Digitized by the Internet Archive
in 2010 with funding from
University of Ottawa
http://www.archive.org/details/ladamedemonsoreaOOsalv
fjieâtre Katmai de rop
%
w^
li
deJ^nsoreau
GRAND OPÉRA -
en Cinq actes et 7 tableaux (MW:
Ç^;® tiré pariyP'A.MAQUET
(ii/ Urame
d'Alexandre Du/ruis eiANaquet
^ ^ Musiq-ue de
l.l'ALVAYRE
m
'i I
^:-|M'ilil^'J., .WiWii
^ 'É^QEZZ
HOUDCNS Père & Fils, Ddtieurs,
Boulevard des Gapucmes 30,
PARTITIOÎ^ Piano et Chant transcrite par L ROQUES
lon< (Iroils tli' ropiMMlurlinn. de IradiK-tion, d'exécution »>{ dt«
•ri„vM-i)l;tlK.i) sont rJMM'Vt's puiu le piéseiil ouvrage.
CHOUDEyS
l'ïllK et lll>
AVIS AUX DIRECTEURS.
Nous |)révpn.ins les ;ulmiiilstrations tlieAtralcs -ju^ conformément mx Icis"* et
aux trjiles pMSs.'s avec nos ;iiit.Mirs'.'-' Dcu- iatpnli-ons l' l'vp.-ntion do notr.- ro-ijer.
|..i,e, soi» pour «ie.s repréxMitations donnéfs au piauo, suit av»T mic utche-^tiution
1 ,1 ne serait pa-^ r-lh' de Tailleur.
c HO un H Mi
n.; |..ui ..rnir li.-u que 1» ron-.il.-nu'nt d.rmA e> p.ir écrit de, ..i.UM.r^ >„. ,!.• I.mi.> rxpr^ientHiils.
I.otdi. 31 JANVllft 1791: Arrêt à<' Cw.r II AVBIL IH'.^.
r..«/ (l.r.r/r''/r. f,.«f -itrepnn.uir ,i< ^iirctnih. Imilc nssonaiion dartintes <iui n f<nt repré.-ientiT
.,„■ J'in ihriUr,- itrs uimrn'n''- .tnimistiqurs. au mépri-^ ipx lui.i ft fulemenls relatifs h la pr'prit-ttf •/- .
uiiteurs. ^sl wm ■i-uiir «,„cndr dt iitffumtf /rai»-> r.i, „v>iii\df àir) vuts Jr-iiiri >:u vUis. «/ df '■.
confisi'i'io" d-s rtcfttrs. 'cope vt>.u
'^) l.tS IhiMlro* de 1-ri.nce <it de T F-lr^nsPr o« i.<.nrrnnt reprr».M.t.M I- présent omragi' qu';.pr-s .vnir
Ir.iili- «M>r les «dilfurs CHOUnK>S.
i^s ACTF.VBS.
I
NOTE DES AGENCES.
Los direetions théâtral*;!» et les Théâtres forains ou ambulants, sont
pn*vrnu!s que les traités i|u il-* pas>eiit «vec la >n(>«'tf d^s auleiir» t"! «-onipositour»
dramatiques ou a>ec la suc iét»* des autcfurs. co.npositeurs et édilenrs dv musique,
lie leur doDoeot am iiii droil sur la musique qui est la propriété des éditeurs.
^Traduitvm rtsrrafci
J.-M MARTIN
LA DAME DE MONSOREAU
GRAND (»l>tltA E> 4 ACltS,
Represcnlo pou.- la première fois sur le Théâtre National de TOpe. a. le ÔO .)«n>ier 1888.
Direclioti: RITT (fr G\1I.HARD.
^^
\ij^
P.r,onm>sfs: »'0"-.- Arfisles.-
DiailO Soprano . . . M^" BOSMAN.
J.amu' âo Sailll-Luc, Sop: _ SAROLTA.
(;<'rtrude >ie/z(.-Sop:.. _ MARtT.
PprsonnagM: Voix: Àrtislfs:
Hussv T*'n<"' Mil» Jkan dk RESZKÉ
MBatise rliaiilanic r.r.| « le
OlISOreaU... ou B; rvt.m — RELMAS.
Le Duc d'Anjou . . Ténor _ lUOS.
Sailli- LiK- Ti'nop
. . M'. MIRXTKT.
Aurillv ...Bas.
Le Roi Henri III . . Barvlon . .. Ml BER ARDI.
rhanliinle... ML DIBILLE.
LF.S laiGSOSS:
y U«;|ll>. BMrvI.M. ... >r-^ M \KTAI'OrR \.
MaUgiroil Ti-nnr — S A PIM.
I»' Éperiioii Te • _ WARMBROUT.
Scliombei-K Ba-, _ BOlTF.NS.
LES ANGEVINS:
AlltragUet Ténor M" TÉOllI.
Livarot Barylon LAMBERT.
RibéraC Basse _ CRÉPAUX.
Chicol, m: li\l.l.i;Rov_(ioreiinot, M'. B\TAil.I.E_Uti Prêtre, M'. l.AMBEliT_Un Page, M"." CANTI.
La Ilurière, m: MM.VAlT—Bonlioinet, M!^ voiil-ET—L'ii Huissier, Mv GIRAliD.
BALLET: m'!' J. SUBRA.
Chef rf'Oichestre Ml A.MANESI.
Chef du Chant M'. L. UEI.AHAYE Chef «les Chœur» .Mr JULKS COHEJi.
Bali.ft régie' par M! HA>SE> Costumes dcssine's par W. Ch. Bl ANCHIM.
Partition Chant et Piano transcrite par W. Lkon ROOTES.
Pour toute la musii,iie, la mise e» seine, les .l.ssins des décors "eî des costumes, le <l. .,il .le repie'senlalioi.s, s'adresser
à M? CHOl'DENS PÈRE et FILS EdiUnrs-Proprie'laires de la bVMF, UF. MOMSOBEAl". pour tous pavs.
Hue II.
HnE III
*JiDAMTI>
PROLOGLK _ (!?' T.\BLEAU).
14
17
Diane 19.
30
46
E I Mes ordrex nniil exéciitex . . .
E II Oîi me eouftiiisez-t'oii* f
Î(E III Àh! Gertriide, tout eut perdu
AJiDAMTIMO J'igiiornix cnrnrc les pleurs
SCÈjiE IV J'eiiteiids l 'aviron là
SCÈNE V Ouvrez, c'est Monseiiiiipur!
ACTE I _ (2V TABLEAU).
SCÈNE VI Joie Eternelle aux deu.r nobles maisons
AND"° CO.N MOTO Toul voir sans regarder. Jeanne, S'. Luc
SCÈNE VU Entrée des Angevins
SCÈNE VIII Mes compliments, Sainl-I.ur^
SCÈNE IX Qu'ai-je entendu, Sussy d' Amhoise !
RÉCIT de BL'SSY Et d'abord recevez mes compliments
DANSE
SCÈNE X
PROVOCATION S
50.
64.
69.
74.
80.
90.
116.
Dieu nous assiste.'.
K.C. 77Hh.
3f TABLEAU.
RAPSODiE SOLDATESQUE »'»2-
SCÈNE XI •^''" '■'■'' (tiKfi'iJw'' 'c* P"" 150.
REVERIE Avant de m'enfermer Diane 151.
SCÈNE XII •'VoJix !f l'oici 160
SCÈNE XIII Ah! pour le coup 164.
DUEL Attaquons ! 173.
ACTE il _ (4! TABLEAU).
PRELUDE 185.
SCENE XIV i Depuis bientôt nue semaine Diane 190.
LAMENTO (
SCÈNE XV On vient de refermer lu porte 196.
, ' \ , iVf vuix-ie entrer ici? Diane, Monsoreau. . 199.
SCENE de la LETTREE '^ ■'
SCÈNE XVll Alerte ! on vous a suivi 211.
SCÈNE XVIII Oit vont ces hommes ? 219.
ANDANTE CANT\B1LE O cher souvenir Bussy 220.
CHANT D'HYMEN Veni ».|)ousa Clii-isti 225.
SCÈNE XIX Va!... Monsoreau ! 228.
5^ TABLEAU.
INTRODUCTION 246.
SCÈNE X\ -Yp désespérez phi-\ .Vonseit/neur! 248.
SCÈNE XM Approche, mon héros ! 253.
SCÈNE XXII yons avez pris une fille à son père 256.
SCÈNE XXIII Et c'est moi qui brise sa chaîne 262.
ANDANTE CANTABILE 0 mon second père Bussv 263.
SCÈNE XXIV Le Dur m'attend 266.
MONOLOGUE 0 lamentable coeur Mniisorean 267.
SCÈNE XXV Enfin, vous voilà, mon fidèle! _ 272.
SCÈNE XXVI Monseigneur, la voici ! 286.
ACTE III _(6r TABLEAU).
SCÈNE XXVII Attention ! allcntinn ! arrêtez-vous ! 3ia
BALLET
LA FÊTE Des FOUS.
. I. Satl'bnai.k 533.
II. Scène et Scbf.rzkttino .._ 338.
III Valse 342.
IV. Scène e.n fokmk de Styrienxe 345.
V. Scène du Masqie 349.
VI. Danse des Fols 353.
VII Alla Romanesca 356.
VIII Danse de la .Ikune Fille 358.
IX. Ensemble 36L
. X. Final avec Chœurs 36a
SCÈNE XXVIII Monseigneur, quoi, Bussi/ ! 373.
SCÈNE XXIX La Providence soit bénie 376.
PROCESSION delà LIGUE 38a
ACTE IV _ (7.« TABLEAU).
PRÉLUDE 401.
SCÈNE XXX ^iJisi vous êtes sûr 402.
ANDANTE CANTABILE Plus de nuage Diane, Bussy 406.
SCÈNE XXXI Ouvrez! ouvrez! c 'est votre page 418.
SCÈNE XXXII Ah! Seigneur de Bussine 420.
SCÈNE XXXIII Halte-là! 424.
SCÈNE XXXIV Cher Bussy, vous verrez! 426.
A.C. 7785. BaudonGr.
\" TABLEAU.
1? TABLEAU.
J.-M MA^Tf^j
PROLOGUE.
And'l" aiuest<)s<» ma cou uiott».
PlAyn <
r î 'l-^ ' ' ff^' '
un peu agite
plus ayité.
^mw
à^MM
nXQ
tÈ. ^ r=
w
ff^^^é "^^^^V — ^
«^
^ '/
iSy^-^
«^ ^
A.C. 77«5.
£3^-OOT' , ^_nn CT
-iVA
ç r T ^' ^^
WB^^Î?
^
» l'J-r^ aWti'
^
K J il-
^^
S^
r
A.C. 7785.
A.C. 778.S.
M
i5t
i
#■ # -*
JTl.
^
e^A
wS
^A
A'-'-'-^^^iJIl:^
'Hfff"
_i2L-
e
W^^
A A A A ' — A A A . . A A A . .-A-
>♦
Bï^
a*:fi^^
A.C "/Taô.
a Tempo.
A A
^ J-krr4r'
^^
"j'
?i.J7J3
5^
:i'^^i''^'i'
f t^M
t
=5Ê
i
^=^
^
Plus leiit.
m
;|„ iij ,,;f'f ; I J^.,.,^^^
^p T •> p~; ^ •'
if il/
dolce espressivo.
:^^o^^r LJ^^^ ^ r 'éj^
i
sostenuto.
W
■i 1» ipF^
^
»-J»-»
à
ppp
\% U^
Ui i
i
^
^3
É
« (••
m
fi- —5- ?^ ?-
r;^— f^=^
-^X £1/ EU EU
s
^^
pp
p p
gi/U^'Ei/"'
LL^ Ejj' £g
A.C 7785.
Yth J • J^IJ J ' ^
^^
di . mi _
-T-TT» ^ ^ 0 0
t#î
^')^i^- f . -. -. .-^-^. ■ ■ ■ .
-Ar-É^s-^sv ^-^\
~ ~ i
i±^ [I_L P' ■'^-
RID£AL.
soxtenitto.
K k
S
-^FW 3
C5
JT,^ F s ^^^^
ri . te . nu . fo
Euchaîii'^z.
A.C. 7785.
Les Étang:» de Beaugé
Fitf salle basse du ihàteau.
SCÈNE I
AIRILLV. LES VALETS
Ail'. Mod'.» e molto maesloso
__ très soulenii.
PlA.\u
A.C. 7785.
oui seigneur intendant!
Basses.
.m r f p r. r T— ^
^
^^
les or _ dres de son aLtes _ se, c'est
A.O. 7788.
10
l»«J' f'-f^
^:^ .• >t- ^ i^-^-^-^-f
^
t-t-
Jz».
K ., r r-r gr- I /— ^
>■ 1^
Si I un de vous cherchait à la con_uaître.
à cet homme in.discret.
A.C.778.S
.vez (if queJ prix DO _ fre niHÎ.tre, Miiusieur le duc d'Anjt
u-iie liaili - .son!
I
r t Fir- tp- f^f M
gs
Nous \(uis jn _ ions obé _ issance en.
r r- ffT
■V
Nous vous ju
bé
roijs o De _ issanre en.
A.r 77«S
12
A II d"." cou moto.
AIHII.LY
I 1^, ^i'^^i'^^I^iLL;
A.C.7785.
m
^ " T r ^^
m:_,ï7r] jjî^^^
Ped.
P '"i J^yj f ■''; I jTTJ ^
Ped.
i> Ped. «
A.C.7785.
14
SCENE XI.
DIANE, GEKTIUK, AIRILLY.
Ali . inod'." sua agitato
^
/^ Ou me conHiiisez-voiis rt'pondezjf l'ex. i . gfl Ça! nif ré.poïKlra-
v^?:^^E±
Aiid'f cou moto.
Mnn_ sieui-, je suis la ba-roune Di _
^^P
I I ;r
f F F
'■t n »
s
feâ
^
^^^-^^
^
^^Ê
^
3 . q
Tâ^t.
t^^'-^^^
* é *
ne U. nique enfant du vieux ha _ rim He Mé.ri.dor Je
15
^^
-^
^^m
m
me rendais cliez une a
Vos.
ont nialtrai
%' 'j J S^
É
/■TH
J-
-J
^
h-î^ r rLrr .i^^r F f f m^-^'W' j^tj^
té, chassé mes ser.vi _ teuis Ont mis la main snr moi!_ Quelle est cette in.f'a.
•-%
^
î. i i
i
^^
do.
±C
^
* 'J
^
. mi . er
Qui pave i_ci des mal _ lai . teni>
4' ^j -r^
^"1 r-fn
-^
Pour violenter u_ne fem _ me?
AIKILLÏ.
où snis-je enfin?
il/
,. VT-
^
^^^
^^=?=
Chez nous
Du peu plus lent.
A.C.7785.
16
"'^^ ^r F— f ? r r ' M r • ^ g r r r n
aa _ me.
Nul n'oublie _ la ce _ ans quel respect vous est
dim. 3 '■" 3
$
m
dû-, Od ne veut rien que vous traî _ ter_conime u _ De rei
m
■ • dim. I
T r r p
' ri7.
I^E
( il salue et sort)
17
SdENE III
DIANE, GERTltlDE.
afec expression.
i
r r 4^ Frpf— 4^
p.H . ge
a^3Eè^
4g=^
Ion m'eiitraî _ ne
1
^
^
^^##^^
t t t t t P=>=^
^^
ê
■ I rj
:?t=^?tr:;^
^ T '^
MonsieuriJe Monsoreau
GEKTRIDE.
se ven _
-g«
A-cryss
§
r=
^^y^ } iJ -} h}} } n'H
Ritii'qiioi gpi- . h'U . lie, écoute nue HfTreiise a _ven _
A.G.778.Î
19
And"." con grazia e cantabile.
DIANE, li
K.C. 77g5
20
"4' F M ^ E^aj* P F ^ ^ f ' ^ ^, 1 p "^
|Miiii- ve.nii<'her(;hHii_ Hhds ma inaiti sa pa . t» _ re, Daph _ né ma
eupressiro.
$
é
j~> fri
^=^
^
-j-
^
É*EEÉ
f
^' P^-J,j, J, »M
m
(il m. ^
.J' i' ff J'
p ^ j' ; r
biche, osait sdi-.lir de sa f'o . ret!
Daphné, ma bi . «;he o.sait sor_
A. G. 7785
2!
I
jJ^I^T:^^
Ciijimr l'iiboi (ies
CT#^^
f--^
1«^H^-i#-^
#^^#
^m
M
W
m
r^
S
h—F
^p-jFff^^H^i } J^J' nT^fffr^
L'hieiis.
re-tenhf.
'$
sous les chênes Monsieur de Monsoreau le nouveHii grand ve_
^^^.^h^t^S
r '^r ^-r
'-^hu^^ ^^Th •' ^f^^
o.œs
i'JJ'JJMJ
iif/ifiiniio.
Ji'i' N
rt — 1^^
g
«lÉ
chassait aux col li .nés pro.chai . nés un cri mon. te! Pri-se de
iigi/iindo.
- do-
A.C.778.5
Récff.
4' Ti^c p'F CT Pf F ^ Jm F; p f! p j; g [;^mF"p ^
puis, H|)rès un moment fi'atten . te Mon. té sur un che^"al tont noir, Legi'an<lve_
Récit.
Je coins et j'implore et j'^ar-iive
an h(n-\ nés étangs He Be^iL
t^-jj_J?]^J|]_Jll_Ljp_i^_;y_J^
■\SnJ ^
Récit.
Enfin le erraniive.neur a pa-rn sur la ri _ ve! ver
1 1 •
biche il s'est di.ri.gé
a Tempo. . ^ —^-^
Ah! e'estponr la sauver, pour empe.
A , A A_ ^ "^ -
A.G.778.S
23
un éclair bril - le! un cou. tenu s'est plongé dans sa gor.ge soy-
>in poco n _
dt la don-cevic - ti . me tombe et meurt en gemis.
8-
.tVait, j'ai cru revoir ce sang
j'ai re_ti _ré la
\.C.7783
a Tempo. ^,_,^_^
/z^.
^
i D^r Lp J' ê^r r^
i
CERTRIDE.
(mal convaincu.) ".'/
r~--j' ^
T • à
Le Com . fe?
fr<N*^^g^^ t < T^^i^T^
jifeg j
^
-J . J-^-J
jtr^U'i^r^
,f^^.î^^
^
t
Et titifl autre une lui o . se . rail contre mui ce qu'on ose aiiioi
ce qu on ose aujour.
fé===T=^
s^
=q?
gTjl.rT^
r^^r^%
A.C.7785
25
dhiii? Noiisdé)oiiercnslesprojetsdecet hom
(nionlr.-inl la fenêtre)
l^^-HTF
-• h0 ^r tj
-^ ^
^^
Ouvre et sachons d'abord.
Les murs bai£:nent dans
i
3\,i .< P F
:Hi k
S
Ie
/'P
i
^==^
^^F=F
A.C 7785.
26
n—^ r p
.reau... Dieu, cet immense étang cetie fo.rèt so _ no
GERTBl'OE
Nous sommes au château du duc d Anjou!
A.C. 7785.
27
i
DIANE, mf
teè
Oui; le si.nis.tre prin . ce Le frère et ren.ne.mi ^
û
\}p ' » ^
n II P ' '• p-rrfrfH
^
^
^
tz=^
Le ty,ian de cet- te pro -vin - ce,
Le pâle anibi - ti
m
^ 7 i'^o:
-^ ^
^
*=«
^.
m
*
f
^s?
r 1
1 r
-^
é ^ PFtTP'i^ ^ F Igf P'F P Ff/'H-pf-
.eux que précède leffioi
Le sombre débauché qu'accompagne la hon
.Me voi - là dans sa_ mai-son en son pou.
A.C. 7785.
28
AU'!' mod"."
iif Ivivfmi'ntl
trJ^T^
±fi
^^^
Mp i'hy '
F=F
0 ciel! jaicrucomme toi.nestcepas?..
^^ jj'- ^^J»^^
m
f ^ > r
f:^
Mais oui, la barque se dé . tache du bord....
Est-ce
•; r
A.C. 778.5.
29
^m
-"^-F-
\i i:. it 1 n 1. 1/ 1 .
Je ne VOIS rien
I
^
ÏEÏEE^ËEil
^
S
P
si. non quelle ap . pro
che prii . deîr
3^ ■'■;*- ^ —
5^
sa
^
rr^^^
—r I I pm — ^ 1^ I
i
"j^^'
gj ^^^^r
w=f^
T
^. r.bKTRlDK
:y
\.G. 7785.
50
1
SCENE I¥.
DIANE, OEHTRL'DE. MONSOREAU.
"If
^
Chut!
^^^
.tends laviion
MONSOKEAL.
È^
Geitiu-de!
-à
ÎS
^^
M CS^SSS BSSSSS ^E^SI^S QSSSBS
i^7? JT?1 .^TT? JTT^
OT? *T?? *^7?^ /r?^-
f
■■»/' :^
La voix du comte
4^
i' r •? '^
im;ip j^ ^-
Qui m'appel _ le?
=5EE
^^=^
^
# •?
:>t
I .
L'n a.mi!.
m
,P7^JTT]J7T3JTT]
Wi
(Monsoreau parait sur le balcon)
W^
V V r^- V V =: V V V w /'^'
V V
V A.O. 7785
V :^ V V V V V '
Î/--V
31
MONSOKEAl.
Ne luatlendiez-vous pas, ma-de-moi.sel - le Puisqu'il sagit de \otre bon.
. averti du complot dont vous è.tes\icti. me, je me suis hà.té d'accou.
.ti - me et croyez en ce. lui qui \ient_vous secou - rir!
Mes sens ni
moi n'avons été vus de per. son . ne, Le ciel qui é'assom.brit nous prête son man-
32
^
^
m m m — m
i^t
F F I r 'r p ^'^TTT^'^
.teau; Partons vite a.vant quon soupçon . ne ma presen . ce dans ce chà
tôt, je lespè. re de re. tour à Méridor vous embrasserez— vo . tre
JuJ-^j-j^ , l,s^^
rrrt
W
■i ^-«f-i
> .i 'i
-^^^^=^^4^
(troublée)
33
a Tempo
^^m^
UIANK. J'
vi . e?
j'appartiens aii Duc s'il apprend aujourd'hui que j'o.se secou.
.rir lafenmiequil en.vi . e demain je serai mort, etvousserez a
^ ri - tf ,- nti - io.
34
i;ERTBl'fi£.
^^M^pP >pT-
m
il accepter son appui?_
Faut-
4'"_J- _
iS
-nTTn^i^}}Ui
i*=***
S
F PFF ^'P
il accepter son appui?
(.ERTKIUE. ttif'
i
A.C 778J.
36
van , te
MONSOBEAC
-n. f ^ P P g r [: I r P r ff p p [^
Que vous è . tes sa . van . te, Dia . ne à m'ou-tr;
^
j>r tf >r^^
s
DIANE. |»A
L'a.niourdont il se van . te, devrait m'en. cou. ra
4^>FFr-Fi'j:Fir ^
^^
^
-gei! Sortez sortez vi_ van . te sor. tez vi . van
te.
"''i\ ^' F f! ff=|
-Hf ^rn^-^l^ ^
A.C.7785.
36
.tant . que le dan . frer! L"araour__ dont il
P
que le dan . ger! L" araour__ dont il se
I
P^m^
W^
dan . ger croyez
vo . fie sui .
rp^r 1^' .^' -H^ip ^-i7
£
n . te devrait m en. cou. ra . irer! Le sau
veur me- pou
-^ ^
r^t^-rr
.van - te lais.sez-vuus pio _ té . ger! Sor _ tez^ sor . tez v
irp^^&^^—^^^^-f^-^
ï
qE=Z
r \> ^-
£
.van .te Uia . ne a m ou . tra . ger! pen.sez-vous que j m
. vante _ au . tant que le dan . ger!
±1
^
TvTTî.
.van . le de ce fa . (al dan . ger!
vente — un pé . ri! men.son _ ger!
A.C.7785.
(On catenH un sombro hiilUili di-rrière les t'tan^'s au le'-;)
All'î" moderato.
A A A A A
37
A A A
Aa A A
0^^^m
A A
^ A A A ^
*— f*
^
^^:
if ^ ' g f
fï
H
^j-r ^
N^p^^f^
A A A
^m
^
lEf
g^^I^-^
O-
Più auiniato.
i< (^ ■
S
:£ï
ffi
r -7
rhalla . li!
(A Diane)
f^
ff^^
3Zjzi:
^
Ecoutez! —
:ip . pt
MO>SOItEAl.
^^^^^^^
!=t="^^»f — 3
(Oi-fheslre)
La forêt s'il . lu . mi _ ne!
Più auimat».
(Dans la njulUs.')
diuniobili' l't conilni' thaii}ii'e en slaliii')
jniln
r ?— ^
-V^
Le Duc!.
i
s^
&^
pp^?
ii
liez la mort, le Duc a ré.pondu!
38
li(»SOREAl.
A.C.7785.
39
't^_MÎ^r pir=f^
A
» , ri'
^
VV '' 1 r
Hal.la . li!
le Duc tient sa proie!.
hal- la.
^i"j j^[ ^i[ ^\ç[:'Uj\*as^
m
r r pif r F
7 ^ 7
le Duc tient sa pr
■^^s
je n ai
A A
Wf^
^
f^
^w
r
\.C.7785.
i
>"f
r •?
M J^J H^
Je ne puis mon à . me est gla . ce
I
^zr^x^ïm^p-i^^
wm
^-j^j^
j -, j j^ir- ^^
.e, j ai honte et pei
à la fois!.
Mon
E^
±:i
Cet- tu fray.
^
^
f U; i.Jii
-^ r •? «?
n 'y r ^
LeDi
ac . court
i
^g:
I
^
:Mil_3
è
s^y^
^g
a=W
g
^of/-
^^
1,^ f ''f f=^
^
^
^
m
Hzrr jru'Ë
■j'jV [^ rj^
^=^
i
isz
^^^
^
est.
jla -
jai
fr^p r'nr >p r f
^
. eui nia-da
me est m . sen .. se
- e oh! de
^
r p nF^^^ -^ I T T f' r p u • ^ r s
y •>
Hal
Le Duc accourt
t^i^Ê=^
(W
iJ^^J ,iJ.-^^^ÀI
ss
r~^
I
f
f
^g^^F^W^^^-^J^^-g
A.C.7785.
41
Plein d'à - mour et de joie
Hal - la
^^^^^^
A.C.778S.
42
Cet . «e frav . eur est in. sen . se . e Oh! de
gra . ce ma-
lonc in sen . se . e!
e- vous nous per.dez tous
AC. 778â.
45
GERTR«I)E
S--j:.Z-^-^~—i>-'^enep^ux pas .laterreur m'aglacé.e!
A.0.7785.
44
MiiVSOHEAlr (;. fierIruHr)
Emmenez-!à emmenez - là Le Duc entre au cht
\
^^zMJ^jTTX:
-F=-
~\ r n i».
rrTTTrnT
r 1 1 1 1 ii^
rtCrH
^^i^^t-^^^^4=è^
E^nM-UNLiz
DIANE, (détaillante)
A.C.77U5.
(Elle IVntraîne ver* le balcon)
(Il disparaîl à son tour)
m
i^
mieux ain . si
a Tt'Dip
a i
A..C 7785.
SCENE T.
LE UlC D'ANjeS AIKILLÏ, VALETS.
■K f .rf ir rrriT rr
Ouvrez c'est monseigneur!
A ^ A A
Qui
di'riinK* lo nirulilc et Hmc passage aux éouieis et porte-flambeaui qui entrent précipitamment)
47
(Le Duc d'Anjou qui vient d'entrer
entendu ce mot)
m
r r rif" rif"r ^^1^ p
Le Duc court au biilcon,
puis se recule, saisi....
A.3^fJt
±=ÎZ
Et la fe - nètre ou.verte sur l'é.tane!.
^
^^
m
'•i ' T-:r^
=f^
Ei^
r-rr
^s
^F FTFF
«ç-
l,o^
.\.C 7785.
48
PluH reteuu.
^
^m
Mor .
. te!
Plus retenu.
^^
3^
I£E
^^
^ -9-
tZiZ
$
V'"- p»
i^
T^
Largo
^
;t
■? -
P^
Elle e«st mor
. te!.
o »g
^
T.n.
ffe^^^
Elle est mor .
i^l^i
tel.
^^
o =ife
^^
*> — ^
Elle est mor .
Bassi. j»^
. te!_
A.C. 77Sh.
r?^f->/7Tn
Calniato
=?=F
5-e-
dii» . ' Hi 0 //o . m. rf .
F^^=P-^
M
î=f
f
Fiu (lu Prçlogue l^/ Tableau .
A.L,. 7785.
50 ACTE I.
2>: TABLEAU. 2! TABLEAU.
Les noces de S*. Luc à l'Hôtel de Montniorency.
SCENE TI.
s». Lie, JEANNE, puis LE ROI. LE DUC D'ANJOU, MONSOREAU, CHCÉl'R.
Ail'.'*' niod'.° e maestoso.
P
PIASO.
-i-lTé-
V 'r V
^m
V w -* V V
1
V
m
A A A
.\.C. 77«.S.
Joie e.ternelle auxdeiix nobles maLsuns — Que ré-u . iiit—cette alji.
JoieTl- e'-ternelle aux deux nobles inai.sons_Qiie ré. u . nit—cette al.li.
Joie '_ é.ternelle auxdeux nobles mai.sonsZ Que ré.u. iiit_cetle al.li-
Joie é.ternelle auxdeuxnoblesmai.sons_ Que ré.u . mt_cette al.li.
-an. ce, Que ré. u . nit_ cette al.li . au
>, Quere'-u . ait cette alJi . an
an. ce, Queré.u - «it cette al.li . an
J2_
.an-ce, Que re . u - nit_ cette al.li - an
A ^ A
A>C. 7785.
Joie é .
mf
-ter . nel . le aux deux
i. cretc.
-f r
r ir r r^ P ^r
Joie é -
-ter . nel . le auxdeux
^ crac.
A.C 7785.
5.Ï
Cautabile.
. pouse a la beau, te, IV . poux a lavail. lan - ce,
- pouse a la beau, té, le' . poux a lavail -lan .ce,
g
gMr
Cautabile.
$
^j^
yv^frf3
ÏE=
* J Mr — m
La me. me gloire a do . ié_leuis bla - sons!
^^^^^
^
j j J '4_J
do _ re' leurs bla - sons!
±=±:
La niê
gloin
p 2.
r r
^
--r— Ji
Ce
2es
r r
i^ JTi h
L'é .
A.G. 7785.
54
i
-^^ — jUife
^
r r-
J |J J i'h4^
=^=F^
T' r 1 1; t;=^^4
P
la beauttt Ce _ poux a la vail . lan .ce.
Ires , ^ — ' " ' ^-, i >-
^^-^^
m
g — =»
^
riV* •? r
. poiis
a }a beauté Lé - poux a lavail.lan.
m
u^\r r mr^trî'
*=!=
È^
me gloire
at^o.
leur'sblajsons!
-m- 2?'
^Th«
^ f r ■ * q^
SS
«F=
«F=
r ir r
s
La raê
me gloire a do . ré leurs bia _
kjC. 7785.
55
Kii_leur_a _ nioiir Tous deux ontcon fi . au
En_leur_a . mour Tous deux ont <:on.fi .an
c<! l'uur être heureux que de raisons!
Pour être heureux quL', de raisons t
cou.fi . an . ce! Pour être heureux que de raisons'.
te! l'iiur être heureux que de raisons!
A.c. 77«S.
56
wm^m
A.C 7785.
57
gloin
r r n- r ^
^ r
do - re leurs bla . sons!
a do. re leurs bla . sons!
.r-3- j j ^
t jL
ïloiie
a do . ré leurs bla . sons
1^
^ i) ly r 4 — ^
^ f
gloire
do. re leurs bla . sons !
A.C. 7785.
58
nei . le — Aux deux no . blés mai .sons!
nel . le Aux deux no . blés mai. sons!.
ri _ /e . vu _ fo.
A. ^ _ A . aA ') N Ik a
A.C.7785.
59
Andantino maestoso.
s! LCC.
(à un groupe)
II II IL I I llïl
rt. C. 77«5.
En retenant un peu.
Le roi le roi vraiment mou cherSaint Luc !
Luc! le roi, le roi niuncher Saint Luc !
mon cher Saint
Luc MoncherSainf Luc mon cher_Saint
- ment vramient mon cher Saint Luc!
:,. rJ
^ K" cetenant un peu.
.\.(;.77«>5.
Plus lent
Luc' Souffrez ._ (|ii'()n \oiis fe-li . ci. te.' Souffrez c^u'on vous fé.li .
_ Souffrez, souffrez qu'on vous fe.li . ci. te! Souffrez qu'on vous fe'.li
Luc' Souffrez qu'on vous fe'.li - ci .fii Souffrez qu'on \(iiis fé.li
Luc' Mon che
Saint Luc' souffrez qu'on vous fé.li.
i
' '- jui i'ji.^^
~» — rr_ — ë' ë.' *' — *"■ — *"
Pourquoi soupirez-vous ain
s! Lie.
1 P.' ff^^lrf^^^
He. las .'. hé . las '
^
I
^4 ;_]
i' 1-
01 - le!
-Cl - fe.'
•^ .ci _ f.-'
01 - te!
v.i? Ne.les-vons pas flat-le de voir que le roi dai . gne?..
\ront_ Et \oi. là mon sou .ci car les a.mis du roi Veulent que le roi
K.C. 77«S.
«3
Récit.
«4
jour l'olirvu qu'on ïsa . che, ô mon a . nioiir
Tout
fril
.re, ^ Trem . hier lou . jours,_ trembler a
A. C. 7785.
65
^^
feEEte
r \ri7^i^
r r
Meri . tii
ton . jdiirs
tir se ine.fi.er de
^ L\4.L'rr\i-j.\L\mn
^
=a^
LU if
^=*=f=f=
rrrrrr
JJ^^M-if
iè
é
.feaii _ ne! Ex . cep . (e vous de moi, ma Jean _ ne, El moi f^^
A. C. 778
66
el moi (Je vous .
Se de .fi - er
cresc
^
^f-p-p-^f
Hi>n.
^
^^^^^^^^^
^^
tous
ex . cep - fer Vous de moi mn Jenu
sosfeHii/o. rrfir dim
Ije et
'f ^ F r j}
j i r j i j
^^
^^— IJ
=^
j J J J J J
ë
a Tempo.
"i/"
^
P^=^
^
de quel par .
^
J' 7 r
moi
rit.
a Tempo.
^
fa4
P^^
f-=s^
i^
J>1>
p I ^ J
N r uTM
^^
A. C. 7785.
67
î> lin peu mnrqv.é
A. G. 77!(ô.
H«
il - ^t' aiissildt jji'f.ve . nu
(^, Four.ijiKii n'est el.le pas ve.
mé
n
M^
^— F-
P5)=
^R5
r — ^^
^
t-:;
^
^ •; r
10
"tJ:
(horhant la l.^|p)
A.r 77
scEïM^: vïî.
E\TRFE DES A\GEVI\S.
Air'"mod'."
Hif
^. (^M r r^
Ihs!_
A!l""mod'.'
ê
■i F
wm
les jf Plis (lu
û
A A
^^
^
^^
m
^
±=z
A A ^
^
^^
ï'yfc^
Diif-!.
=-t^' -M -^' \^ -in.
T;i - ciie' de Ifiii'i^
iH-~-^ p
t'»oiplimeo(ent S* Liir puis saluent
Jea,
3» =>
1 y'^m ^ m
— =i=?
s
^p
î
4;y J -^ * ■! — •-4-<-é-k-
#-
•t t r j
^
^
^ ^ '
=1=^
\=^
^
A.€. 7785.
^^^
ZEiil
.H.J=e-,^"
atatxit
do f
Le Rni parait
A A
:Wi?
:fK
-^'?— ^'{j/fM|^
i
vif
^^
A.C. 7786.
JK,\>'Nh: (sf. ,..,r.„,l .-..ni
■■ ^rKA^^E.
te^
rr.ind llieii
oVsl le Hoi !
fit Jpanne)
^
Ta - cliez (If lui son
A.C. 77Sr,
7.-;
Schomberg; et d^une suite brillante.
"f f fLULP''^' j fLgp
^^
5^? 3 • -^
J j ^ '^
ç:ir^
distance s'observaot. hostiles. S* Luc à pris Jeanne par la main et la présente au R<
A.C. 7785.
74
SCENE VIII.
Un peu plus lent.
LK ROI. (froidetnent)
mî:
îîîif — f^i j_ n
ï:
Un peu plus lent
Mes coinpli-inent Saint Luc!
'"•' Bonjour mon fvè - re ^f]^ ^
A.C. -78"
75
.mon })r<)_fe . g
LE ROI.
lez que je vous le pre . sen
te!
A C. 7785
76
Monsnr'>au,jnes*-nl depuis uo momeot s'approchp et salue très bas
iMoit\pnieDt prolnjjop
de joie ou de dépit)
2<'''So
P P
Û
t=Ç:
} M ^' P r ^^
Qu'est ce. la Moiiso . reaii ?.
r^Ten. p.
V
=ï=2j
^
7 r
Mo
iLso.rfaiir
2'*^ Ton.
^^^
Basses.
MoiLso - reaii ?_
Ion - so .
>, r -7»^
77
Più aaimato
S« Ll/C.
Cet . te fa . ce soiir. iioLse Supplante _ r;i le beau Biissytl Ain.
Basses
'^r — m m é ê ê ê
^Ui\\\\\Y} PP P
u
^
. boi
ANGEVINS.
L^ A>TRAGIIET.
^
ff
Les chers Mi
g
^^^
RIBERAC.
Les chers M
P
^
V
S
MIGNONS.
MAIJ GIRON, I)EPERl\()i\
Cet Aiiffe. vin ri.ra de iKjns à noJre nez!,
QL'EUIS. '"/_ __ ^. ^ S-. p <.. ^
» #
Le.s chers Mi.
^^
^ r rP pIP p t^' P'I^'^^hH^
Cel Ang-e -~vin ri.ra de nous à iio.tre nez!.
schomberg"!/"
"h r vHJigin^' P^'P
E^
Cet Ange, vin ri.ra de nous à no.tre nez!
78
fP< »■' ^> !^F » i I ig^"" "--ff
Mfc=^
f
:&
soiitconsfer . «es!
^>v f n fj^if f
.giioiis soiitconster _ nés!.
m
r rp ^ g'r^^
4=t
.gnons sont conster - nés!
I
I : I L>. ; t':, :i i,.;.. .1.. ..' ^
jHinais le Roi fil-il un choix plus té-uie.
51
;*(!, lE n^-^^
sr
i
:^=^
mais le Roi fit- il nn choix [jIus té-iné.
\.C. 778.i
MONSOREAU.
Plus retenu
79
m
n;> . |f H#=h^
Donc Biis.>iy f^ieril l;i jija - <;e
P^
et vods in'a.vez e
Plus retenu.
t
iJ:
*
/"■'■'/ V
§
*
^=t
f^ ' ' ^ J^' ' i '
LE ROI, d'un ton gis. 1^1
^
r •?
m
M « •
a Teoipo.
Pp(l
:t=^^
^^
^
> r
Il pa . rait inoa frè _ re ia voii . lu!
<'Y: gf»
=P^=^
i . re ?
L> MAUGIROM, DEPER.\0>
A.C 7-f(r._
80
SCENE IX.
LES MÈUKS, BISSV
Biissy puniit nti fniid préee'dé de ses pages magnififinemeiit vêtus.
Vu pftit pfu plus aniuit'v
~^x (y F M ^
Biis.sv!
Basses.
«¥^
P
^gP IT^ '^
Un petit peu plus animé
Bii.s.sv !
A.C. 77S5.
81
l^=±
^ Ç; p J'> \\^=
Biissy d'Ani . boise
1 _ 01 !
JJt£ • >;
m
m
:■ if f -,
Bussy d'Ani- boise
P
1 _ n L
W^
^
r ir i
T
f4^F^
Bussy d'Ani. boise
1 _ Cl !
^Tn^/TJ
J^
^M
^
F ^ [uLd^
vv W^^ V^
4 r r Mr
Ah! une i'iti pei
r i ir
> •?
> 7
que jai peur
Ah!
que j ai peui
jjp
lais. se rien pa _ raî.tre! N'en lais _ se rien pa _ raî _ tre!
^"^ MIGNONS.
„y MAIGIRON (s.-ul)
sï^flinj
A.0.7785.
Récit.
six pa.gts Bussv?— ^uoi! ces valets en draj) dor quand leiii
mai.tre,un Clerniont... presqu'un prin - ce est vê.tu de ve.lours.
Plus leut.
$
S
f
W
-1 Tjn
H
m
§
*k-
1 *) si^=j^=^
tp:^
^
-tr*
BISSY. (ironique, mais avec la plus grande courtoisie)
Si _ re! 11 faut bien, pour se fai . re oonnaî _ tie. Oii'i
m
^
I
^^
A
1 r
r --r r r r r r r i r • u ^^
Au jour ou les va
prince ail _ le vê.tu comme un va _ let,
_lets venus hi . er de nos pio _ vin . ces se mon _ treut en haut
A.C.778ft,
84
ry ||*> rmi
^Jf __fi^^-4^
Allegro.
lieu vêtus
UIÉLIS
comme des priu
MAIT.IKO.N, UKPEKNO.N
^ " 1 A (^ 1 û
Sang Dieu!
Mau _ gie . bieu!
A
m
i^= y ^ r
Mau _ gre _ bieu!
A
m
^^
'Y
I
' n
rT==^
IVIau _ gre - bieu!
' l^ï ■
^
È
^
^ g r
^ r
jv^r ^ ^
i/^
:^=^
f
fe
3
â
r f
5=^
1 f
L'iii
-ri . lenl
L'i.
I
» 1 ■ r»f
^
È
^y""^
r PïP ff
^^
V T
A.C.7785.
85
r^=^=^ « q ^^ ^' ^ t \^
, f ^i^'iffiri
4=^
^
^ȴ. P ^r P
-^4 — ^
M.
— 0 \f m-
-4 —
— y
.^^^, 1 1 1^
1^ f ^ p ^ —
' y T
A.C.7785
86
Saint Luc a rai _ son! Saint Luc a l'i
8-
Più abaiidoiiato.
^
^
».'/•
^
de.
Nous res.
Più abaiidouato.
A.C.7785.
87
MAIGIKON (seul) - (malicieusenienl)
ij ^p F' r ^ I ^-^
f . j I jtT^j'
sieur Bussy d'Ani . boi . se
Oui nous retrouve _
A.C. 7785 .
88
rj . te . Il H _ /<>.
a Tempo.
^^
d'Am . bni
-Lr r ' I r
f==^r-Mf
<^'* tm *=
55P
=F^^
«l'Am _ b<ii
I
^^
^
d'Am _ boi .
ri . /<• _ "H - to
a Tt'mp<K_.
Più moderato.
à Bussy.
m^
Iki; ^ F F r «P M ssFP
^
Vous Teniez pour vous plaindre, et je
Più moderato.
-M_p r r rPiT'-"^! F'' F r f u^ f • f i j^-^
lensse permis; Car, If ti _tre de giaud veneur vous tut pro.mis;.
i' i M" i
^
y
1^
1^
i> . /'■
sr
3
m
m
^±
T^
SS
A.C. 7"8.'i .
89
irf^ , r^p ' r r f r I O F Mr r'F if Tii
Mais mou frè.re d'An .jou vous e.tait fort cou. trai _ re_
^^:m J
à
=ttD
=tF°:
1^
^
f»/^
E^EE!^
^ Hi'sisiiant Monsoreau)
M
do/ce.
^^ 1 g F F F
rr^rg^Cfi
r lY'^r r r r
^=t
•; f
mis... j'ai du céder! Je fais tout ce que veut mon l'rè
sosteniito.
r W '
^S
s
ii ' é é-Tl
^^
^^m
i
r^r I r lt ^
I
_. , . , ( dedaiijneusfiuenl )
Récit.
^ ^^'V h&
I_ iiu.li _ le un de-
bas à Bussj.
«5=
V F F p P F ly-p
Je tiens à texpli .quer.
a Tempo, (à Jeanne dans un salut)
$
-Voir impé.ri-eux au surplus me re . clame!... Etd'a _ bord, re-Ce.vez mes compli
±±
mj.
m
:,&
$
^
n
a Tempo.
i
^^
^
Vi ri/irr'r^
.ments ma.da. nie. très soutenu et très e,rpre»sif.
^
i
m
i
^
»ï£
É
^JTP
;;rP^'^TT3
^
^ï
f=
f
laryement.
i
plus profiiud de la . _ me Ambassa.deur du vieuxba.ron de Me'.ri.
A.C.7785.
91
I
ÉE
-dor
Je suis i - ci.
'^ A
^
r f X . LU'
pour de _ non _ cei" uu
r [ T I ' i
~;-;r^
i
fr^- ^r Tr
*; f
^
en
LE t)lC.
^ E^ r
s
^
MOiNSOREAl.
S
Uu cri !
me!
SfL
^P=^
^
±±:
P
ANGEVINS.
ANTRAGIET.
Lu cri
^
i
^
Uu crime!
M
^
■r
^
Sop.
Uu cri _me!
ï
^
V ^
P
Ten.
Un
^
Uq
A.C. 7785
92
^Lê.
^
m
I
^
ahL
m
m
s'. Lie.
ahL
^^
ah!_
y A
P
ahL
ahL
Ah
^^
I
^
ah!_
y A
^^
^
T
MIGNONS.
MAIGIRON, D'ÉPERNON.
^^1^ 'i r p p
ahL
s
Uu cri _ me!
Ql'ÉLt'S.
J
Ê
^
.0. ;78s.
93
A.C. 778B.
94
l''-^So|.. J-
2'!' Sop. p
y y Y^''^ \^ '^'\}r^
Parlez!
Parlez!
.1'.^ Teu.
•• ^-'f 7 ■
Parlez!
_ ree eu quel.que re _ pai re, hé- las, a dis-pa.ru de sa mai.
A.C. 7785.
Uu peu plus animé
Dieu puis_saut! — Dieu puis _ sant! Dieu puissautT
(mouvement de i'as>i>tauce)
Dieu puis-santLDieu puis, sant! Dieu puissant!
s«. Lie. ./-A ^^. A . A
95
LE KOI.
Dieu puis.sant!_Dieu puis _ saut! Dieu puissautl
Dieu
.>IONSOREAL. A
Dieu
puis _ sant! Dieu puissanti
puis _ sant! Dieu puissant!.
Uu peu plus animé.
^^
puis
y=^
A.C. 7785.
97
^^' g Larghetto e caiitabile.
^^
^^
=;^ît
CompiignoD du roi.
votre a _
J^uL^^lt
^ai
ï
^E
t*
É I p ;^
^
i^ T 1^ t'
^
_ieul,.
fut mon mai _ ti
et j'ap.
'^^:tH
t . i?*f ^ , I J' — 'J'
m
»l i i I
'^pj^ ' i^ÊXl-f n
t
A.C.7785
98
l' ifa plus da_mi
il aa plus d'a.mi que moi
^ J- ^f^ ~
dim.
A.C.7785
100
4' r ^>i>i_ii'^>lOj:>i'>i'P PfM
Maisjai ju.ré de la lui reo.dre et c'est pourquoi je viensetvousdis à ge.
1
ij I i ^
*i *i
»
M
m
*
:3=ît^frrrr3
rr
rrsrettdo.
-g»
-DOUX eu iaiplorant, eu impie, rant
votre tou _ te - puis.
soatenuto.
■>■■* Mr 'cli
^
^f4^
^
i
Mod'P assai e uti poco macstnso.
tî f-^ s-
r p^ ifi^ F [i F r pfT ^1
.sau _ _ ce!
rit.
"f r-r ~> ^
^K,^^tp8» k^
Nous devons tous au roi,
Mod'." assai e un poco maestoso.
*s ^^^^^^
;. X 'ig ipr^i ^ I g^
i
I I
9
S
g£=5
^^
^
^
^
Hn /j'« iii-iriji/f
y°"pr Fnr^rifTi? p mP p
pect (i.bé.is _ san _ ce Mais il nous doit jus . tice à tous!
\.C.7785
101
Nous (levons tous au roi res _ ptct, o _ be _ is . san _ ce:
Dfnion amour cet hom _ me a-t-il eu connais . san . ce:
s', i.ic
Nous devons tous au roi
pect, 0 - bé_ is _ san . ce:
Vous de. vez tous au roi res . pect, o _ be.is . san
MONSOKF.M.
PP :i
Démon amour cet hom. me a-t-il eu connais, san _ ce:
ANGEVINS ET MIGNONS.
\NTR4GIET. MAlGIRON,d"EPERNO>
^ $1 ^^ --^
A.C.7785
102
JE\NNB.
Mais iluousduitjus _ tice a tous
i.K nie.
nous doit jus _
A A.
V V V
.\.G.7785
,. sans diminiirr.pp rit.'
.'A A A
a Tempo.
t03
de . vant tous t\f . vant
f sa/m dimimier.pp rit.
tous!
a Tempo.
«^
qgHFF
_tice a tous ju
/'A A A^ ^_ /i/>
. tice a tous!
A.C.778.Î
104
r"-J^p p F
Si _ re personne CD.
Le ROI à BiissT.
f Ly g F p F rE#^
EL
qui soupçonnez - vou.s?_
î^'; 1 r
=^=^
/
^^^^
i' ^ ^ ^
F F |J_J. r F F if L; F
^
^
¥
£
^jou gouverneur du pa _ ys.
s^
sait peut - è
(re ce que ji
j f ..rrn
j. nj ''j
T-
i
f r ^
Piu agitato. (d'Anjou (rcisaille, Bussj continue, visani Monsoreau.)
A.G.778.S
105
Récit.
Enfin MonsieurestI hôte et l'ami du ba
ri- te - nu to. Enfin __ Monsieurest ihôte et l'ami du ba
^
g^^^^
^^#
rT=^
^
^
^
^
^
f r ''*'b
^^^^^^^
P p F f >pi! J'^
Il r«\ait d'e-pouser Di _ a _ ne qu'il a -do -' re! Sur les pro.
P
S
W:
t^.r FFt'K'^r^" ^1^ ^
B. yfcgy
•? r •;• j
jets de cet ex. é-cra . ble lar . rou
'V/' A c-/esc.
3 . A
-i ^
*
j'at-
r I ^1 i •? r
m
$
f à. à. ^
w
M- M- ^ M.
^ t
^
Hf^^t J J' > ^^
. tends qu'il nous a. ver . tis.
A.O 778S.
>^ rt g ^^- — j^j j j ^ m \ f
(En pli'iirs et les iiuiins jointes)
ANGEVINS
Il setait! Il se tait!
\NTK\CttT. j»^
us . L^
(L' as^enihlci" surprise puis iuenai;ante)
'^ f
I.IVAKOT.
Il setait! Il se tait!
^TfrFl^PF fff fRf
•? !•
II se tait!
RIREUAC.
ïlse tait II se tait!
^^^='^Wr^='^''^T^^
1 r
t^
INetait!
MIGNONS.
MVlGIKO.V.d'HI'EHNON.
^m
I se tait II se tait!
mm m.
^
*> f-
II setait! Il se tait!
QlKl.l><.
PP
^^rrr^F FrrPrf
-•7 1-
II setait!
sCHOMIiERt
Il se tait!
f.* S op.
II se tait II se tait!
.. .. M.
Il se tait II se tait!
ï
E
1 r
2^^ Sor
II se tait!
'^ '^»J }).J^I> T r
Il setait! Il setait!
f^v^#^HH
:,^ '^ r
Bassi.
setait! Il se tait!
fff ^ 1^ Fp pr^
^^^-fi^f=^=4^
•7 r
II se tait! Il se tait II se tait!
Aud",° sosteuuto.
107
Oui jus- ti - ce! Jii«^li . ce,justi - ce
ANGEVINS ET MIGNONS.
WTKAGIKT. MAlGIRON.d-EPERNON. ^.,.esc. -f'^^
jiisJi . ce! Jiisti-ce,jiisti - ce
Oui jus . ti - ce! Jiisfi - ce,jiisti - ce
Jus-ti - ce! Justi-ce,justi - ce
jus . ti . ce! Justi -ce.jasti _ ce
A.C. 7785.
108
$
iiioir il re.
Ag *
^
^^
si-re!
LE ROI. ^'"^■'^ "^i''"» a" ""'^•^
^
fr'ppFif ,]TPfr^^
^
"Vi^
Vous saviez ce qu'il en e.tait? avouez-le mon fie . le!
rfâ±:
^^
^
^^
^^
')■■' F p :; r
^i;
^^
^^
si.re!
^
jia r
i
P^^^=T
si.ie!
A
EL.
■PA^^
^^
r 1 • ,
gg^
^
H^-^
<->^ 1 • ]^r ^î^t4t-\ 1 • "^î' T^f^
-3-F^
Jeveux_la\érité Jeveux la vé.ii . te!
A.C. 7785.
109
LE DlC. (livnibianl st- louriniiit vers le G'} veneur)
\.C. 778 h.
110
jKANNt. l^" P«*u ailimt'
111
Cil peu plus leiit
Un peu auimé. .
^
tXMl\f^p^^^^;^\ f^r. |p^I.-r^
w
Et le pauvre père a per.du lu rai _ sou.
rii-
P
m
±1
'U
gE
r r'P p
0 mi . se . re
P
^^^
^
K
^
^
i
0
^•^ J ,J^ }^ })
0 mi . se - re!
^y-r^
^
m
te
0 mi - se
P
^^
^
^
S
0 mi.
0 mi - se - re!
g=
Uu peu plus lent.
Cii peu aitinie.
\.0. 778. s.
112
^
( indisnée)
^
:3:^^
±
Menson - ge! men.
,^^
r I r>j' ^
nii - se - re!
ffe:»-';, ^ ■■-f — 'OltTî^
o mi . se - re!
ï^
M
■j 1 !•
O nu . se - re
mi _ se - re!
^&?==^g
^^
:;±f»g^#
A.C 7785.
113
A. C. 77S5.
H4
On veut me faire a.bandonner la piste!
vous Seigneur d'Amhoi . se, a-puisez - vous!
AH".'°niod. ^"TT
UJJ LUI
LE ROI. (MX miiiwm^)
un ujjxm un un luu
A.C.77B5.
IIS
i.m. f t \t ^ t t^rv^çjfl
t
Il ne peut rien \e . nir d'Anjou qui ne soit
11, .•"-> is
1(111
idii.
'^■^\ f (^
•fou!
^^
^^
fou)
JT rffrVf
tris, te, qui ne soit tris, te, tjui me dé . li . vre.ra de ce mau
- dit Anjou
0"' '"f dé.li-vre. ra de ce maudit An
A.C.77«5,
IIB DAWSE.
Più maestoso. |.' Tempo.
Le roi prend le bins de S'. Luc en soupirant e( sort à p:is lenl>. Le dur d'Anjou et Monsoreau seloignent de
rfiH
w^
^
i^r^^-^i
i^r^J-^, 1
|bJffi'p~^l
— M"
— *bW*f
^t>'Jl
F^f=
4tfH
'^-^■-^-iX;'
ipj U^i^^-^z^i
tH <->—' —
A. C. 7 783.
SGEIfE X
PROVOCATIOI\ PEI^DA.\T LE BAL.
Allegretfo inolto niod*."
117
(h n„i-<«ii)
OU ELU S. ^
1
Dieu nous as-sis . te Nous t'en délivre.rons etfe.
Alleyretfo niolto niod'.".^ 4~
¥^
V-^i f !3 f i-
&
r f
^m
^
fe
ic
r \f ^
. te
SCHOMBERG
mi-voii) -p- ^«
Mes - sieurs, point de tu .
È
m
^
-'y^ —
Oui -dà
^^m
pro. \o.quons - !e!.
^
i
^
Wt^ Lifj^
^g» T * »
S
f^qf . j-. Ig ^^^^
m
i ' ' j
T
A <: 7 7KS
11«
(J Bti...<v lui dr'>i(;nant les Miirnon^)
I
A.C. 7 7«5.
119
rrrrrr
4' j: r,i
a
fyi . ie;_
^^
I
Lais
le;
dim.
con eleyanzn.
fe^as:
mf — VM ' --J
^^
».
"f
1-mm
y,trmr
f^~'['
(haut) pJi//
-^
S
^
m.
^
T, j~T7 -, j~r^
^¥
;> jn.,-J77
^
î JTI-, XTI
\>-J "r rp^
dès d
^
* de . main
^
fi|LL!/"
'gggs
1^;. 3^
É
ï^^S^
S^
, ^.
£= ^. — ^
le roi
l 1 lnp'^'-gSEEf
^
/T?
^=^-
120
m
— 1
r r r f^=
f f g
J_^ — ! «-J
chas . r^f
-hv \ =^
1 , -
i ' 1 '
lui ser . \i . ions
^'' '■» — ^ P m — ^ .^^ — z
—1 1
nous en
^rWJ jM
cv. * •—
_SL
5.m ,x-n.
^'' V -'^^
-^^^-? '
r ' ■ — ■ -['
'^' '1' =j
>i\rt;iRo>".
(ri,->)
„U I „k I il
^
w
ah! ah; Àh! ah.' JhT ah.'
Ah! ah!
9^^^^
t
- son._
SrnOMliKKG.
^^— f
^ iiJ r ir
^
^"'"\\h! ah!
ah! ah! ah! ah
^
jrn ÏTT2
jrn
^m
Sp^^
I.a fiai . se sons la
v^p r Fpr ^
ËEÏ
In san^'lier d'An _ jrm
A. C. 77«ô.
!21
MAUGIRO>.
MACGIRONetd'EPERNON.
(vive.)
^ J_J^^
rriHYTl
.sempre p
o/H
frii ,r~n
s
EE^
'ff T i
^
ANTRAGUET,
(violemment) ^/L.
^
Drô . les!
(violemment) •' ^
i
Dro- les'
'4'^ M r ir ^ j <
ah! ah! ah ah! ah!
M-4 . f f f ^
îh! ah! ah ah! ah! ah!
'/■« r r r r I r ^ j
ah! ah! ah! ah! ah!
tr .
rm.m
mrrn
rnn~n
A.fi.7 7«5.
Drô . les!
Cvinlcmmenl)
Drô . les!
^i
^
1777 fm
pu ,m
^^
*? f
^
ANTRAGIET.
^^-i^
LIVAROT.
^
Nous tous ! nous
QlELls.
Nous tous !
^^
^)--» I r ^ g
cer . tes! Et voii-?
A.C. 7 785.
123
, BCSSY.
^
Eh quoi
SCHOMBERG. più f
r If ^ J
tous
Eh
qupi
tous -.
^^^^^
é
^
4F
^
IMJ-^-^ I r^^
BE
^
i-t
seul !_
(h Bllssj)
:t
Ils sont
f r fiTg.s
g
A \o - tie ère
A. fi. 7785.
124
/moirvfinent de colère chez les Mi^nODSv
Vconlenns par un signal de Que'lus./ 1
Je suf. fi - rai
125
.4 l'af.fut
nous sui .vons, nous at. tendons la
J^— j. ri j
MAI' GIRON.
^A d'ÉPERNON. "if
.do
bê . te
SCHOMRERG. rnf
Nous at. tendons ta
. do
seiir_ la suit
SCHOMBERG.
La bê - te court et le chas .
(gTHcietu)
La bê . te court et le chas .
A. C. 7 785.
128
1^
m
m ff ff g
do,
A A
(À Buss; (liiiisunsalut)p
f •?
tue! on y pil.le!
A A
tue! on y pil . le !
A A
rif F- f
Mon. sieur bon . ne
Mon.sieur bon . ne
P
1
chance e( bon .soir!
C=feE
S
m \\>0'
^
chance e( bon. soir!
h
^
^
mot
r iT r r 'r
je ne sais que corn - pren .
■# -r
JJ IJ JJJJlJ'^'f ijbj ■■
î ? ^ ¥ ï îF
129
.die
ANTRAGIET. (à Bussy avi'C épouvante) L
un quar.tier trop noir!
f Y f f
ê
S
lin quar.tier trop noir!
^
un quar.tier trop noir!,
QUÉLIS.
^
m^=±i
> A o #• 3 3 a
Ef. „ main . te .
3^^
.v/è . dim
A.C.7785. •
130
BISSY
(Alix mignons avec insistance)
A.C.7785.
Mon.sieur, mon . sieur
jusqu'au le . voir Mon . sieur mon.
3
Mon.sieur, mon . sieur
SCHOMBEI{G.Hj/V
^^'ii f r f f
jusqu'au re . voir Mon. sieur mon.
^N#^
3
m
Mon.sieur. mon . sieur
jusqu'au re . voir Mon. sieur mon.
$
BISSY.
Pfed « Pèd.
Plus lent.
VUi
r" I r ^ P P F i' p I f 7 ^ P
:t^
ANTRAGIET.
Quoi? rien! aprèstantd'inso. len.ce! Cachent-
rnJ .J'J'i' J'J'N J > ;,j,
m
LIVAKOT.
Quoi? rien! aprèstantd'inso. len.ce! Cachent-
PP^^ 5-
RIBÉRAC.
Quoi? rien! aprèstantd'inso. len.ce! Cachent
PP:^:^ -..^ . . : . =>
r ^pj'J'^^'^ir r ' }}
m
^
Quoi? rien! aprèstantd'inso- len.ce! Cachent-
f"^^jj;o^iu-'
sieur jusqu'au re.\oir!_
nfîf^rjnr^
-Sieur jusquau re.voir!.
^3
- sieur jusqu'au re.voir!_
Plus lent.
A.C.7785.
132
^^' r p p F '^ ' ^'^^ •' '^ ^ ' O ^^
leur res-senti . ment?
Ils tremblent et leur si .
$
^^
rp FMf vi
:^;:
T r
^
S
leur res-senti . meiity
Ils tremblent
et leur si _
^S
i
^^
s
^'i — ^
t^=4^
-iu
leur res-éenti . ment?_
Ils tremblent
et leur si
^E
^m
^m
a
P^
-^ — ^
^
-ils
leur res.senti _ ment?.
Ils
tremblent et leur si .
^ jr. 3 3 .
.len.ce N'estquela peur du châ
ti - menti . Ils trem
I
^^
p pp ir r., ^
m^
-v-^
len.ce N'estquela peur du châ
ti . ment!
v-h r r 1 p g
^v^
^
. len.ce N'estquela peur du châ
_a= ■ — «-
ti - ment!
F K' ir f ^ ^
^
^?=F
_len.ce N'estquela peur du châ . ti . ment!
MALGIRON. d'EPËRNON. PP
^m
■V y V
S
QIELIS.
Pourmieuipunir tant d'in.so
PP-,
'^t^t'^lft
m
StHOMBERG.
Pour mieux punir tant d'in.so .
PP^
^ T' F P F F P g
Pourmieuxpunir tantd'in.so -
133
'■>--i,ttsi^ P PH P g if , t tttt\f ^
Jen.ce, cacbonsnotre ressen.ti. ment! a lœu>Teraes a - mis,
0 0 'f: 'f: k—k-
si.len
.len.ce, cachonsnotre ressen.ti . ment! àlbeu^Temesa. mis - si.len
nï' FwT FT F rnr i P ppgpir r p
.len.ce, cachons notre ressen.ti - ment! àlœmremesa- mis, si.len
kitf-fT^ . ft-0 m 0'
^^
f r iï r
SiPi J t
$
.ce n'est que la peur du châ
AVTRACIET
timent ! Quoi rien! .
P
^
S
quoi rien!.
P:
^
S
quoi rien!.
é
quoi
k''-p;; f^tf jfir^f. -ipf^ f ir ^ r F
ce! si . len . ce voi.ci l'heu . re du châ . ti . ment!
^f^
ê
Pour mieux pu.
^=fe
/ U ^^ ^
^?
.ce! si.len . ce voi_ci l'heu. re du châ . ti . menti
':>-'. g il n
> iii'f f
r mieux pu.
^
'l ^ ^f P [^ l:
^
1
.ce!
SI . len-ce vouci 1 heu _ re du cha . ti - ment!
0 M L , Vf mT'f' 0 Ttjl 0
«1#>
.Fourmieuspu-
^
F^'P» P
^
I
^W
1^
W
A.C. 7785.
135
=f%
#=
}^ . \ =
1 ■
ff-
=âf=
=^
4ii_L
treni
3»
blent!
1
\j —
Est
ff-
ce
:^;b±r
frein
bloiit!
-4 > ■ ^
r
M
Est
r {^
y 1 * U — ^
— 1| —
ce
•#■ ■ ■
\
— ^
la
A.C.7785.
136
n
PP ■__
r. - r
Quoi ri >n!
PP-
S
Quoi
i
PP
j !:_£
Si . len
m M m m m «
I œuvre mes amis!
ANTR\f.lET.
^'"'ffpr JJ
Tant (finso . len . ce
LIVABOT. ^
m
-PP-
^V'PP r î'
Tantd'inso- len _ ce
jf ij r f f If f-ii£j
dim. I
A.C.7785.
137
Più animato.
"if- A K K A A A A
M
Es , A A
m -T ^ ■ I
1 - f =y
^ ^ rrr • f f
Mon . sieur, bonne chance et bon . soii!
'"f. A.
A A A
■f*- -#•• -p- A.
lit
r f ^ ■
^
Mon . sieur, bonne chance et bon - soir!
"'J'. fS , ^_ ___ A A A A
nh >ii,„i j. J^!J ^
r 1
^ -
i
Mon. sieur, bonne chance et bon. soir!.
3±r
^^
«j/^
-§r
mmm^
±±1
i
-f:^:
sjfi=
i
y
138
BISSV. ^
-&Sz
^
a Tempo mais un peu plus lent.
m
Mr P
-^ — '-
.qn au
re . voir!-
/;'. -!_J J'N^
=¥=^
qu au re . voir !
r y if f
s
-r-; —
quau
qu'au re .voir!
MAKJIHON <i'liPEH>i)N. VP
w
a loeu
a Tempo mais un peu plus lent.
r !_
vre mes a .
-^
^^
U ^^^_ r U^
A.C. 7785
i39
i
PP
^
. mis
QtÉLlS.
car voi . ci
fP^
^
Car
SCHOMBERG. PP
l'heu - re, voi . ci
Éifc=^
î-^i^'^ i
l'heu
^
ua
re, VOI . Cl
P^
W
uf^m^j
m
tS.f V
:5»
S
^m
^
1^
feï
f
i
BL'SSV.
î>/>
«=:
È
I
Ils trem
blent!. c'est la peur
^
i
<— ^
LIVAROT
^
Ils trem
PP
blent! c'est la peur.
^^
RIRERAC.
Ils trem
PP ^
blent! c'est la peur
^^
z5±
ir ^ r
Ils trem
bient! c'est la peur.
i
J ^s \ J
^^
l'heu
re vo! _ Cl
l'heu
du
">% r p ^ ^
^^
l'heu . re V(
l'heu
'■H J J' , J ^
^^
du
l'heu . re voi .
l'heu
du
A.C. 7785
140
A.C. 7785
141
• Vtj^^^ fff-rr- , : '*'"' •^"''"^-
^
i^
^^
SŒ
^^
*î
i
i
p r T If u
if
P
Ê
m
• . » — -•-
tjMtl-
LdlLi^
ar: I
<«):< .. — {-* — «-• — {-<•
^
S
f#TrT?
5. ■♦*
^m
^3
S
îi
I' r ' r T ?
rfi»/. semprc .
Fin du 2? Tableau
^.C. 7 7? 5
142
3*: TABLEAU.
La pue S*. Antoine devant la rue des Tournelles
RAPSODIË SOLDATESQUE.
Ail'.' niod'.'* ma non troppu.
PïANO
^
^J J'V Lj^ "UJ* ^
É
^^^tj-Hlj^j
^S
■>~^>
y/?
^^
^p
*
qgM r ? r ^ ^îi ^ ? r ^
^^^^^^^^
^^
C?C?tP?bw?#i
-Vi^lM'Ui'US
if ^/
ftj^-^jy^
ss^
:^
^^g^
S
A.C. 7785
14.1
_4 <iP^pVF^°M'p'pp^^
cj'^ P g P g P g P g ^ 'i f g p ^
« ^ii0 JF
^' r^c\iu^MMr^_^^
ni m^
n 1 ] ^ 1^
I
^
p^
t^
niin {xro
-^- ^*
')■ .h h g
^if iP
# ^ ^
f f
m
^^^^^^^s
^"=#:
^
j— Tj ,,J^.,r^B
P
=^
^
^
r r
h'
^U
A.C. 77f
144
tT-lT^
a Touipo.
y
"ir ""^ jp //es iiiiirque.
JL
l ^ :-J~1 r^'Ë
é *'c^>'J^
T"^ N ::>
-• 1-^
♦^
^J_^|L4--^:i Jq ^' g J,--^, g H> f. q jq g g ^^^^
^
i
^ F^ ris ..^ j^
f
SES^
ri 3 s 3 1 -->i|.* a .t-,-a-=î=
^£^
'/ -1
m
/^F
l'.5
. ■- .îî
é 'j' 'u;ffT^^^
' ""Ll/ ''[''p I j'^T5t^jiF2/''t''^
.^*-
:.J-
'i
A
A.C. 7785.
146
ê r^7^^-js
m
i
^3
a^^
3fi-jTji jp-^f^
-f F
g=p r p -p^
^^
Lr f P ^
' r "f r p c f J
i
44-i
^
^■^Q'^^
pp
* ^^ ==^
= ^=CZ3:
ïi
#
A.C. 7785.
I't8
/
i
m r^-^^mm
f H^
FT'f'^rrrr?
'"■.'/
:?SÈ
(mJ'' ■■ ;f ''
:^
3
m.^^-.^j^
«
rfo.
m
Md^^
i'j ÀJ-ji
I
ip
r
•7it *7-|t V
A.C 7785.
SCENE XI.
DIANE, GERTRLDE.
iiV/
Ail'.'" Iliod." (On entend l'orgue qui joue la sorfic de loffiee)
ORGIE
sur le (hérilr
^
mf Aien lie.
.leux de fond, i 1. _! I
i
m
^
^
Eî
^ï
Ç
TT
n^
ÏSS;:
a
B
n
m
'US
^
m
m
s
m.
^
±i3E
^
rt
te.
i^
m^.JTTi.n-^
^
^^
^
=^
st:
.m
^
m
m. *
m
è
m
té
m
""Pf-tT-F,
^1
^
f ff •?
r ff ^
i
(Diiine et Gerfrudc viennent du fond)
AU" agitato. gertrioe.
"i^^f^^
r «I
A!l? agitato.
J'ai
P
^*i
E
PWA'O.
dt
î/^=^^3 3 3
^^^m^nJU^JS
S
^
j^^
é
S
j^ —
:i
^
A.C 7785.
150
MIS uni iinussui . vent sans dou .
ri - te .
A.C 7785.
151
REVERIE.
And';
f r p.F-'P
-^fr^
^^
W
.meu - re, Laisse moi
re . \eiv
comme à Me.ri.
i
ff-T# ff # pif • |fil
^
^
fH^-f^^^jHt
^^
^
sous le clair re;2^arddes é - toi
dor!
I
pTl
4 U
^
4 f i
Mi
¥
^
3f=
^==¥
p/* r/7
J=ii
'___^ if -p 1
— P—
5^
A.C 7785.
ib2
Môme iiiouv!
i=^H ^Ji^JwiMJ >>^iM^
^
^^
le.
Laisse moi pii. er pour celui qui pieu
Même mouv!
fcï
m
-, . Ai'
PF- If^'FF
r F ■> l"'ii'
w
Laisse moi prier un moment enco . re.
Pl'P
X.C. 7785.
fe
^ r '' f- f
1z^
le bai_ sel- He sh fil .
l^rjyTrfTrvT^^
^^
^
A.C. 77«5.
Va flotter^ dt'vnnt lui lé . gère é.charpe blaD.fhe, comme, le si.
155
fiout sonfi'oDtqui pen _ che, qui penche un peu plus chaque jour dis
m »
^m JP
lui que grâce au Dieu qui m'a lais, se la vi . e et prend en pi
^m
i
^
1
m
^rf
^rf
5^
do
vil.
ff-^ËT-fiM^:"^^ y 'y ; fi
J f
» »
^
re_ver_ra l'enfant à sou a
- lié nos mal . heurs
»
£=^
!Ë
H^i^i^^
s
^^
')-^ ^ !t
i
^ soitenuto.
i ^ j' ^ J
^^ ., Il , J'E=E^
^
«^
/?'fs espressif.
A.C. 7785.
156
doli:e.
U^^^jVi ij- 1^ ;. ;'|.^^l
yt'ux oublieront les pleur
^m
2 K ^ '•
h
Oui mon pè . re vos
m
^^^5^^^
^gs'F^
S
pp s- **''
«tir
^
J iA
jg^
^
F-
-^
^
^^
a Tempo.
^m
veux ou _ blie _ rout
*b4
a Teuipo.
S
(y; '•? ^ '■» ^
1^ .«f>_?r^
,1 ! I
^^c:i-
»♦ B^:
^^
;•// i'y'/J
T--TC
=1^=5= =
iat
S
^
r
f^=f
r
I d Geriruile)
»P
Ail'.' agitatu.
iH^^.-^
E - rou.tt
I
tt
S^^
RienI
AU'.' aifitato
\.C 7785.
157
iA
^" >
rrrfiJ. j^^^^
m
ig
Oh! ce quartit'rper.dn m'efliaie,
GEKTRL'DE.
de'si^uaul la droitt^
A,
A.C. 778S.
158
i
(r.filiuHp >;. ouvrir I;. portai
^^
^^-T-^
tg 1P f
U-1^ CXJ"
» •
rrr
'ycry^y^î^'
-5*L
g» ^ l,:=p
r ' Uj LIj'
f J '_S
É^'LLrUjCS^
rf
Aiidaiite.
- ( sur If seuil )
P :
w
^^
^
^p
^^
^ ^
Ô Mé _ ri _ dor! ô tout ce que j'ai.
A.C. 7785.
159
PPPJ
A.C. 7785.
UT'
160
SCENE XII
DIWK «t r.EHTRlOE Haiis 1;. niai,on
I K> .M1(.N(I>S, MAIGIKOV, U'tPEKNON, QltLlS et SCHO.MBERG arrivaul i k^u^Iip
PJA.MJ.
(
t
Ail'.'" Diod'."
-h 1 1
^
, f, ,
f^
fe
-_
C^
^
\
V
V V*"^
^Ë-'- r'
kW
-J-4i
=S
l^r^w * 1
-Si
^
ç;
F
C
\
J
*" ^' ^1 i-^
— * ^ » T 1 .
Ma
^-4-
yd
y
H^
=bi
îTOC
^
—
A.C. 7785.
161
MAUGIRON
ven . du, *•
^=a
ÛU^fŒ
MMfiiaoN. -j
F^
■ r ra r — s
vy "■ — ' V V V 1
lu véri.titbie a
f .
fût!_
^r r r T-
■rr r f T^
î V r X
A.C. 7785.
162
QLHLl'S.
u. ^
La b«
te vien_dra-t-ellf ?_
A.C 7785.
Allegretto moderato.
très rythmé d'une voix pleine.
163
<')■■ r Jtr.nr ^'T^^.
Un beau cht'P-.
Ecoule, Schomberg ét-ou _ te!
Allegretto moderato.
Cu temps de la mesure précédente
pour une noire de celui-ci.
^^
m
^ it* p
^^^
tH» ., pt^E
*
1 » 1 : V
^^
r r r ir r
^
^^m
cheur de uoi
se C'est le sel _ gneur d'Anibni
I
it±
^
4'''Oi r ^- J'if g^r r p
^1
se! Un bel a _ mant, . Un bel a _ ruant.
I
tfc
^
Monsieur de Bus.
àà
m
^
te
^
A.C. 7785.
Ifi^
SCENE XIII
BLSSY parait »eui,nl du fond. LES MEMES.
i? Tempo.
^^
~Tf i^Tl
(JIELIS.
^^
r,r r- \r tf M
£
1? Tempo
Ah!
pour le coup, voilà niesciiiintes dis _ si
^^-"^ r^ffl
i
^
ff
'^•f^^
^
^^
W
f
ï
A.C 7785.
yiELLS.
A.C. 7785.
1(>6
A- j-J-r Y~frT ^'r (^ i'"''''
lui celui
floutvous étiez en quête le san _ gli
fâ
J^3
£•- J tÉ_
;* ' i a
^^
^^^
4^2^XJ.-j'-t^' i^s "g r ^^^
^^
^r^r r r^3f
Tli j
N, N -^
fr f ^ F '^
^^^
àt
f^=^
I
y
'7 _
M FF
GtKTBlDt.
i
^^
Qua - tre contre
r F p
t^
±=k
^ r r ^^^^''^^^^ i'>'>^ ^^^^^^g^
Qua _ tre conti
V Ir
- er qui va vous te.nir te.te
MAtGlKlI.N.
Al
f
^
r V
Al
^
r 1
Al
gitLis.
j:
xr rr t^' ^
^=5:
l±z
ALIous! al-loHs! al -Ions! al
J\ K A A
-fe^ V i }: i j\ j^ ;. i
T
ALIous! al-lous! al.lous! al
; _. » .— ^
ri
?lr-J qîf.^' 1 '^g^n^
f
^ ; *^
L^h^Li
!;» ' S »l
^
^^ V * *
ïi *!
-r -f
^
^ 'f i> ii
A.C. 7785.
167
\.C. 7785.
16B
hâ - te, Cet. le hâ . (e niViieh;iiile à \e . iiii_
se inoiilrcr! La Ihiiic est fort tniichantc
(111 on itiiii.
. nir •^ eiiicrrer
lui qui SI hii>ii chaii .te a . vaut
-iiir s oiiierrer
lui (jiii si hieii chai) .te a . vaut
A.C.77SS
170
A.C.77«.S
DUEL
171
[\r\ diIilM
- pp "« - - - '"■
to. a Tempo.
^^=^
1
crains je crains
PP
de pieu _ rer!.
^m
9r=p^
_vi _ te a
U ■ - PP "" -
I
ti _ rer'
to.
Ies
^
j 1 r
^^
-v-^
peu
^
pieu - rer! at _ taquons!_
55=
^
*l -
-^-Tr
peu
■/.1? J J_
pieu _ rer! at . laquons!
È
r p 1 f k'
0 #
-'l
:S
peu
^
pieu - \-^s\ at _ taqiions!.
^ a Tempo.
f A
\! j'j j'J J i j ij-jmj ]:?!
^
\.r, 77»?;
172
BISSY lii-ilaifinpii-iMniiit tout imi ripiwlani )
A.C.778.S
173
ijj nu iVi i j .11 /j ii^m
V
m
ni adeinl H't'pi>rnnn.)
A.C.7785
174
fBussy .Tîsailli avec fureur a d'un élan suprême Iraversi' le groupe 'les mignons il vient s'adosser à la porle.)
A L ^
l'^ ^^CLu ai
175
MUf.lUON.d-EPtRNON.
(BussT se jelle à rinlérieilr la rc pouss
1
^•. V *:■
Oliver
OIELIS SCHOMBEKf,.
EL
te!.
^
^
*yt. y i^
Ouver.
te!.
I
*t:
^fc=^
S
Et maintenant.
fer.
^^^QZfîIfi'iEi'i^ ^ ^ '^
A.G.77S5
176
I )m3r.IR0N. mf
m
rrrrr vf^f^^w-
r 1
A
Knt"(in<,'(iii!J
Bntonçons
^ J. J JT^- |J ^
y 1
î^
. roii _ \;inis là! Ëii _ tiiii . ^H)iK là!
Ent'oïK'ons
. scen -
tp k 0
m^
-^ t r
/■ — ^
_t'iii) - çdiis là! En _ l'on
SCHOSIHEKG. i
i,!ons la
\x\
Eiit'on
(jons
^^F
r T ir
En _ f'oii . yons là!
i
fc±
Srt
1^
rt
w^m^.
?
î* ^v^ j^ ^
1*
'^ .JH] Jïïl
u ^ ^ J Jgj <
j j '' Wà"
f^zi-i-î-^ JW^
- A
do
I
* . à 1? J j
i^^^^
^
t^=f=
I
la!.
A
Enfonçons là!
A
En -fonçons là!
Ai- .A
r F P r r I j
^^
Enfonçons la!
ï
p p F M r ^
En .fonçons la!
Enfonçons là!
A A A
') P ^f "p ir
En. fonçons là!
M^^g^
En - fon _ cous là!
- do
^
En. fonçons là!
^
m
ï
f
V V V
^ * *
*
^
^S:
rT=rr?
* * é\^é -à
V
A.C.778ft
177
H»
r T F r
En . foii.çoiis - Jà!
t=^t
^
Eu . foii-Cons - là!
En - fon.çons- là!
t ^ rr
m
En . fon.çons - là!
A A A
i i i- ^ J
A .G. 7785.
178
A.C. 7785.
179
) r
1 ^
m
Ê
A 1 assassin !
^i ^
A Tassassiii ! ,
-43
m
^t
\) T f
^
QuVst ce.ci?.
SCHOMBERG.
m
7 r
Y
Qiiest ce.ci ?_
r^j v^fu^ï^m
s
»— ^ — »-#■
^^
H^f i;;f ,f f - f 1 F 1 f"^tnt2j^,i_^Ii!bi^
'p
•7 r
^
•? r
p h
p i.F 1^' rp
les . sieiii's.
mes. sieurs, la ronde ap . pro
^LEJL-U'L-^
if4
^I^B *? I-
7 r
I
-che!
DEPERNON.
Dé . cain . pons,
V ff(?,i'
î
ît4J±i
i^^
Vite, vi . te dé. cain .
QUELUS.
i.^
, jjj;]/ [/ ^ j^^
T
Vite vi - te, d
e . cain _
A.C. 7785.
180
$
DIANE.
/
A la
(le! à r.ii
sfe
=Î2:
^
^
dt-! à lai
A
*P
A la
de! à l'ai
de! à Pai
-^— T-
-p.i
-V-f-
jpoiis,
^> ff 7 r
_uons, - - sren - . ,- ^ ^. . - - do.
^j^fmj fWf7\^ vff f^
^
v-^
f * ^ # - . • ^
^
^^^^^
•ç^
lP^=r
s;
-de! à l'ai
A
de!.
^
;. N 7 r
de! a l'a
de!.
^
W
1
j-ifTn jjgi m
<^
i
A
//
^
i^
y fi;
J7T^- J??l- nirTn
.\.C. 7785.
181
SCHOMBERG
:S«
' 1 ^' I >' V
vi . le!...
Vi.te! vi - tt
^^
m
:s^*
M(h! vi . tel
QiELrs.
' 7 f/^'|[?~^?r
ï
V
Vi.te! vi _ tel.
A.C. 77o.5.
182
BCSSY, à travers la onrl
M.
( il tombe)
DIANE.
^
(Elle desrend IWalier
pnle.une lampe à la main)
r=
Si
GERTRUDE, sapprochant du corps
4l
^-i' ' ir" > i' m
^
Hé . Ihs!
ils loiit tu . é
En ralentissant peu à peu.
^f^^^ hfi^' ^l^^f^'^^^
^fVf^ ^^.pt
A.C. 7785.
183
Bi;ss>
LargLetto.
(n ouvr^ les yeui et voit Diane)
^" U.^^^
Ail" mod'.
^
S
Ail" mod!
(il retombe)
La ronde de nuit rentre i la B.islille
sren
do.
j- -.j ; 1
_ La_ i_^ t_^ L-a^
A.C. 778i
184
^M\ i^
S^UJ'
t^ r 1.[ 1 r TTri 1 à 1 i-H->! I î i! i j
pre
^^m
CT
Q
S
'l ttj
i,g 1 e T'
<res Sun tenu.
A.C. 7785.
Fin .in l"Art..
(S<"ril.leani
ACTE II. 183
r TABLEAU. A" TAKLEAU.
L'intérieui» de la maison des Tournelles.
/,(■ Tlirùlif est sépare en deii.v coinpiirfimeiils inéi}an.r;ti droite, restihiile;
il r/imr/u\c/iitml>re îi coucher de Dinne; mi J'und l'Oratoire.
Aiidaiititio cou moto ed a^itato.
PIANO.
m
^T^
f
pyj:.nn
f
pp
^
^m
m
^mA
é ■ é •
f-
w
f^i^JM-f%
^^^^^m
p^
r
^^
r f- -jc^^
7 7
^
•'• T'-r^
rn-PlflffljiQ
rp^ni m-^^
f=^
^^n
r r: r r
m
^i
^E
^^
A.C. 778.^.
186
dim.
7 ri7;r |p?
^efu rti J^
^Sïp
h
PE^
ÙX
i
^1
legato.
rt^^TOis
^,^f7/j;3;;^jS"
p
i^
f^:"i f^-
a
tt
^
S
r 7 r •? r
^
^
:^ n -^
^
i;* ^» s
A.C. 7785.
187
Un peu plus lent
i=*
JIJ. ^.i'
r' -'U r -LJ
rfo.
ff .^-n
^ 0 IL
F r r-Li
F f
^
e.;pre55iro.
jta^^
A.C. 7785.
188
jt-i
Conic prima ma più a^itato.
"•/ »:
» r 0 »
S
'f^m^
s^
M f ^ * f i^z^^
* » ^'
P- - ' 0
7
J
» 4g
■? ^ ^
^^
? ^ -F ^ ""^
^
^- -rrî'.^ -r^hl -r^^^ rfg
±s
''/g r ^
J^
J "- J - J " - J.
P
r-— r ' r— f
j>-Jil!5J!iffi.S!^' y^^.
;»*s
.\.0 7785.
189
A.C. 7785.
190
SCENE XIV.
DIA.\E. rêveuse.
LAMEIVTO.
Aiidaiitiiio agitato.
mes II ré_
DU\E
PIASO.
'• ' }> j J^ ^ J' ^'' I J_J
D^.pilis hielifôt II . I
Aiidaiitirio agitato.
le .st" _ inai . ne.
i ^ r r '
^
i^^
^
S
' Mr.. F
-^— ^-
$eS
Qiit' fie'iil-il è.tre de.ve _ iiiiP.
Ef quel est cet at.traif (jiii toii.
^^=F
W
*
^=^
t
I y
J_J J>JrJ'
r'p n^^''
^
.jours inera-inè-iie A rè _ ver de cet in.coii _ iiii ?.
"if
àE^
m
^^=^
?=J 7 r
f
^=^
pp
r
(»v.8 r>
^
[XT? r I r p ■/ r ■/ g
A.C. 7785.
f#*=
^-^ ""« *T
fti-
. J) F^
=t|
=^
"Tji j
191
r
r, P '
iiiir..
[^^'
^ 4 é' m '
(îertrude qui
1h
SH if
— ■! — J J
uf- veut pas
me le
>- >
l;i> ,r^ — ~ =--
r^
i
1 ^•^^"
/^
=^^
^^^
iV4
X
^ ^
' — £> .
f' ^ ^j'jj'i' J'i'Li'J'J'^i' ^'ir h [7 F F
(li . re:Dans le prochain cou .veut elle l'a fait wjii . dui
P.
f
re; Les soins n
^^
'y r g>
-f— ^
^
^^
S
a
:5feF=f
^^
f
'/ ^' F r r F F ^^
^
r'y r F F
.eux ont-ils hâ-tés sa jj-iie.ri . son?.
1
■^M^rrii
Où bien trop vi.te
E^^
^■
-À
^^
S
'' J ^'' r:r F F
ff==ff=^^=s
^
cj F ^ ifei^iK r-^'i; r ir [;^F^F f
mis hors de Cet _ te mai. son?Hé-las!... Il le fal _ lait Il tant fpie |e lé
«
^
g^
■r
ir
^3
4>J' lU J'^^rfir-^^
de ma peu _ se . e an>-- . si!
^
i
f
^^
1^
tt
I^Pk
m
•7 r ■
frinnifTi^^
\.G. 7785.
r— '7
192
^
,rf rr Nrr.'''J'J'pFir'"^-J^ H'- p
l)p;ni iVaiirail-il (loïK.qi'if . (e cedaii^rereiix a .si . It^, Que' pour la-hri .
i
1
-^ — ^
S
^^
^Ï5=
1
le
A.C. 7785.
1^3
nu? Etijiielest cet at- trait qui toiijours_me ra - me. ne a
''jJjU:^ a Tempo
Jc^ruiNiuii ri I /D Lg
OIANE. (iivir .-Lui)
Ah! ' quel regard quand s'ou .M-it sa paupiè . .ri
Più aiiimato.
$^ïi 'fufu m h^' ^- ^ -Ti
■0--d-i--d-é-^-^-0--0-
•< :t -i
sonteiiiito
ïfTifnrn
fTî m m m
^^=t
^ ' ci'^' — d"^'
V
MP'O ^' ^ UU'-^' } ^J'^^
di _ . re que peut è . tre il est mort Et que je ne sais
P
^l^^iK,
îsï
LU'
JTI m m
^
^
f-=T-r^
C^-t
-fr •?
A.C.77K.S.
194
"f • ^ j\jj^i;'j'i'^'^ J hi'i'i'J'i'r. p
Depuis bien. tôt u.ne semai . ne Que peut-il è.tre de.ve
^^
É
-*! — ^
4 i.
•i' — ^i
i^i>
i^'-r — p
=^=^
nu? Et quel est cet at . trait qui tou. jours nie ra .
A.C.778.Î.
195
rite _ _ niito.
a Tempo.
^« j_;m . ^'.^'^ n J.J-'i'.^|J.._^J„J'
A.C.7785.
196
SCENE XT
DIANK.GKKTiaUE .
Môme niouv!
CKItTlilUK (.•Mdr en In',!,)
Récit . (nr- irouhipp)
por. te. trois hommes sont entres, venus je ne sais dbù
Est - ce
A.C.7785.
197
(à cllr ni^mc)
A-
ni'Y trou .ve.ra mor . . te...
^^^^^m
jou sait - il yo.tre retrai . te?
i
-^^^j— ^
-VH^
U
^M=^
$
^
^^
^^
Va voir!...
(Gertnide obpit (crrifiep)
\j)n^^^ j' jvi
^»
^^
•? r =zE
crier au feu?..
L'un de ces hom.mes est mon.
^
feig
S
^'i P-
do.
m
-tfi-
^1
^^rmij
^^
^^
^-*n
^' v"P P^^pri Shff'fiir
S
1^' ^ p y l'p pi
qu'il vien.ue,,Ienecrainsplus rien!
(lede^renHnnl)
di minnendo .
A.C.7785.
198
vous: ce.tait Monsieur le Coni - te!
^ r' ^p F I > J' r J Jl ^^
Gei- . tiu .de, Et ne te.loi.gne
.MONSOHKAl a Cerlrurte)
Vy r p' F F P g r
Laissez-nous!
i
((ierdude -Norf *■( va d;in> le boudoir A ijjturht')
^
(^^^
^
^. I j;J7;]\7p' I ,p"j-^'
i
/Jl» marcato.
e^
A.C.778S.
SCENE XVI
DUNE, MONSOREAi;
19-9
SCEI\E DE LA LETTRE.
Ail'!" niolto modt'rato.
MON'SOHliAU.
m ^- r -, F p P T' P I f ^
PI A sa.
^^
Ne piiis-je entrer i . ci sansque l'effroi vous
Ail"." molto moderato.
^
f^
(itiouvenit'iil (Ir DianoJ
f-- ^(rp''FPl^'^prlpJ'jO''iiJ'^
Moi?.- Je [jiiais Qui donc est entre' sur vos pas
'H' T ■ T p 1 1
r ^PBF^^^^
Des gens à moi Di.
$
^ ■ P p p p M ^^
"■/
Vousnieprotë. ge . rez!...,
^J:. 1^ B P T^ 33
. r p- F
^
_ ane,un danger vous mena . ce!
Et le pour.
^j> : 1 r
•7 r
/
m
w^gn r
T=F
A.C.778S.
200
lai-je helas ! LeDucdAn.juu crut à vo.tre (repas Quand il vit sur le.
. tang votre e'cliar.pe flotlan . te Et tous y crurent a.vec lui!
i
3^
bien! •
Eh bien!_ aujourd'hui; Et c'est de là que vient mon e'-pr
.van - te. Le Duc d'An, jou vous sait vi . va
.\.c.778â.
201
p- f<^ r V u 7==^=^
i
Le Duc?
PallHi
His pi'ier pour mon
vous a vuf a
à le _ gli _
^
/
w
r |f*^
V
a Tempo.
Ff-rf-t
^
ES
1^
fr-é
Itn _ pru.den _ te. Il vous a vu
a Tempo
e. Et
e. Cl ses va
<'):,l> p
^m
^=^^
^i^
_lets.
lont a.ver _ ti que cetoit vous a _ bri
^
scen
^
te sa passi.
te^
î=l
i=i=f
I g J I
S
J.
^^
^=^ij
/ M 7
•> '^ K Tng
^ fppffrif P.Pp
^^E
if-^-g
S
.on que la coJère ir _ ri
J> ri y -k— ^
te sa passi _ on.
^'' il^'i'^i'^j
^
^ i' ^ =?= J'Tb
I
^^^-
è
^
T ar rar »
^
1^
A.C 7T>--
202
Il moubli _ ra!
S
té^.
^
t^^=
-sil Voila longtempsmiilvouspouisuit-
^
Uéê
^
ïf^
^^
É
1
WT
r r
H^
^
ëE^iLil^AC:^^.^^^^^
Ê^
Quand on a la fo _ li _ e . de vous ai _ mec Diane est-ce qu'on vous ou.
$
i^^A
i^.
j^ =^ ^^
>^i
Se
^^^ — , •/ ^ 1 r ^ f==F=^i ^ •? ^ r=-F
fW
i
f=PfP
f \1 T
rif IflrVIrrrrrrrrf
A.C. 7785.
203
D.^f ff 1=^
m
m^
r f t' r. ^
Par- tout-
il vous sui _ vra.
I
^^M
— jus.quà ce quil ait re ,
fl^-P'R
p.
m
^2
^^-r-^
=^
,V I, i'f " r m m.
- * » 4?
p4^-^-H^
- 'o.
Q^XO
.pri_ se, cel _ le ddiit le son - rire in _ ge _ nu fat _ ti _
^^"inr^
m
m
y
to. I 3
m
i>-^ - "■■ ^j
^
t
DIA>K. a Tempo. c.^
r
i
s
^ " >>r "g
^ï
^
::3t
Ah! sauvez-moi!_
Ali! sauvez-moi!
ffi
^ F F F
^^^ïî^
a Tempo.
^^^
Jeu dé- ses
ù
•Pen dé- ses
^ jy
f
•? •>
^
n -^ T" - rn
p^
£j*iig:
f
"^
A.C. 7785.
20i
niANE. MONSOREAU.
^?H^— ]MH^
^
I ^m ^\yj^
heu rc je ne peux rieu!... Rien!... Mais le Ba _ ron
vo - tre
m
r •?
^
^>-^''<r^rc^r- TH^^^r P'fg
El lequel?
i^
>' 1 r
pe _ re, a _ vail cru trouver un mo_ven.
.A _ ver
*
T
¥
^^
J •/ r r •? g
^
m^
..h)--i> P" Pl^'fl^
^^^
V ^ P' i^
_ti quevdus étiez sau _ ve
e, le Ba_ ion, (iesmouar.ri.
r ■•i'i''t^iN'tV'è\'tt4^
^^'J" J^j^' lj'''''^^r^
I
_vé _ e, ma-vait don.né pour vous...
A.C. 778.Î.
20S
$
Plus lent.
^^^^
P
m
Il m'avait don _ nt', Dia _ ne, ii-tie let _ tit
Pourquoi
•7 r
Plus lent.
m
^^
'^
TZL^
$
m
"^ — f--*
:^r-*-
honte; niaisjenosais réclamer unsemblablesalai _ re Jai le malheur
I
m
i
pn^j ï j J^ L-J Ji "^
f
Tf — f
r
i
^
W
s
W^^
$
Ail? agitafo.
^
r 1
m
Cette let_tre...
<'Ati^ ï>m m ff=^
^ (le vous déniai _ re Pins que ia
f ^^[^-^====f^
le vous déplai _ re
Ail'.' agifato
Pins que ja. mais le péril est près.
A.G. 7785
206
Quelle lorlii _ re! Cette lettre mimsieiii-!...
(il 1.1 tire dr ^a poche) L^"
-saut!
La voici.
^J J> iJ /^=^^
m
do. ,.
^:a fff f ^É^
ff4-^M^
iMifel
f
i:
É
-f-7^
- ^^V
(Diane la prend en haie)
.fc:
A ^
^m
i
rUUyVi
jgs;^jg='ir MpVK-'r h7
P
f
a:
^
i j rf^==^VJ>T r'^UH-x^ K^ r fv j -; r -
à
m
H
<-^-i — b»
5
V V
m
Aiid'r sostenuto.
t)jij Jfc
±=±=
«Mon enfant)).
And'."^ sostenuto.
1
^
1»') - t*
f
r^^^^
/re« doux et c.ipressif
3^
i^^r^rft-^
VP
MO.NSOREAt". P
S
iîi^
^ — ' f »
f Pf if
EE
Vous reconnaissez bien celte "iliere e.cii _ tu .
"^ Wj
,=f^^ Vl \inÊâ
W^
h^^j^^r^-i^'^fr^^^^^^^
A.G. 7785
207
'^■1% r P'M^
(Elle répond: oui, du ges'ej DIA.NE. p
«Crois en ce _
^^
h^^f^^
^
j- j'^j ^'^
:ej e^
pp.
f ^f f.
ÉÉ
^
^^^^
il
r^r-TT
f^Fl^
T
r^f^p
I
^?^
rr ir i ^mji^m=^^^m
\> -r^ à>^
c» f
-lui qui te de _ fend, oomnif au plus sur a . mi que lecifl nous en _
i
5È
X
a
«^
~--jFi r F Vf
^^
ié' f" f^'^ r f I ^^'^'' '^'^'f r r ir'^-^'^^''^ -^ ^
.voie; Tu lui dois tout et tu peux au jour, dhui d'un seul
'■ LJ fp du ^<'^ 'liiiiTi
a
Pi>_^
¥
f
m
-r
w
lT~'h' JV ^> 'j;;
A.C 7785.
>0.^
W^-7^
F^=r
1)»' _ re ceUf joie_
a(]itaudo.
7?
m
^^
a Tempo.
m
^
P
pp
^
^
le-i^
Cest ton inte _ rêt ^
'7 r b# «p
El
^^
^-J JjJ.
^:. ! 0
m
^
^£
f^^
Ji '% v^^^^^
rr^f
s
W
-ê •-
-^?— F-
W
•^m
bz£E:
'fOes sangliils ploiiffant)
^
!ï
-^^"^^
3^:=:
c'esl^
ton de . voir.-
i
^z W
t j/T/J^
^^^
^^^
f "r r"t
^^^f^f4wtîj#^
f=^
A.C. 7785.
209
a Tempo.
a Tempo
Ah ! ce mot que re' . clame un pè - re si sa . ge et si
doux je vous le demande à ge . noux Le di riez-vous,
I
, niAKE. S>(fl»-s larniM» dnn^ la voii)
j' J' i' F M^ F ^ P r f > p p g
Moi,
de.ve.nir sa fem - me, 0 mon pè . re^ qu'e.xi-gez-
v^i r~"r 1 ff r~r f g h^ f^r p pr
da - me? In pè . re le re . cla . me! Je le demande
vous! Je recois votre or . dreà ge. noux!_ Mais jai la mort dans
m
F lit»
^
F=F?
r r r' r
rfmi
Le di . rez-vous mada . me, Le di . rez
j H J j
3
t=t=t=^=t
^
^=«^
>! y f i i j i
^^=#=it
^
n 1_
t>*:
I' f j ï f
-:4r
A.C.77«3.
210
n - do.
^ > > ~~
fr. ^; J, 7, ;, J g
^i r 7TT~^^
là.nie, j'ai la mort dans là .
en . do.
Hé. las! qire.xi.fit
21J
SCENE XVII
LES MÊMES. GERTRIDE.
GERTRIDE
l'IANO.
$
Allegretto mod*"
A- leite on \oiis a suivi... J'aperçois à travers les barreaux de la portedes
Allegretto mod''
^Œ
^^
$
" ^ I V -^
"^ftr p g? r g^ ^m
Ciei;.._
me délivre, rez- vous de cetfe an.
S
hommes!
(à Dian.)
^
^#fl^
m
^
r 'f-
«at^
Les miens!., le duc et son e.scorteI
-.|4*" ^P g s <
O. oicl. niHol)
S
i
F ^ \IH? ^'^^^T-|H^
Moi!
4i, ■
moi combat.tre le duc' Et de t^uel droit ma.
i
JJ^Z
[m-\ 'ir-r^
A
A.C. 77H5
212
55^
0- <0 fi 0 . »
v-^ M g ^ •> p p p g ^ I ^^ g n' M T. •^ • P
. da . me ?
Si jetais ma ri . é j i.rais trouver le roi, Le
DIANE.
fe
(ii ellf-memf)^
^m
•7 f
Ja- mais.'.
M^
Vil (^ ni^ gl-M g r iq p ;; F ^" p ^LJ ^ c^ r^
roi proté-^erait ma femme !
Vous a.\ez dit: ja. mais.'
PP
.dieu
A.C. 77». î.
21 s
GKRTKl'DE
^" l""0
Ils sont toujours- sous la fe.
é-Lî ^ p F F -^rY^T"^
Ah! pauvre cœur bii. se!
m^f^^^ffï] j-1
t>: î_j ; i
S^
E^
*=^
^
^
' fbas ii son valet en lui monlranf loni)
MONSOREAi;. . a - -ff-' -^ -^ Bé
^M ^' ^
fl. valet SO.I)
V r-^
?
Fais en.trer là le prê . tre.
T -
^^
^
^
=&nn;^,^^î'"^fy
A. t. 7785.
21^
Aadantino con moto
MONSOKEAl'.
E . tait - il donc si ma. lai. se do. bé .
Atidanfino con moto
DUNE.
A.C.7785.
215
Vous a . vez paraît - il. tout pre . vu ,
mè.nie la vie.
m
g , f! î 7^
a . \e tout pe -
''■ r r ^ - M p H Cj — ^-^ — ^
é
- iii.
Pour vous as- su _ rer un des . tin pros .
A. C.778Ô,
;i •
Cédez, cédez Di - a . ne, ce _ . dez !
Tout vous a.ban.
En . fin el . le sa. ban- don
A.C.7785.
on . gfe/ Ce que vaut l'es .
^
^^
F ' r^r ^\r\
rr^j
ne et
haut
T
^
^
f ? r r rt
r=
^
2IK
rx . fe . nu . to.
Cils sortent p;ir Ih porte de l'oiatoii-e)
[Pt-'-r-^—7]
J ./T-;,
hn^\
-^3 i^J'J^'^J''.
»:tl l 1 f
^=^=^
^-4^.
^M^-
.r î-l^-^ .
^4^
^^-^^
K^nr r r j
(' r
f
: 'J-
219
SCENE XTIII
(Au moment où celle porte se referme sur eux, cpIIp du Cabinet à (fauche s'ou\io et Bussy eu(re)
Allegro mod'
BCSSY.
Plus lent.
. ne...
Plus lent.
Ah!_ rienque d'y son . ger sa beauté' souve .
A.C. 7 7«5.
220
lau lie m'eblonif
Et je sens_ que jen perds la rai
liini. rit. ^ 0 cher souvenir uui par.
= — =^— And!''caiifahilo.
je un mo. ment pa . reilJ
mo. ment pa -
^
r iT F p F F ^Tin
Cap
tif
sous lin lin .ceul de
^'Œl^tB^Û'Û \dïïliÏÏi"^^>-
(^^
m
m
"j j
A.0.77B5.
22 2
ri . te . nu . tu.
plus chaud qiuiniavun Hcso.Ieil.
7' — -; f^
rr ^'?
tii- au réveil <r ta . von f!r soleil! 0 cher souvenir qui par.
rr *^'^ '
A. C. 7785.
225
chaud qu'un rayon_ de so . leil Ce doux regard- plus chaud qifun rayon de so .
A.0.7785.
224
a Tempo
ri . fc . nu - tu.
a Tempo
r-^ — -f '
A. C.7785.
225
BUSSY.
PETIT tHOtlR
de
jeunes filles.
OEGVE
sur le théâtre. I
i
CHANT n'HVMEIV DAIVS L'ORATOIRE.
And'.'' cou nioto.
1 ^ p ^'
i
l''."Sop. nj
Pourquoi ces vceux—
•2 ■
r>ii'J'J_iJiJVirr>nM^
Ve.ui suonsa chrih _ ti, Ac-ci.pe coro _ nam uuan _ t)
Aud'.'^ cou moto.
JfU (rè> doux. _ I
^
irCla
y 7.
m-
■Ts
h^
^
m
U
é
é
^
-T
't-
-r
p p g F r i^B
:3^i±±
Pour qui_
ces chants de fê _ te?
ijlrJ'-^r~rf FFF.P.r-r
^
m
ï
bi domiuus
piaq)a_ravit in ae tei' .
^
ï
^
li — J^
g
i J-
^
^.^
J— i
^
¥
»y LE PRETKE.
^m
^M
r 7 î
fc
Et
que Dieu
vous don
I
ï
^^
ff
^m
W^
tj-T
f-
-t^
^^m
f 0
? '
§
^
^#=^
(Bussy s'approche et regarde par la porte entre-baillé)
bon- heui
sans mé _ lan _
^
^
rr
A.C. 7785.
226
Môiue iHouN' oar temps.
Cette femme à geuoiixdoiif le fiout est d'un an
ge? El - le! je le.
Même niouv! par tmiips
vois ces tiails a-Horés! mais quoi? d'où vieut qu'eu pleiiiant
l a _y — ^ j. j^ j'^
_ chau _ ee cet au_neai
fFT r
cet au_neau d'or
pai' le prê - tre bé.
'' .i-^JULMi^lLÎL'^^MUiii
ig-- r J ^^
JZJL
^JTTà
scen _ ' (lo.
A.C 7785.
22:
1"^ Tempo.
^
LE PKETHt.
»</•
^#-#^
II
^
g I • n;
^^
r I p ^ f/ F i^ffg
SF^
i
nus prae.pa _ ravit iu ae - ter _ uum.
al _ le _ lui. a!.
^ys;
^
:^
^
^
^^
**
^>- f' > V
^
È
^
LP M I r
I
BlSSy (douleureuseiui-nt) Même BlOUV't.
^ r pr iH^r r w v ni r 'i^r -v^
Tout est fi _ ni!
A _ 1er _ te! ou vient!... sa.
'^M
<^ B 1 f
i
men!
Même mouvt
•^ „l 1 . _. ..... L.._„ L..
(Il s«? rejette dans le cabinet)
^m
chons quel est cet homme som _ bre
A.C. 7785.
!2»
SCENE XIX
OIANK, CEHTIUOK. MONSOIIK \l. BISS> (d;iN> U- ci.l.in.l ^i jiuurlie)
AlleKi'o
(res;ii<i:inl de >:i larhelte)
'* m I 'h m "'m '* j P P » I F Pi* P
Mon _ sit'ui'
jf suis votre feiii _ m»'. Le
^
4 ^ M M ff^^
m
%:S:
M C« iPg=g
^^#^
FT^
f
^
F' t
s
1 r i r
^'
.^i
r-^Y r I
i
^
i
r r F r rr rr r^ ^ r > ir'^f??'f'r r' c
^c
irêfre ayant bé _ ni notre an.neau
maisj'atteiids !a hi/nédictioii He mon
A.C. 7785.
229
MO.NSOHEAl (>ur|Jris)
m
^
Méri_dor!_ Ah! je compifods
^
r y t
n
Mada _ nie!
4>Wt^
i±
V' Ym
IF^ J'J
j~^
t'p
m. r-r
-^— r
^
T
1 -! -ri ^s
f^
1
b* f»7
Allegro.
Più aiiimato.
J
*"!* * * F" ^' ^''•'1* *'*
y K V-
r k k'
^ousmave/ dit .lAutdUrde
-f-^
'■ f rr ^^iH^4^^^
Elle a subi ce pacte iii.fà _ me
^ t>#-
Più aiiimato.
» . g» |gj!>
^?^^=F
r rrTir nr r r iTFfrr r' ni mm
vous (dut est dan -ger, Le dur d'An. jou vous aime jusqu'au eri _ me, Sovez ma
4 j j j j
^^
^^
^
«¥^
i
ri _ /(' _ nu lo.
i i^ J' J' i' i- r M .^J- w f r r I J }
T r T
I
femme et je saurai vous pro.té _ ger! » IVo.té.gez - .moi,_
ri - te _| nn _ to.
^^
m
^^
itoÉ
^
^
^
r ■? r ; -7=^
F==^
A.C. 7785.
Î30
a Teuipo.
^=P
. sieur!
>l(l^^uKtA^
ItJi
B k' . . i=*:
r ; r I p-rsr'f^^
Ct' lôledf vio- li . nie, crovez moi n'est plus de sai.son; _Vous ê. tes dans ma mai.
a Tempo.
m
r- «r: rH^" t^ t^'^ir^^nr-ir" sr fF
SOD, Dia . ne. Et vousê .tes comtes _ se, com.tes _ se <le Monso.
^Ê
m
^^
i^^
^
3=^
'-*-î -5
33 «^ ^
â
-f^
Mf f r f
T r n 'r '
OIA.NE
Non ce nlest pas le moment en .
A.C. 7785.
Allegro
231
J'attendrai doue!.
(frcniissaiit)
Kécit. ^^^ ^.b« y.
Vousavez,je vous ju _ re, tort d'oubli
a TempOj^
P P f ■ g T
:2=
V V F y ^
k" f
Vous même à vos serments ne soyez pas nar_
'^'TT'^T p-;;
. ei' mes bienfaits et mes droits
a Tempo.
m
^^w
g
!> 1
I ^
3»
p ^ <^p ^ p -^ ' F •^ p '' T ' !^
(efCrajé)
^
^
^
crois L
MONSOKEAl' (hors de lui)
'>■ r ^ P F T ^
^^^
Gertrii _ de
1 r v-£
Vous me poussez à bout vous pairez cette in _ ju
Au
ï
a=^
î*~^~T
iTJ]-nT]
A.C. 7785.
23:^
I
(appelant)
^^
Ê
XlïïïïîT
=^
^ ^ . * - ^ . _ , (fermanl la porte a (.erlrude) Li . _^.
tant de baisers que d'aftrouts
Dul De vieu-dra! Tendre (luuou, il n'im.
f'j'Tt
f
ff
\
:a- ;^
^ w rà 1 ^
É
^
f
r M ;
f
1 r --
g
n . fe . nu . /o
kû
ff • [>^
S
a Teiupo.
=F=
te! Je vous au _ rai
cet . te nuit!
a Teujpo.
OIA>£ (a (iré sou poif^nard)
t ■■ ■ ji I r
r f r fTir ?
"'j — -
BISSY (à part)
f^r> r r'^br-r
^oi _ la comment je vous ré . pond
''* Nous verrous!
i
^ ji^s7j?;i^i-li
±=±z
i
lif VU ?
^
^
i
(elle s'élance dans le cabinet et referme la porte sur elle)
-f ^
t^
MONSOREAU.
( il heurte du poiugi
■ffj>
i
^^
Ou.
^
T=^
tljé.4 Enfer!.
■' f f Vill}
« 1 -
I
A.C, 7785.
233
I
.vrez! vous me trouve _rez mor _ te
Bl'SSV. ( en la remplaçant près delà porte)
, k K K iiy 1 \ ±
dkÉ^$â^
Et vous au _ rez un veu .
W
if 0 —0-
tS0 P 0-
f f ;f jjii
f^
»ii _ nu
en . do .
m^
m
"if
^
r£=ira
Lui!-
Lui!
-geui! Oui vous au _ rez
MONSOREAU.
un ven _ geur_
(fond de colère)
^
r 1
Dé
^
^
^
^^
'il'iL
.^
..5^^ r^w.
1
fcifc
^
1 rin
T T
A.O. 77«5.
234
a Tempo
UlANt
^f M-JJ- J?^lp
M r c ^ T r^
^
I
ffBlSSY.
Je ue crains plus t
hai - ue, com
ui tun a
^
r •;
-'î —
^
, rrr p-if
1 ■
r y
'■>■: i li
.^^
r I r ^r"p p r
r " r r I r ^
Ce bar _ dli_
ca.pi . tai -
ue me pro.
y y ji j_ j if r I r " -j^ , i: il } j / r^r
Soufflez qu'un capi _ tai
ne vous dé. fende à son tour_
^
^
rr prrr
fl r K
^
Je suis i _ vie d'à _ moui!.
Je veux tes br
ipoui'
:ÛSà
i tniii^iHi^
^
-^nttfTM^
m i jji
Uu peu plu« reteuu.
A.C. 7785.
A.C. 7785.
I
a Tempo, un peu animé.
^^
tourL
MONSOKEAD.
M
}n JJM^^^r-C?r/MO^F F y P P
t—t-
Nf crois pas à ma haiue, Je suis i _ vre d'a.mour! Je veux tes bras pour
a Tenipu. un peu aniiné.
^
s
^^^
ii J J i
JU i J
^^
f^g/|r ffigl^^
irr
nat
^^
^
Je ne crains
iP
dS^r
Souf . frez ô
f f î,:- ir^orf fir
p ^ F r
chy
ne, Di . a
ne JUS _ i\i\ au jour!.
Ne croiii
A.C. 7785.
plus jt ne crains plus ta hai
GERTaiDE
da - _ me, ô
')■■'} /^' r^
fa* I r ic^
F^r r
^
vie d a _
tf
-4*-
^^
4^
^^
^t«==F
-^?-^
^
^
01 ton a mmir
diln.
m ton a _ nioui-, com
te, ce liai--
^
j^;.| J.^J'--, J 11\J'^1 }■ il J^
^
0
pu _ re comme le jour com. me le joiirlDieu rompra -t-il la
dim . p
ï !>* ' f ^
^^
^f W »—'^
i V
Y V
Qu'un hum _ ble ca.pi . tai
(.):».#
^;>
§
» * 1
Je Veux tes bras
pour___ chai .
^
^ P
#* — I — * f *r> «fa*;,-^
^
f'rrT-rm
k ^ >
r ; ^ ^
^S
^ t^
T^TT'g^^^l^^
^■^
'F'F
^ ^7^
^
r r ^ r r r r I r r ' r r ^ r r I : r " r P h p
A.C. 7785.
- de à
W 1 r y ^P P F' ^
^
V y Y y
^m
ne jusqu'au jour! Je veux tes bras pour
- tf' .
je, me pro . tè _ ge à sou tour!
•li - gue amour
de cet in.di _ gne a _ mour!
toui-
vous dé . fén . d*^ à son tour!
chaî _ ne, Di.a _
ne u's
qu'au jour!_
L'HEURE SONiVE.
Cloche.
(à lui même)
:5îi=»=
239
p • 0^0 » m^ p >ft ft ^ 0
Quoi! — neuf heures Les chefs du complot vont m'atteu
^M
^m
*! r
tMz
^^
Ahl,
ceu est trop!
' i ' '
»
■tfi-
fr rr |f ff^ri^ r
^
Oui, ton cru el si _ len .
ce te con. dani_ lie crains la
r - >aj. ' ^:^ I ' tf^jfrJ N JiLJ'
AO. 7785.
!40
Mais
i
«5
çg 1
^g^
fr^
:^
li
■e^ci
s
'j ' <j 'jj
^^iF4=?
î==î«
?T^
7^
v^v, Y-iijTTjjTjj^lMY fJ|
^
^
(minez. <* >. «* TeilipO. ( f ii=sanl devant Gerlrude qui vient d'entier et qui a
assisté a cette scène terrible. Il» s'elanoe dehors en courant)
Pi^gl
f-, fff ,f— r
g
tSi
-f-^
Je revien . drai
a Tempo. ^
A.C. 7785.
241
Bl'SST. fif'nt'tant son f'pfV an foiirifau) ^
A-r.-. Ijp
r- fMr^rrrU vpr iff^t iivtr r.
Ah! tu reviendras eh bien soitî.
■ïfz
J" appassionato.
^te
^3:^
^
^
fem. me!
«ISS Y. (sur If sriiil)
_£(ri5tfmcii()
yriV C;^c}!r"p^/n- FTr f ^^
San. \e
par vous _ je sais quel les. pect vous est dû Com.
j{3-[Jj]hr'^fe
^
f
m
j.
^
'V r f r
ta
^Ê
^
ï^
a Tempo.
4 " ' 't>\f^ r ' I' pp^ tTTr' "^p
^
Ain. si,
Vousa\ez enten.du?.
tTT^
tes . se.
a Tempo.
m
f^'^^\'p'^
^^
^é
^m
i*»^
r^
pp
^>"-^^tp
^
Gardez ce noir se.
^
g' pr pif f
Tout he'-las! oui ma.da.
é"i i^rhif^m
fVti'i
ppp
dim.
i
^■F^
M M j"^ j'i
Moderato maestoso.
243
.pel . le Bussy d'Am. . boi .
Moderato maestoso.
Je
lap
le Bus . sy d'Am . boi
i-- iJ: i>ï^a
J V cre -
'x^h ,-, ^
A_
^
^
f
rends l'espé. rance, Tu me rends lespé . rance! Ger.tru . de bénis
A.C. 7786.
244
Dieu_ Riisqu'il m'envoie i . ci
A,-^ A A
le che . M
ri -
A. C. 7 78 5.
1r A A A A^ AAaA.aA,A^
\m\{m
Aj^4-n '^ A A A.
^A A
A. A A A A A A A
w^w-^-r
m
m
A A ^
^ i.J i
m
^
=d=i-<-g-
<-<-g--T-— -rp-
f
A 4 a . A A
A -••♦ — A
m
^
A A A A
^^rgrr
^^
A A A A A
F[jrEfif[jfr
î
y[;0^lv[JO^IP-^^•Hj ^
?^^^=
A.C.7786.
Fin du 4f Tablean.
246
5« TABLEAU.
Au Louvre
Un grand cabinef Koin'ranf ftur une galerie.
I!\TRODUCTIOI^.
PIASO.
f
Allegro \ivo.
• 0
p^
' à ^
f
l,\-\r?, =^^==
^
g
y
J
b
-
>
\
^- -è 1
F
#
1
=
• ..
%=^
0 1
> —
' ¥ J
pW^
J J j p-
e.
^*Pf=
F A r
frex marqué.
44ij|,
' • "^linJ ^
i»f^s^
i»^
-U^
^-
^^^^^
■ ■
-'»^ ,t ■ :
— • r - — r~^~
^T 1
'^ • ^'
.«f fLIa
^=^
jp'^jM'"
l.-r ~ • ••"■■■
Biûy Usi/
lif ^ f ^ "r=r^
ÈPf%=^=f^^
A. C. 7785.
247
.\ < 7 7«5
248
SCEITE XX
LE DUC D'ANJOU, ANTRAGt'ET, LIVAROT.RI BÉRAC.
Allegretto niolto mod!"
Ne désespe'-rez plus, mon . sei - gneur Cette nuit ia ligue a tenu se.
A déi ci-dé la dé. ché. an
ce De YO.tre
fie . le et procla. me'
LIVAROT.
Voi
cette
S
^^
m
Vous !
PP
m
s
^
&
j-^t'J
4^-^
Vous ! .
^S
&
=f— tli
^"
ÎS
m
ijj"' "
-T «> =f
249
^i. J. _ _ J' iu I J }.
g-lf X^-M
- ble pour vous é . li
1
(h>|.or,i.e),
^ T F IT F F r !• F ^ -'^7
s
Mais mon frè. re \it ef rè_ gne, il me
4^1' g F HT iT i's^ I ^^^
et vous couronner roi !_
*^ ' gag _ y pp^ ^ ^
^^"îi^;£î^"
ê
s
u;^^|,;jvi|^^
.\. C. 77«ô.
250
- gneur, vos timidi - tes
peuvent déchaî.ner des tem . pê . te*- ! Tous i
S
f ii^Uf cpi^^if — p-? ir p,pF
- gneur, vos timidi . tes pement déchaî.ner des tem . pê . tes! Tous i .
- ci nous risquons nos tê. . . tes, Accep . tez de grâce, ac.cep.
cre- - ^ - *ep» - - . . -do. -^
. ci nous risquons nos tê.
.tes, Accep . tez de grâce, ac.cep.
. scen . . -do. ^
ci nous risquons nos tê. . .tes, Accep. tez de grâce, ac.cep.
A.C. 77»ô.
. tez déglace ac.cep.tez.' de già - ce monsei.gneur, monseigneur ac.cep.
dim. ♦ W^ . PV
-tez de giâce ac.cep.tez! de grâ.
^ dini.
. ce, monseigneur ac. cep.
PP
tez de grâce ac.cep . tez!
^_ dim.
ffrace ac
nï \ U-^---
tez!
"^ J „ . Js ^
. tez
'h'ii' j^^p.p|j'E; jj.it; jj.iIT^J.i'tr I
Bien qu'a . vant la. me trou . ble. e pai" unscru.pu
A.C.7785.
où se tient I assem . ble
\STRAr,lET.
A. C. 7 78 5
SCENE XXI
I.KS MEMES, BISSY, Al RILLY.
253
Allegretto modl"
(a>.-c ^\.ir)
los,— notre appui, mon fi - de. le, Approche, .|u'on t'em .hias.se,
Rien!
( ;." (jiif }jj veux de moi, nW-ce pas_ c'est ven .
Princec'est seiile-ment no moment dentie- tien. —
A. C. 7785.
2iS4
A>TRAGl'ET.
Gagnez-le mor
Gagnez- le monsei
Gagnez-le monsei.
gneur s'il est dlntel-li - gence
a.vec nous,tout i .rabien!
P.
gneur s'il est d'infel.li . gence a - vec nous.,_ — Toiiti-ra
A.C.7785.
Tout i-ia bien!_
255
Tout i.ra bien!.
PP,
Tout
bien, Tout i.ra bien!
PP
^m
(Antragiiet, Livarot, Ribe'rac, sortent)
^1, I . r ^ -
bien!
r ^ ^ ^ MPI
IK.
n. r ' [
T-n -rm
xrxri
von e/eganza.
il, f^iiïpp
A.C.7785.
256
SCENE XXII
BLSSY. LE DLC D'ANJOL'.
Ohl remords que ta plainte exas - pè . le! Elleestmor. tel
vit, helas! pour son mal -hem! _ Monsoreau \o us là pri.se, Il en a fait sa
A. c. 77«5.
257
f't'm.me ^ Oiii,inonsei.gneur!
±^
I
i
Pigf-rr'f^rr^
^
^fe f
E±:
Cet homme
mLseVable iu.fâ . me EL le t^u'il disait
^a$3
l
^ fi -
'1^^ r £ •? -
i
m^
- r Fr
B.^S
^^
^v^FFr P'^i^
Oui mouseigueur... m ^
^^
A A A A A
t r i-^i t^^^^r f ffj
morte aux étangs de Beau.ge!
A Le traî _ tre! ah! je serai veu_
^
ê
»frp^
SE
-T f
^:
^
W
5=S=
S
^
te
Allegro.
-i' f r r r I r "fi^rp r r i .r^r ^ J- ^?"tTi
i-i'i. f 1
L'i) priuce telque vous — de daigne cette joi . e Rjurpuuir ce vo
^ J i-
^
Allegro.
^^
E^
^
4
JtL/7t f
iJ i J'J >-
^4 - ^-|-
^
'I- JL -r f
f^TTpi'Pl' I r Fif^pf CTr^
B-4^
. leur, ar.rachez-luisa proie — De'Jivr^z sa vic-ti_ mt;!.
I
h li'J^r c-?m
^
Et Comment cher Bus.
ifi J ^J^
^7 777 7^
-77 7 77 ^tr P E r ç
^
25=
: . /- Troc '
irl
i¥t
■«["7 "^^a
A.C. 7785.
u=i«
f ' ' rrTTP If f rr rr i"' «''W'^'^
Faites la le.le . ver An seiraeut qui l'eu _ ga _ ge. Faites cas.
I
r r 1
.syf_
'rjj;jj3-i|j]-jj] jij] jn j
j^^F — F
^^-^ i y ,r F"
i^ r I r
tt
p Pt P I ['
"^-^
le ma_n _ a
ge!
^ » A
m ^ y "■ -M.
r ■?
Ah!
Par la mort
^
^
E' 1 il P,S
^^
*^-»^-:ii:
î/i
pr r^nïT
^^
^
Dieu et je t'eu doDue i _ ci ma pa.ro . le de Priu- ce
^W
•7 r
i' j J J
M^
M
^f^
'P p
M
^.. , A
A .A
:tj«=
I
^
-1— f-
i/i
Récit. BISSY (plus lent)
A.C. 7785.
très cbalenreusemenl
Audaiite
( il lui baisse la luaiu)
m
m
w
T" ^ l^i'
$
^
Quand à
J — i ^ ■
^
nu ' - e»i ' _ I
%
Tt î ;.u-r
rfo
ïSi=t
a
r - u^r r
p
P
T=
^
AIIV moderato
P
^i\K ^ f r- f; r r > If r r-r "f j
^
So.yez bé-ui
A A ^
mon _ seigneur.
f^F P' Fs
g 'î M" 1^
lui qui me l'a ra . vi
Ail? moderato.
e Qui s'est rail_
û x" * # j * ■ fa* ' F, I r — P
y4 P P P i r ^P Ml ^
^
el _ le vous de _ vra son bon. heur
-û A à
r f p f ir r , r f f f I
^
SP
de ma dou . Ieur_
scen
Qui la di _ sait
ii ii i.Ui
^
A.C. 7785.
260
B. ifefZ
du.
^■^ ' ^J i'I
^
^-^^rf-
Pri
A
se daus cette soni.bie tra - nie.
Elle y fut mor
te, pauvre
^f, r ^ r ffir u rr^
^^^
mor . te
V^rjtm^
et l'iu-ta _ me Eu re.ietait sur moi,
rfo. "■
I p p Ti — EZg=r~lF
^^
gl
-^T-f iJ'T ^
J'J'L^'J
jffs
^g^
r-
i
^^
£
ttm _ me!
So . yez be
iijez bé
ri - te
blâ _ me. Malheur à lui! mal-heur! .- ^ mal.
4-'- ':(^^ Qfe
W
mal -heur!.
^m
ai
di
^J' r ^Y >
^
jliÉ
s- f
^
do.
a Tempo.
^^y.,L .^.^^f^ r I r'^
sel . gueur
A
^^
Cil f ^
heur!.
mal - heur
. ;'^-/ ; /
^
±n±
■^ — f-
a Tempo, a
M^Éi
^T^H'— fj
±— ^
^^^
V
•; r
^ (à Bussy.)
Qu'où me cher.che le grand ve _ ueur! > Au reudez - vous qui me re.
M
?
^^E
m
1 r
.^tf-— -g
X.C. 7785.
261
(■la _ riie, viendra - lu? Je comp _ te sur ton bras?.
> 4v
31=5= =5
^^Œ
HT
:±3Z5Z
a Tempo.
■ T r
pa.
a Tempo. ^_
Ê
ffl?'^^ r'i*
£
LB^^^fg^TCTg
i^
^
P
-ï/
.(au page <|ui attend, "a m' vt'ix )
-. F ff c g UL-^-rrtj
El _ les sont tdutes deux dans la sal _ le pro.
m
?E
m
L4^ b i^ >'
2«2
fs C
tN PAGE.
1^' '• 1 r r g
^
(>;• ' r f ^
Oui muiiseigneiir!
( Il eVn'l ce mot) ^
t+^ J^^^i J^ J^ i' i^JJ'J' J'É
^^
^ ^
fil ai . lU'?
Hs.puir! va, porJe Itur ce.ci, M a.jou.te pas uii
'A^
^^
^
;43p
w^
^
mot et conduis les i.ci!
S±
a Tempo, a
^^
3^m
^
^
C):S9 _
■^" T^ i -^^ -^ >
A,
P
-f-^?-r^-g
w
tie
^ "^ ^ f r ■ 1 p F If; g r y-Mf-f ^ ■^
I
3 « OuLC'est moi uuibri.se sa chaî.ue
?• * •'^££¥Tf-g_
» » I* .te -s-g
1
1
g^
rf" i/:
' ■! U
±±
i/=
f
ft=±:
A.G. 7785.
Aiid'.'^ cou moto.
SCENE XXIII
^LSSY seul.
263
Aud'5 caiitabile^
.BISSY
Ô niouse.coud pè - re, ômou mai . tie, Pa . le vieil.
Aud'? caiitabile.
lard vê.tu de uoir, — vite ouvre et pa
le ton ma .
Monte à la plus hau.te i'e . ne
tre, in.tei'
1
A.G. 7785.
26i
i
f-Uf n: r : ^ r ~^rr r-H^
y F * i
riuiri - zoii trioniphaut! Bitu _ tôt_
tu vas ser
i
^ J J J .^^-^^^^
1
r 'f r
^
riu-x-ï I
f^î'"^
y 1 <•
->»-
^
t=c
r-rr-=T
^
-^?— ^
dauh
tes bra>
tou eu - t'aiitl_
&—^
^m
à^^^
w
■^?— y"
^tnz
3t3c:
^^
^sMJ^
x^
^ ^ i- iw
□^r — ^^
^^
!it-. -^
r r-rir -j W'ii'iJir g
. pe'o tu. lin au mal.heur
8
Sa _ voure ta jeunesse eu
^ "7 r
A.C. 77b5.
265
Marthe t'iè . re, niar . l'hc ra . vi
8-
i! \u . It
^S
uî 3 "g
é^ •■
f^^^LÇj^
s
H-^^-^r
TT
^U ^ 7, , p If r^r"- r-er~r w
ger.
«C'est lui qui me sau . va!>
^
^S
=P=F
W
T^ 1
vvv
m'-
S
r-£4Ê/r
•; :=
1 r
A.C. 7785.
266
Vo . le vers Mé _ ri
lit.
$
^fe
(il sort) /TS
?^
dor!-
: f-Utt^
^
/ # r ?
I
Allegro, j»»^
SCENE XXIV
anXSOREAt seul.
F==^
^â
^^
mw
^^
8*- d*^
y
soitenulo.
\P f
T V
A-
p
.MONSOREAL
Audaiite.
A.(J.7785.
MOIVOLOGUE
267
Récit.
(à lui-iuême)
^^
^>P^^J{L,^,[ 1 . p_p_^l: p p ly p r f^
Récit.
Que nie veut-il ? cet ap_pel brus, que sent la co.lè _ re, Cet
or _ ilie cache une me.nace uu péril!
a Tempo.
Ti-J''J j juir pri'^-
f
mor _ die le doute amer ou I effroi pu_é _ ri!!.
Cœur
^
: ^^-^ ^J m^0 r
A.C. 7785.
268
^ r Pf r Fifpqp-^
s
^
El - le me hait et me chas.se et je l'ai
1
h'' I.T^ fP jV iT^
w
f
^g^y^
1^1^^^
îy
I (iVU
f'C. f r I î r- f r f. r r p p
che Je m'en . i . vie d un vin que je sais un pui
269
'■'' a Tempo ed agitaiido.
'>'i ^ ^ ^r^^^ffff fr=^-rt^^
^
^
? r
èl
son: Partout jf ia re _ vois tout à rheiiie, I . ci
, , ^ ^ a Tempo ed ai^itaiido.
col caiilo. - ^ "^ "
fci ^ i jt j
^
^y^r^
7> express. 'C^^. '•'/
Lij'f ^ ^ ûi ^ ^^^~^ ' i ' t
270
comme un palais dé _ vas . té par la f lam . me Où It
Av'. 'r785
A.C. 778S.
272
LE A
DUC U'AiS'JOU
SCENE XXV
MO>SOREAl, LE UlC D'ANJOl.
Ail" moderato.
Récit.
(d'un Ion conlem;)
PI A Ml
m
^
Ail'.' moderato.
En.
^^iil'Mli
''^M^^MBMM^i
crts
^m
^
.Récit
•^ <•;., „ ,„;r. ♦•; j.\ 1..1 v.. . ui :.,..■„.. „i ..^Trr^ i
. fil) vous voilà, mou fi. dè_le!
MONSOKEAL
^
I\e trtnibiez pas, je suis seul a.vec vous Loy.
^
-i'— ^
Le .lue!
:^
È
i±
iy>
^
îè
^=F
j9-
a Tempo
^ rfrr ; p Kj^
al ser.viteur d'un bon maî _ tre (aiieniit)
^
pirr.vF'r77|^i"^rT7-f
:t^=£:
a Tempo.
^S
a
^
Lov-al je tâche de Tê _ tre Mais
^
^ ^-^^=^^^
• r =±:g
p
pf^
r^EJ-r
-^
»
'•>Y'r ^ lJ:
^
r f V 1 4' *! I r ^1 r *' ^
rf
I
, ..Più animato.'
'i- -T A i^
Tiaî
Ire! Tu m'as
•> ■■"ri •■ -^
^
ijU avez-vous mon seigneur
I
ia — y
Piîi animato.
A A
^™
E^
in=^
Jl>^::g>'»4f
Jf/-
rr;:> N^rrr^^-:^^
^
-tire;::?
A.C. 77&6
27.7
pris celle que jai-iiiHis
MONSOREAU.
se (ii.re iioii
^
±=t
Jela-
. A
^11 Ui lUi UUÙUii i
È
Et tu le . ves le front ? Perfi - de! à.me de b
m
â
Ain . si!.
Hff^^'r ?r"^p^ ^
:2=£:
bas vous insul.tez un geniil-hoin _ me!
w
M
p/j
"or -rr
'?1 I y
— «
274
LE DIX D'ANJOU
-4<3e
^
!• I V ■■ !•
«
;9s
t^M 1,''
Heii. _
lui! Di . a . ne? >.
^
^
M
^"r ^gBM_J'i
je laiinais
Oui! je lai
(|iie inim -por . te que iniinpor . le!
«^
Lu ins-
a Tempo.
7 > J'J* V 1
^j ;-^ . r
I
^
s
Ail! prends gar
de se
:>• I h H ' "1^ Il ''^
.tant un instant s'il vous niait.
A A %
A.C. 778.Î.
275
..|->-Ôf FF n< F F I T'g ^F F ^-p â
UHS_
un va . let dont le seul droit est de se tai . le
• "*. S'y J
M.R^
?:
r~^^ ^ F F
t^^
Je suis Comte et' Sei . g^neui
et ma
r-Mj;'
^
•7 r -rr-
i
WTjWJ
^
^^ •? r:
N luj
.m
Hpr r f' N r r
:^^É
feiiHue est à moi Comme mou nom com.me ma ter . re! Je Tai
■1-J J J J
^
^
^sà
i
^
imft
fFî
FF?
f r!
prise efPrin.ceui Roi _ Nul ne peut me la re
LE DIT D'ANJOU.
^3
P
ni( . ^o
^
^3 ^
Ah.'i
^^^
i!':> cr F c/-^r^
^
-^— p-
prendre! Nul_ne peut_ me la re _ pren
0
^£
y r à
'".T«*
nfe - ^^«11
^^uiir^^jclnr- ^'^'g
^^
A.G. 7785.
27B
l"u peu retenu.
-ineu», — (Il las pri.se! Eh bien tu la ren .dras!
Quand je de .
\.C. 7785.
277
QQQ-ft
L/ 1 ' F U"" T
278
Leut.
MONSOREAU, froidfmpnl
Je lie quille, rai ni ladiarge due à votre Lieiiveil . Ihii . ce. N'i A».
Leul.
i
LE DVC DAXfOl
(fremis-.anl de race)
ê
^
•^ Et
ni ma fein
-9 -w -w -»
^
m
E
^m
^
^
y
^^Ë
ê 0t-
"Ç^
1
Aud'^maestoso.
Pn'î^çpU'ïr^
que feras-tii donc ?
iS
»!/•
gir r- nr r- r
-r— ?-
And'"" maestoso.
tTi . rai de. raau _der mou par.
^-V
i
^
*
^
^^
â=£
'«/ rf!
e;i . do. ^
i
i-i
^
9-000
v-d i 1^ r hiï
^
>^
^-T
jo ^
Ê
^
^^
.doHce.soir An nouveau Roi de Fraii . ce
r^
^^
À t:
^
N^^
^^^^
^1
i ^
^ — 4-
u
ê
^^
i
^
i
il
.^
^S
\.G. 7785.
279
Wi r • ff
^r Mr
-lui que les li _ g'iieurs vont nom _ jner
^
Ma-f^r
r
r
-s»-
r jL
r 1
./ il. —
:^
=3=
I r -p r
• I
LE DLC D'AN.rOt.
r ' f ' f ^ ^
A-ine roya .le à la cléinence prè.tt' Du pk
280
ma cou-roiiiif'
# — ♦— • — •—* #-
"* #~»
ff » ^ P * g# *
i/' y I / /-
^^£
huaïUe de- vus sii-jets, V(jus Hceiieille.réz la re.qut'.te Lui se.coiide .
N "^ J ,j I j j j s^H
-(v)i mon fièro, est là fimJ prt^s Ali! tais-
^
^^
*' •? r =ff
^^*^
les pro_jet>
Les pro.jets
*
m
3
^
7J
[^
ifi p
dim .
ux
pp > •""
ict
^
J Ij
j ' f- — -r-^
a Tempo.
-"^-H^
'j » m m m
4t
IM^ '^ \) \l ^
-toi!
La grà . ce qu un sujet re' .
^
*^ 7 r.
Roi!
a Tempo. "\f
J.J I J
f=#=*
^
L^*f /fff
rrff
s
— p — =^
^-^--^
Ji-^
•? ^-
'%
^^
=^^=^
i
m
on Tarcorde-ra
f rpsr.
m;;;.
^
uu
:^^
^
^^
A.C. 7785.
^^
non.' non! J'ai promis à Bns.sy!,
MONSOREAU.
nora!Com(e,fais le pour moi! Renonce à cette femme!
a Tenu
\ ^■
A.C. 7785.
282
a Tempo.
LE nu: daxjoi
a
'o-ff^^T^^ir Jpir -J'^Fp
cVst in . fA . me on-di-rait.
^
^m
^M^^
Je l'aiine assez pour être in.
Â'^' }i J''J-Jf J'
^J .V'J ^
è
f
^=F
r
9=
f'
r
^vnr-fif ip^
i
¥^=^
fitî^ qr^
(hors de lui la main <
i^
m
^
^^
Là
die!
Elihien!
-yfh T 1; , ■ K^F F F ^^
7FFf |^'~f
ÉB
W
in - rne!
Je laiinais assez pour être lA _ che!
m
^
^3
à
^
^^^m
W
\.C. 7785.
Piii maestoso.
UN HUISSIER.
(il p,.sse)
285
284
^m
OUI.
.V.J, >. * * *
^■
M
lAu
^^
k ^' ^ y \/-
\nus [ir^'-seiiJeztna feiii
me an roi;
^m
m
U^ \^i'i '
11
3^^^
9^=
=^^^
M^
g' g "^ 1>:
1^ 'j JS'
^
!î^
i
(à lui même)
QviJ'p Pir^^
Soit va cherclier ta fein - meJ pendant ce
^''^ PPi' F ^
a J instant!
i^^ ^^uù
^^
\.C. 7785
\.C. 7785
286
SCENE XXTI
DIANE, JEANNE. BISSY, LE DlC, S'. LtC, LE KOI. MONSOKEAl, CHCEtR.
AH"»iBolto aïod'/'
i
(.u Dur)
^Pr F^ f F^f^
g^^^g
w
Air"'DioIto mod'.°
tri—/ w .* c . . I ^ I J
Moiisf'ipneiir
la voici
'inzi:
m
^-g^g
^i'!-^^Hl
f ' f ' ^~^^
•'^ 'r 'f7
^^■'v' r v^^'j.-^U.x^j/ :/| ^^Tiggttz
LE DK: D'ANJOU, à part
i»):.!^ ^
m
f ^ 7
î
\.C. 7785.
287
PP
And'^sostenuto.
^
«¥¥
m
r *?
i
g' ? "y ^
Sot
Quelle es( cel . le <Jlli_ vient.
PP , ^ •• fe , N
aux .r3J!J3u. ,J^'
s
r •> J' 1!! J .
:4^!=±
Tén.
Quelle est
PP
«;el . Ie_(jiii vient.
r ^ J'- lii J
0Î
;:.f3ij. J^
^
^^
<Lf T.»
Quelle esl
PP
cel.le <j\n vient.
m
^
±=^^
:^r5=±
V
Quelle est cel . le qui vient.
(iim PP And'* sosteiiuto. ''
/Vl. :Ti: — = z:t=^- ë ^
^
^y^ti
Dou . ce comme un prin.temps!
jAJ^Ji^t^!^^
Don - ce comme un prin. temps !
^
Ot^^
r r ^ r
F
Don _ ce comme un prin. temps !
s d p r d
<i¥^
^1^ I V y
±=£z
\
Dou . ce comme un prin.temps!
"i>j-^nJi
^
é
5^3=^
#
■^?-^
^^
7^
•7 7
:^=sp
XJL
1 '}
m
sempre pp
^à.
...^. ,#l
^^
±±
•; •?
^
^
A.C. 7785.
^s^r^^r>,^j|.._jM^'iJ .-^Ff i\rr~^
mon pe - re o mon j^ie. re
i
Va refleurir le f)riii . temps! Ali! viens, oar—voici flieu _ re nù
BLSSY. ^ _
r^T Hî'ç^
È
LE DlC DAN.inr
L'heure est ve . iiu.e
2?2z:
îï=^t
^m
y-r
i
s' LUC.
Qtii)i tomber de ce
^±ss=M
i' lï r P^^
>i:ft
^5
L'heure estve - iiii-e
P
» 0r, rj r
7 r f\' f ^' ^'
^^=^
MO^iSOREAL.
m
Quelle est cel . le tjiii vient!.
F[! j; r^g^ig y-J^4^-
âdr
Laissez-la moi! laissez-la moi!Je-
j ^^''jJ'/J'Qj
fê
m
Quelle est fel . le qui vient!
!># 0 T?
p iT p F c]rl^i
tf
s
Quelle est cel . le qui vient!
^m
0 » 3g
^
=M=^
^^
-^!? %-
SUJ^
Quelle est cel
très soutenu
le qui vient!
^M
S
^m
13^
1 1 1^^
/ /
+^Mv^
ai
rrc _ Sfe«
rfo.
vr 7785.
289
faite es_ué_fé si long.teirn)
^\, H f ç,p ^
■s 1 1
va refleurir le prin .temps!
•^
m
y -1 *!
m
ï
don _ ce comme un printemps!
laimeet <le.p»is si longtemps
J'at. tends le bon plaisir devotreal.
H\ ^ ^^t^
_tes - se...
Più a£;itato.~^^
290
I.K m <: |)mIi' li-t'iulilant.) All°
Sii»,._Mon roi,_ mon frè . re
Sop.
A.C.778.S
291
.les _ s^' de !Mou_«.o _re^ii!
^ r Y r jM
fe
^
_tes _ se (le Mon_so.reaii!
A.C.7785
1^2
^=r^
A.Ç.7785
19-
DIANE
Sei .gneur,seigneur je t'en_sup_pli
JEVNNE. p
llfll , ^01
fleur trop ttlt pA
e Surîespé.ta _ les
m
BISSY.
Ceprince infâme tin_bli _ e Sa
P
r *i • # l-T-
ff p i*
\\ JJJ jHl^ r i' ïm
. ^ . . ..
Toi pour qui j'hiimili _ e Tous mes ressenli-
s'. Ltc.
fleur trop tôt pâ . li . e surtespé.ta _ les
^
hfi I f~^'FTg ir"~~"f 1 i^r^^^^
.mants! Lacom.tes . se est jo _ li _ e! Com . te mes eom-pli.
MONSOREAU. P
MON!;OKKAl'. P 1 ■
S^5
^
^^^
w — : #.^r=i«:
# #
!^
Sop,
Honte à moi! Hon _ te à moi sij'ou-blie Au jour desdé _ voue
m.t ^ 1 jj'i J.^J'j'i iJ- ^
p^
Lacom.lesse est jo _ li
V
e ! Com _ te uoscom.pli.
, , Ten. p .— ^ , , ""T^-^ ^
^ -4- • •
Lacom.lesse estjo . li . e! Com _ te noscom^jli.
FM f H F ^^
w -1 1
^
# F-= — FH
Lacom.tesse estjo _ li . e! Com . te n»scom-p!i-
\.C. 7785
294
rfi'iu.
cre - icen - no. ^ ___^^^ p^- ^ pi^
brè . ge mes_ tourmenU E-pargiieiiioila li.
e Des fléseiwhan _ te
P . ^. PP
j^ .j'W'if F n[\[ ^ ^^\ijJtz^
is
blancs Lb . ra - g*" mul-ti_pli _ e Ses ef_ torts ac _ ca
^
'< _ f
ff I f A ^^
^^
g
^
P^
tzzt
^
^
?=*
haiDe et ses .ser.ments,etc\;stmoi, c'est moi qu'humilie Sa hon . fe,m«)iqui
^
rp p mt F hy ir^f'^Fpi
^t
.meuts.
Sou. bai _ te qu'onl'oubli _ e Au jour iJeschâiL
P^ PP
fe J ^^ J ^ ^ hJ i' Q J'Ip F'ff J"h JTl J^
blancs
L'o - ra . gemul . ti.pli
Ses et' .torts ac . ca.
PP
m
f"~'f,,ir rf nrrt tittu
m
s
.menfs!.
Cet _ te mé - lan.co .li_
e Sied à ses yeux char.
P PP
.œeots! y.
M _ te mé _ lan.co. Ii_
I
iît:
. e Sied à ses yeux char.
p ^ ^ PP
S r - g 1 ^
te mé. lan.co . li. . .e Sied à ses yeux cnar.
.ments!_
Cet _ te mé. lan.co . li.
. e Sied à ses yeux char.
f. . PP
A.C.7785
Ail'.' mod'? ma agitato.
I
^^
( L"- roi ^•élnisniv)
295
m^
ments!.
il.^ 0:1 i ■.
. blaiiJs!
f»r~F
I?» r~ff 1 ■
_ ments!
fN^r^F
-^ —
ments!.
^feeJ^J
-tzf^
-blaiits!
"H'tt \ pi:
. niants!.
•K^.i j^- ^m
- meotsl-
I
^
^
-^1
. mants
^^m
=?=^
niants!
^''^^i^'M -j^
ï
' _raanls!.
Ail" mod'? ma agitato.
^
" ^ ^ ^ ^
1
^
>-J }A
=E
ÊSpE
*. é ë 4
t r t t
v-i;Hhig^ ^ r É
'"3-
^
A.C.7785
m
Qu'est- il ar.ri . vé"
Récit.
^
^
A Ah! jemé.
jgfl Récit.
l
fcE^^
^»v fgpFt^if'^r^pir h^Ti^r r^^^i^ ^''^
rite iiiiehaineimpla.ca . ble; Tout seul, tout seul jevoussau.vais
^
S
s
^''■TrM^. f P '["f^ff
a Tempo.
J, J^ I r ^^^^
ï
B-^gE
Je pouvais suffire à ma lit _ che.
Et c'est moi,.
jP
? Tempo.
i
f
^
^
i
^
^^
'J m • m |[,p<-— s:
>s h N h
f ff ff I r^
Hi'' ^' 1/
moi quivousperd à ja.mais Pouravoir cru, fouque j'étais à lapa.
if
1^^ U.l\hJ \U . 'i
^'f r^ T^
j iJ-i j
pf=f=T
rrx
)^
^
--T
m
r-T ^iil
$^
^
•J--^, -r -
?
W
^^
Yf
A.t:.778;s
297
(éperdue)
( éperdue )
Taisez-
mm
Taisez-
m
?=F
i
rô. le de oe là .
s! Lie.
. che!
(.•perdu) J' A,
V' 7 r
^
i
^SE
llp » * »
if f
. A Bus. sv!
É
/> r r rr r }
m
f^
ï
/
s
^
^-^^ —
f f *
r r ^ g— ^
',/j ijQ
•r ^ • M ^
- vous !.
taisez - vous!
$
^^
fe
= * 7 * ff
P=^=F=^
r=D=
i
- vous! _
LE Ole.
taisez - vous!.
ff P f ,
T r TF
i' k i^ t'
Arrê-tez cet honi . . me qui ni'ou.
I
^
^
'^^=é
^
xi-^-f-f-
^
■v?
i
a^
^^ r ? •! f^ ^^
^
^
^s^
f la . ge i .4rrè_tez cet hom .
A
me quim'ou-tra . - gel
A.C 778.i.
-4g^
I)IA>£ (l'priuvanle'e)
irenez gai
|ifEA>'>E fp'pouvanleV) _ ^_
W^
m
- de ! prenez gar
A.C. 77 8r
299
Èh
^FF=^
de!.
m
^
. de!.
iê:
?
r ir r r
0z
De ceux qui ten . te. ront ma ra
jWUsj
mm
^
s
**
mi^ . p- -^ f r I f^:;"^' I ^.piJH^^
m
^^
Je fe . rai
ce (^ue fait i'o . rj
f ' JT73 jt:^
^^
^fc
-^n" rTrj-rUf
^^
àc
r^T^"^
i^
Des oi . seaux
- pru
P
^
ii±
^^
^
£
g^ r7 r r r7 f^
iT^Jt^
!îP
ri . fe - Mj/ . - <o
#^^^^
^
S
f ir ' "r F
.dents.
Par son souf .
^r:^^^
fie em.por .
^^
^
^iJ NMJJJTj^j pr
izah — id:^
m ^ m '-m
l'Y \,w \'
M^m
•Hi '{' t
J3*
/<■ . nu
^
^
1
â !>'
!E
=F=g
A.C. 7785.
300
Aiid"." corne prima.
J E \ > N K .
m
^
0 fleur trop tôt
pa
^^/ 1; r r ^ ^ r^^
i
- tes!
LE DLC.
^
W=^
Toi
poi
s! Lie.
^E
'i p p p
0 fleur troD tôt
p loi p;i
1.E ROI.
^^Vr!! ■• -, •, p ' \^
'^^
l.a (]<Mii . (es
se est jn
"Hf-^-f
MOINSOBEAI .
r " p ^^F^
»vHh
^=^
^
Honte à moi si joii . bli .
Snp. p ^
J' i' I J.. _ J^ ; J>=
•! T
ifc
La Com - tes .
se est
J-^ -
Ten.
I
^
^
J' J' J'
^
•? T
La Coin . tes .
.se est jo
A.C.7785.
501
-•7 1
^i:j "^ "i j^i
Seio-iieiii
^
J^Jl-X
m
e Sur tes pe . ta .
^^ I r • F
i ^v
Ce prince in . fà . - nie ou . bii .
Sa
l^i, m
j)jij . ;^H ^ r r-f^HH
qui jhumi.li
Tous mes.
ressenti .
J^ > } -H^
J JM
e Sur tes pe' . ta
^f r ■ -^
z^-^^
êEE^^.
te mes coni - pli
Lji , rj~: =A r~7~: p ^^^^^
.bii
- e An
des d
e - voue.
I
iÊÉ
^^
^^
CorîT"^ . te nos com - pli
$
^
J ^' r •• ^
Com - - te nos com - pli
^^
m
^
r i' ^^
s
y
=F
Com . - te nos com - pli .
A.C.7785.
302
)re . . ge mes tourments
E . pargnejtjoi la
- do.
A.C. 7785.
303
^rr F . f, p ^
e Des de'.senchan . te.ments!4h!
m
pli
Ses ef - foits_
=F
P
ac . ca.blants! \h!
PP
ppr y \^ ^^
^=F=P=p
qu'humilie Sa hon . .te moi Ljiii mentsîAh!
PP
'Hi J- J J
- e Sied à ses yeux charmants
PP
^
^ iLr r r T ip^r^: p.
i
. e Mes droits et nos ser.ments! Honte à moi si jqu
~^ ' ^ PP 1
^
ip
^^ï
•7 'J ''=T=^.
t^-U^tl^
. e Sied à ses yeux char, niants Elle est jo
' PP ~^N N
$
^
■fU f^\- p p
^ T P ' 1'
3jE
Sied à ses yeux char, niants Elle est jo
PP
î
^
^ — T' 'p ' p r T ip ^-rt
^
V"
e Sied à ses yeux char, niants Elle est jo
A.r 778 =
(i - pN -
ef . forts, ses ef .
^
m^J'-^-y^jEà^^
=^
S
'■' - ''"k-
. bli - »■ Au jour des de! - voue . nients Le piiiicequi pu
1
4^J /' /'
e i\os coni .pli . ments!
^j—^^j^r, p ir'~^
e i\os com . pli . ments!.
^■'^ J _ KJ j JL ij
:Eï
e Nos com . pli . ments !
i i 4 ^ ^-1:S
A.C.7785.
SOb
a Tempo.
U . . . e Des -désenchantements!.
\3
PP
-^'a-'SsA
^F=^
^ '^ r
=£==*
. li - eSesef-forts ac . ca - blants^
dim .
m
li . e C'est moi
PP
qui menti'
^m
T^^^^
jour des châ .fi . ments!
- int . to. PP
y i^Ji,^ r ",^ J I |J^_>
1 1 r
. forts
ac . ca . blants!
^
t> xf^v
^^^
^
i
Elle est jo .
S
nu . to. PP . ,
s
bli . e nos
-nu . /«. j>y»
ser _ ments! Honte à moi si j'oublie Au jourdes chàti.
^^JM jM JW'^^ij ^ i> JLJ'^
Corn . te nos cora.pli .ments!
'-■ PP
Elle est
J»
^\) ^ J^ j^ ,^ j) |i^ , J, Jl^>^
nos com.pli . ments!
PP
Elle est
J«
:>A^r " pV? p p iJ' ^ ^' J'J^
Corn - te nos com.pli - ments!
3 r a Tempo.
Elle est jo
S
m
iP Lu '? Hjâ
X.C. 7785.
306
Sei . gueur! Sei . gneur! Sei . gneurjet'en sup.
Il ou-bli . e ses serments Etc'estmoi qu'humilie sa
it-, -, Jp-- g JiJlp
\) J'-'M' jM «i^^F'P p
È
SOU - hai . te qu'on t'ou-bli . e Sou - hai te qu'on t'a
J!M ■■ nff'~'g:; J|f?~feE^
F g^ Ult: P^ J->p-^p F
0 fleur pâ - li - e, L'o . ra.gemul . ti
-H'i y h ■> ^ s
■n^r 1 ii^J F, Ji^if V^ J PTi p F
nts. Honte à moi si j'ou.bli - e Le prince qui pu _
Âi'i i .^
-Il - e!
?H^^^
1 •■ r T 'I
^-fe i' h^ <
li . e!
li . e!
A.C. 7 785.
507
- do.
- pli - e À. brègemes tour.nients!
do.
4^'i'rp^4 r f
f r i
m
.pli-e Ses efforts ac . ca. blants!
do. f
^^^ L; >^ F 'Ml
r r f.
hon - te C'est moi qui nients!
do f ^ —
-^
É
^
s
F p?*' P'SF ^^
S
. bli . e Au jour des châ. ti - ments!
-do. f-' ^ — ■
If^^ï'^^^-h r r
^
#
^
.pli.e Seseffoits ac _ ca . blants!
f^^m
i r g^
^
'n^ l rr.^
Mes com.pli .ments!
^^
•H' p'^i-' F
^
. bli . e Mes droitsetnos ser.ments!
A.C. 778 5.
.508
travers les Angevins)
V ^v
fe
^ A /^ it A A A
j ^ i ¥-û«-* A
1
m
♦#■
I
s
*■ 1 ^
^
e« pressant .
^
w
s
fe
#-f*
V -* V
V
^ J '-;:
f^^
A A
S
7 1
:cîp;
A A
^^
^i *
V
Fin du 2^ Acte.
A.C. 778 5.
ACTE III.
6^ TABLEAU. 6: TABLEAU,
Le carrefour de l'Arbre sec.
Ail? giocoso
309
PIASO
SCENE XZTXI
TODS LES PERSONNAGES ET LES CIUCCRS.
r^rFfFrf
* a"
à
r^?Pf
^
^w
do.
ï/^ p
^^qi^
rrrr ZIU ^
-^^^
m
p. -T'A
A.C 7785.
310
GAMINS ET FEMMES
m
f~T?^ 1^"^^ Kn' F
-^H>4-
At. teiUi . on!
at . tenti . on!., ar. rètez-\ous i
1
•" y ^ r
i
1^
^
"1 — ^
f^^
i
^^
^
^
^^
±:z±:
^t=;^
/>/> ^
^^
1^1 rr I ri|^l rr I r
É
s
i
i^
4>TRACl'RT.
(^u Ouf et à Monsoreau)
5^
"4 ^' } ^ P,
hcoutez a quels
- Il êtres pour la fê _ tedes fous et la processi - on.
F^v^
- n êtres pour la fê _ tedes fous et la processi
>*4
A.C. 7785,
KH /JÉ"« marque.
511
hS J J'>J iJM J }).
»
jeux ce bon peu.ples'oc . eu . pe!
MONSOBEAC.
« — ^-
r 7 ff n p P b I ^^
E
^
^^^^^^
A.vec detelschan.teurs pas besoin de toc.
#w#
V* I J T J
J I J
f
^ «
^ r 7 ^ r r
M
LE OIC. (inquîeO
ï» t 1 » ^
pPF.P PIr P^T P MO
Mon frère nest pas sourd et le Louvre est voi . sin!
r -7 ^ ^>=¥^&
Soyez sans inquié.
^^^ d ^r u^t
^
^'
^ ;> 1 H
r S'y
W.y . ^'
^
^^.
^
•? ff Vf^-
^¥^
Ê
i;(* ^ • *:
r ï'^'r p
pr p
"■^H
t' ' t' k'
tu . de aujour. d'hni Tout à h
dé.vo - (i-
j;^^'.cf-rffrrJ|rOrf':^i:f r.r.^rf^r^
sii
^^^'^^-' rr^^^U^'v- J^U J"^ '
^
'•>'i'» P-. r 'f g
qC p # # I i;Q
Il \a, se . Ion son ha . bi . tu
A.c. 7785.
312
siii . vre cette piocess i . on, Faire aux genové . fains sa pLeu . se re-
t^>..T . ^J ^ |J>J»J>J>r 17 7 lY' PPPPP
et de sacel-lu - le dis. crête il ne sor.ti.ra
$
w
^^^
Qu'il -y a
^
É=^
m
r^r P. r ^^^=f
-'T-^'^
plus
*
il est pré - ci . pi . te
A£ffrf||-frf,Trf||-frf^nr
^
^
VC. 7785.
3J.Î
^
i
-le:
I.a HlBlÈHK.
r • #=
Sur
?^
le re -
fe^
^
Ah!
ih!.
ah!.
I
, Soi
A
VZ^ rTe &
ah! L ah! ah! \L
m
\h!
P
^ps3p
1
&
r ^W [g# f3=?
fa
U--.
-^-r-
Ah!
ah!-
Bassi. f:
^S
fe
.#-^, «
^-=-U I ^VH^
=¥^
^ r 'r r r^g^^-^^S
^^^^^
^^
^
ti F i^ V
m^m^
.ens si . gnezcest le grand jour.
^e
A.C. 7785.
»ONSOKF\t
IHÏÏ ^
p f • •
^ If fi fn^^
[/ i vv ^
±z
, . . . ^
iXiil succès plus fa-ci . le! Gui - setient labbaye etMayen.nela
^
J J^J J p. ij
^
/^A»
..n^T^h.mjp]!,^^
^^
^^
A-, }) S
^
W
F^
^^
-• — ' — #— ♦
le soyez prêt au premier coup deçà, non.
prou .
^^^^J^ nlJii ^^—^
Si • t.
^
s
S
•>:5, ■? J ' J
J J ^
-# • #-
^
'^"- r f F r F
H?-Hf-ff
^
.vaut que le roi sortdu Lou _ vre. au se. cond quiveutdire: Il ar
A.C. 7785
315
..m^ ^7î'p,m
p If p I 1/T^^
.rive ail couvent Venez vite et heur, fez la por _ te du Le.
:M
«P=
^PPlr-^
=*F=
^^^^
œ
^^
rant, venez! J'y t'uis-
je l'occupe et vous lou . vie
^
:^
iEiS
^=E^
rr
L^
^^^^^
^'^t^rr
^^^
ff ff -Ti — =g:
:e
ce dou . bie si - gnal l'en . ten _ drai
Jt' J-
é''Vi-4-]-]4-M
s . i
^_ ^^t ^ ^ ^ .
'')■% h-s f fia t f f
0 0 0 0 tiP P
^^
'P [jf ^ h P P P
pSEEg,
ANTKAGIET.
mm
^^
Bien.tôt!_
MOSORF.Al.
in V7 II i3 u n r. .^ i. . ^ — .^^
v-'ii f pj Q 0
J IJ >-
Vous l'en -ten . drez
bien . tôt!
^'Q'^i H
^
^
^
,[LL;car
y^i'ii' ..:
i
f
r
I
^WW
f f f f f «
• ■ \.C. 778f,.
.ïk;
Soi). J^
■^ ' I p
*^ Ah! ali!_
T...,. /^
3^
i
T r~nr^
- — r-
Ah! ah!.
B.ssi. /
-|g|éf ^Ij ^JJ--^j^ j^-^^'-f^
g
(il si^n.l
-cot!>,
.Soi). 2'^ /»/•
1':' Pt 2"."
f ^ ^'j-'T ^f ^^^^1' ^T'i
Signons! ^i . gnons! signons!
si.ffnons!
^
É
^^
r 1
r=
1
Bassi. 1"^ ,„f
Signons! si. gnons!
Sig^nons! si .gnons! signons! si. gnons!
,., Un peu nioilis vite.
.h-
tJlJUlj
>m^n rn^
' liJ lUr^ 'uj^ iJ j- U^
.\.C. 778n.
.Tl/
Conspirer en plein jonn.cest vouloir que Chicot dénon _ cevolivin.
tr fi^
m
=^=^
tour!
CHICOT.
W
1
=*L
P P If -P 1 -
r > ^'
r r
Ah! ah!
croyez -vous:
i
j J i.g.
I
:> -r~T
^
•JW"
• # •?
F^
ê
1jl±
^
'-UjijrjJi-
t^
Bah! mon nom est bt
Je le pro .
^
fl
f,é 4^ * lit:
iE^
T T
> *
^^^
^èM
lin * f
» »
'r f
^^
A.C. 7' :5.
.^18
-di . giie
Sop.
a Tpnipo.
nihA
^
^
'^=F
:*==¥
i
Teu.
Quel li- guéiir!.
quel li.gueui!
^^
^±=?
^^^
BassJ.
Quel li- gueur!
quel li-guenr!
A
^=
J^ T,r^
^^=^^^
^
Quel li. gueurL
a Tompci.
qu
et li-ffiuMir
ANTRAGLET.
^ ^"fp p r- p p
Mais je nevoispasBus.
^M
^^
;?#=^
P
^
ii^
^
ftt PF ir
Je l'ai fait ap.pe . 1er par
Au.riL
!â-f p F r • "^^'^m
.sy,Bussy viendra je pense!
->P '■ >f
^^
ni'F ^'i'F
:^ï
^t^ cii/ ' CLiJ lUJ IlUJ' l^
A.C. 7785.
h ♦, ■, J^ t. '.*
^
y V I i. 'y'-
^?=^
seul
AIBIIJA.
que t"a-t-il dil"''
-^j P p P-f-i r >' ^ f
«¥=
^^^4^
Mais rien,. il est au lit
le mé.de .
$
^
j).m{m
^
1 ^ w
^
(«V »^K 0 0
^^
*
m
m
p
ISÉI
?==f
'>■■ PÎ'H'C FlQ ^ ^ I' ^
.cin a défendu sa por . 'e
Je n'ai pu mê .
^^
S
œ
e
# • f • ^
ti^
a
:?*:
V' r .'.JJ J
^^m^
Sfç^^
MONSOHEAC.
^
T»T» .f- 0 » 0 ^
m. 0 iF F — f p * -y -ff- n 0 ■» -f ^
Ehîqu'importe, sans lui nous suffîrons,nionseigneur Dieunier.
J' f
^
I
^ r J)-?!? r b^ -? r 1^ t hl *? -
A
É
"^-fr^-^
-y- f-
^-r L ■> E
A.C. 778 5.
^^
J\
t^
£
^^
Mon f.ere a Cril.lon'
')■ • r
^
îï4
É=É
i^^Mt*
^^^^
g ._i_g
^3
*" ir. -r T- -y "T-
^
252^ ^^ ^L.
■'^
è
1 y '.. '■r^
(a Anirasui'l)
P
ï
^
^f=5^
5
-V-^-
In - SIS . le! a-iiiene - le! va!
-laii - ce!
MONSOKtAl.
^ïîi=
^n
^
Sabais-ser ain.
3
3g
:5=t
-f-^-
n-
./>
(^): jo
ë m 0 à »
\inl
^^
Ç^
(le reKsrdanI par(ir)
A.C. 7785.
.^21
A. C.7 7»5
lois!
à bas Hé . ro . de! à bas Hé.rodeà bas Hé.ro.deî
A
A bas Valois! à bas Hé. ro . de! à bas Hé.rodeà bas__ Hé.ro de!
A,
^^
F^'^htft
Hé.rodeà bas He.ro.
■L- -TM
m
A bas Valois! a bas Hé. ro . de! à bas Hé.rodeà bas Hé.ro.de!
tintYf-^]
fiORENFLOT. ,
a Tempo.
r r r I r t; r i
^
^F, 7
*^=^
$
A bas iNa . bu . cho . do . no . sor !
l-.'-^ et 2^" Sop, J_^
f (applandissements)
«/ A
Ten. _LA Hl'RIÈRE ^vec les ir^'* -BONHOMET avec Us 2^- f^
bas .
A
323
bas He
On dit que le ty.
jl^ f f r lEZZIJ
^ï
'.)-. ^ ^j^hîn^^
^
^
4
. ran bro . de des ju. pespour ses mi . gnons!
2'!^ Sop.
^ r^ II' j Jnj_ji^r3j'j'
On dit que le t> . ran Bro.de des
Le tjran, .
le t\ran
P
-
I
" J ij
J h<n
H
[lij^fijfrT ^if^i-fr
A. C.7 783.
S24
ju - pes pour ses mi . gnonsJ Le ty . ran bro.de des ju.pes pour ses mi
<•:'■•' Ten. > g-
2:'* Ten.
On dit que lety.ran bro.de des ju . pes pour ses mi
bro . de des ju . pes, oui le ty.ran bro.de des ju. pes pour ses mi.
CHICOT H fiORENFLOT H.er l^s K" l^ss^^i^i^
Le tyran.
bro.de des jupes pour ses mi
f f
BONHOMET
» Tempo.
dit que lety. ran bro. de des ju . pes pourses mi . gnons!
.^j < ■' iiijj^.j^7îju^7ntï
ï
%
gnons Il bro
1-; * .1 24' Ten
de des jupes pour ses mi . gnons!
I-
^ ^iiJï ppir Fc^
i^
Il bro.de des ju.pes pour ses mi . gnons!
9^?f f^^»f [! F r Tr r ppi^
^^=^
brode des ju . pes pour ses mi - gnons!
K^ a Temoo..
A (;. 7786.
32S
,LA HlIRIERE
uisuu
. gTiez, SI . gnez, si . gnez ;
t4
louez lou - ez
fiORENFLOT.
Nous lui bro- de . rons pour ju . pe LViJbon
32fi
froc de ca - pu . cin ! Nous lui bro . de . ions poui
I
»»:
> J'JIJ J } ^
Nous lui bro .de. rons pour
CHICOT av™ les l":*^ Basses,
Nous lui bro . de . rons pour
Nous lui bro . de . rons pour
prUTj-pTt
?C. ^ I TOI nr
r-=-tr^
"-V r-çjLCXi
^- F ir I i N
9y Y^îpT^. . n I r • !^ [3r Q
j»
pe Un bon froc de ca . pu . cin. Ah! ah!
ju . pe Un bon froc de ca . pu . cin. .4h
*h
'il' .1, _^N-^ \f Ji'J'J'JJlJ). J , I
un bon froc de ca. pu. cin. Ah! ah!
4i^-f7rrpnJJMj. i'^r'rii
pe Un bon froc de ca . pu . cin. Ah! ah!
.'527
..p- fût i^F i.r ^rf=H-Cn^ n p^
w
I
ra dans les flam . mes les_ pe.chés qu'il a coni . mis dans_ les
-iy^Aru^ H
Il ex-pie. ra dans^ les
i
l?""» Ten._LA HCRIERE.
^
"^^^
Il ex . p
le . la
24** Basses .
g
^=*=m.^f^
Il expiera
^M
^^
g%-, Jjij
^
^1,1 i^
^m
^y-VitU-
^f#^
/
^^
^^p
A.C.7785.
328
flani . nies, les flam.nies les pe . che's,
flam - mes les pé.chés_ qu'il a com.mis!_ It
pe
dans les flam.
dans les flam . mes les pé.chés
K. C. 7785.
A.C. 77a5.
T31
AllV*'inod*? maestoso.
J.jJJJJJJi-
ntm^^titrif
332
yr<-"Sop.
vent les fous! vivent les fous.'
véni les foiis! vivent les fous.'
V V V V V S"^ ^ V
BALLET.
333
LA FETE DES FOUS
SATURNALE.
( Ihie bande de fuu»
PIANO.
envahit la place préce'dent le puidun de la confi'érie.)
.W44j^
K.C. 778S
7,7A
»tridente.
^LU 'LH-TJ^T
: n
7u.Lummii m
s
j^
^^
^
fet
^.^E£
^
^
lliljUHiVi^iH
fU
( L'of Mîconile ban'1>^ de fous et de batelières apparaît du fond de la scène.)
8 ^i^^T cr.-^^^^^
flgfi r^
p
^lU'^
^
^f^^
É
^
3^
^^^
■gl ij
* * j«t
mÀ.i
^m
Si
3r
;^
È^
^^
#îé
ï^
^
^
Î5ÏÛ
^>^: •— r ■
i;
J J
:£^=«=*
^
^^
A.C. 7785
335
\.C. 7785
ÔSS
I — 5 A
m
if #^^^#j|ii ^ ^
^
^
^^^^^
s
,^ ^
. j ^
dS
a:
^
S
1^*1
r
r-
V
(Due 5!^ bande dr fuu> entraîne au milieu de la
siridenle.
A.C. 7785
a Tempo.
337
3
(llejeun.'> Mignii.î- font iiiuptum au milieu des danses en menaçant les fuus de leur rapière el délivreul
le- jeunes filles.)
. W M M ^-5H» 1 Hm ^--^ fS-i* ■ g^ » '~^- m mi- -i i— . m--^ — t '—^■-m-W MÉ 1- M '—M
^EE^
f^^
P^^^
^
A.C. 7785
*/■
".r
^^
338
SCENE ET SCHERZETTINO
(les jeunes fille» remercient tes galant» cavaliers)
Aiidaùtiiio.
11
di - mi - nu
do.
\t^r=xfHSJ-
ji^
ifii
^58
^^m
iM
tes
^^
*
i
e
f^=T
^i' j?3t3 J?^ /^ jg
Ail'.'" moto
^
^
-^ — *
^ir-t-
PP
^^^r-ir
teà
^±4
^ ' F ' F ' ? '
^39
^^
i=.=à
. ^ . i ^
i
s
^ -^ g
i>;>
g ■> r -^
^ ^ g ^
'^' ' ^ ^ -^
A.C. 7785
a
^
tr r •
1:l
^^
^
à=^^^
^M
^
^=^
r^ — '7 ' T-— F ■" ^
T "î ^-
r— 7
###
^
j:3
.t^
^^
T
■^ "f? ^ I I I
#-p^
^te
^
^^^
^^^
T ^ r-^F
^J^^^h^-it^
r r r— 'f
\.C 7785
.341
ii
, fTl
-T
^
J^^
kt^é^è t.
A.O 7785
S42
TALSE
(MiKnon^ et jeune» filles)
a Tempo.
m
III
^^^
^
pp
4r^
i
t
jr-^j ' g J '
%>■ .jr lji-4-J j^ Ijj r I j rj^
f
(
^jFrUr -i,1.-|J"F -i^Ff'rtl
1/ s fii^
f F !
1? j U il
J-J'-.r 1
Lr MM]
' ' M
1^''
-y — ^ ' 1 ■
1 LU r a
irrrrrr
Uf^j^J
-■ — ^. ■■- ■. T-. : — rr—.
A.C. 7785
343
^
i ''ihi H ij ^-j'ii-ih^
f
rfi'm.
^^ J J J J
M
;..r'JT TjpF
r r r
P
S^iiS
^
'P 18»
^^
w
w
?^
f LLLJ'
#
?/i
?/-:
^
ï^
g^
rrr'N -ij
t
^
^
m^
^^
^
«/^
j/i
^^
f
i
f
^
M
m^
344
^
bÉZ
?V^5f$
^ » -TV
-# r •
h^ F F If F'F l-f F 'f lï F'f
^
41 « « A
■fN^^
^
É
' ^ 1
t r
^^
a Tempo.
(
Hiin'\i'^ià
i
vp
-'^■-r f f
j . ■ ij i '^^^=^ï^
^
S
¥ï<
3sa^
i
^i^
W^ï^
ï^
:5f5
Idz
^
* — ^*
kjrl, j
^
j J ri;F
^
^t^^'^^Ji JTT^P
A.C. 7785
345
SCENE EN FORME DE STYRIENNE
Ail'!" moderato.
IV
r r r '■ r r l' r i r [
^'-i' "i -F ^
^^W
( l'ne jeune fille masquée accourt du tond.
3 •
3 ^
ULIULJ
Iremblanle et va se cacher derrière quelques [jersonnages de la scène)
^]° efflr^xuj^
m
do
^
'"^nm
L^
!>#■
i
p
s
^f-HJT ^ L
^
yr
f'p
pp
A.C 7785.
346
(Elle sort di-
sa i-aihi'llt' fil daiisuni crainlivement )
-î -rn n
( Elle rtnionle, écoule el reftarde^
(Elle descend en riaiil.)
A.C. 7785.
(Les mignons lui en demandent la raison)
347
3^?^à^..
J^—-^i^:Jrl.2 ^- ^. ^. ^. }f- ^. ^- >'• Jv. >. t^. V. h. >f. h. h, -h. ^
^^ m * E"'' raconte que des fous, le visage recouvert d'un masque
9* W- >-
affreux l'ont poursuivie mais qu'elle a pu se dérober)
Ff?^|>rf^
m
f
i
5?
#
^
PP
V-^ r»jf
tt=^-
r» — r
p
^
U^ 'U J^^
t^r ! f^
k^
i^^^pp
^ '^ '-^ ^ '^ d f
zJ
A.C. 7785.
'Les fous ont retrouve' sa trace. Elle est leur prisonnière)
. . iT ^^ Allegro.
3i«ï
\.C.7785.
349
SCENE DU MASQUE
Audautiuo misterioso e cantabile.
(Effroi de la jeune fille)
(Les fous la rassurent)
et demandent à la jeune fille d'en faire autant. Elle refuse.)
r
A.C. 7785.
SbO
V
I k'
^ "7 = f * ♦ T ^ 5^ *:
t^
1 •;
k' ^ r
11.9 1 ta n du ayp asionato.
n
f^
0M»
^
K^^-h^
}t g \i %
2*=
t^^'f
^t
é. Im.
^'tJl
^^
^^ yj^^^.j^ii;''' ^^^3^^
^25=
^■
^'
k.C. 7785-
351
répte d'un niieiion et les menace'
{' m,Mif>hP
^^^m
%, '\ jj
^^
m
^
f
.r^-^
m
Î25=
* I \ m ij
r-
r
r-
1 1
rfo.
i
^m
-^1-
m
mmi
mm
,^
•j''
i> • »
w^-Tf;^-
^^
^
25=
"Mt
A.C. 7785.
jcr:
^'
^' I iippassionuto
353
DANSE DES FOUS
Ail? moderato
(Elle ordonne les Han.-.fs)
i<?Rrz^j^
AJl'l" moderato.
VI
m
fin j iBr^
.fl-rorj
^s
t
t t t
SE
i
* ^
^
^
^y
^
T f ' f •■ ?^=^
t
.SïS
f^^S
^^' ;^,;t7;i I>J' /? CT I p rl^
''«■ .,.
v^ vi — ^
A-:, -'-f?
^^
é 0 0
.^B:
»^.>^
»^S
i
:^»tac
1^» 0
f f f # # #^
'P "^ ^
i'i^
V
^
^VW-f
^&.
ê
^
^^E^
} f^i'HT^
^
g
##
t? — t'» — *^
1L^
ira
.y
'Êsrt/
>!■
(// _ mi - lui
d é d é
S
g g ; g p
DANSE DU ROI DES FOUS
8-
^/7 j .e/7 :
A.C. 7785.
355
lÂ" â""a tr . tr
m
11^1 f I r-.ri '' I r-r
^^
m
J' A V
^
i
U L^ ^ y '"'^^
l> I, A
^ b* ^ :t 1 ?
4^'' [Xr lZ i
t â««
^
1 m\>^ 1
S
^
^tf
^w
ffliii^'j'
^H'^i-j
iSES
é
=¥=?=
K« _ /o
T
vv
s
É^
^ J >jil t ''--^
U
î^
;?
A.C. 7785.
356
ALLA ROMANESGA
AU? moderato.
VII
Ail'.'" nioUo moderato.
MIGNONS ET JEUNES PAGES.
*> ^n» .. .
«p >&r r J-
! J j J J J
^
r 'rr\' Tf
""cou sordini
^
J^N^
J^^'',l,^
J.
^-J JJJ^
^^
J*/J
I
^
,1 JJJ JJ
Ud
:l JJfl^ JJ
f
f f |r-f
«F
{^^
Mià
*
m
f
j^jji'' jj.i j^
^
j^^r-j^
P
-f r
'tf f tt
f
r
'^35^Tr'^':'':X''7''iJ'li'ir'V
g
r^fT^
Tif
r^fTy
A.C. 7785.
a Tempo.
357
i
tr-f
JJJJ|J-JrJ^77^^
^^^.^
rr-r
Fj^^j^
r> 1"' - —
a Tempo.
_— -— ri/. |ij>^
î
-uUi-
^^
.1 i:i-^JJ J
^
g; ' iy ii
f rrf rr
:tÉr
r f-f ff
^ s ^^fit. fit»
VP
^^
FJr JT^
f
^#
f. t ir rrTT
' pirrff ^
i
iJV^J— Jji
**!!#'
Vij-jJ;^
^^
T^îTFTrTr
^
te:
■i
VP
m
fj rrrr
^6^
A.C. 7785.
7>S>8
DANSE DE LA JEUNE FILLE
(i
Ail"" cou niotu.
cnii eteqanza.
^^^
VIII
dolce.
5fe
i
^
v
m
W
i
^m
f i I ft j
^
U^^f^
^
^
^
4^i
p
^
M
4
I
f
•^---s #^if .*-V^ ^^0 .^v^
\.0. 7785.
Uu poco maestoso e deciso.
359
A.C. 7785.
360
1': Tempo.
m
r-. r||^|r^r|'^fS
^
^^
Xâ^
ta
f=T
^^
ta
^^:UI
isl
â^
E!
^
ritviiuto.
f^
^¥
^
a Tempo.
k.C. 7785.
36:
IX
4^^^ W 5J
Ail? \î\ace.
8
^,->.^r,t'. .-;.-^>4>.-?« :f.,i.i,ii. J.^«/,^. v.j.-f
i
P
^^
tzSi
> » »
PP
l'P
«
> J- >. >
*! A > Jr
> Jf *r >
■p-ip-"
-4^^^
;:]
— » 9 9 9 —
mm
J il
p
^m-^^^.-i» ^\^»^»^» *,^'.^^-^, ^^^-^^^. ^^^^J"^^^
'■^F '■-* -^P ^* — r^r '^r ^ "^r — ■ '^* ■^r v* v^f — ■ v.f s,» v.p >^p — . ^0 '^ >^0 >o*
• \l9—9-
J.^
t r * • V "If .r:* -J» T,* vP
A.C.77*&.
«562
M:
J-j1|T.j i/^iJ-j i;,n|!-^,. 11^^/77
J^na
^^
JTTJ
un
zm
un
trm-Àr
^>v f rrrlrr
jM
rr^ijj'^^i^irji^ig
iM
fci
^S
''■»
^^5
^S
£S
^
i*
^^
^^S
3^2
^
^
f^
JTJJ
JTTJ
S
iiji
^ * #
ii^
^^
c^L;iL/ç;'m/im''[ii/'cffB
A.C. 7785.
363
;l
:^=£E
^* ê *
y ■~»~y
ii^
1
a
rffifffirff
i i
v-v r r
ni
^^
j
14
m
u
i^
^
f=^^=f
tS^iiihtnt
^m
m
w
a=*
^ï
^
^g
i=i
^
ife^
i^
^einpve J'
B
^^
f-r-r^
rrr
A.C.7785.
364
. A A
f^r
A A
^^
-A ^A-
A A
~^m
5
w
^
-^m
A A_
f
f
^^
^^
^^^
SSe
S
f
V
f
V
!ï^r
8° A
A A A
W
4 fQ : ^ i «ji^ i
^
I
^
XI
f
i^
?^
A A
-♦ A«^
./.y
^^
m
:^Êz
A /^
i
-^ A
Jfe
P
A
C* A. A
i
i^P
Z6f-
r r f r ' r r r r 'r r ^ r '^\?^ '?'^'
i
fi^t^
V 4
i
feiêê
c P P| » f^
> r ]i:;;^3izi
'j' JTî^WiJljjjJ
*
^^S^
Lrif'aij'u^'f/i^ ''
Aj^ ^
A A /^ A A
A.C.7785.
/.jî 0 -f-*- 0,
-f — f-^
p f r r
^^=^
- ^ « ^
A
rrr
1 ^^1
vy.i'i : ' r r
^ — ^
Ll-Ll
• . A
t-^=^
^
irhry
L^^
N ! IJ
^4=1=^
IlLu '
(Lr. danses ^'arrft.-nt brusqu.m.nl (P-n'»»"' q"*" >'- J-^""^- f*""- «■' batelières se mellent à genoux les jeunes
•au snn de l'aii-ehi^) fo"" s'approchent à pas de loup el eniraîneni les jeunes folles. Les mignons
And"." niaestOSO. ^ les poursuiveny les^n-enaçaj^l de leurs epeVs, ^
A.C.7785.
367
Ail? vivàce.
^
,^Tr?lMfP
■d -0- -é- -*-
m
^^
mm
^
^s
=;
^#
â
WS'H^
1^ V
^
^^^^
f^^ *-
fl ne b;mdi' de fous ;r;;itanl dt'^ (ainhours de bï)s<jues
f;n*( irruption sur I;( place ^nnon^anf TarriNeede la
X.C. 7785
56b
X
S(tl'«AM.
FINAL AVEC CHOEUR
ENTREE DU CHAR DE LA MERE-FOLLE
»-4^*«-
Même niouv'
Mod'." e maestoso.
i
\oi . ci
i
II.
^m
la mè . re
V
PIAM).
Se,
^
X:?:
U-'r l'j^-^
Vol
Mriii«> moin !
ir
^
-'f^*^
^E
Ci la nie . re
Mod'." e maestos»
_& , /S I
Vitenulo.
A A A A
•'^/■i
!L« J J-
t|_'^J.^j-^xi
— -~..^,.^ V V V V
^w^
I n.
w •*
Vv
^^
7^7^
P
folleetson infante . ri
Ti'ii, _ n
(."est la tt' - te de
^
f=?
!:«:
folle et son infante _ ri .
B.i:
('est la fê . te des
S
-r r ir- r
^
ip=f=fc
-N — rrrt
folleeisoninfante _ ri .
A.C 778Ô.
fronts!
A
Fiat _ fez, battez tambours, Sonnez, son.^iez clai _
fronts!
A
Bat _ tez, battez tanibours,Sonnez, son.uez clai
fronts! ____il Kat _ fez, battez tambours, Sonnez!, s'on.nez clai
h:
-MViiiu ' ^lli; ^-^
A.C. Vftîi.
370
Bat . U
tam . , b iiris! soiiiif/,_.soi).
i
-clair_surtou.s les Iront sH
A
Bat _ te/., bâtiez tambours! sonnez, son
Bat. (l'y tam - i boiirs! sonnez, _^.soil.
1
r=r^f\nr\\r-U^
r P r U
r r f-r'
Bat _ tez, battez tambours! sontiez,
fi fl m , à J J
,1 ■ i I II , ..
.clair_ sur tous les fronts!
A
A.C. 7785.
i
^^
[/ • • m
^
^z^
i^?=?=
:f_ 1 r
nous tou_jours,toino(rei_ do_le,nos a -inouïs! Ah!.
i
^^
^
f f! f g » # •
:;^=^=^
-^-T . f * . / / / k' 7
nous tou-jours,toi notre 1 _ noJe,n(i.s a_ mours!
Ah!.
^
^E^±
*? r
!S
nous tou-lours,(oinotrei _ noJe,nos a.
Ah!.
j ■] — >.
£^
•'' A.C. 7785
:572
^
, * * I , -
f^
ah!
I
|4-^
ah!_
s. —
i* d r
±r2
ah!
?^^
ah!_
A. —
'-^ *
ah!._
A
\?0
m
^^
te
S3E5
ah!
^
^
ah!.
ah!
A
E«ES2
f^
W^
*
£^î
•■yif;*-q»
tf, J *
1^
M
V V
*
3^ A
^
^
^^MM^^
^mg^
e:
^
V V
SCENE XXVIII
Bissv, I.K un: d'anjoi, s' lic.airillv.
Ail"." iiiolto nuxlt-rat*!,
A
piAyo
'^j^lj^^
-f— j^
^ ^ :?^* f ^
Quoi!-
Hn>.
^^
Monseigneur!,
f
g •> .^ =?
f
iE^
itfiiulo. h
La liH' est el.le pas plu»
h' *• Tempo _
A.C. 7785
:i74
fcrrrfe
^ ^. A M ■ M . .M ■ .i A
i
^
^^
^
î=S
=t^
r ^' f-
F=^
^aie.à votre ^eqii»^ votre hô - tel mor. ne comme la b
SH'!»
$
f
Fi=î=
^
e
^
t3:
rai
i
s! Lie.
É
aP '; r^'
^m
I ^
\^ ^\ y
.Nous verrons, suivez-moi seulement a le.
^^m
-^
■^ ff'^
B^^3
* " ^
T T
^
it
^^
^^
;*5:
A.i;.77K5
375
$
-J~L^
mant
^=F
1 fi S
^
i^:±^
V—^^
^
Moi j'at - tends,.
at.ten.dons ensem . ble laCom.
nu"
^=m
^m
"fF^
\.G. 7785
Î76
^^ .M4m^ F H'
m
^ES
Re.gaide/. - la pai' po.li . ti's
Mais, qui donc lui don. ne le bras?
m
^
Une a - nii . e
^^^^^
m
^
^m
i
m
û^
AlU-sio.
iirro r.viiltiitioH.
$
>V <^ r ^
-f^-M
Puissance imVnor.
'■' jJUijn
A.C.7785
377
Andaiitino.
â
(à s! I.ii.) p cl Cil am me m.
^
3^^^^^
w
V y' V ^ I F=^
.' k' k' I
Nciiis iii'ave/ bro.ml> il me sfiii
#^^f^^i=4i=grPTtr^
. ble De me faire assrs . ter à la proces.si . on; Cherchons ii .ne t'e .
A.C. 7785
178
SCENE XXIX.
ItlANE, BISS>.
Aiidaiite sosteiiuto
BISSV.
"i. monsieur, cestniona . mie; Jeaniiequi plaidant mon •JOU-ci,imtmène_ ^àceten-
A.C.7785
379
haine a moi qui n'ai pas su vous sau . ver
du mal
^ r F F ; ~=fe:^F I ^'' \> "p r, Àj^r^
Moi vous haïr
pen.dant cette tris . te semai ne, Votre souve.
- heur!
âÈ
^F=f
J. ' j) J— ^:
^ r_ ^g Lg-1^
1. J — •-
a^jj^rrït^
i^i*
T^^^-^
. nir cahuait seul ma peine . .
Mais votre imprudeube oui votre impru.
^ -^i-^ i
A.C.77HF,
380
r1—T^ft=}
ï
^
-•H^ Pi ^ ^. ff f. F. ^ti ''r^^^
r* ^' ^' ^'
Que 1.1 mort guette et prend l'insensé qui l'af.
dis. monsieur le Comte.
far- .!' . -jp- r =i^F p F
Je dis. Com . te. que chaque
put iiiiircalo.
nuit, oui duique nuit à la même heu . re. Je vois autour de ma de.
A.C. 7785
081
^ *r; B ^ > jt j) 'i -S - g "^' -^ -^' -'
. meu . re, un honi.me cherchant l'ombre el re.dou. tant le
±±
^^
r-j .n"T^
i
Tk
i
^
-[4'V n^v >p piiJ'^p'glf^r W'p i'>p
bruit un homme qui supplie et pieu . re, un hom.me qui prie à oe
i
k^=F
^
m
^
•7 -!
£
Ah!
je l'ai vu, je l'ai vu,
c'est vous!
^
^
3m
^^^^
JXX
- n'ii'iido ,
^ -
v'f r f j,t
^à*
^
"• YH^
'„„» 1 „',^i I „'.,.,
I «j *aac
Ne jurez pas c'estvous! c'est vous! c'est vous !
$^''' ^'P r P^
ftni hpp
Je vous attes - te!
Eh!bien: oui! dût l'a.
^
1 r
m
P
t •-
^
^
è-
iiiE:
;</:- p
r -? r
^f^-f
A.li '''V85.
veii de cet amour fîmes . te me niéri . <er votre courroux, oui c'est
^^ r^^p p F ^ M^; ^ p I r ^ »F -i F F^F g P
moi qui m'envais tfiutes les nuits, ma.da
PP
me flagellé de la
.pler les vitieaux qu'il, lu - mi .
%j i^ li - 1^3 M iH jj—ij-^
sas
"■ fh^\f •
^
^
Plus lent.
r >, ^ r ''p p i
Oui moi, moi
Plus leut
pauvre cœur sans
r f r
^^i'O.ij^'71 r'-!^J ^ i'- i
à - me, Qui \e.nu moi -fié mort
m en re.
i
fe
AU? agitato.
3
V ;j^ ^ ^ p pp
•>-3KI
^
Ma!.heu_reux
dans cet_te re-
$
e^
. tour
\i - vant!
Ail? agitato.
^ii: agiiaiM. |k
1 r
■','.i-t.l, .'E- . :S.lff ffffff fff
^W
? Ï
ÉaOit^fffff-liÉ
-F-f-Fi II r r i r r I
A.C. 7785.
i
2x:
s s ^^ cre .
'uet - le,
i
^
B
1 arquebuse a la main!
cre
Malheu-
^
^T^
S*
i'i» r
^f^m
'j^fffrîîtUM
ff fimmii
do.
^
Eê
=ft
^m
m
"■Th^
ilh
nialneu . reux!
cet
_ fio. ri _ te.
^m
[nmmm
.9 3
'n,iff.fff..ftimi
r î . j j
_ ^f - «M . tO.
a Tempo.
a Tempo.
.1«!)
mieux puisqu'il est
rit.
\otre e . poux !
a Tempo.
'p -^ r ' r-ç p f
i
Aiid'.*^ sosf! e cautabile.
^
l'-yCF^
^5
Bl'SSY. (ravi, à gtnoux)
Vous a.vez mon se .
i
É
MJ^- F ^PIF' PFPPJ'L^^
0
And'."* sost<! e eantabile
da . me, Di.ane ômonu.niqnebien'-
i
19=
^^ r -j^
D.:y«^
P p P 1^
cret ne de - man.dez plus rien!
LE DLC. (qui les voit) ,f_
X.C. 7785.
.186
$
$
BtSSV.
0 Di.
^ P' V.
I> h ¥~T^-i }r
* #' *
¥=F
doni; poiir-quoi Bus - sy ha . hit son mai
tre
.liai . tre! Il na dit
qu'un seul mot et je me sens renaî
ri(.
A.C. 7785.
3S7
AU? mod'.°
\<^ 77^! 5,
.^88
P^
Ail» vivo.
^^é^^
f^ •? r
^^
P
:^
Fia _ ce! place
a la pro.ces-si .
^^^^^
^j 1 r
^
Ah!
W^
§
1^ »ki
Pla - ce! place
a la pro.ces.si .
I
^m
» p
^^-iV-V-f-
^
t^
Fia - ce! place à la pro-ces.si-
A.C. 7785.
Procession de la Ligue.
389
OEFILE_ Lif!iiciirs, Gentilhnmmc's, rorporRtinn<i iivci' bannière'-. Ordres moniistiques> Moines .•irnirs, !Mii
Gardes; puis In Cour, le Koi sous un Hais fleurdelisé, Officiers, Ecujers, etc.
AU" molto mod'? e niaestoso.
fTrompeltes sur le théâtre.) ^
A
PIASO:
^^'-^ -^i^UHf-
f
^^
a Tempo.
y' tJi^àtsfi
P^P
VP
m
m^fm
w
TTT^
^à^
^^
■A «L
^ PP
0 $
^r
1 v--^^
B' L^'u'f'QL
tlL^^^'F/ri
A.C. 7785.
390
^^
JJJjJjjJ
*=*^
m
^
\jr •Hi
^)^ ^
6-#- -#
t:^r^Lr Uiu^
/
i
I
t=«
Lmy^'£^-|iNj3^iil|
rg^ffljfl^gijjigf^
a
^
i
m
* T T
U .#35^ ?i g
|i
if V
S^
t4tl!^
?=5::é
S
(
1
<.^: I> <
^^
^
-f=^
n
X"^
Q
^^
^
ia:
«1»
3gë^;
M
■0 0 â É.
*^'l^1^
A.C. 7785.
a: . gg,g,pggi^| ppfp.p'^^
P
* t,C« F t 3^
» ! ? » »
tf» r »
p^
J?l,^ JTT]' J— ^
3^
^^^
I
m
m
^
; Il , f 1 y >. i.» y*
r r?rr-— p££/^
ÏF"
^
rjpj.^.i.g^ii7iij
m
^
s
^33
^^fï^ïff
W
*1
^T^^f?^^T^r^^^BT^
392
soxtenuto f ciintuhile.
^^
w
m
{^û^Bm
«
^
arr*
^
^ ;^ ^ ri ^ ^i^J^
^ilîlfl ^"'^
A.C. 7785.
ses
^ Ll/Lf-^
U^J j^^-UJÂ.
A.C. 7785.
394
«=t\\ n ij j f 'Li
S
^B
^^^^'
395
2 «—2
A.C. 7785.
A A
A.C. 7785.
397
: !!!««! ! ZiZi \r ^iJi'" ÎU^f '^' t^^
3 ^3 ^ .,-^ . m i* A^ *♦ i J
A.C. 7785.
;598
i
Sop.
Più agitato.
Il '' v^^^y^r^ ^P
$
Ten.
Le iH)i! vi.ve le roi! It
/• A.^ — , A
... » i i » f • i ^ #
7^
Bitsvi.
Le roi! vi_ve le roi! le
J" A,, ., A
1^ V ..'
'/' f' ';)'Ç^ ^ ^
Le roi! vi_ve le roi! It
Più agitato.
te
A.C. -TbS.
3W9
0- I^J igj |!^4
iyj-yiv ..Ly'
Un peu p/us l(Mit.
Lp DlC.
mrrj
"^HéJ ■ ^.^^-^
i
P r ^'PS^, l:J_i' ^ ^- f-f^
-'f 1» — 0 — • •-
Je ne sais quel effroi m''étreiutle cfeiir..._
Un peu plus leut.
Ce coup de ca_
A.C. 7785.
iOO
J ^^ ^^-^ • ^^ • f "^^ J- «j J- V V V V
V ^ V _______
Fin .le l'Acte III.
ACTE IV.
401
7? TABLEAU.
7? TABLEAU,.
La niaij^on de la rue des Tournelles.
PIANO.
Allegretto inod'." tr
i? r- è è c p r ■ -î
^
JJJJJ,
^j, , î jJ
\ '
\
^M ! F ^=M
I^:: ' W V—
T,-=^
--^
=:
^ / r r r r
J A A
A
A
r— g ^—
— f-
-\
\9 * ^ f é
-r — a 1
•m
A
~~6 —
•^ 4 a -+
3
Iza
^
3
[d
m
K-U — 2
=
[^m
r''r''rrlcxL;jj^
a Tempo, en prensant.
A. (.'.7785.
402
SCENE XXX.
DIANE. Bl'SSV.
PIA\0
et ce n'est pas un rê - >e? Ce com-p!ot où le duc lui-même est compro.
_ mis, Notre roi triom.phant de tous ses enne. mis.
c'est donc l'au-
Aiidaiite.
p T Hç^um
. 10 . re qui se lè . ve;
'" BUSSY.
< T Fi? ^'r
t\..: ;>„:*„.,« ,1..
i^^
3^ „ Oui, iaitout vu
î^l
:±=^
±z=i:
Iz^ÊJiÈ:
■ar_;#- *■
^
,/> ,É~i. .</*«(
^
§éê^
pp
i
A. C. 7785.
rgitato.
403
■• Jiif ■■ FT M^
f' ^-^fP'[?^>rpN^*Frlrl>
Ain _ si , ces traîtres, ces per_
4t-
.levons le dis comme je vois vos veux limpi .des
ppp ^ ^~-^ agitato.
i
^-f^
«^
/
^^
ft
*
ii» i' i ^''
D^C;^
1 ^
_ f i _ des?
Mai
ne reviendront ils
ë-
P ïi P ^ P P I C^^
p
^^^^
^Sont ar.rêlës, prisonniers
A A
•7 r
^—
S
^
I
^=^
•? r
V V
Hffe^ ^n 1^
P
pas?
|v ^JUaO%ipp JO^pp
^^=^
•7 r
Jamais ! La mort des rëg:icidés attend tous les an-ge
A,_^A A A A A '^bti ^_ PP_
ihM
Tous! et ce malheureux, ce Monsoreau qui
r\
^m
r PT. pr'PM^
.vins pris, ce soir auxgéno.ve' . fains!
A.C.7785.
'i04
' T' ti 1 ■•
'ipF^^, J'Bp ,j^m
11 frémit de me per _ . die il lu
iJ
^^
pç^^i p pp n^^^
-1 r
J'ai vu les gens du Roi l'emmener frémissant
^^
^
l'-^^fe^f:^
^p ^FP IT. P" PT" PP
♦t
git et blasphè _ me Et je crois voir briller
— ^
^»^ ^» :] 'i =F l^
^J* \^* \^C^
^^^ètL^
f.f 'Ts^ TsT r^ =^fe.^-4^^
^^
gard me . naçant !
BISSV
/
^-^ pr r p
*==
— ^-
J5 g » — mL
i\e craignez rien, cethomme est
fe
per.
s \ A
grr->— Jb:-y- J
-f-
N"'rir»r^r "cM^
T r ^f=r
,; 1
du; dé.jà même il doit avoir pa . je ses cri . mes de son sang!
è
^"KT^Îi
1 r
r " '
W
*\ ■ r
^
A.C. 7785.
f-
f ^ '
A.0.778S.
iOb'
r F g g P ÏT g P - B T' r ^ F^
Oui' jevaisdoncfe fmr, ô sinis.fre maison maison de
ti' ■ tr A A
tW'ijj ■
P
f
•7 r
k'
^i^ — ^
f^^
i
Bt'SSV.
mezza voce.
Aiidaiite catitabile.
P n p r p J^f-^rfr^f'^P''^^
ritenulo.
^\^m
i>* 'J jEj
Pins de nu-age ancieilulus de spectres funè _ bres!
ii:jT3'mrnirn-m
j j 1'^ j I
r h- y
m
r- r- ^
iXrtnLU
«
^
r- ^» • '':;
A.G.7785.
Dieu vous devait cette ro . se _ e Et ce jo . veux ravon d'A
Ah! (|ue cette heure est douce à mon âme e . pui . se . e! Ain
si dans l'a-zur in.fi - ni, Pauvre pe.tit ci. seau ban.ni par les
i^^a
t^r F^p rr^tr^T ^r ttp g r ft
vais recommencer à vi . vre Oh! que vous ê. (es bon,
bon, nion Dien_ so . \ez — bé
0 Mé . ri
Vu pen plus lent
409
.cil . le! O lacs! prés embau
yeux trop har . dis Et li . bres, \os joy
A.C.7785
4m
i
«rf
^f-f
g
et ri . ant à sa fil ^ . le! 0
r ^f j-^y^' h? P
rê . - ves de jeu . ne fil _ .le! Vont le .
a Tempo
Pius lent.
^.pK } J>^^^, p^ P ^ P ? p ; P
_vi _ e! \()iis ê _ tes mon hé _ ros, mon or.giieil, mon fré .
"•Ê
Tb^,
f gL
W^
rnr^
SOI" et
le vous ai.
. mt!
P
?^»aV'8?'
En_
Pîu animato.
„ (enivré) oppansionuto.
^•' I-' P-~:'g^?;'£?'^ M '' P r F^'i
Je te prie
-cor! Encor!
Più anim-cito.
M. M
a ge _ nonx,_ mon h _ me, mon i _
%.4: TTKi.
412
I
*
^Languissante)
PP
Noq! Non! Plus u. ne pa _
fir--i^j'Jf' 1-p
:^==F
â
. d(i . le un seul mot ! .
Q ^ ^'j
fl ' !^ ' 4
1^=^
^ ^iiii i:
^^=E
^
^U
wp
»*
Sj hi
^P /
f^^f
_ me je DeTeoxvousprierquetoatbas «Je peurqifelTarouehé niou bonheur ne sVil
CT^^^-ra^
413
DUNE. P
4.C.778R.
i
i
m >
=;«=^
^^^
i^^ ^ ^ t^
^
ï^^
» a # »=
B( SSY. V
0 bon _ té
qui me donne en re
sou _ve _ rai-
?=F
tour
I
=^^
_ ne qui me
*j 1^ •?
^
^ — a-
>^ ^ ?
T^^^^ ?y^
^
A.C 7785.
iib
Cu peu aiiimë.
A.C. 7785
A.C.7785
a T.
empo.
417
418
SCENE XXXI.
DIANE, LE P\GR, BIFSSY.
Ail"" moderato
LE PAGE.
Bl'SSY.
Moiisieurdf' Monsoreau que Ton ( royHitsaus
Et pourquoi <:eUe a . larme
•7 r
419
(-liuisé)
(Bruits de pas.d'armes.muriiiures de voii.Les vitrain du balcon volent en éclats
Des hommes armés apparaissent au balcon précédés de Monsoreau.)
A.C.77îJ.i.
420
SCENE XXXII.
LES MÊMES, MO.VSOREAl, ASSASSINS.
All° féroce.
MOSSOREAt
Récit .
Récit.
m
f#^
f
Il f)a -raif !_
^
±Mz
^&
1^=^
. sv tu jVs donc lais . se jjien . dre Vous croy,
a Tempo Récit. a Tempo Récij
\Â' ^ ' ^
Tempo Récit
. T ri
m
-6-* 0-
^S
«a
ff
Ç-»
JJ n.0. -4[
^
jt -CT
Plus len* mais mesuré.
0 • 0 "
M — • 0 — *.
r • r r-^Ti
'p ^ î- ^ \ V \' ^ V V ^ \l i y l y \'
.fz If paiiM'H o-i'Hiid veiif-iir ein-[)ris()ii . ne de.ca.pi . te |jeul è . frt
Plus lent mais mesuré.
\.C.77S.^
a Tempo AIlV
BlfSSY. -^
421
C Diane)
(.u P..SW
Je le voi
enflez -là !_
Ti)i veil.lf- sur iii'Hi
bien !
r ^ — » w- y' " f
PasdeorisJ attendez laine ferme, et tant que je vi
Diane fnlre dans ioratoire.le Paçe
l'epée à la main.garde la porte.
.vrai ne craignez lien!
MONSOREAl'.
A, C. 7786.
422
A.C.77S5
423
(coup, ,).• feu;
A. C.7785.
424
SCENE XXXIII.
I,ES MÊMES, S' LliC ei ^es HOMMES.
(Ta.idrs <,,.. M..n^...H,-,u y.,rU Bu«y sVst relevé. Lp Pa^e se }|7
»..ule>..nl lui leuH Mne ^pe. el rilomlie. Bussy rampe ju«/irà
M"nv,reaii,«e dresse e| Hun coup dVpee le .loue sur ie lamlris.)
Roeit -•- -#■ -0- -»■ -•■
Ce( homme elait chez moi, faut il donc d autres preuves .'* Je me suis fait jus .
Récit.
i
.4.C.7785.
425
(redoublant)
A. C 77S.^
426
SCENE XXXIV
LES MÊMES, DIANE.
(Cppeodant S* Luc.aprèsaioi'rombpasw Bussy a fait omrir la porip de Diane
Oll'-ri parait, livide et muelte d'hopmir. Elle vient à Bus^v qui se soutient
péniblement sur son epée.)
;| DIANE.
giieil: jaiirai.s voulu vivie|.rè,s,Vv„ii.s Mai.^.jo meurs pour vous et voustieji
A.C.7785.
Ci m.u„ ) U„ peu plus animé "''^^Jti''- ^^u
I) > nb,n, l.i J»''^ ^^^ ^
I
M Salvayre, Gervais Bernard
1503 Gaston
S178D3 ^La dame de Monsoreau.
Piano-vocal score. French^
La dame de Monsoreau
Mujic
PLEASE DO NOT REMOVE
CARDS OR SLIPS FROM THIS POCKET
UNIVERSITY OF TORONTO LIBRARY