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MÉMOIRES
DE
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE ET D'HISTOIRE NATURELLE
DE GENÈVE.
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IMPRIMERIE DE JULES-G”° FICK, RUE DE LA CORRATERIE,
MÉMOIRES
DE
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE
D'HISTOIRE NATURELLE
DE GENÈVE.
Tome Dixième.
GENÈVE,
LIBRAIRIE D'ABRAHAM CHERBULIEZ ET Ci, AU HAUT DE LA CITÉ.
PARIS,
MÈME MAISON, RUE DE TOURNON, 17.
1843
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NOTICES
SUR
Les Membres ordinaires de la Société de Physique et
d'Histoire naturelle de Genève que cette Société a
perdus de 1853 à 1842,
RÉDIGÉES PAR
M. le Professeur Gautier.
—"S0—
Depuis l’année 1832, époque de la dernière préface pu-
bliée par notre Société, en tête du tome V de ses Mémoires,
elle a eu à regretter la perte de sept de ses membres ordi-
naires, ou résidant à Genève, savoir du Dr Berger en 1833,
de M. l'ancien Syndic De la Rive en 1834, de MM. George
Maurice et Pierre Prevosten 1839, de M. Pierre Huber en 1840,
de MM. Vaucher et Augustin-Pyramus De Candolle en 1841.
VI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
Quelque désireux que je fusse de retracer ici tous les ser-
vices rendus aux sciences physiques et naturelles par ces ho-
norables collègues, et de rappeler les qualités qui les distin-
guaient, Je dois, pour me conformer à l'usage adopté dans ce
recueil, me borner pour la plupart d’entre eux à une indication
très-succincte, en renvoyant le plus souvent à des notices plus
détaillées qui ont été publiées ailleurs.
Jean-Francois Brreër naquit à Genève le 22 juin 1719.
Son père était horloger. Le jeune Berger fit des études litté-
raires et scientifiques soignées dans sa patrie, et s’y lia inti-
mément avec André Jurine, fils cadet de notre savant collègue
le Dr Jurine. Celui-ci s’intéressa dès lors particulièrement à ce
jeune homme, et encouragea le développement de son goût
prononcé pour les diverses branches de l'histoire naturelle.
Berger fit déjà dans les étés de 1800 à 18092 des courses scien-
tifiques dans les montagnes de la Savoie voisines de Genève,
pour y mesurer les hauteurs à l’aide du baromètre, y étudier
la nature et y recueillir ses diverses productions. Il fit aussi,
au printemps de 1802, un voyage du même genre en Auvergne,
avec le célèbre géologue Léopold de Buch, ainsi qu'avec
André Jurine. Il se rendit ensuite à Paris avec ce dernier,
pour y faire en même temps que lui des études de médecine.
Berger fut reçu Docteur en 1805, après avoir soutenu une
thèse et subi quatre examens, dans lesquels il fit preuve d’un
savoir aussi solide qu'étendu. Sa thèse, qu'il dédia aux Doc-
teurs Jurine, Odier et De la Roche, est un mémoire d'environ
90 pages in-°, ayant pour titre: Essai physiologique sur la
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. VII
cause de l'asphyæie par submersion. C’est le résultat d'études
approfondies et d’un grand nombre d'expériences nouvelles
faites par l’auteur, sur les circonstances qui accompagnent la
mort des animaux, qui périssent soit par submersion, soit
pour avoir été renfermés dans des vases clos ou plongés dans
des gaz délétères, et sur l'analyse eudiométrique de l'air expiré
par eux. M. Berger, après avoir établi que dans ces divers cas
les cadavres des animaux présentent les mêmes apparences,
en conclut que la cause de mort est aussi la même, et qu’elle
consiste dans la suspension de la respiration, produite par un
changement de milieu qui fait que la respiration ne peut plus
s’entretenir. Dans le cas des noyés, l’eau introduite dans les
poumons devient une cause secondaire d’asphyxie, mais la
cause principale est l’altération de l'air dans la poitrine de
l'animal. Cette cause de mort avait été indiquée depuis long-
temps, mais Berger paraît être le premier qui l'ait prouvée par
expérience.
Il s’occupa à Paris, vers la même époque, avec M. François
De la Roche, d’une autre série d'expériences physiologiques,
sur les effets qu’une forte chaleur produit dans l’économie
animale, dont ce dernier fit l’objet de sa thèse de Docteur en
médecine, soutenue le 22 janvier 1806, et formant un mémoire
in-4° de 90 pages. MM. Berger et De la Roche se soumirent,
pendant le cours de ces expériences, à des températures très-
élevées, soit dans une petite étuve sèche où ils étaient forcés
de rester immobiles, soit dans un bain de vapeur aqueuse où
se trouvait tout leur corps; et ils se pesaient avant et après
chaque expérience, pour déterminer ce qu'ils avaient perdu
VII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
par l'effet de la transpiration. Dans l'expérience qui porte le
n° 21 dans ce mémoire, Berger s’exposa dans l'étuve pendant
sept minutes à une température de ST° !, à 86° de l'échelle
de Réaumur. Dans une autre expérience du même genre, ils
restèrent l’un et l’autre pendant plus d’une heure à une tem-
pérature de 49 à 580. Ils ne supportèrent pas dans un bain
de vapeur aqueuse une chaleur de plus de 45°. Pour chercher
à empêcher l'effet de l'évaporation à la surface de la peau, ils
essayèrent, pendant le cours de leurs expériences dans l’étuve
sèche, de s’enduire tout le corps, sauf la tête, les mains et les
pieds, d’un vernis à l'esprit de vin. Ils n’en furent pas parti-
culièrement incommodés, l'évaporation ayant lieu tout de
même à travers les parties non couvertes ou intérieures, et la
perte de poids de leur corps, provenant de cette cause, étant
aussi considérable qu'elle l’eut été sans ce vernis. On comprend
facilement combien des expériences de ce genre doivent être
pénibles, et il est à craindre qu'elles n'aient eu une très-
fâcheuse influence sur la constitution physique des deux
jeunes savants qui les ont faites, dont le second, qui était
aussi Genevois, est mort peu d'années après, au grand regret
des amis des sciences. De la Roche en revenant sur le même
sujet, dans un mémoire Sur la cause du refroidissement qu'on
observe chez les animaux exposés à une forte chaleur, qu'il lut
à la fre Classe de l'Institut le 6 novembre 1809, et qui a été
publié dans le tome LXXI du Journal. de Physique de De la
Métherie, répète que les nombreuses expériences dont il parle
ont été faites en commun avec son ami M. le D: Berger.
Ce dernier revint en Suisse en 1806, et y fit quelques
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. IX
courses géologiques dans les montagnes du Valais, avec
M. William Maclure. Il publia, vers cette époque, dans le
tome LXIV du Journal de Physique, deux mémoires sur les
hauteurs de divers lieux déterminées par lui à l’aide du baro-
mètre, soit dans les voyages dont j'ai déjà parlé, soit dans
une excursion en Picardie et en Normandie qu'il fit en 1805
avec ses amis Jurine et De la Roche. Il a calculé toutes les
hauteurs d’après les formules de De Luc et de Trembley.
Celles des montagnes de la Savoie qui font l'objet du second
mémoire sont celles qui sont déterminées avec le plus de soins,
et M. Alphonse De Candolle en a fait usage dans son Æypso-
métrie des environs de Genève. Berger a fait précéder, dans ces
mémoires, les tableaux de hauteurs de descriptions succinctes
fort bien faites des nombreuses localités auxquelles elles se
rapportent, en y parlant de la nature du sol et des produc-
tions minérales et végétales qui les caractérisent. Ces descrip-
tions donnent une idée très-avantageuse de l'étendue de con-
naissances de l’auteur, de la netteté de son esprit et de son
talent d'observation.
Le Dr Berger se rendit ensuite en Angleterre, et y fut
admis, le 26 juin 1809, à la pratique de la médecine au Col-
lége de Londres. Il fit aussi cette année-là, avec notre collè-
gue M. le Prof. Louis Necker, un voyage dans le Devonshire
et le Cornouailles, dont il présenta les résultats à la Société
géologique de Londres, dans un mémoire de 110 pages in-4°
sur la structure physique de ces contrées, publié en anglais en
1811, d’après une traduction faite sur le manuscrit français,
dans le tome Je des Transactions de cette Société. Ce mé-
TOM. X, 1° PARTIE. Il
X NOTICES SUR LES MEMBRES ORDIN AIRES
moire est terminé par une table de hauteurs de divers points
au-dessus de la mer, résultant d'observations faites par l’auteur
avec un baromètre portatif de la construction d'Englefield.
Berger fut chargé par le Conseil de la Sooïété géologique,
dont notre compatriote le Dr Marcet faisait alors partie, d'exé-
cuter aux frais de cette Société d’autres voyages dans diverses
parties des îles Britanniques, qui ont été successivement pu-
bliés dans ses Transactions. Le premier volume renferme de
lui, outre le mémoire que je viens de mentionner, une Esquisse
de la géologie de quelques parties du Hampshire et du Dor-
setshire. Le tome Il, publié en 1814, renferme un Compte-
rendu minéralogique sur l'ile de Man, accompagné d’une carte
géologique et de diverses sections de cette île, ainsi que de
tables de hauteurs résultant d'observations barométriques. Le
troisième volume, qui a paru en 1816, renferme encore un
petit mémoire de Berger Sur les filons pierreux (Dykes) obser-
vés au nord de l'Irlande, et un mémoire plus étendu, rédigé
d'après ses notes, sur la structure géologique du nord-est de
l'Irlande, accompagné d’une introduction et de remarques du
Rev. W. Conybeare. Une analyse de ces deux derniers mé-
moires, traduite de Edinburgh Review, et dans laquelle on
en parle d'une manière très-avantageuse, a paru en 1818 dans
les tomes VIT et VIII de la Bibl. Univ.
Le Dr Berger était revenu s'établir à Genève peu de temps
après la restauration de notre République. Le Conseil d'Etat
provisoire Fadmit, le 12 août 1814, sur la demande qu'il lui
en adressa, à pratiquer la médecine à Genève, en motivant
sa décision sur ce qu'il s'était fait distinguer par ses talents
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XI
et par la bonté de ses études. IL s’adonna dès lors d'une ma-
nière assidue et régulière à la pratique de la médecine à Ge-
nève, et c'est probablement pour cela qu'on ne trouve plus
depuis cette époque, à ma connaissance du moins, de mé-
moires scientifiques publiés par lui. Mais il n’en poursuivit
pas moins des travaux de ce genre, et il a laissé un assez
grand nombre de manuscrits, dont la majeure partie a été
acquise par M. Marin, qui a bien voulu les mettre à ma dis-
position. Il s'y trouve, entr'autres, un très-gros registre de
déterminations de hauteurs par le baromètre, dont une grande
partie n’a pas été publiée. On voit dans d’autres manuscrits
qu'il a compulsé toutes les observations météréologiques faites
à Genève, afin d’en déduire des résultats moyens et diverses
conséquences relatives à notre climat. Il a observé lui-même
assidument pendant plusieurs années le baromètre et le ther-
momètre à de certaines heures de la journée.
Notre Société a publié après la mort du D Berger, dans les
tomes VI et VII de sa Collection, un grand mémoire qu'il a
laissé en manuscrit, et qui a pour titre : Faits relatifs à la
construction d'une échelle des degrés de la chaleur animale.
La première partie, comprenant une centaine de pages, est
relative aux mammifères, la seconde, qui a 16 pages, se rap-
porte aux ovipares. Ce travail est le résultat de recherches
d’érudition tres-étendues et d’un grand nombre d’expériences
faites par l’auteur, sur la chaleur propre de l'homme et des
animaux, placés dans des circonstances et des climats divers.
Le Dr Berger avait été reçu, en 1803, membre de la So-
ciété des naturalistes de Genève, Société qui s'est réunie plus
XI! NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
tard avec la nôtre. Il fut reçu, en 1805, membre de la Société
anatomique de Paris, en 1809, membre de la Faculté de Mé-
decine et de la Société géologique de Londres. Il fut élu aussi
en 1815 membre de la Société helvétique des Sciences natu-
relles, en 1816, membre correspondant de la Société philo-
mathique de Paris, et, en 1817, membre de la Société des
naturalistes établie à Marburg.
Berger avait de la droiture de caractère et beaucoup de qua-
lités estimables. Il était fort zélé pour la science, très-labo-
rieux et consciencieux dans tout ce qu'il faisait. Mais il était
peut-être trop entier dans ses idées, et parfois ombrageux et
irritable. 11 est probable que sa santé a été pour beaucoup
dans ces dernières dispositions, qui ont eu une fächeuse in-
fluence sur son bonheur. Il est mort à Genève le 5 juin 1833,
en laissant une mémoire justement honorée par tous ceux qui
ont pu apprécier les qualités, les talents et les vastes connais-
sances dont il était doué (').
Charles-Gaspard Ds 1a Rive naquit à Genève le 14 mars
1710. Après y avoir fait ses premières études dans nos éta-
blissements publics, il alla, en 179%, les continuer à Edim-
bourg, où il fut reçu Docteur en médecine au bout de trois
(4) Je suis entré dans quelques détails de plus sur le Dr BerGer que sur
d'autres de nos collègues, parce que je ne crois pas qu'il ait paru ailleurs, du
moins en langue française, de notice sur lui. C’est auprès de son beau-frère
M. de Collogny et de MM. De Luc, Mayor et Marin, que j'ai puisé la plupart
des renseignements dont j'avais besoin.
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XIII
ans. Il se rendit ensuite à Londres, et y fut attaché pendant
deux ans, comme médecin, à l’un des plus grands dispensaires
de cette ville. Il revint à Genève en 1799, et s’y chargea peu
de temps après de la direction de l'hospice des aliénés, qu'il
conserva Jusqu'à la fin de sa vie; il y apporta les talents et
l'humanité éclairée et généreuse, dont il donna constamment
des preuves à tous ceux qui souffraient et qui faisaient appel
à son dévouement. Attaché, en 1802, à l’Académie comme
professeur de chimie-pharmaceutique, il y trouva une nou-
velle occasion d’être utile à ses concitoyens; divers cours qu'il
donna, accompagnés d'expériences intéressantes, développe-
rent le goût de la science et des arts chez un bon nombre de
ses auditeurs. Il se plaisait à encourager les artistes et les
jeunes gens qui montraient des dispositions pour les études.
Il coopéra activement à la rédaction de la Bibliothèque Britan-
nique et de la Bibliothèque Universelle. L'amour de la na-
tionalité genevoise, qu'il avait à un haut degré, lui fit
accepter une charge qui n’était ni dans ses goûts, ni dans ses
habitudes : il fit partie, en 1814, du Conseil provisoire qui
restaura notre République. Il resta dans le Conseil pendant
les deux années suivantes, et fut placé, en 1817, à la tête du
Gouvernement comme premier Syndic. Voyant alors la tran-
quillité et la liberté de son pays consolidées, il se retira des
affaires politiques et reprit l’enseignement académique jus-
qu'en 1829. Il fut recteur de l'Académie de 1823 à 1895.
Les principaux travaux de M. De la Rive relatifs à la méde-
cine, à la chimie et à la physique ont été insérés dans la Bibl.
Brit. et la Bibl. Univ. surtout jusqu’en 1822. Il a aussi pu-
XIV NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
blié un mémoire dans le Journal de Physique (T. LV), et un
autre dans les Annales de Chimie et de Physique (T. XX).
Il lut en 1823 à notre Société, dont il fut toujours un des plus
zélés soutiens, un mémoire intéressant sur des appareils de
son invention pour mesurer l'intensité galvanique par ses
effets calorifiques. et sur les résultats d'expériences faites avec
ces instruments. Il lui communiqua aussi, en 1829, des re-
cherches sur les vapeurs considérées comme conductrices du
fluide électrique, et sur l'électricité atmosphérique en général.
L'auteur voulait, avant de publier ces deux mémoires, les
revoir et les compléter, quand la mort est venue le frapper, le
18 mars 1854, et enlever à Genève un de ses plus dignes et
de ses plus dévoués citoyens. Une notice sur sa vie et ses tra-
vaux a paru dans le tome LV de la Bibl. Univ.
M. De la Rive joignait à un tour d'esprit fin et piquant, la
bonté qui fait aimer l'esprit, la simplicité qui met à l'aise et
qui attire. Il a eu la satisfaction de voir son fils aîné suivre ses
traces dans la carrière scientifique avec un succès dont il a pu
jouir; l'héritage qu'il nous a laissé dans ses enfants n’est pas
un des moindres services qu'il ait rendus à son pays.
George Mavrice naquit à Genève le 15 août 1799, et y fit
toutes ses études au Collége et à l'Académie avec un succès
marqué. Îlles continua pendant quelque temps à Paris, et
revint, en 1821, coopérer à la rédaction de la Bibl. Univ.,
dirigée alors par son père et par les deux frères Marc-Auguste
et Charles Pictet. Il fut nommé en 1895 à la chaire de méca-
nique et de physique générale dans l'Académie, qu'il a occu-
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XY
pée Jusqu'à sa mort. Il avait été reçu l'année précédente
membre de notre Société, et le tome LIT de sa Collection con-
tient un mémoire de lui Sur les apparences visibles. I a pu-
blié, en 1823, une dissertation Sur les premiers éléments de
la théorie de la vision, et, en 1831, un discours Sur la me-
sure du temps. Ces productions, ainsi que les nombreux arti-
cles qu'il a rédigés pour la Bibl. Univ., se distinguent par la
clarté, la précision et la justesse des idées, ainsi que par l'es-
prit judicieux, calme et méthodique dont M. Maurice était
doué à un degré peu ordinaire. Chargé en 1825, après la mort
de Marc-Auguste Pictet, de diriger les observations météoro-
logiques publiées dans la Bibl. Univ., il y introduisit plu-
sieurs modifications avantageuses, et en donna, à diverses re-
prises, des résumés intéressants, dont le dernier à été pu-
blié en 1837. Déjà à cette époque la santé de M. Maurice était
gravement altérée, et il fut obligé de faire des voyages pour
chercher à l'améliorer. Il est mort à Nice le 14 Février 1839,
à l’âge de 40 ans, ayant dans une carrière courte, maïs bien
remplie, eu le bonheur de servir son pays de plusieurs ma-
nières, avec dévouement et avec succès, pendant une des
périodes les plus heureuses que la Providence aît accordées à
Genève. Une notice biographique sur M. Maurice a été publiée
dans le tome XX de la nouvelle série de la Bibl, Univ.
Pierre Prevosr naquit à Genève le 3 mars 1751. Après y
avoir fait des études académiques soignées, et dans lesquelles
la théologie et le droit furent compris, il remplit pendant
quelque temps les fonctions de précepteur dans deux familles
XVI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
en Hollande et à Paris, et publia dans cette dernière ville une
traduction des tragédies d'Euripide. Il accepta, en 1780, les
places de membre de l'Académie des Sciences de Berlin et de
professeur de philosophie dans l'Académie des gentilshommes,
qui lui furent offertes par le roi de Prusse Frédéric IL. Au
nombre des mémoires de lui qui furent insérés à cette époque
dans le Recueil de ceux de l'Académie de Berlin, il y en a deux
(lus en 1785 et publiés dans le volume pour 1781) qui sont
relatifs au mouvement de translation du soleil dans l'espace.
C'était au moment même où Herschel avait commencé à s’oc-
cuper de ce sujet; et M. Prevost a eu le mérite d'arriver à
peu près aux mêmes résultats que lui relativement à la direc-
tion de ce mouvement, en discutant avec sagacité les valeurs
obtenues par Tobie Mayer relativement aux mouvements pro-
pres de diverses étoiles. Ce travail de M. Prevost a été ho-
norablement cité par MM. Argelander et Othon Struve dans
leurs recherches récentes sur ce sujet.
Rappelé à Genève en 1784, pour soigner son père malade,
M. Prevost y accepta temporairement une chaire de professeur
de belles-lettres; il obtint, en 1195, à la suite d'épreuves
soutenues avec distinction, celle de professeur de philosophie,
qu'il a occupée jusqu'en 1823, et dans laquelle il a rendu de
grands services à l'Académie. Il entra en 1798 dans notre So-
ciété, dont il a été jusqu’à un âge fort avancé l’un des mem-
bres les plus assidus et les plus actifs. Il a enrichi notre collec-
tion imprimée de sept mémoires, publiés dans les tomes I à
VIL, et qui sont principalement relatifs à l'optique et au calo-
rique.
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. "XVI
Dès l’année 1791 , M. Prevost avait inséré dans le Journal
de Physique un mémoire remarquable sur l'équilibre du feu;
il fit paraître l'année suivante ses Recherches sur la chaleur,
dans lesquelles il sut établir les principes et pressentir les lois
que les expériences sont venues confirmer depuis. Il publia,
en 1809, son ouvrage sur le Calorique rayonnant, et, en 1832,
son Exposition des principes de la chaleur rayonnante, qui
sont au nombre des ouvrages de physique les plus estimés.
Il était membre correspondant de l'Institut de France et des
Sociétés royales de Londres et d'Edimbourg.
Je ne puis rapporter ici même les titres de tous les ouvrages,
sur divers sujets, publiés par ce savant distingué si laborieux,
dont les recherches portent l'empreinte de la sagacité, de la
précision, de la clarté et de la méthode qui le caractérisaient.
Je puis encore moins entrer dans le détail de sa vie publique
et privée, si honorable, et que son caractère calme, doux et
bienveillant a fort contribué à rendre heureuse. Notre Société
a l’avantage de posséder déjà dans son sein l’un de ses petits-
fils, qui a été reçu cette année Docteur ès Sciences physiques
et naturelles dans l'Académie de Genève. Pierre Prevost a
atteint l’âge de S8 ans et un mois, sans éprouver, jusque vers
la fin de sa vie, presque aucune infirmité grave, ni ressentir
d’altération notable dans ses facultés. Il est mort à Genève le
8 avril 1839. M. le Professeur Antoine Cherbuliez a prononcé
à la cérémonie des Promotions de la même année un discours
sur sa vie et ses travaux, qui a été imprimé à part, et M. De
Candolle le père a aussi publié sur lui une intéressante notice
dans le tome XX de la Bibl. Univ.
TOM. X, 1'° PARTIE. III
XVIII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
Je m'étendrai un peu davantage sur Pierre Huber que sur
nos autres collègues, soit parce que c’est un des membres de
notre Société qui a fourni à sa collection imprimée le plus grand
nombre de mémoires, soit parce qu'il n’a pas paru encore, à
ma connaissance, de notice sur sa vie et ses écrits. Les détails
où Je vais entrer sont puisés en très-grande partie dans des
documents qui avaient été envoyés par M. de Guimps à
M. De Candolle le père. Ce dernier avait déjà écrit, au com-
mencement de 1841, la première page d’une notice sur Huber,
son ami d'enfance, notice qui aurait eu pour nous un double
intérêt : mais la maladie qui nous l'a enlevé l'a empêché de
l'achever.
Pierre Huser, né à Genève le 23 janvier 1771, fut de
bonne heure porté à l'observation de la nature, soit par de
fréquents séjours à la campagne. soit par l'exemple de son
grand-père qui avait étudié les mœurs des oiseaux de proie,
et surtout par celui de son père, Francois Huber, le célèbre
observateur des abeilles et l'un des fondateurs de notre So-
ciété, sur la vie duquel une notice a été publiée, en 1532,
par M. De Candolle le père, dans le tome XLIX de la Bibl.
Univ.
La première production de Pierre Huber fut un mémoire
sur les Bourdons velus, espèce d'insectes qui vivent en répu-
blique. Ce mémoire fut imprimé en français et en anglais dans
les Transactions de la Société Linnéenne de Londres, en mai
1801, etil a été reproduit en 180% dans le tome XXV de la
Bibl. Brit, C'était le résultat des observations de l’auteur faites
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XIX
aux environs de Lausanne, qu'il habitait alors avec sa famille.
Vers la fin de sa vie, il a préparé une seconde édition, revue
et corrigée, de ce mémoire.
Depuis 1501 Huber s'occupa de l'histoire des fourmis. Il
lut à notre Société, en 1805, dans l’année même où il en fut
reçu membre, et publia dans le tome XX VII de la Bibl. Brit.
un premier mémoire très-curieux Sur les relations des puce-
rons avec les fourmis et les galle-insectes. W étendit ensuite
ses recherches, et en publia l'ensemble en { vol. in-6°, qui
parut à Genève en 1510, sous le titre de Recherches sur les
fourmis indigènes, avec l'épigraphe Cherchez et vous trouve-
rez. Cet ouvrage, qui contenait tant de choses nouvelles et
intéressantes sur les mœurs de ces insectes, et qui dévoilait
en particulier les expéditions des fourmis amazones et leur
singulière association avec les fourmis brunes, est très-propre
à faire aimer l'étude de la nature, étant écrit avec une sorte
de poésie, qui ne nuit Jamais, cependant, à l'exactitude scru-
puleuse des faits. Il fit connaître Huber fort avantageusement
au dehors, et le mit en relation avec plusieurs naturalistes
célèbres, tels que Latreille et Bosc. L'édition de cet ouvrage
est épuisée depuis longtemps. On en a publié une traduction
en anglais.
Huber lut à notre Société, en 1812, un mémoire sur la Che-
nille du hamac, qu'il communiqua l’année suivante à la pre-
mière Classe de l'Institut de France, et qui fut accueilli avec
faveur par ce corps savant. L'auteur ayant appris, par les
commissaires qui avaient été chargés d'examiner ce travail,
qu'il allait être nommé membre correspondant de l'Institut, il
XX NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
les pria de proposer la nomination de son père au lieu de la
sienne. Ce fut François Huber qui fut nommé, en effet, mem-
bre correspondant, et son fils n’a jamais parlé de cette cir-
constance qu'a sa femme.
Le mémoire dont je viens de parler, fort intéressant par les
détails qu'il contient sur les procédés de construction suivis
par la chenille qui en fait l’objet, a été publié, en 1836, dans
le tome VII du Recueil de notre Société, après avoir été revu
et augmenté par l’auteur.
Depuis que François Huber, aveugle dès l’âge de 23 ans,
avait perdu son domestique et collaborateur Burnens, il avait
trouvé l’aide dont il avait besom dans son fils, qui avait ré-
pété toutes les expériences de son père et en avait fait plu-
sieurs nouvelles. Aussi Pierre Huber eut-il la plus grande part
à la composition du second volume de la nouvelle édition des
Observations sur les abeilles, qui fut publiée à Genève en 1814.
Pierre Huber avait épousé, en 1806, Mademoiselle Louise
Burnand d’Yverdun, et depuis son mariage il passait les hivers
à Genève et les étés à Yverdun. Mais, en 1828, son père
quitta Genève, pour se retirer à Lausanne auprès de sa fille,
Madame de Molin, et dès lors Pierre Huber se fixa compléte-
ment à Yverdun, en continuant, cependant, à faire chaque
année plusieurs séjours à Genève. Le talent de Madame Hu-
ber-Burnand pour la peinture contribua à entretenir le goût
de son mari pour les arts et l’histoire naturelle. Elle s’intéres-
sait à tous ses travaux et le secondait quelquefois. Elle a peint
d'une manière remarquable plusieurs insectes qu'il observait.
Huber était, comme ses parents, né artiste aussi bien que na-
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXI
turaliste; il avait un vrai talent pour les découpures et les
croquis, et la peinture à l'huile a occupé une grande partie
de la dernière période de sa vie. Il a rédigé un traité de pers-
pective, sous forme de lettres adressées à une Dame, accom-
pagné de T5 dessins, et il l’a légué à la Société des arts de
Genève, avec une somme de mille francs, destinée à en faci-
liter la publication, si cette Société le jugeait utile, ou à tout
autre emploi qu’elle estimerait plus important.
Huber s’occupa souvent avec intérêt de météorologie. Il lut,
en 1821, à notre Société un mémoire Sur différents instru-
ments de physique et de météorologie, qui a été inséré dans
le premier volume de notre Collection, et qui renferme, en-
tr'autres, la description d’un Anémomètre de son invention,
très-simple et portatif, ainsi que d’un Anémographe, destiné à
noter graphiquement toutes les indications de l’anénomètre.
Il présenta, en 1828, à la Société helvétique des Sciences na-
turelles un projet tendant à faire établir dans les vallées et sur
les montagnes de la Suisse des centres d'observations météo-
rologiques. Il adressa la même année à M. G. Maurice une
lettre Sur un nouveau système de météorographie symbolique,
insérée dans le tome XXXIX de la Bibl. Univ., et qui est ac-
compagnée d’un tableau de tous les signes de convention qu'il
proposait pour figurer les divers phénomènes météorologi-
ques. Il forma, peu de temps après, le projet de publier un
journal météorologique mensuel, qui aurait servi de moyen
de communication général entre les observateurs, et dont le
prospectus détaillé a été inséré dans le tome XLI de la Bibl.
Univ. La première livraison de ce journal, celle de janvier
XXII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
1829, a seule paru, cette entreprise n'ayant pas obtenu un
nombre suffisant d’abonnés pour que les fraix aient pu en être
couverts. Huber n’en continua pas moins à s'intéresser à la
météorologie et à faire des observations occasionnelles, comme
on peut le voir par les articles de lui sur les éclairs de chaleur
et les éclairs très-élevés, sur la température de 1830 à Yver-
dun, sur la nature de la neige qui y tomba, et sur quelques
autres phénomènes météorologiques, insérés dans les tomes
XLIT, XLIIT, XLVI, XLVIT et LV de la Bibl. Univ. I cons-
tata que le froïd extrême de Janvier 1838 avait été de —210 R.
à Yverdun, c’est-à-dire plus grand d'environ un degré que
celui observé à Genève. Il remarquait à cette occasion, que
pour déterminer les extrêmes de température, il était essen-
tiel que le thermomètre fut entièrement à découvert, afin qu'il
fut exposé à tout l'effet du rayonnement atmosphérique.
Nous citerons encore les publications suivantes faites par
Pierre Huber :
Lettre à M. le Prof. Prevost sur l'écoulement et la pression
du sable. Bibl. Univ. tome XL. (Janvier 1829.)
T. II de nos Mémoires (182%), Histoire du Trachuse doré.
T. HI » (1826), Notice sur une migration de
papillons.
T. VIII » (1839), Notice sur le Melipone, ou
l'abeille domestique du
Mexique.
Id. :» » Mémoire pour servir à l’his-
toire des Attelabes, insec-
tes voisins des Charan-
çons.
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXHII
IL a laissé, en outre, un certain nombre de mémoires ma-
nuscrits, qu'il a bien voulu léguer à notre Société, et qui ont
été ou seront publiés dans sa collection depuis la mort de
l’auteur. Ainsi le tome IX, publié de 1841 à 1842, contient de
lui un mémoire pour servir à l'histoire de la Coccinelle de la
Saponaire, un autre sur quelques insectes du genre Ichneu-
mon et une Notice sur une Mouche à scie. Le volume actuel
renferme un mémoire de Huber pour servir à l’histoire des
Psoques, et deux notices, dont une sur une araignée aéronaute,
et l’autre sur une particularité offerte par une larve de Ten-
thréde. Le volume suivant contiendra encore un mémoire de
lui relatif à l'histoire de quelques Cassides.
Pierre Huber, étranger à toute ambition, très-peu accessible
aux pensées d’amour-propre ou d'intérêt, a cultivé la science
pour elle-même. Il ne prenait presque aucune part aux affaires
positives de la vie, ni aux querelles de parti; sa bienveillance
était universelle. [1 n’a vécu pour ainsi dire que d'affection
pour sa patrie, sa famille et ses amis, et d’admiration pour
les œuvres du Créateur, Cette admiration, toujours vive, tou-
jours nouvelle, a été pour lui une source de pures jouissances
jusqu’à son dernier moment. On peut dire qu'il est mort très-
jeune, quoiqu'il ait atteint l’âge de 65 ans. Le 22 décembre
1540 il était à Yverdun et paraissait en parfaite santé ; il avait
peint pendant une grande partie de la matinée, lorsque, vers
onze heures, il voulut examiner à la loupe un portrait daguer-
réotypé, et il tomba mort!
Il n'est, après M. De Candolle le père, aucun membre de
notre Société qui ait encore fourni à sa Collection imprimée
XXIV NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
un contingent de mémoires aussi considérable; le nombre en
est de 13. Chacune des productions de Pierre Huber porte
l'empreinte de l'esprit ingénieux d'observation, de la sagacité,
de l'amour de la nature et de la vérité qui le caractérisaient.
Il ne se bornait pas à de simples descriptions. mais il excellait
à scruter les mœurs et l'instinct des animaux, et à les suivre
dans les détails de leurs procédés, toujours si admirablement
adaptés à leur organisation et à leurs besoins. Il est triste
pour nous de penser que Huber n’a pas laissé d'enfants qui
pussent hériter de ses talents et de ses vertus. L’entomologie
genevoise a fait en son père et en lui de grandes pertes : mais
cette intéressante partie de l'histoire naturelle a heureusement
encore de dignes représentants dans notre Société.
Jean-Pierre-Etienne Vavcner naquit à Genève le 2T avril
1763. Son père, maître charpentier, était originaire de Fleu-
rier, village du Val-de-Travers dans le canton de Neuchâtel.
A l'âge de 12 ans, M. Vaucher témoigna le désir de faire des
études littéraires et ne tarda pas à s’y distinguer. Îl fut consa-
cré au saint-ministère en 1787. et occupa une place de pas-
teur à Genève de 1795 à 1822. Il fut nommé en 1808 pro-
fesseur d'histoire ecclésiastique. Il fut recteur de l'Académie
de 1818 à 1820. Dès sa jeunesse il avait aimé la botanique.
Il en donna des cours depuis 1194, et eut pour auditeur au
premier d’entre eux le jeune De Candolle, qui y commença
l'étude de cette science dans laquelle il devait s’illustrer plus
tard. M. Vaucher fut appelé, en 1802, à remplir une chaire
honoraire de botanique dans l'Académie. Son Histoire des
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXV
conferves d'eau douce, dans laquelle il a le premier fait con-
naître le mode de reproduction de ces plantes, parut en 1805
en 1 vol. in-4°, accompagné de 17 planches, dessinées et gra-
vées par sa femme, qui était très-heureusement douée pour le
seconder dans ses travaux. Il a publié aussi, en 1827, une
Monographie de la famille des Orobanches.
M. Vaucher fut un des fondateurs de notre Société, en 1790,
et c’est lui qui a rédigé l'intéressante préface historique placée
en tête de la seconde partie du tome [er de sa collection. Ce
volume renferme quatre mémoires de lui, le premier Sur la
chute des feuilles, le deuxième Sur les Charagnes, le troi-
sième Sur la sève d'août et les divers modes de développement
des arbres; le quatrième est une Monographie des préles. Le
tome VI de nos Mémoires en renferme aussi un de M. Vau-
cher Sur les Seiches du lac de Genève, qu’il avait lu à notre
Société en 1804, et n’a publié qu'en 1833. Ces travaux se
distinguent par la nouveauté des vues, la sagacité des observa-
tions , et M. Vaucher a notablement avancé la science sur cha-
cun des points dont il s’est occupé. La botanique, cependant,
n'était pas seulement pour lui une science. Il trouvait dans
chaque plante bien examinée une preuve vivante de l'existence
de Dieu, et il se plaisait à étudier les rapports si remarqua-
bles qui existent entre la structure des diverses parties des
plantes et les fonctions qu’elles sont appelées à remplir. Il a
surtout développé ses idées, et consigné le résultat de ses ob-
servations de ce genre, dans l'ouvrage qui a fait l'objet de ses
travaux pendant une grande partie de sa vie, et dont la pu-
blication n’a été terminée que peu de temps avant sa mort :
TOM. X, Î'® PARTIE, EV
XXVI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
c'est son Histoire physiologique des plantes d'Europe, en 4 vol.
in-8°, dédiée au roi de Sardaigne Charles-Albert, qui avait
été son élève, et avec lequel il avait conservé des rapports
bienveillants.
M. Vaucher a atteint l’âge de T5 ans, sans que sa consti-
tution robuste ait paru vieillir et sans que ses facultés se
soient affaiblies. Il est mort le 5 janvier 1841, et ses fils ont
publié l’année suivante, sous le titre de Souvenir d'un Pas-
teur Genevois, un volume de sermons prèchés par lui, pré-
cédés d’une notice sur sa vie, d’où J'ai tiré la plupart des dé-
tails ci-dessus. M. Vaucher était distingué par les facultés de
l'âme aussi bien que par celles de l'esprit, et sa mémoire vivra
toujours dans le cœur de ses élèves et de ses amis.
Augustin-Pyramus Dr Casnoire naquit à Genève le 4 fe-
vrier 1118. Après avoir fait ses premières études dans sa
patrie, où son père remplit à plusieurs reprises les fonctions
de Syndic, il l'accompagna, en 1792, dans une maison de
campagne près de Grandson, à l'occasion des troubles politi-
ques qui eurent lieu alors à Genève, et commença à y décrire
des plantes d’après nature sans secours et sans livres. Il suivit
à Genève, en 1794, un cours de botanique donné par M. Vau-
cher, et c'est alors surtout qu'il sentit naître chez lui un goût
très-décidé pour cette science. Il se rendit à Paris, en 1796,
pour étudier les sciences physiques et naturelles, et s’y atta-
cha particulièrement au botaniste Desfontaines, qu'il se plai-
sait plus tard à appeler son maître. Après la réunion de Genève
à Ja France, en 1798, De Candolle se décida à étudier la
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXVII
médecine à Paris, et y prit le grade de Docteur, en choisissant
pour sujet de thèse les propriétés médicales des plantes (1).
Il publia, de 1799 à 1805, son Histoire des plantes grasses,
en À vol. in-folio, avec 168 planches peintes par Redouté,
qu'il fit suivre d’un ouvrage analogue sur les Liliacées. I fit
aussi, vers cette époque, de curieuses expériences pour cons-
tater l'influence de la lumière sur les végétaux. Il publia, en
1805, la troisième édition de la Flore Française de La Marck,
qu'il augmenta considérablement, et classa pour la première
fois suivant la méthode des familles naturelles. Nommé, en
1807, Professeur dans la Faculté de Médecine de Montpel-
lier, il y enseigna la botanique avec une grande distinction,
et y rendit aussi des services signalés comme directeur du
Jardin et recteur de l'Académie. Ce fut à Montpellier que parut,
en 1813, la première édition de sa Théorie élémentaire de
botanique, Yun de ses ouvrages les plus marquants sous le
rapport de la profondeur des vues.
La restauration de la République de Genève, en 181%, ins-
pira à De Candolle le désir de revenir dans sa patrie. On y
(4) Cette thèse, soutenue en 1804, porte la dédicace suivante, qui présente
un résumé historique intéressant des premiers progrès de la méthode des familles
naturelles, au perfectionnement et à la propagation de laquelle De Candolle de-
vait si fort contribuer :
Aux botanistes fondateurs de la théorie des familles naturelles, Tournefort qui l'a
pressentie, Bernard de Jussieu qui l'a prouvée, Adanson qui l’a développée, Antoine
Laurent de Jussieu qui l'a soumise à des lois fixes, Desfontaines qui l'a liée avec l'ana-
tomie végétale.
XXVII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES
fonda pour lui, en 1816, une chaire d'histoire naturelle dans
l'Académie, et il fut le créateur du Jardin botanique actuel.
Il me serait impossible de présenter ici même une simple es-
quisse des travaux scientifiques de De Candolle, et des services
qu'il a rendus à son pays de tant de manières différentes. Je
dois renvoyer pour tous ces détails aux nombreuses notices,
écrites en diverses langues, qui ont déjà paru sur sa vie. ainsi
qu'à celle que M. le Professeur Auguste De la Rive doit publier
incessamment dans la Bibl. Univ. ("). Je me bornerai à dire
qu'il a commencé en 1817 la publication de son Systema regni
vegetabilis naturale, dont il n’a paru que deux volumes, et, en
1524, celle de son Prodromus systematis naturalis regni vege-
(4) On trouvera de courtes, mais intéressantes notices sur MM. De Candolle,
Vaucher, Prevost, Maurice et G. De la Rive, soit dans les discours prononcés à
Genève par les recteurs de l'Académie à la cérémonie des Promotions du Collége,
soit dans les rapports annuels des présidents de la Société pour l'avancement des
arts. Les principaux éloges historiques de De Candolle sont: celui prononcé par
M. le premier Syndic Rigaud au Conseil Représentatif de Genève le 27 sep-
tembre 1841; celui de M. de Martius, professeur de botanique à Munich, pro-
noncé le 28 novembre 1841 devant la Société botaniqne de Ratisbonne; celui de
M. Dunal, lu à l'Académie de Montpellier le 8 novembre 1842; et celui prononcé
par M. Flourens à la séance publique de l'Institut de France du 19 décembre de
la même année. On trouve aussi dans l'Annuaire de l'Académie de Bruxelles de
4845, dans le cahier d’avril dernier de l’Edinburgh philosophical Journal, et dans le
Rapport sur la réunion de la Société helvétique des Sciences naturelles qui a eu
lieu à Altorf en 1842, des notices assez étendues sur De Candolle, dont la pre-
mière est de M. Charles Morren et la seconde de M. Daubeny. Plusieurs de ces
notices sont accompagnées de la liste de ses ouvrages. Celle publiée par M. Dunal
se compose de 114 ouvrages ou opuscules de botanique, et de 65 autres publi-
cations sur divers sujets.
DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXIX
tabilis, dont sept volumes ont paru successivement et que son
fils doit continuer. De Candolle a publié aussi, en 1827, son
Organographie végétale en 2 vol., et, en 1832, sa Physiologie
végétale en 3 vol. pour laquelle la Société royale de Londres
lui décerna une médaille d’or. Il était un des huit Associés
étrangers de l'Académie des Sciences de Paris, et avait été
aggrégé à plus de cent Sociétés savantes établies dans les
diverses parties du globe.
De Candolle lut à notre Société, dès l'année 1797, un Essai
sur la nutrition des Lichens; il en fit partie depuis 1799, et
en a été constamment un des membres les plus zélés et les
plus précieux. C’est celui de tous qui a jusqu’à présent fourni
le plus de mémoires à notre collection imprimée; le nombre
s’en élève à seize, en y comprenant quelques notices sur les
plantes nouvelles du Jardin botanique de Genève, qu'il a ré-
digées conjointement avec son fils, son successeur en fait de
science comme en fait de dévouement à son pays. Il a formé
aussi bon nombre d’autres très-habiles élèves, soit à Genève,
soit ailleurs. De Candolle à su se concilier partout à un haut
degré, par ses qualités aimables et bienveillantes, l’attache-
ment des personnes qui l’approchaient. Il a eu beaucoup d’a-
mis dévoués, qui se sont souvent associé ou intéressé à ses
travaux, et entre lesquels je citerai le célèbre Cuvier et
M. Benjamin Delessert (‘). Il a légué 2,400 francs à notre
(4) M. Delessert a publié à Paris en 4820 et 1825, sous le titre de Icones se-
lectæ plantarum, deux volumes in-folio de plantes, dessinées par Turpin et décrites
par De Candolle.
XXX NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES, ETC.
Société, en spécifiant que les intérêts annuels de cette somme
seraient appliqués à la distribution de prix aux auteurs des
meilleures monographies d'espèces ou de familles de plantes.
C'est le 9 septembre 1841 que nous avons perdu ce savant
illustre, cet excellent citoyen, doué de tant de belles facultés
du cœur et de l'esprit, et dont la mémoire sera toujours ché-
rie parmi nous, autant qu'elle sera honorée dans le monde
sayant.
LISTE
DES
MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE
ET D'HISTOIRE NATURELLE
QUI ONT ÉTÉ ÉLUS DEPUIS L'ANNÉE 1835,
PAR ORDRE D ADMISSION.
NB. Cette liste fait suite à celle qui a été publiée dans le tome VII.
Membres ordinaires, ou résidant à Geneve.
DATES.
14855 MM. Marc D'Esrine, docteur médecin.
1856 Jean-François Bizot, docteur chirurgien.
1837 Étienne MELLy, naturaliste.
1838 Paul Cuuix, géographe.
—_ Pierre-Edmond Borssrer, botaniste.
1859 Elie Rivter, docteur ès sciences mathématiques.
1840 Emile PLanramour, professeur d'astronomie.
= Pyrame-Louis Morin, pharmacien.
MM.
MM.
LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC.
Charles CELLÉRIER, mathématicien.
Alphonse Favre, minéralogiste.
Charles Mariewac, professeur de chimie.
Philippe PLanramour , chimiste.
Georges-François REUTER, botaniste.
Alexandre-Pierre Prevosr, docteur ès sciences phys. et nat.
Membres honoraires.
Robert Brown, à Londres.
Charles Srurm, membre de l’académie royale des sciences à Paris.
Moqu, professeur de botanique, à Toulouse.
Isaac Lee , à Philadelphie.
Julien Dessarpns, secrétaire de la soc. d’hist. nat. à l’île Maurice.
Hess, membre de l'académie impér. des sciences à Pétersbourg.
Soyer-Wizzemer, bibliothécaire de la ville de Nancy.
Louis Acassrz, professeur d'histoire naturelle, à Neuchâtel.
Charles Bonaparte, Prince de Musignano, naturaliste, à Rome.
Elie WartuanN, professeur de physique, à Lausanne.
Charles Gonerrroy, à Hambourg.
L.-F. pe MenaBreA, membre de l'académie royale de Turin.
J. PLateau, professeur de physique, à Gand.
le docteur MonTAGNE, à Paris.
MÉMOIRES
DE
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE
ET D'HISTOIRE NATURELLE
DE GENÈVE.
Contenant un Supplément relatif à des Observations astronomiques faites dans l'année 1842.
=
TOME X, 4" PARTIE.
a ————
GENÈVE,
IMPRIMERIE DE JULES-G”° FICK ; RUE DE LA CORRATERIE.
MÉMOIRES
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE
ET D'HISTOIRE NATURELLE
DE GENÈVE.
LETTRE
SUR
LES ARAIGNÉES AÉRONAUTES
DU GENRE LYCOSE,
Par Pierre Huber.
(Cette lettre avait été adressée à Monsieur le Rédacteur de la Bibliothèque Universelle.)
ER
Le fait que je me propose d'établir, sous ma seule respon-
sabilité, n’est point de ceux qu'on peut admettre sans preuves,
il faut en convenir. Aussi, l'ayant raconté, il y a, je crois,
près de dix-huit mois, dans une séance de la Société de Phy-
sique de Genève, il y fut accueilli avec quelque doute, et ren-
contra des objections auxquelles je m'attendais. Mais, n'ayant
pas avec moi mes notes qui auraient pu offrir des preuves de
1
TOM. X, Î'° PARTIE.
2 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
conviction, Je n'insistai pas, ét je me retirai en disant en moi-
même : e pur si move.
Toutes ces objections, que je m'étais faites à moi-même dès
le premier instant, n'ébranlèrent point mon sentiment. J'avais
vu le fait mainte et mainte fois, je ne me trompe guère sur
les observations de ce genre dont J'ai une très-grande habi-
tude ; de sorte que je tins pour constant le fait que j'avais an-
noncé, quelque difficile à concevoir qu'il parût. Ce n’est pas
le premier exemple, assurément, de fait mis au rang des 1m-
possibilités, dont il ait fallu, à la fin, reconnaître la réalité. A
ne citer que celui des pierres météoriques qu'un physicien
aurait eu honte d'adopter il y a cinquante ans, les choses
difficiles à expliquer passent longtemps pour des contes, même
aux yeux des philosophes.
C’est ce qui m'impose l'obligation d'entrer dans le détail de
mes diverses observations à ce sujet, en vous priant, Monsieur,
si vous vous décidez à les publier, de ne point les abréger,
lors même qu'elles vous paraïîtraient contenir quelques répé-
titions, afin que chacun puisse juger des faits tels que je les
ai vus moi-même. C’est un procès-verbal qui aura sans doute
toutes les grâces des procès-verbaux. Mais il s'agit d'un des
traits de la nature le plus incroyable. d’un nouveau mode de
translation, plus simple que le ballon, plus simple et plus
élégant que l'aile de l'oiseau ou du papillon, enfin d'une de
ces inventions qui n’appartiennent qu'à la nature et aux Mille
et une nuits.
Un être qui répugne à l’homme, un être qu'on voit ramper
sur la terre avec rapidité, tendre aux insectes des pièges pleins
DU GENRE LYCOSE. 3
de stratagèmes, ou leur faire une chasse ouverte; cet être-là,
qui semble borné par la nature à stationner aux mêmes parages,
à roder autour de son nid, veut-il quitter sa patrie, changer
de lieux, chercher fortune ailleurs? il fait flotter au vent une
soie merveilleuse qui l'enlève au haut des airs, passe par-
dessus les forêts et les rivières et le transporte au loin.
Voilà, en effet, qui ressemble à de la féerie. Hé bien, c'est
la vérité.
Ce fut en avril 1838 que j'en fis la première observation.
Au commencement de ce mois, par un beau soleil et un temps
doux, je vis en l'air quelque chose d’extraordinaire, et qui se
mouvait, à ce qu'il me parut, au gré du vent. C'était un corps
de la grosseur d'une mouche d'appartement, qui ne faisait point
l'effet de voler, mais qui était transporté doucement dans l'at-
mosphère.
Ayant suivi cet objet qui se mouvait à quelques toises de
moi et à quelques pieds de la terre, je le vis se porter contre un
buisson de plantes sèches; J'y courus, et je reconnus cet être
mystérieux pour une simple araignée. Elle se promena aussitôt
avec rapidité sur la branche du passe-rose où elle s'était arrêtée,
et je la vis grimper de branche en branche jusqu’au rameau
le plus élevé de cette plante. Après quelques allées et venues
de peu de durée, elle s'établit enfin au dernier bout du ra-
meau, puis, tournant la tête du côté d’où venait le vent, et éle-
vant l'extrémité opposée de son corps d’une manière très-pro-
noncée, elle fit sortir, des filières qui sont situées dans cette
partie, une soie très-visible qui s’étendait de plus en plus et
flottait dans l'air, mais cette soie se rompit et fut remplacée
4 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
un peu plus tard par une autre qui, dans un instant, prit une
immense longueur, et je remarquai qu'avant de réussir à pro-
duire cette soie continue, elle avait, par des éjaculations réi-
térées, lancé en l'air de la matière soyeuse qui s'était perdue
en fils imperceptibles et sans consistance.
Enfin elle avait réussi à produire une soie assez forte, que
le zéphir faisait monter dans l'atmosphère, et qui brillait d’un
beau lustre au soleil.
Tout d’un coup. au moment où je m'y attendais le moins,
je vois mon araignée abandonner la branche, se pelotonner
et s'élever dans les airs, non pas comme une araignée qui
monte le long d’un fil, mais immobile et emportée par le souffle
du zéphir.
Je la suivis des yeux : en un instant elle s’éleva obliquement
vers le ciel bleu, et quand elle eut dépassé un mur de plus de
vingt pieds de haut et vers lequel le vent la portait, elle disparut
à mes yeux, me laissant dans un étonnement inexprimable.
Comment, me demandai-je à moi-même, un petit être d’une
grosseur sensible peut-il être transporté dans l’air par une sim-
ple soie, s'élever de plus en plus, et sortir ainsi de l'enceinte d'un
jardin entouré, d’une part, par de hautes murailles, de l’autre,
par une large rivière ? l'on sent combien mes notions de phy-
sique luttèrent contre la conviction acquise par mes sens.
De plus, c'était là un acte volontaire, et d’une volonté per-
sévérante, car c'était évidemment son second voyage, et. lors-
qu'elle grimpa à l'extrémité du rameau, son intention de re-
partir fut clairement prouvée par ce fait.
L'endroit où Je faisais ces observations était très-favorable
DU GENRE LYCOSF. 5
à l'ascension de mon araignée : aucun arbre ne pouvait en
cette place arrêter sa soie dans la direction qu'elle prit. De
plus, la présence des murs changeant la direction naturelle-
ment horizontale du vent, offrait bien des chances de courants
ascendants que n'’eût peut-être pas présentées une plaine en
rase campagne.
Vous ne doutez pas, Monsieur, que depuis le moment où je
fus témoin d’un fait de cette singularité, je n’aie épié les arai-
gnées de la même sorte sur les branches et arbrisseaux de mon
jardin; mais, pendant plus de quinze jours, le temps ayant été
très-froid, on ne put voir sur les branches aucun fil d’arai-
gnée, parce que le vent et la neige avaient détruit les anciens
et qu'aucun nouveau fil n'avait été tendu entre les rameaux.
j'attendais avec impatience le retour de la chaleur et d’un
temps calme. Ces circonstances se présentèrent les trois der-
niers jours du mois, et je vis reparaître sur toutes les haies,
sur les arbustes et sur le terrain même, une quantité innom-
brable de fils qui me présagèrent de nouvelles occasions de
vérifier le fait qui m'avait tant frappé.
En effet, dans la matinée du second jour, je découvris au
bout d’une branche d'altéa une araignée semblable à celle que
javais vue précédemment et dans la même attitude. Elle était
placée tout à l'extrémité du rameau, debout sur ses huit pattes,
la queue en l'air, et il en sortait une soie brillante qui s'éle-
vait dans l'air et flottait au gré du zéphir. Elle était à deux
ou trois pas de moi, je l'observais attentivement; quand je la
vois quitter sa branche et s'élever dans les airs d'un mouve-
ment rapide. Elle est transportée en droite ligne au-dessus de
6 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
ma tête, je la suis à une grande hauteur, puis je la vois se
rabattre en déviant un peu vers le nord, presque jusqu’à terre
et tout auprès de moi; mais l'air la soulevant de nouveau, elle
fut emportée du côté du nord d’un mouvement uniforme et
rapide. Quand je la perdis de vue elle voguait à plus de qua-
rante pieds du sol, et était déjà bien éloignée.
Je l'observai bien pendant le peu d'instants qu’elle était
revenue près de terre : elle était située presque verticalement,
la tête et le corselet en bas et les jambes recourbées vers le
haut. Elle était parfaitement immobile et se laissait transporter
comme un panier suspendu à une corde; cependant elle ne
pouvait tenir à ce suspensoir que par la pression volontaire
qu’elle exerçait sur l'extrémité de la soie.
Le même jour, une autre araignée brune, mais un peu
moins foncée que les autres me présenta exactement les mêmes
circonstances avant le départ; elle était à l'extrémité d’un ra-
meau de poirier à basse tige, évidemment impatiente de partir,
mais le vent était si faible qu'elle avait peu de chances de
succès.
On la voyait se tenir sur la fine pointe de ses pieds réunis
presque au faisceau, le cul en l'air, presque en ligne droite.
Enfin elle fut enlevée; mais ayant rencontré sur son chemin
à dix ou douze pas les branches d’un autre arbre, elle fut ar-
rêtée dans son trajet et je la perdis entre les rameaux; mais
elle m'offrit quelques particularités que je dois faire remar-
quer.
Au nombre des essais infructueux qu'elle avait fait pour
s'élever, J'avais remarqué une soie qui tenait à son corps et
DU GENRE LYCOSE. 7
qui était allée s’accrocher à une branche d’un arbre voisin.
Elle le remarqua aussi, et je la vis la tirailler, et, l'ayant
fait rompre, elle la pelotonna sous elle en une petite masse :
Je remarquai aussi ce que je n’avais pas vu faire à d’autres,
qu'en partant elle fit à la hâte, sur le fil qui la suspendait,
quelques pas à la manière d’une araignée qui marche, mais
ensuite elle se suspendit à la renverse, et vogua dans l'air,
immobile, jusqu'au moment où elle rencontra la branche où
son véhicule fut accroché.
On remarquera que ce cas est prévu par la nature et que
nous avons déjà vu plusieurs fois qu'alors l’araignée montant
avec rapidité le long des branches, atteint enfin la plus élevée,
et reprend de là son voyage aérien.
J'aurai encore plusieurs occasions de faire observer ce fait
remarquable qui prouve un dessin prémédité.
Le même jour je vis une petite araignée grise partir de l'ex-
trémité d’une branche de pommier. I] faisait un peu de vent,
Je la vis tourbillonner au bout de cette branche, mettre sa
queue en l'air et partir incontinent; elle traversa l'Orbe. J'ai
dit tourbillonner ; c’est que ces petits animaux sont dans une
agitation singulière quand ils veulent partir : on dirait que :
c'est pour eux une fête, un plaisir; ils s'essayent sur tous
les points du rameau, se tournant tantôt d’un côté, tantôt de
l'autre, cherchant le vent jusqu'à ce qu'il les emporte à l'aide
d’une soie bien déployée.
Voici enfin une assez grosse araignée qui se place sur un
piquet de jardin, c'était plutôt un pieu assez gros qui se ter-
minait à la hauteur de mes yeux par une petite esplanade. Il
8 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
était dans l'endroit le plus découvert de mon jardin, par con-
séquent le plus favorable à cette observation, l’araignée était
étendue sur cette surface, elle paraissait se plaire au soleil ;
de temps en temps elle faisait quelques tournées autour du
piquet, puis elle revenait prendre sa place au soleil. Quoique
plus grosse que les autres, elle était tout-à-fait du même genre;
elle était noire, avec des bandes longitudinales couleur de bois,
peu marquées.
L'air qui avait été calme s’agite un peu : aussitôt elle se
dresse sur l'extrémité de ses huit pieds, comme si elle voulait
ne tenir à rien au moment favorable, elle dresse en l'air son
corps dont il sort un fil; puis elle abandonne l'esplanade du
pieu et s'élève perpendiculairement avec une promptitude éton-
nante. Malheureusement je l'observais avec un verre grossis-
sant dont le court foyer ne me permit pas de suivre sa course
aérienne aussi bien que je l'aurais fait avec mes yeux.
Une autre observation qui vient confirmer toutes celles qui
précèdent, c'est que le jour suivant, étant dans un lieu très-
découvert, je vis une araignée, sans doute suspendue à un fil,
se mouvoir en l'air horizontalement d'un mouvement égal
poussée par un léger zéphir.
Elle allait doucement à environ douze pieds de terre, elle
était renversée les pieds en l'air, le dos en bas, l'anus en haut;
c'était une araignée Jaunâtre. Je l'ai bientôt perdue de vue, car
elle avait passé à quinze pieds de moi. Il n’y avait pas d’arbre à
moins de cent pas; ainsi cette translation ne pouvait avoir
d'autre moteur que l'action du vent sur la soie à laquelle lin-
secte était suspendu.
DU GENRE LYCOSE. 9
Je ne citerai pas tous les faits du même genre dont j'ai été
témoin : il faut cependant que j'en cite encore deux qui se sont
présentés à moi tout récemment, et qui, ayant été vus après
un laps considérable d'observations, ne permettront pas du
moins de supposer qu'il y ait encore lieu de ma part aux pré-
ventions et aux illusions qui auraient pu me séduire au pre-
mier abord.
C'est il y a huit jours, c'est le 18 novembre 1840, jour
extraordinaire par sa beauté, la douceur de la température
(15 °C.) le calme ravissant qui a succédé à des torrents de
pluie trop célèbres et à des tempêtes furieuses. C’est ce jour-là
qui ressemblait à un beau jour de printemps que j'ai revu le
fait des araignées aéronautes.
Il y avait du linge étendu au jardin sur des arbustes. J'ap-
perçus sur un de ces linges une petite araignée noire à pattes
fauves, dans l'attitude de celles qui veulent s’enlever , c'est-
à-dire sur la pointe des pieds, le cul en l'air :le zéphir souf-
flait de temps en temps; l’araignée faisait échapper de son
corps des soies qui se dirigeaient en différents sens selon les
reflets du courant d'air, sans lui fournir les moyens de voya-
ger; elle parcourait avec inquiétude les points les plus élevés
du linge ; enfin, une place et un instant plus favorables s'étant
présentés, elle s'enleva tout d’un coup, et ayant replacé ses
jambes en corbeille, l'air l'emportait quand malheureusement
son fil s'accroche à une branche de poirier; l’araignée aussi-
tôt se retourne et parcourt ce fil jusqu’à la branche où il s’est
arrêté.
Si les conjectures de mes chers collègues eussent été fon-
TOM. X, Î'* PARTIE. 2
10 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
dées, l’araignée ayant atteint un arbre en serait restée là.
son but eût été accompli; mais il n’en fut rien : ma bête avait
son projet, et l'accident de la branche ne le lui fit pas perdre
de vue. Elle monta rapidement à l'extrémité de la branche,
et sur la dernière feuille, se remit aussitôt en posture, et,
profitant d’un bon vent pour lancer la soie qui devait lui
servir de véhicule, elle s’enleva en. un instant dans le haut
des airs en passant par-dessus les maisons.
Un moment plus tard une seconde araignée de la même
espèce qui errait aussi sur du linge au soleil se poste pour
être enlevée; le vent souffle dans la soie qu'elle a lancée et
je la vois disparaître dans le bleu du ciel après avoir dépassé
une haute muraille.
C'était un jour propice à ces ascensions, car Jai vu plu-
sieurs autres araignées occupées de la même maniere. Il se-
rait fastidieux d'entrer dans plus de détails.
Quel peut être le but de ces excursions qui n'ont lieu d’or-
dinaire qu'au printemps? J'ai cru d'abord que les mâles al-
laient au loin chercher d’autres maîtresses. Mais le nombre
des femelles est si grand dans mon jardin qu'il est impossible
que ce soit là leur motif. Est-ce donc un luxe de la nature en
faveur de cette classe qui est privée d'ailes et en proie elle-
même à tant d’ennemis; était-ce une voiture aérienne que la
nature mettait à leur disposition aux premières lueurs d’un
soleil d'été ?
Je le dirai franchement, je n’ai jusqu'ici rien découvert de
positif sur le but que la nature s’est proposée en cela; et j'en
suis réduit aux conjectures.
DU GENRE LYCOSE. 11
Ce n'est point pour fuir leurs ennemis les sphinx, qui n'ont
pas encore commencé leurs nids où ils les entassent, et qui
ne sont pas plus rares ici que là, ni les oiseaux qu’elles re-
trouvent partout.
Mais ce serait plutôt par un intérêt de nourriture, de dis-
persion. Ces petites araignées qui sont de celles qui portent
leurs œufs dans un sac sous le ventre, et sur leur corps
quand ils sont éclos, ces araignées, dis-je, sont d’une fécon-
dité prodigieuse, elles se nuiraient en s’accumulant de géné-
ration en génération dans les mêmes localités, et il est dans
l'esprit de la nature, qui a donné à tous les animaux carnas-
siers l'instinct de s'écarter de leurs semblables, il est dans
l'esprit de la nature de donner aux araignées le moyen de se
disperser.
Cette dispersion n’a guère lieu qu’aux premiers beaux jours
du printemps. En été, je n’en ai jamais pu surprendre une
seule, et celles dont j'ai vu l'ascension au mois de novembre
ont peut-être et probablement été trompées sur la saison par
l'extrême douceur du temps qu'il fit le 18 de ce mois.
Si J'examine enfin ce procédé sous le rapport de la phy-
sique, Je crois qu'il peut s'expliquer, d’une part, par l’exces-
sive légèreté de ces araignées, de l'autre, par l'extrême lon-
gueur de la soie sortie du corps de l’insecte et la hauteur
qu'elle peut atteindre dans l'air, enfin, par son élasticité et
par l'espèce de rigidité même qui est naturelle à cette soie.
Une fois en prise à l'air, cette soie est pour ainsi dire dé-
vidée par le mouvement du fluide aérien qui la prolonge in-
définiment tant que l'araignée y consent. Mais aussitôt que
12 ARAIGNÉES AÉRONAUTES
celle-ci sent que sa soïe fait voile, elle resserre sa filière et
se laisse emporter par cette soie qui elle-même cède à l’em-
pire du vent. S’aperçoit-elle peut-être de la force de la soie
par la rapidité de son écoulement? C’est ce que je ne puis
que soupçonner. Le fait est qu’elle ne s’abandonne jamais sans
succès; elle en a donc l'instinct. Quand à arrêter sa soie et
s’y suspendre quand il lui plaît, on en a mille exemples; une
araignée, même une chenille se laisse tomber le long d’un fil
et s'arrête à volonté. Elles peuvent donc arrêter cet écoule-
ment et se tenir suspendues instantanément au fil qui en ré-
sultait. Mais elle ne part pour son voyage aérien que lors-
qu'elle sent que le mouvement acquis par la voile est suffi-
sant pour l'enlever, car cet enlèvement est d’une promptitude
inconcevable. Une abeille qui sort de sa ruche ne part pas
d’un mouvement plus rapide.
Je dirai ensuite qu'il y a peu d'insectes plus difficiles à ob-
server et surtout à mettre en expérience que ces araignées.
Elles sont éminemment timorées, défiantes et observätrices.
Dès qu’elles s’aperçoivent qu'elles sont observées, elles se
tiennent en garde de surprise, replient leurs jambes sous
elles, se laissent choir le long d’un fil, ou se placent de ma-
nière à n'être pas vues de vous; et puis vous pouvez attendre
des heures avant qu'elles ayent repris confiance : c'est bien
pis si on les a touchées, on n’a plus jamais rien à en attendre.
Elles sont douées d'excellents yeux et d’une sorte de sagacité
à vous reconnaître, et d’une patience impatientante pour lob-
servateur. Enfin elles ont encore un moyen d'échapper aux
expériences qui prouve leur excessive légéreté.
DU GENRE LYCOSE. 13
Je me rappelle qu'ayant placé un vase de rosier dans un
très-grand plat d’eau, je me flattais de voir les araignées que
je mis sur ce vase me donner en plein le spectacle de leur
ascension, mais elles déjouèrent mes projets; elles descendi-
rent la plupart le long des parois du vase: où elles ne vou-
lurent point rester; d’autres se pendirent à des fils depuis les
branches; toutes arrivèrent à la surface de l'eau, et après un
moment d'hésitation, se mirent à la traverser on peut dire à
pied sec, car elles se tenaient sur l'eau sans enfoncer, et j'en
ai vu courir ainsi jusqu'au bord opposé, d’autres se tenir
tranquilles et se laisser pousser par le vent jusqu'à ce qu'elles
l'eussent atteint.
Une dame de ma connaissance et en qui J'ai la plus grande
confiance ayant placé de même une assez grosse araignée, la
vit lancer un fil qui s’accrocha à une paroi, et sut ainsi s’é-
vader de sa prison. Le même fait a été vu d’autres fois, Je le
sais. C’est encore une ressource que la nature leur a donnée.
Je terminerai cette longue lettre par un dernier fait qui
prouve encore la légéreté de ces animaux octopédes. Je trans-
cris ici mon Journal mot à mot. — 25 avril. J'ai vu un nou-
veau procédé d'araignées aéronautes.' C'était une petite arai-
gnée verte, avec des points noirs sur les côtés du corps. Le
corcelet, la tête, ainsi que les palpes étaient d’une couleur
plus claire, en même temps plus jaunâtre que le ventre, et
les pattes fauves. Ses palpes étaient très-enflés.
Elle avait fait de vains efforts pour s'élever de l'extrémité
d’une branche d’altéa, mais le vent était au minimum; elle eut
recours à un autre procédé fort ingénieux pour s'élever. C'était
1% ARAIGNÉES AÉRONAUTES DU GENRE LYCOSE.
de se laisser tomber suspendue à une soie de 10 à 12 pouces de
long en tenant ses pattes écarquillées et de rester là tranquille
jusqu’à ce qu'un léger coup de vent soufflât plus fortement. Elle
restait ainsi quelque temps, puis remontait à sa branche et
redescendait le long d’un autre fil légèrement balancée par les
ondulations de l'air. Enfin, le zéphir ayant soufilé de toute
son haleine, il l'a prit et l’enleva en un clin-d'œil; mais elle
fut transportée vers un mur situé non loin de là. Une autre
araignée de la même espèce aussi, après d’infructueux essais
d’ascension, essaya de se suspendre en tenant ses pattes écar-
quillées comme pour offrir plus de prise au vent. Mais cette
fois le zéphir trompa encore son attente et la mienne; mais
Jai vu le même fait d’autres fois et avec plus de succès.
MÉMOIRE
SUR
LE CHARANCON LOZANGE
(CIONUS SCROPHULARIÆ)
Par Pierre Huber.
Le Charançon lozange est un de ceux qui ne doivent point
leur célébrité à ce ravage dont l'homme a trop souvent à se
plaindre : il n’est point un insecte nuisible, mais il est remar-
quable par son industrie.
Quoiqu'il ait été observé par de très-savants naturalistes,
son histoire présente encore des questions d’un véritable in-
térêt sur lesquelles j'ai espéré pouvoir jeter de nouvelles lu-
mières.
Geoffroy et Réaumur ont l'un et l'autre étudié ce sujet et
senti ce qu'il offrait de curieux, sans l’approfondir : il ont,
pour ainsi dire posé le problème, mais ils ne l'ont point ré-
solu.
Note. Ceue espèce appartient au genre Cionus Clairv. C’est le Curculio Scro-
phulariæ de Linné, le Cionus Verbasci de Latreïlle, le Curculio Thapsus d'Herbst.
16 CHARANÇUN LOZANGE.
Geoffroy qui s'en est occupé le dernier a été plus près de
la vérité que Réaumur, mais, quoiqu'il ait deviné assez juste,
il restait cependant à étudier le mode employé par la nature
et à recueillir ces traits imprévus qu'elle présente d'elle-même
à ceux qui l’observent dans tous ses développements.
Je vais citer les paroles de ces deux illustres naturalistes,
celèbres par des genres de mérite si différents : elles servi-
ront de préambule à mes observations.
« Ces petits animaux, dit Geoffroy, malgré leur grandeur
médiocre, sont au nombre des plus Jolies espèces de ce genre
par le travail singulier de leurs étuis.
« Mais ce n’est pas encore ce qui les rend le plus remar-
quables :
« Lorsque leurs larves, après avoir rongé les feuilles de la
scrophulaire, sont parvenues à leur grosseur et sont prêtes
à se transformer, elles forment au haut des tiges une espèce
de vessie à moitié transparente dans laquelle elles s’enferment
et se métamorphosent.
« Cette vessie, ronde et assez dure, paraît produite par une
humeur visqueuse dont on voit la larve couverte. Comment
l'insecte peut-il, avec cette espèce de glu, former la vésicule
ronde. C’est ce que je n’ai pu parvenir à apercevoir. J'ai seu-
lement trouvé les larves nouvellement renfermées dans cette
vésicule; je les ai vues sous la forme de nymphes, et enfin
l'insecte parfait en est sorti sous mes yeux.
« Ces vésicules sont de la grandeur des coques renfermant
« les graines de la scrophulaire et souvent mélées avec elles :
« mais on les distingue aisément par leur transparence et leur
CHARANÇON LOZANGE. 17
« forme ronde qui diffère du fruit de la plante qui se termine
«en pointe. Je n’ai jamais rencontré cet insecte sur le bouil-
« lon-blanc, comme le disent Lister et Réaumur : ce qui me
« ferait presque douter que ce fût le même animal qu'ils eussent
« connu, si leurs descriptions et leurs figures ne démontraient
« pas que c’est celui de la scrophulaire ? »
Réaumur parle des larves d’un charançon qui vit sur le
bouillon-blanc, mais qui sont des mineures : elles s’enfouis-
sent sous le duvet de cette plante, le soulèvent et rongent le
parenchyme. C’est dans ces espèces de cavités qu’elles font leur
coque et quelquefois sur les tiges des fleurs.
« Ces vers filent, pour se transformer. dit cet auteur, une
« Jolie coque presque sphérique, de couleur blanchâtre et d’un
« tissu si serré qu’elle paraît plutôt faite d’une membrane que
« de fils appliqués les uns contre les autres. . ..
« Plusieurs de ces vers ont établi leurs coques contre les
« parois du poudrier dans lequel je les tenais.
«Je ne suis pourtant pas parvenu à les voir filer, parce
« qu'ils ont tous pris le temps de la nuit pour ce travail; mais
« J'ai cru voir leur filière placée comme celle des chenilles et
« se donner des mouvements semblables à ceux des chenilles
« qui filent. J'ai d’ailleurs été convaincu que leur coque n'était
« pas faite de la peau du ver lorsque, après avoir ouvert une
« coque qui n'était finie que depuis peu, J'ai vu que l'insecte
« qui y était renfermé avait encore sa première figure de ver. »
L'incertitude répandue sur la nature de ces coques ayant
offert un aliment à ma curiosité, je cherchai à me procurer
les larves qui les produisent. Je découvris facilement quelques
TOM. X, Î1'© PARTIE. 3
18 CHARANÇON LOZANGE.
plantes de scrophulaires et je les trouvai chargées de ces in-
sectes sous toutes les formes et de tout âge.
On voyait d’abord sur les fleurs et sur les tiges les plus éle-
vées le petit charançon gris, à corselet blanc, à trompe ou
rostre noir, dont les élytres striées présentent alternativement
des bandes blanches et noires : les premières ponctuées de
brun, les autres unies. Sur le haut des élytres est une tache
noire dont la forme un peu variable a présenté à quelques au-
teurs l'aspect d'un lozange; j'y verrais plutôt une forme de
cœur. À l'extrémité inférieure des élytres sont deux taches
rondes d’un noir velouté. Ce charançon n’avait pas plus de
deux lignes et demie de longueur.
On en voyait plusieurs dont la tête était entièrement en-
foncée dans les boutons de la scrophulaire, et l'on ne pouvait
douter qu'ils ne se nourrissent de la corolle encore tendre de
cette fleur.
Un grand nombre de larves fort petites, d'une couleur
bleuâtre et livide étaient réunies sur d’autres boutons et pa-
raissaient y avoir pris naissance. D'autres rampaient sur les
feuilles : leur grandeur et leur âge étaient très-variés; l'on
voyait sur les rameaux quelques-unes de ces coques demi-trans-
parentes dont la nature peu connue offre à l'observateur une
énigme encore nouvelle, et dans laquelle devait s’opérer leur
métamorphose. ,
Tandis que ces charançons se présentaient à mes yeux sous
les divers degrés de leur développement et permettaient d’étu-
dier toutes les époques de leur histoire, la plante faisait voir
de même toutes les phases de sa fructification; car on voyait
CHARANÇON LOZANGE. 19
à la fois la graine, les boutons et les fleurs sur le même ra-
meau.
Les feuilles étaient pour la plupart attaquées par les larves
des charançons; celles du haut de la plante étaient surtout en
très-mauvais état. Ces larves, d'abord nourries aux dépens
des boutons, grossissent rapidement : elles descendent ensuite
des rameaux en fleurs sur les feuilles dont elles mangent le
parenchyme, laissant toute la membrane inférieure intacte.
Lorsqu’elles sont parvenues au terme de leur accroissement,
elles remontent sur les tiges les plus élevées, attaquent de
nouveau les boutons et s’établissent sur les pédoncules pour
procéder à la construction de leur coque.
Les larves du charançon lozange sont dès leur jeunesse
enduites d'une humeur visqueuse grisätre qui paraît suinter
au travers de leur peau. Cette substance visqueuse cache les
sillons de la peau de manière à faire disparaître toute inéga-
lité sur leur corps. Il paraït uni et lisse d’une extrémité à
l'autre; mais si l'on essaie de frotter légèrement le dos de
l'insecte la substance gélatineuse dont il est enduit s’enlève,
et l’on voit à découvert les anneaux et la couleur naturelle
de l'insecte qui est d’un verdâtre obscur.
Cette couleur varie cependant d'intensité selon l'âge de
l'insecte et le degré d'évacuation qu'il a subi : on aperçoit au
travers de la peau le grand vaisseau dorsal, et au-dessous,
le canal alimentaire plus ou moins rempli d’une matière noi-
râtre. à
Lorsque les larves s'apprêtent à construire leurs coques,
on les voit se fixer sur une petite branche; là elles demeu-
20 CHARANÇON LOZANGE.
rent en repos pendant quelques heures, et, sans qu’on devine
le comment de la chose, on les trouve plus tard enfermées
dans une coque élégamment attachée à la place même ou l'on
avait vu l’insecte peu de temps auparavant.
J'ai vu plusieurs de ces coques demi-transparentes se ter-
miner sous mes yeux avant de pouvoir me former une juste
idée de l'opération à laquelle elles devaient leur existence. Je
pensai premièrement, comme l'avait supposé d’abord M. de
Réaumur , que les larves se retiraient sous leur propre dé-
pouille, à la manière de celles des diptères, mais une atten_
tion plus soutenue me convainquit que l’insecte ne changeait
point de peau à cette époque.
Ces coques, vues au plus fort microscope, ne laissent aper-
cevoir aucune trace de tissu; d’ailleurs l'insecte s’y trouvait
insensiblement enveloppé avant d’avoir fait les mouvements
qui paraîtraient nécessaires pour filer. J'avais vu filer bien des
chenilles de toute espèce; en pareïlle circonstance on décou-
vrait facilement la suite de leurs procédés. Celui des insectes
que je voulais observer actuellement était d’une toute autre
nature : ce dont on pourra juger par ce qui suit.
Les larves des charançons lozange, lorsqu'elles ont atteint
l'âge de leur métamorphose, commencent à paraître plus à
découvert : l'enduit glutineux dont elles étaient imprégnées se
dissipe, les anneaux se distinguent avec tous leurs replis,
l'insecte se montre dès lors sous une couleur plus sombre et
d’un verd bouteille foncé. A peine ce corps conserve-t-il encore
à cette époque quelque chose d’un peu gluant.
Qu'est devenue la substance muqueuse qui le recouvrait ?
CHARANÇON LOZANGE. 21
at-elle été absorbée par la peau, s’est-elle dissipée par l'éva-
poration ? l'insecte a-t-il, à mon insçu, quitté une dépouille avec
laquelle aurait disparu l'humeur visqueuse ? C’est ce que je
ne saurais entièrement résoudre; mais rien ne paraît favoriser
la dernière de ces opinions, puisqu'on n'aperçoit aucune de
leurs dépouilles sur les rameaux où va s’opérer le mystère de
la construction des coques, et je penche en faveur de l'idée
d’une résorption par les pores de la peau qui me paraît la plus
naturelle.
Quoiqu'il en soit, l'insecte dégagé de cette humeur mu-
queuse rampe sur les tiges de la plante dont il s'est nourri;
son allure se ralentit graduellement : enfin il s'arrête. Il ne
ronge plus le parenchyme des feuilles; il se fixe sur une tige
de la même plante, et mange un peu de l'écorce de la branche
sur laquelle il est établi.
Peu après, comme s'il eût pris un violent purgatif, com-
mence une évacuation abondante de cette matière noire dont
le canal intestinal était rempli, évacuation qui a lieu par les
voies ordinaires, et qui se répète jusqu'à ce que la larve soit
intérieurement parfaitement nette : on ne voit plus à cette
époque la moindre parcelle de noir dans ce canal.
L'insecte, après cette évacuation, avance de quelques pas
sur la branche qu'il a choisie; il s'arrête et se fixe à la place
où il doit établir sa coque demi-transparente.
On peut alors examiner à loisir l'aspect de cette larve qui
jusque BR, cachée sous un enduit épais, présentait d’abord à
l'observateur une masse uniforme et continue, ensuite un corps
opaque et sombre. Maintenant, et surtout si l'on fait marcher
29 CHARANÇON LOZANGE.
cette larve sur un carreau de verre, en regardant par dessous,
on prendra une idée plus juste de la structure de son corps.
Il est composé, autant que j'ai pu m'en assurer, de douze
anneaux. Cette larve n’a point de véritables jambes, point de
jambes distinctes, mais la partie inférieure des anneaux lui en
tient lieu : les parties inférieures et supérieures des anneaux
sont séparées par une ligne suturale qui se prolonge à droite
et à gauche dans toute la longueur de l'insecte. Cette ligne,
un peu en zigzag, est produite par le rebord des anneaux dans
leur partie latérale et par des replis profonds que l’on ne sau-
rait décrire.
La partie supérieure de chaque anneau est convexe et forme
un demi-segment; la partie inférieure jouit d’une très-grande
mobilité, elle est divisée en deux par une espèce de gouttière
qui règne au milieu et au dessous du corps dans toute sa lon-
gueur. Mais à droite et à gauche de cette rainure, de ce pro-
fond repli, la membrane du ventre s'applique au plan de po-
sition et y adhère comme une espèce de pied par quatre où
cinq points qui correspondent aux anneaux.
Chaque anneau s'applique de même sur le plan contre le-
quel l'insecte rampe : quand cette espèce de pied se retire,
lon n’aperçoit plus ces points qui paraissaient saillants. L'an-
neau est alors tout-à-fait simple en dessous, on n'y distingue
plus que les plis d’une peau inégalement tendue. Ces sortes
de pieds embrassent la petite branche qui leur sert de sup-
port, elle y est prise comme dans un étau, ce que M. de
Réaumur avait déjà très-bien compris.
Vus du côté extérieur, ces demi-anneaux inférieurs parais-
CHARANÇON LOZANGE. 23
sent fort distincts les uns des autres. Ils semblent composés
de deux replis musculeux situés l’un au-dessus de Fautre, et
représentent des espèces de piliers formés de deux pièces su-
perposées l’une à l'autre : quelqu'un qui ne saurait point que
cet insecte est dépourvu de pieds, prendrait ces piliers pour
de véritables jambes : ce ne sont pourtant que les muscles des
anneaux. Mais ces muscles ont la faculté de se retirer et de
s’enfler à volonté avec une telle facilité qu'ils font ici l'office
d'organes locomoteurs. Ces larves rampent effectivement assez
vite. Ce n'est qu'à l'époque où la coque doit se former que
l'insecte ralentit sa démarche et devient enfin immobile.
Sa tête est petite, presque carrée, armée de deux dents
visibles et de quatre palpes (il est probable qu'il y a d’au-
tres dents comme chez la plupart des coléoptères ), la lèvre
inférieure n’est pas munie de filières; cependant elle paraît
distiller une liqueur. Sur le premier anneau, on voit deux
taches noires oblongues qui m'ont servi à reconnaître la place
de la tête dans l'opération que je vais décrire et pendant la-
quelle elle est quelquefois entièrement cachée.
Nous avons laissé la larve fixée contre une petite branche
dont elle a mangé l'écorce; elle s’est ensuite évacuée complé-
tement. Elle va procéder à l'œuvre importante pour elle de
la construction d’une coque.
On voit que son dos change de couleur : sur le verd foncé
qui fait le fond de sa teinte, se répand une autre teinte d’ur
blanc bleuâtre. Une substance laiteuse transsude de la peau
de ces insectes, s'étend sur tous leurs anneaux et sur leur
tête même, elle semble s’accumuler en plus grande quantité
2% CHARANÇON LOZANGE.
sur la partie antérieure de leur corps, et sur la partie infé-
rieure des six premiers anneaux : tandis que les six derniers
ne transsudent cette humeur que dans la région dorsale et
point dans la partie du corps qu'on peut appeler inférieure
et latérale.
La matière laiteuse abonde tellement sur la partie anté-
rieure du corps qu’elle recouvre entièrement la tête et s’é-
panche sur la tige à laquelle l'insecte est fixé dans l'endroit
qui correspond à la situation des premiers anneaux; elle s'y
accumule en si grande quantité, que l'insecte paraît au pre-
mier abord avoir la tête et le haut du corps appuyés sur un
coussinet.
Insensiblement l'attitude de l'insecte change, son corps n'est
plus étendu comme dans la figure première; au contraire, sa
tête est retirée sous le premier anneau, celui-ci sous le second,
et le second est presque caché par le troisième.
L'insecte s’est voûté depuis le commencement de l’opéra-
tion, son dos s'élève à chaque instant, les deux extrémités du
corps se rapprochent, la tête s'enfonce de plus en plus sous
les premiers anneaux; elle est couverte d’un léger voile sous
lequel on commence à la voir remuer.
Sa bouche s'applique contre la tige, puis se retire peu de
minutes après, perpendiculairement à la branche, mais avec
lenteur, comme si l'insecte, intéressé au succès de l'opération
dont il s’agit, craignit de rompre ou de déchirer le voile déjà
distinct formé dans la région antérieure de son corps.
Ce voile s'épaissit, il se prolonge sur les deux côtés de la
branche et se condense à la place qu'occupait la bouche peu
19
CHARANÇON LOZANGE. D
d'instants auparavant, ce qui pourrait faire juger qu’elle a dé-
posé une partie de la matière amoncelée en cet endroit.
Le voile prend à chaque instant plus de consistance. Il
recouvre l'insecte dans toutes ses parties, excepté sur les côtés
des anneaux postérieurs. L’attitude de l'insecte est tout-à-fait
ramassée, la tête a disparu , elle est alors entièrement ca-
chée sous les anneaux, et le voile est si épais à cette place
qu'on ne peut deviner celle de la tête que par le moyen des
deux taches d’un noir d’ébène situées sur le premier anneau.
Après quelques heures de tranquillité pendant lesquelles
on voit cependant des mouvements internes dans les muscles
de tous les anneaux, l'insecte change encore d’attitude. I fait
faire à tout son train de derrière un mouvement en avant;
mais la partie antérieure déjà un peu relevée au-dessus de la
branche demeure immobile; par conséquent le corps se voute
davantage, l'extrémité postérieure touche seule la branche.
Les anneaux postérieurs qui étaient adhérents par dessous à
la branche, la quittent, ils s’éloignent du plan de position et
se rapprochent de la tête, ils se serrent contre les anneaux
antérieurs dont la base se contracte pour les recevoir sous la
portion de l'enveloppe qui leur correspond.
11 résulte de ce changement d’attitude que le corps de cette
larve est maintenant presque en boule, et que la partie infé-
rieure des six derniers anneaux, restée nue, se trouve cachée
presque entièrement sous la partie antérieure du voile. La
portion du voile qui recouvre les anneaux postérieurs les a
suivis dans cette évolution; et maintenant elle se met presque
en contact avec le bord vertical du voile des anneaux anté-
TOM. X, 1" PARTIE. 4
26 CHARANÇON LOZANGE.
rieurs, et peu s’en faut qu'il n’enveloppe complétement lin-
secte sur lequel il s'était moulé dans l'origine, quoique celui-ci
ait complétement changé d’attitude et d'apparence. Cependant
il est à remarquer qu'il reste toujours à cette époque un petit
vide près de la jonction et presque au centre du cercle que
l'insecte représente actuellement, et ce vide existe dans la
partie du voile qui répond à la droite comme à la gauche de
l'insecte. Dans l’origine celui-ci offrait la forme d'une demi-
ellipse; par sa nouvelle attitude il représente un sphéroïde
aplati comme un cloporte. Le voile prend cette forme parce
qu'à cette époque il suit encore les formes de l'insecte, il se
durcit enfin et devient une véritable coque dans laquelle l'in-
secte peut se mouvoir très-librement. Il à pris assez de con-
sistance pour qu'on puisse l'enlever en entier et mettre à nu
la larve qui le renfermait.
Si on la dégage complétement de cette enveloppe, elle quitte
la place. elle se promène pendant quelques minutes et se fixe
de nouveau contre la branche.
Quel sera le sort d'un insecte aussi frèle et qui devait se
métamorphoser dans une coque disposée par la nature pour
lui fournir un abri, et des points d'appui peut-être nécessaires
à son passage d’une forme à une autre ? La nature l'a pré-
munie contre un accident qui paraissait offrir peu de chances
de se présenter : un second voile se forme autour de cette
larve, et cette substance est presque aussi abondante que la
première fois. J'ai enlevé ce second voile à plusieurs larves,
il s’en est toujours formé une troisième. Que l’on ne croie pas
cependant que dans l’état naturel il se fût formé une seconde
CHARANCÇON LOZANGE. 97
et une troisième enveloppe autour de nos larves; non, elles
sont toujours simples, au contraire; ainsi c’est à volonté que
l'insecte peut faire transsuder de son corps et au travers de
ses pores la substance gélatineuse qu'il contient en abondance.
Je n’ai pas poussé plus loin cette expérience, parce que la
dernière enveloppe était si mince qu'elle était absolument
transparente et d’une extrême fragilité : d’ailleurs, ces insectes
vieillis ou épuisés n'agissent déjà plus avec la vivacité que
nous allons leur voir déployer pour terminer cette enveloppe
qui jusqu'ici se montrait sous la forme d’un voile appliqué et
moulé sur le corps de l'insecte, et auquel il sera temps de donner
le nom de coque sphéroïdale lorsque celui-ci lui aura donné
la dernière main.
Voici l'époque où le travail de la nature cesse et où celui
de l'insecte commence, quoiqu'on puisse dire que par ses atti-
tudes graduées il ait eu quelque part à la construction de la
coque. Mais celle-ci n’a pas encore cette forme régulière et ce
lustre qu'on lui voit ordinairement.
A l’époque où nous en sommes. on voit la tête de cette larve
remuer sous ses enveloppes : elle joue avec rapidité, elle
avance, elle recule, elle se meut à droite et à gauche, la larve
applique contre les parois de sa loge ses palpes, ses lèvres et
ses mandibules. Le voile s'épaissit, il devient moins trans-
parent, il prend beaucoup de consistance, il s'étend partout
où l'insecte a appliqué sa bouche. La larve vernit évidemment
l'intérieur de sa demeure, elle lui fait perdre par degré la forme
du corps sur lequel elle s'était moulée, lorsque la matière dont
elle est formée transsudait de tous les pores de l'insecte.
28 CHARANÇON LOZANGE.
Celui-ci, en vernissant sa demeure future, détruit tous les
sillons, tous les plis, toutes les bosselures de cette enveloppe
qui conservait l'empreinte des anneaux et des muscles parti-
culiers à chacun d'eux. Ce ballon paraît s’enfler, il prend une
forme sphéroïdale; en quelques heures il est converti en une
coque à peu près ronde, parfaitement lisse, et d’une: épais-
seur uniforme.
La transparence de cette coque n'était point assez parfaite
à mon gré pour discerner tout ce qui se passait dans son in-
térieur. Quoique Je visse la larve très-occupée, les détails de
ses opérations m'échappaient : je ne concevois point d'où pro-
venait tout le vernis dont elle paraissait faire usage : mais une
circonstance que J'aurais pu prévoir me favorisa au-delà de mes
espérances.
On se rappelle ce vide que j'ai fait remarquer dans la partie
du voile où devait se faire la jonction, et qui répondait au
centre du cercle décrit par l'enroulement de la larve, vide
qui se retrouvait des deux côtés du sphéroïde.
Au moyen de cette petite ouverture qui, pour moi, faisait
l'effet d’une fenêtre, et d'où mes regards pouvaient plonger
au fond de la cellule dans laquelle la larve travaillait solitai-
rement ; il me fut aisé d'observer pendant quelques instants
le jeu de ses dents et de ses palpes, et de m'assurer qu'elle
ne filait point.
Le vernis coulait abondamment de sa bouche et le travail
n'était point interrompu.
Mais, au moment où je m'y attendais le moins, l'insecte
boucha la fenêtre au travers de laquelle je l'observais, au
CHARANÇON LOZANGE. 29
moyen d'une petite masse de colle qu'il disposa sur le bord
de l'ouverture : il étendit à l'instant cette matière fort res-
semblante à celle dont la coque était composée, l'amincit et
la rendit si polie et si lisse qu'on n'aurait pas pu distinguer
l'endroit où elle était rajoutée.
Cette petite contrariété ne m'empêcha point d'admirer l'in-
dustrie de cet insecte et de m'étonner de l'art et du fini qu'il
mettait à son ouvrage.
Mais de quelle source pouvait provenir la masse de colle
épaisse et à demi fluide qu'il avait employée : où puisait-il de
telles provisions ?
Je ne pouvais laisser ces questions indécises. Dès que je
vis la larve occupée d’un autre côté, Je rouvris le guichet au
moyen d'une lame de canif. Je l’agrandis assez pour pouvoir
observer à mon aise tous les mouvements de la larve du cha-
rançon, et Je dirigeai une lentille à court foyer dans l'inté-
rieur de la loge où elle travaillait.
Elle s’apperçut de la nouvelle brèche faite à sa cloison et
s’appréta à la réparer. Mais bientôt la matière vint à lui man-
quer. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant alors où cet
‘insecte allait s’approvisionner de la colle ou du vernis dont
il avait besoin. Je le vis d’abord se recourber en cercle, ap-
procher sa tête des derniers anneaux de son corps, ces an-
neaux s'entr'ouvrir et présenter une poche dans laquelle la
tête pénétra en partie.
Après avoir fouillé dans cette cavité (*) pendant quelques
(1) Je ne crois point qu'il y ait là une cavité particulière, elle m’a paru être
la même qui sert à d’autres fonctions.
30 CHARANÇON LOZANGE.
instants, elle en ressortit chargée d’une provision de colle
considérable. Cette matière était en forme de boulette allon-
gée, de la couleur et de la consistance de l'amidon cuit à l'eau
et préparé pour l'usage du colleur. C'était une masse d’une
substance gélatineuse grisâtre, à peu près de la grosseur de
la tête de la larve; elle la tenait entre ses dents, elle la posa
exactement au bord de la fenêtre que j'avais pratiquée dans
la cloison de sa loge, l’étendit avec ses palpes, ses lèvres et
ses dents; elle faisait encore usage de la partie cornée et ar-
rondie de son front pour donner à la cloison la forme arrondie
et l'apparence unie du reste de Ja coque.
Je ne laissai point cet insecte terminer son ouvrage, dans
la crainte que la pièce nouvellement ajoutée ne vint à se des-
sécher si je lui en donnais le temps, et ne me permit plus, par
la solidité qu'elle pourrait acquérir et l’opacité qui en résul-
terait, d'enlever l'obstacle qu'elle opposait à ma curiosité.
J'eus soin d'agrandir cette ouverture pour la seconde fois,
afin de revoir un fait qui me paraissait de quelque importance.
Je vis à l'instant la larve retourner à la provision, rappro-
cher l'extrémité de son ventre de sa bouche, celle-ci prendre
dans la cavité postérieure de l'abdomen une nouvelle portion
de colle et la porter partout où elle paraissait être nécessaire.
Plus de six fois de suite je vis cette larve puiser à la même
source, et en retirer une égale quantité de cette gelée demi-
transparente pour en enduire toutes les parties de sa coque.
Tantôt tournée vers le haut de sa loge. elle travaillait au
plafond; tantôt la tête en bas, elle en vernissait les parois
inférieures; mais le premier travail qui l'occupe, celui qui
CHARANÇON LOZANGE. 31
paraît lui inspirer une sorte de sollicitude, c'est ce vide la-
téral où sa loge présente un côté faible. Ce vide qu'il faut
combler, parce que le changement de forme qu'a subi cette
enveloppe eût été très-diflicile à opérer sans y laisser une
petite solution de continuité par laquelle l'ennemi pourrait
s'introduire. L'art de cette larve ne consiste pas seulement à
savoir étendre la matière glutineuse entre les bords de lou-
verture; elle sait ramollir et reprendre celle dont la loge est
composée pour la lier avec la nouvelle matière qu'elle veut y
ajouter.
Quand elle aperçoit quelque aspérité ou quelque petite
esquille desséchée sur le bord de la brèche, et qui ne pour-
rait faire partie de la coque sans la déparer, elle la fait re-
passer dans sa bouche, la mêle avec d'autre matière déjà li-
quide, les refond ensemble et les fait servir de nouveau.
Pendant qu'elle est occupée à fermer les parois latérales de
sa loge, on lui voit employer ses lèvres comme une espèce
de filière aplatie ou de pince large ; on voit jouer ses dents et
ses palpes avec une telle vélocité qu'il serait difficile d'assi-
gner le rôle particulier à chacun de ces membres dans une
opération dont les mouvements sont aussi compliqués ; mais
l'on aperçoit que l'emploi des palpes est ici à quelques égards
comparable à celui de nos mains.
Les palpes servent à pousser, à presser, à retenir la matière,
en opposition à l'effort des dents; ils jouent un rôle actif dans
ce travail et ne m'ont point paru, comme on l’a cru jusqu'ici,
devoir être les organes de quelque sensation particulière, mais
des membres destinés à un emploi mécanique.
32 CHARANÇON LOZANGE.
Cette opinion qui, je crois, n'a pas encore été discutée,
me paraît appuyée par l'usage que plusieurs autres larves font
de leurs palpes.
Les larves des charançons lozanges, travaillent pendant
près de vingt-quatre heures à terminer leur logement; elles
restent ensuite plusieurs jours avant de passer à l'état de nym-
phe, et en moins de quinze jours on trouve ces Imsectes sous
la forme ailée.
Le charançon fait alors une ouverture circulaire dans la
partie supérieure de sa coque. L'opercule qui en résulte de-
meure attaché le plus souvent par quelques points de sa cir-
conférence au sphéroïde dont il faisait partie.
Enfin, l'insecte en sort tel que je l'ai dépeint et cherche
aussitôt ses compagnes, avec lesquelles on le trouve uni sur
les branches de la plante qui les a nourris et dont ils se nour-
rissent encore.
L'histoire de ce charançon se termine ici pour le moment;
je ne me dissimule point tout ce qu'elle laisse à désirer, toutes
les questions qu'elle fait naître; en attendant de pouvoir sa-
tisfaire aux plus simples, je dois encore éclaircir un fait qui
a son importance pour la nomenclature et pour la physiologie :
savoir si le charançon de la scrophulaire est le même que le
charançon du bouillon-blanc. — Ce dernier, observé par
Réaumur, paraissait devoir être placé parmi les larves mi-
neuses. Il creusait dans les feuilles épaisses de ces plantes
des espèces de galeries dans lesquelles il construisait sa coque
et où il se métamorphosait.
Dans le but d'éclaircir cette question je pris sur la scro-
CHARANÇON LOZANGE. 33
phulaire un certain nombre de larves du charançon lozange,
je les transférai sur les feuilles drapées du bouillon-blanc et
j'épiai leur conduite dans ces circonstances.
Je vis d’abord qu'elles y trouvaient un aliment de leur goût :
elles s’enfouirent sous le duvet de la plante, rongèrent son
parenchyme, pratiquèrent dans la substance des tiges et des
feuilles des espèces de galeries, et construisirent leurs coques
comme les autres larves de la même espèce ; enfin elles subi-
rent leur métamorphose dans ces sillons ou sur les rameaux
indifféremment.
Tant de conformité entre la conduite de ces larves et de
celles étudiées par M. de Réaumur ne laissent aucun doute
sur l'identité des insectes étudiés par lui, par Geoffroi et par
moi-même.
Entre les questions que fait naître la lecture de ce petit mé-
moire, il en est plusieurs qui sont du ressort de la chimie;
l'une d’elles se lie étroitement à l'existence de ces insectes.
Comment une larve ou une nymphe qui occupe la plus grande
partie de la cavité de sa coque peut-elle respirer dans cet
étroit espace. La nature de la coque paraît s'opposer au renou-
vellement de l'air; cependant j'appris par le résultat de quel-
ques essais ‘faits avec les réactifs les plus communs, que cette
substance, indissoluble à froid dans l'eau et dans l’esprit-de-
vin, s'imbibait d'eau; car je trouvai plusieurs coques, parmi
celles que J'avais mises dans l’eau, à moitié remplies de ce li-
quide en moins d’un mois.
L'eau-de-vie se colora légèrement en brun; mais sans pré-
TOM. X, "© PARTIE. 5
34 CHARANÇON LOZANGE.
senter aucun dépôt. L'eau et l’esprit-de-vin ne parurent pas
le moins du monde agir sur ces coques.
Il me semble que si l'eau peut filtrer au travers de la ma-
tière cornée de la coque, l'air doit pouvoir s'y introduire à
peu près comme dans une coquille d'œuf; cela expliquerait la
possibilité de son renouvellement et permettrait l'exercice des
fonctions analogues à la respiration chez les insectes auxquels
elles servent de retraite momentanée.
MÉMOIRE
POUR SERVIR
A L'HISTOIRE DES PSOQUES
Par Pierre Huber.
Les deux espèces de psoques qui vont nous occuper parti-
culièrement ont leur corps de couleur jaune ou d’un jaune ver-
dâtre; une tache noire sur l’occiput, des yeux noirs, une tache
brune sur chaque bosselure du corselet se dessinent très-net-
tement sur ce jaune; l'abdomen est transparent, les ailes sont
transparentes et frisées, à nervures jaunâtres; l’une des deux
espèces a les ailes tachetées de brun, les parties claires sont
à reflets, alternativement dorés et pourprés. L'autre espèce
a les ailes d’une couleur uniforme, mais présente aussi des
reflets métalliques selon la disposition du jour.
Ces mouches peuvent passer pour de très-jolis insectes dans
leur état parfait.
Ce fut d'abord, il faut l'avouer , le brillant de leurs cou-
leurs qui attira mon attention, mais bientôt elle se fixa sur
Jeurs allures, car la vivacité de leurs mouvements, la légéreté et
la grâce avec lesquelles elles parcouraient la surface des feuilles
36 HISTOIRE
avaient un attrait particulier. Lorsque ma présence intimidait
celle que J'observais, elle passait avec une rapidité surpre-
nante au-dessous de la feuille. Cependant, comme elle reve-
nait bientôt au-dessus, je fis plus d'attention à ce qui pouvait
l'y rappeler, et ce ne fut pas sans un mélange de plaisir et
d'étonnement que je découvris quel était le genre d'occupa-
tion à laquelle elle se livrait.
Elle va nous offrir un phénomène nouveau qui n’a pas
d'exemple parmi les insectes proprement dits en état de per-
fection, un phénomène commun chez un grand nombre de
larves, tant de névroptères que d’hyménoptères, et qui ne
nous étonnerait point de la part des chenilles, mais qui aurait
droit de nous surprendre beaucoup si des papillons, des li-
bellules, des abeilles, etc., dans leur état d'insectes ailés nous
en donnaient le spectacle; car jusqu'ici la faculté de produire
de la soie a été exclusivement réservée aux larves de ces in-
sectes.
Et l’araignée, dira-t-on, mais l’araignée n’est point un in-
secte : elle fait classe à part, et l’on ne sait même pas bien en-
core où l’on doit la placer; tant par sa conformation extérieure
qu'intérieure elle tient à un système très-équivoque pour les
naturalistes.
Il s’agit maintenant d’un névroptère, or c'est une chose cu-
rieuse que de voir filer un insecte dans un autre but que celui
de se filer une coque. On a bien vu quelques bombyx for-
mer un tissu pour couvrir leurs œufs avec le duvet de leur
propre corps, mais elles ne sont point douées d'une filière. or-
gane qui disparaît avec les téguments extérieurs de la chenille.
DES PSOQUES. 37
Ainsi, jusqu'à présent le fait est unique dans son genre, si l’on
excepte celui d’une espèce de ditisque, coléoptère qui, dit-on,
file dans l'eau même une coque pour renfermer ses petits.
La jolie mouche dont je veux écrire l'histoire filait, mais
non avec la lenteur d’un ver qui se meut difficilement, ou avec
la circonspection d’une chenille; elle était en action, elle cou-
rait, elle changeait à chaque instant de position ; mais ses mou-
vements avaient un but, car elle filait en courant autour d’un
très-petit espace, et elle travaillait avec une grâce qui excita
souvent l'admiration des personnes auxquelles je la fis voir.
Ce fut d’abord sur des feuilles de cytise que je la découvris,
et c'était dans l'espèce de gouttière formée par le pli de la
feuille au-dessus de la principale nervure que se mouvait notre
petite fileuse.
On voyait dans ce pli une petite place brillante et blanche
comme du satin, d’une forme ovale et évidemment composée
de soies tendues de l'un des lobes de la feuille à l’autre, au-
dessus de la nervure.
La petite mouche courait avec rapidité sur ce tissu en se
portant à droite et à gauche avec des mouvements réguliers;
sa bouche était posée sur la trame, elle s’arrêtait un instant
très-court à travailler auprès du bord de la tache blanche, re-
tournait à l’autre bord avec rapidité, changeait de place, puis
travaillait d’un autre côté, croisait ses fils dans tous les sens,
et les disposait si près les uns des autres qu'il était diflicile
de distinguer ceux qu’elle venait de filer de ceux qui l'avaient
été précédemment.
Cependant, à l’aide d’une forte loupe, je pus en distinguer
38 HISTOIRE
quelques-uns au moment où ils sortaient de la filière et m'as-
surer par mes propres yeux qu'ils venaient d’être formés par
cette petite mouche.
L'on devine déjà l'usage de ce tissu; tous les travaux des
insectes ont pour but ou leur propre conservation ou celle de
leurs petits.
En regardant la feuille contre le jour, je vis six petits œufs
le long de la nervure, placés symétriquement deux à deux;
ils étaient exactement recouverts par la trame satinée et étaient
enfermés de toutes parts entre elle et la superficie de la feuille.
Voilà donc une nouvelle manière de protéger les germes
de la génération prochaine, et cette méthode joint la simpli-
cité et l'élégance à la sûreté et à l’économie.
Voulant m'assurer plus complètement de tous ces faits, je
cherchai sur d’autres feuilles du même arbre de petites mou-
ches semblables, et si je n'en trouvai pas d’abord, je vis
au moins de leur ouvrage, car il y avait de ces tentures sur
presque toutes les feuilles.
J'en trouvai sur les framboisiers, sur les tilleuls, sur les poi-
riers et les chênes. Quelques-unes de ces tentes avaient une
forme circulaire, celle de la plupart des autres était elliptique
ou irrégulière ; toutes recouvraient un certain nombre d'œufs,
depuis six jusqu’à quatorze.
Ces petites couvées, si l’on peut employer ce terme, con-
fiées à la tenture de soie, qui les mettait à l'abri de la pluie et
peut-être des attaques de quelques insectes, n'étaient point
gardées par les jolis insectes auxquels elles devaient l'exis-
tence. On trouvait quelquefois ces mouches sous les feuilles
DES PSOQUES. 39
des mêmes plantes, mais elles étaient bien plus rares que leurs
nichées.
J'en emportai plusieurs dans mon cabinet, où je les établis
sous des vases de verre avec les feuilles sous lesquelles elles
se trouvaient, et j'eus encore le plaisir de les voir filer à plu-
sieurs reprises.
J'assistai même à la ponte de l'une d’elles, et je remarquai
qu'elle recourba son ventre à plusieurs reprises en touchant
la feuille de son extrémité avant la sortie de l'œuf, ce qui me
fait supposer qu’elle y déposait une liqueur gluante pour coller
celui qu'elle allait mettre au jour.
Lorsqu'elle eut pondu dix œufs elle se retourna, visita l’es-
pace qu'ils occupaient, et se mit à filer en commençant par
le bord du groupe.
Elle faisait glisser la partie inférieure de sa bouche sur
les œufs qui occupaient la circonférence et allait atteindre la
feuille des deux côtés en courant dans un sens et dans l’autre
avec beaucoup de rapidité; puis, s'étant retournée d’un autre
côté, elle travailla encore à la circonférence du groupe, mais
dans un autre point. Elle fit ainsi le tour de ses œufs, filant
toujours, mais sans beaucoup de régularité, car elle revenait
souvent là où elle avait déjà commencé sa trame, puis elle
mit quelques soies en travers dans différents sens. Mais ce
n'était là qu'un travail préparatoire et qui devait servir de
base à un tissu plus régulier. Bientôt après commence un tra-
vail plus suivi; elle établit ses soies parallèlement les unes
aux autres, tout en travers du groupe et au-dessus de lui, et
en fit une couche si épaisse que ses œufs furent entièrement
40 HISTOIRE
cachés. Cela fait, elle s'arrêta et se retira sous la feuille qui
contenait sa progéniture.
Il ne me restait aucun doute sur la faculté que les psoques
possèdent exclusivement, comme insectes parfaits, de produire
de la soie, et je savais à quel usage elle était employée; mais
il n’était pas aussi facile de voir d'où sortait cette soie vu la
petitesse de l’insecte et la rapidité de ses mouvements.
Ce n’a été qu'en les mettant dans des tubes de verre que
Jy suis parvenu. Alors, et au moyen d’une lentille tres-forte
je pus suivre les mouvements de l'insecte, ce que le micros-
cope ne permettait pas, et J'aperçus que le fil sortait des deux
bords inférieurs de la lèvre supérieure. On voyait à cette place
deux petits corps oblongs et ovales qui sont les véritables fi-
lières de ces insectes; je n’oserais donner plus de détails à cet
égard, vu l'extrême difliculté de cette observation. Je dois
même avouer que quoique j'aie bien vu le fil briller en cet
endroit à sa sortie, Je n’ai pu bien distinguer les filières, ou
ce que j'appelle ainsi, qu'en regardant la tête de l'insecte de
profil et dans un biais où je ne pouvais voir en même temps
le luisant de la soie nouvellement produite, mais ces organes
étant les seuls qui fussent disposés aussi favorablement pour
ce but, étant saillants au dehors et se montrant là où le fil
semblait se former; c'étaient de fortes présomptions en faveur
de l’opinion que j'ai émise.
Les petites tentes que les psoques construisent au-dessus
de leurs œufs sont de deux espèces.
Il y a de leurs œufs qui sont placés sous une double tente,
dont l’une, la plus rapprochée d’eux, est semblable à celle
DES PSOQUES. 41
que je viens de décrire; l’autre se trouve à quelque distance
au-dessus de la première. Elle est composée de soies beaucoup
plus fortes, mais d’un tissu moins serré, parallèles entre elles
et beaucoup plus longues que celles de la tente satinée. Cette
seconde tenture est fermée d’un côté et toujours ouverte de
l’autre.
Ne servirait-elle point d’abri à la mère dans quelques cir-
constances qui m’eussent échappées ? Je n’en ai jamais trouvé
au-dessous, de sorte que je ne puis l’aflirmer. Mais ce qui
suit vient à l'appui de cette conjecture.
Il y à une espèce de psoques, celle dont les ailes sont ta-
chées de brun, qui ne construit pas une tente bien serrée sur
ses œufs. Le plus souvent même elle n’en fait point; mais
celle-ci, en revanche, se tient toujours sous une espèce de
filet qu'elle construit d’un côté à l’autre d’une des grosses ner-
vures de la feuille, et qui lui laisse un espace assez grand pour
faire quelques pas sans en sortir. Ce filet est composé de soies
longues et parallèles qui forment une tente d’où la mouche
peut aisément s'échapper. J'avoue que je ne conçois pas trop
l'usage de cet asile qui est si frèle qu'un moucheron pourrait
le violer; mais la nature a ses raisons, n’en doutons pas. Il
est constant que les psoques à taches brunes tendent toujours
autour d’eux des soies longues et parallèles; seraient-elles des-
tinées à les avertir de l'approche de quelque ennemi ? C’est ce
que j'ignore.
Qu'on n'imagine pas, en revanche, que notre petite mouche
fileuse soit là en embuscade comme l’araignée pour attendre
TOM. X, Î'* PARTIE. 6
42 HISTOIRE
sa proie. La nature ne lui a point donné des mœurs guer-
rières.
C’est un insecte qui broute, comme les moutons et les chè-
vres. Or quelle substance, quel herbage est assez menu pour
un herbivore de cette taille ? Cette question exige de nous une
petite digression qu'on voudra bien nous pardonner en faveur
de la nouveauté du fait.
Il y a, dans toutes les classes d'animaux, certaines espèces
que la nature semble avoir destinées, par leur prodigieuse
fécondité, leur caractère passif et leur facile existence, à sub-
venir à la nourriture d’une série d'animaux carnassiers.
Les harengs parmi les poissons, les moutons parmi les
quadrupèdes, les cailles parmi les oiseaux, les éphémères et
les pucerons chez les insectes, sont ces espèces d’une fécon-
dité surabondante où les animaux voraces de toutes les classes
trouvent une pâture facile.
Le puceron n'est pas seulement le gibier le plus inoffensif
et le plus facile à attaquer pour une foule d'insectes ; il dis-
tille une manne qui alimente une quantité innombrable d’in-
sectes, tels que mouches de toutes espèces, guêpes, abeilles,
ichneumons, fourmis, etc. Certaines espèces de pucerons four-
nissent à un de leurs ennemis un duvet, une fourrure dont
ils se revêtent pour leur faire une guerre plus sûre; tels que
des loups qui se déguiseraient en moutons pour entrer dans
la bergerie. |
D'autres insectes plus subtils s’introduisent sous la peau
même de ces pauvres pucerons et vivent à leur dépens, comme
on le verra dans un autre mémoire.
DES PSOQUES. 43
Pour terminer le parallèle il ne nous manque plus qu'un
trait, plus qu'un rapport entre les pucerons et les bestiaux que
l'homme élève à son profit.
Celui de fournir un engrais à une espèce de plante qui
est utile à d’autres petits êtres non carnassiers.
Or j'ai souvent remarqué que les feuilles des arbres char-
gés de pucerons devenaient noires après un certain temps. Îl
en est de même de celles où les gallinsectes pullulent; non-
seulement les feuilles prennent cette teinte rembrunie, mais
le tronc et les branches de ces arbres sur lesquels la liqueur
des pucerons ou la manne des insectes est jetée incessamment,
se colorent en noir et se drapent d’une espèce de velours plus
ou moins dense.
Ce n’est point une maladie de l'arbre qui la cause; cette
couleur noire est due à une plante parasite qui lève sur les
végétaux où la liqueur des pucerons a été répandue en abon-
dance, et devient nuisible à l'arbre, parce que cette plante
parasite, une fois établie sur l'écorce des rameaux ou sur la
superficie supérieure des feuilles, se nourrit à leurs dépens.
Il n’est point étonnant que la liqueur des pucerons, qui est
une excrétion, puisse devenir le stimulant de cette germina-
tion, comme d’autres engrais sortis du corps des animaux, fer-
tilisent le sol.
Cette substance étant en outre sucrée et gommeuse, par
cela seul donnerait naissance à des moisissures; mais celles
qu’elle fait naître m'ont paru d’un genre très-différent de celles
qui viennent sur les substances gommeuses. Elles sont de
petits corps peu allongés et terminés confusément en tête,
4% HISTOIRE
mais groupés sur les feuilles. Il en est une espèce de jaunes
qui se propagent sous les feuilles des rosiers. Les pucerons
du rosier vivant sur la tige et non sous les feuilles de cet ar-
brisseau, rejettent leur miellée en tous sens. Je n’assurerais
pourtant pas que l’'uredo couleur de rouille du rosier dût son
existence aux pucerons, parce qu'il est singulier qu'il ne croisse
que sous les feuilles, tandis que le dessus des feuilles est quel-
quefois noirci par la même cause.
Quoi qu'il en soit, tous ces uredo servent de pâture aux
mouches fileuses, aux psoques fileurs, et l'on voit ici un nou-
vel exemple des ressources ingénieuses et de la fécondité de
la nature dans les moyens de subsistance qu’elle fournit aux
êtres qu'elle a créés.
Lorsque les psoques sont occupés de leur repas, ils ont par-
faitement l'air de brouter. Leur mâchoire, ou plutôt leur lèvre
inférieure, mobile et plus allongée que la supérieure, fait exac-
tement les mêmes mouvements que ceux d’un âne ou d’un
cheval qui arrachent l'herbe du gazon. Aussi, avant d’avoir
bien examiné la chose, je croyais que ces insectes, encore
nouveaux pour moi, mangeaient à la manière des quadrupèdes,
en remuant la mâchoire inférieure d’arrière en avant, mais je
n'avais pas encore aperçu les véritables organes de la man-
ducation, qui se meuvent latéralement. Je n'expliquerai pas
pourquoi elles enlèvent la tête de ces moisissures dans le sens
contraire; il est certain qu’elles s’en nourrissent uniquement;
je les ai vus nettoyer en peu d'instants un espace de plus d’un
pouce quarré.
J'ai nourri de ces insectes pendant deux mois avec les feuilles
DES PSOQUES. 45
chargées de ces uredo, elles pondaïent et filaient constam-
ment. Je remarquai que chacune d’elles peut pondre bien des
fois sans avoir de nouvelles communications avec le mâle,
jusqu'à cinq reprises différentes.
Les mâles diffèrent si peu des femelles que je ne saurais
assigner d'autre différence dans leur aspect que d’avoir le
ventre beaucoup plus mince et bordé près de l'extrémité par
une ligne brune semi-circulaire.
Je ne les ai point vus accouplés, quoique j'en aïe eu plusieurs
de renfermés avec les femelles sous des compotiers de verre;
mais, comme je ne les ai jamais vu pondre, je suis presque
assuré que ce sont les mâles. Ils filent aussi bien que les fe-
melles et se tiennent, comme plusieurs d’entre elles, sous un
treillis de soie.
Les œufs pondus par les psoques à ailes unies sont d’abord
d’un blanc de lait, puis ils deviennent d’un gris lilas et réflé-
chissent les couleurs les plus vives lorsqu'ils sont au grand
jour : de l’azur d’abord, puis des teintes de pourpre et d'or.
Ceux des psoques à ailes tachetées ne deviennent pas d’un
gris lilas; ils passent directement au jaune et réfléchissent
des couleurs d’or et de bronze. Quelques-uns des œufs que les
mouches fileuses avaient pondu dans mes bocaux ne se dé-
veloppèrent point ; ils étaient sans doute inféconds. Je ne ferais
pas mention de ce fait s'il ne m'avait pas donné l’occasion de
remarquer que la forme de ces œufs était assez différente de
celle des œufs ordinaires; ils étaient amincis à l’une de leurs
extrémités, tandis que les œufs féconds sont toujours cylin-
driques et arrondis aux deux bouts.
46 HISTOIRE
Il ne m'aurait pas été possible d'observer aussi bien les pro-
grès des œufs féconds si je m'en fusse tenu à les regarder au
grand jour et au travers du verre sur lequel les psoques avaient
pondu et filé; car la transparence des germes permettait à
peine de distinguer quelque nuance dans l'intérieur de œuf,
et l'affluence des rayons lumineux qui les traversait nuisait à
la netteté des objets. Mais, en regardant contre le jour les
feuilles de chène et de tilleul les plus minces sur lesquelles
se trouvaient de ces œufs, je pouvais distinguer exactement la
forme des embryons qu'ils renfermaient et observer leurs pro-
grès.
Les embryons paraissaient noirs, tandis que la partie de la
coquille qui était vide était transparente. La plupart des em-
bryons acquièrent une forme très-déterminée, celle d’une bou-
teille à col court et évasé; mais, ce qui me parut également
constant, c'est que les psoques pondent leurs œufs dans deux
sens opposés. Lorsqu'il y en a deux rangs, ce qui arrive pres-
que toujours, les supérieurs ont la tête en bas, les inférieurs
la tête en haut, ou plutôt, les têtes sont tournées à l'intérieur
dans les deux rangées.
Lorsqu'il y a trois rangées, les deux extérieures sont en sens
contraire, et toujours les têtes tournées en dedans du groupe.
Ces embryons restèrent un temps assez considérable sous
cette forme, à laquelle ils parviennent en moins de quinze
jours. Je ne pus saisir les dernières transitions de ces embryons
à l’état de larve.
Les insectes qui sortent de ces œufs sont, aux ailes près,
et avec des proportions différentes, très-ressemblants à leur
DES PSOQUES. 47
mère; ils sont d’une extrême petitesse, mais ils sont déjà pour-
vus de tous les organes de la manducation, leurs antennes sont
un peu plus courtes, le corps et la tête ne paraissent d’abord
faire qu'un, puis ils se développent.
On n’aperçoit aucun vestige d’ailes dans les premiers temps:
après une mutation de peau, nos petits insectes, qui se nour-
rissent exactement, comme leurs mères, des uredos et autres
moisissures, commencent à pousser des ailes; on les voit poin-
dre aux deux côtés du corselet, elles augmentent progressi-
vement; enfin, linsecte ayant acquis la grandeur qu'il doit
atteindre, change encore de peau, et ses ailes se développent
comme celles des libellules.
L'état de nymphe n’est ici qu'une transition insensible qui
n'arrête aucune des facultés de l'instinct pour la vie animale.
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CONSIDÉRATIONS
GÉOLOGIQUES
SUR LE MONT SALEVE
ET
SUR LES TERRAINS DES ENVIRONS DE GENÈVE
Par Alphonse Favre.
(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, en Mars 4843.)
—s1©@0———
CHAPITRE PREMIER.
AUTEURS QUI ONT PARLÉ DU MONT SALÈVE.
L'histoire des travaux qui ont été publiés sur la géologie
du mont Salève ne présente qu'un intérêt de localité, cepen-
dant il me semble qu'il y a de l'importance à en faire une
courte énumération, car c’est une maniere de retracer les pro-
grès de la science et de faire connaître les renseignements qui
m'ont été fournis pour mon travail.
I
TOM. X, 1'€ PARTIE.
50 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Peu d'auteurs ont fait du mont Salève une étude spéciale.
Quelques-uns l'ont mentionné dans des travaux qui avaient
pour but la description géologique des terrains analogues à
ceux de cette montagne.
M. de Saussure, en 1719, est le premier qui ait parlé du
mont Salève, il lui consacre tout le chapitre septième de ses
Voyages dans les Alpes. Il donne une excellente description
de la constitution physique et de la configuration générale de
cette montagne. Il en décrit les rochers et mentionne légère-
ment les noms de quelques fossiles qu'il dit être très-nom-
breux. M. De Luc, le cadet, a publié dans le célèbre ouvrage
de de Saussure la description de deux coquilles fossiles qui
l'avaient frappé par leur forme bizarre, par leur grandeur et
par leur nouveauté (1).
M. De Luc, le cadet, en 1799, lut à la Société de Physique
et d'Histoire naturelle de Genève un mémoire dans lequel il
donne la description de quelques nérinées, et il réfute l'opi-
nion avancée par de Saussure sur l’origine des cavités et des
sillons presque horizontaux, qui sont tracés sur la face verti-
cale du mont Salève. M. de Saussure les croit produits par
un grand courant. M. De Luc cherche à prouver qu'ils sont
dus à l’action de la pluie, des gelées et peut-être aussi à une
action qui eut lieu lors du soulèvement de la montagne (©).
Ce mémoire fut publié dans le Journal de Physique, et le
même auteur continue l'examen de cette question dans les
(1} Voy. mes observations sur les Diceras.
2) Journal de Physique, tome VI, Brumaire, an 8.
SUR LE MONT SALÈVE. 51
cahiers suivants du même journal (*). Dans le dernier de ces
mémoires, il cherche à prouver que la gorge de Monetier n’a
point été creusée par un courant. Enfin M. De Luc publia,
dans l'an 11, une addition à son mémoire sur une vis pétri-
fiée (Nérinée) (2).
En 1818, M. J.-A. De Luc donna un petit écrit sur la for-
mation de la vallée de Monetier (), dont nous dirons quel-
ques mots plus tard.
On est frappé en lisant ces mémoires, qui datent de la fin du
siècle dernier et du commencement du 19%e siècle, de la parfaite
exactitude qui y règne, mais en même temps du grand dévelop-
pement qui est donné à quelques faits qui maintenant nous
paraissent avoir fort peu d'importance, comme la description
des cavernes et des grottes, tandis que nulle part il n’est traité
de l’âge de la formation du terrain qui constitue le sol de cette
montagne. Dans ces travaux, on ne cherche point non plus à
établir de correspondance entre les couches du Salève et celles
des montagnes avoisinantes. Les géologues de notre époque
au contraire négligent les petits détails qu'ils regardent comme
des accidents qui se répètent plus ou moins dans chaque
montagne. Ils concentrent toutes leurs forces et toutes leurs
études pour résoudre la question de l’âge des terrains, ei
pour arriver à leur but, ils laissent de côté les caractères phy-
(1) Journal de Physique, tome LI, Vendémiaire, an 9, et tome LIT, Ger-
minal, an 9.
(2) Journal de Physique, tome LV, Brumaire, an 41.
(5) Naturwissenschaftlicher Anzeiger, n° 6.
52 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
siques sur lesquels on insistait anciennement, et ils attachent
la plus haute importance aux fossiles que les De Luc et les
de Saussure négligeaient.
Tous les grands géologues de l'époque de de Saussure
étaient en effet forcés de ne faire aucun usage des fossiles,
personne ne les avait encore étudiés d’une manière suflisam-
ment exacte, la paléontologie entière et toutes ses belles con-
séquences étaient complétement inconnues; cependant on
voit, d’après les soins minutieux que M. De Luc mettait à
décrire les coquilles, qu'il y attachait une grande impor-
tance, et de Saussure, ne pouvant embrasser toutes les bran-
ches de la science à laquelle il a donné tant de relief, avait
cependant compris tout le parti que l’on pouvait tirer de l'é-
tude des corps organisés qui se trouvent dans la terre. En
effet. on lit dans son Agenda, chapitre XVII de ses Voyages :
T° Constater s'il y a des coquillages fossiles qui se trouvent
dans les montagnes les plus anciennes, et non dans celles d'une
formation plus récente, et classer ainsi, s'il est possible, les
âges relatifs et les époques de l'apparition des différentes espèces.
C’est pour satisfaire à cette question que, depuis le com-
mencement de notre siècle, tant de géologues et de paléon-
tologistes travaillent, car, pour répondre à de Saussure, il
faudrait faire l'histoire complète des terrains de sédiments,
qui ne sera entièrement connue que lorsque la paléontologie
aura fait de nouveaux progrès.
Les autres questions qui se trouvent dans le même chapitre
de cet Agenda confirment ce que j'ai dit sur l'importance que
de Saussure attachait aux fossiles.
SUR LE MONT SALÈVE. 23
En 1829, M. Elie de Beaumont, dans le mémoire où il
parle le premier de la formation néocomienne qui alors n'avait
pas encore reçu ce nom, rapporte les couches du Salève au
greensand ('). M. Boué dit que l'on voit au Salève le calcaire
jurassique et le système crelacé (*).
M. Huot cite au Salève la craie blanche à la hauteur de
1007 (3).
M. Thurmann, après avoir examiné les fossiles qui se trou-
vent dans la collection de M. De Luc, comprit que la partie
inférieure du Salève devait être rapportée au terrain Juras-
sique et la partie supérieure au terrain néocomien qui, à ce
qu'il croyait, devait être en quelques endroits recouvert par le
grès vert (*).
Le renseignement le plus exact qui, jusqu'à ce jour ait été
publié sur la montagne du Salève a été la coupe que M. Ar-
nold Escher, de la Linth, a donné dans le Bulletin de la So-
ciété Géologique de France, XII, 276. Cette coupe est fort
exacte pour le peu de temps que ce géologue a consacré à
parcourir cette montagne; cependant il y a quelques légères
inexactitudes et fort peu de détails.
M. d'Orbigny dit que la première zône de Rudistes paraît
former la partie supérieure du mont Salève (°).
) Cours élémentaire de Géologie, tome IL, p. 74.
4) Bulletin de la Société Géologique de France, 1858, tome, IX, p. 455.
(5) Idem, tome XI, p. 153 et tome XI, p. 406.
54 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Telle est l'énumération complète de tous les renseignements
vrais et faux que J'ai pu avoir sur la géologie de la montagne
dont j'entreprends la description.
CHAPITRE IL
CONFIGURATION DU MONT SALÈVE.
Le point du mont Salève le plus rapproché de Genève se
trouve à environ une lieue au SE. de cette ville. La direction
de cette montagne, prise sur la carte de Raimond, est à peu
près du N. 29% E. au S. 29° O. Sa longueur, prise d'Etrem-
bières à son extrémité méridionale, est d’un peu plus de 7
lieues (de 25 au degré). Cette chaïne se divise en quatre par-
ties, séparées les unes des autres par des petites vallées plus
ou moins profondes. Ces quatre parties sont connues, en com-
mençant par la plus au Nord, sous les noms de Petit-Salève,
de Grand-Salève, de chaine des Pilons, et la quatrième, qui
s'étend jusqu'au Fier, est située au delà de la rivière des
Usses.
Salève forme une île au milieu de l'extrémité méridionale
de la plaine Suisse, qui, dans les environs de Genève, est
considérablement rétrécie, mais qui cependant se reconnaît
aussi bien par la configuration du pays que par la nature du
sol. En effet, le calcaire secondaire du Salève est de toutes
parts entouré par des dépôts tertiaires qui se relèvent contre
SUR LE MONT SALÈVE. 55
lui. Géographiquement on le regarde comme étant le premier
chaînon des Alpes, mais géologiquement il devrait être rangé
dans la chaîne du Jura; car par la nature des terrains qui le
composent, ainsi que par sa structure, il se rapproche beau-
coup plus de la dernière de ces chaînes de montagnes que de
la premiere.
Nous empruntons à l'Hypsométrie des environs de Genève
de M. de Candolle (!) les tableaux des hauteurs des différents
points du Salève :
Mètresau-dessus du niveau de la mer.
Le sommet du Petit-Salève.............. DRE PTE 896,80
MODE TERRES CRAUR AR O AE CR AA AE gd Lou or 721,59
Pas de l’échelle, le commencement de la montée .... 614,2
La Grange des!arbres........ 020 RAA LE 1175,24
PrGanserlonniéns-eLereertr eh cent ut # 1285,95
Re Gran de PI ONE ARMOR ete TRS nus” 1574,52
Te On RP RU ne NT RE 1582,89
Cuseile on Grozelle EE RE ER CS: se A 785,46
Le village de Veyrier, qui est placé au pied du chemin du
Pas de l'échelle, et qui peut être regardé comme étant à peu
près au niveau moyen de la plaine, est élevé de 429m, au-
dessus de la mer.
Pour donner un aperçu de la structure du mont Salève, je
ne crois pas pouvoir mieux faire que de reproduire quelques
lignes de de Saussure, dans lesquelles il s'exprime avec sa
clarté ordinaire. « Les bancs de pierre calcaire, dont tout le
(4) Mémoires de la Société de Physique et d’Hist. nat. de Genève, tome VIII.
56 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
LC
2
à
2
2
2
2
=
A
2
=
2
2
LC]
&
ET]
corps du mont Salève est composé, dit-il $ 234, ont une in-
clinaison commune et générale du côté des Alpes vers les-
quelles ils descendent. Cette montagne, qui ne présente à
la vallée du lac de Genève que les tranches escarpées de ses
couches, offre à la vallée des Bornes, et aux Alpes situées
au delà de cette vallée, une pente douce et presqu'uniforme,
mais qui devient cependant plus rapide vers le bas.
« Dans quelques endroits, et même presque partout, les
couches descendent tout droit du haut de la montagne jus-
ques à son pied; mais, au-dessus de Collonges, le sommet,
arrondi en dos d'âne, présente des couches qui descendent
de part et d'autre au sud-est vers les Alpes et au nord-ouest
vers notre vallée; avec cette différence, que celles qui des-
cendent vers les Alpes parviennent jusqu’au bas; au lieu
que celles qui nous regardent sont coupées à pic, à une
grande hauteur.
« Ces deux inclinaisons ne sont pas les seules que l’on ob-
serve dans les bancs du mont Salève, ils en ont encore une
troisième; ils sont relevés vers le milieu de la longueur de
la montagne. et descendent de là vers ses extrémités. Cette
pente, qui sur le Grand-Salève n’est pas bien sensible, de-
vient très-remarquable au Petit-Salève, et même très-rapide
à son extrémité. Les dernières couches au nord, au-dessus
d'Etrembières, descendent vers le nord-nord-est sous un
angle de 40 à 50 degrés. »
Ces dernières couches, dont parle de Saussure, sont le ré-
sultat d’une faille ou d’une rupture qui eut lieu probablement
au moment du soulèvement de la montagne, ce qui fait que
SUR LE MONT SALÈVE. 97
les couches du Petit-Salève au lieu de continuer à avoir la
même inclinaison jusqu’à l'extrémité de la montagne. plongent
subitement sous la molasse, qui elle-même est recouverte par
le diluvium.
Les couches du Salève s'étendent à peu près horizontale-
ment depuis la Petite-Gorge (Grand-Salève), jusqu’au Piton;
du premier de ces endroits elles s’abaissent du côté du nord-
est jusqu'à Etrembières, comme le dit de Saussure, et depuis
les Pitons jusqu'au pont de la Caille, où la cluse des Usses
permet de voir qu’elles forment une voûte complète. Au delà
de cette rivière et dans la portion du mont Salève qui en est
voisine, les couches ont encore la forme de voûte, tandis que
plus au midi la montagne présente une façade verticale sem-
blable à celle du Grand-Salève du côté de Genève. Cette por-
tion de la montagne, comprise entre les Usses et le Fier, est
beaucoup moins élevée que celle des environs de Genève, et
elle est divisée en quatre parties par trois cluses, qui la tra-
versent dans sa largeur.
Rarement on voit une chaîne de montagne se terminer aussi
nettement et d’une manière aussi tranchée que la chaîne du
mont Salève du côté du nord. Elle présente à un changement
de structure qui se retrouve souvent aux extrémités des mon-
tagnes, c'est que l'inclinaison des couches n’est plus perpen-
diculaire à leur direction générale et à celle de la montagne.
À mesure que l'on se rapproche de son extrémité. on voit que
peu à peu la ligne d’inclinaison ne fait plus avec la ligne de
direction de la montagne un angle droit, l'angle diminue, et
enfin, ces deux lignes peuvent être contenues dans un même
TOM. X, "© PARTIE. 8
58 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
plan vertical; c’est ce que de Saussure signale, en disant que
les couches descendent vers le nord-nord-est.
De Saussure observait qu'une partie des couches de la por-
tion supérieure du Grand-Salève plonge du côté de notre val-
lée. Ce fait ne se voit nullement au Petit-Salève, mais il de-
vient frappant dans la partie méridionale de la chaîne des
Pitons, en se rapprochant du pont de la Caille, où les couches
présentent la forme d’une voûte.
Il nous semble qu'il est fort difficile de motiver comment
le vallon de Monetier a été formé. On a fait plusieurs hypo-
thèses. M. J.-A. De Luc les expose et les combat dans un
mémoire que nous avons déjà cité. 1° La première consiste
à croire qu'il y a eu rupture dans les couches de la montagne
lors de son soulèvement, et que, pour ainsi dire. elle a été
cassée (!).
20 On a supposé que les couches du Petit-Salève ont glissé
les unes sur les autres, et ce sont éloignées de celles du Grand-
Salève.
3° De Saussure croyait que ce vallon devait son origine
à un courant descendant des Alpes par la vallée de l'Arve.
4 M. De Luc, lui-même, suppose que cette petite vallée
est le résultat d’un affaissement. Il nous semble que de toutes
ces hypothèses la moins improbable doit se rapprocher de la
première, et que l'on peut attribuer l'origine de ce vallon à
une rupture plus ou moins grande; peut-être n’était-ce qu'une
(1) De Luc, Geological travels, tome IF, $ 154.
SUR LE MONT SALÈVE. 29
fissure formée lors du soulèvement de la montagne, qui a été
considérablement agrandie par le‘temps et surtout par l’agent
qui a transporté les blocs erratiques.
La cause de la formation de la Croisette est je crois tout
autre. Cette petite vallée paraît avoir été formée par un
affaissement du sol, ou peut-être, parce que le soulèvement
n’a pas été aussi fort dans cet endroit que dans les autres. Ce
qui me le fait croire, c'est que les couches qui forment le
Grand-Salève plongent du côté du hameau de la Croisette, et
que les couches qui sont placées au sud de ce groupe de mai-
sons indiquent qu'il y a eu dislocation dans ce terrain, car
elles plongent au N.-N.-0. avec une inclinaison de 15 à 20 de-
grés.
Les couches qui forment le mont Salève ont une grande
régularité sans être horizontales sur toute leur étendue, et on
peut dire d’une manière générale, que, sauf quelques excep-
tions, elles sont parallèles entre elles. Ceci se voit clairement
sur la face de la montagne tournée du côté de Genève. On
peut y suivre de l'œil le parallélisme de ces grands banes,
soit entre eux, soit avec la crête de la montagne. Ici, comme
partout ailleurs, le terrain marneux forme des talus, tandis
que les calcaires forment des escarpements.
« Outre ces grandes couches, dit de Saussure ($ 235), qui
« constituent le corps de la montagne, et qui peuvent en gé-
« néral être mises dans la classe des couches horizontales, on
« en trouve d’autres dont l'inclinaison est absolument diffé-
« rente. Elles sont situées au bas du Grand-Salève, du côté
« qui regarde notre vallée; on les voit appliquées contre les
60 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
« tranches inférieures des bancs horizontaux; et elles sont
«elles-mêmes perpendiculaires à l’horizon, ou tres-inclinées
« en appui contre la montagne. » Et plus loin, le même auteur
dit encore : « Ces couches s'élèvent en quelques endroits, par
«exemple, entre Veiry et Crevin, à peu près à la moitié de
« la hauteur du Grand-Salève. Celles qui touchent immédia-
« tement la montagne, sont les plus inclinées; on en voit là
« de verticales et même quelquefois de renversées en sens
« contraire qui sont soutenues par les plus extérieures. »
Ces couches n'existent pas contre la façade du Petit-Salève,
mais on les trouve appuyées contre le Grand-Salève et contre
la chaîne des Pitons.
C’est en vain que je les ai parcourues pour chercher quel-
que caractère qui püt déterminer d’une manière positive l’âge
auquel on doit les rapporter, je n’ai pu y trouver aucun fos-
sile. Ce manque de débris organiques, ainsi que certaines con-
sidérations géologiques, me fait croire qu'elles doivent être
rapportées à la couche inférieure de la formation néocomienne.
En plusieurs endroits ces couches manquent, et on voit qu’en
s’écroulant elles ont formé des monticules qui sont au pied
du Salève, car là où ces monticules existent, on ne voit point
de couches contre la montagne, et là où ces couches sont en-
core en place, les monticules n'existent pas.
Ces espèces de demi-entonnoires qui s'ouvrent à la partie
supérieure et dans la face verticale du Grand-Salève sont con-
nus sous le nom de gorges. Chacune de ces gorges a reçu des
paysans un nom patois; les principales, en commençant par la
plus rapprochée de Monetier, sont la Carrière, où se trouve une
SUR LE MONT SALÈVE. 61
excellente source, l’Ortis ou Petite-Gorge, la Grande-Gorge,
le Petit-Sarrot, le Grand-Sarrot, la combe de la Warappe,
Palavet, Evorse et le Grand-Altena. Ces gorges sont le résul-
tat d’éboulements qui se sont faits peu à peu, elles ont, dans
des dimensions beaucoup plus grandes, à peu près la même
forme que les érosions qui sillonnent les falaises placées sur
les bords de l'Arve et du Rhône dans notre Canton et qui se
forment journellement.
Ces gorges facilitent beaucoup l'étude de la structure du
mont Salève, en permettant de parcourir la face de la mon-
tagne du côté de notre vallée. Elles ont mis au jour la dis-
cordance de stratification du terrain néocomien avec le ter-
rain jurassique, fait important auquel nous reviendrons plus
tard. En se formant elles ont aussi découvert les localités
les plus riches en fossiles que l’on ait trouvé dans cette mon-
tagne, c’est-à-dire la partie nord de la Petite-Gorge, le centre
de la Grande-Gorge et le centre de la Warappe.
CHAPITRE IL
TERRAINS DU MONT SALÈVE.
Je décrirai les couches et les terrains qui forment la mon-
tagne du Salève, en commençant par les inférieurs et finis-
sant par les supérieurs. Cet ordre est le plus logique, puis-
que, dans la description de l'écorce du globe et dans son
62 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
histoire, on procède ainsi de l’ancien au moderne. Comme
les couches qui forment la partie supérieure de la montagne,
ressemblent à celles de la partie inférieure, il s'en suit qu'en
observant seulement la base et le sommet. on pourrait croire
que la montagne entière est formée d'une seule roche. Mais
un examen plus attentif dénote de grandes différences dans
les caractères zoologiques, ainsi que dans les caractères mi-
néralogiques de ces couches, et démontre que, pour leur âge,
elles correspondent exactement à certains terrains néocomiens
bien connus et bien étudiés du midi de la France, c'est-à-
dire à la première zone de Rudistes de M. d'Orbigny, qui est
ici superposée à des couches semblables à celles du néocomien
de Neuchâtel, tandis que les couches inférieures doivent être
rapportées au coral rag.
Les fossiles de la formation jurassique du mont Salève étant
moins abondants que ceux de la formation néocomienne, je n'ai
pas pu apporter à la détermination de chaque subdivision de
la première la même exactitude que pour celles de la seconde.
L'ensemble de toutes ces couches forme la masse de la mon-
tagne, mais à sa surface se trouvent quelques dépôts dont
nous parlerons aussi. Ce sont les amas sidérolithiques et les
roches éparses du terrain erratique. Autour du mont Salève,
dans la plaine, les terrains tertiaires et diluviens s'étendent
au loin. Nous diviserons donc la partie de ce travail qui traite
des terrains, en cinq chapitres, et le tableau suivant peut
donner une idée de leurs subdivisions, ainsi que de celles des
formations que nous venons de mentionner.
SUR LE MONT SALÈVE. 63
FORMATIONS, ÉTAGES. GROUPES. ASSISES.
B. Époque actuelle.
De transport PAME :
%. Époque din’ 2) Diluvien cataclystique.
vienne . >
1) Alluvion ancienne.
C. Grès marin (manque).
3) supérieure.
{ 3)
Tertiaire B. Molasse d’eau 2 né
ou douce RTC Re
1)
Molassique. PR
inférieure.
2) Molasse rouge.
\ A. Molasse rouge
1) Poudingue.
Sidérolithique.
2) supérieure (manque).
B. Supérieure b. Calcaire à Pteroceras Pelagi.
1) 1'° zone de
\ Rudistes ) a. Première zone de Rudistes pro-
prement dite.
Néocomienne HSE : :
e. Calcaire jaune à grains verts.
d. Calcaire marneux à grains verts.
\EA-HINIETIENTE 2221-02-20. c. Calcaire jaune.
b. Calcaire marneux.
a. Calcaire roux.
( c. Supérieur.
2) Portlandien 4 b. Moyen.
| a. Inférieur.
open 2) supérieure.
b.Oolite corallienne
(1) inférieure.
Jurassique 1) Corallien
2) supérieur.
b. Calcaire corallien
1) inférieur.
Moyenne (manque).
64 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
CHAPITRE IV.
FORMATION JURASSIQUE.
La formation jurassique est très-développée au Salève, elle
constitue la plus grande partie de la montagne, elle contient
en général peu de fossiles, ils sont mal conservés, aussi sa
détermination, comme nous l'avons déjà dit, ne présente-t-elle
pas la même exactitude que celle des terrains dont nous par-
lerons plus tard. Si on parvient à découvrir de nouveaux dé-
bris organiques ou à identifier ceux que je mentionne avec des
fossiles des localités déjà étudiées, peut-être arrivera-t-on à
une détermination et à une classification plus rigoureuse que
celle que je propose ici.
Cette formation doit être divisée en deux groupes, le groupe
corallien et le groupe portlandien. Le premier se divisera en
deux assises. Quant au second, qui comprend toute la partie
supérieure de la formation jurassique du Salève, il sera divisé
en trois assises. Le manque de caractères bien évidents de ce
terrain me fait adopter cette classification. Quoique la partie
inférieure de ce groupe soit un peu plus marneuse que la partie
supérieure, Je n'ai Jusqu'à présent aucune raison positive de
la regarder comme étant de l’âge des marnes kimméridiennes.
Par conséquent, je le nomme groupe portlandien, plutôt pour
indiquer qu'il occupe la partie supérieure de la formation ju-
rassique, que pour désigner d'une manière positive qu'il est
l'équivalent du Portlandstone des Anglais. Le mont Salève n’est
SUR LE MONT SALÈVE. 65
point la seule localité où la classification et la distinction des
différents groupes Jurassiques soient difficiles à faire, car au-
cun des géologues qui se sont occupés de la description du
Jura n’a réussi à tracer une limite exacte entre le groupe port-
landien et le kimméridien. Ainsi, M. Gressli (*) ne regarde les
marnes kimméridiennes que comme étant, pour ainsi dire,
une variété de l’un des facies de l'étage jurassique supérieur.
Ces difficultés dans la classification des terrains jurassiques
supérieurs proviennent sans doute de ce que, dans nos envi-
rons ainsi que dans toute la chaîne du Jura, ces terrains, étant
presque tous entièrement calcaires, ont une composition beau-
coup plus uniforme que dans les pays où on a réussi à les
distinguer. De plus, au mont Salève, il y a des assises en-
tières où Je n’ai trouvé aucun fossile.
C’est surtout dans la gorge de Monetier que je me suis
appliqué à cette étude. Cette localité est d'autant plus favo-
rable que les couches du Grand et du Petit-Salève se corres-
pondent exactement. et que J'ai pu examiner sur la pente de
l'une de ces montagnes les couches qui étaient masquées sur
l'autre.
Le groupe corallien étant difficile à distinguer du groupe
portlandien, comme dans la plupart des localités de la Suisse,
où ces deux terrains existent, il nous semble que le premier
de ces groupes doit être réuni au second pour former l'étage
(1) Observations géologiques sur le Jura soleurois par A. Gressli, publiées
dans les tomes II, IV et V des nouveaux Mémoires de la Société helvétique des
Sciences naturelles.
TOM. X, 1'° PARTIE. 9
66 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
jurassique supérieur comme l'a établi le savant géologue que
nous venons de citer. C’est en admettant cette division de la
formation jurassique, que nous croyons que la plus ancienne
roche du Salève appartient à l'étage jurassique supérieur.
Ainsi Salève doit être rapporté au premier ordre de soulève-
ment de M. Thurmann (!), mais modifié, puisqu'il est recou-
vert par le terrain néocomien.
4. GROUPE CORALLIEN.
Calcaire d’aspet variable, en général blanc, jaunâtre, tou-
jours de couleur claire, marno-compacte. — Le calcaire blanc
est cassant, presque fragile, cassure subconchoïdale, esquil-
leuse, oolitique, les grains sont de la grosseur d’une noix,
au maximum, et diminuent jusqu’à être presque microscopi-
ques, ils donnent à la roche un aspect crayeux.
Ce calcaire contient une assez grande quantité de fossiles
qui ne sont bien conservés que dans les calcaires oolitiques,
ce sont des nérinées, des térébratules, des pectens, etc.; le
fossile le plus remarquable est le diceras lucii (Defrance), que
l’on trouve en grande abondance.
Les polypiers sonttrès-fréquents, mais ils sont à l’état cal-
caire et peu distincts. On peut diviser le groupe corallien de
Salève en deux assises qui diffèrent l’une de l'autre par les
caractères minéralogiques et par les débris organiques qu’elles
(1) Essai sur les soulèvements jurassiques. Mémoires de la Société d'Histoire
naturelle de Strasbourg,
SUR LE MONT SALÈVE. 67
contiennent; à la partie inférieure se trouve le calcaire coral-
lien, et à la partie supérieure l’oolite corallienne.
a) Calcaire corallien. On peut encore distinguer dans cette
assise deux divisions. L’inférieure est formée d'un calcaire
blanc pur qui présente différents aspects : 1° aspect compacte
avec de petites lamelles cristallines, spathiques et d’autres
formées par des piquants d’oursins qui se distinguent à peime
de la roche. Cassure franche, esquilleuse, inégale, cohésion
plus forte que celle du portlandien, couleur blanche, tirant
quelquefois sur le jaunâtre, sans éclat; 2° aspect saccaroïde
.qui rappelle le marbre statuaire, calcaire blanc, structure la-
mellaire, cassure inégale, rude au toucher; 3° aspect tenant
le milieu entre les deux précédents; la roche n'est alors ni
compacte ni saccaroïde, mais plutôt terreuse ou crayeuse ;
40 calcaire oolitique, la pâte et les oolites sont formées de cal-
caire compacte; cette roche, quoique oolitique, ne présente
pas le même aspect que l’oolite corallienne. Elle contient des
cavités remplies de cristaux de chaux carbonatée.
La division supérieure se rapproche beaucoup par ses ca-
ractères minéralogiques du calcaire portlandien. Elle est en
général formée de roches blanchâtres, jaunâtres, grisâtres,
à aspect variable. Les calcaires blanchâtres offrent à peu pres
les mêmes caractères que la variété n° 1 de la division infé-
rieure. Les autres variétés ont des cassures conchoïdes lisses
ou inégales et sont plus ou moins marneuses. En général,
elles ont peu de cohésion. Dans certaines couches marno-com-
pactes les lamelles spathiques abondent et donnent un aspect
68 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
particulier à la roche, quelquefois elle est oolitique, mais les
oolites sont si compactes que lorsqu'on détache des éclats de
cette roche elles se brisent au lieu de se désagréger. Plusieurs
variétés de calcaire existent dans cette assise, elles forment
différentes couches superposées les unes-aux autres. Je crois
inutile d'en donner une coupe détaillée.
Les fossiles qui caractérisent l'ensemble du calcaire coral-
lien sont des polypiers. Ils sont tous à l’état calcaire et très-
abondants, surtout dans l’assise inférieure, mais peu visibles;
cependant, lorsqu'on examine attentivement la roche ou à l'œil
nu ou avec une loupe, on voit qu'elle en est presque entiè-
rement formée. et on serait tenté de croire que l’assise infé-
rieure n’est qu'un immense récif de corail.
Les autres fossiles qui, à ma connaissance, ont été trouvés
dans cette assise, sont les suivants, parmi lesquels on remar-
que des térébratules plissées, des térébratules lisses et quel-
ques oursins.
Polypiers très-nombreux mais peu déterminables.
Lithodendron plicatum ? Goldf. pl. 43., 5. (!)
Lobophyllia.
Astrea sexradiata P Goldf. pl. 24, 5.
Un moule d’Echinoderme pouvant se rapporter aux genres acrocidaris , hemici-
daris, cidaris ou diadema.
Nucleolites oviformis, De Luc, spec. nov. voisine du N. lacunosus Ag.
Terebratula perovalis, Sow. 436, individu vieux. De Buch, Mém. de la Soc. géol.
de France, pl. 20.
Terebratula. Trois espèces de la classe des T. concinnæ alatæ.
(4) C’est à l’obligeance de M. Michelin, auteur de l’Iconographie <oophytologique,
que je dois la détermination de tous les polypiers que je cite dans ce mémoire.
SUR LE MONT SALÈVE. 69
Trichites.
Pecten. Deux espèces, l’une à l’état de moule extérieur, l’autre à l’état de moule
intérieur; ce dernier a quelques rapports avec le moule du P. æqui-
valvis ? Sow.., et il est identique autant que les caractères permettent de
les comparer avec un moule de P. du portlandien facies corallien de la
vallée de la Birse (Jura bernois).
Pecten semblable à un P. du corallien oolitique de Zwingen , canton de Soleure.
— voisin du P. fibrosus, Sow., mais il s’en distingue parce que les côtes sont
marquées longitudinalement de six raies.
— d’autres espèces indéterminables.
La division inférieure forme les escarpements au-dessus du
Pas-del'Echelle jusqu’au haut de ce chemin; là on voit très-
bien l'immense quantité de polypiers que cette assise ren-
ferme. La division supérieure s'étend depuis là jusqu’au con-
tact de l’oolite corallienne, près de l'Hermitage.
b) Oolite coralienne. Je donnerais à cette assise le nom de
calcaire à diceras, si je ne craignais de compliquer encore la
synonymie des terrains jurassiques et cretacés, car le diceras
est ici le fossile le plus abondant et le plus caractérisé. Cepen-
dant, comme cette couche forme en France un bon horizon
géologique, elle peut être nommée sans inconvénient calcaire
jurassique à diceras.
On peut distinguer dans cette assise :
1° La couche inférieure; elle est formée d'oolites très-fines,
presque microscopiques, ce qui donne à la roche un aspect
crayeux. Elle est tenace, très-sonore. à cassure terreuse, rude
au toucher, se délite en plaques d’un blanc grisâtre, contient
des rognons plus ou moins gros formés par des polypiers dont
l'aspect est compacte et dont on ne peut discerner la struc-
10 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
ture que lorsqu'ils sont polis. M. De Luc en possède une très-
belle collection (1); cette roche contient des géodes de chaux
carbonatée cristallisée.
2° La couche supérieure est formée d’oolites plus ou moins
grosses, nombreuses, aglutinées par un ciment calcaire ooli-
tique. Les grosses oolites ont souvent au centre un fragment
de fossiles; d’autres sont formées uniquement par le calcaire
compacte ou oolitique de la couche précédente. L'air a une
grande action sur cette roche qui se délite en fragments plus
ou moins rectangulaires.
L’assise de l’oolite corallienne renferme une assez grande
quantité de débris organiques difficiles à détacher, dont voici
l'énumération :
Astrea De Luci, Defr., Dict. des Sc. nat., T. 42, 586.
— sexradiata. Goldf., pl. 24, 5.
— cristata. Goldf., pl. 22.
— genevensis. Defr., Dict. des Sc. nat., T. 42, 587.
— Sp. nov., remarquable par ses 48 lamelles, dont six plus grandes que les
autres.
— gracilis. Goldf.. pl. 38.
— Sp. nov. caractérisée, si c’est bien une astrée, par l'irrégularité des étoiles.
— Sp. nov. se distingue par 20 lamelles, dont 10 grandes et 10 petites.
— rosacea. Goldf., pl. 22.
Agaricia granulata. Goldf., pl. 38.
Carophyllia. Sp. nov.
Lobophyllia. Sp. nov. Elle paraît lisse extérieurement et se compose de lamelles
alternativement grandes et petites, assez rapprochées.
(4) Quoique le polissage fasse ressortir les caractères de ces polypiers, il n’en
est pas moins vrai qu'il les altère aussi et qu'il empêche que la détermination ne
soit faite avec une très-grande certitude.
SUR LE MONT SALÈVE. 71
Lobophyllia. Sp. nov.
Chaetites.
Lithodendron plicatum. Goldf., pl. 15, 5.
Apiocrinites.
Pygurus ?
Piquants d’oursins en calcaire spathique.
Terebratula perovalis. Sow., 436, De Buch, pl. 20., individus jeunes.
—— biplicata. Sow., 90. De Buch, pl. 20, jeunes individus.
— Cinq espèces de la classe des T. concinnæ alatæ.
Ostrea ?
Plagiostoma. Sp. nov. très-voisine du PI. cardüformis. Gressli.
Pecten voisin du P. corallinus. Gressli.
— Sp. nov.
Avicula ?
Lima. Sp. nov.
Trichites Saussuri, Voltz, Pinnigene De Luci, de Saussure, voyages dans les Alpes,
T. I., pl. 2.
Trigonia. Sp. nov. indéterminable.
Mytilus.
Catillus ?
Diceras lucü. Defr. (1)
Diceras ? Fossile voisin de ce genre ou des caprines , figuré dans le Journal de
_ Physique, germinal , an 9, p. 524. La figure est renversée.
Isocardia dicerata. D'Orb., Mém. du Muséum, VIE, pl. 1, f. 1, 5.
Pterocardia Ag. Genre inédit, sp. nov.; c’est le cardium alatum De Luc. Ce même
fossile caractérise l’oolite corallienne du Mont-Terrible (Jura bernois).
Astarte? espèce voisine de l'orbicularis.
Natica. Moule intérieur.
Nérinea sequana. Thirria, dét. par M. Voltz.
— figurée dans le Journal de Physique, T. LV, brumaire, an 11.
— d’autres nouvelles espèces.
— bruntruttana ? Thurm.
(1) Voyez mes observations sur les Diceras.
72 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Trochus ou Pleurotomaria.
Buccin ? Moule intérieur, 2 esp.
Volutes ?
Crépidule ou pileopsis ?
Strombus (moule intérieur).
Pteroceras Ponti. Brong.
Belemnites (indéterminable).
L'oolite corallienne peut être étudiée dans les carrières qui
entourent le village de Monetier, où elle est exploitée pour
faire de la chaux.
2. GROUPE PORTLANDIEN.
Ce groupe, avons-nous dit, se divise en trois assises.
a) Assise inférieure. Au-dessus de l'oolite corallienne se
trouve en général le calcaire à nérinées et le calcaire à astartes;
mais ces assises ne peuvent pas toujours se distinguer même
dans les localités qui sont en général riches en fossiles; sou-
vent lun ou l’autre manque complétement. M. Gressli dit
(page 111), en parlant de l’oolite corallienne et du calcaire à
nérinées que ces divisions « ne paraissent souvent même n'être
«que des modifications d’une même assise. Le calcaire à as-
«tarte manque entièrement dans les chaines soleuroises. »
Au Salève, on trouve un calcaire compris entre l’oolite co-
rallienne et l’assise moyenne du groupe portlandien; mais,
quelques efforts que j'aie fait, je n’ai pu y découvrir aucune
trace de débris organiques; en sorte que le manque de carac-
tères me fait provisoirement comprendre cette assise dans le
groupe portlandien dont elle se rapproche par les caractères
SUR LE MONT SALÈVE. 3
néralogiques. Ce calcaire est grisâtre, jaunâtre, roussâtre ; un
peu marneux ou peu oolitique, rude, à cassure grenue. Il con-
tient des parties bleuâtres qui sont très-marquées. Cette as-
sise se voit très-bien près du chemin qui conduit de Monetier
au Grand-Salève, ainsi que sur le flanc du Petit-Salève au-
dessus de Monetier. Au-dessus de l’'Hermitage il contient deux
couches de calcaire marneux.
b) Assise moyenne. Calcaire marneux bleuâtre, grisâtre
, ,
roussâtre, peu dur, cassure inégale et raboteuse, assez tenace,
se désagrégeant si facilement à l'air qu'il ne peut fournir des
échantillons. Il contient assez de fossiles, mais à l'état de
moules, et en général très-mal conservés; ce sont les suivants:
9 ;
Nerinea gosæ ? Lethea geognostica XXI, 11.
— suprajurensis ? Leth. geogn. XXI, 12.
Nucules ? moules.
Cardium? id.
Pholadomia très-allongée.
Pteroceras oceani ? Brong., Ann. des Mines, VI, pl. 7.
Nerita ? Euspira ?
Pteroceras ponti. Brong., Ann. des Mines, VI, pl. 7. Lethea geogn., XXL, 6.
Plusieurs moules peu déterminables qui cependant paraissent appartenir aux genres
buccin, strombe et turbo.
Les localités où cette assise peut être le mieux étudiée sont
les secondes voutes du Petit-Salève, appelées Balme du
Démon, ainsi les pentes du Grand et du Petit-Salève, au-
dessus de Monetier.
c) Assise supérieure. Elle est formée d’un calcaire jaunâtre
TOM. X, 1'° PARTIE. 10
74 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
plus compacte et moins marneux que certaines couches supé-
rieures du calcaire corallien dont j'ai déjà signalé la ressem-
blance avec cette assise. Cassure à arêtes vives, très-esquil-
leux, à grains spathiques, jaunâtre à l'intérieur, bleu-grisâtre
à l'extérieur. Ce dernier caractère, quoique peu rigoureux, est
cependant fort utile; car il permet, lorsqu'on en a une certaine
habitude, de distinguer de loin cette assise de la formation
néocomienne, et ainsi il facilite souvent les recherches.
Dans sa partie inférieure il devient plus marneux et passe
à l’assise moyenne; cependant, dans plusieurs localités, lon
parvient à distinguer ces deux assises l'une de l’autre, surtout
d’après la manière différente dont les agents atmosphériques
corrodent la surface de ces deux roches.
La couche supérieure de cette assise est formée de calcaire
assez pur, et que l'on pourrait confondre avec le calcaire de
la première zone de Rudistes ou avec le corallien supérieur.
Sa cassure est conchoïdale, esquilleuse; la résistance au choc
du marteau est faible, ce qui le fait aisément distinguer du
calcaire néocomien.
Les fossiles y sont peu nombreux, ce sont les suivants :
Pycnodus Dent. Sp. nov., Ag. Ce fossile ayant été trouvé dans des déblais, il est
douteux qu’il appartienne à cette assise.
Plusieurs grands fossiles du genre natica ? (!)
Hemifusus ? Il est douteux que ce fossile appartienne à ce terrain.
Natica. Indéterminables.
(4) Un de ces fossiles est très-grand; il a environ 9 pouces de diamètre et
8 pouces de hauteur.
SUR LE MONT SALÈVE. 75
Natica, voisine de la N. hugardiana, d'Orb.
Euspira, Ag.
Les localités où l'on peut examiner cette assise sont les
pentes de la montagne au-dessus de Monetier. La grande cou-
che presque horizontale, qui s'étend depuis le tournant du
chemin qui monte au Grand-Salève jusque du côté d’Essert,
appartient à cette assise.
CHAPITRE V.
FORMATION NÉOCOMIENNE.
La partie supérieure du mont Salève est formée par les
roches qui appartiennent au terrain crétacé inférieur, c'est-à-
dire par le terrain néocomien. et, comme nous l'avons déjà dit
P > ELo J 9
la couche la plus récente se rapporte à la première zone de
Rudistes que M. d'Orbigny ©) regarde comme étant la partie
inférieure du terrain néocomien supérieur.
A. Etage néocomien inférieur.
Le néocomien mférieur présente ici comme ailleurs des
couches variées qui, quoique distinctes, offrent des passages
(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome VIE, p. 155, ettome XI,
p. 406.
76 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
les unes aux autres ("). Les principales de ces couches sont,
en commençant par la partie supérieure :
e) Calcaire jaune à grains verts.
d) Calcaire marneux à grains verts.
c) Calcaire Jaune.
b) Calcaire marneux.
a) Calcaire roux.
Nous allons donner quelques détails sur chacune de ces
couches.
a) La couche la plus inférieure du néocomien ou calcaire
roux est formée par un calcaire marneux gris-bleuâtre; lorsqu'il
est altéré par l'humidité il devient presque toujours roussâtre,
ce qui lui a fait donner son nom (*) et le distingue du port-
landien dont la couleur extérieure est bleuâtre. Dans sa cas-
sure il a un aspect cristallin, oolitique tres-fin qui le fait
ressembler à un grès; d’autres fois on voit dans la cassure
des lamelles miroitantes intercalées avec des petits nids de
matières ferrugineuses et des fragments de coquilles.
Sa tenacité et sa résistance au choc du marteau est beau-
coup plus grande que celle du portlandien.
(1) Dans le lit du Seyon, près de Neuchâtel, ces passages et ces alternances se
voient tres-bien.
(2) D'après sa position géologique, il paraît être l'équivalent du terrain supra-
jurassique de M. Cornuel , Mémoire de la Société Géologique de France, tome IV,
p- 260. Je le place avec le néocomien inférieur, contrairement à M. Cornuel,
p- 267, parce qu’au Salève il est en stratification discordante avec le terrain juras-
sique, comme je le dirai plus tard.
SUR LE MONT SALÈVE. 71
Les fossiles y sont peu nombreux et très-mal conservés. Ce
sont des fragments d’encrines, d'huîtres, des tiges de végé-
taux.
Les localités où le calcaire roux se voit le mieux sont dans
les pentes au-dessus de Monctier et dans la Grande-Gorge.
Cette couche est semblable à celle que lon voit près du pont
de Valengin, canton de Neuchâtel, sur la rive gauche du
Seyon, où elle repose en stratification concordante sur les
couches portlandiennes. Elle se retrouve aussi dans le lit de
cette petite rivière près de Neuchâtel.
Les couches qui nous restent à décrire sont formées de
calcaires marneux et de calcaires jaunes, dont les lits se suc-
cèdent en alternant, et l'on peut dire, en général, que les
premiers sont abondants dans le bas, tandis que les seconds
ont plus de développement dans la partie supérieure. L’Ho-
laster complanatus (spatangus retusus) en est le fossile le
plus caractéristique.
b) Le calcaire marneux est tenace, dur, bleuâtre foncé.
Cassure bien conchoïde, aspect concretionné en grand, sur-
tout dans sa partie supérieure; les couches paraissent quel-
quefois formées d’une multitude de rognons placés à côté les
uns des autres et qui se sont mutuellement aplatis; cette action
est poussée quelquefois si loin qu'il semble que ce sont des
rondelles verticales placées les unes à côté des autres (Petit-
Salève au-dessus de l'Hermitage, Petite et Grande-Gorge).
Un fait très-remarquable, c'est que cette couche renferme
18 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
souvent des petites géodes remplies de cristaux de quarz hya-
lin prismé, les cavités qui se trouvent à l’intérieur de certains
fossiles en sont quelquefois tapissées (nautile dans la collec-
tion de M. De Luc et dans ma collection). Quelquefois ces fos-
siles sont remplis par des cristaux de calcaire. Quoique je n'ai
Jamais vu de fort gros cristaux dans cette roche, il est possible
cependant qu'elle ait fourni certains cristaux de quarz qui ont
été trouvés au Salève, et que l'on croyait être des débris erra-
tiques. L'épaisseur des strates de cette couche varie de six
pouces à un pied. Les petites couches sont souvent coupées
perpendiculairement au plan de stratification par des fissures
remplies de cristaux de chaux carbonatée.
Dans les roches placées dans le chemin qui conduit de
Monetier au sommet du Grand-Salève et près du hameau de
Grange-Marin, j'ai trouvé des petites myes en place formant
des nids semblables à ceux que M. Gressli a décrit dans le
portlandien de la vallée de la Birse (Observat. sur le Jura
soleurois, pl. 10, f. TRE
c) La couche supérieure à celle dont nous venons de parler
est un calcaire jaune, compacte, lamellaire, esquilleux, aspect
dolomitique, cristallin, rude au toucher, terreux, contenant
des petits morceaux de silex, et quelquefois des espèces de
rognons formés de particules siliceuses, sableuses, ferrugi-
neuses, friables, faisant en général saillie à la surface de la
roche ("). La couche qui contient un si grand nombre de fos-
(1) En examinant ces petites masses siliceuses au microscope, j'ai vu qu'elles ne
contenaient pas d’infusoires.
SUR LE MONT SALÈVE. 79
siles et surtout d’huîtres dans la partie supérieure de la Petite-
Gorge, appartient à ce calcaire ; la, il est souvent coloré en
rougeûtre et contient des parties argilo-ferrugineuses.
d) Calcaire marneux à grains verts. Ces grains le distinguent
du calcaire marneux précédent auquel, d’ailleurs, il est iden-
tique. Les fossiles y sont assez nombreux; quelquefois ils sont
bien conservés, d’autres fois on a beaucoup de peine à les sé-
parer de la roche. Ces grains verts sont probablement de la
glauconie, qui est répandue dans les terrains crétacés infé-
rieurs de tant de contrées éloignées les unes des autres. M. Du-
bois les cite dans le Caucase (*); je les aï retrouvés à l'extré-
mité méridionale de la Sicile dans le voisinage des hippurites
du cap Passaro. Ils indiquent un état bien singulier dans les
mers de cette époque.
e) Calcaire jaune à grains verts. Ce calcaire est en général
compacte ou lamellaire. Les grains verts y sont quelquefois
gros et abondants, d’autres fois il faut une loupe pour les dis-
tinguer, ailleurs ils manquent complétement. Ils ne sont donc
pas un caractère bien constant. C’est au sommet de la Grande-
Gorge que ce calcaire présente la plus grande abondance de
ces grains; la roche paraît là un véritable grès vert, tandis
que dans la chaîne des Pitons, ces grains sont beaucoup moins
abondants.
Au lieu dit Échelle de Jacob, dans la Petite Gorge, ce cal-
(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome VII, p. 575.
80 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
caire est coloré en rougeâtre., en bleu, en vert. Il contient
des fossiles, mais en petite quantité. On le voit encore au-
dessous du pont de la Caille.
Les fossiles, comme nous l'avons dit et comme on peut le
voir par le tableau suivant, sont abondants dans ces couches.
Elles correspondent exactement pour l’âge de leur formation
aux marnes néocomiennes et aux calcaires Jaunes du canton
de Neuchâtel (!), caractérisés par l'Holaster complanatus Ag.
et l'Ammonites radiatus (Bruguière) fossiles qui ont fourni
un horizon géologique si étendu.
Toutes les couches néocomiennes s’observent facilement
sur les pentes des deux Salèves, au-dessus de Monetier. La
coupe entière de cette formation peut aussi être étudiée dans
les différentes Gorges; mais il faut remarquer que les cou-
ches y ont souvent une puissance beaucoup moins grande,
que celle qu’elles atteignent dans d'autres localités, car les
Gorges ayant été ouvertes à peu près sur la ligne où s’est fait
le plus grand effort dans le soulèvement du Salève, les ter-
rains y sont comprimés et irrégulièrement contournés. Au
contact des terrains néocomiens et jurassiques, les roches de-
viennent plus ferrugineuses, même quelques fissures sont
remplies d'argile ochreuse.
Les éboulements ont mis à découvert des surfaces de frot-
tement qui se trouvaient dans l'intérieur de la roche telles
qu'on en observe souvent dans les calcaires, seulement au lieu
d’être recouvertes comme à l'ordinaire par des plaques de spath
(1) Les marnes se retrouvent à Romainmotier (canton de Vaud).
SUR LE MONT SALÈVE. 81
calcaire cristallisé, elles sont recouvertes par des plaques de
fer hydroxidé qui portent de petites stries. Jai fait cette obser-
vation dans un couloir où s’entassent des pierres près de RÉ
chelle de Jacob et que probablement peu de personnes ont vi-
sité. Ces petites plaques sont si difficiles à détacher que J'ai
préféré les laisser en place plutôt que de risquer de les dé-
truire en voulant en faire des échantillons.
Au delà du hameau de la Croisette, le calcaire marneux
forme une espèce de petite combe horizontale dans sa lon-
gueur, qui s'étend au-dessous des Pitons et au-dessus des
escarpements jurassiques; on la reconnaît à sa végéta-
tion, elle est couverte de pâturages, tandis que les calcaires
qui sont placés au-dessus et au-dessous sont recouverts par
des bois.
Plus loin le calcaire marneux se retrouve avec ses fossiles
caractéristiques au fond de la cluse au-dessus de laquelle est
bâti le pont de la Caille. Je ne connais point de localité plus
au Sud dans le mont Salève où cette couche se montre
à découvert, pas même là où cette chaîne est coupée par la
route de Silingy à Annecy, et où la montagne appelée Man-
dal offre un assez bel escarpement.
Dans le tableau suivant, qui présente l'ensemble de tous les
fossiles qui ont été trouvés dans les couches néocomiennes du
Salève, nous avons eu soin d'indiquer , autant que cela nous à
été possible, la couche à laquelle chaque fossile appartient.
TOM. X, 1'° PARTIE. 11
82 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Fossiles de l'étage inférieur de la formation néoeomienne.
OUVRAGES
où
se trouve la figure.
NOM DU FOSSILE.
ECTEVISS CR EC PRE EE
Carcharias productus. Ag. ..|..............|..
HATMNA-SPADOVS- cr Isere irEeen Re
Bélemnites dilatatus. Blain. . |Pal. Fr. d'Orb. pl.
II et IE, f. 1-5. A | SA Néocomien, d'Orbigny
— subfusiformis. d'Orb. .. |id. pl. IV ...... I SIÈE sde id.
— semicanaliculatus? Blain/id. pl. V....... dt Craie tufau ? id.
Nautilus. Pseudo-elegans.d'Orb. IIS Néoc. inferieur d’Orb.
— neocomiensis. d'Orb. ..|id. pl. XI...... ..|..[..[ Pictet. | id. moyen id.
id. inférieur id.
Ammonites radiatus. Brug.…. |i
id.
— Asterianus. d'Orb.....li
— Leopoldinus. d'Orb….. fi
— clypeiformis. d'Orb.... li
— Ixion. d'Orb......... id. pl. LVI.....
Crioceras Duvalii. d'Orb....|i Calle . [Néocomien inférieur.
Pleurofomata td OrD ele cree... lee Plus. espèces indét.
Cirrus Bourgueti. Inédit. ...|.............. aile Marnenéocomiennede
Neuchâtel.
. [Voisin du C. depressus.
. [Plusieurs espèces.
Montmollin. Marne
néocom.de Neuchit.
Agassiz. Etudes
critiques, pl. 1|..|..
Inédit.
Plusieurs espèces.
Moules semblables à
ceux des Marnes de
Neuchätel.
Identiq. avec celle des
Marnes de Neuchit.
Esp. indéterminable.
Cul ER ARENA
Grassitella ss. IR Mer Ar er +
(1) Ces lettres représentent les différentes couches énumérées précédemment, les + indiquent la couche
dans laquelle le fossile se trouve. Les fossiles des calcaires marneux b et d ont été quelquefois confondus.
(2) Ag. placé dans la septième colonne indique que c’est à M. le professeur Agassiz que je suis redevable
de la détermination du fossile.
(5) J'ai marqué ainsi + les fossiles que j'ai déterminé moi-même.
SUR LE MONT SALÈVE. 83
OUVRAGES
NOM DU FOSSILE. où
se trouve la figure,
Crassatella. Sp. nov. ....../..............
Trigonia sulcata. Ag....... Et. critiq. Agas. Marne néocomienne
pl. 8 et 11 de Neuchâtel.
— caudata. Ag. ........ IP TE Sr de oi let id.
SR NOV Le see nulles see MIE . [Voisine de la spinosa.
Ag. Et. crit. pl. 7.
ET Sp NOV er eee treuil
Neithea(t) Drouet "222 ---m-2.ec.e T
Péctens es. er dns HA et he Nes. + [Voisin du P.{rachnoi-
— Intextus ? Brong...... Env.deParis,V,10|+|..|.. Se des Defr. Brong. II,
— Beaveri? moule...... Sow. pl. 158 ... T 8, et du P. irtextus.
— voisin du P. Obscurus. .lid. pl. 205 ..... + Brong. V, 10, entre
— plus.esp.indét.etnouv.|.............. les côtes on ne peut
PIAMOS OMAN ACER) CREER RIAAIEE + pas distinguer les
Astarte M EEE Sales telles les lE Se petites stries.
Exogyra sinuata, var. élon- Mém. de la Société
gata. Leym ....... Géol. deFr. V.|+|..|.. + |Néocomiendel’Aube.
— subsinuata, var. falci-
Jformis. Leym ...... LE LE HO EN EN Less + id.
— subsinuata. Leym.....lid. .....,..... JF id.
UAH Tee eee Goldf. 83,3.Bron-
gniart, IX, 11. +
— ou Gryphea......... sIhiéoë: soncasde .....|Sp. nov. très-grande,
avec de grands or-
bicules siliceux (?).
CSA Re AL 4 rl sl Très-voisinede l’O. ca-
rinata,maiss’en dis-
tingue parce que les
—M'autres'espèces . .....|.....:..,...,.].. dentelures du bord
TE léodéacoe eee eee OOo Ce sont plus profondes.
Terebratula depressa. Sow..|Sow. 502. Buch, Marnenéocomienne de
XVI, 6 (*).. Neuchitel.
— biplicata.Sow........ Sow. 90. Buch, p. Sept variétés de T. à
DCE CHIEN deux plis.
— biplicata acuta....... Buch, p. 220 ... Abe
— — linflata? ..... Goo 00 000pnIlne
— rostrata ? SOw........ Sow. 537, Buch, Ne diffère que par le
XVe de nombre de ses plis
qui est 43.
(1) Avec des orbicules siliceux. Cette espèce étant jeune est munie de trois côtes intermédiaires aux six
côtes principales. Elle se distingue alors du P. quadricostatus en ce que la côte du milieu est la plus grosse des
trois côles intermédiaires. Dans sa vieillesse on trouve cinq côtes intermédiaires, celle du milieu est toujours
plus grosse que les autres. Quelques échantillons ont le test calcaire et sont identiques à ceux des Marnes
néocomiennes de Neuchâtel.
(2) La grandeur des orbicules dépend de l’âge et de la grandeur de l'animal. J'ai observé ce fait sur les
Gryphées et sur les Neithea.
(3) Mémoires de la Société Géologique de France, tome Ill.
84
CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
OUVRAGES
NOM DU FOSSILE. où
se trouve la figure.
— octoplicata?.........
Bivalves
Diadema Bourgueti. Ag... ..
Cat. desEchin. vi-
GISEMENT.
DÉ-
PAR
CITATIONS
TERMINÉ| D'AUTRES LOCALITÉS
ET OBSERVATIONS,
Voisine de laT. depres-|
sa. SOw. |
Dela division deT.con-
cinnæ alatæ.
. [6 var. de T. lisses.
Indéterminables.
Moule interieur.
. [Indéterminables.
vants et fossiles|-L|..|..|..
Holaster complanatus. Ag..|Echin. Suis. Ag.
— l'Hardy. Ag. ........ 1
Pyrina voisin du P.pygea.Ag.|Galérites, pl. V(?)|+|..|.-|..
Nucleolites subquadratus...|Ag. Echin. Suis.
— Olfersi
kits
Catopygus a/pinus. Ag. . ...|Echin. Suis. pl. 8|+|..|..|..
Echinus
Serpula
Ag.
quan lg |
-. -|Michel. |Goldf. n’en cite que de
Cnemidiam Goldf "A CrI0P22CRCCR Ce +
Lithodendron® #21 ...-01": #7" 2POERCRAIBr | al. . id.
Spongiate ee err- der le-o-becreee elec et le l-cléce...
ASIA Eee -e-ee--c---l-rcce-et pre -clee lc l:- | IRC
Tipes de VéBe AUX PL =etar le EEE Cire +|..|..+
-| De Luc |[Sihceusesurunehuiître
Marnenéocomiennede |
Neuchätel (!). |
Marne néoc. de Neuch.
La'/,del’échant.est
est calcaire, l’autre |
1/2 siliceuse. |
Calc. jaune de Neuchät.
id.
Marne néoc. de Neuch.
Calcaire du mont Sa-
lève. Ag.
Néocomien deDouanne
Très-voisin duP.Mont-
mollini. Ag. |
|
# 0 |
Marne néoc. et calcaire |
jaune de Neuchâtel.
Deux nouvelles espèc.
Deux espèces.
ter. jurassique.
Dans le calcaire roux
du mont Salève.
Deux esp. siliceuses.
Deux esp. Un échant.
estpercé de trous de
coquilles perforantes
|
(4) L'Holaster complanatus Ag. offre de nombreuses variétés. On trouve des types de variation, ce qui
pourrait peut-être permeltre d'établir de nouvelles espèces.
(2) Agassiz, monographie des Echinodernes vivants et fossiles.
SUR LE MONT SALÈVE. 85
Si on jette un coup d'œil sur les caractères que nous avons
assignés aux couches qui forment l'étage néocomien inférieur
et si on examine la proportion des fossiles qu'elles contien-
nent, on verra que les Nautiles et les Ammonites sont les ani-
maux qui, par leur grandeur et leur abondance, forment le ca-
ractère dominant de cette faune. Ces couches sont donc péla-
giennes, mais peut-être pourrait-on conclure de la présence
des huîtres et de quelques autres animaux que la mer où
elles se formaient, n'était pont très-profonde. On sait
que plus au Nord dans le canton de Neuchâtel, des cou-
ches de même espèce présentent les caractères très-pronon-
cés d’un dépôt littoral, et que plus au Nord encore, elles
manquent complétement. Leur limite septentrionale est
placée près Bienne; c'est là un des points du rivage de
la mer qui déposa le terrain néocomien inférieur, mer
qui pendant si longtemps a été ignorée et qui cepen-
dant contenait tant d'animaux intéressants. IL est d'autant
plus curieux d’avoir pu établir exactement cette limite que
nous verrons plus tard qu'une couche, qui a également été
déposée par une mer néocomienne, a une circonscription diffé-
rente.
B. Etage néocomien supérieur.
Nous ne connaissons au Salève que le groupe inférieur de
cet étage, c'est-à-dire la première zone de Rudistes.
86 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
4. PREMIÈRE ZONE DE RUDISTES.
Syn. Calcaire à dicerates de M. Elie de Beaumont.
Calcaire à Hippurites de M. Studer (!).
a) Première zone de Rudistes proprement dite. M. d'Or-
bigny a nommé ainsi (*) un système de couches très-carac-
térisé, qui sépare l'étage néocomien supérieur du néocomien
inférieur. Au Salève ce système repose sur le calcaire à
grains verts qui forme la couche supérieure du néocomien
inférieur. C'est en général un calcaire très-blanc, très com-
pacte, mais peu tenace, esquilleux avec beaucoup de lamelles
spathiques qui pour la plupart sont des tests d'animaux. Il a
beaucoup de rapport avec le calcaire corallien du bas du Sa-
lève.
Il est quelquefois si compacte qu'il est impossible d'en déta-
cher aucun fossile excepté dans une couche que je nommerai
couche à Térébratules et qui est placée dans la partie supé-
rieure de la même zone.
Les fossiles les plus caractéristiques de la zone de Rudistes
sont les Radiolites et ceux que jusqu'à présent on a confondu
(1) Le calcaire à hippurites des Alpes, Mémoires de la Société Géologique de
France, tome IT, p. 389, n’est autre chose que la première zone de Rudistes,
puisque l'hippurites Blumenbachä de M. Studer est le même fossile que le radiolites
néocomiensis d'Orbigny.
(2) Bulletin de la Société Géologique de France , tome XILL, p. 155.
SUR LE MONT SALÈVE. 87
sous le nom de Diceras(!). Lorsque la roche est très-com-
pacte, l’on ne peut suivre dans son intérieur les traces des fossi-
les qui paraissent à l'extérieur. L’abondance des corps organisés
varie beaucoup dans cet étage; quelques couches n’en con-
tiennent aucune trace, tandis que d’autres en présentent un si
grand nombre qu'ils se touchent tous; ainsi en descendant
aux bains de la Caille on voit deux ou trois couches placées à
quelques pieds les unes des autres , dans lesquelles les fossiles
se trouvent par milliers, tandis que dans l'intervalle on n’en
trouve aucun débris. Il suffit d’avoir vu une fois les assises qui
contiennent un si grand nombre de ces fossiles pour ne les
confondre avec aucune autre couche.
Les fossiles de ce terrain sont pour la plupart nouveaux et
non décrits. Ce sont: Plusieurs espèces que l’on rapporte
vulgairement au genre Diceras, mais qui doivent en être sé-
parées; des Radiolites néocomiensis, d'Orb.; des Térébratules ;
des natices ou des Euspires de M. Agassiz, genre séparé
des natices (Voy. Sowerby, édit. de Neuchâtel, page 14) (°).
(1) Voyez le Rapport sur le Mémoire de M. Itier. Comptes rendus de l'Aca-
démie des Sciences, 22 août 1842.
(2) Les débris organisés que M. d'Orbigny indique comme étant les fossiles ca-
ractéristiques de cette zone sont les suivants :
Nerinea gigantea d'Hombres Firmas.
Pteroceras beaumontianus.
Radiolites néocomiensis d'Orb.
Caprotina ammonia d’Orb. (chama.ammonia Goldf.).
— Lonsdalii d'Orb. (diceras Lonsdalii Fitton).
— _tribolata d'Orb.
— lamellosa d’Orb.
88 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
La couche à Térébratules, qui fait partie du terrain qui
nous occupe, offre un facies particulier, complétement diffé-
rent de tout ce dont nous avons parlé et que je n’ai trouvé
que dans une seule localité à l'extrémité du vallon de Monetier
au lieu appelé le Mont, au-dessus du village d'Essert où elle
est exploitée pour faire de la chaux.
Cette couche qui est placée dans l'intérieur et dans la par-
tie supérieure de cette zone de Rudistes, est formée en géné-
ral par un calcaire blanc, rarement jaunâtre ou grisâtre,
quelquefois crayeux, cristallin ou oolitique, les oolites ne
parviennent guère à la grosseur d’un pois; elles sont con-
fluentes, mêlées avec de petits morceaux de calcaire les uns
roulés, les autres anguleux, et de nombreux débris d'êtres or-
ganisés. Il présente à un haut degré l'aspect d’une roche for-
mée par charriage. Le ciment qui enveloppe tous ces petits
corps est cristallin et contient des lamelles spathiques. On y
trouve des nids de plusieurs pieds de diamètre de spath
calcaire bacillaire en amas rayonnant du centre à la circon-
férence (carrière d’Essert et sur le chemin qui conduit de
Mornex au sommet du Petit-Salève). Les débris de fossiles
sont abondants dans cette couche, leur test est spathique,
mais sauf des Térébratules de plusieurs espèces, qui seules
sont bien conservées et tres-abondantes, les autres fossiles
sont très-altérés; on y reconnaît cependant de nombreux dé-
bris de coraux, des piquants d'oursins et quelques bivalves
lisses.
Je n'ai vu nulle part ailleurs que sur le Mont cette
couche avec les caractères qu'elle présente dans cette locali-
SUR LE MONT SALÈVE. 89
té (1). La grande abondance des Térébratules, jointe au facies
de charriage qui forme le caractère le plus saillant de cette
roche, pourrait peut-être indiquer que lorsqu'elle s’est déposée
il existait un courant à une grande profondeur sous les eaux.
Les fossiles sont:
Caprotina ammonia ? d'Orb.
Ecrevisse.
Trigonia. Sp. nov. voisine de la T. scabra Lam. Ag., pl. 10.
Nerinea.
Salenia scutigera. Gray. Ag., Salenies, pl. 2. Le mauvais état de l’échantillon
laisse quelques doutes.
Cidaris. Sp. nov., piquants voisins du C. pyrifera Ag., Echinod. suisses, XXI.
— Sp. nov., piquants voisins du C. filograna. Ag. Echinod. suisses, XXXI, 4.
Pecten. Sp. nov. ? voisin du P. serratus. Leth. geog., XXX, 18.
— dE
Tragos patella ? Goldf.
Astrea varians ? Michelin, Iconographie, V, 8.
Plusieurs espèces de polypiers.
Terebratula plicatilis ? Sow., 118, De Buch, XV, 24.
— Cinq espèces de la division des térébratules à deux plis. Quelques-unes
se rapprochent des térébratules des marnes néocomiennes.
— Une espèce de la division des T. concinnæ alatæ, se rapprochant assez de
là T. plicatilis, mais ayant des plis plus forts. Echantillons déformés.
— voisine de la T. depressa. Sow., pl. 502. f. 2. Elle s’en distingue cepen-
dant, parce que la valve ventrale est plus relevée vers le front que vers
le milieu. Cette espèce appartient donc à la division des T. concinnæ
alatæ, tandis que la T. depressa appartient aux pugnacæ. L’angle des
arètes cardinales est variable ainsi que l'épaisseur de la coquille.
(1) C’est ici que l’on peut voir les grands effets des pluies sur les roches
calcaires; elles sont creusées en profonds sillons qui, d’une manière générale
ont les directions de la plus grande pente.
TOM. X, Î'° PARTIE. 12
90 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
La place que j'assigne à la couche à térébratules résulte
d'observations faites au-dessus du village d'Essert sur le ver-
sant oriental du Grand-Salève.
Le calcaire à térébratules faisant partie de la première zone
de Rudistes. Je ne les distinguerai point dans les détails sui-
vants.
Le terrain caractérisé par les Rudistes occupe tout le revers
du Salève du côté des Alpes; en quelques endroits il s'étend
jusqu'à la crête de la montagne. Il est surtout développé dans
la partie méridionale de la chaîne. A l'extrémité du Salève,
du côté d'Etrembières, près du trou nommé Tanabara il est
parfois un peu altéré, il offre alors des teintes rougeûtres, fer-
rugineuses, il n’a plus la même apparence et contient des par-
ticules siliceuses, on y trouve d’assez jolis cristaux de chaux
fluatée, incolore et jaunâtre qui présentent les formes cubi-
que, triépointée, bordée.
En supposant que dans l’eau qui déposait cette roche cal-
caire, il se dégageat de l'acide fluo-silicique, tous les éléments
nécessaires pour la formation du fluorure de calcium et des
particules siliceuses contenues dans la roche se trouvaient en
présence.
Cette première zone de Rudistes est très-développée dans
les environs de Cruseille, où elle forme toutes les petites
collines situées au nord-est de ce village, les couches sont diri-
gées parallèlement au Salève et se relèvent contre cette mon-
tagne. À dix minutes au-dessus de Cruseille, dans une roche
désagrégée par le contact d’une mine de fer d’origine side-
rolithique, j'ai trouvé des fossiles ressemblant à de petites di-
ceras (?).
SUR LE MONT SALÈVE. 91
La cluse de la Caille présente une coupe qui facilite l'étude
du terrain qui nous occupe ; dans les roches qui bordent le
sentier par lequel on descend aux bains, on reconnaît les traces
des fossiles caractéristiques de cette assise. Tout le prolonge-
ment du Salève sur la rive gauche de la rivière des Usses est
formé par ce terrain qui atteint là une épaisseur plus grande
qu'à l'extrémité septentrionale de la montagne. Ces couches,
tout en disparaissant pendant quelques temps sous la forma-
tion tertiaire, vont rejoindre celles des montagnes des environs
de Chambéry et de la Grande-Chartreuse.
Ces mêmes couches se trouvent aux environs d'Annecy, et
forment une grande partie des montagnes placées sur les deux
rives du lac. Dans la carrière du Paradis à Annecy, j'ai trouvé
une petite caprotina? des euspires et une térébratule voisine
de la T. plicatilis.
Ce même terrain se trouve aussi à la base du Jura du côté
de la plaine suisse. On le voit au pied septentrional du Voua-
che; il forme les rochers escarpés de la perte du Rhône (°), sur
lesquels repose le calcaire à Pteroceras pelagi (dont nous par-
lerons plus tard); puis, en remontant, on trouve la couche à
(4) M. Brongniart croyait que ces roches appartenaient à la formation jurassique
(Description des environs de Paris, ossements fossiles par Cuvier, 1822, tome II,
p. 527). Il dit que jamais on n’y a trouvé de corps organisés. J’y ai cependant
trouvé une térébratule et M. Gressli y a recueilli des fossiles semblables à des pa-
telles et à des arches. J'avais vu dans cette localité que le calcaire de la zone de
Rudistes servait de base aux couches du grès vert. M. Itier vient de publier un
Mémoire dans lequel ce fait est consigné (Comptes rendus des séances de l’Aca-
démie des Sciences du 22 août 1842).
92 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
orbitolites et celles du grès vert. Cette localité démontre d’une
manière évidente que le calcaire de la zone de Rudistes se
trouve placé au-dessous du grès vert, tandis que M. Studer le
place au-dessus, dans son aperçu général de la structure géo-
logique des Alpes (1).
Comme Je l'ai dit, le calcaire à hippurites des Alpes doit
être rapporté à la première zone de Rudistes qui devient dès
ce moment un horizon des plus importants pour l'étude géo-
logique des terrains alpins. En outre des localités que J'ai ci-
tées, ce terrain a été reconnu dans les Alpes de la Savoie, aux
environs d’Aix-les-Bains; près de la mine d'Entreverne sur la
rive gauche du lac d'Annecy; dans les montagnes voisines des
monts Vergi, sur la rive gauche de l'Arve ; entre Vallon et Sixt;
et, dans les Alpes suisses, entre les lacs de Thun et de Lu-
cerne; dans le canton d'Uri et dans l'Appenzell, au Sentis et
à l'Altmann.
On exploite ces couches dans le pays de Gex, entre autres
aux villages de Thoiry et d’Allemogne; elles fournissent de
belles pierres de constructions et de jolis marbres. J'y ai re-
cueilli beaucoup de radiolites néocomiensis, des térébratules
plicatilis ? des moules de gastéropodes et des dents de pyc-
nodus.
(1) Bibliothèque Universelle de Genève, mars 1842. En 1859 M. Studer plaçait
ces couches dans leur véritable ordre de superposition, Mémoire de la Société
Géologique de France, tome IL, p. 585. M. Ewald et Beyrich en 1859 doutaient
de la position du calcaire à hippurites, Bulletin de la Société Géologique de France,
tome X, p. 524.
SUR LE MONT SALÈVE. 93
Jai vu aux musées de Lausanne et de Neuchâtel des di-
ceras ? (caprotina ?) trouvées au Mormont dans le canton de
Vaud, qui indiquent que ces couches existent au pied du Jura
dans cette localité.
Cette première zone de Rudistes n’est pas connue dans le
canton de Neuchâtel, quoique le néocomien inférieur y soit
fort développé. J'ai recherché le point intermédiaire entre Sa-
lève et Neuchâtel, où ce dépôt finissait, et je l'ai trouvé au
bord du lac de Neuchâtel à deux ou trois cents pas au nord
de la Raisse, petit hameau voisin de Concise, dans la partie
septentrionale du canton de Vaud. Là, ces roches contiennent
des radiolites et beaucoup de ces fossiles qui, je pense, sont
des caprotines aux yeux de M. d'Orbigny. Cette localité est un
des points remarquables du rivage de l'ancienne mer qui dé-
posa la première zone de Rudistes, puisqu'on peut ici la com-
parer avec le rivage de la mer qui forma le néocomien inférieur,
et que l’on trouve, ainsi que nous l'avons dit, environ onze
lieues plus au Nord, près de la ville de Bienne.
En récapitulant les faits que nous avons énoncés, nous
pourrons arriver à une conclusion qui nous semble fort pro-
bable et qui n’est pas sans intérêt.
1° Le rivage de la mer du néocomien inférieur se trouve à
Bienne. Plus au Nord, sur le même méridien, ce terrain n’a
jamais existé.
90 Le rivage de la mer de la première zone de Rudistes se
trouve à la Raisse (environ 460,50 latitude nord), à onze lieues
au sud de Bienne. Il paraît que jamais on n'a trouvé cette
9% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
couche plus au Nord que le 48e degré de latitude et encore
fort à l'Est des points qui nous occupent (1).
3° Ces deux terrains ont peu de puissance dans les cantons
de Vaud et de Neuchâtel; et, comme plus on avance vers le
Sud, plus ils augmentent d'épaisseur, on est en droit de con-
clure que la mer qui les déposait avait probablement une plus
grande profondeur dans le Midi que dans le Nord, et que cer-
tainement elle a séjourné moins longtemps et par conséquent
à laissé des dépôts moins épais dans le Nord que dans le Midi.
Si nous cherchons quelle peut être la cause du changement
qui s'est opéré dans le lit de la mer à cette époque, nous la
trouverons naturellement dans un soulèvement lent, que l'on
peut désigner sous le nom de soulèvement continental pour
le distinguer des soulèvements de montagnes. Il aurait émergé
moins lentement les dépôts faits dans le Nord de la mer que
ceux faits dans le Midi. Il suflit pour cela que le sol ne fût pas
horizontal, mais qu'il fût incliné du Nord au Midi, et qu'il s'é-
levât sans qu'il y eût de changement dans le niveau relatif
des différents points, ou que le soulèvement fût plus grand
dans le Nord que dans le Midi. Il est assez probable que des
recherches faites dans toute l'étendue de la chaîne du Jura, dé-
montreraient que ce soulèvement continental avait déjà com-
mencé dans la période pendant laquelle se déposèrent les
terrains Jurassiques supérieurs ; Car ces terrains ont une
(1) Au Sentis et à Reichenall en Bavière, non loin de Salzbourg, Mémoire de
la Société Géologique de France, tome III, p. 502.
SUR LE MONT SALÈVE. 95
épaisseur moins grande dans le nord de la Suisse que dans le
midi.
On a des preuves évidentes que des soulèvements de ce
genre ont existé et agissent même encore dans l'époque ac-
tuelle. C’est avec leur aide que l’on doit expliquer, dans cer-
tains pays épargnés par des soulèvements de montagnes, la
distribution des terrains de sédiments, lorsqu'ils sont disposés
de manière que chaque terrain est placé en retrait sur celui
qui lui est est inférieur.
La coupe des terrains figurée dans le Traité de Géognosie
de M. d’Aubuisson de Voisin, tome IL, pl. 1, f. 1 (2me édition
par Amédée Burat). peut facilement faire comprendre cette
distribution, car, en la suivant des Vosges à Paris, c'est-à-
dire en examinant les terrains depuis les anciens jusques aux
modernes, on observe qu'ils sont placés succesivement en re-
trail les uns au-dessus des autres. Je ne cite cependant cette
coupe que pour indiquer la disposition des terrains, car je ne
sais si, dans ce cas particulier, un soulèvement continental
est la cause du retrait des différentes formations.
b) Calcaire à Pteroceras pelagi. Cette assise n'existe pas
au Salève, au moins à ma connaissance ; maïs je la mentionne
ici parce qu'on la voit dans plusieurs localités des environs
de Genève, et que probablement M. d'Orbigny la comprend
aussi dans sa première zone de Rudistes puisqu'on y trouve
ces derniers fossiles. Cependant je la crois indépendante,
car le calcaire à Pteroceras pelagi ne se voit que rarement
dans nos environs avec la zone de Rudistes, ainsi je ne
96 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
l'ai jamais rencontré au Salève ni dans son prolongement.
Je l'ai trouvé : 1° à Annecy, 2° à la Perte-du-Rhône, 3° à
Allemogne dans le pays de Gex.
1° Sur la rive méridionale du lac d'Annecy, à peu de dis-
tance de la ville se trouve une jolie colline sur laquelle est
placée une chapelle ombragée de beaux arbres. Dans cette col-
line que les paysans appellent La Puya, on a ouvert de toutes
parts des carrières. Elle est presque entièrement formée de cal.
caire à radiolites. Les couches sont relevées à l'Est-Nord-
Est. Sur le revers opposé à celui qui regarde Annecy, on
trouve des couches qui s'appuient sur ce calcaire en stratifi-
cation concordante. Elles sont formées d’un calcaire jaune
foncé, se désagrégeant facilement surtout à sa surface. Il con-
tient des tiges de végétaux, des Pteroceras pelagi; des capro-
tines ? (chama ammonia ?), des oursins (Holaster), et une
nouvelle espèce de nérinée (!).
20 Ce calcaire à ptérocéres se trouve à la Perte-du-Rhône.
superposé, comme à Annecy, à un calcaire blanc compacte.
Jusqu'à ce jour. tous les géologues, qui ont visité cette loca-
lité, à l'exception de M. Itier, l'ont regardé comme étant le ter-
rain néocomien, et la roche qui lui est inférieure comme étant
jurassique, tandis que cette dernière appartient, comme je l'ai
dit page 91, à la première zone de Rudistes.
La puissance de ce calcaire à Pteroceras pelagi est petite,
sa partie visible n’a environ que six pieds d'épaisseur, mais
(1) Nerinea conica (inédite).
SUR LE MONT SALÈVE. 97
je crois qu'une portion est cachée sous des éboulements, et
qu’en tout il est épais de douze à quinze pieds. Dans la portion
qui est à découvert, il est partagé en quatre couches, dont la
supérieure est un calcaire jaune à aspect concrétionné, sableux,
oolitique, ayant un peu plus d’un pied d'épaisseur. Au-dessous
est une couche de calcaire marneux contenant des térébratules
(1 pied). Puis, en descendant, vient un calcaire jaune de trois
pieds d'épaisseur ; enfin un calcaire marneux, jaunâtre et bleuä-
tre, épais d'un pied.
Ces couches contiennent beaucoup de Pteroceras pelagi
(Brongniart) ; c’est l'abondance et les caractères bien déter-
minés de ce fossile qui m'ont engagé à donner son nom à cette
assise. Elle contient aussi les fossiles suivants :
Terebratula voisine de la depressa. Sow.
Neithea. Drouet.
Oursins.
Tiges de végésaux abondantes.
M. Brongniart cite encore, comme y ayant été trouvés, les
genres (?) : d
Mya ou Lutraria.
Hemicardium.
Donacite, et le
Spatangus oblongus. De Luc (2).
3° J'ai retrouvé le calcaire à Pteroceras pelagi au-dessus
du calcaire à Radiolites, à Allemogne dans le pays de Gex.
(1) Cuvier, ossements fossiles, tome II, p. 350.
(2) Espèce voisine de l'Holaster complanatus, Ag.
TOM. X, 1'© PARTIE. 13
98 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Il offre à peu près les mêmes caractères que dans les localités
dont j'ai parlé. J'y ai trouvé le Pteroceras pelagi, un Cassis ?,
des Nucléolites et d’autres oursins mal conservés.
Cette assise doit être regardée comme faisant partie de la
première zone de Rudistes, mais cependant sa formation a
été soumise à d’autres conditions que celles qui ont présidé
au dépôt de la première zone de Rudistes proprement dite,
car ses fossiles ne sont pas les mêmes et sa circonscription
est différente (*).
CHAPITRE IV.
FORMATION SIDÉROLITIQUE.
De Saussure a donné une description si exacte du terrain
sidérolitique du Salève (?) qu’elle laisse peu à ajouter; mais
il a confondu les grès tertiaires avec ceux de ce terrain.
« Sur le haut du Grand Salève, dit de Saussure, vis-à-vis
« de Crevin on rencontre de grands blocs d’un beau grès
« blanc, composé de sable cristallin très-pur dont les grains
(1) Depuis que ce Mémoire a été rédigé j'ai trouvé un Pteroceras dans le calcaire
blanc de la première zone de Rudistes, près du village du Sapey, au pied du mont
Salève, du côté des Alpes. J'ai aussi reconnu le calcaire jaune à Pteroceras près
de la belle source qui sert de fontaine à ce village.
(2) Voyages dans les Alpes, $ 242.
SUR LE MONT SALÈVE. 99
« ont entre eux très-peu de liaison. J'ai eu longtemps des dou-
« tes sur l’origine de ces blocs, parce qu'ils sont détachés les
« uns des autres et ne paraissent avoir aucune adhérence
« avec le sol sur lequel ils reposent. »
Ils forment une traïinée qui s'étend de l’'amas décrit par
de Saussure, jusqu'au bord de la Grande-Gorge. Is ont
tout à fait l'apparence d’avoir été transportés. En effet, il est
probable que l'agent qui à porté au loin les blocs erratiques,
a eu aussi une grande action sur ces roches.
« Mais enfin, » continue de Saussure, « j'ai trouvé sur
« les derrières de la montagne, entre les Chalets qui portent
« les noms de Grange-Tournier et de Grange-Gabri, un grand
« rocher, composé de ce même grès, superposé aux couches
« calcaires de la montagne. Ce grès, peu cohérent, a été di-
« visé par les injures de l'air en grandes masses qui semblent
« entassées sans aucun ordre et où l’on a de la peine à retrou-
« ver les vestiges des bancs dont il a été composé. »
Ces masses sont tellement détachées les unes des autres,
qu'on les prendrait facilement pour des blocs erratiques tant
elles ont peu l'air d’être en place.
« J'ai pourtant cru reconnaître, » dit de Saussure, « que
« ces bancs plongeaient du côté des Alpes, comme les autres
« couches de la montagne et sous un angle d'environ 25 de-
« grés. Ces grès descendent fort bas en recouvrant toujours
« les rochers calcaires, il est même vraisemblable qu'ils re-
« couvraient anciennement la montagne dans une étendue
« beaucoup plus considérable, mais que le peu d'union de
« leurs parties a causé leur destruction. Peut-être même les
100 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
« sables que l’on trouve entre la Croïsette et le Piton en sont-
«ils des débris. Je n'ai pu découvrir dans ces grès aucune
« matière étrangère si ce n'est du fer qui s'annonce dans
« quelques places par la couleur de rouille qu'il donne à la
« pierre. »
M. Gressli, dans ses Observations sur le Jura soleurois, a
donné une théorie nouvelle pour expliquer la formation de ces
grès et celle des minérais de fer qui leur sont souvent associés.
Il est arrivé à conclure que la formation dont ils dépendent
avait une origine plutonique ou semi-plutonique qui était
due: « 1° À des vapeurs incandescentes chargées d'acides et
« d'oxides parcourant les fentes aujourd’hui remplies de bré-
« ches cimentées par le fer hépathique amorphe.
« 2 À des épanchements réels de masses minérales ferru-
« gineuses en fusion plutonique ou à l'état de pâte boueuse,
«remplissant une partie des failles transversales et les ca-
« vernes qui en dépendent.
« 3° À des filets d’eau s’échappant de petites fissures et dé-
« posant des oxides, des silicates terreux et des argiles blanches
« très-savonneuses.
« 4° À des sources en ébullition, Jaillissant à la manière
« des Geysers et entraînant dans leurs cours les grains pisoli-
tiques.
« 50 À des cratères d’éruptions situés sur les failles lon-
2
gitudinales de nos vallées tertiaires, entre deux ou plu-
« sieurs chaînes de montagnes. »
Ces conclusions n'auraient pu être déduites si le terrain
sidérolitique n'avait acquis dans le nord du Jura un dé-
SUR LE MONT SALÈVE. 101
veloppement beaucoup plus grand que dans nos environs (!).
Au-dessus du village d'Essert on voit le grès de ce terrain
former des espéces de filons dans le calcaire blanc de la pre-
mière zone de Rudistes, et on y remarque des surfaces de
frottement qui prouvent que les grès peuvent acquérir un poli
aussi beau que les calcaires. Ce terrain recouvre la plus
grande partie du Salève; on le trouve aux Treïze-Arbres, mais
il est surtout développé sur le revers du côté des Alpes. J'ai
trouvé dans le sable à la Croisette (au N. du hameau) beau-
coup de grains de fer limoneux, qu'il faut bien se garder de
confondre avec des résidus de forges qui sont aussi très-abon-
dants.
Ces sables se trouvent dans la chaîne des Pitons, ils attei-
gnent surtout un grand degré de développement entre ces
sommités et Cruseille où ils constituent de grands amas placés
dans la première zone de Rudistes et exploités pour l'usage des
verreries de Thorens et de Monthey. On les emmène jus-
qu'a Lyon.
Ces carrières de sables, remarquables par leur éclatante
blancheur, sont traversées par des petits filons de sable
ferrugineux, offrant des formes très-contournées. Dans
la partie supérieure de la carrière se trouve une marne
mêlée de cailloux calcaires et primitifs. Dans cette por-
tion de la montagne, le fer est très-abondant, car on ex-
(1) Je ne connais pas à Salève de marnes bigarrées semblables à celles qui for-
ment une partie de ce terrain dans le Jura soleurois. Je rapporte à cette formation
l’origine de la chaux fluatée du Petit-Salève dont j'ai parlé p. 90.
102 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
ploite ou on a exploité un grand nombre de gîtes de minérais
de fer oxidé hydraté pour les forges d'Annecy. Ces gîtes for-
ment des amas et des filons dans le sable.
Le calcaire blanc dans le voisinage du terrain sidéroliti-
que est altéré, les fossiles ont quelquefois disparu, d’autres
fois, au contraire, on peut les détacher plus facilement,
comme je l'ai déjà dit. 4
Deux grands dépôts de sable sidérolitique sont situés dans
les environs du village de Vovray, à la base orientale de la
chaîne des Pitons. Ils sont plus considérables que celui dé-
crit par de Saussure, près de Grange-Tournier, et ils offrent
comme lui l'apparence de rochers entassés les uns sur les au-
tres.
Dans la cluse du pont de La Caille on peut examiner de
beaux filons de ces grès. Le plus facile à visiter est dans le
sentier qui conduit du pont aux bains. Ce filon qui a environ
trois pieds d'épaisseur est horizontal sur une partie de son
étendue et ressemble à un banc de molasse intercalé dans du
calcaire.
Nous avons dit que dans cette localité les couches sont re-
courbées en forme de voute. Î[l n’est donc pas étonnant d'y
trouver de nombreux filons, car cette structure doit tendre
à ramener au sommet de la voute toutes les matières allant
de l'intérieur à l'extérieur. L'inclinaison des filons dont les
parties supérieures sont plus rapprochées que les parties in-
férieures vient à l'appui de ce que j'avance. J'ai examiné le
terrain sidérolitique dans différentes localités, les plus remar-
quables sont les suivantes :
SUR LE MONT SALÈVE. 103
La carrière dite du Paradis à Annecy qui est traversée par
un filon de ce terrain.
A la Perte-du-Rhône on voit des amas de sables blancs ap-
partenant à cette formation. Ils sont traversés par des veines
ferrugineuses et reposent sur les grès verts (1). Des traces
évidentes de ce terrain existent dans les calcaires de la pre-
mière zone de Rudistes qui forment les carrières d’Allemogne
et de Thoiry, au pied du Jura. On voit dans ces dernières loca-
lités que le terrain sidérolitique s’est creusé des conduits en
altérant les roches et y a déposé des marnes, des sables et des
boules fort singulières d’un grès calcaire.
Dans les belles carrières exploitées sur la partie septen-
trionale du coteau de Divonne (département de l'Ain), se
trouvent de grands et beaux filons de marnes sableuses, dont
les parois sont remarquables par les érosions bien caractérisées
qu'elles présentent.
J'ai examiné des traces semblables plus ou moins dévelop-
pées, mais quelquefois très-bien marquées au Mormont, près
Lassarraz; près de Romainmotier dans le canton de Vaud; au
bord du lac de Neuchâtel, près de Bevaix; près de Tuschertz
et de Vingelz, sur les rives du lac de Bienne. J'ai eu l'avan-
tage d'étudier ce terrain dans le Jura soleurois avec M. Gressli.
En France il a été le sujet de nombreux mémoires, puis-
qu’on lui rapporte la formation d’une grande partie des mi-
nerais de fer en grains (2).
(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIE, p. 275.
(2) Peut-être doit-on rapporter au terrain sidérolitique les couches comprises
10% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
M. Omalius d'Halloy parle de celui de la Belgique (").
En Savoie, M. le chanoine Rendu cite des sables blancs au
village de Plainpalais, commune du Désert (°).
M. Gueymard décrit des sables de ce terrain dans le dépar-
tement de l'Isère (3).
M. Gras, dans sa statistique du département de la Drôme
(page 9), cite dans les grès verts des sables associés à des ma-
tières ferrugineuses dans les environs de Montelimar. Il est
assez probable que ce sont des sables du terrain sidérolitique.
En lisant les pages 3 et 5 des Voyages dans la Campanie de
Breislach, où il décrit la montagne de Gaëte, on croit lire la
description du terrain sidérolitique; et non loin de là je l'ai
aussi reconnu dans les environs d'Itri dans le royaume de Na-
ples.
D’après ce peu de mots sur l'étendue de ce terrain, on voit
qu’elle est fort considérable. Quant à son âge, je ferai remar-
quer que MM. Thurmann et Gressli le regardent comme l’équi-
valent du terrain néocomien (1). Dans d’autres passages de
entre l'argile ostréenne et l'argile à plicatules dans le Mémoire de M. Cornuel sur
les terrains de l'arrondissement de Vassy, Mémoire de la Société Géologique de
France, tome 1V.
(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XII, p. 242.
(2) Actes de l’Académie de Chambéry.
(5) Statistique du département de l'Isère, p. 33, Bulletin de la Société Géo-
logique de France, tome XI, p. 595.
(4) Essais sur les soulèvements jurassiques, second cahier, p. 37. Observations
sur le Jura soleurois, nouveaux Mémoires de la Société Helvétique des Sciences
naturelles, tome V.
SUR LE MONT SALÈVE. 105
son ouvrage, M. Gressli croit que ce terrain s'est formé à
plusieurs époques. « En effet, » dit-il (page 253), « dans no-
«tre Jura, (le Jura soleurois) nous le voyons occuper des
«niveaux géologiques très-différents; d'où il résulte que
« parmi les divers dépôts de cette formation il y en a qui ap-
« partiennent réellement à des époques géologiques distinc-
«tes, » cependant il ajoute « que les dépôts sidérolitiques
« sont en général plus récents que les dépôts jurassiques,
« mais plus anciens que les terrains des formations crétacées
« et molassiques, » ce qui indique comme il le dit plus loin
(page 228) « que la formation du terrain sidérolitique a duré
« depuis l'époque jurassique jusque dans la période infracré-
« tacée en diminuant graduellement d'intensité et d’étendue
« jusqu'à l’époque molassique. »
D'après nos observations, nous n'avons aucune raison de
croire que la formation sidérolitique se soit fait jour avant le
dépôt du terrain néocomien inférieur et nous pensons que la
plus grande partie de cette formation est plus récente que la
partie inférieure des terrains crétacés; car ses dépôts se trou-
vent fréquemment sous forme de filons dans ces derniers ter-
rains. Îl nous paraît donc probable que la formation sidéroli-
tique a commencé à se répandre à la surface du sol ou dans le
fond de la mer, pendant que se déposait l'étage néocomien in-
férieur. L'oxide de fer qui colore en jaune et en rougeître les
roches de cette époque, ainsi que les grains verts de Glauconie,
doivent probablement leur origine à cette formation, qui a
acquis un grand développement après le dépôt de la première
zone de Rudistes (Salève) et a continué à se répandre jusqu’-
TOM. x, "© PARTIE. 1#
106 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
après le dépôt du Gault (Perte-du-Rhône). Peut-être devrait-on
admettre qu’elle est entièrement postérieure à la formation
crétacée et comme le Gault est peu répandu dans nos mon-
tagnes cela expliquerait pourquoi le terrain sidérolitique,
tout en étant postérieur à la formation crétacée de notre pays
repose souvent sur des couches plus anciennes (1).
Les faits que nous avons énumérés, Joints à ceux qui
étaient déjà connus, prouvent d’une manière évidente que la
formation sidérolitique n'appartient pas à la série régulière
des terrains, mais doit son origine à une action plutonique
ou semi-plutonique.
CHAPITRE VIL.
TERRAIN TERTIAIRE. — FORMATION MOLASSIQUE.
N'ayant pas fait une étude tres-approfondie des terrains su-
périeurs à ceux qui précèdent, nous aurons fréquemment re-
cours aux ouvrages qui les décrivent, et particulièrement à
Ù
(1) J'ai cru reconnaître le sable du terrain sidérolitique au sud du village de
Presilly, au lieu dit au Pont au Champ, à la base du mont Sion, superposé à de la
molasse ; mais l’espace sur lequel on pouvait l’ekaminer n'étant qu’un petit fossé
au milieu d’un champ, il ne m'a pas été possible de décider à quelle formation ce
sable devait être rapporté. Si ce fait était constaté, il prouverait que la formation
sidérolitique a été en partie postérieure au terrain tertiaire.
SUR LE MONT SALÈVE. 107
celui de M. Necker ('). Quoique nous reconnaissions complé-
tement qu'il est impossible d’être plus scrupuleusement exact
que M. Necker pour tout ce qui tient aux observations et aux
descriptions, nous ne pouvons nous empêcher d’avoir des
doutes sur quelques-unes des idées qui sont développées dans
le premier volume de son ouvrage.
Les terrains dont il nous reste à nous occuper sont la mo-
lasse, le diluvium, les blocs erratiques et le calcaire d’eau
douce (2).
Nous donnerons peu de détails sur leur nature, nous ré-
férant à l'ouvrage de M. Necker. Il est même des idées et
des observations importantes indiquées par ce géologue dis-
tingué dont Je ne parlerai pas, ne faisant point ici une ana-
lyse de son ouvrage. Je me bornerai à rappeler pour chacun
de ces terrains leurs principaux caractères, à les décrire lors-
qu'ils feront partie du mont Salève et à indiquer exactement
les positions qu'ils occupent, de manière à en déduire l'histoire
des révolutions dont notre vallée a été le théâtre.
Dans nos environs, le terrain tertiaire qui est représenté
par une roche, généralement connue sous le nom de molasse,
(1) Etudes géologiques dans les Alpes. Paris, tome I.
(2) Nous ne nous occuperons pas du calcaire d’eau douce vulgairement connu
sous le nom de greube. MM. Brongniart et Necker en ont déjà parlé et nous n’avons
pas de faits nouveaux à faire counaitre. Ce calcaire contient une grande quantité
de corps organisés, fossiles ou subfossiles, qui nous paraissent identiques avec des
espèces vivantes. En les déterminant exactement on arriverait peut-être à trouver
qu'ils se rapportent à des espèces appartenant à des climats différents du nôtre,
et cela pourrait fournir d’intéressants résultats.
108 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
a déjà plusieurs fois attiré l'attention des géologues. M. Bron-
gniart la caractérise ainsi : Macigno molasse, texture grenue,
lâche, sableuse, mélée d'un peu d'argile, toujours de Mica,
presque friable. Mais cette roche ne constitue pas à elle seule
le terrain tertiaire, elle est souvent mêlée de marne.
M. Studer, qui a étudié cette formation en grand détail (1),
la regarde comme contemporaine des collines subapennines.
MM. Omalius d'Halloy (2), Buckland (°) et Elie de Beau-
mont ('), la considèrent comme appartenant à l'étage moyen
des terrains tertiaires.
M. Ansted (°) ne se prononce pas sur son âge, et M. Necker,
dans le premier volume de ses Etudes géologiques, n’achève
pas de la décrire et ne fixe point l'époque de sa formation,
cependant il dit (p. 269) que les terrains diluviens du Petit-
Credo, près Bellegarde, reposent sur la Molasse coquillière
contemporaine des terrains subapennins.
La molasse présente dans les environs de Genève deux
étages distincts, la molasse d’eau douce et la molasse rouge.
La première repose sur la seconde, et lorsqu'on suit son pro-
longement dans le Nord du Canton de Vaud, on reconnaît
que la molasse à coquilles marines lui est superposée. La mo-
(1) Monographie der Molasse. Berne 1825. Extrait dans la Bibliothèque Uni-
verselle de Genève, Sciences et Arts, 1825, tome XXIX, p. 295, tome XXX, p. 115,
et mars 14842.
(2) Eléments de Géologie, 1835, p. 292.
(5) Mineralogy and Geology, tome 1, p. 510.
(4) De la Béche. Manuel Géologique, p. 649.
(5) Transaction of Cambridge. Philo. Soc., tome VIE, partie IL, p. 141.
SUR LE MONT SALÈVE. 109
lasse rouge repose sur un poudingue ou grès à gros grains,
qui n’est pas très-répandu et qui s'appuie lui-même sur le
néocomien.
Ce poudingque est en grande partie formé de cailloux Juras-
siques et de cailloux néocomiens. Il est évident qu’on doit le
regarder non pas comme la partie supérieure du néocomien,
mais bien comme l’assise inférieure de la molasse (1). Les lo-
calités où ce poudingue se voit le mieux sont au-dessus de
Mornex et dans le lit de l'Arve à l'extrémité du Salève.
Dans la première localité, le terrain offre la coupe suivante,
en commençant par la partie supérieure :
1° Terre végétale. Epaisseur 1 pied environ.
2 Poudingue à noyaux siliceux, calcaires néocomiens ou
jurassiques, oolitiques, etc. La grosseur des fragments varie
depuis l'état de sable à la grosseur de la tête; entre les cail-
loux se trouve du grès fin et des lits marneux. Epaisseur en-
viron # pieds.
3° Grès compacte bréchiforme, siliceux, contenant des
noyaux de feldspath s'altérant. Epaisseur 1 pied.
4° Grès roussâtre, jaunâtre, molassique, alternant avec des
marnes verdâtres et rougeâtres. Epaisseur moyenne des stra-
tes, 4 à 6 pouces. Epaisseur moyenne de la couche 4 ” pieds.
5° Grès siliceux bréchiforme, les plus gros morceaux sont
de la grosseur d’une noix et sont intercalés avec des grès fins.
(1) De Saussure, $ 242, a. Cette couche doit avoir du rapport avec le dépôt
que M. Thurmaon a signalé p. 51, 2° cahier des Essais sur les soulèvements juras-
siques. C}
110 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Il ressemble au n° 3. Epaisseur indéterminée, parce que cette
couche forme le fond de la petite excavation où je l'ai observée.
Dans la seconde localité, c’est-à-dire sur les bords de l’Arve,
près de la source d'eau minérale d'Etrembières, les couches
de molasse sont redressées, et au-dessous sont placées celles
du poudingue. Leur direction n’est point la direction générale
du Salève, elles plongent beaucoup plus au Nord; cela s’ex-
plique facilement, car en ce lieu finissent la montagne et le
soulèvement du Salève; par conséquent les couches doivent
décrire une espèce de surface courbe.
La molasse rouge est, au moins dans les environs de Genève,
inférieure à la molasse d’eau douce. Le nom qu’elle porte in-
dique sa couleur dominante; cependant on y trouve aussi des
marnes bleuâtres et violettes. Elle se distingue par ses carac-
tères comme par son manque de fossiles de la molasse d’eau
douce qui contient des êtres organisés, tandis que la molasse
rouge n’en contient pas (!). Le caractère minéralogique le
plus saillant et le plus distinctif entre ces deux couches est,
d'après M. Necker (p. 479), que le ciment des grès de la
molasse d’eau douce est en général calcaire, tandis que celui
de la molasse rouge est argileux.
Les principales localités dans lesquelles le sol est formé de
molasse rouge sont les suivantes : le coteau de Boisy , tout le
sommet et le versant occidental du coteau de Cologny, les
rives du ruisseau du Vengeron, tout le coteau de Chambeisy,
(1) Le seul débris d’être organisé qui, à ma connaissance , ait été découvert
dans ce terrain, est un fragment de tortue trouvé au Vengeron.,
SUR LE MONT SALÈVE. 111
la partie supérieure de la montée du Grand-Saconnex, la base
occidentale du coteau de Choully, le nant d’Avanchet près
Vernier, et les bords de la Laire près de Soral; dans ce der-
nier endroit les couches sont peu régulières et semblent être
en stratification discordante. Près du chemin qui monte de
Collonges sous Salève à la Croisette on voit que les couches
sont renversées et plongent contre le pied de la montagne.
La molasse d'eau douce est plus développée dans le Canton
de Genève que la molasse rouge. Voici la liste des fossiles
qui y ont été signalés :
Helix. Anodonte ou Unio.
Bulimus ou pupa. Cyclas.
Lymneus. Cyrena.
Paludina. Cypris.
Melanopsis ? Dytique ou hydrophyle.
Planorbis. Portions de végétaux. — Graines de Chara.
M. Necker, à qui nous empruntons cette liste, hésite à rap-
porter à ce terrain les feuilles de Chamærops ou de Flabellaria
qui ont été trouvées près de Lausanne, et il place dans la
molasse rouge celles que l'on a découvertes à Vevey, et près
de Genève dans les grès de Mornex et d’Archamp (1).
(1) Les chamærops ne sont pas des fossiles assez caractéristiques des différents
étages de la molasse pour qu'ils puissent servir à distinguer la molasse d’eau douce
de la molasse rouge. Ces végétaux ne sont point caractéristiques parce qu'ils vivaient
sur la terre pendant que se déposaient sous les eaux les roches tertiaires de notre
pays, et ce n’est qu'accidentellement qu’ils sont tombés dans l’eau et qu'ils ont
été charriés et déposés dans les molasses.Il n’y a probablement pas eu, entre le
112 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Dans les grès de Mornex on a trouvé un fragment d'un
omoplate qui, d’après M. le Professeur Pictet, aurait appartenu
à un Pachiderme ayant à peu près la taille d’un âne. Cet
échantillon est conservé au Musée de Genève. Dans certaines
couches on voit une très-grande quantité d'empreintes de
bivalves qui sont remplies par de la marne, mais on ne peut
reconnaître aucune forme exacte.
M. Necker divise cet étage en trois assises; la supérieure
qui contient des grès dans la partie haute et des marnes dans
la partie basse; l'assise moyenne, où se trouvent des marnes
avec du calcaire et du lignite, c’est là qu'on trouve les co-
quilles fossiles ; enfin l’assise inférieure où dominent les mar-
nes du gypse et le gypse lui-même.
D'après les caractères offerts par ces molasses d’eau douce,
« il semblerait évident, dit M. Necker (p. 478), que le terram
« d’eau douce a, du moins près de Genève, été déposé dans
« des bassins ou cavités de la molasse rouge. Aussi faudrait-
« il non-seulement que celle-ci eût préexisté à la formation
« d’eau douce, mais qu'elle eût préexisté assez longtemps pour
« que les bassins aient pu y être creusés, bassins dans lesquels
« le terrain d’eau douce se serait ensuite déposé en stratifica-
« tion non parallèle. »
En s’éloignant de Genève, dans le Canton de Vaud, « ce
« terrain d’eau douce, continue M. Necker, semblerait non pas
dépôt de la molasse rouge et celui de la molasse d’eau douce, un assez grand chan-
gement dans le climat, pour que les chamerops n'aient pas pu vivre pendant les
deux époques, et par conséquent avoir été déposés dans les deux étages.
SUR LE MONT SALÈVE. 113
« déposé comme près de Genève dans des bassins creusés
« dans la molasse rouge, mais formant une vraie couche bien
« régulière, intercalée dans ce terrain, c’est-à-dire recouvrant
« des couches de molasse rouge, et en même temps recou-
« verte par d’autres couches de la même molasse. »
Il est fort singulier, ce me semble, que la molasse soit ainsi
régulièrement formée par des sédiments aussi ténus que le
sont ceux qui composent ses grès et ses marnes; car la grande
ténuité et la grande uniformité des détritus dans les dépôts,
indiquent qu'ils ont été formés dans des lieux éloignés des
rivages, tandis que la molasse se déposait entre les Alpes et
le Jura. On a de la peine à comprendre pourquoi les couches
de cette formation ne contiennent pas des cailloux, au lieu
d’être composées de marnes et de grès fins et réguliers. L'o-
pinion que M. Ibbetson à émise dans une des séances de la
Société d'Histoire Naturelle de Neuchâtel, pourrait faciliter
l'explication de ce fait. Il pense qu’une partie des grès de la
molasse provient de grès verts remaniés par les eaux. Cette
idée, contre laquelle on peut faire quelques objections, mérite
cependant d'être examinée. Le fait que les molasses de notre
pays reposent fréquemment sur des grès verts, et que dans
certaines localités (!) on a observé un mélange évident de ces
deux formations, vient fortement appuyer la croyance de
M. Ibbetson.
La formation tertiaire en général repose, comme nous l'a-
vons dit, sur le néocomien. Le mont Salève est entouré de
(1) Mémoire de la Société d'Histoire naturelle de Neuchâtel, tome IE, p. 45.
TOM. X, 1'° PARTIE. 15
114 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
toutes parts par la molasse dont les couches se redressent
contre lui, c’est ce que l’on peut voir facilement en jetant un
coup d'œil sur la carte. PI. I.
L'arrangement de ces couches se montre au delà d'Ar-
champ, où la molasse forme un grand contrefort qui s'élève
presque à la moitié de la hauteur de la montagne; elles plongent
toutes à peu près au Nord-Ouest. Au pied du Salève, au-dessous
de la Croisette, on voit que les couches de la molasse sont
tellement redressées qu'elles sont renversées. IL est vrai que
lon ne peut les examiner que sur une fort petite étendue,
mais on y voit évidemment une couche de molasse rouge re-
poser sur une couche de molasse grise, se dirigeant à peu
près à l'O.-S.-0., et plongeant de 55° à 45° au S.-S.-E. Cette
localité présente une anomalie dans la disposition générale
des couches.
De l’autre côté de la montagne, entre la Mure et Essert,
les molasses qui s'appuient sur le Salève plongent du côté
des Alpes. Au-dessus de Mornex elles s'élèvent aussi à une
assez grande hauteur et forment cette petite colline sur la-
quelle est bâti le château de Mornex.
Salève est donc comme une île de calcaire placée au milieu
d’une mer de molasse. On ne trouve pas de trace de cette der-
nière formation dans les parties élevées de la montagne. Même
dans la petite vallée de Monetier on peut croire qu'elle n'existe
pas, car à la surface, le sol n’est formé que de détritus de
roches calcaires, et dans un puits, qui a été percé jusqu’à la
profondeur de 32 pieds, on n’a trouvé que du sable formant
une espèce de béton.
SUR LE MONT SALÈVE. 115
Ce n’est pas seulement contre Salève que la molasse est
redressée, mais elle affecte la même position contre toutes les
montagnes qui forment les limites du bassin de Genève (*).
Toutes les collines un peu grandes qui dans nos environs
portent le nom de côteaux sont formées par la molasse qui of-
fre la fausse apparence d’avoir traversé le terrain diluvien.
Ainsi les coteaux de Boisy, de Monthoux, de Cologny, de
Bernex, de Choully et la colline sur laquelle sont bâtis les
villages de Pregny, de Chambeisy et du Grand-Saconnex ap-
partiennent au terrain tertiaire.
IL faut ici faire une distinction qui n’est pas sans importance
entre ce que l’on appelle vulgairement colline et ce qui doit
réellement porter ce nom.
Les collines sont de petites montagnes qui s'élèvent dou
cement au-dessus de la plaine. D’après cette définition, les
hauteurs de Saint-Jean, du bois de la Bâtie, de Champel, cel-
les sur lesquelles la ville de Genève est bâtie ne sont point
des collines, puisqu'elles se trouvent à peine à la hauteur du
niveau de la plaine qui entoure Genève , comme nous le dirons
plus tard. Les véritables collines sont formées de molasses en
couches redressées; on n’y trouve jamais de couches hori-
zontales; et c'est là une preuve certaine de leur formation
par soulèvement.
(1) J'ai vu la molasse redressée contre le Vouache. Pendant longtemps je l’ai
cherchée en vain à la base du Jura et je n’avais pu la découvrir parce qu’elle y est
recouverte par l’alluvion ancienne. M. Necker n'avait pas eu plus de succès que
moi, tome I, p. 268. Mais dernièrement je l’ai trouvée en couches redressées
contre le coteau de Divonne.
116 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
CHAPITRE VIIL.
TERRAINS DE TRANSPORT.
On observe dans le terrain de transport deux divisions qui
se rapportent à des époques bien distinctes. L’une antérieure
à l'époque actuelle, et Yautre de l'époque actuelle. Nous ne
parlerons pas de cette dernière, car M. Necker a donné beau-
coup de détails sur ce sujet. Quant au terrain de l’époque an-
térieure à la création de l’homme, qui est généralement connu
sous le nom de terrain diluvien, M. Necker le partage en
deux étages. Il désigne l'étage inférieur sous le nom d'alluvion
ancienne, et l'étage supérieur par celui de diluvien cataclys-
tique.
Cette division, quoique très-exacte, est souvent difficile
à faire dans la nature et quelquefois le géologue hésite pour
savoir auquel des deux étages il doit rapporter certains amas
diluviens. Cependant nous espérons pouvoir ajouter quelques
considérations qui aideront à les reconnaitre.
A. Terrain de transport de l'époque Diluvienne.
1. ALLUVION ANCIENNE.
Le terrain d’alluvion ancienne est formé de cailloux roulés
de grosseur variable; rarement ils ont plus d’un pied de dia-
mètre, ordinairement ils sont plus petits et présentent lappa-
SUR LE MONT SALÈVE. 117
rence de gravier et de sable. Ils sont arrondis ou aplatis. « Ils
« forment des lits horizontaux, dit M. Necker, quelquefois
« d’une épaisseur de plusieurs toises, alternant parfois irré-
« guliérement avec des lits de gravier et de sable beaucoup
« plus courts et moins épais et de forme lenticulaire, c’est-à-
« dire s’'amincissant à leurs extrémités jusqu'à se terminer en
« pointe. »
Quant aux débris des roches qui forment ce terrain, consi-
dérés sous le rapport minéralogique, de Saussure en a donné
un catalogue détaillé (!) et M. Necker a aussi traité ce sujet.
Nous rappellerons seulement ici que ce sont les différentes
variétés du calcaire des Alpes qui sont les plus abondantes.
On trouve aussi parmi ces cailloux une grande quantité de ro-
ches primitives, des quarz, des protogines, des schistes tal-
queux, des micaschistes, des gneiss, des syénites et beau-
coup de roches qui servent de passage de l’une à l’autre de ces
espèces; des Jades, de belles euphotides, des serpentines
qui viennent probablement de la vallée de Saas; enfin, dif-
férentes espèces de grès et de poudingues.
Cette immense quantité de cailloux forme en quelques en-
droits une roche meuble sans consistance, qui se désagrège
aussitôt qu'on la touche; d’autres fois les cailloux sont liés
entre eux par un ciment calcaire d’une telle tenacité qu'on les
brise plutôt que de les détacher. Ces cailloux s'unissent ainsi
lorsqu'ils sont exposés à des eaux courantes.
(1) Chapitre IV, Voyages dans les Alpes.
118 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
En général ce terräin a 70 à 80 pieds d'épaisseur; cepen-
dant à quelques endroits il acquiert jusqu'à 125 pieds de
puissance, comme à Cartigny (de Saussure), et même Jus-
qu'a 3500 pieds, comme au nant de Cologny, près Chancy
(Necker). Les localités où l'on peut le plus facilement exa-
miner l’alluvion ancienne sont les rives du Rhône et celles de
l'Arve, particulièrement à Champel, à Saint-Jean et au bois
de la Bâtie, ainsi que dans différentes carrières. Le caractère
le plus saillant de ce terrain, en outre de sa composition, est
que jamais on ne le trouve recouvrant les collines qui sont
dans nos environs, mais nous parlerons plus en détail de son
gisement.
On a toujours attribué la formation et le transport de cette
prodigieuse quantité de cailloux roulés à d'immenses débacles.
Cependant il est possible qu'une partie des cailloux que ces
grands torrents charrièrent, eussent été roulés dans une pé-
riode précédente. C’est ce qui aurait eu lieu si l’on admet l'o-
pinion de M. Lortet qui croit que ces cailloux proviennent en
partie de grandes masses de Nagelflue tertiaire, qui auraient
été détruites (*).
2. DILUVIEN CATACLYSTIQUE.
L'étage diluvien cataclystique repose sur l'alluvion an-
cienne. M. Necker le nomme ainsi « parce qu'il offre, » dit-il,
(1) Congrès scientifique de France, à Strasbourg, 4 octobre 1842, Moniteur,
8 octobre 1842, p. 2056.
SUR LE MONT SALÈVE. 119
« des masses sans aucun ordre apparent et dans lesquelles les
« matières de différentes grosseurs, depuis les plus énormes
« jusqu’au limon le plus fin, sont mêlées et confondues en-
« semble, de manière à faire présumer qu'il n'y a qu'un ter-
« rible cataclysme qui ait pu occasionner des dépôts si puis-
« sants formés d’un pareil mélange. »
Il remplit les inégalités de la surface de l’alluvion ancienne,
et « termine les plateaux que forme celle-ci par des plans en
« apparence parfaitement horizontaux. »
Près de Genève la masse la plus considérable de ce terrain
est formée par de la glaise grossière tenace faisant pâte avec
l'eau. On l'emploie à la fabrication des tuiles.
D'après M. Necker, ce limon d'attérissement ressemble beau-
coup aux Loess des bords du Rhin et au Lehm des environs
de Vienne. La description que M. Agassiz a donné du Till
de l'Écosse pourrait aussi s'appliquer à ce dépôt (1).
L'épaisseur de cet étage ne dépasse guère 50 à 60 pieds; ce-
pendant près de Russin, M. Necker l'évalue à environ 200
pieds. Les débris qu'il contient sont de même nature que lal-
luvion ancienne; ce sont en général des cailloux gros comme
des œufs ou comme le poing, mais souvent ils dépassent de
beaucoup cette taille et atteignent quelquefois une grosseur
énorme. On voit donc que lors même que l’on trouve des
blocs erratiques isolés, leur transport doit être lié à celui du
limon d’attérissement, puisque l’on en voit de complétement
(1) Bibliothèque Universelle de Genève, sept. 1842, tome XLI, p. 126.
120 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
ensevelis dans ce dépôt. Il faut remarquer ici que les cail-
loux et les galets sont formés en grande majorité de calcaire,
tandis que les blocs erratiques proprement dits appartiennent
aux roches primitives, et que parmi eux les calcaires sont
très-rares (1).
Le terrain diluvien cataclystique ne se compose pas unique-
ment de limon, dans quelques endroits on y trouve aussi des
sables; ainsi les sables de Champel, de Fronteney, de Grange-
Canal, de Malagnou, d'Avusy, de Regnier, de Cartigny, appar-
tiennent à l’époque du terrain diluvien cataclystique et re-
posent sur le limon d’attérissement qui dans le dernier endroit
atteint l'épaisseur de T0 pieds. Les localités où les deux étages
du diluvium peuvent se distinguer le plus facilement sont les
crases de l'Arve en amont de Champel, et celles du bois de
de la Bâtie (*).
(1) Cependant M. De Luc en cite quelques-uns. Quoique les blocs erratiques
fassent partie du terrain diluvien cataclystique, nous ne nous occuperons que de
ceux qui sont répandus à la surface du Salève ; quant aux autres qui sont si abon-
dants dans les environs de Genève, nous renyoyons aux intéressants écrits de
M. De Luc publiés dans les Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire na-
turelle de Genève.
(2) Dans les environs de Genève le sol est donc composé d’une manière géné-
rale en commençant par la partie supérieure :
De sable et de gravier,
Des couches marneuses du limon d’attérissement ,
Des graviers de l’alluvion ancienne,
Des marnes de la molasse, etc.
Les couches marneuses sont imperméables, tandis que les couches de gravier
se laissent facilement traverser par les eaux. On doit donc trouver deux nappes
SUR LE MONT SALÈVE. 121
Jusqu'ici nous avons parlé séparément de l’alluvion an-
cienne et de l'étage diluvien cataclystique, mais dès à présent
le nom de formation diluvienne ou de diluvium désignera l'en-
semble de ces deux étages.
Nous avons vu que ces étages diffèrent par leur nature et
leur composition; ils diffèrent aussi par leur gisement, et c’est
R leur trait distinctif. Cette observation peut, ce me semble,
jeter quelque jour sur leurs origines.
Le diluvium forme des plateaux dont la surface est un plan
horizontal; ce plan est composé en partie d’alluvion ancienne
et en partie par l'étage diluvien cataclystique. Mais la diffé-
rence du gisement de ces deux étages consiste en ce que l'in-
férieur ne s'élève Jamais jusqu’au sommet des coteaux placés
dans notre vallée, tandis que le supérieur les recouvre pres-
que entièrement d’une couche mince, mais cependant très-
évidente (?). En d’autres termes, on peut dire que toutes les
fois que la molasse s'élève au-dessus de la plaine en couches
redressées, lalluvion ancienne ne s’est pas élevée au-dessus
d'elle, tandis que l'étage diluvien cataclystique l’a recouverte
(pl. L fig. 3). Il est donc évident :
d’eau plus ou moins grandes, suivant les localités, dans les parties inférieures des
couches de gravier, coulant à la surface des assises marneuses. Cette remarque
qui m'a été suggérée par la lecture de l'ouvrage de M. Necker peut avoir un haut
intérêt dans la pratique.
(1) Les carrières de la partie nord du coteau de Divonne présentent une belle
coupe où l'on voit le limon d’attérissement s’élevart très-haut et reposant sur le
néocomien. Plus le coteau s'élève, plus le limon devient mince.
TOM. X, 1'° PARTIE. 16
122 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
1° que la formation entière est postérieure au relèvement
de la formation tertiaire;
20 que les deux étages ont été amenés par deux forces dif-
férentes.
Je dois dire que J'ai fait cette distinction d’après mes propres
observations, mais que l'ouvrage de M. Necker m'a fortement
confirmé dans mes idées (”).
La remarque suivante tend encore à distinguer ces deux
étages. La plupart des cailloux qui font partie du terrain di-
luvien cataclystique, et qui sont mêlés au limon d’attérisse-
ment, portent à leurs surfaces des stries ou raies plus ou moins
fines, ce sont même quelquefois des espèces de sillons. Ces
raies se croisent souvent sous différents angles, mais cepen-
dant on en voit habituellement un certain nombre qui sont
parallèles entre elles. La plupart de ces cailloux rayés sont
calcaires, quelques-uns sont formés de grès, et je n'ai point
vu de cailloux rayés appartenant à des roches primitives.
En vain j'ai cherché des cailloux rayés dans lalluvion an-
cienne, je n’en ai Jamais vu ni parmi les calcaires, ni parmi les
primitifs; cette nouvelle observation doit, il me semble, in-
diquer une différence dans le mode de formation ou de trans-
port de ces deux étages. J'ai aussi cherché attentivement des
cailloux rayés parmi ceux qui forment la grève de l'Arve, mais
sans aucun succès; ces cailloux sont tous arrondis et polis par
les eaux et par le frottement qu'ils ont éprouvé les uns contre
(4) Necker, tome I, p. 255.
SUR LE MONT SALÈVE. 123
les autres, ils sont aussi lisses que ceux de l’alluvion an-
cienne. Cependant le point de la grève ou j'ai cherché avec
le plus de soin, était placé à environ deux cents pas en aval
d'un grand éboulement de terrain diluvien cataclystique qui
avait jeté dans cette rivière de nombreux cailloux. Il est
donc fort probable que quelques-unes de ces roches arrondies
amenées sur la grève provenaient du terrain diluvien, et
que le petit espace qu'elles avaient parcouru en étant rou-
lées sous les eaux, avait été suflisant pour leur faire perdre
leurs raies.
Si nous reportons sur les cailloux de l'étage diluvien cata-
clystique ce que cette observation nous apprend, nous con-
clurons que dans la place où ils sont maintenant, ils ne doivent
pas être très-éloignés de l'agent qui les a rayés, où plutôt qu'ils
n'ont pas été soumis à un long charriage depuis que leur sur-
face a été altérée par des raies.
Remarquons de plus que lalluvion ancienne, par ses cail-
loux sans raies et par sa structure {orrentielle a beaucoup plus
de rapport avec un dépôt charrié par les eaux que l'étage di-
luvien cataclystique; car celui-ci, par ses cailloux rayés et
par le peu de stratification de son limon offre une apparence
plus irrégulière.
Les blocs erratiques ne font jamais partie de l’alluvion an-
cienne, mais ils sont souvent mêlés avec le diluvien cataclys-
tique; voilà le résultat auquel nous sommes arrivés, mais ce
résultat est-il bien certam? Il est bien plus difficile d'avancer
une assertion négative que de donner une aflirmation. Ce que
l’on peut assurer, c’est que s’il y a des blocs erratiques dans le
12% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
terrain d'alluvion ancienne, ils sont infiniment rares (!), et
que les nombreuses coupures qui sont faites dans cet étage
n’en laissent voir aucun. Mais comment faire un examen appro-
fondi de cette question sous ces immenses amas de débris ?
Pour peu que l’on ait parcouru la plaine des environs de
Genève, il est impossible de ne pas être frappé de lhorizon-
talité des dépôts diluviens. Ainsi le diluvium ne forme pour
ainsi dire jamais de collines, et presque toujours, lorsqu'on
gravit une élévation diluvienne, on trouve que son sommet
est terminé par un plateau horizontal dont le niveau est le
même que celui de la plaine dont il a été détaché. Ce fait se
voit avec la dernière évidence, lorsque du pont d’'Etrembières
on monte à l'ancien hôpital; lorsque des bords du Rhône ou
de l'Arve on gravit les pentes de Saint-Jean ou de la Bâtie;
lorsqu'on va de Chancy à Avusy, ou des bords du lac à Gen-
thod; ou enfin, lorsque du pont de Viaison on va à Regnier
en Savoie.
Dans plusieurs localités de notre canton on observe que les
terrains diluviens sont disposés en terrasses horizontales éta-
gées les unes au-dessus des autres, et qui rappellent la dis-
position de ces mêmes terrains dans la vallée du Rhin. Ainsi
entre Champel et Plainpalais on compte trois de ces terrasses.
On peut en compter un même nombre en allant de Genève
au village du Châble, mais celles-ci sont plus grandes que les
premières et leurs contours sont plus difficiles à suivre. La
(4) M. Necker cite deux blocs dans l'alluvion ancienne.
SUR LE MONT SALÈVE. 125
première est formée par la plaine du Plan-les-Ouates, la se-
conde par la plaine de Neydens, et sur la troisième est placé
le village du Châble.
On ne peut se refuser d'admettre que les rivières ont creusé
leurs lits dans la formation diluvienne, car les dépressions
qu’elles ont causées n’altèrent point l'horizontalité de la surface
du plateau et les sommets des berges se correspondent exac-
tement (!).
La grande différence qui existe entre les inégalités produites
dans le sol formé de molasse et celui composé de diluvium,
consiste donc en ce que dans le premier les inégalités sont de
véritables collines dues à des soulévements, et que dans le
dernier elles sont formées par des excavations dues à des dé-
nudations.
Le diluvium, ainsi que je l'ai remarqué, forme dans nos
environs un plateau horizontal. C’est une plaine qui offre une
légère dépression vers son centre, et dont les bords rappro-
chés des montagnes sont plus élevés. Non-seulement je me
suis assuré de ce fait en regardant notre pays depuis diffé-
rents points, mais je l'ai vérifié au moyen de l'hypsométrie de
M. De Candolle (?). Le même résultat s'obtient en consultant
la carte de M. le colonel Dufour. L'on voit que le niveau
moyen de la plaine varie entre 420 et 455 mètres au-dessus
(1) Saint-Jean et la Bâtie, le plateau d’Annemasse et celui de l'hôpital
d'Étrembières sous Salève, etc., offrent des exemples de cette correspon-
dance.
(2) Mémoire de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève.
126 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
de la mer, et qu'elle présente une légère concavité dont le
centre se trouve près de Genève et des bords du Rhône, car
les hauteurs des environs de la ville sont au-dessous du niveau
moyen que nous avons assigné; ainsi les Tranchées sont à
407 mètres et Saint-Jean à 410.
J'ai dit que le diluvium ne formait jamais de collines. cette
expression n’est pas entièrement exacte car il en existe. Mais
ce sont des collines qui sont placées aux extrémités ou en
dehors de notre bassin, elles sont dans des positions excep-
tionnelles. Elles ont l'apparence de grandes digues et leur
étude pourra servir utilement à la détermination des causes
qui ont répandu les débris erratiques.
En n'examinant le diluvium que dans ces grands amas, il
paraît se relever contre les montagnes qui bordent notre vallée,
et d'après cela on pourrait croire facilement que ce terrain
a été apporté avant le soulèvement de ces montagnes. Mais
il n’en est rien, car ces grands soulèvements eurent lieu en
même temps que ceux des collines molassiques, puisque à
la base de ces montagnes, de même que dans ces collines,
nous trouvons les molasses redressées. Or nous avons vu que
l’alluvion ancienne bute horizontalement contre la base des
collines de molasse. Par conséquent elle est venue se déposer
après l'apparition des montagnes, et ces collines ou digues
diluviennes n'ont pas été soulevées (!).
(1) Ce fait qui me paraît démontré mathématiquement, est contraire à ce que
pense M. Melleville, qui croit que le soulèvement des Alpes est postérieur à la dis-
persion du terrain diluvien (Du Diluvium, etc., p. 16, Paris 1849).
SUR LE MONT SALÈVE. 127
1° La première des digues (!) que nous signalerons est celle
qui s'étend au-dessus de Thonon. Je ne la connais point, mais
M. Necker l'a décrite; ce dépôt s'élève à une hauteur de 585
mètres au-dessus du lac en s'appuyant sur le pied de la mon-
tagne de Mémise, et reposant à son origine sur le calcaire de
Meillerie; son épaisseur est d'environ 200 mètres. De là il
s'étend sur toute la rive méridionale du lac jusque près de Ge-
nève ; la Drance le traverse perpendiculairement à sa longueur
dans une profonde coupure.
20 Sur la rive opposée du lac de Genève on voit une col-
line à peu près semblable, c’est celle que l’on nomme la Côte
ou le Mont dans le canton de Vaud; elle est formée de dilu-
vium qui repose sur la molasse. Elle s'élève à 514 mètres au-
dessus du lac et offre moins que la digue précédente l'appa-
rence d’avoir été soulevée. mais elle est placée de manière à
ce que le lac compris entre Thonon et Rolle est, pour ainsi
dire, encadré entre deux hautes digues diluviennes.
3° La troisième localité où le terrain diluvien paraît avoir
été soulevé est située dans la vallée de l'Arve, au vieux chà-
teau de Faucigny, près Contamine. En arrière de ce village
se trouve une colline élevée qui appartient déjà à la base du
(1) Je me sers du mot digue de préférence à celui de moraine, car ce dernier
est aujourd'hui intimement lié à la théorie des glaciers, et quoique je pense que le
nombre des partisans de cette théorie s’augmente tous les jours, je veux cependant
que les faits que je signale ne soient liés à aucune idée préconçue. D'ailleurs on a
jusqu’à présent beaucoup discuté sur l’origine des blocs erratiques, mais on a peu
parlé de l’alluvion ancienne. Il ne faut donc lier à aucune théorie le peu d'observa-
tions qui ont été faites sur cet étage.
128 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Môle. Elle est en partie formée de molasse à gros grains, con-
tenant des traces de végétaux et de nombreuses empremtes
de coquilles. Lorsqu'on monte de Contamine au vieux château,
on voit que les vignes sont en grande partie placées sur ces
molasses, au-dessus se trouve le diluvium, formé de cailloux
roulés, calcaires et primitifs, fortement cimentés et identiques
à ceux de l’alluvion ancienne du bois de la Bâtie. J'ai estimé
qu'il devait avoir au maximum 150 à 200 pieds d'épaisseur,
et que sa partie supérieure était à 400 ou 500 pieds au-dessus
de la vallée. Ces bancs diluviens s'appuient sur le rocher cal-
caire qui supporte le vieux château de Faucigny.
4° Lorsqu'on a dépassé létroite coupure par laquelle le
Rhône traverse le Jura au Fort-de-l'Ecluse, on a à sa droite
une montagne qui porte le nom de Petit-Credo. Elle rejette
le Rhône contre le pied occidental du Vouache. Cette mon-
tagne n’est qu'un immense amas de terrain diluvien qui s’é-
lève à plusieurs centaines de pieds au-dessus du Rhône, qui
s'appuie au Nord sur la chaîne du Jura, et a l'air d’avoir
été relevé par cette chaîne. Cet amas est formé par des sables
et des cailloux roulés, irrégulièrement quoique nettement
stratifiés. On y voit aussi des blocs erratiques, mais il est dif-
ficile de savoir si ces deux genres de dépôts sont mélangés ou
superposés l'un à l'autre. Au-dessus du village de Vanchy, ce
diluvium repose sur la molasse, et, en parcourant ce pays, on
acquiert la certitude que la molasse avait été soumise à des
grandes dislocations et à des érosions avant que le diluvium
fût déposé.
Ce grand dépôt offre ici à un haut degré le caractère d’une
SUR LE MONT SALÈVE. 129
digue placée en arrière de la grande fente qui existe dans le
Jura. Trèes-élevé dans sa partie septentrionale près de cette
montagne, il s’abaisse en s'étendant au Sud, de manière à
être perpendiculaire à la direction du Rhône sous le Fort-
deEcluse. Il force ainsi ce fleuve à changer de direction et à
couler vers le Midi pour remonter ensuite au Nord.
Du côté opposé, sur la rive gauche du fleuve, il existe
une digue du même genre, mais moins prononcée, qui va
de l'Est à l'Ouest en commençant au Vouache, près du
château d’Arcine et s'étendant dans la direction du village
d'Eloise. Par conséquent le Rhône, après avoir traversé le
Fort-del'Ecluse, coule sur la molasse, mais se trouve encaissé
entre deux hautes digues diluviennes de la même manière que
le lac entre Thonon et Rolle. Ces amas sont d'autant plus
extraordinaires que le diluvium n'est point répandu dans
cette espèce de presqu'ile que forme le Rhône vis-à-vis de Bel-
legarde avant de couler du Nord au Sud, et qui se trouve à
un niveau inférieur à celui des deux digues dont nous avons
parlé.
5° Le dernier amas diluvien que j'aie à mentionner est celui
qui forme le mont de Sion, vaste colline placée à peu près
à trois lieues au sud de Genève et qui termine du côté du
midi la grande vallée Suisse en joignant le mont Salève au
Vouache et au Jura. Cette colline. qui s'étend de l'Est à l'Ouest,
est très-élevée contre la première de ces montagnes, et s'a-
baisse en se rapprochant des deux dernières. M. Godeffroy (')
(1) Notice sur les glaciers, les moraines, etc., Genève, 1840, p. 98, et Biblio-
thèque Universelle, fév. 1841.
TOM. X, Î'° PARTIE. 17
130 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
en parle avec assez détails et la regarde avec raison comme
entièrement formée de diluvium. M. Necker n’en dit que peu
de mots et renvoie au mémoire de M. De Luc (*), qui, lui-
même, ne parle guère que des nombreux blocs erratiques
répandus à la surface du sol. De Saussure dit, $ 433, que
cette colline est composée de bancs de grès recouverts à leur
surface de sable et de cailloux roulés. D’après lui, le point le
plus élevé du passage entre Leluiset et Frangy est à 837 pieds
au-dessus du niveau du lac. « Mais, ajoute-til, ce point,
=
« quoique le plus élevé de ce passage n’est pourtant pas le plus
« haut de tout le mont de Sion, car cette colline s'élève en
« s’'approchant de Salève contre lequel elle vient s'appuyer;
« elle arrive cependant à peine à la moitié de la hauteur du
« mont Salève.
« Au pied du mont de Sion, entre Leluiset et Saint-Julien,
« on à ouvert des carrières d’un gypse blanc strié qui se
« trouve là en couches minces à peu près horizontales, ren-
« fermées entre des couches d’argille. »
Les observations sont assez difliciles à faire au mont de
Sion à cause de la grande quantité de terre végétale; cepen-
dant j'ai réussi à m'assurer par moi-même de la composition
de cette montagne. Je savais qu'en général je ne pourrais ob-
server les molasses que dans le bas de la montagne, mais je
pensais que si je réussissais à trouver du côté du Midi des
(1) Mémoire de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève,
tome III, p. 169.
SUR LE MONT SALÈVE. 131
couches se relevant au Nord et du côté du Nord des couches
se redressant contre le Midi, je pourrais en conclure que le
mont de Sion est formé comme les autres collines de nos en-
virons, c’est-à-dire d’un noyau de grès recouvert par une
couche de l'étage diluvien cataclystique. Mais ce que j'ai vu
me porte à une toute autre conclusion; en effet, au-dessous
du village d'Andilly, au pied du revers méridional du mont
de Sion on trouve la molasse en couches horizontales, et j'ai
pu constater le même fait près du petit hameau de la Ravoire,
un peu à l’est du village de Vers, car là on voit aussi la
molasse en couches horizontales. Dans tout l’espace compris
entre ces deux localités, c’est-à-dire dans toute la traversée
de la montagne, on ne voit que du diluvium. Ne devient-il
pas évident alors que le mont de Sion n'est qu'une accumu-
lation de débris diluviens reposant sur un plateau horizontal
de molasse ?
Il y a cependant un fait dont il est difficile de rendre compte,
c'est que ce plateau horizontal de molasse est plus élevé que
la plaine de Genève.
Vers la partie la plus élevée de la route d'Annecy, près de
Saint-Blaise, se trouve une carrière de gravier. Le terrain \
est formé par des alternances de sable et de cailloux plus ou
moins aglutinés. Ces cailloux sont en général des grès et des
calcaires bleus, mêlés d’un petit nombre de roches primitives.
On y trouve aussi des couches de sable bien stratifiées, conte-
nant des strates très-minces d’un sable plus fin. Ces alter-
nances se répètent d’une manière plus ou moins régulière sur
une grande étendue. Cette séparation de grosseur dans ces
132 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
petits matériaux n’indique-t-elle pas un dépôt fait tranquil-
lement par une eau courante ?
On a trouvé quelques débris d'êtres organisés dans la for-
mation diluvienne des environs de Genève. Aïnsi je rapporte
à ce terram les deux défenses d'éléphant qui furent trouvées
près des bords du Rhône et sur lesquelles M. de Saussure a
donné une notice (!). L'une de ces défenses fut trouvée sur
la rive droite de lAllondon, près de son embouchure dans le
Rhône; l'autre gisait dans l'eau même du Rhône, sur la rive
gauche vis-à-vis d’Onex.
Le rédacteur de la Bibliothèque Britannique de 1796 émet
la singulière idée que ces deux défenses proviennent d'élé-
phants qui périrent lors du passage d’Annibal au travers des
Alpes. Cette opinion n'était pas neuve, car Stenon en 1669
avait voulu la soutenir pour les débris d’éléphants trouvés dans
le val d’Arno (°).
« Ce sont là, dit M. Necker (page 266). les seuls ossements
« peut-être vraiment fossiles ou appartenant à des animaux an-
« te-diluviens qui, à ma connaissance, aient été trouvés dans
« les terrains de transport diluviens entre le Jura et les Alpes. »
Ailleurs (page 375) le même auteur semble s'exprimer d’une
manière moins positive. « Et tant qu'on n'aura pas trouvé,
« ditl, près de Genève des restes plus nombreux, plus variés
«_ et appartenant à plusieurs espèces et à des espèces plus vrai-
(4) Bibl. Britanniq. Littérature. 1796, tome I, p. 661.
(2) Cuvier. Ossements fossiles, tome I, p. 89 (1821).
SUR LE MONT SALÈVE. 133
« ment caractéristiques des terrains diluviens proprement dits,
« le passage d’Annibal tendra toujours à jeter un grand doute
« sur l'origine ante-diluvienne de ces deux défenses. » Puis,
pour prouver que les défenses peuvent appartenir à des ani-
maux carthaginois, il dit que « l'on trouve dans les tour-
« bières des montagnes d’Ecosse et des îles Hébrides des armes
« et des monnaies romaines, tandis qu'il est démontré que ja-
« mais un seul Romain n’a pu mettre le pied dans ces con-
« trées. »
Le raisonnement ne nous paraît pas très-concluant. Pour
nous, nous croyons que les deux défenses d’éléphant doivent
être rapportées à l’époque du diluvium, c’est-à-dire à un temps
antérieur à la création de l'homme, et ceci nous est évidem-
ment prouvé parce que non-seulement Annibal n'est jamais
venu à Genève, mais surtout parce que les dents trouvées
dans nos environs ne sont pas les seuls ossements qui aïent
été découverts dans la formation qui nous occupe :
1) On conserve au musée de Fribourg en Suisse une dé-
fense trouvée à une profondeur d'environ 15 pieds dans le
terrain de gravier (alluvion ancienne) que l'on a excavé pour
l'établissement du premier des ponts de fil de fer de cette
ville.
2) Dans les tourbières de la ville d’Yverdon dans le canton
de Vaud, on a trouvé le bois d’un cerf d’une espèce perdue.
3) À Arau, M. le professeur Fleischer dirigea des fouilles
et trouva dans une terre argileuse qui paraît devoir être rap-
134 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
portée au limon d’attérissement, de nombreuses défenses ainsi
que d’autres os appartenant à des éléphants (1).
4) Les grands ossements découverts à Lucerne en 1577 et
que lon prit pour des os de géant appartenaient à un élé-
phant (2).
5) À Zurich on découvrit aussi un de ces prétendus
géants (°).
6) Cuvier cite des ossements qui ont été trouvés aux vil-
lages de Hertin et de Mutterz, près de Bâle et de Rhemfeld.
7) M. Gressli, dans son mémoire, mentionne une dent d’é-
léphant comme ayant été trouvée dans des amas sablonneux
diluviens sur les sommités de la Wasserfallen, montagne si-
tuée dans le canton de Soleure sur les frontières bâloises. Il
indique d’autres débris d’éléphants à Dorneck dans des Jimons
diluviens, il dit qu'à Soleure on a découvert un éléphant en-
tier, et que les musées de Bâle, de Porrentruy et de Neu-
châtel possèdent des débris d’éléphants recueillis dans ces can-
tons (+).
8) Dans le bassin de la Chaux-de-Fond, M. Nicolet a trouvé
une défense d’éléphant associée à d’autres ossements de grands
animaux (5).
(4) Actes de la Soc. Helvétiq. des Sc. Nat. Neuchâtel, 1857, p. 95. — Fri-
bourg, 1841, p. 202.
(2) Cuvier. Ossements fossiles, 1821, tome I; p. 115.
(5) Cuvier. Ossements fossiles, 1821, tome I, p. 114.
(4) Observations géologiques sur le Jura soleurois, p. 521, 523.
(5) Mém. de la Soc. d'Hist. Nat. de Neuchâtel, tom. Il.
SUR LE MONT SALÈVE. 135
Au-delà du Rhin on trouve une immense quantité de ces
débris. D'ailleurs tout le monde sait que la dispersion des osse-
ments d'éléphant est un phénomène qui s'étend non-seule-
ment dans toute l'Europe, mais encore dans toutes les parties
du monde.
Ce que Cuvier disait en refutant l'opinion que les osse-
ments d’éléphant de certaines portions de l'Italie avaient ap-
partenu à des animaux amenés par les Carthaginois, nous pou-
vons le dire à plus forte raison des défenses trouvées dans nos
environs, puisque Annibal n’a passé qu'à 12 ou 14 lieues
de Genève. « Mais on doit dire ici, comme dans toutes les oc-
« casions semblables, ajoute l’illustre auteur des Recherches
« sur les ossements fossiles, qu’un fait aussi général que celui
« des os fossiles d’éléphant n’admet pas d'explications parti-
« culières. »
On a trouvé en outre quelques autres ossements fossiles
dans le diluvium de nos environs. Ainsi M. Th. de Saussure
a recueilli dans sa campagne de Chambeisy un fragment de
bois de cerf fossile (1) qui ne peut provenir que de la forma-
tion diluvienne, et une dent de cheval a été découverte à la
Cuisine, près de Frontenex dans du gravier.
Un mélange de petits ossements d'animaux très-voisins de
ceux de l’époque actuelle a été trouvé dans plusieurs localités,
entre autres à Mattegnin, village situé à deux lieues au nord-
ouest de Genève, et au Plan-les-Ouates, entre Genève et Saint-
(1) Actes de la Soc. Helvét. des Sc. Nat. Neuchâtel, 1837, p. 117.
136 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Julien; dans ces deux localités les os ont été recueillis dans des
carrières d’alluvion ancienne exploitées pour l'entretien des
routes. Ils étaient mêlés avec les pierres et le sable qui for-
ment le terrain et placés à plusieurs pieds au-dessous de la
surface du sol. La stratification irrégulière du gravier étant
dans ces deux localités à l’état normal, l'idée que ces os avaient
été enfouis à une époque postérieure au dépôt de l'alluvion
ancienne, ne peut arriver à l'esprit de personne ayant visité ces
localités.
Les ossements découverts dans les carrières ouvertes au
pied du Salève, près du village de Veyrier ne doivent pas être
rapportés à la même époque, puisqu'on a trouvé parmi eux
des traces du travail de l’homme.
Le musée de Genève possède une collection de ces singu-
liers corps cylindriques, subglobuliformes, etc. dont M. Necker
parle (p.257). Ils proviennent des environs du village d’Onex,
et fort probablement du terrain diluvien cataclystique. Par
leurs formes bizarres, ils rappellent un peu ceux qui ont été
décrits sous le nom de Pierre d'Imatra en Finlande (1) dont on
a trouvé les analogues en Suède et aux Etats-Unis (°).
Après avoir fait cette longue digression sur le diluvium de
notre vallée, revenons maintenant à celui du mont Salève.
L’alluvion ancienne, ainsi que le limon d’attérissement, man-
que complétement sur cette montagne, mais on y voit de
(1) Mémoires de l’Académie de St.-Pétersbourg, VI° série, Sciences Natu-
relles, tome II, p. 297.
(2) Hitchcock. Géologie du Massachussetts.
SUR LE MONT SALÈVE. 137
nombreux blocs erratiques. Toutes les années leur nombre di-
minue car on les exploite pour différents usages (1).
On trouve parmi eux, comme on le sait, une grande variété
de roches, telles que des gneis, des micaschistes, des schistes
talqueux ou chloriteux, mais les blocs de protogine sont de
beaucoup les plus abondants. Tous ces blocs erratiques sont
répandus principalement sur le flanc du Salève du côté des
Alpes. Cependant, dans les endroits de la montagne où la
pente du côté de l'Ouest n’est pas trop roïde, on trouve aussi
de ces blocs; par exemple au-dessus de l'Hermitage, au Petit-
Salève, et là cependant la pente est si rapide qu'on à de la
peine à comprendre pourquoi ils se sont arrêtés dans cette
position et pourquoi ils n’ont pas roulés dans la plaine,
d'autant plus que plusieurs de ces blocs sont arrivés avec
une force assez grande pour se briser, car on en voit qui sont
complétement partagés par une fente n'ayant que deux ou trois
pouces de largeur (2).
M. De Luc cite au Salève un bloc ayant 14,000 pieds cubes;
c'est le plus considérable de cette localité, mais on sait qu’à
Neuchâtel et à Monthey il y en a qui ont 45,000 et 50,000
pieds cubes.
Les points où les blocs sont les plus abondants sont: le flanc
sud-est du Petit-Salève, vis-a-vis de la vallée de l'Arve, de-
(4) Le piédestal de la statue de Rousseau est fait de l'un de ces blocs pris
dans les environs de Mornex.
(2) Sur la pente du côté des Alpes on voit aussi un de ces blocs fendus au-dessus
de la colline du château de Mornex.
TOM. X, 1° PARTIE. 18
138 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
puis les bords de cette rivière au-dessus et au-dessous du vil-
lage de Mornex, jusque dans la vallée de Monetier, près de
l'Hermitage; sur la pente du Grand-Salève, du côté des Alpes
au-dessus d'Essert et de la Mure; enfin on en voit au som-
met de la même montagne et près du hameau de la Croisette.
Depuis ce hameau jusqu’au-delà des Pitons on ne rencontre
aucun bloc, mais on en trouve de nouveau au-delà de ces
sommités, à l'endroit où la montagne commence à s’abaisser
d’une manière notable; le plus élevé de ces blocs est formé de
véritable granite. Au-dessus de Cruseilles les blocs sont as-
sez abondants, sans être d’un très-gros volume. Au delà des
Usses, dans les environs des villages de Choisy et de Sillngy ,
on voit quelques petits blocs primitifs, mais ils sont en gé-
néral rares. Dans le lit du Fier à Brogny, on en trouve quel-
ques-uns , et parmi les cailloux j'ai cru reconnaître le gneiss
porphyroïde de Cevin en Tarentaise (”).
On a indiqué aux environs de l’Hermitage des roches errati-
ques comme exemple de blocs perchés (?), mais ce mot ne peut
s'appliquer à ces blocs qui étant placés sur une pente rapide ne
paraissent perchés que lorsqu'on les voit de bas en haut, d’au-
tant plus qu'ils ne sont élevés au-dessus du sol que d’un seul
côté et seulement de quelques pouces. Pour comprendre la posi-
tion de ces blocs il faut en chercher la raison dans les actions
(1) On pourra peut-être arriver à prouver que le mont de Sion n’est que le
reste d’une moraine médiane située, dans des temps fort reculés, entre les gla-
ciers du Rhône et de l’Arve réunis, et le glacier de la Tarentaise.
(2) Agassiz. Etudes sur les glaciers.
SUR LE MONT SALÈVE. 139
réunies de l'eau et de la gelée sur la roche. C’est ce que
prouve avec la dernière évidence un bloc situé au-dessus
de Mornex. En effet on voit qu'autrefois il était placé sur un
piédestal haut d'environ deux pieds, et que ce support ayant
diminué de largeur cette roche est tombée, cependant elle
s'appuie encore sur lui. Il faut expliquer ce fait de la même
manière que la formation des tables sur les glaciers et croire
qu'un grand bloc met à l'abri le rocher qui le supporte, de
même que la glace est garantie par les gros débris qui sont
à sa surface. Les agents atmosphériques attaquent et abaiïs-
sent la surface du terrain autour du bloc, et à la longue ce-
lui-ci reste supporté par une petite colonne. Le piédestal du
bloc de Mornex est formé par le poudingue inférieur à la mo-
lasse.
L'action des agents atmosphériques et surtout celle des
eaux est très-grande même sur les roches de calcaire compacte,
et si l’on parcourt la localité appelée le Mont par les habi-
tants de Monetier, on verra que les roches formées du calcaire
blanc néocomien de la première zone de Rudistes sont cou-
vertes de profonds sillons s'étendant dans le sens de la plus
grande pente. Si ce calcaire est ainsi altéré, le poudingue de
la molasse le sera bien davantage.
Ceci nous amène naturellement à parler des érosions que
présentent différentes parties du mont Salève. Elles sont de
deux espèces; celles qui sont placées sur les parois verticales
de la montagne et celles qui sont sur des surfaces plus ou
moins horizontales. Quant aux premières, de Saussure les
décrit ($ 55, 221 et suiv.} et les regarde comme étant des
140 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
preuves d’un grand courant diluvien. Elles prennent quel-
quefois la forme de grands sillons dont les plus remarqua-
bles sont : les Roches de lHermitage, la Balme du démon
au Petit-Salève et la cavité que l'on voit le long du sentier
qui descend par la Petite-Gorge pour arriver à la Pierre-du-
Midi au Grand-Salève (!). Ces sillons sont tous dans le plan
des couches de la montagne et sont évidemment produits par
les eaux qui filtrent au travers des roches et par les gelées;
en 1839, il s'est détaché un fort gros bloc du toit des voutes
de l'Hermitage et Yon voit maintenant plusieurs parties de ce
même {oit qui sont sur le point de tomber.
Si l’on a cru que ces sillons avaient été creusés horizontale-
ment dans la montagne, c'est que la désagrégation qui les
forme n’a lieu que dans la tranche de certaines couches et
que ces couches viennent aflleurer à peu près horizontale-
ment.
De Saussure parle aussi de grandes cavités dont les plus
remarquables sont placées au-dessus du Pas-de-l'Échelle,
mais ces cavités ont la même origine que les sillons, et ni l'un
ni l'autre de ces deux genres d’érosion ne sont dûs à un cou-
rant: {1° parce que les cavités sont tournées dans différents
sens, comme le dit de Saussure lui-même; 2° parce qu'elles
sont identiques avec des cavités qui se trouvent dans l'inté-
rieur de la chaîne du Jura, lesquelles sont quelquefois placées
de manière qu'il est impossible de supposer qu'elles aient été
(4) De Luc. Journal de Physique. An 8, p. 519.
SUR LE MONT SALÈVE. 141
creusées par un courant; 3° si ces cavités avaient été creusées
par un grand courant, elles offriraient un certain poli que l'on
ne voit dans aucune (‘); 4° en les observant attentivement,
on voit que leurs parois sont formées de petits morceaux de
calcaire fendillés et tenant peu les uns aux autres. Ils tombent
pour ainsi dire journellement.
Nous avons longuement insisté sur la formation des cavi-
tés et des sillons, parce qu'ils ont été souvent cités comme
une des bases de la théorie des courants diluviens, ou en fa-
veur de celle des glaciers, et qu'il nous semble de quel-
que importance de prouver qu'ils sont de l'époque actuelle.
Quant aux érosions qui se trouvent sur des surfaces plus
ou moins horizontales telles qu'on en voit sur le sommet des
Pitons, je pense qu'elles doivent leur origine principalement
aux eaux de pluies qui ont une grande action sur ces sommi-
tés élevées et presque complétement dépouillées de végétation.
Ce que nous avons dit sur les érosions dans le calcaire du Mont
est tout à fait en faveur de cette opinion. C’est probablement
à cause de cette action de l'atmosphère et du manque de vé-
gétation, que l'on trouve si peu de roches polies sur le mont
(1) I ne faut point dire contre cette objection que le poli de la roche a été
effacé par le temps. Car quelque soit l’origine des roches polies ou laves du Jura,
elles ont résisté aux influences atmosphériques. Il en est de même du poli que
présentent certaines cavernes à ossements, par exemple celle del Griffone près
de Palerme, dont la plus grande partie des parois est parfaitement polie. Les
roches du Jura et celles del Griffone offrent à peu près les mêmes caractères
minéralogiques que celles du Salève, par conséquent si celles-ci avaient jamais
été polies, elles en conserveraient encore des traces.
142 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Salève; en effet je ne connais que deux localités où l'on
puisse en voir; l'une près de Mornex sur le chemin de Mo-
netier, l’autre sur la rive droite des Usses, près du pont de la
Caille.
La disposition et la nature des blocs erratiques dans la par-
tie septentrionale du mont Salève, ainsi que la situation de
cette montagne, prouvent que ces blocs proviennent des
chaînes primitives placées dans la partie supérieure de la val-
lée de l'Arve; car on voit qu'ils sont dispersés sur la pente
des montagnes de la rive gauche de l'Arve, presque sans in-
terruption depuis les hautes Alpes jusqu’au Salève.
I n'y a cependant aucun doute qu'une partie des blocs
répandus dans les environs de Genève, sont arrivés par
la vallée du Rhône, et les grands blocs d'Euphotide qui sont
placés de distance en distance dans cette vallée, depuis les
montagnes de la partie méridionale du Valais jusqu’au lac
de Genève, sont restés là comme des jalons pour marquer le
chemin qu'ils ont parcouru. S'il était possible de découvrir la
limite entre les formations diluviennes de la vallée du Rhône
et de la vallée de l’Arve, on aurait un élément fort important
pour décider l'origine de ces amas de débris.
Quant à l'époque du transport des blocs erratiques,
M. Necker dit, en parlant de la cause de leur dispersion, que
«rien ne nous autorise, du moins dans la manière actuelle
« d'envisager le phénomène, à croire qu'elle ait agi postérieu-
« rement à la dernière des grandes révolutions géologiques
« qui ont modifié la surface du globe. »
Nous ne savons pas exactement quel est le rapport qui
SUR LE MONT SALÈVE. 143
existe entre le diluvium des environs de Genève et le soulè-
vement des Andes. Mais parmi les nombreuses raisons que
lon peut alléguer pour prouver que ce diluvium est posté-
rieur à la dernière révolution qui a donné le relief actuel au
Mont-Blanc et au Jura les deux suivantes m'ont particulière-
ment frappé.
1° Les blocs erratiques font partie de l'étage diluvien
cataclystique qui recouvre les collines de molasse. Les col-
lines existaient donc avant l’arrivée du limon d’atterrisse-
ment et la dispersion des blocs erratiques. La formation
de ces mêmes collines étant intimément liée avec le der-
nier soulèvement des Alpes occidentales, il en résulte évi-
demment que le diluvium est postérieur à ce soulèvement.
20 Si les blocs erratiques avaient été dispersés avant le
dernier soulèvement du Jura, ils ne seraient point disposés
sur les flancs de cette chaîne de la même manière qu'ils le sont
aujourd'hui; c'est-à-dire que les rapports qui existent entre
ces blocs et la configuration du sol seraient différents.
CHAPITRE IX.
STRUCTURE DU MONT SALÈVE.
Nous avons déjà donné quelques détails sur la configura-
tion du mont Salève, mais il est certains faits que nous n’a-
vons pas voulu mentionner avant d’avoir distingué les forma-
tions qui entrent dans la composition de cette montagne.
144 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Nous avons dit que les couches qui forment le mont Salève
sont parallèles entre elles (p. 59). Mais ce fait vrai d’une
manière générale ne l’est plus lorsqu'on vient à faire des ob-
servations de détails. En effet dans la Grande et dans la Pe-
tite-Gorge, mais particulièrement dans cette dernière, on
voit que la formation Jurassique s'élève comme un immense
pilier formé de couches horizontales, tandis que les étages
néocomiens ont été soulevés et comprimés de manière à pren-
dre une forme doublement recourbée, a peu près comme une
S peu contournée (PI. L, fig. 2 et 3). La partie supérieure
de l'S repose sur les couches presque horizontales de la for-
mation Jurassique, et constitue une véritable discordance de
stratification entre les deux formations. Cette observation
peut se faire facilement à l'endroit nommé l'Échelle-de-Jacob
(Petite-Gorge); on y trouve toutes les différentes couches de
néocomien dans l’ordre que J'ai indiqué, mais leur épaisseur a
considérablement diminué, car elles ont été fortement com-
primées. Cette forme du néocomien est surtout remarquable
dans les couches inférieures, à mesure qu'elles s’éloignent
du jurassique, elles paraissent reprendre de plus en plus
leur position naturelle et leur inclinaison vers les Alpes.
Les Gorges ne sont pas les seuls endroits où l'on trouve des
anomalies dans la stratification des couches du Salève; ainsi
lorsque de Monetier on monte au Grand-Salève en suivant
le grand chemin, on arrive bientôt à un tournant très-aigu
que forme cette route en changeant de direction. Près de ce
point on voit que les roches ne sont plus en couches horizon-
tales, mais qu’elles sont ondulées; et dans le voisinage de l'es-
SUR LE MONT SALÈVE. ; 145
carpement de la montagne, elles se relèvent de 13° à 20° du
côté de Genève. Un peu plus haut que le tournant dont nous
avons parlé, le terrain jurassique arrive à un horizon plus
élevé que le néocomien. C’est le même fait que celui que j'ai
signalé dans les Gorges; ici des broussailles et des bois empé-
chent de bien voir l'arrangement des couches, mais le néoco-
mien ne paraît pas recourbé par le pilier jurassique formé de
couches horizontales. Dans cette localité on voit très-bien
aussi la ligne sur laquelle à eu lieu le frottement entre les cou-
ches néocomiennes et jurassiques pendant le soulèvement de
la montagne, c'est une fente qui a été comblée par des frag-
ments des deux terrains, c’est-à-dire par des débris de calcai-
res réunis dans une pâte calcaire ferrugineuse.
Le terrain jurassique paraît donc beaucoup plus élevé du
côté de notre vallée qu'il ne l’est réellement dans l’intérieur de
la montagne. La facade du Salève. s’il est permis de se servir
de cette expression, est presque entièrement jurassique.
Les dislocations dont nous venons de parler ont une origine
commune, elles prouvent que le maximum d'intensité de la
force soulevante à eu lieu sur une ligne droite passant sous la
base du Salève du côté de Genève et que dans ce soulèvement
les couches s'étant rompues, il n’y a eu que la portion Sud-Est
du sol qui se soit considérablement soulevée, tandis que la
portion Nord-Ouest ne l’a presque pas été. Si cette rupture n’a-
vait pas eu lieu, Salève aurait la forme d’une voute et offrirait
du côté de notre vallée une pente semblable à celle qu'il pré-
sente du côté des Alpes.
TOM. X, 1'© PARTIE. 19
126 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
CHAPITRE X.
RÉVOLUTIONS DU SOL DES ENVIRONS DE GENÈVE.
Cherchons maintenant à nous retracer les phénomènes qui
se passèrent avant la création de l’homme dans la petite por-
tion du globe qui actuellement forme la vallée de Genève, et
cherchons à les déduire et à en découvrir la succession uni-
quement d’après les détails que nous avons donnés dans ce
mémoire.
Commençons par récapituler les faits qui doivent nous servir
de fils conducteurs dans l'histoire de ces gigantesques révolu-
tions.
Les terrains secondaires jurassiques forment un grand bassin
qui s'étend du Jura au Salève, il est recouvert en quelques en-
droits par le terram néocomien qui, au sommet de la dernière
de ces montagnes, est en stratification discordante avec le
terrain Jurassique. Les molasses appartenant à l'époque ter-
tiaire sont généralement horizontales; cependant elles sont re-
dressées contre la base des montagnes qui entourent la plaine
de Genève, et, dans l’intérieur même de cette plaine, elles ont
éprouvé des dislocations qui ont donné naissance aux différents
coteaux de Cologny, de Chambeisy, de Bernex, de Monthoux,
etc.
Au-dessus de ces molasses, se trouve le grand dépôt de l'al-
luvion ancienne qui s'étend horizontalement et qui n'est re-
dressé ni contre les coteaux ni contre contre les montagnes.
SUR LE MONT SALÈVE. 147
Enfin le terrain diluvien cataclystique recouvre une grande
partie de la plaine, et, comme il est supérieur à l'alluvion an-
cienne, il ne peut ‘pas avoir été redressé. Cependant il s'étend
sur le sommet des coteaux, et ses blocs erratiques se trouvent
jusque sur les sommités du mont Salève.
Il faut remarquer, et ce n’est point sans intérêt, que l’allu-
vion ancienne ne se trouve point au sommet des coteaux ter-
tiaires, et que ces derniers terrains ne recouvrent jamais la
partie supérieure des montagnes secondaires.
Ce que nous venons de dire nous permet maintenant de
démontrer l’existence de plusieurs périodes bien limitées.
Dans la première période de tranquillité notre pays était
recouvert par un océan qui s'étendait au loin et qui déposait
la formation jurassique, c’est-à-dire les roches qui forment au-
jourd’hui la plus grande partie du Jura, et celles de la partie
inférieure du Salève. Ces deux montagnes n’existaient pas, et
le sol placé alors dans le fond de la mer était probablement
horizontal. Cet océan avait une étendue immense, ses limites
sont encore inconnues. Cependant M. Elie de Beaumont a tracé
sur une carte la distribution des terres et des mers dans l'Eu-
rope occidentale, à cette époque (*). Cette mer contenait de
nombreux animaux, tels que des Ichtyosaurus, des Plesiosau-
rus dont on n’a trouvé aucun débris dans notre pays, mais
qui sont fort communs en France, en Angleterre et en Alle-
magne (*). Tous ces animaux ne vivaient pas en général à
(4) Cours élémentaire d'Histoire naturelle. Géologie par Beudant, p. 241.
(2) On en a trouvé, dit-on, dans le département de l’Ain.
148 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
une grande distance du rivage, et leur absence s'accorde
avec l'opinion que nos environs étaient alors au fond d’une
mer étendue et profonde peuplée d’une petite quantité d'êtres
organisés.
Lorsque le terrain jurassique fut déposé, les limites de l'o-
céan changèrent, ainsi que la nature de ses dépôts. et, par
une action encore complétement inconnue, un grand nombre
d'animaux disparurent de la surface du globe et furent rem-
placés par des animaux nouveaux. Le relief d'une partie de
l'Europe changea, mais la plaine de Genève ne fut point
émergée, elle était destinée à rester encore longtemps sous
les eaux. Salève avait pourtant reçu un commencement de for-
mation, c'était alors une grande colline au fond de la mer,
dont le sommet ne s'élevait pas jusqu’à la surface des eaux (”).
Lorsque, après ce soulèvement, le globe fut retombé dans
un état de tranquillité, la mer se peupla d'animaux de for-
mes variées et nombreuses dont nous trouvons les débris
dans la formation néocomienne. Les nouveaux dépôts qu'elle
forma s’étendirent sur toute la surface du mont Salève qui
n'était pas encore émergée. L'étendue de l'océan néocomien
était immense, mais cependant son rivage n'était pas très-
éloigné de nous du côté du Nord, car nous le trouvons dans
les environs de la ville de Bienne. Aussi le terram qu'il a dé-
posé présente-t-il un caractère beaucoup plus littoral à Neu-
châtel qu'au Salève, et cependant, dans ce dernier endroit, il
(1) Ceci nous est prouvé par la discordance de stratification entre le terrain
néocomien et le terrain jurassique.
SUR LE MONT SALÈVE.- 149
offre une apparence moins pélagique que le terrain jurassique
ne l’offrait dans la même localité à une époque antérieure.
Nous avons dit plus haut qu'il s'était opéré un changement
de niveau dans le sol à cette époque, et nous sommes disposés
à le croire par les considérations suivantes : 1° la différence
que l’on trouve entre les débris des êtres organisés du néo-
comien inférieur et ceux de la première zone de Rudistes, im-
dique un changement dans l'état de la mer; 2 les modifica-
tions éprouvées par la faune d’une époque sont en général liées
à des changements dans le relief des continents; 3° ce chan-
gement n’a pas été brusque, puisque ces deux terrains sont
en stratification concordante partout où l’on peut les observer;
4° enfin, le rivage du néocomien inférieur est placé beaucoup
plus au Nord que celui de la première zone de Rudistes.
L'ensemble de ces raisons et ce que nous avons dit précé-
demment nous porte à croire que, pendant que la mer néo-
comienne occupait notre pays, il y avait un exhaussement fort
lent dans le sol, qui-tendait à repousser au Midi le rivage
septentrional de cette mer.
Ici finit la seconde période de tranquillité et commence la
seconde époque de soulèvement. La configuration du globe fut
de nouveau changée. Salève fut alors soumis à un nouveau
soulèvement, et, cette fois, sa cime en forme de voute s’éleva
à peu près sur toute son étendue au-dessus des eaux (pl. I,
f. 1) (). Par conséquent, dans toute la durée de la troisième
(1) Cette révolution sépara le terrain crétacé des terrains tertiaires. Nous avons
dit que la première de ces formations se retrouve au sommet de Salève, ce qui
150 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
époque de tranquillité pendant laquelle se déposaient les mo-
lasses, Salève présentait l'aspect d’une île étroite et allongée,
entourée de tous les côtés par les eaux et habitée par la race
de Pachidermes dont on a trouvé un débris à Mornex. Les vé-
gétaux de cette époque étaient des chamerops dont nous pos-
sédons de nombreux restes, et qui peuvent nous donner une
idée du climat de nos environs dans ces temps reculés. La
gorge de Monetier n'existait pas alors ou était assez élevée
au-dessus des eaux pour que celles-ci n’y déposassent aucun
attérissement, car on ne trouve point de molasse dans cette
petite vallée. Si, contrairement à ce que je pense, on arrivait
à trouver que le fond de ce vallon est recouvert de molasse, ce
serait une preuve évidente que pendant cette époque le Grand
et le Petit-Salève formaient deux îles qui n'étaient séparées
que par un détroit de peu de largeur.
C'était à l’époque du dernier soulèvement dont nous avons
parlé, et antérieurement à l’époque tertiaire qu'il faut placer
la formation du terrain sidérolitique. Il fut, à ce que l'on croit,
déposé par des eaux Jjaillissantes qui amenaient avec elles des
sables, des marnes, des matières ferrugmeuses, et qui corro-
daient les roches calcaires qu’elles traversaient. Elles firent
irruption sur la plus grande ‘partie du Salève. Elles laissè-
rent aussi de nombreuses traces de leur passage le long du
indique que cette montagne était sous les eaux qui la déposaient ; mais nous avons
dit aussi que le terrain tertiaire manque dans la partie élevée de cette montagne ;
il est donc évident que le Salève a été émergé à la fin du dépôt du terrain crétacé
et au commencement des dépôts tertiaires.
SUR LE MONT SALÈVE. 151
pied du Jura, et particulièrement au coteau de Divonne.
La molasse rouge se déposa au commencement de cette
époque en recouvrant le néocomien qui alors formait le fond
du bassin dont l’un des bords était le Salève et l’autre le Jura.
Elle fut recouverte par la molasse d’eau douce. Il manque en-
core à l'histoire des terrains tertiaires de notre pays de con-
naître les phénomènes qui déterminèrent les changements de
nature qui eurent lieu dans les eaux, et qui firent qu'elles dé-
posèrent successivement la molasse rouge, la molasse d’eau
douce et le grès marin.
Pendant cette période, notre vallée n’avait point l'apparence
qu'elle présente maintenant, car elle était couverte par les
eaux. Le Salève, le Jura et le Vouache formaient déjà les bords
de notre bassin, sans avoir cependant la hauteur qu'ils ont
à présent. Le mont de Sion n'existait pas, et les eaux s’éten-
daient jusqu'aux environs de Rumilly, d'Aix et d'Annecy, et
peut-être au-delà.
Le fond de la vallée était à peu près horizontal, aucun des
coteaux qui s'élèvent aujourd’hui entre le Salève et le Jura
n'existait encore, et la molasse, à mesure qu'elle se déposait,
s’'étendait en couches horizontales au pied des montagnes.
Nous avons dit que ces couches sont aujourd’hui redressées
contre ces masses secondaires; il est donc évident que les mon-
tagnes contre lesquelles elles s’appuyent ont éprouvé un sou-
lèvement. C'est alors que Salève prit la configuration que nous
lui voyons maintenant. La force soulevante agit sur une ligne
droite passant par la base du mont Salève du côté de notre
vallée, ce qui donna lieu à la façade abrupte qu'il présente
152 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
et à la position des couches verticales qui sont appuyées contre
elle. L'existence des sources minérales d'Aix, de Cruseilles et
d'Etrembières, qui sont placées sur la ligne que je viens d’in-
diquer ou sur son prolongement, confirme l’idée qu'il se fit là
une profonde dislocation dans le sol. Ce mouvement à été le
dernier qui ait agi sur la surface de notre pays, il correspond
au dernier soulèvement qu'éprouva la portion occidentale de
la chaîne des Alpes.
En même temps que le mont Salève s’éleva à la hauteur
où nous le voyons aujourd’hui, les coteaux de Monthoux, de
Cologny, de Chambeisy, de Bernex, etc., s'élevèrent au-dessus
de la plaine. Ces collines devaient paraître alors beaucoup
plus élevées que maintenant, parce qu'étant composées de
roches très-tendres, elles ont dû considérablement s’abaisser
pendant l'immense laps de temps qui s'est écoulé, et parce
que le puissant dépôt du terrain diluvien n’était point encore
venue remplir les dépressions qui les séparaient et former la
plaine actuelle. Je crois qu'il est assez généralement admis qu’à
cette époque le sol entier du continent européen s’'exhaussa
au moins dans la partie voisine des Alpes, ce qui éloigna pour
toujours la mer de notre pays.
Pendant la quatrième période de tranquillité dont la durée
fut immensément longue, avant que le diluvium vint se ré-
pandre à la surface du sol (!), la configuration de notre vallée
(4) Entre le dernier soulèvement qui se fit sentir dans notre vallée et l’arrivée
du terrain diluvien, il faut placer, d’après la théorie de M. Elie de Beaumont, le
dépôt du terrain tertiaire supérieur et le soulèvement des Alpes orientales, mais
SUR LE MONT SALÈVE, 153
devait avoir quelque rapport avec celle qu’elle présente au-
jourd'hui (PL I, fig. 2); car, ainsi que nous l'avons dit, le Sa-
lève et le Vouache existaient, le Jura avait aussi sa configu-
ration actuelle, les coteaux étaient déjà placés çà et là dans la
plaine que ces montagnes limitent et les rivières devaient avoir
à peu près la même direction qu'elles ont aujourd'hui.
L'existence du Rhône peut être contestée au moins pour une
partie de cette longue période, car le passage de ce fleuve au
travers de notre vallée est lié avec le soulèvement des Alpes
orientales. Or si le soulèvement de cette chaîne a eu lieu posté-
rieurement à celui des Alpes occidentales, comme le veut M.
Élie de Beaumont, et en supposant qu'il soit arrivé au milieu de
la période dont nous nous occupons, il est fort probable que le
Rhône n'existait pas pendant la première moitié de cette pé-
riode et que les eaux de la région placée à l'extrémité orien-
tale du Vallais se jetaient dans une mer qui occupait à peu
près la place de l’Adriatique. D’après d’autres géologues, les
Alpes orientales ne furent point soumises à des soulevements
différents de ceux qu'éprouvèrent les Alpes occidentales, et
suivant ce système, le Rhône devait avoir à cette époque à
peu près le même cours que celui qu'il suit aujourd'hui.
L’Arve coulait certainement dans la vallée qu’elle arrose
maintenant et autour de la base septentrionale du Salève, car
le coteau de Monthoux l'empéchait d'étendre son lit et comme
je passe sous silence ces deux événements, on n’en retrouve point de trace
dans nos environs, et je ne pense pas qu’ils aient influé sur le relief de notre
pays.
TOM. X, 1° PARTIE. 20
15% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
à présent elle quittait notre vallée en traversant la coupure
du fort de l'Écluse.
La Menoge qui prend sa source dans la vallée de Boëge de-
vait amener à l’Arve un puissant affluent.
Les eaux provenant du contrefort de molasse qui s'élève
contre Salève au-dessus d'Archamp et qui aujourd’hui suivent
le cours de l'Aïre se réunissaient à l'Arve, soit en passant à
l'est du cotéau de Bernex qui les jetait dans le cours actuel de
l'Aire, soit au contraire en coulant à l’ouest de ce même co-
teau, et dans cette dernière supposition elles venaient se
confondre avec le cours que la Laire suit maintenant.
On pourrait faire des raisonnements à peu près semblables
sur les petites rivières qui descendent du Jura.
De gros blocs et des cailloux roulés de molasse placés des-
sous le diluvium et visibles surtout au pont de la Menoge sur
la route de Bonneville, attestent que cette époque fut longue
et que les érosions qui se formerent pendant ce temps furent
grandes.
Enfin la dernière révolution qui eut lieu dans notre vallée
et qui acheva de lui donner son aspect actuel, est celle qui
répandit le terrain erratique dont quelques géologues trouvent
l'origine dans les glaciers et d’autres dans l’action des eaux.
Le dépôt de l'alluvion ancienne est différent de celui de lé-
tage diluvien cataclystique, car il lui est inférieur et il ne re-
couvre Jamais les collines de molasse, peut-être même lui est-
il fort antérieur. Ces étages se distinguent encore, comme
nous l'avons déjà dit, par leur composition et par les raies
placées à la surface des cailloux du diluvien cataclystique.
SUR LE MONT SALÈVE. 155
Ces deux dépôts sont cependant tellement liés, que sans avoir
positivement la même origine, ils se rattachent peut-être au
même phénomène, Je ne veux point m’arrêter ici sur leur for-
mation, elle est pour ainsi dire journellement discutée pat les
plus grands géologues de notre époque et je pense que dans
peu d'années la question sera entièrement résolue. C’est au
temps de leur origine que s’accumulèrent ces immenses amas
de débris qui forment les grandes digues diluviennes que nous
avons signalées plus haut.
D’après les études les plus récentes que quelques géologues
ont faites des blocs erratiques, il est probable que notre val-
lée fut couverte d’une couche de glace qui la comblait entière-
ment et qui s'élevait jusqu’à la partie supérieure du Salève.
C’est au refroidissement qui produisit ces glaces que l'on rap-
porte la destruction des éléphants dont on trouve les débris
dans le diluvium. Mais nous devons dire que cette théorie des
glaciers est encore vivement contestée (1).
Ici l’on doit placer l’origine de ce calcaire d’eau douce connu
sous le nom de greube, que M. Necker rapporte aux temps
les plus anciens de l'époque géologiquement la plus récente de
toutes (1, 224). Nous avons peu de données sur le mode de
la formation de ce terrain, mais il ne nous semble pas proba-
ble qu'il ait été formé dans un lac, car à l’époque où nous la
rapportons, notre pays avait la même configuration qu'au-
(1) Dans la figure 5 de la planche I j'ai cherché à donner une coupe théorique
de notre vallée pendant la période qui a suivi ce grand bouleversement, c'est-à-
dire à la représenter dans l’état où elle se trouve maintenant.
156 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
jourd'hui et maintenant lon ne voit nulle trace de l’exis-
tence d’un lac. La position de ces dépôts au pied du mont
Salève nous porte plutôt à croire qu'ils furent formés par des
sources.
Depuis que le diluvium eût été déposé et après que la di-
gue du mont de Sion, celle des environs de Thonon, celle du
Petit-Credo, etc.. eurent été formées, notre vallée n'a plus
changé d’aspect, seulement dans les premiers temps les riviè-
res qui la traversaient étant beaucoup moins encaissées ,
avaient des lits beaucoup plus larges. Les eaux étaient pro-
bablement plus abondantes , l'Arve par exemple était plus
grosse que maintenant. Cela se comprend lorsqu'on examine
ces pentes éloignées des bords de cette rivière, mais qui
pourtant en suivent le cours et qu'on voit à Champel,
à Pinchat, à Veirier. Alors les pentes voisines de Gaillard
formaient la rive droite de la rivière, tandis que celles de Vei-
rier formaient la rive gauche. Dans les mêmes temps les pen-
tes de Champel étaient opposées à celles de Pinchat et de
Laney, et le sol sur lequel la ville de Carouge est bâtie était le
fond d'un espèce de lac dont on peut suivre les contours sur la
belle carte de M. le colonel Dufour. Les eaux en diminuant peu
à peu de volume et en se retirant dans le lit qu'elles occupent
aujourd'hui, formèrent les différentes terrasses que nous
avons signalées
Nous sommes maintenant arrivés à la fin de la tâche que
nous nous étions imposée, tâche difficile, qui consistait à pré-
senter l’histoire de notre vallée depuis le moment où l'Océan
déposa en couches horizontales les roches dont le redressement
SUR LE MONT SALÈVE. 157
a donné naissance aux montagnes qui en dessinent les con-
tours.
Je ferai maintenant un court résumé par ordre chronologi-
que des événements rapportés ci-dessus.
Première période de tranquillité. L'océan jurassique couvre tout le pays. La pleine
mer occupe la position où est maintenant Genève. On ne peut faire dans
le sol des environs de cette ville aucune observation qui puisse indiquer *
l'état dans lequel était notre vallée ayant cette période.
Première époque du soulèvement. Salève forme une colline dont le sommet est au-
dessous de la surface des eaux. La mer s'étend encore sur la plaine
de Genève.
Seconde période de tranquillité. Mer néocomienne. La mer existe toujours, mais
son rivage est à Bienne. Soulèvement très-lent du sol, agissant du Nord
au Midi. Production de la formation sidérolitique. Dépôt de la première
zone de Rudistes,
Seconde époque du soulèvement. Salève devient une montagne voutée dont le som-
met est au-dessus de la surface de la mer. La formation sidérolitique
continue à se produire.
Troisième période de tranquillité. Salève forme une île habitée par des pachidermes.
Les chamerops forment sa végétation ou en font partie. Au commen-
cement de cette période la molasse rouge se dépose en couches hori-
zontales; puis il se produit des dénudations dans lesquelles la molasse
d’eau douce s’accumule. Plus tard, le grès marin la recouvre, mais
cette superposition n’a lieu que dans des localités placées au nord de
notre canton (‘).
(1) I parait difficile de comprendre comment le grès marin a succédé à la mo-
lasse d’eau douce, sans admettre un mouvement à la surface du sol.
158 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
Troisième époque de soulèvement. Le mont Salève prend la forme qu’il a aujour-
d’hui. Apparition des coteaux de molasse.
Quatrième période de tranquillité. La vallée a déjà beaucoup de rapports avec ce
qu’elle est aujourd’hui, seulement la plaine est moins marquée, c'est-à-
dire qu'il y a des inégalités à la surface du sol. Les coteaux paraissent
plus élevés qu'ils ne le sont maintenant. Les rivières coulent à peu près
en suivant leurs directions actuelles.
Quatrième époque de bouleversement. L'alluvion ancienne envahit les dépressions
qui séparent les coteaux de molasse. L'étage diluvien cataclystique la
recouvre; il a été apporté, suivant quelques géologues, par d'immenses
glaciers qui s’élevaient jusqu'au sommet du mont Salève. Formation du
calcaire d’eau douce (greube).
Cinquième période de tranquillité. Création de l’homme. Les rivières sont plus
grandes que maintenant; elles creusent leurs lits et forment des ter-
rasses.
Depuis que ce tableau a été fait, J'ai comparé attentivement
les trois soulèvements dont j'ai trouvé les traces dans le mont
Salève avec ceux de la partie septentrionale du Jura suisse (1)
et ceux qui ont eu lieu dans la chaîne du Caucase (?).
Dans ces deux derniers pays, les soulèvements ont été plus
nombreux qu'au Salève, mais, dans le Jura comme dans le
Caucase, on en retrouve qui correspondent exactement par
leur âge à ceux qui ont donné au Salève sa configuration. Ces
chaînes n’ont donc pas atteint leur hauteur actuelle d’un seul
(1) Gressli. Observations géologiques sur le Jura soleurois, p. 329.
(2) Dubois de Montpéreux. Bulletin de la Société géologique de France,
tome VII, p. 571.
SUR LE MONT SALÈVE. 159
jet, mais elles ont été soulevées à plusieurs reprises, et, cer-
tainement il est remarquable de retrouver trois exhaussements
successifs dans une montagne aussi peu élevée que celle du
Salève.
En examinant les trois soulèvements qui eurent lieu dans
cette dernière localité, on est forcé d'admettre qu’à des épo-
ques différentes il se fit plusieurs soulèvements dans une même
direction.
On peut tirer une autre conclusion de la comparaison des
époques de ces trois soulèvements avec celles des montagnes
dont l’âge nous est déjà connu. On sait que le dernier exhaus-
sement éprouvé par le mont Salève est contemporain de celui
des Alpes occidentales et a eu lieu à peu près dans la même
direction, mais les deux autres offrent un résultat différent. Le
plus ancien est de la même époque que le soulèvement de la
Côte-d'Or, et ne lui est point parallèle. Quant au second, on
peut le comparer pour l’âge à celui du mont Viso, à celui des
Pyrénées ou à celui de la Corse, sans qu'on puisse déterminer
auquel de ces trois il se rapporte précisément. Mais aucune
de ces dislocations ne s’est produite dans le même sens que
celle du Salève ; par conséquent nous pouvons déduire, comme
second résultat de ces faits, qu'il s’est produit dans l'écorce du
globe des dislocations de méme âge qui n'étaient point paral-
lèles entre elles.
Après l'exposé que je viens de donner de ces périodes im-
menses qui ne renferment cependant qu’une bien petite partie
de l'histoire des couches de notre globe, l'imagination a de la
peine à comprendre le nombre des siècles qui ont dû s’écouler
160 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES
depuis la création de la terre jusqu’à l'apparition de l’homme.
C’est à l'ensemble et à la succession de semblables périodes
de tranquillité et de bouleversement que le globe doit son état
actuel. C'est par elles que la Suisse a été destinée à offrir les
magnifiques tableaux qu’on y admire; ce sont elles enfin qui,
en déterminant la configuration, la nature et les productions
des différents pays, ont influé, dans un si grand éloignement,
sur les mœurs et la civilisation des peuples qui devaient une
fois les habiter.
Car. I.
Car. Il.
Cuae. II.
Cuar. IV.
Cuar. V.
Cuap. VI.
Cuar. VII.
Cnar. VIIL.
Cuap. IX.
Cuap. X.
SUR LE MONT SALÈVE. 161
TABLE DES CHAPITRES.
Page
Auteurs qui ont parlé du mont Salève...... Oenoeib MEN ici 49
Configuration du mont Salève ....................,.... 54
Terrains...... Done ar M Oo 4 On 6 Dub 0 RAR MR Re 61
BonmatiOnjUrASSique LA. CE PMNEe Male diene 64
Formation néocomienne.............................. T5
Formation sidérolitique .............................. 98
Terrains tertiaires ou formation molassique................ 106
MRTAITAeNTANISPOED MIS METRE A QUE HAUT ae 116
Structure du mont Salève ......... DL RE DER AE 145
Révolutions du sol des environs de Genève................ 146
NOTA.
On a imprimé plusieurs fois, par erreur, au commencement de ce mémoire
Sidérolithique au lieu de Sidérolitique.
Les deux dents de poisson que j'ai citées p. 82 sous le nom de Carcharias pro-
ductus. Ag. appartiennent, suivant M. le professeur Agassiz au C. Megalodon. Elles
proviennent de la pente du Petit-Salève au-dessus de Mornex et peut-être aussi de la
formation molassique.
TOM. x, {'© PARTIE. 21
162 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES SUR LE MONT SALÈVE.
EXPLICATION DES PLANCHES.
La Planche X représente l’état de la vallée comprise entre le mont Salève et le
mont Jura pendant différentes périodes de tranquillité.
Figure 4. Coupe idéale de cette vallée à l’époque pendant laquelle se déposait
la molasse. Le fond du bassin était formé par la première zone de Rudistes qui
recouvrait le terrain néocomien inférieur, lequel s’appuyait à son tour sur le ter-
rain jurassique. Il est assez probable qu’il existe une couche plus ou moins étendue
de gault entre la molasse et la zone de Rudistes, mais, comme jusqu’à présent
cette couche n’a pas été observée dans la vallée de Genève, on ne l’a point figurée
dans cette planche. Tous ces terrains étaient alors recouverts par les eaux qui
déposaient les molasses, mais le mont Salève avait déjà subi deux soulèvements et
sa cime formait une île.
Figure 2. Coupe idéale de notre vallée, à l’époque comprise entre le troisième
soulèvement du mont Salève et l’arrivée du diluvium. Les eaux à cette époque
s'étaient retirées, les coteaux existaient dans la vallée, ils paraissaient plus grands
que maintenant. La molasse qui est représentée horizontale dans l'époque précé-
dente est ici redressée contre les montagnes.
Figure 3. Coupe théorique de la vallée de Genève pendant l’époque actuelle ;
les montagnes et les collines sont les mêmes que durant la période précédente,
mais l’alluvion ancienne a comblé les dépressions qui séparaïent ces collines sans
se relever contre elles, et l'étage diluvien cataclystique les a recouvertes, ainsi que
la plus grande partie de la vallée. La ville de Genève est bâtie sur l’alluvion an-
cienne au bord d’une dénudation dans laquelle coule le Rhône.
Planche . Carte géologique du mont Salève. C’est à l'extrême obligeance de
M. Emile Gautier que je dois le dessin de cette carte. Pour la colorier, je me suis
servi à peu près des mêmes teintes qui ont été employées dans la carte géolo-
gique de France.
Fig.1 Epoque de la Molafse.
1%°zone.
Sidérolithique. de Rudistes.
Fig. 2 Epoque comprise entrele (troisieme
soulévement du M'Saléve et l'arrivée du Diluvium.
Fig. 3. Époque postérieure au Diluvium ..
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GÉOLOGIOTE
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MONT SALÈVE.
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ZithSchened à Gencee.
OBSERVATIONS
SUR
LES DICERAS
PAR
Alphonse Favre.
(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, en Avril 1845.)
M. G.-A. De Luc a décrit dans Les voyages de de Saussure
de singulières coquilles bivalves trouvées au mont Salève, dont
quelques-unes ont été reconnues pour faire partie du genre
appelé maintenant Diceras. Son fils, M. J.-A. De Luc, aujour-
d'hui possesseur de ces échantillons qui ont un intérêt clas-
sique, a eu l’obligeance de les mettre à ma disposition avec
plusieurs autres fossiles du même genre, et j'ai pu reconnaître
qu'ils appartiennent à une espèce qui ne doit pas être confon-
due, ainsi que l'ont fait MM. Lamarck, Deshayes, etc. avec
la Diceras arietina. M. Defrance a déjà reconnu cette espèce,
et lui a donné le nom de Diceras Lucu. Les considérations sui-
vantes prouveront que la Diceras du mont Salève diffère de
la Diceras arietina par plusieurs caractères essentiels.
164 OBSERVATIONS
En outre des magnifiques échantillons de la collection de
M. De Luc, j'ai pu examiner, grâce à l’obligeance de M. Schim-
per, les nombreux et beaux exemplaires du Musée de Stras-
bourg. M. Gressli a bien voulu me prêter les Diceras de sa
collection. Enfin j'ai pu comparer un grand nombre d’échan-
tillons appartenant aux Musées de Neuchâtel et de Genève, et
à ma propre collection. Je n’ai pas voulu entreprendre la des-
cription d'aucun des nombreux genres qui en apparence sont
voisins des Diceras, et que l'on trouve dans les terrains créta-
cés, parce que M. d’Orbigny a pour ainsi dire donné le pro-
drome de ce travail dans le Bulletin de la Société géologique de
France (t. XII, p. 148).
J'ai pu établir d’une manière positive que la Diceras du mont
Salève était une espèce différente de la Diceras arietina; j'ai
donné dans la description de ces fossiles des caractères qui
n'avaient été mentionnés nulle part et ayant eu à ma disposi-
tion de beaux exemplaires de la Diceras arietina, J'en ai fait fi-
gurer les parties importantes. J'ai aussi cherché à prouver que
la couche jurassique à Diceras peut servir d'horizon géologi-
que, car ces fossiles n'ont jamais été cités que dans le Coral
rag., et j'ai donné à la fin de ce Mémoire quelques renseigne-
ments géologiques qui ne me paraissent pas dénués d'intérêt.
C’est avec un vif empressement, que Je saisis cette occasion
de remercier mon ami M. le professeur Agassiz, des directions
qu'il m'a données dans mes études et en particulier des com-
munications qu'il a bien voulu me faire pour ce travail.
M. Deshayes ayant fait une histoire fort complète du genre
Diceras dans le dictionnaire classique des sciences naturelles,
SUR LES DICERAS. 165
je ne veux point la répéter ici; mais je dois attirer l'attention
des conchyliologistes. sur la description de l'espèce du Salève
publiée par M. G.-A. De Luc dès l’année 1780, époque à la-
quelle ce genre d'étude était encore tellement négligé, que
l'on ne pouvait point en tirer les importants résultats que la
Ï | F q
science moderne en a déduits.
GENRE DICERAS. Lamarcx.
Animal. Inconnu.
Coquille très-épaisse, bivalve, irrégulière, cordiforme ; val-
ves inégales, ayant la forme de cornes; test formé de trois
couches;, une dépression sur la face postérieure des valves,
une seule côte interne; une charnière très-forte, deux dents
à la valve droite; deux impressions musculaires.
Dans ce genre de coquille l’une des valves est considérable-
ment plus grande que l’autre, toutes deux sont recourbées en
dehors, ce qui leur donne, particulièrement à la grande valve,
l'apparence d’une corne de bélier et quelquefois d’une corne
d’abondance. La petite valve n'est point operculiforme. La co-
quille n’est pas baïllante, les bords de l'ouverture sont un peu si-
nueux. « Les Diceras, » dit M. Deshayes, «avec la forme géné-
«rale des [socardes ont l'irrégularité des Cames. » La ligne de
166 OBSERVATIONS
jonction des deux valves n’est point une ligne droite, elle est
presque toujours plus ou moins concave du côté de la petite
valve, c’est-à-dire que la plus grande valve empiète sur la pe-
tite.
M. Deshayes dit en parlant de la Diceras arietina (1), qu'il
a examiné plus de vingt individus de Diceras de St.-Mihiel
(Lorraine). et que tous sans exception étaient fixés par la valve
droite, qu'il en est de même de ceux du mont Salève, près de
Genève, et pour la Diceras sinistra, le même auteur dit en-
core que c’est par le crochet de la grande valve, qui est ici du
côté gauche, que la coquille est fixée.
Comme, dans la Diceras arietina, c’est tantôt la valve droite,
tantôt la valve gauche qui est la plus grande, il serait peut-
être plus juste de dire que les Diceras s’attachent par leur
grande valve. Cependant, malgré les nombreux exemplaires
que J'ai pu observer, j'ai encore quelques doutes sur la ma-
nière dont ces coquilles étaient fixées, car dans aucun des
échantillons bien conservés de la Diceras Lucii que j'ai sous les
yeux, je ne peux distinguer des points d'attache, même dans
l'exemplaire figuré: IV,2(?); la couche à ornements, dont nous
parlerons plus bas, peut être observée jusqu’à l'extrémité des
crochets, ce qui prouve que cet individu n'avait pas de points
d'attache.
Dans la Diceras arietina J'ai fréquemment trouvé la trace
(1) Encyclopédie méthodique. Vers., tome II, p. 87.
(2) Dans tout ce Mémoire les chiffres romains indiquent la planche et les chif-
fres arabes indiquent la figure.
SUR LES DICERAS. 167
d’un point d'attache à l’extrémité de la grande valve, qui est
tantôt la valve droite, tantôt la valve gauche.
Il faut, ce me semble, pour des coquilles aussi fortes et aussi
lourdes que les Diceras, des points d'attache grands et forts,
et, par conséquent, s’il y en avait, ils devraient se voir faci-
lement et ne pas être cachés parmi les petites aspérités du test.
Peut-être les Diceras sont-elles comme les Gryphées et n’ad-
hèrent-elles que dans leur jeune âge, c’est-à-dire que le point
d'attache de ces coquilles est très-petit et que lorsque l'animal
est devenu grand, ce point d'attache n'a plus assez de force
pour le maintenir en place. La belle collection de M. Gressli
à Neuchâtel offre la preuve de ce fait dans une suite de Gry-
phées arquées de tous les âges appartenant au Lias.
Les crochets de cette coquille sont creux jusque dans leur
partie supérieure. Le test est fort épais, on remarque qu'il
est formé de trois couches superposées, c’est ce que J'ai ob-
servé distinctement dans les Diceras du mont Salève. La cou-
che inférieure est épaisse, à sa face supérieure elle est garnie
de stries transversales qui offrent l'empreinte de la partie infé-
rieure de la couche médiane. Ces stries marquent l’accroisse-
ment de la coquille, en sorte que, près de son ouverture, elles
lui sont parallèles ; mais comme celle-ei, à mesure que l’animal
vieillit, ne s’avance pas parallèlement à elle-même, il en résulte
que ces stries sont complétement transversales sur les faces
latérales de la coquille. tandis qu’elles deviennent presque lon-
gitudinales en se rapprochant de la partie supérieure de l'ou-
verture. Il est fort probable que la couche médiane et la couche
supérieure du test ont existé dans les Diceras de Saint-Mihiel
168 OBSERVATIONS
et dans celles du Porrentruy, puisque la couche inférieure
présente des stries qui ne sont probablement que l'empreinte
de la couche médiane. Cependant, comme dans aucun des
échantillons de ces deux localités je ne les ai vues, je les dé-
crirai seulement en parlant des Diceras du mont Salève. Ces
couches n’ont pas été conservées dans les Diceras de Saint-
Mihiel, parce que la roche étant un calcaire oolitique crayeux,
il est probable qu'elles n’ont pu résister à la destruction.
Chaque valve présente au milieu de sa face postérieure une
légère dépression qui s'étend parallèlement à la spirale dans
la partie supérieure de la valve, sans atteindre cependant l’ex-
trémité des crochets. Les deux bords de cette dépression, qui
ne sont pour ainsi dire que deux légères ondulations, sépa-
rent la face postérieure de la coquille en trois parties à peu
près égales (TL, 1.—IV, 1). Cette dépression est peu visible sur
les jeunes individus et elle a été effacée sur quelques exem-
plaires de Saint-Mihiel.
Les deux valves sont munies d’une seule côte saillante in-
terne m (V, 1, 4, 5,6, T). Cette côte part du bord inférieur
de l'ouverture et remonte dans l’intérieur de la coquille du
côté de la face postérieure. Elle correspond à cette dépression
que nous venons de faire remarquer (").
(1) Ce nouveau caractère que j’ai observé dans les Diceras vient, ce me semble,
confirmer l'opinion de M. d’Archiac (Mém. de la Soc. Géol. de Fr. t. II, p. 183)
et rapprocher les Caprines, les Caprotines et les Ichtyosarcolites des Diceras, et
par conséquent des Cames, ce qui pourrait faire croire que les trois premiers
genres sont des Lamellibranches. — Mais on pourrait aussi retourner la question
SUR LES DICERAS. 169
On voit toujours sur les deux valves des échantillons bien
conservés, un petit sillon Æ (IV, 3, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7.)
formé par la jonction des tours de la coquille; il part de la
]
partie postérieure de l'ouverture et s'étend en spirale sans se
prolonger beaucoup.
La charnière est fortement organisée, mais ici Je ne men-
tionnerai que les parties communes aux espèces que J'ai étu-
diées, sans faire ressortir les différences ; pour plus de détails
je renvoie à la description des espèces.
Dans la valve droite la charnière est formée par deux dents
séparées par une cavité plus ou moins allongée c (IV, 3, 4.
— V, 4,5,7.). La dent supérieure a (IL, 3. — IV, 5, 4 —
V, 2, 4, 5, T.) est très-forte, tandis que la dent inférieure f
(UL,3.—1V,5,4.—V, 4, 5, T.) est plus petite. Ces deux dents
sont toujours placées sur la valve droite, lors même que la
valve gauche est la plus grande. Ceci est contraire dans cer-
tains cas à ce que disent MM. Lamarck et Sander Rang, qui
affirment que la dent cardinale se trouve attachée à la grande
valve.
* Les impressions musculaires À (IV, 3, 4.— V, 4.) sont pla-
cées à droite et à gauche de la cavité de la coquille g (AV, 5, 4.
— V, 4.). De ces impressions part une petite carène à (IV, 3,4.
— V, 4, 5,7.) qui est comprise entre le petit sillon Æ dont j'ai
déjà parlé et un autre petit sillon moins marqué placé entre
la carène à et la grande dent 4.
et dire que ce caractère, en rapprochant ces autres genres des Diceras, fait passer
ce dernier dans les Brachiopodes.
TOM. X, Î'* PARTIE. 22
170 OBSERVATIONS
Dans la valve gauche, la charnière est formée d’une ou de
deux dents; la dent d (V, 1 — 6.) est toujours très-forte,
tandis que l’autre est placée en arrière quand elle existe et est
toujours très-petite. La fossette cardinale B (V, 1—6.) de cette
valve est grande, profonde et allongée en forme de croissant
le long du bord cardinal de l'ouverture et au-dessus de la
dent d.
Rapports et différences. Les Diceras ne contiennent pas de
cloisons dans l’intérieur de la coquille, ce qui les distingue des
Caprines et des Ichtyosarcolithes (").
Elles ne présentent qu'une seule côte saillante interne, ce
qui empêche de les confondre avec les Caprotines qui en ont
plusieurs (*). Les Diceras se distinguent des Cames, dont
on les a souvent rapprochées par la force de leurs char-
nières, et parce que, chez elles, cette charnière occupe la
moitié ou le tiers du total de l'ouverture de la coquille,
tandis que dans les Cames la charnière occupe beaucoup
moins de place.
(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIII, p. 151.
(2) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIII, p. 151.
SUR LES DICERAS. 171
I. DICERAS LUCII. DErRANCE.
Pa D PLIS 1,72, 8 PINIV. PLV, 1-
De Saussure, 1780. Voyage dans les Alpes, I, 190, pl. IT, f. 4, 4.
Diceras Lucü (de De Luc). Defrance, 1819. Dict. des Sciences Natur., XIII, 177.
D. Testä crassissimä, variabili, subcordiformi ; valvis inæ-
qualibus, carinatis, in spiras irregulares contortis, rugis triangu-
laribus concentricis longitudinalibus ; valvä sinisträ majore.
La coquille est épaisse, cordiforme, inéquivalve, les valves
ont la forme de cornes. Tous les exemplaires que j'ai vus ont la
valve gauche plus grande quela valve droite. La plus grande di-
mension de la petite valve varie entre les huit etles neuf dixièmes
de celle de la grande. Le crochet de la valve gauche est grand,
recourbé en dehors et plus ou moins rapproché et même appli-
qué contre le bord de la valve (L, 2.—I1, 1,2, 4.—1IE, 1,2). Il
forme en général un tour et demi de spirale. Le crochet de la
valve gauche ou petite valve est moins fortement tourné en
dehors (1, 2.—1II.— IV, 2.). La surface extérieure de la valve
droite est plus ou moins ondulée, comme on le voit dans les
figures 1 et 2, IT, qui appartiennent pourtant toutes deux à
cette espèce. C’est sur cette valve que l’on observe particuliè-
rement les différentes couches qui forment le test. C'est d’a-
bord la couche inférieure dont nous avons décrit les stries.
La couche médiane est mince et fragile; aussi reste-t-elle sou-
172 OBSERVATIONS
vent attachée à la couche à ornements. Elle est formée d’un
calcaire cristallin, ce qui montre que la texture de cette couche
a été changée par la fossilisation (*). Elle porte à sa surface
des stries longitudinales qui sont le résultat de l'empreinte du
manteau, dont le bord paraît avoir formé la troisième couche,
mais qui ne se trouvent en général que sur la valve gauche
de la Diceras du Salève, et que je n’ai pas vues dans les autres
espèces.
Je crois que la couche à ornements existe aussi sur la petite
valve, car on en voit des traces près du crochet, dans la figure
2, IV, mais il paraît qu'elle est moins adhérente à la coquille
et qu'elle reste presque toujours attachée à la roche. Cette
couche est ornée de fortes stries ou petites côtes triangulaires
concentriques. placées longitudinalement, et qui, dans les
beaux exemplaires, peuvent se suivre depuis le bord jusqu’au
sommet des crochets. Les ornements de cette couche sont
probablement dus à un plissement du bord du manteau de
l'animal. On y distingue encore, mais avec beaucoup de peine,
les stries d’accroissement qui sont transversales.
(4) Avant que l’action pétrifiante eut changé la texture de cette couche, peut-
être était-elle formée de lames presque perpendiculaires au plan de la couche in-
férieure et qui s’accolaient les unes contre les autres à mesure que l’animal vieil-
lissait. Cette structure est du moins offerte par des genres non décrits, ressem-
blant aux Diceras et répandus dans les terrains crétacés des Alpes. Ce qui me
porte à croire que cette texture a existé dans la couche médiane des Diceras ,
c’est que dans celles-ci la couche inférieure du test présente les stries dont nous
avons parlé, qui sont identiques à celles de ces fossiles alpins, et que dans ceux-là
ces stries sont évidemment le résultat de l'empreinte des lames qui forment la
couche médiane.
SUR LES DICERAS. 173
C’est au nombre de ces couches superposées, aux différences
qui existent dans chacune d'elles, à leur adhérence avec la
roche qui contient ces coquilles et à leur fragilité, que les Di-
ceras du mont Salève doivent les divers aspects que leur sur-
face présente. Les deux valves sont toujours fortement ca-
rénées depuis leurs bords jusqu'a leur sommet; on y voit
distinctement cette légère dépression longitudinale sur la face
postérieure de la coquille que J'ai déja indiquée.
La Charnière est, comme nous l'avons dit, très-fortement
organisée. Dans la valve droite elle est formée d'une grosse
denta(IIK,3.—1V,5,4.) qui ressemble un peu au cuilleron des
myes. Cette dent a aussi quelque rapport avec la partie su-
périeure de la conque de l'oreille humaine. Elle s’enfonce dans
une large et profonde cavité b (V, 1.) de la grande valve qui
a la forme d’un croissant et qui s'étend tout le long du bord
supérieur de l'ouverture de la coquille. Au-dessus de la dent
a se trouve une cavité c (IV, 5, 4.) dans laquelle vient s'en-
gager la dent d (V, 1.) de la grande valve; cette dent présente
à son sommet une fossette e, dans laquelle vient s’ajuster à
son tour une petite dent f (III, 3.— IV, 3, 4.) de l’autre valve.
En arrière de la dent d se trouve une petite élévation L
(V, 1.); mais il n'est pas probable que ce soit une dent. Du
bord inférieur de la dent d part une côte m (V, 1.) qui se pro-
longe jusqu'au bord inférieur de la coquille; elle sépare la
cavité g de la fossette b (1).
(1) On ne peut voir sur les échantillons figurés pl. IV, 5 et 4 s’il existe une côte
dans la valve droite, mais cela est probable.
174 OBSERVATIONS
Au-dessous de cette robuste articulation se trouve la cavité
g (IV,5,4.—V, 1.) et la coquille atteint dans cette partie une
grande épaisseur, À droite et à gauche de cette cavité sont
placés dans la valve droite ou petite valve les deux points
d'attache des muscles k k (IV, 3, 4.). De ces points partent
deux sillons parallèles séparés par une petite carène à (IV, 3,
4.) qui se prolonge jusque dans la partie supérieure de l’ou-
verture; le sillon Æ est le pli dont nous avons parlé. Il est
formé à la jonction des tours de la coquille et il s'étend pa-
rallèlement au tour de spire. Dans la valve gauche les points
d'attache sont peu visibles, mais ils doivent être placés au-
dessous de la charnière sur le bord et dans la cavité de la co-
quille. Le bord cardinal de cette valve étant brisé, on ne voit
que diflicilement la carène £ et le sillon .
Par l'inspection des figures 3, et 4, IV il me semble que
l’on peut admettre que plus l'animal vieillit, plus sa charnière
se développe aux dépens de la cavité de la coquille, mais, pour
établir ce fait d'une manière certaine, il faudrait avoir à sa
disposition un plus grand nombre d'échantillons.
Dans le plus grand individu de cette espèce qui me soit
connu, la grande valve a cinq pouces dans sa plus grande
dimension.
Un fait assez remarquable, c'est que dans l’oolite du mont
Salèveles valves droites sont beaucoup plus rares que les valves
gauches, surtout parmi les jeunes individus. Ainsi, sur plus
de soixante-trois échantillons que j'ai à ma disposition, il n’y
a que six valves droites isolées, neuf échantillons présentent
les deux valves, et plus de quarante-huit ne sont formés que
de la valve gauche.
SUR LES DICERAS. 175
Les individus de la Diceras Lucii atteignent une plus grande
taille que ceux de la Diceras arietina.
Rapports et différences. Pour faire la description complète
de la Diceras Lucïi, je la comparerai avec la Diceras arietina,
quoique nous n’ayons pas encore parlé de cette dernière.
La Diceras Lucii se distingue de la Diceras arietina, parce
que ses deux valves sont toujours beaucoup plus fortement
carénées. Dans les jeunes individus la différence est encore
plus grande, car ceux qui appartiennent à la Diceras arie-
tina sont complétement arrondis ( V, 5.). J'ai toujours vu dans
la Diceras Luci la valve gauche plus grande que la valve
droite, tandis que dans la Diceras arietina le rapport de gran-
deur entre les valves varie. La Diceras arietina vue de profil
paraît beaucoup plus ventrue que la Diceras Luc. La Di-
ceras arietina ne m'a Jamais présenté la couche à ornements,
tandis que cette couche est très-belle dans la Diceras Lucii.
Ces deux espèces se distinguent aussi par la charnière; la
valve droite de la Diceras Luc porte une grande dent a (IE, 3.)
isolée, tres-saillante, légèrement recourbée en haut, tandis
que dans la Diceras arietina, cette dent est beaucoup plus
petite et n’est, pour ainsi dire, qu'un gros bourrelet allongé
a (V,2, 4, 5, T.). La cavité c (V, 4, 5, T.) est beaucoup plus
profonde dans la Diceras arietina que dans la Diceras Lucii
(LV, 3, 4.).
La Diceras Lucü diffère de la Chama speciosa Münster, en
ce que celle-ci n’est point carénée et que l’on n’y voit point non
plus le petit sillon qui part de la partie postérieure de l'ou-
176 OBSERVATIONS
verture et qui s'étend du côté des crochets. Cette différence
dans les caractères extérieurs en indique probablement dans
la charnière.
La Diceras Lucii diffère de la Diceras sinistra Deshayes, si
réellement cette espèce existe (voyez p. 181), par la charnière;
car, dans la Diceras sinistra, il y a deux dents à la valve qau-
che, tandis que dans la Diceras Lucii il n’y en a qu'une seule.
Dans la Diceras sinistra on reconnait à la valve droite une dent
en forme de bourrelet, comme dans la Diceras arietina, qui a à
sa partie inférieure une fossette, tandis que dans la Diceras
Luciü cette dent est grande, saïillante, et n’a point de fossette
à sa partie inférieure.
La Diceras Lucü diffère de la Diceras minor Deshayes par
sa taille et parce que celle-ci n’est point carénée. Je ne connais
que les dessins de la planche 28 du Traité élémentaire de Con-
chyliologie, le texte n'étant pas encore publié.
Histoire. Cette espèce est la première Diceras qui ait été
décrite; elle le fut en 1780 par M. De Luc dans les Voyages
de M. de Saussure. Mais lorsque Lamarck décrivit pour la pre-
mière fois le genre Diceras en 1805 (!) il ne mentionna qu'une
seule espèce, la Diceras arietina, avec laquelle il confondit la
Diceras du mont Salève. En 1819, M. Defrance, dans le Dic-
tionnaire des Sciences naturelles (XIII, 177.) distingua ces
deux espèces et nomma celle qui nous occupe Diceras Lucii ou
Diceras de De Luc, nom que je suis loin de vouloir changer
(1) Annales du Museum, tome VE, p. 500.
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1 Nenchatel 1508]
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Luc
ras
(œ
Dic
SUR LES DICERAS. 177
puisqu'il est un juste hommage rendu à une famille de géolo-
gues distingués. M. Deshayes (1) exprime l'opinion que la Di-
ceras Lucu et la Diceras arietina doivent être réunies en une
seule espèce sous ce dernier nom. Plusieurs auteurs tels que
MM. Sander Rarg (*), Bronn (*) et d’Archiac (*) ont suivi
l'exemple de MM. Lamarck et Deshayes; mais il me semble que
les caractères que J'ai tracés sont suffisants pour faire de nou-
veau inscrire dans le catalogue des espèces, celle que M. De-
france avait su distinguer.
Explication des Planches. Toutes les figures sont de gran-
deur naturelle et ont été faites d’après nature.
PI. I, Fig. 1. Individu vu par derrière.
» » 2. Le même vu par devant.
Ces deux figures ont été faites d’après le même échantillon qui
avait été figuré dans le Voyage dans les Alpes de de Saussure,
tome I, pl. 2, fig. 1 et 2.
PI.II, Fig. 4 et 2. Individus vus du côté de la valve droite.
» » 5. Valve droite.
» » 4. Le même que celui de la fig. 2 vu par devant.
PI. I, Fig. 1 et 2. Valves gauches.
» » 6. Valve droite vue par derrière pour montrer le profil de la dent a.
PI. IV, Fig. 4. Individu vu par derrière.
» » 2. Le même vu par devant.
(4) Dictionnaire classique des Sciences naturelles, 1824, et Encyclopédie mé-
thodique, 1850.
(2) Manuel des Mollusques.
(3) Lethea geognostica.
(4) Mémoire de la Société géologique de France, tome II, p. 185.
TOM. X, 1'€ PARTIE. 23
178 OBSERVATIONS
PI. IV, Fig. 5 et 4. Valves droites vues du eôté de l'intérieur pour montrer la
charnière. La fig. 4 a été faite d’après nature sur l'échantillon qui
avait servi pour la fig. 5 de la pl. II de de Saussure.
PI. V, Fig. 4. Valve gauche vue du côté de l’intérieur pour montrer la charnière
dessinée d’après nature sur l'échantillon de la fig. 4, pl. II de de
Saussure. Tous les échantillons de cette espèce qui ont été figurés
appartiennent à la belle collection de M. J.-A De Luc.
II. DICERAS ARIETINA. Lamarcx.
PI. IL, fig. 4, 5. — PI. V, fig. 2, 3, 4, 5, 6, 7.
Favanne 1780. Conchyliologie. PI. 80, Fig. 5.
Bruguière 1789. Chama bicornis. Encyclop. méth. Vers. VI, p. 592.
Vers. t. II des planches. PI. 197, fig. 5.
Diceras ? Explicat. des planch. Vers., t. I, p. 147.
Lamarck 1805. Ann. du Museum, 1. VI 300. PI. 55, fig. 2.
Id. 1819. Hist., {ere édit. t. VI, p. 91.
Id. 1835. Id. 2m édit. t, VI, p. 577, n° 1.
Bosc 4817. Dict. d'Hist. Nat., t. IX, p. 409.
Defrance 4819. Dict. des Sc. Nat., t. XIII, p. 177. Atlas, pl. 99, F. 4.
Blainville 1824. Id. Id. t. XXXII, p. 527.
Id. Malacologie. PI. 70, fig. 4.
Deshayes 1824. Dict. Classiq. des Sc. Nat. t. V, p. 466.
Id. 1850. Encyclop. Méth. Vers. II, p. 86.
Id. Traité Elément. de Conchyliol. PI. 28, f. 4—6.
Sander Rang 1829. Manuel des Moll., p. 299.
Bronn 1837. Lethea Geognostica, p. 699. PI. 20, f. 1.
Goldfuss 1834-40. Petrefacta, t. II, p. 206. PI. 139, f. 2.
V. Hupsch Nat. Gesch. Nied. Deutschl. t. 32. PI. IV, fig. 26, 27.
Sowerby Genera, fig. 4.
Roissy Buff. Moll. PI. 61, f. 2, t. VI, p. 197.
DL TITIENTINES
Fig 1
D ICErAas Poe Defr
EF
0 25
=
w]
Lulide Nicolet The à Neue
recrDiceras crlelitalan.
SUR LES DICERAS. 179
D. Test ventricosä, transversim subrugosä ; natibus dis-
tantibus , corniformibus , in spiras irregulares contortis.
Cette coquille ressemble à la précédente, mais elle est beau-
coup plus ventrue. Ses crochets sont plus ou moins tournés en
dehors, surtout celui de la grande valve qui fait quelquefois
deux tours de spirale. Ordinairement la valve droite est plus
grande que la valve gauche; cependant quelquefois elle est
plus petite. La proportion entre la grande et la petite valve,
ainsi que la grandeur des valves par rapport aux crochets
varie beaucoup plus dans cette espèce que dans la prcédente.
En général cette coquille prend des formes variées. Les valves
sont toujours moins carénées que dans la Diceras Lucii et quel-
quefois même elles ne le sont pas du tout.
On y reconnaît le pli ou sillon k (V, 4, 5, 6, TT.) qui part
de la partie postérieure de l'ouverture et que j'ai déjà décrit
parmi les caractères du genre. Il est en général peu marqué
dans les échantillons de Saint-Mihiel, car la roche est très-
friable. Ce pli est séparé d’un autre petit sillon qui lui est pa-
rallèle par la petite carène à (même figure). On y voit aussi
cette dépression déjà signalée sur la face postérieure de la co-
quille. Elle est peu visible dans les coquilles de Saint-Mihiel,
mais très-évidente dans celle du Porrentruy.
Les deux valves présentent la couche inférieure du test avec
ses stries; Je n’ai Jamais vu ni la couche médiane ni la couche
à ornements que l’on distingue si bien sur celles du mont
Salève.
La charnière dans la Diceras arietina est formée à peu
près des mêmes parties que celle de la Diceras Luci, mais
180 OBSERVATIONS.
ces parties ont des formes différentes. À la valve droite elle
présente comme la Diceras de Lucii une grosse dent a (V,
2, 4, 5, 7.). Cette dent a la forme d’un gros bourrelet allongé
s'étendant le long du bord cardinal de la coquille; elle s’en-
gage dans une cavité b (V, 6.) allongée le long du bord de
l'ouverture dans la valve gauche. En avant de la dent a se
trouve la profonde cavité c (V, 4, 5, T.) dans laquelle vient
s'engager une grande dent auriculiforme d (V, 6.) de la valve
gauche qui correspond à la dent désignée par la même lettre
dans l'espèce précédente. Au-dessous de la cavité c se trouve
le bourrelet f (V,4,5, 7.) muni d'une oreillette qui s'étend dans’
l'intérieur de la cavité e, et qui s'engage dans la concavité de
la dent d. Au-dessous de cet appareil se trouve la cavité g de
la coquille.
Les points d'attache des muscles doivent être placés sur
le bord de la coquille, au-dessous de la charnière ; mais quelle
que soit la beauté des échantillons que j'ai examinés, je n’en
ai vu aucune trace. Dans les jeunes Diceras de cette espèce
la dent a est plus développée en hauteur proportionnellement
que dans les vieux individus.
L'ensemble de l'appareil de la charnière forme un segment
qui occupe le tiers du cercle de l'ouverture de la coquille dans
les jeunes individus, tandis que dans les vieux cet appareil
occupe près de la moitié de la cavité. Dans les jeunes comme
dans les vieux individus, la côte interne m (V, 4, 5, 6, T.) est
très-bien marquée. L’échantillon figuré V, 6 paraît identique
avec celui qui est représenté dans les Petrefacta de Goldfuss,
pl. 15, 9, f, 2, a ; il a de plus avec lui le singulier rapport que
SUR LES DICERAS. 181
la dent d est cassée. Il présente en outre deux rudiments de
dents placés l'un n à l'extrémité du bord formé par la coquille
et la cavité b, l’autre o est un peu en arrière et au-dessous.
Je n’ai point voulu donner ici des figures des grands échan-
tillons de la Diceras arietina, car il aurait fallu répéter les
beaux dessins de MM. Goldfuss, Lamarck etc, que tout le
monde connaît. Je me suis borné à figurer les charnières qui
sont d’une grande importance, à donner, pl. V. 2, 3, #4, une
jeune Diceras provenant de l’oolite corallienne de la Caque-
relle au Mont-Terrible dans le Porrentruy , et pl. IT, 4, 5,
un individu plus âgé de la même localité.
Rapports et différences. Vai déjà établi les caractères qui
distinguent cette espèce de la précédente.
Après avoir examiné de nombreux échantillons, je me suis
convaincu que la Diceras sinistra Deshayes ne pouvait être
distinguée par sa forme extérieure de la Diceras arietina. Les
charnières de ces deux espèces sont semblables, car il me
semble que la figure 6, pl. 28, du Traité élémentaire de Con-
chyliologie de M. Deshayes serait identique à la valve gauche
de la Diceras sinistra, f. 1, si elle était comprimée latérale-
ment de manière à être rendue aussi étroite que cette der-
nière. Quant à la petite dent placée à l'extrémité inférieure de
la cavité cardinale de la valve gauche, qui établit la princi-
pale différence entre les deux espèces, il paraît que tantôt elle
existe, tantôt elle manque dans la Diceras arietina; c'est ce
que prouvent ces deux rudiments de dents n et o de la figure
6, pl. V. Cette observation doit faire admettre, ce me semble,
182 . OBSERVATIONS
que la Diceras sinistra est la même espèce que la Diceras
arietina.
La Diceras arietina diffère de la Chama speciosa (Münster)
par le manque de sillon postérieur. Elle appartient au Coral
rag dont elle est un des plus beaux fossiles, et c’est par erreur
qu'on l’a indiquée dans le Portlandien. On l’a trouvée à Saint-
Mihiel (1) en Lorraine associée au Pinnigènes comme au
mont Salève, à la Caquerelle au Mont-Terrible, aux environs
de Délémont dans le Porrentruy (M. De Luc possède des
échantillons provenant de cette dernière localité), à Neuvelle
les Champlitte et à Ray dans la Haute-Saône.
Histoire. La Diceras arietina a été pendant longtemps la
seule espèce connue dans le genre Diceras. Des échantillons
rapportés de Saint-Mihiel avaient servi à Lamarck pour éta-
blir en 1805 ce genre et cette espèce. Depuis lors elle a été
figurée dans de nombreux ouvrages.
Explication des planches. Toutes les figures sont de gran-
deur naturelle et ont été faites d'après nature.
PI. III, Fig. 4. Individu vu par devant.
» » 5. Le même vu par derrière; il appartient à la belle collection de
M. Gressli.
(4) Goldfuss cite la localité de Saint-Mihiel comme appartenant au calcaire
Portlandien; mais on la regarde en général comme appartenant au Coral rag; si
l'on en croit MM. Michelin, La Bèche, Huot, les étiquettes du musée de Stras-
bourg, etc. M. Deshayes la place dans les couches moyennes de la formation juras-
sique.
SUR LES DICERAS. 183
PI. V, Fig. 2. Valve droite d’un jeune individu vue par derrière pour montrer la
forme de la dent a.
» » 5. Même valve vue de côté pour montrer que dans les jeunes indi-
vidus les crochets sont peu marqués.
» » 4. Même valve pour montrer la charnière. Cet échantillon vient de
l'oolite corallienne de la Caquerelle dans le Porrentruy et appar-
tient à M. Gressli.
» » 5. Valve droite montrant la charnière; elle vient des environs de
Délémont (Porrentruy ) et appartient à M. De Luc.
» » 6. Valve gauche vue du côté de la charnière. La dent d est cassée ; cet
échantillon provient de Saint-Mihiel et appartient au musée de
Strasbourg.
; » 7. Valve droite vue du côté de la charnière; elle vient de Ray
(Haute-Saône) et appartient au musée de Strasbourg. Elle provient
d’un individu plus grand que celui de la fig. 6.
GISEMENT DES DICERAS.
Il est certainement remarquable de trouver presque cons-
tamment des Pinnigènes et des Diceras, qui sont peut-être
les deux coquilles les plus robustes qui aient jamais existé et
qui semblent faites pour résister à des actions extérieures, asso-
ciées à la roche oolitique qui indique toujours un degré plus
ou moins grand de charriage.
Je suis porté à croire que les véritables Diceras ne se trou-
vent que dans le Coral rag, car je n’en connais aucune dans
d’autres terrains. La Paléontologie française nous apprendra
184 OBSERVATIONS
probablement que les fossiles que l’on regardait comme des
Diceras crétacées doivent être classés dans d’autres genres.
Dès à présent la Diceras arietina et la Diceras Luc peuvent
devenir des fossiles caractéristiques de l'étage corallien; et
par conséquent elles peuvent fournir un nouvel horizon géo-
logique.
OBSERVATIONS.
La plus grande confusion a régné jusqu’à ce jour dans le
genre des Diceras. Pendant longtemps les conchyliologistes et
surtout les géologues ont donné ce nom à tous les fossiles qui
présentaient deux cornes recourbées, et comme on ne connais-
sait dans ce genre que la Diceras arietina, ils classaient toutes
ces coquilles sous le nom de cette espèce. Souvent même ils
allaient plus loin, et lorsqu'ils ne trouvaient qu'une valve en
forme de corne, ils la rapportaient au genre Diceras, car ils
croyaient que l’autre valve devait être à peu près semblable à
celle qu'ils avaient trouvée et ils faisaient ainsi rentrer dans ce
genre des coquilles ayant une valve operculiforme. Mais la
cause de toutes ces erreurs doit être attribuée aux conchy-
liologistes, qui n'ont commencé à éclaircir l'histoire des co-
quilles fossiles que longtemps après que les géologues avaient
cherché à jeter quelque jour sur l'histoire de la terre. Ainsi
an géologue distingué a été obligé de nommer calcaire à Di-
SUR LES DICERAS. 185
cérates un étage de la formation crétacée qui ne contient pro-
bablement aucun débris organique de ce genre, parce que ce
terrain est caractérisé par un fossile qui alors n’était ni classé
ni décrit, mais qui avait en apparence quelques rapports avec
les Diceras. D'un autre côté, dans la couche de la formation
jurassique. qui a seule le droit d’être nommée calcaire à Di-
ceras, les fossiles dont j'ai donné la description avaient été
négligés et étaient à peine regardés comme caractéristiques.
Jé donnerai, en terminant ce mémoire, un tableau des dif-
férents gisements de quelques fossiles qui ont été confondus
avec les Diceras. Quoiqu'ils ne soient point encore détermi-
nés, J'ai comparé avec soin les espèces et par conséquent les
géologues pourront en retirer quelque avantage pour la clas-
sification des terrains. J'ai cherché à donner quelques nou-
veaux points de repère pour exclure de la science le mot de
calcaire alpin et pour rapporter à des terrains connus ces
grandes masses de calcaire foncé qui ont été confondues sous
cette vague détermination, que l’on peut comparer au schorl
des anciens minéralogistes.
Un fossile qui en apparence ressemble à une Diceras (1) se
trouve dans la partie supérieure du néocomien jaune de Neu-
châtel qui forme les carrières du village de Bosle. C’est cette
espèce qui est signalée dans le rapport sur le mémoire de
(4) Il est possible que ce fossile et les suivants appartiennent au genre Diceras,
mais il se peut aussi qu’ils appartiennent à des genres différents.
19
TOM. X, Â'° PARTIE. 4
186 OBSERVATIONS
M. Itier (1) mais je ne pense pas qu’elle appartienne, comme
on l’a dit, à la première zone de Rudistes.
Un autre fossile se trouve dans le calcaire supérieur de la
première zone de Rudistes associé au Pteroceras Pelagi Brong.
à la colline de La Puya, près d'Annecy en Savoie. Cette même
espèce se voit aussi dans le calcaire de la Meglis-alp, canton
d'Appenzel. Par conséquent les terrains de ces deux localités
sont de même âge.
Une autre espèce (2) se trouve 1° dans les carrières à l'Est
des bains d’Aix en Savoie (au pied de la dent de Nivolet?);
20 dans les carrières de la petite colline nommée La Puya
près d'Annecy, associée à l'espèce précédente et au Plero-
ceras Pelagi Brong. Ce gisement se rapporte à la partie supé-
rieure de la première zone de Rudistes, car la couche dans
laquelle on la trouve est superposée au calcaire à Radiolites
neocomiensis d'Orbigny ; 5° au Mormont, près de Lasarra au
pied du Jura; 4° près du petit hameau de la Raïsse, voisin
de Concise dans le nord du canton de Vaud. C’est dans cette
dernière localité que j'ai trouvé un des points du rivage de la
mer qui déposa jadis les couches de la première zone de Ru-
distes (3); 5° Au Léchaud, dans les montagnes de Savoie, sur
(4) Comptes-rendus de l'Académie des Sciences. Séance du 25 août 1842.
(2) Je suis porté à croire que cette espèce est la Caprotina ammomia d'Orbigny.
Mais ce dernier fossile n’a pas encore été suflisamment décrit pour que la déter-
mination de ceux que je possède püt être très-rigoureuse.
(5) Considérations géologiques sur le mont Salève et sur les terrains des envi-
rons de Genève. Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de
Genève, tome X.
SUR LES DICERAS. 187
la rive gauche de lArve (?). Ce qui confirme que cette loca-
lité appartient à la première zone de Rudistes, c’est que près
de là se trouve en abondance le Radiolites neocomiensis d'Or-
bigny, et qu'au mont Vergi M. De Luc a cité l'Holaster com-
planatus , Ag.:; 6° près de la petite ville de Cluses sur l'Arve;
T° entre Vallon et Sixt, villages placés dans les montagnes de
la rive droite de l'Arve (?); 9 À l’'Altmann et à la Fachne-
ren-alp dans le canton d'Appenzell, dans une roche nommée
OEhrli-kalk.
Les terrains de toutes ces localités appartiennent done à la
première zone de Rudistes, et ceci donne des points de repère
importants pour l'étude des calcaires alpins.
Une remarque que J'ai déjà faite sur les Hippurites, dans les
considérations géologiques sur le mont Salève, vient confirmer
ce que les Diceras nous apprennent et peut aussi être fort utile
pour Fhistoire des terrains de sédiments alpins, c'est que tous
les calcaires des Alpes caractérisés par l'Hippurites Blumen-
bachii de Studer et particulièrement ceux placés entre les lacs
de Lucerne et de Thun ('), ceux du Sentis (2) et ceux du can-
ton d'Uri (*) dans lesquels on trouve les Hippurites associées
à ce qu'on a appelé des Diceras, appartiennent à la première
zone de Rudistes, car l'Hippurites Blumenbachii n’est autre
chose que le Radiolites neocomiensis.
(4) Mémoires de la Société géologique de France, tome III, p. 389.
(2) Bulletin de la Société géologique de France, tome X, p. 105.
(5) Bulletin de la Société géologique de France, tome VIIE, p. 151.
188 OBSERVATIONS SUR LES DICERAS.
INDICATION DES PLANCHES ET DES FIGURES
DANS LESQUELLES SONT VISIBLES LES DIFFÉRENTES PARTIES DES COQUILLES.
J'ai eu soin, dans tout ce travail. de placer les mêmes lettres
aux parties qui se correspondent dans ces fossiles.
a. Dent cardinale ou cuilleron de la valve droite. III, 3. — IV, 5, 4. — V,2,
4, 5,7.
b. Cavité cardinale de la valve gauche. V, 1, 6.
c. Cavité de la valve droite. IV, 5, 4. — V, 4, 5, 7.
d. Cavité de la valve gauche. V, 1, 6.
e. Fossette sur cette dent. V, 4, 6.
f. Dent de la valve droite. IE, 3. — IV, 5, 4. — V, 4, 5, 7.
g. Cavité de la coquille. IV, 5, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7.
h. Points d'attache des muscles. IV, 3, 4. — V, 4.
i. Petite carène. IV, 5, 4. — V, 4, 5, 6, 7.
k. Sillon. IV, 5, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7.
l. Petite proéminence. V, 1.
m. Côte interne. V, 1, 4, 5, G, 7.
n. Rudiment de dent. V, 6.
0. » » V, 6.
——— cr OC —————
NOTE
SUR
Une relation entre le volume atomique, le coefficient
de dilatation et le coefficient d'élasticité dans les
corps chimiquement simples,
PAR
Elie Ritter.
( Lue à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 47 Novembre 4842.)
———mo@0——
Les géomètres qui ont cherché à déduire les propriétés mé-
caniques des corps, de suppositions faites sur leur structure
intime et sur la nature des forces qui animent leurs molécules
intégrantes, ont été conduits à supposer tous les corps com-
posés de molécules disjointes, séparées par des intervalles
très-considérables par rapport à leur propre grandeur absolue.
Ils ont admis que ces molécules étaient soumises à deux forces,
leur attraction mutuelle et la répulsion due à la chaleur; et,
190 NOTE SUR UNE RELATION
sans connaître les lois de ces deux forces, mais en supposant
seulement que leur résultante est une fonction de la distance
des deux molécules qu'on considère, qui décroïît très-rapide-
ment et qui devient insensible dès que cette distance a acquis
une grandeur appréciable, ils sont parvenus à déduire les
principales propriétés mécaniques des corps de cette constitu-
tion hypothétique.
D'un autre côté, les faits si curieux dont l’ensemble con-
stitue la philosophie chimique semblent conduire au même ré-
sultat par une voie toute différente. La doctrine atomique qui
a acquis tant de probabilité depuis la découverte de la loi de
Dulong et Petit, confirmée et développée récemment par les
travaux d'un habile physicien, suppose aussi les corps formés
de molécules disjointes tenues à distance par la lutte et l'équi-
libre des forces physiques qui président à la constitution ac-
tuelle du corps.
Dans cette théorie, le poids absolu de chaque molécule est
exprimé par son poids atomique; le rapport entre l'unité de ce
poids et le gramme devant probablement rester inconnu, puis-
qu'il semble qu'il faudrait, pour l'obtenir, parvenir à isoler
un atôme.
En adoptant cette théorie, on est conduit à admettre que
le volume de chaque atôme dans un corps quelconque homo-
gène est proportionnel au quotient de son poids atomique di-
visé par sa pesanteur spécifique.
Cette considération du volume atomique, comme qualité spé-
cifique des corps, a été indiquée pour la première fois dans
un mémoire de MM. LeRoyer et Dumas; récemment un chi-
ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 191
miste allemand, M. Kopp, en a fait la base de travaux qui ont
enrichi la science de faits nombreux et qui semblent apporter
de nouveaux arguments à la théorie atomique.
Un nouveau point de vue qui vient encore appuyer cette
théorie a été indiqué par M. Masson dans un mémoire sur les
vibrations des verges élastiques, et par M. Wertheim dans un
travail qu'il a récemment soumis au jugement de l’Académie
des Sciences de Paris. Ce sont de certaines relations qui exis-
tent entre le poids atomique et le coeflicient d’élasticité.
C’est un point de vue analogue que je me propose d’étu-
dier dans cette note. Cependant mon travail diffère de ceux
dont je viens de parler par une considération nouvelle, qui en
fait le point essentiel, celle du coeflicient de dilatation par la
chaleur. Il se compose de trois paragraphes.
Dans le premier paragraphe, je cherche à établir par des
considérations théoriques que le produit continuel du volume
atomique. du coeflicient d’élasticité et du coeflicient de dilata-
tion cubique est constant dans tous les corps chimiquement
simples.
Dans le deuxième, je déduis de ce résultat que le coeffi-
cient d’élasticité est inversement proportionnel au volume ato-
mique et au coeflicient de dilatation cubique, et que la vitesse
du son dans le corps est inversement proportionnelle à la ra-
cine carrée du produit du poids atomique multiplié par le
coeficient de dilatation cubique.
Dans le troisième, je soumets ces résultats à l'épreuve de
l'expérience.
192 NOTE SUR UNE RELATION
PE
Si l’on désigne par + le poids atomique d’un corps simple,
et par d sa densité à une température fixe, par exemple à
0°C. celle de l’eau étant prise pour unité, le nombre des
, ,
atômes contenus dans un centimètre cube du corps sera pro-
S 1
portionnel à - et le volume de chacun d’eux à &. C’est ce der-
nier quotient qu'on nomme le volume atomique ou le volume
spécifique du corps; je le représenterai par v et j'aurai :
D NO)
Si la température du corps vient à s'élever, il en résultera
un changement dans sa densité, et ce changement sera pro-
portionnel à l’augmentation de la température, pourvu que
cette augmentation soit peu considérable et qu'on ne consi-
dère pas le corps à une température voisine d’un changement
d'état.
Supposons, par exemple, que sa température s'élève d’un
degré centigrade. Si l'on désigne par 2 le coeflicient de dilata-
d
IE et le
tion cubique pour un degré, la densité deviendra
o2
volume atomique
— (1 + 4)
Donc, par l'augmentation de 1° dans la température de
l'atôme considéré, le volume qu'il occupe dans le corps s'est
augmenté de + d = vd.
ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 193
Mais comme les atômes de tous les corps simples ont la
même chaleur spécifique, il en résulte que c’est la même
quantité absolue de calorique qui, appliquée à un atôme d’un
corps simple quelconque, augmentera son volume de cette
quantité vd.
Si maintenant, nous considérons la nature des forces que
la chaleur a à vaincre pour déplacer les molécules voisines et
augmenter le volume de celle que nous considérons, il me
parait évident que ces forces ne sont autres que celles contre
lesquelles ont à lutter des actions mécaniques extérieures
tendant à déplacer ces mêmes molécules, des tractions ou des
pressions, par exemple, tendant à allonger ou à accourcir le
corps.
Si donc nous désignons par e le coeflicient d’élasticité du
corps (:), e représentera une quantité proportionnelle à la ré-
sistance qu'opposent les molécules à s’écarter les unes des au-
tres ou à la résistance que doivent opposer les molécules voi-
sines à l'effet de la chaleur; donc l'augmentation de volume
réellement produite sera d'autant plus grande que e sera plus
petit ou ce qui revient au même v) sera inversément propor-
tionnel à e ensorte que si n désigne une constante on a
ES
€
ou ve — nr} remise (b).
(1) Ou le nombre de kilogrammes qui, agissant sur un prisme de 1" carré
de section, pourrait allonger ce corps de sa propre longueur, si cet effort ne
surpassait pas sa limite d’élasticité.
TOM. X, 1'€ PARTIE. 25
194 NOTE SUR UNE RELATION
Donc pour tous les corps simples le produit continuel du
volume atomique, du coeflicient de dilatation cubique et du
coefficient d'’élasticité est une quantité constante. C'est en effet
ce dont Je me suis assuré mais par des calculs assez longs parce
que pour la plupart des corps pour lesquels cette rélation peut
être vérifiée, le coeflicient d’élasticité n’est pas donné directe-
ment par l'expérience. Mais il y a un moyen de vérification
plus simple et plus direct qui consiste à déduire de l'équation
(b) l'élément actuel donné par l'expérience.
$ 2.
L'équation (b) peut se mettre sous la forme
et donne ainsi le coeflicient d’élasticité. Mais comme on sait
» pes . .
qu’en désignant par a la vitesse de propagation du son dans
un corps solide on a
a — V 1900ge
d
il en résulte en remplaçant e par sa valeur précédente et dv
par + d’après la relation (a)
a AE nee (2).
On voit par là que le coefficient d'élasticité est inversément
proportionnel au produit du coeflicient de dilatation cubique
ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 195
par le volume atomique et que la vitesse du son est inversément
proportionnelle à la racine carrée du produit du coefficient de
dilatation cubique par le poids atomique.
Il reste maintenant à déterminer »n, pour cela il faut recou-
rir à l'expérience et comme de tous les métaux le fer semble ce.
lui dont les qualités spécifiques sont le mieux connues je le
choisis pour cette détermination.
Je prends e — 20000 valeur qui résulte en moyenne des
nombreuses expériences faites sur le fer; d — T,1880, « —
339,215 et © — 6,0000356245 que je trouve pour moyenne
entre les dilatations très-voisines obtenues par
Lavoisier et Laplace. .................... 0,0000368175
Prinsep (Bibl. Univ. t. LVIII, p. 170)....... 0,00003645
Dulong et Petit (Ann. de Chimie, t. VIT, p. 113) 0,00003546
Ïl en résulte
n = 31,57146, 1000 yn — 309683,2,
et
.. (1)... log — 1,4992947,
D MEraE A DAME UE log = 5,4909177.
Il reste maintenant à comparer à l'expérience les résultats
théoriques précédents. Le nombre des corps simples pour les-
quels les expériences publiées permettent cette comparaison
est encore restreint; J'ai étendu les calculs au plus grand
nombre possible.
196 NOTE SUR UNE RELATION
1° Prows.
a—129%,498, d—11,3523, d—0,0000854508 (Lavoisier et Laplace).
On trouve
e— 3240, a—1673,2, ou 4— 5,02
en prenant pour unité la vitesse du son dans l'air.
En supposant d — 0,00008862 (Prinsep) on trouve
e— 3124, a — 1643,0, À — 4,93.
M. Masson (Ann. de Chimie et de Phys. N. S$. t. LIL, p. 462)
a trouvé pour la vitesse du son dans le plomb 4,256 — 4,2439
— 4,5348.
Quant aux expériences directes pour déterminer le coefli-
cient d’élasticité du plomb elles offrent trop peu d’accord
pour qu'on puisse compter sur leur résultat. Les expériences
de Tredgold donnent e — 600. — Celles de Lajerhjelm e —
9320.
90 Érann.
a—135,294, d—17,2914, d—0,0000581295 (L. L. pour l’étain pur),
d—0,000065189%4 (id. pour l’étain de Fal-
mouth),
on trouve
e—5386, a—2691,7, A— 8,08 pour l’étain pur,
e— 4803, a—2541,8, À—17,63 pour l’étain de Falmouth.
M. Masson qui a opéré sur de l’étain chimiquement pur a
trouvé pour la vitesse du son 17,19 — 7,84 — 7,9654 et si-
ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 197
gnale ce dernier résultat comme plus exact que les deux au-
tres.
Chladni a trouvé T5.
50 ARGENT.
a —=675,8035, d—10,4743, d—0,0000572929(L.L. argent de Coupelle)
d—0,0000572604 (L.L. argent autitredeParis)
d—0,00005712 (Prinsep argent à 0,917)
on trouve
e — 851, a — 28981, A— 8,49,
e — 8545, a — 28928,9, A = 8,50,
e — 8567, ad — 2832,4, A==\8;51.
Chladni indique pour la vitesse du son dans l'argent 9. —
Lajerhjelm donne pour le coefficient d’élasticité 8700.
4o Larrow.
æ— 398,205, d— 8,508, 9 — 0,00005718 (Prinsep),
e — 41797 a — 3687,9, A = 11,075.
Il résulte d’une expérience de Borda e — 10995.
Chladni a trouvé pour la vitesse du son À — 10,67.
Savart donne 10,39 — 10,42 — 10,55 — 10,56 — 10.69.
50 Cuivre.
a— 395,695, d—8,8785, d — 0,00005073 (Prinsep),
d = 0,00005154 (Dulong et Petit),
d — 0,00005152 (Laplace et Lavoisier).
198 NOTE SUR UNE RELATION
On déduit de là
e — 13964, a — 3927,8, A— 11,795,
e—1374%, a—3896,8, 4À— 11,709,
e— 13750, a—3897,5, A—11,704.
Chladni donne pour vitesse du son moins de 12.
Savart indique plusieurs nombres compris entre 11,13 et
12,21.
M. Masson donne 12,21.
Lajerhjelm a trouvé pour le coeflicient d’élasticité 13480.
6° Acrer.
a 339,213, d—17,8163, 9 — 0,0000323745 (Lavoisier et Laplace)
d — 0,0000381868 (id.)
d — 0,000041325 (id.)
Ces nombres donnent
e— 22390, a — 5310,4, — 15,947,
e — 19492, a — 4954,8, A — 14,880,
e— 17540, a—24100,%, A— 14,115.
Chladni a trouvé pour vitesse du son 16, 67.
Quant aux autres corps simples auxquels j'ai pu appliquer
les formules du $ 2, je les réunis dans le tableau suivant. Je
ne connais aucune expérience par laquelle je puisse vérifier les
résultats qu’elles m'ont donnés.
ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 199
a d d e a A
Bismuth... 1550,576 9,822 0,00004175 5583 2561,3 7,09
OTLERCEE 1245,15 19,5617 0,00004544 11400 2405,2 7,217
dE URE » » 0,00004655 410565 25135,5 6,948
Palladium . 665,90 11,8 0,00003 16592 5957,5 11,824
ZINC te 405,226 6,861 0,00008928 6017 929355,0 8,808
Platine ... 1215,220 22,069 0,0000256965 22513 3149,1 9,457
Id... » » 0,00002652 21620 3100,0 9,309
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SECONDE NOTICE
SUR
LES ANIMAUX NOUVEAUX
ou
PEU CONNUS DU MUSÉE DE GENÈVE
F.- eJ. Pictet,
PROFESSEUR DE ZOOLOGIE ET D'ANATOMIE COMPARÉE.
(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 17 Mars 1842.)
Cette seconde notice a pour but de faire connaître trois nou-
veaux Mammifères du Brésil, envoyés de Bahia à notre Mu-
sée par M. Blanchet. Deux d’entre eux appartiennent, comme
ceux qui ont fait l’objet d’une première notice, à la division des
Rats épineux, lun au genre Vélomys, l'autre au genre Echi-
TOM. X, 1'© PARTIE. 26
202 DESCRIPTION D'ANIMAUX
mys; Mais ils sont tous deux remarquables parce qu'ils man-
quent du caractère extérieur le plus apparent qui à l'ordinaire
distingue ces genres, c’est-à-dire de piquants. Le troisième
fait partie de la tribu des Rats ordinaires (Muridæ) et il doit
être rangé dans le genre Oxymycterus de M. Waterhouse.
Les deux premiers, en particulier, présentent une réunion
de caractères assez remarquable, et en voyant leur peau pour
la première fois il m'aurait été impossible de soupçonner leurs
véritables affinités. Ayant fait retirer les crânes de ces peaux,
l'examen des formes osseuses et de la dentition me prouva im-
médiatement leur analogie avec le groupe des Rongeurs épineux
que J'avais été appelé précédemment à étudier et dont notre
Musée possède un assez grand nombre de peaux et de crânes.
Il me paraissait toutefois étrange qu'une ressemblance si
grande dans les organes importants, s’accordât avec une dif-
férence si totale dans le pelage qui est doux et soyeux. L’exa-
men microscopique des poils m'a montré que cette différence
n'est pas si réelle au fond qu’elle paraît au premier coup d'œil,
car vus à un grossissement suflisant, ces poils ont en petit la
forme des épines des Echimys et des Nélomys; ils sont un peu
aplatis et creusés d’un canal longitudinal sur chacune de leurs
faces planes.
Dès lors la place de ces rongeurs ne me parut plus dou-
teuse; la forme de leur crâne et surtout celle de l'occipital,
des frontaux et de Farcade orbitaire. leur dentition et leur pe-
lage s’accordaient pour les placer dans le groupe des Rongeurs
épineux (ÆEchimyda) qui fait partie de la tribu des Psammo-
ryctina de M. Wagner.
DU MUSÉE DE GENÈVE. 203
L'une de ces espèces se rapproche davantage des Né-
lomys et l'autre des Echimys, sans toutefois que leurs ca-
ractères soient en tous points parfaitement identiques à ceux
des autres espèces de ces genres. Je n'ai point voulu malgré
ces légères différences en faire des genres nouveaux, car je
crois que les naturalistes qui étudieront dans son ensemble
l'ordre difficile des Rongeurs seront mieux placés pour cela, et
qu'ils pourront mieux se rendre compte de la manière dont les
variations de la dentition se lient avec celles des autres carac-
tères. Ils introduiront par là une régularité et une unité qui
manque trop souvent aux travaux de détail.
IL. DESCRIPTION DU NELOMYS PICTUS.
PI. I et II.
Cette espèce est en quelque sorte intermédiaire entre le
genre Dactylomys et le genre Nélomys. C’est surtout dans sa
dentition qu’elle a quelques caractères des uns et des autres;
la forme de ses pattes la rapproche tout à fait des Nélomys.
Les dents molaires de la mâchoire supérieure au nombre de
quatre de chaque côté (PL IE, fig. 5), forment comme dans
ces deux genres deux lignes très-rapprochées. Elles sont dis-
tantes en avant d'environ la largeur d’une dent, et en arrière
20% DESCRIPTION D'ANIMAUX
d’une fois et un quart cette mesure. La composition même de
ces molaires présente plus de ressemblance avec les Dactylo-
mys qu'avec les Nélomys, on peut même dire qu'elles sont tout
à fait identiques à celles de ce premier genre. Elles sont par-
tagées transversalement en deux parties parfaitement distinc-
tes, dont chacune est formée d’une lame en émail entière et un
peu aigue au côté interne, tandis que le côté externe présente
un profond repli. Au reste, les différences qui existent entre
cette disposition et celle des Nélomys, ne sont guère plus gran-
des que celles que l'on retrouve entre les diverses espèces de
ce même genre.
À la mâchoire inférieure (PI. IL, fig. 6), l’analogie avec le
genre Dactylomys ne se conserve pas. La couronne de la dent
n'est pas divisée en deux parties; elle est formée par une lame
plissée unique qui a deux profonds replis au côté interne et un
au côté externe. Il est facile de voir que cette organisation est
la même que dans les autres Nélomys.
Les pieds antérieurs (PI. IE, fig. 8) ont quatre doigts pres-
que égaux, dont l’externe seul est un peu plus court; et un
pouce rudimentaire terminé par un petit ongle arrondi. Les
postérieurs ( PI. IL fig. T) ont les cinq doigts armés d'ongles
crochus dont le médian et le quatrième sont les plus grands;
l'interne est le plus petit.
Ces caractères me semblent démontrer que la place vérita-
ble de cette espèce est dans le genre des Nélomys, et qu’elle se
rapproche un peu plus que les autres des Dactylomys. On
peut la caractériser comme suit.
DU MUSÉE DE GENÈVE. 205
NELOMYS PICTUS. Mi.
Dimensions.
Longueur du corps mesurée depuis l'extrémité du nez jusqu’à la base de la
QUEUE EE CEE > cost 10 pouces — lignes» soit 270mm,
OA del lhiquene see PEACE NN 12 0 — » 625
Distance du nez à l’angle antérieur de l'œil. — » 11 , » 25
id. id, à la base de l'oreille. ..... IRON AE LD » 90
Longueur des oreilles .......... este — vip » 16
Largeur id. SOS ÉSADEES — TMS » 16
Longueur du pied antérieur............. 1 > — » » 27
dl. du pied postérieur... .......... 1 » 9 » » A7
Description.
La tête est assez grosse, le front médiocrement bombé, la
mâchoire supérieure épaisse, les yeux médiocres, les oreilles
arrondies aussi larges que longues. Les pattes sont fortes et
médiocrement longues, les ongles comprimés et aigus. La
queue est longue et a des écailles assez grandes, recouvertes
et cachées par des poils longs et serrés; elle est épaisse et
solide.
La coloration est remarquable. La presque totalité de la tête,
du cou et de la nuque, est couverte par de longs poils, bruns
à leur base et blancs dans leur moitié externe, qui forment
par leur ensemble, une couleur d’un blanc sale, irrégulière et
indistinctement mouchetée de brun. Cette couleur est limitée
postérieurement par une ligne qui partant de l'angle antérieur
206 DESCRIPTION D'ANIMAUX
des épaules, va en s’arrondissant en arrière jusque vers le mi-
lieu de la région dorsale. Cette ligne est le commencement d’une
couleur brune qui occupe tout le reste du dessus du corps. Au
milieu de la partie blanche est une tache brune allongée. Cette
tache, formée de poils d’un brun clair à la base et d’un brun
foncé à l’extrémité, commence en pointe sur le nez, reste
mince entre les yeux, a sa plus grande largeur entre les oreil-
les sans cependant atteindre ces organes et va se terminer sur
la ligne médiane à un point qui correspond aux pattes anté-
rieures. Tout le dos est couvert de poils bruns semblables, et
cette couleur se prolonge sur les épaules et jusqu’au milieu
de la partie externe de l'avant-bras. Tous les flancs, le dessous
du corps et les pattes postérieures sont couvertes de poils ter-
minés de blanc, semblables à ceux de la tête. La ligne de sépa-
ration du brun et du blanc commence au coude, puis remonte
au milieu des flancs et de là se dirige en remontant toujours
jusqu’à la queue. Les pieds sont couverts de poils roides blan-
châtres. La queue est, à sa base, d’un brun roux en dessus, et
blanche en dessous, le brun ayant un pouce et demi de long
et le blanc deux pouces; les sept pouces suivants sont cou-
verts tant en dessus qu’en dessous de poils d’un brun très-
foncé; le reste de la queue est garni de poils plus soyeux,
assez brillants, blancs sur la face supérieure et d’un jaune doré
sur linférieure.
DU MUSÉE DE GENÈVE. 207
IL DESCRIPTION DE L'ECHIMYS INERMIS.
PI. III et PI. V, fig. 1 —8.
La forme du crâne rapproche évidemment cette espèce de
la précédente, mais sa dentition l'en éloigne. Les molaires de
la mâchoire supérieure (PL. V, fig. 5), aussi au nombre de
quatre, forment deux rangées plus courtes, plus écartées et
plus parallèles, comme dans les Echimys; le plissement de la
lame d'émail rapproche aussi cette espèce de la plupart de celles
qui composent ce genre. Ces molaires à racines distinctes ont
aux supérieures un profond repli au côté interne et deux au
côté externe; l'inverse a toujours lieu pour les inférieures
(PI. V, fig. 6).
Le crâne (PI. V, fig. { et 2) est tout à fait celui des Echi-
mys, et parmi les points les plus caractéristiques, on peut,
comme pour le précédent, citer principalement la grosseur et
la force de son arcade zygomatique, la grandeur de Porbite de
l'œil, et surtout cette disposition remarquable de loccipital,
déjà indiquée par Cuvier, par laquelle cet os, en se bifurquant,
borde des deux côtés le prolongement supérieur de la partie
écailleuse du temporal et forme deux tubercules en arrière de
la caisse du tympan, tandis qu'ordinairement il n’en forme
qu'un (l'apophyse mastoïde).
Les pattes sont celles des Nélomys et des Echimys; le doigt
externe antérieur (PI. V, fig. T) est moins court que dans l'£-
208 DESCRIPTION D'ANIMAUX
chimys cayennensis et le tarse (PI. V, fig. 8) l'est au contraire
beaucoup plus; mais les différences que présente à cet égard
le genre des Echimys donnent peu d'importance à ces carac-
tères; notre espèce se rapproche beaucoup sous ce point de
vue de l'Echimys albispinus.
La queue est revêtue d’écailles, qui elles-mêmes sont re-
couvertes de poils plus grands et plus nombreux que dans
aucun Echimys; elle est à peu près aussi velue que dans les
Nélomys, sans cependant avoir, comme dans ce genre, sa base
revêtue de téguments semblables à ceux du corps.
Le pelage est doux et soyeux, même lorsqu'on passe la main
d’arrière en avant. Je dois faire observer à cet égard que l’exem-
plaire que J'ai eu à ma disposition était parfaitement adulte,
ainsi que le prouve l'usure de sa quatrième molaire. On ne
peut donc point soupçonner qu’il y ait eu quelque chose d’a-
nalogue à ce que J'ai indiqué pour l'Echimys selosus dans ma
première notice. L'animal que je décris a beaucoup dépassé
l'âge où pourraient naître de vrais piquants. J'ai déjà dit que
cette différence de pelage s’efface en partie devant l'observation
microscopique qui montre que la plupart de ces poils sont ca-
naliculés comme les piquants d'Echimys, mais sans que leur
diamètre dépasse celui d’un poil ordinaire.
J'ai donc rapporté cette espèce au genre des Echimys et je
la nomme
o
©
Le]
DU MUSÉE DE GENÈVE.
ECHIMYS INERMIS. Mini.
Dimensions.
Longueur du nez à la base de la queue... ... 7 pouces 6 lignes soit 202mm,
NET TIQUENC ER Eee eee Éd CR 176
Distance du nez au bord antérieur de l'œil... — » 1410 » » 23
id. id. à la base de l'oreille. ...... à PAT Su on. 45
Longueur de l'oreille ................... — CPONNN MC T
Largeur HO ARR Eh — 8, » » 48
Longueur du pied antérieur .............. — 0 Changes > 2)
id. du pied postérieur. ............. 4 RTE 8 » >» 45
Description.
La tête a le chanfrein assez plat, l'œil moyen, le nez mé-
diocrement proéminent, nu en avant, velu en-dessus; les
oreilles sont grandes, légèrement échancrées au côté externe,
nues en-dedans et revêtues en dehors de quelques poils rares
et courts. Les pattes sont médiocrement longues. La queue,
un peu plus courte que le corps, est revêtue d’écailles comme
celle des rats, mais de longs poils abondants les cachent pres-
que complétement, surtout à la base.
Les poils du dos sont, comme je l'ai dit, de deux sortes, les
uns cylindriques, les autres aplatis; ils sont tous gris dans
leur moité basilaire, puis bruns, ensuite d’un jaune clair et
terminés parune petite pointe d’un brun foncé ; ceux de la croupe
sont un peu plus longs. L'ensemble de la couleur produite
par ces poils annelés est un brun fauve, piqueté de brun foncé.
TOM. x, 1'* PARTIE. 27
210 DESCRIPTION D ANIMAUX
La même couleur se prolonge sur le front jusqu’à trois lignes
du nez. La partie comprise entre la pointe de cet organe et
l'œil est couverte de poils doux, annelés de blanc et de brun;
un sourcil blanc régne au-dessus de l'œil. Les joues sont inter-
médiaires entre la couleur du dos et celle de la partie anté-
rieure de la face. Les moustaches sont longues, les poils su-
périeurs sont noirs, les inférieurs blancs. Le tour de la bouche
et le dessus de la tête sont d’un blanc un peu jaunâtre ; la
gorge est mélangée de gris et de fauve. Les pattes sont cou-
vertes en dehors, jusqu’au poignet ou jusqu’au tarse de poils
gris terminés de jaune; les doigts portent, jusque vers les on-
gles, des poils uniformément gris. Le dessous du corps et le
côté interne des membres sont d’un blanc jaunâtre. Les poils
de la queue sont noirs, sauf dans la moitié basilaire de la
face inférieure où ils sont blanchîtres.
Cette espèce est facile à distinguer de tous les autres Echi-
mys, et il est inutile d’insister sur des différences aussi évi-
dentes. Je dirai seulement qu'il ne peut y avoir aucune confu-
sion entre elle et le jeune âge du Cayennensis qui a été connu
sous le nom de Setosus, car celui-ci a la queue écailleuse ter-
minée par un pinceau de poils blancs, le ventre d’un blanc
pur, le tarse plus long, et enfin des poils beaucoup plus voi-
sins pour leur forme des vrais piquants.
Depuis la rédaction de ce mémoire, nous avons reçu un
second individu dont le poil était encore plus soyeux. et la
teinte générale d’un gris plus pur. Îl avait été tué dans le creux
d'un rocher, à la Jacobine (dans les montagnes de las Almas,
province de Bahia).
DU MUSÉE DE GENÈVE. 211
II. DESCRIPTION DE L'OXYMYCTERUS HISPIDUS.
PI. IV et PI. V, fig. 9— 14.
Le Rongeur dont il s’agit ici est très-voisin des Rats pro-
prement dits, il n’a, comme eux, que + molaires à racines,
dont la couronne présente des caractères très-peu différents.
Il a aussi, comme les Rats, une arcade zygomatique grèle,
l'orbite petite, la face amincie. Toutefois, malgré ces analogies
évidentes, c'est avec raison que M. Waterhouse a séparé ce
genre de celui des Rats proprement dits, car il en diffère par
des caracteres essentiels, qui influent certainement sur son
genre de vivre.
Le plus saillant de ces caractères est la forme des pattes
(PL V, fig. 15 et 14) qui sont terminées par des ongles très-
forts et évidemment propres à fouir. Le doigt médian et le
suivant du côté externe sont les deux plus grands; celui qui
correspond à l'index n’est plus court que d’une très-petite quan-
tité; l’externe et l’interne, surtout ce dernier, sont courts,
mais terminés tous deux par un ongle aigu analogue à celui
des autres doigts.
Les pattes postérieures ont aussi cinq doigts, les trois mé-
dians sont presque égaux et terminés, comme aux pattes anté-
rieures, par des ongles solides; l'externe et l’interne sont beau-
“coup plus petits et ont aussi des ongles aigus.
212 DESCRIPTION D'ANIMAUX
Les formes générales de l'animal concordent avec ces ongles
propres à fouir; il est bas sur jambes et a le poil feutré, assez
dur. Ces circonstances, jointes à ce qu'il a les oreilles velues.
la queue médiocre, parsemée de poils plus abondants que
dans les Rats, et un museau, ainsi que son nom l'indique,
remarquable par la manière dont il est prolongé en avant, dis-
tinguent au premier coup-d’œil cette espèce du groupe des Rats
proprement dits.
Je le nomme
OXYMYCTERUS HISPIDUS. Mr.
Dimensions.
Longueur du corps mesuré de l'extrémité du
nez à la base de la queue... 6 pouces — lignes soit 162mm.
DE MÉA GTS oducogdosce euca. CS 2 » » 115
Distance du nez aux yeux ............... — » GTS ». 20
id. udu.nez aux oreilles: ..:........ : 6.0 r 40
Longueur des oreilles. ....... san o és — 11200 MIO
id. du pied antérieur, depuis le carpe
à l'extrémité des ongles. .... il un 74305 1146
id. du pied postérieur, depuis le talon
à l'extrémité des ongles...... 1 » 5 » » 54
Description.
Tout le dessus du corps est couvert de poils gris à leur base,
bruns dans leur milieu et terminés par une petite pointe d’un
roux vif. Sur la tête ces poils sont roides, relevés en brosse
sur le nez dont l'extrémité est couverte elle-même d'un velours
DU MUSÉE DE GENÈVE. 213
brun; sur le dos, ils sont égaux et serrés. les joues sont d’un
roux plus vif. Le bout du nez est blanchâtre. l'extrémité de la
lèvre inférieure est blanche, cette couleur forme en outre une
petite raie longitudinale sur le menton. Tout le dessous du
corps est d’un brun grisâtre avec quelques extrémités des poils
jaunes. Les pattes antérieures sont couvertes en dehors de
poils d’un brun uniforme, qui vont presque jusqu'aux ongles;
ceux-ci sont d’un jaune orange. Les pieds postérieurs sont
aussi bruns et les ongles, plus clairs à leur base, ont une
tache brune vers l'extrémité. Les poils de la queue sont roides
et noirs.
Cette espèce diffère de l'O. nasutus, Wat., Voyage du Bea-
gle, page 56, par sa queue qui est plus longue et dont les
poils sont bruns tant en dessus qu’en dessous; par son poil
plus roux, plus roide et plus hérissé; par sa mâchoire infé-
rieure d’un blanc pur, etc.
Depuis que cette description a été envoyée à l'impression,
M. Wagner a publié dans les Archiv für Naturgeschichte, di-
rigées par M. Erichson (Année 1849, p. 361), les diagnoses de
quelques nouvelles espèces de mammifères, parmi lesquelles
est un Oxymycterus qu'il nomme rostellatus. Cette espèce me
paraît plus voisine de l'O. nasutus que de la nôtre. Autant
qu'on en peut juger sur la phrase très-courte par laquelle
l'auteur la caractérise, l'O. hispidus en diffère par sa couleur
plus brune en dessous et plus rousse en dessus surtout sur
la tête et les joues, ainsi que par sa queue un peu plus longue.
Il ne paraît pas d’ailleurs que l'O. rostellatus ait la lèvre infé-
rieure blanche.
EXPLICATION DES PLANCHES.
PI. I. Necouys picrus réduit de moitié.
PI. II. Crâne, dentition et pieds de cette espèce.
Fig. 1. Crâne vu en-dessus.
Fig. 2. Crâne vu de profil.
Fig. 5 et 4. Mächoire inférieure.
Fig. 5. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit.
Fig. 6. » » » inférieure, côté gauche.
Fig. 7. Pied postérieur vu en-dessous.
Fig. 8. Pied antérieur vu en-dessous.
PI. II. Ecuimys mNERMIS de grandeur naturelle.
PL. IV. OxYMYCTERUS HISPIDUS » >
PI. V. Crâne, dentition et pieds de l’Echimys inermis et de l'Oxymyceterus hispidus.
Fig. 4 et 2. Crâne de l’Echimys inermis.
Fig. 5 et 4. Mâchoire inférieure.
Fig. 5. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit.
Fig. 6. » » » inférieure, côté gauche.
Fig. 7. Pied antérieur vu en-dessous.
Fig. 8. Pied postérieur vu en-dessous.
Fig. 9 et 10. Crâne de l’'Oxymycterus hispidus.
Fig. 11. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit.
Fig. 12. » » » inférieure, côté gauche.
Fig. 13. Pied antérieur vu en-dessous.
Fig. 14. Pied postérieur vu en-dessous. ?
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Fig. 1-8. ECHIMYS INERMIS.
Fig. 9.14 DXYMYC'TERUS HISPIDUS.
ESSAI
LA VÉGÉTATION DE LA NOUVELLE CASTILLE
M. Reuter.
(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 17 Février 4842.)
Le pays que j'ai étudié sous le point de vue botanique com-
prend la partie nord de la Nouvelle-Castille, depuis l'extré-
mité de la province de la Manche vers la Guardia, jusqu'aux
montagnes de Tolède à l’ouest, et à celles du Guadarrama
au nord de Madrid.
Cette contrée fait partie de ce vaste plateau qui compose
tout le centre de la péninsule et s'élève de plus de deux mille
pieds au-dessus de la mer. Entre les deux Castilles, ce pla-
216 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
teau est traversé par la chaîne des monts Carpétano-Véton-
niques, qui s'étendent de l'Est à l'Ouest, depuis les frontières
de l'Arragon, portent, dans la partie orientale, le nom de
chaine de Somosierra, puis, au nord de Madrid, celui de
Guadarrama; plus loin, à l'Ouest, les noms de Sierra de Avila
et de Grédos, et se réunissent enfin dans le Portugal à la
Sierra d'Estrell. Ces montagnes très-élevées présentent, vues
d’une certaine distance, l'aspect de notre Jura; les sommités
en sont cependant plus découpées, quoique moins dentelées
que celles des Alpes.
CLIMAT.
Le climat de la Nouvelle-Castille, surtout aux environs de
Madrid, est très-variable à cause de l'élévation du sol et de la
proximité des montagnes de Guadarrama dont les sommités
sont couvertes de neige pendant huit mois de l'année. Le ciel
y est presque toujours serein et du plus beau bleu; l'air y est
vif, pénétrant et très-sec; il n’y pleut guère qu’en hiver et
au commencement du printemps ; les brouillards y sont à peu
près inconnus. Les vents qui y soufflent le plus ordinairement
sont : celui du Nord, qui s’y fait sentir en hiver, quelquefois
aussi au printemps et même en été, comme je l'ai éprouvé
en 1841, où l'été fut beaucoup moins chaud que d'habitude
à cause de cette circonstance. Ce vent traverse les montagnes
neigées de Guadarrama, y acquiert une froidure excessive et
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 217
vient balayer toute la plaine de la Nouvelle-Castille sans ren-
contrer aucun obstacle qui ralentisse sa vitesse. Au printemps
et en été règnent ordinairement les vents de l'Ouest et du
Sud. La température moyenne de Madrid paraît être de 12
degrés de Réaumur, le froid moyen deO, et la chaleur moyenne
de 24 degrés au-dessus de 0. Le thermomètre ne descend pas
souvent au-dessous de moins 5 (quoique en 1809 ont l'ait vu
descendre jusqu'à 9, et en 1830 à 8). On peut cependant
patiner presque tous les hivers sur le grand étang du Retiro
à Madrid même, et la neige couvre souvent la terre pendant
plusieurs jours. En été, le thermomètre de Réaumur monte
quelquefois, à l'ombre, de 30 à 53 degrés au-dessus de 0, sans
le moindre souffle de vent. Le printemps est humide et va-
riable, et l'automne sec et beau jusqu’en décembre.
La végétation m'a paru plus avancée d’un mois qu'à Genève:
à la fin de mars, les arbres étaient déjà à demi feuillés, les
cerisiers et le lilas de Perse étaient en fleurs, ainsi que la co-
ronilla glauca, le photinia serrulata, et d'autres plantes qui,
chez nous, ne peuvent se conserver qu'en orangerie.
ASPECT DU PAYS.
L'aspect que présentent les plaines de la Nouvelle-Castille
est des plus monotones, à cause du manque presque absolu
d'arbres et de buissons. Ce plateau est tout sillonné de basses
collines qui le font paraître ondulé. Là, de tous côtés, la vue
TOM. x, 1'° PARTIE. 28
218 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
se trouve bornée à une très-petite distance par ces mêmes
collines nues et pelées, sur le sommet desquelles quelques
êtres animés ou d'énormes chardons, se détachant sur le bleu
du ciel, paraissent gigantesques au spectateur placé au-des-
sous.
Pour bien se faire une idée de l'aspect assez singulier de
la végétation du plateau central des Castilles, il faut distin-
guer les différentes sortes de terrains dont il se compose et
dont les environs de Paris présentent justement tous les evem-
ples. On peut y distinguer quatre sortes de terrains, l'argi-
leux, le gypseux , le sablonneux et le terrain granitique ou
primitif.
TERRAIN ARGILEUX.
Les terrains argileux s'étendent au midi de Madrid et for-
ment la majeure partie des plaines de la Manche; ils sont
compactes et très-tenaces dans les temps humides; les voitures
y creusent alors de profondes ornières. Pendant la sécheresse,
leur surface se fendille et prend en se divisant la couleur et
l'aspect des cendres. Les routes se couvrent alors d’une pous-
sière impalpable qui reste longtemps suspendue dans Fair
comme une espèce de brouillard. C’est dans cette sorte de ter-
rain que les eaux se creusent de profonds ravins, et quelque-
fois de larges dépressions, comme on le voit surtout aux en-
virons de la Guardia et d’Aranquez.
Dars- ce dernier endroit, une belle et fertile vallée de plus
d'une lieue de largeur dont le fond est de terrain d’alluvion et
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 219
qui est entourée de hautes collines gypseuses, paraît avoir été
formée par les eaux des deux fleuves qui la parcourent encore,
le Jarama, qui vient des montagnes de Guadarrama et qui
roule ses eaux limpides sur un fond de sable et de cailloux,
et le Tage qui prend sa source dans les montagnes de l'A
carria et promène lentement ses eaux profondes, jaunâtres et
chargées de brillantes paillettes de mica parmi les bosquets
des demeures royales.
TERRAIN GYPSEUX.
Ce terrain qui est toujours associé aux terrains argileux, y
forme ordinairement des collines plus ou moins abruptes, éle-
vées de quelques centaines de pieds seulement, où la pierre
de gypse plus ou moins pure et cristallisée, disposée par cou-
ches régulières, rend un son caverneux sous les pas et se cou-
vre en certains endroits d’efflorescences salines. Ces collines
sont sillonnées de profonds ravins ou petites vallées étroites,
au fond desquelles coulent quelques faibles ruisseaux alimentés
par les pluies de l'hiver, et où l'on se croirait transporté dans
les Alpes en miniature. C’est surtout entre Ocanna et Aran-
juez, et au midi de cette dernière ville, que ces collines sont
le plus remarquables : là, elles forment un vallon dont le fond
est occupé par un petit lac nommé dans le pays el Mar de
Ontigola; il est alimenté par un ruisseau, venant en partie
d’une source qui sort au pied d’un côteau sur lequel est bâti
le village d’Antigola, et en partie des collines d'Ocanna. Ses
eaux sont retenues par un grand mur en maçonnerie, et de là
220 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
distribuées dans des canaux pour arroser les bosquets d’A-
ranjuez. Les eaux de ce lac, légèrement sablées, se dessèchent
en grande partie par les chaleurs de l'été, et ses bords vaseux
se couvrent alors de plusieurs Chénopodées maritimes. En
quelques endroits de ces collines qui sont très-saliferes, on a
creusé des puits pour extraire le sel; au lieu appelé la Mina,
on voit même une petite galerie qui se dirige vers le centre
de la colline et d’où s'échappe un filet d’une eau limpide et
très-salées dont les bords se couvrent d’abondantes efflores-
cences salines.
Ces collines s'étendent encore en remontant vers le Nord
le long du Jarama et du Rio Henares jusque vers Alcala, et
on les voit finir en monticules isolés dans la plaine argileuse
qui s'élève insensiblement jusqu’à Madrid; les plus basses for-
ment des espèces d'ondulations où se cachent de rares villages.
TERRAIN SABLONNEUX.
Toute la partie de la plaine au nord et au couchant de
Madrid jusqu'aux montagnes, est formée par un sable à gros
grains, Sans pierre ni cailloux, et dont la surface se durcit
par la sécheresse au point qu'il est assez difficile d'y arracher
même de très-petites plantes. Les eaux sont très-rares dans
cette partie de la plaine, et le fameux Manzanares, tant vanté
par les poëtes espagnols, ne doit sa célébrité qu'à cette cir-
constance. Il prend naissance à sept lieues de Madrid dans
les montagnes de Guadarrama, près du village de Manzanares
el Real, et, coulant du Nord-Est au Sud-Ouest, il traverse le
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 291
Pardo, laisse à droite les collines de la Caza del Campo, à
gauche celles de la Honcloa et la ville de Madrid dont il baigne
le pied, et vient s'unir au Jarama à environ sept lieues de sa
source. Ses eaux, claires et cristallines, coulent sur un lit de
sable fin : elles sont assez abondantes pendant l'hiver, où elles
sont alimentées par les neiges des montagnes; mais en été,
elles disparaissent presque entièrement en s’enfonçant sous le
sable de son lit, de sorte qu'on peut le traverser complétement
à sec en certains endroits. Ces eaux servent merveilleusement
au blanchissage du linge qui nulle part ne devient aussi blane
qu'a Madrid ; et ce sont les seules de cette capitale qui puissent
dissoudre le savon. Celles qu'on emploie pour boire, provien-
nent toutes de quelques sources amenées de collines environ-
nantes. Quelques autres petits ruisseaux coulent pendant l'hiver
au milieu des champs dans les petits vallons formés entre les
basses collines, et roulent, sur un lit de sable nivelé, quelques
pouces d’eau qui disparaissent à l'approche des premières cha-
leurs.
TERRAIN GRANITIQUE, SIERRA DE GUADARRAMA.
Le terrain granitique forme la chaîne des monts Carpétano-
Vétoniques et commence à sept ou huit lieues de Madrid. La
charpente de ces monts est composée d’un granit grisâtre à
gros grains, parmi lesquels on distingue des noyaux d’un granit
plus dur et plus noir, dont la grosseur varie de celle d’une
noisette à celle d’une grosse pomme. Ce granit se montre déjà
à trois ou quatre lieues de Madrid, où il se présente d’abord
299 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
sous la forme de blocs épars, puis de masses plus ou moins
considérables, et enfin de monticules isolés qui forment des
chaïnons détachés de la Sierra. Les cimes dentelées de ces mon-
tagnes sont couvertes de neige pendant plus de huit mois de
l'année, surtout vers la Laguna de Grédos dans la chaîne de
même nom, où elle forme de grands amas qui ne fondent ja-
mais. Ces montagnes n'ont point été mesurées d’une manière
exacte, mais on peut évaluer la hauteur moyenne des cols qui
les traversent de 4500 à 5500 pieds. Les plus hautes som-
mités telles que Pennalara, entre la vallée du Panlar et la
Granja, etles Siete Picos ainsi dénommés du nombredes pointes
qui les composent, la Plaza del Moro dans la Sierra de Grédos,
varient de 7 à 8000’ de hauteur au-dessus de la mer. Ces som-
mités, ainsi que les plus basses de la chaîne, ont souvent une
forme arrondie et assez monotone. La neige persiste sur les
plus élevées pendant tout l'été, sous forme de taches plus ou
moins étendues, mais cette chaîne ne compte aucun véritable
glacier. Parmi les cols par lesquels on se rend de la Nouvelle
à la Vieille-Castille, ceux de Somosierra et du Guadarrama sont
les plus faciles et sont praticables presque toute l'année; celui
de Nava Cerrada, pour aller de Madrid à Ségovie par la
Granja, est fermé tout l'hiver; quelques autres ne sont prati-
quables que pour les mulets. Ces montagnes ont des vallées
belles et assez larges, parcourues par de petites rivières, sou-
vent boisées, et souvent aussi fraîches que celles de notre
pays. Les principaux cours d’eaux sur le versant méridional
sont : le Jarama, le Manzanares, le Guadarrama et l'Alberché.
C'est ici le cas de dire un mot des montagnes de Tolède,
DE LA NOUVELLE CASTILEE. 293
situées à 20 lieues environ au sud de Madrid et formées aussi
de ce même granit. Leur élévation est beaucoup moins consi-
dérable, elle est de deux mille pieds au plus au-dessus des
plaines, et la neige y disparaît à peu pres en même temps
que sur le plateau.
Le terrain calcaire ne figure pas dans cette énumération.
Il ne se présente pas autour de Madrid et ne commence qu’as-
sez loin à lorient, du côté des montagnes de Guadalaxara et
de Cuenca. Je ne l'ai vu qu'en passant sur la route de Madrid
à Sarragosse, et, pour ne pas revenir sur sa végétation, Je dirai
qu'elle ressemble assez à celle des parties incultes de la Cata-
logne. De nombreux buissons de Romarin, de Quercus cocci-
fera et de Lavandula spica s'y trouvent associés assez singu-
lièrement à l'Arbutus Uva Ursi de nos montagnes.
ASPECT DE LA VÉGÉTATION.
La culture des champs sur le plateau, considérée en géné-
ral, consiste presque entièrement en froment et en orge. On
y voit très-rarement un peu d'avoine et de seigle; ce dernier
se coupe en vert, ou on le fait brouter sur place par les chè-
vres. Le blé ne s'élève guère dans les lieux sablonneux à plus
de deux ou trois pieds, il est ordinairemenf très-clair-semé ;
mais, dans les terrains argileux, on le voit atteindre environ
quatre pieds de hauteur. Outre ces céréales, on cultive com-
22% ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
munément comme fourrage. dans les parties les plus sablon-
neuses, la V’icia monantha, connue dans le pays sous le nom
d'Algarroba ; ainsi que le Pois chiche où Garbanzo qui forme
un des meilleurs produits du sol. On exporte cette denrée
dans les autres provinces de l'Espagne, et cette circonstance a
valu à la Castille le surnom de fierra de Garbanzos. Dans les
endroits abrités, on cultive quelques vignes. L’olivier y vé-
gète aussi, mais assez misérablement, et n’y atteint point ces
proportions et cette luxuriance qu’on lui voit sur tout le lit-
toral de la Péninsule.
On ne voit point dans ce pays de véritables prairies; les
bords du Manzanares présentent seuls en certains endroits
des lieux herbeux, mais un peu marécageux et couverts par
places d'énormes touffes piquantes de Juncus acutus et de
Scirpus holoschænus. Partout ailleurs, l'herbe tendre, formée
par de petites légumineuses et graminées annuelles, est bien-
tôt remplacée par d'horribles plantes épineuses, telles que :
Centaurea Calcitrapa, Eryngium campestre, Ononis spinosa,
Xanthium spinosum. etc. À l'exception de ces végétaux et d’au-
tres analogues qui persistent plus tard, on peut dire qu’à la
fin de juin la floraison a presque entièrement cessé sur le pla-
teau. Le commencement de mars est l'époque de son réveil
général.
La végétation arborescente est rare et peu variée aux envi-
rons de Madrid; c’est un résultat de la sécheresse et de la
stérilité du sol; car à Aranjuez, dans la vallée arrosée par le
Tage, on voit des arbres magnifiques et des bois assez éten-
dus, mais qui ont été plantés par la main de Fhomme. Sur les
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 225
collines sablonneuses de la Casa del Campo, et du Pardo, dans
des parcs entourés de murailles et, par conséquent, à l'abri des
dévastations, on voit encore les restes des forêts dont les an-
ciennes chroniques font mention, et qui paraissent avoir été
communes aux environs de Madrid. Ces bois très-clair-semés
sont formés principalement par le Chêne-vert Quercus Ilex,
petit arbre rabougri et qui produit du pied une grande quantité
de rejetons, et par quelques autres espèces de chênes, tels
que À. Toza, Suber et Cerris; ce dernier peut être natura-
lisé, ainsi que quelques pieds du Pinus Pinea. Parmi ces ar-
bres croissent abondamment, dans les lieux découverts. le Re-
tama Sphœærocarpa et le Sparlium scoparium qui servent à
chauffer les fours. Les bords des ruisseaux sont quelquefois
ombragés par les Salix alba et fragilis, Populus alba et nigra,
Ulmus campestris, et par un joli Frêne, le F. angustifolia
Vahl., espèce rare, particulière à l'Espagne, et dont le port res-
semble assez à celui de nos saules par l'habitude qu'on a d’en
couper régulièrement les branches à diverses époques. Entre
ces arbres croissent quelques autres espèces de saules plus
petits, les Salix monandra, triandra et cinerea ? Ajoutez à ces
arbustes les Tamarix gallica, Cratægus oxyacantha, Rosa ca-
nina et rubiginosa avec le Rubus fruticosus et l'Osiris alba,
vous aurez la liste à peu près complète des arbres et des ar-
bustes spontanés dans les plaines (1).
(1) Depuis quelques années l'administration s’est beaucoup occupée de la plan-
ation d'un grand nombre d'arbres sur les promenades, tant dans l’intérieur de
Madrid qu'à l'extérieur. Partout on en arrose le pied au moyen de petites rigoles
TOM. X, 17° PARTIE. 29
226 L ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
La végétation des terrains argileux est caractérisée, dans
les lieux cultivés, par les plantes suivantes : Brassica orien-
talis; Lathyrus erectus Lag.; Turgenia latifolia; Glaucium
corniculatum; Polygonum Bellardi, etc. Plus tard ces plantes
sont remplacées par des espèces plus robustes et généralement
épmeuses, telles que : Cirsium acarna, Scolymus maculatus et
hispanicus. (On mange bouillies les jeunes côtes des feuilles ra-
dicales de cette dernière, sous le nom de Cardillo.) Xanthium
spinosum et strumarium; le bel Onopordum nervosum Boiss..
qui se montre souvent en longue file au bord des champs et
dans les lieux incultes; enfin, vers la fin de l'été, ces mêmes
champs sont couverts par la Momordica Elaterium | aux
feuilles glauques et rudes, qui fleurit depuis le printemps jus-
qu'en automne, et dont les fruits d'abord pendants sur leurs
pédoncules, se redressent un peu au moment de la maturité, et
alimentées par les eaux des fontaines ou par celles qu’on tire des puits au moyen de
l'ingénieuse et simple machine inventée par les Arabes, et connue sous le nom de
Noria. Parmi les espèces d’arbres qui paraissent le mieux réussir, il faut compter,
les Catalpa, Robinia pseudoacacia, Melia Azedarach, et surtout les Gledischia tria-
canthos et Sophora japonica ; ce dernier frucuifie abondamment. Enfin, je citerai
encore quelques plantes moins communes cultivées en pleine terre au jardin bo-
tanique, pour donner une idée de la température des hivers: Solanum Bonariense,
Nerium Oleander, Punica Granatum, Pistacia vera, Vucca gloriosa et aloefolia, Aca-
cia Farnesiana et torquata, Cassia corymbosa, Melianthus comosus ; et contre les
murs Cactus Opuntia, et Peruvianus, Agave americana. 1| s’est naturalisé dans le
même jardin les espèces suivantes : Hoffmansegqia falcaria, Solanum leprosum Ort.,
Pascalia glauca, Asparagus verticillatus, Chenopodium scoparium et mulüifilum L.,
Nicotiana scabra Ort., Ehrarta panicea, et, contre les serres, en grande quantité,
le Mesembryanthemum eristallinum .
D RQ 7
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 227
s’échappent enfin naturellement ou à la moindre secousse, en
lançant au loin les semences et le suc dont ils sont remplis.
Le Croton tinctorium est aussi très-abondant dans ces mêmes
terrains; on pourrait facilement le recueillir afin d’en préparer
le tournesol, pour la fabrication duquel on cultive cette plante
dans le Midi de la France. Dans quelques parties de ces ter-
rains où dominent les matières salines, on cultive la Salsola
soda pour en extraire la soude, et l'on y observe aussi quel-
ques espèces maritimes, telles que les Atriplex palula et rosea,
Frankenia pulverulenta, Chironia spicata, etc. Mais c'est sur-
tout sur les bords du lac d'Ontigola, près d'Aranjuez, qu'on
trouve cette végétation maritime dans tout son développement.
Là croissent : Ærenaria marina ; Slatice echioïides ; Poa littoralis
et Hordeum marilimum; les Suæda setigera, maritima et
frulicosa, et la Salicornia herbacea, mélées à bien d’autres. Les
espèces des genres Suæda et Salicornia se plaisent surtout le
long des petits filets d’eau salée provenant des collines envi-
ronnantes. Les bords des canaux qui conduisent les eaux de
ce lac à Aranjuez, sont ornés de belles touffes des Lavatera
triloba, Sonchus crassifolius Pourr., Cochlearia glastifolia, Le-
pidium latifolium, Gypsophila perfoliata; Y AllhϾa officinalis
surtout occupe souvent de grands espaces partout où il se
trouve de l'humidité. Les parties incultes et les monticules de
ces mêmes terrains sont couverts des touffes aromatiques des
Thymus tenuifolius, Teucrium capitatum, Sideritis hirsuta,
entre lequelles se trouvent : Queria hispanica, Minuartia cam-
pestris, Cynosurus Lima, Stipa barbata, Echinops strigosus.
Astragalus machrorhizus Cav.. et Narbonensis ; cette dernière
D
298 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
espèce se fait remarquer de loin par ses beaux épis de fleurs
jaunes. C’est dans ces parties argileuses, près du Cerro negro
que j'ai trouvé une superbe espèce de Cynara, notre C. Tour-
nefortii, qui présente un capitule de fleurs bleues aussi grand
que celui du Cardon ordinaire, sessile au centre d’une grande
rosule de feuilles radicales.
Le terrain gypseux des collines produit une végétation as-
sez différente, fort remarquable, et qu'on retrouve dans tout
l'Arragon. Les pentes souvent abruptes, sont couvertes des
touffes des Frankenia thymifolia, Peganum Harmala, Lepi-
dium subulatum et Cardamines, Zollikoferia chondrilloïides,
Gypsophila struthium, ainsi que del Helianthemum squamatum
au feuillage argenté, et de la Salsola vermiculata, qu'on re-
trouve jusque dans l'intérieur de Madrid.
Le S{atice dichotoma Cav., y étale ses légères panicules pa-
nachées de bleu et de blanc. On y observe aussi la Centaurea
hyssopifolia Vahl, aux grosses touffes en forme de balai, et très-
fragiles, quelques petits arbustes tels que l'/beris subvelutina
Lag., la V’ella pseudo-cylisus, remarquable dans la famille des
cruciferes en ce qu'il forme un petit arbre de trois à quatre
pieds de hauteur au tronc ligneux de quelques pouces de cir-
conférence; enfin, l'Herniaria fruticosa très-petit sous-arbris-
seau tortueux, grisâtre, de la hauteur de la main, à fleurs à
peines visibles. Les parties sablonneuses et caillouteuses du
sommet de ces mêmes collines sont couvertes par la Stipa te-
nacissima, qui forme des touffes compactes, et dont les lon-
gues feuilles jonciformes servent à un grand nombre d'usages
$
domestiques. On les arrache en tordant leur extrémité autour
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 229
d'un bâton court tenu horizontalement par les deux bouts.
Cette graminée, une des plus utiles de l'Espagne méridionale,
où elle est très-commune ainsi qu'en Barbarie, a, dans les en-
virons d'Aranjuez, la limite septentrionale de son aire. Entre
ces Slipa on trouve une jolie Fritillaria, la Messanensis de
Gussone, le Romarin, plusieurs Hélianthèmes, la Pimpinella
dichotoma, ete. De loin en loin on remarque quelques buissons
plus volumineux formés par le Quercus coccifera. le Rhamnus
lycioides, le Relama sphærocarpa, le Bupleurum frutes-
cens, etc.
Les parties sablonneuses sont particulièrement riches en
cruciferes ; elles sont peut-être là plus nombreuses en espèces
et en individus que dans aucune autre contrée, el, au prin-
temps, mélées aux céréales, elles dorent de grands espaces.
Ce sont entre autres les Diplotaxis virgata et catholica, Si
symbrium contortum, et hirsutum Lag., Brassica lœvigata et
Valentina, Sinapis heterophylla Lag., dont la couleur bril-
lante se mêle au bleu des Ærchusa undulata et Italica, ainsi
qu'à l'Echium violaceum, au blanc des Anthemis arvensis,
mixla et pubescens, et au rouge des coquelicots et de la Hal-
comia palula. Entre ces plantes s’en trouvent d’autres aussi
intéressantes, quoique moins apparentes, par exemple, Hype-
coum grandiflorum et pendulum, Rœmeria hybrida, Cerastium
dichotomum, Veronica digitata, Aphanes cornucopioides, et les
jolies Linaria hirta, spartea et ramosissima Boïss. Cette der-
nière, qui remplit quelquefois des champs entiers, se fait re-
marquer par une douce odeur de giroflée jaune. Enfin, en
automne, quand toute autre végétation a disparu, ces mêmes
230 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
champs se couvrent des fleurs jaunes du Tanacelum micro-
phyllum. DC.
Les parties incultes des collines sablonneuses sont carac-
térisées par une végétation ligneuse et rabougrie, d’une teinte
grisâtre, connue dans le pays sous le nom de Tomillares, du
nom espagnol Tomillo, donné aux diverses espèces de Thym.
Ce sont des landes ou garrigues entièrement couvertes des
Thymus tenuifolius et Mastichina, Santolina rosmarinifolia.
Lavandula pedunculata, jolie espèce particulière au plateau
central, dont les nombreux épis, surmontés de grandes bractées
violettes, forment au mois de mai, de magnifiques tapis, entre
lesquels croissent de petites plantes annuelles, telles que les
Astrolobium durum, Campanula Lœflingiana, Myosotis lutea,
Pyrelhrum pulverulentum Lag., Prolongoa peclinata Boiss.;
quelques petites espèces d'Helianthèmes dont deux remarqua-
bles et rares, le sanguineum Lag., et l'Ægyptiacum ; de jolies
graminées. Parmi ces dernières, on en remarque de rares, par
exemple : Aira involucrala, Cav.. minuta, L., lendigera Lag.,
articulata, Desf., Holcus setiglumis B. et R., Bromus ovatus,
Psilurus arislatus, Hordeum crinitum, etc. Toutes ces petites
plantes disparaissent au commencement de l'été, et sont alors
remplacées par des végétaux plus robustes, tels que : f’erbas-
cum sinualum et pulverulentum, Ruta montana, Onopordum
Illyricum, Centaurea ornata, et par de grandes espèces d’om-
bellifères, telles que Thapsia villosa, Margotia laserpilioïdes
Boiss., Daucus crinitus, Magydaris panacina et Pimpinella
villosa.
La végétation des terrains granitiques, qui est celle des
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 231
montagnes, n'offre pas de transition bien sensible avec celle
des terrains sablonneux que nous venons de mentionner. Les
mèmes Tomillares ou landes incultes s'étendent au pied des
montagnes et s’y élèvent jusqu'à une certaine hauteur, se com-
posant toujours des plantes de la plaine mêlées à quelques au-
tres espèces, mais on n’y remarque pas cette différence complète
de végétation qui caractérise nos montagnes. [ci l'on distingue
à peine deux zones de végétation, la première depuis le pied
jusqu'à moitié de la hauteur (4000 pieds environ au-dessus
de la mer) et la seconde de là jusqu'au sommet.
Dès qu'on arrive au terrain granitique, à quelques lieues du
pied de la Sierra, on trouve les rochers et les monticules dont
J'ai déjà parlé. Le pays devenant plus frais et plus arrosé, on
y rencontre un assez grand nombre des plantes communes du
centre de l'Europe, qu’on chercherait vainement ailleurs dans
la plaine. De grands espaces entourés de petits murs en pierres
sèches, renferment une sorte de pâturages connus sous le nom
de Dehesa, où l'on élève des troupeaux, surtout des bœufs et
de jeunes taureaux, qui passent là toute la belle saison comme
à l’état sauvage. Dans ces enclos garantis de la dent dévasta-
trice des moutons, la végétation est assez vigoureuse et variée ;
pour l'ordinaire ce sont des taillis du Quercus Toza aux feuilles
caduques et blanchâtres, mêlés à quelques pieds du Q. fagi-
nea. Dans les parties un peu humides près des ruisseaux, on
retrouve le joli Fraxinus angustifolia Vahl., avec les Salix
triandra et cinerea; contre les murs et les rochers s'élèvent
en buissons, le Jasminum fruticans, le Lonicera Etrusca, les
Daphne Gnidium et Juniperus oæycedrus. Mais, parmi tous
232 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
ces arbrisseaux, le superbe Cistus ladaniferus attire de loin
les regards par ses belles fleurs blanches, souvent tachées de
pourpre à la base des pétales. Là se trouvent quelques plantes
curieuses, l'Hispidella, par exemple, qui ressemble un peu à la
Piloselle avec ses capitules d'un jaune de soufre dont le centre
est d’un pourpre brun; cette plante doit former le type bien
caractérisé d’une nouvelle sous-tribu des chicoracées; le Cau-
calis hispanica Lam. plante très-singulière, qui n'avait pas été
observée depuis les anciens botanistes, et qui constitue un
genre nouveau d'ombellifères; un Joli Silene nouveau, à
grandes fleurs roses; notre $. Ægrostema, B. et R., et enfin
une très-belle espèce de Pæonia, notre P. Broteri, à grandes
fleurs pourpres et odorantes. Contre les rochers et les murs,
on voit de belles touffes de la Digitalis thapsi, plante qui pa-
raît particulière aux parties inférieures de cette chaîne de la
Péninsule, le Dianthus Lusitanus, dont les tiges nombreuses et
effilées sont employées pour faire des balais, l'Antirrhinum
Hispanicum Chav., à grandes fleurs pâles, ressemblant un peu
à notre majus, enfin une grande graminée, peut-être la plus
belle de l'Europe, la Macrochloa arenaria, aux grandes pani-
cules de fleurs d’un éclat métallique, et dont chacune est lon-
gue de plusieurs pouces. Dans les parties humides et her-
beuses de ces mêmes pâturages, on trouve quelques orchidées
de nos contrées, mélées aux Serapias lingua et longipetala,
au Gladiolus communis et à ris xyphium.
Lorsqu'on s'élève sur la montagne, cette même végétation
des Tomillares des environs de Madrid. accompagne le bota-
niste jusqu’à une grande hauteur, entre-mêlée de bosquets de
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 233
chêne Tauzin, parmi lesquels on voit de belles touffes de
l'Arenaria montana, le Bunium denudatum, la Valeriana tu-
berosa, la Scilla nutans, et une nouvelle espèce de renoncule
notre À. Carpetanus. On voit aussi, surtout en montant au
Puerto de Nava Cerrada, de grands espaces couverts du Cis-
tus laurifolius qui se distingue de loin par son feuillage noï-
râtre.
À mi-hauteur (vers 4000 p. environ) commence la deuxième
région caractérisée par les Genéts, particulièrement le G. pur-
gans, qui forme des buissons arrondis et sans feuilles, se cou-
vrant d'une multitude de fleurs jaunes et odorantes; il est si
abondant qu'il recouvre, presque à lui seul, toute la partie
supérieure de la montagne, laissant à peine croître quelques
pieds de genévriers, et de l'Adenocarpus hispanicus, superbe
arbuste à feuilles toujours vertes et à grandes fleurs d'un jaune
orangé, sur lequel mon ami le professeur Graells a trouvé la
véritable Cantharide. Entre ces arbustes, on voit çà et là quel-
ques jolies plantes; un petit Narcisse à fleurs jaunes, notre
Narcissus apodanthus ressemblant un peu à la Jonquille, l 4ra-
bis Boryi Boiss., les Linaria delphinoïdes Lag., et saxatilis
Chav., et une espèce nouvelle de ce dernier genre, notre L.
nivea à grandes panicules de fleurs blanches striées de violet,
les Senecio Tournefortii et Duriœi Gay. — Les parties cul-
minantes qui ne sont pas envahies par les Genêts, sont cou-
vertes d’une herbe dure et glissante, formée par la Festuca
curvifolia Lag., entre laquelle croît en touffes élégantes la
Statice juniperifolia Vahl., semblable pour le port à la Statice
echinus et dont les jolis capitules de fleurs roses rappellent
TOM. X, 1'€ PARTIE. 30
234 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
celles de l'Androsace carnea. Contre les rochers des hautes
sommités, on trouve les Saxifraga nervosa et hypnoïdes, les
Sedum hirsutum et brevifolium, et YUmbilicus pendulinus qui
habite également les murs et les toits de Madrid.
Dans les lieux humides, pres des ruisseaux, le Vardus
stricla forme des gazons serrés et d’un beau vert, parmi les-
quels on ne retrouve guère que la Pedicularis sylvatica, une
Jasione nouvelle, J.Carpetana Nob.. et une Véronique à fleurs
bleues ressemblant à la 7’. serpyllifolia.
Ce qu'il y a de remarquable dans la végétation de cette zone
de la partie supérieure, c’est de trouver dans une région aussi
alpine, près de grands amas de neige, les plantes annuelles de
plaine sablonneuse de Madrid, par exemple : Teesdalia Lepi-
dium, Hyoseris minima, Scleranthus annuus, Herniaria glabra,
Myosotis lutea, Bromus ovatus Cav., Ortegia Hispanica, ete.,
tandis qu'on n’y voit que bien peu d'espèces qu'on puisse vraï-
ment appeler alpines.
Au revers nord de la Sierra de Guadarrama, surtout dans
les environs de la Granja, du Paular et de San Rafael, on voit
d'assez belles forêts formées de Pinus Sylvestris ; elles recou-
vrent des sommités arrondies et de profondes vallées. Sous ces
pins parmi des tapis composés de mousses communes crois-
sent les Narcissus Bulbocodium, pulchellus Salisb. et apodan-
thus Nob. mêlés à la Gagea polymorpha Boiss. et à notre Ra-
nunculus Carpelanus qui est très-répandu dans toute cette
chaîne. Le Pleris aquilina y couvre de grands espaces, et si-
mule de loin de fertiles pâturages. Cette plante qui s'établit
de préférence dans les lieux qu’on a défrichés, y exclut pres-
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 235
que toute autre végétation. Les bords des torrents sont ornés
par l'EÉrica arborea qui remonte jusque dans la région alpine,
les Adenocarpus Hispanicus et Genista florida Linn., arbus-
tes très-élégants qui figureraient agréablement dans nos bos-
quets, le premier par ses beaux bouquets de fleurs d’un jaune
d'or, et le second par un port semblable à celui d’un saule,
s'élevant jusqu’à dix ou douze pieds, et dont les rameaux effi-
lés, couverts de feuilles simples et soyeuses, sont terminés par
de longues grappes de fleurs jaunes et unilatérales. Les bords
des petits ruisseaux sont embellis par la Saxifraga granulata,
l'Hypericum undulatum Schousb. , la Campanula hederacea,
l’'Anagallis tenella, et deux nouvelles espèces de Galium, G.
Broteri et rivulare Nob.
La Sierra de Grédos qui forme la partie la plus occidentale
et la plus élevée de cette chaîne, et que je n'ai visitée qu'à la
fin de l'été, présente peu de différence dans la végétation avec
celle de Guadarrama. Cette monotonie et ce peu de variété
dans les espèces y est encore plus évidente. L’Erica tetralix,
le Senecio artemisiæfolius , le Genista falcata Brot. et quel-
ques autres plantes y indiquent déjà l'approche de la région
océanique.
Les montagnes situées au midi de Tolède, quoique beau-
coup moins élevées, paraissent plus intéressantes sous le point
de vue botanique. F'y ai trouvé quelques espèces nouvelles, en-
tre autres un Sarothamnus à fruits laineux, un nouvel œillet,
et une belle centaurée à capitule jaune et presque radical. Jy
ai aussi observé bon nombre d'espèces lusitaniques, telles que
Bupleurum paniculatum Brot., Helianthemum Ocymoïdes, Ori-
236 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
ganum virens ; maïs il faudrait les visiter avant la fin de juillet,
époque à laquelle je les ai parcourues. Cette chaîne, d’une très-
grande largeur, se compose d'une multitude de mornes arron-
dis et d'une hauteur assez uniforme, couverts de ce que les
Espagnols appellent Monte baxo, c'est-a-dire de chênes nains
de plusieurs espèces entremêlés d’autres arbustes.
Pour résumer la végétation des montagnes, un bien petit
nombre d'espèces se trouvent à la fois au Guadarrama et dans
les Alpes. Ce sont, par exemple, Saxifraga stellaris, Ane-
mone alpina, Geranium sylvaticum, Epilobium montanum, Ga-
lium rotundifolium, Viola palustris, Drosera rotundifolia, Par-
nassia palustris, Oxalis acetosella, Sanicula europæa, Thymus
alpinus, Oxyria digyna, Nardus stricta, Gentiana lutea, Po-
bygonum bistorla. Toutes ces plantes dont la plupart sont as-
sez peu répandues, se retrouvent dans les Pyrénées; et, enou-
tre, le Guadarrama produit encore les espèces suivantes com-
munes à cette dernière chaîne et aux Asturies qui n’en sont que
la continuation : Umbilicus sedoïdes, Genista purgans, Saxi-
fraga nervosa, Eryngium Bourgati, Senecio Tournefortii, Ceras-
lium ramosissimum, Merendera Bulbocodium, Narcissus Bul-
bocodium, Scilla umbellata, Vicia pyrenaïca, Sedum brevifo-
lium, Nepeta latifolia. Celles qui sont plus particulières aux
Asturies sont les suivantes: Silene legionensis, Genista alba,
Angelica lœvis, Linaria Perezi et delphinoïdes Gay, et Se-
necio Duriæi; ce dernier se trouve aussi à la Sierra Nevada
dans le royaume de Grenade.
Il y a beaucoup moins d’analogie entre le Guadarrama et les
montagnes du Midi de l'Espagne, la Sierra Nevada; par exem-
DE LA NOUVELLE CASTILLE, 237
ple, chose singulière, toutes les espèces qui sont communes à
ces deux chaînes se retrouvent aussi dans les Asturies et les
Pyrénées.
CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES.
Les plantes phanérogames que j'ai recueillies ou observées
sont au nombre d'environ 1,250. Je donne ici quelques détails
sur la proportion numérique de quelques-unes des principales
familles naturelles, comparée à ceux que l'on trouve dans les
flores de quelques pays voisins.
Les Crucifères dans les environs de Madrid forment le quin-
zième de la flore totale; tandis que, dans l'Espagne méridio-
nale, d’après M. Boissier, elles forment le dix-huitième; aux
Baléares, d’après M. Cambessedes, le trente-deuxième; et,
dans l'Allemagne et la Suisse, selon M. Koch, le dix-septième.
Les Légumineuses, le onzième ; dans le royaume de Grenade, le
neuvième; aux Baléares, le septième; en Allemagne, le qua-
torzième. Les Ombellifères, le dix-neuvième; dans le royaume
de Grenade, le dix-neuvième; aux Baléares, le vingt-sixième ;
en Allemagne, le vingtième. Les Composées, le huitième; dans
le royaume de Grenade, le septième; aux Baléares, le neu-
vième; en Allemagne, le septième. Les Scrophularinées et les
Labiées ; chacune de ces deux familles forme en Castille, le
vingt-deuxième ; en Andalousie, les Scrophularinées forment le
238 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
vingt-septième; aux Baléares, le quarante-troisième; en Alle-
magne, le vingt-deuxième; tandis que les Labiées forment en
5
Andalousie le vingtième; aux Baléares, le vingtième: et, en
Allemagne, le vingt-neuvième. Enfin, les Graminées, le di-
xième; en Andalousie, le treizième; aux Baléares et en Alle-
magne, le treizième.
La proportion des Monocotylédones aux Dicotylédones dans
le pays que J'ai exploré, est de 1 à # #5; tandis qu'à Zante,
elle est de { au 3 *0 et, dans la flore d'Allemagne et de Suisse,
elle est de 1 à 35 %o aussi.
Ces proportions nous mènent à ce résultat, c'est que la
flore du centre de l'Espagne, a plus d’analogie avec celle du
centre de l'Europe qu'avec celle des pays méditerranéens si-
tués sous les mêmes latitudes. On voit, en effet, que la pro-
portion des familles diffère peu de celle qu'on observe en Al-
lemagne et en Suisse, et beaucoup plus de celle des Baléares.
8
La hauteur du plateau central au-dessus de la mer rend suffi-
samment compte de cette particularité. Les Monocotylédones
sont aussi en minorité remarquable par rapport aux Dicotylé-
dones, et la disproportion serait bien plus grande encore si
l'on retranchait les Graminées qui sont très-nombreuses en es-
pèces; les autres familles de cette division, telles que les Cy-
péracées, les Liliacées et les Orchidées étant extrêmement ra-
res dans cette région à cause de la sécheresse du sol.
Sur les 1,250 espèces que j'ai observées, 58 environ sont
particulières à la contrée que j'ai étudiée; 142 sont commu-
nes à la Péninsule tout entière; 248 se retrouvent dans la
France méditerranéenne. Près de la moitié des espèces de l'Es-
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 239
pagne centrale se retrouvent aussi dans l'Europe moyenne et
septentrionale.
Il est un dernier phénomène curieux que nous offre le pla-
teau des Castilles ; c’est la présence dans ce pays d’un nombre
assez considérable d'espèces qui sont communes en même
temps à la Tauride et aux contrées situées soit au Nord soit
au Midi du Caucase, sans se retrouver sur aucun autre point
intermédiaire de l'Europe; telles sont : Lepidium perfoliatum ,
Mollugo cerviana, Minuartia dichotoma, Callipeltis cucullata,
Campanula fastigiata, Rochelia stellulata, Plantago Læffingii,
Queria Hispanica, Meniocus linifolius, Veronica digitata, Aci-
nos graveolens.
Une latitude presque la même, une élévation assez consi-
dérable au-dessus de la mer, mieux encore un climat extrême
pour les deux pays et une constitution géologique analogue,
c'est-à-dire un terrain d'argile et de gypse plus ou moins im-
prégné de sel, telles sont les circonstances qui peuvent rendre
compte en partie de ce fait singulier de géographie botanique.
Le nombre des plantes nouvelles que nous avons publiées
ensemble, M. Boissier et moi, dans la Bibliothèque Universelle
de Genève, mai 1840, s’éleve à 51 espèces, dont deux for-
ment des genres nouveaux, l'un fondé sur le Caucalis hispa-
nica de Lamarck, que nous avons dédié à M. Durieu de Maison-
neuve qui a visité les Asturies et plusieurs autres parties de
l'Espagne, où il a découvert un grand nombre de belles plantes,
ainsi que les colonies françaises de l'Algérie, faisant partie de
l'expédition scientifique nommée par le gouvernement; et l’au-
tre sur une plante fort anciennement mais imparfaitement
240 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
connue, et qui n'appartient ni au genre, ni même à la famille
dans laquelle on l'avait placée, et que j'ai dédiée à mon ami
don Miguel Colmeiro de Santiago en Galice, jeune médecin,
élève de Lagasca, et professeur au Jardin botanique de
Barcelonne, connu par un intéressant mémoire sur l'histoire
de la botanique en Espagne ('). Je donne ici un dessin de
cette plante avec sa description et quelques détails sur son
histoire.
Cozmermos, genus novum e fam. euphorb. Rhamni et Adeliæ
sp. Poir.
Flores obortu dioïci. Calyx hexaphyllus persistens. Corolla
nulla. — Masc. stamina 6 inter se libera, longè exserta, bi-
serialia, disco glanduloso imposita, antheræ extrorsæ. Rudi-
menta stylorum tria, claviformia, extus revoluta. Fœm. stamina
nulla. Ovarium disco annulari impositum, triloculare. loculis
biovulatis. Stigmata tria, sessilia, bipartita. Capsula tricocca ;
coccis bivalvibus, dispermis, semmum testà crustaceà !
C. suxirozra N.
Rhamnus buifolius. — Poir. dict. 4, p. 454. DC. prod. 2,
p. 24. — Adelia virgata. Poir.. dict. suppl. 2, p. 132. Adelia
Acidoton hort. par. olim et hortul. non Linn!— Rhamnus
hispanicus, folio Buxi minoris. Quer. flor. Esp. 5, p. 199.
(4) Ensayo historico sobre los progresos de la Botanica especialmente en España.
Barcelona, 1842.
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 241
Frutex 3-4 pedalis (cultus orgyalis) à basi ramosissimus.
Rami tenues. virgati apice spinescentes, cortice griseo lævi,
ramuli fusco-rubri in spinam tenuem desinentes. Folia brevis-
simè petiolata alterna vel in ramis floriferis fasciculata, ovata
vel obovata, apice leviter emarginata. integerrima, glaberrima,
subtus pallidiora et venulosa, venis pellucidis. Stipulæ mi-
nimæ liberæ fuscæ lineari-subulatæ petioli longitudinem æquan-
tes, demum deciduæ. Flores in fasciculos laterales dispositi, e
gemmis squamosis cum foliis novellis orti. Pedunculus nudus
filiformis 5 lineas longus. Flos masculus. Calyx sexpartitus
herbaceus persistens, partitionibus oblongis concavis obtusis.
Stamina 6, disco centrali, glanduloso, spongioso, undulato
crispo inserta. Rudimenta stylorum 3, claviformia ad centrum
staminum sita. Filamenta filiformia, glabra inter se libera, se-
palis duplà longiora. Antheræ oblongæ, birimosæ, extrorsæ,
ovatæ, demum subcontortæ. — Flos fœmineus. Calyx sexpar-
titus. Stamina nulla. Ovarium sphæricum triloculare, disco hv-
pogyno glanduloso impositum. Stigmata 3 sessilia bipartita stel-
latim expansa. Capsula tricocca subrotunda depressa pisi mi-
noris magnitudine, obtuse 3-6-costata reticulato-venosa loculis
dispermis bivalvibus elasticè dehiscentibus, semina ovata tri-
gona dorso convexa. Testa crustacca. Arilla alba basilaris.
Habitat in alveis arenosis fluviorum Numidiæ (Poir.), Lusi-
taniæ (h. Pav!), Bæticæ propè Hispalim (h. Cav!), Castellæ
veteris; montium Marianorum, Estremaduræ (Quer.), prope
Layos provinciæ Toletanæ, et 4lcala de Henares Castellæ
novæ (Ego! Clus.) — Floret Martio.
TOM. X, 1'© PARTIE. 31
212 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
Ce genre, de la vaste famille des Euphorbiacées, appartient
à la tribu des Phyllantées ; il est voisin du genre Geblera de
Fischer, duquel il diffère, d’après la description de ce dernier,
par son calice à 6 et non à 5 sépales, par ses étamines aussi
au nombre de 6 et non de 5, à anthères extrorses et non in-
trorses, et enfin par le test de la graine qui est crustacé et non
membraneux. C’est un arbrisseau à rameaux eflilés et dressés
assez commun dans les sables du bord des rivières où il se
propage abondamment par ses racines traçantes. Il a été connu
des anciens botanistes, car il est mentionné par Clusius, Tour-
nefort et Quer, qui l'avaient classé parmi les Rhamnus, sans
en avoir vu la fleur ni le fruit. Poiret le décrivit le premier
dans le dictionnaire encyclopédique sous le nom de Rhamnus
buxifolius ; il le trouva sur les côtes de Barbarie, mais sans
fleurs. Plus tard, dans le supplément du même ouvrage, il dé-
crivit au Jardin de Paris sous le nom d’Adelia virgata un indi-
vidu femelle de cette plante, qu'on croyait originaire de l'Amé-
rique méridionale. Nous possédons au jardin de Genève un
pied de cette espèce également femelle qui nous vient aussi
du jardin de Paris. J'ai cueilli, en mars 1841, des rameaux
fleuris de la plante mâle au jardin de Madrid où elle existe de-
puis longtemps sous le nom de Rhamnus buxifolius, mais per-
sonne n'avait encore décrit la fleur ni le fruit. Je l'ai observée
spontanée près de Layos, dans la province de Tolède, et près
d'Alcala de Henares, où elle avait déjà été indiquée par Clu-
sius, mais Je n'ai pas été plus heureux que les botanistes
précédents; elle était aussi sans fleurs. Les échantillons qui
m'ont servi à compléter l'histoire de cette plante viennent
T2 LS a berere
COLMETROA eye Au)
DE LA NOUVELLE CASTILLE. 243
des herbiers de Pavon et de Cavanilles. Elle est connue
dans les Castilles sous le nom de Tamujos. On fait avec ses
rameaux déliés et flexibles des balais, connus sous le nom de
Escobas de rama, ou Escobas de caballeriza. On en apporte
à Madrid vers la Saint-Mathieu des voitures chargées, prove-
nant des plaines de la Manche.
244 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION
TABLEAU
DES FAMILLES DES PLANTES PHANÉROGAMES
QUE J'AI OBSERVÉES DANS LA NOUVELLE CASTILLE.
Renonculacées .......... 53
Papayéracéess.. "7". 11
Fumariacées ............ 6
Crucifères tn: -ceecccutre 76
Résédacées ............. 8
Cistinées ........ A TOE CE 17
VAT Sos Procgoan ce 5
Droséracées ............ 2
Caryophyllées . .......... 61
Frankéniacées........... 2
Linées as 8
Malvacéest -:- 0. "1" 14
Hypéricinées . ...........
A'CÉTINbeS = -----rreeree 1
Géraniacées -.......-... 20
Rutacées- 2eme 4
Célastrinées ............ 2
Rhamnées.............. 5
Térébinthacées .......... 2
Légumineuses ........... 110
ROSACÉES 7. 0 2 24 sels 358
Onagrariées ............ 6
Haloragées ............. 6
Cératophyllées .......... 1
Lythrariées ............. 4
Tamariscinées ........... 1
PortulaGées 2
Paronychiées............ 16
Crassulacées ............ 16
SAXITASEES ET Lee ce CCE fi
Ombellifères ............ 16
AMAlACÉES = EE cecre-rere 1
Cornées series esrecelr 4
Caprifoliacées ........... 7
Loranthacées............ 4
Rüubiacees ere ec r 235
Valérianées .........:... 6
Dipsacées "7." 10
Composées.
Corymbifères....... 58
Cynarocéphales . . ... 40 Ÿ 145
Chicoracées ........ 45
Campanulacées .......... 10
BEICINEPS EE - -- - se b)
Jasminées .............. 5
Asclépiadées ............ 1
Apocynées ............. 1
Gentianées ............. 9
Convolvulacées .......... 6.
RE ES ne
DE LA NOUVELLE CASTILLE.
SOIANEBS RE ee re 7 Hinticéca etc
Orobanchées........ 50e ee UD Amentacées ........... :
Scrophularinées ...... = 02 COMÉÉRES eee nee
IEEE tosct eos 4 ATSMACEESE EE ee.
Verbénacées . ..... ST 2 Patimeesh eee... ..
Primulacées "ten ..-r 8 OFCHIAÉES EEE
Globulariées ............ 1 HER AS Trot doc obone
Plombaginées ........... 6) Amaryllidées . ...........
Plantaginées ............ 12 ASparagées pet - 2
Amaranthacées .......... 6] Laltacées. 254 MMS.
Chénopodées ........... 26 TONCEES Re Eden e sense
Polygonées.:....:...... 12 Colchicacées . ...........
Thymélées ...... SLR 5 TOITS Eee Te TE
SANRLAIACÉES -e -1e - see 2 HIDVDHACE ES EE EEE CEE
Aristolochiées ........... 1 Cypéracees ee rer
Euphorbiacées .......... 15 CTAMINEES 2-0
ERRATA.
Page 219, lign. 16 et 22, Ocanna lisez Ocana.
Id. lign. 22, Antigola lisez Ontigola,
Page 222, lign. 10, Pennalara lisez Penalara.
Id. lign. 18, Panlar lisez Paular.
Id. lign. 27, Alberché lisez Alberche.
245
Le) 19
OÙ OO A NN 1 = ©
= 1
QE = 1
Où = NN
246 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION DE LA NOUVELLE CASTILLE.
’ EXPLICATION DE LA PLANCHE.
(Ayant oublié de numéroter les figures, nous les désignerons en suivant leur ordre en
commencant par la gauche.)
Rameau stérile spontané des environs de Tolède.
Rameau mâle en fleur du jardin de Madrid.
Rameau femelle en fruit jeune spontané provenant de l’herb. de Pavon.
Rameau femelle en fleur du jardin de Genève.
Fleurs mâles grossies ; l’une en bouton, et l’autre épanouie.
Fruit jeune grossi.
Analyses du fruit grossies.
Fleur femelle grossie.
NOTICE
SUR
LA TEMPÉRATURE DE GENÈVE
FAR
M. George Picot.
(Luc à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 20 Octobre 1842.)
— ss 10————
Dans le courant du siècle dernier les variations de la tempé-
rature ont excité à un assez haut degré l'intérêt. Guillaume-A.
De Luc, Senebier et le Journal de Genève, qui a eu une exis-
tence d'environ quatre années, de 1787 à 1791, ont noté la
marche du thermomètre d’une manière régulière et à des
heures fixes. La Bibliothèque Britannique a commencé a pa-
raître en 1196, et la Bibliothèque Universelle lui a succédé en
1516. Les rédacteurs de cette importante publication n’ont
pas cessé de faire paraître dans chacune de leurs livraisons
2148 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
mensuelles le tableau de la marche de la température, en
sorte que l'on a maintenant un recueil d'observations thermo-
métriques faites sans interruption et avec soin pendant qua-
rante-trois ans. Ces observations méritent de la confiance,
quoique certainement elle ne soient pas à l'abri de toute cri-
tique. La contradiction, que présentent quelquefois les moyen-
nes mensuelles avec l’ensemble de chaque jour du mois, est de
nature à faire supposer que des erreurs typographiques se sont
glissées dans les tableaux. Les thermomètres n’ont pas été
contrôlés avec un soin suffisamment rigoureux, parce que le
changement du point zéro n’a été connu qu’assez récemment.
Au mois de janvier 1822 seulement l'on a découvert que le
point zéro vrai du thermomètre dont on publiait les observa-
tions depuis vingt-six ans était élevé d’un demi-degré réaumur
au-dessus de celui de l'échelle. Cette erreur, qui se trouve con-
signée dans la Bibliothèque Universelle (1), m'a mis dans un
grand embarras à cause des observations antérieures. Je me
suis décidé, enfin, à l'exemple de M. Mahlmann (*), à réduire
la température des années 1796—1821 inclusivement, du
montant de l'erreur découverte, parce que l'expérience a
prouvé que les dérangements dans le zéro des thermomètres
à mercure s’opèrent en général peu de temps après leur cons-
truction. La découverte de cette erreur fait disparaître les
anomalies du climat de Genève signalées par M. Dove (°).
(1) Tome XIX, page 68.
(2) Repertorium der Physik, tome IV, p. 72.
(3) Recueil de l’académie de Berlin de 1838, p. 546.
DE GENÈVE. 249
Les observations ont été faites depuis le commencement de
1796 au mois de décembre 1798, dans une campagne située à
Genthod, à 405 mètres au-dessus de la mer, depuis cette der-
nière époque à la fin de 1821, dans l’ancien jardin botanique,
sur le petit cavalier situé entre le Calabri et la vue de Beau-
regard, à 195 mètres au-dessus du niveau de la mer, de 1822
à la fin de 1825 au nouveau jardin botanique, à environ neuf
mètres au-dessous de l’ancien, depuis 1826 à la fin de 1835
près du pont de fil de fer de Saint-Antoine, à 407 mètres
au-dessus du niveau de la mer, et depuis 1836 au nouvel ob-
servatoire astronomique qui est situé à la même hauteur. Ces
localités présentent entr’elles trop peu de différences pour
avoir exercé sur les thermomètres une influence sensible, sauf
peut-être pour les observations faites pendant quatre ans dans
le nouveau jardin botanique qui ‘était un peu dominé et abrité
contre quelques vents. Il m'a paru intéressant de mettre en
présence les résultats obtenus plus qu'on ne l'a fait jusqu’à
présent, de refaire les calculs qui ont servi à la détermination
des moyennes mensuelles et annuelles, afin d'éliminer les er-
reurs typographiques ou autres occasionnées par un travail
rapide, et de rechercher les moyennes des saisons et des pé-
riodes de dix jours, qui n’ont point été déterminées jusqu'à
présent, quoiqu'elles soient très-propres à faire connaître avec
exactitude la marche ascendante et descendante de la tempé-
rature. J'ai également consigné les extrêmes de température des
années, des saisons et des mois. Les extrêmes des saisons et
des mois, encore non déterminés, m'ont paru importants, parce
queleur influence est grande sur l’économie animale et végétale.
TOM. X, Î'* PARTIE. 32
250 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
Les heures d'observations ayant été changées en 1826, les
éléments qui m'ont servi pour la formation de la température
moyenne ont changé. Jusqu'en 1826 elle a été déduite en pre-
nant un milieu entre la température du lever du soleil et celle
de deux heures, et dès lors elle la été en prenant un milieu
entre la température du maximum et du minimum de la jour-
née. Pour obtenir la température moyenne de l’année ou d’une
période de l’année, j'ai constamment divisé par le nombre des
jours qui y étaient contenus. Afin de rendre comparables les
résultats des années qui ont précédé 1836, j'ai converti en
degrés centigrades les degrés réaumur qui ont été employés
jusqu'alors.
TEMPÉRATURE MOYENNE ANNUELLE.
La moyenne de la température n'ayant pas été tirée depuis
1826 des mêmes éléments qu'auparavant, je n'ai pas cru
pouvoir en mêler les résultats. Le dernier mode paraît être
préférable au précédent, car des observations répétées et faites
avec précision ont prouvé qu'un milieu entre les maxima et
les minima quotidiens représente à peu près complétement
la véritable température moyenne, tandis que l'heure ordi-
naire des extrêmes journaliers s'écarte quelquefois de lheure
où ils se rencontrent en réalité, et le lever du soleil est une
heure trop incommode pour qu'on ne puisse pas présumer que
les observations ont été faites quelquefois plus tard.
DE GENÈVE. 251
$ 1. Période de 1796—1895 inclusivement (1). — Pendant
ces trente années la moyenne de la température s’est élevée à
9,23. Cette moyenne est fort basse, car, en prenant celle de
différentes villes, telle qu’elle est indiquée dans l’ouvrage de
M. Schouw sur le climat de l'Italie, et en la rapportant à la
latitude et à l'élévation de Genève d’après la méthode indi-
quée par ce savant distingué, c'est-à-dire en déduisant 1° pour
520 pieds d’élévation et 0°,7 pour un degré de latitude, il en
résulte que si la température moyenne de Genève est supé-
rieure à celle de Berne de 0,16, d'autre part elle est infé-
rieure à celle de Fribourg de 0,16, à celle de Zurich de
0,75, à celle de Chambéry de 0°,76, à celle de Turin de
0°,95, à celle de Vienne de 1°,02, à celle de Stuttgard de 1°,38,
à celle de Milan de 1,51, à celle de Londres de 1°,89, et,
enfin, à celle de Paris de 2°,09. Cette température, en appa-
rence si basse, peut certamement être en partie attribuée à ,
_ce qu'il a été fait une soustraction d’un demi-degré centigrade
en raison de la trop grande élévation marquée par le mercure
du thermomètre jusqu'en 1822, tandis qu'ailleurs les résul-
tats des observations ont été vraisemblablement entachés du
même genre d'erreur, sans que rien indique qu'on leur ait fait
subir une correction, et à ce que les instruments qui ont été
employés à Genève pour les observations ont été presque
constamment placés en rase campagne, à quatre pieds de terre
et parfaitement abrités avec des volets contre les rayons du
(4) Voyez tableau n° 4 à la fin de la Notice.
252 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
soleil, pendant que dans d’autres villes les thermomètres ont
été fréquemment placés à un premier étage ou même à une
plus grande hauteur contre des murailles qui les abritaient
plus ou moins contre l'air extérieur. Toutefois, même en tenant
compte de ces circonstances, la température moyenne de Ge-
nève n'en reste pas moins comparativement basse, ce qui est
probablement le résultat de sa proximité des hautes Alpes et
de la direction de la vallée du lac Léman.
L'année la plus chaude a été 1806 et l’année la plus froide
a été 182%. Dans cette première année, la température
moyenne est montée à 10°,40, tandis que dans cette seconde
année elle est descendue à 8°,05, ce qui fait une différence de
2,55. Les variations entre les moyennes annuelles sont moins
fortes à Genève qu'ailleurs, car elles se sont élevées à Nice
pendant vingt ans à 4°,10, à Copenhague pendant 52 ans à
4,56, à Carlsruhe pendant 30 ans à 5°,57, à Milan pendant
soixante et dix ans à 3°,25, et à Paris pendant trente ans à
3°,06; mais en revanche elles ont été un peu moins fortes à
Padoue, Turin et Palerme. L'année 1806 a été aussi chaude
qu'une année moyenne de Vienne, et l'année 1824 aussi
fraîche qu'une année moyenne de Copenhague. La moyerne
générale de la température au lever du soleil a été de 5°,81,
tandis qu’elle s’est élevée à 12°,70 à 2 heures après midi, en
sorte que l'intervalle journalier a été de 6°,89.
82. Période de 1826—1841 inclusivement. — Pendant ces
seize années, la moyenne de la température s’est élevée à 9°,56.
La moyenne de la température s'est élevée à 11°,14 en 1834,
DE GENÈVE. 253
qui a été l'année la plus chaude, tandis qu’elle est tombée à
8',41 en 1829 qui a été l’année la plus froide, ce qui fait entre
ces deux années une différence de 2°,67. La moyenne de l'in-
tervalle journalier s’est élevée à 9°,29, et a été ainsi supérieure
de 2,40 à celle des trente années précédentes, ce qui est sans
doute dû à ce que les maxima et les minima de la journée ont
remplacé les observations faites au lever du soleil et à deux
heures après midi (Voy. tabl. n° 2).
TEMPÉRATURE MOYENNE DES SAISONS.
Je ne me suis pas servi de la division astronomique des sai-
sons, qui n'est ni commode, ni en rapport avec les vicissi-
tudes de la température. J'ai en conséquence, à l'exemple de
M. Schouw, formé l'hiver de l'ensemble des trois mois les plus
froids, c'est-à-dire des mois de décembre, janvier et février ;
le printemps des mois de mars, avril et mai; l'été des mois
de juin, juillet et août; l'automne des mois de septembre,
octobre et novembre.
Observations de 1196—1895 inclusivement. — La tempé-
rature de l'hiver a été de 0°,90, celle du printemps de 6:,96,
celle de l'automne de 9°,90 et celle de l'été de 17°,08. La dif-
férence entre l'hiver et l'été n’est que de 16°,18, et est ainsi
moindre d’un à deux degrés que celle de la plupart des villes
situées dans le sud de l'Allemagne, en Suisse et dans le nord
25% NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
de l'Italie. La différence entre l'année la plus froide et l'année
la plus chaude a été de 5°,8T pour l'hiver, de 4°,29 pour le
printemps, de 3°,92 pour l'automne, et de 4°,30 pour l'été;
c'est-à-dire à peu près double pour chaque saison de ce qu’elle
a été pour l’année entière. L'hiver le plus froid, celui de 1808,
a atteint la moyenue de l'hiver de Fribourg en Suisse, tandis
que l'hiver le plus doux, celui de 1806, n’a pas été plus ri-
goureux que la moyenne des hivers de Trieste. L'été le moins
chaud, celui de 1816, a été aussi frais que la moyenne des
étés d'Edimbourg; tandis que l'été le plus chaud, celui de
1807, a atteint la moyenne des étés de Toulouse. Les diffé-
rentes saisons, à l’exception toutefois de l'hiver, présentent
pour chaque période de dix ans une décroissance dans la tem-
pérature, qui est surtout frappante pour l'été; car la tempé-
rature moyenne de cette saison, qui s’est élevée à 17°,46 de
1786-1805 inclusivement, s'est abaissée à 17°,14 de 1806-
1815, et à 16,58 de 1816-1825.
Observations de 1826-1841 inclusivement. — La tempéra-
ture moyenne de l'hiver a été de 0°,75, celle du printemps
de 9°,98, celle de l'automne de 9°,94, et celle de l'été de 1815.
La température moyenne est descendue à —2°,22 pendant l'hi-
ver de 1830, qui a été le plus froid, tandis qu'elle s'est élevée
à 19°,89 pendant l'été de 1834, qui a été le plus chaud. Les
intervalles journaliers se sont élevés à 6°,37 pour l'hiver, à
10°,26 pour le printemps, à 8°,44 pour l'automne et à 12:
pour l'été.
ot
DE GENÈVE. 25:
TEMPÉRATURE MOYENNE DES MOIS.
Période de 1796-1895 inclusivement. — La température
des différents mois a été de -0‘,40 pour janvier, de 1°,29 pour
décembre, de 1°,89 pour février, de 4,70 pour mars, de 5°,25
pour novembre, de 8,81 pour avril, de 9,75 pour octobre,
de 13°,4T pour mai, de 14,72 pour septembre, de 15,83
pour juin, de 17°,68 pour août et de 17°,69 pour juillet. Ainsi
donc chaque mois dans la période ascendante de l’année à un
correspondant dans la période décroissante; mais on peut
déjà remarquer que cette dernière est plus courte, ou, en d’au-
tres termes, que le moment du plus grand froid se rapproche
bien plus du solstice d’hiver que le moment de la plus grande
chaleur ne se rapproche du solstice d'été, puisque le mois de
février est moins froid que celui de décembre, tandis que le
mois d'août est sensiblement plus chaud que celui de juin et
se rapproche excessivement de celui de Juillet. La différence
entre le mois de janvier et celui de juillet est de 18°,09. Cette
différence est plus grande dans la plaine du Pô, mais en re-
vanche elle est notablement plus faible dans la plupart des
villes d'Italie situées au sud des Apennins. Les moyennes
mensuelles extrêmes sont, d’une part, le mois de janvier 1802,
où la température est descendue à -5°,29, et, d'autre part, le
mois d'août 1807, où la température s'est élevée à 21,45.
Les mois présentent entr'eux plus de variations qne les sai-
sons. Cette variation dans les moyennes est bien plus pronon-
256 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
cée dans les mois d'hiver que dans ceux d'été, car tandis
qu'elle s’est élevée entre le mois le plus froid et le mois le
plus chaud à 10°,70 pour janvier, à T°,88 pour février et à
8:,35 pour décembre, elle n’a plus été que de 7°,57 pour
juin, de 6°,32 pour juillet et de 6°,46 pour août. En Italie, et
notamment à Milan, où cependant la durée des années d’ob-
servations s'élève à T0, on n’a pas remarqué d’aussi grandes
différences dans la température moyenne des mois. La tem-
pérature semble s'être adoucie à Genève dans les mois d'hiver,
et s'être rafraîchie dans les mois d'été, notamment dans celui
d'août. La température de ce mois qui s’est élevée, de 1796-
1805 inclusivement, à 18°,49, s'est abaissée de 1806-1515
à 17,55, et de 1816-1825 à 16,96.
Période de 1826-1841 inclusivement. — Ces seize années
n'ont pas, à l'exception des intervalles journaliers, présenté
des résultats bien différents de ceux des trente années précé-
dentes. Les mois de janvier 1830 et d'août 1826 ont présenté
les extrêmes de température. La moyenne de la température
du premier mois est tombée à —6",0T, tandis que celle du se-
cond mois s'est élevée à 21°.,44. La moyenne des intervalles
journaliers s’est élevée à 5°,41 pour décembre, à 6°,33 pour
janvier, à 6°,64 pour novembre, à T°,44 pour février, à 6°,31
pour octobre, à 9°,15 pour mars, à 9°,89 pour septembre, à
10,33 pour avril, à 11°,50 pour mai, à 11°,57 pour août, à
12° pour juin, et à 12,54 pour juillet.
DE GENÈVE. 257
TEMPÉRATURE MOYENNE DES DÉCADES.
(Voyez tableau n° 4.)
Période de 1196-1895 inclusivement. — La moyenne de la
température est tombée à —0°,84 pendant la seconde décade
de janvier qui a été la plus froide, et elle s’est élevée à 18°,24
pendant la première d'août qui a été la plus chaude, en sorte
que la différence entre les deux décades extrêmes a été de
21,02. Cette même différence est à Milan de 24°, à Rome de
19,50, et à Palerme de 16°,10. La marche de la température,
tant dans sa partie ascendante que dans sa partie descendante,
est sinon régulière, du moins continue. La période ascen-
dante de la température compte vingt décades, tandis que la
période descendante n’en compte que seize. La différence
moyenne d'une décade à l’autre dans la période ascendante
est de 0,95, pendant qu'elle est de 1°,19 dans la période
descendante. En général les différences diminuent près du
moment de l'année où la température est la plus froide ou la
plus chaude, tandis qu’elles augmentent au milieu des pé-
riodes ascendantes ou descendantes. On remarque encore dans
la marche de la température d’autres inégalités, qui seraient
très-frappantes si on ne pouvait les attribuer au petit nombre
des années d'observations. Ainsi, tandis que la troisième décade
de février et la première décade de mai ne sont respectivement
dépassées par les décades qui les suivent que de 0,17 et de
TOM. X, 1'* PARTIE. 33
258 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
0°,40, elles dépassent respectivement les décades qui les pré-
cèdent de 1°,2T et de 2,72.
Période de 1826-1841 inclusivement. — La décade la plus
froide n’est plus la seconde de janvier, mais la première de
ce mois; et la décade la plus chaude n’est plus la première
d'août, mais la seconde de juillet. On remarque une déviation
dans la courbe descendante : la dernière décade de juillet qui
est moins chaude que la seconde de juillet est également
moins chaude que la première et la seconde décade d'août.
Cette déviation est de nature à attirer l'attention, attendu
qu'elle se retrouve à Milan, Bologne, Cascina, Florence,
Rome et Paris.
EXTRÊMES ANNUELS DE TEMPÉRATURE.
(Voyez tableau n° 3.)
Pour l'appréciation du climat d’un pays, la connaissance
des moyennes ne suffit pas; celle des extrêmes est aussi très-
importante, à cause de la grande influence qu'ils exercent sur
les végétaux et sur les animaux.
Période de 1196-1825 inclusivement. — Les extrêmes an-
nuels ont une tendance à se rapprocher et la température à
devenir ainsi plus égale. C’est ainsi que de 1816-1895 les
extrêmes sont inférieurs à ceux de 1796-1805 de 3‘,4 pour
DE GENÈVE. 259
les minima, et de 2,1 pour les maxima. L’intervalle journa-
lier qui s'est élevé à 6°,9 pour les moyennes a été de 10°,4
pour les maæima et de 5°,8 pour les minima. La moyenne des
extrêmes annuels de froid s’est élevé à —12:,8, et celle des
extrêmes annuels de chaleur à 30°,3. Les extrêmes de tem-
pérature se sont plus écartés dans les minima que dans les
maxima, Car la moyenne entre les extrêmes est inférieure à
la moyenne des moyennes de 2°,31 à l'heure du lever du
soleil, de 1°,10 à 2 heures après-midi. Cette infériorité n’est
que de 0°,55 entre la moyenne des extrêmes annuels et la
moyenne annuelle. L’intervalle entre les extrêmes n’est que
de 52°,7 au lever du soleil, tandis qu'il s'élève à 37°,5 à 2
heures après midi. L’intervalle moyen entre les extrêmes de
toute l’année s'élève à 45°,1. Dans les quinze années, sur les
trente observées, qui ont présenté les minima les plus bas, il y
en à onze qui font partie de celles où la moyenne de la tempé-
rature a été la plus faible, et quatre seulement de celles où la
moyenne de la température a été la plus élevée. Dans les quinze
années qui ont présenté les maxima les plus élevés, douze se
rencontrent avec les quinze années les plus chaudes et trois seu-
lement avec les années les plus froides. Enfin, dans les quinze
années qui ont présenté une moyenne élevée entre les maxima
et les minima, onze se rencontrent avec les années les plus
chaudes et quatre seulement avec les années les plus froides.
En sorte qu'on peut dire qu'il y a une corrélation entre des
minima ou des maxima élevés et la température moyenne de
l’année. L'époque du jour le plus froid a varié entre le 12 dé-
cembre et le 8 mars, et la moyenne du jour le plus froid a
260 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
été le 19 janvier. L'époque du jour le plus chaud a varié entre
le 19 mai et le 30 août, et la moyenne du jour le plus chaud
a été le 24 juillet. Le minimum qui ne s’est abaissé qu'a —5",6
en 1819, s'est abaissé à —16°,6 en 1819, à —17°,6 en 1514,
à —17:,1 en 1810, à —18",3 en 1798, enfin à —25°,5 le 13
janvier 1802. Les différentes villes du nord de l'ftalie ne pré-
sentent pas, à beaucoup près, des minima aussi bas: car le
thermomètre n'est pas descendu à Turin pendant 63 ans au-
dessous de —17°,8, à Milan pendant T0 ans au-dessous de —15",
et à Padoue pendant 38 ans au-dessous de —15°,6. Les maxima
annuels présentent de moins grandes différences entr'eux que
les minima, car le plus faible maximum est celui de l'année
1816, où le thermomètre ne s’est élevé qu'à 26°,9; pendant
qu'il s'est élevé à 33,1 en 1802 et 1805, et à 53°,4 le 16 août
1800. Ce dernier maximum est à peu près aussi élevé que
celui des villes du nord de l'Italie; en effet le plus fort maxi-
mum a été pendant 63 ans à Turin 56°,9, pendant 70 ans à
Milan 34°,4, pendant 20 ans à Nice 53°,4. Le maximum ne
s’est écarté de la moyenne annuelle que de 24°,25, tandis que
le minimum s'en est écarté de 32,45. L'intervalle entre le
maximum et le minimum le plus élevé a été de 46:,8 au lever
du soleil, de 47°,7 à 2 heures après midi, et de 56°,7 en
n'ayant pas égard à l'heure de l'observation. Cet intervalle est
plus grand de quatre à cinq degrés que celui d'aucune ville
d'Italie.
Période de 1826-1841 inclusivement. — La conversion des
observations au minimum et au maximum de la journée, à la
DÉ GENÈVE. 261
place du lever du soleil et de deux heures après midi, a rendu
les résultats plus saillants. L'intervalle journalier s’est élevé
à 5°,5 pour les minima et à 13°,1 pour les maxima. Le mini-
mum moyen annuel est tombé à —15°,1, etle maximum moyen
annuel s’est élevé à 32°,7; en sorte que, comparativement aux
trente années précédentes, le minimum a été de 2°,3 au-des-
sous, et le maximum de 2°,} au-dessus. La moyenne entre
les extrêmes a été inférieure à la moyenne des moyennes de
5°,02 au minimum de la journée, de 1°,21 au maximum de la
journée. La moyenne des extrêmes annuels a été inférieure de
0°,66 à la moyenne annuelle. L’intervalle moyen entre les ex-
trêmes s’est élevé à 34,1 au mininum de la journée, à 39,5
au maximum de la journée, et à 47°,8 en n'ayant pas égard à
l'heure de l'observation. La moyenne de l'époque des extrêmes
a été notablement plus rapprochée des solstices que dans les
trente années précédentes; elle a été le 8 janvier pour les
minima et le 11 Juillet pour les maxima. Le minimum n’est
descendu qu’à —7°,1 en 1828; mais en revanche il a baissé
jusqu'à —20°,6 en 1826, à —21°,7 en 1830 et à —25",5 le
15 janvier 1838. Le maximum n’est monté qu'à 28°,9 en
1541, tandis qu'il s’est élevé à 35°,2 en 1822 et à 36,2 le
30 juillet 1827. L'intervalle entre les extrêmes absolus s’est
élevé à 48°,8 au minimum de la journée, à 46°,T au maæi-
mum de la journée, et à 61°,5 en ne tenant pas compte des
heures d'observations.
262 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
EXTRÈMES DE TEMPÉRATURE DES SAISONS.
(Voyez tableau n° 5.)
Période de 1196—1825 inclusivement (*). — La moyenne
des extrêmes de froid s'est abaïssée à —12°,7T pendant l'hi-
ver, à —5°,6 au printemps, à —4°,2 en automne, et à +5°,6
en été : tandis que la moyenne des extrêmes de chaleur s’est
élevée à 13°,7 en hiver, à 24°,8 au printemps, à 25°,9 en
automne et à 30°,3 en été. La moyenne entre les extrêmes
est inférieure à la moyenne générale de 0,40 pour l'hiver,
tandis qu’elle lui est supérieure de 0°,64 au printemps, de
0°,95 en automne et de 0°,TT en été. L'intervalle entre la
moyenne des extrêmes s’est élevé à 26°,4 en hiver. à 50:,4
au printemps, à 30°,1 en automne et à 24°,7 en été. Quand
on compare les trente années entrelles, on remarque des
variations beaucoup plus faibles en été que pendant les autres
saisons. C’est ainsi que pour les moyennes entre les minima
et les maxima, ces variations, qui n’ont été que de 6°,9
en été, se sont élevées à 12°,6 en hiver, à 12°,9 en au-
tomne et à 16° au printemps.
(1) Je me borne à présenter les résultats de cette période, parce que ceux
de la période suivante ne sont pas assez différents pour mériter d’être signalés.
DE GENÈVE. 9263
EXTRÊMES DE TEMPÉRATURE MENSUELS.
Période de 1196—1895 inclusivement (1). — La moyenne
entre les minima et les maxima mensuels à suivi la même
progression de température que les moyennes générales;
seulement le mois de mars l'a emporté en chaleur sur le
mois de novembre, au lieu de lui avoir été inférieur. La
moyenne entre les minima et les maxima a été inférieure
à la moyenne générale dans les mois de Janvier, février,
novembre et décembre, tandis qu'elle lui a été supérieure
dans les autres mois. L'intervalle entre le minimum et le
maximum, qui s’est élevé à 23°,9 en avril, n’a été que de
18°,5 en novembre. L'intervalle des autres mois a été infé-
rieur à celui du premier de ces deux mois et supérieur à
celui du second.
En résumé les résultats de mon travail qui m'ont le plus
frappé sont les suivants :
1° La température moyenne de Genève est inférieure à
celle qui semblerait devoir être la suite de sa latitude
et de son élévation.
(4) Voyez la note de la page précédente.
26%
30
NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
Il y a eu dans l'intervalle pendant lequel on a ob-
servé une tendance à un rapprochement de tempé-
rature entre les différentes saisons et les différents
mois de l’année.
La température moyenne de l'hiver s'écarte, compa-
rativement aux autres pays observés, peu de celle
de l'été.
La période descendante de la température est sen-
siblement plus courte que la période ascendante.
Il semble qu'il existe une déviation dans la tempéra-
ture lors de la dernière décade de juillet.
DE GENÈVE. 369
APPENDICE.
Afin de rendre plus complète cette notice sur la tempéra-
ture de Genève, je crois devoir y ajouter un résumé des
observations thermométriques de Guillaume-Antoine De Luc.
A de très-courts intervalles près, ces observations embras-
sent les trente-trois années qui se sont écoulées depuis 1768
à la fin de 1800. Ces observations ont été faites à environ
405 mètres au-dessus de la mer, à l'air libre, dans une ex-
position au nord, en dehors de la fenêtre d'un galetas situé
au cinquième étage d’une maison rue de la Cité, n° 219.
Le thermomètre dont on s'est servi n'a pas été conservé,
mais il y a lieu de croire qu'il était l'œuvre de Jean-André
De Luc, célèbre physicien, frère de l'observateur, et que,
par conséquent, il avait été construit avec soin. Les obser-
vations n'ont été faites qu'une seule fois par jour, pendant
l'hiver à S heures du matin, et pendant les autres saisons
à 7 heures ou 7 % h. du matin.
Une moyenne prise sur de pareilles observations est loin
d’être irréprochable. D'un côté elle est assez notablement
abaissée par l'heure où le thermomètre a été observé, tandis
que d’un autre côté elle est élevée tant par la hauteur de
la couche d'air au-dessus de la surface du sol, que par le
réchauffement du galetas produit par les rayons du soleil.
Je ne crois pas toutefois devoir corriger les résultats obtenus,
TOM. X, {'° PARTIE. 34
366 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE
attendu que lon ne connait qu'imparfaitement la loi qui
régit à Genève la distribution de la chaleur suivant les dif-
férentes heures de la journée et suivant les différentes élé-
vations au-dessus du sol. Malgré ces causes d'erreurs, qui
entachent les observations de De Luc, elles n’en ont pas
moins une grande valeur, parce qu’elles ont été faites avec
soin et parce que ce sont les seules existantes pour Genève
relativement à 17 années.
Pendant les trente-trois années qui se sont écoulées de
1768 à la fin de 1800, la température moyenne s’est élevée
à 9°,50 et a été ainsi à peu près exactement la même que
celle des trente années 1196—1825. La température mo-
yenne est tombée à 7°,97 pendant l’année 1710 qui à été la
plus froide, tandis qu'elle s’est élevée à 10°,55 en 1791,
qui a été l’année la plus chaude.
Les décades présentent une période ascendante et une
période descendante, où la température croît ou décroît
d'une manière régulière. Cependant on remarque à cette
règle l'exception que j'ai signalée dans la série des années
1826—1841, c'est-à-dire que la dernière décade de juillet
a une moyenne inférieure à celle des deux décades entre
lesquelles elle est située. (Voyez tableau n° 4 bis.)
Nous allons rapporter ici les températures moyennes an-
nuelles de chacune de ces 33 années. résultant des obser-
vations de De Luc, sans y effectuer d’autres corrections que
de les réduire en degrés centigrades.
DE GENÈVE.
1768
1769
1770
1771
1772
1773
1774
1775
1776
1777
1768-1777
7h.t/2m.
8,50
8,62
7,97
8,65
9,86
8,42
9,00
9,14
9,19
8,99
1778
1779
1780
1781
1782
1783
1784
1785
1786
1787
1788
1789
1790
1791
1792
1793
1794
1795
1796
1797
8,83
1778-1787
1788-1797
1798
1799
1800
1798-1800
1768-1800
8 h. m.
9,55
8,51
9,94
SUR LA TEMPÉRATURE
NOTICE
EN DEGRÉS CENTIGRADES, CALCULÉES PAR MOIS,
EN PRENANT LA MOYENNE DES OBSERVATIONS FAITES AU LEVER DU SOLEIL ET À
DATES,
1796
1797
1798
1799
1800
1801
1802
1803
1804
Janvier.
SAISONS ET ANNÉES,
pe 1796 À 1825
2 HEURES.
évrier.
cembre.
F
D
—-1 96 —0,86 [T2 02
9
25|
3,62
—_0;10|+0,53
1805 |—0,93|1,58/—0,78
1806
1807
1808
1809
1810
1811
1812
1813
1814
1515
1816
1817
1818
1319
1820
1821
1806-1815
—+4,16|-4,29
2,17|—1,83
—2,06/—2,47
+4,31
—2,30
A 35
2,31
15,11
15,22
14,87
13,38
13,81
14,99
13,79
14,13
11,28
14,48
15,01|16,30/17,86
13,27/19,26/18,55
16,21116,87|17,49
15,20/17,10|18,07
14,60|19,70|18,53
15,48118,19/17,85
17,89117,52|21,01
16,92/20,42/20,47
18,33/17,72|18,25
15,20/17,16|16,75
Octobre.
Novembre.
vrintemps.
ENT
(2
=
16,41
17,07
16,87
16,81
17,64
17,19
18,81
19,30
18,10
16,38
©
=
Automne.
9,93
9,76
9,59
9,34
9,84
10,88
11,92
9,74
10,79
8,44
IE
17,88/17,77|17,17
16,35/20,99/21,45
14,15/18,55/18,40
15,96/17,13|17,26
15,25116,41116,78
18,09/19,58/17,49
15,84/17,21116,80
14,76/15,05|16,39
15,48/18,13|16,84
15,91117,92/16,92
17,60
19,63
17,06
16,76
16,15
18,39
16,62
15,41
16,83
16,92
BRENT R££2.E
@ œ © uowe
æ O | C1 CN Cr
10,07|
10,95
10,41
8,69
8,30
11,42
11,41
9,02
9,55
9,19
CRE]
rÈ
1822 |—0,17|--3,44
1823 |—1,88|+3,70
1824 |—1,39
1825 |—0,51
1796-1805|+0,30|21,41
—1,76|--1,86
1816-1825|+0,21|+2
—1,49|-
+1,18
Ge à Go Or Oo = 1 © ©
= © &
Cr à | 02 RO Æ QD O1 ou O1 Où
12,77
11,78
11,87
13,19
13,94
11,96
15,10
13,66
11,57
12,66
13,39
14,11
12,85
NB. On a api liqué aux résultats de 1796 à 1822 une correction de —0°,
compose de Janvi
1796-1825|—0
42| 41,87
yrier et Décembre.
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16,63/19,43/17,15
15,57|17,76|17,24
15,07|16,86|18,71
13,88/16,21|18,43
20,62|18,01|16,60
13,79115,74116,36
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“SHAVUOILNHO SAMOA NA
“HAANYN V SANUAIG SANNHAON SAMALVHAdNAL SA AVAIAV IL
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ANNAIXON VT INVNAUA
NS
0 me
370 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE DE GENÈVE.
N° 3. TABLEAU DES TEMPÉRATURES ANNUELLES
NAXENEUNE 27 MENEMEUNE
EN DEGRÉS CENTIGRADES,
OBSERVÉES A GENÈVE DE 1796 À 1841.
MAXIMUM. 5 MINIMUM.
le 12 décembre.|29,8|le 10 août.
24 janvier. |32,5| 30 juillet. 12 janvier.
26 décembre.|31,3 5 août. 4 février.
18 janvier. [31,8 9 août. 31 décembre.
2 janvier. 16 août. 5 14 janvier.
19 décembre. 8 juillet. 5 mars.
13 janvier. 19 août. É 1 février.
8 fevrier. 1 août. 13 janvier.
23 décembre. 6 juin. 25 janvier.
17 janvier. 3 juillet. 7 janvier.
8 mars. 15 juillet. 5| 25 décembre.
30 janv. et9 déc. 24 août. 26 décembre.
24 et 27 février. 16 juillet. 31 janv.et1 févr.
6 janvier. 19 mai. 31 janvier.
23 février. 2 juillet. 30 janvier.
21 janvier. |30,6/19 et20 juillet 21 décembre.
15 janvier. 26 juillet. 11 et12 décemb.
A février. |: 19 août. 27 décembre.
27 janvier. 1 août. 3 janvier.
19 janvier. 15 juillet. 15 janvier.
14 août. 3 février.
30 décembre. 11 juillet. 2,0/16et 17 décemb.
11 janvier. 7 août. 10 janvier.
1796—1805 le 7 janvier. le
1806-—1815 31 janvier.
1816—1825 18 janvier.
1796—1825 19 janvier.
1826—1835 10 janvier.
1836—1841 7 janvier.
1826—1841 8 janvier.
.131,9/le 8 juillet.
MAXIMUM.
11,16aout
3 août.
5 juillet.
30 août.
25 juillet.
19 juillet.
3 août.
30 juillet.
4 juillet.
10 août.
5 août.
23 juin.
22 août.
26 juin.
18 juillet.
16 juillet.
12 juillet.
16 juin.
5 août.
15 juillet.
22 juin.
28,9]21 juin.
ANNÉES. MINIMUM. MAXIMUM:
26 juillet.
19 juillet.
28 juillet.
24 juillet.
22 juillet.
5 juillet.
11 juillet.
pe 1796 À 1841,
|
1"° DÉCADE
—_—_—_—_——_—_—_—_—_—
1796—1805
1806—1815
1816—1825
1796—1825
maximum
1796—1825 minimum
Décades
1826—1835
1836—1841
1826—1841
1826—1841 { minimum
JATEPTEMBRE.
2° DÉCANDE
ee re CR
3° DÉCADE.
17° DÉCANDE.
OCTOBRE.
RL,
| 2° DÉCADE.
| 3° DÉCADE.
NOVEMBRE.
TR |
| 1'° DÉCADE.
N° 4.
DÉCEMBRE.
3° DÉCADE,
2° DÉCADE.
2,19|—0,10|+-0,31
1,61|41,38|L0.
3,48|+1,55|1,24
ei
—3,92|—4,90|—8,08
+-6,68/4-7,25|-7,37
+-3,50|+41,19|-L0,20
2,43[-+-0,94/ 10,52
3,55|4-0,86| +0,57
TABLEAU DES MOYENNES DÉCENNALES DES TEMPÉRATURES, N°4.
CALCULÉES DE DIX EN DIX JOURS, EX DEGRÉS CENTIGRADES,
.
AINSI QUE DE LEURS VALEURS EXTRÈMES, DIURNES FAITES À GENEVE, DE 1796 À 1841,
D'APRÈS LES MOYE)
ES DES OBSERNVATION
PUBLIÉES DANS LA DIBL. BRIT. ET LA HINL. UMY-
JANVIER.
SEPTEMBRE, OCTOBRE. NOVEMBRE. DÉCEMBRE.
|
17 pYcans
17 nécanr.
| ire Décor
| 1° pécane.
1796—1805 ë à) “ 520115
‘reve Ë 3 ch Ê 10,24| ,13/15,20/15,34 16,41/18,40/17,26/18,88[19,30 15,75/12,90/12,05
fre l 2,19 +4, 8,65 35/14,99/15,52 15,66/16,69 18,28]17,70) 61,14,04/13,57|11,96!
Û 3 +4,23 82) 11,06) 2,82/13,21/15,31 16,13/17. 17,20[17,67 6,48[15,68/14,90/12,95/11,59)
+4,36 3 3 9,98 14,47/15,39 16,07[17,86 17,95]18,22) 4 6. |14,93/13,16/11,87
96—1825
1796—1825 Ç minima
Décades À maximum
0,06 4 5,45| 40/10,32/11,70 12,62/13,64 14,53/14,96/15 2,59/10,7a
10,76 9! 14,32 5117,60/20,91 19,77/20,66/2 22,49124,48/23,23/9 4118,18)
826—1835 À 5 5 7,
| ac HT L à ] L' 4 5 6 10,29/13 31,15,64/15,99 18,17]19,48 19, 19,82 9 6,12,14,84/14,49/12,68 2,91 +3,60
L L ei H F 2, L 10,13 114,01/15,11 18,11118,11 54116,66/18,29 9 3115,25/13,84/13,17/11,06 4,61 3,55
| 1826—1841 42 2 6 o| 7, 10,19/12,93 15,03/15,66/17,49/18,15/18,07 18,46/19,24 #0/14,46/13,99/19,41 3,56[ 3,52
1 1826- Ie (nimuio
| Décades
ni 12,08/13,72 14,72/15,68 1115,37/17,01/15,8 10,90) 8,03, —1,11)—0,15|
3 18,12/1 20,04/22,21/22,6. 70/23,04/24,01 16,72|13,90! +6,36| 48,10!
TABLEAU DES MOYENNES DÉCE
ALES DES TEMPÉRATURES,
# bis.
CALCULÉES DE 1IX EN DIX JOURS ET DE MOIS EX MOIS,
EN DEGRÉS CENTIGRADES, AINSI QUE DE LEURS VALEURS EXTRÈMES, TELLES QU'ELLES RÉSUL
ENT DES OBSERVATIONS FAITES A G
; VERS 8 LEURES DU MATIN, PAR GUILL.-ANT. DE LUC,
de 1268 à 1800.
VB. Les observations ont été faites, pendant toute leur durée, vers 8 heures du matin en Janvier, Février, Mars, Novembre et Décembre. De 1788 à 1800, elles ont aussi été faites vers 8 lieures pendant tous les autres mois de l'année, À 7 h. 2), de 1788 à 1797 de Juin à
Septembre. De 1768 à 1787 elles ont été faites à 7 h. !/3 en Avril et Octobre, et à 7 h. en Mai, Juin, Juillet, Août et Septembre. On a employé les observations telles qu'elles ont été faites, sans y appliquer de correction
AVRIL, MAI JUIN. JUILLET AOÛT. SEPTEMBRE OCTOBRE. NOVEMBRE
JANVIER FEVRIER MARS.
PT TL TS | LT | TT, LT TL maniere | Ben
à ile Élu ä à UE NRC Re
| DATES ë | £ An E 2 |2|$ 5 5 EMI IR] È A he
\ ë à 5 g | $ $ $ é | $
É ERIR ANIME À à È ? È
F - E Lo - - - a = - Q]
—— — — —| — —— _—_—|— — | — — — —
17 68—1777 mc!
1778—1787
Mizss—1707
17981800
+-0,50|+-0,72|—0,05|+-1,15/+43,12]23,52| 24,67
-0,56|—0,69[+0,04|—0,72|—0,34|-+:
7|—0,70|+0,17|+1,66|+-1,382) 42,67] 2
—1,49/+1,10]-L0,80/+-0,76/-L2,20
1-9,67/10,61/12,37/14,24
10,24/11,34/14,89/16,04
12,25/13,09/15,11/16,69
11,27] 10,11/13,45/14,94/15,09|
9,41] 10,66/12,02/14,20/15,66
17,87 16,11/15 13,16]11,0
119,07 2/16,31/15, 13,11/11,36 7,01] 5,72] 4,40
20,11/10,90/20,40!18,11/16,60!16,62|12,07|11,00 8,12 6,6! 4,11
19,01/18,42/21,40/16,72/10,84/15,10/13,21/10,54| 7,50] 6,76] 7,15| 4,20
18,51/19,19/19,74/19,02 16,84/15,85/14,41/12,82| 11,86) 8,99] 7,26] 6,07| 4,30|
6,81] 6,82! 4,41
1,07
0,171 0,54/0,60|1,84/4-2,60| +3,74
| 1768 —1800
RU 1800 ( «
Ipicades À mrime
7] —5,42/—8,56|—7,11]—6,40
4,66/+5,09/+3,96|-7,64|46,75
10,14/11,07
19,69/20,17
15,29/13,59
9/20,94/24,87
16,27/17,22|1
2
2
24,20/23,12/23,69/19,82/18,87/17,44/16,46/14,40/12,06/11,47/+10,82
2114,0411,84/11,27| 9,09! 6,15| 4,21| 3,64|—0,37| +
Me
SEPTEMBRE,
NOVEMBRE
16,66
1778—1787 3 8, 6 17,94 | 19,32 9
1788—1797 | —0 ; 5 18,15 | 20,40 14,70
1798—1800 | —0,29 20,05 15,05
1768—1800 | —0, 7,5 19,30 14,36
mots
Minimum —6,60 ! 15,24 ÿ 12,05
Maximum +2,46 8 19,94 | 23,20 16,11
JANVIER, FEVRIER, Mans, AVRIL. LAID JUIN, JUILLET, | AOÛT. |SEPTEMB,| OCTOURE, | NOVEMBRE, | DÉCEMBRE. HIVER, PRINTEMPS, | ÉTÉ, AUTOMNE.
= < = = EN EE.
1796—1805 , ; ÿ -1,4/2 3 7 3 4 8 413,6] —6,0!
1806—1815 3 3, 21 28,6/3,8| 2 414,11 —5
1816—1825 2
1796—1826
Miolens et maalens
absolus
1796-—1825
| 1826—1835 3/10,7|-10,3
1836—1841 |- 11,6] —9,6
6[23,2/+1,0
21,5[+0,6
5,29,918,4
30,5/6,8
| 1820—1841 11. 10 22,6[+1,4/2
30,1/7,6
Moi
absolue
1820—1841 3/20,7/-17,7117,5|-11,0
OBSERTATIONS ANTRONOMIQUES
FAITES
A L'OBSERVATOIRE DE GENEVE
DANS L’ANNÉE 4842,
E. PLANTAMOUR, -
272 eus d'Alhonomi à d'Acaademi de Ce neue,
S
GENÈVE. — IMPRIMERIE DE FERD. RAMBOZ.
OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES
FAITES
A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE
DANS L'ANNÉE 1842.
0]
Il n’a été faïl, dans l’année 1842, aucun changement dans la lunette mé-
ridienne ; elle a été seulement démontée deux fois, au mois de juin et au
mois d’octobre, pour nettoyer le tourillon du côté du cercle et le bord inté-
rieur des deux cercles. La seconde de ces deux opérations avait été rendue
nécessaire par des travaux faits dans l'Observatoire pour changer l’ajuste-
ment de la pendule, pour lesquels on avait démoli et reconstruit une cloi-
son, ce qui avait causé beaucoup de poussière.
La pendule sidérale d’Arnold et Dent, qui sert aux observations méri-
diennes a été démontée et nettoyée au mois de septembre pour la première
fois depuis son établissement en 1838 ; on en a profité pour changer son
ajustement et modifier quelques parties qui tiennent au remontage. La
caisse de la pendule reposait sur le sol même de l'Observatoire, et elle était
seulement appuyée contre une cloison; maintenant elle est fixée à un fort
pilier formé d’un seul bloc de pierre calcaire du Jura, qui repose sur un
massif de maçonnerie indépendant du sol. La pièce qui sert à arrêter,
quand on à fini de remonter, avait été mal ajustée, lorsque la pendule avait
été posée en 1838, en sorte qu’on ne pouvait pas remonter le poids assez
haut, ce qui faisait que la pendule marchait tout au plus 7 jours. De plus,
4
le ressort, qui remplace le poids comme force motrice pendant le remontage,
n’agissait pas avec une force égale à celle qui était exercée par le poids, ce
qui pouvait être la cause des variations dans la marche de la pendule, que
l’on remarque dans le tableau qui renferme l’état et la marche de la pen-
dule. Ces variations ne se rencontrent pas à chaque remontage, qui se fai-
sait toujours le dimanche matin, et qui est marqué sur le tableau par un
astérisque, mais les variations de marche coïncident toujours avec l'époque
d’un remontage. On a entièrement supprimé la pièce qui servait à arrêter
après avoir fini de remonter, en faisant un arrangement qui permet de voir
lorsque le poids est arrivé en haut ; on a aussi modifié la force du ressort.
Depuis la fin d'octobre, époque à laquelle la pendule a été remise en place,
le temps a été trop défavorable pour que l’on puisse juger de sa marche, à
cause du petit nombre de jours d’observation.
Les tableaux renfermant les observations méridiennes ont été mis sous
la même forme que ceux de l’année précédente ; les corrections et réduc-
tions ont aussi été calculées de la même manière.
Ainsi, dans la colonne intitulée correction de l'instrument se trouve
la correction, qu’il faut ajouter à l’instant conclu du passage au fil méri-
dien, calculée par la formule
—tang. d + + sécante 0.
Les valeurs de T données par les retournements de l'instrument pen-
dant l’année sont :
Cercle Ouest, du 3 janvier au 24 février . = = + 0,41
Le 24 février l'erreur d’axe optique a été exactement corrigée.
Cercle Est, du 24 février au 27 février . . . . . . . —— 0
Id. du 2 mars au:28 mars: . :: .:. 0.010. = — 0,41
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . . . . . . . . . = + 0,41
Id. du 21 :avrilau bemai. . . 44: ne = + 0,11
CerclepEst,,.- du'61mai au 6 juin. 4. t Que À: = — (0,11
CerclekOuest, du 6 juin au. 14 juin . . . mu: £ 1. mn.0! : = + 0,11
Les fils ont été changés.
Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . . . . . — — 0,10
Cercle Ouest, du 4 juillet au 27 juillet . . . : . . . . .. — + 0,10
Cercle Est, du 2 août au 2 SEDIEMDTEMAR SMTP. Te —= — 0,12
Id. du 28 octobre au 2 décembre. . . . . . . . — + 0,26
Id. oran 200 EME ENT ee — 0
CercleOuest, du 20au 31 décembre 0. — — 0,32*
n
15
éloiles polaires, + et à Petite-Ourse ; en réunissant ensemble celles de ces va-
Les valeurs de ont été calculées au moyen des observations des deux
leurs qui ne diffèrent que de quelques centièmes de seconde, et pour les-
quelles ces différences peuvent être attribuées aux erreurs des observations
et non à un changement de l’instrument, on trouve les séries suivantes :
Cercle Ouest, du 29 janvier au 5 février. . . . . . . .. D 0°,10
Id. du Jrau 48 février: : 44 loc ul à = — 0,17
Id. dû 19cm 24févrient avons tes .eheososts ! = — 0,05
Cercle) Est) : du 25) aul2%1févrienez stnerct ot Ah 1e — — 0,38
Id. du 25a0)'29marsivèf & absent el 2h-osc0t _— 0,12
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril : . . . . . . . . . — + 0,50
Id. dui21Jaui291avritonst 9190) . Le Al eva = + 0,68
Le 5 mai on a ramené la lunette de 16",4 vers l'Est en faisant avancer le
coussin du pilier occidental de cette quantité vers le sud.
GercleNEst, du 10Mau 15 mar... =... RE — —= — 0,53
Id. du éMMaNAaUNG Din... PT —= — 0,46
* Le 20 décembre, peu de temps après le retournement, la lunette méridienné a été heurtée près
de l'oculaire, ce qui a occasionné un changement dans l'erreur d'axe oplique.
Cercle Ouest, du 6 au 9 juin. . . . . . . . . . . . . .. = 10:10
Id. du 10 au 13 quin.- AMP PURE —=t0;17
Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet . . . . . . . . . .. — — 0,46
Cercle Ouest, du 4 au 10 juillet. . . . . . . . . . . .. = —, 0418
Id. du 14 au IT TOME SERU = + 0,01
Id. du23raur2 7 juillet EPP — — 0,08
Cercle Est," Au 2 aUMPAONtS PAL ER SNA ONIA = — 0,53
Id. duve aUur27 QoUR ee HPLIURS Ki RARE Qu = — 0,35
Le 13 octobre le coussin du pilier oriental a été abaïssé de 20”.
Cercle Est, du 3 au 19 novembre . . . . . . . . .. + — — 0,25
Id. du 23 au 28 novembre. . . . . . . . . .. )
Id. du 30 novembre au 20 décembre. . . . . . = 0,0
Cercle Ouest, du 20 au 22 décembre. . . . . . . . . .. — + 0:23
Id. du26AauSiidécempre ne EE — + 0,46
La correction azimuthale que l’on a appliquée le 5 mai pour ramener la
lunette vers l'Est s’accorde, soit pour le sens soit pour la quantité, avec
celle que l’on avait déjà faite l’année précédente, le 21 avril; de là on peut
conclure une tendance de Ja lunette à dévier vers l'Ouest, c’est-à-dire une
tendance du pilier occidental à s’incliner vers le Nord ou du pilier orien-
tal à s’incliner vers le Sud. Cette tendance peut s’expliquer par la cir-
constance que les piliers ne sont pas exactement alignés perpendiculai-
rement au méridien; en sorte que la lunette repose sur la partie boréale
du pilier occidental et sur la partie méridionale du pilier oriental.
Les résultats donnés par les nivellements de l’axe sont indiqués au fur
et à mesure dans la dernière colonne des tableaux des observations ; le
signe + indique l’élévation en parties du niveau de la surface supérieure
du tourillon occidental au-dessus de celle du tourillon oriental. La compa-
1
raison des nivellements faits dans les deux positions du cercle confirme
l’inégalité des tourillons indiquée par les observations de l’année précé-
dente; effectivement voici les différences données à chaque retournement
our l’élévation de l’extrémité occidentale de l’axe, suivant que le cercle
P
est à l’Est ou l’Ouest. Ces différences sont exprimées en parties du niveau.
D AREÉNTIET EE rl
LAN AE: née fre 3,36
CL ONE vo li 3,43
DO MATS de ne 4,21
D'ÉMAIS EN OI NESE 4,34
CIDRE CN UE UE 2,10
23FJUin. 8. 2 IMREUT MP EE
D'AUTRE CT Le fe 2). 15p
BUIJUILIEL Se PES EE AN EN à 1,68
2 Septembre. . . . . .. 2,05
28 Octobre . . . . .. .. 2,07
20 Décembre. . . . . .. 3,35
4 Février 1843 . . . . . 2,70
Moyenxie. . . ., 2,92
Les observations de l’année 1841 avaient donné 2°,58 ; moyenne des
deux années 2",80 ; on conclut de là que le rayon du tourillon du côté
du cercle est plus petit que celui du tourillon opposé de 0,47, ou de
0”,94. En tenant compte de l’inégalité des tourillons , on trouve pour l’in-
clinaison b de l’extrémité occidentale de l’axe à l'horizon les valeurs sui-
vantes :
Cercle Ouest, du 3 janvier au 24 février .
du 25 au 27 février
Cercle Est,
EE
— : 6,08
+
Cercle Est, du 2 au 28 mars. . . ........ ...... ME he
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . . . . . . . . .. SOA
Id, duétiavri autant Mib est iioz Iran — — 6,68
Cercle Estsn fduérau 15tmaib. Hirnstiie éthanol ab. — Lj: 0,12
Id. dal mabanéjuin:os éosmmalit 2 Jeans = + 1,78
Cercle Ouest, du 6 au 23: juin. - - + ©: + à: : . . . . = — 1,
Cercle Est, du 2% juin au 4 juillet "un — — 0,72
Cercle Ouest, du 5 au 30 juillet . . . . . . . . . . . . . . — — 3,88
Cercle Est, du 30 juillet au 23 août. . . . . . . . . . . — — 2,40
Id. du 28 octobre au 20 décembre . . . . . .. — + 6,26
Cercle Ouest, du 20 au 23 décembre. . . . . . . . . . .. — |" 1,44
Id. du 23 auSiidécembre "Hu = 3,36
Au moyen de ces valeurs de b et de celles de n on a calculé l’angle m
que fait avec le méridien le cercle horaire sur lequel ont été ramenés les
passages observés, ou la quantité _ qu’il faut ajouter à l’instant observé
du passage de tous les astres.
m
Les valeurs de ——— sont :
15
Cercle Ouest, du 27 janvier au 5 février. . - . . . . . .. — —1;,11
Id. AUNO AU MISMEYTIER PR ee . ee — — 1,03
Id. dudlJEau DA LÉNTIER Eee ele nt LA dun = — 1,16
Cercle Est, du 25jau, 27 février. 6.4 en... ne — — 0,19
Id. D AU PO DARS RL ns 0: = — 0,12
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . : . . . . . . .. — — 1,40
Id. du21/ayall au) MA fe A 2). — — 1,34
Cercle Est 20du 60015 MAL CES CR — + 0,56
Id. UD A AURONT ER AE Ce CCC — + 0,65
Cercle Ouest, ‘du'6:au 9 juin" 762.00 IETARER € — — 0,27
Id: duA0'au 23 juin. : IMMO LE WT —010;35
9
Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . .. re _ — + 0,41
CerelelOuest, du b au 10juillet MM 2. : : . smart. - — — 0,24
Id. dus andismilets Tnmere © ee. + En == — 0,38
Id. dura 0muilet,.. ..1. 0" hp..." 7 — — 8,28
Cercle Est, du 30 juillet au ? août. . . . . . . .. — + 0,32
14. Au 0 a PA MRAONTARRE .*: + Eee — + 0,14
Id. du.28 octobre au 19 novembre . . . . . . . — + 0,86
Id. du 23 au 28 novembre . . . . . . . . . .. — + 0,72
Id. du 30 novembre au 20 décembre. . . . . . — + 0,60
Cercle Ouest, du 20 au 23 décembre. . . . . . . . . .. : = — 0,10
Id. du 23. aubhdécembre "1! : : . : 201 4178 — — 0,17
En ajoutant celte quantité ee à l’erreur de la pendule qui est insérée
dans la colonne intitulée correction de la pendule, et qui a été obtenue
par la comparaison des passages observés avec l’ascension droite des étoiles
fondamentales tirée des éphémerides de Berlin, on obtient le tableau sui-
vant pour l’état de la pendule à midi et pour sa marche diurne :
Etat de la pendule sidérale d’Arnold à midi pour l’année 1842.
ÉTAT MARCHE ÉTAT MARCHE ÉTAT MARCHE
de la de Ja de Ja
PENDULE. |DIURNE. PENDULE. |LLURNE. PENDULE. |PIURNE.
28 Janvier.|l+ 645,21 18 Février.|+ 825,04 +og6r 11 Mars. |- DE inse
29 » + 65,42 . KO) + 82,64 + RS RS YA S) _- 2,6 + pe
* 2 Février.|+ 69,87 L 0 86 X20 » + 83,24 FOSSES EN 3:50 LL :
3 » |+ 70,73 h “al ar | + 83,94 Ÿ DRE 2 D U6.70 F “3
Sp + 72,57 L. de, NT) + 84,bo + 2 125 » + 1,47 + 577
Pgo CÉRNMAlES on | 68,7 PAMOU| 1558100
10 ) + 7754 se DRE X27e0! » + 91,76 LP X14 Avril. |+ 40,93 : no
11 »» + 78,11 d ae 5 | Le 2? Mars la pendule a été 1 » Se 43,00 F " 7
12 » + 78,86 : A retardée de 2 minutes. 3 #r7 » + 46,82 9
*14 » [+ 8o,r2 4 pur 2 Mars. |— 24,57 Es 18 » + 48,89 É FH]
| LE 5) + 80,42 7 A 8 40) — 922,65 10 19 » + 51:03,
led rutt BR 4pon otl-1206817, Aa, nt Aénisroft 727
2
10
ÉTAT ÉTAT |Apie ETAT |yircue
de la de la de Ja |
PENDULE. Rue PENDULE. |PIURNE. PENDOLE. |PIURNE:
; 25,30 ë + 05,90 2 + 05,58
21 Avril |[+ 555,40 + 24 Juin, |+ 205,33 9 Ki4 Août. [+ 415,90
22 » + 57:67 a A *X26 » + 20,63 + ve 12e » + 1338 + s,58
23,» [+ Gorélt 247) 27 » | 2086/0836" , VU 4438] 110
F4 on + 6258) 28 on [Hans lun on, 4548/7250
25 » + 64,79 + DE 29 » + 21,89 + ET 18 » + 46,78 RUE
26 » + 66,94 “ ne 1 Juillet. [+ 22,57 Lu prié 20 » + 48,72 + 087
2000 » + 71,01 + re ae Ch) + 23,12 + 08 LS + 49,56 + we
29 » + 72,01 : 36 AIS, + 23,99 H PAYENT UK, + B5o,20 ; c'ES
* 9 Mai. [+ 91,45 4 163 & + 26,18 Hi d62 23, 4) + 50,79 H 7
10 » [+ 93,08 é A0 70 DUT 27,38 L M 2% on |+ 5123 L 46
If » + 94:95 4 THE 7 » + 28,18 4 do 25 15 + 51.6 4 06 |
FLD + 101,22 : 1 CR + 28,98 H aies 27 + 52,8: ct
16» Hiosl el 9 » [+ 2960 °0
17» + 103,67 DAMEROD ÿ + 30,23 + 0 3 La pendule a éte démontée
10} JU +4 104,84 + 2217 14 + 30,36 u se CAIN EE
Le 18 la pendule a été retardée 15 » + 30,21 1 par 31 Octobr. + 10,43 1,48
de 2 minutes. 16 » 1 0:07 | PE 3 Nov. h 5,98 Gs de |
21 Mai. |- 12,46 H Re Dir ROME) + 30,02 f 7. kg » |- 1448| be
*x23 » — 10,00 + &E 18 vit-n + 30,52 4 A1}G *23 » — 920,43]. 150
26 » — 7:98 RE 7 22 » + 32,2: H se 27 on - 26,78]. je 5
27 un EG 0 H '88 23 nus NF 15:93 4 QE 28 on |- 286817 nn
Mg. ni vhngl C6 late mens eo, »,0|-4 8266
Juin ne NICE 27. à + 34,00 4 UE 1 Déc. |- 34.641 128
TRS 441,77 1 4 28 » + 3/,07 h 0 7alaslair 5 =1 86,62|7 23
3» | o6ifE él" r Août. |+ 37,80/ 98 » |- 50,63[" 7°
LA + 0,9% Hess ; D D ï 38,31 4 ar P19. .» - 78,32 |. nm
NUS) 17 + d'83 4 5» + 38,82 Le 025 20 » = 81,33 | 3
(LE + 4,00 es php + 39:07 03295 » — 84,30| °17
1 (+ 234lx + 0,27| M — 2,81
TE) + 5,34 gl 7 ? T 39:61 ri 22 » 87;rx _ 2,65
8 » +... 6,52 ee sum + 39:83 4 de 23° » _ 89,76 46
9 » + 743 + Ke 9 » + 40.0 + 206 — 97r12 L ne
10 _» + 8,28 + ee 10 » + 4o,28 4 Clan 29 » — 104,62 |. A
11 » + 8.94 + Ps 12 » + 40,98 # HO 9 — 107,04 pa ’6o.
Riz ot osé Lelé afro ge | pif
Dans les observations des déclinaisons on s’est encore servi des tables
de Bessel pour calculer les réfractions, et les lieux du pôle sur le cercle
ont été obtenus en tirant des éphémérides de Berlin les déclinaisons des
étoiles fondamentales, La colonne intitulée Lieu du pôle renferme seule-
ment le chiffre de secondes résultant de cette comparaison pour chaque
11
étoile fondamentale. Les lieux moyens du pôle sur le cercle, dont on s’est
servi pour le calcul des déclinaisons, sont :
Cercle Ouest, du 26 janvier au 23 février. . . . . . . 200° 15° 147,70
Cércletbsié ldu2brau2Tiiévrienn., 0 Me lon. 112 39 et
Id dus au AMArS EL 20572 DU. 11239 19:63
Cercle Ouest, du 29 mars au 4 mai. . . . . . . . . .. 200 15 26,02
CercletEstmndu Giau LOAMAN EL LE UCE CN 112059 20024795
Id. dodiihmalau sun ee. a: 2 SON 23-80
Cercle Ouest, du 6 au 13 juin. . . . ... . . . . .. 200 15 28,75
Cercle Est, du 23 juin au 4 juillet. . . . . . . . . . 268 46 14,35
Cercle Ouest, du 4 au 10 juillet . . . . . . . . . . .. 356 22 16,00
Id. du d3saus 28, juillet. 41 5h co no 356.-22,,, 15,18
Gercle Est, du. 1.au-2.août.,.).,.. 44e 1. | . 268 46 15,31
Id. du/£'auHoLaQu,, comte: cuth m6 Arras: 268 46 12,45
Id. du di0 Ana not dc 268 46 13,55
Id. du) au27 août D 6.2 0h ut nu 268 46 ,: 14,50
Id. du 31 octobre au 3 novembre . . . .. 268 45 55,26
Id. du 6 novembre au 2 décembre . . . . . 268 45 52,95
Id. du 8 au 19 décembre . . .... .... 268 45 60,04
Cercle Ouest, du 21 au 31 décembre . . . . . . . .. 356 21 57,49
Là comparaison des lieux du Nadir sur le cercle, obtenus par l’obser-
vation de la réflexion des fils dans un horizon de mercure avec les lieux
du pôle pris dans le tableau précédent, donne les valeurs suivantes
pour là latitude de TObservatoire :
Cercle Ouest. Cercle Est.
26 Janvier 46° 11’ 58,02 25 Février 46° 11” 57,77
12 Février 57,40 26 00 56,88
19 Avril 58,30 2 Mars 58,82
12
Cercle Ouest. Cercle Est.
24 Avril 46° 11° 57”,10 4 Mars 46° 11° 58,61
20 AE) 58,24 10 Mai 61,10
9 Juillet 59,19 23 Juin 60,92
150) 58,32 2 OS) 59,60
230 y 58,59 1 Juillet 60,25
Moyenne 46° 11° 58”,14 2 Aoùt 60,31
Ki PS) 60,18
2110 > 58,18
1 Décembre 60,08
Moyenne 46° 11° 59,56
La différence entre les résultats de ces deux séries peut provenir d’un
petit défaut d’horizontalité des fils, qui devient sensible, parce que la coïn-
cidence des fils ne peut pas être observée sous le fil du milieu à cause du
prisme, et que pour toutes ces observations elle a été observée sous le se-
cond fil. La moyenne des deux séries, dans laquelle cette erreur est com-
pensée, donne
46° 11 58,9
pour la latitude de l'Observatoire. Cette valeur s’accorde du reste assez
bien avec la latitude 46° 11” 59” ,4 que M. le professeur Gautier * avait ob-
tenue pour l’ancien Observatoire, qui était situé de 11,64, soit 0”,12
plus au nord.
Les ascensions droites et déclinaisons observées des étoiles ont été cor-
rigées de l’aberration, de la nutation et réduites au 1” janvier 1842, à
l’aide des constantes 4, B, C, D, qui sont calculées dans les éphémérides
de Berlin.
* Voyez les Mémoires de la Société de physique et d'histoire naturelle de Genève, Tome IV,
2e partie.
to ii RS D D Sr RS RS
13
Ce sont ces ascensions droites et déclinaisons moyennes au 1° janvier
1842, données pour chaque étoile et pour chaque jour d’observation, qui
sont renfermées dans les tableaux qui suivent les tableaux des observa-
tions. Les étoiles y sont rangées suivant leur ascension droite ; au-dessous
des observations de chaque étoile se trouve la moyenne des différentes va-
leurs obtenues pour l’ascension droite et pour la déclinaison. Enfin, plus
loin on trouve, pour les étoiles fondamentales, la comparaison entre ces
moyennes et les positions moyennes indiquées dans les éphémerides de
Berlin. La dernière page de ce recueil renferme les observations des oc-
cultations d’étoiles et de l’éclipse de soleil faites dans l’année 1842.
Je rappellerai ici, que dans les tableaux suivants le chiffre placé à la
droite du nom de la constellation ou de la planète indique le nombre
des fils auxquels l'instant du passage a été observé, lorsque l'observation
n’a pas pu être faite aux cinq fils du réticule.
Lorsque la hauteur de l'étoile polaire et de à petite Ourse a été observée
plusieurs fois à un même passage, on n’a mis pour abréger dans ces ta-
bleaux que la moyenne des hauteurs réduites au méridien; alors dans la
colonne intitulée Remarques se trouve indiqué le nombre des observa-
tions. La même chose a lieu pour les observations du Nadir par la réflexion
des fils.
Dans les résultats obtenus par le nivellement de l’axe de la lunette, et
insérés dans la colonne intitulée Remarques, le signe + indique l’éléva-
vation de l’extrémité occidentale de l’axe au-dessus de l’extrémité orientale.
15
Observations faites à la lunette méridienne en Janvier 1842.
PASSAGE ge = = 8 È THERMOMÈTRE. Es = 2
NOM coxGLU Lis MOESN = & o : 2 Fa 5 2
£ UT à EE if 5 [2 [5] meranques.
D meonine PMR | VÉRNERRSS || É 2 ë Re Ne 4 IE
h. m.s s. s D NN +! o o TT 11
Niv.-5P,87.
Niv.18.36.
fl Niv.—5P,84.
Niv.—6P,14.
TO OR 6 336.27.12,7 B. |Moyenue de 7 obs.
Petite Ourse S..2| 1. 3.15,32 198./42.53,4|- 3,514 3,ol+ 51,6/16,1| » |Moyenne de 2 obs.
(Soleil, rer bord...|20.42.32,73[+ 0,43 91.47-20,0[— 3,2[4 1,1/-2. 1,0 » [Bord inf. an mérid.
MBier..…........ 2.23.15,59[+ 0,40 127.16. 5,0 DE 10-0929 » [Niv.-5r,25.
MER sicfoieieleye 2.30.57,65[+ 0,41 131.32.20,)|— _- 26,9 »
RNA RE 2.36.13,42}+ 0,40 112.50.14,5|- 55,2 »
EE es pes. 2.41.35,531+ 0,40 127. 4. 9,7|- — 1,4]- 32,7 »
CESR 2.55. 8,18/+ 0,40 113.44.11,5|— _ 53,5116,3| »
tee ce « 3. 3.42,93{+ 0,41 129.23.23,2|— — 207 »
12107 MAN 3.14.11,518+ 0,51 1509.33. 7:7|- 1,3 1,7{+ 3,1116,8| »
FIRE 3.39.12,91/+ 0,41 133.52.33,7|- Eh »
PSPPEPRE 4. 8. 4,b2l+ 0,40 118.45.34,0|- 1,1|- 2,7l- 45,0 »
te 4.11.55,56/+ 0,40 125.30.25,7|— - 35,0 »
; 0,41 132-42.50,0|- = 2,8]- 25,6 »
FÉCrctE 0,40|+65,68/126.27. 5,2|- o,8|- 3,1l- 33,7/14,8| »
Du nai 0,41 132.54.41,2|- Sha5 5 »
0:491+65,7g
0,43 165,58
0,42 +65,88
o,41
138.43.42,0
109.51. 3,7|—
17,1 16,0! »
1. 1,9 » |Ondulante.
© DD GO
HR à & od
FFF FF FER FF FFT F+T
Pégase 6]+ 0,40(466,481124.37.18,o[+ 0,11725,0f+ 2,7[- 0,2] 35,8/14,9| » |Très faible.
(& Andromède 81+ 0,42/166,681138.28.45,5|+ 4,2 _ 18,7/15,7| » [Niv.-6P,21.
P 1f+ 0,40/466,3/4/124.54. 9,7|+ 3,31724,0l+ 35,7113,6| »
gf+ 0,57|+66,59/165.55.29,7|+ 4,41724,81+ 9:6 13,b »
5 198.42.46,2|+ 4,8|724,81+ 52,2115,6| » | Moyenne de 5 obs.
81+ o,4r 139. 4. 6,0[+ 4,0 _ 18,0 »
95[+ 0,411+66,631132.58.31,7|+ 3,3 _ 25,0/14,8| »
3314 0,41 130.43.43,7|+ 4,3 — 277 »
3314 0,40 129.25.51,5|+ 4,3 0,81 29,5 »
57 0,40 127.16. 1,0|+ 3,0 052,2 »
831+ 0,41 131.32.19,5|+ 3,5 26,8 »
68|+ 0,40 112.30. 9,5|+ 4,1 — 54,9 »
0,40 127. 4. 4,714 433 32,5 »
0,40|+66,761 1: + 2,3 53,2113,7| »
0,41 + 1:9 29,4 »
0,51|+66,66 + 37 3,111737| »
0,41 + 3,2 24,1 »
0,40|+66,83 + 3,7 33,3115,3| »
0,49|+67,05 »
À 0,43|+66,85l101.53. 9,o|+ 3 0,0)-1.20,6/15.9| »
5.17.26,461+ 0,42|+66,93|138.43.40,o[+ 2,4 — 18,4/19,1| »
5.25. 4,584 0,41 + 2,2 1. 0,7 »
5.29.20,4414 0,41 — 0,6 -1. 2,6 »
sors. 5.35. 4,o7]+ 0,56 76.10.45,5|+ 4,8 —5,23,5 » lFaible.
LES MA ia + 05 èé 100.32.42,5|+ 2,5 —1.25,2 »
Ke 2| 5.47.45,88[+ 0,40[+66,87117.38.15,5[+ 1,4 — 46,2l12,0| »
3 Petite Ourse I... Gaz. 2,03 208 38.441 + 5,6/723,8l+ 0,2]+1. 1,9/11,1] » [Moyenne de 4 obs. |
16
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842.
*‘sunor
3/4 Triangle
« Bélier...
n Bélier...
@: Bélier...
4 Bélier...
y Bélier...
y Baleine...
x Bélier...
e Bélier...
à Bélier .
n Taureau.
g Taureau
y Taureau
æ& Taureau
+ Taureau
œ« Cocher...
B Taureau
9 Orion ..
S|Soleil, rer
a Triangle
x Bélier...
n Bélier ..
8: Bélier...
= Bélier...
9 Taureau
n Taureau
g Taureau
y Taureau.
x Taureau
æ« Cocher.
8 Taureau
GONE:
NOM
DES ASTRES.
CRE
33 Taureau ......
36 Taureau ......
62 Taureau ......
98 X Taureau ....
118 Taureau.....
132 B Taureau..3| 5.40.35,/9|+
bord...
x Andromède.....
æ Petite Ourse S...
x Baleie..:-20.
33 Tauréau.....
BOTaureane
RSA CE CORRECTION o à z = a
a k3 FRE. y Œ F
PASSAG MOYENNE | => 3 THERMOMÈTRE É 5 à
CONCLU 5, 4
: des SAN, 8 & | & REMARQUES:
fs la VERNIERS. | = 2 E Exté- = 3 |à
FIL MÉRID. pendule F 2 ] rieur, 2 ñ 5
hs
22.57. 432 +
0
©
124.37.12,0|+ 5,6|731,8[+ o,7|+
139. 4. 4,0[+ 5,0|734,8l+ o,7[+
132.58.30,0[+ 5,3 +
. [Niv.-7P,22.
OT HO
3.39.19,49|+
3.48.55,67|+
3.56. 8,651+
193.52.25,7
132.58.26,0
RER PESEE FR
+ Œ HO 1 FO
126.26.58,7
132.54.3/,7
135. 3.40,7|+
RS
GS O+ERO D 1 D M OC ©
5
4h
5.47.51,2
Bord inf. au m
Niv.—6r",71.
Moyenne de #
®
0.40
0,40 VX
0,41
0,41
0.41
0,41
0,41
0,41
0,40
0,40
0,40|+73,86/1 26.26.57,
3,8x
HS QU HS O0 O7 O7 UT US DT UT UT DIR D RO RRRERER
3:20.27:79|+
3 28.56 19 +
3
GORE tb dom ©
356.10 8804
4. 8-12,60ol+
k32: 3,69]
4.28: 6,941
5. 6:17:931T 0,49|+74,10
5. S-12:10[t 0,45[+73,85
5.17-344oft o 42[+73,954138.43.40,0[1 3,81731,71
"| 359
5,5] 342 12,4
SSH + © © 07
19,1115,6
1
17
Observations faites à la lunette méridienne en Février 18#2.
CORRECTION . aô È rar . =
5 Nom hier CE de MOYENNE 5 = £ AMOMÈTRE. 2 2
5 2: Re des dote D IS #:
£ DES ASTREFS. À tél 14 ER = Inté- lEstez = S
| FIL MÉRID. meut, | peudule.] VERNIERS. |: e = rieur. | rieur. 2 el
4 le pres, s. s. © FN DUT i à 11 min o © 1 7 1
DO MiOn restons! 5.25.11,58l+ 0,41 109.50.56,0[+ 2,6 ES POS 2
«x Colombe....,,.. 5.35.10,97 + 0,56
132 B Taureau 5.40.35,131+ 0,41 134.46.16,5|- 0,8 — 22,7
MOriOon.. svt. « 5.47.53,o2|+ 0,40|+74,0b
2 Gémeaux...... 3] 5.28.26,85[+ 0,41 133.54.24,5|+ 7,0 = 7,5 24,4
à Petite Ourse 1..4.| 6.24. 8,67
Mglx Andromède. . ... o. 1.31,40[+ 0,37|+77,85/138.28.38,5|+ 6,4 729,51- 1,2|- 3,0] 19,2/12,r
a Petite Ourse S..4| 1. 3.24,05 198.42.43,0|+ 7:2|729,6[- 1,2[- 2,5] 55,1/17,1
roSoleil 1er bord... .[21.35.20,02|+ 0,47 95.37.43,2[+ 3,71734,1]- 1,0[- 4,5]-1.47,5
Me Taureau........ 4. 8.17,48]+ 0,38 118.45.24,5|+ 7,0 735,0] 2,5[- 5,0|- 45,6
y Taureau... ..... 4.12. 8,66[+ 0,38 125.30.18,7 + 5,3 - 35,7
| a Taureau........ 4.28.11,78[+ 0,38 +78,74
mr Taureau... ..... 4.34. 6,451+ 0,38 132.54.32,5|+ 7,3 — 5,of- 25,9
«98 4 Taureau. .... 4-49.50,03[+ 0,37 135. 3.40,o[+ 6,0 — 23,5
M Cocher. ........ 5. b.22,63|+ 0,42|+78,82
(| ÉÆlOrion.. .:.... ..L 4] 5. 8.:16,95[+ 0,441+78,77l101.53. 8,2|+ 5,8 — 5,5]-123,6|:5,5
È G Taureau. ...... 5.17.39,14[+ 0,37|+78,70/138.43.36,5|+ 4,9 — 19,1/15,1
| 3 Orion Maire 5.25.16,38[+ 0,41 109.50.55,7|+ 5,3 —1. 3,1
MOrion........L. 5.29-32,o2|+ 0,41 108.57.46,0|+ 5,5 735,41 2,8|- 6,61-1. 5,2
… |132 B Taureau. ..| 5.40.40,03|+ 0,37 13446. ,o|+ 7,6 _ 23,8
Orion... ....:. 5.47.57,64[+ 0,39/[+78,72|117.38.13,0|+ 8,8 735,61 - 3,o/- 7,0[- 48,2/15,5
mSoleil 1er bord. ...|21.39.17,62|+ 0,4 92.57.22,5|+ 4,3 738,41 1,3|- 6,6|-1.45,9
x Andromède. ... . o. 1.32,80f+ 0,37|+79,261138.28.39,5|+ 5,6 73737 2:51 2,5] 19,4/19,4
x Petite OurseS...| x1. 3.22,45 198./2.37,9|+ 7,9 73761 1,3|- 2,54 53,7|13,6
Riu Bélier.......... 1.59.36,39[t 0,38|+79,221152.58.29,2|+ 6,1 — 3,0f- 25,7115,4
Soleil 1er bord....|21.43.14,38]+ 0,46 96.17. 9,7|+ 3,5 7hx4l- 1,8|- 6,11-1.44,7
BiNadir.........,. 336.27. 4,5|+ 7,6
a Petite OurseS ..| 1. 3.26,75 198.42.37,6|+ 7,8|740,0!- 1,3] 1,5]+ 53,7113,4
“la Triangle........ 1.45.25,62]+ 0,37 139. 4. 2,o[t 7,0 740,0] 1,6/- 3,0] 18,6
a Bélier... ...!. 1.59.37,19/+ 0,38[+80,03|132.58.28,0|+ 7,6 25,8|15,7
1x Petite Ourse S...| 1. 3.24,35 198.42.41,21t 6,5 739,0) 0,2|+ 0,9]+ 52,9/15,3
M Btélier..... .... 1.59.38,39 + 0,38|181,26 132.58.29,2 + 79/739,1]- 1,0|+ o,8l- 25,4 16,9
MO Baleine ........ 2.55.23,50]+ 0,40|+81,24/113.44. 3,5|+ 6,7 739,0f- 1,5|+ 0,2] 54,1|16,4
Bélier... ....... 3. 3.58,39[+ 0,38 129.23.14,0|+ 7,0 — 30,0
66 Pélier......... 3.20.35,33[+ 0,38 132.31. 1,2|+ 6,7 — 26,1
HO Taureau . ...... 3.29. 3,27[+ 0,38 132.56.43,5|+ 7,0 o,0f- 25,5
BTaureau........ 3.39.28,51]+ 0,38 133.52.22,o|+ 6,7 — 0,5} 24,5
133 Taureau....... 3.49. 4,73]T 0.38 132.58.24,0|+ 6,8 = 125,7
136 Taureau... .... 3.56.17,79]t 0,38 133.55.38,5|+ 5,8 — 06|- 24,4
LH Taureau... ..... 4:.8:20,041T 0,38 118.45.25,5|+ 4,7 - 45,5
M) Taureau....... 3| L£:12.11,02|+ 0,38 125.30.16,5|+ 6,5 — 35,3
| [62 Taureau... ..,2| 4.15.51,28|+ 0,37 134.11.18,0|+ 751 — 1,3|- 24,2
PMTanreau. ….... 428.1440lT 0,38|481,2/1126.26.55,2|+ 6,3 — 34,1|r2,1
| + Taureau......,.. 4-34. 8:97 + 0,38 132.54.32,o|+ 6,7 25,7
98 4 Taureau. .... 4-49.52,53[T 0,37 135. 3.40,0|+ #4, — 1,41 231
œ Cocher. ....... 5. 6.2/,99l+ 0,42|+81,26
ÆOrion........!\. | 5. 8.19,30]+ 0,44|481,18l101.53,10,0|+ 3,3 —1 22,9|15,8
“UAILYANISUO
REMARQUES.
Très-ondulante.
Moyenne de 2 obs.
Bord inf. au mérid.
Niv.—7P,00.
Faible et ondulante.
Bord inf, au mérid.
Moyenne de 4 obs.
Bord inf. au mérid.
Moyenne de 7 obs.
Moyenne de { obs.
Niv.—5P,50.
Moyenne de 3 obs.
Ondulante.
Id.
18
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842.
= CORHECTION JE Es a F ; cl œ c
+ NOM PASSAGE dé MOYENNE |z > = lUERMOMÈTRE. FA £ £ |
© . k a © a 3 |
2 CONCLU mn | —— des Fi E 5 ——— 2 = = REMARQUES |
El an Ê 3 "4
a DÉS ASTRES. É l'instru-| la + 244 EE E Inte- | Eué- 2 EME
FIL MÉRID: | ment. | pendule} VÉRNIERS. |* © 5 aienr. | sicur. 4 En LL ©
BG Taureau........ 5 17.41,60|+ . [Onduiante.
a Orion.......... 5.48. o,06|+ 0,39 Id.
3 Petite Ourse 1... .| 6.24.18,97 Moyenne de 4 obs.
æ Grand Chien....| 6.39.34,10f+ 0,57 Très-ondulante.
15|Soleil 1er bord....[21.55. 0,42]+ 0,46 5,8 Bord inf, au mérid.
AO LORS 1.59.38,51 + 0,38 3,6 Niv.—6r,85.
SBaléinelstit.. he 2.55.23,80]+ 0,40 42
à Bélier.......... 3. 3.58,59l+ 0,38 3,8
16 Eridan........ 3.13.51,65/+ 0,57 4,9
66 Bélier... ...... 3.20.35,49|+ 0,38 3,5
9 Taureau....... 5.29. 3,71[+ 0,38 3,8
n'Taureau.. ts... 3.59.28,77 0,38 5,0
33 Taureau...... 3.49. 5,07 0,38 4,8
36 Taureau......, 3.56.18,01/+ 0,30 4,5
p Taureau........ 0,38
y Taureau........ 0,38
62 Taureau ....., 0:37
78 02 Taureau.... 0,38 2
x Taureau......!.. 0,38|+81,62 126.27.10,5|-
Tilaureau.--"1#+. 0,38 132.5/.44,0|—
98 # Taureau. .... 0:37
102 « Taureau..... 0,3
SiCocherreerete o,/42|+81
GlOrion-tet beutet. à 0:44 6,4 —1.21,7/18,9| »
BTanreaus.. + 0:37 5,9 - 18,6/16,0| »
118 Taureau,,:,.. 0,37 ), 5,8 — 122,6 »
MOrIon Cr, sc 0,41 109.51. 3,5|— 6,5 -1. 1,6 »
a Colombe. .... de o,b1 b.r0.56,ol- 72 _528.3 À
132 B Taureau... 0,37 5,4 rl 0,24 1,3|- 23,2 »
HOnonst rest. - 0,59 |+81,58 »
2 Gémeaux...:... 0,35 6,7 — 23,8 »
n'Gémeaux.….. #1. . 0,38 6,6 — 25,6 »
3 Petite Ourse [... 4,0 + 1,241. 2,9[01,5| »
æ Grand Chien. ... o,51|+81, 93.46.47,0 5,4 -1.52,9|14,2| »
171€ 1er bord, 4.ssl. . 0,38 6,6 » |Bord inf. au mérid
n'LaAULEAUL 1% +6 - 0,38 5,2 »
33 Taureau, -. 0. 0.38 53 »
36 Taureau... .... 0,28 5,2 »
u Taureau.,...... 0,38 75 »
y Taureau.:...... 0,38 6,4 »
62Taureau....2. 0:37 5,5 »
78 0? Taureau. ... 0.38 6,0 »
x Taureau.s.. +. 0,38 4,5 3118,2| »
ruLanreau.:....+ 0,38 5,3 Mo »
(561.A.S.C.)Cocher. 0:37 5,3 — 199 »
98 4 Taureau .. ..3 0:37 5,9 — 929% » |Très-faible.
102 4 Taureau... 0,38 5,5 736,3 1,2) 4,7|- 2735 »
Cacher. -f. 0,42 » |Ondulante.
BiOriGn--#2r.. + à 0:44 »2|- 9,4 —1.23,5|18,8| » |
ANTTENE = RRe e-E - 0:46 96.56.21,5|— 9,7 —1:43,2 » L
B Taureau... ..... 037 |+82,770138.43.48,7|- 7,0 — 19:1/13,4] »
19
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842.
» |Très faible.
ï Gémeanx....... 132.48.36,5|—
203.38.57,0|— G,:
483,43] 93.46.45,5
131. 3.31,0|—
19 Petite Ourse I...
(Me Grand Chien...
IC Gémeaux... ....
|
9:7| » [Moyenne de 3 obs.
& Baleine......... 2.55.56,20l+ 0,41 3116,3| » [Nis.-8r,45.
113.44.13,7
Re Persée... ....... 3.14.29,231+ 0,5 »
Mlaureau........ 3.39.31,15|+ 138.52:34,5— — 3,2l- 94,6 »
M3 Taureau ...... 3.49. 7,33|4 132.58.33,2 3,41 125,5 » |Faible.
rca. |. 3.56.20,431+ 133.55.48,0 In pe k
A Taureau ....... 4. 8 22,564 118.45.38,2) 213,7} 145,7 »
M Taureau... .... 4-12.13,62|4 125.30.28,0 — 35,4 »
(M 69 v' Taureau....| 4.18.16,77+ 132.42.52,0 — L25,8 »
158 02 Taureau ...4| 421. 4,00!+ 125 /6.56,7
CORRECTION e = cs Foi &
5 Nom Fa Éo MOYENNE J 2 2 THERMOMÈTRE. 5 2 £
É ec T7 des zÉ Me ion 8 & £ REMARQUES.
| | HR ys s. œ 1 11
[h |1:8 Taureau... ..2| b.20.57,83|+ 0,37 135.16.49,5|— B.
|} [3 Orion......... 100.51. 4,0|— 6 »
Al |x Colombe....... 5.35.109,57}+ 0,61 76.10.57,0|- » |
| 132 B Taureau... .| 5.40.44,05|+ 0,37 134.46.18,0|— 7,0 _ » |[Ondulante. |
| BOrion.srerrilt 5.48. 1,38/+ 0,39/|+82,55|117.38.25,7|- 6,6/736,6/- 1,7|- 5,5] » Id. |
U Gémeaux....... 6. 6.45,o7i+ 0,35 132.48.36,5|- 5,3 = » Id. |
| |
8/x|Bélier.......... 1.59.40,391+ 0,38|+83,32|132.58.38,0|— 25,2/15,1| » |
JM | Taureau........ 3.39.30,53}+ 0,38 133.52.34,7|— 24,6 »
33 Taureau ..... 3.49. 6,61|+ 0.38 132.58.35,7|- 26,0 »
@'1cr bord. ..... 3.59.21,95 + 0,37 134.40.23,2|— 23,5 » |Bord inf. au mérid.
BiTaureau.. ....:, 4. 8.22,06|+ 0,38 118.45.30,7|- 45,8 »
y Taureau........ 4.12.12,964 0,38 125.30,29,0|- 35,5 »
69 v' Taureau....| 4.18.16,23]+ 0,38 7|= 26,1 » |[Ondulante, |
æ« Taureau........ 4.28.16,121+ 0,38|+83,21/126.27. »,5|- 4 34,2113,4| » |
x Taureau... .... 4.34.10,811+ 0,38 132.54.45,0|— 25,8 » |
(561 A.S.C.) Cocher.| 4.44.20,26!+ 0,37 137.53.28,0|- 19:9 » |
98 À Taureau. .... 4.49.54,57[+ 0,37 135. 3.52,0|— 3 »
102 « Taureau....| 4.55. 4,13]+ 0,38 131.37.25,0|-— 6 2755 » |
BGocherses. Le 5. 6.26,95{+ 0,42[+83,30 » |
BiOrion........! 5. 8.21,141+ 0,4/1483,09/101.53.24,0|- 191| »
MERÉvVrEn 0 440 5.13.42,30!+ 0,46 96.56.18,7|- C »
B Taureau......,. 5.17.43,50f+ 0,37|+83,19/138.43.50,0|- 7 14,2! »
5.20.58,30!+ 0,37 135.16.47,5|- » |
5.25.20,841+ o,41 109.51. 6,0|- |
5.35 20,154 0,61 6.11. 0,2|— 6 » |
540-4467 0: » |
5.44.49,0b/+ » |
Le 10,7| » |
|
|
|
|
Miéaureau....... 4-28.16,941+ 126.27-7,7 14,3| »
Mr Taureau. ...... 4-34.xa,b1|+ 132.54.44.5 »
(561 A.S.C.) Cocher.| 4-44.20,88}+ 137.53.26,5 »
98 À Taureau. .... 4-49.55,13/+ 135. 3155.) » |
MM l102 : Taureau....| 4.55. 4,89! 131.37-23,7|—
5. 1.27,211+ 136. o. 0,0
5. 6.27,54
5. 8.22,02|+
| 5.13.43,01H+
» |Bord inf. au mérid. |
17,2] »
0,42[+83,96[101.53.21,5
L
96 56.14,2)- Nuages, faible.
‘sunor
2
=
20
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842.
NOM
DES ASTRES.
B Taureau .......
118 Taureau.....
HOrTOn Er.
æ Petite OurseS...
æ Baleine........
n Taureau .......
33 Taureau... ...
36 Taureau ......
p Taureau.......
y Taureau........
69 v' Taureau....
78 0? Taureau...
œ Taureau .......
+ Taureau.-....b6.
(561A.S.C.) Cocher.
98 À Taureau ....
102 { Taureau....
æ Cocher........
BlOrniones.:..8
N'Inevres 1.
B Taureau .......
118 Taureau .....
ax Colombe .......
132 B Taureau...
136 C Taureau... .
ROMEO == nr usb
2 Gémeaux.......
5 Gémeaux.......
Csembord....#.
3 Petite Ourse I. ,4
e Gémeaux.......
« Grand Chien....
38 e' Gémeaux....
£ Grand Chien....
G Gémeaux.......
à Gémeaux.......
Vénus, 1er bord..2|22. 9.b1,83|+
Soleil, 1er bord...
æ Petite Ourse S..4
a Baleine .:....,.
fn Taureau... 7.2
33 Taureau :.-.4.
36/Taureau. 9.
p Taureau........
y Taureau .......
69 v' Taureau...
78 02 Taureau....
œ Taureau .......
+ Taureau .......
CORRECTION
PASSAGE TUERMOMÈTRE.
CONCLU
au
FIL MÉRID.
MOYENNE
des
VERNIERS.
| REMARQUES.
‘HPBaaIu up
NOILOHUUOD
"AULANOUVH
ROLLO FAI U
‘4104 na nai
"MAALVANASUO
kB, ni, der
5.17.44,12+ 0,441+83,89|138.43.5
5.20.58,88|+ 5
5.25.21,40|+
1,2|— 6,0
Ondulante.
1. 3 19,89
Moyenne de 3 obs. ||
2.55.26,70|+
3.39.31,79|+
3-49- 7:99|+ 45
3.56.21,15]4 3,8
4. 8.23,0b|4 5,4
412.14,22|+ 437
438.17,57|+ 439
4.21. 4,55] 49
4.28.17,52|+ 4.8
4.34.12,05|+ 4:9
4,5
419
413
138.43.47,5|-
135.16.52,5|—
=
DER ED +
HF +<++++ ++
DER DES
=
F6 Gr tr on tr D
NS
6. 3.17,5
-
om COTE nm OC m
Bord sup. à 7"45s*
Moyenne de 3 obs.
9
uS
Ü
or
©
(e]
-
6.35.39,44|+
6.39.37,4{+
6.47.10,36[+
6.53.51,10|+
6.56.10,93|+
7-12. 8,01|+
5
M
5
:
Centre au méridien
Bord inf. au mérid
Moyenne de 3 obs
22.18.12,76|+
I. 3.20,90
2 55.27,46|+
3.14.30,47|+
3.39.32,47|+
3.49. 8,63+
3 5
Niv.-6?,34.
=
conan maœr oi
+ <
418.18,15|+
4.21. 5,4ol+
4.28.18,14|+
4.34.12,671+
es
DOUGOUQUNUEEES Dour FE D © +
126.27. 9,2]
132.54.44,2|-
21
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842.
|
|
hs
E
El
cd
nénl
ol | |
|
||
(ot
Ü Soleil, 1er bord...|2
À Lièvre
38 e! Gémeaux...
€ Grand Chien, ...
€ Gémeaux
CORRECTION _
- PASSAGE 9 1 MOYENNE | =
; E
NO CONCLU 5
LEE des Z
au e
DES ASTRES. Ë l'instru- la 2
FIL MÉRID. | ment, | pendule] VERNIERS. | *
s. CT D
(b6r,A.S.C.)Cocher.
98 À Taureau.....
! GRR E
OS
ESS RP OUT
+85,35
G'Taureau ....... +85,341138.43.49,0|- 5,6
HOrion ..-...... 109.51. 2,5|- 6,0
æ Colombe ....... 76.10.48,5|- 5,9
132 B Taureau... 134.46.15,5|- 5,5
136 C Taureau... 137.40.52,7|-— 5,7
œOrion.......... 117.38.22,7|— 5,9 0,5|+
2 Gémeaux. .... 133.54.37,0|-— 7,b
5 Gémeaux....... 134.49.44,0[— 6,1
“|; Gémeaux....... 132.48.36,0|- 7,0 0,2
9 Petite Ourse I.. 203.39. 0,6|— 5,2
e Gémeaux....... + 135.32.40,2|— 7,0
x Grand Chien.... 0,441+85,51] 93.46.52,0|— 8,0
o,41
0,49
0,42
123.38.19,7|—
137.53.27,5|— 5,5
135. 3.50,o[- 6,1
131.37.26,2|- 5,6
87.42.22,0|- 6,0
+85,27/101.53.20,5|- 6,0
à 96.56.12,0|- 6,3
730
THERMOMÈTRE.
em
Exté-
rieur.
Inté-
rieur.
KOILOHUNOD
“AULHKOUVA
Cercle Ouest, Niv.-5P,90. Le fil méridien est de 2P ,25 à l'Ouest dela mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.-2,r64. Le fil méridien est de 16P,62 à l'Ouest de la mire.
On corrige une erreur d’axe optique de 7P, et on
On retourne l'instrument.
retourne l'instrument.
Cercle Ouest, Niv.—6P,00. Le fil méridien est de gP,00 à l'Ouest de la mire.
|
— Cercle Est, Niv.—-2r,60. Le fil méridien est de gr ,50 à l'Ouest de la mire.
212. 1.39,0| o |720,b
On laisse l'instrument le cercle à l'Est.
FE: EpIrS
5 Z l£
> = z
MIE
= 5
© 2, | à
2 5 Fil
Her 11
19,7 B.
— 22, »
+ 5,5l+1.21,6
+ 5,9l- 50,9! 6,8| »
@ 1er bord...... 0,42 133.14.20,0|- 7,0 _ »
69 » Gémeaux.... 0,44 137.30.13,0[— 9,1 — 20,0 »
|& Petit Chien ..... 0,41|485,21f11 .53.31,7 LE 4,9 o,1|— 1,6]- 49,9 15,2] »
G Gémeaux....... 0,441+85,441138.39.45,5|- 7,2 — 18,7|13,6| »
»
Soleil, 1er bord... 0,43 99.46.38,o|- 5,8 4,5 —1.26,3 »
& Petite Ourse S.. 198.42.51,6|- 3,6 5,5 + 51,7/16,0| »
Bélier... ...... 0,431485,86/132.58.39,7|- 6,0 3,5] 24,7|15,8| »
a Baleine ........ 0,411+85,92/113.44.14,0|- 5,2 3,of- 52,6|16,8| »
æPersée........ 0,57[+85,89/159.33.13,0|- 5,0 2,6 3,1/18,2| »
Hiaureau ....... 0,42 133.52.36,2|-— 5,8 2,0] 25, »
Soleil, rer bord.../22.25.51,38]+ 0,43 100. 8.34,o|- 7.6 4,5f-1:24,3 »
d Petite Ourse I...| 6.24.30,47 203.39. 3,7|- 6,4 o,6[+1. 1,2|12,2| »
»
»
»
+ 24,4| 4,0
; 2.33.29,11}+ 0,07 + b,r
a Petite OurseS...| r. 3.406,14 114.11.33,4|+ 1,41720,0f+ 5,3
:. 336.27. 6,5|+ 2,
Bélier ........ 2] 1.59.46,50l- 0,12|+89,01/179.55.43,2|+ 3,5
œBaleine ........ 2.55.31,78k- 0,02|+89,25À199.10.13,2|+ 3,41719,7h+4 4.6/4 5,24 51,71 7,6] »
REMARQUES.
Moyenne de 3 obs.
Bord inf. au mérid.
Bord inf. au mérid.
Nuages.
Bord inf. au mérid.
Faible et ondulante.
Bord inf. au mérid.
Moyenne de 3 obs.
Moyenne de 4 obs.
22
Observations faites à la lunette méridienne en Février et Mars 1842.
o om Cl EMI PE
CORRECTION Ë ; Ex IN
= No PASSAGE ï Frs MOYENNE |= 2 D frugnuouërre. E$ | &
© . À ES © 7h 3 =
î os —_— | —— Fe AIT crane 5 # | £ REMARQUES.
g DÉS ASTRES. ais l'instru-| la DE = lute- | Eué- = 8 | ©
FIL MÉRID. ent. | pendule] VERNIERS. | = =] rieur. | rieur, 2 2 F
s.
SR Re 7 +89,07 2,3 + 4,6 3,o| 3,8|B
ADAUPEAU ee. -5 < 3.39.36,91f- 0,16 3,4 1 4,alt 4,ol+ 23,4 »
x Taureau........ Ë 22,58|— 3,7 + 3,5l+ 2,54 32,7| 0,3| »
+ Taureau........ 3417541 _ 0,16 3,1 + 24 »
_[(56r,A.S.C.)Cocher. » 1 26,72] 0,20 195. 1. 0,5|+ 2,5 +
98 4 Taureau ..... 4.50. o,g2]- 0,17 179 Pr 340 + 2,3 +
102 « Taureau.....| 4.55. 10,29 — 0,14
EAIEVrE. Re 322
RCOCHET.... 05
BIDIDION re... set 8
A Inevre. ---: 000 4
B'Taurean..:...1. 5
118 Taureau..... 35
CLOLION ere che 6 + 2,9/+ 0,71+1. 0,2/, »
Fe Colombe... ! 5 45.20, 6 » |Ondulante.
132 B Taureau... 57 h 22 7 »
136 C Taureau... 19,6 »
M TOLION:-. 20 k 2,8|+ 0,5 j 4581 8,5! »
2 Gémeaux....... + 23,3 »
5 Gémeaux....... + 22,2 »
ARS DR 22 . 6. + 25,0 »
3 Petite Ourse I....| 6.24. .15. 2:31718,9/+ 2,9[+ 0,5[-1. 1,4|11,8| »
RHIN CE pe » | Moyenne de 5 obs
27|Soleil 1er bord... 5+ 8,0f+1.19,5 » |Bord inf. au mérid!
« Petite Ourse....3
132 B Taureau...| 5.40.53,97- 0,17
136 CTaureau....| 5./44.58,6ol- 0,20
MOTOR... r.0E 4 5. 18. 11,51) 0,05
2 Gémeaux....... 5.584545 — 10,17
5 Gémeaux....... 6. 3.25,69- 0,17
do Petite Ourse E..3| 6.24.18,38
61 51,1 78 » |Moyenne de 2 obs!
» [Niv.—2r,53.
» |Ondulante et faible
2|Soleil 1er bord. .(* |29.50.23,r8|- 0,47 209.36.34,21+ 0,3 73461+ 8,o|+ 9,8l+1.14,9 P. Bord sup. à 513
Nadine à 33b.27.20,0|+ 0,8 | » [Moyenne de 4 0
a Cassiopée....... 0.31. 9,83|- o,g0|-25,031146.59. 2,2 va : — 9,3118,6| » [Niv.-r?,02. |
a Petite OurseS...| 1. 1.58,84 ne + 8,4l+11,3)- 50,7/19,3| » | Moyenne de 5 ob
OO Er. 5.46.14,94|- 0,43 + 6,714 6,11 45:9/15,7
à Pelite Ourse 1../| 6.22.25,29
a Grand Chien: ...| 6.37.49,09!- 0,39
» |Très-faible.
3la Petite Ourse S..4| x. 1.59,77 114.15.45,2[+ 2,3|734,14 9,7|+15,2l- Bo,»
& Bélier esse. 1.37.54,731- 0,49/-23,06|179.56. 1, ff + 1,2 + 24,0
à Petite Ourse [..3| 6.22.27,6 109-15.41, 2,21733,0!+ 7,2[+ 5,77. 1,4
æ Grand Chien....| 6.37.51,03|- 0,39|-22,23|219. 7.50,2|+ 18 +1.49,8
4|Soleil, 1er bord. ../22.57.53,b2Î- 0,41 .23. :9/732,0l+ 8,3/+ g,ol+r.14,3
NAdiE.. sep )
x Andromède. ..../23.59.53,241- 0,52|-21,r1/174.25. 57,0|- 2,1
a Cassiopée....... 0.31.13,55]- o,90|-21 40 146.59. 3,o[+ 1,2
» [Moyenne de 3 0
» |Niv.—0P,56.
» [Bord inf. à 5g"x
» [Moyenne de 4 ob)
» [Niv.-oP,27.
+ 18,2
(*) Avant l'observation du soleil la pendule a été retardée de 2 minutes.
23
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1842.
| Ï CORRECTION 2 E 2 Gi 2
PASSAGE - z THERMOMÈTRE. E 5 z
| £ NOM coNeLU mes sl: 2 è E UE
| des F2 = 4 ES
E DES ASTRES. de Ja verniers. | 22 | à = ME
| FIL MÉRID. pendule. ane m 2 8 |
| © ! 11 TT mm o o [A LL
« Petite OurseS..4| 1. 2. 2,11 14.11.47,6|+ 0,4[730,5+ 8,8|+10,6/- 5o,6|18,6| B.
Bélier... .:%4 4]: 1.57.57,00!— —20,781179.56. 7,0|- 1,8[730,o[+ 8,9|+10,614 24,2/21,b| »
| à Petite Ourse I. .4 6.22.29,34 109.13.34,2|+ 1,21729,3|+ 7:1[+ 5,411. 1,2/22,0| »
]| |+ Grand Chien....| 6.37.53,0b|- 219. 7-D4 0,2 +1.49,3/18,1| »
11|x Cassiopée ...... 0.31.24,91 146.59. 4,5|+ 0,3 — _9#4|16,7| »
a Petite Ourse S..41 1. 2. 8,86 114.11.50,4|-
0,51735,21+ 8,5|+ 8,9l- 51,3|18,0| »
M4 Soleil, rer bord...|23.
| |x Andromède....#4
|
0,9/734.6|+ 8,8[+ 8,of+r. 3,5
0,9 + 18,4/115,0
|. |x Cassiopée ...... 0, — g,4118,1| »
a Petite OutseS...| 1. 2. 0,41734,0[+ 8,8/+ 8,51- 51,3/19,6| »
ciBélier........1. 1.5g-1 0,2 + 24,5l20,2| P.
9 Petite Ourse [.,1| 6.22.49,58 »
œ Grand Chien. ... ; 2,5|734,41+ 7,31+ 5,21+1.50,2]20,5| »
M lSoleil, 1er bord... |23.38.43,80! 1,2[736,5[+ 8,6|+ 7,o[+1. 3,4
a Petite OurseS...| 1. 2.13,74 A 0,0|736,2|+ 8,3|+ 7,41 5r,6/20,0| »
h |d Petite Oursel..3| 6.22.51,10) 109.15.34,5| 0,0/736,3|+ 7,0[+ 6,0!-r. 1,6/21,8| »
h |« Grand Chien....| 6.38. 9,65|- — 3,40l219. 7.53,5|4 2,3] +1.50,2/[19,3| »
D Hydre.. nes » 9:19.58,60!- 0,40|+ 6,53]210.36.51,2|+ 2,9/722,9/+ 4,5|+ 1,3l41.18,9/20:1| »
2 LT ME 10. 0. 6,72} 0,45|+ 6,46/189.54.38,7|+ 4,1 + 37,7/120:7| »
5|Soleil, 1er bord ...| 0.15.23,64/- 0,41 200.36.30,7|+ 4,2|729,6|+ 3,9l+ 4ol4+ 55,4 »
| |x Cassiopée....... 0.32.45,79/- 0,90|+10,99/146.59. 5,2|+ 5,3 - »
x Petite Ourse S..3| 1. 2.28,56 114.11.50,1|+ 4,2 »
Cercle Est, Niv.-1?,66. Le fil méridien est de 24P,5 à l'Ouest de la mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Ouest, Niv.—-4r,92. Le fil méridien est de 8r,74 à l'Ouest de la mire.
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest.
HiSoleil, 12 bord .. 113.51.5b,o|+
0.29 5g,52]+ 0,43 0,1|731,844+ 8,1|+r1,0)- 51,3 »
« Petite Ourse S...| 1. 1.53,83 198.42.40,4|- 0,31731,6|+ 8,4[+10,41+ 50,8|26,0| »
MPérsée. ....... n| 3:13.21,06f+ 1,21/+17,18/159.33.13,9|- 1,0|731,14+ g,ol+11,0+ 3,0 27,6| B.
Mix Cocher......... 5. 5.19,51|+ 1,10|+17,46 »
MA GOrion.......... 5. 714,584 0,34|+17,10/101.53.21,7|- 1,41730,81+ 8,9|+ 9,5l-1.18,6 27,8| »
BTaureau ....... 5.16.36,541+ 0,741+17,30|138.43.53,2|- 1,3 — 17,9/25,5| »
ion... .. ...:. 5.46.55,3414 0,48[+17,25/117.38.28,0|- 1,3/531,0f+ 8,64 8,5)- 45,2124,5| »
3 Petite Ourse I..4| 6.23.40,27 209.39.16,0|- 1,5|731,0l+ 8,2|4+ 8,241. 0,7/26,0| »
a Grand Chien. ...| 6.38.29,65|+ 0,28|+17,53] 93.46.49,5|- 0,2 + 8,0!-1.48,5|28,0| »
mx Petit Chien..... 7-31.20,46 + 0,45 +17,27 »
… |G Gémeaux....... Tes + 0,74[+17,52/138.39.53,7|- 2,3|731,34 7,5|+ 7,51 18,1/25,4| »
MIAGE Cancer. .:.. 3.27,79|+ 0,59 128.23. 4,7|- 2,9 — 30,2 »
25 d? Cancer. .... 8.17-.12,15]+ 0,59 127.49-38,2|- 2,5 — 30,9 »
“|31 0 Cancer... .. 8.22.54,15|+ 0,60 10 — 2,2|731,6|+ 7,2|[+ 7,0l- 29,b »
47 3 Cancer...... 8.36. 1,35]+ 0,60 128.59.42,2|- 2,8 - 29,4 »
63 52 Cancer...,. 8.49. 4,78[+ 0,57 126.26.56,0|- 2,8 — 32,7 »
77 Ë Cancer...... 9- 0.3b,7b]+ 0,65 132.56.39,2|- 3,1 - 24,7 »
RE LAN 9-20. 8,241+ 0,341416,981102.17.53,7|- 2,8 -1.18,7125,5| P.
REMARQUES.
Moyenne de 3 obs.
Niv.—-or,88.
Moyenne de 3 obs.
Bord sup. à 36105.
Niv.-0P,26.
Moyenne de 3 obs.
Bord sup. à 4045.
Moyenne de 3 obs.
Niv.—oP,17.
Niv.—oP,78.
Bord sup. au mérid.
Niv.-1P,76.
Moyenne de 3 obs.
Bord sup. au mérid.}
Moyenne de 3 obs.
Ondulante.
Id.
Id.
Moyenne de 2 obs.
Ondulante.
24
Observations faites à la lunette
méridienne en Avril 18492.
CORRECTION
de
PASSAGE
CONCLU
au
MOYENNE
des
VERNIERS.
NOM
‘sunor
DES ASTRES. l'instru- la
FIL MÉRID.
ment. | pendule
ARR 1
eee «47. 4
y Gémeaux... .... 6.29.18,6
: Gémeaux....... 6.3/.56,2 0,69 135.32.40,0
a Grand Chien.. .| 6.38.54,82l+ o,2B|+42,99| 93.46./6,0
3 Gémeaux....... 7-11-24;7 0,65 132.31.50,7|—
B Petit Chien..... 7 19-1837 0,49 118.52.10,7|—
x? Gémeaux...... 7.25.14,47|+ 0,79|+42,841142.29.24,2|—
x Petit Chien ..... 31.45,52l+ 0,45|+42,b8{115.53.36,5|-
G Gémeaux....... 7-36.22,46|+ 0,74 +42,83 138.39.51,2|-
25 d: Cancer..... 8.17.37,13|+ 127.49.38,7|-
Br biGancer.-.- + 8.23.19,25|+ 128.53.19,7|—
47 9 Cancer...... 8.36.26,31|+ 128.59.41,7|—
o* Cancer...... 8.,9.29,86!+ 126.26.56,5|—
132.56.38,7|—
198.42./4,4|+
119.42.58,2|-
2x,21tP
1,7 +
æ Petite OurseS...
25|Soleil, 1e bord...
Vénus, 1% bord...
MTaureau...-..
17|Soleil, 1° bord....| 1.40. 3,52l+ 0,50 120.57.33,7|—
x Taureau ....... 4.27.40,38]+ 0,58|+48,49|126.27.12,0|+
miCocherns eat. 5. 5.50,19l+ 1,10[+48,49
RE À 17e 0,741+48,551138.43.53,7|-
A HPAOE .24. 0,41 109.31. 4,2|—
AS PE - -29- 0,40 108.57.b4,2|—
SR OT S 47. 0,48|+48,52 117.38.25,b|—
y Gémeaux....... 6.29-24,48|+ 126.47:37,7|-
s Gémeaux....... 6.35. 2 135.32.41,7|—
3 Gémeaux...... 7-11.30,75|+ 132.31.53,7|—
G Petit Chien ..... 7-19.24,52 118.52.13,5|—
GE bord 4.91: - 7-27. 2 132.30. 4,ol—
x Petit Chien ..... 7-31.51,44|+ 115.53.36,7|—
G Gémeaux....... 7.36.28,40[+ 0,74 +48,89|138.39.52,2|—
25 d2 Cancer..... 8.17.43,07|+ 0,59 127.49.38,0|—
310 Caneen--0e- 8.23.25,1 128.53.20,5|—
47 à Cancer...... 8.36.32,3 128.59.42,5|—
0? Cancer. ...*- 8.49.35,8 126.26.57,8|-
77 € Cancer... D" 6,414 139.56.3 SAR
83 q Cancer...... 9-10.59,86|+ 128.38.10,5|—
TA o LION. 9-33.33,421+ 0,50 120.52.24,0|—
a Cassiopée.. ..... 0.32.23,03|+ 1,46/+50,27/165.55.29,5|—
a Petite Ourse $S...| 1. 2.15,37 198.42.43,9|—
18 Soleil, 1° bord... .| 1.43.47,80|+ 120.46.33,7
læ Cocher ........ 5. 5.52,21|+ x, ;
(8 Orion......... 5. 7.47,68}+ 0,34|450,47/101.53.18,0|+
£ Taureau ....... 5.17. 9,541 0,741+50,59|138./3.48,5
DiOrion. "0508. 5.24 47,281+ ï 109.51. 4,71-
“neo up
a z 3 = (LL
g Z Jrucnuouèree. EL |
3 | © z 2
el = a, = = 2 |
à = a e En REMARQUES.
= 2 |inté- | Exte- = 8 | =
2 eo] rieur. | rieur. Z el =
Niv.—5r,43.
Niv.—/,38.
Niv.—5,65.
; +12,2)-1
0,9|722,0|+ 8,7|+11,5|-
1,2
1,3 +is,il
1,9
134 295 À
1,51722,6[+ 7,71+ 8,6|- 28,7 »
137 — 31,9 »
2,1[722,8l+ 7,414 8,o]- 24,0 »
1,21722,0+ 9,2|+11,3[+ 50,0/26,9| » [Moyenne de 3 obs. |
1,4 721,9/+ 9,7|+1 1,70 41,0 » |Bord inf. au mérid.
o,8|721,b{+ 9,8|+r 2371 36,0 » |Centre au méridien!
0,2|720,5|+10,5|+14,5- 31,3|27,0| »
Bord sup. au mérid
Ondulante.
0,5|727,6|+ 9,2|+ 8,5) :
0,1|727,1]+ 0,9|+ 781
1,0 RnE719 | 2752
1,0 — hf »
0,6[726,9[+ 8,9|+ 8,5] 60,9 » |Ondulante.
0,7 # 8,0 45,1/22,9| » |Niv-—4r,57.
o,b
0,6|727,2[+ 8,9[+ 8,5
12|7279[+ 8,9|+ 8,0
1,9 + 8,0 Œ
1,2 — 249 » |Bord sup. au mérid®#
1,2 S 4 26,4
1,5|727,31+ 8,8|+ 8,0
0,9 7270 + 8,2|+ 72 [3
1,4
2,9 + 7,0[
17
2,0/727,81+ 7,5|+ 6,5] 24,5 »
2,2 — 30,0 »
2,41728,1f+ 7,214 6,1l- 40,4 »
0,6[729:9[+10,74 7,9Ùt 9,4/25.8| » |
0,3|729,6[+10,3|+ 8,51+ 50,9 26,5] » [Moyenne de 4 obs:[W,
o |729,5|+ 9,6|+ 8,7] 40.3 » |Bordiinf. au mérid,
1,5|728,6 9,8[+10,5 Ondulante.
o
1,9
25
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842.
= - ©
. passage | cmrecnox | xoyene | 22 | 2 rucnuoutrne. | © | 5 |
ns NOM LE de TEE ë = |Z
E PE dr M des 22 lies = |É REMARQUES.
& DES ASTRFS. 5 Banni IE e 2 7 3 Inté- | Exté- = 8 | %
FIL MÉRID. ment. | peadule} VERNIERS. o # rieur. | rieur. £ 5 =
b. s. s. an IL Or) o o NTI
MOTOR: 126 de c12 0,40 108.57.55,7|— 1,4 728,414 9,9[+11,0{-1. 0,5 + [Ondulante.
BON NEREREETE 0,48[+50,57|117.38.26,0|— 0,6 — 44,6/>
Cancer... 2. 0,59 120.23. 1,0|—
31 0 Cancer...... 0,60 128.53.17,0|—
C'ilbordt...... 0,59 128.21.43,7|— Bord sup. au mérid.
47, à Cancer...... 0,60 128.59.37,5|-
pa Gancen. -..2. 0,57 126.26.54,2|-
77 E Cancer...... 0,65 .56.3 T2 + 9:9l-
83 q Cancer... ... 0,60 1,8|728,1È+ 8,5|+ 9,bl-
BiHyAre 5 es. 0,34 — 0,8
El CAP ORNE 0,50
pLion.......... 0,71
MASextant. 0. 0,49
MON are ee 2.444: 0,49 »
PAÉION 2-1. 0e - 10. 0.49,98f+ 0,54 — »
Éronet 2... - 10. 8.46,57l+ 0,68 134.27.49,0|— »
MB ion..:...: 10.15.37,161+ 0,48 117.36.32,5|— »
32 r Sextant....4|10.24.58,89l+ 0,46 115.43.13,5 »
MI34 Sextant....... 10.35.20,9bf+ 0,45 »
126 7 Sexiant.. ..|10.37.54,04|+ 0,43 2)
She Lion. ...1.. 10.48.27,88 + o,42 D]
x Grande Ourse... 10.5/4.49,28 + 1,85/+51,37 Niv—5r,25.
1MOlSoleil, 1er bord... 0,51 -39- C _ » |Bord sup. au mérid.
147 3 Cancer...... 0,60 »
2 Cancer... .... 0,54 +12,9]- »
H7 E Cancer...... 0,65 +13,5|-— »
83 g Cancer...... 0,60 +13,6|- »
BEydre. -....... 0,34 +13,6}-1. »
Hier bord. ,.... 0,54 +12,8)- » [Bord sup. au mérid.
Mo Lion. ...... 0,50 +12,7)- »
LION 0,71 » |
HSextant....... 0,49 »
Phone... 4! 0,49 2|- 1, »
jé BON... 1. 0,54 — 3,2 »
ON... . 2. 0,68 — 3,0 - »
100... :.... — 1,2/724,3 +10,5|+11,21- » |Faible
BérSextant..... - 1,5 +11,3l- » Id.
4 Sextant....,.. » Id.
6 7 Sextant...... 10.37.56,22 2,4 +11,)- » Id.
MAAOn.. ...... 10.48.29,9 334 +11,5}- »
2 Grande Ourse...|10.54.51,1 2,0 + »
) Soleil, 1er bord... 0,51 121.28.17,7|— +14,5}- » [Bord inf. au mérid.
Cocher... ...... 15:50; 1,10|+54,71 »
|C Haureau ....... .17.13,6 0,741+54,751138.43.56,0|- 6,0|723,5|+13,3|+17,3|- » [Ondulante.
|a LITE SSSR 47. 0,481+34,72l117.38.30,2|- 3,51723,21 13,3] 18,0] » Id.
#7 à Cancer 5 0,60 128.59.42,0|— 11,8| 12,1)- »
BACancer........ -bo. 0,54 122.43.53,7|- 12,0|— »
157 £ Cancer 0,65 132.56.38,5|- 3 12,5] »
83 g Cancer 0,60 128.38. 7,0|— 12,61— 29,1 »
MHydre........ 0,34[+55,40|102.17-47,5|+ 11,4] 12,8/-1.15,5|26,5| » [Ondulante.
HU Lion........ 0,50 120.52.24,5|— 13,21 39,1 »
‘sunor
2
26
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842.
CORRECTION
MOYENNE
PASSAGE THERMOMÈTRE.
CONCLU
au
FIL MÉRID.
NOM.
| ——
Exic-
rieur.
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DES ASTRES. Inte-
1ieur.
“AULTNOUVA
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pendule] VERNIERS.
9-44.42,94[+ 0,71
9.b0.42,18[+ 0,49
9.52.48,68]+ 0,49
10. 0.54,32l+ 0,54
Célion rte tstt es .5
CREbord. "Ter 116.53.18,2|—
32 x Sextant..... 115.43.11,5|—
34 Sextant.......
36 x Sextant..... 129.3). 2,2
65 x Lion... . 111.50.46,5|—
DS LION... . 0. É
« Petite Ourse I...
172.10. 5,5|— 3,b
180 >.56,0|—
72719] :
1,85|+56,78/227.36.41,5
æ Cassiopée
1,46|[+56,59 165.55.36
« Petite OurseS...
+ 91
198.42.49,0|-
Soleil, 1er bord...
3 Petite Ourse I...
« Grand Chien....
122.20.37,2|—
9 Gémeaux....,..
G Petit Chien ..... ( 0,21
a? Gémeaux...... 7-23. 0,56|+5,50 142.29.
æ Petit Chien ..... 7-32. 016[+ 0,:7[+57,05 119.55.38,0 -
G Gémeaux....... 7-36.37,02!+ 0,49|+57,27 138.39.59,5|— 15,7
H2 Cancer... 8.50.49,60o|+ 0,26 122.43.46,2|— 15,5 36,5
77 ë Cancer. ...!. 1.15,18[+ 0,40 132.56.41,7|—
83 q Cancer...... 0,34 128.38.16,7 F&
x Céphée I....., 1,50|+57,39/228.17.46,2|+
a Hydre..-....4 A 0,01|+57,30/102.17.37,7|t+ 6
8 Céphée L....... 2,17[+57,70/220.21.35,2|+
14 o1on- ces. 0,23
LAON EE--Rhe 0,46
1aNSex tant eee 0,22
rm LION. etre O,21
On. E RE ere 0,27 [457,43
GTLion..- ess. 0,42
las tonte 0,20
0,17
0,16
34 Sextant..
36 x Sextant..... 0,14 113.34.52,7|+
Bb ADO ere 10 0,12 r11.50.36,2|+
SALON. - ee 0,16 114.43.38,7 ty
69 p# Lion....... £o,4ol+ 0,12 111. 3.13,0|t 5
Cicmhau...+e 11.14. 3,76/+ 0,12 110.18. 7,5|+ 5,9
Où Lion...... 11.29.51,78[+ 0,12 110.18.54,2|+ 2,0
B'Viergéatene. 11.43.28,16[+ 0,12|+57,61
5 Cassiopée [..... 12.29.10,58|-— 1,09
6
14,1 + 4937 2
‘3104 n«œ na11
"HNALVAUISIO
REMARQUES.
)
Bord sup. au mérid
Très-faible.
Ondulante.
Niv.-3r,38.
Bord sup. au mé
ji
Moyenne de 3 obs, |
Moyenne de 4 obs à
Bord sup. au mérid
27
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842.
CORRECTION 2 œ z = °
cs > 4 TRE ns. = Ê
14 PASSAGE RÊ MOYENNE | © = = Jrucnmouërre. = 8 |%
4 NOM CONCLU 1 > À © 2 el
3 N ne D. —
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1 DES ASTRES. : l'instru-[ la VERNIERS. | = = 3 Jinte- | Exté- = 3 |#
FIL MERID. | ment. |pendule. È E rieur rieur: 2 ë 5
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œ Petite Die 1.113: 3:24,5x he de .
œ Céphée......... 21.1h.45,28|4 8,7 7:71 Trés-vaporeux.
BlCéphée . ...... 21-27.91,37|+ 2 8.9/+ Id.
« Grande Ourse I..|22.54. 0,o0!- 2 &) 728,8 3,5 ne Id.
a Andromède.....| o. 1.12,66]+ 0,48|+58,83 138. 28. TR 728,9 4,0! Id.
æ Cassiopée ...... 0.32.32,141+ 7 s19 459,02 728,7 5,314 Très-ondulante.
a Petite OurseS...| 1. 2.29,49 0|728,7 5,414 Moyenne de 3 obs.
8
6
..| 1.58.50,04!+ 728,1 Bord inf. au mérid.
m LES VAE CEE 6.14.24,541+ 0,40 726,7
y Gémeaux....... 6.29.35,46 + o;:
E Gémeaux....... 6.35.13,3o!+ 0,44
x Grand Chien.. .| 6.39.11,58/- 0,09
9 Gémeaux...... 3| 7-11.41,64H 0,40
B Petit Chien..... 7-19.35,5of+ 0,21
a? Gémeaux...... 7-2.31,33[+ 0,56 142.29.25,5 +
ete À 7.32. 2,58 8i+ 0,17 115.53.32,0|+
B Gémeanx....... 7-36.30,38]+ 0,49/+29,02|138. 39.50,0|+ 726,5]+14,3|+16,2
& Hydre........ 2| 9-20.50,88|+ o,o1 102.17.40,0|+ 726,5]+13,0|+14,0
Mo Dion: +." 6. 9-33.44,54[r 0,23 120.52.18,0|+
(ot CCR 9-44.47,90l+ 0,46 137. Bo +
AOC À 950 hi 141+ 0,22
rec de 4614 o,21 119. 3.43,7|+
PO CRRAURE o6+ 0,27 2]122.59.56,7|+
ere. o4i+ 0,20 YÉE ES +
SRE olt 0,03 103.41.32,0|[+ » |Bord sup. au mérid.
NAS 5 à 126.4 Lo:58l+ 0,02 IOI. si 3774
PVierge....... 12. 47. 11,461+ 0,02 101.35.32,2|+
œ Petite Ourse I. ..|13. ÉEVRT 201./6.18,8|+ » [Moyenne de 2 obs.
BaMierge.......4. 13.17.55,56/— 0,01 +59,90
BiCéphée .. ..., |. 21.15.47; 7oÏ+ 1,50|+61,12/r . 9.56,0[+ » |[Vaporeux.
BiCéphée......... 21.27.33,541+ 2,17|+61,04 re 649,514 » Id.
“|> Cassiopée.. ..... 0.32.34 250 + 1,19/+61,35/165.55.33,2|- » Id.
œ Petite Ourse S...\ 1. 198.42. 14 6|+ Moyenne de 3 obs.
2° Soleil, itr bord...
0,27 123. 0.46,7|+ » [Bord sup. au mérid.
Prise octo die - 0. 5|+ 0,861+61,27 » [Niv.—4P,22.
EE ru | » 7. o,o1|+61,54{r01.53.23,5|-
HABTaureau....... 0,49|+61,68/138.43.45,0|+
BÉOrion.......... 5.47.30,66{+ 0,20|+61,63{117.38.22,5|+
mi Gémeaux....... 6.14.2b6,70[+ 0,40 132.51. 4,0|+
y Gémeaux... .... 6.29.37,80l+ 0,32 126.47.33,7|+
e Gémeaux....... 6.35.15,541+ 0,44 135.32.39, É +
& Grand Chien....| 6.39.14,12|- 0,09|+62,06! 93.46.46,7|-—
B Petit Chien ..... 7:19.37,92]+ 0,21 118.32. 7,5|+
a? Gémeaux.. ...| 7.2b.33,07[+ 0,56|462,13 fe .29.27,8|—
æ Petit Chien ..... 7-32. 4,92]+ 0,17|461,841145.53.36,0|- 19,5
G Gémeaux....... 1.364 fx, do + 0,49 12 06 138. 39. &77lt 173
“M x Céphée T....... dus 51:96! r,50/+62,36/228.17.54,0|— 17,2 La 43,8
BHydre.......4. 9-20.53,40|+ o,o1 “ 13]102.17. 2 + 1,4 L1.14,8
B Céphéel....... 9-27.39,38|-— 2,17|+62,52220.21.40,5|+ 2,6 +1.54,8
Mic ON ...,.3 41 9. HE 4b,78 + 0,23
28
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842.
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à
2
27
28
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HENSEXFATE. - - +,° ie
mr JIONs, Le,cloie,ete » 0,21
DDIONS hr ee ses 0,27|+62,261123. o. 6,7|-— 2,2 — 36,0/27,2
CIO SIA 0,42 134.27.44,2|+ 2,4[726,7/+14,0[#15,0! 29,1
HSÆnONEe 117.36.26,7|+ 2,0 14,9/- 440
32 x Sextant.....
21 q Vierge...... 101.41.37,2|+ 0,7[726,8] 13,6] 12,6/-x 17,8
a Cassiopée I....4|12.32.38,00|-
Ÿ Vierge......... 70 12,0)-1.18,3
a Petite Ourse I..4[13. 3.30, o1.46.24,o|+ 0,3 4 + 56,0/26,7
Cr bord... 97-28.15,0|+10,5 11,0]—1.31,9
x Vierge... ....... 13.17.58,02|-
(XIII. 110 Piazzi)..|13.23.44,12{+ 171. 0.48,7[+ 0,6 4 14,4
89 x Vierge..... .13.42.23,58|- 92.56. 7,21+ 5,81727,0l 12,8] 1o,3/-1.51,1
æ Cassiopée ...... : 1,19/+63,76/105.55.20,0|+ 5,8 +01 9,1/23,4
x Petite Ourse S... 45,o[+ 0,7 728,21 15,1 17,0]+ 49,3/28,8
Soleil, 1er bord... 122.48.55,7|— 2,1 72781 15,4| 15,4|- 36,3
æ Céphée ........ 172. 9.59,5[+ 2,6[729:11 13,5] 11,5l+ 15,6/29,1
G Céphée ......., 180. b.51,7|— 2,0 + 24,3|24,0
æ Cassiopée ......
œ Petite Ourse S...
Soleil, 1° bord, 5l+ 2,6/728,8/417.6|416,2f- 35,1
ec as à 336.27.22,3|[+ 0,
x Taureau...... d 0,31|+66,26 126.27.10,0|+ 0,2 72710] 18,5] 22,3l- 30,8|25,9
69 p# Lion....... 3.20,0|[+ 1,9[728,4| 14,8 12,7|- 55,9
OUu Dion... 11.30. 1,08|+ O,12 110.19. 0,2|— 1,2 14,0) B7,1
BiVierse. 1. #tr. 11.43.37,58]+ 0,12/467,051112.55.15,0|+ 1,8 13,51 53,5124,5
æ Vierge......... 11.33.56,20o]+ 0,20 117.45.38,7|— 2,6 12,3|- 44.3
G Cassiopée [..... 12. 1.55,00|- 1, 231.55.12,5|+ 1,2 11,8/+3.30,8
æ Cassiopée I..... 12.39.49,88|- 30. + 0:9/728,61+14,2| 11,7144.16,9|22,7
a Petite Ourse I. .4|13. 3.37,32 -25,9|+ 2,2 + 56,0/28,8
8 Céphée........ 21.27.40,89]+ 180. 6.51,b|+ 0,1/728,5) 13,5] ro,8|+ 24,4[27,4
a Cassiopée ..... 4| 0.32.41,52l+ 165.55.30,o[+ 0,9/728,51 15;7| 14,014 ,2[29,0
a Petite OurseS...| 1. 2.39,2g 244,714 014 728,41 14,9] :5,3|+ 49,6/29,2
Soleil 1er bord. ...| 2.13.59,441+ 123.27.59,2|— 0,2|727:9 14,9! 16,6] 35,3
XATAUTEAU «= - 4.28. 0,62|+ . B,2l+ 2,8[727,01 15,5) 18,5] 31,2/25,3
a Petite OurseS..2| 1. 2.45,55 + 1,41732,4 16,2 14,0l+ 49,9 24,5
GiOrION.. 2e 5.47.50,62l+ 0,20|+72,631117.38.24,5|+ 0,8|731,41 16,6! 16,0! 44,0/24,8
p Gémeaux....... 6.14.37,60|+ 0,40 132.51. 8,5|+ 2,5 16,of- 24,0
y Gémeaux....... 6.29.48,62}+ 0,32 126.47.32,0|+ 3,7 16,0!- 31,2
£ Gémeaux....... 6.35.26,101+ 0,44 135.32.38,2|+ 2,9 — 20,9
« Grand Chien....| 6.39.24,88|-
& Gémeaux....... 6.55.57,841+ 0,38 131. 3.32,7|[+ 3,2 _ 6,1
13 Gémeaux ...... 7-11.54,80f+ 0,40 bo,ol+ 0,81731,11 16,3) 15,ol- 24,4
1B Petit Chien ...., 7-19.48,761+ 0,21 118.52.13,0|+ 1,2 14,9 42,3
x° Gémeaux..... 4| 7-2b.44,5514 0,56|[472,93/142.29.25,2|+ 1,4 15,51- 13,6/27.8
a Petit Chien... .. 41 7.32.15,60!+ 0,17|+72,6071115.55.33,514 2,5 | — 46,9127,9
"HAALVYAUISIO
REMARQUES.
Moyenne de 2 obs. |
Bord sup. au méridi}l
Moyenne de 3 obs. W|]
Bord inf. au mérid. WI
Niv.—4P,48.
Bord sup. au mérid!]
Moyenne de 5 obs.|
Très-ondulante.
Moyenne de 2 obs:
Moyenne de 3 obs:
Bord inf. au mérid:
Niv.-3P,31.
Moyenne de 2 obs,
Niv.-4P,21.
29
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842.
|: — PASSAGE RÉ | MOYENNE | = 8 2
1h © +4 ] FE =
| EG Sn ice é É 5 5
1 DES ASTRES. ; l'instru-| la En | à
| FIL MÉRID. | ment. | pendule] VERNIERS. | © © El
| LT EE s. s. or 171: 11
ln (8 Gémeaux....... 7.36.52,38[+ 0,49[+72,74
|h |47 9 Cancer. ..... 8.36.56,56|+ 0,34 128.59.35,5|+ 0,9|731,1
M 22 Cancer......, 8.51. 5,04[+ 0,27 122.43.46,2|+ 2,0
a Lis ES oo 0 9-16. P — 1,50/+73,14/228.17.50,0|+ 2,1
h |: y Ha LEE 9-21. grralt es +72:94 Ne o
Ik |G Céphée L....... .27.50,50!— 2,17[+73,31/220.21.41,0| o
io Lion. ....... 9-33.57,58l+ 0,23 120.52.19,3|+ 1,9 731,4
Mon... 9-45. 0,86[+ 0,46 137. 0.32,0| o
D ia Sextant....... 9-51. 0,04[+ 0,29
Mirlion.......... 9.53. 6,541+ o,27 119. 3.48,7|+ 2,3
| . DRE torermbes di SSL Si #72:90 Rein A
SATOUPCOTE «9: Ô; 2 .27.40,
Biz Lion... 10.15.59,36[+ 2 no Ab + 1,5
(M 32 x Sextant..... 10,25.21,00|+ 0,17 115.43.10,7|+ 2,0|731,4
MIO vu Lion......,. 11.30, 7,20]+ 110.19. 2,2[— 0,8|731,5
| - |B pee LORIE 11.43.43,54+ es +73,03 Mb En6 2 — 0,9 Fe
Mir Vierge.......,. 11.34. 2,22]+ o, 117.45.39,7|- 1,4
| »|B Cassiopée I..... 12. 2. 119 = 3 230 88 10 2 ji Du
3 Grande Ourse. .4|12. 8.50,69|+ 1,29 168. 9.46,5/° o
M2: g Vierge...... 12.26.53,50]+ 0,02 101.41.35,5|+ 2,0
| œ Cassiopée I..... 12.32.4888! 1,19|+73,19]234.30.52,0|+ 1,8
1 TOITS 12.47.24,48]+ 0,02 101.35.33,7|+ 1,8
a Petite Ourse I...|13. 3.44,91 201.46.22,2|+ 1,71731,5
mx Vierge......... 13.18. 8,80! o,o1|+73,13] 99.56.20,0|+ 2,0
(M(XIIT. 110 Piazzi)..|13.23.54,65|4 x, 171. 0.48,0|- 0,3
| (XII. 113 Piazzi). . 13.24.17,85 + 1,44
| æ Céphée....... 3121.16. 0,894 1,50[+74,00/172. 9.58,2|+ 3,5/730,7
| 1 sir bé 21.27.46,92}+ 2,17[+74,03 . a + 1,8|730;7
…Nadir.........., .27:22,9|+ 2,0
mx Cassiopée ...... 0.32.47,40l+ 1,19/[+74,08/165.55.27,7|+ 1,4
ne Petite OurseS...| 1. 2./6,09 198.42.42,4|+ 2,0|730,1
129 Soleil, er bord. ..| 2.25.25,58|4 0,28 124.56.51,2|4+ 1,8|729,4
M Cocher... 5. 6.16,06|+ 0,86|+74,26
AMEOrion.. ....... 5. 8.11,82]+ o,o1|+74,37l101.53.17,2|+ 2,3]726,2
MBTaureau....... 5.17.33,46|+ 0,49|+74,361138.43.44,5|+ 3,1|728,2
4 b Orion - à DEAR R 5.25.11,30|+ o,11 109.51. b,7|- 1,2
Orion... 5.29.27,02|+ o,10 108.57.49,21+ 3,21728,1
ME Orion. ........ 5.47.52,46[+ 0,20 +74,48 117.38.16,7|+ 4:7|728,0
… lu Gémeaux....... 6.14.39,46|+ 0,40 132.51. 6,o|+ 1,
ml} Gémeaux... .... 6.29.50,54|+ 0,32 126.47.34,0[+ 1,0|728,0
MINI Gémeaux. ...... 6.34.2;,844 0,44 135.32.37,7|+ 2,9
“Ma Grand Chien... .| 6.39.26,52!- 0,09/+74,56| 93.46.35,0|+ 4,0|727,8
MB Gémeaux...... -11.56,60l+ 0,40 132.31.46,0/+ 3,1
HIB Petit Chien ..... RE Bot 4 a ESS 0 + 9,1
MGémeaux...... 7-25.46,274 0,56|174,821142.29.26,0| o |727,7
peut Chien...... Fos + 0,17/+74,56[115.55.31,5|+ 2,
pr EE De 7-36.54,1414 0,49[+74,521138.39.50,5|+ 0,7|727,5
St RATES 4| 9-16. 4,55]- :,50|+74,641228.17.47,7|+ 6,0/727,2
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18,0| 20,0]— 17,2
17,0] 18,5]+2.43,1
41.524
— 38,
— 19,1
‘3104 na 14171
5 © à
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25,6
23,6
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REMARQUES.
Moyenne de 3 obs.
Moyenne de 3 obs.
Niv.—3r,67.
Moyenne de 4 obs.
Bord sup. au mérid.
Très-ondulante,
30
Observations faites à la lunette méridienne en Avril et Mai 1842.
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} PASSAGE MOYENNE |22 | à fruenmouèrre. | ©: ane
8 NOM- CONCLU 5» # = ca E £
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sens set .16. .36.: 134
pis .25.2? .43. 1,8
34 Sexlant.......
36 x Sextant......
2,0|727,1
0,5|727,0
G Cassiopée I... .. o,
3 Grande Ourse... 3,5|727,0
JAVierpe---C-c1e 1,5
« Cassiopée I..... 12.32.50,74]— 234.30.55,o[+ 0,8
d Vierge........, 12.47.26,36]+ 0,02 101.35.31,5|+ 1,2 » |
x Petite Ourse IL. ..|13. 3.47,31 201.46.22,3|[+ 1,4|726,9 » [Moyenne de 3 obsw
x Vierge... ...... 13.18.10,)2)— 0,3 » :
(XIII. 100 Piazzi)..
(XII. 113 Piazzi)..
x Petite Ourse S..2
2,3|726,9
198.42.492,5|+ 1,6/726,5
» :
{
» [Moyenne de 2 obss
13.24.19,78|+ 1,44
1. 2.4b,60
5! Cercle Ouest, Niv.-3r,43. Le fil méridien est de 15P,27 à l'Ouest dela mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+0,r 66. Le fil méridien est de 19r,25 à l'Ouest de la mire.
On ramène le fil méridien sur la mire au moyen de la vis azimuthale.
On laisse l'instrument le cercle à l'Est.
6|x Petite Ourse S..3 57,48 114.12.11,0|4 0,5|727,2] 15,5] 13,45 49,9/25,0| » |Moyenne de 3 obs4
ARE)
9/Soleil, 1er bord ...| 3, 4. Les _— 0,28 185. 4. 3,5|- 5,8|730,0! 16,2| 16,41+ 29,8 » |Bord sup. au méri
u Gémeaux......, 6.14.56,46|- 0,34 180. 3.40,0|— 4,7|730,5] 15,1| 16,414 24,2 » [Niv.+oP,25.
y Gémeaux... ... 6.30. 7,30|- 0,27 186. 7.14,2|- 4,7 + 31,1 »
e Gémeaux...,.... 177-22.13,7|- 4,7 + 20,9 »
x Grand Chien... .| 6.39.43,041+ 0,05|491,33/219. 8. 5,5|- 3,0 730,3[+15,0|+15,5{+1.45,5|23,1| »
GHYOrE-R--.- de 9:21.22,46|-— 0,04|491,36[210.37. 3,5|+ 0,3]730,4] 14,3] 13,0)+1.16,3/26,5| »
21 qVierge...... 12.27.12,08|— 0,04 211.13.13,0|- 1,2|730,7/+13,0| 9,8[+1.19,0 »
« Cassiopée L..... 12.33. 5,06! 0,97|+91,37] 78.23.52,2|- 1,2 -4.19,1/22,5| »
VIVIETBÉR + - sono 12.47.42,86)- 0,04 211.19.12,2/— 0,2/730,9) 12,7| 9,0!+1.19,6 »
a Petite Ourse I..1/13. 3. 9,00 111. 8.58,5|- 0,6 — 56,7/27,2| » |Nuages.
10|Soleil, 1er bord,.3| 3. 8. 2,33/- 0,28 » |Nuages.
2 HYüre-e 0-0 9.21.24,16- 0,04|+93,07|210.37. 2,2|- 1,2 #117,9/25,1| »
B CéphéeI....... 92.33.12,0[- 0,2/733,7413,5|4 9,2]-1.57,2/24,1| » |Très-faible.
PB ne à c 3| 9.45.21,68]- 0,39 179.54.18,2|- 0,7 + 19,9 »
RALTON. 8e 10. 1.832,64] 0,23|+93,13[189.54.46,0[+ 0,7[733,7] 13,0] 8,ol+ 37,5/26,2| » |Faible et ondulanl
ESTTOn. à + ec 10. 9.29,30/- 0,36 178.26.56,2|+ 2, + 929,8 » Id
8 Cassiopée I... 12. 2.19,07Ï+ 1,07 80.59.35,5|+ 0,2|733,6 ; 6,71-3.36,2 » Id
21.9 Vierge... 12.27.19,70)— 0,04 211.13.12,2/— 0,2|733,5] 17, 6,71+1.20,2 » Id
x Cassiopée I... .. 12.33. 6,90[+ 0,97|+92,98] 78.23.55,0|- x, -4.23,5/20,7| » Id.
WIVIerPE «5 12.47.44,64|- 0,04 211.19. 9,5|+ 0,8|733,41 11,7] 6,7]+1.20,5 » Id. |
æ« Petite Ourse 1.../]13. 3.14,89 111. 8.27,8/- 1,0|733,4 11,7] 6,5]- B7,4127,4| » |Moyenne de 3 ob!
M AVICLRES sets stele 13.18.29,04[- 0,02/+93,341212.58.25,2|+ 2,8 Ë +1.25,7/27,6| » Id.
(XUT, 110 Piazzi)..|13.24,17,30l- 1,17| 141.53.56,ol+ 0,7 — 14,8 »
31
Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1842.
THERMOMÈTRE.
PASSAGE CORRECTION 4 2 =
NOM Fe de MOYENNE | = 3
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a Petite OurseS...| 1. 4. 6,91 114.12.12,7 + o,1 732:7
LION 336.27.23,2 + 0,6
Soleil, 127 bord....| 3.11.57,82]- 185. 4.15,7|+ 2,8 7317
x Orion ETS RE EE 5.48.12,74 — o,18|+ 94,46 195.16.22,7| o 730,1
| estes RE ba 2 — 0,34 es ps + 3,7 7299
y Gémeaux....... .30.11,06|- 0,2 186. 7.14,0|— 1,2172
x Grand Chien 6.39.46,56 + Dos + 94,871219. ls 3.5 _ s Hu
AE 94071219 29172917
B is = Eretstete ( es - UE Re 194 se + 1,2
«2 Gémeaux...... 7-26. 7,;r1- o 11190.25.27,5|— 1,2
œ Petit Chien..... 7.32.37.58 = Da 4 A cu M4 + È
B Gémeaux....... 7-37:15,06|- 0,41|+ 94,69/174:14.53,7|+ 1,2/720,3
LAC Andromède. . -.3| o. 1.56,06|- 0,/40|+100,76[174.26. o,o|+ 1,2|731,4
M |x Cassiopée ...... 0.33.16,70)- 0,97|+100,66/146.59.19,7|+ 1,2|73r,4
æ Petite OurseS...| 1. 413,11 11412,11,1|4+ o,1|731,2
Hb|Soleil, 1er bord 3.27.46,741- 0,30 183.33.10,0|- 2,3|731,1
(1348,A.S.C.)Lion..|11.21.33,22]- 0,10 203.28.37,2| o |731,3
M \(1364,A.S.C.)Vierge|1t.32. 3,74]— 0,09 204.12.32,5|- 0,3
Die oi 1. II mt 0,13|H101,30 10 igire = 09 731,3
assiopée 1....4|12. 2.2 1,07 0.59.32,|- o
3 Grande Ourse. . .|r2. EU — LE 14444547 + 15
21 q Vierge....., 12.27.21,94]— 0,04 211.13.13,7| o
x Cassiopée I..... 12.33.15,44[+ 0:97|+101,32
D Vierge ........ 12.47.52,78|- 0,04 211.19.10,2|+ 2,3/731,3l+14,2
a Petite Ourse I...|13. 3.28,89 111. 8.25,1|- 0,2
Eierge.......!., 13.18.37,10f- 0,02|+101,41/212.58.24,0|+ 1,3
(XILL. 110 Piazzi)..|13 46600 = 1,17 É 141.53.53,5 1 08 732:2|+14,2
(KILL. 113 Piazzi)..|13.24.48,36|- 1,17
BG Cassiopée ..... o. 2.30,07|- 1,07 144.22.55,2|+ 0,6|730,8| 15,8
x Cassiopée....... 0.33.17,64[- 0,97[+101,56[146.59.20,0|[+ 1,4
x Petile OurseS. 1. 414,81 114.12.13,0|+ 0,5|730,6
Soleil, 1er bord. 3.31.44,90f- 0,28 183.50.39,0[+ 4,1,729,8
p Gémeaux....... 15. 7,5ol- 0,31 180. 3.42,2|— 2,0|728,6
Gémeaux......, 6.30.18,42]- 0,25 186. 7.12,2|— 2,8
Grand Chien, . 6.39.54,12 + 0,03|+102,45l219. 8. 3,7|+ a 728,5
[a Gémeaux.. ... 7-20.14,45) 0,42 +102,24 170.25.28,5|— 2,5
" x Petit Chien...., 7.32.45,16]- 0,15|+102,03 OT moe — 0,8
BG Gémeaux......,. 7-37.22,28|- 0,37 +102,00/174-.14.59,7|- 2,5|728,2
€ 1er bord...... g- 7-40,78]- 0,23 188.24. 0,2|— 3,1|727,8
MHydre......... 9-21.33,22/— 0,05|+102,19/210.37. 7,7|— 0,q
BiGéphée I....... 92.33. 2,0[+ 2,0|727,6
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(1364,A.S.C.)Vicrgel11.32. 4.68]- 0,10 204.12.26,0[+ 1,5
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Raicree ACESSC 11.54.31,62/- 0,18 195. 8.13,7[+ 0,6
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rieur.
*NOILOVUAU
8l- 9,2
15,0|- Fe
‘4104 nq Anal
29,
( "VAILVAUISUO
REMARQUES.
.[Niv.+oP,76.
Moyenne de 5 obs,
Moyenne de 3 obs.
Bord inf. au mérid.
Très-ondulante.
Faible.
Moyenne de 4 obs.
Bord sup. au mérid.
Moyenne de 3 obs.
Niv.+ov,32.
Moyenne de 4 obs.
Bord inf. au mérid.
Ondulante.
Bord sup. au mérid.
Très-faible.
‘sunor
17|Soleil, 1% bord...3
32
Observations faites à la kunette méridienne en Mai 1842.
CORRECTION
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
NOM
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9 Grande Ourse...
6 ; Corbeau......
« Petite Ourse 1...
DOVIELRE-- ee -e ele
(XIIL. 110 Piazzi)..
(XIIL. 113 Piazzi)..
B Cassiopée ......
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« Petite Ourse S...
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m'OrON ee
6.30.19,50|-
6.39.55,18|+
0,37[+103,11
0,05|+103,42
10. 2.49,76|-
ÉAEIOns eee dd 10. 9 39,34]
« Grande Ourse.. .|10.55.43,34
69 p# Lion....... 11. 7.26,16|-
Lion. soeseets 11.14.4516]
(348, A.S.C.)Lion.
1364,A.S.C.)Vierge
DIÉIVIET PE: Case
BiNiersenee rca
MAVICrPE Es 10e
y Corbeau...,...
6 « Corbeau....,
arig Viense res
LEVicrnerteeert:
a Cassiopée ......
æ Petite OurseS...
0,18
12.27.2402 —
12.47.54,88|—
0.33.19:90|—
1. 4.15,31
Soleil, 1er bord...| 3.39.42,76
œ Cocher........ 4| 5. 6.47,26|-
BOrion.- F7 Met e
MiOTION...---270
æ« Grand Chien...
a? Gémeaux......
œ Petit Chien .....
B Gémeaux....... 0,37
CAES bord.. 2200 O,11
GNOME reste 08 à 0,17
(1364,A.S.C.)Vierge|11.32. 6,94]- 0,10
2 ÉsVierpes...e: 11.38.5,481— 0,18
BAVIErSe PER Ter
0,13[+103,38
MOYENNE
des
VERNIERS.
“eau np
NOILOHYUON
144.45. 0,0|-
226.35. 7,0|—
211.13.16,7|—
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211.19.12,0|—
ris. 8.25,5|_
212.58.27,5|4
141.53.56,5|_
144.22.57,2|_
146.59.22,0|_
114.12.14,2|-
195.16.26,5|-
186. 7.12,2|—
195.45.19,7|—
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211.13.18,0|—
211.19.13,2|—
146.59.23,2|—
114.12.14,2|—
182.12. 4,0|-
211. 1.33,7|—
195.16.24,5|—
219. 8.11,7|—
200.33.21,7|—
195.45.18,0
204.12.28,2|—
0,421+104,481170.25.31,7|- 4,3
0,12|+104,351197. 1.17,7|—
+104,36/174.15. 1,5]- 5
‘AULANOUVFHA
THERMOMÈTRE.
a ———
Exte-
rieur,
loté-
ricur.
*NOTLO VUAAU
4104 nq naar
— 11,3
+16,41+2.29;1
+1.16,9
16,1] 55,0|:
Fa22 1
15,4] 14,1
16,3]- 11,7
= gi
19,5! 493
18,2]+ 43,4
18,4]+ 30,7
18,41+1.43,8/25,1
+ 13,4/25,2
+ 46,1|22,9
18,0]+ 17,3124,3
16,o!+1.1/,9 2730
15,9)+ 38,5
+ 42
15,6[+ 22,0
9
16,314 51,6
+1.45,5
15,8]+2.29,2
+1.16,8
+1.171
16,3]- 9,0
16,31- 49,2
18,ol+ 26,0
18,0/+1.15,4
17,8|+ 43,3
20,3141-42,7
20,2]4 13,3
+ 45,6
20,0Ï+ 171
15,ol+ 52,6
+ 444
+ 597
REMARQUES.
Moyenne de 3 obs.
1
Moyenne de 5 obs.
Nuages. ,
Ondulante.
Id.
Id.
ld.
Id.
Id.
Id.
Id.
Bord sup. au mérid!
Très-faible.
Moyenne de 3 obs
Bord sup. au méti
33
| Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1842.
un = [el œ 7 = 2
PASSAGE Ft MOYENNE |=© | > fJrucnuouérr. Œ 5. | &
NOM CUNCEU de 5 = 2 Fa 5 2
—_ — | ZE El 5 | 2 | 3 | REMARQUES.
DES ASTRFS. 2. l'instru- la & È = Ë Ioté- | Exté- = S E
FIL MÉRID. ment. | pendule.) VERNIERS. |° 5 # rieur. | rieur. Z 5 7
b. an. s. s. s. o 2] mim o o ! A]
7 Vierge. ........ 11.54.33,88/- 0,18 193. 9.12,0|+ 0,2/723,2]+16,8|+15,3]+ 43,5 B.
G Cassiopée [..... 12. 2.30,8514 0,95 80.59.25,5|- 1,4 —3:26,7 »
y Corbeau. ...... 12. 9.28,48[+ 0,02 ,0|4 0,2 ) »
6 « Corbeau...... 12.10.55,52|+ 0,18 6,5|- 2,0 »
A1 q Vierge...... 12.27.25,14]- 0,05 5,2|- 0,6 14,2 » [Niv.+i0,76.
x Petite OurseS...| r. 417,07 = 2,1/723,2 16,2| 15,8l- 22,9| » [Moyenne de 5 obs.
|Soleil, 1er bord (*).| 3.45.42,10]— 0,29 = 5,3|724.,9 20,3| 21,o]+ » |Bord sup. au mérid.
& Cassiopée...... 0.31.22,881— 0,87|-13,30 = 12/7272 17,8| 15,2] 19,8| » [Niv.+2P,03.
à Petite OurseS...| 1. 2.22,31 — 1,41727,2l 18,2] 16,2|- 23,0| » |Moyenne de 4 obs.
Soleil, 1° bord...2| 3.49.42,65}- 0,29 » Nuages.
2me bord...l 3.51.57,92}— 0,29 »
m2 Gémeaux... ..4| 7.24.19,40f- 0,42 12:92 — 3,51725,8| 19,7 + 24,3| » |Faible et ondulante.
x Petit Chien ..... 7-30.50,08|- 0,15|_13,o7 = HE + 19,7| » Id.
BG Gémeaux....... 7.35.27,18]- 0,37|-13,05 = 4al725,7l 19,7] 22,5Ù+ 23,6| » Id.
Mydre. "1. 9:19-38,30!— 0,05|_12,67 — 2,g/725,6! 20,0| 22,7l+1. 26,8| » Id.
É Petite Ourse S..3| 1: 2.25,80 — 2,0[728,8l 19,0| :5,2 23,0| » [Moyenne de 2 obs.
BlSoleil, er bord...| 3-b7.46,141- 0,29 . — 7,0[728,3[ 19,8| 18,0 » |Bord sup. au mérid.
% Grand Chien.. .| 6.38. 1,40 0,03 —10,23/21g. 8. 2,0|+ 1,2 72731 19,8| 19,4 23,7| » [Ondulante.
&= Gémeaux...... 7-24.21,89)- 0,42|_10,42/170.25.27,5|- 0,6[726,7| 19,5] 19,5 247] » Id.
Petit Chien ..... -30.52,50!-— 0,15|_10,57|197. — 2,6 19,5|+ 25,0| » Id.
MG Gémeaux....... 35.29,68|- 0,37|_10,54/174.15. 6,0|- 5,61726,6| 19,5| r9,5l+ 25,5| » Id.
Grande Ourse 10.53.49,50!- 1,13|_10,43/140. 3.25,7[+ 0,6[726,0| 18,8] 15,8] 222) Id.
Pbakanssec. 4 11.12.51,43|- 017 ñ o 15,5]+ » Id.
Er Vierge... 11.37. 0,54] o,18 k - 2,9 » Id.
Vierge. ........ 11.42.20,241 0,05|_10,23/199.59.34,2|- 3,11725,8] 18,0! 14,5[+ 51,9 23,2| » Id.
Vierge ........ 11.52.38,92|-— 0,18 — 1.8 » Id.
BG Cassiopée I..... = 3,2 » Id.
M, Petite OurseS..2| 1. 2.25,83 = 4,21726,4] 19,7] x7,9f- 490 23,5| » [Moyenne de 2 obs.
oleil, 1er bord 4. 9.53,441- 0,29 - 5,6[728,8] 19,1] 18,51+ » |Bord sup. au mérid.
Hydre......... 9:19.42,56[- 0,05|- 8,35/210.37. 2,:|+ 0,6 .214,5/24,5| »
GB CéphéeI....... 9-26.27,021+ 1,57|- 8,33] 92.33. 4,o[+ 1,5/727,8] 19:2| 18,8]-1 52,3/20,9 Faible.
NET SO PONRNRE 9-59.50,86!- 0,22|_ 8,45/189.58.48,2[— 2,1/727,9] 19,0] 18,714 35,6 24,7| »
Corbeau ....... 10. 7.35,64[+ 0,02 »
Cassiopée ...... o. cat — 0,95 144.23. 1,0|— 2,1|729,8] 18,51 15,4] 11,7 »
Cassiopée ...... 0.31.28,54/- 0,87|- 7:90/146.59.25,5|- 1,2 16,2 9,1/23,7| »
Petite OurseS 1. 2.30,41 114.12.14,7|— 1,41720,8] 19,0] 17,3]- 49,4|22;,9| » [Moyenne de 3 obs.
7Soleil, 1er bord 4.:13.57,18|- 0,30 »
Corbeau........ 12. 7.36,64]+ 0,02 219.17.53,5|— 1,5/728,6] 18,7] 16,71+1 à
AGorbeau.... :. 12.15. 3,54]4 o,18 226.35. 6,7|+ 2,0 »
21 q Vierge...... 12.25.33,30|- 0,05 »
æ Cassiopée I. .... 12.31.27,38|+ 0,87|- 7,34) 78.23.38,0|+ 3,1 2120,4| »
Ÿ Vierge... .....,.112.46. 4,08|- 0,05 211.19-13,5|— 0,6 »
a Petite Ourse L...[13. 1.50,19
Medierge......... 13.16.48,50!—
“| |(XIIL. 110 Piazzi).. |13.22.36,02|-
| [XI 113 Piazzi).. |13.22.59,24}-
|
*
| {
III. S.17,9T 11
212.58.25,2|+ 1,8
141.53.56,0|- 0,9
(*) La pendule a été retardée de deux minutes.
Moyenne de 3 obs.
34
Observations faites à la lunette méridienne en Mai et Juin 1842.
CORRECTION
de
PASSAGE
CONCLU |
au
MOYENNE
TUERMONÈTRE.
NOM.
des one) (Das
REMARQUES.
“HUaAIU up
NOILOAYUUOND
DES ASTRES.
l'instru-
iuent.
lnte- | Exte-
rieur, | rieur.
"AULHNOUVA
“NOILOVUAAU
"VAILVAUISHO
FIL MÉRID. VERNIERS.
| ‘3104 na nai
bn es. 5. T
n Grande Ourse...|13.41.15,47|- 0,72|- 7,20
æ Petite Ourse S...| 1. 2.32,g1
$ Moyenne de 4 obss |
28|& Cassiopée....... 0.31.30,54|-
a Petite Ourse S...| 1. 2.34,5x
7321 18,9 23,9| » Moyenne de 3 obs:
..| 4.22. 6,r0|- 21,0 » |Bord sup. au métid
snele est igiete 9.59.53,66 Æ 21 6 273 n #
5e 10.53.54,02 a 21,0 21
MEVierpess tot 11.37. 5,38]- 20,6
BiVierge... ec 11.42.24,92]—
æ Vierge........ 11.52.43,60!-
G Cassiopée I..... 12, o.41,41l+
6 : Corbeau...... 12.15. 5,26|+
G Cassiopée I..... 12.28. 6,63]+
a Cassioy#e I..... 12.31.29,22|+
& Petite Ourse [...[13. 1.49,00
59 e Vierge...... 13. 8.53,62|-
a Vierge........, 13.16.50,24|-
(XIII. 110 Piazzi). .[13.22,37,86|-
(XII. 113 Piazzi)..|13.23. 1,18]—
x Petite OurseS...| 1. 2.33,5x
20,5
20,2
26,3| » [Moyenne de 3 obs4
24,2| » [Moyenne de 3 obs®
Soleil, 12° bord... .| 4.26.11,341-
x Cassiopée....... 0.31.32,00|-
a Petite OurseS...| 1. 2.35,31
» [Bord inf. au méri
» |[Niv.+2P,86. à
» [Moyenne de 4 ob$:
Soleil, 1er bord ...| 4.30.16,26|-
x Cassiopée...... 4| 0.31.32,80|-
a Petite Ourse S...| 1. 2.36,5x
Bord sup. au mér d
Niv.+1r,73. ï
Moyenne de 5 obs
» [Bord inf. au mérid
: 10.53:56,20 -
11.12.58,54]-
» [Nuages. ÿ
» [Moyenne de 4 obs
z Petite Ourse I...
5g e Vierge. .....
PANETE Na 0 :
(RIT. 110 Piazzi)..|13.22.40,06|-
(XIIL. 113 Piazzi)..|13.23. 3,59|-
84% o Vierge......
» Grande Ourse. . .
+ Petite Ourse S..3
13.35. 7:58|-
13.41.19,59|-
1. 2.38,60
Moyenne de 3 obs
2|Soleil, 1er bord. . .| 4.38.28,72|- » [Bord sup. au mén
x® Gémeaux...... 7-24.29,97|- » [Ondulante,
x Petit Chien... ... OI.
B Gémeaux.......
| GIDIONS ER ee ere
35
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
PASSAGE LE 28 = THERMOMÈTRE. ES =
NOM CONCLU .# s MOTESE 5 ô = 5
au 3 1 2e. s8 | & 8 S
h. m. s s. s © 1 11 [71 mm, h #1 "
G Vierge......... 11.42.28,50|— 0,13|- 1,98 199.59.37,5|— 1,8 + 5r,5|27,8
æ Vierge......... 11.52.47,16]— 0,18 102. 9:13,5|+ 1,0 CA
G Cassiopée 1....4/12. 0.45,22l+ 0,95 80.59.27,7|— 5,0 +19,1/-3.26,5
y Gorbean........ 12. 7.41,88|+ 0,02 219.17.3,2|- 0,6 19,0/+1.45,5
œ Cassiopée I..... 12.31.32,92]+ 0,87|- 2,08] 78.23.40,0|+ 0,6 —4.r1,8[20,3
x Petite Ourse 1...[13. 2. 0,20 à 111. 8.21,9|— 4,6|733,6|421,8| 18,7] 54,9124,8
5g e Vierge...... 13. 8.57,08|- 0,13 192.23.53,7|- 1,4 + 39,
mVierge.. ss... 13.16.53,78]- 0,03|[— 1,86[212.58.33,2| - 3,2 +1.22,0|26,3
(KI. 110 Piazzi).4/[13.22.41,04[- 1,05
(XL. 113 Piazzi.,|13.23. 4,20f- 1,05 141.54.54,0|+ 3,6 Lt
So Vierge... .... 13.35. 8,52]- 0,19 198.18.30,5 + 0,5 733,7 18,2|+ 48,7
a Cassiopée...... 0.31.35,20f- 0,87|-— 1,55
a Petite Ourse S...| 1. 2.39,71 114.12.16,5|- 1,9 733,2 19,0)- 49,3123,4
Soleil, 2me bord. ..| 4.44.52,96]- 0,30
æ Cassiopée L....4/12.31.34,02Ù+ 0,87|- 1,02) 78.23.45,7|- 2,0 731,3 16,71-4.13,0/22,1
æ Petite Ourse 1..4[13. 1.59,77 111. 8.20,0|— 2,4 — 55,2|24,4
59 e Vierge... .... 13. 8.53,22|- 0,13 192.23.55,5|— 2,9 16,24 39,6
EiVierge the sd. 13.16.54,78[- 0,03|-— 0,86[212.58.33,0|— 3,1 +1:22,5|26,7
(XIIL. 113 Piazzi),.|13.23. 5,76[- 1,05 141.54.55,2|4 92,3 EEE
84 0 Vierge...... 13.35. 9,86 0:19 198.18.32,0|— 2,6 731,6 15,8]+ 49,0
n|\24 :' Balance... 15. 3.16,44[+ 0,04 221.49.12,0|- 2,4 731,6 14,0l+1.59,7
28 y Balance .., .4 15.11.59,39 + 0,03 220.12.43,7 — 2,3 +1.51,3
10 Serpent....... 15.20.42,36[- 0,13 200.15. 4,o[- 1,4 14,41+ 52,8
“|: Couronne boréale|15.28. 2,72} 0,35|— 0,84]175.24.17,2|- 1,2 + 18,7[25,3
“|,3 ; Balance....3115.39.5/,18[+ 0,04 221.47.30,2|— 3,5 +1.59,4
œ Serpent........ 15.36.32,06|- 0,17|— 0,88]195.43.18,5|- 1,2 + 45,0/25,2
5 Couronne boréale|15.43. 1,08|- 0,35 176. 5.54,7|- 3,5 + 19,7
“x Scorpion....... 15.49.21,56[+ 0,10 228.16.15,5|- 6,6 +2.46,5
|) Scorpion....... 16. 2.52,16[+ 0,04 221.40.22,5|— 1,5 731,8 +1.59,0
5 Scorpion. ...... 16.11.38,94[+ 0,10 227.49.26,2|— 0,9 +2.492,0
æ Scorpion. ...... 16.19.47,10|+ 0,10|- 0,62|228.41.22,2|- 2,1 13,5]+2.50,9|26,8
|B Cassiopée . ..... 0. 0.49,01/- 0,95 144.22.59,0|— 0,3|731,3 13,0] 11,8
y Pégase 4| 0. 5. 8,35/ 0,22] 0,041188.20.24,0|+ 0,4[731,2 13,24 34,4123,0
“| Cassiopée....... 0.31.36,68[- 0,87 — 0,13/[146.59.22,0|+ 1,5 731,0 14,0 9,2/22,9
“|: Petite OurseS..3| 1. 2.43,60 11412.15,7|-— 1,0 — bo,0|22,7
|Soleil, 12° bord. 4.46.44,02|- 0,31 179.57.53,5|-— 4,1 729;9 19,0!+ 23,5
Vénus, 1% bord 6 En — 0,32 178. 3. 3,5|— 5,8|729,3 20,414 21,3
m2 Gémeaux....., 7-24.32,57- 0,42|+ 0,31
æ Petit Chien ..... 31. 3,44f 0,154 0,42l197. 1.12,2|4+ 1,8 21,314 13,3/22,7
B Gémeaux....... 7-35.40,58|- 0,37[+ 0,43]174.15. 4,0|- 5,3]729,r 21,44 17,2[23,3
Mon... ...... 9-59.59,94[ 0,22|+ 0,71/189.54.42,7|+ 1,4/728,7 20,7|+ 35,4122,9
MADION.......... 10.11.18,18|— 0:29 182. 0.37,7|+ 6,4 20,5]+ 25,7
lion. ......... 10.24.32,36|— 0:19 192-31.54,0|— 2,0|728,7 20,3l+ 39,1
& Grande Ourse...|10.54. 0,32|- 1,13|+ 0,90/140. 3.24,5|+ o,1 — 15,8|20,9
ion... .-..... 11.13. 2,54 0,17 195.45.13,2|— 0,7 20,b]+ 43,9
Eierge. ......!. 11.42.31,48/- 0,13|+ 1,01]199.59.30,0|- 0,6 18,514 51,4/21,6
B Cassiopée I 412. 0.47,881+ 0,95 80.59.24,2|— 1,2 18,11-3.26,0
y Corbeau....... 12. 7.44,88]+ 0,02 219.17.54,0[+ 0,5 17,9/+1.45,2
x Cassiopée I..... 12.31.35,94]+ 0,87|[+ 0,83
x Petite Ourse 1...[13. 2. 2,89 111. 8.23,3|- 3,0|728,8 17,0)- 54,9/27;7
5ge Vierge...... 13. 9. 0,341- 0,13 192.23.13,5|- 0,2 + 39,4
"MAILVANISUEO
Très-faible.
REMARQUES.
Id.
Moyenne de 2 obs.
Faible.
Moyenne de 4 obs.
Faible.
Moyenne de 2 obs.
Ondulante.
Id.
Ondulante.
Niv.+oP,72.
Ondulante.
Moyenne de 3 obs.
Bord sup. au mérid.
Centre au méridien.
Moyenne de 3 obs.
36
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
CORRECTION a 4 =
_ PASSAGE 2 raenuouèree. Æ 3
© NOM Ra © = =
e CONCLU E |— = ë
= au =S 5 “=
5 DES ASTRES. 1 = lote- = E
FIL MÉRID. & rien ? &
Hein, s. A o ! 1
aiVierper. ete 13.16.56,80|- 0,03|[+ 1,17|212.58.26,0|—
(XII. 113 Piazzi)..|13.23. 7,58] 1,05 141.54.55,2|—
x Cassiopée....... ‘ 0,87|+ 2,07/146.59.22,2|+ — 9,1|22,7
x Petite Ourse S..4 114.12.16,3|— 14,5 49,6/24,4
5|Soleil, xer bord...
a? Gémeaux......
19,214 23,9
13,3
0,19 192:11.53,0|—
1,13|+ 3,26/140. 3.23,5|4
x Grande Ourse...
x Cassiopée E.....
« Petite Ourse I, .4 . b,
DINIETRE eue sie de 13.16.58,70|- 0,03|+ 3,08]212.58.25,7|- 17,6[+1.21,6/20,8
84 o Vierge...... 13.35.13,64]- 0,19 198.18.27,5|+ + 48,5
n Grande Ourse..4|13.41.25,45|- 0,72|+ 2,93
a Bouvier........ 14. 8.33,80[- 0,28|[+ 3,08|182.38.42,7|— 16,0!+ 26,8/23,3
10 Serpent...... 15.20.46,76|- 0,13 200.15, 3,5|+ 11,9}+ 52,9
x Couronne boréale|15.28,. 7161 0,35|+ 3,60 175.24. 9,0l+ + 19,0/21,3
43 x Balance... ... 15.32.58,54[+4 0,04 221.47.28,7|4 +1.59,8
x Serpent. ,...... 15.36.36,50!- 0,17|+ 3,56/195.43.16,5|+ 11,0j+ 45,1/27.,8
à Couronne boréale|15.43. 5,42]- 0,35 176. 5.53,5|+ 11,8]+ 19,7
æ Scorpion....... 15.49.25,78|} 228.16.11,0|— 11.71+2.46,8
B Scorpion préc... |15.56.22,96|+ 221.59.38,0|+ +2. 0,9
(638, Mayer) Scor-
PION=- es. 16. 2.55,58|+
14 y Scorpion... ..|16. 2.56,58|+ 221.40.20,2|— +1.59,2
s Scorpion. ...... 16.11.43,34]4+ 227.49.22,7|+ 11,6|+2.42,3
æ Scorpion....... 16.19.51,36|+ 228.41.19,0|+ 11,6[+2.51,0/26,8
G Cassiopée ...... 0. 0.53,43]- 0,95 144.22.58,5|+ 1, — 11,7
y Pégase......... 0. 5.12,48]- 0,22|+ 4,03|197.20.20,0[+ 5,2/728,6 15,7|+ 33,9
a Cassiopée ......| o.31.41,12]- 0,87|+ 4,22]146.5g.18,0|+ 4,1|728,7 18,8) 9,0121,7
a Petite OurseS...| 1. 2.52,00 11422.14,7|+ 1:1|728,7 20,1] 49,0 24,6
6|Soleil, 1er bord...| 4.55. 2,16|- 0,31 179.44.32,7|- 3,3|728,5 26,2|+ 29,6
« Grande Ourse...|10.54. 4,29] 1,134 4,87]140. 3.31,5|- 2,3|728,2 25,5|- 15,5 25,8
G Cassiopée I..... 12. 0.52,29|+ 0,95 80.59.23,5|+ 1,2 23,61-3.22,1
y Corbeau....... 12. 7.49,00!+ 0,02 219.17.59,7|- 0,5|729,0 20,41+1.43,2
Cercle Est, Niv.+0,r 05. Le fil méridien est sur la mire,
On retourne l'instrument.
Cercle Ouest. Le fil méridien est de 7,r5, à l'Est de la mire.
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest.
7290 SR: + 54,3/28,7
a Petite Ourse 1..3|13. 2.37,78 201.46.36,1|+ 0,7
a Vierge........ 4|13.17. 0,241 0,09|+ 4,741 99.56.22,5|4 2,1 —1.21,0|29,2
84 o Vierge...... 13.35.15,02|t 0,13 114.36.23,2|+ 1,3 — 48,4
n Grande Ourse..2|13.41.26,20!+ 0,29|+ 4,69}160.21.34,0{+ :1,5|729,3| 20,7| :0,0]+ 3,7/28.9
a Petite OurseS..1| 1. 2.24,00 198.42.32,7[+ 3,5[731,8| 21,8| 20,0f+ 49,0/28,2
“HNALVAUASUO
»
. [Très-ondulante.
REMARQUES.
Moyenue de 4 obs.
Bord inf. au mérid.
Niv.+oP,40.
Ondulante.
Moyenne de 3 obs:
Bord sup. au mérid:
Faible.
Moyenne de à ob!
Niv.—1,82.
37
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
7 =
Ue PASSAGE Hu MOYENNE |= 8 È TUERMOMÈTRE. = 5 L
15 NOM ue ‘F LealS MINE
1E js —— | — “ 22 2 —3—1] 3 | 2 ]|3] REMARQUES.
1 Es DES ASTRES. ; l'instrn- la £ = El Jnté- | Exté- = E 2
L FIL MÉRID. ment. | pendule} VERNIERS. | 9 El rieur. | rieur. = a æ
s. s. ou} Urr 11 min 0 o !
Soleil, 1er bord... 0,15 132.44.57,8 — 2,9/731,9 +23,0|+24,0]- B. |Bord inf. au mérid.
x? Gémeaux.. ... 0,19|+ 5,89/142.29.20,0|+ 4,b 24,2] » |Ondulante.
x Petit Chien .... o,12|+ 5,75 » Id.
G Gémeaux....... 0,18[+ 5,66/138.39.5o,ol+ 1,2|731,8] 23,2 » Id.
a Petite Ourse L..2|13. 2.43,17 201.46.32,8|+ 3,41731,41 21,7 »
a Mierge.......e. 13.17. 1,48]+ 0,09|+ 5,99] 99.56.23,7|+ 2,0 à
(XIII. 110 Piazzi).3/13.22.47,75[+ 0,40 »
….|(XIIL. 113 Piazzi)..|13.23.10,92]+ 0,40 170.59.47,5|4+ 5,2 »
84 o Vierge...... 13.35.16,20|+ 0,13 114.36.25,5|+ »
n Grande Ourse...|13.41.27,55]4+ o,29|+ »
r Vierge. ........ 13.53.45,54[+ o,11 »
æ Bouvier....... 14. 8.36,40f+ o,15|+ »
10 Serpent...... 0,11 »
x Couronne....., 0,18|+ »
43 x Balance..... 0,08 »
“|; Serpent........ 0 2|+ »
À |; Couronne boréale 0,18 »
æ Scorpion....... 0,07 »
: 0,08 »
G Scorpion { 0,08 1
638, Mayer) Scor-
pion.......... 0,08 : »
14 y Scorpion... .. 0,08 .b7,3 »
5 Scorpion....... 0,07 -39,7 » |[Ondnlante.
& Scorpion. ..... 0,07|+ -48,7|: » Id.
|
Soleil, 1er bord...
Mercure, 1° bord...
|Vénus, 14 bord. .3
& Petite OurseS..3 » [Moyenne de 2 obs.
49,3
22,7 » [Bord sup. au mérid.
0,15
0,16
0,16
» |Centre au méridien.
22/2
42 Gémeaux...... 0,19[+ 13,2/30,4| » |Très-ondulante.
x Petit Chien ,..., 7-31. 9 [+ o,12|+ 6 45,4 29,6 » Id.
\ 18 Gémeaux....... 0,18 + 17,1 26, » Id.
L Le re uote le à 0,14|+ 35,1 25,7 » Id.
MN Grande Ourse... 0,43|[+ 20, 15,8/26,8| » |Faible.
1 (x Petite Ourse 1. .3
le DergeLt......
XIIT. 110 Piazzi).3
AUXLIT. 113 Piazzi..
» [Moyenne de 2 obs.
201.46.34,9|+
7:09] 99.56.23,5|+
54 6/28,5
-21,5|29:0
0,09|+
0,40
0,40
8
M Bi 6 Vierge. ..... 0,13 »
“| Grande Ourse.., 0,29|+ D
HT Mierge. ........ 0,11 ?
a Cassiopée ...... 0,34|+ » [Niv.—0P,97.
“2 Petite Ourse S.... 6| ; [Moyenne de 5 obs.
“9 [Soleil, rer bord....| 5. 7-27,62|+
æ Grand Chien. ...| 6.38.19,18|+
Mercure, 1° bord...
0,15
0,08|+
0,16
22,7 P. [Bord sup. à 8mA75.
42,4 24,8| »
L | Vénus, 1°° bord... 0,16 21,5 » [Centre au méridien.
«2 Gémeaux....., 0,19|+ 13,3|2711| »
| a Petit Chien ..... 23e o,12|+ 45,7 30,7| »
æ Grande Ourse.. 4 0,43|+ É
font, s55160011. 9:961+ 0,151 5,0l728,4 20,7} 31,9l27;1l »
38
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
NOM.
“sunor
DES ASTRES.
y Corbeau. ......
æ Petite Ourse 1...
59 e Vierge:.....
ciMierset1#5..20.
(XII. 110 Piazzi)..
84 o Vierge......
n Grande Ourse...
TAVierpe.-.-.--40
94 Vierge...... 2.
24 1' Baïance.....
28 v Balance .....
10 Serpent.......
æ Couronne boréale
43 x Balance... ...
DMSENDENL. M. -- 10
4 Couronne boréale
r Scorpion
G Scorpion
(638 Mayer) Scor-
OO DD D De
14 y Scorpion.....
18 z Scorpion....
s Scorpion.......
x Scorpion. .,.,..
+ Scorpion.......
y Pégase... ..., .-
x Cassiopée.......
x Petite Ourse S...
œBélier. 99) 1e
10{Soleil, 1€r bord...
Ͼ Grand Chien. ...
Vénus, 1 bord. ./
x* Gémeaux, ,..,..
« Petit Chien... ...
G Gémeaux.......
x Cassiopée ......
x Petite Ourse S...
œ. Bélier :%. 2.2 3
CI
Soleil, 12 bord...
Mercure, 1er bord.
Vénus, j°r bord...
x? Gémeaux... ..
a Petit Chien
BG Gémeaux.......
G Cassiopée I....3
y Corbeau.....,..
æ Petite Ourse I. .4
CORRECTION
PASSAGE MOYENNE
TUERMOMÈTRE.
"NAALVAUASUO
[e] = = =
219 > CE a
LS 7 = =
CONCLU 2,2 £ a =
e des z 2 =) a ( —— A = REMARQUES.
> é H
ñ 3 212 E late- | Exte- 5 3
FIL MÉRID. VERNIERS. | © © # | rieur. | eur. £ È
[|
B. |
» [Moyenne de 2 obsAl
13.22.49,65[+
13.35.10,18 +
» |Ondulante.
21,0
20,9
20,6
15.43. 9,42|+
15.49.30,241+
16. 2.59,76[+
16. 3. o,8o|+
.25.39,7
24.34.33,0
Moyenne de 5 obs
Niv.—1P,17.
» {Bord inf. au mérid
5.12.37,42
6.38.20,28|+
"
72] 93.46.55,0|- 6,9
134.2718,0|— 5,5|7
142.29.30,2|-— 4,7
Centre au méridié
» |Très-ondulante. «
0,13|+ 8,43/115.53.45,0|- 4,7 » Id.
0,22|+ 8,67[138.40. 0,0] 4,7]728,9 24,2 » ld.
0,44|+ 9,19/165.55.34,0|- 5,8 » |
198.42.42,5|— 4,51732,4] 22,2 » [Moyenne de à ob}
132.58.48,7|— 6,/1732,8] 23,4 »
24,0 » |Bord sup. au méri
»
24,5 » |Centre au méridié
F » |Très-ondulante.
.44,2|- 6,7 » Id.
25/138.40. 0,7|- 5,8|732,31 24,5 » Id.
123. 0.12,9|— 6,5|732,0] 24,5 »
10.54. 6,94[+ 24,5 »
11.41.11,98|+ 23,7 »
12. 0.58,66|- » F
93.37. 9,5j-10,2 7 » [Niv.-1P,46: UN le
13. 2.b0,87 46.42,1|- 3,9/732,0| 23,4] 23,4H 53,9/19,5l » [Moyenne de 3 obk} W,
39
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
CORRECTION
PASSAGE = TiERMOMÈTRE.
CONXCLU
au
de
MOYENNE
des
VERNIERS,
NOM
REMARQUES.
DES ASTRES. Inté- | Exté-
rieur, | rieur.
l'instru-
meut. | pendule
"AULAINOUVH
3104 nq aa
"MAILVAUTISUO
*NOTLO YUAAU
FIL MÉRID,
SÉOODEE ë 99-56.26,0|- 5,8/732,3|+22,9|+22,2|-1.20,8/2/.,8| D.
84 o Vierge...... 8 114.36.31,2|- 76 »
" Grande Ourse... 5 160.21.43,7|— 7,6 »
HIVierge......se 13.53.48,86 112.34.52,2|— 7,0 »
94 Vicrge........113.58. 8,6 102. 8.25,5|— 6,4 »
œ Bouvier ....... 14. 8.39,6
h | Couronne... ... 15.28.1 2,6
43 x Balance... ... 15.33. 4,2
HOME LE 15.36.42,0
15.43.10,8
CRMDo re 15.49.31,
préc. 15 BE 287
{ suiv.|15.56.29,2
ga
©
=
‘Ur
sons
14 y Scorpion.....[16. 3. 2,5
18 7 Scorpion... ..|16
91:14.36,5|— 7,5
102,19.51,5|— 7,6
ee 0,04 85. 5.29,7|- 5,9 -39 »
0,04[+ 9,b0! 84.13.35,5|- 6,4 19,8]-2.47,6/26,3| »
ane meta .26 0,03 82.25.3/,5|— 71 734,0 19,8 —3. 6,6 »
x Cassiopée..... LE o,44|+ 9,70 165.55.33,7 — 7,0/735,9 19,6[+ 9,1 26,9| »
21,1|+ 49,3/29,5| »
Moyenne de 4 obs.
_— 23,5 25,5| »
Niv.—1P,16.
—|x Petite OurseS..
198.42.42,0|- 4,41735,9
Mrre sed e .58. 0,19|+ 9,50
132.58.46,2|- 6,8
24,8|- 23,0 »
24,0]+ 55,3129,3| »
+ 3,7 28,8 »
Bord inf. au mérid.
Moyenne de 2 obs.
0,19 133. 9.30,0[- 5,8/735,6
201.46.44,8|- 8,2|734,5
160.21.42,2|- 5,8
0,37|+10,23
radonen ti DD: 0,12 — br »
rire .58. 0,09 102. 8.28,0[- 9,6 —1.14,4 »
MES 14. 8.40,30]+ o,18[+10,08|130.16.19,0|- 8,7 734,8 23,5|- 26,3|27,2| »
GER EIee 4| 0.31.46,29/+ 0,441+10,36/165.55.32,0o|- 4,7 21,74 9,0[27:3| »
..| 1. 2.31,29 108.42.41,5|- 4,2|735,4 21,8]+ 49,0/29,0| » [Moyenne de 4 obs.
ere 1.58.28,38|+ 0,19/+10,31/132.58.48,7|- 5,9 22,5) 23,4128,9| » |Niv.-10,49.
W|Soleil, 1er bord...| 5.24. 4,92]- 0,19 133.44.44,0|- 7,0 734,2 27,0]- 22,1 » |Bord sup. au mérid.
& Petite OurseS..4| 1. 2.32,31 198.42.41,9|- 4,41731,8 _21,0]+ 49,029,2| » [Moyenne de 4 obs.
» [Niv.-or,g0.
La lunette méridienne a été démontée pour nettoyer le tourillon du côté du cercle, et le bord intérieur des deux cercles ;
on a en même temps changé la position de la lunette sur le cercle.
Les fils du réticule ont été changés.
On retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+or,32. Le fil méridien est de 15P, à l'Est de la mire.
On corrige une erreur d’axe optique de 8P, l'instrument reste le Cercle à l'Est.
Faible et ondulante
Id.
10,
12,6
a Cassiopée S... .4
« Petite OurseS...
— 0,85 + 2,5
+ 1,8
»
»
0.31.57,69
1. 3.20,90
731,6
731,6
19:4
20,0
15,0! 9,2
ce 49:9
+19,93[303. 6. 7,0
27019. 5,7
NOM
‘sunor
DES ASTRES.
æ Cocher.......:
B Orion
æ Vierge.........
x Bouvier.
24 «' Balance.....
10 Serpent
x Couronne boréale
43 x Balance......
æ Serpent
3 Couronne boréale
G Scorpion, préc...
(638 Mayer) Scor—
pion
14 y Scorpion....
18 x Scorpion....
s Scorpion
æ Scorpion. ......
+ Scorpion. ......
24 m Scorpion....
p' Scorpion 4
27 # Ophiuchus...
« Hercule
ss...
.…....
l25|Soleil, 1er bord...
a Petite Ourse I..
26|Soleil, 1er bord...
« Grande Ourse...
27|Soleil, 1er bord...
a« Grand Chien. ...
æ Grande Ourse...
y Grande Ourse...
a Balance...
B Petite Ourse ....
24 «' Balance.....
28 y Balance... ...
« Couronne boréale
43 x Balance......
a Serpent
3 Couronne boréale
40
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
CORRECTION 2 œ = Cal 2
æ = THERMOMÈTRE. Es E 3
4 de MOYENNE | == | = 2 = à
NC =
se | —— iB EME Er RÉ = || REMARQUES.
3 l'iostru-| la VERNIERS. | = = 3 [inte- | Exté- = 8 |£
FIL MÉRID. | meot. |pendule. o £ x rieur raeur. 2 F P
s. s
0,61|+19,88
0,03[+20,00 [
||
0,31 335.35.23,2|4 » |Bord inf, au mérid. |}
Moyenne de 8 obs. ||
132.34.10,7|+
0,21|+19,92]3/6. 1.33,2|+
267.15. 3,8|+ Moyenne de 4 obs. ||]
7-15,37]- 0,02|+19,88| 9. 5.15,2|4 » ||
13.41.42,21/- 0,71|+20,02/308.40. 1,2|+ » ||
13.53.59,70]- 0,12 356.26.50,5|} » |
14. 8.50,61|- 0,28|+20,02|338.45.30,2|+ » |
0,05 17.55.56,2|+
0,12 356.21.48,2|+
0,35|+20,09/331.3r. 2,5|+
0,0 17.54.13,0 E
0,16|+19,90/351.50. 4,2|+ 3,:
0,34 332.12.39,0|+
18. 6.31,0|+
15.21. 3,28
15.28.23,56|-—
15.33.14,93[+
15.36.52,84|-
15.42.21,77|- 19,5
: 16,3 Hu eu
0,05
0,05
0,04
0,10
0,12|+19,92
0,13
0,05
16. 3.12,17|+
16. 3.13,19|+
16. 7-26,02 —
16.11 59,57 +
16.20. 7,70|+
16.26.27,541+
16.32.50,47 +
16.41.35,40l+
16.50.35,32|-
17. 7.b0,33]-
15.47. g,o|+
LR +
23.56.15,7|+
24.48.11,5|+
26.36.12,0|+
16.10.25,21+ 2,4
0,23 36.24.51,0|+ 2
0,18 349. 8. 8,2|+
0,21|+19,90/344.11.14,2|+
335. B.11,7
267.15. 2,5
0,31 2,2|731,9
6.14. 7,
Fab 1,8/731,2
13. 2.38,
Bord sup. an mérid:
29
oO
+
+
+
6.18.17,17]- 0,31 335.38.16,0[+ 3,51731,7 » [Bord inf. au mérid
10.54.18,95- 1,11/+20,24/296.10.15,0|+ 1,91731,5 » |Niv.+or,33.
6.22.26,21|- 0,31 335. 8.59,5|- » [Bord sup. au méri
6.38.32,33[+ 0,04|+20,65! 15.14.47,0 » |[Ondulante.
1,11/+20,57l296.10.17,7
0,8:1/+20,38[304.11.55,0|-
267.15
0,02|+20,63
0,71/+20,/9|308.40. 5,7|-
0,12 356.26.53,2|—
0,28|+20,531338.35.41,5|—
0,02[+20,50! 14. 7.40,0[+
2,07|+20,67|283.58.36,0|+
0,05 17-55.56,7|+
0,04 16.19.26,0!+
0,35|+20,6a1331.31. 1,7
0,05 17.54.12,7|#
0,16/+20,581351.50. 5,o|+
332.12.37,0[+
Moyenne de 2 obs
7-16,09|-
13.41.42,55|-
15. 3.37,67|+
15.12.20,971+
15.28.24,18—
15.33.15,53|+
15.36.53,521-
15.43.22,35|-—
41
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842.
, k [e] = 2 e 2
u n PASSAGE SORRETION L'MOYENNE [22 | 2 fruenuouërue | © | 5 | 2
2 5 HE QUE d =
CUNCLU = > S =
È gr En #| z8 | 2 a |2 || Remarques.
& DES ASTRES. ; ere d'à re 3 Inté- | Exté- a EME
FIL MÉRID. À ment. | pendule| VERNIERS. |? © El : rieur = EMILE
[1] im. o
æ Scorpion....... + 1,8/736,1 Lao 31t15,1 +2.46,7 B.
MG Scorpion À Peer 07 0,08 £
suiv. 19.90. 0,05 »
RNEONS APE
14 » Scorpion. ..
15 x Scorpion...
16. 3.12,69l+ 0,05
16. 3.13,69|+ 0,05
0,04
a Scorpion....,.. 0,10 +2.41,9 »
æ Scorpion. ...... 0,12|+20,63 15,6/+2.50,b »
+ Scorpion. ......
24 77 Scorpion. ... sr +
«x Hercule... .... + 7-50,9 0,21|+20,55 ME 1.14,7|+
54 e2 Ophiuchus.. 0,09 2 + ”
œ Ophiuchus...... .28. 0,20|+20,46 346. 4.52,5|+ »
58 N Ophinchus .. 20.20. 5,7|+ ?
3 Sagittaire... .... .38. 1,99}+ 0,13 26.28.58,7|+ »
|, Sagittaire. ..... .50.33,6 0,09 22,31.24,0|+ »
y" Sagittaire... ... .56. 0,16 29. 7- .35,5|+ »
p°? Sagittaire... ... 0,06 19-30.12,7|+
, 272.11.27,0|+
Ml Lyre. ........ or 0,49|+20,62 Ps 7-42,2|+
Moyenne de 2 obs.
|Saturne, Centre. . 0,09 21, 8.45,7|+ à » [Au méridien.
139 0 Sagittaire... .. 18.55. 0,08 20.,41.55,0|+ 2. »
æ Sagittaire ..... . 0.46,61|+ 0,08 LED ?
Mupiter, Centre... .|19.24.15, 0,08 14,91+2.18,9 » [Au méridien.
20,0!+ 23,2 » |Bord inf. au mérid.
+1.44,6 » [Niv.—-or,18.
29,5|- 15,8
19,0f- 55,0
335.42.57,2
0,041+21,13] 15.14.44,7|+
1,11/+20,94/296.10. 18,5|—
pr 15.12,2|-—
|: Petite Ourse I.» Moyenne de 2 obs.
143 x Balance...... 7-5429:7|- 17,0[+1. 58,8 »
fæSerpent........ 0, É +21,18 A 5o.10,7|— 17,0[+ F8 D
Couronne boréale 34 332.12.45,0|— + 19.6 »
O,11
0,0
0,05
+2. 0,2
MPIOn-......... E 0,05
“14 » Scorpion.. 0,05
M5 z Scorpion. . .3 0,04 6.42. 4,of- 4,1 +1.16,0 1]
a Scorpion......, -12. 0,10 23.56.23,0|- 3,5/735,1 15,5]+2.41,7 >
Scorpion. ...... 0,12|4+21,20] 24.48. 13,7 59 +2.50,6 »
Scorpion....../ 0,13 26.36.19,0|- # +3.10,2 »
3 Sagittaire... . 26.29. 4,2|- 3,71735,3 13,7/+3.10,2 ?
4 Sagittaire... .... 22.31.29,0|— 3, +2.3 u
Ye Sagittaire. ....,
ittai 29. 7-37,0[— 3,2 +3. 187 »
2 Sagittaire. ..... 29.30.18,0|- 3,5 +2. 9,8 »
à Petite OurseS.. 5 2,2 13,0] 47,5 ?
24 Petite Ourse Si .29. 271. 49. él — 5 — 47:59 » [Moyenne de 2 obs.
Meyre.-.--.. + 74 À
Saturne, Centre... : 49.59,98l+ 0,09 21. 9.20, 53 12,5|+2.20.9 » |Au méridien.
390 Sagittaire... i * 55.38,37|+ 0,08 20.42. 0,7| 3,2 +2.18,0 »
Sagittaire... .|19. 0.47:2914 0,08 20. 0.13,01- 3,b +2.13,5 » [Niv.-0P,15.
10
42
Observations faites à la lunette méridienne en Juin et Juillet 1842.
CORRECTION
. PASSAGE MOYENNE | = THERMOMÈTRE.
NOM. CONCLU SE ——
Pt des 2
DES ASTRES.
NOILOHUHOD
‘AULANOUVA
*NOILO YUAAU
‘4104 A Anal
FIL MÉRID. VERNIERS.
11 mm. o Do"
1,41735,0/+18,5|+12,0/+2.20,3
Jupiter, Centre...
29|Soleil, 1er bord...
x Grand Chien. ... 15.14.48,0|—
Nails eee 132.34.15,6|—
« Grande Ourse...|10.54.20,45l- 1,11|+21,85/296.10.18,0|-
BIDON. 4-1 11.41.23,73]- 0,23|+21,54/343.18.34,2|-
y Grande Ourse. ..|11.45.54,25)—
y Corbeau. ...... 12, 8. 5,25]
æ Petite Ourse 1...
HAVIEL DE. se 1e 4e
n Grande Ourse...
TVIErSe.... =. 3 0,12
Bouvier... 0,28|+21,57 45.35,
G Petite Ourse .... 2,07[+21,541283.58.40,2|-
27 # Ophiuchus.. .|16.50.36,92|- 0,18 349. 8.13,o|-
32 Ophiuchus.....|16.56.19,t 344.26.23,5|-
36 4 Ophiuchus...|17. 6. 4,35[+ o,12
x Hercule....... &|x7. 7. — 0,21/421,76 344.11.10,7 — 4,4
51 e2Ophiuchus. .|17.22.12,75|+ 0,09 22.34. o,5|— 3,5
a Ophiuchus...... 17.28. 1,65] 0,20|+21,831346. 4.59,0[- 4,1
58 D Ophiuchus... 7|+ 20.20,12,0[— 3,8
3 Sagittaire... .... A+ 26.29.10,5|- 3,6
| |4 Sagittaire... .... 314 22,31.31,2|— 3,8
y° Sagittaire Bd « 8l+ 29. 7.44,2|- 2,6
u? Sagittaire... ... + 19.30.23,2/— 4,1
9 Petite Ourse S... 272.11,29,5|— 2,6
24 Petite Ourse S..4 10,57 271.49. 4,8|- 4,8
| Ja Lyre......... 0,49[+21,70/320. 7.47,0[- 4,5
Saturne, Centre... 21. 9.49,5|- 3,7
3y 0 Sagittaire. - |18.55.38,79 20.42. 3,o[— 3,5
æ Sagitlaire....... 19. 0.47,91 3:b
Jupiter, Centre ... 19.23.5426 4,0
Bo Soleil, 1er bord... 6.34.54,o00|- 5
mi
B Petite Ourse . ... |14.51.41,63|- 2,07|+22,241283.58.43,5|-
24 :' Balance..... 15. 3.39,451+ 0,05 17.56. 5,o|-—
28 y Balance ..... 15.12.22,63l+ 0,04 16.19.31,0|-—
10 Serpent...... 415.21. 5,52l- 0,12 356.21.58,7 -
+ Couronne boréale 15.28.25,8/ . 5,7|-
x Persée ones de 3.13.29,59 =
NAT ec
LJ
Soleil, 1er bord... | 6.43.11,25]-
z Petite Ourse I..4|13. 2.47,04
8 Petite Ourse. .…. |14.51.42,31}—
24 «' Balance...
+ Couronne boréale |15.28.26,46|-
VAT L oréc. [15.56.41
3 Scorpion { sa 1886 4e D]E
638 Mayer) Scor-
Hior 16 2 { »
D'OT:- ns 16. 3.1477
41.58,5
17,3{— 29,7|[11,6
UNILVAUASUO
REMARQUES.
Au méridien.
Bord inf. au mérid. |
Moyenne de 4 obs.
Moyenne de 3 obs.
Ondulante.
Moyenne de 2 obs:
Au méridien.
Au méridien.
Bord sup. au mérié
|
|
|
|
Niv.+0P,26.
Moyenne de 3 obs
Ondulante.
Id.
Id.
Id.
Id.
Id.
|
|
1 E
Bord sup. au mé j 1]
| €
|
ï
|
43
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842
res
CORRECTION
PASSAGE THERMOMÈTRE.
CONCLU
NOM MOYENNE
— ——
HtaAIu up
NOILOAUUON
"AULANKOUVA
‘4104 na nat
*“NOILOYUAAU
"UNILVAUISUO
des
DEOSR RES: FIL La last ire MERE ne Here
14 y» Scorpion... 17.47.14,2|- 3 B.
16 2 Scorpion 6.42. 2,7|- 3 »
a Scorpion....,.. 23.56.23,5|- 3 +2.40,6 »
æ Scorpion. .,.... »
+ Scorpion. ...... 26.36.18,5|- 3,6|73r,9|+21,3 +16,2]+2.49,2 »
24 m Scorpion.... 16.10.33,o|- 3 13,7 +1.49,7 »
p' Scorpion..... 4 36.24.54,0|- 2,9 +7.55,5 »
g2 Scorpion ......
27 À Ophiuchus...
349. 8.14,0|— 4,6
36 À Ophiuchus.. .
14,91+ 40,8
17. 6. 5,37 +
17. 7.53,18|-
17.22.13,75|+
br e2 Ophiuchus.. . 22.33.57,5|- 1437 +2.30,0
| « Ophiuchus......|17.28. 2,69] +22,861346. 4.59,7|- + 36,4117,8| »
Ê -|17.34.24,95|+ 20.20.10,0|— »
Souoc 0 17.38. /,38[+ 26.29. 7,0|— »
sie e 22,31.31,5|— 14,51+2.29,8 »
ee De 29. 7-43,0 _ 14,41+3.56,8 »
19.30.17,0|-
272.11.27;7 |
271.49. 2,b|-
+23,03|320. 7.47,0|-
» |Movenne de 2 obs.
» [Au méridien.
Saturne, Centre... 21.11. 9;7[-—
|39 o Sagittaire. . .|18.55.39,91 20.42. 1,0|— »
mr Sagittaire ...... 19- 0.49,01 20. 0.12,9|— ;
44 P' Sagittaire... .|19.12.57,41+ 16.52.39,0|— D
MOrion.......... 5.47. 2,22]-
Bord inf. au mérid.
Moyenne de 3 obs.
MlSoleil, 1e" bord...
É 24,0|4 23,1
x Petite Ourse S..4
14,5 + 49:9 13,9] »
0,68/+25,47
0,61|+25,65
ss.
LCR # 0,03[+25,57| 7. 8.14,5|- 22,0/+1.15,1/13,2| » |Ondulante.
NE 0,36/+25,69|330.17.55,0|- + 171/14,3| » IL LRE
2 COTE 4 +25,70|351.23.16,0|- 22,0]+ 43,0 18,1| » Id. Niv.+oP,15.
Soleil, rer bord 6.51.30,37 _ 0,30 336. 6.40,5|- 24,8[+ 23,1 » [Bord inf, au mérid.
LR E 10. 0.24,99]- 0,21|+25,92]346. 1.38,0|— 30,54 34,3,13,8| »
Grande Ourse.. .|10.54.24,b5|- 1,11|[+26,18/296.10.17,7|- 30,9) 15,3 11,5| »
Min. ......... 0,23|+26,19|343.18.36,5|- + 30,9 13,9l »
1} Grande Ourse. .. 0,81|+26,06|304.11.56,7|— 30,3|- 7,7 9:71 ”
MACorbean........ 12. 8. 9,81|- 0,03 15.24. 47,0|— 30,5[+1.40,8 D
& Petite Ourse I..4|13. 2.51,87
Cercle Est, Niv.+or,04. Le fil méridien est de 5P,4 à l'Est de la mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Ouest, Niv.-1P,96. Le fil méridien est de 7P,2 à l'Est dela mire.
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest.
— 0,8
+ o,1
16,5
9 Petite Ourse S.. 18.2349,50 352.57. 5,7
24 Petite Ourse S. . 353.19.30,5
3] 23,0
1854 461
18,54 45,6
Moyenne de 2 obs.
4
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842.
=
Le]
©
NOM
DES ASTRES.
æ Lyre sus...
Saturne, Centre...
39 o Sagittaire... ..
r Sagittaire. .... 4
44 Sagittaire... .3
Jupiter, Centre...2
n Grande Ourse...
z Vierge. ........
a Bouvier....,...
« Couronne boréale
œiSerpent.s..-.:
à Couronne boréale
7 Grande Ourse...
x Petite Ourse I. .4
1 Grande Ourse. ..
x Bouvier........
Balances...
B Petite Ourse ....
a Couronne boréale
æ Serpent........
a Petite Ourse S...
3
ax Taureau ...... 3
æ Grand Chien.../
Soleil, 1° bord....
m'OTON etes
« Grand Chien..,4
Soleil, 1% bord...4
ue bord..2
x Taureau .......
æCocher.........
Soleil, 1er bord....
œ Vierge......,...
1 Grande Ourse...
a Petite Ourse I..4
CORRECTION 2 = 3 2 = le
PASSAGE de ë Fe Z fraenuouërre. E m a
E = tte
CUNCLU mn | PDAUE 5.7 2 _—— a es J 7
2e des Eu = 8 cle REMARQUES.
: : l'iastru-| la VERNIERS. | £ © 3 Jiote- | Exte- = 8 |£
FIL MÉRID. | meut. |pendule. 2 Es rieur | rieur. 2 =, =
he \0ù 5 s. 3 ’
18.32. 5,20|+
18.48.11,42]+
18.55.43,43|+
19. 0.52,68|+
19-13. 1,09+
19.20.38,341+
13. 3.16,40
13.17.22,471+
13.41.48,491+
13.54. 6,60|+
14. 8.57,39|+
15.28.30,50|+
15.37. o,04|+
19.43.28,75|+
3.13.34,95
4.27.21,99/t
> 5.31,841+
. 7.25,941+
se Bee +
6.38.40.141T
7. 3.53,55+
11.41.30,39|+
11.45. 0,25|-
13. 317,75
re
14. 8.58.74|+
14.42.40,63|+
14.51.45,59]—
19.28.31,72 +
15.37. 1,36|+
I. 3.21,89
3.13.36,33
4.27.22.7al+
6.38.41,361+
- 8. 1,131+
5.47. 8,561+
6.38.42,00|+
7-12. 7,81
7-14.24,71 Æ
4.27.23,70|+
5. 5.34,22|+
5.16.50,90!+
5.47. 9,00!
7-16.13,771+
13. 3.23,40
13.17.25,79]+
13.41.51,67
0,03|+26,54
0,16
ae]
©
Cr
©
Ur
©
bb
1
©
=
FF
©
Qt
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© EJ
O1 ©
Au méridien. ondul.
0,16 244.26.28,7|- 0,
0,16 245. 8.22,2|- 0,3 Nuages.
0,15 248.15.50,2|- 0,7 Id.
0,16 243.59. 7,2|+ 0,61729,9|+22,5 +18,5 Id. au méridien.
357.53.21,4|+ 2,0|737,0 Moyenne de 2 obs.
0,12|+27,23
0, 0[+27,30/316.28.28,0|+ 1,5|737,0
0,10 268./1.36,7|+ 1,5
0,06 +27:26/286.22.59,5|+ r,0
0,05/+27,46/293.37.31,0|- 0,3|736,9
0,08|+27,38/273.18.29,5|+ 1,0
0,05 292.35.49,5|+ 2,0
oO |+28,17/315.39.4b,o|+ 2,5/735,3
0,00|128,13/282.3/4, o,5|+ 3,8 7349
0,01|+26,23
0,12/+28,08/258. 0.19,5|+ 2,4 73437
0,06|+28,18/273.45.19,0|+ 3,4 7344
0,1414+28,47/249.53.41,5|+ 3,81534,1
Niv.-2r,38.
0,05 289.16.10,7|+ 4,1/1734,0 Bord sup. au mérid.
0,06|+28,56/281.49.52,5|+ 4,1
0,011+28,35/320.56.30,7|+ 4,5|732,6
Niv.—2P,30.
Oo |+28,54/316.28.23,0|+ 3,7|732,9
0,06|+28,62/286.22.58,7|+ 4,5
0,14|+28,53/251. 0.40,0|+ 3,2|732,6! 20,3| 17,5
0,09| 428,60
0,05|+28,69/293.37.31,5|+ 2,31732,6!| 20,3| 17,3]
0,08|+28,70
17,0| » |Très-faible.
3/14,5| » Id.
0,06|+29,43
0,14|+29,67
0,0) 9
0,08|+30,05 273.45.15,7 52
0,14/+30,30|249.53.40,0 A)
731,1) 21,1] 22,2]-, 23,8 » [Bord inf. au mérid.
31,5] 21,8| 20,3|- 43,1|14,5| » |Niv.-2v,56.
» [Nuages.
» Id.
0,01|+30,62 »
0,03/+30,60/294.50.31,2|+ 4,1|:32,51 23,2] 21,6|- 17,0/13,9| »
132.34.10,1|+ 5,1 » [Moyenne de 8 obs.
0,08 273.45.16,7|+ 4,8|732,5] 25,5| 24,1|- 42,8/16,0| » |Nuages.
288.23.53,2|+ 3,3]732,2) 24,1| 21,2] 24,1 » [Bord inf. au mérid.
357.53.21,7|+ 4,0|731,1] 24,0] 22,0f+ 54,1117,5| » | Moyenne de 2 obs.
0,12|+30,59|256. 3.10,0|+ 2,9 1.20,8/16,2| »
o, 0/+30,571316.28.26,5|+ 3,5]731,0) 23,8] 21,34 3,7119,4| »
À
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1872.
[Sy
CORRECTION
de
TUERMOMÈTRE.
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
MOYENNE
D ( —— des
REMARQUES.
"AUDAIU np
NOILOHUUOD
“AULANOUVH
"NNILVAUISAO
a10dg nu aa!
l'instru- la
ment. | pendule.
VERNIERS.
*NOILOYUAHU
h. m, s. s. s. PO) NT 1 1
rs Et 14. 9. 0,80]+ 0,06|430,71[286 22.58,5|+ 4,11730,8[+23,5|+20,7|- 26,4
œ2 Balance. ...... 14.42.42,57k4 0,14/+30,49/251. 0.41,2|+ 3,0|730,7] 22,8| 19,8 —1.39,3|x
G Petite Ourse .... |14.5r.47,21/- 0,09/|130,43184r. 9.52,2|4+ 2,8
x Couronne boréale |15.28.33,62|+ 0,05|+30,62|293.37.28,;|+ 3,1|730,5
min.
22,0| 19,6] ;
43 x Balance... ..1/15.33.25,41/+ 0,15 247.414. 9,5|+ 2,1
Rec 15.37. 3,23]+ 0,08|130,59/|273.18.24,0|+ ‘2,9
Dos 15.49.52,79|+ 0,17 240./45.24,0|+ 2,2
GB! Scorpion préc. 15.56.49,85+ 0,15
suiv
(638 Mayer) Scor-
11 DR AMEL 16. 3.22,59]+ 0,15
14 » Scorpion..... 16. 3.23,63+ 0,15
PRE .20. 20. 21,4] 18,7/-2:47,5/10,0| »
» |[Niv.-2P,26.
HÉUOET oc Ë 0,15|+30,96 D]
PP SERRES Te 0,10/430,79/258. 0.14,7[+ 4,9/738,3] 21,6] 20,4/-1.16,3[14.8| »
nr AA 47. 0,10|+30,7 273.45.18,0|+ 3,8|738,2] 21,8| 21,0]- 43,6 15,1| »
4
3
288.22.15,7|+ 4,71737,8
ä
3
3
0,11 21,5] 21,7 24,3 » [Bord sup. au mérid.
CPR RU à Lx: 0,10|+30,82/281.49.51,5|+ 3, 736,9] 22,0| 22,7|- 32,0|14,5| » |Niv.-2P,40.
BEST, à 0,10! . 253.27.20,7|+ 22,3| 22,5|-1.29,8 » [Bord sup. au mérid.
eco à 0,10|+30,84 à 22,3| 22,3/-1.21,3|12.8| »
LEbpior cree 21,0/- 26,6/13,7| »
JOUE 42. 0,10|+30,71 21,8| 20,5/-1.39,8|13,2| »
SOS € . 3.476 0,10 20,3|-1.57,9 »
ACT IE 37.08% 0:10|+30,71 21,2| 20,of- 44,4115,0| »
omis + 0,11 —2.44,1 »
+ 0,10 —1.59,0 »
+ O310 ?
sos... + 0,10 »
14 y Scorpion, ... + 0,10 1.574 »
18 z Scorpion... .{ + O,11 =r:19,2 »
eee + 0,10 —2.39,8 »
asset. + 0,10[+30,67 21,0] 19,6-2.48,5|11,8, »
LEE : “ 6. + 0,10 20,5 19,7 RaN7 a. à
3 Petite Ourse S... 5 + 46,5|18,7| »
24 Petite Ourse S... + 2,08 + 4j »
LOC = + 0,14 +30,76 — 73112,6 »
; . + 0,10 18,0-2.19:4 » |Au méridien.
3yo Sagittaire, ... + o,r0 »
r Sagittaire Datete s ofe + 0,10 —2.11,5 n
Jupiter, Centre ... + o:10 20,1 16,9 —2.20,5 » |
helalsis ec + 0,15 +30,73 n
psnessee + o0,10/+30,511258. 0.16,2 22,8] 21,3/-1.15,8/15,3| » |Niv—1r,98.
DERREEEEE + 3 24,5] 22,31- 43,3|15,2| » |[Ondulante, |
. O,11 287.41.37,2|+ 4,41735,7| 23,6] 23,4 24,9 » [Bord inf. au mérid.
DE É 0 10. 0.29,271+ 0,10/+30,59/279. 6.512,51 4,41734,61 23,5] 25,0) 35,2116,3| » |
Mers esete 11.41.32,31|+ 0,10|+30,59/281.49.50,7[+ 3,71734,0) 23,5] 25,5 31,6|14,0| »
. (11.45. 5,99l+ 0,191+30,451320.56.29,74 4,0l534,0] 23,51 25,44 7.811981 »
11
46
Observations faites à la himette méridienne en Juillet 1842.
x Petite Ourse 1...
« Grande Ourse. ..
B Petite Ourse ....
8 Couronne bor. .
18 z Scorpion...
19 o Scorpion...
27 À Ophiuchus. . 2
32 Ophiucus....,.4
p*? Sagittaire... ...,
à Petite Ourse S...
24 Petite Ourse S..
Saturne, Centre...
39 o Sagittaire...
æ Sagittaire.... .
Jupiter, 1°r bord. .
=
x Grand Chien. ...
16|Soleil, 1° bord...
« Petite Ourse 1...
» Grande Ourse. .4
æ* Balance .....
G Petite Ourse....2
QC, 1er bord... /x
24 «' Balance.....
BG Couronne boréale
x Couronne boréale
18 x Scorpion...
19 « Scorpion.....
“nvoaiu np
NOILIAUOY
ORRECTION
HR MOYENNE
"| — TA
l'instru- la E..
ment. | pendule} VERNIERS.
357.53.18,8|+
0,10/+30,44 256.13. 9,0|[+
0,17|+30,38 316.28.26,2|+
0,10 248.17.43,2 +
0,11/+30,54
0,10/+30,45]251. 0.39,5|+
0,42|+30,481841. 9.53,2|+
0,10 247.12.20,0 +
0,12 296. 1.39,2|+ :
0,10|+30,48]273:18.2/,0|+
263.26.33,2|+
253.27.26,2 æ
258.26.31,0|+
0,10
d,10 242.37.24,5|+
o,11|+30,38
0,12 228.43.21,2|4
0,12
0,10 276. o0.17,0|+
0,11 280.42.11,5
245.38. 8,5|+
352.57. 8,7|+
2,08 353.19.38,9|+
0,14[+30,531305. o.50,;|+
0,10 243.51.39,2|+
0,10 244.26.29,2 +
0,10 245. 8.19,7|+
243.46.24,2 E
0,10 4+30,431282.33 59,7|+
132.34.10,8|+
0,15 +30,56
o,10[+30,36/258. 0.17,0|#
0,10/+30,31/273.45.16,2|+
o,10|+30,75/249.53.41,0|+
288. 3.31,2|—
357.33.19,9|+ 5
0,10|+30,26[256. 3.38,2|+
0,17 +30,231316.28.25,0|+
0,11/+30,37[286.22.55,5|+
0,10|+30,38/]25r. 0.37,7|+ ©
0,42 +30,20
O,11
0,11 244.12.46,2|+
0,10 247.12.28,5|+
0,12 296. 1.39,0|+ :
0,12|+30,40/293.37.30,7|+
0,10 247.14. 8,74
0,10/+30,4/1273.18.23,0|+
O,11 241. 8.33,0|+
O,11 240.45.19,2|+
0,10 255.27.27,7|+
0,10 258.26.31,0|+
242.37.21,2[+
“HAILVAUASIO
cl
>
A
©
=
CA
GC]
=
5
“NOILOVUAHU
‘a10d nu na11
. [Moyenne de 3 obs.
=:
Bord sup. au mérid.
5;
M
Centre au méridien,
Moyenne de 2 obs.
Très-ondulante,
Bord sup. an mérid.
Moyenne de z obs.
Bord sup. au mérid.
47
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842.
NOM
*‘sunor
DES ASTRES.
y Dragon. .......
p° Sagittaire... ...
à Petite Ourse .../
24 Petite Ourse....
œLyre.........
Saturne, Centre...
39 o Sagittaire... .
# Sagittaire......
Jupiter, Centre....
ss...
ss...
17 Soleil, 2Me bord...
G Couronne ......
43 x Balance. ....
€, 1er bord... ...
æ Ophiuchus......
à Petite Ourse S...
18|/Soleil, 1er bord...
MPerSées 5e vue
19 Soleil, 1€r bord...
b2|x Taureau .....,. an
MAEGThEr..7...1 A
BiOrion .......! A
BFaurean +. ....
MiOrion.....: 1.
23|Soleil, rer bord...
x Grande Ourse...
EMGn. :......1.
ICRA RS À
æ Petite Ourse I...
1 NTGJHSPERRREE
n Grande Ourse. ..
æ Bouvier........
æ? Balance.......
G Petite Ourse ...,
B Couronne borta!e
æ« Couronne boréale
a Serpent. ......,
19 o Scorpion...
+ Scorpion. ...... 16.26.37,84[+ o,11
x Cocher......., 31 5. 5.34,14/+ o,15|+30,44
B'Orion......... 4| 5. 7.28,43[+ o,10|+30,33]258. 0.19,
y Dragon....... 4117.53.29,89|+ 0,1;
CORRECTION a E 3 A =
A THERMOMÈTRE. LC} m
eos co de MOYENNE | © | = Ju EC
CONCLU 2,4 2 = o
des = Di 3 EC o =
5 à ei L re = Es
: Ja VERNIERS. | = = nté- xté- = A
FIL MÉRID. pendule po A0 Hrieurt|\rieurs £ 5
h. m.s s s.
16.20.18,20|+ 0,11[+30,37]240.20. 9,2|+ 2,9
—2.46,1 11,6
238.32. 5,b|4 2,1|729,0|+22,2|+20,2/-3. 5,1
H30,541317.52.50,2|4 3,3 72911 22,0] 39,04 5,0 19,3
17.53.30,00|+ 0,17
18. 6.22,32|4 0,10 245.38. 6,2|4 2,3 _2. 6,1
18.23.50, o 352.5 + 45,9/19,1
18.29.45,62|4 2,08 : + 46,5
18.32. 9,16[+ 7:2/16,0
18.44.31,39l+ o,10 18,3]-2.17,0
18.55.47,57[+ o,10 —2.14,1
19- 0.26,67|+ o,10 2. 9,7
19-14. 7:71]+ 0,10
20,1] 21,7| 17,7}-2.18,8
4.27.23,93[+ PB El 25 9
728,6] 25,0 20,5 31,0/16,1
728,6] 25,7] 21,3]-1.15,0|17,9
— 17,1/12,5
7
0,12|+30,38/294.50.30,7
7 728,5) 25,9 23,41 42,7 14,1
+30,40/273.45.14,
7-46.55,27|4 0,10
15.21.b2,19[+ 0,12
15.28.33,341+
G\727,71 24,5] 24,4/-2.33,2
17.28.10,21|4
7 23,5| 22,8] 5,ol17,2
18.23.50,47
18.32. 9,18[+ o,14 -nre,)
7.48.41,8 0,10 287.11.5/4,7|+ 0,8 729,6] 27,1] 29,01 24,4
730,8] 22,8| 18,9]+ 2,8|19,2
0,10|+31,31/282.34. 0,7|+ 3,7[731,0] 24,9| 20,7 31,1/15,6
sf
3.13.38,431+ o,17|+31,30|315.39.50,5|4 2,2
4.27:24,85|+ É £
7.52.43,15|+ 730,0] 26,3] 22,5] 24,9
4.27.36,54 732,9] 20,2! 17,0] 31,b|12,6
5. 5.37,09|+
5. 7.31,00|+ 732,9] 20,9 1732 -1.16,6|15,8
5.16.53,47|+ 17,3]- 17,5|13,0
733,0] 21,0! 17,5]- 43,9 14,9
1| 19,5]- 26,8
— 32,1113,2
21,0| 20,54 7,9/18,2
13. 3.38,2
13.17.28,37|+
13.41.53,95|+
14. 9. 3,22]+ 0,07|+33,31/286.22.58,2
14.42.45,27|+ 0,12|+33,29|251. 0.38,5
14.51.48,85]+ 0,07|+33,22|341. 9.544 732,0] 20,8| 19,5[+ 29,5|19,0
15.21.55,09|+ 0,07 296. 1.39,7 31732,0] 20,5| 18,5[- 16,1
15.28.36,10}+ 0,07|+33,31]293.37.30,5 : — 18,5/15,0
15.37. 5,90[+ 0,09|+33,38/273.18.25,5|+ 3, — 44,4114,6
16.10.45,551+ 0,15 242.37.27,0|+ 1,9|732,0) 19,8| 17,0]-2.28,5
21,3| 20,2|+ 54,5/16,1
21,2] 20,3/-1.21,3/15,2
21,2| 20,2]4 3,7/115,8
9/732,0) 21,2| 20,0]- 26,6|13,9
—1.39,b| 12,4
"VAILVANASUIO
REMARQUES.
Moyenne de 2 obs.
Au méridien.
Au méridien.
Faible et ondulante.
Bord sup. au mérid.
Bord inf. au mérid.
Niv.—2r,56.
Faible.
Bord sup. au mérid,
Niv.-2? ,70.
Bord inf, au mérid.
Moyenne de 7 obs.
Moyenne de 4 obs.
48
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842.
CORRECTION ME = El = |g
5 NoM Lu de de MOYENNE 22 2 THERMOMÈTRE. 5 a :
E un ——_—_— | —— des = = Eh et LE 5 8 ë Ê REMARQUES.
& DES ASTRES. en méme, Mrissuul la VERNIERS. | © = 3 J'inte- | Exté- 5 3 [3
+ | meot |pendule. ; 5) æ rieur | ræur. 2 = 5
s.
x Scorpion....... ) o4|+ 0,
+ Scorpion....... 16.26.40,82|+ 0,16
24 m Scorpion. ...{16.33. 3,69[+ 0,13
p' Scorpion...... 16.41.48,24 + 0,19
u2 Scorpion ...-.. 16.42.16,72|+ 0,19
27 4 Ophiuchus. ..[16.50.48,32|+ o,0ë
32 Ophiuchus... .4|16.56.30,46[+ 0,08
y Serpent... ..|17.12.34,04|+ o,11
51 e2 Ophiuchus..|17.22.24,51+ 0,15
æ Ophiuchus...... 17.28.13,15]4+ 0,08|+33,62]2
58 N Ophiuchus...|17.34.35,71|4 0,14
p* Sagiltaire. . .... 18. 6.25,29]+ 0,14
8 Petite Ourse S.../18.23.5/,45
24 Petite Ourse S.3/18.29.49,20|+ 0,29
DUEYLE = -e mic ee 18.32,12,341+
Saturne, Centre. ..|18.42.31,14]+ 0,14
39 9 Sagittaire. ..|[18.)5.50,71[+ o,14
Au méridien.
r Sagittaire ...... 19. 0.59,77
Jupiter, Centre... .|19.10.27,39|+ 0,14 Au méridien.
a Taureau .....,. 4.27.27,5b|+ 0,08|433,841282.34. 0,7|+ Niv.-2P,93.
G Taureau ..-.... 5.16.54,50[+ 0,07|+33,85/294.50.31,2|+ 4,9|=
œOrion ss: sé « 5.47.12,66[+ 0,09/+33,831273.45.18,7|+ 4,6
x Grand Chien..,.| 6.38.46,19|+ 0,15|+34,25]249.53.44,51+
24|Soleil, 1er bord...| 8.12.43,11|+ 0,08 Bord inf. au mérid.
a Petite Ourse I...|13. 3.40,10 Moyenne de 2 obs.
a Vierge.-..-..1. 13.17.28,95|t 0,11|+33,88
n Grande Ourse. ..|13.41.54,71[+ 0,06|34,01]316.28.23,7|+
x Bouvier........ 14. g. 4,oo[t 0,07|+34,10|286.22.57,7|+ 4,9|7
x Balance....... 14.42.45,97[T 0:12[#+34,00f251. 0.37,7|+ 4,7
B Petite Ourse...….. 14.51.49,71[t 0,071+34,141341. 9.52,2[+ 3,5
G Couronne boréale 15.21.55,75 + 0,07 296. 1.40,0[+ 3,5
x Couronne boréale|15.28.36,90[+ 0,07|+34,121293.37.30,7|+ 4,4
œ Serpent......,. 15.37. 6,56[ 0:11/43/,05|273.18.23,5|+ 4,1
u Serpent........ 15.42. o,12]t 0,10 263.26.30,2|+ 4,1
51 Ë Balance... ... 15.56.18,78 + o,i1 5 3,6
19 o Scorpion... .|16.11.46,29|t 0,15 457
a Scorpion....... 16.20.21,82 4,5
+ Scorpion...,... 16.26.41,56[+ 0,16 3,3
24 mm Scorpion.... + 2,8
p' Scorpion ...... 15.41.40,36 + 0,19 + 3,81729,0) 19,9| 17,7 —7:49,5
p* Scorpion...... 16.42.17,38|+ 0:19
27 # Ophiuchus. . .|16.50.49,00[+ 0,08 + 3,7 F 140,3
32 Ophiuchus.....|16.56.31,08[+ 0,08 LPC — 33,8
y Serpent. ..-../ 17-12.3/,,52 + O,11 3,3 729,0 19,8 170 —1.20,8
27|a Petite Ourse 1.../13. 3.40,70 ; 4 Moyenne de 3 obs.
Ml xAVierge:. "11 13.17.29,31[+ 0,11|+34,28|> è 3
G Petite Ourse ....|14.51.49,69l+ 0,07|[+34,371341. 9.51.,5|+ 3, 51 21,1 29,2
| {6 Couronne boréale|15.21.55,94|+ 0,07 296. 1.39,2|+ 3, 19,7f 16,1
« Couronne boréale| 15.28.37,06[+ 0,07 #34,32/293.37.30,2|+ 3, 19,5[- 18,6/15,5
a Serpent........ 15.37. 6,76[+ 0,09|+3/,28/273.18.24,5|+ 2,9|732,8| 20,3| 19,8|- 443|13,1
u Serpent....,.. 3/15.42. 0,414 0,10 263.26.33,o[+ 2,5 19,31-1. 2,6 Nuages.
49
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet et Août 1842.
"Sunor
28
| NOM
DES ASTRES.
5r Ë Balance... ..3
19 o Scorpion.....
+ Scorpion
24 m Scorpion. ..
27 # Ophiuchus. . .
32 Ophiuchus., ...
36 À Ophiuchus..4
y Serpent...... ..
p* Sagiltaire. .....
à Petite Ourse S..4
D Eye seller se. n
s Sagittaire,.....,
Saturne, Centre...
39 o Sagitlaire....….
r Sagittaire .,....
Jupiter, Centre...
44 p' Sagittaire...
aTaureau......,.
Soleil, 12° bord...
B Couronne boréale
« Couronne boréale
x Serpent......, ‘
p. Serpent, ...... n
br Ë Balance... ..,
19 o Scorpion, ...
œ Scorpion. ......
24 m Scorpion....
27 À Ophiuchus...
PASSAGE
CUNCLU
au
FIL MÉRID.
b, ;
15.56.18,80]+
16.11./46,37|+
16.26.41,70 +
16.33. 4,511+
16.50./9,32]+
16.56.3:,40l+
17. 6.16,71+
17.12.34,92Ù+
18. 6.25,99}+
18.23.54,70
18.32.13,00|+
18.35.45,35|+
18.41.25,09|+
18.55.51,37/+
19. 1. 0,b5]+
m. S$
..|19. 8.26,46[+
19.13. 8,85[+
4.27.28,13]+
8.28.30,93|+
15.21.56,02|+
15.28.37,12[+
15.37. 6,78[+
15,42. o,54|+
32 Ophiuchus.....|16.56.31,361+
œ Hercule.....,.. 3117. 8. 4,4ilt
x Ophiuchus...... 17.28.14,11|+
a Cocher......... 5. 5.38,51]+
BlOriontr.: 3.1. 3] 5. 7.32,60]+
a? Gémeaux. .... 3| 7.25. 6,841+
x Petit Chien ...., 7-31.37,56+
B Gémeaux....... 7.36.14,56|+
Cercle Ouest, Niv.-2
Cercle Est, Niv—oPr,
Soleil, 1er bord....
PAROI
RiViergestaere il.
19 a Scorpion... ...
æ Scorpion
+ Scorpion
l'instru-
ment.
CORRECTION
de
|,
la
pendule
s, 5.
O,11
0,15
0,16
0,13
0,08
0,08
0,15
O,11
0,14.
0,06
0,15
o,14
0,14
0,14
0,14
0,15
0,13|+34,30
0,08
0,07
9:07 +34,40
0,09|+34,3x
0,10
O,I11
0,15
0,15
0,08
0,08
0,08|+3/,34/280.57.16,
0,08/+34,611270. 3.397,51
0,05|+3/,29
0,111+34,21/258. 0.19,51+
0,06|+3/,b5/298.36. 2,5|+
0,09/+34,39/272. 0.27,0|+
0,07|+34,421294.46.33,2|+
MOYENNE
des
"HEAIU np
NOILOAUHO9
"AULAHNOUYH
VERNIERS.
n
s
DE R&B &wwb
= Où CU +. O0 à
-
732,9
733,0
733,0
285.10. 2,5|+ 2,5]731,5
296. 1.39,7[+ 3,0/728,5
293.37.31,2
273.18.23,5
263.26.31,7|+ 2,9 728,2
255.27.29,0
242.37.24,7|t 3,2 s
240.20.13,5 7 728,3
248.57.59, 2,
276. Dee 2,3
280.42.15,0|+ 1,8
7 2,2
2,8 728,6
2,3|72731
2,5
2,1
2,5
s
P,48. Le fil méridien est de 4P,6 à l'Est dela mire.
On retourne l'instrument.
86. Le fil méridien est sur la mire.
On laisse l’iustrament le cercle à l'Est.
8.44.12,63|-
11.41.39,60|-
11.46.10,00!—
13.17-32,72]—
sbner Ho ES +
16.20.25,451+
16.26.45,07|+
0,30
0,27 +37,63 343.18.32,5|-
0,95
0,02|+37,61
0,10
0,13 437577 24.48.11,2|+
0,13
340.56411,7| o
0,2
304.12: 1,2
g- 3.16,0|+
22.30.54,7|+
26.36.17,ol+
>
lHERMOMÈTRE. ER
D]
5 —— =
a pe. C4 2
Tnté- Exté- 8
ri:ur ricur. 2
o
:|732:9|+19.8
19,9
19,2
19,2
29;9
21,0
(! QU
°
+18,5}-1.23,9
—2.28,0
18,113. 7:
149,2
— 40,6
16,8 341
15,7 2 8,3
13,7 + 46,7
—2.41,5
14,81-2.20 8
—2.16,6
14,41—2.12,1
—2.29,6
14,9/—1.54,3
17,8]- 31,4
20,0]- 28,0
20,1l- 16,0
20,2|- 18,4
[ 43,
19,81. 1e
19,7/—1.23,1
—2,26,5
19,04—-2.46,8
10,8)—1.48,1
— 40;1
18,41 33,6
— 33,3
18,0)- 35,9
20,44-1.15,1
—: 13,2
— 45,3
23,7 17,0
14,84 29,7
+ 32,5
17,0)- 8,0
17,3]+1.22,3
15,8l+2.20,3
+2.50,1
14,73. 9.8
a'10d na n417
13,D
12,4
16,4
16,9
|
"UMAILVAUISUO
REMARQUES.
Nuages.
Moyenne de 3 obs.
Au méridien.
Au méridien.
Niv.—2P,093.
Bord inf, au mérid.
Nuages.
Nuages.
Id.
Bord inf. au mérid.
Ondulante.
Id. Niv.—1r,03.
Id.
Id.
Id
Id.
12
50
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
L PASSAGE | ‘TN | MOYENNE 8 Asus TU à 3 |
3 NOM. Fa e re REA
É D do des Aloe ——| $ | 2 |5£$| REMARQUES.
8 DES ASTRES. 4 3 l'iostru- la M: E Exté- = a 8
FIL MÉRID. went. | pendule. VERNIERS- ” 2 mi rieur. 2 a oc]
DONS sf s. otre
24 m Scorpion. ...[16.33. 7,97|+ 0,07 s B. |Ondulante.
y° Sagittaire... ... 17.56.21,76[+ 0,18 29. 7.37,0|+ 1,5|732,8[+17,0 +14,91+3.46,7 » Id.
p? Sagittaire. . .... 18. 6.29,57l+ 0,06 19-30.19,5 + 1,9 42. 8,7 » Id.
DAÉNTEe reed 18.32.17,01|— 0,b7|+37,79 320. 7-35,5 + 0,6 + 7,3/15,8| » Id.
s Sagittaire... ... 3118.35.48,89l+ 0,12 23.53.19,5|+ 1,5 [2427 » Id.
Saturne, Centre. . .|18.40.10,2b|+ 0,09 21.23.20,5|+ 1,31732,5] 16,8| 14,4]+2.21,2 » [Au méridien. Id.
(KVIIL. 282 Piazzi).|18.59.17,49l+ 0,12 23.37.22,7|+ 1,2 +2.394 » Id.
Jupiter, Centre... .|19. 6. 6,85|+ 0,09 21.30.32,0|+ 0,6 732,61 16,8 14,41+2.23,1 » [Au méridien. Id.
a Cocher ........ 5. 5.43,23|- 0,72|+38,05 » [Niv—0r,98.
B Orion ........ 4] 5. 7.56,58|- o,04[+38,02| 7. 8. 6,0 + 15,71+1:16,9/15,1| » [Ondulante.
G Taureau ....... 5.16.59,31|- 0,42[+37,871330.17.53,7|- 0,2 1752|15,6| » Id.
GOrION stresse 5.47-17,35|- 0,19/+38,00]351.25.10,0|+ 16,51 43,9/19,3| » Id.
2|Soleil, rer bord...| 8.48. 6,15/— 0,30 340.39.43,7|+ 28,9 » [Bord sup. au mérid.
& Petite Ourse I..4113. 3.24,23 267.15. 7,5] 54,3/12,4| » [Moyenne de 3 obs.
a iVierBes rm. 13.17.33,34|- 0,021+38,24) 9. 5.18,0|4 0,2 +1 16,6
n Grande Ourse...|13.41.59,51|- 0,82[+38,15|308.40. 3,5|4 o,1
æ* Balance. ...... 14.42.50,14{+ 0,02|+38,18 14. 745,2 +
G Petite Ourse ....|14.51.55,43|- 2,411+38,12|283.58.34,0|4 0,3
G Couronne boréale|15.22. 0,29] 0,38 329. 6.45,2|+ 0,2
a Couronne boréale|15.28.41,31|- 0,41|+38,18|331.30.59,7|+ 0,2 7
a Serpent. ....... 15.37.10,86[- 0,19/138,17/351.50. 3,7] o
x Serpent. ....... 15.42. 4,42l- 0,12 1.41.54,0|+
51 Ë Balance... ... 15. 56.22,861— 0,02 9-40.59,7| o
x Scorpion. ...... 16.20.25,93|+ 0,13[+38,26] 24.48.16,0|+ o,1
r Scorpion....... 16.26.45,63|+ 0,13
« Hercule. .....,. A 16.29.42,37 — 0,68 316. 0.10,7| Oo
27 # Ophiuchus.. .[16.50.53,351— 0,21 349. 8. 4,7[+ 0,6
32 Ophiuchus.....[16.56.35,44]- 0,26 344 26.15,0|+ 0,6
36 4 Ophiuchus.. .|17. 6.20,65|+ 0,13
« Hercule... ...4|17. 8. 8,44] 0,26[+38,08|344.11.10,2|+ o,1
YSerpent-..-. 1. 17.12.38,84| oO 11.25.42,7 + 0,2
51 e2 Ophiuchus... 17.22.29,29]+ 0,10 | 22.33.55,7 + 0,6
œ Ophiuchus...... 17.28.18,00[- 0,241+38,231346. 4.51,5|— 0,6
58 D Ophiuchus.. .|17.34.40,45[+ 0,08 20.20. 7,2|+ 0,1
4 Sagittaire ...... 17.50.51,49[+ 0,10 22.31.30,0|4 1,2
y= Sagittaire... ... 17.56.22,44]+ 0,18 29. 7-43,0[+ ob
u* Sagittaire... ... 19. 6.30,o1|+ 0,06 19.30.20,0|[+ 0,6 2x Nys
à Petite Ourse S..4|18.24. 7,88 272.11.15,8|+ o,6 46, 12,9] » Moyenne de 3 obs.
SO tn on CINE 18.32.17,43|- 0,57[+38,22/520. 7.34,5|- 0.3 2/15,1
s Sagittaire... ... 4118.35.49,35{+ 0,12 23 53.22,5|4 0,3 42
Saturne, Centre... 18.39.55,86 + 0,09 21.23.40,5|+ 1,3 +2.20,2 » [Au méridien.
(XVIIL. 282 Piazzi).|18.59.17,89|+ 0,12 23.37.27,0[+ 0,5 +2
Jupiter, 1° bord..|19. 5.37,68|+ 0,09 21.39.21,9|[+ 0,3 42.22,2 » |Centre au méridien.
œ Cocher. --..-0 5. 5.43,53]- 0,72|+38,31 » [Niv.—1v,69.
BiOrion:: 5.2 5. 7.36,86/- 0,0/|+38,17) 7. 8. 6,5|4 o + 15,0
B Taureau........ 5.16.59,61/- 0,42|+38,15 330.17.55,2|— 0,2 +
Orient see 2| 5.47.17,51l- 0,19/+38,15
Nadine nl e due 132.34.15,7|— 0,7 » |r observation.
+ Petite Ourse [..4| 6.23.43,96 265.22.56,6|- o 18,5! 58,3114,3| » [Moyenne de 3 obs.
æ Grand Chien....| 6.38.50,761+ 0,03/4+38,41) 15.14.43,0| o 417,2
4° Gémeaux...... 7.25.11,36|- 0,48[438,40/326.32.27,5|- 1, + 13,4/18,7] » [Ondulante.
Mercure, 2m€ bord.| 7.36. 2,17]- 0,33 337.46. 3,7[- 0,3|728,9 19,24 25,4 » |Centre au méridien.
51
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
EEE
CORRECTION À 2 É sé Er = e
5 NO PASSAGE de MOYENNE z É 2 THERMOMÈTRE. à 5 =
5 ape) :|T Fo des 75 s RS DE 6 - 5 5 REMARQUES.
D ou E FIL MÉRID. Dita DRE NERNIERS- VE 5 E D as 5 = É
3/Soleil, 1er bord... 0,31 340.55.20,5|- 3,6|7 ee LE + 28,9 B. |Bord sup. au mérid.|
4" Capricorne... o » |
œ* Capricorne .... o |+38,49| 11.46.19,7|- 1,8 733,0] 20,0 15,74+1.31,8|12,7| »
a Cygne. ........|2 20.36.45,77|- 0,70|+38,67 »
æœ Céphée........ 21.15.31,95)- 1,241+38,65/296.51.15,0|- 2,3 733 19,3 15,of- 13,b|r1,0| »
B Céphée........{2 21.27.20,35)— 1,79 too ÈS. 54.23, 75 2 92,) 14,8/- 24,1|10,6| »
œ Verseau........ 21.58.22,79]— 0,11|+38,59|359. pe 1,7|- 3,2 733,1] 19,0! 15,o+ 59,6|1:1,5| »
æ& Cocher......... 5. 5.43,91|- 0,72|+38,61 »
B'Orion ee istetsie 5. 7.37,47|- 0,041+38,73] 7. 8. 6,5|- 2,3 7340] 21,9] 191 +1.16,2|12,6| »
G Taureau........ 5.17. 0,11 0,42|+38,581330.17.54,7|- 3,5]: 22,1] 19,5] 17,4113,8| » |Niv.—or,94.
HOTONE EE: nee 5.47:48,01|- o,19|+38,581351.23. 6,2|- 2,5 22,4| 20,11 43,5/12,4| » |Très-ondulante.
a? Gémeaux.. ...| 7.25.11,94]- 0,48|438,941326.32.20,5|- 3,5 734,2] 23,0] 21,0f+ 13,4| 9,3| » Id.
a Petit Chien.....3| 7.31.42,11)- 0,15|+38,551353. 8. 4,0|- 3,3 + 46,2|13,7| » Id.
BG Gémeaux....... 330.21.57,0|-— 4,4 21,21 17:3/13,7| » Id.
5|Soleil, 12° bord... . 8.59.42,23 — 0,31 341.58.46,2 — 2,3 733,9 22,5| 22,6l+ 30,3 » [Bord inf. au mérid.
Nadir, RS Ne ° 1132.34.15,3|- 3,0 » [Moyenne de 4 obs.
æ Petite Oursel...|13. 3.30,75 267181 2,2|— 4,9/732,5] 23,0] 23,3] 5%,o|11,4| »
œ Vierge......... 13.17.33,94[- 0,02/+38,92| 9. 5.18,2|— 2,4 23,2|+1. ès 6 13,9| »
n Grande Ourse. 308.40. 6,0|- 4,21732,4] 23,0| 22,5] 3,7/11,7| »
G Couronne boréale|15.22. j948 — 0,43 329. 6.45,0|- 4,41732,0] 22,8| 22,6[+ 15,9 »
x Couronne boréale|15.28.4 41,93 — 0,41 +38, 851331.30. 59,2 — 3,8 22,6]+ 18 4114,0| »
a Serpent........ 15.37.11,49/- 0,19|+38,83/351.50. 4,o[- 3,0 22,61+ 43,7115,3| »
p Serpent........ 15.42. 5,051- 0,12 1.41.55,7|— 4,5|732,0] 22,5] 22,6[+1. 1,8 »
5x E Balance... ... 15.56.23,66|-— 0,02 9-40.59,7|- 4,2 21,4| 22,6[+1.22,6 »
a Scorpion. ..... 16.20.26,59f+ 0,131+38,96! 24.48.10,0|— 4,4 22,0| 21,7|+2.46,0|12,0| »
36 4 Ophinchus...|r7. G.21,47/4+ 0,13 »
a Hercule....... 17. 8. 9,18|- 0,260/+38,851344.11.10,7|- 4,1 21,8| 21,04 33,2|11,8| »
Serpent.........|17.12.39,48) o 11.25.45,2|— 3,5 +1.28,9 »
51 e2 Ophiuchus. .|17.22. -29,97]+ 0,10 22.33.59,0[— 3,6 +2.26,7 »
œ« Ophiuchus...... 17.28.18,06!— 0,2/1+38,911346. 4:51,7|- 3,6 + 35,6/14,4| »
58 9 Ophiuchns...|17. Ce + 0,05 20.20.10,5|— 4,2 +2,1 1:0 »
3 Sagittaire... .... 17.38.20,471+ 0,13 26.28.10,2|— 3,2 22,41 20,0!+3. 5,2 »
3 Petite Ourse S..4|18.24. 5,76 272.11.16,9|— 4,2 19,5 — 46,1/10,5| » [Moyenne de 3 obs.
2 LORS 18.32.17,99/- 0,57[4+38,811320. 7.35,7|— 3,2 + 7»2l14,9| »
MiSagiltaire. 4|18.35.50,11}+ 0,12 23.53.23,0[— 4,1 +2.39,0 » |Faible.
Saturne, Centre... |18.39.13,324 0,09 21.24.50,5|— 4,1 21,2 18,8/+2.10,0 » [Au méridien.
(XVIIL. 282 Piazzi.|18. Fa 18,67/+ 0,12 23.37.30,5|— 3,7 +2.30,7 »
Jupiter, Centre ...|19. 4.21,62}+ 0,09 21.41.47,7|— 4,0 21,0| 19,1/+2.20,9 » [Au méridien.
i
6|3 Petite Ourse 1..4| 6.23.44,74 265.22.55,2|— 4,7 22,0! 19,6!- 54,7|11,7| » | Moyenne de 2 obs.
a Grand Chien....| 6.38.51,81{+ 0,03|+39,48 »
a Gémeaux... ..| 7.23.12,40!— 0,48|439,35/326.32.26,2|- 5,3 22,9] 20,714 13,4/13,0| »
æ Petit Chien... ... 7.31.42,71|- 0,17[+39,121353. 8. 5, 5 — 4,7 + 46,1113,9! »
B Gémeaux...... 7.36.20,05|— 0,42 +39,22/330.21.57,8|- 5,3 23,2| 21,64 17,3/13,5| » [Niv.-oP 199:
7l« Petite Ourse I..2|13. 3. Le 267.15.10,2|— 4,5 23,1| 22,0) 54,2| 9,| »
M VIETRE. ee + « «+ 13. pe 34,461 0,02|[439,42| 9. 5. à 5|- 4,8 22,5l41.20,8|15,2| »
n Grande Ourse...|13.42. 0,37|- 0,82 31308.40. 4:71 47 23,1} 3,7| 96| »
a Bouvier. ...... 14. 9- 9,40f- 0,32[+39,311338.45.30,2|- 4,71732,3| 23,1] 24,0l4 26,2|12,6| »
æ° Balance ..... 5 fe 42.51,30|+ 0,02 439,411 14. 7.45,7|- 5,0[732,3] 23,1| 24,0Ï+r.38,1|10,2| »
G Petite Ourse ....{14.5r. 56, 21}- 2,41|+59,30/283.58.38,0|— 4,11732,2) 23,1] 24,0] 29,1|12,6| »
G Couronne Hrile EAN 1,391- 0,43 329. 6.45,7|- 4:91732,4] 22,91 22,0[+ 15,9 »
92
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
LORRECTION
PASSAGE Fe
NOM CONCLU
au
FIL MÉRID.
MOYENNE THERMOMETRE,
” des
| ——
REMARQUES.
DES ASTRES. Inte- | Exte-
rieur rieur,
l'iostru- la VERNIERS.
ment. |pendule.
“HUDATU Up
NOILOHUYOIN
“AULANOUVH
"Y#1Od na NAT
"HAALVAUASHO
*NOTLO VUAHU
où «r 11 11 min. 1
x Couronne boréale| 12-20. 5,0|732,41+22,9|t21,08+ 18,5|14,3
39% 4,5 7324 22,9| 20,8|+ 44,0|15,2
1.43.55,5|-74,5 . 2,2
8|[Soleil, 1er bord.. 9-11.13,29/— 342.16.55,7|- 5,6|732,9 30,7 Bord sup. au mérid.
x Vierge 15.17.34,62|- 0,06|+39,55| o. 4,8|731,8 .20,5|14,4
x Couronne boréale 15.25.42,67 - 0,32|+39,731331.30.55,7|- 5,31732,0 18,4| 9,2
æ Serpent 15.37.12,36!- 0,16 +39,77/851.50. 6,2|- 4,9 43,7115,8
3 Serpent 12.4 o 2); 4,0|732,1
51 e Ophiuchus. . 17-22.30,73 + 34. 0,7|- 5,7
x Ophiuchus 17-28.19,50 — 4x
58 D Ophiuchus.. .[17-34.41,79l+ o,o1 .20. 43
3 Sagittaire. : 17.38. 0,06 .29.10, 5,3
4 Sagittaire 17.50°52,85|4 0,02
y= Sagittaire 17-36.23,82 0,07 29. 7.48,5|- 7,6 732,2
3 Petite Ourse S../
0,43[+39,60320. 7.37,o|- 6,3
Saturne, 22° bord, 2 4 0,01 21.25.46,2|- 4,7 : Centre à 38m 56°
(XVIIL. 282 Piazzi).| 10.99. 0,03
Jupiter, Centre... .|19: 3. 71H ooi! * 21.43.54,5|- é Au méridien.
44 g' Sagittaire... . 0,01 16,52.35,0|— 3 5
G Taureau 17e 0,32|439,76/330.17.55,5|-
} 0,17|+39,741351.23.10,2|—
3 Petite Ourse I..4| 0.25. 265.23. 1,5|- 5,8 Très-faible.
x Grand Chien....| 6.58. 0,02|+40,00| 15.14.39,5|—
a® Gémeaux.....3| 7-25.13,07)- 0,36|4+40,10|326.32.27,2{— ù of+ Ondulante.
x Petit Chien ....2 - 4: 0,15|+39,90/353. 8. 5,7|- g|t: Id.
G Gémeaux....... .36. |- 0,32+39,90|330.21.57:7|-— 5,6 a
Mercure, 2tbord.| 5.17. 6 338.22.55,2|- Centre au méridien.
9[Soleil, 1er bord...| 9-15. 2,55]— 0,22 343. 5.50,5|- 4,11732,1] 23,3| 22,9}+ 31,5 » |Bord inf. au mérid.
x Grande Ourse. .4|10.54.37,63|- 0,93|439,93|296.10.28,5|- 5,3 731,7] 23,5] 241 :5,7| 9,6] » |Niv.-or,43.
Vénus, 1 bord..3]|1 1.45.31,84]- 0,12 356.23.27,0 — 5,3 731, 23,8| 24,6{+ 51,0 » |Centre au méridien.
a Petite Ourse L...[13. 3.38,65 26715.12,3|- 6,1[731,41 24,0) 23,5! 53,7] 9,7| » | Moyenne de 2 obs.
x Vierge......... 13.17.34,90!— 0,06|+39,84] 9. 5.22,5|- 5,7 731,3] 23,8] 23,51+1.20,4[15,0| »
n Grande Ourse..2/13.42. 0,82! 0,60|+39,8/1308.40. 8,5|- 5,3 - 3,0/13,7| » [Nuages.
x Bouvier ....... 14. 9. 9,94] 0,26/+39,93 : »
B Petite Ourse...….. 14.51.50,37)— 1,74[#+40,29/283.58.37,5|+ 6,1/731,1} 23,8| 24,0] 29,o|10,1! »
« Couronne boréale|15.28.42,91|- 0,32|+39,99|33r.31. 1,2/- 5,3|751,1] 23,5) 23,24 :18,5114,6| »
æ Serpent........ 15.37.12,06!- 0,16|+40,08|351.50. 8,o|— 5,9/731,1] 23,5] 23,04 43,6/16,5| »
{x Scorpion. ...... 16.20.27,73|+ 0,04[+40,05| 24.48.r9,0o|- 6,1173r,1] 23,0] 22,3]+2.45,4|12,7| »
| Hercule........ 16.29.43,70f- 0,48 316. 0.10,5[-— 5,5 21,81+ 3,2 »
u' Scorpion ...... 19.41.55,11/+ 0,12 36.25.10,0|- 4,9 21,1]+7.44,6 »
lu? Scorpion... ... 16.42.23,27|+ 0,12 »
{27 # Ophiachus. .. 16.50.55,08|-— 0,18 349. 8. 9,b[- 6,4 + 29,9 »
132 Ophiuchus..... 16.56.37,12 10,22 344.26.19,0[- 5,61731,1] 21,5 20,9}+ 33,4 »
51 e2 Ophiuchus.. .|17-22.31,051+ 0,02 22.34, 0,7|- 5,6[731,1| 21,5] 20,8]+2.26,7 »
|æ Ophiuchus...... 17.28.19,70$— 0,20/+40,031346. 4.51,5[- 6,1 + 35,6|12,2| »
58 D Ophiuchus.. .|17-34.42,13l+ o,ox 20.20.13,0[— 5,9 42.11,0 »
3 Sagittaire... .... 17.38.21,55}+ 0,06 26.29. 8,2|- 5,7 19,81+3. 4,7 »
|4 Sagittaire... . ... 17.b0.53,29|+ 0,02 20.3r.35,0|- 4,8 19,8 +2.26,6 »
|y2 Sagittaire. . ... :| 17.56.24,22|+ 0,07 29. 7.46,2|- 5,3/731,1} 22,0] 19,7 +3.41,7 »
là Petite Ourse S..3/18.24. 4,63 | 272.11416,0|- 4,7173v:2) 22,1 19,61- 45,8l10,1| »
53
Observations faites à la lunette
méridienne en Août 1842.
| 4 PASSAGE FORTS L'MOYENNE | =
| a NOM CONCLU Fe : cd des Z
el Lu é
# DES ASTRES. ; lt] Lx È
FIL MÉRID. | nent. | pendule VERNIERS. |
| L. m, s.
Ml Eyre.......2 18.32.19,01|-
| Saturne, Centre. ..|18.38.21,06[+ 0,02 21.26. 7,7|-
| 1x Orion. ::-,--3 5,47.19,52[- 0,17[+40,00|351.23.10,7|-
| |3 Petite Ourse I..4| 6.23.47,12 265.22.58,2|—
| a Grand Chien....| 6.38.52,82|- 0,02|+40,37] 15.14.40,5|-
| |x2 Gémeaux..... 4| 7-25.13,88]- 0,36[+40,381326.32.29,5|-
| [x Petit Chien... 7.31.43,50|- 0,15/+39,96[353. 8. 6,51- 6
| 8 Gémeaux....... 7.36.20,971- 0,32/+40,18]330.21.56,7|-
Mercure, 2e bord.| 8.25.28,84]- 338.38. 8,0|-
10o/Soleil, 1e bord..4| g.18.51,32|- .34,2|—
BEEN... 20 11.41.42,02|- ,0l-
y Grande Ourse. .4|r1.46.1x,99|-
Vénus, 1er bord. ..{|11.49:43,461- 356.54.11,5|-
æ Petite Ourse 1..2|13. 3.42,26
œ Vierge. ..,..... 13.17.35,30)- - 9. 5.20,5|—
n Grande Ourse...|13.42. 0,92|- 0,60|+40,00|308.40. 8,5|- 5
B Petite Qurse..... 14.51.56,29|- 1,741+40,29|283.58.38,2|—
x Serpent,,...... 15.37.12,98]- 0,16/+40,42|351.50. 9,0|—
u Serpent........{15.42. 6,45|- 1.41.59,7|-
12|Soleil, 1er bord...| 9.26.26,87|- 343.58.39,2|-
x Couronne ...... 12.28.43,95|- Eÿ NE) LE
x Serpent........ 15.37.13,b0]— :H9-4D:7|—
æ Scarpion....... 16.20.28,69|+ 24.48.15,5|—
« Hercule........ 16.29.44,58|- 316. o. 9,2|-
36 4 Ophiuchus...{17. 6.23,43|+
x Hercule....,,.. 17. 8.171,14) 344.xx.13,7|-
y Serpent... ......|17.12.41,62]- 11.25.45,7|—
x Ophiuchus...... 17-28.20,70|- 071346. 4.55,0|-
58 D Ophiuchus...|17.34.43,27|+ 20.20.14,5|-—
3 Sagittaire... .... 17.38.22,65|+ 26.29.13,0|-
4 Sagittaire... .... 17.50.54,33|+ 22.31.34,0|—
y° Sagittaire. ..... 17.56.25,28|+ 29. 7.49,0|-
à Petite Ourse S. .4|18.24. 3,70
LÉ CROUE 18.32.20,11|- 0,43|+41,16|320. 7.33,7|-
Saturne, Centre... |18.37.45,14]+ 0,02 21.26.56,0|—
Jupiter, Centre... .|19. 1.39,72|+ 0,02 21.46.32,;|-
MOTO das. 3.47.20,54]- 0,17 +40,931351.23. 9,5|-
x Petit Chien..... 7-31.44,71f- 0,15|+41,02]353. 8. 3,2|-
G Gémeaux....... 7.36.21,89)- 0,32 +41,031330.21.59,7|—
Mercure, 2e bord. 8.49.34.79|- 339-39.36,0|-
9-30.13,61|-
11.41.42,97|-
11.46.53,01|—
13. 3.44,65
0,22 343.45.12,2|—
0,22|+41,11]343.18.30,9|-
0,70|+41,04]304.12. 7,0|-—
EMon.--. 5.2.
7 Grande Ourse. ..
« Petite Ourse I...
x IVIErRe... - 13.17.36,26|- 0,06|+41,24] 9. 5.22,2|- /,5
n Grande Ourse...|13.42. 2,09]— 30|—
B Petite Ourse. ...|14.51.56,83|- 1,74]441,19|283.58.36,2|-
8 Couronne bor...|15.22. 3,07] 0,34 329. 6.46,0|-
| |« Couronne bor..4|15.28.44,09— 0,32|+41,24]331.31. 0,2|-
| TG; 1er bord..... 15.33.30,39l+ 0,02 22.36. 9,5l-
THERMOMÈTRE.
REMARQUES.
NOILOHUUOD
*“AULAHNOUVH
"NOILO YU AU
‘a104 ang ag11
‘NAYLVAUISIO
Au méridien.
Niv.—or,64.
Centre au méridien.
Bord sup. au mérid.
Centre au méridien.
41717279
5,3|727,8
1917277
Ondulante.
Bord inf. au mérid.
SOI ES
NI © 10 O1
ve
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=
Au méridien,
Id.
S S ss
Centre au méridien.
5
Bord sup. au mérid.
5
Um RO E M OUPS ES O1 O1 O1 ©1 QT
Qc © O1 QUI Hs em ht ©
5,5|738,0 »
5,0|737,8 »
4,6 »
5,9 + 18,5 » [Nuages. \
6,:11937,7 22,2]+2,30,0 » |Bord sup. au mérid.
13
NOM. -
L.
6
[=]
a DES ASTRES.
L. PRE
x Grand Chien....
a Petit Chien......
B Gémeaux.......
Mercure, 22€ bord.
14|Soleil, 1er bord...
a Petite Ourse I..3
n Grande Ourse ...
G Couronne boréale
« Couronne boréale
œSerpent. .-.....
GvEtbord "+.
Ophiuchus......
MHErCUIE, se - ce
6 Ophiuchus......
u'Sagiltaire......
à Petite Ourse S..3
Saturne, Centre...
RAHOMR- CUT Te
« Grand Chien....
æ Petit Chien......
B Gémeaux......
n Grande Ourse...
h: mm. 56, s. s. D. Deull rt
œ Serpent........ 15.37.13,72]- 0,16|+41,20 351.50. 3,2|— 5,9
36 4 Ophiuchus...|17. 6.23,87[+ 0,05
œ Hercule... .... 17. 8.11,66!- 0,2
Serpent. ....... 17.12.41,98!— 0,04
58 D Ophiuchus...|17.34.43,b1[+ 0,07
3 Sagittaire... .... 17.38.22,95|+ 0,06
4 Sagittaire....... 17.50.34,71l+ 0,02
y° Sagittaire Eva it et d 17.56.25,64
à Petite Ourse S..3|18.24. 3,35
x Lyre sole eistoin 2 18.32.20,21 _
Saturne, 22° bord. 3|18.37.34,45|+ 0,02
Jupiter, Centre... .|1g. 1.19,17|+ 0,02
GIBIER A. eee « 14. g.11,88)— 338.45.35,o[— 5,3[735:9
B Petite Ourse ....|14.51.b7,631- j
15.37.1462
16.32.35,4:
x Bouvier. ...... 14. 9-13,26]— 0,26|+43,34
2° Balance ..... .|14.42.55,24|- 0,03|+43,40! 14. 7.48,5|— 5,3 733,9
G Petite Ourse ..….|14.51.59,03|- 1,74/+43,45/283.58.36,5| - 4,7 753,9
G Couronne ...... 15.22. 5,11]- 0,34 329. 6.48,2|— 5,5
æx Couronne ...... 15.28.46,17
æSerpent.,. +... 15.37.1
eee 47:23,6
3 Petite Ourse [..4| 6.23.48,2t Moyenne de 2 obs.
z Grand Chien. ..2| 6.38.57,05|—
x Gémeaux...... 7.251173 +
x Petit Chien..... 7.31.47:65À- Ondulante.
54
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
CORRECTION
de
ee
MOYENNE THERMOMÈTRE.
des
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
REMARQUES.
“neaaIu Up
NOILO4UUOO
l'instru-
ment. | pendule.
“AULANOUVA
*NOILOVUAAU
‘104 na nat
“UAILVAUAISUO
VERNIERS.
Centre au méridien.
Id.
6.38.54,361- 0,02
Ond. Niv.+0P,10.
Centre au méridien.
Bord inf. au mérid.
Ondulante,
Id.
344.45. 6,o- 3,8[737.5
267.15.14,0|- 5,7 730,1
13.17.36,96!- 0,06[+41,95| 9: 5.21,o[— 4,9
13.42. 2,71]- 0,60 +41,851308.40. 7,0|- 4,6
15.28.4495 =
Bord sup. au mérid.
272.11.13 7|— 4
2ta7 00.6 45 735,7
736,2
Moyenne de 2 obs.
Au méridien.
18.37.23,41|+ 0,02
v,17|+42,87|351.23.11,2|— b4
6.38.55.821- 0,02[+43,26| 15.14.38,5|- 4,4
; 31- 0,15|+42,g0l353. 8. 8,0|- 457 ;
7-36.23,89|- 0,32|+42,99 330.21.59,2|— 5,3 736,4
Ondulante.
Bord sup. au mérid.
0,06/+43,441 9. 5.21,5|- 5,
13.42. 4,231 0,60|+43,39l308.40. 8,2|— 4,7
338.45.34,0l— 5,21734,0
55
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
PASSAGE SRE ER 2 z THERMOMÈTRE. Be. = £
o NOM re Sr HRRENRIE 2 a = 5 n
: Male Miele ae NÉ il É
_ ot 7 ES EN LES LES GES ET ES OA E
h2 m2"s s. s. onrt 0 o o rot 2 HE
B Gémeaux....... 7-36.25,11|- 0,32|+44,18/330.21.57,2 +20,81+ 17,4/13,5| B. [Ondulante.
6 Soleil, rer bord...| 9.41.32,90-— 0,22 344.40.51,2|— 5,9/734,0l+24,1| 23,314 33,6 » [Bord sup. au mérid.
æ Petite Ourse 1...|13. 3.48,35 57.15 24,3| 25,71 53,7|11,5| » [Moyenne de 2 obs.
L æ Vierge......... 13.17.39,44/- 0,06|+44,45 24,4] 25,9/+1.18,0|10,0| »
, n Grande Ourse. ..|13.42. 5,19{— 0,60|+44,37 — 3,6l12,7| »
Bouvier, .... de 14. 9-14,90!- 0,26|+44,451338.45 32,7|— #4, 24,7| 25,414 26,1/14,7| »
| æ&*? Balance....... 14.42.56,34E 0,03[+44,51 24,8| 25,1/+1.37,9|14,3| »
B Petite Ourse ....|14.52. o,o1!- 1,741+44,50 25,0- 29,0|13,2| »
à æ Couronne boréale|15.28.47,45|- 0,32|+44,65{: 24,5] 25,114 18,2|16,7| »
œ Serpent........ 15.37.17,02]- 0,16|+44,55135r1.50. 4,7|- 4 24,5| 25,ol+ 43,5/15,4| »
æ Scorpion.....,. 16.20.32,13]+ 0,04[+44,55] 24.48.21,0|— 4 23,8| 23,6/12.47,6/18,2| »
c Hercule. ......, 16.29.48,14 — 0,48 ) 23,5]+ 3,2 »
æ« Hercule........ 17. 8.14,70]- 0,22|+44,55|344.11.15,5|- 5,5 + 33,0l16,1| »
y Serpent........ 17.12.45,14]- 0,04 22,8[+1.28,6 »
5x e2 Ophiuchus. . |17.22.35,67{+ 0,02 +2.26,5 »
æ Ophiuchus....., 17.28.24,40f- 0,21|+44,81 »
y: Sagittaire... 17.56.28,86|+ 0,07 29. 7.46# 22,7| 19,41+3.43,5 »
p' Sagittaire, .... 4|18. 5. 7,98[+ 0,01 19.49.45,0|- 3,2 +2. 8,9 »
{ à Petite Ourse S..3/18.24. 6,25 »
1 Guetbord, -.. 4. 18.28.17,31|+ 0,03 23.54.38,5|— 4,1 +2.39,1 » |Bord sup. au mérid.|
s Sagittaire. ...... 18.35.55,871+ 0,03 23.53.30,o|[— 5,3 22,6| 19,1]+2.30,1 » .
s Sagittaire... .. .[18.46:7,21|+ 0,05 25.12.35,5|- 3,7 +2.b2,4 »
r Sagittaire ...... 19: I.11,01/+ o,01 20. 0.11,5|— 3,8 22,5| 18,3l42.10,4 »
DrAigle..-....... 19.39.33,70/- 0,18|+44,721348.31.27,2|- 3,4 22,4| 18,3[+ 39,5|14,0| »
| Ë F2 LT CHOSE 3119.43.53,20/- 0,17|[+44,65|350.18. 1,0[— 3,5 + 42,2l12,8| »
BAAiGle Des de 19.48.22,06!- 0,15|+44,741352.44.23,5|- 3,6 22,4| 18,114 46,0|17,2| »
æ' Capricorne... .|20. 9.42,38|- 0,05|+44,71 »
a? Capricorne ....|20.10. 6,r0!- 0,05|+44,51 17,41+1.31,4/10,6| »
æ Petit Chien ...., 7-31.48,831- 0,15|+45,061353. 8. 5,2|- 4,6 + 46,0/14,0| » |Très-ondulante.
G Gémeaux.......| 7.36.25,99/- 0,32|+45,04/330.21.59,7|— 5,6 24,4| 21,6|+ 17,3/14,3| » Id.
\ »
17|Soleil, 1er bord...| 9.45.18,28]- 0,21 24,21 94,3|+ 34,6 » |Boïd inf. au mérid.
| |x Petite Ourse 1..3/13. 3.52,00 24,8| 26,4]- 53,4|r0,8| »
æ Vierge... ...... 13.17.40,36!— 0,06 +45,38 26,3/+1.19,7|14,9| »
n Grande Ourse...|13.42. 6,13! 0,60|+4 24,9| 26,2|- 3,6/r1,1| »
æ Bouvier........ 14. 9:15,30!- 0,26[+45,411338.45.33,7|- 5,7 25,74 26,1|14,9| »
* |x2 Balance. ...... 14.42.57,22]— 0,03|+45,41 24,6| 25,1+1.37,7|10,9| »
B Petite Ourse ....[14.52. 0,85}— 1,74 445,42
x Couronne ...... 15.28.48,31/- 0,32|+45,531331.30.59,7|-— 4,9|732,1| 24,4| 24,414 18,3/13,8| »
æ Serpent........ 15.37.18,00!- 0,16|+45,55/351.50. 5,5|- 5,21532,1] 24,4| 24,414 43,5/15,0| »
æ Scorpion....... 16.20.33,171+ 0,04|+45,61 24.48.22,0|— 4,7 23,9| 23,3]+2.45,1/16,9| »
[E - Gilercule.…. ...... 16.29.49,221- 0,48 316. o.12,0[— 5,6 23,14 3,2 »
| n Ophinchus...... 17. 2. B,78]— 0,02 14.16.10,7|— 5,0 +1.39,7 »
| « Hercule. ...... 4117. 8:15,64{- 0,22/445,b11344.11.15,0|- 5,8 + 33,2l15,6| »
L 18 Ophiuchus...... 17.13. 8,53|+ 0,03 23.33.57,0|- 4,6 20,7 {+2.35,2 »
L |51 e2 Ophiuchus.. .|17.22.36,57|+ 0,02 22.54. 0,2|— 4,8 +2.27,0 »
| | x Ophiuchus...... 17.28.25,46!- 0,21|445,881346. 4.51,o[— 5,21732,2) 23,0| 20,7+ 35,7113,4| »
| p' Sagittaire... ... 18. 5. g,01{+ 0,01 19-49.20,0[— 5,2[732,5| 22,5| 19,6|+2. 8,4 »
| 3 Petite OurseS. .4|18.24. 7,63 272.11.14,1|— 3,9 18,7|- 46,1|11,4| » | Moyenne de 3 obs.
M2 0 Aîgle :....... 18.34.27,24]- 0,07 7-36.44,5|- 3,5/732,51 22,2| 18,6/+1.18,5 »
WE Sagittaire ...... 19- 1:12,09|+ 0,01 20. 0.14,2|- 4.9 +2:10,1 »
| 44 p' Sagittaire... . [19.13.20,5dk- o,o1 16.52.43,2|— 3,7 18,0]+1.52;7 »
56
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
CORRECTION [e] 3 1 LI [=]
a. © > HE E tm & o
3 NOM Pac de MOYENNE E 2 È THERMOMÈTRE. Ë ë
= 4 SE ai NO Rio des z ER nt di 2 3 Ê REMARQUES.
EL Ce STE Re Cie LE 7 Agua st 6E 3 2 = RO S |S
Ë CET: MNT ‘1 mm. o
€, 1er bord...... 19.22.47,19|+ 0,02 21.32.41,2|- 5,5 17,91+2:20,5 . [Bord sup. au mérid.
55 e2 Sagittaire... 19.34.18,8d[— 0,02 15.13.41,5|- 3,5 re +1.45,1 P
y'AÏGIE. ve taie. 19.39.34,62]- 0,18|[+45,651348.31.28,0!- 4,7 + 39.6|13,3
rie e o 18.10.35,0|— 35 732,6 17,1 +1.59,9
PER E 7:25.19,9 0,36|+46,70l326.32.29,5|- 3,8|733,7 22,3l+ 15,4116,8 Niv.—0P,44.
0,15|446.69(353. 8. 3,o|_ 40 L 450l143
Se à .36. 0,32|+45,641330.22. 0,7|- 4,7|733,6 22,8 17,2/16,1 x
— 0,20 345.50.47,0|_ 3,81133,2 24,41+ 35,0 Bord inf. au mérid.
267.15.15,2|- 5,5 — 53,8|10,8 Ondulante.
a Vierge. ........ 13.17.42,00|- 0,06|#47,03| 9. 5.22,0|- 4,9|732,1 24,21+1.20,2|15,6 Id.
n Grande Ourse. .4|13.42. 7,60!- 0,60|446,83|308.40. 6,7|- 3,51732,1 24,51- 3,6|11,9 Id.
x Bouvier........ 14. 9.16,841- 0,26|+/6,961338.45.33,7|_ 4,1|732,0 24,31+ 26,2|16,5 Id.
œ« Couronne...... 15.28.49,83 - 0,32|+47,07 331.30.59,5|_ 3,7[732,0 23,31+ 18,3/14,8
RE T Ai 15.37.19,42|- 0,16|+46,98|351.50. 3,2|_- /,8|732,0 23,21+ 43,6113,3
1 Ophiuchus...... 17. 2.10,24]— 0,02 14.16.10,01- 3,5 21,41+1.39,5
« Hercule........ 17. 8.17,30]- 0,22|#47,18|344.11.10,2|- 4,7 + 33,1|11,9
6 Ophiuchus...... 17.13.10,01|+ 0,03 23.33.58,2|_ ,4,2 +2.34,8
5x e2 Ophiuchus...|17.22.38,15|+ 0,02 292.34. 1,0|- 4,4 21,|+2.26,6
x Ophiuchus...., 4|17:28.26,72]- 0,211447,151346. 4.53,2|_ 3,8]732,3 + 35,6/17,0
58 N Ophiuchus.. .|{17.34.49,39|+ o,o1 20,20.12,0|- 3,3 +2.10,8
.|3 Sagittaire... ..... 17-38.28,73|+ 0,06 26.29.12,5|- 2,9|732,4 21,2]+3. 4,5
18.24 5 272.11.14,5|- 2,3 — 46,1|12,8
Sec io Dore 7-56.46,0|- 2,9| 732,5 19,3/+1.18,3 »
0,02 15.13.44,0|- 2,5 +1.45,1 »
DIASBIEr ent 19.39.36,00!— 0,18|+47,03|348.51.28,2{— 2,8 + 39,5/15,5| »
57 Sagittaire... ,.|19.43.52,51| o 18.10.34,7|— 1,3 +1.59,7 »
BAiele rec eie 19.48.24,341- 0,15[447,021352.44.21,5|- 2,61732,6 175l+ 46,0/16,5] »
GicMbord: "0. 20.14.20,93| o 18. 8.46,2|— 2,5 +1.b9,4 » [Bord sup. au mérid.
o* Capricorne... ,.|20.21.40,65 »
12 0° Capricorne. .|20.21./41,87 17.50.16,5|- 4,7 Hr.58,0 » |,
15 v Capricorne. ..|20.31.54,77| o 17.25.32,5|— 3,8 272|+1.55,8 »
« Grand Chien....| 6.39. o,60!- 0,02|447,93| 15.14.40,0|[- 3,0 733,4] 23,5| 22,41+1.43,3|12,9| »
Xe. +. 7.25" 0,36[+47,93|326.32.28,2|— 3,0 23,3|+ 13,3116,6| » |[Ondulante.
bee 7.32.51,€ 0,15|+47,541353. 8. 5,2|- 2,9 + 45,7/15,5| » Id.
sed .36.28,63/- 0,32[447,641330.21.57,8|- 3,31733,4) 24,3| 24,24 17,1114,3| » Id.
19|Soleil, 1er bord... 9.52.47,92|- 0,20 345.38.39,0|- 4,41732,7| 24,3| 25,714 34,5 » [Bord sup. au mérid.
20|Soleil, 1er bord..4| 9.56.31,79l— 0,20 345.58.10,2|- 5,31735,1] 26,8| 25,24 35 » Id.
a Couronne boréale|15.28.51,63]- 0,32/+48,911331.3r. o,o|- 4,0 73431] 25,0! 23,14 18,4/45,1| »
a Serpent. ....... 15.37.21,20|— 0,16/+48,79 351.50. 5,0|- 3,71734:1] 25,0] 22,74 43,8/16,4| »
3 Petite Ourse L..3| 6.23.52,34 » |Très-faible.
a Grand Chien....| 6.39. 2,24] 0,02|[#409,54] 15.14.42,2|-— 3,5]733,8) 24,9| 21,2l+1.43,8|15,3| »
a Gémeaux...... 7-23.22,74]- 0,36|+49,471326.32.28,7|— 3,8 22,ol+ 13,4|15,8| » |Ondulante.
& Petit Chien... ... 7-31.53,0b]- 0,15|440,19]353. 8. 5,2|— 4,3 + 46,0l14,6| » Id.
G Gémeaux....... 7-36.30,27|- 0,32|+49,23]330.21.58,7|— 4,7 733,7] 24,8| 21,5+ 17,3|13,9| » Id.
21|Soleil, 1er bord...|10. 0.1/,70]— 346.49.48,7|- 3,51732,7| 25,3] 23,114 36,4 » [Bord inf. au mérid.
œ Petite Ourse 1.../13. 3.55,65 267.15.15,0[- 4,5|731,41 25,1| 24,71 53,6|11,0| »
n Grande Ourse. . .|13.42.10,09|- 0,60|+/49,38]308.40. g,ol- 4,6|73r;1 25,3| 2481- 3,6112,6| »
œ Bouvier. ....... 14. 9:19,30]- 0,26|+49,461338.45.35,2|- 3,6]731,0 25,3| 24,2Ù+ 26,1118,3| »
«2 Balance. ....,. 14.43. 1,321 0,03|+49,56! 14. 7.470[- 4,4 23,71+1.38,0|12,8| »
B Petite Ourse.. 4114.52. 4,761- 1,741+49,651283.58.38,7|- 4,51730,9! 25,21 23,41 29,1111,7| »
57
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842.
nn PASSAGE M to MOYENNE | = 8 E THERMOMÈTRE. = mn | &
ac _ © L] =:
cuxcLu = pe | 2E| 2 [|] 5 | 212! Remarques.
DES ASTRES. Fi Liste la 5 à de Int. |lExts- = 8 |
FIL MÉRID-. ment. | pendule. | VERNIERS. 7 o m rieur. | rieur. £ 5 F
h. m,. s. s. s. 11
x Couronne bor. .3|15.28.52,17|- 0,32|4+49,461331.31. 2,2|- 4.1 +23,1l+ 18,3/17,1| B.
œ Serpent........ 15.37.22,00!— 0,16[+49,60l351.50. 5,0|— 4,2 23,1+ 43,6/15,8| »
x Hercule... +4.[17. 8.19,60]- 0,22/4+49,521344.11.13,2|— 3,7 730,9/+23,3| 22,24 33,0|15,9| »
x Ophiuchus...... 17:28.29,26|- 0,21|+49,731346. 4.52,5|— 3,6/730,9| 23,2] 21,7l+ 35,616] »
3 Petite OurseS. ,4{18.22.10,88 »
iplesases de 0,07 2,6 +1.18,4 »
3 Petite Ourse I..4| 6.23.50,64 » [Très-faible.
æ Grand Chien, ...| 6.39. 2,88/,0,02/450,15| 15.14.38,7| 3,5/730,7] 23,1| 20,8/+1.43,5/11,6| » |Niv.—oP,61.
a° Gémeaux. .,.,.| ÿ.25.23,42) 0,36/450,131326.32.28,;|- 3,6/730,7] 23,3] 21,5]+ 13,3/15,8| »
a Petit Chien... ,.! ÿ.31.53,79/- 0,15/440,911353. 8. 3,5|- 3,6 + 45,9l13,4
G Gémeaux,.... ,-| 7:36.31,07l- 0,32/450,00|330.21.57,2|— 3,4 730,7] 23,8| 21,71+ 17:2|13,6| »
Nadia. se Le 132.34.19,6|- 3,3 » [Moyenne de 4 obs.
Soleil, 1er bord. ,.{10. 3.57,38|- 0,20 Ë 5,0|730,3 24,0| 23,9l+ 35,8 » |Bord sup. au mérid.
æ Petite Ourse I.,3/13. 3.57,68 267.15.16,5|- 4,6/729,3| 24,6] 25,8[- 53,3/12,3| »
œ Vierge. ss... 3/13.17.45,01!- 0,06|[+50,08| 9.15.19,0|— 3,0 +1.19,6|14,1| »
n Grande Ourse... |13.42.10,811— 0,60|+50,02/308.40.10,0|— 4,0|729,0| 24,5] 25,3] 3,6|14,2| »
œ Bouvier. ...... 14. 9-20,00!— 0,26|+50,18]338.45.33,2|— 2,8/728,9) 24,9| 25,2l+ 26,0|17,0| »
œ2 Balance ..... .[14.45. 1,96! 0,03[+50,22] 14. 7.49,0[- 4,2 24,31+1.37,5/14,5| »
B Petite Ourse .... 14.52. 5,29/— 1,74/+50,26[283.58.38,5|- 3,41;28,9] 24,9] 24,31- 28,9/12,7| »
æ Couronne boréale |15.28.52,95|- 0,32|+50,261331.31. 0,7|- 3,0 + 18,5/16,7| »
x Serpent........ 15.37.22,00]— 0,16[450,22/351.50. 4,2] 5,0 + 43,5l14,1| »
x Hercule......, 17. 8.20,32)— 0,22|+50,26]344.11.14,0|- 4,2 728,5] 23,3| 22,3|+ 33,0|17,3| »
x Ophiuchus..... 3117.28.29,81|- 0,21|+50,30|346. 4.53,0|- 4,4 728,6! 22,7| 20,714 35,5/10,4| »
x Grand Chien... .| 6.39: 5,56] 0,02|+50,81| 15.14.39,7|— 4,8 731,8] 23,7| 21,5/+1.43,5|11,5) »
a Gémeaux......| 7.25.24,o2|— 0,36|+50,70|326.32.25,0|- 4,9 22,2]+ 13,3113,7| »
œ Petit Chien ..... 7-31.54,45{ 0,15|+50,551353. 8. 7,5|- 4,9 + 45,8/16,0| »
G Gémeaux... ... 3| 7.36.31,57|- 0,32|450,48]330.22. 0,5|- 4,b|732,0| 24,3] 22,5|+ 17,2/15,6| » |Très-ondulante.
b3|Soleil, 1er bord... |10. 7.39,08|- 0,19 347130. 3,0|— 2,8|731,5].24:7| 25,4[+ . 37,0 » [Bord inf. au mérid.
a Grande Ourse...|10.54.48,55|- 0,93/450,89l296.10.31,2|— 3,6/731,4] 25,0] 25,9/- 15,6|10,0| » |
x Petite Ourse I..4|13. 3.57,48 207.15.17,1|- 3,7[730,6| 24,9] 25,8] 53,4113,6| » Moyenne de > obs.
n Grande Ourse...|13.42.11,29/- 0,60/+50,63|308.40. 9,5|- 3,8/730,5] 24,9| 25,3] 3,6/13,6| » |
x Serpent........ 15.37.23,28)- 0,16|+50,91|351.50, 7,8|- 3,8/729,9) 24,5| 24,21 43,4/18,7| »
x Scorpion....... 16.20.38,24|+ 0,04|+50,77] 24.48.23,2|- 4,6|729,9l 24,0] 23,5]+2.44,5/16,2| »
» |x Hercule......,.. 17: 8.20,go|- 0,22|+50,85|344.1 1.10,7|- 3,5/730,1 23,5 21,7]+ 33,0|13,8| »
x Ophiuchus...... 17:28.30,50]- 0,21|+51,00|346. 4:49,5|- 3,2 + 35,5|14,;2| »
y Dragon......,. 17.53.50,42]- 0,63|+50,93|307.15.31,0|- 3,4]730,ol 23,1] 20,9 5,0/10,2| »
à Petite Ourse S..3|18.24. 10,78 272.11.14,0|- 5,0 — 45,9/10,7| »
Ro Aigles. ...:..#. 18.34.32,38|— 0,07 7-56.48,2|- 3,4/7209,0| 22,8| 18,9/+1.18,1 »
« Grand Chien. .,.| 6.39. 4,o8l- 0,02|451,30] 15.14.38,0|- 3,71729,51 23,7| 21,61+1.43,0 10,5] »
a? Gémeaux...... 7.2b.24,40l-— ,0,36|+51,05|326.32.28,7|- 3,6 23,1l+ 13,2,15,5| » |[Ondulante.
x Petit Chien ...,.] 7.31.54,85}- 0,15|450,931353. 8. 7,5|- 4,7 + 45,5,15,9| » 1d.
G Gémeanx....... 7-36.32,09/— 0,32|+50,97|330.22. 2,5|- 4,9/729,21 24,5] 23,ol+ x17,1/17:1| » Id.
24 |Soleil, 1° bord... .|10.11.20,60/— 0,19 347:18.44,0|- 4,9|728,0] 24,4] 24,2l4+ 36,7 » |Bord sup. au mérid.
a Petite Ourse 1..4|13. 3.55,96 267.15.19,7|- 5,51726,3] 24,8] 25,2] 53,2 14,2| » ,
œ Vierge. ........ 13.37.46,08[— 0,06|+51,141 9. 5.20,0|- 3,71726,2! 24,9] 26,0!+1.19,1|14,1| » Très-ondulante.
n Grande Ourse..4|13.42.11,78/— 0,60|451,14]308.40.10,7|-— 4,61725,7| 25,2| 25,21 3,6113,8| »
a Bouvier........ 14. 9.20,98]- 0,26|+51,18/338.45.3/,0|- 4,1 Ta5D 25,1| 25,3]+ 25,8,16,2| »
125|x Couronne bor..4|15.28.54,21]- 0,32|45r,58|33:.31. o,2|- 4,5 726,6] 25,0| 24,414 18,1114,5| »
a Hercule... .... 17. 8.21,681- 0,221+51,66/344.11.11,51- 3,81527,9l 23,71 21,614 32,9! 13,6! »
58
Observations faites à la lunette méridienne en Août, Septembre et Octobre 1842.
5 Nom PASSAGE (OASEAU MOYENNE | = 8 È THERMOMÈTRE. 3. ë È
© M. 74 ee 5 [=] = =
Ë CONCLU pi dés 22 £ = E É REMARQUES.
æ DES ASTRES. Re l'instru-| la 2e = = ARE
FIL MÉRID. ment. | pendule | VERNIERS. ol # Co = 5
T& 3. 8. S é 121 s u ‘1 [1]
æ Ophiuchus....,. +51,781346. 4.53,5]- 4,5|727,2 35,4116,9
27|Soleil, 1er bord... . 0,18 248.21. 1,0|— 5,3|720,7 38,5 Bord sup. au mérid.
n Grande Ourse.,. 0,60/+52,811308.40. 9,ol— 3,41729,2 3,7|12,7
x Bouvier. ....... 0,26/452,751338.45.35,0|- 4,8]729,2 26,3|16,8
3 Petite Ourse S..4 272.11.15,2|— 3,2 46,1114,3
LPyre AR ENTREE 0,43|+52,97/320. 7.34,5|- 4,1|730,0 72|15,1 ,
Jupiter, Centre.... 0,02 21.53.23,0|— 4,7 730,0 Au méridien.
pe +2.-22,9
18,0/+1.44,7|13,6
18,0l+ 46,5|16,r
+ 17,4 16,6
x Grand Chien....
æ Petit Chien......
BG Gémeaux.......
Ondulante.
Id.
Id.
0,02|+53,28] 15.14.38,5|— 3,2|731,5
0,15/+53,10/353. 8. 5,2] 3,3]731,4
0,32|+53,21/330.22. 0,5|- 3,4
349.13.51,2|— Per
28|Soleil, 1er bord...
31|x Persée. ........
Bord inf. au mérid.
Ondulante.
0,18
0,59/+55,00
2|Cercle Est, Niv.-2Pr,47. Le fil méridien est de 3P,73 à l'Est de la mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Ouest, Niv.-4P,52. Le fil méridien est de 7r,90 à l'Est dela mire.
Le 4 Septembre la pendule a été enlevée pour être nettoyée; on a posé le pilier en pierre sur lequel elle a été fixée de
nonveau le 10 Octobre.
Le 13 Octobre la lunette méridienne a été démontée pour nettoyer le tourillon du côté du cercle, et le bord intérieur des
deux cercles, les travaux faits pour l'ajustement de la pendule ayant occasionné beaucoup de poussière.
13 Octobre, Cercle Ouest, Niv.—7P,82. Le tourillon de l'Est a été abaissé de 107.
14 Id. Niv.+1,70.
18 Id. Niv.H1,48.
28 Id. Niv.+1,42. Le fil méridien est de 1P,5 à l'Ouest de la mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+4,28. Le fil méridien est de 5,65 à l'Est de la mire.
On laisse l'instrument le cercle à l'Est.
31 |Soleil, 12° bord...|14.20.11,40|+ 0,33 12.32.42,5|+ 0,3|737,5] 11,3| 7,8/+1.38,1 » |Bord sup. au mérid!|
PEN CODEN 19.38.56,69[+ 0,22|+ 9,15|348.31. 2,7|+ 0,6 + 41,5158,6| »
x Aigle.......... 19.43.16,39|+ 0,22|+ 9,23|350.17.36,0|+ 0,7 + 44,3157,5| »
BAIE. ent 19.47.45,131+ 0,24|+ 9,18/352.43.51,2|+ 0,8/737,1] 8,4| 6,ol+ 48,3154,6| »
æ' Capricorne... .|20. 9. 5,78[+ o,32|+ 9,36] 21.43.35,5|+ o,5 7371] 8,0! 5,6[+1.35,8/51,5] »
x? Capricorne . ...|20. 9-29,70l+ 0,32|+ 9:37 p
s'" Capricorne... ..|20.21. 1,3o]+ 0,36 17.50. 1,7] © 5,342. 41 k
12 0* Capricorne. .|20.21. 2,62|+ 0,36 »
15 v Capricorne. .3|20.31.15,60|+ 0,36 17.25.10,0|+ 0,8 +2. 1,8 » [Ondulante.
z Cygne. .......,[20.36.14,15]+ o,11|+ 9,31 à
c Verseau. ....... 20.39.19,87[+ 0,30 8.48.31,0|+ 0,6 5,2[+1.25,8 »
u V erseau........120.44.20,23]+ 0,30 8.18.36,2|+ o,1|737,2] 7,6 5,21+1.24,2 »
8 Capricorne... ... 20.57.16,36[+ 0,35 16.35. 8,o[+ 0,7 +1:57,5 %
13 Verseau... 21. 1.11,62]+ 0,31 10.44.32,0|+ 0,7 4,9[+1:32,5 »
29 s Capricorne, . .|2r. 7-12,52]4 0,34 14.33.20,2|+ 0,6 +1:47:9 »
32 : Capricorne. . ,|21.13.39,32]+ 0,35 16.13.59,7|+ 0,2|737,2] 7,5] 4,ol+1.56,1 D
B Verseau... ... 4[21.23.26,89|+ 0,29 k
B Céphée........ 21.26.46,071+ 0,071+ 9,041588.53./0,5l+ 0,2 4,5 25,2/54,51 »
59
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre et Novembre 1842.
RE ELLE TT
PASSAGE LME C 8 z THERMONÈTRE. ES = A
NOM CONCLU D NE s 3 8 2 É 3
" del BE il 5 | 21%] remarques.
DES ASTRES. Len SE VERNIERS. | = = 2 Inté- | Exté- 5 3 |2
2 Le rieur, rieur. 2 mi 7
3 Capricorne. .... 15.34.16,1|+ 0,3 + 5,81+1.53,0 B
u Capricorne . .... 13. 1.30,0| o +1.41,6 »
18 J Pégase...... »
œ Verseau........ 359:49.32,o[+ 0,61737,4[+ 7,2| 3,5l4r. 2,5152,7| »
0 Verseau........ 7-18.13,7|+ 0,7|737,4] 7,2| 3,3l+r.2r,7 »
y Versean......:. 2 ; 0.55.15,0[+ 1,2 3,ol+r. 5,1 »
n Verseau........122.27.26,85}} 0,27 359-40.15,7|+ 6,9] 2:9l+1. 2,3 »
À Verseau........ 22.44.35,05|4 0,29 g-20,40| 0 6,9| 2,9/+1.21,4 »
x Pégase......... 22.57. 6,49|+ 44.23.25,5| o 2,414 36,0/55,7| »
y Poissons... ..... 23. g.11,4D|+ 356.19.18,2|[+ 1,4 + 556 »
y8 b: Verseau...2|23.14.52,97|+ »
10 Poissons. ...4|23.20.10,11|+ 353.13.53,7|+ 6,9| 2,0l+ 49,9 »
2/4 Petite Ourse 1.../13. 3.47,60 267.15.26,2|- 11,8] 5,2)- 57,0/56,2| » |Niv.+3P,29.
3/Soleil, 1er bord...|14.31.53,58[+ 0,33 14. 2.34,2|— 13,11 5,5l+1.43,2 » [Bord inf. au mérid.
a Hercule........ 17. 7.33,50]+ o,20|+ 4,981344.10.53,2|- 1134] G,1l+ 34,6157,7| »
y Dragon. ....... 17.53. 1,19]+ o,10|+ 4,70/307.15.15,5|- 1,4 10,7| 6,2 5,2154,5| »
a Aigle........ ..[19-43.11,97f+ 0,22[+ 4,86/350.17.36,2|— 0,2 5,o!+ 43,5155,9| »
B Aigle.......... 19-47.40,2514 0,24|+ 4,641352.43.51,7|+ 8,9| 4,9+ 47,5154,6| »
o' Capricorne..... 20.20.56,94[+ 0,36 17.50. 3,7|- 0,6 4,5|+2. 1,9 »
12 0° Capricorne. .|[20.20.58,20l+ 0,36 »
15 Capricorne. ..|20.31.11,10]+ 0,36 17.25.11,0| 0O +1.59,7 »
e Verseau........[20.39.15,17|4 8.48.26,7|— 0,3 +1.24,4 »
Ju Verseau........ 20.44.15,69[+ 0,30 8.18.35,7| o 8,4| 3,8]+1.22,9 »
9 Capricorne... .|20.57.11,66|+ 0,35 16.35.11,0[- 0,2 +1.55,2 »
13 y Verseau..... 21. 1, 7,03|+ 0,31 10.44.34,0[- 0,3 +1.31,0 »
29 s Capricorne. ..|21. 7. 7,96[+ 0,34 14.33.20,2|- 0,2 3,81+1.46,0 »
32 « Capricorne. ..|21.13.34,70]+ 0,35 16.14: 0,7| o 8,2| 3,8/+1.53,8 »
8 Verseau... ...121.23.22,47|+ 0,29 »
G Céphée........ 21.26.41,95+ 881288.53.43,0|- 0,7 3,8[- 24,8 56,7| »
3 Capricorne... ... 21.38.27,24|+ 0,34 15.34.15,5|+ 0,3 +1.48,1 »
x Andromède....4| 0. 0.22,83|+ 0,16|+ 4,661330.31.56,5|— 714l 3,14 18,5153,7| »
y Pégase. ........ o. 5.15,15|+ »
a Petite Ourse S..4| 1. 3.43,84 270.18.15,5|— 6,8| 2,5] 51,5/55,5| » |Nuages.
a Petite Ourse 1..4|13. 3.44,53 267.15.25,7|— 14,0| 3,of- 57,3155,4| »
n Grande Ourse...|13.41.23,02]+ 0,11|+ 3,59[308.40. 4,7|— 14,3| 3,0 3,9/52,0| »
4|Soleil, 1er bord. ..|14.35.49,28|+ 13.48.55,7|- 0,3|7 13,3| 4,0l+1.42,5 » |Bord sup. au mérid.
6|xLyre.......... 18.31.38,48[+ 0,13|+ 2,00/320. 7. 7,o[- 0,3|7 49| 1,7 7:6153,0| »
12|x Petite Ourse 1...|13. 3.32,00 267.15.27,0|- 2,3|729,b] 8,5|+ 9,0 56,6/52,5| »
18/x Petite Ourse 1...|13. 3.19,40 267.15.33,2|- 47 740,0] 7:7|- 0,5k- 59,4151,7| » |[Ondulante.
a Vierge. ......:3|13.16.39,65|+ 0,31 k 9- 4.47,5|- 3,0 0,0!+1.28,5|50,3| » Id.
n Grande Ourse . .3|13.41. 4,604 o,11/-15,09/308.40.11,0|- 3,6|740,0] 7:7| oo! £,0l49,5! » Id. Niv.+3r,26.
a Bouvier ...... 214. 8.14,17l+ 0,19/-15,02|338.45.26,2|- 5,0/740,5j 12,0|+ o,2]+ 28,8/155,7| » Id.
B Petite Ourse . . .3114.50.54,60[+ 0,07
a Couronne boréale 15.27.46,02|- 0,10
—14,71/283.58.46,0|- 4,0
— 31,9/50,7| » Id.
—15,31/331.30.51,2|- 3,0
+ 20,0155,6| » Id.
19/Soleil, 1er bord. . .|15.36.26,20[+ 0,37 18.27. 9,5[- 3,11740,0] 13,6|+ 1,3]+2. 9,6 » |Bord inf. au mérid,
Vénus, 1er bord. . .|18.13.19,90[+ 0,43 26. 2.12,0|— 2,9|739,3] 14,5|+ 1,71+3.13,8 » |Centre au méridien.
à Petite OurseS. .1118.22.50,50 272.10.56,0|— 3,3 + 1,7] 49,5/49,2| »
mibyre...BE cel 18.31.20,78|+ 0,13/-15,50|320. 7.15,0|- 3,8|739,3] 14,514 1,71 7,7155,2| »
7 Aigle.........,119.38.31,7514 0,22|-15,54/348.3r. 6,of- 4,1 + 42,3[56,6| » |Ondulante.
*sunor
126
(27
60
Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 1842.
NOM
DES ASTRES.
€ Verseau
u Verseau.....
…
..
8 Capricorne....,
13 » Verseau
29 s Capricorne...
32 , Capricorne...
B Verseau.....
B Céphée.....
3 Capricorne
u Capricorne .....
18 A Pégase...
x Verseau.....
Q Verseau.......:
y Verseau,....
n Verseau.....
N Verseau....
œ Pégase......
x Andromède. ...
y Pégase. .s...
4x d Poissons..
x Cassiopée
à Poissons.....
x Petite Ourse S..
23 Poissons
83 r Pégase
w Poissons
æ Cassiopée... ..
.…
..3| 0.12.16,
1.
23 19 72 Poissons . …..
ä Poissons........
39 Andromède. ...
a Petite Ourse S..
4 Bélier.......
œ Triangle.....
a Bélier....,..
« Petite Ourse I
B Céphée
à Capricorne
u Capricorne...
18 À Pégase...
a. Verseau,....
8 Verseau. ...,
y Verseau.....
4 Verseau.....
41 d Poissons
x Cassiopée ...
8 « Bélier... .....2
57 y Andromède..3
0
CORRECTION [e] = a =
PASSAGE de MOYENNE | = a 7 JTHERMOMETRE. a 5
CONCLU 5 À 2 =
| des 2: æ = —_— 2 =
au 8 ? Œ- 2 à
: l'instru-| la VERNIERS. | © = 3 + J'inte- | Exté- = 3
FIL MÉRID: | ment. |pendule. j £ ei ÉUe Eu e =
- - s. s “OR On: ! " ä 2]
A
19-42.51,27|+ 0,22|-15,64/350.17.35,5|- 3,3 + 45,1/52,5
19.47.20,01|+
4120.38.54,77|+
20.43.55,13f+
0.40.17,81|+
1. 3.125,61
23.38. 1,31|+
23.44. 4,82|+
23.44.21,06|+
4|23.50.54,14l4
0.31.17,98|+
0.40.11,89|+
0.53.45,88|+
NE RTE
1.14. 3,32]+
1.30.52,46|+
1-39.20,00!+
1.43.48,33|+
1.48:26,32|+
1.53.57,00!+
1.57.59,861+
13. 3. 4,50
0.12, 4,15
0.31.11,42
F+
0,24|-15,70/352.43.50,2|— 3,8 739,2|+13,0|+ 1,2|+ 49,2|48,7
8.48.26,0[- 3,2
0,30 8.18.34,2|- 2,9|-38
0,35 16135. 5502 807 9
0,31 10.44.33,7|- 3,7
0,34 14.33.17,7|- 3,5
0,35 16.13.57,5|- 3,5 738,8
0,29
0,07|-15,70/288.53.42,5|- 3,6
0.34 15.34.11,0|- 2,6
0,33 13. 1.27,2|— 3,0
0,24 352.46.55,7|— 3,4
0,27|—15,85/359.49.36,2|— 2,9|738,5
0,29 7-18.15,7|- 3,4
0,20
0,27 359.40.12,0|— 3,4
0,30 6.31.28,0|— 3,0
0,20/-15,711344.23.23,5|— 3,0|738,3
0,16|-15,70/330.31.57,0[- 4,0|737.8
0,20/-15,941344.26.30,0l- 3,4
0,23 351.25.54,5|- 3,6
303. 5.20,0|— 4,5
0,24 352. 1.16,2|— 3,3
270.18.10,7|- 3,5]737,6
0,26 356. 8. 2,7|- 3,5|721
0,26 57.571250 — 4,7 NY
0,26
0,26 352.45.26,2|- 4,4|721,5
0,28/-21,68|303. 5.14,5/— 4,8|72r,1
0,26 352. 1.:16,2|- 4,8
0,24 318.15.36,5|- 4,7
0,23 323. 4. 4,5|- 4,7[721,0
0,24 343. 8.52,5|— 4,8
0,24 342.34.58,2|— 3,5
0,23 329.56.46,0|- 3,5
0,24 341.42.22,0|— 4,5
0,24 317-15.17,0|- 4,7
0,23|-21,78]336. 2.22,2|— 4,7|720,5
267.15.33,2|- 5,0|720,7
0,43 —27,50 288.53.42,0[- 3,5 720,6
0,31 15.34.16,5|- 3,8
0,30 13. 1.31,7|— 4,2|720,5
0,26 352.46.55,7|— 4,7[720,5
0,27|-28,10}359./9.36,5|— 3,7|720,4
0,28 7-18:18,0|- 3,6
0:55.16,0|— 3,8/720,1
359.40:17,5|— 3,5|720,0
0,26 351.25.59,2|— 3,5|719,8
0,28/-28,171303. 5.15,0|- 4,41719.8
41.2
o,6|+1.2
0,7 +1.5
o,6|+1.3
+1.49,6
0,6 +1.57,7
o,5]- 2
41.5
+ 49,5
o,2]f1.
0,0|]+1.22,8
0,5|+1.
1,0/+1.2
o,9l+ 3
2,0 :
751$
7»2|*
EL Li
701+ 137
6,5|+ 1,64 2
6,2l+11,51- 5
9,2[+ 2:0]- 2
+ 2,7/#15
8,2|+
8,2+ 1,3l+ 4
7:4\+ 0,Bl+1.
+ 0,6}+r.2
6,2|+ ol+r.
6,2|+ o,2|+r.
74
5,7
1
41
5,6153,r
45 ©
3,3153,3
3,1
0,7
4,8155,2
7:5|50;7
4:39 53,6
1,2
1,31+1.40,2
8,1
1,7[50,8
0,6
41
134
5,5|- 1:24 46,3
5,51 1,3k
9,6151,8
"UAALVAUASUO
REMARQUES.
Très ondulante,
Très-ondulante.
Ondulante.
Très-faible et ondul.
Ondulante.
Id. Niv.+3r,68.
Id. et faible.
Id. F0
14:°:- ds
Id: Id.
Id. - Id:
Id. . sidi
Id. |
sé Gael Deer mers RL EEE
61
Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 1842.
CORRE
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
NOM
DES ASTRES,
à Poissons........
39 Andromede....
72 z Poissons....2| o.56.21,32]+ 0,25
x Petite Ourse S..1| 1. 2.57,63
LORS Joe ee 4| 1:13.56,83|+ 0,23
28|x Aigle.......... 19.42.36,93]+ 0,24
INT EEE 2119.47. 6,10]+ 0,25
Abu oc Ut 20.35.34,33|+ 0,24
B Céphée....... 4121.26. 5,341 0,43
3 Capricorne. ....|21.37.52,52l4 0,31
u Capricorne ...., 21.44.14,00|+ 0,30
18 A Pégase... ... 21.51.47,65|+ 0,26
n Verseau....... 4|22.26.47,69|+ 0,27
N Verseau....... 22.34.32,71]4+ 0,28
A Verseau: : .:42 22.43.55,73|+ 0,28
y8 b1 Verseau. ...|23.14.13,82|+ 2
8 Poissons........ 23.19.30,91|+ 0,26
17 « Poissons... ... 23.31.23,29|+ 0,26
192 Poissons... .|23.37.52,90|+ 0,26
23 Poissons ......|23.43.56,26[+ 0,26
w Poissons......, 23.50.45,95[+ 0,26
x Andromède...., 23.59.47,74]+ 0,23
y Pégase. ........ o. 4.40,35|+ 0,24
39 Androméde. . .4 0.53.37,27|+ 0,24
72 z Poissons.. ..| 0.56.19,45|+ 0,25
a Petite Ourse S..3| 1. 2.56,69
* Poissons,3+14°50/| 1.11.50,29]+
nn
glx Petite Ourse 1..2|13. 3. 4,08
mAVierse. 3113.16.22,22|+
n Grande Ourse...|13.40.46,541+ o
B Petite Ourse ....|14.50.35,95|+ 0,99
Mercure, 1er bord. |15.22.13,55|+ 0,27
x Couronne boréale |15.27.28,28|+
o|Soleil, 17 bord....|16.22.46,86[+ 0,26
| |x Petite Ourse 1..3|13. 3. 5,22
DNA PE tciee 4|13.16.20,24]+ 0,27
n Grande Ourse. .4|13.40.44,68|+ 0,41
B Petite Ourse ....|14.50.34,05|+ 0,99
æ Couronne bor. .4|15.27.26,37|+ 0,29
Mercure, 2e bord..3|15.28,11,6814+ 0,27
CTION
MOYENNE
des
“HUaAu up
NOILOHUMNO9
VERNIERS.
—29,89|350.17.40,2|-
—29,52/352.43.56,2|-
—29,73|314. 2.17,2|-
—20,71/288.53.40,7|-
15.34.15,7|—
—30,13|330.31.56,7|-
—30,08|3/44.26.32,0|-
351.25.58,7|—
-30,11/303. 5.13,2|—
323. 3.55,2|-
g. 4.59,0|-
334 308./0.16,7|-
—32,70|283.58.49,0|—
16. 2.48,0|-
267.15.34,5|-
—35,08| g. 4.57,0|-
—35,03|308.40.19,2|—-
—34,60|283.58.51,0|-
-35,00
THERMOMÈTRE.
ee —
Jate- | Exté-
rieur. | rieur.
“HNLANOUVA
*NOLLOYUAHU
2,3|718,5
2,6
2,3[718,5
. 7,8[+10,3[+1.24,0
8,7 +1 1,3 — 30,3
+1.50,6
11,8|+12,2]+ 19,0
11,3|+12,3]+2.13,2
3:7|73754
4:9|737:9
90 7,0l+1.56,3
8,2|+10,7|- 3,8/E
REMARQUES.
‘2104 na art
"MAAILVAUISUO
- [Ondulante et faible.
Très-faible.
Centre au méridien.
Bord sup. au mérid|
Faible et ondulante.!
|
Ondulante.
Niv.+4P,19.
Centre au méridien.
62
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842.
*‘synor
1[Soleil, 1er bord... .
D
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
NOM.
DES ASTRES.
B'Aiglent.. .. 2 a
a Capricorne ....
3 Capricorne .,...
u Capricorne... 40Ï+
18 À Pégase......|21.51.41,91}+ 0,26
x Verseau........ 21.57. 7:03 + 0,26
4 Verseau........ 22. 7.57,29[4+ 0,26
y Verseau... .....[22.12.57,35|4 0,26
n Verseau......., 22,26.41,99/+ 0,26
N Verseau....... 22.3/.26,87
À Verseau... .:. 22.43.50,131+
a Pégase. ........ 22.56.21,43|+
y Poissons... ..... 23. 8.26,491+
98 b* Verseau... .4|23.14. 7,901+
17 « Poissons. ..., 23.31.17,49|+
19 2 Poissons. ...123.37.47,25|4
Uranus, Centre...|»3
w Poissons. ......123.50.40,13|+
23
a Andromède. ...3|23.5g./42,01
y Pégase. ........ | 0. 434,45
41 d Poissons. ... | 0.11.56,29|+
39 Andromède...4| 0.53.31,651+ 4
-2 z Poissons ..... 0.56.13,87[+ 0,27
x Petite Ourse S....| 1. 2.44,00
* Poissons,)+14° bo/| 1.11.44,80|+
ASE 3} 1.13.48,97|+
x Petite Ourse 1..4|13. 3. 3,91
3 Petite Ourse . ... 14.50.31,b7 + 0,99
+ Couronne boréale 15.27.24,2014 0,29
Soleil, 1er bord. ..[16.31.20,84
INR ASIE 0e 19.35. 9,49
MHAiple RER. . ht 19.42.29,23
x Cygne.......l..\20.35.26,3;
98 b'Verseau....|23.14. 5,66
3 Poissons........ 23.19.23,0t
17 « Poissons... ..[23.31.15,09
19 72 Poissons ....123.3-.41,89
Uranus, Centre... 23.39.56,07 +
w Poissons ......, 23.50.37,81|+
XXIIL276Piazzi)3|23.57.51,18
x Andromède...., 23.39.40,00!+ 0,29
DIPÉPASE. te eiele
4x d Poissons. .... o.11.44,21|+
x Cassiopée... .. 0.31. 1,68{+ 0,46
39 Andromède...3 0.53.29,59l4 0,34
722 Poissons. ...3| o.56.11,71/+ 0,2
a Petite OurseS..4| 1: 2.42,73
CORRECTION
MOYENNE
des
neaAiu np
NOILOHUHOD
*“AULANOUTA
pendule.| VERNIERS.
1
132.23.57,0|- 4,1
-35,61]348.31. 8,2|- 4,2|737,6
-35,60|350.17.41,0|- 4,1
-35,90/352.43.58,7|- 4,0/737,6
35,48] 11.45.59,5|- 2,8|737,6
15.34.21,0|— 3,5
13. 1.347 — 3,5 737,6
352.46.57,5|- 4,4
-35,62|359.49.36,5|- 5,0|737,6
7:18.19,0|— 4,1
0.55.19,5|— 4,1|737,8
359.40.21,0|— 3,8
6.31.31,2|- 4,0
7. 9-21,5|- 3,6
À —35,65[344.23.27,0|- 4,11738,0
356.19.21,0|— 3,7
19.41. 6,7|— 3,2
353.58.29,0|— 3,7|738,2
1.40.46,0|— 2,9
352.45.23,0|— 2,5
344.26.33,0|-— 3,
343. 8.49,5|- 3,51738,4
267.15.35,0|- 5,3]737,9
—37,00/283.58.54,0|- /,21738,0
—37,22 331.50.55,5|— 47
20.25. 4,5l- 3,8[738,2
757,8
1
5:
ses
OU & Wu
|
no
]
Qc
©
—37,761330.31.54,0|-—
344.26.35,0|-
351.25.57,0|—
-37,63/303. 5.12,5|—
318.15.35,0|-
344.39.10,2|-
Gr Gr Go Ur Ur ©
SJ
Go
S
Re
1
©
SI
A
M
+
[e]
+
M
tn
SCD QS EF Qt OF + 0 O2
20.48.23,5|- b,o 737:9|t10.3|+ 6,7|+2:
»
ii
m
*“NOILOVUAAU
4,3| » |[Ondulante.
5|,9,9| » |Très-ondulante.
53,9] » Id.
41 » Id.
REMARQUES.
‘3104 na nat
"UAILVAUISIO
B. |Bord inf. au mérid.
» [Moyenne de 6 obs.
» [Au méridien.
» |Bord sup. au mérid.
» |[Ondulante,
» [Très ondulante.
63
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842.
NOM
DES ASTRES.
BiMerseau... 2.7.
BiCEphée 0"
« à
à Capricorne
x Capricorne... ...
18 À Pégase......
33 « Verseau... ...
ñ Verseau........
} Verseau........
ENT COCOON
x Cassiopée
œ Petite Ourse S...
19lx Cygne.........
B Verseau........
B Céphée
9 Capricorne
am Nierseau... .. +2.
n Verseau......, 3
N Verseau. ...., 4
y Poissons. : . +.
98 b' Verseau...,
8 Poissons......,.
17 « Poissons .....
19 #2 Poissons .. .4
23 Poissons.....,
83 r Pégase. ...
w Poissons. ......
(XXIII.276 Piazzi)4
æ Andromède.....
4 js
y Pégase........ #
41 dPoissons.....
x Cassivpée ......
q Poissons .......
ax Petite OurseS..2|
x Ophiuchus......
BiCypnet er.
Cercle Est, Niv.+3r,46. Le fil méridien
Cercle Ouest, Niv.+oP,17. Le fil méridien est de 3v ,42 à l'Est dela mire.
PASSAGE
CONGLU
au
FIL MÉRID,
19.42.19,53
.[20.35.12,67
21.22.25,91
21.25.43,27
21.37.30,76
21.43.52,52
21.51.25,91
21.57. 5,86
22.11.1041
22.26.26,07
22.43.34,21
22.56. 5,48
0.30.47,51
I. 2.209,09
20.34.44,71
21.21.58,19
21.25.15,17
21.37. 3,0
21.56.23,97
22,25.58,08
22.33 43,24
22.43. 6,37
22.55.37,64
23. 7.42,69
23.13.24,20
23.37. 3,49
23.43. 6,78
.. [23.43.23,40
23.58.58,20
o. 3.50,82
O.11.12,73
0.30.19,90
0.39-14,05
1. 1.356,67
17.26.16,86
19.41.45,13
19.46.14,01
20.34.42,07
CORRECTION
nt SE
l'instru- la
ment.
© © O0 © © © © © © © © © ©
OMONOMOEOMNOMOMOMNONCMOMNOROMOMNOMOMO)
OMOrOMOLQ
(e]
© ©
de
MOYENNE
des
VERNIERS.
HCDAIU np
NOILOHYUOD
peodule
—51,461350.17.46,5
-51 44
—51,66
[
288.53.46,5
15.54.21,5
. 1.36,0
—79,20 288.53.46,2
15.34.21,0
—79,371359.49.41,5
_9,52|344.23.33,0
356.19.27,9
353.58.31,0
356. 8. 2,0
-79;49/303. 5.20,2
352. 1.20,0
est de 3P,80 à l'Est de la mire.
On retourne l'instrument.
‘AULANOUVH
7 GI
THERMOMÈTRE. Er ñ
= e
> 5
Oo ea
#3
Inte- | Exte- 5 8
rieur. | rieur. 2 ñ
o o DSTI 11
9,6[+ 1,0f- 25,5156,9
+1.54,0
+1.49,6
+ 49,3
+ o,41+1:19;7
+1. 2,9
8,2] o,0]+1.22,1
73|- 0,5] 9,8/6:,9
15,54 3,ol+ 1,5/59,0
13,7/+ 2,5)- 25,5|57,4
+1.54,2
12,614 1,7l4x. 3,2159,3
+ o8f+1. 3,1
+ 0,5]+1.22,5
11,7[+ 0,414 36,5/61,3
+ 56,
+ o,1]+2.18,5
o,of+ 5o,o
+ 51,9
+ 55,9
F4,2739
49,7
38,3[62,4
44,5|60,6
48,6162,0
1,5|60,2
On laisse l'instrument le cercle a l'Ouest.
‘UNAILVAUISUO
REMARQUES.
Bord inf. au mérid.
Ondulante.
Id.
Niv.+3P,05.
Faible.
Nuages.
64
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 182.
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
NOM
DES ASTRES.
(*) 72 z Poissons. .3
æ Petite Ourse S..2
* Poissons,9+14° 5o/
essuie A
x Bélier......... 2.39.11,82]—
œ Baleine .....:.. 2.52.44,27|-
Soleil, 1 bord..4|17.54.12,30]—
œ Verseau........ 21.56.19,07|—
y Verseau........ 22.12. 8,57]-
n Verseau........ 22.25.53,01-
À Verseau........
& Poisson austral. .[22.47.33,81
23.13.19,20|
23.18.36,35|—
37 « Poissons.....
19 rm Poissons . ...|23.36.58,37|-
23 Poissons ...... 23.43. 1,68]
83 r Pégase...... 23.43.17,96|-
w Poissons....... 23.49.51,17
(XXII. 276 Piazzi).|23.57. 4,60]
x Andromède. .... 23.58.53,16|-
y Pégase......... o. 3.45,60l-
4x dPoissons..... O.11. 7:59 —
€ Cassiopée....... 0.26.51,82|-
œ Cassiopée....... 0.30.14,541
à Poissons........ 0.39. 8,75]
39 Andromède...4| 0.52.42,66|-
72 z Poissons.....
« Petite Ourse S..4
* Poissons,9+1 4° 5o!
" Poissons....... 3
103 Poissons...... 1.29.49.82|-
« Triangle........
BEUBÉMEL--.-.-./4
(*) A ob 50%, la lunette méridienne a été heurtée près de l’oculaire, ce qui a changé l'erreur d’axe optique et le lieu du pôle
CORRECTION
de
0,25
0,26
[+]
MOYENNE | © 2
des 21e
vERNIERS. | ©
DE
2
9 u 11 [1]
354.49.49,5| o
302. 3.53,5|- 0,2
280.54.44,2| o
281.59. 5,7| o
282.32.58,0| o
—82,33/289. 5.36,2|- 0,3
28b.50.47,7|— 0,3
285.32.5b,0|- 0,3
283.23. 4,0|- 0,3
287.39.18,5- 0,3
285.42.58,0| 0
283.11. 7,0| o
o
342.40.29,7|+
0,32|-84,57/265.18.11,2|+
0,33
264.12.32,0|+
265.27.30,5|+
258.36.19,5
257.58.33,5|-
0,51|-85,17|235.58.36,0
0,27
0,33
0,43
—84,941280./44.24,0
268.48.30,0|—
245.26.44,5|-
271.53.56,7|-
271. 9-29: |-
268.59.56,7|—
287.10.29,7|-—
272.22.30,5|-
-84,90/294.31.55,0|—
—85,10/280.41.25,0|-—
273.41.56,0|-
273. 6.42,5|-
307.52.21,2|—
280.28.47,2|—
354.49.49,5
302. 3.50,7|—
280.54.47,7|—
281.59. 8,2|—
282.32.58,0|-
295.11.10,5|-—
283.25.38,5|-—
0,2
Ve)
: THÉRMOMETRE
La) ee
3 Inte- Exte-
+ 2,6[+
741,7l11,0|+ 2,6[-
741,9l 10,414 1,41
749) o1|+ 18
740.6] 12,9[+ 4,0
739.6] 11,8|+ 3,o]-1
+ 234
+ 2,0
739,3] 1:,3|+ 1,8]-
LATE à
+ 0:7
739,2 10,2|+ 0,8|-
7392] 9:9|+ 0:41
+
— o,2|-
739,4] g,1[+ oùf+
"NOTLOYUAHU
“4104 na n411
MAALVAUASUO
sur le cercle ; pour cette raison on a laissé de côté les observations qui avaient été faites avant la secousse.
REMARQUES.
Bord inf. au mérid.
65
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842.
$ = Q = 7 = =]
RRECTION = me _
ne PASSAGE ME de MOYENNE |=© | 2% [rurruonèrne. Ë 5 | £
c a) E El 2
CONCLU 2 > =
. 7, des 2 ë =} 2 = £ REMARQUES.
DES ASTRES. : l'instru- la £ 2 = Inté- | Exte- = 3 :2
FIL MÉRID. ment. | pendule VERNIERS. g æm rieur. | rieur. & à £
b. m. s. s. s.
aBélier........, 4! 1.56.56,841- 0,25 —85,17
n Bélier .......,. 2. 2.38,06|- 0,26
22 @: Bélier...... 2. 8. 0,82|- 0,26
d Bélier......... 2.20.49,20|- 0,26
y Bélier.......... 2.28.31,541- 0,26
& Bélier. ........ 2.32. 8,36|- 0,26
286.50.51,2|_
285.32.59,0|- 0,6
283.23. 1,0|— 0,3
287.39.20,0|— 0,3
285.42.56,2|— 0,6
r Bélier. ........ 2.39. 9,30 0,26 — 35,2 »
78l- 1,3]+1.37,7158,4| »
ce .25. 99l- 1:7|- 34,1153,3| »
........ »
B Orion......... 41 5. 5.36,49/- 0,35|-85,70|258. o. 6,2|- 13,3/- 1,3]-1.22,6158,0| »
G Taureau........ 5.14.59,50]- 0,24|-85,631294.50.24,0|- 0,5
g Orion... ..... 5.22.26,07]- 0,32 205.57.47,7|- 0,7
OTON. ss ssh » 5.26.51,77 - 0,32 5
x Colombe ..... | 5.32.34,97l- 0,53
HOrEn--E.--E 5.38.55,511- 0,36
x Orion........ 41 5.45.17,21]- 0,29/-85,78
Dragon. ...... 1] 5.51.30,13[+ 0,25/-85,75] 34.44.35,0| o
Gémeaux..."...| 6. 0.31,78]- 0,24 290.49.16,0|- 0,
3 Petite Ourse I...| 6.21. 2,54 359.45.15,7|[+ 0,6
a Grand Chien....| 6.36.50,44]- 0,40|-85,78/2/9.53.30,0|-
+6.54,3/60,9| »
12,3|- 1,4]- 22,9 »
#1. 3,6157,7| »
13,9 1,8]-1.53,7153.5| »
x? Gémeaux.. ... 298.35.39,0 + 0,2 = 14,6155,r| »
x Petit Chien..... 7-20.41,40|- 0,29|-85,81/272. o. 7,0] o — 5o,3/60,2| »
G Gémeaux....... 7-3410,11]- 0,24|-85,61/294.46. 7,5] o 14,0/— 1,0f- 18,9/55,4| » |Niv.+opP,25.
a Verseau........ 21.56.16,17|- 0,32|-87,461265.18.14,5|+ 12,9|+ 3,8]-1. 2,3158,3| »
y Verseau... ..... 22.12. 55 - 0,33 264.12.33,0|+ 0,8 1. 4,9 » |[Faible.
n Verseau........ 22.25.50,37|- 0,32 265.27.35,5|4 0,8 + 3,2l-1. 2,1 »
17 « Poissons. ....|23.30.26,03|- 0,30 271. 9.29,0|+ 13,0|+ 2,9/- 30,9 »
19 m Poissons . ...|23.36.55,57]- 0,32 268.59.52,0|+ o,g +u,7/- 55» »
23 Poissons ...... 23.42.59,00|- 0,29 287.10.30,0|+ 0,3 + 1,7|- 27,6 »
83 r Pégase..... 4123.43.15,34]- 0,29 »
w Poissons....... 23.49.48,59[- 0,30 272.22.32,2|— 0,5 + 1,8l- #90 »
(XXIIL. 276 Piazzi).|23.57. 1 68 — 0,24 294.31.46,0[+ 0,2 - 18,9 »
x Andromède..... 23.58.50,42]- 0,24|-87,62 »
y Pégase......... 0. 3.42,96l- 0,27|-87,72/280.41.24,2|- 0,3 + 1,9]- 36,0/60,1| »
4x dPoissons..... o.11. 4,89f- 0,30 273.41.58,5|- 0, 12,0[+ 1,7] 46,6 »
. [6 Cassiopée.......| 0.26.49,16[- 0,22 »
œ Cassiopée....... 0.30.11,86[- 0,23|-87,68]322. 2.42,5|- 0,8 + 1,414 9:9/58,6! »
3 Poissons.....,.. 0.39. 6,19[- 0,30 273. 6.40,0|- 0, - 478 »
39 Andromède...4| 0.52.39,73|- 0,22 — 5,8 »
72 z Poissons..... 0.5b.22,22]— 0,27 — 36,4 »
x Petite OurseS..3| 1. 1.490,71 10,8|+ 1,3]+ 52,761,1| »
* Poissons,3+14° 5o/| 1.10.53,16|- 0,27
L ICS ERA À 4| 1.12.57,30]- 0,23
302. 3,57,0| o
n Poissons....... 4| 1.21.39,18[- 0,27 280.54.50,0[- 0,5 - 35,9 »
105 Poissons... ... 1.29.46,98|- 0,27 281.59. 9,7|- 0,3 + 0,6|- 34,4 D
k Bélier... ...... 1.38.14,46|- 0,27 282.33. o,o[- 0,5 — 33,7 »
x Triangle........ 1.42.42,78]- 0,23 295.11. 9,5|- 0,2 — 18,3 »
8 « Bélier... ...... 1.47.20,96|- 0,26 283.25.37,2|- 0,3/735,3| 10,2| o,o|- 32,6 »
g: Bélier … COCER PR 2. 7.58,14]- 0,26 285.32.59,2|- 0,5|735,3| 10,0/- o,1l- 29,8 »
ÿ Bélier....,....,| 2.20.46,58]- 0,26 283.23. 3,7| o — 32,6 .
y Bélier..,...,,.,| 2.28,29,041- 0,26 287.39.21,0l- 0,1 - 0,5] 271 D
16
66
Observations faites à ‘la lunette méridienne ‘en Décembre 1842.
CORRECTION
4 PASSAGE MOYENNE 28 2 TUERMOMÈTRE. 3 2
£ NOM: coxCLU ee — | = = 2 8 |
: Lo Es Ce BASS UN 2 |£
a DES ASTRES. x É 53 cl a E
FIL MÉRID. geadule} venniens. | F5 | à |
ts dés
b. or. s. PE LT 0 11
& Bélier... . .. - .} 4] 2.32., 5,71 285.42.56,0|- 0,2
æ Bélier .......1.. 2.39. 6,60}- 283:11, 9,7|- 0,1
B Petite Ourse 1..4| 2.49.42,96|+ 0,35[-87,27| 11.32.53,714 0,9
œ Baleine......!.: 2.52.38,89|- —87:92 269.51. 9,7| 0
B Petite OurseS.. .|14./49.42,25|- —88,75[341. 8.58,0| o 2 Ondulante.
x Ophiuchus...... 17.26. 9,12]- 0,27|-80,44[279. 3.12,5/4 0,2 13,44 2,o[- 38,0/53,0 Niv.+or,25.
y Dragon. ....... 17.51.26,53|- 10,23 —89,82 317.52.25,5| ‘o 14,0l4 3,61+ 5,3/59;,1
23|Soleil, rer bord...|r8. 2.59,90]- 0,55 243.13:20,7|+ 14,1[+ 4,6[+2:29,3 Bord sup. au mérid.|
miGygnes..-1:..E 20.34.34,411- ‘0,22 =89,71
25|x Balance. ..... .|14-40.36,00!- 96,84 | «
B Petite OurseS..4|14.49.34,31+ 0,47 96,03 341. 8.58,0| o
æ Couronne boréale|15.26.25,68|— 0,12|+96,62/293.36.54,5| o
a Serpent. .....1.. 15.34.55,59|- 0,27|-96,91/273.18. 1,0] 0 £
æ Ophiuchus... ... 17.26. 1,72] 0,23|-96.85|279- .14.,5|- | » [Niv.FrP,05.
y Dragon. .....!.. 17.51.19,15 +0,06 +96,92 | » [Ondulante.
26|Soleil, 1er bord... .[18.16.12,44]- 0,55 1,2
AIRES OO Le 18.29.50,20!— '0,04]-96,81/305. 0:30,2|— ‘1,4
À Verseau... .....[22-42.48,50)- 10,39 257.58/29,0|- ‘+,0
x Poisson austral. - AE — ‘0,64 <97,65 235.58.33,7 2
» |Bord inf, au méfid.
AREAS ce ce 22.55.19,90]- 1 0,21|297,39/280.44.24,0f- 1,5
y Poissons... ...!., 23. 724,09 — 0,30 ? 268.74 246,5 - L'é
98 6: Verseau. ...|23.13. 6,60]-'0,52 245.26.44,7|- 1,8
8 Poissons... .. :..129-18.23,71] lo,27 271:53.52,0 E x,4]72
17 « Poissons. ..3|23.30.16;16]- 0,28|,
19 m Poissons . .. .[23.36.45,7;|- 0,30
Uranus, Centre. ..3|23.3943,87|- 0,34
23 Poissons... .!..|23.42149,00!— 0,24
83 r Pégase. .. :./123.43. 5,36/- 0,24
w Poissons..... L: 33.49.38,5 10,27
(KXIIL:276 Piazza). |23.56.5 1,78] 0,12
x Andromède.. .. .|23.58/40,28|— 0,12|-97,5
271. 0-28,0|— 2,4
268.59.52,2|- ‘2,3
263.38:14,7|- 2,3
» [Au méridien:
y Pégase... .... | lo. 3.82,90f-!0,21|-97,6
41 d Poissons. . . .| l0:10.54,85|-! 0,26
£ Cassiopée. .. :. 4 l0.26.39,24[F10,08|
æ Cassiopée . . . 4. .| 0.30. 1,72]+!0,11|-97.3
3 Poissons... ..:| 0:38.56,33|- 0,26
39 Andromède. .. À
72 z Poissons. . :./| l0.55.12,35/-' 0,21
« Petite Ourse S:.2| 1. 30:88
* Poissons,3+14° 5o/| !1:10.43,14[- 6,21
NE Re .4| !1.12.47,48[- 0,05
n Poissons... .. ! :.,|!1.21:29,27} 0,21
105 Poissons... !.: !1.29.36,98[—' 0,21
4 Bélier....., 4 1°] x.38! 480 ‘0,20
a Triangle ....!,.|l1.42,32,87| o,x1
8 « Bélier... .:,:|l1.47.10,08[— 0,19
y Andromède. . :.3|!1.52.45,44[- 6,02 11307:5643,2[- ‘2,3
x Bélier.......:.. 156.44 14 0,15|-97;73[589. 5:39,0[-°2,3
n Bélier... ....,.! "la. 2,25,54)— o.1 11286.50.50,0|- 2,3] !
DrBélier.....08." Ty 748,28 F- o 18 ‘1285.32:56,7l-'r,8[728;2
67
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842.
NOM
‘sunor
DES ASTRES.
piBélier...-
T Bélier Use cela ns
G Petite Ourse I..4
x Baleine........
29|G Cassiopée...... 4
œ Cassiopée
d Poissons.......,
39 Andromède. . .4
72 z Poissons. ..,.
æ Petite Ourse S...
n Poissons..... ..
105 Poissons
æ Triangle. ......
8 2DÉLEÉL A. 2 00 + 2
y Andromède.....
æ Bélier
Mn BENET.
GuBélier:--.:.::.
BG Petite Ourse 1. .4
œ Baleine........
1|« Andromede. .. .4
MiPépase. 7...
œ Cassiopée. .....
x Petite OurseS...
y Dragon....... 417.51. 9,01
CORRECTION
PASSAGE 4
CONCLU
au
la
pendule.
l'instru-
went.
FIL MÉRID,
b. ms s
2.28.18,98l— 0,17
2.31.55,70{- 0,18
2.38.56,90!- 0,18
2.49.33,31)- 0,47
2.32.29,03|— 0,29
3. 1. 4,10! o,18
3.10.56,40|- 0,53
0.25.31,33]4
0.29.54,15{4 o,11
0.38.48,65|- 0,26
0.b2.22,11]- 0,02
0.55. 4,641- o,21
I. 1.21,20
1.21.21,7D|- 0,21
1.29.29,56|- o,21
1.37.56,96]- 0,20
1.42.2B,27/- o,11
1.47. 3,46f 0,19
1.52.33,98|- 0,02
1.56.36,68]- 0,15
2, 2.17,96!- 0,1
2. US = © 18
2.20.29,16|- 0,19
2.38.49,28]- 0,18
2.49.26,59- 0,47|-104,96
2.52.21,55|- 0,2g/-105,20
3. 0.56,58]- 0,18
17.25.b1,84]—
23.58.27,83|-
0. 3.20,34]- 0,21|-110,19
0.29.48,86|+ o,11/-110,11
1. 1.13,10
MOYENNE
des
VERNIERS.
281.59. 7,0
282.33. 1,0
269.51. 8,b
285.30.23,0
o|Soleil, 1° bord... .|18.33.47,60|- 0,55 243.29. 8,7
x Céphée....... 1/21.13. 0,65l+ o,18 —107,06 328.17.13,7
B Céphée....... 2/21.24.46,581+ 0,32|-107,00 336.14.13,0
œ Verseau........ 21.55.56,23|- 0,32|-107,35/265.18.14,7
a Andromède....3123.58.30,51|— o,12|-107,31
y Pégase. ........ 0. 3.23,02]— o,21|-107,52|280.41.2/,0 — 2,0
a Cassiopée.. . 0.29.51,60l+ o,11|-107,39l322. 2.47,5 - 2,2
322. 247,7
354.49.57,0
NEDAIU up
NOILOHUUONY
*AULANOUVH
THERMOMÈTRE.
. REMARQUES.
Exte-
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Niv.+1v,55.
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Oh Om +58016
Avril 25 47°,08 42/,9
28 47,13 43,8
29 47,28 44,4
Mai 10 46,89 37,7
15 47,04 40,9
16 46,9: 35,6
18 46,86 37,2
23 38,2
29 47,0b 42,0
uin 2 47,24 35,8
4 46,77 36,5
6 47,06 42,0
11 47,25 42,9
Moyenne. 47,05 40,00
| } Pécase
Oh 5m 111048"
anv. 29 6,16 19,7
Juin D 6,24 17,0
| 6,45 16,7
Nov. 3 6,3
19 6,27 17,5
69
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
æ& ANDROMÈDE.
ob am 428013!
Janv. »9 13°,95 5,5
Févr. 5 13,78 5,5
g 13,86 1,9
IL 13,91 2,0
Mars 4 13,77 1,0
14 13,78 9,1
Avril 21 13,83 4,6
Nov. 3 13,98 6,
19 13,92 9,2
28 13,78 3,6
Déc. 1 13,98
2 13,97 8,8
19 13,98 4,4
21 13,97 254
22 13,90
26 13,80
30 13,98
3r 13,96
Moyenne. 13,89 4,62
B Cassrorée P.S.
ob Om +58016/
15 475,15 43,5
16 46,96 43,5
26 46,85 39,
3 47:04 40,3
5 47,04 38,7
Mai
uin
Moyenne. 47,01 40,9b
B CassioPée P.I.
y Pécase Kw x CassioPéE P. S. (suite). à Poissons. M' (suite).
5m 4qois" 0N51m 455010" Oba0m 46015" Ah{am 455004!
Nov. 28 #5 ,39 16/,2 [Avril 28 345,71 10!,0 [Nov. 19 205,37 21/,7 [Déc. 21 20,523 51,8
Déc. 1 6,39 15,3 [Mai 14 34,70 13,6 23 29:36 25,6 22 20,12 12,5
2 Le di D a 2917 24,1 26 20,28 13,3
19 à 1 14,7 28 29,35 22,0 =
21 6,35 :9,4 17 34,64 12,6 |Déc. 19 2941 23,2 Due sn
= PL a Le 34 Fe au 29,26 a n Poissons,
2 28 14,0 2 »72 10 22 29,39 25,7
30 6,34 18,1 28 34,89 11, 26 Ut 26,7 4h25m 444051!
31 6,3r 30 34,79 13,6 29 29:19 27,7 [Déc. 20 2,10 41",t
Moyenne. 6,33 17,21 | : 31 cn 13,0 Moyenne. 29,33 24,95 eu 240 e
uin 2 72 22 À ;
41 d Poissons. 3 34,75 11,4 39 Anprowèpr. 26 2,16 46,8
oh{2m 47018! ; STE ue Oh5am +11029! 167 OR
e , 2 Î
Nov. 19 285,32 44!!,2 8 3403 er Nov. 23 25,82 ue Moyenne. 2,16 44,14
RC 9 HG 18! 7 Ag 83] 105 Poison.
? 7 Le 99 > ? ?
Déc. 1 28,21 40,7 4 375 "86 EE ee se re H5936!
2 28,11 43,6 34,75 2 ,06 38,2 [Nov. 23 95,60 :/,7
19 28:23 418 à : Le 14,4 21 2,85 38,7 Déc. I 9:99 2,6
21 28,28 41,4 [Nov. 19 k 84 22 2,60 45,8 20 9,78 4,1
22 28,24 44,8 24 3480, 1311 26 2,87 41,9 21 10,02 6,1
26 28,12 40,7 27 3471 11,6 29 2,2 43,4 22 9,86 7,9
Moyenne. 28,25 42,42 28 34,76 10,8 [Moyenne. 2,80 41,08 26 972 ;
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25 34,84 13,4 20 20,30 6,7 [Déc. 21 43,69 39,0
70
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
8 « Bézxer (suite).
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26 43,70 36,0 [Déc. 20 20,82 60,3 5 29,01 10,9
29 43,57 35,2 21 20,77 62,6 [Déc. 20 28,80 11,3
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Juillet 1 4,30 36,0
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18 6,27 40,3 10 48,60 26,9
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20 6,25 42,6 15 48,48 26,3
21 6,23 41,6 17 48,61 29,3
22 6,06 41,9 18 48,53 27,6
25 6,22 40,5 19 48,47 30,2
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Moyenne. 6,15 40,70 Gé 4802 ne
33 Taureau. Moyenne. 48,47 26,99
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17 42,37 41,5 11 28,60 36,5
18 42,29 42,0 17 28,71 36,3
19 42,30 41,6 ÎMoyenne. 28,63 36,72
33 Taureau (suite).
71
y 5 t p ant l annee 184 ré, iles au anvier de celle année.
Positions moyenne. des ê oùles ob
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14 46,22 499
Août
29 56,77 20,7
1 18
#47 60,4 5 5567
72
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
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18 55,85 46,9 fAvril 14 37,05 16,8 18 20,40 45,8 4 11,36 146 21 44,06
20 55,76 44,0 17 37:10 13,9 21 20,40 44,8 14 11,18 17,6 JAvril 28 43,97 42,4
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Déc. 21 55,62 44,2 3094 Fe ; Ê 21 II,II s ÉcRE
EL, Jp 2 11 16, : 22 11,02 20,8 :
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17 37:13 14,8 Avril 22 24°,10 :5/,5 29 11,06 20,7 [Avril 14 4o,73 58,6
5h59m +24°30" 18 37,03 16,2 23 23,83 13,7 [Mai 9 11,20 14,9 17 4o,;gr 60,6
Févr. 3 295,29 28/,0 [Juillet 2 36,94 15,4 28 23,96 17.8 15 11,26 17,2 21 40,94 60,9
5 19,1 32,4 3 37,18 13,6 29 24,07 14,8 16 11,40 16,6 22 4o,8o 64,1
10 19,26 29,1 6 37,12 17,6 [Mai 9 23,79 20,4 17 11,32 18,0 28 4o,79 59,4
15 19,44 26,9 8 37,01 15,9 11 24,07 20,7 18 18,8 29 1083
17 19:49 2 9 37507 1754 16 23,94 1821 23 11,26 16,6 Moyenne. 40,87 60,3
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73
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
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18
T4
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
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Avril 22 8,47 481,8
23 8,45 52,0
24 8,32 49,4
29 8,45 bx,:
Mai 9 8,28 46,5
10 8,42 45,7
15. 8,58 47,6
75
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année.
40 d Vierce (suite). a VIERGE (suite). 84 o Vince (suite). + VIERGE. a? BALANCE (suite).
42bA6m -8°40! 45b16m -10°20' 43h55m +4020/ 45153m 42048! 41AbA9m 150291
Mai 16 8°,56 45",1 JAoût 14 52°,62 9/,6 [lun 7 95,28 24/,6 [Juin 7 36,51 42/,1 Juill. ro 85,74 53/!,9
17 + 846 44 HU CE 8 735 925 8 3641 3837 OP NEA
27 8,42 46,4 16 52,63 2,5 9 7128 22,6 9 36,51 42,7 15 8,84 54,
Moyenne: 8,44 47.67 17 52,57 74 11) 7,32 21,7 11 36,48 39,9 16 8,85 55,
; 44 47:67 18 15272 ! 741 [Moyenne 740 21372 12 36,41 408 23 8,80 55
We. 22 b2,54 5,7 24 A 43,5 } 24 A 55,0
m 4e 24 52,64 6,6 2: 597 2,9 oùt 2 »92 53,6
Mai 29 5608 go [nov 18 Sas y | 89 Vancr. 29 3047 42,5 7 696 50,3
Juin : 5645 83 29 su 2 45bAim -17°90! Juillet 6 36,42 2,5 #go va
L 7 30 52,61 PT 36 ; 2
2 56.0 6,1 DoDEOMEO ANS Se s ” , [Moyenne. 36,49 41,74 29 7
3 86 18 5,5 [Moyenne. 52,60 6,62 “re SP UNS : Se 870 for
4 56,25 ;9 4 VIERGE. à 9
9 55,95 3,9 (XIII. 110 Prazzr.) 1 PRÈE Ounse. 3 13h57m Î-8eg [Déc. 25 88e Par
Moyenne. 56,11 5,62 45b29m +60°45! 45baim 450°6! juin 9 56,14 2,8 Moyenne. 8,83 53,13.
e uin I 10,00 14,1 12
43b6m -10°20 38 69 _: 5 18,49 M Sp. 7 A Rat
Avril 22 525,3 Made No à Cab cf DR d'apbe, La” 1ah5im 708!
23 Ba 42 15 38 27 2 7 18,56 Juin 27 13,88 51,3
28 52,48 79 16 38,48 DE 8 15,56 13,7 a Bouvier. 29 1402 3,5
29 52,44 6,2 27 3844 45, 9 15,63 14,4 1ai8m 42060’ [Juillet 1 14,09 2,9
Mai 10 52,55 8,6 29 38,63 47,0 11 18,44 13,9 [juin 5 275,44 28,2 2 14,30 6,2
15 52,76 4,9 [Juin 1 38,46 48,9 12 1,71 14,0 7 27542 24,8 7 14,06
16 52,62 5,8 2 38,45 24 18,68 15,4 11 27,38 28,2 10 13,95 4,8
27 52,74 5,2 7 38,66 27 18,46 14,5 12 27,36 26,7 125 1411 5,9!
29 2,71 7,3 8 38,8r reg ue 8,41 13,8 24 27,48 24,6 16 13,93
uin 1 52,74 6, 9 38,65 47,3 Juillet 6 18,48 17,2 27 27,36 26,0 23 13,99 {5
2 52,80 8,4 Moyenne. 38,61 47,50! TOME PRles 29 27,28 26,1 24 14,29 nl
3 2,71 8,8 à 7; 10 18,48 17,3 [Juillet 6 27,22 25,9 ACT 14,24 4,3
: 52,69 3,7 (XIII. 113 Prazzr.) PE 2777 7 27192 263 pour PRE 519
52,74 2,9 16 18,37 16,1 10 27,43 28,1 7oxirr 33
6 5253 5, e 15b25m +60°40' 23 18,42 14,4 14 27,45 926,2 9 14,44 5,8
7 52,57 4,7 Avril 28 1°,78 ; 24 18,56 16,0 15 27,39 10 14,26 6,8
8 52,57 5,6 . 29 1,95 Août 2 18,56 15,5 16 27,31 24,1 13 14,06 : 7,8
9 52,46 6,2 [Mai 10 1,96 5 14,6 23 27,29 26,5 14 14,07
11 52,50 9,7 15 1,93 7 18,35 16,5 24 927,44 28,3 15 14,29 7,2
24 52,58 5,3 16 1,78 9 18,42 13,4 [Août 7 27,33 27,6 16 14,10 3,9
27) 2,75 74 27 1,66 10 18,36 15,2 9 27,91 17 14,07
.… 29 52,64 7,8 . 29 1,85 13 18,51 18,6 14 27,30 24,3 21 14,25 6,3
uillet d 52,49 Juin 1 1,92 14 18,442 16,0 15 27,32 256 22 14,22 5,3
10 52,56 5,8 2 1,61 Holèx 15 18,59 15,0 16 27,35 26,5 Nov. 18 14,72 5,7
14 52,69 8,3 3 2,10 42,0 16 18,47 14,7 17 27,29 26,4 29 14,63 4,6
15 2,56 5,5 4 188 46,0 17 18,44 16,3 18 27,37 24,7 30 14,71 5,4
16 52,46 6,4 L 1,83 38,9 18 18,44 16,5 21 27:28 23,9 Déc. 1 14,15 2,9
23 52,56 5,9 1,86 38.7 21 18,41 15,8 22 27,35 25,2 25 14,74 78
24 52,50 5,6 [Moyenne. 1,85 41,54 22 18,51 14,3 24 27,39 26,0 [Moyenne. 14,22 5,41
27.52,60 5,0 23 18,36 14,8 27 27,30 25,3
Août x DAS 6,9 84 o Virrce. s Le an Nov 16 27e 206 | 6 Perrre Ounse P. 1
2 b2,72 2 10, 19; STE Ta
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7 52,70 8,6 [Juin 1: 7541 18/6 18 18,66 17,3 Déc. 21 14,68 2/,8
2 738 agp] 29 1846 159 | at Barawer. 20 1485 19
9 52,4 A 3 7,58 20,7 30 18,57 13,3 4Ab49m -15029 26 13,95 2,2
10 52,68 br 5 7,66 22,1 Moyenne. 18,49 15,28[Juin 27 85,83 50/,2 29 14,38 1,5
13 B2,61 9,3 6 7,41 22,8 Juillet 7 8,73 55,9 Moyenne. 14,46 1,92
76
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année.
24 d BALANCE.
45h5m -19°41/ 15h27m 427014 15h56m +655 15b49m 426°35/ 15h56
uin 3 13,67 27,5 Muin 27 605,06 58",8 Juin 9 295,28 37", Juin 3 57,44 22/,7 [Juin 7 1596
9 13,48 21,7 Juillet 1 60,00 60,0 11 29,31 37,2 D7:41 18, 9 15,80
24 13,70 24:39 2 60,09 56,5 24 29,36 31,5 7 7:48 18,5 11 16,00
27 «13,54 249 6 59,94 59,3 27 29:39 32,2 9 7:44 23,4 27 15,93
Juillet 1 13,60 25,4 7 5959 62,5 28 29,38 32,0 11 60747 U21,9 28 15,82
2 2497 10 9,93 60,2 [uillet 6 29,31 37,5 24 57,40 19,1 Muillet 2 15,79
14 13,52 23,5 16 -59,93 61,6 7 29:34 27 57,32 21,7 10 15,99
15 13,51 227 17 59:94 10 29,33 34,6 28 57,34 18,0 14 15,99
16 13,51 22,0 23 59,85 Go,3 14 29,34 36,1 Juillet 6 57,28 19,0 Moyenne. 1 91
Moyenne. 13,57 a4yt4 24 ir pa 5 148 + Moyenne. 57,40 20,31
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s ren 12 60,06 59,3 7 2998 33,4 9 18,6 19,0 24 48,38
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Juin 3 39°64 43,0 17 59:91 60,2 13 29:32 374 [Août 10 18,34 “0 14 48,14
5 59,67 39,7 18 5999 6o,2 14 29,40 36,2 14 18,27 13,6 Moyenne. 48,16
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Juill. 15 195,17 13,4 25 60,00 61,2 Déc. 25 29,16 34,8 ” 4,6 57,6 11 49:26 43;r
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27 18,92 11,7 Muin 3 b15,26 46,7 DEL ETE 5 Lens 55,3 ao) RSA Lo
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Août : ge a 7 nent 472 24 vi 39 Moyenne. 49,16 42,40
1 16,1 1,10 45, 27 22,07 2 : t
7 18,99 15,8 5 Bjo6 E 28 22,91 33,6 ÉUFoR an 2RÉS: 8rS
13 19,06 15,9 24 51,28 44,3 [Août > 22,86 34,5 15h56m =4g622 || À 7, PS0RPION
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uin 9, 1,0 28 1,32 39 Juillet 2 2,42 5o,o
59:07 83 x œ SERPENT. 15baim -25°45’ [Juillet 2 15/27 5,9 14 2,35 50:7
7 60,14 58,7 15b36m 46055° Muill. 16 29°,33 59,9 10 15,49 5,9 15 2,36. 46,2
9 60,16 59,5 [luin 3 295,29 34,8 17 60,5 14 15,49 82) 16 2,30 47,5
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77
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année.
19 o Sconrion. 23 + Scorpion (suite). 27 x OrniuCrus. œ« HERCULE (suite). a OPxrucaus (suite).
46b{{m -95°46/ 16126m -27052! 16h50m +9°37' 17h7m 414954 17b27m 412940"
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16 8,37 62,8 27003,30) b7,2 29 11,46 29,0 14 26,77 32,4 28 36,25 47,4
23 8,29 61,2 28 3,58 57,7 [Juillet 2 11,45 28,3 16 26,69 27,3 [Août 2 36,08 45,9
24 8,40 62,1 [Juillet 2 3,21 56,2 15 11,35 26,7 17 26,57 27,8 5 36,09 45,9
27 8,27 61,3 16 3,30 56,4 23 11,46 29,6 18 26,80 32,5 8 36,13 47,3
28 8,35 6o,2 29 9,34 04D7aX 24 11,51 28,4 21 26,61 28,4 9 36,04 48,1
Août 1 8,14 56,5 24, 3,45 57,6 27 11,64 274 22 26,70 27,0 12 rs 44,0
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16 4375 35, CCE Mt . 29 4676 4 sohSm 27045
23 1386 340 ED A 5 ee NET 7 38/29 Juillet 2 46,59 2,8 [Juin 27 365,96 49,9
24 4380 35,6 [juillet à 10,33 19,2 28 37,19 51,0
28 31,9 15 1075 23,6 20 3 SEE
Ÿ Août 1 43,83 33, Fe EU TEA Juillet 2 37,07 53,6
2 43,89 35, 2, 08% 208 Août D 37,22 53,4
5 43,90 31,6 Août g 10,74 ne 8 37,23 52,3
9 37,10 48,2
12 37,27 54,4
12 43,88 30,3 Moyenne. 10,65 21,22 a Hencuze. 17 46,75 1,8
16 43,80 36,8 _ fibres 18 46,92 1,6 13 37,28 5o,1
2 RPION. # TIERE £
ù F7 re FE ' 10 Juin 24 26:69 28,5 Moyenne. 46,85 3,02 18 37,29 52,8
2 70 34,8 46h44 2710 36,62 292 Moyenne. 37,19 51,93
a OPHucaus.
Moyenne. 43,77 34,35{uin 29 38°,87
Juill. 2 38,59 29 26,76 29,1
OR Juillet 2 26,55 47b27m 44940" 4 SAciTTAIRE.
| tr. 4 : 269 28 26,66 28,5 [Juin 27 355,87 48/,2 17b50m -25047!
ui 353 = A 2 38 82 Août 2 26,62 29,8 29 36,14 46,3 Muin 27 85,70 37,1
um 9g 31 53/,8 ù 5 26,61 30,5 [Juillet 2 35,99 44,4 28 8,72 38,3
| 12 3,41 55,7: |Moyenne. 38,75 12 26,68 30,3 17 36,19 29 8,97 37,3
19
78
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année.
4 Sacirrane (suite). p? SaGrTTAIRE (suite). s SAGiTTAIRE. 44 p' Sacxrraie. G Ace (suite).
17h50m -25047! 48h5n -90°26" 48h35 -25°9" 19h42m 1808! 49b47m 46°0'
Juillet 2 8,70 39,9 fluill. 23 47549 9,3 [uill. 27 65,50 49,8 Muillet 2 30,31 20/,2 Déc. 1 56,7
AGüût 4 895 Fe À 27 47137 6,7 [Août x an - 4 ‘30,37 23,5 0 3315 56,5
09 ,9 [Août 1 47,44 12,6 2 00 , 27 30,17 23,0 |m 3:
Cl SE 2 4746 nr 5 668 AG MAoùt $ o,so NU me era
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13 9,09 34,9 Moyenne. 6,60 48,65|Moyenne. 30,27 21,88 Obs M o0pnl
Moyenne. 8,85 38,27 24 Perite Ours. Août #4 53s 22 E
7
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Juil. na Lo Juill 2 14,57 3,2 Aoùût 16 275,91 111,8 1828660206 P
. 160 387,4 4 1258 0,3 Moyenne. 28,55 19,35 A Se
Août N He, er 14 12,7D 157 39 o SAGITTAIRE, ; j Ë 20hg9m 1394!
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16 2% ma Moyenne. 17,04 48,53]
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12,65 5,1
14 12,62
15 12,63 2,2
16 12,77 27
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0' CarrICORNE.
18h31m 158038!
Juin 27 35,31 23/,5
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17h55m -50°95/ 29 35,28 24,3 D 3.6 [M TES Oct. 31 48,66 21/,2 |
Juin n: ee DE Juillet ë 35.51 0 25 ni 0,4 PRES NE + 0) Nov. 3 48,79 20,3 |
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29 3974 Li RSS TaLS Moyenne. 12,68 2,97 57 Sacrrraire. oyenne. 48,74 20,7
Juillet 2 39,61 8,5 15 35,37 24,5 19ba5m —19026! 12 0° Capricorne. |
Août 1 Je 4,9 1635,5n, 24, (XVIII. 282 Prazzi.) Août de 0,77 26/,8 EEE. |
2 9:71 8,2 17 35,35 22,9 isam 9h05! 1 0,70 27,5 . s ! |
8 39,46, 6,5 23 35,53 26a IR FSI TeAgEE Moyenne. 0,73 27,19 x % 5 di. ee
9 3058 49 27 3540 24,1 [Août x 39,509 51", Dee Roue Me
12 Go71 9 [Août 1 35,36 24,3 2 3908 53,9 Lu "8 É =:
13 39,77 41 35,37 24,0 5 39,18, 54,4 Moyenne. 5o,or 8,20
16 39,70 5,0 35,28 21,2 8 39,06 19h15m 48097!
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1
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4gbam 2105! 7 3541 23,0 28 4,24 9,0 [Nov. 3 3,92 27: |
Août 14 195,02 39/,7 [Nov. 6 35,20 23,5 Déc. 7 4,34 17,5 ts GE
16 19,01 35,2 19 35,32 21,3 2 4,35 1744
17 18,99 37:7 [Déc. 26 35,55 20,9 8 4,4% 198 ax Gvenr.
Moyenne. 19,01 37,53 Moyenne. 35,37 23,32 . ARR 0e
Moyenne. 4,37 18,62
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Juillet 2 21,78 10,3
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14 21,66 12,1
15 21,69 8,2
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28 L vu 7:9 [Août 24 . a kg" 23 Le 92 Août 16 335,23 54,7 JDéc. 2 285 ës
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14 47,58 8,6 23 37,35 52,7 17 2177 99 [Nov. 3 3301 5ga 20 2,78 5,2
à Frs 9:6 [Moyenne. 37,30 b1,62|Moyenne. 21,78 10,30 19 33,02 É 23 2,92 |
16 47,58 x1,1 28 33,34 58,4 (Moyenne. 2,83 7,16
79
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
2 € VERSEAU. œ Cépaée P. I. 49 à Capniconne (suite)| y Verseau (suite). a Pécase (suite).
20h39m -10°4/ 21b{am +61°55/ 21h38m -16°50' 22h15m -2°40" 22h56m +14924!
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19 7:22 11,9 28 48,46 3,9 19 18,85 3o,2 JDéc. 1 29,73 44,7 |Déc. 1 53,78 23,2
Moyenne. 7,20 13,40 29 480 2, Moyenne. 18,82 28,66 21 29,63 io 8 53,67
Moyenne. 48,34 2,37 22 29,78 45,3 19 53,59 21,7
CU Vererlte 51 p Capricorne. Moyenne. 29,64 44,58 21 53,51 20,8
H 26 53,69 20,7
SUPaîm go$a B VERSEAU. . 21h4am -14°17/ . M 53 67
Oct. 31 7:68 21",2 21h25 Oct. 31 40°,56 35",3 A er PE SnE me 2
Nov. 3 7,61 19,2 Oct. 31 14,23 Nov. 19 40,43 32,3 22h27m 0955! É
19 7,62 19»#4 [Nov. 3 14,29 « es . pe 31 Le Les y Porssons.
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13 y VERSEAU. 22 35,97 1,4 27 1418 48,7 67 N Vensrav. 98 6" Verseau.
24 3608 o Et Ne LT Éiam -20257:
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Oct. 31 58,96 26/4 28 177 ii 8 14,39 418 [Nov 19 58,77 157,9 [Oct 51 3985
Nov. 3 58,85 25,8 |, . 12 4 : 28 59,07 16,7 [Nov. 28 39,97 47",5
Aoùût 4 36,35 4,7 |Moyenne. 14,32 46,02! , 9:07 7 lb CT
19 58,94 26,9 Lou 31 353 à Déc. 1 59,09 15,9 |“ 1! 29 46,2
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19 35,79 2,7 21h57m -105/ Es — 21 3983 48,9
29 s CarriconneE. # 210 252 JAoût 4 39599 5/,7 Moyenne. 58,94 17,12 26 39.69 46,8
9{h6m -15°09 = 9 1:7 lOct. 31 39,8b 4,
et. 39:70 26,2 19 35,90 5,5 27 : 99,78 4.,b 22banm 28025! MERE EEE
19 5974 25,8 30 36,00 6,9 28 4o,on 5,0 [Oct. 31 225,07 10,4 J rss
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32 « Capriconxe. G Cérnée P. I. 2 FE Fe gg 8 rs : be de 56 72 2:
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Ou 31 265,52 161,3 Avril 21 36,07 63",6 Men 3 FA 21 21,97 7,2 21 5680 41,2
Nov. 3 26,38 14,6 2 Aer a d M + 26 22,00 10,6 26 56,77 37,2
| 19 26,56 13,5 + 3€ 37 D 43 Q Verseau. Moyenne. 22,11 8,99|Moyenne. 56,77 40,99
Moyenne. 26,49 14,80lMai 10 ë 61.9 29hgm -8031/
| 6 60,4 Oct. 3x 295,54 3/2 æ Poissox ausrrar. 17 « Porssons.
PCroner PIS. 26 3b,92 59,7 ÎNov. 19 29,61 3,6 50 À
m tesoccr]Moyenne. 36,13 61,6 27 29,4 3,0 | 2h48m -50°27" 25h51m +1046/
Be: me à UE Ch ro 28 29,58 4,2 [Déc. 21 545,27 37,3 [Nov. 28 495,5r 11,8
vri ae Ne sh 49 8 Oéxrdne Déc. 1 29,59 4,0 26 54,31 37,3 [Déc = 49,58 7,8
22 48,50 de 24h38m. -16°50/ Moyenne. 29,56 3,6] Moyenne. 54,29 37,30 si ie ni
ee Eee 5,2 Joct. 3r 185,79 31,6 : 21 49,45 7x2,
À 2 4 »37 6,8 Nov. % 18.85, 261 y VensEau. a PÉGASE. 29! 49,56 13,
[Août 4 48,33 3,4 I 18 26,6 99bh15m -2040/ 22h56 °91! 26 4 56 710
E 30 48,36 0;9 n 186 27,2 Oct. 3r 29°,60 46" J 29 3,5 bone. M = _
PEER | Pope ñ n Û 29, 9 Manv. : : 23,2 j
Doyenne. 48,35 410 28 18,96 26,8 “Nov. 19 29,46 k Oct. 3 53159 22,7 PR do
É 80
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année.
19 2 Porssoxs. (XXII. 276 Prazzr.) | à Perire Ounse P.S. À à Perire Ounse P. L. | à Perire Ourse P. I.
(suite). (suite). (suite). (suite).
25h39m 42036" à 7 Sr. 4h É
Nov. 23 19°,12 31,3 22h58m +28°8 Déclinais. Does Déclinais soue Declinais. ARE
28 19,23 36,4 |Déc. 21 25,41 88°27/ 88°27" 88927"
Déc. 1 19.36 22 25,17 54,4 [Mai 16 611,2 5 Avril 28 611,5 3 Nov. 30 57,8 L
2 19:07 =. 26 2,50 Br,g " pue 3 29 62,7 3 Déc. 1 566 1:
19 19,30 ,0 Re 0 1 1, : —————|
ni a FA Moyenne. 25,24 53,15 20 1652 F Mai 2 ee 3 Moyenne. 6bo,81 107
22 19,11 33, 220014. 2 15 64,7 3 à Penite Ourse P.S.
26 19,23 31,6 Fe 61,0 à 16 64,7 3 486°55"
. 19,21 34,23 26 61,6 27 61,3 3 : 1)
Moyenne er 3% a Perire Ourse P.S. 27 Go, 4 “ 63,1 3 puin 7È SC :
28 605 3 {juin 1 625 4 ;
23 Poissons. ALES 29 34,4 1
Déclinais. Nombre 29 60,3 3 2 61,1 2 Tuill 35.8
25b4am 420°4A7' des observ. SE 61,5 4 ER 0 x uillet 2 n x
Nov. 23 22°,59 31",2 a 31 615 5 L 65 3 î Fe de
28 22,47 30,8 [Janv. 27 62/,0 2 Juin 1 61,3 3 6 60,5 2 1É el =
7 18 3 15 363 7
Déc. 19 22,48 34,7 29 61,7 5 2 61,50 #4 7 Gr, 1 16 2373 =
21 22,6 31,0 [Févr. 5 624 4 d01:6) 713 8 60,8 à AU 3
22 22,55 32,2 g 63,0 2 4600 4 g 61» 2 Aou a 35. 3
26 22,51 IL 59,5 4 5 59,8 3 11 59,8 3 5 36? 3
Moyenne. 22,53 31,98 12 59,3 4 6 60,0 1 32 60,1 2 387 :
14 61,3 3 7 Go 2 24 601 4 : a ;
83 r PéÉcase. 20 64,6 3 8 62,4 5 27 Gz2,1 2 17 36,9 3
25ba1m 42051! 21 62,7 3 9 616 5 28 60,9 2 18 46e Ur
Nov. 23 38,83 See CPE 10 619 5 29 615 3 2130878 br
28 38,75 25 61,50 3 11 61,2 4 Juilet 2 63,3 2 27 33,7 ë
Déc. 19 39,10 M 27 299 2 13 60,9 4 6 60,8 2 x. 19 37,2 M
o1 38,84 - D SN ET 35,88 2
MES 89 à BE : = de Fe I 15 pre 13 oyenne. 1 9
à 11 1,2 Nov: 0, I 16 60,6 2
26 38,87 47,4 GS ann 19 PSE s 3 ME ñ à Perte Ours P. I.
Moyenne. 38,88 47,4 14 60,7 3 27 628 : 24 593 2 86055!
15 60,2 3 [Déc r 59,3 1: 27 593 3 Janv. 29 37,1 “
28 w Porssows. 25 60,5 3 20 Go;r 1 [Août 2 57,7 3 Févr. 14 34,0 4
25h54m 45059 29 606 3 21 602 1 5 596 1 15 346 4
Nov. 23 11°,85 13,4 JAvril 7 59,9 2 22 64,2 7 7 574 1 18 36,3 3
28 12,09 16,3 14 61,5 3 26 62,9 1 9 578 2 20 36,7 3
Déc. 1 12,13 16,3 17 60,9 3 29 62,0 x 13 566 7 21 36,2 3
| 2 11,81 17,9 20 Pre 4 31 63,r x 14 5792 7: se cn 1
19 12,02 18,8 21 61, 3 Gree—- 16 58,6 2 2 2 x
* 11,94 148 22 644 3 Moyenne. 61,39 211 17 58,9 ;, Mars 4 358 x
22 12,03 17,2 23, 63,5 3 18 569 1 15 35,6 7:
| 26 11,95 14,6 25 E 3 a Perire Ourse P. I. 21 57;,0ù x Ace 29 se 3
RRQ SR DTE 2 ": ä oùût 2 32
[Moyenne. 11,98 16,16) à ee n sn 7 ea ; 6 32 8 je
| (XXII. 276 Prazzr.) . 29 634 2 [Avril 20 61,2 1 Nov. 2 613 1: 6 OR
Mai 6 60,5 3 25 62,0 7: 3 60,7 1 9 320 1
23h58m 492808! 10 616 5 22 636 > 12 60,1 = 15 32,50 2
IDéc. 2 25°,13 14 620 4 23 59,9 5 18 59,2 5 Déc. 21 34,3 x |
19 25,21 15 596 4 25 57,8 2 26 58,4 1 Moyenne. 34,87 37 |
81
Comparaison des positions observées des étoiles fondamentales avec les positions tirées des Ephémerides de Berlin.
: NOMBRE DÉCLINAISON OBS. NOMBRE |ASC. DRCITE OBS.
NOM DES ETOILES. ie — des =
OBSERVATIONS 4er Janvier 1842, OBSERVAT. 4er Janvier 1842,
+ 88.28. 1,39
0,81
86.35.35,88
34,87
74.48. 5,41
1,92
69.52. 3,20
x 1,67
62.36. 9,42
7»30
61.55. 4,10 21.14.48,35
2,37 48,34
55.40.11,63 0.31.34,7
Hoo o 9:15 34,7
y Grande Ourse 54.34.26,03 11.45.29,b0
DRDrAGON EE eee eee 51.30.35,39 9 17.52.56,59
Grande Ourse 5o. 6.15,28 13.41.1849
phbersée MR eee 49-17.36,32 3.13. 4,53
æ Cocher MS QT
44.43. 7,16 20.36. 2,83
38.38.23,32 : 18.31.35,37
32.13.41,09 7.24.30,40
G Taureau 9 28.28. o,4t 5.16.18,49
B Gémeaux 28.24. 6,08 7-35.38,25
« Andromède 28.13. 4,62 o. 0.13,89
« Couronne 27.14.59,85 15.27.59,98
« Bélier 22.42.43,78 1.58.16,6
20. 0.26,15 14. 8.27,3
16.11. 8,50 ne 4.26.51,58
15.27.17,87 11.40.59,70
14.34.2920 17. 7.206,69
14.21.22,44 22.56.53,64
14.18.1721 o. 5. 6,33
12.44.11,06 9-59.57,02
« Ophiuchus 12.40.46,14 17-27.36,11
ty Aigle 10.13.35,23 19.38.44,81
i 8.27.18,62 19.43. 4,37
+++ +++
æ Cassiopée.. .. |
8 0 0 0 2 0 1 10 1 0 0
7-22.15,8x b.46.37,08
« Serpent 6.55.34,55
1° LAPS AO OBS PONES 6. 0.57,99
« Petit Chien 5.37.27,65
« Baleine 3.27.57,39
B Vierge 2.39.15,82
œ« Verseau... . 100 D
1 7.58.39,88
G Orion 8.23.20,9g
10.20. 6,62
PACAPrICONE see. 12139.28,30
a? Capricorne 13. 1.48,53
BBAIANCE Re eee ss 15.29.53,13
œ« Grand Chien 16.30.16,54
« Scorpion 26. 4.34,35
æ&Poisson austral 30.27.37,30
15.36.29,3
ou Di
7-31. 1,54
2.54. 1,53
11.42.2787
21.57.39,97
9-19-49,30
5. 6.56,71
13.16.52,60
20. 8.53,23
20. 9.17:04
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Les observations suivantes ont été faites à l’équatorial, dont la lunette à 43 lignes d’ouver-
ture, et avec un grossissement de 100 fois. Les lettres P et B indiquent les observations qui ont
été faites par moi et par M. Bruderer. Tous les instants des phénomènes sont exprimés en temps
sidéral de Genève ; l’état de la pendule a été déterminé par les observations de M. Bruderer, sauf
pour l’occultation du 22 mars où il à été déterminé par mes observations ; je rappelle ici que
83
Observations d’occultations d'étoiles par la lune faites dans l’année 1842.
j'observe les instants des passages de 0°,56 plus tôt que M. Bruderer.
22 OMATS Er + 63 0° Cancer... Imm. bord obscur 8"24"29°1 P
Emer. bord éclairé 9 38 16,7 P.
20 Avril...... 32 æ Sexlant.. Imm. bord obscur 12 46 42,8 P. ciel vaporeux.
1 NU É TE SOEERR 63 p Gémeaux. Imm. bord obscur 11 47 21,75 B.
17 Juillet. .... (237) Scorpion Imm. bord obscur 16 23 49,2 B.
16 Août .. s Sagittaire.... Imm. bord obscur 21 51 57,55 P
lei Août. 472 o' Capricorne... Imm. bord obscur 23 58 3,3 P
12 «Capricorne Imm. bord obscur 23 58 48,3 P
JE AOÛ... . 3 Gémeaux . ..Imm. bord éclairé 1 57 12,0 B
Observations de l’éclipse partielle de Soleil le 7 Juillet 1842.
Commencement ok12B05,94 MM. Plantamour........... Equatorial , ouverture 43 lignes, grossissement 100
50,94 Muller, ancien adjoint... Lunette, ouverture 25 lignes, grossissement... 60
51,94 Bruderer, adjoint. ..... Lunette de Dollond, ouverture 4o lignes, gross. 102
55,94 Warimans Che Lunette de Ramsden, ouvert. 25 lignes, gross. 72
54,94 EGANHER EE... Chercheur de comètes, ouvert. 4o lignes, gross. 48
[Fr NSP RS 2 8 2,44 Plantamour........... Même instrument que le précédent.
1,94 Wartmann........... Id. Id.
0,94? Muller eerrerten re Id. Id.
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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LA PREMIÈRE PARTIE
DU DIXIÈME VOLUME.
Notices sur les Membres ordinaires de la Société de Physique et
d'Histoire naturelle de Genève que cette Société a perdus de
1855 à 1842, rédigées par M. le professeur Gautier. ......... y
Liste des Membres de la Société de Physique et d'Histoire naturelle
de Genève qui ont été élus depuis l’année 1835............. XXXI
Lettre sur les Araïgnées aéronautes du genre Lycose, par Pierre Huber 1
Mémoire sur le Charançon lozange (Cionus Scrophulariæ), par P.Huber 15
Mémoire pour servir à l’histoire des Psoques, par Pierre Huber. .. ... 55
Considérations géologiques sur le mont Salève et sur les terrains des
environs de Genève, par M. Alphonse Favre ................ 49
Observations sur les Diceras, par M. Alphonse Favre ............. 165
Note sur une relation entre le volume atomique, le coefficient de dilata-
tion et le coefficient d’élasticité dans les corps chimiquement
simples} par M.Elie Ritter 5". LME TE ELLE ne (Le 1389
Seconde notice sur les Animaux nouveaux ou peu connus du Musée de
Genève, par M. F.:J. Pictet, professeur. ................... 201
Essai sur la Végétation de la Nouvelle-Castille, par M. G.-F. Reuter .. 215
Notice sur la Température de Genève, par M. George Picot. ........
MÉMOIRES
DE
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE
ET D'HISTOIRE NATURELLE
. DE GENÈVYE.
Contenant un Supplément relatif à des Observations astronomiques faites dans l'année 1843.
EL ——————_————_
ToME X, 2° PARTIE.
GENÈVE,
IMPRIMÉRIE DE JULES-G"° FICK, RUE DE LA CORRATERIE.
1844
Mau 7
rm
MÉMOIRE
LE DALTONISME,
M. le Professeur Elie Wartmann.
Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 46 Avril 1840 ({).
ART. I.
INTRODUCTION.
Plusieurs personnes qui possèdent un œil sain et capable
d'accomplir ses fonctions les plus délicates sont cependant
dans l'impossibilité de distinguer les couleurs. Leur nombre
est beaucoup plus considérable qu’on ne l'estime générale-
(1) Ce Mémoire avait été communiqué à la Société Vaudoise des sciences na-
turelles, le 5 mars 1840 (voy. Actes de la Soc. helvét. des sciences naturelles 1841,
p- 194). — Ses conclusions ont aussi été indiquées le 3 août 1841 à l'Association
Britannique réunie à Plymouth (Voy. Athenœum du 28 août 1841, n° 722,
p. 699; Silliman’s American Journal, janv. 1842, tome XLII, p. 62; l’Institut du
5 février 1842, n° 425, p. 47). Il y a été fait dès lors plusieurs additions.
TOM. X, 2° PARTIE. 35
274 MÉMOIRE
ment, et il y a lieu de s'étonner que la plupart des méde-
cins et des physiologistes ignorent l'existence ou s'occupent
si peu d’un fait aussi commun.
On sait que tout homme peut, dans certains cas, percevoir
des sensations colorées anormales; mais ce n'est jamais que
d'une manière intermittente et pendant un temps limité.
Ainsi toutes les fois qu'on regarde fixement un objet éclairé
placé sur une surface de teinte sombre, et qu'on ferme les
yeux ou qu'on les porte d’une manière rapide sur un autre
fond de couleur blanche, on ne tarde pas à apercevoir une
image plus ou moins nette de l’objet contemplé, mais offrant
une couleur complémentaire de la sienne. C’est ce que Buffon
a nommé le phénomène des couleurs accidentelles. W cesse au
bout d’un certain temps pendant lequel on voit l'impression
primitive remplacer alternativement l'impression secondaire.
Il prend encore naissance lorsque l'œil, fatigué par l'observa-
tion prolongée d’un objet coloré et fortement éclairé, examine
un autre objet d’une couleur différente. Diverses théories
ont été proposées pour rendre compte de ces perceptions colo-
rées (que les Allemands nomment subjectives et que Gæœthe ap-
pelle physiologiques), entre autres celle de Scherffer ('), à
laquelle M. le prof. Plateau en a récemment substitué une plus
rationnelle (*).— Ce cas semble bien connu et je n'ai pas à
m'en occuper ici.
(4) Dissertation sur les coul. accident.— Journ, de Phys., tome XXVI; 1785.
(2) J. Plateau. — Essai d'une théorie générale contenant l’ensemble des appa-
rences visuelles qui succèdent à la contemplation des objets colorés et de celles
SUR LE DALTONISME. 275
Mais on a constaté depuis longtemps des faits de vision
colorée anormale où l'affection est habituelle et permanente.
On peut les distinguer en deux catégories tranchées:
1° Celle des personnes chez lesquelles foutes les impres-
sions colorées sont incessamment défectueuses par état ma-
ladif. Quelques-unes voient la flamme d’une bougie entourée
d’un iris, d’autres croient que tous les objets qui les avoisinent
sont teints de jaune, de vert ou de bleu, etc. Leur maladie a
été décrite par les oculistes sous le nom de chromopsie ou de
chrupsie (7).
D LE catégorie des individus incapables de distinguer un
qui accompagnent cette contemplation, etc.; Mém. Ac. des Sc. de Brux.,
tome VIII; 1854. — Voyez aussi les travaux remarquables du professeur Fechner
dans Pogg. Ann. der Phys. und Chem.; 1840.
(4) La Chrupsie a lieu dans quelques cas de jaunisse. Boyle rapporte que des
pestiférés voyaient tous les objets et même leurs habits comme entourés d’arcs-en-
ciel (Experimenta de coloribus, p. 1). Sous l'influence d’une peur très-vive, on
voit facilement, dit-on, le gris ou le bleu dominer dans la coloration extérieure.
Le docteur Parry parle d’un vieux général qui, le soir avant que les lampes fus-
sent allumées et le matin pendant la première heure de sa promenade, attribuait
à tous les objets blancs une couleur orangé foncée voisine de l'écarlate (Collections
from the unpublished medical writings of C. H. Parry, M. D., vol. 1, pp. 560, 568,
569; Lond. 1825). Le Dr Mackenzie mentionne une personne qui voyait tous les
objets comme teints en vert par suite d’une blessure à la cornée avec chute de la
partie nasale de l'iris (On the Diseases of the eye, p. 862). Cinq personnes s'étant
empoisonnées avec des racines de jusquiame furent traitées les unes par le tartre
stibié, les autres par la thériaque ; elles guérirent, mais virent pendant trois jours
tout ce qui les entourait de couleur écarlate (Letter of D' Patrouillat dans Phil.
Trans., tome XXXIX, p. 446 ; 1738).
276 MÉMOIRE
nombre variable de couleurs les unes des autres, comme il y
en a qui ne peuvent apprécier les intervalles des tons musi-
caux ; ils confondent le bleu avec le violet, le bleu clair avec
le vert clair, le vert foncé avec le brun, quelquefois le rose
avec le jaune clair, etc., tout en différenciant les teintes päles
de celles qui sont vives. Les dénominations d’Achromatop-
sie (1), de Chromatopseudopsie, de Chromatométablepsie,
d'Akyanoblepsie (2), etc. ont été employées par les auteurs
pour désigner les différents cas qu’ils ont observés et décrits
d'une manière plus ou moins confuse.
Je me propose, dans ce Mémoire, de jeter un coup d'œil
rapide sur les principaux faits de cette seconde classe connus
jusqu'ici. Réservant le terme de Chromopsie au cas où les
couleurs sont perçues d’une manière extraordinaire par suite
d’une altération de la santé, j'appliquerai à celui dans lequel
l'affection est naturelle le nom de Daltonisme, proposé par
M. le professeur Prévost, parce que l'illustre physicien Dalton
en a décrit sur lui-même plusieurs particularités (*). J'y join-
(1) L'Achromatopsie proprement dite est l'impossibilité absolue de distinguer les
couleurs. Ceux qui en sont affectés voient en général tout gris : ils sont très-peu
nombreux. D’après le professeur Jüngcken, cette imperfection a surtout lieu chez
les individus à yeux gris, rarement chez ceux dont l'iris est brun ; elle date ordi-
nairement de la naissance et, dans ce cas, elle est héréditaire et incurable ; mais
elle se déclare aussi tardivement et comme symptôme de cataracte, de glaucome
et d'amaurose (Die Lehre von den Augenkrankheiten, p.84 ; Berlin 1832).
(2) Gœthe, Farbenlehre, tome IF, p. 105.
(5) C'est à tort que M. le professeur Whewell m'a attribué le choix de cette
dénomination ; je la conserve pour ne pas en introduire une nouvelle, Lout en con-
SUR LE DALTONISME. 277
drai l'exposé d'observations nouvelles faites dans des circons-
tances très-favorables; et, après une revue critique des explica-
tions proposées par les divers physiologistes qui se sont occu-
pés de ce sujet, je terminerai par l'énumération de quelques
conséquences auxquelles peut conduire l'étude du Daltonisme.
On trouvera peut-être que j'ai donné un trop grand déve-
loppement à la partie historique de ce travail. Mais l'absence
de documents dans notre langue sur un sujet aussi intéres-
sant, et le désir que les observations ici consignées puissent
dispenser les personnes disposées à s'occuper du Daltonisme
de remonter aux sources qui en traitent, me serviront, j'ose
l'espérer, d’excuse suflisante.
venant avec lui que peu de personnes désirent s’immortaliser par leurs imperfec-
tions, et que Dalton, moins que tout autre, n’a besoin d’un tel moyen pour trans-
mettre son nom à la postérité (Voyez Athenœum du 28 août 1841, n. 722, p. 699).
— Je pense du reste avec un illustre physicien (M. Brewster) qui a rendu compte
de la Philosophy of the inductive sciences écrite par le savant Maître du collége de
la Trinité, que le terme de Jdiopts par lequel M. Whewell désigne les Daltoniens
est d'une composition peu heureuse (Edimb. Quart. Review, jan. 1842, p. 266).
— Depuis près de quarante ans la dénomination de Daltonien est employée dans
l’enseignement oral à l’Académie de Genève. Pierre Prévost imprimait en 1827,
dans la Bibliothèque universelle : « Le sujet dont il a décrit la vision semble ne dif-
férer du grand nombre de ceux que j'ai coutume d’appeler Daltoniens que par un
léger degré d'obscurité dans les nuances.» (tome XXXV, p. 521), et plus loin:
«Sur ce compte-rendu... je n'hésite pas à le prononcer Daltonien» (ibid. p.522).
278 MÉMOIRE
ART. Il.
OBSERVATIONS ANCIENNES.
$ 1. Des Classifications.
Les faits de Daltonisme décrits jusqu’à présent ne sont pas
très-nombreux. On n’en trouve aucune mention dans nos meil-
leurs traités de physique français (celui de M. Péclet excepté),
ni dans les ouvrages de Priestley (') et de Sæmmering (?), ni
dans ceux de Burdach (°), de Tiedemann (*), de Richerand (°),
de Magendie (°), etc. sur la physiologie. M. le professeur
J. Müller n’en parle pas dans son grand Traité de physiologie
comparée de la vision chez l'homme et les animaux (7), et il ne
(1) J. Priestley. The history and present state of discoveries relating to vision,
light and colours; tome IL; Lond. 1772, 49.
(2) Sam. Thom. von Sæmmering. Uber einige wichtige Pflichten gegen die
Augen: 5° Aufl. Frankf. a/M. 1819.
(3) Burdach. Die Physiologie als Erfahrungswissenschaft, mit Beyträgen von
Karl Ernst von Baer und Heinrich Rathke; Leipz. 14835 ; 5 vol. 8.
(4) Tiedemann. Physiologie des Menschen, 2 vol. 8; Darmstadt 1850—56.
(5) Richerand. Nouveaux éléments de Physiologie, 40° édit. augmentée par
M. Bérard aîné; 5 vol, 8°, 1855.
(6) Magendie. Précis élémentaire de Physiologie, 5° édit. Bruxelles 1838, 8.
(7) J. Müller. Zur vergleichenden Physiologie des Gesichtssinnes des Menschen
und der Thiere, 1 vol, 8; Leipzig 1826.
SUR LE DALTONISME. 279
cite dans son Manuel de physiologie humaine (1) que les ob-
servations de M. À. Seebeck jeune dont il sera question plus
loin. L'intéressant Mémoire de ce dernier (*), un travail de
M. Szokalski, que je n’ai pas réussi à me procurer (*}, un cha-
pitre de l'ouvrage de Mackenzie sur l'œil (4), voilà, avec quel-
ques lignes de Gæœthe et deux ou trois notices répandues dans
les Transactions philosophiques et dans les journaux de méde-
cine et de physiologie anglais, à peu près tout ce que j'ai pu
rassembler pour tracer l'historique de mon sujet.
Les seuls observateurs qui aient cherché à classer les Dalto-
miens sont MM. Seebeck, Szokalski et Purkinje.
M. Seebeck en fait deux divisions. La première comprend les
individus qui se trompent plus sur le degré de coloration que
sur la nature de la couleur. Les teintes qu’ils confondent plus
(1) J. Müller. Handbuch der Physiologie des Menschen, tome II, p. 392;
Coblenz 1858.
(2) À. Seebeck. Ueber den bei manchen Personen vorkommenden Mangel an
Farbensinn; Pogg. Ann. der Phys. und Chemie, tome XLII, p. 177 (1837). —
Je dois dire que ce-travail, dont j’ignorais l'existence lorsque ce Mémoire fût
présenté à la Société de Genève, m'a été fort utile pour sa rédaction définitive.
M. Seebeck a eu l’obligeance de m’en donner un exemplaire auquel il avait ajouté
des échantillons des papiers colorés qui lui ont servi à examiner et à classer un
grand nombre de Daltoniens.
(3) ILa pour titre : Essai sur les sensations des couleurs; Bruxelles 4840. —
Voyez Bericht über die Fortschritte der Physiologie des Gesichtssinnes, in den
Jahren 1859 bis Mai 4842, vom Medicinalrath Dr Tourtual zu Münster, p. LI] ;
Mäüllers Archiv für anat. Physiologie und wissensch. Medicin pour 1842.
(4) °W. Mackensie: À practical treatise on the diseases ofthe eye ; Lond. 1855,
2° édit. 8°, chap. XX, p. 860.
280 MÉMOIRE
ou moins sont: orangé clair et jaune pur; — orangé foncé,
vert Jaurâtre ou brunâtre clair et brun jaunâtre ; — vert clair
pur, brun gris et couleur de chair; — rouge rosé, vert plus
bleuâtre que jaunâtre et gris; — cramoisi, vert foncé et brun
châtain ;— vert bleuâtre et violet sale ; — lilas et gris bleu ; —
azur, gris bleu et gris lilas. Leur sens est très-défectueux pour
l'impression spécifique de foules les couleurs en général; il
l'est surtout pour celle du rouge et par suite pour celle du vert
qui en est complémentaire, couleurs qu'ils ne distinguent que
peu ou point du gris; il l’est ensuite pour le bleu qu'ils ne dif-
férencient qu’assez incomplétement du gris. C’est le jaune dont
l'appréciation est la plus correcte, quoiqu'ils voient souvent
moins de différence entre lui et l'apparence de corps incolores
que cela n’est le cas pour l'œil ordinaire.
La seconde division renferme les personnes qui confondent
orangé clair, jaune verdâtre, jaune brunâtre et jaune pur; —
orangé vif, brun Jaune et vert d'herbe; — rouge de brique,
rouille et vert olive foncé; — vermillon et brun foncé; — car-
min foncé et vert bleu noirâtre; — couleur de chair, brun gris
et vert bleuâtre; — gris bleuâtre terne et gris un peu bru-
nâtre ; — rose sale un peu jaunâtre et gris pur; — rose rouge,
lilas, azur et gris passant au lilas; — cramoisi et violet; —
violet foncé et bleu foncé. Elles n’ont qu'une faible perception
des rayons les moins réfrangibles : c'est là leur caractère dis-
tinctif le plus saillant. Du reste c’est encore le jaune qu’elles
reconnaissent le mieux; elles distinguent les objets rouges un
peu mieux et les bleus un peu moins des corps incolores,
SUR LE DALTONISME. 281
mais surtout les rouges des bleus d’une manière beaucoup
moins tranchée que les individus de la première classe (1).
M. Szokalski a consacré un chapitre entier de son ou-
vrage (2) à l'examen des cas défectueux de perception colorée,
cas auxquels il donne, avec Sommer, la dénomination générale
de Chromatopseudopsie. I en distingue cinq classes :
1° Celle des personnes chez lesquelles le sens des couleurs
manque presque complétement et qui ne voient à la place des
couleurs élémentaires, jaune, rouge et bleu, que différents de-
grés de blanc et de noir.
2 Celle des personnes qui distinguent aussi le jaune : les
objets extérieurs leur apparaissent colorés des nuances qu'en-
gendrent les divers mélanges de jaune, de blanc et de noir.
3° Celle des personnes qui non-seulement voient le jaune,
mais sont en outre capables d’une perception particulière et la
même pour le bleu et pour le rouge; ce sont les 4kyanopes
de Gæœthe.
4° Celle des personnes uniquement privées de la sensation
du rouge, qui leur paraît gris cendré.
5° Celle des individus qui distinguent toutes les couleurs,
mais pas d’une manière tranchée; au lieu de pouvoir préciser
(1) Seebeck. Mem. cit. p, 221. Un extrait de ce beau Mémoire a été inséré
dans le Jahresbericht über die Fortschritte der anatomisch-physiologischen Wis-
senschaften im Jahre 1837, von D' Müller; Müllers Archiv, 1858, p. CLXXIHI. —
C'est cet extrait qui a été textuellement reproduit dans le Handbuch der Physio-
logie du même auteur.
(2) Müller’s Archiv, 1842.
TOM. X, 2° PARTIE. 36
282 MÉMOIRE
le mélange de deux couleurs ils ne voient jamais que l’une
d'elles.
Le professeur Purkinje divise le Daltonisme en quatre va-
riétés qu'il nomme Achromatopsie, Chromatodysopsie, Akya-
noblepsie et Anérythroblepsie. Les deux premières se rappor-
tent plus à l'intensité, les autres à la nature de l'imperfec-
tion (1). Le même habile physiologiste a remarqué que celle-ci
a encore lieu pour des yeux à l’état normal lorsque l'axe visuel
ayant une direction déterminée, on introduit lentement un
objet coloré quelconque dans le champ de vision depuis son
pourtour le plus extérieur (2). :
Les diverses observations anciennes et nouvelles que j'ai à
relater me semblent confirmer davantage la division de M. See-
(1) Encyclopædisches Würterbuch der medicin.Wissenschaften, herausgegeben
von den Professoren der medicin. Facultät zu Berlin, tome I, p. 259.
(2) Beobachtungen und Versuche zur Physiologie der Sinne, tome II, p. 15. —
On sait aussi que dans certaines circonstances, les deux yeux n’apercçoivent pas les
mêmes couleurs, si l’un d'eux reçoit latéralement une lumière vive contre laquelle
l'autre est protégé par un écran. Voici, entre autres, une expérieñce dont nos
traités ne parlent pas, et qui mériterait cependant d’être généralement connue.
Je l'emprunte aux Positions de Physique de M. Quételet : « On tient une feuille de
papier blanc à un pied devant soi, et on regarde un objet placé plus loin, mais de
manière à voir encore le papier qui paraît double. On approche ensuite latérale-
ment d’un des yeux la flamme d’une bougie et, par un écran, on l'empêche d'agir
sur l’œil opposé ; le papier paraît alors rouge pour le dernier œil et vert pour le
premier ; il est blanc aux endroits où les deux images empiètent l’une sur l’autre.
En portant rapidement la lumière du côté opposé, on voit les phénomènes se re-
produire dans un sens inverse : ce qui était rouge devient insensiblement vert, et
réciproquement. » (Tome III, p. 175, 2° édit.)
SUR LE DALTONISME. 283
beck, que celle de MM. Szokalski et Purkinje. Il y aurait un
très-grand avantage à faire une classification rigoureuse des
Daltoniens, parce qu'à chaque catégorie on pourrait offrir des
moyens à la fois simples et peu nombreux comme palliatifs de
leur imperfection ; malheureusement un tel travail ne paraît
pas possible et on peut dire qu'il y a autant de variétés de
Daltonisme que d'individus qui en sont affectés.
Je préfère, en conséquence, laisser de côté toute idée systé-
matique qui n'aurait pas en sa faveur une preuve suffisante et
ne séparer que les cas de Daltonisme dichromatique et de Dal-
tonisme polychromatique, c'est-à-dire où il y a plus de deux
couleurs normalement percues. Quant à la distinction fort ra-
tionnelle que M. Seebeck a le mérite d’avoir le premier établie
entre les erreurs d'appréciation de l’intensilé (stärke) et celles
de jugement de la nature individuelle (art) des couleurs. on
doit regretter de ne pouvoir la faire dans la grande majorité
des descriptions que les auteurs nous ont transmises. Il faut
se borner à la recommander aux physiologistes qui s’occupe-
ront de ce sujet complexe.
J'ajoute, enfin, en faveur de mon opinion, qu'il existe une
très-grande quantité de nuances en plus et en moins dans
le Daltonisme. Quand il n’y a que deux couleurs perçues, elles
se réduisent pour l'ordinaire à une sensation vague de lu-
mière et d'obscurité : l'influence des rayons rouges est presque
nulle. Mais de là jusqu’au cas où ce ne sont plus que des
erreurs dans l'appréciation de teintes égales d'éclat et voi-
sines de couleurs, erreurs qui n’ont lieu qu’à la lumière arti-
ficielle et qui constituent l'extrême limite du Daltonisme, le
284 MÉMOIRE
nombre des degrés intermédiaires est indéterminé et peut-être
illimité (”).
$ 2. Cas de Daltonisme dichromatique.
Le plus ancien de ceux qui ont été décrits a été rapporté
par le Dr Dawbeney Tubervile (?), en 1684. Il dit qu'une
fille âgée de 32 à 35 ans vint le consulter sur sa vue qui, ex-
cellente du reste, lempêchait d'apprécier d'autre couleur que
le blanc et le noir, quoiqu'elle pût souvent lire près d’un quart-
d'heure dans la plus grande obscurité.
Cette dernière circonstance, bien extraordinaire, semble être
assez fréquente chez les Daltoniens. Nous en verrons plusieurs
exemples rapportés surtout par les médecins anglais, tels que
les docteurs Colquhoun et Nicholl. Spurzheim cite (*) une
(1) C’est ce nombre si grand de variétés du Daltonisme qui me semble une ob-
jection contre la preuve que sir David Brewster a cru trouver dans cette anomalie
pour appuyer sa théorie de trois couleurs élémentaires (Edimb. Journ. of science,
N.S., tome V, p. 19; Bib. Univ., tome L, p. 147). On ne peut pas dire que cle
fait physiologique et le principe d'optique sur lequel il fonde son analyse du spectre
sont parfaitement d'accord et se confirment mutuellement. »
(2) Two letters from the great and experienced oculist D° Dawbeney Tubervile
of Salisbury, to M. William Musgrave of Oxon, containing several remarkable
cases in physic relating chiefly to the eyes. — Phil. Trans. n° 164, p. 756,
(4 août 1684). — Lowthorp's Abridgement, tome IE, partie 4, p. 40. :
(5) G. Spurzheim, Phrenology, 54 edit. p. 276. —J. De Ville, Manual of Phre-
nology, as accompaniment to the phrenological bust ; Lond. 1855, p. 108.
SUR LE DALTONISME. 285
famille dont tous les membres ne pouvaient distinguer que
le blanc et le noir.
M. Huddart (1) parle d’un nommé Harris. cordonnier à Mary-
port, dans le Cumberland, qui ne distinguait dans les cou-
leurs que des nuances d'intensité lumineuse, nommant blan-
ches toutes les teintes claires, et noires toutes les sombres. Il
trouva un Jour dans la rue un bas d'enfant et fut très-surpris
de l'entendre qualifier de rouge, lorsque lui-même pensait l'a-
voir entièrement défini en l'appelant un bas. Cette circons-
tance lui révéla limperfection de sa vue et lui fit comprendre
pourquoi ses petits camarades voyaient autre chose qu'une
différence de forme et de position entre les feuilles et les fruits
du cerisier. Deux frères de Harris se trouvaient dans le même
cas que lui, tandis que deux autres frères, ses sœurs et ses
parents avaient une vision normale.
$ 5. Cas de Daltonisme polychromatique.
M. Harvey (?) cite un tailleur de Plymouth qui ne voit dans
l'arc-en-ciel et dans le spectre que deux nuances, le jaune et le
bleu léger. Les seules couleurs qu'il distingue exactement sont
(1) An account of persons who could not distinguish colours, by M. Jos. Hud-
dart, in a letter to the Revd Jos. Priestley (Lond. janv. 15, 1777). — Phil. Trans.,
tome LXVII, p. 260.
(2) Edimb. Phil. Trans., tome X, p. 255.— Edimb. Journ. of science, tome V,
p. 414. — Bib. Univ., tome XXXV, p. 175.
286 MÉMOIRE
le blanc, le jaune et le vert. On raconte qu'il appliqua un jour
une pièce écarlate à des culottes de soie noire. Pour lui, le noir
est en général vert, quelquefois cramoisi; le bleu est bleu
foncé, cramoisi, ou noir; le violet est bleu, à moins qu'il ne
soit très-éclatant; le vert est noir et brun; le carmin, la laque
rouge, le cramoisi paraissent bleu; le brun semble vert; les
teintes orangées foncées sont brunes et les claires sont jaunes.
Sir J. Herschel (?) parle d’un opticien distingué (M. Trough-
ton), qui avait perdu un œil par accident et dont l’autre
percevait une sensation de clarté dans toutes les parties
du spectre, mais n’y distinguait que deux couleurs, le bleu
correspondant aux rayons les plus réfrangibles et le jaune à
ceux qui le sont le moins. Des expériences de confirmation ont
été faites au moyen de lumière polarisée qui traversait une
lame de mica mobile et qui donnait simultanément deux teintes
lune complémentaire de l'autre, et dont la coloration différait
suivant les inclinaisons du cristal. — Au rapport de M. Whe-
well, tous les membres masculins de la famille de Troughton
se trouvent dans le même cas (°).
Le travail le plus intéressant à signaler sur cette matière
est celui de l'illustre Dalton, qui a décrit sur lui-même et sur
quelques-uns de ses élèves l'affection qui nous occupe. Les
vastes connaissances de l’auteur sont un garant de la fidélité
et du soin qu'il a mis à analyser ses sensations et rendent très-
(4) Article Light dans l’Encyclopædia metropolitana, $ 507, p. 545.— Traité de
ja Lumière, traduit par MM. Quételet et Verhulst; tome I, p. 305.
(2) Athenœum, loc. cit.
SUR LE DALTONISME. 287
précieuses les esquisses qu'il en a publiées (*). Le Dr Dalton
ne voit dans le spectre solaire que trois couleurs, le jaune, le
bleu et le bleu foncé (purple) (?). Les deux premières forment
contraste, les deux dernières semblent différer plutôt en degré
que spécifiquement. Le rose vu de jour paraît bleu de ciel un
peu affaibli; à la lumière artificielle il prend une teinte oran-
gée ou jaunâtre qui contraste fortement avec le bleu. Le cra-
moisi est, de jour, d’un bleu sâle, et la laine cramoisie d’un
bleu foncé. Le rouge et l’écarlate deviennent à la chandelle plus
brillants et plus vifs. Dalton ne voit de jour aucune différence
entre le rouge d’un bâton de cire à cacheter et le vert de
l'herbe ; il appelle bleu sombre lincarnat d’un teint fleuri, et
il assortit le cramoisi avec la couleur du vin rouge clair ou de
la boue, le rose avec le bleu léger, le brun avec le rouge et le
gris avec le vert. Enfin sur tous les points où il a une opinion
particulière, la différence est moindre à la clarté des bougies
qu'à celle du soleil.
M. Whewell raconte (*) qu'ayant demandé à Dalton à
quel objet il pourrait comparer sa robe de docteur, qui était
d’un brillant écarlate, celui-ci lui montra les arbres dans la
(4) Extraordinary facts relating to the vision of colours, with observations ; by
M. John Dalton; read oct. 51* 1794. — Memoirs of the literary and philosophi-
cal Society of Manchester, tome V, part. 1, p. 28, 1798.
(2) Sir D. Brewster affirme au contraire, dans ses Lettres sur la magie naturelle,
que, d'après ses observations, Daiton voit le spectre tout entier, mais que la
partie rouge lui paraît jaune (page 27 de la traduction française).
(5) Athenœum, loc. cit.
288 MÉMOIRE
campagne et lui déclara n’apercevoir aucune différence entre
la couleur de son vêtement et celle de leur verdure.
Gœthe (*) dit avoir connu deux jeunes gens âgés de moins
de vingt ans, dont la vue était tres-bonne, et qui appréciaient
avec beaucoup de délicatesse les gradations du clair et de lobs-
cur. Ils voyaient comme nousle blane, le noir, le gris, le jaune,
le jaune-rougeûtre ; ils appelaient rouge le carmin desséché
en couche épaisse. Mais ils nommaient bleue la couleur d'un
trait mince de carmin fait au pinceau sur une blanche coquille,
ainsi que celle des pétales de la rose. Ils confondaient le rose
et le bleu avec le violet, et ces couleurs ne semblaient se dis-
tinguer les unes des autres que par de petites nuances de
clarté, d'obscurité, de vivacité ou de faiblesse.
M. le prof. Péclet (*) cite deux frères qui regardaientcomme
identiques le carmin, le violet et le bleu; ils nommaient verte
la tente du peroxide de fer, et confondaient le rouge garance
des pantalons de la troupe de ligne avec le vert des arbres.
Pour eux le jaune possédait un grand éclat. Ces résultats s’ob-
tinrent en leur faisant déterminer les diverses couleurs dont
on avait recouvert des bandes de papier.
Le Dr Sommer a décrit avec soin les particularités de son
Daltonisme (3). En résumé, il ne pouvait apprécier le rouge et
ses mélanges, mais il distinguait le jaune, le noir, le bleu et
(4) Zur Farbenlebre ; au chapitre Pathologische Farben, $$ 104—115.
(2) E. Péclet.— Traité élémentaire de physique, tomell, p. 562, 5° édit. 1858.
(3) Græfe und Walther's Journal für Chirurgie, Bd. V, Heft 1, p. 155.
SUR LE DALTONISME. 289
le blanc. Son frère et trois autres personnes étaient dans le
même cas.
Les phrénologistes se sont occupés aussi de quelques cas
de Daltonisme. Le D' Combe, d'Edimbourg, rapporte les dé-
tails suivants sur un M. James Milne, fondeur de laiton dans
cette ville (1). Son grand-père maternel était Daltonien, con-
fondant le brun avec le vert. Ses deux frères et M. Spankie,
son cousin au second degré, voient comme lui, tandis que
son père, sa mère, son oncle maternel et ses quatre sœurs
ont un organe normal. M. Milne ne distingue pas le brun
du vert, le bleu du rose, la couleur de l'herbe de celle
de l'orange; le bleu (purple), 'indigo et le violet ne sont pour
lui que différentes teintes d’une même couleur. Il ne voit dis-
tinctement dans l’arc-en-ciel que du jaune et du bleu ; il aper-
çoit d’autres bandes, mais il ne sait pas les nommer. Il appelle
le cramoisi bleu, de jour. et rouge brillant, à la chandelle. Au
reste, il différencie très-bien le blanc du noir.
Le Dr Nicholl nous a transmis l'examen de deux Daltoniens
remarquables. L’un (7), enfant de onze ans, n’appelait aucune
teinte verte; il nommait brun le vert foncé; jaune, le jaune
clair; rouge, le jaune foncé et le brun clair; rouge clair, le vert
pâle; bleu clair, le rouge clair et le rose; rouge, le rouge;
bleu. le bleu clair et le bleu foncé. Le spectre solaire ne lui
(4) Combes System of Phrenology ; — Transactions of the phrenological So-
ciety, p. 222 ; — Chamber’s, Edimb. Journal, vol. IV, p. 118.
(2) Account of a case of curious imperfection of vision, by Whitlock Nicholl;
Medico-chrurgical Transactions of London, tome VIE, p. 477.
TOM. X, 2° PARTIE. 37
290 MÉMOIRE
offrait que du rouge, du jaune et du bleu (purple). Sa mère
et ses quatre sœurs avaient une vision correcte, mais elle était
imparfaite chez son grand-père maternel et quelques frères de
celui-ci.
Le second sujet étudié par le Dr Nicholl (*), est un homme
de 49 ans. Comme le précédent, il a des yeux gris et une
teinte Jaune entoure sa pupille. Il ne peut distinguer le vert
du rouge. Il perçoit la couleur écarlate, maïs il appelle brun
le vert foncé; jaune, le jaune clair; brun clair, le jaune foncé;
bleu, le rouge clair, le rose et le violet; il apprécie bien le
bleu foncé et le noir. L’arc-en-ciel lui semble jaune au centre
et bleu vers les bords; des rideaux cramoisis lui paraissent
bleus de jour, et rouges à la clarté des bougies. Son œil
voit l'herbe rouge, et les fruits rouges de même teinte que
les feuilles de l'arbre qui les portent. Il n’a pas la notion
claire des couleurs complémentaires. Enfin il voit plus loin
et plus distinctement dans l'obscurité que ses parents et ses
amis.
Le Dr Colquhoun a aussi fait connaître deux cas très-bien
caractérisés (*). Le premier est celui d’une personne instruite,
qui a un goût décidé pour la peinture, et a décrit elle-même
les particularités de sa vision. « Je tiens à déclarer dès l’en-
(1) Account of a case of defective power to distinguish colours, by Whit-
lock Nicholl of Ludlow; Medico-chirurg. Trans. of London, tome IX, p. 559.
(2) Glasgow Medical Journal, vol. IE, p. 12, 1829. — C'est à l'amitié de M. le
D' Coldstream, de Leith, que je suis redevable de la communication manuscrite
de cet article, inséré dans une collection très-rare sur le continent.
SUR LE DALTONISME. 291
trée, dit-elle, que je ne confonds pas incessamment les cou-
leurs dont mon œil n'est en général pas capable de distinguer
la nature. Ainsi je puis apprécier avec une parfaite exactitude
les rouges et les verts brillants du plumage de certains oiseaux
et de quelques fruits, quoique les yeux ordinaires n’aperçoi-
vent aucune différence entre ces couleurs et celles que je con-
fonds décidément. Les couleurs dont les nuances m'échappent
le plus sont d'abord les rouges qui se rapprochent de l’écarlate,
et les verts jaunâtres tels que ceux des feuilles du tilleul, du
bouleau, de lorme, etc. Lorsqu'on ajoute, même en faible pro-
portion, du bleu à l'écarlate, je vois que celui-ci est altéré; mais
si on mêle une même quantité de bleu au vert que Je confonds
avec l’écarlate, je ne puis trouver de différence entre ce vert
plus bleuâtre et l'écarlate qu'on a bleuie. Je ne sépare point
le vert foncé du noir, et des nuances foncées du brun; le gris,
du vert pâle, et du rouge päle de même force... On a cru que
ce prétendu défaut dans ma vue provenait d’un manque de
soin dans l'appellation des couleurs; mais plusieurs tentatives
que J'ai faites démontrent qu'il est bien réel. Ainsi je n’aper-
çois pas un bâton de cire à cacheter déposé sur l'herbe, ni
une pièce d’écarlate pendue à une haïe que l'on me dit discer-
ner à plus d'un mille de distance. Je recueillis un jour un
lichen, comme une grande curiosité, sur le toit d’une maison
de pêche d’un ami; je le croyais d'un brillant écarlate, c'est-
à-dire de la même couleur que les tuiles ; en réalite il était d’un
beau vert. Une autre fois je n’aperçus aucune différence dans
l’aspect d’une dame qui avait remplacé son rouge par une
couche de bleu de Prusse. — Rien à mes yeux ne contraste
292 MÉMOIRE
plus avec le noir que la teinte azurée de l'atmosphère; aussi
vois-je beaucoup mieux de loin que de près, grâce à l'inter-
position d’une plus épaisse couche d'air. Cette disposition
fait que je ne sais distinguer un jeune enfant placé près de
moi d’une grande personne qui est beaucoup plus loin, ete. —
À la lumière artificielle, tous les jaunes me paraissent blancs;
le cramoisi me semble écarlate; le gris pâle, bleu; orangé
d’un rouge sâle. Je ne connais aucun parent qui me ressemble
à cet égard. »
L'autre cas est celui d’un jardinier de Clydesdale, âgé d’en-
viron 50 ans. Son œil est parfait de forme; l'iris est gris bleuä-
tre, et la pupille est entourée d’un cercle étroit jaune foncé.
Il reconnut son imperfection à l'impossibilité de distinguer
certains fruits pendus à l'arbre. Son premier métier fut d’être
tisserand, mais il y renonça, parce qu'il confondait les fils
rouges, noirs, verts et bleus. Dans l’arc-en-ciel il ne discerne
que du jaune et du bleu; cependant il en indique correcte-
ment la forme, et fut un jour le premier à mentionner un arc
secondaire comparativement faible. Il reconnaît beaucoup plus
ordinairement les personnes par leur voix que par leurs traits.
Aucun de ses nombreux enfants ni de ses parents ascendants
n'est Daltonien. Les principaux caractères de sa vision sont les
suivants :
En plein jour, il confond toutes les teintes de blanc ; nomme
correctement le jaune et ses variétés; appelle l'orangé un
jaune intense, mais n'y voit aucun mélange de rouge; hé-
site dans les teintes pâles qu'il désigne par jaunes, rouges,
brunes ou même lilas-gris (drab), et ne sait assigner au-
SUR LE DALTONISME. 293
cun nom aux nuances très-foncées; confond le rouge avec
le lilas, le rose, le brun, le noir, le blanc, bien qu'il perçoïve
la différence des teintes claires et des teintes foncées; n’a que
des notions très-confuses du vert qu'il croit être du blanc, du
lilas, du jaune, du bleu ou du noir; ne se trompe guère pour
le bleu, mais en étend la dénomination au violet; enfin, ne
sait Jamais caractériser mi le brun, ni le gris, qu'il nomme
lilas, ni le noir même le plus foncé. — A la brillante clarté
des chandelles, il voit le blanc, le gris, le jaune et le vert
comme de jour; reconnaît assez bien l'orangé, mais nomme
noirs les rouges foncés et les bleus foncés ; bleus et roses, les
bleus clairs; ne sait pas spécifier les nuances du violet et du
brun; ni celles du noir qu'il prend pour du brun, du rouge,
du vert ou du noir.
Enfin on doit à M. le prof. Seebeck la mention (1) de vingt-
un cas de Daltonisme, dont quinze ont été étudiés avec une
grande sagacité. Je n’entrerai pas dans le détail de ses obser-
vations; les conclusions qu'il en a tirées et qui ont été rappor-
tées ci-dessus m'en dispensent d'autant mieux qu'il ne sy
trouve guère de particularité dont les cas précédemment dé-
crits n’offrent des exemples. Je me bornerai à relater les traits
saillants de la vision d’un Daltonien de sa première classe (=).
C’est un jeune homme de dix-huit ans, qui appelle bleu le
bleu et le lilas verdâtre; vert, le vert bleuâtre, le gris pur, le
gris-lilas, le rose, le rose-violet et le bleu clair passant au
(1) Mém. cité.
(2) Mém. cité, p. 180.
294 MÉMOIRE
gris ou au verdâtre; rouge, le jaune, l’orangé, le jaune rou-
geàtre, le vert jaunâtre clair, le brun jaunâtre, et le brun de
rouille ; brun, le rouge jaunâtre foncé et le vert d'herbe foncé;
rouge ou brun, le cramoisi, le violet foncé, le vert foncé noi-
râtre ou bleuâtre et le brun. Le vert et le rouge sont le plus
indistincts pour lui; du reste, il ne dit pas volontiers qu'une
teinte est grise ou jaune (!). C’est le bleu et le jaune qui con-
trastent le plus fortement à son œil. Il juge très-incompléte-
ment de l’opposition des couleurs. Il distingue trois couleurs
fondamentales, qu'il appelle vert, bleu et rouge; ce dernier lui
semble brun lorsqu'il est foncé. Ce Daltonien voit les limites
du spectre comme nous. Il confond davantage le bleu avec le
violet et avec un rouge légèrement bleuâtre dans les couleurs
produites par le prisme ou par interférences, que dans celles
des substances opaques.
$ 4 Cas de Dalionisme incomplétement décrits.
Outre les faits que Je viens de rapporter, il en existe un
petit nombre d’autres qui sont consignés dans divers ouvrages,
mais avec trop peu de détails pour qu'il soit possible de les
bien caractériser. Voici les principaux d’entre eux.
M. Scott (=) nous apprend que le rouge vif et le vert tran-
(1) M. Seebeck remarque que toutes les personnes qu’il a examinées con-
fondaient les couleurs avec le gris, fait important et qui n’a pas été note jus-
qu'ici.
(2) An account of a remarkable imperfection of sight ; in a letter from J. Scout
to the Revd M. Whitson of Trin. Coll. Cambridge ; communicated by the Revd Mi-
chael Lort. Phil. Trans., tome LXVIIF, p. 611 (1779).
SUR LE DALTONISME. 295
ché, le bleu pâle et le rose, le rouge foncé et le bleu produi-
saient chez lui la même sensation, tandis qu'il distinguait fa-
cilement le jaune et le bleu foncé. Il appelait noir foncé la
teinte vineuse (claret coloured) d’un vêtement. La même im-
perfection se rencontrait chez son père, son oncle maternel,
une de ses sœurs et les deux fils de celle-ci.
Gall (”) dit que le Dr Unzer à Altona n’a jamais pu distin-
guer le vert du bleu.
Rozier (*) parle d'un individu qu'une vision analogue
empêcha de se vouer à la peinture : il employait le rouge au
lieu du bleu foncé. Helling (°) cite une personne qui confon-
dait le bleu clair avec le vert et le rouge.
Le Dr Butter (”) décrit le Daltonisme d’un jeune R. Tucker,
âgé de dix-neuf ans. Cet individu voyait brun le rouge du
spectre; vert, l’orangé; orangé le jaune; rose le bleu; enfin
bleu (purple), Yindigo et le violet.
Sir D. Brewster (?) cite une personne, jeune encore, et qui
ne voyait dans le spectre que du jaune et du bleu. Lorsqu'on
absorbait le milieu de l’espace rouge par un verre bleu, elle
(1) Gall, Anatomie et Physiologie du système nerveux, tome IV, p. 98. —
Spurzheim, op. cit. p. 276 ; — De Ville, op. cit. p. 108.
(2) Rosier, Observations sur la Physique, tome XIII, p. 86.
(3) Helling, Praktisches Handbuch der Augenkrankheïten, tome I, p. 1.
(4) Remarks on the Insensibility of the eye to certain colours, by John Butter,
M. D. Edimb. philos. Journal, tome VI, p. 155 (1822). — Transactions of the
phrenological Society, p. 209. — Combe’s System of phrenology.
(5) Brewster, Edimb. Journ. of science, tome VIT, p. 85; — A Treatise on
Optics, ch. XXXVI, p. 511 (tome XIX du Cabinet Cyclopædia) ; Lond. 1858.
296 MÉMOIRE
voyait la partie noire terminée des deux côtés par ce qu’elle
nommait du jaune.
M. Collardo confondait le bleu avec le jaune, le rouge avec
le vert (*).
Girod de Chantilly parle entre autres (2) d’un pharmacien
de Strasbourg qui ne distinguait que diflicilement les cou-
leurs. Il explique cette anomalie en admettant qu'il n’y a que
trois couleurs, et que la rétine possède pour la perception de
chacune d'elles une membrane particulière qui peut, dans cer-
tains cas, devenir inactive.
Brandis (3) racontait de lui-même qu'il ne peut distinguer
le bleu clair du rouge de la rose, qu'il confond aisément le vert
avec le bleu, le jaune avec le rouge, le rouge jaunâtre avec le
vert dans les teintes foncées, le bleu avec le rouge dans les
claires. Son neveu avait été obligé d'abandonner un com-
merce de soierie, parce qu'il ne pouvait distinguer le bleu
du ciel du rouge de la rose.
Wardrop (*) remarque que les Daltoniens aperçoivent une
différence dans les couleurs en général, mais sans pouvoir dire
en quoi elle consiste, ni nommer les couleurs séparément.
Suivant lui, ils ne se trompent jamais sur le jaune et le bleu;
(1) Journ. de Phys., tome XIL, p. 86.
(2) Dans un écrit publié en anglais sous le pseudonyme de G. Palmer, puis tra-
duit en français avec le titre de Théorie des couleurs et de la vision. 8°.
(3) Gœthe, zur Naturwissenschaft und Morphologie, 4 Heft, p. 297.
(4) Essays on the morbid anatomy of the human eye, Lond., 1818; tome If,
p. 196. — Meckel’s Archiv für die Physiologie, tome V.
SUR LE DALTONISME. 297
toutes les autres couleurs leur paraissent en être des modifi-
cations. Ils ne voient dans le spectre que du jaune et du bleu.
Ils distinguent difficilement les différentes espèces de vert et
de rouge; ils appellent bleu le vermillon, les couleurs voisines
du jaune, le carmin et les autres teintes semblables, qu'ils
trouvent toutefois jaunes à la lumière des bougies. Il est évi-
dent que l’auteur n’a étudié qu'un nombre tres-limité de cas
de Daltonisme.
ART. HI.
OBSERVATIONS NOUVELLES.
$ 1. Remarques générales.
Nombre des Daltoniens. — Yaï déjà dit que le nombre des
personnes affectées de Daltonisme est beaucoup plus considé-
rable qu'on ne le croit généralement. M. le prof. Seebeck en a
trouvé cinq sur les quarante et quelques jeunes gens qui com-
posaient les deux classes supérieures d’un gymnase de Berlin.
Le prof. Pierre Prevost assurait que sur vingt individus, il
y en a un Daltonien. Je ne crois pas que cette estimation soit
fort exagérée; car il m'a été facile de trouver bien des per-
sonnes affectées de cette singulière anomalie. Il est nécessaire
TOM. X, 2° PARTIE. 38
298 MÉMOIRE
de remarquer que souvent les Daltoniens eux-mêmes ignorent
l'imperfection de leur vision. Ajoutons cependant qu'on ne
trouve dans les auteurs anciens aucun passage qui se rapporte
au Daltonisme, et que les nombreux voyageurs qui ont par-
couru l'ancien et le nouveau monde sont tout aussi peu expli-
cites à cet égard. En faudrait-il conclure que cette imperfection
est le partage des nations modernes européennes ? Il est infi-
niment plus probable qu'en d’autres régions et dans les siècles
passés, l'esprit d'observation moins développé ne l'a pas dé-
couverte.
Signes caractéristiques. — Y a-t-il quelque moyen de déci-
der à la simple inspection de l'organe visuel d’un individu que
celui-ci est ou n’est pas Daltonien? Cette question est très-
importante, car il n’est point rare de rencontrer des gens voués
à la peinture ou à d’autres professions que l’état de leur per-
ception colorée aurait dû leur interdire. Je n'oserais aflirmer
que la réponse doive être dans tous les cas négative. J'ai ob-
servé, en effet, que les Daltoniens dont les yeux sont bruns,
de la couleur que les Anglais nomment hazel (noisette), offrent,
sous une incidence plus ou moins oblique, un reflet doré d’une
nuance particulière. M. Nicholl l'a signalé dans les cas du jeune
enfant et de l'homme plus âgé qui ont été rapportés ci-dessus,
et le Dr Colquhoun le mentionne dans l'œil du jardinier de
Clydesdale. Miss Sedgwick dit de M. de Sismondi qu'il avait
brilliant hazel eyes (y; l'illustre historien était affecté de Dalto-
(4) Leuers from abroad 10 kindred at home, tome I, p. 250.
SUR LE DALTONISME. 299
misme. Frappé de ce reflet dans l'œil d’un jeune élève de quinze
ans, Je l'ai soumis à quelques exercices qui ont montré, selon
ma prédiction, son inaptütude, jusqu'alors ignorée, à distin-
guer diverses couleurs. Les yeux du sieur D***, dont il sera
question plus loin, présentaient la même particularité. Je suis
loin, du reste, de donner à cette remarque une grande va-
leur.
On a prétendu qu'il y a plus de Daltoniens à yeux bleus
qu'à yeux noirs. Cette assertion est insoutenable; parmi les
personnes que J'ai examinées, la grande majorité appartenait
à la seconde catégorie. En réunissant toutes les observations
de Daltonisme, à moi connues, dans lesquelles on a noté la
couleur de l'iris, je trouve que les deux teintes y sont repré-
sentées par des nombres égaux. M. Seebeck rejette également
cette opinion qui provient de ce que la plupart des cas étudiés
l'ont été en Allemagne et en Angleterre, où le bleu est la cou-
leur dominante des yeux.
Répartition suivant le sexe. — Le Daltonisme est beaucoup
plus commun chez les hommes que chez les femmes. On m'a
parlé d’une dame qui confond les couleurs, mais je n’ai pas eu
l'occasion d'examiner en quoi consiste le défaut de sa vue. Il en
est de même d’une sœur de D***. Deux femmes dont parle
M. Seebeck (), et deux cas cités par les Anglais, mais dont un
(1) Mem. cit., p. 252.
300 MÉMOIRE
est douteux (1). voilà, sur près de cent cinquante observa-
tions cataloguées, les seules qui re portent pas sur le sexe
masculin. S'il est vrai que les travaux d’aiguille développent
la délicatesse de jugement pour les nuances, et que les femmes
aient l'organe de la couleur plus développé que les hommes,
comme Gall l’assure, il est digne de remarque que ces tra-
vaux même devraient mener quotidiennement à la découverte
de cas de Daltonisme dans le sexe féminin, si ces cas étaient
nombreux.
Influence de l'âge et de la parenté. — Le Daltonisme date
ordinairement de la naissance. A la très-grande généralité de
cette règle, Je ne connais que deux exceptions, celle du
sieur D*** sur laquelle je reviendrai, et celle d’un jeune
homme de dix-sept ans, cité par M. Seebeck (*), qui avait
souffert d’une inflammation aux yeux dans son enfance et qui
en avait conservé une faiblesse de vue; mais on ne peut que
difficilement (schwerlich) faire dater son Daltonisme de cette
époque.
Quant à la parenté, il y a des Daltoniens dont aucun pa-
rent connu ne présente l’anomalie de vision; d’autres l'ont, pour
ainsi dire, héritée de leur père ou de leur oncle, soit pater-
nel, soit maternel (sans que, dans ce dernier cas, la tante y
(4) Phil. Trans., tome LXVIIT ; et Medico-chirurg. Trans. of London, tome IX;
c’est ce dernier cas qui présente de l'incertitude.
(2) Mem. cit., p. 200.
SUR LE DALTONISME. 301
participe); enfin il n’est pas rare de trouver des frères dont
plusieurs sont Daltoniens, sans que nécessairement tous le
soient. Les sœurs sont presque toujours privilégiées, comme
nous l'avons vu.
8 2 Détails de deux observations.
La plupart de mes observations se rapprochent trop de
celles dont j'ai présenté l'énumération, pour qu'il soit utile de
les reproduire en détail. Je me bornerai, à en citer une en en-
tier, en la faisant suivre d’une seconde qui m'a été commu-
niquée.
Le sujet le plus intéressant que j'aie étudié est le sieur
Louis D***, né au Locle, le 22 juillet 1810. Il est l'aîné de
quatre sœurs et de sept frères. Ses parents ont une vue saine,
et leurs enfants se rangent en une double catégorie assez sin-
gulière. La première est formée de ceux qui ont des cheveux
rouges et qui ne sont pas Daltoniens; la seconde, dont D***
fait partie, est composée de ceux dont la chevelure est blonde
et qui sont doués d’une vision colorée anomale : chaque sexe a
des représentants dans l’une et dans l'autre.
D*** assure, d’après ses souvenirs et le témoignage de sa
mère, avoir, dans son enfance, perçu les couleurs de la manière
ordinaire. Mis en pension à un âge très-tendre dans le canton
de Berne, il en revint au bout de deux ans sans notions bien
approfondies sur leur diversité et atteignit ainsi sa neuvième
année. Il reçut alors sur la tête un coup asséné avec tant de
violence que la boîte cranienne fut fracturée; le traitement de
302 MÉMOIRE
la plaie nécessita, entre autres sur le dos, quelques opérations
chirurgicales, à la suite desquelles il ne vit plus les couleurs
que d’une manière défectueuse. Au surplus la considération
que trois de ses frères sont dans le même cas sans s'être trou-
vés dans les mêmes circonstances enlève à cette observation
pathologique une grande partie de son importance.
Son père chercha par des punitions corporelles réitérées à
faire cesser ce qu'il nommait un mauvais badimage, et D*** a
gardé souvenir de la correction que lui infligea un jour son
maître de reliure pour avoir mis un papier rouge à des livres
dont la couverture devait être verte.
J'ai soumis ce Daltonien à un grand nombre d'expériences
variées pour qu'elles se contrôlassent mutuellement. Il fallait
en effet me garantir d'erreurs provenant d'indications fautives
de sa part et dues à l'éducation que lui donnent forcément ses
relations habituelles. En outre il ne dissimulait pas sa répu-
gnance à répondre à des questions précises sur des points où
l'absence de la faculté perceptive entraîne, comme on sait,
celle d'idées correspondantes que nul procédé extérieur d'ins-
truction ne saurait remplacer.
D*** ne voit pas grande différence entre la couleur de la
feuille et celle du fruit mûr du cerisier; il confond celle d’un pa-
pier vert d’eau avec l'écarlate d’un ruban placé tout auprès (7).
(1) J'ai observé une circonstance analogue chez un autre Daltonien, M. Mary,
de Metz. Il ne put apercevoir une jeune paysanne vêtue en entier d'habillements
rouges et qui traversait une prairie dont la couleur verte avait pris la teinte foncée
qui lui est ordinaire quelques instants après le coucher du soleil.
SUR LE DALTONISME. 303
La fleur du rosier lui semble bleu-verdâtre et il nomme vert-
clair la couleur cendrée de la chaux vive du commerce (1).
Je lui présentai successivement des papiers nuancés de di-
verses teintes, le priant d’assortir celles qui lui paraîtraient
semblables. Mais je ne tardai pas à m’apercevoir que l'influence
de la surface plus ou moins lisse du papier et de l'éclat qui en
résulte l'empêchaient de prononcer d'une manière certaine, et
je renonçaï à ce mode d'expériences dans lesquelles il y avait
une sorte de redressement des jugements de la vue par ceux
du tact (*).
Je voulus savoir quel effet produirait sur lui la vue d’un
spectre solaire. J’opérai au moyen d’un bon prisme, par un
temps très-favorable et dans une chambre obscure, le T mai
1839, entre 9 et 10 heures du matin. Les bandes colorées re-
çues sur un écran de papier blanc étaient brillantes et dis-
tinctes; elles s’étendaient sur une longueur d'environ 0,102.
D. ne vit que quatre couleurs, du bleu, du vert, du jaune et
du rouge. Il limita la partie bleue exactement à l’espace occupé
par le violet, l'indigo et le bleu; il appela vertes les bandes
verte et jaune moins un intervalle de 0,002 contre l'orangé ;
il nomma jaune cette bande de 0,002 et une fraction du
rouge large de 0,012; enfin les 0,008 de rouge restant
(1) M. le professeur M°*** de Zurich est dans le même cas, etc., etc.
(2) J'ai remarqué, comme M. Seebeck, que le jugement porté par des Dalto-
niens sur les couleurs est moins positif et moins exact pour des milieux opaques
que pour des substances transparentes.
30% MÉMOIRE
étaient pour lui d’un rouge diflicile à définir, quoique bien
réel (*).
Ces anomalies dans la perception des couleurs réfléchies
une fois connues, il restait à les vérifier pour de la lumière
réfractée. J’employai dans ce but trente-sept plaques de verre
différemment colorées, et j'écrivis sous la dictée de Daltonien
les diverses impressions qu'il ressentait en plaçant l’une après
l'autre chacune d’entre elles entre le ciel et son œil. J'ai répété
ces épreuves à plusieurs reprises, afin de ne pas laisser les
résultats entachés d'indications données à la légère ; toutes ont
été faites par un temps serein et à la lumière du soleil, soit
avant, soit après midi. J'ai consigné dans le tableau I le détail
de l’une d'elles, exécutée le 2 mars 1840, entre 3 et 4 heures,
par un ciel bleu-grisâtre. Les verres y sont classés dans l’ordre
de décroissance de leur teintes pour mon œil; ils comprennent
les sept couleurs primitives plus ou moins nettes avec quel-
ques-unes de leurs combinaisons, mais ne présentent pas cette
fusion par degrés insensibles qu'on remarque dans celles du
spectre solaire.
(1) J'ai déjà dit que plusieurs Daltoniens dichromatiques voyaient mieux dans une
demi-obscurité que d’autres personnes dont la vue est de jour plus perçante que la
leur ; D‘** et deux autres individus que j'ai examinés sont dans le même cas. Cela
ne provient-il pas, comme le présume M. Seebeck (Mem. cit., p. 224) de ce que
les rayons les moins réfrangibles disparaissant les premiers dans le crépuscule, la
diminution d'éclat de la lumière est plus sensible aux yeux ordinaires qui perçoi-
vent ces rayons mieux qu'eux?
SUR LE DALTONISME.
305
Tableau I.
EXPÉRIENCES AVEC DES PLAQUES DE VERRE COLORÉ.
COULEURS SELON MOI.
N'°° D'ORDRE
des observations.
N°° D'ORDRE
des plaques.
Rouge très-foncé.
moins foncé.
Orangé foncé.
» moins foncé.
OO D 1 D O1 à CO NO
Jaune foncé.
» moins foncé.
»
13 2 » »
14 D pen De
15 » » »
16 Vert foncé.
» moins foncé.
»
» »
» bleuitre.
» plus clair que n° 22.
Bleu fonce.
» moins foncé.
23 » » »
24 » » »
25 » » »
26 » mal défini.
27 » sale moinsdistinct.
Indigo foncé.
» moins foncé.
» » »
Violet foncé.
» moins foncé.
COULEURS SELON LE DALTONIEN.
Rouge noir très-obscur, indiscernable.
Rouge brun très-foncé, indiscernable.
Rouge.
Rouge clair, d'incendie.
Rouge plus clair, ou jaune foncé.
Rouge plus clair, vif, indistinct.
Jaune très-vif, indistinct; rouge?
Jaune flamme, indistinct ; rouge doré.
Rouge de feu, clair.
Rouge clair; jaune?
Rouge plus clair et plus brillant que celui de la
Rouge jaunâtre, indistinct. [2° plaque.
Rouge d’incendie.
Vert clair.
Vert très-clair.
Vert bleuâtre
Vert bleuâtre
Beau vert.
Vert clair.
Vert moins foncé et moins rougeâtre que celui de
Bleu verdûtre. [la 6° et de la 7° plaque.
Bleu.
Bleu clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair que celui de la 13°.
Bleu faible.
Beau bleu plus clair que celui de la 11°.
Bleu plus foncé que celui de la 28°.
Bleu foncé.
Beau bleu plus clair.
Beau bleu foncé.
Bleu foncé.
Bleu foncé.
Bleu foncé.
Beau bleu plus faible.
Bleu clair comme celui de la 13°.
Beau bleu de ciel.
} couleurs égaleset peu distinctes.
TOM. X, 2° PARTIE.
39
306 MÉMOIRE
Ce tableau montre à travers quelques appellations dubita-
tives l'évidente confirmation des résultats obtenus avec le
spectre solaire. Les trente-sept plaques de verre ne font per-
cevoir à l'œil de D“** que quatre couleurs différentes, abstrac-
tion faite des variétés d'intensité; seulement ici il y a quel-
ques changements dans le nom des teintes orangées et dans
celui des teintes rouges et jaunes qui en sont le plus rappro-
chées. Les nuances qu'il a de la peine à caractériser et qu'il
nomme tantôt rougeâtres, tantôt jaunâtres, sont précisément
celles qui sont un mélange en proportions diverses de jaune
et de rouge.
Quelque concordantes que fussent ces épreuves. J'ai pensé
qu'il ne serait point inutile de les vérifier par d’autres, dans
lesquelles on emploierait des teintes pures produites par des
phénomènes de polarisation colorée. Cette méthode n'a paru
plus sûre. parce que les verres dont nous avions fait usage
pouvaient présenter en divers points des différences d'épais-
seur ou de coloration, quelquefois aussi des stries qui influent
sur une réfraction bien nette de la lumiere, et apporter ainsi,
dans des recherches délicates, des chances d'erreur dont il
était important de se débarrasser.
Dans ce but je me suis servi de l'appareil inventé par M. de
Norrenberg. Après avoir disposé les glaces d’une manière con-
venable, j'ai placé sur le support un quartz perpendiculaire à
l'axe, de 0,002 d'épaisseur, et sur l'ouverture du cercle gra-
dué un prisme de Nichol. Les observations ont été faites le
jeudi 5 décembre 1839, par un temps de neige, depuis 2 h.
et demie après midi. Les lectures avaient lieu de cinq en cinq
SUR LE DALTONISME. 307
degrés à partir du 90° placé à droite de l'observateur et avec
lequel on a commencé par faire coïncider le repère. Je donne
dans le tableau IT les indications de D*** pour les cercles de
droite et de gauche, ainsi que les miennes faites immédiate-
ment apres. Je dois à M. Taylor, ancien élève de l'Université
de Cambridge, d’avoir bien voulu contrôler les résultats que
J'inscrivais.
308 MÉMOIRE
Tableau II.
EXPÉRIENCES AVEC LA LUMIÈRE POLARISÉE.
COULEURS SELON LE DALTONIEN.
ET
COULEURS SELON MOI.
N°° D'ORDRE
des observations.
© OO =1 O O1 à C0 KO Me
du cercle,
CERCLE A DROITE,
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu blanchitre.
Blanc bleuitre.
Blanc jaunätre.
Jaune blanchätre.
Jaune paille léger.
Jaune paille plus foncé.
Jaune paille.
Jaune plus foncé.
Jaune plus fonce.
Jaune plus fonce.
Jaune laiton.
Jaune citron.
Citron foncé terne.
Jaune sâle foncé.
Jaune brun léger.
Jaune fauve.
Jaune fauve foncé.
Brun chocolat.
Chocolat rouge.
Lilas pourpre.
Pourpre violet.
Indigo.
Lapis lazuli.
Bleu de Prusse.
Azur foncé.
CERCLE A GAUCHE,
Jaune verditre.
Jaune verdûtre pl fonce
Jaune verdâtre pl° foncé
Jaune verditre pl foncé
Jaune brun.
Brun chocolat.
Brun lilas.
Lilas purpurin.
Pourpre lilas.
Beau violet.
Bleu de lapis lazuli.
Bleu moins foncé.
Bleu cobalt.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Azur du ciel.
Bleu vaporeux .
Bleu grisâtre terne.
Bleu grisaille .
Bleu gris.
Bleu fade.
Gris bleuitre.
Bleu jaunûtre.
Blanc vert jaunâtre.
Jaune verditre très-clair
Blanc terne.
Jaune verditre léger.
Jaune verditre.
Jaune un peu verdâtre.
Beau jaune.
CERCLE À DROITE,
Bleu.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Blanc bleuâtre.
Blanc indécis.
Blanc terne.
Blanc moins terne.
Beau blanc.
Blanc jaunûtre du sapin.
Jaunûtre.
Beau jaune.
Beau jaune.
Jaune verditre.
Jaune orange.
Jaune.
Jaune mat.
Jaune verdûtre.
Vert clair.
Beau vert-pré.
Vert-feuille du noyer.
Vert rougeûtre .
Beau rouge.
Beau bleu foncé.
Même bleu.
Même bleu.
Bleu un peu clair.
Bleu de Prusse.
Mème bleu plus clair.
CERCLE À GAUCHE.
Jaune paille.
Jaune plus fonce.
Jaune plus foncé.
Jaune plus clair.
Rougeître clair.
Beau rouge.
Rouge plus beau.
Bleu indécis.
Bleu foncé.
Bleu comme n° 9.
Comme n° 9.
Comme n° 9.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu plus clair.
Bleu très-clair.
Bleu plus clair.
Bleu très-clair .
Bleu grisâtre .
Bleu blanchitre.
Gris blanc.
Blanc bleuître faible.
Blanc terne.
Blanc terne.
Blanc jaunûtre.
Blanc jaune indécis.
Jaune faible.
Jaune clair.
SUR LE DALTONISME. 309
J'ai mieux aimé passer ainsi d’une teinte à l’autre par des
transitions sans saccades, plutôt que de procéder par sauts
brusques qui m'’eussent donné des résultats plus immédiate-
ment tranchés. Comme vérification, J'ai noté les couleurs des
deux cercles pour les soixante premiers degrés du second qua-
drant, quoiqu'elles ne fussent que la répétition de celles que
nous avions obtenues dans le premier, avec la seule différence
d’un échange dans leurs positions.
Si l'on fait la part de la difficulté très-grande qui se ren-
contre lorsqu'il s’agit de spécifier une teinte peu différente
d'une autre appartenant à la même couleur, on verra par l'ins-
pection de ce tableau que D*** perçoit comme nous le bleu, le
blanc, le jaune, mais qu'il se trompe sur le pourpre, le lilas, le
brun en les confondant avec le rouge et le bleu.
M. Taylor et moi nous avions noté comme égales d'éclat les
teintes Jaune et bleue de l'observation seizième, et le Dalto-
nien fit la même remarque sur les teintes de même nom de
la trente-unième lecture, qui n’en est pas à 900 de distance.
Il en résulte que l’appréciation de l'égalité d'intensité de deux
couleurs complémentaires n’est pas la même chez lui que chez
nous, conséquence que J'avais précédemment déduite des ‘ex-
périences faites avec les verres colorés portant les numéros 6,
7, 15 et 18 (Tabl. D). Le très-grand nombre d'épreuves dans
lesquelles D*** à été jugé montrent du reste avec une extrême
probabilité qu'il ne perçoit pas des différences entre des cou-
leurs qui nous paraissent identiques. M. Seebeck est arrivé à
Ja même conclusion (!).
(1) Mem. cité, p. 219.
310 MÉMOIRE
D*** nous aflirma en outre qu'il trouvait une différence to-
tale et brusque entre les teintes du cercle de droite des obser-
vations vingt-cinquième et vingt-sixième, teintes qui du rouge
le plus beau sautaient au bleu foncé très-riche. Pour notre
œil la distinction était loin d'être aussi profonde, ce qui
montre que son organe visuel était inhabile à percevoir les
divers mélanges du rouge qui accompagnent le bleu pour le
faire passer au violet purpurin, rouge qui devient si évident
lorsqu'on superpose deux ou plusieurs plaques de verre bleu
cobalt et qu'on les place entre l'œil et un objet bien éclairé.
Cette circonscription précise du domaine constitutif d’une
couleur est un fait qui me paraît nouveau et digne d'être re-
marqué.
Je signalerai enfin une autre observation assez frappante.
Le 10 décembre 1839, vers deux heures après midi, nous
étions occupés à répéter les expériences précédentes avec le
même appareil semblablement disposé. Le ciel était légère-
ment couvert et les indications du Daltonien correspondaient
exactement à celles dont j'ai présenté ci-dessus le relevé. Tout
à coup le soleil brilla et vint jeter beaucoup plus de lumière
sur l'appareil et sur l'observateur. Celui-ci me dit sur-le-
champ que les couleurs prenaient à ses yeux une teinte diffé-
rente et rougissaient toutes d’une manière sensible. Il appela
rouge ce qu'il nommait auparavant vert et bleu mal défini.
Pour moi, je ne sus voir d'autre changement dans les couleurs
qu'une augmentation de leur éclat et de leur vivacité. Aussi
regardé-je comme bien probable que l'impossibilité où il s'est
vu de déterminer les nuances des plaques cotées 27, 1, 20,
SUR LE DALTONISME. 311
35,34,5 et 4 provenait de l'obscurité de leur teinte. Peut-
être leur en aurait-il assigné une particulière si une lumière
plus vive que celle du soleil les eût éclairées, ou si leur épais-
seur eût livré passage à une plus forte proportion des rayons
de cet astre (*).
Un problème qu'on n'avait pas jusqu'ici cherché à résou-
dre est celui de la différence qui doit exister entre un Dalto-
nien et une personne à vue normale dans la perception des
couleurs complémentaires. Pour obtenir quelques résultats à
cet égard, j'ai présenté à D*** une feuille de papier sur la-
quelle étaient peintes les couleurs du spectre avec leurs com-
plémentaires en regard. J’inscris dans le tableau II, à côté de
leurs noms véritables ceux qu'il leur a assignés. Ce tableau
prouve clairement et comme on devait s’y attendre, que les
couleurs que nous regardons comme complémentaires ne pa-
raissent pas telles au Daltonien (°).
(1) M. Seebeck pense que lorsque deux couleurs sont différentes, l'œil du Dal-
tonien peut bien lui faire percevoir cette différence, mais jamais plus grande qu’elle
ne parait à un œil normal (Mem. cit., p. 179, note).
(2) M. Seebeck a trouvé chez divers Daltoniens une perception très-imparfaite
du contraste des couleurs (Mem. cit., p. 184).
312 MÉMOIRE
Tableau III.
EXPÉRIENCES DES COULEURS COMPLÉMENTAIRES.
NOMS DES COULEURS NATURELLES.
7
SELON MOI. SELON LE DALTONIEN.
EEE)
1. Rouge. Rouge (feuille du rosier).
2. Orange. Jaune rougeûtre.
3. Jaune. Jaune de chrôme.
4. Vert. Vert faible.
5. Bleu. Bleu fonce.
6. Indigo. Bleu nuance de rouge ? ?
7. Violet. Beau bleu.
8. Noir (de Chine). Brun?
9. Blanc. Blanc.
ER
NOMS DES COULEURS COMPLÉMENTAIRES.
SE
SELON LE DALTONIEN.
SELON MOI,
1. Bleu verdätre. Rouge clair (fleur du rosier ?).
2. Bleu. Joli bleu.
3. Indigo. Bleu indistinct .
4. Violet rougeitre. Rouge?
5. Orangé rouge. Jaune?
6. Orange jaune. Jaune plus foncé.
7. Jaune verdâtre. Jaune clair.
8. Blanc. Blanc.
9. Noir (de Chine). Brun?
SUR LE DALTONISME. 313
L'œil de D*** n'est cependant pas insensible aux couleurs
accidentelles ; mais la fatigue qui, dans leur production, ré-
sulte de la fixation volontaire et soutenue de l'objet éclairé
semble lui être plus douloureuse qu'à nous. Voici deux des
tentatives qui m'ont le mieux réussi.
Je plaçai une rondelle de papier rose de 02,05 de diamètre
sur une basane vert foncé et Je l'exposai à la lumière intense du
soleil. Après quelques instants de contemplation, D*** ayant
porté ses regards sur le plafond blanc, y vit un cercle noir
entouré de rouge. Les couleurs avaient pris la place l'une de
l’autre au lieu de devenir complémentaires.
Je peignis ensuite une tête humaine en donnant à chaque
partie une couleur complémentaire. Ainsi les cheveux et les
sourcils étaient blancs, les chairs brunâtres, la sclérotique
noire, les lèvres et les pommettes vertes, etc. Lorsque je
lui demandai ce qu'il pensait de cette tête, il me répon-
dit quelle lui semblait naturelle, que la chevelure était enve-
loppée d'un bonnet blanc peu marqué et que lincarnat des
joues était celui d’une personne échauffée par une longue
course.
IT peut encore être intéressant de remarquer que D*** voit.
dans toute l'étendue du spectre solaire qui est lumineuse
pour lui, les raies noires de Fraunhofer exactement comme un
œil ordinaire. C’est ce que J'ai constaté soit en projetant ces
raies sur un écran, soit en les lui montrant à travers une
lunette et en lui faisant placer le fil vertical d’un micromètre
en coïncidence avec elles. Les Daltoniens perçoivent donc
l'obscurité là où elle existe aussi pour nous.
TOM. X, 2€ PARTIE. 40
314 MÉMOIRE
Deuxième observation (1). — H. Dickinson de Newcastle-
upon-Tyne, drapier, a raconté dans les termes suivants les
particularités de son Daltonisme.
Autant que je puis systématiser mon expérience, les cou-
leurs primitives sont le rouge, le jaune et le bleu : toutes les
autres ne sont que des nuances différentes de ces trois types.
Mon rouge étalon (sandard red) est la couleur de la cire à
cacheter. Les feuilles des arbres, la teinte vive de l'herbe.
surtout celle de la feuille de laurier n’en diffèrent qu’extrême-
ment peu.
Je vois le jaune et le bleu à la manière ordinaire et je con-
fonds rarement les objets qui en sont teints, quoique bien
des choses me semblent bleues qui ne paraissent pas telles à
d’autres; un chou rouge est d’un magnifique bleu clair de
Jour, tandis que Je m'étonne de le trouver rouge à la lumière
de la chandelle (2).
Si je regarde un cerisier dont les fruits sont mûrs, je ne
distingue ceux-ci des feuilles que lorsque je suis assez rappro-
ché pour les reconnaître à leur forme (*). On voit que je ne
perçois nullement le vert qui est pour la majorité des obser-
(1) J'en dois les détails à mon ami M. le Dr Scholfeld, de Doncaster, qui me les
à transmis sous date du 17 août 1841.
(2) M. M‘* de G. pressé de faire de nuit le portrait d’une personne dont le
départ était fixé au lendemain matin employa le jaune pour le rose. Celle-ci n’en
garda pas moins l’œuvre du célèbre peintre, l'assurant qu’elle ne le montrerait
qu'après le coucher du soleil.
(5) Un Daltonien avait de même peint en beau rouge un sapin au milieu d’un
paysage.
SUR LE DALTONISME. 315
vateurs la couleur prédominante dans la nature. Il me paraît
toujours rouge de jour et quelques-unes de ses variétés me
semblent bleues à la lumière artificielle.
Cette anomalie date de ma plus tendre enfance et m'a été
transmise par plusieurs de mes ancêtres.
ART. IV.
EXAMEN DES EXPLICATIONS DU DALTONISME.
Plusieurs opinions ont été émises, surtout en Angleterre,
pour rendre compte du Daltonisme. Je me propose de les indi-
quer ici d’une manière succincte, en les accompagnant de
quelques remarques critiques sur leur valeur dans l'état ac-
tuel de nos connaissances.
M. Dugald Stewart après avoir rappelé dans sa Philosophie
de l'esprit humain () qu'il existe parmi les hommes des diffé-
rences quant à la perception des couleurs, estime que la cause
en est bien plus souvent dans une faiblesse ou dans une erreur
(1) La 1"° édit. est de 1792, la 2° de 1802. — Voy. P. Prevost, Essais de phi-
losophie, tome 1, p.249. — L'illustre philosophe d'Edimbourg était insensible aux
couleurs les moins réfrangibles du spectre et ne pouvait pas distinguer un fruit
rouge des feuilles vertes de l'arbre (Chamber’s Edimb. Journ. vol. IV, n° 474;
— Brewster's Treatise on optics, p. 341).
316 ; MÉMOIRE
de conception que dans un défaut de l'organe. Cette manière
de voir s'accorde avec l'hésitation que mettent quelques Dalto-
niens à nommer une couleur isolée, bien qu'ils l'aient caracté-
risée par comparaison. On pourrait aussi faire valoir en sa fa-
veur cette divergence que nous avons reconnu règner entre
eux lorsqu'ils s’agit de nommer une même teinte (1). Mais elle
me semble difficile à concilier avec cette circonstance que plu-
sieurs individus affectés de Daltonisme avaient le goût de la
peinture et que celui dont j'ai esquissé l'histoire n'a pas été
dès son bas-âge dans le même état d’impuissance à juger les
couleurs. Au surplus le modeste philosophe écossais ajoute
qu'en émettant cette conjecture, il est loin de prétendre qu'il
n'y ait pas des cas où l'affection est produite par l’altération
de l'œil. Il se peut que la sensation n'ait pas lieu, ou que la
faiblesse de l'impression soit telle qu'elle agisse comme cause
pour produire une habitude d'inattention d’où résulte l'incapa-
cité d’en concevoir le souvenir. M. Prevost qui rapporte l'ex-
plication de Stewart indique qu'il ne l'adopte pas (?), mais se
déclare partisan de celle que je vais exposer.
M. Dalton (*) conclut de ses observations personnelles,
que les humeurs de ses yeux et de ceux de ses élèves sont co-
(1) Le Dr Butter, de Plymouth, concluait aussi de l'examen du jeune Tucker
que le Daltonisme a une cause physiologique et non optique, puisque toutes les
autres fonctions de l'œil conservent leur entier exercice (Edimb. Phil. Journal,
tome VI, p. 141).
(2): Le Dr Elliotson rejette également cette hypothèse; voyez Froriep's neue
Notizen, 1859, n° 247,
(3) Mem. of Manchester, tome V, p. 30 ss.
SUR LE DALTONISME. 317
lorées en bleu. Il admet que cette coloration doit être particu-
lière à l'humeur vitrée, car si elle eût affecté une autre partie
de lorgane elle aurait été révélée par une inspection exté-
rieure. Malgré les efforts de l'auteur pour expliquer par cette
théorie les différents faits de vision qu'il a décrits, malgré les
raisonnements du professeur Prevost pour anéantir les objec-
tions, apparentes selon lui, qu'on y à faites, il ne me paraït
pas qu'elle puisse être admise. D'abord elle ne saurait expli-
quer la diversité des noms imposés à la même couleur par dif-
férents Daltoniens. Ensuite, si le passage des rayons lumi-
neux par un médium bleu suffisait pour procurer le Dalto-
uisme, l'habitude des verres bleus pour bésicles aurait depuis
longtemps confirmé cette hypothèse contre laquelle elle forme
au contraire un argument bien fort. On sait que les vieillards
chez lesquels le cristallin prend une teinte ambrée continuent
à voir les objets avec leurs couleurs propres. Enfin les ocu-
listes et les chirurgiens les plus distingués de la Suisse, de
l'Allemagne, de l'Angleterre, de la France et des Pays-Bas,
dont j'ai pu recueillir les opinions, sont unanimes à ne citer
aucun cas de cette coloration en bleu de l'humeur vitrée, et
les meilleurs ouvrages analytiques que nous possédons sur
le mécanisme et la composition de l'œil, les travaux de Tho-
mas Young ('), de Chenevix (°), de Nicolas (*), de Berzé-
(1) Thomas Young.— On the mechanism of the Eye; Phil. Trans. 1801. Part. I,
p.55. — Bibl. Univ., tome XVIII, p. 225.
(2) R. Chenevix. — On the humours of the Eye; Journ. of the roy. {nstitu-
tion. — Bibl. Brit., tome XXI, p. 545.
(5) Nicolas, Dr et prof. — Mémoire analytique sur les différentes humeurs
318 MÉMOIRE
lius (!),etc., viennent tous confirmer ce témoignage. L'opinion
de Dalton ne saurait donc être adoptée.
À l'inverse, Gœthe (2) pense que pour expliquer le Dalto-
nisme il suffit d'admettre que les malades ne voient pas le
bleu, mais à sa place un pourpre affaibli, un rose et un rouge
clair et pur. C’est ce qui lui a fait imposer à cette affection le
nom d'Ækyanoblepsie. Il est à présumer que s’il eût connu
les différents cas que J'ai décrits, il n'aurait pas avancé une
hypothèse qui cadre si peu avec plusieurs d’entr'eux.
Tous les physiciens savent que les limites des sons per-
ceptibles varient d’une oreille à l’autre; c’est ce que Wollaston
et Chladni ont irrécusablement démontré. Sir D. Brewster (3)
suppose, par analogie, que dans les cas de Daltonisme l'œil
n'est pas impressionné par les couleurs de l'une des extrémités
du spectre. « L’insensibilité de quelques yeux aux faibles im-
pressions lumineuses s'explique, dit-il, en ce que la rétine, par
son organisation naturelle ou par quelque cause accidentelle,
peut être moins délicate ou moins susceptible des impres-
sions de la lumière chez une personne que chez une autre,
sans que les facultés visuelles en soient affaiblies d'une ma-
de l’œil, dans les vues de découvrir leur nature et les causes qui peuvent
donner lieu à cette maladie désignée sous le nom de cataracte. An. Chim.,
tome LIT, p. 507. .
(1) J. Berzélius. — Vues générales sur la composition des fluides animaux.
Medico-chirurgical Transactions of London, t. IL. — Bibl. Brit., t. LIV, p. 27.
(2) Gœthe. — Zur Farbenlehre, $$ 114 à 115. — Wh. Nicholl (Annals of Phi-
losophy, n° 8, tome III) l’attribue aussi à l'absence de sensibilité pour le bleu.
(3) Mackensie, Op. cit. — Edimb. phil. Journal, tom. VI, p. 141.
SUR LE DALTONISME. 319
nière concomitante. » Mais les travaux plus récents de M. Sa-
vart ayant établi que dans des circonstances convenables la
limite des sons perçus par les mêmes oreilles peut être con-
sidérablement modifiée et reculée, et rien de pareil n'ayant
pu être prouvé pour ce qui concerne la défectuosité dont
nous recherchons la cause, il me semble que cette théorie
manque de preuves. On n'ignore pas, du reste, que la sensibilité
de l'œil sain est comparativement beaucoup moindre que celle
de l'oreille, car si l'on représente la longueur d'ondulation dans
l'air pour le rouge extrême par 0".0000266 (mesure anglaise),
et pour le violet extrême par 0",0000167, on voit que le rap-
port des vibrations correspondantes est celui de 1,59 à 1, va-
leur un peu au-dessous de 1,6 qui est celle de la sixte mi-
neure, et par conséquent bien inférieure à celle d’une octave.
Plus tard, l'illustre physicien de St-Andrews paraît avoir
changé d'opinion ('). En partant de la supposition que la
choroïde est essentielle à la vision, il conjecture que l'mvisi-
bilité de la couleur rouge chez les Daltoniens est due à ce que
la rétine elle-même a une teinte bleue, de telle sorte que la
lumière étant privée de ses rayons rouges par le pouvoir ab-
sorbant de cette membrane, l'impression colorée sur la cho-
roïde sera dénuée de rouge. Les mêmes objections tirées des
données anatomiques et de l'influence des verres sur la per-
ception des couleurs, sufliraient pour renverser cette hy-
pothèse si elle n’était démentie par les faits. Nous avons vu
(1) Edimb. Journ. of Science, tome VII, p. 86.
320 MÉMOIRE
que D*** et d’autres pouvaient apprécier du rouge dans le
spectre.
Selon les phrénologistes, la distinction des couleurs est une
faculté qui ne dépend pas de l'œil, mais d’une partie spéciale
du cerveau qu'ils nomment Organe des couleurs. « L’obser-
vation prouve, dit M. Combe (‘), que les individus chez les-
quels la partie du cerveau qui est immédiatement au-dessus
de l'œil, au-dessous du sourcil, est largement développée, pos-
sèdent à un haut degré la faculté de distinguer les couleurs. »
C’est donc l'imperfection de cet organe qui est l’origine du
Daltonisme, et la preuve, c'est que ceux qui en sont affectés
possèdent un appareil oculaire, dont la construction méca-
nique et les effets optiques sont irréprochables.
La Gazette des hôpitaux du {9 octobre 1839 fait remar-
quer que la première période de l'amaurose est accompagnée
d’une confusion des couleurs qui, de même que l'achromatop-
sie naturelle, semble dépendre d’un état maladif du cerveau.
Dans une goutte sereine naissante par hyperéréthysme, les cou-
leurs les moins vives telles que le bleu et le violet sont per-
çues de la manière la plus distincte, et les objets jaunes
semblent rouges; tandis que si la maladie est produite par
faiblesse, la lumière rouge finit par disparaître et ne rede-
vient visible que par la cessation de l’état morbide.
(1) System of phrenology. — Je dois dire que parmi les Daltoniens dont j'ai
fait l'examen, l'organe en question était en général peu évident, sauf chez deux
d'entre eux où il se montrait remarquablement proéminent.
SUR LE DALTONISME. 321
M. le prof. Muncke cherche à expliquer les phénomènes dont
nous nous occupons par l'hypothèse suivante ('). Supposons
qu'en ce qui concerne l’activité du nerf optique il n’y ait que
deux couleurs avec leurs complémentaires, le bleu et le rouge
avec le jaune et le vert; la première caractérisée par sa puissance
chimique, la seconde par son pouvoir calorifique : toutes les
autres couleurs se déduiront des mélanges et des nuances de
ces quatre, en ce qui tient à leur influence physiologique sur
l'œil. Il suflit dès lors d'admettre que les nerfs sont plus ou
moins sensibles à l’action échauffante de la lumière pour com-
prendre que dans tous les cas possibles le jaune, qui est la
couleur la plus lumineuse, se reconnaîtra entièrement et exac-
tement, tandis que toutes les autres couleurs n’apparaîtront
que par opposition; voilà pourquoi le vert et le rouge ne se
distinguent pas et se confondent souvent avec le bleu et le
jaune. On sait par une foule d'expériences que c’est pour le
rouge et pour le vert que l'œil est le moins sensible.
Enfin, Sir J.-W. Herschel (*) et le Dr Elliotson (#) pensent
que cette maladie de la vision doit être attribuée à un défaut
du sensorium même, ce qui le rend incapable d'apprécier exac-
tement les différences qui existent entre les rayons et d'où
dépendent leurs couleurs particulières. Cette manière de voir
n’est évidemment qu'une formule des faits; c'est la seule qui
(4) Gehler’s physikalisches Wéærterbuch, 21e Aufg., tome IV, p. 1498 ; art.
Gesicht. (Leipzig 1828.)
(2) J.-W. Herschel. — Op. cit. p. 454, $ 507. — Traduction, tome I, p. 305.
(5) Froriep's neue Notizen, n° 247, 1839.
TOM. X, 2° PARTIE. A1
322 MÉMOIRE
n'ait contre elle aucune objection. Elle à été adoptée soit par
NL. Harvey (1) pour rendre compte des cas qu'il a décrits, soit
par le Dr Young qui, partant des observations de Darwin,
admet l’absence ou la paralysie des fibres de la rétine desti-
nées à percevoir le rouge (?).
Quelles que soient, du reste, les circonstances qui ont en-
gendré ou qui particularisent cette affection remarquable , elle
est du nombre de celles que l'art d'Esculape est impuissant à
détruire. Les oculistes les plus renommés, tels que les Macken-
zie (?), les Jüngken (*), les Maunoir (°), etc., sont unanimes
à cet égard.
Toutefois il existe un moyen très-facile de redresser, jus-
qu'à un certain point. l'erreur d'appellation de la couleur. Ce
moyen consiste à examiner les objets colorés à travers un mi-
lieu transparent, comme du verre ou un liquide, possédant
une certaine teinte connue. Supposez cette teinte rouge; l'im-
pression d’un corps vert et d’un corps rouge, la même d’abord
à l'œil nu, deviendra manifestement tranchée par l'usage de
l'écran diaphane. Cette méthode paraît avoir été pratiquée
pour la première fois par M. le prof. Seebeck père, vers l'an-
(4) Harvey. — Edimb. phil. Trans., tome X, p. 255. — Edimb. journ. of
Science, tome V, p. 114. — Bibl. Univ., tome XXXV, p. 84.
(2) Phil. Trans., tome LXXVI, p. 544.
(5) Mackensie. Op. cit.
(4) J.-C. Jüngken M. C. Dr und Prof. der Heïlkunde. — Die Lehre von den
Augenkrankheïten, ein Handbuch zum Gebrauche bei Vorlesungen und zum
Selbstunterrichte für angehende Aertze. Berlin, 1852, 8°, p. 841 ss.
(5) Communication verbale.
SUR LE DALTONISME. 323
née 1817 (!). Rien n'égale la surprise d’un Daltonien lors-
qu'on lui découvre ainsi les erreurs qu'il commet chaque jour
dans l'appréciation des couleurs. Malheureusement la teinte
des verres colorés et leur nombre ne peuvent se prescrire à
l'avance; l'impossibilité d’une classification rigoureuse des in-
nombrables variétés de Daltonisme oblige de les choisir à pos-
tériori pour chaque cas particulier. Ajoutons que leur emploi
ne remédie qu'aux méprises dans la nature spécifique des cou-
leurs, et laisse en général subsister celles qui portent sur les
nuances d’une même teinte.
ART. V.
RÉCAPITULATION.
En résumé, j'ai cherché à établir :
1° Que le Daltonisme n’a pas été étudié par les anciens;
2 Que parmi les modernes il n’a été authentiquement cons-
taté que chez les individus de la race blanche ;
(1) Seebeck, mem. cit. p. 216.
324
30
Lo
50
6°
10°
11°
120
13°
MÉMOIRE
Qu'il en existe un nombre très-considérable de variétés,
depuis les personnes qui n’aperçoivent que deux couleurs
ou plutôt deux sensations, l’une de clarté, l’autre d’obscu-
PE Q nr . A x .\ , ° 4
rité, jusqu’à celles qui même à la lumière d’une bougie
ne confondent que des teintes très-rapprochées, telles
que des nuances de bleu et de vert d’égale intensité;
Qu'il y a beaucoup plus de Daltoniens qu'on ne l'estime
en général ;
Que le sexe féminin en fournit une très-faible proportion ;
Qu'ils peuvent, dans certains cas, être reconnus à quel-
ques signes extérieurs ;
Qu'il y en a autant à yeux bleus qu’à yeux noirs;
Que le Daltonisme n'est pas toujours héréditaire;
Qu'il n’affecte pas toujours tous les membres masculins
d’ A =
une même famille;
Qu'il ne date pas toujours de la naissance;
Que les Daltoniens ne jugent pas comme nous des teintes
complémentaires ;
Que plusieurs d’entre eux ne sont pas sensibles aux rayons
les moins réfrangibles ;
Qu'ils voient comme nous les raies de Fraunhofer, consé-
quemment les limites de clarté et d’obscurité intérieure
du spectre;
17°
SUR LE DALTONISME. 325
Qu'ils ne jugent pas comme nous du contraste des cou-
leurs ;
Que leur affection ne provient ni d’une conformation
vicieuse de l'œil, ni d’une coloration des humeurs ou de
la rétine;
Qu'on peut altérer l’état de Daltonisme par des moyens
d’un emploi facile ;
Qu'il a pour origine un défaut du sensorium,
326 MÉMOIRE SUR LE DALTONISME.
TABLE DES MATIÈRES.
ART JnrOdUCHON eee E RE cer er cia ere EC
» Il. Observations anciennes ......,...........................
SA =MDES/CASSIRCAUONS ALERT r CES
$ 2. Cas de Daïtonisme dichromatique ..................
$ 3. Cas de Daltonisme polychromatique ................
$ 4. Cas de Daltonisme incomplétement décrits ...........
» JL. Observations nouvelles .................................
SA ReMANQuES SÉNÉTAlES LEE 2 cc
$ 2. Détails de deux observations. .....................
» IV. Examen des explications du Daltonisme ....................
2 NEMRÉCADINIAIONPR EEE Eee mere Le meer e-cre
Erratum.
‘Page 292, ligne dernière, au lieu de Zilas-pris, lisez gris-fauve.
MÉMOIRE
SUR LES
HAUTES EAUX DU LAC LÉMAN,
PAR
M. LE COLONEL DUFOUR,
INGÉNIEUR CANTONAL.
Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 21 Décembre 1843.
Dès l’année 1806, le directeur de la machine hydraulique
a tenu registre jour par jour de la hauteur des eaux. Il avait,
à cet effet, établi un limnimètre dans le bâtiment même. L’ex-
trait de ce registre, en ce qui concerne le maximum et le mi-
nimum d’élévation des eaux de chaque année, montre que
l'époque ordinaire des plus hautes eaux est le milieu du mois
d’Août; quelquefois cependant elles arrivent en Juillet, quel-
quefois aussi elles n’ont lieu qu’en Septembre.
De tout temps il a été reconnu que l’époque des plus hau-
tes eaux doit être fixée au milieu du mois d’Août; l’établisse-
ment de nos digues n’y a rien changé (Voy. Spon, tome II,
328 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
p. 4692, édit. 1730). Quant aux basses eaux, elles sont moins
régulières; mais c'est vers le commencement du mois de Mars
qu'elles ont plus communément lieu.
Le limnimètre de la machine hydraulique avait l'inconvé-
nient d’être soumis à l'influence des remous, occasionnés par
les vannages destinés à régler la vitesse de la grande roue de
l'établissement; j'eus, en conséquence, l'idée de chercher un
terme de comparaison qui fut entièrement à l'abri de cet in-
convénient. Je choisis à cet effet la pierre du Niton la plus
avancée dans le lac et, en 1820, je fis placer à son sommet
ou, pour parler plus exactement, à un pouce au-dessous de
son sommet, une plaque de bronze à laquelle les niveaux pus-
sent désormais être rapportés. Cette pierre granitique est éloi-
gnée de 75,50 d'une pierre pareille plus orientale, ou plus
rapprochée du bord, la distance étant prise du sommet de
l’une au sommet de l’autre. La pierre la plus éloignée, ou ocei-
dentale, a son sommet de 0,61, ou 1 10" 7", plus bas que
celui de la pierre orientale ; et sa face tournée contre le rivage
étant parfaitement plane, je lai choisie pour y poser une
barre de fer divisée en pieds et pouces. Les pieds y sont mar-
qués par des boutons en bronze et les pouces par des traits
sur la barre; sur quoi il faut faire remarquer que la pierre
étant inclinée d'environ 52 degrés sur l'horizon, les divisions
sont réellement plus grandes que celles du pied de Roi, afin
que projetées sur la verticale, elles aient exactement la valeur
qu'elles indiquent. La barre correspond à une hauteur de
T / pieds, et son extrémité inférieure a été placée au niveau
des basses eaux de l’année 1820 ; mais on n’a pas tardé à s’a-
DU LAC LÉMAN. 329
percevoir qu'il fallait prendre le zéro de la division un pied
plus bas, pour éviter les cotes négatives. Ce déplacement du
zéro ne change rien à la division, parce que les boutons ne
portent point de chiffres.
Quoi qu’il en soit, cette barre divisée et le repère invariable
placé au sommet de la pierre ont déjà servi dans mainte oc-
casion à éclaircir des points relatifs à la question des eaux.
Je profitai plus tard de la construction du Grand Quai du
Rhône pour établir un limnimètre facile à consulter et non
moins que la pierre du Niton à l'abri des influences qui pou-
vaient en troubler la marche; j'en fixai le zéro à un pied au-
dessous de l'extrémité inférieure de la barre graduée, ou
à 86" 6" (huit pieds six pouces et six lignes) au-dessous de
la plaque de bronze fixée sur le sommet de la seconde pierre
du Niton. (Voyez le Mémoire imprimé au t. VIIT du Recueil
des Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire naturelle
de Genève, p. 119.)
Dès lors des observations suivies ont été faites régulière-
ment à ce limnimètre et inscrites dans un registre ouvert à
cet effet, dont un extrait se trouve consigné dans les cahiers
mensuels de la Bibliothèque Universelle. Ces registres offri-
ront, à l'avenir, une source où l’on pourra puiser des rensei-
gnements positifs et en quelque sorte officiels sur l’état du lac
à un moment donné. C’est un agent de l'administration qui
est chargé de l'inscription journalière.
Des registres semblables étaient tenus à la inachine hydrau-
lique depuis l’année 1806; mais comme ils étaient sur de
petits cahiers, il s’en est égaré quelques-uns et il y a une la-
TOM. x, 2° PARTIE. 42
330 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
cune dans la série. Heureusement que j'y avais pris antérieu-
rement la cote des plus hautes et des plus basses eaux de
toutes les années, sans interruption. C’est au moyen de ces
cotes que l’on a pu tracer les courbes des plus hautes et des
plus basses eaux de l'année 1806 à l’année 1824, telles qu'on
les voit dans le Mémoire de M. Macaire, inséré au t. V de
notre Recueil.
IL était fort essentiel de pouvoir rapporter au nouveau
limnimètre les observations faites à l’ancien, afin de n'avoir
qu'une seule et même série. Or, un nivellement exact et une
huitaine d'années d'observations, faites simultanément aux
deux limnimètres, m'ont conduit à cette règle fort simple: Pour
rapporter au limnimètre du Grand Quai les observations faites
au bâtiment de l’ancienne machine hydraulique, pendant les
hautes eaux, retranchez vingt des nombres donnés par l'an-
cien Jimnimètre, vous aurez ceux qu'aurait accusés le nou-
veau aux mêmes époques. C’est ainsi qu'il nous a été possible
de faire remonter à 1806 le tableau des observations limni-
métriques du Grand Quai, lesquelles n'ont réellement com-
mencé qu'en 1837; et ce qui prouve l'exactitude des résul-
tats, c'est leur concordance avec ceux obtenus à l’autre extré-
mité du lac pendant une période de vingt années, ainsi qu'on
le verra plus loin. |
Voici donc le tableau des plus hautes eaux observées à Ge-
nève depuis l'année 1806, jusqu’à l’année 1845 inclusivement,
eträpportées au limnimètre du Grand Quai. Les hauteurs d’eau
ÿ’sont indiquées en pouces du pied de Roi au-dessus du zéro,
placé à 8° 6" 6", ou 2m,774 au-dessous de la plaque de cuivre
DU LAC LÉMAN. 331
scellée au sommet de la pierre du Niton la plus occidentale,
ou la plus avancée dans le lac. Le même tableau donnelesdates
qui correspondent aux plus grandes hauteurs d’eau et fournit
ainsi la facilité d’en déterminer l'époque moyenne.
ANNÉES. HAUTEURS. OBSERVATIONS.
1806 4 Août
1807 5 Août
1808 12 Août
1809 8 Août
1810 18 Août
1811 1 Août
1812 1 Août
1813 10 Août
1814 4 Août
1815 29 Juillet
1816 20 Août
1817 16 Juillet
1818 12 Août
1819 10 Aoùt
1820 23 Août
1821 16 Août
1822 3 Septembre
1823 5 Septembre
1824 16 Août
1825 16 Août
1826 27 Août Pr dre Dir à QUE
1827 9 Août
1828 20 Août
1829 29 Septembre 2 La digue est restée ouverte presque tout
1830? 8 Août l'hiver.
1831 11 Septembre P
1832 3 25 Août 3 Année d'extrème sécheresse.
1833 9 Juillet
1834 1% Septembre
1835 22 Août 4 Anuée de sécheresse.
1836 20 Juillet
1837 20 Août
1838 21 Juillet
6 Août
20 Septembre
21 Juillet
16 Juillet
Août
332 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
Ce tableau prouve non-seulement ce que nous avons dit en
commençant, savoir : que l'époque la plus ordinaire des hautes
eaux est le milieu du mois d’Août, mais encore, et ceci est es-
sentiel à remarquer, que le barrage de la machine hydraulique
influe beaucoup moins sur les grandes eaux que les circonstan-
ces de la saison. Nous voyons, en effet, qu'en 1830 la digue
ayant été ouverte presque tout l'hiver, les eaux d’été n’en sont
pas moins montées à T1 pouces; tandis que deux ans plus tard,
et malgré qu'on eut fermé la digue plus qu'on ne l'avait fait
en 1830, les eaux ne se sont élevées qu’à 56 pouces en raison
de la grande sécheresse qui a eu lieu cette année. Pour une
raison semblable elles ne sont montées qu'a 61 pouces en
1555.
IL était bon de pouvoir comparer la marche des hautes eaux
à l’autre extrémité du lac avec ce qui passe sous nos yeux;
l'extrême obligeance de feu M. le colonel Mestrezat nous en a
fourni les moyens. Dès l'année 1719, cet ami des sciences
physiques et météorologiques fit établir contre le mur de sa
terrasse, près de Vevey, au lieu dit le Creux du Plan, une
échelle sur marbre, graduée en pouces du pied de Berne. Le
zéro de ce limnimètre, qui doit exister encore, fut fixé au ni-
veau des basses eaux de la dite année 1779, qui étaient des-
cendues beaucoup au-dessous de leur état ordinaire.
Dans les premiers jours du mois de Mars de l’année 1826,
les commissaires chargés de l'examen du lac par les gouverne-
ments de Vaud, Valais et Genève, découvrirent ce limnimètre,
dont il n’était fait aucune mention ni dans un long mémoire,
où feu M. de Loys s’étendait sur les ravages des eaux du lac et
DU LAC LÉMAN. 333
cherchait à accumuler les preuves de son exhaussement pro-
gressif, ni dans la brochure de M. Nicod Delom, faite dans le
même but et déjà imprimée à Vevey en 1817. Les commis-
saires surent alors de la bouche même de M. Mestrezat, qu'il
avait tenu registre de ses observations sur la hauteur des eaux
depuis un assez grand nombre d'années. Ils ne purent point
en prendre connaissance dans cet instant, parce que les regis-
tres avaient été remis à M. de Loys; mais le 4 Avril suivant,
c'est-à-dire le 4 Avril 1826, M. le colonel Mestrezat envoya au
Gouvernement de Genève un relevé de ses observations sur les
hautes eaux depuis l’année 1780, maïs avec une lacune de
neuf années, de 1782 à 1792. La pièce est accompagnée d’une
lettre, dans laquelle on lit ces mots : « Je souhaite que ces
« documents puissent vous être utiles, quoiqu’incomplets. Je
« puis du moins en garantir l'exactitude et la fidélité. »
Les mesures y étant données en pouces du pied de Berne,
j'ai dû les réduire au pied de Roï, pour les comparer avec les
nôtres. Or, on sait que le pied de Berne est égal à 0n,2933 et
que le pied de Roi vaut 0,5248; le rapport de ces deux nom-
bres, par lequel il faut multiplier les pouces bernois pour ob-
tenir les pouces français, est très-sensiblement 0,9. Voici donc
le tableau des observations de M. Mestrezat, relatives aux plus
grandes eaux de chaque année et exprimées dans les deux
mesures :
334 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
HAUTEURS
ANNÉES. [TT TT
EN POUCES |EN POUCES DU
BERNOIS. PIED DE ROI.
HAUTEURS
* Re OS HR:
ANNÉES.
EN POUCES |EN POUCES DU
BERNOIS. PIED DE ROI.
1780 81,9
1781 68,4
1782 82,8
; « 65,7
1792 95,40, 73,8
1793 ° 78,3 ” 67,5
1794 86,4 57,6
1795 64,8 64,8
1796 67,5 56,7
1797 70,2 94,5
1798 55,8 97,2
1799 77,4
1800 54,9
1801 57,6
1802 82,8
1803 48,6
1804 71,4
1805 70,2
1806 79,2
M
Ce tableau se prolongeant jusqu'à l'année 1825, et celui des
observations faites à Genève remontant à 1806, ils compren-
nent vingt années communes qui donnent un moyen précieux
de comparaison. Îl n’a pas été négligé : J'ai tracé une courbe
pour chaque série, afin de pouvoir saisir d'un coup d'œil les
différences; mais, contre toute attente, elles se sont trouvées
si faibles (comme chacun en pourra juger par la figure jointe au
présent Mémoire) qu'on peut admettre l'identité des deux
courbes. Prenant donc pour chaque observation annuelle la
différence des indications fournies par les deux limnimètres,
on trouve le nombre 5,3 pour la moyenne de ces différences.
DU LAC LÉMAN. 335
En sorte qu'en ajoutant ce nombre constant aux nombres
donnés par le limnimètre de M. Mestrezat, on les ramène à
ceux du limnimètre établi sur le Grand Quai à Genève. Cela
revient simplement à baisser, de la quantité indiquée, le zéro
du premier limnimètre pour le faire concorder avec le second.
Ayant fait cette modification au tableau précédent, et compa-
rant les vingt dernières années de ce tableau avec les vingt
premières de l’autre tableau, on trouvera que la plus grande
différence en plus est 2,8, et la plus grande différence en
moins 2e,2, quantités bien faibles pour des observations faites
sur des eaux toujours en mouvement soit par les vents, soit
par la cause inconnue des seiches.
Cette identité, dans les observations des deux limnimètres,
permet d'admettre celles de Vevey comme si elles eussent été
faites à Genève, et de faire remonter la série de ces dernières
jusqu’à l'année 1780. Il existe, il est vrai, une lacune de neuf
années, entre 1782 et 1792, dans le tableau de M. Mestrezat ;
mais on peut la combler en partie par les observations que la
Société pour l'avancement des arts fit faire de 1787 à 1791 et
qui se trouvent consignées dans l’ancien Journal de Genève.
Elle fit établir à cet effet une règle graduée en pouces vers
l'escalier de l'ancien port au bois, c’est-à-dire tout près du
limnimètre actuel du Grand Quai. Les observations y furent
faites, jour par jour, par M. Paul, membre délégué de la So-
ciété des Arts. Elles se trouvent dans le journal par séries
hebdomadaires et donnent ce qui suit pour les plus basses et
les plus hautes eaux de cinq années :
336 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
ANNÉES. BASSES EAUX. HAUTES EAUX. DATES.
« 98P,0 30 Juillet
20 Février 83°0 31 Juillet
24 Janvier 82,0 29 Juillet
8 Avril 72,0 4 Août
16.-Mars 84,0 20 Août{!)
Ce qu'il y a de fâcheux, c’est que la Société des Arts n'ait pas
rattaché le zéro de son limnimètre à quelque point fixe et bien
déterminé, qui pût servir à le faire retrouver s’il venait à se
perdre, comme cela est, en effet, arrivé. Le Journal de Genève
dit seulement que le zéro de la barre fut posé à douze pouces
au-dessous des basses eaux de 178T, ce qui ne nous apprend
rien.
À défaut d'indications précises, nous arriverons à quelque
chose de très-rapproché, en prenant les moyennes des basses
et des hautes eaux de cette série de cinq années pour les com-
parer aux moyennes semblables prises dans les séries subsé-
quentes, et voir de combien elles en different ; parce que si ces
différences concordent, elles inmdiqueront de combien il faut
déplacer le zéro de l'ancien limnimètre pour le faire coïncider
avec celui du nouveau.
Or, la moyenne des cinq années ci-dessus, pour les basses
(1) Cette dernière mesure se trouve dans une feuille supplémentaire, qui ne
fait pas ordinairement partie du recueil, qui du moins n’est pas dans l’exem-
plaire déposé à la Bibliothèque publique de Genève. J'en dois la communication
à M. le juge Mallet.
DU LAC LÉMAN. 337
eaux, est de 18",6, tandis que la plus forte des moyennes de
quatre séries de dix années ne nous donne que 12°,8, par les
observations subséquentes. La différence de ces deux nombres
est 5.8.
D'un autre côté, la moyenne des hautes eaux pour les cinq
années est de 83",8, tandis que la moyenne la plus élevée de
nos séries de dix années ne donne que 78",5. La différence est
5",3. Et comme ce résultat est presque identique avec le pré-
cédent, nous pouvons prendre le nombre 5°,5 pour la diffé-
rence cherchée. Il y a donc à faire subir aux observations de
la Société des Arts à peu près la même correction, mais en
sens inverse, qu’à celles de M. le colonel Mestrezat, pour les
rapporter au limnimètre du Grand Quai : il faut en retrancher
le nombre constant 5.5, ce qui donne en pouces du pied
de Roi :
ANNÉES. | OBSERVATION.
1 L'hiver rigoureux de 1788 à 1789 ayant gelé
le lac à son débouché, il y a eu une baisse si su-
bite et si extraordinaire des eaux, qu'on ne doit
pas en tenir compte dans l’appréciation des mo-
J 51 ennes. e n'a pu être que locale, et aussitôt
1787 6,5 82,5 yemnes. Elle n'a pu être que local
E que la cause a cessé, les eaux ont repris leur ni-
1 LE / 5 ne veau primitif, Aprés être descendues tout à coup
1 ,9 76,5 de vingt-trois pouces dans la nuit du 27 au 28 Déc.
1788 et ètre restées comme emprisonnées jusqu’au
1 120 9,5 66,5 20 Janvier suivant, les eaux autour du limnimètre
1791 | 18,5 78,5 sont subitement remontées à vingt-etun pouces.
On remarqua, dit le professeur Pictet, dans une
lettre recueillie par ke Journal de Genève, Déc.
1788, que les eaux descendirent de deux pieds
dans le bras gauche du Rhône et de près de trois
pieds dans le bras droit.
Ce qui confirme ce résultat et prouve la justesse de notre
TOM. X, 2° PARTIE. 43
338 MÉMOIRE ‘SUR LES HAUTES EAUX
opération, c'est que la moyenne de ces cinq années et-des
quatre antérieures, pour lesquelles nous avons aussi des ob-
servations, est, en ce qui concerne les hautes éaux, 76,5 pou-
ces, nombre qui diffère très-peu des moyennes suivantes,
prises de dix années en dix années, comme on le verra plus
loin. Enfin, M. le juge Mallet a comparé la moyenne de toutes
les observations journalières faites du 26 Juillet 1787 au
27 Juillet 1791 au premier limnimètre, et du 2 Mars 1837
au 50 Novembre 1843 au second limnimètre, et 1l a trouvé :
pour l'ancien limnimètre de la Société des Arts. . 44,4
pour le nouveau limnimètre du Grand Quai. . . 41r,7
Duicrence "40 2
La différence est dans le même sens que la nôtre et seule-
ment de 2,7 pouces au lieu de 5,5; mais, d'une part,
M. Mallet n’a point élagué les basses eaux anomales de Dé-
cembre 1788 et de Janvier 1789, en sorte que sa moyenne
en est diminuée; d'autre part, il a cru devoir prendre la
moyenne de tous les jours d'observation qu'il a embrassés
dans son calcul, tandis que les nôtres, déduites d’un beaucoup
plus grand nombre d'années et se rapportant exclusivement
aux maxima et minima des eaux qui sont l'unique objet qu'on
a en vue, doivent être plus près de la vérité.
Au surplus, les résultats qu'on obtiendrait en adoptant le
chiffre de M. Mallet ne différeraient du nôtre que de 2,8 pou-
ces, ce qui reviendrait à admettre que de 1787 à 1791 les
eaux ont été un peu plus hautes que nous ne te et
serait à l’ avantage de notre thèse.
DU LAC LÉMAN. 339
Nous avons encore une donnée à recueillir : En 1775, le
chevalier Schuckborough, se préparant à mesurer la hauteur
de nos montagnes par le baromètre et voulant partir d'un
niveau bien déterminé, prit celui que lui fournissaient les
eaux du lac à cette époque. II le fixe à 21 pouces anglais ou
19 pouces T lignes du pied de Roi au-dessous du sommet de la
pierre du Niton la plus occidentale, ce qui revient à 18 pou-
ces T lignes au-dessous de la plaque de bronze scellée sur cette
pierre, un pouce plus bas que le sommet. Et comme le zéro
du limnimètre du Grand Quai a été fixé à 8° 6” 6” au-dessous
de la même plaque, et qu'il y a un pouce de pente de la pierre
au limnimetre, on voit que le niveau des eaux observé par
Schuckborough était élevé de sept pieds moins une ligne au-
dessus du zéro de la pierre du Niton et marqué par le chiffre
83 à notre limnimètre; il n’est point dit que les eaux ne se
soient pas. élevées plus haut encore cette même année.
Réunissant donc toutes ces données, on a pour la mesure
des plus hautes eaux, rapportées au limnimètre du Grand
Quai de Genève, les nombres suivants qui, depuis 1775 jus-
qu'a la présente année 18453, ne présentent que deux lacunes,
chacune de quatre ans.
340 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX
Tableau des plus hautes eaux rapportées au limnimèlre du
Grand Quai à Genève, les mesures étant données en pouces
du pied de Roi.
ANNÉES. HAUTEURS. || ANNÉES. HAUTEURS.
750,5
84,5
87,2
73,7
88,1
72,0
79,0
74,0
65,0
70,0
62,0
99,0
100,0
78,0
66,0
76,0
87,0
75,0
74,0 Total 61 années d’ob-
86,0 servation.
63,0 |
73,0
80,0
78,0
1804 82,7
Si l'on prend maintenant la moyenne des hautes eaux pour
plusieurs périodes, en faisant entrer dans la première l'ob-
servation de Schuckborough, les trois isolées de M. le colonel
Mestrezat et les cinq de la Société des Arts, en tout neuf ob-
servations; si ensuite on fait toutes les périodes égales et de
dix années, à partir de 1792, on arrive aux résultats suivants :
DU LAC LÉMAN. 341
Pouces.
Première période de 1775 à 1791 inclusivement ............... 76,50
Deuxième € 1792 à 1801 € « 76,15
Troisième « 1802 à 1811 « € 78,47
Quatrième « 1812 à 1821 « « 77,70
Cinquième « 1822 à 1851 C « 74,50
Sixième € 1832 à 1845 ‘ « 74,62
D'où l’on déduit pour moyenne générale 76P,25.
Certes on ne conclura pas de ces résultats que les eaux du
lac se sont progressivement exhaussées depuis plus d’un demi-
siècle, comme quelques personnes le pensent. Nous ne dirons
pas non plus que le contraire ait lieu, parce que nous voyons
les dernières moyennes un peu plus faibles que les premières.
Mais nous pouvons affirmer qu'il résulte incontestablement
de la comparaison de ces nombres, que depuis l'an 1775,
c'est à dire pendant un laps de temps de soixante-huit années,
l'état du lac, en ce qui concerne les hautes eaux, n'a nullement
changé ; il est encore aujourd’hui ce qu'il était alors : les eaux
éprouvent des variations d’une année à l’autre, elles sont tan-
tôt plus, tantôt moins élevées, suivant que les fontes de neiges
sont plus ou moins abondantes, qu'il est tombé au printemps
plus ou moins de pluie, etc. En un mot, il se passe dans
le lac Léman ce qu'on remarque dans tous les autres lacs de
la Suisse, qui aux mêmes années, aux mêmes époques et
presque simultanément, présentent les mêmes anomalies de
hausse ou de baisse, tout en conservant un niveau moyen
constant pour les hautes eaux. Celui du lac Léman est mar-
qué par le chiffre 76,25 au limnimètre du Grand Quai à
342 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX DU LAC LÉMAN.
Genève; et lorsque le limnimètre marque ce nombre, le
niveau du lac est à 25 (vingt-cinq) pouces au-dessous de
la plaque de bronze scellée au sommet de la pierre du Niton
la plus occidentale. Ainsi voilà le niveau moyen des hautes
eaux bien fixé. |
Îl fallait cette longue suite d'observations pour arriver à
un résultat aussi certain; une période de dix ou douze an-
nées ne peut pas suflire, on le voit par les différences
que nous donnent nos six moyennes partielles, bien que
la plus grande variation n’aille guère qu'à quatre pouces.
Ce n’est donc pas en embrassant une aussi courte série
d'observations, bien moins encore en s'attachant à quelques
faits isolés et anomales, tels que la hauteur extraordinaire des
eaux en 1792 ou en 1817, qu'on peut en conclure un chan-
gement dans l'ordre naturel des choses. On s’exposerait ainsi
à d'étranges erreurs, car si les eaux sont très-hautes une an-
née, elles peuvent être fort basses l'année suivante et réei-
proquement.
Résumons-nous et disons en terminant: Le niveau moyen
des hautes eaux du lac Léman est stable; il correspond au
chiffre 16,25 du limnimètre du Grand Quai à Genève, et se
trouve alors à 25 pouces au-dessous de la plaque de bronze
scellée sur la seconde pierre du Niton. L'époque ordinaire
de ces hautes eaux est le milieu du mois d' Août; on Les voit
cependant souvent en Juillet ou en Septembre.
lSchuchbu rgh
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*
1177
1770.
1779
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Observations Laites à Geneve
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fôta. Lalique Jroncluée ptlacée sur la lique pleine indique les hauteurs observées pres
del cvey de 1806 à 1895. elle est destince à montrer la concordance des observations
tuiles simullancment aux deux extremilés du lac
Les hauteurs sont donnees en pouces du Pied de Roi
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« Volta. Lalique Jioncluée placée sur la lique pleine dique les hauteurs observees pres
de lévey de 1806 à 18495. elle est destinée à montrer la concordance des obserualions
fuites simullanément aux deux extrémités du lac
Les hauteurs soul donnees en Jtotces du lie de Hot
Luh de Sehuril n Ccurre
RÉSULTATS
DES
OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES
FAITES À GENÈVE
dans les années 1842 et 1843
PAR
E. PLANTAMOUR,
PROFESSEUR D'ASTRONOMIE A L'ACADÉMIE DE GENÈVE.
(Mémoire lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 18 Janvier 1844.)
C'est à la fin du mois de Mai 1842 que l'Observatoire ma-
gnétique a été mis en état de recevoir d’une manière perma-
nente les instruments destinés à l'observation de la déclinaison
de l'aiguille aimantée, sans qu'ils eussent à souffrir par trop
de l'humidité. La série des observations de la déclinaison que
je vais examiner commence le 2 Juin de cette année, et
344 RÉSULTATS
continue jusqu’au 17 Octobre 1843, sans autre interruption
que celle, qui a été occasionnée du 10 au 14 Février 1843
par une irruption de la neige.
En effet, le plafond du bâtiment magnétique n'était qu’en
papier; la neige, chassée par une forte bise le 9 Février, pé-
nétra sous les tuiles, et, en se fondant, elle forma des dépôts
d'eau sur le plafond de papier, qu'on fut obligé de percer
pour la faire écouler; pendant ce temps les instruments ont
été couverts, ce qui a empêché de faire les observations.
Le 17 Octobre 1843, les instruments ont été enlevés pour
faire au bâtiment une réparation essentielle, et qui le pré-
servât de l'accident que je viens de signaler; le plafond en
papier a été remplacé par un plafond en planches, et en outre
on a recouvert les cloisons extérieures qui n'étaient qu’en bois
d'un galandage, qui diminuera notablement l'humidité dont
on avait à souffrir pendant la mauvaise saison.
Pendant toute cette période, savoir du 2 Juin 1842 au
17 Octobre 1843, la déclinaison de l'aiguille aimantée a été
observée six fois par jour, à 8 h. et 9 h. le matin, à midi à
1h.età 8 h.et 9 h. du soir; quelquefois les observations ont
été faites en outre à d’autres heures de la journée, lorsque
des perturbations extraordinaires avaient été remarquées.
Enfin, nous avons pris part aux observations des termes ma-
gnétiques, qui reviennent quatre fois par an, auxquels l'ai-
guille aïmantée s’observe pendant 24 heures consécutives, de
ÿ en 5 minutes.
Les observations diurnes ont été faites en grande partie
par M. Bruderer, astronome-adjoint, les autres par M. E. Gau-
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 345
tier et par moi; nous avons en outre profité pour les termes
magnétiques du concours de M. Alex. Prevost et de M. Muller,
ancien astronome-adjoint. M. E. Gautier a bien voulu m'aider
dans la réduction des observations; c’est lui aussi qui s’est
chargé de dessiner les planches qui accompagnent ce mé-
moire.
Je m’occuperai d’abord de la réduction des observations,
puis J'examinerai les résultats qu'on peut tirer de ces der-
nières, soit pour la variation de la déclinaison, soit pour la
déclinaison moyenne à Genève; ensuite j'indiquerai les per-
turbations ou anomalies qui ont été observées. Enfin, je don-
nerai les résultats obtenus pour l'inclinaison de l'aiguille
aimantée à Genève.
RÉDUCTION DES OBSERVATIONS DE LA DÉCLINAISON
MAGNÉTIQUE.
L’instrument qui a servi aux observations de la déclinaison
est un magnétomètre construit, d’après le système de Gauss,
par Meyerstein à Gœttingue. Le barreau, qui pèse quatre
livres, est suspendu par un fil long d’un peu moins de deux
mètres à une potence, qui est indépendante du sol et des cloi-
sons du bâtiment: le miroir, fixé à l’extrémité du barreau
TOM. X, 2* PARTIE. 4h
346 RÉSULTATS
tourné vers le Nord, est à une distance horizontale de l'échelle
de 4981mm,9. L'observation est faite à l’aide d’un théodolithe
répétiteur, construit aussi par Meyerstein, dont les cercles
ont 8 pouces de diamètre, et la lunette 21 pouces de distance
focale ; il repose sur un pilier en roche calcaire du Jura, inde-
pendant du sol, auquel l'échelle est également fixée. Pour s’as-
surer de la stabilité de la lunette, on a placé à peu près dans
la direction du méridien magnétique une mire, qui consiste
en un fort pieu en chêne, enfoncé extérieurement au bâti-
ment de trois pieds dans la terre, et sortant de la même
quantité au-dessus du sol; à la partie supérieure on a fixé
une petite plaque en cuivre, qui se trouve à une distance de
l'objectif de la lunette égale au double de la distance de l'é-
chelle à la surface réfléchissante du miroir porté par le bar-
reau. Sur cette plaque sont gravées des divisions qui ont de
même que celles de l'échelle un millimètre pour intervalle;
c’est sur la division moyenne de cette plaque marquée par le
chiffre 0 que le fil du micromètre de la lunette a été amené
au commencement de la série des observations, et de temps
en temps on vérifait si la lunette était encore dirigée sur le
0 de la mire, que l’on peut voir en ouvrant un petit guichet
pratiqué dans la paroi. Pendant toute la série des observa-
tions, les déviations de la lunette du 0 de la mire ont été
très-petites, s'élevant seulement au plus à un millimètre ou
un millimètre et demi; on a néanmoins tenu compte de
ces déviations dans les réductions, en ramenant chaque lec-
ture à ce qu’elle aurait été si la lunette avait été dirigée exac-
tement sur le O0 de la mire.
Rene mt 2m — 2m —
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 347
La détermination de la position du plan optique de la lu-
nette passant par le 0 de la mire, relativement au méridien
terrestre passant par le centre de rotation du théodolithe,
était facile, parce que la mire de la lunette méridienne de
l'Observatoire est visible du théodolithe. Au moyen d'une
grande série d'observations faites en retournant alternative-
ment la lunette de 1600, pour éliminer les variations dans
l'erreur d’axe optique provenant du changement de foyer, j'ai
trouvé que l'angle compris au centre de rotation du théodo-
lithe entre le 0 de la mire magnétique et la mire de la lunette
méridienne était de
18° 32 57.5.
Pour achever l'orientation de la mire magnétique, il ne
restait plus qu'à trouver la distance angulaire de la mire de
la lunette méridienne au méridien terrestre passant par le
centre du théodolithe. J’avais d’abord songé à calculer cet
angle au moyen de la distance de l'Observatoire à la mire de
la lunette méridienne, et de la distance à laquelle le centre du
théodolithe se trouve à l'Ouest de cette dernière que J'avais
mesurée égale à 372,718. Mais je n’ai pas pu obtenir assez
exactement la distance de l'Observatoire à la mire de la lunette
méridienne, qui est d'environ 11000 mètres. Aussi j'ai pris
un autre moyen : J'ai fait transporter au sommet du mont Sa-
lève, où se trouve la mire, une lunette de Ramsden, appar-
tenant à l'Observatoire, et à l'aide d’un micromètre j'ai pu me-
surer l'angle formé à la mire entre deux repaires, correspon-
dant à la lunette méridienne et au centre du théodolithe, qui
348 RÉSULTATS
étaient visibles à la fois dans le champ de la lunette. Jai trouvé
pour cet angle 11° 57,5; en l'ajoutant à l'angle ci-dessus.
on a
190 4° 55,0
pour l'angle, dont le plan vertical passant par le centre de
rotation du théodolithe et le Q de la mire magnétique se
trouve à l'Ouest du méridien terrestre qui passe par le centre
du théodolithe.
La division de l’échelle qui setrouve dans le plan vertical op-
tique de la lunette dirigée sur le 0 de la mire magnétique, s'ob-
tient en faisant tomber un fil à plomb devant le centre optique
de l'objectif; J'ai trouvé constamment soit au commencement,
soit au milieu, soit à la fin de la série, que le fil à plomb tom-
bait devant la division 515; donc, comme les chiffres des di-
visions vont en croissant de l'Ouest à l'Est, la déclinaison ma-
gnétique sera plus faible que 19° 4° 55",0, si la division qui
se trouve dans le prolongement du barreau est plus grande que
515. et elle sera plus forte si cette division est plus petite
que 515.
Pour déterminer l'angle compris entre l’axe du miroir et
l'axe magnétique du barreau, je n'avais malheureusement pas
un magnétomètre auxiliaire, qui pût me donner les variations
de déclinaison qui avaient lieu entre les retournements ; J'ai été
obligé d'y remédier, en multipliant les retournements et en di-
minuant autant que possible l'intervalle de temps nécessité
pour calmer le barreau après l'avoir retourné; je n’ai cepen-
dant pas pu mettre moins de dix minutes pour cette opération.
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 349
La fig. { de la pl. I donne la représentation graphique des ob-
servations du retournement du barreau faites le 15 Octobre
1845, savoir : la courbe supérieure est la ligne passant par les
divisions qu'on a observées, lorsque le barreau se trouve dans
sa position normale, la lettre N en haut, et la courbe inférieure
passe par les divisions observées dans la position inverse, c'est-
à-dire la lettre N étant en bas. L'examen de cette figure mon-
tre que la distance moyenne des deux courbes est de 6,1 divi-
sions, c’est-à-dire, que l'axe du miroir indique un nombre de
divisions plus fort de 6,1 lorsque le barreau est dans sa po-
sition normale, la lettre V en haut, que lorsqu'il a été re-
tourné; ainsi dans cette position normale la division, sur
laquelle est dirigée l'axe magnétique du barreau, est plus
faible de 5,05 divisions que celle qui se trouve dans le pro-
longement de l’axe du miroir. Donc, comme pendant toute la
série suivante d'observations le barreau était dans sa position
normale, la lettre V en haut, il faut retrancher de toutes les
lectures 3,05 divisions, pour avoir la division correspondante
qui se trouvait sur le prolongement de l'axe magnétique du
barreau. .
Dans la réduction des observations j'ai négligé l'effet de la
torsion du fil. Effectivement, au moyen du barreau de torsion
et du cercle de torsion qui est fixé au fil, on peut amener l'é-
trier qui porte le barreau à très-peu pres dans le méridien
magnétique, et par conséquent rendre l'angle de torsion du
fil très-petit, d'un degré au plus, en sorte qu'en ayant égard à
la petitesse de cet angle et à la faiblesse de la force de torsion
exercée par le fil sur le barreau comparativement à la force de
390 RÉSULTATS
torsion exercée sur lui par le magnétisme terrestre, l'effet de la
torsion doit être presque insensible.
La faiblesse de la force de torsion exercée par le fil relati-
vement à celle qui est exercée par le magnétisme terrestre sur
un barreau de quatre livres fortement aimanté, m'a été dé-
montrée par les observations suivantes faites en 1841 au Con-
servatoire botanique. Les fig. 2 et 3 de la pl. I donnent une
représentation graphique des déviations observées le 14 et le
16 Février, en changeant l'angle de torsion de 60e.
Les courbes supérieures dans ces deux figures passent par
les divisions de l'échelle indiquées par le barreau, lorsque le
fil était dans sa position normale, et les courbes inférieures,
lorsque le fil avait été tordu d’un angle de 600 marqué par le
cercle de torsion. La valeur angulaire de ces divisions est de
32",20 ; donc, en tordant le fil de 60°, on n’avait changé la
position du barreau que de deux à trois minutes, ce qui donne
1440 : 1 pour le rapport de la force de torsion exercée par
le magnétisme terrestre à la force de torsion du fil.
Plus récemment, au mois de Décembre 1843, j'ai répété
ces expériences dans l'Observatoire magnétique, et j'ai trouvé
qu'en tordant le fil de 55° on faisait dévier le barreau de
5,3, ce qui donne un nombre moins fort pour le rapport des
deux forces. Il est vrai que la plus grande élévation du local
au Conservatoire botanique permettait d’avoir un fil plus
long; ensuite les fils étaient neufs alors, et il n’est pas im-
possible que la coagulation, résultant de la poussière et de
l'humidité, ne modifie un peu la force de torsion du fil ; enfin
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 391
il est possible que le barreau ait perdu un peu de son magné-
tisme par suite d’un séjour prolongé dans un local qui est
quelquefois humide. Néanmoins, même en adoptant le dernier
résultat, la force de torsion est encore trop faible pour que
l'erreur, qui peut résulter dans les observations suivantes,
en négligeant l'effet de la torsion, dépasse une petite fraction
de minute. En n'ayant égard qu'à la distance horizontale de
l'échelle à la surface réfléchissante du miroir, la valeur angu-
laire d’un millimètre de l'échelle est de 0,34501.
L'observation de la division de l'échelle, qui est sur le
prolongement de l'axe du miroir, a été faite en prenant
la moyenne des quatre résultats partiels, qu'on obtient
par l'observation des divisions qui se trouvent sous le fil
du micromètre de la lunette à cinq époques distantes entre
elles de la durée d’une oscillation du barreau; on a ainsi
la position moyenne du barreau pour la moyenne des cinq
époques.
Pour diminuer un peu l'influence des erreurs d'observation,
on a toujours Joint à l’observation faite à 8 h., 9 h., midi, 1 h.
et 9 h. du soir une observation faite cinq minutes avant,
savoir : à T h. 55 m., 8 h. 55 m., 11 h. 55 m., midi 55 m.,
7h. 55 m., 8h. 55 m., eton a pris la moyenne entre les deux
résultats; cette moyenne devrait à la rigueur se rapporter à
l'époque moyenne, savoir : à T h. 57,5; 8h. 57,5; 11 h.
51n,5; midi 570,5; Th. 57,5; 8 h. 57n,5; mais pour abré-
ger je n'ai écrit en tête des tableaux suivants que le nombre
rond d'heures.
352 RÉSULTATS
Ces tableaux renferment pour toute la période, comprise en-
tre le 2 Juin 1849 et le 17 Octobre 1845, la déclinaison ma-
gnétique pour ces différentes heures, réduite en minutes et
fractions de minute d’après les éléments que je viens d’indi-
quer. Les nombres mis entre parenthèses sont ceux qui indi-
quent une perturbation dans la direction de l'aiguille aiman-
tée, et qu'on a laissés de côté dans le calcul des résultats
moyens.
393
ONS MAGNEÉTIQUES.
,
D OBSERVATI
"8C°01 61 UE US V
"SNOLEVAUASIO
LD 19 LD 19 19 19
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z9‘8c 81 (AA
96,0 064 | 86,66 081
"SAUNA 6 "SAUNA 8
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9&‘0 61
08‘69
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pa‘cc
60‘9c
16°2S
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18°68 8T
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68°69
60‘8c
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c1‘8ç
1E‘8ç 81
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L0‘8G
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18‘9ç
aa‘ LS
p9‘9ç SI
(6r‘r 61)
98°LS
91°,9S 081
‘IN "SAUNA 6 "SAUNA 8
10
es
TOM. X, 2° PARTIE.
RESULTATS
354
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
DATE, 8 IIEURES, 9 HEURES, 4 HEURE. | 8 HEURES. 9 HEURES. OBSERVATIONS,
1842.
Juillet 1 | 18° 51,27 | 189 53',49 | 199 1',94 | 199 1',89 | 18° 56,53 | 18° 56/,22
54,17 (49,58) 1,80 | (18 57,43) (52,24) (43,97) | A9h.42m.r
54,18 55,36 0,44 | 19 1,31 | (19 4,66) 57,67
(19 2,57)| (19 0,54) (5,56) (6,44) | 18 59,40 57,62 | A9h.5 1m nat. 19° 10/,57.
18 53,25 | 18 55,26 1,28 3,08 57,51 57,52
55,72 55,05 | 18 59,86 0,73 56,78 57,18
52,64 52,12 | 19 0,73 1,87 57,47 57,62
54,60 56,12 | 18 59,95 1,26 57,89
56,34 53,95 | 19 0,09 2,24 54,28
52,14 51,67 | (18 56,40) | (18 57,88) 54,07
52,83 51,91 59,96 | 19 2,35 56,07
50,75 51,84 56,97 | 18 58,81 54,38
50,51 51,45 57,30 58,90 53,89
48,50 48,81 55,00 55,41 54,12
50,42 52,48 56,76 57,05 53,52
51,72 51,84 58,11 58,78 54,59
52,54 53,33 56,93 58,11 55,23
53,18 53,81 | 19 1,90 59,69
56,83 57,94 2,30 57,80
58,14 58,03 0,76 57,81
53,54 53,86 0,01 56,70
52,25 52,91 | 18 59,68 56,65
56,64 55,62 | 19 1,09 55,93
51,72 52,05 0,91 56,86
52,63 53,03 0,40 55,63
50,77 52,12 4,24 57,76
53,46 55,14 1,86 57,86
53,87 55,12 1,02 58,27
54,19 53,75 | 18 59,19 59,48
55,13 56,72 | 19 1,57 58,57
57,29 57,41 3,34 59,00
. 199 4°,77.
Cr Or Or où ox
C1 à à oo
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES.
L6‘& rc‘ LG°LS 89‘cc
r6‘g 8L‘Y 8€‘ 6r‘gc
09‘9 9L‘F 1a‘9c &9‘cc
98‘ Sr‘9 rr‘9g £9‘9g
60‘S se‘c LT‘96 8ç‘cc
9g°s IL‘e op‘cg. 98‘gs
(TAN 16‘+ 0928 s£‘og
18‘8 61‘e £8‘9g 1g‘gg
F9'9 pr‘9 ‘LS 10‘çg
98‘L 06‘9 cç‘9c 4221
gg‘9 L8‘69 9ç‘9s
0r‘6c 81 IG‘2g
"OC, 068 ‘UT OF UE V C1‘O GI 68°LS
1a‘8c &e‘ss
9r‘9ç cr‘eg
68‘cc Le‘rs
&0‘9gç £s‘rs
69°6g GO‘LS
86‘9c 10‘9g
£1°cc 80‘£g
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G1‘GS 81 | g8‘es £6‘re
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00‘& r1‘9g 60‘9g
SI‘ 19°6g £e‘og
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56‘69 81 | g1‘ec £0‘cg
£6‘0 16°LG s8‘og
06F 061 | 86,2 061 G£°,LG 081 | 19°,66 581 | pinoy
‘TSI
—————_—_—_—____———————|
"SNOLLVAUASIO | "SAUNAN 6 "SAUNA 8
“AUNAN + ‘IQIN "SAUNA 6 "SAUNA 8
“HAÔLLANOVA NOSIVN [14
RÉSULTATS
356
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
8 HEURES, 9 HEURES. MIDI, | A HEURE, | 8 HEURES. | 9 HEURES. OBSERVATIONS.
18° 56,63 | 18° 57,76 | 19° 3',44 | 19° 3',44 | 18°58',38 | 18° 59,18
56,34 | (19 2,11) 5,12 4,49 (40,72) (54,62) | A 8 h. 5 min. du soir : 48° 58,85.
57,98 4,41 5,80 56,90 58,18
57,19 5,05 5,04 56,34 54,60
5 55,89 4,40 5,44 57,08 56,99
6 55,98 5,00 5,06 57,26 56,76
7 56,47 5,22 5,61 58,51 58,43
8 56,53 6,48 7,09 58,83 58,51
9 55,49 5,93 7,32 55,75 (52,60)
10 56,78 3,71 4,27 58,48 57,13
11 53,56 2,80 3,98 56,66 57,44
12 54,91 3,28 4,08 57,46 57,02
13 56,53 5 5,52 3,67 57,80 57,28
14 54,70 56,36 2,69 2,45 57,23 57,54
15 55,63 57,60 4,54 3,95 57,14 56,87
16 59,62 19: 2,11 3,77 3,49 57,37 57,05
17 59,85 1,05 5,77 4,75 58,02 58,24
18 55,85 18 56,58 2,68 3,10 56,86 57,12
19 57,13 58,78 2,69 4,39 592,21 55,47
20 55,10 58,93 6,14 6,86 53,20 52,39
21 59,87 57,06 9,71 5,58 53,89 57,05
22 57,29 | . 58,86 6,53 6,69 55,58 57,12
23 57,37 | 19 0,31 4,25 4,25 57,95 57,09
24 56,87 | 18 58,05 4,03 4,59 54,84 54,17
25 54,31 55,56 3,39 4,82 58,60 58,38
26 54,35 54,90 2,46 4,09 58,24 58,18
27 54,69 55,26 4,77 5,90 57,88 58,14
28 55,72 55,56 2,18 3,67 54,06 55,96
29 57,02 56,44 4,25 4,43 59,28 58,93
30 58,24 57,90 0,97 1,96 58,82 58,12
397
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES,.
*29*,Lh 681 110$ NP ‘UC ‘8 V
"SNOILYANASTO
96°LS
6L°LG
p9‘re
8c‘Le
06°cG
(or‘or)
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TF°LS
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&9°LS
19°19
96°LS
8o‘8c
S9°,SS 087 | 69°,80 081
"SAUNAH 6 "SAINAH 8 “AUNAH +
"ANÔILANOVK NOSIVNTTIHA
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RESULTATS
358
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
| DATE
1842.
Nov.
GS QE © kb
et et it
LL = © © @ 1
= bi
=
=
Ca
D ed et et
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2 2 D & RD
Où À ON = ©
8 HEURES,
18° 55,61
57,50
57,11
55,62
57,11
55,13
56,21
56,97
56,94
56,67
59,39
57,00
56,56
57,56
56,65
57,06
55,96
57,45
57,00
58,24
57,17
(19 4,22)
18 57,89
57,63
LL
a
1 kb ©
© œ@
30
57,95
57,98
57,20
57,10
58,38
56,75
9 HEURES, | MIDI,
18° 55,62 | 19° 11,23
58,07 3,32
57,92 3,40
56,25 2,87
56,70 2,49
54,38 1,59
55,67 0,13
56,52 1,57
56,93 1,03
56,62 (4,67)
58,24 2,57
57,04 0,35
57,13 0,55
57,44 0,91
56,93 0,23
56,73 1,42
56,55 0,25
57,21 1,05
56,28 1,35
58,47 0,38
57,85 1,76
(19 1,98) 1,58
18 59,24 18 59,83
57,47 59,78
57,20 59,62
58,28 19 1,57
57,34 | 18 59,80
57,05 59,89
58,15 | 19 92,41
56,62 0,40
1 HEURE, | 8 HEURES.
19°
1',06
3,43
2,52
2,37
3,21
2,55
1,13
1,59
0,74
(7,36)
2,34
0,34
2,70
1,67
18 59,71
19
1,54
0,50
2,03
1,89
0,78
1,20
2,09
1,20
18 59,27
19
1,35
2,13
0,20
0,17
4,55
1,14
189 57,10
57,17
53,40
58,25
57,46
57,18
57,18
56,29
57,26
(54,55)
57,71
55,82
57,01
57,45
57,17
54,58
57,63
57,25
56,55
53,53
56,28
57,18
55,95
57,41
57,08
57,20
56,77
56,87
56,95
57,34
9 HEURES,
18° 57/,02
55,31
55,75
57,40
57,15
OBSERVATIONS.
ASh.30m.soir 18° 51,91.
Mouvement vertical à { he
Mouvement vertical à 4 h.
Mouvement vertical.
Petit mouvement vertical.
Mouvement vertical, bise violente.
A 8h.25 m. matin 19° 5‘,94.
Petit mouvement vertical.
399
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES.
“110$ ND G NIDA JHOUDANO
“MINS EL] 2p 28009 v
Jgnbueu 999 8 46 2p UOrjeAIOSQOUT
“80*,7e 8 108 NP ue F ‘U 6 V
ES LE
"SNOLEVANAS4O
pr'9s 60°1S 98‘I FT c6‘9ç
61‘9g rg‘os GI‘& 62°0 &L°LG
8°ss gs‘oc OT 61 | I£o 6r | éç'ec
L6°SS 10‘ge 8s'6e 05‘6c 68 ‘9g
8s'9s 169€ 06/66 8T 82°6c 90°2S
8r 99 £1‘9c 61‘0 08‘6e 81 | 6c‘oc
1c‘9c OT‘LG JET GE | 927 L8‘9g
86‘9c 81°LG t6‘6c 87 | €2‘0 0&‘LS
SES 06‘rG cç‘o L£‘0 LL‘9g
8c‘oc FO‘LG 0£‘0 61 | So 6r | go‘ec
ce‘oc 86‘9c £0‘6c 9166 089€
ç
La 96 98:96 &9°6ç ST | S‘6e 81 | 2r'1e
L8°cc 82‘9c 190 11‘0 Fe‘oc 81
6s'ss 8c‘re F6€e 61 | 99e 61 | 080 6r
16196 ps'9s 89°66 06‘6S 68‘9s
1aiLS 12196 6966 SI | 92°6c FL‘96
pLeS Sr‘L1G 8£‘o £6‘6c 81 | 8z‘os
pL'9s &O‘LS 001 67 | 2£‘0 9r‘9c
&G'ss s8‘oc ce‘6c 0€‘0 61 | sr‘oc
98/95 T0‘LS 8166 £1°66 L£‘9s
98°96 TT'LE 19°6e &c°6S 6€°1c
Re t6°LS 0266 SI | 60‘68 81 | 16‘26
(66‘8F) c£°c 8S 0 61 | 6r‘0 6I £a‘ 1e
6595 6£‘£gç &6‘66 87 | re‘ce GS°LG
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ne SRE 4 6I 89°0 61 | g£‘es
6g 01°6S 16°9S
6p'9c £8‘oc r9‘6s 817 | 26e &9°9c
11°9ç p< fé ; ;
ae 8r9s 65°0 &8°6€ 6p'se
9° 91'L6 9€*0 Lr‘66 8T | 91‘26
66,99 081 | 66,99 681 | FL°,0 061 | tea 061 | 20,26 481
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“ANÔILANO VA NOSIVNITIHG
,
RESULTATS
360
DATE.
——
1843.
Janv.
© D 1 D O1 RER 0 D
8 HEURES. | 9 HEURES.
18° 56',57
58,44
57,09
56,48
57,30
57,11
56,78
56,93
57,36
57,47
56,72
56,48
56,66
55,92
55,66
57,01
56,40
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55,95
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56,09
55,32
56,34
57,11
56,35
18° 57,32
58,87
57,41
56,70
57,49
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55,65
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56,49
55,77
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
MIDI.
19° 0,52
3,53
18 59,12
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199 0‘,12
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18 59,93
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18 59,90
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19 1,28
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18° 55',52
(49,71)
57,31
56,68
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189 54',45
(53,56)
56,82
56,32
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56,49
57,51
56,48
56,54
56,65
55,40
55,08
53,10
57,34
56,55
56,65
OBSERVATIONS.
Mouvement vertical à 9 du soir.
Mouvement vertical à 8 h. du mal.
Mouvement vertical à 4 h.
très-violent,
Vent
361
ERVATIONS MAGNEÉTIQUES.
,
D OBS
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"SAUNA 8
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46
TOM. X, 2° PARTIE.
RESULTATS
362
DATE,
1843.
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DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
MIDI.
——————
18° 58,96
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1,89
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18 59,28
59,67
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1,77
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18 59,41
19 0,07
1,47
1 HEURE. | 8 HEURES. | 9 HEURES. | OBSERVATIONS,
189 59/,22
19 0,07
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(5,09)
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0,76
0,51
1,10
(5,45)
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1,40
1,07
2,30
2,52
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1,95
3,72
0,75
2,12
1,96
1,58
18° 56/,65
56,72
56,01
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53,73
57,03
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55,84
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(51,98)
53,80
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18° 56,25
56,10
56,65
55,54
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52,27
56,81
56,43
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56,08
55,63
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(49,25)
54,62
55,52
————.——.—….…——…———
Mouvement vertical à 9 h. du soir.
Mouvement vertical à 9 h. du soir.
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363
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES.
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364
DATE,
1843.
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11,45
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
MIDI,
19° 19,64
18,63
17,68
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19°20,03
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19,71
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18,24
18,17
18,60
8 HEURES,
19° 14,92
15,90
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13,04
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12,68
12,35
OBSERVATIONS.
19° 13',91
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15,20
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365
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES.
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RESULTATS
366
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
DATE, 8 HEURES. | 9 HEURES, MIDI, HEURE, | 8 HEURES, | 9 HEURES. OBSERVATIONS.
RE UE «Anse D à à : RÉ me ER
1843.
Juillet 1 | 18° 48,36 | 18° 49/,75 | 18° 59/,91 | 190:0:,85 | 18253:,61 | 18°53',73
2 51,96 48,46 59,41 2,98 52,65 54,49
3 47,37 47,94 58,94 1,69 54,39 53,64 .
4 50,29 50,16 57,34 0,28 53,63 50,88
5 52,21 52,16 56,99 | 18 57,63 54,67 54,27
6 | (19 1,68)| (19 1,37)| (19 5,38) | (19 7,51) 54,37 54,47
7 | 1850,95 | 18 51,49 | 18 55,86 | 18 56,89 (50,84) (49,82)
8 54,64 54,19 | 19 0,88 | 19 0,44 53,94 55,04
9 51,52 52,95 | 18 59,33 | 18 59,04 55,04 52,96
10 53,67 53,41 59,91 | 19 92,28 52,24 53,36
11 50,66 52,30 | 19 0,51 0,90 53,89 52,77
12 49,71 50,36 | 18 59,18 | 18 59,37 52,99 54,30
13 48,51 50,24 | 19 0,87 | 19 2,31 55,52 54,14
14 49,19 49,62 | 18 57,68 | 18 59,46 54,46 52,62
15 50,22 51,09 58,35 | 19 0,14 53,69 54,18
16 49,73 51,00 57,710 | 18 59,40 54,19 53,89
17 50,31 51,54 58,38 59,97 53,22 53,26
18 48,75 49,33 56,41 58,41 53,79 53,69
19 51,33 51,14 57,28 58,95 54,05
20 49,50 50,40 57,84 58,63 54,04
21 51,05 51,92 58,40 | 19 1,17 54,59
22 49,46 51,29 59,37 0,17 54,02
23 50,03 50,94 57,11 | 18 59,22 52,68
24 50,71 51,63 56,42 51,63 51,34 51,00
25 48,57 51,33 | (19 6,01)! (19 6,29) (47,73)
26 51,78 53,55 | 18 59,42 | 18 59,90 54,34
27 51,74 54,18 58,73 | 19 1,53 53,63
28 51,67 53,67 57,59 0,00 53,10
29 48,04 50,19 | 19 0,03 1,78 52,24
30 50,44 51,11 |: 18 57,94 | 18 58,85 52,37
0 53,15 57,30 57,75 51,97
D OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES.
"ANÔILANIVN NOSIVATTIHG
_uîms_a_aunnaanLLunnLuLn NS 7.
1L‘09 £0‘1S Lr°LS g1‘cc LSSr GL°LF
£s°6r Pr°Gr O1‘26 (JA rO‘z2p &L‘oy
80‘08 81‘0g PL°LS 68‘çg 06‘8r £1°LF
rS‘6F 1&‘09 gr‘eg go‘re ce‘sp £0‘8r
LD°2+ 99°6F 1a‘8c cL°LG enLr (71922
gs‘1P 99<6F 61‘L6 Sc°LG ge‘ey £r‘or
sc‘og 16‘0S L9‘66 81 0€ ‘LS cef6r çL‘8r
6ç°1e gs‘re 9&‘0 69°2S ST | O1‘6r 1&‘Sr
69° 8216 FT 9ç‘0 61‘0g 6c‘6F
Fr‘0c 16°TG 901 GI 18‘& GI 1208 &G°LP
1L°zS 69°£c 088 8I re‘sç 96‘04 LL‘SY
6r'£s o2‘eç &9‘0 gç'6g 68‘0g 98‘6r
98°zc gr‘es 90‘0 GI cr‘8ç 6ç‘19 19°6r
S6°TS 91‘ec LA AT o1‘9ç SI‘Te 9ç‘0s
86‘ac cases L a1‘66 gg‘ec 60‘19 8€°6r
LS‘es ce‘ec 8r‘8c SI sr‘1e FG'TS &e‘0S
8a‘1S L6‘GS SI‘O 61 08‘69 sr‘as 96°8r
£0‘gs 89‘£ç ST°66 81 16‘8ç 82‘06 68‘8r
9r‘0g 6c‘sr 90 98‘66 6r‘0g 1S‘8r
re‘ce 62‘0g 9S‘L 26°66 81 1616 6r‘0s
10f£g 0L‘cS SLT 6GI ge‘o 1SrS 196
ro‘gc g1‘es c0‘6g FT‘O GI gL‘TG 99°6Fr
1G°ag go‘re r€‘6g 81 9c‘8c al‘es 9&°1S
L9°3S &G‘8F FO‘T GI 16°69 gr‘re Fr‘6r
r9‘1c 10‘£S CT 16‘Gg actes va‘ 19
sc‘pe z8‘1e 66‘9g 1966 &8'°1g £L‘0S
LG'&S c1‘ag t0‘ 8e 8I re‘oc 81 | pz‘es LO‘IS
zo‘re Lg‘eg FL°G 60°T 61 10°2S LI1S
(126) 96€ &L‘0 9665 £6‘1S sc‘os
60‘rg p£‘es GT 6] Sr‘66 sr‘0g LL‘8+r
09%8S 081 | 6L%€6 081 | Pr 60 081 | pL‘,20 087 | LP 06 087 | 819,06 081
FLE € REP PL CRT PRE PL | EEE PEUR PE RS
"SNOLLVAUASAO | "SAUQAN 6 | ‘SAUNA 8 “AU F "IOIN "SAIOAN 6 | ‘SAUNAN 8
RESULTATS
368
DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
| DATE, | 8 HEURES. | 9 HEURES, MIDI. A HEURE. 8 HEURES, | 9 HEURES. OBSERVATIONS.
1843.
Sept. 1 | 18° 49,02 | 180 48,48 | 18° 57,77 | 18° 57,63 | 18° 47',43 | 18° 47,83
2 (55,18) 50,67 56,03 57,08 50,47 | 49,37
3 50,02 49,61 55,62 57,09 47,13 49,20
4 50,46 50,89 55,84 57,71 51,81 (43,01)
5 54,35 52,08 59,79 | 19 0,80 51,42 50,11
6 53,50 55,54 59,60 0,14 54,04 53,62
7 51,12 51,58 59,65 0,99 53,70 51,37
8 48,27 49,39 56,34 | 18 57,71 49,91 49,50
9 48,51 50,06 57,15 58,48 49,87 (41,90)
10 48,28 48,42 54,42 59,73 49,91 46,00
11 50,03 49,80 56,22 56,41 49,43 48,45
12 48,80 49,86 56,37 57,37 49,75 46,79
13 47,80 47,64 52,62 54,25 49,54 48,13
14 49,04 50,27 56,95 58,35 50,29 51,10
15 49,30 50,11 58,29 59,31 51,85 51,64
16 50,15 50,93 59,17 58,46 52,39 52,25
17 50,20 51,70 59,56 59,45 (47,21) 51,27
18 48,23 50,21 19 1,87 | 19 2,73 52,44 49,69
19 48,35 50,92 3,62 | 18 59,53 49,93 49,77
20 49,89 53,06 | 18 58,07 59,98 49,56 50,74
21 48,29 48,42 57,94 | 19 0,56 47,21 51,08
22 50,84 50,05 56,89 | 18 58,94 49,52 48,46
23 50,43 51,18 | 19 0,49 58,30 51,70 51,32
24 49,51 48,95 | 18 57,70 58,06 49,65 50,08
25 48,73 49,64 | 19 0,62 | 19 0,65 51,07 51,42
26 48,49 50,89 1,74 1,05 52,02 51,00
27 48,09 48,89 | 18 58,41 18 59,09 52,45 52,13
28 49,00 49,38 59,71 59,98 52,52 52,26
29 49,85 50,26 57,01 58,46 50,59 51,13
52,68 49,63 19 0,48 52,03 51,73
369
,
D OBSERVATIONS MAGNETIQUES.
*[ROIIOA JUOUTOA
=nout {JUAIOIA-SQ1) ‘O-"S NP JU9A
"SNOLLVAUASHO
16°6r 96‘0S
| 4 27 À 2 0906
68°2F z0‘&S
oz‘re SI‘&S
0606 0c‘&S
68°TS TGS
00‘8r 8a‘0S
LLSIS Sacs
GG6°IC L6°TS
9c‘6r ge‘rs
11‘0S ge‘re
(13<2r) (oz‘cr)
69‘6Fr rc°1s
9€°FS so‘sr
TL M
18:89 081 | F9°&S 081
"SAUNA 6
"SAUNA 8
op°ec 8L°pS cS'6r r£‘os
GI°LS 16°9c L£‘6r 6&‘ 19
19‘69 £0‘6F ce‘sr
go‘ec c'es &9‘6h rc‘6r
LS°LS o8‘8s Sr°6r 916
c£‘8c L1‘6S 0L‘0g 91‘06
Fc LS 6g°1g 61‘8r 00‘6r
L8‘9ç &g‘ce ca‘sr IS°TS
18‘8ç 6g°Lc GI°1S 01‘6r
gL‘Le o7‘9c 60‘6F 1&‘6r
09°86 &S°LS ra‘Gr £r‘6r
98°86 8I £0‘69 81 | LT‘8r rc‘6r
86‘T GI SI‘& 61] TI‘TS co‘rs
gç‘1ç 18‘9ç 9S‘6r 1r‘6r
LS°LSG 6169 S0‘&S LO‘FSe
£9‘9s 08‘9s F6‘0S LL‘0G
cose 81 | cr‘, 087 |(08°96 081) | &L° 89 087
‘AUNA + | ‘IUIN | "SNA 6 | "SAUNA 8
“HNÔILANIV NOSIVNITIAA
ON CO TU © = D Où © mm ON € + 15 ©
mem mm mm
PARTIE,
TOM. x, 2°
370 RÉSULTATS
Ces tableaux présentent du 9 Avril au 25 Juin 1843
une singulière anomalie, qu'il m'est impossible d'expliquer;
toutes les déclinaisons observées pendant cette période sont
de 18 à 20 minutes trop fortes. Ce changement s’est fait brus-
quement entre le 8 Avril au soir et le lendemain matin, et
l'aiguille est revenue tout aussi brusquement à son ancienne
position du 25 Juin au soir au 26 Juin. C’est bien à son an-
cienne position que l'aiguille est revenue : car, en comparant
les déclinaisons des mois de Juillet, Août, Septembre, Octo-
bre 18453 avec celles des mêmes mois de l’année 1842, on
trouve pour la diminution annuelle de la déclinaison une va-
leur qui s'accorde avec celle que l'on a obtenue en d’autres
endroits. Îl paraît beaucoup plus naturel d'attribuer cette dé-
viation à un dérangement de l'instrument, qu'a un change-
ment temporaire du méridien magnétique de Genève; cepen-
dant il m'est impossible de trouver dans l'instrument la cause
de cette perturbation. Personne n'a pu s’introduire dans le
bâtiment magnétique dans la nuit du 8 au 9 Avril, ni dans
celle du 25 au 26 Juin; sila perturbation est due à l'instrument,
elle a dù s'effectuer d'elle-même, sans cause étrangère. Elle
ne provient pas d'un dérangement dans le théodolithe, car la
lunette n'a indiqué aucun changement de position relativement
au 0 de la mire. Quant aux eauses de dérangement dans le
barreau, elles ne peuvent provenir que d’un changement dans
la position du miroir ou d’un changement dans la suspension,
ou dans la torsion. Il m'a été impossible de vérifier alors la
position de l'axe du miroir relativement à l'axe du barreau,
parce que Je suis parti peu de jours après pour un voyage;
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 371
mais on conçoit difficilement comment l'inclinaison du miroir
changerait brusquement de vingt minutes, pour revenir exac-
tement à son ancienne position et par un mouvement brusque
au bout de TT jours. Il est tout aussi difficile d'expliquer un
changement brusque aussi considérable dans la suspension ;
il aurait fallu que dans la nuit du 8 Avril la pièce à laquelle
le fil est suspendu glissât de trente millimètres à l'Ouest dans
la coulisse dans laquelle elle est serrée. et qu'elle fit le mouve-
ment inverse dans la nuit du 25 Juin. Si on voulait attribuer
cette perturbation à un effet de torsion, il faudrait admettre
que l'angle de torsion du fil ait changé subitement de 220o,
et fut revenu subitement à son ancienne valeur. Enfin, je me
suis assuré que ce dérangement n'était pas dû à une cause,
qui a été signalée quelquefois, savoir à la présence dans la
caisse du magnétomètre d’une araignée ou d’un autre insecte,
qui aurait fait dévier le barreau en tendant des fils, ou d’une
autre manière.
J'ajouterai en dernier lieu, que dans les jours qui ont précédé
le 9 Avril, des perturbations assez considérables ont été ob-
servées dans la direction de l'aiguille aimantée, soit à Genève,
soit en d'autres lieux, et que des tremblements de terre ont
été ressentis dans des localités voisines de Genève, en Suisse
et en Savoie.
372 RÉSULTATS
VARIATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
Les variations de la déclinaison magnétique peuvent être
considérées sous deux points de vue, soit qu'on examine les
variations qui ont lieu dans un même jour, d’une heure de la
journée à l'autre, soit qu'on examine les variations qui ont lieu
à la même heure de la journée d’un jour à l'autre. Je m'occu-
perai d’abord du premier point de vue. Les tableaux ci-des-
sus montrent, ainsi qu’on l'a observé jusqu'ici, que la déclinai-
son est en général plus forte à { heure qu'à aucune des autres
heures d'observation ; effectivement, pendant toute cette série
il est arrivé une seule fois, le 22 Novembre 1842, que la dé-
clinaison fut plus forte à 8 h. du matin qu'à 1 h.; cela n'est
jamais arrivé ni pour 9 h. du matin, ni pour 8 h. et9 h. du
soir ; l'observation de midi offre assez fréquemment une dé-
clinaison plus forte que celle de 1 h., quoique la moyenne
soit décidément en faveur de 1 h.
Le tableau suivant donne pour chaque mois la différence
moyenne entre la déclinaison de 1 h. et celle des cinq autres
heures d'observations; dans le calcul de ces moyennes on a
laissé de côté les observations qui indiquaient une perturba-
tion accidentelle dans la position de l'aiguille aimantée, et
qui ont été enfermées entre des parenthèses dans les tableaux
ci-dessus.
373
ETIQUES.
,
D OBSERVATIONS MAGN
7
8e‘p sa‘r 89‘0 1&‘9
og‘e scç‘e 10‘T eg°z
sç‘g 06‘c 96‘0 S9°L
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2
LA AUNGH | a à NOSIVNITOHG VI AMLNA SION HNÜYHO UNOd
374 RÉSULTATS
Ce tableau montre que la déclinaison est plus faible en
moyenne à 5 h. du matin qu'à toutes les autres heures du
jour; cependant dans les mois d'Octobre, Novembre, Dé-
cembre et Mars elle est un peu plus forte que celle de 9 h., en
sorte que dans ces mois-là le minimum du matin se rapproche
plus de 9 h. que de 8 h. Dans les mois de Novembre, Décem-
bre, Janvier et Février, la déclinaison est plus faible à 8 h.
et à 9 h. du soir qu'à 8 h. et à 9 h. du matin : donc, dans les
mois d'hiver, le minimum du soir est plus bas que celui du
matin, tandis que dans le reste de l'année c’est le minimum
du matin qui est le plus bas. Enfin la déclinaison est constam-
ment moins forte à 9 h. du soir qu'à S h. du soir, donc l'épo-
que du minimum du soir est plus voisine de 9 h. que de 8 h.
du soir. On peut remarquer aussi, que ce n’est pas insensible-
ment, mais presque subitement, que l'amplitude de la variation
diurne entre { h.et 8 h.et 9 h. du matin diminue du mois d'Oc-
tobre au mois de Novembre, et qu'après être restée presque
stationnaire pendant les mois d'hiver, elle augmente de nou-
veau très-rapidement du mois de Février au mois de Mars.
Pour étudier les variations de la déclinaison qui ont lieu
à la même heure, j'ai essayé de donner une représentation
graphique de la marche de la déclinaison aux différentes heu-
res, que l’on trouve dans les courbes dessinées par M. E. Gau-
tier. Dans la pl. Il, la courbe noire donne du 2 Juin 1842
au {7 Octobre 1845 la déclinaison de 8 h. du matin; la
courbe brune, celle de 9 h. du matin; la courbe rouge, celle
de midi; et la courbe bleue, celle de 1 h. Dans la pl. II,
la courbe noire donne pareillement la déclinaison de 6 h. du
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 375
soir, et la courbe brune, celle de 9 h. du soir. On a mis ces
deux dernières courbes dans une figure séparée, pour éviter
la confusion qui aurait pu naître de leur fréquente inter-
section avec celles de 8 h. et 9 h. du matin. Ces courbes
ont été construites avec les déclinaisons que l'on obtient, en
prenant une moyenne des déclinaisons observées de trois Jours
en trois Jours; on se mettait ainsi un peu plus à l'abri des pe-
tites variations accidentelles qui peuvent affecter l'observation
isolée de chaque jour. Dans le calcul de ces positions moyen-
nes de trois Jours en trois jours, on a aussi laissé de côté les
observations qui indiquaient une perturbation accidentelle
dans l'aiguille aimantée.
Ces courbes présentent des ondulations qui, sans être par-
faitement régulières, offrent cependant une certaine régularité ;
on reconnait des maximums et des minimums se succédant
dans des intervalles de temps, qui sont certainement loin
d'être parfaitement égaux entre eux, une régularité complète
n'étant guère possible dans un phénomène aussi variable que
la direction de l'aiguille aimantée, mais qui permettent cepen-
dant de mettre une période en évidence.
Pour chercher la durée de cette période et la différence en-
tre les maximums et les minimums, j'ai formé ci-dessous pour
les observations de 8 h. du matin le tableau des jours, où la
déclinaison paraît avoir atteint un maximum ou un minimum,
avec l'indication de cette déclinaison maximum où minimum.
376
RÉSULTATS
MAXIMUMS ET MINIMUMS
DE
LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE A 8 HEURES DU MATIN.
1842.
1843.
Juin 15
29
Juillet 9
23
Août 6
18
Sept. 3
17
30
Oct. 16
28
Nov. 11
26
Déc 6
18
Janv. 2
19
Fevr. 5
18
Mars 3
13
30
Avril 18
Mai 3
19
Juin 5
17
Juillet 8
26
Août 7
18
Sept. 5
22
Oct. 1
18° 58‘,07
52,80
56,34
56,64
56,33
58,32
57,98
59,85
58,24
57,65
58,58
59,39
57,98
19 0,04
0,00
18 58,44
56,54
57,83
57,43
56,12
57,96
53,26
19 12,42
13,79
12,16
10,58
17,73
18 54,64
51,78
51,24
50,56
54,35
50,84
52,72
MINIMUM.
1842. Juin 9 18° 55,94
25 47,90
Juillet 1 51,27
14 48,50
26 50,77
Août 12 53,08
| 26 53,86
Sept. 11 53,56
25 54,31
| Oct. 9 . 54,37
19 53,87
Nov. 6 55,73
17 55,96
Déc. 3 56,08
13 56,66
29 56,10
1843. Janv. 15 55,66
28 55,32
| Févr. 24 55,28
| Mars 10 54,31
24 52,67
| Avril 9 19 11,42
26 10,96
Mai 15 10,24
27 8,42
Juin 9 9,04
|| 23 11,75
Juillet 3 18 47,37
18 48,75
Août 2 48,77
13 48,51
26 46,43
Sept. 8 48,27
27 48,09
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. DT
D'après ce tableau, l'intervalle de temps compris en moyenne
entre un maximum et le maximum suivant est d'environ
15,5 jours; il est à peu près le même que l’intervalle compris
entre un minimum et le minimum suivant : donc la période
qui ramène deux maximums ou deux minimums consécutifs est
d'un peu moins de {4 jours; la différence moyenne entre un
maximum et le minimum suivant est de 3,15. Pour chercher
la cause de ces variations, on se reporte naturellement à la
lune, qui offre dans son mouvement des périodes analogues,
non pas dans le mouvement synodique, mais dans le mouve-
ment relativement à l'équateur, celui qui ramène la lune à
une même déclinaison.
Si nous cherchons quelle est Ja position de la lune relative-
ment à l'équateur pour toutes les époques du maximum à 8 h.
du matin, nous trouvons qu'elle est en général dans le voisi-
nage de son passage par l'équateur. En effet, sur 33 maxi-
mums observés, il y en a 25 pour lesquels la lune se trouvait
à moins de 16° de part et autre de l'équateur, et 10 pour les-
quels elle avait une déclinaison boréale ou australe plus forte
que 160.
Les minimums de la déclinaison à 8 h. du matin arrivent
au contraire, lorsque la lune se trouve à sa plus grande distance
boréale ou australe de l'équateur; sur 34 minimums observés,
24 sont arrivés lorsque la lune avait une déclinaison boréale
ou australe plus forte que 16°, et 10 lorsqu'elle se trouvait à
une distance moindre de l'équateur. Il paraît donc que la lune
exerce sur la direction de l'aiguille aimantée, à 8 h. du ma-
TOM. X, 2° PARTIE. 18
378 RÉSULTATS
tin, une influence telle, que, lorsqu'elle est dans le voisinage de
l'équateur, la déclinaison magnétique augmente, tandis qu'elle
diminue, lorsque la lune se trouve à sa plus grande distance
de part et autre de l'équateur.
En examinant de la même manière les variations de la dé-
clinaison à 1 h., j'ai formé le tableau suivant pour les épo-
ques des maximums et des minimums et pour les valeurs cor-
respondantes de la déclinaison.
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 379
MAXIMUMS ET MINIMUMS
DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE A 1 HEURE.
MAXIMUMS. MINIMUMS.
| 1842. Juin 10 199-9727 1842. Juin 15 19° 3,16
s 17 5,71 25 18 55,24
Juillet 5 3,08 Juillet 14 55,41
18 3,17 24 19 1,45
31 5,54 Août 10 0,35
Août 17 8,74 27 5,09
29 6,60 31 2,97
Sept. 9 7,32 Sept. 14 2,45
20 6,86 Oct. 1 0,35
Oct. 8 7,90 16 1,68
23 4,86 Nov. 1 1,06
Nov. 5 3,43 15 18 59,71
22 2,09 28 19: 0,17
Déc. 6 1,89 Déc. 13 18 59,35
18 3,94 21 59,03
30 2,19 1843. Janv. 4 59,37
1843. Janv. 16 2,40 25 59,46
29 1,32 Févr. 4 58,81
Févr. 7 2,88 18 59,24
22 2,07 Mars 1 59,22
Mars 6 2,49 10 19 0,51
20 3,72 24 1,58
Avril 3 4,68
14 21,35 Avril 22 16,24
30 20,33 Mai 12 16,26
Mai 15 18,27 23 15,50
25 20,34 Juin 6 16,32
Juin 10 18,56 23 16,76
Juillet 2 2,98 Juillet 7 18 56,89
13 2,31 18 58,41
29 1,78 31 57,75
Août 11 1,75 Août 18 57,34
23 1,41 28 55,48
Sept. 7 0,99 Sept. 13 54,25
18 2,73 22 56,63
Oct. 5 1,98 Oct. 10 56,87
380 RÉSULTATS
On voit par ce tableau que l'intervalle de temps compris en
moyenne, soit entre deux maximums, soit entre deux mini-
mums consécutifs, est encore de 13,8 jours, c’est-à-dire le
même à peu près que celui que j'avais trouvé pour $ h. du
matin; la différence moyenne entre un maximum et le mini-
mum suivant est de 4,53; mais les maximums et les mini-
mums ont lieu relativement à la déclinaison de la lune dans
un ordre inverse de celui qui a été remarqué pour 8 h. du
matin.
Effectivement sur 37 maximums observés, 27 ont eu lieu
lorsque la lune avait une déclinaison boréale ou australe plus
grande que 16°, et sur 55 minimums observés, 23 sont arrivés
lorsque la lune avait une déclinaison boréale ou australe moin-
dre que 16°. Donc l'influence de la lune sur la direction de
l'aiguille aimantée à { h. a pour effet de diminuer la déclinai-
son magnétique, lorsqu'elle est dans le voisinage de l'équa-
teur, et au contraire de l’augmenter, lorsqu'elle en est à sa plus
grande distance boréale ou australe.
En envisageant donc dans son ensemble l'influence de la
lune sur les variations de la déclinaison magnétique, on voit
que la lune tend à diminuer l'amplitude de la variation diurne
entre 8 h. et 1 h., lorsqu'elle est dans le voisinage de l'équa-
teur, puisqu'elle augmente la déclinaison à 8 h. et qu'elle di-
ninue la déclinaison à 1 h. Lorsque la lune est à sa plus grande
distance au-dessus ou au-dessous de l'équateur, elle tend au
contraire à augmenter l'amplitude de la variation diurne, puis-
qu'elle diminue la déclinaison à 8 h. du matin et qu'elle l'aug-
mente à { h.
- -
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 381
Tels sont les résultats auxquels m'a amené l'examen des va-
riations de la déclinaison magnétique à 8 h. et à 9 h. pour la
série d'observations qui ont élé faites Jusqu'à présent à
Genève.
Je crois qu'il y a quelque intérêt à les énoncer dès à présent,
quand même ils ne peuvent être confirmés que par une longue
série d'observations, car ce n’est que par une longue série
d'observations que l’on peut arriver à reconnaître les mouve-
ments réguliers dans un phénomène comme celui de la varia-
tion de la déclinaison à une même heure, dans lequel ils sont
si souvent masqués par des anomalies dues à des causes in-
connues.
DÉCLINAISON MOYENNE DE L’AIGUILLE AIMANTÉE.
On peut chercher la déclinaison moyenne de l'aiguille ai-
mantée pour chacune des heures d'observation pendant une
certaine période, c’est ce que je ferai d’abord; on peut en-
suite se proposer de déterminer la déclinaison moyenne des
94 heures.
J'ai formé dans le tableau ci-dessous les moyennes men-
suelles des déclinaisons observées pour chaque heure, en lais-
sant encore de côté les observations qui présentaient des per-
turbations accidentelles, et en scindant les résultats pour les
382 RÉSULTATS
deux mois pour lesquels le changement brusque de déclinai-
son, dont J'ai parlé, a eu lieu.
MOYENNES MENSUELLES
DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE AUX DIFFÉRENTES HEURES.
oo
DATE, S HEURES. | 9 HEURES. | MIDI. | 4 HEURE. | 8 HEURES. | 9 HEURES.
sb eot sh ni —— —— —
1842. Juin |18°54,16/18°54/,97/190 2,49/190 3',56|18°57',73118°57",63
Juillet| 53,39 | 54,21 0,13 1,56 56,68 | 56,51
Août 55,38 56,43 3,31 4,26 | 57,68 | 57,65
Sept. 56,50 | 57,69 4,37 4,69 | 56,92 | 57,10
Oct. 56,11 56,24 3,03 3,82 57,09 | 56,77
Nov. 57,16 | 57,12 1,15 1,57 56,75 | 56,62
Déc. 57,19 | 57,06 0,21 0,39 56,56 | 56,18
1843. Janv. 56,59 | 56,21 0,06 0,81 56,60 | 56,23
Févr. 56,05 | 56,48 0,05 0,58 | 56,23 | 55,51
Mars 54,37 54,02 0,71 1,67 | 55,77 | 55,12
(1 au 8) Avril 53,05 | 52,96 1,60 3,12 | 55,89 | 55,08
(9 au 30) Avril |1911,98 |19 12,16 17,91 18,73 |19 13,75 |19 14,16
Mai 11,11 11,83 17,36 18,04 13,76 | 13,66
(1au 25) Juin 11,46 11,82 17,88 19,20 14,68 14,44
(26 au 30) Juin [18 49,01 |18 50,34 0,48 2,04 |18 54,06 |18 53,85
Juillet | 50,44 | 51,35 |18 58,47 |18 59,92 | 53,70 | 53,40
Août 49,19 | 50,70 58,22 | 59,30 | 51,90 | 51,88
Sept. 49,70 | 50,28 | 58,12 | 58,96 | 50,68 50,27
(1 au 17) Oct. 50,24 | 49,68 | 57,80 | 58,04 | 51,37 | 50,44
{l
On reconnaît facilement par ce tableau la nature des varia-
tions, qui ont lieu aux différentes heures dans la déclinaison
magnétique pendant le cours d’une année; mais, pour les dé-
terminer plus exactement, il faudrait tenir compte de la dimi-
nution constante de la déclinaison, c’est-à-dire ramener les
moyennes mensuelles à une époque commune relativement
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 383
au mouvement séculaire. Malheureusement le changement de
la déclinaison magnétique, que J'ai signalé du mois d'Avril au
mois de Juin, m'empèche de pouvoir comparer avec con-
fiance les déclinaisons des mois de Juillet, Août, Septembre
et Octobre 1542 avec celles des mois correspondants de l’an-
née 15453, pour en déduire la diminution annuelle de la dé-
clinaison. Voici néanmoins les valeurs données pour cette di-
minution par chacun de ces quatre mois et pour chaque heure :
DATE. sh. 9h. | MIDI. 1h. MOYENNE.
| Juillet 2,95 2,86 1,66 1',64 —_21,53
Août —6,19 5,73 4,89 4,96 —5,55
| Sept. 6,80 7,41 6,25 5,73 —6,54
| Oct. 5,87 6,56 5,23 5,78 —5,91
|
Moyenne| —5,45 5,64 1,51 4,53 —5,13
En adoptant pour la diminution annuelle la valeur moyen-
ne — 5,15, qui, se rapprochant beaucoup de celle qui a été
observée ailleurs, ne peut pas s’écarter beaucoup de la vérité,
il faudra, pour ramener relativement au mouvement séculaire
les différentes moyennes mensuelles à l'époque commune du
{er Janvier 1845, leur appliquer les corrections suivantes : on
retranchera des déclinaisons moyennes de Juin, Juillet, Août,
Septembre, Octobre, Novembre, Décembre 1842 respecti-
vement les nombres 2,18; 2,35 ; 1,92; 1,50; 1,07; 0,64;
0,21; et on ajoutera aux déclinaisons moyennes de Janvier,
Février, Mars, Avril (du 1e au 8), Avril (du 9 au 30), Mai,
384 RÉSULTATS
Juin (du 1% au 25), Juin (du 26 au 50), Juillet, Août, Sep-
tembre, Octobre 1843 réciproquement les nombres 0,91 ;
0,64:.1:07:4,345 1,5%341,9932515 2,50: 2678; 3:90:
0553201:
On obtient ainsi les moyennes mensuelles suivantes pour
les différentes heures :
. |
DATE, 8 HEURES, |9 HEURES. | MIDI. | A HEURE, | 8 HEURES. | 9 HEURES.
| |
1842. Juin |18°51‘,38/18°52',19/18°59’,71119° 0',78|18°54‘,95/18° 54,85!
Juillet 51,04 51,86 57,78 |18 59,21 54,33 54,16 |
Août 53,46 54,51 |19 1,39 19 2,34 55,76 55,73 |
Sept. 55,00 56,19 2 arte 3,19 55,42 55,60
Oct. 55,04 D5 17 1,96 | 275 56,02 55,70
Nov. 56,52 56,48 0,51 | 0,93 56,11 55,98 |
Déc. 56,98 56,85 0,00 | 0,18 56,35 55,97 |
1843. Janv. 56,80 56,42 0,27 | 1,02 56,81 56,44
Févr. 56,69 57,12 0,69 | 1,22 56,87 56,15
Mars 55,44 55,09 1,78 | 2,74 56,84 56,19
(1 au 8) Avril 54,39 54,30 2,94 | 5,46 57,23 56,42
(9au30) Avril |1913,55 |19 13,73 19,48 | 20,30 |19 15,32 |19 15,73
Mai 13,03 13,75 19,28 19,96 15,68 15,58
(1 au 25) Juin 13,77 14,13 20,19 21,51 16,99 16,75 |
(26 au 30) Juin |1851,51 |18 52,84 2,98 | 4,54 |18 56,56 |18 56,35
Juillet 53,22 54,13 125 2,70 56,48 56,18
Août 52,39 53,90 1,42 2,50 55,10 55,08
Sept. 53,33 53,91 1,75 | 2,59 54,31 53,90
Oct. 54,21 53,65 AT] 2,01 55,34 54,41
L'anomalie, qui a été signalée dans les mois d'Avril, Mai et
Juin 1845, ne me permet de pouvoir comparer que dix mois,
savoir: de Juin 1842 à Mars 1845 inclusivement, avec la
moyenne de ces dix mois; cette moyenne, qui a aussi pour
époque relativement au mouvement séculaire le {er Janvier
1545, est pour chaque heure :
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 385
S h. 9 h. midi 1 M, S h. 9 h.
189 54,83; 18° 55,19; 199 0,70; 199 1‘,44; 18° 55,95; 18° 55',68.
La comparaison de cette movenne pour chaque heure avec la
moyenne pour les différents mois, donne les valeurs suivantes
pour les variations mensuelles de la déclinaison pendant ces
dix mois aux différentes heures :
DATE, 8 HEURES. | 9 HEURES, | MIDI, 4 HEURE. 8 HEURES, | 9 HEURES.
————
1842. Juin | 3245 | ==300 | "0,99 || 066 |. —1:,00
Juillet —3,79 —3,33 —2,92 —2,23 —1,62
Août 137 —0,68 | 0,69 | —Lo,90 | —0,19
Sept. orne too 20216754 | 20153
Oct. | D RE IST +0,07
Nov. 1,69 | 51,29 | * —0,19 | : —0,51 0,16
Déc. os 66 0 TON 26 2210740
1843. Janv. | 1,97 | 1,23 | 0,43 | 0,42 | +o,s6
Eévr.ll..-#1,86. |, 11,93). —0,01 |. —0,22 |. 0,92
| Mars +0,61 —0,10 +1,08 +1,30 —-0,89
Il
Ï
On voit d’après ce tableau que par suite d’une action exer-
cée probablement par le soleil, puisque la période des varia-
tions est d'une année, la déclinaison diminue dans les mois
d'été et augmente dans les mois d'hiver pour 8 h. et 9 h. du
matin, $ h. et 9 h. du soir. Quant à la déclinaison à midi et
à 1 h., les maximums semblent arriver plutôt aux deux équi-
noxes et les minimums aux deux solstices. Enfin, on voit aussi
que les variations annuelles sont beaucoup moins fortes à
$ h.et à9 h. du soir qu'aux autres heures de la journée.
Cherchons enfin de déterminer la déclinaison moyenne non
plus pour une certaine heure de la Journée, mais pour les
TOM. X, 2° PARTIE. 49
386 RÉSULTATS
vingt-quatre heures. Eu égard à la rapidité et au peu de ré-
gularité des variations de la déclinaison, il faudrait, pour avoir
exactement la déclinaison moyenne d’un Jour, faire pendant
vingt-quatre heures consécutives des observations à des in-
tervalles de temps très-rapprochés, pour en prendre la mo-
yenne. Ce n’est qu'approximativement qu'on peut déterminer
la déclinaison moyenne d’un jour, au moyen de quelques
observations isolées faites pendant la journée; souvent on
s’est contenté de prendre la moyenne de la déclinaison à 8 h.
du matin et à 1 h., ces deux heures étant rapprochées de lé-
poque du minimum et du maximum.
Comme nous avons observé les termes magnétiques depuis
le commencement de 1841, j'avais douze séries d’observa-
tions faites pendant vingt-quatre heures consécutives, de cinq
‘en cinq minutes, pouvant par conséquent me donner exacte-
ment la déclinaison moyenne de ces douze jours; en compa-
rant ces déclinaisons moyennes avec les déclinaisons aux heu-
res que J'avais adoptées pour les observations diurnes, je
pouvais avoir douze données sur l’excédant de la déclinaison
pour ces heures sur la déclinaison moyenne.
J'ai été obligé de laisser de côté les termes d’Août 1841 et
de Février 1842, parce qu'ils présentaient des perturbations
magnétiques trop considérables, pour que la moyenne n’en fût
pas notablement altérée. Les termes magnétiques ont lieu du
dernier vendredi au soir au dernier samedi au soir, dans les
mois de Février, Mai, Août et Novembre. Voici pour les ter-
mes magnétiques de chacun de ces mois des années 1841 à
1845 l'excédant de la déclinaison observée à 8 h., 9 h., midi,
1h., 8 h.,9 h. sur la déclinaison moyenne du Jour :
387
,
D OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES.
(ass —
LR ten UE
"SAUNA 6
| 650 — \
CAS CE Pr 1
130
L8°a +
tons
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DR EE)
JUAN
388 RÉSULTATS
Ces observations montrent, que la moyenne de la déclinai-
son observée à 8 h. du matin et à { h. est constamment plus
forte que la déclinaison moyenne du jour, savoir: en Février
+2,05; en Mai de +2,04; en Août de + 1,17; en No-
vembre de + 1',25; et en moyenne pour l’année de + 1',62.
La moyenne de six observations faites à 8 h., 9 h., midi, { h.,
Sh.et9 h. se rapproche plus de la déclinaison moyenne; en
effet, l'excédant de cette moyenne sur la moyenne du jour
est en Février de + 0,85; en Mai de + 0,55; en Août de
+ 0,27; et en Novembre de —+ 0,46 ; en moyenne pour l’an-
née de + 0,53 : donc la moyenne de la déclinaison pour les
six heures donne un résultat de + 0°,53 plus fort que la dé-
clinaison moyenne du jour. Cela vient de ce que ces six heu-
res d'observation tombent dans le jour, et que la nuit la décli-
naison magnétique est, à ce qu'il paraît, un peu plus faible
que pendant le jour.
En appliquant donc une correction de — 0',53 à la moyenne
des six observations diurnes dans le tableau (page 382) qui
donne les déclinaisons mensuelles moyennes aux différentes
heures, on trouve pour les déclinaisons moyennes de ces dif-
férents mois :
1842. Juin 18° 57,89
Juillet 56,55
Août 58,59
Septembre 59,01
Octobre 58,31
Novembre 57,86
Décembre 57,40
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES.
1843.
Janvier
Février
Mars
Juillet
Août
Septembre
Octobre
18° 57',22
56,95
56,40
54,02
53,00
52,47
52,40
389
En débarrassant ces moyennes du mouvement séculaire,
de manière à les ramener toutes à l'époque commune du
1e Janvier 1843, elles deviennent :
1842.
1843.
Juin 18° 55',11
Juillet 54,20
Août 56,67
Septembre 57,51
Octobre 57,24
Novembre 57,22
Décembre 57,19
Janvier 57,43
Février 57,59
Mars 57,47
Juillet 56,80
Août 56,20
Seprembre 56,10
Octobre 56,37
Enfin la déclinaison moyenne des dix mois compris entre
Juin 1842 et Mars 1843, ayant pour époque aussi le 1er Jan-
vier 1843, est de
18°
56,16.
390 RÉSULTATS
PERTURBATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
L’aiguille aimantée présente de temps en temps dans sa di-
rection des perturbations qui se font ressentir simultanément
à une grande distance, et qui sont souvent accompagnées
d’aurores boréales visibles seulement quelquefois dans des
pays fort éloignés. Nous n'avons pu observer aucune aurore
boréale accompagnant les perturbations, soit que celles-ci ar-
rivassent de jour, soit que le temps fut couvert, soit que l'au-
rore boréale, s’il y en avait une, ne fut pas visible à Genève.
Voici le tableau des perturbations de la déclinaison magné-
tiques qui ont eu lieu pendant la période qu'embrassent nos
observations; la perturbation y est indiquée pour les heures
ordinaires d'observation par l’excédant de la déclinaison anor-
male sur la moyenne des déclinaisons à la même heure du
jour qui précède et de celui qui suit. Lorsque, pour suivre la
perturbation, les observations ont été faites à d’autres heures
qu'aux heures ordinaires, j'ai indiqué dans la colonne intitulée
Remarques de combien la plus forte perturbation observée
avait dépassé celle qui est arrivé à l'heure ordinaire d’observa-
tion la plus voisine, et à quelle heure elle avait eu lieu.
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 391
PERTURBATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE.
DATE. |SHEURES.|9 HEURES.) MIDI |4 HEURE, |8 HEURES.|9 HEURES
REMARQUES.
—L3',63| +5’,10
A2h.12m.+#110.
—4,84 —4,17 A 9 h. 42 m. mat. +15,19.
5,22] +4,70| +4,22 Ah, 5 m. mat. +10,05.
—3,62| —4,42
—-1,88| +5,52 A 4 h.10 m. +5,21.
+3,61 A8h. 5 m. soir —1,89.
A 8 h. 5 m. soir —1,00.
+2,87 +5,82 A8 h. 50 m. soir —1,24.
3,43 A 8h.25 m. mat.—+-1,72.
A9h.127,5 soir —9,61.
A 5h. 45 m. +4,91.
+4,36
+4,51
—5,71| +4,69! +6,09
+9,56] +8,96] -L10,25
8,09! +7,53
Juillet 6
7
25
Août 3
Sept. 2
4
9
17
Oct. 1
5
+6,52
392 RÉSULTATS
On voit d’après ce tableau, que de beaucoup le plus grand
nombre des perturbations de la déclinaison magnétique arrive
le soir, et que la déclinaison se trouve alors diminuée d'une
manière anormale, tandis que les perturbations qui arrivent
aux autres heures de la journée augmentent en général la dé-
clinaison. Les deux perturbations les plus fortes, qui ont été
observées pendant cette série, sont, celle qui a eu lieu le 2 Juil-
let 1842, où la déclinaison a augmenté de 20 dans un inter-
valle de temps de 42 minutes entre 9 h. et 9 h. 42 m. du
matin, et où la différence entre la déclinaison de 9 h. 42 m.
matin et celle de 9 h. du soir a été de 25’, et celle qui a eu
lieu le 9 Décembre 1849 à 9 h. 12,5 du soir, où la déclinai-
son a été de 22 plus faible que dans son état normal.
INCLINAISON DE L’AIGUILLE AIMANTÉE.
Avant de placer le magnétomètre dans le bâtiment magné-
tique, J'y ai fait deux séries d'observations de l'inclinaison de
l'aiguille aimantée avec une boussole de Gambey. Malheureu-
sement Je n'ai pu me servir que d’une seule des deux aiguilles,
. . PHASE r ;* , [7 #4
qui avaient été livrées avec l'instrument, l’autre ayant été en-
dommagée.
Lt
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 393
La première série d'observations a été faite le samedi
16 Avril 1842 de midi à 35 heures; l'inclinaison a été dé-
terminée par des observations faites, soit en plaçant l'aiguille
daus le méridien magnétique, soit en amenant successivement
dans deux plans rectangulaires inclinés de 45° ‘au méridien
magnétique. L'inclinaison dans chacun de ces plans résulte
de la moyenne d'un grand rombre de lectures faites aux
deux extrémités de l'aiguille, en changeant l'aiguille de face,
en changeant lazimuth de 180°, et en retournant les poles.
On a obtenu de cette manière 64° 38,51 pour l'inclinaison ré-
sultant des observations faites dans le méridien magnétique,
et 640 58,50 pour celle qui résulte des observations faites
dans les deux plans inclinés de 45° au méridien magnétique.
La moyenne entre ces deux nombres donne 64° 38,55 pour
linclinaison de laiguille aimantée.
La seconde série d'observations a été faite le 9 Mai 1849
de midi à 2 heures; le mode d'observation a été le même que
pour la première série. Les observations faites dans le méri-
dien magnétique ont donné 6% 4%',50 pour linclinaison;
celles qui ont été faites dans les deux plans inclinés de 45° au
méridien magnétique ont donné 64° 40,56, d’où on tire, en
prenant la moyenne entre ces deux résultats, 640 42,53.
L'inclinaison de l'aiguille aimantée à Genève, correspondant
à l'époque du 1 Mai 1542, qui résulte de la moyenne de
ces deux séries d'observations, est donc 64° 40,50. J'ai été
curieux de comparer ce résultat, à ceux qui avaient été obte-
nus précédemment, voici ceux que j'ai pu recueillir :
TOM. X, 2° PARTIE. 20
394 RÉSULTATS D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES.
1775 Shuckborough; le lieu de l'observation et
l'époque de l’année inconnus 690 27 —
18925 Arago; observation faite à Chambeisy, à
une lieue au nord de la ville, le 15 Septembre 65° 48,5
1830 Quételet; observation faite à l’observa-
toire, vers le milieu de l’année 65° 31,2
1838 Muller; observation faite à l'observatoire,
le 5 Mai 65° 13,28
1542 Plantamour; observations faites à l'obser-
vatoire, le 16 Avril et le 9 Mai … 640 40,50
La diminution annuelle de l'inclinaison que l'on obtient en
comparant l'observation de Shuckborough aux miennes est de
4,28. En adoptant cette diminution annuelle de 4,28, on
trouve que l’inclinaison observée par M. Arago ramenée au
er Mai 1842 serait 64° 38,50; l'inclinaison observée par
M. Quételet ramenée également au 1°7 Mai 1842 donnerait
64° 40,70; ces deux résultats s'accordent très-bien avec celui
que j'ai obtenu. L'observation de M. Muller donne un résultat
un peu différent; en effet en ramenant l'inclinaison, qu'il a
observée, au 1er Mai 1842, on trouverait 64° 56.
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MÉMOIRE
SUR
LA FAMILLE DES PRIMULACÉES
PAR
M. J.-E. DUBY,
Docteur ès-sciences, Pasteur de l'Église de Genève, Membre de plusieurs Socielés sarantes.
(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle dans ses séances du 7 Mars et du 18 Avril 4844.)
En publiant dans le tome VITE du Prodromus syst. nat.
regni vegelab. la description succincte de la famille des Pri-
mulacées et des genres et espèces dont elle se composait au
1er Février 1845, époque à laquelle mon travail a été envoyé
à l'impression, j'ai formé le projet de l'accompagner de quel-
ques explications propres à éclairer quelques points de l’orga-
nisation et de la classification de cette famille. C’est ce projet
que Je réalise aujourd’hui dans le mémoire que je mets sous
vos yeux, et où nous nous occuperons successivement, 1° de
l'organisation de la famille, 2° de ses aflinités, 3° d’une revue
396 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
des genres dont elle se compose et de la valeur des caractères
sur lesquels ils sont établis; 4° de quelques considérations sur
les genres rapportés par divers auteurs aux Primulacées et qui
en sont actuellement exclus; 5° de la distribution géographi-
que des genres et des espèces.
CHAPITRE PREMIER.
ORGANISATION.
8 1%. OnGANes DE LA VéGérarTion.
On ne trouve dans la famille des Primulacées que des herbes
et tout au plus quelques petits sous-arbrisseaux dans quatre
genres, le Lubinia dont la partie inférieure à une consistance
arborescente, le Douglasia, et les espèces orientales des genres
Gregoria et Macrosyphonia qui quoique à peine hautes de
quelques pouces, offrent une tige véritablement ligneuse. Hors
ce petit nombre d’exceptions, toutes les autres espèces de la fa-
mille sont ou annuelles, ou bis-annuelles, ou vivaces (1). La
racine est pour l'ordinaire fibreuse et donne naissance tantôt
(1) Le nombre total des espèces de Primulacées actuellement connues étant
215 : il y en a 179 vivaces, 24 annuelles, 8 ligneuses et 4 bisannuelles ; c'est-à-
dire que sur 100 espèces il y en a 85 vivaces, 1 { annuelles, 4 ligneuses, 2 bisan-
nuelles. Ce fait caractérise très-nettement la végétation de notre famille.
DES PRIMULACÉES. 397
à une tige plus ou moins allongée, mais qui ne dépasse pas
(dans les plus grandes espèces de Lysimachies) quatre à
cinq pieds; tantôt à un rhizôme soit tige souterraine plus ou
moins ligneuse, dans les Cyclamens tubéreuse. Dans le pre-
mier cas, tantôt la tige est plus ou moins garnie de feuilles
simples, entières, dentées ou crènelées., quelquefois lobées, très-
rarement pinnatifides (les Hottonia); tantôt la tige nue ou cou-
verte des débris des vicilles feuilles marcescentes, porte à son
extrémité des rosettes de feuilles imbriquées dont les supé-
rieures sont tantôt droites, tantôt étalées. Les stipules man-
quent. Dans le second, la tige extérieure étant nulle, les feuilles
sont dites radicales et pour l'ordinaire sont étendues sur le
sol. Dans l’un et l’autre cas les feuilles sont tantôt sessiles, tan-
tôt pétiolées; quelquefois le pétiole est fort long comparative-
ment au limbe. Tantôt les fleurs sont solitaires au sommet
d’un pédoncule scapiforme, c’est-à-dire, que la hampe ayant
avorté, les pédoncules semblent partir de la racine; mais on
trouve souvent au bas de chaque pédoncule la foliole de l’in-
volucre absent, (par exemple dans le Primula grandiflora d'Eu-
rope et dans son corelatif d'Asie le P. peliolaris) et certaines
circonstances de culture ou de terrain font reparaître la hampe
absente; tantôt elles sont disposées en épis ou en rameaux
axillaires, ou terminaux. Le plus souvent elles sont disposées
en une fausse ombelle, c’est-à-dire, que par la condensation
de l’axe du rameau, elles semblent partir d'un seul point, au-
tour duquel les bractées de chaque pédoncule forment un in-
volucre, mais la preuve que cette forme d’inflorescence n’est
due qu'à ce que l'axe qui devait former le rameau ne s’est pas
398 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
développé, c’est, 1° que si on observe avec attention ces pré-
tendues ombelles, on verra que les pédoncules ne partent pas
parfaitement du même point; 2 qu'en outre des folioles ex-
ternes de l’involucre, lorsqu'il y a plus de cinq ou six fleurs, il
y en a encore des internes placées comme des bractées à la
base de chaque pédoncule; 3° ce mode d'inflorescence ne se
rencontre que dans les genres à feuilles radicales et où il y a
donc une tendance ou prédisposition à la condensation des
axes; 4° les Primevères caulescentes, qui tantôt présentent des
fleurs en verticilles (P. prolifera, Aucherii, etc., P. Sinensis)
munis de bractées, tantôt les réunissent en ombelles, achè-
vent de démontrer la véritable nature de cette dernière dispo-
sition.
L'usage s'est établi d'appeler folioles les petites feuilles de
ces involucres, qu'on devrait appeler bractées. Elles sont ordi-
nairement étroites, sessiles, ovales, lancéolées, linéaires.
Quand l'ombelle est multiflore, les folioles internes sont plus
étroites que les externes. Dans quelques espèces elles offrent
une singulière anomalie. Dans le beau Primula sinensis de nos
jardins, tantôt elles sont entières, tantôt elles sont dentées,
quelquefois même inciso-dentées ; dans le Macrosyphonia cespi-
Losa ces folioles sont fort grandes, largement ovales, profondé-
ment dentées, presque trifides; dans un groupe d'Androsace
des montagnes de l'Inde (4. incisa, parviflora, elegans) cet or-
gane prend des formes toutes semblables et se rapproche de
celui du Cortusa.
Les pédicelles qui supportent les fleurs, sont de diverses
longueurs relativement à la corolle; ils s’'allongent fréquem-
DES PRIMULACÉES. 399
ment pendant et surtout après la floraison. Il y a à cet égard
une très-grande anomalie entre les espèces les plus voisines;
chez les unes ils s’alloagent considérablement, chez les autres
ils conservent à peu près leur longueur primitive.
$ 2. OnGanEs DE LA FRuCTIFICATION.
La fleur des Primulacées est pour Fordinaire droite; il y a
cependant deux genres le Dodecatheon et le Cyclamen où elle
est penchée vers la terre pendant la fleuraison. Après que la
corolle est tombée, le calyce se redresse peu à peu et la capsule
prend la position normale, d’avoir le style tourné vers le ciel.
Le chiffre normal des organes floraux des Primulacées est
cinq, réduit pour lordinaire à un, dans le calyce et dans la co-
rolle, par la soudure des différentes parties qui représentent
cependant par le nombre de leurs divisions les cinq pièces dont
elles sont composées. La soudure est plus constante à mesure
que le verticille auquel appartient l'organe est plus éloigné du
centre de l'axe. Ainsi nous avons cinq étamines distinctes ra-
rement soudées par la partie inférieure; une corolle gamope-
tale à cinq divisions, mais qui quelquefois, dans le genre 4po-
choris, par exemple, sont complétement détachées et forment
cinq pétales, et enfin un calyce toujours gamosepale à cinq
dents ou à cinq divisions plus ou moins profondes, mais nous
n'avons encore aucune Primulacée à cinq sépales. Cependant
il arrive quelquefois, mais rarement que le nombre cinq ou
n’est pas atteint, ou est dépassé, maïs toujours dans de très-
étroites limites. La limite extrême dans ce dernier cas est sept
(Trientalis) (car je ne regarde les dix divisions apparentes de
700 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
la corolle de l'Euparea que comme cinq divisions bilobées),
dans le premier, trois (Pelletiera). Entre deux se place le Cen-
tunculus qui a quatre étamines, une corolle et un calyce à
quatre divisions. Puis vient le Naumburgia qui a pour l'ordinaire
six étamines, six divisions à la corolle et au calyce, maïs qui
revient souvent au chiffre normal cinq. Un conçoit que dans
cet état de choses la variation du nombre des étamines ou des
divisions des deux verticilles extérieurs, présente un caractere
important.
Le calyce est donc toujours monosepale, et pour l'ordinaire
tubulé ou campanulé, quand les divisions sont peu profondes,
beaucoup plus ouvert quand elles atteignent presque jusqu'à
la base. Il est toujours persistant, et après la chute de la fleur,
tantôt il recouvre la capsule, tantôt il en est dépassé. Et à cet
égard, il se passe dans plusieurs espèces un singulier phéno-
mène, le calyce grandit après la fleuraison de manière à pro-
téger complétement le développement du fruit. Ce qu'il y a de
remarquable, c’est que les espèces dans lesquelles cet accrois-
sement a lieu, ne peuvent par aucun autre caractère important
se distinguer de leurs voisines, de manière à ce qu'on puisse les
attribuer à des genres distincts. Ainsi dans l'Androsace Gme-
lini le calyce gran lit notablement après la fleuraison, et dans
VA. rotundifolia qui en est toute rapprochée, il reste tel qu'il
était; ilen est de même de l 4. incisa relativement à 4. par-
viflora et cependant on pourrait aisément prendre ces deux
espèces l’une pour l'autre.
Le calyce du genre Coris présente une étrange anomalie
avec celui des autres genres; il a un double limbe, l'extérieur
DES PRIMULACÉES. 401
alterne avec l’intérieur est formé de dents épineuses inégales
disposées en deux lèvres, dont l’inférieure a cinq, la supérieure
six dents; l'intérieur est à cinq divisions triangulaires dont les
deux supérieures sont plus grandes que les autres.
La corolle, sauf quelques rares exceptions (4pochoris et
Pelletiera) est gamopetale, la soudure cesse ordinairement à la
moitié de la longueur, mais dans plusieurs cas elle n’existe
plus qu'à la base, et il faut y regarder de près pour voir que
les divisions de la corolle forment à leur base un petit anneau
très-étroit. Du Nzumburgia et de quelques espèces de Lysima-
chies qui ont ce caractère à l'Apochoris qui a cinq pétales dis-
tincts; de l'Æsterolinum au Pelletiera qui a trois pétales libres,
la transition est très-facile. La corolle est régulière dans tous
les genres de Primulacées, sauf dans le Coris où elle forme
deux lèvres inégales; les lobes sont alternes avec les divisions
du calyce; elle ne manque que dans le seul genre Glaux et
alors, comme c’est ordinairement le cas, le calyce prend une
forme pétaloide. Dans quelques genres (Cyclamen, Hottonia.
Douglasia, plusieurs Androsace, quelques Primula) les divi-
sions de la corolle portent à leur base, c’est-à-dire, à l'endroit
où elles se séparent du tube, tantôt un, tantôt deux petits
corps glanduleux plus ou moins développés et qui quelquefois
le sont assez pour fermer l'entrée du tube que forme la sou-
dure de la base des pétales. Nous verrons dans un moment ce
que nous devons penser de cet organe.
La corolle hypocraterimorphe ou infundibuliforme dans les
Hottonia, Primula, Gregoria, Douglasia, Androsace, Lubinia,
Micropyxis, Samolus, devient par l'élargissement et l'évase-
TOM. X, 2° PARTIE. 51
402 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
ment du tube, campanulée dans les Cortusa, Soldanella ; le
tube s’élargit encore plus et le limbe se réfléchit dans les Cy-
clamen et Dodecatheon, enfin le tube devenant encore plus
court et les divisions du limbe étant plus profondes, la corolle
s'épanouit en roue plus ou moins ouverte, dans les Trientalis,
Naumburgia, Lysimachia, Asterolinum, Anagallis et Centun-
culus. Les divisions de la corolle sont tantôt entières, tantôt
plus ou moins profondément échancrées et bilobées. Dans
l'Euparea cette échancrure est si profonde que la corolle pa-
raît avoir dix divisions. Leurs contours sont rarement dentés;
cependant la culture produit aisément une denticulation très-
élégante. Leur forme plus ou moins étroite, plus ou moins di-
latée, tantôt amincie aux deux extrémités, tantôt tronquée ou
élargie dans la partie extérieure, fournit d'excellents caractères
pour distinguer les espèces.
La préfloraison est pour l'ordinaire tordue (Cyclamen, Do-
decatheon, Trientalis, Anagallis, Lysimachia) ; cependant elle
est souvent induplicative, par exemple, dans l’Androsace où
les divisions de la corolle infléchies dans le sens de l'axe de la
fleur se recouvrent les unes les autres; il paraît qu'il en est de
même dans le Coris (1), dans le Samolus, où comme Fa fort
bien observé M. Alphonse De Candolle (Myrs. 3° Mém. p. 35)
la corolle offre un lobe extérieur, un intérieur et trois intermé-
diaires. Dansles Primula et Hottonia (?) quand le bouton esten-
core très-petit, il y a deux lobes extérieurs opposés se touchant
(1) Nees, L. e. f. 256.
(2) Nees, gen. germ. fase. XIT, F. 225.
DES PRIMULACÉES. 103
par les bords et recouvrant les trois intérieurs qui s’envelop-
pent et se recouvrent successivement; mais quand les lobes
sont encore plus développés et que la fleur est sur le point de
s'épanouir, un des lobes extérieurs recouvre un des bords de
celui qui lui avait été opposé.
Les étamines en nombre égal aux lobes de la corolle et tou-
jours opposées à leurs divisions et aux pétales quand il y en
a (') sont toujours aussi insérées sur la base de cet organe, et
sur sa partie la plus inférieure comme dans les Cortusa, Naum-
burgia, Lysimachia, Pelletiera, Asterolinum, Anagallis. Dans
les autres genres la base du filet se soude pendant une éten-
due plus ou moins considérable avec le tube de la corolle ou
avec ses divisions; il y a même quelques genres comme les
Hottonia, Primula, Gregoria, Macrosyphonia, Douglasia, An-
drosace, Cortusa, Dodecatheon, Cyclamen, Soldanella, où la
soudure est si complète que les anthères sont sessiles ou
presque sessiles. Dans d’autres genres les filets sont libres;
ils sont alors filiformes, mais conservant la disposition qu'ils
ont à se souder, il leur arrive fréquemment de se réunir par
leur base et de former un tube plus ou moins prolongé; c'est
ce qu'on voit, par exemple, dans les Lysimachies. Mais ce ca-
ractère qui, dans d'autres familles, aurait beaucoup d’impor-
tance en a très-peu dans les Primulacées, à tel point que dans
le genre dont je viens de parler, les espèces les plus voisines
présentent des étamines monadelphes à la base et des étamines
(1) Dans le Glaux où la corolle manque, les étamines sont insérées sur le
fond du calice, avec les divisions duquel elles sont alternes.
104 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
libres. Le L. nemorum, par exemple, a les étamines libres et le
L. nummularia les a soudées en un petit tube, le L. ciliata a
les filets libres et le L. quadrifolia les a réunis en un petit tube
de la longueur de l'ovaire. Dans le Hicropyæis, non-seulement
les filets sont soudés avec le tube, mais l’adhérence se conti-
nue au delà, et le tube qu'ils forment et qui paraît inséré sur la
gorge de la corolle, se prolonge et enveloppe l'ovaire. La lon-
gueur des filets, soit en elle-même, soit relativement à celle
du pistil est excessivement variable, tantôt et cela dans la
même espèce, les anthères sont placées au milieu du tube,
tantôt dans la partie la plus voisine de l’orifice; ce caractère
n’a donc aucune valeur.
Le nombre des étamines, avons nousdit, est toujours identi-
que à celui des divisions de la corolle, cependant on trouve
quelquefois des traces d’un autre rang de cet organe. Dans
plusieurs Lysimaques, de la section des Lysimastrum, entre
chaque étamine fertile, se trouve un filet stérile, tantôt réduit
à une simple dent (L. heterophylla, longifolia, etc.), tantôt,
sauf l’absence de l’anthère, tout à fait semblable aux autres
(L. hybrida, ciliata, ete.); il est remarquable que ce caractère
qui théoriquement devrait avoir une grande importance en ait
si peu que le reste de l’organisation de la fleur n’en soit nul-
lement affecté, et que les espèces les plus voisines présentent
sous ce point de vue les plus grandes différences.
Les anthères biloculaires sont introrses, les deux loges pa-
rallèles s'ouvrent longitudinalement. Tantôt elles sont attachées
par leur base, tantôt par le milieu de la partie postérieure,
plus rarement le filet se prolonge au delà de l'anthère sous
DES PRIMULACÉES. 405
forme de connectif; ainsi que cela se voit dans les genres Cor-
tusa et Soldanella.
Le pollen, en général assez petit, est de forme ellipsoïde ou
globuleuse, et dans cette limite générale présente d’assez
grandes diversités dans les espèces du même genre; il est
ellipsoïde dans plusieurs Primula, tels que le P. officinalis.
calycina, auricula, etc., les Androsace, tels que F4. villosa,
obtusifolia, lactiflora, alpina. etc., le Gregoria vitaliana, Lysi-
machia nemorum, nummularia, vulgaris, Ephemerum, punc-
lala, etc. (dans lesquels il est en outre ponctué d’une manière
très-remarquable); l'Asterolinum, le Cyclamen hederæfolium.
l'Anagallis tenella, les Samolus, etc. Il est globuleux dans le
Primula longiflora, Y Anagallis arvensis, les Soldanella. Dans
le Coris il est ellipsoïde si on le voit par dessus, globuleux
avec une petite proéminence sur le milieu si on le voit laté-
ralement. Il présente une forme triangulaire arrondie et s’ou-
vre en trois valves dans le Cortusa et le Primula farinosa. N
se présente sous forme ovoïde avec deux petites proéminences
latérales dans l'Androsace maxima, sous une forme quelque
peu rhomboïdale entremêlée de la forme globuleuse dans le
Naumburgia et le Primula viscosa. Dans le Glaux. le Primula
Sinensis et l'Anagallis fruticosa, il passe du globuleux à l'ellip-
soïde et les grains ont des grosseurs très-diverses. Il est vrai
que pour ces deux dernières espèces j'ai étudié le Pollen sur
des pieds cultivés. Il résulte de tout ce que Jje viens de dire,
qu'on n’en peut tirer aucun caractère pour la classification
des genres et pas même pour la distinction des espèces.
Le pistil toujours solitaire présente un stigmate simple
406 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
pour l'ordinaire en tête, un style unique plus ou moins
persistant.
L'ovaire uniloculaire est libre dans tous les genres de la
famille, sauf dans le Samolus, où sa base est plus ou moins
adhérente avec celle du calice. Cette anomalie dans la famille
et dans la grande classe à laquelle elle appartient, n’est cepen-
dant pas bien extraordinaire, quand on considère, 1° qu’elle
est peu étendue, 2° que plusieurs autres cas d’une adhérence
moins prononcée sans doute, mais cependant très-réelle, se
retrouvent dans d’autres genres de Primulacées. Ainsi j'ai fré-
quemment trouvé dans le Cyclamen hederaefolium des indi-
vidus où la base de l'ovaire était soudée jusqu'à un tiers de la
longueur avec la partie inférieure un peu charnue et dilatée
du calice (7).
Ce qui caractérise les Primulacées, c’est la présence d'un
placenta central plus ou moins épais, globuleux ou ovoïde,
tantôt tout à fait sessile au centre de l'ovaire, tantôt un peu
élevé au-dessus du fond par un petit support. Dans plusieurs
cas, quand on ouvre une fleur de Primulacée, avant la florai-
son, on peut reconnaître que la partie supérieure du placenta
communique avec le style par des petits fils tres-déliés qui ne
tardent pas à se rompre (=); dans d'autres cas la partie supé-
rieure de cet organe se prolonge fort avant dans l'intérieur du
style et s’avance jusqu’au stigmate, mais à mesure que la fé-
(4) Cette observation avait été déjà faite pour ce genre par M. A. de St-Hi-
laire, morph. veg. p. 590.
(2) St-Hilaire, premier mémoire sur la placenta centr., p. 2 et suiv.
DES PRIMULACÉES. 407
condation s’avance, ce prolongement s’oblitère, et quand les
étamines sont tombées, on n’en aperçoit plus de trace qu'une
petite pointe très-courte, ou qu'une petite cicatrice; mais la
place qu'il occupait ne porte jamais de graines. Ce placenta
‘est couvert d'un nombre indéfini d’ovules sessiles, qui y sont
plus ou moins enfoncés, qui tantôt arrivent en grand nombre à
maturité, et alors le placenta en se séchant et se condensant,
si je puis dire ainsi, conserve sa forme primitive; tantôt avor-
tent en grande partie, et alors les graines prenant une dimen-
sion comparativement considérable, compriment l'organe qui
les a nourries, et lui donnent une forme applatie s'il n’y en a
que 2, prismatique triangulaire, s'il y en a 3, etc. (!). [y a
des genres où le nombre des ovules qui arrivent à maturité
est à peu près constant dans le nombre de 2 à 3 (Gregoria),
de 3—5 (Douglasia, Soldanella, Coris, etc.); d’autres dans
lesquels ce nombre varie depuis 2 à un grand nombre, par
exemple, dans l'Androsace ou les espèces les plus voisines
présentent de grandes diversités à cet égard; ainsi les À. villo-
sa, Jacquemontii, ete., ont 2 graines, V4. obtusifolia en a 6—8,
FA. carnea 5—4, YA. lactiflora et septentrionalis 5—10, et les
A. elongata, filiformis, ete., en présentent un nombre indéfini.
(1) Le Coris présente sous ce point de vue une singulière anomalie fort bien
représentée par M. Nees dans son bel ouvrage, Gen. germ. fasc. XIE, f. 256 (sauf
qu’il a dessiné cinq graines mures, tandis qu’il n’y en a ordinairement que 5 à 4).
Les graines, complétement libres à la partie supérieure, s’enfoncent par l’infé-
rieure dans le placenta, ensorte que quand elles tombent, le placenta présente
la forme d’un style qui s'éleverait du milieu d’une capsule 5-4-angulaire, déprimée
au milieu (foveolato-depressa) se relevant en 3—%4 pans sur les bords.
408 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
Il est d’autres genres, comme les Primula, Cortusa, Lysima-
chia, Anagallis, etc., où à peu près tous les ovules arrivent à
maturité. On comprend qu'’alors les graines sont toujours très-
petites.
Les ovules qui ont ordinairement la forme d’un petit sphé-
roïde un peu aplati sont attachés au placenta par leur centre;
la substance de l’ovule débordant le hile comme un bouclier,
celui-ci se trouve placé au milieu du ventre; j'appelle avec
M. Endlicher (Gen. pl., p. 130) cet ovule peltatim amphitro-
pum. Ce n'est que dans l’Hottonia que la disposition est diffé-
rente, l'ovule se rapprochant du cordon ombilical et se soudant
avec lui, devient anatrope. C’est par erreur que M. Endlicher,
(Gen. pl., p. 150) met ici le Samolus sur la même ligne que
l’Hottonia ; l'organisation de l'ovule de ce premier genre ainsi
que l'a déjà anciennement démontré M. A. de St. Hilaire
(4er Mém. sur plac. centr., p. 9), ne diffère pas de celle des
autres Primulacées.
La capsule naturellement toujours sèche (') uniloculaire,
contient de 2 à un nombre indéfini de graines, elle est globu-
leuse ou ovoïde et tantôt (Hottoniées, Primulées, Samolées) se
divise en valves plus ou moins profondes, depuis de simples
dents, jusqu'a une division totale, tantôt (Anagallidées) se
(1) C'est par erreur qu'on a décrit le fruit de l’Euparea comme une baie ; c’est
comme dans toutes les autres genres de cette famille une capsule sèche et pellu-
cide. Mais ce qui la caractérise, c'est qu’elle est indéhiscente; au moins n'ai-je
pu découvrir comment elle s'ouvre.
DES PRIMULACÉES. 409
coupe en deux transversalement par le milieu, comme une
boîte à savonnette.
Le style joue un grand rôle dans la déhiscence de la cap-
sule. Nous avons vu plus haut qu'il est persistant. Sa base est
plus ou moins épaisse, et on comprend que quand l'extrémité
des valves s'y trouve engagée de manière à ne pouvoir s’en
échapper, la déhiscence de la capsule ne peut plus avoir lieu
d’une manière complète, et la rupture des parois doit se faire
d'une autre manière; c'est ce qui explique les Anagallidées.
Il arrive quelquefois que la déhiscence ne peut pas se faire du
tout, comme dans le Lubinia et Y Euparea. On trouve souvent
d’autres genres, où la déhiscence ne se fait pas d’une manière
aussi régulière que cela devrait être, et pour l'ordinaire on
voit alors une des valves porter à son extrémité supérieure la
base du style à laquelle adhèrent des fragments des autres.
Les Soldanelles démontrent le mécanisme de cette déhiscence.
La capsule s'ouvre en cinq dents, qui ne paraissent que quand
par l'effet de la maturation, elles ont rejetté le style dont la
base les couvrait, à peu près comme la coiffe des mousses
couvre la capsule. Dans le Trientalis la cohésion forcée de
l'extrémité des valves prises dans la base du style est telle
que les valves commencent à s'ouvrir par les sutures latérales
et ce n’est que plus tard que l'extrémité supérieure se dégage
enfin tout à fait. Dans le Pelletiera la déhiscence commence
par le milieu des sutures (*). Dans l’Hottonia les valves s'ou-
(1) St-Hil. Ann. sc. nat. 1839, p. 86.
TOM. x, 2€ PARTIE. 52
10 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
vrent dans toute leur longueur, sauf par leur extrémité supé-
rieure par laquelle elles sont réunies sous la base du style per-
sistant.
Le nombre des valves varie de 3 à 10; le nombre normal
est 5, et alors elles sont opposées aux divisions du calice,
comme il est facile de le voir dans les Androsace, Gregoria et
Cyclamen, etc.
Dans toutes les Primulacées, sauf les Cyclamen, la capsule
murit, si on peut dire ainsi, à l'air libre ; dans ce dernier genre
le pédoncule se repliant en spirale après que la corolle est
tombée ramène la capsule sous les feuilles, à niveau du sol, et
c'est là que s'opère la maturation des semences.
Les graines presque toujours chagrinées et brillantes, sont
toujours plus ou moins sphéroïdes ou ovoïdes. Dans deux
genres seulement qui font anomalie avec le reste de la famille,
le Trientalis et V Apochoris, elles sont planes et ont un bord
membraneux. Dans le premier de ces genres, elles adhèrent
légèrement par les bords, et sont ainsi que l’a représenté
M. Nees, gen. germ. fasc. XII, p.255, recouvertes d’une cuticule
blanche membraneuse reticulée et très-mince, dans le second
elles sont véritablement entourées d’une aile très-remarquable,
fort bien exprimée dans la figure de ce genre que va publier
M. De Lessert, dans le volume cinq des /cones selectæ.
Lorsque les graines sont très-nombreuses, elles sont très-
petites, assez globuleuses, mais serrées les unes contre les au-
tres, elles ont la forme d’une pyramide irrégulière sur une base
convexe, l’ombilic étant placé dans la partie la plus renflée de
la face intérieure; c'est la forme qu'elles ont dans les Cycla-
DES PRIMULACÉES. 411
men, Anagallis, Cortusa, Centunculus, Primula, ete. Mais lors-
que par l'avortement d’un grand nombre d’ovules, elles ne sont
qu'en petit nombre dans la capsule, alors elles sont beaucoup
plus grandes, beaucoup plus aplaties, toujours convexes à l'ex-
térieur, mais plates ou à peu près plates à l’intérieur, c'est
ainsi que le Gregoria vitaliana, qui a les plus grandes graines
du genre, parce que sa capsule n’en renferme souvent que 2
et quelquefois qu’une, présente un côté plane (intérieur) et
un côté légèrement convexe (extérieur). L’Androsace alpina,
où il y a souvent cinq semences dans la capsule, a à peu près
la même forme, sauf que le côté intérieur est un peu plus re-
levé au milieu. L’ombilic est souvent à peine visible; dans le
Cyclamen on ne peut le distinguer; mais dans le Gregoria et
surtout dans l’Anagallis, il se distingue à une différence de
couleur et est assez prolongé. Dans l'Hottonia il est selon les
auteurs (1) muni d’une raphe longitudinale. Ce genre fait aussi
exception pour la direction de embryon, qui serait perpendi-
culaire à la graine, la radicule tournée vers le hile (?). Il faut
observer que les semences serrées les unes contre les autres
sont oblongues dans le sens de leur longueur et par conséquent
l'embryon serait transversal ou oblique relativement à la
capsule.
La graine est remplie par un albumen corné, plus rarement
charnu, dans l'axe duquel est placé parallèment à lombilic un
embryon droit ou très-légèrement infléchi, très-blanc, supère,
(1) Je n’ai pu obtenir des graines mûres d'Hottonia.
(2) Nees, gen. germ. fase. XIL. n. 225.
112 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
c'est-à-dire, dont la radicule regarde le bas de la capsule, tan-
dis que la plumule en regarde le haut; l'embryon tient ordi-
nairement toute la longueur de la graine, tantôt il occupe le
milieu de l'albumen, tantôt il est plus rapproché de la face exté-
rieure. Son sommet et sa base sont pour l'ordinaire également
éloignés de lombilic (!). Cependant dans le Cyclamen il n’af-
fecte pas toujours une position aussi régulière et J'ai souvent
trouvé des graines appartenant à ce genre où l’embryon est
oblique, et où sa base se rapproche de lombilic, tandis que
son sommet s'en éloigne. La commissure des cotyledons est
perpendiculaire au plan parallèle passant par le hile; en d’au-
tres termes les cotyledons présentent leurs dos aux côtés de la
graine et leur commissure au hile. J'ai vérifié sur le Gregoria
vitaliana, cette observation déjà faite par M. Alphonse De Can-
dolle sur l'Anagallis arvensis, le Lysimachia verticillata et le
Glaux (5° Mém. sur les Myrsin., p. 33, note).
Les graines des différentes Primulacées murissent pour l'or-
dinaire à la fin de la saison; les Cyclamens seuls font excep-
tion à cette règle; ce n’est qu'au bout de plusieurs mois après
la fleuraison que les semences arrivent à maturité. Elles pré-
sentent aussi une singulière anomalie dans la germination; tan-
dis que les espèces des autres genres de cette famille ont deux
petits cotyledons foliacés qui sortent de terre, les Cyclamens
ainsi que l'avait déjà dès longtemps observé M. de Mirbel
(Ann. du Mus. 16, p. 454, t. 6) sur le C. europaeum, et
(1) Embryon hétérotrope de M. de St-Hilaire, Morph. veget., p. 740.
DES PRIMULACÉES. 413
que je l'ai vu bien des fois sur le C. hederaefolium, n'ont qu'un
seul cotyledon; et voici comment se passe le développement de
l'embryon. La graine grossit un peu, l’albumen charnu et
corné se gonfle et se dissout; l'ombilic grossit et présente un
petit corps blanchâtre, que traverse bientôt une petite radicule
qu'il entoure comme un anneau. La radicule se recourbe et
s'enfonce dans la terre, et bientôt grossit et forme un petit
corps globuleux blanc de la grosseur d'une petite, puis d’une
grosse tête d’épingle. Le cotyledon déjà légèrement vert reste
enfermé dans l'albumen dont il est distinct. On ne distingue
dans la petite bulbe naissante aucune trace quelconque de cou-
ches, il est évident qu’elle n’est due qu'au gonflement en ce
point de la radicule à laquelle son tissu est tout à fait similaire.
Le petit bulbille émet par sa partie imférieure des radicelles qui
s’alongent et pénètrent plus avant dans la terre; le pétiole du
cotylédon s’alonge en restant toujours courbé. Cependant lal-
bumen s’épuise et se dessèche, et la graine diminue considé-
rablement de grosseur; enfin le pétiole se redresse, tantôt
laissant dans la terre les débris de la graine, tantôt les empor-
tant avec lui à l'extrémité du limbe du cotyledon qui est roulé
sur lui-même sur la nervure médiane, l’une des moitiés enve-
loppant l’autre; le limbe s'épanouit, et une deuxième feuille
commence à poindre à la base de la première.
L14 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
CHAPITRE IL.
CLASSIFICATION ET AFFINITÉS.
S 1°. SYMÉTRIE ET VALEUR DES CARACTÈRES.
Dans son bel ouvrage, intitulé Lecons de Botanique ou
Morphologie végétale, M. A. de St-Hilaire, discutant les rap-
ports des Primulacées avec les familles voisines, établit comme
suit le type de notre famille (p. 796) :
Calice — — = ee p38
Corolle — _ == —_ 22
Dédoublement
staminal de la
| Corolle — — — — —
Étamines 0 0 0 0 0
1® disque 0 0 0 0 0
24 disque 0 0 0 0 0
Il établit donc que le verticille staminal manque dans les
Primulacées, et que les organes mâles y sont fournis par un
dédoublement staminal de la corolle; et à la page 651 notre
illustre observateur se sert pour appuyer sa manière de voir,
des écailles qui dans le Samolus alternent avec les pétales :
« Ces écailles, ditil, se trouvent à la place où l’on voit or-
« dinairement les étamines; donc ce sont des étamimes avor-
« tées ou, pour mieux dire, réduites à leurs filets; donc en-
« core les étamines opposées du Cyclamen n'appartiennent
« pas au verticille staminal. » J'avoue que je ne puis com-
prendre ce raisonnement. Si les écailles des Samolus sont des
DES PRIMULACÉES. 415
étamines avortées, comment les vraies étamines n’appartien-
draient-elles pas au verticille staminal et ne seraient-elles qu’un
dédoublement de la corolle? Mais j'ai d’autres motifs pour re-
garder les écailles alternes avec les pétales des Samolus, les
squamules alternes du Soldanella alpina, les appendices al-
ternes de la gorge de quelques Primula et Androsace, comme
le vestige d’un rang de pétales oblitérés, et pour considérer les
étamines comme représentant véritablement le verticille sta-
minal.
1° On trouve souvent dans les Primula cultivées dans nos
jardins des pieds qui portent à la base des divisions de la co-
rolle et alternes avec elles, des appendices glanduleux. Lors-
que ces mêmes espèces doublent (!), elles sont tantôt semi-
doubles, c'est-à-dire qu'à la place où étaient ces appendices on
trouve un faisceau de pétales qui sont alternes avec les étami-
nes, lesquelles restent telles qu’elles sont et ne deviennent
point pétaloïdes; tantôt les fleurs sont vraiment doubles, c'est-
a-dire qu’en outre du faisceau de pétales dont je viens de par-
ler, les étamines sont remplacées par un faisceau de lames pé-
taloïdes opposées aux divisions de la corolle. D'où viendrait le
faisceau alterne des pétales, s’il n’y avait pas une disposition
à faire reparaître le rang de pétales qui manque à l'ordinaire et
que représentent les écailles dont j'ai parlé ?
2 Plusicurs Primula, notamment le P. borealis, t. IL, f. 2,
ont à l’orifice de la gorge des petits appendices alternes avec
(1) Je ne parle pas ici de l’état calycanthème.
416 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
les divisions de la corolle. Si on examine avec soin la nervation
de celle-ci, on verra qu'il y a dans le tube dix nervures, dont
cinq plus fortes. sur lesquelles sont placées les étamines, cor-
respondent au milieu de chaque division du limbe, et s'y dis-
tribuant le nourrissent; les cinq autres plus faibles correspon-
dent aux appendices en question et s'y arrêtent. Ne voit-on
pas R la preuve que ce sont des organes avortés, tout à fait de
la nature des premiers, c’est-à-dire des divisions de la corolle ?
3° Plusieurs espèces de Lysimachies présentent, comme
nous l'avons observé, cinq étamines fertiles opposées aux di-
visions de la corolle, et cinq étamines stériles alternes avec
ces mêmes divisions. Ce n’est donc pas dans le verticille sta-
minal que se trouve la cause de la position ordinaire des éta-
mines des Primulacées, car quand il s'en développe un rang
extranormal, il ne se développe pas extérieurement, mais inté-
rieurement ; il ne prend pas par exemple la place des “tailles
du Samolus, mais une place plus intérieure.
4o Enfin les valves de la capsule sont opposées non aux
divisions de la corolle, ce qu'elles devraient être si opinion
de M. de St-Hilaire était fondée, mais aux divisions du calice.
Si on admet son hypothèse que les étamines des Primulacées
sont un dédoublement staminal de la corolle, on à alors pour
type de la famille, en y joignant les valves de la capsule :
Calice _— _— — — —
Corolle = — — — —
Dédoubl. stam. — =: 5e Zi 2
Valves — == —= = =
ce qui, comme on voit, est tout à fait contraire au principe de
DES PRIMULACÉES. 417
, QC ns = , s
l'alternance. Supposez, au contraire, que la cause de l'opposi-
tion des étamines aux divisions de la corolle est la suppression
d’un rang de pétales, vous avez :
Calice — — Eat “+
Corolle 1° rang _ = eu TA +
Corolle 2 rang — == 0 Le 2 _
Étamines _— — = 4 el
Capsule — — — _ L4i
Si maintenant nous cherchons à nous rendre raison des ca-
ractères essentiels des Primulacées, nous trouvons qu'ils sont,
d’après ce que nous avons dit :
{o
Do
9o
10°
11°
Calice gamosépale persistant;
Étamines insérées sur la corolle, opposées à ses di-
visions ou aux pétales, et lorsque la corolle manque
(Glaux), alternes avec les divisions du calice;
Ovaire uniloculaire libre ou à peine soudé à la base;
Stigmate simple;
Fruit sec plus ou moins déhiscent;
Placenta central libre, non accrescent après la flo-
raisOn ;
Ovules nombreux à la surface du placenta ou très-peu
enfoncés dans ses alvéoles;
Plusieurs graines arrivant à maturité;
L'embryon droit et vertical à l'égard du péricarpe ;
Les tiges herbacées ou à peine suffruticeuses ;
Enfin l'absence de stipules.
Voyons maintenant quelles sont les aflinités de la famille
des Primulacées.
TOM. X, 2° PARTIE. Ge
Ce
415 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
N 2. AFFINITÉS NATURELLES LES PRIMULACÉES.
Les deux familles dont les Primulacées se rapprochent le
plus sont sans contredit les Portulacées et les Myrsinéacées.
A la première vue, la première serait la plus voisine. Il y a
telle Portulacée, le Cypselea humifusa Turp. entre autres, qui
a la plus grande ressemblance avec une Anagallidée, un Æi-
cropyxis par exemple, car la capsule est globuleuse, unilocu-
laire, s'ouvre transversalement par le milieu, le placenta est
central et couvert d’une multitude de graines. De plus, quand
les étamines sont en nombre défini et égales en nombre aux
divisions du calice, elles sont alternes avec ces divisions,
comme cela a lieu dans la seule Primulacée sans corolle, le
Glaux ; quand le nombre des étamines est indéfini et qu’elles
sont disposées en plusieurs séries, la série la plus extérieure
est opposée aux pétales et adhérente à leur onglet. Mais là
s'arrête la ressemblance. Et si nous prenons même ce genre
Cypselea, que nous avons choisi parmi les Portulacées comme
le plus rapproché de notre famille, nous trouvons :
1° qu'il manque de corolle; ;
do que, quoique le calice soit à cinq divisions, il n’y a ce-
pendant qu’une à trois étamines ;
3° que les ovules sont insérés sur le placenta par des funi-
cules distincts; .
4° que le stigmate est profondément divisé en deux parties;
50 que l'embryon est recourbé et enveloppe presque entiè-
rement l’albumen;
6° que le pétiole des feuilles est muni d’une large membrane
stipulaire.
DES PRIMULACÉES. 419
À mesure qu'on s'éloigne du genre Cypselea, les points de
rapprochement entre les Primulacées et les Portulacées vont
en diminuant. Déjà dans le Portulaca nous avons un si grand
nombre de différences importantes, qu'il serait trop long de les
énumérer, et entre autres le caractère d’un style divisé en un
certain nombre de branches stigmatoïdes se marque de plus
en plus. Il est vrai que plusieurs genres ont une capsule uni-
loculaire et un placenta centrak libre, mais la forme et la na-
ture de ce dernier sont très-différentes. « Cinq filets, dit si
« exactement M. À. de St-Hilaire (!), s'élèvent du fonds de
« l'ovaire des Portulaca, aucune substance n’est interposée
« entre eux; ils sont simplement appliqués les uns contre les
« autres, portent des ovules à peu près dans les deux tiers de
« leur longueur, se confondent pour pénétrer dans le style,
« et se divisant de nouveau passent dans les cinq branches
« de ce dernier. » D'ailleurs la capsule uniloculaire n’est dans
les Portulacées qu'une anomalie, et n’est due probablement
qu’à l'avortement des bords rentrants des feuilles carpellaires,
qui dans le reste de la famille subsistent et forment des fruits
à plusieurs loges. Plus nous y réfléchirons, plus nous verrons
les Primulacées s'éloigner des Portulacées.
Il en sera bien autrement, au contraire, quand nous étu-
dierons à fond les Myrsinéacées. Et sans répéter ce qui a déjà
été si bien dit par M. Alph. De Candolle dans son beau tra-
vail sur cette dernière famille (Le Mém., p. 35 et suiv.), je
(1) Morphol. végét. 514.
420
MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
ferai remarquer que les Myrsinéacées ressemblent aux Pri-
mulacées par
1o
Jo
3o
Do
3o
Rapports généraux.
la corolle régulière;
le calice gamosépale ;
les étamines insérées sur la corolle et opposées à ses
divisions ;
l'ovaire libre ;
l'ovaire uniloculaire sans aucun vestige de parois;
le placenta central toujours libre, supporté par une
espèce de petit pédicelle et d’une seule pièce, sans
aucune distinction de filets;
par l’albumen corné ou presque charnu;
par l'embryon transversal relativement au hile;
. par l'absence de stipules;
Rapports partiels.
la corolle souvent gamopétale ;
les filets des étamines quelquefois soudés ;
l'ovaire quelquefois adhérent à sa base;
dans le Monoporus paludosus (Alph. D. C., T° Mém.
sur les Myrs., p. 26, t. 5) on trouve autour de la
gorge un cercle glanduleux qui rappelle celui de quel-
ques Primula et Androsace.
Elles different, il est vrai, en fait de caractères généraux,
1° parce que le fruit des Myrsinéacées est une drupe un
peu charnue indéhiscente; mais les capsules indéhiscentes du
DES PRIMULACÉES. 121
Lubinia et de l'Euparea font comme une sorte de transition
entre les deux familles;
2° en ce que les ovules des Myrsinéacées sont enfoncés
dans les alvéoles du placenta, organisation qui ne se retrouve
point dans les Primulacées, où les ovules sont tout à fait su-
perficiels et au besoin recouvrent le placenta. Cépendant, le
Coris, dont J'ai décrit plus haut l’organisation, fait certaine-
ment comprendre comment on peut passer de l’une des formes
à l'autre;
5° enfin par les tiges ligneuses; les Myrsinéacées étant tou-
tes des arbres ou des arbrisseaux.
En fait de caractères partiels et qui éloignent encore plus
certains genres de Myrsinéacées des Primulacées, nous si-
gnalerons les suivants :
1° Dans les Myrsinéacées, les fleurs sont souvent polyga-
mes et dioïques, jamais dans les Primulacées.
20 Dans la première de ces familles, le nombre normal des
parties de la fleur est plus souvent 4 et 6; cependant dans les
genres Maesa, Embelia, Amblyanthus, ete. il est de 5; dans
les Myrsine, etc., tantôt de 4, tantôt de 5; et d’un autre
côté, dans les Primulacées, le Naumburgia, le Trientalis, le
Centunculus font exception à la règle générale.
3° Dans les vraies Myrsinéacées et quelques Ardisiées, il
arrive que par l'avortement des ovules, certains genres ne ren-
ferment qu'une seule graine. Ce fait se retrouve quelquefois,
mais d’une manière beaucoup moins régulière, dans les Pri-
mulacées, par exemple, dans quelques Androsace, où le nom-
422 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
bre des graines se trouve quelquefois réduit à deux et même
à une.
4° Jamais on ne retrouve dans les Primulacées, ce qui ar-
rive quelquefois dans les Myrsinéacées, que les alvéoles du
placenta, se développant après la fécondation, finissent par
envelopper la graine. Mais d’abord ce caractère est exception-
nel, et ensuite, quelle que soit son importance physiologique-
ment parlant, elle est certamement moins grande sous le point
de vue orgarographique.
Il résulte de la comparaison que nous venons d'établir que
la place des Primulacées dans l’ordre naturel est évidemment
à côté des Myrsinéacées.
CHAPITRE HI.
DIVISION DE LA FAMILLE ET REVUE DES GENRES.
S 1%. Division De LA Famirze.
La famille des Primulacées se divise en quatre groupes qui présentent des ca-
ractères distinctifs importants ; ces quatre groupes ont été établis par M. Endli-
cher dans son bel ouvrage Genera Plantarum, p.754 et suiv.
Le premier est celui des Hottomiées, qui se rapproche le plus par la végétation
des Utricularia. Il ne renferme que le seul genre Hottonia et se distingue parce
que sa capsule s'ouvre en valves, qu'elle est entièrement libre dans toute son éten-
“due, et que l'embryon, au lieu d’être transversal au hile, lui est perpendiculaire.
L'Hottonia est du reste le seul genre de Primulacées dont les feuilles soient pinna-
tifides et qui vive dans l’eau.
DES PRIMULACÉES. 423
La seconde section est celle des Primulées, caractérisée par un embryon trans-
versal relativement au hile et par une capsule entièrement libre et s’ouvrant au
sommet en valves plus ou moins profondes. Quoique les deux genres Lubinia et
Euparea soient indéhiscents, j'ai cru devoir les laisser dans ce groupe : 1° à cause
de leur grande analogie avec les Lysimaques; et 2° pour le premier, parce que,
lors même que la capsule ne s'ouvre pas d’elle-même, cependant quand on la
serre entre les doigts, elle s'ouvre en 2, 5, 4 valves ; et pour le second, parceque,
quand on en aura de plus nombreux échantillons, il ne serait pas impossible qu’on
ne lui trouvât une déhiscence régulière.
La troisième section, celle des Anagallidées, semblable à la précédente en ce
qui concerne l'embryon, se distingue en ce que la capsule se partage transversale-
ment par le milieu, comme une boîte à savonnette.
Vient enfin le quatrième groupe, celui des Samolées, dont l'embryon est sem-
blable à celui des groupes précédents, dont la capsule s'ouvre au sommet en val-
ves régulières, comme les Primulées, mais est plus ou moins soudée à la base avec
le calice. M. Alph. De Candolle a parfaitement prouvé (III° Mém. sur les Myrsin.,
p. 55) que ce caractère ne suflisait pas pour séparer les Samolées du reste de la
famille des Primulacées, dont elles ont tous les autres caractères importants.
$ 2. Révision Des Genres.
Je ne mentionnerai que les genres sur lesquels j’ai quelques observations à pré-
senter.
II. Primua. (Tab. I, tab. If, f. { et 2.)
Les cinq groupes dans lesquels j'ai divisé ce genre, quoique n'étant pas, sauf le
premier (Sphondylia, soit les Primevères munis d’une véritable Lige), séparés par
des caractères extrémement précis et tranchés, ont cependant un ensemble de
traits qui en rapprochent les espèces, et font qu'on distingue tout de suite auquel
elles appartiennent.
Il est important dans la distinction des espèces de remarquer :
4° Qu'il y en a dans lesquelles les feuilles s’allongent pendant et après la flo-
raison, tandis qu’il en est d’autres dans lesquelles elles restent stationnaires.
2° Il en est de même des pédicelles relativement aux folioles de l’involucre.
Ce changement de proportion a surtout lieu dans la section des Aleuritia. Lors-
424 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
qu’il y a beaucoup de fleurs sur le scape, elles commencent à fleurir avec des pé-
dicelles très-courts qui s'allongent beaucoup souvent en assez peu de temps. La
nature du terrain et la situation de la plante au soleil ou à l'ombre influent aussi
beaucoup sur ce caractère, qui n’a donc pas dans ce genre une très-grande im-
portance.
5° La longueur du calice relativement au tube est en général dans certaines li-
mites un caractère important; cependant il ne faut pas le mesurer de trop près ;
diverses circonstances physiologiques peuvent développer le calice ec raccourcir
le tube de moitié. Il y a néanmoins des espèces ou j’ai trouvé la proportion tou-
jours la même,
4 Tout le monde sait que la longueur du style relativement au tube, et la po-
sition des étamines dans ce tube, sont des caractères sans aucune valeur.
Il y a des espèces qui varient extraordinairement selon leur position, la nature
du sol, la hauteur à laquelle elles croissent, leur exposition au nord ou au midi
des chaînes de montagnes, etc. Une des plus remarquables à cet égard est la
P. villosa Jacq., qui soit sauvage, soit cultivée dans les jardins, a reçu, d’après le
nombre de ses fleurs, la longueur de son calice et des folioles de l’involucre,
ja longueur du scape et sa grosseur relativement aux feuilles, le développement de
celles-ci et de la plante entière, une multitude de noms. Prises isolément, ces dis-
tinctions ont l'air d'être justifiées. Si on met par exemple le P. viscosa des Hautes-
Alpes à côté du P. latifolia deslieux abrités et profonds des Pyrénées, on s’écriera que
ce sont des espèces distinctes. Mais quand on voudra établir les caractères qui les
différencient, sauf des proportions et des grandeurs, on n’en trouvera point; et
quand on aura les intermédiaires, les P. hirsuta, ciliata, decora, Pedemontana, on
arrivera à la conviction qu'il n'y a là qu'une seule espèce sous une quantité de for-
mes différentes. Ce n’est qu'après avoir vu des centaines et des centaines d’échan-
tillons de cette plante que j'en ai établi la synonymie, telle que je l'ai donnée dans
le Prodromus, t. 8, p. 58.
Les espèces de ce genre présentent peu d'anomalies, sauf la P. pusilla Wall.,
que j'ai figurée à la f. 2, t. 1 de ce Mémoire et qui a ceci de remarquable, qu'elle
a la gorge fermée par une ceinture de poils articulés, qui, vus au microscope, se
présentent sous la forme figurée à la lettre d. Les faiseurs de genre quand même
pourront s'emparer de ce caractère et imposer un nom générique à cette espèce,
qui n'offre, du reste, rien qui puisse l’élever à cette dignité.
Je ne puis reconnaitre ni même admettre comme section le genre Oscaria,
DES PRIMULACÉES. 495
formé par M. Lilja (in Lindbl. botan. not. 1839, p. 59, et in Linn. 1841, p. 259)
surle Primula sinensis et caractérisé par un calice ventru, tronqué à la base, à cinq
dents infléchies, par une corolle infundibuliforme presque pentagone, dont le limbe
est oblique plane 4-fide à divisions obcordées , par quatre étamines, par une cap-
sule enflée, uniloculaire, membraneuse, parce que 4° le Primula sinensis, bien
loin d’avoir toujours quatre étamines et quatre lobes à la corolle, en a bien plus
souvent cinq (et même six) que quatre ; 2° la base plane du calice, fort bon ca-
ractère spécifique, ne sufñit pas pour former un genre; 5° le limbe oblique de la
corolle n’est qu’un caractère accidentel; 4° si la capsule membraneuse suflisait
pour séparer le P. sinensis de ses congenères; il faudrait aussi faire un genre de
l’'Androsace filiformis et autres qui présentent ce même caractère, et rompre ainsi
les aflinités les plus naturelles. Le P. sinensis fait le passage entre les espèces cau-
lescentes et les espèces à rhizôme souterrain.
IT. GreGorra.
Ce genre a pour caractères essentiels d’avoir un tube allongé beaucoup plus
long que le calice, dilaté et non resserré à la gorge ; une capsule à cinq valves qui
s'ouvrent du sommet à la base et qui par l'avortement des autres ne contient que
deux graines. Celles-ci sont fort grosses (pour la capsule), convexes extérieure-
ment, concayes intérieurement ; l’ombilic assez long est placé au milieu de la con-
cavité. L’embryon occupe toute la longueur de la graine ; la commissure des co-
tyledons est perpendiculaire au plan parallèle au hile. Les Gregoria sont de petits
sous-arbrisseaux très-rameux des montagnes centrales de l’Europe et de l’Asie,
et qui forment des touffes plus ou moins serrées, garnies de feuilles imbriquées, ce
qui leur donne un fucies tout particulier. Les fleurs sont sessiles ou très-courtement
pédicellées , sans bractées ni involucre.
Les Primulacées du Prodromus étaient imprimées depuis plusieurs mois quand
à paru le numéro du Flora, où M. Fenzl à décrit, sous le nom de Dyonisia odora,
une des espèces découvertes d’abord par M. Aucher-Eloy, puis par M. Kotschy,
dans les Alpes du Kourdistan. Un peu plus tard M. Fischer la publiait aussi dans
les plantes de Kotschy, sous le nom d’Aretia longiflora. C’est l'espèce que j'avais
nommée Gregoria Aucheri. Le nom spécifique de longiflora n’auraitu d’ailleurs
être adopté, puisqu'il y a d’autres Gregoria qui ont les fleurs plus longues que
celles de cette espèce.
Quant à ce qui concerne la création du genre Dyonisia, voyons ce qu'en dit
TOM. X, 2° PARTIE. 54
4926 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
M. Fenzl {. c. et pl. gen. etspec. dec. 12 p. 4): « Ce genre est particulièrement
« distingué par sa structure ligneuse et gazonnante ; son calice presque divisé en
« cinq parties; sa corolle, dont le tube est très-allongé et n’a à son orifice aucune
« écaille ou rétrécissement ; son stigmate en têle, son placenta à trois ou à quatre
« angles, et sa capsule à une ou deux semences, le distinguent du genre Grego-
« rix et encore plus du Cortusa, Primula, Androsace, Douglasia. » Qui ne voit, au
contraire, que les caractères indiqués par M. Fenzl sont précisément ceux du genre
Gregoria? Aussi dois-je purement et simplement faire du Dyonisia odora un syno-
nyme du Gregoria Aucheri.
En outre de cette espèce, le genre Gregoria s’est enrichi de deux autres, dont
l'une, le G. aretioides, ne m'est connue que par la description et la planche de
M. Lehmann, qui en avait fait un Primula ; elle diffère par quelques caractères
importants d'une plante fort remarquable que Michaux avait trouvée dans les
montagnes de la Perse et que j'ai vue dans l'herbier de M. Delessert. Peut-être
les deux espèces sont-elles les mêmes; cependant, en outre de différences de
moindre importance, dans la figure de Lehmann les lobes de la corolle sont échan-
crés et en forme de cœur renversé; dans la plante de Michaux ils sont ovales,
obtus et entiers.
Ie MacrosyPnonia. (Tab. II, f. 5.)
Après y avoir réfléchi de nouveau et avoir réexaminé la plante que j'ai publiée
dans le Prodromus sous le nom de Gregoria cespitosa, je me décide à proposer
d’en faire un genre sous le nom de Macrosyphonia (des deux mots grecs uwwxeos long
et iQuy tube).
Ce genre a pour caractères : un grand calice persistant campanulé, coriace ;
une corolle hypocratérimorphe, dont le limbe a cinq divisions, la gorge est dilatée,
le tube est extrêmement allongé, quatre à cinq fois plus long que le calice ; cinq
anthères sessiles à trois angles sont attachées par la base. La capsule, tantôt stérile,
et alors fort petite et cachée au fond du calice (fig. f), tantôt fertile, et alors deux
fois plus grande (fig. g), atteignant à peu près la moitié de cet organe, est ovale,
à cinq valves qui s'ouvrent du sommet à la base ; elle renferme plusieurs graines
(8—10), beaucoup plus petites que celles du Gregoria, à trois côtés, ombiliquées
sur un des côtés proéminents. — Petits sous-arbrisseaux à tiges ligneuses et très-
rameuses, terminées par une colonne serrée et cylindrique de feuilles imbriquées.
Du milieu des rosettes de ces feuilles sortent des scapes plus ou moins allongés,
DES PRIMULACÉES. 497
qui renferment dans de grands involucres à folioles larges, profondément dentées
et presque trifides, de une à trois fleurs munies de pédicelles inégaux et très-courts,
qui deviennent verdâtres par la dessication.
Ce genre ne contient qu'une seule espèce, M. cespitosa (t. Il, f. 5), trouvée
par M. Aucher-Eloy sur les rochers élevés du mont Elwind en Perse, et nommée
par lui sous le n° 2611 Primula longiflora, et sous les n° 2609 et 2963 Androsace
cespilosa.
V. Anprosace. (Tab. III.)
Ce n’est pas sans étonnement que j'ai vu M. Nees, dans ses Gen. german., re-
prendre l’ancienne division de ce genre telle qu’elle avait été originairement éta-
blie par Linné ; car, sauf la différence d’inflorescence, il n’y a aucun caractère de
quelque valeur qui différencie les Aretia des Androsace; et si on les adoptait, il
faudrait mettre non-seulement dans une espèce, mais dans un genre différent la
variété uniflore (And. dasyphylla Bunge) de l’And. villosa. Aussi est-ce plutôt pour
la commodité que par un motif tiré de considérations organographiques que j'ai
conservé comme sections les deux genres de Linné.
J'aurais voulu trouver quelque caractère qui me permit de séparer les Andro-
sace à feuilles pétiolées et à limbe développé des espèces à feuilles sessiles et à
limbe étroit; mais il m'a été impossible de savoir où et comment établir mes divi-
sions. Sans doute de l’Androsace villosa à l'A. elegans il y a une grande distance ;
mais on passe peu à peu par les belles espèces à feuilles charnues de l'Inde et par
l'A. carnea et ses voisines à l'A. septentrionalis, qui a déjà les feuilles ovales avec
un pétiole ailé, à l'A. maæima, qui les a ovales-arrondies, et de là par l'A. filifor-
mis et occidentalis à l'A. saxifragaefolia, etc. Les caractères de fructification, qui
dans les autres genres de la famille sont d'accord avec des caractères tranchés de
végétation pour constituer des groupes, ne se montrent point ainsi dans les Andro-
sace. J'ai déjà dit plus haut qu’à l'égard du nombre des graines, ce genre présente
les plus grandes variations entre les espèces les plus voisines. Il en est de même
relativement au calice, qui dans certaines espèces se développe après la fleuraison ;
tandis que dans d’autres tout à fait voisines il n’en est point ainsi. Il s'accroît dans
l'A. Gmelini, ne s'accroît pas dans l'A. saxifragaefolia et À. rotundifolia, se déve-
loppe dans l'A. incisa, carnosula, etc. Il en est de même de la longueur de la co-
rolle relativement au calice. Que peut-on voir de plus naturel que le petit groupe
qui commence (Prod. 8, p. 52) par l'A. Armeniaca ; cependant dans celui-ci la
498 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
corolle dépasse le calice; dans l’A. septentrionalis qui la suit elle le dépasse à peine ;
dans l’A. elongata et À. maxima le calice est plus long que la corolle. Dans cer-
taines espèces les pédicelles restent après la fleuraison ce qu'ils étaient avant ;
dans d’autres À. carnea, Armeniaca, Gmelini, ils s’allongent assez considérable-
ment. Enfin il est des espèces annuelles (À. septentrionalis, elongata, filiformis, ete.)
qui sont tout à côté d’autres espèces bisannuelles (4. lactiflora, saxifragaefolia) et
des espèces vivaces qui forment la plus grande partie du genre.
VIII. CyGLAMEN.
Ce genre extrêmement naturel et dont les espèces, quoique très-constantes,
sont cependant très-voisines et faciles à confondre, surtout dans les herbiers, m'a
donné beaucoup de peine pour la synonymie. J'avoue que je n’ai pas encore une
entière certitude que le C. Neapolitanum (Ten. supp.) soit bien réellement distinet
du C. hederaefolium. Malheureusement je n’ai pas vu le premier vivant. Je conti-
nue sur la foi de Linné à rapporter à ce genre une plante très-paradoxale que je
n'ai point vue, le C. Indicum de la flore de Ceylan, qui, d'après la phrase du cé-
lèbre auteur, n'aurait pas la corolle réfléchie. Il est extrêmement probable que
c’est le type d’un genre nouveau.
X. Conis.
Ce genre présente dans son organisation trois particularités remarquables : 1° sa
végétation ; 2° la forme de son placenta signalée plus haut ; 5° la forme de sa
fleur. Le calice a un double limbe, dont l'extérieur alterne avec l’intérieur, est
composé de onze dents épineuses inégales étalées, disposées en quelque sorte en
deux lèvres, dont la supérieure à six dents et l'inférieure à cinq; la lèvre infé-
rieure répond aux trois divisions inférieures du calice interne ; la dent du milieu
est solitaire ; les deux à droite et à gauche sont doubles, une grande et une petite ;
chacune des dents de la lèvre supérieure est triple ; le limbe intérieur a cinq di-
visions triangulaires, dont les deux supérieures sont plus grandes. Après la fleu-
raison, ces divisions se rapprochent et ferment l’accès de la capsule. Le limbe de
la corolle, qui est du reste tubuleuse, a ces cinq divisions réparties en deux lèvres
inégales, parce que les deux divisions antérieures sont plus courtes. — IL est sur-
prenant qu'aucun faiseur de familles n’ait encore jeté son dévolu sur ce genre,
pour en faire une famille distincte. Au reste, ce serait une tentative malheureuse ;
il n'y à qu’à jeter les yeux sur le tableau donné au chap. II, $ 4 des caractères
DES PRIMULACÉES. 429
essentiels des Primulacées, pour voir que, malgré les anomalies que je viens d’in-
diquer, le Coris les remplit tous.
XV. Lysrmacnra. (Tab. IV, f. 4.)
J'ai dit plus haut combien le caractère de la présence ou de l'absence des filets
stériles est, malgré la théorie, un caractère de peu d'importance, et comment, si
on voulait s’en servir pour diviser ce genre si naturel, on éloignerait des espèces
tellement rapprochées qu'il faut y regarder de près pour ne pas les confondre.
Ainsi M. Rafinesque (Ann. gen. sc. phys. [1820] 7, p. 199) fait des Lysimastrum
trois genres : 1° Tridynia, caractérisé par un calice à cinq divisions profondes,
une corolle en roue profondément divisée, cinq étamines inégales, de trois diffé-
rentes grandeurs ; des filets monadelphes à la base, les trois plus longs occupant
ordinairement la partie inférieure de la fleur; une capsule oligosperme, et il y rap-
porte les L. quadrifolia, angustifolia, racemosa, Herbemonti, glauca (espèce qui
m'est inconnue) ; 2° Steironema, caractérisé par un calice à quatre à six divisions
profondes, une corolle en roue profondément divisée, quatre à six étamines éga-
les, presque monadelphes à la base, alternes avec tout autant de filets stériles ou
de dents allongées; une capsule polysperme. A ce genre appartiennent les L. ci-
liata, hybrida, heterophylla, longifolia, revoluta, nummularia ; 5° Lysimachia, calice
à cinq divisions profondes, corolle en roue profondément divisée, cinq étamines
égales et monadelphes à la base, capsule à dix valves polysperme. À ce genre se
rapportent toutes les autres espèces alors connues de Lysimastrum.
Observons d’abord que quant aux valves de la capsule, elles ne sont au nombre
de dix que parce que les cinq valves normales se fendent quelquefois par le mi-
lieu; cela se rencontre dans tous les autres genres de la famille qu'on n'a pas
imaginé de dédoubler pour cela. En second lieu, la dimination ou l'augmentation
par une unité des parties de la corolle se rencontre de même accidentellement
dans plusieurs espèces, par exemple, le Primula sinensis. Ce n’est que rarement
qu'on trouve les espèces rapportées par M. Rafinesque à son Steironema avec
quatre ou six lobes au calice ou à la corolle. En troisième lieu, le caractère de
l'inégale longueur des étamines et de la présence des filets stériles oblige d’éloi-
gner le L. stricta et le L. Herbemont des L. longifolia et quadrifolia, avec les-
quelles elles ont le plus grand rapport ; -le L. vulgaris du L. punctata, etc. 4° Ces
deux caractères sont fort peu sûrs. M. Rafinesque rapporte à son Tridynia le
L. quadrifolia, que j'ai toujours vu avoir les étamines presque égales, et laisse avec
430 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
les Lysimachia le L. Davurica, qui a deux étamines plus petites. Et quant à la
présence des filets stériles, on passe par tous les intermédiaires, depuis le L. ci-
liata, qui a cinq filets stériles très-marqués, au L. quadrifolia, qui a cinq petites
dents à peine visibles, au L. vulgaris, qui n’en a point. Il est de même de la sou-
dure à Ja base des cinq étamines : on passe aussi par tous les intermédiaires, de-
puis le L. vulgaris, dont les filets sont soudés jusqu'à la moitié de leur longueur, au
L. hybrida, où ils le sont à peine, et au L. ciliata, où ils ne le sont pas du tout.
Les observations qui précèdent combattent également les trois sections du genre
(Lysimandra, Lysimastrum et Lerouxia) proposées par M. Endlicher.
Malgré que j'aie retourné sous tous les points de vue ce genre Lysimachia
pour voir si je ne pourrais trouver des caractères pour le subdiviser, je n'ai pu
arriver qu'aux deux sections que j'avais déjà admises dans le Bot. gallicum ;
1° Ephemerum, caractérisé par ses fleurs blanches ou bleues, rarement jaunes,
disposées en épis ou en rameaux terminaux; ses élamines, jamais monadelphes,
insérées à la base des lobes de la corolle et plus ou moins soudées avec eux.
2 Lysimastrum, contenant les espèces à fleurs jaunes en panicules ou solitaires
axillaires, ses étamines plus courtes que la corolle, ses filets tantôt monadelphes,
tantôt libres.
Il me reste à dire quelques mots du genre Coxia, proposé par M. Endlicher
(gen. p. 755) pour une espéce du Cap, rapportée par quelques auteurs au Lubinia,
avec lequel elle n’a aucune espèce de rapport. M. Endlicher lui donne pour
caractère distinctif un calice à cinq divisions qui ne dépassent pas le milieu, une
corolle infundibuliforme dont le tube égale le calice, tandis que dans les Lysi-
machia elle est en roue avec un tube très-court, un limbe à divisions droites et se
rapprochant les unes des autres, au lieu d’être très-ouvertes, une capsule sans
valves? Mais d’abord il s'est glissé quelques inexactitudes dans cette description.
Les divisions du calice sont aussi profondes que dans d’autres Lysimachia de la
section des Ephemerum à laquelle appartient notre plante (fort justement nom-
mée par M. Nees d’Esenbeck L. nutans), le tube de la corolle est fort court et
deux fois plus que le calice ; la capsule s’ouvre en cinq valves. Il ne reste donc
plus que la position des lobes qui, au lieu de s’étaler, se rapprochent pour former
une espèce de tube campanulé; mais ce caractère ne suflit pas pour caractériser
un genre; et une nouvelle espèce, trouvée dans les montagnes de l'Inde par
M. Leschenault (L. Leschenaultii Dub. in D. C. prod. 8, p. 61. tab. IV, F. 4) fait
avec le L. lobelioides Wall., la transition aux autres Ephemerum.
DES PRIMULACÉES. 431
XIII. APocxoris.
Ce genre a été parfaitement dessiné par M. Heyland dans le vol. 5 des Icones
de M. Delessert. En apparence, pour le port, la forme, la couleur des fleurs, par-
faitement semblable aux Lysimachia de la section des Lysimastrum, il en est
essentiellement différent par deux caractères de la plus haute importance, qui
font même anomalie dans la famille : 4° la corolle est composée de cinq pétales
distincts munis d’un long onglet, et qui rappellent tout à fait ceux de plusieurs
Caryophyllées ; 2° les semences, au nombre de 5-7, sont munies de trois ailes
membraneuses très-caractérisées. Du reste, le calice gamosépale persistant, les
étamines opposées aux pétales et soudées avec l'onglet des pétales; l'ovaire
uniloculaire à placenta central ; le style filiforme persistant ; la capsule à cinq valves,
les tiges herbacées, l'absence de stipules ne laissent aucun doute sur la place de
ce genre dans la famille des Primulacées. Cette curieuse plante est due à M. Bunge
qui l’a trouvée dans les montagnes du nord de la Chine avec tant d’autres richesses
végétales.
XVII. EuparEA.
Quoïque par l’analogie de la forme de la fleur et de la végétation, j'aie laissé
ce joli genre dans les Primulées, je ne serais pas surpris que, quand on en aura
des échantillons plus nombreux et plus complets, on ne finisse par découvrir que
‘la capsule qui, dans l'échantillon que j'ai sous les yeux, est indéhiscente, ne
s'ouvre en savonnette à la manière des Anagallidées. Le tube de la corolle, qui
s'ouvre à peu près en roue, est extrêmement court, et son limbe qui au pre-
mier coup d’œil a l’air d’être à dix divisions, est composé de cinq lobes échancrés
jusques à la base. Les filets des étamines sont dilatés à leur base et soudés en un
tube inséré sur l’anneau de la corolle.
XIX. Micropyxis. (Tab. IV, f. 2.)
Deux des espèces de ce genre sont nouvelles, l’autre avait été prise pour un
Anagallis ou un Centunculus. Le Micropyxis diffère du premier de ces genres par
sa corolle infundibuliforme , et non en roue, pour l'ordinaire plus courte que le
calice, persistante et non caduque, à lobes étroits plus ou moins aigus, qui se re-
ferment après la fleuraison, tandis que dans l’Anagallis ils sont larges et obtus. Les
filets des étamines nullement ou fort peu barbus se dilatent à la base, et se réu-
132 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
nissent en un tube qui recouvre l'ovaire. Les anthères sont attachées par le bas
et non par le dos. Les fleurs et les capsules sont beaucoup plus petites que dans
l'Anagallis.
Le Micropyxis diffère du Centuneulus, parce que dans ce dernier genre le nombre
des parties de la fleur est de quatre, tandis qu’il est de cinq dans le premier. La
corolle est urcéolée et caduque dans le Centunculus , en entonnoir et persistante
dans le Micropyxis, les anthères sont attachées par leur dos dans le premier, par
leur base dans le second.
XXI. Samozus.
Pour me conformer à l'usage, j'ai dans le Prodromus de M. De Candolle nommé
pour abréger les écailles alernes avec les divisions de la corolle de ce genre, des
filets stériles (flamenta sterilia); pour être plus exact et que Ja phraséologie fût
plus conforme à la manière dont je les envisage, j'aurais dû les nommer des
pétales avortés (petala abortiva). Leur forme et leur longueur relativement aux
étamines fournissent de fort bons caractères pour distinguer les espèces de l’an-
cien genre Samolus de Linné, et ce qui montre que ce caractère a quelque valeur
sous ce point de vue, c’est qu’il y a une des espèces, le S. ebracteatus Kunth. où
ces squamules manquent tout à fait. Le Scheffieldia de Forster, ne différant des
vrais Samolus par aucun caractère essentiel, ne doit pas, comme l’a si bien vu l'il-
lustre R. Brown, en être séparé. Deux des espèces de ce groupe ne me sont
connues que par les phrases de M. Brown.
XX et XXIII. ManæLra el FINDLAYA.
A la suite des Primulacées, M. Endlicher (gen. p. 754) rapporte deux genres
de Madère tirés de Fouvrage de M. Bowdich, que je n’ai pu me procurer,
Maneælia et Findlaya. La description est très-courte et si incomplète qu’il est im-
possible de se faire quelque idée un peu claire de ce qu'ils indiquent. Autant
qu'on en peut juger, il n’y a pas d’obstacle à ce que le premier de ces genres
appartienne aux Primulacées; cependant la phrase folüs opposilis cum squamulis
pluribus, me fait soupçonner que la plante décrite pourrait bien avoir des stipules,
et dès lors il y a lieu de présumer que le reste de son organisation l’éloignerait
de notre famille.
Le genre Findlaya est encore plus suspect. S'il a en effet le stigmate à cinq di-
visions, et une capsule pentagone renfermant de une à plusieurs graines, il est
DES PRIMULACÉES. 433
infiniment probable que ce genre appartient aux Portulacées. Je mettrais du reste
un vif intérêt à avoir communication de quelque échantillon de l’un et de l’autre
de ces genres.
CHAPITRE IV.
GENRES RAPPORTÉS AUX PRIMULACÉES ET QUI EN SONT
ACTUELLEMENT EXCLUS.
Les genres qui, depuis que les familles naturelles ont été mieux comprises et
mieux circonscriles ont été exclus des Primulacées, sont les suivants : Micranthe-
mum Rich. in Mich., Bacopa Aubl. Sarmienta Ruiz et Pav. et Schwenckia L.
Le Micranthemum (Rich. in Mich. flor. bor-amer I, p. 10), qui ne diffère pas de
l'Hemianthus de Nutt, et qui a deux étamines alternes avec les lobes de la corolle
er la capsule biloculaire, a dès longtemps été placé dans les Scrophularinées.
Le Sarmienta Ruiz et Pavon à, il est vrai, un ovaire libre uniloculaire, mais il
a deux placentas pariétaux et avec beaucoup de justesse, il a été placé par M.
Endlicher dans les Gessnéracées.
Le Bacopa Aublet, que j'ai examiné dans l’herbier de M. Delessert, a un calice
à cinq divisions très-profondes, inégales, dont trois ovales-rondes beaucoup plus
grandes que les autres, dilatées, deux fois plus longues que la capsule, se recou-
vrent à leur base par le bord inférieur, les deux intérieures beaucoup plus petites
varinées linéari-lanceolées recourbées recouvrent la capsule; celle-ci est globu-
leuse, divisée en deux loges par une cloison qui s'étend d'un côté à l’autre. Les
graines très-nombreuses sont attachées à la cloison à laquelle elles sont perpendi-
culaires, et elles sont placées les unes au-dessus des autres en rangs réguliers. Ce
genre qui, comme on le voit, n’a aucun rapport avec les Primulacées, a été et à
juste titre placé par M. Bentham (Ann. of nat. hist. II, 545) dans les Scrophula-
rinées.
Reste le Schwenckia L., genre très-singulier par l'opposition des étamines aux
lobes de la corolle, mais que sa capsule biloculaire à deux valves éloigne néces-
sairement des Primulacées.
TOM. X, 2° PARTIE. 55
434 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
CHAPITRE V.
DISTRIBUTION GÉOGRAPHIQUE.
Les Primulacées appartiennent pour la plupart aux régions tempérées du globe,
et préfèrent en général les régions élevées et montagneuses aux contrées qui
avoisinent les plaines et les bords des mers. Leur armée envoie cependant dans
les climats du Nord quelques éclaireurs; elle en envoie aussi, mais en plus petit
nombre, dans ceux du midi; comme va le montrer la répartition des 215 espèces
dont se compose actuellement cette famille.
$ 1. DISTRIBUTION DES ESPÈCES.
Adoptant la distribution des régions botaniques telle qu’elle a été proposée par
M. Alph. De Candolle (Introd. à la Bot. 1. II, p. 500 et suiv.), je ne mentionne-
rai que celles de ces régions qui renferment des espèces de notre famille ; il y en
a 24 dans ce cas ; il y en a donc 21 où l’on n’a, jusqu’à présent du moins, trouvé
aucune espèce de Primulacée; il est vrai que plusieurs d’entr’elles sont à peine
connues, et quelques-unes , comme la Tartarie, les hautes montagnes des Birmans
et de la Cochinchine me paraissent, selon toute probabilité, devoir un jour fournir
un contingent assez considérable au groupe que nous étudions.
Parlons d'abord des espèces endémiques, c’est-à-dire qui n’appartiennent qu’à
une seule région. La région arctique nous offre 6 espèces, l'Europe tempérée 27,
la région méditerranéenne 21 , la région de la mer Rouge 4, celle de la Perse et
du golfe Persique 8, du Caucase 5, de la Sibérie 11, du Nepaul et des Himalaya
40, du Bengale 1, de la Péninsule indienne et Ceylan 5, de l’ Archipel indien 5, de
la Nouelle-Hollande 6, de la Chine 7, des îles Aleutiennes et du N. O. de l'Ameé-
rique à, des Etats-Unis et du Canada 18, du Mexique 1, de Bolivia 1, du Brésil 1,
du £hili 2, de la Patagonie et des îles Malouines 2, du Cap de Bonne-Espérance 2,
et de Madagascar 1, en tout 175 espèces endémiques.
Quant aux espèces sporadiques, 19 se trouvent dans deux régions, 7 dans trois,
DES PRIMULACÉES. 435
8 dans quatre (‘); enfin, six espèces appartiennent à un grand nombre de con-
trées; ce sont trois Androsace : l'A. chamuejasme et l'A. septentrionalis, qui se
retrouvent en Europe, en Sibérie, dans la région Arctique, dans celle du Caucase,
et dans l'Amérique du Nord; l'A. maxima, qui croît dans toute l’Europe, dans la
région méditerranéenne ,‘ dans celles du Caucase, de la Sibérie et de la Perse ;
deux Anagallis, l'A. arvensis et l'A. latifolia, qui croissent partout, et enfin le Sa-
molus Valerandi, dont j'ai vu des échantillons provenant de toutes les parties du
monde, depuis le fond de la Sibérie jusqu’au cap de Bonne-Espérance, depuis la
Norwége jusqu'à la Nouvelle-Hollande. Et certes on ne peut imaginer que cette
dernière plante, pas plus que les trois Androsace, soient le résultat de la présence
de l'homme et aient été apportées d'Europe. Il est aussi assez difficile de se re-
présenter comment les Européens auraient transporté des graines d’Anagallis
arvensis dans des contrées où ils n’ont jamais eu d'établissements. Ainsi, M. Schim-
per en a rapporté des échantillons d'Abyssinie, M. Jacquemont des hautes vallées
du Cachemire, M. Choris de la Californie, etc., etc:, et il semble plus naturel de
considérer cette espèce comme ayant été répandue par la main même du Créa-
teur daus ces contrées si diverses de climat, de situation, de position, où on la
trouve actuellement.
Quoiqu'il en soit de cette curieuse question, il y a dans la manière dont les
Primulacées sont répandues sur la terre un fait remarquable, c’est que sur les
215 espèces il n’y en a que 16 qui appartiennent à l'hémisphère austral; ce qui
fait environ seulement 7 ‘/, pour 400 de la famille. La zone qu’elles habitent de
préférence est contenue entre le 25° et le 55° de latitude nord.
On peut voir aussi, d’après ce que nous avons dit plus haut, que le nombre des
espèces endémiques excède de beaucoup celui des espèces sporadiques ; le pre-
mier est de 175, le second de 59; ou, en d’autres termes, il y a sur 100 espèces
81 endémiques et 19 sporadiques.
(1) En général ces espèces , habitant deux ou plusieurs régions, se rencontrent dans
des régions contigues ; il faut en excepter le Primula farirosa qui habite l’Europe, la
Sibérie, la Daourie, la Mongolie Chinoise et l’île de Terre-Neuve; le Zysimachia ciliata
qu’on ne connait qu'aux États-Unis et en Belgique (où il est extrêmement probable qu'il
a été semé); l’Anagallis tenella qui habite l'Europe, la région méditerranéenne et le
Brésil; le Micropyxis pumila qui se trouve au Brésil et à la Nouvelle-Hollande, et le
Centunculus minimus qui se trouve en Europe et au Brésil.
436 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE
$ 2. DisrriBUTION DES GENRES.
Les Primulacées ont 22 genres (y compris le Macrosyphonia décrit dans ce mé-
moire et en excluant les deux genres fort suspects Manælia et Findlaya), dont onze
sont monotypes et onze polytypes.
Des onze premiers, six sont tout à fait endémiques; les espèces uniques des
cinq autres sont sporadiques. Le Cortusa habite quatre régions, le Glaux quatre,
le Lubinia les iles de Bourbon et Mariannes ; le Naumburgia occupe quatre ré-
gions, et enfin le Pelleteria se trouve au Brésil et au Chili.
Quant aux genres polytypes, l’Hottonia a trois espèces, en Europe, dans
l'Amérique du Nord et à Java; le Primula a 62 espèces, dont le plus grand
nombre appartient aux régions arctiques, à la Sibérie, au Caucase, à l'Europe
tempérée, à la région méditerranéenne et aux montagnes de l'Inde. Il y en a en
outre trois en Arabie, une en Chine, une dans les montagnes rocheuses du N. O0.
de l'Amérique, deux depuis le détroit de Magellan à la Terre-de-feu , et une à
Java. Le Gregoria a quatre espèces, dont trois particulières aux montagnes de la
Perse, et une à celles de l'Europe et de la région méditerranéenne. Les Andro-
sace ont 47 espèces qui habitent les régions arctiques, la Sibérie, les montagnes
du Napaul, de la Perse, du Liban, de la Cappadoce, du Canad, les Alpes et les
Pyrénées ; deux espèces appartiennent à la Mongolie chinoise, deux aux monta-
gnes rockeuses, une aux bords du Missouri. Le Dodecatheon a quatre espèces ap-
partenant à l'Amérique du Nord, et se rencontrant des bords de l'Océan à ceux
de la mer Arctique et de l'Orient pacifique. Le Cyclamen en a huit, dont sept
appartiennent à l'Europe tempérée, à la région méditerranéenne et au Caucase, à
l'Asie mineure, à la Perse, la huitième du reste fort problématique se trouve dans
l'ile de Ceylan. Le Soldanella a trois espèces toutes européennes et alpines; le
Trientalis a quatre espèces qui se rencontrent dans la partie boréale de l'Europe,
les régions arctiques , les provinces du nord de l'Amérique. Le Lysimachia, de
tous les genres de Primulacées le plus sporadiqué, a 41 espèces, dont douze ap-
partiennent à l'Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), cinq au Népaut et aux
Himalaya, quatre au Canada et contrées voisines, trois à Java, quatre à l'Europe
et à la région méditerranéenne, plus une commune à l’Europe et à l'Asie mineure,
deux à la région méditerranéenne , une à la péninsule de l'Inde, une aux îles de
la Chine, une à la Chine, deux au Japon, une à la Nouvelle-Hollande , une aux
DES PRIMULACÉES. 437
nouvelles Hébrides, une à la Daourie et à la Sibérie, une au Mexique , et une au
cap de Bonne-Espérance. L’Anagallis a 12 espèces, et a des représentants dans
un nombre considérable de régions, grâces surtout à la manière dont l'A. arvensis
et l'A. latifolia sont dispersés partout. Le Micropyæis a trois espèces, dont une
appartient à la province de Chiquitos de l’état de Bolivia, la deuxième se trouve
au Brésil et à la Nouvelle-Hollande, et la troisième enfin à Madagascar. Le Cen-
tunculus a de même trois espèces éminemment dispersées, l’une européenne et
brésilienne, l’autre appartenant à l'Amérique septentrionale, la troisième aux
Indes orientales.
Enfin, le Samolus, en outre du S. valerandi, compte neuf espèces, dont trois
appartiennent à la Nouvelle-Hollande et à la Nouvelle-Zélande, une au Cap, et
cinq aux régions chaudes de l'Amérique du Sud et de l'Amérique du Nord, tant
sur la mer des Antilles que sur l'Océan pacifique, depuis la Louisiane jusqu’au
Brésil, depuis le Pérou jusqu’au Chili.
© ———
TALYT. 1:
Fig. 2.
Tab. IE.
Tab. HE Fig.
Tab. EV.
9
Fig. 2.
EXPLICATION DES PLANCHES.
Primula elegans Dub.
P. pusilla Wall. a) Fleur de grandeur naturelle; b) calice grossi
ouvert, vu intérieurement; c) fleur grossie ouverte; d) poil de
la gorge vu au microscope ; e) poil des feuilles grossi au mi-
croscope.
P. nünutissima Jacquem. et Dub.
P. decipiens Dub. b) Calice un peu grossi; c) corolle ouverte
grossie ; f) calice et capsule de grandeur naturelle ; g) capsule
dépouillée du calice.
P. borealis Dub. a) Calice grossi; b) id. ouvert; e) corolle grossie
ouverte.
Macrosyphonia cespitosa Dub. b) calice ouvert grossi; c) corolle
id. ; f) capsule stérile de grandeur naturelle; 4) capsule fertile
de grandeur naturelle; h) graines grossies.
Androsace Jacquemontii Dub.
A. sempervivoides Jacquem. et Dub.
À. primuloides Dub.
À. parviflora Jacquem. et Dub. a) Fleur un peu grossie ; b) ovaire
et pistil; c) corolle ouverte assez grossie; d) corolle sans calice
un peu grossie.
Lysimachia Leschenaulti Dub. a) Fleur grossie ; b) calice ouvert
grossi de manière à ce qu’on puisse voir les bords membraneux
pellucides ; c) corolle ouverte; d) capsule et calice; e) capsule
müre ouverte; f) poils glanduleux de la corolle vus au micros-
cope ; g) grains de pollen vus de même.
Mycropyxis rubricaulis Dub. a, a!) double état de la fleur assez
grossie; c) fragment de la corolle très-grossie, pour faire voir
les étamines munies de poils à la base, et soudées en un petit
anneau qui repose sur la base de la corolle, comme le montre Ja
fig. e', qui représente lateralement un lobe de la corolle, avec
l'étamine qui lui est opposée; d) capsule très-grossie ; f) graines
vues par-dessus et de côté à une forte loupe ; g) idem coupée
dans le sens vertical, pour faire voir l'embryon; le hyle est du |
côté du bord de la planche.
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NOTE
SUR
LES CONVOLYULACÉES DU BRÉSIL
ET SUR LE MARCELLIA,
GENRE NOUVEAU DE CETTE FAMILLE,
PAR
M. le Professeur Choisy.
(Lue à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 16 Mai 1844.)
——_—_—_—_mRe———
L
Dans mes deux derniers mémoires sur la famille des Con-
volvulacées, j'ai décrit plusieurs espèces nouvelles venant du
Brésil, et découvertes pour la plupart par notre compatriote
M. Blanchet. J'ai reçu dès lors de la complaisance de l'illustre,
botaniste de Munich, M. le prof. de Martius, la communication
des Convolvulacées brésiliennes qu'il avait lui-même récoltées,
et dont la riche collection se trouve renfermée soit dans son
propre herbier, soit dans celui de l'Académie royale des
440 NOTE SUR LES
Sciences de Munich; cet envoi m'a fourni les moyens de con-
naître avec quelque exactitude la flore du Brésil, en ce qui
concerne la famille dont je viens de terminer l'examen. Déjà
quelques naturalistes, entr'autres Velloza dans sa Flora Flu-
minensis et Silva Manso dans un petit opuscule sur les plantes
usuelles du Brésil, avaient fait connaître un assez grand nom-
bre de Convolvulacées de ce pays; mais leurs trop brèves des-
criptions et l'absence de toute critique dans la synonymie
rendent assez diflicile l'intelligence de leurs ouvrages; quel-
ques autres naturalistes, Lund, A. StHilaire, Gaudichaud,
Gardner, Léandro de Sacramento, Gillies, Salzmann, Claussen,
ont enrichi les herbiers d’un petit nombre d'espèces intéres-
santes.
Le total des espèces de Convolvulacées brésiliennes à moi
connues est de 155, dont la description paraîtra au prochain
volume du Prodromus de M. De Candolle; la collection de
M. de Martius renferme plus de 100 de ces espèces, dont 58
absolument nouvelles, et ne se trouvant dans aucune autre
des collections qui ont passé sous mes yeux.
Quelques détails sur la classification générique de cesplan-
tes permettront d'apprécier la nature de cette portion de la
végétation brésilienne.
Les genres Argyreia, Blinkworthia, Humbertia, Moorcroftia,
Exogonium, Lepistemon, Polymeria, Calystegia, Shutereia,
Skinneria, Porana, Duperreya, Neuropeltis, Bonamia, Cressa,
Wilsonia, Seddera, Dichondra, Falkia, n’y comptent aucun
représentant ; la plupart de ces genres appartiennent exclusi-
vement à la flore de l'Inde.
CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL. 441
Le genre Rivea, formé principalement d'après les plantes
de l'Inde, s’est doublé par la découverte d’une section brési-
lienne, renfermant quatre espèces toutes contenues dans la
collection de M. de Martius.
Le genre Maripa, établi par Aublet pour un arbuste de la
Guyane, s'enrichit d’une nouvelle espèce, le Maripa spectabilis
également contenu dans cette même collection.
Les genres Quamoclit et Calonyction ne sont représentés
au Brésil que par les espèces cosmopolites bien connues.
Les genres Batatas, Pharbitis, Convolvulus, Cuscuta, n'of-
frent jusqu'à présent qu’un petit nombre d’espèces nouvelles
du Brésil.
Les genres Aniseia et Prevostea y ont leurs représentants;
le premier genre compte six espèces brésiliennes, dont trois
introduites par de Martius; le second compte trois espèces,
dont une entièrement nouvelle apportée par le même natu-
raliste.
Le genre Ipomæa compte 62 espèces, pour la plupart très-
récemment connues, et sur leur nombre seize exclusivement
appartenant à la collection de Martius; les diverses sections
du genre ont leurs représentants dans ces espèces.
Les genres Jacquemontia et Evolvulus sont presque entiè-
rement brésiliens; le premier sur dix-huit espèces en compte
treize du Brésil; le second trente-neuf sur cinquante-deux. Ce
dernier genre est celui qui a reçu le plus considérable accrois-
sement par la Flore de ce royaume; on en jugera par le fait
suivant. Lorsque je publiai, en 1838, mon second mémoire
intitulé Convolvulaceæ rariores, jy donnai la description en-
TOM. X, 2° PARTIE. 56
142 NOTE SUR LES
tière du genre Evolvulus et celle d’un très-grand nombre de
nouvelles espèces du Brésil; peu de mois après M. de Martius,
qui ne connaissait pas mon travail, publia une série d'Evol-
vulus dans un cahier de ses Species Brasilienses; dans cette
situation rien ne paraissait plus à redouter que les doubles
emplois; mais à ma grande surprise et satisfaction, les espèces
de M. de Martius et les miennes se sont trouvées presque
toutes être entièrement distinctes. J'ai pu ainsi vérifier par
moi-même ce que J'avais souvent ouï-dire, savoir que les her-
biers des principaux voyageurs-naturalistes au Brésil renfer-
ment tous des matériaux différents, puisés comme au hasard
dans cette luxuriante végétation.
Un seul nouveau genre ne renfermant qu'une seule espèce
m'a paru pouvoir être ajouté à la liste connue des genres, c'est
le Marcellia proposé par M. de Martius dans les notes manus-
crites de son herbier en l'honneur de Avitus Marcellus, qui
écrivit en 1660 sur les plantes du jardin de Pavie. Ce genre
paraît appartenir au groupe des Convolvulacées indéhis-
centes; il serait convenable toutefois de vérifier ultérieurement
cet important caractère que je n’ai pu constater que sur des
fruits non parvenus à la maturité; l'aspect de la plante est au
reste entièrement celui des espèces de ce groupe. La forme
allongée et tubuleuse de la corolle, la longueur des étamines et
du pistil qui font saillie hors de la corolle distinguent ce genre
des genres voisins : si le fruit venait à se trouver capsulaire et
déhiscent, il faudrait rapprocher cette espèce du genre Exo-
gonium. — Le dessin qui accompagne cette note est dù à
l'habile pinceau de Mme Gay.
CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL. 443
MARCELLIA. Mart. Mss. (> DC. prod. t. IX, p. 398.
Sepala 5. Corolla tubulosa cylindracea. Genitalia exserta.
Stigma Î capitato-papillosum. Fructus coriaceus 2-loc-ris 4-
spermus. — Suffrutex Brasiliensis. À Maripà genit. exsertis,
ab Argyreià corollæ formà discrepat. — Nomen generis in
herb. cl. Martii propositum ex Avito Marcello auctore libri
Hortus plantarum Patavinus 1660.
L M. VILLOSA, caule fruticoso scandente in apice ramu-
lorum pubescente, foliis ovato-cordatis aut orbiculatis obtusis
viridibus margine integris aut subsinuatis utrinque pubescen-
tibus supernè molliter pubescentibus subtüs rugosis albido-
lanatis 2-3 poll. longis latisque, petiolis plus quàam pollicaribus
virescenti-pubescentibus, pedunc. axillaribus folia superanti-
bus, junioribus tomentosis 5 poll. longis apice umbellatim mul-
tifloris, demum accresc. 1 !, ped.longis crassissimis brachiatim
contortis cymam speciosam efformantibus, bracteis ovatis de-
ciduis tomentosis 6 lin. longis, sepalis ovato-orbiculatis obtusis
extüs albo-tomentosis 3 lin. longis æqualibus, cor. cylindricà
ochroleucà 1 !; poll. longâ extus villosä, antheris longissimis,
fructu ovato-cylindrico, seminibus nigris villosis. 5. In sepibus
inter Capoculo et Serrinha Prov. Piauhiensis Brasiliæ rept.
Mart! (V.s. in h. Mart. n° 2457.)
(1) Marcezra Cass. est Anthemidis species.
L44 NOTE SUR LES CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL.
OÙ 19 ==
Nù © w
EXPLICATIO ICONIS.
Caulis scandentis portiuncula.
Inflorescentia.
. Corolla longitrorsum fssa simulque explanata, ut stamina appareant.
Pistillum cum disco hypogyno annulari.
Ovarii sectio transversa.
Semen.
Embryo.
Liéh Schrid.
MARCEILILIA VILLOSA
TABLE DES MÉMOIRES
CONTENUS DANS
LE DIXIÈME VOLUME.
Nombre
Pag.
Gaurier. Notices sur les membres ordinaires de la Société de Physi-
que et d'Histoire Naturelle de Genève que cette Société a perdus
COM RE ESE IE RAP ENECESREE RE PE RO re V
Liste des membres de la Société de Physique et d'Histoire Naturelle de
Genève qui ont été élus depuis l’année 1835, par ordre d'admission. . XXXI
Huser (Pierre). Lettre sur les araignées aéronautes du genre Lycose.. 1
Huger (Pierre). Mémoire sur le Charancon lozange (Cionus Scrophulariæ) 45
Huger (Pierre). Mémoire pour servir à l’histoire des Psoques......... 59
Favrg (Alphonse). Considérations géologiques sur le mont Salève et sur
lestterrains des environs de Genève... 1... 49
Favre (Alphonse). Observations sur les Diceras. .................. 165
Rirrer (Elie). Note sur une relation entre le volume atomique, le coefli-
cient de dilatation et le coeflicient d’élasticité dans les corps chimi-
MOMNMRANMNIES ces. ec too to Portes roon topes 189
Picret (F.-J.). Seconde notice sur les animaux nouveaux ou peu connus
du Musée de Genève.......... Joocr COCO dr UD ADD 0e 201
Reurer. Essai sur la végétation de la Nouvelle Castille. ............ 215
Picor (George). Notice sur la température de Genèye......,....... 247
TOM. X, 2° PARTIE. L
de pl.
446 TABLE DES MÉMOIRES.
= Nombre
Warruanx (Elie). Mémoire sur le Daltonisme.................... 275
Durour {colonel). Mémoire sur les hautes eaux du lac Léman........ 5
Pranramour (E.). Résultats des observations magnétiques faites à Ge-
nève dans les années 1842 et 1845...................... sers 40100
Dusx (J.-E.). Mémoire sur la famille des Primulacées.............. 395 4
Cuorsx (prof.). Note sur les Convolvulacées du Brésil ec sur le Marcellia,
genre nouveau de cette famille ............................. 495 1
N. B. A la suite de chacune des parties qui composent ce volume se trouve un
supplément relatif aux observations astronomiques faites dans l'observatoire de
Genève, par M. E. Plantamour, savoir :
Observations faites en 1842......... Lecce CHOOIpAgEs:
Observations faites en 1845........................ 96 »
TABLE ANALYTIQUE
Androsace (revue du
Apochoris (revue du
DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE DIXIÈME VOLUME.
Miabanedamdonsoe 0e Dia» SNA MERE «
BONES nr seen entiere SIC YANIAS
Charançon lozange {mémoire sur le) ..........................
Cionus Scrophulariæ
ColmetolhnrroliAMReNt. ee. Mere der CRE IN
Convolvulacées du B
FESNROLC SUIS) #7. EME CR ARE ON CCE
Uoris (revue duigenre; 222 2e RME lee eee
CACÉUEN) (TENUE QUES ENTEN ES SEE MA el aie Side ic 2e
Waltonisme (mémoire SUL Le). 7: he Men. Ce
id. (classificationstdu)..-" RER RAEr2E ASEUMS
id. AICHLOMALIQUE 22 2e re ee semer UN CE
ul. (examen
HSE PIC AONS AU) ER ee
id. (observations anciennes sur le)......................
id. (observationsimouvelles) "Et ee RE
il. PolychrOmatiqne en hi rdoeuti de e
19
= ©
Or à © Qt
©
19 19 19 O1 19 19
D 1
©r =1 OC
448 TABLE ANALYTIQUE
Déclinaison magnétique (variations de la).......................
id. magnétique (perturbations de la)....................
id. moyenne de l’aiguille aimantée.....................
Diceras (observations sur les). ...............................
il. Wiarietine am LE NA SE LEE EL ES L 4 À08 réa
MONTRES 3 ongnoodes doom. REC AU
Hosni enadadedetenuaec 0 tDdedtodonte ee
Enparea (CEYUB UNS ENTE) EE eee eme eee came eee eee
RÉ AVAUTENEE AU IRENTE) EEE EE EC Ce CCC ECC
Fossiles du mont SAVE. rm trrrennsere seen ee MERE Mr).
14.-2ducalcaire Cordhen ses sh mers scoot se OR NI PEINe
il. delaformation diluvienne.---.-.1.1....2.t-emceteeseste
id. de la molasse d’eau douce........... erteetic ele
id. /dunéocomien inférieur... 2e. ere teliiier Jececie
id. il. SUREREUDE Cet ee ec -ecHCEEI
il de lloolte COPALLENRE, 2 eee serres. y
id. du groupe Portlandien moyen........... rca idee
id. id. SUPÉRIEUR Ce ee Dobbiue
Genève (notice sur la température de)..................... VD
Genève (révolutions du sol des environs de) ....... DR DE ET D'O CITE
Gregoria (revue ARISENTE) Se eee ie PCIe -
Inclinaison de l'aiguille aimantée......................... cu DE
»
372
390
581
165
178
171
207
451
70
247
146
425
DES
MATIÈRES.
L
Léman (mémoire sur les hautes eaux du lac)....................
Lycose (lettre sur les araignées du genre)......................
Lysimachia (revue du genre) . . ....
Macrosiphonia (revue du genre)
Manælia (revue du genre)
Marcellia villosa Chois
Nelomys pictus Pict.............
Nouvelle Castille (essai sur la végétation de la)..................
Observations magnétiques (résultats des)
Observations de la déclinaison magnétique (réductions des)
Oxymycterus hispidus Pict
id.
(tableau des familles des plantes phanérogames qu’on
y a observées). .
alla erete olals Daniela lntele os) aies isole
P
Primulal(revue duigenre PR. 2er eee
Primulacées (mémoire sur la famille des)...... Péboobecvoccecnes
id. (OrSADISAIONAES EL ee ee eee Ce di
id. (classification et affinité)
slelelatalelaia so ee sie dinlein se aio sn à sein
449
426
452
445
451
450 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.
Primulacées (division de la famille et revue des genres)........... 429
id. (genres rapportés et exclus actuellement des) ......... 455
id. {distribution géographique des).................... 454
Psoques (mémoire pour servir à l'histoire des)................... 55
S
Salève (considération sur le mont)............................ 49
202 (ANTENTS QUI ERONTIDAFIE) = eee ee 49
2. |(CONAGUTATION)s-Rr0e > erettateteteletete a ele 0e MUR EU SNA BEN 4
AN (LENPAINS) 1. rente mterere etre anmanndeteretatetenn stetete e DÉT QUES 6l
1. (or mALION JRrASSIQUE). 1... 21e 0 ue » cs eee ele 64
ul. n(formation-néocomienne}.- +... ...... NP AN ANNE. 75
id. (formation sidérolitique).................. nee ren 98
LU ILENTAINS/LERTAIRES) EE Eee Re ee DA ORN A AT E 106
De NMONENMOnI or ss éemaommaanaatonnonobnee 116
LAS DUT) een ee rene nee ie et re 145
À opte iitigas
FL
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so de tie
OBSERVATIONS ANTRONOMIQUE
FAITES
A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE
PANS L'ANNÉE 4843,
E. PLANTAMOUR,
À LÉ AC A pape !
24 éfafseur d OLhionomi CA L'Vadonee de Genève.
GENÈVE. — IMPRIMERIE DE FERD. RAMBOZ.
OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES
FAITES
A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE
DANS L'ANNÉE 1843.
Il n’a été fait pendant cette année aucun changement à la lunette méri-
dienne ; on n’a rien changé non plus au mode de faire ou de réduire les ob-
servations, en sorte que je peux renvoyer à ce qui a été dit là-dessus pour
les séries précédentes. Depuis le mois d'octobre on a commencé à observer
l'étoile polaire par réflexion dans un horizon de mercure, mais ces obser-
vations étant peu nombreuses, je les réunirai à celles de l’année 1844 pour
la déduction des résultats qu’on peut en tirer relativement à la hauteur de
l'étoile polaire.
Voici maintenant les éléments qui ont servi à la réduction des observa-
tions, et d’abord pour ce qui concerne les ascensions droites :
Valeurs de l'erreur d’axe optique.
Cercle Ouest, du 1” janvier au 4 février. . . . . . .. .. —— — 0,32
Cercle Est, du 8 février au 16 mars. .. .. ...... 0528
Id. du 17 mars au? avril: . . . . + -wsnuggexe. = + 0,46
IV
L'erreur d’axe optique a été corrigée le 8 avril.
3 C
Cercle Ouest, du 11 avril au 11 mai à 12! 26"* . . . .. 75
Id. du mi 127 26 AT TA 6.20,
L'erreur d’axe optique a été corrigée le 6 juin.
se : c
Gertle Est, du: jun au aont e "NL 20. 700 FF
Cercle Ouest, du 5 août au 2 septembre . . . .. . ....
Id. du 4 septembre au 3 novembre. . . . . . .. —
Le 10 novembre la lunette a été démontée, et le micromètre enlevé.
> (a
Cercle Ouest, du 20 novembre au 31 décembre . 73
Valeurs de la déviation de la lunette au pôle.
Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier. . . . . . . .. _.
Id. du 29 janvier au 4 février. . , . . . . . HE
Cercle Est, du 8 février au 11 février. . . . . . . . .. _.
Id. du 20 février au 12 mars . . . .. . ....
Id. du 13 mars au 24 mars . .. ........
Id. du 28:mars au 7? avril... ... 1...
Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai . . . . .. . . . . ..
Id. du'Semañtr au" juin 19 1504.00 1e moe.
Cercle Est, ‘du 7 jéin au shmllet. 7 Tee
Id. du 12 juillet au 22 juillet. : . . . . . . : ..
Id. du,25-juillet:au2-août . 1510.10. 09 2006
Cercle Ouest, du 5 août au 23 septembre .-. . . . . . ..
Id. du 25 septembre au 3 novembre. . . . . . .
Id. du 21 novembre au 31 décembre . . . . .- .
I
* Le 11 mai à 12b 26 la lunetté a été heurtée près de l'oculaire, ce qui a occasionné un chan-
gement dans l'erreur d'axe optique.
.
Les nivellements ont donné pour l'élévation de la surface supérieure du
tourilion occidental, au-dessus de celle du tourillon oriental, ces résultats
moyens exprimés en parties du niveau.
Cercle Ouest, du1,au 25 janvier. . . . : . . ©, .D.NO Lai + 1,17
Id. du 29 janvier au 4 février . . . . . . : . : . .. + 2,13
Cercle Est, du 4 février au 12 mars. . . . .. . .. , .... + 4,4
Id. dufi3 mars au 8 avril eee nt 548 à 2 + 6,15
Cercle Ouest, du 8 avrilau 6 juin... ......."..... + 3,10
Cercle Est, Gjuin 2 AONASEOS 08 Lors PE n6 8 + 5,62
Cercle Ouest, 6 join... arr Rue one CS, , + 3,54
Cercle Est, du 6 juin au 4août . . :......., 1... + 5,56
Cercle Ouest, du 4 août au 23 septembre. . . .......,. + 2,60
Id. du 25 septembre au # novembre. . . . . . . .. — 0,53
Cercle Est, Æ'NOVEMPTE:: à... «re JOOB:D TS RL ON : : + 2,85
Id. 10. novembre . etA4gmmiuoe. LE J18 on, à 2h. A M9 0
Cercle Ouest, 10: novembreittavon RAM CL. . — 1,23
Id. du 20 novembre au 31 décembre. . ... ., .. — 2,68
La comparaison des nivellements exécutés avant et après chaque retour-
nement, donne pour la différence entre l’élévation de la surface supérieure
du tourillon occidental au-dessus de celle du tourillon oriental, suivant
que le cercle est à l'Est ou à l’Ouest, les valeurs suivantes :
ARAFÉVTIEr pulls are oh: 229
8e April 5040, 20: OO € 3,05
6.Joini.v : ©: . 1916 2,52
GLJUINE D pee 2,08
OUR. SRE 2,02
HRAOUTAS LCL USE 2,96
4 Novembre. . . .... 3,38
10 Novembre. . . .. .. 2,53
VI
Les années 1841 et 1842 avaient donné pour cette différence 2’,58 et
2,92 ; la moyenne des trois années est 2,70, d’où l’on tire pour la différence
entre le rayon du tourillon opposé au cercle et celui du tourillon du eôté
de-cercle, 0,45 ou 0'/,9.
En ayant égard à la différence des rayons des tourillons, l’inclinaison de
l'axe à l’horizon, comptée positivement lorsque l’extrémité occidentale est -
la plus élevée, a été trouvée comme suit :
Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier . . . . . . . . b —. “F1 3,94
Id. du 29 janvier au 4 février. . . . . . . .. = + 5,16
Cercle Est du 4 février au 12 mars... ..... . . .. = + 7,94
Id. du 13 marsau 8 avrd:0u191692 CDN MEME — + 11,40
Cercle Ouest, du 8 avril au 6 juin. . . ......... = + 7,10
Gercle Est, du 6 juin au 4 août . . . . . . . . . . .. =,if 40322
Cercle Ouest, du 4 août au 23 septembre . . . . . . .. — +6,10
Id. du 29 septembre au 4 novembre : . : .. = — 0,16
Id. du 20 novembre au 31 décembre. . . . . — —14,46
Les valeurs de la déviation de la lunette à l’équateur, calculées avec ces
valeurs de b et celles de », sont:
Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier . . . . . . .. —= — 05,11
Id. : du 29 janvier au 4 février . . . . . . … .. — — 0,22
Cercle Est, du 8 février au 12 février . . . . . . . . . = + 0,67
Id. du 20 février au 12 mars . .. .... . .. = 7 0,58
Id. dut Au 2 PIE ee EE EE — + 0,81
Id. du 28 mars au avril. - nr. —= + 0,53
Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai. . . . . . . . . . .. —= + 0,30
Id. du 5 mai am1é juin: - anche - 2: 2 — — 0,31
Cercle Est, du 7 juin au 8 juillet . . . . . . . . .... Ti = + 0°,20
Id. du 12 au 22 juillet. . . . . . . . . . rois = + 0,30
Id. du25uilehatz'asdtignt . : 2 NN = + 0,42
Cercle Ouest, du 5 août au 23 septembre . . . . . . . .. —= —- 0,45
Id. du 25 septembre au 3 novembre . — — 0,68
Id. du 20 novembre au 31 décembre . . . . .. — — 1,00
On n’a pas compris, de même que pour les années antérieures, cette cor-
rection + dans la correction de l'instrument que l’on à appliquée aux as-
censions droites observées, el qui se trouve indiquée dans les tableaux des
observations ; par conséquent on n’en a pas tenu compte dans l'erreur de
la pendule dont on s’est servi pour le calcul des ascensions droites. L'erreur
de la pendule sidérale Arnold et Dent, calculée pour midi moyen, en te-
nant compte de cette correction se trouve dans le tableau suivant, qui
renferme aussi la marche diurne d’un midi à l’autre.
État de la pendule sidérale d’Arnold à midi pendant l’année 1843.
ÉTAT |mancue ÉTAT |éancue ÉTAT MARCHE
DATE. de la DATE. de la de la
none ll Pexouce. (PURE: penpuze, [PIURNE.
| RTE 33
I RUE TT — 98,10 La pnne a 45 avancée de E Eu — nes
2 » 7 Les minutes. LÉ 4 2,4. Ne
Se note 368 200) One cut 46036 (7 238 E sr 20:
É — 2,59 345| 291 Bol 202
4 » NE CEE A | CPE + 29,449 | 2,91 — 4o,50|7 FA
17 » — 29,32 |_ 3 IT » + 20,24 |. Bb IT » — 48,50 Re He
DELLE _ 51,49 ps pu HET) Ho 072 | 3 88 12 » =" bo,5x F 236
20 00 3 G2,45 s. Es 13 » + 14,84 fe 2,87 1200 — 52,86 a a 16
30 » — 64,63 |_ Et 15 » + go[T 6 DCE = 559 [7 du
31 HQE 66,98 |_ 2,35 16 » + 6,46! ms 15 ne 57,720 5 3
1 Février.|- 69,33 |_ 233117” Fa 502 fe 2 a lie 2 — 67,09]. me
2 » — 7165 |_ BE 18 » + 1,6a|" 2361 27 = 83,62 318
on — 84,93 |_ D E0 19 » - 0:74 Hi Es 28 » - 85,80 a |
10 » F: 89,94 _ 2,59 DE » Er 5,06 Es 1,84 La pendule a été avancée de
IL » — 9253 5 2,49 2 » + Lei È 2,05 Fine es bed 2,35
12 » - 9502) a 2 » DT rt CM. + 27:16|, 36
21 » — 115,92 t 30 » — 23,22 di ANSE dde 15 6x) bb
VIII
ÉTAT
DATE. de la
PENDULE.
8 Mai + 1 139
» + 9,2
à » + 474
12 » + 2,46
15 » = 4,31
19 » = 2,85
22 » = Pi 9,64
23 » — 21,96
DE) — 39,42
x Juin - 41,44
7 » — 51,26
8 » = 53,27
12 » — 61,75
13 » = 53,90
14 — 66,12
17 » = 2,26
CE CONS) — 79:74
22 MO) - 1,69
23 » — 83,60
24 » —_ 85,43
26 » — 89,30
La pendule a e avancée de
1 Juillet. [+ 20,52
2 » + 7 8,28
3 » + 7 6,19
Leu» + x4,22
SES + 12,45
6 » + 10,95
7 » + 9,45
8 » + 7,9
12 » + o,63
13 » 3 1:09
15 » - 5,00
16 » — 6,92
CARE 6574
18 » 7: 0,53
22 » — 17,59
25 » Fr 23,30
26 » —. 25,35
MARCHE
DIURNE.
— 26,11
— 2,11
— 2,27
2,28
2,25
2,14
2,26
2,32
2,18
2,02
1,64
2,01
2,12
2,15
2,22
2,05
1,87
1,91
1,99
183
1,93
2,03
2,24
2,09
197
11
1,50
1,50
1,83
1:72
1:99
1:92
1,82
1,79
1:77
1,90
2,05
ÉTAT |yancHe ÉTAT |yincue
DATE. de la DATE. -de la
DIURNE. DIURNE.
PENDULE. PENDULE.
E]
28 Juillet. [— 295,56 LE 22 Sept. |+ 475,18 “
29 » — 31,66|. 7 1123 » + 45,20 |” ne
1 Août. |- 37,47 | mr af salt 43,038 me”
ge — 46:17 = . 25 à + 4075 |" 2 0
FAO — 5o,17 | er 30 » + 29,68 |_ Nr,
8 » = bar | gas 1 Octob. |+ 27,46 |. ivre
g » — Dhs | e 2) + 25,25 | 2,36
10 » — 56,20 Hi 1199 3 » + 22,89 |. 3 33!
12 » — 5980. 185 CRIE + 20,56 |. Fou
14 0» - 63,50 185 5 » + 18,24 | > 3
M7) — 69,06 |_ se 6 » + 15,90 | 4
ci OL) — 75,86 Æ 6, 13 » + _o,80 | He
22 0 — 7700 |. 163 14 » = 0421 per
24 » _ 80,76 M Es 6l'7 » — 87 |l 2 38
25 » — 82,52 |. 4 19 » - 12,94 2.18
26 » = 84,29 Le ur 20 » a 15,42 G 255
27{) a — 86,03 |. née 21,» —, 17:97| L18
28 » — 87,88 |_ 4 22 » — 20,45 355
29 » - 89:67 2 23,15 - 23,00 |: 249
30 » |- g147| 8, 24 on |- 23,49|_ 5
31 » — 93,28 |_ 1 64 2Nov. |- 46,57 | 3,
1Sept | 9492 | 1,58 Sromy — 48,91 |_ 2
RD) — 96,50 |_ s 5|2° » = 87,79 |_ me
liner) — 100,00 |_ Lx 22 ) - 90,26 |_ 2.66
Du - 101,70 |” “Re 220,5 0 — 92,86 |_ 238
CES — 103,50 |. nr 25 » — 300,00 La
7°» — 105,31 |. 188 26 » - 102343 |. Cp
8 » — 107,19 | s: DU27. 5 — 105,09 |_ RE
g » — 109,09 90130 » — 112,62 |_ 253
La pendule a été avancée de 2 Déc a 117,69 = 2,18
3 miautes, E 8 3) » _ AE 49 58
ETF +. 67:17 | À rA 4 » — 122,79 |_ 2 86
12 » + 65,39 7 6 » - 127,87 |_ 263
13 » + 63,50| 11 8 » — 133,13 È
15 » + 59,92 | la we ;
RE SE
EE STONES 40 es e SUR
19 » + 52,75 | nt qg » + 44,19 5
20 » + 51,03 65 17 » + 23,63 | 297
21 » + 4g18 | Hi 31 » - 10,96 | 2:47
Les lieux du pôle sur le cercle obtenus au moyen des déclinaisons des étoi-
les fondamentales, calculées dans les Ephémérides de Berlin, sont :
1X
Cercle Ouest, du 1° janvier au 4 février . . . . . . .. 356° 21° 55”,55
Cercle Est, du ? février au 24 mars. . . ... . . . .. 268 45 55,72
Id. darrnars au J0MMmarS 02 NN 46 1,10
Id. Guam au ANTIENE 420 - 2ele 0 à 45 56,10
Id. NTI RE Re SR PME RES, 46 2,94
Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai... ....,... 356 21 56,77
Id. FLICS 4 Gi CONS IE) PRE LE 2100052116
Id. du 8 mai au 11 mai à 1226" *. ....., 21 47,69
Id. du'PPmalant2 "26" au lequin 0 : 22 7,79
Cercle Est, -du 6join at 13 juin: "UN LUN, 268 46 9,88
Id. du 14% juin au 23 juin . : : . . . . . . .: 10,56
Id. du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . . .. 12,80
Id. du 5 juillet au 15 juillet. . . . - . . . .. 12,00
Id. du 16 juillet au 25 juillet . . . . . . . .. 13,50
Id. du 26 juillet au 1° août. . : . . - . . . . 15,20
Cercle Ouest, du 5 août au 6 septembre. . . . . .. |... 356 22 12,50
Id. du ? septembre au 21 septembre. . . . . 14,40
Id. du 22 septembre au 25 septembre. . . . . 12,42
Id. du 2 octobre au 13 octobre . . . . . . .. 13,96
Id. du 14 octobre au 19 octobre . . . . . .. 8,60
Id. du 20 octobre au 24 octobre. . . . . . . . 12,51
Id. du 2 au 3 novembre . . . . . . . . . .. 9,50
Le 4 novembre les cercles ont été démontés ; la lunette a été avancée de
près de 90° sur le cercle ; on a substitué aux fils horizontaux, qui étaient
distants de 12” environ, d’autres fils plus rapprochés de moitié.
Cercle Ouest, 20 novembre . . .. . . . .. .... 820 10" 52”,02
Id. du 21 novembre au 9 décembre . . . .. 11 5,80
* Le 11 mai à 12h 26" ]a lunette a été heurtée.
Cercle Ouest, 17 décembre . . . .. . . . . . . . .. 82° 11° 4°,50
1d. M décembre? 7. RH EN DAMES 2,60
La latitude géographique de l'Observatoire, qui résulte de la comparai-
son de ces lieux du pôle avec les lieux du nadir, déterminés par l’observa-
tion de la réflexion des fils dans l’horizon de mercure, a élé trouvée comme
suit :
Cercle Ouest. Cercle Est.
1“Février 7 obs. 46° 11” 59,70 7 Février 4 obs. 46° 11’ 62/',74
1° Mai 5 58,80 20 Février 3 60,65
11 Mai 70 61,85 9 Mars 3 57,64
8 Août 3 57,83 15 Mars 3 59,00
18 Septembre 7 59,10 4 Avril 3 58,65
5 Octobre 6 58,81 8 Juin 3 60,65
2 Novembre 7 59,17 20 Juin 5 58,16
20 Novemb. 18 | 59,41 926 Juin 7 59,51
9 Décemb. 10 57,11 3 Juillet 6 59,58
Moyenne 46° 11° 59,09 7 Juillet 6 58,08
12 Juillet 4 57,09
26 Juillet 5 57,69
29 Juillet 11 59412
Moyenne 46° 11’ 59//,11
La moyenne de ces deux séries est
46°:1101597 1
les observations de l’année 1842 avaient donné pour la latitude un résultat
peu différent, savoir : ;
46° 11° 58,9.
A la suite des tableaux renfermant les observations, se trouvent les ascen-
sions droites et déclinaisons moyennes de toutes les étoiles observées ; ra-
XI
menées au 1” janvier 1843, et la comparaison des positions moyennes des
étoiles fondamentales résultant des observations, avec celles qui sont indi-
quées dans les Ephémérides de Berlin. Cette comparaison monire un ef-
fet de flexion dans la lunette, ainsi qu’on avait déjà pu le remarquer pour
les années précédentes ; en effet, pour les étoiles culminant au sud du zé-
nith, les déclinaisons observées sont généralement plus faibles que celles
des Ephémérides, tandis que, pour'les étoiles culminant au nord du zénith,
les déclinaisons observées sont plus fortes au passage supérieur el plus
faibles au passage inférieur que celles des Ephémérides. Les différences sont
plus fortes celte année-ci que pour les deux années antérieures; mais
comme elles ne vont pas en augmentant régulièrement avec la distance
zénitbale, il est probable qu’elles sont dues en partie à une cause autre que
la flexion.
Les fils horizontaux qui se trouvaient au réticule de la lunette depuis la
fin de l'année 1842 jusqu’au 4 novembre 1843 étaient trop écartés ; il en ré-
sultait une plus grande difficulté pour amener exactement l’éloile entre les
deux fils, et la possibilité d’une erreur dans l'estimation des intervalles dé-
pendante de la position de l’observateur. Pour celle raison on a rempiacé
le 4 novembre les fils horizontaux par d’autres, qui sont plus rapprochés
de moilié. ,
En supposant la flexion simplement proportionnelle aux sinus de la dis-
tance zénithale, on trouverait 2” pour la flexion horizontale résultant de
l’ensemble des observations faites pendant ces trois dernières années. Mais
il faudra attendre la confirmation de ce résultat par une plus longue série
d'observations, avant de corriger de l'effet de cette flexion les déclinaisons
des étoiles déterminées jusqu’à présent.
La dernière page de ce Recueil renferme les occultations d’étoiles par La
lune observées dans l’année 1843.
XII
Je rappellerai ici, que dans les tableaux suivants le chiffre placé à la gau-
che du nom de la constellation se rapporte aux nombres de Flamsteed, à
moins qu’il ne soit mis entre parenthèses, dans quel cas il se rapporte aux
nombres du Catalogue de la Société Royale Astronomique. Le chiffre placé à
la droite de la désignation de l’astre indique le nombre des fils, auxquels le
passage a été observé, lorsque l’observation complète aux cinq fils n’a pas
pu être faite.
Lorsque la hauteur de l'étoile polaire ou de à Petite Ourse a été observée
plus d’une fois , dans le même passage, on n’a mis pour abréger que la
moyenne des lectures réduites au méridien ; alors on a indiqué le nombre
des observations dans la colonne intitulée Remarques. La même chose a
lieu pour l'observation du Nadir par la réflexion des fils dans un horizon de
mercure.
La colonne intitulée Zieu du pôle ne renferme que le chiffre des secon-
des résultant de la comparaison des lectures pour les étoiles fondamentales,
avec'les déclinaisons tirées des Ephémerides de Berlin. Le chiffre des de-
grés et des minutes se trouve à la page IX.
Dans les résultats obtenus par le nivellement de l’axe de la lunette , qui
se trouvent dans la colonne intitulée Remarques, le signe + indique la
hauteur de l’extrémité occidentale de l’axe au-dessus de l’extrémité orientale.
il
Observations faites à la lunette méridienne
en Janvier 1843,
au
NOM
DES ASTRES.
PASSAGE
CONGLU
au
FIL MÉRID.
b.
m. S$
17-27.44,90f- 0,244 6,
y Dragon........ 17.53. 1,95]
x Hercule........ 17. 6.33,24]-
œ Ophiuchns...... 17.27.42,72)-
y Dragon. ....... 17.53. o,21|—
Soleil, 127 bord... .|18.53.19,37|-
65 Poissons. ...3| 0.41.32,68|-
68 À Poissons. ... o0.49.25,44|-
& Petite Ourse S$, ..| 1. 3. 5,62
90 v Poissons....3| 1.10.55,38[-
98 x Poissons....4| 1.22. 2,64]-
MEyres sen à «à 3118.31.37,70|-
Soleil, 1er bord...|18.57.41,13|-
x Céphée........ 3121.14.48,6:1|+
œ Verseau..,..... 21.b7.44,461-
a Petite OurseS..3| 1. 3. 3,49
y Dragon. ....... 17.52.54,95]-
miSenpents. 1.5 15.36.13,28|—
a Pégase.........122.56.27,56|-
« Andromède. . ... 23.59.47,99|-
y Pégase... 0. 4.40,58]-
œ Cassiopée.. ..... 0.31. 8,97+
65 x Poissons... .4| 0.40.59,50]-
68 Z Poissons. ...| 0.48.52,31]—
a Petite OurseS...
90 v Poissons... ..
98 p Poissons. ....
104 Poissons. ...
110 5 Poissons. ...
111 Ë Poissons...
113 & Poissons. ...
PIBENET. 1... 28 3
6 « Triangle, préc. .
35 } Taureau. ...3
42 L Taureau.....
44 P Taureau.....
48 Taureau ......
57 2! Taureau...
64 32 Taureau....
79 b Taureau
86 g Taureau
« Taureau..... 4
I. 2.21,02
1.10.22,49|—
1.21.29,94]—
1.30.22,53]-
1.36.38,141-
1.44.57,62|-
1.53°27,28|-
1.57.51,91|-
2. 2.48,33|-—
3.51.31.63[-
3.56.51,21|-
4. 0.49:13|-
4 ee -
4.10.39:72|-
NE =
4-19.35,02|-
4.24.28,941—
4.26.27:37|-
4.33. 6,75]
CORRECTION
de
l'instru-
ment,
s.
ne
Ja
pendule.
La pendule a été avancée de deux minutes.
s.
21/279. 3.11
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des
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0,01 |+ 3,97 317.52.23,0|—
0,50 243.15.50,0|-
0,16 293.13.46,0|-
0,15
354.49.57,5|—
0,16 292.48.48,5|—
0,28 271.42.47,5|-
0,09[+ 1,25/305. 0.27,2|-—
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0,07
0,33
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0,23
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0,16
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243.5416,5|-
+ 0,90/328.17.13,7|-
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0,30
0,30
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0,48
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30,12
293.1 3.47,0|-
292.48.47,2|-
271.42.46,7|-
279.51.57,2|-
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268.47.33,2|—
268.23.10,5|—
289. 5.35,5|—
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278.25.14,0|-
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283.27. 5,o|—
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1,7] 35,8/50,5
1,3] 36,0/54,2
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1,0] 20,3
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0,81- 45,0
— 55,6
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0,1/- 30,5
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Bord inf. au mérid.
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Nuages.
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Id.
Niv.+oP,y7.
Nuages,
Nuages.
Id.
2
Observations faites à la lunette méridienne en Janvier 1843.
NOM
DES ASTREFS.
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125 Taureau......
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3 Gémeaux.......
8 Gémeaux.......
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œ« Ophiuchus......
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| |x Petite Ourse S...
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|
|
39 b Bélier. ......
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56 z Bélier. .:..2,
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10 Æ Taureau ....
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31 u? Taureau....
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) AT s. #) AT à | 11 min. o | o 1
5. 4.39,25]- 0,05|/-30,00
5. 6.3r,90!- 0,38|-30,31 257.59.58,0|- 3,3 — 0,)]-1.22,0
5.21. 3,57] 0,49 245.30.43,2|— 3,5 2.17,3
5.25.20,74 — o,4b 2/8.27.28,0 30 -1.59,9
5.29.33,33]- 0,16 292.10.31,0|— 3,5|735,1]4 5,0 — o,7]— 21,7
5.37.27,31]- 0,50 243.54. 4ol- 3,0 -2.28,7
5.46.12,86|- 0,27|-30,24 273.45. 1,0|— 2,5 47,4
5.59.44,57]- 0,18 289-30.24,0|— 2,5 _— 24,9
6. 6.16,17|- 0,17 290.23.18,0|— 2,6 — 23,9
6.21.58,90 359.45.25,7|— 1,8 735,0] 4,3/- 1,2l+1. 3,2
6.37.46,32]- 0,45|-30,15/249.53.23,5|— 2,9 | —1.52,9
23.59.25,79 — 0,15 -51,73/294.35.48,5|— 0,1 18,9|
0. 418,32] 0,23|-51,97]280.41.22,7|- 0,1 734,81 9:7|- 0,5|- 36,3
0.30.46,61{+ 0,02|-51,79|322. 2.38,7|- 0,1/734,8| 8,8/- 1,5 9,8
1. 2. 0,19 354.49.56,2|— 0,2 — 2,3|+ 53,4
1.10. 0,13] 0,16 292.48./6,5|+ 0,3 21,1
17. 6.25,64]- 0,15|-64,29/280.56.42,2|+ 0,5 732,4] 8,5|+ 7,6[- 34,8
17.26.35,141- o,17|-64,11/279. 3. 1,0|+ 0,8/732,6| 9,54 9,8]- 37,1
17.48. 7,03]- 0,55 248.11.12,5|+ 0,5 .b6,2
17.51.52,45]+ 0,36|_6/4,03|317.52. 7,5] 0,0|732,7] 10,1/+10,4+ 5,2
19.37.43,40 — 0,20 —64,50 276.36.39,5 7 3,5 40,2
19-42. 3,00|- 0,22|-6/,541274.50. 5,5|- 3,5|732,6] 10,5/+13,1]- 42,9
20.47.37,59|- 0,55 248.54.37,5|- 3,3173r,9l 10,9/+14,1/-1.50,9
17. 6.23,62]- 0,15|-66,341280.56.44,2|- 3,21733,8] 6,8|+ 4,6|- .35,2
19-37.41,12]— 0,20 —66,79
19.42. 0,94[- 0,22|-66,61/274.50. 1,7|- 2,9/733,9] 8,5|+10,b]- 43,4
20.51.41,58]- 0,55 248.38.43,0l— 3,7 733,7 9,2|+ 9,5 54,4
0.30.30,59|+ 0,44 67,24 322. 2.35,2|+ 1,2/732,5] 8,8|+ 6,7|+ 9,
1. 1.22,82 354.49.55,7|+ 1,8 + 7,2l+ 51,4
1.36. 0,44]- 0,22 274.44.36,0|+ 2,5 + 6,31- 44,1
1.44.20,04|- 0,29 268.47.25,5|+ 1,8/732,5| 8,ol+ 6,2l- 54,4
1.52.49,78|- 0,29 268.22.55,5|+ 1,2 55,1
1.57.14,07|- 0,06 -67,27]289. 5.30,5|+ 1,3 | 24,7
2. 2.10,57]+ 0,02 29b.56.12,7|+ 1:9/732,4] 7,8/+ 6,2 17,0
2.17.16,28|- 0,49 253.23.20,0|+ 1,2 + 6,2]-1.34,9
2.23.12,94]— 0,16 280.42.44,7|+ 12 + 6,2l- 35,3
2.30.20,6ol- 0,33 266. 1.45,51+ 1,2 + 6,ol- 59,9
2.37.28,67|+ o,o1 294.57.48,5|+ 1,2 + 5,8l- 18,5
2.50. 7:72]- 21,33|-67,31] 11-32.58,5|+ 2,2 + 5,5l#1.34,5
2.52.59,02! 0,28|_67,38269.51. o,2|+ 14 52,6
3. 148,23] 0,00 293. 1.59,7|+ 0:8/732,6|+ 9,414 5,5l- 20,2
3.12. 3,184 o,31 —67,4x 315.39.57,5|+ 1,3 3,x
3.21. 7,02]- 0,18 278.46.12,7|+ 2,2 38,1
3.27.46,28|- 0,35 266.16.48,0|+ 1,2 59,6
3.34.38,28[- 0,45 256. 5.18,0|+ 0,6 + 5,2l-1.25,9
3.42.32,661- 0,24 272.26.10,0|+ 0,8 48,1
3.50.53,92|- 0,18 278.25. 8,5[+ o,5 | 38,7
3.56.13,451+ o,o1 294.56.34,o[+ 0,6 18,1
4. o11,45]- 0,02 292.26.20,0/+ 0,5 20,9
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52,9
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56,5
REMARQUES.
"VAAILVAUISUO
Nuages.
Nuages.
Centre au méridien.
Niv.+1,59.
Bord sup. au mérid.
Faible.
Niv.+2,55.
Bord inf. au mérid.
Observations faites à la lunette méridienne en Janvier et Février 1843.
3
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DES ASTRES. L ni: l'instru-| la ES 2 |Jinté- | Exté- =
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48 Taureau ...... 4. 5.46,38/- 0,15 281.22.43,0|- 0,5 — 34,6
57 L! Taureau.... 4.10. 2,26 0,16 280. 1.37,2 — 0,2 — 36,5
64 9? Taureau. ..3| 4.13.57,8o]- 0,13 283.26.58,5| 0,0 — 31,9
79 b Taureau... .. 4.18.57,341- 0:17 279. 4.13,5| 0,0 + 41l- 37,9
86 p Taureau... .4| 4.23 51,15] 0:13
œ Taureau ......, 4.25.49,66[- 0,13|/-67,61/282.33.51,5/+ 0,3 732:7|+ 7° ol+ 3,9l- 33,1
101 Taureau ..... Fo — 0; : 282. 2,57,o[+ 0,2 733,0] o] 6,9+ 3,6[ 33,8
IV. 306) Piazzi...| 4.50. 5,70] ©
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x Cocher.....,... 5. 4. 1,31]+ 0,2|-6 sl
B Orion ........, 5. 5.54,341- 0,43 ke 82/257.59.51,2|4 0,6 + 3,5]-1.20,5
GB Lièvre. ........ PRE & = 0, 2 54 30.41, + gé [2149
Lievre......... 24.43,10)— 0 27.20,2|+ oO —-1.57,9
rs Taureau....., 5.28.55,59f- 0,01 292. 146 30,2|- FE — 121,
y DragonI....... 5.51.49,33]- 0,36|-67,93| 34.44. 58, ol+ 1,4 732.8] 6,3/+ 2,8 +6. 373
3 Gémeaux....... 5.59. 7,og9|- pra Ki 30. ie + 0.8 24,5
8 Gémeaux. ...... 6. 5.38,6;|- 0,04 1290-23. 4,71+ 0:6 + 2,8 23,5
9 Petite OurseI.. ..| 6 21.27,25 135945. 7 + L4 HART
« Grand Chien....| 6.37. 8,98]- 0,54]-67,55
y Aigle.......... 19-37.38,94[- 0,20|-68,99l276.36.34,0|4 2,4 47
æ Aigle.......... 19-41.58,56[- 0,22/-69,02]274.49.58,5|+ 3,1 736,0] 11,6/+ 4,3] 44,4
| x/Soleil, rer bord ...|20.55.44,54] 0,54 249.27.54,0|+ 2,6 735,8] 12,8/+ 7,4]-1.51, sl
® |æ Céphée........ 21.13.37,73 4 0,61|-609,15 328.17. 2,7 + 2,6 735,6] 12,7|+ 8,51+ #4 ,6
x Andromède.....|23.59. 7,93] o, : —69,37
y Pégase... ...... 0. 4. 0,56]- 0,1 69,52 280.41.12,0|+ 2,3|734, ,5+ 6,4 35,4
a Cassiopée..,...| 0.29,28,23|+ 0,44|-69,571322. LEE + 2,3 350 % 34+ 64H 9,5
& Petite Ourse S...| 1: 1.20,22 354.49.55,0|+ 2,6 734,9] 9,41 6,31+ 51,8
98 p Poissons. .... 1.20.49,b2]- 0,26 271.42.40,0|+ 2, + 54] 49,5
110 o Poissons... .| 1.35. sù 14]- 0,22 274.44.36,0|+ 2,1 = 44,
111 Ë Poissons....| 1.44. 17,58 — 0,29 US, 47-26,0|+ 2,0 = b4,7
113 « Poissons... .| 1.52.47,48]- 0,29 268.22.56,5|4 2,1 HS
a Bélier... .... TUE 57.11,79]- 0,06 -69,53]289. 5. FE 4 2,2 — 24,8
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39 b Bélier... .... 2.37.26,37|+ o,o1 294.57.49,7|+ 1,8 + 4,4}- 18,6
Bite Ours 1. 4 257. Bols louis “2 DIDUUE + 4oltr.353
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7 79 |
|
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“UAILVAUISIO
REMARQUES.
Faible et ondulante.
Id.
Bord sup. au mérid.
Très-ondulante.
Id.
4
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1843.
“saunor
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PASSAGE Ale MOYENNE | 22 4 NIERMOMÈTRE. EL a
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œ Taureau........ 4.25.45,42l- 0,13|-69,831282.33.46,5|+ o,1 — 33,354
54 Eridan........ 4.32.26,95|- 0,58 246.25.17,5|+ 0,6 2. 9,8
101 Taureau ..... 4.49.36,56f- 0,13 282. 2.57,7|+ 0,2/735,0o!4 6,5|+ 2,8/- 34,0
IV. 306) Piazzi. ..| 4.58. 3,58]- 0,39
G Eridan......... 4.59. o.48|- 0,39 261. 5.25,0| 0,0 —1.12,4
BlOnion......./.8 5. 5.52,o2|- 0,45 “ns 257.59.54,5[+ 0,6 —1:21,0/56,3
B Taureau ....... 5.15.15,03| 0, o —69,85 E 50.25,o|[+ 0,8 — 18,5 57,2
G'Tievre-.....1 5.20.23,65[- 0,59 245.30.40,5|+ 0,5 2.15,
œ Lièvre... .... 4| 5.24.40,871- 0,55 LB. 27.20,0[+ 0,9 —1.58,6
125 Taureau ....3| 5.28.53,34]- o,on ER 28,o|+ 0,8 6,4+ 2,2l- 21,5
y Dragon 1....... 5.51.47,27]- 0,36|-69,97 su 44 59,0 + 0,9 +6.39,6/57,7
3 Gémeaux....... 5.59. 4,75] 0,0 289.30.21,5|+ 0,9 — 24,6
8 Gémeaux....... 6. 5.36 143 — 0,04 290.23. g,o[+ 1,5 + 2,0]- 23,6
8 Petite Ourse 1...| 6.21.26,13 359.45.29,2|+ 1,8 6,2|+ 1,5[+1: 2,6/57,0
a Hercule. ....... 17. G.18,78 — 0,15|-71,241280.56.38,0|+ 2,2 5,ol- 1,0f- 360151,6
x Ophinchus...... 17-26.28,241— o,17|-71,09/279. 3. 1,o|+ 2,5|7: . 5,2|- o,3[- 38,6151,4
y Dragon. ....... 17.51.45,43]+ o,36|-71,14 Di 52.11,0[+ 2,8 5,6+ o,4H 5,4/61,1
Vénus, 2me bord... 4|17-56.41,74] 0,55 247.59. 15,7 + 2,0 + x,of-2. 1,
y Aigle......... 4 19:-37.36,09|- 0,20|/-71,25
a Aigle.Ur 01 19-41.56,18]— 0,22|-71,40/274.50. 1,0[+ 3,1 11,3/+ 5,2l- 44.2154,9
NET TASER NAS 132.33.52,1|[+ 3,1
œ Cygne......... 20.34.52,41l+ 0,24|-71,20l311. 5.10,0|+ 2,3 11,9/+ 8,7 1,5152,7
Soleil, 1 bord... .|20.59.46,561- 0,54 249:12.29,7|+ 3,1 12,0/+ 7,4/-1.52,5
a Pégase. .:...... 22.55.45,48]- 0,15|-71,49 ao 4435,o[+ 1,8|7 10,5|+14,0|- Le 54,8
Lune, 1er bord....|23. 3.39,46]- 0,35 26 4. -49 240 + 0,6 10 6 +14, ou 0,8
a Andromède. . ... 23.59. 5,57] o, o|-71,72/294.3b.43,0|+ 0,8 4e 5o,5
y Pégase... ...... o. 3.58,16|- 0,15|-71,98[280.41.11,5|+ 0,6 10,3 H43[ — 34,4153,6
a Cassiopée . ..... 0.30. 25:93 + 0,44 71,8 per 2. 36, 54 1,4 10,1+13,0f+ 9,3/57,5
a Petite Ourse S...| 1. 1.106,22 54.40.56,5|+ 1,7 9:6!+12,7[+ 50,5/62,3
98 a Poissons. ...4| 1.20.57,04]- 0,26 271.42. 39,7[+ 2,0 H19,2l- 48,2
110 o Poissons... .| 1.35.55,84]- 0,22 274.4/4.35,0|+ 1,8 Hrusol- 43,4
111 Ë Poissons... .| 1.44.15,38]- 0,2 268.47.2437 +°1,8 410,5 53,6
113 a Poissons. ...| 1.52.45,12}_ 0,29 268.22.57,0|+ 0,9 410,5] 54,3
Bélier eee -tE 4| 2.57. 9,40f- o,o6|-71,911289. 5.28,5/+ 2,3 = 24,3/55,0
16 « Triangle, préc..| 2. 2. 5,97]4 0,02 295.56.17,7|+ 4,4 67
72 p Baleine. ..... 2.17.11,00!- 0,49 253.23.19,0|+ 1,3 + 9,b]-1.33,9
29 w Bélier... .... 2.23. 8,16|- 0,16 280.42.42,0|+ 1,5 8,71+ 8,71 35,0
9 Baleine ........ 2.30.15,92]- 0,33 266. 1.44,2|+ 0,6 + 8,3] 59,5
39 b Bélier....... 2.37.24,03|4 o,ot 294.57.b0,0|+ 0,9 8,3+ 8,5]- 18,3
|B Petite Ourse I...3| 2.50. nn — 1,33/-71,82) 11.33. o.o[+ 1,2 +1 33,5155,6
œ Baleine ........ 2.52.54,32]— 0,28/-72,051269.5r. 0,5|+ 1,3 ‘+ 8,3/- 52,0,56,5
56 à Bélier......, ÉD 15, 49l 0, o 193. 1.59,5|+ 0,8 + 8,5]- 20,0
œ Persée. . .....\ 3.11.58,38]4 0,31|-72,161315.39.57,2|+ 1,3 + 3,r/56,2
5.f Taureau. . .... 3.21. 2,54]- 0,18 278.46.11,0|+ 1,2 + 8,ol- 37,8
10 Æ Taureau ....| 3.2 7470 — 0,33 266.16.49,5|+ 1,2 + 8,2l- 58,9
d'Eridan. ..-.--.8 de A 33,621 0,45 256. 5.18,7|+ 1,4 —1.25,0
31 u2Taureau....| 3. 13 28,18 —"0,24, 272.26.10,0(+ 1,21732,5|+ 7,8+ 8,ol- 47,6
35 ) Taureau..... 3.50.49,24|- 0,18 278.25. 7,2|+ 1,1 — 38,2
42 d Taureau..... 3.56. 8,611+ 0,01 294.56.36,0|+ 1,1 — 17:39
44 P Taureau,...| 4. o. 6,831- 0,02 292.26.16,0|+ 1,1 — 20,7
, |48 Taureau... .. ., 4. 5.41,88]1- 0,15 281.22.40,5|4 1,3 — 34;
"NAALVANAISIO
REMARQUES.
Ondulante.
Id.
14.
Id. Centre au mérid.
Id, Faible,
Id.
Moyenne de 7 obs.
Ond. Niv.+2P ,08.
Bord inf au mérid. |
Très-ondularite. |
Id. Bord inf.au mér.|lh
5
Observations faites à la lunette iméridienne en Février 1843.
mu PASSAGE Wie MOYENNE | = 8 2 THERMOMÈTRE. FE. È 5
à NOM CONCLU Li Au Dates : 2 8 EE É = =
É au 1: 6 le 2 5 | 5 | REMARQUES.
‘ DES ASTRES. k l'instru-| la Me] 2 Jinte- | Exte- £ NE
FIL MÉRID. ment pendule | VERNIERS. = S a ricue vieur, £ 3 £
572! Taureau....| 4. 9. 4Ï— 0,16 280. 1.39,5[+ 1,2 — 36,0 B
64 9? Taureau... 3.5. — 0,13 283.26.59,0[+ 1,3 Cat, »
79 & Taureau. .... .18. — 0,17 279. 4.14,0[+ 0,8 + 8,5l- 37,3 »
86 5 Taureau. .... .23. — 0,13 »
œ Taureau..... . 21- 0,13|-72,22/288.33.48,7 ; 1,2 — 32,6156,1| »
54 Eridan........ = 10,58 246.25.17,2|4 0,9 732,2l4 7,54 7.8l-2. 7,2 »
(LV. 306) Piazzi. .. k 58. te — 0,39 »
GExmidans. 1. 4.58.58,04!- 0,39 5.26,0[+ 0,8|732,2 5|+ 7,3-1.11,0 »
Cocher," ..... 5. 3.56,77{+ 0,25|-72,00 »
HiOniont. +: 5. 549,76! 0,43/-72,35l257.59.52,2|+ 0,6 + 6,5/1.19,6154,5| »
B Taureau ....... 5.15.12.59) o, o|-72,27l294.50.23,2|4 0,9 — 18,2/55.9| » |
BTE LEs sun see 5.20.21,47- 0,59 245.30.38,2|+ 1,5 —2.10,4 »
x Lièvre......... 5.24.38,76!- 0,55 248.27.17,b|+ 0,8 15/40 »
125 Taureau... ... 5.28.50,85|- o,o1 292.10.27,5[+ 1,1 + 54]- 21,2 »
y Lièvre........ 3| 5.34.27,94|- 0,60 243.56.49,7|+ 1,2 —2.24,9 »
y DragonI...... 3| 5.51.45,53/- 0,36|-71,98| 34.45. 1,04 2,0/732,0) -,2|+ 4,8146.33,9154,9| » |Trés-ondulante.
3 Gémeaux. ..... 5.5g. 2,411 0,05 289.30.17,7|+ 1,2 EN »
8 Gémeaux....... 6. 5.33,97l- 0,04 290.23. 8,2|[+ 2,0 — 23,3 »
3 Petite Ourse I... .| 6.21.25,39 359.45.33,0 + 2,3 +1. 1,5159,9] »
æ Grand Chien. ...| 6.37. 4,14]- 0,54|-72,38/249.53.17,5|+ 1,2|731,8 ,0[+ 5,3/-1.49,8/55,4| » |Ondulante.
|| 4|Cercle Ouest, Niv.+2P,29. Le fil méridien est de 4,79 parlies du micromètre à l'Ouest de la mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+5P,or1. Le fil méridien est de 5,58 parties du micromètre à l'Est de la mire.
, , 199 P
On laisse l'instrument le cercle à l'Est.
HNadir- 0. 132.33.47.0/+ 6,0 » [Moyenne de 4 obs.
x Cygne...,.....l2 20.34.38,3714+ 0,48 -85,80l514. 2. LA 54 5,5|726,ol+ 9,7|+ 2,0ol+ 1,5153,8| » |Niv.+4P,3y.
(NS |Soleil, 12° bord....|21.23.4r,68]+ 0,27 14. 6.30,0|+ 5,8|726,0! 10,2|+ 2,7]+1.44,8 » |Bord inf. au mérid.
h |x Cassiopée....... 0.30.11,71[+ 0,61|-85,76]303. 5.11,5|+ 5,8|925,7 24 4,0l- 9,5/56,4| » |Ondul.
œ Petite Ourse S...| 1. 1. 0,08 270.17. Elo + 5,8/725,6] 7,8/+ 2,1l- 51,951,5| »
110 o Poissons. ...| 1.35-41,50|+ 0,29 350.23.13,0|+ 5,3]725,7 2k+ 5714 44,4 » |Très-faible.
113 à Poissons...4| 1.52.30,54|+ 0,29 356.44. 457 + 6,0 5,6 »
MiBélier... ...4:2. 1.56.54,95]+ 0,33 -85,89/336. 2.15,7|+ 5,9 +1,54 24,9 57,5| »
29 w Bélier... .... FA AS EE ï 0,31 344-24.59,0|+ 6,0 + 35,b » |[Faible.
3 Baleine ........ 2.30. 1,441+ 0,28 359- 5.57,5|+ 5,9 +1. 0,5 »
39 6 Bélier... . ... 2.37. 9-29 + 0,36 330. 9.54,5|+ 5,8|725,7) 6,04 o,5[+ 18,7 »
G Petite Ourse [...3| 2.49.49,69k- 1,38 -86,11 2833046 ol+ 5,8 + 0,5]-1.35,4,55,7| »
œ Baleine ........ 2.52. 39,84 + 0,29 -85,871355.16.46,0| + 5,6 + 53,1/57,7| »
56 z Bélier....... 3. 1.29,031+ 0,35 332. 5.41,7|+ 4,7 - o0,4[+ 20,5! »
œ Persée........ 3| 3:11.44,56|+ 0,52|-85,62 : »
64 g Bélier. ...... 3.13.38,131+ 0,34 334.35.32,0[+ 5,2 + 23,4 »
5 f Taureau...... 3.20.47:98 + 0,30 346.21.30,o|+ 6,7 + 38,6 »
10 Æ Taureau ...4| 3.27.26,96!+ 0,28 358.50.57,5 + 6,4 — 0,9[+ 55,1 »
PhEridans-.:...%.. 3.34.19,04[+ 0,28 »
n'Taureau........ 3.36.45,19l+ 0,33 335. 8.25,21+ 6,0 + 24,0 »
31 u2 Taureau. ...| 3.42.13,46|+ 0,29 352.41.32,0|+ 6,0 + 48,7 » : à
Lune, 1er bord... .| 3.52.29,37[+ 0,33 335.39.14,0|+ 7,0 + 24,7 » [Bord inf. au mérid.
42 Taureau....4| 3.55.54,10l+ 0,36 330.11. 4,5|+ 6,7 | + 18,4 »
44 P Taureau.....| 3.59.52,151+ 0,35 332.41.23,514 72° | + 21,2 »
6
Observations faites à la lunette méridienne en Février 1843.
‘sunor
CI
NOM
DES ASTREFS.
48 Taureau ......
5; L! Taureau...
69 vu: Taureau. ..
79 b Taureau....
86 p Taureau...
a Taureau ...... F
(943)+ Taureau...
101 Taureau .....
BEridan:s.....1
B'Taureau......,
35 } Tauréau.....
42 d Taureau.....
44 P Taureau.....
57 k'Taureau....
69 u' Taureau...
7) b Taureau.....
86 p Taureau.....
a Taureau .......
LEONE:
MAC ENEL TS 2 lee 3
Soleil, 1er bord...
x Baleine.. ..... 3
DétrtBélier. -.-...
HIPENSER te 25e à 0 4
64 g Bélier... ....
5 f Taureau......
10 Æ Taureau....
n Taureau ...... 3
31 u* Taureau....
35 À Taureau... ...
42 bd Taurean.....
44 P Taureau... ..
48 Taureau ......
57 2: Taureau...
69 v' Taureau. ...
79 b Taureau....4
86 p Taureau.....
a Taureau .......
(543) + Taureau...
101 Taurean .....
(LV. 306) Piazzi ..
BÆridan-..-..°:1-
œ Cocher........4
G'Taureau … . . -
L'bievee.... 24
CORRECTION
PASSAGE de MOYENNE
NCLU ne”
Fu des
au 2
, l'instrn-
FIL MÉRID. ent VERNIERS.
s. Ge Dur tirs
0,31
0,31
0,31
0,33
4.49:19,521+ 0,31
4.58.43,48|+ 0,28
5.14.58,131+ 0,36
3.50.29,50 + 0,30
3.55.49,07[+ 0,36
3.59.47,09!+ 0,35
4. gr + 0,30
4314 0,33
4.18.33,05|+ 0,30
4.23.26,88|+ 0,31
4:25.25,38|+ 0,31
4.31.20,11|+ 0,33
0,30
0,33
0,30
346 42.47
330.11.11,5
336.18.14,5
346. 3.35,0
—91,32 332.33.59,7
Dre
18.30. 3,721+ 0,42/-92,9b|320. 7.20,2
2034 30 40 + NE —93,17|314. 2e
21.12.13,470+ 0,75|-93,27|296.50.39,7
1.35.27,80f+ 0,27 13. 8.33,5
2.52.32,00]+ 0,29|-93,671355.16./6,5
3. 1.21,05l+ 0,35 332. 5.42,2
3.11.36,30/+ 0,52|-93,81| =
3.13.20,25|+ 0,34 334.35.31,0
3.20.40,16|+ 0,30 346.21.30,0
3.27.19,38l+ 0,28 358.50.5r,5
3.36.37,13 + 0,33 335. 8.27,5
3.42. 5,74[+ 0,29! 352.41.33,5
3.50.26,80|+ 0,30 346.42.36,5
3.55.46,39[+ 0,36 330.11. 7,5
3.59.44,431+ 0,35 332.41.27,5
4. 5.19,42l+ 0,37 343.45. 2,0
4. 9.35,16[+ 0,30 345. 6. 7,7
415.22,81|+ 0,33 336.18.13,
4.18.30,39l+ 0,30 346. 3.315
La3ot 38 + 0,31
4.25.22,58l+ 0,31|-94,10|342.33.56,0
4.31.17.409|+ 0,33 336. 6.18,0
4.49.11,641+ 0,31 343. 4.46,2
4.57,38.78|+ 0,28
4.58.35,541H4 0,28 4 227,5
5. 3.34,541+ 0,49|-93,82
5. 5.27,461+ 0,28/-93,85| 7. 7.55,0
5.14.50,131+ 0,36|—-94,26/330.17.20,0
5.19.58,95[+ 0,26 19.37. 9,2
5.24:16,24[+ 0,27 16.40.26,0
5.28.28,65|+ 0,35 332.57.18,0|+
5.36.22,83|+ 0,25 21.13.48,2|+
TRERNOMÈTRE.
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LOMME AE VASE TRES
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2,5|+1.19,9
+ 18,215
+2.13,7
2,51+1.56,8
‘4104 nu nai
‘UNILVAUISUO
+ 21,2
2,0/+2,25,1
REMARQUES.
Le ciel se couvre.
Niv.+4p,30.
Bord inf. à 36m33s.
ee
Sa
ss —
7
Observations faites à la lunette méridienne en Février et Mars 1843.
‘sunor
NOM
DES ASTRES.
æ Orion.... ., ..
3 Gémeaux....,..
8 Gémeaux
13 p Gémeaux...
à Petite Ourse I. .3
27 e Gémeaux.....
Ͼ Grand Chien....
Lune, 1er bord.. .
à Gémeaux
Soleil, rer bord ...
81 x' Cancer
82 x*° Cancer
B Petite Ourse I...
æ Persée
æ Taureau
54 Eridan
102 : Taureau...
8 Eridan
æ« Cocher
109 z Taureau...
B Taureau
ATEN ce «010
Lune, 1t° bord...
125 Taureau.....
3 Lièvre
136 C Taureau...
3 Gémeaux
8 Gémeaux
13 pu Gémeaux ....
ss...
CORRECTION
le
PASSAGE MOYENNE
CONCLU
|.
des
au
FIL MÉRID.
la
pendule.
l'instru-
luenL. VERNIERS.
_ 94,08 351.22.50,2
335.37.26,0
334.44.32,5
2
LATE
336.10.36,0
Te 9.12,77 336.49.31 ,2
20.34.27,83 = 95,65/314. 2.34,5
21.13.10,89|+ 0,75|- 95,86/296.50.40,0
21.39.21,46|+ 12.16.29,5
+2. 7,12]+ 343. 8. 2,0
9- 4.58,96|+ 343.10. 8,0
ï 6.43.37,5
238.35. 7,0
— 97:051346. 1.32,2
19. 4.10,83|+
20.34. 7,19|+
21.12.50,29|+
FFF +F++F+
Je
9 Petite Ourse 1..3
(*) Avant cette observation la pendule a été ayancée de 3 minutes,
1. 2.33,67 270.17.59,0
1.58.45,79h+ 0,37 + 25,37/356. 2,15,2
2.51.43,55]- 1,5g|+ 25,21}253.34.45,7
3.13.34,40f+ 0,624 25,021309.47.47,5
427.21,36Û 0,344 25,1413/2.33.54,2
4.34. 0,681 18.42.33,2
“4.54. 9,41|+ 347-23.45,2
5. o.34,42 - 2.22,D
3: 5.32,73 +
5.10.17,40+ 0,37 336.49.37,5
5.16.48,89]4 0,41[+ 25,00/330.17.18,2
5.21.57,431+ 19.37. 3,2
5.26.16,61|+ 334.10.54,5
5.30.27,19|+ 332.57.15,0
5.38.21,43]+ 21.13.46,0
5.43.54,471+ 332.11.15,0
47: 0,31|+ 25,01/351.22.47,5
6. 0.38,65|+ 335.37.25,0
6. 7. 9,93|+ 334.44.30,0
6.13.54,45|+ 336.10. 5,7
6.23.12,92 265.22. 4,0
FFF +++ +++
+++ +
FFF + +++ +
mn
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*NOILOVUATU
6,2
“3104 na n311
55,8
| "NAALVAUISAIO
REMARQUES.
Bord sup. à 53mr0s.
Niv.+4 P,59.
Bord sup. à 4om2ys,
Faible.
Le ciel se couvre.
Très-ondulante.
Centre au méridien,
Moyenne de 3 obs.
Bord inf. à 14m/46s,
Niv.+/,07.
Ondul.
Borû sup. à 27mb6,
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
*“sunoc
ai
NOM.
43 € Gémeaux
55 9 Gémeaux
o
42 Gémeaux-....:
a Petit Chien .....
1B Gémeaux. .....
181 y Gémeaux...
185 / Gémeaux
19 p' Cancer. .....
à Petite OurseS..:
DES ASTRES-.
————————
27 € Gémeanx ....
œ« Grand Chien....
&
65 ; Gémeaux....
a? Gémeaux... .:
æ Petit Chien....
B Gémeaux.... ..
81 # Gémeaux...
85 / Gémeaux ....
gp' Cancer....:.:
Nadir...
FFF FFF FFF +
SI = IH GT COIN ©
Soleil, 1er bord...
x Petite Ourse S...
B Petite Ourse L...
æ Persée.........
64 3° Taureau. ..:
86 p Taureau. ...:
æ Taureau.......
102 « Taureau....
109 z Taureau...
B Taureau........
B Lièvre.....s..e
125 Taureau.....
3 Gémeaux.......
8 Gémeaux.......
13 y Gémeaux. ...
ë Petite OurseL...
Lune, 1® bord..,.
27 : Gémeaux ....
(x Grand Chien. ...
143 € Gémeaux....
45 » Gémeaux. ..2
155 9 Gémeaux...
165 : Gémeaux.....
MOYENNE
des
VERNIERS.
333.28.35,0
15.14.27,7
337.57-43,5
4
+24,831353. 7.47,
339.52.14,7
338.27.477
+22,02!309.27.48,0
341.40.49,0
+22,29)342.33.59,7
333.23.4b,0
4. 2.23,5
+22,161330.17.20,0
19-37-10,
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335.40.46,5
132.33.48,8
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3.15.24,2
270.17.57,D
+22,37|335. ne
+22,601253.34.45,2
s
ù
REMARQUES.
Moyenne de 3 obs.
Bord. inf. à 21m0$.
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O1 Qt OI © © OO
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+ ++<++++
SR RUUUGE
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5
331.11.20,7
+22,11/351.22.50,5
+21,751230.22.31,2
335.37.28,0
334.44.34,5
336.10.10,0
SAND ASTÈTRE
© @i1 0 II OO
5
335.18. 4,2
333.28.34,7
15.14.33,5
HRFFETR CHEF HF ER+ HER + +++ +T++
|
Bord sup. à 26m375.
Faible et ondulante,;
Ond. Niv.+4rP,16.
9
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
CORRECTION = z = ROLE El p« 2
S e'| = æ THERMOMETRE. ES} 5 2
2 si de; AIN 8 | 2 | £ | REMARQUES.
= DES ASTRES. | 5 à 3 Exté- = aude
FIL MÉRID. VERNIERS. © el 2 5 À
11|Soleil, 12° bord... 2.19.41,0[+ 7,31730,41 7; fr | B. |Bord sup. à 243098.
æ« Andromède, . -.. 330.32. 5,54 6,8/730,ol 6 3 60,4| » |Très-ondulante.
œ Cassiopée....... 303.15.15,2|+ 7,0 54,2! »
œ Petite Ourse S... 270.18. 2,0|+ 7,3|729,6 56,3| »
G Petite Ourse I. .4 3.34.47,5|+ 3,7 53,7| »
æ Baleine ........ 31355.16.45,0|+ 4,6/729;1 54,1| »
mPErSÉCr nas ete - 3.13.28,6 +19:331309.27.46,5|4 5,8|729,1 5r,8| »
69 v' Taureau. .. Ù 3 336.18.15,5|+ 5,7|729,0 »
86 p Taureau....2 »
œ Taureau..... .. 42.33.58,7|+ 6,1 b737| »
(543) + Taureau... 4 336. 6.19,7|[+ 6,4/729,0 » |
102 « Taureau... 337.23.45,7|+ 733 »
DD SE 4. 2:23,0|+ 7,6 à)
_..... »
__....... »
109 #2 Taureau... 7 336.49.43,5|+ 6,8 + 25,8 »
G'Eauréau......!.: +19,161830.17.21,5|+ 7,1 + 18,3156,9| »
G Lièvre. ....,.../ f 19.37.10,5|+ 7,6 +2.14,5 »
125 Gémeaux..... 332.57.17,0|+ 6,5 + 21,8 »
DILIÈNTEL . oh à 21.13.4924 731 +2.26,0 »
136 C Taureau... 331.11.10,0|+ 7,3 + 19,4 »
Sens nest 0,31|+19,26351.22.50,0|+ 7,7 + 46,2159,4| »
y Dragon L....... 0,66|+18,79l230.22.34,5|+ 7,2 —-6.37,1 52,6| »
3 Gémeaux....... 335.37.26,0|+ 7,1|729:4 + 24,5 »
8 Gémeaux....... 334.44.33,5|+ 7,1]. + 923,5 »
13 y Gémeaux... 336.10. 8,5|+ 6,8 + 2b,2 »
à Petite Oursel.../ 265.22. 8,5|+ 713 1. 2,1157,3| »
œ« Grand Chien. ..4 .14.35,2[4+ 7,0 +1.51,0/58,7| »
43 € Gémeaux, ... 337.57.44,5|+ 7,0 + 27.8 a
45 o Gémeaux... .3 342.34.48,5|+ 72 + 33,2 »
Lune, 1 bord.... 337.55. 4,0|[+ 7,0|729;7 + 27,2 » |Bord sup. a 26m138.
(VIL. 144) Piazzi.. 3 338.15.11,0|[+ 6,9 + 27:37 »
æ Petit Chien... 7.31. 418,82/353. 7.47,5|+ 7.8 + 49,3155,9| »
B Gémeaux. ..... A ) e »
81 y Gémeaux. ..4 + 29,8 »
85 ! Gémeaux... + 26,0 »
162 Cancer. - .\- 30,9 »
H2|Soleil, 1° bord... .|23.27.11,52]+ 0,27 2.28.24,7|+ 7,3 728,3 +1. 6,7 » [Bord inf. à 28m135,5.
D |; Cassiopée.....….. 0.31.53,55l4 0,74,+16,66303. 5.15,51+ 6,7[727:4 — _9,5,53,9| »
a Petite Ourse S...| 1. 2.22,49 270.18. 2,0|+ 5,6|727,0 - 51,554! »
« Petit Chien. ....| 7.31.22,80]+ 0,30/H15,99l353. 7.46,0[+ 7,21725,8 + 48,9,51,4| »
G Gémeaux.... .4| 7.36. o,4of+ 0,41|+16,07 »
81 g Gémeaux...4| 7-37.19,93|+ 0,35 339.52.14,5|+ 7,3 + 29,5 »
85 / Gémeaux ....| 7.46.47.89]+ 0,36 338.27.53,0|+ 7,6 + 27,8 »
9 p' Cancer. .... 2| 7.b7.17,741# 0,3 335.40.50,5|+ 6,4 + 24,4 »
16 C' Cancer..... 8. 3.30,22}4 0,3 340.38.29,2|+ 7,1 + 30,6 »
#18 y Cancer... ... 8.10.49,30|+ 331. 2.24,0|t 6,4 + 19,1 » ÿ
Lune, 34 bord....| 8.24.16,471 341.57.25,5|+ 5,31725,8 + 32,3 ». | Bord sup. à 25m285.
55 p Cancer..... 8.43.32,471+ 329.50. 7,2|4 932 + 17,8 »
65 &° Cancer..... 8.50.11,94|+ 346.17.45,5+ 7,6 + 38,3 »
76 » Cancer..... 4| 8.59.32,52l+ 0° 347.27.37,5|+ 7: + 40,1 »
8r r' Cancer..... 9. #4. o,72Ù+ 343. 8. 3,5|+ 8,2 + 34,0 »
10
CRE faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
*“Sunor
NOM
DES ASTRES.
82 +*° Cancer.....
x Céphée I
x Hydre
Soleil, 1er bord...
« Petite OurseS..4
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102 «: Taureau...
6 Eridan
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B Lièvre.
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125 Taureau
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136 C Taureau...
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13 x Gémeaux ....
3 Petite Ourse I..
27 e Gémeaux ....
æ Grand Chien...,
(VIT. 144) Piazzi...
æ Petit Chien.....
B'Gémeaux...... 3
81 g Gémeaux...4
15! Soleil, 1°r bord...
æ Petite OurseS. .3
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109 2 Taureau...
B'Taureau "0"
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136 C Taureau....
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3 Gémeaux....:.. *
8 Gémeaux.......
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æ« Grand Chien...
43 € Gémeaux....
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h. mn ss. s s. 0 JET 1
9: 651,58]+ 0,34! see 8,0
9-15. 4,62 — 0,91 +15,67 240. 43.50,0 |
9-20.10,24]+ 0,26|+15,67 6.43.35,7
_9-26.50,411 1,28/+15,47l248./0. 2,5
‘a 30.48,881+ 0,26 1.32.40,0
215,57 270.18. 0,5
3 Es 22,321 0,741#13,13/309.27.48,5
# 17. 9:93}+ 0,42 330. 13.19,2
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4.33. 4,2314 0,42 336. 6.21,0
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5.5 Fe À 0,67 413,31 Dhs
5. 7:14,221+ 0,24|+13,38
5.10. 5,534 0,42 336.49.42,2
5.16.37,05l+ 0,46/+13,29|330. 17: -24,5
D 45,75|+ 0,20 19- 374,0
5.26. hi + o,21 16./40.30,5
5.30.15,45{+ 0,45 332.57.18,0
5.38. 9,791+ 0:19 21.13.52,7
5.43.42,30l+ 0,40 331.11.19,5
5.46.55,24{+ 0,3214+13,341351.22. 50,7
5.b3. 11,93|- 0,79/+12,761230.22. 273)
ei + 0,42 336.10.10,0
23. 5,17 265.22. 7,2
6.34.31,37]+ 0,44 à 333.28 40 0!
6.38.28, 66 + 0,21|+13,/2) 15.18:85,0l
7-28. 6,55l+ 0,40 338.15.10,5|
7.31.19,88|+ 0,31 +13, 041353. 7.56,0|
7-35.57,511+ 0,461+13,26
7-37-16,90!+ 0,40 339.52.14,0
23.38. 2,54[4 0,27 21.17.39,
x. 2. Lo 270.17:b5,2
5. 5.14,95 + 0,67|+ 7:52
Débat bel | | Besse
+ 9-59; 0,/,2 36.49.45,2|
5.16.31,43|+ 03461+ 7,71 Fer
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.275 2a | 1b.40.29,0|
530. 9/65[# 0,45. Sen 0
5.38. 4,03{+ 0,19 25.13,57,0
5.433090 PENTA B5 rx a8
5.46.49.b6[+ 0,32|+ 7,70/351.22.55,5
6. 0.21,07]+ 0,42 235. PE 25,0!
6. 6 52,711+ 0,43 334.44. 29,5
6. Gas 36:09 + 0,42 336.10. 6,5
23. 0,40 265.22. 2,7
634.28 66l4 o4t| 13328. 33,5|
a + 0,21/+ 7,86 15.14 4.38,3|
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3,7
50,4!
3,0!
2
104 na na
"YAILVAUTSUO
59,4
50,5
REMARQUES.
Bord sup. à 314085.
Très-ondul.
Niv.+5P,34.
Bord inf. à 39m35,
Ondul.
11
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
MOYENNE |
des
VERNIERS. |
132.33.51,6
.27.b4,5
33b.18.22,0
FFF + ++
336.49.48,2|+
+ 4,931330.17.24,0|+
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3 DES ASTRES. "+ Pan at
EIL MÉRID. | ment, | pendule
53 z Gémeaux... 0,46
55 à Gémeaux... 0,42
65 « Gémeaux..... + 0,46
RON =. e.c-t JA FE 0,37 + 7,00
BEALIONE 2-22). 4 10. 8.24,18]+ 0,36
AbRBion.-2-::.46 «à 10.19.30,64]+ 0,33
Sion, Eee 2. 6 10.26.45,90[+ 0,32
DASexfant. 0 10.34.40,58|+ 0,31
54 Lion, préc... ..|10.47.15,55]4 0,44
MONS nn de. de 10,52.36,50l+ 0,30
GwWp2ion.....£ 4 10.59. 3,041 0,30
HO 0Eion... -.: -". 3111. 6. 9,10 0,37
Lune, 1er bord.. .|11.17.38,42l4 0,27
Melon... 11.22.27,08|+ 0,27
PAION=-----.-- 11.29. 4,08|+ 0,28
PAVierse, crier. - 11.37.56,72l+ 0,32
G Vierge......... 11.42.40,46|+ 0,29|+ 6,87
y Grande Ourse. .4|11.45.42,50!+ o,85|1 6,50
œ Petite OurseI...3|13. 2.54,10
LAINE TS PETER 13.17. 4,94]+ 0,234 6,60
n Grande Ourse...|13.41.20,74]+ 0,76|+ 6,50
y Aigle.......... 19-38.34,161+ 0,331 5,84
RPAMeIE -..--0e- 19.43.13,74[+ 0,32|+ 5,80
a2 Capricorne... ..|20. 9.26,94[+ 0,22|+ 5,74
IGyene.-.. 4 4/20.36. 9,73[+ 0,66/+ 5,75
ESA PORORRTE
DAPÉRASE... ----+ 0 292.57. 2,,6[+ 0,36|+ 5,86
x6|Soleil, 1er bord . . .|23.41.38,82]4 0,27
œ Petite OurseS..3| 1. 2.14,83
œ Persée........ 3| 3.13.14,08[+ o,74[+ 4,97
69 u' Taureau....| 4.17. 1,39]4 o,42
86 , Taureau. ...4| 4.25. 2,80|+ 0,37
œ Taureau ....... 427. x,12l4+ 0,374 5,04
(543) + Taureau... 4| 4.32.55,93[+ 0,42
102 « Taureau..,.| 4:53.49,27l+ 0,41
G'Eridan......... 5. 0.14,260!+ 0,25
Cocher... ../. : 5. 5.12,49!+ 0,67|+ 5,08
MOrTON 14 2 0 5 4 5. 7. 6,041+ o0,24|+ 5,25
109 2 Taureau....| 5. 9.57,10l+ 0,42
|B Taureau .... 5.16.28,63{+ 0,46
BIDiIévVre. sus se à 5.21.37,33|+ 0,20
TE VEE ous à es 2 5.25.54,56H o,21
131 O Taureau...| 5.38.23,14]+ 0,36
136 C Taureau... .| 5.43.34,19/+ 0,46
Orion. ........ 5.46.46,921+ 0,32|+ 5,07
A Mragonil- 4°: 5.53. 4,03/— o,79l+ 4,74
ly Gémeaux....... 6. 7.30,651+ 0,44
13 u Gémeaux....| 6.13.34,21|+ 0,42
16 Gémeaux. ...4| 6.18.43,03|+ 0,40
à Petite Ourse L...4| 6.22.59,40
l27 « Gémeaux ...,| 6.34.22,85|4 0,44
la Grand Chien... .| 6.38.20,48]+ o,21|+ 5,29
19.37.17,0|+
16.40.41,0|+
344.19.50,0|+
331.11.23,7|+
351.22.56,0|+
334.58.14,0|4
336.10.10,0|+
338.10.23,7|[+
265.22. 3,9|+
15.14.42,0|+
‘AULANOUVH
min.
ee
Inté-
rieur.
‘æ
o
THERMNOMÈTRE.
31+13,5f+
"NOILOVUAAU
+11,0!+ 34,6
+11,3 +1. 2,4
+13,0|-
+13,0)-
+13,0f+
3,0
24,3
24,0
25,4
gs
+
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mt 19
5
F » © Cr
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+ Oh D QG
+10,6[+ 21,3
+10,6[+1.47,316
‘4104 na nai
50,215
56,8
G1,2
“UAALVAUASIO
REMARQUES.
.
Niv.+5P,94.
Moyenne de 3 obs.
Bord inf, à 42m4s.
*sunoc
SJ
5)
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
CORRECTION (e] Lo El cl ©
PASSAGE rs MOYENNE | =2 > Jrusemouères. = S |E
NOM GoxCLu he tome ; one CRE ER e ë A DE)
ne: | des 8h É 3 | *|2| REMARQUES.
DES ASTRES. Ë l'instru- Ja " EE = 1e este a o ch
FIL MERID. ment. | pendule} VERNIERS. £ 5 © rieur, | rieur. S 5 Æ
s. © 1 171 11 mm. o o 1 (41 st
(855) Gémeaux... .4 B.
(859) Gémeaux ..… 340.39.14,0[ 4,7 + 29:7 »
43 € Gémeaux.... 337.37.46,0| 5,3 + 2b,4 »
45 o Gémeaux .... 342.34.51,5|+ 5,0 + 32,2 »
53 z Gémeaux.... 330.35.40,0|+ 4,8 + 18,1 »
55 9 Gémeaux.... 336.29.34,5|+ 5,0 +b245;7 »
65 : Gémeaux..... 330.39.21,5|+ 5,0 + 18,2 »
ax? Gémeaux... .. + 5,041336.32. 7-7\+ 5:0/728,94 8,54 9,9/+ 13,9/60,8| »
81 g Gémeaux... 339.52.16,0|+ 4,8 l+ 9.9!+ 28,8 »
85 Z Gémeaux..... 338.27.51,2|+ 5,5 | +271 »
2 w' Cancer...... 332.56.35,7 + 4,7 + + 20,8 »
9 p'Cancer...... 335.40.50,0[+ 5,5 + 25,9 »
16 C1 Cancer..... 340.38.29,5[+ 5,0 + 9,0]+ 29,9 »
18 y Cancer. .... 3 331. 2.23,7|+ 4,7 +. 18,8 »
2a @1 Cancer..... 330.21.21,0[+ 5,6 + 18,1 »
33 n Cancer...../ 337-47-21,7[+ 5,6/729,0) 8,3/+ 5,11+ 26,6 »
DMble serres 3 + 3,65 348.31.16,0|[+ 2,6/729,71 7iilt 4:7h+ 41,3)57,5| »
PANBIE eee + 3,45 350.17.47,0|+ 44 + 44,0/57,0| »
BPABIE = 7-12. 19.47.40,06+ 0,31|+ 3,30]352.4/. 8,ol+ 4,5 + 5,314 47:9/60,9| » |Niv.16P,04.
Vénus, 2m bord...|20./49.31,90]+ o,21 15. 8.59,7|+ 5,1/529,7l 8,3/+ 8,0!+r.48,0 » [Centre au méridien.
Soleil, 2me bord. .4|23.47.24,31|+ 0,46 »
« Petite Ourse S..4| T- 1-56,27 270.18.11,0|- 6,3/728,7| 9,7|+11,6!- 5o,4/5r,2| »
B Petite Oursel...4| 2-21.22,74/- 2,75|+ 2,70]253.34.50,5!- 3,5 —1.32,3|50,4| »
æ Baleine........ 3| 2.54. 7,96[+ 0,48|+ 2399 »
Perstesten rue. 313.11,30]+ 1,02|+ 2,50|309.27.58,0[— 4,r 728,2] 9,8/+10,41— 3,0/52,6| »
69 v' Taureau. ..4| 4:16.58,66|+ 0,67 336.18.22,2/— 3,5 + 9,5l+ 24,6 »
86 p Taureau....4| 4-25. o,04|+ 0,56 À »
œ Taureau...... 4 4.26.58,55 + 0,56 + 2,68 342.34. 97 — 3,1 728,2 97 + 32,3 58,6 »
(43) + Taureau... 4.32.53,27 + 0,61 336. 6.30,:1— 3,1 + 24,4 »
102 : Taureau. ...| 4.53./6,61]4 0,60 337.24. 2,2|- 3,5 + 25,9 »
GTTEVTE see sens ee 5.25.52,06[+ 0,43 16.40.40,0|- 3,5/728,6| 9,3[+ 8,0]+1.55,1 »
2 OrION-e. cute 522 | 5.46.44,20f+ 0,5o[+ 2,551351.23. 2,0|— 2,9 + 45,2159.8| »
y Dragon I....... 5.53. 1,67] 1,07|+ 2,06 »
4 Gémeaux....... 6. 1. 2,29]+ 0,62 335.44.22,0|— 2,1 + 78l+ 24,1 »
y Gémeaux....... 6. 7.28,03]+ 0,62 334.58.22,0|— 2,0 + 23,2 »
13 p Gémeaux. ...| 6.13.31,6;[+ 0,61 336.10.18,5|— 2,3 + 24,6 »
16 Gémeaux..... 4! 6.18.40,361+ 0,60 338.10.28,0|- 1,9 + 27,0 »
3 Petite Ourse [..4| 6.22.58,27 265.22.13,7|— 2,6 1. 0,7/54,5| »
a Grand Chien....| 6.38.17,90]+ 0,43|+ 2,95] 15.14.44,0/- 3,r +1.48,4155,0| »
(855) Gémeaux. .4| 6.47-12:53]+ 0,58 »
(859) Gémeanx.…...| 6.48.38:36|+ 0,58 340.39.24,0|- 3,1 + 30,0 »
43 € Gémeaux...:.| 6.54.51:85]+ 0,60 »
45 à Gémeaux. ..4 6.59.25:73 + 0,56 342.37. 4,o|- 2,3 “i 32,5 »
53 z Gémeaux....| 7. G.12,69[+ 0,67 330.35.b2,7|— 2,9 H 18,3 »
55 à Gémeaux... 7-10.48,79 + 0,61 336.28.18,o[— 3,0 + 7,5 25,0 »
55 « Gémeaux... .. 7-16. 2,414 0,67 e »
a? Gémeaux. ..... | 7-24.38,81/+ o,71|+ 2,62 Na »
QVIL. 144) Piazzi.. | 7.27.55,531+ 10,60 338.15.20,5/- 2,3,729,2) 8,414 6,7l+ 27,2 »
85 / Gémeaux...4%| 7-46.34,o2Ï+ 0,60 338.28. 1,7/— 1,2 + 6,714 27,4 »
2 w' Cancer.....3| 7.51.29,710+ 0,65 332.56.43,7|— 2,3 + 21,0 n
18 y Cancer... ... | 8-10.3b,471+ 0,66 331. 2.30,0|— 2,9l + 18,9 »
22 w' Cancer... .4] 8:16.58,621+ 0:67 330.2r.30,0|— 3,3! + 18,1 »
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
NOM
DES ASTRES.
l:8 Soleil, zer bord . .4/23.48.5r,50f+
æ Cassiopée
a Petite Ourse S..4
æ« Lièvre
136 C Taureau...
y Dragon I
16 Gémeaux. ...
à Petite Ourse I...
œ Grand Chien. ...
(855) Gémeaux. .4
(859) Gémeaux...
43 G Gémeaux...3
45 o Gémeaux. ...
53 z Gémeaux. ..3
Soleil, 127 bord... .|2
œ Cassiopée
æ Petite Ourse S. .2
œ Persée....... .
B Taureau
a Lièvre
131 O Taureau. ./
136 C Taureau...
œ Orion
4 Gémeaux.......
9 Gémeaux
16 Gémeaux
9 Petite Ourse I..4
27 € Gémeaux .../4
« Grand Chien....
(855) Gémeaux... .4
(859) Gémeaux ..….
43 © Gémeaux...
45 o Gémeaux ....
55 9 Gémeaux. ../
65 : Gémeaux.....
2119.47-33,19]t
21. 2.47,10ÏT
21.14.43,17Û+
CORRECTION
PASSAGE Fe
CONCLU
au
A l'instru-
FIL MERID.
iucul.
0,60
0,0
0,49
0,43
0,46
1,21
=
0,43
0,66
0,50
1,07
0,60
0,43
0,58
0,58
0,60
0,56
0,67
0,71
0,51
0,50
0,92
1,48
GORE Gb = CE Fe D
HOT 00:00 FE COLE CE UICC 1
= Goom b + Lo
D LD +31 O7 O7 O7 C3 O7 O7 QE En Ur Er
0,47
1,21
1,02
0,67
0,43
0,54
0,66
0,50
0,62
0,62
0,60
0,64
0,43
0,58
0,58
0,60
0,56
0,6x
0,67
Me
0,50
0,4
04
1,48
mm À
MOYENNE
des
VERNIERS.
337-47-28,0
350.17.55,5
0,941352. 4.12,2
14.56.34,0
o.-6.4r,5
0,40/303. 5.25,5
15.14.46,2
359.10 40,5
1,681305. 5.25.5
© 270.18. 7,0
2,09/309.27.59;2
2,25 SRE
16.40.35,0
7
338.10.28,0
340.39.12,0
337.57.50,0
342-3457 ,2
352.44. 7,2|+
14.29.55,0|+
— 3,66/296.50.57,0|+
OuaAIU np
NOILOYUHO9
ee D
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"AULHNOUYA
THERMOMETRE,
—__—
Exte-
rieur,
“NOILOVHAAU
+ 7:0]+ 26,6
A+ 3,714 442
+ 48,2
+ 9,0]+1.46,7
+11,8l+1. 0,4
+13,5- 9,2
+13,2]- 50,1
+10,1 HE:
CI
HIFI +F+
=
‘4104 na a311
"MAAILVAUASUIO
REMARQUES.
Niv.+5 P,82.
Centre au méridien.
Bord inf. à 4gmbs,
Niv.+6P,40.
Bord sup. à 53"30s.
|Centre au méridien.
14
Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843.
3 NOM
ë
É DES ASTRES.
20|Soleil, 1° bord... :
Vénus, 20e bord...
21/Soleil, 1er bord...
œ Cassiopée...... 4
æ Petite OurseS. .4
æ Taureau .......
9 Petite Oursel...,
æ« Grand Chien. ...
(855) Gémeaux...
(859) Gémeaux ..….
43 6 Gémeaux. ..2
45 o Gémeaux.../
53 z Gémeaux....
55 à Gémeaux...
65 Gémeaux... .3
a? Gémeaux...,.3
œ Pctit Chien. ,...
B Gémeaux.... ..
18 y Cancer... ...
22/Soleil, 1°r bord....
æ Petite OurseS..1
23|Soleil, re" bord...
x Cassiopée.......
« Petite Ourse S, .3
24|Soleil, 1er bord...
x Cassiopée.....,.
x Petite Ourse S. .4
43 © Gémeaux...
45 o Gémeaux...
53 z Gémeaux....
55 à Gémeaux...
65 : Gémeaux... ,.
a? Gémeaux......
(VII. 144) Piazzi..
æ Petit Chien ....3
B Gémeaux...... 4
85 / Gémeaux...3
22 w' Cancer.....
33 n Cancer..... 3
28|x Taureau ....., 3
x Cocher......02.
B'Orion-..-:..4 ra
B Taureau........
miOrIOn----..-- 4
«2 Gémeaux......
æ Petit Chien.....
B Gémeaux......,
65 :? Cancer...
CORRECTION [e] œ nl CI
PASSAGE MOYENNE |=2 = frucnuouërre. Se 5
CONCLU 1 SE 2 — à — ë 2
au H QE $ 8 œ- ; s 3 É
ic MéRip, | instru VERNIERS. | © 5 ë ne es 2 ë
h. m.s s 2] 1" |
23.56. 4,18]+ 0,47 + 1.8 58,3
21. 7.12,02|+ 0,43 + 2,9 42,8
23.59.40,42|+ 0,47 358.23.21,0|+ 0,8 56,2
0.3t.30,11|4+ 1,21
1. 1.48,25 270.18. 2,0|+ 1,9 49,5|50,0
4.26.49,641+ — 6,171342.34. 5,214 2,5 31,4158,7
6.22.51,41 265.22. 8,o[+ 2,9 59,2|55,8
6.38. 8,664 15.14.42,0|[+ 2,4 -46,1156,0
BE + 0,58
.29;25]4+ 0,58 340.39.14,0|+ 2,3l721, 20,5
6.54.43,02|+ 0,60 337 SARL o + 2,3 AE 26,2
6.59.16,70+ 342.34.53,5|+ 2,3 31,9
7- 6. 3,67|+ 330.35.43,0|+ 2,3 18,0
7-10.39,61|+ 336.29.38,0|+ 2,1 24,5
7.15.53,33|+ 330.39.24,2|+ 2,1 18,1
7-24.29,70]+ o,71|- 6,40|326.32. gso|+ 2,1 13,859,3
7-30.59,92]+ 0,50! 6,61|353. 7-577|+ 2,1 47,3|5b,2
7.35.37,39l+ 0,67|- 6,52
8.10.26,49]+ 0,67 331. 2.30,0|[+ 2,3 18,5
0. 3.16,88|+ 0,47
1. 1.42,90
o. 6.53.36+ 0,47 358. 8.22,0|+ 2,3 55,1
0.31.26,52]+ 1,21|— 9,89
1. 1.42,60 270.18. 6,7|+ 1,8 49,0/54,6
0.10.29,60]+ 0,47 357.12.38,0|— 1,0 54,9
0.31.24,784+ 1,21|—11,64/303. 5.27,5| o,0 91156,6
1. 1.40,20 270.18. 7,5|+ 0,3 49:4153,3
6.54.37,23]+4 0,60 337.57.58,0|+ 0,6 26,1
6.59.11,13]+ 0,56 342.35. o,7|-— 0,2 31,7
7- 6.58,23|4 0,67 330.55.5r,5|+ o,t 179
7:10.34,24]+ 0,61 336.29.46,0|+ o,1 24,4
7-25.47,971+ 0,67 330.39.30,0|+ 0,2 18,0
7-24.24,37 + 0,71|-11,68
7-27.41,17 4 0,60 338.15.22,0| o,0 26,5
7-30.54,564+ 0,bo|-11,92
7.35.31,92|+ 0,67|-11,94
Den + 0,60 338.28. 6,2|- 0,3 26,7
-16.4/4,15]+ 0,67 330.21.27,0|— 0,3 7
8.23.27,3o[+ 0.60 337.47.26,0|-— 0,7 26,0
4.26.36,08[+ 0,63|-19,55342.34.10,0[t 1,2 31,9/62,5
5. 4.46,89l+ 1,21|-19,70
5. 6.40,80[+ 0,38/-19,64] 7. .8 4,o[t 2,3 17:8|59,9
5.16. 3,41] 0,82/-19,71]330.17.31,0|+ 1,3 17:7[59:9
5.46.21,68[+ 0,53/-19,75[351.22.57,7|+ 2,1 44:7|59:9
24.15,95|+ + 1,1 13,9/63,4
7 30.46,321+ + 2,2 #7 »7 61,0
35.23,63|+ 0,82|-20,00|33.021.43,7|+ 1,8 17:9/60;7
8.42.55,65[+ 329.50.13,2|+ 1,3 173
“UNAILVAHASIO
REMARQUES.
Bord inf. à 5ymps,
Centre au méridien.
Bord sup. à om4#4s.
Nuages.
Id.
Bord inf. à ymbbs, |
Niv.+6P,5g.
Bord sup. à 11295.
Niv.+6,44.
Ondul.
Nuageux.
Nuageux.
Id.
£
15
Observations faites. à la lunette. méridienne en Mars et, Avril 1843.
CORRECTION 2 m F3
s Lee PASSAGE de MOYENNE | 22h: 2
? DES ASTRFS. | " L'instru-| la ane 3
FIL MÉRID. | ment. | pendule] VERNIERS. | © É
ha ‘nus: 5. s. FAQ LOUE 11 :
2g|x Cygne......:.. 20.35.40,27|4 n1,19|-23,61/314. 2.48,5|4 2,2|729,9
æ« Céphée. ....:. 3/21.14.22,99|+ r,99|-23;72
3o|Soleil, 1° bord....| 0.32. 494 + 0,50 355.23.46,7|+ 1,8
æ Petite OurseS...| 1. 1.19,49 270.18.11,2|#+ 1,8
œ Cocher........ 4| 5. 4.42,07|4 r,2n|—24,47
G Orion........ 4| 5. 6.36,28|}; 0,38 —24,13 7- 8. 9,b|4 2,5
DAOMON eee 1.0 5.46.16,94[4 0,53/-24,46/351.23. 0,5|4 1,7
3 Petite Ourse I..4| 6.22./0,80 265.22.11,5|4 5,4
æ Grand Chien....| 6.37.50,62|4 0,32|-24,19) 15.14.50,2|4 2,3
43 € Gémeaux....| 6.54.24,53|4 0,68 337.57.58,7|+ 1,7
45 o Gémeaux....| 6.58.58,53|4 0,65 342.35. 2,2|+ 1,9
53 z Gémeaux....| 7. 5.45,53[+ 0,82 330.35.49,7[+ 1,9
55 4 Gémeaux.... 7-10.21,45 + 0,71 336.29.43,7 + 17
65 « Gémeaux... ..| 7.15.35,29|4 0,82 330.39.24,7|+ 1,5
œ° Gémeaux...... 7:24.11,53|+ 0,88|-24,23
(ViL. 144) Piazzi.. .| 7.27.28,39|+ 0,69 338.15,20,5|+ 2,0
œ Petit Chien...... 7.30.41,841+ 0,53|-24,511353. 8: 5,5|+ r,7
G Gémeaux......4| 7.35.19,07|+ 0,82|[-24,53]330.21.4b,o|+ 1,4
[85 / Gémeaux ....| 7.46. 6,89[+ 0,69 338.28. 3,0o|+ 2,5
2 w' Cancer...... 7-51. 2,61|+ 0,80 332.56.41,0|+ 1,7
p' Cancer. .... 3| 7.56.37,03|+ 0,76 335.40.55,5|+ 1,9
16 £: Cancer..... 8. 2.49,33]+ 0,67 340.38.39,5|+ 2,2
18 y Cancer.....4| 8.10. 8,30]+ o,8r 331. 2.27,2|+ 2,4
2a p' Cancer. .... 8.16.31,411+ 0,82 330.21.28,7|+ 1,7
33 y Cancer...... 8.23.14,57l+ 0,70 337.47.28,0|+ 2,4
48 « Cancer. ..... 8.36.48,37|+ 0,83 329.26. 1,0|[+ 2,3
55 52 Cancer... ... 8.42.51,39|+ 0,83 329.50.18,o|t+ 2,6
a Hydre........ &| g-19.29,59[+ 0,38/-24,691 6:43.52,5|+ 3,2
B1|Soleil, 12 bord... .| 0:35.41,22]+ 0,51 354.28.30,0|+ 0,6
a Petite OurseS..2| 1. 1.16,10
æ Céphée......... 21.14.18,63|+ 1,99/-28,16 296.50.58,7|+ 1,7
Vénus, 2me bord. . .|22.55.51,76|+ 0,35 11.13.28,0|+ 2,1
a Andromède. . . .2[23.59.48,14[+ 0,82|-28,29 330.32.17,2 + 0,6
M1|Soleil, 1er bord... .| 0.39.17,34]+ 0,51 354. 5.20,0|+ 0,3
1 a Petite OurseS..4| 1: 1.12,b7 270.18.13,5|+ o,9
k2|4 Céphée........ 211414,15|+ 1,99|-32,73/296.5r. o,o|+ 1,5
œ Verseau........ 21.57.10,88]+ 0,45|-32,03|359.49.48,0+ x,3
3|Soleil, zer bord... .3| 0./46.29,80]+ 0,51
pme bord....| o.48.38,54|+ 10,57
œ Petite Ourse S..3| 1. 1. 6,60 270.18.12,5/4+ 1,21731,3
æ Orion... .. ..| 5.46. 8,o2|+ 0,53|-33,3r
4|x Céphée......... 21.14.10,27|+ 1,99|-36,70|296.50.59,5|+ r,0/730,8l
8 Céphée LS OS Eu 4 212888 30 + Der -36,67 RTE ou # o,1 î
Nadine. ec 132.33.57,2|+ 0,2
Ha Orion. ...:..,. 5.45.59,56[+ 0,53|-#1,711351.23. 9,0|- 0,5/728,7
THERMOMÈTRE.
a ——,
Inte-
rieur.
10,7
Extc-
rieur.
“NOILOVUAAU
‘4104 na n311
64,0
6r,2
“HAILVAUASUO
REMARQUES.
Niv.+6P,13.
Bord inf. à 33m6s,
Nuageux.
Id.
Id.
Id.
Bord sup. à 36425.
Nuages.
Centre au méridien.
Niv.+5,67.
Bord sup. à 4om4os,
Ondul.
Faible.
Très-ondul,
Niv.+6,49.
Moyenne de 3 obs.
II
12
16
Observalions faites à la lunette méridienne en Avril 1843.
PASSAGE FAT ÉRORA MOYENNE | =
de Er
NOM. CONGLU De se — ne E
DES ASTRES. 4 l'instru-| la Ë
FIL MÉRID, | ment. pendule} VERNIERS. L
pe mt LS: s s. «2 1 LENS
o Petite Ourse 1..3| 6.22.27,19 265:22:14,0|-—
a Grand Chien....| 6.37.33,48|+ o0,32|-41,18] 15.14.54,5|-
Lune, 1 bord....| 7. 0.36,27l+ 0,70 336.59.13,7|—
œ* Gémeaux...... 7-23.54,o1|+ 0,88|-41,59|326:32.18,0|-
œ Petit Chien ..... 7:30.24,42l+ o 753 —k1,80|353. 8: 7,0
B Gémeaux....... 7-35. 1,71[+ o 82 —41,761830.21.50,0|-
2 w' Cancer...... 7.50.45,211+ o 80 332.56.44,0
9 p' Cancer. ..... 7-56.19,67|+ 0,76 335.41: 1,2
16 C' Cancer..... 8. 2.31,91]+ 0,07 340:38.42,2|+
18 y Cancer... ..4| 8. 9.50,95[+ 0,81
(GITE 713 8.11.15,66|+ 0,88 327.32.52,0|—
33 Cancer... ... 22.55,21]4 0,70 337.47: 33, 5|-
48 « Cancer. ..... 8.36.31,;o1|+ 0,83 329.26: 3,0|-
55 p* Cancer... ... 8.42.34,05|+ 0,83 320.50.18.0 ge
60 «' Cancer..... 8.46.40,8ol+ 0,59 346.32.25,0
65 4° Cancer....4| 8.49.13,60[+ 0,59 346.17.59,5|+
MESÈD. ee ao 0 4| 9-11.23,76[+ 0,75 334.33.20,5|-
a Hydre......... 9-19-12,561+ 0,38|-41,62] 6.43.58,0|-
8 Céphée I....... 9-25.56,10)- 2,81|-41,541248.40. o,0[-
a Petite OurseS..4| 1. 0.57,70
On retourne l'instrument.
NOILOHUUOI
*AULANOUFA
THERMOMÈTRE.
a
Inté-
rieur
j—__—
Extc-
rieur.
*NOILOVUAAU
‘31104 na ng11
“UNILVAUISUO
1,2 728, 5 m5 119,3 — ‘58. z 58, 3 B.
0,3|728,5
1,9/728,4
0,b|728,3
0,0
0,2
0,0
0,0
0;1
0,8
0,7/728,1
0,3
0,5
0,0
0,6
0,3
0,1
728,3
0,2|728;r
8|Cercle Est, Niv.+6P,76. Le fil méridien est de 4,16 à l'Est de la mire.
Cercle Ouest, Niv.+5r,62. Le fil méridien est de 12,58 à l'Ouest de la mire.
ps +1: bar 63,7
17,0
17,24
17,0
16,3|4
HF ++ ++
+1
24,
13,5/65,9
+ 46,5[62,b
1 7h84 64,1
20,2
23.2
29,1
45,4
—1.50,6|59,9
]
On corrige une erreur d'axe optiqne de 8r ; on laisse l'instrument le Cercle à l'Ouest.
œ« Taureau....... 426. 7,05}+
« Andromède. ...2|23.59.26,52]+
x Cassiopée . .... 4| 0.30.46,6:}+
a Petite OurseS..4| 1. 1.109,15
Soleil, 12 bord....| 1.19. 5,68/+
ax Taureau ....... 4.26. 4,831+
æ Cocher......... 5. 415,814
B Orion ......... 5. 6. 9,46|-
B Taureau........ 5.15.32,27|+
œ Orion. ........ 5.45.30,444+
ê Petite Ourse I...4| 6.22. 7,65
æ Grand Chien....| 6.37.24,06|-
a? Gémeaux..... 3| 7.23.45,0414
a Petit Chien..... 9-30.15,14+
G Gémeaux....... 7-34. Eh
2 w'Cancer...... 7.50.35,93|+
g u' Cancer...... poPrne +
16 &' Cancer..... 1.22,409|+
18 y Cancer. ..... 8. 9.41,63[+
33 n Cancer...... 8.22.48,o1|+
48 « Cancer...... 8.36-21,91 +
55 p? Cancer ..... 8.42.24,831+
60 &' Cancer....4 8.46.31,71l+
65 a? Cancer..... 849. 4,4ol+
0,10|—48,96/282.33.39,b|+ ft) 727:9 +14,7
0,18 —posga 294.35.35,0|+ 6,0! 730,2 164
0,33 50,68 % 2.20,0[+ 5,4/730,2! 16,4
54.49. 33, 5[+ 4,8/730,0! 15,8
0,05 275411: 9,2|4 5,3/720,7] 15,5
0,10 -51,15 182. 33. 43 2 214 6,0/728,1| 13,8
0,36|-5x 33 ‘
0,05|-51,15/257.59.44,5l4 5,0 727,5] 12,7
o,18/-51, . 294.50.15,0|+ 5,5
0,04|-51,24 no He 214 43772735 12,7
juil Sogéatass bol 47 lan éleusss
0,22|-51,12/290.35.39,7|+ 4,2:727,2] 11,3
0,04 5149 271.59.52,5|+ 3,8
+ o,18/-51,30/294.46. 6, o[+ 4,0 727,1] 11,0
0,17 292.13. 435 + 4,0
0,15! 289.26: ve F, 377
o,11 por .29.19,2|+ 3,7
0,18 . b.22,0|+ 3,4
0,12 ru 20:16,0[ 4,0:7268| 10,0
0,19! 295.41:47,5|+ 4,0
0,19 295.17:36,2|+ 3,8
0,08 278. 3%. ee 2|+ 4,2|
6,08, 278: 5o. 3,51+ 4.3!
61,9
REMARQUES.
Très-faible.
Ondulante,
Bord sup. à 1"465,0
Très-faible.
Ondul.
Id.
Ondul,
Faible et ondulante,
Id.
Bord sup. à 20m8s5,
Très-ondulante.
+ S
17
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1843.
| PASSAGE D te MOYENNE 2 o > THERMOMÈTRE. &. = E
NOM. CONCLU : Rwsgsees = = 6 2 = £
en des É = A one Aer | (e] E = REMARQUES.
DES ASTRES. ; l'istru-| Ja EIRE Inté- | Exté- = 3 | =
FIL MÉRID. À 'meut, | peugale) VERNIERS. | © © | & rieur. | meur| © LE
RAS: S, CS D lt 7 21 min. 0 o DT FRE ;
76 x Cancer......| 8.58.25,00!+ 0,07 277.40. 1,7[+ 451 — 39,7 B
81 x' Cancer..... 9. 2.52,4ol+ 0,10 281.59.42,2|+ 3,6 = H38:6 »
82 x* Cancer..... g- 5.44,02l4 0,10 281.57.36,04 3,8 — 33,7 »
VESTE, mess 9-12.26,83[+ 0,15 290.20.57,0|+ 3,6/726,9|+ 9:81+ 3,6]- 23.2 »
84 + Lion....... 4{x1.19. 2,89l+ 0,03 270. 5.40,o|+ 4,7/927,2] 14,0/— o,1]- 52,8 »
Dnuion.. 11.28. 5,52] 0,00 266.25. 9,0+ 1,2 - 59,g »
(167) B Vierge. .4|11.42.11,98]- 0,03 »
Lune, 1e bord... .|11.43.24,50]- 0,05 262 1.30,0+ 1,3 — 0,3]-r1.10,1 » |Bord sup. au mérid,
15 » Vierge..... 3112. 9-48,43] 0,00 266.35.36,21+ 1,4 — 59,7 »
21 q Vierge. ..... 12.24.52,00]— 0,05 2b7.47.44,01+ 3,41527.0) 13,1)— 0,7/-1.21,6 »
13|Soleil, 1° bord... 1.22.43,97|+ 0,06 275. 1. 4,0/+ 6,41724,3] 14,9 +11,41- 42,3 » [Bord inf. à 23m/65,
œ Verseau........ 21.56.48,98]- 0,01/-55,24/265.18. 4,o|+ 4,8/730,3] 10,3] 5,0!-1. 1,5/54,2] » |[Niv.tir,65.
| Vénus, 2me bord. .|22.52.45,06|— 0,05 258.28.46,7|+ 5,5 b,8l-1.18,2 » |Centre au méridien.
l |x Pégase. ....... 2122.56. 2,004 0,09 -55,34/280.44. 7,214 5,71730,7| 10,7| 5,9]- 35,2153,5| »
œ Cassiopée ..... 4] 0.30.41,86|+ 0,53/-55,47l322. 212,214 5,31731,6] 13,7| 7,9[+ 9,4/153,3| »
œ Petite OurseS..4| 1. 1.14,35 354.49.32,2/+ 5,0[731,7) 13,2! 7.9{+ 51,2/60,1! »
Ir4|Soleil, 1er bord... .| 1.26.22,341+ 0,06 275.3/4.49,5|+ 5,8[731,7] 13,2] 7,9) 42,4 » [Bord sup. à 27m155,
|| |: Gémeaux... 3| 7-23.39,971+ 0,22|-56,16/298.35.40,7|+ 4,7 — 14,1/55,3| »
| œ Petit Chien ..... 7-30.10,48]+ 0,04/-56,12l271.59.51,0[+ 5,3 — 48,3158,8| »
| |B Gémeaux....... 7.34.47,751+ 0,18/-56,21/294.46. 6,71+ 4ol731,4f 11,7) 7,41 18,1/56,3| »
À Mestas silice 4| 9:13.44,08[+ 0,15 290.14.30,5|+ 3,81732,11 10,4] 5,7]- 23,4 »
æ« Hydre........, 9.18.58,26|- 0,05/-56,25/258.24. 2,0|+ 3,5|732,2] 10,4| 5,7/-1.18,6/58,5| »
| 153 / Lion..... "...[10.40. 6 34H 0,06 277-44477l+ 3,31732,8] 10,4] 5,2] 30,6 »
| 54 Lion, préc....4|10.46.12,42]+ 0,16 291.57. 9,2[+ 2,9 ED » ÿ
HU 158 ZLion...... 4]10.51.33,13|+ 0,03 270.49.58,0|+ 3,5 — 50,9 »
D 165 P°Ison....... 10.57.59,78[+ 0,02 269.10 5o,0|+ 2,6 - 53,9 »
70 0 Lion....... &lax. 5. 6,10]+ 0,10 282.39.22,0|+ 2,9 — 32,9 »
HGPEAION * ss à «1 11. 9.57,76[+ 0,02 268.53. 3,514 3,1 — 54, »
BAPE tOn.-:.. .- 4 LEA È EG DE + 0,03 270. 5.36,0|+ 2,9 — 52,3 »
87e Lion....... 2[11.21.23,90]- 0,01 264.14.24,0+ 3,5 —1. 4,2 »
91 v Lion....... . |[11.28. 0,94] 0,00 266.25. 7,2|+ 3,2 732,9] 10,2 4,31 ‘59,5 »
1 13: Vierge........ 11.36.53,441+ 0,04 273.46.53,0[+ 2,6 | — 46,0! »
1h |(x67) Z Vierge....|11.42. 7,18] 0,03 1261.55. 8,5/+ 2,3 1: 7 |»
y Grande Ourse. .3|1:1.44.39,79l+ 0,50/-56,48]320.55.39,71+ 2,31733,0] 10,0! 4,3+ 8,4156,6! »
œ Petite Ourse L..4|13. 1.31,50 357.52.30,0|+ 3,6,733,3 11,8| 3,71 57:9|60,2 »
DANierpe... .. |. 13.16. 2,18/- 0,06-56,77l256. 2.140,04 2,3 3,51-1.26,6/60,0! »
Lune, 2"ebord....|13.44.56,641- 0,06 »
a Verseau........ 21.56.46,50- 0,01/-57,75/265.18. 7,54 5,21733,7] 9.6! 6,7/-1. 1,4158,0| »
a Grande OurseL..4|22.53. 6,03|- 0,69/-58,141 23.43.18,2{+ 5,7 +2.44,4154,3| »
a Pégase... ..... 2122.55.59,5o+ 0,09/-57,86/|280.44. 6,2[+ 5,2 733,6] 10,3| 7,3] 35,2153,0| »
« Andromède. .... 23.59.19,37]+ 0,18|—-57,91/294.35.35,2|+ 6,3 — 18,3157.3| »
y Pégase......... o. 4.12,10]+ 0,09 —57,95/280.4r. 8,5+ 5,81733,3] 10,5| 9,1l- 35,0/59.6| »
œ Cassiopée ...... 0.30.39,30]+ 0,53 ©58,05|322, 2.15,21+ 5:7 10,31+ 94l57:1| »
œ Petite Ourse S..4| 1. 1.11,30 354.49.35,2|+ 5,9|732,9 10,8| 10,41+ 50,9|60,0 »
15|Soleil, ser bord... .| 1.30. 0,82}+ 0,05) 275.4419,7l+ 5,8/732,9| 11,3] 10.8] 42,3 » |Bord inf. à 31m9$.
« Taureau ....... 4.25.57,611+ 0,10|-58,341282.33.39,7|+ 6,1/731,8] 10,6| 12,7 32,0154,9! »
Cocher... .: 5. 4. 8,411+ 0,36|/-58,68 »
G'Orion 4... 5. 6. 2,40- 0,05|-58,23]256.59.44,0o|+ 7,6/731,2] 11,7] 12,4/-1.17,8 57,5| »
DIS Taureau........ 5.15.24,93[+ 0,18/-58,56/294.50.18,5|+ 6,9 731,2] 11,7| 11,8]- :7,8/59,0| »
Dé Orion......... 5.45.43,10ft 0,04/-58,54/273.44.48,0ol+ 6,3 12,3]- 44,6154,2| »
*‘sunof
18
19
20
E)
28
18
Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1843.
NOM
DES ASTRES.
à Petite Ourse I..
a Grand, Chien....
16 G: Cancer.....
18 y Cancer... ...
33 » Cancer
48 « Cancer. .....
55 p? Cancer... ...
60 &' Cancer....
65 &? Cancer...
76 x Cancer
81 x' Cancer
82 x° Cancer.....
ss...
a Petite OurseS..
Soleil, 1er bord ...
G Orion........
G Taureau........
à Petite Ourse I...
x Hydre
œ Lion
6 Lion
” Grande Ourse,..
a Pégase.........
œ Cassiopée......,
« Petite Ourse S...
Soleil, 1° bord... .
Soleil, 1 bord. ..3
æ« Orion
œ& Grand Chien....
a? Gémeaux... ..
x Petit Chien. ....
BG Gémeaux....
37 Lion
BEM ER TST
5h Sextanls ets
54 Lion, préc.....
æ Pégase.........
æ Cassiopée.......
œ Petite Ourse S...
Soleil, 1°r bord...
48 « Cancer
60 «' Cancer...,4
CORRECTION el S 2 =
PASSAGE * MOYENNE | =£ = Jruennouërne. y 5
CONCLU RE . 2.5 CD Re > ë
E l'instru- wa Ë 3 LÉ . AT 3 8
FIL MÉRID, | ment. venviens. | © G | | | Eté © Ê
2 : 5 i 53 L
s © ta 71 "1 o o CT 11
O,11 249.52.59,2|+ 5,8/730,6{+11,8/+12,1]-1.46,9| 52,4
0,11 284.29.18,5|+ 4,7 11,0| 11,3]— 20,7
0,18 294. b:21,5|4 4,2 — 18,6
0,12 207.20.23,7|+ 4,7 10,)]- 26,3
0,19 292.41.53,0|+ 4,7 — 16,9
0,19 295.17.36,0|4 4,7 = 1754
2 + 0,0ù 278 35.41,5|+ 5,3 — 37;7
8.48.57,12 + 0,08 278.50. 0,5|+ 4,8 = 1374
8.58.17,66|+ 0,07 2977-40. 3,7|+ 4,2 — 39;1
9: 2.45,04 4 0,10 281.59.43,7|+ 4,2 — 392,4
9. 536,844 0,10 281.57.35,0[+ 4,6 — 33,2
9-14 10,441 0,15 290.10. 2,2|+ 4,7 — 23,1
9:18.55,74/- 0,05/-58,76]258.23.57,5|+ 4,4 10,1| 8,5[-1.17,7/55,8
1. 0.358,30 354.49.35,21+ 4,2 12,8| 13,of+ 50o,:156,5
1.44.39,54/+ 0,05 257. 8.58,514 4,517 13,1 134f- 39e!
5 Sd n 0,36 67,96 7 3 4, ? ? 9
5. 5.52,93/- 0,05|-67,03|257.59.47,5|4 4,9 13,5] 14,8]-1.16,7|58,7
5 15.15,49]+ 0,18 —67:941294.50.15,7|+ 4,7 14,81 17,5154,5
5.45.33,92{4 0,04/-67,b7]273.44.49,5|+ 4,7 13,7| 15,0) 43,9154,7
6.21.55,60
18.46,66[- 0,05|-67,78/258.23.56,0l+ 2,3 12,41 13,0/-1.16,1/53,8
9.58.54,621+ 0,08|-08,111279. 6.12,0|+ 2,5 12,4| 12,2l- 36,5/56,2
10.52.54,311+ 0,69/-68,361328.57.23,2|+ 2,2 12,3| 11,3l+ 16,3154,9
11.39.57,42+ o,r0[-68,20|281.49. 7,2|+ 1,8 — 33,0|b3,8
11.44.27,541+ 0,50|-68,66/320.55.44,5|+ 1,8 12,3| 10,3]+ 8,2/59,5
22.55.48,32l+ o,10[-60,14
0.30.27,6414 0,53|-69,82|322. 2.18,ol4 4,4 15,3! 16,8[+ 9,1/59,2
1. 0.523,50 354.49-35,0|+ 4,4 15,3| 16,9]+ 49,3/62:1
1.48.20,56[+ 0,07 278. 1.36,0|4 5,8 15,8| 18,9/- 37,1
2.14.20,541+ 0,08 279.49:13,0[+ 4, 12,3| 11,4/- 35,5
5.45.17,260 + 0,04|-84,35/273.44.48,0|4 Fe 11,8 85 — 418 52,1
6.36.50,961- o,r1|-83,79l249.53. 4,0l+ 4,8 11,3] 97{-1-47,0/554
7-23.11,b1/+ 0,22|-84,13
7-29-41,944 0,041-84,46/271.59.52,2|+ 4,4 - 47:7159%4
7 34.19,39 + 0,18|-84,34 294.46. 8,04 4,4 8,6[- 17,9 5712
9-18:29,90!— 0,05|-84,431257.23.57,5/+ 1,9 9,5] 5,8]-1.17,9/53;1
9.58.38,22[+ 0,08/-8/4,42l279. G.14.5|4 4,1 gn| 5,7/- 37,51591
10. 6.52,47l+ 0,09 200.52.47,0|+ 3,8 — 34,8
10.12. 1,14[F 0,10 282. 8. 4,7|+ 5,0 g0|, 5,5] 33,2
10.33. 8,821+ 0,03 270.46.32,o|+ 3,7 — 50,4
10.45.44,08[+ 0,16 291.57.14,2|+ 3,8 5,8[- 21,2
22.55.31,68{+ 0,10 —85,97 280.44.11,0|+ 5,2 10,0! 8,of- 34,81b7,4
0.30.11,54[+ 0,53/-86,141322. 2.13,7|+ 6,5 9,71 9,3158,5
1. 046,51 354.49.30,0|+ 5,8 10,8| 10,2+ 50,5/62,0
2 18. 4,94[+ 0,09 280.40.10,5|+ 6,4 11,1| 11,6[- 34,4
8.35.46,29[+ 0,19 295.41.49,0[+ 4,5 10,9! 10,6[- 16,8
8.45.56,0b[+ 0,08 278.35.35,5|+ 4,5 — 37,4
"HAALVAUASIO
. [Faible et ondulante.
REMARQUES.
Bord inf. à 45m36s.
Très-ondulante.
Id.
Id.
Brouillard.
Ondulante et faible.
Bord sup. à 49"165.l}|
Bord inf. à 15"20°.B}!
|
(Al
Ondul. (Al
; |
Ondul. et faible.
Dr
Bord sup. à 19"4*.
19
Observations faites à la lunette méridienne en Avril et Mai 1843.
CORRECTION le] œ 1 = °
PASSAGE Fa MOYENNE |29 | % fruensouërue. = 5 | 2
NOM CONCLU TT, 2 a = 2 , e e z
BE des 20 |s 8 a | REMARQUES. ‘
DES ASTRES. | e l'iastru-| la 2 2 3 Jinté- | Exté- = 3 | so
FIL MÉRID. ment pendule} VERNIERS, : £ # ricur rieur. o S 2
65 42 Cancer....3| 8.48.28,65{+ 0,08 278.50. 0,04 4,9 B.
76 x Cancer. ..... 0,07 277.40. 2,5|+ 4,9/726,4[+10, $
œ Hydre ASÉCRO Et 3 0,09 258.23.56,5 + 5,0 256,1 » Nuages.
2 DOTE RE 0,08 279. 6..8,0+ 4,1/726,6 53,1| »
37 Lion........ 4 0,09 280.52.41,7|+ 44 »
LAN AO TEE 0,10 282. 8. 5,5|+ 4,1 »
æ Grande Ourse. .. 0,69 328.57.23,5|+ 3,8|726,8| 55,4| »
a Petite OurseS...| 1. o.4#4,11 354.49.30,0|+ 5,5/724,1 Gr,4| » |[Niv.+2P,8r.
Soleil, 1°r bord... .| 2.21.49,78|+ 0,09 280.27. 4,54 5,2]723,5 » [Bord inf. au mérid.
a Cassiopée....... 0.30. b,b4]+ 0,53/-91,09|322. 2.14,5+ 4,1|723,7 57,1| »
a Petite OurseS...| 1. 0.3g,11 354.49.32,5|+ 4,1|723,6 62,3| »
PPion (ff)... 10. 0.28,84|+ 0,08|+26,25/279. 6. 9,o|+ 3,0 72954 53,5, »
HADION ee 10. 8.43,20|+ 0,09 280.52.44,0|+ 3,3 »
HOMTION =... csee 4110.13.51,go[+ 0,10 282. 8. 4,5|+ 3,5 »
FT 10.19.49,72]+ 0,07 276.55,56,2+ 3,5 »
LE POS ERNS 10.27. 4,98[+ 0,04 274. 7.57;2|[+ 3,5|729,5 »
DS Zion 4 0 10.41.28,68[+ 0,06 277.44.38,0 [+ 3,5 »
54 Lion, préc... ..|10.47.34,72l+ 0,15 291.57.13,7|+ 3,5 »
a Grande Ourse. .3[10.54.28,05|+ 0,69/+25,741328.57.25,2|+ 3,5 56,0! »
65 p: Lion...... 4110.59.22,61|+ 0,02 269-10.50,2|+ 3,7 »
POOION- « see coke 11. 6.28,48[+ 0,10 282.39.24,2+ 3,5 »
FOLion. 1. 4l11:16.20,14[+ 0,02 268.53. 5,5|+ 3,5 »
79 r Lion........ 11:16.27,72]+ 0,02 268.38.35,5|+ 2,9 »
87e Lion....... 411r.22.46,47| 0,01 264.14.20,5|+ 3,5 »
91 v Lion..... ..|11.29.23,56| 0,00 266.25. 7,5+ 3,8|729,7 »
BADTONE 0 2e de 11.41.31,62Ù+ 0,10|+26,08 »
(167) 2 Vierge... .|11.43.29,90|- 0,03 261.55. 4,514 3,5 »
y Grande Ourse..2|11.46. 1,)8[+ 0,50|4+25,58[320.55.40,o[+ 4,1 54,8| »
(1383) Vierge... .…. 11.50.40,08|+ 0,03 270.43.44,0[+ 3,5 Ù »
9 o Vierge....... 11.57.41,46[+ 0,06 275.58.30,2+ 1,4 »
12 & Vierge....... 12. 5 54,96|+ 0,06 277.30.24,0|+ 1,4 »
13 x Vierge..... 412.11. 6,54] 0,00 266.27.36,5 + 1,8 »
MAViErge.--.-.… k|12:15. 1,90!+ 0,04 272.33. 5,74 2,0 »
(1432) Vierge... .|12.20.17,50]- 0,03 262.37.58,5+ 1,2 »
20 Vierge........ 12:25.3/,96[+ 0,06 277.31.58,0/+ 1,2 »
a Cassiopée I. ...3|12.22. 4,56! 0,53/425,72] 30.37. 8,21+ 2,31729,8 57,7| »
a Petite OurseI...3/13- 3. 7,85 357.52.36,0|+ 1,4 57,2| »
aVierge......... 13.17.25,08|- 0,06 +26,07[256. 2.33,21+ 1,8 557,1| »
M 183 Vierge........ 13.36.31,561- 0,10 251. 0. 3,7|+ 0,8 »
- |7 Grande Ourse. ..|13.41.49,741+ 0,43/+25,741316.27.36,0 + 1,5|729,7 56,9| »
Médine... {8:44 132.33.52,3|+ 3,3 » [Moyenne de 4 obs.
& Andromède. .. ..| o. 0.42,53]4 0,18/424,89l294.35.31,0+ 4,0/728,6 53,4| » [Niv+2,7r.
Vénus, 2me bord...| 0,12.27,80) 0,00 265.57.56,0|+ 3,5 » |Centre au méridien.
a Cassiopée....... 0.32. 2,444 0,53/424,65|322. 2.16,5\+ 3,8]728,5 2159,1| »
æ Petite OurseS...| 1. 2.33,81 354.49.32,5+ 4,11728,5 63,3| »
M4lx Petite Ourse S..3| 1. 2 27,8/ 354.49.32,0 + 4017267 11,9 5o,1/63,5| »
(*) Avant cette observation la pendule a été avancée de 2 minutes.
20
Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843.
CORRECTION Le) œ LL] l 2
ë PASSAGE de MOYENNE | = = 2 Jrucuuoyèree. ee 5 3 |
© NOM GTR a © a 5
e CONGLU a des EM UN ii à « & | <
Ë _. 28 8 £ | REMARQUES.
# DES ASTRES. , l'instuu-| la UE 3 lute- | Exté- = ANR
FIL MERID. ment, | pendule] VERNIERS. o É etre lieu si 2 = 5
L mes rt s. EE 2] min E 2 FR nou Fe i
5|Soleil, 1er bord....| 2.46.31,38]+ 0,26 282.15. 3,2|4 3,0/726,7|+14,9 +13,4]- 32,1 B. [Bord inf. à 4ym32s.
x Cocher........!. 5. 5.23,89l+ 0,98|+17,64 »
B Orion......... 5. 7-18,00!- 0,14|+17,481257.59.43,5|+ 4,0|725,8 À
G Taureau ...... 4] 546.40,561+ 0,51|+17,58/294.50.11,5|+ 4,11725,8 17;
m OKON -- sec 4] 5.46.58,87{+ o,12|+17,52/273.44.49,7|+ 3,61725,6 43,9153,3| » [Niv.+3r,34.
70 0 Lion........ 11. 6.19,30]+ 0,26 282.39.12,5|+ 3,3/726,0 :
76 Lion......... 11.11.11,20|+ 0,04 268.53. 1,5|+ 2,8
79 r MON see sep 11.16.18,62|+ 0,04 268.38.26,7 + 2,2
87 e Lion........ 11.22.3742)— 0,04 264.17. 0,5[4 2,1
gi u Lion........ 11.29.14,56- 0,01 266.25. 2,5|+ 1,8
3 y Vierge....... 11.38. 7,02}+ 0,12 273.46.50,2|+ 1,2
(CEST SAME à 11.41.2260! 0,26|+17,26
(167) B Vierge... .|r1.43.20,68/— 0,07 261.55. 3,54 o,2
9 o Vierge....... 3/111.57.22,50]+ 0,15 272.58.33,7|+ 1,8|725,9
12 £ Vierge... .... 12. 5.45,88/+ 0,18 277.30.23,0|+ 1,5
13 x Vierge...... 12.10.57,36]- o,o1 266.27.34,5|4+ 1,3
17 Vierge........ 12.14.53,02]+ 0,09 272.33. 5,5|+ 1,7
(1432) Vierge... .|12.20. 8,52]— 0,06 262.37.52,o|+ 1,7
20 Vierge........ 12.25.26,02!+ 0,17 277-31.53,2|+ 1,8
a Petite OurseI....|13. 3.27,70 357.52.34,0|+ 4,r|726,0
œ Vierge......... 13.17.16,18)-— 0,17,+17,05/25b. 2.23,2|+ 3,7
70 w Vierge...... 13.21. B,10]+ 0,25 280.59.13,0|+ 3,3
83 Vierge........ 13.36.22,80]- 0,26 250.59.5/4,b|+ 2,6
n Grande Ourse...|13.41.40,58|+ 1,13|+17,30
a Andromède....3| o. 0.33,541+ 0,50|41b,12/294.35.28,0|+ 3,01725,2 47,0| » |Nuages.
Vénus, 2mebord...| 0.29.42,56|+ o,o7 267.43.13,2|+ 3,7 — 54,6 -| » [Centre au méridien.
æ Cassiopée...... 3| 0.31.53,03[+ 1,39|+15,96|322. 2. 8,2|+ 3,8/725,0 |
a Petite OurseS..1| 1. 2. 5,83 » [Nuages. |
8|Lune, 1er bord... .4 10.24.16,45}+ 0,07 270.57.41,5|+ 2,5 7198 — 49,1 » |Bord sup. à 25m235. !
34 Sextant....... 10.34.44,22 + 0,07 270./6.27,0 + 2,5 ,
b3,2 Lion...°..." 10.41.13,22/+ 0,20 277.44.38,7|+ 3,3 {
54 Lion, préc... ..|10.47.19,58|+ 0,46 291.57. 9,0[+ 3,4 L
58 d Lion....... 4|10.52.40,511+ 0,07 270.49.51,5|+ 2,31720,0 F
79 rLiou........ 11.16.12,40!+ 0,04 268.38.27,7|+ 2,5|720,0 fi
87 e Lion........ 11.22.31,08|— 0,04 264.14.13,7|/+ 2,0 k
Dion ue 11.29. 8,22}— O,01 266.24.58,2|+ 2,2 ÿ
3 y Vierge... .... 11.38. 0,66[+ 0,12 279.46.48,0[+ 2,9 21
DOUANES « 1r.4r.16,36}+ 0,26|+r1,04 3
y Grande Ourse. .1 11.45.45,88]+ 1,33|+10,8b :
(1383) Vierge... .4|1 1.50.24,58[+ 0,07 270.43.48,7|+ 2,2|720,5
g9la Lion... .. RE à 10. 0.11,22]+ 0,224 8,88/279. 6. 9,21+ 3,41724,6 7,0] 37,0/52,8| » |Ondulante. 4h
MOMIDR = ee me eiete 10.26.47,46[+ o,12 274. 7.b1,b|+ 1,2 Ù de
R3Tiont ee eh 10.41.11,02]T 0,20 277444r,b|+ 1,2 ki
54 Lion, préc.....|10.47.17,22]+ 0,46 291.57,11,2|+ 0,7 Ta
HS TILION ce: 10.52.38,10)+ 0,07 270.49.54,0|+ 0,3 I
65 p* Lion....... 10.59. 4,72]T 0,05 269.10.45,0|+ 0,6|724,8 5,41- 53,2 » ld. Cod
Lune, 1® bord. ...|11.18.37,40]— 0,04 264.48.52,7|+ 1,2|724,8 —I. 2,0 » |Id.B. sup. à 1932]
87 eLiou........ 11.22.28,80]— 0,04 264.14.15,7|+ 0,3 1. 3,4 » |Id. &
91 v Lion........ 11.29. B,94]— 0,01 266.25. r,2|+ 0,5 * Ori
3 » Vierge... ..... 11.37.58,5o]t 0,12 273.46.53,0|+ 0,2 ns
8 Lion.... ....3|1r.41,14,11[t 0,26|+ 8,80 4
Stru
21
Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843.
CORKECTION [e] œ = = ©
à PASSAGE fe MOYENNE |=2 | % [ruenmouëtue. a a |Z
2 NOM CUNCLU EE 3 x 2 É Ê Z
= “ des & Sal 8 |2|2| REMARQUES.
à RES ex mérrp, |'itu| | vennrens. | * EME © 2 |
ment | pendule IERS. 2 s 2 # =!
h: ms: s 11 1 min. 11
B Vierge......... 11.42 42,44]4 o0,04|+ 8. ,71 TA I. 3, 2|+ 0,3 51,5| B. [Ondul.
y Grande Ourse..4|11.45.43,971+ 1,33|+ 8,97/320.55.37,0|+ 0,8|725,1|+ 98|+ 4,44 8,3 47n| » |Le ciel se couvre.
11|Soleil, 1 bord....| 3. 9.33,44|4 0,30 283.53.21,5|+ 4,4]731,1 » [Bord inf. à rom3rs.
œ« Orion......... 5.46.46,12|4 o,12/+ 4,79l273.44. je 2|+ 4,41730.9 45,9 » |Niv.+3rP,04.
œ Grand Chien. ...| 6.38.19.62|- 0,28|+ 4,80/249.52.54,5|+ 4,5/730,9 44,7| »
a? Gémeaux... ._| 7.24.40,09|+ 0,59|+ 4,761298.35.31,5|+ 4, 78 47,2| »
« Petit Chien..... 7-31.10,64[+ o,o9|+ 4,47 PT .5g. 43, 54 3,5 49,7| »
BG Gémeaux.... .. 7-35.47,80l+ o,511+ 4,681294.45.57,5|+ 3,71731,0 8146,3| »
x Hydre......... 9-19.58,50]- 0,134 4,27 a 23.48,5|+ 3,5|731,4 46,2| »
RARIOD eee ee 04 10. 0. 6,544 o,22|+ 4,22l279. 6. 2,2[+ 3,0/731,6 45,41 »
DTNON Se « eee ce 410. 8.21,07l+ 0,25 280. 52.35,5|+ 3,1 »
HarHion-e.....:. 10.13.29,74|+ 0,26 282. 7.59:7[+ 31 »
#5 Lion......4:. 3/10.19.27,60[+ 0,16 45 55.:5o,0|+ 3,1 »
48 Lion......... 10.26.42,94[+ o,12 274. 7- .46,7|+ 3,1 »
34 Sextant....... 10.34.37,944 0,07 270.46. 25,7 + 3,0 ( »
DONATION: ttes. 2 « 10.41. 6,54[+ 0,20 277-443737|+ 2,5 38:9 »
54 Lion, préc... ..|10.47.12,60|+ 0,46 291. Ce 5,o|+ 3,3 210 »
58 d Lion........ 10.52.33,68|+ 0,07 270.49.52,0|+ 2,3 499 »
6b}psiLion:.….. 2. 10.59. 0,42]+ 0,05 269-10.42,0 + 2,8 5::9 »
70 6 Lion........ 11. 6. 6,34/+ 0,26 282.39.19,5[+ 2,6|732,0 : 32,2 »
9x v Lion........ 11.29. 1,54[- 0,01 266.24.58,5|+ 4,9 58,2 »
319 Vierge... ... 11.37. Ste + 0,12 273.46.47,0|+ 2,4 5,0 »
Gibionse A6 doretie à 11.41. 9,60]+ 0,26|+ 4,31 »
(167) B à -.|11.43. 7,66!— 0,07 261.55. o,2|+ 2,2 1. 8,3 »
(1383) Vierge... .|11.50.17,84]# 0,07 270.43.39,2|+ 2,3 — bo,2 »
9 0 Vierge....... 11.57.19.44[H 0,15 275.58.30,0|[+ 2,5 — 417 »
12 £ Vierge... .... 12. D.32,94[+ 0,18 277.30.10,5|+ 2,31732,6 39,5 d
21 q Vierge (*)....|12.25.47,92]- 0,15 HEURE + 1,0/732,6 - 7
œ Cassiopée I..... 12.31.45,b0o}— 2,86|+ 4,09] 30.37.17,5|+ 2,4 732,6 8,0/+4.20,5| 9,7| »
4o d Vierge...... 12.46.17,96|+ 0,70 257.41.56,0[+ 2,3 à
« Petite OurseI....|13. 3. 39,20 357. 52. 49, 7 + 3,0 + 57,0 10,6 »
Lune, 1° bord. ...|13.12.29,90|+ 0,63 252.44.1b,0[+ 2,3 —1.36,9 » |Bord sup. à 13"30°,
70 w Vierge...... 13.20.51,161+ 1,11 280.59.29,5|+ 2,0 =" 34,7 »
83 Vierge........ 13.36. 8 ,82|+ 0,60 251. 0.13,2|+ 2,41732,8 —1.44,0 »
8y x Vierge...... 13.41. 27,88 + 0,56 249. 2.37,5 + 2,9 —1.53,0 »
æ Andromède. . -.4| o. o.19,81|+ 145 + 3,18 » [Niv.+2,82.
œ CassiopéeS..... 0.31.38,98|+ 2,861+ 3,17]322. 2.25,2|+ 4,11734,4 12,0]+ 9,3] 9,3| »
Vénus, 2Mebord...| o. es 40,341 0,90 270.22.98,5|+ 4,1 » [Centre au méridien.
« Petite OurseS...| r. 1.31,70 354.49.36,0|+ 4,51734,5 5o,6|10,3| »
A os ee 132.34. 4,6|+ 5,0 » [Moyenne de 7 obs.
a Bélier messe 4 1.58.22,70 + 1:29 + 3} 00 289. 5, 28,2 + 5,9 734,5 24,1 5,1 » |[Ondul.
2|Soleil, 1° bord....| 3.13.24,60l+ 1,17 284.40,37,2 + 4717343 : 29,3 » [Bord sup. à 14m295.
a Taureau ...... 4] 426.57,451+ 1,134 2,60 »
Mercure, 1er bord..| 4.29.14,61]+ 1,32 290.25.15,2|+ 6,4 734,2 4 » |Centre au méridien.
œ Cocher......... 5. 5. 7,87] 2,:17[+ 2,83 » *
RIONonIe.. ee 5. 7. 2,24] o 9:70 + 2,58/256.59.55,5|+ 4,6, 734,1 —1.17,2| 3,4| »
BG Taureau....... 3| 5.16.24,411+ 1,45|+ 2,39/294.50.25,5/+ 5,0 734,1 15,7|- 17,6| 5,8| »
Orion. 5.46.42,90l o,96[+ 2,41
(*) Apres celle observation la lunette a été heurtée prés de l’oculaire, Ce qui a causé un changement dans la position de
l'instrument, F
6
22
Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843.
CORRECTION 4: à SL œ "4 E Le [=]
= PASSAGE de MOYENNE | = 2 2 fJruenuonèrne. Si 5 A
& NOM CONCLU 5 = & ne —— a © 2
2 au re 8| © 3 | % || REMARQUES.
Ù DES ASTRES. 3 l'insten- la BL C] Inte- | Exté- te) = &
FIL MÉRID. went. | peudule.} VERNIERS. "à na El rieur. | rieur. © Ë 5
3 bh. m.s s. s. FOUR 11 2 o o 1
x Grand Chien....| 6.38.16,50ol+ 0,58|+ 2,60 B.
æ? Gémeaux...... Eee + pu + ner »
a Petit Chien ..... 7.31. 7,481+ 0,93|+ 261271.59.59,5|4 4,5 47,0! 7,0] »
BG Gémeaux....... 7:34.44,50l+ 1,454 2,33 ARPALTE + 45 +16,0!- : à. »
3 y Vierge....... 11.37.50,9b|+ 0,96 273.47. 0,04 2,31733,0l+12,4| x1,6|- 44,8 »
BRON. see ee 11.41. 6,40Ù+ 1,124 1,98 »
(167) 2 Vierge. .4|11.43. 4,58]+ 0,78 261.55.10,0|4 2,6 8,0 »
(1383) Vierge... 11.50.14,66[+ 0,90 270.43.55,7|4+ 2,6 5o,o »
9 o Vierge... ..... 11.57.16,24|+ 0,99 275.58.40,2|4 2,4 41,6 »
12 £ Vierge... .... 12. 5.39,90|+ 1,01 277.30.39,5|+ 2,6 39,3 »
13 x Vierge... ... 12.10.41,40|+ 0,84 266.27.50,2|+ 2,6 58,2 »
21 q Vierge. ..... 12.25.44,88[+ 0,71 257.47.57,5|+ 1,8[734,1] 12,0] 10,0)-1. »
a Cassiopée I..... 12.31.43,,6)— 2,86|+ 1,91] 30.37.17,2l+ 1,7 92+4.19,3| 734 »
4o d Vierge. ..... 12.46.15,821+ 0,70 257.42. 0,5|4 1,2 9l-1:19,8 »
a Petite Ourse I....|13. 3.41,00 357.52.52,0|+ 2,3 9» 56,8|11,8| »
œ Wierge.--.... 4\x3:17. o,04[+ 0,68|+ 1,77/256. 2.41,2|4 1,7 4,9| 2,7| »
70 w Vierge...... 13.20.48,88|+ 1,11 280.59.31,7|+ 2,8 9,1|- 6 »
BV IERBE se = 1e 13.36. 6,46/+ 0,60 251. 0.12,2|+ 1,0/734,0] 11,9] 8,5)-1.43,8 »
89 x Vierge...... 13.41.25,50]+ 0,56 249. 2.34,7|+ 1,5 8,4|-1.52,9 »
14|x Petite Ourse S..4| 1. 1.22,00 354.49.40,0|+ 2,91726,2! 16,0! 15,714 4g,4l12,1| »
4 Vénus, 25e bord...| 1. 8.43,761+ 0,93 Értde : 32 Es 16,0 at E FER » |Centre au méridien.
15|Soleil, 1er bord... .| 3.25. 4,48]+ 1,19 284.53.13,5|4 2,41725,7| 16,4| 18,3]- 28,3 » [Bord inf. à 264,55,
DRIHYATÉ- Ses se ele 9:19.48,80f+ o,71|- 4,541258.24. 7,2|4 2,61724:2] 16,5] 16,2-1.14,9| 5,7| »
19/70 Dion. re. IT. 5.47,94 + 1,13 282.39.28,2 + 4,5 726,5 11,8| 10,0]- 32,0 »
FOMAON--- sec 3/11.10.59,731+ 0,89 268.53.11,2|+ 5,2 53,0 »
79 r Lion....... £l11:15.47,2414+ 0,89 268.38.42,0|+ 4,7 53,5 »
SELON... 1e 11.22. 6,04[+ 0,79 264:14.24,0|+ 4,8 2,4 »
Y1 v Lion....... 4|11:28.43,11{+ 0,84 266.25.14,5|+ 4,7 < 57,9 »
3 » Vierge........ 11.37.35,641+ 0,96 273.47. o,ol+ 4,21726,7) 11,7| 9,6]- 44.7 »
y Grande Ourse. .3|11.45.20,33|+ 2,76|-13,01|320.55.51,7|+ 3,8 g:0i+ 8,2] 4,2! »
9 o Vierge... ..... 11.57. 1,0414 0,99 275.58.48,0|+ 4,41726,7) 11,7] 9:61- 41,3 »
12 € Vierge... ... 12. 5.14,58l4 1,01 277-30.35,0[+ 3,6 39,1 »
13 x Vierge....., 12.10.26,10]+ 0,84 260.27.50,5|+ 4,1 57,9 »
LrVierge: il." 12.14.21,60! 0,94 272.33.19,2|+ 4,4 46,9 »
(1432) Vierge... .|12.19.37,20l+ 0,76 2b2.38. 4,o|+ 3,7 6,5 »
20 Vierge... ..... 12.24.54,52l4 1,02| . 277.32. 8,ol+ 3,61726,9! 11,7| 8,3 2 »
a Cassiopée I..... 12.31.28,40)- 2,86|-13,42 »
a Petite Ourse L...|13. 3.23,00 ÿ
a Vierge........ 4113:16.44,5414 0,68|_13,711256. 2.42,0|+ 4,2 24,5| 6.9! »
70 w Vierge. ....! 13.20.33,62! 1,17 280.59.50,0|+ 3,7 4 »
83 Vierge........ 13.35.51,10}+ 0,60 251. o.11,2|+ 3,4 7,0 »
n Grande Ourse. ..|13.41. 8,641 2,42|_13,23l316.27.49,5|+ 4,11726,8| 11,2 3,8| 8,4| »
21|x Petite Ourse S..3| 1. 1.13,00 354.49.38,0|+ 4,9/728,6| 1 1,6| 14,44 40,8113,;| » |Nuages.
Vénus, 2me bord..….| 1.39.31,18[+ 0,97 274.43.54,01+ 4,41728,5) 11,5] 15,7]- 42,4 »
x Bélier... 7... 1.58. o,78]+ 1,29|-r9,12/289. 5.32,5|+ 4,41728,4] 12,0] 16,0]- 23,7] 8,0! » |Niv.+5r,20.
22|Soleil, 12r bord... .| 3.52.38,44[+ 1,23 286.56.59,5|+ 4717276 15,5| 17,8]- 26,0 » [Bord sup. à 53m38]}l}i
æ& Cucher....,.... 5. 4.45,59l+ 2,17 —19,47 » |[Ondulante. 0
B Oriun ....,..., 5, 6.40,22;+ 0,70,—19,45/257.59.55,5|+ 5,6/727,0 16,3] 18,5 4,7| » | Id: da
23
Observations faites à la lunette méridienne en Mai 183.
oi
LORRE
s NOM. sn ts
ä CONCLU SR —
z DES ASTRES. HE 'instru-
FIL MERID. meut,
h. m, s. s.
B Taureau ...... 3| 5.16. 2,414 1,45
Mercure, 1% bord..| 5.30. 2,86|+ 1,39
RROTIDD A fe este cite 5.46.20,861+ 0,9b
« Grand Chien. 6.37.54,38|+ 0,58
HyArEs ee. un 9-19.33,48|+ 0,71
œ ion... 9-59.41,46[+ 1,06
58 Lion ssvaers sr 10.40.41,241+ 1,02
54 Lion, préc... ..|10.46.47,261+ 1,39
58 d Lion.......,. 10.52. 8,46[+ 0,92
65 p? Lion....... 10.58.35,;20]+ 0,89
70 GLion........ 11. 5.40,98|+ 1,13
76 Lion........ 4|11.10.32,93|+ 0,89
87eLion........ 11.21.59,24[+ 0,79
gt v Lion..... .. 11.28.30,34]+ 0,84
3 y Vierge........ 11.37.28,84[+ 0,96
Bientot. 4\11.40.44,320+ 1,12
(167) B Vierge... .4|11.42.42,63]+ 0,78
Grande Ourse. .3l11.45.12,86|+ 2,76
(2383) Vierge... .|11.49.b2,661+ 0,90
12 4 Vierge... .... 12. b. 7,68]+ 1,01
13 nr Vierge....., 12,10.19,14]+ 0,84
L7Vierge... 1.1... 12.14.14,74]F 0,94
(1432) Vierge. 12,19.30,26[+ 0,76
20 Vierge........ 12.24.47,62Ï+ 1,02
a Cassiopée I....4|12.31.21,76]— 2,86
4o d Vierge. ..... 45.53,78[+ 0,70
a Petite Ourse I... .|13. 3.29,50
DVIENBE. «ere ce 4|13.16.38,07|+ 0,68
70 w Vierge...... 13.20.26,82]+ 1,11
83 Vierge......., 13.35.44,50of+ 0,60
4 89 x Vierge....., 13.41. 3,52]+ 0,56
À 1585) Vierge. ..|13.46.26,74[+ 0,73
| (2594) Vierge... |13.51.30,92|+ 0,73
94 Vierge......, 3113.55.45,31l+ 0,71
| GaVienge.tr.. 1: 13.58. 7,38]+ 0,71
A 198 x Vierge... .... 14. 414,02l+ 0,70
[| |«Bouvier........ 14. 8.11,80]+ 1,21
|| |103 uv? Vierge... ..|14.13.35,56|+ 0,82
M3 Lion........... 59.39,12|+ 1,06
|} |70 6 Lion....... Alice. 5.38,64[+ 1,13
M |79 r Lion....... 3/11.15.38,10]+ 0,89
| Dre Lions... 11.21.6,80!+ 0,79
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DC Lion... 4har4o.4a,95f+ 1,12
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RP MOYENNE | = É £ TUERMO
= À °
——_—, des Z E Es nat
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—19,62/294.50.23,0|+ 5,8/526,91+16,3
291.50.33,0|+ 4,9/726,9! 16,
—19,61/273.44.59,5|+ 5,0
—19,43/249.53.13,5|+ 4,2/726,51 16,5
-19,78/258.24. 7,5|4 3,3/7925,8] 16,0
—19,89}279. G6.19,0[+ 3,81725,8| 15,8
277.44.52,2+ 2,9 725,7 15,6
291.57.23,5|4 2,9
270.50. 0,b|+ 2,1
269.10.55,7|+ 2,4
282.39.32,0|+ 2,6
268.53.11,7|[+ 2:9
264.14.24,0|+ 2,1
266.25.10,0|+ 2,3
273.47. o,o[+ 2,0
—20,00)
261.55. 9,5|+ 2,3
-20,411320.56. o,7|+ 1,8
270.44. o,o[+ 2,4/1725,6| 14,3
277.30.42,0[+ 1,5|725,6! 14,3
266.27.49,5+ 1,9
272.33.10,5|+ 1,4
262.38. 8,2|+ 2,0
277.32. 8,b|+ 1,0
—20,19) 30.37.26,0|+ 2,9
257.41.50,b|+ 2,1
357-52.54,5|+ 1,8]525,8| 13,8
—20,17/256. 2.42,o|+ 2,0
280.5g.29,0|+ 2,0
251. 0,12,5|+ 1,8
249. 2.34,0[+ 1,0
259. 6. 2,5|+ 0,9/725,8| 13,6
258.59.22,b|+ 1,9
2b7.49.26,0[+ 0,9
256.50.41,5+ x,5
—20,231286.22.30,7|+ 1,2
265. 6.47,0[+ 0.,8|725,7] 13,2
—22,21/279. 6.29,5|+ 3,71723,0] 15,5
282.39.3%0 + 31 ;
268.35.39,2|+ 2,6
264.14.32,2|+ 3,5 3
266.25.16,2|+ 2,2
273.47. 4,ol+ 2,0
—22,36 da:
—22,49/320.56,59,7+ 1,51723,0! 13,7
354.49.37,7|+ 3,51731,6| 14,8
—39,73/281.49.18,2|+ 3,0/731,2] 16,8
-40,08]320.55.59,2|+ 3,6
275.58.41,2l+ 3,3
F =
MÊTRE. SE £
‘= 5
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rs o mn
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1+18,5/- 17,2] 5,o
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17,9/-1.14,6| 6,
EL 35,7 3e
17,0] 37,b
20,4
48,4
51,3
31,2
52,0
14,811. 1,2
— 56,8
F 43,9
—1. 6,6
+ 8,
13,41 49,0
13,4} 38,5
Fr 0D7:0
— 4b,1
OH
— 38,6
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-1.18,2
11,214 55,8
=1,23,4
— 34,0
11,0)—1.41,0
-1.50,0
-1.14,5
10,81—1.14,9
16,0
16,0[-
11,5
—1.18,2
—1.21,2
— 27,3
97{-1- 0,5
12,8l- 36,2
— 31,5
— 52,8
—1. 1,6
11,7/- D7;1
— 442
10,9]+ 8,1| 8,3
14,,1}+ bo,il13,1
18,2]- 32,3| 3,0
+ 8,0 9,0
18,21— 40,3
"HAILVAUISUO
B.
»n
REMARQUES.
Ondul.
Centre au méridien.
Nuages.
Niv.13r,38.
24
Observations faites à la lunette méridienne en Mai et Juin 1843.
NOM
*sunor
DES ASTRES.
12 £ Vierge...... A
15 x Vierge..... 4
17 Vierge. DDC ©
(1432) Vierge...
4o d Vierge......
œ Petite Ourse I...
70 w Vierge
n Grande Ourse...
« Petite OurseS..
a Bélier...:......
La
Soleil, 1e bord....
B Gémeaux......
a Petite Ourse I..
n Grande Ourse. .£
7|Soleil, 1er bord. .4
a? Gémeaux
« Petit Chien
B Gémeaux SOS D
y Grande Ourse..,
Lune, 3er bord....
THERMOMÈTRE.
a
Ioté-
rieur.
__—
Exte-
rieur.
"NOILOVHAAU
—1.17,6
CORRECTION e] s
PASSAGE 4e MOYENNE | = & B
CONCLU a —, de 23 2
F5 l'instru- la È Æ 3
FIL MERID,. ent. pendule. VERNIERS. 3 3 E]
ELA Fer
277.30.35,5|+ 3,4
26b.27.48,5|+ 2,8
272.33.17.3|+ 2,6
262.38. 2,5|+ 2,9|7
257.41.50,2|+ 2,5
357.52.52,5|+ 3,5|7
280.59.29,7|+ 2,1/731,1
-39,77/316.27.52;5Û4 23/7371
-40,93/289. 5.28,0/+
288.38.41,0
0,96 (1,02 273. 45. 3,7
0,93 E c 0!272. o. 5,0
1,45|-41,40/294.46.16,0
357. 52.50,7
0,68|-41,88/256. 2.39,5
2,42 -41,931316.27.57,5
1,27
On retourne l'instrument.
On retourne l'instrument.
Ou retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+6r,6r. 11 pleut; la mire n’est plus visible.
On laisse l'instrument le cercle à l'Est.
4.572546|+
7-23.43,48|+
7.30.14,26|+
7-34.51,47|+
9.59.10,20|+
10.53. 8,55l+ 1
11.40.13,16[+
11.4/.42,60|+
12.47.52,78]-
a Petite Ourse I...4/13. 2.26,43
x Vierge. ........ 13.16. 6,76|-
70 w Vierge..... 4113.19.55,78[+
83 Vierge........ 113.35.13,18]—
89 x Vierge...... |13.40.32,30|-
(1585) Vierge... ..|13.45.55 161
(1594) Vierge... . .|13.50.59,60]-
98 x Vierge..... 3l14 3.42,71]-
a Bouvier....... 44 14. 7.40,64[+
0,30 335.46.28,0
0.46 —51,80/326.32.17,2
o 07 -51,77 353. 8. 8
0,40|-51,66/330.21.5x
o "17 —51,80|346. 1.47,5
54) 51,72 296.10.27
ES —51,91/343.18. as +
1,05|-5P,98[304.12. 8,7 +
+
+
50 +
54
[F
o+
0,15 10.13. CE 5 +
267.15.16 55
0,14|-52,23] 9. 5. 290) +
0,20 344. 8.4 Lojol+
0,20 14. 17-9937 |+
0,23 16. pat
0,10 6. 2.10 ot
0,10 6. 8.50,0+
0,13 8.17.28 54
0,27|-52,28|338.45.45,0| 4
?
© Co
3)
2;
3,
3,
3
2,
3,
3;
?
4,
I
3,5
2,3
35
3,5
3,5
44
437
4x
L
L
6|Cercle Ouest, Niv.+4P,28. Le fil méridien est de 7r,46 à l'Est de la mire.
731,2|+16,6
730.6] 16,6
730,4. 16,7
)|730,41 16,4
730,4] 15,8
330,3] 15,0!
730,1] 14,8
730,2] 13,8)
15,8
15,8
Cercle Est, Niv.+5P,62. Le fil méridien est de 21?,94 à l'Ouest de la mire.
On corrige l'erreur d'axe optique en amenant le fil méridien à 7,62 à l'Ouest de la mire.
Cercle Ouest, Niv.+3r,54. Le fil méridien est de 7r,65 à l'Ouest de la mire.
‘4104 na n311
31,21 16,0! 15,3]+ 55,4| 8,9
"MAALVANISAO
REMARQUES.
Nuages.
+H14,4]+ 23,6
+ 13,6
+ 46,7
16,2l+ 17,5
16,3]+ 36,1
15,o]- 16,1
+ 32,8
10,0!+1.21;7
+ 27,9
15,0
INuages.
INiv. 43,73.
{Bord sup. à 33mbrs.
Vapeurs.
!Très-ondulante.
| Id.
Bord sup. à 58185,
Faible et ondulante.
Id.
Faib'e; vapeurs.
Id.
Id.
Bord sup. à 48mb15.
Moyenne de 3 obs.
25
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843.
CORRECTION oO = 3 æ [-1
PASSAGE FE MOYENNE | =2 2 fruenuouëre. = m 3
NOM- CONCLU ES =, £ Le = 5 3
: FN Rene he 8 | 2 |2| REMARQUES.
DES ASTRES. mx mérun. int la Hs =. Ioté- | Exté- Z EUME
ment. | pendule] VERNIERS. 2 e rieur. | rieur. 2 a 5
h. m, s. s. TPE! 1) mm. o o 1"
45 c Bouvier... ..4|14.59.34,95[+ 0,35 333.16.54,0|+ 2,8|730,4[+13,8|+ 9,1 B
3 Serpent........ 15. 0.34,32]+ 0,07 353.14. o,ol+ 4,1 »
5 Serpent........[15.10.29,32]4+ 0,04 356.23.37,ol+ 3,6 »
7 Serpent........ 345.37.43,5|+ 3,2 »
10 Serpent....... 115.19.53,76[+ 0,04 356.21.54,0l+ 3,8 8,1 »
x Couronne...... 15.27.12,97+ 0,38|_52,40|331.3r. 8,o|+ 3,7 78 12,0| » |[Ondul
æ Serpent........ 15.35.43,54|+ 0,09|-52,381351.50. 8,0|+ 3,6|730,2] 13,9 12,4| » | Id.
34 w Serpent..... 15.41.33,20|+ 0,04 356. 4.40,0|+ 3,5 » Id.
(1817) Serpent... .|15.46.50,09!+ 0,27 337.59.18,2/+ 2,9 » Id.
43 Serpent....... 15.55.11,08[+ 0,07 353.20. 6,0[+ 3,7|730,2 13,8 » Id.
47 Serpent... .|16. o. 4,78]+ o,11 349.48.12,5|+ 3,4 » Id.
(1861) Scorpion... .|16. 7. 0,31]- 0,25 18.26.43,5+ 3,7/730,1] 13,8] 8,ol+ » 1d.-
æ Scorpion....... 16.19.59,531- 0,57 24.48. 6,5[+ 4,0 ,2 13,2| » Id.
12 Ophiuchus.... .|16.27.18,04]--0,04 0.4415,7l+ 4,9 » | Id.
(1908) Scorpion... |16.34.23,67|- 0,39 26.55.35,5|+ 3,8 »
18 u Ophinchus. .4/16.39.23,44]- 0,34 23. 5. 9,7l+ 41 »
Mars, centre...... 16.50.58,50]- 0,35 24. 0.27,2|+ 4,9/;30,0 13,3 » [Au méridien.
| 8/Soleil, 1° bord....| 5. 1.21,24|+ 0,30 336.12.19,0|+ 3,6|727,6 17,4] 18,3|+ » [Bord inf. à 2m215.
a Grand Chien....| 6.37.21,14[- 0,22 15.14.48,2|+ 3,5/726,8) 18,0] 20,3|+1 3,3| 6,9] » |Niv.+5r,83.
x Gémeaux..... 2| 7.23-41,78|+ 0,46[-53,50|326.32.23,0[+ 2,5 16,5}+ 12,2| » |Très-faible et ondul.
x PetitChien...... 7-30.12,08 + 0,07|-53,941353. 8. 9,7|+ 2,41726,6 17,4 16,71+ 98! » Id.
G Gémeaux.....,. 7-34-49,85 + 0,40 —53,77 230.21.52,0|+ 2,8 8,4 » Id.
L'EUTAANEERENE . 132.34, 5,3|+ 4,0 » [Moyenne de 3 obs.
F1 NC) NOTE 9-59. 8,06[+ 0,17/-53,981346. 1.49,7|+ 4,61725,4] 17.8] 22,71+ 13,6! »
æ Grande Ourse...|10.53. 6,534 1,45/-53,70/296.10.27,5|+ 3,8|725,2 18,0| 22,0]— 71] »
84 + Lion........ 11.19. 0,02]+ 0,05 355. 2.24,0|+ 3,6/725,1] 18,0| 21,7]+ »
CARTON Le... 2 4 11.40.11,06[+ 0,21|-5/,00|343.18.51,ol+ 3,8 13,0! »
y Grande Ourse...|11.44.40,38|+ 1,05/-54,18l304.12. 8,74 3,6/325,1] 17.8] 20,7]— 6,9! »
90 Vierge....... 11.56.20,90|+ 0,13 349- g.23,7[+ 4,1 20,5]+ »
15 n Vierge..... &l1211. 0,98] 0,00 358.33. 9,o[+ 3,71725,1] 17,4 10,7|+ »
& Vierge.....,. 3113.16. 4,59l- 0,14|-54,40 9. 5.32,7{+ 3,7|725,4 16,8 13,6| » |Nuages.
70 w Vierge...... 13.19.53,64[+ 0,20 344. 8.40,2|+ 3,5 » |Le ciel se couvre.
x2/Soleil, rer bord... .| 5.17.45,431+ 0,30 335.53.13,2|+ 4,8/724,71 15,1) 12,714 » [Bord inf. à 18m50$.
æ Petit Chien..... 7-30. 3,76|+ 0:07 62,26 353: -8:.6,5|+,455 91! »
B Gémeaux....... 7-34.4o,g1[+ 0,40/-62,211330.21.51,7|+ 4,4/723,9l 15,3] 15,414 g»| »
a Grande Ourse. . .|10.52.57,93|+ 1:45/-62,17|2096.10.26,7|+ 4,21922,8] 15,5! 12,7] 6,0| »
BON... 2. 11.40. 2,)8]+ 0,21|-62,441343.18.52,0|+ 4,1/722,8] 15,0 15,4| »
y Grande Ourse...|11.44.32,02+ 1,05/-692,441304.12.13,0|+ 3,8 12,1}— 11,2! »
19 o Vierge ...... 3111.56.12,441+ 0,13 349. 9-28,0|+ 4,2 12,0]+ »
15 n Vierge...... 12.10.52,52] 0,00 358.33.10,2|+ 4,6 11,81+ S »
a Petite OurseL...3|13. 2.17,57 267.15.15,8|+ 4,2 11,7] 99,5] 8,2] » |Moyenne de 4 obs.
: » [Niv.+h,20.
æ Cassiopée...... 0.30.35,36[+ 1,10/-63,61 »
a Petite Ourse S..3| 5. 1.24,90 27018.34,5|+ 4,5/723,41 14,0! 11,3] 50,0! 5,3| » [Moyenne de # obs.
Bio Lion.........:. 9-58.57,52l+ 0,17|-64,,91346. 1.47,0[+ 4,61724,5 16,8| 15,7l+ 35,9/11,9| »
» |x Grande Ourse...|10.52.55,77}+ 1,45|-64,30 296.10.2B,0|+ 4,7,724,7 16,5! 14,8]- 16,0! 7,g! »
Brion... RENE + 0,05 355. 2.20,0{+ 4,5 15,ol+ 49,8 »
GIF ont cou. |. 11.40. 0,5o]+ 0,21/-64,51/343.18.49,2|+ 4,4 14,9]+ 32,4/12,8| »
y Grande Ourse.. .|11.44.20,86[+ 1,05/-6/,57l304.12.11,0|+ 3,5/724,9] 16,0! 14,9] 8,0! 9,0! »
lo 4 Vierge. ..... (12.45. 9,741 os11 7-26,11,51+ 4,5/724,98 15,31 13,3[+1.17,7| |»
*sunor
26
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843,
CORRECTION 2 = = = o
PASSAGE dé MOYENNE | => 2 Jruenuoueree. Er a a
nom és DES Hi > ile
dé des ZUNE IT EE |. 5 | £S| REMARQUES.
DES ASTRES. : l'instru-| la 2 En | 2 Me | Eu = OULS
FIL MÉRID, went. | pendule} VERNIERS. | ° 5 # |lrieur.| rieur. og SE |S
ee | en —— za
has mb. 48. 5 s. © CRETE) "1 F o o Fr 11
& Petite OurseI....|13. 2.18,90 267.15. 12,04 4,0/724,9/+15,2 413,0! 55,4! 4,3) B. Moyenne de 5 obs.
PAC CHERE 13.15.54,02)— 0,14/-64,93) 9. 5.25,2|+ 41/7 15,0] 12,7]+1.22,8| 8,2] »
GS IVIÈRRE cute te 13.35. 0,60of-— 0,20 14. 7.540 4045 41.412 »
89 x Vierge..... 4113.40.19,58]- 0,23 16. 5,40,0|+ 4,7 12,1/+1.50,2 »
(2535) Vierge. ..|13.45.42,82]— 0,10 6. 2.10,0|+ 4,8 12,0]+1.14,2 »
(1594) Vierge... .|13.50.46,98]- 0,10 6. 8.47,7|+ 4.8 41.14,5 »
94 Vierge....... 4113.55. r,49f- os11 »
95 Vierge...!..... + 27 23,50]- o,11 718.43,5|+ 4,7 +1.17,8 » |
98 x Vierge. ..... . 3.30,18]- 0,15 8.17.29,0|+ 4,8 +1.20,6 »
x Bouvier........ 7: 7-28,071+ 0,27|-64,8:11338.45.40,0|+ 4,7 | + 27,1l108| »
103 »* Vierge... ..|14.12.51,70)— 0,02 o. 1.24,0|+ 5,2 14,3] 12,0]+1. 0,1 »
B Petite Ourse.... g1145 50.10,50l+ hi76 -64,361283.58.44,5|4 47 14,2| 11,1]- 30,1| 86! »
45 c Bouvier...... \14 e 39: 22,37|+ 0,35 333.16.50,7|+ 4,5 | + 20,9 »
3 Serpent. ....... 15. 0.21,52]+ 0,07 353.14. 0,0|+ 4,7 + 147,9 »
5 Serpent. ....... 15.10. 16 a + bot, 356.23.36,0|+ 4,7 +. 53,0 »
7 Serpent. ... ..4 ONE + 0,18 345.37.44,0|+ 3,9 + 35,0 »
10 Serpent.…..... 15.19.41,08|+ 0,04 356.21.55,5|+ 4,5 10,61+ 53,1 »
« Couronne....... (13.27. 0,47 + 0,38)-64,88/331.3r. 7,214 5,5 14,0) 10,5[+ 19,0/14,0| » |
a Serpent........ 115.35.30,52f+ 0,09|-65,18/351.50. 7s2|+ 4,6 + 45,4l12,8| » |
34 w Serpent..... 15.41.20,52|+ 0,04 356. 4.39,5[+ 5,6 Hbe7 » |
(x817) Serpent... 15.46.37,59 + 0,27 337.59.19,7|[+ 5,0 14,0| 9,61+ 26,4 » |
43 Serpent....... 15.54.58,42]+ 0,07 353.20. 7,0|+ 4,9 + 48,0 » |
47 Serpent....... 15.59.52,32l+ o,11 349-48:14,5|4 3,2 + 42,3 » |
(1861) Scorpion... |16. 6.48,o1|- 0,25 15. _ 45,2|+ 5,0 9,0]+2. 3,6 » |
c Serpent. .....1. 16.:3. 5,8o]+ o,ot 357.21. 9,3|+ 5,9 8,81+ 55,3 »
æ Scorpion. ...... 116.18.46,71|- 0,37 -65,38 #3 28. 6,71+ 55 8,71+2.52,3/13,6! »
12 Ophinchus.... . 16.27. 5,46!- 0,04 0.44. 15,0|+ 5,1 #1. 2,3 |» |
1908) Scorpion... .|16. 34. 11,07|— 0,39 26.55.40,5|+ 5,8 8,71+3-16,6 »
18 u Ophinchus. .4/16.3 :3g-10,71) 0,34. » |
Mars, centre..... 16.41.58,661- 0,36 4 4. 4,5[+ 6,0 13,5! 8,51+2.45,3 » |Au méridien. |
æ Cassiopée....... | 0.30. 39 La + 1,10/-65,60 sus. 5.41,5|+ 4,2 13,7| 12,3]- 9,2| 5,3|1 |
x Petite OurseS..4| 1. 1:24,70 | 270.18.36,4|+ 4,5 15,0! 13,0/- 50,1| 7,0] » |Moyenne de b obs.
œ Bélier... «4. . 4: n 1.57-15,55 + 0,30|/-65,961336. 2 26,7 + 437 16,0! 15,ol+ 23,8/12,1| :» |Niv.+5r,23.
B Petite Ourse LL. .4| 2,50.14,02]- 2,76 —66, 27 253.35.22,0|+ 4,1 —1.30,5| 6,0| »
a Baleine........ | 2.59.59,844 0,05/-66,15/355.16.55,5|+ 4,6/; 16,4| 15,5]+ 50,4|10,0! »
& Persée: ... 3! 3.12. 344 + 0,87|-66,08/309.:8. 19,7|+ 4,0|7 16,5! 15,3]- 3,0! 8,9| »
Vénus, 2mtbord..4| 3.25.24,35|+ 0,24 341.35.13,5|+ 5,0|7 16,7| 16,8[+ 30,2 » |Centre au méridien ff}
G Orion........ 4! 5: 5.54,39l- o,11/-66,26! 7: 8. 7,0|+ 4,617 16,5) 16,9/+1.16,2|12,6| » sh
4|Soleil, 1er bord... .| 5.25.58,59|+ 0,32 335.14.33,o|+ 3,417 16,4| 18,41+ 22,6 » [Bord sup. à 27mos. }}}
x Grand Chien. ...| 6.37. 8,28]— 0,22/-66,31| 15.14.50,o[+ 4,o/7 16,4! 17,81+1.44,3/11,3| » |Très-ondulante. 1
æ Petit Chien ....5| 7.29.59,2344+ 0,07/-66,79l353. 8.11,5|+ 3,5 + 46,2/12,9| » Id. |
G Gémeaux......, | 7:34.30,51/+ 0,40/-66,631330.2r.54,0|+ 3;7|72 16,6! 18,51+ 17,3|10,9| »
« Grande Ourse. 4/10.52.53,61+ 1,45/-66,43/296.10.28,0|# 4,217 17,3 19,8 — 115,8| 7,5| » |
a Petite Ourse L.. .4/13. 2.16,90 267.15.16,6|+ 3,3 16,5! 18,o]- 54,5| 9,2| » |Moyenne de 3 obs. |
œ« Vierge... Jl.. 13.15.51,86|- 0,14/-67,08] 9. 5.30,0[+ 3,7172 16,1] 16,8]+1.21,7/1,5| » | )
83 Vierge......,.l 13.34.5846! 0,20 14. 8. 4,ol+ 3,6 +1.39,9 » | il
89 x Vierge...... 13.40.17,74|- 0,23 16. 5.40,0|+ 3,6 +1.49,0 » |!
(1585) Vierge... , .113.45.40,68]- 0,10! 6. 2.14,0/+ 4, 15,5]+1.13,4 » |
(1594) Vierge... . .[13.50.44,98[-1 0,10 6. 8.54,2|+ 4,6! +1,13,5 » |
94 Vierge..." 13.54.509,441- o,11 » |
DDaMicrge.... 1e 13.57.21,48]- o,11 7-18.50,0|+ 4,07 15,7 +1:17,0 »
98 x Vierge...... 114. 3.28,16/- 0,13) 8.17.34,2l4 4,2] +1.19,9l »
27
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843.
CORRECTION Q Q % = | ©
3 | PASSAGE ne MOYENNE | = 2 Z fruenuouërre. ss = £
£ NOM | CONCLE a | 3 3 2 —_— ë : Z
z 8 au | de MONS SE eme: "LUE | £ | REMARQUES.
£ DES ASTRFS. | k l'instra-| la ; |E = 3 Jint- | Exté- = 2 | à
FIL MÉRID. | ment | pendule | VERNIERS. 2 3 Jrieuc | rieur. Z 3 |?
LU
h:v ni s. s. o dt ft 1! mm |
a Bouvier. ....... 14. 7.2,75]+ 0,27|-67,121338.45.44,0|+ 4,0/726,4 o!.B. |
l15|Soleil, 12° bord... .| 5.30. 5,21]+ 0,32 » [Bord inf, à 31m65.
Iz7|Soleil, ser bord... .| 5.38.19,67|+ 0,32 » [Bord inf. à 3gm205.
æ Grande Ourse...|10.52.40,99!+ 1,45|-72,05
Bilion Cu 50. 11.39.52,1b[+ 0,21|-72,80)3 3,1
7 Grande Ouise. ..[11.44.21,32]4 1,05 8,4| » |
a Petite Ourse I..4|13. 2.14,15 8,2| » [Moyenne de 4 obs.
ANVIENBE. cie d28 13.15.45,72l- 0,14|-73,20 [15,7
bo|x Persée......... 3.11.49.951+ 0,87|-79,82 |» [Niv.+5P,57.
L'EUTTÉAE CEE 132.34.10,1|+ 2,3 » [Moyenne de 5 obs.
Vénus, ame bord... .| 3.59 28,28l+ 0,25 339 30.29,71+ 1,3/730,6 » |Centre au méridien.
x Taureau ....:.. 4.25.36,48Ù4 0,22/—79,771342.34.21,5|+ 1,4]730,6 114,9) » [Ondul.
LOT ESA 5. 5.40,76[- o,11|—79,99) 7. 8. 6,0! 1,8/730,6 10,2| » |
1/Soleil, 1% bord....| 5.54.50,45[+ «0,32 335.34. 9,5/+ 0,9/730;,7 »' [Bord inf. à 55®495.
œ? Gémeaux. ..... 7:23.15,554 0,46|-79,75|326.32.24,7|+ 0,9/730,5 7j+ 13,5/r1,4| » [Ondul,
a Petit Chien. ...3| 7.29.45,89l+ 0,07/-80,141353. 8.15,7{+ 1,4 46,3,15,5| » Id.
G Gémeaux.... 7-34.23,1714 0,40|-79,95/330.21.56,0|+ 0,9/730,5
22 ET CR 9.58.41,80!+ o,17/-80,151346. 1.50,7|+ 1,4|729,9
æ Grande Ourse.../10.52.39,731+ 1,45/-80,12/296.10.29,5/+ 0,9|729,7
7 Grande Ourse. .3,11.44.13,63]+ 1,05/-80,60|304.12.12,2/+ 0,b|729,7
4o bd Vierge...... 12.44.54,02|- o,17 7:26.16,0/+ 0,9/729,7
æ Petite OurseL....|13. 2. 8,80 267:15.16,4|+ 1,0|729,7 | 17.6 54,9| 6,6! » [Moyenne de 5 obs.
æ Vierge........ 4113.15.38,r9f- 0,14/-80,70] 9. 5.33,5/+ 2,5|729.8 5,6 |
89 x Vierge...... 13.40. 3,8b]- 0,23 16. 5,36,0,+ 1,4
98 x Vierge...... 14. 3.14,62]- 0,13 8.17.36,0|+ 1,2/729,8
œ Bouvier. ..., -..{14 7.12,21]+ 0,27|-80,60
3 Serpent..... ../15. 6. 5,98]+ o,07 353.14. 1,7|+ 1,4,730,1
5 Serpent. ....... 15.10. o 86[+ 0,04 356.23.40,0|+ 0,3
JiSerpent--"". 2. 115.13 39,90!+ 0,18 345.37.44,0|4 0,1
a Couronne ...... 15.26,44,751+ 0,38 -80,59 361.31.10,7| 0,0
a Serpent. ......./15.35.14,981+ 0,09 -80,74 351.50.11,2/#+ 0,9
34 w Serpent....4l15.4r. 5,05!+ 0,04! 356. 4:44,ol+ 1,2
(1817) Serpent... .|15.46.22,19[+ 0,2 337.59.23,5|+ n°
43 Serpent....... 115.54.42,91|+ 0,07 353.20. 8,0/+ 0,7
#7 Serpent.2:..:. 115.59.36,74{+ o,15| 349.48 20,0/+ 1,2/730,2
(1861) Scorpion. .|16. 6.32,59/— 0,25! .26.
c Serpent........ h16.12.50,40]2 0,01
œ Scorpion...,... 16.18.31,29]- 0,37 -80,84 |
Mars, centre... ... 116.31. 2,321 0,35! 4: 7,ol+ +2 44,3 » [An méridien.
18 « Ophiuchus...|16.38,55,17|- 0,34 23. B.14,5/+ 1,41730,4 39 |
æ Ophiuchus...... 17.26.21,45{+ 0,17/-80,78[346. 4.52,0+ 1,4,730,4 10,5/+ 36,9 13,5| » |[Ondul.
y Dragon........ 17.51.39,65{+ 0,95 80,54 307-15.39;7|+ 2,1/730,4 Nr 5,9 10,2|
à Petite OurseS. .4|18.21.33,10 | | | | » |[Très-ondulante.
DEYre satin » 18.30.19,16|+ 0,60 —80,95 320, 7.32,5+ 1,2 | + 74) 8,41 » | Id.
7 Aigle.......... 19.37-30,081+ 0,14/-81,08{348.31.15,5/+ 1,9 | + 40,6! 8,9| » | Id.
Saturne, centre... 19.42.54,35 — 0,29 20, 0. g,0\+ 1,9] +2.3,6! | » [Au méridien.
8 Aigle........ --/19.46.18,50]+ 0,08|-81,13/352.44.12,21+ 2,21530,0 |
a' Capricorne... ..|20. 7.39,36|- 0,15|-81,13| 11.43.46,0 + 2,0 729.9
a Cygne......... 20.34.46,43]+ 0,75/-80,771314. 247,74 3,0 729,7
‘sunog
2
D
PASSAGE
NOM
DES ASTRES.
x Céphée.........
Jupiter, centre...
& Bélier... ......
æ Baleine... .....
Vénus, 2m€bord...
Soleil, rer bord...
a? Gémeaux.....
æ Petit Chien
B Gémeaux
« Petite OurseS. .1
G Petite Ourse I...
æ Taureau
23|Soleil, 12° bord...
+
y Grande Ourse...
œ Petite Ourse I..
a Vierge
8y Vierge
æ Bouvier. .......
103? Vierge
B Petite Ourse S..
3 Serpent
5 Serpent
7 Serpent
œ« Couronne
« Serpent
æ Petite Ourse S..
œ Bélier sr...
8 Petite Ourse I..
æ Baleine.......
ss...
Vénus, 22e bord...
GaUreAU.. :: - 4.
Soleil, 1er bord...
œ? Gémeaux. .....
y Grande Ourse. .4|
4o + Vierge...... |
x Petite Ourse I...
æ Vierge
CONCLU
au
FIL MÉRID,
L
21.58.37,34
1.57. 0,30!+
2.52.44,60!+
b +
14. 7 8,45[+
14.12.32,22|-
1
SEE ED D
98 x Vicrge.......|
28
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843.
CURRE
d
nm
istru-
ment.
s.
1,40
0,17
0,30!
0,09
0,26
0,32
0,46
0,07
0,40
2,76
0,22]
|
0,32
0,17
0,21
1,0)
0,14
0,23
0,27
0,02
2,76
0,07
0,04
0,18
0,38
0,09
0,30
2,76
0,0)
0,87
0,27
0,22
0,76
O,11
0,40
0,32
0,46
0,07
0,40
O,11
0,17
1,05
o,17
0,14
0,23
0,13
0,21 |
CTION [e] >= =
À MOYENNE | = 2 ë THERMUMÈTRE. 5
des = A 2 NE Sc: =
pendule | venxiens. | © à seal 5
-80,60
| 11.59.22,0/+ 3,5/729,7l+14,0/+ 8,2]41.3/,7
-81,451336. 2.37,5|+ 2,0/729,9 18,2| 14,814 23,8
—81,581355.16.55,7|+ 2,3/720,8] 18,3] 16,5j4 5o,3
339.14.27,5|[+ 2,0/729,6] 18,8] 17,14 27,3
335. 2.27,5|4+ 1,8/7209,1] 19,1| 19,414 22,3
-81,78 32632 245 + 1:57 De je 19,0] 19,7l+ 13,4
-82,00!353. 8.10,0[+ 1,7 + 46,0
—8:,96[330.21.53,7|+ 1,8/728,6| 19,0] 20,714 17,2
—83,77/253.35.28,0|+ 1,71728,5| 19,4 18,0! -1.29,8
—03,811342.3416,2|+ 1,8/728,4] 19,8! 19,2l+ 31,1
335.34.23,5|+ 0,8/728,3] 20,1 20,0|+ 22,8
—84,241346. x 49,5|+ 0,7/727:1] 20,7] 20,0Ù4 35,4
—84,241343.18.5r,0|+ 0,8 + 32,0
—84,581304.12.11,2|+ 0,8/726,9| 20,5| 19,5] 7,9
267.15.16,0|[+ 0,3/726,9| 20,1 19,2] 154,3
84,35] 9. 5.35,0o[+ 1,9 19,5l+1.21,0
16. 5.45,0|+ 1,31727,0) 19,5| 18,6|+1.47,7
—8/,34
o. 1.28,o[+ 1,41727,0] 10,3] 17,5]+ 58,
-84,60/283.58.44;0l4 122 ce 18 7 10,8|- 2
353.14. o,0|+ 1,2/727,1] 18,7 16,8]+ 46,6
356.23.38,2|+ 0,9 + 52,0
345.37.41,0|[+ 0,9 + 35,3
—84,641331.31. 6,ol+ o,5 + 18,6
—84:53/351.50. 8,o[+ 1,7/727,1] 18,5] 16,8]4+ 44,3
270.18.39,1|+ 1,0|726,3| 18,7 15,1] 40,2
-85,28
—05,26/253.35.25,5|+ o,2 -1,29,8
=85,53 Has à
-85,/0|309.28.25,2|+ 0,3 — 29
338.44. 7,54 1,2/725,7) 20,0| 17,9]+ 26,5
—85,55/342.34.20,0|+ 1,7/725,6| 20,0! 17,7[+ 31,1
_85/36
85,63! 7. 8. 9,714 1,4/725,4] 20,0| 18,6/+1.15,4
-85,781330.17.49,5|+ 1,31725,4] 20,0! 191]+ 17,2
335. 3.43,0| 0,0|725,2] 20,0| 19,6[+ 22,2
—85,561326.32 29,24 1,2 724,6! 20,2] 19,214 13,3
—85,751353. 816,0[+ 1,4/724,5| 20,2 + 45,9
-85,66(330.22. 0,0|+ 0,6/724,4] 20,2| 19,6[+ 17,2
—85,80) 6.44. 5,214 1,5/723,9) 20,2| 20,5]+1.13,7
—85,81/346. 1.54,0!+ 1,1 723,6] 20,3| 20,74 35,2
—86,01/304.12.15,7|+ 1,2/723,4] 20,5) 19,0|- 7,9
7-26.20.2|+ 0,6/723,6| 20,1] 18,5]+1.16,7
267.15.16,9|[+ 0,5/:23,6| 20,0| 18,3]- 54,3
-86,28] 9. 5.32,o|+ 0,8 17,7l+1.21,0
15. 5.46,5|+ 1,2 +1:47,9
8:17.36,0|+ 1,4/723,6] 19,1) 16,1]+1.19,3
-86,40 |
na nat
‘4104
"VAYLVAUASIO
|Bord sup. à os.
REMARQUES.
Au méridien.
Centre au méridien:
Trés-ondul.
Id.
Niv.45P,73.
Nuages.
Id,
Bord inf. à 4m5s.
Nuages.
Faible.
Moyenne de 5 obs. |}
Niv.+5,32.
Centre au méridien.
Ondulante.
Id.
Moyenne de # obs.
Nuages.
‘sSunor
29
Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843.
CORRECTION [e)] 3 7 = 2
PASSAGE Fe MOYENNE a # Jruenmouèree. Be a | à
NOM CUNCLU ne — E © ee — = 5 z
des EURE 8 | 2 |£| REMARQUES.
DES ASTRES. | 3 l'instru- la ÉRE 3 |inté- | Esté- 2 3 | =
FIL MÉRID. | ent | peniule | VERNIERS. 5 É meteo rieur 2 ÉLUS
Det CN NS s s. co HU! 11 min, 1 1 1
B Petite Ourse S..3/14.49 48,25]+ 2,76|-85,96/283.58.46,7 (4 1,7 — 29,2|10,6| B.
45 c Bouvier... ..3/14.59. o,81[+ 0,35 333.16.52,7|+ 1,41723,8 +15,8]+ 20,5 »
5 Serpent........ 15. 9.55,38l+ 0,0/ 356.23.41,0/+ 1,0/723,8 15,81+ 51,9 »
FASEDpenT.-----.. 15.13.34,16|+ o,18 345.37.45,54 0,8 + 35,3 »
æ« Couronne...... 15.26.39,03}+ 0,38|-86,29|331.31.10,2|+ 1,41723,8 + 18,7114,7| »
œ Serpent........ 15.35, 9,32]+ 0,09|-86,39/351.50.11,5|+ 1,9 + 444148) »
34 w Serpent..... 15.40.59,42l+ 0,04 356. 4.43,o|+ 1,8 + 51,6 »
(1817) Serpent... .2|15.46.10,53|+ 0,27 337.59.20,5|+ 2,0|723,8 + 25,9 » |[Nuages.
43 Serpent....... 353.20.11,5|+ 2,2 + 46,9 » Id.
47 Serpent... .[15.59.31,12|+ 0,15 349.48.20,0|+ 1,9 + 41,3 »
(1861) Scorpion. .|16. 6.26,96|- 0,25 15.26.53,7|+ 1,9 +2. 0,8 »
c Serpent.......,. 16.12.44,80l+ o,or 357-21.14,0|+ 1,8 + 54,0 »
x Scorpion....... 16.18.25,65|- 0,37|-85,481 24.48.14,2|+ 1,7 +2.47,9|12,6| »
Mars, centre... ... 16.27.31,19/- 0,36 24. 3.16,0|+ 2,3 +2.40,9 » [An méridien.
(1908) Scorpion. .|16.33./49,95}- 0,39 26.55.48,0[+ 2,2 +3.11,6 »
18 u Ophiuchus...|16.38.49,55]- 0,34 23. 5.16,2|+ 2,2|723,8 5]+2.32,5 »
Soleil, 12° bord... .| 6.15.28,63|4 0,32 335.38. 4,214 2,3|725,9 16,814 23,1 » [Bord inf, à 16345.
92 Vierge........ 13.56.58,241- o,11 7.18.52,0|+ 2,3 #1:17,2 »
æ Bouvier. ....... 14. 7. 2,73[+ 0,27/-90,041338.45.45,7|+ 2,1/727,4 SH 26,9/15,3| »
æ' Balance. ...... 14.40.34,38]- 0,21|-90,17 »
B Petite OurseS. .. 283.58.46,0[+ 2,1 - 29,9/10,1| »
45 c Bouvier... ... 14.58.57,03]+ 0,35 333.16.52,0|+ 2,5 + 20,8 »
3 Serpent. ....... 15. 5.56,40]- 0,07 353.14. 2,51+ 2,5 + 47st »
10 Serpent. ...... 15.19.15,92]+ 0.04 356.22. 0,5|+ 3,21727,6 1520 »
x Couronne....... 15.26.35,19[+ 0,38/-90,12/331.3r. 5,7|+ 4,0|727,d + 18,8/13,1| »
œ Serpent........ 15.35. 5,44]+ 0,09 -90,27 » |
34 w Serpent..... 15,40.55,42]4+ 0,04 356. 442,24 4,7 + ba,2 »
(1817) Serpent... .|15.46.12,30]+ 0,27 337-59.21,5|+ 41/7277 + 26,2 »
43 Serpent....... 15.54.33,22|+ 0,07 353.20. 7,7[+ 3,5 + 47,5 »
47 Serpent....... 19.59.27,02]+ o,11 349-48.17,0|+ 3,5 + 41, »
\XV. 283) Piazzi.. .|15.5g.36,02|+ o,11 »
(1861) Scorpion. .|16. 6.23,02]- 0,25 18.26.52,0|+ 2,9 12,31+2. 2,5 »
a Serpent......., 16.12.40,64|+ o,or 357.21.14,0|+ 2,9 +, 54,7 »
æ Scorpion. ...... 16.18.21,67|- 0,37,-90,47| 24.48.12,5+ 3,6 +2,50,5/15,3| » “ui
Mars, centre..... 16.25.23,9:|- 0,36 24. 2.27,5|+ 4,01727,8 5]+2.43,5 » [Au méridien.
(1908) Scorpion. . 3/16.33.45,81|- 0,39} 26.55.42,5|+ 3,7 +3.14,7 »
18 u Ophinchus. .3116.38.45,711- 0,34 23. 5.18,o|+ 3,2 +2.35,0 »
22 Oplhiuchus....,116.43.56,15]- 0,32 21.58.48,2|+ 3,3 +2.26,2 »
(1939) Ophiuchus. .|16.47.55,55/- 0,34 23.34.27,5|+ 3,6 +2.30,4 »
26 x Ophiuchus.. .|16.48. 7,23]- 0,34 »
(1949) Scorpion. .4|16.54. 1,78|- 0,28 19: O0.21,2|+ 3,3 +2. 6,3 »
(1959) Ophiuchus. .|16.58.41,3of- 0,02 359.37.:18,2|+ 3,3 + 59, » |
37 Ophiuchus....3|17. 3.37,05]+ 0,14 »
œ Hercule. ....... 17. 6. 2,36]+ 0,20/—-90,46|3/44.11.12,0|+ 4,0 727,8 10,7k+ 34,2/14,1| »
B Petite Ourse [.. .4| 2.49.47,87|- 2,76-91,71/253.35.27,2|+ 3,4 -1.30,4| 7,8| »
x Baleine......., 2.52.35,16[+ 0,05|-91,16/355.16.57,o|+ 3,6/727,5 16,2]+ 50,2/12,3| » [Niv.+5P,31.
« Taureau ....... 4.25.25,07Ùt 0,22|-91,411342.34.21,0|+ 3,6 + 31,2/16,8| » |Très-ondulante.
Vénus, 2€ bord...| 4.29.24,00|+ 0,27 338. 2.18,5/+ 3,71727,0 18,2]+ 25,7 » [Centre au méridien.
œ Cocher........, 5. 3.35,95/+ 0,76 91,12 » |Très-ondulante.
B Orion......., 4| 5. 5.29,49/- o,11|—-91,35] 7. 8. 9,7|+ 3,71727,0 19,0/+1.19,5 15,5| » Id.
GTaureau....... 2| 5.14.52,06[+ 0,40/-91,17/330.17.48,5|+ 3,5| 19:2/+ 17,2 14,5] »
NÉGTIT ARTAREL | 132.34. 8,5|+ 4,8 | » [Moyenne de 7 obs.
8
30
x Observations faites à la lunette méridienne en Juin et Juillet 1843.
PASSAGE PRE MOYENNE | = 8 2 ÊTRE 2 5 2
s NOM : de £z ee THERKMOMETRE. 3 | = d
5 NAS Auot NET E el: last
q DES ASTRES. 3 l'instrn- LE 3 Euté- = A
FIL MÉRID. | ment. VERNIERS. E El rieur. 2 5. | 7
h. m.s s. or toMrr 11 mn o | (| RUE
27|Soleil, 1er bord ...| 6.24.35,73]+ 0,31 335.39.46,5|+ 3,0/726,9!+10,8/+21,54 22.8] B. |Bord inf. à 20m40s,
28/4 Petite Ourse L...3[13. 1.57,17 207.15.15,6|+ 3,3/32r,0 16,0)- 54,6! 8,3| » |Moyenne de 3 obs.
tlæ Lion (*)........ 10. 0.21,82|+ 0,17 #0:931346. 1 49,2 + 4,71733,3 20,54 35,7 14,5] » [Niv.+4r,76.
« Grande Ourse 10.54.19,93 + 2,45 296.10.31,0/+ 4,1 733,3 20,2]— 15,9 8,8| » |Ondulante,
B Lion More: 3/21.41.24,62[+ o,21 +19,80 343.18.50,7|+ 4,2 + 32,214,7| » | Id.
7 Grande Ourse. ..|11.45.55,861+ 1,05/+19,87|304.12. 9,24 4,21733,2 19:9/- 8,0! 7,7| » | Id.
« Petite Ourse 1..4|13. 3.51,80 267.15.15,41+ 4,0/733,4 18,8]- 54,9! 8,4| » | Moyenne de 5 obs.
a Vierge......... 13.17.18,38|- 0,14 9- 5.33,7|+ 4,3 18,0[#1.22,2,16,9| »
2|Soleil, ser bord....| 6.42. 8,61|+ 0,30 335.56. 6,54 3,3/734,9 19,114 23,5 » |Bord inf. au mérid. ;
G Petite Ourse I. .4 2.51.34,97|- 2,76 6 253.35.28,5|+ 2,3 —1.31,1| 6,7| »
a Baleine........ 2.54.22,06!4 0,05|+16,20|355.16.57,7|+ 2,6|734,0 15,8]+ 5o,7/13,7| »
œ EaRee dresse eut + 0,87|+16,33|309.28.27,0|+ 3,0 733:9 16,71- 3,0,14,4| » [Niv.+5,54.
œLaUreau.. ... .. -27-12,044 0,22 »
Vénus, 22e bord... à 154,721 0,28 336.53.43,7|+ 4,3 + 24,6 » |Centre au méridien.
ax Cocher........, . .23,47l4 0,76 »
HOnone res. 5. 7.16,96|- o,11 7- 8. 4,5|+ 3,7/733,6 19,2/+1.16,1/12,6| » |Ondul.
G Taureau ....... 5.16.39,75[+ 0,40|+16,09 330.1747,0|+ 3,5/733,6 192]+ 17,4/13,1| » | Id. ee
Mercure, 2®ebord..| 5.31.57,76[+ 0,25 339.42.19,2|+ 3,5 733,5 19,7[+ 27,8 » |Centre an méridien.
3|Soleil, 1er bord...| 6.46.14,871+ 0,31 335.29. 9,0[+ 2,5 733,9 20,5|+ 29,8 » [Bord sup. à 47m19s.
MHAYALE eee. 9-20. 9,42] o,11|+15,65) 6.44. 4,2|+ 3,0|732,4 23,3]41.13,9/14,0| » |Ondul.
DADION= ee nee 10. 0.17,64[+ 0,17/+15,76346. 1.50,7|4 3,0/732,2 23,414 35,3l1%,9l » | 14. à
Lune, 1° bord... .|[11.37.21,34]- 0,05 2.35.26,0|+ 2,6 41: 3.5 » |Bord sup. à 38165.
8 Lion ne lens eu At 120200 + o,21|+15,58 B43:x8:51,5 + 2,8 ; + 31,7l13;7| »
7 = Dire 7 AU + 1,05 HA 304.12.13,7|+ 2,9|731:9 24,3]- 7,8|11,0| »
æ Cassiopée I..... 12.91.97,40! 1,10|+19,2 »
& Petite Ourse 1. .4|13. 3.52,90 | ” »
z Vierge........ 4 RTE - 0:141#15,26! 9 5.36,21+ 3,3 23,8]+1.20,4116,9| »
98 x Vierge... .... 14. 4.50,14[- 0,13 + 8.17.30,0|+ 2,5 +1.18,4 » |
æ Bouvier. ....... 14. 847,914 0,27/4+15,21/338.45.41,7|+ 2,6/739,0 22,314 26,4112,0| »
8 Petite OurseS... 14.51.20,241+ 2,76|+15,92]283.58.42,0|+ 1:7|732,0 20,9/- 29,3] 7,5| » L
4 Bouvier..... 15. 0.42,23|+ 0,35 Pb + 28 + 20,4 » É
nn Pt eige 5 EEE M 0:07 355.14. 1,7|+ 2:9 . + 46,3 » |
SERDERE ne ; 15.11.36,68[+ 0,04 her ee + 42 + 5137 » î
7 Serpent.... .. 4 15.15.15,51 + 0,18 345.37.41,0|+ 3,6 HTI3DT » |
10 Serpent...... 435.21. 1,30}+ 0,04 356.22. o,2|+ 3,7 19,814 51,8 » j
« Couronne ...... 15.28.20,55|+ 0,38 #15,30 331.3r. 7:0|+ 3,6 + 18,6/15,2| » d
« Serpent....... : 15.36.50,74[4 0,09|+15,0f 351.50.10,0!+ 4,5 + 44,327,0| » | cl
RU Serpent. .4 Hé 0,27 Fri + 3 7321 18,6/+ Fe » |
4 erpent....... 19.90.15, 0,07 .20.: 79|+ 3, + ), »
47 Serpent... .... 16. {13:20 + o,r1 349.48.17,5 + 3,2 + L13 »
(XV. 283)Piazzi..3|16. 1.21,58l4 o,11 »
(1851) Scorpion... .|16. 8. 8,21|- 0,25 18.26.52,0|+ 3,4 +2. 0,9 » T
« Serpent........ 16.13.26,39|+ o,o1 357.21414,0|+ 4,41732,2 17,5l+ 54,1 » 2
He 7e S : S Fr — 0,36 4e 2e 4 3,5! : +2.40,6 » [Au méridien. il
elite Ourse I...3| 2.51.33,03/|- 2,76/+13,931253.35.29,5|+ 3,3 731,9 L —1:29,9| 9:7| » !
a Baleine... ...... 2.54.20,68 + bi 414,15 ? l'geé F 7 » [Niv.+5,87.
(*) Avant celte observation la pendule a été avancée de 2 minutes.
3
Observations faites à, la lunette méridienne en Juillet 1843.
CORRECTION
a PASSAGE 1e MOYENNE
e} NOM. me
ë CUNCLU Li ER es #=
Da au
LÉ DES ASTRES. à l'instru- la
FIL MÉRID. | yjeut. | pendule} VERNIERS.
Eros s s LAIT
D Pensées nes « : 3.13.24,56|+ 0,87/+14,29|309. GR 28,5\4
L'EGUTRARE EEPRS 132.34. 9,44
x Taureau....... 4.27.10,69!+ 0,22/+14,14/342.34.:2,0!+
Vénus, 2mebord...| 5. 7. 3,0bf+ 0:28 336 44:20,07
Mercure, 2%€bord..| 5.33. 148 + 0,25 339.33.43 514
œ Orion........, 5.46.55,581+ 0,10/+13,851351.23.10,0!4
æ Grand Chien. ...| 6.38.28,941- 0,22|+14,a1) 15.14.50,21+
4|Soleil, 1% bord... 6.50.19,97 + 0,30 336. 5.30,2|+
æ Céphée [....... 9-15. 8,25]- 1,40/+13,68/240.44. 2,014
mHyAre.----.... 9-20. 7,50]- o,11|+13,73] 6.44. o,7|+
B Céphée L....... 9.26.55,91}- 2,05,+13,56/248.40.12,2|+
DONS 2. 10. 0.15,b6[+ 0,17/+13,781346. 1.52,0|+
Lune, 1er bord....112.31.28,16|- 0,15 8.27.44,214
« Petite Ourse 1.../13. 3.52,30 267.15.17,31+
PaMietges cher. 413.17.12,198- 0,14/+13,41] 9. 5.373,24
" Grande Ourse. . .[13.41.35,90!+ 0,89|+13,33
98 x Vierge...... 14. 4.48,18)- 0,13 8.17.37,2|+
æ Bouvier. ....... 14- AS + 0,271+13,441338.45.46,0|+
G Petite Ourse S..3 14. Dre HUE + 2,761+13,85/283.58.40,0|+
45 c Bouvier . 15. 0.40,451+ 0,35 HR +
Serpent.:... . 15. 7.39, 92 + 0,07 353.14. 4,o|+
5 Serpent........ 15.11.34,761+ 0,04 356. 23. 4 o|+
Serpent. -:...,. 15.15,13,82+ 0,18 345. 37. 43,7 +
10 Serpent. .... 15.20.59,50}+ 0,0 356. . 0, +
« Couronne ..,... 15.28.18,73]+ 0,38/+13,481331.3r. 8,71+
a Serpent:....... 15.36.49,00! 0,09/+13,32/351.50. g,7|+
34 w Serpent... .4/|15.42.38,98|+ 0,0} 356. 4.43,5|+
43 Serpent. ...... 15.56.16,92{+ 0,07 353.20.10,0|+
47 Serpent. ....:, 16. 1.10,68]+ o,11 349-48.18,0|+
(XV: 283) Piazzi. .|16. 1.19,62]+ our
11861) Scorpion... |16. 8. 6,54/-- 0,25 18.26.54,5|+
a Serpent........ 16.14.24,40l+ 0,01 357-21.14,0|+
Mars, centre...... 16.21. 5,841- 0,35 4. 0. 8,0|+
œ Persée......... 3.13,22,68|+ o,87|+1 2,37 Ronan fr
a Taureau ....... 427. 8,97|+ 0,22/+12,401342.34.19,5+
Cocher... ....:. 5. 5.19,831+ 0,56/+12,56
BOrion -..:+.... 5. 7.13,20] - o,11/|+12,21 . 8. 8,7[+
Vénus, 2m°bord...| 5.12.12,34]+ 0,29 336. 35: HE 2[+
GTaureau........ 56.35,95l+ 0,40/+12,25/330.17.49, 5 +
POrion:--....2. 5.46.54,10+ 0,10/+12,36/351.23. 9,5/+
æ Grand Chien....| 6.38.26 g2l- 0,22 +12,18] 15.14.49,0|+
M5|Soleil, rer bord.® .| 6.54.25,97[+ 0,30 he 5 +
x Céphée L....... 9-15. 6,61] 1,40/+11,99l240. 44. 2,0|+
RAHYATE ae - 6 à e .20. 5,641- o,11/+11,87) 6. 59,7 +
G Céphée I....... 9-26.5/4,31]- 2,05|+11,92 248.40.13,0|+
MOTTE EL. EEE 10 VASE + 0,17/+12,02/346. 1.51,5/+
AMbion.m er. ZI. LS 16,641+ o,21|+11,8613/ 4318.53,
y Grande Ourse. . .45.45,88]+ 1,05|+11:98/304.12.14,0|+
æ Cassiopée 1..,.. 12 A - 1,10/+11,85/234.30.35,7|+
æ Petite Ourse L...4|13. 3.5/,30 267.15.13,1/+
x Vierge......,,, 13.17.10,62f- 0,14;+11,85) 9. 5 35,0!+
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THERMOMETRE.
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rieur.
2,31731,7|+21,0
2,9/731 21,1
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2,5|731,6! 22,1
254
2,4|731,4| 21,8
42
4
3,2|730,6| 22,0
1,9/730,5] 22,1
2,2|729,9) 22,0
2,21530,0) 21,0
2,4|730,o) 21,8
2,5
2,1|730,1] 21,5
2,1/730,1] 21,3
3,2
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2,4/730,1] 20,8
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2,0/730,4] 23,0
2,0
2,1/730,2| 23,0
24/7294] 22,8
3,0
2,0,729,3] 22,8
2,3,929,1] 23,0
2,0
2,2|728,7 23,4.
2,51728,8] 23,8
1,8 728,9 24,0
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| 23,7|+ 22,7
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23,5[+ 26,2
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21,1]+ 20,3
+ 46,1
51,5
2,9
23,7[+ 30,7
+t.14,6
1-123,7
23,614 17,0
Dot 427
23,71+1.42,5
24,5|-2.39,7
+1.13,2
24,5]-1 47,6
24,5 + 35,0
+ ds
23,2] 1 7,8
28,0]-4. 0,8
264 Æ LEE
LEE +19
‘4104 na naar
"UNILVANASIO
REMARQUES.
Moyenne de 6 obs.
Centre au méridien.
Id.
Bord inf. à 51m23.
Ondul.
Bord sup. à 32M275.
Moyenne de 5 obs.
Au méridien.
Centre au méridien.
Très-ondal,
Bord sup. à 55mu5s,
[rès-ondul.
Moyenne de 5 ebs.
|
|
32
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843.
CORRECTION a 5 ai = o
PASSAGE de MOYENNE | =2 E Jrassuouèrer Hi a | &
NOM CONCLU ns | = = = È = 2
Le de “ou Deer | Cia Mes) Do © FACE REMARQUES.
DES ASTRES. ; l'iustru-| la 2 | 2 Jinté | Eu] à SRE
FIL MÉRID, | jneut. | penaule | VERNIERS. | © © | % |ieur. | meur. © SIN
2 à 2 5
him rs 5 o 1 11 11 o o 1 "1 11 "54
Lune, 1e bord.... 13.27.29,47]— 0,20 13.49-14,0|+ 1,2/729,0 +23,8|425,3 +1.35,9 B. | Bord sup. à 28"30s.
98 x Vierge... .:. 4114. 440,65! 0,15 8.17.35,5|+ 0,9 +117,8 » |
x Bouvier........ 14. 8.44,55]+ 0,27 ;
æ' Balance....... 14.42.16,20!— 0,21 ré
æ? Balance. ...... 14.42.27,58)— o,21 x »
œ Persée......... 3 13.21,42]+ 0,87|+11,00|309.28.25,2|+ 0,8 22,6! 21,2] 2,9/10,5| » [Oudul.
œ« Taureau ....... 427. 7,414 0,22/+10,81/342.34.51,5|4 1,4 | 23,0]+ 30,7/15,3| » Id.
œCocher......... 5. 5.18,11/+ 0,76,+10,82 »
BG Orion.…...... 4] 5. 7.11,86!- o,11|+10,85| 7. 8. 8,ol+ 1,4 24,0! 23,7{41.14,5/12,7| »
Vénus, 2m bord...| 5.17.22,12]+ 0,29 330.27.29,|+ 1,4 1291) » [Centre au méridien.
6|Soleil, 1er bord... .| 6.58.3r,61}+ 0,29 336.16.20,0|+ 2,4 2/,8| 25,1]+ 23,2 » [Bord inf. à 5gm36s.
GiBion-- «.----e. 11.41.15,28]+ o,21|410,511343.18.53,2|4 o,1 + 31,1/12,2| »
y Grande Ourse... 11.45.44,20!+ 1,05|+10,32|304.12.13,5|+ 0,6 25,4 27,61 7:71 8,4] »
a Cassiopée I....3|12.31.52,89- 1,10/+10,56 » |Très-faible et ondul.
œ Petite Oursel... |13. 3.55,40 267.15.12,8|+ r,0 25,3| 27,8]- 52,7| 4,8] » | Moyenne de 5 obs.
œ Vierge........ 3/13:17. 9,110 0,14/410,35| g. 5.37,2|+ 1,5 271]+118,9/14,7| »
n Grande Ourse. ..|13.41.32,8l4 0,89|+10,34/308.40.18,2|- 0,8 25,1| 25,7] 3,b|10,4| »
x Bouvier........ 14. 8.42,99|+ 0,27|+10,83]338.45.45,2|+ 0,2 24,8] »5,1]+ 25,9/14,9| »
Lune, 14 bord....|14.26. 6,79]- 0,26 18.18.14,0|+ 0,9/727,0] 24,6! 23,5l+1.56,8 » |Bord sup. à 27"165.
œ?Balance........ 14.42.26,20|- o,21|}10,31 »
45 c Bouvier. .... 15. 0.37,431+ 0,35 333.16.57,0|+ 0,9/727,5] 24,0| 22,9]+ 20,1 »
3 Serpent........ 15. 7.39,96[+ 0,07 353.14. 3.7|+ 0,6 + 45,7 »
5 Serpent. ....... 15.11.31,08|+ 0,04 356.23.44,0|+ 1,2 + 5r,0 »
7 Serpent. ....... 15.15.10,00|+ 0,18 345.37.46,0|+ 0,2 22,3|+ 34,7 »
10 Serpent. ..... 4|15.20.56,51|+ 0,04 356.22. 2,5|+ 0,7 + 50,9 »
a Couronne...... 15.28.15,79 + 0,38|+10,56 »
a Serpent........ 15.36.46,02!+ 0,09|[+10,35/351.50.13,5|+ 0,8 + 43,4115,1| » |[Nuageux.
34 w Serpent..... 15.42.35,90{+ 0,04 356. 4.46,ol+ 1,5 + 5o,4 »
(x817) Serpent... .|15.47.52,9h4 0,27 337.59.21,5|+ 0,6[728,6! 23,2| 23,0]+ 25,3 »
7|Soleil, 1°° bord... .| 7- 2.37,17|+ 0,30 335.50.53,5|+ 1,41734,41 22,9] 20,1]+ 23,3 » [Bord sup. à 3m33s,
x Hydre-.:...... 9.20. 2,98[- o,11/4+ 9,22) 6.43.57,5|+ 1,317934,0) 23,0| 21,5]+1.14,4| 6,6] » |Ondul.
ilionseiennl nes 4|10. o.11,124 0,17|+ 9:251346. 1.51,5|+ 1,8/734,0) 23,3| 21,9[+ 35,5,13,8| » |Trés-ondul.
Bien... 0 11.41.13,76]+ o,21|+ 9,00|343.18.51,5|+ 1,3 + 32,0/12,6| »
y Grande Ourse.. .|11.45.42,90|+ 1,05|+ 9,04]304.12.12,0l+ 1,41733,51 23,0! 21,3 7,9] 7,4) »
a Cassiopée I....4/12.31.51,29]- 1,10|+ 8,93 »
æ Petite Ourse 1...|13. 3.50,10 267.15.17.9|+ 1,71733,54 22,4| 10,51- 54,7] 8,6! » | Moyenne de 5 obs.
a Vierge......... 13.17:17,641- o,14|+ 8,891 9. 5.35,0[+ 2,21733,5| 22,3| 19,1+1.21,8/15,3| »
n Grande Ourse...|13.41.31,55]4 0,894 9,0/1308.40.20,0|+ 1,21733,6] 22,1| 18,8]- 3,7/14,1| »
a Bouvier........ 14. 8.41,55]+ 0,27|+ 8,90 »
æ*? Balance....... 14.42.24,641- o,21|+ 8,75 »
8 Petite OurseS. . .|14.51.23,00|4 2,76|+ 9,66[283.58.47,2|+ 1,5| : — 29,8/10,5| »
y Balance. ....... 14.55. 6,53|- 0,34 23.23.30,5|+ 2,51733,4] 21,1] 17,1]+2-35,6 » |#
4 Serpent........ 15. 8. 1,70] 0,00 357.48. 4,0|+ 2,3 + 55,1 »
6 Serpent... 15.13.14,98]+ o,o1 357.28. 4,o|+ 2,3 + 54,5 »
9 Serpent........ 15.18.42,4814 0,21 342.46.43,7|+ 1,5 16,5|+ 31,9 » |
Lune, 1° bord....|15.27.24,71|- 0,32 21.33.50,0|[+ 1,8 42.91, » [Bord sup. à 28"195.}
42 y Balance. .... 12.31.13,07|- 0,32 22. 2.14,0|+ 1,8 16,71+2.24,9 »
a Serpent........ 15.36.44,52|+ o,09|+ 8,86 »
35 x Serpent..... 15.41.52,32l4 0,2h 340. 8. o,ol+ 1,51733,5] 20,3| 16,1|+ 28,6 »
(1865)Ophiuchus..|16. 8.52,72]- 0,04 2.18.49,2|+ 1,5 733,5 20,3| 16,1]+r. 4,7 »
4 4 Ophiuchus. ...|16.15. 8,55j- 0,27 18.24.20,5l4 2,9 +2. 1,7 »
33
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843.
CORRECTION a = El © 2
A PASSAGE Ne MOYENNE | =2 = Jruenuouèrre. Ce E |
2 NOM CONCLU ne ca 5 2 ë ë Z
El “4 des EN SN ai ra Q = à REMARQUES.
Æ DES ASTRES. j l'instru-| la de 3 |inté- | Exté- = 8 |. 5
FIL MERID, ment. | peniule f VERNIERS. 180 ei rieur. | rieur. © a 5
2 * z :
b. m. s. 5 s © RU 1" o o Hour) rt <a
œ Scorpion....... 16.20. 0 67]- 0,37|+ 8,53] 24.48.13,5|4 2,3 733,51+20,0|415,2]42./9,8|14,1| B.
æ Persée......... 3.13.18,56!+ 0,87|+ 8,12 » [Niv.+5p,9b.
Nadir amas ss 50 132.34. 9»9|+ 4,0 » |Moyenne de 6 obs.
x Taureau .....,. 427. 4,531+ 0,22|+ 7,881342.34.17,9|4 3,0 21,8| 18,0]+ 31,4113,8| »
8lœ Petite OurseI...1/13. 3.49,00 » [Nuages.
a Vierge......... 13.17. 6,04! 0,14|+ 9.30 »
n Grande Ourse.. .|13.41.29,84[+ 0,89|+ 7,361308.40.13,0|4 3,5 21,9] 18,3] 3,7] 9,5| »
æ Bouvier. ....... 14. 6.40,01]4 0,27|4 7,37 3358.45.41,5|4 3,5 21,9| 1741]+ 26,7/13,5| »
œ* Balance...... 4|14.42.23,10!- o,21|+# 721 " » |Trés-ondul.
8 Petite OurseS...|14.51.21,34]4 2,76/4 8,07|283.58.48,7|4 1,9 — 29,7|14,7| »
y Balance. ...... 4114.55. 5,o1f- 0,34 23.23.31,2|4 2,3 20,3| 16,2]42.35,3 »
4 Serpent........ 15. 8. 0,241 0,00 357.48. 4,0|+ 3,0 7298] 20,5] 16,2]+ 55,0 »
6 Serpent........ 15.13.13,4814 o,01 337.28. 4,0 + 2,9 ÿ + 54,3 »
g Serpent........ 15.18.41,06[+ o,21 342.44.44,0|4 3,5 + 31,8 »
æ Couronne...... 15.28.12,61|+ 0,38|+4 739 »
11|œ Grand Chien. ...| 6.38.15,56|- o,19|+ 0,77 15.14.46,0 + 5,2/731,9] 19,7] 20,5]+1.43,9/13,5| »
12|Soleil, 1% bord... .| 7.22.55,47|+ 0,26 336.58.25,0 + 4,51731,9| 19,9! 21,3]+ 24,4 » [Bord inf. à 23m55s,
y Grande Ourse. ..|11.45.33,84]+ o,91|— 0,07|304:12. 8,0|4 4:91731,8| 20,0| 21,4/- 7,9] 6,4] »
« Petite Ourse L..4|13. 3.41,40 207.15.14,4/4 4,1 732,0] 19,8] 19,3]- 54,7] 6,9| » | Moyenne de 5 obs.
œ Vierge........ 4113.16.58,60|- 0,12|— 0,09 »
x Bouvier....... 4\14. 8.32,65l+ 0,23| o,00 » [Nuages.
x Taureau ....... 426.55,51l4 0,19/— 1,30/342.34.19,7|4 4,1|733,r] 21,0) 19,8]+ 31,3/17,4| » [Ondul.
Nadir... Je nee + 132.34. 9,74 5,2 » [Moyenne de 4 obs.
G Orion......... 5. 6.59,76/- o,10/- 1,39] 7. 8. 6,0|+ 3,7 732,9) 21,0] 20,5l+1,1b,7|15,5| » |Niv.+5,20.
G Taureau....... 4] 5:16.22,70[+ 0,35|— 1,25]330.17.51,2|4 3,6|732,9| 21,1| 20,3l+ 17,3 17,3] » |Très-ondul., nuages.
CiOFION asp se EN e 546.40 Lo + 0,08|— 1,41]351.23. 8,o|4 3, 732,9] 21,8] 20,5|+ 43,4/16,4| » Id.
Vénus, 2mebord...| 5.53.51,58|+ 0,26 335.48. 2,5|4 3,5 21,7| 21,0]+ 23,1 » |Id. Centre au mérid.
13/Soleil, rer bord....| 7.26.57,71l+ 0,25 337. 6.49,5|4 3,8|739,2] 21,0] 21,3]+ 24,6 » [Bord inf. à 27mb4s.
œ« Hydre......... 9-19.52,12]— 0,10!— 1,63] 6.44. 5,5|4 2,1|731,5] 21,5| 23,ol+1.13,8/13,5| » |Très-faible.
& Grande Ourse. ..|10.53.57,80|+ 1,25|- 1,56[296.10.31,0|+ 3,4/730,5] 22,0] 22,5] 15,7| 6,4| » |Très-ondul.
-[x5l4 Taureau....... 4.26.50,o1|+ o,19|— 6,89|342.34.17,5|+ 2,5/735,3] 20,3! 18,24 31,5/14,1| » Niv.+6,27.
| B Orion........ 2| 5. 6.54,18]- 0,10|- 7031 7. 8. 3,0|+ 3,4 735,3] 20,5 18,7 +1.16,4/13,4| » [Nuages.
16/Soleil, 12° bord....| 7.39. 1,87l+ 0,25 337. 2.31,0|+ 1,2 20,9| 20,8]+ 24,6 » |Bord sup. à 4omBs.
6 Serpent....... 4]15.12.58,05| 0,00 357.28. 3,04 2,9 19,8| 18,3]+ 54,4 »
9 Serpent....... 4115.18.25,63/+ 0,19 342.46.46,0[+ 2,3 19,8| 18,3l+ 31,8 » |Nuages.
x Couronne..... 4115.27.57,441 0,33] - 7:73 Ù À
35 x Serpent... 19.41.35,84]+ 0,17 340. 7-53,5|+ 1,917: 19,8! 18,0]+ 28,5 »
47 Balance. ..... 4115.45.52,65|- o,2x 17.39-20,0|+ 2,0 19,7| 18,0]+1.57,1 » |
44 x Serpent..... 15.55.25,111+ 0,28 235.31.13,5|+ 1,8 18,0]+ 23,2 »
47 Serpent....... 16. 0.49,52]+ 0,10 »
(XV. 283) Piazzi.. .|16. 0.58,42l4 0,10 349.43.29,7|+ 2,1 + 41,6 »
(:865)Ophiuchus..|16. 8.35,94]— 0,04 2.18.49,2|+ 2,3 17,8[+1. 4,6 »
Mars, centre... ... 16.19.56,15|— 0,3r 24. 2.45,5|+ 2,6 +2.40,9 » [Au méridien.
12 Ophiuchus..... 16.28. 2,66|— 0,03 0.44.20,0|+ 3,0 19,4] 17,4/+1. 1,2] * »
22 Ophiuchus... ..|16.45.18,51|— 0,28 21.58.50,0|+ 2,8 19,4| 17,41+2.24,8 »
(1939) Ophiuchus..|16.50.17,93[- 0,50 23.34.34,0|+ 3,5 4+2.37,7 »
26 æ Ophiuchus.. .|16.50.29,59}- 0,30 »
34
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1845.
‘sunor
NOït.
DES ASTRES.
(1949) Scorpion..3
(1959) Ophiuchus. .
37 Ophiuchus.....
œ Hercule. .......
ko + Sagittaire....
20 B Aigle.......
25 w' Aigle
47 x Sagittaire. .4
35 c Aigle
(XIX. 152) Piazai. .
Saturne, centre... .
Bibles st 20e 4
GHAAISIE RE...
x Ë' Capricorne...
æ' Capricorne... ..
«2 Capricorne.....
iGocher-...-.. 4.
Vénus, 2%e bord...
Mercure, 2" bord...
æ& Grand Chien....
17|Soleil, 1er bord...
œ Hydre......1..
PION A dve 3
E
=
e
LE)
æ
S
n Grande Ourse...
æ? Balance. ....,.
G Petite OurseS...
4 Serpent....... 4
6 Serpent........
9 Serpent.... .. 4
a Couronne ......
42 y Balance. ....
47 Balance.......
44 = Serpent.....
47 Serpent.......
(XV. 283)Piazzi..
Mars, centre... ...
12 Ophiuchus.....
22 Ophinchus.....
(1939) Ophiuchus./
26 x Ophiuchus:..
62 y Ophiuchus. .4
63 z Ophiuchus...
y Diagon........
72 87 Ophiuchus...
(XVII. 375) Piazzi.
14 Sagitlaire
CORRECTION [œ) | =
PASSAGE de MOYENNE |=© | >
CONCLU | des | E A Ë
a: l'instru- la s 5 2
FIL MÉRIUD. | eut. | pendule | VERNIERS. 2 £
nent s. s d'A 1 | nm
16.55.24,11|- 0,24 19. 0.22,0 + 3,5
17. 0. 3,78] 10,03 359.37.19:7|+ 2,1
17. 4.59,b2l+ o,12
17. 7-24,90]+ 0,17|— 7:941344.11.14,5 + 2,1
1.57. 5,07|— 0,33 26.36.34,0|+ 3,2/737,1
19. 4! 5,78]- 0,10 6.56.36,0|+ 3,4
19-10.22,961+ 0,12 347.26.31,5|+ 3,2
19:12.39,53|- 0,30 23.31.49,5|+ 3,6
19.21. 0,39l+ o,o1 357. 7. 4,0|+ 3,4
£ 357. 4. 1,5|+ 3,5
19.36.42,07!-— 0,25 20.20.19,D|+ 4,2
19.47.31,53[+ 0,06|- 8,50|352.44. 8,04 4,7
19.56.13,38[- o,or 359.53.32,0|+ 3,7
20. 3.11,661- 0,15 11.32.44,0|+ 4,7 737,0
20. 8.52,08|- 0,15|— 8,27} 11.43.46,0[+ 4,11737,0
20. 9-16,42 _ o,15|— 8,44
5 4.358,97 + 0,67|- 8,77
5. 6.52,20)- o,10|[— 9,03 . 8. 4,ol+ 3,5|737,6
5.16.12,23/4 0,35|— 8,831330.17.49,5|+ 2,9/737.6
5.46.33,08[+ 0,08|- 8,92
G.14.51,621+ 0,26 335.39.47,5|+ 2,6
6.19.29,12+ 0,25 336.52. 9,7[+ 2,8|737,5
6.38. 6,08] - 0,19|- 8,80] 15.14.44,0[+ 2,9
7.43. 2,25{4 0,24 337.43.52,0[+ 2,0|737:2
9-19.44,68]- o,10/- 9,07 6.44: 4,0|+ 2,5]736,7
9:59.52,60!+ o,15|- 9,27
10.55.b0,27l+ 1,25|— 9,09/295.10.34.,0|+ 2,5|736,0
13. 3.37,40 207.15.18,5|+ 2,1|735,4
13.16.49,12/-— o,12|— 9,50] 9: 5.35,5|+ 2,41735,4
13.41.12,70|+ 0,77|— 9,611308./0.16,0[+ 2,5 735:3
14.42. 6,08l- o,18|- 9,60! 14. 7.55,71+ 2,6
14.51. 3,52l4 2,39[- 9,401285.58.43,2|+ 2,5|735,2
15. 7.43,15| 0,00 357.48. 4,o|+ 2,8
15.12.56,40| 0,00 357.28. 4,o|+ 2,81735,3
15.18.23,80[+ o,19 349.46.45,7|+ 2,81735,3
15.27.55,51|4 0,33|— 9,641331.3r. 8,0|+ 2,8
15.30.55,17|- 0,29 22. 2.16,0|+ 2,8
15.45.50,851- o,a 17.39.22,0|+ 3,11735,3
15.55.25,33|+ 0,28 335.31.14,0[+ 2,5
16. 0.47,641+ 0,10
16. 0.56,561+ 0,10 349.43.30,0|+ 2,5
16.19. 8,96!- 0,3: 24. 3.30,o|+ 3,5
16.28. o,82[- 0,03 0.44.18,0|[+ 2,9,735,5
16.45.16,73l- 0,28 21.58.54,0[+ 2,6/735,5
16.50.16,22{— 0,30 23.34.34,0|+ 2,6
16.50.27,69l- 0,30
17-39.55,:8|+ 0,04 355.59. 4,olt+ 2,6/735,6
17.45. 9,451- 0,30 23.34.34,0|+ 2,7
17.52.50,gl+ 0,82|- 9.63 307.15.35,2 + 3,8
17.59.48,30|+ 0,11 34g12.42,0|+ 2,5
17.59.57,561 o;1x
18. 4.44,97[- 0,26] 20.28.56,0|+ 2,9]
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5,1/15,6
"VAILVAUISIO
REMARQUES.
Au méridien.
Centre an méridien.
Id.
Niv.+5p,85.
Bord inf, à 44m3s,
Ondul.
Moyenne de 5 obs.
Au méridien.
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843.
‘sSunoc
18 Soleil, 1er bord...3
NOM
DES ASTRFS.
à Petite Ourse S. ..
œ« Lyre
29 r Sagittaire. ..4
Anonyme 9-20°27/
62 Serpent... ... &
40 + Sagittaire. ..,
20 B Aigle.....
25 w' Aigle
47 x Sagittaire...
35 c Aigle
(XIX. 152) Piazzi. 4
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BTaureau ....
« Orion
Vénus, 2me bord...
Mercure, 2m bord.
æ Grand Chien....
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« Grande Ourse, ..
B Lion
7 Grande Ourse...
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2 VIE TECH
n Grande Ourse..,
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B Petite Ourse 5...
9 Serpent
ax Couronne
42 x Balance...
47 Balance. . .... 2
44 Serpent
47 Serpent :
(XV. 283) Piazzi. .|
(1865)Ophinchus . |
4 bd Ophiuchns, ..,
Mars, centre... ..
12 Ophiuchns....,
(1908) Scorpion...
(1939) Ophiuchus
26 Ophiuchus,.,
(1949) Scorpion. 4
(1959) Ophiuchus ,
37 Ophiuchus....,
« Hercule
33 Scorpion
44 b Ophiuchus.. .
3 Petite OurseS. ,2
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18.22.40,50
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CONCLU D ELA
| rt mérin. List UE VERNIERS.
D'ou" s s. F0 DRE TI 11
18.22.43,02 27211: 9,04 2,9
18.31.30,46|+ 0,52|— 9,85/320. 7.2b,7|+ 3,0
18.40.15,95]- 0,25 19:13.50,0|f 4,1
18.41.35,607!- 0,25
18.47.42,05|+ 0,06 352.19.52,0|[+ 2,3
18.57. 3,31}- 0,33 26.36.35,o1+ 2,5
.|19- 4. 3,88/- o,r0 6.56.36,7|+ 2,3
19:10.20,52l+ o,12 347.26.27,5|+ 2,1
19.15.37,89[- 0,30 23.31.53,2|+ 2,8
19.20.55,68] 0,00 357. 7. 5,olt 2,3
19.23. 2,58] 0,00 357. 4. x,b|+ 2,1
19.36.21,59}- 0,26 20.21. 7,2|+ 2,4
319.43. 1,041+ 0,10/-10,16
19.47-29,80Û+ 0,06|-10,181352.44. 8,5|+ 2,6
4 26.46,80{+ 0,19/-10,571342.34 21,0|+ 1,9
5.:6.13,35]+ 0,35/-10,74/830.17.53,o[+ 0,2
5./6.31,18+ o0,08|-10,84[551.23.11,5[#+ 0,1
6.20. 7,5o[+ 0,26 335.39.29,7|— 0,8
6.25.31,10l+ 0,25 336.41.39,0|- 0,6
6.38. 4,36/- 0,19/-10,51] 15.14.50,0| 0,0
7-47. 2,334 0,24 337.22:33,5|-— 1,2
9-59.50,82{+ 0,15|—11,04
10.53.48,27{+ 1,25|-11,07
11.40.53,641+ o,18/-11,06]343.18.53,5| o,0
11.45.22,50]+ o,91|-11,27304.12.19,5|- 0,2
13. 3.38,80 267.15.19,5|- 1,0
13.16.47,19)- o,11|—-11,41) 9. 5.35,2|— 0,2
13.41.11,08[+ 0,77|-11,33/308.40.19,5|— 0,8
14. D.21,198+ 0,23/—11,37/338:45.45,5|- 1,0
14.42. 4,32f- 0,18/-11,441 14. 9 5G,o|- 0,5
14541 1,72{+ 2,39/—11,19/283.58.4/,0|- 0,5
15.18.22,15/+ 0.19 342.46.47,5[+ 0,6
15.27.53,87]4 0,33|-11,27/831.31.10,0|— 0,2
15.30.53,45i— 0,29 22. 2,20,0|+ 0,3
15.45.49,00!- 0,21 17.39 30,0] 0,0
15.55.23,61{+ 0,28 335.31.16,0|- o,
16. 0.45,34[+ 0,10
16. 0.54,68l+ 0,r0 349:43.30,o|+ 0,7
16. 8.32,40/— 0,03 2.10.54.0|+ 1,2
16.14.48,22)— 0,23 18.24 20,0[+ 0,8
16 19.25,31)— 0,31 24. 4.26,o[+ 0,2
16.27.59,12]— 0,02 0.44.25,5|+ 0,2
16.35. 4,83]- 0,33 26.56. 2,o[+.0,7
16.50.14,351- 0,30 23.34.45,o[+ 0,7
16.50.25,95!— 0,30
16.55.20,58- 0,24 19. 0.23,0[+ 0,6
17 0. 0,28}— O,o1 359.37.23,7|+ 0,2
17. 4.55,78l+ 0,12
17: 7-21,18/+ 0,17/-11,65
17:15.24,03|— 0,29 22.49.29,7|-— 0,8
17.16.40,49)- 0,29
272.11.12,0|# 0.)
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4 THERMOMETRE. = El
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+1.16,4
+ 38,0
16,7k+2.37,5
+ 54,0
+ b4,o
735,4 16,0!+2,13,8
735,4 15,6! 46,5115,8
733,7 19,24 31,3117,0
733,5 20,94 17,2/15,6
733,3 21,204 43,3,16,6
+ 23,4
733,0 22,0] 24,0
732:9 21,9{+1.43,5|13,3
732,6 22,9]+ 24,7
730,5 24,64 31,6113,1
730,5 24,6[- 7.8/12,3
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729,0 22,3)— 3,6,12,1
729,0 22,04 96,3 11,3
729,6 22,1)+1.33,3|19.8
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+2:22,0
729»6 20,7|+1.54,9
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729,5 21,2/+2.39,1
+1. 0,0
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+2.34,7
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19,9 +2:2941]
|
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. [Moyenne de 5 obs.
REMARQUES.
Au méridien.
Niv.+6P,08.
Ondul.
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Moyenne de 5 obs.
Au méridien.
36
Observations Fate à la lunette mér ea en Juillet 1843.
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Gilyrer entres 18.31. a 72l+ 0,52|-11,57|320. 7-29,7|+ 0,21729,4|+21,0[+17,94 :7:2/12,6| B.
29 r Sagittaire... .|18 40. 14tr — 0,25 19.13.5B,0|+ 0,8 +2. 4,9 »
Anonyme 320027! 18.41.34,05/— 0,25 F
62 Serpent. ...... droite + 0,05 352.20. 1,2| o,0/529,4] 21,0] 17,7h+ 45,1 »
4o + Sagittaire... .|16.57. 1,51]- 0,33 26.36.40,5|- 0,1 18,0/+3. 6,7 »
20 B Aigle....... 19. 4. 2,24] 0,10 6.56.39,7[+ 0,2 18,0]+1-15,4 »
“4 w'Aigle...... 19.10.18,82|+ 0,12 347.26.30,0|— 0,5 + 37,6 »
47 x Sagittaire. . 19.15.36,25]- 0,30 23.32. 2,0|+ 0,2 +2.35,4 »
35 c Aigle ...... 13 19.20.5683! 0,00 357. 7. g,7l+ 06 + 53,3 »
(XIX. 152) Piazzi.4|19.23. 1,38] 0,00 357. 4. 2,0[+ o,5|729,3] 21,0] 18,1]+ 53,2 »
Saturne, centre. 19.36. 1,40]- 0,26 20.22. 2,0|+ 0,6 +2.11,8| . » [Au méridien.
y Aigles... 13 19.38.39,98 + 0,13/-11,71348.31.22,0[+ o,r + 39,3/17,9| »
œ Aigle. ......... 19.42.59,541+ o,10[-11,67 »
BPABle ee. à. 19-47.28,341+ 0,06[-11,711352.44.14,5/+ o,1/729,2] 21,0] 18,14 45,7118,7| »
æ Taureau..... .. 4.26. 44,76 + 0,17/-12,24)3/42.34.24,0|- 1,2/727,5] 22,8] 22,14 30,8/16,5| »
19|Soleil, 1°° bord....| 7.51. 1,93/+ 0,23 338. 4 45,5[+ 0,2/726,41 24,5] 25,6/4 25,1 » |Bord inf. à 52m3s,
a Petite OurseL...4|13. 3.37,80 267.15.19,7|— 1,0/723,7] 23,7| 24,4) 53,1] 8,0! » | Moyenne de 5 obs.
b1|x Cocher......... 5. 4.50,67[+ 0,67|-17,24 »
224 Petite Ourse L....|13. 3.33,00 267-15.20,0| 0,0/729;7] 20,9| 19.3]- 54,5! 7,5] » | Moyenne de 5 obs.
x Vierge........ 4|13.16.40,27|- o,11|-18,29) 9. 5.28,0|+ 1,4 tr2r,4] 8,9| »
n Grande Ourse. ..|13 41. 4,04|+ 0,77|-18,23 »
a Bouvier........ 14. 814,134 0,23|-18,381338./45.39,7|+ 0,71729,6| 20,3| 18,o]+ 26,7| 0,8] »
25|Soleil, rer bord...| 8.14.47,09[+ o ,19 338.43.39,5|+ 3,8/735,0] 18,8| 17,5+ 26,9 » |Bord sup. à 15m45s,
a Grande Ourse. . .|10.53.35,87{+ 1,04|-23,56/296.10.35,5|+ 18 73491 18,5] 18,0]- 16,1| 9,1| »
BALION es ee state 4l11.40.40,65|+ 0,15|-24:03|3/3.18. 495 + 4,7 + 32,6114,8| »
y Grande Ourse. . .|11.45. 9:74 + 0,76 -24,05|304.12.14,5|4 4,6 73438] 18,3| 1741] 8,1/10,7| »
a Petite Ourse I..2|13. 3.26,76 267.15.19,1|+ 4,51734,81 18,4] 16,6 55,4! 9,6| » | Moyenne de à obs.
a Vierge......... 13.16.34,22]- o,r0|-24,29] 9. 5.30,0|4 4,7134,8) 18,1] 25,0/+1.23,3/10,4| »
# Grande Ourse. . .|13.40.58,o2|+ o en —24,30|308.40.17,5|+ 4,4 - 3,8l15,0! »
“à Soleil, xer bord... .| 8.18.42,41|+ o,19 339.28.12,0|+ 4,0|735:7| 17,7] 16,6[+ 27,9 » [Bord inf. à 19m/6s.
PALIN ee eee 9-59.36,02]+ o,12|—25,881346. 1.5r,0+ 4,61735,4] 17,7] 17:0/+ 36,2 17,0] » |Oudul.
(Gi TO RATE 11.40.38,6ol+ o,15 -26,07 343.18. ss ol+ 4,2 + 32,7/10,9| »
7 Grande Ourse...|11.45. 7,60]+ 0,76 —26,17 Bot 17 + 4,6/1735,3] 17,8] 16,5 8,1l11,5| »
a Petite Ourse I... .|13. 3.26,70 267.15.17,3|+ 4,51735,41 17,6] 16,0! 55,6 m4 » [Moyenne de 4 obs.
a Vierge........ 4113.16.32,14]- o,10|-26,36 »
n Grande Ourse... ri.fo de + 0,64|-26,27|308.40.12,o|+ 4,61735,2] 17,5] 16,0 3,7| 9,8] »
a Bouvier. ....... . 8. 6,13]+ o,19/-26,3/1338./5. Lo + 4,61735,30 17,41 15,514 27,1119,3| »
œ? Balance...... nn 4x. 49:16 — o,15 26,47 14. 753,54 4,61735,4) 17,2 … H41,7/17,0| »
B Petite Ourse S. .4 sh 49.46,88|+ 1,99 —25,80|283.58. Lo +, 3,5 — 30,r|10,3| »
y Balance....... 4l14.54.31,16]- 0,24 23.23.26,0|+ 4,71735,] 17,0| 14,8 Ja37 »
6 Serpent....... 4/15.12.39,51|+ o,or : Por: 28. 3,5|+ 5,3 + 55,1 »
9 Serpent........ 15.18. 7,161+ 0,15 42.46.42,o[+ 5,31735,71 16,6! 14,414 32,2 » |
« Couronne....... 15.27.38,75]+ 0,28|—-26,32 De ss 5,5|+ 4,8 + 19,0/18,3| »
42 4 Balance . ...3,15.30.38,r1|- 0,23 22. 2.12,0|+ 4,8 +2.26,8 » |Très-faible.
œ Serpent........ 15.36. 9,o2]+ 0,06/-26,57 »
35 x Serpent... .|15.41.16,96[+ 0,18 340. 7.55,51+ 5,5/735,9l 16,6! 14,o]+ 29,0 »
44 = Serpent..... 15.55. 8, 83 + 0,24 335.3r.10,0[+ 5,8 + 23,2 »
47 Serpent..... .|16. 0.30,82 + 0,08] Ho)
NOM
DES ASTRES.
(XV. 283) Piazzi. .
(1865) Ophiuchus .
æ Scorpion.......
Mars, centre......
(XVL 139) Piazzi.4
Anonyme........
22 Ophiuchus.....
(1939) Ophiuchus..
26 Ophiuchus...
(1949) Scorpion...
(1959) Ophiuchus. .
37 Ophiuchus.....
œ Hercule. ...... 3
œ Ophiuchus......
62 y Ophiuchus...
63 z Ophiuchus..,
y Dragon........
72 $7 Ophiuchus...
(XVIL. 375) Piazzi.….
14 Sagittaire. ....
d Petite Ourse S. .4
MANRE se aiotelolele ee
29 r Sagittaire. . .4
Anonyme d-20°27/
62 Serpent. ......
20 B Aïigle.......
Anonyme 9+11°14/
25 w' Aigle......
47 x' Sagittaire...
Saturne, centre...
BMOnon.:.....!..
B'Taureau........
MMOn- 0.
x Grand Chien. ..4
9|Soleil, 1° bord...
a Petite Ourse L....
F1 \ COTE NOR 4
35 x Serpent... ..4
44 x Serpent.....
47 Serpent... ..
(1865) Ophiuchus .
CORRECTION
37
4 d Ophiuchus....
œ Scorpion. ......
PASSAGE a MOYENNE 28
CUNCLU Te ., de E
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FIL MÉRID, | ment. | pendule] vERNIERs. | Ÿ ©
b+ ms 8. 8 71
16. 0.39,721+ 0,08 5,0
16. 8584 - 0,03 , H 5,3
16.19.25,49)- 0,26/-26,43 + 6,3
16.24.30,64/- 0,25 + 5,3
16.30.28,351+ 0,40
16.37. 4,72]+ 0,40 + 5,3
16.44.59,95|- 0,23 + 5,3
16.49.59,411- 0,24 + 5,7
16.50.10,971— 0,24
16.55. 5,31]- 0,20 + 6,2
16 59.45,16[- 0,02 + 5,7
17. 4.40,84[+ 0,10 4 + 5,2
17. 7. 6,33]+ 0,14/-26,4713/44.11.11,0|4 5,4
17-27.15,841+ 0,12/-26,471346. 4.47,5|+ 5,7
17.39.38,/6[+ 0,03 355.38.57,7|+ 6,2
17.44.52,471- 0,24 23.34.30,2|+ 6,1
17.52 33,91{+ 0,68|-26,33/307.15.29, 5
] 7 9»7|+ 27
17.59.31,60!+ 0,09 349-12.40,0|+ 5,9
17.50.40,641+ 0,09
18. 4.28,45f— o,21 20.28.51,7|+ 7,0
18.22.26,38 272.rr. D,7|+ 7,2
18.31.13,90]+ 0,43/-26,46|320. 7.23,5|+ 6,3
18.39.58,99l- 0,20 19:13.50,0|+ 7
18.41.18,91]- 0,20
18.47.25,38]+ 0,06 352.19.49,7|+ 6,5
18.56.46,451- 0,28 26.36.31,0|+ 6,9
19. 3.47,18|- 0,08 6.56.31,0|+ 6,3
19. 7.48,12]+ 0,10
19.10. 3,94[+ o,11 347.26.21,7|+ 6,0
19.15.21,23|- 0,24 23.31.45,0|+ 7,0
19 33.18,59]— 0,21 20.28. 2,5|+ 7,1
19.38.24,70l+ o,10|-26,93|348.31.13,0|+ 6,7
19-42.44,54]+ 0,08|—-26,75 350.17.46,0|+ 6,7
19.47.13,31]+ 0,05|—26,81
4.26.29,58|+ 0,16|-27,661342.34.13,5|+ 5,6
132.34.11,5|+ 6,0
7. 7-29,32]+ 0,22 336. 6.14,0/+ 5,5
5. 4.36,35{+ 0,56|-31,90
5. 6.29,44]- 0,08|—-52,07
5.15.52,51[+ 0,29|-31,94
5.46.10,42[+ 0,07|-31,86/351.23. 5,o|+ 5,6
6.37.43,10- 0,16|-31,89) 15.14.40,0[+ »,7
8.30.24,65|+ 0,18 339.37.31,5|+ 4,
13. 3.18,30 267.15.18,8|+ 4,
13.16.25,87!- o,10/-32,60| 9. 526,714 4,
15.41.10,50ol+ 0,18 340. 7.50,o|+ g
15.55. 2,171+ 0,24 335.31. 2,7|+10,
.[16. 0.24,22]4 0,08 349.48. 8,o|+10,
16. 8.10,78]- 0,03 2.18.42,0|+ 9,
16.14.26,58|- 0,1 18.24.10,0|+10,
16.:9.19,0}- PE
Gris # Vo 00 Uri
24.48.12,0|+10,5
15,9
15,5
15,3
‘a10g na na11
"UNAYLVAUASIO
13,81+2.51,3
+2.45,9
13,04 9,2
+ 50,9
+ 39;7
12,104 34,4
12,2)+ 37,0
12,0/+ 52,8
+2.40,7
197
19,3
- 2
’
+ 41,2
12,91+2.16,6
= 474
+ 74
12,5l+2. 8,5
+ 46,4
+3.12,5
+1.17,8
Hi 38,7
+2.40,4
12,0/+2.16,7
+ 40,5
+ 432
13,0|+
32,1
16,74 23,9
16,5]4 44,0
19:3]+1.44,6
21,4/+ 27,5
21,3] 54,3 97
20,0]+1.21,2|11,3
17,314 28,5
+ 23,1
+ 41,5
17,0]+1. 4,4
17,0]+2. 1,0 »
10,51+2.48,8/19,6! »
REMARQUES.
Au méridien.
Moyenne de 5 obs.
Moyenne de 6 obs.
Centre au méridien.
Niv.+4r,74.
Bord sup. à 31285.
Moyenne de 5 obs.
10
m
2
GE
mn
=
NOM
DES ASTRES.
(XVI. 139) Piazzi.….
Anonyme 9+36°30/
Anonyme........
22 Ophiuchus....
26 x Ophiuchus. 3
(1949) Scorpion.
(1959) Ophinchus
37 Ophiuchus..
æ Hercule. ...... 4
33 Scorpion... ...
44 b Ophiuchus...
62 y Ophiuchus. .….
63 z Ophiuchus...
y Dragon.........
728? Ophiuchus...
(&VIL. 375) Piazzi.
14 Sagittaire .....
à Petite OurseS..
20 B Aigle..... -
Anonyme 9+11°17/
25%" Aiple.-...
l30|Soleil, rer bord ...
y Grande Ourse...
« Petite Ourse I...
Lune, 1er bord. .4
fi 3
Grande Ourse...
æ Bouvier. .......
x° Balance......
y Balance........
9 Serpent........
x Couronne.......
œ Serpent........
35 x Serpent....3lx
44 x Serpent.....
\(1865) Res à
|4 4 Ophiuchus.. .
æ Scorpion.,.,,...
|
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet et Août 1843.
‘LUDAIU up
NOILOHUHOD
:NOILOVUAAN
"4104 na nai
"UNAILVAUISAHO
È | *“AULAROUVE
—392,86 nr LE 2 5
Moyenne de 5 obs.
—32,93|320. 7.19,2
Moyenne de 11 obs.
Bord inf. à35m20%.
[Bord sup. à 43mos.
O © ©
5,-38,25/343.18.49,2
538,31 304. 12.11,
-
Moyenne de 5 obs.
Bord sup. à 10m/425
s
—38,39| 9. 5.24,0
4-38, 19/308.40.10,0
119 |_38,33 338. Gi se
5
M OÙ = Wii © Où
1
M
G Petite Ourse S...|14
;
un
»4
)|-38,59| 24. 48. ol + Fée
39
Observations faites à la lunette méridienne en Août 18%3.
CORRECTION
de
u0)
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
MOYENNE | =
THERMOUMETRE
NOM
— 1 REMARQUES.
l'instru-
ment.
DES ASTRES.
‘AVLHNOUYA
‘4104 na nat
NOILOVUAAU
VERNIERS.
b.. ns
12 Ophiuchus.....|16.27.31,94[- 0,03
(XVL. 139) Piazzi. 3/16.30.16,2g}+ 0,40
Anonyme 9+36230/|16.34. 50,524 0,40
Anonyme........ 16.36.52,641+ 0,40
22 Ophinchus..... 16. 44. 47:69 — 0,23
(1939) Ophiuchus 3/16.49.46,8bf— 0,24
26 .7 Ophiuchus... 16. 49.58,65|- 0,2
(1949) Scorpion. .|16.54.53,41|- 0,2
(1959) Ophiuchus... |16.59.32 sh — 0,02
37 Ophiuchus.....|17. 4.28,70l4 0,10
æ Hercule....... 4117. 6.54,06!+ 0,14
33 Scorpion...... 17.14.56,51]-— 0,24
44 b Ophiuchus...[17-16.13,17)— 0,24
321.57.28,0|4 8,4/730,4i419,1 416,02 9,0 »
æ Ophiuchus...... 17.27. 3,70f+ 0,12 46. 444,04 9.6|730,5 20,2| »
63 z Ophiuchus...|17.44.40,63]- 0,24 23.34.30,2|+10,2|730,9) 18,7 13,0 +0. 589 »
3 Dragon. ....... 17.52.21,07|+ 0,68 7-15.20,0|4 9,3/730,5] 18,5| 13,0Ï- 5,1| 9,8| »
72 $:Ophiuchus.. .|17.59.19,56[+ 0,09 -12.38,0
(XVIL. 375)Piazzi..|17. ii: 28,62}+ 0,09
14 Sicikaire ass 18. 416,11} 0,21 20.28.48,5|4 9,4 +2.15,1 »
3 Petite OurseS...|18. 22.13.40 272.10.58,2 10,0 — 16 8,9! » | Moyenne de 5 obs.
cet 0,43|-38,541320. 7.19,2|+ 9,4 + 7,3/15,1| » |Ondul.
29 r Sagittaire. . .:18.39.47,03 — 0,20 19.13.44,0|+10,4|730,5] 18,0| 13,042, 7,3 » | Id.
Anonyme-20° 27. .[18.41. 7,07|- 0,20 » 14.
62 Serpent....... 18.47. 13 ,24+ 0,06 352.19.48,0|110,2/730,5) 18,0| 12,7l+ 46,0 » Id.
40 + Sagittaire... .|18.56.34, 37{-— 0,28 26.36.30,0| 110,0 +3.10,6 » Id.
207B Aïple.....2: 19. 3.35,12}- 0,08 6.56.29,7|+ 9,9 12,7]+1.17,0 » |. Id:
Anonyme. ....... 19. 7.36,19}+ 347-27.45,5|+ 9,7 + 358,6 |» | Id.
2hlon Aigle .. ..". 19. 9.5x,781+ 347.26.20,0|+10,2 + 38,5 » | Id.
47 x" Sagittaire. . .|19.15. 9,13[- 0,24 23.3. 45, 5|+10,5 +2.38,9 » | Id.
Saturne, centre... .|19.31.19,87/- 0,21 20.32.32,0|+10,4|730,41 17,6| 12,0]+2.16,1 |» Id. Au méridien.
| DANSE... 2. 19. ap 7 + o,10l-38,881348.3r. 8,5l411,4 + 4o,2|19,2| » Id.
. HAiale es: 2. 19.42.32,481+ o en 38,841350. De .41,5|410,2 + 42,9l17,3| » Id.
| EN ERRREE va A + 0,05|-38,971352.44. 2,o|+10,3 11,6/+ 46,8/19,7| » | Id.
barAigle...::..... 19.55.43,04!- 0,01 359.53.28,2|+ 9:9 +1. o,1 | » | Id.
: £: Capricorne. ..|20. 2.41,14{- o,r2 11.35.33,5|+11,9 11.32,2 » Id:
a Capricorne... ..|20. 8, con — 0,12|-38,89) 11.43. 38, ol+11,5|730,4) 17,5] 11,5f+1.32,7/15,7| » | Id.
œ2 Capricorne... .. 20. 8.45 gb — 0,12|-39,01 Id.
2 CESR 20.35.29,/9{+ 0,54|-38,571314. 2.30,0|+11,1/730,4) 17,0] 11,584 1,4/15,4| »
x Céphée........ 21.14.14,234+ 1,01|—-38,33/206.50.44,0|+10,6 10,5)— 15,7| 8,9| » |
B Céphée. .......|21.26. 1,13k+ 1,47|-38,46/288.53.57,0|#11,4 10,0 24,4/16,3| »
LTD SE 21.36.41,18)— 0,02 1. 3.52,0[+11,5 10,41+1. 2,9 » |Très-faible.
Jupiter, centre... .|21.47. 3 ,52l- o,r4 13.11.38,0|+11,5/730,31 16,7| 10,3}+1.38,; » |Au méridien.
Cocher, ....... 5. 4.29,15i+ 0,56 m7
HOriUn.… --... 1. b. Gate — 0,08 73949 7. 8. 2,7|4+ 2,41730,31 18,6| 15,3/41:16,3/14,9| »
B Taureau .... ..| 5.15.45,03!+ 0,29 —39,24 330. 17- 40,74 2,0/730,2 18,8| 17,704 17,4/14,5| » |
PAONION - ss ee» 5.46. 2,704 0,07 -39,67/351.25. 9 > ï 2,2|730,2{ 19,2] 17.8]+ 43,7118,5| »
æ Grand Chien....| 6. 7e 35,641- 0,16 39,46 15. 14.4 .44,0|+ 2,1 7299] 20,0 15,0 +1.44,5 13,0! » | |
Vénus, 2€ bord...| 7.38.50,95{+ 0,21 336.54.13,5|+ 1,8[729,5] 20:1| 20,41+ 24,3 » [Centre au méridien.
2|Soleil, 1er bord... .| 8.45.53,564 0,17 340.36.14,0|+ 0,8/729,2] 20,7| 21,54 28,5 » |Bord sup. à 46m515.
NOM.
DES ASTRES.
nt
al
# Grande Ourse.
Soleil, 1°r bord....
a Petite Ourse IL...3|13. 3.24,88
.3113.40.35,441+
a Bouvier. .......
a° Balance
8 Petite OurseS..
7 Balance
Lune, 1° bord....
44 b Ophiuchus. .:
æ Ophiuchus.....
62 y Ophiuchus...
63 z Ophiuchus...
72 $? Ophiuchus. .
(XVI. 375) Piazzi.| 17.59.20,68|+
14 Sagittaire
PASSAGE
FIL MÉRID.
8
LA
CUNCLU
au
CORRE
de
a —,
l'instru-
2
eat.
40
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
CTION
MOYENNE
des
la
pendule
VERNIERS.
On retourne l'instrument.
‘AULANOUVH
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest.
b. m.s.
.57.23,24
-44.32,91
17-59.11,90|+
18.
3 Petite OurseS..4|18.21.57,13
4 8,43 R
œ Lyre. ......... 18.30.53,42|+
(XVII, 180)Piazzi 4|18.37.51,70|—
2g r Sagittaire... 18.39.39,37
Anonyme 8—20°27/|18.40.59,43}-—
18.47. 5,54|+
18.56 26,85]
62 Serpent. .....
4o + Sagittaire...
æ Orion
æ Grand Chien...
Soleil, 1% bord...
+
a Grande Ourse. . .
8 Lion
7 Grande Ourse...
æ Petite Ourse I...
a? Balance.......
G Petite Ourse S...
x Couronne
x Serpent
35 x Serpent.....
44 r Serpent....
4 4 Ophiuchus....
x Scorpion
x Hercule
33 Scorpion
44 b Ophiuchus...
x Ophiuchus.....
62 y Ophiuchus...
5. 4.20,95|+
10.53. 8,57|+
11.40.14,40|+
17- b.42,00}+
17-14.45,06|-
17-16. 1,9{—
—50,481341. 9.42,0
|-50,431293.37.20,2
—50,35/240.20. 4,0
)-50,57/280.57.11,5
œ
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D D D D CGR © CS
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245.54.33,o|—
272.48.32,7|—
831 420 _
—47:19
—47,50!258. 0.20,0|+
—47:44294.50.30,7|+
—47,551273.45.16,0|+
—47:27/249-53.34,5|+
282.40.40,0|+
—49,80|329.57.39,5|+
—50,071281./49.29,2|+
er Le
357.52.57,7|+
—50,42/251. 0.26,0
+
+
+
—50,441273.18.18,0|+
285. 0.30,0|+
289.37.10,0|+
246.44. 6,5|+
+
+
242.18.52,0
-30,37
269. 9.22,0|+
1,2
1,8
2,0
2,9
2,3
2,9
2,8
3,8
2,9
1,7
1,7
1,6
2,0
1,8
1,2
35
0,0
9;
o,8|
736,1
736,0
736,0
= =
THERMOMÈTRE. æ a
# =
| 2 ©
le] a
Iaté- | Ext | 2 ë
r . " . =
ieur rieur Z "a
16,5
16,5
17,3
15,3
19,2
19:9
19:9
20,0
20,0
19,8
19,8
19,4
19,2
18,9
Cercle Est, Niv.+5r,17. Le fil méridien est de 5,10 parties du micromètre à l'Ouest de la mire.
Cercle Ouest, Niv +3r13. Le fil méridien es! de 6,0 parties du micromètre à l'Ouest de la mire.
TOR ”
o o
+20,3[+20,3/- 20,2
19,7{+ 54,6|15,r
18,0/+ 3,7/13,5
18,7|- 26,7| 7,2
18,0]-1.40,6| 6,9
+ 209,7|18,3
17,61-2.35,0
—2.38,3
13,6|-2.32,0
13,6 36,6|10,7
52,7
11,9}—2.40,0
11,9) 43,4
—2.16,3
74 16,7
2, 8,5
1152) 46;4
11,0)-3.12,4
14,31-1.17,5| 9,6
15,7} 17,6 9:4
16,9 44/10,
17,91-1.45,4| 9,0
18,81 31,4
20,31+ 16,0116,3
20,3]- 32,3|11,9
20,6/+ 54,7117,4
20,0)-1.39,9/10,6
20,0]+ 29,6,18,2
19,2]- 15,7/13,2
- 44,5|13,9
19,0) 28,5
— 23,1
18,3/-2. 1,1 |
18,0]-2.48,7| 8,5
17,0]- 33,8| 7,1
16,6! —2:31,9
|
16,5j- 52,0|
"UAILVAUASIO
REMARQUES.
Bord inf. à 58m2rs.
Moyenne de 4 obs.
Nuages.
Bord sup. à 12B15,
Ondul.
Bord inf. à 6mops.
Niv.+2r1,66.
Moyenne de 3 obs.
41
Observations faites à la lunette méridienne eñ Août 1843.
LORRECTION a 3 7 ee °
4 , PASSAGE FE MOYENNE | 2° A VHERMOMÈTRE. Be 5 a
2 NO. COUNCLU a 2 —) —— = ë Z
= _ des F- 2 E # REMARQUES:
Ce DES ASTRES. a nl int LEUR £ = = Inté- | Exté- = SA
meut. | pendule ERNIERS. 5. a rieur. | rieur. 2 e =
hs, me s. s o AL 11 o
63 z Ophiuchus...|17.44.28,99|- 0,47 241.33.44,0|+ 0,9
y Dragon........ 17.52. 9,18]+ 1,20/-5o,30
2 Petite Ourse S...[18.21.51,14 352.57.20,0|+ 0,6 Moyenne de 5 obs.
SSP 18.30.49,421+ 0,80/-50,47/305. 1. 5,2|+ 0,1
(XVII, 175 )Piazzi .|18.37.47,75]- 0,37
29 r Sagittaire... .|18.39.35,47}- 0,37 245.54.29,7|+ 0,1
Anonyme 9—20°28/.|18.41.-1,89[— 0,37
s Sagittaire... .... 18.44.46,431- 0,50 239.53.56,0|+ 0,7 +18,1
o Sagittaire....., 4118.54.30,70]- 0,39 | 1244.26.34,0|4 o,g
DOBlAïgle, +... 19. 3.23,58]- 0,14 258.11.45,5|4 0,6
Anonyme S+11°18/|19. 7.24,o1|+ 0,20|
25 w: Aigle...... 19- 9-40,08[+ 0,20
Lune, 1€r bord....|19-11.47,17|- 0,39 244.16.58,5|4 o,1 Bord inf. à 12m585.
2276 Sagittaire ...|19-21. 9,11]- 0,39 244.46.37,0|— 0,3
Saturne, centre... .|19.29.27,31|- 0,39 244.31.40,0|+ 0,9 Au méridien.
e? Sagittaire... ... 19-33.46,26!- 0,30 249-54.54,0| 0,0
DABle SR. 2 19-38. 0,941+ 0,18 -50,63/270.37.10,0|+ o,1
GHANBle. 2.1.2 19-46.49,441+ 0,10|-50,771272.24.20.0| 0,0 17,9
GatAiple.....:. 1: 19-55.31,44]- 0,02 265.14.52,0|+ 0,2
5 Ë: Capricorne. . .|20. 2.29,68|- 0,23 253.32.42,0|4 0,3
æ' Capricorne... ..|20. 8.10,60l- 0,23/-60,62|253.24.36,0+ 0,7|737,2] 18,0
x Capricorne. ... 20. 8.34,56|- 0,23/-50,57
CAGVENE lus fol ctte 20-35.17,371+ 1,00/-50,241811. 5.51,5|— 0,3]737,2] 17,8
œ Céphée........ 21.14. 1,)7]+ 1,87|-50,38
Junon...........|21.31.59,54|- 0,04 263.22.52,5|- 0,2 Très-faible.
Jupiter, centre... .|21.44.26,38/- 0,26 251.40.48,0|+ 0,3 17,9 An méridien.
BiOrions-:... 3| 5. 6.10,48)- 0,15/-51,35/258. 0.20,0|+ 1,8 18,2
B Taureau ....... 5:15.33,21+ 0,54/-51,30/294.50.30,0|+ 1,8 18,6
ZA OMIONR roc qe 5.45.50,96l+ 0,13|-51,51/273.45.15,7(+ 1,9 19,2
9 Petite OurseI....| 6.22.19,76 359.45.26,8|+ 3,2 1934 Moyenne de 4 obs.
æ Grand Chien....| 6.37.24,04|- 0,30/-51,33]249.53.36,5|+ 2,2 19,9
a Petit Chien... .| 7.30.14,86|+ o,10/-51,67l272. 0.10,21+ 2,1 Ondal.
B Gémeaux....... 7-34.52,07/+ 0,54|-51,51/294.46.14,7|+ 2,3|7 19,6 |
Vénus, 2mM€bord...| 8. 9.50,64|+ 0,37 287. 3.18,2|+ 2,3 19,2 Centre au méridien.
8|Soleil, 1% bord... .| 9. 8.47,52]+ 0,35 283.55.30,0[+ 2,8 19,5 Bord sup. à g"5os.
Bon... ..-.: 2. 11.40.12,46[+ 0,28|-51,99/281./9.28,7|+ 2,6 19,8 !
{ y Grande Ourse...|11.44.40,56 1,40|-52,36|320.56. 3,71+ 2,8
œ Petite Ourse E...|13. 3,26,60 357.52.59,2|+ 3,2|7 20,0 Moyenne de 4 obs.
æ2Balance......., 14-41:23,18]— 0,28|-52,42/251. 0.25,7[+ 5,0|734,9| 20,2 Faible.
B Petite Ourse S...|14.50.17,30|+ 3,68/-52,64
| | Couronne ...... 15.27.12,2104 0,51|-52,45]293.37.20,0|+ 2,0|734,8| 20,0
A lxSerpent........ 15.35.42,90!+ 0,12/—-52,41/273.18.15,2|+ 1,9
35 x Serpent...... 15.40.50,b2l+ 0,33 285. 0.20,7|+ 1,8 20,0
4o r Serpent....4|15.54.42,25|4 0,42 289.37.11,7|+ 2,2 1937
4 4 Ophiuchus....[16.14. 7,20)- 0,35 240.44 7,ol+ 2,1
x Scorpion. ...... 16.18.59,75]— 0,49/-52,26/240.20. 2,7|+ 2,3
12 Ophiuchus..... 16.27.18,04]- 0,04 264.24. 4,o|+ 1,9
(1908) Scorpion... .!16.34.23,93]— 0,54 238.12.28,0[+ 1.8
Mars, 1° bord... .|16.37.44,13]- 0,49 240.32. 6,ol+ 2,1 Centre au méridien.
33 Scorpion...... 17-14.43,341- 0,46 242.18.48,0[+ 1,8 19,0
| |44 6 Ophiuchus...|17.15.59,75|- 0,46
| x Ophiuchus...... 17.26.49,841+ 0,22/-52,26/2-9. 3.32,0/4 »,11734,9) 19.0
11
42
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
CORRECTION
PASSAGE
GONCLU
au
FIL MÉRID,
MOYENNE THERMOMÈTRE.
NOM
des
"sunof
REMARQUES.
DES ASTRES.
*“AULINOUFI
‘4104 Nn9 1317
"HAILVAUISIO
VERNIERS.
ment. | pendule.
Nvaaiu np
NOILOHUUO9
*"NOILOYHAHU
62 y Ophiuchus...|17.39.12,70]+ 0,05 269. 9.20,0|+ 1,5 417,0] 51,8 ê
63 z Ophiuchus...|17.44.26,97|- 0,47 241.33.42,0|4 1,8 17,91-2.37,4 »
y Dragon. ...... 3|17.52. 6,814 1,26/-52,60 js
72 S2Ophiuchus...|17.59. 5,40|+ 0,17 16,9]- 40,8 »
(XVIL. 376) Piazzi.|17.59.14.54]+ 0,17
à Petite OurseS...|18.21.47,64
5 NON E 18.30.47,20]4 0,80|-52,68
(ÆVIIL. 175) Piazzi.|18.37.45,65|- 0,37
29 r Sagittaire... .|18.39-33,49]- 0,37
Anonyme d-20°28/|18.40.59,83|- 0,37
a Sagittaire...... 4|18.44.44,4x 239.55.56,0|[+ c,g
o Sagittaire....... 18.54.28,69|- 244.26.36,0|+ 1,2
20 B Aigle..... .|rg- 3.21,42 258.11.48,5|+ 0,8
Anonyme....... 4|19-. 7-22,06|+ 277.40.36,0|+ 0,7
25 w' Aigle...... 19. 9-37:92l+
(2276) Sagittaire. .|19.21. 7,o1]- 0,39 244.46.37,5|+ 0,3
Saturne, centre. ..|19.29. 9,26|- 0,39 244.31. 2,0|4 0,5 -2.15,8 » | Au méridien.
e2 Sagittaire... . .2|19.32.51,82]- 0,30 240.54.54,0[4 1,5
DÉAaple meer ect 19.37.59,12]+ 0,18|-52,45/276.37.12,0|+ 1,3
DAAIPIe eee cle 19.42.18,80]+ 0,15|-52,,6/274.50.35,7|+ 0,6
G Aigle OA 19.46.47,60l+ 0,10|-52,51/272.24.22,0|+ 0,3 5
62 Aigle. ........ 19.55.29,46|- 0,02 265.14.48,0|+ 1,5 — 598 »
Lune, 14 bord... .|20. 7.23,70]- 0,33 247.43.20,0| 0,0 15,0)-1.5h,9 » [Bord inf. à 8m30s.
a Cygne........ 3120.35.14,88/+ 1,00|-52,73]311. 5.54,0|+ 0,8 — 1,4/18,2| » | -
u Verseau....... 3120.43.22,68|— 0,17 256.49.46,0|+ 1,7 13,
Junons tete 21.31.10,32/— 0,06 263.15.14,2|+ 0,5 13,ol-1. 4,5 » |Très-faible.
Jupiter, centre... .|2r.43.54,50l- 0,26 251.38.11,5|+ 0,9 17,2! 13,0)-1.39,6 » |Au méridien.
BG Taureau........ 5.15.30,89|+ + 2, 18,4| 17,2)— 17,5/11,3) » [Niv.+2r,83.
MDTIONE :lers 2.215080 5.45.48,94 5 ,5|+ 19,2| 17,41- 43,9
a Petit Chien ....4| 7.30,12,93[+ o,10|-53,62|: + - 46,41x2,1| » |[Ondul.
B Gémeaux....... 7.34 5o,oif+ 0,54 —53,59 + 19,7| 19,3]- 17,2] 7:11] » Id.
Nadiriteez hate + » [Moyenne de 3 obs.
Vénus, 2€ bord... 8.14.57,854 + 20,0| 19,6]- 26,1 » |Centre au méridien.
o|Soleil, rer bord... .| 9.12.34,25]4 3,5|+ 3,5 20,3| 20,3/- 31,1 » |Bord sup. à 13m35s.
Bibiont ui enl. 11.40.10,47|+ 0,28|-53,99)281.49.24,0l+ 3,1 E
y Grande Ourse. . .|[11.44.38,684 1,40[-54,25 320.55.57,0[+ 3,5 20,8| 22,3]+ 7,9/11,4| »
« Petite Ourse 1...|13. 3.23,20 + Lo 20,9| 22,1]+ 54,1|14,2| » | Moyenne de 4 obs.
a Vierge....,...2|13.16. 4,24 0,18|-54,20
ŒSERDENT- ciel» 15.35 4o,78{+ 0,12|-54,52l273.18.15,5|+ 2,1|731,5
35 x Serpent....3|15.40.48,bolt 0,3: 285. 0.29,5|+ 2,3
40 x Serpent..... 15.54.40,37|+ 289.37. 9,7[+ 3,1/731,4
Mars, 1® bord... 16.39. 8,75 240.29. 2,0[+ 2,3|731,5] 19,7| 19,7 —2.45,3 » |Centre au méridien.
39 ° Sagittaire... .|18.54.27,07]- 0;' 244.26.30,0[+ 2,21731,6 <
20 B Aigle....... 19- 3.19,50/- 258.11.40,0[+ 1,8
25 m'Aiole...... 19. 9-30,081+ 277-41.58,0|+ 1,8
47 x' Sagittaire. . .|19:14 53,63f-— 241.36.23,0|+ 1,8
Saturne, centre... .|19-28.51,31}— DO: + 17,4]-2.14,2 » |Au méridien.
e2 Sagittaire... ... 19-32.42,40|— 0,30 + 145,1
pl Aigle ÉTUDIE 19-37-5704 + + 39,6 9:7| »
MIT a RS 19-42.16,82 44 + 16,0!- 42,3| 7,5! »
B'ATBIER ee ee eve 41x9-46.45,49[t 0,10|-54,62/272.24.19,7|+ 1,41731,6! 19,3| 16,oÏ- 46,2|13,3) »
MOYADE Se een ste 20.3b.13,204t 1,00|—54,32
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
NOM
DES ASTRES.
p Verseau
Anonyme........
Lune. 1e bord....
7 à Petit Cheval...
(XXI. 173) Piazzi..
B Céphée. .......
3 Capricorne
à Petite Ourse I...
æ Petit Chien ....
BG Gémeaux.... ..
Soleil, 1er bord . .….
« Grande Ourse...
Bien... -...
7 Grande Ourse. ,
a Petite Ourse I..
2 NIOTEONON
3 Petite OurseS..
Soleil, 1er bord... .4
æ« Grande Ourse...
Bions Air 200.
y Grande Ourse...
« Petite Ourse [.. .4
æ« Couronne
æ Serpent
20.45.28,58|-
20.59.39,36|-
21. 5.39,30|+
21.22.25,73|+
21.25,43,431+
13. 3.19,54
15.27. 4,73|+
15.35.35,51+
35 x Serpent... ...[19.4
ho r Serpent
œ Scorpion. ......
Mars, 1° bord....
(1939) Ophiuchus. .
26 x Ophiuchus...
(1959) Ophiuchus .
37 Ophiuchus.. ...
a Hercule. .......
33 Scorpion
44 b Ophiuchus. .3
à Petite Ourse S. .2
a Lyre
(XVIIL. 175) Piazzi.
29 r Sagittaire. ...
Anonyme d-20°28/
Anonyme
5 y Petit Cheval...
6 Petit Cheval ....
7 à Petit Cheval...
15.54.34,75
16.18.52,17|-
16.43.37,87|-
16.49.26,09!—
17-15.52,07]—
18.21.40,23
18.30.39,931+
1837.28,03 =
18.39.25,93|—
18.40.52,/9]-
19-37.51,32
19.42.11,381+
19-46.39,94
20.35. 7,67
20.45.23,10}-
21. 1.46,28]+
21. 1.57,42
21. 5.53,82)+
0,17
0,17
0,26
0,17
2,73
2,73
0,30
0,26
0,13
0,10
0,54
0,2
1,93
0,28
1,40
0,18
0,28
3,68
0,26
1:93
0,28
1,40
0,1
0,19
0,2b
0,46
0,46
0,80
0,37
0,37
0,37
0,18
0,15
0,10
1,00
0,16
0,18
0:17
0,16
CORRECTION
PASSAGE 25 MOYENNE
CUNCLU ei,
des
au
, l'instrn- la
FIL MÉRID. | ment. | peadule.| VERNIERS.
256.49.40,0|+
256.55.19,5|+
252. 0.10,0|+
275.45.33,5|+
336. 9.48,5|+
249.34. 8,5|+
251.35.25,5|+
—55,48 273.45,19,5|+
359.45.25,0|+
272. O.11,5|+
294.46.16,0|+
-54,96
—55,64
—55,65
299.37.14,0
—59,741273-18:1 1,5
285. 0.24,0
241.33.46,0
265.31. 3,7
OH + +++ +F++ +++
—59,90/280.57.14,0
352.57.18,0|+
—59,89|305. 1. 4,0|+
245.57.59,0|+
-60,041276.37.10,0[+
—59,87|274.50.34,0|+
—60,16/272.26.17,5|+
—59,93|311. 5.49,5|[+
256.55.20,0|+
273.53.20,0|+
275.45.3a,5!4
NOILOHYUOD |
"AULANOUVA
nvaAIu np
1,2/731.6
1,8|7
3,1 731,4
ss
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2
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2,9
2,6[731,6
2,3
1,8
2,3
2,9
2,31731,6
1,9[731,7
1,9
2,1
2,1
TUERMOMÈTRE.
19,0
18,5
18,4
"NOILO YVAN |
—1.19,8
-1.39,6
—1.30,3
_ 49,9
+ 23,9
—1.46,6
+16,71-1.38,0
17,9) 43,7
19,0[+ 58,6
46,2
19,8]- 17,3
21,8[- 31,9
22 15,7
. 31,7
23,44 77
22,5]+ 54,0
10,4]-1.39,2
19,4 + 29,4
19,8 3:,2
19,7|+ 15,9
32,1
19,81+ 7,9
193{+ 5146
177) 28,7
17,6 = 44
176 28,4
17,9] 23,0
16,8]—2.47,7
2.37 ,1
058,7
= 193;7
15,814 46,5
75
—2. 5,8
39,8
125
15,0l- 46,3
1431 14
—1.20,8
ALT
41,3
"3104 na n311
"VAILVAYASA0
REMARQUES.
Bord inf. à o"50os.
Au méridiena
Moyenne de 2 obs.
Très-ondul.
Id.
Bord inf. à 17m20#.,
Moyenne de 4 obs.
Le ciel se couvre.
Bord sup. à 25m25s.
Moyenne de 4 obs.
Moyenne de 2 obs.
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
CORRECTION a = Gi = S
4 PASSAGE de MOYENNE |=2 2 fruenuoyetre. ss 5 = |
È sp POE E rRn AE SA OSSCES 7 Cape 72)
= . de 25 hE 5 2 | 5 | REMARQUES.
4 DÉPSTRES FIL MÉRID. Viisuuz li, venniens. | = © 2 D SE 5 LINE
men pen ule 2 # rieur rieur. 2 = Z
h.. rm: s. s. s. ©, Y ti 1! mu o CA IUT
x Céphée ....... 4l2143.51,89l+ 1,87|-60,06|328.57.30,0|+ 2,3 + 15,5/13,8| B.
HADONE Les -0iut 21.27.50,24[- 0,08 262.43. 9,5|+ 1,8 +13,5l-r. 5,4 » |Faible.
Jupiter, centre... .|21.41,46,83]- 0,29 251.27.18,0/+ 3,0/731,61+18,0 13,41-1.39,8 » [Au méridien.
13|Soleil, 1°r bord... .| 9.27.36,78|+ 0,26 280.56. 2,0[+ 4,71730,5| 19,9! 17.8l- 33,4 » Bord inf. à 28m4os.
ÉAOEION: he see viole 5.45.39,70[+ 0,13|-62,92{273.4511,5|+ 4,3]731,1] 19,5 10,81 43,9) 7,8] » [Niv.+2r,67.
3 Petite Oursel...2| 6.22. 6,02 359-45.19,2|+ 5,0|731,1] 19,6| 17:24 58,7/13,5| » |Moyenne de 4 obs.
14|Soleï, 1°° bord... .| 9.31.20,831+ 0,26 280.37.39,5|+ 4,6 730,61 20,0 20,3 33,6 » [Bord inf. à 32m255.
x Petite Ourse I1...[13. 3.16,70 357.52.54,1|+ 5,3/730,5| 20,6| 22,7|4 53,9| 16,1| » |Moyenne de 4 obs.
n Grande Ourse...|13.40.17,66!+ 1,r9|-63,631316.28. 7,5|+ 4,1/730,41 20,7| 22,74 3,6,18,7| »
x Scorpion....... 16.18.48,35%— 0,/,9|-63,67/240.19.57,5[+ 4,0/730,41 20,0 19,5)-2.46,6| 6,5! »
Mars, 1° bord... .|16.46.49,31|- 0,49 240.20.10,5|#+ 4,3 10,5]-2.47,1 » [Centre au méridien.
(1949) Scorpion..3,16.54.28,371- 0,36 246. 7.51,5|+ 4,7 2. 3,5 »
(1959) Ophiuchus..|16.59. 7,80l- 0,01 265.30.57,5|+ 4,3 — 58,2 »
« Hercule........ 17. 6.28,78]+ 0,25|-63,70/280.57.10,0|+ 4,5 18,41 33,4/10,1| »
33 Scorpion. ..... 17.14.31,83/- 0,46 2428.40,5|+ 3,7 —2.30,0 »
44 b Ophiuchus...|17.15.48,33|- 0,46 »
62 y Ophiuchus...|17.39. 1,18l+ 0,05 269. 9.16,0[+ 3,5|730,5] 19,3| 17,2 51,5 »
63 z Ophiuchus...|17.44.15,611- 0,47 241.33.40,0|+ 3,2 17,3]-2.36,6 »
y Dragon..….......|17.b1.b5,71l+ 1,26|-63,55 »
72 S? Ophiuchus.. .|17-59.54,16]+ 0,17 275.55.38,0|+ 3,4 — 406! »
(XVIL. 376) Piazzi.|17.59. 3,38|+ 0,17 »
14 Sagittaire ..... 15. 3.51,23]— 0,39 244.39.24,0[+ 3,5 16,5/-2.13,5 »
3 Petite OurseS. .4|18.21.37,06) 352.57.14,0+ 3,3/731,0] 18,8] 16,3] 46,4/13,0| » [Moyenne de 2 obs.
-|2* Capricorne... .. 20. 7.57,42- 0,23|-63,81 »
æ? Capricorne.....|20. 8.21,16|- 0,23/-63,99 »
10 æ Capricorne..4|20.17.20,73|- 0,34 2h74x. 2,5|+ 3,5 -1.57,0 »
u Capricorne. ...4|20.22.48,82}- 0,18 256. 0.40,0|+ 3,6 —1.23,3 »
13 +: Capricorne..|20.27.33,56|- 0,28 250.42 54,,|+ 3,4 -1.42,7 »
Cygne... 1.0. 20.35. 3,99k+ 1,00|-63,6113r1. 5.45,21+ 3,r 13,5]- :1,4/10,0| »
6 x Verseau...... 20.43.11,40]- 0,17 256.49.41,2|+ 2,9 —1:20,9 »
5 y Petit Cheval...|21. 1.49,38l+ 0,18 275.55.18,0|+ 2,6 — 41,2 »
6 Petit Cheval.....|21. 1.53,60lt 0,18| . »
7 3 Petit Cheval. ..|21. 5.50,16|+ 0,16] 275.45.34,o|+ 2, 12,8] 41,4 »
x Céphée........ 21.13.48,55]+ 1,87/-63,40|328.17.27,5|+ 3,5 + 15,6/11,9| »
BANG. -.-: «eee 121.26. 8,16|- 0,08 262.26. 8,o|+ 3,3 12,8)-1. 6,2 »
Jupiter, centre. ...|21.40.42,20|— 0,27 251.21.58,0[+ 4,1/731,4] 17,8| 12,8]-1.40,3 » [Au méridien.
HDHON-.--.- ee 5.45.38,08[+ 0,13 —64,57 »
9 Petite Ourse I...3| 6.22. 3,77 » |Faible.
æ Grand Chien....| 6.37.1:,06[- 0,30 -64,56 »
15|Soleil, 12° bord....| 9-35. 4,38Ï+ 0,26! 280.50.46,0{+ 4,7173r,5] 21,2| 21,4] 33,2 » [Bord sup. à 36ms, f}h
MDéite Onrse Lo | 3: 3.14;90) | » [Faible et ondulante Il
| 42
16|Soleil, 1er bord. .4| 9 38.47,57l+ 0,26! 280. 0.24,0/+ 4,6,732,41 23,0 21,bl-434,3 » [Bord inf. à 4£omos. D
GOnon. 4 5.45.34,241+ 0,13) -68,47 | | » 5
3 Petite Ourse 1..4| G:22. 1,76 | 359.45.23,7|+ 3,8/733,0) 21,2] 19,04 58,5/17,3| » [Moyenne de 2 obs. 4
x Petit Chien..... 7-29.58,10!+ 0,10/-68,60/272. 0.10,0|+ 3,7 - 46,3:11,7| » le
G Gémeaux....... 7-34.35,191+ 0,54/-68,59/294.46.13,5|+ 3,8,733,21 21,7| 20,11 17,4 8,0! » #
&
17/Soleil, re" bord. ..4| g.42.50,19l+ 6,24 280.13. 6,5/+ 4,51732,9) 22,41 21,3]- 34,1] » [Bord sup. au méridi}} |.
a Petite OurseL,../13. 3.15,20 | 357.52.55,2l+ 5,4/732,2] 22,7| 24,2+ 53,8:17,3| » |Moyenne de 5 obs.
45
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
PO D nl ee PET a |s|el
u À 1 N) z Le HERMOMÈTRE. Eu E C4
& NO SE 2 Burn = 2 8 He E 5 2
= JOAAMAA, au 2 ÊE s8|% 3 = | 5 | REMARQUES.
F FIL MÉGID. | eut pendule | VERNIEES. | * 8 Œ 5 = E |
Eau | Z è 2 F RE
hi? /ni vs. s s. SAN PTT 11 min 0 o ani 1 |
: Tone Je tm : 74 ee 316.28. 6,214 3,3/732,2H22,7|#23,7l4 3,6/17.9| B. |
elite Ourse....114.409.29,94 300, -69,2 | »
æ& Hercule........ 17. 6:23,3414 0,26 69:09 | »
œ re 10 te ne 4 as ao 279. 3.34,0/+ 2,9/732,61 21,1] 19,5- 35.8) 9,4| »
y Dragon. .,..... 17-91.40,011+ 1,20, —09,57 »
72 S? Ophiuchus.. .|17.58.48,50]+ D | |»
(EVIL 376) Piazzi. ele 0,17 DE aa 1e 2,9 | - 40,3 » |
Dre se ä 4 ne — 0,39 244.59-20,0|+ 2,0|732,7h 21,0] -2,13,0 » |
etite OurseS. .5|16.2 r.29,90 | »
2 LCR 18.30.30,38 + 0,80|-69,36 | » |
a Céphée ....... 421.13.4,99{+ 1,87|-68,951328.) 7-35,5 + 3,51733,3! 20,0| 15,7l+ 15,4118,4| »
Junon........... 21.23.34,50f- 0,08 261.59.38,2 + 3,2/733,3) 20,0 15,7 =5. 6,7 » |[Faible.
à Petite Ourse ER 70 6.21.59,50 35g-49.22,0 + 5,4 20,3+ 58,1 17:1| » [Moyenne de 4 obs.
æ Grand Chien. ...| 6.37. 5,741 0,30|/-69,85249.53.39,0|+ 4,7|731,0] 21,2 -144,3|14,6| »
21 Soleil, 1% bord... 4 9-57-16,60 + 020) 278.23.27,5 + 3,1 731,4) 22,9 - 36,3 » [Bord inf. à 58m215,
œ A Se paltée 17. Pur + 0,26 759 200.57.12,5+ 3,0|730,6{ 21,3 — 33,3,10,5| »
æ Ophiuchus.....4|17.20.20,11}+ 0,22|-75,d2 » |INuages.
62 y Ophiuchus... 1738./8.88 + Lo8 : 269. g.18,0|+ 2,3 | — 5r,3 » | His
pre a 4 ns 24 - 0,47 241.35.42,0|+ 1,5/730,71 20,9! 18,1]—2.36,1 » |
à Petité OurseS...|18.21.20,94 » |
F4 DECO 18.302350 + 0,80-:6,18 »
(611; OOOOOROAEN 18.43. 3,741 0,65 299.33.41,5|+ 2,3 — 126 » |
Anonyme 9+32°42/|18.49.55,28|+ 0,64 | »
Anonyme........ 18.50.29,40]+ 0,64 299. 9.44,5+ 2,3 | Ai 2 13,1! »
œ FE c : 4 da REP b N —76,0615:1. 5.50,0[+ 2,0/730,5] 20,3 = 0r54/13,5l 5»
E & Petit Cheval . .4/20.50. 1 0,0 »
3 & Petit Cheval. . .|20.55.33:54[+ 0,08 2711618,0l+ », LS ;
5 y Petit Cheval. ..|»1. 1.30,72]+ 0,18 275.53.23,5|4 2, — 40,8 »
6 Petit Cheval... ..|21. 1.41,28|+ 0,17 »
79 Petit Cheval. ..|2r. 5.37,90!+ 0,16 275.45.35,5 + 1,5 — 41,0! »
œ Céphée......., 21.13.36,07|+ 1,87 75,85 328.17.35,7 + 2,6 + 15,4|18,0| »
B Céphée MÉROI ER 1 21-2b.22,67|4 2,73 -75,69 336.14.3r,5 +40,5 + 24,0 18,3| » a
Jupiter, centre... .|21.36.56,48|— 0,28 251. 3.37,5|+ 0,9/730,3| 19,5 —1.40,6 » [Au méridien.
3 Petite Ourse I... 6.21.51,36 , 359.45.22,5|+ 4,0 729,2} 20,3| 17,9/+ 58,5/17,4| » |Moyenne de 4 obs.
œ Grand Chien. ...| 6.36.59,00!- 0,30/-76,68/249.53.36,0|+ 3,3 72941 21,2 =ù 43,9 cet le
a? Gémeaux. .... 4| 7:23.19,371+ 0,62/-76,70|298.35.43,5|+ 4,4 729,31 21,4 — 13,4! 7,3] » [Faible ; nuages.
æ Petit Chien..... 7-29-49,66|+ Fan 272. 0.10,0+ 3,8|729,3] 21,7] 20,5] 46,0/12,0| »
2|Soleil, 2%° bord...|10. 3. 6,82/+ 0,20 | »
(LS ANMORAEERE 11.39.47,11Î+ 0,28 77529 281 49-24,0 + 3,5 - 31,4| 9,0! » :
y Grande Ourse. ..|11.44.15,30[+ 1,40|—-77,4d[320.55.51,5|+ 3,8,728,01 22,4 3H 7,8) 91] » |Niv.+3P,29.
& Petite OurseI....|13. 3. 5,80 357.52.54,0[+ 2,5|727,6! 22,7 74 53,3114,8| » [Moyenne de 5 obs.
# Grande Ourse. ..|13.40. 3,564 1,19/-77:55131G.28. 5,214 1,5 72710] 22,4 O]+ 3,6,15,7| »
4|4 Scorpion. ...... 16.18.30,83)- 0,49|-80,93/240.19.58,0[+ 3,5 729,9! 21,3| 20,2]-2.46,0! G8| » ’
| LR nee bord....|17, : Ve = 049 240. 2.28,7|+ 2,5| —2.49,8 » [Centre au méridien.
COTrpion...... 19-14.14,99)— 0,40 »
é b Ps _e TS a] ge Fe 23. = AH 37 730,0] 20,4 —2 29 »
2 y Ophuchus...\17.90.49,00! 0,0 209. 9.:20,01T 2, — 91,9] »
63 z Ophiuchus. . .|17.43.58,23]- 0,47 _[241.35.42,7{+ .2,6|730,2] 20,1 3 3672| »
y Dragon. ....../17.51.38,25]+ 1,26 -60,73 317.52.58,5(+ 2,9 + 5,0:16,4| »
72 8? Ophiuchus...|17.58.36,80!+ 0,17 | le »
12
CORRECTION 2 = à En 2
5 Non PASSAGE de MOYENNE 2 2 TÜERMOMÈTRE. = É
= TS ns di des 0-2 vu 2 | £ | REMARQUES.
Fe DES ASTRES. l'instru- la 2 3 Exte- SMIM=
FIL MÉRID. ment. | pendule.} VERNIERS. 2 El Héur. ë 5
(XVIL. 376) SES 17.58.45,98|+ 0,17 275.51.43,0|4 2,3|730,4 417,6 ;
à Petite OurseS. ./4|18.21.15,50 352.57.22,0|+ 2,9 17,9 17:3| » [Moyenne de 3 obs.
RIVER ete «118.30.18,68 + 0,80|-80,941305. 1. 6,0|4 2,2 17,6
(XVIL 175) Piazzi.|16.37.17,07|- 0,37 245.57.59,7|+ 1,9
29 r Sagittaire. - 18.39. 4,81 — 0,37
Anonyme d—2 20028 18.40.24,60|- 0,37
Anonyme d—20t28/. 18:40.31,09|- 0,37
BALYTE suce oc 3118.42.58,85]+ 0,65 299-33.35,2|+ 2,1
Anonyme........ 18.49.50,20|+ 0,64 299. 4.50,0[+ 0,1
Anonyme 3432047" 18.50.24,441+ 0,64
4o Hu .3118.55.52,32)- 0,53 238.31.41,0|+ 2,8 » Nuages.
47 y" Sagittaire. ..|19- 14.27,11/- 0,46 241.36.23,5|4 2,3
48 ° Sagittaire. (z 19:14.33,97|- 0,46
BDICHA PIE 19:19.47,b4l+ 0,03 268. 1.19,7|+ 1,9
(XIX. 152) Piazzi. 4 19-21 52,04 + o, 03 268. 4.30,0 + 2,1 730,2
Saturne, 1% bord.3|19-24.55,65|— 0,39 244.21.40,0|+ 2,2 » |Centreaum. nuages.
55 e2 Sagittaire. .|19-32.15,72]- 0,30 249.54.53,5|4 2,3 » |Nuages.
nAIBle. 0... 19-37.30,40]+ 0,18|-81,10/270.37. 9,7 [+ 2,3 9:9| »
œ LIRE BRING NNGE 3119-41.50,3114 0,15|-80,88/374.50.55,5|+ 2,3 9,6! » Nuages.
BAIE... k 19-46.18,941+ o,10|-81,11/272.24.20,0| 2,3|730,3 2,6
3 € Petit Cheval. ARÉAURe + 0,08 271.16.19,5|+ 1,7/730,5
5 y Petit Cheval. .4|21. 1.25,25f4 0,18 275.53.20,0|+ 1,7
6 Petit Cheval . 21. 1.36,30]+ o
7 à Petit rate .[21. 5.32,98[+ 0,16 275.45.38,0|+ 1,5
œ Céphée. ....... 21:13.30,97|+ 97 —00,921328.17.39,5|+ 2,0
MANON ent N 21:17.41,08]- o oë 260.53.58,0|+ 1,8
(XXL, 173) Piazzi. 3|21.21.58,87 + 2,73 336. 9.53,5[+ 1,8
LES TEMOMOE 21.25.17,85|+ 2,73 —80,471336.14.30,0[+ 2,5
Jupiter, centre. ...|21.35.21,23]- 0,28 290.95.55,;|+ 2,2/730 » Au méridien.
3 Petite Ourse I...3| 6.21.43,00 FPE 45.18,4|+ 4,5 732 1437| » Moyenne de 4 obs.
œ Grand Chien....| 6.36.54,08|- 0,30 81,67 249.53. 37,)|+ 4,4 7325 20,3| 17,0 2
a= Gémeaux-..... 7:23 4,55]+ 0,62|-81,69 » |Ondul.
a Petit Chien ..... 7-29-44,90l+ o,10[-81,97 Pr o.11,5|+ 4,9 à
G Gémeaux... ..| 7.34.22,07|+ 0,54 -B1,89 294.46.14,0|+ 4,8|532,6| 20,7 179) 10,1| » |Niv.+3r,20.
25|Soleil, 1er bord... 10.11.95,64 + o,18 277. 2.10,2/+ 4,4|732,4 21,5| 20,3|- 5 [Bord inf. à 13m0s.
Mercure, 1er bord. . [11.14.32 ,66{+ 0,09 271.54.57,5|+ 4,9|732,2).21,5 2134 - » |Centre au méridien.
a Petite Oursel...4|13. 3. 5,20 357.52.50,5|+ 6,0|732,0) 22,7 21,64 54 17:2| » |Moyenne de 4 obs.
a Vierge......... 13.15.35,90]- 0,18/-82,37/256. 2.43,2|+ 4,6|732,0] 22,7 21,6 6,
1 Grande Ourse. . .|12.39.58,02]+ 1,19 —82,431316.28. 2,0[+ 4,2 732,0 21,0 <
« Serpent........ 15.35.12,461+ o,12|-82,59 TE 18.11, 75 + 3,71532,0
4 Scorpion. ...... 16.18.29,19)— 0,49 —82,50/2/40.19.58,0|+ 3,8 7322
Mars, 1% bord....|17. 7. 0,97}— 0,49 240. 0.58,2 + 4,31732,3 » |Centre au méridien.
33 Scorpion. ..... 17.14.12,70)— 0,46
44 b Ophiuchus...|17.15.29,15/— 0,46 242.22.b0,7|+ 4,3
a Ophiuchus...... 17.26.19,461+ 0,22|-82,41/279. 3.30,0|+ 457
62 y Ophiuchus...|17.38.42,32l4+ 0,05 269. g.21,0|+ 4,3
63 z Ophiuchus. ..[17.43.56,61|— 0,47 241.33.35,5|+ 4,5
y Dragon....... À 17.51.36, 63 + 2,26/-82,331317.52.52,5|+ 4,6
72 57 Ophiuchus.. .|17.58.35,24]+ 0,17
(XVIL.376)Piazzi.|17.58. Lio + o 0:17 275.51.41,0 + 4,7
14 Sagittaire. .... 18. 3.32,17)- 0,39 244.39.20,0|+ 3,61732,6
| [9 Petite Ourse S. .4/18:21.12,13
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
4
7
LORRECTION Q ; Z El "7
L PASSAGE NE MOYENNE |=° 5 ë | à
è NOM: CONCLU DEN PT na = a 2
3 au des 6 à Æ- Fe >
# DES ASTRES. ; l'instru-| Ja Et 2 Inté- 8 |&
FIL MÉRID. À ment, | pendule] VERNIERS. a & rieur. ë |£
H Ho ne s. s outre 2] mi. o | a Tr
ŒHAYEEs de = esse dle 18.30.16,664+ 0,80|-82,94/305. 1. 3,714 3,7 16,0! B.
(XVIIL. 175) Piazzi.|18.37.15,53]- 0,37 245.57.58,0+ 2,6 »
29 r Sagiltaire...4|18.39. 3,11]- 0,37 »
nr nre ee 18.42.57,00|+ 0,65 299.33.40,0[+ 3,0 »
Anonyme........ I 0,64 299- 4.49,7{+ 3,1 » |
Anonyme 9+320/7/|18.50.22,58]4 0,67 » |
39 © Sagittaire. . . .|[18.53.58,51]- 0,40 244.26.32,0|+ 2.9 » |
(2224) Sagittaire. :|19. 1.47,15]- 0,40 244.29.46,0[+ 3,5/732,9l+20;,1 »
BrAirle. 32 19-46.17,36|+ 0,10 -82,69/272.24.21.5|+ 3,4/733,0). 20,0 15,0| 5 |
U
26|x Petite Ourse E..4|13. 3. 6,83 357.52.53,5+ 4,31732,9) 22,3 18,0! »
n Grande Ourse...|13.39.56,62Û+ 1,19/-84,40/316.28. 4,5|4 4,11732,9] 22,3 18,4| »
æ« Bouvier. ....... 14. 7. 7,441 0,30/-8/,/41286.22.35,7|+ 4,31732,9] 22,3 11,0| »
72 $2 Ophiuchus. .|17.58.33,36+ 0,17 ‘ . »
(XVII,376) Piazzi. .|17.58.42,47|+ 0,17 275.51.44,0+ 4,3 1»
14 Sagitlaire ..:.4|18. 3.30,30)— 0,39 244.39.23,0|+ 4,21733,5 21,3 »
à Petite OurseS..4|18.21.10,27 352.57.20,5|+ 4,0|733,6| 21,3 17:3| »
D HEONORSR .[18.30.15,00[+ 0,80/-8/,59/305. 1. 4,5{4 4,1 17,0) »
(XVILL. 175) Piazzi.|18.37.13,61|- 0,37 245.57.56,0+ 3,6 »
24 r Sagittaire. . 4118.39. 1,29} 0,37 u »
Anonyme 5-20°28/|18.40.21,35]— 0,37 »
Anonyme d—-20°28/|18.40.27,61|- 0,37 »
Bye... 4118.42.55,03k+ 0,65 299.33.41,2[+ 3,3 »
Anonyme........ 18./9.46,28[+ 0,64 299. 4.55,5|+ 4,1 »
Anonyme 5+320/7/|18.50.20,44{+ 0,64 »
39 o Sagittaire. . .2 18.53.56,37)— 0,40 244.26.32,o[+ 4,x »
(2224) Sagittaire ..|19. 1.45,51]- 0,40 244.29.44,04 3,7 »
Anonyme........ 19- 5.35,74{+ 0,21 277.40.53,2 4 5,8 »
47 x'Sagillaire.. PA 19-14.23,67 — 0,46 »
à Petite Ourse L.. .2 6.21.39,11 ” »
a? Gémeaux. ..... 7-23.10,971+ 0,62|-85,32}298.35./49,5|- 0,9/733,5) 22,2 3,7| »
œ Petit Chiem..... 7-20.41,101+ 0,18|-85,81/272. 0.17,5l- 1,5 [13,7| »
G Gémeaux....., 3] 7-35.18,470+ 0,541-85,541294.46.17,5|- 0,7 8,3| » |Nuages.
… »
7ly Dragon ....... 4\17-51.32,91|+ 1,26|-85,991317.52.59,5|- 1,31732,9) 21,4 12,8| »
72 8? Ophiuchus ..|17-58.31,bol+ 0,17
(XVII. 476) Piazzi.|17.58.40,80!+ 0,17 275.51.48,0|- 2,3 »
14 Sagittaire ..... 18. 3.28,57|- 0,39 244.39.28,0|— 2,2 = »
Petite Ourse S..3,18.21. 7,88 352.57.25,0|- 1,5/733,1] 21,3 16,4! »
1 CORAN 18.30.13,141+ 0,80|/-86,43/305. 1. 8,0/- 2,0 2114,3| »
(XVIIT.175) Piazzi.|18.37.11,85]— 0,37 1245.58. 3,9|/- 2,3 »
29 r Sagittaire. . .4|18.38.59,46}- 0,37 »
Anonyme 9-20028/ 16.40.19,59|- 0,37 »
Anonyme 9—20"28/|18.40.25,91|- 0,37 »
(61 SR RERRPPRS 4118.492.53,211+ 0,65 299-33.45,0|— 2,2 »
Anonyme. ...... 3118.48.44,79|+ 0,64 299. 4.56,0|— 1,9 »
Anonyme 9+32047/|18.50.19,00!+ 0,64 »
39 o Sagittaire... .|18.53.55,o11— 0,40 244.26.38,0|- 1,8 »
(2224) Sagittaire. .|19. 143,59! 0,40 244.29.48,0|- 2,2 »
Anonyme S+11°27/|19. 3.534,07] 0,20 »
0e CR 0,20 277.42. 6,o[- 2,3]733,7] 21,1 »
0,18|-86,22|276.37.18,0|- 2, 12,9) »
MAO LL 0,15/-86,27/274.50.42,0|- 2,3 | 11,3) » |
REMARQUES.
Moyenne de 4 obs.
Moyenne de 3 obs.
ITrès-faible, nuages.
48
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
CORRECTION [e] = = e ©
ts PASSAGE PÉ MOYENNE | =2 = fracnuouërre. Æ, 3 z
5 NOM : Fate cu dE
=] CONCLU ne 4 E = Z se > J z
E ne e RARE à | © |Z| REMARQUES.
Ê DES ASTRES. : L'insteu- a Ë 7 E Intés | Exré = & | à
FIL MÉBID. iuchite VERNIERS. © # rieur::|t rent: o # £
s LE lea ER QE SRE EE
h. m. 5 s. © r 11 "1 nn. o o 1 1 "1 Va
CHINESE he 46.13 62 + 0,10/-85,42/272.24.24,0|— 2,3|733,8l421,0{+18,6!- 45,9/rr,9| B
x Grand Chien....| 6.36. 48 68}/- 0,30|-87,15/249.53.44,0|— r,71734,21 20,3) 18,31-1.45,0/11,3| »
æ Petit Chien..... 7-29 30,64[: + 0,10|-87,29}272. 0.15,0/- 0,b|734,41 23,3] 18,7!- 45,6/11,8| »
G Gémeaux....... 7:34:16,931+ 0,541-87,11/294.46.15,5|— 0,51734,41 21,4] 18,6! 17,5! 7,5) » |
28|Soleil, 2% bord. ..|10.24.59,42Î+ 0,17 » |
Mercure, 1er bord..|11.31.54,98|+ 0,05 269.40.15,2|+ 3,5 - 49.8 » |Geniré au méridien.
BRON er. «21 4|11.39.36,89[+ 0,28/-87,50k281.49.22,2|+ 3,71733,81 22,3] 22,5) 31,9| 7,2 »
y GrandejOurse. ..|11.45. 5,12 + 1,40/-87,61 » |
a Petite Ourse 1..4/113. 2.58,85 357.22.48,0 + 4,5|733,6 22,8| 22,5)+ 54,2|13,4| » Moyenne de 4 obs.
x Vierge... ..... 13.15. BG — 0,18/-87,80l256. 2.44,5|+ 3,6 —1.20,9| 6,7| »
n Grande Ourse. . .|13.39. 53,30Ï+ 1,19 —87,68 sl»
a Bouvier. ....... 14 E 4,051+ 0,30|-87,87 »
æ Scorpion. ...... 16.18.23,69/- 0,49/-85,01 ; »
a Hercule. ...... 4x7. 6. 4,37 0,26|-87,89/280.57.13,0|+ 3,21733,3) 21,8) 20,7]- 33,2|10,8| »
Mars, 1er bord,.. |17-13.12,83]- 0,49 239.57. 3,o|+ 2,8 733,4 21,0| 20,6]-2.50,3 » |Centre au méridien.
x Ophiuchns...... 17-26.13,981+ 0,22|-87,841279. 3 31,54 3,t - 35,8| 6,2| »
62 y Ophiuchus... 17-38.36,90|+ 0,05 269. 9.18,0|+ 2,9 — bi,2 »
63 z Ophiuchus...|17-43.51,15}- 0,47 241.33.38,5|+ 2,8 -2.35,9 »
y Dragon........ 17. -5o 30:93 + 2,20|-87,941317.52.58,7|+ 3,7 + _ 5,0/16,8| »
3 Petite OurseS...|18-21. 7,00 352.57.19,7|+ 3:2/733,9! 21,2] 18,9/+ 46,2/15,7| » [Moyenne de 2 obs.
DAME seems 18.30.11,52/+ 0,80|-88,03/305. 1. b,ol+ 2,6 — 7,2l15,7| » £
(XVITL175) Piazzi. de e 10,19]- 0,37 1245.58. 1,ol+ 3,2 —2 4,9 »
Anonyme, ....... 4o.17,61|- 0,37 245.56. o,o[+ 3,2 . b,2 »
Anonyme FAP 4o.24,37|- 0,37 ; »
G Lyre......... [A pi + 0,65 299.33.38,2|+ 2,4 = 12,6 »
Anonyme. ....... 18.49.43,00[+ 0,64 299. 4.54,ol+ 2,9 — 13,0 »
Anonyme Eu 18.50.17,22)+ 0,64 »
39 o Sagittaire... .|18.53.53,31|— 0,40 244.26.36,0|+ 2,6 —2.14,5 »
(2224) Sagittaire. . 19- 1. 41,85] 0,40 244.29.44,0|+ 2, —2.14, »
Anonyme. ...... 19- 5.32,32l+ 0,20 277.49.50,o[+ 2,0 — 37,9 »
Anonyme 3+11917/|19- 6.46,60l+ 0,20 » #
47 x" Sagittaire. . .|19-14.20,09!|— 0,46 241.36.26,0|+ 3,1 —2.36,2 »
48 y* Sagittaire... .|19-.14:26,99]- 0,46 »
55 2 Sagittaire..4|19.32. 8,01|- 0,30 249.54.52,5[+ 1,8|734,0ol 20,9! 18,5/-1./,4,8 »
Lt SOS 19-37.23,41+ 0,18|-88,05 276.37-13,0 + 1,9 È — 39,5/12,4| »
FANS #0 19.41.43,00!+ 0,15|-88,16/274.50.38,0|+ 1,2 — 42,2/10,6| »
CHINA ARRET 19-46.11,86{+ 0,10 _83; 17/272.24.23,0|+ 0,8 — 46,1|13,6| »
“ Le D NO AERE JE 19.54.53,8/4]- 0,02 265.14 52,7 + 1,3 — 59,3 »
apricorne 20. 1.52,06f— 0,23 253.32.40,0|+ ‘1,4 . 17,0]-1.30,9 »
Len Nan 4 20. 7.33,o0!- 0,23/-88,21/253.24.3/,5|+ 1,0 -1.31,6110,3| » |.
a° Capricorne... .. 20. 7.56,88]- 0,23|-85,23 »
10 # Capricorne... |20-.16.56,58}— 0,34 2474x. 3,2lt 2,2 -1.56,5 »
| 5 y Petit Cheval. ..|21. 1.18,34Ï+ 0,18 275.53.20,0|+ 2,9 - 40,9 »
6 Petit Cheval. ...[21. 1.29,48ÏT 0,17 15,9 »
7 9 Petit Cheval. ..|22. 5.26,06|+ 0,16 275.45.35,7|+ 2,8 ur »
Aanon eee en 21-14.20,58|- 0,09 260.14.46,0|+ 1,5 : 11141 »
(XXL. 173) Piaezi.|21-21.52,01|+ 2,73 336. g.57,0/+ 1,2 + 24,1 »
BiCéphee - ER a pou + 2,73/-87,511336.14.30,0|+ 1,21733,8 20,3 + 24,1h5,o! »
Jupiter, centre... .|21.33.16,48)-— 0,29 250.46. 2,0|+ 1,1 15,21—1,42,3 » [Au ‘méridien.
9 Petite OurseI..4| 6.2 36 7 359:45.23,5|+ 2,6 18,01+ 58,8118,4| » [Moyenne de 3 obs.
x Grand Chien... .| 6.36:47,00|- 0,30/-88,85/249.53. 30, 5|+ 1,5/734,31 20,3| 18,0l-r1.45,1| 9,7| » |
z Petit Chien... .} 7:28:37,gof+ 0,10 89,05 272. 014,014 1,9/734,5 21,71 18,71- 46,6/15,3| » Niv.+3r ,28.
ob
Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843.
PASSAGE
CONCLU
au
NOM
DES ASTRES.
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MOYENNE
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peudule | VERNIERS.
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258.24.23,5
—89,48|286.22.38,0
-89,57|293-37.15,5
—89,69 273.18.14,7
—89,70/200.57.14,5
239.55.54,7
279. 3.33,5
269. 9.23,5
241.35.44,0
—89;971317-53. 1,7
275. 6. 8,0
245.58.32,7
—89:94
305. 1. 6,0
245.58. 1,0
245.56. 4,0
299.33.43,7
299. 4.56,0
-89;gr
276.37.12,0
274.50.37,b
272.24.21,5
256.49.45,5
269.58.58,0
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271.16.10,5
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HH+ HET ++ HE FFF FF FF F+F+r++
275.45.38,7|+
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336.10. 1,o|+
—89,6
‘54 250.43.42,5|4
268.11.33,0|+ :
357.52.br,7|+
—91,48]316.28. 1,5|+
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1,61/280.57.1t
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-91,45
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G Gémeaux....... 7-34:15,09!+ 0,54
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29/Soleil, 1er bord... .|[10.26.28,08|+ 0,16
« Petite Ourse 1..4|13. 3. 2,24
æ Vierge........ 4113.15.28,72]- 0,18
1 Grande Ourse. ./|13.39.51,20|+ 1,19
æ Bouvier. ....... 14. 7. 2,30[+ 0,36
æ Couronne....., 15.26.34,69 + 0,51
a Serpent........ 15.35. 5,30|+ 0,13
æ« Hercule. ....... 17. 6. 2,544 0,26
Mars, 1°r bord... |17.15.20,51]- 0,50
œ Ophiuchns...... 17.26.12,26]+ 0,22
62 y Ophiuchns... 17.38.35,12)+ 0,05
63 3 Ophiuchus... 17.43.409,53 — 0,47
y Dragon........ 17.51.28,87l+ 1,20
74 S' Ophiuchus. .[17.58.21,46[+ 0,1
16 Sagittaire ..... 18. 4.27,33]- 0,37
3 Petite OurseS..4|18.21. 2,47
VE LCR 4118.30. 9,62]+ 0,80
(KVITL:175) Piazzi.|18.37. 8,35]- 0,37
Anonyme, ....... 18.40.16,11]- 0,37
Anonyme d9—20°28/|18.40 22,57] 0,37
G L'yscPospebet 3118.42.49,85[+ 0,65
Anonyme. ....... 18.49.41,12]+ 0,64
Anonyme 9+32047/|18.50.15,28|+ 0,64
AAele En. 19.37.21,56[+ 0,18
CAC CORAN 19.41.41,38]+ 0,15
RARGIe, PU TUE, 19.46.10,10]+ 0,10
6 p Verseau...... 20.42.45,46]— 0,17
(2483)PetitCheval3/20.48.30,82l+ 0,06
1 € Petit Cheval . .4|20.49.47,82l+ 0,06
-|3 € Petit Cheval. . .|20.55.19,66|+ 0,08
Anonyme. ...... 4|20.57.49,22l+ 0,08
5 y Petit Cheval. ..|21. 1.16,46]+ 0,18
6 Petit Cheval... .,|21. 1.27,62]+ 0,17
7 à Petit Cheval. ..|21. 5.24,20]+ 0,16
DH Se oies ee ele 21.13.43,08|- 0,10
(ÆXL. 173) Piauzi.|21.21.49,83|+ 2,73
B Céphée ........! 21.25. 8,50l+ 2,73
Jupiter, centre... .|21.32.45,81}- 0,29
Bo|Soleil, 2%° bord...|10.32.13,481+ 0,16
< 1er bord..|11.43. 2,10l+ 0,03
» |; Petite Ourse L..2|13. 3. 0,00
1 Grande Ourse...|13.39.49,46|+ 1,19
x Couronne....... 15.20.32,7 + 0,51
œ Serpent........ 15.35. 3,4614 o,13
œ Scorpion. ...... 16.18.20,23|— 0,49
x Hercule. ,...... 17. 6. 0,62]+ 0,26
Mars, 1° bord... .117.17.29,97|- 0,50
œ Ophiuchus...... 17.26.10,34[+ 0,22
62 y Ophiuchus.. .|19.38.33,12]+ 0,05
269. g.22,0l+
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Très-faible.
Moyenne de 5 obs.
Centre au méridien.
Centre au méridien.
Moyenne de 4 obs.
Centre au méridien.
13
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Observations faites à la lunette méridienne en Août et Septembre 18#3.
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PASSAGE TÉRERT MOYENNE | = 8 > THERMOMÈTRE &. Ë e
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y Dragon........l17.51.27,15]4 1,26 + 420,9 3,0/18,6| »
72 S'Ophiuchus.. .|17.58.19,60|+ 0,15 IL 20,9) 41,3 »
16 Sagittaire. .... 18. 4.25,53]- 0,57 + 2. 4,1 »
d Petite Ourse S. .3|18.21. 0,10 :
BAEYre. er re ne 4]18.42.47,95|+ 0,65 + — 12,5 »
Anonyme........ 18.49.39,b2|+ 0,64 + - 13,0 »
Anonyme 9+32°47/|18.50.13,60]+ 0,64 »
(2224) Sagittaire. .|19. 1.38,29]— 0,40 244.49.49,0+ 0,3|734,5[+21,3| 19,2/-2.14,0 »
y Aigle. ....,... 19-37-19,72]+ 0,18/-91,73/276.37.16,0|+ 0,81734,6| 21,3| 19,2/— 39,4/14,2| »
LV Codes 19-#1.39,50]+ 0,15 —91,54 274.50.40,0|+ 0,5 — 42,0/11,9| »
BlAïgle....: 1. 19-46. 8,26[+ 0,10/-91,75|272.24.24.0[+ 0,61734,6| 21,3] 19,2l- 45,8/14,b| »
6 p Verseau...... 20.42.43,90]- 0,17 226.4941,5|+ 0,8|734,8] 21,2] 15,8]-1.19,7 »
Anonyme....... 4120.44.51,57)- 0,17 256.55.20,5|+ 0,7 -1.19,5 »
(2483) Petit Cheval.|20.48.29,20[]+ 0,06 269.58.58,0[+ 1,4 — 50,0 »
1 £ Petit Cheval...|20.49.46,30]+ 0,06 »
3 & Petit Cheval. . .|20.55.18,08[+ 0,08 271.16.16,0|+ 1,4 — 47,8 »
Anonyme........ 20.57.47,58[+ 0,08 271.12.20,0|+ 1,2 — 47,9 »
5 y Petit Cheval. ..|21. 1. 4,74]+ 0,18 275.53.18,0|+ 1,4 — 40,5 »
6 Petit Cheval ....|2r. 1.25,90f+ 0,17 »
7 à Petit Cheval. ..|21. B.22,/0l+ 0,16 275.45.36,5|+ 1,1/734,8] 21,2) 18,7] 40,7 »
Junon........... 21.12.57,72]— O,11 259.55. 6,0|+ 0,9 —1.11,2 »
(XXL, 173) Piazzi. .|21.21.48,23|+ 2,73 336.10. 1,5|[+ 0,5 + 23,9 »
B'Céphée .... 21.25. 6,831+ 2,73|-91,41 »
Jupiter, centre. ...|21.32.15,51|— 0,29 250.41.26,5(+ 0,71734,9] 21,3] 18,5]-1.41,6 » |Au méridien.
Soleil, 1er bord...|10.33.41,28|+ 0,15 274.55.21,5|+ 1,51735,7) 19,0! 24,5] 41,2 » [Bord inf. à 34m37s.
Mercure, 1% bord..|11.48.27,64|+ o,o1 267.27.46,0[+ 1,7[735,5 24,0| 24,41 53h » [Centre au méridien.
a Petite Oursel...2|13. 3. 1,70 357.52.50,7[+ 4,21935,2] 24,3] 24,54 53,9/16,4| » | Moyenne de 2 obs.
n Grande Ourse. .3/13.39.47,70|+ 1,19/-93,22|316.28. 2,0[+ 3,0|735,0] 24,1| 24,94 3,6/15,4| » |Nuages.
a Bouvier. ....... 14. 6.58,68]+ 0,30|-93,131286.22.35,5|+ 3,8/735,0] 23,6] 23,3] 26,4/10,5| »
à Petite OurseS..4 18.20.39,10 »
GiCyReE eee et 18.42.46,r0ol+ 0,65 299.33.37,5|+ 4,71735,6! 22,2| 20,9] 12,5 »
Anonyme........ 18.49-37,58[+ 0,64 299. 4.52,o[+ 5,0 — 13,0 »
Anonyme 3+32047/|18.50.1 1,72]+ 0,04 » |
39 o Sagittaire... 18.53.47,79|- 0,40 244.26.31,2|+ 4,9 19:9]-2.14,2 » |
(2224) Sagittaire. .|19. 1.36,45]- 0,40 244.29.43,0[+ 4,0 —2.13,9 »
Anonyme 9+11°27/|r9. 5.26,96[+ 0,20 2797.40.52,7|+ 4,4 — 37,9 »
25 w'Aigle .....!% 19- 8.56,9b[+ 0,20 »
47 x' Sagittaire... |19.14.14,65|- 0,46 » | |
48 y° Sagittaire... |19.14.21,63]- 0,46 241.41.54,0+ 4,6 —2.35,0 »
35 c Aigle....... 19:19-35,18[+ 0,03 268. 1.20,5|+ 3,7 — 53,4 » | |
(XIX. 152) Piazzi.4 19-21.39,59]+ 0.03 268. 4.3r,2+ 4,5 — 53,4 »
mAlBiee eee .[19:41.37,70[+ 0,15 —93,43/274.50.35,5|+ 4,5|735,6| 22,2] 19,7] 42,0o|1r,3| »
B Aigle.......... 19:46. 6,58]+ 0,10 —93,42/272.24:18,0+ 4,5 — 45,8|12,4| »
»
Soleil, 1er bord...|10.37.17,72|+ 0,14 275. 5.24,5/+ 8,3/736,41 24,4| 24,5] 41,0 » [Bord sup. à 38m13s.
y Grande Ourse.., 11.43.57,80]+ 1,40 -9#,91 320.55.49,5|+ 8,5 736,8 23,6 23,9]+ 7,9/14,5| » [Niv.+3r,22. |
Mercure, 1bord..|r11.53.48,52]+ o,o7 266.44.14,0|+ 8,7 736,8 23,6| 24,0]- 55,1 » [Centre au méridien.
7 Petite OurseI...4113. 2.59,51 357.52.51,8/+ 4,0 736,6 24,3| 24,5|+ 54,0 17,7| » [Moyenne de 4 obs. | |
a Vierge......... 13.15.23,50]- 0,18/-94,71/256. 2.49,5|+ 3,21736,5) 24,4] 24,41-1.20,7|11,2| » QL
Grande Ourse, . .|13.39 46,o2[+ 1,19/-94,88 316.27.59.5/+ 2,41736,4/ 24,4] 24,4[+ 3,6/12,4) » | |
o1
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
PASSAGE SEP ENS MOYENNE | = 8 = THERMOMÈTRE. E. 5 5
NOM CONCLU de n° ES 2 E ee , ë ë 2
au de 20 | à 8 = | £ | REMARQUES.
DES ASTRES. . l'instru- , É C| 3 Exté- 7 3 3
FIL MÉRID. | ent VERNIERS. a 4 rieur, £ S 5
= His 8. s. COTE TT o !
æ Bouvier........ 14. 6.57,12]4+ 0,36|-94,681286.22.38,5|+ 2,61736,31+24,4424,3|- 26,3/12,5| B.
Lune, 1er bord...2|16.52.21,63|- 0,46 241.51.12,0|+ 2,5/736,1| 2: 21,8|-2.32,7 » |Bord sup. à 53m31s.
«x Hercule........ 17. 5.57,28l+ 0,26|-94,91/280.57.12,0|4 2,1 — 33,2| 8,6| »
6 Ophiuchus.. .... 17.10.b2,09|- 0,46 241.34.23,7|+ 2,0|736,2 22,1)-2,35,0 »
Mars, 1% bord... .|19.21.54,13]- 0,50 239:52.54,7|+ 1,7 —2.50,8 »
« Ophiuchus...... 17.26. 6,96[+ 0,22|-94,79 »
85 « Hercule... ..4117.33.28,52l+ 1,04 312.27.b5,5|4 2,1 —o;i »
y Dragon. ....... 17.51.23,73|+ 1,26/—-95,02/317.52.58,0|+ 0,9 + 5,0/12,9| »
71 S' Ophiuchus . .|17.58.16,20[+ 0,15 275. 6. 8,0|+ 1,4 — 41, »
16 Sagittaire ..... 18. 4.22,19]- 0,37 245.58.30,0|+ 1,0 2. 4,0 »
à Petite OurseS...|18.20.54,85 352.57.25,5 + 0,7 + 45,9/18,1| » [Moyenne de 3 obs.
DUILY DEN neie 01e 91e 18.30. 4,18]+ 0,80|—95,28|305. 1. 2,0|+ 1,41736,5 211) 7,2l11,0| » x
MiDiyre ee .-.0e 18.41.44,42l4 0,65 »
Anonyme........ 18.49.36,18[# 0,64 299. 4.57,7[+ 2,1 — 13,0 »
Anonyme 9+320/7/|18.50.10,20]+ 0,64 »
39 o Sagittaire... .|18.53.46,29|- 0,40 244.26.32,0|4 1,7 21,0!-2.13,8 »
(2224) Sagittaire . .|19. 1.35,07]- 0,40 244.29.45,0|4 1,2 -2.13,7 »
Anonyme......., 19: 5.25,28]+ 0,20 227.49.58,0|+ 0,9 - 37,9 »
25 w' Aigle...... 19. 8.55,34]+ 0,20 277.42. 2,7|# o,1 — 37,9 »
47 x! Sagittaire. . .|19.14.13,21|- 0,46 »
48 y* Sagittaire. . .|19:14.20,19]- 0,46 241.42. 0,0|- 0,3 —2.35,5 »
(2276) Sagittaire. .|19.20. 4,631 0,40 244.46.32,0|- 0,2 -2.12,7| , |»
Saturne, centre... .|19.23.19,88|- 0,40 24418.20,0|-— 0,5 —2.16,0 » [Au méridien.
55 e2 Sagittaire. .|19.32. 1,86|- 0,30 249.54.54,0[+ 0,1|736,91 22,0| 18,1/-1.45,3 » |[Ondul.
œ Aïgle......... 2119.41.36,10!+ 0,15|—-95,02 » Id.
BHANSIe cles 19.46. 4,88]+ o,10/-95,11]272.24.24,0| 0,0|736,9 o! 18,1]- 46,2113,4| » | Ja.
62 Aigle........, 19.54.46,90!- 0,02 265.14.55,5| 0,0/736,9 8| 17,5] 59,4 » | Id.
a Gémeaux-..... 7.23. o,71l+ 0,62|—-095,76/298.35.46,0|+ 2,5 — 13,6] 8,6| »
œ Petit Chien ...., 7-29-31,10]+ 0,10|-95,95/272. 0.15,7|4 2,3 — 46,6/15,3| »
BG Gémeaux.... .. 7.34. 8,331+ 0,54/-95,841294.46.15,7|+ 2,61738,0 19,6]- 17,5/10,2| »
2|Soleil, 1°" bord....|10.40.53,98|+ 0,14 274.11.55,5|+ 92,51737,4 22,9) 40,7 » [Bord inf. à 41m472.
æ Petite Ourse I..4|13. 2.58,89 357.52.53,21+ 2,5/73h,7| 2: 24,0]+ 54,1/17,6| » [Moyenne de 4 obs.
œ Vierge......... 13.15.21,90/- 0,18, —96,31/256. 2.49,5|+ 2,8 —1.20,8|10,7| »
n Grande Ourse...|13.39.44,50ol+ 1,r9,—-96,38/316.28.. 2,o|+ 2,5/736,7 24,3|+ 3,615,6| »
œ« Bouvier. ....,.. 14 6.55,46|+ 0,3b -96,32 286.22.36,0|+ 4,21736,7 24,3] 26,3/11,7| »
& Serpent........ 15.34.58,50l+ 0,13/-96,42/273.18.11,5|+ 2,8|736,5 241]- 43,8) 8,5| »
æ Scorpion. ..... 4116.18.15,39/- 0,49 -96,22/240.19.59,2|+ 2,41736,3 23,0)-2.45,8| 6,9! »
œ« Hercule........ 17. 5.55,72]+ 0,26,-96,45/280.57.14,0|+ 2,8 — 33,2/11,2| »
8 Ophiuchus...... 17.10.50,55)— 0,/6 241.34.24,0|+ 3,2|736,4 21,7]-2.35,2 »
Mars, 1° bord....|17.24. 8,73]- 0,50 239.52.14,5|+ 2,4 —2.51,3 » |Centre au méridien.
« Ophiuchus.....2|17.26. 54414 0,22|-96,29 »
85 « Hercule... ... 17-33.26,60|+ 1,04 312.27.57,5|+ 2,71736,4 21,5|- o,1 »
Lune, 1° bord... .|17.53 46,471- 0,46 241.44. 9,714 3,0 —2.34,0 » [Bord inf. à 55mas,
71 S'Ophinchus...|19.58.14,80]+ 0,15 275. 6. 4,o|+ 2,5 — 41 »
16 Sagittaire ..... 18. 4.20,61]- 0,37 245.58.30,0|+ 2,4 -2. 4,3 »
À Sagittaire... .... 18.:16.45,49[- 0,48 240.54.40,0 + 1,5 -2 41,6 »
8 Petite OurseS. .4|18.20.53,41 y
HLIEETET ST ÉOOne 18.29. 2,92]+ 0,80|-96,52/305. 1. 6,7|+ 1,2 — 7»215,3| »
27 y Sagittaire... .|18.34.19,41]- 0,51 239.16.26,0[+ 1,9/736,5 20,4]-2.58,4! »
Anonyme........ 18-49.34,46[+ 0,64 299- 4.56,o[+ x, — 13,0 »
Anonyme 9+32°47/|18.50. 8,60o]+ 0,64 »
39 © Sagittaire... .|18.53.44,73]- 0,40 244.26,32,0!+ 1,4 —2.14,3 »
52
Observations faites à lw lunette méridienne en Septembre 1843.
j CORRECTION a œ À c] e le |
A PASSAGE & MOYENNE | = 2 2 froenuosèree. Es au
8 NOM: coNpuo ST SALE D DO E
di au ] de 2! & Es 5 |£| REMARQUES.
| SU, il ee ménp, | adule. | VERNIERS. | © SE Lana fu = BAIE
he “ms is > fl o o 1er] 11
(2224) Sagittaire. .|19. 1.33,37]-— 0,40 + 1,8
lAnonyme. . ...... 19. 5.23,70}+ 0,20 + 1,4
25 w'Aigle...... 19: 8.53,781+ 0,20 + 1,1
48 y? Sagittaire. . .|19-14.18,03!— 0,46 ; #%.,0
(2276) Sagittaire. .|19-20. 3,o1E- 0,46 244. + 1,4
Saturne, centre... .|19.23. 9,76[- 0,39 244.17.57,7|+ 1,5 -2.15,7 » [Au méridien.
39 x Aigle ...... 4|19-26.54,48]- 0,13 259. 1.20,0[+ 1,0 )
55 e: Sagittaire... 19-32. 0,32]— 0,30 249-54.54,0[+ 0,7
BiAïple tr ut: 219.46. 3,38[4 o,10/- 96,60/272.24.24,0| 0,0
GRPAñple er 4119:54.45,28/ 0,02 265.14.53,5| 0,0
a Gémeaux... .... 7-22.59,27|+ 0,62|- 97,21/208.35.45,5|+ 4,2
a Petit Chien... ... 7-29:29,62}+ 0,10/— 97,45f272. o.18,0|+ 2,1
G Gémeaux....... 7.34. 6,89{+ 0,54l- 97,30l294.46.15,2|+ 2,8
3/Soleil, rer bord... .|10.4/.29,90]+ 0,13 274.22.45,5|+ 2,8 22,7| 21,6|- 42,5 » [Bord sup. à 45m2ps,
ax? Gémeaux... .. 7.22.57.,b1lt+ 0,37|— 99:15/298.35.4/4,0|+ 3,7 )
æ Petit Chien..... 7:29-27,78)- 0,11/— 99,92/272. o.11,5|+ 3,6
| 4|Soleil, rer bord... .|10.48. 5,42l- 0,09 273.27.53,5|+ 3,4 22,5| 22,ol- 43,8 » [Bord inf. à 4gmso.
Mercure, 1“ bord..|12. 9.21,32]— 0,29 264.36.20,0[+ 3,4 22,4| 23,6]- 59,4 » [Centre au méridien.
« Petite Ourse I..4|13: 2.50,22 357-52.51,5|+ 1,0 22,7| 24,0f+ 54,0/15,5| »|Moyenne de 4 obs.
n Grande Ourse. .3/13.39.41,37]4 0,86|— 99,811316.28. 2,5|+ o,2 22,7| 24,2]+ 3,6/14,4| » [Ondul.
œ« Hercule........ 17. D.52,3414 0,04/—-100,02!280.57.16,0[+ 0,1
6 Ophiuchus...... 17.10.46,95]- 0,69 241.34.24,0[— 0,2|73
œ Ophiuchus...... 17-26. 1,98] o,00|— 99,94
Mars, 1e bord. ...|17.28.42,41]— 0,7 239.51. 2,7[+ o;1 -2.51,3 » [Centre au méridien.
85 « Hercule... ... 17:33.23,49|+ 0,74 312.47.57,5|+ 0,2
y Dragon........ 17.51.18,71[+ 0,92|-100,28|317.b1.57,7|+ 0,
(XVIL. 368) Piazzi. |17-57.44,08|- 0,05
7: S'Ophiuchus...|17.58.11,36/— 0,05 27. 6. 8,o| oo
16 Sagittaire ..... 18. 4.17,21/— 0,59 245.58.32,0|- 0,1
À Sagittaire... ... 18.16.41,93/— o,71 240.54.42,5[+ 0,2
mlyree oeeecLt 18.28.59,42l+ 0,53/—-100,25|305. 1. 9,5|- 0,8
27 w Sagittaire. ...|18.34.15,93]- 0,74 239.16.24,0| 0,0
Anonyme... .... 18.40. 5,91]— 0,59 245.56. 3,5|+ 0,3
Anonyme 3-20228/|18.40.12,4,5]— 0,59
DVI ressens 3118.42.39,58|+ 0,39 299.33.43,7|- 0,2
(2224) Sagittaire . .|rg. 1.29,97]- 0,61 244.29.40,5| 0,0
48 y? Sagittaire... .|19.14.14,97|- 0,69 241.42. 4,0] 0,0
Saturne, centre...|r9-22.50,05|- 0,65 244.17.27,5| 0,0 =2,15,2 » [Au méridien.
55 e? Sagittaire. . .|19.31.56,94/— 0,52 249.54.5/4,0o|— 0,3
yAiïgle......... 4|19-37-11,29)- 0,03|-100,31/276.37.12,0|— 0,2
œ'Atple Ne set 19-+1.31,221— 0,06|-100,08/274.50.41,7|— 0,5
LE: Capricorne... |20. 1.40,341- 0,45 253.32,40,0|— 0,3
a" Capricorne... ..|20. 7.11,18]- 0,45/-100,17/253.24.35,5|— 0,6
a Capricorne.....|20. 7.450] 0,45|—-100,25
10 + Capricorne... |20.16.44,58{- 0,55 247.41. 3,5|- 0,8 —1.55,6 »
u Capricorne..... 20.22.12,68]- 0,39 256. o.44,o|- 0,8 21,3] 18,7[-1.22,3 »
æ* Gémeaux. .... 4| 7-22.55,9x]+ 0,37|-100,88/208.35./46,0|+ 1,7 - 13,6] 8,2|»
& Petit Chien..... 7-29 26,18]- o,xr|-101,15/272. 0.13,7|+ 1,2 — 46,7l12,1|»
G Gémeaux....... 7-34. 3,571+ 0,30/-101,12/294.46.17,5|+ 1,0 21,3| 17,6]- 17,5/10,6|»
5[Soleil, 1% bord... .|1051.40,68]- 0,09 + [273 >49,5!+ 2,b 21,3| 19,61 44,6 |» |Bord inf, à52m375,
53 .
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
CORRECTION [e] æ 5 CR
g PASSAGE 10 MOYENNE | =2 | 2% fruenuowèree. 3 8 |
5) non NE MER lola
? DES ASTRES. 5 Linsten-| la Em % ie |Eut-ll 2 EVE RE ut
FIL MERID. went. | pendule. VERNIERS. 2 = rieur. | rieur. = 5 s
2 : = L
mel Home #. s, où 1 1 rer TE o I PRIT
Mercure, 1 bord... ne F Eu Fi 263.54.37,5|+ 2,3/533,5]+21,3|+19,31-r. F£ B.|Centre au méridien.
DAMIErCE = e tele toute 13.15.16,94]- 0,39 —101,45/255. 2.50,5|+ 2,1/733,31 21,2] 19,2)-1.21,8| a8l »
æ Havier PAG à à 14. 650,40 il du =101,97/286.22.35,7|+ 2,2 733,3 21,2| 19,0) 26,7 932 »
æ& Hercule. ....... 17. 5.50,66!+ 0,04|-101,68 280.57.16,0|+ 1,4 — 33,7|11,2| » [Ondul.
8 Ophiuchus...... 17-10.45,19 Fa 0,69 _ |241.34.28,0[+ 0,2 733,3 19,8| 16,5}-2.37,4 » Id.
œ Ophiuchus...... 17:26. 0.22} 0,00|-101,68!279. 3.40,o[+ 0,7 16,5]- 30,3|1r,4|»| Id.
85 « Hercule... ... 17.33.21,09!+ 0,74 312.28. 1,54 0,8/733,5] 19,7] 16,0 o,1 »
(XVEL. 368) Piazzi. [17-57.42,18]— 0,05 »
72 S"Ophiuchus...|17.58. 9,44] 0,05 275. 6.11,7[+ 0,b|734,0] 19,2 = 42,1 »
16 Sagittaire ..... 18. 4.15,37|-— 0,59 245.58.31,5[+ 1,0/734,0] 19,1] 15,712. 6,2 »
À Sagittaire... ... 18.16.40,15)— 0,71 240.54.49,o[+ 0,8/734,3] 19,0] 15,41-2.44,3 »
GIF CSERSNRRRE 4/18.29.57,841+ 0,53/-101,80|305. 1. b,7[+ 0,7 - 7,3l14,3|»
27 w Sagittaire. . ..|18.34.14,21/— 0,74 239.16.29,7|+ 0,7 3. 1,3 »
Anonyme... .... 18.40. 4,o1l— 0,59 245.56. 6,0| 0,0/734,5] 18,9] 15,2-2. 7,0 »
a? Gémeaux...... .22.b4,254 0,37|—102,56 k
. [æ Petit Chien..... 7-29-24,941— 0,11|—102,81/272. o0.12,0[+ 2,5 =" 474lxxol»| -
G Gémeaux....... 7.34. 1,89]+ 0,30|—102,63l294.46.14,2+ 2,3/734,8] 18,3] 13,9) 17,8] 8,4| » | Niv.+2P,44.
6 nue 1er bord... US 2 = cpe É4 À th : . nr 19,0 ces LÉ #8 à » [Bord sup. à 56mr65.
DANIEL: - seteeabie 13.15.15,18]— 0,39/—103,21/256. 2./8,0 ,11733,41 19,7 ,2)-1.21,8| 9,3| »
œ? 00 ITR 7.22.52,35|+ 03 —104,49 298.35.43,7|+ 3,7 4e” Du 178 = 13,7 ni »
œ Petit Chien...... 7:29.22,62]— o,11|—104,70270. 0.15,5|4+ 3,6 = 47:1l15,9| »
G Gémeaux....... 7-33.59,93[+ 0,30|—104,b5/29/.46.17,5|+ 4,31735,71 19,3] 15,7h- 17,7113,8| »
DHHydre.. 0 3| 9.18. 9,08!- 0,35|—-104,77/258.24.18,0|+ 4,2 735,71 19,8| 18,31-1.15,4| 7,4] » |Très-ondulante.
7|Soleil, 1e bord... .|10.58 50,08|- 0,10 272.21. 6,0|+ 3,41735,41 20,2| 20,41 45,8 » [Bord inf. à 59m47s.
Mercure, 1 RE = — 0,28 262.32.49,0|+ 3,5 735,0 20,5| 21,71. 4,2 » [Centre au méridien.
« Petite Ourse 1..3/13. 2.47,6 »
œ Vierge. ........ 13.1 Sid ré 0,39|-105,241256. 2.52,0|+ 3,4/735,0] 20,5] 21,7]-1.21,3113,0| »
æ Scorpion....... 16.18. 6,43] 0,72|-105,32|2/0.20. 0,0|+ 4,7[734,7] 20,8| 20,5]-2.46,9| 8,7| »
œ« Hercule........ 17- 5.46,98]+ 0,04/-105,33]280.57.17,0|+ 4,9|734.8] 20,3 — 33,4/15,9| »
0 Ophiuchus...... 17.10.41,71]— 0,69 241.34.24,2|4 4,51734,8| 20,3| 19,6/-2.36,r »
œ Ophiuchus...... 17.25.56,60! 0,00[-105,27 »
85 : Hercule...... 17.33.18,15]+ 0,74 312.27.54,7|+ 3,8 AA OE »
Mars, 1% bord...3/17.35.43,80]— 0,73 239.50. g,0|[+ 3,6/735,0] 20,1 19,2[-2.52,8 » [Centre au méridien.
Dragon........ 17.51.13,33]+ 0,g2|-105,57]317.53. 2,0|+ 3,4 19,41+ 5,0/18,8| »
(XVII. 468) Piazzi. |19.57.38,68]- 0,05 »
71 8: Ophiuchus.. :|17.58. 6,00!— 0,05 275. 6. 8,5|4+ 3,6 19,4] 41,6 »
16 Sagittaire ..... 18. 411,73] 0,59 245.58.32,0|+ 3,4 2. 4,9 »
À Sagittaire... ... 3118.16.36,35— 0,71 240.54.41,7|+ 3,7 —2.42,4 »
9 Petite Ourse S..4|18.20.45,42 F »
5: IA en 18.29.5/4,10l+ 0,53/—-105,50/305. 1. 9,0|[+ 2,8 — _7:2l18,6|»
27 y Sagittaire. . ..|18.34.10,43]— 0,74 239.16.23,5|+ 3,1 —2:59,3 »
Anonyme........ 18.40. 0,43]- 0,59 243.56. 3,,14+ 3,7 18,4]-2. 5,7 »
62 Serpent....... 18.46. 6,581 0,10 272.48.33,7|+ 3,5 — 45,4 »
Anonyme 9432049! 18.49.25,921+ 0,39 »
Anonyme........ 18.49.59,98l+ 0,39 299. 9-43,5/+ 4,31735,3] 109,5 18,4]- 13,0 »
Anonyme 9+32°54/|18.51.29,88]+ 0,39 ”
48 y* Sagittaire... |19.14. 9,57} "0,69 241.42. 2,014 3,1/735,31 19,5| 18,4]-2.35,8 n
Saturne, centre... .|19.22.22,73]— 0,63 24416.12,0|+ 3,0 —2,16,1 » [Au méridien.
39 x Aigle ....... 19:-26.45,641- 0,34 259. 1.18,0|+ 3,3 —1.13,8 »
55 e2 Sagittaire... |19.31.51,541— 0,52 249-54.54,0|+ 3,0 TEA »
y'Aigle....:..... 19-37: 6,06f- 0,03/-105,51/276.37.14,0|+ 2,9 — 39,6/13,3!»
: 54
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
CORRECTION a œ 7 Gi e
& à PASSAGE + MOYENNE |= 2 = Jrueruowërke. = 5 a
& NOM CONCLU _— d = 7 2 Fe 5 |Z
= es S UE NE 8 | 2 |S| REMARQUES.
$ DES ASTRFS. ; l'instru-| Ja 2 3 Exté- 5 3 15
FIL MÉRID. | jjeut | pendule. | VERNIERS. 2 | à He 2 5 |£
PR tae ssiate e 0,06|-105,43/274.50.38,0|4 2,9 - 42,3l11,2
MATE. ve o,11/-105,56|272.24.24,0|} 2,9 — 46,1 15,9
RARE 19.54.36,56!- 0,23 265.14.53,5|4 3,2/735,5|+19,3+17.6|- 59,2
..:...[ 7:22.50,65[+ 0,37|-106,19
SR 7-29.20,86|- o,11|-106,52|272. 0.16,0|+ 4,8 = 47nl17,6
MARS 0,30|—106,31|294.46.15,5|4 4,81737,1 16,5! 17,7/12,4|» [Niv.+P ,87.
8|Soleil,;re bord. . . è 0,10 272.30.27,2|4 5,3]737,1 18,9l- 45,9 Bord sup. à 3m23s.
Mercure, 1er bord..|12.28.57,78|- 0,29 2b1.52.46,0|4 5,3 730,7 —1. 6,4 Centre au méridien.
« Petite Ourse I..4|13. 2.43,32 357.52.48,7|+ 5,0|736,5 19,6 55,0|19,0| » [Moyenne de 2 obs.
æ° Balance...... 14.40.28,32]- 0,49|—107,07/251. 0.30,0|+ 5,3 736,0 —1.39,8|16,0
GB Petite OurseS. .4|14 49.20,80]+ 2,88|-107,52
a Scorpion. ...... 16.18. 4,45]- 0,72|-107,29/240.20. 4,o|+ 5,6/735,8 —2.47,8|12,6
æ Hercule. ......, 17- 5.45,16|+ 0,04/-107,15/2680.57.13,5|+ 4,7|735,9 — 33,6|12,0
8 Ophiuchus.. .... 17-10.39,67|- 0,69 241.34.24,0|+ 4,7 18,8]—2.36,7
œ Ophiuchus...... 17.25.5/4,68] o,00[-107,17
85 « Hercule... .... 17.33.16,17[+ 0,74 312.27.54,7|4 5,0 TROT
Mars, 1% bord....117.38. 6.65|- 0,73 239.50. 5,2|+ 4,6 736,0 18,7|-2.53,4 Centre au méridien.
y Dragon........ 17-b1.11,69/+ 0,92|-107,18]317.52.59,5|+ 4,7 18,31 5,1/17,7
(XVIL, 368) Piazzi. .[17.57.36,76|- 0,05 '
71 S'Ophiuchus...|17.58. 3,98|- 0,05 275. 6. 7,5|4 3,7 17,81 41,9
16 Sagittaire. .... 18. 4. 9,85|- 0,59 245.58.30,0|+ 4,6 2. 5,7
À Sagittaire... .... 18.16.34,45]- 0,71 240.54.43,7|4 4x —2.43,8
3 Petite OurseS. .3118.20.43,55
DATE een e > o Laele 18.29.52,26|+ 0,53|-r07,32/305. 1. 8,0|+ 4,1 — _7,3|18,7
27 @ Sagittaire. ...|18.34. 8,45] 0,74 239.16.26,0|+ 3,8 -3. 0,4
Anonyme, ....... 18.39.58,55]- 0,59 245.55.58,0|+ 3,7 —2, 6,4
62 Serpent....... 18.46. 4,5:]- 0,10 272.48.34,0|4 3,8 — 45,6
Anonyme 9+32°42/|18.49.23,87l+ 0,39
Anonyme........ 18.49.57,94[+ 0,39 299: 9-37,5|+ 2,9 — 13,1
Anonyme 9+32°54/|18.51.28,04|+ 0,39
40 + Sagittaire. . .3/18.55.26,05]- 0,76 238.31.41,7|4 4,11736,3 3. 8,0
48 y° Sagittaire. . .|19-14. 7:611- 0,69 241.42. 4,5|4 2,9/736,3 -2.36,9 |
Saturne, centre. ..|19.22.14,05]- 0,63 244.16 0.0/4 3,0 —2.17,1 |
Bo AIples see u.r 19.26.43,661- 0,34 259. 1.20,0|+ 3,4 -1.14,2 | |
55 e? Sagittaire... .|19.31.49,40]- 0,52 249.54.54,0|+ 3,5 -1.45,8 [BI
y Aigle.......... 19-37. 4,12]- 0,03/-107,44/270.37.13,7|4 3,3 — 39,0 13,9 |
HAMEIE-- ee" 19.41.23,90)- 0,06/—-107,36/274.50.38,0|+ 3,2 — 4a,5l11,2 |
Bible... ..-2N 19.45.52,74)- 0,11|-107,39l272-24.23,0|4 3,2 16,6]- 46,4/14,8 |!
Anonyme 9-1°2/..|19.52.56,90/- 0,23 | |
62 Aigle.......,. 19.54.34,641- 0,23 265.14.52,0|+ 2,9/736,4 15,5 50,8
10 # Capricorne. .|20.16.37,44]- 0,55 247.41. 8,0|+ 3,3 —1.57,2
u Capricorne... 20.22. 5,40] 0,39 256. 0.44,0|+ 2,8 -1.23,4
13 r' Capricorne. .|20.26.49,94]- 0,50 250.42.58,0|+ 2,9 —1.42,9 (D
v Capricorne. ..,3[20.29.24,09f- 0,55 247.43.10,0+ 2,9 1.571 |
a Cygne... 20.34.20,43]+ 0,70 —107,23|311. 5.58,0|+ 0,11736,5 15,o!- 1,4/12,8 |
Anonyme. ....... 21:21.37,42|- 0,39 255.58.18,0+ 8,7 —1.24,1 [|
Anonyme. ....... 21.29.18,80]— 0,41 255. 7. 9,7[+10,2 738,7 126,9 |
a° Gémeaux. ...,. 7-22.48,81|+ 0,37 —108,09 |
œ Petit Chien..... 7:-29.19,06|- 0,11|-108,36/|272. o.12,0/+ 5,6 = 47014,5|» |
BG Gémeaux..:,.., 7 33.58 30 + 0,30/-108,21/294.46.13,5|+ 5,6 737,0 17,4] 17:6 11134 » [Niv.+2P,07. (£
g{Soleil, 1er bord... .|11. 5.58,66]- o,12 271.36. 7,o|+ 4,t 736,6 21,2]- 470] » [Bord inf, à Gmb3s, |]}}
5
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 18#3.
CORRECTION [e] 3 7 ol e
s PASSAGE “ie MOYENNE | =2 2 Jruenmouërre. El 5 |à
2 NOM: CUNCLU BE 2,% e RE T a = 2
2 au Le ASIE e = |£| REMARQUES.
# DES ASTRES. Ë l'instru- la 2.2 = Inté- | Exté- = o m
FIL MERID- À yeut. pendule. VERNIERS. N 2 k ea rieur, | rieur. a mn =
74 SE FPE LE s. ART PE 11 muni o o mr
Mercure, 1 bord..|12.33.39,96|- 0,50 261.13.24,0|+ 5,7/735,0l+21,0|+21,8 B.|Centre au méridien.
a Petite Oursel...4|13. 2.435,26 357.52.47,0|+ 6,11735,8| 21:1| 22,0Ï4 54,4/18,2| » [Moyenne de 5 obs.
mVierge.. ..:... 13.15. 9,42] 0,39/-108,95/256. 2.47,7|+ 5,5|735,7) 21,2] 22,0 11,8| » |Très-ondul.
n Grande Ourse... 316.27.55,0|[+ 5,31335,6| 21,2] 22,3]4 3,7|12,9| »
a Bouvier. ....... 14. 6.43,02|+ 0,14/-108,90|286.22.33,51+ 4,6/735,5] 21,4] 22,5 26,5) 9,9/»
11|Soleil, zer bord(*).|11.16. 6,56] 0,13 271.22.30,0|+ 4,7|732,9] 21,4] 19,8]- 47,3 » [Bord sup. à 1798.
a Scorpion. ...... 16.20.58,79l- 0,724 67,11 »
æ Hercule........ 17. 8.39,40]+ 0,044 67,16[280.57.14,0|+ 3,5 11,6|»
0 Ophiuchus....., 17.13.34,07]- 0,69 241.34.24,0|[+ 3,5/931,2] 20,8| 19,2]-2.35,5 »
œ Ophiuchns...... 17.28.49,08] o,00|+ 67,26 »
85 « Hercule... ... 17.36.10,49]+ 0,74 312.28. 3,5|+ 3,3|-31,3] 20,4| 19,3|- »
Mars, 1 bord... .|17.48.23,85]- 0,73 239.50.45,7|+ 3,3 » |Centre au méridien,
ÿ Dragon. ....... 17.54. 5,831+ o,92|+ 67,07 »
(XVIL. 368) Piazzi.|18. 0.31,08]- 0,05 »
71 S' Ophiuchus ..|[18. 0.58,40[- 0,05 275. 6. 8,0|+ 2,8 18,51 41, »
16 Sagittaire ,.... 18. 7. 4,r1l- 0,59 245.58.33,0|+ 3,0 »
À Sagittaire... ..…. 4|18.19.28,79/- 0,71 240.54.44,01+ 3,0 »
8 Petite Ourse S. .4118.23.38,22 »
IR TC AE 18.32.46,62]+ 0,534 67,12 »
27 Sagittaire. . .3|18.37. 2,73]- 0,74 239.16.26,5|+ 2,9 »
Anonyme........ 18.42.52,84|- 0,59 245.56. 1,2/+ 3,4 »
62 Serpent, ...... 18./48.59,00!- 0,10 272.48.32,7|+ 3,0 »
Anonyme 9432042/|18.52.18,20]+ 0,39 »
Anonyme. ....... 18.52.52,54]+ 0,39 299. 9-37,7|+ 3,4 »
Anonyme 9432°54/|18.54.22,24]4 0,39 »
40 + Sagittaire... .|18.58.20,31|- 0,76 238.31.40,01+ 2,5 17,2 »
(2224) Sagittaire. .|19. 4.16,971- 0,62 244.29.44,0|+ 2,8|731,5] 19,8| 17,5 »
39 x Aigle ......, 19-29.37,88|- 0,34 259. 1.20,0|[+ 2,5|731.,6] 19,8] 16, »
55 e? Sagittaire. . .!19.34.43,86|- 0,52 249.54.54,0|+ 1,8 »
5) NTSC 19-39.28,48]- 0,03|+ 66,961270.37.13,0|+ 2,5 11,0|»
MRAURIES uspiee à 19-44.18,30]- 0,06|+ 67,08|274.50.37,7|+ 2,2 3| 9,9| »
HAiele ts. .119-48.47,041- o,11|+ 66,95272.24.24.0|+ 2,1 15,7 46,214,7|»
Anonyme d—1°2/.,|19.55.51,14]- 0,23 »
aigles... 42. 19.57.28,94]- 0,23 265.14 54,0|+ 1,81531,5] 19,4| 15,7 59,3 »
1 Ë Capricorne. .|20. 4.27,26|- 0,45 253.32.40,5|+ 2,4 »
a" Capricorne... ..|20.10. 8,08[- 0,45|+ 66.79l253.24.37,7|+ 2,8 14,6!»
œ? Capricorne... ..|20.10.32,06]- 0,45|+ 66,82 »
13 r' Capricorne. .|20.29.44,46|- 0,50 250.42.56,5{+ 1,9/73r,5] 19,3] 15,6/-1.42,1 »
v Capricorne. ...3|20.32.18,23|- 0,55 247.53. 5,514 2,4 »
HICYENE Se Se + 22 20 20.37.14,73|+ o,70[+ 67,12 »
6 p Verseau. ..... 20.45.22,441- 0,38 256.49.43,5|+ 2,1 »
(2483)PetitCheval .|20.5r. 7,86] 0,15 269.58.58,5|+ 3,3 »
1 € Petit Cheval . .4/20.52.25,041- 0,14 da
3 & Petit Cheval. . .|20.57.56,62|- 0,13 271.16.14,7|+ 2,8 »
Anonyme. ......, 21. 0.26,16|- 0,13 271.12.16,0+ 2,5 » ,
LEO PSE 21. 8.15,78)- 0,35 257.57.45,0|+ 2,4 » |Très-faible.
Anonyme........ 21.24.21,84]- 0,39 295.58.17,7|+ 2,2 »
Anonyme........ 21.32.13,04]- 0,41 255. 7. 8,0|+ 2,2/731,3] 19,0] 14,4 »
e
12 Mercure, 1®bord..|12.50. 6,96]- 0,33 259.19.29,7|+ 6,9!731,41 21,2 20,8f-1.11,9 » Centre au méridien.
(*) Avant cette observation la pendule a été avancée de 3 minutes.
96
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
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Centre au méridien.
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19-48.39,72]
Au méridien.
Soleil, 1er bord. ..|11.33. 55. 2,273 Bord inf. à 34mBas.
5 Moyenne de 3 obs.
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1 Grande Ourse..
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Le ciel se couvre.
Soleil, rer bord... Bord inf. à 38m30s.
a Petite Ourse I..3/13. 5. nn Moyenne de 2 obs.
Mercure, 1° bord. 3l 13.11. x 256.26. 3,0! À Centre au méridien.
œ Vierge 113.17. 6 Le ciel se,couvre.
18/Soleil, °° bord... .|1r.41. 2,48]- 0,17 268. 9. « 7|+ 2,61735,1] 22,9| 24,3l- 52,3 » [Bord inf. à 42mros,
z Petite Ourse I....|13. 5 29,60 357.52.49,0!4+ 2,5/734,8] 23,51 25,914 53,7119,0! » [Moyenne de 2 obs. ||:
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Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
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LARMES SABrE 132.34.10,0|+ 3,5
2 Balance...... É 14.43.10,041- 0,49|+54,78/25r. 6238 + 3,0
B Petite OurseS.. |14. SA 1,9b|+ 2,80|+54,33134r. 9.35,5|+ 1,5|734,3
À Sagittaire....... 18.19.16,93|- 0,71 240.54.309,0|4+ 2,6
3 Petite Ourse S..3|18.25.21,40
Hyre +... .[18.32.33,66{+ 0,53/+54,261305. r. 9,5|+ 0,2
27 w Sagittaire. . .. 18.36.50,26 - 0,74 239.16.23,2|+ 0,b|734,4
19/Soleil, 12° bord... .|11-44.35,80]— 0,18 268.19.59,2|+ 3,31734,2
« Petite Ourse I. F4 13. 5.29,21
Mercure, 1° bord.. 18.42,40f- 0,41 255.24.24,0|+ 1,7|733,7
B Petite Ourse S...|14.52. 0,22]+ 2,88|+52,66/341. 9.35,0|+ 0,9|733,0
a Ophiuchus..... L Fe -28.34,59| 0,00|+52,94
85 « Hercule...... 17.35.55,83|+ 0,74 312.2842,7|4 1,2
Dragon....... 4117.53.51,34]+ 0,92|+52,85 317.52. 58,24 #,r
(XVII, 368) Piazzi.4|18. 0.16,49|- 0,05 275.15.13,7|+ 1,9|732,9
Mars, 1 bord....|18. 8. 4283 — 0,73 2309.59.17:7 + o,b
À Sagittaire... .... 18.19.14:59]- 0,71 240.54.41,5|4 1,2
3 Petite OurseS. .4|18.23.18:60
LTD Ordot E 18.32.32,12]+ 0,53/152,811305. 1. 9,5|+ 0,5
27 w Sagittaire... .|18.36.48,55|- 0,74 239.16.24,0|+ 0,7
Anonyme........ 18.49. 44187 — 0,59 245.55.47,7|+ 0,9
a Sagittaire....... 18.46.29»37]- 0,73 239.55.58,0| - 0,2
Anonyme 9+32°42!|18.52. 3,88]+ 0,39
Anonyme. ....... 18.52 37,84 + 0,39 299. 9.40,0|[+ 0,2|733,1
Anonyme 9432°54/|18.54. 7,86[+ 0,39
EUR CAPOREE 19. 7-33,40l- 0,03 276.46. 6,0l+ 1,0
"148 x ts .119-16.47,53|- 0,69
Saturne, centre... .|19.24.10,18|- 0,63 44.13.42,5|4+ 0,9
39 x Aigle ....... 19-29.23,60l— 0,34 ns 1.20,0|+ 0,7
55 e2 Sagittaire... .|19.34 29,48 — 0,52 249. 54.54,o[+ o,g
Aigle. ......... 19- pa Fa — 0,03|+52,69|270.37.12,7|+ 0,b
mAiple be. s. 19-44. 3,82] 0,06/+52,71/274.50.40,0| es 733,3
LE: rss 20. fon — 0,45 253.32.45,7|+ 0,9
x' Capricorne... ..|20. 9.53,86|- 0,45|+52,67/253.24.43,5|- 0,2
œ2 Capricorne... ..|20.10. 1764 — 0,45|+52,53
10% Capricorne. 20:19.17,44]- 0,55 247.41. 6,0|- 0,3
u Capricorne. .... 256. 0.50,0|[+ o,1
13 r' Capricorne. .|20.29.30,14]- 0,50 sl 43. 6,o[- 0,5
y Capricorne... .4|20.32. 407 — 0,55 47.43.10,0|— 0,7
œ Cygne. ........ 20.37. 0,35[+ 0,70|+52,88 gr. 6. 337 — 0,2|1733,3
Hionss sas slt. 21. 4.56,421- 0,38 256.45. 2,0|+ 0,3
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Anonyme. ....... 21.24. 7,48]- 0,39 255.58.18,5|+ o,r
Jupiter, centre... .|21.26.40, o7|- 0,52 250. 3.22,0| 0,0
Anonyme........ 21.31.58,92]— 0,41 255. 7. 10 + 0,7|733,
a Grande Ourse...|10.54.50,751+ 1,47|451,751328.57.29,5|+ 2,31732,7
oSoleil, 1er bord. ..|11.48. 9,76] 0,19 267.22. Jo + 1,81732,3
a Petite Ourse I. .4|13. 5.25,35 357.52.47,0|+ 3,21731,7
œ Vierge. ......,. 13.17: 49,56 - 0,39l+51,25 236, 2.52,0|+ 2,9
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Centre au méridien.
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15
58
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
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254.55. 7,0|+ 3,4/73r,6{+21,0/+20,5
n Grande Ourse...|13.42.192,10[+ 0,82|151,161316.28. 1,0
Mercure, 1* bord.. B. |Centre au méridien.
+
B Petite Ourse S...|14.51.58,644 2,88 |151,14/341. 9.35,5/+ 2,2/732,3 21,2| 19,414 29,5|18,2| »
y Dragon ........ 17.53.49,37{+ 0,92/+50,88 | »
Mars, 1% bord....|18.11.20,09!— 0,73 240. 1. 2,0|+ 2,3 » |Centre au méridien.
À Sagittaire. ..... 18.19.12,39}- 0,71 2/0.54.40,0|+ 2,6 »
3 Petite OurseS. .4|18.23.18,75 352.57.24,0[+ 2,3/731,4] 20,3! 18,3]+ 46,1/16,3| » | Moyenne de 3 obs.
DADYTE = eee 218 = 18.32.30,041+ 0,53/450,75/305. 1. 3,5|+ 2,6 17,8] 11,8| »
Anonyme ....... 18.,2.42,95!- 0,59 245.55.45,0|+ 2,1 »
c Sagittaire....... 18.46.2749 10:75 239.55.55,o{+ 2,1 »
Anonyme 9+320/2/|18.52. 2,00!+ 0,59 »
Anonyme 9+32°47/|18.52.35,96[+ 0,39 »
Anonyme........ 19.54. 5,641+ 0,39 299-17. 3,71+ 2,2|731,5] 19,9] 17:2 »
48 4° Sagittaire. . .|19.16.45,75!-— 0,69 241.42. a,7|+ 232 17,1 »
Saturne, centre...119.24. 6,71}- 0,63 244.13.38,0|+ 0,1 17,1 » |Au méridien.
39 x Aigle....... 19-29.21,74- 0,34 259. 1.24,0[+ 0,6 »
55 e? Sagittaire. .|19.34.27,52l- 0,52 249.54.53,5|+ 1,0 »
y Aigle. ......... 19.39.42,20)- 0,03,+50,81 276.37.16,5|+ 0,2 12,1, »
CHAIBle den states e 19.44. 2,06[- 0,06|+50,96 274.50.42,0[+ 0,1 11,4! »
BIANBIEN. 245 10 19.48.3084 0,111150,87/272.24.25.5|+ 0,6[731,8] 19,4| 15,3] 46,3/14,1| »
3 Ë: Capricorne. ..|20. 4.11,06|- 0,45 253.32.44,0[+ 0,8 731,8] 19,4| 15,1 —1.31, »
3 Capricorne. ...4|20. 8.36,43]- 0,45 »
æ' Capricorne... 20. 9.52,00f- 0,45/+50,82/253.24.40,0|+ 0,1 15,0! 14,1)
a? Capricorne... . .|20.10.15,86|- 0,45|150,76 »
10 + Capricorne. .|20.19.15,44] 0,55 247.41. G,ol- 0,9 »
u Capricorne. .... 20.24.43,50f- 0,39 256. o.50,0|- 0.8 »
13 r' Capricorne. .|20.29.28,16[- 0,50 250.42.58,7|— 0,3 »
y Capricorne. ....[20.32. 2,10]- 0,55 247.43.10,0|— 0,3 »
HIGyYENC-< cie 20.36.58,63{+ 0,70/+51,r8|311. 6. 5,7|+ 0,3 13,6|- 18,1| » ë
6 Verseau......120.45. 6,36[- 0,38 256.49.50,0[+ 0,3 à »
Anonyme. ..,... 20.47.14,02] 0,38 256.55.23,5|+ 0,3 »
DUNOBES me Des de 21. 448,66] 0,38 256.36.24,o|- 0,1|731,7] 19,0! 13,5 » |Très-faible.
x Céphée........ 21.15.42,03[T 1,42|451,09/328.17.46,0|[+ 0,8 15,8| »
Anonyme 9—10°25/|21.24, 5,641 0,39 ; »
Jupiter, centre... .|21.26.19,85]- 0,52 250. 1.59,o|+ 0,8 » |Au méridien. |
Anonyme 9—11%16/|21.31.57,04]- 0,41 »
x Céphée I..... | g:15.44,55f 1,42[440.89) 24.23.40,2|+ 3,51733,3] 19,4] 15,3 +2.45,8/16,2| » |
R'HYdAre eee de 9-20.44,66|- 0,35 +49,98 258.2/4.27,5|+ 4,2 -1.16,0|15,9| » }
B Céphéel....... 9-27-32,51/ 2,12/+50,03| 16.27.32,5|+ 3,5/733,5] 19.6| 15,7 +1.51,6/15,6| » |
| |x Grande Ourse.. .|10.54.49,05|+ 1,47|+50,03 » [Niv.+1P,82. |
| y Grande Ourse...|11.46.22,62]+ 1,0/1+49,531320.55.51,514 3,3 733,2] 20,0) 20,6 7,9/17»2| » |
21/Soleil, 1er bord... .|11,51.43,34{- 0,19 267.31.18,7+ 4,21733,2] 20,0| 20,6! 54,0 » |Bord sup. à b2"36s.14
a Petite Oursel...4|13. 5.22,73 357.52.44,5 TA 733,0] 22,0 19,414 54,7 18,5| » |Moyenne de 3 obs. |
| | Vierge... 13.17.47,74l 0,391+49,43{256. 2.52,7|+ 3,7 19,4/-1-21,7/13,1| » ME
Mercure, 1er bord..|13.25.44,14}- 0,43 254.27. G,2|+ 3,5 19,4/-1-26,9 » |Centre au méridien.
| # Grande Ourse...|13.42.10,06[+ 0,86/449,15 316.27.57,5|+ 3,2 10,5 3,7/16,2| »
| |œBouvier........ 14. 9.21,36]+ 0,14|+49,57 » |
| x Hercule.....:, 4|17. 8.21,33[+ 0,04|+49,28 2BrS7-rx,5 + 3,0|732,41 20,0! 19,3] 33,3| 8,6| » AE
| {9 Ophiuchus...... 17.13.15,01/- 0,69 241.34.22,2|+ 3,3 2.35,9 » |
| x Ophiuchus....., 17.28.31,02] 0,00 +49,40 » (
85 Hercule... ... 17.35.52,33l4 0,74 312.27.56,5|+ 3,4 0,1 » |
h |} Dragon... .17.53.47,698+ 0:99!+49,27/318.52.57,5|+ 3,2 ] 5,0/13,6| » |
bb)
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843.
NOM
DES ASTRES.
71 S'Ophiuchus...
16 Sagittaire . ...4
Mars, 1° bord...
À Sagittaire... ...
9 Petite OurseS. .4
DNLEs es. ee
27 Sagiltaire. ...
Anonyme. ..... Le
g Sagiltaire.......
Anonyme 9432049!
Anonyme 9432047!
Anonyme........
Anonyme... ...
RIFÉSASe LE -.--e.
Uranus, 1 bord...
DRASS. ---6 0
& Petite Ourse S..
æ CéphéeI.......
DMAMARE Se ve 2 108 9
B CéphéeI......,.
« Grande Ourse...
y Grande Ourse, ,.
Soleil, 1° bord...
a Petite Ourse I. ,3
n Grande Ourse. ..
æ Bouvier. ...... °
B Petite Ourse S. , .
a Couronne......
x Serpent
œ« Hercule. .....,.
0 Ophiuchus.....
œ« Ophiuchus...:..
85 « Hercule......
y Dragon
72 S'Ophinchus...
16 Sagittaire
Mars, 1% bord...
À Sagittaire... ....
à Petite OurseS. .3
x Lyre
27 w Sagittaire...
Anonyme
a Sagittaire.......
Anonyme 9+32042/
Anonyme 9432047!
Anonyme. .....+.,
ss...
ss...
ss...
I23| Soleil, 1 bord...
Il |x Petite OurseL...3
a Vierge.........
Mercure, 1‘ bord.
x Bouvier. ..,..,.
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID.
18. 0.40,38|-
18. 6.46,02|]-
18.13.58,17
19.19-10,65!—
18.23.18,05
18.32.28,50{+
18.36.44,89|—
18.42.41,291-
18.46.25,63]-
9-27.30,39|-
10.54.47,0bl+
11.46.20,52]+
: 11.55,16,68 =
13. 520,8
14. 9.19,04[+
14.51.5/,82l+
18.16.36,75|-—
18-19. 8,62!—
18-23.1 2,00
18.32.26,241+
18.36.42,69|-
18.42.39,17
18.40.23,57}—
18.51.57,98|+
18.52.31,98 +
18.54. 1,)8]+
17.58.50,72]-
13. b.13,91
13.17.43,72]-
13.32. 7,bal—
l14 9-17,161+
a”
l'instun-
meulL.
CORRECTION
MOYENNE
des
de
—_—_—
la
pendule} VERNIERS.
0,0)
0,59
0,72
0,71
0,53
0:74
0,59
0,73
0,39
0,39
0,39
0,03
0,04
0,21
0,04
265.49. 3,
+48,77 RME
24.23.37,0
0,35|+47:841258.24.28,0
16.27.31,0
1,47 +45,00
1,04/+47:42/320.58.51,2
0,20 266.35.55,0|+ 4,0/736,1
0,86 +47:27
0,141+47:260[286.22.34,0[+ 3,7 735,5
2,88|+47,441341. 9.31,5|+ 3,8/735,2
0,27|+47:36/293.37.12,7|+ 3,8
0,09/+4716/273.18.13;2|+ 4,11735,2
0,04 |+47:15]280.57.10,5|+ 4,31735,1
0,6 241.34.22,0|+ 4,7
0,00|+47,441279. 3.33,0[4+ 4,2
0,74 312.27.54,5|4 4,2
0,92/[+47,151318.52.58,0|+ 3,5
0,05 275. 6. 7,0|+ 3,61735,3
0,59 245.58.30,2+ 4,1/735,3
0,72 240. 5.14,0|+ 3,5
0,71 240.54.41,2|4+ 3,5
0,53|+47,01/305. 1. 4,7|+ 3,3
0,74. 239.16.25,5|+ 3,5
0,59 2/2.55.45,5|+ 3,7
0,73 239.55.52,0|+ 3,5
0,39
0,3
830
0,21 266.44.35,5|+ 4,81735.9
357.52.41,5+ 5,0
0,39|+45,41
o 253.35.26,5|+ 4,/1735,4
0714144538 286.22.32,0|
“AULARKOUVH
au.
+
+
+
+ 5,
+ 32/7844
+ 4,0 736,1
+ 5,3
+ 3,8|736,2
ñ 3,7 736,1
+ 457 735,2
THERMOMÈTRE.
19,1
19,1
18,8
19,1
19,2
19,2
= = «
me. = S
Ep El LE
Buté- s = | 5 REMARQUES.
\ieur, 2 = …
a ER pe
B.
—2. 4,9 »
—2:90,9 » |Centre au méridien.
| +1 733 =2:42,0 »
+ 46,4114,5| » Moyenne de 2 obs.
FE 72 13,4 »
—2.59,5 »
=20b;7 »
17,3]-2.52,5 n
n
»
16,4] 12,9 »
16,0! 39,6 F
9,71 34,8) 8,5| » |Ondul.
— 59,5 » [Centre au méridien.
10,3]- 34,8|10,8| » ;
» |Excessivemt ondul.
15,41+2.46,4 14,4! »
—1.16,3/17,2| »
15,3{+1.52,2115,3| »
»
18,3+ 8,0/17,7| »
18,4) 56,4 » |Bord inf. à56m185.
»
»
20,3[- 26,7/10,7| »
20,6]+ 29,5/17,4| »
20,1! 18,6! 9,2| »
20,1} 44,3|11,3| »
1914 — 35,5 8,7 »
-2.36,4 »
19,2/- 36,0! 7:9| »
= O,1 »
+ B5,1l14,5| »
18,6[- 41,8 »
18,6 —2, 5,2 »
—2.50,8 » [Centre au méridien.
= 42,8 »
»
- 7,2113,6! »
18,4 —2,59,5 »
2: 5,8 »
—2,52,8 »
» »
»
17,6]- 12,9 »
17,0|- 56,3 » [Bord sup. à bgm48s.|,
18,5l4 55,1/17,2
18,7|-1.30,4
19,01- 26,8 98!
Moyenne de 3 obs.
Centre au méridien.
60
Observations faites à la lunette méridienne en Septembre et Octobre 1843.
CORRECTION a = A = = © \
= PASSAGE Le MOYENNE |=2 2 fJruenuouërre. EE s | à
a NOM CONCLU ES d ha o = 2 :
2 x: t es s8|* | 5 |21|2] REMARQUES. |
‘ DES ASTRES. ; l'instru- la £ n = Exté- = 3 m .
FIL MÉRID. | ment | pendule} VERNIERS. S El rieur: 2 5 5 |
res 15.28.49,48|+ 0,2 HS 293.37.12,0[+ 3,7 418,71 18,7| 8,4! B |
TN 15.37.20,10|- 6,69 pe . 27310.11 5(+ 3,7 — 44,5] 9.0! »
ati 4 (7e 8. 17:16 + 0,041+45 »
Ste 17.13.11,76)— 0,69 Lx 34. + 3,7/735,0[+18,7 —2.37,3 »
PAR 17.28.26 “86 0,00|+45,28/279. 33 ,71+ 3,2 — 356,3! 9,3| »
NES 17-35. 18, a1f+ 0,74 Bra- 28. + 4,1[735,0 0,1 »
7% S*' Ophiuchus. .|18. 0. 36,16|- 0,05 + 3,3|735,2 10,6! 49,1 »
Mars, 1e bord... .|18.19.16,80!- 0,72 + 2,9 —2:5x,5 » {Centre an méridien.
Eat SCENE 18.32.2432 + o,531+45,11 + 3,1 7:3114,6| »
27 w Sagittaire. . . .|18-36.40,63)- 0,74 239-10-26,0+ 3,1 0,7 » "|
Te ce EU 18.42.37,07)- 0,59 245.55.44,0[+ 2,9 —2. 6,7 »
a Sagittaire:...... 18.46.21,55]- 0,73 230. 55.51,0[+ 2,5 —2.5/,0 »
Anonyme........ 19-35. 0,66!- HE 251.48. 7,0[+ 2,5 —1.38,1 »
Anonyme........ 19-40. 3,12] 0,47 252.18.53,0|+ 2,8|735,6 13,41-1.36,2 »
Anonyme 3-9°37/.|20.44.17,94|- 0,38 »
6 p Verseau...... 20. Fe 0,481- 0,38 256.49.45,7|+ 2,8 -1.20,9 »
Anonyme. ...... 420.47. 8,32] 0,38 256.55.23,7|+ 2,3 —1.20,7 »
(2483) Petit Cheval.|20.50.45, 86! 0,15 269.59. 2,7|+ 2,3 50,8 »
r € Petit Cheval...[20.52. 2,88|- 0,14 »
3 & Petit Cheval. . .|20.57.34,58]- 0,13 271.16.15,5|+ 2,1 48,5 »
Anonyme........ 21. O0. 4,20- 0,13 LES + 2,1/735,9 14,7] 48,7 »
œ Céphée 1....... 9-15.38,38|- 1,4214+43,80| 24.23.33,0|+ 5,31737,2 13,3]+2.47,913,6| »
M Hydre- Re. 9-20.38,44|- 0,35|+43,70[258.24. 24,5 + 5,2|737,3 -1.17,0/12,9| »
B Céphée 1....... 9-27.25,9b}- 2,12 # 3,50] 16.27.28,2[+ 5,4 13,2/+1.53,2115,5| »
« Grande Ourse...|10.54.43,19l+ 1,471444,111328. 57.22,7+ 4,51737,0 16,3,16,1| »
24 |Soleil, xer bord....|12. 2.24,58]- o,21 265.49 11,2|+ 4,1/736,8 17,3 58,3 » [Bord inf. à 3moys,
a Petite Ourse I. LE 13. 515,52 »
x Vierge......... 13.19.41,68|- 0,39/443,37/256. 2.53,2|+ 4,41736,5 —1.22,4113,5| »
Mercure, 1°° a és 4 3,20|- 0,45 253.12. 5,7[+ 5,2 131,9 » [Centre au méridien.
n Grande Ourse. . 2. 4,22lt 0,861+43,351316.27.56,5|+ 5,61736,5 18,3]+ 3,7118,4| »
48 y* Sagittaire... Lo Se 37,61|- 0,69 241.42. 4,o|+ 3,51736,2 15,0]-2.37,9 »
Saturne, centre... .|19-23.56,68|- 0,63 244.1312,5|4+ 2,6 2.18,5 » [Au méridien.
39 x Aigle ....... 19:29-13,66]- 0,34 259. 1.20,0|+ 2,9 —1,15,0 »
Anonyme, ....... 19" .34.58,481- 0,48 251.48. 4,0|+ 2,8 -1.39,0 »
Anonyme. ....... 9:40. 1,08]— 0,47 252.18.52,6|+ 2,9 —1:37;1 »
a Aigle.......... ne os. 53,96 — 0,06|+42,95/274.50.40,0|+ 3, 3 736,2 12,4] 43,2/11,7| »
25|Soleil, 1 bord....|12. 5.58,38]- o,21 265.57.42,0[+ 6,81733,1] 18,0 16,9]- 57,8 » [Bord sup. à 6m55s.
« Petite Ourse I..4/r3. 5. 6,61 357.52.37,5 : ë 31732,7| 17.8 5 55,1/15,1| » [Moyenne de 4 obs.
a Vierge... ...... 13.17-39,06]- 0,33/+41,42/256. 2.45,0[+ 6,0 —1:22,2| 711 »
18,0 —1.33,0 » |Centre au méridien.
Mercure, 1° bord. . Ho Tes — 0,38 252.50.12,0|+ 6,41732,5
18,0! 18,1+ 3,7l12,4| »
n Grande Ourse...|13.42. 2,50]+ 0,431441,21/316.27.49,5|+ 6,3/732,4
29|y Grande Ourse...|11.46. 4,60)]+ 0,54! +30,92 | » [Niv.—-oP,B1.
1|x Céphée I....... 9-15.19,75]- 0,75|+26,09 | »
a Hydre......... 9-20.21,36 — 0,30|+26,50 | | »
8 Céphée 1... ...| 9.27. 6,95|- 1,14/+25,90 | »
GNON HE ee ue te 10. 0.29,04]- 0,07 +26,27 | »
16,5
- F F al ra: |
2/a* Balance. ....../14 42.40,75]- 0,40[+25,71{251. 0.20,2/+ 8,2 7342 -1.39,5 8,2] » [Faible et ondulante.
61
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
CORRECTION 2 z 2 = 2
a PASSAGE “ MOYENNE |2°2 2 Jruenuouërre Es: 3 | |
= NOM CONCLU a ——, 3 4 —— F = 2 R
3 dx des PIS 8 | 2 |£| REMARQUES.
Li DES ASTRES. : l'instru-| la 2 3 Inté- | Exté- = SE
FIL MÉRID. ment pendule À VERNIERS. 2 = rieur | rieur. 9 = 5
b- ui. s. s € ! k 1 1! "1
B Petite Ourse S.,./14.51.34,304 1,55 341. g-21,7|+ 6,11734,2 416,6 29,5|12,7| B. |
a Couronne ...... 15.28.29,98 + 0,09 +25,78 293.37-10,0|+ 5,0 734,1 16,5 18,6 9,2 » [Ondul.
œ Serpent........ 15.37. 0,541 0,141+25,77/273.18. 8,5|1 4,9|734,0] 16,5 44,2] 8,o| » |
Anonyme. ......2,19.43.16,93|+ 0,43 516.22.12,0/+ Gi 3,7 » [Nuages.
Bale ee 19-48. 4,74] 0,15|+24,92 272.24.22,0|1 5,4 739,0 15,4 4
ATONYIMÉ ee 19-55. 9,08]- 0,22 255.21. 4.olt 5,3l
1 Et Capricorne. .4|20. 3.45,28l- 0,38 253.32.41,0|+ 5,0
3 Capricorne. .... 20. 8.10,62)- 0,38
æ' Capricorne... 20. 9.26,111- 0,38|+25,17 +
a? Capricorne... ..|20. 9.50,06|- 0,38|+25,21
B> Capricorne... .3/20.12.40,93[- 0,40 201. 7.44,2|+ 437 141,6 » |
10 # Capricorne. .|20.18.49,08|- 0,44 24,7.40.59,7|+ 5,0 -1.57,9 » |
Lune, 1°* bord....|20.27.29,86|- 0,42 249.29.14,0|+ 4,5 —1.49,0 » [Bord inf, à 28345,
» Capricorne. ...4\|20.31.36,45|- 0,44 245.43. 3,714 4,9 —1.57:9 »
MACYERE es 6 0e 20.36.33,o1{+ 0,34|+25,47l81r. 6. o,0|+ 4,5/735,5] 15,0 1,4|14,8| »
œ« Céphée S...... 3/21.15.17,08]+ 0,75|+2/,94 » |
Anonyme........ 21:23.39,83|- 0,33 255.58.18,0|+ 3,5/735,41 14,7 1.24,6 » |
Anonyme. ...... …. [21.3r.31,26|- 0,34 255. 7.10,7|+ 3,5 —-1.27,8 » |
œ« Verseau........ 21.58.12,64] 0,22|+25,07/265.18.49,5|+ 4,11735,31 14,4 1. 0,4/16,4| » |
œ Céphée 1....... 9-15.17,63|- 0,75/+24,01 24.23,30,0[+ 5,0 +2.48,2|12,9| » |
mHydre....... 2. 9-20.18,741- 0,30|+23,86/258.24.26,0|+ 5,0|736,4] 14,5 -17,0/14,9| » |.
G Céphée I...... 3| 9-27+ 5,22] 1,14/424,23] 16.27.26,0|+ 4,8]736,4] 14,7 .52,9/14,9| » [Niv.+or,15.
on... +. 10. 0.26,66|- 0,07|+23,87/279. b.24,71+ 5,7/736,4] 15,2 36,7/12,2| » [Ondul.
| 3/Soleil, 1°° bord... .|12.34.35,06|- 0,25 262.18.44,o[+ 5,5/735,6| 15,8 1. 5,8 » [Bord inf. a 35345.
æ Petite Ourse I...|13. 4.49,00 » es
Mercure, 1° bord..|13.49.32,32]- 0,40 251.19. 3,71+ 6,5/735,1] 16,0 40,8 » |Centre au méridien.
æ Couronne...... 15.28.27,40]+ 0,09[+23,31/203.37.16,0[t 6,1 — 18,7/16,1| » [Ondul.
œ Serpent........ 15.36.58,0/4|- 0,141+23,28/|273.18.11,2|+ 5,21734,8] 16,2
Anonyme. ....... 19. 7. 3,62) 0,11 276.45.54,0[+ 5,6/735,0] 15,3 agi
Saturne, centre... .|19.23.56,63|- 0,49 24413:12,0|+ 5,3| : 217,6 » [Au méridien.
Anonyme. ...... 4|19.34.38,36|- 0,39 251.48. 6,0|+ 3,8
Anonyme........ 19-39-40,86|- 0,39 252.18.49,0[+ 4,4
‘[Anonyme. ...... 4]19.43.14,33+ 0,43 316.22.14,7|+ 4,3
BPAple 7 19-48. 2,58] 0.15/+22,78 272.24.19,5|+ 4,0
Anonyme. .,..... 19.55. 6,78]- 0,22 265.21. 6,0|+ 3,7/7935,1] 15,5
1 Ë: Capricorne...|20. 3./42,86|- 0,38
3 Capricorne... .4|20. 8. 8,3ol- 0,38
2" Capricorne... ..|20. 9.23,70]- 0,38 +22,781253.24.34,5+ 4,0
œ2 Capricorne... .. 20. 947,661 0,38|4+22,82
G= Capricorne... .. 20.12.38,46[- 0,40 251. 7.43,5|+ 4,0
10 # Capricorne . .|20.18.47,22|- 0,44 247.40.59,2[+ 4,0
u Capricorne. .... 20.24.15,42]— 0,33 256. 0.46,21+ 4,2
13 r' Capricorne. . 20.29. 0,12]- 0,41 250.42.54,0|+ 4,3
» Capricorne. ...4|20.31.33,94|- 0,44 247.43. 6,0|+ 4,61735,3] 15,0
MOYENNE. » + » + proc 20.36.30,71|+ 0,341423,19 DIRE ;
Lune, 1 bord.... 21.17.44,76|- 0,38 253.47.31,0|+ 4,5 —1.31,0 » |Bord inf, à 1gm3s.
Anonyme. ...... 3/21.23.37,541- 0,33 255.58.16,0|+ 4,8
3 Capricorne. .... 21.38.4980 0,42 249.34. 6,o/+ 4,1
œ Verseau....,... 21.58.10,60]- 0,22|+23,04/265.18.48,0|+ 2,5,735,3! 15,0 . 0,1/13,6| » |[Ondul,
x CéphéeI......, 9-15:15,r9]- 0,75|+21,60) 24.23.30,5|+ 4,71736,0| 14,9
œ Hydre See CT - 9-20.16,641- 0,30|+21,731258.24.26.0 + 4,5!
G Céphée I... .., 9-27. 2,6D{- 1,14|+21,69| 16.27.26,2/+ 4,51736,0] 15,0
16
62
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
CORRECTION = 3 € =]
=. PASSAGE At MOYENNE Z, THERMOMÈTRE £ = =
£ se coseiu 1) . S Past We 5
E … ; des = 3 £ | £ | REMARQUES.
L DES ASTRES. £ lnstru- la = Iute- | Exte- = S =
FIL MERID. menl. peadule. VERNIERS. = rieur | rieur 2 = £ |
h‘hom: 6 LA s. 0 "1 min o mor TA ÎTE
11 LOT NP 4l10. " 24,33] 0,07|+21,511279. 6, 22,714 5,5/:36,0!+15, 3 14,25 36,5/10,5| B.
Cilon:c een 11.41.26,40!— 0,05|+21,50l281. .49.20,0|+ 5,6 — 32,8|10,2| » |Ondul.
y Grande Ourse...|11. 45 5.54,90!+ 0,54/4+21,157/320.55 45,5|+ 4,5 735,9] 16,0! 15,744 8,1|16,8| »
4|Soleil, 12° bord... 7 Le ue - 0,26 263.27.33,7|+ 5,41735,3) 16,3| 17,31. 5,5 » |Bord sup. à 39m16s.
a Petite Ourse F..4|13. 4.46,37 357.52.38,0|+ 5,61735,3] 16,3] 17,314 55,3,18,6| » Moyenne de 3 obs.
# Grande Ouise... E jé 2,141+ 0,43/+20,931316.27.56,0|+ 437 + 711930! »
Mereure, 1° bord. .|13.49. Ad - 0,40 251.21.12,2|+ 5,2|734,0) 16,4]. 17,9]-1.30,3 » |Centre au méridien.
x Couronne....... An: + 0,09/120,97/293.37.13,7|+ 5,2/734,51 16,6! 18,5) 18,7 13,60! » |Très-ondul.
a Serpent........ 15.36.55,64/-— 0,14|+20,89 273.18.14,0|+ 4,71734,5 15,6! 10,3 44.4l13,1| » Id.
æ Scorpion. ...... 16.20.12,o1]-— 0,54|+20,88|2/0.20. 3,ol+ 4,6 734,41 16,7 10,5|-2.48,1| 9,0! »
a Ophiuchus...... 17-28. 2,40]— 0,08|+20,94]279. 3.35,5|4+ 4,8/734,3] 16,4| 18,3/- 35,3/12,0| »
y Dragon ........ 17. -53.18,79{+ 0,47l420,571317.53. 1,5|+ 4,0|734,3] 16,3) 17,71+ 5,1|18,8| »
à Petite OurseS. .4/18.22.47,37 »
11 TOME “8 31. Art + 0,24|4+20,60/305. 1. 7,5[+ 5,9 16,7|- 7,3118,6| »
Mars, 1 bord... .|18.49.25,68]- 0,54 240.45.51,5|+ 5,2 -2.45,1 » |Centre au méridien.
Anonyine........ 18. É 35,244 o 7 299.16.59,5|+ 5,2|734,3] 16,0| 16,41 13,0 »
Saturne, centre. ..|19.23.58,681- 0,49 24/,,13.20,7|+ 4,41734,5 19,8] 15,3/-2.17,6 » [Au méridien.
Anonyme ....... 19.34.36,04, — 0,39 251.48. 6,5|+ 3,8 : _1.38,1| »
Anonyme........ 19- où 38,58|- 0,39 252.18.52,0|+ 3,6 —1.36,1 »
Anonyme. ...... 4119-43.1x 8714 0,43 316.22.16,0[+ 4,5 + 3,7 »
Giiieles ant. 19-48. 0,241 0,15|4+20,45l272.24.20,0|+ 3,7 7346] 15,7 15,31 46,5l11,1| »
1 Et: Capricorne. ..|20. 3.40,461- 0,38 253.32.42,0|+ 3,8 —1:91,7 »
3 Capricorne. .... 20. 8. 6,061- 0,38 »
œ' Capricorne . ...[20. g.21,bo]- 0,38 +20,59/253.24.37,7|+ 3,5 —1,32,3/14,8| »
82 Capricorne... ..|20.12. 36,2, 24]- 0,40 251. 7.42,0|[+ 3,5 —1.41,2 »
10 + Capricorne..3 20.18.44,89]— 0,44 2hy hr. 1,24 3,5 157,4 »
u FRS .[20.24.13,02|- 0,33 256. 0.46,5|+ 2,8 —1.23,6 »
13 +’ Crieorne :3 20:28.57,68 = 041 250.42.57,b|+ 4,1 —1.43,1 »
y Capricorne. ...4|20.3r. 31,59|- 0,44 247.43. 9:2|+ 4,0 —1.57,4 »
x Cygne.........|20.36.28,r9{+ 0,34|+20,70811. 6. 5,o|+ 3,5/734,7] 15,3] 13,8 1,4118,3| »
3 & Petit Cheval.f. . |20. 57. 10,10)— 0,16 271.16:21,2/+ 3,21734,01 15,4 13,5] 48,7 »
Anonyme... ....[20. 20.59. 39; 66!- 0,16 271.12.21,5|+ 3,0 = 9 »
5 Petit Cheval. ..|21. 3. b,86|- 0,12 »
6 Petit Cheval ....|21. 3.17,92]- 0,12 275.48. o,0!\+ 3,3 - 41,5 »
æ Céphée......... 21.15.12,)D]+ 0,75|+20,48 »
AiVierseatt- sc. 03 21.58. 8,00f- 0,22|+20,45/265.18 up ol+ 3,5/734,8] 15,2] 11,3). o,5/16,1| »
Lune, 1% bord..../22. 5.28,08|- 0,30 258.33.44,5/+ 2,5 —1.16,8 » [Bord inf. à 6m45s.
GiPon er nees $ 17.41.23,90)— 0,05|+18,981281.49.23,7|+ 4,7 — 32,8/|13,2| »
y Grande Ourse. ..|11.45.52,68[+ 0,54 418,94/320.55.44,71+ 5,31734,5 16,0| 15,54 8,r/17,r1| »
5|Soleil, 1 bord....|12.41. 56, & — 0,25 262. 4.28,o|+ 5,81733,9l 16,3] 16,41-1. 6,4 » |Bord sup. à 42m5os,
a Petite Ourse I... 3 13. 4.445 357.52.38,0|+ 5,5 733,9 16,3| 16,54 55,4 192 » [Moyenne de 4 obs.
n Grande Ourse...|13 41.39, + 0,431+18,70/316.27.53,5|+ 4,6[733,0] 16,3! 16,74 3,7117.6| »
Mercure, 1°r bo: d.3 13.8 47,04 201.27. 1,7[+ 5,0|733,5] 16,3 16,51-1.39,0 » [Centre au méridien.
Nadine nca seu 192.34. 7,5|+ 5,3 » [Moyenne de 6 obs.
æ Scorpion. ..... 3/16.20. 9,81}- 0,54/418,69l240.20. 2,5|+ 5,0 732,8] 16,3] 17,41-2.48,4| 8,5) »
y Dragon........ 17-53.16,83/+- 0,47/+18,441317.52.50,7|+ 4,1|732,51 16,0! 15,54 5,1l17,1| à
à Petite OurseS...|18.22.44,c0 352.57.25,0|+ 3,7 732,5 15,8| 15,514 46,7|19,0| » |Moyenne de 5 obs.
Avec. MAUR 18.31.57,52]+ 0,24/+18,34/305. 1 6.,2|+ 3,5 15,5 7,3|149| »
Mars, 1% bord... .|18.52.13,88l- 0,54 240-50.34,0|+ 4,71732,6| 15,8] 15,41-2.44,7 » |Centre au méridien.
Saturne, centre... .|19.24. 1,11}— 0,49 244.13.25,0|+ 4,41732,8] 15,7 ra —2.17)9 » [Au méridien,
Anonyme. ....,.., 19.34.33,86[- 0,39 251.48. 7,ol+ 4,2 1.38,2 ln
a
J
. Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
E PASSAGE à ges DE" MOYENNE 2 THERMOMÈTRE. = 5 È
NOM CoNcLUu DE é NS) 22e 2 = CINE REMARQUES
ues = e] A F
DES ASTRES. “e l'instru le 3 lue! l'Extés 3 AIRE L
FIL MÉRID, | ment. | peniule} VERNIERS. A rieur | rieur £ 5 | 5
h. m.s 5 CP 1
Anonyme 19.39-36,28 fi 0,39 2. + 41 —1.36,2
Anonyme 49. ] 0,43 6. + 437 14897
j 5 0,15 2. + 337 +14,5 — 146,5/r3,1
Anonyme. 192 O ps DA + + 14,9]- 59:7
: & Capricorne. ..|20. 3.30,20 ee 9.9 + 4,0 -31,7
apricorne + Ô. >
æ' Capricorne.....|20. 9. Fe 4 + 3,6 .32,2|11,0
B: Capricorne... ./20. 2.3 0,40 x; + 3,7 4x2
10 + Capricorne . .|20.18.42,041- 0,44 7-41. + 3.3 57,4
u Capricorne 0,33 5. Oo: + 3,5 23,6
13 +! Capricorne. .[20.28.55,42]- 0,41 0.42 + 3,3 43,2
0,44 7-43. + 3,5 57,5
0,34 1. 6. H0:2 14
Anonyme 43 0,32 6.46. + 2,5 .21,3
pue. 0,32 6.55. + 3,1/732,9 21,1
y Petit Cheval... 0,12
6 Petit Cheval.....|21. 3. 0,12 275. + 41,5
eee CE Ge 15. ne Due + 15,7
DONYME.. ee 0, 255. +
Anonyme 0,34 DEP “
9 Capricorne .38.45 0,42 24 +
(XXL, 276) Piazzi. 0,42 +
Anonyme. ....... 22.47. 5, 0,33 +
Lune, 1e bord... Pub 0,24 + Bord inf. à 52m3bs |}
+27: 0,06|+ +
Anonyme BD 0,33 5 +
Anonyme 9-10°32 6! 0,33
y Poissons + 9.’ 0,19 268.49. b,o[+ 2,3 53,5
Anonyme. ...... 3123.15. 0,33 255. g-20,0|+ 3,3 24,1
x" Poissons -19- o,21 206.47.24,5|+ 3,417 57,4
Fr .45. 255.58. 1,0/+ 2 .24,6
Anonyme + 3,5 .24,2
Anonyme + 3,5 2437
Uranus, 1% bord... + 3;7 59.8 Centre au méridien.
” Pégase 9 , 6|+17:91 + 3,7 34.8
æ Céphée I Ë £ +17,10 Nuages.
#17,01 + 5,1 15,5
Soleil, 1er bord... + 6,4 6 Bord sup. à 46m30s.
« Petite Ourse [... + 40 54 Moyenne de 5 obs.
Grande Ourse... + 3,6 5 Très-ondul.
æ Scorpion
3 Petite OurseS.. + ü;2 Moyenne de 2 obs.
18.31.55,14]+ + d,7 7
Mars, 1° bord...3/15.55. 2,78]- 0,54 240.55.24,o|+ 1,8 18,4|-2.41,9 » [Centre au méridien.
Anonyme........ 19- GHÈSe — 0,11 276.46: 1,0|+ 2,0/731,21 16,8 2029 = 39,4 » ee,
Saturne, centre . ..|19.24. 3,86)— 0,49 2/,4.13.28,0 19,21—2.16,7 » |Au méridien.
Anonyme. ....... 19-34 31,30/— 0,39 251.48. 8,5|+ 2,0 -1.37,5 »
Anonyme.....!., MARNE _ 0,39 252.18.52,5|+ 1,9 —1.35,4 »
- Anonyme. ....... 19-43. 71814 0,43 316.22.17,5|+ 1,5 + 3,6 »
De [GAigle.......... 19-47-55,64 - 0,15/+15,87 272.24.21,7|+ 0,9/731,3| 16,5) 15,21 46,3/10,2| »
Anonyme........ 19.24.59,94f- 0,22 265.21.10,0|+ 1,3 15,5 59,4 »
a* Capricorne .. .4]20. 9.16,781- 0,38l+15,901253.24.36,5|+ 1,2 —1.31,6|12,1| »
64
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
CORRECTION “ a “4 : = = 2
PASSAGE d MOYENNE | => D JruenionÈree. Es = a
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CUNCLU mm ——— =. # = —_——— | —— > = Z
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DES ASTRES. ; l'instru-| la RS E Inté- | Exté- = S | =
FIL MÉRID. | meut. | pendule} VERNIERS. | ° © & rieur. | rieur 2 0]
L. m. s.
B> Capricorne... ..|20.12.31,48/— 0,40 251. 7-39,2|+ 1,5
(2414) Capricorne. |20.25.47,621- 0,39 252. 8.40,5|+ 1,3
70 H Aïgle.... .2 20.28.53,01/- 0,24 263.18.10,7[+ 1,5
a Cygne......... 20.36.23,59{+ 0,54416,15|311. 6. 6,71+ 1,5
Anonyme........ 20.43.48,82}- 0,32| 256.46.10,5|+ 0,8
Anonyme....... 20.46.39,06!- 0,32 256.55.24,5|+ 0,8
(2483)Petit Cheval .|20.50.16,66[— 0,16 269.59. 1,0[+ 1,2
1 € Petit Cheval ..4/20.51.33,64i- 0,16
œ Céphée ........ 21.15. 7,724 0,75+15,71
Anonymes, ...... 21.23.30,54|- 0,33]
Anonyme. ....... 21.31.22,02/— 0,34
& Capricorne..... 21.38.42,821- 0,42|
(XXL. 276) Piazzi.4|21.42. 7,74[- 0,42
Anonyme. ....... 22.47. 2,84] 0,33
a Pégase......... 122.57.16,641— 0,06/+15,61
Anonyme........ 23. 5. 7,881 0,33
Anonyme 3—-10°32/|23. 6.51,041- 0,33)
y Poissons........ 23. 9.22,02]— 0,19
Anonyme. ....... 23.15.28,98/- 0,33
x" Poissons. ...... 23.19.13,b2]— 0,21
Anonyme ,...... 4/23.22.13,89l— 0,21
Anonyme........ 23.27.47,30|— 0,21
Lune, 1er bord... .|23.36.50,40|-
19 m Poissons. ...123.38.42.60|-
w Poissons ....... 23.51.35,54-
s s ©
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1
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280./,4.55,0|+ 1,0
255.58.40,0[+ 0,9
» [Bord sup. à 38mos,
» |Centre au méridien.
y Pégase......... o. 5.29,b6|-
a Petite Ourse S..4| 1. 4. 1,02
18,6| » | Moy. de 3 obs. Ond!|
a Petite Ourse I...2|13. 4.41,30 16,3| P. Moy. de 4 obs. Ond.
» |Moy. de 4 obs. Id.
I13lx Hercule........ 17 732,78] 0,06|+ 12,6| B.|Ondulante.
| |x Ophiuchus...... 17-27.42,56|- 0,08|+
3 Petite OurseS. .3|18.22.22,96
DUYTE= ee ee .[18.31.39,92/+ 0,24|+
» Id.
BbcAtwle....-... 19-21. 9,12] 0,19 :
Saturne, centre... .|19.24.36,68}— 0,9 »- [Au méridien. Id.
Anônyme. .,..... 19.34:16,30f- 0,39
Anonyme, ....... 19-39.18,58/- 0,39
B'Aple 2e... 19-47.40,60]- 0,15|+ 0,96
Anonyme........ 19.54.44,58)- 0,22
2 2 Capricorne. ..|20. 3.45,961- 0,38
a* Capricorne... ..|20. g. 1.52] 0,38|+ 0,76
G? Capricorne ....|20.12 16,34] 0,40
w Poissons... .... 23.51.20,62|-
Anonyme 9-10°28/|23.57.33,54
Uranus, 1% bord.2|23.59.26,69/- 0,22 .28.45,0|+ 1,4 » [Centre au mér.Id.
y Pégase... .. 2. o. 5.14,88]- 0,06|[+ 0,75/280.41.51,2|+ 1,7 7273 8 10,0| » Id.
a Petite Qurse S. .3| 1. 3.56,92 354.49-48,7|+ 6,0/727,0) 12,1 P.|Moy. de 3 obs. Id.
PIde Réflex... 90:18. 7,0/+ 6,0
» Moy. de 3 obs. Id.
1 1
65
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
CORRECTION
PASSAGE à MOYENNE
CONCLU mm
au des
DES ASTRES. B l'instru- la
FIL MÉRUD. | went. | pendule] VERNIERS.
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Cr 1] mm.
726,0!+14,6412,1Ù4 55,
« Petite Ourse I..1|15. 357.52.20,0
4,0
Id. Réflex... 87.15.34,4|4 5,2
293.37. 8,7|+ 3,4
0,93 273.18.10,0 3.) 16,8
1,10/240.20. 5,5|4 3,5 16,0
gt 14,7
18.31.37,70|+ 3,0 14;
Mars, 1° bord... .|19.18.49,44 2,1 14,0
Saturne, centre. ..|19.24.42,90|- 2,4
19.34. + 3,3
19-39.16,4! 10
) + 2,8
+ 3,0
2 Ë2 Capricorne... + 2,6
æ' Capricorne # 3,2
G? Capricorne .... + 2,5
20.19. 1 + 2,5
(2414) Capricorne. |20.:5.29,88|- + 2,6
70 H Aigle... ../20.28.35,56|- + 2,8
x" Poissons + 1,9
Anonyme 23.21.56,70|- + 2,5
Anonyme. ....... 23.27.30,08|- +
+
+
......4[23.47. 2,37k +
23.51.18,12|—
Uranus, 1% bord. .|23.59.15,86|- + 2,5
y Pégase......... o. b.12,58]- + 2,3
« Petite OurseS..4| 1. 3.54,08 49. + 55
Id. Réflex... + 6,4
17|Soleil, 1er bord...|13.25.33,63|- 0,31 257. 0.26,51+ 6,9|723,1] 15,5
æ« Hercule........ 17. 7.238,80] 0,06|- 7,86/280.57. 8,714 5,//722,5| 13,8
œ Ophiuchns..... 3117.27.33,50f- 0,08|- 7:75|279- 3.27,5|+ 5,6 722,b] 13,3
y Dragon........ 17.52.50,17[+ 0,47|- 7,83/317.52.5r,0|+ 4,9l7223| 12,7
à Petite OurseS..1|18.22.17,31 352.57.13,4|+ 41917222 12,4
Saturne, centre... .|19.25. 3,86|- 0,49 24415.31,54 4,0/722,4| 11,7
(XIX. 261) Piazzi..|19.37.31,90|+ 0,43 316.32.16,0[+ 5,3
FINIRA 19.43. 2,06] 0,13|- 8,06[274-50.34,0|+ 5,0
Apres... 19.47.3116! 0,15|- 8,411272.24-16.2|+ 5,0|722,4] 11,2
2 Ë: Capricorne. ..|20. 3.36,70l- 0,38 293.19.29,7|+ 3,4
æ* Capricorne... ..|20. 8.52,58|- 0,38|— 8,12/253.24.32,5|4 3,6/722,5| 10,8
a? Capricorne ....|20. 9-16,36|- 0,38|- 8,16
Anonyme....... 4|20.18.54,19|- o,ot 285.44.17,0|+ 5,3
Anonyme........ 20.27.42,00|- 0,15 272.47.44,5|+ 5,6
œ Cygne......... 20.35.59,45{+ 0,34 7,72l311. 5.54,0|4 5,3
6 y Verseau...... 20.44. 6,g921- 0,32
Anonyme ...... 4\20.46.14,87|- 0,32 256.55.17,54 2,9/722,5] 10,5
18, Petite OurseL...2|13. 4. 1,60 357.52.17,7|+ 5,21735,2| 13,0
19! Couronne... .3/15.27.51,47 + 0,09!-12,45{293.37. 5,2|+ 6,4
THERMOMÈTRE.
———
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7)9|-2.19,2
+ 3,4
— 43,1
73 471
—1.33,7
72|-1.33,4
— 28,2
- 46,5
70] 1%
7:0|-1.21,5
T0 57,4
— 19,
‘3104 na nait
"UNILVAUISIO
771 »
REMARQUES.
.[M. de 2 obs. Nuages.
Niv.+oP,11.
Moyenne de 4 obs.
Centre au méridien.
Au méridien.
Très-ondul.
Centre au mér. Id.
Id
.|Moy. de 5 obs. Id,
Moy. de 4 obs. Id.
.|Bord inf. au mérid.
Nuages.
Au méridien.
Nuages.
Le ciel se couvre.
.|Moyenne de 3 obs.
. [Tres faible.
17
"sunor
20
66
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
CORRECTION el = a =
PASSAGE A MOYENNE | = 2 > JruenuouÈree. F 5
NOM pi : © © 3 ©
coxcLu ee, des Z3 E —]— = E
DES ASTRES. Le ner | Eole race Veste = 3
FIL MERID, went. | pendule} VERNIERS. 3 Z El rieur. | rieur. = 8
Hume 3. s. 0€ « 7r 1 nim. o o mi trs
a Serpent........ 15.36.22,12]- 0,14/-12,50 273.18. 4,7[+ 6,1 735,3 +15,5|+ 9,71- 46,3
Mars, 1° bord....|19.32.13,46]- 0,51 242.17.42,7 + 6,0/734,9 10,8] 0,4 —2.37,4
(XIX, 261) Piazzi. .|19-37-27,32]+ 0,43 316.32.17,2|+ 5,2 + 3,9
Aile... ne 19.42.57,82)— 0,13|—12,87|274.50.37,0|+ 4,9 — 44,1
INT ERA 19-47.26,621- 0,15|-12,92/272.24.20,7|+ 5,31735,0) 10,7| B,8l- 48,r
2 £2 Capricorne. . .|20. 3.31,88]- 0,38 253.19.29,7|+ 4,61735,0] 10,7] 5,8]-1.35,6
æ' Capricorne …... 20 8.47:64 FFE 0,38 TI 3,03 253.24.3/,7 + 47 —1.35,3
œ? Capricorne... .. 20. g.I 1,48]- 0,38|-13,11
B> Capricorne... .3[20.12. 2,26|- 0,40 251. 7.40,5|+ 4,4 —1.44,5
Anonyme. .;:..... 20 18.49,40 — 0,01 285.44.18,5|+ 4,4 5,7 — 28,9
Anonyme........ 20.27.37,14]- 0,15 272.47.47,2|4 4,6 = 47,9
a Cygne. ........ 20.35.54,551+ 0,34|-12,57|311. 5.58,2|+ 4,6 735,0 10,5) 5,4 1,5
6x Verseau...... 20.44. 2,04] 0,32 k
Anonyme. ....... 20.46. 9,88[- 0,32 256.55.18,7|+ 4,7 —1.23,4
(2483)PetitCheval .[20-49.47352)— 0,16 269.58,58,5|+ 4,7 — 52,5
L € Petit Cheval ...[20.5r. 4,62} 0,16
3 € Petit Cheval. . .|20.56.36,36]- 0,16 271.16.15,7|+ 4,7 - bo,2
Anonyme... .... 20.59. 6,06[- 0,16 271.12.15,5|+ 4,7 - 50,3
5 y Petit Cheval. ..|21- 2.33,37 F 0,12
6 Petit Cheval ....[21. 2.44,26]- 0,12 279.47.54,7|+ 4,1]734,7) 10,2| 5,4! 42,7
a Céphée......... 21.14.39,03[+ 0,75|-12,70|328.17.41,0|+ 4,5 + 16,1
Anonyme........ 21.23 1,32} 0,33 255.58.12,7|+ 4,6 —1.26,5
Anonyme........ 21.30.52,86]- 0,34 255. 7. B,ol+ 4,7/734,7] 9,5 5,0)-1.29,4
3 Capricorne. ....[21.38.13,64]- 0,42 249.34. 4,o|+ 4,b —1.51,9
(XXL}276) Piazzi.4|21.41.38,78]- 0,42 249.29. 3,2l+ 4,9|734,7] 9,5! 4,9/-1.52,3
Anonyme. ....... 22.46.33,60l- 0,33 256.11.20,0|+ 4,0|735,0) 9,3] 4,3]-1.26,1
a Pégase......... 22.56.47,96|- 0,06|-13,00|280.44.50,7|+ 4,9 4,3]- 35,6! 6,0
a Petite Qurse S...| 1. 3.49,60 354-49.54,21+ 6,31735,3] 8,7| 2,9]+ 52,4
Id. Réflex... go.18. 5,7|+ 6,2
æ Petite Ourse L...[13. 3.59,00 357.52.15,5|+ 6,9|737,3] 11,1] 5,714 57,81 5
Id. Réflex... 87:15.44,7|+ 7,b
Soleil, 1e° bord... .|13.36.41,60]- 0,32 256.27. 8,2|+ 8,31737,4] 12,5] 6,1]-1.24,9
x Serpent........ 15.36.19,62|- 0,14/-15,00/273.18. 6,0[+ 6,,1736,8| 14,3] . 7,2]- 46,5] 6,1
Saturne, centre... .|19.25.2B,14]- 0,49 244.16.24,0|+ 5,8/736,0] 11,3] 6,2]-2.22,4
(XIX. 261) Piazzi..|19.37.24,66|+ 0,43 316.32.16,5|+ 5,3 + 4,0
MAISIE. : chbres 19.42.55,24]— 0,13|—15,431274.50.39,7|+ 4.9 — 44,3|13,5
G'Aisles:..!.:4:. 19.47-24,04)- 0,15|—-15,48 272.24.24,5|+ 4,8 736,1] 10,9 471 4841140
2 Ë3 Capricorne. . .|20. 3.29,38|- 0,38 253.19.33,7|+ 5,2/736,1] 10,9] 4,7/-1.36,1
«2 Capricorne... .2|20. 9. 9,02}— 0,38/-15,55
G2 Capricorne... . .[20.11.59,84/- 0,40 231. 7.45,ol+ 5,7 —1.45,1
Anonyme........ 20.18.4b,96[- 0,01 285.44.19,7[+ 5,0 4,6]- 29,0
Anonyme. ....... 20.27.3/,50Ï-— 0,15 272.47.50,0|+ 4,1/736,1] 10,2| 3,9|- 47.9
CYEnE. .-.... 4/20.35.51,93{+ 0,34/-15,16/311. 6. 1,0|+ 4,8 4,0] 1,5|13,9
6 p Verseau. ..... 20.43.59,52|- 0,32
Anonyme........ 20.46. 7,46[- 0,32 256.55.23,0|+ 4,1 735,9) 9,6 5,2|-1.23,6
œ Pégase........ 4/22.56.45,32)— 0,06|-15,63/280.44.50,0|+ 6,0/736,0] 8,5] 1,5l- 36,0! 5,9
Anonyme. ....... 23. 4.36,40[- 0,33 255.58.40,5|4 4,1 1.278
Anonyme 9-10°32/|23. 6.19,36|- 0,33
y Poissons ...... 4]23. 8.50,54|- 0,17 268.49. 1,o[+ 5,3 — 55,5
Anonyme...,.,... 23.14.57,08 — 0,33 256. 9:19,7|+ 4,2 1.272
x* Poissons. ...,,. 23.18.41,80f- 0,21 256.47.19,5|+ 5,0 — 59,6
Anonyme. ......./23.21.42,50f- o,21 26b.41.32,0l+ 4,4 — 59.8
"UAALVAUISAO
REMARQUES.
|
|
Id.
Centre au méridien.
Trés-faible.
.| Moyenne de 5 obs.
Moyenne de 4 obs.
.| Moyenne de 5 obs.
Moyenne de 3 obs.
Bord sup. à 37m445.
Très-ondulante.
Au méridien,
Très-ondul.
Id.
Très-ondal. |
14. |
Id. |
Id. |
67
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843.
1
CORRECTION
PASSAGE ét MOYENNE _ El F THERMOMÈTRE. LA 5 2
NOM CONCLU a — DE 2 ë 2 =
Æ des leu À 5 | 21231 REMARQUES.
DES ASTRES. > L'instrn-| la ee MIRE Exté- £ E |"
FIL MÉRID. ment. | pendule} VERNIERS. € nm rieur. 2 = 3
hÿ .m.is s. 8. COMENT 11 o "'
Anonyme........ 23.27.15,72|- 0,21 266.50.24,0|+ 2,8 +3,5 59,5 B. |Très-ondulante.
19m Poissons. .,4|23.38.11,15]- 0,17 269. 0.31,7|[+ 4,0 » Id.
Anonyme........ 23.44 30o10|- 0,33 255.58. : + 3,8 » Id.
Anonyme, ...... 4123.46.48,00!- 0,33 256. 3.55,0/+ 3,7 —1.27,9 » Id.
w Poissons ....... 23.51. 4,00- 0,15 272.23. 0,7 + 4:90 1,2 4 » Id.
Uranus, centre... .|23.58.15,02]- 0,22 265.23. o,5|+ 3,7 : » [Au méridien. Id.
7 Pégase... ... : o. 4.58,53/- 0,06|-15,61/280.41.50,5|+ 4,6 0,09! 36,2110,6| , Id.
a Petite Ourse S..3| 1. 3.40,76 354.50. o,5|+ 6,3 0,2|+ 52,9/13,8| p.|Moy. de 5 obs. Id.
Id. Réflex... 90.18.14,o|+ 6,0 » |[Moy. de 4 obs. Id.
a Petite OurseI....|13. 4. 1,30 357.52.25,7 + 6,8 8,ol+ 57,1 15,6| » |Moy.de 5 obs. Id.
Id. Réflex... 87:15.50,0[+ 8,2 » |[Moy. de % obs. Id.
Soleil, 17 bord... .|13.40.25,72]- 0,34 255.33.20,o[+ 8,0 8,3)-r:26,7 B.|Bord inf. à 41m27°.
æ Scorpion......, 16.19.33,23]- 0,54|-17,711240.20. 5,5|+ 7,9 13,1)-2.52,3| 9,5] » [Niv.-1P,79.
œ Ophiuchus...... 17.27.23,74|- 0,08/-17,46 279. 3.29,5|+ 6,7 13,41- 36,6 76! »
y Dragon... ....3|17.52.40,37|+ 0,47|-17,51317.52.53,5|+ 5,5 13,44+- D,rlr41| »
d Petite OurseS..3/18.22. 4,30 352.57.20,0|+ 5,5|7 12,4 47,2 17,2| » Moyenne de 2 obs.
myres sell 18.31.21,08|+ 0,24|-17,72/305. 1. 6,o|+ 5,3 12,4] 741170 » e
Saturne, centre... .|19.25.36,64]- 0,49 244.16.43,7|+ 6,1 10,b]-2.19,4 » [Au méridien.
(XIX. 261) Piazzi..|19-37.21,961+ 0,43 316.32.19,5|+ 5,6 + 3,9 »
aigle sa rate 19-42.52,60]— 0,13|-18,05 274.50.36,7|+ 5,8 - 43,4/10,3| »
BAiBle Le. 04 19-47-21,441- 0,15|-18,09/272.24.19,2|+ 5,6 95! 47:4l12,4| »
2 Ë2 Capricorne..3|20. 3.26,83]- 0,38 253.19.28,7|+ 5.6/7: 91]-1.34,2 »
a" Capricorne.....[20. 8.42,60l- 0,38|-18,03 A EL
«* Capricorne... .|20. g. 6,60] 0,38|-17,95]253.22.19,0|+ 5,3 9:0)-1.34,0|13,9| »
Anonyme, ....... 20.18.44,24]— 0,05 285.44.21,0|+ 5,9 — 28,5 »
Anonyme. ....... 20.27.32,06|— 0,15 272.47.40,5|+ 5,5 8,5] 46,9 »
æ Cygne........./20.35.49,15|+ 0,34|-17,92 »
6 p Verseau. ..... 20.43.56,90|- 0,32 »
Anonyme........ 20.46. 4,661- 0,32 256.55.20,o|+ 5,5 8,5]-1.22,2 »
(XX. 423) Piazzi. .|20.53.11,74]- 0,35 254. 5.30,5|+ 5,6 —1.31,6 »
ÿ Verseau... ...., 21. 0.48,441— 0,35 254.23.40,2|+ 5,6 —-1.30,6 »
6 Petit Cheval... .1|21. 2.39,20]- 0,12 275.47.53,7|+ 5,5 mn »
a Céphée. .......[21.14.33,45[+ 0,75|-17,99 “ »
æ Pégase......... 22.56.42,74]- 0,06|-18,20/280.44.54,5|+ 5,5/733,1] 9,1! 8,7 35,ol11,1| »
Anonyme........|23. 4.33,86|- 0,33 255.58.36,5[+ 4,7 125,4 »
Anonyme 9—-10°32/|23. 6.16,86]- 0,33 »
y Poissons... ....., 23. 8.47,90[- 0,17 268.49. 2,5|+ 4,8 — 54,0 »
Anonyme........ 23.14.54,66[- 0,33 256. 9.15,7[+ 5,2 —1:23,0 »
x" Poissons... ....|23.18,39,50!- 0,21 266.47.20,0[+ 5,5 — 58,0 »
Anonyme........ 23.21.39,90 — 0,21 266./41.30,2|+ 437 — 58,3 »
Anonyme. .......|23.27.13,24|— o,2r 266.50.20,7|+ 4,9/733,3| 9,5] 7.,6[- 58,0 »
19m Poissons... .. 23.38. 8,66/- 0,17 269. 0.26,o[+ 5,2 — 53,8 »
Anonyme. .......123.44.27,74] 0,33 255.57.56,2|+ 4,6 —1.25,7 »
Anonyme....... 4123.46.45,68[" 0,33 256. 3.50,2|+ 4,9 —1.25,4 »
w Poissons....... 23.51. 1,56[ 0,15 272.22.59,2|+ 5,5|733,3] 9,3] 8.0 47,7 » |Le ciel se couvre.
a Petite Ourse I...|13. 3.58,90 357.52.30,0|+ 5,8/735,6] 10,4] 10,8[+ 56,7|18,9| » | Moyenne de 5 obs.
Id. Réflex... 87.15.53,0|+ 5,8 » [Moyenne de 6 obs.
»
Soleil, 12° bord....|13.44.r0,42]- 0,34 255.44. 8,5|+ 6,31735,4| 10,4| 11,2]-1.25,5 » |Bord sup. à 45mx7s.
2 E? Capricorne. ..|20. 3.24,4of- 0,38 253.19.28,5|+ 5,7/735,0] 9,7| 8,o-1.34,9 »
a' Capricorne ....|20. 8.40,r0o[- 0,38|—20,52 »
a Capricorne... ,.[20. 9. 3,94f- 0,38/-20,59/253.22.15,5|+ 5,4 | -1.34,8| 9,8! »
68
Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 18#3.
|
CORR;
ECTION
. du PASSAGE dé MOYENNE
ë N GONCLU d 3
3 au es
8 DES ASTRES. ; l'instru- la
FIL MÉRID. pendule | VERNIERS.
El ra
*‘HUaAIU np
G2 Capricorne... .4|20.11.54,82|- 0,40 251. 7.42,7|+
Anonyme. ....... 20.18.41,80)— 0.01 285.44.21,0/+
Anonyme. ....... 20.27.29,58]- 0,15 272.47.45,2|+
aiCygne.Rs -...t, 20.35.46,81|+ 0,34|-20,23
Anonyme....... 3/20.41.45,82]- 0,39 253.16.37,7|+
Anonyme. ....... 20.46.44,88]- 0,39 252 56.12,0|+
(XX. 423) Piazzi…. 20.53. 9,30[- 0,33 254. 5.29,5|+
» Verseau........ 21. 0.45,94[- 0,35 254.23.41,0|+
x Céphée ....... .|21.14.31,43[+ 0,75|—19:98|328.17.43,0|+
Jupiter, centre. ...|21.21.56,21]- 0,41 249-50.29,b|+
G Céphée .... .. 42126:17,85{+ 1,14/-19,89/336.14.38,0|+
œ Pégase........ 3/22.56.40,23|- 0,06|-20,70/280.44.52,0|+
w Poissons....... 23.50.58,94[- 0,15 272.23. 4,0|+
Uranus, centre... .|23.57.55,04[- 0,22 265.21.29,b|+
y Pégase........ 3| o. 4.53,56|- 0,06|-20,57/280.41.49,2|+
x Petite Ourse S...| 1. 3.31,50 354.50. 6,2|+
Id. Réflex... 90:18.15,2|+
æ Petite Ourse [..3|13. 3.57,22 357.52.25,0|+
Id. Réflex... 87:15.53,7|+
23|Soleil, rer bord... .|13.47.55,8/4|- 0,37 254.50.49,0|+
x Hercule........ 17. 7. 9,00!- o,ob 22,64 280.57. 9,5|+
æ Ophiuchus...... 17.27.18,53]- 0,08 —22,641279. 3.31,7[+
3 Petite OurseS...|18.21.57,25
a Lyre........ .|18.31:15,75{+ 0,24/-23,01/305. ». 7,5|+
Saturne, centre .. .|19.25.55,36|- 0,49 24417.24,0[t
(XIX. 261) Piazzi. .|19-37:16,641+ 0,43 316.32.23,7|+
LAIGIES siceisee ele = 19.42.47,68]- 0,13|-22,941274.50.36,2|+
B'Aïgle. : le. 19.47-16,38]- 0,15 —23,09 272.24.21,0 5
2 Ë2 Capricorne. .4|20. 3.21,60]- 0,38 253.19.30,2|+
a" Capricorne... .|20. 8.37,52]- —23,08
æ2 Capricorne. ... 20. 9- 1,30] 253.22,18,b|+
G2 Capricorne... ,|20.11.52,12|- 251. 7.40,o|t
Anonyme....... 20.18.39,16|- 285.44.22,5|+
Anonyme. ....... 20.27.27,02|— 272.47.40,7|T
(8110000000 20.35.4/4,09|+ 311. 6. 3,7/+
Anonyme. ...,... 20.41.43,44 253.16.39,2|+
Anonyme........ 20.46.42, 252.56.13,7|+
(XX: 423) Piazzi. .|20.53. 6,74] 254. 5.34,5|+
y Verseau........ 21. 0.43,32)— 254.23.40,2|+
œ Céphée ......../21.14.28,41f+ 328.17.49,2|+
æ Pégase......... 22.56.37, 280./44.55,5|+
Anonyme. ....... 23.27. & 266.50.23,2|+
19 m Poissons. ...|23.33. 3,60] 269. 0.30,5|+
Anonyme........|23.44.22,9 255.58. 0,5|+
Anonyme. ...... 4123.46.40,541- 256. 3.58,o|+
w Poissons. ...... 23.50.56,48]- 272.23. 6,7|+
Uranus, centre... .|23.57.45,40]- 265.20.41,7|+
DIDÉRASE Eee RE o. 4.50,58|— 280.41.53,5:+
Auonyme......., o. 9.53,94]- 276.43.26,0|+
Anonyme. ....... 0.13.54,70|- 260.20. 8,;|t
Auonyme....... 4| 0.18.49,89|- 255.39.31,5|+
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43
4,6 735,» 15 92
41
3,5
3,4/735,51 9,0
5,3 732,6 8,9
1,5/735,5| 9,0
2,5
491735,5| 8,5
6,51735.6| 8,3
1/2
5,9/736,8] 10,3
6,9
6,0 736,7 12,2
5,2|736,2 15,1
44 736,1 14,5
5,0
5,4/736,0o] 13,0
5,4
5,2
5,21736,0| 12,5
5,3
45
5,5/736,0| 12,0
5,0
5,3
4:11736,0! 11,
#
38
4:41736,0! 11,3
3,8/736,o] 11,2
4,01736,3| 10,7
2,9/736,3] 10,5
234
2,3
2,6
2,41736,3] 10,3
2,8
2,3
2,8
2,9
3,5,736,3| 9.9
il pi
Exte- É z
rieur, Z 5
—1.43,9
— 28,7
+67 47,5
-1.35,7
—1,37,0
—1.32,7
6,2}-1.31,6
+ 16,1|10,0
—1.43,1
2 + 925,1|11,2
»91- 35,7 %
3,0|- 48,7 ;
1. 2,3
2,7|- 35,9| 9.8
2,914 52,5,18,6
10,8 + 56,8 14,4
14,8 127,5
16,9]- 33,8/10,2
16,2|- 36,4| 8,0
15,0]- 73 18,7
12,3|-2.19,2
+ 3,9
FF 3,3 9,4
108]- 47,4|12,
11,0]-1.34,0
—1.33,8|13,0
142,8
10,9/- 28,4
99 46,8
90- .1,5/15,8
—1.34,6
—1.36,0
1.318
8,81-1.30,8
8,7/+ 15,9,15,5
5,31 35,5! 0,8
5,8l- 58,6
- 54,3
—1.26,6
—1.26,3
5,4 48,3
-1. 1,8
— 35,6 11,8
Ga 41,4
—1.13,9
4,9|-1:27,8
UNAAILVAUASUO
e |:
REMARQUES.
An méridien.
Au méridien.
Moyenne de g obs.
Moyenne de 9 obs.
. [Moyenne de 4 obs.
Moyenne de 4 obs.
- [Bord inf. au mérid.
Au méridein.
Au méridien.
‘suavr
69
Observalions faites à la lunette méridienne en Octobre et Novembre 1843.
2
* [y Dragon..…......
NOM
DES ASTRES.
æ Petite Ourse S...
Id. Réflex...
æ Petite Ourse 1...
Id. Réflex...
=
x Ophiuchus......
3 Petite OurseS. .3
FAN CCOSSROPE
(XIX. 261) Piazzi..
2 Ë2 Capricorne. .3
Ͼ' Capricorne... .4
«2 Capricorne... .4
G2 Capricorne... .4
Anonyme........
Anonyme........
Anonyme. .......
DAVERSEAUEe -e- -.
ciGephée- er.
Jupiter, centre...
Soleil, 1° bord...
æ Scorpion.......
x Hercule...,...
æ Ophiuchus.....4
« Petite Ourse I....
Id. Réflex...
ESS
3/Soleil, 1° bord...
œ« Ophiuchus.…....
* [à Petite Ourse S. .3
x Lyre
Saturne, centre....
_[(&IX: 261) Piazzi..
ss...
æ' Capricorne... ..
a* Capricorne...
(2414) Capricorne.
[70 H Aigle... .
æ Cygne
Anonyme. .......
Anonyme..,,...,
120. 3.19,08
PASSAGE
COUNCLU
an
FIL MÉRID.
16.19.25,65}-
17. 7. 6,52
17.27.16,08]-
18.21.55,24
.[18.3r.13,361+
19-37-14,1414
19-42:45,10)-
19-47-13,96|-
20. 8.35,08[-
20. 8.58,98|-
20.11-49,70|-
20.18.3b,70|-
20.27.2462]
20.35.41,71|+
20.41.40,8B]-
16.19. 4,63}
17. 6.45,32]-
17.26.55,01
.|14.30. 3,82|-
19-42.21,68|-
19.46.50,60|-
20. 8.11,76|-
20. 8.35,56|-
20.24./42,36|-
20.27.47,90|-
20.35.18,11|+
20./1.17,b6|-
20.46.16,58]-
CORRECTION
[e]
MOYENNE | = ©
des 5 &
Le VERNIERS. | © 5
+ 5,2
+ 6,2
+.5,7
+ 6,1
+ 5,8
—25,27 + 6,3
—25,11 + 6,9
25,07 + 63
+ 5,2
—25,37 24 5,7
+ 5,3
25,44 + 5,3
25,50 + 5%
+ 5,3
—25,50
—25,52 + 5,4
. + 5,3
285.44.19,2|+ 5,2
272.47.47,7|+ 4,8
—25,28l311. 6. 2,2|+ 4,8
253.16.37,7|+ 4,9
252.56.12,5|+ 4,7
281.50.21,2|+ 4,5
254.23.39,7|+ 4,1
—25,36|328.17.47,5|+ 4,0
240.51.50,2|+ 4,2
251.29. 8,7|+ 0,2
—46,25/240.20. 5,7|+ 2,6
—46,22|280.57. 9,2|+ 1,7
—46,05|279. 3.33,7 + 1,8
357.52.25,0[+ 1,6
87.15.56,2|+ 1,8
132.34. 9,3|- 0,6
251.42.25,2|— 0,6
-48,33|279. 3.33,7|- 1,0
—48,70|317.53. 1,5|- 1,7
—48,841305. 1. 4,ol— 1,5
244.22.11,0|- 0,5
DP70 ve 41,o|- 0,7
—48,70|272.24:17,7|- 0,
Lise 7 77 7
—48,78[253.22.16,5|- 1,9
252. 8.38,5|— 2,8
263.18,11,2|— 2,3
-48,621511. 6. 6,o|- 3,0
253.16.39,5|- 2,3
252.56.16,5|- 2,5
*“ANLHROUYH
736,214 9,84 4,ol+
72919
3
el
©
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SI
12720
THERMOMETRE.
Inte-
rieur
o
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C] =
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52,3,18,6
12,94 56,2 12,7
13,5!_1.28,6
15,1 —2.49,6 9,3
13,8]- 34,ol11,4
13,5]- 36,6! 8,5
1114 47,3 18,9
IL ON 7,h|1731
11,01+ 3,9
43,1|1:,2
10,5 S 47,0 10,0
9:8l-1.33,6
—1.33,5|13,1
9:5l-1.42,1
- 28,3
9,2[- 46,5
— 1,4/15,0
—1.33,9
1.35,2
33,3
9:3]-1.30,7
+ 15,8/13,8
8,7|-1.48,2
15,4 —1.37,8
16,2 —-2.46,9 91
17,71 33,1] 5,3
178 35,6| 9,2
11,3]+ 54,7/12,1
12,4]-1.38,6
14,2] 36,3] 5,8
14,714 5,1|11,9
15,5] 7,2|10,1
13,7/-2.16,5
— 42,b| 9,5
13,0]- 46,4! 5,1
12,3]-1.32,2| 6,4
—1.36,8
12,3]-1. 4,0
( 1,4 10,9
—1:32,7
F1:34,0)
REMARQUES.
. [Moy. de 8 obs. Ond.
Moy. de 8 obs. Id.
. [Moyenne de 5 obs.
Moyenne de 4 obs.
.|Bord inf. à 52m/43s.
M. de 2 obs. Nuages
Nuages.
Nuages.
Au méridien.
Bord inf. au mérid.
Faible. Niv.-0P ,32.
Vapeurs.
Moyenne de 9 obs.
Moyenne de 9 obs.
Moyenne de 7 obs,
Bord sup. à 31105.
Nuages.
Id.
Au méridien.
13
70
Dons faites à la lunette méridienne en Novembre 1843.
CORRECTION o. La = Li Se
= PASSAGE 4 MOYENNE | =2 % Jracnuouèrre. Æ sul = |
© NOM FU ES © æ =
1 CONCLU |, d ES 2 5 ——— = = 2
E Fe es 5 A 2 Ale REMARQUES.
F DES ASTRES. ; l'insteu-| la 22| 3 int | Eué- = 3 | =
FIL MÉRID. | ment. | pendule. | VERNIERS. | © © El rieur, | rieur. 2 8 |
Anonyme,....... 0,05 281.50.24,7|— 2,5
Anonyme d+15°33/ 0,05
y Verseau..,..... 0,36 254.23.43,2|— 2,6/727,0l+12,5|+11,3-r.
a Céphée. ....... 0,75 |—48,731528.17.55,7|- 3,6
Jupiter, centre. ...|2 0,42 250. 2.30,5|— 2,8/727,0] 12,3| 10,8)-r. » [An méridien.
3 Capricorne... .4 0,42 249.34 8.0 2h24
(XXL. 276) Piazzi,4 0,42 249.29. 8,5|- 3,3
œ Verseau........ 0,22|-48,96/262.18.51,0|— 2,8 11,9
« Petite OurseS... 354.50.19,7|- 2,1/727,0) 11,7 » |Moy. de 9 obs. Ond.
Id. Réflex... 0.18.17,0|— 1,0 » |Moy. dedobs. Id.
a Petite Ourse 1..4|13. 3.34,10 357.52.33,2|— 1,0/727, 192,9 h » [Moyenne de 7 obs.
Id. Réflex... 87:16. 6,7|- 0,4 » [Moyenne de 7 obs.
4|Cercle Ouest, Niv.-or,30. Le fil méridien est de 43r,47 à l'Ouest de la nouvelle mire.
Ou retourne l'instrument.
Cercle Est, Niv.+2P,85. Le fil méridien est de 36,07 à l'Ouest de la nouvelle mire.
La lunette méridienne a été démontée pour être nettoyée ; la lunette a été avancée de près de 90° sur le cercle.
Le réticule a été enlevé pour remplacer les fils horizontaux, qui s'y trouvaient, par d’autres plus rapprochés.
10|Cercle Est, Niv.+19,30. Le fil méridien est de 44v,14 à l'Ouest de la nouvelle mire.
On retourne l'instrument.
Cercle Ouest, Niv.—1P.23. Le fil méridien est de 38r,32 à l'Ouest de la nouvelle mire.
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest.
20/4 Petite Ourse I..3|13. 2.48,07 Le Hp + 2,3[7321| 5,8 BA 577 53,2| » [Moyenne de 4 obs.
Id. Réflex... 173. 444,54 3,1 » [Moyenne de 3 obs.
# Grande Ourse. .4|13.39.52,43]+ 0,64[-88,97| 42.16.12,7|+ 1,7|732,1| 6,7| 6,9 3,9/49.9| »
NAT rer ee 218.22. Poe + 1,0 » [Moyenne de 18 obs.
a Bouvier........ 14. 7. 2,90[+ 0,31|-88,93] 12.11. 8,24 1,5/732,3| 8,9] 6,7! 27,9 53,8| »
& Petite Ourse S. .4/14.49.37,01{+ 1,79/-80,18| 66.57.51,0| o0,0/732,5) 10,4| 7,514 30,8/54,7| » Niv.—2P,65,
x Couronne...... 15.26.34,56!+ 0,35|-89,00! 19.25. kr — 0,3[732,4] 10,7| 6,7) 19,3/48,5| » |Faible; vapeurs.
21|Soleil, 12° bord... .|15.42.32,98|+ o,o1 332.37.59,7 — 0,3[732,5] 10,8 9,412: 4,1 » [Bord inf, à 43m40os.
« Petite Oursel....|13. 2.56,00 83.41.13,5| o,0[732,7| 6,5! 6,514 57,7] 8,0] » [Moyenne de 8 obs.
Id. Réflex... 173. 5. 0,3| 0,0 » [Moyenne de 6 obs.
1 Grande Onrse. ..|13.39./49,63|+ 0,961-91,47 Lir6 285 + 0,31732,7| 7:1| 7:34 3,9] 4,0) »
22|Soleil, 1er bord...|15.46.42,10 n 0,01 331.52.31,5/— 0,5|732,1| 8,2 13,7]-2. 6,2 » |Bord inf. à 47m44s.
a Ophiuchus...... CL .26. 8,76/+ 0,33l-91,79| 4.52. a = 0,5|731,4] 9,3| 14,7 36,4 3,o| »
y Dragon ........ 17-51.24,55{+ 1,01|-92,07| 43.41 — 17/7314] 9,5 14,814 5,1] 5,8) »
3 Petite Ourse S..3|18.20.30,85 78. 16. 7 — 16/7311] 9.5! 14,64 46,9! 7,7] » [Moyenne de 5 obs.
IR MAN C OR À 18.30. 5,53 à 0,70 ie - 30.49.58, «el 2,61731,2] 9,5! 14,71 7,3] 6,9 »
y Aigle... 19-37-17,64]+ 0,30|-92,45) ARR — 3,2 - 40,2| 7,4] »
a 'Aigle..s..... 19-41.37,50 ï 0,28/-92,30] o.39.39,2/- 4,4 — 42,8| 5,1] »
CINE TORER 19.46. 6,22|+ Pe —92,431358. 13. A — 4617312] 9,8! 12,9/- 46,7! 9,7) »
Anonyme........ 20./0.53,38[+ 0,07 339. 5.37,7/- 3,31730,9] 9,0! 1r,b-1.33,4 »
Anonyme........ RME + 0,36 7.3929,7/— 3,8/731,0] 9,0] 11,8l- 33,0 »
Anonyme 9+15°33/|/20.53.56,94[+ 0,36 »
» Verseau........ 20.59.33,48[+ 0,08 340.12.43,0 — 4,2 -1.20,3 » [Ondul.
Mars, 1 bord....|21.10.30,18/+ 0,03 334.23.30,0|- 4,6 12,0/-1.52,8 » |Centre au méridien,
7Î
Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 18#3.
RE — —] —Ï—"—"— ] ——— a ———]—pZ—a———_-—_—_—
CORRECTION a La 5 OS |
PASSAGE Fe MOYENNE | =2 = lHERMOMÈTRE. E & |z |
NO: COUNCLU ns, E E 2 | = = z
Fe des z' 5 E 8 Fe REMARQUES.
DES ASTRES. : l'iostru-| la NE! 3 Inté- | Exté- = 8 |=
FIL MÉRID. | sot. | pendule. | VERNIERS. © a rieur. | rieur, a ñ |
2 É 2
h'0m- 5. s. s ÉSMIT le La ft mn. o 0 1 ou"
æ Céphée ....... 3121.13 16,784 1,45|- 92,671 54. 6.50,2|- 4,4 731,0f+ 9,0 + 15,7| 6,8/B.|Ondul
(XXL. 173) Piazzi..|21.21.43,89l4 2,08 61.59.10,5|— 5,3 + 244 »| Id
G Céphée .... .../21.25. 2,744 2,08|— 92,28) 62. 3.47,0|- 5,3 + 24,4] 8,3| | Id
Jupiter, centre... .|21.30. 0,30l+ 0,05 336.27.29,5|— 4,8 410,3/-1.44,4 » [Au méridien. Id
3 Capricorne ..... 21.36.53,44|4 0,04 335.23. 6,0|- 4,9 —1.49,2 » Id
(XXL, 296) Piazzi. .|21.40.18,52|4 0,04 335.18. 0,0|- 4,2/731,0) 8,5] 10,5]-1 49,5 » Id
Anonyme ....... 21.48. 4,62/4 0,38 g. 8.28,5|- 4,1 - 31,3 » Id
œ Verseau........ 21.56.14,16!+ 0,20 92,37/351. 7.49,5|- 4,5 9,5]-1. 0,6| 8,8| » Id.
& Petite OurseI...4|13. 2.51,77 83.41.14 ,0|— 197 728 7] 6,31 57,1 6,7| » | Moy. de 4 obs. Id.
Id. Réflex... 173. 5. 1,2|— 1,7 » | Moy. de 4 obs. Id.
n Grande Ourse...|13.39.47,11|+ 0,95 94,01] 42.16.30,0|— 2,2/728 7:31 8,0l+ 3,8] 3,9) »|Niv-2r,23 Id.
« Bouvier........ 14. 6.57,6414 o,41/— 94,13] 12.11.20,7|— 2,4/528,3| 8,2] 9,7|- 27:4| 3,51» Id.
B Petite Ourse...4114.49.31,34|4 2,78/- 94,50! 66.58. 4,7|- 2,2/727 8,9| 12:9]+ 30,0! 6,4|» Id.
a Couronne ...... 15.20.29,24/+ 0,50! 94,31] 19.26. o,0|- 3,5/727,b| 9,4| 13,7]- 18,9! 1,61» Id.
x Serpent......., 15.34.59,92[+ 0,27|— 94,38|359. 7.12,7|- 4,5 13,71— 44,9] 8,3] » Id.
3|Soleil, 1% bord... .|15.50.52,62|4 0,0: 332.12. 7,0|- 2,4/727,4] 11,2] 14,2]—2. 3,5 » [Bord sup. à 52"os. |
& Petite OurseI...4|13. 2.51,33 83.41.10,2|- 1,61732,4| 6,9! 4,1l+ 58,0) 4,9] » Moy. de 4 obs. Ond.
Id. Réflex... 173. D. 1,7|- 0,3 » (Moy. de 5 obs. Id.
n Grande Ourse. . .|13.39.39,91|+ 0,96|-101,29) 42.16.25,7|- 1,21732 6,8| 6,3l+ 3,9! 1,71» Id. |
B Petite Ourse ... |14.49.24,08|+ 2,78|-101,20) 66.58. 4,7|- 1,81732 8,0] 6,7+ 30,9! 8,6|»
& Couronne....... 15.26.22,3214 0,50|-101,26! 19:26. 0,5|— 1,5|732 8,4| 7,2]- 19,4] 4,51»
x Serpent........ 15.34.52,96|+ 0,27|-101,38[359. 7. 9,2|-— 1,9 — 46,3| 6,6!»
Soleil, 1er bord... ,|16. 3.28,36} o,o0 331. 3.31,0/- 2,0/731,1] 8,2| 7,9 —2.14,0 » [Bord inf. à 4m36s, |
Anonyme. ....... 21.47.54,90]+ 0,58 9- 8.25,7|- 1,8/732,2] 7,5] 7,0f- 31,7 » |
x Verseau”. ...::. 21.56. 4,b2l4 0,20|-101,96 351. 7.43,2|- 9,5 732, 7»5| 6,8]-1. 1,3| 4,oln
ŒIPÉpASE. : due ses à 22.55.18,02]4+ 0,35|-102,12] 6.33.58,5|— 2,41732, 73| 5,5 35,3) 6,4|»
Anonyme........ 23. 3. g,12]+ 0,10 341.4735,5|- 2,4 126,2 »
Anonyme J-10932/|23. 4.52,19k+ 0,10 »
y Poissons... ..... 23. 7.23,22|+ 0,22 354.38. 4,5|- 2,5 —0.54,6 »
Anonyme........ 23.13.30.12/+ 0,10 341.58. 7,0|- 2,8 —1.25,8 » |
13 Andromède. . . .|23.17.55,41|4 0,78 34.14.44,0|- 3,3 EAST » [Ondal.
Anonyme. ....... 23.25.48,58[+ o,21 352.39.22,7|- 3,2|732,3| 7,3] 4,51 58,6 »| Id.
19 = Poissons. ...[22.36.43,88|+4 0,22 354.49.34,0[- 3,5 ma »| Id.
Anonyine........ 23.45.21,04[+ 0,10 341.3. 1,0/- 4,21732,3] 7,0] 4,ol-1.26,3 »| Id.
Uranus, centre... .123.53.38,60ol+ 0,20 350.52.44,5|- 3,7 1. 2,4 » [Au méridien. 14.
MRRÉPASE..- 0. 3.31,19]+ 0,35/-102,31| G.30.53,7|- 3,4 — 35,6! 5,7|» Jd.
Anonyme........ o. 8.34,38[+ 0,32 2:32.22,5|— 3,41732,2) 6,9| 4,ol- 39: » Id.
a Petite Ourse S..3| 1. 1.43,43 80.39-16,2/- 2,11732,3] 6,9) 3,71+ 52,1] 7,7] » | Moy. de 4obs.1d..
Id. Réflex... - 176. b.58,2|— 0,7 » | Moy. de 4 obs.Id.
by æ Céphée... 1... 21.13. 4,6ol+ 1,45/-10/,65] 54. 6.45,7|- 2,21732,7] g9,7| 7,2Ù+ 15,9| 4,9»
B Verseau........ 21.21.36,32]+ 0,14 345.57.12,7|— 2,3 -1.13,6 »
Lune, 1er bord... .|21.29.16,70]+ 0,09 341.18.19,2|— 2,9 —1.27,6 » [Bord inf. à 30m32s.
3 Capricorne ..... 21.36.41,224+ 0,04 335.23. 2,0|/- 2,9 5,5]-1.51,3 » |
Anonyme. ....... 21.47.52,44+ 0,38 g- 8.26,5/- 2,51732,8| 9,4 — 31,9 »
30 Verseau,...... 21.53.19,66[+ 0,13 344.56. 3,2|- 2,6 -1.16,7 »
0 Verseau....,...l22. 6.51,681+ 0,12 343.39. 6,2/— 3,01732,9| 9,3| 5,5[-1.20,4 »
a Pégase....,.... 22.55.15,40|+ 0,35|-104,73] 6.34. 0,0 - 2,8,733,2) 9,2| 4,0!- 35,6! 7,3)»
Anonyme...,....123. 3. 6,46[+ 0,10 341.47.37,0 — 3,4 —1:26,7 » [Ondul.
[Anonyme 3—-10°32/|23, 44965 0,10 »| Id.
2
Observations faites à la lunette méridienne en Novembre et Décembre 1843.
NOM
DES ASTRES.
y Poissons
Anonyme
Anonyme
Id. Réflex...
æ« Petite Ourse I ..
Id. Réflex...
9 Capricorne. ...
Lune, 1€ bord... ,
æ« Andromède
13 Androméde...4
æ Petite Ourse S...
CORRECTION
de
a mn
PASSAGE
CONCLU
au
FIL MÉRID,
MOYENNE
des
l'instru-
ent.
a
pendule. VERNIERS.
NUAIU hp
NOILOYYUOD
AULAINOUTFA
354.33. 5,0
341.58.10,0
4.14 44,0
352.39.24,
80.39.13,0
176. 6.58,7
CES GE Ur
733,5
OHL D ©
83.41. 7,5
173. 5. 0,2
en
©
738,0
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©
335.23. 1,0
356.11.24,0
20.25.26,2
732,9
736,4
23.49-10,38|4
23.58.28,42|4
© He ee HR ne
© = D D D D b
s
y Pégase 0,35|-112,38] 6.30.53,0
111736,1
« Petite OurseS.. »41736,0
Id. Réflex. .…. ;
2|x Pégase 0,35|-117,91 731,0
Anonyme. ....... 0,10
y Poissons 0,22
Anonyme 0,10
0,78
9l+ o,21
2]+ o,21
19 7 Poissons. ... 6l+ 0,22
Anonyme ol+ 0,10
Anonyme d-10°20/ 3 A+ o,10
w Poissons 41+ 0,26 .12.
Uranus, centre... . 6|+ 0,20 350.51.57,5
y Pégase o. 3.16,06!+ o,35|-117,38] 6.30.52,5
3ly Verseau. .,.... 4120.59. 5,89l+ 0,08 340.12.40,5|— 1,2 736,9
a Céphée .…....... 21.12.49,56|+ 1,45|-119,46| 54. 6.46,o|- 1,2
B Verseau. ...... 4|21.21.20,88l4 o,14 345.57.10,0|- 1,8
Jupiter, centre... .[21.35.20,82|+ 0,05 336.57. 4,o|- 2,0
Mars, 1% bord... .|21.41.32,38|4 0,05 337. 7.58,0|- 2,11737,2
Anonyme........ 21.47.37,12|+ 0,38 9- 8.27,5|— 2,2
30 Verseau.. .... 21.53. 4,4ol+ 0,13 344.56. 4,2|- 3,7
8 Verseau. ..,.... 22. 6.36,4ol+ o,r2 343.39. 5,5|— 2,11737,5
a Pégase......... 22,55. o,12)+ 0,35/-119,94] 6. 3.57,2|- 2,41737,6
Anonyme, ....... 23. 2.51,56!+ 0,10 341.47.32,7|— 2,2
y Poissons ....... 23. 7. 5,b2l4 0,22 354.38. 3,7|- 2,8
Anonyme........ 23.13.12,34|4 0,10 341.58.13,0|— 2,3
13 Andromède.. . .|23.17.37,55|+ 0,78 34.14.44,0|— 2,3|739,9
Anonyme. ..,..../23.25.30,78]+ o,21 352.39.27,5|- 3,5|737,9
19 72 Poissons... .. 23.36.26,12[+ 0,22 354.49-31,5|— 2,6 738,0
Anonyme. ...... 4123.42.45,18|4 0,10 341.40.57,5|- 2,4
Anonyme, ....... 23.45. 3,13]+ o,10 341.52.5/4,7|— 3,2
Uranus, centre....|23.53.10,02|+ 0,20 350.51.55,7|— 2,8
a Andromède.!....|23.58.21,02|+ 0,52|—119,73)] 20.25.28,0|— 2,5
y Pégase. ........ 0. 3.13,50f+ 0,35l-119,93l 6.30.5r,ol- 2,1
THERMOMETRE.
733,3|+ 8,8
8,9
"NOILOFUAAU
3104 na 1311
4,9 »
REMARQUES.
.|Ondul.
Id.
Id.
Id.
Moy. de 6 obs. Id.
Moy. de 6 obs. Id.
Moy. de5obs. Ond.
Moy. de 3 obs. Id.
Bord inf. à 5omrg$.
Moyenne de 8 obs.
Moyenne de 6 obs.
Au méridien.
Vent très-violent,
Au méridien.
Centre au méridien.
Au méridien. Id:
Ondul.
Id.
73
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843.
CORRECTION
a 3 ol c ©
= PASSAGE MOYENNE | =2 2 [ruenmouërne. cp 5 |&
5 NOM HEURE m0] SU
a CONCLU a —, - EAN 2 | < = <
au Le SOINS 2 = | £| REMARQUES.
eo DES ASTRES. ë l'instru- Ja a = Mnle- |ESre = 8 |=
FIL MERID. weut. | pendule. VERNIERS. e # rieur, | rieur. C4 a F
Him. s! 3. (2 D'Or 1! num. o o Ta ver 11
Anonyme. ....... o. 8.16,78]+ 0,31 2.32.24,7|— 2,6 — 41,9 B.|Ondul.
Anonyme. ....... 0.12.17,70]+ 0,15 346. 9. 2,5|- 3,2 —1.14,7 »| Id.
Anonyme. ....... 0.17.12,70]+ 0,09 341.28.26,2|— 2,8|738,2|4 5,34 3,ol-1.28,7 »| Id
5,3| 1,8]+ 52,9] 8,9/» Moy. de :obs. Id.
» | Moy. de 4 obs. Id.
« Petite Ourse S..3| 1. 1.26,00
Id. Réflex...
98 p Poissons..... 1.20. 2,28]+ 0,25 357.32.20,0|- 1,81738,3] 5,2| 1,4]- 50,5 »
104 Poissons. ....| 1.28.55,64[+ 0,34 5.41.21,5|— 1,81738,41 5,2| 1,41 37,44 »
110 » Poissons. ..| 1.35.11,12]+ 0,28 0.34.13,5|- 2,1/738,5] 5,1| 2,2) 45,1 »
82 à Baleine...... 2.29.30,74|+ 0,21 »
39 b Bélier... .... 2.36.39,70[+ 0,52 20.47.15,7|- 2,6 — 18,9 »
BlOrion- +... 4] 5. 5. 3,88/+ 0,12/-120,56/343.49.17,0|- 2,5/738,9] 5,0] 1,6]-1.21,7| 3,8] » |Très-ondul.
y Orion ......... 5.14.47,24]+ 0,26 358.24.10,2|— 3,2 — 48,8 »| Id.
Anonyme........ 5.21.28,58[+ 0,25 357-23.10,0|— 2,5/738,7] 4,8] 1,7]- 50,6 »| Id. Nuages.
AAigle.e..."2r 19.36.47,92]+ 0,30|-122,06| 2.26. 9,7|- 0,8 2,31- 42,1| 4,8] » [Niv.-2P,43.
GHATGIE" st eee. cie 19.41. 7,04[+ 0,28|-122,05] 0.39.33,0|— 1,2|739,7| 12,2 — 44,9| 1,3|» |Le ciel se couvre.
6|13 Andromède. . .4|23.17.29,78|+ 0,78 34.14.43,0|- 1,5|741,41 8,3| 3,8]- 4,2 »
Anonyme....... 3123.19.49,66[+ 0,21 352.30.30,7|- 1,8 - 59,8 »
Anonyme........ 23.25.23,08|+ 0,21 352.39.23,5|- 1,8|741,5] 8,2| 3,8]- 59,5 »
19 2 Poissons. ...123.36.18,44]+ 0,22 354.49.28,7|- 1,8 3,81- 55,1 »
Anonyme....... 3/23.44.55,39f+ 0,10 341.52.55,2|- 1,9 3,8]-1.27,5 » [ Nuages.
« Andromède. . .. 23.58.13,12]+ 0,b2/-127,59| 20.25.28,7|- 1,4 - 18,8| 8,0|»
y Pégase... ..... o. 3. 5,66[+ 0,35|-127,74] 6.30.50,7|- 1,71741,6| 7,8] 3,71- 36,1| 4,2»
æ Cassiopée . ..... 0.29.34,78]+ 1:16|-127,42) 47.52.10,2|— 1,9|741,6] 7,9| 4,of+ 9,7| 6,5|»
65 # Poissons, préc.| 0.39.24,26|+ 0,50 19. 3.15,5|- 1,5 — 20,4 »
68 Z Poissons..,.. 0.47.17,68[+ 0,53 »
a Petite Ourse S..3| 1. 1.18,82 80.39.15,7|- 0,81741.8] 8,3| 2,214 53,0! 6,9!»
IA IC SEA POPERIER 3.13. 0,24[+ 0,46 16.21.37,5|- 1,7[741,8] 10,8| :1,4]- 23,7 »
(LIL. 56) Piazzi. ... 3.15.37,25[+ 0,94 41.29:15,7|- 1,2 + He) »
Hifilaureau.... 3.20. 9,76[+ 0,33 4.35.43,5|- 2,4 — 39,2 » Ÿ
10 Æ Taureau ....| 3.26.48,60]+ o,21 352. 6.22,0|- 3,3 o,9]-1. 1,3 » [Ondul.
23 9 Eridan...... 3.33.40,40[+ 0,10 341.54.59,5|- 4,3/741.8] 10,5] o,9l-1.28,3 »
48 Taureau ...... 4. 448,96[+ 0,36 VAL Z Ps) ES A 0,2- 35,5 »
57 k'Taureau....| 4. 9. 4,66[+ 0,34 5.51. 2,2|— 1,5/741,8] 9,8] o,5l- 37,4 »
u' Taureau...... 4| 414.52,69l+ 0,44 14:38.51,2|— 1,9 0,31- 25,8 »
a Taureau ...... 4| 424.52,3514 0,37|-127,98] 8.23. 6,7|- 2,2 o,2]- 33,9] 2,6| »
+ Taureau........ 4-30.47,06|+ 0,44! 14.50.43,7|— 1,7 — 25, »
Lune, 1er bord. 4.46.44,821+ 0,44 14.54.29,5|— 2,4/741,7l 9,2[- o,2]- 25,5 » [Bord inf. au mérid.
BiOrion- 7.17... 5. 4.56,14[+ o,12|-128,34]343.49.22,2|-— 3,4 -1.22,5| 7,8|» |
DIOmONN.- ce 5.14.39,54[+ 0,26 358.24.10,o|[— 3,0 - 493 »
Anonyme. ....... 5.21.20,68|+ 0,25 357-23.10,7|— 2,5. — br,x »
£ Taureau .......| 5.26.13,16[+ 0,42 13.14. 7,0|— 3,0 = 27,6 »
131 O Taureau. ..| 5.36.13,88|+ 0,35 6.37.13,5|- 2,5 - 36,4 »
æ Orion... .. ..| 5.44.37,2414 o,»7[-128,26 359.34:16,7|- 2,2/741,6| 8,5|+ o,2]- 47,3| 6,9] » |
‘87 Aigle rc 19.36.37,36|+ 0,30|-132,61| 2.26. 5,2|- 0,8 4,8] 41.6! 1,3|»
a Aigle.......... 19.40.57,20l+ 0,28|-132,48] 0.39.55,7|- 0,8 49 44,4] 5,4»
B'AISIESR ERA. 19.45.26,00[+ 0,26|-132,531358.13.16,7|— 0,9/737,0] 11,0] 5,0! 48,4| 4,9] »
a Céphée ........ 21.12.36,48|+ 1,45|-132,36| 54. 6.42,;|— 0,b|736,8] 9,4| 5,34 16,1] 4,81»
G Céphée.... .., 21.24.21,88[+ 2,08/-132,23| 62. 3.37,51+ 0,51736,7| 9.3 4814 25,2| 6,3 » |
Jupiter, centre. ...|21.38. 7:60 + 0,06 337:1 2.25,0|— 0,8 47 —1.44,0 » [Au méridien. Ondul
[Anonyme .,.,... 21.47.24,02/+ 0,38 g- 8:2242l— 08 — 32,1 » i
19
74
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843.
CORRECTION a = 1 = = 2 |
= PASSAGE de MOYENNE | =° Z fJruenuouërre. EE 5 |%
= NOM CONCLU 4 , = = a | = = = |
= A des [ZE | à [TT 5 | <]$| REMARQUES.
z DES ASTRES. à l'iustru-| Ja 2 A a Inté- | Exté- = S |E
FIL MERID. À eut, pendule. VERNIERS. "19 2 rieur. | rieur. 2 8 | =
| 2 : = ME |
[ | b. m. s. s. s 1! o © DR) 0 |
30 Verseau....... l21.52.51,16+ 0,13 — 0,9/736,7[+ 8.8|+ 4,8 —1.17,3 B.
8 Verseau. ....... 22. 6.23,341+ o,12 = 154 8,8| 4,7)-1.19,2 » |Ondul.
a Pégase... ...., 3/22.54.47,02|+ 0,35|-132,97 NA 8,3] 5,8) 34,0! 8,8] »
Anonyme........ 23. 2.38,26f+ 0,10 NA —1.26,6 »
y Poissons ....... 23. G.52,461+ 0,22 - 4,5 — 54,8 »
Anonyme. ....... 23.12.59,26|+ 0,10 — 1,3 —1.26,2 » s
13 Andromède....|23.17.24,57h+ 0,78 — 1,2 5,0} 4,2 »
Anonyme. ....... 23.25.17,70/+ 0,21 — 144 8,2! 5,0- 58,8 »
19 m Poissons... .|23.36 13,124 0,22 — 1,8 45|- 54,6 »
Anonyme........ 23./42.32,02]+ 0,10 — 2,0 —1:27,0 »
Anonyme....... 4123.44.49,981+ 0,10 — 18 —1.26,8 »
w Poissons .. ....123.49. b,06[+ 0,26 358.12. 4,21— 1,9 — 48,6 »
a Andromède.'. ...|23.58. 7,84] 0,52/-132,84| 20.25.28,5/— 1,4 4of- 18,7| 8,o| »
y Pégase. ........ o. 3. 0,364 0,35|-133,02] 6.30.52,5— 2,0 8,0! 4,0 35,8| 6,»
a Cassiopée.. ..... 0.29.29,56+ 1:16|-132,60! 47.52.10,0/— 1,9 8,0] 3,24 9,6] 6,0! »
65 à Poissons, préc.| 0.39.19,16[+ 0,50 19: 3.14,5|-— 2,1 — 20,3 »
68 Poissons... . | 0.47.12,38|+ 0,53 »
a Petite OurseS..4| 1. 1.10,90 80.39.15,5— 1,4 78| 2,6 52,6| 5,2| »
40 v Poissous....3| 1. 8.42,33]+ 0,49 15.38.15,0— 1,7 78| 2,6]- 20,8 »
98 a Poissons. .... 1.19.49,08!+ 0,25 357.32.21,5|- 1,7|7 75] 2,1]- 50,2 »
104 Poissons... ... 1.28.42,581+ 0,34 9.41.22,7|— 1,9 = 3752 »
110 9 Poissons... .| 1.34.57,94]+ 0,28 0.34.11,2|— 2,2 = 4,1 »
111 Ë Poissons....| 1.43.17,34]+ 0,22 354.37. 5,7] 2,2 m5 1,7] 55,6 »
1213 à Poissons,suiv.| 1.51.47,00f+ 0,22 354.12.40,0|— 2,3 — 56,2 »
12 Bélier... ......4| 1.56.11,78|+ 0,44/-133,08] 14.55. 0,5|- 2,0 — 25,5] 3,9| »
loiBülien--) se: 1. ; 3.12.54,90f+ 0,46 16.21.40,2/— 0,9|7 6,2] 1,1]- 23,5 »
ICLL. 56) Piazzi ..3| 3.15.31,95|+ 0.94 41.29.15,5|- 1,5 + 3,2 » |.
15, Taureau... 3.20. 4,52l+ 0,53 4.35.40,2|-— 1,2 1,1]- 39,1 S
10 Æ Taureau....| 3.26.43,18[+ o,21 352. 6.20,2|— 2,8 1,0)-1. 0,8 » [Ondul.
23 à Eridan...... 3.33.35,o00f+ 0,10 341.54.54,2|— 3,3 6,3| 1,0j-1.27,7 »
131 u* Taureau. ..4| 3.41.29,83]+ 0,26 358.15.40,0|— 3,2 0,9 491 »
351} Taurean.l.. 3.49.50,g0[+ 0,3» 4-14.33,5|— 3,0 o,9]- 39,2 »
142 b Taureau.....| 3.55.11,02lt 0,53 20.45.59,7 — 2,6 — 18,5 » i
44 P Taureau.....| 3.b9. 8,g8l+ 0,49 18.15.39,0/— 3,8 6,4] o,7[- 20,9 » [Le ciel se couvre.
9 Soleil, 1er bord (*).|17. 2.10,66j- o,o1 329. 8.50,2|— 1,4 11,3 8,3j-2.28,0 » [Bord inf. à 3m20$.
Al yreeioec 20 » 18.32.22,611+ 0,70|+ 44,99] 30.49.52,2|- 6,5 10,7| 8,5 7,5] 6,7] n|Niv—2P,65.
Nadine see: 108 2 218.25. 2,9| 0,0 » [Moyenne de 10 obs.
Anonyme. ....... 22.47.20,24f+ 0,10 342. o.14,2|-— 0,6|7 9,8! 6,3j-1.25,5 »
CHOSE OR 22.07.44,52l4 0,354 44,561 6.33.54,2|- 0,3 — 35,4] 4,8»
[Anonyme 9—-10°25/\23. 535,484 o,10 »
ANONYME. ....... 23. 7.18,60}+ 0,10 341.40.28,2/— 1,5 —1.26,2 »
y Poissons... .... 4123. 9.49,73[+ 0,22 354.38. 2,7] 17 2240 »
jAnonyme........ 23.15.56,56/+ o,10 340.58.10,0[— 1,8 —1.25,8 »
L3 Andromède. ... 23.20.21,79 + 0,78 34.14.42,2 — 0,9 41 »
Anonyme....... 3/23.22.41,734 o,21 352.30.26,5|— 1,7 — 58,9 »
[Anonyme eee es 23.28.15,02]+ o,21 352.39.18,2|— 1,7 8,3) 5,2j— 58,6 »
19 m Poissons ....|23.39 10,52}+ 0,22 354:49-29,5|— 2,2 8,0! 5,0 54,4 »
ATH TG RENE 1.59. 9,16{+ 0,441+ 44,30! 14.55. 2,2— 1,7 721 27 25,1} 6,1|»
æ Baleine........ 2,54.53,561+ 0,23/+ 4/4,09|355.40.31,2|— 1,8 b,7| 1,4/— 52,5) 7al»
RIPELSÉC relaie + 24 4l 3.13.59,208+ 0,94 + 44,151 #1.29:15,01— 1,817: 6,5 114 3,1! 4,6»
(*) Avant cette vbservation la pendule a été avancée de 3 minutes.
75
Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843.
PASSAGE SORSEGRE MOYENNE | = 8 > THERMOMÈTRE. Ê. = =
5 NOM ea de nnle BUIX OS 2 é | S
=] d CONCLU a , as ci el 2 mt — A 4 Z
ë %. Sal | £ 2 | REMARQUES.
‘ DES ASTRES. ë l'instru-| a 25 2 Jinté- | Exte- = 3 15
FIL MÉRID. | ent | pendule] VERNIERS. | © © 4 rieur | rieur: 2 SE | +
2 ; 2 ë
Ne ni Fe 11 mm. o o Core Fe
æ Taureau....... 427.442 8.23.10,7|— 2,4|735,4{+10,9|+ 1,0] 33,5| 6,8|B.
BAONON. 1-06 FE 7-48,2 »
y Orion........ 3) 5.17.31,7< 358.2415,2|- 4,41735,5 0,71- 48,7 » [Le ciel se couvre.
17|Uranus, centre... .|23.55.39,20 350.53. 6,2|- 2,5|738,7 1. 3,8 » [Au méridien. Ondul.
« Andromède.…. ..… o. 0.44,54
pUPÉpASES EE. ee 0. 5.537,00 0,35|+23,80 3
57 A'Taureau....| 4.11.35,40 £ — 37,5 » |[Ondui. Brouillard.
69 v' Taureau. ..| 4.17.24,38 - 25,9 » | Id. » Id.
79 b Taureau....f| 4.20.31,72 — 38,9 » Id. Id.
œ Taureau....,.. 4.27.23,984 0,37|+23,50 — 34,0] 2,8| » Id. Id.
z Taureau ....... 4.33.18,80 44 .bo. = — 25,6 » [Très-ondul. Brouill.
101 Taurean ..... 4.51.12,86 36 7 < — 34,7 » Id. Id.
e Taureau... ..... 4.54.12,10 13.33.15,2|— 1,7 227,2 » Id. Id.
BlOnons trees 5. 7.27,741+ 0,12/+23,151343.49.19,5|- 4,5 -1.22,6| 6,0| » Id. Id.
23 M Orion...... 5.15. 3,561+ 0,23 355.35.19,7|— 3,3
Anonyme. ....., 5.23.52,42 357.23.11,2/— 3,5
125 l'aureau.. .... 5.30.29,68 17.59.39,7|— 2,0
»31 O Taureau ...| 5.38.45,58 DE 6.57.14,5|- 3,0/738,6
MOrIONR ee. e 5.47. 8,84{+ 0,271+23,181359.34.12,5|- 2,8,758,6
31|Soleil, 12° bord... .|18.38./4,56 .48. 0,6 -2.33,3 » [Bord inf. au mérid.
LAiglehe es. Ne 19.42.59,36 30 23,7:+ 1,2|7: 6,3] 44,0/59,0| » |Très-ondul.
œIGYgnes. 2 20.35.55,23 36.54.44,5|+ 1,5/733,6 De 1,4| 2,2] » Id.
B Céphée........ 21.26.23,24 62. 3.29,5|+ 1,8 733,4 4,014 25,2! 3,4] » Hd. Niv.—3p ,6.
æ Andromède.....| 0. 0. 9,90 20.25.19,5 + 1,31732,6| 6 £
HIRESASEE =. ee o. 5. 2,40 6.30.44,0 + 0,6
Anonyme. ..:.... 0.10. 5,58 2.32.19,2| 0,0
Anonyme. ....... 0.14. 6,66 346. 8.52,0 + 0,2
Anonyme........ 0.19. 1,46|+ 341.28:20,2 — 0,2|732,5
a Cassiopée....... 0.31.31,21|+ )—10,37] 47.52. 3,54 0,71732,5
65 « Poissons, suiv..| 0.41.21,44
læ Petite Ourse S..4| 1. 2.58,82 80.39.19,2|+ 0,3 ! 52,6! 6,4] » |Moyenne de 4 obs.
90 v Poissons. .... 1.10.44,481+ 18.38.10,0 — 0,3|732, 0,6:-
LATE CROP AGE 1.58.14,12l+ 0,44 k È 2
DBélier- er. 2. 9.17,94]+ 0,40 A 1;
72 p Baleine... ... 2.18.15,36[+ 0,07 PS9 rase 0,5
29 w Bélier... .... 2.24.12,50]+ 0,35 6.32. 6,5! 0,0
» Bélier... ...... 4|°2.29.48,71f+ 13.28.36,5| 0,0, — o,fi— 27,0 »
Lune, 1 bord... .| 2.41.51,08|+ 0,39 10.49.41,5 - 0,3 732,3] 5,2,- 0,5 30,4 » {Bord inf. au mérid.
Baleine. secs 2.53.58,381+ 0,23/-10,99/355.40.29,0 — 0,8 — 0,8— 53,7] 6,5] » [Ondul. Brouillard.
DBÉlier =. es 3. 2.33,86|+ 0,40 11.19.38,0 — 0,3 — 0,7 29,7 » Id. Id.
g Bélier.......... 3.14.57,38+ 0,46 16.21.38,0 — 0,3 l- 0,8 25,6 » Id. Id.
biATaureaus, . 3.22. 6,92]+ 0,32 4.35.35,2 — 0,1/732,3| 5,0o- 0,8 — 39,0 » Jd Id
BiOrIOD es es 5. 6.53,54{+ o,12l11,11/343.49. 7,71+ 0,2 731,8] 3,7|+ o,2]-1.21,4| 2,5] » Id Id
23 M Orion...... 5.14.29,161+ 0,23 355.35.11,7— 0,2 — 53,7 » Id Id
Anonyme. ....... 5.23.18,08{+ 0,24 357.23. 4° — 0,2 731,8 3,5!- o,2!- 5o,b » Id 1d
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À BEC
LE
# à
77
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenees au 1° Janvier de cette année.
æ ANDROMÈDE. ANONYME. 65 £ Poissons, PRÉC. 111 Ë Poissons. 29 w BÉLIFR.
ohom +28°15' Ob{nm -603/ ObAim 4+26°54/ 1h15m +2°24! “ 2h24m +14°20"
Janv. 17 26,91 Oct. 23 135,34 43,2 |Déc. 6 27°,72 13,2 |Janv. 17 25°,87 341,7 Janv. 17 185,58 971,5
25, 17,02 21/,8 |Déc. à 3 13,41 46,5 8 27,96 11,7 31 25,95 36,3 |Févr. 1 18,69 5,7
Févr. 1 16,98 31 13,38 49,7 Moyenne 27,84 12,4 Févr. 1 25,82 35,8 2 18,67 5,5
; 2 16,97 19,4 | Moyenne 13,38 46,5 < 2 25,96 33,5 .8 18,70 729
Mars 11 16,92 197 65 Porssoxs, suiv. Déc. 8 25,38 37,6 Déc. 31 38,55 3,9
1 31 16,91 18,0 Axosxue: “aim HE Moyenne 25,90 35/,2 | Moyenne 18,64 6,1
Avrit 11 16,91 24,0 obio 10042" (Janv. 3 285,25 13,1
14 16,89 24:29 loc. 23 85,46 32,9 17 28,19 15,7 113 & Porssons, suiv. net
27 16,85 Déc. 3 8,44 34,8 [Déc. 31 28,15 4b53m 4200! ns CE
Mai 1 17,00 192 3 8,14 32,6 | M 8,20 1 Janv. 17 55,50 11,7 | ee 3 L!
5 1098 198 4, 1 rs oyenne 28,2 44 37 55,66 33 Déc. 31 545,65 414
11 17,04 oyenne 6, 3 68 À Poissons. Févr. 1 55,67 3.8 un
Nov. 30 16,95 23,3 a CassloPée S. ohagm 2 55,68 4,4 a:
Déc. 3 17:11 24,9 Janv. 3 20°,98 8 55,71 5,0 9° 51m -0°24'
6 16,91 26,b 2 RU RC 17 20,93 Déc. 8 55,53 1,9
8 16,98 26,6 Janv. 17 38*,:16 31,3 Déc. 6 21,16 ARMES D
HR E6 25 365 da | 8 aus Te le
rte) évr. 1 Ha . Moyenne 21,05 Ron B 26,47 93
Moyenne 16,96 22,5 2 38,08 32,3 ER 0 À ph Déc. 3 26,20
8 38,11 29,6 10m 426°26/ anv. 17 20,15 60,8 Moyenne 26,32 1134. 11,4
y Pécase. Mars 11 38,05 31,8 A 31 20,09 60,6
D 38.0 H° Manv. 3 5o,77 14,8 févr. à 20,15 63,0 3a & Bé
Ob5m +{go18" 18 3 "86 33% 17 51,03 14,5 2 20,11 60,2 Tor
Vanv. 17 9°,32 35",5 19 Er As De Euleeae 5103 17,4 8 20,10 59,9 2h58m 428°55/
25 9,35 EME 84 » |Déc. 8 5o,gr 13,4 Mars g 20,01 60,6 |jnvy. 3 345,53 231,3
Févr. 1 9,34 36,0 24 37 86 20,5 EP 10 19,93 65,4 Ipévr. 1 34,53 25,1
PL 2 9,28 34,9 ASTURTE 38,17 346 Moyenne 50,93 14,7 [Mai 11 20,17 58,0 2 34,55 24,9
nié, 972, 39,0 13 38,15 27,0 98 x Poissons. ART Cr 8 34,52 248
ept. 21 9,56 33,2 14 3 FATE 31 20,11 55,0 Ipée. 3 34 70 22.6
LD 9,52, 34,6: 3 3702 3, 1P21m 45°19! [Juin 13 20,05 58,4 a
6 948 349 13 TT 222 Janv. 3 57,88 50",6 21 20,16 59,4 Moyenne 34,57 24,1
13 9,73 32,7 ee UE 31.6 7 57:71 52,9 23 20,16 B .
14 9:55 38,0 IMai : 38.00 32,6 Févr. 1 57,88 52,2 [Déc 8 20,08 58,8 a Bareine.
20 9,68 34:9 5 38,05 28 SU SES TRE RIE ,9 216 61,0 2h5am 43098
22 9,74 341 11 38,27 30,9 Déc. 3 57:87 35,0 3x 20227 58,3 Janv. 31 4°,87 10/,2
23 9,39 36,0 [Juin 12 3817 8 57,69 57,2 Moyenne 20,11 60,0 [Févr t 456 7x
Nov. 26 9,41 36,7 13 38,35 34,7 | Moyenne 57,79 55,3 3 ti 60e
30 949 372 [Déc 6 38/32 310 CAES 8 476. 8%
“LE ES . Fe 3847 308 104 Poissons. 2h5m 429055 RE que 6:
à 98 ie 31 38,34 29,0 ki 43029 |janv, 17 16165 51,8 [Mars 11 486 15
9» 2 | m 38 08 3,3 Janv. 17 5o°,88 13,5 31 16,65 48,9 I fe
8 gi 37x uyenne 38,08 351,5 Déc. 3 51,14 7,9 |Févr. 1 16,64 49,5 [juin 12 LE 10,0
37 936 2 a CassiopéE I. 8 51,19 94 2 16,75 56,9 21 4,68 11,6
+ LE »7 Moyenne 51,07 10,3 | Moyenne 16,67 51,8 23 4,56
Moyenne 9,46 35,8 0hS1m +55040/ 26 4,60 10,4
Mai 1 38,00 29/,4 110 o Porssows. 0' Bérter. Juill 2 4,52 9,2
ANONYME. 11 38,05 928,4 1157m 48024 2bgm 419010 DL SE
12 38,14 30,8 |Janv. 17 6,45 531,8 Déc. 31 245,03 16,1 |Déc. 9 4,64 11,4
4 3, 7 er 19 38,02 31 6,46 52,8 Pare 31 4,47 140
ct. 23 125,89 4" 22 38,10 27,3 |Févr. s 6,47 52,1 TERRES RE
Nov. 26 12,57 nc Juillet 3 38,03 7 5 Fox 519 ohiEmeis0pt Moyenne 4,63 1,1
30 12,71 5,1 5 38,14 24,0 8 6,70 47,4 |Janv. 31 21°,93 7,8 S BE
Déc. 3 a2,71 3 6 38,24 Déont 3006.63 539 2 ds 76 GREAeR.
31 12,43 5,9 7UN38;17 GMU6,48 :br,b |Dèc. 3: 21,717, 4,0 5h2m 41907!
Moyenne 12,66 4,3 | Moyenne 38,10 28,0 | Moyenne 6,53 51,9 | Moyenne 21,86 6,5 |Déc. 31 39,65 43",8
20
18
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année.
56 : Béuer. 5 f Taureau (suite). 35 À Taureau (suite). 64, 3: Taurrau. a Taureau (suite).
52m 426°39/ 5l95m +12°54" 5151m +12°2/ a15m 41700" ab26m +16°44/
Janv. 31 535,96 33,6 [Févr. 8 12,78 35/1 Févr. ro Bg’,4o 23/,1 |Janv. 17 3°,08 29,2 |Févr. 2 B5°,00 17/,3
Févr. 1 53,4 34,7 11 012,750 34,7 11 9,24 28,5 SSI 20 2577 8 55,03 16,5
2 53,89 33,8 [Déc. 6 12,73 37,3 (Déc. 8 5g,05 29,8 Févr. 1 2,98 25,1 10 55,07 12,9
8 53,81 38,0 8 12,80 35,5 Moyenne 59,30 28,9 21h :3,08..28,x 11 54,8r 15,1
110803:6710 *34:7 31 12,85 35,8 ? 9 [Mars 10 3,21 25,0 [Mars 9 35,03 15,5
Moyenne 53,77 35,0 Moyenne 12,76 35,1 42 d Taunrau. Moyenne 3,09 26,6 . né sde ne
02 »
& PSE 5h57m 428°34! 6»: T À 13 55,04 13,7
œ« PERSÉE 19 AUREAU es : 18°,8 re 9 v ER 16 5h ;
5b13m +19017! 5h28m -g°6/ 31 18,83 11,1 ab16m +22°26" 17 OS 137
janv. 31 8282 487,3 Uanv. 31 Sup por (Févr. 2 à88x 140 [Févr 8 55,34 G1"8 | 21 5513 136
Févr. z 8,77 47,4 [Févr. 1 51,72 10,4 2 18,66 13,9 10 55,13 63,6 28 55,11 15,2
2 8,68 48,0 2 51,87 4,8 8 18,58 16,4 11 55,06 62,7 |Avril 11 55,01 11,8
11 8,75 51,77 41 10 18,80 10,6 [Mars 11 55,16 63,4 12 54,94 17,1
Mars 9 8,53 49,0 11 b1,99 3,8 11 18,67 12,4 19 0425000) 15 54,98 14,3
10 8,50 49,3 Déc, 6 51,70 4 8 |Déc. 8 18,69 16,5 16 55,21 59,0 Mai 12 54,96
11 048.64: 51,2 DE 5075) Moyenne 18,75 1459. TE Aa 55,11 be Juin 20 ee 1232
13 8,35 49,5 Moyenne 5177 5,8. Déc. 6 55,26 64,6 22 54,88 1754
16. 8,53 4/9 é 44 P Taureau. 17 55,35 6r,9 23 55,02 13,6
17 E 7e 23 3 EriDaw. Abim 42693" Moyenne 55,23 62,6 pe ES 12,6
1 , 0 - : : 7 L)
Juin 13 825 48,3 sh55m 49047 [Janv. 17 1679 56,1 79 b Taureau. 3 54,99 12,5
_ 8,66 anvigr 43°69 60,6 L ETC (PEUT ‘ é 4 55,19 15,5
SR CBS 76 [Fée 10443707 Go Févr. 1 16,78 55,4 Ah20m 412044" 5 54,94 13,4
Juill 2 8,85 45,6 2 43,69 58,1 2 16,92 52,0 |janv. 17 2°,69 41,7 7 54,82 148
3 8,82 LL 8 45,90 d 8 16,65 55,2 31 2,6 36,3 12 55,01, 12,2
4 8,69 47:7 11 43,066 60,6 Le 16,85 56,8 |Févr. x 2,70 359 15° "5h02 60
# 8 RE 6.136 33 11 16,93 51,5 Sort 138 17 55,06 13,1
5 & à 48,7 |Déc. È Fe ni ee Die. BE pa ES r ‘ 9! : NE
+ 87 AS 5200567 pe M7. 2797 AIR 4 ?
Dés: 9 8.87 46,1 Moyenne 43,69 58,2 Moyenne 16,52 54,4 10 2,81 nn D n pe 12e
Em — II 2,72 éc. UE
Moyenne d,70 47:9 25 A iunrR. 48 Taureau. Déc. 17 Fe 3qr 9 PACE ne
7 Bé M ocre hôm 4301 | Moyenne 2,77 37,2 7) DRE,
64 g Béuren. LS 5 . je AUTRE NE # Fe k 7 | Moyeune 55,01 14,6
5h{5m 42409 ["EVre 9 56 n _ * 7 st du: 86 p Taureau.
: ë se A °7+ ,
Févr. 8 2 87 ie He FAC 63 Fr ANONYME.
Déc ‘6 8e . > é 2 5191 732 Janv. 17 56°60 Ab3im 19055!
; 8 285 188 31 4° Taureau. 8 21e Pa 31 56,47 Févr. 1 36°,85
+ Fr “ 11 21:79 »0 |Févr. 1 56,62 2 36,81
31 _299 Boo hasm tes" Déc 6 517 78 2 56,70 Mivende 55%
Moyenne 2,55 40,7 À LA ï Sie ms Moyenne 51,82 7,3 8 Éte ÿ
; ; 10 2
III, 56 Prazzr. 2 38,32 25,4 57 h' Taureau. , 56,68 + Taureau.
3h17m 419917 Le sn 7 auiim 413938 [Mars 10 pue AhS2m 422938"
; ; 11 7
Déc. 6 38',90 48,6 IDéc. 8 38,17 26,3 (Janv. 17 7',42 64/,0 16 56 GR Févr. 8 49,77 59/6
RE 47 Moyenne 38,22 24,5 Has 606 17 56,55 10 49,72 954
Moyenne 38,90 48,2 4 CHE |Févr. 1 7,58 638 RÉ 11 49,07 59,0
35 À Taureau. 2 7,66, 64,4 | Moyenne %b,62 Mars 11 49,70 59,4
5 f TauREAT. 8 7,38 61,6 13 49,70 58,9
; 5h5im +1902" 10 7:60 57,8 a Taureau. 16 49,73 55,3
&h22m 412095 Janv. 17 59,38 31,5 11 751 6o,2 Ah26m 416°44/ 17 49,74 58,7
TRE ; +
Janv. 31 12°,63 347,6 31 59,35 30,4 [Déc 6 7,48 64,1 |janv. 27 55,01 20",0 Dé 6 49:63 59,7
Févr. 1 12,74 34,8 |Févr. 1 59,37 28,7 17 79 66,1 31 54,87 14,8 17 49,74 57,0
2 12,81 33,4 2 59,34 30,3 | Moyenne 7,54 62,5 |[Févr. 1 55,04 13,2 | Moyenne 49,71 58,1
79
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 183, ramenées au 1° Janvier de cette année.
54 Ertpaw. a Cocrr.
Ab35m -19°58" 5h5m
Janv. 17 34,38 36/,4 Janv. 17 6',17
Févr. 1 34,41 41,1 31 6,12
2 34,43 38,9 [Févr. 2 6,27
Mars g 34,61 su 6,18
Moyenne 34,46 38,8 Mars 9 5,99
10 5,94
11 6,05
101 Taureau. 13 5,97
Ah5Om +15°40 e e
1 03
Janv. 17 43,92 27/,2 MG où
; 31 43,87 24,5 30 5,8x
Févr. 1 43,87 25,1 |A 12 5,80
LRO ES 15 5,68
11 43,82 25,0 19 5:85
Déc. 17 43:93 25,7 IMai à 5:90
Moyenne 43,88 25,3 12 6:24
22 B:9b
102 « TAUREAU. Juin A pe
2 22
4b55m 494094! [Juill 2 6,14
Mars 9 42°,94 30/,3 4 619
10 43,00 31,9 5 5,99
11 42,98 32,1 16 6,14
13 42,91 35,0 21 5,99
16 42,97 32,2 28 5,96
17 42,96 27,2 29 6,15
Déc. 17 43,07 33,8 [Août ù Lx
Do 6 Does ps
IV, 306 Prazzr. Moyenne 6,05
4h59m B Onrox.
Janv. 31 10°,87
Févr. 1: 10,98 5b6m -8°925/
2UTT- OT Janv. 17 59,51 20",6
TI 11,07 31 9,43 20,2
Moyenne 10,98 Eve ENT ne
2 12 + ,
11 59,80 23,3
G Eripax. Mars 9 59,55
: sn. 10 59,71
590m -5°17 r: 59,08
Janv. 17 774 47,8 13 59,69
. SL 7:73 36,4 15 59,8b
Févr. 1 7,58 38,8 16 59,85
2 781 36,5 28 5g,71 16,9
8 7,96 44,6 30 9,79 22,
11, 7:83 37,3 [Avril 12 59,60 21,1
Mars 9 8,04 44 15 69,87 17,8
10 7:95 42,4 19 69,81 16,2
11 7:90 4132 [Mai 5 59,39 17,9
13 7:99 374 12 59,65 22,5
16 52 43,0 22 59,63 21,4
Moyenne 7,89 40,3 [Juin 13 59,65 20,8
G On1ox (suite).
5h6m -8025/
Juin 20 59,50 17/,7
23 59,59 20,b
26 59,64 20,8
Juill 2 59,55 17,9
L 5949 192
5 59,64 15,8
12 D9,61 17,6
15 59,56 19,5
16 59,33 19,1
28 59,44
29 59,49 21,6
Août 1 59,68 17,8
5 59,53 21,0
7 59,66 20,5
Déc. 3 59,52 20,1
6 59,42 16,1
59,4
5 530 16,6
31 59,59 18,2
Moyenne 59,60 19,3
109 7 Taureau,
5hgm 421955"
Mars g 50,85 38",5
30 5o,7g 36,0
11 50,74 35,9
13 5o;Br 37,8
15 50,67 36,2
16 5o,8r : 34,3
Moyenne 50,75
B Taureau (suite).
äh{6m 428999!
ANnlx 217 LUS
15)23 180 0 61
391022,111 00210
Mate \bioian;r3e. 28
12 T1 0 02,2
29 22,11, 16
Juin 23%u2,10 r,5
26 22,17 2,6
Juill. 2 22,27 4,0
L022,17,.3%4
12 22,39 59,0
102257 UT
17 22,201 2,2
28 22,23
29 22,19 24
Août I 22,2 5,0
D'U22,24100 1,2
7UN22,3bh#r070
CCE ONE
Moyenne 22,23 3,2
y On10N.
5b46m +6012'
Déc. 3 425,62 6,8
6 42,57 6,6
9 42,74 1,3
Moyenne 42,04 6,2
G Lrèvre.
5h21n -20055/
23 M Oniox. (as 17 315,11 28,3
\ 3 0 2
5hiam 45025" Févr : ue SA
Déc. 17 35°,00 12/,9 5 CAT 8
31 34,98 12,2 11 31,34 278
Moyenne 34,99 12,5 [Mars g 31,21 22,6
10 ST, 120 26,5
B Taureau. 11 31,20 : 22,4
13 31,29 26,7
5l{6in +28°28! 15 131;27 2558
Cévrt 1022%,35646/7,1 OMS r2r 0 25
2 22,25 #7 Moyenne 31,17 25,0
8 22523 5,6
11 22,04 2,9
Mars 9 dual SA ANONYME.
10 22,32 3,6 LD ASE
12252100 3,1 |. me does
13 22,25 0,5 [Déc. 3 24 de 5,7
15 22,38 5,9 6 23,74 6,
16 22,19 3,0 17 23,84 a
19 922921 7,7 31 _23,82 8,4
28 22,28 6,0 | Moyenne 23,85 . 7,1
æ LIÈVRE.
5h25m 17056!
Janv. 17 48°,30 26/,5
31 48,10 25,9
Févr. 1 48,16 26,4
2 48,43 24,2
11 48,60 28,0
Mars 13 48,47 27,0
15 48,71 24,0
16 48,41
17 48,58 26,0
13 48,39 28,8
19 48,71 27,3
Moyenne 48,44 26,4
€ Taureau.
5b28m 42409!
Déc. 6 x5°,82 27,3
125 Taureau.
5h30m 425048!
Janv. 17 oo 6,8
3r o,b2 9,1
Févr: r#N0:6718;2
21040, 550 4853
11 0,26 4,7
Mars 9 o,52 6,1
TO 00,52 T8
ES AE LE
13 W0,7# 06;
151M60,55M06;0
Déc: "17.200,59 7,7
Moyenne 0,58 7,1
13 y Lièvre.
5h57m -29030"
Janv, 17 54,82 19/,5
fFévr. tr. 55,19 ,17;r
Mars 9 55,16 15,3
10 55,10 16,5
11 55,06 .15,0
13 55,31 15,4
15 55,29 17,6
Moyenne 55,13 16,6
131 O Taureau.
5h58m +14025!
Mars 16 16°,69 26/,6
19 16,67 28,6
Déc. 6 6077 26,5
17 16,80 29,0
Moyenne 16,73 27,6 |
80
: Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1°° Janvier de cette année.
136 C TaurEau.
Mars 10
IL
13
15
16
18
19
5basim 427054
2760 37,5
2761 6,9
27,49 5,9
27,70 1,5
Ses 4,3
27,49 134
27374 70
Moyenne 27,62 [AA
x Or10N.
7
56m 47022"
Lo°,38 16,5
Lo,38 13,3
40,43 14,7
40,43 14,3
Lo,38 14,9
ko,k7 15,5
40,54 12,4
4o,48 3,1
Lojo 14,5
40,56 17,9
4o,4r 17,1
40,358 19,8
40,26 17,4
40,43
Lo,27 14,4
40,23 19,8
4o,28 16,0
40,44 16,5
40,19 13,9
40,22 19,7
40,37 16,7
40,27
4o,27 15,0
40,59 17,7
h4ou5 15,5
4o,k1r 16,7
40,37 14,1
40,42
Lo,24 35,5
40,43 16,4
4o,;2o 154
Lo,28 15,3
4o,27 16,5
40,28 15,9
4o.,39 16,3
40,39 19,9
40,38 15,9
40,38
40,38
40,30 19,7
40,23 17,4
Moyenne 40,36
3 GÉMEAUX,
6bom +2307 6b{8m 420054" 6h38m —16°30" 7b6m +2809/
Janv. 17 11°,91 59”,8 [Mars 16 36°,38 60/,8 |Août 21 13°,77 22/,8 |Mars 15 8,44
31 12,01 93,3 17 36,36 62,9 24 13,75 22,8 16 8,49 53/,0
Févr. 1 12,00 56,3 18 36,31 61,0 27 13,63 22,6 17 8,43 478
2 12,03 D7,6 19 36,48 59,1 28 13,75 24,1 18 B,4r 53,2
11 11,94 55,4 Moyenne 36,38 60,9 Moyenne 13,85 22,2. 25 8,34 52,5
Mars Q 11,07 99,2 24 8,41 46,2
LOL 580 27 e GÉaaux. (855) Gémeaux. 30 8,51 51,2
16 HS Gh5am 425046! rte Moyenne 8,43 50,6
—— Févr. 12 16,16 48/,2 |Mars 16 8°,57
Moyenne 11,92 2b,0 g 16,05 48,5 17 8,44 55 à Gémeaux.
10 16,04 50,8 18 8,56
4 GÉMEAUX. 13, 16,28 47,6 19 8,66 7h{0m 492015!
Ghom 42301' 18 1608 483 M ae
€ » ’ RME Mars A PL
Mars 17 58,38 g',1 19 16,15 54,6 Mereonesse e 3 46,7
19 _58,61 1177 Moyenne 16,15 497 (859) GÉMEAUX. "15 44,48
Moyenne 58,49 10,4 16 44,46 54,0
a Graxp Cmiex. 6bagm 41806" 17 44157 per
: s "
8 GÉMEAUX. 6h38m -46°30" Pa e LR Te : He Et
, Janv. 17 13°,83 22,8 RAT 12,7 o4 LES 475
LL Oo 31 13,85 3hn7 138 30 4439 540
Janv. 17 43,50 55,0 |Févr. à 13,66 19,4 2 34 08 : 5 Te
1 150 RE
Févr. 1 43,69 50,2 |Mars 9 13,92 20,8 Moyenne 34,12 11,2 k
» 43,57 50,6 10 13,91 23,8 3 ; 60 : GÉMEAUX.
11 43,44 50,6 a Sig rat 3 le dt
Mars 43,29 50 Fe ia nee 7h15m 42806"
9 129 17 13 13,91 23,3 6b5Am 42004;
nee ru 15 14,06 Mars 9 47°,58 38,5 [Mars 9 525 11,79
11 43,33 49,9 16 14,04 25,6 0 Vs 3913 10 8,10 13,8
NE 07 17 1414 21,6 in 47:63 39,0 1» be
Moyenne 43,49 51,5 18 14,09 24,0 15 47:60 16 58,10 11,8
19 1414 21,4 16 47,63 40,0 17 TRE
GÉMEAUX. 21 13,85 21,6 17 47:71 19, PROS
* 30 13,87 25,4 18 47ôt 43,3 D
i ? 7: 2Q 4 58,10 8,
[Avril 7 13,97 22,1 19 47,68 38,9 ns = L
6h7m 425017 12 13,95 23,9 21 y 35 30 58,23 17,0
Mars 16 24°,02 11,4 15 14,13 24,7 24 b52 . Moyenne 58,13 12,3
17 24,04 70,9 27 14,09 22,7 30 47,55 36,1
19 24,01 13,0 [Mai 11 13,77 23,3 M Enr 38,8 a? GÉMEAUX:
Moyenne 24,02 12,0 12 13,81 LC TON ?
22 13,78 24,3 45 o GÉMEAUX. 7h9am 32915
3 8 13,83 18,8 Mars 345.2D 91e
13 Be GÉMEAUX. 14 13, 8 22,0 ce H EE + 3426 3357
tone st 3 13,85 20,8 [Mars 10 21,46 27",3 16 34,4 29,2
6 par 22°35 4 13,57 18 9 11 21,48 30,7 5 34,43
Févr. 11 27°,75 11/,9 11 13,96 22,7 15 21,66 1 344
Mars 9 27,02 15,4 16 13,89 1 9 16 21,59 30,8 ie 3035 aë
10 2771 11,9 17 13,99 20,9 17 21,61 2b,3 A 3452 »7
11 27372 1454 2B 13,73 18,3 18 21,60 27,5 28 3421 320
18 27,03 15,8 laut à 13,82 19,0 19 21:77 276 30 34,41
15 27,74 18,8 5:113,88 24,8 21 21,50 31,8 ASE 7 BLUES
16 RES 7 13,78 24,0 24 21,49 27,3 12 34,40 32,3
17 27,66 14,1 14. 13,87 30 21,76 28,5 14 3419 32,7
Moyenne 27,67 14,5 17 313,95 19,2 | Moyenne 21,59 8,5 27 34,18
16 GÉMEAUX.
« GranD Curen (suite).
EEE mé
532 GÉmraux.
81
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenees au 1° Janvier de cette année.
a* Gémeaux (suite).
Th94m 432013
œ Petit Cie (suite).
UE 45°37!
G Gémeaux (suite).
7h55m 428023!
8h3m +186!
11 34,26 33/,8 [Juin 24 45,76 15",5 Sept. 2 42°,or 56/,4 [Mars 1e 11°,97 54/1
12 34,41 Août 7 “69 16,0 4 He.06 56,3 12 12,02 55,8
Juin 7 34,00 374 8 4,88 17,9 5 42,09 54,1 16 12,00 58,2
8 34.34 32,0 9 480 17,7 6 42,00 59,5 30 12,12 56,0
21 34,43 33,5 16 4,80 17,5 7 42,08 56,2 [Avril 7 11,92 57,8
22 34,33 33,1 21 4,54 17,8 8 42,10 55,2 12 1181 62,2
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24 34,30 27 475 17,6 a: € Moyenne 11,96 58,1
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2 34,32 31,7 2 4,74 23,0 2
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12 30,84 12, 8
(934) Gémeaux. BST 85 L Gémeaux. Moyenne 30,93 129
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13 480 192 | 12 41,93 57,5 17 25,32 57,1 7 3700 dé
21 4,70 17,8 [Juin 1 41,95 57, 30 25,26 60,8 de 37 re
24 4,83 7 41596 59,4 [Avril 7 25,07 61,6 hot 4107 8
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12 4,70 19,7 26 42,1t 540 | 30 59,84 44,3 12 11,01 41,5
LLMRS LB 0 27 hank Bar [Avril 7 59,69 42,7 15 10,72 47,5
21 4,69 13,4 4 42,07 12 59,60 38,1 28 10,8 43,2
22 4:77 19,0 Sept 1 42,03 56,0 | Moyenne 59,61 40,7 | Moyenne 10,89 45,4
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12 13,73 30,0
15 13,69 30,8
Moyenne 13,85 31,2
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12 20,93 17,0
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Moyenne 20,70 16,8
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8hagm 412027
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Avril 7 53,52 36,9
12 53,61 43,3
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28 53,29 40,8
Moyenne 53,56 39,5
76 x Cancer.
Sh5gm 411017"
Mars 12 147,33 421,8
Avril 12 14,19 40,5
15 34,13 43,0
28 14,16 42,4
Moyenne 14,20 42,2
81 x' Cancer.
gh5m 415037!
Févr. 12 415,43 237,5
Mars 12 41,67 21,1
Avril 12 41,75 25,4
15 41,47 28,6
Moyenne 41,58 24,6
82 x2 Cancer.
gh6m 415935"
Févr. 12 335,27 18",5
Mars 12 33,33 16,9
Avril 12 33,18 19,5
15 33,27 19,6
Moyenne 33,26 18,6
21
82
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 4° Janvier de cette année.
a Hxpre. x Lion (suite). 53 Z Lion. æ GRANDE Ours (suite). 87 e Laox.
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26 2,76 56,3 3 32,93 64,1
Août 1 2,64 554 5 32,95 63,8
72:62 574 6 32,667 65,9
8 2,78 56,8 7 32,87 66,9
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12 2,69 958,1 25 32,81 65,1
22 2,84 54.5 26 32,76 66,2
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Moyenne 10,98 19,8
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8 32,77 12 12,46 8,9
9 33,03 61,7 19, 12,52. 18,4
83
9 o VIERGE (suite).
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Mai 31 225,60 10,6
Juin 8 12,54 15,7
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12 { VIERGE.
12h5m 4198
Mai 1 2616 5,9
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12 26,11 10,3
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31 926,22 6,6
Moyenne 26,09 8,6
13 n ViErcr,
12h{0m +905’
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5, 37,35, 4,6
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Moyenne 37,47 4,8
15 » VIERGE.
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Moyenne 52,44 16,8
17 VIERGE.
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Mai 1 33,10 41,7
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19 32,98 45,2
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31 33,06 42,0
Moyenne 33,05 42,7
(1432) Vience.
42h49m 5040"
Mai 1 48°,63 431,5
5 4856 449
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Moyenne 48,44 45,8
20 VIERGE.
42h95m 44109
Mai 1 6,15 39,9
5 6,16 59,9
19 5,95 39,5
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Moyenne 6,04 39,2
21 q VIERGE.
12h95m -8035!
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Mai 11 40,64 7,8
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Moyenne 40,72 8,6
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12h06m -g°21/
Mai 11 11,47 9",4
12 11,59 7
22 11,65 13,4
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Juin 13 11,54 4,6
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24 1164 49
Moyenne 11,50 7,9
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413b16m -1002)!
Mars 15 55°,71 ”
Avril 14 55,70 21/,7
Mai 1 56,02 24,6
5 55,82 27,6
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19 D55,44 925,8
22 B5,8r 24,7
31 55,80
Juin 1 55,73 27,9
7 55,67 926,3
8 55,55 27,6
13 55,64 23,2
14 55,68. 25,8
17 55,66 30,0
21 55,56 29.0
23 55,84 928,7
24 55,65 22,5
Juill. 1 55,60 29,2
3 55,69 29,0
4 55,74 28,5
5 55,83 27,2
6 55,6g9 27,
7 587 me
8 55,6: .|
12. 55,75
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées du 1° Janvier de cette année.
a VierGE (suite).
Juill, 17
18
2%
25
26
29
Août 1:
Sept. 7
9
13
16
17
20
21
23
24
25
Moyenne 55,69
70 w VIERGE:
Mai 5
11
12
19
31
Juin 7
ë
Moyenne 45,12
83 VIERGE.
Moyenne 2,0b
15b46m -10°20"
555,74 281,3
55,61 24,8
55,74 20,4
55,61 27,8
55,61
55,73 21,0
55,62 22,1
55,68
55,65
55,61 30,7
55,67. 27,3
55,72 26,3
55,66 26,9
55,75 27,6
55,64 28,2 |
55,55 26,3 |
55,69 27,6
55,73 30.8 |
55,75 : 28,2
55,83 26,5
55,62 27,2
55,62 26,2
55,65
55,66
55,84
45h20m 444937! |
45,25 51,6 |
45,09 4,0 |
45,07 7,0 |
45,05 5,5
45,10 2,9
4519 2,8
45,172 5,2
45,08 4,8
15h56m 15095
2°,39 15/,7
2,28 18,1
2,06 16,3
1,95 18,5
1,81 16,3
2,05 15,3
1,89 15,8
2,02 10,2 |
2,09 16,1
15,8
84
Positions moyennes des étoiles observées pendant l'année 1843, ramenées au 1°" Janvier de cette année.
n GRANDE Ounse. 89 x VIERGE (suite). a Bouvier. œ* Barance. BG Perire Ourse I (suite).
45bain 45095" 45baim -17°20! 4abgm +2000 4aba9m -15°23 4ah54m 474947!
Mars 15 20°,83 Juin 13 20,92 64,7 [Mai 22 3017 9",8 [Juil. 5 12°,18 Févr. 8 13°,68 48,8
Mai 1 20,90 55,8 14 21,29 61,9 [Juin 7 30,05 3,9 6 12,17 Mars 9 13,67 48,9
b2t,27 21 20,94 56,0 13 30,16 7,9 7 12,11 18 14,05 46,4
19 21,13 56,3 23 21,19 63,5 14 30,0 5,4 3 12,08 11 13,86 46,6
21 21,11 D4,7 24 21,09 62,9 21 30,07 17 12,10 8/,8 17 13,67 43,2
Juin 1 20,88 58,7 | Moyenne 21,04 624 | 23 30,26 18 12,11 D,1 [Juin 13 13,52 44,8
uillet 4. 20,84 y Ed 26 iea0 (63 26 12,04 11,3 22 13,75 46,5
6 20,87 57,3 (1585) Vience Juill 3 30,05 9,6 [Août 1 12,08 8,8 23 14,05 444
7 21,07 53,6 ‘ 4 30,15 5,9 5 12,04 13,4 26 13,28 44,0
8 20,80 58,2 15h46m -7°48" 5 30,24 7 11,96 9,6 [Juill 2 13,37 42,6
17 20,84 57,4 IMai 22 445,48 o"8 6 30,06 5,9 8 12,04 7,3 3 13,51 45,7
18 20,89 57:1 [Juin 7 44,34 1,3 7 30,13 10 12,14 11,6 Moyenne 13,72 46,2.
22 21,00 13 44,38 2,0 ë 30,09 753 Sept. 8 1 2,12 5,3 ; 7 . s
25 20,79 54,2 TAN: 0 RE 12 30,25 18 12,24 13,9 |. 20 y BALANCE.
26 20,86 61,1 ——— — 18 30,06 10,8 |[Oct. 2 12,17 13,b
Août 1 21,02 60,0 Moyenne 44,41 2,0 22 30,06 12,5 M — 4Ah5am _21039
5 20,98 56,8 : 26 3002 4,7 | "MERE 99 Lui. 7 53%61 38/9
14 20,07 61,9 (x 594) VIERGE. Aoùt 1! 30,09 6,6 BP Our S 8 53,64 39,1
17 20,66 61,1 (brel Lro86 5 30,14 79 ARS MT- 26 53,70 3,5
a 20,89 5gur Mai 22 485,64 4o',4 26 395 719 ans qraoa7rAoût 1 53,62 38,7
25 20,82 À A PE € 2 0,00 ; N , :
26 20,78 626 Joe 2 HAE ui 29 Go,ir 7,5 Juin 13 1446 50,0 3 se =
8 13 48,51 40,2 31 30:08 8 23 13,84 692,2 | Moyenne 53,62 39,6
Re 14 48,72 448 nee dr 24 14,20 5o
29 20,61 55,5 HT Sept. 1 30,16 88 ë 7 ES 1) 45 c Bouvier
30 20,68 57,5 Moyenne 48,58 42,0 2 30,02 79 Lis à pe ;
31 20,76 58,9 er 5 30,02 5,5 [#1 ; is Le 15h0m +25°28/
| ept. 20,73 56,0 9+ Vierce. 9 30,15 413 15 9 18, Juin 7 245,37 59/67
2 20,75 58,7 45056m 12 30,12 9,2 Z VAE = 13 24,46 59,
4 20,95 57,3 MA too ie 13 30,21 Le 4 4 24 24,32 62,9
9 FA PA 16 30,26 3,8 ITA), Lin 26 24,47 61,9
12 20,88 ANSE 18 3o,14 2,6 18 14,12 53,5 juil. 3 24,32 63,5
13 20,84 60,0 14 LES Pal 1 30,18 4 26 14,42 Le 4 24,42 606
16 20,82 56,1 | Moyenne 3,03 22 9993 nt 5: $ ou pie 6 24,442 57,0
18 20,80 59,9 23 30,04 6, Al a Moyens ais
20 20,71 60,1 95 Vierce. Nov. 20 30,17 10,6 z 1369 37 yenne 24, 0,7
21 ur 57,5 13h58m 8055! 22 30,17 10,0 _. SL a6 52,9 3 SERPENT.
22 17 Mai 22 255,06 41,2 | Moyenne 30,11 o I
24 2086 617 |[jin 13 ee de Y 3; 7: ps ne er 45h7m 459327
| _ 20,86 55,7 14 25,17 43,5 18 13,69 51,3 [Juin 7 235,28 29/,0
PR Four ê: # 26 25,06 42,4 do ic 19 13,47 508 13 23,14 28,3
6 LE 596 Moyenne 25,07 41,5 FA EINQNT 20 13,68 52,1 a En
Nov. 20 20,92 53,6 Mai 22 5369 4,5 lo re he ii 26 23:19 298
, L = 3 7
21 20,93 53,9 99e En cr Juin 13 53,32 4,9 NS % 15 HU Juill 3 23,26 30,3
25 y ae {abam -9°52/ 23 53,50 4.0 Be 138 49,2 4 23,36 278
25 20,81 Dh, Moi 22 315,66 28”,3 MoscnS CS 1,5 FE 13,99 51,5 6 sil 30,1
Moyenne 20,85 57,6 [Juin une Sel ar Moyenne 13,98 51,7 Moyeune 23,28 29,7
300 7» à
89 x Vence. 14 cu nl FETES 8 Perire OuRse I. 4 SERPENT.
21 1:77 0,1
téhatm 720 | # At 274 Ra nee. 1ab51m 474047" ee +080
Mai zx 215,04 60!/,5 |*ut. 1, 21,9 [Juin 24 0°,07 Eve 1,3 Juill 7 49,52 19”;,9
12 920,92 64,6 4 31,48 28,5 | 26 0,80 a 135,88 re 8 49,62 192
22 20,98 63,2 5 31,61 26,3 (Juil. 5 0,80 Févr. 1 01983 08,0 17 4949 207
Îjuin 7 20,95 64,2 | Moyenne 35,62 27,6 | Moyenne 0,76 2 14,00 48,6 | Moyenne 49,54 19,9
85
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année.
5 SERPENT. æ COURONNE,
45bj{m +2°21! 15h28m 427014"
Juin 7 18,23 47/,2 [Juin 7 2°,42 46",0
13 18,07 47,9 13 2,58 44,0
21 18,13 47,9 21 2,57 45,2
23 18,36 49,1 220421561499
24 18,31 89 24 2,53 46,1
Luill. 3 18,14 48,5 |. 26. 2,61 47,5
18,10 47,1 [Juill 3 2,62 45,7
6 18,22 44,6 4 2,68 44,5
6 . 2,76
Moyenne 18,19 47,6 8 2 64
“ ; 16 2,63
6 SERPENT He. 430
15h15m 4197! 18 2,62 45,0
Juill. 7 2°,80 20/,1 26 2,54 45,0
8 2,86 19,7 [Août 1 2,53 44,9
16 2,59 21,4 7 2,30 48,9
17 2,73 20,9 8 2,39 48,9
cb 2,67 18,8 12 2,39 NE
0,2 2 2,50 4 ’
Moyenne 2,73 20, 3 T° AE
SERPENT. Sept. 22 2,55 44,9
Lee 23 2,59 44,1
15b4gm 44507! [Oct. 2 2,59 43,1
Juin 7 56/,3 3 2,46 5o,2
13 57°,42 54,8 4 2,53, 47,2
21 Da 58,3 14 2,46 47,3
23 59,44 60,6 19 2,46 47,1
24 57,34 58,3 [Nov. 20 2,51 44,6
Juill. 3 57,26 5g;r 22 2,b2 43,9
4 57,44 57,3 25 2,55 46,8
6 5ys2r 57,0 Moyenne 2,53 45,9
Moyenne 57,36 57,7
42 y Barance.
9 SERPENT.
15h48m 415°58 nl
M 15958" | Juill. 0,78 14/
uill. 7 30°,68 5g/,5 x o 6 Fe
5 30,82 58,2 18 o,89 ds
16 30,56 57,0 26 0,18 14,0
17 30,52 57,0 M = =
18 30,64 57,6 oyenne 0,70 14,1
26 30,67 58,3
Août 1 3o,70 58,3 œ SERPENT.
Moyenne 30,66
58,0
10 SERPENT.
15b20m 42093
Juin 7 2°,66
13 2,62
26 2,74
Juill. 3 2,75
4 2,82
6 2,84
29/,5
2714
Moyenne 2,74
15h56m +6°55/
Janv. 12 32°,36 241,4
Juin 7 32,32 922,1
13 32,16 21,7
21 32,29 21,5
23 32,43 24,4
24 32,30 . 22,7
26 32,34
Juill. 3 32,25 20,3
4 32,39 21,3
6 32,42 20,6
7 32,43
æ SERPENT (suite).
15h36m 46°55/
Juill. 26 32°,23
Août # 32,35
7 32,15, 26/,0
8 32,24 23,3
9 32,12 24,3
12 32,33 20,1
200, 82,21 2132
29 32,25 22,0
3 32,23 Ep:
Sept. 2 32,27 20,
22 32,20 23,4
23 32,29 20,1
Oct. 2. 32,45 18,4
3 32,30 21,1
4 32,32 23,7
14 32,34 24,3
19 32,28 20,6
20 32,24 18,2
Nov. 22 32,32 27,1
25 32,3x 25,4
Moyenne 32,30 22,2
35 x SERPENT.
15ba1m +18°37!
Juill. 7 40°,54 441,8
16 40,72 51,
26 40,49 45,9
29 4o,k1 47%
Août 1 4o,60 46,4
7 4o,31 50,6
8 4o,kr 51,
9 40,35 bo,5
12 40,36 449
Moyenne 40,47
34 w SERPENT.
45bA9n 49040"
Juin 225,08 431,2
13 22,05 41,6
21 22,25 41,6
24 22,29 44,6
26 922,20 41,7
Juill, 4 22,24 414
6 22,23 41,1
Moyenne 22,19 42,2
47 Barance.
15b45m 18054!
Juill. 16 56,45 53,5
17. 56,44 55,5
18 56,35 59,4
Moyenne 56,41 56,1
(1817) Senpenr.
15bA7m 42046
Juin 7 39°,38 29",
13 39,52 ré
21 39,63 25,7
24 28,7
26 39,61 25,0
Juill. 3 39,53 28,5
6 39,69 26,9
Moyenne 39,56 27,1
44 x SERPENI.
15b55m 423044
Juill. 16 32°,12 34/,9
17 032,131 33,8
18 32,19 35,0
26 32,2, 34,6
29 32,18 37,5
Août 1 32,30 38,3
7 32,01 33,8
8 32,18 35,7
9 32,24 34,8
12 32,16 35,0
Moyenne 32,17 35,3
43 SERPENT.
15b56m 45095’
Juin 7 o',or 20/,
13 0,00 18,
21 Oo,14 21,6
24 19,1
26 o,04 20,8
Juill 3 o,21 206
4 o,21 18,0
Moyenne 0,10 19,9
47 SERPENT.
16b0r +8057!
Juin 7 53°,79 20/,
13 53,98 15,5
21 54,07 138
24 54,12 15,6
26 53,92 16,1
Juill 3 54,11 15,7
4 54,06 15,1
16 54,08
17 53,
18 53 84
26 54,00
29 _ 53,79
16,0
Moyenne 53,98 16
(XV. 283) Prazzr.
46b{m +992!
Juin 26 25,92
Juillet 3 3,10
4 3,00
16 2,98 3/,8
171. 92,090 2,8
15 2,78 4,9
26 2,90 0,2
Moyenne 2,34 2,9
(1861) Sconpron.
16b7m -19°12/
Juin 7 48,83 21/,4
13 48,76 33,2
21 49,00 35,8
24 49,02 32,7
26 48,98 34,0
Juill. 3 48,79 32,9
Moyenne 48,91 33,5
(1865) Scorpion.
16h8m -5°55!
Juill. 7 40,22 36,6
16 40,17 36,6
18 4o,1g 39,2
26 40,14 39,8
29 4o,04 35,5
Août 1 4o,ir 37,4
Moyenne 40,14 37,5
5a ç SERPENT.
16b4am +024"
Juin 13 19,252 plbt
21-0%7;boi May
24, 7,57 9.6
26 7,29 7,6
Juill. 3 7,47 339
41 7:53 207,2
Moyenne 7,43 6,7
4 d Oriucuus.
16b{am -19°359"
Juill. 7 B55°,44
18 55,4: 56,6
29 55,23 56,8
Août 1 55,44 55,6
7 55,40 56,6
8 55,40 55,3
Moyenne 55,39 56,2
22
86
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 4° Janvier de cette année.
——————— 0
œ SCORPION. (1908) Sconp1on (suite). 26 x OrPniucaus. « Hercuze (suite). 33 Scorriox (suite).
46h419m -26e4" 16b35m -28°12! 46h50 47b7m H4°50 47b45m -2405/
Juin 7 475,33 43/9 [Juin 26 11°,29 38/,8 [Juin 26 32°,84 Juill. 16 29°,50 21/,1 [Août 14 30°,75 441,3
13 47:15 44,3 (Juill. 18 11,57 48,3 (Juill. 16 32,87 18 29,31 24 30,76
21 47,34 Août 2 11,59 44,4 17 32,74 26 29,49 20,7 25 30,83
24 47,39 40 PE EN 18 32,77 29 29,43 226 | y 3 3.8
26 47,29 3x De AT ve lu 26 32,88 Août 1 29,32 207 Fyene SpEE
Juill. 7 47,25 42, 29 32,88 7 29,25 20,2 À
a ve 138 ANONYME, Août 32,66 12 gt 248 44 b Ormivenus.
. 29 4743 40 16h55m 456°50/ 12 32,79 14 2939 23,0 47b46m -9404!
Aoùt 1 His (as Juill. 29 26°,53 Moyenne 32,80 17 29 23,4 (Juill. 18 4724
5 En RSR ET MED 23 Le CAE
? 949 CORPION. Fa Aoùût # 10
12 vire Moyenne 26,53 (1949) S 29 LE . F F7 32/0
14 47,45 46,6 16h55m 20046! 30 29199 2 7 UE ;
24 fr ne ARPREMR de . 27-539 aa,x |SePt: Fe AE RS 8 4743
= +1 ; É , ,
28 47,31 16h37m +5çoa8/ |" 18 2758 a 4 29,47 23,3 13 de
30 47,48 Juill, 26 28°,60 25/,2 26 27:38 “ie 5 29,43 24,1 N. Lee £
Sept. 2 47,63 46,2 29 28,70 21, 2 5 . 7 29,44 26,9 L Le
7 4h74o 463 Août 1 28,66 23,0 |Août 9 2750 a 8 29,49 23,0 25 Hpag 328)
8 47,29 42,3 Moyenne 28,65 FR 14 27,5 10 11 20,45 22,5 Moyenne 47:19 31,6
; 7199 ;
Ka o es ee Moon EEE EL 21 2945 19,6 k
ct. 7:49 1 NU re » 22 20,41 21,7 « OParucus.
5 47,53 46,1 23 29,3
6 4755 base Docoir (1959) OPxivcuus. |Oct. 13 sn3S 24,0 . 17b27m +12040!
14 47,40 40,9 lJui s 1 17 29,38 25,7 [Janv. 1 3903 4o!/,2
ne ca 13% qua ni nn 33",5 RTE ie v.. 23 29,52 D 2 38,90 44
24 47,24 43, e uin 2 782 4,6 24 29,47 24, 29 38,92 40,1
DE Si ro Et TOI 16793 56 [Nor. 2 agées 286 |révr Ÿ 3885 Lo
RD ECTS é s 1 79 7011 olr 008 [Muin 21 38.68 42,6
Mérenne pig 44,5 à QU LS ET à OT Lu M D TIR
12 Orniucaus. y ARE 1 29 7175 34 0 Août 1 38,92 39,9
à sy Août 1 7:79 6,9 PAUCHRES 5 3891 4b,r
* 16h28m -1959 22 OpPniucuus. 12) 788 5,9 7 38,04
Juin 7 6,79 5,4 14 7:84 9,7 17h{2m -24050! 8 39,06 39,4
13 6,80 D,2 16045m -25°14'| Moyenne 7,86 6,4 [Sept 1 225,58 16",3 17 38,97 41,7
: Ë 2 3 7 14
Juill. 16 :87 Le re 5e ss LE . n ie ne 21 NE #.
17 ,80 33 (Juill. x 21, 22,33 18,2 25 39,04 38,
OT PE 151 T Re SAIE 22 Onmpeps PATES 8 3805 38
Août 1 6,83 26 21,95 59,4 Rp one 7 22,44 16,4 29 38,99 39,1
8 Ggo 5, A Ne Re SunRe 8 2226 170 A es
Moyenne 6,84 58 [Août 1 2180 52 |. 16 413 de” A HE AU 3899
M car.87 56% ï 21029: 19, 2 97
(XVI. 139) Prazzi. CRE | 69 "à os 1" 22 22,23 1751 4 38,93
20024676 n3 lama 166 5 388 43,8
16h50m 456021/| (1939) Ormivcnus. 29 3,83 42,9 TT 38. 0 r
MI 26 Bang s Août 12 3,85 Moyenne 22,36 17,0 A 28 85
20 5231 3878 16h50m -24°50'| Moyenne 3,91 44 | ;
9 52,31 : £ 6 . . Y 19 47 11 38,98
Août 1 D2,3r 41,4 pe #- 21,14 504 33 Sconriox. 19 38,88
LORS cures uill. É 1 e a HERCULE. : 21 3898 1%
? 47b45m -2495/ 22 9,1 o
(1908) Scorpion. . HE Fe 47h7m 414954! |Jnill. 18 30°,78 39/,7 23 38,93 4x8
Se Se ; 219 3 6 « Janv. 2 29,36 20/6 29 30,46 42,4 [Oct. # 39,01 43,r
Ê 16h35m -28°49 2 21,2 0, 29 29:34 24,7 |Août 1 3044 41,3 13 38,95 4x4
J s "g [Août 1: 55,4 & : è
uin 7 11°,39 38/,8 5% 30 29,45 22, 7 30,63 46,9 17 38,89 40,6
13 11,40 44,1 12 21,29 54,0 |Févr. 1 29,30 21,5 8 31,02 48,4 21 39,02 40,0
24 11,56 39,7 | Moyenne 21,23 55,2 'Juin 26 29,34 24,1 12 30,80 23 38,90 40,4
87
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année.
x Orpæiucuus (suite). 63 3 Ormucnus (suite).
17h27m 419010!
24 38°,gr 41",n
Nov. » 38,98 44,6
3 38,97 41,2
22 39,10 42,1
47hA5m 491050!
Août 28 14°,38 64,8
29 14,52 6o,1
30 14,40 59,3
Moyenne 14,59 62,1
Moyenne 38,93 41,3
7 Dracox S.
85 : Hercuze. 17h39m 451930"
_, [Janv. 1 57°,62 38,8
47h55m 41695! 2 57,93 36,1
Sept. 1 2°,44 29/,5 4 57,86 3g,r
2 2,12 32,0 29 58,08 31,9
4 2,28 29,4 |Févr. x 57,88 39,1
5 214 31,9 [Juin 2x 58,17 34,0
7 2,92 28,0 |Juill, 17 58,05 31,5
8 2,22 2954 26 58,rr 34,5
11. 2,31 36,2 29 57,94 35,8
21 2,34 2951 [Août *à BB: 39,0
de 7 57:99
23 2,33 36,8 8 57,80
Moyenne 2,28 31,3 14 58,00
NU a
2 0 ,
62 y Orxiucnus. 25 584 330
: sai 27 58,o1 33,8
La A 28 57:93 37,9
uill. 17 1927 12,7 29 57,05 39,2
26 1,21 14,9 30 57,75 39,6
29 1931 14,6 Sept. 1 57,83 33,9
Août 5 118 179 4 57,66 32,9
7 1,92 13,9
8 1,52 12,6 ? cp 36
14 1,21 10,4 11 57,84 |
21 1:23 10,9 15 57,73 36,1
24 1,11 13,2 19 57,86 31,3
25 1,45 15,5 20 57,74
28 1,43 11,1 21 57,93 32,7
29 1,41 14,9 22 57,92 35,7
30 1,23 14,0 |Oct. 4 57,5r 38,4
Moyenne 1,29 13,2 5 57,81 36,7
17 57,89 35,3
63 z Opmiucaus. 21 58,05 34,3
Nov. 3 57,68 36,0
17h45 24050" 22 57,90 33,6
will. 17 145,36 58/,9 | Moyenne 57,88 35,7
25 14,21 59,9
29 34,38 6o,4 y Dracon I.
Août 1 14,43 62,2
5 14,35 60,7 17b59m 451050!
7 314,42 63,9 |Janv. 31 575,60 33",9
8 14,52 64,0 |[Févr. 1 57,82 31,3
14 14,36 63,8 2 b8,2r 34,3
21 14,47 62,9 [Mars 10 57,55 29,6
24 14,24 61,2 11 57,49 3044
25 14,44 66,8 13 57,40 32,4
y Pracox I (suite).
47h52m 454930"
Mars 16 57°,63
17 57,39
18 57,45 29,5
Moyenne 57,62 31,6
(XVII. 368) Prazzr.
17b59m 48°52/
Sept. 4 20°,76
5 920,51
7 20,71
8 20,66
11 20,72
19 20,50 9,7
Moyenne 20,64 9,7
71 S' Orxiucaus.
17b59m 48015!
Août 29 47°,93 2007
30 738 6,0
Sept. 1 47,93 5,8
2 48,03 2,9
5 a 4,3
777 78
7 48,03 6,3
8 4788 48
11 4604 437
15 47,87 5,3
21 48,07
22 47,98 6,1
23, 47,94 49
Moyenne 47,95 5,4
72 S? Oruivcuus.
17b59m +9052/
Juill. 17 54°,46 43,7
26 54,51 41,8
29 54,43 43,6
Août 1 54,54 4o,4
5 54,22 41,9
8 5443 479
14 54,39 39,
17 54,30
24 54,31
25 54,58
26 54,65
27 54,36
Moyenne 54,43 42,7
(XVIT. 376) Prazzr.
18b0m 49028"
Juill. 17 35,72
26 3,55
29 3,51
(XVIL. 376) Prazzr (suite).
18l0m 419998"
Août 1 3,60
5 3,60
8 3,57
14 3,61
17 3,58 441,8
24 3,49 43,3
25 3,74 43,4
26 3,75 46,3
27 3,66 43,3
Moyenne 3,61 44,2
14 SAGITTAIRE.
48bqm -21041"
Juill. 17 49,98 60,2
26 49,88 61,0
29 5o,or 64,2
Août 1 5o,oo 58,7
5 5o,0o
14 5o;og 59,3
17 on 673
25 5o,12 63,2
26 5o,2r 58,0
27 5o,05 6o,2
Moyenne 50,04 61,0
16 SAGITTAIRE.
18h5m -20°25"
Août 29 52,52 44!,2
30 52,44 44,6
Sept. 1 52,64 46,8
2 D2,b7 45,7
4 52,59 43,3
5 52,39 47,5
7 2,45 45,2
8 52,44 46,8
11 52,46 44,3
15 b2,46 43,9
21 b2,41 47,9
22 Db2,56 44,7
Moyenne 52,49 45,4
} SAGITTAIRE.
18b18m -95°30/
Sept. 2 17,13 13/,6
4 16,98 12,1
5 16,84 8,0
16,73 12,3
à #6 1134
11 16,78 10,2
12 16,87 13,8
15 16,79 11,2
18 17,23 15,1
19 16,97 13,8
20 16,79 14,4
À SAGITTAIRE (suite).
Sept.
Moyenne 16,87
18h{8m -25°50'|
16,71 15//,7
16,79 11,2
21
22
12,2
a Lyre.
18h51m 458°58/
Janv. 3 37°,38 241,8
Févr. 10 37,34 25,2
20 37,28 28,8
Mars 10 37,51 29,6
Juin 21 37,34 28,9
Juill. 17 37,39 28,0
18 37,41 27,6
26 37,58 27,0
29 3744 20,9
Août 1 37,50 26,8
5 E 31,0
39 31,6
8:37 30
12 37,46 31,3
17 37,29
21 37,15
24 37,31 31,8
25 37,12 30,2
26 37,42 31,2
27 37,15 28,5
28 37,40 29,9
29 37,28 29,0
Sept. 1 37,12 25,2
2 37,39 29,6
4 37,25 30,3
5 37,34 28,6
7 37,31 30,9
8 37,35 31,0
11 37,43
12 37,48 27,5
16 37,33 29,5
18 37,45 278
19 37,39 28;1
20 37,14 24,1
21 37,47 23,7
22: 37,34 : 27,9
23 37,38 28,8
Oct. 4 37,3% 31,4
5 37:29, 277
6 37,32 28,3
13 37,28 27,0
14 37,39 29,2
21 es 374
23 37,20 32,9
24 37,26 31,3
Nov. 3 37,12 27,3
22 37,33 27,8
Déc. 9 37,35 27,6
Moyenne 37,34 28,7 |
88
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1*° Janvier de cette année.
TC PE PR EE PR —
27 SAGITTAIRE.
18h55n -2708/
ANoNyme (suite).
18b4im -20028'
a SAGITTAIRE (suite).
48bA5m -26029"
ANowyue (suite).
18b51m 52047/
40 + Sacrrratre (suite).
18057m -27°55!
Sept. 2 5o°,g2 45",3 [Août 1 40°,95 Sept. 19 31°,9 12/,0 |Sept. 1 42,74 Sept. 11 7,95 43,6
4 50,82 49,0 5 40,98 200. 31,53: 12,5 2 La 67 ÿ 12 7898 Le
5 de 45,6 = 40,b7 21 SEE 13,4 7 42,81 60,8 15: 47,97 42%
7150) 472 26 41,19 537 31; 12,9 8 42,65 53,3 Ë
8 50,5 bg 27 4xot 23 31,55 15,9 = 42175 cu Moyenne 7,99 41,3
ES
] ’ 1 , 2, »7
15 50,73 42,6 Sept. 4 41:07 18,3 G2 SEnrexT. 19 42,64 52,1 19b3m -24054/|
18 Dr,or br,2 5 4o,g2 18,2 20 42,58 Août 25 4°,9r 441,8 |
19 50,78 50,3 7 41:01 16,7 18h47m 46°95/ 21 42,66 26 re 457
21 en 48,0 8 rot. 23,8 |Juil. 17 48°,05 25”,9 22 42,58 27 488 478
MT EU D en] Oodint él raie Se
2 04 ; , ; 2 18 23, 30 5,00 44,0
Moyenne 50,75 47,2 | Moyenne 40,95 19,2 . 29 48,11 27,0 NRC! ! 31 4,98 46,2
Août 1 48,05 21,2 Sept 1 5,22 46,8
(RVIIL. 175) Praz. ANONYME. 5 48,24 23,3 {8h53 452°5a 2 504 43,5
=. 4glhaim -°0298/ Sept. 11 48,31 22,4 Sept. 7 125,70 4 5,06 43,5
Lee -20026 Aloe 7 4 Mr 12 48,26 20,6 8 12,76 11 5,00 48,4
Aoùt 5 Ex 8 54 Moyenne 48,17 22,9 11 12,64 Moyenne 5,03 45,7
Z Et 30 12 47,95 12 12,63
“: 3319 se 24 SE ANONYME. 15 12,70 20 B Aicze.
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> ri 20,9 27 47,33 48b51m +352°42" 4 504 17,6 19hbAm -8044!
à = 2 28 47,65 Août 21 8°,60 21 12,62 12,8 (Juill. 16 9,61 50/,9 |
a so 2 29 4754 24 8,46 9"; 22 12,24 18,8 17 9,45 49,9 |
22 rh 2150 [Sept. 4 47,70 25 8,51 9,7 [Oct #4 12,35 16,1 18 9,56 49,9
28 33,47 18, 15 4735 366 6 825 14 Reese 56 251 486 |
FA 7 Moyenne 12,57 16,3 9 ;
29 Shét 2021 19 4744 35,8 27. B44, 106 29 940 515
Moyenne 33,32 21,3 20 47,32 37,3 2 8,51 13,3 3 Août 1 9,45 50,6
27 4750 38,3 29 8,45 13,3 9aSagErrnE. 7 9:67 53;2|
29 r SAGITTAIRE. 22 47,53 33,6 30 8,72 13,3 ce me. 8 9,63 494 |
23 47,39 36,8 31 8,50 12,9 : RSS E Se 9 9:72 Sr |
4630 202" | 6 enne 47,46 36,4. SÉph: 2 8,72 15,6 AE VE nero Moyenne 55 51,1 |
Juill. 17 21,01 51,7 LA {” 4 208,93 13,2 8 16,26 57,7 Y EL SE
18 20,92 55,1 B Lyee. 7 8,75 9 16,59 6,1
26 20,87 55,5 Re Hot 8 8,58 24 1 Fe ER ANONYME.
5a 44m 8,6 2 10,10 :
Août # os STE Août 21 17,10 62/,1 15 875 27 16,33 56,8 19b6m 410022"
5 20,92 53,3 24 1718. 55,4 19 8,68 28 16,47 544 |Sept- 12 3725/5079
7 ar! 54.8 25 17,16 60,6 20 8,62 31 16,35 56,5 19. 37:1 56,4
Bars À 26 17:15 62,3 21 8,64 Sept. 1 16,46 58,5 21 37:27 EC
12 16.0 28 16,91 60,1 22 8,58 2 16,4: 59,3 Oct. " 272 £ .
24 208 28 17,21 57,7. Moyenne 16,34 58,0 TETE
2 21,00 29 17:19 62,0 an MEN r J Moyenne 37,26 51,5
CNE: 3 30 17,08 58,2
È 8 31 17,08 59,0 ANONYME. ho + SAGITTAIRE. Fer
27 X0 Û ONYME.
Moyenne 20,97 D3,5 SE c'que 50.6 48h51m +32047' 18h57m 27055" 3 J
7:09 9» AG ar 425,72 Juill. 16 85,05 4o!,7 49b6m 111026
ANONYME. Moyenne 17,11 59,7 24 42,72 17 8,03 4o,2 Août 26 PT als |
À 25, 42,6 18 98 39, 2 77
ighaim -20°28" 7 SACITTAIRE. 26 128) 26 se oi 28 56,83 46,2 |
Juill. 17 40$,73 48h15m -26099/ 27 42,65 Août 1 7,89 4,1 31 56,92 51,0
18 40,86 Août 7 31°,62 14/,6 28 42,73 5 _7,9b Sept. 1 56,85 352,7
26 40,79 8 31,73 13,8 29 42,57 24) 7:97 : 41,5 2 56,79 Sr |
29 40,89 Sept 15 31,42 15,5 | 30 42,70 Sept. 8 8,04 40,8 | Moyenne 56,85 49,0
89
Positions moyennes des éloiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année.
ANONYME. 48 y? Sacirraire (suite).|55 e* Sacrrrarre (suite). AIcce (suite). æ AIGLE (suite).
X ) ( 7
19b8m 4110177 49b45m 24042" 19b53m -16°29/ 19b38m +10°14 19ha5m +8°27!
Juill. 26 11°,03 Sept. 19 49,74 Sept. 1 32°,21 15/,r [Août 24 47°,64 2",9 [Août 9 7,55 23,8
29 10,91 20: 49,77 54!, 20 32,19: 14,2 27 47,83 5,9 12, 107552002000
Août 1 re 29;/7 24 49,64 493 4 nn re 28 47:85 54 24 7 7e
7 10,84 M e49,77 52,0. 7 32,16 :3,9 2047-70 72 2 7 27;
3 1101 33,2 HEDPMSTT 920 8 31,90 14,0 30 Ly7a 72 28 7133 26,8
28 11,16 PA 11 32,04 13,1 (Sept. 7 47,78 44 29 7,48 26,1
Mctéror ag PE 19 32,05 16,1 8 47,72 5,0 30, 7,40 28,1
J ? 1 ;
Aob2im 1°58/ 20 31,90 16,3 12 49376 26 | 31 743 25,9
25 w' AIGLE. Juill. 16 4,55 2,0 | Moyenne 32,07 15,0 19 2e 5 Sept. n % Me
1 4.5 2,5 N 22 É Pr,
19b40m +11018/ 18 ne o,1 ANONYME. Déc, Fr Fe 73 ë he. me
uill, 16 26° 521,3 [Août 24 4,60 1,4 8 177 , 1 78 mn
26. 6a 56, ere 03 19h54n, 11055" RES s' 7 5
18 x. 5 4 Oct 13 Lio 4 Sept. 23 11°,09 52/8 Moyenne 47,74 3,8 a 7:38
1 20,74 97,1 e de ? 1 ‘ 759% 243
à 1 ce Moyenne 4,01 1,9 2 me EE ee AeoRem 3 dr née
1/ “ 9
Août 1 26,70 54,7 (2276) Sacirraire. i 2 AE 4 19h39m 1905! a 7:31 27:9
7 26,92 Û 11,2 2,6 Sept 233956 51.2 Oct. 14 07,3b, 29;2
8" 26,88 19h21m -21038" $ PE. ee 24 1356 7 LOGE EE IE
9 26,99 56,5 Sept. = 34,78 2!",2 ; / D - 8 Oct. 3 13,59 8,9 19 7:23 291
27 26,83 57,7 en at 14 10,94 48,0 Le 20 7331 2737
31 26,92 APE 1 Moyenne 11,10 53,1 5 136 6& 21, 07,201 26,5
Moyenne 34 2 D b
ept. 1 26,91 56,4 y 34,69 »3 6 13,65 A 23 7,40 25,6
2 26,87 58,6 s (XIX. 261) Prazzr. 13 1348 te : de
Moyenne 26,84 56,2 (XIX. 152) Prazzr. Ge Nov. 3 7,30 26,7
49b57m 45009" vers
149b25m 44 °A1! Oct. 17 385,62 47,6 Moyenne 13,60 6,7 |Déc. 4 734 24,2 |
47 y" Sacrrrume. Juill. 16 , 42 FAUSB SG 402 À S 7:29 28,3
49h{5m 24098" ‘& 8°,77 ge 20 38,75 418 NORMES 31 7:09 24,1
2 02 6
uill. 16 42°,68 271,1 [Août " 890 TÉ 22 . HA 49b42m 419°59" Moyenne 7:36 26,4
17 42,78 28, F 0 LABS 2 , 21 lOct. 2 49,78 29/,8
9 gi 15, 24 3842 49,0 LRO à
18 42,89 32,9 | y a Ba IN 2 0 3 49,58 20,6 G Aucre.
SE 4 4956 42,0
Août 1 42,82 27,8 Moyenne 38,60 48,3 5 49,55 42,r 49hA7m 4604!
9 ts 31,9 39 x Aicre. 6 49,53 40,2 [Mars 16 35,87 1,7
2 2,85 31,0 Aicre. SCALE TN 17. 35,99 00;2
a 43,04 27,0 np Tu È moese ne 409 3 36e 3,9 |
| 3r 43,01 Sept. 2 26°,80 18”,3 49h38m 410014" ere Juin 21 36,01 38
Sept. 1 43,09 7 2669 20,2 |janv. 29 4767 3,9 Juill. 16 35,83 3,0
| Moyenne 42,91 29,0 8 26,59 18,5 "30 47,67 19b43m 48027 17 35,90 4,7
11 26,49 191 31 47,79 3,1 (Janv. 29 7,23 26",8 18 36,13 1,8
| 19 26,60 21,1 Févr. 1 47,85 30 745 23,5 26 36,09
48 y? Sacirraine. 20, 26,55 17,1 |Mtars 15 L7;72 31 7:37 25,2 [Août 1 35,9) 2,5
ORDER 16,0 16 4784 3,7 |Févr. 1 729 28,1 7 3605 6,2
| 19k15m -24°12’ | Moyenne 26,60 18,9 18 47,67 Mars 15 7,28 3 36,31 8,6
Août 24 49,71 19 47,56 4,2 16 7:22 274 9 36,11 78
28 49,94 55e? Sacrrrame. [Juin 21 47,68 7,2 17 7:43 25,9 12 36,03 5,8
| 31 49,99 56,2 Juill, 18 4790 1,1 18 7:28 24 35,99 7,0
Sept. 1 5o,o7 46,6 49b53m —16029/ 26 47,60 2,5 19 7:24 25 30 ROSE
2 49,52 2,7 Août 7 31,97 16/,2 [Août 1 47,64 3,5 Juill. 17 7:15 27 36,01 6,3
4 49,85 50,6 8 en 7 47:72 30 18 7:40 28 36,10 8,r
7 49.60 52,» 9 32,16 16,9 8 48,00 6,0 26 7,37 26,3 29 36,11 6,6
8 49,73 51,0 24 31,89 13,3 9 47:87 2,7 [Août 1 7:28 26,6 30 36,07 9,0
15 49,76 54,5 28 32,15 144 12 4778 48 8 7:59 26,0 3r 36,22 6,8
23
90
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année.
G Aicze (suite).
49ba7m +6°1/
Sept. 1 36,13 7,9
2 36,14 8,0
7 36,410 7,7
8M96,180016,7
11 36,13 6,5
15 36,05 7,8
20 36,11 5,9
Oct. 2 35,76 7:7
3 35,97 3,9
4 36,06 4,1
5 35,92 6,1
6 56,09 3,2
13 36,17 44
14 35,96 10,3
17 35,84 64
19 36,06 10,3
20 35,98 9,4
21 35,96 5,9
23 36,02 74
24 36,03 4,5
Nov. 3 36,14 2,6
22 36,00 10,9
Déc. 8 36,02 6,1
Moyenne 36,04 6,2
ANONYME.
49b5am -1°2
Sept. 8 40°,0/4
11 39,96
Oct. 2 39,87 22/,5
3 39,94 21,9
5 39,88 26,3
6 40,15 19,9
13 59,89 26,5
Moyenne 39,95 23,4
62 Aiczre.
19h56m -1°8"
Juill. 16 17°,58 34/,4
Août 1 17,60 35,1
7 17,81 35,
8 17:92 37,8
28 17,80 34,5
Sept. 1 17.89, 33,3
217377. 91
7 17:83 34,2
8 17:76 36,6
IL
Moyenne 17,77 35,4
1 Ët CaPriCORNE.
20h35m -12°51/
Juil. 16 15°,42 20/,5
Août 1 15,37 16,1
7 15,58 16,6
17574 35,4
1 Ë: CapricORNE (suite).
20h35m -12054!
Août 28 15°,54 19/,0 |[Oct. 17 56,47 21/,8
Sept 4 15,72 18; 19 56,35 20,4
11 15,45 17,6 21 56,40
19 15,66 14,0 22 56,38
20 15,52 15,8 23 56,45
Oct. 2 1,59 15,0 24 56,42
3 15,55 Nov. 3 56,58°
k el 1e? Moyenne 56,46 22,3
19, 1
Moyenne 15,55 16,5 œ? CAPRICORNE.
20b9m -1304/
2 Ë2 Capricorne. Mrs ee
ogu5m -4304 (Juill. 16 20,19
Oct. 33 40,80 24/,4 PS 2016
14 4o,75 21,5 7 es
17 40,60 23,7 1 2035
19 40,60 24,4 ASC
20 40,60 24,21 Sept 4 20,40
21 4o,63 26,8 11 20,93
22 40,68 27,6 qu) AE
23 4o,53 25,3 : 29 sat
24 Lo,43 25,6 [Oct = 209
= —— 20
Moyenne 40,62 24,8 17 2025
19 20,1
3 CaPrICORNE. 7 =.
21 20,40 37,0
20b7m
22 20,22 41,2
Sept. 20 40°,88 23 AE: 37:9
Oct. 2 40,95 24 20,32 37,8
3 40,97 Nov. 3 20,38 41,5
£ fs Moyenne 20,30 39,1
Moyenne 40,99
œ' CAPRICORNE.
20hgm -12°59/
Juill. 21 56°,40 22",9
Juill. 16 56,44 22,9
Août 1 56,40 21,6
7 36,50 23,3
14 56,54
28 56,45 23,3
Sept. #4 56,56 24,0
11 56,35 20,9
19 56,49 18,2
20 56,44 21,4
Oct. 2 56,44 22,8
3 56,39 23,2
4 56,63 21,r
5 56,54 24,7
6 56,54 23,9
13 56,41 26%
14 56,45 18,7
œ* CAPRIGORNE (suite).
20hg8m 12059!
B2 CarriCoRNE.
20h42m 15046!
10 æ CAPRICORNE (suite).
20b18m 19043"
Sept. 4 1979 207,7
8 19,72 15,0
19 1978 19:9
20 19,00 20,b
Oct. 2 19,76 21,5
3 19,65 22,6
4 19,79 20,9
5 19,75 20,6
Moyenne 19,72 20,0
ANONYME.
20h18m +19°22"
Oct. 14 59,14 21,3
17 D9,12 19,6
13 59,16 He
20 59,21 17,3
21 59,09 20,0
22 b9,13 18,9
23 59,13 20,7
24 59,09 17,7
Moyenne 59,13 19,4
u CAPRICORNE.
20h25m -10°25/
Août 14 48°,07 8/,9
Sept. 4 48,16 g,o
8 48,08 8,5
19 4,8
20 48,03 5,8
Oct 3° 28;:5 45
4 4818 56
5 48,05 5,4
Moyenne 48,10 6,6
Oct. 2 119,15 21/,5 (2414) CAPRICORNE.
3 211,03 22,6 AA Net core
4 1V034 Si ts
? #4 |Oct. 6 275,26 24,8
5 11,14 26,2 je
6 ris 284 RCE oc
x + INov. 3 26,88 25,9
13 11,09 27,2 nr
14 11,02 18,8 | Moyenne 27,01 25,7
19 10,91 22,8
20 19,98 21,2 ANONYME.
22 HK1,02 22,1
; 1 20h27m +694
A OL x Er NS
24 10,96 24,5 PE De
Moyenne 11,05 23,6 29 4629 31,0
>) 3
10 æ CAPRICORNE. ps ur .
29h{gm 19045! 23 46,51 33,1
Août 14 19°,60 19/,9 24 46,52 31,9
28
19:78 18,9 Moÿenne 46,45 31,6 lOct. 2 5,12
13 +! CAPRICORNE.
20h28m 1541!
Août 14 32°,58 13/,8
Sept. 8 32,38 13,r
11 92,57 14,7
19 32,60 13,7
20 32,44 15,0
Oct. 3 32,64 15,2
4 32,63 11,7
5 32,60 :15;,r
Moyenne 52,55 14,0
70 H Auicze.
20b28m -305/
Oct. 6 33,04 251,5
14 32,94 18,7
Nov. 3 33,00 24,0
Moyenne 32,99 22,7 |
v CAPRICORNE.
20:51m 18041"
Sept. 8 6°,33 14,9 |
11 6,20 18,9
19 6,39 176
20 6,25 174
Oct. 2 6,52 18,7
3 6,36 16,1
4 6,45 13,5
5 6,62 16,8 |
Moyenne 6,39 16,7 |
a Cxone.
20h36m +44°45//|
Févr. 1 5,07 151,2 |
5,oq 19,8 |
be is 178
11 4,87 16,0
20 4,74 17,5
Mars 15 4,dx
18 4,78 16,3
29 4,b9 20,2
Juin 21 51h 17,3
Août 1 b,12 17,8
7 5,24 20,5
8 4,86 23,7
9 5,22
12 D,03 19,1
14 b,12 15,4
21 4,87 17»
Sept 8 b,o7 16,4
15 5,05
19 b,08 19,4
20 b,20 21,7
91
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année.
æ Cyoxe (suite).
Oct. 3 5,17
410510 22/,
5 4,92 20,6
60%b;1Er 21,7
1700D;251 17,2
19 5,20 20,4
20 b,o7 19,4
2x ,92
22 5,05
23 4,98 21,3
24. b,03 20,5
ÎNov. 3 5,or 19,4
ÎDéce. 31 5.08 15,6
18,9
ANONYME.
20h12m 13527!
6 p VERSEAU.
20b4am -9°54!
lAoùût 8 10°,85 4/92
g 10,83 8,8
14 1074 78
29 10,82 5,6
| 30 11,06 9,1
ISept. 1x 10,79 8,6
20 :10,89 4,4
23 10,92 4,2
Oct. 17 10,02
Le 19: 10,77
20 10,74
| 21 10,73
| Moyenne 10,83 6,6
|
| ANONYME.
l 20bh16m -9028/
Août 9 18°,70 28/,7
| 12 18,64 29,8
30. 18,73 do
20b56m 441045"
Moyenne 5,03
ÎOct. 22 1°,99 23/8
23 2,25 21,0
24 2,08 21,1
Nov. 3 2,22 22,0
227 0/00 21;0
Moyenne 2,19 21,8
ANONYME.
201413m -9°37!
Sept. 23 28°,41
lOct. 5 28,30 40,1
| 6 28,58 42,5
| Moyenne 28,43 41,3
ANONyue (suite).
20b16m -9098/
ANONYME.
3
22
Sept. 20 18°,55 39!,6 |Nov.
23 18,79 26,
Oct. 5
6 18,83 28,3
17 18,78 28,6
19 18,62 27,4
20 18,69 27,7
21 18,50 27,9 [Août 21
Moyenne 18,68 28,6
ANONYME.
20ha7m -15027 |Sept
Oct. 22 1°,03 51,3
23 A. 47:6 Oct
24 0,82 48,0
Nov. 3 1,26 46,7
Moyenne 1,06 48,4
(2483) Perir Cuevar.
20h49n 45035/
Août 29 56°,66 34/6 30 15,22 58,8
30 56,84 35,6 Sept. 11 15,01 52,7
Sept. 11 56,69 3437 23 15,16 60,4
23 56,81 38,8 |oc« Pas 57.3
19627:
Oct. 6 56,83 34,2 19 15,19 56,8
19 56,67 38,6 ARE ET RCE ;
Moyenne 56,75 361! 7" 7”
1 : Perir Cuevar. Li Ho
20h51m 21h{m -1200!
Août 21 13,55 Oct. 21 2,15 16,5
29 13,66 2200a,1 208 1747
30 13,94 23 9,13 17,9
Sept. 11 13,94 24 2,12 18,5
23 13.84 Nov. 3 2,28 164
Oct. 6 13,87 RL, 14,2
19 13,77 Déc. 3 ‘2,15 16,4
Moyenne 15,79 Moyenne 2,20 16,8
AxoNyur. 5 y Perrr CurvaL.
20b35m 415°27/ M 0
Oct. 24 23,01 12/4 23 FAN
Nue 3 cr A: Août 12 42°,5o 8,6
22 22,98 10,8 14 #. 6,7
— 21 4, 11,0
Moyenne 23,03 11,9 24 La 38 64
(XX. 423) Prazzr. : AE Lie
2 2,50 ;
20h53m 12048! 30 42,59 3,7
Oet. 21 25°,47 26",6 |Oct. 4 42,49
22 25,50 29,9 5 42,46
23.125,57; .24,h 19 42,67
Moyenne 25,51 27,0 | Moyenne 42,49 7,1
20b55m 415035!
26°,5x
26,76
18,69 29 Moyenne 26,63
3 € Perir CuevaL.
20h56m +1952!
455,53 581,8
45,45
45,54
45,76
45,48
45,55
45,64
45,50
Moyenne 45,56
ANONYME.
59,3
20b59m +1°18!
15,09 56/,6
6 Perir Cuevaz.
21b2m 49024
Août 12 53°,63 Oct. 21 49°,
14 53,56 22 Bo 8 PALAIS
21 53,43 23 49,90 20,0
24 53,39 24 49,90 18,3 |
28 53,72 Nov. 3 49,84 20,8
29 33,65 22 49,49 18,0
30 53,74 27 49,67 16,1
Oct. #4 53,55 42!,1 [Déc 3 49,80 18,2 |
5 es AE 8 49,93 16,0
be me 34 Moyenne 49,85 19,6
Moyenne 53,57 4
7 9 Perir Cuevar.
Mars 12 40,63 14/2
24b6m 4929 |? SR
Août 9 5oto 217,8 ['" É Pts ‘36
12 30,03 27,7 ;
14 Do,i2 92,2 PR ns re ch
21 bo,o5 21,8 23 4970 2
24 50,07 23,9 Oct. 7: 49,60 :
28 50,29 21,9 2 49,68 18,
29 50,22 22,9 3 49,63 17,4
30 5o,23 21,1 5 L82 à
Moyenne 50,14 22,9 Moyenne 49:67 14,7 |
œ CÉPuée S.
21b{am 461955"
Janv. 4 49,68
Févr. 1 49,72
10 49,66
117 49,63
20 49,73
Mars 18 196
19 49,65
29 49,22
31 49,65
Avrii 2 49,63
4 4967
Juin 21 50,27
Août 1 50,08
7 50,04
12 49,04
14 Dbo,28
17 50,24
21 bo,o2
24 49,88
Sept. 19 50,08
20 bo,03
Oct. 2 49,57
4 49,82
5 49,78
6 49,63
19 50,23
a CérufE S. (suite),
21h4am 461055!
1,0 er
+" œ CÉPuéE I.
21b{Am 461955!
ANONYME.
|
21h25m -10°95!
19730 Sept: 8 10°,05 34/1
19,7 pt 10°,05 34/',0
21,1 11 10,13 30,9
22,1 19 10,11 41,4
20,2 20 10,06
0,8 [Oct 2 10,06 38,8
3 10,15 38,8
19,2 ?
% 5 10,01 40,8
20,7 6 10,17 37.9
19 _ 995 39
21,2 | Moyenne 10,07 38,8 |
23,2 B VERSEAU.
14 21h95m -çost
16,4 Nov. 27 17,60 30/,0
Le Déc. 3 17,25 33,1
33.2 Moyenne 17,42 31,5
18,5
18,/ (XXE 273) Prazzr.
21b25m 469048!
21,7 [Août 9 18°,75 43/,1
18,9 24 18,29 46,7
172 i 25 18,62 48,1
92
Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année.
(XXI. 173) Psazzi (suite).| à Capricorne (suite). Q Verseau. ANONYME. 13 AnpromÈpE (suite).
21h25 469048! 924h58m —16°50" 99Lgm -8035/ 23h6r -10032! 25h49m 4+42°2/
Août 29 18,25 51,4 [Oct. 13 215,99 12/44 [Nov. 27 32,75 45,6 |Oct. 5 30°,37 Déc., 2 34,62 53,17
30 18,44 5o,8 [Nov. 3 22,20 11,8 [Déc. 3 32,57 46,3 6 30,58 3 34,32 br
Nov. 22 18,00 44,6 22 22,20 Fe 8 32,52 47,4 20 _. 6 34,27 52,0
58,300 474 | 27 22,19 18, TE 7 21 30,3 8 34,40 54,
D en do LE 2: 21,90 17,2 Moreno Se Nov. 26 30 42 9 3738 Fe
G Cépnée S. Moyenne 22,11 13,8 ANONYME. 27 30,56 5 M 2
à ? ; mie oyenne 34,41 5x
21126m 469752’ 9246m 102142! se É —- _ £ * F
Févr. 12 17/4 (XXI. 276)Puzz. | SDL eu 2 oyenne 50,45 28,2 Aer
Avril 4 365,66 20,5 se Dee A
É 6 42,39 34,3 y Poissons.
Août 7? EE 1719 21bAtm 16055! 19 41,94 36,7 23h21m 0P 17"
di 24,4 (Octt 5 4716 vont |Dée g "42,00" 40,4" 23h9m 42025" [Oct G 53°63 56/,3
2 4713 14,4 : Oct. 5 1,50 31/4 14 53,62 55,0
24 37,27 25,9 T »+ | Moyenne 42,14 35,8 d
RM mi 19 47:12 14,1 6 1,79 33,0 20 53,61 54,8
à 2H Nov. 3 4714 15 PRES 20 1,79 28,8 21 53,60 54,8
30 3708 22 4727 181 206 TE JUpUDée.. Des
Oct. 22 37,29 17,3 Moyenne 47,16 16,5 22h56m 411024 NE s TR ns Ê en Se
Nov. 22 36,86 21,1 Janv. 17 56°,55 371,3 Déc “À L 68 304 9 245
‘ D Sr L 1) ,
Déc. 8 SA 19,8 PR PAT : 56,79 4 d'MEGS SCG Moyenne 53,58
Moyenne 37,02 20,2 EN 1 8 1,62 33,9
Avril 13 56,63 40,0 F6r 33,0 Âkorsee
R Grenier. 21b49m 416956" 14 56,54 38,5 Er rs a
Nov. 3 34,11 1/2 19 56,80 Moyenne 1,68 51,9 ME
nas gros | as 8 168 | 27 5643 42,9 Où TE
Mars 12 36,41 20/,5 26 34,or 16,1 Sept. 26 56,55 36,4 ANONYME. ct. 2704 451,2
Avril 7 36,83 15,6 27 S4y2x 16,1 [Oct. 5 56,71 37,5 14 “is He
Juill 4 36,52 13,3 Déc. 3 33,99 17,4 6 56,62 36,9 25h15m —10944 2° ni ne
5 36,55 13,6 8 33,91 14,1 19 56,71 39;7 Oct. 5 85,52 421,5 53 de #87
Sept. 20 36,71 17,3 DRE LE 56,68 35,8 6 8,52 45,2 ; 9 ,
P e 36,69 8 Moyenne 34,07 15,9 = 56,69 L0,9 Be sas La, [Nov 26 26,86 46,7
23 36,39 15,4 22 56,64 37,2 21 8,17 l18 et pUgeS HE
Oct. 1 36,355 30 VERSEAU. 23 56,71 39,6 [Nov. 26 8,29 51,6 Déc. 3 Fu ds
2 36,83 17,6 Nov. 26 56,64 42,8 27, 8,57 494 ? 1
3 36,67 174 3 27 56,68 43,6 [Déc 2 8,33 47,5 6 26,82 49,0
21h55m -7016 ; ! 8 26,82 4b
36 D 56,66 41,6 3 8,27 45 , À
Moyenne 36,59 16,5 Nov. 27. 0,81 44/,3 éc. = 5 108 = ne 12 9 26,81 44,9
Déc. 3 ‘o64 45, 49 41 AT
ANONYME. 8 oki 42,3 8 56,45 45,3 9 #24 46,6 Moyenne 26,91 .46,9
94h31m =11046/| Mo er rer at 9 15666: 41530 Moyenne 8,3r 45,9
Sept. 8 to 43/,0 À ET) 19 m Poissons.
“$ 1,29 52,8 NERSEAN. a SR x" Porssons.
19 147 484 > SAR 4028: 25h58m 42056"
| 20 1,41 d4h57m -{09 23b4m 1025 [Oct. 5 5$ 8 Zor Oct. 6 22°,37
5 23bam — 98 47/,2
Oct. 2 1e 4ars Janv. 4 435,14 521,5 Oct. 5 47,51 211,6 6 53,36 43,9 14 22,24
6 Re Ko Avril 2 43,15 54,5 6 472 4x 14 52,98 45,6 2% mn 88
S VE 4 7 13 43,06 52,0 20 47,33 22,2 20 b2,90 43,1 PIRE 3 86e
9 , 99 14 42,99 48,3 21 47,38 23,1 or 53,19 45,7 23 2e É F
Moyenne 1,4 49,6 [Oct 2 43,07 47,0 [Nov. 26 47,37 22,8 "1 -INov. 26 22,1 1,
HYA 4 8 É EU »%5 | Moyenne 53,08 45,1 [née 2 22,20 57,5
à CapriCORNE. 4 IT D 2e Poe Ne Ne 3 22,13 59,6
À »20 47,2 |Déc. 2 47,78 24,0 13 ANDROMÈDE. 6" 02:16 2978
21h5gm -160501[Nôv. 3 43,04 47,0 3 47,71 26, 8 Late DA
Août g 22,08 12/,2 22 43,24 46,5 8 47,45 22,8 23h{49m 44202" 9 148 50
Oct. 5 22,03 12,5 26 43,14 51,2 9 _47:39 Nov. 26 34,37 5o/,r ER —
6 22,21 13,3 | Moyenne 43,14 49,6 | Moyenne 47,47 23,3 27 34,53 51,0 | Moyenne 22,25 57,9
93
Positions moyennes des éloiles observées pendant" l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année.
ANONYME SULV.
25baam
5 415,18
ni rai
20 41,02
21. 41:25
23 41,50
2 41,47
3 41,02
Oct.
Déc.
8 4o,8g
Moyenne 41,20
ANONYME.
23b46m
Moyenne 59,06
-10°26
211,6
0,5
BE D OR C++
RC TEE a
Ce]
:
L|o+ © I
B
»
w Poissons.
25b51m
155,33
15,43
15,07
15,13
13,28
1h11
15,2
rs
15,09
Moyenne 15,21
ANONYME.
25h57m
tv.
13 28,14
Moyenne 28,04
Oct.
45959/
34,6
-10°29"
8,'9
99 Nov.
94
a Perire Ours P.S.
Nombre
+88°28' d'observat.
3 24,8 1
23,7
5 26,6
26,6
27,2
26,6
24,1
22,7
23,2
Janv.
25
31
Févr. 1
2
8
Mars
I
I
I
I
I
I
I
1
I
1
I
I
I
I
1
I
1
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I
I
I
I
€
Li
L
1
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I
4
5
5
3
5
5
5
5
5
L
5
5
a Perire Ours P. S.
(suite).
Nombre
+88°28' d'observat.
Déc. 3 23/00
62150
8 19,3
DT AE
Moyenne 23,5
I
I
4
a Perire Ourse P. I.
Avril 14 16/,2
Mai 1 19,5
SES
15,9
GT OT OT OÙ Or O7 Gr OT UT Où UT OÙ Ur OT O7 V7 O1 EN UE UN O7 EU F= D GIFS OO VIH COM mt = me M mt me
a Perire Ours P. I.
(suite).
Nombre
d'observat.
151,2
14,4
19,0
14,5
16,6
16,1
147
14,6
17,0
15,3
16,2
15,8
15,4
16,0
15,3
149
15,9
15,2
Août 25
26
17,2
15,3
15,0
15,6
1797
22,9
22,6
16,8
13,6
18,0
19,8
es
18,7
1757
19,0
20,8
21,1
D b D D D D mm
D M O D OR m OU I QUI+
DUO GUERRES CE ES QE D D GER GOUWR GE 01
D D
© Qt
Moyenne 16,3
à Perire Ourse
+86°35"
Mars 10 38/,1
Juill. 17 40,3
18 38,9
26 39,1
29 41,9
Ù
2,1
Du
D OTO QTO m QC m
7 ui
12 39,8
a PeriTe Ounse S.
(uite).
Nombre
+86°55' d'observat.
Août 14 35,9 2
24. 3
25
27
28
I
19
20
21
5
6
14
7
21
24
22
JON MRRNUI D CON CO D mm ©Q9 ©)
Nov.
Moyenne 39,4
à Perire Ouese P. I.
486035
Janv. 17 35,
3 30
33,9
31,0
35,1
32,8
Févr.
Mars
FFE D HD He ei Det Det Det et Det Det Det mt Det Det ND De Det el et jet
Moyenne 33,0
24
94
Comparaison des positions observées des étoiles fondamentales avec les positions tirées des Éphémerides de Berlin.
4 É L NOMBRE e ci ù .| NOMBRE 2
NOM DES ETOILES. PROPRES “ee : & OBS.—EPH. Fe er pe des OBS. — EPH.
4er Janvier 1845. OBSERVATIONS. 4er Janvier 1845. OBSERVAT.
LA 7 à ' 'OTEMT
æ« Petite Ourse à : EEE ; FRE 5 ; se
EN POE TS , 1
9 Petite Ourse { É È he Ppus An “ F *.
Loos » > — 2;
: + PIS. Ter 74.47.5x,7 23 + 3,0 14.51.13,98 25 + 0,10
B, Petite Ourse { PATES 46,2 15 _ ME 1 ,72 14 = ce
NOR NN { < ; SHÈDE ee 10 + 1,6 Pt 12 + Le
k FERRER SA 1 — 2,1 59 10 — 0,0
æ« Grande Ourse P. S..... 62.35.5240 18 + sf 10.53.59,21 22 + 0,16
1 f P. S...…. 1.55.19,6 29 + 2, 21.14.49,85 35 + 0,14
œ Céphée..... \ È 1 tie ne 6 ë en : Lo57 _ ook
RD ORNE Secret: -40.01 2# + 1,0 0.91.90,0 2 — 0,0
7 DEEE AIS de de 28,0 5 - 23 38,10 9 - 0,03
y Grande Ourse P. S..... 54.34. 4,4 35 + 9,1 11./5.32,72 40 — 0,13
IV { à re cs 0 + ee Map " + cos
LET ÉRSS ti À — 2, ,62 =}
n Grande Ourse........... 5o. 5.57,6 39 + 1,9 13.41.20,85 45 — 0,08
GIRErSCE eee remet e 49:17.479 17 + 0,6 3.13. 8,70 20 — 0,09
ATCOGNER EE ee bee ete 5. 5. 6,05 30 + 0,05
DACYEDER- cer peseee 44.43.18,9 8 + 0,9 20.36. 5,03 34 + 0,20
Ͼ Lyre.................. 38.38.28,7 44 + 2,0 18.31.37,34 48 - 0,08
œ2 Gémeaux RS DR 32.13.31,7 21 — 2,6 7-24-34,32 31 + 0,17
B Taureau DER die nel its 28.28. 3,2 30 AIS 5.16.22,23 31 _- 0,05
æ Gémeaux. .............. 28.23.56,7 30 - 19 7-35.41,99 38 + 0,03
æ Andromède,..........., 28.13.22, 13 — 1,9 0. 0.16,96 18 + 0,02
æ Couronne .............. 27-14.45,9 27 — 2,2 15.98. 2,53 30 + 0,05
æ Bélier.................. 22,43. 0,0 15 — 0,7 3.58.20,11 16 + 0,04
MUPBOUVIEL er eme ee Eeileie 20, 0. 7,0 29 — 1,8 14. 8.30,11 36 + 0,01
æ Taureau................ 16.11.14,6 34 — 2,0 4.26.55,ot 36 — 0,01
(CGT A, POS MOTOS 1 RD OD re 26 + — 22 11.41. 2,79 34 + 0,02
œ Hercule SOS AA SET 14.34.22,8 30 — 2,6 17. 729141 33 — 0,03
« Pégase DC AS ROBES LEE 14:21.59,8 20 2,5 22.56.56,64 21 0,00
? Pégase nee es oo vite she ses à 14.18.35,8 20 0 0, LA 9,46 A1 _ 0,04.
æ Lion.................. 12.43.53,6 23 — 132 10. 0. 0,24 27 + 0,01
œ Ophiuchus ABUS 0 20 Dre 12.40.41,3 25 — 3,5 17.27.38,93 36 + 0,12
y Aigle. ................. 10.13. 3,8 25 — 1,7 -19.38.47,74 2 — 0,02
œ Aigle SRE CAO TOIE 8.27.26,4 38 49 19.43. 726 44 + 0,01
a Orion te Se ER SNS 7-22-16,1 36 — 2,5 5.46.40,36 4x - 0,02
æ Serpent. .... .......... 6.55.22,2 27 ta 15.36.32,30 3 — 0,04
B Mae So SAIT oo es 6. 1. 6,2 42 — 0 19.47.36,04 43 — 0,08
a eut MIEN 5 « ss.» ol, e 5.37.18,9 39 + o,b 7.31. 4:72 4o = 0,09
æ Baleine................ 3.28.10,1 12 0,0 2.54. 4,63 15 — 0,07
B Vierge TROIS Bi To T 0 + 2.38.59,9 1 + 3,1 11.42.30,99 2 + 0,01
AAVIENSEADE cel Re CE = 14.49 10 — 0,2 21.57.43,14 10 + 0,06
a Hydre................. 7-58.54,0 26 — 09 9-19.52,24 27 + 0,03
6 pese SSD E 0 DAC D 0 8.25.10,3 CE — 1,2 ÿ. b.59,60 39 — 0,05
at el de
a Possenssessotss 12 99 22, 1 = 1,2 20. 5. 2 — 0,02
a? Sas LADA CS Dodo d 12: 1.39,1 5 24 0,7 sacs 2 _ ae
grsbalance eee 14.42. 0,7 — 0,0
pe aUatais he ain ns res 15.23. 9,9 11 — 2,1 DENTAT 15 — 0,09
æ Grand Chien............ 16.30.22,2 34. — 0,9 6.38.13,86 39 + 0,22
œ Scorpion....... DRE — 26. 4.44,3 22 = 3,6 16.19.4739 28 — 0,06
Observations d’occultations d'étoiles par la Lune dans l’année 1843.
Les instants sont donnés en temps sidéral de Genève; l’erreur de la pendule a été déter-
minée par les observations de M. Bruderer. Les initiales P. et B. indiquent les observations
qui ont été faites par moi et par M. Bruderer.
NN. ". (144) Gémeaux ©: . . : . . © Imm. bord obscur 7*54" 3°,12 B.
HAMAES 0 670 ION PRE en Lee Le. Imm. bord obscur 13 2 3,00 »
Emer. bord éclairé 14 8 55,23
7 Avril. . . * Gémeaux 4R 7'8"; 9+21°2' Imm. bord obscur 9°49"13°,54 P.
» » » » »16,04 B.
DEV, 0 (GT) BA VIERGE ET 0. ne Imm. bord obscur 10 4 0,93 P.
DD 1,33 00
Pont... -:Jx7POISSONS. 4-2 mn eue Imm. bord éclairé 1914 1,50 »
» » Emer. bord obscur 20 24 29,87 »
» GxAPOISSONS AE. MATE et Imm. bord éclairé 1929 25,70 »
» » Emer. bord obscur 20 7 38,35 »
AAVAOUE 7202 el BÉBERS. ee Wen Due Imm. bord éclairé 20 46 8,91 P.
Emer. bord obscur 2143 2,00 »
6 Octobre. . 19 m Poissons. . . .. . . .. Imm. bord obscur 23 46 12,93 B.
Emer. bord éclairé 1 7 18,06 »
Page D,
Page 5,
Ibid.
Page 8,
Page 13,
Page 15,
Page 20,
Page 23,
Page 25,
Ibid.
Page 27,
Page 28,
Page 29,
Page 30,
Page 33,
Page 34,
Ibid.
Page 37,
Ibid.
Page 38,
Page 39,
Page 40,
Ibid.
Page 41,
Page 42;
Ibid.
Page 45,
Page 50,
PAL HiSN27
ERRATA. "
pour « Cygne, la Correction de la Pendule est — 85°,06 au lieu de — 85',80.
pour B Céphéel; la Moyenne des Verniers est 248°35’7!,0 an lieu de 238°35' 7".
pour 102 « Taureau, la Correction de l’Instrument est 0°,37 au lieu de 0°,32; pour la même étoile, la
Moyenne des Verniers est 337°23/45/,2, au lieu de 347°23'45/,2; enfin la Réfraction est + 26/!,7 au
lieu de 40/,1.
pour 102 4 Taureau, la Correction de l’Instrument est 0°,37 au lieu de 0°,32; et la Réfraction est + 26/,4
au lieu de 39,7.
ligne 3, pour B Aigle, la Moyenne des Verniers est 352°44'12/,2 au lieu de 352°4'12/,2.
ligne 9, on a pris une autre étoile pour 15 n Vierge.
la déclinaison de (1383) Vierge est erronée.
les déclinaisons de 58 d Lion, 65 p= Lion, gx v Lion du 22 Mai sont de 10/! trop faibles.
pour (1861) Scorpion, le passage conclu au fil méridien est 16"7m05,61 au lieu de 16h7m05,31r.
pour & Scorpion, le passage conclu au fil méridien est 16h18"595,62 au lieu de 16" 19mb9,62.
pour (1817) Serpent, le passage conclu au fil méridien est 15"46m21°,99 au lieu de 15h46m22°,19.
ligne 3 d'en bas, pour 89 x Vierge, la Moyenne des Verniers est 16°5/46/,5 au lieu de 15°5/46/,5.
pour (1939) et 26 x Ophiuchus, il faut ajouter une minute à l'ascension droite.
pour & Serpent, le passage conclu au fil méridien est 16*13m26°,19 au lieu de 16h13"M26°,39.
pour l'Observation de 9 Serpent du 8 Juillet, la Moyenne des Verniers est 342°46/ 44! ,0 au lieu de
342°44"44l,0.
ligne 8, pour 47 y: Sagittaire, il faut ajouter 3 minutes à l'ascension droite.
ligne 2 d’en bas, lisez (XVII 376) Piazzi au de (XVII 375) Piazri.
ligne 19, même correction.
pour 14 Sagittaire, le passage conclu au fil méridien est 18°4®28°,05 au lieu de 18°428,45.
ligne 16, lisez (XVIL 376) Piazzi au lieu de (XVII 375) Piazzi.
ligne 18, mème correction.
ligne 18, même correction.
ligne 22, lisez (XVIII 175) Piazzi au lieu de (XVIIL 180) Piazzi.
ligne 14, on a pris une autre étoile pour (2276) Sagittaire.
ligne 16, on a pris une autre étoile pour (2276) Sagittaire.
ligne 18, l'ascension droite de e? Sagittaire est erronée.
pour 5 y Petit Cheval, le passage conclu au fil méridien est 21"1m30°,33 au lieu de 21b130",72.
pour à y Petit Cheval, le passage conclu au fil méridien est 21h1®14",74 au lieu de 21P1m4",74.
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TABLE DES MATIÈRES
CONTÈNUES DANS LA SECONDE PARTIE |
DU DIXIÈME VOLUME.
Mémoire sur le Daltonisme, par M. Elie Wartmann ...................
Mémoire sur les hautes eaux du lac Léman, par M. le colonel Dufour. . ...
Résultats des observations magnétiques faites à Genève dans les années 1842
et 14845, par M. E. Plantamour.............4...... RATS
Mémoire sur la famille des Primulacées, par M. J.-E. Duby . .........
Note sur les Convolvulacées du Brésil et sur le Marcellia, genre nouveau de
cette famille, par M. Choisy 50... ..., 4...
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