Ornit. suecica, I, p. 14;
Skandın. Fauna , Fogl., 1, p.45.
(22) Es folgt hier die Beschrei-
bung, welche Pallas von dieser
Art in der Zoogr. rosso astat.,
I, p. 352, n°. 26, gegeben hat.
grent en hiver, visiterait perio-
diquement le continent de l’Eu-
rope; on nel’y voit cependant ja-
mais. Îlest vrai quel’on prétend
avoir tue, en Franceet en Alle-
magne, de jeunes individus de
cette espèce; mais ces individus
n'ayant pas été soigneusement
examinés, on ne peut attacher
aucune valeur à ces assertions.
(21) Nilsson veut qu'il existe,
dans le nord de l'Europe, deux
espèces d’aigles-pécheurs de gran-
de taille. Il distingue de l'espèce
ordinaire, Falco albicilla, une
espèce d’une taille plus forte et
a queue plus longue, et qu'il
appelle Falco ossifragus. Ce sa-
vant croit que cette dernière
espèce acquiert également avec
l’âge une queue blanche, bien
que pas un seul des individus
qu'il a examinés ne presentät
ce caractère. Nous n’avons pas
cru devoir adopter pour le mo-
ment cet oiseau, ni comme espè-
ce, ni comme variété, et nous
renvoyons pour de plus amples
détails aux travaux de Nelsson:
Ornith. Suecica, X, p. 14, et
Skandın. Fauna, Oiseaux, 1,
p. 45.
(22) Pallas, Zoogr. ross.
asiat., 1, p. 352, n°.26, a de-
crit cette espèce dans les termes
suivans :
AQUILA LEUCORYPHA.
A. tibiis nudis pallidis, cera livida, corpore fusco, macula ver-
tıcıs alba.
Nusquam nisi in australiore Rossia, circa Volgam et Rhymnum
inferius, in vieinia maris Caspii, et ibi quoque rarius observatur ,
29
ubi cum praecedente , Ossifraga et Haliaëto circa lacus regnat et
in arboribus nidulatur. Distinctissima species et licet parva, omni-
bus tamen notis ad Aquilas referenda, quas et habitu refert, im
hoc genere cum praecedente minima.
Deser. Magnitudo paulo supra Clangam; pondus sex librarum.
Habitus inter Chrysaëtum et Ossifragam medius. Rostrum basi rec-
tiusculum, nigrum, margine maxillae superioris medio convexo. Ce-
ra livido-cinerea, glabra, naribus amplis, ovatis, obliquis, concha
delitescente. Rictus oris albidus; lingua integra, rotundata. Palpe-
brae concolores, versus marginem plumoso-ciliatae; suggrundium
supraciliare prominens, nudatum. Irides fusco-gryseae, circulo ni-
gricante inclusae. Caput supra gryseo-fuscum, macula trianguları
medii verticis, gulaque nivea; area per latera capitis sub oculis lon-
gitudinalis subatra. Collum undique plumis acuminatis fuscis, apice
gryseo-obsoletis jubatum. Dorsum et alae nigricant, plumis margi-
ne exsoletis. Subtus color exsoletior quam in collo. Remiges 27. sex
primores extremo angustatae, reliquae exteriore margine gryseae,
interius versus basin albae. Subtus ala nigrescit, tectricibus basi al-
bis. Ala secundaria quadripennis. Cauda longiuscula, alis compo-
sitis 2/7. 6%. longior, aequalis, rigida, nigra, extima utrinque rec-
trice lituris aliquot pallidis adspersa. Pedes pallido-albicantes, un-
guibus nigris; tibiae vix ad tertiam partem plumosae; digiti parum
divaricandi, plicis intercalaribus nullis. — Mensura ad uropygium
17.5.8". caudae 11/87. ulnae alarum 17. 8.9". expansarum
5.11” 6". Rostrum ad oris angulos 2. 3. tibiarum 3” 2”. digi-
torum anticorum medius sine ungue 2’. 5. unguis 1”. 13”, exte-
rior 1”. 72”. unguis 1”. interior 1”. 6”. unguis 1”. 33”. posticus
1". 4. unguis 1. 3.
Ein vonEversmann in derBucharei Mr. Eversmann a rapporté au
geschossener, im Berliner Museum
aufbewahrter Seeadler , stimmt
mit der Pallasischen Beschreibung
durchaus überein, und weicht
bloss durch den Mangel des weis-
sen Nackenfleckes, dessen Pallas
erwähnt, ab. Keyserling und
Blasius, p.139, geben nach die-
sem Exemplare, folgende Züge
als Artkennzeichen für H. leuco-
ryphus an: » Die Läufe vorn kaum
»4 der Länge befiedert; die In-
„nenfahne der grossen Schwin-
„ gen nur bis zur 3ten ausgeschnit-
„ten; die 2te bis 4te auf der Aus-
Musée de Berlin, de son voyage à
Boukhara, un aigle-pécheur qui
se rapporte parfaitement à l’espe-
ce de Pallas, quoiqu'il n’offre pas
le caractère tiré de la tache blan-
che de la nuque. MM. Keyser-
ling et Blasius, I. c., p. 139,
ont emprunté à cet individu les
traits distinctifs suivans: » Tarses
» emplumés par devant à peine
» d’un tiers de leur longueur. Les
»trois premières rémiges rétré-
» cies à leur barbe interne; la
» deuxième jusqu’à la sixième ré-
» mige rétrécies à la barbe exter-
» senfahne deutlich, die 5teschwä-
» cher, die 6te nur sehr schwach
_» verengt; der Schwanz schwarz,
» gerade, mit dem Ende 21 Zoll
» über die Flügel hinausragend,
» der Schnabel schwarz.’— Nach
demselben Exemplare habe ich
folgende kurze Beschreibung ent-
worfen : Ganze Länge 2’ 6”; Flü-
gel 1’ 10”; Schwanz 11”; Läufe
31’. Mittelzehe ohne Nagel 2”.
Habitus, Bau, Schnabel, Füsse
und alle sonstige Verhältnisse wie
bei H. Macei. Schnabel schwärz-
lich. Hauptfarbe des Gefieders
erdbraun, unten blässer. Die Fe-
dern gegen ihre Ränder hin hel-
ler, besonders die Flügeldeckfe-
dern; die des Kopfes und Halses
mit gelblichbraunen Rändern.
Ohrgegend, und ein von da
sich verlängernder und auf den
Seiten des Halses sich verlierender
Streif, schwärzlichbraun. Grosse
Schwungfedern und Schwanz
schwarz; letzterer auf der ersten
Hälfte schwach weisslich gewäs-
sert. Obere und untere Schwanz-
deckfedern blassbraun, ein we-
nig mit weisslich gemischt. Füsse
gelblich. Nägel schwärzlich.
Schwanz kaum merklich abge-
rundet.
Es fragt sich, ob Haliae-
tos lineatus, Gray, Ind. Zool.,
nicht als junger Vogel zu vorge-
hender Art zu ziehen ıst. Wenn
man die Gewissheit hätte, dass
sowohl das Exemplar von Pallas
als das des Berliner Museums, als
männliche und jüngere Indivi-
duen zu betrachten sind, so
würde ich kein Bedenken tragen,
H.leucoryphus als identisch mit
H.Macei, Temm., Pl. col. 8, von
30
»ne, mais de sorte que ce ca-
» ractère est moins apparent sur
» la cinquième rémige, et peu
» sensible sur la sixième. Queue
»noire, coupée carrément à l’ex-
»trémité, dépassant les ailes de
» deux pouces et demi. Bec
» noir.” — J'ai pris sur ce même
individu la note succincte suivan-
te: Longueur totale % 6/’; ailes
1’ 10”; queue 11%; tarses 20
doigt de milieu, sans ongle 2”.
Port, bec, pieds et organisation
comme dans l’Aaliaëtos Macer.
Bec noirätre. Teinte générale du
plumage d’un brun de terre, plus
pâle sur les parties inférieures.
Plumes, particulièrement les
couvertures des ailes, à bords
clairs; celles de la tête et du
cou liserées de brun jaunätre.
Région des oreilles et une lar-
ge raie qui se prolonge depuis
cette région jusque sur les côtés
du cou, d’un brun noirätre. Gran-
des couvertures des ailes et queue
noires; queue variée de blanc à
la première moitié de sa longueur.
Couvertures de la queue d’un
brun pale, relevé par quelques ta-
ches blanchätres. Pieds jaunätres.
Ongles noirätres. Queue insen-
siblement arrondie a l’extremite.
Il convient peut-être de re-
garder comme le jeune de cette
espèce l’oiseau figuré par Gray,
dans l’Zndian Zoology, sous le
nom de Haliaetos lineatus. Le
sexe des individus observes par
Pallas et Eversmann n’ayant pas
été constatés par la dissection,
c'est en hésitant que nous émet-
tons l’opinion qu'ils pourraientr
bien n’être que des mâles jeunes
ou à l’âge moyen du grand aigle
Bengalen, ersteren als jungen,
letzteren als alten Vogel, zu be-
trachten.
(23) HALIAETOS VOCIFER.
Exemplare dieser Art aus Grie-
chenland im Mainzer Museum.
Graf von der Mühle erwähnt der-
selben nicht als griechischen Vo-
gel.
(24) PANDION HALIAËTUS.
Der gemeine Flussadler scheint
über die ganze Erde verbreitet
zu seyn, und nach den verschie-
denen Gegenden, in welchen er
vorkommt , höchstens einige uner-
_hebliche Unterschiede in Grösse
und Färbung darzubieten. In
wie fern der amerikanische
Flussadler, Pandion carolinen-
sis, Ch. Bonap. , von dem uns-
rigen abweicht, können wir, da
wir nur wenigelndividuen aus je-
ner Gegend sahen, nicht angeben.
Die Flussadler von Japan, Hinter-
indien und Neuholland , Pandion
leucocephalus, Gould,sind durch-
gehends ein wenig kleiner, und
haben etwas mehr weiss auf dem
Kopfe. Siehe über die Varietäten
dieser Art: Verhandel. Neder!.
Querz. bezitt., Aves, Artikel:
Falco (Pandion) humilis.
(25) BuTEo vurcarıs. Im
«nördlichen Amerika findet sich
ein Mäusebussard, den Rrchard-
son und Swainson, Fauna bor.
31
pêcheur du Bengale, connu sous
lenom de Haliaëtos Macer, Temm.,
Pl. col. 8.
(23) HALIAETOS VOCIFER.
J’ai vu au Musée de Mayence
des individus de cette espece,
tues en Grece. Mr. le Comte von
der Mühle n’en fait pas mention
dans son ouvrage sur les oiseaux
de la Grèce.
(24) PANDION HALIAETUS,
Il parait que le balbusard com-
mun est repandu sur toutes les
parties du globe, et qu’il ne for-
me tout au plus, suivant les lo-
calités, que de légères variétés
dans la taille et les couleurs.
N'ayant vu qu’un petit nombre
d'individus du balbuzard d’Ame-
rique, Pandion carolinensis,
Ch. Bonap., nous ne nous croyons
pas autorisés à émettre aucune
opinion sur cette prétendue espè-
ce. Mr. Gould a séparé le balbu-
zard de la Nouvelle Hollande, sous
le nom de Pandion leucocepha-
lus ; ıl sen trouve de semblables
au Japon et dans l’Archipel des
Indes; ils sont constamment un
peu plus petits que ceux d’Euro-
pe, et la couleur blanche domi-
ne sur le dessus de leur tête.
Consultez par rapport aux varié-
tés du bulbuzard notre mémoire
sur le Falco (Pandion) humilis,
inséré dans l’ouvrage hollandais
intitulé : Verhandelingen over de
Ned. Overzeesche bezittingen.
(25) BUTEO VULGARIS. L’a-
merique du nord produit une
buse, que M. M. Richardson,
Swainson et dudubon regardent
am., Birds, PI.27, und Audu-
bon, Pl. 372, für nicht ver-
schieden von unserm Mäusebus-
sard halten, und ıhm auch dem
Namen Buteo vulgaris geben.
Ch. Bonap. List, p. 3, führt
ihn aber als eigene Art, unter dem
Namen Buteo Swainsonit auf.
Wir haben diesen Vogel in der
Natur nicht gesehen.
(26) BUTEO LAGOPUS. So-
wohl Zevaillant als neuerdings
Smith, haben diese Art vom Vor-
gebirge der guten Hoffnung mit-
gebracht. Diese Erscheinung ist
um so auffallender, da dieser Vogel
selbst das südliche Europa nur in
kalten Wintern besucht. — Der
nordamerikanische Rauchfuss-
bussard , Falco Sancti Johannis,
Latham, unterscheidet sich von
dem Unsrigen durch einen stär-
kern, breiteren Schnabel , grös-
sere, kräftigere Nägel, und et-
was höhere Läufe, die weder
so weit abwärts, noch so weit
nach hinten befiedert, und
auf der hintern Hälfte des Lau-
fes, nach unten, mit grösseren
Schildern bekleidet sind. Diese
Art weicht individuell, in der
Färbung, noch bedeutender ab
als unser Rauchfussbussard. Es
ist dies Falco spadiceus (Choco-
late Falcon), Forst., Phil. Trans.,
LÄII, p.281; Pennant, Arct.
Zool., II, p.201, Tab. 9 B; Falco
Sancti Johannis, Gmelin, p.273,
n°.92; St. John's Falcon, Arct.
Zool. T.9a; Wilson, Taf. 33,
Fig. 1; Falco lagopus et niger,
Audubon , Pl. 422 und Pl. 166;
Falco lagopus , Richards., Fau-
na bor. amer., Birds, Pl. 28,
32
|
comme identique avec la buse
commune d’Europe; c’est le Bufeo
vulgaris, Fauna bor.amer., PL.
27, Audubon, Pl! 372. 0
Bonaparte, List, p. 3, au con-
traire veut que ce soit une espèce
distincte qu'il appelle Buteo
Swainsonii. Je n'ai pas vu cet
oiseau.
(26) BUTEO Lacopus. Le-
vaillant et Smith ont observé la
buse patue dans la partie meri-
dionale de l’Afrique, fait d’au-
tant plus remarquable que cette
espèce qui habite les regions froi-
des de l’Europe et de l’Ase,
n’etend guère ses migrations jus-
qu'au delà des Alpes que pen-
dant les hivers très-rigoureux. —
La buse patue de l’Amérique sep-
tentrionale, Falco Sancti Johan-
nis, s'éloigne de l’espèce com-
mune par son bec plus vigou-
reux et plus large, par des on-
gles plus forts et plus longs, ainsi
que par des tarses un peu plus
élevés,et dont les plumes ne s’avan-
cent pas aussi loin vers le bas et
vers le derrière que dans l’espè-
ce commune; aussi les plaques
dont la partie postérieure des
tarses est revêtue vers le bas sont-
elles d’une étendue plus considé-
rable. Cette espèce américaine
varie selon les individus, par rap-
port aux teintes, d’une manière
plus frappante encore que l’espe-
ce d'Europe, ce qui a donné
lieu à l'établissement de plusieurs
espèces nominales. C’est Falco
spadiceus ou Chocolate Falcon ;
Forst. Phil. Trans., LXU, p.
281 ; Pennant Arct. Zool, I, p.
und F. ferrugineus, Lichtenst.,
Verh. d. Berlin. Acad., 1838,
p. 428.
(27) Pallas, Zoogr. ross.
asıat. I, p. 354, n’. 27, be-
33
schreibt unter dem Namen ac.
CIPITER HYPOLEUCOS einen
Schlangenbussard aus dem süd-
lichen Russland, den Keys. u.
Blasius, die Wirbelth. Euro-
m4, 9. AAIX, n°. 20, Cir-
caëtos hypoleucos, als eigene
Art aufnehmen. Nach der von
Pallas mitgetheilten Beschrei-
bung, weicht aber dieser Vogel
vom gemeinen Schlangenbussard
nur durch die gelbe Farbe der
Füsse, und durch pinselförmige
Büschelchen, welche sich an den
Spitzen der Nackenfedern befin-
den, ab. Letztere sind offenbar
Uberbleibsel des Dunenkleides,
und die gelbe Farbe der Füsse
ist wahrscheinlich durch das
Trocknen entstanden, wie dies
häufig Statt findet. Auch muss
man berücksichtigen, dass Pal-
las unsern gewöhnlichen Schlan-
genbussard gar nicht aufführt,
sondern die hierher gehörigen
Citate, selbst Bufon’s Jean le
Blanc, Pl. enl. 413, zu seinem
Acc. hypoleucos zieht. Wir kön-
nen, aus den angeführten Grün-
den, diesen Vogel als Art nicht
eher aufnehmen, bis er auf’s Neue
untersucht und mit Circaëtus
2.
201, Pl.9, fig. B; Falco Sancti
Johannis, Gmelin, p.273,n".92;
SE. John's Falcon, Arct. Zool.,
T. 9 a; Wilson, PI. 33, fig. 1;
Falco lagopus et niger, Audubon,
Pl. 422 et PI. 166; Falco lago-
pus, Richardson, Fauna bor.
amer. , Birds, Pl. 28; et Falco
Jerrugineus, Lichtenstein, Verh.
d. Berlin. Acad., 1838, p. 428.
(27) Pallas, Zoogr. ross.as.,
I, p. 354, n°. 27, a décrit, sous
le nom d’ACCIPITER HYPOLEU-
cos, un Circaëte de la Russie mé-
ridionale, que M. M. Keyserling
et Dlasius ont adopté comme
espèce bien établie; c’est leur
Circaëtos hypoleucos, p. XXTX,
n°. 20. — À juger de la descrip-
tion donnée par Pallas, cet oi-
seau ne s'éloigne du Circaete
commun que par la teinte jau-
nätre des serres, ainsi que par la
presence de petits appendices
penicilliformes, dont les plumes
de la nuque sont pourvues. Ces
appendices sont évidemment les
restes du duvet qui ne s’est usé
qu'imparfaitement; quant à la
couleur jaune des pieds, elle est
probablement due au desseche-
ment de ces parties. D’ailleurs Pal-
las ne fait pas du tout mention du
Circaëte commun, et il rapporte
plusieurs synonymes de cette espé-
ce à son Accipiter hypoleucos, en-
tre autres même le Jean le Blanc
de Buffon, Pl.en!.413. Avant d’é-
tablir l'espèce décrite par Pallas,
il sera nécessaire de l’examiner
de nouveau, et de la comparer à
l'espèce commune et au Circaëte
pectoral, qui offre des pieds jau-
nes dans tous les âges.
3
34
gallicus und pectoralis, welcher
letzterer in jedem Alter gelbe
Füsse hat, verglichen wurde.
Damit Jeder selbst urtheilen |
kann, in wie fern die von Pal-
las aufgeführte Art Berücksich-
tigung verdient, lassen wir seine
. Quoi qu'il en soit, nous avons
cru devoir reproduire ici la de-
scription de Pallas, afin de met-
tre nos lecteurs à portée de ju-
ger eux-mêmes, s’il convient d’a-
dopter pour le moment cette es-
pece douteuse. |
Beschreibung hier folgen.
» Gera pedibusque flavis, corpore fusco subtus albo, plumis eir-
» vicalibus penicilliferis.
»In Rossia australi, circa Tanaim et Volgam inferiorem, per
» regiohes campestres non infrequens, frequentissimus (Gmelinis
» testi) circa Astrachaniam hyeme, ubi Gallinis, aeque ac in Gal-.
» lia infestus. Ad orientem Uralensis jugi nunquam observatus fuit ;
» attamen in australibus Tatariae magnae forte non deest. |
» Descr. Maximus accipitrum, Aquilae Clangae fere aequalis, sed
» habitus ab Aquilis alienus et plumae cervicis multo minus acutae.
» Rostrum breviter aduncum. Gaput et cervix grysea, rhachibus
» fuscis, subtus albidiora: piumae cervicis mediae fuscidiores, rha-
»chi apice terminata plumula distincta singulari, penicilliformi ,
»quod in nulla ave observavi, et priores autores non adnotarunt.
» Dorsum fuscum, plumis margine gryseo-exsoletis. Subtus avis al-
»ba, jugulo, maculis pectoris et lunulis femoralium gryseo-lutes-
» centibus. Remiges interius albae. Cauda longior, aequalis, fusca,
» rectrices laterales interius albae, omnes nigro trifasciatae. Pedes
» longiusculi, nudi, flavi.”
Ichkenne, ausser unserer euro-
päischen, nur noch zwei Arten
dieser Gattung, nämlich: 1) Cire.
pectoralis Smith, s. C. thora-
cicus, Cuv., Mus. Par., von Afri-
ka, derin der Jugend zwar dem
C. gallicus täuschend ähnlich
ist, aber ım Alter eine schwärz-
liche Brust und gelbliche Füsse
hat. Herr Müller hat einen ganz
ähnlichen Vogel auf Timor er-
legt.2) Circaetos cinereus Vreull.,
Gal., PI. XII, seu Circ. fune-
reus, Rüppell, Neue Wirb.,
Vögel‘, T. 14, vom Senegal «nd
Abyssinien.
(28) MILVUS PARASITICUS.
Je ne connais que deux espè-
ces exotiques de ce genre, savoir
1) Circ. pectoralis, Smith ou
Circ.thoracicus Cuv., Mus.Par.,
de l'Afrique, assez voisin du Cir-
caete commun, mais à poitrine
noirätre, à l’âge adulté, et à pieds
jaunes. Mr. Müller a tué un oi-
seau tout à fait semblable, à l’ile
de Timor. 2) Circaetus cinereus,
Vieillot, Gal., Pl. XII, ou Cire.
funereus, Rüppell, Neue Wir-
belthiere, Vogel, Tab. 14, du
Sénégal et de l’Abyssinie.
(28) MILVUS PARASITIOUS.
Von Herrn von Feldegg im Dal-
matien, und vom Grafen von der
Mühle, p. 22, im Griechenland
gesammelt. Vom schwarzen Mi-
lan durch einen stärker gegabel-
ten Schwanz und gelben Schna-
bel abweichend. Unserem schwar-
zen Milan ganz ähnliehe Vögel
kommen vom Senegal, vom Fest-
lande von Indien, (Milvus g0-
vinda, Sykes, Proceed. 1832,
p. Sl), vom indischen Archipel
und Neuholland, (Melvus affints,
Gould, Syn. Birds Austr., Ta-
fel ohne Nummer). Ehe diese Vö-
gel aber als eigene Arten aufge-
nommen: werden können, müs-
sen ihre Kennzeichen, gründli-
cher als es bis jetzt geschah, aus-
einandergesetzt werden. Ausser
den angeführten drei europäi-
schen Arten sind mir nur noch
zwei bekannt, nämlich: 1) der
schöne Milvus .isurus, Gould ,
Birds of Australia, Tafel ohne
Nummer, von Neu-Holland und
2) eme neue Art von Japan, Tobi
der Japaner , an Grösse dem Kö-
nigsmilan gleichkommend, aber
dunkel von Farbe, und mit äus-
serstseicht gegabeltem Schwanze.
(29) Eranus. Die Kennzei-
chen der Arten dieser Gruppe
wurden bis jetzt sehr unvollstän-
dig angegeben. E/anus melanop-
ferus, der eigentlich in Afrika
zu Hause ist, sich aber zuweilen
nach Europa verfliegt, unter-
scheidet sich von dem ihm in
der Färbung, sehr verwandten
ET, axillaris, standhaft durch ı
35
Cette espèce a été recueillie par
Mr. de Feldegg en Dalmatie et
par le comte von der Mühle, p.
22, en Grèce. Elle ne se distin-
gue du Milan noir que par sa
queue plus fortement fourchue,
et par la couleur jaune de son
bec. Le continent de l'Inde pro-
duit un Milan en tout point sem-
blable au Milan noir: c’est le Mil-
vus govinda,Sykes, Proceedings,
1832, p.81; ilen existe également
un à la Nouvelle Hollande : c’est
le Milvus affinis, Gould, Syn.
Birds Austr., (plauche sans nu-
méro). Les caractères de ces oi-
seaux n'ayant pas encore été ex-
posés d’une manière satisfaisante,
il ne convient pas de les admet-
tre pour le moment comme espe-
ces parfaitement établies. Outre
les trois espèces de Milans qui se
trouvent en Europe, je n’en con-
nais que deux auires de ce gen-
re, savoir 1) le Milvus isurus,
Gould, Birds of Australia,
(planche sans numéro), belle es-
pèce dela Nouvelle Hollande, et
2) une nouvelle espèce du Ja-
pou, appelée Tobr dans ce pays;
elle est de la taille du Milan com-
mun, mais elle offre des teintes
assez foncées, et sa queue est
tres-peu échancrée.
(29) ELcanus. Les traits dis-
tinctifs des diverses espèces de ce
genre n’ont été indiqués jusqu’à
présent que d’une manière assez
superficielle. L’Elanion blac, qui
visite accidentellement l’Europe,
quoique sa véritable patrie soit
l'Afrique, se distingue constam-
ment de l’£/anion axtillaire , par
sa queue beaucoup plus cour-
einen weit kürzeren Schwanz.
Die Unterseite der Flügel ist
immer rein "weiss.
Elanus axillaris, Gould,
Birds of Austral., Tafel ohne
Nummer; Falco axillaris, La-
tham , Ind. orn.; Circus axilla-
ris, Vreillot, Encycl. meth., III,
p. 1212; Elanus notatus, Gould,
Proceed.,V , p.99, und p. 141,
kommt vom indischen Archipel
und Neuholland, hat einen län-
geren Schwanz, und oft, aber
nicht immer, schwärzliche gros-
se untere Flügeldeckfedern. Es
ist mir nicht gelungen, standhafte
Kennzeichen aufzufinden, um
von dieser Art den Falco dispar ,
Temm., Pl. col. 819. (junger Vo-
gel); Ch. Bonap., Contin. of
Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu-
bon, Pl. 352; Elanus leucurus,
Ch. Bon., List, p. 4, zu unter-
scheiden. — Eine schöne, dritte
Art mit winkeligem schwarzem
Flecke auf der Unterseite der Flü-
gel bildet der grössere Hlanus
scriptus, Gould, Proceed. 1842;
Birds of Australia, (Taf. ohne
Nummer). Endlich ist als vierte
Art zu dieser Gruppe zu zählen ,
Gampsonyx Swainsoni, Vi-
gors, Zool. Journ., II,p. 69,
seu Elanus torquatus Lesson,
Traité d'Orn., p. 72 (jun)
vom warmen Amerika; ausge-
zeichnet durch seine geringe
Grösse , und von den drei Vorher-
gehenden durch seine schöne
Färbung abweichend.
36
te, et par la teinte blanche de la
partie interne des ailes;. du reste
ces deux espèces se ressemblent
assez, par rapport au système de
coloration. |
L'Elanus axillaris, Gould, B.
of Austr.; Falco axillaris, Lath.;
Circus axillaris, Vieillot, Ency-
cl. meth., III, p. 1212; Elanus
notatus, Gould, Proceed.,V ,p99
et p.141 , qui habite l’Archipel des
Indes et la Nouvelle Hollande,
s'éloigne du précédent parsa queue
plus longue ainsi que par les gran-
des couvertures internes des ailes
qui sont le plus souvent d’une
teinte noire. Je ne vois pas en
quoi se distingue de cette espèce
des Indes, celle qui habite I’ Amé-
rique, et qui a été indiquée sous
les noms suivans: Falco dispar,
Temm., Pl. col. 319 (jeune de
l’année); Ch. Bonap. Contin.of
Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu-
bon, Pl. 352; Elanus leucu-
rus, Bonap., List, p. 4. — Une
troisieme espece de ce groupe
vient de la Nouvelle Hollande;
elle est d’une taille plus forte
que les deux précédentes et ses
ailes sont ornées, à leur face in-
terne, d’une large tache noire
anguleuse; c’est l'£lanus scrip-
tus, Gould, Proceed., 1842; Birds
of Australia, planche sans nu-
méro. Il convient de placer à
la suite de ce groupe une belle
espèce d'assez petite taille et à
plumage orné de teintes tres-vi-
ves; elle se trouve dans l’Améri-
que intertropicale; c’est le Gamp-
| sonyx Swainsonit, Vigors, Zool.
| Journ., II, p. 69, dont l’Ela-
nus torquatus de Lesson ne pa-
| rait pas différer; voir ZLesson,
37
(30) vuLTuR rurvus. Siehe
über diese und die übrigen, dem
V. fulvus verwandien Arten
oder Nebenarten, so wie über-
haupt über die Synonymie und
Charakteristik der Geierarten un-
sere Arbeit über diese Gattung
in Susemihl, Nat. Vög. Eur.,
p. 10 bis 12.
(31) VULTUR AURICULARIS.
Die Mittheilungen Levaillants,
dass dieser Geier gesellschaftlich
lebt, sind nach Smith, Proceed.
Zool. Soc., 1833, p. 45, falsch. Es
ehört daher diese Art, auch hin-
sichtlich ihrer Lebensart, zu der
Gruppe der adlerartigen Geier:
siehe hierüber unsere Arbeit ın
Susemihl, Nat. Vög. Eur., p.
6 sgg. — Graf von der Mühle,
. 11, hat diesen Vogel nie in
Griechenland gesehen; er wirft
daher die Frage auf, ob die, an
mehrere Sammlungen aus Grie-
chenland geschickten Bälge die-
ser Art, nicht vielleicht aus Ae-
gypten stammen.
(32) GYPAËTOS BARBATUS.
Siehe über die Verbreitung und
die Nebenarten des Bartgeiers:
Schleg. u. Susem., Nat. Vög.
Eur., p. 18 u. 19.
(33) OTUS BUBO. Der gemei-
ne Uhu artet in kalten Gegenden
zuweilen in’s Weisse aus. Ein sol-
ches Exemplar aus Sibirien be-
findet sich ım Berliner Museum.
Strix scandiaca , Linne, Fauna
Traité d’Ornith, p. 72 (descrip-
tion d’un jeune individu).
(30) vurrur FuLvus. Nous
renvoyons pour les détails relatifs
aux diverses espèces du genre
Vautour et à leurs variétés, au
travail que nous avons inséré dans
l'ouvrage intitulé: Susemihl, Na-
turgeschichle der Vögel Euro-
pas, p. 10 ef suiv.
(31) VULTUR AURICULARIS.
Smith, Proceed Zool. Soc., 1833,
p- 45, a réfuté les assertions er-
ronnées de Levaillant, qui dit
que cette espèce vit en société
comme les Vautours proprement
dits. Elle appartient en consé-
quence, sous tous les rapports, au
groupe des aigles-vautours: voir
notretravail inséré dans Susemrhl,
Il. ce. p. 6 et suiv. — Mr. von der
Mühle, p. 11, n'ayant pas ren-
contre ce vautour en Grèce, il
suppose que les Echantillons, a-
dressés de ce pays à diverses col-
lections, sont originaires de
l'Egypte.
(32) GYPAËTOS BARBATUS.
Consultez, quant aux diverses ra-
ces du Gypacte et leur distribu-
tion géographique, ce que nous
en avons dit dans Susemkhl, l.e:,
p. 18 et 19.
(33) OTUS BUBoO, Les régions
froides produisent quelquefois des
variétés individuelles blanchätres
de cette espèce. Nous avons vu,
au Musée de Berlin, une variété
semblable provenant de la Sibé-
suecica, n°. 70, aus Lappland,
neuerdings von Temminck, Ma-
nuel, III, p. 53, aufgeführt,
scheint ebenfalls auf einem weiss-
lichen Individuum des gemeinen
Uhus zu beruhen. — Eine ähn-
liche Erscheinung scheint beim
nordamerikanischen Ubu , (Zd-
wards, II, Tab.60,; Bubo vir-
ginianus, Brisson, Orn., I,
_p. 14l, n°. 2; Sirix virginiana,
Gmel. Linn., p.287, n°. 13;
Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix
macrorhynchus, Temm., Pl. col.
62), Statt zu finden, der im ho-
hen Norden ebenfalls zuweilen
in’s weissliche ausartet. Wir hal-
ten daher, mit Ch. Bonaparte,
List, p. 6, den Sérix (Bubo)
arctica, Swainson in Fauna bor.
amer., Birds, Pl. 30, p. 86;
Heliaptex arcticus, Swainson ,
Nat. Hist. of Birds, II, p.
217, für eme solche weissliche
Varietät der Sirix virginiana.
' (34) orus orus. Nach C4.
Bonap. List, p. 7, ist die nord-
amerikanische mittle Ohreule,
Otus americanus, Ch. Bon.;
Strix otus, Wilson, Pl.51, fig.
1; Audubon, Pl. 383 , verschie-
den von der unserigen.
(35) oTus scops. Die in Afri-
ka beobachteten, der gemeinen
Zwergohreule ganz ähnlichen
Vögel trennt Swainson, Birds
oj West. Afr., I, p. 127, als
eigene Art, unter dem Namen
38
rie, et nous croyons qu'il faut
également regarder comme telle
le Sérix scandiaca de Linne,
tué en Lapponie; voir Fauna
suecica, n°. 70 et Temm., Man.,
III, p.53. — Le plumage du
grand duc del’ Amerique du nord,
(Edwards, IT, Tob. 60; :Bubo
virginianus, Brisson, Orn., I,
p- 141, n°. 2; Sirix virginia-
na, (mel. Linn., p. 287, no. 13;
Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix
macrorhynchus, Temm., Pl. col.
62) , est également susceptible de
subir, dans les régions boréales,
un changement de couleur ana-
logue à celui dont nous venons
de parler. Nous sommes, par
celte raison, portés à croire, avec
Mr. Ch. Bonaparte, List, p.6,
que la prétendue espèce décrite
par Swainson, sous les noms de
Strix (Bubo) arctica et d’He-
liaptex arcticus, (voir Fauna
dor. am., Birds, Pl. 30, p. 86,
et Nat. Hist. of Birds, II, p.
217) n’est tout bonnement qu'une
variété blanchätre du grand duc
de l'Amérique du nord.
(34) orus orus. Ch. Bona-
parte, List, p. 7, veut que le hi-
bou moyen-duc de l'Amérique
du nord diffère par l’espece du
nôtre; c’est !’Ofus americanus,
Ch. Bon.; Strix otus, Wilson,
PI. 51, fig. 1; Audubon, Pl.
383.
(35) OTUS scops. Swainson,
Birds of West. Afr., I, p.127,
regarde le petit duc commun de
l'Afrique comme formant une
espèce diverse de celui d'Europe,
il l'appelle Scops senegalensis.
Scops senegalensis. Wir haben
die von Swainson angegebenen
Kennzeichen nicht standhaft ge-
funden.
(36) STRIX FLAMMEA. Dem
gemeinen Schleierkautze mehr
oder weniger ähnliche, oft nur
durch eine etwas verschiedene
Färbung des Gefieders abwei-
chende Vögel, kommen fast in al-
len Welttheilen vor; aber ihre
Unterschiede sind bis jetzt noch
nicht gehörig auseinandergesetzt
worden.
(37) STRIX NOCTUA MERI-
DIONALIS, Diese Abart unseres
gemeinen Steinkautzes vertritt die
Stelle desselben in Spanien und
Aegypten. Exemplare, welche in
diesen beiden Gegenden erlegt
wurden, weichen von unserem
Steinkautze nur durch ihre viel
biässere Grundfarbe, so wie durch
den bräunlich weissen Anflug, wel-
chen die hellen Flecke annehmen,
und der besonders auf den grossen
Schwungfedern in das Auge
fällt, ab. Ferner scheinen die
hellen Flecke auf der Brust eine
mehr längliche Gestalt zu haben.
Die verwaschenen Querbinden
auf der inneren Fahne der gros-
sen Schwungfedern sind etwas
deuthcher, und die hellen Fiecke
der Steuerfedern, besonders der
mitteln, sind schmäler , und bil-
den daher weniger vollkommene
Querbinden. Endlich scheint auch
diese Abart durchgängig ein we-
nig kleiner zu seyn als unser
Steinkautz, was wir aber nicht
mit Gewissheit bestimmen kôn-
39
Nous n'avons pu retrouver, dans
nos individus de l'Afrique, les ca-
racteres qu'il assigne à cette pré-
tendue espèce nouvelle.
(36) STRIX FLAMMEA. Il exis-
ie, dans presque toutes les par-
ties du monde, des effraies plus
ou moins voisines de notre ef-
fraie d’Europe, dont elles ne se
distinguent souvent que par des
nuances un. peu modifiées des
teintes; mais les traits distinctifs
de ces espèces ou variétés n’ont
pas encore été. établis jusqu’à
présent d’une manière précise.
(37) STRIX NOCTUA MERI-
DIONALIS. Nous faisons connali-
tre, sous ce nom , une variété de
climat de la chevèche, observée
en Espagne et en Egypte. Elle ne
se distingue de la cheveche que
par des teintes plus päles et en
ce que les taches claires tirent
sur le brunätre, principalement
celles des pennes des ailes et de
la queue. Les taches claires de
la poitrine offrent en outre une for-
me plus allongée que d'ordinaire;
les bandes transversales de la bar-
be interne des grandes rémiges
sont plus prononcées et les ta-
ches claires des pennes de la
queue, notamment celles des pen-
nes mitoyennes, sont plus étroi-
tes et forment par conséquent
des bandes transversales assez in-
terrompues. Il paraît aussi que
cette variété est constamment un
peu plus petite que la chevé-
che ordinaire; n’ayant cepen-
dant examiné que deux indivi-
dus de cetie variété, nous ne
sommes pas à même de garan-
40
men, da wir nur zwei Exempla-
re unbestimmten Geschlechtes
dieser südlichen Abart vor uns
haben.
Maasse eines Exemplares aus
Spanien:
Ganze Länge . . . .. . 9” 6”
dix des Flügels 1 5" 91
des ERNST EIN 38
» les Ihauıfesiaur int. IBM
» der Mittelzehe . . gu
»
des Nagels dersel-
Henri Or aa 4 } azur
» desSchnabels, vom
Mundwimkel ... 91.
Rüppell ,l. c. sagt, dass diese
Abart in Aegypten sehr häufig
ist, und auf Dattelbäumen lebt.
Biellkicht gehört auch hierher
die vom Grafen von der Mühle
unter dem Namen Surnia noc-
tua, var., I. c. p. 24 bis 26 be-
schriebene Abart des Steinkautzes.
STRIX MERIDIONALIS, 1550,
Hist. nat. de l'Eur. mer. vol.
JII, p. 32, n°. 32, aus der Ge-
gend von Nizza, ist eine andere
Art, von der man aber, der un-
vollständigen Beschreibung we-
gen, gar nicht einmal sagen
kann, ob sie wirklich neu ist,
oder mit irgend einer der schon
bekannten Arten zusammenfällt.
(35) STRIX NEBULOSA. For-
ster, Phil. Trans., LXIT, p.
386 und 424; Wilson, Pl.
AXAIIT, Fig. 2, ist mit Ge-
wissheit Bis jetzt nur in Nord-
tir l’exactitude de cette dernière
observation.
Voici les mesures d’un Re:
du tué en Espagne:
® e gr 6,
Longueur totale . . .
de l'aile. . . . 5’ gu,
>
» de la queue . 3”
" du tarse . . . 1730,
» du doigt de
miles Hernies DR
» de l’ongle de ce
doigt Wi. RN,
du bec 7970
» gi,
Rüppell, 1. c., dit que cette
cheveche est tres-commune en
Égypte. où elle fréquente les dat-
tiers. Nous présumons qu’il con-
vient de ranger ici la variété indi-
quée par Mr. von der Mühle,
comme habitant la Grèce; Surnia
noclua, var. , voir pag. 24 à 26 de
son ouvrage. La chouette intro-
duite par Res Hist. de l'Eu-
rope mer., vol. IT, p. 32, n°.
32, sous le nom de STRIX ME-
RIDIONALIS, est une espèce dif-
férente de notre chevêche méri-
dionale; mais la description don-
née par Risso étant assez super-
ficielle et incomplète, il est im-
possible de fixer avec certitude
à laquelle des chouettes connues
il convient de rapporter cette
prétendue espèce nouvelle.
(38) STRIX NEBULOSA. For-
ster, Phil. Trans., LXIT,
386 er 424; Wilson, PIXXXIITZ,
RE 2, espèce qui habite I!’ Ame-
rique du nord, a été indiquée
‚amerika gefunden worden. Die
Angaben, dass sie auch in Skan-
dinavien vorkommt, beruhen auf
älteren , unsicheren Nachrichten.
Auch hat sie nie ein Naturfor-
scher im Norden Europa’s beo-
bachtet.
(39) HIRUNDO RUSTICA ORI-
ENTALIS. Diese Schwalbe scheint
sich von unserer gemeinen Rauch-
schwalbe nur dadurch zu un-
terscheiden, dass ihre Untertheile
von der Brust abwärts, mit Ein-
schluss der untern Schwanzdeck-
federn, statt weisslich mit bräun-
lichem Anfluge, einfärbig matt
kastanienbraun sind. Die im Ma-
nuel d’Ornithologie beschriebe-
nen Exemplare, stammen, nach
Boissonneau’s eigenen späleren
Berichten aus Macedonien, und
nicht aus Spanien, wo diese
Schwalbe bis jetzt noch nicht
beobachtet wurde. Herundo ja-
vanica, Sparm., Pl col. 83,2,
(Hirondelle orientale) ist eine
unserer Hausschwalbe in der Fär-
bung ähnliche, aber verschie-
dene, viel kleinere Art.
Graf von der Mühle, p. 80,
hat die östliche Rauchschwalbe
nie ın Griechenland beobachtet.
(40) HIRUNDO RuruLa. Man
hat mit Unrecht diese Art für
einerleı mit Hirundo capensis ,
Linn. Gmel., p. 1019, n°. 19;
Pl. enl. 723, 2; Levaill. Afr.,
245, 1, gehalten, von der sie
sich durch einen schwächeren
Schnabel, schwächere Füsse, den
Al
comme se trouvant également en
Scandinavie; mais comme elle
n'y a pas été observée par au-
cun des naturalistes du nord,
nous n’hesitons pas de la rayer
du catalogue des oiseaux d’Eu-
rope.
(39) HIRUNDO RUSTICA ORI-
ENTALIS. [l parait que cette hi-
rondelle ne se distingue de l’hi-
rondelle de cheminée ordinaire
que par la couleur chätaine-pä-
le dont le dessous du corps, de-
puis la poitrine jusqu'aux cou-
vertures inférieures de la queue,
est orné. Les individus décrits
dans le Manuel d’Ornithologie
sont, suivant les indications ré-
centes de Mr. Boissonneau mé-
me, originaires de la Macédoine
et non pas de l'Espagne, où cet-
te hirondelle n’a pas encore été
observée jusqu’à présent. Hirundo
javanica, Pl. col. 83, 2, (Hi-
rondelle orientale) est une espe-
ce des Indes, qui ressemble à
celle d'Europe par la distribu-
tion générale des teintes, mais
qui s’en éloigne par sa petite tail-
le, ainsi que par d’autres carac-
tères.
Le comte von der Mühle , p. 80,
dit n'avoir jamais rencontré en
Grèce l’hirondelle de cheminée
orientale.
(40) HIRUNDO RUFULA. C’est
à tort que l’on a identifié cette
espèce avec celle du Cap, Hr-
rundo capensis, Linn. Gmel.,
p. 1019, n°. 19; Pl. enl. 723,2;
Le Vaill., Afr., 245, 1. Elle
s’en distingue par un bec moins
robuste, par des pieds plus fai-
%
:Mangel einer weissen Schwanz-
“bmde, durch zärtere Schaft-
striche' auf den Federn der Un-
tertheile und den blass röthlich-
braunen Anflug dieser Theile un-
terscheidet. Hrrundo alpestris,
Pallas, It., II, app. n°. 9;
Zoogr. II, p. 534, Tab. XXX,
fig. 2; Hir. dauurica, Linn.
-Gmel., p. 1024, n°. 12, vom
-Altai und Dauurien, würden wir
‘benfalls hierher gezogen haben,
wenn nicht Pallas in seiner Be-
schreibung gesagt hätte, dass die
äusserste Schwanzfeder gewöhn-
lich mit einem weissen länglichen
Fleck versehen ist. Was Gould,
Birds of Europe, Pl.55, als Hi-
rundorufula abbildet,ist einesehr
verschiedene, jedermann bekann-
te Art von Westafrika nämlich:
Hir.senegalensis, Brisson, Orn.
II,p.496 , n° 5, Tab. 45, fig. 1 ;
Pl. ent. 310; Swainson, Birds of
West. Afr., IT, Pl.6,p. 72. Sie
ist viel grösser als Air. capensis
und Aer. rufula , hat zwar einen
schwarzen Schwanz wie letz-
tere Art, weicht aber von beiden
durch ihre einfärbigen, unge-
fleckten Untertheile ab. In Java
lebt eine, der Hier. capensis und
rufula verwandte Art, Hirundo
striolata, Temm. Mus. Leid. ,
deren Füsse und Schnabel noch
kräftiger, die Schafifiecke der Un-
tertheile noch grösser sind, als bei
Hir. capensis, deren Schwanz
aber einfärbig schwärzlich ist,
wie bei Zir. rufula.
42
bles, par l’absence de la ban-
de blanche sur la queue, par
des raies longitudinales plus étroi-
tes sur les plumes des parties in-
férieures, et par la teinte d’un
brun-rougeätre pâle qui orne ces
parties. Nous n’aurions .pas hé-
sité de rapporter à notre Hiron-
delle rousse le Hirundo alpes-
tris de Pallas , voy., IT, app.,
n°.9; Zoogr., 1, p.534, Pl.30,
fig. 2; ou Hirundo daaurica,
Linn. Gmel., p. 1024, no. 12,
originaire de l’Altai et de la
Daourie, sı Pallas n’avait fait
mention, dans sa description ,
que la penne externe de la
queue est ordinairement pourvue
d’une tache allongée blanchätre.
L’hirondelle figurée par Gould,
Birds of Europe, PI 55, sous
le nom de Hirundo rufula, ap-
partient à une espèce toute diffé-
rente et connue de tout le monde:
c’est Hir. senegalensis, Brisson,
Orn., II, p. 496, n°.5, PI. 45,
fig. 1; Pl. ent. 310; Swainson,
Birds of West Africa, II, Pl.
6, p. 72. Elle habite le Senegal
et elle est d’une taille beaucoup
plus forte que les Hir. capensis
et rufula, dont elle se distingue
par la couleur uniforme de ses
parties inférieures. Sa queue est
d’un noir uniforme, sans ta-
ches blanches. L’ile de Java
produit une espece voisine des
Hir. capensis et rufula, mais
à pieds et à bec plus robustes et
à taches longitudinales plus lar-
ges que dans l’hirondelle du Cap;
du reste sa queue est d’un noir-
âtre uniforme comme dans l’'Hi-
rundo rufula; c'est l'Hirundo
striolata, Temm., Mus. de Leide.
. (41) CAPRIMULGUS CLIMA-
CURUS, Vieillot , ist bloss nach
folgender Angabe von Aoux ,
Orn. prov. I, p. 239 unter die
europäischen V ögelaufgenommen
worden:
43
(41) CAPRIMULGUS CLIMACU-
Rus. Vieillot. L'introduction de
cette espèce africaine parmi les
oiseaux d'Europe repose sur un
passage de Roux, Orn. prov., I,
p. 239, note. Get auteur en parle
dans les termes suivans:
» Elle parait avoir été accidentellement vue en Provence; je tiens
» ce témoignage d’une personne digne de foi; mais n'ayant point eu
» moi-même sous les yeux celte espèce, je n’ai point osé me per-
» mettre de la décrire parmi les oiseaux dont je fais l’histoire.”
Eine solche Angabe ist doch
wohl unzureichend, dieser Art
das Bürgerrecht als europäischen
Vogel zu verschaffen.
(42) Pallas, Zoogr., IT, p.
401, n°. 55, beschreibt unter
dem Namen LANIUS MAJOR, e1-
nen Würger aus dem nördli-
chen Russland und Sibirien, den
er für standhaft verschieden von
L. excubitor und minor (L.
vigil., Pallas, l. c. p. 403, no.
57) hält, und den auch Keyser-
ling und Blasius, Wirbelthiere,
p- LX,n°.249, ohne den Vogel
selbst gesehen zu haben, als eigene
Art annehmen. Wir ahmen dieses
Beispiel aus folgenden Gründen
nicht nach: 1) weil die Maasse,
welche Pallas angiebt, durchaus
mit denen des Zanius excubilor
übereinstimmen, 2) weil Pallas
zu seinem Zanius major die Pie-
grieche, Buflon, Pl. enl. 445
eitirt, welche Abbildung unseren
L. excubitor vorstellt, 3) weil
die Beschreibung des Lanius
major durchaus auf das Weib-
chen oder den jüngern Vogel des
L. excubitor passt, 4) weil Pal-
las das Weibchen und die jungen
Vögel des Zan. excubitor nicht
Cette indication nous a paru
insuflisante pour admettre cette
espèce dans le catalogue des oi-
seaux d'Europe.
(42) Pallas, Zoogr., I, p,
401, n°. 55 a décrit sous le nom
de LANIUS MAJOR une pie-grie-
che de la Sıbenie et de la Russie
septentrionale, qu'il dit différer
des Zanius excubilor et minor,
(L. vigil, Pallas, I. c., p. 403,
n°. 57). Keyserling et Blasius,
Wirbelthiere, p. LX, no. 249,
adoptent cette espèce sans l’avoir
vue. Nous nous abstenons de
suivre cet exemple par les raisons
suivantes: 1) parce que les di-
mensions assignées par Pallas à
son Lanius major sont absolu-
ment les mêmes que celles du
Lanius excubitor, 2) parce que
Pallas cite, comme appartenant
à sa nouvelle espèce, la Pl. ent.
445 de Buffon, figure qui re-
présente notre pie-grièche com-
mune, 3) parce que la description
du Lanius major se rapporte en
tout point à la femelle ou au jeu-
nes de la pie-grièche commune,
4) parce que Pallas, ne donnant
de description n1 de la femelle ni
des jeunes de l'espèce commune,
44
gekannt zu haben scheint und
. daher nicht beschreibt, 5) weil
kein späterer Heisender dieser
Art wieder erwähnt. — Sollte
aber Z. major wirklich eine
eigene Art bilden, so müsste er
auf’s Neue mit Zanius excubritor,
meridionalis und den nordame-
rikanischen Arten, besonders mit
Lantus borealis verglichen, und
die Unterscheidungsmerkmale des-
selben gründlich auseinanderge-
setzt werden.
(43) LANIUS RUFUS. Diese Art
scheint sich , ausser Europa, auch
im grössten Theile von Afrika zu
finden , oder auf ihrem Zuge über
diesen Welttheil zu verbreiten.
Rüppell, Neues Wirbelthiere ,
Vögel, p. 33, fand sie häufig in
dem steinigen Arabien, in ganz
Egypten, in Nubien, Kordofan
und Abyssinien. Buffon, Pl. enl.
477, 2, bildete unter dem Namen
Pie-grieche rousse du Senegal
einen ganz ähnlichen Würger
von Senegambien ab. Die Pie-
grièche rousse des Levaillant,
Oiseaux d'Afrique, IT, Pl.63,
vom Cap, scheint ebenfalls unse-
rem rothkôpfigen Würger durch-
aus ähulich zu seyn. Swainson,
Birds of Western Africa, I, p.
231, untersuchte zwei Individuen
dieser Art vom Senegal, und fand
sie den europäischen durchaus
ähnlich; er zieht auch ZLevarl-
lant’s Pie-grieche roussehierher.
Wir erhielten vier Individuen der-
selben in verschiedenen Kleidern
vom Senegal. Alle plastischen
Verhältnisse sind ganz wie bei
den europäischen. Die am rein-
paraît avoir ignoré les différences
des teintes qu’ils présentent com-
parés avec les adultes; 5) parce
que tous les voyageurs postérieurs
à Pallas se taisent sur cette espe-
ce. — Dans le cas que son exis-
tence serait prouvée d’une manie-
re indubitable , il serait, en l’eta-
blissant , nécessaire de la com-
parer derechef aux Lanius ex-
cubitor et meridionalis, ainsi
qu’aux espèces voisines de l’Amé-
rique du nord, notamment au
Lanius borealis.
(43) LANIUS RUFUS. Il pa-
rait que cette espèce européenne
habite également une grande par-
tie de l'Afrique, ou qu’elle visite
cette partie du monde lors de ses
migrations. Rüppell, Neue Wir-
belthiere, Oiseaux, p. 33, l'a
rencontrée en grand nombre dans
l'Arabie Pétrée, par toute !’Egyp-
te, en Nubie, au Kordofan et
en Abyssinie. Buffon, Pl. enl.
477,2, a figuré sous le nom de
Pie-grieche rousse du Senegal,
une pie-grieche tout-à-fait sem-
blable provenant de la Senegam-
bie. La pie-grieche rousse du
Cap de Levaillant , Ois. d’Afr.,
Il, Pl. 63, ne parait pas diffe-
rer non plus de celle d'Europe.
Swainson, Birds of Western
Africa, I, p. 231, en décrit
deux individus originaires du Sé-
négal, qu'il croit identiques avec
ceux d'Europe, ainsi qu'avec la
pie-grièche rousse du Cap, figu-
rée par Levaillant. Notre Mu-
sée possède quatre individus de
différens âges de cette pie-grie-
che, tous originaires de la Sé-
négambie. Ils offrent absolument
sten Ausgefärbten unterscheiden
sich nur durch etwas blässere
Farben, und durch die hellen
Ränder, mit welchen die Flü-
geldeckfedern und Schwungie-
dern zweiter Ordnung einge-
säumt sind; weshalb sie den aus-
gefärbten Weibchen unseres
rothköpfigen Würgers sehr ähn-
lich sind. Die Exemplare ım
Übergange vom lugendkleide zum
ausgefärbten Kleide sind noch
blässer von Farbe, die Ränder
der Flügelfedern sind sehr breit,
und der Kopf ist ganz roth; je-
doch fängt die weisse Farbe der
Vorderstirne und die schwarze
Stirnbinde an, sich hie und da
zu zeigen. — (rmelin zieht den
rothköpfigen Würger vom Sene-
gal, den er auf Buffon’s Abbil-
dung gründet, als Varietät zu
Lanius collurio, den er nicht
von Zanius rufus unterscheidet:
siehe @mel. Linn., I, p. 301,
n°. 12; Lanius collurio var. à,
senegalensis. Latham führt ıhn
als Varietät seines Lanius ruti-
lus auf, der unser Lanius rufus
ist: sehe Ind. orn., I, p. 71,
sp. 12. Herr Temminck, Man.,
III, p, 601, trennt ihn vom euro-
päischen unter dem Namen La-
nius rutilans. Lichtenstein, Ca-
talog, 1823, p. 47, n°. 509,
beschreibt ein Exemplar im Uber-
gangskleide unter dem Namen
Lanius superciliosus. Lanius
superciliosus Lath., Ind. orn.,
Suppl , p. ÄX, ist jedoch auf
Levaillants Rousseau, Ois.
d'Afr, Pl. 66, fig. 2, ge-
gründet, der Java bewohnt, und
eine eigene Art bildet. Obschon
dies Herr Lichtenstein wusste,
45
la même organisation et les mé-
mes dimensions que ceux d’Euro-
pe. Les individus en livree par-
faite se distinguent cependant de
ceux-ci par des teintes un peu plus
pales et par les bordures claires
dont les couvertures des ailes et
les rémiges secondaires sont pour-
vues; ce qui fait qu'ils se rap-
prochent des femelles en livrée
parfaite de notre pie-grièche
rousse d'Europe. Les individus
portant la livrée de passage of-
frent des teintes beaucoup plus
pales, les bords des plumes des
ailes sont beaucoup plus larges,
et la tête est partout d’un roux
uniforme, quoiqu'on apercoive
les traces des teintes blanches et
noires qui ornent le front des adul-
tes. Gmelin regarde la pie-grie-
che rousse du Sénégal figurée
par Buffon, comme variété de
son Lanius collurio, qu'il ne
sépare pas du Lanius rufus ;
voir Syst. nat., I, p. 301, no.
12: Lanius collurio var. Ô se-
negalensis. Latham en fait une
variété de son Lanius rutilus, '
qui est notre Zanius rufus : voir
Index ornith., 1, p. 71, esp. 12.
Mr. Temminck, Manuel, UT, p.
601, sépare cette pie-grieche
du Sénégal de celle d'Europe, et
lui donne le nom de Zanius ru-
tilans.Lichtenstein, Catal., 1893,
p. 47, n°. 509, décrit un indi-
vidu de la race du Sénégal sous
le nom de Lanius superciliosus,
Latham. Ge Lanius supercilio-
sus, Latham, Ind. Orn. Suppl.,
p. XX, repose cependant sur le
Rousssau de Levaillant, Ois.
d’Afr., Pl. 66, fig. 2, espèce
toute differente, de l’ile de Java.
citirt er dennoch Buffon’s Pze-
_grièche rousse du Senegal, Pl.
enl. 477, 2, zu Lan. superci-
liosus. Um fernere Missbräuche
zu vermeiden, wollen wir noch
darauf aufmerksam machen, dass
Swainson , Nat. Hist. of Birds,
II, p. 219, als Lanius super-
eiliosus , wieder eine andere Art,
welche Gould, Cent. Him.Birds,,
Pl. 12, fig. 2, unter dem Na-
men Lanius erythronotus abge-
bildet hatte, aufführt; dass
Swainson, ibid. p. 221, einen
Tephrodornis superciliosus, und
Birds of Western Afrika, I, p.
239, einen Malaconotus super-
ciliosus beschreibt, und dass
Vieillot , Diet. Deterv., vol. 26,
p. 153, aus Levaillant’s Pie-
rieche sourcil. roux , Ois.
d’Afr., Pl. 76, seinen Lanius
superciliaris macht; obgleich
diese Arten alle, streng genom-
men, in die Familie der Würger,
oder in die Gattung Lanius im
weiterem Sinne gehören. — Man
übersehe auch nicht , dass Zanius
rufus, Gmelin, auf Lan. mada-
gascariensis rufus, Brisson,
II, p. 178, T. 18, fig. 4, und
Buffon's Pie-grieche rousse de
Madagascar, Pl. enl. 298, fig.
2, gegründet, wiederum ein ganz
anderer Vogel ist, welchen Herr
Temminck, Pl. col., Tab. méth.,
p. 19, Lanius madagascariensis
nennt.
(44) LANIUS PERSONATUS.
Exemplare aus Griechenland im
Mainzer und Niederländischen Mu-
46
Tout en s’apercevant de cette dif-
ference, Mr. Lichtenstein ajoute.
cependant aux synonymes de ce
Lanius superciliosus la figure
PI, 477,2, de Buffon, laquelle re-
présente la pie-grièche rousse
du Senegal. À cette liste d'erreurs
se joignent celles que l’on a com-
mises en appliquant cette &pithe-
te de sourcilleux à plusieurs
espèces de pie-griechestres-diffe-
rentes les unes des autres. Swain-
son, Nat. Hist. of Birds, U,
p. 219, nomme Lanius super-
ciliosus une espèce figurée par
Gould, Cent. Himal. Birds, Pl.
12, fıg. 2, sous le nom de ZLa-
nius erythronotus ; ce même au-
teur , ibid., p. 221, décrit une au-
tre pie-grièche sous le nom de Ze-
phrodornis superetliosus, et dans
ses Birds of Western Afrika, L,
p.239, encore une autre espèce
de ce genre sous le. nom de Ma-
laconotus superciliosus ; Vieillot
enfin, Diet. Deterv., vol. 26,
p. 153, forme de la Pie-grieche
sourcil-roux de Levaillant , Ois.
d’Afr., Pl. 76, son Lanius su-
perciliarıs — Notez encore que.
le Zanius rufus, Gmelin , basé
sur le Zanius madagascariensis
rufus de Brisson, IL, p. 178,
PL. 18, fig. 4, et sur la pie-grie-
che rousse de Madagascar. de
Buffon, Pl. ent. 298, 2, est une
espèce toute différente de notre
pie-grièche rousse d'Europe; Mr.
Temminck l'a nommée ZLanius
madagascariensis ; voir Pl. col,
Tabl. méth., p. 19.
(44) LANIUS PERSONATUS,
Le Musée de Mayence et celui
des Pays-Bas possédent des indi-
seum. Es ist dies Lan. leucome-
topon, von der Mühle, p. 78.
(45) LANIUS TCHAGRA. Die
Exemplare von Spanien ähneln
denen vom Vorgebirge der guten
Hoffnung in allen Stücken. Da-
gegen sind die vom Senegal
durchgehends lichter gefärbt,
und, wie es scheint, auch ein
wenig kleiner: diese Lokalrasse
ist abgebildet bei Buffon, Pl.
enl. 479, fig. 1, unter dem Na-
men Pie-grieche rousse du Se-
negal.
Es findet hier also die nämliche
Erscheinung wie bei Viverra ge-
netta statt, die am Gap und im
südwestlichen Europa durchaus
dieselbe ist, während eine Varie-
tät oder Localrasse, Viverra se-
negalensis, ihre Stelle in Sene-
gambien vertritt. Shaw, l. c.,
hat beide Localrassen obigen Vo-
gels unter dem Namen Lanius
erythropterus vereinigt. Swain-
son, Birds of Western Africa,
I, p.235, trennt, nach dem Bei-
spiele Shaw’s, diese beiden Rassen
nicht. Vierllof, Dictionnaire De-
terville, vol. III, p. 317, ver-
einigt sie ebenfalls, unter dem
Namen Tamnophilus ichagra.
Boie, L. c., bringt den Tchagra
in.eine eigne Gattung, die er Po-
matorhynchus nennt, aber fälsch-
lich Herrn Horsjfield zuschreibt ,
der die Gattung Pomatorhinus
nach einem drosselartigen Vogel
von Java aufstellte, und densel-
ben Pomat. montanus nannte.
Lichtenstein, Catalog., p. 49,
n°. 519, zieht zum Tchagra des
Levaillant, Lanius senegalus,
47
vidus de cette espèce, tués en
Grece. C’est le Lanius leucome-
topon, von der Mühle, p. 78.
(45) LANIUS TCHAGRA. Les
individus de cette espèce, tues.en
Espagne, sont en tout point sem-
‘blables à ceux du Cap de B.
Espérance. Ceux du Sénégal au
contraire offrent des teintes plus
pâles, et il parait également
qu'ils sont d’une taille un peu
moins forte: cette race locale est
figurée par Buffon dans les Pl.
ent. 479, fig. 1, sous le nom de
Pie-grièche rousse du Sénégal.
La Genette, Viverra genetta,
offre un phénomène analogue:
les individus de l'Espagne et de
la France méridionale présentent
absolument les mêmes teintes que
ceux du Cap de B. Espérance,
tandis que ceux du Sénégal,
Viverra senegalensis, Fr. Cuv.,
ne sen distinguent que par des
teintes plus pales. Shaw, L. ce.
a réuni les deux races de la pie-
grieche dont nous traitons, sous
le nom de Lanius erythropte-
rus; et Swainson, Birds of
West. Afr., I, p. 235, imite
Shaw en ce point. Vieillot,
Diet. Deterv., vol. IT, p. 317,
les réunit également, mais en leur
conférant le nom de Tamnophi-
lus tchagra. Bote, l.c., forme
du Tchagra un genre particulier
qu'il nomme Pomatorhynchus ;
mais ıl commet une erreur insi-
gne, en attribuant l'invention de
ce nom à Mr. Horsfield, le
genre Pomatorhinus de ce sa-
vant étant établi en faveur d’un
oiseau tout différent de la famille
des Turdoïdes, savoir le Po-
Linne. Diese kleinere und ver-
‚schiedene Art aber ist, Sysé. nat.
XII, p. 137, no: 21, auf Bris-
sons Lanius senegalensis ci-
nereus, (Aves Il, p.167, Tab.
17, fig. 1), gegründet, zu wel-
cher Gmelin Linné, XIII, I,
p. 304, n°. 21, Bufon’s Pie-
grièche grise du Sénégal, Pl.
enl. 297, fig. 1 zieht. Herr
Gould hat den Namen Lanius
erythropterus auf eine von allen
den erwähnten sehr verschiedene
Art vom Himalajagebirge ange-
wendet: siehe Century Himal.
Birds, Tab. 11. Rüppel, N. Wir-
belthiere, Vögel, p. 32, hält die
von Buffon, 479, 1, abgebilde-
te Pie-grieche rousse du Séné-
gal für den wahren Lanius ery-
ihropterus, zieht aber als Sy-
nonym fälschlich L. senegalen-
sis, Lin. Gmel., dazu, weil er
glaubt, dass die Pie-grieche gri-
se du Sénégal, Pl. enl. 297,
fig. 1, ebenfalls als eine verfehlte
Abbildung des Z. erythropterus
zu betrachten sey. Endlich führt
Herr Rüppell den Tchagra des
Levaillant als eine sehr verschie-
dene Artan; was daher kommt,
weil er unter dem Namen Tcha-
gra eine ganz andre Art, allem
Anscheine nach, den Telopho-
nus longirosiris, Swainson ,
Nat. Hist.of Birds, Il, p.219,
fig. 200, g, beschreibt. — Ubri-
gens sagt Rüppell von L. ery-
thropterus. »Ich beobachtete
»zwei durch climatischen Ein-
» fluss veranlasste Varietäten; bei
» dem in Kordofan und im Sen-
»naar lebenden Vogel ıst Nac-
» ken und Rückenmitte isabell-
» farbig, und die ganze untere
mathorinus montanus qui habite
l’île de Java. Lichtenstein, Ca-
tal., p. 49, n°. 519, réunit au
Tchagra de Levaillant, le Zanius
senegalus de Linné, Syst. nat.,
XII edit., p. 137, n°. 21; mais
cette espèce, différente et de taille
moindre, repose sur le Lanius
senegalensis de Brisson, Ois ‚ll,
p. 167, PL 17, fig. 1, que Gme-
lin, Syst. nat., XIII, 1, p. 304,
n°. 21, réunit a la Pie-grieche
rousse de Buflon, Pl. ent. 297,
1. Gould,Cent. Himal., Birds, Pl.
11, a conféré l’epithete d’ery-
ihropterus à une pie-grieche des
Indes, tres-diflerente de toutes
celles dont nous venons de par-
ler. Rüppell, Neue Wirbelthiere,
Ois., p. 32, prend la pie-grie-
che rousse du Sénégal, figurée
Pl. enl. 479, 1, pour le vérita-
ble Lanius erythropterus ; mais
dans la supposition erronnée que
la pie-grieche grise du Senegal
de upon, Pl. enl. 297, fig. 1,
appartient également au Lanius
erylhropterus, il y réunit mal à
propos le ZLanius senegalensis
de Gmelin, qui repose sur cette
figure de Buffon. Mr. Rüppell
enfin parle du Tehagra de
Levaillant comme d’une espèce
tres-differente du Zanius ery-
thropterus, parce qu'il prend
pour le Tchagra, à ce qu'il pa-
rait, une toute autre espèce,
savoir le Telophophonus lon-
girostris de Swainson, Nat.
Hist. of Birds, Il, p. 219,
fig. 200, g. Mr. Rüppel dit
du Lanius erythropterus: » J'en
»ai observé deux variétés ,
» produites par l'influence du
» climat; dans celle qui habite
» Körperseite beinahe milchweiss,
»auch sind die Füsse hellbraun;
» diejenigen, welche an der abys-
»sinischen Küste vorkommen ,
»haben den Nacken, die Seiten
»des Halses und die Rücken-
»mitte grünbraun, Brust und
»Bauch blaugrau, und die Füsse
» dunkelbraun ; sonst sind beide
» Spielarten durch Statur, Schna-
»belform und übrige Färbung
„identisch. Zu bemerken ist, dass
»zuweilen bei beiden der Unter-
» schnabel gelblich ist.” Nach die-
sen Beschreibungen zu urtheilen ,
scheint die Varietät vom Sen-
naar und Kordofan mit der vom
Senegal, (Zan. erythropterus) ,
die von der abyssinischen Küste
mit der von Europa und dem
Cap, Lan. tchagra, übereinzu-
stimme.
Risso, Hist. nat. de l'Eur.
mer., III, p.33, n°.38, führt
unter dem Namen LANIUS CAS-
TANEUS, @mel., Chesnut-backed
Shrike, Lath., Syn., I, I, p.
159, n°. 3, einen Würger an,
der sich das ganze Jahr hin-
durch in der Gegend von Nizza
aufhalten, und dort ziemlich ge-
mein seyn soll. Es scheint fast,
als ob hiermit unser Zantius
ichagra gemeint sey. Risso’s Be-
schreibungen sind aber zu un-
vollständig, um sich mit Gewiss-
heit aussprechen zu können.
2.
49
»le Sennaar et le Kordofan, la
» nuque et le milieu du dos sont
» couleur isabelle, les parties in-
» férieures du corps sont à peu
» pres blanc de lait, et les pieds
» sont d’un brun clair; dans la
» variété qui habite les côtes de
»l’Abyssinie, la nuque, les co-
» tés du cou et le milieu’ du dos
» sont d’un brun verdätre; la poi-
» trine et le ventre sont d’un gris
» bleuätre et les pieds d’un brun
» foncé; du reste, ces deux va-
»riétés sont absolument sembla-
»bles par rapport à leur tail-
»le, la forme du bec et la dis-
» tribution générale des teintes.
»Il est bon d’observer que la
» mandibule inférieure de ces
» deux variétés est quelquefois
» teinte de jaunâtre.” A juger de
ces descriptions, il parait que la
variété du Sennaar et du Kor-
dofan est identique avec celle du
Sénégal, (Zanius erythropterus)
et que celle de la côte de l’Abys-
sinie ne diffère pas du Zanius
tchagra , tel qu'il a été observé
en Espagne et au Cap de Bonne
Espérance.
Risso, Hist. nat. de l'Eur.
mer., III, p. 33, n°. 38, de-
crit, sous le nom LANIUS CASTA-
NEUS, (Grmel., Chesnut-backed
Shrike, Lath., Syn., I, I, p. 159,
n°. 3, une pie-grieche, qui se
trouve, pendant toute l’année et
| en abondance dans les environs
de Nice. Il se peut que Risso ait
eu sous les yeux le Zanzus tcha-
gra, mais ses descriptions étant
assez superficielles, il est impos-
sible d'émettre une opinion quel-
conque sur cet oiseau de la Fran-
ce méridionale.
4
(46) muscicapa Parva. Exem-
plare dieser Art, aus Vorder In-
dien, im Pariser und Niederlän-
dischen Museum. Wie wenig die-
se Art noch in Frankreich und
England bekannt zu seyn scheint,
beweisst dass sie Swainson, 1. ce.
im Jahre 1838, nach einem Exem-
plare im Pariser Museum, als ei-
nen höchst merk würdigen, neuen,
eine eigene Gattung bildenden Vo-
gel beschrieb.
Schinz, Europäische Fauna,
I, p. 156, führt die nordameri-
kanische muSCICAPA (SETOPHA-
GA) RUTICILLA, nach einer An-
gabe in den Proceed. Zool. Soc. ,
1834, p. 30, als europäisch auf.
In dieser Schrift wird aber nicht
die Muse. rutieilla , sondern die
Phoenicura ruticilla, die nichts
als unser Gartenrothschwänzchen
ist, genannt, und von Thompson
zuerst als irländischer Vogel auf-
geführt.
50
(46) muscıcapa parva. Les
Musées de Paris et des Pays-Bas
possedent des individus de cette
espèce, recueillis au Decan. Al
paraît qu’elle est encore peu con-
nue en France et en Angleterre,
Mr. Swainson, L. c., l'ayant in-
troduite dans le système, en 1838,
d’après un individu conservé au
Musée de Paris, comme espèce
absolument inconnue et assez re-
marquable pour servir de type
à un genre nouveau. |
Schinz, Europ. Fauna, I, pe
156, introduit, comme espèce eu-
ropéenne, la MUSCICAPA (SETO-
PHAGA) RUTICILLA de l’Ameri-
que du nord, d’après une indi-
(47) Risso, Hist. nat. del Eur.
mér., III, p. 42, n°. 85 führt
unter dem Namen CURRUCA
TORQUATA, /auvelle a collier,
eine bei Nizza beobachtete Grass-
mücke auf, die aber nach der
sehr unvollständigen Beschrei-
bung gar nicht zu bestimmen
ist.
Derselbe Schriftsteller /. c., p.
43, n°. 43, erwähnt auch einer
Fauvette a cils rouges, SYLVIA
RUBRICILLA, Risso, die eben so
wenig als die Vorhergehende zu
cation contenue dans les Pro-
ceedings, 1834, p. 30. Cette in-
dication cependant a été mal in-
terprétée par Mr. Schinz; car
Mr. Thompson, qui en est l’au-
teur, y constate simplement que
la Phoenicura ruticilla, qui est
tout bonnement le rouge-queue
des murailles, Zusciola phoeni-
curus, à été observé par lui pour
la première fois en Irlande.
(47) Risso, Hist. nat. de
U Eur. mer., III, p. 42, no, 85,
décrit sous le nom de fauvette
a collier, CURRUCA TORQUATA,
une fauveite observée par lui dans
les environs de Nice; mais il est
impossible de se former une idée
précise de cette espèce, vu la
description incomplète que Mr.
Risso en a donnée. ir
Il en est de même de la Fau-
vette à cils rouges, (SYLVIA RU-
BRICILLA , Risso) , décrite par le
même écrivain, 2.c., 9.43, no.
43. Schinz, Il. c., p. 187, en
bestimmen ist. Schenz, l. c., p.187,
der diese Art aufnimmt, nennt
sie fälschlich Sylvia ruticilla,
Brisson; denn Brisson, Orn.
III, p. 403, hat den Namen Syl-
via ruticilla, Klein, zu seinem
Rossignol de muraille gezogen,
der unser Hausrothschwänzchen,
Sylvia thytlis, ist.
| SYLVIA ICTEROPS , Menetr.
Catal., p. 34, n°. 68, von Ch.
Bonap., List, p. 14, n°. 105,
als europäisch aufgeführt, wurde
von Menetries nur auf den Bergen
von Taliche, südlich vom Kur,
beobachtet, und scheint, nach
der Vermuthung von Keyserl.
u. Blasius, p. LVT, zu Sylvia
conspicillata zu gehören.
Schinz, Europ. Fauna, I, p.
188, führt SYLVIA ANTHOIDES,
Vieillot; Motacilla novaebora-
censis, Linn. @mel.; Selurus
aquaticus, Swains., als euro-
päisch, zufolge der Angabe auf,
dass ein Exemplar dieser Art in
Schweden geschossen wurde und
in die Sammlung des Herrn Du-
fresne in Paris kam. So lange wir
nicht zuverlässigere Mittheilun-
gen über dieses Exemplar erhal-
ten, können wir diese Art nicht
unter die europäischen Vögel
aufnehmen.
Endlich führt auch Schinz ,
I. c., p. 194, eine SYLVIA BRUN-
NEA, Forster, aus England auf,
die wahrscheinlich als Synonym
zum Weidensänger, Ficedula
rufa, gezogen werden muss.
' (48) SYLVIA RÜPPELLH wur-
de uns neuerlich, in mehreren
adoptant cette espece, lui don-
ne mal à propos le nom de Syl-
via ruticilla Brisson, car ce
nom emprunté à Klein a été
employé par Brisson, Orn., III,
p. 403, pour désigner son Ros-
signol de muraille, qui n'est
autre chose que le rouge-queue
noir, Sylvia thytis.
C’est a tort que Ch. Bonaparte,
List, p. 14, n°. 105, a range
parmi des oiseaux d’Europe la
SYLVIA ICTEROPS, Ménétr.Cat.,
p.34, n°. 68, cette espèce n'ayant
été observée que sur les mon-
tagnes de Talyche, au sud du
fleuve Kour. D'ailleurs il parait,
comme le présument M. M. Key-
serling et Blasius, p. LVT, que
cette fauvette ne diffère pas de la
Sylvia conspicillata.
Schinz, Europ. Fauna, T, p.
188, a énuméré parmi les oiseaux
d'Europe la SYLVIA ANTHOIDES,
Vierllot, Motacilla novaebora-
censis, Linn. Gmel., Seiurus
aqualicus, Siwainson ; il prétend
qu’un individu de cette espèce
a été tué en Suède, et que cet
individu se trouve dans la collec-
tion de Mr. Dufresne à Paris. Ce
témoignage indirect sur l’origine
de cet individu nous parait in-
suffisant pour admettre, pour le
moment, cette espèce comme fai-
sant partie de la Faune d'Europe.
Mr. Schinz enfin, {. c., p. 194,
faıt mention d’un bec-fin d’An-
gleterre, appelé par Forster
SYLVIA BRUNNEA, mais il paraît
que cette prétendue espèce ne
diffère pas de la Ficedula rufa.
(48) SYLVIA RÜPPELLIL. Nous
venons d'en recevoir plusieurs
Exemplaren, von Griechenland
geschickt.
(49) SYLVIA ICTERINA , Vreil-
lot, Nouv. Dict., XT, p. 194;
Ch. Bon., Icon. Faun. Ital., I,
Tav. 28, fig. 2; Gould, PI. 1382,
unterscheidet sich, nach unseren
Untersuchungen, in nichts von
Ficed. trochilus. Das einzige im
den Sammlungen bekannte Exem-
plar dieser vermeintlichen Art,
wurde von Herrn Cantraine im
den Pontinischen Sümpfen erlegt,
und an das Leidner Museum ge-
schickt. Es hat die vordersten
Stirnfedern verloren, was dem
Vogel das Ansehen giebt, als
habe er einen Schnabel wie Fc.
trochilus. Die Abbildungen von
Ch. Bonaparte und Gould wur-
den nach diesem Exemplare ge-
macht. Es fragt sich übrigens,
ob Vieillot bei Beschreibung sei-
ner Sylvia icterina wirklich
denselben Vogel vor sich gehabt
hat; denn er führt dieselbe gar
nicht unter der Familie der Laub-
sänger (Pouillots), sondern unter
der der Grassmücken, (Fauvet-
tes), auf, in welche er freilich
auch die Schilfsänger und viele
ausländische Arten begreift. Ubri-
gens ist seine Arbeıt äusserst
oberflächlich, und so verwirrt,
dass es unmöglich ist, über seine
Arten in das Reine zu kommen.
So führt er z. B. die Sylvia fitis
und Zrochilus als zwei verschie-
dene Arten an: /. c., p. 237 und
p. 241. Seine Sylvia 1icterina
vergleicht er mit Fie. hypolais,
und einer für ihn neuen in Frank-
reich lebenden Art, die er S.
flaveola nennt, die aber nichts
52
individus tués en Grèce.
(49) Quant à la SYLVIA ICTE-
RINA, Vieillot, Nouv. Dict., XI,
p.194; Ch.Bon., Icon.Faun.Ital.,
I, Pl.28, fig. 2; Gould, Pl. 132,
je ne vois pas en quoi differe
cette prétendue espèce du Powl-
lot, Ficedula trochilus. Il n’en
existe dans les collections qu’un
seul individu tué par Mr. Can-
traine dans les marais pontins.
Cet individu fait partie du Musée
des Pays-Bas. Les plumes du
front ayant été en partie enle-
vées, cet individu a l’apparence
d'offrir un bec beaucoup plus
large à sa base que celui du
Pouillot. Il a servi de modèle
aux figures publiées par Gould
et Ch. Bonaparte. Quant à l'in-
dividu décrit par Vreëllot sous le
nom de Sylvia icterina, il est
difficile, sinon impossible, de con-
stater à quelle espèce il.convient
de le rapporter; car, selon ce
savant, la Sylvia icterina n’ap-
partient pas au groupe des Pouil-
lots, mais à celui des Fauvettes,
dans lequel il range également
plusieurs riverains et un grand
nombre d’espèces exotiques de la
grande famille des becs-fins. Du
reste, le travail que Vieillot a
publié sur ces oiseaux, est assez
superficiel et il y règne tant de
confusion que je n’ai pu parve-
nir à le débrouiller. En le con-
sultant, on verra du premier
abord qu'il a mal à propos sé-
paré comme espèces diverses les
Sylvia fitis et trochilus (p. 237
ei p. 241), qu'il compare sa Syl-
via icterina à une prétendue
als Sal. arundinacea zu seyn
scheint. Dabei hat er noch die
traurige Sucht der Namenverän-
derungen , wodurch die Verwir-
rung noch grösser wird. So nennt
erz. B. die F. hypolais: Sylvia
polyglotta , p.200, weil er Mor.
hypolais, Linn., für eine Varie-
tät des is hält: p. 193; die
F. rufa nennt er S. collybita ,
p. 235; S. trochilus : Sylv. fla-
viventris, p. 241, u.s. w.
. ‘Zu welcher Art der vom Gra-
fen von der Mühle, p. 69, als
Sylvia icterina aus Griechenland
aufgeführte Vogel gehört, ist mır
unbekannt.
(50) FICEDULA AmBIGUA. Eine
neue Art, von welcher wir 2
Exemplare aus Griechenland er-
hielten.
Grösse und Aussehen der Fr-
cedula hypolais, aber Flügel
viel kürzer, Schnabel an der
Wurzel schmäler, und Färbung
blässer: oben graulich , unten
schmutzig gelblichweiss.
Ganze Länge «1... .. 5 4"!
Länge der Flügel . . .. 2 6
» des Schwanzes . . . 2
» desLaufes . , . . .. 10
» der Mittelzehe . . . . 41
» des Nagels derselben . 21
» der Hinterzehe 3
53
nouvelle espèce, originaire de la
France, qu'il nomme Sylvia fla-
veola, quoiqu’a la vérité elle ne
parait guère différer de la Syl-
via arundinacea, etc. D'autre
part, les innovations qu'il s’est
permises en changeant arbitrai-
rement les noms une fois recus
des espèces connues, ne laissent
de contribuer à rendre son tra-
vail obscur. Il change par exem-
ple le nom de Sylvia hypolais
en celui de Sylvia polyglotta ,
parce qu'il prend la Mot. hypo-
lais pour une variété de la Syl-
via fitis, (p. 200 ei 193); il ap-
pelle la Fre. rufa: Sylvia col-
lybita (p.235), la Fic. trochilus:
Sylvia flaviventris (p.241) etc.
J’ignore quelle peut être l’espe-
ce recueillie en Grèce et indiquée
par Mr. von der Mühle, p. 69,
sous le nom de Sylvia icterina.
(50) FICEDULA AMBIGUA.Espe-
ce nouvelle qui habite la Grèce,
d’où nous venons d’en recevoir
deux individus.
Elle a la taille et le port de
la Ficedula hypolais; mais ses
ailes sont plus courtes, le bec
est moins large à la base, et ses
teintes sont plus päles, savoir
grisatre en dessus, et d’un blanc-
jaunätre sale sur les parties in-
férieures.
Longueur totale... .. 5 ae
»oueles ailes de sl; 25,0
».xdendaqueue:.: s.. .12 |
21 dd larse. ie, UE 10
» du doigt de milieu 4
» del’ongledecedoigt 24
» OLE... AN 3.
54
Länge des Nag. derselben 22
_. » desSchnabels . . 8
Breite desselben beim
Mundwinkel ..... 3.
Erste Schwinge um 12 bis 21 Li-
nien länger als die längste ie gros-
sen äusseren : Flügeldeckfedern.
Zweite Schwinge eben so lang
als die sechste, und um 2 Linien
kürzer als die dritte. Vierte kaum
merklich, fünfte ein wenig kür-
zer als die dritte. Dritte bis fünfte
Schwinge auf der Aussenfahne
ein wenig verengt. Schwanz in
der Mitte kaum merklich ausge-
schnitten, nach den Seiten kaum
merklich abgerundet. Läufe vorn
mit vier grossen Schildern, von
welchen das dritte, grösste, 21
Linien lang ist, und auf welche
oben ein, unten drei kleine Schil-
der folgen. Nägel spitzig und
ziemlich gekrümmt. Füsse und
Nägel blass hornfarben. Schna-
bel ziemlich breit an der Wurzel,
nach der Spitze hin gleichmässig
verjüngt zulaufend. Oberschna-
bel an der Spitze ein wenig ab-
wärts gekrümmt, blassbräunlich
hornfarben, mit hellen Rändern;
Unterschnabel gelblich hornfar-
ben. Am Mundwinkel und am
Kinn einige schwarze Borsten-
haare. Obertheile und Seiten des
Halses blassbräunlich grau, mit
olivenfarbigem Anfluge, beson-
ders auf dem Hinterrücken. Flü-
gel graulichbraun, alle Federn
hell gesäumt. Flügel auf der Un-
ir viel DE. die Schwung-
federn auf der Innenfahne mit
breitem , weisslichem Saume. In-
nere Flügeldeckfedern weisslich.
Steuerfedern graulichbraun , am
Longueur de l’ongle du pouce 2
» du bec
Largeur du bec près de |
l’angle de la bouche . 3.
e ee ee 8 ©
Premiere remige plus courte
de 12 à 21 lignes que la plus
longue des grandes couvertures
extérieures des ailes; deuxième
rémige de même longueur que
la sixième, et plus courte de
deux lignes que la troisième;
quatrième rémige presque aussi
longue que la troisième; cin-
quième rémige un peu plus
courte que la troisième. Troi-
sième, quatrième et cinquième
rémiges un peu rétrécies à la
barbe extérieure. Queue tant
soit peu échancrée au millieu,
légèrement arrondie vers les
côtés. Tarses garnis par-de-
vant de quatre grandes plaques,
dont la troisième, longue de 2
lignes et demie, surpasse les au-
tres en étendue; elle est suivie
en haut d’une seule, en bas de
trois petites plaques. Ongles poin-
tus, passablement courbés et,
ainsi que les pieds, couleur de
corne pâle. Bec assez large à la
base, diminuant successivement
en largeur vers sa pointe; man-
dibule supérieure un peu cour-
bee en bas, d’un brun pâle
couleur de corne, et à bords as-
| sez clairs; mandibule inférieure
jaunâtre couleur de corne. On
voit des soies noires clair-semées
près de l’angle de la bouche et
sur le menton. Parties supérieu-
res de l’oiseau ainsi que les côtés
du cou d’un gris brunätre päle,
tirant sur l’olivätre , particuliere-
ment vers le bas du dos. Ailes
Innenrande weisslich gesäumt.
Alle Untertheile weisslich mit
blass lehmgelblichem Anfluge ,
besonders auf der Vorderbrust ;
an den Seiten des Rumpfes und auf
der Ohrgegend in’s blass braun-
gelblichgraue übergehend. Ein
weisslicher Streif von den Na-
senlöchern zum obern Rande der
Augen. Schenkelfedern weiss, an.
der Wurzel graubräunlich.
Ob der von von der Mühle,
p. 65, unter dem Namen Sa/i-
caria olivetorum (2) beschriebene
Vogel aus Griechenland hierher,
oder wirklich zu letztgenannter
Art gehört, lässt sich vor der
Hand nicht ausmachen.
(50 dis) SYLVIA NIGRIFRONS ,
Bechstein, III, p. 575, Tab.
27, von der bis jetzt nur zwei
Paare, eins in Thüringen, (siehe
Bechstein), und eins in Schlesien,
(siehe @loger, Handb., p. 560)
beobachtet wurden , und den die
meisten Naturforscher für eine
Varietät des Sumpfsängers hal-
ten, wurde neuerlich von Ch. Bo-
naparte, Catal., p.35, n°. 141,
als selbständige Art, unter dem
Namen Calamoherpe nigrifrons,
angeführt.
55
d’un brun grisätre, à plumes li-
sérées d’une teinte claire; face
interne des ailes beaucoup plus
pâle que la face externe; bar-
bes internes des pennes pourvues
d’un liséré blanchätre assez lar-
ge. Couvertures intérieures des
ailes blanchätres. Pennes de la
queue d’un brun grisätre,, à bar-
bes internes bordées de blanc.
Toutes les parties inférieures de .
l’oiseau sont d’un blanchätre
nuance , notamment sur le haut de
la poitrine, de jaune de terre pà-
le, et passant, sur les flancs et
sur la région des oreilles, au gris
jaunätre pâle tirant sur le brun.
Il existe, entre les narınes et le
bord supérieur des yeux, une
raie blanchätre. Plumes des jam-
bes blanchätres, mais d’un gris.
brunätre à la base.
Il est, pour le moment, im-
possible de constater si l’oiseau ,.
décrit par le comte von der Müh-
le, p. 65, sous le nom de Sa-
licaria olivetorum(?), appartient
en effet à cette espèce ou à no-
tre Ficedula ambigua. |
(50 dis) On est assez générale-
ment d'opinion que la SyLvia
NIGRIFRONS, Bechstein , III,
p.575, Pl.27, dont on n’a ob-
serve jusqu’a present que deux
couples, l’un en Thuringue, l’au-
tre en Silésie, (voir Bechstein
Le., et @loger, Handb., p. 560),
ne forme qu’une variété de la
Sal. palustris; Ch. Bonaparte
cependant a introduit récemment
cet oiseau comme espèce distincte
sous le nom de Calamoherpe ni-
grifrons : voir Catal,, p.35, n°.
141.
(51) SALICARIA OLIVETORUM.
‚Eine genaue Beschreibung dieser
seltenen Art wird den Naturfor-
schern hoffentlich willkommen
seyn.
Im Bau und Aussehen am meis-
ten mit Ficedula hypolais über-
einstimmend; aber der ganze Vo-
gel bedeutend grösser, obgleich
die Flügel kann länger sind
als bei Ficedula hypolais, der
Schwanz abgerundet, und die
Färbung g graulich, unten gelblich-
weiss.
Ganze Länge ..... 6” 5
Länge der Flügel . .. 3" am
» desSchwanzes. . . 2’ 6
» des Laufes , 102’
» der Mittelzehe . Bin
» des Nagels derselben Ba
» der Hinterzehe . . . 31/7
» des Nagels derselben an
» des Schnabels vom
Mundwinkel .... ga
Breite des Schnabels
beim Mundwinkel . . AMT,
Schnabel in der Hauptsache
mit dem der Fic. hypolais über-
einstimmend ; aber bedeutend
grösser, und an der vordern Hälfte
verhältnissmässig stärker seitlich
zusammengedrückt. Oberschna-
bel gegen die Spitze hin etwas
abwärts gekrümmt, hinter der
Spitze an den Seitenrändern zahn-
förmig ausgeschnitten, blassbraun
hornfarben, mit hellen Rändern.
Unterschnabel gelblich. Am Kinn,
an der Wurzel des Unterschna-
‚ bels, und besonders am Ober-
schnabel zwischen den Nasen-
56
(51) SALICARIA OLIVETORUM.
Nous esperons que la description
détaillée que nous donnerons de
cette espèce rare, sera accueillie
avec intérêt des naturalistes.
Elle se rapproche, par son or-
ganisation et son port, de la Fi-
cedula hypolais ; mais ses ailes
ne sont guere plus longues que
dans cette espèce, quoiqu’ elle
soit d’une taille considerablement
plus forte; aussi sa queue est-
elle arrondie à l'extrémité, et la
couleur des parties supérieures
grisätre, celle des parties infé-
rieures d’un blanc-jaunätre.
Longueur totale . . . . 6” 5%
» des ailes Hu. a
» de la queue "ANNE
» du tarse sf, SO en MIO
» du doigt de milieu. 5‘.
» de l’ongle de cedoigt 21m
»’ durpouce ud. 31m
» de l’ongle du pouce 3
» du bec depuis l’an-
gle de la bouche . 92
Largeur du bec près de
cet anglen mir 4gn
Bec en général comme dans
la Fic. hypolais, mais plus grand
et, proportions gardées, plus
comprimé à sa partie antérieure.
Mandibule supérieure un peu in-
clinée vers la pointe, légèrement
échancrée derrière la pointe, d’un
brun pâle couleur de corne, à
bords trés-clairs. Mandibule in-
ferieure jaunâtre. On voit des
soies noires sur le menton à la
base du bec , particulièrement
entre les narines et l’angle de la
bouche. Tour des yeux garni de
petites plumes blanches clair-
lôchern und dem Mundwinkel,
schwarze Borstenhaare. Augen-
kreis mit weissen Federchen
ziemlich sparsam besetzt. Läufe
vorn mit 9 sehr deutlichen Schil-
dern, von welchen das dritte,
vierte und fünfte die grössten
sind, obschon die Länge eines
‚jeden etwa nur 2 Linien beträgt.
Nägel sehr blass, gelblich horn-
farben, spitzig, ziemlich ge-
krümmt , besonders der der Hin-
terzehe, der auch kräftiger ist
als die übrigen. Füsse braun-
schwärzlich horufarben. Erste
Schwungfeder um 21 Linien kür-
zer als die dritte, längste, der
grossen äussern Flügeldeckfedern.
Die dritte, längste, Schwungfe-
der um 14 bis 11 Linie länger
als die zweite und vierte, die
gleich lang sind. Die dritte
Schwungfeder deutlich, die vier-
te kaum merkbar auf der Aus-
senfahne verengt. Schwanz nach
beiden Seiten gleichmässig abge-
rundet, so dass die äussersten
Schwungfedern 3 Linien kür-
zer sind als die mittleren. Ober-
theile des Vogels, Seiten des Kop-
fes und Halses, bräunlichgrau
in’s olivengrüne. Flügel braun mit
graulichem Schimmer; die klei-
nen Deckfedern mit breitem, grau-
lichem Saume ; die Schwungfe-
dern und die hintern grossen
Flügeldeckfedern mit breitem, die
übrigen Federn mit schmalem ,
weissemSaume. Flügel von innen
blässer: die grossen innern Flü-
geldeckfedern blass graulich, ge-
gen die Spitze in’s weisse; die
kleinen an der Wurzel dunkel-
braun, an der Spitze weiss.
Steuerfedern braun mit grauli-
57
semées. Tarses munis par devant
de neuf plaques assez distinctes,
dont -la troisième, la quatrième
et la cinquième sont plus gran-
des que les autres, quoique la
longueur de chacune d’elles n’ex-
cède pas deux lignes. Ongles
d’un jaunätre couleur de corne
tres-päle, passablement courbés,
notamment celui du pouce, qui
surpasse du reste les autres ‚en
force. Pieds d’un brun-noirätre
couleur de corne. Premiere ré-
mige plus courte de 2 lignes et
demie que la troisième ou la plus
longue des grandes couvertures
extérieures des ailes. La troisie-
me rémige est la plus grande de
toutes; elle dépasse d’un quart
ou d’une demie ligne la deuxie-
me et la quatrième rémiges qui
sont d’egale longueur. Troisième
rémige sensiblement, quatrième
tant soit peu rétrécie à la barbe
extérieure, Queue assez arrondie
à l'extrémité, les pennes exte-
rieures étant de trois lignes plus
courtes que les mitoyennes. Par-
ties supérieures de l'oiseau, cö-
tés de la tête et du cou, d’un
gris-brunätre tirant sur l’olivätre.
Ailes brunes à reflets grisätres;
petites couvertures largement bor-
dées de grisätre; les autres plu-
mes des ailes, lisérées de blanc
qui forme de larges bords sur les
rémiges et sur les grandes cou-
verlures postérieures. Parties in-
férieures des ailes plus pales; les
grandes couvertures intérieures
d’un grisätre pale, passant au
blanc vers la pointe; les petites
couvertures d’un brun foncé à
la base, et blanc vers la pointe.
Pennes de la queue brun à re-
58
chem Scheine, unten blässer ;
. die drei oder vier äusseren Paare
mit weissem Saume am Innenrand
und an der Spitze; die äusserste
am Aussenrande mit breitem ,
weissem Saume. Untere Schwanz-
deckfedern weisslich, mit gros-
sen, länglichspitzigen, bräunlich-
grauen Schaftflecken. Federn der
Füsse weis, an der Wurzel
graubraun. Alle übrige Unter-
theile des Vogels weisslich mit
blass lehmgelblichem Anfluge,
besonders auf Brust und Bauch.
Seiten des Rumpfes gelblichgrau.
Ein sehr schmaler, weisslicher
Streif von den Nasenlöchern zum
oberen Augenrande.
(52) SYLVIA CARICETI, Nau-
mann, I. c.; Sylvia striata,
brehm, Beitr., IT, p. 26, scheint
mir nichts als Salicaria aqua-
fica im Sommerkleide zu seyn.
Es erklärt sich daher auch, war-
um Sylvia aquatica, Naumann ,
bis jetzt noch nirgends brütend
angetroflen wurde.
(53) SALICARIA FAMILIARIS
ist zwar der Sal. galactodes aus-
serordentlich verwandt, abernach
Untersuchung mehrerer Exem-
plare aus Griechenland und von
den Uferu des Kur, standhaft
verschieden. Sie unterscheidet
sich von 8. galactodes durch
folgende Merkmale. Ihr Schnabel
ist auf der vordern Hälfte stär-
flets grisätres, plus päles sur le
dessous; les trois ou quatre pai-
res extérieures à barbes internes
et à pointes lisérées de blanc; l’ex-
térieure ornée à sa barbe exté-
rieure d’un bord blanc très-lar-
ge. Couvertures inférieures de la
queue pourvues, le long du tuy-
au, de larges taches allongées
en pointe, d’un gris-brunätre. Plu-
mes des pieds, blanc, qui passe
au gris-brun à la base. Toutes
les autres parties inférieures de
l'oiseau, blanchätre , tirant au
jaune dargile pâle, notamment
sur la poitrine et sur le ventre.
Flancs d’un gris-jaunätre. On voit
une raie assez étroite et päle en-
tre les narines et le bord supé-
rieur des yeux. |
(52) J’ai lieu de croire que la
SYLVIA CARICETI de Naumann,
I. c., ou Sylvia striata, Brehm,
Beitr., IT, p. 26, n’est établie
que sur des individus en habit
d'été de la Salicaria aquatica.
Ce n’est qu’en admettant cette
conjecture que l’on parvient à
expliquer pourquoi la Sylvia
aquatica de Naumann n’a pas
encore été observée jusqu’à pré-
sent lors de l’époque de la pro-
pagation.
(53) SALICARIA FAMILIARIS.
Cette espèce, quoique assez voi-
sine de la Sal. salactodes, s'en
éloigne cependant constamment.
J’en ai examiné plusieurs individus
tués en Grèce et sur les bords
du Kour. Elle se distingue de la
Sal. galactodes par les caracté-
res suivans. Le bec est plus for-
tement comprimé à la moitié an-
ker seitlich zusammengedrückt.
Die Farbe der Obertheile ist ein
schmutziges Graubraun, ohne
Spuren vom rostbräunlichen An-
fluge, der erst auf den obern
Schwanzdeckfedern auftritt. Die
schwarzen Flecke des Schwan-
zessind grösser, nicht rund und
isolirt, sondern sie bilden ein
durchgehendes, breites schwar-
zes Band. Die erste Schwin-
ge, die bei Salie. galactodes um
5 Linien über die grossen äus-
sern Flügeldeckfedern hinaus-
reicht, überragt letztere Federn ,
bei Sal. familiaris, nur um eine
Linie. Endlich ist bei Sal. ga-
lactodes die zweite Schwinge
kürzer als die fünfte, während
diese beide Schwingen bei Sul.
familiaris von gleicher Länge
sind. | f
Es ist dies ohne Zweifel die
Art, welche von der Mühle, p.
66, als Salicaria galactodes
aufgeführt hat.
(54) Nach Herrn J. Natterer’s
mündlichen Mittheilungen ist
SAL. SERICEA nicht von Sal.
C'ettii verschieden. Ich finde die-
se Beobachtung an den, von Nat-
terer in Spanien gesammelten
Exemplaren, bestätigt.
SYLVIA CERTHIOLA, Temm.
Man., I, p. 187, Motacilla
certhiola, Pallas, Zoogr., I,
p. 509, n°. 141; Gould, Pi.
105, bewohnt nach Pallas nur
das östliche Sibirien. Das von
Pallas aus der Krimm an Herrn
Temminck geschickte Exemplar,
welches jetzt noch im Leidner
Museum vorhanden ist, gab An-
lass, diese Art irriger Weise als
59
térieure. Le plumage des par-
ties supérieures est d’un brun
grisätre sale, seulement nuancé
de brun ferrugineux sur les cou-
vertures supérieures de la queue.
Les taches noires de la queue
sont plus grandes et elles forment
une large bande noire, au lieu
d’être orbiculaires et isolées com-
me dans la Sal. galactodes. La
première rémige dépasse, dans
cette espèce, les grandes couver-
tures des ailes de cinq lignes;
dans la Sal. familiaris au con-
traire cette rémige ne dépasse
les couvertures des ailes que d’une
ligne. Enfin, la deuxième rémi-
ge est, dans la Salic. galactodes ,
plus courte que la cinquième,
tandis que ces deux rémiges sont
d’egale longueur dans la Salic.
Jamiliaris.
C'est sans doute l'espèce indi-
quée par Mr. von der Mühle,
p. 66, sous le nom de Salicaria
galactodes.
(54) Je dois à feu Vatterer l’ob-
servation que la SAL. SERICEA
est identique avec la Sal. Cettir,
assertion dont j’ai vérifié l’exac-
tıtude par l'examen des individus
recueillis en Espagne par Mr.
Natterer même.
SYLVIA CERTHIOLA, Zemm. ,
Man., I, p. 187; Motacilla
certhiola, Pallas, Zoogr., I,
p. 509, n°0. 141; Gould, Pl.
105, n’a été observé par Pallas
que dans la Sibérie orientale.
L’individu envoyé par Pallas,
lors de son séjour en Crimée,
a Mr. Temminck , fait actu-
ellement partie du Musee des
Pays-Bas; il a donné lieu à la
europäisch aufzuführen.
(55) SALICARIA LANCEOLATA.
Nach Mittheilungen des Herrn
Bruch sind die beiden einzigen
bekanuten Exemplare dieser Art
im südlichen Russland , und nicht
in Deutschland erlegt worden.
Durrazzi, Degli Uccelli Liguri,
Genova, 1840, p. 35, sagt, dass
ein Exemplar dieser Art bei Ge-
nua gefangen worden sey.
. (56) SALIACRIA CALIGATA.
Im Berliner Museum befindet sich
ein Exemplar dieser seltenen Art.
Ich habe nach demselben eine
Beschreibung entworfen, die
aber durch einen Zufall theilweise
vernichtet wurde. Ich kann da-
her nur folgendes über diese Art
mittheilen. EN
Grösse der F\. érochilus. Fär-
bung der der S. arundinacea
sehr ähnlich. Flügel 2'* 4;
Schwanz 2”; Läufe 91”. Mit-
telzehe 5°. Nägel gross, der hin-
tere stärker gekrümmt als die
vordern. Schnabel mittelmässig ,
sehr stark seitlich zusammenge-
drückt; daher fast höher als breit.
Schwanz etwas abgerundet.
Läufe vorn mit 4 Schildern , von
denen das zweite zwei Drittel
der ganzen Länge des Laufes
einnimmt; das oberste und unter-
ste klein; das dritte, doppelt so
gross als letztere. Schmutzig blass
olivenfarbig, unten in’s weissli-
che. Schwung- und Steuerfedern
graubräunlich ; letztere mit hel-
supposition erronnée que cette
espèce habite la Russie méri-
dionale. mw
(55) SALICARIA LANCEOLATA.
Mr. Bruch me mande que c’est
par erreur que l’on a assigné
l'Allemagne comme patrie de cet-
te espèce, les deux individus sur
lesquels elle a été établie ayant
été tués dans la Russie méridio-
nale. Mr. Durazzi, Degli Uc-
celli Liguri, Genova, 1840, p.
35, dit cependant qu’il en a re-
cu un individu pris dans les en-
virons de Gènes.
(56) SALICARIA CALIGATA.
Je n'ai examiné qu’un seul indi-
vidu de cette espèce bien rare; 1l
existe au Muséum de Berlin. La
description que j'en ai faite,
ayant été en parte détruite, je
regrette de ne pouvoir donner
sur cette espèce d’autres détails
que les suivans.
Taille de la F. trochilus. Tein-
tes analogues à celles de la S.
arundinacea. Ailes 2" 4’; queue
2’; tarse 91”; doigt de milieu
5”. Ongles grands, celui du pou-
ce plus fortement courbé que les
autres. Bec médiocre, très-com-
primé, par conséquent presque
plus haut que large. Queue un
peu arrondie à l'extrémité. Tar-
ses munis par-devant de 4 pla-
ques, dont la deuxième occupe:
deux tiers de la longueur totale
du tarse; la supérieure et l’infé-
rieure sont petites; la troisième
est du double plus longue que cel-
les-la. Teinte générale d’un oli-
vätre pâle et sale, passant, sur
les parties inferieures, au blan-
lerem Aussenrande und Spitze.
Dritte bis sechste Schwungfeder
auf der Aussenfahne verengt.
61
chätre. Pennes des ailes et de la
queue d’un gris brunätre ; celles-
ci liserees de blanc à la barbe
extérieure et à la pointe. Troi-
sième, quatrième, cinquième et
sixième rémiges à barbes exté-
rieures rétrécies.
M. M. Keyserling et Blasius,
p. 190, assignent à cette espèce
les caractères suivans: » Tou-
»tes les pennes de la queue
» arrondies: les mitoyennes un
» peu plus courtes, d’un brun
» grisätre, à lisere clair ; la pen-
ne extérieure bordée des deux
» côtés de blanchätre sale, la
» suivante seulement bordée de
» cette teinte à la barbe interne
»et à l'extrémité. Barbes exter-
Keyserling und Blasius, p.
190, geben folgende Kennzeichen
für diese Art an: »Schwanzfedern
» alle abgerundet, die mittlern et-
».was verkürzt, graubraun , blass
» gesäumt ; die erste ringsum ,
» die folgende innen und am Ende
»trübweisslich gerandet; die Aus-
» senfahne der 3te bis Gt Schwin-
»ge deutlich verengt; Oberseite
»fahl olivenbräunlichgrau; Un-
»terseite weisslich; Gurgel reiner
»weiss; Zügel blassbräunlich- | »nes des 3”, 4me, 5me et 6e
» weiss, über denselben keine | » rémiges rétrécies. Parties supé-
»ausgezeichneten Augenbrau- | »rieures d’un gris-brunätre ti-
»nen.” » rant sur l’olivätre; parties infé-
» rieures blanchätres; gorge d’un
» blanc pur; région des freins
» d’un blanc brunätre pale, sans
» raies surcilieres apparentes.”
Pallas enfin s'exprime sur cet-
te espèce dans les termes suivans:
Pallas endlich sagt folgendes
über dieselbe :
- » M. cinerea subtus alba, supercilüs albis, cauda rotundata.
» Rossis Talofka (salicaria), versus Jacutiam Pjewunetz (cantator).
»In Rossia et Sibiria passim in salicetis circa fluvios occurrit ,
»suaviter cantillans, unde in borealibus ad Lenam, ubi aliae de-
»sunt melodicae, rossicum nomen meruit. Observatur etiam ın
» Dauuria et studiosus versus mare glaciale, quousque arbusta suppe-
»tunt, eandem videt. Evolat in cacumen arboris, indeque ex ramo
»in ramum desultans, productis et continuatis sonis amoenissime
» cantillat, voce majore quam tantillae aviculae convenire diceres. —
»Nidus in ramulo bifurcato, e graminibus implexis. Ovula 4 ad 5.
» Descr. Sylvia multo minor. Rostrum nigrum, basi maxillae
»inferioris lutescente. Os, anguli oris et lingua bifida flavidissima.
» Corpus supra gryseo-cinereum. Striga superciliaris a rostro ad
»occiput, una cum palpebris, albo-pallida. Fasciola fusco obsoleta
»a rostro per oculos. Subtus avicula cinerascente-alba, jugulo la-
62
»teribusque magis cinerascentibus. Alae subtus et subcaudales pal-
»lidae. Alae fuscescentes, remigibus 19. quarum prima 2 brevior,
»3—5 exterius angustatae. Gauda obiter rotundata, tota fuscescens;
»rectricibus subacutis limbo cinerascentibus. Femora inferius cine-
»rascunt. Pedes longiusculi, corneolo-fuscescentes, digitis subtus
»flavis; tibialia mtegra. Pondus drachmarum plus minus 21. Longi-
»tudo vix 3”. caudae 1”. 11/7. alarum expansarum 6”. 6. ulnae
»2. 217, rostri ad oris angulos 52, ad frontales plumas 31’. ti-
» biarum 94”. digitus anticus medius (cum ungue 25.) 7%. postici
»(cum ungue 15/7.) 5147,
(57) Schinz, Europ. Fauna,
I, p. 181, erwähnt einen neuen,
der Nachtigall verwandten Sän-
ger aus Griechenland, den er vor-
schlägt SYLVIA SCHUCHH zu nen-
nen. Da aber dieser Vogel nicht
genau beschrieben ist, so kön-
nen wir ihn vorläufig als Art
noch nicht aufnehmen. Herr
Schinz sagt bloss, dass er der
Nachtigall sehr ähnlich ist, sich
aber durch den stärkern Schna-
bel, welcher schwarz ıst, durch
etwas bedeutendere Grösse, auch
durch eine etwas verschiedene
Färbung unterscheidet.
(58) LUSCIOLA ERYTHRO-
GASTRA. Alles was man bis jetzt
von diesemV ogel weiss, beschränkt
sich auf die von Güldenstädt ge-
gebenen Abbildungen und Be-
schreibung, welche letztere wir
daher vollständig mittheilen:
(57) Schinz, Europ. Fauna,
I, p. 181, fait mention d’un bec-
fin inédit, voisin du rossignol
et originaire de la Grèce. Il pro-
pose de nommer cet oiseau SYL-
vıa SCHUCHII, M. Schinz ayant
négligé d’en donner une descrip-
tion detaillee, nous ne le sau-
rions pour le moment admettre
comme espèce. Cet auteur se bor-
ne à constater que le bec-fin
dont nous venons de parler, res-
semble beaucoup au rossignol,
mais qu'il s'en éloigne par un
bec plus robuste et de couleur
noire, par une taille plus forte,
et une nuance des teintes un peu
diverse. | |
(58) LUSCIOLA ERYTHRO-
GASTRA. Cet oiseau n’est con-
nu, que nous sachions, que par
la description et les figures qu’en
a publiées Güldenstädt. Cet au-
teur en parle dans les termes
suivans:
»MOTACILLA ERYTHROGASTRA.
»Quanta de Muscicapa melanoleuca (Saxicola stapazina) et Mo-
»tacilla leucomela aflinitas depraedicata , tanta etiam depraedicanda
»de Motacilla erythrogastra nostra et Motacilla phoenicuro Linnaei.
»Mares sat facile; sed feminas utriusque speciei, a suis maribus
»toto coelo coloribus diversas et non nisi abdomine et cauda suba-
63
»nalogas, difhicillime ex descriptione distmgues. Femina Motacillae
»erythrogastrae coloribus etiam multum aemulatur Motacillam
»oenanthem et cum eadem magnitudine convenit, qua Phoenicurum
»nonnihil superat. Moribus et vitae genere Motacilla erythrogastra
» aves congeneres imitatur: cursitat ad fluviorum ripas; arbusculis
»insidens caudam motitat inquietissima, attamen non timida; volans
»pipit more Motacillae albae; mas feminae strenuus custos et comes
»fidelis; insectis victitat, pullosque, in nidis herbaceis inter Hippo-
» phaës ramos, cujus baccas etiam appetit, tuto occultatos enutriunt.
» Migratoria avis nostra per aestatem habitat cum Loxia rubicilla
»ad alveos glareosos torrentium Gaucasicorum, quos, hyeme insec-
»tis infesto superveniente, fine Octobris deserit, clima mitius,
»insectis pro cibo abundans, austrum versus quaesitura. Figura
»tabulae XVI. sistit marem et figura tabulae XVII. feminam Mota-
»eillae erythrogastra magnitudine, figura et colore naturali. Ad
» maris descriptionem accedam. |
» Rostrum triquetro-subulatum; apice subincurvo, integerrimo;
»colore atro; a fronte quinque, a rictu octo linearum longitudine.
» Vibrissae ad rietum detritae. In cavitate oris lutea lingua bifida.
» Nares bäsilares, rotundae, perviae. Oculi fusci.
» Vertex usque in nucham et alarum speculum alba, fuliginoso-
»sordida; capistrum, gula, genae et tempora, collum et inter-
»scapulium aterrima; pectus et totum corpus subtus atque crissum
» utrinque intense castanea.
» Alae complicatae ultra medietatem caudae vix procedentes,
»aterrimae, speculo albo quadratico, quod remiges 3—10, quae
»medio albae sunt, efficiunt.
»Gauda tres pollices et duas lineas longa, integra, rectricibus
»duodecim uropygio concoloribus.
» Femora usque ad genu plumosa, abdominis colore tincta, sed
»ipso genu atro; tibiae et digiti, quorum tres antici et inter se
»liberi, quartus posticus nigri coloris; ungues incurvi, acuti, sub-
»aequales, digitis concolores.
»Longitudo totius aviculae extensae a rostri apice ad caudae
»extremum septem pollicum.
»De femina dicenda habeo sequentia ; rostrum et pedes atra, ut
»in mare; crissum et cauda castanea ut in mare, sed dilutiora ,
»apicibus rectricum et intermediüs duobus rectricibus totis fusces-
» centibus ; reliqua tota quanta avis cinerea, supra intensior, infra
» dilutior et in abdomine cum aliqua ruffescentis mixtura; magnitudo
»cum mare eadem.”
Wir entnehmen aus der Abbil- Nous avons emprunté de la fi-
dung noch folgende Ausmessun- | gure de cette espèce, les mesures
gen, die wir, wie Güldenstädt, | suivantes, exprimées, comme l’a
64
‚nach englischem Maasse angeben.
Länge des Flügels ....4 11
» » Laufes FOUT TRS RR >)
» der Mittelzehe . . . O0 8
» » Hinterzehe . . O 5
_ Es erhellt aus obigen Angaben,
dass dieser Vogel in mehr als
einer Hinsicht von MOTACILLA
AUREORA, Pallas, abweicht,
welche bis jetzt bloss im östlichen
Sibirien und Japan gefunden , und
daher mit Unrecht unter die
europäischen Vögel aufgenom-
men wurde. Letztere Art unter-
scheidet sich von Motacilla ery-
throgastra, Güldenstädt , durch
folgende drei Hauptpunkte: 1)
die beiden mittelsten Steuerfe-
dern sind schwarz und nicht
braunröthlich; 2) der weisse
Spiegel der Flügel ist auf die
Schwungfedern zweiter Ordnung,
also auf die zehnte bis achtzehnte
beschränkt, während er bei M.
erythrogastra die dritte bis
zehnte Schwungfeder erster Ord-
nung einnimmt; 3) ist M. aurorea
bedeutend kleiner , wie folgende
Ausmessungen, eines von Pallas
aus dem östlichen Sibirien mit-
ebrachten, in unserer Sammlung
sich befindlichen Exemplares,
zeigen.
| Engl. Maass.
Ganze Länge . . . 6 Zoll. O Lin.
Länge des Flügels . 3 » 1»
» des Schwanzes 2 » 8»
» des Laufes . . . 0 » 11 »
-» der Mittelzehe . O0 » 6»
» der Hinterzehe. O0 » 3»
fait Güldenstädt, en pouces an-
glais.
Pouces. Lign,
Longueur des ailes . . . . 4 11
» . dutarse tr) tte
» du doigt de milieu O0 8
» du pouce. . ... 0 5
On voit par les détails que nous
venons de donner sur cet oiseau, .
qu’il s’éloigne sous plusieurs rap-
ports de la MOTACILLA AUREORA
de Pallas, espèce seulement ob-
servée jusqu’ à présent, dans la
Sibérie orientale et au Japon, et
que l’on a introduite à tort parmi
les oiseaux d'Europe. Cette es-
pèce se distingue facilement de
la Motacilla erythrogastra par
les caractères suivans ; 1) les deux
pennes mitoyennes de la queue
sont noires et non pas d’un brun-
rougeätre; 2) le miroir blanc des
ailes occupe les rémiges secon-
daires, c’est-à-dire la dixième
et les suivantes jusqu’ à la dix-
huitième, tandis qu’il occupe dans
la Mot. erythrogastra, la 3°
et les suivantes jusqu’ à la 10me
des rémiges primaires; 3) M. au-
rorea est d’une taille beaucoup
moins forte, comme on peut le
voir par les mesures suivantes
prises sur un individu cédé à Mr.
Temminck par Pallas lui-même,
qui l’a recueilli dans la Sibérie
orientale. Ä |
Mes. angl.
Longueur totale . ... 6" 0
» tdessailes . ETC RENNES
» de la queue :.1:002008:
». duitarse eis
» du doigt de milieu. 0 6
» dupouce .....0 3.
(59) LUSCIOLA COERULECULA,
scheint sich zwar von Z. cyane-
cula nur durch den rothbraunen
Mittelfleck der blauen Gurgel zu
unterscheiden; da aber diese Fär-
bung bei allen in Russland und
Sibirien beobachteten Exempla-
ren standhaft vorkommen soll,
so müssen diese als eine Lokal-
varietät bildend, betrachtet wer-
den.
(60) SAXICOLA SALTATRIX.
‘Siehe die Kennzeichen dieser Art
bei Ménétries, und Keyserling
und Blasius. Sie scheint, wie
Sax.oenanthe, individuell in der
Grösse bedeutend abzuweichen.
Folgende Beschreibung ist nach
einem solchen kleineren Indivi-
duum aus Griechenland gemacht.
Form des Schnabels und des
Schwanzes, Füsse, gegenseitiges
Verhältniss derSchwingen, wie bei
Sax. Oenanthe; aber die Färbung
verschieden, und die unteren
Deckfedern. der Flügel weiss,
ohne schwarze Schuppenflecke.
. 6" 6"
8 6
Ganze Lünge . . ..
Länge der Flügel . . .
des Schwanzes . ..
des Laufes. . . .
der Mittelzehe . . .
des Nagels derselben
der Hinterzehe ...
des Nagels derselben
des Schnabels . . . .
y
YO S NM VIA
Erste Schwinge so lang als die
vierte der grossen äusseren Flügel-
65
deckfedern; zweite ein wenig län-
ger als die fünfte Schwinge; dritte
2.
(59) LUSCIOLA COERULECULA ,
On dit que cette race qui rem-
place le gorge-bleu ordinaire
en Russie et en Sibérie, s’en dis-
tingue constamment par sa gorge
ornée au centre d’une tache d’un
brun rougeätre. C’est en faveur
de cette différence que nous l’a-
vons introduite, dans notre ou-
vrage, comme race locale.
(60) SAXICOLA SALTATRIX.
Voyez pour les caractères de cet-
te espèce, les ouvrages de Me-
netries, et de Keyserling et Bla-
sius. Sa taille parait varier in-
dividuellement, comme cela a
aussi lieu dans la Sax. oenanthe..
Nous avons emprunté la descrip-
tion suivante à un individu de
petite taille, originaire de la
Grèce.
Formes du bec, pieds, pro-
portions respectives des rémiges
comme dans le traquet moteux;
mais teintes du plumage differen-
tes et couvertures inferieures des
ailes, blanc sans bordures noires.
Longueur totale. . ..
» des ailes. . . ..
de la/queiie 1.10
datanse Irma,
du doigt de milieu
de l’ongle de ce doigt
du pouce . si LE
de l’ongle du pouce
du Lee À h
»
Première rémige d’egale lon-
gueur que la quatrième des gran-
des couvertures externes des ai-
les; deuxième rémige un peu
5
am längsten, vierte kaum merk-
lich kürzer als diese, beide
auf der Aussenfahne deutlich
verengt. Füsse kräftig. Nägel der
Vorderzehen wenig gekrümmt,
der der Hinterzehe gross und
stärker gebogen. Füsse braun-
schwarz. Schnabel schwärzlich
hornfarben. Obertheile bis zum
Bürzel graubräunlich mit isabell-
farbenem Anfluge. Schwingen
dunkler: die zweiter Ordnung
und die beiden letzten erster Ord-
nung mit weissgelblichem Aus-
senrande und Spitzensaume; die
Schwingen erster Ordnung, von
der sechsten an, am Aussenrande
weisslich gesäumt. Alle Schwin-
gen am Innenrande mit breitem
weissem Saume, der sich aber ge-
gen die Spitzen der grossen
‚Schwingen verliert. : Schwingen
auf der Unterseite viel blässer. Un-
tere Flügeldeckfedern weiss; die
‘grossen mit einem blassgrauen
Fleck inder Mitte. Steuerfedern an
der Wurzelhälfte weiss, an der
Endhälfte schwärzlich braun ; die
beiden mittelsten bis zwei Drittel
ihrer Länge schwärzlich braun.
Alle Untertheile des Körpers aus-
ser der Bauchmitte, die rein
weissist, weiss, mit isabellfarbi-
gemAnfluge; leztere Farbe nimmt,
auf den Seiten des Rumpfes und
zumal auf der Vorderbrust,
den Seiten des Halses und auf der
Ohrgegend, die Oberhand. Au-
genkreis weiss. Ein weisslicher
Streif zieht sich auf jeder Seite
des Kopfes, von denNasenlöchern
über das Auge, bis an das Ende
der Ohrgegend hin.
66
plus longue que la cinquième ;
quatrième rémige, un peu plus
courte que la troisième qui est
la plus longue de toutes; toutes
les deux rétrécies à la barbe
externe. Pieds robustes; ongles
des doigts antérieurs, faiblement
courbés; celui du pouce, assez
grand et plus fortement arqué.
Pieds d’un brun noirâtre. Bec
noirâtre couleur de corne. Par-
ties supérieures jusque vers le
croupion, d’un gris brunätre
nuancé de couleur isabelle. Re-
miges plus foncées; les rémiges
secondaires ainsi que les deux der-
nieres des primaires, bordées de
blanc jaunätre à la barbe exté-
rieure et à l’extrémité; rémiges
primaires depuis la sixième, à
barbe extérieure blanchätre. Les
barbes internes de toutes les ré-
miges, à bord blanc large qui
se perd vers l'extrémité des pen-
nes. Face inférieure des rémiges,
beaucoup plus pâle que la su-
périeure. Couvertures internes
des ailes blanches; celles du pre-
mier ordre, ornées au centre d’une
tache d’un gris pâle. Moitie ba-
sale de la queue, noire; l’au-
tre moitié, brun noirätre; cette
teinte foncée occupe deux tiers
de la longueur des deux pen-
nes mitoyennes. Parties inféri-
eures du corps, blanc nuancé
de couleur isabelle, particulière-
ment sur les flancs, sur les par-
ties supérieures de la poitrine,
sur les côtés du cou, ainsi que
sur la région des oreilles. Milieu
de l’abdomen, d’un blanc pur.
Tour des yeux blanc. Une raie
blanchâtre s'étend de chaque
côté de la tête, depuis les nari-
“ir.
(61) SAxICOLA AuRITA, von
Keyserl. u. Blas., p. LIX, nach
dem Beispiele Bonelli’s , Marmo-
ra’s, Calvi’s und Savı’s , mit Sax.
stapazina vereinigt, weicht von
‚dieser Art nicht allein durch
eine verschiedene Färbung, son-
dern auch durch kürzere Fuss-
wurzeln ab. Selbst @loger,
Handb., p. 194 hält diese beiden
Arten für verschieden, und Du-
razzi, Ucelli liguri, p. 41, hat
sich neuerlich bestimmt für diese
Meinung erklärt.
(62) SAXICOLA LUGENS, Zich-
tenst., Catal., p. 33, no. 364,
aus Nubien, im Manuel, III, p.
166, als Sax. leucomela beschrie-
ben, weicht von Sax. leucomela,
Pallas, aus Russland durch nichts
als den kaum merklich stärke-
ren rostfarbenen Anflug der un-
tern Schwanzdeckfedern ab. Ein
von Pallas selbst eingeschicktes
Exemplar der Sax. leucomela
wird jetzt noch im Leidner Mu-
seum aufbewahrt. Nach von der
Mühle, p. 76 u. 77, stimmen die
in Griechenland geschossenen
Elsternsteinschmätzer mit Sax.
lugens überein, die daher ohne
Zweifel als identisch mit Sax.
leucomela zu betrachten ist.
67
nes, au-dessus des yeux, jusqu’à
l'extrémité de la région des oreil-
les.
_(61) saxıcorA aurıra. M.M.
Keyserling et Blasius, p. LIX,
en imitant l’exemple de Calvr et
de Savz, ont réuni cette espèce
à la Saxicola stapazina; elle
s’en distingue cependant non-seu-
lement par des modifications dans
la distribution des teintes, mais
aussi par des tarses moins élevés.
Gloger lui-même, Handb., p.194,
sépare ces deux espèces, et Du-
razzi s’est également prononcé
en faveur de cette opinion dans
son opuscule publié récemment,
sous le titre de Catalogo degli Üe-
celli liguri, p. Al.
(62) SAXICOLA LUGENS, Lich-
tenst., Catal., p. 33, no. 364,
de la Nubie, décrite dans le Ma-
nuel, III, p.166, sous le nom
de Saxzcola leucomela, Pallas,
ne se distingue de cette derniere
espece, qui habite la Russie, que
par des couvertures inférieures
de la queue un peu plus forte-
ment nuancées de brun ferrugi-
neux. Un individu du véritable
Traquet leucomèle a été cédé
autrefois à Mr. Temminck par le
professeur Pallas; ıl fait actuel-
lement partie du Musée des Pays-
Bas. Les individus du Traquet
leucomele, tués en Grèce par
Mr. von der Mühle, (voyez p. 76
et 77 de son ouvage), ne se
distinguant en rien de la Saxt-
cola lugens, il est évident que
cette soi-disant espèce est iden-
tique avec le Traquet leucomèle.
"68
(63) MOTACILLA LUGUBRIS,
Temm., Man., III, p. 175;
Gould, Birds of Europe, Pl.
142; Motacilla albeola, var.
Camtschatcae, Pallas, Zoogr.
TI, p. 507 (Nota), ist eine durch
ihre fast ganz weissen Schwin-
gen ausgezeichnete Nebenart der
weissen Bachstelze, die bis jetzt
nur in Kamtschatka , auf den Ku-
rilen und in Japan beobachtet,
und also irriger Weise als euro-
päischer Vogel aufgeführt wurde.
Man kann dieser Nebenart den im
Manuel, III, p. 620, vorge-
schlagenen Namen, Mofacilla
dugens, lassen.
(64) Keyserl. u. Blasius, p
AXLIX, n°. 176, halten die
MOTACILLA CAMPESTRIS, Pal-
las, Zoogr., I, p. 504, n°. 138,
für identisch mit der englischen
gelben Bachstelze. Pallas be-
schreibt aber offenbar unter die-
sem Namen einen jungen Vogel
mit dem Halskragen, weshalb
seine Mof.campestris eben so gut
zur gemeinen als zur englischen
gelben Bachstelze gezogen wer-
den kann. Sundevall, K. Vet.
Acad. Hand., Stockh. 1842, p.
47, fügt zu den bekannten Va-
rietäten der gelben Bachstelze,
noch eine Mor. flava suecana
und Hot. flava borealis e Lappo-
nia. Nach Graf von der Mühle,
p. 60, ist die grauköpfige gelbe
Bachstelze, welche in Rumelien
brütet und die Morea im Winter
besucht, ausser einer etwas leb-
| nca. Mr. von der Mühle,
hafteren Färbung, ganz den in
(63) MOTACILLA LUGUBRIS,
Temm. Man. , III, p. 175; Gould,
Birds of Europe, P!.142; Mo-
facilla albeola var. Camtschat-
cae, Pallas, Zoogr., I, p.507 _
(note), forme une espèce ou ra-
ce voisine de la Bergeronnette gri-
se, mais qui s’en éloigne con-
stamment par ses remiges pres-
que entierement d’un blanc pur,
et qui n’a été observée jusqu’à
présent qu’au Gamtschatka, aux
îles Kouriles et au Japon. Il
résulle de ces données, que
c'est à tort que l’on a énuméré
cette race comme faisant partie
de la faune d'Europe. M. Tem-
minck, Manuel, III, p. 620,
l’a désignée sous le nom de Mo-
tacilla lugens.
(64) M.M. Keyserling et Bla-
sius, p. ÂLIX, n°. 176, sont
d’opinion que le MoTacıLLa
CAMPESTRIS, Pallas, Zoogr.,
I, p. 504, n°. 138, est identi-
que avec la Bergeronnette jaune
d'Angleterre. Cependant, en con-
sultant la description de Pallas,
on voit à l'évidence qu’il a dé-
crit, sous le nom de #of. cam-
pestris, un jeune individu à col-
lier foncé, que l’on ne peut rap-
porter avec certitude à aucune
des deux races de Bergeronnettes,
dites à tête jaune et à tete grise. -
Sundeval ajoute aux variétés dé-
ja connues de la Bergeronnette
jaune, deux autres variétés, l’une
de la Suède, l’autre de la Laponie ;
voir lesMém. del Ac.deStockholm,
1842, p. 47: Mot. flava suecana
et Mot. flava borealis e Lappo-
p.60,
constate que la Bergeronnette de
Deutschland lebenden Individuen
ähnlich. Ausser dieser Abart
kommt noch in Griechenland die
schwarzköpfige gelbe Bachstelze
vor, die sich nach von der Mühle,
standhaft, nicht nur durch die
Färbung ihres Kopfes, sondern
auch durch einen etwas gestreck-
teren Körper, so wie einen länge-
ren, stärkeren und ganz schwar-
. zen Sehnabel,, unterscheidet.
(65) Riss, !.c.,p.36,n°.50,
sagt, dass TURDUS BARBARICUS,
Gmel., bei Nizza auf dem Zuge
vorkomme. Da ich nicht enizif-
fern kann, welcher Vogel damit
gemeint ist, so sehe ich mich
genöthigt, diese Angabe unbe-
rücksichtigt zu lassen.
Schinz, Europ. Fauna, I,
p. 163, sagt, dass TURDUS RU-
FUS, Brisson, aus Nordamerika,
in England geschossen worden
seyn soll, ohne die Quelle anzu-
geben, woher er diese Nachricht
hat. Da auch uns diese Quelle
unbekannt ist, so können wir
auch diese Angabe nicht berück-
sichtigen.
TURDUS SIBIRICUS, Pallas,
It., II, app., n°. 10; Turdus
leucocillus, Pallas, Zoogr., I,
p- 450 , im Manuel, III, p. 398,
nach einem, von Pallas aus der
Krimm eingeschickten Exemplare,
irrig als in Russland vorkommend,
aufgeführt, findet sich, nach Pal-
las eigenen Angaben, nur im öst-
lichen Sibirien, und muss daher
aus der Reihe der europäischen
Vögel gestrichen werden. Diese
69
printems à tête grise, niche en Ru-
mélie, qu’elle visite en hiver la Mo-
rée, et qu’elle ne se distingue des
individus du centre de l’Europe
que par des teintes plus vives.
La Bergeronnette de printems à
tête noire, qui habite également
la Grèce, se distingue suivant Mr.
von der Mühle, des races voisi-
nes, non-seulement par les tein-
tes de sa tête, mais aussi par
des formes plus élancées ainsi
que par un bec plus long, plus
fort et teint d’un noir uniforme.
(65) TURDUS BARRARICUS,
Gmel., fréquente, suivant Risso,,
l. c.,p. 86, n°. 50, les environs
de Nice lors de l’époque de la
migration. Je passe sous silence
cette espèce douteuse, dont je
n’ai pu me former une idee pré-
cise.
Schinz, L. c., p. 163, prétend
que l’on a observé en Angleterre
le TURDUS Rurus de Prisson,
originaire de l'Amérique du nord.
Comme il a négligé d'indiquer la
source où il a puisé cette notice,
je n'ai pas cru devoir adopter cet-
te espèce parmi celles obser-
vées en Europe.
TURDUS SIBIRICUS, Pallas,
Voyage, II, app. n°. 10; Tur-
dus leucocillus, Pallas, Zoogr.,
I, p. 450, introduit dans le Ma-
nuel, Ill, p. 398, parmi les
oiseaux d'Europe, d’après un in-
dividu envoyé par le professeur
Pallas lors de son séjour en Cri-
mée, n’habite, selon les indica-
tions de ce savant même, que la
Sibérie orientale. Il convient,
d’après ce que nous venons de
Art scheint übrigens im grössten
“ Theile des südlichen und ôstli-
chen Asiens häufig vorzukommen.
(66) TURDUS SOLITARIUS.
Naumann, Il. c., führt diesen
Vogel unter dem Namen Turdus
minor, Lath., nach einem am
22 Dec. 1825 im Herzogthume
Anhalt-Kôthen gefangenen Ex-
emplare auf. Seiner Beschreibung
zufolge gehört aber dieser Vogel
nicht zu TZurdus minor, sondern
zu Turdus solitarius, Wilson.
Naumann erwähnt diesen Vogel
auch in Wiegmann, Archiv. ,
1838, 7, p. 372.
(67) TURDUS AUROREUS. Glo-
ger führt als zu dieser Art gehö-
rig, eine in Schlesien erlegte Dros-
sel auf, und zieht als jungen
Vogel, Naumann’s Turdus Bech-
steinit jun. dazu. Ob diese bei-
den Vögel wirklich zu T. auro-
reus, Pallas, gehören , den wir
nicht in der Natur gesehen ha-
ben, müssen fernere Untersu-
chungen lehren. Jedenfalls wäre
es wünschenswerth, dass eine
gute Abbildung des ın Schlesien
gefangenen alten Individuums be-
kannt gemacht würde.
(68) TURDUS wuırn und T.
varıus. Zwei in Färbung sich
volkommen ähnliche, aber ın den
Schnabel- und Flügel-Verhältnis-
sen standhaft abweichende Arten.
70
dire, de rayer du cataléguetdes
oiseaux d'Europe cette espèce,
qui parait se trouver dans la
plus grande partie de l’Asie mé-
ridionale et orientale. |
(66) TURDUS SOLITARIUS.
L’individu de cette espèce, tué
le 22 Décembre 1825 dans le du-
ché d’Anhalt-Köthen, a été décrit
par Mr. Naumann, [. e., sous le
nom de Turdus minor, Latham.
Mais en comparant cette derniere
espèce à la description de Mr.
Naumann, on voit à l’évidence
que cet individu est identique avec
le Turdus solitarius de Wilson.
Naumann fait aussi mention de
cet individu dans le journal pu-
blié par Wiegmann, année 1838,
I, p. 372.
(67) TURDUS AUROREUS, @lo-
ger rapporte comme appartenant
à cette espèce un individu d’une
grive tuée en Silésie; la grive
décrite par Naumann comme
le jeune du Turdus Bechsteinii,
est selon Gloger, le jeune du
Turdus auroreus. N’ayant pas
vu en nature cette espece, nous
adoptons les vues de Mr. Gloger,
jusqu’à ce que de nouvelles re-
cherches viennent prouver le con-
traire. En tout cas, il serait à
désirer que quelque naturaliste
voulüt se charger de publier
une figure exacte de l'individu
tué en Silésie.
(68) TURDUS wırnu et T.
vAarıUs. Ces deux espèces, quoi-
que tout à fait semblables entre
elles par leurs couleurs, se dis-
tinguent cependant par les pro-
Turdus aureus, Holandre, von
Schinz, l. c., p. 161, nach einem
im Sept. 1788 bei Metz erlegten,
und in der Sammlung dieser Stadt
aufbewahrten Individuum aufge-
führt , gehört offenbar zu einer
der beiden erwähnten Arten; zu
welcher jedoch , lässt sich nach
der Beschreibung nicht ermitteln..
(69)
Temm., I, p. 177 und III,p.
107; Gould, Pl. 85; Sturnus
cinclus , var.,
I, p. 426, !. 10, kommt nach Pal-
las nur am Baikal See, in Kamt-
schatka und auf den benachbar-
ten Inseln vor. Unsere Reisenden
brachten diese einfärbig braun-
schwarze Art von Japan mit.
Sie muss daher aus dem Verzeich-
nisse der europäischen Vögel ge-
strichen werden.
(70) cıncLUS aquarTicus. Es
ist bis jetzt noch nicht erwiesen ,
ob der schwarzbäuchige Was-
serschwätzer, Cinclus ling:
aster, brehm , Lehrbuch, p.
289; Gould, PI. 84, als zufäl-
lige, oder als standhaft nach der
Localität verschiedene Varietät
vom gemeinen Wasserschwätzer
betrachtet werden muss. Wir
können ihn daher vorläufig noch
nicht als selbstständig aufführen.
(71) Ein von Herrn Cantraine
in den pontinischen Sümpfen ge-
sehener, etwas grösserer und
lebhafter gefärbter Zaunkönig
CINCLUS PALLASIEH ,.
Pallas, Zoogr. ,.
71
portions diverses du bec et des
ailes. Il est évident que le Tur-
dus auroreus, Holandre, intro-
duit par Schinz, Lie.,1p. 16h,
d'après un indiyidu tue en 1788
pres de Metz et conservé au Mu-
seum de cette ville, appartient
à l’une des deux espèces dont
nous venons de parler; mais il
est impossible de constater à la-
quelle de ces deux espèces ıl
se rapporte, vu la description
incomplète que l’on en a donnée.
(69), ciNCLUS PALLASH,
Temm., Man., I,p. 177 et IIT,
p. 107; Gui, PI. 85; Sturnus
eine var. Pallas, Zoogr. , À,
p. 426, 4 10, ne se trouve, sul-
vant les indications de Pallas, que
sur les bords du lac Bakal, au
Kamtschatka et sur les iles voi-
sines. Nos voyageurs ont rencon-
tré cette espèce au Japon. C’est
donc à tort qu'on l’a indiquée
comme faisant partie de la faune
d'Europe. -
(70) CINCLUS AQUATICUS, On
sait qu’il existe, en Europe, une
variété de cette espèce, recon-
naissable à son ventre noir; mais
on ignore si cette variété ne se
trouve qu'accidentellement ou si
elle forme une race constante,
propre à certaines localités. L’in-
certitude qui règne à cet égard
ne nous permet pas d'introduire
cet oiseau sous une épithète par-
ticulière,
(71) Mr. Cantraine, ayant vu
lors de ses excursions dans les
marais Pontins un Troglodyte,
qui lui a paru étre de plus for-
pi 5
als die gemeine Art, hat An-
‚leitung zu der Frage gegeben,
ob sich im südlichen Europa,
eine zweite, dem TROGLOD.
FUMIGATUS aus Japan ähnlı-
che Art Zaunkönig finde. Siehe
Manuel, III, p. 160. — Küs-
ter, Isis, 1835, p. 225, be-
schreibt dagegen den sardinischen
Zaunkönig als dunkler von
Farbe, als die Zaunkönige des
übrigen Europa’s.
(71bis) REGULUS MODESTUS.
Hancock, Ann. of Nat. Hist.,
1838, p.310, erwähnt eines, am 26
Sept. 1838, an den Küsten Nord-
humberlands geschossenen Gold-
hähnchens, und betrachtet es, als
zu dieser Art gehörig, die übri-
gens in mehreren Hinsichten von
den übrigen Arten abzuweichen
scheint. Ich habe diesen Vogel nie
gesehen.
(72) Die Angabe, dass PARUS
BICOLOR, Linn., aus Nordame-
rika, im Norden Europa’s vorkom-
me, beruht auf älteren, unzuläs-
sigen Mittheilungen. Gould sagt
zwar von dieser Artin den Birds
of Europe: »we have seen
»specimens, which were un-
» doubtetly killed in Russia” ; da
aber weder Nilsson, noch Pal-
las, noch irgend ein anderer nor-
discher Naturforscher von dieser
Art spricht, so glauben wir uns
gerechtfertigt , wenn wir sie
erst dann als europäisch auffüh-
ren, wenn genügendere Nach-
richten über ihr Vorkommen in
unserem Welttheile vorliegen.
te taille et peint de teintes plus
vives que le Troglodyte ordinai-
re, on a supposé qu'il pourrait
se trouver dans l’Europe méridio-
nale, une seconde espèce de
Troglodyte, voisine du TRO6LO-
DYTES FUMIGATUS du Japon,
décrit dans le Manuel, III, p.
160. — Küster, Isis, 1835, p.
225, pretend au contraire que
les Troglodytes de la Sardaigne
offrent des teintes plus foncées
que ceux qui habitent les autres
parties de l’Europe.
(71bis) REGULUS MODESTUS.
Hancock, Ann. of Nat. Hist.,
1838, p. 310, fait mention d’un
roitelet tué le 26 Sept. 1838 sur
la côte du Nordhumberland; il
le regarde comme appartenant
au Roitelet bâtard, qui paraît s’e-
loigner sous plusieurs rapports,
des autres espèces du genre. Nous
n'avons pas vu cet oiseau ennature.
(72) PARUS BICOLOR, Linne.
iln’existe pas d'indication authen-
tique que cette espèce américai-
ne ait été observée dans le nord
de l'Europe. Il est vrai que Mr.
Gould, en parlant de cette mé-
sange dans son grand ouvrage
sur les oiseaux d'Europe, prétend
en avoir vu des individus tués
en Russie; mais comme elle n’a
été observée ni par Nilsson, ni
par Pallas ou par les autres na-
turalistes du nord, nous nous
croyons autorisés d’omettre cet
oiseau dans notre énumération,
et d'attendre, avant de l’adopter
comme espèce européenne, des
indications plus directes.
DL
(73) PARUS LUGUBRIS. Key-
73
serling u. Blasius, p. XLIIT,
n°. 139 , Anmerk. , scheinen diese
Art weder in der Natur noch nach
den Abbildungen gekannt zu ha-
ben; denn sonst würden diese
genauen Untersucher sie gewiss
nicht zu Parus sibiricus gezo-
gen haben. Durch dieses Beispiel
irre gemacht, hat auch Ch. Bo-
naparte den Par. lugubris, der
doch in mehreren Werken sehr
gut abgebildet ist, in seinem C«-
Zalogo nicht aufgeführt.
(73bis) De Selys Longchamps
beschreibt im Bulletin de l' Acad.
de Bruxelles, Tome X, n°. 7,
unter dem Namen PARUS Bo-
REALIS, eine Meise, welche sich
von Par. sibiricus nur durch
einen schwarzen Kopf und die
weisse Farbe der Seiten des Kör-
pers unterscheiden , ihre Stelle
ın Island vertreten, aber auch in
Norwegen vorkommen soll.
(74) Ch. Bonaparte, List, p.
11, n°. 73, führt unter dem Na-
men CERTHIA NATTERERI, einen
neuen Baumläufer aus Dalmatien
auf, den er aber in seinem späler
erschienenen Catalogo selbstnicht
wieder aufnimmt.
_ (74bis) CORVUS CORORNE. Die-
se Art nistet bekanntlich auf Bäu-
men. Es ist dies auch der Fall
in Holland, mit Ausnahme der-
jenigen Individuen, welche die
Seedünen bewohnen ‚,. und die,
aller Regel zuwider ‚ihr Nest auf
dem Boden anlegen.
(73) parus LUGUBRIS. M. M.
Keyserling et Blasius, p.X LTIT,
n°. 139, ont mal à propos réuni
cette espèce au Parus sibiricus.
Cette méprise de la part de ces
naturalistes provient probable-
ment de ce qu'ils n’ont pas vu
l'espèce en nature, et qu’ils ont
négligé de consulter les figures
qu'on en trouve dans plusieurs
ouvrages. Ch. Bonaparte, induit
en erreur par cet exemple, n’a
pas non plus adopté cette espèce
dans son Catalogue.
(73 bis) De Selys Longchamps
vient de décrire dans le Dulle-
tin de l'Académie de Bruxelles,
vol. X, n°. 7, sous le nom de
PARUS BOREALIS, une mésan-
ge de l'Islande, qui ne se distin-
gue du Parus sibiricus que par
sa calotte noire et la couleur elai-
re des flancs. Elle doit se trou-
ver egalement en Norwege.
(74) Ch. Bonaparte, List, p.
11, no. 73, fait mention d’une
nouvelle espèce de grimpereau,
originaire de la Dalmatie, et qu’il
désigne sous le nom dé CERTHIA
NATTERERI; mais il omet cet
oiseau dans son Catalogue pu-
blié récemment.
(74 bis) CORVUS CORORNE. On
sait que cette espèce niche sur
des arbres. Il en est de même en
Hollande ; mais les individus qui
fréquentent nos dunes, font con-
stamment leur nid à terre.
74
(75) CORVUS MONEDULA NI-
GA. Wir haben diesen Vogel
nicht in der Natur gesehen, und
können daher nichts Näheres
über denselben mittheilen.
(76) GARRULUS GLANDARIUS
MELANOCEPHALUS scheint vom
gemeinen Heher nur durch die
grösseren schwarzen Flecke der
Kopffedern -abzuweichen. Wir
erhielten ein Exemplar von Pe-
tersburg unter dem Namen Gar-
rulus tliceti! vom Kaukasus. Graf
von der Mühle, p. 52, traf in
Griechenland nur den gemeinen
Heher an.
(77) ALAUDA BIFASCIATA. Das
von Gould abgebildete Exem-
plar aus Spanien ist dunkler ge-
färbt und ın allen Theilen etwas
grösser als ein anderes Exemplar
unserer Sammlung aus Nubien,
welches in den Planches colo-
riées 393 abgebildet wurde. Die
Abbildung eines von ARäppell,
Atlas, Tab. 5, p. 8, aus dem
nordöstlichen Afrika emgeschick-
ten Exemplares, stimmt in der
Grösse mit dem Exemplare aus
Spanien, in der Färbung mit dem
aus Nubien überein. Die Exem-
plare, welche Lichtenstein, Ver-
zeichniss ‚1823, p.27, n0.285,
beschreibt, wurden in Nubien
erlegt, und scheinen die von
Gould und Rüppell abgebildeten
Exemplare an Grösse noch zu
übertreffen. Es scheint daher die-
se Art entweder in der Grösse
individuell abzuändern, oder klı-
matische Varietäten zu bilden.
(75) CORVUS MONEDULA NI-
GRA. N’ayant pas vu cet oiseau
en nature, nous ne sommes pas
à même d’en fournir des parti-
cularites. |
(76) GARRULUS GLANDARIUS
MELANOCEPHALUS. Îl paraît que
cet oiseau ne se distingue du geai
ordinaire que par les taches noi-
res plus grandes des plumes de
la tete. Nous venons d’en rece-
voir de la part du Musée de St.
Petersbourg, sous le nom de
Garrulus ileceti, un individu
tué au Caucase. Mr. von der
Mühle, p. 52, dit n’avoir ren-
contre en Grèce que le geai or-
dinaire.
(77) ALAUDA BIFASCIATA. L'in-
dividu de cette espèce, figuré
par Gould est originaire de l’Es-
pagne; il offre des teintes plus
foncées et une taille plus forte
qu’un autre individu tué en Nu-
bie et représenté dans les P/an-
ches color., 393. L’individu figure
dans l'Atlas de Rüpell, Pl.5, p.
8, est également originaire des
parties orientales de l'Afrique sep-
tentrionale; 1l est semblable par
ses teintes à celui représenté dans
les Planches color., mais sa taille
est aussi forte que celle de l’in-
dividu de l'Espagne. Mr. Zichten-
tenstein a décrit, dans son C'a-
talogue, 1823, p.27, n°. 285,
des individus tués en Nubie, et
qui paraissent même surpasser en
grandeur ceux figures par Gould
et Rüppell. Il parait résulter de
ces données, ou que cette espèce
est sujette à varier individuelle-
ment, ou qu’elle présente, sui-
Im ersten Falle wäre auch Alau-
da desertorum, Stanly in Salt,
voy., app., p. LÄ, hierherzu-
zıehen, und der Art letzterer
Name beizulegen.
(78) ALAUDA DUPoNTIEL Wir
haben diesen Vogel zwar nicht
ın der Natur gesehen; indessen
scheint derselbe doch eine eigene
Art zu bilden, und nicht, wie
Blas. u. Keyserling, p. AXXVI
vermuthen, als monströse Ausar-
tung zur gemeinen Feldlerche zu
gehören. Man vergleiche mit die-
ser Art Alauda ferruginea , von
der Mühle, p. 35, Anmerkung ,
aus Griechenland.
(79) Ch. Bonaparte, List, p.
837,n0.249, und Icon. d. Fauna
téal., Introd. all. Class.d. Ucelli,
glaubt unter dem Namen ALAUDA
CANTARELLA , eine kleinere Ne-
benart der Feldlerche aus Italien
unterscheiden zu müssen.
Von der Mühle, p. 36, erwähnt
ausser der gemeinen Feldlerche
noch zweier Abarten dieser Art,
welche er aus Griechenland mit-
brachte. Ohne genaue Untersu-
chung und Vergleichung der Ori-
ginalexemplare lässt sich nicht
bestimmen, in wiefern alle diese
verschiedenen Arten und Abarten
der europäischen Lerchen, als
selbstständig zu betrachten sind.
(80) azauDa KoLLyI, Tem-
ninck , Pl. col. 305, fig. 1;
Man. III, p.202, ist nur nach
75
vant les localités, des variétés de
climat. Dans le premier cas, il
conviendrait de retablir, pour
designer cette espece, le nom
d’Alauda desertorum , Stanley
dans Salt, voyage, app. p. LX.
(78) ALAUDA DuUPonTm. Nous
n'avons pas vu cet oiseau, qui
parait former une espèce bien
établie et ne pas appartenir,
comme le prétendent Keyserling
et Blasius, p. AXXVI, comme
variété monstrueuse à l’alouette
ordinaire. Comparez à cette espe-
ce l’alouette de la Grèce, indi-
quée par Mr. von der Mühle, p.
35, remarque, sousle nom d’ Alau-
da ferruginea.
(79) Ch.Bonaparte, List, p.87,
n°. 249, et Zcon. d. Faun. ital. . :
Introd. à la classe des oiseaux,
prétend qu'il existe en Italie une
espèce voisine de l’alouette ordi-
naire, mais qui s’en distingue par
une taille moins forte; ıl la dé-
signe sous le nom d’aLaupa
GANTARELLA.
Mr. le comte von der Mühle,
p. 36, fait mention, outre l’alou-
ette ordinaire, de deux variétés
de cette espèce recueillies par lui
en Grèce. On voit par ces don-
nées, que, sans avoir vu et soi-
gneusement comparé les individus
qui ont servi de type aux indi-
cations sur les diverses espèces
et races d’alouettes d'Europe, il
est impossible de les admettre
comme parfaitement établies.
(80) ALAUDA KoLLyı, Temm.,
Pl. col. 305, fig. 1; Man. III,
?. 202, espèce douteuse, établie
einem verstümmelten, bei Dyon
‚gefangenen Exemplare, aufge-
führt, und scheint als Varietät
zu Al. brachydactyla zu gehören.
ALAUDA PISPOLETTA, Pal-
las, Zoogr., I, p. 526, no. 154,
aus dem südlichen Russland , von
Ch. Bonap., List, p. 37, als ei-
gene Art aufgeführt, gehört
nach den Untersuchungen von
Keyserl. u. Blas., p. XXXVIT,
zu Al. brachydactyla.
ALAUDA BIMACULATA, Me-
nétr., Cat., p.37, n°. 82, von
Ch. Bonap., List, .p. 37, no.
255: Melanocorypha bimacula-
ta, unter die europäischen Vö-
gel aufgenommen, wurde von
Ménétries nur im Süden des Kau-
kasus, an der persischen Grenze
beobachtet.
Es scheint in Griechenland eine,
der Alauda brachydactyla ver-
wandte, neue Lerche vorzukom-
men, die aber bis jetzt sehr un-
vollkommen bekannt ist. Sie wur-
de zuerst in der Expedition de
Moree, III, p.52, als Abart der
Alauda brachydactyla aufge-
führt. Keyserling u. Blasius ,
p. AXXVII, vermutheten schon,
dass sie eine neue Art bilde. Graf
von der Mühle, p. 37, erwähnt
derselben auf’s Neue, und schlägt,
wenn sie sich als Art bestätigen
sollte, vor, sie PHILEREMOS
MOREATICA zu nennen.
(81) Ch. Bonap., List, p. 37,
n°. 254, führt unter dem Namen
PHILEREMOS SCRIBA, (rould,
76
d’après un individu mutilé, pris
dans les environs de Dyon, paraît
appartenir à l'espèce connue sous
le nom d’Alauda brachydactyla.
Il en est de même, suivant les
observations de Keyserling et Bla-
sius, p. XXAVII, de l’ALAUDA
PISPOLETTA, Pallas, Zoogr.,1,
p. 526, n°. 154, qui habite la
Russie méridionale et qui a été
indiquée comme espèce particu-
lière par Ch. Bonaparte, List,
p. 87.
ALAUDA BIMACULATA, Jé-
nétr., Cat., p. 37, n°. 82, in-
scrite par Ch. Bonaparte, List,
p. 37, n°. 255, dans le Catalo-
gue des oiseaux d'Europe, sous
le nom de Melanocorypha bima-
culata, n’a été observée par Mé-
nétries qu’au Sud du Caucase,
près des frontières perses.
Il paraît qu’il existe en Grèce,
une alouette voisine mais différen-
te del’. Alouette à doigts courts ;
on n’en possède malheureusement
jusqu’à présent, que des notions
très-imparfaites. Elle a été indi-
quee, dans l’ Expedition de Mo-
ree, III, p. 52, comme variété de
l'alouette à doigts courts. Key-
serling et Blasius, p. XXX VIT,
ont été les premiers à :supposer
qu’elle pourrait bien former une
espèce nouvelle. Le Comte von
der Mühle, p. 37, en fait de
nouveau mention, et propose
de la désigner sous le nom de
PHILEREMOS MOREATICA, Si
son existence comme espèce a élé
constatée d’une manière décisive.
(81) Ch. Bonaparte, List, p.
37, n°.254, introduit parmi les
oiseaux d'Europe, sous le nom
eine neue Lerche auf. Man wird
uns entschuldigen, wenn wir ei-
nen Vogel, von dem nichts als
der Name bekannt ist, nicht auf-
nehmen.
(82) Schinz, I. c., p. 247,
führt CANNABINA PALUSTRIS,
Landbeck, als eigene Art auf,
obgleich er sie selbst nicht für ver-
schieden von Fring. flavirostris
hält.
(83) FRINGILLA BOREALIS,
Roux, Orn. prov., I, p. 165,
Pl. 101 et 102; Vieillot, Faune
francaise, p. 84, soll nach de
Selys-Longchamps , Faune Bel-
ge, p. 72, n°. 58, von Fringilla
canescens, mit welcher sie bis
jetzt für einerlei gehalten wurde,
verschieden sein. De Selys-Long-
champs sagt von Fr. borealis :
77
de PHILEREMOS SCRIBA, Gould,
une espèce d’alouette, que nous
n’avons pas jugé convenable d’a-
dopter, vu que l’on en ignore
toutes les particularités, hormis
le nom.
(82) CANNABINA PALUSTRIS,
Landbeck, figure dans l'ouvrage
de Schinz, l. c. p. 247, sous un
nom particulier, quoique Schinz
lui-même la croit indentique avec
la Fring. flavirostris.
(83) De Selys-Longchamps ,
Faune Belge, p.72,n0.58, prétend
que la FRINGILLA BOREALIS,
Roux, Orn. prov., I, p. 165,
Pl. 101 et 102; Vrerllot, Faune
française, p.84 diffère par l’es-
pece de la Frengilla canescens,
avec laquelle on l’a cru identique
jusqu'à present. Mr. de Selys-
Longchamps s'exprime dans les
termes suivaus sur la Fr. borealis.
»Ce n’est probablement qu’ une race un peu plus forte du Zi-
»naria. Îl ne faut pas confondre cette race ou espèce avec la F.
»canescens qui en différe constamment en ce qu’elle a tout le crou-
»pion d'un blanc pur en-dessus, une taille encore plus forte, la
» queue très-longue et le fond du plumage blanc flammé de brun.”
Ch. L. Bonaparte, List, p.
34,n°.226, erwähnt einer LINOTA
BREVIROSTRIS, Gould, ohne
etwas Näheres über dieselbe anzu-
geben.
(83 bis) PASSER MONTANUS.
Die auf Java und mehreren Inseln
des indischen Archipels vorkom-
menden Sperlinge gehören nicht
zu Passer salicarius, sondern zu
P. montanus, von welcher Art
Ch. L. Bonaparte, List, p.
34, n°. 226, fait mention d’une
espèce appelée par Gould, xx-
NOTA BREVIROSTRIS, Sans y
ajouter la moindre indication sur
les caractères de cet oiseau.
(83 bis) PASSER MONTANUS,
Les moineaux observés à Java et
sur plusieurs autres iles de l’Ar-
chipel des Indes forment une es-
pece trés-distincte du Moineau
a poitrine noire, mais que je ne
ich sie wenigstens nicht zu un-
terscheiden vermag. Nach Herrn
S. Müller’s Mittheilungen kommt
aber dieser Vogel ursprünglich
nicht wild in Indien vor , sondern
es wurde derselbe, im vorigen
Jahrhundert, auf Java, wahr-
scheinlich von Japan aus, einge-
führt.
(84) PASSER PUSILLUS. Die-
ser merkwürdige Vogel ist uns
nur nach der Abbildung und kur-
zen Beschreibung , welche Pallas
von demselben gegeben hat, be-
kannt. Pallas macht darauf auf-
merksam , dass derselbe mit Z:-
narıa montana , Brisson , Orn.,
III, p. 145, n°. 33; Buffon,
Orn., IV, p. 74; Mountain Lin-
net, Will. Orn., p. 261. Zool.
Brit., Tab. 59; Lath. Syn. III,
p. 1307, n°. 76, zu vergleichen
sey; allein ein Blick auf die Ab-
bildung des Passer pusillus
reicht hin, um sich zu überzeu-
gen, dass dieser Vogel von allen
europäischen und auch von den
ausländischen bekannten finken-
artigen Vögeln abweicht. Seine
hohen, dünnen Läufe machen es
wahrscheinlich, dass er sich mehr
auf der Erde als auf Bäumen auf-
hält. Welchen Gruppen der fin-
kenartigen Vögel er sich am na-
türlichsten anreiht, lässt sich,
bei der unvollständigen Kennt-
niss, die wir von dieser Art
haben, nicht bestimmen. Wir ha-
ben ihr daher den von Pallas
vorgeschlagenen Gattungsnamen
einstweilen gelassen.
Was Pallas, L. c. von dersel-
ben sagt, beschränkt sich auf
folgende Zeilen.
78
sais distinguer du friguei. Sui-
vant les communications de Mr.
S. Müller, cette espèce ne se
trouve pas originairement sur les
îles que nous venons de citer,
ayant été introduite, probable-
ment du Japon, dans le siècle
passé à l’ile de Java.
(84) PASSER PUSILLUS. Cet
oiseau curieux ne nous est connu
que par la figure et la descrip-
tion qu’en a données Pallas. Se-
lon ce voyageur, l’espèce doit être
comparée au Zinaria montana
Brisson, Orn., III, p. 145, no.
33; Buffon, IV, p. 74; Moun-
tain Linnet, Will. Orn., p. 261;
Zool. Brit., Tab. 59; Lath.
Syn., III, p. 1307, no. 76;
mais ıl suffit de jeter un coup
d'œil sur la figure du Passer
pusillus, pour se convaincre,
que cet oiseau s'éloigne égale-
ment de toutes les espèces euro-
péennes et exotiques de la famille
des Fringilloïdes. À en juger de
ses tarses grêles et élevés, il paraït
que cet oiseau se tient plutôt à
terre que sur les arbres. Nos con-
naissances de cette espèce étant
assez incomplètes, il est impos-
sible de constater les relations qui
existent entre cet oiseau et les
nombreuses espèces qui font par-
tie de la famille des Fréngilloides.
C'est en raison de l'incertitude
qui règne à cet égard que nous
n'avons pas changé le nom con-
féré par Pallas à cette espèce.
Pallas, L. ec. la décrit dans
les
termes suivans.
»P. gryseo nigroque vario, ventre albo, fronte testaceo rubra.
»Circa Caucasum et mare caspium frequens avis, aestate circa
»nivalia juga cum P. alpicola (Fring. nivalis) et Mot. ceraunia (Lus-
» ciola erythrogastra) versatur, hyeme in subalpinis Persiae.
» Deser. Linaria fere minor. Frons testaceo rubra, vertex nigricat.
»Collum dorsumque plumis gryseis medio fuscis. Venter et subcau-
» dales alba. Pedes nigri. Rostrum fuscum.”
Die Maasse dieser Art, so gut
sich dieselben nach der, aller-
dings sehr mittelmässigen Abbil-
dung, angeben lassen, sind fol-
gende:
Ganze Länge . . 2... . 8 9/7!
Länge der Flügel . . . . . 1 10
. » des Schwanzes . . . 1 3
» des Laufes 0
» der Mittelzehe ohne
Nagel. sf... 0.84
» der Hinterzehe . . . O 2.
63
(85) COCCOTHRAUSTES CAU-
casıcus. Güldenstädt scheint bis
jetzt der einzige Naturforscher
zu seyn, der diesen schönen Vo-
gel untersucht hat. Wir theilen
deswegen seine Beschreibung voll-
Nous avons emprunté a la fi-
gure publiée de cet oiseau par
Pallas, les mesures suivantes:
Longueur totale . . . . . 8 gm
», ides ailes.....4etsaet Lult)
». de la/queur 13
stars een 10 (6
» du doigt de milieu
(sans son ongle) . . 0 3
2
2 UMROUCE ln 0lte Ah
7
4
1
DS
(85) COCCOTHRAUSTES CAU-
casıcus. Il parait que Gülden-
städt est le seul naturaliste qui
ait examiné cette belle espèce.
On lira par conséquent, avec in-
térêt, la description que ce savant
ständig mit: en a donnée. La voici:
»LOXIA RUBICILLA.
» Avis, quam sub hoc nomine propono, magnitudine, habitu et
» colore proxime ad Enucleatorem, rostro ad Goccothraustem acce-
»dit, et inter hasce duas species congeneres quasi media. Colore
»suavissimo coccineo , ’albido et cinerascente lepide variegato. Ru-
» bicilla antecellit Enucleatorem, colore miniato fusco undulato ocu-
»los minus afficientem. Rostri crassitie Goccothrausti cedit Rubicilla.
»Avis nostra indigena alpinum caucasicarum aëre frigidiusculo pa-
»riter ac Enucleator delectatur; praesertim ad alveos glareosos tor-
»rentium in Gaucaso occurrentium degit et baccas Hippophaës
» Rhamnoïdis, ad illos copiosissime crescentis, gulae indulgens avi-
» dissime legit, eandemque disseminat, Familiae numerosissimae
» Rubicillarum gregatim volitare et vocem Pyrrhulae imitare solent.
» Sexus differentia vix ulla, nisi quod rubedo feminae minus speciosa
80
»sit. Icon staturam et habitum magnitudine naturali exprimit , reli-
» qua ex descriptione patent, quae nunc dabo.” Ait fs
» Rostrum incrassato-conicum; capite dimidio brevius, a fronte
»sex, a rictu octo lineas longum; basi latissimum , diametro per-
» perpendiculari sex, et transversali quinque linearum ; apice acu-
» minatum ; mandibula superior fusca, apice recto vix ultra inferiorem
»promineus; inferior albida, lateribus tantisper introrsum flexa.
» Lingua integra, truncata. Nares basilares, capistro fusco tectae.
» Oculi fusci.
»Caput supra, gula, collum subtus et pectus intense coccinea,
»leucosticta, maculis acutis triquetris; abdomen et ani regio dilute
»rosea, albido undulata; caudae tectrices inferiores roseo-fuscae.
»Collum supra et dorsum canescens cum rosei tinctura; tectrices
»caudae superiores fusco-rosea. Basis plumarum omnium, quae in
»situ naturali obtecta et partem maximam totius plumae constituit,
»intense cinerea.
» Alae complicatae quoad pollicem unum cauda breviores; remi-
»gibus et tectricibus primartis fuscis, marginibus obsolete roseis,
» tectricibus axillae dorso concoloribus.
» Cauda tres pollices et sex lineas longa, integra; rectricibus
» duodecim, aeneo-nigris, extima utrinque exteriore margine albido,
» reliquis margine roseo adumbratis.
»Femora ad genua usque plumosa, cana; tibiae et digiti, quo-
»rum tres antici et unus posticus, nigri coloris; ungues digitorum
»incurvi, acuminati, nigri, anteriorum subaequales, postici maximus.
» Longitudo aviculae extensae ab apice rostri ad caudae extremum
»octo pollicum pedis londinensis duodecimalis.”
Folgende Maasse haben wir der,
Güldenstädts Beschreibung beglei-
tendten Zeichnung, entnommen:
Länge desFlügels . 4Zoll.9 Lin.
» des Laufes. . . 1 » 1»
» der Mittelzehe . O0 » 9 »
» der Hinterzehe. OÖ » 5 »
(86) De Selys-Longchamps,
Faune Belge, p. 79, n°. 71,
führt eine zweite Art des gemer-
nen Gimpels auf. Wir kennen
diesen Vogel nicht, und können
daher den folgenden Angaben des
Herrn de Selys nichts hinzufügen:
Voici les mesures prises sur le
dessin publié par Güldenstädt:
Longueur de l’aile 4pouc. 9 lign.
»..! dutarse .:. 114 se
» du doigt de
milieu , .- 20023980
» dupouce .. 0 » 5 »
(86) Mr. de Selys - Long-
champs fait mention, dans sa
Faune Belge, p. 79, n°. 7,
d’une espèce nouvelle mais très-
voisine du Bouvreul commun.
N'ayant pas vu cet oiseau en na-
ture, nous renvoyons aux, obser-
vations de Mr. de Selys, qui en
parle dans les termes suivans:
81
» PYRRHULA COCCINEA, de Selys-Longch. BOUVREUIL PONCEAU.
» Vulgairement grand bouvreuil.
» Cet oiseau n’est assez probablement qu’une race locale plus
»grande du Bouvreuil commun. Il est de passage accidentel en
» Belgique et par troupes à la fin de l’automne. II y a été très-
» commun en décembre et en janvier 1831. Il m'a paru qu'il a
» l’espace blanc du croupion plus étendu que chez le bouvreuil
»commun. Il semble que son chant est plus varié et qu'il ne se
»mele pas avec le petit Bouvreuil commun.”
Cuvier, Regne animal, I, p.
414, hat schon dieser grösseren
Race des Gimpels erwähnt.
Die vomGrafen von der Mühle,
p. 45, unter dem Namen Pyrr-
hula sinaica? Temminck, auf-
geführte Art aus Griechenland
scheint zu P. erythrina zu ge-
hören. |
PYRRHULA LONGICAUDA, Tem-
minck, Man., I, p. 340; Loxia
sibirica, Pallas, It. Il, app.,
n0.24; Pyrrhula caudata, Pal-
las, Zoogr., II, p.10, n°. 181,
nach einem von Pallas aus der
Krimm geschickten Exemplare als
europäisch aufgeführt, kommt
nach Pallas, nur auf dem Altaı
und ım östlichen Sibirien vor,
und ist dort überall Standvogel. Es
ist mir auch kein Beispiel bekannt,
dass dieser Vogel in Europa beo-
bachtet worden wäre.
(87) PYRRHULA SERINUS IS-
LANDICA. Ich habe zwar diesen
Vogel nicht in der Natur gese-
hen, jedoch auf Faber's Zeug-
niss darf man ıhn wohl, wenn
auch nur als Nebenart, aufneh-
men.
(88) Ch. Bonaparte, List, p.
34, n°. 227, führt ERYTHROSPI-
ZA PHOENICOPTERA, Linaria
2.
Cuvier, Règne animal, I, p.
414, a déjà indiqué cette race
plus forte du Bouvreuil.
Le Bouvreuil de la Grèce indi-
qué par Mr. von der Mühle, p.
45, sous le nom de Pyrrhula
sinaica? Temminck, ne paraît
pas différer de la P. erythrina.
PYRBHULA LONGICAUDA, Tem-
minck, Man., I, p.340; Loxia
sibirica Pallas, Voy., II, app.,
n°. 24; Pyrrhula caudata, Pal-
las, Zoogr., IT, p. 10, no 181,
indiqué comme espèce européen-
ne, d’apres un individu envoyé
par le professeur Pallas de Cri-
mée , n’habite , selon ce voyageur,
que l’Altai et la Sibérie orien-
tale, où elle est sédentaire. À ce
que je sache , il n’existe aucune
donnée certaine que cet oiseau
ait été tué en Europe.
(87) PYRRHULA SERINUS IS-
LANDICA. Je n'ai pas vu cet
oiseau en nature; mais 1l me sem-
ble que le témoignage d'un na-
turaliste, tel que feu Faber, suf-
fit pour l’adopter au moins com-
me race distincte.
(88) On ne peut guere se for-
mer une idée définitive sur l’espé-
ce, introduite parmi les oiseaux
6
phoenicoptera, Gould, als neue
‚europäische Art auf. Welche Art
damit gemeint ist, lässt sich, da
sienur dem Namen nach bekannt
ist, nicht bestimmen.
(89) LOXIA LEUCOPTERA :
Gmel. Linn, p. 844, n°. 12;
Wilson, Pl. 31, fig.8; de Se-
lys-Longchamps , Faune belge,
PI. IV, fig. 3, aus Nordamerika,
ist bedeutend kleiner und hat ei-
nen viel schwächeren, stärker zu-
sammengedrückten und mit län-
geren Spitzen versehenen Schna-
bel als L. dbifasciata. Sie ist bis
jetzt noch nicht in Europa beo-
bachtet worden.
(90) EMBERIZA HYEMALIS,
Linn., Syst., XII, p.308, n°.
2; Fringilla hyemalis, Linn. ,
Syst., X, p. 183; Wilson, PI.
16, fig. 6; Struthus hyemalis,
Ch. Bonap., List, p. 31, n°. 215;
Gould, Pl. 190, aus Nordame-
rika, wird im Manuel, III, p.234,
als europäisch aufgeführt , weil
sie aufihren Wanderungen zuwei-
len in Island erscheinen soll. Die
Nachrichten aber, auf welche diese
Behauptung gestützt ist, sind von
der nämlichen Person , welche sie
mittheilte, widerrufen worden.
Ch. Bonaparte, Catalogo, p.
45, n°. 235, erwähnt unter dem
Namen EMBERIZA BONAPARTI,
Barthelemy de la Pomm. einen
mir ganz unbekannten Ammer,
der im südlichen Frankreich als
Verirrter beobachtet wurde. Fer-
ner wird im Catalogo, p. 45,
n°. 236, eine EMB. CINEREA,
82
d'Europe par CA. Bonaparte,
List, p.34, n°. 227, sous le nom
d'ERYTHROSPIZA PHOENICOP-
TERA, Linaria phoenicoptera,
Gould, cette indication n'étant
accompagnée d’aucune phrase
descriptive.
(89) LOXIA LEUCOPTERA,
Gmel. Linn., p. 844, n°. 12;
Wilson, Pl. 31, fig. 3; de Se-
lys-Longchamps, Faune belge,
Pl. IV, fig.3, espèce qui habite
l'Amérique du nord, diffère de la
Loxia bifasciata par une taille
moins forte et par un bec plus
faible, plus comprimé et à poin-
te assez déliée. Cette espèce n’a
pas encore été observée en Eu-
rope.
(90) EMBERIZA HYEMALIS,
Linn. Syst., XII, p. 308, n°.2;
Fringilla hyemalis , Linn. Syst.,
X,p.183; Wilson, PI. 16, fig.6;
Struthus hyemalis, Ch. Bonap.,
List, p. 31, n°. 215; Gould, PL.
190, espèce de l'Amérique du
nord, a été introduite dans le
Manuel, III, p.234, parmi les
oiseaux d’Europe, par suite de
l'indication donnée par une per-
sonne mal informée, que cette
espèce visite, lors de ses migra-
tions, de temps en temps l'Islande,
Ch. Bonaparte, Catalogo, p,
45, n°. 235, fait mention, sous
le nom d’EMBERIZA BONAPAR-
Tu, Barthélemy de la Pomm.,
d’un bruant, observé dans laFran-
‘ce méridionale, qu'il visite ac-
cidentellement. Il est fait men-
tion dans le même opuscule,
I. c., n°. 236, d’un bruant de
Strickland, aus dem östlichen
Europa angeführt, von der ich
ebenfalls nichts Näheres zu sagen
weiss, da mir keine Beschreibung
derselben bekannt ist.
(91) EMBERIZA CHRYSO-
PHRYS. Das einzige, bis jetzt in
Europa beobachtete Exemplar
dieser Art wurde bei Lille gefan-
gen : siehe de Selys-Longchamps,
lc.
(92) EMBERIZA RUTILA. Pal-
das, nach zwei aus der Krimm
von Pallas geschickten Exempla-
ren, im Manuel, III, p. 232,
als Bewohner des südlichen Russ-
lands aufgeführt, wurde von
Pallas, Zoogr. ross. as., II,
p. 53, n°.217, nur in Dauurien
beobachtet.
(93) EMBERIZA FUCATA. Die-
se Art unterscheidet sich leicht
von Emb. rustica durch ihren
gekrümmten Schnabel und grös-
sere Füsse. Bei Emb. rustica ist
der Schnabel, wie bei Emb. pu-
silla, gerade und daher pfrie-
menförmig. Im Tugend- und Win-
terkleide sind sich Emb. fucata
und rustica in der Färbung aus-
serordentlich ähnlich.
Da ich meine Untersuchungen
über diese beiden Arten aufzwei
schlecht erhaltene Exemplare be-
schränken muss, so bin ich nicht
ım Stande, ıhre Kennzeichen
83
l'Europe orientale, appelé Em:
BERIZA CINEREA, Sirickland.
Je ne connais ni l’une ni l’autre
de ces deux espèces, dont on n’a
pas même donné des descrip-
tions, à ce que je sache.
(91) EMBERIZA CHRYSO-
PuRrys. Cette espèce n’a été ob-
servée, jusqu'à présent, qu’une
seule fois en Europe, savoir
dans les environs de Lille, où
un individu fut pris au filet:
voir de Selys-Longchamps, I. c.
(92) EMBERIZA RUTILA , Pal-
las, n’habite, selon les données
de ce voyageur, que la Daourie :
voir Zoogr. ross.as., IT, p.53,
n°. 217. C’est donc à tort que
les deux individus de cette espe-
ce, envoyés de la Crimée par le
professeur Pallas, ont été regar-
dés comme ayant été iués dans
la Russie méridionale; voir le
Manuel, d’Ornit., III, p. 232.
(93) EMBERIZA FUCATA. Cette
johe espèce differe de !’_Eimberiza
rustica par un bec arqué et par
des pieds plus robustes; le bec
de la dernière espèce étant droit
et par consequent en alene, ab-
solument comme celui de I!’ Em-
beriza pusilla. En hiver et au
jeune äge, les deux especes dont
nous venons de parler, savoir
Emb. fucata et rustica, se res-
semblent beaucoup sous le rap-
port de leurs teintes.
N'ayant eu à ma disposition
que quelques individus mal con-
servés de ces deux espèces, je
ne suis pas à même d’en établir,
pour le moment, d'une manière
gründlich auseinanderzusetzen.
Der vom Grafen von der Mühle,
p.42, unter dem Namen Embé
riza cia aufgeführte Ammer
scheint in der That zu dieser Art
und nicht, wie es jener Orni-
iholog vermuthet, zu Emberiza
fucata zu gehören.
(94) EMBERIZA PUSILLA. Das
am 18 November 1842, in der
Umgegend von Leiden ne einem
Tnkenbrende gefangene Weib-
chen, scheint das erste Beispiel des
Vorkommens dieser Art in Europa
zu seyn. Es stimmt vollkommen
mit der Beschreibung, welche
Pallas von dieser Art gegeben
hat, überein. Wir haben nach
unserem Exemplare folgende Be-
schreibung entworfen.
Gestalt des Schnabels, Füsse ,
«and überhaupt alle gegenseitigen
Formenverhältnisse, so wie die
Färbung, ganz wie bei Emberiza
rustica im Winterkleide; der
‚ganze Vogel aber durchgehends
kleiner, nn folgende Maasse
zeigen:
‚Ganze Länge. . . .. 59,00
Länge der Flügel | re Pr A
» des Schwanzes . . . 2 1
» des Laufes. 0:58
» der Mittelzehe . . . . O 5
» des Nagels FT PT O2
» der Hinterzehe 10 MS
» des Nagels derselben. O 21
» des Schnabels vom
Mundwinkel ....0 41
Breite des Schnabels beim
Mundwinkel ....0 22.
84
précise, les autres traits Geier
üfs qu’elles offrent.
Le bruant indiqué par Mr. von
der Mühle, p. 42, sous le nom
TEnmbere cia, parait en effet
se rapporter à cette espèce et
non pas à l’Zmberiza fucata ,
comme le suppose l’ornithologiste
que nous venons de citer.
(94) EMBERIZA PUSILLA. 1
parait que cette espèce n’a
été observée en Europe par au-
cun autre naturaliste. Nous en
possédons un individu femelle,
pris le 18 Novembre 1842 dans
les environs de Leide. Cet indi-
vidu, dont nous donnerons une
description détaillée, se rapporte
parfaitement à celle que Pallas
a publiée de cette espèce.
Les formes du bec de cet oi-
seau, les pieds et en général tou-
tes les proportions relatives des
parties du corps, ainsi que la
distribution des teintes, sont com-
me dans l’Æmberiza rustica en
habit d'hiver; mais il est d’une
taille beaucoup moins forte, com-
me il résulte par les mesures sui-
vantes: '
Longueur totale . . . .
des diles 21.102
de la queue . . .
du tarse
du doigt de it ;
de son ongle . .
du pouce. .
de son ongle .
du bec, depuis l’an-
gle de la bouche . .
Largeur du bec, pres l’an-
gle de la bouche . .
»
Schnabel gerade, stark ver-
jüngt zulaufend , daher pfrie-
menförmig , mit scharfer; kaum
merkbar abwärts gebogener Spit-
ze; schwärzlich hornfarben, an
den Ladenrändern, und an der
untern Wurzel der Unterkinnlade
in’s gelbliche. Kopf oben, in der
Mitte, mit einem breiten sölhlieh
rbinen Längestreifen , der
auf jeder Seite von einem et-
was schmäleren, schwärzlichen
Streifen eingefasst wird. Zügel-
gegend blass rostfarben; von da
zieht sich ein !ichter, weisslich
rostfarbener Streif über dem Auge
und über der Ohrgegend hin.
Ohrgegend röthlich rostfarben ,
von unten und hinten schwarz
gesäumt. Kehle und Vorderhals
gelblichweiss, von einem Kranze
schwarzer Flecken eingefasst ,
der seinen Anfang an jeder Sei-
te der Wurzel des Unterkiefers
nimmt. Zwischen diesem schwar-
zen Streif und der Ohrgegend
ein weisslicher Streif, der schon
an den Seiten der Wurzel des
Unterkiefers entspringt, und, sich
hinter der Ohrgegend umbie gend,
bis an die Saiten des Chrtekks
läuft, wo er allmählich ver-
schwindet. Vorderbrust und Sei-
ten des Körpers weisslich, mit
bräunlichgelbem Anfluge; alle
Federn dieser Theile mit ziemlich
grossen, schwarzen, braunröth-
lieh gesäumten Schaftflecken. Alle
übrigen Untertheile des Körpers,
mit Inbegriff der untern Schwanz-
deckfedern weiss. Federn der
Seiten des Halses, des Hinterhal-
ses und des Bürzels bräunlich-
grau mit olivenfarbenem Anfluge,
und undeutlichen schwärzlich-
Bec droit, assez conique, par
conséquent en alène, à pointe
aiguë insensiblement ouibée en
bas; d’un noirätre couleur de
corne, tirant au jaunätre sur les
bords des mandibules et sur le
dessous de la base de la mandi-
bule inférieure. Sommet de la
tête orné au centre d’une raie
longitudinale d’un brun couleur
de rouille rougeätre; cette raie
est bordée de chaque côté d’une
raie noirälre un peu plus étroite.
Freins couleur de rouille pâle;
une raie plus claire et tirant au
blanchätre s'étend depuis cette
région, au dessus des yeux et de
la région des oreilles, qui est
couleur de rouille rougeätre , bor-
dée en bas et par derrière de
noir. Gorge et parties antérieures
du cou d’un blanc jaunätre et
entourées d’une rangée de ta-
ches noires distribuées sur une
bande en cercle qui s'étend de
chaque côté jusqu’à la base de
la mandibule inférieure. On voit,
entre cette bande noire et entre
la région des oreilles, une raie
blanchätre qui naît, de chaque
côté, à la base de la mandibule
inférieure , pour se prolonger
derrière É région des oreilles,
en se recourbant en haut sur
les côtés de la nuque, où elle
disparaît. Parties supérieures de
la poitrine et flancs blanchätres,
nuancées de brunätre ; toutes les
plumes de ces parties sont pour-
vues de taches noires loncitudi-
nales, assez grandes et bordées
de brun rougeatre. Toutes les
autres parties inférieures de l’oi-
seau, y compris les couvertures
inférieures de la queue, sont d’un
86
braunen Schaftflecken. Obere
Schwanzdeckfedern etwas dunk-
ler und schmutziger, mit grös-
seren aber undeutlicher begrenz-
ten Mittelflecken. Federn des Rüc-
kens, in der Mitte, mit einem gros-
sen braunschwarzen Längsflec-
ke, der nach den Seiten hın in’s
röthlich rostfarbene, und gegen
den Rand der Federn, in’s grün-
lichgraue übergeht. Alle äussere
Federn des Flügels braunschwarz:
die Schwungfedern mit weissli-
chem innerem Rande und rostfar-
benen äusserem Rande, der auf
den Schwungfedern erster Ord-
nung schmäler und blässer als
auf denen zweiter Ordnung ist;
Schulterdeckfedern und grosse
Flügeldeckfedern zweiter Ord-
nung mit breitem röthlich rost-
farbenem Saume. Mittle Flügel-
deckfedern an der Spitze mit
breitem weissem Saume.Schwanz
stark gegabelt: das dritte Paar
Steuerfedern am längsten, und
um 3 Linien länger als das mit-
telste Paar, deren innerer Rand
bis über ein Drittel ihrer Länge
schräge abgeschnitten ist, Steuer-
federn schwärzlich , mit äusserst
schmalem ‚blass rostfarbenemSau-
me; das mittelste Paar in’s bräun-
liche mit breiterem Saume. Aus-
serstes Paar Steuerfedern mit
einem breiten , weissen , schrägen
Streifen , der auf der Aussenfahne,
nahe an der Wurzel der Feder,
seinen Ursprung nimmt, und die
ganze Aussenfahne bis auf ıhr
äusserstes Viertel einnimmt, auf
der Innenfahne dagegen, nach
der Spitze der Feder hin, immer
breiter wird. Auf dem zweiten
PaarSteuerfedern findet sich eben-
blanc pur. Les plumes des par-
ties latérales et postérieures du
cou ainsi que celles du croupion
sont d’un gris brunätre nuancé
d’olivätre, et elles offrent au cen-
tre des taches peu sensibles d’un
brun noirätre. Les couvertures
supérieures de la queue présen-
tent une teinte plus foncée et
plus sale que les plumes du crou-
pion , et leurs taches sont plus
grandes,mais mal déterminées. Les
plumes du dos sont pourvues au
centre d’une grande tache lon-
gitudinale d’un brun noir, pas-
sant au brun couleur de rouille
rougeätre, vers les côtés des plu-
mes , et au gris verdätre sur les
bords. Toutes les plumes des
parties extérieures des ailes sont
d’un brun noir: les rémiges sont
bordées à la barbe interne de
blanchätre; les barbes externes
offrent des bords couleur de
rouille, plus pâles et plus étroits
sur les rémiges primaires que sur
les secondaires; les couvertures
des épaules et les grandes cou-
vertures de la deuxième rangée
présentent de larges bords couleur
de rouille rougeätre; les couver-
tures moyennes enfin sont ornées
à l'extrémité d’un large bord
blanc. La queue est fortement
échancrée à l'extrémité: la troi-
sième paire des pennes, sur-
passant les autres en longueur ,
est plus longue de 3 lignes que
la paire mitoyenne, dont la bar-
be interne est découpée jusqu’au
de là du deuxième tiers de leur
longueur. Ges pennes de la queue
sont noirätres, etornées d’un liséré
étroit couleur de rouille pâle; la
teinte du fond tire au brunätre sur
87
falls ein weisser aber schmälerer | les pennes mitoyennes, dont le
Streif, der erst auf der zweiten | bord est plus large que celui des
Hälfte ihrer Länge auftritt , und | autres pennes. Paire externe des
auf der Innenfahne längs dem | pennes de la queue ornée d'une
Schafte der Feder hinläuft. Füs- | raieblanche assez large et oblique,
se und Zehen zart, blass gelblich | qui naît près de la base de la
hornfarben. Nägel spitzig , ziem- | penne sur la barbe externe, dont
lich gekrümmt, blass schwärz- | elle occupe les trois premiers
lich hornfarben. Erste Schwung- | quarts de sa longueur, et qui va
feder von gleicher Länge als die | en s’elargissant sur la barbe in-
vierte, und kaum um eine Li- | terne à mesure quelle se rap-
nie kürzer als die zweite und | proche de l'extrémité dela penne.
dritte. On voit uneraie semblable mais
plus etroite sur la seconde pai-
re des pennes de la queue, mais
elle ne se montre que sur la
deuxième moitié de la longueur
de la penne, et elle s'étend sur
la barbe interne le long du tu-
yau de la penne. Pieds et doigts
greles , d’un jaunätre pale cou-
leur de corne. Ongles pointus,
assez courbés, d’un noirätre pâle
couleur de corne. Première ré-
mige d’égale longueur avec la
quatrième, et plus courte seule-
ment d’une ligne que la deuxié-
me et la troisième.
Die Beschreibung, welche Pal- Pallas à décrit cette espèce
las von dieser Art gegeben hat, | dans les termes suivans: |
lautet wie folgt:
» Emberiza gryseo fuscoque liturata, capite nigro, fasciis quinis
»testäceis, rectricibus 2 extimis fascia obliqua alba.
» In sylvis et salicetis regionum transbaicalensium et Sibiriae ori-
»entalis frequens, migratoria; saepe a tardiva frigore adventans
»enecatur. Victitat vere Tenebrionibus.
» Vix spino aequalis. Similitudo summa cum E. rustica , sed multo
» minor. Rostrum fusco-corneolum. Caput supra lateribusque varie-
»gatum fascus longitudinalibus quinis testaceis, interjectisque nigris
»quatuor. Supercilia albidiora. Macula pone aures ferugineas nigra.
» Gula pallida, tractu duplici fusco punctata. Lunula utrinque alba,
»a gula versus cervicem. Jugulum pallidum, punctis crebris, sagit-
»tahbus. Dorsum passerini coloris; subtus albida, lateribus longi-
»tudinaliter lituratis. Rectrices utrinque extimae 2. fascia oblique
» longitudinali alba. Remiges 19. primariae margine exteriore palli-
»dae, secundariae ferruginae, at interiore omnes albae, 2 ad 4.
»extremo angustatae. Cervix et uropygium gryseo-cinerascunt, litu-
» ris fuscis. Cauda magis bifurca , quam praecedentis (Emb. fucatae);
» rectrices acutiores pallido marginatae, extimae 2. fascia oblique
»longitudinali alba. Pondus drachmae sesquitertiae. Mensura corpo-
»ris 3% 21, caudae 2” 1”. alarum expans. 8". compositarum 2/ 7/4,
» Remiges intermediae aliquot obsoletissime emarginatae. Pedes car-
» neo-pallidi.”
(95) COLUMBA AEGYPTIACA.
Schinz, erhielt diese Art aus
Griechenland; von der Mühle,
p. 83, traf sie ebenfalls daselbst
an. Sirickland, Proceedings
Zool. Soc., 1836, p. 100, beo-
bachtete sie häufig auf den Cy-
pressenbäumen der Todenäcker
von Smyrna und Constantinopel,
vermuthet aber, dass sıe daselbst
eingeführt wurde.
Naumann, inWiegman, Ar-
chiv., III, I, p. 106, führt
eine Taube vom Balkan auf, die
er, mit Lichtenstein, für eine Vä-
rietät der Lachtaube hält, ob-
gleich sie grösser und dunkler
gefärbt ist. Herr von der Mühle
macht darauf aufmerksam, dass
diese Taube zu Col. aegyptiaca
gehören könne.
(96) Die Angabe im Manuel,
IV, p.316, dass der GOLDFASAN
in Griechenland und am Kauka-
sus wild vorkomme , bedarf wohl
der näheren Bestätigung.
(97) TETRAO BRACHYDACTY-
LUS, Temm. Man., IV, p.828,
(95) COLUMBA AEGYPTIACA.
Schinz possède des individus de
cette espèce tués en Grèce; vor
der Mühle Va également obser-
vée dans ce pays. Sérickland,
Proceedings Zool. Soc., 1836,
p. 100, dit qu’elle fréquente en
grand nombre les cyprès dont
les cimétières de Smyrne et de
Constantinople sont plantés, mais
il suppose que l'espèce a été in-
troduite d’ailleurs dans ces con-
irees.
Naumann, voir Wiegman ,
Archiv., III, T, p. 106, fait men-
tion d’une tourterelle recueillie
au Balcan et qu’il prend, avec
le professeur Lichtenstein, pour
une variété de la tourterelle
rieuse, quoiqu’elle soit d’une tail-
le plus forte et ornée de teintes
plus foncées que cette espèce.
Mr. von der Mühle observe qu'il
se pourrait bien que cette tour-
terelle appartint à la {ourterel-
le d'Egypte.
(96) Nous n’avons trouvé nulle-
part des renseignemens positifs
tendant à prouver l'existence sup-
posée du FAISAN DORÉ au Cau-
case; voyez le Manuel, IV, p. 316.
(97) TETRAO BRACHYDACTY-
Lus’ Temm, Man., IV, p. 328;
‚89
Lagopus brachydactylus, Gould,
Pl.256, weicht von Teirao sa-
licet! nur durch die reiner weis-
sen Schwingenschäfte, durch die
stärker entwickelten Federn an
den Seiten der Schnabelwurzel,
und durch die kürzeren Zehen
ab. Ich habe indessen Individuen
von Zefrao saliceti aus Norwe-
gen gesehen, deren Zehen die des
T. brachydactylus an Länge nicht
übertrafen. Auch ist es schwer,
wegen der Befiederung der Zehen,
die Maasse, zumal an Bälgen, ge-
nau zu ermitteln. Nach Pallas,
Zoogr., II, p. 67, werden
die Schwingenschäfte der alten
Männchen von Zefr. saliceti zu-
weilen weiss. Sollte die mit dem
Namen Teir. brachydactylus be-
zeichnete Form in so bedeutender
Anzahl beobachtet, und ihre
Kennzeichen bei beiden Ge-
schlechtern und in jedem Alter
standhaft befunden werden, so
werden wir keinen Anstand neh-
men, sie in der Folge als Neben-
art des Te/rao saliceli aufzu-
führen.
. (98) TETRAO SALICETI SCO-
Tıcus. Weicht von Teirao sali-
cet nur dadurch ab, dass sie
im Winter nicht weiss wird.
(99) TETRAO RUPESTRIS,
Leach; Lagopus rupestris,
Gould, Pl. 254, nur nach einem
in England erlegten Exemplare be-
kannt, . unterscheidet sich nach
der Abbildung und Beschreibung,
Lagopus brachydactylus, Gould,
PI. 256, ne se distingue du Te-
trao saliceli que par les tuyaux
des rémiges teintes d’un blanc
plus pur, par les plumes plus
fortement développées à la base
du bec, et par des doigts plus
courts. J’aı cependant vu des in-
dividus du Tetrao saliceti, ori-
ginaires de la Norwége, et dont
les doigts étaient aussi courts
que dans le Tetr. brachydacty-
le; aussi est-il souvent difficile
de juger, chez ces oiseaux, de la
longueur de leurs doigts, vu
qu'ils sont presque entièrement
cachés sous le plumage serré
dont les pieds sont revêtus. Pal-
las, Zoogr., IT, p. 67, parle
de ce caractère tiré de la cou-
leur blanche des tuyaux des ré-
miges, comme étant exclusive-
ment propre à de certains mä-
les tres-vieux du Zagopede des
saules. Je n’hésiterai pas d’adop-
ter comme race particulière le
Lagopede brachydactyle, dès que
l’on en aura observé une série
complete d'individus des deux
sexes et de tous les âges, offrant
tous les traits distinctifs assignés
à cette prétendue espèce.
(98) TETRAO SALICETI SCO-
TICUS. Cette race ne s'éloigne du
Lagopede des saules que parce
quelle ne prend pas de livrée
blanche en hiver.
(99) TETRAO RUPESTRIS,
Lagopus rupestris, Gould, Pl.
254, connu seulement d’apres un
individu unique tué en Angleter-
re, ne se distingue, à juger des
figures et des descriptions que
in nichts vom Weibchen des 7.
lagopus im Sommerkleide. Rz-
chardson, Fauna Bor. amer.
Birds , p.354, PI.64, sagt ge-
radezu , dass der von ıhm, unter
dem Namen Zagopus rupestris
abgebildete Vogel aus dem ark-
tischen Amerika, durchaus dersel-
ben Art angehöre, wie das Al-
pen-Schneehuhn , Teirao lago-
pus, Europa’s.
(100) Das ISLANDISCHE AL-
PENSCHNEEHUHN unterscheidet
sich in jedem Alter vom Alpen-
schneehuhn durch einen etwas
kräftigeren Schnabel.
(101) Eine zweite, dem Te-
traogallus caucasicus verwand-
te Art, Tetraogallus Nigelli,
Gray, Ind. Zool., Taf. ohne
Nummer, bewohnt die Gebirge
Nepauls, und unterscheidet sich
durch höhere Läufe, einen stär-
keren Schnabel und eine etwas
verschiedene Färbung.
(102) HEMIPODIUS LUNATUS,
Temm., Man., IT, p. 495, muss
als Art gestrichen werden: siehe
über dieselbe das Man. IV, p.
339, remarque.
(103) SYRRHAPTES PARA-
Doxus, Illig., wird von Ch. Bo-
naparte, List, p. 42, no. 281, als
europäisch aufgeführt, ohne An-
gabe der Quellen, auf welche
sich diese Annahme stützt.
(104) Ch. Bonap., List, p.
42, no. 284, führt PTEROCLES
90
l’on en a données, nullement de
la femelle en habit d’été du Te-
frao lagopus. Richardson, Fau-
na bor. amer., p. 354, PI. 64,
dit expressément, que l'espèce
de l'Amérique boréale, figurée
dans son ouvrage sous le nom
de Lagopus rupestris , est abso-
lument identique avec celle des
Alpes d'Europe.
(100) Le LAGOPÈDE PTARMI-
GAN D’ISLANDE se distingue dans
tous les âges de l'espèce ordi-
naire par son bec plus robuste.
(101) Il existe sur les mon-
tagnes du Nepaul une deuxieme
espèce du genre Téfraogalle ;
quoique voisine du Téfraogalle
du Caucase, elle s’en distingue
par des tarses plus élevés, par
un bec plus vigoureux et par des
teintes diversement modifiées ;
c'est Tetraogallus Nigelli, Gray,
Ind. Zool., planche sans nu-
méro.
(102) Il convient de rayer de
la liste des espèces l’HEMIpo-
DIUS LUNATUS, Temm.,Man.,II,
p. 495; voir dbid., IV, p. 339,
remarque.
(103) SYRRHAPTES PARA-
poxus. Nous ignorons les motifs
qui ont pu guider Mr. Ch. Bona-
parte, List, p. 42, n°. 281, à
classer cet oiseau curieux par-
mi les espèces européennes.
(104) Ch. Bonaparte, List,
p. 42, n°. 284, ayant introduit
caspıus, ÂMénétr. Catal., p.
47, n°. 144, unter den europäi-
schen Vögeln auf. Keyserl. u.
Blasius, p. LÄIII, no. 270,
(Anmerkung) sagen darüber:
Sollte auch Pferocles caspius
specifisch von Pter. alchata sein,
was nach der Beschreibung nicht
scheint : so darf dieser Vogel doch
nicht zu den europäischen ge-
zählt werden, indem er nur bei
Baku beobachtet ist.
(105) GLAREOLA PALLASII.
Diese Art unterscheidet sich sehr
leicht von Glareola pratincola
durch folgende Kennzeichen.
Ihr Schnabel ist schwächer, nie-
driger und weniger gewölbt ; ihre
Läufe sind höher, die Zehen kür-
zer; der Schwanz ist kürzer und
das Schwarz auf die Endspitzen
der langen Federn beschränkt ;
die Kehle ist weiss, und die Flü-
gel sind auf der Unterseite ein-
färbig rauchschwarz, während
bei @Glareola pratincola die
grossen untern Flügeldeckfedern
schön rothbraun erscheinen. Ubri-
ge Färbung und allesonstigen Ver-
hältnisse, wie bei Glar. pratin-
cola. Sıe weicht daher von die-
ser Art weit stärker ab, als G@la-
reola orientalis, Leach, Linn.
Trans., vol. XIII, p. 132, Pl.
AIV, die auf Java gefunden wird,
und, ausser den etwas kürzeren
Schwanz, so vollkommen mit
Glar. pratincola übereinstimmt ,
dass sie kaum als eigene Art be-
trachtet zu werden verdient.
9
parmi les oiseaux d’Europe le
PTEROCLES CASPIUS de HMe-
netries, Catal., p. 47, M. M.
Keyserling et Blasius,p. LXTIT,
n°. 270, remarque, observent
qu’à juger de la description four-
nie par Ménétries de son Pte-
roeles casprius, cette espèce pa-
rait identique avec le Pierocles
aichata. Pourvu même qu’elle
en diffère spécifiquement, elle ne
peut être classée parmi les oi-
seaux d'Europe, parcequ’ elle n’a
été observée que dans les environs
de Bakou.
(105) GLAREOLA PALLASII.
Cette espèce est facile à distin-
guer de la Glareola pratincola
par les caractères suivans. Son
bec est plus faible, moins élevé
et moins courbé. Les tarses sont
plus élevés et les doigts plus
courts ; la queue est plus courte et
ce ne sont que les extrémités des
pennes alongées de la queue qui
sont teintes de noir; la gorge est
blanche et les ailes sont à leur face
interne d’un noir enfumé unifor-
me, tandis que les grandes cou-
vertures inférieures des ailes sont,
dans la @lareola pratincola, d'un
brun rougeätre vif. Les autres
parties offrent les mêmes teintes et
les mêmes proportions que dans la
Glareola pratincola. Elle s’éloig-
ne par conséquent d’une manie-
re beaucoup plus marquante de
cette dernière espèce que la @la-
reola orientalis, Linn. Trans.,
vol. XIII, p. 132, PI XIV,
espèce de l’ile de Java, et, à l’ex-
ception de sa queue qui est un
peu plus courte, en tout point
semblable à la Glareola pratin-
Ausser Glareola pratincola
und Glar. Pallassii smd bis jetzt
nur noch zwei Arten mit Gewiss-
heit bekannt, nämlich:
GLAREOLA GRALLARIA , Zem-
minck, Man., IT, p. 503; Gla-
reola australis, Leach, Linn.,
Trans., XIIT, Pl. 1822, p. 131,
Pl. XV, von Neuholland und
GLAREOLA LACTEA, Temm. , Man.,
II, p. 593; Pl. col. 399, von
Bengalen.
Das ım Mainzer Museum auf-
bewahrte Exemplar der G@lareola
Pallasii wurde in Griechenland
erlegt, und ohne Bestimmung
des Geschlechtes eingeschickt.
Es ist ein Vogel im Winterkleide ,
der aussieht wie folgt:
Färbung und Farbenverthei-
lung überhaupt, ganz wie bei
Glareola pratincola. Die Federn
des Genickes und Hinterhalses
mit sehr deutlichen rostfarbenen
Rändern. Kehlfleck schmutzig
weiss, hie und da lehmfarbig
angeflogen. Der Kranz, welcher
den Kehlfleck umgiebt, sehr
schmal, aus blass braunschwar-
zen Flecken bestehend, hier und
da unterbrochen. Vorderbrust et-
was blässer als bei @lar. pratin-
cola. Flügel auf der inneren Seite
durchaus rauchschwarz. Gegen-
seitiges Verhältniss der Schwung-
federn wie bei Glar. pratincola.
Schwanz wie gewöhnlich stark
gegabelt; an der Spitze mit einem
bräunlich schwarzen Bande,
welches auf dem Schafte des äus-
sersten Paares Steuerfedern 8 Li-
nien, auf dem mittelsten Paare
cola, de sorte qu’elle ne mérite
guere d’être considérée comme
espèce particulière. |
Je ne connais que deux espe-
ces exotiques de ce genre, sa-
voir : |
GLAREOLA GRALLARIA, Tem-
minck, Man. , II, p.503; Gla-
reola australis , Leach. , Linn. ,
Trans., XIIT, 1822, p. 131,
PI, 15; de la Nouvelle Hollan-
de, et GLAREOLA LACTEA, Tem-
minck, Man., II, p. 503; Pi.
col. 399, du Bengale.
L’individu de la @lareola Pal-
lasii, conservé au Musée de Ma-
yence, a été tué en Grece. On
ignore à quel sexe il appartient.
ll porte la livrée d'hiver. Voiei
la description que j'en ai faite.
Couleurs et leur distribution en
général comme dans la @lareo-
la pratincola. Plumes de la nu-
que et des parties postérieures.
du cou à bordures distinctes d’un
brun ferrugineux. (Gorge d’un
blanc sale, irregulierement nuan-
cé de jaune de terre. Le cercle
qui entoure la gorge est très-étroit,
interrompu sur plusieurs points
et composé de taches d’un brun
noir pâle. Les parties supérieu-
res de la poitrine sont un peu
plus pales que dans la @lar. pra-
Lincola. Parties inférieures des
ailes d’un noir enfume. Propor-
tions relatives des rémiges comme
dans l’espèce commune. Queue
assez fortement fourchue, pour-
vue à l'extrémité d’une bande
d’un noir brunätre, dont la lar-
geur occupe huit lignes sur les
tuyaux des pennes externes, et
93
Steuerfedern 15 Linien breit ist. | 15 lignes sur les pennes mito-
yennes.
Schnabel schwarz, gegen den Bec noir, passant au jatinäire
Mundwinkel, und an den Seiten | vers l'angle de la bouche et sur
der Wurzel des Unterkiefers gelb- | les côtés de la base de la man-
lich; schwächer, weniger ge- | dibule inférieure; plus faible,
bogen, und niedriger als bei Glar. | moins courbé et moins élevé que
pratincola. Füsse schwärzlich | dans la &/. pratincola. Pieds noi-
hornfarben. Läufe höher, vorn | rätre couleur de corne. Tarses
mit 19 (bei Glar. pratincola | plus élevés que dans cette espe-
mit 15) Schildern bekleidet. Ze- : ce, garnis par devant de 19 pla-
hen und Nägel kürzer als bei @/. ques (dans la @l. pratincola on
pratincola; letztere aber viel | n’en compte que 15); doigts et
breiter und kräftiger. ongles plus courts, ces deruiers
beaucoup plus larges et plus vi-
goureux.
anne Tänge . . : .....,:96" |, Longueur totale „1... . 946
Länge der Flügel . . . . . 7 0 » des ailes... ... 70
» des äussersten Paares » des pennes externes
Steuerfedern ....38 de la queue . . . . 88
. » des mittelsten Paares . 2 3 » des pennes mitoyen-
Höhe des Laufes . . . . . 1 5 nes de la queue . . 2 3
Länge der Mittelzehe . . . 0 8 > rd; base het dial 1:5
» des Nagels derselben . 0 3 » du doigt de milieu 0 8
» des Schnabels, vom » de son ongle....03
Mundwinkel. . . . . O 10 » du bec, à partir de
Höhe des Schnabels (bei- l'angle de la bouche O 10
der Kiefer) am vor- Hauteur des deux mandi-
dern Ende der Na- bules près de l’angle an-
senlöcher...1.... 021. térieur des narines. . . O0 21
Die Beschreibung, welche Pal- Voici la description donnée
las von dieser Art gegeben hat, | par Pallas de cette espéce:
lautet wie folgt:
» Inomni deserto Tatarico a Volga usque fere ad Irtin, quousque
» campestris et inhabitata regio patet, frequentissima, a fine Aprilis
» ad autumnum, avis; ultra Irtin etin reliqua Sibiria nusquam appa-
»ruit. Omnium copiosissime desertum laicense ad Samarum usque
» frequentat, nec multo ulterius ad septentrionem evagatur. Dicitur,
»instar Meropis, in cuniculis praeruptorum niduları; saltem nidum,
»in tanta illarum multitudine obtinere nunquam potui. Semper subgre-
» garia in desertis vagatur, post educatam prolem congregatur copio-
»sius. Aquas nunquam frequentat, sed in aridissimis, praesertim sal-
94
»suginosis, venatur Gryllos aliaque Insecta, maxime sub vesperam;
>» vidi ad Samaram cum Turture congregatas Insecta legentes, et
» Gryllorum praesertim copiam egregie minuunt. Currit instar Chara-
»drii; hominem parum timet. Subvolat cum clamore (Tirék-tirik !)
»fere Sternae, vel Vanellı, etiam volantıs sı terreatur. Volatus fere
» Sternae. Tempestive ad austrum migrat.
» Magnitudo Turturis. Capitis forma, rostrum et rictus omnino
» Cuculi. Rostrum convexo-compressum , subincurvum , nigrum , mar-
» ginibus versus angulos oris fulvis; os tamen intus albet. Lingua
» cartilaginea , triquetro-plana, acuta, integra. ÂVares ad basin
»rostri imperviae, depressae, semiovales, membrana ultra dimidium
» clausae, apertura lineari. /rides oculorum luteo-fuscae, palpebra
» inferior alba), utriusque margines nudi, nigri. Vertex gryseo-fus-
» cescens. Lora nigra, sub oculis continuata in annulum ovalem
»nigrum, gulam sordide albam usque ad medium collum includen-
»tem. Reliqua subfus cinerascunt; venter albidior. Supra avis tota
» gryseo-fuscescens, Lusciniae fere colore. Alae longissimae, an-
» gustae, caudam exsuperantes, subtus, nigrae ‚ praeter rhaches re-
»migum albas; remiges 25: quarum extima longissima. Uropigii
»latera alba. Cauda longiuscula, (proportione Sternae) , forcipata
» rectricibus mediis latibseutis: dimidiato-albis, tribus utrinque exti-
»mis gradatim longioribus, albis, apice angustissimo nigris. Pedes,
»ut in Charadrüs, longi, (non rubri, ut Gessnerus et Brissonius) ,
»sed fusci, supra genua nudi, tetradactyli; dégéte breves, plica
» tantum exterioris insigniore , postieus minutus, cum ungue incur-
» vus; anteriorum vero wngues longiusculi, subuläti i ara me-
» dius et interiore acie serratus. — Foeminae exsoletiores, circulo
» gulae minus expresso, submaculosae. Pulli primo anno rostro paulo
»breviore, corpore supra scolopaceo (plumis fuscis, margine gry-
»seis); pectore fusco liturato, uropygio albo, tectricibus caudae
»apice gryseis, litura fusca Hotels cauda Bra subforcipata ,
» omnibusque rectricibus rotundatis, pedibus livescentibus differunt. —
» Adultorum pondus unciarum 2! ad 3 et ultra. Longitudo ad uro-
» pygium 6”. 2/”. rectricum RE 3/,.9/7, mediarum 2, 3",
»alarum compositarum 7.3”. expansarum 1’. 10‘. 0. rostri ad
» frontem 72’. ad rictum 111”. femorum ad 51”. nudatorum 1.
» 10”. tibiarum 1#. 6. digiti medn (c. u. 32‘”.) 17. postici (1.)
„zu? /
Je vois par un mémoire de Mr.
Nordmann, inséré dan le Bulle-
Ich finde so eben, dass Word-
mann diese Art unter dem Na-
men GLAREOLA MELANOPTERA
unterschieden hat. Siehe Bullet.
de Moscou, 1842, p. 314, PI. 2.
Fischer, ibid., hat ıhr darauf den
lin de Moscou, 1842, p. 314,
Pl. 2, que ce savant vient de
decrire cette espece sous le nom
de GLAREOLA MELANOPTERA ;
Namen GLAREOLA NORDMANNII
beigelegt.
(106) CHARADRIUS PYRRHO-
THORAX. Eine in ganz Indien
bis auf die Inseln Hinter-Indiens
ungemein häufige Art, welche
in mehreren Sammlungen unter
dem Namen Charadrius rufi-
collis, Cuv., Mus. Par., auf-
gestellt ist. Sie ist ohne Zwei-
fel den Naturforschern schon
längst bekannt gewesen , aber nie
ausführlich beschrieben worden.
Horsjfield scheint sie inseiner Auf-
zählung der javanischen Vögel,
Linn. Trans., XIII, p. 187,
für Ch. asiaticus gehalten zu
haben, und Wagler hat sie wahr-
scheinlich mit einer ähnlichen ,
aber etwas grösseren Art ver-
wechselt, welche er unter dem
Namen Ch. Geoffroyt, (Syst. Av.
Char., n°. 19), beschreibt.
(107) Ch. Bonap., List, p.
52, n°. 376, führt Scolopax ma-
jor, Montagu , unter dem Namen
SCOL. MONTAGUI, als verschie-
den von Scolop. major, Gmelin
auf; warum?, wird nicht gesagt.
(108) SCOLOPAX BREHMI,
Kaup, Isis, 1823, p. 1147, s.
Gallinago Brehmi, Ch. Bonap.
lcon. d. Fauna ital. I, Tav. 43;
TELMATIAS PEREGRINA,Brehm,
Handb., p. 621; scoLOPAX DE-
LAMOTTH und PYGMAEA , Pail-
lon, Catal., p. 23, n0.200 u.
201, und andere von Brehm,
Isis, 1835, p.116, syg. aufgestell-
te, der Scol. gallinago verwand-
te Subspecies, scheinen uns noch
95
c’est aussi GLAR. NORDMANNI,
Fischer, tbid.
(106) CHARADRIUS PYRRHO-
THORAX. Cette espèce, très com-
mune aux Indes orientales et dans
les îles de ia Sonde, porte dans
plusieurs collections le nom de
Charadrius ruficollis, Cuv. Mus.
Par. Nous ne doutons nullement
qu’elle n’ait été depuis longtemps
connue des naturalistes: mais
elle n’a jamais été décrite d’une
manière reconnaissable. Il pa-
rait que Âorsfield l'a pris pour
le Char. asiaticus,; (voyez son
enumeration des oiseaux de Java
dans les Linn., Trans., Vol.
AIII, p.187); Wagler la con-
fond probablement avec l’espece
voisine qu'il décrit sous le nom
de Ch. Geoffroyt, mais qui s’en
distingue par une taille plus for-
te: voir Wagler, Syst. av. Char.,
n°. 19.
(107) CA. Bonaparte, List,
p.52, n°.876, fait, sans alléguer
des raisons pour justifier cette
distinction, du Scol. major de
Montagu, une espèce nouvelle
qu'il nomme SCcoL. MONTAGUI.
(108) scoLoPax BREHMU,
Kaup, Isis, 1825, p. 1147,
Gallinago Brehmit, Ch. Bonap.,
Icon. d. Fauna ital., I, PL.
43; TELMATIAS PEREGRINA,
Brehm., Handb., p. 621; sco-
LOPAX DELAMOTTII et PYG-
MAEA, Baillon, Catal., p. 23,
n°. 200 ef 201, ainsi que d’autres
soi-disant espèces voisines de la
bécassine ordinaire, établies par
Brehm, Isis, 1835, p. 116 et
so wenig begründet, dass wir
uns selbst nicht einmal getrauen,
‘sie als Nebenarten oder locale
Racen von Scol. gallinago auf-
zuführen. Die Grösse dieser
Schnepfen, die Zahl, Gestalt und
Färbung ihrer Schwanzfedern ,
kurz alle von den erwähnten Na-
turforschern angeführte Kennzei-
chen haben wir so vielen indivi-
duellen Abweichungen unterwor-
fen gefunden, dass wir, trotz
vielfältiger Untersuchungen und
Vergleichungen , mit dem besten
Willen , keine beständigen Kenn-
zeichen für irgend eine der er-
wähnten Formen herausfinden
konnten.
Naumann, VIII, p 311, An-
merkung , p. 316, beschreibt eine
Sumpschnepfe aus Ostindien mit
26 Steuerfedern, und bildet den
Schwanz derselben auf pag. 343
ab. Es ist dies aber keine Varıetät
der gemeinen Sumpfschnepfe ,
sondern eine eigene, in Ostindien
sehr häufige Art: Scolopax ste-
noptera, Mus. Leid.
(109) Schinz , Le ,p.842, führt
SCOLOPAX SATURATA, ange-
blich nach einem in England ge-
tödeten und in den Linn. Trans.,
Vol. XV, beschriebenen Exem-
plare, als europäisch auf. Dieser
Irrthum beruht offenbar auf einer
Verwechselung mit Scol. Sabr-
nii. Scol. saturata, Horsfield
von Java, eine wahre Wald-
schnepfe , ist übrigens in Band
96
XIII, p. 191 der Linn. Trans. |
beschrieben, und in den Zool.
suiv., reposent sur des caractè=
res tellement futiles que je n’ai
pas même osé les admettre com-
me races particulières. La taille
de ces oiseaux, la forme , le nom-
bre et la distribution des teintes
des pennes de la queue, bref
tous les caractères indiqués par
les naturalistes que nous venons
de citer, sont sujets à varier
selon les individus, de sorte qu'il
m'a été impossible de découvrir
des caractères constans servant
à reconnaître les prétendues espè-
ces dont nous venons de faire
mention. |
Naumann, vol. VIII, p.311,
remarque, p. 316, décrit une
bécassine des Indes dont la queue
est pourvue de 26 pennes, et il
donne une figure de la queue de
cette espèce à la page 343; mais
c'est à tort qu'il prend cette bé-
cassine pour une simple variété
de notre bécassine ordinaire; c’est
une espèce parfaitement distine-
te, tres-commune aux Indes, et
qui porte au Musée de Leide le
nom de Scolopax stenoptera.
(109) Schinz, L.e., p.342, a
énuméré parmi les oiseaux d’Eu-
rope la Bécasse de Java, Sco-
LOPAX SATURATA, qu'il dit avoir
été tuée en Angleterre et décrite
dans le /ome XV des Trans.,
Linn. 1l est évident que Mr.
Schinz a confondu cette espèce
avec la Scolopax Sabéinii. Du
reste, la Bécasse de Java est dé-
crite dans le vol. XIII, p. 191
des Trans. Linn., et on en voit
la figure dans les Zool. Resear-
97
Researches, Tafel ohne Num-
mer, abgebildet.
(110) Es ist uns eben so wenig
als Keys. u. Blas., p. LXXIV,
n°.339, Anmerk., gelungen, ı1-
MOSA MEYERI, Leisler, Nachtr.
zu Bechst. Nat., p. 172, durch
sichere Kennzeichen von Limosa
rufe zu unterscheiden. Man sehe
über Limosa Meyeri: Naumann,
VIII, p. 428 bis 445, und Horn-
schuch, in Wiegman, Archiv ,
1838, I, p. 167 dis 190.
(111) EURYNORHYNCHUS PYG-
MAEUS, Nilsson; Platalea pyg-
maea, Linn., wird von Ch. Bo-
nap., List, p. 49, no. 344, als
europäischer Vogel aufgeführt.
So viel ich weiss, bestehen von
diesem Strandläufer nur zwei
Exemplare in den Sammlungen:
nämlich eins in Schweden, (das
Originalexemplar, nach welchem
die Art aufgestellt wurde), und
eins in der Sammlung des Lord
Derby. Letzteres wurde erst vor
einigen Jahren an den Küsten
Bengalen’s geschossen. Man hat
daher wohl mit Unrecht früher,
Surinam als Vaterland dieses sel-
tenen Vogels angegeben.
TRINGA INCERTA, ARisso, L.
C., p. 52, n°. 135, ist nicht zu
bestimmen.
(112) Die, unter dem Namen
FALCINELLUS aufgeführte Gat-
tung, ist nach zwei Exemplaren
eines Strandläufers aufgestellt ,
2.
ches de Horsfield, Planche sans
numero.
(110) De même que M. M. Key-
serling et Blasius, (p. LXXIV,
n°.339, remarque), je n’ai pu
réussir à découvrir des caracte-
res constans pour distinguer la
barge de Meyer (LIMOSA MEYE-
m1, Leisler, N.zu Bechst., IT, p.
172) de la barge rousse. On
peut consulter sur cette barge
de Meyer, l'ouvrage de Nau-
mann, vol. VIII, p. 428 à 445,
et une dissertation de Horn-
schuch, insérée dans Wiegman ,
Archiv., 1838, I, p. 167 à 190.
(111) C’est à tort que M. C4.
Bonap., List, p. 49, no. 344,
a énuméré parmi les espèces eu-
ropéennes l’EURYNORHYNCHUS
PYGMAEUS, Nilsson; Platalea
pygmaea, Linn. Il n'existe,
que je sache, dans les col-
lections que deux individus de
ce becasseau, savoir: l’un en
Suede , le même d’après lequel
l'espèce a été établie; l’autre
dans la belle collection de Lord
Derby, tué il y a quelques an-
nées, sur les côtes du Bengale.
Il paraît donc que c’est à tort
que l’on a indiqué autrefois cette
espèce rare comme se trouvant
à Surinam.
TRINGA INCERTA , Risso, [.c.,
p. 52, n°. 135, appartient au
nombre des especes qui ne peu-
vent être déterminées.
(112) Le genre établi sous le
nom de FALCINELLE repose sur
deux individus d’un bécasseau ,
provenant tous les deux de la
7
beide aus der Sammlung Levail-
lants stammend: das eine, im .
Pariser Museum, angeblich bei
Neuilly in Frankreich, das an-
dere im Leidner Museum, ange-
blich in Südafrika erlegt. Wir
haben diese beiden Exemplare
wiederholt und genau untersucht,
und gefunden, dass es grosse
Exemplare der Tringa subar-
quata im Winterkleide sind, de-
nen die Hinterzehe abgeschnitten,
und der Schnabel, durch Ol er-
weicht, über der Lampe krumm
gebogen wurde. Schon Bazllon,
Uatal., p.21, note, und Bote,
hatten eine ähnliche Bemerkung
gemacht. Cuvier, Règne an.,
I ed., I, p. 486, Il ed., I, p.
527, hat diesen Vogel zuerst auf-
geführt, und danach die Gattung
Falcinellus aufgestellt. Tem-
minck, Pl. col. 510: Falcinellus
cursorius, und Vierllot, Galerie,
IT, PU.232: Erolia varia, ha-
ben ihn abgebildet. Ch. Bonap.,
List, p.50, nennt ıhn Faleinel-
lus Cuvieri. Dass Cuvier fälsch-
lich die Scolopax pygmaea ,
Gmel. Linn., p. 655, n°. 20,
. hierher zog, hatschon Temminck,
Man., II, p. 617, remarque,
gerügt. Die Gattung Falcinellus
muss daher wie die Gattung Spa-
ractes , wie der Szerin, (Levail-
lant, Ois.d’ Afr., Pl.82; Pyrr-
hocorax hexanemus, Cuv. Règ-
ne an., ],p.380,) aus dem Sys-
tem gestrichen werden. Letzterer
ist nach dem Originalexemplare
des Leidner Museums, ein gemei-
ner Pyrrhocorax, dem auf jeder
Seite des Kopfes drei Palmenfä-
den eingesteckt wurden.
98
collection de Levaillant: l’un de
ces individus se trouve au Mu-
seum de Paris, l’autre fait par-
tie du Musée de Pays-Bas; sui-
vant les indications de Levail-
lant, celui-là a été tué près de
Neuilly en France, celui-ci dans
l'Afrique méridionale. Après avoir
plusieurs fois et soigneusement
examiné ces deux échantillons,
nous avons acquis la certitude
que ce sont tout bonnement des
individus du bécasseau cocorli,
(Tringa subarquata), dont on a
enlevé le pouce, et dont le bec
a été courbé artificiellement, en
l’exposant à une faible chaleur
aprés l'avoir humecté d’huile.
M. M. Baillon, Catalogue, p.
21 note, et Bore ont été les pre-
miers à douter de l’existence de
ce genre d'oiseau. Ïl a été in-
troduit d’abord par Cuvier, Règne
an. , éd. Z, p. 486; M. Temminck,
Pl. col. 510, en a publié une fi-
gure sous le nom de Falcinellus
cursorius, Vieillot, Galerie, II,
Pl. 232, sous celui d'£rolia va-
ria. Ch. Bonaparte, List, p.50,
a changé ces noms en celui de
Falcinellus Cuvierii. Mr. Tem-
minck, Man, IT, p.617, remar-
que, a déjà relevé la méprise
que @. Cuvier a commise, en
citant comme synonyme de cet-
te espèce imaginaire, la Scolo-
pax pygmaea, (rmel. Linn.,
p. 655, n°. 20. Ces données suf-
firont pour prouver qu'il con-
vient de rayer du catalogue mé-
thodique le Falcinelle qu ap-
partient, comme le Sparacte et le
Sicrin au nombre des oiseaux fa-
briqués. Quant au Sicrin de Le-
vaillant, Ois. d'Afrique, PI.82;
NUMENIUS PHAEOPUS. Mehr
oder weniger zahlreiche Flüge
dieser Art bringen die wärmere
Jahreszeit in Holland zu, ohne
zu brüten. Es scheint daher, als
.ob diese Art erst im zweiten Jahre
fortpflanzungsfähig ist.
Graf von der Mühle, p. 111,
hat unter dem Namen NUMENIUS
SYNGENICOS, einen neuen Brach-
vogel nach einem, in Griechen-
land getödeten Exemplare auf-
gestellt. Da die Kennzeichen die-
ses Vogels nicht mit der nöthigen
Schärfe angegeben werden konn-
ten, so beschränken wir uns,
die Ornithologen auf denselben
aufmerksam zu machen , und fü-
gen nur noch die Frage hinzu,
ob es nicht vielleicht ein Bastard
zweier verwandier Arten, etwa
des Numenius phaeopus und te-
nuirostris seyn könnte.
(113) TRINGA CINCLUS MI-
nor. Wir haben diesen Vogel
als Nebenace der Tringa cinclus
angenommen, weil er zur Brü-
iezeit an gewissen Localitäten
selbstständig auftritt. In Holland
zZ. B., habe ich immer nur diese
kleinere Race brütend, die grös-
sere nur auf dem Durchzuge an-
getroffen.
99
Pyrrhocorax hexanemus, Cuv.,
Regne an.,I, p.380 , le Musée des
Pays-Bas en posséde l'individu
même qui a servi à l'établissement
du genre; ce n’est autre chose
qu’un chocard des alpes, à la
tête duquel on a attaché, de cha-
que côté, trois brins de palmier.
NUMENIUS PHAEOPUS. Des
bandes plus au moins considéra-
bles de cette espèce passent la
belle saison en Hollande, sans y
faire des nids. Il paraît résulter
de cette observation que cette
espèce n'est propre à la propa-
gation qu'après avoir atteint l’âge
de deux ans.
Mr. le Comte von der Mühle,
p.111, a indiqué, sous le nom
de NUMENIUS SYNGENICOS, une
nouvelle espèce de Courlis, éta-
blie d’après un seul individu tué
en Grèce. Les caractères de cet
individu n'ayant pas été consta-
tés d’une manière rigoureuse,
nous nous bornons à fixer l’at-
tention des ornithologistes sur
cet oiseau douteux, qui pourrait
bien n'être qu’un métis produit
par l’accouplement de deux espe-
ces voisines, comme par exem-
ple des Numenius phaeopus et
denuirostres.
(113) TRINGA CINCLUS Mr.
nor. Nous avons adopté cette
race du Bécasseau variable, par-
cequ'elle habite exclusivement
certaines localités lors de l’épo-
que de la propagation. En Hol-
lande, par exemple, ce n’est que
cette petite race qui y niche,
tandis que la grande ne fréquen-
te ce pays que durant l’époque
de la migration.
100
(114) MACHETES ToRQUA-
mus, Risso, I. c., p. 71, n°.
238 , ist als eine zufällige Farben-
varietät des gemeinen Kampf-
strandläufers zu betrachten.
(115) roranus Dupıa, Ärs-
so, Il. c., p. 73, n°. 250, lässt
sich nach der unvollkommenen
Beschreibung gar nicht bestim-
men.
(116) Zufolge einer Mitthei-
lung des Herrn John Youell,
welche in den Trans. of the
Linn. soc., vol. XIV, p. 588,
enthalten ist, soll am 24 Mai 1824,
ein Exemplar der ARDEA CAYEN-
NENSiS, Gmel., bei Yarmouth
gefangen worden sein. Wenn die-
ses Exemplar nicht etwa aus emer
Menagerie entkommen ist, so wä-
re jene schöne Art unter die eu-
ropäischen Vögel aufzunehmen.
Schinz, I. c., p. 308, führt
A. HERODIAS, Zinn., als euro-
päisch auf, weil sie irgendwo ın
dun gefangen worden seyn
soll. Die Quelle, aus welcher jene
Nachricht geschöpft wurde, ist
nicht angegeben; .es kann diesel-
be daher nicht berücksichtigt
werden.
(117) Die GRÖSSEREN SIL-
BERREIHER mit schwarzem
Schnabel, hat man bis jetzt immer
für alte Vögel , die kleineren mit
gelbem Schnabel für die jüngeren
Vögel gehalten. Rüppell, Mus.
Senck., II, p.182, führt erstere
unter dem Namen Ardea alba,
letztere unter dem Namen Ardea
egrelta auf. Letzteren Namen
verwerfen Keyserl. u. Blas., p.
(114) MACHETES TORqUA-
TUS, Risso, L. c., p.71, no. 238,
ne forme qu’une variété acciden-
telle du combattant ordinaire.
(115) Il est impossible de dé-
terminer au juste le Toranus
puB1A de Aisso, L. :c., p. 73,
n°. 250.
(116) John Fouell fait mention
dans les Trans. Linn.,t{omeXIP,
p- 588, d'un individu d’ARDEA
CAYENNENSIS, œmel., pris, le
24 Mai 1824, près de Yarmouth
en Angleterre. Dans le cas qu'il
serait prouvé que cet individu
ne s'était échappé d’une ména-
gérie , il conviendrait d'admettre
cette belle espèce dans le cata-
logue des oiseaux d'Europe.
Schinz, d c., p. 308, cite
l’'ARDEA HERODIAS, Zinné,
comme ayant été observé en An-
gleterre, sans faire mention de
la source d’où il a tiré cette in-
dication , ce qui nous empêche
d’énumérer cette espèce dans no-
tre catalogue.
(117) La plupart des natura-
listes sont d'avis que les GRARN-
DES AIGRETTES de forte taille
et à bec noir, ne sont que les
adultes des individus de moindre
taille et dont le bec est teint de
jaune. M. Rüppell cependant,
Mus. Senk., IT, p.182, appli-
que aux premiers le nom d’Ar-
dea alba, et aux derniers celui
d’Ardea egretta. M. M. Keyser-
101
LXXXIX, mit Recht, weil der-
selbe, (siehe @melin, Linn., p.
629, n°. 34) auf die amerikanı-
sche Art zu beziehen ist. Keys.
u. Blasius dagegen nennen den
kleineren gelbschnäbligen Vogel,
Ardea alba, den grösseren
schwarzschnäbligen halten sie
für identisch mit Ardea orien-
Lalis, Gray, Ind. Zool.,I, Tab.
65, welche Abbildung aber eine
kleine der Ardea garzeita sehr
verwandte Art, und zwar Ar-
dea nigripes, Temm. Man., IV,
p. 376, Ardea melanopus, Wag-
ler, Isis, 1829, p. 659 , vorzu-
stellen scheint.
Ch. Bonap., List, p. 47, n°.
329 und 330, führt, ausser Zgret-
ta alba und garzetta, noch
zwei europäische weisse Reiher,
EGRETTA NIGRIROSTRIS und
EGR. ORIENTALIS, (Ardea xan-
thodactyla, Gmel.), auf, ohne
die Kennzeichen oder Verwandt-
schaften derselben anzugeben. .
ARDEA EGRETTOIDES, (mel.;
Temm., Man., II, p. 374; Ar-
dea flavirostris, Wagl., Syst.
av.; Ard.intermedia, (v. Has-
selt, Mscpt.) Wagler, Isis, 1829,
p. 659, ist eme von Ardea alba
verschiedene , viel kleinere Art,
die aber mit Gewissheit jetzt nur
in Hinter-Indien gefunden wurde.
Die beiden im Manuel, IV, p.
376, erwähnten, angeblich auf
Sicilien getödeten Exemplare sind
zu unsieherer Abkunft, als dass
diese Angabe Glauben verdiene.
ling et Blasius, p. LXXAIX,
observent judicieusement, qu'il
convient de conférer l’épithète
d'egretta à l'espèce de l’Améri-
que, voir Gmelin, Linn.,p.629,
n°. 34) ; ils désignent les indivi-
dus de l’aigrette commune de
taille moindre et à bec jaune sous
le nom d’Ardea alba; et ils pren-
nent ,„. comme appartenant aux
individus de forte taille et à bec
noir, l’Ardea orientalis de Gray,
Ind. Zool., I, Pl.65, quoique
cette dernière figure représente
une espèce plus petite, voisine de
la petite aigreite, et qui est pro-
bablement identique avec l’Ar-
dea nigripes, Temm., Man., IV,
p.316, Ardea melanopus , Wa-
gler , Isis, 1829, p. 659.
Ch. Bonaparte, List, p. 47,
n°. 329 et 330, enumere, outre
la grande et la petite aigrette,
deux autres aigrettes d'Europe,
SAVOIr: EGRETTA NIGRIROSTRIS
et EGR. ORIENTALIS (Ardea
xanthodactyla, Gmel.),. sans
cependant indiquer leurs traits
distinctifs.
ARDEA EGRETTOIDES, (rmel.;
Temm., Man., Il, p. 374; Ardea
Jlavirostris Wagler, Syst. av.;
Ard. intermedia, (v. Hasselt.,
Mscpt.), Wagler, Isis, 1829,
p.659, forme une espèce tres-dif-
férente de la grande Aigrette;
elle est d’une taille beaucoup plus
petite, et n’a été observée jus-
qu’à présent que dans l'archipel
des Indes. L’indication contenue
dans le Manuel, IV, p. 376, re-
lative à deux individus de cette
espèce, tués à ce que l’on pré-
tend en Sicile, a besoin d’être
_eonfirmée par des observations
10
In emer späteren Arbeit des
Ch. Bonaparte, Catalogo met.,
p.66, n°. 395 et 396, wird Ard.
xzanthodactyla für einerlei mit
Ardea egrettoides gehalten , und
Ard. nigrirostris unter dem Na-
men Egretta nivea, Bonap. , zu
Rüppell's Ardea eg retta gezogen.
(118) ARDEA BUBULCVS. Die-
ser Vogel vertritt im nördlichen
Afrıka die Stelle der, ın ganz In-
dien bis Hinterindien , gemeinen
Ardea russata, Besen: Man. ,
II, p. 566. Beide sind andere
ausserordentlich verwandt, un-
terscheiden sich aber durch die
Maasse und etwas verschiedene
Färbung, wie man aus folgenden
Angaben ersehen kann:
ARDEA BUBULCUS.
Ganze Lange . ......
Länge der, Blusel:.u.. ...,.9
» des Laufes ...... 3%
» des nackten Theiles des
Schienbeines ..... 11
» des Schwanzes . . . . 84
» der Mittelzehe. .. .. 22
» des Schnabels bis zur
DD Le Le elles ceci 22
Füsse gelb. Gefieder weiss; beim
alten Vogel, der Kopfoben und
die Nackenfedern , die langen un-
teren Halsfedern, und langen Rüc-
5)
Ari
basées sur des données Du cer-
taines.
M. Ch. Bonaparte vient d’ ap-
porter dans un de ses travaux ré-
cents, Catalogo met., p.66, no.
395 et 396, les modifications sui-
vantes à la synonymie des diver-
ses espèces d’aigrettes d'Europe.
Ardea xanthodactyla, Gmel.,
est, selon ce savant, identique avec
Ard. egrettoides , Temm.; et il
adopte l’espèce appellée par Rüp-
pell Ardea egretta, sous le nom
d’Egretta alba, à laquelle il ré-
unit aussi lArdea nigrirostris.
(118) ARDEA BUBULCUS. Cet-
te race remplace, dans l’Afrique
septentrionale, l’espèce connue
sous le nom d'Ardea russala ,
Temm., Man., II, p. 566, et qui
se trouve en abondance aux In-
des orientales. Ces deux hérons
sont assez semblables; mais ilsse
distinguent entre eux par des dif-
férences dans la taille, et des
modifications dans les teintes. Les
indications suivantes sont desti-
nées à prouver cette assertion.
ARDEA BUBULCUS.
Longueur totale . . . . . . 18%
»...des Aules ...10-, . 2
» dutarse....... dig
» de la partie nue de
la jambes. 2)
» Ge la queue . L 2
» du doigt de milieu .
» du bec depuis le front
RO ND CS ui
Gay 1 ri Ones Net
Pieds jaunes. Plumage blane,
nuancé, dans les adultes, sur le
dessus de la tête, sur les plumes
de la nuque, sur les longues plu-
103
kenfedern äusserst blass braun-
röthlich, auf dem Kopfe ein we-
nig in das Rostfarbene spielend.
ARDEA RUSSATA.
RPC Lange . ......
Länge der Flügel ..... 9j
we Laufes 2... . . . 9}
» des nackten Theilen des
Schienbeines : . . ..
» des Schwanzes .... 31
+ der ilelzehe . . . . "21
» des Schnabels. . . .. 24
Füsse braun , auf den Zehen in’s
Schwarze, auf dem Schienbeine
in’s gelbliche. Gefieder weiss; bei
alten Vögeln, Kopf und Hals, so
wie die langen Rückenfedern
schön feurig rostfarben ; letztere
aber etwas blässer und in das
Braunröthliche spielend.
Diese beiden Vögel sind fast
immer mit einander verwechselt
worden. Buffon’s Crabier de la
côte de Coromandel, Pl. ent. 910,
wird von Herrn Temminck, und
wie es scheint, mit Recht, zu
seiner Ardea russata gezogen.
Nach dieser Abbildung stellt Ste-
phens in Shaw Zool. AT, IT,
p.577, seine Ardea coromande-
lica auf. Lichtenstein’s Ardea
coromandelica , Verzeichniss ,
1823, p. 78, no. 796, ist dagegen ,
wie ich mich durch Ansicht der
Originalexemplare im Berliner
Museum überzeugt habe, nach
mehreren in Cypern, Aegypten
und Nubien erlegten Exemplaren
der Ardea bubulcus aufgestellt.
Lichtenstein citirt als zu seiner
Ardea coromandelica gehörend ,
mes du cou et sur celles du dos,
d’un rougeätre tres-päle, qui of-
fre sur la tete une legere nuan-
ce couleur de rouille.
ARDEA RUSSATA.
Longueur totale... . .. Ä
» US Ailes . + ee NO
D AU TATSE à et cette
» de la partie nue de
lajambe. m. LEUR 2
» de la queue..... 3
» du doigt de milieu . 2%
» AU DECS - tete char
Pieds brun, tirant au noir sur
les doigts, au jaunätre sur les
jambes. Plumage blanc, passant
dans les adultes, au brun cou-
leur de rouille vive sur la tête,
sur le cou et sur les plumes al-
longées du dos, qui sont cepen-
dant un peu plus päles et tirant
an brun rougeätre.
Ces deux races de hérons ont
été souvent confondues entre el-
les. Il paraît que c’est à juste
titre que Mr. Temminck a réuni
à l’Ardea russata le Crabier de
la côte de Coromandel, Pl. enl.
910. C’est d’après cette même
figure que Stephens, Cont. of
Shaw Zool, XT, IT, p. 577 a
établi son Ardea coromandeli-
ca; mais l’Ardea coromandelica
de Zichtenstein, Verzeichniss ,
1823, p. 73, n°. 796, repose sur
des individus de l’Ardea bubul-
cus, tués en Chypre, en Egyp-
te et en Nubie, et qui font par-
tie du Musée de Berlin, .ou je les
ai examinés. Lichtenstein cite
comme synonyme de son Ardea
coromandelica , la figure du Cra-
bier de la cote de Coromandel,
104
Buffons Crabier de la côte de Co-
romandel, Pl. ent. 910, und die
Descr. de l'Egypte, Ois., Pl.8,
fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ar-
dea russata, n°. 12, nota, macht
schon die Bemerkung, dass die
Exemplare aus Aegypten und Nu-
bien kürzere Läufe als die aus
Java haben.
Der von Montagu, Linn. ,
Trans., IX, p. 197, und Orn.
Dict.,Suppl. advoc. Heron little,
white, aufgeführte, in England
erlegte Reiher, zu demer Ardea
aequinoctialis, @mel. Linn. , p.
641, n°.25, zieht, gehört, wie
aus der Beschreibung und den
Maassen, (ganze Länge 20 engl.
Zoll; Schnabel von der Stirne
2"; Läufe 31”; nackter Theil der
Schienbeine 14”) hervorgeht, zu
Ardea bubulcus, und nicht zu
Ardea russata.
Diesen Untersuchungen zufolge
muss Ardea russata wieder aus
der Reihe der europäischen Vö-
gel entfernt werden. Die beste
Abbildung dieses Vogels findet
sich übrigens in Gould, Birds of
Europe, Pl. 278.
(119) cıconıA AMERICANA,
Brisson, Orn., V , 369, n°.3;
Vieillot, Galerie, Pl.254, Ar-
dea maguari, G@mel. Linn., p.
623 ,'n0.22; Ciconia maguart,
Temm. Man., II, p.563; Cico-
nia jubura, Spix, Av. Bras.,
PI. 89, ist bis jetzt bloss in Süd-
amerika gefunden worden. Ael-
tern Nachrichten zufolge sollen
früher in Frankreich einige Exem-
Pl. enl. 910, et celle qui se trou-
ve, dans le grand ouvrage sur
l'Egypte, Ois., Pl.8, fig. 1. —
Wagler, Syst. av., Ardea rus-
sata, n°. 12, a déjà observé que
les individus, tués en Égypte et
en Nubie, ont des tarses moins
élevés que ceux de Java.
Le héron tué en Angleterre,
et décrit par Montagu, (Trans.
Linn., IX, p.197 et Orn. Diet.
Suppl. ad voc. Heron, little
white), appartient, comme il ré-
_sulie de la description des tein-
tes et de la taille de cet indivi-
du, (longueur totale 20 pouces
anglais, bec depuis le front 2 p.,
tarses 3 pouces et demie, partie
nue de la jambe Ï p. et demi), à
l’Ardea bubulcus et non pas à
l’Ardea russata. Montagu lui-
méme cite comme synonyme de
son petit heron blanc l’Ardea
aequinoctialis de Gmelin Linn.,
p. 641, no. 25.
Ces observations sufhiront pour
prouver que c’est à tort que l’on
a admis, parmi les espèces d’Eu-
rope , l’Ardea russata, dont Mr.
Gould, Birds of Europe, Pi.
278, a donné une figure excel-
lente. |
(119) cicoNIA AMERICANA,
Brisson, Orn., p. 369, n°.3;
Vieillot, Galerie, Pl.254; Ar-
dea Maguari, Gmel. Linn., p.
623, n9. 22; Ciconia Maguart,
Temm., Man. , II, p.563; Ci-
conia jubura, Spix, Av. Bras.,
PI. 89, n’a été observée jusqu’à
présent que dans l’Amérique mé-
ridionale. On prétend que cette
espèce avait été autrefois tuée en
105
plare erlegt worden seyn. Diese
Nachrichten sind aber keineswegs
verbürgt und verdienen um so we-
niger Berüksichtigung, da meh-
rere französische Naturforscher
diese Art nicht gehörig zu unter-
scheiden wussten. Schon Vzezllot,
MN. Dict. d’h.nat., VII, p.112,
sagt: »On assure que cette ci-
» gogne se montre quelquefois en
» Europe etmême en France. Mais
»ne l’aurait-on pas confondue
» avec la nôtre ?’” Und @. Cuvier
kannte im Jahr 1829 diese Art
noch so wenig, dass er von ihr
sagen konnte: » elle differe peu de
»notre Cic. blanche, si ce n’est
»par son bec cendré.” (Regn.
an., I, p. 514, note).
(120) GRUS ANTIGONE, Pal-
las; Ardea antigone, Linne,
Syst. nat., AII, p.235, n°.6,
der das wärmere Asien bewohnt,
wird von Keyserling und Bla-
sius, p. LXIX, nach Pallas
Angaben, als europäisch aufge-
führt. Pallas, Zoogr., IT, p.
102, sagt aber bloss:
France, mais cette indication n’a
jamais été constatée d’une ma-
nière authentique. Vrerllot, Nouv.
Dict., VIT, p. 112, s'exprime à
ce sujet de la manière suivante:
» On assure que cette cicogne se
» montre quelquefois en Europe
»et même en France. Mais ne
» l’aurait-on pas confondue avec
» la nôtre?” Il paraït en effet que
certains naturalistes français ont
très peu connu cette espèce; @.
Cuvier lui-même en parle en
1829, dans les termes suivans:
»elle diffère peu de notre Ci-
» cogne blanche, si ce n’est par
» son bec cendré.”! Règne an.,
I, p. 514, note.
(120) M. M. Keyserling et Bla-
_sius , p.LXIX, ont introduit par-
mi les oiseaux d'Europe, d’après
une indication contenue dans
Pallas, Zoogr., II, p.102; le
GRUS ANTIGONE, Pallas, Ar-
dea antigone, Linn., Syst. nat.,
XII, p. 235, n°. 6, espèce qui
habite les parties chaudes de l’A-
sie. Pallas cependant se borne à
dire de cette grue:
» Dicitur etiam interdum in deserto Astrachanensi apparere.”
Ch. Bonaparte, Catal., p.65,
n°. 391 , führt auch GRUS PAVo-
VINA als europäisch auf.
(121) Ch. Bonap., Icon. della
Fauna ital., Uccelli, Introduz.,
p- 1, führt einen neuen Lappen-
taucher aus Sardimien auf; er
nennt ihn PODICEPS LONGIROS-
TRIS. Er soll von der Grösse des
Pod. cristatus seyn, in der Fär-
Ch. Bonaparte, Catal., p.65,
n°. 391, fait mention du GRUS
PAVONINA, comme se montrant
quelquefois en Europe.
(121) Ch. Bonaparte, Icon.
della Fauna italica, Uccelli, In-
trodux., p.1, dit qu’il existe en
Sardaigne une espèce nouvelle
du genre grebe; il la désigne
sous le nom de PODICEPS LON-
GIROSTRIS, Elle est de la taille
106
bung dem Pod. rubricollis ähn-
_eln, aber einen längeren, an der
Spitze aufwärts gebogenen Schna-
bel haben.
(122) Nach Hornschuch und
Schilling soll es in Europa eine
zweite, kleinere Race des COLYM-
BUS arcrıcus geben, welche
von jenen Naturforschern coLym-
BUS BALTICUS genannt wird.
Siehe über dieselbe, Keys. u.
Blas., p. ACI.
(123) uRIA uNICOLOR, Faber,
Isis , 1824, p. 981, von Island,
scheint eine zufällige Varietät der
Uria grylle zu seyn. Wir erhiel-
ten ein ähnliches Exemplar aus
Grönland. Grylle carbo, Brandt, .
die Ch. Bonap. Catal., p. 82, no.
532 als europäisch auflührt, ge-
hôrt wahrschemlich hierher.
(124) Von ANSER GAMBER-
sis, Brisson, Orn. VI, p. 283,
n°. 8, vom Senegal, Abyssinien
und Egypten wurde bis jetzt nur
ein Exemplar in Europa und zwar
in England erlegt; es ist wahr-
scheinlich, dass jenes Exemplar
ein entkommenes war.
Dasselbe gilt vielleicht auch von
ANSER CANADENSIS, neuerlich
ebenfalls als europäisch aufge-
führt.
(125) Naumann, AI, p. 340,
n°. 317, Tab. 288, führt unter
dem Namen ANSER INTERME-
Dius eine Gans auf, welche et-
was grösser als Anser albifrons
du grèbe huppé, mais son bec
est legerement retroussé à la poin-
te, et les teintes du plumage of-
frent de l’analogie avec celles du
grebe à joues grises.
(122) Hornschuch et Schilling
prétendent qu’il existe en Europe
une race du COLYMBUS ARCTI-
cus, distinguée par sa petitetaille:
ils la nomment COLYMRUS BAL-
ricus. Conférez Keyserling et
Blasius, p. XCI.
(123) urra UNICOLoR , Faber,
Isis, 1824, p. 981, ne paraît
former qu’une variete acciden-
telle de l’Uria grylle. Nous ve-
nons d’en recevoir un individu
du Groenland. C’est probable-
ment le Grylle carbo, Brandt,
introduit parmi les oiseaux d’Eu-
rope par Ch. Bonaparte, Catal.,
p. 82, n°. 532.
(124) ANSER GAMBENSIS,
Brisson, Orn., VI, p.283, no.
8, qui habite le Sénégal, l’Abys-
sinie et l'Egypte, n’a été obser-
ve en Europe qu'une seule fois;
mais on suppose que l'individu
tué en Angleterre s'était échap-
f 9 D
| pé d’une ménagérie.
La même incertitude règne à
l'égard de l’ANSER CANADENSIS,
espèce que l’on a également énu-
mérée récemment comme faisant
: :
partie de la Faune d’Europe.
(125) Naumann, XI, p. 340,
n°, 317, Pl. 288, établit, sous
le nom d’ANSER INTERMEDIUS,
une nouvelle espèce d’oie, qu'il
dit différer de l’Anser albifrons
107
seyn, und sich von ıhr besonders
durch einen bei der Stirne und
an den Ladenrändern schwarz
gefärbten Schnabel unterscheiden
solle Naumann hat nur zwei In-
dividuen dieser Gans gesehen, und
glaubt, dass sie die Stelle der weiss-
stirnigen Gans in Island vertritt.
Pallas, Zoogr., II, p.226,
dagegen beschreibt eine kleinere
Varietät des Anser albifrons ,
mit einem an der Kuppe und auf
der Firste schwarzen Schnabel ,
mit folgenden Worten:
par une taille un peu plus forte,
ainsi que par un bec teint de
noir à la base prés du front, et
sur les bords de la mandibule
supérieure. Naumann n’a exa-
miné que deux individus de cet-
te oie; il suppose qu’elle rem-
place, en Islande, l’oie rieuse.
Pallas, Zoogr., II, p. 226,
decrit au contraire une variete de
de l’oie rieuse, à taille moins for-
te et à mandibule supérieure tein-
te de noir sur le dessus et à la
pointe. Voici ce qu'il en dit:
ȧ. Varietas vel junior, ni fallor, proles autumno simul adven-
»tat: simillima rostri ungue et carina nigra; capite colloque magis
»fuscis; ventre immaculato, tantum cinereo-nebuloso; fronte con-
»colore vel exiguo tantum margine albido rostrum cingente; pedi-
»bus obsoletissime sordideque e fusco-rubris diversa.
Alae huic
»tantıllo longiores , licet ipsa fere minor.”
(126) Keyserling und Blasi-
us, p. LXÄXXIV, führen, nach
Pallas , Zoogr., II, p. 258, no.
342 , die Bisamente, ANAS Mo-
SCHATA, Linn., Syst., XII, TI,
p- 199, n°. 116; Cairina mo-
schata, Fleming, Phil. of Zool.,
II, p. 260, als europäisch auf.
Pallas sagt von dieser Art fol-
gendes:
(126) Ze canard musqué, ANAS
MOSCHATA, Linn., Syst., XII, T,
p. 199, n0. 116; Cairina moscha-
ta, Fleming, Phil. of Zool, IT,
p-260, vient d’être admis, d’après
les données du professeur Pallas,
Zoogr., IT, p.258, n°. 342, par
Keyserl.et Blastus,,p.LXXXIV,
comme espèce européenne. Pal-
las en parle dans les termes sui-
vans:
» Spontanea circa mare Caspium, rariusque in australibus Volgae
»regionibus et lacubus deserti caspici, praesertim Sarpae observa-
»tur. Domestica praesertim Astrachaniae et in taurica Chersoneso,
»e Persia et Turcia illata, Petropoli et Moscuae ex Europa, unde
»in varias urbes interiores, maxime secundum Volgae tractum,
»sparsa est. A Sinis quoque adfertur. Producit apud nos crebro
»cum foemina Bochadis, sibi pennis et gressu, fereque magnitu-
»dine, rostro et reliquo habitu, defectuque papillarum circa ros-
»trum matri similiores. Sed haec hybrida non propagantur, obser-
»vante jam Frischio. In Ornithothrophio quondam Procopi a De-
»midof etiam cum À. aegyptiaca Brissonit hybrida produxit; mas
»enim, incubante foemina ita libidinosus est, ut Gallopavonis fe-
108
» mellas et Gallinas vi subigat, et posteriores plerumque pondere
»suo enecet. Odor moschi praesertim masculis, et mirum haec
_»effectum habere, qui de moscho notus est, easque reddere ma-
»xime libidinosas , ita ut etiam Anatis moschatae marem, suae spe-
» Ciel, tunc praeferant, semel passae.
» Nat. Spontanea mole fere Anseris, maximam partem nigro-aenea,
» subtus et capite colloque albo maculata, speculo alari albo. Do-.
»mestica rarius tota alba, plerumque maculoso-varia.
Es ist aber eine Thatsache,, dass
die Bisamente vor der Entdec-
kung Amerika’s in Europa un-
bekannt war, und dass sie Co-
lumbus schon gezähmt in West-
indien antraf. Fast alle spätere
südamerikanische Reisende bis
auf die neueste Zeit sprechen von
ihr als von einer , in diesem Welt-
theile häufigen, wild vorkom-
menden Ente. Es sind daher of-
fenbar die am kaspischen Meere
lebenden Bisamenten, als verwil-
dert zu betrachten.
ANAS PURPUREOVIRIDIS ,
Schinz, Neue Schweiz. Denk-
schr.,.1,:p. 126; n°0: 41; Bur.
Fauna, I, p. 421; de Selys
Longchamps, Faune beige, p.
140, n°. 242, von der mehrere
Exemplare in verschiedenen Ge-
genden der Schweiz und in der
Picardie beobachtet wurden, ist,
wie Schinz selbst vermuthet und
wie es Pallas Beobachtungen über
“ die Bastarde der Stockente wahr-
scheinlich machen, nichts als ein
Bastard der Bisam- und gemeinen
Ente.
ANAS SPONSA, wird von
neueren Schriftstellern als euro-
C'est cependant un fait avéré,
que le canard musqué fut incon-
nu en Europe avant la décou--
verte de l'Amérique, et que cette
espèce existait, aux Indes occi-
dentales, à l’état de domesticité
lorsque Colomb aborda dans cette
partie de monde. La plupart des
voyageurs qui depuis ont par-
couru l'Amérique méridionale, y
ont rencontré ce canard à l’état
sauvage. Il est clair d’après ce
que nous venons de dire que les
canards musqués qui habitent les
bords de la mer caspienne, ap-
partiennent à une race domesti-
que retournée à l’état sauvage.
ANAS PURPUREOVIRIDIS,
Schinz, Neue Schweiz. Denk-
schr. , I, p.:126, 100, LE re
Fauna, I, p. 421; de Selys
Longchamps, Faune Belge, p.
140, n°. 242, dont on a obser-
ve plusieurs individus en Suisse
et dans la Picardie, ne parait
pas former une espèce particu-
hère. Il est évident, comme il
résulte des observations que Pal-
las a communiquées sur les mé-
tıs du canard commun et comme
le suppose lui-même Mr. Schenz ,
que cette prétendue espèce n’est
qu'un métis produit du mélange
des canards musqué et commun.
Plusieurs ornithologistes récents
ont introduit parmi les espèces
109
päisch aufgeführt, obschon es
wahrscheinlich ist, dass die Exem-
plare, auf welche sich diese
Angabe gründet , aus Hühnerhö-
fen oder Menagerien entkommen
waren.
ANAS FORMOSA, aus dem
nördlichen Asien, eine der Anas
bimaculata verwandte, aber von
ihr verschiedene Art, wird von
Ch. Bonaparte, Catal., p. 71,
n°.436, als europäisch aufgeführt.
Die Quelle, woraus diese Angabe
entlehnt ist, ist uns unbekannt.
(127) MERGUS ANATARIUS,
Eimbeck, Isis, 1831, p. 299,
c. fig, von welchen jetzt nur
das eine, im Frühjahr 1825 bei
Braunschweig erlegte Exemplar,
bekannt ist, halten wir, nach ge-
nauer Untersuchung dieses Exem-
plares, mit Herrn Temminck, für
einen Bastard von Anas clangula
und Mergus albellus.
(128) TACHYPETES AqQUILA,
wird von Meyer und Wolf, Ta-
schenbuch, IT, p. 580 und von
Schinz, Eur. Fauna, p. 370,
als europäisch aufgeführt. Es
soll nach Bechstein, Naturg.,
1 Ausg., IIT, p. 756 , ein Exem-
plar dieser Art im Januar 1792
auf der Weser erlegt worden
seyn.
(129) Rüppell, Mus. Senk.,
IT, p. 185—187, trennt die klei-
neren Exemplare des Pelec. ono-
crotalus als eigene Art, welche
er PEL. MINOR nennt. Die übri-
gen Kennzeichen, welche Herr
européennes l’ANAS SPONSA de
l'Amérique du nord; mais il pa-
raît que les individus qui ont
donné lieu à cette assertion , pro-
viennent des basse-cours ou d’une
ménagérie. |
ANAS FORMOSA , espéce parti-
culière, quoique voisine de l’Anas
bimaculata, et qui habite les
parties septentrionales de l'Asie,
a été introduite récemment, dans
le catalogue méthodique des oi-
seaux d'Europe, par Ch. Bona-
parte, Catal., p. 71, n°. 436.
Nous ignorons de quelle source
est tirée cette assertion.
(127) MERGUS ANATARIUS,
Eimbeck, Isis, 1831, p. 299,
avec figure, n’est connu que
d'après l’mdividu, tué au prin-
temps de l’année 1825 près de
Brunsvic ; cet individu nous ayant
élé communiqué, nous le regar-
dons, avec Mr. Temminck, com-
me un métis provenant de l’Anas
clangula et du Mergus albellus.
(128) Meyer et Wolf, Ta-
schenbuch, p. 580 et Schinz,
Eur. Fauna , p. 370, ont intro-
duit parmi les oiseaux d’Europe,
la frégatte, TACHYPETES AQUI-
LA, un mdividu de cette espèce
ayant été tué, à ce que rapporte
Bechstein, Naturgeschichte, 1re
édition, III, p. 756, en Jan-
vier 1792, sur les bords du Weser.
(129) Rüppell, Mus. Senk.,
II, p. 185 à 187, sépare sous
le nom de PELECANUS MINOR,
comme espece distincte, les in-
dividus de petite taille du Pelee.
onocrotalus. Les autres caracte-
110
Rüppell anführt, haben wir nicht
_ standhaft gefunden. Da fast alle
Pelekanarten in der Grösse aus-
serordentlich abändern, so haben
wir die erwähnte kleine Abän-
derung des Pelec. onocrotalus
vorläufignoch nicht als selbststän-
dige Rage angenommen.
(129 bis) Nilsson Skandina-
visk Fauna, Fogl., II, p. 478,
führt eine, in Schweden vorkom-
mende, kleinere Race der Cormo-
ranscharbe auf, welche er PHA-
LACROCORAX MEDIUS nennt.
(130) CARBO GRACULUS,
Temm. Man., II, p. 897, IV,
p. 565, nach zwei, wahrschein-
lich aus einer Menagerie her-
‘stammenden Exemplaren aufge-
stellt, ist eine, bis jetzt nur ım
indischen Archipel beobachtete
Art: Carbo sulcirostris, Brandt,
Bullet. del’ Acad. de St. Petersb.,
LIT, p. 56. — Carbo graculus,
Gould, Birds of Europe, PI.
408, ist eine amerikanische Art:
Phal. brasiliensis, Ch. Bona-
parte, List, p.60, n°. 403. Im
nördlichen Europa werden daher
nur zwei Arten Scharben ge-
funden, die sich in jedem Al-
ter leicht durch die Zahl der
Schwanzfedern unterscheiden.
Da schon Linné diese Kennzei-
chen für seinen Pelecanus carbo
und graculus angegeben hat, so
kann über die Synonymik dieser
Arten kein Zweifel entstehen.
res indiqués par Mr. Rüppell,
m’ont paru trop variables, pour
pouvoir servir comme traits di-
stinctifs. Cette circonstance et le
fait que presque toutes les espè-
ces de pélécans sont assez sujet-
tes à varier par rapport à leur
taille, me font hésiter d'adopter
pour le moment, comme race
particulière, cette petite variété
du pélécan commun, introduite
par Rüppell. |
(129 dis) Il existe, selon Wefs-
son, en Scandinavie, une race de
moindre taille du grand Cormo-
ran; C’est son PHALACROCORAX
MEDIUS, Skandinav. Fauna ,
Ois., p. 478.
(130) CARBO GRACULUS,
Temm., Man., Il, p.897 et IV,
p.565, établi d'après deux indi-
vidus provenant probablement
d’une ménagerie, appartient à
l'espèce décrite par Brandt, Bul-
let. de l’ Acad. de St. Petersb.,
III, p.56, sous le nom de Car-
bo sulcirostris. Cette espèce n’a
été observée, à l’état sauvage,
que dans l’Archipel des Indes. —
Gould, Birds of Europe, Pl.
408, a répresenté sous le nom
de Carbo graculus une espece
américaine: Phal. brasiliensis,
Ch. Bonap., List, p. 60, no.
403. Il n'existe, dans l’Europe
septentrionale, que deux espe-
ces de cormorans, qu'il est aisé
de distinguer, l’une de l’autre,
dans tous les âges, par le nom-
bre des pennes de la queue. Lin-
naeus ayant admis ce caractère
dans ses diagnoses des Pelecanus
carbo et graculus, il est facile
(131) suLa MELANURA, Tem-
minck, Man., IV, p. 569; Gould,
P1.413, unterscheidet sich von Su-
la bassana, wie wir schon frü-
her an einem andern Orte bemerk-
ten, durch ihren viel längeren,
nackten Kehlstreif, und im Alter
durch ihren schwarzen Schwanz.
Sie vertritt die Stelle unseres
Tölpels in Südafrika. Man will
ein Exemplar dieser Art in Island
erlegt haben.
(132) Ein Exemplar der p10-
MEDEA EXULANS wurde, nach
den Mittheilungen des Herrn Dra-
piez in Brüssel, im September
1833, beiAntwerpen, vonFischern
mit Rudern erschlagen: siehe
Boie, Isis, 1835, p. 259. Im
April 1837 wurden bei Kongsberg
in Norwegen zwei Exemplare der
DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS
gefangen : siehe Asmark in MNyt
Magazın for Naturwidenska-
berne , Christiania, vol. I, p.
256. Wahrscheinlich waren dies
Vögel, die, wie es oft geschieht,
von den Matrosen gefangen und
nachher wieder frei gelassen wur-
den. Indessen scheinen auch schon
früher Vögel dieser Gattung in
Europa beobachtet worden zu
seyn. So sagt Brünnich, Orn.
bor., p. 81 nota, » Diomedeae
»exulantis ad Norvegiam, ut fer-
»tur, occisi, caput et pedes mon-
»strantur Hafniae in musaeo R.
» Di. Volquartz.” Drei ähnliche
Vögel, 18 bis 22 Pfund schwer,
mit 41 Zolllangem Schnabel wur-
111
d'établir avec justesse la synony-
mie de ces deux espèces.
(131) suLa MELANURA , Tem-
minck, Man., IV, p.569; Gould,
Pl. 413, se distingue, comme
nous l’avons remarqué ailleurs,
de la Sula bassana, par l'étendue
considérable de la membrane qui
se prolonge sur la gorge, et par-
ce que la queue des adultes est
constamment d’un noir pur. . El-
le remplace l’espece commune
dans l'Afrique méridionale. On
prétend avoir tué un individu de
cette espèce en Islande.
(132) M. Bore, Isis, 1835, p.
259, rapporte, d’après une com-
munication faite par M. Drapiez
de Bruxelles, que l’on a tué à
coups de rames, au mois de Sep-
tembre 1833, pres d'Anvers, un
individu de la DIOMEDEA EXU-
LANS. On voit par une notice
de Mr. Zsmark, insérée dans le
Nyt Magazin for Naturwidens-
kaberne, Christiania , vol. I,p.
256, qu’on a tué pres de Kongs-
berg en Norwege, au mois d’A-
vril 1837, deux individus de la
DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS.,
Les mätelots des batimens venant
des contrées tropiques et s’amu-
sant quelquefois à prendre ces oi-
seaux et à leur rendre la liberté
après les avoir gardés sur le pont
pendant un espace de temps plus
ou moins considérable, il se peut
que les individus dont nous ve-
nous de parler, aient été appor-
tés de cette sorte dans des para-
ges que ces oiseaux ne frequen-
tent jamais spontanément. Il pa-
rait d’ailleurs que les exemples,
112
den im November 1758 bei Chau-
mont erlegt: Siehe la Chasse au
fusil, Paris 1788, p. 545; ferner
v.Wildungen, Weidmanns Feier-
abende, I, p. 15— 19, und
Meyer, vbid., II, p. 123.
(133) Schinz, Eur. Fauna,
I, p. 380, führt LARUS ARGEN-
TATOIDES, Fauna bor. am.,
Birds, p. 417, als europäisch auf,
und sagt, dass sechs alte Exem-
plare dieser Möve in Irland ge-
schossen wurden. Diese Nach-
richt, offenbar den Proceed. Zool.
Soc., 1835, p. 83, entlehnt , ist
aber missverstanden, denn Thomp-
son, der Verfasser des erwähn-
ten Artikels, sagt bloss, dass er
sechs in Irland erlegte Individuen
des Larus argentatus, mit La-
rus argentatoides, Rich. aus
Nordamerika verglichen, und ge-
funden habe, dass letztere Art
auf zu unsicheren Kennzeichen
beruhe, um als selbstständig be-
trachtet zu werden.
que des especes de ce genre
se sont égarées en Europe d’une
maniere ou d’autre, ont eu lieu
plus frequemment qu’on .ne le
croit ordinairement. Brünnich
par exemple rapporte dans son
Ornith. borealis, p.31, note, la
notice suivante: » Diomedeae exu-
» lantis ad Norwegiam, ut fertur,
» occisi , caput et pedes monstran-
»tur Hafniae in museo R. Dni.
» Volquartz.” Je trouve dans d’au-
tres ouvrages, que trois indivi-
dus d’une espèce analogue ont
été tués en Novembre 1758 près
de Chaumont; le poids de ces
oiseaux était de 18 à 22 livres,
et leur bec portait quatre pou-
ces et demi en longueur; consul-
tez l'ouvrage intitulé /a Chasse
au fusil, Paris, 1788, p. 545;
puis Wildungen, Weidmanns-
Feierabende, I, p. 15 a 19; et
Meyer, tibid., IT, p. 128.
(133) Schinz, Eur. Faun., I, p.
380 , a introduit parmi les oiseaux
d'Europe le LARUS ARGENTA-
TOIDES, Richardson, Fauna
bor. amer. Birds, p. 417, con-
statant que l’on a tué en Irlan-
de six individus adultes de cette
mouette d'Amérique. Il est évi-
dent que cette indication est em-
pruntée d’une notice insérée dans
les Proceedings, 1835, p. 83,
et que cette notice a été mal
interpretee par Mr. Schinz, Mr.
Thompson qui en est l’auteur,
constatant simplement quil a
compare six individus de Zarus
argentatus, tués en Angleterre,
avec le Larus argentatoides de
Richardson, et que cet examen
lui a appris, que les caractères
113
Die Möve, welche Graf von
der Mühle, p. 142, unter dem
Namen Larus argentatus be-
schrieben hat, gehört offenbar zu
Larus cachinnans. Was dagegen
derselbe Verfasser, p. 143, als
Larus cachinnans beschreibt , ist
eine andere Art, die ich nicht mit
Gewissheit bestimmen konnte.
Graf von der Mühle vermuthet,
dass sein Larus cachinnans iden-
tisch seyn könne mit einer neuen
Möve vom rothen Meere, welche
Naumann erwähnt: Larus leu-
cophaeus, X, p. 382. Da die An-
gaben über diese Möve unzurei-
ehend sind um sich einen deutli-
chen Begriff von derselben zu
bilden, so haben wir vorläufig
diesen zweifelhaften Vogel nicht
als Art aufgenommen.
(134) LARUS RIDIBUNDUS
MINOR, unterscheidet sich von La-
rus ridibundus nur durch einen
kleineren, schwächeren Schna-
bel, etwas kürzere Läufe und
Zehen, und kleinere Schwimm-
häute. Herr Temminck erhielt sie
zuerst vor vielen Jahren von ei-
nem Wallfischfänger. Sie wurde
von Lord, Proceed., 1830, p.
149, in Schottland angetroffen.
Herr Bruch beobachtete sie meh-
rere Jahre hinter einander auf
ihrem Zuge auf dem Rheine, und
meldet mir, dass sie früher an-
>
de cette dernière espèce sont de
sorte à ne pouvoir servir comme
traits distinctifs constans.
La Mouette indiquée par Mr:
von der Mühle, p. 142, sous
le nom de Zarus argentatus,
est evidemment identique avec le
Larus cachinnans, et celle que
eet ornithologiste, p. 143, a dé-
crite sous ce dernier nom, est une
espèce très-diverse que je ı'ai
pu rapporter avec certitude à
aucune de celles indiquées jusqu’à
présent comme se trouvant en
Europe. Mr. von der Mühle sup-
pose qu’elle pourrait appartenir
à une espèce inédite de la mer
rouge et dont on voit les dé-
pouilies au Musée de Berlin; cette
espèce a été indiquée par Nau-
mann, À, p. 382, sous le nom
de Zarus leucophaeus. Les ren-
seignemens que l’on a donnés sur
cet oiseau étant insuffisans pour
s'en former une idée précise,
| nous n’avons pas cru devoir aug-
menter le catalogue des oiseaux
| d'Europe d’une espèce douteuse
de plus.
(134) LARUS RIDIBUNDUS
MINOR, ne se distingue de la
mouette rieuse que par un bec
plus petit et plus faible, par des
tarses et des doigts plus courts,
ainsi que par des membranes na-
tatoires moins étendues. M. Tem-
minck en posséde depuis long-
temps un individu rapporté par
un baleinier. Zord, Proceed.,
1830, p. 149, l’a rencontrée en
Ecosse. M. Bruch l’a observée
plusieurs années de suite, lors
de l’époque de la migration, sur
les bords du Rhin; il me mande
8
114
kommt als die gemeine Lachmö-
ve, und eine etwas verschiedene
Stimme .hat: Der Marquis von Du-
razzo erhielt ein Exemplar aus
der Gegend von Genua, und Herr
von Feldegg brachte sie aus Dal-
matien mit. Herr Verreaux schick-
te uns ein Exemplar vom Vor-
gebirge der guten Hoffnung, und
sie wurde auf dem Zuge bei Dün-
kirchen, (de Selys, 9.152), und an
den Küsten Hollands erlegt. Diese
Beobachtungen bestimmen uns
diese Möve als eigene Race der
Lachmöve aufzuführen. Zuwei-
len scheinen sich aber beide Ra-
gen zu vermengen oder wenig-
stens gesellschaftlich zu brüten ;
denn ich erlegte im Sommer 1843,
auf einem Moraste, wo nur 2 Paar
Lachmöven brüteten, zwei davon,
von welchen das Männchen zur
grösseren, das Weibchen zur klei-
neren Race gehörte. |
Die vom Grafen von der Mühle ,
p.141, unter dem Namen Larus
atricilla aufgeführte Möve aus
Griechenland kann, wegen ihrer
geringen. Grösse, nicht zu dieser
Art gezählt werden. Sie scheint
sich nicht von der erwähnten
kleinen Race des Larus ridi-
bundus zu unterscheiden.
. (135) Im Manuel, IT, p. 779,
Remarque, wird gesagt, dass
Herr Natterer den Larus atri-
cilla an den Süd-Küsten Spa-
niens beobachtet habe. Nach
Herrn Natterers Mittheilungen ge-
qu’elle y arrive avant la mouette
rieuse , dont elle se distingue par
sa voix un peu différente. Le
marquis de Durazzo en a. recu
un individu tué dans les envi-
rons de Gènes, et Mr. de Feldegg
Pa rapporté de la Dalmatie. Mr.
Verreaux nous en a envoyé un
individu du Gap de B. Esp. ,.et
elle a été tuée près de Dunker-
que, (de Selys, p. 152) , et sur les
côtes de Hollande. Ces faits sem-
blent militer en faveur de l’opi-
nion que cetie mouette forme
une race particulière, différente
de la mouette rieuse. Il paraît
cependant que ces deux races
s’accouplent quelquefois l’une
avec l’autre, ou qu'elles nichent
en compagnie, vu que j'ai tué, :
en été 1843, sur un lac dans les
environs de Leide, de deux pai-
res de mouettes rieuses qui y
avaient leurs nids, deux indivi-
dus dont le mâle offrait tous les
caractères du véritable ridbun-
dus, tandis que la femelle ap-
partenait à la petite race de
cette espèce.
La mouette rapportée de la
Grèce et introduite par Mr. le
comte von der Mühle, sous le
nom de Zarus atricilla,.voir
p:+ 141 de son ouvrage, me pa-
rait, à cause de sa petite taille,
plutôt appartenir à cette petite
race du Larus ridibundus.
(135) La mouette, observée
par Mr. Natterer sur les côtes
méridionales de l'Espagne, et
dont ıl est fait mention dans le
Manuel, IT, p.779, sous le nom
de Larus atricilla, n'appartient
115
hört die von ihm an jenen Küs-
ten beobachtete Möve nicht zu
Larus atricilla , sondern zu La-
rus Audouinti.
(135 bis) Die Möve, welche
von der Mühle, p.138, als La-
rus melanocephalus beschreibt ,
ist nicht neu, sondern gehört
wirklich zu dieser Art.
Ch. Bonap., List, p. 62, no.
461 , führt einen LARUS PLUMI-
cEPs, dem Namen nach, aus dem
südlichen Europa auf. Wir wis-
sen nicht, welche Art damit ge-
meint ist.
(136) Neueren Nachrichten zu-
folge, soll die im grössten Theile
Afrıkas und Indiens gemeine
STERNA VELOX, Aäüppell, im
südöstlichen Europa vorkommen;
siehe Ch. Bonap. , Catal., p. 77,
n°. 485. Derselbe Schriftsteller ,
ibid., p. 484 führt auch die
längst vergessene STERNA NITZ-
scun, Kaup, wieder als selbst-
ständig auf.
(137) PUFFINUS FULIGINOSUS,
ist eine durch Färbung und Ge-
stalt des Schnabels von Puf.
cinereus und major standhaft
abweichende Art.
(138) Bole, Isis, 1835, p.
257, stellt unter dem Namen
PUFFINUS KUHLII, eine dem ?.
arcticus sehr verwandte, aber
durch einen etwas anders ge-
stalteten Schnabel, und die gelbe
+
pas. à cette dernière espèce,
mais au Larus Audouinii. (Ob-
seryation communiquée par feu
Natterer.)
(135 dis) La mouette décrite
par M. von der Mühle, p. 138,
sous le nom de Zarus melano-
cephalus, ne forme pas une
espèce nouvelle; c’est la vérita-
ble mouette à tête noire.
Ch. Bonaparte, List, p. G2,
n°. 461, fait mention, sous le nom
de LARUS PLUMICEPS, d’une
mouette de l’Europe méridiona-
le. Nous ignorons si cette espèce
est nouvelle ou si elle appartient
à une de celles connues anté-
rieurement.
(136) On dit que l’hirondelle
de mer véloce, STERNA VELOX,
Rüppell, espece commune aux
Indes et dans une grande partie
de l!’Afrique , fréquente également
les parties chaudes de l’Europe
méridionale; voir Ch. Bonap.,
Catal., p. 77, n°. 485. Ce sa-
vant rétablit aussi, 20ëd., p. 484,
l'espèce douteuse, décrite par
Kaup, sous le nom de STERNA
NITZS CHI.
(137) PUFFINUS FULIGINOSUS.
Cette espèce est assez différente
des Puff. major et cinereus, tant
par ses teintes que par la forme
de son bec.
(138) Bote, Isis, 1835, p. 257,
etablit sous le nom de PUFFINUS
KUHLIH, une espèce assez voisi-
ne du P. arcticus, et qui le rem-
place dans la Méditerranée. Elle
doit s’en distinguer par un bec
116
Farbe der Füsse und des Schna-
- bels, abweichende Art auf, wel-
che die Stelle des P. arcticus im
Mittelmeere ersetzt. Es fehlt uns
an hinlänglichen Beobachtungen,
diesen Vogel, der höchstens eine
Race des P. arcticus bilden
kann, als selbstständig aufzufüh-
ren.
Ein gleiches gilt vom PUFFINUS
YELKOUAN, Bullet.des sc. nat.,
XVI, p. 463, der kaum von P.
obscurus zu unterscheiden ist,
und dessen Stelle im Mittelmeere
vertreten soll: Siehe, Temm.,
Man., IV, p. 510.
(139) Thalassidroma oceani-
ca, Schinz, Eur. Fauna, p.
397, gehört als Synonym zu
Thal. Wilsonir; eben so Procell.
oceanica, Forster, Licht., Ca-
tal., 1823, p.83, n°. 764 nota.
Dagegen ist Thal. oceanica, Ch.
Bonap., Synops., n°. 309 nofa,
identisch mit Procellaria gral-
laria, Licht., !. c. Siehe hier-
über, Ch. Bonap., Osservaziont,
1830, p. 135, nota.
(140) LESTRIS LESSONN,
Degland, von Schinz, p. 391,
aufgeführt, ist offenbar nach ei-
nem jungen Exemplare der Les-
tris crepidata aufgestellt.
d’une conformation un peu di-
verse ainsi que par la couleur
jaunätre des pieds et du bec.
Nous nous abstenons pour le mo-
ment, au defaut d’observations
suffisantes, d’admettire, comme
espèce, ce puflin qui doit, à ce
qu'il paraît, tout au plus former
une race ou une variété de cli-
mat du Pufinus arcticus.
Nous ne pouvons non plus
émettre aucune opinion sur le
PUFFINUS YELKOUAN, Bullet.
des sc. nat., XVT, p. 463, qui
se distingue à peine du Puf.
obscurus, qu’il remplace dans
la Méditerranée; consult. Femm.,
Man., IV, p. 510.
(139) Il faut énumérer parmi
les synonymes de la Thalassidro-
ma Wilsonii, les Procellaria
oceanica, (Forst.) Zieht, Catal.,
1823, p.83, n°. 764, note et la
Thal. oceanica de Schinz, Eur.
Fauna, p. 397. Thal. oceani-
ca, Ch. Bonap., Synops, n°.
309, nofe, est, au contraire iden-
tique avec la Procellaria gral-
laria, Licht., !. c. Consultez sur
la synonymie de ces espèces CA.
Bonap., Osservaziont, 1830,
p. 135, note.
(140) LESTRIS LESSONH,
Degland, dont on trouve une
description dans Sehinz, !. c., p.
391, me parait établi d’après
un jeune individu du Zesiris
Bufonii.
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