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Full text of "Le Règne végétal; divisé en: Traité de botanique, Flore médicale, usuelle et industrielle, Horticulture théorique et pratique, Plantes agricoles et forestières, Histoire biographique et bibliographique de la botanique"

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RÈGNE VÉGÉTAL 


ATLAS ICONOGRAPHIQUE 


ÊEGNE VEGETAL 


DIVISE EN 


TRAITÉ DE BOTANIQUE, FLORE MÉDICALE, USUELLE ET INDUSTRIELLE 
HORTICULTURE THÉORIQUE ET PRATIQUE 
PLANTES AGRICOLES ET FORESTIÈRES 
HISTOIRE BIOGRAPHIQUE ET BIBLIOGRAPHIQUE DE LA BOTANIQUE 


PAR MM. 
0. REVEIL FR. GÉRARD 
Docteur en médecine, Botaniste - micrographe, 
Pharmacien en chef des hôpitaux, | Membre de plusieurs Sociétés savantes , 
Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Paris | l'un des principaux collaborateurs 
et à l'Ecole PURÉE de pharmacie, du Dictionnaire universel d'histoire naturel 
Membre de plusieurs Sociétés savantes, etc. 
A. DUPUIS F. HÉRINCQ 


Professeur d'histoire naturelle, | Botaniste 


Ancien Professeur de botanique et de sylviculture | Attaché au Muséum d'histoire naturelle, 
à l'Institut agronomique de Grignon, | Rédacteur en chef 
Membre de plusieurs Académies de l'Horticulteur français, 
et Sociétés savantes, etc. ? Membre de plusieurs Sociétés savantes, etc. 


AVEC LE CONCOURS (pour la Flore médicale) 


DE M. LE DOCTEUR BAILLON 


Professeur de Sciences naturelles médicales à la Faculté de Médecine de Paris 
ET D'APRÈS LES PLUS ÉMINENTS BOTANISTES FRANCAIS ET ÉTRANGERS 
formaut dix-sept beaux volumes 
dont neuf volumes grand in-S° jésus de textes 


ET HUIT ATLAS PETIT IN-OUARTO DE PLANCHES GRAVÉES SUR ACIER ET FINEMENT COLORIÉES 


ATLAS ICONOGRAPHIQUE 
LIBRARY 
NEW Y 
BOT 


PARIS 


L. GUÉRIN ET Cie, ÉDITEURS 
DÉPOT ET VENTE 
A LA LIBRAIRIE THÉODORE MORGAND 
RUE BONAPARTE, 9 
1872 


Réserve de tous droits 


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TRAITÉ 


BOTANIQUE GÉNÉRALE 


ATLAS ICONOGRAPHIQUE DU TOME DEUXIÈME 


Paris. — Imprimerie de P-A, BOURDIER et C®, rue des Poitevins, 6, 


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TRAITÉE 


DE 


BOTANIQUE 


GÉNÉRALE 


PAR MM. 


F. HÉRINCQ FR. GERARD 
botaniste attaché au Muséum d'histoire naturelle botaniste - micrographe, 
rédacteur en chef de l'Horticulteur français, membre de plusieurs Sociétés savantes, l'un des 
membre de plusieurs Sociétés collaborateurs du Dictionnaire 
savantes, etc. d'histoire naturelle 
O. REVEIL 


Docteur en médecine, pharmacien en chef des hôpitaux, professeur agrégé à la Faculté de médecine 
et à l'Ecole supérieure de pharmacie de Paris, 
membre de plusieurs Sociétés savantes, etc., etc. 


Pour la Chimie végétale) 


OUVRAGE RÉSUMAN1I 


LES PLUS SAVANTES RECHERCHES ET LES MEILLEURS TRAVAUX SUR LA MATIERE 


AITS EN FRANCE, EN ALLEMAGNE. EN ANGLETERRE, EN ITALIE, E 


ATLAS ICONOGRAPHIQUE DU TOME DEUXIÈME 


LIBRARY 
NEW YORK 
BOTANICAL 

GARDEN 


PARIS 


LIBRAIRIE DES SCIENCES NATURELLES 
ET DES ARTS ILLUSTRÉS 
Théodore MORGAND, libraire-éditeur 
RUE BONAPARTE , D 


Réserve de tous droits. 


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BOTAN. GÉN. T. 2. DIRE 
DU PERFECTIONNEMENT SUCCESSIF >ARY 
DE LA FLEUR. NEW YORK 
BOTANICAL 
GARDEN 


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1. — FLEUR MALE (grossie 5 fois) d’un CAREX (Cypéracée), composée 
d’une écaille et de trois étamines. 

2, — ÉPILLET UNIFLORE (grossi 6 fois) D'UN AGROSTIS (Graminée), 
composé de 2 glumes, 2 glumelles, 3 étamines, 1 ovaire surmonté 
de 2 styles. 

3. — FLEUR (grossie 5 fois) DU LUZULA CAMPESTRIS (Joncée), composée 
d’un périanthe simple à 6 folioles écailleuses, de 6 étamines, d'un 
ovaire surmonté d’un style divisé en 3 stigmates filiformes. 

— FLEUR DU MUGUET (Smilacée), composée d’un périanthe coloré 
monophylle, à 6 lobes, 6 élamines, un ovaire surmonté d’un style. 

. — FLEUR (grandeur naturelle) DU PERCE-NEIGE (Amaryllidée), com- 

posée d’un périanthe double coloré; l'extérieur à 3 folioles entières; 
l'intérieur à 3 folioles échancrées en cœur et de moitié moins longues 
que les folioles extérieures. 

. — FLEUR (grandeur naturelle) D'UNE JACINTHE (Liliacée), composée 

d’un périanthe coloré campanulé à 6 lobes, 6 étamines, 1 ovaire. 

. — FLEUR (grandeur naturelle) D'UN BILLBERGIA (Broméliacée), com- 

posée d’un périanthe double coloré, l'extérieur ou calice très-petit 
à 3 sépales; l’intérieur ou corolle à 3 pétales beaucoup plus longs que 
les sépales, 6 étamines, 1 ovaire surmonté d'unstyleetde3 stigmates. 
8. — FLEUR MALE (grossie 5 fois) D'UN PIN (Conifére), composée d’une 
anthère à 4 loges, et dont le connectif est développé supérieure- 
ment-en une sorte d'écaille. 
9. — DEUX FLEURS MALES (grossies 5 fois) D'UN SAULE (Salicinée), 
composées chacune d’une écaille et de 2 étamines 

10. — FLEUR FEMELLE (grossie 5 fois) D'UN SAULE, composée d’une 
écaille et d’un ovaire surmonté de 2 styles 

41. — FLEUR MALE (erossie 5 fois) DE LA MERCURIALE (Euphorbiacée), 
composée d'un calice à 3 sépales et de plusieurs étamines. 

12. — FLEUR (grandeur naturelle) DU NICOTIANA RUSTICA (Solanée), 
composée d’un calice monosépale à 5 dents, d’une corolle monopé- 
tale à tube cylindrique. 

13. — FLEUR (grossie 5 fois) DE L’ERICA CINEREA (Éricinée), composée 
d’un calice à 4 sépales étroits et accompagné de 2 bractées, d’une 
corolle monopétale à tube renflé. 

14. — FLEUR (grandeur naturelle) DU LISERON DES HAIÏES (Convolvu- 
lacée), composée d’un calice à 5 sépales, d’une corolle monopétale 
infundibuliforme ou en entonnoir à bord entier. 

15. — FLEUR (grandeur naturelle) D'UNE POTENTILLE (Rosacée), compo- 
sée d’un calice à 5 sépales, d’une corolle à 5 pétales distincts 
d’étamines et de pistils nombreux. 


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(Voir vel 11, pages 5 et suivantes.) 


JAN 2 - 1909 


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DIAGRAMMES DE DIFFÉRENTES FLEURS. 


Le diagramme est la coupe transversale d’une fleur avant son épanouisse- 
ment; il montre la position relative des différents organes floraux. Dans les 
diagrammes des planches IL et IX, les lignes courbes extérieures indiquent les 
sépales ou divisions du calice; les lignes plus intérieures désignent les pétales 
ou divisions de la corolle, les petites figures généralement réniformes ou dentées 
placées en dedans des lignes des pétales, représentent les étamines; enfin le petit 
dessin du centre montre la structure de l'ovaire, c’est-à-dire le nombre des 
carpelles ou des loges. 


MONOCOTYLEDONES. 


1. — ÉPILLET D'AVOINE CULTIVÉE (Avena sativa), famille des Graminées. 
Les deux lignes extérieures représentent ici, exceptionnellement, 
les 2 glumes del’épillet; au-dessus de la glume inférieure est la fleur 
fertile, composée de 2 glumelles, 2 glumellules, 3 étamines, { ovaire 
avec 2 styles. Entre cette fleur et la slume ou ligne supérieure, 
sont indiquées 2 fleurs stériles ; page 349. 

9, — LILÆA SUBULATA, famille des Alismacées ; page 364. 

3: BUTOMUS UMBELLATUS, famille des Butomées ; page 364. 

4. — SCILLA AUTUMNALIS, famille des Liliacées ; page 353. 

#. — IRIS GERMANICA, famille des Iridées ; page 357. 

6. — GALANTHUS NIVALIS, famille des Amaryllidées ; page 356. 

7. — ORCHIS MILITARIS, famille des Orchidées ; page 358. 

8. — CANNA INDICA, famille des Balisiers ; page 361. 

9. — MUSA PARADISIACA, famille des Musacées ; page 358. 

10. — CYPÉRACÉES; la figure inférieure est un Cyperus, la supérieure un 
Carex ; page 348. 

11. — ARECA CATECHU, famille des Palmiers. La fleur est unisexuée dans 
ce genre; mais on a représenté les deux sexes, étamines et pistils, 
dans le même diagramme, pour montrer la position qu'occuperaient 
ces deux organes, au cas où ils se trouveraient réunis dans la même 
fleur ; page 365. 


DICOTYLÉDONES. 


— CHENOPODIUM ALBUM, famille des Chénopodées ; page 376. 

_— RUMEX ACETOSA, famille des Polygonées ; page 375. 

— MIRABILIS JALAPA, famille des Nyctaginées; pages 376, 377. 

. — LAURUS CINNAMOMUM, famille des Laurinées ; page 379. 

— ARISTOLOCHIA CLEMATITIS, famille des Aristolochiées ; page 377. 

. — SENECIO VULGARIS, famille des Composées ; pages 391, 392. 

. — CAMPANULA RAPUNCULUS, famille des Campanulacées, pages 390, 
391. 

— GALIUM MOLLUGO, famille des Rubiacées, pages 392, 397. 

0, -— ASCLEPIAS NIVEA, famille des Asclépiadées ; page 381. 


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21. 
22. 
23. 
24. 


25. 


26. 
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28. 
29. 
30. 
31. 


DIAGRAMMES DE DIFFÉRENTES FLEURS. 


DICOTYLÉDONES (suile). 


LAMIUM ALBUM, famille des Labiées; pages 386, 387. 
BORRAGO OFFICINALIS, famille des Borraginées ; page 386. 
CONVOLVULUS SEPIUM, famille des Convolvulacées ; page 38%. 
LOBELIA ERINUS, famille des Lobéliacées ; page 391. 
SOLANUM TUBEROSUM, famille des Solanées ; pages 385, 386. 
PRIMULA VERIS, famille des Primulacées ; pages 381, 382. 
DAUCUS CAROTA, famille des Ombellifères ; pages 394, 395. 
SEDUM TELEPHIUM, famille des Crassulacées ; page 404. 
RANUNCULUS ACRIS, famille des Renonculacées ; page #18. 
CHEIRANTHUS CHEIRI, famille des Crucifères ; page 414. 
VIOLA ODORATA, famille des Violettes ; page 415. 
ALSINE MEDIA, famille des Caryophyllées ; page 412. 
MALVA SYLVESTRIS, famille des Malvacées ; page 411. 
MALPIGHIA URENS, famille des Malpighiacées ; page 410. 
POLYGALA VULGARIS, famille des Polygalées ; page 414. 
JATROPHA CURCAS, a, fleur mâle, b, fleur femelle, famille des Eu- 
phorbiacées ; page 374. 
STAPHYLEA PINNATA, famille des Célastrinées ; page 400. 
RUTA GRAVEOLENS, famille des Rutacces ; page 405. 
OXALIS DEPPEI, famille des Oxalidées ; page 406. 
TROPOEOLUM PENTAPHYLLUM, famille des Tropéolées; page 406. 
RUBUS STRIGOSUS, famille des Rosacées; page 401. 
LATHYRUS ODORATUS, famille des Légumineuses ; page 400. 


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BOTAN. GÉN. !. 2. PL. 4. 


DES CALICES. 


— Calice polysépale ; Æanunculus monspeliacus. 

. — Calice monosépale à divisions appendiculées; Rosa centifolium. 

. — Galice monosépale vésiculeux ; Stlene inflata. 

. — Calice monosépale à 5 dents, dont la dent inférieure très-longue 
sétiforme ; 7rifolium rubens. 

— Calice monosépale anguleux à 40 dents inégales ; Marrubium 
album. 

— Galice monosépale tronqué ; Gossypium herbaceum. 

— Calice éperonné de la Capucine; Tropæolum majus. 

— Calice bipartite; PBignonia catalpa. 

— Calice monosépale quinquefide ; Siene conica. 

— Calice monosépale appendiculé; Scutellaria galericulata. 

. — Calice monosépale quinquedenté ; Silene italica. 


. — Calice monosépale quinquepartite; Phloz fruticosa. 


— Galice monosépale à 5 dents inégales, les 2 inférieures plus 
longues ; Nepeta cataria. 

— Calice à tube fendu étalé ; Majolana hortensis. 

. — Calice monosépale caliculé; Æibiscus trionum. 

— Calice monosépale unilabié ; Origanum sipyleoides. 

. — Calice à sépales membraneux ciliés au sommet ; Cafananche 

cærulea. 

. — Galice en aigrette à poils plumeux; Carduus monspessulanus. 

— (alice en aigrette à poils simples; £upatorium avicenne. 

. — Calice à 3 dents aristées ; Pidens bipinnata. 

. — Calice en aigrette plumeuse; Centranthus ruber. 


. — Ovaire de Centranthus, dont l’aigrette n’est pas encore déve- 


loppée. $ 
(Voir page 29.) 


BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 5. 


FORME DES COROLLES. 


1. — Corolle rotacée ; Anagallis arvensis. 
2. — Corolle campanulée ; Campanula persicæfolia. 
3. — Corolle hypocratériforme ; Primula veris. 
4. — Corolle calathiforme ; Wyosotis arvensis. 
5. — Périanthe corolloïde tubuleux; Polygonatum multiflorum. 
6. — Corolle urcéolée ; Arbutus unedo. 
7. — Corolle bilabiée; Galeopsis tetrahit. 
8. — Corolle personnée; Antirrhinum mayjus. 
9. — Corolle irrégulière anomale ; Orchis. 
10. — Corolle cruciforme ; Cardamine pratensis. 
11. — Corolle rosacée ; Rosa arvensis. 
42. — Corolle caryophyllée ; Saponaria officinals. 
43. — Corolle papilionacée ; Colutea arborescens. 
44. — Corolle à pétales éperonnés ; Delphinium ajacis. 
45. — Capitule flosculeux, ou composé de fleurs toutes tubuleuses ; 
Centaurea scabiosa. 
46. — Capitule semi-flosculeux, ou composé de fleurs toutes ligulées ; 
Barkausia rosea. 
17. — Capitule radié, ou composé de fleurs ligulées à la circonfé- 


rence, et de fleurs tubuleuses au centre; Zellis perennis. 


(Voir page 36.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 6. 


ANATOMIE DES COROLLES ET DES CALICES. 


1. — Coupe transversale d'un bord de pétale, vue au microscope, 
montrant sa texture cellulaire. 

2. — Coupetransversale d’un pétale, vue au microscope, dans laquelle 
on voit la formation de 2 faisceaux vasculaires. 

3. — Coupetransversale d’un pétale, vueau microscope, dans laquelle 
on voit la formation de 2 faisceaux vasculaires. 

4. — Coupe transversale d’un pétale, dans laquelle on voit quelques 
cellules épidermiques se prolongeant en poils. 

5. — Coupe longitudinale d’un pétale, montrant un faisceau de 
trachées. 

6. — Tissu cellulaire allongé. 

7. — Coupe longitudinale d’une portion de corolle monopétale, 
montrant la disposition des trachées. 

8. — Coupe longitudinale d’une portion de calice monosépale, 
montrant la disposition des trachées. 

9. — Portion d'épiderme d’un calice sur laquelle on voitdes stomates. 

10. — Coupe longitudinale de tissu sous-épidermique, montrant un 


faisceau vasculaire entouré de cellules allongées et qui cons- 
tituent la nervure des sépales. 

41. — Coupe transversale du sommet d’un pédicelle dans laquelle on 
voit les faisceaux vasculaires qui se prolongent dans les 
nervures des sépales. 

12. — Autre coupe montrant la même disposition des faisceaux vas- 
culaires. 


Voir pages 34 et 43.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PIN: 
COLORATION DE LA COROLLE. 
1. — Portion de tissu cellulaire allongé, très-grossie, et dont les 


cellules extérieures sont remplies de liquide de couleur plus 
ou moins intense; dans les cellules plus intérieures, le liquide 
est incolore, les granules seuls sont colorés. 

9. — Portion de tissu cellulaire très-grossie, à cellules polyédriques, 
remplies de liquide et granules colorants, et dont l'intensité 
décroit de l’extérieur à l’intérieur. 

3. — Portion de tissu cellulaire très-grossie, à cellules allongées 
remplies de liquide et granules colorants ; même explication 
que figure 1. 


4. — Même tissu que le précédent, rempli de liquide et granules colo- 
rants. 
5. — Portion de tissu cellulaire à cellules polyédriques, remplies de 


liquide et granules colorants. 


6. — Même tissu que le précédent, rempli de liquide et granules. 


(Voir page #3.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 8. 


NECTAIRES. 


1. — FLEUR (grossie) DE L’'ASCLEPIAS CORNUTI, présentant 
5 nectaires en forme de cornet. 

2. — PÉTALE (grossi) DE L'ÉPINE-VINETTE, pourvu à sa base 
de 2 glandes. 

3. — FLEUR (grossie) DE SEDUM REFLEXUM, offrant une écaille à 
la base de chaque ovaire. 

4. — FLEUR DE KALMIA LATIFOLIA, ayant 5 petites fossettes. 

5. — FLEUR DE CORYANTHES EXIMIA, ayant, comme toutes les 
orchidées, un caudicule glanduleux. 

6. — FLEUR (grossie) DU LIERRE, pourvue d’un disque qui couronne 
l'ovaire. 

7. — PÉTALE DE FRITILLARIA IMPERIALIS, muni d’une glande 
à sa base. 


8. — PÊÉTALE TUBULEUX DE TROLLIUS OEUROPEUS, considéré 
comme un nectaire. 


9. — PISTIL D'UN EPACRIS, dont l'ovaire porte plusieurs glandes. 
10. — FLEUR DE L'EPACRIS. 


14. — PÉTALEDE L'IRIS GERMANICA, hérissé sur sa partie médiane 
de nombreux poils nectarifères. 


(Voir page 45.) 


BOT. G EN. 


Waubert pins! 


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BOTAN. GEN. T. 2. PL°99; 


DES ÉTAMINES. 


1. — Étamine de BOURRACHE, portée sur la face interne d'un appendice 


21: 


22 


prolongé en corne. 

Étamine de ZYGOPHYLLUM FABAGO, portée sur la face externe d'un 
appendice écailleux. 

Anthère bifide aux 2 extrémités du POA COMPRESSA. 

Anthère à loges linéaires vermiformes de L'ACALYPHA ALOPECU- 
ROIDES. 

Anthère ovale basifixe, à loges parallèles, de L'AMANDIER. 

Étamine à anthère ovale et à filet dilaté du BEGONIA MANICATA. 

Anthère à lobes globuleux apicifixes de la MERCURIALE. 


Anthère de BYRSONIMA BICORNICULATA, dont les loges se détachent 
du connectif sous forme de deux cornes. 


Étamine de PTERANDRA PYROIDEA. 

Anthère uniloculaire de la GUIMAUVE. 

Étamine à balancier de SAUGE; le connectif très-long porte à son 
extrémité inférieure une loge stérile, et à son extrémité supérieure 
une loge fertile. 

Étamine à anthère vermiforme de la BRYONE. 

Anthère d'orchidée avant la déhiscence. 

Anthère uniloculaire médiifixe de STYPHELIA LÆTA. 

Étamine à anthère basifixe de la GIROFLÉE. 

Étamine à connectif prolongé en une longue arête plumeuse du 
NERIUM OLEANDER, ou LAURIER-ROSE. 

Étamine du TETRATHECA JUNCEA à anthère dressée, s’ouvrant par 
deux pores au sommet. 

Étamine du PYROLA ROTUNDIFOLIA à anthère pendante, s’ouvrant 
par deux pores au sommet. 

Étamine de VACCINIUM ULIGINOSUM à anthère munie de deux 
cornes et se prolongeant en deux tubes ouverts au sommet, 

Étamine de LAURUS PERSEA à anthère composée de quatre loges 
superposées ets’ouvrant chacune par une valvule, et à filet muni de 
deux glandes à sa base. 

Anthère de GAULTHERIA PROCUMBENS à loges effilées en deux 
lames bifides au sommet. 


Anthère d'ERICA CINEREA à loges prolongées inférieurement en deux 
appendices aplatis. 


{Voir page 50.) 


BOT. GÉN. 


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BOTAN. GEN. 1. 2. PL. 10. 


POLLEN 


(GROSSISSEMENT DE PLUS DE 1000 Fois). 


4. — Grain de pollen operculé de CUCURBITA PEPO, avant la déhis- 


cence. 
{ a. — Le même, au moment où les opercules se détachent du reste 


de la membrane externe, pour donner passage à la membrane 
interne sous forme de tubes; un de ses tubes se déchire et 
laisse échapper la fovilla. 

2 et3. — Grains de pollen du CON VOL VULUS TRICOLOR, dans deux 
états différents. 

2aet3 a. — Coupe transversale des précédents. 


- Aet5. — Développement du pollen dans le GUI (Viscwum album). 
4. — Utricules polliniques, ou état rudimentaire du grain de pollen. 
5. — Utricule pollinique rempli par une masse granuleuse. 
5 a. — Utricule pollinique dans lequel la masse granuleuse s’est agglu- 


tinée en quatre noyaux. 


5 b. — Séparation de l’utricule en quatre masses, chacune corres- 
pondant à un noyau ou à un nouvel utricule. 
— Utricule pollinique où les nouveaux utricules intérieurs sont 
séparés. 


5 d. — Undes utricules précédents, ou jeune grain de pollen isolé de 
l'utricule mère. 


5e — Grain de pollen à l’état parfait, grossi 300 à 400 fois. 


(Voir pages 53 et 57.) 


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3OTAN. GÉN. T. 2. Pre 


DE LA FORME DES GRAINS DE POLLEN. 


D'après le travail de Julius Fritzsche, publié dans les Mémoires de 
l’Académie impériale des sciences de Saint-Pétersbourg. (Grossisse- 
ment de 1000 fois). 


6. — Anthéridie de CHARA TOMENTOSA dans son parfait dévelop- 
pement. 

7. — Portion supérieure d’une anthéridie de CHARA SYNCARPA. 

7 a. — Base sur laquelle reposent 8 corps aplatis, garnis de nombreux 


tubes cloisonnés renfermant les anthérozoïdes. 

Th. — Anthéridie de CHARA SYNCARPA dépouillée de son enveloppe, 
montrant la base sur laquelle reposent les 8 corps entourés 
de tubes anthérozoïdifères. 


8. — Tube cloisonné anthérozoïdifère très-jeune, coloré par l’iode. 
8a. — Une portion de tube, également colorée par l’iode. 
8 b. — Une portion de tube renfermant des anthérozoïdes bien cons- 


titués, et dont plusieurs sont déjà sortis. 

8 c. — Contenu d’une loge d’une anthéridie de ZOSTERA MARINA. 

8 d. — Portion d’un tube anthérozoïdifère de ZOSTERA MARINA 
très-grossi, renflé vers son extrémité et rempli d’une matière 
granuleuse. 

8e. — Portion d’un tube d’anthérozoïde de ZOSTERA presque vide, 
et où la plupart des granules sont remplacés par un liquide 
incolore. 

— Portion d’un de ces tubes avec ramifications. 


{Voir page 53.) 


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DE LA FORME DES GRAINS DE POLLEN 


(SUITE). 


9. — Un grain de pollen de NAJAS MAJOR traité par l’iode; les gra- 
nules amylacés se sont teintés en bleu et le noyau a pris une 
teinte brune. 

40. — Un grain de pollen de JUNIPERUS VIRGINIANA, traité par 
l'iode. 

11. — Deux grains de pollen du PINUS SYLVESTRIS, observés dans 
l'huile de citron, sur deux faces différentes. 

12. — Un grain de pollen de THUNBERGIA FRAGRANS. 

13. — Un grain de pollen de PASSIFLORA INCARNATA. 

44. — Un grain de pollen de SOLANUM DECURRENS, observé dans 
l’huile de citron et vu de côté. 

45. — Un grain de pollen de RUELLIA ANISOPHYLLA, observé à sec 
et vu de côté. 


(Voir page 53.) 


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DE LA FORME DES GRAINS DE POLLEN 


(SUITE). 


16. — Un grain de pollen de TILIA PARVIFLORA, observé à sec. 

17. — Un grain de pollen du GOMPHRENA GLOBOSA, observé à sec. 

18. — Un grain de pollen du BASELLA ALBA, observé dans l'huile 
de citron. 

19. — Un grain de pollen du SCABIOSA ELEGANS, observé dans 
l'huile de citron. 

20. — Un grain de pollen de COLLOMIA GRANDIFLORA, observé à 
sec et vu dans sa partie la plus large. 

29. — Un grain de pollen de GERANIUM SYLVATICUM, soumis à 
l'iode; trois tubes commencent à faire hernie par les ouver- 
tures de l’exhimenine ou membrane extérieure ; sous l’ac- 
tion de l’iode, la membrane de ces tubes a pris une teinte 
brune et le contenu s’est teint en bleu. 


22. — Un grain de pollen de BELOPERONE OBLONGATA, observé à 


sec et vu par la face la plus large. 
22 a. — Le mème après avoir été traité par l'acide sulfurique. 


(Voir page 53.) 


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DE LA FORME DES GRAINS DE POLLEN 


(SUITE). 


— Un grain de pollen de PELARGONIUM, observé à sec et vu de 


côté. 


— Un grain de l'ARMERIA VULGARIS, après avoir été traité par 


l'acide sulfurique et vu de face. 


Un grain de pollen du SIDA ABUTILON, observé à sec. 


— Un grain de pollen de l’'ALTHEA ROSEA, après avoir été traité 


par l'acide sulfurique concentré 


Un grain de pollen de CHRYSANTHEMUM CARINATUM, après 
avoir été traité par l'acide sulfurique concentré. 


(Voir page 53.) 


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DE LA FORME DES GRAINS DE POLLEN 


(SUITE). 


28. — Ungrain de pollen de SCORZONERA PRATENSIS, après avoir 
été traité par l'acide sulfurique concentré. 

28 a. — Un grain de pollen de TRAGOPOGON, après avoir été traité 
par l'acide sulfurique concentré et observé de côté. 

29. — Un grain de pollen de COBOEA SCANDENS, observé dans l'huile 
de citron. 

30. — Un grain de pollen d'OENOTHERA MOLLIS, observé dans l’eau 
et en partie vide. 

31. — Un grain de pollen de CLARKTA ELEGANS, observé dans l’eau 
et en partie vide. 


{Voir page 53.) 


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. — Trois carpelles soudés entr’eux par la partie inférieure ou ova- 


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14. 


THÉORIE DU CARPELLE ET PLACENTATION. 


— Feuille étalée. 
- Feuille à demi repliée longitudinalement. 


— Feuille repliée longitudinalement, et dont les bords sont soudés, 
formant ainsi un carpelle. 


— Trois carpelles rapprochés, sans adhérence entre eux. 


rienne; les styles sont restés distincts. 


. — Trois feuilles carpellaires entièrement soudées dans toute leur 


longueur, et formant un pistil à ovaire triloculaire, ou à trois 
loges. 


. — Coupe transversale de la figure 4, montrant la placentation 


suturale de chaque carpelle. 

— Coupe transversale de la figure 5, montrant les trois loges et la 
placentation axile. 

— Coupe transversale d’un ovaire, provenant d’un pistil composé 
de trois feuilles carpellaires soudées entr’elles par leurs bords 
et non préalablement repliées longitudinalement ; il en est 
résulté un pistil à ovaire uniloculaire, à placentation parié- 
tale, comme dans la violette. 


. — Coupe transversale d'un ovaire uniloculaire de RÉSÉDA, ayant 


trois placentas pariétaux. 


. — Coupe transversale d’un ovaire de FUCHSIA COCCINEA, ayant 


4 loges à placentation axile. 


. — Coupe transversale d’un ovaire uniloculaire à placentation cen- 


__ trale de CERASTIUM HIRSUTUM. 
— Portioninférieure de l'ovaire du CERASTIUM HIRSUTUM. 


— Coupe longitudinale de l'ovaire du CERASTIUM HIRSUTUM, 
au centre le placenta partant des ovules. 


(Voir page 64.) 


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ANATOMIE DES OVAIRES. 


. — Un ovaire d'ANGRÆCUM (Orchidée). 


. — Coupe longitudinale d’une portion très-grossie de la paroi d’un 
ovaire, montrant sa structure anatomique ou la nature des 
différents tissus. 


. — Coupe transversale d’un ovaire à trois carpelles soudés seule- 
ment par la face ventrale ; la figure n’en présente que deux. 


. — Coupe transversale, très-grossie, d’un ovaire de crucifères, à 
deux loges et à deux graines séparées par une cloison. 


. — Coupe transversale d’un ovaire uniloculaire à placentation 
pariétale. 


. — Coupe transversale d’un ovaire à 5 loges et à placentation axile. 


. — Coupe longitudinale d’un ovaire uniloculaire à placentation cen- 
trale libre, de Primulacées. 


(Voir page 70.) 


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DES PISTILS. 


Pistil de VILLARSIA NYMPHOIDES : ovaire atténué en style simple, 
stigmate bilobé à lobes dentés. 

Pistil de SIDERITIS HYSSOPIFOLIA : 4 ovaires, { style simple, stig- 
mate à 2 lobes dont un plus court dilaté. 

pes se COTYLEDON TUBEROSA : 5 ovaires distincts, 5 styles 
supulcs. 

Pistil de SCROPHULARIA SAMBUCINA : ovaire entouré d’un disque, 
style filiforme, stigmate bilobé. 

Pistil de CUCUMIS LEUCANTHA : ovaire infère, surmonté des débris 
du calice et d’une couronne d’étamines avortées, style simple, stig- 
mate à trois lobes. 

Pistil de FUMARIA SEMPERVIRENS, accompagné de 2 bractées ; 
style filiforme, stigmate bipartite. 

Pistil de FUMARIA LUTEA : même explication que la figure 6. 

Pistil de RUMEX SCUTATUS : ovaire triangulaire, 3 styles, stigmates 
frangés. 

Pistil de VERBENA GLOMERATA : calice persistant renfermant 
l'ovaire, style filiforme, stigmate presque capité. 

Pistil de SCÆVOLA LOBELIA : ovaire infère, stigmate entouré d’une 
indusie cyathiforme. 

Pistil de CAMPANULA AUREA: ovaire infère anguleux, style filiforme 
divisé au sommet en 5 divisions linéaires stigmatiques. 

Pistil de VIOLA ROTHOMAGENSIS, dont l'ovaire est enveloppé par 
les élamines syngénèses, munies de deux appendices filiformes; 
le style est épaissi et le stigmate capité. 

Pistil de CONVOLVULUS INFLATUS: ovaire implanté sur un disque, 
style filiforme, 2 stizmates. 

Pistil de VINCA ROSEA: deux ovaires accompagnés de 2 glandes nec- 
tarifères, style filiforme dilaté au sommet en une sorte de bouclier, 
stigmate pelté frangé. 

Pistil de SCUTELLARIA ALPINA : quatre ovaires, style gynobasique 
inséré entre et à la base des ovaires, stigmate bifide. 

Pistil de VERBENA MULTIFIDA : ovaire à 4 lobes, style simple, stig-" 
mate bifide. 

Pistil de COLUTEA ARBOREA : ovaire stipité, style arqué, stigmate 
recourbé en hamecon ou unciné. 

Pistil de KIGGELLARIA AFRICANA: ovaire à 5 côtes, 5 styles subulés. 

Pistil de RUMEX SPINOSUS : ovaire triangulaire, 3 styles plumeux. 

Pistil de CYNOGLOSSUM LINIFOLIUM : 4 ovaires à bords dentés, 
implantés dans un disque, style gynobasique. 


21. — Pistil de BORRAGO LAXIFLORA: 4 ovaires implantés dans un disque, 


style gynobasique, stigmate bilobé. 


22, — Pistil de MYOSOTIS PALUSTRIS: ovaire quadrilobé, style simple fili- 


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forme, stigmate capité. 
Pistil de TOURNEFORTIA MUTABILIS, dont le stigmate est pelté. 
Pistil de HELIOTROPIUM EUROPOEUM, dont le stigmale, presque 


sessile, est pelté-conique. 
(Voir page 64.) 


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ANATOMIE DU STYLE ET DU STIGMATE. 


1. — Portion de stigmate, coupe longitudinale : au sommet cellules 
papilleuses, au centre cellules lâches avec méats intercel- 
lulaires. 

2, — Partie inférieure dustyle : coupe longitudinale, montrant le tissu 


cellulaire et deux faisceaux de trachées. 


3. — Coupe transversale, montrant le canal central et des faisceaux 
de trachées éparses dans le tissu cellulaire. 


4. — Coupe transversale d’un style monocarpellé, dont le canal central 
est tapissé de cellules papilleuses. 


3. — Portion d’un style polyearpellé, coupe transversale ; le canal 
central occupé par le tissu conducteur. 

6. — Portion de style, coupe longitudinale ; en dehors, des poils col- 
lecteurs. 

7. — Centre d’un style ; coupe longitudinale, montrant le canal cen- 
tral vide. 

8. — Méme coupe, avec une portion plus extérieure, montrant d’un 


côté un faisceau de trachées et le canal central rempli de 
cellules de différentes formes constituant le tissu conducteur. 


{Voir page 77.) 


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DÉVELOPPEMENT DES OVULES ET DE L'ARILLE. 


— Ovule orthotrope de NOYER (Juglans regia), vu au microscope; pre- 


mier âge; tégument simple ou ne recouvrant que la base du nucelle. 


2. — Même ovule plus développé; le nucelle est recouvert presque entière- 


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ment par le tégument. 


. — Ovule orthotrope de POLYGONUM CYMOSUM, vu au microscope; 


le nucelle est recouvert seulement à sa base par le tégument interne 
ou secondine. 


. — Mème ovule que le précédent, plus développé; les deux téguments 


(primine et secondine), forment une double enveloppe au sommet 
de laquelle fait encore saillie le nucelle. 


. — Ovule anatrope, vu au microscope, de CHELIDONIUM MAJUS, muni 


de ses deux téguments; par suite du développement d’un des côtés, 
il commence à tourner la pointe de son nucelle et à se renverser. 


. — Même ovule que le précédent et complétement renversé, mais ayant 


la pointe de son nucelle non encore entièrement recouverte par les 
deux téguments. 


. — Le même à son élat parfait de développement : la côte saillante est le 


raphé, la petite ouverture est le micropyle. 


. — Coupe longitudinale du précédent, montrant la primine ou tégument 


extérieur, la secondine ou tégument intérieur, la chalaze, point 
d'attache, le nucelle ou amande, le sac embryonnaire dans lequel 
est un petit embryon. 


à 12. — Différents âges de l’ovule campulitrope de la GIROFLÉE ; 


9, l'ovule est encore presque droit ; 40, commencement de courbure; 
11, état parfait ; 12, coupe longitudinale montrant les deux tégu- 
ments, l'absence de nucelle, l'embryon arqué, avec sa radicule 
correspondant au micropyle. 


13 à 16. — Quatre âges différents de l'ARILLE se développant autour de 


Nora : 


l'ovule du FUSAIN (Evonymus Europœus); 13, apparition de l’arille 
formant une sorte de cupule ; 14, arille plus développé ; 15, l'ovule 
est presque entièrement recouvert; 46, coupe longitudinale del’arille, 
pour montrer les rapports de cet organe avec l’ovule qu’il enveloppe 
complétement. 


{Voir page 81.) 


Les couleurs de ces ditérents organes, excepté pour l'arille, ne sont pas 


les couleurs naturelles; on a employé des couleurs vives el lranchées pour mieux 
limiter chacune des parties de l'ovule. 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 21. 


POSITION ET DIRECTION DES OVULES. 


4. — Coupe longitudinale d’un ovule orthotrope parfait, très-grossi, 
de POLYGONUM CYMOSUM. 

2. — Ovaire de PARIETAIRE (Parietaria officinalis), à ovule ascen- 
dant. 


3. — Ovaire d'URTICA URENS, à ovule dressé, 

4. — Ovaire de PLUMBAGO ZEYLANICA, à ovule renversé, fixé au 
sommet d’un placenta filiforme ascendant. 

5. — Coupe longitudinale d'un ovule anatrope. 

6. — Ovaire uniloculaire à ovule anatrope ascendant. 

7. — Ovaire d'HIPPURIS VULGARIS, à ovule anatrope renversé. 

8. — Ovaire de DAPHNE MEZEREUM, à ovule anatrope pendant. 


9. — Coupe longitudinale d’un ovule campulitrope. 

40. — Ovaire du MENISPERMUM CANADENSE, à ovule courbé ou 
campulitrope, inséré à la paroi de la loge. 

11. — Autre coupe d’ovule campulitrope. 

42. — Coupe longitudinale d’un ovaire à plusieurs loges, montrant 


deux ovules insérés horizontalement. 


43. — Ovaire du NUTTALIA CERASOIDES, à deux ovules collatéraux 
pendants. 

44. — Ovaire montrant deux ovules insérés, l’un à la base, l’autre au 
sommet. 


45. — Ovaire d’une PAPILIONACEE (Ononts rotundifolia), à ovules 
campulitropes superposés et horizontaux. 

16. — Une loge de l'ovaire du PEGANUM HARMALA, à ovules très- 
nombreux insérés sur un placenta saillant axile, et prenant 
des directions différentes. 


(Voir page 73.) 


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DES FRUITS. 


Gousse charnue de FABA MAJOR (Fève de Marais). 


. Deux coupes longitudinales: la supérieure est celle d’un ovaire 


du TRIBULUS TERRESTRIS, montrant les saillies de la 
paroi, qui commencent à séparer les ovules; la coupe infé- 
rieure est celle du fruit pour montrer que les saillies de la 
paroi dorsale de l'ovaire sont parvenues jusqu'à la paroi 
ventrale et forment des cloisons transversales qui partagent 
chaque loge en plusieurs logettes superposées. 

Deux achaines ou akènes du RANUNCULUS MURICATUS: lin- 
férieur est coupé transversalement pour montrer la graine. 

Cariopse, avec la coupe transversale, du SEIGLE. 

Deux samares d'ERABLE SYCOMORE. 

Une samare séparée d’un fruit d'HIROEA, de la famille des mal- 
pighiacées. 

Un follicule de l'HELLEBORE FÉTIDE. 


8. — Gousse bivalye ouverte du POIS CULTIVÉ. 
9. — Gousse articulée du SAINFOIN D'ESPAGNE. 
10. — Portion de fruit de la MAUVE, composée de plusieurs carpelles 


ou coques, disposés autour d’une columelle centrale. 


A4. — Fruit d’un RICIN, coupé en long et composé de coques mono- 


spermes. 


(Voir page 102.) 


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DES FRUITS 
(SUITE). | 


12. — Polachaine ou polakène du GERANIUM SANGUINEUM, com- 
posé de cinq carpelles, se séparant de l’axe central de 
Ja base au sommet. 

13. — Nuculaine du NEFLIER, coupée transversalement pour montrer 
les nucules ou noyaux. 

14. — Deuxdrupes de CORNOUILLER (Cornus mas), dont une coupée 
pour montrer le noyau à deux loges. : 

15. — Biachaine ou biakène, aussi crémocarpe d’une OMBELLIFERE 

(Prangos uloptera), après la déhiscence qui a séparé les deux 

carpelles ou akènes restés suspendus aux deux filets du car- 


pophore. 
16. — Samare du FRAXINUS OXYPHYLLA. 
16 a. — Coupe transversale de la partie inférieure de la figure précé- 


dente, pour montrer qu’elle est à deux loges, mais dont 
une avortée, réduite à une très-petite cavité sans graines. 
47. — Capsule du MUFLIER (Antirrhinum majus), à déhiscence 
poricide. 
18. — Cape déhiscence poricide du CAMPANULA PERSICOE- 
FOLIA. 
19. — Pyxide ou capsule, s’ouvrant transversalement, de L'ANA- 
GALLIS ARVENSIS. 
20. — Capsule à déhiscence denticide du CERASTIUM VISCOSUM. 
21. — Capsule de DIGITALIS PURPUREA, à déhiscence septicide. 
21 a. — Coupe transversale du fruit précédent, pour montrer comment 
s’opère le dédoublement de la cloison. 
22. — Capsule de l'HIBISCUS ESCULENTUS à déhiscence loculicide. 
23. — Capsule de CEDRELA ANGUSTIFOLIA, à déhiscence septifrage. 


(Voir page 102.) 


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28. 


DES FRUITS 


(SUITE). 


Capsule de PACAJOU (Swietenia mahogoni), à déhiscence 
septifrage, mais s’ouvrant de bas en haut. 


Capsule à trois coques du RICIN (/Æicinus communis), au mo- 
ment où les carpelles ou coques se séparent de Paxe central. 


Capsule de lORCHIS MACULATA. 


Silique de la GIROFLÉE (Cheiranthus cheiri), au moment où 
les deux valves se séparent de la cloison qui porte les graines. 


Fruits anthocarpés de la BELLE NUIT (Wirabilis jalapa), dont 
un coupé longitudinalement, pour montrer la base durcie du 
calice qui constitue une enveloppe accessoire. 


Fruit bacciforme de l’IF (Taxæus baccata). 


Fruits agrégés de PANANAS, couronnés par un bouquet de 
feuilles, au !/, de grandeur naturelle. 


Cône du PINUS SYLVESTRIS. 
Cône du CYPRÈS (Cupressus communis). 
Cône bacciforme d'un GENÉVRIER (Juniperus macrocarpa). 


(Voir page 102.) 


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GERMINATION DES VÉGÉTAUX 
MONOCOTYLEDONES. 


Germination d'une Graminée, ÆGILOPS OVATA. 
Germination du MAIS (Zea mais). 

Germination d’une Cypéracée grossie. 

Germination du DATTIER (Phœnix dactylifera). 
Germination, plus développée, du DATTIER. 
Germination d’une Aroïdée, CALLA ÆTHIOPICA. 
Germination d’une Liliacée, METHONICA SUPERPA. 


Germination coupée longitudinalement du METHONICA SU- 
PERBA. 


Germination, grossie, de l'ASPERGE 
Germination d’une Aroidée. 


(Voir page 128. 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 26. 


GERMINATION DES VEGETAUX DICOTYLÉDONEÉS. 


. — Graine du FABA MAJOR, ou Fève de marais. 
2, — Graine précédente, dépouillée de son enveloppe et montrant sa radi- 
cule appliquée sur les cotylédons. 

3, — Un cotylédon séparé et portant la gemmule d’une graine du FABA 
MAJOR. 

. — Graine de la même plante, ayant ses cotylédons écartés, montrant la 
radicule, la plumule et le réseau de faisceaux vasculaires des coly- 
lédons. 


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5. — Germination dela FÈVE DE MARAIS, ayant sa radicule très-développée 
et sa plumule commençant à sortir de l'enveloppe de la graine. 

6. — Graine d’un HARICOT, avant la germination. 

7. — Un cotylédon du HARICOT précédent avec la gemmule. 

8. — Germination de HARICOT. 

9. — POIS avant la germination. 

10. — Un cotylédon de POIS (Pisum sativum), avec la gemmule. 

il. — Germination du POIS, offrant deux feuilles entières opposées. 


12. — Germination d'une LENTILLE (Ervum lens), au moment où la plumule 
sort de l'enveloppe de la graine. 


13. — Germination plus avancée de la LENTILLE, 
14. — Embryon grossi d’un PIN. 


15. — Germination d'un Conifère, montrant ses cotylédons profondément 
découpés, et dont les découpures simulent autant de cotylédons, 


(Voir page 128.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL 27. 
GERMINATION DES VÉGÉTAUX 
MONOCOTYLEDONES. 

ÉTUDE ANATOMIQUE. 

1. — Germination d’une Graminée. 
2, — Coupe transversale de la tige, très-grossie, montrant deux fais- 


ceaux vasculaires, au milieu de la masse de cellules dont la 
couche extérieure forme l’épiderme. 

3. — Coupe longitudinale d’une portion de la précédente, montrant les 
deux faisceaux composés de vaisseaux spiraux ou trachées, 
entourés de cellules allongées. 

4. — Germination d’une Aroïdée. : 

5 — Coupe longitudinale d’une portion de la tige, montrant les fais- 
ceaux vasculaires et les cellules allongées qui les entourent. 


6. — Coupe transversale d’une portion de tige de la figure 4, montrant 
un faisceau fibro-vasculaire, et des raphides ou cristaux aci- 
culaires échappés des cellules qui les contenaient. 


(Voir page 128.) 


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BOTAN, GEN. T, 2 PL. 28. 


GÉNÉRATION ET GERMINATION DES 
CRYPTOGAMES. 


(FIGURES GROSSIES DE 200 À 300 rors.) 


1. — Ferment de la Bière à divers états de développement. 
— Cellules d'AGARICUS CAMPESTRIS, dont une renferme de petites cellules 


2. 


sphériques entourées de protoplasma ou de malière rudimentaire des tissus. 


3. — Extrémité d'une baside ou réceptacle, portant des spores du CALOCERA 


13 à 15. 


16. 


18. 


19. 
20. 


21e 


VISCOSA. 


Sporange isolée de l'HELVELLA ESCULENTA, 
à 12. — Divers états de développement des organes reproducteurs de la TRUFFE 


(Tuber cibarium); 5, formation des thèques ; 6 à 9, développement des 
spores dans les thèques ; 10, deux spores adultes, ayant une cutieule très- 
développée, observées dans l'acide sulfurique ; 11, deux thèques renfer- 
mant des spores presque mûres, soumises à l’ébullition dans une solution 
de potasse ; la cuticule des spores a presque disparu ; 12, une (hèque sou- 
mise à l’action combinée du sucre et de l'acide carbonique. 

— Formation des Zoospores du CHLAMIDOCOCCUS PLUVIALIS ; 
13, Zoospores consliluées ; 14, plante à l’état parfait de développement ; 
15, Zoospores s’échappant de la cellule mère. 


Portion d'un Apothecion de BORRERA CILIARIS (Lichen),trempée dans l'iode, 


coupe longitudinale; b, thèque en voie de formation ; €, thèque bien 
constituée, renfermant des spores; d, paraphyse. 


Portion d’une Algue, ULOTHRIX ZONATA, composée de cellules placées 


bout à bout, et dans lesquelles cellules se forment les zoospores ou spores 
douées de mouvement ; a et ce, cellules faisant saillie par la pression inté- 
rieure exercée par les zoospores qui veulent en sortir ; b, cellule normale 
remplie de zoospores:; d, zoospore restée dans la cellule el qui y germe ; 
9, z0ospores s’échappant de la cellule. 


Zoospores isolées de la plante précédente; les flèches indiquent la direction 


de leur mouvement, 


Une de ces zoospores, grossie mille fois. 
Anthérozoïdes de l'ULOTHRIX ZONATA. 
Anthérozoïde grossie mille fois. 


?2 et23. — États différents de germination de zoospores de l'ULOTHRIX. 
24 à 29, — Portion d'une conferve SPIROGYRA ; 24, cellule terminale remplie de 


chlorophylle, a b, et où l’on voit quelques grains amylacés, bleuis par l'iode; 
25, deux cellules dans lesquelles la chlorophylle, ou matière verte, com- 
mence à décrire une bande spirale en c d; 26, cellules dans lesquelles la 
bande spirale est mieux constituée; e, f, g, h,i, k, parties saillantes de 
la bande, x, vides entre la bande ; 27, cellules dans lesquelles la bande 
est complétement développée ; ?8, cellules contenant des zoospores en voie 
de formation ; 29, cellules dont les parties saillantes sont destinées à la 
copulalion, 


(Voir page 140.) 


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28. 


GÉNÉRATION ET GERMINATION DES 
CRYPTOGAMES. 


(FIGURES GROSSIES DE 200 A 300 Fois.) 


Portion de l'ULOTHRIX ZONATA soumise à l’action de l'acide sulfurique, 
montrant deux filaments au moment de la copulation; dans deux cellules, 
sont deux spores nouvellement formées par suite de la combinaison des 
liquides des deux filaments. 

Germination de l'ULOTHRIX ZONATA, portion inférieure d'une jeune plante. 

Portion d’un filament d'ULOTHRIX, de l'intérieur duquel Ja bande spirale de 
chlorophylle a disparu; elle est remplacée par des cellules zoosporifères. 

Cellules en chapelet du NOSTOC PRUNIFORME, qui vont se séparer pour 
multiplier la plante. 

Coupe du tissu de FUCUS SERRATUS, soumis à l’action de l’iode; deux 
cellules se formant dans une cellule mère. 

Cellule isolée d'un filament de NOSTOC PRUNIFORME et constituant une 
nouvelle plante, dans laquelle on trouve déjà de petits filaments celluleux 
en chapelet. 

Cellules isolées du tissu du PELLIA EPIPHYLLA (Jongermanniée). 

Fil spiral ou élatère de Jongermanne, SCOPANIA COMPACTA, soumis à l'ac- 
tion de l'acide sulfurique concentré. 

Anthéridie d'une Jongermanne, PLAGIOCHILA ASPLENIOIDES. 

Fragment, plus grossi, de la figure précédente, et soumis à l’action de l’acide 
sulfurique. 

Anthérozoïde de PLAGIOCHILA ASPLENIOIDES, en état de repos. 

Cellule de la seconde couche d’une paroi de l’anthéridie du PLAGIOCHILA. 

Spore du SCAPANIA COMPACTA, 


5 ef 16. — Anthérozoïdes en mouvement plus ou moins rapide, 


Fragment d'une jeune feuille de mousse, SPHAGNUM CYMBIFOLIUM, soumis 
à l’action de l’acide sulfurique. 

Contenu d’une jeune anthéridie, soumise à l’aclion de l'iode, du PELLIA 
EPIPHYLLA. 

Deux cellules dans lesquelles se forment des anthérozoïdes. 

Une cellule mère contenant deux cellules filles, soumise à l’action de l'iode. 

Fragment d’une feuille de PELLIA EPIPHYLLA, coupe transversale mon- 
trant un vide qui élait occupé par une anthéridie, et de l’autre côlé une 
anthéridie en place. 

Jeunes cellules renfermant le nucleus d’où naïîtra une anthérozoïde. 

Les cellules précédentes plus avancées et contenant l'anthérozoïde enroulée. 

Réseau granuleux de l’anthéridie du PELLIA , après la sortie des anthérozoïdes. 

Anthérozoïdes du PELLIA enroulées et déroulées. 

Cellules du bord d’une feuille de JONGERMANNIA ANOMALA, soumise à 
l'action de l’iode. 

Cellule mère de JONGERMANNE isolée, contenant deux nucleus qui devien- 
dront deux cellules. 

Cellules mères avec le nucleus, à divers élats, du JONGERMANNIA ANOMALA, 


(Voir page 140.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 30. 


GÉNÉRATION DES CRYPTOGAMES. 


Portion de fronde de fougère, POLYPODIUM. 

Portion de fronde de fougère, DAVALLIA PYXIDATA. 

Portion de fronde de fougère, LOXSOMA CUNNINGHAMIT. 

Sporange très-grossie de fougère, MARGINARIA VERRUCOSA. 

Sporange très-grossie de fougère, CERATOPTERIS THALICTROIDES. 

La précédente laissant échapper des spores. 

Portion de fronde fertile, ou grappe de sporanges de la fougère royale, 
OSMUNDA REGALIS. 

Portion de fronde de fougère, TRICHOMANES ALATUM, pourvue d’un 
réceptacle contenant un épi de sporange. 


Portion de fronde de fougère, ASPLENIUM VIVIPARUM, sur laquelle 
s’est développé un bourgeon. 
Sporange et bractée de LYCOPODIUM APODUM. 


Bractée et capsule sporangifère ou sporocarpe de LYCOPODIUM 
APODUM. 


Sporocarpe globulifère ouvert de LYCOPODIUM APODUM. 

Portion de fronde de PSILOTUM TRIQUETRUM (Lycopodiacée), por- 
tant trois sporocarpes. 

Sporanges de Prèle, EQUISETUM ARVENSE, réunis sous une écaille 
peltée. 

Spore de Prêle, entourée de quatre fils élastiques dont les mouvements 
aident à la dissémination. 

Coupe transversale d'un sporocarpe de PILULARIA GLOBULIFERA. 

Jeune plant de MARSILEA QUADRIFOLIA. 


PILULARIA GLOBULIFERA : portion de la plante portant deux spo- 
rocarpes sur le rhizome. 


Coupe longitudinale d’un sporocarpe de MARSILEA QUAPRIFOLIA. 
Coupe transversale d’un sporocarpe de SALVINIA NATANS. 
Spore, commençant à germer, de SALVINIA NATANS. 


{Voir page 140.) 


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30. 
31. 


GERMINATION DES CRYPTOGAMES. 


— Spore d’une Conferve. 
— Spore commençant à germer. 
— Spore en germination. 
— Spore du FUCUS SERRATUS. 


5. — Spore germée du FUCUS SERRATUS. 
ï. — Zoospores ou spores animées du CHOETOPHORA ELEGANS. 


ct $. — Spores à diflérents élats de germination du CHOETOPHORA 
ELEGANS. 


. — Spore d’une Jongermanniée, PELLIA EPIPHYLLA. 

. — Spore précédente commençant à germer. 

. — Germination accomplie de la précédente. 

2, — Deuxième état de germination d'une fougère, PTERIS LONGIFOLIA. 
. — Spore d’une Mousse. 

. — La précédente commençant à germer. 

5. — Troisième état de germination du PTERIS LONGIFOLIA. 

. — Germination d’une Mousse. 

. — Premier état de germination du PTERIS LONGIFOLIA. 


. — Spore de l'EQUISETUM ARVENSE. 
20, 21, 22 et 23. — Degrés différents de la germination de l'EQUISETUM 
ARVENSE. 


. — Spore du PILULARIA GLOBULIFERA. 
. — Spore de PILULARIA GLOBULIFERA, commencant à germer. 
. — Germination accomplie de la Pilulaire. 


28 et 29, — Degrés différents de germination du MARSILEA FABRI. 
— Spore du SALVINIA NATANS, très-grossie. 
— La spore précédente commençant à germer. 


32 et 33. — Germination, à deux degrés différents, du SALVINIA NATANS. 


{Voir page 146.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2, PL. 32. 


STRUCTURE DE LA TIGE DES CRYPTOGAMES. 


1. — Coupe transversale, grossie, d'une tige de LYCOPODIUM 


PHLEGMARIA. 

2. — Partie centrale de la précédente, très-grossie. 

4. — Coupe transversale d’une racine extérieure, grossie. 

4. — Coupe transversale d’une tige de Fougère en arbre, réduite au 
1], de grandeur naturelle. 

5. — Tige réduite de Fougère (Aspidium filiz-mas), montrant les cica- 
trices des anciennes feuilles, et, au sommet, les bases des 
pétioles. 

6. — Coupe transversale de la précédente, à la hauteur de la nais- 
sance des feuilles ; on voit extérieurement la coupe des 
pétioles. | 

7. — Deux vaisseaux scalariformes, très-grossis. 

8. — Coupe transversale d’un tube ligneux d’une tige de Fougère. 

9. — Coupe transversale d’une portion de tige d’une autre espèce de 


fougère en arbre, 1}; de grandeur naturelle. 


10. — Portion de tige coupée longitudinalement d’une espèce de Fou- 
gère arborescente, !/; de grandeur naturelle. 


11. — Autre Fougère arborescente, coupe transversale, réduite au ,, 
de grandeur naturelle. 


(Voir page 150.) 


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TÉRATOLOGIE VÉGÉTALE 


TRANSFORMATION DES ORGANES, OU MONSTRUOSITÉS. 


— Maculature des feuilles de PAUCUBA JAPONICA. 

— Tige fasciée de CELOSIA CRISTATA. 

Rameau aplati de XYLOPHYLLA ANGUSTIFOLIA. 

— Rameau foliiforme de RUSCUS HYPOPHYLLUM. 

— Transformation des étamines de PANCOLIE à fleur double, en 
pétales cucullés ou éperonnés emboités les uns dans les 
autres. 

G. — Pélorie de LINATRE (Zinaria vulgaris), dans laquelle le limbe de 
la corolle est devenu régulier, et la base du tube s’est pro- 
longée en cinq éperons. 

7. — Dédoublement d’un pétale de SAPONAIRE (Saponaria offici- 
nalis). 

8. — Rameau de PRUNELLIER (Prunus spinosa), se transformant 
en épine. 

9. — Rameau d'ÉPINE-VINETTE (Berberis vulgaris), dans lequel 

les épines sont transformées en feuilles. 

10. — Follicules d'ANCOLIE, sur les bords desquels des feuilles se 

sont développées à la place des graines. 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 34. 


TÉRATOLOGIE VÉGÉTALE 


OU MONSTRUOSITÉS, 


1. — Fragment de tige de LILIUM BULBOSUM, portant des bulbilles à l’ais- 
selle des feuilles. 


2. — Fragment de rameau portant des feuilles composées, chez lesquelles 
le pétiole commun s’est transformé en épine. 

3. — ORANGE dans laquelle les loges ou carpelles intérieurs font saillie 
au sommet, sous forme de mamelons. 

4. — Deux pétales sur lesquels deux appendices foliacés se sont développés. 


— Étamines de NÉNUPHAR, passant de l’étamine normale au pétale. 

6. — Coupe longitudinale d’un calice de Rose prolifère ; au centre les ovaires 
parfaits ; à l’aisselle des sépales naissent des étamines; au sommet 
du tube, des boutons se sont formés et occupent la place des pétales. 


7. — POIRE prolifère : l'axe garni de feuilles se prolonge au-dessus du fruit. 
8. — ROSE prolifère : les sépales sont transformés en feuilles; le tube calici- 
nal a disparu, et l'axe, se prolongeant au-dessus de la fleur, porte 
à son sommet une fleur imparfaile, 
9. — Coupe longitudinale d’une POMME offrant deux étages de loges. 
10. — Coupe transversale d’une POMME, dans laquelle le nombre de loges a 


doublé; il y a 10 loges au lieu de cinq, nombre normal. 


(Voir page 180.) 


2 LATE 244 227 TC 


PL. 54. 


BOTAN. GÉN. T. 2. 11 RG TE 


DES FAMILLES NATURELLES. 


. — Fleur de CLEMATIS VITALBA, de grandeur naturelle ; 4 a, agrégat 


de fruits de grandeur naturelle ; { b, fruit isolé grossi ; 1 c, le même 
de grandeur naturelle. 

— Fleur de Pigamon, THALICTRUM MAJUS, de grandeur naturelle ; 
2 a, agrégat de fruits, grandeur naturelle; 2 b, fruit isolé grossi ; 
2 c, fruit isolé, grandeur naturelle, 

— Agrégat de fruits de lANEMONE SYLVIE (Anemone nemorosa); 3 a, 
fruit isolé grossi; 3 b, fruit isolé, grosseur naturelle. 

— Agrégat de fruits de lANEMONE PULSATILLA ; 4 a, fruit isolé grossi; 
4 b, le même, de grosseur naturelle. 

— Agrégat de fruits de l'ANEMONE DES JARDINS (Anemone coronaria); 
5 a, fruit isolé grossi ; 5 b, fruit isolé, de grosseur naturelle. 

— Agrégat de fruits de l'HÉPATIQUE (Anemone hepatica); 6 a, fruit 
isolé grossi; 6 b, fruit isolé, de grosseur naturelle. 

— Agrégat de fruits de l'ADONIS ÆSTIVALIS ; 7 a, fruit isolé grossi ; 
7 b, fruit isolé, de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits de l'ADONIS AUTUMNALIS ; 8 a, fruit isolé grossi; 


8 b, fruit isolé, de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits de RANUNCULUS BULBOSUS ; 9 a, fruit isolé 


grossi ; 9 b, le même, de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits de RANUNCULUS LINGUA ; 10 a, fruit isolé grossi; 


10 b, fruit, de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits murs de FICARIA RANUNCULOIDES ; {1 a, fruit 


isolé et grossi ; 11 b, ovaires agrégés de grandeur naturelle; {1 e, 
un ovaire isolé et grossi; 11 d, pétale de grandeur naturelle. 

— Agrégat de fruits de CALTHA PALUSTRIS ; 12 a, graine grossie, 
42 b, graine de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits de TROLLIUS EUROPÆUS, 13 a, graine grossie ; 


13 b, graine de grosseur naturelle. 


‘Voir page 2#1. 


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DES FAMILLES NATURELLES. 


Agrégat de fruits, de grandeur naturelle, de l'ERANTHIS HYEMALIS, 
accompagné de son involucre ; 4 a, graine grossie ; 1 b, la même 
de grosseur naturelle. 

Agrégat de fruits réduits d’ HELLEBORUS NIGER ; 2 a, graine grossie; 
2 b, la même, grosseur naturelle ; 2 €, racine, réduite au {/, de sa 
grandeur. 

Agrégat de fruits, réduits, de l'HELLEBORUS FOETIDUS ; 3 a, graine 
grossie ; 3 b, la même, de grosseur naturelle. 

Agrégat de fruits, de grandeur naturelle, du NIGELLA ARVENSIS ; 
4 a, graine grossie ; 4 b, la même, de grosseur naturelle. 

Agrégat de fruits, de grandeur naturelle, de l'Ancolie, AQUILEGTA 
"VULGARIS ; 5 5 a, graine grossie ; 5 b, la même, de grosseur natu- 
relle. 

Agrégat de fruits, de grandeur naturelle, de DELPHINIUM STAPHY- 
SAGRIA ; 6 a, agrégat de graines de grosseur naturelle ; 6 b, graine 
isolée. 

Agrégat de fruits, de grandeur naturelle, de l'ACONITUM NAPELLUS; 
7 a, graine grossie ; 7 b, la même, de grosseur naturelle. 

Agrégat de fruits, réduits d’un tiers, de Pivoine, POEONIA OFFICI- 
NALIS: 8 a, extrémité d’un ov aire avec le sligmate ; 8 b, graine 
réduite de moitié. 

Agrésat de fruits, de grandeur naturelle, de V'ACONITUM LYCOC- 
TONUM ; 9 a, graine grossie ; 9 b, la même, de grosseur naturelle. 

Fleurs de l'ACTEA SPICATA ; 10 a, fruit de grosseur naturelle; 
10 b, coupe longitudinale du fruit, pour montrer la disposition des 
graines; 10 €, deux graines grossies ; 10 d, deux graines de gran- 
deur naturelle. 

Fleurs de CIMICIFUGA FOETIDA un peu réduites ; 11 a, deux fruits 
de grandeur naturelle; 11 b, graine grossie ; {1 €, la même de 
grosseur naturelle. 


(Voir page 241.) 


BOT. GEN. TI. PL. 36 


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9. 


DES FAMILLES NATURELLES. 


. — Fruit, réduit au tiers de sa grosseur, d’une Dilléniacée, DILLENTA SPE- 


CIOSA ; 1 a, graine, 1/, de grosseur naturelle. 


— Agrégat de fruits, de grosseur naturelle, de l’Anis étoilé, ILLICTUM 
ANISATUM, famille des Magnoliacées ; 2 a, graine. 


. — Fleurs de DRIMYS WINTERI, grandeur naturelle; 3 a, fruit; 3 b, graine; 


3 c, écorce. 


— Fruit, de grosseur naturelle, du MICHELIA CHAMPACA, famille des 
Magnoliacées ; 4 a, graine, de grosseur naturelle. 


. — Agrégat de fruits, ‘/, de grosseur naturelle, du MAGNOLTA GLAUCA ; 


5 a, graine ; 5 b, écorce. 

— Agrégat de fruits, ‘, de grosseur naturelle, du Tulipier, LIRIODEN- 
DRUM TULIPIFERUM, famille des Magnoliacées ; 6 &, graine de 
grosseur naturelle ; 6 b, la même grossie; 6 c, portion de racine 
réduite. 


. — Fruit agrégé, 1}, de grosseur naturelle, de l'ANONA MURICATA, 


famille des Anonacées ; 7 à, graine, {/, de grosseur naturelle. 
— Fruit, {/, de grosseur naturelle, de MONODORA MYRISTICA, famille 
des Anonacées ; 8 &, coupe transversale ; 8 b, graine réduite au tiers. 
— Agrésat de fruits, 1/, de grandeur naturelle, de l'UVARIA AROMATICA, 
famille des Anonacées ; 9 a, graine de grosseur naturelle; 9 b, la 
même, grossie. 


(Voir page 242.) 


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DES FAMILLES NATURELLES. 


Fleur femelle du LARDIZABALA BITERNATA ; 1 a, fleur mâle 
un peu amplifiée ; 4 b, fruit de grosseur naturelle; 4 e, coupe 
de Ja graine; { d, graine, un peu grossie. 

Fleur, de grandeur naturelle, du COCCULUS PALMATUS ; 9 4, 
fleur grossie ; 2 b, fruit de grosseur naturelle; 2 ec, graine de 
grosseur naturelle; 2 d, racine réduite ; 2 e, coupe trans- 
versale de racine sèche. 

Fleur, de grandeur naturelle, de l'ANAMIRTA COCCULUS; 3 a, 
fleur grossie ; 3 b, fruit de grosseur naturelle; 3 e, graine de 
grosseur naturelle ; 3 d, fruit sec. 

Fleur, de grandeur naturelle, du MENISPERMUM CANADENSE; 
4 a, fleur grossie; 4 b, fruit de grosseur naturelle; 4 c, graine 
de grosseur naturelle ; 4 d, fragment de racines, de grosseur 
naturelle. 


Grandeur de la fleur du CISSAMPELOS PAREIRA; 5 a, fleur : 
grossie ; 5 4, fruits de grosseur naturelle; 5 €, fruit grossi; 
5 d, grosseur de la graine; 5 e, graine grossie ; 5 f, frag- 
ment de racine ; 5 g, coupe transversale de racine sèche. 


(Voir page 2#3.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 39. 


SYSTÈME DE LINNÉ. 


4. — Monandrie : HIPPURIS VULGARIS, fleur très-grossie. 
Diandrie : FORSYTHIA VIRIDISSIMA, fleur et fragment grossi 
de la corolle portant deux étamines. 

3. — Triandrie : TIGRIDIA CONCHIFLORA, fleur réduite au tiers. 

4. — Tétrandrie : EXACUM TETRAGONUM, fleur et fragment grossi 
de la corolle ouverte pour montrer le pistil et les étamines. 

5. — Pentandrie : OXYPETALUM SOLANOIDES, fleur, et coupe 
grossie pour montrer les nectaires. 

6. — Hexandrie : CARAGNATA, fleur, et corolle ouverte montrant 
le pistil et les élamines. 

7. — Heptandrie : PAVIA LUTEA, fleur entière et fleur dépouillée 
de la corolle, ayant le calice fendu pour montrer le pistil et 
les étamines. 

8. — Octandrie : FUCHSIA SERRATIFOLIA, fleur réduite de !/, et 
fleur dépouillée des enveloppes montrant le pistil et les 
étamines. 

9. — Ennéandrie : RHEUM RHAPONTICUM, fleur très-grossie et 
coupe longitudinale. 

10. — Décandrie : TETRATHECA HIRSUTA, fleur, et ovaire grossi 
entouré par les filets d'étamines. 

11. — DHASeee : BEJARIA COARCTATA, fleur, étamines et 
pistil. 

42. — Icosandrie : MYRTUS COMMUNS, fleur entière et fleur 
dépouillée de la corolle. 


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(Voir page 259.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 40. 


SYSTEME DE LINNÉ 


(SUITE). 


43. — Polyandrie : SMEATHMANNIA PUBESCENS, fleur entière et 


fleur dépouillée des enveloppes florales, 


14. — Didynamie : GESNERIA ZEBRINA, fleur et étamines. 


45. 


16. 


Tétradynamie : CARDAMINE PRATENSIS, fleur et organes 
sexuels. 

Monadelphie : HIBISCUS GROSSULARLÆFOLIUS, fleur ré- 
duiteau tiers et tube staminal avec le style. 

Diadelphie : ERYTHRINA CORALLODENDRON, fleur et 
étamines. 

Polyadelphie : HYPERICUM PERFORATUM, fleur etétamines. 

Syngénésie : ARNICA MONTANA, capitule réduit de moitié, et 
deux fleurs isolées. 

Gynandrie : ANGROECUM FUNALE, fleur réduite de moitié et 
gynostème. 

Monoécie : URTICA URENS, chatons mâle et femelle avec 
fleurs mâle et femelle isolées. 


29, — Dioécie : SALIX SERINGIANA, chatons mäles et femelles avec 


fleurs màles et femelles isolées. 


23. — Polygamie : ACACIA CELASTRIFOLIA, épi globuleux de gros- 


21 


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seur naturelle, et fleur isolée très-amplifiée. 
Cryptogamie : Agaric, Cenomyce, Marchantia, Jongermanne, 
Mousse, Scolopendre, Equisetum. 


Voir page 261.) 


BOT. CEN. "T Il. PL. 40, 


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BOTAN. GEN, T. 2. PL. 41, 


SYSTEME DE PORTA. 


Nora : Le signe — signifie égale à... dans cette planche et la suivante. 


1. — Chenille : —1 4, fruit du SCORPIURUS MURICATUS. 


2. — Oursins : — 2 4, enveloppe cupuliforme de la CHATAIGNE. 

3. — Hélice : —3 a, fruit de la LUZERNE ou MEDICAGO SATIVA. 

4. — Pied d'oiseau: —4 a, griffe ou racines fasciculées de RENON- 
CULE. 

5. — Main humaine : —5 a, racine tuberculeuse palmée de l'OR- 


CHIS MACULATA. 

6. — Tète et crête de dindon : — 6 a, épi de l'AMARANTHUS 
CAUDATUS. 

1. — Chenille : 7 a, rameau de POMMIER. 

8. — Scorpion : —8 a, racine de BISTORTE. 

9. — Serpent —9 a, feuille de l'ARUM SERPENTARIA. 

10. — Aspergille : — 10 a, capitule de CAMOMILLE. 


(Voir page 271.) 


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SYSTÈME DE PORTA 


(SUITE). 


Guêpe : — 1 a, fleur de lOPHRYS APIFERA. 
Mouche : — 2 a, fleur de l'OPHRYS MIODES. 
Araignée : — 3 a, fleur de l'OPHRYS ARANIFERA. 
Papillon : — 4 a, fleur de l'ONCIDIUM PAPILIO. 


Phyllie : — 3 a, feuille de CHÈNE. 


. — Tête de veau : — 6 a, fleur du MUFLIER. 
. — Cloporte enroulé : = 7 a, fruit de MAUVE. 


(Voir page 271.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 45. 


MÉTHODE DE LAURENT DE JUSSIEU. 


1. — Famille des Algues : CYSTOSEIRA, très-réduit. 
2, — Famille des Champignons : AMANITA MUSCARIA, !/,, de grandeur 
naturelle. 


3. — Famille des Lichens : PHYSCIA LEUCOMELA, réduit au 1/;. 

4. — Famille des Mousses : POLYTRICUM NANUM. 

5. — Famille des Fougères : BOTRYCHYUM LUNARIA, réduit de moitié. 
6. — Famille des Aroidées : ARIOPSIS PELTATA, spadice !/, de grandeur 


naturelle. 
7. — Famille des Graminées : BRIZA MAXIMA, épillet, et une fleur très- 
grossie. 


8. — Famille des Asparaginées : POLYGONATUM VULGARE. 

9. — Famille des Broméliacées : OECHMEA FULGENS. 

10. — Famille des NYTpRegées : NUPHAR LUTEA, fleur, et ovaire isolé, 
1/, de grandeur naturelle. 

11. — Famille des Hydrocharidées : HYDROCHARIS MORSUS-RANE, fleur 
femelle et fleur mâle dépouillées des enveloppes florales. 

12. — Famille des Orchidées : PERISTERIA HUMBOLDTII var. FULVA; 
fleur réduite au 1/3. 

13. — Famille des Aristolochiées : ARISTOLOCHIA GIGAS; fleur réduite 
au 1/5. 

14. — Famille des Éléagnées : ELEAGNUS ARGENTEA, fleur entière et 
fleur ouverte. 

15. — Famille des Protéacées : ISOPOGON SPHÆROCEPHALUS, fleur 
épanouie, et bouton accompagné d’une bractée. 

16. — Famille des Plantaginées : PLANTAGO LANCEOLATA; épi de gran- 
deur naturelle et fleur isolée très-grossie. 


17, — Famille des Plombaginées : PLUMBAGO ROSEA; fleur entière un peu 
réduite et fleur ouverte. 


{Voir page 285.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2 PL. 44. 


MÉTHODE DE LAURENT DE JUSSIEU 


(SUITE). 


Famille des Apocvnées : VINCA ROSEA var. ALBA; fleur entière, et 
tube de la corolle ouvert. 

Famille des Acanthacées : APHELANDRA AURANTIACA ; fleur en- 
tière, le pistil accompagné du calice, et une étamine. 

Famille des Convolvulacées : IPOMOEA PULCHELLA ; fleur réduite 
de moitié, tube de la corolle fendu, et pistil. 

Famille des Éricinées : ERICA CERINTHOIDES, fleur grossie et fleur 
de grandeur naturelle, fendue. 

Famille des Lobéliacées : SIPHOCAMPYLUS LANTANIFOLIUS. 

Famille des Chicoracées : Capitule d'HYPOCREPIS, fleur hermaphro- 
dite ligulée, et pistil isolé grossi. 

Famille des Carduacées : Capitule de CARDUUS NUTANS, et fleur isolée. 

Famille des Corymbifères : Capitule de BRACHYCOME IBERIDIFOLIA, 
fleur tubuleuse du centre, et fleur ligulée de la circonférence. 

Famille des Caprifoliacées : ABELIA FLORIBUNDA. 

Famille des Ombellifères : fleur entière, et pistil grossi. 

Famille des Droséracées : PARNASSIA PALUSTRIS; fleur entière, et 
organes sexuels avec les glandes nectarifères. 

Famille des Bégoniacées : BEGONIA INGRAMII. 

Famille des Cistinées : HELIANTHEMUM TUBERARIA,; fleur réduite 
de moitié. 

Famille des Mélastomacées : MEDINILLA SPECIOSA. 

Famille des Papilionacées : GENISTA SPACHIANA. 

Famille des Cucurbitacées : BRYONIA DIOICA; fleur femelle entière, 
et coupe longitudinale des fleurs mâle et femelle. 


. — Famille des Urticées : CANNABIS SATIVA, fleur mäle et fleur femelle 


grossie. 


{Voir page 285.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 45, 


MÉTHODE NATURELLE DE DE CANDOLLE. 


THALAMIFLORES : coupe longitudinale d’une fleur de renoncule, 
pour montrer l'insertion des étamines sur le réceptacle ou 
thalus. 


1. — Famille des Renonculacées : ANEMONE JAPONICA ; fleur 
réduite de moitié. 
. — Famille des Berbéridées : BERBERIS ILICIFOLIA. 
3. — Famille des Malvacées : HIBISCUS ROSA-SINENSIS; fleur 
réduite de moitié. 


129 


CALICIFLORES : coupe longitudinale d’une Papilionacée, montrant 
l'insertion des étamines sur le calice. 

4. — Famille des Caryophyllées : DIANTHUS CARYOPHYLLUS: 
fleur double. 

>. — Famille des Campanulacées : CAMPANULA PYRAMIDALIS. 

6 — Famille des Ericinées : THIBAUDIA PICHINCHENSIS. 
COROLLIFLORES : coupe longitudinale d’une fleur de Primevère, 
indiquant l’insertion des étamines sur la corolle. 

7. — Famille des Gentianées : LISIANTHUS ACUTANGULUS. 
8. — Famille des Convolvulacées : PHARBITIS CATHARTICA. 
9. — Famille des Antirrhinées : PENTSTEMON GORDONI. 
MONOCHLAMIDÉES : silhouette d’une fleur d'Aristoloche, pour indi- 
quer que les fleurs de ce groupe n’ont qu'une seule enve- 
loppe. 
10. — Famille des Eléagnées : ELEAGNUS ARGENTEA. 
il. — Famille des Protéactes : ISOPOGON ATTENUATUNM. 
12 — Famille des Bégoniacées : BEGONIA FUCHSIOIDES. 


(Voir page 291.) 


BOT GEN. TI. PL. 45. 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 46. 


MÉTHODE NATURELLE DE DE CANDOLLE 


(SUITE). 


GERMINATION D'UNE MONOCOTYLÉDONÉE, montrant qu'il n'y à 
qu'un seul cotylédon. 

143. — Famille des Alismacées : SAGITTARIA SAGITTIFOLIA (fleur 
mâle). 

44. — Famille des Orchidées : CATTLEYA GRANULOSA. 

15. — Famille des Drymyrrhizées : AMOMUM VITELLINUM. 

ÉTAMINES ET PISTIL, pour montrer le nombre caractéristique trois, 
ou son multiple, dans les Monocotylédonées. 

16. — Famille des Iridées : GLADIOLUS GANDAVENSIS. 

47. — Famille des Amaryllidées : AMARYLLIS RETICULATA. 

18. — Famille des Liliacées : ALOE PICTA. 

CRYPTOGAMES, organes reproducteurs; en suivant de haut en bas: 
spore, entourée de ses quatre fils, d’une Equisétacée; capsule 
de Lycopodiacée; sporange de fougère; écaille d’une Mousse; 
fragment de l'Hymenium d’agaric, portant deux podospores. 

19. — Famille des Équisétacées : EQUISETUM TELMATEÏA, épi fruc- 


tifère. 
20. — Famille des Lycopodiactes : épi fructifère du LYCOPODIUM 
CLAVATUM. 


91. — Famille des Fougères : fronde de SCOLOPENDRIUM OFFI- 
NALE. 


29, — Famille des Mousses : POLTIA CAVIFOLIA. 
93. — Famille des Champignons : AGARICUS. 
2%. — Famille des Algues. 


(Voir page 291.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 47, 


MÉTHODE NATURELLE DE M. AD. BRONGNIART. 


CRYPTOGAMES AMPHIGÈNES : filaments de Mucor avec spores. 

1. — Famille des Algues : RHODOMENIA LACINIATA. 

2. — Famille des Champignons : CLAVARIA CORALLOIDES. 

3. — Famille des Lichens : BORRERA CILIARIS. 

ACROGÈNES : fronde de fougères enroulée en crosse. 

4. — Famille des Mousses : SCHISTOSTEGA OSMUNDACEA. 

5. — Famille des Fougères : TOENITIS LINEARIS, réduit au /.. 

6. — Famille des Lycopodiacées : LYCOPODIUM SELAGO. 

MONOCOTYLÉDONÉES PÉRISPERMÉES : grains de Seigle entier et 
coupé. 

7. — Famille des Amaryllidées : ALSTROEMERTA VERSICOLOR. 

8. — Famille des Broméliacées: TILLANDSIA BULROSA var. PICTA. 

MONOCOTYLÉDONÉES APÉRISPERMÉES: embryon très-grossi, non 
entouré de périsperme. 

9. — Famille des Orchidées : LOELIA CINNABARINA; fleur réduite 
de moitié. 

DICOTYLÉDONÉES ANGIOSPERMES: coupe longitudinale d’un ovaire, 
montrant la graine renfermée dans une enveloppe qui est 
l’ovaire ; au sommet de la graine est l'embryon. 

10. — Famille des Lonicérées : WEIGELIA ROSEA. 

11. — Famille des Renonculacées : AQUILEGIA LEPTOCERAS. 

DICOTYLEDONÉES GYMNOSPERMES : une écaille de conifère à la 
base de laquelle sont insérées des graines nues. 

12. — Famille des conifères : CRYPTOMERIA JAPONICA ; extrémité 
d’un rameau très-réduit. 


(Voir page 312.) 


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MÉTHODE NATURELLE D'ADRIEN DE JUSSIEU. 


4. — Fragment très-grossi d’une fronde d’Algue. 

2. — Famille des Algues : DELESSERIA SANGUINEA; un fragment 

de fronde, réduit au !/.. 

3. — Famille des Champignons : chanterelle, CANTHARELLUS 

CIBARIUS, réduit de moitié. 

4. — Famille des Lichens : PARMELIA TILIACEA. 

Famille des Mousses : ENCALYPTA VULGARIS; plante entière; 
capsules grossies avec leur coiffe ; orifice de la capsule, ou 
péristome très-grossi. 

6. — Famille des Lycopodiacées : SELAGINELLA DENTICULATA, 
réduit de moitié. 

7. — Famille des Isoétées : ISOETES LACUSTRIS, réduit de moitié. 

8. — Famille des Fougères : TOENITIS LINEARIS, réduit au ?/,. 

9. — Famille des Potamées : POTAMOGETON PECTINATUM; Inflo- 
rescence et fleur grossie ; 9 a, graine grossie coupée longitu- 
dinalement, montrant l'embryon. 

10. — Famille des Aroïdées : PHILODENDRUM ERUBESCENS; spa- 
dice entier réduit au !}, de grandeur naturelle; 40 a, axe de 
l'inflorescence chargé de fleurs; 40 6, graine grossie coupée 
longitudinalement, pour montrer l'embryon au sommet de 
l’albumen. 

11. — Famille des Graminées : AVENA SATIVA; Epillet ; 41 a, graine 
grossie coupéc transversalement pour montrer l'embryon 
situé en dehors de Palbumen. 


12. — Famille des [ridées : HYDROTOENIA MELEAGRIS ; grandeur 


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naturelle. : 
13. — Famille des Orchidées : ONCIDIUM MACULATUM, réduite 
de ?/.. 


(Voir page 319.) 


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12. 
13. 
14. 


MÉTHODE D'ADRIEN DE JUSSIEU 


(SUITE). 


Famille des Conifères : PINUS SYLVESTRIS, écailles mâle et femelle 
grossies. 

Famille des Cupulifères : CORYLUS AVELLANA, écaille grossie 
portant les fleurs mâles ; fleur femelle. 

Famille des Aristolochiées : ARISTOLOCHIA TRILOBA. 

Famille des Crassulacées : SEDUM ACRE, fleur grossie et fleur dépouil- 
lée du calice de la corolle pour montrer les étamines et les pistils. 

Famille des Caryophyllées : LYCHNIS FLOS CUCULT, fleur entière et 
fleur dépouillée des enveloppes florales pour montrer le pistil et l'in- 
sertion des étamines. 

Famille des Violariées : VIOLA SYLVESTRIS, fleur entière, coupe 
transversale de l'ovaire, étamines et pistil. 

Famille des Cistinées : HELIANTHEMUM VULGARE, fleur entière, 
coupe longitudinale du fruit, étamine. 

Famille des Rutacées : DIPLOLOENA DAMPIERI, fleur et coupe lon- 
gitudinale de l'ovaire. 

Famille des Rosacées : ERIOBOTRYA JAPONICA, fleur et coupe lon- 
gitudinale de l'ovaire. 

Famille des Saxifragées : ESCALLONIA RUBRA, fleur et coupe longi- 
tudinale de l'ovaire. 

Famille des Ombellifères : ORLAYA, fleur grossie, fleur vue de face, 
et coupe transversale de l'ovaire. 

Famille des Éricinées : MACLEANIA ANGULATA, fleur et pistil. 

Famille des Acanthacées : corolle subbilabiée ; deux étamines. 

Famille des Solanées : JUANULLOA PARASITICA, fleur, fragment 
de la corolle coupée longitudinalement. 


15. — Famille des Rubiacées : PENTAS CARNEA, fleur et fragment de la 


corolle coupée longitudinalement, 


16. — Famille des Campanulacées : PLATYCODON AUTUMNALE. 
17. — Famille des Composées (Radiées) : RUDBECKIA DRUMMONDII. 


(Voir page 319.) 


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BOTAN. GÉN. T. 2. PL. 50. 


CLASSIFICATION DE M. LEMAOUT 


FRAGMENT DE LA RÉGION DE L'HYPOCOROLLIE. 


Acanthacées : diagramme indiquant la préfloraison de la corolle, et la 
direction de la graine ; au-dessus de cette figure une fleur, 
vue à vol d'oiseau, indiquant la corrélation des étamines 
avec les divisions de la corolle ; au-dessous, coupe transver- 
sale de l'ovaire. 

Orobanchées : diagramme de la corolle et coupe transversale de la 
graine ; à gauche, fleur vue à vol d'oiseau; à droite, coupe 
transversale de l’ovaire. 

Scrofulariées : explication comme ci-dessus. 

Solanées : idem. 


Convolvulacées : diagramme de la corolle et coupe longitudinale de la 
graine ; au-dessus coupe transversale de l'ovaire ; au-dessous 
fleur vue à vol d'oiseau. 

Borraginées : diagramme de la corolle et coupe longitudinale de la 
graine ; à droite, fleur vue à vol d’oiseau ; à gauche, coupe 
transversale de l'ovaire. : 

Labiées : explication comme ci-dessus. 

Verbénacées : idem. 


(Voir page 324.) 


BOT. GEN. TU. PL, 50. 


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DES PLANCHES ET DES FIGURES DE L'ATLAS DEUXIÈME 


TABLE 


DU TRAITÉ DE BOTANIQUE GÉNÉRALE 


PLANCHES. D rai 
I. Du perfectionnement successif de la fleur. . . . . . ...... 1h) 

I. Diagrammes de différentes fleurs (monocotylédones et commen- 
cement des dicotylédones.:l}.,. 1.140044 Ce OP TON 20 
UT. Diagrammes de différentes fleurs (suite des dicotylédones) . . . 922 
NNVPANES CANCER Er seiante th MR ER. 22 
V. Forme des corolles. . . . . . . . . "RTS PEUT A 17 
VI. Anatomie des corolles et des calices. . . . . . . . . . . . . .. 12 
NIL Coloration de la corolle..:. = "2%. ue RE TRE 6 
VTIENECHUTES.: «2e tre «Luce Det CU ÉCRIT 11 
IX Des étammes ee. . ANT PAUSE UARE Mn POP TES LOS A à 22 
XepPollen. es ne: MR AE Dci TE AE 14 
XI: De la-forme)des/arains defpollen tee. SE PM EL 10 
XII. De la forme des grains de pollen (suite).. . . . . . . . . . .. 7 | 
XII. De la forme des grains de pollen (suite). : . . . . . . . . . .. 8 
XIV. De la forme des grains de pollen (suite).. . . . . . . . . . .. 5 
XV. De la forme des grains de pollen {suite).. . . . . . . . . . .. b] 
XVI- Théorie du carpelle, et placentation.. =... .. . 14 
XVII: ‘Anatomreides ovaires en" O0 ML RC CCE 7 
XNINE Des pis RE. Me A En Ne 24 
XIX. Anatomie du style’et du stigmate. . . . . . "4... . . 8 
XX. Développement des ovules et de l’arille. . . . . . . . . . . .. 16 
XXI Position etidirechon des ovules TT 16 
XII Desfemits.. ET UN. OR di SCA 
XIII Desitruits: (suite)... ©... 0... RTE 14 
XXTV ARE EME (Suit). 0: EE - -- MOD OO | 10 
XXV. Germination des végétaux monocotylédonés.. . . . . . . . .. 10 
XXVI. Germination des végétaux dicotylédonés. . . . . . . . . . .. 15 


If 


PLANCHES, 


XX VIT. 
XXVIIL. 
XXIX. 
XXX. 
XXXI. 
XXXII. 
XXXIIT. 


XXXIV. 
XXXV. 
XXX VI. 
XXX VII. 
XXXVIIE 
XXXIX. 
XL. 
XLI. 
XLIT. 
XLIIT. 
XLIV. 
XLV. 
XLVI. 
XLVIT. 
XLVIIT. 
XLIX. 

L. 


TABLE DES PLANCHES ET DES FIGURES DE L'ATLAS. 
Nombre 
des figures, 


Germination des végétaux monocotylédonés, étude anatomique. 6 


Génération et germination des cryptogames.. . . . . . . . . . 29 
Génération et germination des cryptogames (suite). . . . . . . 28 
Génératontdes eryptogamesi(stnte). 0. 21 
Germination des cryplogames. . . . . . . . . TR Do D lo 33 
Structure de la fire AesiCrYPLOBAMES. 11 
Tératologie végétale, transformation des organes, ou monstruo- 
SCO S RE LC Cu. 10 
Tératologie végétale ou monstruosités (suite). . . . . . . . . . 10 
Destaniliesmatnrelles eee EC EE -- 13 
Desfanilles naturelles (eue) CS 11 
Destanmlesmaturelesieuite) Are ES a 
Des familles naturelles (suite)... ME Aire 5 
DYStMeTeNHINNé El ET ee CE CE Core 12 
SYSLeME Te NNENSUILE) EC. ce TE 12 
Système de/Porta.. 2... =0ho0 oo» 0 oies oo 10 
Systémerde Portal (suite) ER EEE CCE 7| 
Méthodetdelaurentideussieu ER RTE TT Er CE 17 
Méthodeïde Laurentde Jussieu (suite). eu. M0n. ON Ne 17 
Méthodematurelle:de delCandolles. "RE nue 12 
Méthode naturelle de de Candolle (suite). . . . . . . . . . .. 12 
Méthode naturelle de M. Ad. Brongniart. . . . . . . . . . .. 12 
Méthode naturelle d’Adrien de Jussieu. . . . . . . . . . . .. 13 
Méthode naturelle d’Adrien de Jussieu (suite). . . . . . . .. 417 


Classification de M. Lemaout; fragment de la région de l’hypo- 
ROIS ES. MONTS à d'A Pool ot on Et ep D à 1 


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