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Full text of "Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire Naturelle de Genève"

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MÉMOIRES 


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LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE ET D'HISTOIRE NATURELLE 


DE GENÈVE. 


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IMPRIMERIE DE JULES-G”° FICK, RUE DE LA CORRATERIE, 


MÉMOIRES 


DE 


LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE 


D'HISTOIRE NATURELLE 


DE GENÈVE. 





Tome Dixième. 


GENÈVE, 


LIBRAIRIE D'ABRAHAM CHERBULIEZ ET Ci, AU HAUT DE LA CITÉ. 


PARIS, 


MÈME MAISON, RUE DE TOURNON, 17. 


1843 







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NOTICES 


SUR 


Les Membres ordinaires de la Société de Physique et 
d'Histoire naturelle de Genève que cette Société a 
perdus de 1853 à 1842, 


RÉDIGÉES PAR 


M. le Professeur Gautier. 


—"S0— 


Depuis l’année 1832, époque de la dernière préface pu- 
bliée par notre Société, en tête du tome V de ses Mémoires, 
elle a eu à regretter la perte de sept de ses membres ordi- 
naires, ou résidant à Genève, savoir du Dr Berger en 1833, 
de M. l'ancien Syndic De la Rive en 1834, de MM. George 
Maurice et Pierre Prevosten 1839, de M. Pierre Huber en 1840, 
de MM. Vaucher et Augustin-Pyramus De Candolle en 1841. 


VI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


Quelque désireux que je fusse de retracer ici tous les ser- 
vices rendus aux sciences physiques et naturelles par ces ho- 
norables collègues, et de rappeler les qualités qui les distin- 
guaient, Je dois, pour me conformer à l'usage adopté dans ce 
recueil, me borner pour la plupart d’entre eux à une indication 
très-succincte, en renvoyant le plus souvent à des notices plus 
détaillées qui ont été publiées ailleurs. 


Jean-Francois Brreër naquit à Genève le 22 juin 1719. 
Son père était horloger. Le jeune Berger fit des études litté- 
raires et scientifiques soignées dans sa patrie, et s’y lia inti- 
mément avec André Jurine, fils cadet de notre savant collègue 
le Dr Jurine. Celui-ci s’intéressa dès lors particulièrement à ce 
jeune homme, et encouragea le développement de son goût 
prononcé pour les diverses branches de l'histoire naturelle. 
Berger fit déjà dans les étés de 1800 à 18092 des courses scien- 
tifiques dans les montagnes de la Savoie voisines de Genève, 
pour y mesurer les hauteurs à l’aide du baromètre, y étudier 
la nature et y recueillir ses diverses productions. Il fit aussi, 
au printemps de 1802, un voyage du même genre en Auvergne, 
avec le célèbre géologue Léopold de Buch, ainsi qu'avec 
André Jurine. Il se rendit ensuite à Paris avec ce dernier, 
pour y faire en même temps que lui des études de médecine. 
Berger fut reçu Docteur en 1805, après avoir soutenu une 
thèse et subi quatre examens, dans lesquels il fit preuve d’un 
savoir aussi solide qu'étendu. Sa thèse, qu'il dédia aux Doc- 
teurs Jurine, Odier et De la Roche, est un mémoire d'environ 
90 pages in-°, ayant pour titre: Essai physiologique sur la 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. VII 
cause de l'asphyæie par submersion. C’est le résultat d'études 
approfondies et d’un grand nombre d'expériences nouvelles 
faites par l’auteur, sur les circonstances qui accompagnent la 
mort des animaux, qui périssent soit par submersion, soit 
pour avoir été renfermés dans des vases clos ou plongés dans 
des gaz délétères, et sur l'analyse eudiométrique de l'air expiré 
par eux. M. Berger, après avoir établi que dans ces divers cas 
les cadavres des animaux présentent les mêmes apparences, 
en conclut que la cause de mort est aussi la même, et qu’elle 
consiste dans la suspension de la respiration, produite par un 
changement de milieu qui fait que la respiration ne peut plus 
s’entretenir. Dans le cas des noyés, l’eau introduite dans les 
poumons devient une cause secondaire d’asphyxie, mais la 
cause principale est l’altération de l'air dans la poitrine de 
l'animal. Cette cause de mort avait été indiquée depuis long- 
temps, mais Berger paraît être le premier qui l'ait prouvée par 
expérience. 

Il s’occupa à Paris, vers la même époque, avec M. François 
De la Roche, d’une autre série d'expériences physiologiques, 
sur les effets qu’une forte chaleur produit dans l’économie 
animale, dont ce dernier fit l’objet de sa thèse de Docteur en 
médecine, soutenue le 22 janvier 1806, et formant un mémoire 
in-4° de 90 pages. MM. Berger et De la Roche se soumirent, 
pendant le cours de ces expériences, à des températures très- 
élevées, soit dans une petite étuve sèche où ils étaient forcés 
de rester immobiles, soit dans un bain de vapeur aqueuse où 
se trouvait tout leur corps; et ils se pesaient avant et après 
chaque expérience, pour déterminer ce qu'ils avaient perdu 


VII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


par l'effet de la transpiration. Dans l'expérience qui porte le 
n° 21 dans ce mémoire, Berger s’exposa dans l'étuve pendant 
sept minutes à une température de ST° !, à 86° de l'échelle 
de Réaumur. Dans une autre expérience du même genre, ils 
restèrent l’un et l’autre pendant plus d’une heure à une tem- 
pérature de 49 à 580. Ils ne supportèrent pas dans un bain 
de vapeur aqueuse une chaleur de plus de 45°. Pour chercher 
à empêcher l'effet de l'évaporation à la surface de la peau, ils 
essayèrent, pendant le cours de leurs expériences dans l’étuve 
sèche, de s’enduire tout le corps, sauf la tête, les mains et les 
pieds, d’un vernis à l'esprit de vin. Ils n’en furent pas parti- 
culièrement incommodés, l'évaporation ayant lieu tout de 
même à travers les parties non couvertes ou intérieures, et la 
perte de poids de leur corps, provenant de cette cause, étant 
aussi considérable qu'elle l’eut été sans ce vernis. On comprend 
facilement combien des expériences de ce genre doivent être 
pénibles, et il est à craindre qu'elles n'aient eu une très- 
fâcheuse influence sur la constitution physique des deux 
jeunes savants qui les ont faites, dont le second, qui était 
aussi Genevois, est mort peu d'années après, au grand regret 
des amis des sciences. De la Roche en revenant sur le même 
sujet, dans un mémoire Sur la cause du refroidissement qu'on 
observe chez les animaux exposés à une forte chaleur, qu'il lut 
à la fre Classe de l'Institut le 6 novembre 1809, et qui a été 
publié dans le tome LXXI du Journal. de Physique de De la 
Métherie, répète que les nombreuses expériences dont il parle 
ont été faites en commun avec son ami M. le D: Berger. 

Ce dernier revint en Suisse en 1806, et y fit quelques 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. IX 


courses géologiques dans les montagnes du Valais, avec 
M. William Maclure. Il publia, vers cette époque, dans le 
tome LXIV du Journal de Physique, deux mémoires sur les 
hauteurs de divers lieux déterminées par lui à l’aide du baro- 
mètre, soit dans les voyages dont j'ai déjà parlé, soit dans 
une excursion en Picardie et en Normandie qu'il fit en 1805 
avec ses amis Jurine et De la Roche. Il a calculé toutes les 
hauteurs d’après les formules de De Luc et de Trembley. 
Celles des montagnes de la Savoie qui font l'objet du second 
mémoire sont celles qui sont déterminées avec le plus de soins, 
et M. Alphonse De Candolle en a fait usage dans son Æypso- 
métrie des environs de Genève. Berger a fait précéder, dans ces 
mémoires, les tableaux de hauteurs de descriptions succinctes 
fort bien faites des nombreuses localités auxquelles elles se 
rapportent, en y parlant de la nature du sol et des produc- 
tions minérales et végétales qui les caractérisent. Ces descrip- 
tions donnent une idée très-avantageuse de l'étendue de con- 
naissances de l’auteur, de la netteté de son esprit et de son 
talent d'observation. 

Le Dr Berger se rendit ensuite en Angleterre, et y fut 
admis, le 26 juin 1809, à la pratique de la médecine au Col- 
lége de Londres. Il fit aussi cette année-là, avec notre collè- 
gue M. le Prof. Louis Necker, un voyage dans le Devonshire 
et le Cornouailles, dont il présenta les résultats à la Société 
géologique de Londres, dans un mémoire de 110 pages in-4° 
sur la structure physique de ces contrées, publié en anglais en 
1811, d’après une traduction faite sur le manuscrit français, 
dans le tome Je des Transactions de cette Société. Ce mé- 


TOM. X, 1° PARTIE. Il 


X NOTICES SUR LES MEMBRES ORDIN AIRES 


moire est terminé par une table de hauteurs de divers points 
au-dessus de la mer, résultant d'observations faites par l’auteur 
avec un baromètre portatif de la construction d'Englefield. 

Berger fut chargé par le Conseil de la Sooïété géologique, 
dont notre compatriote le Dr Marcet faisait alors partie, d'exé- 
cuter aux frais de cette Société d’autres voyages dans diverses 
parties des îles Britanniques, qui ont été successivement pu- 
bliés dans ses Transactions. Le premier volume renferme de 
lui, outre le mémoire que je viens de mentionner, une Esquisse 
de la géologie de quelques parties du Hampshire et du Dor- 
setshire. Le tome Il, publié en 1814, renferme un Compte- 
rendu minéralogique sur l'ile de Man, accompagné d’une carte 
géologique et de diverses sections de cette île, ainsi que de 
tables de hauteurs résultant d'observations barométriques. Le 
troisième volume, qui a paru en 1816, renferme encore un 
petit mémoire de Berger Sur les filons pierreux (Dykes) obser- 
vés au nord de l'Irlande, et un mémoire plus étendu, rédigé 
d'après ses notes, sur la structure géologique du nord-est de 
l'Irlande, accompagné d’une introduction et de remarques du 
Rev. W. Conybeare. Une analyse de ces deux derniers mé- 
moires, traduite de Edinburgh Review, et dans laquelle on 
en parle d'une manière très-avantageuse, a paru en 1818 dans 
les tomes VIT et VIII de la Bibl. Univ. 

Le Dr Berger était revenu s'établir à Genève peu de temps 
après la restauration de notre République. Le Conseil d'Etat 
provisoire Fadmit, le 12 août 1814, sur la demande qu'il lui 
en adressa, à pratiquer la médecine à Genève, en motivant 
sa décision sur ce qu'il s'était fait distinguer par ses talents 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XI 


et par la bonté de ses études. IL s’adonna dès lors d'une ma- 
nière assidue et régulière à la pratique de la médecine à Ge- 
nève, et c'est probablement pour cela qu'on ne trouve plus 
depuis cette époque, à ma connaissance du moins, de mé- 
moires scientifiques publiés par lui. Mais il n’en poursuivit 
pas moins des travaux de ce genre, et il a laissé un assez 
grand nombre de manuscrits, dont la majeure partie a été 
acquise par M. Marin, qui a bien voulu les mettre à ma dis- 
position. Il s'y trouve, entr'autres, un très-gros registre de 
déterminations de hauteurs par le baromètre, dont une grande 
partie n’a pas été publiée. On voit dans d’autres manuscrits 
qu'il a compulsé toutes les observations météréologiques faites 
à Genève, afin d’en déduire des résultats moyens et diverses 
conséquences relatives à notre climat. Il a observé lui-même 
assidument pendant plusieurs années le baromètre et le ther- 
momètre à de certaines heures de la journée. 

Notre Société a publié après la mort du D Berger, dans les 
tomes VI et VII de sa Collection, un grand mémoire qu'il a 
laissé en manuscrit, et qui a pour titre : Faits relatifs à la 
construction d'une échelle des degrés de la chaleur animale. 
La première partie, comprenant une centaine de pages, est 
relative aux mammifères, la seconde, qui a 16 pages, se rap- 
porte aux ovipares. Ce travail est le résultat de recherches 
d’érudition tres-étendues et d’un grand nombre d’expériences 
faites par l’auteur, sur la chaleur propre de l'homme et des 
animaux, placés dans des circonstances et des climats divers. 

Le Dr Berger avait été reçu, en 1803, membre de la So- 
ciété des naturalistes de Genève, Société qui s'est réunie plus 


XI! NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 

tard avec la nôtre. Il fut reçu, en 1805, membre de la Société 
anatomique de Paris, en 1809, membre de la Faculté de Mé- 
decine et de la Société géologique de Londres. Il fut élu aussi 
en 1815 membre de la Société helvétique des Sciences natu- 
relles, en 1816, membre correspondant de la Société philo- 
mathique de Paris, et, en 1817, membre de la Société des 
naturalistes établie à Marburg. 

Berger avait de la droiture de caractère et beaucoup de qua- 
lités estimables. Il était fort zélé pour la science, très-labo- 
rieux et consciencieux dans tout ce qu'il faisait. Mais il était 
peut-être trop entier dans ses idées, et parfois ombrageux et 
irritable. 11 est probable que sa santé a été pour beaucoup 
dans ces dernières dispositions, qui ont eu une fächeuse in- 
fluence sur son bonheur. Il est mort à Genève le 5 juin 1833, 
en laissant une mémoire justement honorée par tous ceux qui 
ont pu apprécier les qualités, les talents et les vastes connais- 
sances dont il était doué ('). 


Charles-Gaspard Ds 1a Rive naquit à Genève le 14 mars 
1710. Après y avoir fait ses premières études dans nos éta- 
blissements publics, il alla, en 179%, les continuer à Edim- 
bourg, où il fut reçu Docteur en médecine au bout de trois 





(4) Je suis entré dans quelques détails de plus sur le Dr BerGer que sur 
d'autres de nos collègues, parce que je ne crois pas qu'il ait paru ailleurs, du 
moins en langue française, de notice sur lui. C’est auprès de son beau-frère 
M. de Collogny et de MM. De Luc, Mayor et Marin, que j'ai puisé la plupart 


des renseignements dont j'avais besoin. 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XIII 


ans. Il se rendit ensuite à Londres, et y fut attaché pendant 
deux ans, comme médecin, à l’un des plus grands dispensaires 
de cette ville. Il revint à Genève en 1799, et s’y chargea peu 
de temps après de la direction de l'hospice des aliénés, qu'il 
conserva Jusqu'à la fin de sa vie; il y apporta les talents et 
l'humanité éclairée et généreuse, dont il donna constamment 
des preuves à tous ceux qui souffraient et qui faisaient appel 
à son dévouement. Attaché, en 1802, à l’Académie comme 
professeur de chimie-pharmaceutique, il y trouva une nou- 
velle occasion d’être utile à ses concitoyens; divers cours qu'il 
donna, accompagnés d'expériences intéressantes, développe- 
rent le goût de la science et des arts chez un bon nombre de 
ses auditeurs. Il se plaisait à encourager les artistes et les 
jeunes gens qui montraient des dispositions pour les études. 
Il coopéra activement à la rédaction de la Bibliothèque Britan- 
nique et de la Bibliothèque Universelle. L'amour de la na- 
tionalité genevoise, qu'il avait à un haut degré, lui fit 
accepter une charge qui n’était ni dans ses goûts, ni dans ses 
habitudes : il fit partie, en 1814, du Conseil provisoire qui 
restaura notre République. Il resta dans le Conseil pendant 
les deux années suivantes, et fut placé, en 1817, à la tête du 
Gouvernement comme premier Syndic. Voyant alors la tran- 
quillité et la liberté de son pays consolidées, il se retira des 
affaires politiques et reprit l’enseignement académique jus- 
qu'en 1829. Il fut recteur de l'Académie de 1823 à 1895. 
Les principaux travaux de M. De la Rive relatifs à la méde- 
cine, à la chimie et à la physique ont été insérés dans la Bibl. 
Brit. et la Bibl. Univ. surtout jusqu’en 1822. Il a aussi pu- 


XIV NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 

blié un mémoire dans le Journal de Physique (T. LV), et un 
autre dans les Annales de Chimie et de Physique (T. XX). 
Il lut en 1823 à notre Société, dont il fut toujours un des plus 
zélés soutiens, un mémoire intéressant sur des appareils de 
son invention pour mesurer l'intensité galvanique par ses 
effets calorifiques. et sur les résultats d'expériences faites avec 
ces instruments. Il lui communiqua aussi, en 1829, des re- 
cherches sur les vapeurs considérées comme conductrices du 
fluide électrique, et sur l'électricité atmosphérique en général. 
L'auteur voulait, avant de publier ces deux mémoires, les 
revoir et les compléter, quand la mort est venue le frapper, le 
18 mars 1854, et enlever à Genève un de ses plus dignes et 
de ses plus dévoués citoyens. Une notice sur sa vie et ses tra- 
vaux a paru dans le tome LV de la Bibl. Univ. 

M. De la Rive joignait à un tour d'esprit fin et piquant, la 
bonté qui fait aimer l'esprit, la simplicité qui met à l'aise et 
qui attire. Il a eu la satisfaction de voir son fils aîné suivre ses 
traces dans la carrière scientifique avec un succès dont il a pu 
jouir; l'héritage qu'il nous a laissé dans ses enfants n’est pas 
un des moindres services qu'il ait rendus à son pays. 


George Mavrice naquit à Genève le 15 août 1799, et y fit 
toutes ses études au Collége et à l'Académie avec un succès 
marqué. Îlles continua pendant quelque temps à Paris, et 
revint, en 1821, coopérer à la rédaction de la Bibl. Univ., 
dirigée alors par son père et par les deux frères Marc-Auguste 
et Charles Pictet. Il fut nommé en 1895 à la chaire de méca- 
nique et de physique générale dans l'Académie, qu'il a occu- 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XY 
pée Jusqu'à sa mort. Il avait été reçu l'année précédente 
membre de notre Société, et le tome LIT de sa Collection con- 
tient un mémoire de lui Sur les apparences visibles. I a pu- 
blié, en 1823, une dissertation Sur les premiers éléments de 
la théorie de la vision, et, en 1831, un discours Sur la me- 
sure du temps. Ces productions, ainsi que les nombreux arti- 
cles qu'il a rédigés pour la Bibl. Univ., se distinguent par la 
clarté, la précision et la justesse des idées, ainsi que par l'es- 
prit judicieux, calme et méthodique dont M. Maurice était 
doué à un degré peu ordinaire. Chargé en 1825, après la mort 
de Marc-Auguste Pictet, de diriger les observations météoro- 
logiques publiées dans la Bibl. Univ., il y introduisit plu- 
sieurs modifications avantageuses, et en donna, à diverses re- 
prises, des résumés intéressants, dont le dernier à été pu- 
blié en 1837. Déjà à cette époque la santé de M. Maurice était 
gravement altérée, et il fut obligé de faire des voyages pour 
chercher à l'améliorer. Il est mort à Nice le 14 Février 1839, 
à l’âge de 40 ans, ayant dans une carrière courte, maïs bien 
remplie, eu le bonheur de servir son pays de plusieurs ma- 
nières, avec dévouement et avec succès, pendant une des 
périodes les plus heureuses que la Providence aît accordées à 
Genève. Une notice biographique sur M. Maurice a été publiée 
dans le tome XX de la nouvelle série de la Bibl, Univ. 


Pierre Prevosr naquit à Genève le 3 mars 1751. Après y 
avoir fait des études académiques soignées, et dans lesquelles 
la théologie et le droit furent compris, il remplit pendant 
quelque temps les fonctions de précepteur dans deux familles 


XVI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 

en Hollande et à Paris, et publia dans cette dernière ville une 
traduction des tragédies d'Euripide. Il accepta, en 1780, les 
places de membre de l'Académie des Sciences de Berlin et de 
professeur de philosophie dans l'Académie des gentilshommes, 
qui lui furent offertes par le roi de Prusse Frédéric IL. Au 
nombre des mémoires de lui qui furent insérés à cette époque 
dans le Recueil de ceux de l'Académie de Berlin, il y en a deux 
(lus en 1785 et publiés dans le volume pour 1781) qui sont 
relatifs au mouvement de translation du soleil dans l'espace. 
C'était au moment même où Herschel avait commencé à s’oc- 
cuper de ce sujet; et M. Prevost a eu le mérite d'arriver à 
peu près aux mêmes résultats que lui relativement à la direc- 
tion de ce mouvement, en discutant avec sagacité les valeurs 
obtenues par Tobie Mayer relativement aux mouvements pro- 
pres de diverses étoiles. Ce travail de M. Prevost a été ho- 
norablement cité par MM. Argelander et Othon Struve dans 
leurs recherches récentes sur ce sujet. 

Rappelé à Genève en 1784, pour soigner son père malade, 
M. Prevost y accepta temporairement une chaire de professeur 
de belles-lettres; il obtint, en 1195, à la suite d'épreuves 
soutenues avec distinction, celle de professeur de philosophie, 
qu'il a occupée jusqu'en 1823, et dans laquelle il a rendu de 
grands services à l'Académie. Il entra en 1798 dans notre So- 
ciété, dont il a été jusqu’à un âge fort avancé l’un des mem- 
bres les plus assidus et les plus actifs. Il a enrichi notre collec- 
tion imprimée de sept mémoires, publiés dans les tomes I à 
VIL, et qui sont principalement relatifs à l'optique et au calo- 


rique. 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. "XVI 


Dès l’année 1791 , M. Prevost avait inséré dans le Journal 
de Physique un mémoire remarquable sur l'équilibre du feu; 
il fit paraître l'année suivante ses Recherches sur la chaleur, 
dans lesquelles il sut établir les principes et pressentir les lois 
que les expériences sont venues confirmer depuis. Il publia, 
en 1809, son ouvrage sur le Calorique rayonnant, et, en 1832, 
son Exposition des principes de la chaleur rayonnante, qui 
sont au nombre des ouvrages de physique les plus estimés. 
Il était membre correspondant de l'Institut de France et des 
Sociétés royales de Londres et d'Edimbourg. 

Je ne puis rapporter ici même les titres de tous les ouvrages, 
sur divers sujets, publiés par ce savant distingué si laborieux, 
dont les recherches portent l'empreinte de la sagacité, de la 
précision, de la clarté et de la méthode qui le caractérisaient. 
Je puis encore moins entrer dans le détail de sa vie publique 
et privée, si honorable, et que son caractère calme, doux et 
bienveillant a fort contribué à rendre heureuse. Notre Société 
a l’avantage de posséder déjà dans son sein l’un de ses petits- 
fils, qui a été reçu cette année Docteur ès Sciences physiques 
et naturelles dans l'Académie de Genève. Pierre Prevost a 
atteint l’âge de S8 ans et un mois, sans éprouver, jusque vers 
la fin de sa vie, presque aucune infirmité grave, ni ressentir 
d’altération notable dans ses facultés. Il est mort à Genève le 
8 avril 1839. M. le Professeur Antoine Cherbuliez a prononcé 
à la cérémonie des Promotions de la même année un discours 
sur sa vie et ses travaux, qui a été imprimé à part, et M. De 
Candolle le père a aussi publié sur lui une intéressante notice 


dans le tome XX de la Bibl. Univ. 


TOM. X, 1'° PARTIE. III 


XVIII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


Je m'étendrai un peu davantage sur Pierre Huber que sur 
nos autres collègues, soit parce que c’est un des membres de 
notre Société qui a fourni à sa collection imprimée le plus grand 
nombre de mémoires, soit parce qu'il n’a pas paru encore, à 
ma connaissance, de notice sur sa vie et ses écrits. Les détails 
où Je vais entrer sont puisés en très-grande partie dans des 
documents qui avaient été envoyés par M. de Guimps à 
M. De Candolle le père. Ce dernier avait déjà écrit, au com- 
mencement de 1841, la première page d’une notice sur Huber, 
son ami d'enfance, notice qui aurait eu pour nous un double 
intérêt : mais la maladie qui nous l'a enlevé l'a empêché de 
l'achever. 


Pierre Huser, né à Genève le 23 janvier 1771, fut de 
bonne heure porté à l'observation de la nature, soit par de 
fréquents séjours à la campagne. soit par l'exemple de son 
grand-père qui avait étudié les mœurs des oiseaux de proie, 
et surtout par celui de son père, Francois Huber, le célèbre 
observateur des abeilles et l'un des fondateurs de notre So- 
ciété, sur la vie duquel une notice a été publiée, en 1532, 
par M. De Candolle le père, dans le tome XLIX de la Bibl. 
Univ. 

La première production de Pierre Huber fut un mémoire 
sur les Bourdons velus, espèce d'insectes qui vivent en répu- 
blique. Ce mémoire fut imprimé en français et en anglais dans 
les Transactions de la Société Linnéenne de Londres, en mai 
1801, etil a été reproduit en 180% dans le tome XXV de la 
Bibl. Brit, C'était le résultat des observations de l’auteur faites 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XIX 


aux environs de Lausanne, qu'il habitait alors avec sa famille. 
Vers la fin de sa vie, il a préparé une seconde édition, revue 
et corrigée, de ce mémoire. 

Depuis 1501 Huber s'occupa de l'histoire des fourmis. Il 
lut à notre Société, en 1805, dans l’année même où il en fut 
reçu membre, et publia dans le tome XX VII de la Bibl. Brit. 
un premier mémoire très-curieux Sur les relations des puce- 
rons avec les fourmis et les galle-insectes. W étendit ensuite 
ses recherches, et en publia l'ensemble en { vol. in-6°, qui 
parut à Genève en 1510, sous le titre de Recherches sur les 
fourmis indigènes, avec l'épigraphe Cherchez et vous trouve- 
rez. Cet ouvrage, qui contenait tant de choses nouvelles et 
intéressantes sur les mœurs de ces insectes, et qui dévoilait 
en particulier les expéditions des fourmis amazones et leur 
singulière association avec les fourmis brunes, est très-propre 
à faire aimer l'étude de la nature, étant écrit avec une sorte 
de poésie, qui ne nuit Jamais, cependant, à l'exactitude scru- 
puleuse des faits. Il fit connaître Huber fort avantageusement 
au dehors, et le mit en relation avec plusieurs naturalistes 
célèbres, tels que Latreille et Bosc. L'édition de cet ouvrage 
est épuisée depuis longtemps. On en a publié une traduction 
en anglais. 

Huber lut à notre Société, en 1812, un mémoire sur la Che- 
nille du hamac, qu'il communiqua l’année suivante à la pre- 
mière Classe de l'Institut de France, et qui fut accueilli avec 
faveur par ce corps savant. L'auteur ayant appris, par les 
commissaires qui avaient été chargés d'examiner ce travail, 
qu'il allait être nommé membre correspondant de l'Institut, il 


XX NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


les pria de proposer la nomination de son père au lieu de la 
sienne. Ce fut François Huber qui fut nommé, en effet, mem- 
bre correspondant, et son fils n’a jamais parlé de cette cir- 
constance qu'a sa femme. 

Le mémoire dont je viens de parler, fort intéressant par les 
détails qu'il contient sur les procédés de construction suivis 
par la chenille qui en fait l’objet, a été publié, en 1836, dans 
le tome VII du Recueil de notre Société, après avoir été revu 
et augmenté par l’auteur. 

Depuis que François Huber, aveugle dès l’âge de 23 ans, 
avait perdu son domestique et collaborateur Burnens, il avait 
trouvé l’aide dont il avait besom dans son fils, qui avait ré- 
pété toutes les expériences de son père et en avait fait plu- 
sieurs nouvelles. Aussi Pierre Huber eut-il la plus grande part 
à la composition du second volume de la nouvelle édition des 
Observations sur les abeilles, qui fut publiée à Genève en 1814. 

Pierre Huber avait épousé, en 1806, Mademoiselle Louise 
Burnand d’Yverdun, et depuis son mariage il passait les hivers 
à Genève et les étés à Yverdun. Mais, en 1828, son père 
quitta Genève, pour se retirer à Lausanne auprès de sa fille, 
Madame de Molin, et dès lors Pierre Huber se fixa compléte- 
ment à Yverdun, en continuant, cependant, à faire chaque 
année plusieurs séjours à Genève. Le talent de Madame Hu- 
ber-Burnand pour la peinture contribua à entretenir le goût 
de son mari pour les arts et l’histoire naturelle. Elle s’intéres- 
sait à tous ses travaux et le secondait quelquefois. Elle a peint 
d'une manière remarquable plusieurs insectes qu'il observait. 
Huber était, comme ses parents, né artiste aussi bien que na- 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXI 
turaliste; il avait un vrai talent pour les découpures et les 
croquis, et la peinture à l'huile a occupé une grande partie 
de la dernière période de sa vie. Il a rédigé un traité de pers- 
pective, sous forme de lettres adressées à une Dame, accom- 
pagné de T5 dessins, et il l’a légué à la Société des arts de 
Genève, avec une somme de mille francs, destinée à en faci- 
liter la publication, si cette Société le jugeait utile, ou à tout 
autre emploi qu’elle estimerait plus important. 

Huber s’occupa souvent avec intérêt de météorologie. Il lut, 
en 1821, à notre Société un mémoire Sur différents instru- 
ments de physique et de météorologie, qui a été inséré dans 
le premier volume de notre Collection, et qui renferme, en- 
tr'autres, la description d’un Anémomètre de son invention, 
très-simple et portatif, ainsi que d’un Anémographe, destiné à 
noter graphiquement toutes les indications de l’anénomètre. 
Il présenta, en 1828, à la Société helvétique des Sciences na- 
turelles un projet tendant à faire établir dans les vallées et sur 
les montagnes de la Suisse des centres d'observations météo- 
rologiques. Il adressa la même année à M. G. Maurice une 
lettre Sur un nouveau système de météorographie symbolique, 
insérée dans le tome XXXIX de la Bibl. Univ., et qui est ac- 
compagnée d’un tableau de tous les signes de convention qu'il 
proposait pour figurer les divers phénomènes météorologi- 
ques. Il forma, peu de temps après, le projet de publier un 
journal météorologique mensuel, qui aurait servi de moyen 
de communication général entre les observateurs, et dont le 
prospectus détaillé a été inséré dans le tome XLI de la Bibl. 
Univ. La première livraison de ce journal, celle de janvier 


XXII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


1829, a seule paru, cette entreprise n'ayant pas obtenu un 
nombre suffisant d’abonnés pour que les fraix aient pu en être 
couverts. Huber n’en continua pas moins à s'intéresser à la 
météorologie et à faire des observations occasionnelles, comme 
on peut le voir par les articles de lui sur les éclairs de chaleur 
et les éclairs très-élevés, sur la température de 1830 à Yver- 
dun, sur la nature de la neige qui y tomba, et sur quelques 
autres phénomènes météorologiques, insérés dans les tomes 
XLIT, XLIIT, XLVI, XLVIT et LV de la Bibl. Univ. I cons- 
tata que le froïd extrême de Janvier 1838 avait été de —210 R. 
à Yverdun, c’est-à-dire plus grand d'environ un degré que 
celui observé à Genève. Il remarquait à cette occasion, que 
pour déterminer les extrêmes de température, il était essen- 
tiel que le thermomètre fut entièrement à découvert, afin qu'il 
fut exposé à tout l'effet du rayonnement atmosphérique. 

Nous citerons encore les publications suivantes faites par 
Pierre Huber : 

Lettre à M. le Prof. Prevost sur l'écoulement et la pression 
du sable. Bibl. Univ. tome XL. (Janvier 1829.) 

T. II de nos Mémoires (182%), Histoire du Trachuse doré. 


T. HI » (1826), Notice sur une migration de 
papillons. 
T. VIII » (1839), Notice sur le Melipone, ou 
l'abeille domestique du 
Mexique. 
Id. :» » Mémoire pour servir à l’his- 


toire des Attelabes, insec- 
tes voisins des Charan- 
çons. 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXHII 


IL a laissé, en outre, un certain nombre de mémoires ma- 
nuscrits, qu'il a bien voulu léguer à notre Société, et qui ont 
été ou seront publiés dans sa collection depuis la mort de 
l’auteur. Ainsi le tome IX, publié de 1841 à 1842, contient de 
lui un mémoire pour servir à l'histoire de la Coccinelle de la 
Saponaire, un autre sur quelques insectes du genre Ichneu- 
mon et une Notice sur une Mouche à scie. Le volume actuel 
renferme un mémoire de Huber pour servir à l’histoire des 
Psoques, et deux notices, dont une sur une araignée aéronaute, 
et l’autre sur une particularité offerte par une larve de Ten- 
thréde. Le volume suivant contiendra encore un mémoire de 
lui relatif à l'histoire de quelques Cassides. 

Pierre Huber, étranger à toute ambition, très-peu accessible 
aux pensées d’amour-propre ou d'intérêt, a cultivé la science 
pour elle-même. Il ne prenait presque aucune part aux affaires 
positives de la vie, ni aux querelles de parti; sa bienveillance 
était universelle. [1 n’a vécu pour ainsi dire que d'affection 
pour sa patrie, sa famille et ses amis, et d’admiration pour 
les œuvres du Créateur, Cette admiration, toujours vive, tou- 
jours nouvelle, a été pour lui une source de pures jouissances 
jusqu’à son dernier moment. On peut dire qu'il est mort très- 
jeune, quoiqu'il ait atteint l’âge de 65 ans. Le 22 décembre 
1540 il était à Yverdun et paraissait en parfaite santé ; il avait 
peint pendant une grande partie de la matinée, lorsque, vers 
onze heures, il voulut examiner à la loupe un portrait daguer- 
réotypé, et il tomba mort! 

Il n'est, après M. De Candolle le père, aucun membre de 
notre Société qui ait encore fourni à sa Collection imprimée 


XXIV NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 

un contingent de mémoires aussi considérable; le nombre en 
est de 13. Chacune des productions de Pierre Huber porte 
l'empreinte de l'esprit ingénieux d'observation, de la sagacité, 
de l'amour de la nature et de la vérité qui le caractérisaient. 
Il ne se bornait pas à de simples descriptions. mais il excellait 
à scruter les mœurs et l'instinct des animaux, et à les suivre 
dans les détails de leurs procédés, toujours si admirablement 
adaptés à leur organisation et à leurs besoins. Il est triste 
pour nous de penser que Huber n’a pas laissé d'enfants qui 
pussent hériter de ses talents et de ses vertus. L’entomologie 
genevoise a fait en son père et en lui de grandes pertes : mais 
cette intéressante partie de l'histoire naturelle a heureusement 
encore de dignes représentants dans notre Société. 


Jean-Pierre-Etienne Vavcner naquit à Genève le 2T avril 
1763. Son père, maître charpentier, était originaire de Fleu- 
rier, village du Val-de-Travers dans le canton de Neuchâtel. 
A l'âge de 12 ans, M. Vaucher témoigna le désir de faire des 
études littéraires et ne tarda pas à s’y distinguer. Îl fut consa- 
cré au saint-ministère en 1787. et occupa une place de pas- 
teur à Genève de 1795 à 1822. Il fut nommé en 1808 pro- 
fesseur d'histoire ecclésiastique. Il fut recteur de l'Académie 
de 1818 à 1820. Dès sa jeunesse il avait aimé la botanique. 
Il en donna des cours depuis 1194, et eut pour auditeur au 
premier d’entre eux le jeune De Candolle, qui y commença 
l'étude de cette science dans laquelle il devait s’illustrer plus 
tard. M. Vaucher fut appelé, en 1802, à remplir une chaire 
honoraire de botanique dans l'Académie. Son Histoire des 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXV 


conferves d'eau douce, dans laquelle il a le premier fait con- 
naître le mode de reproduction de ces plantes, parut en 1805 
en 1 vol. in-4°, accompagné de 17 planches, dessinées et gra- 
vées par sa femme, qui était très-heureusement douée pour le 
seconder dans ses travaux. Il a publié aussi, en 1827, une 
Monographie de la famille des Orobanches. 

M. Vaucher fut un des fondateurs de notre Société, en 1790, 
et c’est lui qui a rédigé l'intéressante préface historique placée 
en tête de la seconde partie du tome [er de sa collection. Ce 
volume renferme quatre mémoires de lui, le premier Sur la 
chute des feuilles, le deuxième Sur les Charagnes, le troi- 
sième Sur la sève d'août et les divers modes de développement 
des arbres; le quatrième est une Monographie des préles. Le 
tome VI de nos Mémoires en renferme aussi un de M. Vau- 
cher Sur les Seiches du lac de Genève, qu’il avait lu à notre 
Société en 1804, et n’a publié qu'en 1833. Ces travaux se 
distinguent par la nouveauté des vues, la sagacité des observa- 
tions , et M. Vaucher a notablement avancé la science sur cha- 
cun des points dont il s’est occupé. La botanique, cependant, 
n'était pas seulement pour lui une science. Il trouvait dans 
chaque plante bien examinée une preuve vivante de l'existence 
de Dieu, et il se plaisait à étudier les rapports si remarqua- 
bles qui existent entre la structure des diverses parties des 
plantes et les fonctions qu’elles sont appelées à remplir. Il a 
surtout développé ses idées, et consigné le résultat de ses ob- 
servations de ce genre, dans l'ouvrage qui a fait l'objet de ses 
travaux pendant une grande partie de sa vie, et dont la pu- 


blication n’a été terminée que peu de temps avant sa mort : 
TOM. X, Î'® PARTIE, EV 


XXVI NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 

c'est son Histoire physiologique des plantes d'Europe, en 4 vol. 
in-8°, dédiée au roi de Sardaigne Charles-Albert, qui avait 
été son élève, et avec lequel il avait conservé des rapports 
bienveillants. 

M. Vaucher a atteint l’âge de T5 ans, sans que sa consti- 
tution robuste ait paru vieillir et sans que ses facultés se 
soient affaiblies. Il est mort le 5 janvier 1841, et ses fils ont 
publié l’année suivante, sous le titre de Souvenir d'un Pas- 
teur Genevois, un volume de sermons prèchés par lui, pré- 
cédés d’une notice sur sa vie, d’où J'ai tiré la plupart des dé- 
tails ci-dessus. M. Vaucher était distingué par les facultés de 
l'âme aussi bien que par celles de l'esprit, et sa mémoire vivra 
toujours dans le cœur de ses élèves et de ses amis. 


Augustin-Pyramus Dr Casnoire naquit à Genève le 4 fe- 
vrier 1118. Après avoir fait ses premières études dans sa 
patrie, où son père remplit à plusieurs reprises les fonctions 
de Syndic, il l'accompagna, en 1792, dans une maison de 
campagne près de Grandson, à l'occasion des troubles politi- 
ques qui eurent lieu alors à Genève, et commença à y décrire 
des plantes d’après nature sans secours et sans livres. Il suivit 
à Genève, en 1794, un cours de botanique donné par M. Vau- 
cher, et c'est alors surtout qu'il sentit naître chez lui un goût 
très-décidé pour cette science. Il se rendit à Paris, en 1796, 
pour étudier les sciences physiques et naturelles, et s’y atta- 
cha particulièrement au botaniste Desfontaines, qu'il se plai- 
sait plus tard à appeler son maître. Après la réunion de Genève 
à Ja France, en 1798, De Candolle se décida à étudier la 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXVII 


médecine à Paris, et y prit le grade de Docteur, en choisissant 
pour sujet de thèse les propriétés médicales des plantes (1). 
Il publia, de 1799 à 1805, son Histoire des plantes grasses, 
en À vol. in-folio, avec 168 planches peintes par Redouté, 
qu'il fit suivre d’un ouvrage analogue sur les Liliacées. I fit 
aussi, vers cette époque, de curieuses expériences pour cons- 
tater l'influence de la lumière sur les végétaux. Il publia, en 
1805, la troisième édition de la Flore Française de La Marck, 
qu'il augmenta considérablement, et classa pour la première 
fois suivant la méthode des familles naturelles. Nommé, en 
1807, Professeur dans la Faculté de Médecine de Montpel- 
lier, il y enseigna la botanique avec une grande distinction, 
et y rendit aussi des services signalés comme directeur du 
Jardin et recteur de l'Académie. Ce fut à Montpellier que parut, 
en 1813, la première édition de sa Théorie élémentaire de 
botanique, Yun de ses ouvrages les plus marquants sous le 
rapport de la profondeur des vues. 

La restauration de la République de Genève, en 181%, ins- 
pira à De Candolle le désir de revenir dans sa patrie. On y 


(4) Cette thèse, soutenue en 1804, porte la dédicace suivante, qui présente 
un résumé historique intéressant des premiers progrès de la méthode des familles 
naturelles, au perfectionnement et à la propagation de laquelle De Candolle de- 
vait si fort contribuer : 

Aux botanistes fondateurs de la théorie des familles naturelles, Tournefort qui l'a 
pressentie, Bernard de Jussieu qui l'a prouvée, Adanson qui l’a développée, Antoine 
Laurent de Jussieu qui l'a soumise à des lois fixes, Desfontaines qui l'a liée avec l'ana- 
tomie végétale. 


XXVII NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES 


fonda pour lui, en 1816, une chaire d'histoire naturelle dans 
l'Académie, et il fut le créateur du Jardin botanique actuel. 
Il me serait impossible de présenter ici même une simple es- 
quisse des travaux scientifiques de De Candolle, et des services 
qu'il a rendus à son pays de tant de manières différentes. Je 
dois renvoyer pour tous ces détails aux nombreuses notices, 
écrites en diverses langues, qui ont déjà paru sur sa vie. ainsi 
qu'à celle que M. le Professeur Auguste De la Rive doit publier 
incessamment dans la Bibl. Univ. ("). Je me bornerai à dire 
qu'il a commencé en 1817 la publication de son Systema regni 
vegetabilis naturale, dont il n’a paru que deux volumes, et, en 
1524, celle de son Prodromus systematis naturalis regni vege- 





(4) On trouvera de courtes, mais intéressantes notices sur MM. De Candolle, 
Vaucher, Prevost, Maurice et G. De la Rive, soit dans les discours prononcés à 
Genève par les recteurs de l'Académie à la cérémonie des Promotions du Collége, 
soit dans les rapports annuels des présidents de la Société pour l'avancement des 
arts. Les principaux éloges historiques de De Candolle sont: celui prononcé par 
M. le premier Syndic Rigaud au Conseil Représentatif de Genève le 27 sep- 
tembre 1841; celui de M. de Martius, professeur de botanique à Munich, pro- 
noncé le 28 novembre 1841 devant la Société botaniqne de Ratisbonne; celui de 
M. Dunal, lu à l'Académie de Montpellier le 8 novembre 1842; et celui prononcé 
par M. Flourens à la séance publique de l'Institut de France du 19 décembre de 
la même année. On trouve aussi dans l'Annuaire de l'Académie de Bruxelles de 
4845, dans le cahier d’avril dernier de l’Edinburgh philosophical Journal, et dans le 
Rapport sur la réunion de la Société helvétique des Sciences naturelles qui a eu 
lieu à Altorf en 1842, des notices assez étendues sur De Candolle, dont la pre- 
mière est de M. Charles Morren et la seconde de M. Daubeny. Plusieurs de ces 
notices sont accompagnées de la liste de ses ouvrages. Celle publiée par M. Dunal 
se compose de 114 ouvrages ou opuscules de botanique, et de 65 autres publi- 
cations sur divers sujets. 


DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. XXIX 


tabilis, dont sept volumes ont paru successivement et que son 
fils doit continuer. De Candolle a publié aussi, en 1827, son 
Organographie végétale en 2 vol., et, en 1832, sa Physiologie 
végétale en 3 vol. pour laquelle la Société royale de Londres 
lui décerna une médaille d’or. Il était un des huit Associés 
étrangers de l'Académie des Sciences de Paris, et avait été 
aggrégé à plus de cent Sociétés savantes établies dans les 
diverses parties du globe. 

De Candolle lut à notre Société, dès l'année 1797, un Essai 
sur la nutrition des Lichens; il en fit partie depuis 1799, et 
en a été constamment un des membres les plus zélés et les 
plus précieux. C’est celui de tous qui a jusqu’à présent fourni 
le plus de mémoires à notre collection imprimée; le nombre 
s’en élève à seize, en y comprenant quelques notices sur les 
plantes nouvelles du Jardin botanique de Genève, qu'il a ré- 
digées conjointement avec son fils, son successeur en fait de 
science comme en fait de dévouement à son pays. Il a formé 
aussi bon nombre d’autres très-habiles élèves, soit à Genève, 
soit ailleurs. De Candolle à su se concilier partout à un haut 
degré, par ses qualités aimables et bienveillantes, l’attache- 
ment des personnes qui l’approchaient. Il a eu beaucoup d’a- 
mis dévoués, qui se sont souvent associé ou intéressé à ses 
travaux, et entre lesquels je citerai le célèbre Cuvier et 
M. Benjamin Delessert (‘). Il a légué 2,400 francs à notre 


(4) M. Delessert a publié à Paris en 4820 et 1825, sous le titre de Icones se- 
lectæ plantarum, deux volumes in-folio de plantes, dessinées par Turpin et décrites 
par De Candolle. 


XXX NOTICES SUR LES MEMBRES ORDINAIRES, ETC. 

Société, en spécifiant que les intérêts annuels de cette somme 
seraient appliqués à la distribution de prix aux auteurs des 
meilleures monographies d'espèces ou de familles de plantes. 
C'est le 9 septembre 1841 que nous avons perdu ce savant 
illustre, cet excellent citoyen, doué de tant de belles facultés 
du cœur et de l'esprit, et dont la mémoire sera toujours ché- 
rie parmi nous, autant qu'elle sera honorée dans le monde 
sayant. 





LISTE 


DES 


MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE 
ET D'HISTOIRE NATURELLE 
QUI ONT ÉTÉ ÉLUS DEPUIS L'ANNÉE 1835, 


PAR ORDRE D ADMISSION. 


NB. Cette liste fait suite à celle qui a été publiée dans le tome VII. 


Membres ordinaires, ou résidant à Geneve. 


DATES. 
14855 MM. Marc D'Esrine, docteur médecin. 
1856 Jean-François Bizot, docteur chirurgien. 
1837 Étienne MELLy, naturaliste. 
1838 Paul Cuuix, géographe. 
—_ Pierre-Edmond Borssrer, botaniste. 
1859 Elie Rivter, docteur ès sciences mathématiques. 
1840 Emile PLanramour, professeur d'astronomie. 


= Pyrame-Louis Morin, pharmacien. 


MM. 


MM. 


LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE, ETC. 


Charles CELLÉRIER, mathématicien. 

Alphonse Favre, minéralogiste. 

Charles Mariewac, professeur de chimie. 

Philippe PLanramour , chimiste. 

Georges-François REUTER, botaniste. 

Alexandre-Pierre Prevosr, docteur ès sciences phys. et nat. 


Membres honoraires. 


Robert Brown, à Londres. 

Charles Srurm, membre de l’académie royale des sciences à Paris. 
Moqu, professeur de botanique, à Toulouse. 

Isaac Lee , à Philadelphie. 

Julien Dessarpns, secrétaire de la soc. d’hist. nat. à l’île Maurice. 
Hess, membre de l'académie impér. des sciences à Pétersbourg. 
Soyer-Wizzemer, bibliothécaire de la ville de Nancy. 

Louis Acassrz, professeur d'histoire naturelle, à Neuchâtel. 

Charles Bonaparte, Prince de Musignano, naturaliste, à Rome. 
Elie WartuanN, professeur de physique, à Lausanne. 

Charles Gonerrroy, à Hambourg. 

L.-F. pe MenaBreA, membre de l'académie royale de Turin. 

J. PLateau, professeur de physique, à Gand. 

le docteur MonTAGNE, à Paris. 









MÉMOIRES 


DE 


LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE 
ET D'HISTOIRE NATURELLE 


DE GENÈVE. 













Contenant un Supplément relatif à des Observations astronomiques faites dans l'année 1842. 











= 


TOME X, 4" PARTIE. 


a ———— 







GENÈVE, 


IMPRIMERIE DE JULES-G”° FICK ; RUE DE LA CORRATERIE. 





MÉMOIRES 
LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE 


ET D'HISTOIRE NATURELLE 


DE GENÈVE. 











LETTRE 


SUR 


LES ARAIGNÉES AÉRONAUTES 
DU GENRE LYCOSE, 


Par Pierre Huber. 


(Cette lettre avait été adressée à Monsieur le Rédacteur de la Bibliothèque Universelle.) 


ER 





Le fait que je me propose d'établir, sous ma seule respon- 
sabilité, n’est point de ceux qu'on peut admettre sans preuves, 
il faut en convenir. Aussi, l'ayant raconté, il y a, je crois, 
près de dix-huit mois, dans une séance de la Société de Phy- 
sique de Genève, il y fut accueilli avec quelque doute, et ren- 
contra des objections auxquelles je m'attendais. Mais, n'ayant 
pas avec moi mes notes qui auraient pu offrir des preuves de 
1 


TOM. X, Î'° PARTIE. 


2 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 
conviction, Je n'insistai pas, ét je me retirai en disant en moi- 
même : e pur si move. 

Toutes ces objections, que je m'étais faites à moi-même dès 
le premier instant, n'ébranlèrent point mon sentiment. J'avais 
vu le fait mainte et mainte fois, je ne me trompe guère sur 
les observations de ce genre dont J'ai une très-grande habi- 
tude ; de sorte que je tins pour constant le fait que j'avais an- 
noncé, quelque difficile à concevoir qu'il parût. Ce n’est pas 
le premier exemple, assurément, de fait mis au rang des 1m- 
possibilités, dont il ait fallu, à la fin, reconnaître la réalité. A 
ne citer que celui des pierres météoriques qu'un physicien 
aurait eu honte d'adopter il y a cinquante ans, les choses 
difficiles à expliquer passent longtemps pour des contes, même 
aux yeux des philosophes. 

C’est ce qui m'impose l'obligation d'entrer dans le détail de 
mes diverses observations à ce sujet, en vous priant, Monsieur, 
si vous vous décidez à les publier, de ne point les abréger, 
lors même qu'elles vous paraïîtraient contenir quelques répé- 
titions, afin que chacun puisse juger des faits tels que je les 
ai vus moi-même. C’est un procès-verbal qui aura sans doute 
toutes les grâces des procès-verbaux. Mais il s'agit d'un des 
traits de la nature le plus incroyable. d’un nouveau mode de 
translation, plus simple que le ballon, plus simple et plus 
élégant que l'aile de l'oiseau ou du papillon, enfin d'une de 
ces inventions qui n’appartiennent qu'à la nature et aux Mille 
et une nuits. 

Un être qui répugne à l’homme, un être qu'on voit ramper 
sur la terre avec rapidité, tendre aux insectes des pièges pleins 


DU GENRE LYCOSE. 3 


de stratagèmes, ou leur faire une chasse ouverte; cet être-là, 
qui semble borné par la nature à stationner aux mêmes parages, 
à roder autour de son nid, veut-il quitter sa patrie, changer 
de lieux, chercher fortune ailleurs? il fait flotter au vent une 
soie merveilleuse qui l'enlève au haut des airs, passe par- 
dessus les forêts et les rivières et le transporte au loin. 

Voilà, en effet, qui ressemble à de la féerie. Hé bien, c'est 
la vérité. 

Ce fut en avril 1838 que j'en fis la première observation. 
Au commencement de ce mois, par un beau soleil et un temps 
doux, je vis en l'air quelque chose d’extraordinaire, et qui se 
mouvait, à ce qu'il me parut, au gré du vent. C'était un corps 
de la grosseur d'une mouche d'appartement, qui ne faisait point 
l'effet de voler, mais qui était transporté doucement dans l'at- 
mosphère. 

Ayant suivi cet objet qui se mouvait à quelques toises de 
moi et à quelques pieds de la terre, je le vis se porter contre un 
buisson de plantes sèches; J'y courus, et je reconnus cet être 
mystérieux pour une simple araignée. Elle se promena aussitôt 
avec rapidité sur la branche du passe-rose où elle s'était arrêtée, 
et je la vis grimper de branche en branche jusqu’au rameau 
le plus élevé de cette plante. Après quelques allées et venues 
de peu de durée, elle s'établit enfin au dernier bout du ra- 
meau, puis, tournant la tête du côté d’où venait le vent, et éle- 
vant l'extrémité opposée de son corps d’une manière très-pro- 
noncée, elle fit sortir, des filières qui sont situées dans cette 
partie, une soie très-visible qui s’étendait de plus en plus et 
flottait dans l'air, mais cette soie se rompit et fut remplacée 


4 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 


un peu plus tard par une autre qui, dans un instant, prit une 
immense longueur, et je remarquai qu'avant de réussir à pro- 
duire cette soie continue, elle avait, par des éjaculations réi- 
térées, lancé en l'air de la matière soyeuse qui s'était perdue 
en fils imperceptibles et sans consistance. 

Enfin elle avait réussi à produire une soie assez forte, que 
le zéphir faisait monter dans l'atmosphère, et qui brillait d’un 
beau lustre au soleil. 

Tout d’un coup. au moment où je m'y attendais le moins, 
je vois mon araignée abandonner la branche, se pelotonner 
et s'élever dans les airs, non pas comme une araignée qui 
monte le long d’un fil, mais immobile et emportée par le souffle 
du zéphir. 

Je la suivis des yeux : en un instant elle s’éleva obliquement 
vers le ciel bleu, et quand elle eut dépassé un mur de plus de 
vingt pieds de haut et vers lequel le vent la portait, elle disparut 
à mes yeux, me laissant dans un étonnement inexprimable. 

Comment, me demandai-je à moi-même, un petit être d’une 
grosseur sensible peut-il être transporté dans l’air par une sim- 
ple soie, s'élever de plus en plus, et sortir ainsi de l'enceinte d'un 
jardin entouré, d’une part, par de hautes murailles, de l’autre, 
par une large rivière ? l'on sent combien mes notions de phy- 
sique luttèrent contre la conviction acquise par mes sens. 

De plus, c'était là un acte volontaire, et d’une volonté per- 
sévérante, car c'était évidemment son second voyage, et. lors- 
qu'elle grimpa à l'extrémité du rameau, son intention de re- 
partir fut clairement prouvée par ce fait. 

L'endroit où Je faisais ces observations était très-favorable 


DU GENRE LYCOSF. 5 


à l'ascension de mon araignée : aucun arbre ne pouvait en 
cette place arrêter sa soie dans la direction qu'elle prit. De 
plus, la présence des murs changeant la direction naturelle- 
ment horizontale du vent, offrait bien des chances de courants 
ascendants que n'’eût peut-être pas présentées une plaine en 
rase campagne. 

Vous ne doutez pas, Monsieur, que depuis le moment où je 
fus témoin d’un fait de cette singularité, je n’aie épié les arai- 
gnées de la même sorte sur les branches et arbrisseaux de mon 
jardin; mais, pendant plus de quinze jours, le temps ayant été 
très-froid, on ne put voir sur les branches aucun fil d’arai- 
gnée, parce que le vent et la neige avaient détruit les anciens 
et qu'aucun nouveau fil n'avait été tendu entre les rameaux. 

j'attendais avec impatience le retour de la chaleur et d’un 
temps calme. Ces circonstances se présentèrent les trois der- 
niers jours du mois, et je vis reparaître sur toutes les haies, 
sur les arbustes et sur le terrain même, une quantité innom- 
brable de fils qui me présagèrent de nouvelles occasions de 
vérifier le fait qui m'avait tant frappé. 

En effet, dans la matinée du second jour, je découvris au 
bout d’une branche d'altéa une araignée semblable à celle que 
javais vue précédemment et dans la même attitude. Elle était 
placée tout à l'extrémité du rameau, debout sur ses huit pattes, 
la queue en l'air, et il en sortait une soie brillante qui s'éle- 
vait dans l'air et flottait au gré du zéphir. Elle était à deux 
ou trois pas de moi, je l'observais attentivement; quand je la 
vois quitter sa branche et s'élever dans les airs d'un mouve- 
ment rapide. Elle est transportée en droite ligne au-dessus de 


6 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 


ma tête, je la suis à une grande hauteur, puis je la vois se 
rabattre en déviant un peu vers le nord, presque jusqu’à terre 
et tout auprès de moi; mais l'air la soulevant de nouveau, elle 
fut emportée du côté du nord d’un mouvement uniforme et 
rapide. Quand je la perdis de vue elle voguait à plus de qua- 
rante pieds du sol, et était déjà bien éloignée. 

Je l'observai bien pendant le peu d'instants qu’elle était 
revenue près de terre : elle était située presque verticalement, 
la tête et le corselet en bas et les jambes recourbées vers le 
haut. Elle était parfaitement immobile et se laissait transporter 
comme un panier suspendu à une corde; cependant elle ne 
pouvait tenir à ce suspensoir que par la pression volontaire 
qu’elle exerçait sur l'extrémité de la soie. 

Le même jour, une autre araignée brune, mais un peu 
moins foncée que les autres me présenta exactement les mêmes 
circonstances avant le départ; elle était à l'extrémité d’un ra- 
meau de poirier à basse tige, évidemment impatiente de partir, 
mais le vent était si faible qu'elle avait peu de chances de 
succès. 

On la voyait se tenir sur la fine pointe de ses pieds réunis 
presque au faisceau, le cul en l'air, presque en ligne droite. 
Enfin elle fut enlevée; mais ayant rencontré sur son chemin 
à dix ou douze pas les branches d’un autre arbre, elle fut ar- 
rêtée dans son trajet et je la perdis entre les rameaux; mais 
elle m'offrit quelques particularités que je dois faire remar- 
quer. 

Au nombre des essais infructueux qu'elle avait fait pour 
s'élever, J'avais remarqué une soie qui tenait à son corps et 


DU GENRE LYCOSE. 7 
qui était allée s’accrocher à une branche d’un arbre voisin. 
Elle le remarqua aussi, et je la vis la tirailler, et, l'ayant 
fait rompre, elle la pelotonna sous elle en une petite masse : 
Je remarquai aussi ce que je n’avais pas vu faire à d’autres, 
qu'en partant elle fit à la hâte, sur le fil qui la suspendait, 
quelques pas à la manière d’une araignée qui marche, mais 
ensuite elle se suspendit à la renverse, et vogua dans l'air, 
immobile, jusqu'au moment où elle rencontra la branche où 
son véhicule fut accroché. 

On remarquera que ce cas est prévu par la nature et que 
nous avons déjà vu plusieurs fois qu'alors l’araignée montant 
avec rapidité le long des branches, atteint enfin la plus élevée, 
et reprend de là son voyage aérien. 

J'aurai encore plusieurs occasions de faire observer ce fait 
remarquable qui prouve un dessin prémédité. 

Le même jour je vis une petite araignée grise partir de l'ex- 
trémité d’une branche de pommier. I] faisait un peu de vent, 
Je la vis tourbillonner au bout de cette branche, mettre sa 
queue en l'air et partir incontinent; elle traversa l'Orbe. J'ai 
dit tourbillonner ; c’est que ces petits animaux sont dans une 
agitation singulière quand ils veulent partir : on dirait que : 
c'est pour eux une fête, un plaisir; ils s'essayent sur tous 
les points du rameau, se tournant tantôt d’un côté, tantôt de 
l'autre, cherchant le vent jusqu'à ce qu'il les emporte à l'aide 
d’une soie bien déployée. 

Voici enfin une assez grosse araignée qui se place sur un 
piquet de jardin, c'était plutôt un pieu assez gros qui se ter- 
minait à la hauteur de mes yeux par une petite esplanade. Il 


8 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 

était dans l'endroit le plus découvert de mon jardin, par con- 
séquent le plus favorable à cette observation, l’araignée était 
étendue sur cette surface, elle paraissait se plaire au soleil ; 
de temps en temps elle faisait quelques tournées autour du 
piquet, puis elle revenait prendre sa place au soleil. Quoique 
plus grosse que les autres, elle était tout-à-fait du même genre; 
elle était noire, avec des bandes longitudinales couleur de bois, 
peu marquées. 

L'air qui avait été calme s’agite un peu : aussitôt elle se 
dresse sur l'extrémité de ses huit pieds, comme si elle voulait 
ne tenir à rien au moment favorable, elle dresse en l'air son 
corps dont il sort un fil; puis elle abandonne l'esplanade du 
pieu et s'élève perpendiculairement avec une promptitude éton- 
nante. Malheureusement je l'observais avec un verre grossis- 
sant dont le court foyer ne me permit pas de suivre sa course 
aérienne aussi bien que je l'aurais fait avec mes yeux. 

Une autre observation qui vient confirmer toutes celles qui 
précèdent, c'est que le jour suivant, étant dans un lieu très- 
découvert, je vis une araignée, sans doute suspendue à un fil, 
se mouvoir en l'air horizontalement d'un mouvement égal 
poussée par un léger zéphir. 

Elle allait doucement à environ douze pieds de terre, elle 
était renversée les pieds en l'air, le dos en bas, l'anus en haut; 
c'était une araignée Jaunâtre. Je l'ai bientôt perdue de vue, car 
elle avait passé à quinze pieds de moi. Il n’y avait pas d’arbre à 
moins de cent pas; ainsi cette translation ne pouvait avoir 
d'autre moteur que l'action du vent sur la soie à laquelle lin- 
secte était suspendu. 


DU GENRE LYCOSE. 9 


Je ne citerai pas tous les faits du même genre dont j'ai été 
témoin : il faut cependant que j'en cite encore deux qui se sont 
présentés à moi tout récemment, et qui, ayant été vus après 
un laps considérable d'observations, ne permettront pas du 
moins de supposer qu'il y ait encore lieu de ma part aux pré- 
ventions et aux illusions qui auraient pu me séduire au pre- 
mier abord. 

C'est il y a huit jours, c'est le 18 novembre 1840, jour 
extraordinaire par sa beauté, la douceur de la température 
(15 °C.) le calme ravissant qui a succédé à des torrents de 
pluie trop célèbres et à des tempêtes furieuses. C’est ce jour-là 
qui ressemblait à un beau jour de printemps que j'ai revu le 
fait des araignées aéronautes. 

Il y avait du linge étendu au jardin sur des arbustes. J'ap- 
perçus sur un de ces linges une petite araignée noire à pattes 
fauves, dans l'attitude de celles qui veulent s’enlever , c'est- 
à-dire sur la pointe des pieds, le cul en l'air :le zéphir souf- 
flait de temps en temps; l’araignée faisait échapper de son 
corps des soies qui se dirigeaient en différents sens selon les 
reflets du courant d'air, sans lui fournir les moyens de voya- 
ger; elle parcourait avec inquiétude les points les plus élevés 
du linge ; enfin, une place et un instant plus favorables s'étant 
présentés, elle s'enleva tout d’un coup, et ayant replacé ses 
jambes en corbeille, l'air l'emportait quand malheureusement 
son fil s'accroche à une branche de poirier; l’araignée aussi- 
tôt se retourne et parcourt ce fil jusqu’à la branche où il s’est 
arrêté. 

Si les conjectures de mes chers collègues eussent été fon- 


TOM. X, Î'* PARTIE. 2 


10 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 


dées, l’araignée ayant atteint un arbre en serait restée là. 
son but eût été accompli; mais il n’en fut rien : ma bête avait 
son projet, et l'accident de la branche ne le lui fit pas perdre 
de vue. Elle monta rapidement à l'extrémité de la branche, 
et sur la dernière feuille, se remit aussitôt en posture, et, 
profitant d’un bon vent pour lancer la soie qui devait lui 
servir de véhicule, elle s’enleva en. un instant dans le haut 
des airs en passant par-dessus les maisons. 

Un moment plus tard une seconde araignée de la même 
espèce qui errait aussi sur du linge au soleil se poste pour 
être enlevée; le vent souffle dans la soie qu'elle a lancée et 
je la vois disparaître dans le bleu du ciel après avoir dépassé 
une haute muraille. 

C'était un jour propice à ces ascensions, car Jai vu plu- 
sieurs autres araignées occupées de la même maniere. Il se- 
rait fastidieux d'entrer dans plus de détails. 

Quel peut être le but de ces excursions qui n'ont lieu d’or- 
dinaire qu'au printemps? J'ai cru d'abord que les mâles al- 
laient au loin chercher d’autres maîtresses. Mais le nombre 
des femelles est si grand dans mon jardin qu'il est impossible 
que ce soit là leur motif. Est-ce donc un luxe de la nature en 
faveur de cette classe qui est privée d'ailes et en proie elle- 
même à tant d’ennemis; était-ce une voiture aérienne que la 
nature mettait à leur disposition aux premières lueurs d’un 
soleil d'été ? 

Je le dirai franchement, je n’ai jusqu'ici rien découvert de 
positif sur le but que la nature s’est proposée en cela; et j'en 
suis réduit aux conjectures. 


DU GENRE LYCOSE. 11 


Ce n'est point pour fuir leurs ennemis les sphinx, qui n'ont 
pas encore commencé leurs nids où ils les entassent, et qui 
ne sont pas plus rares ici que là, ni les oiseaux qu’elles re- 
trouvent partout. 

Mais ce serait plutôt par un intérêt de nourriture, de dis- 
persion. Ces petites araignées qui sont de celles qui portent 
leurs œufs dans un sac sous le ventre, et sur leur corps 
quand ils sont éclos, ces araignées, dis-je, sont d’une fécon- 
dité prodigieuse, elles se nuiraient en s’accumulant de géné- 
ration en génération dans les mêmes localités, et il est dans 
l'esprit de la nature, qui a donné à tous les animaux carnas- 
siers l'instinct de s'écarter de leurs semblables, il est dans 
l'esprit de la nature de donner aux araignées le moyen de se 
disperser. 

Cette dispersion n’a guère lieu qu’aux premiers beaux jours 
du printemps. En été, je n’en ai jamais pu surprendre une 
seule, et celles dont j'ai vu l'ascension au mois de novembre 
ont peut-être et probablement été trompées sur la saison par 
l'extrême douceur du temps qu'il fit le 18 de ce mois. 

Si J'examine enfin ce procédé sous le rapport de la phy- 
sique, Je crois qu'il peut s'expliquer, d’une part, par l’exces- 
sive légèreté de ces araignées, de l'autre, par l'extrême lon- 
gueur de la soie sortie du corps de l’insecte et la hauteur 
qu'elle peut atteindre dans l'air, enfin, par son élasticité et 
par l'espèce de rigidité même qui est naturelle à cette soie. 
Une fois en prise à l'air, cette soie est pour ainsi dire dé- 
vidée par le mouvement du fluide aérien qui la prolonge in- 
définiment tant que l'araignée y consent. Mais aussitôt que 


12 ARAIGNÉES AÉRONAUTES 


celle-ci sent que sa soïe fait voile, elle resserre sa filière et 
se laisse emporter par cette soie qui elle-même cède à l’em- 
pire du vent. S’aperçoit-elle peut-être de la force de la soie 
par la rapidité de son écoulement? C’est ce que je ne puis 
que soupçonner. Le fait est qu’elle ne s’abandonne jamais sans 
succès; elle en a donc l'instinct. Quand à arrêter sa soie et 
s’y suspendre quand il lui plaît, on en a mille exemples; une 
araignée, même une chenille se laisse tomber le long d’un fil 
et s'arrête à volonté. Elles peuvent donc arrêter cet écoule- 
ment et se tenir suspendues instantanément au fil qui en ré- 
sultait. Mais elle ne part pour son voyage aérien que lors- 
qu'elle sent que le mouvement acquis par la voile est suffi- 
sant pour l'enlever, car cet enlèvement est d’une promptitude 
inconcevable. Une abeille qui sort de sa ruche ne part pas 
d’un mouvement plus rapide. 

Je dirai ensuite qu'il y a peu d'insectes plus difficiles à ob- 
server et surtout à mettre en expérience que ces araignées. 
Elles sont éminemment timorées, défiantes et observätrices. 

Dès qu’elles s’aperçoivent qu'elles sont observées, elles se 
tiennent en garde de surprise, replient leurs jambes sous 
elles, se laissent choir le long d’un fil, ou se placent de ma- 
nière à n'être pas vues de vous; et puis vous pouvez attendre 
des heures avant qu'elles ayent repris confiance : c'est bien 
pis si on les a touchées, on n’a plus jamais rien à en attendre. 
Elles sont douées d'excellents yeux et d’une sorte de sagacité 
à vous reconnaître, et d’une patience impatientante pour lob- 
servateur. Enfin elles ont encore un moyen d'échapper aux 
expériences qui prouve leur excessive légéreté. 


DU GENRE LYCOSE. 13 


Je me rappelle qu'ayant placé un vase de rosier dans un 
très-grand plat d’eau, je me flattais de voir les araignées que 
je mis sur ce vase me donner en plein le spectacle de leur 
ascension, mais elles déjouèrent mes projets; elles descendi- 
rent la plupart le long des parois du vase: où elles ne vou- 
lurent point rester; d’autres se pendirent à des fils depuis les 
branches; toutes arrivèrent à la surface de l'eau, et après un 
moment d'hésitation, se mirent à la traverser on peut dire à 
pied sec, car elles se tenaient sur l'eau sans enfoncer, et j'en 
ai vu courir ainsi jusqu'au bord opposé, d’autres se tenir 
tranquilles et se laisser pousser par le vent jusqu'à ce qu'elles 
l'eussent atteint. 

Une dame de ma connaissance et en qui J'ai la plus grande 
confiance ayant placé de même une assez grosse araignée, la 
vit lancer un fil qui s’accrocha à une paroi, et sut ainsi s’é- 
vader de sa prison. Le même fait a été vu d’autres fois, Je le 
sais. C’est encore une ressource que la nature leur a donnée. 

Je terminerai cette longue lettre par un dernier fait qui 
prouve encore la légéreté de ces animaux octopédes. Je trans- 
cris ici mon Journal mot à mot. — 25 avril. J'ai vu un nou- 
veau procédé d'araignées aéronautes.' C'était une petite arai- 
gnée verte, avec des points noirs sur les côtés du corps. Le 
corcelet, la tête, ainsi que les palpes étaient d’une couleur 
plus claire, en même temps plus jaunâtre que le ventre, et 
les pattes fauves. Ses palpes étaient très-enflés. 

Elle avait fait de vains efforts pour s'élever de l'extrémité 
d’une branche d’altéa, mais le vent était au minimum; elle eut 
recours à un autre procédé fort ingénieux pour s'élever. C'était 


1% ARAIGNÉES AÉRONAUTES DU GENRE LYCOSE. 


de se laisser tomber suspendue à une soie de 10 à 12 pouces de 
long en tenant ses pattes écarquillées et de rester là tranquille 
jusqu’à ce qu'un léger coup de vent soufflât plus fortement. Elle 
restait ainsi quelque temps, puis remontait à sa branche et 
redescendait le long d’un autre fil légèrement balancée par les 
ondulations de l'air. Enfin, le zéphir ayant soufilé de toute 
son haleine, il l'a prit et l’enleva en un clin-d'œil; mais elle 
fut transportée vers un mur situé non loin de là. Une autre 
araignée de la même espèce aussi, après d’infructueux essais 
d’ascension, essaya de se suspendre en tenant ses pattes écar- 
quillées comme pour offrir plus de prise au vent. Mais cette 
fois le zéphir trompa encore son attente et la mienne; mais 
Jai vu le même fait d’autres fois et avec plus de succès. 








MÉMOIRE 


SUR 


LE CHARANCON LOZANGE 


(CIONUS SCROPHULARIÆ) 


Par Pierre Huber. 


Le Charançon lozange est un de ceux qui ne doivent point 
leur célébrité à ce ravage dont l'homme a trop souvent à se 
plaindre : il n’est point un insecte nuisible, mais il est remar- 
quable par son industrie. 

Quoiqu'il ait été observé par de très-savants naturalistes, 
son histoire présente encore des questions d’un véritable in- 
térêt sur lesquelles j'ai espéré pouvoir jeter de nouvelles lu- 
mières. 

Geoffroy et Réaumur ont l'un et l'autre étudié ce sujet et 
senti ce qu'il offrait de curieux, sans l’approfondir : il ont, 
pour ainsi dire posé le problème, mais ils ne l'ont point ré- 
solu. 


Note. Ceue espèce appartient au genre Cionus Clairv. C’est le Curculio Scro- 
phulariæ de Linné, le Cionus Verbasci de Latreïlle, le Curculio Thapsus d'Herbst. 


16 CHARANÇUN LOZANGE. 

Geoffroy qui s'en est occupé le dernier a été plus près de 
la vérité que Réaumur, mais, quoiqu'il ait deviné assez juste, 
il restait cependant à étudier le mode employé par la nature 
et à recueillir ces traits imprévus qu'elle présente d'elle-même 
à ceux qui l’observent dans tous ses développements. 

Je vais citer les paroles de ces deux illustres naturalistes, 
celèbres par des genres de mérite si différents : elles servi- 
ront de préambule à mes observations. 

« Ces petits animaux, dit Geoffroy, malgré leur grandeur 
médiocre, sont au nombre des plus Jolies espèces de ce genre 
par le travail singulier de leurs étuis. 

« Mais ce n’est pas encore ce qui les rend le plus remar- 
quables : 

« Lorsque leurs larves, après avoir rongé les feuilles de la 
scrophulaire, sont parvenues à leur grosseur et sont prêtes 
à se transformer, elles forment au haut des tiges une espèce 
de vessie à moitié transparente dans laquelle elles s’enferment 
et se métamorphosent. 

« Cette vessie, ronde et assez dure, paraît produite par une 
humeur visqueuse dont on voit la larve couverte. Comment 
l'insecte peut-il, avec cette espèce de glu, former la vésicule 
ronde. C’est ce que je n’ai pu parvenir à apercevoir. J'ai seu- 
lement trouvé les larves nouvellement renfermées dans cette 
vésicule; je les ai vues sous la forme de nymphes, et enfin 
l'insecte parfait en est sorti sous mes yeux. 

« Ces vésicules sont de la grandeur des coques renfermant 
« les graines de la scrophulaire et souvent mélées avec elles : 
« mais on les distingue aisément par leur transparence et leur 


CHARANÇON LOZANGE. 17 


« forme ronde qui diffère du fruit de la plante qui se termine 
«en pointe. Je n’ai jamais rencontré cet insecte sur le bouil- 
« lon-blanc, comme le disent Lister et Réaumur : ce qui me 
« ferait presque douter que ce fût le même animal qu'ils eussent 
« connu, si leurs descriptions et leurs figures ne démontraient 
« pas que c’est celui de la scrophulaire ? » 

Réaumur parle des larves d’un charançon qui vit sur le 
bouillon-blanc, mais qui sont des mineures : elles s’enfouis- 
sent sous le duvet de cette plante, le soulèvent et rongent le 
parenchyme. C’est dans ces espèces de cavités qu’elles font leur 
coque et quelquefois sur les tiges des fleurs. 

« Ces vers filent, pour se transformer. dit cet auteur, une 
« Jolie coque presque sphérique, de couleur blanchâtre et d’un 
« tissu si serré qu’elle paraît plutôt faite d’une membrane que 
« de fils appliqués les uns contre les autres. . .. 

« Plusieurs de ces vers ont établi leurs coques contre les 
« parois du poudrier dans lequel je les tenais. 

«Je ne suis pourtant pas parvenu à les voir filer, parce 
« qu'ils ont tous pris le temps de la nuit pour ce travail; mais 
« J'ai cru voir leur filière placée comme celle des chenilles et 
« se donner des mouvements semblables à ceux des chenilles 
« qui filent. J'ai d’ailleurs été convaincu que leur coque n'était 
« pas faite de la peau du ver lorsque, après avoir ouvert une 
« coque qui n'était finie que depuis peu, J'ai vu que l'insecte 
« qui y était renfermé avait encore sa première figure de ver. » 

L'incertitude répandue sur la nature de ces coques ayant 
offert un aliment à ma curiosité, je cherchai à me procurer 
les larves qui les produisent. Je découvris facilement quelques 


TOM. X, Î1'© PARTIE. 3 


18 CHARANÇON LOZANGE. 


plantes de scrophulaires et je les trouvai chargées de ces in- 
sectes sous toutes les formes et de tout âge. 

On voyait d’abord sur les fleurs et sur les tiges les plus éle- 
vées le petit charançon gris, à corselet blanc, à trompe ou 
rostre noir, dont les élytres striées présentent alternativement 
des bandes blanches et noires : les premières ponctuées de 
brun, les autres unies. Sur le haut des élytres est une tache 
noire dont la forme un peu variable a présenté à quelques au- 
teurs l'aspect d'un lozange; j'y verrais plutôt une forme de 
cœur. À l'extrémité inférieure des élytres sont deux taches 
rondes d’un noir velouté. Ce charançon n’avait pas plus de 
deux lignes et demie de longueur. 

On en voyait plusieurs dont la tête était entièrement en- 
foncée dans les boutons de la scrophulaire, et l'on ne pouvait 
douter qu'ils ne se nourrissent de la corolle encore tendre de 
cette fleur. 

Un grand nombre de larves fort petites, d'une couleur 
bleuâtre et livide étaient réunies sur d’autres boutons et pa- 
raissaient y avoir pris naissance. D'autres rampaient sur les 
feuilles : leur grandeur et leur âge étaient très-variés; l'on 
voyait sur les rameaux quelques-unes de ces coques demi-trans- 
parentes dont la nature peu connue offre à l'observateur une 
énigme encore nouvelle, et dans laquelle devait s’opérer leur 
métamorphose. , 

Tandis que ces charançons se présentaient à mes yeux sous 
les divers degrés de leur développement et permettaient d’étu- 
dier toutes les époques de leur histoire, la plante faisait voir 
de même toutes les phases de sa fructification; car on voyait 


CHARANÇON LOZANGE. 19 


à la fois la graine, les boutons et les fleurs sur le même ra- 
meau. 

Les feuilles étaient pour la plupart attaquées par les larves 
des charançons; celles du haut de la plante étaient surtout en 
très-mauvais état. Ces larves, d'abord nourries aux dépens 
des boutons, grossissent rapidement : elles descendent ensuite 
des rameaux en fleurs sur les feuilles dont elles mangent le 
parenchyme, laissant toute la membrane inférieure intacte. 

Lorsqu’elles sont parvenues au terme de leur accroissement, 
elles remontent sur les tiges les plus élevées, attaquent de 
nouveau les boutons et s’établissent sur les pédoncules pour 
procéder à la construction de leur coque. 

Les larves du charançon lozange sont dès leur jeunesse 
enduites d'une humeur visqueuse grisätre qui paraît suinter 
au travers de leur peau. Cette substance visqueuse cache les 
sillons de la peau de manière à faire disparaître toute inéga- 
lité sur leur corps. Il paraït uni et lisse d’une extrémité à 
l'autre; mais si l'on essaie de frotter légèrement le dos de 
l'insecte la substance gélatineuse dont il est enduit s’enlève, 
et l’on voit à découvert les anneaux et la couleur naturelle 
de l'insecte qui est d’un verdâtre obscur. 

Cette couleur varie cependant d'intensité selon l'âge de 
l'insecte et le degré d'évacuation qu'il a subi : on aperçoit au 
travers de la peau le grand vaisseau dorsal, et au-dessous, 
le canal alimentaire plus ou moins rempli d’une matière noi- 
râtre. à 

Lorsque les larves s'apprêtent à construire leurs coques, 
on les voit se fixer sur une petite branche; là elles demeu- 


20 CHARANÇON LOZANGE. 


rent en repos pendant quelques heures, et, sans qu’on devine 
le comment de la chose, on les trouve plus tard enfermées 
dans une coque élégamment attachée à la place même ou l'on 
avait vu l’insecte peu de temps auparavant. 

J'ai vu plusieurs de ces coques demi-transparentes se ter- 
miner sous mes yeux avant de pouvoir me former une juste 
idée de l'opération à laquelle elles devaient leur existence. Je 
pensai premièrement, comme l'avait supposé d’abord M. de 
Réaumur , que les larves se retiraient sous leur propre dé- 
pouille, à la manière de celles des diptères, mais une atten_ 
tion plus soutenue me convainquit que l’insecte ne changeait 
point de peau à cette époque. 

Ces coques, vues au plus fort microscope, ne laissent aper- 
cevoir aucune trace de tissu; d’ailleurs l'insecte s’y trouvait 
insensiblement enveloppé avant d’avoir fait les mouvements 
qui paraîtraient nécessaires pour filer. J'avais vu filer bien des 
chenilles de toute espèce; en pareïlle circonstance on décou- 
vrait facilement la suite de leurs procédés. Celui des insectes 
que je voulais observer actuellement était d’une toute autre 
nature : ce dont on pourra juger par ce qui suit. 

Les larves des charançons lozange, lorsqu'elles ont atteint 
l'âge de leur métamorphose, commencent à paraître plus à 
découvert : l'enduit glutineux dont elles étaient imprégnées se 
dissipe, les anneaux se distinguent avec tous leurs replis, 
l'insecte se montre dès lors sous une couleur plus sombre et 
d’un verd bouteille foncé. A peine ce corps conserve-t-il encore 
à cette époque quelque chose d’un peu gluant. 

Qu'est devenue la substance muqueuse qui le recouvrait ? 


CHARANÇON LOZANGE. 21 
at-elle été absorbée par la peau, s’est-elle dissipée par l'éva- 
poration ? l'insecte a-t-il, à mon insçu, quitté une dépouille avec 
laquelle aurait disparu l'humeur visqueuse ? C’est ce que je 
ne saurais entièrement résoudre; mais rien ne paraît favoriser 
la dernière de ces opinions, puisqu'on n'aperçoit aucune de 
leurs dépouilles sur les rameaux où va s’opérer le mystère de 
la construction des coques, et je penche en faveur de l'idée 
d’une résorption par les pores de la peau qui me paraît la plus 
naturelle. 

Quoiqu'il en soit, l'insecte dégagé de cette humeur mu- 
queuse rampe sur les tiges de la plante dont il s'est nourri; 
son allure se ralentit graduellement : enfin il s'arrête. Il ne 
ronge plus le parenchyme des feuilles; il se fixe sur une tige 
de la même plante, et mange un peu de l'écorce de la branche 
sur laquelle il est établi. 

Peu après, comme s'il eût pris un violent purgatif, com- 
mence une évacuation abondante de cette matière noire dont 
le canal intestinal était rempli, évacuation qui a lieu par les 
voies ordinaires, et qui se répète jusqu'à ce que la larve soit 
intérieurement parfaitement nette : on ne voit plus à cette 
époque la moindre parcelle de noir dans ce canal. 

L'insecte, après cette évacuation, avance de quelques pas 
sur la branche qu'il a choisie; il s'arrête et se fixe à la place 
où il doit établir sa coque demi-transparente. 

On peut alors examiner à loisir l'aspect de cette larve qui 
jusque BR, cachée sous un enduit épais, présentait d’abord à 
l'observateur une masse uniforme et continue, ensuite un corps 
opaque et sombre. Maintenant, et surtout si l'on fait marcher 


29 CHARANÇON LOZANGE. 


cette larve sur un carreau de verre, en regardant par dessous, 
on prendra une idée plus juste de la structure de son corps. 

Il est composé, autant que j'ai pu m'en assurer, de douze 
anneaux. Cette larve n’a point de véritables jambes, point de 
jambes distinctes, mais la partie inférieure des anneaux lui en 
tient lieu : les parties inférieures et supérieures des anneaux 
sont séparées par une ligne suturale qui se prolonge à droite 
et à gauche dans toute la longueur de l'insecte. Cette ligne, 
un peu en zigzag, est produite par le rebord des anneaux dans 
leur partie latérale et par des replis profonds que l’on ne sau- 
rait décrire. 

La partie supérieure de chaque anneau est convexe et forme 
un demi-segment; la partie inférieure jouit d’une très-grande 
mobilité, elle est divisée en deux par une espèce de gouttière 
qui règne au milieu et au dessous du corps dans toute sa lon- 
gueur. Mais à droite et à gauche de cette rainure, de ce pro- 
fond repli, la membrane du ventre s'applique au plan de po- 
sition et y adhère comme une espèce de pied par quatre où 
cinq points qui correspondent aux anneaux. 

Chaque anneau s'applique de même sur le plan contre le- 
quel l'insecte rampe : quand cette espèce de pied se retire, 
lon n’aperçoit plus ces points qui paraissaient saillants. L'an- 
neau est alors tout-à-fait simple en dessous, on n'y distingue 
plus que les plis d’une peau inégalement tendue. Ces sortes 
de pieds embrassent la petite branche qui leur sert de sup- 
port, elle y est prise comme dans un étau, ce que M. de 
Réaumur avait déjà très-bien compris. 

Vus du côté extérieur, ces demi-anneaux inférieurs parais- 


CHARANÇON LOZANGE. 23 


sent fort distincts les uns des autres. Ils semblent composés 
de deux replis musculeux situés l’un au-dessus de Fautre, et 
représentent des espèces de piliers formés de deux pièces su- 
perposées l’une à l'autre : quelqu'un qui ne saurait point que 
cet insecte est dépourvu de pieds, prendrait ces piliers pour 
de véritables jambes : ce ne sont pourtant que les muscles des 
anneaux. Mais ces muscles ont la faculté de se retirer et de 
s’enfler à volonté avec une telle facilité qu'ils font ici l'office 
d'organes locomoteurs. Ces larves rampent effectivement assez 
vite. Ce n'est qu'à l'époque où la coque doit se former que 
l'insecte ralentit sa démarche et devient enfin immobile. 

Sa tête est petite, presque carrée, armée de deux dents 
visibles et de quatre palpes (il est probable qu'il y a d’au- 
tres dents comme chez la plupart des coléoptères ), la lèvre 
inférieure n’est pas munie de filières; cependant elle paraît 
distiller une liqueur. Sur le premier anneau, on voit deux 
taches noires oblongues qui m'ont servi à reconnaître la place 
de la tête dans l'opération que je vais décrire et pendant la- 
quelle elle est quelquefois entièrement cachée. 

Nous avons laissé la larve fixée contre une petite branche 
dont elle a mangé l'écorce; elle s’est ensuite évacuée complé- 
tement. Elle va procéder à l'œuvre importante pour elle de 
la construction d’une coque. 

On voit que son dos change de couleur : sur le verd foncé 
qui fait le fond de sa teinte, se répand une autre teinte d’ur 
blanc bleuâtre. Une substance laiteuse transsude de la peau 
de ces insectes, s'étend sur tous leurs anneaux et sur leur 
tête même, elle semble s’accumuler en plus grande quantité 


2% CHARANÇON LOZANGE. 


sur la partie antérieure de leur corps, et sur la partie infé- 
rieure des six premiers anneaux : tandis que les six derniers 
ne transsudent cette humeur que dans la région dorsale et 
point dans la partie du corps qu'on peut appeler inférieure 
et latérale. 

La matière laiteuse abonde tellement sur la partie anté- 
rieure du corps qu’elle recouvre entièrement la tête et s’é- 
panche sur la tige à laquelle l'insecte est fixé dans l'endroit 
qui correspond à la situation des premiers anneaux; elle s'y 
accumule en si grande quantité, que l'insecte paraît au pre- 
mier abord avoir la tête et le haut du corps appuyés sur un 
coussinet. 

Insensiblement l'attitude de l'insecte change, son corps n'est 
plus étendu comme dans la figure première; au contraire, sa 
tête est retirée sous le premier anneau, celui-ci sous le second, 
et le second est presque caché par le troisième. 

L'insecte s’est voûté depuis le commencement de l’opéra- 
tion, son dos s'élève à chaque instant, les deux extrémités du 
corps se rapprochent, la tête s'enfonce de plus en plus sous 
les premiers anneaux; elle est couverte d’un léger voile sous 
lequel on commence à la voir remuer. 

Sa bouche s'applique contre la tige, puis se retire peu de 
minutes après, perpendiculairement à la branche, mais avec 
lenteur, comme si l'insecte, intéressé au succès de l'opération 
dont il s’agit, craignit de rompre ou de déchirer le voile déjà 
distinct formé dans la région antérieure de son corps. 

Ce voile s'épaissit, il se prolonge sur les deux côtés de la 
branche et se condense à la place qu'occupait la bouche peu 


19 


CHARANÇON LOZANGE. D 
d'instants auparavant, ce qui pourrait faire juger qu’elle a dé- 
posé une partie de la matière amoncelée en cet endroit. 

Le voile prend à chaque instant plus de consistance. Il 
recouvre l'insecte dans toutes ses parties, excepté sur les côtés 
des anneaux postérieurs. L’attitude de l'insecte est tout-à-fait 
ramassée, la tête a disparu , elle est alors entièrement ca- 
chée sous les anneaux, et le voile est si épais à cette place 
qu'on ne peut deviner celle de la tête que par le moyen des 
deux taches d’un noir d’ébène situées sur le premier anneau. 

Après quelques heures de tranquillité pendant lesquelles 
on voit cependant des mouvements internes dans les muscles 
de tous les anneaux, l'insecte change encore d’attitude. I fait 
faire à tout son train de derrière un mouvement en avant; 
mais la partie antérieure déjà un peu relevée au-dessus de la 
branche demeure immobile; par conséquent le corps se voute 
davantage, l'extrémité postérieure touche seule la branche. 
Les anneaux postérieurs qui étaient adhérents par dessous à 
la branche, la quittent, ils s’éloignent du plan de position et 
se rapprochent de la tête, ils se serrent contre les anneaux 
antérieurs dont la base se contracte pour les recevoir sous la 
portion de l'enveloppe qui leur correspond. 

11 résulte de ce changement d’attitude que le corps de cette 
larve est maintenant presque en boule, et que la partie infé- 
rieure des six derniers anneaux, restée nue, se trouve cachée 
presque entièrement sous la partie antérieure du voile. La 
portion du voile qui recouvre les anneaux postérieurs les a 
suivis dans cette évolution; et maintenant elle se met presque 
en contact avec le bord vertical du voile des anneaux anté- 


TOM. X, 1" PARTIE. 4 


26 CHARANÇON LOZANGE. 


rieurs, et peu s’en faut qu'il n’enveloppe complétement lin- 
secte sur lequel il s'était moulé dans l'origine, quoique celui-ci 
ait complétement changé d’attitude et d'apparence. Cependant 
il est à remarquer qu'il reste toujours à cette époque un petit 
vide près de la jonction et presque au centre du cercle que 
l'insecte représente actuellement, et ce vide existe dans la 
partie du voile qui répond à la droite comme à la gauche de 
l'insecte. Dans l’origine celui-ci offrait la forme d'une demi- 
ellipse; par sa nouvelle attitude il représente un sphéroïde 
aplati comme un cloporte. Le voile prend cette forme parce 
qu'à cette époque il suit encore les formes de l'insecte, il se 
durcit enfin et devient une véritable coque dans laquelle l'in- 
secte peut se mouvoir très-librement. Il à pris assez de con- 
sistance pour qu'on puisse l'enlever en entier et mettre à nu 
la larve qui le renfermait. 

Si on la dégage complétement de cette enveloppe, elle quitte 
la place. elle se promène pendant quelques minutes et se fixe 
de nouveau contre la branche. 

Quel sera le sort d'un insecte aussi frèle et qui devait se 
métamorphoser dans une coque disposée par la nature pour 
lui fournir un abri, et des points d'appui peut-être nécessaires 
à son passage d’une forme à une autre ? La nature l'a pré- 
munie contre un accident qui paraissait offrir peu de chances 
de se présenter : un second voile se forme autour de cette 
larve, et cette substance est presque aussi abondante que la 
première fois. J'ai enlevé ce second voile à plusieurs larves, 
il s’en est toujours formé une troisième. Que l’on ne croie pas 
cependant que dans l’état naturel il se fût formé une seconde 


CHARANCÇON LOZANGE. 97 
et une troisième enveloppe autour de nos larves; non, elles 
sont toujours simples, au contraire; ainsi c’est à volonté que 
l'insecte peut faire transsuder de son corps et au travers de 
ses pores la substance gélatineuse qu'il contient en abondance. 

Je n’ai pas poussé plus loin cette expérience, parce que la 
dernière enveloppe était si mince qu'elle était absolument 
transparente et d’une extrême fragilité : d’ailleurs, ces insectes 
vieillis ou épuisés n'agissent déjà plus avec la vivacité que 
nous allons leur voir déployer pour terminer cette enveloppe 
qui jusqu'ici se montrait sous la forme d’un voile appliqué et 
moulé sur le corps de l'insecte, et auquel il sera temps de donner 
le nom de coque sphéroïdale lorsque celui-ci lui aura donné 
la dernière main. 

Voici l'époque où le travail de la nature cesse et où celui 
de l'insecte commence, quoiqu'on puisse dire que par ses atti- 
tudes graduées il ait eu quelque part à la construction de la 
coque. Mais celle-ci n’a pas encore cette forme régulière et ce 
lustre qu'on lui voit ordinairement. 

A l’époque où nous en sommes. on voit la tête de cette larve 
remuer sous ses enveloppes : elle joue avec rapidité, elle 
avance, elle recule, elle se meut à droite et à gauche, la larve 
applique contre les parois de sa loge ses palpes, ses lèvres et 
ses mandibules. Le voile s'épaissit, il devient moins trans- 
parent, il prend beaucoup de consistance, il s'étend partout 
où l'insecte a appliqué sa bouche. La larve vernit évidemment 
l'intérieur de sa demeure, elle lui fait perdre par degré la forme 
du corps sur lequel elle s'était moulée, lorsque la matière dont 
elle est formée transsudait de tous les pores de l'insecte. 


28 CHARANÇON LOZANGE. 


Celui-ci, en vernissant sa demeure future, détruit tous les 
sillons, tous les plis, toutes les bosselures de cette enveloppe 
qui conservait l'empreinte des anneaux et des muscles parti- 
culiers à chacun d'eux. Ce ballon paraît s’enfler, il prend une 
forme sphéroïdale; en quelques heures il est converti en une 
coque à peu près ronde, parfaitement lisse, et d’une: épais- 
seur uniforme. 

La transparence de cette coque n'était point assez parfaite 
à mon gré pour discerner tout ce qui se passait dans son in- 
térieur. Quoique Je visse la larve très-occupée, les détails de 
ses opérations m'échappaient : je ne concevois point d'où pro- 
venait tout le vernis dont elle paraissait faire usage : mais une 
circonstance que J'aurais pu prévoir me favorisa au-delà de mes 
espérances. 

On se rappelle ce vide que j'ai fait remarquer dans la partie 
du voile où devait se faire la jonction, et qui répondait au 
centre du cercle décrit par l'enroulement de la larve, vide 
qui se retrouvait des deux côtés du sphéroïde. 

Au moyen de cette petite ouverture qui, pour moi, faisait 
l'effet d’une fenêtre, et d'où mes regards pouvaient plonger 
au fond de la cellule dans laquelle la larve travaillait solitai- 
rement ; il me fut aisé d'observer pendant quelques instants 
le jeu de ses dents et de ses palpes, et de m'assurer qu'elle 
ne filait point. 

Le vernis coulait abondamment de sa bouche et le travail 
n'était point interrompu. 

Mais, au moment où je m'y attendais le moins, l'insecte 
boucha la fenêtre au travers de laquelle je l'observais, au 


CHARANÇON LOZANGE. 29 


moyen d'une petite masse de colle qu'il disposa sur le bord 
de l'ouverture : il étendit à l'instant cette matière fort res- 
semblante à celle dont la coque était composée, l'amincit et 
la rendit si polie et si lisse qu'on n'aurait pas pu distinguer 
l'endroit où elle était rajoutée. 

Cette petite contrariété ne m'empêcha point d'admirer l'in- 
dustrie de cet insecte et de m'étonner de l'art et du fini qu'il 
mettait à son ouvrage. 

Mais de quelle source pouvait provenir la masse de colle 
épaisse et à demi fluide qu'il avait employée : où puisait-il de 
telles provisions ? 

Je ne pouvais laisser ces questions indécises. Dès que je 
vis la larve occupée d’un autre côté, Je rouvris le guichet au 
moyen d'une lame de canif. Je l’agrandis assez pour pouvoir 
observer à mon aise tous les mouvements de la larve du cha- 
rançon, et Je dirigeai une lentille à court foyer dans l'inté- 
rieur de la loge où elle travaillait. 

Elle s’apperçut de la nouvelle brèche faite à sa cloison et 
s’appréta à la réparer. Mais bientôt la matière vint à lui man- 
quer. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant alors où cet 

‘insecte allait s’approvisionner de la colle ou du vernis dont 
il avait besoin. Je le vis d’abord se recourber en cercle, ap- 
procher sa tête des derniers anneaux de son corps, ces an- 
neaux s'entr'ouvrir et présenter une poche dans laquelle la 
tête pénétra en partie. 

Après avoir fouillé dans cette cavité (*) pendant quelques 





(1) Je ne crois point qu'il y ait là une cavité particulière, elle m’a paru être 
la même qui sert à d’autres fonctions. 


30 CHARANÇON LOZANGE. 

instants, elle en ressortit chargée d’une provision de colle 
considérable. Cette matière était en forme de boulette allon- 
gée, de la couleur et de la consistance de l'amidon cuit à l'eau 
et préparé pour l'usage du colleur. C'était une masse d’une 
substance gélatineuse grisâtre, à peu près de la grosseur de 
la tête de la larve; elle la tenait entre ses dents, elle la posa 
exactement au bord de la fenêtre que j'avais pratiquée dans 
la cloison de sa loge, l’étendit avec ses palpes, ses lèvres et 
ses dents; elle faisait encore usage de la partie cornée et ar- 
rondie de son front pour donner à la cloison la forme arrondie 
et l'apparence unie du reste de Ja coque. 

Je ne laissai point cet insecte terminer son ouvrage, dans 
la crainte que la pièce nouvellement ajoutée ne vint à se des- 
sécher si je lui en donnais le temps, et ne me permit plus, par 
la solidité qu'elle pourrait acquérir et l’opacité qui en résul- 
terait, d'enlever l'obstacle qu'elle opposait à ma curiosité. 

J'eus soin d'agrandir cette ouverture pour la seconde fois, 
afin de revoir un fait qui me paraissait de quelque importance. 

Je vis à l'instant la larve retourner à la provision, rappro- 
cher l'extrémité de son ventre de sa bouche, celle-ci prendre 
dans la cavité postérieure de l'abdomen une nouvelle portion 
de colle et la porter partout où elle paraissait être nécessaire. 

Plus de six fois de suite je vis cette larve puiser à la même 
source, et en retirer une égale quantité de cette gelée demi- 
transparente pour en enduire toutes les parties de sa coque. 

Tantôt tournée vers le haut de sa loge. elle travaillait au 
plafond; tantôt la tête en bas, elle en vernissait les parois 
inférieures; mais le premier travail qui l'occupe, celui qui 


CHARANÇON LOZANGE. 31 


paraît lui inspirer une sorte de sollicitude, c'est ce vide la- 
téral où sa loge présente un côté faible. Ce vide qu'il faut 
combler, parce que le changement de forme qu'a subi cette 
enveloppe eût été très-diflicile à opérer sans y laisser une 
petite solution de continuité par laquelle l'ennemi pourrait 
s'introduire. L'art de cette larve ne consiste pas seulement à 
savoir étendre la matière glutineuse entre les bords de lou- 
verture; elle sait ramollir et reprendre celle dont la loge est 
composée pour la lier avec la nouvelle matière qu'elle veut y 
ajouter. 

Quand elle aperçoit quelque aspérité ou quelque petite 
esquille desséchée sur le bord de la brèche, et qui ne pour- 
rait faire partie de la coque sans la déparer, elle la fait re- 
passer dans sa bouche, la mêle avec d'autre matière déjà li- 
quide, les refond ensemble et les fait servir de nouveau. 

Pendant qu'elle est occupée à fermer les parois latérales de 
sa loge, on lui voit employer ses lèvres comme une espèce 
de filière aplatie ou de pince large ; on voit jouer ses dents et 
ses palpes avec une telle vélocité qu'il serait difficile d'assi- 
gner le rôle particulier à chacun de ces membres dans une 
opération dont les mouvements sont aussi compliqués ; mais 
l'on aperçoit que l'emploi des palpes est ici à quelques égards 
comparable à celui de nos mains. 

Les palpes servent à pousser, à presser, à retenir la matière, 
en opposition à l'effort des dents; ils jouent un rôle actif dans 
ce travail et ne m'ont point paru, comme on l’a cru jusqu'ici, 
devoir être les organes de quelque sensation particulière, mais 
des membres destinés à un emploi mécanique. 


32 CHARANÇON LOZANGE. 

Cette opinion qui, je crois, n'a pas encore été discutée, 
me paraît appuyée par l'usage que plusieurs autres larves font 
de leurs palpes. 

Les larves des charançons lozanges, travaillent pendant 
près de vingt-quatre heures à terminer leur logement; elles 
restent ensuite plusieurs jours avant de passer à l'état de nym- 
phe, et en moins de quinze jours on trouve ces Imsectes sous 
la forme ailée. 

Le charançon fait alors une ouverture circulaire dans la 
partie supérieure de sa coque. L'opercule qui en résulte de- 
meure attaché le plus souvent par quelques points de sa cir- 
conférence au sphéroïde dont il faisait partie. 

Enfin, l'insecte en sort tel que je l'ai dépeint et cherche 
aussitôt ses compagnes, avec lesquelles on le trouve uni sur 
les branches de la plante qui les a nourris et dont ils se nour- 
rissent encore. 

L'histoire de ce charançon se termine ici pour le moment; 
je ne me dissimule point tout ce qu'elle laisse à désirer, toutes 
les questions qu'elle fait naître; en attendant de pouvoir sa- 
tisfaire aux plus simples, je dois encore éclaircir un fait qui 
a son importance pour la nomenclature et pour la physiologie : 
savoir si le charançon de la scrophulaire est le même que le 
charançon du bouillon-blanc. — Ce dernier, observé par 
Réaumur, paraissait devoir être placé parmi les larves mi- 
neuses. Il creusait dans les feuilles épaisses de ces plantes 
des espèces de galeries dans lesquelles il construisait sa coque 
et où il se métamorphosait. 

Dans le but d'éclaircir cette question je pris sur la scro- 


CHARANÇON LOZANGE. 33 


phulaire un certain nombre de larves du charançon lozange, 
je les transférai sur les feuilles drapées du bouillon-blanc et 
j'épiai leur conduite dans ces circonstances. 

Je vis d’abord qu'elles y trouvaient un aliment de leur goût : 
elles s’enfouirent sous le duvet de la plante, rongèrent son 
parenchyme, pratiquèrent dans la substance des tiges et des 
feuilles des espèces de galeries, et construisirent leurs coques 
comme les autres larves de la même espèce ; enfin elles subi- 
rent leur métamorphose dans ces sillons ou sur les rameaux 
indifféremment. 

Tant de conformité entre la conduite de ces larves et de 
celles étudiées par M. de Réaumur ne laissent aucun doute 
sur l'identité des insectes étudiés par lui, par Geoffroi et par 
moi-même. 

Entre les questions que fait naître la lecture de ce petit mé- 
moire, il en est plusieurs qui sont du ressort de la chimie; 
l'une d’elles se lie étroitement à l'existence de ces insectes. 
Comment une larve ou une nymphe qui occupe la plus grande 
partie de la cavité de sa coque peut-elle respirer dans cet 
étroit espace. La nature de la coque paraît s'opposer au renou- 
vellement de l'air; cependant j'appris par le résultat de quel- 
ques essais ‘faits avec les réactifs les plus communs, que cette 
substance, indissoluble à froid dans l'eau et dans l’esprit-de- 
vin, s'imbibait d'eau; car je trouvai plusieurs coques, parmi 
celles que J'avais mises dans l’eau, à moitié remplies de ce li- 
quide en moins d’un mois. 


L'eau-de-vie se colora légèrement en brun; mais sans pré- 
TOM. X, "© PARTIE. 5 


34 CHARANÇON LOZANGE. 
senter aucun dépôt. L'eau et l’esprit-de-vin ne parurent pas 
le moins du monde agir sur ces coques. 

Il me semble que si l'eau peut filtrer au travers de la ma- 
tière cornée de la coque, l'air doit pouvoir s'y introduire à 
peu près comme dans une coquille d'œuf; cela expliquerait la 
possibilité de son renouvellement et permettrait l'exercice des 
fonctions analogues à la respiration chez les insectes auxquels 
elles servent de retraite momentanée. 








MÉMOIRE 


POUR SERVIR 


A L'HISTOIRE DES PSOQUES 


Par Pierre Huber. 


Les deux espèces de psoques qui vont nous occuper parti- 
culièrement ont leur corps de couleur jaune ou d’un jaune ver- 
dâtre; une tache noire sur l’occiput, des yeux noirs, une tache 
brune sur chaque bosselure du corselet se dessinent très-net- 
tement sur ce jaune; l'abdomen est transparent, les ailes sont 
transparentes et frisées, à nervures jaunâtres; l’une des deux 
espèces a les ailes tachetées de brun, les parties claires sont 
à reflets, alternativement dorés et pourprés. L'autre espèce 
a les ailes d’une couleur uniforme, mais présente aussi des 
reflets métalliques selon la disposition du jour. 

Ces mouches peuvent passer pour de très-jolis insectes dans 
leur état parfait. 

Ce fut d'abord, il faut l'avouer , le brillant de leurs cou- 
leurs qui attira mon attention, mais bientôt elle se fixa sur 
Jeurs allures, car la vivacité de leurs mouvements, la légéreté et 
la grâce avec lesquelles elles parcouraient la surface des feuilles 


36 HISTOIRE 


avaient un attrait particulier. Lorsque ma présence intimidait 
celle que J'observais, elle passait avec une rapidité surpre- 
nante au-dessous de la feuille. Cependant, comme elle reve- 
nait bientôt au-dessus, je fis plus d'attention à ce qui pouvait 
l'y rappeler, et ce ne fut pas sans un mélange de plaisir et 
d'étonnement que je découvris quel était le genre d'occupa- 
tion à laquelle elle se livrait. 

Elle va nous offrir un phénomène nouveau qui n’a pas 
d'exemple parmi les insectes proprement dits en état de per- 
fection, un phénomène commun chez un grand nombre de 
larves, tant de névroptères que d’hyménoptères, et qui ne 
nous étonnerait point de la part des chenilles, mais qui aurait 
droit de nous surprendre beaucoup si des papillons, des li- 
bellules, des abeilles, etc., dans leur état d'insectes ailés nous 
en donnaient le spectacle; car jusqu'ici la faculté de produire 
de la soie a été exclusivement réservée aux larves de ces in- 
sectes. 

Et l’araignée, dira-t-on, mais l’araignée n’est point un in- 
secte : elle fait classe à part, et l’on ne sait même pas bien en- 
core où l’on doit la placer; tant par sa conformation extérieure 
qu'intérieure elle tient à un système très-équivoque pour les 
naturalistes. 

Il s’agit maintenant d’un névroptère, or c'est une chose cu- 
rieuse que de voir filer un insecte dans un autre but que celui 
de se filer une coque. On a bien vu quelques bombyx for- 
mer un tissu pour couvrir leurs œufs avec le duvet de leur 
propre corps, mais elles ne sont point douées d'une filière. or- 
gane qui disparaît avec les téguments extérieurs de la chenille. 


DES PSOQUES. 37 
Ainsi, jusqu'à présent le fait est unique dans son genre, si l’on 
excepte celui d’une espèce de ditisque, coléoptère qui, dit-on, 
file dans l'eau même une coque pour renfermer ses petits. 

La jolie mouche dont je veux écrire l'histoire filait, mais 
non avec la lenteur d’un ver qui se meut difficilement, ou avec 
la circonspection d’une chenille; elle était en action, elle cou- 
rait, elle changeait à chaque instant de position ; mais ses mou- 
vements avaient un but, car elle filait en courant autour d’un 
très-petit espace, et elle travaillait avec une grâce qui excita 
souvent l'admiration des personnes auxquelles je la fis voir. 

Ce fut d’abord sur des feuilles de cytise que je la découvris, 
et c'était dans l'espèce de gouttière formée par le pli de la 
feuille au-dessus de la principale nervure que se mouvait notre 
petite fileuse. 

On voyait dans ce pli une petite place brillante et blanche 
comme du satin, d’une forme ovale et évidemment composée 
de soies tendues de l'un des lobes de la feuille à l’autre, au- 
dessus de la nervure. 

La petite mouche courait avec rapidité sur ce tissu en se 
portant à droite et à gauche avec des mouvements réguliers; 
sa bouche était posée sur la trame, elle s’arrêtait un instant 
très-court à travailler auprès du bord de la tache blanche, re- 
tournait à l’autre bord avec rapidité, changeait de place, puis 
travaillait d’un autre côté, croisait ses fils dans tous les sens, 
et les disposait si près les uns des autres qu'il était diflicile 
de distinguer ceux qu’elle venait de filer de ceux qui l'avaient 
été précédemment. 

Cependant, à l’aide d’une forte loupe, je pus en distinguer 


38 HISTOIRE 


quelques-uns au moment où ils sortaient de la filière et m'as- 
surer par mes propres yeux qu'ils venaient d’être formés par 
cette petite mouche. 

L'on devine déjà l'usage de ce tissu; tous les travaux des 
insectes ont pour but ou leur propre conservation ou celle de 
leurs petits. 

En regardant la feuille contre le jour, je vis six petits œufs 
le long de la nervure, placés symétriquement deux à deux; 
ils étaient exactement recouverts par la trame satinée et étaient 
enfermés de toutes parts entre elle et la superficie de la feuille. 

Voilà donc une nouvelle manière de protéger les germes 
de la génération prochaine, et cette méthode joint la simpli- 
cité et l'élégance à la sûreté et à l’économie. 

Voulant m'assurer plus complètement de tous ces faits, je 
cherchai sur d’autres feuilles du même arbre de petites mou- 
ches semblables, et si je n'en trouvai pas d’abord, je vis 
au moins de leur ouvrage, car il y avait de ces tentures sur 
presque toutes les feuilles. 

J'en trouvai sur les framboisiers, sur les tilleuls, sur les poi- 
riers et les chênes. Quelques-unes de ces tentes avaient une 
forme circulaire, celle de la plupart des autres était elliptique 
ou irrégulière ; toutes recouvraient un certain nombre d'œufs, 
depuis six jusqu’à quatorze. 

Ces petites couvées, si l’on peut employer ce terme, con- 
fiées à la tenture de soie, qui les mettait à l'abri de la pluie et 
peut-être des attaques de quelques insectes, n'étaient point 
gardées par les jolis insectes auxquels elles devaient l'exis- 
tence. On trouvait quelquefois ces mouches sous les feuilles 


DES PSOQUES. 39 
des mêmes plantes, mais elles étaient bien plus rares que leurs 
nichées. 

J'en emportai plusieurs dans mon cabinet, où je les établis 
sous des vases de verre avec les feuilles sous lesquelles elles 
se trouvaient, et j'eus encore le plaisir de les voir filer à plu- 
sieurs reprises. 

J'assistai même à la ponte de l'une d’elles, et je remarquai 
qu'elle recourba son ventre à plusieurs reprises en touchant 
la feuille de son extrémité avant la sortie de l'œuf, ce qui me 
fait supposer qu’elle y déposait une liqueur gluante pour coller 
celui qu'elle allait mettre au jour. 

Lorsqu'elle eut pondu dix œufs elle se retourna, visita l’es- 
pace qu'ils occupaient, et se mit à filer en commençant par 
le bord du groupe. 

Elle faisait glisser la partie inférieure de sa bouche sur 
les œufs qui occupaient la circonférence et allait atteindre la 
feuille des deux côtés en courant dans un sens et dans l’autre 
avec beaucoup de rapidité; puis, s'étant retournée d’un autre 
côté, elle travailla encore à la circonférence du groupe, mais 
dans un autre point. Elle fit ainsi le tour de ses œufs, filant 
toujours, mais sans beaucoup de régularité, car elle revenait 
souvent là où elle avait déjà commencé sa trame, puis elle 
mit quelques soies en travers dans différents sens. Mais ce 
n'était là qu'un travail préparatoire et qui devait servir de 
base à un tissu plus régulier. Bientôt après commence un tra- 
vail plus suivi; elle établit ses soies parallèlement les unes 
aux autres, tout en travers du groupe et au-dessus de lui, et 
en fit une couche si épaisse que ses œufs furent entièrement 


40 HISTOIRE 
cachés. Cela fait, elle s'arrêta et se retira sous la feuille qui 
contenait sa progéniture. 

Il ne me restait aucun doute sur la faculté que les psoques 
possèdent exclusivement, comme insectes parfaits, de produire 
de la soie, et je savais à quel usage elle était employée; mais 
il n’était pas aussi facile de voir d'où sortait cette soie vu la 
petitesse de l’insecte et la rapidité de ses mouvements. 

Ce n’a été qu'en les mettant dans des tubes de verre que 
Jy suis parvenu. Alors, et au moyen d’une lentille tres-forte 
je pus suivre les mouvements de l'insecte, ce que le micros- 
cope ne permettait pas, et J'aperçus que le fil sortait des deux 
bords inférieurs de la lèvre supérieure. On voyait à cette place 
deux petits corps oblongs et ovales qui sont les véritables fi- 
lières de ces insectes; je n’oserais donner plus de détails à cet 
égard, vu l'extrême difliculté de cette observation. Je dois 
même avouer que quoique j'aie bien vu le fil briller en cet 
endroit à sa sortie, Je n’ai pu bien distinguer les filières, ou 
ce que j'appelle ainsi, qu'en regardant la tête de l'insecte de 
profil et dans un biais où je ne pouvais voir en même temps 
le luisant de la soie nouvellement produite, mais ces organes 
étant les seuls qui fussent disposés aussi favorablement pour 
ce but, étant saillants au dehors et se montrant là où le fil 
semblait se former; c'étaient de fortes présomptions en faveur 
de l’opinion que j'ai émise. 

Les petites tentes que les psoques construisent au-dessus 
de leurs œufs sont de deux espèces. 

Il y a de leurs œufs qui sont placés sous une double tente, 
dont l’une, la plus rapprochée d’eux, est semblable à celle 


DES PSOQUES. 41 


que je viens de décrire; l’autre se trouve à quelque distance 
au-dessus de la première. Elle est composée de soies beaucoup 
plus fortes, mais d’un tissu moins serré, parallèles entre elles 
et beaucoup plus longues que celles de la tente satinée. Cette 
seconde tenture est fermée d’un côté et toujours ouverte de 
l’autre. 

Ne servirait-elle point d’abri à la mère dans quelques cir- 
constances qui m’eussent échappées ? Je n’en ai jamais trouvé 
au-dessous, de sorte que je ne puis l’aflirmer. Mais ce qui 
suit vient à l'appui de cette conjecture. 

Il y à une espèce de psoques, celle dont les ailes sont ta- 
chées de brun, qui ne construit pas une tente bien serrée sur 
ses œufs. Le plus souvent même elle n’en fait point; mais 
celle-ci, en revanche, se tient toujours sous une espèce de 
filet qu'elle construit d’un côté à l’autre d’une des grosses ner- 
vures de la feuille, et qui lui laisse un espace assez grand pour 
faire quelques pas sans en sortir. Ce filet est composé de soies 
longues et parallèles qui forment une tente d’où la mouche 
peut aisément s'échapper. J'avoue que je ne conçois pas trop 
l'usage de cet asile qui est si frèle qu'un moucheron pourrait 
le violer; mais la nature a ses raisons, n’en doutons pas. Il 
est constant que les psoques à taches brunes tendent toujours 
autour d’eux des soies longues et parallèles; seraient-elles des- 
tinées à les avertir de l'approche de quelque ennemi ? C’est ce 
que j'ignore. 

Qu'on n'imagine pas, en revanche, que notre petite mouche 


fileuse soit là en embuscade comme l’araignée pour attendre 
TOM. X, Î'* PARTIE. 6 


42 HISTOIRE 
sa proie. La nature ne lui a point donné des mœurs guer- 
rières. 

C’est un insecte qui broute, comme les moutons et les chè- 
vres. Or quelle substance, quel herbage est assez menu pour 
un herbivore de cette taille ? Cette question exige de nous une 
petite digression qu'on voudra bien nous pardonner en faveur 
de la nouveauté du fait. 

Il y a, dans toutes les classes d'animaux, certaines espèces 
que la nature semble avoir destinées, par leur prodigieuse 
fécondité, leur caractère passif et leur facile existence, à sub- 
venir à la nourriture d’une série d'animaux carnassiers. 

Les harengs parmi les poissons, les moutons parmi les 
quadrupèdes, les cailles parmi les oiseaux, les éphémères et 
les pucerons chez les insectes, sont ces espèces d’une fécon- 
dité surabondante où les animaux voraces de toutes les classes 
trouvent une pâture facile. 

Le puceron n'est pas seulement le gibier le plus inoffensif 
et le plus facile à attaquer pour une foule d'insectes ; il dis- 
tille une manne qui alimente une quantité innombrable d’in- 
sectes, tels que mouches de toutes espèces, guêpes, abeilles, 
ichneumons, fourmis, etc. Certaines espèces de pucerons four- 
nissent à un de leurs ennemis un duvet, une fourrure dont 
ils se revêtent pour leur faire une guerre plus sûre; tels que 
des loups qui se déguiseraient en moutons pour entrer dans 
la bergerie. | 

D'autres insectes plus subtils s’introduisent sous la peau 
même de ces pauvres pucerons et vivent à leur dépens, comme 
on le verra dans un autre mémoire. 


DES PSOQUES. 43 


Pour terminer le parallèle il ne nous manque plus qu'un 
trait, plus qu'un rapport entre les pucerons et les bestiaux que 
l'homme élève à son profit. 

Celui de fournir un engrais à une espèce de plante qui 
est utile à d’autres petits êtres non carnassiers. 

Or j'ai souvent remarqué que les feuilles des arbres char- 
gés de pucerons devenaient noires après un certain temps. Îl 
en est de même de celles où les gallinsectes pullulent; non- 
seulement les feuilles prennent cette teinte rembrunie, mais 
le tronc et les branches de ces arbres sur lesquels la liqueur 
des pucerons ou la manne des insectes est jetée incessamment, 
se colorent en noir et se drapent d’une espèce de velours plus 
ou moins dense. 

Ce n’est point une maladie de l'arbre qui la cause; cette 
couleur noire est due à une plante parasite qui lève sur les 
végétaux où la liqueur des pucerons a été répandue en abon- 
dance, et devient nuisible à l'arbre, parce que cette plante 
parasite, une fois établie sur l'écorce des rameaux ou sur la 
superficie supérieure des feuilles, se nourrit à leurs dépens. 

Il n’est point étonnant que la liqueur des pucerons, qui est 
une excrétion, puisse devenir le stimulant de cette germina- 
tion, comme d’autres engrais sortis du corps des animaux, fer- 
tilisent le sol. 

Cette substance étant en outre sucrée et gommeuse, par 
cela seul donnerait naissance à des moisissures; mais celles 
qu’elle fait naître m'ont paru d’un genre très-différent de celles 
qui viennent sur les substances gommeuses. Elles sont de 
petits corps peu allongés et terminés confusément en tête, 


4% HISTOIRE 


mais groupés sur les feuilles. Il en est une espèce de jaunes 
qui se propagent sous les feuilles des rosiers. Les pucerons 
du rosier vivant sur la tige et non sous les feuilles de cet ar- 
brisseau, rejettent leur miellée en tous sens. Je n’assurerais 
pourtant pas que l’'uredo couleur de rouille du rosier dût son 
existence aux pucerons, parce qu'il est singulier qu'il ne croisse 
que sous les feuilles, tandis que le dessus des feuilles est quel- 
quefois noirci par la même cause. 

Quoi qu'il en soit, tous ces uredo servent de pâture aux 
mouches fileuses, aux psoques fileurs, et l'on voit ici un nou- 
vel exemple des ressources ingénieuses et de la fécondité de 
la nature dans les moyens de subsistance qu’elle fournit aux 
êtres qu'elle a créés. 

Lorsque les psoques sont occupés de leur repas, ils ont par- 
faitement l'air de brouter. Leur mâchoire, ou plutôt leur lèvre 
inférieure, mobile et plus allongée que la supérieure, fait exac- 
tement les mêmes mouvements que ceux d’un âne ou d’un 
cheval qui arrachent l'herbe du gazon. Aussi, avant d’avoir 
bien examiné la chose, je croyais que ces insectes, encore 
nouveaux pour moi, mangeaient à la manière des quadrupèdes, 
en remuant la mâchoire inférieure d’arrière en avant, mais je 
n'avais pas encore aperçu les véritables organes de la man- 
ducation, qui se meuvent latéralement. Je n'expliquerai pas 
pourquoi elles enlèvent la tête de ces moisissures dans le sens 
contraire; il est certain qu’elles s’en nourrissent uniquement; 
je les ai vus nettoyer en peu d'instants un espace de plus d’un 
pouce quarré. 

J'ai nourri de ces insectes pendant deux mois avec les feuilles 


DES  PSOQUES. 45 
chargées de ces uredo, elles pondaïent et filaient constam- 
ment. Je remarquai que chacune d’elles peut pondre bien des 
fois sans avoir de nouvelles communications avec le mâle, 
jusqu'à cinq reprises différentes. 

Les mâles diffèrent si peu des femelles que je ne saurais 
assigner d'autre différence dans leur aspect que d’avoir le 
ventre beaucoup plus mince et bordé près de l'extrémité par 
une ligne brune semi-circulaire. 

Je ne les ai point vus accouplés, quoique j'en aïe eu plusieurs 
de renfermés avec les femelles sous des compotiers de verre; 
mais, comme je ne les ai jamais vu pondre, je suis presque 
assuré que ce sont les mâles. Ils filent aussi bien que les fe- 
melles et se tiennent, comme plusieurs d’entre elles, sous un 
treillis de soie. 

Les œufs pondus par les psoques à ailes unies sont d’abord 
d’un blanc de lait, puis ils deviennent d’un gris lilas et réflé- 
chissent les couleurs les plus vives lorsqu'ils sont au grand 
jour : de l’azur d’abord, puis des teintes de pourpre et d'or. 
Ceux des psoques à ailes tachetées ne deviennent pas d’un 
gris lilas; ils passent directement au jaune et réfléchissent 
des couleurs d’or et de bronze. Quelques-uns des œufs que les 
mouches fileuses avaient pondu dans mes bocaux ne se dé- 
veloppèrent point ; ils étaient sans doute inféconds. Je ne ferais 
pas mention de ce fait s'il ne m'avait pas donné l’occasion de 
remarquer que la forme de ces œufs était assez différente de 
celle des œufs ordinaires; ils étaient amincis à l’une de leurs 
extrémités, tandis que les œufs féconds sont toujours cylin- 
driques et arrondis aux deux bouts. 


46 HISTOIRE 

Il ne m'aurait pas été possible d'observer aussi bien les pro- 
grès des œufs féconds si je m'en fusse tenu à les regarder au 
grand jour et au travers du verre sur lequel les psoques avaient 
pondu et filé; car la transparence des germes permettait à 
peine de distinguer quelque nuance dans l'intérieur de œuf, 
et l'affluence des rayons lumineux qui les traversait nuisait à 
la netteté des objets. Mais, en regardant contre le jour les 
feuilles de chène et de tilleul les plus minces sur lesquelles 
se trouvaient de ces œufs, je pouvais distinguer exactement la 
forme des embryons qu'ils renfermaient et observer leurs pro- 
grès. 

Les embryons paraissaient noirs, tandis que la partie de la 
coquille qui était vide était transparente. La plupart des em- 
bryons acquièrent une forme très-déterminée, celle d’une bou- 
teille à col court et évasé; mais, ce qui me parut également 
constant, c'est que les psoques pondent leurs œufs dans deux 
sens opposés. Lorsqu'il y en a deux rangs, ce qui arrive pres- 
que toujours, les supérieurs ont la tête en bas, les inférieurs 
la tête en haut, ou plutôt, les têtes sont tournées à l'intérieur 
dans les deux rangées. 

Lorsqu'il y a trois rangées, les deux extérieures sont en sens 
contraire, et toujours les têtes tournées en dedans du groupe. 

Ces embryons restèrent un temps assez considérable sous 
cette forme, à laquelle ils parviennent en moins de quinze 
jours. Je ne pus saisir les dernières transitions de ces embryons 
à l’état de larve. 

Les insectes qui sortent de ces œufs sont, aux ailes près, 
et avec des proportions différentes, très-ressemblants à leur 


DES PSOQUES. 47 
mère; ils sont d’une extrême petitesse, mais ils sont déjà pour- 
vus de tous les organes de la manducation, leurs antennes sont 
un peu plus courtes, le corps et la tête ne paraissent d’abord 
faire qu'un, puis ils se développent. 

On n’aperçoit aucun vestige d’ailes dans les premiers temps: 
après une mutation de peau, nos petits insectes, qui se nour- 
rissent exactement, comme leurs mères, des uredos et autres 
moisissures, commencent à pousser des ailes; on les voit poin- 
dre aux deux côtés du corselet, elles augmentent progressi- 
vement; enfin, linsecte ayant acquis la grandeur qu'il doit 
atteindre, change encore de peau, et ses ailes se développent 
comme celles des libellules. 

L'état de nymphe n’est ici qu'une transition insensible qui 
n'arrête aucune des facultés de l'instinct pour la vie animale. 


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CONSIDÉRATIONS 


GÉOLOGIQUES 


SUR LE MONT SALEVE 


ET 


SUR LES TERRAINS DES ENVIRONS DE GENÈVE 


Par Alphonse Favre. 


(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, en Mars 4843.) 


—s1©@0——— 


CHAPITRE PREMIER. 


AUTEURS QUI ONT PARLÉ DU MONT SALÈVE. 


L'histoire des travaux qui ont été publiés sur la géologie 
du mont Salève ne présente qu'un intérêt de localité, cepen- 
dant il me semble qu'il y a de l'importance à en faire une 
courte énumération, car c’est une maniere de retracer les pro- 
grès de la science et de faire connaître les renseignements qui 
m'ont été fournis pour mon travail. 


I 


TOM. X, 1'€ PARTIE. 


50 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Peu d'auteurs ont fait du mont Salève une étude spéciale. 
Quelques-uns l'ont mentionné dans des travaux qui avaient 
pour but la description géologique des terrains analogues à 
ceux de cette montagne. 

M. de Saussure, en 1719, est le premier qui ait parlé du 
mont Salève, il lui consacre tout le chapitre septième de ses 
Voyages dans les Alpes. Il donne une excellente description 
de la constitution physique et de la configuration générale de 
cette montagne. Il en décrit les rochers et mentionne légère- 
ment les noms de quelques fossiles qu'il dit être très-nom- 
breux. M. De Luc, le cadet, a publié dans le célèbre ouvrage 
de de Saussure la description de deux coquilles fossiles qui 
l'avaient frappé par leur forme bizarre, par leur grandeur et 
par leur nouveauté (1). 

M. De Luc, le cadet, en 1799, lut à la Société de Physique 
et d'Histoire naturelle de Genève un mémoire dans lequel il 
donne la description de quelques nérinées, et il réfute l'opi- 
nion avancée par de Saussure sur l’origine des cavités et des 
sillons presque horizontaux, qui sont tracés sur la face verti- 
cale du mont Salève. M. de Saussure les croit produits par 
un grand courant. M. De Luc cherche à prouver qu'ils sont 
dus à l’action de la pluie, des gelées et peut-être aussi à une 
action qui eut lieu lors du soulèvement de la montagne (©). 
Ce mémoire fut publié dans le Journal de Physique, et le 
même auteur continue l'examen de cette question dans les 





(1} Voy. mes observations sur les Diceras. 


2) Journal de Physique, tome VI, Brumaire, an 8. 


SUR LE MONT SALÈVE. 51 


cahiers suivants du même journal (*). Dans le dernier de ces 
mémoires, il cherche à prouver que la gorge de Monetier n’a 
point été creusée par un courant. Enfin M. De Luc publia, 
dans l'an 11, une addition à son mémoire sur une vis pétri- 
fiée (Nérinée) (2). 

En 1818, M. J.-A. De Luc donna un petit écrit sur la for- 
mation de la vallée de Monetier (), dont nous dirons quel- 
ques mots plus tard. 

On est frappé en lisant ces mémoires, qui datent de la fin du 
siècle dernier et du commencement du 19%e siècle, de la parfaite 
exactitude qui y règne, mais en même temps du grand dévelop- 
pement qui est donné à quelques faits qui maintenant nous 
paraissent avoir fort peu d'importance, comme la description 
des cavernes et des grottes, tandis que nulle part il n’est traité 
de l’âge de la formation du terrain qui constitue le sol de cette 
montagne. Dans ces travaux, on ne cherche point non plus à 
établir de correspondance entre les couches du Salève et celles 
des montagnes avoisinantes. Les géologues de notre époque 
au contraire négligent les petits détails qu'ils regardent comme 
des accidents qui se répètent plus ou moins dans chaque 
montagne. Ils concentrent toutes leurs forces et toutes leurs 
études pour résoudre la question de l’âge des terrains, ei 
pour arriver à leur but, ils laissent de côté les caractères phy- 





(1) Journal de Physique, tome LI, Vendémiaire, an 9, et tome LIT, Ger- 
minal, an 9. 

(2) Journal de Physique, tome LV, Brumaire, an 41. 

(5) Naturwissenschaftlicher Anzeiger, n° 6. 


52 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

siques sur lesquels on insistait anciennement, et ils attachent 
la plus haute importance aux fossiles que les De Luc et les 
de Saussure négligeaient. 

Tous les grands géologues de l'époque de de Saussure 
étaient en effet forcés de ne faire aucun usage des fossiles, 
personne ne les avait encore étudiés d’une manière suflisam- 
ment exacte, la paléontologie entière et toutes ses belles con- 
séquences étaient complétement inconnues; cependant on 
voit, d’après les soins minutieux que M. De Luc mettait à 
décrire les coquilles, qu'il y attachait une grande impor- 
tance, et de Saussure, ne pouvant embrasser toutes les bran- 
ches de la science à laquelle il a donné tant de relief, avait 
cependant compris tout le parti que l’on pouvait tirer de l'é- 
tude des corps organisés qui se trouvent dans la terre. En 
effet. on lit dans son Agenda, chapitre XVII de ses Voyages : 
T° Constater s'il y a des coquillages fossiles qui se trouvent 
dans les montagnes les plus anciennes, et non dans celles d'une 
formation plus récente, et classer ainsi, s'il est possible, les 
âges relatifs et les époques de l'apparition des différentes espèces. 

C’est pour satisfaire à cette question que, depuis le com- 
mencement de notre siècle, tant de géologues et de paléon- 
tologistes travaillent, car, pour répondre à de Saussure, il 
faudrait faire l'histoire complète des terrains de sédiments, 
qui ne sera entièrement connue que lorsque la paléontologie 
aura fait de nouveaux progrès. 

Les autres questions qui se trouvent dans le même chapitre 
de cet Agenda confirment ce que j'ai dit sur l'importance que 
de Saussure attachait aux fossiles. 


SUR LE MONT SALÈVE. 23 

En 1829, M. Elie de Beaumont, dans le mémoire où il 
parle le premier de la formation néocomienne qui alors n'avait 
pas encore reçu ce nom, rapporte les couches du Salève au 
greensand ('). M. Boué dit que l'on voit au Salève le calcaire 
jurassique et le système crelacé (*). 

M. Huot cite au Salève la craie blanche à la hauteur de 
1007 (3). 

M. Thurmann, après avoir examiné les fossiles qui se trou- 
vent dans la collection de M. De Luc, comprit que la partie 
inférieure du Salève devait être rapportée au terrain Juras- 
sique et la partie supérieure au terrain néocomien qui, à ce 
qu'il croyait, devait être en quelques endroits recouvert par le 
grès vert (*). 

Le renseignement le plus exact qui, jusqu'à ce jour ait été 
publié sur la montagne du Salève a été la coupe que M. Ar- 
nold Escher, de la Linth, a donné dans le Bulletin de la So- 
ciété Géologique de France, XII, 276. Cette coupe est fort 
exacte pour le peu de temps que ce géologue a consacré à 
parcourir cette montagne; cependant il y a quelques légères 
inexactitudes et fort peu de détails. 

M. d'Orbigny dit que la première zône de Rudistes paraît 
former la partie supérieure du mont Salève (°). 





) Cours élémentaire de Géologie, tome IL, p. 74. 
4) Bulletin de la Société Géologique de France, 1858, tome, IX, p. 455. 
(5) Idem, tome XI, p. 153 et tome XI, p. 406. 


54 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Telle est l'énumération complète de tous les renseignements 
vrais et faux que J'ai pu avoir sur la géologie de la montagne 
dont j'entreprends la description. 


CHAPITRE IL 


CONFIGURATION DU MONT SALÈVE. 


Le point du mont Salève le plus rapproché de Genève se 
trouve à environ une lieue au SE. de cette ville. La direction 
de cette montagne, prise sur la carte de Raimond, est à peu 
près du N. 29% E. au S. 29° O. Sa longueur, prise d'Etrem- 
bières à son extrémité méridionale, est d’un peu plus de 7 
lieues (de 25 au degré). Cette chaïne se divise en quatre par- 
ties, séparées les unes des autres par des petites vallées plus 
ou moins profondes. Ces quatre parties sont connues, en com- 
mençant par la plus au Nord, sous les noms de Petit-Salève, 
de Grand-Salève, de chaine des Pilons, et la quatrième, qui 
s'étend jusqu'au Fier, est située au delà de la rivière des 
Usses. 

Salève forme une île au milieu de l'extrémité méridionale 
de la plaine Suisse, qui, dans les environs de Genève, est 
considérablement rétrécie, mais qui cependant se reconnaît 
aussi bien par la configuration du pays que par la nature du 
sol. En effet, le calcaire secondaire du Salève est de toutes 
parts entouré par des dépôts tertiaires qui se relèvent contre 


SUR LE MONT SALÈVE. 55 


lui. Géographiquement on le regarde comme étant le premier 
chaînon des Alpes, mais géologiquement il devrait être rangé 
dans la chaîne du Jura; car par la nature des terrains qui le 
composent, ainsi que par sa structure, il se rapproche beau- 
coup plus de la dernière de ces chaînes de montagnes que de 
la premiere. 

Nous empruntons à l'Hypsométrie des environs de Genève 
de M. de Candolle (!) les tableaux des hauteurs des différents 
points du Salève : 


Mètresau-dessus du niveau de la mer. 


Le sommet du Petit-Salève.............. DRE PTE 896,80 
MODE TERRES CRAUR AR O AE CR AA AE gd Lou or 721,59 
Pas de l’échelle, le commencement de la montée .... 614,2 

La Grange des!arbres........ 020 RAA LE 1175,24 
PrGanserlonniéns-eLereertr eh cent ut # 1285,95 
Re Gran de PI ONE ARMOR ete TRS nus” 1574,52 
Te On RP RU ne NT RE 1582,89 
Cuseile on Grozelle EE RE ER CS: se A 785,46 


Le village de Veyrier, qui est placé au pied du chemin du 
Pas de l'échelle, et qui peut être regardé comme étant à peu 
près au niveau moyen de la plaine, est élevé de 429m, au- 
dessus de la mer. 

Pour donner un aperçu de la structure du mont Salève, je 
ne crois pas pouvoir mieux faire que de reproduire quelques 
lignes de de Saussure, dans lesquelles il s'exprime avec sa 
clarté ordinaire. « Les bancs de pierre calcaire, dont tout le 





(4) Mémoires de la Société de Physique et d’Hist. nat. de Genève, tome VIII. 


56 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


LC 


2 


à 


2 
2 


2 


2 


= 
A 


2 


= 
2 


2 


LC] 


& 


ET] 


corps du mont Salève est composé, dit-il $ 234, ont une in- 
clinaison commune et générale du côté des Alpes vers les- 
quelles ils descendent. Cette montagne, qui ne présente à 
la vallée du lac de Genève que les tranches escarpées de ses 
couches, offre à la vallée des Bornes, et aux Alpes situées 
au delà de cette vallée, une pente douce et presqu'uniforme, 
mais qui devient cependant plus rapide vers le bas. 

« Dans quelques endroits, et même presque partout, les 
couches descendent tout droit du haut de la montagne jus- 
ques à son pied; mais, au-dessus de Collonges, le sommet, 
arrondi en dos d'âne, présente des couches qui descendent 
de part et d'autre au sud-est vers les Alpes et au nord-ouest 
vers notre vallée; avec cette différence, que celles qui des- 
cendent vers les Alpes parviennent jusqu’au bas; au lieu 
que celles qui nous regardent sont coupées à pic, à une 
grande hauteur. 

« Ces deux inclinaisons ne sont pas les seules que l’on ob- 
serve dans les bancs du mont Salève, ils en ont encore une 
troisième; ils sont relevés vers le milieu de la longueur de 
la montagne. et descendent de là vers ses extrémités. Cette 
pente, qui sur le Grand-Salève n’est pas bien sensible, de- 
vient très-remarquable au Petit-Salève, et même très-rapide 
à son extrémité. Les dernières couches au nord, au-dessus 
d'Etrembières, descendent vers le nord-nord-est sous un 
angle de 40 à 50 degrés. » 

Ces dernières couches, dont parle de Saussure, sont le ré- 


sultat d’une faille ou d’une rupture qui eut lieu probablement 


au moment du soulèvement de la montagne, ce qui fait que 


SUR LE MONT SALÈVE. 97 
les couches du Petit-Salève au lieu de continuer à avoir la 
même inclinaison jusqu’à l'extrémité de la montagne. plongent 
subitement sous la molasse, qui elle-même est recouverte par 
le diluvium. 

Les couches du Salève s'étendent à peu près horizontale- 
ment depuis la Petite-Gorge (Grand-Salève), jusqu’au Piton; 
du premier de ces endroits elles s’abaissent du côté du nord- 
est jusqu'à Etrembières, comme le dit de Saussure, et depuis 
les Pitons jusqu'au pont de la Caille, où la cluse des Usses 
permet de voir qu’elles forment une voûte complète. Au delà 
de cette rivière et dans la portion du mont Salève qui en est 
voisine, les couches ont encore la forme de voûte, tandis que 
plus au midi la montagne présente une façade verticale sem- 
blable à celle du Grand-Salève du côté de Genève. Cette por- 
tion de la montagne, comprise entre les Usses et le Fier, est 
beaucoup moins élevée que celle des environs de Genève, et 
elle est divisée en quatre parties par trois cluses, qui la tra- 
versent dans sa largeur. 

Rarement on voit une chaîne de montagne se terminer aussi 
nettement et d’une manière aussi tranchée que la chaîne du 
mont Salève du côté du nord. Elle présente à un changement 
de structure qui se retrouve souvent aux extrémités des mon- 
tagnes, c'est que l'inclinaison des couches n’est plus perpen- 
diculaire à leur direction générale et à celle de la montagne. 
À mesure que l'on se rapproche de son extrémité. on voit que 
peu à peu la ligne d’inclinaison ne fait plus avec la ligne de 
direction de la montagne un angle droit, l'angle diminue, et 


enfin, ces deux lignes peuvent être contenues dans un même 
TOM. X, "© PARTIE. 8 


58 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


plan vertical; c’est ce que de Saussure signale, en disant que 
les couches descendent vers le nord-nord-est. 

De Saussure observait qu'une partie des couches de la por- 
tion supérieure du Grand-Salève plonge du côté de notre val- 
lée. Ce fait ne se voit nullement au Petit-Salève, mais il de- 
vient frappant dans la partie méridionale de la chaîne des 
Pitons, en se rapprochant du pont de la Caille, où les couches 
présentent la forme d’une voûte. 

Il nous semble qu'il est fort difficile de motiver comment 
le vallon de Monetier a été formé. On a fait plusieurs hypo- 
thèses. M. J.-A. De Luc les expose et les combat dans un 
mémoire que nous avons déjà cité. 1° La première consiste 
à croire qu'il y a eu rupture dans les couches de la montagne 
lors de son soulèvement, et que, pour ainsi dire. elle a été 
cassée (!). 

20 On a supposé que les couches du Petit-Salève ont glissé 
les unes sur les autres, et ce sont éloignées de celles du Grand- 
Salève. 

3° De Saussure croyait que ce vallon devait son origine 
à un courant descendant des Alpes par la vallée de l'Arve. 

4 M. De Luc, lui-même, suppose que cette petite vallée 
est le résultat d’un affaissement. Il nous semble que de toutes 
ces hypothèses la moins improbable doit se rapprocher de la 
première, et que l'on peut attribuer l'origine de ce vallon à 
une rupture plus ou moins grande; peut-être n’était-ce qu'une 








(1) De Luc, Geological travels, tome IF, $ 154. 


SUR LE MONT SALÈVE. 29 
fissure formée lors du soulèvement de la montagne, qui a été 
considérablement agrandie par le‘temps et surtout par l’agent 
qui a transporté les blocs erratiques. 

La cause de la formation de la Croisette est je crois tout 
autre. Cette petite vallée paraît avoir été formée par un 
affaissement du sol, ou peut-être, parce que le soulèvement 
n’a pas été aussi fort dans cet endroit que dans les autres. Ce 
qui me le fait croire, c'est que les couches qui forment le 
Grand-Salève plongent du côté du hameau de la Croisette, et 
que les couches qui sont placées au sud de ce groupe de mai- 
sons indiquent qu'il y a eu dislocation dans ce terrain, car 
elles plongent au N.-N.-0. avec une inclinaison de 15 à 20 de- 
grés. 
Les couches qui forment le mont Salève ont une grande 
régularité sans être horizontales sur toute leur étendue, et on 
peut dire d’une manière générale, que, sauf quelques excep- 
tions, elles sont parallèles entre elles. Ceci se voit clairement 
sur la face de la montagne tournée du côté de Genève. On 
peut y suivre de l'œil le parallélisme de ces grands banes, 
soit entre eux, soit avec la crête de la montagne. Ici, comme 
partout ailleurs, le terrain marneux forme des talus, tandis 
que les calcaires forment des escarpements. 

« Outre ces grandes couches, dit de Saussure ($ 235), qui 
« constituent le corps de la montagne, et qui peuvent en gé- 
« néral être mises dans la classe des couches horizontales, on 
« en trouve d’autres dont l'inclinaison est absolument diffé- 
« rente. Elles sont situées au bas du Grand-Salève, du côté 
« qui regarde notre vallée; on les voit appliquées contre les 


60 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

« tranches inférieures des bancs horizontaux; et elles sont 
«elles-mêmes perpendiculaires à l’horizon, ou tres-inclinées 
« en appui contre la montagne. » Et plus loin, le même auteur 
dit encore : « Ces couches s'élèvent en quelques endroits, par 
«exemple, entre Veiry et Crevin, à peu près à la moitié de 


« la hauteur du Grand-Salève. Celles qui touchent immédia- 
« tement la montagne, sont les plus inclinées; on en voit là 
« de verticales et même quelquefois de renversées en sens 
« contraire qui sont soutenues par les plus extérieures. » 

Ces couches n'existent pas contre la façade du Petit-Salève, 
mais on les trouve appuyées contre le Grand-Salève et contre 
la chaîne des Pitons. 

C’est en vain que je les ai parcourues pour chercher quel- 
que caractère qui püt déterminer d’une manière positive l’âge 
auquel on doit les rapporter, je n’ai pu y trouver aucun fos- 
sile. Ce manque de débris organiques, ainsi que certaines con- 
sidérations géologiques, me fait croire qu'elles doivent être 
rapportées à la couche inférieure de la formation néocomienne. 
En plusieurs endroits ces couches manquent, et on voit qu’en 
s’écroulant elles ont formé des monticules qui sont au pied 
du Salève, car là où ces monticules existent, on ne voit point 
de couches contre la montagne, et là où ces couches sont en- 
core en place, les monticules n'existent pas. 

Ces espèces de demi-entonnoires qui s'ouvrent à la partie 
supérieure et dans la face verticale du Grand-Salève sont con- 
nus sous le nom de gorges. Chacune de ces gorges a reçu des 
paysans un nom patois; les principales, en commençant par la 
plus rapprochée de Monetier, sont la Carrière, où se trouve une 


SUR LE MONT SALÈVE. 61 
excellente source, l’Ortis ou Petite-Gorge, la Grande-Gorge, 
le Petit-Sarrot, le Grand-Sarrot, la combe de la Warappe, 
Palavet, Evorse et le Grand-Altena. Ces gorges sont le résul- 
tat d’éboulements qui se sont faits peu à peu, elles ont, dans 
des dimensions beaucoup plus grandes, à peu près la même 
forme que les érosions qui sillonnent les falaises placées sur 
les bords de l'Arve et du Rhône dans notre Canton et qui se 
forment journellement. 

Ces gorges facilitent beaucoup l'étude de la structure du 
mont Salève, en permettant de parcourir la face de la mon- 
tagne du côté de notre vallée. Elles ont mis au jour la dis- 
cordance de stratification du terrain néocomien avec le ter- 
rain jurassique, fait important auquel nous reviendrons plus 
tard. En se formant elles ont aussi découvert les localités 
les plus riches en fossiles que l’on ait trouvé dans cette mon- 
tagne, c’est-à-dire la partie nord de la Petite-Gorge, le centre 
de la Grande-Gorge et le centre de la Warappe. 


CHAPITRE IL 


TERRAINS DU MONT SALÈVE. 


Je décrirai les couches et les terrains qui forment la mon- 
tagne du Salève, en commençant par les inférieurs et finis- 
sant par les supérieurs. Cet ordre est le plus logique, puis- 
que, dans la description de l'écorce du globe et dans son 


62 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


histoire, on procède ainsi de l’ancien au moderne. Comme 
les couches qui forment la partie supérieure de la montagne, 
ressemblent à celles de la partie inférieure, il s'en suit qu'en 
observant seulement la base et le sommet. on pourrait croire 
que la montagne entière est formée d'une seule roche. Mais 
un examen plus attentif dénote de grandes différences dans 
les caractères zoologiques, ainsi que dans les caractères mi- 
néralogiques de ces couches, et démontre que, pour leur âge, 
elles correspondent exactement à certains terrains néocomiens 
bien connus et bien étudiés du midi de la France, c'est-à- 
dire à la première zone de Rudistes de M. d'Orbigny, qui est 
ici superposée à des couches semblables à celles du néocomien 
de Neuchâtel, tandis que les couches inférieures doivent être 
rapportées au coral rag. 

Les fossiles de la formation jurassique du mont Salève étant 
moins abondants que ceux de la formation néocomienne, je n'ai 
pas pu apporter à la détermination de chaque subdivision de 
la première la même exactitude que pour celles de la seconde. 

L'ensemble de toutes ces couches forme la masse de la mon- 
tagne, mais à sa surface se trouvent quelques dépôts dont 
nous parlerons aussi. Ce sont les amas sidérolithiques et les 
roches éparses du terrain erratique. Autour du mont Salève, 
dans la plaine, les terrains tertiaires et diluviens s'étendent 
au loin. Nous diviserons donc la partie de ce travail qui traite 
des terrains, en cinq chapitres, et le tableau suivant peut 
donner une idée de leurs subdivisions, ainsi que de celles des 
formations que nous venons de mentionner. 


SUR LE MONT SALÈVE. 63 


FORMATIONS, ÉTAGES. GROUPES. ASSISES. 
B. Époque actuelle. 

De transport PAME : 

%. Époque din’ 2) Diluvien cataclystique. 


vienne . > 
1) Alluvion ancienne. 


C. Grès marin (manque). 


3) supérieure. 


{ 3) 
Tertiaire B. Molasse d’eau 2 né 
ou douce RTC Re 

1) 


Molassique. PR 
inférieure. 


2) Molasse rouge. 
\ A. Molasse rouge 


1) Poudingue. 
Sidérolithique. 
2) supérieure (manque). 
B. Supérieure b. Calcaire à Pteroceras Pelagi. 
1) 1'° zone de 
\ Rudistes ) a. Première zone de Rudistes pro- 
prement dite. 
Néocomienne HSE : : 
e. Calcaire jaune à grains verts. 
d. Calcaire marneux à grains verts. 
\EA-HINIETIENTE 2221-02-20. c. Calcaire jaune. 
b. Calcaire marneux. 
a. Calcaire roux. 
( c. Supérieur. 
2) Portlandien 4 b. Moyen. 
| a. Inférieur. 
open 2) supérieure. 
b.Oolite corallienne 
(1) inférieure. 
Jurassique 1) Corallien 


2) supérieur. 
b. Calcaire corallien 
1) inférieur. 


Moyenne (manque). 


64 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


CHAPITRE IV. 


FORMATION JURASSIQUE. 


La formation jurassique est très-développée au Salève, elle 
constitue la plus grande partie de la montagne, elle contient 
en général peu de fossiles, ils sont mal conservés, aussi sa 
détermination, comme nous l'avons déjà dit, ne présente-t-elle 
pas la même exactitude que celle des terrains dont nous par- 
lerons plus tard. Si on parvient à découvrir de nouveaux dé- 
bris organiques ou à identifier ceux que je mentionne avec des 
fossiles des localités déjà étudiées, peut-être arrivera-t-on à 
une détermination et à une classification plus rigoureuse que 
celle que je propose ici. 

Cette formation doit être divisée en deux groupes, le groupe 
corallien et le groupe portlandien. Le premier se divisera en 
deux assises. Quant au second, qui comprend toute la partie 
supérieure de la formation jurassique du Salève, il sera divisé 
en trois assises. Le manque de caractères bien évidents de ce 
terrain me fait adopter cette classification. Quoique la partie 
inférieure de ce groupe soit un peu plus marneuse que la partie 
supérieure, Je n'ai Jusqu'à présent aucune raison positive de 
la regarder comme étant de l’âge des marnes kimméridiennes. 
Par conséquent, je le nomme groupe portlandien, plutôt pour 
indiquer qu'il occupe la partie supérieure de la formation ju- 
rassique, que pour désigner d'une manière positive qu'il est 
l'équivalent du Portlandstone des Anglais. Le mont Salève n’est 


SUR LE MONT SALÈVE. 65 
point la seule localité où la classification et la distinction des 
différents groupes Jurassiques soient difficiles à faire, car au- 
cun des géologues qui se sont occupés de la description du 
Jura n’a réussi à tracer une limite exacte entre le groupe port- 
landien et le kimméridien. Ainsi, M. Gressli (*) ne regarde les 
marnes kimméridiennes que comme étant, pour ainsi dire, 
une variété de l’un des facies de l'étage jurassique supérieur. 

Ces difficultés dans la classification des terrains jurassiques 
supérieurs proviennent sans doute de ce que, dans nos envi- 
rons ainsi que dans toute la chaîne du Jura, ces terrains, étant 
presque tous entièrement calcaires, ont une composition beau- 
coup plus uniforme que dans les pays où on a réussi à les 
distinguer. De plus, au mont Salève, il y a des assises en- 
tières où Je n’ai trouvé aucun fossile. 

C’est surtout dans la gorge de Monetier que je me suis 
appliqué à cette étude. Cette localité est d'autant plus favo- 
rable que les couches du Grand et du Petit-Salève se corres- 
pondent exactement. et que J'ai pu examiner sur la pente de 
l'une de ces montagnes les couches qui étaient masquées sur 
l'autre. 

Le groupe corallien étant difficile à distinguer du groupe 
portlandien, comme dans la plupart des localités de la Suisse, 
où ces deux terrains existent, il nous semble que le premier 
de ces groupes doit être réuni au second pour former l'étage 


(1) Observations géologiques sur le Jura soleurois par A. Gressli, publiées 
dans les tomes II, IV et V des nouveaux Mémoires de la Société helvétique des 
Sciences naturelles. 

TOM. X, 1'° PARTIE. 9 


66 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

jurassique supérieur comme l'a établi le savant géologue que 
nous venons de citer. C’est en admettant cette division de la 
formation jurassique, que nous croyons que la plus ancienne 
roche du Salève appartient à l'étage jurassique supérieur. 
Ainsi Salève doit être rapporté au premier ordre de soulève- 
ment de M. Thurmann (!), mais modifié, puisqu'il est recou- 
vert par le terrain néocomien. 


4. GROUPE CORALLIEN. 


Calcaire d’aspet variable, en général blanc, jaunâtre, tou- 
jours de couleur claire, marno-compacte. — Le calcaire blanc 
est cassant, presque fragile, cassure subconchoïdale, esquil- 
leuse, oolitique, les grains sont de la grosseur d’une noix, 
au maximum, et diminuent jusqu’à être presque microscopi- 
ques, ils donnent à la roche un aspect crayeux. 

Ce calcaire contient une assez grande quantité de fossiles 
qui ne sont bien conservés que dans les calcaires oolitiques, 
ce sont des nérinées, des térébratules, des pectens, etc.; le 
fossile le plus remarquable est le diceras lucii (Defrance), que 
l’on trouve en grande abondance. 

Les polypiers sonttrès-fréquents, mais ils sont à l’état cal- 
caire et peu distincts. On peut diviser le groupe corallien de 
Salève en deux assises qui diffèrent l’une de l'autre par les 
caractères minéralogiques et par les débris organiques qu’elles 


(1) Essai sur les soulèvements jurassiques. Mémoires de la Société d'Histoire 
naturelle de Strasbourg, 


SUR LE MONT SALÈVE. 67 


contiennent; à la partie inférieure se trouve le calcaire coral- 
lien, et à la partie supérieure l’oolite corallienne. 


a) Calcaire corallien. On peut encore distinguer dans cette 
assise deux divisions. L’inférieure est formée d'un calcaire 
blanc pur qui présente différents aspects : 1° aspect compacte 
avec de petites lamelles cristallines, spathiques et d’autres 
formées par des piquants d’oursins qui se distinguent à peime 
de la roche. Cassure franche, esquilleuse, inégale, cohésion 
plus forte que celle du portlandien, couleur blanche, tirant 
quelquefois sur le jaunâtre, sans éclat; 2° aspect saccaroïde 

.qui rappelle le marbre statuaire, calcaire blanc, structure la- 
mellaire, cassure inégale, rude au toucher; 3° aspect tenant 
le milieu entre les deux précédents; la roche n'est alors ni 
compacte ni saccaroïde, mais plutôt terreuse ou crayeuse ; 
40 calcaire oolitique, la pâte et les oolites sont formées de cal- 
caire compacte; cette roche, quoique oolitique, ne présente 
pas le même aspect que l’oolite corallienne. Elle contient des 
cavités remplies de cristaux de chaux carbonatée. 

La division supérieure se rapproche beaucoup par ses ca- 
ractères minéralogiques du calcaire portlandien. Elle est en 
général formée de roches blanchâtres, jaunâtres, grisâtres, 
à aspect variable. Les calcaires blanchâtres offrent à peu pres 
les mêmes caractères que la variété n° 1 de la division infé- 
rieure. Les autres variétés ont des cassures conchoïdes lisses 
ou inégales et sont plus ou moins marneuses. En général, 
elles ont peu de cohésion. Dans certaines couches marno-com- 
pactes les lamelles spathiques abondent et donnent un aspect 


68 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


particulier à la roche, quelquefois elle est oolitique, mais les 
oolites sont si compactes que lorsqu'on détache des éclats de 
cette roche elles se brisent au lieu de se désagréger. Plusieurs 
variétés de calcaire existent dans cette assise, elles forment 
différentes couches superposées les unes-aux autres. Je crois 
inutile d'en donner une coupe détaillée. 

Les fossiles qui caractérisent l'ensemble du calcaire coral- 
lien sont des polypiers. Ils sont tous à l’état calcaire et très- 
abondants, surtout dans l’assise inférieure, mais peu visibles; 
cependant, lorsqu'on examine attentivement la roche ou à l'œil 
nu ou avec une loupe, on voit qu'elle en est presque entiè- 
rement formée. et on serait tenté de croire que l’assise infé- 
rieure n’est qu'un immense récif de corail. 

Les autres fossiles qui, à ma connaissance, ont été trouvés 
dans cette assise, sont les suivants, parmi lesquels on remar- 
que des térébratules plissées, des térébratules lisses et quel- 
ques oursins. 

Polypiers très-nombreux mais peu déterminables. 

Lithodendron plicatum ? Goldf. pl. 43., 5. (!) 

Lobophyllia. 

Astrea sexradiata P Goldf. pl. 24, 5. 

Un moule d’Echinoderme pouvant se rapporter aux genres acrocidaris , hemici- 
daris, cidaris ou diadema. 

Nucleolites oviformis, De Luc, spec. nov. voisine du N. lacunosus Ag. 

Terebratula perovalis, Sow. 436, individu vieux. De Buch, Mém. de la Soc. géol. 


de France, pl. 20. 
Terebratula. Trois espèces de la classe des T. concinnæ alatæ. 


(4) C’est à l’obligeance de M. Michelin, auteur de l’Iconographie <oophytologique, 
que je dois la détermination de tous les polypiers que je cite dans ce mémoire. 


SUR LE MONT SALÈVE. 69 

Trichites. 

Pecten. Deux espèces, l’une à l’état de moule extérieur, l’autre à l’état de moule 
intérieur; ce dernier a quelques rapports avec le moule du P. æqui- 
valvis ? Sow.., et il est identique autant que les caractères permettent de 
les comparer avec un moule de P. du portlandien facies corallien de la 
vallée de la Birse (Jura bernois). 

Pecten semblable à un P. du corallien oolitique de Zwingen , canton de Soleure. 

— voisin du P. fibrosus, Sow., mais il s’en distingue parce que les côtes sont 
marquées longitudinalement de six raies. 
— d’autres espèces indéterminables. 


La division inférieure forme les escarpements au-dessus du 
Pas-del'Echelle jusqu’au haut de ce chemin; là on voit très- 
bien l'immense quantité de polypiers que cette assise ren- 
ferme. La division supérieure s'étend depuis là jusqu’au con- 
tact de l’oolite corallienne, près de l'Hermitage. 


b) Oolite coralienne. Je donnerais à cette assise le nom de 
calcaire à diceras, si je ne craignais de compliquer encore la 
synonymie des terrains jurassiques et cretacés, car le diceras 
est ici le fossile le plus abondant et le plus caractérisé. Cepen- 
dant, comme cette couche forme en France un bon horizon 
géologique, elle peut être nommée sans inconvénient calcaire 
jurassique à diceras. 

On peut distinguer dans cette assise : 

1° La couche inférieure; elle est formée d'oolites très-fines, 
presque microscopiques, ce qui donne à la roche un aspect 
crayeux. Elle est tenace, très-sonore. à cassure terreuse, rude 
au toucher, se délite en plaques d’un blanc grisâtre, contient 
des rognons plus ou moins gros formés par des polypiers dont 
l'aspect est compacte et dont on ne peut discerner la struc- 


10 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


ture que lorsqu'ils sont polis. M. De Luc en possède une très- 
belle collection (1); cette roche contient des géodes de chaux 
carbonatée cristallisée. 

2° La couche supérieure est formée d’oolites plus ou moins 
grosses, nombreuses, aglutinées par un ciment calcaire ooli- 
tique. Les grosses oolites ont souvent au centre un fragment 
de fossiles; d’autres sont formées uniquement par le calcaire 
compacte ou oolitique de la couche précédente. L'air a une 
grande action sur cette roche qui se délite en fragments plus 
ou moins rectangulaires. 

L’assise de l’oolite corallienne renferme une assez grande 
quantité de débris organiques difficiles à détacher, dont voici 
l'énumération : 


Astrea De Luci, Defr., Dict. des Sc. nat., T. 42, 586. 
—  sexradiata. Goldf., pl. 24, 5. 
—  cristata. Goldf., pl. 22. 
— genevensis. Defr., Dict. des Sc. nat., T. 42, 587. 
— Sp. nov., remarquable par ses 48 lamelles, dont six plus grandes que les 
autres. 
—  gracilis. Goldf.. pl. 38. 
— Sp. nov. caractérisée, si c’est bien une astrée, par l'irrégularité des étoiles. 
— Sp. nov. se distingue par 20 lamelles, dont 10 grandes et 10 petites. 
—  rosacea. Goldf., pl. 22. 
Agaricia granulata. Goldf., pl. 38. 
Carophyllia. Sp. nov. 
Lobophyllia. Sp. nov. Elle paraît lisse extérieurement et se compose de lamelles 
alternativement grandes et petites, assez rapprochées. 





(4) Quoique le polissage fasse ressortir les caractères de ces polypiers, il n’en 
est pas moins vrai qu'il les altère aussi et qu'il empêche que la détermination ne 
soit faite avec une très-grande certitude. 


SUR LE MONT SALÈVE. 71 
Lobophyllia. Sp. nov. 
Chaetites. 
Lithodendron plicatum. Goldf., pl. 15, 5. 
Apiocrinites. 
Pygurus ? 
Piquants d’oursins en calcaire spathique. 
Terebratula perovalis. Sow., 436, De Buch, pl. 20., individus jeunes. 
——  biplicata. Sow., 90. De Buch, pl. 20, jeunes individus. 
— Cinq espèces de la classe des T. concinnæ alatæ. 
Ostrea ? 
Plagiostoma. Sp. nov. très-voisine du PI. cardüformis. Gressli. 
Pecten voisin du P. corallinus. Gressli. 
— Sp. nov. 
Avicula ? 
Lima. Sp. nov. 
Trichites Saussuri, Voltz, Pinnigene De Luci, de Saussure, voyages dans les Alpes, 
T. I., pl. 2. 
Trigonia. Sp. nov. indéterminable. 
Mytilus. 
Catillus ? 
Diceras lucü. Defr. (1) 
Diceras ? Fossile voisin de ce genre ou des caprines , figuré dans le Journal de 
_ Physique, germinal , an 9, p. 524. La figure est renversée. 
Isocardia dicerata. D'Orb., Mém. du Muséum, VIE, pl. 1, f. 1, 5. 
Pterocardia Ag. Genre inédit, sp. nov.; c’est le cardium alatum De Luc. Ce même 
fossile caractérise l’oolite corallienne du Mont-Terrible (Jura bernois). 
Astarte? espèce voisine de l'orbicularis. 
Natica. Moule intérieur. 
Nérinea sequana. Thirria, dét. par M. Voltz. 
— figurée dans le Journal de Physique, T. LV, brumaire, an 11. 
— d’autres nouvelles espèces. 
—  bruntruttana ? Thurm. 


(1) Voyez mes observations sur les Diceras. 


72 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Trochus ou Pleurotomaria. 
Buccin ? Moule intérieur, 2 esp. 
Volutes ? 

Crépidule ou pileopsis ? 
Strombus (moule intérieur). 
Pteroceras Ponti. Brong. 
Belemnites (indéterminable). 


L'oolite corallienne peut être étudiée dans les carrières qui 
entourent le village de Monetier, où elle est exploitée pour 
faire de la chaux. 


2. GROUPE PORTLANDIEN. 


Ce groupe, avons-nous dit, se divise en trois assises. 


a) Assise inférieure. Au-dessus de l'oolite corallienne se 
trouve en général le calcaire à nérinées et le calcaire à astartes; 
mais ces assises ne peuvent pas toujours se distinguer même 
dans les localités qui sont en général riches en fossiles; sou- 
vent lun ou l’autre manque complétement. M. Gressli dit 
(page 111), en parlant de l’oolite corallienne et du calcaire à 
nérinées que ces divisions « ne paraissent souvent même n'être 
«que des modifications d’une même assise. Le calcaire à as- 
«tarte manque entièrement dans les chaines soleuroises. » 

Au Salève, on trouve un calcaire compris entre l’oolite co- 
rallienne et l’assise moyenne du groupe portlandien; mais, 
quelques efforts que j'aie fait, je n’ai pu y découvrir aucune 
trace de débris organiques; en sorte que le manque de carac- 
tères me fait provisoirement comprendre cette assise dans le 
groupe portlandien dont elle se rapproche par les caractères 


SUR LE MONT SALÈVE. 3 


néralogiques. Ce calcaire est grisâtre, jaunâtre, roussâtre ; un 
peu marneux ou peu oolitique, rude, à cassure grenue. Il con- 
tient des parties bleuâtres qui sont très-marquées. Cette as- 
sise se voit très-bien près du chemin qui conduit de Monetier 
au Grand-Salève, ainsi que sur le flanc du Petit-Salève au- 
dessus de Monetier. Au-dessus de l’'Hermitage il contient deux 
couches de calcaire marneux. 


b) Assise moyenne. Calcaire marneux bleuâtre, grisâtre 
, , 
roussâtre, peu dur, cassure inégale et raboteuse, assez tenace, 
se désagrégeant si facilement à l'air qu'il ne peut fournir des 
échantillons. Il contient assez de fossiles, mais à l'état de 
moules, et en général très-mal conservés; ce sont les suivants: 
9 ; 


Nerinea gosæ ? Lethea geognostica XXI, 11. 
—  suprajurensis ? Leth. geogn. XXI, 12. 
Nucules ? moules. 
Cardium? id. 
Pholadomia très-allongée. 
Pteroceras oceani ? Brong., Ann. des Mines, VI, pl. 7. 
Nerita ? Euspira ? 
Pteroceras ponti. Brong., Ann. des Mines, VI, pl. 7. Lethea geogn., XXL, 6. 
Plusieurs moules peu déterminables qui cependant paraissent appartenir aux genres 
buccin, strombe et turbo. 


Les localités où cette assise peut être le mieux étudiée sont 
les secondes voutes du Petit-Salève, appelées Balme du 
Démon, ainsi les pentes du Grand et du Petit-Salève, au- 
dessus de Monetier. 


c) Assise supérieure. Elle est formée d’un calcaire jaunâtre 
TOM. X, 1'° PARTIE. 10 


74 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


plus compacte et moins marneux que certaines couches supé- 
rieures du calcaire corallien dont j'ai déjà signalé la ressem- 
blance avec cette assise. Cassure à arêtes vives, très-esquil- 
leux, à grains spathiques, jaunâtre à l'intérieur, bleu-grisâtre 
à l'extérieur. Ce dernier caractère, quoique peu rigoureux, est 
cependant fort utile; car il permet, lorsqu'on en a une certaine 
habitude, de distinguer de loin cette assise de la formation 
néocomienne, et ainsi il facilite souvent les recherches. 

Dans sa partie inférieure il devient plus marneux et passe 
à l’assise moyenne; cependant, dans plusieurs localités, lon 
parvient à distinguer ces deux assises l'une de l’autre, surtout 
d’après la manière différente dont les agents atmosphériques 
corrodent la surface de ces deux roches. 

La couche supérieure de cette assise est formée de calcaire 
assez pur, et que l'on pourrait confondre avec le calcaire de 
la première zone de Rudistes ou avec le corallien supérieur. 
Sa cassure est conchoïdale, esquilleuse; la résistance au choc 
du marteau est faible, ce qui le fait aisément distinguer du 
calcaire néocomien. 

Les fossiles y sont peu nombreux, ce sont les suivants : 


Pycnodus Dent. Sp. nov., Ag. Ce fossile ayant été trouvé dans des déblais, il est 
douteux qu’il appartienne à cette assise. 

Plusieurs grands fossiles du genre natica ? (!) 

Hemifusus ? Il est douteux que ce fossile appartienne à ce terrain. 

Natica. Indéterminables. 


(4) Un de ces fossiles est très-grand; il a environ 9 pouces de diamètre et 
8 pouces de hauteur. 


SUR LE MONT SALÈVE. 75 


Natica, voisine de la N. hugardiana, d'Orb. 
Euspira, Ag. 


Les localités où l'on peut examiner cette assise sont les 
pentes de la montagne au-dessus de Monetier. La grande cou- 
che presque horizontale, qui s'étend depuis le tournant du 
chemin qui monte au Grand-Salève jusque du côté d’Essert, 
appartient à cette assise. 


CHAPITRE V. 


FORMATION NÉOCOMIENNE. 


La partie supérieure du mont Salève est formée par les 
roches qui appartiennent au terrain crétacé inférieur, c'est-à- 
dire par le terrain néocomien. et, comme nous l'avons déjà dit 

P > ELo J 9 
la couche la plus récente se rapporte à la première zone de 
Rudistes que M. d'Orbigny ©) regarde comme étant la partie 
inférieure du terrain néocomien supérieur. 


A. Etage néocomien inférieur. 


Le néocomien mférieur présente ici comme ailleurs des 
couches variées qui, quoique distinctes, offrent des passages 





(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome VIE, p. 155, ettome XI, 
p. 406. 


76 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 
les unes aux autres ("). Les principales de ces couches sont, 
en commençant par la partie supérieure : 

e) Calcaire jaune à grains verts. 

d) Calcaire marneux à grains verts. 

c) Calcaire Jaune. 

b) Calcaire marneux. 

a) Calcaire roux. 


Nous allons donner quelques détails sur chacune de ces 
couches. 


a) La couche la plus inférieure du néocomien ou calcaire 
roux est formée par un calcaire marneux gris-bleuâtre; lorsqu'il 
est altéré par l'humidité il devient presque toujours roussâtre, 
ce qui lui a fait donner son nom (*) et le distingue du port- 
landien dont la couleur extérieure est bleuâtre. Dans sa cas- 
sure il a un aspect cristallin, oolitique tres-fin qui le fait 
ressembler à un grès; d’autres fois on voit dans la cassure 
des lamelles miroitantes intercalées avec des petits nids de 
matières ferrugineuses et des fragments de coquilles. 

Sa tenacité et sa résistance au choc du marteau est beau- 
coup plus grande que celle du portlandien. 





(1) Dans le lit du Seyon, près de Neuchâtel, ces passages et ces alternances se 
voient tres-bien. 

(2) D'après sa position géologique, il paraît être l'équivalent du terrain supra- 
jurassique de M. Cornuel , Mémoire de la Société Géologique de France, tome IV, 
p- 260. Je le place avec le néocomien inférieur, contrairement à M. Cornuel, 
p- 267, parce qu’au Salève il est en stratification discordante avec le terrain juras- 
sique, comme je le dirai plus tard. 


SUR LE MONT SALÈVE. 71 


Les fossiles y sont peu nombreux et très-mal conservés. Ce 
sont des fragments d’encrines, d'huîtres, des tiges de végé- 
taux. 

Les localités où le calcaire roux se voit le mieux sont dans 
les pentes au-dessus de Monctier et dans la Grande-Gorge. 
Cette couche est semblable à celle que lon voit près du pont 
de Valengin, canton de Neuchâtel, sur la rive gauche du 
Seyon, où elle repose en stratification concordante sur les 
couches portlandiennes. Elle se retrouve aussi dans le lit de 
cette petite rivière près de Neuchâtel. 


Les couches qui nous restent à décrire sont formées de 
calcaires marneux et de calcaires jaunes, dont les lits se suc- 
cèdent en alternant, et l'on peut dire, en général, que les 
premiers sont abondants dans le bas, tandis que les seconds 
ont plus de développement dans la partie supérieure. L’Ho- 
laster complanatus (spatangus retusus) en est le fossile le 
plus caractéristique. 


b) Le calcaire marneux est tenace, dur, bleuâtre foncé. 
Cassure bien conchoïde, aspect concretionné en grand, sur- 
tout dans sa partie supérieure; les couches paraissent quel- 
quefois formées d’une multitude de rognons placés à côté les 
uns des autres et qui se sont mutuellement aplatis; cette action 
est poussée quelquefois si loin qu'il semble que ce sont des 
rondelles verticales placées les unes à côté des autres (Petit- 
Salève au-dessus de l'Hermitage, Petite et Grande-Gorge). 

Un fait très-remarquable, c'est que cette couche renferme 


18 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

souvent des petites géodes remplies de cristaux de quarz hya- 
lin prismé, les cavités qui se trouvent à l’intérieur de certains 
fossiles en sont quelquefois tapissées (nautile dans la collec- 
tion de M. De Luc et dans ma collection). Quelquefois ces fos- 
siles sont remplis par des cristaux de calcaire. Quoique je n'ai 
Jamais vu de fort gros cristaux dans cette roche, il est possible 
cependant qu'elle ait fourni certains cristaux de quarz qui ont 
été trouvés au Salève, et que l'on croyait être des débris erra- 
tiques. L'épaisseur des strates de cette couche varie de six 
pouces à un pied. Les petites couches sont souvent coupées 
perpendiculairement au plan de stratification par des fissures 
remplies de cristaux de chaux carbonatée. 

Dans les roches placées dans le chemin qui conduit de 
Monetier au sommet du Grand-Salève et près du hameau de 
Grange-Marin, j'ai trouvé des petites myes en place formant 
des nids semblables à ceux que M. Gressli a décrit dans le 
portlandien de la vallée de la Birse (Observat. sur le Jura 


soleurois, pl. 10, f. TRE 


c) La couche supérieure à celle dont nous venons de parler 
est un calcaire jaune, compacte, lamellaire, esquilleux, aspect 
dolomitique, cristallin, rude au toucher, terreux, contenant 
des petits morceaux de silex, et quelquefois des espèces de 
rognons formés de particules siliceuses, sableuses, ferrugi- 
neuses, friables, faisant en général saillie à la surface de la 
roche ("). La couche qui contient un si grand nombre de fos- 





(1) En examinant ces petites masses siliceuses au microscope, j'ai vu qu'elles ne 
contenaient pas d’infusoires. 


SUR LE MONT SALÈVE. 79 


siles et surtout d’huîtres dans la partie supérieure de la Petite- 
Gorge, appartient à ce calcaire ; la, il est souvent coloré en 
rougeûtre et contient des parties argilo-ferrugineuses. 


d) Calcaire marneux à grains verts. Ces grains le distinguent 
du calcaire marneux précédent auquel, d’ailleurs, il est iden- 
tique. Les fossiles y sont assez nombreux; quelquefois ils sont 
bien conservés, d’autres fois on a beaucoup de peine à les sé- 
parer de la roche. Ces grains verts sont probablement de la 
glauconie, qui est répandue dans les terrains crétacés infé- 
rieurs de tant de contrées éloignées les unes des autres. M. Du- 
bois les cite dans le Caucase (*); je les aï retrouvés à l'extré- 
mité méridionale de la Sicile dans le voisinage des hippurites 
du cap Passaro. Ils indiquent un état bien singulier dans les 
mers de cette époque. 


e) Calcaire jaune à grains verts. Ce calcaire est en général 
compacte ou lamellaire. Les grains verts y sont quelquefois 
gros et abondants, d’autres fois il faut une loupe pour les dis- 
tinguer, ailleurs ils manquent complétement. Ils ne sont donc 
pas un caractère bien constant. C’est au sommet de la Grande- 
Gorge que ce calcaire présente la plus grande abondance de 
ces grains; la roche paraît là un véritable grès vert, tandis 
que dans la chaîne des Pitons, ces grains sont beaucoup moins 
abondants. 

Au lieu dit Échelle de Jacob, dans la Petite Gorge, ce cal- 





(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome VII, p. 575. 


80 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

caire est coloré en rougeâtre., en bleu, en vert. Il contient 
des fossiles, mais en petite quantité. On le voit encore au- 
dessous du pont de la Caille. 

Les fossiles, comme nous l'avons dit et comme on peut le 
voir par le tableau suivant, sont abondants dans ces couches. 
Elles correspondent exactement pour l’âge de leur formation 
aux marnes néocomiennes et aux calcaires Jaunes du canton 
de Neuchâtel (!), caractérisés par l'Holaster complanatus Ag. 
et l'Ammonites radiatus (Bruguière) fossiles qui ont fourni 
un horizon géologique si étendu. 

Toutes les couches néocomiennes s’observent facilement 
sur les pentes des deux Salèves, au-dessus de Monetier. La 
coupe entière de cette formation peut aussi être étudiée dans 
les différentes Gorges; mais il faut remarquer que les cou- 
ches y ont souvent une puissance beaucoup moins grande, 
que celle qu’elles atteignent dans d'autres localités, car les 
Gorges ayant été ouvertes à peu près sur la ligne où s’est fait 
le plus grand effort dans le soulèvement du Salève, les ter- 
rains y sont comprimés et irrégulièrement contournés. Au 
contact des terrains néocomiens et jurassiques, les roches de- 
viennent plus ferrugineuses, même quelques fissures sont 
remplies d'argile ochreuse. 

Les éboulements ont mis à découvert des surfaces de frot- 
tement qui se trouvaient dans l'intérieur de la roche telles 
qu'on en observe souvent dans les calcaires, seulement au lieu 
d’être recouvertes comme à l'ordinaire par des plaques de spath 





(1) Les marnes se retrouvent à Romainmotier (canton de Vaud). 


SUR LE MONT SALÈVE. 81 


calcaire cristallisé, elles sont recouvertes par des plaques de 
fer hydroxidé qui portent de petites stries. Jai fait cette obser- 
vation dans un couloir où s’entassent des pierres près de RÉ 
chelle de Jacob et que probablement peu de personnes ont vi- 
sité. Ces petites plaques sont si difficiles à détacher que J'ai 
préféré les laisser en place plutôt que de risquer de les dé- 
truire en voulant en faire des échantillons. 

Au delà du hameau de la Croisette, le calcaire marneux 
forme une espèce de petite combe horizontale dans sa lon- 
gueur, qui s'étend au-dessous des Pitons et au-dessus des 
escarpements jurassiques; on la reconnaît à sa végéta- 
tion, elle est couverte de pâturages, tandis que les calcaires 
qui sont placés au-dessus et au-dessous sont recouverts par 
des bois. 

Plus loin le calcaire marneux se retrouve avec ses fossiles 
caractéristiques au fond de la cluse au-dessus de laquelle est 
bâti le pont de la Caille. Je ne connais point de localité plus 
au Sud dans le mont Salève où cette couche se montre 
à découvert, pas même là où cette chaîne est coupée par la 
route de Silingy à Annecy, et où la montagne appelée Man- 
dal offre un assez bel escarpement. 

Dans le tableau suivant, qui présente l'ensemble de tous les 
fossiles qui ont été trouvés dans les couches néocomiennes du 
Salève, nous avons eu soin d'indiquer , autant que cela nous à 
été possible, la couche à laquelle chaque fossile appartient. 


TOM. X, 1'° PARTIE. 11 


82 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Fossiles de l'étage inférieur de la formation néoeomienne. 


















OUVRAGES 
où 
se trouve la figure. 





NOM DU FOSSILE. 








ECTEVISS CR EC PRE EE 
Carcharias productus. Ag. ..|..............|.. 
HATMNA-SPADOVS- cr Isere irEeen Re 
Bélemnites dilatatus. Blain. . |Pal. Fr. d'Orb. pl. 








































II et IE, f. 1-5. A | SA Néocomien, d'Orbigny 
— subfusiformis. d'Orb. .. |id. pl. IV ...... I SIÈE sde id. 
— semicanaliculatus? Blain/id. pl. V....... dt Craie tufau ? id. 
Nautilus. Pseudo-elegans.d'Orb. IIS Néoc. inferieur d’Orb. 
— neocomiensis. d'Orb. ..|id. pl. XI...... ..|..[..[ Pictet. | id. moyen id. 


id. inférieur id. 


Ammonites radiatus. Brug.…. |i 
id. 


— Asterianus. d'Orb.....li 
— Leopoldinus. d'Orb….. fi 
— clypeiformis. d'Orb.... li 



















— Ixion. d'Orb......... id. pl. LVI..... 
Crioceras Duvalii. d'Orb....|i Calle . [Néocomien inférieur. 
Pleurofomata td OrD ele cree... lee Plus. espèces indét. 
Cirrus Bourgueti. Inédit. ...|.............. aile Marnenéocomiennede 
Neuchâtel. 






. [Voisin du C. depressus. 














. [Plusieurs espèces. 
Montmollin. Marne 
néocom.de Neuchit. 


Agassiz. Etudes 
critiques, pl. 1|..|.. 









Inédit. 
Plusieurs espèces. 














Moules semblables à 
ceux des Marnes de 
Neuchätel. 

Identiq. avec celle des 
Marnes de Neuchit. 

Esp. indéterminable. 















Cul ER ARENA 








Grassitella ss. IR Mer Ar er + 














(1) Ces lettres représentent les différentes couches énumérées précédemment, les + indiquent la couche 
dans laquelle le fossile se trouve. Les fossiles des calcaires marneux b et d ont été quelquefois confondus. 

(2) Ag. placé dans la septième colonne indique que c’est à M. le professeur Agassiz que je suis redevable 
de la détermination du fossile. 

(5) J'ai marqué ainsi + les fossiles que j'ai déterminé moi-même. 








SUR LE MONT SALÈVE. 83 










OUVRAGES 
NOM DU FOSSILE. où 


se trouve la figure, 




































Crassatella. Sp. nov. ....../.............. 
Trigonia sulcata. Ag....... Et. critiq. Agas. Marne néocomienne 
pl. 8 et 11 de Neuchâtel. 
— caudata. Ag. ........ IP TE Sr de oi let id. 
SR NOV Le see nulles see MIE . [Voisine de la spinosa. 
Ag. Et. crit. pl. 7. 
ET Sp NOV er eee treuil 
Neithea(t) Drouet "222 ---m-2.ec.e T 
Péctens es. er dns HA et he Nes. + [Voisin du P.{rachnoi- 
— Intextus ? Brong...... Env.deParis,V,10|+|..|.. Se des Defr. Brong. II, 
— Beaveri? moule...... Sow. pl. 158 ... T 8, et du P. irtextus. 
— voisin du P. Obscurus. .lid. pl. 205 ..... + Brong. V, 10, entre 
— plus.esp.indét.etnouv.|.............. les côtes on ne peut 
PIAMOS OMAN ACER) CREER RIAAIEE + pas distinguer les 
Astarte M EEE Sales telles les lE Se petites stries. 
Exogyra sinuata, var. élon- Mém. de la Société 
gata. Leym ....... Géol. deFr. V.|+|..|.. + |Néocomiendel’Aube. 
— subsinuata, var. falci- 
Jformis. Leym ...... LE LE HO EN EN Less + id. 
— subsinuata. Leym.....lid. .....,..... JF id. 
UAH Tee eee Goldf. 83,3.Bron- 
gniart, IX, 11. + 
— ou Gryphea......... sIhiéoë: soncasde .....|Sp. nov. très-grande, 





avec de grands or- 
bicules siliceux (?). 

CSA Re AL 4 rl sl Très-voisinede l’O. ca- 
rinata,maiss’en dis- 
tingue parce que les 


















—M'autres'espèces . .....|.....:..,...,.].. dentelures du bord 
TE léodéacoe eee eee OOo Ce sont plus profondes. 
Terebratula depressa. Sow..|Sow. 502. Buch, Marnenéocomienne de 

XVI, 6 (*).. Neuchitel. 
— biplicata.Sow........ Sow. 90. Buch, p. Sept variétés de T. à 
DCE CHIEN deux plis. 

— biplicata acuta....... Buch, p. 220 ... Abe 

—  —  linflata? ..... Goo 00 000pnIlne 

— rostrata ? SOw........ Sow. 537, Buch, Ne diffère que par le 

XVe de nombre de ses plis 








qui est 43. 





(1) Avec des orbicules siliceux. Cette espèce étant jeune est munie de trois côtes intermédiaires aux six 
côtes principales. Elle se distingue alors du P. quadricostatus en ce que la côte du milieu est la plus grosse des 
trois côles intermédiaires. Dans sa vieillesse on trouve cinq côtes intermédiaires, celle du milieu est toujours 
plus grosse que les autres. Quelques échantillons ont le test calcaire et sont identiques à ceux des Marnes 
néocomiennes de Neuchâtel. 

(2) La grandeur des orbicules dépend de l’âge et de la grandeur de l'animal. J'ai observé ce fait sur les 
Gryphées et sur les Neithea. 

(3) Mémoires de la Société Géologique de France, tome Ill. 





84 


CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 





OUVRAGES 
NOM DU FOSSILE. où 


se trouve la figure. 


— octoplicata?......... 


Bivalves 
Diadema Bourgueti. Ag... .. 


Cat. desEchin. vi- 


GISEMENT. 


DÉ- 


PAR 








CITATIONS 


TERMINÉ| D'AUTRES LOCALITÉS 


ET OBSERVATIONS, 


Voisine de laT. depres-| 
sa. SOw. | 

Dela division deT.con- 
cinnæ alatæ. 


. [6 var. de T. lisses. 


Indéterminables. 


Moule interieur. 


. [Indéterminables. 


vants et fossiles|-L|..|..|.. 


Holaster complanatus. Ag..|Echin. Suis. Ag. 


— l'Hardy. Ag. ........ 1 


Pyrina voisin du P.pygea.Ag.|Galérites, pl. V(?)|+|..|.-|.. 


Nucleolites subquadratus...|Ag. Echin. Suis. 


— Olfersi 


kits 


Catopygus a/pinus. Ag. . ...|Echin. Suis. pl. 8|+|..|..|.. 


Echinus 
Serpula 


Ag. 


quan lg | 
-. -|Michel. |Goldf. n’en cite que de 





Cnemidiam Goldf "A CrI0P22CRCCR Ce + 

Lithodendron® #21 ...-01": #7" 2POERCRAIBr | al. . id. 
Spongiate ee err- der le-o-becreee elec et le l-cléce... 
ASIA Eee -e-ee--c---l-rcce-et pre -clee lc l:- | IRC 
Tipes de VéBe AUX PL =etar le EEE Cire +|..|..+ 


-| De Luc |[Sihceusesurunehuiître 


Marnenéocomiennede | 
Neuchätel (!). | 

Marne néoc. de Neuch. 
La'/,del’échant.est 
est calcaire, l’autre | 
1/2 siliceuse. | 

Calc. jaune de Neuchät. 


id. 
Marne néoc. de Neuch. 
Calcaire du mont Sa- 
lève. Ag. 
Néocomien deDouanne 
Très-voisin duP.Mont- 
mollini. Ag. | 





| 

# 0 | 

Marne néoc. et calcaire | 
jaune de Neuchâtel. 

Deux nouvelles espèc. 


Deux espèces. 





ter. jurassique. 
Dans le calcaire roux 
du mont Salève. 
Deux esp. siliceuses. 
Deux esp. Un échant. 
estpercé de trous de 
coquilles perforantes 
| 





(4) L'Holaster complanatus Ag. offre de nombreuses variétés. On trouve des types de variation, ce qui 


pourrait peut-être permeltre d'établir de nouvelles espèces. 


(2) Agassiz, monographie des Echinodernes vivants et fossiles. 


SUR LE MONT SALÈVE. 85 

Si on jette un coup d'œil sur les caractères que nous avons 
assignés aux couches qui forment l'étage néocomien inférieur 
et si on examine la proportion des fossiles qu'elles contien- 
nent, on verra que les Nautiles et les Ammonites sont les ani- 
maux qui, par leur grandeur et leur abondance, forment le ca- 
ractère dominant de cette faune. Ces couches sont donc péla- 
giennes, mais peut-être pourrait-on conclure de la présence 
des huîtres et de quelques autres animaux que la mer où 
elles se formaient, n'était pont très-profonde. On sait 
que plus au Nord dans le canton de Neuchâtel, des cou- 
ches de même espèce présentent les caractères très-pronon- 
cés d’un dépôt littoral, et que plus au Nord encore, elles 
manquent complétement. Leur limite septentrionale est 
placée près Bienne; c'est là un des points du rivage de 
la mer qui déposa le terrain néocomien inférieur, mer 
qui pendant si longtemps a été ignorée et qui cepen- 
dant contenait tant d'animaux intéressants. IL est d'autant 
plus curieux d’avoir pu établir exactement cette limite que 
nous verrons plus tard qu'une couche, qui a également été 


déposée par une mer néocomienne, a une circonscription diffé- 
rente. 


B. Etage néocomien supérieur. 


Nous ne connaissons au Salève que le groupe inférieur de 
cet étage, c'est-à-dire la première zone de Rudistes. 


86 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


4. PREMIÈRE ZONE DE RUDISTES. 


Syn. Calcaire à dicerates de M. Elie de Beaumont. 
Calcaire à Hippurites de M. Studer (!). 


a) Première zone de Rudistes proprement dite. M. d'Or- 
bigny a nommé ainsi (*) un système de couches très-carac- 
térisé, qui sépare l'étage néocomien supérieur du néocomien 
inférieur. Au Salève ce système repose sur le calcaire à 
grains verts qui forme la couche supérieure du néocomien 
inférieur. C'est en général un calcaire très-blanc, très com- 
pacte, mais peu tenace, esquilleux avec beaucoup de lamelles 
spathiques qui pour la plupart sont des tests d'animaux. Il a 
beaucoup de rapport avec le calcaire corallien du bas du Sa- 
lève. 

Il est quelquefois si compacte qu'il est impossible d'en déta- 
cher aucun fossile excepté dans une couche que je nommerai 
couche à Térébratules et qui est placée dans la partie supé- 
rieure de la même zone. 

Les fossiles les plus caractéristiques de la zone de Rudistes 
sont les Radiolites et ceux que jusqu'à présent on a confondu 





(1) Le calcaire à hippurites des Alpes, Mémoires de la Société Géologique de 
France, tome IT, p. 389, n’est autre chose que la première zone de Rudistes, 
puisque l'hippurites Blumenbachä de M. Studer est le même fossile que le radiolites 
néocomiensis d'Orbigny. 

(2) Bulletin de la Société Géologique de France , tome XILL, p. 155. 


SUR LE MONT SALÈVE. 87 


sous le nom de Diceras(!). Lorsque la roche est très-com- 
pacte, l’on ne peut suivre dans son intérieur les traces des fossi- 
les qui paraissent à l'extérieur. L’abondance des corps organisés 
varie beaucoup dans cet étage; quelques couches n’en con- 
tiennent aucune trace, tandis que d’autres en présentent un si 
grand nombre qu'ils se touchent tous; ainsi en descendant 
aux bains de la Caille on voit deux ou trois couches placées à 
quelques pieds les unes des autres , dans lesquelles les fossiles 
se trouvent par milliers, tandis que dans l'intervalle on n’en 
trouve aucun débris. Il suffit d’avoir vu une fois les assises qui 
contiennent un si grand nombre de ces fossiles pour ne les 
confondre avec aucune autre couche. 

Les fossiles de ce terrain sont pour la plupart nouveaux et 
non décrits. Ce sont: Plusieurs espèces que l’on rapporte 
vulgairement au genre Diceras, mais qui doivent en être sé- 
parées; des Radiolites néocomiensis, d'Orb.; des Térébratules ; 
des natices ou des Euspires de M. Agassiz, genre séparé 
des natices (Voy. Sowerby, édit. de Neuchâtel, page 14) (°). 





(1) Voyez le Rapport sur le Mémoire de M. Itier. Comptes rendus de l'Aca- 
démie des Sciences, 22 août 1842. 
(2) Les débris organisés que M. d'Orbigny indique comme étant les fossiles ca- 
ractéristiques de cette zone sont les suivants : 
Nerinea gigantea d'Hombres Firmas. 
Pteroceras beaumontianus. 
Radiolites néocomiensis d'Orb. 
Caprotina ammonia d’Orb. (chama.ammonia Goldf.). 
—  Lonsdalii d'Orb. (diceras Lonsdalii Fitton). 
— _tribolata d'Orb. 
—  lamellosa d’Orb. 


88 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

La couche à Térébratules, qui fait partie du terrain qui 
nous occupe, offre un facies particulier, complétement diffé- 
rent de tout ce dont nous avons parlé et que je n’ai trouvé 
que dans une seule localité à l'extrémité du vallon de Monetier 
au lieu appelé le Mont, au-dessus du village d'Essert où elle 
est exploitée pour faire de la chaux. 

Cette couche qui est placée dans l'intérieur et dans la par- 
tie supérieure de cette zone de Rudistes, est formée en géné- 
ral par un calcaire blanc, rarement jaunâtre ou grisâtre, 
quelquefois crayeux, cristallin ou oolitique, les oolites ne 
parviennent guère à la grosseur d’un pois; elles sont con- 
fluentes, mêlées avec de petits morceaux de calcaire les uns 
roulés, les autres anguleux, et de nombreux débris d'êtres or- 
ganisés. Il présente à un haut degré l'aspect d’une roche for- 
mée par charriage. Le ciment qui enveloppe tous ces petits 
corps est cristallin et contient des lamelles spathiques. On y 
trouve des nids de plusieurs pieds de diamètre de spath 
calcaire bacillaire en amas rayonnant du centre à la circon- 
férence (carrière d’Essert et sur le chemin qui conduit de 
Mornex au sommet du Petit-Salève). Les débris de fossiles 
sont abondants dans cette couche, leur test est spathique, 
mais sauf des Térébratules de plusieurs espèces, qui seules 
sont bien conservées et tres-abondantes, les autres fossiles 
sont très-altérés; on y reconnaît cependant de nombreux dé- 
bris de coraux, des piquants d'oursins et quelques bivalves 
lisses. 

Je n'ai vu nulle part ailleurs que sur le Mont cette 
couche avec les caractères qu'elle présente dans cette locali- 


SUR LE MONT SALÈVE. 89 


té (1). La grande abondance des Térébratules, jointe au facies 

de charriage qui forme le caractère le plus saillant de cette 

roche, pourrait peut-être indiquer que lorsqu'elle s’est déposée 

il existait un courant à une grande profondeur sous les eaux. 
Les fossiles sont: 


Caprotina ammonia ? d'Orb. 
Ecrevisse. 
Trigonia. Sp. nov. voisine de la T. scabra Lam. Ag., pl. 10. 
Nerinea. 
Salenia scutigera. Gray. Ag., Salenies, pl. 2. Le mauvais état de l’échantillon 
laisse quelques doutes. 
Cidaris. Sp. nov., piquants voisins du C. pyrifera Ag., Echinod. suisses, XXI. 
— Sp. nov., piquants voisins du C. filograna. Ag. Echinod. suisses, XXXI, 4. 
Pecten. Sp. nov. ? voisin du P. serratus. Leth. geog., XXX, 18. 
— dE 
Tragos patella ? Goldf. 
Astrea varians ? Michelin, Iconographie, V, 8. 
Plusieurs espèces de polypiers. 
Terebratula plicatilis ? Sow., 118, De Buch, XV, 24. 
— Cinq espèces de la division des térébratules à deux plis. Quelques-unes 
se rapprochent des térébratules des marnes néocomiennes. 
— Une espèce de la division des T. concinnæ alatæ, se rapprochant assez de 
là T. plicatilis, mais ayant des plis plus forts. Echantillons déformés. 
— voisine de la T. depressa. Sow., pl. 502. f. 2. Elle s’en distingue cepen- 
dant, parce que la valve ventrale est plus relevée vers le front que vers 
le milieu. Cette espèce appartient donc à la division des T. concinnæ 
alatæ, tandis que la T. depressa appartient aux pugnacæ. L’angle des 
arètes cardinales est variable ainsi que l'épaisseur de la coquille. 


(1) C’est ici que l’on peut voir les grands effets des pluies sur les roches 
calcaires; elles sont creusées en profonds sillons qui, d’une manière générale 
ont les directions de la plus grande pente. 

TOM. X, Î'° PARTIE. 12 


90 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


La place que j'assigne à la couche à térébratules résulte 
d'observations faites au-dessus du village d'Essert sur le ver- 
sant oriental du Grand-Salève. 

Le calcaire à térébratules faisant partie de la première zone 
de Rudistes. Je ne les distinguerai point dans les détails sui- 
vants. 

Le terrain caractérisé par les Rudistes occupe tout le revers 
du Salève du côté des Alpes; en quelques endroits il s'étend 
jusqu'à la crête de la montagne. Il est surtout développé dans 
la partie méridionale de la chaîne. A l'extrémité du Salève, 
du côté d'Etrembières, près du trou nommé Tanabara il est 
parfois un peu altéré, il offre alors des teintes rougeûtres, fer- 
rugineuses, il n’a plus la même apparence et contient des par- 
ticules siliceuses, on y trouve d’assez jolis cristaux de chaux 
fluatée, incolore et jaunâtre qui présentent les formes cubi- 
que, triépointée, bordée. 

En supposant que dans l’eau qui déposait cette roche cal- 
caire, il se dégageat de l'acide fluo-silicique, tous les éléments 
nécessaires pour la formation du fluorure de calcium et des 
particules siliceuses contenues dans la roche se trouvaient en 
présence. 

Cette première zone de Rudistes est très-développée dans 
les environs de Cruseille, où elle forme toutes les petites 
collines situées au nord-est de ce village, les couches sont diri- 
gées parallèlement au Salève et se relèvent contre cette mon- 
tagne. À dix minutes au-dessus de Cruseille, dans une roche 
désagrégée par le contact d’une mine de fer d’origine side- 
rolithique, j'ai trouvé des fossiles ressemblant à de petites di- 


ceras (?). 


SUR LE MONT SALÈVE. 91 

La cluse de la Caille présente une coupe qui facilite l'étude 
du terrain qui nous occupe ; dans les roches qui bordent le 
sentier par lequel on descend aux bains, on reconnaît les traces 
des fossiles caractéristiques de cette assise. Tout le prolonge- 
ment du Salève sur la rive gauche de la rivière des Usses est 
formé par ce terrain qui atteint là une épaisseur plus grande 
qu'à l'extrémité septentrionale de la montagne. Ces couches, 
tout en disparaissant pendant quelques temps sous la forma- 
tion tertiaire, vont rejoindre celles des montagnes des environs 
de Chambéry et de la Grande-Chartreuse. 

Ces mêmes couches se trouvent aux environs d'Annecy, et 
forment une grande partie des montagnes placées sur les deux 
rives du lac. Dans la carrière du Paradis à Annecy, j'ai trouvé 
une petite caprotina? des euspires et une térébratule voisine 
de la T. plicatilis. 

Ce même terrain se trouve aussi à la base du Jura du côté 
de la plaine suisse. On le voit au pied septentrional du Voua- 
che; il forme les rochers escarpés de la perte du Rhône (°), sur 
lesquels repose le calcaire à Pteroceras pelagi (dont nous par- 
lerons plus tard); puis, en remontant, on trouve la couche à 








(4) M. Brongniart croyait que ces roches appartenaient à la formation jurassique 
(Description des environs de Paris, ossements fossiles par Cuvier, 1822, tome II, 
p. 527). Il dit que jamais on n’y a trouvé de corps organisés. J’y ai cependant 
trouvé une térébratule et M. Gressli y a recueilli des fossiles semblables à des pa- 
telles et à des arches. J'avais vu dans cette localité que le calcaire de la zone de 
Rudistes servait de base aux couches du grès vert. M. Itier vient de publier un 
Mémoire dans lequel ce fait est consigné (Comptes rendus des séances de l’Aca- 
démie des Sciences du 22 août 1842). 


92 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

orbitolites et celles du grès vert. Cette localité démontre d’une 
manière évidente que le calcaire de la zone de Rudistes se 
trouve placé au-dessous du grès vert, tandis que M. Studer le 
place au-dessus, dans son aperçu général de la structure géo- 
logique des Alpes (1). 

Comme Je l'ai dit, le calcaire à hippurites des Alpes doit 
être rapporté à la première zone de Rudistes qui devient dès 
ce moment un horizon des plus importants pour l'étude géo- 
logique des terrains alpins. En outre des localités que J'ai ci- 
tées, ce terrain a été reconnu dans les Alpes de la Savoie, aux 
environs d’Aix-les-Bains; près de la mine d'Entreverne sur la 
rive gauche du lac d'Annecy; dans les montagnes voisines des 
monts Vergi, sur la rive gauche de l'Arve ; entre Vallon et Sixt; 
et, dans les Alpes suisses, entre les lacs de Thun et de Lu- 
cerne; dans le canton d'Uri et dans l'Appenzell, au Sentis et 
à l'Altmann. 

On exploite ces couches dans le pays de Gex, entre autres 
aux villages de Thoiry et d’Allemogne; elles fournissent de 
belles pierres de constructions et de jolis marbres. J'y ai re- 
cueilli beaucoup de radiolites néocomiensis, des térébratules 
plicatilis ? des moules de gastéropodes et des dents de pyc- 
nodus. 





(1) Bibliothèque Universelle de Genève, mars 1842. En 1859 M. Studer plaçait 
ces couches dans leur véritable ordre de superposition, Mémoire de la Société 
Géologique de France, tome IL, p. 585. M. Ewald et Beyrich en 1859 doutaient 
de la position du calcaire à hippurites, Bulletin de la Société Géologique de France, 
tome X, p. 524. 


SUR LE MONT SALÈVE. 93 


Jai vu aux musées de Lausanne et de Neuchâtel des di- 
ceras ? (caprotina ?) trouvées au Mormont dans le canton de 
Vaud, qui indiquent que ces couches existent au pied du Jura 
dans cette localité. 

Cette première zone de Rudistes n’est pas connue dans le 
canton de Neuchâtel, quoique le néocomien inférieur y soit 
fort développé. J'ai recherché le point intermédiaire entre Sa- 
lève et Neuchâtel, où ce dépôt finissait, et je l'ai trouvé au 
bord du lac de Neuchâtel à deux ou trois cents pas au nord 
de la Raisse, petit hameau voisin de Concise, dans la partie 
septentrionale du canton de Vaud. Là, ces roches contiennent 
des radiolites et beaucoup de ces fossiles qui, je pense, sont 
des caprotines aux yeux de M. d'Orbigny. Cette localité est un 
des points remarquables du rivage de l'ancienne mer qui dé- 
posa la première zone de Rudistes, puisqu'on peut ici la com- 
parer avec le rivage de la mer qui forma le néocomien inférieur, 
et que l’on trouve, ainsi que nous l'avons dit, environ onze 
lieues plus au Nord, près de la ville de Bienne. 

En récapitulant les faits que nous avons énoncés, nous 
pourrons arriver à une conclusion qui nous semble fort pro- 
bable et qui n’est pas sans intérêt. 


1° Le rivage de la mer du néocomien inférieur se trouve à 
Bienne. Plus au Nord, sur le même méridien, ce terrain n’a 
jamais existé. 


90 Le rivage de la mer de la première zone de Rudistes se 
trouve à la Raisse (environ 460,50 latitude nord), à onze lieues 
au sud de Bienne. Il paraît que jamais on n'a trouvé cette 


9% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


couche plus au Nord que le 48e degré de latitude et encore 
fort à l'Est des points qui nous occupent (1). 


3° Ces deux terrains ont peu de puissance dans les cantons 
de Vaud et de Neuchâtel; et, comme plus on avance vers le 
Sud, plus ils augmentent d'épaisseur, on est en droit de con- 
clure que la mer qui les déposait avait probablement une plus 
grande profondeur dans le Midi que dans le Nord, et que cer- 
tainement elle a séjourné moins longtemps et par conséquent 
à laissé des dépôts moins épais dans le Nord que dans le Midi. 


Si nous cherchons quelle peut être la cause du changement 
qui s'est opéré dans le lit de la mer à cette époque, nous la 
trouverons naturellement dans un soulèvement lent, que l'on 
peut désigner sous le nom de soulèvement continental pour 
le distinguer des soulèvements de montagnes. Il aurait émergé 
moins lentement les dépôts faits dans le Nord de la mer que 
ceux faits dans le Midi. Il suflit pour cela que le sol ne fût pas 
horizontal, mais qu'il fût incliné du Nord au Midi, et qu'il s'é- 
levât sans qu'il y eût de changement dans le niveau relatif 
des différents points, ou que le soulèvement fût plus grand 
dans le Nord que dans le Midi. Il est assez probable que des 
recherches faites dans toute l'étendue de la chaîne du Jura, dé- 
montreraient que ce soulèvement continental avait déjà com- 
mencé dans la période pendant laquelle se déposèrent les 
terrains Jurassiques supérieurs ; Car ces terrains ont une 





(1) Au Sentis et à Reichenall en Bavière, non loin de Salzbourg, Mémoire de 
la Société Géologique de France, tome III, p. 502. 


SUR LE MONT SALÈVE. 95 


épaisseur moins grande dans le nord de la Suisse que dans le 
midi. 

On a des preuves évidentes que des soulèvements de ce 
genre ont existé et agissent même encore dans l'époque ac- 
tuelle. C’est avec leur aide que l’on doit expliquer, dans cer- 
tains pays épargnés par des soulèvements de montagnes, la 
distribution des terrains de sédiments, lorsqu'ils sont disposés 
de manière que chaque terrain est placé en retrait sur celui 
qui lui est est inférieur. 

La coupe des terrains figurée dans le Traité de Géognosie 
de M. d’Aubuisson de Voisin, tome IL, pl. 1, f. 1 (2me édition 
par Amédée Burat). peut facilement faire comprendre cette 
distribution, car, en la suivant des Vosges à Paris, c'est-à- 
dire en examinant les terrains depuis les anciens jusques aux 
modernes, on observe qu'ils sont placés succesivement en re- 
trail les uns au-dessus des autres. Je ne cite cependant cette 
coupe que pour indiquer la disposition des terrains, car je ne 
sais si, dans ce cas particulier, un soulèvement continental 
est la cause du retrait des différentes formations. 


b) Calcaire à Pteroceras pelagi. Cette assise n'existe pas 
au Salève, au moins à ma connaissance ; maïs je la mentionne 
ici parce qu'on la voit dans plusieurs localités des environs 
de Genève, et que probablement M. d'Orbigny la comprend 
aussi dans sa première zone de Rudistes puisqu'on y trouve 
ces derniers fossiles. Cependant je la crois indépendante, 
car le calcaire à Pteroceras pelagi ne se voit que rarement 
dans nos environs avec la zone de Rudistes, ainsi je ne 


96 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 
l'ai jamais rencontré au Salève ni dans son prolongement. 

Je l'ai trouvé : 1° à Annecy, 2° à la Perte-du-Rhône, 3° à 
Allemogne dans le pays de Gex. 

1° Sur la rive méridionale du lac d'Annecy, à peu de dis- 
tance de la ville se trouve une jolie colline sur laquelle est 
placée une chapelle ombragée de beaux arbres. Dans cette col- 
line que les paysans appellent La Puya, on a ouvert de toutes 
parts des carrières. Elle est presque entièrement formée de cal. 
caire à radiolites. Les couches sont relevées à l'Est-Nord- 
Est. Sur le revers opposé à celui qui regarde Annecy, on 
trouve des couches qui s'appuient sur ce calcaire en stratifi- 
cation concordante. Elles sont formées d’un calcaire jaune 
foncé, se désagrégeant facilement surtout à sa surface. Il con- 
tient des tiges de végétaux, des Pteroceras pelagi; des capro- 
tines ? (chama ammonia ?), des oursins (Holaster), et une 
nouvelle espèce de nérinée (!). 

20 Ce calcaire à ptérocéres se trouve à la Perte-du-Rhône. 
superposé, comme à Annecy, à un calcaire blanc compacte. 
Jusqu'à ce jour. tous les géologues, qui ont visité cette loca- 
lité, à l'exception de M. Itier, l'ont regardé comme étant le ter- 
rain néocomien, et la roche qui lui est inférieure comme étant 
jurassique, tandis que cette dernière appartient, comme je l'ai 
dit page 91, à la première zone de Rudistes. 

La puissance de ce calcaire à Pteroceras pelagi est petite, 
sa partie visible n’a environ que six pieds d'épaisseur, mais 





(1) Nerinea conica (inédite). 


SUR LE MONT SALÈVE. 97 


je crois qu'une portion est cachée sous des éboulements, et 
qu’en tout il est épais de douze à quinze pieds. Dans la portion 
qui est à découvert, il est partagé en quatre couches, dont la 
supérieure est un calcaire jaune à aspect concrétionné, sableux, 
oolitique, ayant un peu plus d’un pied d'épaisseur. Au-dessous 
est une couche de calcaire marneux contenant des térébratules 
(1 pied). Puis, en descendant, vient un calcaire jaune de trois 
pieds d'épaisseur ; enfin un calcaire marneux, jaunâtre et bleuä- 
tre, épais d'un pied. 

Ces couches contiennent beaucoup de Pteroceras pelagi 
(Brongniart) ; c’est l'abondance et les caractères bien déter- 
minés de ce fossile qui m'ont engagé à donner son nom à cette 
assise. Elle contient aussi les fossiles suivants : 

Terebratula voisine de la depressa. Sow. 
Neithea. Drouet. 


Oursins. 
Tiges de végésaux abondantes. 


M. Brongniart cite encore, comme y ayant été trouvés, les 


genres (?) : d 
Mya ou Lutraria. 

Hemicardium. 

Donacite, et le 

Spatangus oblongus. De Luc (2). 


3° J'ai retrouvé le calcaire à Pteroceras pelagi au-dessus 
du calcaire à Radiolites, à Allemogne dans le pays de Gex. 


(1) Cuvier, ossements fossiles, tome II, p. 350. 
(2) Espèce voisine de l'Holaster complanatus, Ag. 
TOM. X, 1'© PARTIE. 13 


98 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Il offre à peu près les mêmes caractères que dans les localités 
dont j'ai parlé. J'y ai trouvé le Pteroceras pelagi, un Cassis ?, 
des Nucléolites et d’autres oursins mal conservés. 

Cette assise doit être regardée comme faisant partie de la 
première zone de Rudistes, mais cependant sa formation a 
été soumise à d’autres conditions que celles qui ont présidé 
au dépôt de la première zone de Rudistes proprement dite, 
car ses fossiles ne sont pas les mêmes et sa circonscription 
est différente (*). 


CHAPITRE IV. 


FORMATION SIDÉROLITIQUE. 


De Saussure a donné une description si exacte du terrain 
sidérolitique du Salève (?) qu’elle laisse peu à ajouter; mais 
il a confondu les grès tertiaires avec ceux de ce terrain. 

« Sur le haut du Grand Salève, dit de Saussure, vis-à-vis 
« de Crevin on rencontre de grands blocs d’un beau grès 
« blanc, composé de sable cristallin très-pur dont les grains 





(1) Depuis que ce Mémoire a été rédigé j'ai trouvé un Pteroceras dans le calcaire 
blanc de la première zone de Rudistes, près du village du Sapey, au pied du mont 
Salève, du côté des Alpes. J'ai aussi reconnu le calcaire jaune à Pteroceras près 
de la belle source qui sert de fontaine à ce village. 

(2) Voyages dans les Alpes, $ 242. 


SUR LE MONT SALÈVE. 99 


« ont entre eux très-peu de liaison. J'ai eu longtemps des dou- 
« tes sur l’origine de ces blocs, parce qu'ils sont détachés les 
« uns des autres et ne paraissent avoir aucune adhérence 
« avec le sol sur lequel ils reposent. » 

Ils forment une traïinée qui s'étend de l’'amas décrit par 
de Saussure, jusqu'au bord de la Grande-Gorge. Is ont 
tout à fait l'apparence d’avoir été transportés. En effet, il est 
probable que l'agent qui à porté au loin les blocs erratiques, 
a eu aussi une grande action sur ces roches. 

« Mais enfin, » continue de Saussure, « j'ai trouvé sur 
« les derrières de la montagne, entre les Chalets qui portent 
« les noms de Grange-Tournier et de Grange-Gabri, un grand 
« rocher, composé de ce même grès, superposé aux couches 
« calcaires de la montagne. Ce grès, peu cohérent, a été di- 
« visé par les injures de l'air en grandes masses qui semblent 
« entassées sans aucun ordre et où l’on a de la peine à retrou- 
« ver les vestiges des bancs dont il a été composé. » 

Ces masses sont tellement détachées les unes des autres, 
qu'on les prendrait facilement pour des blocs erratiques tant 
elles ont peu l'air d’être en place. 

« J'ai pourtant cru reconnaître, » dit de Saussure, « que 
« ces bancs plongeaient du côté des Alpes, comme les autres 
« couches de la montagne et sous un angle d'environ 25 de- 
« grés. Ces grès descendent fort bas en recouvrant toujours 
« les rochers calcaires, il est même vraisemblable qu'ils re- 
« couvraient anciennement la montagne dans une étendue 
« beaucoup plus considérable, mais que le peu d'union de 
« leurs parties a causé leur destruction. Peut-être même les 


100 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


« sables que l’on trouve entre la Croïsette et le Piton en sont- 
«ils des débris. Je n'ai pu découvrir dans ces grès aucune 
« matière étrangère si ce n'est du fer qui s'annonce dans 
« quelques places par la couleur de rouille qu'il donne à la 
« pierre. » 

M. Gressli, dans ses Observations sur le Jura soleurois, a 
donné une théorie nouvelle pour expliquer la formation de ces 
grès et celle des minérais de fer qui leur sont souvent associés. 
Il est arrivé à conclure que la formation dont ils dépendent 
avait une origine plutonique ou semi-plutonique qui était 
due: « 1° À des vapeurs incandescentes chargées d'acides et 
« d'oxides parcourant les fentes aujourd’hui remplies de bré- 
« ches cimentées par le fer hépathique amorphe. 

« 2 À des épanchements réels de masses minérales ferru- 
« gineuses en fusion plutonique ou à l'état de pâte boueuse, 
«remplissant une partie des failles transversales et les ca- 
« vernes qui en dépendent. 

« 3° À des filets d’eau s’échappant de petites fissures et dé- 
« posant des oxides, des silicates terreux et des argiles blanches 
« très-savonneuses. 

« 4° À des sources en ébullition, Jaillissant à la manière 


« des Geysers et entraînant dans leurs cours les grains pisoli- 


tiques. 
« 50 À des cratères d’éruptions situés sur les failles lon- 


2 


gitudinales de nos vallées tertiaires, entre deux ou plu- 
« sieurs chaînes de montagnes. » 

Ces conclusions n'auraient pu être déduites si le terrain 
sidérolitique n'avait acquis dans le nord du Jura un dé- 


SUR LE MONT SALÈVE. 101 
veloppement beaucoup plus grand que dans nos environs (!). 
Au-dessus du village d'Essert on voit le grès de ce terrain 
former des espéces de filons dans le calcaire blanc de la pre- 
mière zone de Rudistes, et on y remarque des surfaces de 
frottement qui prouvent que les grès peuvent acquérir un poli 
aussi beau que les calcaires. Ce terrain recouvre la plus 
grande partie du Salève; on le trouve aux Treïze-Arbres, mais 
il est surtout développé sur le revers du côté des Alpes. J'ai 
trouvé dans le sable à la Croisette (au N. du hameau) beau- 
coup de grains de fer limoneux, qu'il faut bien se garder de 
confondre avec des résidus de forges qui sont aussi très-abon- 
dants. 

Ces sables se trouvent dans la chaîne des Pitons, ils attei- 
gnent surtout un grand degré de développement entre ces 
sommités et Cruseille où ils constituent de grands amas placés 
dans la première zone de Rudistes et exploités pour l'usage des 
verreries de Thorens et de Monthey. On les emmène jus- 
qu'a Lyon. 

Ces carrières de sables, remarquables par leur éclatante 
blancheur, sont traversées par des petits filons de sable 
ferrugineux, offrant des formes très-contournées. Dans 
la partie supérieure de la carrière se trouve une marne 
mêlée de cailloux calcaires et primitifs. Dans cette por- 
tion de la montagne, le fer est très-abondant, car on ex- 


(1) Je ne connais pas à Salève de marnes bigarrées semblables à celles qui for- 
ment une partie de ce terrain dans le Jura soleurois. Je rapporte à cette formation 
l’origine de la chaux fluatée du Petit-Salève dont j'ai parlé p. 90. 


102 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


ploite ou on a exploité un grand nombre de gîtes de minérais 
de fer oxidé hydraté pour les forges d'Annecy. Ces gîtes for- 
ment des amas et des filons dans le sable. 

Le calcaire blanc dans le voisinage du terrain sidéroliti- 
que est altéré, les fossiles ont quelquefois disparu, d’autres 
fois, au contraire, on peut les détacher plus facilement, 
comme je l'ai déjà dit. 4 

Deux grands dépôts de sable sidérolitique sont situés dans 
les environs du village de Vovray, à la base orientale de la 
chaîne des Pitons. Ils sont plus considérables que celui dé- 
crit par de Saussure, près de Grange-Tournier, et ils offrent 
comme lui l'apparence de rochers entassés les uns sur les au- 
tres. 

Dans la cluse du pont de La Caille on peut examiner de 
beaux filons de ces grès. Le plus facile à visiter est dans le 
sentier qui conduit du pont aux bains. Ce filon qui a environ 
trois pieds d'épaisseur est horizontal sur une partie de son 
étendue et ressemble à un banc de molasse intercalé dans du 
calcaire. 

Nous avons dit que dans cette localité les couches sont re- 
courbées en forme de voute. Î[l n’est donc pas étonnant d'y 
trouver de nombreux filons, car cette structure doit tendre 
à ramener au sommet de la voute toutes les matières allant 
de l'intérieur à l'extérieur. L'inclinaison des filons dont les 
parties supérieures sont plus rapprochées que les parties in- 
férieures vient à l'appui de ce que j'avance. J'ai examiné le 
terrain sidérolitique dans différentes localités, les plus remar- 
quables sont les suivantes : 


SUR LE MONT SALÈVE. 103 

La carrière dite du Paradis à Annecy qui est traversée par 
un filon de ce terrain. 

A la Perte-du-Rhône on voit des amas de sables blancs ap- 
partenant à cette formation. Ils sont traversés par des veines 
ferrugineuses et reposent sur les grès verts (1). Des traces 
évidentes de ce terrain existent dans les calcaires de la pre- 
mière zone de Rudistes qui forment les carrières d’Allemogne 
et de Thoiry, au pied du Jura. On voit dans ces dernières loca- 
lités que le terrain sidérolitique s’est creusé des conduits en 
altérant les roches et y a déposé des marnes, des sables et des 
boules fort singulières d’un grès calcaire. 

Dans les belles carrières exploitées sur la partie septen- 
trionale du coteau de Divonne (département de l'Ain), se 
trouvent de grands et beaux filons de marnes sableuses, dont 
les parois sont remarquables par les érosions bien caractérisées 
qu'elles présentent. 

J'ai examiné des traces semblables plus ou moins dévelop- 
pées, mais quelquefois très-bien marquées au Mormont, près 
Lassarraz; près de Romainmotier dans le canton de Vaud; au 
bord du lac de Neuchâtel, près de Bevaix; près de Tuschertz 
et de Vingelz, sur les rives du lac de Bienne. J'ai eu l'avan- 
tage d'étudier ce terrain dans le Jura soleurois avec M. Gressli. 

En France il a été le sujet de nombreux mémoires, puis- 
qu’on lui rapporte la formation d’une grande partie des mi- 
nerais de fer en grains (2). 





(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIE, p. 275. 
(2) Peut-être doit-on rapporter au terrain sidérolitique les couches comprises 


10% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


M. Omalius d'Halloy parle de celui de la Belgique ("). 

En Savoie, M. le chanoine Rendu cite des sables blancs au 
village de Plainpalais, commune du Désert (°). 

M. Gueymard décrit des sables de ce terrain dans le dépar- 
tement de l'Isère (3). 

M. Gras, dans sa statistique du département de la Drôme 
(page 9), cite dans les grès verts des sables associés à des ma- 
tières ferrugineuses dans les environs de Montelimar. Il est 
assez probable que ce sont des sables du terrain sidérolitique. 

En lisant les pages 3 et 5 des Voyages dans la Campanie de 
Breislach, où il décrit la montagne de Gaëte, on croit lire la 
description du terrain sidérolitique; et non loin de là je l'ai 
aussi reconnu dans les environs d'Itri dans le royaume de Na- 
ples. 

D’après ce peu de mots sur l'étendue de ce terrain, on voit 
qu’elle est fort considérable. Quant à son âge, je ferai remar- 
quer que MM. Thurmann et Gressli le regardent comme l’équi- 
valent du terrain néocomien (1). Dans d’autres passages de 


entre l'argile ostréenne et l'argile à plicatules dans le Mémoire de M. Cornuel sur 
les terrains de l'arrondissement de Vassy, Mémoire de la Société Géologique de 
France, tome 1V. 

(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XII, p. 242. 

(2) Actes de l’Académie de Chambéry. 

(5) Statistique du département de l'Isère, p. 33, Bulletin de la Société Géo- 
logique de France, tome XI, p. 595. 

(4) Essais sur les soulèvements jurassiques, second cahier, p. 37. Observations 
sur le Jura soleurois, nouveaux Mémoires de la Société Helvétique des Sciences 
naturelles, tome V. 


SUR LE MONT SALÈVE. 105 
son ouvrage, M. Gressli croit que ce terrain s'est formé à 
plusieurs époques. « En effet, » dit-il (page 253), « dans no- 
«tre Jura, (le Jura soleurois) nous le voyons occuper des 
«niveaux géologiques très-différents; d'où il résulte que 
« parmi les divers dépôts de cette formation il y en a qui ap- 
« partiennent réellement à des époques géologiques distinc- 
«tes, » cependant il ajoute « que les dépôts sidérolitiques 
« sont en général plus récents que les dépôts jurassiques, 
« mais plus anciens que les terrains des formations crétacées 


« et molassiques, » ce qui indique comme il le dit plus loin 
(page 228) « que la formation du terrain sidérolitique a duré 
« depuis l'époque jurassique jusque dans la période infracré- 
« tacée en diminuant graduellement d'intensité et d’étendue 
« jusqu'à l’époque molassique. » 

D'après nos observations, nous n'avons aucune raison de 
croire que la formation sidérolitique se soit fait jour avant le 
dépôt du terrain néocomien inférieur et nous pensons que la 
plus grande partie de cette formation est plus récente que la 
partie inférieure des terrains crétacés; car ses dépôts se trou- 
vent fréquemment sous forme de filons dans ces derniers ter- 
rains. Îl nous paraît donc probable que la formation sidéroli- 
tique a commencé à se répandre à la surface du sol ou dans le 
fond de la mer, pendant que se déposait l'étage néocomien in- 
férieur. L'oxide de fer qui colore en jaune et en rougeître les 
roches de cette époque, ainsi que les grains verts de Glauconie, 
doivent probablement leur origine à cette formation, qui a 
acquis un grand développement après le dépôt de la première 
zone de Rudistes (Salève) et a continué à se répandre jusqu’- 


TOM. x, "© PARTIE. 1# 


106 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

après le dépôt du Gault (Perte-du-Rhône). Peut-être devrait-on 
admettre qu’elle est entièrement postérieure à la formation 
crétacée et comme le Gault est peu répandu dans nos mon- 
tagnes cela expliquerait pourquoi le terrain sidérolitique, 
tout en étant postérieur à la formation crétacée de notre pays 
repose souvent sur des couches plus anciennes (1). 

Les faits que nous avons énumérés, Joints à ceux qui 
étaient déjà connus, prouvent d’une manière évidente que la 
formation sidérolitique n'appartient pas à la série régulière 
des terrains, mais doit son origine à une action plutonique 
ou semi-plutonique. 


CHAPITRE VIL. 


TERRAIN TERTIAIRE. — FORMATION MOLASSIQUE. 


N'ayant pas fait une étude tres-approfondie des terrains su- 
périeurs à ceux qui précèdent, nous aurons fréquemment re- 
cours aux ouvrages qui les décrivent, et particulièrement à 

Ù 








(1) J'ai cru reconnaître le sable du terrain sidérolitique au sud du village de 
Presilly, au lieu dit au Pont au Champ, à la base du mont Sion, superposé à de la 
molasse ; mais l’espace sur lequel on pouvait l’ekaminer n'étant qu’un petit fossé 
au milieu d’un champ, il ne m'a pas été possible de décider à quelle formation ce 
sable devait être rapporté. Si ce fait était constaté, il prouverait que la formation 
sidérolitique a été en partie postérieure au terrain tertiaire. 


SUR LE MONT SALÈVE. 107 


celui de M. Necker ('). Quoique nous reconnaissions complé- 
tement qu'il est impossible d’être plus scrupuleusement exact 
que M. Necker pour tout ce qui tient aux observations et aux 
descriptions, nous ne pouvons nous empêcher d’avoir des 
doutes sur quelques-unes des idées qui sont développées dans 
le premier volume de son ouvrage. 

Les terrains dont il nous reste à nous occuper sont la mo- 
lasse, le diluvium, les blocs erratiques et le calcaire d’eau 
douce (2). 

Nous donnerons peu de détails sur leur nature, nous ré- 
férant à l'ouvrage de M. Necker. Il est même des idées et 
des observations importantes indiquées par ce géologue dis- 
tingué dont Je ne parlerai pas, ne faisant point ici une ana- 
lyse de son ouvrage. Je me bornerai à rappeler pour chacun 
de ces terrains leurs principaux caractères, à les décrire lors- 
qu'ils feront partie du mont Salève et à indiquer exactement 
les positions qu'ils occupent, de manière à en déduire l'histoire 
des révolutions dont notre vallée a été le théâtre. 

Dans nos environs, le terrain tertiaire qui est représenté 
par une roche, généralement connue sous le nom de molasse, 





(1) Etudes géologiques dans les Alpes. Paris, tome I. 

(2) Nous ne nous occuperons pas du calcaire d’eau douce vulgairement connu 
sous le nom de greube. MM. Brongniart et Necker en ont déjà parlé et nous n’avons 
pas de faits nouveaux à faire counaitre. Ce calcaire contient une grande quantité 
de corps organisés, fossiles ou subfossiles, qui nous paraissent identiques avec des 
espèces vivantes. En les déterminant exactement on arriverait peut-être à trouver 
qu'ils se rapportent à des espèces appartenant à des climats différents du nôtre, 
et cela pourrait fournir d’intéressants résultats. 


108 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

a déjà plusieurs fois attiré l'attention des géologues. M. Bron- 
gniart la caractérise ainsi : Macigno molasse, texture grenue, 
lâche, sableuse, mélée d'un peu d'argile, toujours de Mica, 
presque friable. Mais cette roche ne constitue pas à elle seule 
le terrain tertiaire, elle est souvent mêlée de marne. 

M. Studer, qui a étudié cette formation en grand détail (1), 
la regarde comme contemporaine des collines subapennines. 
MM. Omalius d'Halloy (2), Buckland (°) et Elie de Beau- 
mont ('), la considèrent comme appartenant à l'étage moyen 
des terrains tertiaires. 

M. Ansted (°) ne se prononce pas sur son âge, et M. Necker, 
dans le premier volume de ses Etudes géologiques, n’achève 
pas de la décrire et ne fixe point l'époque de sa formation, 
cependant il dit (p. 269) que les terrains diluviens du Petit- 
Credo, près Bellegarde, reposent sur la Molasse coquillière 
contemporaine des terrains subapennins. 

La molasse présente dans les environs de Genève deux 
étages distincts, la molasse d’eau douce et la molasse rouge. 
La première repose sur la seconde, et lorsqu'on suit son pro- 
longement dans le Nord du Canton de Vaud, on reconnaît 
que la molasse à coquilles marines lui est superposée. La mo- 





(1) Monographie der Molasse. Berne 1825. Extrait dans la Bibliothèque Uni- 
verselle de Genève, Sciences et Arts, 1825, tome XXIX, p. 295, tome XXX, p. 115, 
et mars 14842. 

(2) Eléments de Géologie, 1835, p. 292. 

(5) Mineralogy and Geology, tome 1, p. 510. 
(4) De la Béche. Manuel Géologique, p. 649. 
(5) Transaction of Cambridge. Philo. Soc., tome VIE, partie IL, p. 141. 





SUR LE MONT SALÈVE. 109 
lasse rouge repose sur un poudingue ou grès à gros grains, 
qui n’est pas très-répandu et qui s'appuie lui-même sur le 
néocomien. 

Ce poudingque est en grande partie formé de cailloux Juras- 
siques et de cailloux néocomiens. Il est évident qu’on doit le 
regarder non pas comme la partie supérieure du néocomien, 
mais bien comme l’assise inférieure de la molasse (1). Les lo- 
calités où ce poudingue se voit le mieux sont au-dessus de 
Mornex et dans le lit de l'Arve à l'extrémité du Salève. 

Dans la première localité, le terrain offre la coupe suivante, 
en commençant par la partie supérieure : 

1° Terre végétale. Epaisseur 1 pied environ. 

2 Poudingue à noyaux siliceux, calcaires néocomiens ou 
jurassiques, oolitiques, etc. La grosseur des fragments varie 
depuis l'état de sable à la grosseur de la tête; entre les cail- 
loux se trouve du grès fin et des lits marneux. Epaisseur en- 
viron # pieds. 

3° Grès compacte bréchiforme, siliceux, contenant des 
noyaux de feldspath s'altérant. Epaisseur 1 pied. 

4° Grès roussâtre, jaunâtre, molassique, alternant avec des 
marnes verdâtres et rougeâtres. Epaisseur moyenne des stra- 
tes, 4 à 6 pouces. Epaisseur moyenne de la couche 4 ” pieds. 

5° Grès siliceux bréchiforme, les plus gros morceaux sont 
de la grosseur d’une noix et sont intercalés avec des grès fins. 





(1) De Saussure, $ 242, a. Cette couche doit avoir du rapport avec le dépôt 
que M. Thurmaon a signalé p. 51, 2° cahier des Essais sur les soulèvements juras- 
siques. C} 


110 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Il ressemble au n° 3. Epaisseur indéterminée, parce que cette 
couche forme le fond de la petite excavation où je l'ai observée. 

Dans la seconde localité, c’est-à-dire sur les bords de l’Arve, 
près de la source d'eau minérale d'Etrembières, les couches 
de molasse sont redressées, et au-dessous sont placées celles 
du poudingue. Leur direction n’est point la direction générale 
du Salève, elles plongent beaucoup plus au Nord; cela s’ex- 
plique facilement, car en ce lieu finissent la montagne et le 
soulèvement du Salève; par conséquent les couches doivent 
décrire une espèce de surface courbe. 

La molasse rouge est, au moins dans les environs de Genève, 
inférieure à la molasse d’eau douce. Le nom qu’elle porte in- 
dique sa couleur dominante; cependant on y trouve aussi des 
marnes bleuâtres et violettes. Elle se distingue par ses carac- 
tères comme par son manque de fossiles de la molasse d’eau 
douce qui contient des êtres organisés, tandis que la molasse 
rouge n’en contient pas (!). Le caractère minéralogique le 
plus saillant et le plus distinctif entre ces deux couches est, 
d'après M. Necker (p. 479), que le ciment des grès de la 
molasse d’eau douce est en général calcaire, tandis que celui 
de la molasse rouge est argileux. 

Les principales localités dans lesquelles le sol est formé de 
molasse rouge sont les suivantes : le coteau de Boisy , tout le 
sommet et le versant occidental du coteau de Cologny, les 
rives du ruisseau du Vengeron, tout le coteau de Chambeisy, 





(1) Le seul débris d’être organisé qui, à ma connaissance , ait été découvert 
dans ce terrain, est un fragment de tortue trouvé au Vengeron., 


SUR LE MONT SALÈVE. 111 
la partie supérieure de la montée du Grand-Saconnex, la base 
occidentale du coteau de Choully, le nant d’Avanchet près 
Vernier, et les bords de la Laire près de Soral; dans ce der- 
nier endroit les couches sont peu régulières et semblent être 
en stratification discordante. Près du chemin qui monte de 
Collonges sous Salève à la Croisette on voit que les couches 
sont renversées et plongent contre le pied de la montagne. 

La molasse d'eau douce est plus développée dans le Canton 
de Genève que la molasse rouge. Voici la liste des fossiles 
qui y ont été signalés : 


Helix. Anodonte ou Unio. 

Bulimus ou pupa. Cyclas. 

Lymneus. Cyrena. 

Paludina. Cypris. 

Melanopsis ? Dytique ou hydrophyle. 

Planorbis. Portions de végétaux. — Graines de Chara. 


M. Necker, à qui nous empruntons cette liste, hésite à rap- 
porter à ce terrain les feuilles de Chamærops ou de Flabellaria 
qui ont été trouvées près de Lausanne, et il place dans la 
molasse rouge celles que l'on a découvertes à Vevey, et près 
de Genève dans les grès de Mornex et d’Archamp (1). 








(1) Les chamærops ne sont pas des fossiles assez caractéristiques des différents 
étages de la molasse pour qu'ils puissent servir à distinguer la molasse d’eau douce 
de la molasse rouge. Ces végétaux ne sont point caractéristiques parce qu'ils vivaient 
sur la terre pendant que se déposaient sous les eaux les roches tertiaires de notre 
pays, et ce n’est qu'accidentellement qu’ils sont tombés dans l’eau et qu'ils ont 
été charriés et déposés dans les molasses.Il n’y a probablement pas eu, entre le 


112 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Dans les grès de Mornex on a trouvé un fragment d'un 
omoplate qui, d’après M. le Professeur Pictet, aurait appartenu 
à un Pachiderme ayant à peu près la taille d’un âne. Cet 
échantillon est conservé au Musée de Genève. Dans certaines 
couches on voit une très-grande quantité d'empreintes de 
bivalves qui sont remplies par de la marne, mais on ne peut 
reconnaître aucune forme exacte. 

M. Necker divise cet étage en trois assises; la supérieure 
qui contient des grès dans la partie haute et des marnes dans 
la partie basse; l'assise moyenne, où se trouvent des marnes 
avec du calcaire et du lignite, c’est là qu'on trouve les co- 
quilles fossiles ; enfin l’assise inférieure où dominent les mar- 
nes du gypse et le gypse lui-même. 

D'après les caractères offerts par ces molasses d’eau douce, 
« il semblerait évident, dit M. Necker (p. 478), que le terram 
« d’eau douce a, du moins près de Genève, été déposé dans 
« des bassins ou cavités de la molasse rouge. Aussi faudrait- 
« il non-seulement que celle-ci eût préexisté à la formation 
« d’eau douce, mais qu'elle eût préexisté assez longtemps pour 
« que les bassins aient pu y être creusés, bassins dans lesquels 
« le terrain d’eau douce se serait ensuite déposé en stratifica- 
« tion non parallèle. » 

En s’éloignant de Genève, dans le Canton de Vaud, « ce 


« terrain d’eau douce, continue M. Necker, semblerait non pas 





dépôt de la molasse rouge et celui de la molasse d’eau douce, un assez grand chan- 
gement dans le climat, pour que les chamerops n'aient pas pu vivre pendant les 
deux époques, et par conséquent avoir été déposés dans les deux étages. 


SUR LE MONT SALÈVE. 113 


« déposé comme près de Genève dans des bassins creusés 
« dans la molasse rouge, mais formant une vraie couche bien 
« régulière, intercalée dans ce terrain, c’est-à-dire recouvrant 
« des couches de molasse rouge, et en même temps recou- 
« verte par d’autres couches de la même molasse. » 

Il est fort singulier, ce me semble, que la molasse soit ainsi 
régulièrement formée par des sédiments aussi ténus que le 
sont ceux qui composent ses grès et ses marnes; car la grande 
ténuité et la grande uniformité des détritus dans les dépôts, 
indiquent qu'ils ont été formés dans des lieux éloignés des 
rivages, tandis que la molasse se déposait entre les Alpes et 
le Jura. On a de la peine à comprendre pourquoi les couches 
de cette formation ne contiennent pas des cailloux, au lieu 
d’être composées de marnes et de grès fins et réguliers. L'o- 
pinion que M. Ibbetson à émise dans une des séances de la 
Société d'Histoire Naturelle de Neuchâtel, pourrait faciliter 
l'explication de ce fait. Il pense qu’une partie des grès de la 
molasse provient de grès verts remaniés par les eaux. Cette 
idée, contre laquelle on peut faire quelques objections, mérite 
cependant d'être examinée. Le fait que les molasses de notre 
pays reposent fréquemment sur des grès verts, et que dans 
certaines localités (!) on a observé un mélange évident de ces 
deux formations, vient fortement appuyer la croyance de 
M. Ibbetson. 

La formation tertiaire en général repose, comme nous l'a- 
vons dit, sur le néocomien. Le mont Salève est entouré de 





(1) Mémoire de la Société d'Histoire naturelle de Neuchâtel, tome IE, p. 45. 
TOM. X, 1'° PARTIE. 15 


114 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

toutes parts par la molasse dont les couches se redressent 
contre lui, c’est ce que l’on peut voir facilement en jetant un 
coup d'œil sur la carte. PI. I. 

L'arrangement de ces couches se montre au delà d'Ar- 
champ, où la molasse forme un grand contrefort qui s'élève 
presque à la moitié de la hauteur de la montagne; elles plongent 
toutes à peu près au Nord-Ouest. Au pied du Salève, au-dessous 
de la Croisette, on voit que les couches de la molasse sont 
tellement redressées qu'elles sont renversées. IL est vrai que 
lon ne peut les examiner que sur une fort petite étendue, 
mais on y voit évidemment une couche de molasse rouge re- 
poser sur une couche de molasse grise, se dirigeant à peu 
près à l'O.-S.-0., et plongeant de 55° à 45° au S.-S.-E. Cette 
localité présente une anomalie dans la disposition générale 
des couches. 

De l’autre côté de la montagne, entre la Mure et Essert, 
les molasses qui s'appuient sur le Salève plongent du côté 
des Alpes. Au-dessus de Mornex elles s'élèvent aussi à une 
assez grande hauteur et forment cette petite colline sur la- 
quelle est bâti le château de Mornex. 

Salève est donc comme une île de calcaire placée au milieu 
d’une mer de molasse. On ne trouve pas de trace de cette der- 
nière formation dans les parties élevées de la montagne. Même 
dans la petite vallée de Monetier on peut croire qu'elle n'existe 
pas, car à la surface, le sol n’est formé que de détritus de 
roches calcaires, et dans un puits, qui a été percé jusqu’à la 
profondeur de 32 pieds, on n’a trouvé que du sable formant 
une espèce de béton. 


SUR LE MONT SALÈVE. 115 


Ce n’est pas seulement contre Salève que la molasse est 
redressée, mais elle affecte la même position contre toutes les 
montagnes qui forment les limites du bassin de Genève (*). 

Toutes les collines un peu grandes qui dans nos environs 
portent le nom de côteaux sont formées par la molasse qui of- 
fre la fausse apparence d’avoir traversé le terrain diluvien. 
Ainsi les coteaux de Boisy, de Monthoux, de Cologny, de 
Bernex, de Choully et la colline sur laquelle sont bâtis les 
villages de Pregny, de Chambeisy et du Grand-Saconnex ap- 
partiennent au terrain tertiaire. 

IL faut ici faire une distinction qui n’est pas sans importance 
entre ce que l’on appelle vulgairement colline et ce qui doit 
réellement porter ce nom. 

Les collines sont de petites montagnes qui s'élèvent dou 
cement au-dessus de la plaine. D’après cette définition, les 
hauteurs de Saint-Jean, du bois de la Bâtie, de Champel, cel- 
les sur lesquelles la ville de Genève est bâtie ne sont point 
des collines, puisqu'elles se trouvent à peine à la hauteur du 
niveau de la plaine qui entoure Genève , comme nous le dirons 
plus tard. Les véritables collines sont formées de molasses en 
couches redressées; on n’y trouve jamais de couches hori- 
zontales; et c'est là une preuve certaine de leur formation 
par soulèvement. 


(1) J'ai vu la molasse redressée contre le Vouache. Pendant longtemps je l’ai 
cherchée en vain à la base du Jura et je n’avais pu la découvrir parce qu’elle y est 
recouverte par l’alluvion ancienne. M. Necker n'avait pas eu plus de succès que 
moi, tome I, p. 268. Mais dernièrement je l’ai trouvée en couches redressées 
contre le coteau de Divonne. 


116 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


CHAPITRE VIIL. 


TERRAINS DE TRANSPORT. 


On observe dans le terrain de transport deux divisions qui 
se rapportent à des époques bien distinctes. L’une antérieure 
à l'époque actuelle, et Yautre de l'époque actuelle. Nous ne 
parlerons pas de cette dernière, car M. Necker a donné beau- 
coup de détails sur ce sujet. Quant au terrain de l’époque an- 
térieure à la création de l’homme, qui est généralement connu 
sous le nom de terrain diluvien, M. Necker le partage en 
deux étages. Il désigne l'étage inférieur sous le nom d'alluvion 
ancienne, et l'étage supérieur par celui de diluvien cataclys- 
tique. 

Cette division, quoique très-exacte, est souvent difficile 
à faire dans la nature et quelquefois le géologue hésite pour 
savoir auquel des deux étages il doit rapporter certains amas 
diluviens. Cependant nous espérons pouvoir ajouter quelques 
considérations qui aideront à les reconnaitre. 


A. Terrain de transport de l'époque Diluvienne. 


1. ALLUVION ANCIENNE. 


Le terrain d’alluvion ancienne est formé de cailloux roulés 
de grosseur variable; rarement ils ont plus d’un pied de dia- 
mètre, ordinairement ils sont plus petits et présentent lappa- 


SUR LE MONT SALÈVE. 117 
rence de gravier et de sable. Ils sont arrondis ou aplatis. « Ils 
« forment des lits horizontaux, dit M. Necker, quelquefois 
« d’une épaisseur de plusieurs toises, alternant parfois irré- 
« guliérement avec des lits de gravier et de sable beaucoup 
« plus courts et moins épais et de forme lenticulaire, c’est-à- 
« dire s’'amincissant à leurs extrémités jusqu'à se terminer en 
« pointe. » 

Quant aux débris des roches qui forment ce terrain, consi- 
dérés sous le rapport minéralogique, de Saussure en a donné 
un catalogue détaillé (!) et M. Necker a aussi traité ce sujet. 
Nous rappellerons seulement ici que ce sont les différentes 
variétés du calcaire des Alpes qui sont les plus abondantes. 
On trouve aussi parmi ces cailloux une grande quantité de ro- 
ches primitives, des quarz, des protogines, des schistes tal- 
queux, des micaschistes, des gneiss, des syénites et beau- 
coup de roches qui servent de passage de l’une à l’autre de ces 
espèces; des Jades, de belles euphotides, des serpentines 
qui viennent probablement de la vallée de Saas; enfin, dif- 
férentes espèces de grès et de poudingues. 

Cette immense quantité de cailloux forme en quelques en- 
droits une roche meuble sans consistance, qui se désagrège 
aussitôt qu'on la touche; d’autres fois les cailloux sont liés 
entre eux par un ciment calcaire d’une telle tenacité qu'on les 
brise plutôt que de les détacher. Ces cailloux s'unissent ainsi 
lorsqu'ils sont exposés à des eaux courantes. 


(1) Chapitre IV, Voyages dans les Alpes. 


118 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

En général ce terräin a 70 à 80 pieds d'épaisseur; cepen- 
dant à quelques endroits il acquiert jusqu'à 125 pieds de 
puissance, comme à Cartigny (de Saussure), et même Jus- 
qu'a 3500 pieds, comme au nant de Cologny, près Chancy 
(Necker). Les localités où l'on peut le plus facilement exa- 
miner l’alluvion ancienne sont les rives du Rhône et celles de 
l'Arve, particulièrement à Champel, à Saint-Jean et au bois 
de la Bâtie, ainsi que dans différentes carrières. Le caractère 
le plus saillant de ce terrain, en outre de sa composition, est 
que jamais on ne le trouve recouvrant les collines qui sont 
dans nos environs, mais nous parlerons plus en détail de son 
gisement. 

On a toujours attribué la formation et le transport de cette 
prodigieuse quantité de cailloux roulés à d'immenses débacles. 
Cependant il est possible qu'une partie des cailloux que ces 
grands torrents charrièrent, eussent été roulés dans une pé- 
riode précédente. C’est ce qui aurait eu lieu si l’on admet l'o- 
pinion de M. Lortet qui croit que ces cailloux proviennent en 
partie de grandes masses de Nagelflue tertiaire, qui auraient 
été détruites (*). 


2. DILUVIEN CATACLYSTIQUE. 


L'étage diluvien cataclystique repose sur l'alluvion an- 
cienne. M. Necker le nomme ainsi « parce qu'il offre, » dit-il, 





(1) Congrès scientifique de France, à Strasbourg, 4 octobre 1842, Moniteur, 
8 octobre 1842, p. 2056. 


SUR LE MONT SALÈVE. 119 


« des masses sans aucun ordre apparent et dans lesquelles les 
« matières de différentes grosseurs, depuis les plus énormes 
« jusqu’au limon le plus fin, sont mêlées et confondues en- 
« semble, de manière à faire présumer qu'il n'y a qu'un ter- 
« rible cataclysme qui ait pu occasionner des dépôts si puis- 
« sants formés d’un pareil mélange. » 

Il remplit les inégalités de la surface de l’alluvion ancienne, 
et « termine les plateaux que forme celle-ci par des plans en 
« apparence parfaitement horizontaux. » 

Près de Genève la masse la plus considérable de ce terrain 
est formée par de la glaise grossière tenace faisant pâte avec 
l'eau. On l'emploie à la fabrication des tuiles. 

D'après M. Necker, ce limon d'attérissement ressemble beau- 
coup aux Loess des bords du Rhin et au Lehm des environs 
de Vienne. La description que M. Agassiz a donné du Till 
de l'Écosse pourrait aussi s'appliquer à ce dépôt (1). 

L'épaisseur de cet étage ne dépasse guère 50 à 60 pieds; ce- 
pendant près de Russin, M. Necker l'évalue à environ 200 
pieds. Les débris qu'il contient sont de même nature que lal- 
luvion ancienne; ce sont en général des cailloux gros comme 
des œufs ou comme le poing, mais souvent ils dépassent de 
beaucoup cette taille et atteignent quelquefois une grosseur 
énorme. On voit donc que lors même que l’on trouve des 
blocs erratiques isolés, leur transport doit être lié à celui du 
limon d’attérissement, puisque l’on en voit de complétement 





(1) Bibliothèque Universelle de Genève, sept. 1842, tome XLI, p. 126. 


120 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

ensevelis dans ce dépôt. Il faut remarquer ici que les cail- 
loux et les galets sont formés en grande majorité de calcaire, 
tandis que les blocs erratiques proprement dits appartiennent 
aux roches primitives, et que parmi eux les calcaires sont 
très-rares (1). 

Le terrain diluvien cataclystique ne se compose pas unique- 
ment de limon, dans quelques endroits on y trouve aussi des 
sables; ainsi les sables de Champel, de Fronteney, de Grange- 
Canal, de Malagnou, d'Avusy, de Regnier, de Cartigny, appar- 
tiennent à l’époque du terrain diluvien cataclystique et re- 
posent sur le limon d’attérissement qui dans le dernier endroit 
atteint l'épaisseur de T0 pieds. Les localités où les deux étages 
du diluvium peuvent se distinguer le plus facilement sont les 
crases de l'Arve en amont de Champel, et celles du bois de 
de la Bâtie (*). 





(1) Cependant M. De Luc en cite quelques-uns. Quoique les blocs erratiques 
fassent partie du terrain diluvien cataclystique, nous ne nous occuperons que de 
ceux qui sont répandus à la surface du Salève ; quant aux autres qui sont si abon- 
dants dans les environs de Genève, nous renyoyons aux intéressants écrits de 
M. De Luc publiés dans les Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire na- 
turelle de Genève. 

(2) Dans les environs de Genève le sol est donc composé d’une manière géné- 
rale en commençant par la partie supérieure : 


De sable et de gravier, 

Des couches marneuses du limon d’attérissement , 
Des graviers de l’alluvion ancienne, 

Des marnes de la molasse, etc. 


Les couches marneuses sont imperméables, tandis que les couches de gravier 
se laissent facilement traverser par les eaux. On doit donc trouver deux nappes 


SUR LE MONT SALÈVE. 121 

Jusqu'ici nous avons parlé séparément de l’alluvion an- 
cienne et de l'étage diluvien cataclystique, mais dès à présent 
le nom de formation diluvienne ou de diluvium désignera l'en- 
semble de ces deux étages. 

Nous avons vu que ces étages diffèrent par leur nature et 
leur composition; ils diffèrent aussi par leur gisement, et c’est 
R leur trait distinctif. Cette observation peut, ce me semble, 
jeter quelque jour sur leurs origines. 

Le diluvium forme des plateaux dont la surface est un plan 
horizontal; ce plan est composé en partie d’alluvion ancienne 
et en partie par l'étage diluvien cataclystique. Mais la diffé- 
rence du gisement de ces deux étages consiste en ce que l'in- 
férieur ne s'élève Jamais jusqu’au sommet des coteaux placés 
dans notre vallée, tandis que le supérieur les recouvre pres- 
que entièrement d’une couche mince, mais cependant très- 
évidente (?). En d’autres termes, on peut dire que toutes les 
fois que la molasse s'élève au-dessus de la plaine en couches 
redressées, lalluvion ancienne ne s’est pas élevée au-dessus 
d'elle, tandis que l'étage diluvien cataclystique l’a recouverte 


(pl. L fig. 3). Il est donc évident : 


d’eau plus ou moins grandes, suivant les localités, dans les parties inférieures des 
couches de gravier, coulant à la surface des assises marneuses. Cette remarque 
qui m'a été suggérée par la lecture de l'ouvrage de M. Necker peut avoir un haut 
intérêt dans la pratique. 

(1) Les carrières de la partie nord du coteau de Divonne présentent une belle 
coupe où l'on voit le limon d’attérissement s’élevart très-haut et reposant sur le 
néocomien. Plus le coteau s'élève, plus le limon devient mince. 

TOM. X, 1'° PARTIE. 16 


122 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

1° que la formation entière est postérieure au relèvement 
de la formation tertiaire; 

20 que les deux étages ont été amenés par deux forces dif- 
férentes. 

Je dois dire que J'ai fait cette distinction d’après mes propres 
observations, mais que l'ouvrage de M. Necker m'a fortement 
confirmé dans mes idées (”). 

La remarque suivante tend encore à distinguer ces deux 
étages. La plupart des cailloux qui font partie du terrain di- 
luvien cataclystique, et qui sont mêlés au limon d’attérisse- 
ment, portent à leurs surfaces des stries ou raies plus ou moins 
fines, ce sont même quelquefois des espèces de sillons. Ces 
raies se croisent souvent sous différents angles, mais cepen- 
dant on en voit habituellement un certain nombre qui sont 
parallèles entre elles. La plupart de ces cailloux rayés sont 
calcaires, quelques-uns sont formés de grès, et je n'ai point 
vu de cailloux rayés appartenant à des roches primitives. 

En vain j'ai cherché des cailloux rayés dans lalluvion an- 
cienne, je n’en ai Jamais vu ni parmi les calcaires, ni parmi les 
primitifs; cette nouvelle observation doit, il me semble, in- 
diquer une différence dans le mode de formation ou de trans- 
port de ces deux étages. J'ai aussi cherché attentivement des 
cailloux rayés parmi ceux qui forment la grève de l'Arve, mais 
sans aucun succès; ces cailloux sont tous arrondis et polis par 
les eaux et par le frottement qu'ils ont éprouvé les uns contre 





(4) Necker, tome I, p. 255. 


SUR LE MONT SALÈVE. 123 


les autres, ils sont aussi lisses que ceux de l’alluvion an- 
cienne. Cependant le point de la grève ou j'ai cherché avec 
le plus de soin, était placé à environ deux cents pas en aval 
d'un grand éboulement de terrain diluvien cataclystique qui 
avait jeté dans cette rivière de nombreux cailloux. Il est 
donc fort probable que quelques-unes de ces roches arrondies 
amenées sur la grève provenaient du terrain diluvien, et 
que le petit espace qu'elles avaient parcouru en étant rou- 
lées sous les eaux, avait été suflisant pour leur faire perdre 
leurs raies. 

Si nous reportons sur les cailloux de l'étage diluvien cata- 
clystique ce que cette observation nous apprend, nous con- 
clurons que dans la place où ils sont maintenant, ils ne doivent 
pas être très-éloignés de l'agent qui les a rayés, où plutôt qu'ils 
n'ont pas été soumis à un long charriage depuis que leur sur- 
face a été altérée par des raies. 

Remarquons de plus que lalluvion ancienne, par ses cail- 
loux sans raies et par sa structure {orrentielle a beaucoup plus 
de rapport avec un dépôt charrié par les eaux que l'étage di- 
luvien cataclystique; car celui-ci, par ses cailloux rayés et 
par le peu de stratification de son limon offre une apparence 
plus irrégulière. 

Les blocs erratiques ne font jamais partie de l’alluvion an- 
cienne, mais ils sont souvent mêlés avec le diluvien cataclys- 
tique; voilà le résultat auquel nous sommes arrivés, mais ce 
résultat est-il bien certam? Il est bien plus difficile d'avancer 
une assertion négative que de donner une aflirmation. Ce que 
l’on peut assurer, c’est que s’il y a des blocs erratiques dans le 


12% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

terrain d'alluvion ancienne, ils sont infiniment rares (!), et 
que les nombreuses coupures qui sont faites dans cet étage 
n’en laissent voir aucun. Mais comment faire un examen appro- 
fondi de cette question sous ces immenses amas de débris ? 

Pour peu que l’on ait parcouru la plaine des environs de 
Genève, il est impossible de ne pas être frappé de lhorizon- 
talité des dépôts diluviens. Ainsi le diluvium ne forme pour 
ainsi dire jamais de collines, et presque toujours, lorsqu'on 
gravit une élévation diluvienne, on trouve que son sommet 
est terminé par un plateau horizontal dont le niveau est le 
même que celui de la plaine dont il a été détaché. Ce fait se 
voit avec la dernière évidence, lorsque du pont d’'Etrembières 
on monte à l'ancien hôpital; lorsque des bords du Rhône ou 
de l'Arve on gravit les pentes de Saint-Jean ou de la Bâtie; 
lorsqu'on va de Chancy à Avusy, ou des bords du lac à Gen- 
thod; ou enfin, lorsque du pont de Viaison on va à Regnier 
en Savoie. 

Dans plusieurs localités de notre canton on observe que les 
terrains diluviens sont disposés en terrasses horizontales éta- 
gées les unes au-dessus des autres, et qui rappellent la dis- 
position de ces mêmes terrains dans la vallée du Rhin. Ainsi 
entre Champel et Plainpalais on compte trois de ces terrasses. 
On peut en compter un même nombre en allant de Genève 
au village du Châble, mais celles-ci sont plus grandes que les 
premières et leurs contours sont plus difficiles à suivre. La 








(4) M. Necker cite deux blocs dans l'alluvion ancienne. 


SUR LE MONT SALÈVE. 125 
première est formée par la plaine du Plan-les-Ouates, la se- 
conde par la plaine de Neydens, et sur la troisième est placé 
le village du Châble. 

On ne peut se refuser d'admettre que les rivières ont creusé 
leurs lits dans la formation diluvienne, car les dépressions 
qu’elles ont causées n’altèrent point l'horizontalité de la surface 
du plateau et les sommets des berges se correspondent exac- 
tement (!). 

La grande différence qui existe entre les inégalités produites 
dans le sol formé de molasse et celui composé de diluvium, 
consiste donc en ce que dans le premier les inégalités sont de 
véritables collines dues à des soulévements, et que dans le 
dernier elles sont formées par des excavations dues à des dé- 
nudations. 

Le diluvium, ainsi que je l'ai remarqué, forme dans nos 
environs un plateau horizontal. C’est une plaine qui offre une 
légère dépression vers son centre, et dont les bords rappro- 
chés des montagnes sont plus élevés. Non-seulement je me 
suis assuré de ce fait en regardant notre pays depuis diffé- 
rents points, mais je l'ai vérifié au moyen de l'hypsométrie de 
M. De Candolle (?). Le même résultat s'obtient en consultant 
la carte de M. le colonel Dufour. L'on voit que le niveau 
moyen de la plaine varie entre 420 et 455 mètres au-dessus 





(1) Saint-Jean et la Bâtie, le plateau d’Annemasse et celui de l'hôpital 
d'Étrembières sous Salève, etc., offrent des exemples de cette correspon- 
dance. 


(2) Mémoire de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève. 


126 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

de la mer, et qu'elle présente une légère concavité dont le 
centre se trouve près de Genève et des bords du Rhône, car 
les hauteurs des environs de la ville sont au-dessous du niveau 
moyen que nous avons assigné; ainsi les Tranchées sont à 
407 mètres et Saint-Jean à 410. 

J'ai dit que le diluvium ne formait jamais de collines. cette 
expression n’est pas entièrement exacte car il en existe. Mais 
ce sont des collines qui sont placées aux extrémités ou en 
dehors de notre bassin, elles sont dans des positions excep- 
tionnelles. Elles ont l'apparence de grandes digues et leur 
étude pourra servir utilement à la détermination des causes 
qui ont répandu les débris erratiques. 

En n'examinant le diluvium que dans ces grands amas, il 
paraît se relever contre les montagnes qui bordent notre vallée, 
et d'après cela on pourrait croire facilement que ce terrain 
a été apporté avant le soulèvement de ces montagnes. Mais 
il n’en est rien, car ces grands soulèvements eurent lieu en 
même temps que ceux des collines molassiques, puisque à 
la base de ces montagnes, de même que dans ces collines, 
nous trouvons les molasses redressées. Or nous avons vu que 
l’alluvion ancienne bute horizontalement contre la base des 
collines de molasse. Par conséquent elle est venue se déposer 
après l'apparition des montagnes, et ces collines ou digues 
diluviennes n'ont pas été soulevées (!). 





(1) Ce fait qui me paraît démontré mathématiquement, est contraire à ce que 
pense M. Melleville, qui croit que le soulèvement des Alpes est postérieur à la dis- 
persion du terrain diluvien (Du Diluvium, etc., p. 16, Paris 1849). 


SUR LE MONT SALÈVE. 127 
1° La première des digues (!) que nous signalerons est celle 
qui s'étend au-dessus de Thonon. Je ne la connais point, mais 
M. Necker l'a décrite; ce dépôt s'élève à une hauteur de 585 
mètres au-dessus du lac en s'appuyant sur le pied de la mon- 
tagne de Mémise, et reposant à son origine sur le calcaire de 
Meillerie; son épaisseur est d'environ 200 mètres. De là il 
s'étend sur toute la rive méridionale du lac jusque près de Ge- 
nève ; la Drance le traverse perpendiculairement à sa longueur 
dans une profonde coupure. 

20 Sur la rive opposée du lac de Genève on voit une col- 
line à peu près semblable, c’est celle que l’on nomme la Côte 
ou le Mont dans le canton de Vaud; elle est formée de dilu- 
vium qui repose sur la molasse. Elle s'élève à 514 mètres au- 
dessus du lac et offre moins que la digue précédente l'appa- 
rence d’avoir été soulevée. mais elle est placée de manière à 
ce que le lac compris entre Thonon et Rolle est, pour ainsi 
dire, encadré entre deux hautes digues diluviennes. 

3° La troisième localité où le terrain diluvien paraît avoir 
été soulevé est située dans la vallée de l'Arve, au vieux chà- 
teau de Faucigny, près Contamine. En arrière de ce village 
se trouve une colline élevée qui appartient déjà à la base du 





(1) Je me sers du mot digue de préférence à celui de moraine, car ce dernier 
est aujourd'hui intimement lié à la théorie des glaciers, et quoique je pense que le 
nombre des partisans de cette théorie s’augmente tous les jours, je veux cependant 
que les faits que je signale ne soient liés à aucune idée préconçue. D'ailleurs on a 
jusqu’à présent beaucoup discuté sur l’origine des blocs erratiques, mais on a peu 
parlé de l’alluvion ancienne. Il ne faut donc lier à aucune théorie le peu d'observa- 
tions qui ont été faites sur cet étage. 


128 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Môle. Elle est en partie formée de molasse à gros grains, con- 
tenant des traces de végétaux et de nombreuses empremtes 
de coquilles. Lorsqu'on monte de Contamine au vieux château, 
on voit que les vignes sont en grande partie placées sur ces 
molasses, au-dessus se trouve le diluvium, formé de cailloux 
roulés, calcaires et primitifs, fortement cimentés et identiques 
à ceux de l’alluvion ancienne du bois de la Bâtie. J'ai estimé 
qu'il devait avoir au maximum 150 à 200 pieds d'épaisseur, 
et que sa partie supérieure était à 400 ou 500 pieds au-dessus 
de la vallée. Ces bancs diluviens s'appuient sur le rocher cal- 
caire qui supporte le vieux château de Faucigny. 

4° Lorsqu'on a dépassé létroite coupure par laquelle le 
Rhône traverse le Jura au Fort-de-l'Ecluse, on a à sa droite 
une montagne qui porte le nom de Petit-Credo. Elle rejette 
le Rhône contre le pied occidental du Vouache. Cette mon- 
tagne n’est qu'un immense amas de terrain diluvien qui s’é- 
lève à plusieurs centaines de pieds au-dessus du Rhône, qui 
s'appuie au Nord sur la chaîne du Jura, et a l'air d’avoir 
été relevé par cette chaîne. Cet amas est formé par des sables 
et des cailloux roulés, irrégulièrement quoique nettement 
stratifiés. On y voit aussi des blocs erratiques, mais il est dif- 
ficile de savoir si ces deux genres de dépôts sont mélangés ou 
superposés l'un à l'autre. Au-dessus du village de Vanchy, ce 
diluvium repose sur la molasse, et, en parcourant ce pays, on 
acquiert la certitude que la molasse avait été soumise à des 
grandes dislocations et à des érosions avant que le diluvium 
fût déposé. 

Ce grand dépôt offre ici à un haut degré le caractère d’une 


SUR LE MONT SALÈVE. 129 
digue placée en arrière de la grande fente qui existe dans le 
Jura. Trèes-élevé dans sa partie septentrionale près de cette 
montagne, il s’abaisse en s'étendant au Sud, de manière à 
être perpendiculaire à la direction du Rhône sous le Fort- 
deEcluse. Il force ainsi ce fleuve à changer de direction et à 
couler vers le Midi pour remonter ensuite au Nord. 

Du côté opposé, sur la rive gauche du fleuve, il existe 
une digue du même genre, mais moins prononcée, qui va 
de l'Est à l'Ouest en commençant au Vouache, près du 
château d’Arcine et s'étendant dans la direction du village 
d'Eloise. Par conséquent le Rhône, après avoir traversé le 
Fort-del'Ecluse, coule sur la molasse, mais se trouve encaissé 
entre deux hautes digues diluviennes de la même manière que 
le lac entre Thonon et Rolle. Ces amas sont d'autant plus 
extraordinaires que le diluvium n'est point répandu dans 
cette espèce de presqu'ile que forme le Rhône vis-à-vis de Bel- 
legarde avant de couler du Nord au Sud, et qui se trouve à 
un niveau inférieur à celui des deux digues dont nous avons 
parlé. 

5° Le dernier amas diluvien que j'aie à mentionner est celui 
qui forme le mont de Sion, vaste colline placée à peu près 
à trois lieues au sud de Genève et qui termine du côté du 
midi la grande vallée Suisse en joignant le mont Salève au 
Vouache et au Jura. Cette colline. qui s'étend de l'Est à l'Ouest, 
est très-élevée contre la première de ces montagnes, et s'a- 
baisse en se rapprochant des deux dernières. M. Godeffroy (') 








(1) Notice sur les glaciers, les moraines, etc., Genève, 1840, p. 98, et Biblio- 
thèque Universelle, fév. 1841. 
TOM. X, Î'° PARTIE. 17 


130 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


en parle avec assez détails et la regarde avec raison comme 
entièrement formée de diluvium. M. Necker n’en dit que peu 
de mots et renvoie au mémoire de M. De Luc (*), qui, lui- 
même, ne parle guère que des nombreux blocs erratiques 
répandus à la surface du sol. De Saussure dit, $ 433, que 
cette colline est composée de bancs de grès recouverts à leur 
surface de sable et de cailloux roulés. D’après lui, le point le 
plus élevé du passage entre Leluiset et Frangy est à 837 pieds 
au-dessus du niveau du lac. « Mais, ajoute-til, ce point, 


= 


« quoique le plus élevé de ce passage n’est pourtant pas le plus 
« haut de tout le mont de Sion, car cette colline s'élève en 
« s’'approchant de Salève contre lequel elle vient s'appuyer; 
« elle arrive cependant à peine à la moitié de la hauteur du 
« mont Salève. 

« Au pied du mont de Sion, entre Leluiset et Saint-Julien, 
« on à ouvert des carrières d’un gypse blanc strié qui se 
« trouve là en couches minces à peu près horizontales, ren- 


« fermées entre des couches d’argille. » 

Les observations sont assez difliciles à faire au mont de 
Sion à cause de la grande quantité de terre végétale; cepen- 
dant j'ai réussi à m'assurer par moi-même de la composition 
de cette montagne. Je savais qu'en général je ne pourrais ob- 
server les molasses que dans le bas de la montagne, mais je 
pensais que si je réussissais à trouver du côté du Midi des 





(1) Mémoire de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, 
tome III, p. 169. 


SUR LE MONT SALÈVE. 131 
couches se relevant au Nord et du côté du Nord des couches 
se redressant contre le Midi, je pourrais en conclure que le 
mont de Sion est formé comme les autres collines de nos en- 
virons, c’est-à-dire d’un noyau de grès recouvert par une 
couche de l'étage diluvien cataclystique. Mais ce que j'ai vu 
me porte à une toute autre conclusion; en effet, au-dessous 
du village d'Andilly, au pied du revers méridional du mont 
de Sion on trouve la molasse en couches horizontales, et j'ai 
pu constater le même fait près du petit hameau de la Ravoire, 
un peu à l’est du village de Vers, car là on voit aussi la 
molasse en couches horizontales. Dans tout l’espace compris 
entre ces deux localités, c’est-à-dire dans toute la traversée 
de la montagne, on ne voit que du diluvium. Ne devient-il 
pas évident alors que le mont de Sion n'est qu'une accumu- 
lation de débris diluviens reposant sur un plateau horizontal 
de molasse ? 

Il y a cependant un fait dont il est difficile de rendre compte, 
c'est que ce plateau horizontal de molasse est plus élevé que 
la plaine de Genève. 

Vers la partie la plus élevée de la route d'Annecy, près de 
Saint-Blaise, se trouve une carrière de gravier. Le terrain \ 
est formé par des alternances de sable et de cailloux plus ou 
moins aglutinés. Ces cailloux sont en général des grès et des 
calcaires bleus, mêlés d’un petit nombre de roches primitives. 
On y trouve aussi des couches de sable bien stratifiées, conte- 
nant des strates très-minces d’un sable plus fin. Ces alter- 
nances se répètent d’une manière plus ou moins régulière sur 
une grande étendue. Cette séparation de grosseur dans ces 


132 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 
petits matériaux n’indique-t-elle pas un dépôt fait tranquil- 
lement par une eau courante ? 

On a trouvé quelques débris d'êtres organisés dans la for- 
mation diluvienne des environs de Genève. Aïnsi je rapporte 
à ce terram les deux défenses d'éléphant qui furent trouvées 
près des bords du Rhône et sur lesquelles M. de Saussure a 
donné une notice (!). L'une de ces défenses fut trouvée sur 
la rive droite de lAllondon, près de son embouchure dans le 
Rhône; l'autre gisait dans l'eau même du Rhône, sur la rive 
gauche vis-à-vis d’Onex. 

Le rédacteur de la Bibliothèque Britannique de 1796 émet 
la singulière idée que ces deux défenses proviennent d'élé- 
phants qui périrent lors du passage d’Annibal au travers des 
Alpes. Cette opinion n'était pas neuve, car Stenon en 1669 
avait voulu la soutenir pour les débris d’éléphants trouvés dans 
le val d’Arno (°). 

« Ce sont là, dit M. Necker (page 266). les seuls ossements 
« peut-être vraiment fossiles ou appartenant à des animaux an- 
« te-diluviens qui, à ma connaissance, aient été trouvés dans 
« les terrains de transport diluviens entre le Jura et les Alpes. » 
Ailleurs (page 375) le même auteur semble s'exprimer d’une 
manière moins positive. « Et tant qu'on n'aura pas trouvé, 
« ditl, près de Genève des restes plus nombreux, plus variés 
«_ et appartenant à plusieurs espèces et à des espèces plus vrai- 





(4) Bibl. Britanniq. Littérature. 1796, tome I, p. 661. 
(2) Cuvier. Ossements fossiles, tome I, p. 89 (1821). 


SUR LE MONT SALÈVE. 133 


« ment caractéristiques des terrains diluviens proprement dits, 
« le passage d’Annibal tendra toujours à jeter un grand doute 
« sur l'origine ante-diluvienne de ces deux défenses. » Puis, 
pour prouver que les défenses peuvent appartenir à des ani- 
maux carthaginois, il dit que « l'on trouve dans les tour- 
« bières des montagnes d’Ecosse et des îles Hébrides des armes 
« et des monnaies romaines, tandis qu'il est démontré que ja- 
« mais un seul Romain n’a pu mettre le pied dans ces con- 
« trées. » 

Le raisonnement ne nous paraît pas très-concluant. Pour 
nous, nous croyons que les deux défenses d’éléphant doivent 
être rapportées à l’époque du diluvium, c’est-à-dire à un temps 
antérieur à la création de l'homme, et ceci nous est évidem- 
ment prouvé parce que non-seulement Annibal n'est jamais 
venu à Genève, mais surtout parce que les dents trouvées 
dans nos environs ne sont pas les seuls ossements qui aïent 
été découverts dans la formation qui nous occupe : 


1) On conserve au musée de Fribourg en Suisse une dé- 
fense trouvée à une profondeur d'environ 15 pieds dans le 
terrain de gravier (alluvion ancienne) que l'on a excavé pour 
l'établissement du premier des ponts de fil de fer de cette 
ville. 


2) Dans les tourbières de la ville d’Yverdon dans le canton 
de Vaud, on a trouvé le bois d’un cerf d’une espèce perdue. 


3) À Arau, M. le professeur Fleischer dirigea des fouilles 


et trouva dans une terre argileuse qui paraît devoir être rap- 


134 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


portée au limon d’attérissement, de nombreuses défenses ainsi 
que d’autres os appartenant à des éléphants (1). 


4) Les grands ossements découverts à Lucerne en 1577 et 
que lon prit pour des os de géant appartenaient à un élé- 
phant (2). 

5) À Zurich on découvrit aussi un de ces prétendus 
géants (°). 

6) Cuvier cite des ossements qui ont été trouvés aux vil- 
lages de Hertin et de Mutterz, près de Bâle et de Rhemfeld. 


7) M. Gressli, dans son mémoire, mentionne une dent d’é- 
léphant comme ayant été trouvée dans des amas sablonneux 
diluviens sur les sommités de la Wasserfallen, montagne si- 
tuée dans le canton de Soleure sur les frontières bâloises. Il 
indique d’autres débris d’éléphants à Dorneck dans des Jimons 
diluviens, il dit qu'à Soleure on a découvert un éléphant en- 
tier, et que les musées de Bâle, de Porrentruy et de Neu- 
châtel possèdent des débris d’éléphants recueillis dans ces can- 
tons (+). 

8) Dans le bassin de la Chaux-de-Fond, M. Nicolet a trouvé 
une défense d’éléphant associée à d’autres ossements de grands 
animaux (5). 





(4) Actes de la Soc. Helvétiq. des Sc. Nat. Neuchâtel, 1857, p. 95. — Fri- 
bourg, 1841, p. 202. 

(2) Cuvier. Ossements fossiles, 1821, tome I; p. 115. 

(5) Cuvier. Ossements fossiles, 1821, tome I, p. 114. 

(4) Observations géologiques sur le Jura soleurois, p. 521, 523. 
(5) Mém. de la Soc. d'Hist. Nat. de Neuchâtel, tom. Il. 


SUR LE MONT SALÈVE. 135 

Au-delà du Rhin on trouve une immense quantité de ces 
débris. D'ailleurs tout le monde sait que la dispersion des osse- 
ments d'éléphant est un phénomène qui s'étend non-seule- 
ment dans toute l'Europe, mais encore dans toutes les parties 
du monde. 

Ce que Cuvier disait en refutant l'opinion que les osse- 
ments d’éléphant de certaines portions de l'Italie avaient ap- 
partenu à des animaux amenés par les Carthaginois, nous pou- 
vons le dire à plus forte raison des défenses trouvées dans nos 
environs, puisque Annibal n’a passé qu'à 12 ou 14 lieues 
de Genève. « Mais on doit dire ici, comme dans toutes les oc- 
« casions semblables, ajoute l’illustre auteur des Recherches 
« sur les ossements fossiles, qu’un fait aussi général que celui 
« des os fossiles d’éléphant n’admet pas d'explications parti- 
« culières. » 

On a trouvé en outre quelques autres ossements fossiles 
dans le diluvium de nos environs. Ainsi M. Th. de Saussure 
a recueilli dans sa campagne de Chambeisy un fragment de 
bois de cerf fossile (1) qui ne peut provenir que de la forma- 
tion diluvienne, et une dent de cheval a été découverte à la 
Cuisine, près de Frontenex dans du gravier. 

Un mélange de petits ossements d'animaux très-voisins de 
ceux de l’époque actuelle a été trouvé dans plusieurs localités, 
entre autres à Mattegnin, village situé à deux lieues au nord- 
ouest de Genève, et au Plan-les-Ouates, entre Genève et Saint- 





(1) Actes de la Soc. Helvét. des Sc. Nat. Neuchâtel, 1837, p. 117. 


136 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Julien; dans ces deux localités les os ont été recueillis dans des 
carrières d’alluvion ancienne exploitées pour l'entretien des 
routes. Ils étaient mêlés avec les pierres et le sable qui for- 
ment le terrain et placés à plusieurs pieds au-dessous de la 
surface du sol. La stratification irrégulière du gravier étant 
dans ces deux localités à l’état normal, l'idée que ces os avaient 
été enfouis à une époque postérieure au dépôt de l'alluvion 
ancienne, ne peut arriver à l'esprit de personne ayant visité ces 
localités. 

Les ossements découverts dans les carrières ouvertes au 
pied du Salève, près du village de Veyrier ne doivent pas être 
rapportés à la même époque, puisqu'on a trouvé parmi eux 
des traces du travail de l’homme. 

Le musée de Genève possède une collection de ces singu- 
liers corps cylindriques, subglobuliformes, etc. dont M. Necker 
parle (p.257). Ils proviennent des environs du village d’Onex, 
et fort probablement du terrain diluvien cataclystique. Par 
leurs formes bizarres, ils rappellent un peu ceux qui ont été 
décrits sous le nom de Pierre d'Imatra en Finlande (1) dont on 
a trouvé les analogues en Suède et aux Etats-Unis (°). 

Après avoir fait cette longue digression sur le diluvium de 
notre vallée, revenons maintenant à celui du mont Salève. 

L’alluvion ancienne, ainsi que le limon d’attérissement, man- 
que complétement sur cette montagne, mais on y voit de 





(1) Mémoires de l’Académie de St.-Pétersbourg, VI° série, Sciences Natu- 
relles, tome II, p. 297. 


(2) Hitchcock. Géologie du Massachussetts. 


SUR LE MONT SALÈVE. 137 
nombreux blocs erratiques. Toutes les années leur nombre di- 
minue car on les exploite pour différents usages (1). 

On trouve parmi eux, comme on le sait, une grande variété 
de roches, telles que des gneis, des micaschistes, des schistes 
talqueux ou chloriteux, mais les blocs de protogine sont de 
beaucoup les plus abondants. Tous ces blocs erratiques sont 
répandus principalement sur le flanc du Salève du côté des 
Alpes. Cependant, dans les endroits de la montagne où la 
pente du côté de l'Ouest n’est pas trop roïde, on trouve aussi 
de ces blocs; par exemple au-dessus de l'Hermitage, au Petit- 
Salève, et là cependant la pente est si rapide qu'on à de la 
peine à comprendre pourquoi ils se sont arrêtés dans cette 
position et pourquoi ils n’ont pas roulés dans la plaine, 
d'autant plus que plusieurs de ces blocs sont arrivés avec 
une force assez grande pour se briser, car on en voit qui sont 
complétement partagés par une fente n'ayant que deux ou trois 
pouces de largeur (2). 

M. De Luc cite au Salève un bloc ayant 14,000 pieds cubes; 
c'est le plus considérable de cette localité, mais on sait qu’à 
Neuchâtel et à Monthey il y en a qui ont 45,000 et 50,000 
pieds cubes. 

Les points où les blocs sont les plus abondants sont: le flanc 
sud-est du Petit-Salève, vis-a-vis de la vallée de l'Arve, de- 


(4) Le piédestal de la statue de Rousseau est fait de l'un de ces blocs pris 
dans les environs de Mornex. 
(2) Sur la pente du côté des Alpes on voit aussi un de ces blocs fendus au-dessus 
de la colline du château de Mornex. 
TOM. X, 1° PARTIE. 18 


138 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


puis les bords de cette rivière au-dessus et au-dessous du vil- 
lage de Mornex, jusque dans la vallée de Monetier, près de 
l'Hermitage; sur la pente du Grand-Salève, du côté des Alpes 
au-dessus d'Essert et de la Mure; enfin on en voit au som- 
met de la même montagne et près du hameau de la Croisette. 

Depuis ce hameau jusqu’au-delà des Pitons on ne rencontre 
aucun bloc, mais on en trouve de nouveau au-delà de ces 
sommités, à l'endroit où la montagne commence à s’abaisser 
d’une manière notable; le plus élevé de ces blocs est formé de 
véritable granite. Au-dessus de Cruseilles les blocs sont as- 
sez abondants, sans être d’un très-gros volume. Au delà des 
Usses, dans les environs des villages de Choisy et de Sillngy , 
on voit quelques petits blocs primitifs, mais ils sont en gé- 
néral rares. Dans le lit du Fier à Brogny, on en trouve quel- 
ques-uns , et parmi les cailloux j'ai cru reconnaître le gneiss 
porphyroïde de Cevin en Tarentaise (”). 

On a indiqué aux environs de l’Hermitage des roches errati- 
ques comme exemple de blocs perchés (?), mais ce mot ne peut 
s'appliquer à ces blocs qui étant placés sur une pente rapide ne 
paraissent perchés que lorsqu'on les voit de bas en haut, d’au- 
tant plus qu'ils ne sont élevés au-dessus du sol que d’un seul 
côté et seulement de quelques pouces. Pour comprendre la posi- 
tion de ces blocs il faut en chercher la raison dans les actions 





(1) On pourra peut-être arriver à prouver que le mont de Sion n’est que le 
reste d’une moraine médiane située, dans des temps fort reculés, entre les gla- 
ciers du Rhône et de l’Arve réunis, et le glacier de la Tarentaise. 

(2) Agassiz. Etudes sur les glaciers. 


SUR LE MONT SALÈVE. 139 


réunies de l'eau et de la gelée sur la roche. C’est ce que 
prouve avec la dernière évidence un bloc situé au-dessus 
de Mornex. En effet on voit qu'autrefois il était placé sur un 
piédestal haut d'environ deux pieds, et que ce support ayant 
diminué de largeur cette roche est tombée, cependant elle 
s'appuie encore sur lui. Il faut expliquer ce fait de la même 
manière que la formation des tables sur les glaciers et croire 
qu'un grand bloc met à l'abri le rocher qui le supporte, de 
même que la glace est garantie par les gros débris qui sont 
à sa surface. Les agents atmosphériques attaquent et abaiïs- 
sent la surface du terrain autour du bloc, et à la longue ce- 
lui-ci reste supporté par une petite colonne. Le piédestal du 
bloc de Mornex est formé par le poudingue inférieur à la mo- 
lasse. 

L'action des agents atmosphériques et surtout celle des 
eaux est très-grande même sur les roches de calcaire compacte, 
et si l’on parcourt la localité appelée le Mont par les habi- 
tants de Monetier, on verra que les roches formées du calcaire 
blanc néocomien de la première zone de Rudistes sont cou- 
vertes de profonds sillons s'étendant dans le sens de la plus 
grande pente. Si ce calcaire est ainsi altéré, le poudingue de 
la molasse le sera bien davantage. 

Ceci nous amène naturellement à parler des érosions que 
présentent différentes parties du mont Salève. Elles sont de 
deux espèces; celles qui sont placées sur les parois verticales 
de la montagne et celles qui sont sur des surfaces plus ou 
moins horizontales. Quant aux premières, de Saussure les 
décrit ($ 55, 221 et suiv.} et les regarde comme étant des 


140 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


preuves d’un grand courant diluvien. Elles prennent quel- 
quefois la forme de grands sillons dont les plus remarqua- 
bles sont : les Roches de lHermitage, la Balme du démon 
au Petit-Salève et la cavité que l'on voit le long du sentier 
qui descend par la Petite-Gorge pour arriver à la Pierre-du- 
Midi au Grand-Salève (!). Ces sillons sont tous dans le plan 
des couches de la montagne et sont évidemment produits par 
les eaux qui filtrent au travers des roches et par les gelées; 
en 1839, il s'est détaché un fort gros bloc du toit des voutes 
de l'Hermitage et Yon voit maintenant plusieurs parties de ce 
même {oit qui sont sur le point de tomber. 

Si l’on a cru que ces sillons avaient été creusés horizontale- 
ment dans la montagne, c'est que la désagrégation qui les 
forme n’a lieu que dans la tranche de certaines couches et 
que ces couches viennent aflleurer à peu près horizontale- 
ment. 

De Saussure parle aussi de grandes cavités dont les plus 
remarquables sont placées au-dessus du Pas-de-l'Échelle, 
mais ces cavités ont la même origine que les sillons, et ni l'un 
ni l'autre de ces deux genres d’érosion ne sont dûs à un cou- 
rant: {1° parce que les cavités sont tournées dans différents 
sens, comme le dit de Saussure lui-même; 2° parce qu'elles 
sont identiques avec des cavités qui se trouvent dans l'inté- 
rieur de la chaîne du Jura, lesquelles sont quelquefois placées 
de manière qu'il est impossible de supposer qu'elles aient été 





(4) De Luc. Journal de Physique. An 8, p. 519. 


SUR LE MONT SALÈVE. 141 
creusées par un courant; 3° si ces cavités avaient été creusées 
par un grand courant, elles offriraient un certain poli que l'on 
ne voit dans aucune (‘); 4° en les observant attentivement, 
on voit que leurs parois sont formées de petits morceaux de 
calcaire fendillés et tenant peu les uns aux autres. Ils tombent 
pour ainsi dire journellement. 

Nous avons longuement insisté sur la formation des cavi- 
tés et des sillons, parce qu'ils ont été souvent cités comme 
une des bases de la théorie des courants diluviens, ou en fa- 
veur de celle des glaciers, et qu'il nous semble de quel- 
que importance de prouver qu'ils sont de l'époque actuelle. 

Quant aux érosions qui se trouvent sur des surfaces plus 
ou moins horizontales telles qu'on en voit sur le sommet des 
Pitons, je pense qu'elles doivent leur origine principalement 
aux eaux de pluies qui ont une grande action sur ces sommi- 
tés élevées et presque complétement dépouillées de végétation. 
Ce que nous avons dit sur les érosions dans le calcaire du Mont 
est tout à fait en faveur de cette opinion. C’est probablement 
à cause de cette action de l'atmosphère et du manque de vé- 
gétation, que l'on trouve si peu de roches polies sur le mont 





(1) I ne faut point dire contre cette objection que le poli de la roche a été 
effacé par le temps. Car quelque soit l’origine des roches polies ou laves du Jura, 
elles ont résisté aux influences atmosphériques. Il en est de même du poli que 
présentent certaines cavernes à ossements, par exemple celle del Griffone près 
de Palerme, dont la plus grande partie des parois est parfaitement polie. Les 
roches du Jura et celles del Griffone offrent à peu près les mêmes caractères 
minéralogiques que celles du Salève, par conséquent si celles-ci avaient jamais 
été polies, elles en conserveraient encore des traces. 


142 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

Salève; en effet je ne connais que deux localités où l'on 
puisse en voir; l'une près de Mornex sur le chemin de Mo- 
netier, l’autre sur la rive droite des Usses, près du pont de la 
Caille. 

La disposition et la nature des blocs erratiques dans la par- 
tie septentrionale du mont Salève, ainsi que la situation de 
cette montagne, prouvent que ces blocs proviennent des 
chaînes primitives placées dans la partie supérieure de la val- 
lée de l'Arve; car on voit qu'ils sont dispersés sur la pente 
des montagnes de la rive gauche de l'Arve, presque sans in- 
terruption depuis les hautes Alpes jusqu’au Salève. 

I n'y a cependant aucun doute qu'une partie des blocs 
répandus dans les environs de Genève, sont arrivés par 
la vallée du Rhône, et les grands blocs d'Euphotide qui sont 
placés de distance en distance dans cette vallée, depuis les 
montagnes de la partie méridionale du Valais jusqu’au lac 
de Genève, sont restés là comme des jalons pour marquer le 
chemin qu'ils ont parcouru. S'il était possible de découvrir la 
limite entre les formations diluviennes de la vallée du Rhône 
et de la vallée de l’Arve, on aurait un élément fort important 
pour décider l'origine de ces amas de débris. 

Quant à l'époque du transport des blocs erratiques, 
M. Necker dit, en parlant de la cause de leur dispersion, que 
«rien ne nous autorise, du moins dans la manière actuelle 
« d'envisager le phénomène, à croire qu'elle ait agi postérieu- 
« rement à la dernière des grandes révolutions géologiques 
« qui ont modifié la surface du globe. » 

Nous ne savons pas exactement quel est le rapport qui 


SUR LE MONT SALÈVE. 143 


existe entre le diluvium des environs de Genève et le soulè- 
vement des Andes. Mais parmi les nombreuses raisons que 
lon peut alléguer pour prouver que ce diluvium est posté- 
rieur à la dernière révolution qui a donné le relief actuel au 
Mont-Blanc et au Jura les deux suivantes m'ont particulière- 
ment frappé. 

1° Les blocs erratiques font partie de l'étage diluvien 
cataclystique qui recouvre les collines de molasse. Les col- 
lines existaient donc avant l’arrivée du limon d’atterrisse- 
ment et la dispersion des blocs erratiques. La formation 
de ces mêmes collines étant intimément liée avec le der- 
nier soulèvement des Alpes occidentales, il en résulte évi- 
demment que le diluvium est postérieur à ce soulèvement. 

20 Si les blocs erratiques avaient été dispersés avant le 
dernier soulèvement du Jura, ils ne seraient point disposés 
sur les flancs de cette chaîne de la même manière qu'ils le sont 
aujourd'hui; c'est-à-dire que les rapports qui existent entre 
ces blocs et la configuration du sol seraient différents. 


CHAPITRE IX. 


STRUCTURE DU MONT SALÈVE. 


Nous avons déjà donné quelques détails sur la configura- 
tion du mont Salève, mais il est certains faits que nous n’a- 
vons pas voulu mentionner avant d’avoir distingué les forma- 
tions qui entrent dans la composition de cette montagne. 


144 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Nous avons dit que les couches qui forment le mont Salève 
sont parallèles entre elles (p. 59). Mais ce fait vrai d’une 
manière générale ne l’est plus lorsqu'on vient à faire des ob- 
servations de détails. En effet dans la Grande et dans la Pe- 
tite-Gorge, mais particulièrement dans cette dernière, on 
voit que la formation Jurassique s'élève comme un immense 
pilier formé de couches horizontales, tandis que les étages 
néocomiens ont été soulevés et comprimés de manière à pren- 
dre une forme doublement recourbée, a peu près comme une 
S peu contournée (PI. L, fig. 2 et 3). La partie supérieure 
de l'S repose sur les couches presque horizontales de la for- 
mation Jurassique, et constitue une véritable discordance de 
stratification entre les deux formations. Cette observation 
peut se faire facilement à l'endroit nommé l'Échelle-de-Jacob 
(Petite-Gorge); on y trouve toutes les différentes couches de 
néocomien dans l’ordre que J'ai indiqué, mais leur épaisseur a 
considérablement diminué, car elles ont été fortement com- 
primées. Cette forme du néocomien est surtout remarquable 
dans les couches inférieures, à mesure qu'elles s’éloignent 
du jurassique, elles paraissent reprendre de plus en plus 
leur position naturelle et leur inclinaison vers les Alpes. 

Les Gorges ne sont pas les seuls endroits où l'on trouve des 
anomalies dans la stratification des couches du Salève; ainsi 
lorsque de Monetier on monte au Grand-Salève en suivant 
le grand chemin, on arrive bientôt à un tournant très-aigu 
que forme cette route en changeant de direction. Près de ce 
point on voit que les roches ne sont plus en couches horizon- 
tales, mais qu’elles sont ondulées; et dans le voisinage de l'es- 


SUR LE MONT SALÈVE. ; 145 
carpement de la montagne, elles se relèvent de 13° à 20° du 
côté de Genève. Un peu plus haut que le tournant dont nous 
avons parlé, le terrain jurassique arrive à un horizon plus 
élevé que le néocomien. C’est le même fait que celui que j'ai 
signalé dans les Gorges; ici des broussailles et des bois empé- 
chent de bien voir l'arrangement des couches, mais le néoco- 
mien ne paraît pas recourbé par le pilier jurassique formé de 
couches horizontales. Dans cette localité on voit très-bien 
aussi la ligne sur laquelle à eu lieu le frottement entre les cou- 
ches néocomiennes et jurassiques pendant le soulèvement de 
la montagne, c'est une fente qui a été comblée par des frag- 
ments des deux terrains, c’est-à-dire par des débris de calcai- 
res réunis dans une pâte calcaire ferrugineuse. 

Le terrain jurassique paraît donc beaucoup plus élevé du 
côté de notre vallée qu'il ne l’est réellement dans l’intérieur de 
la montagne. La facade du Salève. s’il est permis de se servir 
de cette expression, est presque entièrement jurassique. 

Les dislocations dont nous venons de parler ont une origine 
commune, elles prouvent que le maximum d'intensité de la 
force soulevante à eu lieu sur une ligne droite passant sous la 
base du Salève du côté de Genève et que dans ce soulèvement 
les couches s'étant rompues, il n’y a eu que la portion Sud-Est 
du sol qui se soit considérablement soulevée, tandis que la 
portion Nord-Ouest ne l’a presque pas été. Si cette rupture n’a- 
vait pas eu lieu, Salève aurait la forme d’une voute et offrirait 
du côté de notre vallée une pente semblable à celle qu'il pré- 


sente du côté des Alpes. 


TOM. X, 1'© PARTIE. 19 


126 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


CHAPITRE X. 


RÉVOLUTIONS DU SOL DES ENVIRONS DE GENÈVE. 


Cherchons maintenant à nous retracer les phénomènes qui 
se passèrent avant la création de l’homme dans la petite por- 
tion du globe qui actuellement forme la vallée de Genève, et 
cherchons à les déduire et à en découvrir la succession uni- 
quement d’après les détails que nous avons donnés dans ce 
mémoire. 

Commençons par récapituler les faits qui doivent nous servir 
de fils conducteurs dans l'histoire de ces gigantesques révolu- 
tions. 

Les terrains secondaires jurassiques forment un grand bassin 
qui s'étend du Jura au Salève, il est recouvert en quelques en- 
droits par le terram néocomien qui, au sommet de la dernière 
de ces montagnes, est en stratification discordante avec le 
terrain Jurassique. Les molasses appartenant à l'époque ter- 
tiaire sont généralement horizontales; cependant elles sont re- 
dressées contre la base des montagnes qui entourent la plaine 
de Genève, et, dans l’intérieur même de cette plaine, elles ont 
éprouvé des dislocations qui ont donné naissance aux différents 
coteaux de Cologny, de Chambeisy, de Bernex, de Monthoux, 
etc. 

Au-dessus de ces molasses, se trouve le grand dépôt de l'al- 
luvion ancienne qui s'étend horizontalement et qui n'est re- 
dressé ni contre les coteaux ni contre contre les montagnes. 


SUR LE MONT SALÈVE. 147 


Enfin le terrain diluvien cataclystique recouvre une grande 
partie de la plaine, et, comme il est supérieur à l'alluvion an- 
cienne, il ne peut ‘pas avoir été redressé. Cependant il s'étend 
sur le sommet des coteaux, et ses blocs erratiques se trouvent 
jusque sur les sommités du mont Salève. 

Il faut remarquer, et ce n’est point sans intérêt, que l’allu- 
vion ancienne ne se trouve point au sommet des coteaux ter- 
tiaires, et que ces derniers terrains ne recouvrent jamais la 
partie supérieure des montagnes secondaires. 

Ce que nous venons de dire nous permet maintenant de 
démontrer l’existence de plusieurs périodes bien limitées. 

Dans la première période de tranquillité notre pays était 
recouvert par un océan qui s'étendait au loin et qui déposait 
la formation jurassique, c’est-à-dire les roches qui forment au- 
jourd’hui la plus grande partie du Jura, et celles de la partie 
inférieure du Salève. Ces deux montagnes n’existaient pas, et 
le sol placé alors dans le fond de la mer était probablement 
horizontal. Cet océan avait une étendue immense, ses limites 
sont encore inconnues. Cependant M. Elie de Beaumont a tracé 
sur une carte la distribution des terres et des mers dans l'Eu- 
rope occidentale, à cette époque (*). Cette mer contenait de 
nombreux animaux, tels que des Ichtyosaurus, des Plesiosau- 
rus dont on n’a trouvé aucun débris dans notre pays, mais 
qui sont fort communs en France, en Angleterre et en Alle- 
magne (*). Tous ces animaux ne vivaient pas en général à 





(4) Cours élémentaire d'Histoire naturelle. Géologie par Beudant, p. 241. 
(2) On en a trouvé, dit-on, dans le département de l’Ain. 


148 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 

une grande distance du rivage, et leur absence s'accorde 
avec l'opinion que nos environs étaient alors au fond d’une 
mer étendue et profonde peuplée d’une petite quantité d'êtres 
organisés. 

Lorsque le terrain jurassique fut déposé, les limites de l'o- 
céan changèrent, ainsi que la nature de ses dépôts. et, par 
une action encore complétement inconnue, un grand nombre 
d'animaux disparurent de la surface du globe et furent rem- 
placés par des animaux nouveaux. Le relief d'une partie de 
l'Europe changea, mais la plaine de Genève ne fut point 
émergée, elle était destinée à rester encore longtemps sous 
les eaux. Salève avait pourtant reçu un commencement de for- 
mation, c'était alors une grande colline au fond de la mer, 
dont le sommet ne s'élevait pas jusqu’à la surface des eaux (”). 

Lorsque, après ce soulèvement, le globe fut retombé dans 
un état de tranquillité, la mer se peupla d'animaux de for- 
mes variées et nombreuses dont nous trouvons les débris 
dans la formation néocomienne. Les nouveaux dépôts qu'elle 
forma s’étendirent sur toute la surface du mont Salève qui 
n'était pas encore émergée. L'étendue de l'océan néocomien 
était immense, mais cependant son rivage n'était pas très- 
éloigné de nous du côté du Nord, car nous le trouvons dans 
les environs de la ville de Bienne. Aussi le terram qu'il a dé- 
posé présente-t-il un caractère beaucoup plus littoral à Neu- 
châtel qu'au Salève, et cependant, dans ce dernier endroit, il 


(1) Ceci nous est prouvé par la discordance de stratification entre le terrain 
néocomien et le terrain jurassique. 


SUR LE MONT SALÈVE.- 149 
offre une apparence moins pélagique que le terrain jurassique 
ne l’offrait dans la même localité à une époque antérieure. 

Nous avons dit plus haut qu'il s'était opéré un changement 
de niveau dans le sol à cette époque, et nous sommes disposés 
à le croire par les considérations suivantes : 1° la différence 
que l’on trouve entre les débris des êtres organisés du néo- 
comien inférieur et ceux de la première zone de Rudistes, im- 
dique un changement dans l'état de la mer; 2 les modifica- 
tions éprouvées par la faune d’une époque sont en général liées 
à des changements dans le relief des continents; 3° ce chan- 
gement n’a pas été brusque, puisque ces deux terrains sont 
en stratification concordante partout où l’on peut les observer; 
4° enfin, le rivage du néocomien inférieur est placé beaucoup 
plus au Nord que celui de la première zone de Rudistes. 

L'ensemble de ces raisons et ce que nous avons dit précé- 
demment nous porte à croire que, pendant que la mer néo- 
comienne occupait notre pays, il y avait un exhaussement fort 
lent dans le sol, qui-tendait à repousser au Midi le rivage 
septentrional de cette mer. 

Ici finit la seconde période de tranquillité et commence la 
seconde époque de soulèvement. La configuration du globe fut 
de nouveau changée. Salève fut alors soumis à un nouveau 
soulèvement, et, cette fois, sa cime en forme de voute s’éleva 
à peu près sur toute son étendue au-dessus des eaux (pl. I, 
f. 1) (). Par conséquent, dans toute la durée de la troisième 





(1) Cette révolution sépara le terrain crétacé des terrains tertiaires. Nous avons 
dit que la première de ces formations se retrouve au sommet de Salève, ce qui 


150 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


époque de tranquillité pendant laquelle se déposaient les mo- 
lasses, Salève présentait l'aspect d’une île étroite et allongée, 
entourée de tous les côtés par les eaux et habitée par la race 
de Pachidermes dont on a trouvé un débris à Mornex. Les vé- 
gétaux de cette époque étaient des chamerops dont nous pos- 
sédons de nombreux restes, et qui peuvent nous donner une 
idée du climat de nos environs dans ces temps reculés. La 
gorge de Monetier n'existait pas alors ou était assez élevée 
au-dessus des eaux pour que celles-ci n’y déposassent aucun 
attérissement, car on ne trouve point de molasse dans cette 
petite vallée. Si, contrairement à ce que je pense, on arrivait 
à trouver que le fond de ce vallon est recouvert de molasse, ce 
serait une preuve évidente que pendant cette époque le Grand 
et le Petit-Salève formaient deux îles qui n'étaient séparées 
que par un détroit de peu de largeur. 

C'était à l’époque du dernier soulèvement dont nous avons 
parlé, et antérieurement à l’époque tertiaire qu'il faut placer 
la formation du terrain sidérolitique. Il fut, à ce que l'on croit, 
déposé par des eaux Jjaillissantes qui amenaient avec elles des 
sables, des marnes, des matières ferrugmeuses, et qui corro- 
daient les roches calcaires qu’elles traversaient. Elles firent 
irruption sur la plus grande ‘partie du Salève. Elles laissè- 
rent aussi de nombreuses traces de leur passage le long du 


indique que cette montagne était sous les eaux qui la déposaient ; mais nous avons 
dit aussi que le terrain tertiaire manque dans la partie élevée de cette montagne ; 
il est donc évident que le Salève a été émergé à la fin du dépôt du terrain crétacé 
et au commencement des dépôts tertiaires. 


SUR LE MONT SALÈVE. 151 


pied du Jura, et particulièrement au coteau de Divonne. 

La molasse rouge se déposa au commencement de cette 
époque en recouvrant le néocomien qui alors formait le fond 
du bassin dont l’un des bords était le Salève et l’autre le Jura. 
Elle fut recouverte par la molasse d’eau douce. Il manque en- 
core à l'histoire des terrains tertiaires de notre pays de con- 
naître les phénomènes qui déterminèrent les changements de 
nature qui eurent lieu dans les eaux, et qui firent qu'elles dé- 
posèrent successivement la molasse rouge, la molasse d’eau 
douce et le grès marin. 

Pendant cette période, notre vallée n’avait point l'apparence 
qu'elle présente maintenant, car elle était couverte par les 
eaux. Le Salève, le Jura et le Vouache formaient déjà les bords 
de notre bassin, sans avoir cependant la hauteur qu'ils ont 
à présent. Le mont de Sion n'existait pas, et les eaux s’éten- 
daient jusqu'aux environs de Rumilly, d'Aix et d'Annecy, et 
peut-être au-delà. 

Le fond de la vallée était à peu près horizontal, aucun des 
coteaux qui s'élèvent aujourd’hui entre le Salève et le Jura 
n'existait encore, et la molasse, à mesure qu'elle se déposait, 
s’'étendait en couches horizontales au pied des montagnes. 

Nous avons dit que ces couches sont aujourd’hui redressées 
contre ces masses secondaires; il est donc évident que les mon- 
tagnes contre lesquelles elles s’appuyent ont éprouvé un sou- 
lèvement. C'est alors que Salève prit la configuration que nous 
lui voyons maintenant. La force soulevante agit sur une ligne 
droite passant par la base du mont Salève du côté de notre 
vallée, ce qui donna lieu à la façade abrupte qu'il présente 


152 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


et à la position des couches verticales qui sont appuyées contre 
elle. L'existence des sources minérales d'Aix, de Cruseilles et 
d'Etrembières, qui sont placées sur la ligne que je viens d’in- 
diquer ou sur son prolongement, confirme l’idée qu'il se fit là 
une profonde dislocation dans le sol. Ce mouvement à été le 
dernier qui ait agi sur la surface de notre pays, il correspond 
au dernier soulèvement qu'éprouva la portion occidentale de 
la chaîne des Alpes. 

En même temps que le mont Salève s’éleva à la hauteur 
où nous le voyons aujourd’hui, les coteaux de Monthoux, de 
Cologny, de Chambeisy, de Bernex, etc., s'élevèrent au-dessus 
de la plaine. Ces collines devaient paraître alors beaucoup 
plus élevées que maintenant, parce qu'étant composées de 
roches très-tendres, elles ont dû considérablement s’abaisser 
pendant l'immense laps de temps qui s'est écoulé, et parce 
que le puissant dépôt du terrain diluvien n’était point encore 
venue remplir les dépressions qui les séparaient et former la 
plaine actuelle. Je crois qu'il est assez généralement admis qu’à 
cette époque le sol entier du continent européen s’'exhaussa 
au moins dans la partie voisine des Alpes, ce qui éloigna pour 
toujours la mer de notre pays. 

Pendant la quatrième période de tranquillité dont la durée 
fut immensément longue, avant que le diluvium vint se ré- 
pandre à la surface du sol (!), la configuration de notre vallée 


(4) Entre le dernier soulèvement qui se fit sentir dans notre vallée et l’arrivée 
du terrain diluvien, il faut placer, d’après la théorie de M. Elie de Beaumont, le 
dépôt du terrain tertiaire supérieur et le soulèvement des Alpes orientales, mais 


SUR LE MONT SALÈVE, 153 
devait avoir quelque rapport avec celle qu’elle présente au- 
jourd'hui (PL I, fig. 2); car, ainsi que nous l'avons dit, le Sa- 
lève et le Vouache existaient, le Jura avait aussi sa configu- 
ration actuelle, les coteaux étaient déjà placés çà et là dans la 
plaine que ces montagnes limitent et les rivières devaient avoir 
à peu près la même direction qu'elles ont aujourd'hui. 

L'existence du Rhône peut être contestée au moins pour une 
partie de cette longue période, car le passage de ce fleuve au 
travers de notre vallée est lié avec le soulèvement des Alpes 
orientales. Or si le soulèvement de cette chaîne a eu lieu posté- 
rieurement à celui des Alpes occidentales, comme le veut M. 
Élie de Beaumont, et en supposant qu'il soit arrivé au milieu de 
la période dont nous nous occupons, il est fort probable que le 
Rhône n'existait pas pendant la première moitié de cette pé- 
riode et que les eaux de la région placée à l'extrémité orien- 
tale du Vallais se jetaient dans une mer qui occupait à peu 
près la place de l’Adriatique. D’après d’autres géologues, les 
Alpes orientales ne furent point soumises à des soulevements 
différents de ceux qu'éprouvèrent les Alpes occidentales, et 
suivant ce système, le Rhône devait avoir à cette époque à 
peu près le même cours que celui qu'il suit aujourd'hui. 

L’Arve coulait certainement dans la vallée qu’elle arrose 
maintenant et autour de la base septentrionale du Salève, car 
le coteau de Monthoux l'empéchait d'étendre son lit et comme 


je passe sous silence ces deux événements, on n’en retrouve point de trace 
dans nos environs, et je ne pense pas qu’ils aient influé sur le relief de notre 
pays. 

TOM. X, 1° PARTIE. 20 


15% CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


à présent elle quittait notre vallée en traversant la coupure 
du fort de l'Écluse. 

La Menoge qui prend sa source dans la vallée de Boëge de- 
vait amener à l’Arve un puissant affluent. 

Les eaux provenant du contrefort de molasse qui s'élève 
contre Salève au-dessus d'Archamp et qui aujourd’hui suivent 
le cours de l'Aïre se réunissaient à l'Arve, soit en passant à 
l'est du cotéau de Bernex qui les jetait dans le cours actuel de 
l'Aire, soit au contraire en coulant à l’ouest de ce même co- 
teau, et dans cette dernière supposition elles venaient se 
confondre avec le cours que la Laire suit maintenant. 

On pourrait faire des raisonnements à peu près semblables 
sur les petites rivières qui descendent du Jura. 

De gros blocs et des cailloux roulés de molasse placés des- 
sous le diluvium et visibles surtout au pont de la Menoge sur 
la route de Bonneville, attestent que cette époque fut longue 
et que les érosions qui se formerent pendant ce temps furent 
grandes. 

Enfin la dernière révolution qui eut lieu dans notre vallée 
et qui acheva de lui donner son aspect actuel, est celle qui 
répandit le terrain erratique dont quelques géologues trouvent 
l'origine dans les glaciers et d’autres dans l’action des eaux. 

Le dépôt de l'alluvion ancienne est différent de celui de lé- 
tage diluvien cataclystique, car il lui est inférieur et il ne re- 
couvre Jamais les collines de molasse, peut-être même lui est- 
il fort antérieur. Ces étages se distinguent encore, comme 
nous l'avons déjà dit, par leur composition et par les raies 
placées à la surface des cailloux du diluvien cataclystique. 


SUR LE MONT SALÈVE. 155 
Ces deux dépôts sont cependant tellement liés, que sans avoir 
positivement la même origine, ils se rattachent peut-être au 
même phénomène, Je ne veux point m’arrêter ici sur leur for- 
mation, elle est pour ainsi dire journellement discutée pat les 
plus grands géologues de notre époque et je pense que dans 
peu d'années la question sera entièrement résolue. C’est au 
temps de leur origine que s’accumulèrent ces immenses amas 
de débris qui forment les grandes digues diluviennes que nous 
avons signalées plus haut. 

D’après les études les plus récentes que quelques géologues 
ont faites des blocs erratiques, il est probable que notre val- 
lée fut couverte d’une couche de glace qui la comblait entière- 
ment et qui s'élevait jusqu’à la partie supérieure du Salève. 
C’est au refroidissement qui produisit ces glaces que l'on rap- 
porte la destruction des éléphants dont on trouve les débris 
dans le diluvium. Mais nous devons dire que cette théorie des 
glaciers est encore vivement contestée (1). 

Ici l’on doit placer l’origine de ce calcaire d’eau douce connu 
sous le nom de greube, que M. Necker rapporte aux temps 
les plus anciens de l'époque géologiquement la plus récente de 
toutes (1, 224). Nous avons peu de données sur le mode de 
la formation de ce terrain, mais il ne nous semble pas proba- 
ble qu'il ait été formé dans un lac, car à l’époque où nous la 
rapportons, notre pays avait la même configuration qu'au- 





(1) Dans la figure 5 de la planche I j'ai cherché à donner une coupe théorique 
de notre vallée pendant la période qui a suivi ce grand bouleversement, c'est-à- 
dire à la représenter dans l’état où elle se trouve maintenant. 


156 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


jourd'hui et maintenant lon ne voit nulle trace de l’exis- 
tence d’un lac. La position de ces dépôts au pied du mont 
Salève nous porte plutôt à croire qu'ils furent formés par des 
sources. 

Depuis que le diluvium eût été déposé et après que la di- 
gue du mont de Sion, celle des environs de Thonon, celle du 
Petit-Credo, etc.. eurent été formées, notre vallée n'a plus 
changé d’aspect, seulement dans les premiers temps les riviè- 
res qui la traversaient étant beaucoup moins encaissées , 
avaient des lits beaucoup plus larges. Les eaux étaient pro- 
bablement plus abondantes , l'Arve par exemple était plus 
grosse que maintenant. Cela se comprend lorsqu'on examine 
ces pentes éloignées des bords de cette rivière, mais qui 
pourtant en suivent le cours et qu'on voit à Champel, 
à Pinchat, à Veirier. Alors les pentes voisines de Gaillard 
formaient la rive droite de la rivière, tandis que celles de Vei- 
rier formaient la rive gauche. Dans les mêmes temps les pen- 
tes de Champel étaient opposées à celles de Pinchat et de 
Laney, et le sol sur lequel la ville de Carouge est bâtie était le 
fond d'un espèce de lac dont on peut suivre les contours sur la 
belle carte de M. le colonel Dufour. Les eaux en diminuant peu 
à peu de volume et en se retirant dans le lit qu'elles occupent 
aujourd'hui, formèrent les différentes terrasses que nous 
avons signalées 

Nous sommes maintenant arrivés à la fin de la tâche que 
nous nous étions imposée, tâche difficile, qui consistait à pré- 
senter l’histoire de notre vallée depuis le moment où l'Océan 
déposa en couches horizontales les roches dont le redressement 


SUR LE MONT SALÈVE. 157 


a donné naissance aux montagnes qui en dessinent les con- 
tours. 

Je ferai maintenant un court résumé par ordre chronologi- 
que des événements rapportés ci-dessus. 


Première période de tranquillité. L'océan jurassique couvre tout le pays. La pleine 
mer occupe la position où est maintenant Genève. On ne peut faire dans 
le sol des environs de cette ville aucune observation qui puisse indiquer * 
l'état dans lequel était notre vallée ayant cette période. 


Première époque du soulèvement. Salève forme une colline dont le sommet est au- 
dessous de la surface des eaux. La mer s'étend encore sur la plaine 
de Genève. 


Seconde période de tranquillité. Mer néocomienne. La mer existe toujours, mais 
son rivage est à Bienne. Soulèvement très-lent du sol, agissant du Nord 
au Midi. Production de la formation sidérolitique. Dépôt de la première 
zone de Rudistes, 


Seconde époque du soulèvement. Salève devient une montagne voutée dont le som- 
met est au-dessus de la surface de la mer. La formation sidérolitique 
continue à se produire. 


Troisième période de tranquillité. Salève forme une île habitée par des pachidermes. 
Les chamerops forment sa végétation ou en font partie. Au commen- 
cement de cette période la molasse rouge se dépose en couches hori- 
zontales; puis il se produit des dénudations dans lesquelles la molasse 
d’eau douce s’accumule. Plus tard, le grès marin la recouvre, mais 
cette superposition n’a lieu que dans des localités placées au nord de 
notre canton (‘). 








(1) I parait difficile de comprendre comment le grès marin a succédé à la mo- 
lasse d’eau douce, sans admettre un mouvement à la surface du sol. 


158 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


Troisième époque de soulèvement. Le mont Salève prend la forme qu’il a aujour- 
d’hui. Apparition des coteaux de molasse. 


Quatrième période de tranquillité. La vallée a déjà beaucoup de rapports avec ce 
qu’elle est aujourd’hui, seulement la plaine est moins marquée, c'est-à- 
dire qu'il y a des inégalités à la surface du sol. Les coteaux paraissent 
plus élevés qu'ils ne le sont maintenant. Les rivières coulent à peu près 
en suivant leurs directions actuelles. 


Quatrième époque de bouleversement. L'alluvion ancienne envahit les dépressions 
qui séparent les coteaux de molasse. L'étage diluvien cataclystique la 
recouvre; il a été apporté, suivant quelques géologues, par d'immenses 
glaciers qui s’élevaient jusqu'au sommet du mont Salève. Formation du 
calcaire d’eau douce (greube). 


Cinquième période de tranquillité. Création de l’homme. Les rivières sont plus 
grandes que maintenant; elles creusent leurs lits et forment des ter- 
rasses. 


Depuis que ce tableau a été fait, J'ai comparé attentivement 
les trois soulèvements dont j'ai trouvé les traces dans le mont 
Salève avec ceux de la partie septentrionale du Jura suisse (1) 
et ceux qui ont eu lieu dans la chaîne du Caucase (?). 

Dans ces deux derniers pays, les soulèvements ont été plus 
nombreux qu'au Salève, mais, dans le Jura comme dans le 
Caucase, on en retrouve qui correspondent exactement par 
leur âge à ceux qui ont donné au Salève sa configuration. Ces 
chaînes n’ont donc pas atteint leur hauteur actuelle d’un seul 





(1) Gressli. Observations géologiques sur le Jura soleurois, p. 329. 
(2) Dubois de Montpéreux. Bulletin de la Société géologique de France, 
tome VII, p. 571. 


SUR LE MONT SALÈVE. 159 


jet, mais elles ont été soulevées à plusieurs reprises, et, cer- 
tainement il est remarquable de retrouver trois exhaussements 
successifs dans une montagne aussi peu élevée que celle du 
Salève. 

En examinant les trois soulèvements qui eurent lieu dans 
cette dernière localité, on est forcé d'admettre qu’à des épo- 
ques différentes il se fit plusieurs soulèvements dans une même 
direction. 

On peut tirer une autre conclusion de la comparaison des 
époques de ces trois soulèvements avec celles des montagnes 
dont l’âge nous est déjà connu. On sait que le dernier exhaus- 
sement éprouvé par le mont Salève est contemporain de celui 
des Alpes occidentales et a eu lieu à peu près dans la même 
direction, mais les deux autres offrent un résultat différent. Le 
plus ancien est de la même époque que le soulèvement de la 
Côte-d'Or, et ne lui est point parallèle. Quant au second, on 
peut le comparer pour l’âge à celui du mont Viso, à celui des 
Pyrénées ou à celui de la Corse, sans qu'on puisse déterminer 
auquel de ces trois il se rapporte précisément. Mais aucune 
de ces dislocations ne s’est produite dans le même sens que 
celle du Salève ; par conséquent nous pouvons déduire, comme 
second résultat de ces faits, qu'il s’est produit dans l'écorce du 
globe des dislocations de méme âge qui n'étaient point paral- 
lèles entre elles. 

Après l'exposé que je viens de donner de ces périodes im- 
menses qui ne renferment cependant qu’une bien petite partie 
de l'histoire des couches de notre globe, l'imagination a de la 
peine à comprendre le nombre des siècles qui ont dû s’écouler 


160 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES 


depuis la création de la terre jusqu’à l'apparition de l’homme. 
C’est à l'ensemble et à la succession de semblables périodes 
de tranquillité et de bouleversement que le globe doit son état 
actuel. C'est par elles que la Suisse a été destinée à offrir les 
magnifiques tableaux qu’on y admire; ce sont elles enfin qui, 
en déterminant la configuration, la nature et les productions 
des différents pays, ont influé, dans un si grand éloignement, 
sur les mœurs et la civilisation des peuples qui devaient une 
fois les habiter. 


Car. I. 
Car. Il. 
Cuae. II. 
Cuar. IV. 
Cuar. V. 
Cuap. VI. 
Cuar. VII. 
Cnar. VIIL. 
Cuap. IX. 
Cuap. X. 


SUR LE MONT SALÈVE. 161 


TABLE DES CHAPITRES. 


Page 
Auteurs qui ont parlé du mont Salève...... Oenoeib MEN ici 49 
Configuration du mont Salève ....................,.... 54 
Terrains...... Done ar M Oo 4 On 6 Dub 0 RAR MR Re 61 
BonmatiOnjUrASSique LA. CE PMNEe Male diene 64 
Formation néocomienne.............................. T5 
Formation sidérolitique .............................. 98 
Terrains tertiaires ou formation molassique................ 106 
MRTAITAeNTANISPOED MIS METRE A QUE HAUT ae 116 
Structure du mont Salève ......... DL RE DER AE 145 
Révolutions du sol des environs de Genève................ 146 


NOTA. 


On a imprimé plusieurs fois, par erreur, au commencement de ce mémoire 


Sidérolithique au lieu de Sidérolitique. 
Les deux dents de poisson que j'ai citées p. 82 sous le nom de Carcharias pro- 


ductus. Ag. appartiennent, suivant M. le professeur Agassiz au C. Megalodon. Elles 
proviennent de la pente du Petit-Salève au-dessus de Mornex et peut-être aussi de la 
formation molassique. 


TOM. x, {'© PARTIE. 21 


162 CONSIDÉRATIONS GÉOLOGIQUES SUR LE MONT SALÈVE. 


EXPLICATION DES PLANCHES. 


La Planche X représente l’état de la vallée comprise entre le mont Salève et le 
mont Jura pendant différentes périodes de tranquillité. 


Figure 4. Coupe idéale de cette vallée à l’époque pendant laquelle se déposait 
la molasse. Le fond du bassin était formé par la première zone de Rudistes qui 
recouvrait le terrain néocomien inférieur, lequel s’appuyait à son tour sur le ter- 
rain jurassique. Il est assez probable qu’il existe une couche plus ou moins étendue 
de gault entre la molasse et la zone de Rudistes, mais, comme jusqu’à présent 
cette couche n’a pas été observée dans la vallée de Genève, on ne l’a point figurée 
dans cette planche. Tous ces terrains étaient alors recouverts par les eaux qui 
déposaient les molasses, mais le mont Salève avait déjà subi deux soulèvements et 
sa cime formait une île. 


Figure 2. Coupe idéale de notre vallée, à l’époque comprise entre le troisième 
soulèvement du mont Salève et l’arrivée du diluvium. Les eaux à cette époque 
s'étaient retirées, les coteaux existaient dans la vallée, ils paraissaient plus grands 
que maintenant. La molasse qui est représentée horizontale dans l'époque précé- 
dente est ici redressée contre les montagnes. 


Figure 3. Coupe théorique de la vallée de Genève pendant l’époque actuelle ; 
les montagnes et les collines sont les mêmes que durant la période précédente, 
mais l’alluvion ancienne a comblé les dépressions qui séparaïent ces collines sans 
se relever contre elles, et l'étage diluvien cataclystique les a recouvertes, ainsi que 
la plus grande partie de la vallée. La ville de Genève est bâtie sur l’alluvion an- 
cienne au bord d’une dénudation dans laquelle coule le Rhône. 


Planche . Carte géologique du mont Salève. C’est à l'extrême obligeance de 
M. Emile Gautier que je dois le dessin de cette carte. Pour la colorier, je me suis 
servi à peu près des mêmes teintes qui ont été employées dans la carte géolo- 
gique de France. 


Fig.1 Epoque de la Molafse. 








1%°zone. 


Sidérolithique. de Rudistes. 








Fig. 2 Epoque comprise entrele (troisieme 


soulévement du M'Saléve et l'arrivée du  Diluvium. 








Fig. 3. Époque postérieure au Diluvium .. 














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GÉOLOGIOTE 





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MONT SALÈVE. 





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OBSERVATIONS 


SUR 


LES DICERAS 


PAR 


Alphonse Favre. 


(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, en Avril 1845.) 


M. G.-A. De Luc a décrit dans Les voyages de de Saussure 
de singulières coquilles bivalves trouvées au mont Salève, dont 
quelques-unes ont été reconnues pour faire partie du genre 
appelé maintenant Diceras. Son fils, M. J.-A. De Luc, aujour- 
d'hui possesseur de ces échantillons qui ont un intérêt clas- 
sique, a eu l’obligeance de les mettre à ma disposition avec 
plusieurs autres fossiles du même genre, et j'ai pu reconnaître 
qu'ils appartiennent à une espèce qui ne doit pas être confon- 
due, ainsi que l'ont fait MM. Lamarck, Deshayes, etc. avec 
la Diceras arietina. M. Defrance a déjà reconnu cette espèce, 
et lui a donné le nom de Diceras Lucu. Les considérations sui- 
vantes prouveront que la Diceras du mont Salève diffère de 
la Diceras arietina par plusieurs caractères essentiels. 


164 OBSERVATIONS 


En outre des magnifiques échantillons de la collection de 
M. De Luc, j'ai pu examiner, grâce à l’obligeance de M. Schim- 
per, les nombreux et beaux exemplaires du Musée de Stras- 
bourg. M. Gressli a bien voulu me prêter les Diceras de sa 
collection. Enfin j'ai pu comparer un grand nombre d’échan- 
tillons appartenant aux Musées de Neuchâtel et de Genève, et 
à ma propre collection. Je n’ai pas voulu entreprendre la des- 
cription d'aucun des nombreux genres qui en apparence sont 
voisins des Diceras, et que l'on trouve dans les terrains créta- 
cés, parce que M. d’Orbigny a pour ainsi dire donné le pro- 
drome de ce travail dans le Bulletin de la Société géologique de 
France (t. XII, p. 148). 

J'ai pu établir d’une manière positive que la Diceras du mont 
Salève était une espèce différente de la Diceras arietina; j'ai 
donné dans la description de ces fossiles des caractères qui 
n'avaient été mentionnés nulle part et ayant eu à ma disposi- 
tion de beaux exemplaires de la Diceras arietina, J'en ai fait fi- 
gurer les parties importantes. J'ai aussi cherché à prouver que 
la couche jurassique à Diceras peut servir d'horizon géologi- 
que, car ces fossiles n'ont jamais été cités que dans le Coral 
rag., et j'ai donné à la fin de ce Mémoire quelques renseigne- 
ments géologiques qui ne me paraissent pas dénués d'intérêt. 

C’est avec un vif empressement, que Je saisis cette occasion 
de remercier mon ami M. le professeur Agassiz, des directions 
qu'il m'a données dans mes études et en particulier des com- 
munications qu'il a bien voulu me faire pour ce travail. 

M. Deshayes ayant fait une histoire fort complète du genre 
Diceras dans le dictionnaire classique des sciences naturelles, 


SUR LES DICERAS. 165 
je ne veux point la répéter ici; mais je dois attirer l'attention 
des conchyliologistes. sur la description de l'espèce du Salève 
publiée par M. G.-A. De Luc dès l’année 1780, époque à la- 
quelle ce genre d'étude était encore tellement négligé, que 
l'on ne pouvait point en tirer les importants résultats que la 

Ï | F q 
science moderne en a déduits. 


GENRE DICERAS. Lamarcx. 


Animal. Inconnu. 


Coquille très-épaisse, bivalve, irrégulière, cordiforme ; val- 
ves inégales, ayant la forme de cornes; test formé de trois 
couches;, une dépression sur la face postérieure des valves, 
une seule côte interne; une charnière très-forte, deux dents 
à la valve droite; deux impressions musculaires. 

Dans ce genre de coquille l’une des valves est considérable- 
ment plus grande que l’autre, toutes deux sont recourbées en 
dehors, ce qui leur donne, particulièrement à la grande valve, 
l'apparence d’une corne de bélier et quelquefois d’une corne 
d’abondance. La petite valve n'est point operculiforme. La co- 
quille n’est pas baïllante, les bords de l'ouverture sont un peu si- 
nueux. « Les Diceras, » dit M. Deshayes, «avec la forme géné- 
«rale des [socardes ont l'irrégularité des Cames. » La ligne de 


166 OBSERVATIONS 


jonction des deux valves n’est point une ligne droite, elle est 
presque toujours plus ou moins concave du côté de la petite 
valve, c’est-à-dire que la plus grande valve empiète sur la pe- 
tite. 

M. Deshayes dit en parlant de la Diceras arietina (1), qu'il 
a examiné plus de vingt individus de Diceras de St.-Mihiel 
(Lorraine). et que tous sans exception étaient fixés par la valve 
droite, qu'il en est de même de ceux du mont Salève, près de 
Genève, et pour la Diceras sinistra, le même auteur dit en- 
core que c’est par le crochet de la grande valve, qui est ici du 
côté gauche, que la coquille est fixée. 

Comme, dans la Diceras arietina, c’est tantôt la valve droite, 
tantôt la valve gauche qui est la plus grande, il serait peut- 
être plus juste de dire que les Diceras s’attachent par leur 
grande valve. Cependant, malgré les nombreux exemplaires 
que J'ai pu observer, j'ai encore quelques doutes sur la ma- 
nière dont ces coquilles étaient fixées, car dans aucun des 
échantillons bien conservés de la Diceras Lucii que j'ai sous les 
yeux, je ne peux distinguer des points d'attache, même dans 
l'exemplaire figuré: IV,2(?); la couche à ornements, dont nous 
parlerons plus bas, peut être observée jusqu’à l'extrémité des 
crochets, ce qui prouve que cet individu n'avait pas de points 
d'attache. 

Dans la Diceras arietina J'ai fréquemment trouvé la trace 








(1) Encyclopédie méthodique. Vers., tome II, p. 87. 
(2) Dans tout ce Mémoire les chiffres romains indiquent la planche et les chif- 
fres arabes indiquent la figure. 


SUR LES DICERAS. 167 
d’un point d'attache à l’extrémité de la grande valve, qui est 
tantôt la valve droite, tantôt la valve gauche. 

Il faut, ce me semble, pour des coquilles aussi fortes et aussi 
lourdes que les Diceras, des points d'attache grands et forts, 
et, par conséquent, s’il y en avait, ils devraient se voir faci- 
lement et ne pas être cachés parmi les petites aspérités du test. 

Peut-être les Diceras sont-elles comme les Gryphées et n’ad- 
hèrent-elles que dans leur jeune âge, c’est-à-dire que le point 
d'attache de ces coquilles est très-petit et que lorsque l'animal 
est devenu grand, ce point d'attache n'a plus assez de force 
pour le maintenir en place. La belle collection de M. Gressli 
à Neuchâtel offre la preuve de ce fait dans une suite de Gry- 
phées arquées de tous les âges appartenant au Lias. 

Les crochets de cette coquille sont creux jusque dans leur 
partie supérieure. Le test est fort épais, on remarque qu'il 
est formé de trois couches superposées, c’est ce que J'ai ob- 
servé distinctement dans les Diceras du mont Salève. La cou- 
che inférieure est épaisse, à sa face supérieure elle est garnie 
de stries transversales qui offrent l'empreinte de la partie infé- 
rieure de la couche médiane. Ces stries marquent l’accroisse- 
ment de la coquille, en sorte que, près de son ouverture, elles 
lui sont parallèles ; mais comme celle-ei, à mesure que l’animal 
vieillit, ne s’avance pas parallèlement à elle-même, il en résulte 
que ces stries sont complétement transversales sur les faces 
latérales de la coquille. tandis qu’elles deviennent presque lon- 
gitudinales en se rapprochant de la partie supérieure de l'ou- 
verture. Il est fort probable que la couche médiane et la couche 
supérieure du test ont existé dans les Diceras de Saint-Mihiel 


168 OBSERVATIONS 


et dans celles du Porrentruy, puisque la couche inférieure 
présente des stries qui ne sont probablement que l'empreinte 
de la couche médiane. Cependant, comme dans aucun des 
échantillons de ces deux localités je ne les ai vues, je les dé- 
crirai seulement en parlant des Diceras du mont Salève. Ces 
couches n’ont pas été conservées dans les Diceras de Saint- 
Mihiel, parce que la roche étant un calcaire oolitique crayeux, 
il est probable qu'elles n’ont pu résister à la destruction. 

Chaque valve présente au milieu de sa face postérieure une 
légère dépression qui s'étend parallèlement à la spirale dans 
la partie supérieure de la valve, sans atteindre cependant l’ex- 
trémité des crochets. Les deux bords de cette dépression, qui 
ne sont pour ainsi dire que deux légères ondulations, sépa- 
rent la face postérieure de la coquille en trois parties à peu 
près égales (TL, 1.—IV, 1). Cette dépression est peu visible sur 
les jeunes individus et elle a été effacée sur quelques exem- 
plaires de Saint-Mihiel. 

Les deux valves sont munies d’une seule côte saillante in- 
terne m (V, 1, 4, 5,6, T). Cette côte part du bord inférieur 
de l'ouverture et remonte dans l’intérieur de la coquille du 
côté de la face postérieure. Elle correspond à cette dépression 
que nous venons de faire remarquer ("). 





(1) Ce nouveau caractère que j’ai observé dans les Diceras vient, ce me semble, 
confirmer l'opinion de M. d’Archiac (Mém. de la Soc. Géol. de Fr. t. II, p. 183) 
et rapprocher les Caprines, les Caprotines et les Ichtyosarcolites des Diceras, et 
par conséquent des Cames, ce qui pourrait faire croire que les trois premiers 
genres sont des Lamellibranches. — Mais on pourrait aussi retourner la question 


SUR LES DICERAS. 169 


On voit toujours sur les deux valves des échantillons bien 
conservés, un petit sillon Æ (IV, 3, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7.) 
formé par la jonction des tours de la coquille; il part de la 


] 


partie postérieure de l'ouverture et s'étend en spirale sans se 
prolonger beaucoup. 

La charnière est fortement organisée, mais ici Je ne men- 
tionnerai que les parties communes aux espèces que J'ai étu- 
diées, sans faire ressortir les différences ; pour plus de détails 
je renvoie à la description des espèces. 

Dans la valve droite la charnière est formée par deux dents 
séparées par une cavité plus ou moins allongée c (IV, 3, 4. 
— V, 4,5,7.). La dent supérieure a (IL, 3. — IV, 5, 4 — 
V, 2, 4, 5, T.) est très-forte, tandis que la dent inférieure f 
(UL,3.—1V,5,4.—V, 4, 5, T.) est plus petite. Ces deux dents 
sont toujours placées sur la valve droite, lors même que la 
valve gauche est la plus grande. Ceci est contraire dans cer- 
tains cas à ce que disent MM. Lamarck et Sander Rang, qui 
affirment que la dent cardinale se trouve attachée à la grande 
valve. 

* Les impressions musculaires À (IV, 3, 4.— V, 4.) sont pla- 
cées à droite et à gauche de la cavité de la coquille g (AV, 5, 4. 
— V, 4.). De ces impressions part une petite carène à (IV, 3,4. 
— V, 4, 5,7.) qui est comprise entre le petit sillon Æ dont j'ai 
déjà parlé et un autre petit sillon moins marqué placé entre 


la carène à et la grande dent 4. 


et dire que ce caractère, en rapprochant ces autres genres des Diceras, fait passer 


ce dernier dans les Brachiopodes. 


TOM. X, Î'* PARTIE. 22 


170 OBSERVATIONS 

Dans la valve gauche, la charnière est formée d’une ou de 
deux dents; la dent d (V, 1 — 6.) est toujours très-forte, 
tandis que l’autre est placée en arrière quand elle existe et est 
toujours très-petite. La fossette cardinale B (V, 1—6.) de cette 
valve est grande, profonde et allongée en forme de croissant 
le long du bord cardinal de l'ouverture et au-dessus de la 
dent d. 


Rapports et différences. Les Diceras ne contiennent pas de 
cloisons dans l’intérieur de la coquille, ce qui les distingue des 
Caprines et des Ichtyosarcolithes ("). 

Elles ne présentent qu'une seule côte saillante interne, ce 
qui empêche de les confondre avec les Caprotines qui en ont 
plusieurs (*). Les Diceras se distinguent des Cames, dont 
on les a souvent rapprochées par la force de leurs char- 
nières, et parce que, chez elles, cette charnière occupe la 
moitié ou le tiers du total de l'ouverture de la coquille, 
tandis que dans les Cames la charnière occupe beaucoup 
moins de place. 


(1) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIII, p. 151. 
(2) Bulletin de la Société Géologique de France, tome XIII, p. 151. 


SUR LES DICERAS. 171 


I. DICERAS LUCII. DErRANCE. 


Pa D PLIS 1,72, 8 PINIV. PLV, 1- 


De Saussure, 1780. Voyage dans les Alpes, I, 190, pl. IT, f. 4, 4. 
Diceras Lucü (de De Luc). Defrance, 1819. Dict. des Sciences Natur., XIII, 177. 


D. Testä crassissimä, variabili, subcordiformi ; valvis inæ- 
qualibus, carinatis, in spiras irregulares contortis, rugis triangu- 
laribus concentricis longitudinalibus ; valvä sinisträ majore. 


La coquille est épaisse, cordiforme, inéquivalve, les valves 
ont la forme de cornes. Tous les exemplaires que j'ai vus ont la 
valve gauche plus grande quela valve droite. La plus grande di- 
mension de la petite valve varie entre les huit etles neuf dixièmes 
de celle de la grande. Le crochet de la valve gauche est grand, 
recourbé en dehors et plus ou moins rapproché et même appli- 
qué contre le bord de la valve (L, 2.—I1, 1,2, 4.—1IE, 1,2). Il 
forme en général un tour et demi de spirale. Le crochet de la 
valve gauche ou petite valve est moins fortement tourné en 
dehors (1, 2.—1II.— IV, 2.). La surface extérieure de la valve 
droite est plus ou moins ondulée, comme on le voit dans les 
figures 1 et 2, IT, qui appartiennent pourtant toutes deux à 
cette espèce. C’est sur cette valve que l’on observe particuliè- 
rement les différentes couches qui forment le test. C'est d’a- 
bord la couche inférieure dont nous avons décrit les stries. 
La couche médiane est mince et fragile; aussi reste-t-elle sou- 


172 OBSERVATIONS 


vent attachée à la couche à ornements. Elle est formée d’un 
calcaire cristallin, ce qui montre que la texture de cette couche 
a été changée par la fossilisation (*). Elle porte à sa surface 
des stries longitudinales qui sont le résultat de l'empreinte du 
manteau, dont le bord paraît avoir formé la troisième couche, 
mais qui ne se trouvent en général que sur la valve gauche 
de la Diceras du Salève, et que je n’ai pas vues dans les autres 
espèces. 

Je crois que la couche à ornements existe aussi sur la petite 
valve, car on en voit des traces près du crochet, dans la figure 
2, IV, mais il paraît qu'elle est moins adhérente à la coquille 
et qu'elle reste presque toujours attachée à la roche. Cette 
couche est ornée de fortes stries ou petites côtes triangulaires 
concentriques. placées longitudinalement, et qui, dans les 
beaux exemplaires, peuvent se suivre depuis le bord jusqu’au 
sommet des crochets. Les ornements de cette couche sont 
probablement dus à un plissement du bord du manteau de 
l'animal. On y distingue encore, mais avec beaucoup de peine, 
les stries d’accroissement qui sont transversales. 


(4) Avant que l’action pétrifiante eut changé la texture de cette couche, peut- 
être était-elle formée de lames presque perpendiculaires au plan de la couche in- 
férieure et qui s’accolaient les unes contre les autres à mesure que l’animal vieil- 
lissait. Cette structure est du moins offerte par des genres non décrits, ressem- 
blant aux Diceras et répandus dans les terrains crétacés des Alpes. Ce qui me 
porte à croire que cette texture a existé dans la couche médiane des Diceras , 
c’est que dans celles-ci la couche inférieure du test présente les stries dont nous 
avons parlé, qui sont identiques à celles de ces fossiles alpins, et que dans ceux-là 
ces stries sont évidemment le résultat de l'empreinte des lames qui forment la 
couche médiane. 


SUR LES DICERAS. 173 
C’est au nombre de ces couches superposées, aux différences 
qui existent dans chacune d'elles, à leur adhérence avec la 
roche qui contient ces coquilles et à leur fragilité, que les Di- 
ceras du mont Salève doivent les divers aspects que leur sur- 
face présente. Les deux valves sont toujours fortement ca- 
rénées depuis leurs bords jusqu'a leur sommet; on y voit 
distinctement cette légère dépression longitudinale sur la face 
postérieure de la coquille que J'ai déja indiquée. 


La Charnière est, comme nous l'avons dit, très-fortement 
organisée. Dans la valve droite elle est formée d'une grosse 
denta(IIK,3.—1V,5,4.) qui ressemble un peu au cuilleron des 
myes. Cette dent a aussi quelque rapport avec la partie su- 
périeure de la conque de l'oreille humaine. Elle s’enfonce dans 
une large et profonde cavité b (V, 1.) de la grande valve qui 
a la forme d’un croissant et qui s'étend tout le long du bord 
supérieur de l'ouverture de la coquille. Au-dessus de la dent 
a se trouve une cavité c (IV, 5, 4.) dans laquelle vient s'en- 
gager la dent d (V, 1.) de la grande valve; cette dent présente 
à son sommet une fossette e, dans laquelle vient s’ajuster à 
son tour une petite dent f (III, 3.— IV, 3, 4.) de l’autre valve. 

En arrière de la dent d se trouve une petite élévation L 
(V, 1.); mais il n'est pas probable que ce soit une dent. Du 
bord inférieur de la dent d part une côte m (V, 1.) qui se pro- 
longe jusqu'au bord inférieur de la coquille; elle sépare la 
cavité g de la fossette b (1). 





(1) On ne peut voir sur les échantillons figurés pl. IV, 5 et 4 s’il existe une côte 
dans la valve droite, mais cela est probable. 


174 OBSERVATIONS 


Au-dessous de cette robuste articulation se trouve la cavité 
g (IV,5,4.—V, 1.) et la coquille atteint dans cette partie une 
grande épaisseur, À droite et à gauche de cette cavité sont 
placés dans la valve droite ou petite valve les deux points 
d'attache des muscles k k (IV, 3, 4.). De ces points partent 
deux sillons parallèles séparés par une petite carène à (IV, 3, 
4.) qui se prolonge jusque dans la partie supérieure de l’ou- 
verture; le sillon Æ est le pli dont nous avons parlé. Il est 
formé à la jonction des tours de la coquille et il s'étend pa- 
rallèlement au tour de spire. Dans la valve gauche les points 
d'attache sont peu visibles, mais ils doivent être placés au- 
dessous de la charnière sur le bord et dans la cavité de la co- 
quille. Le bord cardinal de cette valve étant brisé, on ne voit 
que diflicilement la carène £ et le sillon . 

Par l'inspection des figures 3, et 4, IV il me semble que 
l’on peut admettre que plus l'animal vieillit, plus sa charnière 
se développe aux dépens de la cavité de la coquille, mais, pour 
établir ce fait d'une manière certaine, il faudrait avoir à sa 
disposition un plus grand nombre d'échantillons. 

Dans le plus grand individu de cette espèce qui me soit 
connu, la grande valve a cinq pouces dans sa plus grande 
dimension. 

Un fait assez remarquable, c'est que dans l’oolite du mont 
Salèveles valves droites sont beaucoup plus rares que les valves 
gauches, surtout parmi les jeunes individus. Ainsi, sur plus 
de soixante-trois échantillons que j'ai à ma disposition, il n’y 
a que six valves droites isolées, neuf échantillons présentent 
les deux valves, et plus de quarante-huit ne sont formés que 
de la valve gauche. 


SUR LES DICERAS. 175 


Les individus de la Diceras Lucii atteignent une plus grande 
taille que ceux de la Diceras arietina. 


Rapports et différences. Pour faire la description complète 
de la Diceras Lucïi, je la comparerai avec la Diceras arietina, 
quoique nous n’ayons pas encore parlé de cette dernière. 

La Diceras Lucii se distingue de la Diceras arietina, parce 
que ses deux valves sont toujours beaucoup plus fortement 
carénées. Dans les jeunes individus la différence est encore 
plus grande, car ceux qui appartiennent à la Diceras arie- 
tina sont complétement arrondis ( V, 5.). J'ai toujours vu dans 
la Diceras Luci la valve gauche plus grande que la valve 
droite, tandis que dans la Diceras arietina le rapport de gran- 
deur entre les valves varie. La Diceras arietina vue de profil 
paraît beaucoup plus ventrue que la Diceras Luc. La Di- 
ceras arietina ne m'a Jamais présenté la couche à ornements, 
tandis que cette couche est très-belle dans la Diceras Lucii. 
Ces deux espèces se distinguent aussi par la charnière; la 
valve droite de la Diceras Luc porte une grande dent a (IE, 3.) 
isolée, tres-saillante, légèrement recourbée en haut, tandis 
que dans la Diceras arietina, cette dent est beaucoup plus 
petite et n’est, pour ainsi dire, qu'un gros bourrelet allongé 
a (V,2, 4, 5, T.). La cavité c (V, 4, 5, T.) est beaucoup plus 
profonde dans la Diceras arietina que dans la Diceras Lucii 
(LV, 3, 4.). 

La Diceras Lucü diffère de la Chama speciosa Münster, en 
ce que celle-ci n’est point carénée et que l’on n’y voit point non 
plus le petit sillon qui part de la partie postérieure de l'ou- 


176 OBSERVATIONS 

verture et qui s'étend du côté des crochets. Cette différence 
dans les caractères extérieurs en indique probablement dans 
la charnière. 

La Diceras Lucii diffère de la Diceras sinistra Deshayes, si 
réellement cette espèce existe (voyez p. 181), par la charnière; 
car, dans la Diceras sinistra, il y a deux dents à la valve qau- 
che, tandis que dans la Diceras Lucii il n’y en a qu'une seule. 
Dans la Diceras sinistra on reconnait à la valve droite une dent 
en forme de bourrelet, comme dans la Diceras arietina, qui a à 
sa partie inférieure une fossette, tandis que dans la Diceras 
Luciü cette dent est grande, saïillante, et n’a point de fossette 
à sa partie inférieure. 

La Diceras Lucü diffère de la Diceras minor Deshayes par 
sa taille et parce que celle-ci n’est point carénée. Je ne connais 
que les dessins de la planche 28 du Traité élémentaire de Con- 
chyliologie, le texte n'étant pas encore publié. 


Histoire. Cette espèce est la première Diceras qui ait été 
décrite; elle le fut en 1780 par M. De Luc dans les Voyages 
de M. de Saussure. Mais lorsque Lamarck décrivit pour la pre- 
mière fois le genre Diceras en 1805 (!) il ne mentionna qu'une 
seule espèce, la Diceras arietina, avec laquelle il confondit la 
Diceras du mont Salève. En 1819, M. Defrance, dans le Dic- 
tionnaire des Sciences naturelles (XIII, 177.) distingua ces 
deux espèces et nomma celle qui nous occupe Diceras Lucii ou 
Diceras de De Luc, nom que je suis loin de vouloir changer 








(1) Annales du Museum, tome VE, p. 500. 











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SUR LES DICERAS. 177 


puisqu'il est un juste hommage rendu à une famille de géolo- 
gues distingués. M. Deshayes (1) exprime l'opinion que la Di- 
ceras Lucu et la Diceras arietina doivent être réunies en une 
seule espèce sous ce dernier nom. Plusieurs auteurs tels que 
MM. Sander Rarg (*), Bronn (*) et d’Archiac (*) ont suivi 
l'exemple de MM. Lamarck et Deshayes; mais il me semble que 
les caractères que J'ai tracés sont suffisants pour faire de nou- 
veau inscrire dans le catalogue des espèces, celle que M. De- 
france avait su distinguer. 


Explication des Planches. Toutes les figures sont de gran- 
deur naturelle et ont été faites d’après nature. 


PI. I, Fig. 1. Individu vu par derrière. 
» » 2. Le même vu par devant. 
Ces deux figures ont été faites d’après le même échantillon qui 
avait été figuré dans le Voyage dans les Alpes de de Saussure, 
tome I, pl. 2, fig. 1 et 2. 
PI.II, Fig. 4 et 2. Individus vus du côté de la valve droite. 
» » 5. Valve droite. 
» » 4. Le même que celui de la fig. 2 vu par devant. 
PI. I, Fig. 1 et 2. Valves gauches. 
» » 6. Valve droite vue par derrière pour montrer le profil de la dent a. 
PI. IV, Fig. 4. Individu vu par derrière. 
» » 2. Le même vu par devant. 


(4) Dictionnaire classique des Sciences naturelles, 1824, et Encyclopédie mé- 
thodique, 1850. 
(2) Manuel des Mollusques. 
(3) Lethea geognostica. 
(4) Mémoire de la Société géologique de France, tome II, p. 185. 
TOM. X, 1'€ PARTIE. 23 


178 OBSERVATIONS 


PI. IV, Fig. 5 et 4. Valves droites vues du eôté de l'intérieur pour montrer la 
charnière. La fig. 4 a été faite d’après nature sur l'échantillon qui 
avait servi pour la fig. 5 de la pl. II de de Saussure. 

PI. V, Fig. 4. Valve gauche vue du côté de l’intérieur pour montrer la charnière 
dessinée d’après nature sur l'échantillon de la fig. 4, pl. II de de 
Saussure. Tous les échantillons de cette espèce qui ont été figurés 
appartiennent à la belle collection de M. J.-A De Luc. 


II. DICERAS ARIETINA. Lamarcx. 


PI. IL, fig. 4, 5. — PI. V, fig. 2, 3, 4, 5, 6, 7. 


Favanne 1780. Conchyliologie. PI. 80, Fig. 5. 

Bruguière 1789. Chama bicornis. Encyclop. méth. Vers. VI, p. 592. 
Vers. t. II des planches. PI. 197, fig. 5. 
Diceras ? Explicat. des planch. Vers., t. I, p. 147. 


Lamarck 1805. Ann. du Museum, 1. VI 300. PI. 55, fig. 2. 
Id. 1819. Hist., {ere édit. t. VI, p. 91. 
Id. 1835. Id. 2m édit. t, VI, p. 577, n° 1. 
Bosc 4817. Dict. d'Hist. Nat., t. IX, p. 409. 
Defrance 4819. Dict. des Sc. Nat., t. XIII, p. 177. Atlas, pl. 99, F. 4. 
Blainville 1824. Id. Id. t. XXXII, p. 527. 
Id. Malacologie. PI. 70, fig. 4. 
Deshayes 1824. Dict. Classiq. des Sc. Nat. t. V, p. 466. 
Id. 1850. Encyclop. Méth. Vers. II, p. 86. 
Id. Traité Elément. de Conchyliol. PI. 28, f. 4—6. 
Sander Rang 1829. Manuel des Moll., p. 299. 
Bronn 1837. Lethea Geognostica, p. 699. PI. 20, f. 1. 
Goldfuss 1834-40. Petrefacta, t. II, p. 206. PI. 139, f. 2. 
V. Hupsch Nat. Gesch. Nied. Deutschl. t. 32. PI. IV, fig. 26, 27. 
Sowerby Genera, fig. 4. 


Roissy Buff. Moll. PI. 61, f. 2, t. VI, p. 197. 


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Fig 1 


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Lulide Nicolet The à Neue 


recrDiceras crlelitalan. 








SUR LES DICERAS. 179 


D. Test ventricosä, transversim subrugosä ; natibus dis- 
tantibus , corniformibus , in spiras irregulares contortis. 

Cette coquille ressemble à la précédente, mais elle est beau- 
coup plus ventrue. Ses crochets sont plus ou moins tournés en 
dehors, surtout celui de la grande valve qui fait quelquefois 
deux tours de spirale. Ordinairement la valve droite est plus 
grande que la valve gauche; cependant quelquefois elle est 
plus petite. La proportion entre la grande et la petite valve, 
ainsi que la grandeur des valves par rapport aux crochets 
varie beaucoup plus dans cette espèce que dans la prcédente. 
En général cette coquille prend des formes variées. Les valves 
sont toujours moins carénées que dans la Diceras Lucii et quel- 
quefois même elles ne le sont pas du tout. 

On y reconnaît le pli ou sillon k (V, 4, 5, 6, TT.) qui part 
de la partie postérieure de l'ouverture et que j'ai déjà décrit 
parmi les caractères du genre. Il est en général peu marqué 
dans les échantillons de Saint-Mihiel, car la roche est très- 
friable. Ce pli est séparé d’un autre petit sillon qui lui est pa- 
rallèle par la petite carène à (même figure). On y voit aussi 
cette dépression déjà signalée sur la face postérieure de la co- 
quille. Elle est peu visible dans les coquilles de Saint-Mihiel, 
mais très-évidente dans celle du Porrentruy. 

Les deux valves présentent la couche inférieure du test avec 
ses stries; Je n’ai Jamais vu ni la couche médiane ni la couche 
à ornements que l’on distingue si bien sur celles du mont 
Salève. 

La charnière dans la Diceras arietina est formée à peu 
près des mêmes parties que celle de la Diceras Luci, mais 


180 OBSERVATIONS. 


ces parties ont des formes différentes. À la valve droite elle 
présente comme la Diceras de Lucii une grosse dent a (V, 
2, 4, 5, 7.). Cette dent a la forme d’un gros bourrelet allongé 
s'étendant le long du bord cardinal de la coquille; elle s’en- 
gage dans une cavité b (V, 6.) allongée le long du bord de 
l'ouverture dans la valve gauche. En avant de la dent a se 
trouve la profonde cavité c (V, 4, 5, T.) dans laquelle vient 
s'engager une grande dent auriculiforme d (V, 6.) de la valve 
gauche qui correspond à la dent désignée par la même lettre 
dans l'espèce précédente. Au-dessous de la cavité c se trouve 
le bourrelet f (V,4,5, 7.) muni d'une oreillette qui s'étend dans’ 
l'intérieur de la cavité e, et qui s'engage dans la concavité de 
la dent d. Au-dessous de cet appareil se trouve la cavité g de 
la coquille. 

Les points d'attache des muscles doivent être placés sur 
le bord de la coquille, au-dessous de la charnière ; mais quelle 
que soit la beauté des échantillons que j'ai examinés, je n’en 
ai vu aucune trace. Dans les jeunes Diceras de cette espèce 
la dent a est plus développée en hauteur proportionnellement 
que dans les vieux individus. 

L'ensemble de l'appareil de la charnière forme un segment 
qui occupe le tiers du cercle de l'ouverture de la coquille dans 
les jeunes individus, tandis que dans les vieux cet appareil 
occupe près de la moitié de la cavité. Dans les jeunes comme 
dans les vieux individus, la côte interne m (V, 4, 5, 6, T.) est 
très-bien marquée. L’échantillon figuré V, 6 paraît identique 
avec celui qui est représenté dans les Petrefacta de Goldfuss, 
pl. 15, 9, f, 2, a ; il a de plus avec lui le singulier rapport que 


SUR LES DICERAS. 181 
la dent d est cassée. Il présente en outre deux rudiments de 
dents placés l'un n à l'extrémité du bord formé par la coquille 
et la cavité b, l’autre o est un peu en arrière et au-dessous. 

Je n’ai point voulu donner ici des figures des grands échan- 
tillons de la Diceras arietina, car il aurait fallu répéter les 
beaux dessins de MM. Goldfuss, Lamarck etc, que tout le 
monde connaît. Je me suis borné à figurer les charnières qui 
sont d’une grande importance, à donner, pl. V. 2, 3, #4, une 
jeune Diceras provenant de l’oolite corallienne de la Caque- 
relle au Mont-Terrible dans le Porrentruy , et pl. IT, 4, 5, 
un individu plus âgé de la même localité. 


Rapports et différences. Vai déjà établi les caractères qui 
distinguent cette espèce de la précédente. 

Après avoir examiné de nombreux échantillons, je me suis 
convaincu que la Diceras sinistra Deshayes ne pouvait être 
distinguée par sa forme extérieure de la Diceras arietina. Les 
charnières de ces deux espèces sont semblables, car il me 
semble que la figure 6, pl. 28, du Traité élémentaire de Con- 
chyliologie de M. Deshayes serait identique à la valve gauche 
de la Diceras sinistra, f. 1, si elle était comprimée latérale- 
ment de manière à être rendue aussi étroite que cette der- 
nière. Quant à la petite dent placée à l'extrémité inférieure de 
la cavité cardinale de la valve gauche, qui établit la princi- 
pale différence entre les deux espèces, il paraît que tantôt elle 
existe, tantôt elle manque dans la Diceras arietina; c'est ce 
que prouvent ces deux rudiments de dents n et o de la figure 
6, pl. V. Cette observation doit faire admettre, ce me semble, 


182 . OBSERVATIONS 
que la Diceras sinistra est la même espèce que la Diceras 
arietina. 

La Diceras arietina diffère de la Chama speciosa (Münster) 
par le manque de sillon postérieur. Elle appartient au Coral 
rag dont elle est un des plus beaux fossiles, et c’est par erreur 
qu'on l’a indiquée dans le Portlandien. On l’a trouvée à Saint- 
Mihiel (1) en Lorraine associée au Pinnigènes comme au 
mont Salève, à la Caquerelle au Mont-Terrible, aux environs 
de Délémont dans le Porrentruy (M. De Luc possède des 
échantillons provenant de cette dernière localité), à Neuvelle 
les Champlitte et à Ray dans la Haute-Saône. 


Histoire. La Diceras arietina a été pendant longtemps la 
seule espèce connue dans le genre Diceras. Des échantillons 
rapportés de Saint-Mihiel avaient servi à Lamarck pour éta- 
blir en 1805 ce genre et cette espèce. Depuis lors elle a été 
figurée dans de nombreux ouvrages. 


Explication des planches. Toutes les figures sont de gran- 
deur naturelle et ont été faites d'après nature. 
PI. III, Fig. 4. Individu vu par devant. 


» » 5. Le même vu par derrière; il appartient à la belle collection de 
M. Gressli. 





(4) Goldfuss cite la localité de Saint-Mihiel comme appartenant au calcaire 
Portlandien; mais on la regarde en général comme appartenant au Coral rag; si 
l'on en croit MM. Michelin, La Bèche, Huot, les étiquettes du musée de Stras- 
bourg, etc. M. Deshayes la place dans les couches moyennes de la formation juras- 
sique. 


SUR LES DICERAS. 183 


PI. V, Fig. 2. Valve droite d’un jeune individu vue par derrière pour montrer la 
forme de la dent a. 

» » 5. Même valve vue de côté pour montrer que dans les jeunes indi- 
vidus les crochets sont peu marqués. 

» » 4. Même valve pour montrer la charnière. Cet échantillon vient de 
l'oolite corallienne de la Caquerelle dans le Porrentruy et appar- 
tient à M. Gressli. 

» » 5. Valve droite montrant la charnière; elle vient des environs de 
Délémont (Porrentruy ) et appartient à M. De Luc. 

» » 6. Valve gauche vue du côté de la charnière. La dent d est cassée ; cet 
échantillon provient de Saint-Mihiel et appartient au musée de 
Strasbourg. 

; » 7. Valve droite vue du côté de la charnière; elle vient de Ray 
(Haute-Saône) et appartient au musée de Strasbourg. Elle provient 
d’un individu plus grand que celui de la fig. 6. 


GISEMENT DES DICERAS. 


Il est certainement remarquable de trouver presque cons- 
tamment des Pinnigènes et des Diceras, qui sont peut-être 
les deux coquilles les plus robustes qui aient jamais existé et 
qui semblent faites pour résister à des actions extérieures, asso- 
ciées à la roche oolitique qui indique toujours un degré plus 
ou moins grand de charriage. 

Je suis porté à croire que les véritables Diceras ne se trou- 
vent que dans le Coral rag, car je n’en connais aucune dans 
d’autres terrains. La Paléontologie française nous apprendra 


184 OBSERVATIONS 


probablement que les fossiles que l’on regardait comme des 
Diceras crétacées doivent être classés dans d’autres genres. 

Dès à présent la Diceras arietina et la Diceras Luc peuvent 
devenir des fossiles caractéristiques de l'étage corallien; et 
par conséquent elles peuvent fournir un nouvel horizon géo- 
logique. 


OBSERVATIONS. 


La plus grande confusion a régné jusqu’à ce jour dans le 
genre des Diceras. Pendant longtemps les conchyliologistes et 
surtout les géologues ont donné ce nom à tous les fossiles qui 
présentaient deux cornes recourbées, et comme on ne connais- 
sait dans ce genre que la Diceras arietina, ils classaient toutes 
ces coquilles sous le nom de cette espèce. Souvent même ils 
allaient plus loin, et lorsqu'ils ne trouvaient qu'une valve en 
forme de corne, ils la rapportaient au genre Diceras, car ils 
croyaient que l’autre valve devait être à peu près semblable à 
celle qu'ils avaient trouvée et ils faisaient ainsi rentrer dans ce 
genre des coquilles ayant une valve operculiforme. Mais la 
cause de toutes ces erreurs doit être attribuée aux conchy- 
liologistes, qui n'ont commencé à éclaircir l'histoire des co- 
quilles fossiles que longtemps après que les géologues avaient 
cherché à jeter quelque jour sur l'histoire de la terre. Ainsi 
an géologue distingué a été obligé de nommer calcaire à Di- 


SUR LES DICERAS. 185 
cérates un étage de la formation crétacée qui ne contient pro- 
bablement aucun débris organique de ce genre, parce que ce 
terrain est caractérisé par un fossile qui alors n’était ni classé 
ni décrit, mais qui avait en apparence quelques rapports avec 
les Diceras. D'un autre côté, dans la couche de la formation 
jurassique. qui a seule le droit d’être nommée calcaire à Di- 
ceras, les fossiles dont j'ai donné la description avaient été 
négligés et étaient à peine regardés comme caractéristiques. 

Jé donnerai, en terminant ce mémoire, un tableau des dif- 
férents gisements de quelques fossiles qui ont été confondus 
avec les Diceras. Quoiqu'ils ne soient point encore détermi- 
nés, J'ai comparé avec soin les espèces et par conséquent les 
géologues pourront en retirer quelque avantage pour la clas- 
sification des terrains. J'ai cherché à donner quelques nou- 
veaux points de repère pour exclure de la science le mot de 
calcaire alpin et pour rapporter à des terrains connus ces 
grandes masses de calcaire foncé qui ont été confondues sous 
cette vague détermination, que l’on peut comparer au schorl 
des anciens minéralogistes. 

Un fossile qui en apparence ressemble à une Diceras (1) se 
trouve dans la partie supérieure du néocomien jaune de Neu- 
châtel qui forme les carrières du village de Bosle. C’est cette 
espèce qui est signalée dans le rapport sur le mémoire de 





(4) Il est possible que ce fossile et les suivants appartiennent au genre Diceras, 
mais il se peut aussi qu’ils appartiennent à des genres différents. 


19 


TOM. X, Â'° PARTIE. 4 


186 OBSERVATIONS 
M. Itier (1) mais je ne pense pas qu’elle appartienne, comme 
on l’a dit, à la première zone de Rudistes. 

Un autre fossile se trouve dans le calcaire supérieur de la 
première zone de Rudistes associé au Pteroceras Pelagi Brong. 
à la colline de La Puya, près d'Annecy en Savoie. Cette même 
espèce se voit aussi dans le calcaire de la Meglis-alp, canton 
d'Appenzel. Par conséquent les terrains de ces deux localités 
sont de même âge. 

Une autre espèce (2) se trouve 1° dans les carrières à l'Est 
des bains d’Aix en Savoie (au pied de la dent de Nivolet?); 
20 dans les carrières de la petite colline nommée La Puya 
près d'Annecy, associée à l'espèce précédente et au Plero- 
ceras Pelagi Brong. Ce gisement se rapporte à la partie supé- 
rieure de la première zone de Rudistes, car la couche dans 
laquelle on la trouve est superposée au calcaire à Radiolites 
neocomiensis d'Orbigny ; 5° au Mormont, près de Lasarra au 
pied du Jura; 4° près du petit hameau de la Raïsse, voisin 
de Concise dans le nord du canton de Vaud. C’est dans cette 
dernière localité que j'ai trouvé un des points du rivage de la 
mer qui déposa jadis les couches de la première zone de Ru- 
distes (3); 5° Au Léchaud, dans les montagnes de Savoie, sur 





(4) Comptes-rendus de l'Académie des Sciences. Séance du 25 août 1842. 

(2) Je suis porté à croire que cette espèce est la Caprotina ammomia d'Orbigny. 
Mais ce dernier fossile n’a pas encore été suflisamment décrit pour que la déter- 
mination de ceux que je possède püt être très-rigoureuse. 

(5) Considérations géologiques sur le mont Salève et sur les terrains des envi- 
rons de Genève. Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire naturelle de 
Genève, tome X. 


SUR LES DICERAS. 187 
la rive gauche de lArve (?). Ce qui confirme que cette loca- 
lité appartient à la première zone de Rudistes, c’est que près 
de là se trouve en abondance le Radiolites neocomiensis d'Or- 
bigny, et qu'au mont Vergi M. De Luc a cité l'Holaster com- 
planatus , Ag.:; 6° près de la petite ville de Cluses sur l'Arve; 
T° entre Vallon et Sixt, villages placés dans les montagnes de 
la rive droite de l'Arve (?); 9 À l’'Altmann et à la Fachne- 
ren-alp dans le canton d'Appenzell, dans une roche nommée 
OEhrli-kalk. 

Les terrains de toutes ces localités appartiennent done à la 
première zone de Rudistes, et ceci donne des points de repère 
importants pour l'étude des calcaires alpins. 

Une remarque que J'ai déjà faite sur les Hippurites, dans les 
considérations géologiques sur le mont Salève, vient confirmer 
ce que les Diceras nous apprennent et peut aussi être fort utile 
pour Fhistoire des terrains de sédiments alpins, c'est que tous 
les calcaires des Alpes caractérisés par l'Hippurites Blumen- 
bachii de Studer et particulièrement ceux placés entre les lacs 
de Lucerne et de Thun ('), ceux du Sentis (2) et ceux du can- 
ton d'Uri (*) dans lesquels on trouve les Hippurites associées 
à ce qu'on a appelé des Diceras, appartiennent à la première 
zone de Rudistes, car l'Hippurites Blumenbachii n’est autre 
chose que le Radiolites neocomiensis. 


(4) Mémoires de la Société géologique de France, tome III, p. 389. 
(2) Bulletin de la Société géologique de France, tome X, p. 105. 
(5) Bulletin de la Société géologique de France, tome VIIE, p. 151. 


188 OBSERVATIONS SUR LES DICERAS. 


INDICATION DES PLANCHES ET DES FIGURES 


DANS LESQUELLES SONT VISIBLES LES DIFFÉRENTES PARTIES DES COQUILLES. 


J'ai eu soin, dans tout ce travail. de placer les mêmes lettres 
aux parties qui se correspondent dans ces fossiles. 


a. Dent cardinale ou cuilleron de la valve droite. III, 3. — IV, 5, 4. — V,2, 
4, 5,7. 

b.  Cavité cardinale de la valve gauche. V, 1, 6. 

c.  Cavité de la valve droite. IV, 5, 4. — V, 4, 5, 7. 

d. Cavité de la valve gauche. V, 1, 6. 

e. Fossette sur cette dent. V, 4, 6. 

f. Dent de la valve droite. IE, 3. — IV, 5, 4. — V, 4, 5, 7. 

g. Cavité de la coquille. IV, 5, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7. 

h. Points d'attache des muscles. IV, 3, 4. — V, 4. 

i. Petite carène. IV, 5, 4. — V, 4, 5, 6, 7. 

k. Sillon. IV, 5, 4. — V, 1, 4, 5, 6, 7. 

l. Petite proéminence. V, 1. 

m. Côte interne. V, 1, 4, 5, G, 7. 

n. Rudiment de dent. V, 6. 

0. » » V, 6. 


——— cr OC ————— 





NOTE 


SUR 


Une relation entre le volume atomique, le coefficient 
de dilatation et le coefficient d'élasticité dans les 
corps chimiquement simples, 


PAR 


Elie Ritter. 


( Lue à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 47 Novembre 4842.) 


———mo@0—— 


Les géomètres qui ont cherché à déduire les propriétés mé- 
caniques des corps, de suppositions faites sur leur structure 
intime et sur la nature des forces qui animent leurs molécules 
intégrantes, ont été conduits à supposer tous les corps com- 
posés de molécules disjointes, séparées par des intervalles 
très-considérables par rapport à leur propre grandeur absolue. 
Ils ont admis que ces molécules étaient soumises à deux forces, 
leur attraction mutuelle et la répulsion due à la chaleur; et, 


190 NOTE SUR UNE RELATION 

sans connaître les lois de ces deux forces, mais en supposant 
seulement que leur résultante est une fonction de la distance 
des deux molécules qu'on considère, qui décroïît très-rapide- 
ment et qui devient insensible dès que cette distance a acquis 
une grandeur appréciable, ils sont parvenus à déduire les 
principales propriétés mécaniques des corps de cette constitu- 
tion hypothétique. 

D'un autre côté, les faits si curieux dont l’ensemble con- 
stitue la philosophie chimique semblent conduire au même ré- 
sultat par une voie toute différente. La doctrine atomique qui 
a acquis tant de probabilité depuis la découverte de la loi de 
Dulong et Petit, confirmée et développée récemment par les 
travaux d'un habile physicien, suppose aussi les corps formés 
de molécules disjointes tenues à distance par la lutte et l'équi- 
libre des forces physiques qui président à la constitution ac- 
tuelle du corps. 

Dans cette théorie, le poids absolu de chaque molécule est 
exprimé par son poids atomique; le rapport entre l'unité de ce 
poids et le gramme devant probablement rester inconnu, puis- 
qu'il semble qu'il faudrait, pour l'obtenir, parvenir à isoler 
un atôme. 

En adoptant cette théorie, on est conduit à admettre que 
le volume de chaque atôme dans un corps quelconque homo- 
gène est proportionnel au quotient de son poids atomique di- 
visé par sa pesanteur spécifique. 

Cette considération du volume atomique, comme qualité spé- 
cifique des corps, a été indiquée pour la première fois dans 
un mémoire de MM. LeRoyer et Dumas; récemment un chi- 


ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 191 


miste allemand, M. Kopp, en a fait la base de travaux qui ont 
enrichi la science de faits nombreux et qui semblent apporter 
de nouveaux arguments à la théorie atomique. 

Un nouveau point de vue qui vient encore appuyer cette 
théorie a été indiqué par M. Masson dans un mémoire sur les 
vibrations des verges élastiques, et par M. Wertheim dans un 
travail qu'il a récemment soumis au jugement de l’Académie 
des Sciences de Paris. Ce sont de certaines relations qui exis- 
tent entre le poids atomique et le coeflicient d’élasticité. 

C’est un point de vue analogue que je me propose d’étu- 
dier dans cette note. Cependant mon travail diffère de ceux 
dont je viens de parler par une considération nouvelle, qui en 
fait le point essentiel, celle du coeflicient de dilatation par la 
chaleur. Il se compose de trois paragraphes. 

Dans le premier paragraphe, je cherche à établir par des 
considérations théoriques que le produit continuel du volume 
atomique. du coeflicient d’élasticité et du coeflicient de dilata- 
tion cubique est constant dans tous les corps chimiquement 
simples. 

Dans le deuxième, je déduis de ce résultat que le coeffi- 
cient d’élasticité est inversement proportionnel au volume ato- 
mique et au coeflicient de dilatation cubique, et que la vitesse 
du son dans le corps est inversement proportionnelle à la ra- 
cine carrée du produit du poids atomique multiplié par le 
coeficient de dilatation cubique. 

Dans le troisième, je soumets ces résultats à l'épreuve de 
l'expérience. 


192 NOTE SUR UNE RELATION 


PE 


Si l’on désigne par + le poids atomique d’un corps simple, 
et par d sa densité à une température fixe, par exemple à 
0°C. celle de l’eau étant prise pour unité, le nombre des 

, , 
atômes contenus dans un centimètre cube du corps sera pro- 
S 1 
portionnel à - et le volume de chacun d’eux à &. C’est ce der- 
nier quotient qu'on nomme le volume atomique ou le volume 
spécifique du corps; je le représenterai par v et j'aurai : 


D NO) 


Si la température du corps vient à s'élever, il en résultera 
un changement dans sa densité, et ce changement sera pro- 
portionnel à l’augmentation de la température, pourvu que 
cette augmentation soit peu considérable et qu'on ne consi- 
dère pas le corps à une température voisine d’un changement 
d'état. 

Supposons, par exemple, que sa température s'élève d’un 


degré centigrade. Si l'on désigne par 2 le coeflicient de dilata- 
d 


IE et le 


tion cubique pour un degré, la densité deviendra 





o2 


volume atomique 
— (1 + 4) 


Donc, par l'augmentation de 1° dans la température de 
l'atôme considéré, le volume qu'il occupe dans le corps s'est 
augmenté de + d = vd. 


ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 193 


Mais comme les atômes de tous les corps simples ont la 
même chaleur spécifique, il en résulte que c’est la même 
quantité absolue de calorique qui, appliquée à un atôme d’un 
corps simple quelconque, augmentera son volume de cette 
quantité vd. 

Si maintenant, nous considérons la nature des forces que 
la chaleur a à vaincre pour déplacer les molécules voisines et 
augmenter le volume de celle que nous considérons, il me 
parait évident que ces forces ne sont autres que celles contre 
lesquelles ont à lutter des actions mécaniques extérieures 
tendant à déplacer ces mêmes molécules, des tractions ou des 
pressions, par exemple, tendant à allonger ou à accourcir le 
corps. 

Si donc nous désignons par e le coeflicient d’élasticité du 
corps (:), e représentera une quantité proportionnelle à la ré- 
sistance qu'opposent les molécules à s’écarter les unes des au- 
tres ou à la résistance que doivent opposer les molécules voi- 
sines à l'effet de la chaleur; donc l'augmentation de volume 
réellement produite sera d'autant plus grande que e sera plus 
petit ou ce qui revient au même v) sera inversément propor- 
tionnel à e ensorte que si n désigne une constante on a 


ES 
€ 


ou ve — nr} remise (b). 


(1) Ou le nombre de kilogrammes qui, agissant sur un prisme de 1" carré 
de section, pourrait allonger ce corps de sa propre longueur, si cet effort ne 
surpassait pas sa limite d’élasticité. 

TOM. X, 1'€ PARTIE. 25 


194 NOTE SUR UNE RELATION 


Donc pour tous les corps simples le produit continuel du 
volume atomique, du coeflicient de dilatation cubique et du 
coefficient d'’élasticité est une quantité constante. C'est en effet 
ce dont Je me suis assuré mais par des calculs assez longs parce 
que pour la plupart des corps pour lesquels cette rélation peut 
être vérifiée, le coeflicient d’élasticité n’est pas donné directe- 
ment par l'expérience. Mais il y a un moyen de vérification 
plus simple et plus direct qui consiste à déduire de l'équation 
(b) l'élément actuel donné par l'expérience. 


$ 2. 


L'équation (b) peut se mettre sous la forme 


et donne ainsi le coeflicient d’élasticité. Mais comme on sait 
» pes . . 

qu’en désignant par a la vitesse de propagation du son dans 

un corps solide on a 


a — V 1900ge 
d 
il en résulte en remplaçant e par sa valeur précédente et dv 
par + d’après la relation (a) 


a AE nee (2). 


On voit par là que le coefficient d'élasticité est inversément 
proportionnel au produit du coeflicient de dilatation cubique 


ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 195 
par le volume atomique et que la vitesse du son est inversément 
proportionnelle à la racine carrée du produit du coefficient de 
dilatation cubique par le poids atomique. 

Il reste maintenant à déterminer »n, pour cela il faut recou- 
rir à l'expérience et comme de tous les métaux le fer semble ce. 
lui dont les qualités spécifiques sont le mieux connues je le 
choisis pour cette détermination. 


Je prends e — 20000 valeur qui résulte en moyenne des 
nombreuses expériences faites sur le fer; d — T,1880, « — 
339,215 et © — 6,0000356245 que je trouve pour moyenne 


entre les dilatations très-voisines obtenues par 


Lavoisier et Laplace. .................... 0,0000368175 
Prinsep (Bibl. Univ. t. LVIII, p. 170)....... 0,00003645 
Dulong et Petit (Ann. de Chimie, t. VIT, p. 113) 0,00003546 


Ïl en résulte 


n = 31,57146, 1000 yn — 309683,2, 
et 

 .. (1)... log — 1,4992947, 

D MEraE A DAME UE log = 5,4909177. 


Il reste maintenant à comparer à l'expérience les résultats 
théoriques précédents. Le nombre des corps simples pour les- 
quels les expériences publiées permettent cette comparaison 
est encore restreint; J'ai étendu les calculs au plus grand 
nombre possible. 


196 NOTE SUR UNE RELATION 
1° Prows. 
a—129%,498, d—11,3523, d—0,0000854508 (Lavoisier et Laplace). 


On trouve 
e— 3240, a—1673,2, ou 4— 5,02 


en prenant pour unité la vitesse du son dans l'air. 


En supposant d — 0,00008862 (Prinsep) on trouve 
e— 3124, a — 1643,0, À — 4,93. 


M. Masson (Ann. de Chimie et de Phys. N. S$. t. LIL, p. 462) 
a trouvé pour la vitesse du son dans le plomb 4,256 — 4,2439 
— 4,5348. 

Quant aux expériences directes pour déterminer le coefli- 
cient d’élasticité du plomb elles offrent trop peu d’accord 
pour qu'on puisse compter sur leur résultat. Les expériences 
de Tredgold donnent e — 600. — Celles de Lajerhjelm e — 
9320. 


90 Érann. 


a—135,294, d—17,2914, d—0,0000581295 (L. L. pour l’étain pur), 
d—0,000065189%4 (id. pour l’étain de Fal- 
mouth), 
on trouve 
e—5386, a—2691,7, A— 8,08 pour l’étain pur, 
e— 4803, a—2541,8, À—17,63 pour l’étain de Falmouth. 


M. Masson qui a opéré sur de l’étain chimiquement pur a 
trouvé pour la vitesse du son 17,19 — 7,84 — 7,9654 et si- 


ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 197 
gnale ce dernier résultat comme plus exact que les deux au- 


tres. 
Chladni a trouvé T5. 


50 ARGENT. 


a —=675,8035, d—10,4743, d—0,0000572929(L.L. argent de Coupelle) 
d—0,0000572604 (L.L. argent autitredeParis) 
d—0,00005712  (Prinsep argent à 0,917) 
on trouve 
e — 851, a — 28981, A— 8,49, 
e — 8545, a — 28928,9, A = 8,50, 
e — 8567, ad — 2832,4, A==\8;51. 
Chladni indique pour la vitesse du son dans l'argent 9. — 
Lajerhjelm donne pour le coefficient d’élasticité 8700. 


4o Larrow. 


æ— 398,205, d— 8,508, 9 — 0,00005718 (Prinsep), 
e — 41797 a — 3687,9, A = 11,075. 


Il résulte d’une expérience de Borda e — 10995. 
Chladni a trouvé pour la vitesse du son À — 10,67. 


Savart donne 10,39 — 10,42 — 10,55 — 10,56 — 10.69. 


50 Cuivre. 


a— 395,695, d—8,8785, d — 0,00005073 (Prinsep), 
d = 0,00005154 (Dulong et Petit), 
d — 0,00005152 (Laplace et Lavoisier). 


198 NOTE SUR UNE RELATION 
On déduit de là 
e — 13964, a — 3927,8, A— 11,795, 


e—1374%, a—3896,8,  4À— 11,709, 
e— 13750, a—3897,5,  A—11,704. 


Chladni donne pour vitesse du son moins de 12. 

Savart indique plusieurs nombres compris entre 11,13 et 
12,21. 

M. Masson donne 12,21. 


Lajerhjelm a trouvé pour le coeflicient d’élasticité 13480. 


6° Acrer. 
a 339,213, d—17,8163, 9 — 0,0000323745 (Lavoisier et Laplace) 
d — 0,0000381868 (id.) 
d — 0,000041325 (id.) 
Ces nombres donnent 
e— 22390, a — 5310,4, — 15,947, 


e — 19492, a — 4954,8, A — 14,880, 
e— 17540, a—24100,%, A— 14,115. 


Chladni a trouvé pour vitesse du son 16, 67. 


Quant aux autres corps simples auxquels j'ai pu appliquer 
les formules du $ 2, je les réunis dans le tableau suivant. Je 
ne connais aucune expérience par laquelle je puisse vérifier les 
résultats qu’elles m'ont donnés. 


ENTRE LE VOLUME ATOMIQUE, ETC. 199 


a d d e a A 

Bismuth... 1550,576 9,822  0,00004175 5583 2561,3 7,09 

OTLERCEE 1245,15 19,5617 0,00004544 11400 2405,2 7,217 
dE URE » » 0,00004655 410565 25135,5 6,948 
Palladium . 665,90 11,8 0,00003 16592 5957,5 11,824 
ZINC te 405,226 6,861 0,00008928 6017 929355,0 8,808 
Platine ... 1215,220 22,069  0,0000256965 22513 3149,1 9,457 
Id... » » 0,00002652 21620 3100,0 9,309 





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SECONDE NOTICE 


SUR 


LES ANIMAUX NOUVEAUX 


ou 


PEU CONNUS DU MUSÉE DE GENÈVE 


F.- eJ. Pictet, 


PROFESSEUR DE ZOOLOGIE ET D'ANATOMIE COMPARÉE. 


(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 17 Mars 1842.) 


Cette seconde notice a pour but de faire connaître trois nou- 
veaux Mammifères du Brésil, envoyés de Bahia à notre Mu- 
sée par M. Blanchet. Deux d’entre eux appartiennent, comme 
ceux qui ont fait l’objet d’une première notice, à la division des 


Rats épineux, lun au genre Vélomys, l'autre au genre Echi- 
TOM. X, 1'© PARTIE. 26 


202 DESCRIPTION D'ANIMAUX 


mys; Mais ils sont tous deux remarquables parce qu'ils man- 
quent du caractère extérieur le plus apparent qui à l'ordinaire 
distingue ces genres, c’est-à-dire de piquants. Le troisième 
fait partie de la tribu des Rats ordinaires (Muridæ) et il doit 
être rangé dans le genre Oxymycterus de M. Waterhouse. 

Les deux premiers, en particulier, présentent une réunion 
de caractères assez remarquable, et en voyant leur peau pour 
la première fois il m'aurait été impossible de soupçonner leurs 
véritables affinités. Ayant fait retirer les crânes de ces peaux, 
l'examen des formes osseuses et de la dentition me prouva im- 
médiatement leur analogie avec le groupe des Rongeurs épineux 
que J'avais été appelé précédemment à étudier et dont notre 
Musée possède un assez grand nombre de peaux et de crânes. 
Il me paraissait toutefois étrange qu'une ressemblance si 
grande dans les organes importants, s’accordât avec une dif- 
férence si totale dans le pelage qui est doux et soyeux. L’exa- 
men microscopique des poils m'a montré que cette différence 
n'est pas si réelle au fond qu’elle paraît au premier coup d'œil, 
car vus à un grossissement suflisant, ces poils ont en petit la 
forme des épines des Echimys et des Nélomys; ils sont un peu 
aplatis et creusés d’un canal longitudinal sur chacune de leurs 
faces planes. 

Dès lors la place de ces rongeurs ne me parut plus dou- 
teuse; la forme de leur crâne et surtout celle de l'occipital, 
des frontaux et de Farcade orbitaire. leur dentition et leur pe- 
lage s’accordaient pour les placer dans le groupe des Rongeurs 
épineux (ÆEchimyda) qui fait partie de la tribu des Psammo- 
ryctina de M. Wagner. 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 203 
L'une de ces espèces se rapproche davantage des Né- 
lomys et l'autre des Echimys, sans toutefois que leurs ca- 
ractères soient en tous points parfaitement identiques à ceux 
des autres espèces de ces genres. Je n'ai point voulu malgré 
ces légères différences en faire des genres nouveaux, car je 
crois que les naturalistes qui étudieront dans son ensemble 
l'ordre difficile des Rongeurs seront mieux placés pour cela, et 
qu'ils pourront mieux se rendre compte de la manière dont les 
variations de la dentition se lient avec celles des autres carac- 
tères. Ils introduiront par là une régularité et une unité qui 
manque trop souvent aux travaux de détail. 


IL. DESCRIPTION DU NELOMYS PICTUS. 


PI. I et II. 


Cette espèce est en quelque sorte intermédiaire entre le 
genre Dactylomys et le genre Nélomys. C’est surtout dans sa 
dentition qu’elle a quelques caractères des uns et des autres; 
la forme de ses pattes la rapproche tout à fait des Nélomys. 

Les dents molaires de la mâchoire supérieure au nombre de 
quatre de chaque côté (PL IE, fig. 5), forment comme dans 
ces deux genres deux lignes très-rapprochées. Elles sont dis- 
tantes en avant d'environ la largeur d’une dent, et en arrière 


20% DESCRIPTION D'ANIMAUX 

d’une fois et un quart cette mesure. La composition même de 
ces molaires présente plus de ressemblance avec les Dactylo- 
mys qu'avec les Nélomys, on peut même dire qu'elles sont tout 
à fait identiques à celles de ce premier genre. Elles sont par- 
tagées transversalement en deux parties parfaitement distinc- 
tes, dont chacune est formée d’une lame en émail entière et un 
peu aigue au côté interne, tandis que le côté externe présente 
un profond repli. Au reste, les différences qui existent entre 
cette disposition et celle des Nélomys, ne sont guère plus gran- 
des que celles que l'on retrouve entre les diverses espèces de 
ce même genre. 

À la mâchoire inférieure (PI. IL, fig. 6), l’analogie avec le 
genre Dactylomys ne se conserve pas. La couronne de la dent 
n'est pas divisée en deux parties; elle est formée par une lame 
plissée unique qui a deux profonds replis au côté interne et un 
au côté externe. Il est facile de voir que cette organisation est 
la même que dans les autres Nélomys. 

Les pieds antérieurs (PI. IE, fig. 8) ont quatre doigts pres- 
que égaux, dont l’externe seul est un peu plus court; et un 
pouce rudimentaire terminé par un petit ongle arrondi. Les 
postérieurs ( PI. IL fig. T) ont les cinq doigts armés d'ongles 
crochus dont le médian et le quatrième sont les plus grands; 
l'interne est le plus petit. 

Ces caractères me semblent démontrer que la place vérita- 
ble de cette espèce est dans le genre des Nélomys, et qu’elle se 
rapproche un peu plus que les autres des Dactylomys. On 
peut la caractériser comme suit. 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 205 


NELOMYS PICTUS. Mi. 
Dimensions. 


Longueur du corps mesurée depuis l'extrémité du nez jusqu’à la base de la 


QUEUE EE CEE > cost 10 pouces — lignes» soit 270mm, 
OA del lhiquene see PEACE NN 12 0 — » 625 
Distance du nez à l’angle antérieur de l'œil. —  » 11 , » 25 
id. id, à la base de l'oreille. ..... IRON AE LD » 90 
Longueur des oreilles .......... este — vip » 16 
Largeur id. SOS ÉSADEES — TMS » 16 
Longueur du pied antérieur............. 1 > — » » 27 
dl. du pied postérieur... .......... 1 » 9 » » A7 
Description. 


La tête est assez grosse, le front médiocrement bombé, la 
mâchoire supérieure épaisse, les yeux médiocres, les oreilles 
arrondies aussi larges que longues. Les pattes sont fortes et 
médiocrement longues, les ongles comprimés et aigus. La 
queue est longue et a des écailles assez grandes, recouvertes 
et cachées par des poils longs et serrés; elle est épaisse et 
solide. 

La coloration est remarquable. La presque totalité de la tête, 
du cou et de la nuque, est couverte par de longs poils, bruns 
à leur base et blancs dans leur moitié externe, qui forment 
par leur ensemble, une couleur d’un blanc sale, irrégulière et 
indistinctement mouchetée de brun. Cette couleur est limitée 
postérieurement par une ligne qui partant de l'angle antérieur 


206 DESCRIPTION D'ANIMAUX 


des épaules, va en s’arrondissant en arrière jusque vers le mi- 
lieu de la région dorsale. Cette ligne est le commencement d’une 
couleur brune qui occupe tout le reste du dessus du corps. Au 
milieu de la partie blanche est une tache brune allongée. Cette 
tache, formée de poils d’un brun clair à la base et d’un brun 
foncé à l’extrémité, commence en pointe sur le nez, reste 
mince entre les yeux, a sa plus grande largeur entre les oreil- 
les sans cependant atteindre ces organes et va se terminer sur 
la ligne médiane à un point qui correspond aux pattes anté- 
rieures. Tout le dos est couvert de poils bruns semblables, et 
cette couleur se prolonge sur les épaules et jusqu’au milieu 
de la partie externe de l'avant-bras. Tous les flancs, le dessous 
du corps et les pattes postérieures sont couvertes de poils ter- 
minés de blanc, semblables à ceux de la tête. La ligne de sépa- 
ration du brun et du blanc commence au coude, puis remonte 
au milieu des flancs et de là se dirige en remontant toujours 
jusqu’à la queue. Les pieds sont couverts de poils roides blan- 
châtres. La queue est, à sa base, d’un brun roux en dessus, et 
blanche en dessous, le brun ayant un pouce et demi de long 
et le blanc deux pouces; les sept pouces suivants sont cou- 
verts tant en dessus qu’en dessous de poils d’un brun très- 
foncé; le reste de la queue est garni de poils plus soyeux, 
assez brillants, blancs sur la face supérieure et d’un jaune doré 
sur linférieure. 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 207 


IL DESCRIPTION DE L'ECHIMYS INERMIS. 


PI. III et PI. V, fig. 1 —8. 


La forme du crâne rapproche évidemment cette espèce de 
la précédente, mais sa dentition l'en éloigne. Les molaires de 
la mâchoire supérieure (PL. V, fig. 5), aussi au nombre de 
quatre, forment deux rangées plus courtes, plus écartées et 
plus parallèles, comme dans les Echimys; le plissement de la 
lame d'émail rapproche aussi cette espèce de la plupart de celles 
qui composent ce genre. Ces molaires à racines distinctes ont 
aux supérieures un profond repli au côté interne et deux au 
côté externe; l'inverse a toujours lieu pour les inférieures 
(PI. V, fig. 6). 

Le crâne (PI. V, fig. { et 2) est tout à fait celui des Echi- 
mys, et parmi les points les plus caractéristiques, on peut, 
comme pour le précédent, citer principalement la grosseur et 
la force de son arcade zygomatique, la grandeur de Porbite de 
l'œil, et surtout cette disposition remarquable de loccipital, 
déjà indiquée par Cuvier, par laquelle cet os, en se bifurquant, 
borde des deux côtés le prolongement supérieur de la partie 
écailleuse du temporal et forme deux tubercules en arrière de 
la caisse du tympan, tandis qu'ordinairement il n’en forme 
qu'un (l'apophyse mastoïde). 

Les pattes sont celles des Nélomys et des Echimys; le doigt 
externe antérieur (PI. V, fig. T) est moins court que dans l'£- 


208 DESCRIPTION D'ANIMAUX 


chimys cayennensis et le tarse (PI. V, fig. 8) l'est au contraire 
beaucoup plus; mais les différences que présente à cet égard 
le genre des Echimys donnent peu d'importance à ces carac- 
tères; notre espèce se rapproche beaucoup sous ce point de 
vue de l'Echimys albispinus. 

La queue est revêtue d’écailles, qui elles-mêmes sont re- 
couvertes de poils plus grands et plus nombreux que dans 
aucun Echimys; elle est à peu près aussi velue que dans les 
Nélomys, sans cependant avoir, comme dans ce genre, sa base 
revêtue de téguments semblables à ceux du corps. 

Le pelage est doux et soyeux, même lorsqu'on passe la main 
d’arrière en avant. Je dois faire observer à cet égard que l’exem- 
plaire que J'ai eu à ma disposition était parfaitement adulte, 
ainsi que le prouve l'usure de sa quatrième molaire. On ne 
peut donc point soupçonner qu’il y ait eu quelque chose d’a- 
nalogue à ce que J'ai indiqué pour l'Echimys selosus dans ma 
première notice. L'animal que je décris a beaucoup dépassé 
l'âge où pourraient naître de vrais piquants. J'ai déjà dit que 
cette différence de pelage s’efface en partie devant l'observation 
microscopique qui montre que la plupart de ces poils sont ca- 
naliculés comme les piquants d'Echimys, mais sans que leur 
diamètre dépasse celui d’un poil ordinaire. 

J'ai donc rapporté cette espèce au genre des Echimys et je 
la nomme 


o 
© 
Le] 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 


ECHIMYS INERMIS. Mini. 


Dimensions. 
Longueur du nez à la base de la queue... ... 7 pouces 6 lignes soit 202mm, 
NET TIQUENC ER Eee eee Éd CR 176 
Distance du nez au bord antérieur de l'œil... —  » 1410 » » 23 
id. id. à la base de l'oreille. ...... à PAT Su on. 45 
Longueur de l'oreille ................... — CPONNN MC T 
Largeur HO ARR Eh — 8, » » 48 
Longueur du pied antérieur .............. — 0 Changes > 2) 
id. du pied postérieur. ............. 4 RTE 8 » >» 45 
Description. 


La tête a le chanfrein assez plat, l'œil moyen, le nez mé- 
diocrement proéminent, nu en avant, velu en-dessus; les 
oreilles sont grandes, légèrement échancrées au côté externe, 
nues en-dedans et revêtues en dehors de quelques poils rares 
et courts. Les pattes sont médiocrement longues. La queue, 
un peu plus courte que le corps, est revêtue d’écailles comme 
celle des rats, mais de longs poils abondants les cachent pres- 
que complétement, surtout à la base. 

Les poils du dos sont, comme je l'ai dit, de deux sortes, les 
uns cylindriques, les autres aplatis; ils sont tous gris dans 
leur moité basilaire, puis bruns, ensuite d’un jaune clair et 
terminés parune petite pointe d’un brun foncé ; ceux de la croupe 
sont un peu plus longs. L'ensemble de la couleur produite 


par ces poils annelés est un brun fauve, piqueté de brun foncé. 
TOM. x, 1'* PARTIE. 27 


210 DESCRIPTION D ANIMAUX 


La même couleur se prolonge sur le front jusqu’à trois lignes 
du nez. La partie comprise entre la pointe de cet organe et 
l'œil est couverte de poils doux, annelés de blanc et de brun; 
un sourcil blanc régne au-dessus de l'œil. Les joues sont inter- 
médiaires entre la couleur du dos et celle de la partie anté- 
rieure de la face. Les moustaches sont longues, les poils su- 
périeurs sont noirs, les inférieurs blancs. Le tour de la bouche 
et le dessus de la tête sont d’un blanc un peu jaunâtre ; la 
gorge est mélangée de gris et de fauve. Les pattes sont cou- 
vertes en dehors, jusqu’au poignet ou jusqu’au tarse de poils 
gris terminés de jaune; les doigts portent, jusque vers les on- 
gles, des poils uniformément gris. Le dessous du corps et le 
côté interne des membres sont d’un blanc jaunâtre. Les poils 
de la queue sont noirs, sauf dans la moitié basilaire de la 
face inférieure où ils sont blanchîtres. 

Cette espèce est facile à distinguer de tous les autres Echi- 
mys, et il est inutile d’insister sur des différences aussi évi- 
dentes. Je dirai seulement qu'il ne peut y avoir aucune confu- 
sion entre elle et le jeune âge du Cayennensis qui a été connu 
sous le nom de Setosus, car celui-ci a la queue écailleuse ter- 
minée par un pinceau de poils blancs, le ventre d’un blanc 
pur, le tarse plus long, et enfin des poils beaucoup plus voi- 
sins pour leur forme des vrais piquants. 

Depuis la rédaction de ce mémoire, nous avons reçu un 
second individu dont le poil était encore plus soyeux. et la 
teinte générale d’un gris plus pur. Îl avait été tué dans le creux 
d'un rocher, à la Jacobine (dans les montagnes de las Almas, 
province de Bahia). 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 211 


II. DESCRIPTION DE L'OXYMYCTERUS HISPIDUS. 


PI. IV et PI. V, fig. 9— 14. 


Le Rongeur dont il s’agit ici est très-voisin des Rats pro- 
prement dits, il n’a, comme eux, que + molaires à racines, 
dont la couronne présente des caractères très-peu différents. 
Il a aussi, comme les Rats, une arcade zygomatique grèle, 
l'orbite petite, la face amincie. Toutefois, malgré ces analogies 
évidentes, c'est avec raison que M. Waterhouse a séparé ce 
genre de celui des Rats proprement dits, car il en diffère par 
des caracteres essentiels, qui influent certainement sur son 
genre de vivre. 

Le plus saillant de ces caractères est la forme des pattes 
(PL V, fig. 15 et 14) qui sont terminées par des ongles très- 
forts et évidemment propres à fouir. Le doigt médian et le 
suivant du côté externe sont les deux plus grands; celui qui 
correspond à l'index n’est plus court que d’une très-petite quan- 
tité; l’externe et l’interne, surtout ce dernier, sont courts, 
mais terminés tous deux par un ongle aigu analogue à celui 
des autres doigts. 

Les pattes postérieures ont aussi cinq doigts, les trois mé- 
dians sont presque égaux et terminés, comme aux pattes anté- 
rieures, par des ongles solides; l'externe et l’interne sont beau- 
“coup plus petits et ont aussi des ongles aigus. 


212 DESCRIPTION D'ANIMAUX 


Les formes générales de l'animal concordent avec ces ongles 
propres à fouir; il est bas sur jambes et a le poil feutré, assez 
dur. Ces circonstances, jointes à ce qu'il a les oreilles velues. 
la queue médiocre, parsemée de poils plus abondants que 
dans les Rats, et un museau, ainsi que son nom l'indique, 
remarquable par la manière dont il est prolongé en avant, dis- 
tinguent au premier coup-d’œil cette espèce du groupe des Rats 
proprement dits. 

Je le nomme 


OXYMYCTERUS HISPIDUS. Mr. 


Dimensions. 


Longueur du corps mesuré de l'extrémité du 


nez à la base de la queue... 6 pouces — lignes soit 162mm. 
DE MÉA GTS oducogdosce euca. CS 2  »  » 115 
Distance du nez aux yeux ............... — » GTS ». 20 
id. udu.nez aux oreilles: ..:........ : 6.0 r 40 
Longueur des oreilles. ....... san o és — 11200 MIO 
id. du pied antérieur, depuis le carpe 
à l'extrémité des ongles. .... il un 74305 1146 
id. du pied postérieur, depuis le talon 
à l'extrémité des ongles...... 1 » 5 » » 54 
Description. 


Tout le dessus du corps est couvert de poils gris à leur base, 
bruns dans leur milieu et terminés par une petite pointe d’un 
roux vif. Sur la tête ces poils sont roides, relevés en brosse 
sur le nez dont l'extrémité est couverte elle-même d'un velours 


DU MUSÉE DE GENÈVE. 213 
brun; sur le dos, ils sont égaux et serrés. les joues sont d’un 
roux plus vif. Le bout du nez est blanchâtre. l'extrémité de la 
lèvre inférieure est blanche, cette couleur forme en outre une 
petite raie longitudinale sur le menton. Tout le dessous du 
corps est d’un brun grisâtre avec quelques extrémités des poils 
jaunes. Les pattes antérieures sont couvertes en dehors de 
poils d’un brun uniforme, qui vont presque jusqu'aux ongles; 
ceux-ci sont d’un jaune orange. Les pieds postérieurs sont 
aussi bruns et les ongles, plus clairs à leur base, ont une 
tache brune vers l'extrémité. Les poils de la queue sont roides 
et noirs. 

Cette espèce diffère de l'O. nasutus, Wat., Voyage du Bea- 
gle, page 56, par sa queue qui est plus longue et dont les 
poils sont bruns tant en dessus qu’en dessous; par son poil 
plus roux, plus roide et plus hérissé; par sa mâchoire infé- 
rieure d’un blanc pur, etc. 

Depuis que cette description a été envoyée à l'impression, 
M. Wagner a publié dans les Archiv für Naturgeschichte, di- 
rigées par M. Erichson (Année 1849, p. 361), les diagnoses de 
quelques nouvelles espèces de mammifères, parmi lesquelles 
est un Oxymycterus qu'il nomme rostellatus. Cette espèce me 
paraît plus voisine de l'O. nasutus que de la nôtre. Autant 
qu'on en peut juger sur la phrase très-courte par laquelle 
l'auteur la caractérise, l'O. hispidus en diffère par sa couleur 
plus brune en dessous et plus rousse en dessus surtout sur 
la tête et les joues, ainsi que par sa queue un peu plus longue. 
Il ne paraît pas d’ailleurs que l'O. rostellatus ait la lèvre infé- 
rieure blanche. 


EXPLICATION DES PLANCHES. 


PI. I. Necouys picrus réduit de moitié. 

PI. II. Crâne, dentition et pieds de cette espèce. 
Fig. 1. Crâne vu en-dessus. 
Fig. 2. Crâne vu de profil. 

Fig. 5 et 4. Mächoire inférieure. 

Fig. 5. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit. 
Fig. 6. » » » inférieure, côté gauche. 
Fig. 7. Pied postérieur vu en-dessous. 
Fig. 8. Pied antérieur vu en-dessous. 

PI. II. Ecuimys mNERMIS de grandeur naturelle. 

PL. IV. OxYMYCTERUS HISPIDUS  » > 

PI. V. Crâne, dentition et pieds de l’Echimys inermis et de l'Oxymyceterus hispidus. 
Fig. 4 et 2. Crâne de l’Echimys inermis. 
Fig. 5 et 4. Mâchoire inférieure. 
Fig. 5. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit. 
Fig. 6. » » » inférieure, côté gauche. 
Fig. 7. Pied antérieur vu en-dessous. 
Fig. 8. Pied postérieur vu en-dessous. 
Fig. 9 et 10. Crâne de l’'Oxymycterus hispidus. 
Fig. 11. Dents molaires de la mâchoire supérieure, côté droit. 
Fig. 12. » » » inférieure, côté gauche. 
Fig. 13. Pied antérieur vu en-dessous. 
Fig. 14. Pied postérieur vu en-dessous. ? 


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Fig. 1-8. ECHIMYS INERMIS. 


Fig. 9.14 DXYMYC'TERUS HISPIDUS. 




















ESSAI 


LA VÉGÉTATION DE LA NOUVELLE CASTILLE 


M. Reuter. 


(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 17 Février 4842.) 


Le pays que j'ai étudié sous le point de vue botanique com- 
prend la partie nord de la Nouvelle-Castille, depuis l'extré- 
mité de la province de la Manche vers la Guardia, jusqu'aux 
montagnes de Tolède à l’ouest, et à celles du Guadarrama 
au nord de Madrid. 

Cette contrée fait partie de ce vaste plateau qui compose 
tout le centre de la péninsule et s'élève de plus de deux mille 
pieds au-dessus de la mer. Entre les deux Castilles, ce pla- 


216 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


teau est traversé par la chaîne des monts Carpétano-Véton- 
niques, qui s'étendent de l'Est à l'Ouest, depuis les frontières 
de l'Arragon, portent, dans la partie orientale, le nom de 
chaine de Somosierra, puis, au nord de Madrid, celui de 
Guadarrama; plus loin, à l'Ouest, les noms de Sierra de Avila 
et de Grédos, et se réunissent enfin dans le Portugal à la 
Sierra d'Estrell. Ces montagnes très-élevées présentent, vues 
d’une certaine distance, l'aspect de notre Jura; les sommités 
en sont cependant plus découpées, quoique moins dentelées 
que celles des Alpes. 


CLIMAT. 


Le climat de la Nouvelle-Castille, surtout aux environs de 
Madrid, est très-variable à cause de l'élévation du sol et de la 
proximité des montagnes de Guadarrama dont les sommités 
sont couvertes de neige pendant huit mois de l'année. Le ciel 
y est presque toujours serein et du plus beau bleu; l'air y est 
vif, pénétrant et très-sec; il n’y pleut guère qu’en hiver et 
au commencement du printemps ; les brouillards y sont à peu 
près inconnus. Les vents qui y soufflent le plus ordinairement 
sont : celui du Nord, qui s’y fait sentir en hiver, quelquefois 
aussi au printemps et même en été, comme je l'ai éprouvé 
en 1841, où l'été fut beaucoup moins chaud que d'habitude 
à cause de cette circonstance. Ce vent traverse les montagnes 
neigées de Guadarrama, y acquiert une froidure excessive et 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 217 


vient balayer toute la plaine de la Nouvelle-Castille sans ren- 
contrer aucun obstacle qui ralentisse sa vitesse. Au printemps 
et en été règnent ordinairement les vents de l'Ouest et du 
Sud. La température moyenne de Madrid paraît être de 12 
degrés de Réaumur, le froid moyen deO, et la chaleur moyenne 
de 24 degrés au-dessus de 0. Le thermomètre ne descend pas 
souvent au-dessous de moins 5 (quoique en 1809 ont l'ait vu 
descendre jusqu'à 9, et en 1830 à 8). On peut cependant 
patiner presque tous les hivers sur le grand étang du Retiro 
à Madrid même, et la neige couvre souvent la terre pendant 
plusieurs jours. En été, le thermomètre de Réaumur monte 
quelquefois, à l'ombre, de 30 à 53 degrés au-dessus de 0, sans 
le moindre souffle de vent. Le printemps est humide et va- 
riable, et l'automne sec et beau jusqu’en décembre. 

La végétation m'a paru plus avancée d’un mois qu'à Genève: 
à la fin de mars, les arbres étaient déjà à demi feuillés, les 
cerisiers et le lilas de Perse étaient en fleurs, ainsi que la co- 
ronilla glauca, le photinia serrulata, et d'autres plantes qui, 
chez nous, ne peuvent se conserver qu'en orangerie. 


ASPECT DU PAYS. 


L'aspect que présentent les plaines de la Nouvelle-Castille 
est des plus monotones, à cause du manque presque absolu 
d'arbres et de buissons. Ce plateau est tout sillonné de basses 
collines qui le font paraître ondulé. Là, de tous côtés, la vue 

TOM. x, 1'° PARTIE. 28 


218 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


se trouve bornée à une très-petite distance par ces mêmes 
collines nues et pelées, sur le sommet desquelles quelques 
êtres animés ou d'énormes chardons, se détachant sur le bleu 
du ciel, paraissent gigantesques au spectateur placé au-des- 
sous. 

Pour bien se faire une idée de l'aspect assez singulier de 
la végétation du plateau central des Castilles, il faut distin- 
guer les différentes sortes de terrains dont il se compose et 
dont les environs de Paris présentent justement tous les evem- 
ples. On peut y distinguer quatre sortes de terrains, l'argi- 
leux, le gypseux , le sablonneux et le terrain granitique ou 
primitif. 


TERRAIN ARGILEUX. 


Les terrains argileux s'étendent au midi de Madrid et for- 
ment la majeure partie des plaines de la Manche; ils sont 
compactes et très-tenaces dans les temps humides; les voitures 
y creusent alors de profondes ornières. Pendant la sécheresse, 
leur surface se fendille et prend en se divisant la couleur et 
l'aspect des cendres. Les routes se couvrent alors d’une pous- 
sière impalpable qui reste longtemps suspendue dans Fair 
comme une espèce de brouillard. C’est dans cette sorte de ter- 
rain que les eaux se creusent de profonds ravins, et quelque- 
fois de larges dépressions, comme on le voit surtout aux en- 
virons de la Guardia et d’Aranquez. 

Dars- ce dernier endroit, une belle et fertile vallée de plus 
d'une lieue de largeur dont le fond est de terrain d’alluvion et 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 219 


qui est entourée de hautes collines gypseuses, paraît avoir été 
formée par les eaux des deux fleuves qui la parcourent encore, 
le Jarama, qui vient des montagnes de Guadarrama et qui 
roule ses eaux limpides sur un fond de sable et de cailloux, 
et le Tage qui prend sa source dans les montagnes de l'A 
carria et promène lentement ses eaux profondes, jaunâtres et 
chargées de brillantes paillettes de mica parmi les bosquets 


des demeures royales. 


TERRAIN GYPSEUX. 


Ce terrain qui est toujours associé aux terrains argileux, y 
forme ordinairement des collines plus ou moins abruptes, éle- 
vées de quelques centaines de pieds seulement, où la pierre 
de gypse plus ou moins pure et cristallisée, disposée par cou- 
ches régulières, rend un son caverneux sous les pas et se cou- 
vre en certains endroits d’efflorescences salines. Ces collines 
sont sillonnées de profonds ravins ou petites vallées étroites, 
au fond desquelles coulent quelques faibles ruisseaux alimentés 
par les pluies de l'hiver, et où l'on se croirait transporté dans 
les Alpes en miniature. C’est surtout entre Ocanna et Aran- 
juez, et au midi de cette dernière ville, que ces collines sont 
le plus remarquables : là, elles forment un vallon dont le fond 
est occupé par un petit lac nommé dans le pays el Mar de 
Ontigola; il est alimenté par un ruisseau, venant en partie 
d’une source qui sort au pied d’un côteau sur lequel est bâti 
le village d’Antigola, et en partie des collines d'Ocanna. Ses 
eaux sont retenues par un grand mur en maçonnerie, et de là 


220 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


distribuées dans des canaux pour arroser les bosquets d’A- 
ranjuez. Les eaux de ce lac, légèrement sablées, se dessèchent 
en grande partie par les chaleurs de l'été, et ses bords vaseux 
se couvrent alors de plusieurs Chénopodées maritimes. En 
quelques endroits de ces collines qui sont très-saliferes, on a 
creusé des puits pour extraire le sel; au lieu appelé la Mina, 
on voit même une petite galerie qui se dirige vers le centre 
de la colline et d’où s'échappe un filet d’une eau limpide et 
très-salées dont les bords se couvrent d’abondantes efflores- 
cences salines. 

Ces collines s'étendent encore en remontant vers le Nord 
le long du Jarama et du Rio Henares jusque vers Alcala, et 
on les voit finir en monticules isolés dans la plaine argileuse 
qui s'élève insensiblement jusqu’à Madrid; les plus basses for- 
ment des espèces d'ondulations où se cachent de rares villages. 


TERRAIN SABLONNEUX. 


Toute la partie de la plaine au nord et au couchant de 
Madrid jusqu'aux montagnes, est formée par un sable à gros 
grains, Sans pierre ni cailloux, et dont la surface se durcit 
par la sécheresse au point qu'il est assez difficile d'y arracher 
même de très-petites plantes. Les eaux sont très-rares dans 
cette partie de la plaine, et le fameux Manzanares, tant vanté 
par les poëtes espagnols, ne doit sa célébrité qu'à cette cir- 
constance. Il prend naissance à sept lieues de Madrid dans 
les montagnes de Guadarrama, près du village de Manzanares 
el Real, et, coulant du Nord-Est au Sud-Ouest, il traverse le 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 291 


Pardo, laisse à droite les collines de la Caza del Campo, à 
gauche celles de la Honcloa et la ville de Madrid dont il baigne 
le pied, et vient s'unir au Jarama à environ sept lieues de sa 
source. Ses eaux, claires et cristallines, coulent sur un lit de 
sable fin : elles sont assez abondantes pendant l'hiver, où elles 
sont alimentées par les neiges des montagnes; mais en été, 
elles disparaissent presque entièrement en s’enfonçant sous le 
sable de son lit, de sorte qu'on peut le traverser complétement 
à sec en certains endroits. Ces eaux servent merveilleusement 
au blanchissage du linge qui nulle part ne devient aussi blane 
qu'a Madrid ; et ce sont les seules de cette capitale qui puissent 
dissoudre le savon. Celles qu'on emploie pour boire, provien- 
nent toutes de quelques sources amenées de collines environ- 
nantes. Quelques autres petits ruisseaux coulent pendant l'hiver 
au milieu des champs dans les petits vallons formés entre les 
basses collines, et roulent, sur un lit de sable nivelé, quelques 
pouces d’eau qui disparaissent à l'approche des premières cha- 
leurs. 


TERRAIN GRANITIQUE, SIERRA DE GUADARRAMA. 


Le terrain granitique forme la chaîne des monts Carpétano- 
Vétoniques et commence à sept ou huit lieues de Madrid. La 
charpente de ces monts est composée d’un granit grisâtre à 
gros grains, parmi lesquels on distingue des noyaux d’un granit 
plus dur et plus noir, dont la grosseur varie de celle d’une 
noisette à celle d’une grosse pomme. Ce granit se montre déjà 
à trois ou quatre lieues de Madrid, où il se présente d’abord 


299 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


sous la forme de blocs épars, puis de masses plus ou moins 
considérables, et enfin de monticules isolés qui forment des 
chaïnons détachés de la Sierra. Les cimes dentelées de ces mon- 
tagnes sont couvertes de neige pendant plus de huit mois de 
l'année, surtout vers la Laguna de Grédos dans la chaîne de 
même nom, où elle forme de grands amas qui ne fondent ja- 
mais. Ces montagnes n'ont point été mesurées d’une manière 
exacte, mais on peut évaluer la hauteur moyenne des cols qui 
les traversent de 4500 à 5500 pieds. Les plus hautes som- 
mités telles que Pennalara, entre la vallée du Panlar et la 
Granja, etles Siete Picos ainsi dénommés du nombredes pointes 
qui les composent, la Plaza del Moro dans la Sierra de Grédos, 
varient de 7 à 8000’ de hauteur au-dessus de la mer. Ces som- 
mités, ainsi que les plus basses de la chaîne, ont souvent une 
forme arrondie et assez monotone. La neige persiste sur les 
plus élevées pendant tout l'été, sous forme de taches plus ou 
moins étendues, mais cette chaîne ne compte aucun véritable 
glacier. Parmi les cols par lesquels on se rend de la Nouvelle 
à la Vieille-Castille, ceux de Somosierra et du Guadarrama sont 
les plus faciles et sont praticables presque toute l'année; celui 
de Nava Cerrada, pour aller de Madrid à Ségovie par la 
Granja, est fermé tout l'hiver; quelques autres ne sont prati- 
quables que pour les mulets. Ces montagnes ont des vallées 
belles et assez larges, parcourues par de petites rivières, sou- 
vent boisées, et souvent aussi fraîches que celles de notre 
pays. Les principaux cours d’eaux sur le versant méridional 
sont : le Jarama, le Manzanares, le Guadarrama et l'Alberché. 

C'est ici le cas de dire un mot des montagnes de Tolède, 


DE LA NOUVELLE CASTILEE. 293 


situées à 20 lieues environ au sud de Madrid et formées aussi 
de ce même granit. Leur élévation est beaucoup moins consi- 
dérable, elle est de deux mille pieds au plus au-dessus des 
plaines, et la neige y disparaît à peu pres en même temps 
que sur le plateau. 

Le terrain calcaire ne figure pas dans cette énumération. 
Il ne se présente pas autour de Madrid et ne commence qu’as- 
sez loin à lorient, du côté des montagnes de Guadalaxara et 
de Cuenca. Je ne l'ai vu qu'en passant sur la route de Madrid 
à Sarragosse, et, pour ne pas revenir sur sa végétation, Je dirai 
qu'elle ressemble assez à celle des parties incultes de la Cata- 
logne. De nombreux buissons de Romarin, de Quercus cocci- 
fera et de Lavandula spica s'y trouvent associés assez singu- 
lièrement à l'Arbutus Uva Ursi de nos montagnes. 


ASPECT DE LA VÉGÉTATION. 


La culture des champs sur le plateau, considérée en géné- 
ral, consiste presque entièrement en froment et en orge. On 
y voit très-rarement un peu d'avoine et de seigle; ce dernier 
se coupe en vert, ou on le fait brouter sur place par les chè- 
vres. Le blé ne s'élève guère dans les lieux sablonneux à plus 
de deux ou trois pieds, il est ordinairemenf très-clair-semé ; 
mais, dans les terrains argileux, on le voit atteindre environ 
quatre pieds de hauteur. Outre ces céréales, on cultive com- 


22% ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


munément comme fourrage. dans les parties les plus sablon- 
neuses, la V’icia monantha, connue dans le pays sous le nom 
d'Algarroba ; ainsi que le Pois chiche où Garbanzo qui forme 
un des meilleurs produits du sol. On exporte cette denrée 
dans les autres provinces de l'Espagne, et cette circonstance a 
valu à la Castille le surnom de fierra de Garbanzos. Dans les 
endroits abrités, on cultive quelques vignes. L’olivier y vé- 
gète aussi, mais assez misérablement, et n’y atteint point ces 
proportions et cette luxuriance qu’on lui voit sur tout le lit- 
toral de la Péninsule. 

On ne voit point dans ce pays de véritables prairies; les 
bords du Manzanares présentent seuls en certains endroits 
des lieux herbeux, mais un peu marécageux et couverts par 
places d'énormes touffes piquantes de Juncus acutus et de 
Scirpus holoschænus. Partout ailleurs, l'herbe tendre, formée 
par de petites légumineuses et graminées annuelles, est bien- 
tôt remplacée par d'horribles plantes épineuses, telles que : 
Centaurea Calcitrapa, Eryngium campestre, Ononis spinosa, 
Xanthium spinosum. etc. À l'exception de ces végétaux et d’au- 
tres analogues qui persistent plus tard, on peut dire qu’à la 
fin de juin la floraison a presque entièrement cessé sur le pla- 
teau. Le commencement de mars est l'époque de son réveil 
général. 

La végétation arborescente est rare et peu variée aux envi- 
rons de Madrid; c’est un résultat de la sécheresse et de la 
stérilité du sol; car à Aranjuez, dans la vallée arrosée par le 
Tage, on voit des arbres magnifiques et des bois assez éten- 
dus, mais qui ont été plantés par la main de Fhomme. Sur les 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 225 


collines sablonneuses de la Casa del Campo, et du Pardo, dans 
des parcs entourés de murailles et, par conséquent, à l'abri des 
dévastations, on voit encore les restes des forêts dont les an- 
ciennes chroniques font mention, et qui paraissent avoir été 
communes aux environs de Madrid. Ces bois très-clair-semés 
sont formés principalement par le Chêne-vert Quercus Ilex, 
petit arbre rabougri et qui produit du pied une grande quantité 
de rejetons, et par quelques autres espèces de chênes, tels 
que À. Toza, Suber et Cerris; ce dernier peut être natura- 
lisé, ainsi que quelques pieds du Pinus Pinea. Parmi ces ar- 
bres croissent abondamment, dans les lieux découverts. le Re- 
tama Sphœærocarpa et le Sparlium scoparium qui servent à 
chauffer les fours. Les bords des ruisseaux sont quelquefois 
ombragés par les Salix alba et fragilis, Populus alba et nigra, 
Ulmus campestris, et par un joli Frêne, le F. angustifolia 
Vahl., espèce rare, particulière à l'Espagne, et dont le port res- 
semble assez à celui de nos saules par l'habitude qu'on a d’en 
couper régulièrement les branches à diverses époques. Entre 
ces arbres croissent quelques autres espèces de saules plus 
petits, les Salix monandra, triandra et cinerea ? Ajoutez à ces 
arbustes les Tamarix gallica, Cratægus oxyacantha, Rosa ca- 
nina et rubiginosa avec le Rubus fruticosus et l'Osiris alba, 
vous aurez la liste à peu près complète des arbres et des ar- 
bustes spontanés dans les plaines (1). 


(1) Depuis quelques années l'administration s’est beaucoup occupée de la plan- 
ation d'un grand nombre d'arbres sur les promenades, tant dans l’intérieur de 
Madrid qu'à l'extérieur. Partout on en arrose le pied au moyen de petites rigoles 

TOM. X, 17° PARTIE. 29 


226 L ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 

La végétation des terrains argileux est caractérisée, dans 
les lieux cultivés, par les plantes suivantes : Brassica orien- 
talis; Lathyrus erectus Lag.; Turgenia latifolia; Glaucium 
corniculatum; Polygonum Bellardi, etc. Plus tard ces plantes 
sont remplacées par des espèces plus robustes et généralement 
épmeuses, telles que : Cirsium acarna, Scolymus maculatus et 
hispanicus. (On mange bouillies les jeunes côtes des feuilles ra- 
dicales de cette dernière, sous le nom de Cardillo.) Xanthium 
spinosum et strumarium; le bel Onopordum nervosum Boiss.. 
qui se montre souvent en longue file au bord des champs et 
dans les lieux incultes; enfin, vers la fin de l'été, ces mêmes 
champs sont couverts par la Momordica Elaterium | aux 
feuilles glauques et rudes, qui fleurit depuis le printemps jus- 
qu'en automne, et dont les fruits d'abord pendants sur leurs 
pédoncules, se redressent un peu au moment de la maturité, et 





alimentées par les eaux des fontaines ou par celles qu’on tire des puits au moyen de 
l'ingénieuse et simple machine inventée par les Arabes, et connue sous le nom de 
Noria. Parmi les espèces d’arbres qui paraissent le mieux réussir, il faut compter, 
les Catalpa, Robinia pseudoacacia, Melia Azedarach, et surtout les Gledischia tria- 
canthos et Sophora japonica ; ce dernier frucuifie abondamment. Enfin, je citerai 
encore quelques plantes moins communes cultivées en pleine terre au jardin bo- 
tanique, pour donner une idée de la température des hivers: Solanum Bonariense, 
Nerium Oleander, Punica Granatum, Pistacia vera, Vucca gloriosa et aloefolia, Aca- 
cia Farnesiana et torquata, Cassia corymbosa, Melianthus comosus ; et contre les 
murs Cactus Opuntia, et Peruvianus, Agave americana. 1| s’est naturalisé dans le 
même jardin les espèces suivantes : Hoffmansegqia falcaria, Solanum leprosum Ort., 
Pascalia glauca, Asparagus verticillatus, Chenopodium scoparium et mulüifilum L., 
Nicotiana scabra Ort., Ehrarta panicea, et, contre les serres, en grande quantité, 
le Mesembryanthemum eristallinum . 


D RQ 7 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 227 


s’échappent enfin naturellement ou à la moindre secousse, en 
lançant au loin les semences et le suc dont ils sont remplis. 
Le Croton tinctorium est aussi très-abondant dans ces mêmes 
terrains; on pourrait facilement le recueillir afin d’en préparer 
le tournesol, pour la fabrication duquel on cultive cette plante 
dans le Midi de la France. Dans quelques parties de ces ter- 
rains où dominent les matières salines, on cultive la Salsola 
soda pour en extraire la soude, et l'on y observe aussi quel- 
ques espèces maritimes, telles que les Atriplex palula et rosea, 
Frankenia pulverulenta, Chironia spicata, etc. Mais c'est sur- 
tout sur les bords du lac d'Ontigola, près d'Aranjuez, qu'on 
trouve cette végétation maritime dans tout son développement. 
Là croissent : Ærenaria marina ; Slatice echioïides ; Poa littoralis 
et Hordeum marilimum; les Suæda setigera, maritima et 
frulicosa, et la Salicornia herbacea, mélées à bien d’autres. Les 
espèces des genres Suæda et Salicornia se plaisent surtout le 
long des petits filets d’eau salée provenant des collines envi- 
ronnantes. Les bords des canaux qui conduisent les eaux de 
ce lac à Aranjuez, sont ornés de belles touffes des Lavatera 
triloba, Sonchus crassifolius Pourr., Cochlearia glastifolia, Le- 
pidium latifolium, Gypsophila perfoliata; Y AllhϾa officinalis 
surtout occupe souvent de grands espaces partout où il se 
trouve de l'humidité. Les parties incultes et les monticules de 
ces mêmes terrains sont couverts des touffes aromatiques des 
Thymus tenuifolius, Teucrium capitatum, Sideritis hirsuta, 
entre lequelles se trouvent : Queria hispanica, Minuartia cam- 
pestris, Cynosurus Lima, Stipa barbata, Echinops strigosus. 
Astragalus machrorhizus Cav.. et Narbonensis ; cette dernière 


D 


298 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


espèce se fait remarquer de loin par ses beaux épis de fleurs 
jaunes. C’est dans ces parties argileuses, près du Cerro negro 
que j'ai trouvé une superbe espèce de Cynara, notre C. Tour- 
nefortii, qui présente un capitule de fleurs bleues aussi grand 
que celui du Cardon ordinaire, sessile au centre d’une grande 
rosule de feuilles radicales. 

Le terrain gypseux des collines produit une végétation as- 
sez différente, fort remarquable, et qu'on retrouve dans tout 
l'Arragon. Les pentes souvent abruptes, sont couvertes des 
touffes des Frankenia thymifolia, Peganum Harmala, Lepi- 
dium subulatum et Cardamines, Zollikoferia chondrilloïides, 
Gypsophila struthium, ainsi que del Helianthemum squamatum 
au feuillage argenté, et de la Salsola vermiculata, qu'on re- 
trouve jusque dans l'intérieur de Madrid. 

Le S{atice dichotoma Cav., y étale ses légères panicules pa- 
nachées de bleu et de blanc. On y observe aussi la Centaurea 
hyssopifolia Vahl, aux grosses touffes en forme de balai, et très- 
fragiles, quelques petits arbustes tels que l'/beris subvelutina 
Lag., la V’ella pseudo-cylisus, remarquable dans la famille des 
cruciferes en ce qu'il forme un petit arbre de trois à quatre 
pieds de hauteur au tronc ligneux de quelques pouces de cir- 
conférence; enfin, l'Herniaria fruticosa très-petit sous-arbris- 
seau tortueux, grisâtre, de la hauteur de la main, à fleurs à 
peines visibles. Les parties sablonneuses et caillouteuses du 
sommet de ces mêmes collines sont couvertes par la Stipa te- 
nacissima, qui forme des touffes compactes, et dont les lon- 
gues feuilles jonciformes servent à un grand nombre d'usages 


$ 
domestiques. On les arrache en tordant leur extrémité autour 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 229 


d'un bâton court tenu horizontalement par les deux bouts. 
Cette graminée, une des plus utiles de l'Espagne méridionale, 
où elle est très-commune ainsi qu'en Barbarie, a, dans les en- 
virons d'Aranjuez, la limite septentrionale de son aire. Entre 
ces Slipa on trouve une jolie Fritillaria, la Messanensis de 
Gussone, le Romarin, plusieurs Hélianthèmes, la Pimpinella 
dichotoma, ete. De loin en loin on remarque quelques buissons 
plus volumineux formés par le Quercus coccifera. le Rhamnus 
lycioides, le Relama sphærocarpa, le Bupleurum  frutes- 
cens, etc. 

Les parties sablonneuses sont particulièrement riches en 
cruciferes ; elles sont peut-être là plus nombreuses en espèces 
et en individus que dans aucune autre contrée, el, au prin- 
temps, mélées aux céréales, elles dorent de grands espaces. 
Ce sont entre autres les Diplotaxis virgata et catholica, Si 
symbrium contortum, et hirsutum Lag., Brassica lœvigata et 
Valentina, Sinapis heterophylla Lag., dont la couleur bril- 
lante se mêle au bleu des Ærchusa undulata et Italica, ainsi 
qu'à l'Echium violaceum, au blanc des Anthemis arvensis, 
mixla et pubescens, et au rouge des coquelicots et de la Hal- 
comia palula. Entre ces plantes s’en trouvent d’autres aussi 
intéressantes, quoique moins apparentes, par exemple, Hype- 
coum grandiflorum et pendulum, Rœmeria hybrida, Cerastium 
dichotomum, Veronica digitata, Aphanes cornucopioides, et les 
jolies Linaria hirta, spartea et ramosissima Boïss. Cette der- 
nière, qui remplit quelquefois des champs entiers, se fait re- 
marquer par une douce odeur de giroflée jaune. Enfin, en 
automne, quand toute autre végétation a disparu, ces mêmes 


230 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


champs se couvrent des fleurs jaunes du Tanacelum micro- 
phyllum. DC. 

Les parties incultes des collines sablonneuses sont carac- 
térisées par une végétation ligneuse et rabougrie, d’une teinte 
grisâtre, connue dans le pays sous le nom de Tomillares, du 
nom espagnol Tomillo, donné aux diverses espèces de Thym. 
Ce sont des landes ou garrigues entièrement couvertes des 
Thymus tenuifolius et Mastichina, Santolina rosmarinifolia. 
Lavandula pedunculata, jolie espèce particulière au plateau 
central, dont les nombreux épis, surmontés de grandes bractées 
violettes, forment au mois de mai, de magnifiques tapis, entre 
lesquels croissent de petites plantes annuelles, telles que les 
Astrolobium durum, Campanula Lœflingiana, Myosotis lutea, 
Pyrelhrum pulverulentum Lag., Prolongoa peclinata Boiss.; 
quelques petites espèces d'Helianthèmes dont deux remarqua- 
bles et rares, le sanguineum Lag., et l'Ægyptiacum ; de jolies 
graminées. Parmi ces dernières, on en remarque de rares, par 
exemple : Aira involucrala, Cav.. minuta, L., lendigera Lag., 
articulata, Desf., Holcus setiglumis B. et R., Bromus ovatus, 
Psilurus arislatus, Hordeum crinitum, etc. Toutes ces petites 
plantes disparaissent au commencement de l'été, et sont alors 
remplacées par des végétaux plus robustes, tels que : f’erbas- 
cum sinualum et pulverulentum, Ruta montana, Onopordum 
Illyricum, Centaurea ornata, et par de grandes espèces d’om- 
bellifères, telles que Thapsia villosa, Margotia laserpilioïdes 
Boiss., Daucus crinitus, Magydaris panacina et Pimpinella 
villosa. 


La végétation des terrains granitiques, qui est celle des 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 231 
montagnes, n'offre pas de transition bien sensible avec celle 
des terrains sablonneux que nous venons de mentionner. Les 
mèmes Tomillares ou landes incultes s'étendent au pied des 
montagnes et s’y élèvent jusqu'à une certaine hauteur, se com- 
posant toujours des plantes de la plaine mêlées à quelques au- 
tres espèces, mais on n’y remarque pas cette différence complète 
de végétation qui caractérise nos montagnes. [ci l'on distingue 
à peine deux zones de végétation, la première depuis le pied 
jusqu'à moitié de la hauteur (4000 pieds environ au-dessus 
de la mer) et la seconde de là jusqu'au sommet. 

Dès qu'on arrive au terrain granitique, à quelques lieues du 
pied de la Sierra, on trouve les rochers et les monticules dont 
J'ai déjà parlé. Le pays devenant plus frais et plus arrosé, on 
y rencontre un assez grand nombre des plantes communes du 
centre de l'Europe, qu’on chercherait vainement ailleurs dans 
la plaine. De grands espaces entourés de petits murs en pierres 
sèches, renferment une sorte de pâturages connus sous le nom 
de Dehesa, où l'on élève des troupeaux, surtout des bœufs et 
de jeunes taureaux, qui passent là toute la belle saison comme 
à l’état sauvage. Dans ces enclos garantis de la dent dévasta- 
trice des moutons, la végétation est assez vigoureuse et variée ; 
pour l'ordinaire ce sont des taillis du Quercus Toza aux feuilles 
caduques et blanchâtres, mêlés à quelques pieds du Q. fagi- 
nea. Dans les parties un peu humides près des ruisseaux, on 
retrouve le joli Fraxinus angustifolia Vahl., avec les Salix 
triandra et cinerea; contre les murs et les rochers s'élèvent 
en buissons, le Jasminum fruticans, le Lonicera Etrusca, les 
Daphne Gnidium et Juniperus oæycedrus. Mais, parmi tous 


232 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 
ces arbrisseaux, le superbe Cistus ladaniferus attire de loin 
les regards par ses belles fleurs blanches, souvent tachées de 
pourpre à la base des pétales. Là se trouvent quelques plantes 
curieuses, l'Hispidella, par exemple, qui ressemble un peu à la 
Piloselle avec ses capitules d'un jaune de soufre dont le centre 
est d’un pourpre brun; cette plante doit former le type bien 
caractérisé d’une nouvelle sous-tribu des chicoracées; le Cau- 
calis hispanica Lam. plante très-singulière, qui n'avait pas été 
observée depuis les anciens botanistes, et qui constitue un 
genre nouveau d'ombellifères; un Joli Silene nouveau, à 
grandes fleurs roses; notre $. Ægrostema, B. et R., et enfin 
une très-belle espèce de Pæonia, notre P. Broteri, à grandes 
fleurs pourpres et odorantes. Contre les rochers et les murs, 
on voit de belles touffes de la Digitalis thapsi, plante qui pa- 
raît particulière aux parties inférieures de cette chaîne de la 
Péninsule, le Dianthus Lusitanus, dont les tiges nombreuses et 
effilées sont employées pour faire des balais, l'Antirrhinum 
Hispanicum Chav., à grandes fleurs pâles, ressemblant un peu 
à notre majus, enfin une grande graminée, peut-être la plus 
belle de l'Europe, la Macrochloa arenaria, aux grandes pani- 
cules de fleurs d’un éclat métallique, et dont chacune est lon- 
gue de plusieurs pouces. Dans les parties humides et her- 
beuses de ces mêmes pâturages, on trouve quelques orchidées 
de nos contrées, mélées aux Serapias lingua et longipetala, 
au Gladiolus communis et à ris xyphium. 

Lorsqu'on s'élève sur la montagne, cette même végétation 
des Tomillares des environs de Madrid. accompagne le bota- 
niste jusqu’à une grande hauteur, entre-mêlée de bosquets de 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 233 
chêne Tauzin, parmi lesquels on voit de belles touffes de 
l'Arenaria montana, le Bunium denudatum, la Valeriana tu- 
berosa, la Scilla nutans, et une nouvelle espèce de renoncule 
notre À. Carpetanus. On voit aussi, surtout en montant au 
Puerto de Nava Cerrada, de grands espaces couverts du Cis- 
tus laurifolius qui se distingue de loin par son feuillage noï- 
râtre. 

À mi-hauteur (vers 4000 p. environ) commence la deuxième 
région caractérisée par les Genéts, particulièrement le G. pur- 
gans, qui forme des buissons arrondis et sans feuilles, se cou- 
vrant d'une multitude de fleurs jaunes et odorantes; il est si 
abondant qu'il recouvre, presque à lui seul, toute la partie 
supérieure de la montagne, laissant à peine croître quelques 
pieds de genévriers, et de l'Adenocarpus hispanicus, superbe 
arbuste à feuilles toujours vertes et à grandes fleurs d'un jaune 
orangé, sur lequel mon ami le professeur Graells a trouvé la 
véritable Cantharide. Entre ces arbustes, on voit çà et là quel- 
ques jolies plantes; un petit Narcisse à fleurs jaunes, notre 
Narcissus apodanthus ressemblant un peu à la Jonquille, l 4ra- 
bis Boryi Boiss., les Linaria delphinoïdes Lag., et saxatilis 
Chav., et une espèce nouvelle de ce dernier genre, notre L. 
nivea à grandes panicules de fleurs blanches striées de violet, 
les Senecio Tournefortii et Duriœi Gay. — Les parties cul- 
minantes qui ne sont pas envahies par les Genêts, sont cou- 
vertes d’une herbe dure et glissante, formée par la Festuca 
curvifolia Lag., entre laquelle croît en touffes élégantes la 
Statice juniperifolia Vahl., semblable pour le port à la Statice 


echinus et dont les jolis capitules de fleurs roses rappellent 
TOM. X, 1'€ PARTIE. 30 


234 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


celles de l'Androsace carnea. Contre les rochers des hautes 
sommités, on trouve les Saxifraga nervosa et hypnoïdes, les 
Sedum hirsutum et brevifolium, et YUmbilicus pendulinus qui 
habite également les murs et les toits de Madrid. 

Dans les lieux humides, pres des ruisseaux, le Vardus 
stricla forme des gazons serrés et d’un beau vert, parmi les- 
quels on ne retrouve guère que la Pedicularis sylvatica, une 
Jasione nouvelle, J.Carpetana Nob.. et une Véronique à fleurs 
bleues ressemblant à la 7’. serpyllifolia. 

Ce qu'il y a de remarquable dans la végétation de cette zone 
de la partie supérieure, c’est de trouver dans une région aussi 
alpine, près de grands amas de neige, les plantes annuelles de 
plaine sablonneuse de Madrid, par exemple : Teesdalia Lepi- 
dium, Hyoseris minima, Scleranthus annuus, Herniaria glabra, 
Myosotis lutea, Bromus ovatus Cav., Ortegia Hispanica, ete., 
tandis qu'on n’y voit que bien peu d'espèces qu'on puisse vraï- 
ment appeler alpines. 

Au revers nord de la Sierra de Guadarrama, surtout dans 
les environs de la Granja, du Paular et de San Rafael, on voit 
d'assez belles forêts formées de Pinus Sylvestris ; elles recou- 
vrent des sommités arrondies et de profondes vallées. Sous ces 
pins parmi des tapis composés de mousses communes crois- 
sent les Narcissus Bulbocodium, pulchellus Salisb. et apodan- 
thus Nob. mêlés à la Gagea polymorpha Boiss. et à notre Ra- 
nunculus Carpelanus qui est très-répandu dans toute cette 
chaîne. Le Pleris aquilina y couvre de grands espaces, et si- 
mule de loin de fertiles pâturages. Cette plante qui s'établit 
de préférence dans les lieux qu’on a défrichés, y exclut pres- 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 235 


que toute autre végétation. Les bords des torrents sont ornés 
par l'EÉrica arborea qui remonte jusque dans la région alpine, 
les Adenocarpus Hispanicus et Genista florida Linn., arbus- 
tes très-élégants qui figureraient agréablement dans nos bos- 
quets, le premier par ses beaux bouquets de fleurs d’un jaune 
d'or, et le second par un port semblable à celui d’un saule, 
s'élevant jusqu’à dix ou douze pieds, et dont les rameaux effi- 
lés, couverts de feuilles simples et soyeuses, sont terminés par 
de longues grappes de fleurs jaunes et unilatérales. Les bords 
des petits ruisseaux sont embellis par la Saxifraga granulata, 
l'Hypericum undulatum Schousb. , la Campanula hederacea, 
l’'Anagallis tenella, et deux nouvelles espèces de Galium, G. 
Broteri et rivulare Nob. 

La Sierra de Grédos qui forme la partie la plus occidentale 
et la plus élevée de cette chaîne, et que je n'ai visitée qu'à la 
fin de l'été, présente peu de différence dans la végétation avec 
celle de Guadarrama. Cette monotonie et ce peu de variété 
dans les espèces y est encore plus évidente. L’Erica tetralix, 
le Senecio artemisiæfolius , le Genista falcata Brot. et quel- 
ques autres plantes y indiquent déjà l'approche de la région 
océanique. 

Les montagnes situées au midi de Tolède, quoique beau- 
coup moins élevées, paraissent plus intéressantes sous le point 
de vue botanique. F'y ai trouvé quelques espèces nouvelles, en- 
tre autres un Sarothamnus à fruits laineux, un nouvel œillet, 
et une belle centaurée à capitule jaune et presque radical. Jy 
ai aussi observé bon nombre d'espèces lusitaniques, telles que 
Bupleurum paniculatum Brot., Helianthemum Ocymoïdes, Ori- 


236 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


ganum virens ; maïs il faudrait les visiter avant la fin de juillet, 
époque à laquelle je les ai parcourues. Cette chaîne, d’une très- 
grande largeur, se compose d'une multitude de mornes arron- 
dis et d'une hauteur assez uniforme, couverts de ce que les 
Espagnols appellent Monte baxo, c'est-a-dire de chênes nains 
de plusieurs espèces entremêlés d’autres arbustes. 

Pour résumer la végétation des montagnes, un bien petit 
nombre d'espèces se trouvent à la fois au Guadarrama et dans 
les Alpes. Ce sont, par exemple, Saxifraga stellaris, Ane- 
mone alpina, Geranium sylvaticum, Epilobium montanum, Ga- 
lium rotundifolium, Viola palustris, Drosera rotundifolia, Par- 
nassia palustris, Oxalis acetosella, Sanicula europæa, Thymus 
alpinus, Oxyria digyna, Nardus stricta, Gentiana lutea, Po- 
bygonum bistorla. Toutes ces plantes dont la plupart sont as- 
sez peu répandues, se retrouvent dans les Pyrénées; et, enou- 
tre, le Guadarrama produit encore les espèces suivantes com- 
munes à cette dernière chaîne et aux Asturies qui n’en sont que 
la continuation : Umbilicus sedoïdes, Genista purgans, Saxi- 
fraga nervosa, Eryngium Bourgati, Senecio Tournefortii, Ceras- 
lium ramosissimum, Merendera Bulbocodium, Narcissus Bul- 
bocodium, Scilla umbellata, Vicia pyrenaïca, Sedum brevifo- 
lium, Nepeta latifolia. Celles qui sont plus particulières aux 
Asturies sont les suivantes: Silene legionensis, Genista alba, 
Angelica lœvis, Linaria Perezi et delphinoïdes Gay, et Se- 
necio Duriæi; ce dernier se trouve aussi à la Sierra Nevada 
dans le royaume de Grenade. 

Il y a beaucoup moins d’analogie entre le Guadarrama et les 
montagnes du Midi de l'Espagne, la Sierra Nevada; par exem- 


DE LA NOUVELLE CASTILLE, 237 


ple, chose singulière, toutes les espèces qui sont communes à 
ces deux chaînes se retrouvent aussi dans les Asturies et les 
Pyrénées. 


CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES. 


Les plantes phanérogames que j'ai recueillies ou observées 
sont au nombre d'environ 1,250. Je donne ici quelques détails 
sur la proportion numérique de quelques-unes des principales 
familles naturelles, comparée à ceux que l'on trouve dans les 
flores de quelques pays voisins. 

Les Crucifères dans les environs de Madrid forment le quin- 
zième de la flore totale; tandis que, dans l'Espagne méridio- 
nale, d’après M. Boissier, elles forment le dix-huitième; aux 
Baléares, d’après M. Cambessedes, le trente-deuxième; et, 
dans l'Allemagne et la Suisse, selon M. Koch, le dix-septième. 
Les Légumineuses, le onzième ; dans le royaume de Grenade, le 
neuvième; aux Baléares, le septième; en Allemagne, le qua- 
torzième. Les Ombellifères, le dix-neuvième; dans le royaume 
de Grenade, le dix-neuvième; aux Baléares, le vingt-sixième ; 
en Allemagne, le vingtième. Les Composées, le huitième; dans 
le royaume de Grenade, le septième; aux Baléares, le neu- 
vième; en Allemagne, le septième. Les Scrophularinées et les 
Labiées ; chacune de ces deux familles forme en Castille, le 
vingt-deuxième ; en Andalousie, les Scrophularinées forment le 


238 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 
vingt-septième; aux Baléares, le quarante-troisième; en Alle- 


magne, le vingt-deuxième; tandis que les Labiées forment en 


5 
Andalousie le vingtième; aux Baléares, le vingtième: et, en 
Allemagne, le vingt-neuvième. Enfin, les Graminées, le di- 
xième; en Andalousie, le treizième; aux Baléares et en Alle- 
magne, le treizième. 

La proportion des Monocotylédones aux Dicotylédones dans 
le pays que J'ai exploré, est de 1 à # #5; tandis qu'à Zante, 
elle est de { au 3 *0 et, dans la flore d'Allemagne et de Suisse, 
elle est de 1 à 35 %o aussi. 

Ces proportions nous mènent à ce résultat, c'est que la 
flore du centre de l'Espagne, a plus d’analogie avec celle du 
centre de l'Europe qu'avec celle des pays méditerranéens si- 
tués sous les mêmes latitudes. On voit, en effet, que la pro- 
portion des familles diffère peu de celle qu'on observe en Al- 


lemagne et en Suisse, et beaucoup plus de celle des Baléares. 


8 
La hauteur du plateau central au-dessus de la mer rend suffi- 
samment compte de cette particularité. Les Monocotylédones 
sont aussi en minorité remarquable par rapport aux Dicotylé- 
dones, et la disproportion serait bien plus grande encore si 
l'on retranchait les Graminées qui sont très-nombreuses en es- 
pèces; les autres familles de cette division, telles que les Cy- 
péracées, les Liliacées et les Orchidées étant extrêmement ra- 
res dans cette région à cause de la sécheresse du sol. 

Sur les 1,250 espèces que j'ai observées, 58 environ sont 
particulières à la contrée que j'ai étudiée; 142 sont commu- 
nes à la Péninsule tout entière; 248 se retrouvent dans la 
France méditerranéenne. Près de la moitié des espèces de l'Es- 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 239 


pagne centrale se retrouvent aussi dans l'Europe moyenne et 
septentrionale. 

Il est un dernier phénomène curieux que nous offre le pla- 
teau des Castilles ; c’est la présence dans ce pays d’un nombre 
assez considérable d'espèces qui sont communes en même 
temps à la Tauride et aux contrées situées soit au Nord soit 
au Midi du Caucase, sans se retrouver sur aucun autre point 
intermédiaire de l'Europe; telles sont : Lepidium perfoliatum , 
Mollugo cerviana, Minuartia dichotoma, Callipeltis cucullata, 
Campanula fastigiata, Rochelia stellulata, Plantago Læffingii, 
Queria Hispanica, Meniocus linifolius, Veronica digitata, Aci- 
nos graveolens. 

Une latitude presque la même, une élévation assez consi- 
dérable au-dessus de la mer, mieux encore un climat extrême 
pour les deux pays et une constitution géologique analogue, 
c'est-à-dire un terrain d'argile et de gypse plus ou moins im- 
prégné de sel, telles sont les circonstances qui peuvent rendre 
compte en partie de ce fait singulier de géographie botanique. 

Le nombre des plantes nouvelles que nous avons publiées 
ensemble, M. Boissier et moi, dans la Bibliothèque Universelle 
de Genève, mai 1840, s’éleve à 51 espèces, dont deux for- 
ment des genres nouveaux, l'un fondé sur le Caucalis hispa- 
nica de Lamarck, que nous avons dédié à M. Durieu de Maison- 
neuve qui a visité les Asturies et plusieurs autres parties de 
l'Espagne, où il a découvert un grand nombre de belles plantes, 
ainsi que les colonies françaises de l'Algérie, faisant partie de 
l'expédition scientifique nommée par le gouvernement; et l’au- 
tre sur une plante fort anciennement mais imparfaitement 


240 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 

connue, et qui n'appartient ni au genre, ni même à la famille 
dans laquelle on l'avait placée, et que j'ai dédiée à mon ami 
don Miguel Colmeiro de Santiago en Galice, jeune médecin, 
élève de Lagasca, et professeur au Jardin botanique de 
Barcelonne, connu par un intéressant mémoire sur l'histoire 
de la botanique en Espagne ('). Je donne ici un dessin de 
cette plante avec sa description et quelques détails sur son 
histoire. 


Cozmermos, genus novum e fam. euphorb. Rhamni et Adeliæ 
sp. Poir. 

Flores obortu dioïci. Calyx hexaphyllus persistens. Corolla 
nulla. — Masc. stamina 6 inter se libera, longè exserta, bi- 
serialia, disco glanduloso imposita, antheræ extrorsæ. Rudi- 
menta stylorum tria, claviformia, extus revoluta. Fœm. stamina 
nulla. Ovarium disco annulari impositum, triloculare. loculis 
biovulatis. Stigmata tria, sessilia, bipartita. Capsula tricocca ; 
coccis bivalvibus, dispermis, semmum testà crustaceà ! 


C. suxirozra N. 

Rhamnus buifolius. — Poir. dict. 4, p. 454. DC. prod. 2, 
p. 24. — Adelia virgata. Poir.. dict. suppl. 2, p. 132. Adelia 
Acidoton hort. par. olim et hortul. non Linn!— Rhamnus 
hispanicus, folio Buxi minoris. Quer. flor. Esp. 5, p. 199. 


(4) Ensayo historico sobre los progresos de la Botanica especialmente en España. 
Barcelona, 1842. 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 241 


Frutex 3-4 pedalis (cultus orgyalis) à basi ramosissimus. 
Rami tenues. virgati apice spinescentes, cortice griseo lævi, 
ramuli fusco-rubri in spinam tenuem desinentes. Folia brevis- 
simè petiolata alterna vel in ramis floriferis fasciculata, ovata 
vel obovata, apice leviter emarginata. integerrima, glaberrima, 
subtus pallidiora et venulosa, venis pellucidis. Stipulæ mi- 
nimæ liberæ fuscæ lineari-subulatæ petioli longitudinem æquan- 
tes, demum deciduæ. Flores in fasciculos laterales dispositi, e 
gemmis squamosis cum foliis novellis orti. Pedunculus nudus 
filiformis 5 lineas longus. Flos masculus. Calyx sexpartitus 
herbaceus persistens, partitionibus oblongis concavis obtusis. 
Stamina 6, disco centrali, glanduloso, spongioso, undulato 
crispo inserta. Rudimenta stylorum 3, claviformia ad centrum 
staminum sita. Filamenta filiformia, glabra inter se libera, se- 
palis duplà longiora. Antheræ oblongæ, birimosæ, extrorsæ, 
ovatæ, demum subcontortæ. — Flos fœmineus. Calyx sexpar- 
titus. Stamina nulla. Ovarium sphæricum triloculare, disco hv- 
pogyno glanduloso impositum. Stigmata 3 sessilia bipartita stel- 
latim expansa. Capsula tricocca subrotunda depressa pisi mi- 
noris magnitudine, obtuse 3-6-costata reticulato-venosa loculis 
dispermis bivalvibus elasticè dehiscentibus, semina ovata tri- 
gona dorso convexa. Testa crustacca. Arilla alba basilaris. 

Habitat in alveis arenosis fluviorum Numidiæ (Poir.), Lusi- 
taniæ (h. Pav!), Bæticæ propè Hispalim (h. Cav!), Castellæ 
veteris; montium Marianorum, Estremaduræ (Quer.), prope 
Layos provinciæ Toletanæ, et 4lcala de Henares Castellæ 
novæ (Ego! Clus.) — Floret Martio. 


TOM. X, 1'© PARTIE. 31 


212 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 

Ce genre, de la vaste famille des Euphorbiacées, appartient 
à la tribu des Phyllantées ; il est voisin du genre Geblera de 
Fischer, duquel il diffère, d’après la description de ce dernier, 
par son calice à 6 et non à 5 sépales, par ses étamines aussi 
au nombre de 6 et non de 5, à anthères extrorses et non in- 
trorses, et enfin par le test de la graine qui est crustacé et non 
membraneux. C’est un arbrisseau à rameaux eflilés et dressés 
assez commun dans les sables du bord des rivières où il se 
propage abondamment par ses racines traçantes. Il a été connu 
des anciens botanistes, car il est mentionné par Clusius, Tour- 
nefort et Quer, qui l'avaient classé parmi les Rhamnus, sans 
en avoir vu la fleur ni le fruit. Poiret le décrivit le premier 
dans le dictionnaire encyclopédique sous le nom de Rhamnus 
buxifolius ; il le trouva sur les côtes de Barbarie, mais sans 
fleurs. Plus tard, dans le supplément du même ouvrage, il dé- 
crivit au Jardin de Paris sous le nom d’Adelia virgata un indi- 
vidu femelle de cette plante, qu'on croyait originaire de l'Amé- 
rique méridionale. Nous possédons au jardin de Genève un 
pied de cette espèce également femelle qui nous vient aussi 
du jardin de Paris. J'ai cueilli, en mars 1841, des rameaux 
fleuris de la plante mâle au jardin de Madrid où elle existe de- 
puis longtemps sous le nom de Rhamnus buxifolius, mais per- 
sonne n'avait encore décrit la fleur ni le fruit. Je l'ai observée 
spontanée près de Layos, dans la province de Tolède, et près 
d'Alcala de Henares, où elle avait déjà été indiquée par Clu- 
sius, mais Je n'ai pas été plus heureux que les botanistes 
précédents; elle était aussi sans fleurs. Les échantillons qui 
m'ont servi à compléter l'histoire de cette plante viennent 




















T2 LS a berere 








COLMETROA eye Au) 








DE LA NOUVELLE CASTILLE. 243 


des herbiers de Pavon et de Cavanilles. Elle est connue 
dans les Castilles sous le nom de Tamujos. On fait avec ses 
rameaux déliés et flexibles des balais, connus sous le nom de 
Escobas de rama, ou Escobas de caballeriza. On en apporte 
à Madrid vers la Saint-Mathieu des voitures chargées, prove- 
nant des plaines de la Manche. 


244 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION 


TABLEAU 


DES FAMILLES DES PLANTES PHANÉROGAMES 


QUE J'AI OBSERVÉES DANS LA NOUVELLE CASTILLE. 


Renonculacées .......... 53 
Papayéracéess.. "7". 11 
Fumariacées ............ 6 
Crucifères tn: -ceecccutre 76 
Résédacées ............. 8 
Cistinées ........ A TOE CE 17 
VAT Sos Procgoan ce 5 
Droséracées ............ 2 
Caryophyllées . .......... 61 
Frankéniacées........... 2 
Linées as 8 
Malvacéest -:- 0. "1" 14 
Hypéricinées . ........... 

A'CÉTINbeS = -----rreeree 1 
Géraniacées -.......-... 20 
Rutacées- 2eme 4 
Célastrinées ............ 2 
Rhamnées.............. 5 
Térébinthacées .......... 2 
Légumineuses ........... 110 
ROSACÉES 7. 0 2 24 sels 358 
Onagrariées ............ 6 
Haloragées ............. 6 
Cératophyllées .......... 1 
Lythrariées ............. 4 


Tamariscinées ........... 1 
PortulaGées 2 
Paronychiées............ 16 
Crassulacées ............ 16 
SAXITASEES ET Lee ce CCE fi 
Ombellifères ............ 16 
AMAlACÉES = EE cecre-rere 1 
Cornées series esrecelr 4 
Caprifoliacées ........... 7 
Loranthacées............ 4 
Rüubiacees ere ec r 235 
Valérianées .........:... 6 
Dipsacées "7." 10 
Composées. 

Corymbifères....... 58 

Cynarocéphales . . ... 40 Ÿ 145 
Chicoracées ........ 45 

Campanulacées .......... 10 
BEICINEPS EE - -- - se b) 
Jasminées .............. 5 
Asclépiadées ............ 1 
Apocynées ............. 1 
Gentianées ............. 9 
Convolvulacées .......... 6. 


RE ES ne 


DE LA NOUVELLE CASTILLE. 


SOIANEBS RE ee re 7 Hinticéca etc 
Orobanchées........ 50e ee UD Amentacées ........... : 
Scrophularinées ...... = 02 COMÉÉRES eee nee 
IEEE tosct eos 4 ATSMACEESE EE ee. 
Verbénacées . ..... ST 2 Patimeesh eee... .. 
Primulacées "ten ..-r 8 OFCHIAÉES EEE 
Globulariées ............ 1 HER AS Trot doc obone 
Plombaginées ........... 6) Amaryllidées . ........... 
Plantaginées ............ 12 ASparagées pet - 2 
Amaranthacées .......... 6] Laltacées. 254 MMS. 
Chénopodées ........... 26 TONCEES Re Eden e sense 
Polygonées.:....:...... 12 Colchicacées . ........... 
Thymélées ...... SLR 5 TOITS Eee Te TE 
SANRLAIACÉES -e -1e - see 2 HIDVDHACE ES EE EEE CEE 
Aristolochiées ........... 1 Cypéracees ee rer 
Euphorbiacées .......... 15 CTAMINEES 2-0 
ERRATA. 


Page 219, lign. 16 et 22, Ocanna lisez Ocana. 
Id.  lign. 22, Antigola lisez Ontigola, 
Page 222, lign. 10, Pennalara lisez Penalara. 
Id.  lign. 18, Panlar lisez Paular. 
Id.  lign. 27, Alberché lisez Alberche. 


245 


Le) 19 
OÙ OO A NN 1 = © 


= 1 
QE = 1 


Où = NN 


246 ESSAI SUR LA VÉGÉTATION DE LA NOUVELLE CASTILLE. 


’ EXPLICATION DE LA PLANCHE. 


(Ayant oublié de numéroter les figures, nous les désignerons en suivant leur ordre en 
commencant par la gauche.) 


Rameau stérile spontané des environs de Tolède. 

Rameau mâle en fleur du jardin de Madrid. 

Rameau femelle en fruit jeune spontané provenant de l’herb. de Pavon. 
Rameau femelle en fleur du jardin de Genève. 

Fleurs mâles grossies ; l’une en bouton, et l’autre épanouie. 

Fruit jeune grossi. 

Analyses du fruit grossies. 

Fleur femelle grossie. 





NOTICE 


SUR 


LA TEMPÉRATURE DE GENÈVE 


FAR 


M. George Picot. 


(Luc à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 20 Octobre 1842.) 


— ss 10———— 


Dans le courant du siècle dernier les variations de la tempé- 
rature ont excité à un assez haut degré l'intérêt. Guillaume-A. 
De Luc, Senebier et le Journal de Genève, qui a eu une exis- 
tence d'environ quatre années, de 1787 à 1791, ont noté la 
marche du thermomètre d’une manière régulière et à des 
heures fixes. La Bibliothèque Britannique a commencé a pa- 
raître en 1196, et la Bibliothèque Universelle lui a succédé en 
1516. Les rédacteurs de cette importante publication n’ont 
pas cessé de faire paraître dans chacune de leurs livraisons 


2148 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


mensuelles le tableau de la marche de la température, en 
sorte que l'on a maintenant un recueil d'observations thermo- 
métriques faites sans interruption et avec soin pendant qua- 
rante-trois ans. Ces observations méritent de la confiance, 
quoique certainement elle ne soient pas à l'abri de toute cri- 
tique. La contradiction, que présentent quelquefois les moyen- 
nes mensuelles avec l’ensemble de chaque jour du mois, est de 
nature à faire supposer que des erreurs typographiques se sont 
glissées dans les tableaux. Les thermomètres n’ont pas été 
contrôlés avec un soin suffisamment rigoureux, parce que le 
changement du point zéro n’a été connu qu’assez récemment. 
Au mois de janvier 1822 seulement l'on a découvert que le 
point zéro vrai du thermomètre dont on publiait les observa- 
tions depuis vingt-six ans était élevé d’un demi-degré réaumur 
au-dessus de celui de l'échelle. Cette erreur, qui se trouve con- 
signée dans la Bibliothèque Universelle (1), m'a mis dans un 
grand embarras à cause des observations antérieures. Je me 
suis décidé, enfin, à l'exemple de M. Mahlmann (*), à réduire 
la température des années 1796—1821 inclusivement, du 
montant de l'erreur découverte, parce que l'expérience a 
prouvé que les dérangements dans le zéro des thermomètres 
à mercure s’opèrent en général peu de temps après leur cons- 
truction. La découverte de cette erreur fait disparaître les 
anomalies du climat de Genève signalées par M. Dove (°). 





(1) Tome XIX, page 68. 
(2) Repertorium der Physik, tome IV, p. 72. 
(3) Recueil de l’académie de Berlin de 1838, p. 546. 


DE GENÈVE. 249 
Les observations ont été faites depuis le commencement de 
1796 au mois de décembre 1798, dans une campagne située à 
Genthod, à 405 mètres au-dessus de la mer, depuis cette der- 
nière époque à la fin de 1821, dans l’ancien jardin botanique, 
sur le petit cavalier situé entre le Calabri et la vue de Beau- 
regard, à 195 mètres au-dessus du niveau de la mer, de 1822 
à la fin de 1825 au nouveau jardin botanique, à environ neuf 
mètres au-dessous de l’ancien, depuis 1826 à la fin de 1835 
près du pont de fil de fer de Saint-Antoine, à 407 mètres 
au-dessus du niveau de la mer, et depuis 1836 au nouvel ob- 
servatoire astronomique qui est situé à la même hauteur. Ces 
localités présentent entr’elles trop peu de différences pour 
avoir exercé sur les thermomètres une influence sensible, sauf 
peut-être pour les observations faites pendant quatre ans dans 
le nouveau jardin botanique qui ‘était un peu dominé et abrité 
contre quelques vents. Il m'a paru intéressant de mettre en 
présence les résultats obtenus plus qu'on ne l'a fait jusqu’à 
présent, de refaire les calculs qui ont servi à la détermination 
des moyennes mensuelles et annuelles, afin d'éliminer les er- 
reurs typographiques ou autres occasionnées par un travail 
rapide, et de rechercher les moyennes des saisons et des pé- 
riodes de dix jours, qui n’ont point été déterminées jusqu'à 
présent, quoiqu'elles soient très-propres à faire connaître avec 
exactitude la marche ascendante et descendante de la tempé- 
rature. J'ai également consigné les extrêmes de température des 
années, des saisons et des mois. Les extrêmes des saisons et 
des mois, encore non déterminés, m'ont paru importants, parce 


queleur influence est grande sur l’économie animale et végétale. 
TOM. X, Î'* PARTIE. 32 


250 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


Les heures d'observations ayant été changées en 1826, les 
éléments qui m'ont servi pour la formation de la température 
moyenne ont changé. Jusqu'en 1826 elle a été déduite en pre- 
nant un milieu entre la température du lever du soleil et celle 
de deux heures, et dès lors elle la été en prenant un milieu 
entre la température du maximum et du minimum de la jour- 
née. Pour obtenir la température moyenne de l’année ou d’une 
période de l’année, j'ai constamment divisé par le nombre des 
jours qui y étaient contenus. Afin de rendre comparables les 
résultats des années qui ont précédé 1836, j'ai converti en 
degrés centigrades les degrés réaumur qui ont été employés 
jusqu'alors. 


TEMPÉRATURE MOYENNE ANNUELLE. 


La moyenne de la température n'ayant pas été tirée depuis 
1826 des mêmes éléments qu'auparavant, je n'ai pas cru 
pouvoir en mêler les résultats. Le dernier mode paraît être 
préférable au précédent, car des observations répétées et faites 
avec précision ont prouvé qu'un milieu entre les maxima et 
les minima quotidiens représente à peu près complétement 
la véritable température moyenne, tandis que l'heure ordi- 
naire des extrêmes journaliers s'écarte quelquefois de lheure 
où ils se rencontrent en réalité, et le lever du soleil est une 
heure trop incommode pour qu'on ne puisse pas présumer que 
les observations ont été faites quelquefois plus tard. 


DE GENÈVE. 251 

$ 1. Période de 1796—1895 inclusivement (1). — Pendant 
ces trente années la moyenne de la température s’est élevée à 
9,23. Cette moyenne est fort basse, car, en prenant celle de 
différentes villes, telle qu’elle est indiquée dans l’ouvrage de 
M. Schouw sur le climat de l'Italie, et en la rapportant à la 
latitude et à l'élévation de Genève d’après la méthode indi- 
quée par ce savant distingué, c'est-à-dire en déduisant 1° pour 
520 pieds d’élévation et 0°,7 pour un degré de latitude, il en 
résulte que si la température moyenne de Genève est supé- 
rieure à celle de Berne de 0,16, d'autre part elle est infé- 
rieure à celle de Fribourg de 0,16, à celle de Zurich de 
0,75, à celle de Chambéry de 0°,76, à celle de Turin de 
0°,95, à celle de Vienne de 1°,02, à celle de Stuttgard de 1°,38, 
à celle de Milan de 1,51, à celle de Londres de 1°,89, et, 
enfin, à celle de Paris de 2°,09. Cette température, en appa- 
rence si basse, peut certamement être en partie attribuée à , 
_ce qu'il a été fait une soustraction d’un demi-degré centigrade 
en raison de la trop grande élévation marquée par le mercure 
du thermomètre jusqu'en 1822, tandis qu'ailleurs les résul- 
tats des observations ont été vraisemblablement entachés du 
même genre d'erreur, sans que rien indique qu'on leur ait fait 
subir une correction, et à ce que les instruments qui ont été 
employés à Genève pour les observations ont été presque 
constamment placés en rase campagne, à quatre pieds de terre 
et parfaitement abrités avec des volets contre les rayons du 





(4) Voyez tableau n° 4 à la fin de la Notice. 


252 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


soleil, pendant que dans d’autres villes les thermomètres ont 
été fréquemment placés à un premier étage ou même à une 
plus grande hauteur contre des murailles qui les abritaient 
plus ou moins contre l'air extérieur. Toutefois, même en tenant 
compte de ces circonstances, la température moyenne de Ge- 
nève n'en reste pas moins comparativement basse, ce qui est 
probablement le résultat de sa proximité des hautes Alpes et 
de la direction de la vallée du lac Léman. 

L'année la plus chaude a été 1806 et l’année la plus froide 
a été 182%. Dans cette première année, la température 
moyenne est montée à 10°,40, tandis que dans cette seconde 
année elle est descendue à 8°,05, ce qui fait une différence de 
2,55. Les variations entre les moyennes annuelles sont moins 
fortes à Genève qu'ailleurs, car elles se sont élevées à Nice 
pendant vingt ans à 4°,10, à Copenhague pendant 52 ans à 
4,56, à Carlsruhe pendant 30 ans à 5°,57, à Milan pendant 
soixante et dix ans à 3°,25, et à Paris pendant trente ans à 
3°,06; mais en revanche elles ont été un peu moins fortes à 
Padoue, Turin et Palerme. L'année 1806 a été aussi chaude 
qu'une année moyenne de Vienne, et l'année 1824 aussi 
fraîche qu'une année moyenne de Copenhague. La moyerne 
générale de la température au lever du soleil a été de 5°,81, 
tandis qu’elle s’est élevée à 12°,70 à 2 heures après midi, en 
sorte que l'intervalle journalier a été de 6°,89. 


82. Période de 1826—1841 inclusivement. — Pendant ces 
seize années, la moyenne de la température s’est élevée à 9°,56. 
La moyenne de la température s'est élevée à 11°,14 en 1834, 


DE GENÈVE. 253 
qui a été l'année la plus chaude, tandis qu’elle est tombée à 
8',41 en 1829 qui a été l’année la plus froide, ce qui fait entre 
ces deux années une différence de 2°,67. La moyenne de l'in- 
tervalle journalier s’est élevée à 9°,29, et a été ainsi supérieure 
de 2,40 à celle des trente années précédentes, ce qui est sans 
doute dû à ce que les maxima et les minima de la journée ont 
remplacé les observations faites au lever du soleil et à deux 


heures après midi (Voy. tabl. n° 2). 


TEMPÉRATURE MOYENNE DES SAISONS. 


Je ne me suis pas servi de la division astronomique des sai- 
sons, qui n'est ni commode, ni en rapport avec les vicissi- 
tudes de la température. J'ai en conséquence, à l'exemple de 
M. Schouw, formé l'hiver de l'ensemble des trois mois les plus 
froids, c'est-à-dire des mois de décembre, janvier et février ; 
le printemps des mois de mars, avril et mai; l'été des mois 
de juin, juillet et août; l'automne des mois de septembre, 
octobre et novembre. 


Observations de 1196—1895 inclusivement. — La tempé- 
rature de l'hiver a été de 0°,90, celle du printemps de 6:,96, 
celle de l'automne de 9°,90 et celle de l'été de 17°,08. La dif- 
férence entre l'hiver et l'été n’est que de 16°,18, et est ainsi 
moindre d’un à deux degrés que celle de la plupart des villes 
situées dans le sud de l'Allemagne, en Suisse et dans le nord 


25% NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


de l'Italie. La différence entre l'année la plus froide et l'année 
la plus chaude a été de 5°,8T pour l'hiver, de 4°,29 pour le 
printemps, de 3°,92 pour l'automne, et de 4°,30 pour l'été; 
c'est-à-dire à peu près double pour chaque saison de ce qu’elle 
a été pour l’année entière. L'hiver le plus froid, celui de 1808, 
a atteint la moyenue de l'hiver de Fribourg en Suisse, tandis 
que l'hiver le plus doux, celui de 1806, n’a pas été plus ri- 
goureux que la moyenne des hivers de Trieste. L'été le moins 
chaud, celui de 1816, a été aussi frais que la moyenne des 
étés d'Edimbourg; tandis que l'été le plus chaud, celui de 
1807, a atteint la moyenne des étés de Toulouse. Les diffé- 
rentes saisons, à l’exception toutefois de l'hiver, présentent 
pour chaque période de dix ans une décroissance dans la tem- 
pérature, qui est surtout frappante pour l'été; car la tempé- 
rature moyenne de cette saison, qui s’est élevée à 17°,46 de 
1786-1805 inclusivement, s'est abaissée à 17°,14 de 1806- 
1815, et à 16,58 de 1816-1825. 


Observations de 1826-1841 inclusivement. — La tempéra- 
ture moyenne de l'hiver a été de 0°,75, celle du printemps 
de 9°,98, celle de l'automne de 9°,94, et celle de l'été de 1815. 
La température moyenne est descendue à —2°,22 pendant l'hi- 
ver de 1830, qui a été le plus froid, tandis qu'elle s'est élevée 
à 19°,89 pendant l'été de 1834, qui a été le plus chaud. Les 
intervalles journaliers se sont élevés à 6°,37 pour l'hiver, à 
10°,26 pour le printemps, à 8°,44 pour l'automne et à 12: 
pour l'été. 


ot 


DE GENÈVE. 25: 


TEMPÉRATURE MOYENNE DES MOIS. 


Période de 1796-1895 inclusivement. — La température 
des différents mois a été de -0‘,40 pour janvier, de 1°,29 pour 
décembre, de 1°,89 pour février, de 4,70 pour mars, de 5°,25 
pour novembre, de 8,81 pour avril, de 9,75 pour octobre, 
de 13°,4T pour mai, de 14,72 pour septembre, de 15,83 
pour juin, de 17°,68 pour août et de 17°,69 pour juillet. Ainsi 
donc chaque mois dans la période ascendante de l’année à un 
correspondant dans la période décroissante; mais on peut 
déjà remarquer que cette dernière est plus courte, ou, en d’au- 
tres termes, que le moment du plus grand froid se rapproche 
bien plus du solstice d’hiver que le moment de la plus grande 
chaleur ne se rapproche du solstice d'été, puisque le mois de 
février est moins froid que celui de décembre, tandis que le 
mois d'août est sensiblement plus chaud que celui de juin et 
se rapproche excessivement de celui de Juillet. La différence 
entre le mois de janvier et celui de juillet est de 18°,09. Cette 
différence est plus grande dans la plaine du Pô, mais en re- 
vanche elle est notablement plus faible dans la plupart des 
villes d'Italie situées au sud des Apennins. Les moyennes 
mensuelles extrêmes sont, d’une part, le mois de janvier 1802, 
où la température est descendue à -5°,29, et, d'autre part, le 
mois d'août 1807, où la température s'est élevée à 21,45. 
Les mois présentent entr'eux plus de variations qne les sai- 
sons. Cette variation dans les moyennes est bien plus pronon- 


256 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


cée dans les mois d'hiver que dans ceux d'été, car tandis 
qu'elle s’est élevée entre le mois le plus froid et le mois le 
plus chaud à 10°,70 pour janvier, à T°,88 pour février et à 
8:,35 pour décembre, elle n’a plus été que de 7°,57 pour 
juin, de 6°,32 pour juillet et de 6°,46 pour août. En Italie, et 
notamment à Milan, où cependant la durée des années d’ob- 
servations s'élève à T0, on n’a pas remarqué d’aussi grandes 
différences dans la température moyenne des mois. La tem- 
pérature semble s'être adoucie à Genève dans les mois d'hiver, 
et s'être rafraîchie dans les mois d'été, notamment dans celui 
d'août. La température de ce mois qui s’est élevée, de 1796- 
1805 inclusivement, à 18°,49, s'est abaissée de 1806-1515 
à 17,55, et de 1816-1825 à 16,96. 


Période de 1826-1841 inclusivement. — Ces seize années 
n'ont pas, à l'exception des intervalles journaliers, présenté 
des résultats bien différents de ceux des trente années précé- 
dentes. Les mois de janvier 1830 et d'août 1826 ont présenté 
les extrêmes de température. La moyenne de la température 
du premier mois est tombée à —6",0T, tandis que celle du se- 
cond mois s'est élevée à 21°.,44. La moyenne des intervalles 
journaliers s’est élevée à 5°,41 pour décembre, à 6°,33 pour 
janvier, à 6°,64 pour novembre, à T°,44 pour février, à 6°,31 
pour octobre, à 9°,15 pour mars, à 9°,89 pour septembre, à 
10,33 pour avril, à 11°,50 pour mai, à 11°,57 pour août, à 
12° pour juin, et à 12,54 pour juillet. 


DE GENÈVE. 257 


TEMPÉRATURE MOYENNE DES DÉCADES. 


(Voyez tableau n° 4.) 


Période de 1196-1895 inclusivement. — La moyenne de la 
température est tombée à —0°,84 pendant la seconde décade 
de janvier qui a été la plus froide, et elle s’est élevée à 18°,24 
pendant la première d'août qui a été la plus chaude, en sorte 
que la différence entre les deux décades extrêmes a été de 
21,02. Cette même différence est à Milan de 24°, à Rome de 
19,50, et à Palerme de 16°,10. La marche de la température, 
tant dans sa partie ascendante que dans sa partie descendante, 
est sinon régulière, du moins continue. La période ascen- 
dante de la température compte vingt décades, tandis que la 
période descendante n’en compte que seize. La différence 
moyenne d'une décade à l’autre dans la période ascendante 
est de 0,95, pendant qu'elle est de 1°,19 dans la période 
descendante. En général les différences diminuent près du 
moment de l'année où la température est la plus froide ou la 
plus chaude, tandis qu’elles augmentent au milieu des pé- 
riodes ascendantes ou descendantes. On remarque encore dans 
la marche de la température d’autres inégalités, qui seraient 
très-frappantes si on ne pouvait les attribuer au petit nombre 
des années d'observations. Ainsi, tandis que la troisième décade 
de février et la première décade de mai ne sont respectivement 


dépassées par les décades qui les suivent que de 0,17 et de 
TOM. X, 1'* PARTIE. 33 


258 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


0°,40, elles dépassent respectivement les décades qui les pré- 
cèdent de 1°,2T et de 2,72. 


Période de 1826-1841 inclusivement. — La décade la plus 
froide n’est plus la seconde de janvier, mais la première de 
ce mois; et la décade la plus chaude n’est plus la première 
d'août, mais la seconde de juillet. On remarque une déviation 
dans la courbe descendante : la dernière décade de juillet qui 
est moins chaude que la seconde de juillet est également 
moins chaude que la première et la seconde décade d'août. 
Cette déviation est de nature à attirer l'attention, attendu 
qu'elle se retrouve à Milan, Bologne, Cascina, Florence, 
Rome et Paris. 


EXTRÊMES ANNUELS DE TEMPÉRATURE. 


(Voyez tableau n° 3.) 


Pour l'appréciation du climat d’un pays, la connaissance 
des moyennes ne suffit pas; celle des extrêmes est aussi très- 
importante, à cause de la grande influence qu'ils exercent sur 
les végétaux et sur les animaux. 


Période de 1196-1825 inclusivement. — Les extrêmes an- 
nuels ont une tendance à se rapprocher et la température à 
devenir ainsi plus égale. C’est ainsi que de 1816-1895 les 
extrêmes sont inférieurs à ceux de 1796-1805 de 3‘,4 pour 





DE GENÈVE. 259 


les minima, et de 2,1 pour les maxima. L’intervalle journa- 
lier qui s'est élevé à 6°,9 pour les moyennes a été de 10°,4 
pour les maæima et de 5°,8 pour les minima. La moyenne des 
extrêmes annuels de froid s’est élevé à —12:,8, et celle des 
extrêmes annuels de chaleur à 30°,3. Les extrêmes de tem- 
pérature se sont plus écartés dans les minima que dans les 
maxima, Car la moyenne entre les extrêmes est inférieure à 
la moyenne des moyennes de 2°,31 à l'heure du lever du 
soleil, de 1°,10 à 2 heures après-midi. Cette infériorité n’est 
que de 0°,55 entre la moyenne des extrêmes annuels et la 
moyenne annuelle. L’intervalle entre les extrêmes n’est que 
de 52°,7 au lever du soleil, tandis qu'il s'élève à 37°,5 à 2 
heures après midi. L’intervalle moyen entre les extrêmes de 
toute l’année s'élève à 45°,1. Dans les quinze années, sur les 
trente observées, qui ont présenté les minima les plus bas, il y 
en à onze qui font partie de celles où la moyenne de la tempé- 
rature a été la plus faible, et quatre seulement de celles où la 
moyenne de la température a été la plus élevée. Dans les quinze 
années qui ont présenté les maxima les plus élevés, douze se 
rencontrent avec les quinze années les plus chaudes et trois seu- 
lement avec les années les plus froides. Enfin, dans les quinze 
années qui ont présenté une moyenne élevée entre les maxima 
et les minima, onze se rencontrent avec les années les plus 
chaudes et quatre seulement avec les années les plus froides. 
En sorte qu'on peut dire qu'il y a une corrélation entre des 
minima ou des maxima élevés et la température moyenne de 
l’année. L'époque du jour le plus froid a varié entre le 12 dé- 
cembre et le 8 mars, et la moyenne du jour le plus froid a 


260 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 

été le 19 janvier. L'époque du jour le plus chaud a varié entre 
le 19 mai et le 30 août, et la moyenne du jour le plus chaud 
a été le 24 juillet. Le minimum qui ne s’est abaissé qu'a —5",6 
en 1819, s'est abaissé à —16°,6 en 1819, à —17°,6 en 1514, 
à —17:,1 en 1810, à —18",3 en 1798, enfin à —25°,5 le 13 
janvier 1802. Les différentes villes du nord de l'ftalie ne pré- 
sentent pas, à beaucoup près, des minima aussi bas: car le 
thermomètre n'est pas descendu à Turin pendant 63 ans au- 
dessous de —17°,8, à Milan pendant T0 ans au-dessous de —15", 
et à Padoue pendant 38 ans au-dessous de —15°,6. Les maxima 
annuels présentent de moins grandes différences entr'eux que 
les minima, car le plus faible maximum est celui de l'année 
1816, où le thermomètre ne s’est élevé qu'à 26°,9; pendant 
qu'il s'est élevé à 33,1 en 1802 et 1805, et à 53°,4 le 16 août 
1800. Ce dernier maximum est à peu près aussi élevé que 
celui des villes du nord de l'Italie; en effet le plus fort maxi- 
mum a été pendant 63 ans à Turin 56°,9, pendant 70 ans à 
Milan 34°,4, pendant 20 ans à Nice 53°,4. Le maximum ne 
s’est écarté de la moyenne annuelle que de 24°,25, tandis que 
le minimum s'en est écarté de 32,45. L'intervalle entre le 
maximum et le minimum le plus élevé a été de 46:,8 au lever 
du soleil, de 47°,7 à 2 heures après midi, et de 56°,7 en 
n'ayant pas égard à l'heure de l'observation. Cet intervalle est 
plus grand de quatre à cinq degrés que celui d'aucune ville 
d'Italie. 


Période de 1826-1841 inclusivement. — La conversion des 
observations au minimum et au maximum de la journée, à la 


DÉ GENÈVE. 261 
place du lever du soleil et de deux heures après midi, a rendu 
les résultats plus saillants. L'intervalle journalier s’est élevé 
à 5°,5 pour les minima et à 13°,1 pour les maxima. Le mini- 
mum moyen annuel est tombé à —15°,1, etle maximum moyen 
annuel s’est élevé à 32°,7; en sorte que, comparativement aux 
trente années précédentes, le minimum a été de 2°,3 au-des- 
sous, et le maximum de 2°,} au-dessus. La moyenne entre 
les extrêmes a été inférieure à la moyenne des moyennes de 
5°,02 au minimum de la journée, de 1°,21 au maximum de la 
journée. La moyenne des extrêmes annuels a été inférieure de 
0°,66 à la moyenne annuelle. L’intervalle moyen entre les ex- 
trêmes s’est élevé à 34,1 au mininum de la journée, à 39,5 
au maximum de la journée, et à 47°,8 en n'ayant pas égard à 
l'heure de l'observation. La moyenne de l'époque des extrêmes 
a été notablement plus rapprochée des solstices que dans les 
trente années précédentes; elle a été le 8 janvier pour les 
minima et le 11 Juillet pour les maxima. Le minimum n’est 
descendu qu’à —7°,1 en 1828; mais en revanche il a baissé 
jusqu'à —20°,6 en 1826, à —21°,7 en 1830 et à —25",5 le 
15 janvier 1838. Le maximum n’est monté qu'à 28°,9 en 
1541, tandis qu'il s’est élevé à 35°,2 en 1822 et à 36,2 le 
30 juillet 1827. L'intervalle entre les extrêmes absolus s’est 
élevé à 48°,8 au minimum de la journée, à 46°,T au maæi- 
mum de la journée, et à 61°,5 en ne tenant pas compte des 
heures d'observations. 


262 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


EXTRÈMES DE TEMPÉRATURE DES SAISONS. 


(Voyez tableau n° 5.) 


Période de 1196—1825 inclusivement (*). — La moyenne 
des extrêmes de froid s'est abaïssée à —12°,7T pendant l'hi- 
ver, à —5°,6 au printemps, à —4°,2 en automne, et à +5°,6 
en été : tandis que la moyenne des extrêmes de chaleur s’est 
élevée à 13°,7 en hiver, à 24°,8 au printemps, à 25°,9 en 
automne et à 30°,3 en été. La moyenne entre les extrêmes 
est inférieure à la moyenne générale de 0,40 pour l'hiver, 
tandis qu’elle lui est supérieure de 0°,64 au printemps, de 
0°,95 en automne et de 0°,TT en été. L'intervalle entre la 
moyenne des extrêmes s’est élevé à 26°,4 en hiver. à 50:,4 
au printemps, à 30°,1 en automne et à 24°,7 en été. Quand 
on compare les trente années entrelles, on remarque des 
variations beaucoup plus faibles en été que pendant les autres 
saisons. C’est ainsi que pour les moyennes entre les minima 
et les maxima, ces variations, qui n’ont été que de 6°,9 
en été, se sont élevées à 12°,6 en hiver, à 12°,9 en au- 
tomne et à 16° au printemps. 


(1) Je me borne à présenter les résultats de cette période, parce que ceux 
de la période suivante ne sont pas assez différents pour mériter d’être signalés. 


DE GENÈVE. 9263 


EXTRÊMES DE TEMPÉRATURE MENSUELS. 


Période de 1196—1895 inclusivement (1). — La moyenne 
entre les minima et les maxima mensuels à suivi la même 
progression de température que les moyennes générales; 
seulement le mois de mars l'a emporté en chaleur sur le 
mois de novembre, au lieu de lui avoir été inférieur. La 
moyenne entre les minima et les maxima a été inférieure 
à la moyenne générale dans les mois de Janvier, février, 
novembre et décembre, tandis qu'elle lui a été supérieure 
dans les autres mois. L'intervalle entre le minimum et le 
maximum, qui s’est élevé à 23°,9 en avril, n’a été que de 
18°,5 en novembre. L'intervalle des autres mois a été infé- 
rieur à celui du premier de ces deux mois et supérieur à 
celui du second. 


En résumé les résultats de mon travail qui m'ont le plus 
frappé sont les suivants : 


1° La température moyenne de Genève est inférieure à 
celle qui semblerait devoir être la suite de sa latitude 
et de son élévation. 





(4) Voyez la note de la page précédente. 


26% 


30 


NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 


Il y a eu dans l'intervalle pendant lequel on a ob- 
servé une tendance à un rapprochement de tempé- 
rature entre les différentes saisons et les différents 
mois de l’année. 


La température moyenne de l'hiver s'écarte, compa- 
rativement aux autres pays observés, peu de celle 
de l'été. 


La période descendante de la température est sen- 
siblement plus courte que la période ascendante. 


Il semble qu'il existe une déviation dans la tempéra- 
ture lors de la dernière décade de juillet. 


DE GENÈVE. 369 


APPENDICE. 


Afin de rendre plus complète cette notice sur la tempéra- 
ture de Genève, je crois devoir y ajouter un résumé des 
observations thermométriques de Guillaume-Antoine De Luc. 
A de très-courts intervalles près, ces observations embras- 
sent les trente-trois années qui se sont écoulées depuis 1768 
à la fin de 1800. Ces observations ont été faites à environ 
405 mètres au-dessus de la mer, à l'air libre, dans une ex- 
position au nord, en dehors de la fenêtre d'un galetas situé 
au cinquième étage d’une maison rue de la Cité, n° 219. 
Le thermomètre dont on s'est servi n'a pas été conservé, 
mais il y a lieu de croire qu'il était l'œuvre de Jean-André 
De Luc, célèbre physicien, frère de l'observateur, et que, 
par conséquent, il avait été construit avec soin. Les obser- 
vations n'ont été faites qu'une seule fois par jour, pendant 
l'hiver à S heures du matin, et pendant les autres saisons 
à 7 heures ou 7 % h. du matin. 

Une moyenne prise sur de pareilles observations est loin 
d’être irréprochable. D'un côté elle est assez notablement 
abaissée par l'heure où le thermomètre a été observé, tandis 
que d’un autre côté elle est élevée tant par la hauteur de 
la couche d'air au-dessus de la surface du sol, que par le 
réchauffement du galetas produit par les rayons du soleil. 


Je ne crois pas toutefois devoir corriger les résultats obtenus, 
TOM. X, {'° PARTIE. 34 


366 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE 

attendu que lon ne connait qu'imparfaitement la loi qui 
régit à Genève la distribution de la chaleur suivant les dif- 
férentes heures de la journée et suivant les différentes élé- 
vations au-dessus du sol. Malgré ces causes d'erreurs, qui 
entachent les observations de De Luc, elles n’en ont pas 
moins une grande valeur, parce qu’elles ont été faites avec 
soin et parce que ce sont les seules existantes pour Genève 
relativement à 17 années. 

Pendant les trente-trois années qui se sont écoulées de 
1768 à la fin de 1800, la température moyenne s’est élevée 
à 9°,50 et a été ainsi à peu près exactement la même que 
celle des trente années 1196—1825. La température mo- 
yenne est tombée à 7°,97 pendant l’année 1710 qui à été la 
plus froide, tandis qu'elle s’est élevée à 10°,55 en 1791, 
qui a été l’année la plus chaude. 

Les décades présentent une période ascendante et une 
période descendante, où la température croît ou décroît 
d'une manière régulière. Cependant on remarque à cette 
règle l'exception que j'ai signalée dans la série des années 
1826—1841, c'est-à-dire que la dernière décade de juillet 
a une moyenne inférieure à celle des deux décades entre 
lesquelles elle est située. (Voyez tableau n° 4 bis.) 


Nous allons rapporter ici les températures moyennes an- 
nuelles de chacune de ces 33 années. résultant des obser- 
vations de De Luc, sans y effectuer d’autres corrections que 
de les réduire en degrés centigrades. 


DE GENÈVE. 





1768 
1769 
1770 


1771 
1772 
1773 
1774 
1775 
1776 
1777 





1768-1777 


7h.t/2m. 


8,50 
8,62 
7,97 
8,65 
9,86 
8,42 
9,00 
9,14 
9,19 
8,99 


1778 
1779 
1780 
1781 
1782 
1783 
1784 
1785 
1786 
1787 





1788 
1789 
1790 


1791 
1792 
1793 
1794 
1795 
1796 
1797 





8,83 





1778-1787 








1788-1797 


1798 
1799 
1800 


1798-1800 


1768-1800 





8 h. m. 
9,55 
8,51 


9,94 











SUR LA TEMPÉRATURE 


NOTICE 


EN DEGRÉS CENTIGRADES, CALCULÉES PAR MOIS, 


EN PRENANT LA MOYENNE DES OBSERVATIONS FAITES AU LEVER DU SOLEIL ET À 


DATES, 


1796 
1797 
1798 
1799 
1800 
1801 
1802 
1803 
1804 


Janvier. 





SAISONS ET ANNÉES, 


pe 1796 À 1825 


2 HEURES. 








évrier. 
cembre. 


F 
D 


—-1 96 —0,86 [T2 02 


9 
25| 


3,62 
—_0;10|+0,53 


1805 |—0,93|1,58/—0,78 





1806 
1807 
1808 
1809 
1810 
1811 
1812 
1813 
1814 
1515 
1816 
1817 
1818 
1319 
1820 
1821 


1806-1815 





—+4,16|-4,29 
2,17|—1,83 
—2,06/—2,47 
+4,31 
—2,30 


A 35 


2,31 


15,11 
15,22 
14,87 
13,38 
13,81 
14,99 
13,79 
14,13 
11,28 
14,48 


15,01|16,30/17,86 
13,27/19,26/18,55 
16,21116,87|17,49 
15,20/17,10|18,07 
14,60|19,70|18,53 
15,48118,19/17,85 
17,89117,52|21,01 
16,92/20,42/20,47 
18,33/17,72|18,25 
15,20/17,16|16,75 


Octobre. 
Novembre. 


vrintemps. 


ENT 
(2 
= 


16,41 
17,07 
16,87 
16,81 
17,64 
17,19 
18,81 
19,30 
18,10 
16,38 


© 
= 


Automne. 


9,93 
9,76 
9,59 
9,34 
9,84 

10,88 

11,92 
9,74 

10,79 
8,44 








IE 








17,88/17,77|17,17 


16,35/20,99/21,45 
14,15/18,55/18,40 
15,96/17,13|17,26 
15,25116,41116,78 
18,09/19,58/17,49 
15,84/17,21116,80 
14,76/15,05|16,39 
15,48/18,13|16,84 
15,91117,92/16,92 








17,60 
19,63 
17,06 
16,76 
16,15 
18,39 
16,62 
15,41 
16,83 
16,92 


BRENT R££2.E 
 @ œ © uowe 





 æ O | C1 CN Cr 


10,07| 


10,95 
10,41 
8,69 
8,30 
11,42 
11,41 
9,02 
9,55 
9,19 


CRE] 
rÈ 








1822 |—0,17|--3,44 
1823 |—1,88|+3,70 
1824 |—1,39 
1825 |—0,51 
1796-1805|+0,30|21,41 
—1,76|--1,86 
1816-1825|+0,21|+2 


—1,49|- 
+1,18 


Ge à Go Or Oo = 1 © © 





= © & 


Cr à | 02 RO Æ QD O1 ou O1 Où 


12,77 
11,78 
11,87 
13,19 
13,94 
11,96 
15,10 
13,66 
11,57 
12,66 


13,39 


14,11 


12,85 








NB. On a api liqué aux résultats de 1796 à 1822 une correction de —0°, 


compose de Janvi 


1796-1825|—0 


42| 41,87 


yrier et Décembre. 





| Go) À © à Co Où w 


> 
QU 


13,45 


14,05[14,67|14,99 


17,50/17,36|16,77 
16,63/19,43/17,15 
15,57|17,76|17,24 
15,07|16,86|18,71 
13,88/16,21|18,43 


20,62|18,01|16,60 


13,79115,74116,36 
13,25[17,88|15,80 
16,14/17,17|17,52 


co 
Ce] 
ND 


Où ON 1 © RD à 1 O 
SG O2 Us 5 © À 





14,58 
17,21 
17,75 
16,87 
16,89 
16,20 
18,38 
15,31 
15,67 
16,95 








15,81117,67|1 


15,81/18,02|18,48 
15,97|17,87|17,55 
15,65/17,11|16,96 


ke © | © ND 1 ND = Qu ND 


CAR CARCA 


17,46 
17,14 
16,58 





12 


9,51 
10,45 
10,06 

9,93 

8,07 
11,08 
10,81 

8: 

8,71 
10,59 9, 62 
10,02! 9,39 

9,90| 9,10 


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or 


JD ND = ND UN 


9,72| 9,19 

















DS ww) © = 1 


NI 








17,06 





pet 9,23 








6 d'après la vérification du {h:rmomètre effecluée en 1822 — L'hiver se 


DE GENEVE. 





an 


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“HAANYN V SANUAIG SANNHAON SAMALVHAdNAL SA AVAIAV IL 


SAATAIIVI 





ANNAIXON VT INVNAUA 


NS 


0 me 


370 NOTICE SUR LA TEMPÉRATURE DE GENÈVE. 


N° 3. TABLEAU DES TEMPÉRATURES ANNUELLES 
NAXENEUNE 27 MENEMEUNE 


EN DEGRÉS CENTIGRADES, 


OBSERVÉES A GENÈVE DE 1796 À 1841. 








MAXIMUM. 5 MINIMUM. 


le 12 décembre.|29,8|le 10 août. 
24 janvier. |32,5| 30 juillet. 12 janvier. 
26 décembre.|31,3 5 août. 4 février. 
18 janvier. [31,8 9 août. 31 décembre. 
2 janvier. 16 août. 5 14 janvier. 
19 décembre. 8 juillet. 5 mars. 
13 janvier. 19 août. É 1 février. 
8 fevrier. 1 août. 13 janvier. 
23 décembre. 6 juin. 25 janvier. 
17 janvier. 3 juillet. 7 janvier. 
8 mars. 15 juillet. 5| 25 décembre. 
30 janv. et9 déc. 24 août. 26 décembre. 
24 et 27 février. 16 juillet. 31 janv.et1 févr. 
6 janvier. 19 mai. 31 janvier. 
23 février. 2 juillet. 30 janvier. 
21 janvier.  |30,6/19 et20 juillet 21 décembre. 
15 janvier. 26 juillet. 11 et12 décemb. 
A février. |: 19 août. 27 décembre. 
27 janvier. 1 août. 3 janvier. 
19 janvier. 15 juillet. 15 janvier. 
14 août. 3 février. 
30 décembre. 11 juillet. 2,0/16et 17 décemb. 
11 janvier. 7 août. 10 janvier. 














1796—1805 le 7 janvier. le 
1806-—1815 31 janvier. 
1816—1825 18 janvier. 


1796—1825 19 janvier. 
1826—1835 10 janvier. 
1836—1841 7 janvier. 


1826—1841 8 janvier. 





.131,9/le 8 juillet. 


MAXIMUM. 


11,16aout 
3 août. 
5 juillet. 
30 août. 
25 juillet. 
19 juillet. 
3 août. 
30 juillet. 
4 juillet. 
10 août. 
5 août. 
23 juin. 
22 août. 
26 juin. 
18 juillet. 
16 juillet. 
12 juillet. 
16 juin. 
5 août. 
15 juillet. 
22 juin. 
28,9]21 juin. 





ANNÉES. MINIMUM. MAXIMUM: 


26 juillet. 
19 juillet. 
28 juillet. 


24 juillet. 


22 juillet. 
5 juillet. 





11 juillet. 








pe 1796 À 1841, 
| 














1"° DÉCADE 








—_—_—_—_——_—_—_—_—_— 









1796—1805 
1806—1815 
1816—1825 


1796—1825 






maximum 


1796—1825 minimum 
Décades 


1826—1835 
1836—1841 


1826—1841 






1826—1841 { minimum 





JATEPTEMBRE. 


2° DÉCANDE 





ee re CR 


3° DÉCADE. 










17° DÉCANDE. 


OCTOBRE. 
RL, 





| 2° DÉCADE. 





| 3° DÉCADE. 





NOVEMBRE. 


TR | 


| 1'° DÉCADE. 


N° 4. 


DÉCEMBRE. 















3° DÉCADE, 





2° DÉCADE. 













2,19|—0,10|+-0,31 
1,61|41,38|L0. 
3,48|+1,55|1,24 


















ei 





—3,92|—4,90|—8,08 


+-6,68/4-7,25|-7,37 


+-3,50|+41,19|-L0,20 





2,43[-+-0,94/ 10,52 
















3,55|4-0,86| +0,57 

























TABLEAU DES MOYENNES DÉCENNALES DES TEMPÉRATURES, N°4. 


CALCULÉES DE DIX EN DIX JOURS, EX DEGRÉS CENTIGRADES, 
. 


AINSI QUE DE LEURS VALEURS EXTRÈMES, DIURNES FAITES À GENEVE, DE 1796 À 1841, 


D'APRÈS LES MOYE) 





ES DES OBSERNVATION 





PUBLIÉES DANS LA DIBL. BRIT. ET LA HINL. UMY- 


JANVIER. 








SEPTEMBRE, OCTOBRE. NOVEMBRE. DÉCEMBRE. 


| 


17 pYcans 
17 nécanr. 


| ire Décor 


| 1° pécane. 


1796—1805 ë à) “ 520115 
‘reve Ë 3 ch Ê 10,24| ,13/15,20/15,34 16,41/18,40/17,26/18,88[19,30 15,75/12,90/12,05 
fre l 2,19 +4, 8,65 35/14,99/15,52 15,66/16,69 18,28]17,70) 61,14,04/13,57|11,96! 

Û 3 +4,23 82) 11,06) 2,82/13,21/15,31 16,13/17. 17,20[17,67 6,48[15,68/14,90/12,95/11,59) 


+4,36 3 3 9,98 14,47/15,39 16,07[17,86 17,95]18,22) 4 6. |14,93/13,16/11,87 





96—1825 


1796—1825 Ç minima 
Décades À maximum 





0,06 4 5,45| 40/10,32/11,70 12,62/13,64 14,53/14,96/15 2,59/10,7a 
10,76 9! 14,32 5117,60/20,91 19,77/20,66/2 22,49124,48/23,23/9 4118,18) 





826—1835 À 5 5 7, 
| ac HT L à ] L' 4 5 6 10,29/13 31,15,64/15,99 18,17]19,48 19, 19,82 9 6,12,14,84/14,49/12,68 2,91 +3,60 
L L ei H F 2, L 10,13 114,01/15,11 18,11118,11 54116,66/18,29 9 3115,25/13,84/13,17/11,06 4,61 3,55 
| 1826—1841 42 2 6 o| 7, 10,19/12,93 15,03/15,66/17,49/18,15/18,07 18,46/19,24 #0/14,46/13,99/19,41 3,56[ 3,52 
1 1826- Ie (nimuio 
| Décades 








ni 12,08/13,72 14,72/15,68 1115,37/17,01/15,8 10,90) 8,03, —1,11)—0,15| 
3 18,12/1 20,04/22,21/22,6. 70/23,04/24,01 16,72|13,90! +6,36| 48,10! 



















































































TABLEAU DES MOYENNES DÉCE 





ALES DES TEMPÉRATURES, 





# bis. 


CALCULÉES DE 1IX EN DIX JOURS ET DE MOIS EX MOIS, 





EN DEGRÉS CENTIGRADES, AINSI QUE DE LEURS VALEURS EXTRÈMES, TELLES QU'ELLES RÉSUL 





ENT DES OBSERVATIONS FAITES A G 





; VERS 8 LEURES DU MATIN, PAR GUILL.-ANT. DE LUC, 


de 1268 à 1800. 


VB. Les observations ont été faites, pendant toute leur durée, vers 8 heures du matin en Janvier, Février, Mars, Novembre et Décembre. De 1788 à 1800, elles ont aussi été faites vers 8 lieures pendant tous les autres mois de l'année, À 7 h. 2), de 1788 à 1797 de Juin à 
Septembre. De 1768 à 1787 elles ont été faites à 7 h. !/3 en Avril et Octobre, et à 7 h. en Mai, Juin, Juillet, Août et Septembre. On a employé les observations telles qu'elles ont été faites, sans y appliquer de correction 















AVRIL, MAI JUIN. JUILLET AOÛT. SEPTEMBRE OCTOBRE. NOVEMBRE 


JANVIER FEVRIER MARS. 





PT TL TS | LT | TT, LT TL maniere | Ben 
à ile Élu ä à UE NRC Re 
| DATES ë | £ An E 2 |2|$ 5 5 EMI IR] È A he 
\ ë à 5 g | $ $ $ é | $ 
É ERIR ANIME À à È ? È 
F - E Lo - - - a = - Q] 
—— — — —| — —— _—_—|— — | — — — — 











17 68—1777 mc! 
1778—1787 
Mizss—1707 
17981800 





+-0,50|+-0,72|—0,05|+-1,15/+43,12]23,52| 24,67 
-0,56|—0,69[+0,04|—0,72|—0,34|-+: 

7|—0,70|+0,17|+1,66|+-1,382) 42,67] 2 
—1,49/+1,10]-L0,80/+-0,76/-L2,20 


1-9,67/10,61/12,37/14,24 
10,24/11,34/14,89/16,04 
12,25/13,09/15,11/16,69 
11,27] 10,11/13,45/14,94/15,09| 


9,41] 10,66/12,02/14,20/15,66 


17,87 16,11/15 13,16]11,0 
119,07 2/16,31/15, 13,11/11,36 7,01] 5,72] 4,40 
20,11/10,90/20,40!18,11/16,60!16,62|12,07|11,00 8,12 6,6! 4,11 
19,01/18,42/21,40/16,72/10,84/15,10/13,21/10,54| 7,50] 6,76] 7,15| 4,20 


18,51/19,19/19,74/19,02 16,84/15,85/14,41/12,82| 11,86) 8,99] 7,26] 6,07| 4,30| 





6,81] 6,82! 4,41 








1,07 


0,171 0,54/0,60|1,84/4-2,60| +3,74 











| 1768 —1800 





RU 1800 ( « 
Ipicades À mrime 


7] —5,42/—8,56|—7,11]—6,40 
4,66/+5,09/+3,96|-7,64|46,75 


10,14/11,07 
19,69/20,17 


15,29/13,59 
9/20,94/24,87 








16,27/17,22|1 
2 


2 
24,20/23,12/23,69/19,82/18,87/17,44/16,46/14,40/12,06/11,47/+10,82 





2114,0411,84/11,27| 9,09! 6,15| 4,21| 3,64|—0,37| + 
Me 













































































SEPTEMBRE, 
NOVEMBRE 


16,66 
1778—1787 3 8, 6 17,94 | 19,32 9 
1788—1797 | —0 ; 5 18,15 | 20,40 14,70 
1798—1800 | —0,29 20,05 15,05 


1768—1800 | —0, 7,5 19,30 14,36 





mots 
Minimum —6,60 ! 15,24 ÿ 12,05 
Maximum +2,46 8 19,94 | 23,20 16,11 















































JANVIER, FEVRIER, Mans, AVRIL. LAID JUIN, JUILLET, | AOÛT. |SEPTEMB,| OCTOURE, | NOVEMBRE, | DÉCEMBRE. HIVER, PRINTEMPS, | ÉTÉ, AUTOMNE. 


= < = = EN EE. 


1796—1805 , ; ÿ -1,4/2 3 7 3 4 8 413,6] —6,0! 
1806—1815 3 3, 21 28,6/3,8| 2 414,11 —5 
1816—1825 2 





1796—1826 


Miolens et maalens 
absolus 


1796-—1825 





| 1826—1835 3/10,7|-10,3 
1836—1841 |- 11,6] —9,6 


6[23,2/+1,0 
21,5[+0,6 


5,29,918,4 
30,5/6,8 








| 1820—1841 11. 10 22,6[+1,4/2 





30,1/7,6 


Moi 
absolue 


1820—1841 3/20,7/-17,7117,5|-11,0 







































































OBSERTATIONS ANTRONOMIQUES 


FAITES 


A L'OBSERVATOIRE DE GENEVE 


DANS L’ANNÉE 4842, 


E. PLANTAMOUR, - 
272 eus d'Alhonomi à d'Acaademi de Ce neue, 
S 








GENÈVE. — IMPRIMERIE DE FERD. RAMBOZ. 





OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES 


FAITES 


A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE 


DANS L'ANNÉE 1842. 





0] 





Il n’a été faïl, dans l’année 1842, aucun changement dans la lunette mé- 
ridienne ; elle a été seulement démontée deux fois, au mois de juin et au 
mois d’octobre, pour nettoyer le tourillon du côté du cercle et le bord inté- 
rieur des deux cercles. La seconde de ces deux opérations avait été rendue 
nécessaire par des travaux faits dans l'Observatoire pour changer l’ajuste- 
ment de la pendule, pour lesquels on avait démoli et reconstruit une cloi- 
son, ce qui avait causé beaucoup de poussière. 

La pendule sidérale d’Arnold et Dent, qui sert aux observations méri- 
diennes a été démontée et nettoyée au mois de septembre pour la première 
fois depuis son établissement en 1838 ; on en a profité pour changer son 
ajustement et modifier quelques parties qui tiennent au remontage. La 
caisse de la pendule reposait sur le sol même de l'Observatoire, et elle était 
seulement appuyée contre une cloison; maintenant elle est fixée à un fort 
pilier formé d’un seul bloc de pierre calcaire du Jura, qui repose sur un 
massif de maçonnerie indépendant du sol. La pièce qui sert à arrêter, 
quand on à fini de remonter, avait été mal ajustée, lorsque la pendule avait 
été posée en 1838, en sorte qu’on ne pouvait pas remonter le poids assez 
haut, ce qui faisait que la pendule marchait tout au plus 7 jours. De plus, 


4 

le ressort, qui remplace le poids comme force motrice pendant le remontage, 
n’agissait pas avec une force égale à celle qui était exercée par le poids, ce 
qui pouvait être la cause des variations dans la marche de la pendule, que 
l’on remarque dans le tableau qui renferme l’état et la marche de la pen- 
dule. Ces variations ne se rencontrent pas à chaque remontage, qui se fai- 
sait toujours le dimanche matin, et qui est marqué sur le tableau par un 
astérisque, mais les variations de marche coïncident toujours avec l'époque 
d’un remontage. On a entièrement supprimé la pièce qui servait à arrêter 
après avoir fini de remonter, en faisant un arrangement qui permet de voir 
lorsque le poids est arrivé en haut ; on a aussi modifié la force du ressort. 
Depuis la fin d'octobre, époque à laquelle la pendule a été remise en place, 
le temps a été trop défavorable pour que l’on puisse juger de sa marche, à 
cause du petit nombre de jours d’observation. 

Les tableaux renfermant les observations méridiennes ont été mis sous 
la même forme que ceux de l’année précédente ; les corrections et réduc- 
tions ont aussi été calculées de la même manière. 

Ainsi, dans la colonne intitulée correction de l'instrument se trouve 
la correction, qu’il faut ajouter à l’instant conclu du passage au fil méri- 
dien, calculée par la formule 

—tang. d + + sécante 0. 


Les valeurs de T données par les retournements de l'instrument pen- 


dant l’année sont : 


Cercle Ouest, du 3 janvier au 24 février . = = + 0,41 
Le 24 février l'erreur d’axe optique a été exactement corrigée. 
Cercle Est, du 24 février au 27 février . . . . . . . —— 0 
Id. du 2 mars au:28 mars: . :: .:. 0.010. = — 0,41 
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . . . . . . . . . = + 0,41 


Id. du 21 :avrilau bemai. . . 44: ne = + 0,11 


CerclepEst,,.- du'61mai au 6 juin. 4. t Que À: = — (0,11 
CerclekOuest, du 6 juin au. 14 juin . . . mu: £ 1. mn.0! : = + 0,11 
Les fils ont été changés. 

Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . . . . . — — 0,10 

Cercle Ouest, du 4 juillet au 27 juillet . . . : . . . . .. — + 0,10 

Cercle Est, du 2 août au 2 SEDIEMDTEMAR SMTP. Te —= — 0,12 
Id. du 28 octobre au 2 décembre. . . . . . . . — + 0,26 
Id. oran 200 EME ENT ee — 0 

CercleOuest, du 20au 31 décembre 0. — — 0,32* 


n 
15 
éloiles polaires, + et à Petite-Ourse ; en réunissant ensemble celles de ces va- 


Les valeurs de ont été calculées au moyen des observations des deux 
leurs qui ne diffèrent que de quelques centièmes de seconde, et pour les- 
quelles ces différences peuvent être attribuées aux erreurs des observations 
et non à un changement de l’instrument, on trouve les séries suivantes : 


Cercle Ouest, du 29 janvier au 5 février. . . . . . . .. D 0°,10 
Id. du Jrau 48 février: : 44 loc ul à = — 0,17 
Id. dû 19cm 24févrient avons tes .eheososts ! = — 0,05 
Cercle) Est) : du 25) aul2%1févrienez stnerct ot Ah 1e — — 0,38 
Id. du 25a0)'29marsivèf & absent el 2h-osc0t _— 0,12 
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril : . . . . . . . . . — + 0,50 
Id. dui21Jaui291avritonst 9190) . Le Al eva = + 0,68 


Le 5 mai on a ramené la lunette de 16",4 vers l'Est en faisant avancer le 
coussin du pilier occidental de cette quantité vers le sud. 


GercleNEst, du 10Mau 15 mar... =... RE — —= — 0,53 
Id. du éMMaNAaUNG Din... PT —= — 0,46 


* Le 20 décembre, peu de temps après le retournement, la lunette méridienné a été heurtée près 


de l'oculaire, ce qui a occasionné un changement dans l'erreur d'axe oplique. 


Cercle Ouest, du 6 au 9 juin. . . . . . . . . . . . . .. = 10:10 
Id. du 10 au 13 quin.- AMP PURE —=t0;17 
Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet . . . . . . . . . .. — — 0,46 
Cercle Ouest, du 4 au 10 juillet. . . . . . . . . . . .. = —, 0418 
Id. du 14 au IT TOME SERU = + 0,01 
Id. du23raur2 7 juillet EPP — — 0,08 
Cercle Est," Au 2 aUMPAONtS PAL ER SNA ONIA = — 0,53 
Id. duve aUur27 QoUR ee HPLIURS Ki RARE Qu = — 0,35 


Le 13 octobre le coussin du pilier oriental a été abaïssé de 20”. 


Cercle Est, du 3 au 19 novembre . . . . . . . . .. + — — 0,25 
Id. du 23 au 28 novembre. . . . . . . . . .. ) 
Id. du 30 novembre au 20 décembre. . . . . . = 0,0 

Cercle Ouest, du 20 au 22 décembre. . . . . . . . . .. — + 0:23 
Id. du26AauSiidécempre ne EE — + 0,46 


La correction azimuthale que l’on a appliquée le 5 mai pour ramener la 
lunette vers l'Est s’accorde, soit pour le sens soit pour la quantité, avec 
celle que l’on avait déjà faite l’année précédente, le 21 avril; de là on peut 
conclure une tendance de Ja lunette à dévier vers l'Ouest, c’est-à-dire une 
tendance du pilier occidental à s’incliner vers le Nord ou du pilier orien- 
tal à s’incliner vers le Sud. Cette tendance peut s’expliquer par la cir- 
constance que les piliers ne sont pas exactement alignés perpendiculai- 
rement au méridien; en sorte que la lunette repose sur la partie boréale 
du pilier occidental et sur la partie méridionale du pilier oriental. 

Les résultats donnés par les nivellements de l’axe sont indiqués au fur 
et à mesure dans la dernière colonne des tableaux des observations ; le 
signe + indique l’élévation en parties du niveau de la surface supérieure 
du tourillon occidental au-dessus de celle du tourillon oriental. La compa- 





1 


raison des nivellements faits dans les deux positions du cercle confirme 


l’inégalité des tourillons indiquée par les observations de l’année précé- 


dente; effectivement voici les différences données à chaque retournement 


our l’élévation de l’extrémité occidentale de l’axe, suivant que le cercle 
P 


est à l’Est ou l’Ouest. Ces différences sont exprimées en parties du niveau. 


D AREÉNTIET EE rl 
LAN AE: née fre 3,36 
CL ONE vo li 3,43 

DO MATS de ne 4,21 

D'ÉMAIS EN OI NESE 4,34 
CIDRE CN UE UE 2,10 
23FJUin. 8. 2 IMREUT MP EE 

D'AUTRE CT Le fe 2). 15p 

BUIJUILIEL Se PES EE AN EN à 1,68 

2 Septembre. . . . . .. 2,05 

28 Octobre . . . . .. .. 2,07 

20 Décembre. . . . . .. 3,35 

4 Février 1843 . . . . . 2,70 


Moyenxie. . . ., 2,92 


Les observations de l’année 1841 avaient donné 2°,58 ; moyenne des 
deux années 2",80 ; on conclut de là que le rayon du tourillon du côté 
du cercle est plus petit que celui du tourillon opposé de 0,47, ou de 
0”,94. En tenant compte de l’inégalité des tourillons , on trouve pour l’in- 
clinaison b de l’extrémité occidentale de l’axe à l'horizon les valeurs sui- 


vantes : 


Cercle Ouest, du 3 janvier au 24 février . 
du 25 au 27 février 


Cercle Est, 


EE 
— : 6,08 


+ 


Cercle Est, du 2 au 28 mars. . . ........ ...... ME he 
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . . . . . . . . .. SOA 
Id, duétiavri autant Mib est iioz Iran — — 6,68 
Cercle Estsn fduérau 15tmaib. Hirnstiie éthanol ab. — Lj: 0,12 
Id. dal mabanéjuin:os éosmmalit 2 Jeans = + 1,78 
Cercle Ouest, du 6 au 23: juin. - - + ©: + à: : . . . . = — 1, 
Cercle Est, du 2% juin au 4 juillet "un — — 0,72 
Cercle Ouest, du 5 au 30 juillet . . . . . . . . . . . . . . — — 3,88 
Cercle Est, du 30 juillet au 23 août. . . . . . . . . . . — — 2,40 
Id. du 28 octobre au 20 décembre . . . . . .. — + 6,26 
Cercle Ouest, du 20 au 23 décembre. . . . . . . . . . .. — |" 1,44 
Id. du 23 auSiidécembre "Hu = 3,36 


Au moyen de ces valeurs de b et de celles de n on a calculé l’angle m 
que fait avec le méridien le cercle horaire sur lequel ont été ramenés les 
passages observés, ou la quantité _ qu’il faut ajouter à l’instant observé 
du passage de tous les astres. 


m 
Les valeurs de ——— sont : 


15 
Cercle Ouest, du 27 janvier au 5 février. . - . . . . . .. — —1;,11 
Id. AUNO AU MISMEYTIER PR ee . ee — — 1,03 
Id. dudlJEau DA LÉNTIER Eee ele nt LA dun = — 1,16 
Cercle Est, du 25jau, 27 février. 6.4 en... ne — — 0,19 
Id. D AU PO DARS RL ns 0: = — 0,12 
Cercle Ouest, du 29 mars au 20 avril . . : . . . . . . .. — — 1,40 
Id. du21/ayall au) MA fe A 2). — — 1,34 
Cercle Est 20du 60015 MAL CES CR — + 0,56 
Id. UD A AURONT ER AE Ce CCC — + 0,65 
Cercle Ouest, ‘du'6:au 9 juin" 762.00 IETARER € — — 0,27 


Id: duA0'au 23 juin. : IMMO LE WT —010;35 


9 


Cercle Est, du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . .. re _ — + 0,41 
CerelelOuest, du b au 10juillet MM 2. : : . smart. - — — 0,24 
Id. dus andismilets Tnmere © ee. + En == — 0,38 

Id. dura 0muilet,.. ..1. 0" hp..." 7 — — 8,28 
Cercle Est, du 30 juillet au ? août. . . . . . . .. — + 0,32 
14. Au 0 a PA MRAONTARRE .*: + Eee — + 0,14 

Id. du.28 octobre au 19 novembre . . . . . . . — + 0,86 

Id. du 23 au 28 novembre . . . . . . . . . .. — + 0,72 

Id. du 30 novembre au 20 décembre. . . . . . — + 0,60 
Cercle Ouest, du 20 au 23 décembre. . . . . . . . . .. : = — 0,10 
Id. du 23. aubhdécembre "1! : : . : 201 4178 — — 0,17 

En ajoutant celte quantité ee à l’erreur de la pendule qui est insérée 


dans la colonne intitulée correction de la pendule, et qui a été obtenue 
par la comparaison des passages observés avec l’ascension droite des étoiles 
fondamentales tirée des éphémerides de Berlin, on obtient le tableau sui- 
vant pour l’état de la pendule à midi et pour sa marche diurne : 


Etat de la pendule sidérale d’Arnold à midi pour l’année 1842. 

















ÉTAT MARCHE ÉTAT MARCHE ÉTAT MARCHE 
de la de Ja de Ja 
PENDULE. |DIURNE. PENDULE. |LLURNE. PENDULE. |PIURNE. 
28 Janvier.|l+ 645,21 18 Février.|+ 825,04 +og6r 11 Mars. |- DE inse 
29 » + 65,42 . KO) + 82,64 + RS RS YA S) _- 2,6 + pe 
* 2 Février.|+ 69,87 L 0 86 X20  » + 83,24 FOSSES EN 3:50 LL : 
3 » |+ 70,73 h “al ar | + 83,94 Ÿ DRE 2 D U6.70 F “3 
Sp + 72,57 L. de, NT) + 84,bo + 2 125 » + 1,47 + 577 
Pgo CÉRNMAlES on | 68,7 PAMOU| 1558100 
10 ) + 7754 se DRE X27e0! » + 91,76 LP X14 Avril. |+ 40,93 : no 
11 »» + 78,11 d ae 5 | Le 2? Mars la pendule a été 1 » Se 43,00 F " 7 
12  » + 78,86 : A retardée de 2 minutes. 3 #r7  » + 46,82 9 
*14 » [+ 8o,r2 4 pur 2 Mars. |— 24,57 Es 18  » + 48,89 É FH] 
| LE 5) + 80,42 7 A 8 40) — 922,65 10 19 » + 51:03, 
led rutt BR 4pon otl-1206817, Aa, nt Aénisroft 727 


2 


10 

















ÉTAT ÉTAT  |Apie ETAT  |yircue 
de la de la de Ja | 
PENDULE. Rue PENDULE. |PIURNE. PENDOLE. |PIURNE: 
; 25,30 ë + 05,90 2 + 05,58 
21 Avril |[+ 555,40 + 24 Juin, |+ 205,33 9 Ki4 Août. [+ 415,90 
22 » + 57:67 a A *X26 » + 20,63 + ve 12e » + 1338 + s,58 
23,» [+ Gorélt 247) 27 » | 2086/0836" , VU 4438] 110 
F4 on + 6258) 28 on [Hans lun on, 4548/7250 
25 » + 64,79 + DE 29 » + 21,89 + ET 18 » + 46,78 RUE 
26 » + 66,94 “ ne 1 Juillet. [+ 22,57 Lu prié 20 » + 48,72 + 087 
2000 » + 71,01 + re ae Ch) + 23,12 + 08 LS + 49,56 + we 
29 » + 72,01 : 36 AIS, + 23,99 H PAYENT UK, + B5o,20 ; c'ES 
* 9 Mai. [+ 91,45 4 163 & + 26,18 Hi d62 23, 4) + 50,79 H 7 
10 » [+ 93,08 é A0 70 DUT 27,38 L M 2% on  |+ 5123 L 46 
If » + 94:95 4 THE 7 » + 28,18 4 do 25 15 + 51.6 4 06 | 
FLD + 101,22 : 1 CR + 28,98 H aies 27 + 52,8: ct 
16» Hiosl el 9 » [+ 2960 °0 
17» + 103,67 DAMEROD ÿ + 30,23 + 0 3 La pendule a éte démontée 
10} JU +4 104,84 + 2217 14 + 30,36 u se CAIN EE 
Le 18 la pendule a été retardée 15 » + 30,21 1 par 31 Octobr. + 10,43 1,48 
de 2 minutes. 16 » 1 0:07 | PE 3 Nov. h 5,98 Gs de | 
21 Mai. |- 12,46 H Re Dir ROME) + 30,02 f 7. kg » |- 1448| be 
*x23 » — 10,00 + &E 18 vit-n + 30,52 4 A1}G *23  » — 920,43]. 150 
26 » — 7:98 RE 7 22 » + 32,2: H se 27 on - 26,78]. je 5 
27 un EG 0 H '88 23 nus NF 15:93 4 QE 28 on  |- 286817 nn 
Mg. ni vhngl C6 late mens eo, »,0|-4 8266 
Juin ne NICE 27. à + 34,00 4 UE 1 Déc. |- 34.641 128 
TRS 441,77 1 4 28 » + 3/,07 h 0 7alaslair 5 =1 86,62|7 23 
3» | o6ifE él" r Août. |+ 37,80/ 98 »  |- 50,63[" 7° 
LA + 0,9% Hess ; D D ï 38,31 4 ar P19. .» - 78,32 |. nm 
NUS) 17 + d'83 4 5» + 38,82 Le 025 20 » = 81,33 | 3 
(LE + 4,00 es php + 39:07 03295 » — 84,30| °17 
1 (+ 234lx + 0,27| M — 2,81 
TE) + 5,34 gl 7 ? T 39:61 ri 22 » 87;rx _ 2,65 
8 » +... 6,52 ee sum + 39:83 4 de 23° » _ 89,76 46 
9 » + 743 + Ke 9 » + 40.0 + 206 — 97r12 L ne 
10  _» + 8,28 + ee 10  » + 4o,28 4 Clan 29 » — 104,62 |. A 
11 » + 8.94 + Ps 12 » + 40,98 # HO 9 — 107,04 pa ’6o. 
Riz ot osé Lelé afro ge | pif 





Dans les observations des déclinaisons on s’est encore servi des tables 
de Bessel pour calculer les réfractions, et les lieux du pôle sur le cercle 
ont été obtenus en tirant des éphémérides de Berlin les déclinaisons des 
étoiles fondamentales, La colonne intitulée Lieu du pôle renferme seule- 
ment le chiffre de secondes résultant de cette comparaison pour chaque 


11 


étoile fondamentale. Les lieux moyens du pôle sur le cercle, dont on s’est 


servi pour le calcul des déclinaisons, sont : 


Cercle Ouest, du 26 janvier au 23 février. . . . . . . 200° 15° 147,70 
Cércletbsié ldu2brau2Tiiévrienn., 0 Me lon. 112 39 et 
Id dus au AMArS EL 20572 DU. 11239 19:63 
Cercle Ouest, du 29 mars au 4 mai. . . . . . . . . .. 200 15 26,02 
CercletEstmndu Giau LOAMAN EL LE UCE CN 112059 20024795 
Id. dodiihmalau sun ee. a: 2 SON 23-80 
Cercle Ouest, du 6 au 13 juin. . . . ... . . . . .. 200 15 28,75 
Cercle Est, du 23 juin au 4 juillet. . . . . . . . . . 268 46 14,35 
Cercle Ouest, du 4 au 10 juillet . . . . . . . . . . .. 356 22 16,00 
Id. du d3saus 28, juillet. 41 5h co no 356.-22,,, 15,18 
Gercle Est, du. 1.au-2.août.,.).,.. 44e 1. | . 268 46 15,31 
Id. du/£'auHoLaQu,, comte: cuth m6 Arras: 268 46 12,45 
Id. du di0 Ana not dc 268 46 13,55 
Id. du) au27 août D 6.2 0h ut nu 268 46 ,: 14,50 
Id. du 31 octobre au 3 novembre . . . .. 268 45 55,26 
Id. du 6 novembre au 2 décembre . . . . . 268 45 52,95 
Id. du 8 au 19 décembre . . .... .... 268 45 60,04 
Cercle Ouest, du 21 au 31 décembre . . . . . . . .. 356 21 57,49 


Là comparaison des lieux du Nadir sur le cercle, obtenus par l’obser- 
vation de la réflexion des fils dans un horizon de mercure avec les lieux 
du pôle pris dans le tableau précédent, donne les valeurs suivantes 
pour là latitude de TObservatoire : 


Cercle Ouest. Cercle Est. 
26 Janvier 46° 11’ 58,02 25 Février 46° 11” 57,77 
12 Février 57,40 26 00 56,88 


19 Avril 58,30 2 Mars 58,82 


12 


Cercle Ouest. Cercle Est. 

24 Avril 46° 11° 57”,10 4 Mars 46° 11° 58,61 
20 AE) 58,24 10 Mai 61,10 
9 Juillet 59,19 23 Juin 60,92 
150) 58,32 2 OS) 59,60 
230 y 58,59 1 Juillet 60,25 
Moyenne 46° 11° 58”,14 2 Aoùt 60,31 
Ki PS) 60,18 

2110 > 58,18 

1 Décembre 60,08 

Moyenne 46° 11° 59,56 


La différence entre les résultats de ces deux séries peut provenir d’un 
petit défaut d’horizontalité des fils, qui devient sensible, parce que la coïn- 
cidence des fils ne peut pas être observée sous le fil du milieu à cause du 
prisme, et que pour toutes ces observations elle a été observée sous le se- 
cond fil. La moyenne des deux séries, dans laquelle cette erreur est com- 
pensée, donne 

46° 11 58,9 
pour la latitude de l'Observatoire. Cette valeur s’accorde du reste assez 
bien avec la latitude 46° 11” 59” ,4 que M. le professeur Gautier * avait ob- 
tenue pour l’ancien Observatoire, qui était situé de 11,64, soit 0”,12 
plus au nord. 

Les ascensions droites et déclinaisons observées des étoiles ont été cor- 
rigées de l’aberration, de la nutation et réduites au 1” janvier 1842, à 
l’aide des constantes 4, B, C, D, qui sont calculées dans les éphémérides 


de Berlin. 


* Voyez les Mémoires de la Société de physique et d'histoire naturelle de Genève, Tome IV, 


2e partie. 


to ii RS D D Sr RS  RS 


13 

Ce sont ces ascensions droites et déclinaisons moyennes au 1° janvier 
1842, données pour chaque étoile et pour chaque jour d’observation, qui 
sont renfermées dans les tableaux qui suivent les tableaux des observa- 
tions. Les étoiles y sont rangées suivant leur ascension droite ; au-dessous 
des observations de chaque étoile se trouve la moyenne des différentes va- 
leurs obtenues pour l’ascension droite et pour la déclinaison. Enfin, plus 
loin on trouve, pour les étoiles fondamentales, la comparaison entre ces 
moyennes et les positions moyennes indiquées dans les éphémerides de 
Berlin. La dernière page de ce recueil renferme les observations des oc- 
cultations d’étoiles et de l’éclipse de soleil faites dans l’année 1842. 


Je rappellerai ici, que dans les tableaux suivants le chiffre placé à la 
droite du nom de la constellation ou de la planète indique le nombre 
des fils auxquels l'instant du passage a été observé, lorsque l'observation 
n’a pas pu être faite aux cinq fils du réticule. 

Lorsque la hauteur de l'étoile polaire et de à petite Ourse a été observée 
plusieurs fois à un même passage, on n’a mis pour abréger dans ces ta- 
bleaux que la moyenne des hauteurs réduites au méridien; alors dans la 
colonne intitulée Remarques se trouve indiqué le nombre des observa- 
tions. La même chose a lieu pour les observations du Nadir par la réflexion 
des fils. 

Dans les résultats obtenus par le nivellement de l’axe de la lunette, et 
insérés dans la colonne intitulée Remarques, le signe + indique l’éléva- 
vation de l’extrémité occidentale de l’axe au-dessus de l’extrémité orientale. 


15 


Observations faites à la lunette méridienne en Janvier 1842. 
























































































PASSAGE ge = = 8 È THERMOMÈTRE. Es = 2 
NOM coxGLU Lis MOESN = & o : 2 Fa 5 2 
£ UT à EE if 5 [2 [5] meranques. 
D meonine PMR | VÉRNERRSS || É 2 ë Re Ne 4 IE 
h. m.s s. s D NN +! o o TT 11 
Niv.-5P,87. 
Niv.18.36. 
fl Niv.—5P,84. 
Niv.—6P,14. 
TO OR 6 336.27.12,7 B. |Moyenue de 7 obs. 
Petite Ourse S..2| 1. 3.15,32 198./42.53,4|- 3,514 3,ol+ 51,6/16,1| » |Moyenne de 2 obs. 
(Soleil, rer bord...|20.42.32,73[+ 0,43 91.47-20,0[— 3,2[4 1,1/-2. 1,0 » [Bord inf. an mérid. 
MBier..…........ 2.23.15,59[+ 0,40 127.16. 5,0 DE 10-0929 » [Niv.-5r,25. 
MER sicfoieieleye 2.30.57,65[+ 0,41 131.32.20,)|— _- 26,9 » 
RNA RE 2.36.13,42}+ 0,40 112.50.14,5|- 55,2 » 
EE es pes. 2.41.35,531+ 0,40 127. 4. 9,7|- — 1,4]- 32,7 » 
CESR 2.55. 8,18/+ 0,40 113.44.11,5|— _ 53,5116,3| » 
tee ce « 3. 3.42,93{+ 0,41 129.23.23,2|— — 207 » 
12107 MAN 3.14.11,518+ 0,51 1509.33. 7:7|- 1,3 1,7{+ 3,1116,8| » 
FIRE 3.39.12,91/+ 0,41 133.52.33,7|- Eh » 
PSPPEPRE 4. 8. 4,b2l+ 0,40 118.45.34,0|- 1,1|- 2,7l- 45,0 » 
te 4.11.55,56/+ 0,40 125.30.25,7|— - 35,0 » 
; 0,41 132-42.50,0|- = 2,8]- 25,6 » 
FÉCrctE 0,40|+65,68/126.27. 5,2|- o,8|- 3,1l- 33,7/14,8| » 
Du nai 0,41 132.54.41,2|- Sha5 5 » 


0:491+65,7g 
0,43 165,58 
0,42 +65,88 
o,41 


138.43.42,0 
109.51. 3,7|— 





17,1 16,0! » 
1. 1,9 » |Ondulante. 


© DD GO 


HR à & od 
FFF FF FER FF FFT F+T 





















































Pégase 6]+ 0,40(466,481124.37.18,o[+ 0,11725,0f+ 2,7[- 0,2] 35,8/14,9| » |Très faible. 
(& Andromède 81+ 0,42/166,681138.28.45,5|+ 4,2 _ 18,7/15,7| » [Niv.-6P,21. 

P 1f+ 0,40/466,3/4/124.54. 9,7|+ 3,31724,0l+ 35,7113,6| » 
gf+ 0,57|+66,59/165.55.29,7|+ 4,41724,81+ 9:6 13,b » 

5 198.42.46,2|+ 4,8|724,81+ 52,2115,6| » | Moyenne de 5 obs. 
81+ o,4r 139. 4. 6,0[+ 4,0 _ 18,0 » 
95[+ 0,411+66,631132.58.31,7|+ 3,3 _ 25,0/14,8| » 
3314 0,41 130.43.43,7|+ 4,3 — 277 » 
3314 0,40 129.25.51,5|+ 4,3 0,81 29,5 » 
57 0,40 127.16. 1,0|+ 3,0 052,2 » 
831+ 0,41 131.32.19,5|+ 3,5 26,8 » 
68|+ 0,40 112.30. 9,5|+ 4,1 — 54,9 » 
0,40 127. 4. 4,714 433 32,5 » 
0,40|+66,761 1: + 2,3 53,2113,7| » 
0,41 + 1:9 29,4 » 
0,51|+66,66 + 37 3,111737| » 
0,41 + 3,2 24,1 » 
0,40|+66,83 + 3,7 33,3115,3| » 
0,49|+67,05 » 
À 0,43|+66,85l101.53. 9,o|+ 3 0,0)-1.20,6/15.9| » 
5.17.26,461+ 0,42|+66,93|138.43.40,o[+ 2,4 — 18,4/19,1| » 
5.25. 4,584 0,41 + 2,2 1. 0,7 » 
5.29.20,4414 0,41 — 0,6 -1. 2,6 » 

sors. 5.35. 4,o7]+ 0,56 76.10.45,5|+ 4,8 —5,23,5 » lFaible. 
LES MA ia + 05 èé 100.32.42,5|+ 2,5 —1.25,2 » 
Ke 2| 5.47.45,88[+ 0,40[+66,87117.38.15,5[+ 1,4 — 46,2l12,0| » 
3 Petite Ourse I... Gaz. 2,03 208 38.441 + 5,6/723,8l+ 0,2]+1. 1,9/11,1] » [Moyenne de 4 obs. | 















16 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842. 














*‘sunor 


3/4 Triangle 
« Bélier... 
n Bélier... 
@: Bélier... 
4 Bélier... 
y Bélier... 
y Baleine... 
x Bélier... 
e Bélier... 
à Bélier . 


n Taureau. 








g Taureau 
y Taureau 


æ& Taureau 
+ Taureau 


œ« Cocher... 
B Taureau 


9 Orion .. 





S|Soleil, rer 


a Triangle 
x Bélier... 
n Bélier .. 
8: Bélier... 






= Bélier... 


9 Taureau 
n Taureau 






g Taureau 
y Taureau. 
x Taureau 
æ« Cocher. 












8 Taureau 


GONE: 


NOM 


DES ASTRES. 






CRE 


33 Taureau ...... 
36 Taureau ...... 


62 Taureau ...... 


98 X Taureau .... 


118 Taureau..... 


132 B Taureau..3| 5.40.35,/9|+ 


bord... 


x Andromède..... 
æ Petite Ourse S... 


x Baleie..:-20. 


33 Tauréau..... 
BOTaureane 


























































RSA CE CORRECTION o à z = a 
a k3 FRE. y ΠF 
PASSAG MOYENNE | => 3 THERMOMÈTRE É 5 à 
CONCLU 5, 4 
: des SAN, 8 & | & REMARQUES: 
fs la VERNIERS. | = 2 E Exté- = 3 |à 
FIL MÉRID. pendule F 2 ] rieur, 2 ñ 5 





















hs 


22.57. 432 + 


0 
© 








124.37.12,0|+ 5,6|731,8[+ o,7|+ 
139. 4. 4,0[+ 5,0|734,8l+ o,7[+ 
132.58.30,0[+ 5,3 + 


. [Niv.-7P,22. 






















OT HO 















3.39.19,49|+ 
3.48.55,67|+ 
3.56. 8,651+ 


193.52.25,7 
132.58.26,0 


RER PESEE FR 


+ ΠHO 1 FO 




















126.26.58,7 
132.54.3/,7 
135. 3.40,7|+ 


RS 









GS O+ERO D 1 D M OC © 











5 






4h 


5.47.51,2 












Bord inf. au m 
Niv.—6r",71. 
Moyenne de # 
















® 






































0.40 
0,40 VX 
0,41 
0,41 
0.41 
0,41 
0,41 
0,41 
0,40 
0,40 


0,40|+73,86/1 26.26.57, 


3,8x 








HS QU HS O0 O7 O7 UT US DT UT UT DIR D RO RRRERER 






3:20.27:79|+ 
3 28.56 19 + 


3 


GORE tb dom © 



















356.10 8804 
4. 8-12,60ol+ 
k32: 3,69] 
4.28: 6,941 
5. 6:17:931T 0,49|+74,10 
5. S-12:10[t 0,45[+73,85 
5.17-344oft o 42[+73,954138.43.40,0[1 3,81731,71 








"| 359 
5,5] 342 12,4 


SSH + © © 07 


















19,1115,6 








1 


17 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 18#2. 














CORRECTION . aô È rar . = 
5 Nom hier CE de MOYENNE 5 = £ AMOMÈTRE. 2 2 
5 2: Re des dote D IS #: 
£ DES ASTREFS. À tél 14 ER = Inté- lEstez = S 
| FIL MÉRID. meut, | peudule.] VERNIERS. |: e = rieur. | rieur. 2 el 
4 le pres, s. s. © FN DUT i à 11 min o © 1 7 1 
DO MiOn restons! 5.25.11,58l+ 0,41 109.50.56,0[+ 2,6 ES POS 2 
«x Colombe....,,.. 5.35.10,97 + 0,56 
132 B Taureau 5.40.35,131+ 0,41 134.46.16,5|- 0,8 — 22,7 
MOriOon.. svt. « 5.47.53,o2|+ 0,40|+74,0b 
2 Gémeaux...... 3] 5.28.26,85[+ 0,41 133.54.24,5|+ 7,0 = 7,5 24,4 
à Petite Ourse 1..4.| 6.24. 8,67 
Mglx Andromède. . ... o. 1.31,40[+ 0,37|+77,85/138.28.38,5|+ 6,4 729,51- 1,2|- 3,0] 19,2/12,r 
a Petite Ourse S..4| 1. 3.24,05 198.42.43,0|+ 7:2|729,6[- 1,2[- 2,5] 55,1/17,1 
roSoleil 1er bord... .[21.35.20,02|+ 0,47 95.37.43,2[+ 3,71734,1]- 1,0[- 4,5]-1.47,5 
Me Taureau........ 4. 8.17,48]+ 0,38 118.45.24,5|+ 7,0 735,0] 2,5[- 5,0|- 45,6 
y Taureau... ..... 4.12. 8,66[+ 0,38 125.30.18,7 + 5,3 - 35,7 
| a Taureau........ 4.28.11,78[+ 0,38 +78,74 
mr Taureau... ..... 4.34. 6,451+ 0,38 132.54.32,5|+ 7,3 — 5,of- 25,9 
«98 4 Taureau. .... 4-49.50,03[+ 0,37 135. 3.40,o[+ 6,0 — 23,5 
M Cocher. ........ 5. b.22,63|+ 0,42|+78,82 
(| ÉÆlOrion.. .:.... ..L 4] 5. 8.:16,95[+ 0,441+78,77l101.53. 8,2|+ 5,8 — 5,5]-123,6|:5,5 
È G Taureau. ...... 5.17.39,14[+ 0,37|+78,70/138.43.36,5|+ 4,9 — 19,1/15,1 
| 3 Orion Maire 5.25.16,38[+ 0,41 109.50.55,7|+ 5,3 —1. 3,1 
MOrion........L. 5.29-32,o2|+ 0,41 108.57.46,0|+ 5,5 735,41 2,8|- 6,61-1. 5,2 
… |132 B Taureau. ..| 5.40.40,03|+ 0,37 13446. ,o|+ 7,6 _ 23,8 
Orion... ....:. 5.47.57,64[+ 0,39/[+78,72|117.38.13,0|+ 8,8 735,61 - 3,o/- 7,0[- 48,2/15,5 
mSoleil 1er bord. ...|21.39.17,62|+ 0,4 92.57.22,5|+ 4,3 738,41 1,3|- 6,6|-1.45,9 
x Andromède. ... . o. 1.32,80f+ 0,37|+79,261138.28.39,5|+ 5,6 73737 2:51 2,5] 19,4/19,4 
x Petite OurseS...| x1. 3.22,45 198./2.37,9|+ 7,9 73761 1,3|- 2,54 53,7|13,6 
Riu Bélier.......... 1.59.36,39[t 0,38|+79,221152.58.29,2|+ 6,1 — 3,0f- 25,7115,4 
Soleil 1er bord....|21.43.14,38]+ 0,46 96.17. 9,7|+ 3,5 7hx4l- 1,8|- 6,11-1.44,7 
BiNadir.........,. 336.27. 4,5|+ 7,6 
a Petite OurseS ..| 1. 3.26,75 198.42.37,6|+ 7,8|740,0!- 1,3] 1,5]+ 53,7113,4 
“la Triangle........ 1.45.25,62]+ 0,37 139. 4. 2,o[t 7,0 740,0] 1,6/- 3,0] 18,6 
a Bélier... ...!. 1.59.37,19/+ 0,38[+80,03|132.58.28,0|+ 7,6 25,8|15,7 
1x Petite Ourse S...| 1. 3.24,35 198.42.41,21t 6,5 739,0) 0,2|+ 0,9]+ 52,9/15,3 
M Btélier..... .... 1.59.38,39 + 0,38|181,26 132.58.29,2 + 79/739,1]- 1,0|+ o,8l- 25,4 16,9 
MO Baleine ........ 2.55.23,50]+ 0,40|+81,24/113.44. 3,5|+ 6,7 739,0f- 1,5|+ 0,2] 54,1|16,4 
Bélier... ....... 3. 3.58,39[+ 0,38 129.23.14,0|+ 7,0 — 30,0 
66 Pélier......... 3.20.35,33[+ 0,38 132.31. 1,2|+ 6,7 — 26,1 
HO Taureau . ...... 3.29. 3,27[+ 0,38 132.56.43,5|+ 7,0 o,0f- 25,5 
BTaureau........ 3.39.28,51]+ 0,38 133.52.22,o|+ 6,7 — 0,5} 24,5 
133 Taureau....... 3.49. 4,73]T 0.38 132.58.24,0|+ 6,8 = 125,7 
136 Taureau... .... 3.56.17,79]t 0,38 133.55.38,5|+ 5,8 — 06|- 24,4 
LH Taureau... ..... 4:.8:20,041T 0,38 118.45.25,5|+ 4,7 - 45,5 
M) Taureau....... 3| L£:12.11,02|+ 0,38 125.30.16,5|+ 6,5 — 35,3 
| [62 Taureau... ..,2| 4.15.51,28|+ 0,37 134.11.18,0|+ 751 — 1,3|- 24,2 
PMTanreau. ….... 428.1440lT 0,38|481,2/1126.26.55,2|+ 6,3 — 34,1|r2,1 
| + Taureau......,.. 4-34. 8:97 + 0,38 132.54.32,o|+ 6,7 25,7 
98 4 Taureau. .... 4-49.52,53[T 0,37 135. 3.40,0|+ #4, — 1,41 231 
œ Cocher. ....... 5. 6.2/,99l+ 0,42|+81,26 
ÆOrion........!\. | 5. 8.19,30]+ 0,44|481,18l101.53,10,0|+ 3,3 —1 22,9|15,8 











“UAILYANISUO 


REMARQUES. 





Très-ondulante. 


Moyenne de 2 obs. 


Bord inf. au mérid. 
Niv.—7P,00. 
Faible et ondulante. 


Bord inf, au mérid. 


Moyenne de 4 obs. 


Bord inf. au mérid. 
Moyenne de 7 obs. 

Moyenne de { obs. 

Niv.—5P,50. 


Moyenne de 3 obs. 
Ondulante. 
Id. 





18 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842. 

































= CORHECTION JE Es a F ; cl œ c 
+ NOM PASSAGE dé MOYENNE |z > = lUERMOMÈTRE. FA £ £ | 
© . k a © a 3 | 
2 CONCLU mn | —— des Fi E 5 ——— 2 = = REMARQUES | 
El an Ê 3 "4 
a DÉS ASTRES. É l'instru-| la + 244 EE E Inte- | Eué- 2 EME 
FIL MÉRID: | ment. | pendule} VÉRNIERS. |* © 5  aienr. | sicur. 4 En LL © 
















































































BG Taureau........ 5 17.41,60|+ . [Onduiante. 

a Orion.......... 5.48. o,06|+ 0,39 Id. 

3 Petite Ourse 1... .| 6.24.18,97 Moyenne de 4 obs. 

æ Grand Chien....| 6.39.34,10f+ 0,57 Très-ondulante. 
15|Soleil 1er bord....[21.55. 0,42]+ 0,46 5,8 Bord inf, au mérid. 

AO LORS 1.59.38,51 + 0,38 3,6 Niv.—6r,85. 

SBaléinelstit.. he 2.55.23,80]+ 0,40 42 

à Bélier.......... 3. 3.58,59l+ 0,38 3,8 

16 Eridan........ 3.13.51,65/+ 0,57 4,9 

66 Bélier... ...... 3.20.35,49|+ 0,38 3,5 

9 Taureau....... 5.29. 3,71[+ 0,38 3,8 

n'Taureau.. ts... 3.59.28,77 0,38 5,0 

33 Taureau...... 3.49. 5,07 0,38 4,8 

36 Taureau......, 3.56.18,01/+ 0,30 4,5 

p Taureau........ 0,38 

y Taureau........ 0,38 

62 Taureau ....., 0:37 

78 02 Taureau.... 0,38 2 

x Taureau......!.. 0,38|+81,62 126.27.10,5|- 

Tilaureau.--"1#+. 0,38 132.5/.44,0|— 

98 # Taureau. .... 0:37 

102 « Taureau..... 0,3 

SiCocherreerete o,/42|+81 

GlOrion-tet beutet. à 0:44 6,4 —1.21,7/18,9| » 

BTanreaus.. + 0:37 5,9 - 18,6/16,0| » 

118 Taureau,,:,.. 0,37 ), 5,8 — 122,6 » 

MOrIon Cr, sc 0,41 109.51. 3,5|— 6,5 -1. 1,6 » 

a Colombe. .... de o,b1 b.r0.56,ol- 72 _528.3 À 

132 B Taureau... 0,37 5,4 rl 0,24 1,3|- 23,2 » 

HOnonst rest. - 0,59 |+81,58 » 

2 Gémeaux...:... 0,35 6,7 — 23,8 » 

n'Gémeaux.….. #1. . 0,38 6,6 — 25,6 » 

3 Petite Ourse [... 4,0 + 1,241. 2,9[01,5| » 

æ Grand Chien. ... o,51|+81, 93.46.47,0 5,4 -1.52,9|14,2| » 
171€ 1er bord, 4.ssl. . 0,38 6,6 » |Bord inf. au mérid 

n'LaAULEAUL 1% +6 - 0,38 5,2 » 

33 Taureau, -. 0. 0.38 53 » 

36 Taureau... .... 0,28 5,2 » 

u Taureau.,...... 0,38 75 » 

y Taureau.:...... 0,38 6,4 » 

62Taureau....2. 0:37 5,5 » 

78 0? Taureau. ... 0.38 6,0 » 

x Taureau.s.. +. 0,38 4,5 3118,2| » 

ruLanreau.:....+ 0,38 5,3 Mo » 

(561.A.S.C.)Cocher. 0:37 5,3 — 199 » 

98 4 Taureau .. ..3 0:37 5,9 — 929% » |Très-faible. 

102 4 Taureau... 0,38 5,5 736,3 1,2) 4,7|- 2735 » 

Cacher. -f. 0,42 » |Ondulante. 

BiOriGn--#2r.. + à 0:44 »2|- 9,4 —1.23,5|18,8| » | 

ANTTENE = RRe e-E - 0:46 96.56.21,5|— 9,7 —1:43,2 » L 

B Taureau... ..... 037 |+82,770138.43.48,7|- 7,0 — 19:1/13,4] » 





19 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842. 























































































































































» |Très faible. 
ï Gémeanx....... 132.48.36,5|— 

203.38.57,0|— G,: 
483,43] 93.46.45,5 
131. 3.31,0|— 


19 Petite Ourse I... 


(Me Grand Chien... 
IC Gémeaux... .... 
| 





9:7| » [Moyenne de 3 obs. 













& Baleine......... 2.55.56,20l+ 0,41 3116,3| » [Nis.-8r,45. 


113.44.13,7 














Re Persée... ....... 3.14.29,231+ 0,5 » 
Mlaureau........ 3.39.31,15|+ 138.52:34,5— — 3,2l- 94,6 » 
M3 Taureau ...... 3.49. 7,33|4 132.58.33,2 3,41 125,5 » |Faible. 
rca. |. 3.56.20,431+ 133.55.48,0 In pe k 
A Taureau ....... 4. 8 22,564 118.45.38,2) 213,7} 145,7 » 

M Taureau... .... 4-12.13,62|4 125.30.28,0 — 35,4 » 

(M 69 v' Taureau....| 4.18.16,77+ 132.42.52,0 — L25,8 » 












158 02 Taureau ...4| 421. 4,00!+ 125 /6.56,7 


CORRECTION e = cs Foi & 
5 Nom Fa Éo MOYENNE J 2 2 THERMOMÈTRE. 5 2 £ 
É ec T7 des zÉ Me ion 8 & £ REMARQUES. 
| | HR ys s. œ 1 11 
[h |1:8 Taureau... ..2| b.20.57,83|+ 0,37 135.16.49,5|— B. 
|} [3 Orion......... 100.51. 4,0|— 6 » 
Al |x Colombe....... 5.35.109,57}+ 0,61 76.10.57,0|- » | 
| 132 B Taureau... .| 5.40.44,05|+ 0,37 134.46.18,0|— 7,0 _ » |[Ondulante. | 
| BOrion.srerrilt 5.48. 1,38/+ 0,39/|+82,55|117.38.25,7|- 6,6/736,6/- 1,7|- 5,5] » Id. | 
U Gémeaux....... 6. 6.45,o7i+ 0,35 132.48.36,5|- 5,3 = » Id. | 
| | 
8/x|Bélier.......... 1.59.40,391+ 0,38|+83,32|132.58.38,0|— 25,2/15,1| » | 
JM | Taureau........ 3.39.30,53}+ 0,38 133.52.34,7|— 24,6 » 
33 Taureau ..... 3.49. 6,61|+ 0.38 132.58.35,7|- 26,0 » 
@'1cr bord. ..... 3.59.21,95 + 0,37 134.40.23,2|— 23,5 » |Bord inf. au mérid. 
BiTaureau.. ....:, 4. 8.22,06|+ 0,38 118.45.30,7|- 45,8 » 
y Taureau........ 4.12.12,964 0,38 125.30,29,0|- 35,5 » 
69 v' Taureau....| 4.18.16,23]+ 0,38 7|= 26,1 » |[Ondulante, | 
æ« Taureau........ 4.28.16,121+ 0,38|+83,21/126.27. »,5|- 4 34,2113,4| » | 
x Taureau... .... 4.34.10,811+ 0,38 132.54.45,0|— 25,8 » | 
(561 A.S.C.) Cocher.| 4.44.20,26!+ 0,37 137.53.28,0|- 19:9 » | 
98 À Taureau. .... 4.49.54,57[+ 0,37 135. 3.52,0|— 3 » 
102 « Taureau....| 4.55. 4,13]+ 0,38 131.37.25,0|-— 6 2755 » | 
BGocherses. Le 5. 6.26,95{+ 0,42[+83,30 » | 
BiOrion........! 5. 8.21,141+ 0,4/1483,09/101.53.24,0|- 191| » 
MERÉvVrEn 0 440 5.13.42,30!+ 0,46 96.56.18,7|- C » 
B Taureau......,. 5.17.43,50f+ 0,37|+83,19/138.43.50,0|- 7 14,2! » 
5.20.58,30!+ 0,37 135.16.47,5|- » | 
5.25.20,841+ o,41 109.51. 6,0|- | 
5.35 20,154 0,61 6.11. 0,2|— 6 » | 
540-4467 0: » | 
5.44.49,0b/+ » | 
Le 10,7| » | 
| 
| 
| 
| 









Miéaureau....... 4-28.16,941+ 126.27-7,7 14,3| » 
Mr Taureau. ...... 4-34.xa,b1|+ 132.54.44.5 » 
(561 A.S.C.) Cocher.| 4-44.20,88}+ 137.53.26,5 » 
98 À Taureau. .... 4-49.55,13/+ 135. 3155.) » | 


MM l102 : Taureau....| 4.55. 4,89! 131.37-23,7|— 
5. 1.27,211+ 136. o. 0,0 
5. 6.27,54 
5. 8.22,02|+ 
| 5.13.43,01H+ 


» |Bord inf. au mérid. | 





17,2] » 





0,42[+83,96[101.53.21,5 
L 


96 56.14,2)- Nuages, faible. 





‘sunor 


2 


= 






20 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842. 
















NOM 


DES ASTRES. 


B Taureau ....... 
118 Taureau..... 
HOrTOn Er. 


æ Petite OurseS... 
æ Baleine........ 
n Taureau ....... 
33 Taureau... ... 
36 Taureau ...... 
p Taureau....... 
y Taureau........ 
69 v' Taureau.... 
78 0? Taureau... 
œ Taureau ....... 
+ Taureau.-....b6. 
(561A.S.C.) Cocher. 
98 À Taureau .... 
102 { Taureau.... 
æ Cocher........ 
BlOrniones.:..8 
N'Inevres 1. 
B Taureau ....... 
118 Taureau ..... 


ax Colombe ....... 
132 B Taureau... 
136 C Taureau... . 
ROMEO == nr usb 
2 Gémeaux....... 
5 Gémeaux....... 
Csembord....#. 
3 Petite Ourse I. ,4 
e Gémeaux....... 
« Grand Chien.... 
38 e' Gémeaux.... 
£ Grand Chien.... 
G Gémeaux....... 
à Gémeaux....... 


Vénus, 1er bord..2|22. 9.b1,83|+ 


Soleil, 1er bord... 
æ Petite Ourse S..4 
a Baleine .:....,. 


fn Taureau... 7.2 
33 Taureau :.-.4. 
36/Taureau. 9. 
p Taureau........ 
y Taureau ....... 
69 v' Taureau... 
78 02 Taureau.... 
œ Taureau ....... 
+ Taureau ....... 








































CORRECTION 















PASSAGE TUERMOMÈTRE. 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


MOYENNE 
des 
VERNIERS. 


| REMARQUES. 


‘HPBaaIu up 
NOILOHUUOD 
"AULANOUVH 
ROLLO FAI U 
‘4104 na nai 
"MAALVANASUO 













kB, ni, der 

5.17.44,12+ 0,441+83,89|138.43.5 
5.20.58,88|+ 5 
5.25.21,40|+ 





1,2|— 6,0 


Ondulante. 










1. 3 19,89 


Moyenne de 3 obs. || 












2.55.26,70|+ 
3.39.31,79|+ 
3-49- 7:99|+ 45 
3.56.21,15]4 3,8 
4. 8.23,0b|4 5,4 
412.14,22|+ 437 
438.17,57|+ 439 
4.21. 4,55] 49 
4.28.17,52|+ 4.8 
4.34.12,05|+ 4:9 
4,5 
419 
413 














138.43.47,5|- 
135.16.52,5|— 


= 


DER ED + 
HF +<++++ ++ 
DER DES 


= 


F6 Gr tr on tr D 


NS 


6. 3.17,5 






- 


om COTE nm OC m 


Bord sup. à 7"45s* 
Moyenne de 3 obs. 







9 

uS 
Ü 
or 
© 
(e] 





- 


6.35.39,44|+ 
6.39.37,4{+ 
6.47.10,36[+ 
6.53.51,10|+ 
6.56.10,93|+ 
7-12. 8,01|+ 



















5 





M 


5 


: 


Centre au méridien 


Bord inf. au mérid 
Moyenne de 3 obs 







22.18.12,76|+ 
I. 3.20,90 
2 55.27,46|+ 
3.14.30,47|+ 
3.39.32,47|+ 
3.49. 8,63+ 


3 5 


Niv.-6?,34. 


= 


conan maœr oi 


+ < 


418.18,15|+ 
4.21. 5,4ol+ 
4.28.18,14|+ 
4.34.12,671+ 


es 


DOUGOUQUNUEEES Dour FE D © + 


126.27. 9,2] 
132.54.44,2|- 





21 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1842. 





| 


| 
hs 
E 
El 
cd 




















nénl 
ol | | 
| 


|| 


(ot 


Ü Soleil, 1er bord...|2 


À Lièvre 


38 e! Gémeaux... 
€ Grand Chien, ... 
€ Gémeaux 













CORRECTION _ 

- PASSAGE 9 1 MOYENNE | = 

; E 

NO CONCLU 5 
LEE des Z 

au e 

DES ASTRES. Ë l'instru- la 2 
FIL MÉRID. | ment, | pendule] VERNIERS. | * 





















s. CT D 


(b6r,A.S.C.)Cocher. 
98 À Taureau..... 


! GRR E 
OS 


ESS RP OUT 


+85,35 













G'Taureau ....... +85,341138.43.49,0|- 5,6 
HOrion ..-...... 109.51. 2,5|- 6,0 
æ Colombe ....... 76.10.48,5|- 5,9 
132 B Taureau... 134.46.15,5|- 5,5 
136 C Taureau... 137.40.52,7|-— 5,7 
œOrion.......... 117.38.22,7|— 5,9 0,5|+ 
2 Gémeaux. .... 133.54.37,0|-— 7,b 
5 Gémeaux....... 134.49.44,0[— 6,1 
“|; Gémeaux....... 132.48.36,0|- 7,0 0,2 
9 Petite Ourse I.. 203.39. 0,6|— 5,2 
e Gémeaux....... + 135.32.40,2|— 7,0 
x Grand Chien.... 0,441+85,51] 93.46.52,0|— 8,0 







o,41 
0,49 


0,42 


123.38.19,7|— 





























137.53.27,5|— 5,5 
135. 3.50,o[- 6,1 
131.37.26,2|- 5,6 
87.42.22,0|- 6,0 


+85,27/101.53.20,5|- 6,0 
à 96.56.12,0|- 6,3 


730 







THERMOMÈTRE. 
em 


Exté- 
rieur. 


Inté- 
rieur. 


KOILOHUNOD 
“AULHKOUVA 











Cercle Ouest, Niv.-5P,90. Le fil méridien est de 2P ,25 à l'Ouest dela mire. 


On retourne l'instrument. 


Cercle Est, Niv.-2,r64. Le fil méridien est de 16P,62 à l'Ouest de la mire. 


On corrige une erreur d’axe optique de 7P, et on 


On retourne l'instrument. 


retourne l'instrument. 


Cercle Ouest, Niv.—6P,00. Le fil méridien est de gP,00 à l'Ouest de la mire. 


| 


— Cercle Est, Niv.—-2r,60. Le fil méridien est de gr ,50 à l'Ouest de la mire. 


212. 1.39,0| o |720,b 


On laisse l'instrument le cercle à l'Est. 





FE: EpIrS 

5 Z l£ 

> = z 
MIE 

= 5 

© 2, | à 

2 5 Fil 

Her 11 

19,7 B. 

— 22, » 





+ 5,5l+1.21,6 
+ 5,9l- 50,9! 6,8| » 



























@ 1er bord...... 0,42 133.14.20,0|- 7,0 _ » 

69 » Gémeaux.... 0,44 137.30.13,0[— 9,1 — 20,0 » 
|& Petit Chien ..... 0,41|485,21f11 .53.31,7 LE 4,9 o,1|— 1,6]- 49,9 15,2] » 
G Gémeaux....... 0,441+85,441138.39.45,5|- 7,2 — 18,7|13,6| » 
» 

Soleil, 1er bord... 0,43 99.46.38,o|- 5,8 4,5 —1.26,3 » 
& Petite Ourse S.. 198.42.51,6|- 3,6 5,5 + 51,7/16,0| » 
Bélier... ...... 0,431485,86/132.58.39,7|- 6,0 3,5] 24,7|15,8| » 
a Baleine ........ 0,411+85,92/113.44.14,0|- 5,2 3,of- 52,6|16,8| » 

æPersée........ 0,57[+85,89/159.33.13,0|- 5,0 2,6 3,1/18,2| » 

Hiaureau ....... 0,42 133.52.36,2|-— 5,8 2,0] 25, » 
Soleil, rer bord.../22.25.51,38]+ 0,43 100. 8.34,o|- 7.6 4,5f-1:24,3 » 

d Petite Ourse I...| 6.24.30,47 203.39. 3,7|- 6,4 o,6[+1. 1,2|12,2| » 


» 


» 
» 


+ 24,4| 4,0 


; 2.33.29,11}+ 0,07 + b,r 
a Petite OurseS...| r. 3.406,14 114.11.33,4|+ 1,41720,0f+ 5,3 
:. 336.27. 6,5|+ 2, 
Bélier ........ 2] 1.59.46,50l- 0,12|+89,01/179.55.43,2|+ 3,5 
œBaleine ........ 2.55.31,78k- 0,02|+89,25À199.10.13,2|+ 3,41719,7h+4 4.6/4 5,24 51,71 7,6] » 





REMARQUES. 








Moyenne de 3 obs. 








Bord inf. au mérid. 








Bord inf. au mérid. 


Nuages. 







Bord inf. au mérid. 
Faible et ondulante. 


Bord inf. au mérid. 
Moyenne de 3 obs. 
Moyenne de 4 obs. 


22 


Observations faites à la lunette méridienne en Février et Mars 1842. 

































o om Cl EMI PE 

CORRECTION Ë ; Ex IN 

= No PASSAGE ï Frs MOYENNE |= 2 D frugnuouërre. E$ | & 

© . À ES © 7h 3 = 
î os —_— | —— Fe AIT crane 5 # | £ REMARQUES. 

g DÉS ASTRES. ais l'instru-| la DE = lute- | Eué- = 8 | © 

FIL MÉRID. ent. | pendule] VERNIERS. | = =] rieur. | rieur, 2 2 F 






s. 
















































SR Re 7 +89,07 2,3 + 4,6 3,o| 3,8|B 
ADAUPEAU ee. -5 < 3.39.36,91f- 0,16 3,4 1 4,alt 4,ol+ 23,4 » 
x Taureau........ Ë 22,58|— 3,7 + 3,5l+ 2,54 32,7| 0,3| » 
+ Taureau........ 3417541 _ 0,16 3,1 + 24 » 
_[(56r,A.S.C.)Cocher. » 1 26,72] 0,20 195. 1. 0,5|+ 2,5 + 
98 4 Taureau ..... 4.50. o,g2]- 0,17 179 Pr 340 + 2,3 + 
102 « Taureau.....| 4.55. 10,29 — 0,14 
EAIEVrE. Re 322 
RCOCHET.... 05 
BIDIDION re... set 8 
A Inevre. ---: 000 4 
B'Taurean..:...1. 5 
118 Taureau..... 35 
CLOLION ere che 6 + 2,9/+ 0,71+1. 0,2/, » 
Fe Colombe... ! 5 45.20, 6 » |Ondulante. 
132 B Taureau... 57 h 22 7 » 
136 C Taureau... 19,6 » 
M TOLION:-. 20 k 2,8|+ 0,5 j 4581 8,5! » 
2 Gémeaux....... + 23,3 » 
5 Gémeaux....... + 22,2 » 
ARS DR 22 . 6. + 25,0 » 
3 Petite Ourse I....| 6.24. .15. 2:31718,9/+ 2,9[+ 0,5[-1. 1,4|11,8| » 
RHIN CE pe » | Moyenne de 5 obs 
27|Soleil 1er bord... 5+ 8,0f+1.19,5 » |Bord inf. au mérid! 


« Petite Ourse....3 
132 B Taureau...| 5.40.53,97- 0,17 
136 CTaureau....| 5./44.58,6ol- 0,20 
MOTOR... r.0E 4 5. 18. 11,51) 0,05 
2 Gémeaux....... 5.584545 — 10,17 
5 Gémeaux....... 6. 3.25,69- 0,17 
do Petite Ourse E..3| 6.24.18,38 






61 51,1 78 » |Moyenne de 2 obs! 
» [Niv.—2r,53. 
» |Ondulante et faible 





















2|Soleil 1er bord. .(* |29.50.23,r8|- 0,47 209.36.34,21+ 0,3 73461+ 8,o|+ 9,8l+1.14,9 P. Bord sup. à 513 
Nadine à 33b.27.20,0|+ 0,8 | » [Moyenne de 4 0 
a Cassiopée....... 0.31. 9,83|- o,g0|-25,031146.59. 2,2 va : —  9,3118,6| » [Niv.-r?,02. | 
a Petite OurseS...| 1. 1.58,84 ne + 8,4l+11,3)- 50,7/19,3| » | Moyenne de 5 ob 
OO Er. 5.46.14,94|- 0,43 + 6,714 6,11 45:9/15,7 


à Pelite Ourse 1../| 6.22.25,29 
a Grand Chien: ...| 6.37.49,09!- 0,39 


» |Très-faible. 


3la Petite Ourse S..4| x. 1.59,77 114.15.45,2[+ 2,3|734,14 9,7|+15,2l- Bo,» 
& Bélier esse. 1.37.54,731- 0,49/-23,06|179.56. 1, ff + 1,2 + 24,0 
à Petite Ourse [..3| 6.22.27,6 109-15.41, 2,21733,0!+ 7,2[+ 5,77. 1,4 
æ Grand Chien....| 6.37.51,03|- 0,39|-22,23|219. 7.50,2|+ 18 +1.49,8 


4|Soleil, 1er bord. ../22.57.53,b2Î- 0,41 .23. :9/732,0l+ 8,3/+ g,ol+r.14,3 
NAdiE.. sep ) 
x Andromède. ..../23.59.53,241- 0,52|-21,r1/174.25. 57,0|- 2,1 
a Cassiopée....... 0.31.13,55]- o,90|-21 40 146.59. 3,o[+ 1,2 


» [Moyenne de 3 0 
» |Niv.—0P,56. 
























» [Bord inf. à 5g"x 
» [Moyenne de 4 ob) 
» [Niv.-oP,27. 








+ 18,2 





(*) Avant l'observation du soleil la pendule a été retardée de 2 minutes. 


23 


Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1842. 



















































| Ï CORRECTION 2 E 2 Gi 2 

PASSAGE - z THERMOMÈTRE. E 5 z 

| £ NOM coNeLU mes sl: 2 è E UE 

| des F2 = 4 ES 

E DES ASTRES. de Ja verniers. | 22 | à = ME 

| FIL MÉRID. pendule. ane m 2 8 | 
| © ! 11 TT mm o o [A LL 

« Petite OurseS..4| 1. 2. 2,11 14.11.47,6|+ 0,4[730,5+ 8,8|+10,6/- 5o,6|18,6| B. 

Bélier... .:%4 4]: 1.57.57,00!— —20,781179.56. 7,0|- 1,8[730,o[+ 8,9|+10,614 24,2/21,b| » 

| à Petite Ourse I. .4 6.22.29,34 109.13.34,2|+ 1,21729,3|+ 7:1[+ 5,411. 1,2/22,0| » 

]| |+ Grand Chien....| 6.37.53,0b|- 219. 7-D4 0,2 +1.49,3/18,1| » 

11|x Cassiopée ...... 0.31.24,91 146.59. 4,5|+ 0,3 — _9#4|16,7| » 


a Petite Ourse S..41 1. 2. 8,86 114.11.50,4|- 


0,51735,21+ 8,5|+ 8,9l- 51,3|18,0| » 














M4 Soleil, rer bord...|23. 
| |x Andromède....#4 


| 


0,9/734.6|+ 8,8[+ 8,of+r. 3,5 
0,9 + 18,4/115,0 





|. |x Cassiopée ...... 0, — g,4118,1| » 
a Petite OutseS...| 1. 2. 0,41734,0[+ 8,8/+ 8,51- 51,3/19,6| » 
ciBélier........1. 1.5g-1 0,2 + 24,5l20,2| P. 
9 Petite Ourse [.,1| 6.22.49,58 » 
œ Grand Chien. ... ; 2,5|734,41+ 7,31+ 5,21+1.50,2]20,5| » 


M lSoleil, 1er bord... |23.38.43,80! 1,2[736,5[+ 8,6|+ 7,o[+1. 3,4 

























a Petite OurseS...| 1. 2.13,74 A 0,0|736,2|+ 8,3|+ 7,41 5r,6/20,0| » 

h |d Petite Oursel..3| 6.22.51,10) 109.15.34,5| 0,0/736,3|+ 7,0[+ 6,0!-r. 1,6/21,8| » 
h |« Grand Chien....| 6.38. 9,65|- — 3,40l219. 7.53,5|4 2,3] +1.50,2/[19,3| » 
D Hydre.. nes » 9:19.58,60!- 0,40|+ 6,53]210.36.51,2|+ 2,9/722,9/+ 4,5|+ 1,3l41.18,9/20:1| » 

2 LT ME 10. 0. 6,72} 0,45|+ 6,46/189.54.38,7|+ 4,1 + 37,7/120:7| » 
5|Soleil, 1er bord ...| 0.15.23,64/- 0,41 200.36.30,7|+ 4,2|729,6|+ 3,9l+ 4ol4+ 55,4 » 
| |x Cassiopée....... 0.32.45,79/- 0,90|+10,99/146.59. 5,2|+ 5,3 - » 
x Petite Ourse S..3| 1. 2.28,56 114.11.50,1|+ 4,2 » 


Cercle Est, Niv.-1?,66. Le fil méridien est de 24P,5 à l'Ouest de la mire. 
On retourne l'instrument. 

Cercle Ouest, Niv.—-4r,92. Le fil méridien est de 8r,74 à l'Ouest de la mire. 
On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest. 

HiSoleil, 12 bord .. 113.51.5b,o|+ 


0.29 5g,52]+ 0,43 0,1|731,844+ 8,1|+r1,0)- 51,3 » 


« Petite Ourse S...| 1. 1.53,83 198.42.40,4|- 0,31731,6|+ 8,4[+10,41+ 50,8|26,0| » 
MPérsée. ....... n| 3:13.21,06f+ 1,21/+17,18/159.33.13,9|- 1,0|731,14+ g,ol+11,0+ 3,0 27,6| B. 

Mix Cocher......... 5. 5.19,51|+ 1,10|+17,46 » 
MA GOrion.......... 5. 714,584 0,34|+17,10/101.53.21,7|- 1,41730,81+ 8,9|+ 9,5l-1.18,6 27,8| » 
BTaureau ....... 5.16.36,541+ 0,741+17,30|138.43.53,2|- 1,3 — 17,9/25,5| » 
ion... .. ...:. 5.46.55,3414 0,48[+17,25/117.38.28,0|- 1,3/531,0f+ 8,64 8,5)- 45,2124,5| » 

3 Petite Ourse I..4| 6.23.40,27 209.39.16,0|- 1,5|731,0l+ 8,2|4+ 8,241. 0,7/26,0| » 

a Grand Chien. ...| 6.38.29,65|+ 0,28|+17,53] 93.46.49,5|- 0,2 + 8,0!-1.48,5|28,0| » 

mx Petit Chien..... 7-31.20,46 + 0,45 +17,27 » 

… |G Gémeaux....... Tes + 0,74[+17,52/138.39.53,7|- 2,3|731,34 7,5|+ 7,51 18,1/25,4| » 
MIAGE Cancer. .:.. 3.27,79|+ 0,59 128.23. 4,7|- 2,9 — 30,2 » 
25 d? Cancer. .... 8.17-.12,15]+ 0,59 127.49-38,2|- 2,5 — 30,9 » 
“|31 0 Cancer... .. 8.22.54,15|+ 0,60 10 — 2,2|731,6|+ 7,2|[+ 7,0l- 29,b » 
47 3 Cancer...... 8.36. 1,35]+ 0,60 128.59.42,2|- 2,8 - 29,4 » 

63 52 Cancer...,. 8.49. 4,78[+ 0,57 126.26.56,0|- 2,8 — 32,7 » 

77 Ë Cancer...... 9- 0.3b,7b]+ 0,65 132.56.39,2|- 3,1 - 24,7 » 

RE LAN 9-20. 8,241+ 0,341416,981102.17.53,7|- 2,8 -1.18,7125,5| P. 


REMARQUES. 





Moyenne de 3 obs. 


Niv.—-or,88. 
Moyenne de 3 obs. 


Bord sup. à 36105. 
Niv.-0P,26. 


Moyenne de 3 obs. 


Bord sup. à 4045. 
Moyenne de 3 obs. 
Niv.—oP,17. 


Niv.—oP,78. 


Bord sup. au mérid. 
Niv.-1P,76. 
Moyenne de 3 obs. 


Bord sup. au mérid.} 


Moyenne de 3 obs. 


Ondulante. 

Id. 

Id. 
Moyenne de 2 obs. 
Ondulante. 


24 


Observations faites à la lunette 









méridienne en Avril 18492. 


































CORRECTION 
de 











PASSAGE 


CONCLU 
au 


MOYENNE 
des 
VERNIERS. 


NOM 











‘sunor 









DES ASTRES. l'instru- la 


FIL MÉRID. 














































ment. | pendule 
ARR 1 
eee «47. 4 
y Gémeaux... .... 6.29.18,6 
: Gémeaux....... 6.3/.56,2 0,69 135.32.40,0 
a Grand Chien.. .| 6.38.54,82l+ o,2B|+42,99| 93.46./6,0 
3 Gémeaux....... 7-11-24;7 0,65 132.31.50,7|— 
B Petit Chien..... 7 19-1837 0,49 118.52.10,7|— 
x? Gémeaux...... 7.25.14,47|+ 0,79|+42,841142.29.24,2|— 
x Petit Chien ..... 31.45,52l+ 0,45|+42,b8{115.53.36,5|- 
G Gémeaux....... 7-36.22,46|+ 0,74 +42,83 138.39.51,2|- 
25 d: Cancer..... 8.17.37,13|+ 127.49.38,7|- 
Br biGancer.-.- + 8.23.19,25|+ 128.53.19,7|— 
47 9 Cancer...... 8.36.26,31|+ 128.59.41,7|— 
o* Cancer...... 8.,9.29,86!+ 126.26.56,5|— 






132.56.38,7|— 
198.42./4,4|+ 


119.42.58,2|- 
2x,21tP 


1,7 + 








æ Petite OurseS... 







25|Soleil, 1e bord... 
Vénus, 1% bord... 
MTaureau...-.. 











































































































17|Soleil, 1° bord....| 1.40. 3,52l+ 0,50 120.57.33,7|— 
x Taureau ....... 4.27.40,38]+ 0,58|+48,49|126.27.12,0|+ 
miCocherns eat. 5. 5.50,19l+ 1,10[+48,49 
RE À 17e 0,741+48,551138.43.53,7|- 
A HPAOE .24. 0,41 109.31. 4,2|— 
AS PE - -29- 0,40 108.57.b4,2|— 
SR OT S 47. 0,48|+48,52 117.38.25,b|— 
y Gémeaux....... 6.29-24,48|+ 126.47:37,7|- 
s Gémeaux....... 6.35. 2 135.32.41,7|— 
3 Gémeaux...... 7-11.30,75|+ 132.31.53,7|— 
G Petit Chien ..... 7-19.24,52 118.52.13,5|— 
GE bord 4.91: - 7-27. 2 132.30. 4,ol— 
x Petit Chien ..... 7-31.51,44|+ 115.53.36,7|— 
G Gémeaux....... 7.36.28,40[+ 0,74 +48,89|138.39.52,2|— 
25 d2 Cancer..... 8.17.43,07|+ 0,59 127.49.38,0|— 
310 Caneen--0e- 8.23.25,1 128.53.20,5|— 
47 à Cancer...... 8.36.32,3 128.59.42,5|— 
0? Cancer. ...*- 8.49.35,8 126.26.57,8|- 
77 € Cancer... D" 6,414 139.56.3 SAR 
83 q Cancer...... 9-10.59,86|+ 128.38.10,5|— 
TA o LION. 9-33.33,421+ 0,50 120.52.24,0|— 
a Cassiopée.. ..... 0.32.23,03|+ 1,46/+50,27/165.55.29,5|— 
a Petite Ourse $S...| 1. 2.15,37 198.42.43,9|— 
18 Soleil, 1° bord... .| 1.43.47,80|+ 120.46.33,7 
læ Cocher ........ 5. 5.52,21|+ x, ; 
(8 Orion......... 5. 7.47,68}+ 0,34|450,47/101.53.18,0|+ 
£ Taureau ....... 5.17. 9,541 0,741+50,59|138./3.48,5 
DiOrion. "0508. 5.24 47,281+ ï 109.51. 4,71- 


“neo up 





a z 3 = (LL 

g Z  Jrucnuouèree. EL | 

3 | © z 2 

el = a, = = 2 | 

à = a e En REMARQUES. 
= 2 |inté- | Exte- = 8 | = 

2 eo] rieur. | rieur. Z el = 





Niv.—5r,43. 
Niv.—/,38. 


Niv.—5,65. 








; +12,2)-1 
0,9|722,0|+ 8,7|+11,5|- 
1,2 
1,3 +is,il 





1,9 

134 295 À 

1,51722,6[+ 7,71+ 8,6|- 28,7 » 

137 — 31,9 » 

2,1[722,8l+ 7,414 8,o]- 24,0 » 

1,21722,0+ 9,2|+11,3[+ 50,0/26,9| » [Moyenne de 3 obs. | 


1,4 721,9/+ 9,7|+1 1,70 41,0 » |Bord inf. au mérid. 
o,8|721,b{+ 9,8|+r 2371 36,0 » |Centre au méridien! 
0,2|720,5|+10,5|+14,5- 31,3|27,0| » 











Bord sup. au mérid 
Ondulante. 


0,5|727,6|+ 9,2|+ 8,5) : 
0,1|727,1]+ 0,9|+ 781 















1,0 RnE719 | 2752 

1,0 — hf » 

0,6[726,9[+ 8,9|+ 8,5] 60,9 » |Ondulante. 

0,7 # 8,0 45,1/22,9| » |Niv-—4r,57. 

o,b 

0,6|727,2[+ 8,9[+ 8,5 

12|7279[+ 8,9|+ 8,0 

1,9 + 8,0 Π

1,2 — 249 » |Bord sup. au mérid®# 
1,2 S 4 26,4 

1,5|727,31+ 8,8|+ 8,0 

0,9 7270 + 8,2|+ 72 [3 

1,4 

2,9 + 7,0[ 

17 

2,0/727,81+ 7,5|+ 6,5] 24,5 » 

2,2 — 30,0 » 

2,41728,1f+ 7,214 6,1l- 40,4 » 

0,6[729:9[+10,74 7,9Ùt 9,4/25.8| » | 
0,3|729,6[+10,3|+ 8,51+ 50,9 26,5] » [Moyenne de 4 obs:[W, 
o |729,5|+ 9,6|+ 8,7] 40.3 » |Bordiinf. au mérid, 





1,5|728,6 9,8[+10,5 Ondulante. 


o 


1,9 


25 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842. 






















































































































= - © 
. passage | cmrecnox | xoyene | 22 | 2 rucnuoutrne. | © | 5 | 
ns NOM LE de TEE ë = |Z 
E PE dr M des 22 lies = |É REMARQUES. 
& DES ASTRFS. 5 Banni IE e 2 7 3 Inté- | Exté- = 8 | % 
FIL MÉRID. ment. | peadule} VERNIERS. o # rieur. | rieur. £ 5 = 
b. s. s. an IL Or) o o NTI 
MOTOR: 126 de c12 0,40 108.57.55,7|— 1,4 728,414 9,9[+11,0{-1. 0,5 + [Ondulante. 
BON NEREREETE 0,48[+50,57|117.38.26,0|— 0,6 — 44,6/> 
Cancer... 2. 0,59 120.23. 1,0|— 
31 0 Cancer...... 0,60 128.53.17,0|— 
C'ilbordt...... 0,59 128.21.43,7|— Bord sup. au mérid. 
47, à Cancer...... 0,60 128.59.37,5|- 
pa Gancen. -..2. 0,57 126.26.54,2|- 
77 E Cancer...... 0,65 .56.3 T2 + 9:9l- 
83 q Cancer... ... 0,60 1,8|728,1È+ 8,5|+ 9,bl- 
BiHyAre 5 es. 0,34 — 0,8 
El CAP ORNE 0,50 
pLion.......... 0,71 
MASextant. 0. 0,49 
MON are ee 2.444: 0,49 » 
PAÉION 2-1. 0e - 10. 0.49,98f+ 0,54 — » 
Éronet 2... - 10. 8.46,57l+ 0,68 134.27.49,0|— » 
MB ion..:...: 10.15.37,161+ 0,48 117.36.32,5|— » 
32 r Sextant....4|10.24.58,89l+ 0,46 115.43.13,5 » 
MI34 Sextant....... 10.35.20,9bf+ 0,45 » 
126 7 Sexiant.. ..|10.37.54,04|+ 0,43 2) 
She Lion. ...1.. 10.48.27,88 + o,42 D] 


x Grande Ourse... 10.5/4.49,28 + 1,85/+51,37 Niv—5r,25. 





1MOlSoleil, 1er bord... 0,51 -39- C _ » |Bord sup. au mérid. 



































































































































147 3 Cancer...... 0,60 » 
2 Cancer... .... 0,54 +12,9]- » 
H7 E Cancer...... 0,65 +13,5|-— » 
83 g Cancer...... 0,60 +13,6|- » 
BEydre. -....... 0,34 +13,6}-1. » 
Hier bord. ,.... 0,54 +12,8)- » [Bord sup. au mérid. 
Mo Lion. ...... 0,50 +12,7)- » 
LION 0,71 » | 
HSextant....... 0,49 » 
Phone... 4! 0,49 2|- 1, » 
jé BON... 1. 0,54 — 3,2 » 
ON... . 2. 0,68 — 3,0 - » 
100... :.... — 1,2/724,3 +10,5|+11,21- » |Faible 
BérSextant..... - 1,5 +11,3l- » Id. 
4 Sextant....,.. » Id. 
6 7 Sextant...... 10.37.56,22 2,4 +11,)- » Id. 
MAAOn.. ...... 10.48.29,9 334 +11,5}- » 
2 Grande Ourse...|10.54.51,1 2,0 + » 
) Soleil, 1er bord... 0,51 121.28.17,7|— +14,5}- » [Bord inf. au mérid. 
Cocher... ...... 15:50; 1,10|+54,71 » 
|C Haureau ....... .17.13,6 0,741+54,751138.43.56,0|- 6,0|723,5|+13,3|+17,3|- » [Ondulante. 
|a LITE SSSR 47. 0,481+34,72l117.38.30,2|- 3,51723,21 13,3] 18,0] » Id. 
#7 à Cancer 5 0,60 128.59.42,0|— 11,8| 12,1)- » 
BACancer........ -bo. 0,54 122.43.53,7|- 12,0|— » 
157 £ Cancer 0,65 132.56.38,5|- 3 12,5] » 
83 g Cancer 0,60 128.38. 7,0|— 12,61— 29,1 » 
MHydre........ 0,34[+55,40|102.17-47,5|+ 11,4] 12,8/-1.15,5|26,5| » [Ondulante. 
HU Lion........ 0,50 120.52.24,5|— 13,21 39,1 » 





‘sunor 


2 








26 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842. 





















































CORRECTION 


MOYENNE 


PASSAGE THERMOMÈTRE. 
CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


NOM. 


| —— 


Exic- 


rieur. 


des 


“‘AU9AIU np 


NOILOHUHO9 


DES ASTRES. Inte- 


1ieur. 


“AULTNOUVA 
*NOTLOVUAHU 


pendule] VERNIERS. 





9-44.42,94[+ 0,71 

9.b0.42,18[+ 0,49 
9.52.48,68]+ 0,49 
10. 0.54,32l+ 0,54 









Célion rte tstt es .5 

CREbord. "Ter 116.53.18,2|— 
32 x Sextant..... 115.43.11,5|— 
34 Sextant....... 

36 x Sextant..... 129.3). 2,2 
65 x Lion... . 111.50.46,5|— 
DS LION... . 0. É 


« Petite Ourse I... 








172.10. 5,5|— 3,b 


180 >.56,0|— 
72719] : 
1,85|+56,78/227.36.41,5 


æ Cassiopée 


1,46|[+56,59 165.55.36 
« Petite OurseS... 


+ 91 
198.42.49,0|- 









Soleil, 1er bord... 
3 Petite Ourse I... 
« Grand Chien.... 


122.20.37,2|— 






































9 Gémeaux....,.. 

G Petit Chien ..... ( 0,21 

a? Gémeaux...... 7-23. 0,56|+5,50 142.29. 

æ Petit Chien ..... 7-32. 016[+ 0,:7[+57,05 119.55.38,0 - 

G Gémeaux....... 7-36.37,02!+ 0,49|+57,27 138.39.59,5|— 15,7 
H2 Cancer... 8.50.49,60o|+ 0,26 122.43.46,2|— 15,5 36,5 
77 ë Cancer. ...!. 1.15,18[+ 0,40 132.56.41,7|— 

83 q Cancer...... 0,34 128.38.16,7 F& 

x Céphée I....., 1,50|+57,39/228.17.46,2|+ 

a Hydre..-....4 A 0,01|+57,30/102.17.37,7|t+ 6 

8 Céphée L....... 2,17[+57,70/220.21.35,2|+ 

14 o1on- ces. 0,23 

LAON EE--Rhe 0,46 

1aNSex tant eee 0,22 

rm LION. etre O,21 

On. E RE ere 0,27 [457,43 

GTLion..- ess. 0,42 

las tonte 0,20 







0,17 
0,16 










34 Sextant.. 











36 x Sextant..... 0,14 113.34.52,7|+ 

Bb ADO ere 10 0,12 r11.50.36,2|+ 
SALON. - ee 0,16 114.43.38,7 ty 

69 p# Lion....... £o,4ol+ 0,12 111. 3.13,0|t 5 
Cicmhau...+e 11.14. 3,76/+ 0,12 110.18. 7,5|+ 5,9 
Où Lion...... 11.29.51,78[+ 0,12 110.18.54,2|+ 2,0 
B'Viergéatene. 11.43.28,16[+ 0,12|+57,61 

5 Cassiopée [..... 12.29.10,58|-— 1,09 





6 


14,1 + 4937 2 


‘3104 n«œ na11 












"HNALVAUISIO 


REMARQUES. 


) 
Bord sup. au mérid 










Très-faible. 
Ondulante. 
Niv.-3r,38. 


Bord sup. au mé 





ji 


Moyenne de 3 obs, | 


Moyenne de 4 obs à 


Bord sup. au mérid 











27 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842. 


































CORRECTION 2 œ z = ° 
cs > 4 TRE ns. = Ê 
14 PASSAGE RÊ MOYENNE | © = = Jrucnmouërre. = 8 |% 
4 NOM CONCLU 1 > À © 2 el 
3 N ne D. — 
£ au des SUN 8 EME REMARQUES. 
1 DES ASTRES. : l'instru-[ la VERNIERS. | = = 3 Jinte- | Exté- = 3 |# 
FIL MERID. | ment. |pendule. È E rieur rieur: 2 ë 5 









b. m.s 









































































a Cassiopée I..... 12.32.33,25|— 4. 

œ Petite Die 1.113: 3:24,5x he de . 

œ Céphée......... 21.1h.45,28|4 8,7 7:71 Trés-vaporeux. 

BlCéphée . ...... 21-27.91,37|+ 2 8.9/+ Id. 

« Grande Ourse I..|22.54. 0,o0!- 2 &) 728,8 3,5 ne Id. 

a Andromède.....| o. 1.12,66]+ 0,48|+58,83 138. 28. TR 728,9 4,0! Id. 

æ Cassiopée ...... 0.32.32,141+ 7 s19 459,02 728,7 5,314 Très-ondulante. 

a Petite OurseS...| 1. 2.29,49 0|728,7 5,414 Moyenne de 3 obs. 
8 
6 



























































































..| 1.58.50,04!+ 728,1 Bord inf. au mérid. 
m LES VAE CEE 6.14.24,541+ 0,40 726,7 
y Gémeaux....... 6.29.35,46 + o;: 
E Gémeaux....... 6.35.13,3o!+ 0,44 
x Grand Chien.. .| 6.39.11,58/- 0,09 
9 Gémeaux...... 3| 7-11.41,64H 0,40 
B Petit Chien..... 7-19.35,5of+ 0,21 
a? Gémeaux...... 7-2.31,33[+ 0,56 142.29.25,5 + 
ete À 7.32. 2,58 8i+ 0,17 115.53.32,0|+ 
B Gémeanx....... 7-36.30,38]+ 0,49/+29,02|138. 39.50,0|+ 726,5]+14,3|+16,2 
& Hydre........ 2| 9-20.50,88|+ o,o1 102.17.40,0|+ 726,5]+13,0|+14,0 
Mo Dion: +." 6. 9-33.44,54[r 0,23 120.52.18,0|+ 
(ot CCR 9-44.47,90l+ 0,46 137. Bo + 
AOC À 950 hi 141+ 0,22 
rec de 4614 o,21 119. 3.43,7|+ 
PO CRRAURE o6+ 0,27 2]122.59.56,7|+ 
ere. o4i+ 0,20 YÉE ES + 
SRE olt 0,03 103.41.32,0|[+ » |Bord sup. au mérid. 
NAS 5 à 126.4 Lo:58l+ 0,02 IOI. si 3774 
PVierge....... 12. 47. 11,461+ 0,02 101.35.32,2|+ 
œ Petite Ourse I. ..|13. ÉEVRT 201./6.18,8|+ » [Moyenne de 2 obs. 
BaMierge.......4. 13.17.55,56/— 0,01 +59,90 
BiCéphée .. ..., |. 21.15.47; 7oÏ+ 1,50|+61,12/r . 9.56,0[+ » |[Vaporeux. 
BiCéphée......... 21.27.33,541+ 2,17|+61,04 re 649,514 » Id. 
“|> Cassiopée.. ..... 0.32.34 250 + 1,19/+61,35/165.55.33,2|- » Id. 











œ Petite Ourse S...\ 1. 198.42. 14 6|+ Moyenne de 3 obs. 












2° Soleil, itr bord... 














































































































0,27 123. 0.46,7|+ » [Bord sup. au mérid. 
Prise octo die - 0. 5|+ 0,861+61,27 » [Niv.—4P,22. 
EE ru | » 7. o,o1|+61,54{r01.53.23,5|- 
HABTaureau....... 0,49|+61,68/138.43.45,0|+ 
BÉOrion.......... 5.47.30,66{+ 0,20|+61,63{117.38.22,5|+ 
mi Gémeaux....... 6.14.2b6,70[+ 0,40 132.51. 4,0|+ 
y Gémeaux... .... 6.29.37,80l+ 0,32 126.47.33,7|+ 
e Gémeaux....... 6.35.15,541+ 0,44 135.32.39, É + 
& Grand Chien....| 6.39.14,12|- 0,09|+62,06! 93.46.46,7|-— 
B Petit Chien ..... 7:19.37,92]+ 0,21 118.32. 7,5|+ 
a? Gémeaux.. ...| 7.2b.33,07[+ 0,56|462,13 fe .29.27,8|— 
æ Petit Chien ..... 7-32. 4,92]+ 0,17|461,841145.53.36,0|- 19,5 
G Gémeaux....... 1.364 fx, do + 0,49 12 06 138. 39. &77lt 173 
“M x Céphée T....... dus 51:96! r,50/+62,36/228.17.54,0|— 17,2 La 43,8 
BHydre.......4. 9-20.53,40|+ o,o1 “ 13]102.17. 2 + 1,4 L1.14,8 
B Céphéel....... 9-27.39,38|-— 2,17|+62,52220.21.40,5|+ 2,6 +1.54,8 














Mic ON ...,.3 41 9. HE 4b,78 + 0,23 





28 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842. 





*sunof 





à 


2 


27 


28 





Q œ = = 
z © JTUERMONÈTRE. ES 8 
ge LES EE he 
Fe dés EME ne 3 = 
DES ASTRES. RD Ste VERNIERS. Z ë a priés Rats 8 Ê 
HATION-. + 2,3 — 19,2 
HENSEXFATE. - - +,° ie 
mr JIONs, Le,cloie,ete » 0,21 
DDIONS hr ee ses 0,27|+62,261123. o. 6,7|-— 2,2 — 36,0/27,2 
CIO SIA 0,42 134.27.44,2|+ 2,4[726,7/+14,0[#15,0! 29,1 
HSÆnONEe 117.36.26,7|+ 2,0 14,9/- 440 
32 x Sextant..... 
21 q Vierge...... 101.41.37,2|+ 0,7[726,8] 13,6] 12,6/-x 17,8 
a Cassiopée I....4|12.32.38,00|- 
Ÿ Vierge......... 70 12,0)-1.18,3 
a Petite Ourse I..4[13. 3.30, o1.46.24,o|+ 0,3 4 + 56,0/26,7 
Cr bord... 97-28.15,0|+10,5 11,0]—1.31,9 
x Vierge... ....... 13.17.58,02|- 
(XIII. 110 Piazzi)..|13.23.44,12{+ 171. 0.48,7[+ 0,6 4 14,4 
89 x Vierge..... .13.42.23,58|- 92.56. 7,21+ 5,81727,0l 12,8] 1o,3/-1.51,1 
æ Cassiopée ...... : 1,19/+63,76/105.55.20,0|+ 5,8 +01 9,1/23,4 
x Petite Ourse S... 45,o[+ 0,7 728,21 15,1 17,0]+ 49,3/28,8 
Soleil, 1er bord... 122.48.55,7|— 2,1 72781 15,4| 15,4|- 36,3 
æ Céphée ........ 172. 9.59,5[+ 2,6[729:11 13,5] 11,5l+ 15,6/29,1 
G Céphée ......., 180. b.51,7|— 2,0 + 24,3|24,0 
æ Cassiopée ...... 
œ Petite Ourse S... 
Soleil, 1° bord, 5l+ 2,6/728,8/417.6|416,2f- 35,1 
ec as à 336.27.22,3|[+ 0, 
x Taureau...... d 0,31|+66,26 126.27.10,0|+ 0,2 72710] 18,5] 22,3l- 30,8|25,9 
69 p# Lion....... 3.20,0|[+ 1,9[728,4| 14,8 12,7|- 55,9 
OUu Dion... 11.30. 1,08|+ O,12 110.19. 0,2|— 1,2 14,0) B7,1 
BiVierse. 1. #tr. 11.43.37,58]+ 0,12/467,051112.55.15,0|+ 1,8 13,51 53,5124,5 
æ Vierge......... 11.33.56,20o]+ 0,20 117.45.38,7|— 2,6 12,3|- 44.3 
G Cassiopée [..... 12. 1.55,00|- 1, 231.55.12,5|+ 1,2 11,8/+3.30,8 
æ Cassiopée I..... 12.39.49,88|- 30. + 0:9/728,61+14,2| 11,7144.16,9|22,7 
a Petite Ourse I. .4|13. 3.37,32 -25,9|+ 2,2 + 56,0/28,8 
8 Céphée........ 21.27.40,89]+ 180. 6.51,b|+ 0,1/728,5) 13,5] ro,8|+ 24,4[27,4 
a Cassiopée ..... 4| 0.32.41,52l+ 165.55.30,o[+ 0,9/728,51 15;7| 14,014 ,2[29,0 
a Petite OurseS...| 1. 2.39,2g 244,714 014 728,41 14,9] :5,3|+ 49,6/29,2 
Soleil 1er bord. ...| 2.13.59,441+ 123.27.59,2|— 0,2|727:9 14,9! 16,6] 35,3 
XATAUTEAU «= - 4.28. 0,62|+ . B,2l+ 2,8[727,01 15,5) 18,5] 31,2/25,3 
a Petite OurseS..2| 1. 2.45,55 + 1,41732,4 16,2 14,0l+ 49,9 24,5 
GiOrION.. 2e 5.47.50,62l+ 0,20|+72,631117.38.24,5|+ 0,8|731,41 16,6! 16,0! 44,0/24,8 
p Gémeaux....... 6.14.37,60|+ 0,40 132.51. 8,5|+ 2,5 16,of- 24,0 
y Gémeaux....... 6.29.48,62}+ 0,32 126.47.32,0|+ 3,7 16,0!- 31,2 
£ Gémeaux....... 6.35.26,101+ 0,44 135.32.38,2|+ 2,9 — 20,9 
« Grand Chien....| 6.39.24,88|- 
& Gémeaux....... 6.55.57,841+ 0,38 131. 3.32,7|[+ 3,2 _ 6,1 
13 Gémeaux ...... 7-11.54,80f+ 0,40 bo,ol+ 0,81731,11 16,3) 15,ol- 24,4 
1B Petit Chien ...., 7-19.48,761+ 0,21 118.52.13,0|+ 1,2 14,9 42,3 
x° Gémeaux..... 4| 7-2b.44,5514 0,56|[472,93/142.29.25,2|+ 1,4 15,51- 13,6/27.8 
a Petit Chien... .. 41 7.32.15,60!+ 0,17|+72,6071115.55.33,514 2,5 | — 46,9127,9 


















































"HAALVYAUISIO 


REMARQUES. 






Moyenne de 2 obs. | 
Bord sup. au méridi}l 


Moyenne de 3 obs. W|] 
Bord inf. au mérid. WI 


Niv.—4P,48. 


Bord sup. au mérid!] 
Moyenne de 5 obs.| 
Très-ondulante. 


Moyenne de 2 obs: 


Moyenne de 3 obs: 


Bord inf. au mérid: 
Niv.-3P,31. 


Moyenne de 2 obs, 


Niv.-4P,21. 


29 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1842. 











































|: — PASSAGE RÉ | MOYENNE | = 8 2 
1h © +4 ] FE = 
| EG Sn ice é É 5 5 
1 DES ASTRES. ; l'instru-| la En | à 
| FIL MÉRID. | ment. | pendule] VERNIERS. | © © El 
| LT EE s. s. or 171: 11 

ln (8 Gémeaux....... 7.36.52,38[+ 0,49[+72,74 

|h |47 9 Cancer. ..... 8.36.56,56|+ 0,34 128.59.35,5|+ 0,9|731,1 
M 22 Cancer......, 8.51. 5,04[+ 0,27 122.43.46,2|+ 2,0 

a Lis ES oo 0 9-16. P — 1,50/+73,14/228.17.50,0|+ 2,1 

h |: y Ha LEE 9-21. grralt es +72:94 Ne o 

Ik |G Céphée L....... .27.50,50!— 2,17[+73,31/220.21.41,0| o 
io Lion. ....... 9-33.57,58l+ 0,23 120.52.19,3|+ 1,9 731,4 

Mon... 9-45. 0,86[+ 0,46 137. 0.32,0| o 

D ia Sextant....... 9-51. 0,04[+ 0,29 

Mirlion.......... 9.53. 6,541+ o,27 119. 3.48,7|+ 2,3 

| . DRE torermbes di SSL Si #72:90 Rein A 

SATOUPCOTE «9: Ô; 2 .27.40, 
Biz Lion... 10.15.59,36[+ 2 no Ab + 1,5 

(M 32 x Sextant..... 10,25.21,00|+ 0,17 115.43.10,7|+ 2,0|731,4 
MIO vu Lion......,. 11.30, 7,20]+ 110.19. 2,2[— 0,8|731,5 
| - |B pee LORIE 11.43.43,54+ es +73,03 Mb En6 2 — 0,9 Fe 

Mir Vierge.......,. 11.34. 2,22]+ o, 117.45.39,7|- 1,4 

| »|B Cassiopée I..... 12. 2. 119 = 3 230 88 10 2 ji Du 

3 Grande Ourse. .4|12. 8.50,69|+ 1,29 168. 9.46,5/° o 

M2: g Vierge...... 12.26.53,50]+ 0,02 101.41.35,5|+ 2,0 

| œ Cassiopée I..... 12.32.4888! 1,19|+73,19]234.30.52,0|+ 1,8 

1 TOITS 12.47.24,48]+ 0,02 101.35.33,7|+ 1,8 

a Petite Ourse I...|13. 3.44,91 201.46.22,2|+ 1,71731,5 

mx Vierge......... 13.18. 8,80! o,o1|+73,13] 99.56.20,0|+ 2,0 
(M(XIIT. 110 Piazzi)..|13.23.54,65|4 x, 171. 0.48,0|- 0,3 

| (XII. 113 Piazzi). . 13.24.17,85 + 1,44 
| æ Céphée....... 3121.16. 0,894 1,50[+74,00/172. 9.58,2|+ 3,5/730,7 
| 1 sir bé 21.27.46,92}+ 2,17[+74,03 . a + 1,8|730;7 

…Nadir.........., .27:22,9|+ 2,0 

mx Cassiopée ...... 0.32.47,40l+ 1,19/[+74,08/165.55.27,7|+ 1,4 

ne Petite OurseS...| 1. 2./6,09 198.42.42,4|+ 2,0|730,1 
129 Soleil, er bord. ..| 2.25.25,58|4 0,28 124.56.51,2|4+ 1,8|729,4 
M Cocher... 5. 6.16,06|+ 0,86|+74,26 
AMEOrion.. ....... 5. 8.11,82]+ o,o1|+74,37l101.53.17,2|+ 2,3]726,2 
MBTaureau....... 5.17.33,46|+ 0,49|+74,361138.43.44,5|+ 3,1|728,2 
4 b Orion - à DEAR R 5.25.11,30|+ o,11 109.51. b,7|- 1,2 
Orion... 5.29.27,02|+ o,10 108.57.49,21+ 3,21728,1 
ME Orion. ........ 5.47.52,46[+ 0,20 +74,48 117.38.16,7|+ 4:7|728,0 
… lu Gémeaux....... 6.14.39,46|+ 0,40 132.51. 6,o|+ 1, 

ml} Gémeaux... .... 6.29.50,54|+ 0,32 126.47.34,0[+ 1,0|728,0 
MINI Gémeaux. ...... 6.34.2;,844 0,44 135.32.37,7|+ 2,9 
“Ma Grand Chien... .| 6.39.26,52!- 0,09/+74,56| 93.46.35,0|+ 4,0|727,8 

MB Gémeaux...... -11.56,60l+ 0,40 132.31.46,0/+ 3,1 

HIB Petit Chien ..... RE Bot 4 a ESS 0 + 9,1 

MGémeaux...... 7-25.46,274 0,56|174,821142.29.26,0| o |727,7 
peut Chien...... Fos + 0,17/+74,56[115.55.31,5|+ 2, 

pr EE De 7-36.54,1414 0,49[+74,521138.39.50,5|+ 0,7|727,5 
St RATES 4| 9-16. 4,55]- :,50|+74,641228.17.47,7|+ 6,0/727,2 
# Erpete LDC DU Eh 27 +75,19 HSE a + ri 
To ASE .33.59,32l+ 0,2 120.52.22,2|— 0, 

Eione ne... |. d45. D58 + 0,46 137. 0.29,D|+ 1,5 
MiSextant. :. 9-1. 1,74]+ 0,22 


THERMOMÈTRE. 
EE tel 


Exté- 
rieur. 


Jate- 
rieur 


*"NOILOVHAHU 





H58045,5[- 28,5 
15,of- 36,7 





14,4 +2.46,4 
14,6/-1.16,0 
+1.54,7 

15,2| 14,3]- 39,4 
— 19,4 

14,4 Ei 42,1 

Œ: 36,4 

= 22,3 

FE 444 

14,8| 13,7|- 47,5 
14,5] 12,5]- 57,7 
12,1]- 52,0 
Chris 

+3.31,8 

11,2]+ 11,6 
10,9/-1.18,8 
+4.18,6 

—1.19,1 

14,0| 11,0]+ 56,3 
* —1.2/4,0 
11,0!+ 14,5 

14,5| 10,44 15,7 
14,7 11,2]+ 24,4 
+ 91 

16,5] 15,71+ 49,7 
16,5| 17,6]- 33,3 
16,8| 19,5]-1.15,5 
16,9! 19,71 17,2 
9] 197 if DS 
17,1 — 58,6 
17,2| 19,8]- 43,2 
20,0! 23,5 

17,7| 20,0)- 30,6 
=t50,5 

17,8] 20,0)-1.43,5 
25:89 

20,2 (TES 41,3 

18,2| 20,2]- 13,4 
_ 45,9 

18,0| 20,0]— 17,2 
17,0] 18,5]+2.43,1 
41.524 

— 38, 

— 19,1 





‘3104 na 14171 








5 © à 
QT O1 
I On 


25,6 


23,6 








"UAILYAU3ISIO 











REMARQUES. 


Moyenne de 3 obs. 


Moyenne de 3 obs. 
Niv.—3r,67. 
Moyenne de 4 obs. 


Bord sup. au mérid. 
Très-ondulante, 








30 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril et Mai 1842. 











































ee) z z a © 
CORRECTION ë = Æ ; = |. © 
} PASSAGE MOYENNE |22 | à fruenmouèrre. | ©: ane 
8 NOM- CONCLU 5» # = ca E £ 
5 T des EE ER 8 EMI NE REMARQUES. 
a DES ASTRES. k ER | MA = 8 | & 
FIL MÉRID. ment. | pendule | VERNIERS. 2 «1 9 5 |S 






o ! '! [1 







160 2000 0 2 .53. 13: 2,1/727,11+16,5|+17,5|- 
ceci DE .59. 0,6 e 


DES EE . 9. 34.274: 0,6 


sens set .16. .36.: 134 


pis .25.2? .43. 1,8 















34 Sexlant....... 
36 x Sextant...... 







2,0|727,1 
0,5|727,0 
















































G Cassiopée I... .. o, 

3 Grande Ourse... 3,5|727,0 

JAVierpe---C-c1e 1,5 

« Cassiopée I..... 12.32.50,74]— 234.30.55,o[+ 0,8 

d Vierge........, 12.47.26,36]+ 0,02 101.35.31,5|+ 1,2 » | 
x Petite Ourse IL. ..|13. 3.47,31 201.46.22,3|[+ 1,4|726,9 » [Moyenne de 3 obsw 
x Vierge... ...... 13.18.10,)2)— 0,3 » : 








(XIII. 100 Piazzi).. 
(XII. 113 Piazzi).. 
x Petite Ourse S..2 


2,3|726,9 
198.42.492,5|+ 1,6/726,5 





















» : 


{ 
» [Moyenne de 2 obss 


13.24.19,78|+ 1,44 
1. 2.4b,60 





5! Cercle Ouest, Niv.-3r,43. Le fil méridien est de 15P,27 à l'Ouest dela mire. 
On retourne l'instrument. 
Cercle Est, Niv.+0,r 66. Le fil méridien est de 19r,25 à l'Ouest de la mire. 
On ramène le fil méridien sur la mire au moyen de la vis azimuthale. 
On laisse l'instrument le cercle à l'Est. 


6|x Petite Ourse S..3 57,48 114.12.11,0|4 0,5|727,2] 15,5] 13,45 49,9/25,0| » |Moyenne de 3 obs4 








ARE) 
9/Soleil, 1er bord ...| 3, 4. Les _— 0,28 185. 4. 3,5|- 5,8|730,0! 16,2| 16,41+ 29,8 » |Bord sup. au méri 
u Gémeaux......, 6.14.56,46|- 0,34 180. 3.40,0|— 4,7|730,5] 15,1| 16,414 24,2 » [Niv.+oP,25. 
y Gémeaux... ... 6.30. 7,30|- 0,27 186. 7.14,2|- 4,7 + 31,1 » 
e Gémeaux...,.... 177-22.13,7|- 4,7 + 20,9 » 
x Grand Chien... .| 6.39.43,041+ 0,05|491,33/219. 8. 5,5|- 3,0 730,3[+15,0|+15,5{+1.45,5|23,1| » 
GHYOrE-R--.- de 9:21.22,46|-— 0,04|491,36[210.37. 3,5|+ 0,3]730,4] 14,3] 13,0)+1.16,3/26,5| » 
21 qVierge...... 12.27.12,08|— 0,04 211.13.13,0|- 1,2|730,7/+13,0| 9,8[+1.19,0 » 
« Cassiopée L..... 12.33. 5,06! 0,97|+91,37] 78.23.52,2|- 1,2 -4.19,1/22,5| » 
VIVIETBÉR + - sono 12.47.42,86)- 0,04 211.19.12,2/— 0,2/730,9) 12,7| 9,0!+1.19,6 » 
a Petite Ourse I..1/13. 3. 9,00 111. 8.58,5|- 0,6 — 56,7/27,2| » |Nuages. 
10|Soleil, 1er bord,.3| 3. 8. 2,33/- 0,28 » |Nuages. 
2 HYüre-e 0-0 9.21.24,16- 0,04|+93,07|210.37. 2,2|- 1,2 #117,9/25,1| » 
B CéphéeI....... 92.33.12,0[- 0,2/733,7413,5|4 9,2]-1.57,2/24,1| » |Très-faible. 
PB ne à c 3| 9.45.21,68]- 0,39 179.54.18,2|- 0,7 + 19,9 » 
RALTON. 8e 10. 1.832,64] 0,23|+93,13[189.54.46,0[+ 0,7[733,7] 13,0] 8,ol+ 37,5/26,2| » |Faible et ondulanl 
ESTTOn. à + ec 10. 9.29,30/- 0,36 178.26.56,2|+ 2, + 929,8 » Id 
8 Cassiopée I... 12. 2.19,07Ï+ 1,07 80.59.35,5|+ 0,2|733,6 ; 6,71-3.36,2 » Id 
21.9 Vierge... 12.27.19,70)— 0,04 211.13.12,2/— 0,2|733,5] 17, 6,71+1.20,2 » Id 
x Cassiopée I... .. 12.33. 6,90[+ 0,97|+92,98] 78.23.55,0|- x, -4.23,5/20,7| » Id. 
WIVIerPE «5 12.47.44,64|- 0,04 211.19. 9,5|+ 0,8|733,41 11,7] 6,7]+1.20,5 » Id. | 
æ« Petite Ourse 1.../]13. 3.14,89 111. 8.27,8/- 1,0|733,4 11,7] 6,5]- B7,4127,4| » |Moyenne de 3 ob! 
M AVICLRES sets stele 13.18.29,04[- 0,02/+93,341212.58.25,2|+ 2,8 Ë +1.25,7/27,6| » Id. 
(XUT, 110 Piazzi)..|13.24,17,30l- 1,17| 141.53.56,ol+ 0,7 — 14,8 » 





31 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1842. 


























THERMOMÈTRE. 


PASSAGE CORRECTION 4 2 = 
NOM Fe de MOYENNE | = 3 
au des & ee] 5 
h. m.s. [UT oÙ Hi 11 mm. 
(KIT. 113 Piazzi)..|13.24.40,52 
a Petite OurseS...| 1. 4. 6,91 114.12.12,7 + o,1 732:7 
LION 336.27.23,2 + 0,6 
Soleil, 127 bord....| 3.11.57,82]- 185. 4.15,7|+ 2,8 7317 
x Orion ETS RE EE 5.48.12,74 — o,18|+ 94,46 195.16.22,7| o 730,1 
| estes RE ba 2 — 0,34 es ps + 3,7 7299 
y Gémeaux....... .30.11,06|- 0,2 186. 7.14,0|— 1,2172 
x Grand Chien 6.39.46,56 + Dos + 94,871219. ls 3.5 _ s Hu 
AE 94071219 29172917 
B is = Eretstete ( es - UE Re 194 se + 1,2 
«2 Gémeaux...... 7-26. 7,;r1- o 11190.25.27,5|— 1,2 
œ Petit Chien..... 7.32.37.58 = Da 4 A cu M4 + È 
B Gémeaux....... 7-37:15,06|- 0,41|+ 94,69/174:14.53,7|+ 1,2/720,3 
LAC Andromède. . -.3| o. 1.56,06|- 0,/40|+100,76[174.26. o,o|+ 1,2|731,4 
M |x Cassiopée ...... 0.33.16,70)- 0,97|+100,66/146.59.19,7|+ 1,2|73r,4 
æ Petite OurseS...| 1. 413,11 11412,11,1|4+ o,1|731,2 
Hb|Soleil, 1er bord 3.27.46,741- 0,30 183.33.10,0|- 2,3|731,1 
(1348,A.S.C.)Lion..|11.21.33,22]- 0,10 203.28.37,2| o |731,3 
M \(1364,A.S.C.)Vierge|1t.32. 3,74]— 0,09 204.12.32,5|- 0,3 
Die oi 1. II mt 0,13|H101,30 10 igire = 09 731,3 
assiopée 1....4|12. 2.2 1,07 0.59.32,|- o 
3 Grande Ourse. . .|r2. EU — LE 14444547 + 15 
21 q Vierge....., 12.27.21,94]— 0,04 211.13.13,7| o 
x Cassiopée I..... 12.33.15,44[+ 0:97|+101,32 
D Vierge ........ 12.47.52,78|- 0,04 211.19.10,2|+ 2,3/731,3l+14,2 
a Petite Ourse I...|13. 3.28,89 111. 8.25,1|- 0,2 
Eierge.......!., 13.18.37,10f- 0,02|+101,41/212.58.24,0|+ 1,3 
(XILL. 110 Piazzi)..|13 46600 = 1,17 É 141.53.53,5 1 08 732:2|+14,2 
(KILL. 113 Piazzi)..|13.24.48,36|- 1,17 
BG Cassiopée ..... o. 2.30,07|- 1,07 144.22.55,2|+ 0,6|730,8| 15,8 
x Cassiopée....... 0.33.17,64[- 0,97[+101,56[146.59.20,0|[+ 1,4 
x Petile OurseS. 1. 414,81 114.12.13,0|+ 0,5|730,6 
Soleil, 1er bord. 3.31.44,90f- 0,28 183.50.39,0[+ 4,1,729,8 
p Gémeaux....... 15. 7,5ol- 0,31 180. 3.42,2|— 2,0|728,6 
Gémeaux......, 6.30.18,42]- 0,25 186. 7.12,2|— 2,8 
Grand Chien, . 6.39.54,12 + 0,03|+102,45l219. 8. 3,7|+ a 728,5 
[a Gémeaux.. ... 7-20.14,45) 0,42 +102,24 170.25.28,5|— 2,5 
" x Petit Chien...., 7.32.45,16]- 0,15|+102,03 OT moe — 0,8 
BG Gémeaux......,. 7-37.22,28|- 0,37 +102,00/174-.14.59,7|- 2,5|728,2 
€ 1er bord...... g- 7-40,78]- 0,23 188.24. 0,2|— 3,1|727,8 
MHydre......... 9-21.33,22/— 0,05|+102,19/210.37. 7,7|— 0,q 
BiGéphée I....... 92.33. 2,0[+ 2,0|727,6 
Bon. -.....l.. 10. 1.41,)4]- 0,22|+r02,11 189.54.50,0 = 2.2 727, 
Br ssl 10. g#8ns = 4 Free SUR 4 4? 
LOS ON 11. 7. - 201.51.22,2 ; 
({348,A.S.C.)Lion.…. MEN -à — ar 203.28.33,7 + x,p TE 
(1364,A.S.C.)Vicrgel11.32. 4.68]- 0,10 204.12.26,0[+ 1,5 
B pre D A0 CS AR 11 4412.06 — 0,13|+102,431199.59.30,2|+ 0,7|727,6 
Raicree ACESSC 11.54.31,62/- 0,18 195. 8.13,7[+ 0,6 
assiopée I...., 12. 2.20,591+ 99 80,59 24,0[- 0,8 












Exté- 


rieur. 


*NOILOVUAU 








8l- 9,2 
15,0|- Fe 


‘4104 nq Anal 


29, 





( "VAILVAUISUO 








REMARQUES. 





.[Niv.+oP,76. 


Moyenne de 5 obs, 
Moyenne de 3 obs. 


Bord inf. au mérid. 
Très-ondulante. 


Faible. 
Moyenne de 4 obs. 


Bord sup. au mérid. 


Moyenne de 3 obs. 


Niv.+ov,32. 
Moyenne de 4 obs. 


Bord inf. au mérid. 
Ondulante. 


Bord sup. au mérid. 


Très-faible. 





‘sunor 


17|Soleil, 1% bord...3 





32 


Observations faites à la kunette méridienne en Mai 1842. 





CORRECTION 
PASSAGE 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


NOM 


DES ASTRES. 


9 Grande Ourse... 
6 ; Corbeau...... 


« Petite Ourse 1... 
DOVIELRE-- ee -e ele 
(XIIL. 110 Piazzi).. 
(XIIL. 113 Piazzi).. 
B Cassiopée ...... 
œ Cassiopée ...... 
« Petite Ourse S... 






ame bord... 
m'OrON ee 
6.30.19,50|- 
6.39.55,18|+ 


0,37[+103,11 
0,05|+103,42 


10. 2.49,76|- 


ÉAEIOns eee dd 10. 9 39,34] 
« Grande Ourse.. .|10.55.43,34 

69 p# Lion....... 11. 7.26,16|- 
Lion. soeseets 11.14.4516] 


(348, A.S.C.)Lion. 
1364,A.S.C.)Vierge 
DIÉIVIET PE: Case 
BiNiersenee rca 
MAVICrPE Es 10e 
y Corbeau...,... 
6 « Corbeau...., 
arig Viense res 
LEVicrnerteeert: 
a Cassiopée ...... 
æ Petite OurseS... 


0,18 


12.27.2402 — 
12.47.54,88|— 
0.33.19:90|— 
1. 4.15,31 


Soleil, 1er bord...| 3.39.42,76 

œ Cocher........ 4| 5. 6.47,26|- 
BOrion.- F7 Met e 
MiOTION...---270 





æ« Grand Chien... 
a? Gémeaux...... 


œ Petit Chien ..... 

B Gémeaux....... 0,37 
CAES bord.. 2200 O,11 
GNOME reste 08 à 0,17 
(1364,A.S.C.)Vierge|11.32. 6,94]- 0,10 
2 ÉsVierpes...e: 11.38.5,481— 0,18 





BAVIErSe PER Ter 


0,13[+103,38 


MOYENNE 
des 
VERNIERS. 


“eau np 


NOILOHYUON 


144.45. 0,0|- 
226.35. 7,0|— 
211.13.16,7|— 
78.23.40,2|— 
211.19.12,0|— 
ris. 8.25,5|_ 
212.58.27,5|4 
141.53.56,5|_ 








144.22.57,2|_ 
146.59.22,0|_ 


114.12.14,2|- 


195.16.26,5|- 
186. 7.12,2|— 


195.45.19,7|— 
RHONE = 


211.13.18,0|— 
211.19.13,2|— 
146.59.23,2|— 


114.12.14,2|— 
182.12. 4,0|- 


211. 1.33,7|— 
195.16.24,5|— 
219. 8.11,7|— 


200.33.21,7|— 
195.45.18,0 


204.12.28,2|— 


0,421+104,481170.25.31,7|- 4,3 
0,12|+104,351197. 1.17,7|— 
+104,36/174.15. 1,5]- 5 


‘AULANOUVFHA 


THERMOMÈTRE. 
a ——— 


Exte- 
rieur, 


loté- 
ricur. 


*NOTLO VUAAU 
4104 nq naar 





















— 11,3 
+16,41+2.29;1 
+1.16,9 


16,1] 55,0|: 
Fa22 1 
15,4] 14,1 


16,3]- 11,7 
= gi 
19,5! 493 


18,2]+ 43,4 
18,4]+ 30,7 
18,41+1.43,8/25,1 

+ 13,4/25,2 

+ 46,1|22,9 
18,0]+ 17,3124,3 
16,o!+1.1/,9 2730 
15,9)+ 38,5 

+ 42 
15,6[+ 22,0 


9 
16,314 51,6 


+1.45,5 
15,8]+2.29,2 
+1.16,8 
+1.171 
16,3]- 9,0 
16,31- 49,2 


18,ol+ 26,0 


18,0/+1.15,4 
17,8|+ 43,3 
20,3141-42,7 
20,2]4 13,3 
+ 45,6 
20,0Ï+ 171 
15,ol+ 52,6 
+ 444 
+ 597 





REMARQUES. 


Moyenne de 3 obs. 


1 


Moyenne de 5 obs. 
Nuages. , 


Ondulante. 
Id. 
Id. 
ld. 
Id. 
Id. 
Id. 
Id. 
Bord sup. au mérid! 


Très-faible. 
Moyenne de 3 obs 


Bord sup. au méti 





33 



































































| Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1842. 
un = [el œ 7 = 2 
PASSAGE Ft MOYENNE |=© | > fJrucnuouérr. Œ 5. | & 
NOM CUNCEU de 5 = 2 Fa 5 2 
—_ — | ZE El 5 | 2 | 3 | REMARQUES. 
DES ASTRFS. 2. l'instru- la & È = Ë Ioté- | Exté- = S E 
FIL MÉRID. ment. | pendule.) VERNIERS. |° 5 # rieur. | rieur. Z 5 7 
b. an. s. s. s. o 2] mim o o ! A] 
7 Vierge. ........ 11.54.33,88/- 0,18 193. 9.12,0|+ 0,2/723,2]+16,8|+15,3]+ 43,5 B. 
G Cassiopée [..... 12. 2.30,8514 0,95 80.59.25,5|- 1,4 —3:26,7 » 
y Corbeau. ...... 12. 9.28,48[+ 0,02 ,0|4 0,2 ) » 
6 « Corbeau...... 12.10.55,52|+ 0,18 6,5|- 2,0 » 
A1 q Vierge...... 12.27.25,14]- 0,05 5,2|- 0,6 14,2 » [Niv.+i0,76. 
x Petite OurseS...| r. 417,07 = 2,1/723,2 16,2| 15,8l- 22,9| » [Moyenne de 5 obs. 
|Soleil, 1er bord (*).| 3.45.42,10]— 0,29 = 5,3|724.,9 20,3| 21,o]+ » |Bord sup. au mérid. 
& Cassiopée...... 0.31.22,881— 0,87|-13,30 = 12/7272 17,8| 15,2] 19,8| » [Niv.+2P,03. 
à Petite OurseS...| 1. 2.22,31 — 1,41727,2l 18,2] 16,2|- 23,0| » |Moyenne de 4 obs. 
Soleil, 1° bord...2| 3.49.42,65}- 0,29 » Nuages. 
2me bord...l 3.51.57,92}— 0,29 » 
m2 Gémeaux... ..4| 7.24.19,40f- 0,42 12:92 — 3,51725,8| 19,7 + 24,3| » |Faible et ondulante. 
x Petit Chien ..... 7-30.50,08|- 0,15|_13,o7 = HE + 19,7| » Id. 
BG Gémeaux....... 7.35.27,18]- 0,37|-13,05 = 4al725,7l 19,7] 22,5Ù+ 23,6| » Id. 
Mydre. "1. 9:19-38,30!— 0,05|_12,67 — 2,g/725,6! 20,0| 22,7l+1. 26,8| » Id. 
É Petite Ourse S..3| 1: 2.25,80 — 2,0[728,8l 19,0| :5,2 23,0| » [Moyenne de 2 obs. 

BlSoleil, er bord...| 3-b7.46,141- 0,29 . — 7,0[728,3[ 19,8| 18,0 » |Bord sup. au mérid. 

% Grand Chien.. .| 6.38. 1,40 0,03 —10,23/21g. 8. 2,0|+ 1,2 72731 19,8| 19,4 23,7| » [Ondulante. 
&= Gémeaux...... 7-24.21,89)- 0,42|_10,42/170.25.27,5|- 0,6[726,7| 19,5] 19,5 247] » Id. 
Petit Chien ..... -30.52,50!-— 0,15|_10,57|197. — 2,6 19,5|+ 25,0| » Id. 
MG Gémeaux....... 35.29,68|- 0,37|_10,54/174.15. 6,0|- 5,61726,6| 19,5| r9,5l+ 25,5| » Id. 
Grande Ourse 10.53.49,50!- 1,13|_10,43/140. 3.25,7[+ 0,6[726,0| 18,8] 15,8] 222) Id. 
Pbakanssec. 4 11.12.51,43|- 017 ñ o 15,5]+ » Id. 
Er Vierge... 11.37. 0,54] o,18 k - 2,9 » Id. 
Vierge. ........ 11.42.20,241 0,05|_10,23/199.59.34,2|- 3,11725,8] 18,0! 14,5[+ 51,9 23,2| » Id. 
Vierge ........ 11.52.38,92|-— 0,18 — 1.8 » Id. 
BG Cassiopée I..... = 3,2 » Id. 

M, Petite OurseS..2| 1. 2.25,83 = 4,21726,4] 19,7] x7,9f- 490 23,5| » [Moyenne de 2 obs. 
oleil, 1er bord 4. 9.53,441- 0,29 - 5,6[728,8] 19,1] 18,51+ » |Bord sup. au mérid. 
Hydre......... 9:19.42,56[- 0,05|- 8,35/210.37. 2,:|+ 0,6 .214,5/24,5| » 

GB CéphéeI....... 9-26.27,021+ 1,57|- 8,33] 92.33. 4,o[+ 1,5/727,8] 19:2| 18,8]-1 52,3/20,9 Faible. 
NET SO PONRNRE 9-59.50,86!- 0,22|_ 8,45/189.58.48,2[— 2,1/727,9] 19,0] 18,714 35,6 24,7| » 
Corbeau ....... 10. 7.35,64[+ 0,02 » 
Cassiopée ...... o. cat — 0,95 144.23. 1,0|— 2,1|729,8] 18,51 15,4] 11,7 » 
Cassiopée ...... 0.31.28,54/- 0,87|- 7:90/146.59.25,5|- 1,2 16,2 9,1/23,7| » 

Petite OurseS 1. 2.30,41 114.12.14,7|— 1,41720,8] 19,0] 17,3]- 49,4|22;,9| » [Moyenne de 3 obs. 
7Soleil, 1er bord 4.:13.57,18|- 0,30 » 

Corbeau........ 12. 7.36,64]+ 0,02 219.17.53,5|— 1,5/728,6] 18,7] 16,71+1 à 

AGorbeau.... :. 12.15. 3,54]4 o,18 226.35. 6,7|+ 2,0 » 

21 q Vierge...... 12.25.33,30|- 0,05 » 

æ Cassiopée I. .... 12.31.27,38|+ 0,87|- 7,34) 78.23.38,0|+ 3,1 2120,4| » 

Ÿ Vierge... .....,.112.46. 4,08|- 0,05 211.19-13,5|— 0,6 » 





a Petite Ourse L...[13. 1.50,19 
Medierge......... 13.16.48,50!— 
“| |(XIIL. 110 Piazzi).. |13.22.36,02|- 
| [XI 113 Piazzi).. |13.22.59,24}- 


| 
* 
| { 







III. S.17,9T 11 
212.58.25,2|+ 1,8 
141.53.56,0|- 0,9 





(*) La pendule a été retardée de deux minutes. 





Moyenne de 3 obs. 












34 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai et Juin 1842. 


























CORRECTION 
de 







PASSAGE 


CONCLU | 
au 


MOYENNE 


TUERMONÈTRE. 





NOM. 







des one) (Das 


REMARQUES. 






“HUaAIU up 


NOILOAYUUOND 






DES ASTRES. 







l'instru- 
iuent. 


lnte- | Exte- 
rieur, | rieur. 









"AULHNOUVA 
“NOILOVUAAU 
"VAILVAUISHO 


FIL MÉRID. VERNIERS. 





| ‘3104 na nai 





bn es. 5. T 
n Grande Ourse...|13.41.15,47|- 0,72|- 7,20 
æ Petite Ourse S...| 1. 2.32,g1 













$ Moyenne de 4 obss | 













28|& Cassiopée....... 0.31.30,54|- 
a Petite Ourse S...| 1. 2.34,5x 






7321 18,9 23,9| » Moyenne de 3 obs: 























..| 4.22. 6,r0|- 21,0 » |Bord sup. au métid 
snele est igiete 9.59.53,66 Æ 21 6 273 n # 
5e 10.53.54,02 a 21,0 21 
MEVierpess tot 11.37. 5,38]- 20,6 


BiVierge... ec 11.42.24,92]— 
æ Vierge........ 11.52.43,60!- 
G Cassiopée I..... 12, o.41,41l+ 
6 : Corbeau...... 12.15. 5,26|+ 
G Cassiopée I..... 12.28. 6,63]+ 
a Cassioy#e I..... 12.31.29,22|+ 
& Petite Ourse [...[13. 1.49,00 

59 e Vierge...... 13. 8.53,62|- 
a Vierge........, 13.16.50,24|- 
(XIII. 110 Piazzi). .[13.22,37,86|- 
(XII. 113 Piazzi)..|13.23. 1,18]— 
x Petite OurseS...| 1. 2.33,5x 











20,5 











20,2 











26,3| » [Moyenne de 3 obs4 





















24,2| » [Moyenne de 3 obs® 









Soleil, 12° bord... .| 4.26.11,341- 
x Cassiopée....... 0.31.32,00|- 
a Petite OurseS...| 1. 2.35,31 


» [Bord inf. au méri 
» |[Niv.+2P,86. à 
» [Moyenne de 4 ob$: 














Soleil, 1er bord ...| 4.30.16,26|- 
x Cassiopée...... 4| 0.31.32,80|- 
a Petite Ourse S...| 1. 2.36,5x 






Bord sup. au mér d 
Niv.+1r,73. ï 
Moyenne de 5 obs 












» [Bord inf. au mérid 














: 10.53:56,20 - 
11.12.58,54]- 









» [Nuages. ÿ 
» [Moyenne de 4 obs 


z Petite Ourse I... 
5g e Vierge. ..... 
PANETE Na 0 : 
(RIT. 110 Piazzi)..|13.22.40,06|- 
(XIIL. 113 Piazzi)..|13.23. 3,59|- 





84% o Vierge...... 
» Grande Ourse. . . 
+ Petite Ourse S..3 


13.35. 7:58|- 
13.41.19,59|- 
1. 2.38,60 













Moyenne de 3 obs 





2|Soleil, 1er bord. . .| 4.38.28,72|- » [Bord sup. au mén 
x® Gémeaux...... 7-24.29,97|- » [Ondulante, 
x Petit Chien... ... OI. 
B Gémeaux....... 
| GIDIONS ER ee ere 


























35 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 































PASSAGE LE 28 = THERMOMÈTRE. ES = 
NOM CONCLU .# s MOTESE 5 ô = 5 
au 3 1 2e. s8 | & 8 S 
h. m. s s. s © 1 11 [71 mm, h #1 " 
G Vierge......... 11.42.28,50|— 0,13|- 1,98 199.59.37,5|— 1,8 + 5r,5|27,8 
æ Vierge......... 11.52.47,16]— 0,18 102. 9:13,5|+ 1,0 CA 
G Cassiopée 1....4/12. 0.45,22l+ 0,95 80.59.27,7|— 5,0 +19,1/-3.26,5 
y Gorbean........ 12. 7.41,88|+ 0,02 219.17.3,2|- 0,6 19,0/+1.45,5 
œ Cassiopée I..... 12.31.32,92]+ 0,87|- 2,08] 78.23.40,0|+ 0,6 —4.r1,8[20,3 
x Petite Ourse 1...[13. 2. 0,20 à 111. 8.21,9|— 4,6|733,6|421,8| 18,7] 54,9124,8 
5g e Vierge...... 13. 8.57,08|- 0,13 192.23.53,7|- 1,4 + 39, 
mVierge.. ss... 13.16.53,78]- 0,03|[— 1,86[212.58.33,2| - 3,2 +1.22,0|26,3 
(KI. 110 Piazzi).4/[13.22.41,04[- 1,05 
(XL. 113 Piazzi.,|13.23. 4,20f- 1,05 141.54.54,0|+ 3,6 Lt 
So Vierge... .... 13.35. 8,52]- 0,19 198.18.30,5 + 0,5 733,7 18,2|+ 48,7 
a Cassiopée...... 0.31.35,20f- 0,87|-— 1,55 
a Petite Ourse S...| 1. 2.39,71 114.12.16,5|- 1,9 733,2 19,0)- 49,3123,4 
Soleil, 2me bord. ..| 4.44.52,96]- 0,30 
æ Cassiopée L....4/12.31.34,02Ù+ 0,87|- 1,02) 78.23.45,7|- 2,0 731,3 16,71-4.13,0/22,1 
æ Petite Ourse 1..4[13. 1.59,77 111. 8.20,0|— 2,4 — 55,2|24,4 
59 e Vierge... .... 13. 8.53,22|- 0,13 192.23.55,5|— 2,9 16,24 39,6 
EiVierge the sd. 13.16.54,78[- 0,03|-— 0,86[212.58.33,0|— 3,1 +1:22,5|26,7 
(XIIL. 113 Piazzi),.|13.23. 5,76[- 1,05 141.54.55,2|4 92,3 EEE 
84 0 Vierge...... 13.35. 9,86 0:19 198.18.32,0|— 2,6 731,6 15,8]+ 49,0 
n|\24 :' Balance... 15. 3.16,44[+ 0,04 221.49.12,0|- 2,4 731,6 14,0l+1.59,7 
28 y Balance .., .4 15.11.59,39 + 0,03 220.12.43,7 — 2,3 +1.51,3 
10 Serpent....... 15.20.42,36[- 0,13 200.15. 4,o[- 1,4 14,41+ 52,8 
“|: Couronne boréale|15.28. 2,72} 0,35|— 0,84]175.24.17,2|- 1,2 + 18,7[25,3 
“|,3 ; Balance....3115.39.5/,18[+ 0,04 221.47.30,2|— 3,5 +1.59,4 
œ Serpent........ 15.36.32,06|- 0,17|— 0,88]195.43.18,5|- 1,2 + 45,0/25,2 
5 Couronne boréale|15.43. 1,08|- 0,35 176. 5.54,7|- 3,5 + 19,7 
“x Scorpion....... 15.49.21,56[+ 0,10 228.16.15,5|- 6,6 +2.46,5 
|) Scorpion....... 16. 2.52,16[+ 0,04 221.40.22,5|— 1,5 731,8 +1.59,0 
5 Scorpion. ...... 16.11.38,94[+ 0,10 227.49.26,2|— 0,9 +2.492,0 
æ Scorpion. ...... 16.19.47,10|+ 0,10|- 0,62|228.41.22,2|- 2,1 13,5]+2.50,9|26,8 
|B Cassiopée . ..... 0. 0.49,01/- 0,95 144.22.59,0|— 0,3|731,3 13,0] 11,8 
y Pégase 4| 0. 5. 8,35/ 0,22] 0,041188.20.24,0|+ 0,4[731,2 13,24 34,4123,0 
“| Cassiopée....... 0.31.36,68[- 0,87 — 0,13/[146.59.22,0|+ 1,5 731,0 14,0 9,2/22,9 
“|: Petite OurseS..3| 1. 2.43,60 11412.15,7|-— 1,0 — bo,0|22,7 
|Soleil, 12° bord. 4.46.44,02|- 0,31 179.57.53,5|-— 4,1 729;9 19,0!+ 23,5 
Vénus, 1% bord 6 En — 0,32 178. 3. 3,5|— 5,8|729,3 20,414 21,3 
m2 Gémeaux....., 7-24.32,57- 0,42|+ 0,31 
æ Petit Chien ..... 31. 3,44f 0,154 0,42l197. 1.12,2|4+ 1,8 21,314 13,3/22,7 
B Gémeaux....... 7-35.40,58|- 0,37[+ 0,43]174.15. 4,0|- 5,3]729,r 21,44 17,2[23,3 
Mon... ...... 9-59.59,94[ 0,22|+ 0,71/189.54.42,7|+ 1,4/728,7 20,7|+ 35,4122,9 
MADION.......... 10.11.18,18|— 0:29 182. 0.37,7|+ 6,4 20,5]+ 25,7 
lion. ......... 10.24.32,36|— 0:19 192-31.54,0|— 2,0|728,7 20,3l+ 39,1 
& Grande Ourse...|10.54. 0,32|- 1,13|+ 0,90/140. 3.24,5|+ o,1 — 15,8|20,9 
ion... .-..... 11.13. 2,54 0,17 195.45.13,2|— 0,7 20,b]+ 43,9 
Eierge. ......!. 11.42.31,48/- 0,13|+ 1,01]199.59.30,0|- 0,6 18,514 51,4/21,6 
B Cassiopée I 412. 0.47,881+ 0,95 80.59.24,2|— 1,2 18,11-3.26,0 
y Corbeau....... 12. 7.44,88]+ 0,02 219.17.54,0[+ 0,5 17,9/+1.45,2 
x Cassiopée I..... 12.31.35,94]+ 0,87|[+ 0,83 
x Petite Ourse 1...[13. 2. 2,89 111. 8.23,3|- 3,0|728,8 17,0)- 54,9/27;7 
5ge Vierge...... 13. 9. 0,341- 0,13 192.23.13,5|- 0,2 + 39,4 








"MAILVANISUEO 








Très-faible. 


REMARQUES. 





Id. 


Moyenne de 2 obs. 


Faible. 
Moyenne de 4 obs. 


Faible. 
Moyenne de 2 obs. 


Ondulante. 
Id. 


Ondulante. 
Niv.+oP,72. 
Ondulante. 
Moyenne de 3 obs. 


Bord sup. au mérid. 
Centre au méridien. 


Moyenne de 3 obs. 
















36 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 




































CORRECTION a 4 = 
_ PASSAGE 2 raenuouèree. Æ 3 
© NOM Ra © = = 
e CONCLU E |— = ë 
= au =S 5 “= 
5 DES ASTRES. 1 = lote- = E 
FIL MÉRID. & rien ? & 
Hein, s. A o ! 1 
aiVierper. ete 13.16.56,80|- 0,03|[+ 1,17|212.58.26,0|— 
(XII. 113 Piazzi)..|13.23. 7,58] 1,05 141.54.55,2|— 
x Cassiopée....... ‘ 0,87|+ 2,07/146.59.22,2|+ —  9,1|22,7 
x Petite Ourse S..4 114.12.16,3|— 14,5 49,6/24,4 


5|Soleil, xer bord... 
a? Gémeaux...... 


19,214 23,9 
13,3 









0,19 192:11.53,0|— 
1,13|+ 3,26/140. 3.23,5|4 


x Grande Ourse... 























































x Cassiopée E..... 

« Petite Ourse I, .4 . b, 

DINIETRE eue sie de 13.16.58,70|- 0,03|+ 3,08]212.58.25,7|- 17,6[+1.21,6/20,8 
84 o Vierge...... 13.35.13,64]- 0,19 198.18.27,5|+ + 48,5 

n Grande Ourse..4|13.41.25,45|- 0,72|+ 2,93 

a Bouvier........ 14. 8.33,80[- 0,28|[+ 3,08|182.38.42,7|— 16,0!+ 26,8/23,3 
10 Serpent...... 15.20.46,76|- 0,13 200.15, 3,5|+ 11,9}+ 52,9 

x Couronne boréale|15.28,. 7161 0,35|+ 3,60 175.24. 9,0l+ + 19,0/21,3 
43 x Balance... ... 15.32.58,54[+4 0,04 221.47.28,7|4 +1.59,8 

x Serpent. ,...... 15.36.36,50!- 0,17|+ 3,56/195.43.16,5|+ 11,0j+ 45,1/27.,8 
à Couronne boréale|15.43. 5,42]- 0,35 176. 5.53,5|+ 11,8]+ 19,7 

æ Scorpion....... 15.49.25,78|} 228.16.11,0|— 11.71+2.46,8 

B Scorpion préc... |15.56.22,96|+ 221.59.38,0|+ +2. 0,9 


(638, Mayer) Scor- 


































PION=- es. 16. 2.55,58|+ 
14 y Scorpion... ..|16. 2.56,58|+ 221.40.20,2|— +1.59,2 
s Scorpion. ...... 16.11.43,34]4+ 227.49.22,7|+ 11,6|+2.42,3 
æ Scorpion....... 16.19.51,36|+ 228.41.19,0|+ 11,6[+2.51,0/26,8 
G Cassiopée ...... 0. 0.53,43]- 0,95 144.22.58,5|+ 1, — 11,7 
y Pégase......... 0. 5.12,48]- 0,22|+ 4,03|197.20.20,0[+ 5,2/728,6 15,7|+ 33,9 
a Cassiopée ......| o.31.41,12]- 0,87|+ 4,22]146.5g.18,0|+ 4,1|728,7 18,8) 9,0121,7 
a Petite OurseS...| 1. 2.52,00 11422.14,7|+ 1:1|728,7 20,1] 49,0 24,6 





















6|Soleil, 1er bord...| 4.55. 2,16|- 0,31 179.44.32,7|- 3,3|728,5 26,2|+ 29,6 
« Grande Ourse...|10.54. 4,29] 1,134 4,87]140. 3.31,5|- 2,3|728,2 25,5|- 15,5 25,8 
G Cassiopée I..... 12. 0.52,29|+ 0,95 80.59.23,5|+ 1,2 23,61-3.22,1 
y Corbeau....... 12. 7.49,00!+ 0,02 219.17.59,7|- 0,5|729,0 20,41+1.43,2 


Cercle Est, Niv.+0,r 05. Le fil méridien est sur la mire, 
On retourne l'instrument. 
Cercle Ouest. Le fil méridien est de 7,r5, à l'Est de la mire. 


On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest. 


7290 SR: + 54,3/28,7 





a Petite Ourse 1..3|13. 2.37,78 201.46.36,1|+ 0,7 

a Vierge........ 4|13.17. 0,241 0,09|+ 4,741 99.56.22,5|4 2,1 —1.21,0|29,2 
84 o Vierge...... 13.35.15,02|t 0,13 114.36.23,2|+ 1,3 — 48,4 

n Grande Ourse..2|13.41.26,20!+ 0,29|+ 4,69}160.21.34,0{+ :1,5|729,3| 20,7| :0,0]+  3,7/28.9 
a Petite OurseS..1| 1. 2.24,00 198.42.32,7[+ 3,5[731,8| 21,8| 20,0f+ 49,0/28,2 





“HNALVAUASUO 


» 


. [Très-ondulante. 


REMARQUES. 























Moyenue de 4 obs. 


Bord inf. au mérid. 
Niv.+oP,40. 
Ondulante. 

















































Moyenne de 3 obs: 















Bord sup. au mérid: 


Faible. 


Moyenne de à ob! 


Niv.—1,82. 


37 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 

























































































































































7 = 
Ue PASSAGE Hu MOYENNE |= 8 È TUERMOMÈTRE. = 5 L 
15 NOM ue ‘F LealS MINE 
1E js —— | — “ 22 2 —3—1] 3 | 2 ]|3] REMARQUES. 
1 Es DES ASTRES. ; l'instrn- la £ = El Jnté- | Exté- = E 2 
L FIL MÉRID. ment. | pendule} VERNIERS. | 9 El rieur. | rieur. = a æ 
s. s. ou} Urr 11 min 0 o ! 
Soleil, 1er bord... 0,15 132.44.57,8 — 2,9/731,9 +23,0|+24,0]- B. |Bord inf. au mérid. 
x? Gémeaux.. ... 0,19|+ 5,89/142.29.20,0|+ 4,b 24,2] » |Ondulante. 
x Petit Chien .... o,12|+ 5,75 » Id. 
G Gémeaux....... 0,18[+ 5,66/138.39.5o,ol+ 1,2|731,8] 23,2 » Id. 
a Petite Ourse L..2|13. 2.43,17 201.46.32,8|+ 3,41731,41 21,7 » 
a Mierge.......e. 13.17. 1,48]+ 0,09|+ 5,99] 99.56.23,7|+ 2,0 à 
(XIII. 110 Piazzi).3/13.22.47,75[+ 0,40 » 
….|(XIIL. 113 Piazzi)..|13.23.10,92]+ 0,40 170.59.47,5|4+ 5,2 » 
84 o Vierge...... 13.35.16,20|+ 0,13 114.36.25,5|+ » 
n Grande Ourse...|13.41.27,55]4+ o,29|+ » 
r Vierge. ........ 13.53.45,54[+ o,11 » 
æ Bouvier....... 14. 8.36,40f+ o,15|+ » 
10 Serpent...... 0,11 » 
x Couronne....., 0,18|+ » 
43 x Balance..... 0,08 » 
“|; Serpent........ 0 2|+ » 
À |; Couronne boréale 0,18 » 
æ Scorpion....... 0,07 » 
: 0,08 » 
G Scorpion { 0,08 1 
638, Mayer) Scor- 
pion.......... 0,08 : » 
14 y Scorpion... .. 0,08 .b7,3 » 
5 Scorpion....... 0,07 -39,7 » |[Ondnlante. 
& Scorpion. ..... 0,07|+ -48,7|: » Id. 


| 


Soleil, 1er bord... 
Mercure, 1° bord... 
|Vénus, 14 bord. .3 


& Petite OurseS..3 » [Moyenne de 2 obs. 


49,3 


22,7 » [Bord sup. au mérid. 


0,15 


0,16 


0,16 






» |Centre au méridien. 





22/2 
















42 Gémeaux...... 0,19[+ 13,2/30,4| » |Très-ondulante. 
x Petit Chien ,..., 7-31. 9 [+ o,12|+ 6 45,4 29,6 » Id. 
\ 18 Gémeaux....... 0,18 + 17,1 26, » Id. 
L Le re uote le à 0,14|+ 35,1 25,7 » Id. 
MN Grande Ourse... 0,43|[+ 20, 15,8/26,8| » |Faible. 





1 (x Petite Ourse 1. .3 
le DergeLt...... 
XIIT. 110 Piazzi).3 
AUXLIT. 113 Piazzi.. 


» [Moyenne de 2 obs. 


201.46.34,9|+ 
7:09] 99.56.23,5|+ 


54 6/28,5 


-21,5|29:0 





0,09|+ 
0,40 
0,40 













8 
M Bi 6 Vierge. ..... 0,13 » 
“| Grande Ourse.., 0,29|+ D 
HT Mierge. ........ 0,11 ? 
a Cassiopée ...... 0,34|+ » [Niv.—0P,97. 


“2 Petite Ourse S.... 6| ; [Moyenne de 5 obs. 
“9 [Soleil, rer bord....| 5. 7-27,62|+ 
æ Grand Chien. ...| 6.38.19,18|+ 
Mercure, 1° bord... 


0,15 
0,08|+ 


0,16 


22,7 P. [Bord sup. à 8mA75. 
42,4 24,8| » 














L | Vénus, 1°° bord... 0,16 21,5 » [Centre au méridien. 
«2 Gémeaux....., 0,19|+ 13,3|2711| » 
| a Petit Chien ..... 23e o,12|+ 45,7 30,7| » 
æ Grande Ourse.. 4 0,43|+ É 
font, s55160011. 9:961+ 0,151 5,0l728,4 20,7} 31,9l27;1l » 





38 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 





NOM. 


“sunor 


DES ASTRES. 





y Corbeau. ...... 
æ Petite Ourse 1... 
59 e Vierge:..... 
ciMierset1#5..20. 
(XII. 110 Piazzi).. 
84 o Vierge...... 
n Grande Ourse... 
TAVierpe.-.-.--40 
94 Vierge...... 2. 
24 1' Baïance..... 
28 v Balance ..... 
10 Serpent....... 
æ Couronne boréale 
43 x Balance... ... 
DMSENDENL. M. -- 10 
4 Couronne boréale 
r Scorpion 


G Scorpion 


(638 Mayer) Scor- 





OO DD D De 
14 y Scorpion..... 
18 z Scorpion.... 
s Scorpion....... 
x Scorpion. .,.,.. 
+ Scorpion....... 
y Pégase... ..., .- 
x Cassiopée....... 
x Petite Ourse S... 
œBélier. 99) 1e 





10{Soleil, 1€r bord... 
Ͼ Grand Chien. ... 
Vénus, 1 bord. ./ 
x* Gémeaux, ,..,.. 
« Petit Chien... ... 
G Gémeaux....... 
x Cassiopée ...... 
x Petite Ourse S... 
œ. Bélier :%. 2.2 3 


CI 


Soleil, 12 bord... 
Mercure, 1er bord. 
Vénus, j°r bord... 
x? Gémeaux... .. 
a Petit Chien 
BG Gémeaux....... 


G Cassiopée I....3 
y Corbeau.....,.. 
æ Petite Ourse I. .4 





































CORRECTION 










PASSAGE MOYENNE 


TUERMOMÈTRE. 




























"NAALVAUASUO 


[e] = = = 

219 > CE a 

LS 7 = = 

CONCLU 2,2 £ a = 

e des z 2 =) a ( —— A = REMARQUES. 
> é H 

ñ 3 212 E late- | Exte- 5 3 

FIL MÉRID. VERNIERS. | © © # | rieur. | eur. £ È 
[| 
B. | 


» [Moyenne de 2 obsAl 






13.22.49,65[+ 
13.35.10,18 + 













» |Ondulante. 


21,0 
20,9 


20,6 






15.43. 9,42|+ 
15.49.30,241+ 












16. 2.59,76[+ 
16. 3. o,8o|+ 


.25.39,7 
24.34.33,0 











Moyenne de 5 obs 
Niv.—1P,17. 








» {Bord inf. au mérid 


5.12.37,42 
6.38.20,28|+ 













" 


72] 93.46.55,0|- 6,9 


134.2718,0|— 5,5|7 
142.29.30,2|-— 4,7 


Centre au méridié 
» |Très-ondulante. « 








































0,13|+ 8,43/115.53.45,0|- 4,7 » Id. 
0,22|+ 8,67[138.40. 0,0] 4,7]728,9 24,2 » ld. 
0,44|+ 9,19/165.55.34,0|- 5,8 » | 
198.42.42,5|— 4,51732,4] 22,2 » [Moyenne de à ob} 
132.58.48,7|— 6,/1732,8] 23,4 » 
24,0 » |Bord sup. au méri 
» 
24,5 » |Centre au méridié 
F » |Très-ondulante. 
.44,2|- 6,7 » Id. 
25/138.40. 0,7|- 5,8|732,31 24,5 » Id. 
123. 0.12,9|— 6,5|732,0] 24,5 » 
10.54. 6,94[+ 24,5 » 
11.41.11,98|+ 23,7 » 
12. 0.58,66|- » F 
93.37. 9,5j-10,2 7 » [Niv.-1P,46: UN le 
13. 2.b0,87 46.42,1|- 3,9/732,0| 23,4] 23,4H 53,9/19,5l » [Moyenne de 3 obk} W, 






39 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 























CORRECTION 












PASSAGE = TiERMOMÈTRE. 


CONXCLU 
au 





de 





MOYENNE 
des 


VERNIERS, 


NOM 







REMARQUES. 

















DES ASTRES. Inté- | Exté- 


rieur, | rieur. 


l'instru- 
meut. | pendule 









"AULAINOUVH 


3104 nq aa 
"MAILVAUTISUO 


*NOTLO YUAAU 


FIL MÉRID, 





















































SÉOODEE ë 99-56.26,0|- 5,8/732,3|+22,9|+22,2|-1.20,8/2/.,8| D. 
84 o Vierge...... 8 114.36.31,2|- 76 » 
" Grande Ourse... 5 160.21.43,7|— 7,6 » 
HIVierge......se 13.53.48,86 112.34.52,2|— 7,0 » 
94 Vicrge........113.58. 8,6 102. 8.25,5|— 6,4 » 





œ Bouvier ....... 14. 8.39,6 
h | Couronne... ... 15.28.1 2,6 
43 x Balance... ... 15.33. 4,2 
HOME LE 15.36.42,0 
15.43.10,8 
CRMDo re 15.49.31, 
préc. 15 BE 287 
{ suiv.|15.56.29,2 



































ga 
© 
= 

‘Ur 





sons 


14 y Scorpion.....[16. 3. 2,5 
18 7 Scorpion... ..|16 






91:14.36,5|— 7,5 
102,19.51,5|— 7,6 


































































ee 0,04 85. 5.29,7|- 5,9 -39 » 

0,04[+ 9,b0! 84.13.35,5|- 6,4 19,8]-2.47,6/26,3| » 

ane meta .26 0,03 82.25.3/,5|— 71 734,0 19,8 —3. 6,6 » 

x Cassiopée..... LE o,44|+ 9,70 165.55.33,7 — 7,0/735,9 19,6[+ 9,1 26,9| » 


21,1|+ 49,3/29,5| » 


Moyenne de 4 obs. 
_— 23,5 25,5| » 


Niv.—1P,16. 


—|x Petite OurseS.. 


198.42.42,0|- 4,41735,9 
Mrre sed e .58. 0,19|+ 9,50 


132.58.46,2|- 6,8 






24,8|- 23,0 » 
24,0]+ 55,3129,3| » 
+ 3,7 28,8 » 


Bord inf. au mérid. 
Moyenne de 2 obs. 


0,19 133. 9.30,0[- 5,8/735,6 
201.46.44,8|- 8,2|734,5 
160.21.42,2|- 5,8 











0,37|+10,23 






























radonen ti DD: 0,12 — br » 

rire .58. 0,09 102. 8.28,0[- 9,6 —1.14,4 » 

MES 14. 8.40,30]+ o,18[+10,08|130.16.19,0|- 8,7 734,8 23,5|- 26,3|27,2| » 

GER EIee 4| 0.31.46,29/+ 0,441+10,36/165.55.32,0o|- 4,7 21,74  9,0[27:3| » 
..| 1. 2.31,29 108.42.41,5|- 4,2|735,4 21,8]+ 49,0/29,0| » [Moyenne de 4 obs. 

ere 1.58.28,38|+ 0,19/+10,31/132.58.48,7|- 5,9 22,5) 23,4128,9| » |Niv.-10,49. 

W|Soleil, 1er bord...| 5.24. 4,92]- 0,19 133.44.44,0|- 7,0 734,2 27,0]- 22,1 » |Bord sup. au mérid. 
& Petite OurseS..4| 1. 2.32,31 198.42.41,9|- 4,41731,8 _21,0]+ 49,029,2| » [Moyenne de 4 obs. 





» [Niv.-or,g0. 








La lunette méridienne a été démontée pour nettoyer le tourillon du côté du cercle, et le bord intérieur des deux cercles ; 





on a en même temps changé la position de la lunette sur le cercle. 






Les fils du réticule ont été changés. 






On retourne l'instrument. 






Cercle Est, Niv.+or,32. Le fil méridien est de 15P, à l'Est de la mire. 





On corrige une erreur d’axe optique de 8P, l'instrument reste le Cercle à l'Est. 





Faible et ondulante 
Id. 


10, 
12,6 


a Cassiopée S... .4 
« Petite OurseS... 


— 0,85 + 2,5 


+ 1,8 


» 
» 


0.31.57,69 


1. 3.20,90 


731,6 
731,6 


19:4 


20,0 


























15,0! 9,2 
ce 49:9 








+19,93[303. 6. 7,0 
27019. 5,7 





NOM 


‘sunor 


DES ASTRES. 


æ Cocher.......: 
B Orion 


æ Vierge......... 


x Bouvier. 
24 «' Balance..... 
10 Serpent 
x Couronne boréale 
43 x Balance...... 
æ Serpent 
3 Couronne boréale 
G Scorpion, préc... 
(638 Mayer) Scor— 

pion 
14 y Scorpion.... 
18 x Scorpion.... 
s Scorpion 
æ Scorpion. ...... 
+ Scorpion. ...... 
24 m Scorpion.... 
p' Scorpion 4 
27 # Ophiuchus... 
« Hercule 


ss... 





.….... 


l25|Soleil, 1er bord... 
a Petite Ourse I.. 


26|Soleil, 1er bord... 
« Grande Ourse... 


27|Soleil, 1er bord... 
a« Grand Chien. ... 
æ Grande Ourse... 
y Grande Ourse... 


a Balance... 
B Petite Ourse .... 
24 «' Balance..... 
28 y Balance... ... 
« Couronne boréale 
43 x Balance...... 
a Serpent 
3 Couronne boréale 




















40 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 














































CORRECTION 2 œ = Cal 2 
æ = THERMOMÈTRE. Es E 3 
4 de MOYENNE | == | = 2 = à 
NC = 
se | —— iB EME Er RÉ = || REMARQUES. 
3 l'iostru-| la VERNIERS. | = = 3 [inte- | Exté- = 8 |£ 
FIL MÉRID. | meot. |pendule. o £ x rieur raeur. 2 F P 
s. s 
0,61|+19,88 
0,03[+20,00 [ 
|| 
0,31 335.35.23,2|4 » |Bord inf, au mérid. |} 










Moyenne de 8 obs. || 


132.34.10,7|+ 
0,21|+19,92]3/6. 1.33,2|+ 


267.15. 3,8|+ Moyenne de 4 obs. ||] 













7-15,37]- 0,02|+19,88| 9. 5.15,2|4 » || 
13.41.42,21/- 0,71|+20,02/308.40. 1,2|+ » || 
13.53.59,70]- 0,12 356.26.50,5|} » | 
14. 8.50,61|- 0,28|+20,02|338.45.30,2|+ » | 


0,05 17.55.56,2|+ 
0,12 356.21.48,2|+ 
0,35|+20,09/331.3r. 2,5|+ 
0,0 17.54.13,0 E 
0,16|+19,90/351.50. 4,2|+ 3,: 
0,34 332.12.39,0|+ 
18. 6.31,0|+ 


15.21. 3,28 
15.28.23,56|-— 
15.33.14,93[+ 
15.36.52,84|- 
15.42.21,77|- 19,5 
: 16,3 Hu eu 





0,05 
0,05 
0,04 
0,10 
0,12|+19,92 
0,13 
0,05 


16. 3.12,17|+ 
16. 3.13,19|+ 
16. 7-26,02 — 
16.11 59,57 + 
16.20. 7,70|+ 
16.26.27,541+ 
16.32.50,47 + 
16.41.35,40l+ 
16.50.35,32|- 
17. 7.b0,33]- 


15.47. g,o|+ 
LR + 
23.56.15,7|+ 
24.48.11,5|+ 
26.36.12,0|+ 
16.10.25,21+ 2,4 
0,23 36.24.51,0|+ 2 
0,18 349. 8. 8,2|+ 
0,21|+19,90/344.11.14,2|+ 


335. B.11,7 
267.15. 2,5 














0,31 2,2|731,9 


6.14. 7, 
Fab 1,8/731,2 


13. 2.38, 


Bord sup. an mérid: 


29 
oO 









+ 
+ 
+ 


6.18.17,17]- 0,31 335.38.16,0[+ 3,51731,7 » [Bord inf. au mérid 
10.54.18,95- 1,11/+20,24/296.10.15,0|+ 1,91731,5 » |Niv.+or,33. 
6.22.26,21|- 0,31 335. 8.59,5|- » [Bord sup. au méri 
6.38.32,33[+ 0,04|+20,65! 15.14.47,0 » |[Ondulante. 


1,11/+20,57l296.10.17,7 
0,8:1/+20,38[304.11.55,0|- 
267.15 
0,02|+20,63 
0,71/+20,/9|308.40. 5,7|- 
0,12 356.26.53,2|— 
0,28|+20,531338.35.41,5|— 
0,02[+20,50! 14. 7.40,0[+ 
2,07|+20,67|283.58.36,0|+ 
0,05 17-55.56,7|+ 
0,04 16.19.26,0!+ 
0,35|+20,6a1331.31. 1,7 
0,05 17.54.12,7|# 
0,16/+20,581351.50. 5,o|+ 
332.12.37,0[+ 


Moyenne de 2 obs 
7-16,09|- 
13.41.42,55|- 





15. 3.37,67|+ 
15.12.20,971+ 
15.28.24,18— 
15.33.15,53|+ 
15.36.53,521- 
15.43.22,35|-— 








41 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1842. 

























































































, k [e] = 2 e 2 
u n PASSAGE SORRETION L'MOYENNE [22 | 2 fruenuouërue | © | 5 | 2 
2 5 HE QUE d = 
CUNCLU = > S = 

È gr En #| z8 | 2 a |2 || Remarques. 
& DES ASTRES. ; ere d'à re 3 Inté- | Exté- a EME 
FIL MÉRID. À ment. | pendule| VERNIERS. |? © El : rieur = EMILE 

[1] im. o 

æ Scorpion....... + 1,8/736,1 Lao 31t15,1 +2.46,7 B. 
MG Scorpion À Peer 07 0,08 £ 
suiv. 19.90. 0,05 » 





RNEONS APE 
14 » Scorpion. .. 
15 x Scorpion... 


16. 3.12,69l+ 0,05 
16. 3.13,69|+ 0,05 


0,04 













a Scorpion....,.. 0,10 +2.41,9 » 
æ Scorpion. ...... 0,12|+20,63 15,6/+2.50,b » 


+ Scorpion. ...... 
24 77 Scorpion. ... sr + 
«x Hercule... .... + 7-50,9 0,21|+20,55 ME 1.14,7|+ 














54 e2 Ophiuchus.. 0,09 2 + ” 
œ Ophiuchus...... .28. 0,20|+20,46 346. 4.52,5|+ » 
58 N Ophinchus .. 20.20. 5,7|+ ? 
3 Sagittaire... .... .38. 1,99}+ 0,13 26.28.58,7|+ » 
|, Sagittaire. ..... .50.33,6 0,09 22,31.24,0|+ » 
y" Sagittaire... ... .56. 0,16 29. 7- .35,5|+ » 





p°? Sagittaire... ... 0,06 19-30.12,7|+ 
, 272.11.27,0|+ 
Ml Lyre. ........ or 0,49|+20,62 Ps 7-42,2|+ 





Moyenne de 2 obs. 











|Saturne, Centre. . 0,09 21, 8.45,7|+ à » [Au méridien. 
139 0 Sagittaire... .. 18.55. 0,08 20.,41.55,0|+ 2. » 
æ Sagittaire ..... . 0.46,61|+ 0,08 LED ? 
Mupiter, Centre... .|19.24.15, 0,08 14,91+2.18,9 » [Au méridien. 









20,0!+ 23,2 » |Bord inf. au mérid. 
+1.44,6 » [Niv.—-or,18. 
29,5|- 15,8 


19,0f- 55,0 


335.42.57,2 
0,041+21,13] 15.14.44,7|+ 
1,11/+20,94/296.10. 18,5|— 
pr 15.12,2|-— 










|: Petite Ourse I.» Moyenne de 2 obs. 























143 x Balance...... 7-5429:7|- 17,0[+1. 58,8 » 
fæSerpent........ 0, É +21,18 A 5o.10,7|— 17,0[+ F8 D 
Couronne boréale 34 332.12.45,0|— + 19.6 » 


O,11 
0,0 
0,05 


+2. 0,2 


MPIOn-......... E 0,05 
“14 » Scorpion.. 0,05 






M5 z Scorpion. . .3 0,04 6.42. 4,of- 4,1 +1.16,0 1] 
a Scorpion......, -12. 0,10 23.56.23,0|- 3,5/735,1 15,5]+2.41,7 > 
Scorpion. ...... 0,12|4+21,20] 24.48. 13,7 59 +2.50,6 » 
Scorpion....../ 0,13 26.36.19,0|- # +3.10,2 » 

3 Sagittaire... . 26.29. 4,2|- 3,71735,3 13,7/+3.10,2 ? 
4 Sagittaire... .... 22.31.29,0|— 3, +2.3 u 






Ye Sagittaire. ...., 

























ittai 29. 7-37,0[— 3,2 +3. 187 » 
2 Sagittaire. ..... 29.30.18,0|- 3,5 +2. 9,8 » 
à Petite OurseS.. 5 2,2 13,0] 47,5 ? 
24 Petite Ourse Si .29. 271. 49. él — 5 — 47:59 » [Moyenne de 2 obs. 
Meyre.-.--.. + 74 À 
Saturne, Centre... : 49.59,98l+ 0,09 21. 9.20, 53 12,5|+2.20.9 » |Au méridien. 
390 Sagittaire... i * 55.38,37|+ 0,08 20.42. 0,7| 3,2 +2.18,0 » 
Sagittaire... .|19. 0.47:2914 0,08 20. 0.13,01- 3,b +2.13,5 » [Niv.-0P,15. 





10 


42 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin et Juillet 1842. 



















CORRECTION 









. PASSAGE MOYENNE | = THERMOMÈTRE. 
NOM. CONCLU SE —— 
Pt des 2 


DES ASTRES. 


NOILOHUHOD 
‘AULANOUVA 
*NOILO YUAAU 
‘4104 A Anal 


FIL MÉRID. VERNIERS. 


























11 mm. o Do" 


1,41735,0/+18,5|+12,0/+2.20,3 


Jupiter, Centre... 


29|Soleil, 1er bord... 












x Grand Chien. ... 15.14.48,0|— 
Nails eee 132.34.15,6|— 
« Grande Ourse...|10.54.20,45l- 1,11|+21,85/296.10.18,0|- 
BIDON. 4-1 11.41.23,73]- 0,23|+21,54/343.18.34,2|- 
y Grande Ourse. ..|11.45.54,25)— 

y Corbeau. ...... 12, 8. 5,25] 

æ Petite Ourse 1... 

HAVIEL DE. se 1e 4e 

n Grande Ourse... 

TVIErSe.... =. 3 0,12 

Bouvier... 0,28|+21,57 45.35, 

G Petite Ourse .... 2,07[+21,541283.58.40,2|- 
27 # Ophiuchus.. .|16.50.36,92|- 0,18 349. 8.13,o|- 





32 Ophiuchus.....|16.56.19,t 344.26.23,5|- 






















36 4 Ophiuchus...|17. 6. 4,35[+ o,12 
x Hercule....... &|x7. 7. — 0,21/421,76 344.11.10,7 — 4,4 
51 e2Ophiuchus. .|17.22.12,75|+ 0,09 22.34. o,5|— 3,5 
a Ophiuchus...... 17.28. 1,65] 0,20|+21,831346. 4.59,0[- 4,1 
58 D Ophiuchus... 7|+ 20.20,12,0[— 3,8 
3 Sagittaire... .... A+ 26.29.10,5|- 3,6 
| |4 Sagittaire... .... 314 22,31.31,2|— 3,8 
y° Sagittaire Bd « 8l+ 29. 7.44,2|- 2,6 
u? Sagittaire... ... + 19.30.23,2/— 4,1 
9 Petite Ourse S... 272.11,29,5|— 2,6 
24 Petite Ourse S..4 10,57 271.49. 4,8|- 4,8 
| Ja Lyre......... 0,49[+21,70/320. 7.47,0[- 4,5 
Saturne, Centre... 21. 9.49,5|- 3,7 
3y 0 Sagittaire. - |18.55.38,79 20.42. 3,o[— 3,5 
æ Sagitlaire....... 19. 0.47,91 3:b 
Jupiter, Centre ... 19.23.5426 4,0 
Bo Soleil, 1er bord... 6.34.54,o00|- 5 





mi 


B Petite Ourse . ... |14.51.41,63|- 2,07|+22,241283.58.43,5|- 












24 :' Balance..... 15. 3.39,451+ 0,05 17.56. 5,o|-— 
28 y Balance ..... 15.12.22,63l+ 0,04 16.19.31,0|-— 
10 Serpent...... 415.21. 5,52l- 0,12 356.21.58,7 - 
+ Couronne boréale 15.28.25,8/ . 5,7|- 


x Persée ones de 3.13.29,59 = 


NAT ec 


LJ 


Soleil, 1er bord... | 6.43.11,25]- 
z Petite Ourse I..4|13. 2.47,04 
8 Petite Ourse. .…. |14.51.42,31}— 
24 «' Balance... 
+ Couronne boréale |15.28.26,46|- 
VAT L oréc. [15.56.41 

3 Scorpion { sa 1886 4e D]E 
638 Mayer) Scor- 


Hior 16 2 { » 
D'OT:- ns 16. 3.1477 






41.58,5 
































17,3{— 29,7|[11,6 







UNILVAUASUO 



















REMARQUES. 


Au méridien. 


Bord inf. au mérid. | 


Moyenne de 4 obs. 





Moyenne de 3 obs. 





Ondulante. 
Moyenne de 2 obs: 


Au méridien. 


Au méridien. 





Bord sup. au mérié 
| 
| 
| 


| 
Niv.+0P,26. 
Moyenne de 3 obs 


Ondulante. 
Id. 
Id. 
Id. 
Id. 


Id. 





| 


| 


1 E 


Bord sup. au mé j 1] 
| € 








| 


ï 
| 


43 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842 


res 
















































CORRECTION 


PASSAGE THERMOMÈTRE. 


CONCLU 


NOM MOYENNE 


—  —— 





HtaAIu up 
NOILOAUUON 
"AULANKOUVA 
‘4104 na nat 


*“NOILOYUAAU 
"UNILVAUISUO 















des 
DEOSR RES: FIL La last ire MERE ne Here 
14 y» Scorpion... 17.47.14,2|- 3 B. 
16 2 Scorpion 6.42. 2,7|- 3 » 
a Scorpion....,.. 23.56.23,5|- 3 +2.40,6 » 
æ Scorpion. .,.... » 
+ Scorpion. ...... 26.36.18,5|- 3,6|73r,9|+21,3 +16,2]+2.49,2 » 
24 m Scorpion.... 16.10.33,o|- 3 13,7 +1.49,7 » 
p' Scorpion..... 4 36.24.54,0|- 2,9 +7.55,5 » 





g2 Scorpion ...... 
27 À Ophiuchus... 


349. 8.14,0|— 4,6 
36 À Ophiuchus.. . 


14,91+ 40,8 
17. 6. 5,37 + 
17. 7.53,18|- 
17.22.13,75|+ 













br e2 Ophiuchus.. . 22.33.57,5|- 1437 +2.30,0 


















| « Ophiuchus......|17.28. 2,69] +22,861346. 4.59,7|- + 36,4117,8| » 
Ê -|17.34.24,95|+ 20.20.10,0|— » 
Souoc 0 17.38. /,38[+ 26.29. 7,0|— » 

sie e 22,31.31,5|— 14,51+2.29,8 » 

ee De 29. 7-43,0 _ 14,41+3.56,8 » 





19.30.17,0|- 
272.11.27;7 | 
271.49. 2,b|- 


+23,03|320. 7.47,0|- 








» |Movenne de 2 obs. 


» [Au méridien. 











Saturne, Centre... 21.11. 9;7[-— 

|39 o Sagittaire. . .|18.55.39,91 20.42. 1,0|— » 
mr Sagittaire ...... 19- 0.49,01 20. 0.12,9|— ; 
44 P' Sagittaire... .|19.12.57,41+ 16.52.39,0|— D 










MOrion.......... 5.47. 2,22]- 
















Bord inf. au mérid. 
Moyenne de 3 obs. 


MlSoleil, 1e" bord... 


É 24,0|4 23,1 
x Petite Ourse S..4 


14,5 + 49:9 13,9] » 





0,68/+25,47 
0,61|+25,65 


ss. 





LCR # 0,03[+25,57| 7. 8.14,5|- 22,0/+1.15,1/13,2| » |Ondulante. 
NE 0,36/+25,69|330.17.55,0|- + 171/14,3| » IL LRE 
2 COTE 4 +25,70|351.23.16,0|- 22,0]+ 43,0 18,1| » Id. Niv.+oP,15. 


















Soleil, rer bord 6.51.30,37 _ 0,30 336. 6.40,5|- 24,8[+ 23,1 » [Bord inf, au mérid. 
LR E 10. 0.24,99]- 0,21|+25,92]346. 1.38,0|— 30,54 34,3,13,8| » 
Grande Ourse.. .|10.54.24,b5|- 1,11|[+26,18/296.10.17,7|- 30,9) 15,3 11,5| » 
Min. ......... 0,23|+26,19|343.18.36,5|- + 30,9 13,9l » 
1} Grande Ourse. .. 0,81|+26,06|304.11.56,7|— 30,3|- 7,7 9:71 ” 
MACorbean........ 12. 8. 9,81|- 0,03 15.24. 47,0|— 30,5[+1.40,8 D 


& Petite Ourse I..4|13. 2.51,87 


Cercle Est, Niv.+or,04. Le fil méridien est de 5P,4 à l'Est de la mire. 
On retourne l'instrument. 
Cercle Ouest, Niv.-1P,96. Le fil méridien est de 7P,2 à l'Est dela mire. 


On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest. 





— 0,8 
+ o,1 


16,5 


9 Petite Ourse S.. 18.2349,50 352.57. 5,7 
24 Petite Ourse S. . 353.19.30,5 





3] 23,0 











1854 461 
18,54 45,6 








Moyenne de 2 obs. 


4 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842. 














































= 














Le] 







© 





NOM 


DES ASTRES. 





æ Lyre sus... 
Saturne, Centre... 
39 o Sagittaire... .. 
r Sagittaire. .... 4 
44 Sagittaire... .3 
Jupiter, Centre...2 


n Grande Ourse... 
z Vierge. ........ 
a Bouvier....,... 
« Couronne boréale 
œiSerpent.s..-.: 
à Couronne boréale 


7 Grande Ourse... 
x Petite Ourse I. .4 
1 Grande Ourse. .. 
x Bouvier........ 
Balances... 
B Petite Ourse .... 
a Couronne boréale 
æ Serpent........ 
a Petite Ourse S... 


3 
ax Taureau ...... 3 
æ Grand Chien.../ 


Soleil, 1° bord.... 
m'OTON etes 
« Grand Chien..,4 


Soleil, 1% bord...4 

ue bord..2 
x Taureau ....... 
æCocher......... 


Soleil, 1er bord.... 


œ Vierge......,... 
1 Grande Ourse... 





a Petite Ourse I..4 


CORRECTION 2 = 3 2 = le 
PASSAGE de ë Fe Z fraenuouërre. E m a 
E = tte 
CUNCLU mn | PDAUE 5.7 2 _—— a es J 7 
2e des Eu = 8 cle REMARQUES. 
: : l'iastru-| la VERNIERS. | £ © 3 Jiote- | Exte- = 8 |£ 
FIL MÉRID. | meut. |pendule. 2 Es rieur | rieur. 2 =, = 


he \0ù 5 s. 3 ’ 


18.32. 5,20|+ 
18.48.11,42]+ 
18.55.43,43|+ 
19. 0.52,68|+ 
19-13. 1,09+ 
19.20.38,341+ 


13. 3.16,40 
13.17.22,471+ 
13.41.48,491+ 
13.54. 6,60|+ 
14. 8.57,39|+ 
15.28.30,50|+ 
15.37. o,04|+ 
19.43.28,75|+ 
3.13.34,95 
4.27.21,99/t 
> 5.31,841+ 
. 7.25,941+ 
se Bee + 
6.38.40.141T 


7. 3.53,55+ 
11.41.30,39|+ 
11.45. 0,25|- 
13. 317,75 
re 
14. 8.58.74|+ 
14.42.40,63|+ 
14.51.45,59]— 
19.28.31,72 + 
15.37. 1,36|+ 

I. 3.21,89 

3.13.36,33 

4.27.22.7al+ 
6.38.41,361+ 


- 8. 1,131+ 
5.47. 8,561+ 
6.38.42,00|+ 


7-12. 7,81 
7-14.24,71 Æ 
4.27.23,70|+ 
5. 5.34,22|+ 
5.16.50,90!+ 


5.47. 9,00! 
7-16.13,771+ 


13. 3.23,40 
13.17.25,79]+ 





13.41.51,67 





































0,03|+26,54 


0,16 


ae] 
© 
Cr 
© 
Ur 

© 
bb 
1 
© 


= 
FF 
© 
Qt 
[er 
D 
œ 
Q 
NS 
= 
© EJ 
O1 © 





Au méridien. ondul. 

























0,16 244.26.28,7|- 0, 

0,16 245. 8.22,2|- 0,3 Nuages. 

0,15 248.15.50,2|- 0,7 Id. 

0,16 243.59. 7,2|+ 0,61729,9|+22,5 +18,5 Id. au méridien. 









357.53.21,4|+ 2,0|737,0 Moyenne de 2 obs. 
0,12|+27,23 
0, 0[+27,30/316.28.28,0|+ 1,5|737,0 
0,10 268./1.36,7|+ 1,5 

0,06 +27:26/286.22.59,5|+ r,0 

0,05/+27,46/293.37.31,0|- 0,3|736,9 
0,08|+27,38/273.18.29,5|+ 1,0 

0,05 292.35.49,5|+ 2,0 

oO  |+28,17/315.39.4b,o|+ 2,5/735,3 
0,00|128,13/282.3/4, o,5|+ 3,8 7349 
0,01|+26,23 
0,12/+28,08/258. 0.19,5|+ 2,4 73437 
0,06|+28,18/273.45.19,0|+ 3,4 7344 
0,1414+28,47/249.53.41,5|+ 3,81534,1 

















Niv.-2r,38. 

























0,05 289.16.10,7|+ 4,1/1734,0 Bord sup. au mérid. 
0,06|+28,56/281.49.52,5|+ 4,1 


0,011+28,35/320.56.30,7|+ 4,5|732,6 





Niv.—2P,30. 


Oo  |+28,54/316.28.23,0|+ 3,7|732,9 
0,06|+28,62/286.22.58,7|+ 4,5 

0,14|+28,53/251. 0.40,0|+ 3,2|732,6! 20,3| 17,5 
0,09| 428,60 
0,05|+28,69/293.37.31,5|+ 2,31732,6!| 20,3| 17,3] 
0,08|+28,70 







17,0| » |Très-faible. 
3/14,5| » Id. 









0,06|+29,43 
0,14|+29,67 





0,0) 9 
0,08|+30,05 273.45.15,7 52 
0,14/+30,30|249.53.40,0 A) 


731,1) 21,1] 22,2]-, 23,8 » [Bord inf. au mérid. 
31,5] 21,8| 20,3|- 43,1|14,5| » |Niv.-2v,56. 






» [Nuages. 
» Id. 


















0,01|+30,62 » 
0,03/+30,60/294.50.31,2|+ 4,1|:32,51 23,2] 21,6|- 17,0/13,9| » 

132.34.10,1|+ 5,1 » [Moyenne de 8 obs. 
0,08 273.45.16,7|+ 4,8|732,5] 25,5| 24,1|- 42,8/16,0| » |Nuages. 









288.23.53,2|+ 3,3]732,2) 24,1| 21,2] 24,1 » [Bord inf. au mérid. 
357.53.21,7|+ 4,0|731,1] 24,0] 22,0f+ 54,1117,5| » | Moyenne de 2 obs. 
0,12|+30,59|256. 3.10,0|+ 2,9 1.20,8/16,2| » 
o, 0/+30,571316.28.26,5|+ 3,5]731,0) 23,8] 21,34 3,7119,4| » 








À 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1872. 


[Sy 
































CORRECTION 
de 





TUERMOMÈTRE. 


PASSAGE 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


MOYENNE 



















D ( —— des 







REMARQUES. 









"AUDAIU np 
NOILOHUUOD 
“AULANOUVH 


"NNILVAUISAO 


a10dg nu aa! 


l'instru- la 
ment. | pendule. 






VERNIERS. 





*NOILOYUAHU 


h. m, s. s. s. PO) NT 1 1 

rs Et 14. 9. 0,80]+ 0,06|430,71[286 22.58,5|+ 4,11730,8[+23,5|+20,7|- 26,4 
œ2 Balance. ...... 14.42.42,57k4 0,14/+30,49/251. 0.41,2|+ 3,0|730,7] 22,8| 19,8 —1.39,3|x 
G Petite Ourse .... |14.5r.47,21/- 0,09/|130,43184r. 9.52,2|4+ 2,8 
x Couronne boréale |15.28.33,62|+ 0,05|+30,62|293.37.28,;|+ 3,1|730,5 


min. 





























22,0| 19,6] ; 

















43 x Balance... ..1/15.33.25,41/+ 0,15 247.414. 9,5|+ 2,1 
Rec 15.37. 3,23]+ 0,08|130,59/|273.18.24,0|+ ‘2,9 
Dos 15.49.52,79|+ 0,17 240./45.24,0|+ 2,2 
GB! Scorpion préc. 15.56.49,85+ 0,15 
suiv 







(638 Mayer) Scor- 
11 DR AMEL 16. 3.22,59]+ 0,15 
14 » Scorpion..... 16. 3.23,63+ 0,15 
PRE .20. 20. 21,4] 18,7/-2:47,5/10,0| » 






























» |[Niv.-2P,26. 






HÉUOET oc Ë 0,15|+30,96 D] 
PP SERRES Te 0,10/430,79/258. 0.14,7[+ 4,9/738,3] 21,6] 20,4/-1.16,3[14.8| » 
nr AA 47. 0,10|+30,7 273.45.18,0|+ 3,8|738,2] 21,8| 21,0]- 43,6 15,1| » 





4 
3 
288.22.15,7|+ 4,71737,8 
ä 
3 
3 










































































0,11 21,5] 21,7 24,3 » [Bord sup. au mérid. 
CPR RU à Lx: 0,10|+30,82/281.49.51,5|+ 3, 736,9] 22,0| 22,7|- 32,0|14,5| » |Niv.-2P,40. 
BEST, à 0,10! . 253.27.20,7|+ 22,3| 22,5|-1.29,8 » [Bord sup. au mérid. 
eco à 0,10|+30,84 à 22,3| 22,3/-1.21,3|12.8| » 
LEbpior cree 21,0/- 26,6/13,7| » 
JOUE 42. 0,10|+30,71 21,8| 20,5/-1.39,8|13,2| » 
SOS € . 3.476 0,10 20,3|-1.57,9 » 
ACT IE 37.08% 0:10|+30,71 21,2| 20,of- 44,4115,0| » 
omis + 0,11 —2.44,1 » 
+ 0,10 —1.59,0 » 
+ O310 ? 
sos... + 0,10 » 
14 y Scorpion, ... + 0,10 1.574 » 
18 z Scorpion... .{ + O,11 =r:19,2 » 
eee + 0,10 —2.39,8 » 
asset. + 0,10[+30,67 21,0] 19,6-2.48,5|11,8, » 
LEE : “ 6. + 0,10 20,5 19,7 RaN7 a. à 
3 Petite Ourse S... 5 + 46,5|18,7| » 
24 Petite Ourse S... + 2,08 + 4j » 
LOC = + 0,14 +30,76 — 73112,6 » 
; . + 0,10 18,0-2.19:4 » |Au méridien. 
3yo Sagittaire, ... + o,r0 » 
r Sagittaire Datete s ofe + 0,10 —2.11,5 n 
Jupiter, Centre ... + o:10 20,1 16,9 —2.20,5 » | 
helalsis ec + 0,15 +30,73 n 
psnessee + o0,10/+30,511258. 0.16,2 22,8] 21,3/-1.15,8/15,3| » |Niv—1r,98. 
DERREEEEE + 3 24,5] 22,31- 43,3|15,2| » |[Ondulante, | 
. O,11 287.41.37,2|+ 4,41735,7| 23,6] 23,4 24,9 » [Bord inf. au mérid. 
DE É 0 10. 0.29,271+ 0,10/+30,59/279. 6.512,51 4,41734,61 23,5] 25,0) 35,2116,3| » | 
Mers esete 11.41.32,31|+ 0,10|+30,59/281.49.50,7[+ 3,71734,0) 23,5] 25,5 31,6|14,0| » 
. (11.45. 5,99l+ 0,191+30,451320.56.29,74 4,0l534,0] 23,51 25,44 7.811981 » 





11 





46 


Observations faites à la himette méridienne en Juillet 1842. 


























x Petite Ourse 1... 


« Grande Ourse. .. 


B Petite Ourse .... 


8 Couronne bor. . 


18 z Scorpion... 
19 o Scorpion... 





27 À Ophiuchus. . 2 
32 Ophiucus....,.4 


p*? Sagittaire... ..., 
à Petite Ourse S... 
24 Petite Ourse S.. 


Saturne, Centre... 
39 o Sagittaire... 
æ Sagittaire.... . 
Jupiter, 1°r bord. . 


= 


x Grand Chien. ... 


16|Soleil, 1° bord... 
« Petite Ourse 1... 


» Grande Ourse. .4 


æ* Balance ..... 
G Petite Ourse....2 
QC, 1er bord... /x 
24 «' Balance..... 
BG Couronne boréale 
x Couronne boréale 





18 x Scorpion... 
19 « Scorpion..... 


“nvoaiu np 


NOILIAUOY 


ORRECTION 
HR MOYENNE 
"| — TA 
l'instru- la E.. 
ment. | pendule} VERNIERS. 


357.53.18,8|+ 
0,10/+30,44 256.13. 9,0|[+ 
0,17|+30,38 316.28.26,2|+ 
0,10 248.17.43,2 + 
0,11/+30,54 
0,10/+30,45]251. 0.39,5|+ 
0,42|+30,481841. 9.53,2|+ 
0,10 247.12.20,0 + 
0,12 296. 1.39,2|+ : 
0,10|+30,48]273:18.2/,0|+ 
263.26.33,2|+ 
253.27.26,2 æ 
258.26.31,0|+ 


0,10 
d,10 242.37.24,5|+ 
o,11|+30,38 

0,12 228.43.21,2|4 
0,12 

0,10 276. o0.17,0|+ 
0,11 280.42.11,5 


245.38. 8,5|+ 
352.57. 8,7|+ 
2,08 353.19.38,9|+ 
0,14[+30,531305. o.50,;|+ 
0,10 243.51.39,2|+ 
0,10 244.26.29,2 + 
0,10 245. 8.19,7|+ 
243.46.24,2 E 
0,10 4+30,431282.33 59,7|+ 
132.34.10,8|+ 
0,15 +30,56 
o,10[+30,36/258. 0.17,0|# 
0,10/+30,31/273.45.16,2|+ 
o,10|+30,75/249.53.41,0|+ 


288. 3.31,2|— 
357.33.19,9|+ 5 
0,10|+30,26[256. 3.38,2|+ 
0,17 +30,231316.28.25,0|+ 
0,11/+30,37[286.22.55,5|+ 
0,10|+30,38/]25r. 0.37,7|+ © 


0,42 +30,20 


O,11 


0,11 244.12.46,2|+ 
0,10 247.12.28,5|+ 
0,12 296. 1.39,0|+ : 


0,12|+30,40/293.37.30,7|+ 


0,10 247.14. 8,74 
0,10/+30,4/1273.18.23,0|+ 
O,11 241. 8.33,0|+ 
O,11 240.45.19,2|+ 
0,10 255.27.27,7|+ 
0,10 258.26.31,0|+ 


242.37.21,2[+ 





“HAILVAUASIO 


cl 
> 
A 
© 
= 
CA 
GC] 
= 
5 


“NOILOVUAHU 
‘a10d nu na11 










. [Moyenne de 3 obs. 








=: 


Bord sup. au mérid. 













5; 


M 























Centre au méridien, 







Moyenne de 2 obs. 







Très-ondulante, 







Bord sup. an mérid. 
Moyenne de z obs. 












Bord sup. au mérid. 






























47 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842. 














NOM 










*‘sunor 


DES ASTRES. 


y Dragon. ....... 
p° Sagittaire... ... 
à Petite Ourse .../ 
24 Petite Ourse.... 
œLyre......... 
Saturne, Centre... 
39 o Sagittaire... . 
# Sagittaire...... 
Jupiter, Centre.... 


ss... 


ss... 





17 Soleil, 2Me bord... 
G Couronne ...... 
43 x Balance. .... 
€, 1er bord... ... 
æ Ophiuchus...... 







à Petite Ourse S... 


18|/Soleil, 1er bord... 
MPerSées 5e vue 


19 Soleil, 1€r bord... 


b2|x Taureau .....,. an 
MAEGThEr..7...1 A 
BiOrion .......! A 
BFaurean +. .... 


MiOrion.....: 1. 


23|Soleil, rer bord... 
x Grande Ourse... 
EMGn. :......1. 


ICRA RS À 
æ Petite Ourse I... 
1 NTGJHSPERRREE 
n Grande Ourse. .. 
æ Bouvier........ 
æ? Balance....... 
G Petite Ourse ..., 
B Couronne borta!e 
æ« Couronne boréale 
a Serpent. ......, 
19 o Scorpion... 












+ Scorpion. ...... 16.26.37,84[+ o,11 


x Cocher......., 31 5. 5.34,14/+ o,15|+30,44 
B'Orion......... 4| 5. 7.28,43[+ o,10|+30,33]258. 0.19, 


y Dragon....... 4117.53.29,89|+ 0,1; 



















CORRECTION a E 3 A = 

A THERMOMÈTRE. LC} m 

eos co de MOYENNE | © | = Ju EC 
CONCLU 2,4 2 = o 
des = Di 3 EC o = 

5 à ei L re = Es 

: Ja VERNIERS. | = = nté- xté- = A 

FIL MÉRID. pendule po A0 Hrieurt|\rieurs £ 5 







h. m.s s s. 
16.20.18,20|+ 0,11[+30,37]240.20. 9,2|+ 2,9 


—2.46,1 11,6 
238.32. 5,b|4 2,1|729,0|+22,2|+20,2/-3. 5,1 
H30,541317.52.50,2|4 3,3 72911 22,0] 39,04 5,0 19,3 












17.53.30,00|+ 0,17 


















18. 6.22,32|4 0,10 245.38. 6,2|4 2,3 _2. 6,1 
18.23.50, o 352.5 + 45,9/19,1 
18.29.45,62|4 2,08 : + 46,5 
18.32. 9,16[+ 7:2/16,0 
18.44.31,39l+ o,10 18,3]-2.17,0 
18.55.47,57[+ o,10 —2.14,1 
19- 0.26,67|+ o,10 2. 9,7 






19-14. 7:71]+ 0,10 


20,1] 21,7| 17,7}-2.18,8 
4.27.23,93[+ PB El 25 9 


728,6] 25,0 20,5 31,0/16,1 







728,6] 25,7] 21,3]-1.15,0|17,9 
— 17,1/12,5 


7 
0,12|+30,38/294.50.30,7 
7 728,5) 25,9 23,41 42,7 14,1 


+30,40/273.45.14, 


7-46.55,27|4 0,10 
15.21.b2,19[+ 0,12 
15.28.33,341+ 


G\727,71 24,5] 24,4/-2.33,2 
17.28.10,21|4 








7 23,5| 22,8] 5,ol17,2 
18.23.50,47 
18.32. 9,18[+ o,14  -nre,) 
7.48.41,8 0,10 287.11.5/4,7|+ 0,8 729,6] 27,1] 29,01 24,4 


730,8] 22,8| 18,9]+  2,8|19,2 
0,10|+31,31/282.34. 0,7|+ 3,7[731,0] 24,9| 20,7 31,1/15,6 





sf 
3.13.38,431+ o,17|+31,30|315.39.50,5|4 2,2 
4.27:24,85|+ É £ 


7.52.43,15|+ 730,0] 26,3] 22,5] 24,9 
4.27.36,54 732,9] 20,2! 17,0] 31,b|12,6 
5. 5.37,09|+ 

5. 7.31,00|+ 732,9] 20,9 1732 -1.16,6|15,8 
5.16.53,47|+ 17,3]- 17,5|13,0 


733,0] 21,0! 17,5]- 43,9 14,9 
1| 19,5]- 26,8 


— 32,1113,2 
21,0| 20,54 7,9/18,2 





13. 3.38,2 
13.17.28,37|+ 
13.41.53,95|+ 
14. 9. 3,22]+ 0,07|+33,31/286.22.58,2 
14.42.45,27|+ 0,12|+33,29|251. 0.38,5 
14.51.48,85]+ 0,07|+33,22|341. 9.544 732,0] 20,8| 19,5[+ 29,5|19,0 
15.21.55,09|+ 0,07 296. 1.39,7 31732,0] 20,5| 18,5[- 16,1 

15.28.36,10}+ 0,07|+33,31]293.37.30,5 : — 18,5/15,0 
15.37. 5,90[+ 0,09|+33,38/273.18.25,5|+ 3, — 44,4114,6 
16.10.45,551+ 0,15 242.37.27,0|+ 1,9|732,0) 19,8| 17,0]-2.28,5 


21,3| 20,2|+ 54,5/16,1 
21,2] 20,3/-1.21,3/15,2 
21,2| 20,2]4 3,7/115,8 
9/732,0) 21,2| 20,0]- 26,6|13,9 
—1.39,b| 12,4 











"VAILVANASUIO 










REMARQUES. 
































Moyenne de 2 obs. 














Au méridien. 














Au méridien. 





Faible et ondulante. 
















Bord sup. au mérid. 








Bord inf. au mérid. 
Niv.—2r,56. 
Faible. 






Bord sup. au mérid, 







Niv.-2? ,70. 






Bord inf, au mérid. 






Moyenne de 7 obs. 
Moyenne de 4 obs. 





















48 
Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1842. 







































































CORRECTION ME = El = |g 
5 NoM Lu de de MOYENNE 22 2 THERMOMÈTRE. 5 a : 
E un ——_—_— | —— des = = Eh et LE 5 8 ë Ê REMARQUES. 
& DES ASTRES. en méme, Mrissuul la VERNIERS. | © = 3 J'inte- | Exté- 5 3 [3 
+ | meot |pendule. ; 5) æ rieur | ræur. 2 = 5 





s. 



























x Scorpion....... ) o4|+ 0, 

+ Scorpion....... 16.26.40,82|+ 0,16 
24 m Scorpion. ...{16.33. 3,69[+ 0,13 
p' Scorpion...... 16.41.48,24 + 0,19 
u2 Scorpion ...-.. 16.42.16,72|+ 0,19 
27 4 Ophiuchus. ..[16.50.48,32|+ o,0ë 









32 Ophiuchus... .4|16.56.30,46[+ 0,08 
y Serpent... ..|17.12.34,04|+ o,11 
51 e2 Ophiuchus..|17.22.24,51+ 0,15 
æ Ophiuchus...... 17.28.13,15]4+ 0,08|+33,62]2 
58 N Ophiuchus...|17.34.35,71|4 0,14 
p* Sagiltaire. . .... 18. 6.25,29]+ 0,14 
8 Petite Ourse S.../18.23.5/,45 
24 Petite Ourse S.3/18.29.49,20|+ 0,29 
DUEYLE = -e mic ee 18.32,12,341+ 

Saturne, Centre. ..|18.42.31,14]+ 0,14 
39 9 Sagittaire. ..|[18.)5.50,71[+ o,14 




























Au méridien. 





































r Sagittaire ...... 19. 0.59,77 

Jupiter, Centre... .|19.10.27,39|+ 0,14 Au méridien. 
a Taureau .....,. 4.27.27,5b|+ 0,08|433,841282.34. 0,7|+ Niv.-2P,93. 
G Taureau ..-.... 5.16.54,50[+ 0,07|+33,85/294.50.31,2|+ 4,9|= 

œOrion ss: sé « 5.47.12,66[+ 0,09/+33,831273.45.18,7|+ 4,6 


x Grand Chien..,.| 6.38.46,19|+ 0,15|+34,25]249.53.44,51+ 






























































































































24|Soleil, 1er bord...| 8.12.43,11|+ 0,08 Bord inf. au mérid. 
a Petite Ourse I...|13. 3.40,10 Moyenne de 2 obs. 
a Vierge.-..-..1. 13.17.28,95|t 0,11|+33,88 
n Grande Ourse. ..|13.41.54,71[+ 0,06|34,01]316.28.23,7|+ 
x Bouvier........ 14. g. 4,oo[t 0,07|+34,10|286.22.57,7|+ 4,9|7 
x Balance....... 14.42.45,97[T 0:12[#+34,00f251. 0.37,7|+ 4,7 
B Petite Ourse...….. 14.51.49,71[t 0,071+34,141341. 9.52,2[+ 3,5 
G Couronne boréale 15.21.55,75 + 0,07 296. 1.40,0[+ 3,5 
x Couronne boréale|15.28.36,90[+ 0,07|+34,121293.37.30,7|+ 4,4 
œ Serpent......,. 15.37. 6,56[ 0:11/43/,05|273.18.23,5|+ 4,1 
u Serpent........ 15.42. o,12]t 0,10 263.26.30,2|+ 4,1 
51 Ë Balance... ... 15.56.18,78 + o,i1 5 3,6 
19 o Scorpion... .|16.11.46,29|t 0,15 457 
a Scorpion....... 16.20.21,82 4,5 
+ Scorpion...,... 16.26.41,56[+ 0,16 3,3 
24 mm Scorpion.... + 2,8 
p' Scorpion ...... 15.41.40,36 + 0,19 + 3,81729,0) 19,9| 17,7 —7:49,5 
p* Scorpion...... 16.42.17,38|+ 0:19 
27 # Ophiuchus. . .|16.50.49,00[+ 0,08 + 3,7 F 140,3 
32 Ophiuchus.....|16.56.31,08[+ 0,08 LPC — 33,8 
y Serpent. ..-../ 17-12.3/,,52 + O,11 3,3 729,0 19,8 170 —1.20,8 
27|a Petite Ourse 1.../13. 3.40,70 ; 4 Moyenne de 3 obs. 
Ml xAVierge:. "11 13.17.29,31[+ 0,11|+34,28|> è 3 
G Petite Ourse ....|14.51.49,69l+ 0,07|[+34,371341. 9.51.,5|+ 3, 51 21,1 29,2 
| {6 Couronne boréale|15.21.55,94|+ 0,07 296. 1.39,2|+ 3, 19,7f 16,1 
« Couronne boréale| 15.28.37,06[+ 0,07 #34,32/293.37.30,2|+ 3, 19,5[- 18,6/15,5 
a Serpent........ 15.37. 6,76[+ 0,09|+3/,28/273.18.24,5|+ 2,9|732,8| 20,3| 19,8|- 443|13,1 
u Serpent....,.. 3/15.42. 0,414 0,10 263.26.33,o[+ 2,5 19,31-1. 2,6 Nuages. 








49 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet et Août 1842. 





"Sunor 


28 





| NOM 


DES ASTRES. 


5r Ë Balance... ..3 
19 o Scorpion..... 
+ Scorpion 
24 m Scorpion. .. 
27 # Ophiuchus. . . 
32 Ophiuchus., ... 


36 À Ophiuchus..4 
y Serpent...... .. 
p* Sagiltaire. ..... 
à Petite Ourse S..4 
D Eye seller se. n 
s Sagittaire,....., 


Saturne, Centre... 
39 o Sagitlaire....…. 
r Sagittaire .,.... 
Jupiter, Centre... 
44 p' Sagittaire... 
aTaureau......,. 


Soleil, 12° bord... 
B Couronne boréale 
« Couronne boréale 


x Serpent......, ‘ 
p. Serpent, ...... n 
br Ë Balance... .., 
19 o Scorpion, ... 
œ Scorpion. ...... 


24 m Scorpion.... 
27 À Ophiuchus... 


PASSAGE 
CUNCLU 
au 


FIL MÉRID. 





b, ; 
15.56.18,80]+ 
16.11./46,37|+ 
16.26.41,70 + 
16.33. 4,511+ 
16.50./9,32]+ 
16.56.3:,40l+ 
17. 6.16,71+ 
17.12.34,92Ù+ 
18. 6.25,99}+ 
18.23.54,70 
18.32.13,00|+ 
18.35.45,35|+ 
18.41.25,09|+ 
18.55.51,37/+ 
19. 1. 0,b5]+ 


m. S$ 


..|19. 8.26,46[+ 


19.13. 8,85[+ 
4.27.28,13]+ 


8.28.30,93|+ 
15.21.56,02|+ 
15.28.37,12[+ 
15.37. 6,78[+ 
15,42. o,54|+ 


32 Ophiuchus.....|16.56.31,361+ 
œ Hercule.....,.. 3117. 8. 4,4ilt 
x Ophiuchus...... 17.28.14,11|+ 
a Cocher......... 5. 5.38,51]+ 
BlOriontr.: 3.1. 3] 5. 7.32,60]+ 
a? Gémeaux. .... 3| 7.25. 6,841+ 
x Petit Chien ...., 7-31.37,56+ 
B Gémeaux....... 7.36.14,56|+ 
Cercle Ouest, Niv.-2 


Cercle Est, Niv—oPr, 


Soleil, 1er bord.... 
PAROI 
RiViergestaere il. 
19 a Scorpion... ... 
æ Scorpion 
+ Scorpion 


l'instru- 
ment. 


CORRECTION 
de 


|, 


la 
pendule 


s, 5. 
O,11 
0,15 
0,16 
0,13 
0,08 
0,08 
0,15 
O,11 
0,14. 


0,06 
0,15 
o,14 
0,14 
0,14 
0,14 
0,15 


0,13|+34,30 





0,08 
0,07 
9:07 +34,40 
0,09|+34,3x 
0,10 
O,I11 
0,15 


0,15 
0,08 
0,08 


0,08|+3/,34/280.57.16, 
0,08/+34,611270. 3.397,51 


0,05|+3/,29 


0,111+34,21/258. 0.19,51+ 
0,06|+3/,b5/298.36. 2,5|+ 
0,09/+34,39/272. 0.27,0|+ 
0,07|+34,421294.46.33,2|+ 





MOYENNE 


des 






"HEAIU np 
NOILOAUHO9 
"AULAHNOUYH 






VERNIERS. 


n 


s 


DE R&B &wwb 
= Où CU +. O0 à 


- 


732,9 


733,0 
733,0 






285.10. 2,5|+ 2,5]731,5 
296. 1.39,7[+ 3,0/728,5 
293.37.31,2 
273.18.23,5 
263.26.31,7|+ 2,9 728,2 
255.27.29,0 
242.37.24,7|t 3,2 s 
240.20.13,5 7 728,3 
248.57.59, 2, 
276. Dee 2,3 
280.42.15,0|+ 1,8 
7 2,2 

2,8 728,6 

2,3|72731 

2,5 

2,1 

2,5 


s 


P,48. Le fil méridien est de 4P,6 à l'Est dela mire. 


On retourne l'instrument. 


86. Le fil méridien est sur la mire. 


On laisse l’iustrament le cercle à l'Est. 


8.44.12,63|- 
11.41.39,60|- 
11.46.10,00!— 
13.17-32,72]— 
sbner Ho ES + 
16.20.25,451+ 
16.26.45,07|+ 


0,30 


0,27 +37,63 343.18.32,5|- 


0,95 
0,02|+37,61 
0,10 


0,13 437577 24.48.11,2|+ 


0,13 


340.56411,7| o 

0,2 

304.12: 1,2 
g- 3.16,0|+ 
22.30.54,7|+ 


26.36.17,ol+ 


> 
lHERMOMÈTRE. ER 
D] 

5 —— = 
a pe. C4 2 
Tnté- Exté- 8 
ri:ur ricur. 2 


o 


:|732:9|+19.8 


19,9 


19,2 
19,2 


29;9 


21,0 


(! QU 


° 
+18,5}-1.23,9 


—2.28,0 
18,113. 7: 
149,2 
— 40,6 
16,8 341 
15,7 2 8,3 
13,7 + 46,7 
—2.41,5 
14,81-2.20 8 
—2.16,6 
14,41—2.12,1 
—2.29,6 
14,9/—1.54,3 
17,8]- 31,4 
20,0]- 28,0 
20,1l- 16,0 
20,2|- 18,4 
[ 43, 
19,81. 1e 
19,7/—1.23,1 
—2,26,5 
19,04—-2.46,8 
10,8)—1.48,1 
— 40;1 
18,41 33,6 
— 33,3 
18,0)- 35,9 
20,44-1.15,1 
—: 13,2 
— 45,3 
23,7 17,0 
14,84 29,7 
+ 32,5 
17,0)- 8,0 
17,3]+1.22,3 
15,8l+2.20,3 
+2.50,1 
14,73. 9.8 





a'10d na n417 


13,D 
12,4 


16,4 


16,9 


| 


"UMAILVAUISUO 





REMARQUES. 


Nuages. 


Moyenne de 3 obs. 
Au méridien. 


Au méridien. 
Niv.—2P,093. 


Bord inf, au mérid. 


Nuages. 


Nuages. 
Id. 


Bord inf. au mérid. 
Ondulante. 

Id. Niv.—1r,03. 

Id. 

Id. 

Id 

Id. 

12 





50 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 
















































































L PASSAGE | ‘TN | MOYENNE 8 Asus TU à 3 | 
3 NOM. Fa e re REA 
É D do des Aloe ——| $ | 2 |5£$| REMARQUES. 
8 DES ASTRES. 4 3 l'iostru- la M: E Exté- = a 8 
FIL MÉRID. went. | pendule. VERNIERS- ” 2 mi rieur. 2 a oc] 
DONS sf s. otre 
24 m Scorpion. ...[16.33. 7,97|+ 0,07 s B. |Ondulante. 
y° Sagittaire... ... 17.56.21,76[+ 0,18 29. 7.37,0|+ 1,5|732,8[+17,0 +14,91+3.46,7 » Id. 
p? Sagittaire. . .... 18. 6.29,57l+ 0,06 19-30.19,5 + 1,9 42. 8,7 » Id. 
DAÉNTEe reed 18.32.17,01|— 0,b7|+37,79 320. 7-35,5 + 0,6 + 7,3/15,8| » Id. 
s Sagittaire... ... 3118.35.48,89l+ 0,12 23.53.19,5|+ 1,5 [2427 » Id. 
Saturne, Centre. . .|18.40.10,2b|+ 0,09 21.23.20,5|+ 1,31732,5] 16,8| 14,4]+2.21,2 » [Au méridien. Id. 
(KVIIL. 282 Piazzi).|18.59.17,49l+ 0,12 23.37.22,7|+ 1,2 +2.394 » Id. 
Jupiter, Centre... .|19. 6. 6,85|+ 0,09 21.30.32,0|+ 0,6 732,61 16,8 14,41+2.23,1 » [Au méridien. Id. 
a Cocher ........ 5. 5.43,23|- 0,72|+38,05 » [Niv—0r,98. 
B Orion ........ 4] 5. 7.56,58|- o,04[+38,02| 7. 8. 6,0 + 15,71+1:16,9/15,1| » [Ondulante. 
G Taureau ....... 5.16.59,31|- 0,42[+37,871330.17.53,7|- 0,2 1752|15,6| » Id. 
GOrION stresse 5.47-17,35|- 0,19/+38,00]351.25.10,0|+ 16,51 43,9/19,3| » Id. 
2|Soleil, rer bord...| 8.48. 6,15/— 0,30 340.39.43,7|+ 28,9 » [Bord sup. au mérid. 
& Petite Ourse I..4113. 3.24,23 267.15. 7,5] 54,3/12,4| » [Moyenne de 3 obs. 
a iVierBes rm. 13.17.33,34|- 0,021+38,24) 9. 5.18,0|4 0,2 +1 16,6 
n Grande Ourse...|13.41.59,51|- 0,82[+38,15|308.40. 3,5|4 o,1 
æ* Balance. ...... 14.42.50,14{+ 0,02|+38,18 14. 745,2 + 
G Petite Ourse ....|14.51.55,43|- 2,411+38,12|283.58.34,0|4 0,3 
G Couronne boréale|15.22. 0,29] 0,38 329. 6.45,2|+ 0,2 
a Couronne boréale|15.28.41,31|- 0,41|+38,18|331.30.59,7|+ 0,2 7 
a Serpent. ....... 15.37.10,86[- 0,19/138,17/351.50. 3,7] o 
x Serpent. ....... 15.42. 4,42l- 0,12 1.41.54,0|+ 
51 Ë Balance... ... 15. 56.22,861— 0,02 9-40.59,7| o 
x Scorpion. ...... 16.20.25,93|+ 0,13[+38,26] 24.48.16,0|+ o,1 
r Scorpion....... 16.26.45,63|+ 0,13 
« Hercule. .....,. A 16.29.42,37 — 0,68 316. 0.10,7| Oo 
27 # Ophiuchus.. .[16.50.53,351— 0,21 349. 8. 4,7[+ 0,6 
32 Ophiuchus.....[16.56.35,44]- 0,26 344 26.15,0|+ 0,6 
36 4 Ophiuchus.. .|17. 6.20,65|+ 0,13 
« Hercule... ...4|17. 8. 8,44] 0,26[+38,08|344.11.10,2|+ o,1 
YSerpent-..-. 1. 17.12.38,84| oO 11.25.42,7 + 0,2 
51 e2 Ophiuchus... 17.22.29,29]+ 0,10 | 22.33.55,7 + 0,6 
œ Ophiuchus...... 17.28.18,00[- 0,241+38,231346. 4.51,5|— 0,6 
58 D Ophiuchus.. .|17.34.40,45[+ 0,08 20.20. 7,2|+ 0,1 
4 Sagittaire ...... 17.50.51,49[+ 0,10 22.31.30,0|4 1,2 
y= Sagittaire... ... 17.56.22,44]+ 0,18 29. 7-43,0[+ ob 
u* Sagittaire... ... 19. 6.30,o1|+ 0,06 19.30.20,0|[+ 0,6 2x Nys 
à Petite Ourse S..4|18.24. 7,88 272.11.15,8|+ o,6 46, 12,9] » Moyenne de 3 obs. 
SO tn on CINE 18.32.17,43|- 0,57[+38,22/520. 7.34,5|- 0.3 2/15,1 
s Sagittaire... ... 4118.35.49,35{+ 0,12 23 53.22,5|4 0,3 42 
Saturne, Centre... 18.39.55,86 + 0,09 21.23.40,5|+ 1,3 +2.20,2 » [Au méridien. 
(XVIIL. 282 Piazzi).|18.59.17,89|+ 0,12 23.37.27,0[+ 0,5 +2 
Jupiter, 1° bord..|19. 5.37,68|+ 0,09 21.39.21,9|[+ 0,3 42.22,2 » |Centre au méridien. 
œ Cocher. --..-0 5. 5.43,53]- 0,72|+38,31 » [Niv.—1v,69. 
BiOrion:: 5.2 5. 7.36,86/- 0,0/|+38,17) 7. 8. 6,5|4 o + 15,0 
B Taureau........ 5.16.59,61/- 0,42|+38,15 330.17.55,2|— 0,2 + 
Orient see 2| 5.47.17,51l- 0,19/+38,15 
Nadine nl e due 132.34.15,7|— 0,7 » |r observation. 
+ Petite Ourse [..4| 6.23.43,96 265.22.56,6|- o 18,5! 58,3114,3| » [Moyenne de 3 obs. 
æ Grand Chien....| 6.38.50,761+ 0,03/4+38,41) 15.14.43,0| o 417,2 
4° Gémeaux...... 7.25.11,36|- 0,48[438,40/326.32.27,5|- 1, + 13,4/18,7] » [Ondulante. 
Mercure, 2m€ bord.| 7.36. 2,17]- 0,33 337.46. 3,7[- 0,3|728,9 19,24 25,4 » |Centre au méridien. 











51 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 
EEE 

















































































CORRECTION À 2 É sé Er = e 
5 NO PASSAGE de MOYENNE z É 2 THERMOMÈTRE. à 5 = 
5 ape) :|T Fo des 75 s RS DE 6 - 5 5 REMARQUES. 
D ou E FIL MÉRID. Dita DRE NERNIERS- VE 5 E D as 5 = É 
3/Soleil, 1er bord... 0,31 340.55.20,5|- 3,6|7 ee LE + 28,9 B. |Bord sup. au mérid.| 
4" Capricorne... o » | 
œ* Capricorne .... o |+38,49| 11.46.19,7|- 1,8 733,0] 20,0 15,74+1.31,8|12,7| » 
a Cygne. ........|2 20.36.45,77|- 0,70|+38,67 » 
æœ Céphée........ 21.15.31,95)- 1,241+38,65/296.51.15,0|- 2,3 733 19,3 15,of- 13,b|r1,0| » 
B Céphée........{2 21.27.20,35)— 1,79 too ÈS. 54.23, 75 2 92,) 14,8/- 24,1|10,6| » 
œ Verseau........ 21.58.22,79]— 0,11|+38,59|359. pe 1,7|- 3,2 733,1] 19,0! 15,o+ 59,6|1:1,5| » 
æ& Cocher......... 5. 5.43,91|- 0,72|+38,61 » 
B'Orion ee istetsie 5. 7.37,47|- 0,041+38,73] 7. 8. 6,5|- 2,3 7340] 21,9] 191 +1.16,2|12,6| » 
G Taureau........ 5.17. 0,11 0,42|+38,581330.17.54,7|- 3,5]: 22,1] 19,5] 17,4113,8| » |Niv.—or,94. 
HOTONE EE: nee 5.47:48,01|- o,19|+38,581351.23. 6,2|- 2,5 22,4| 20,11 43,5/12,4| » |Très-ondulante. 
a? Gémeaux.. ...| 7.25.11,94]- 0,48|438,941326.32.20,5|- 3,5 734,2] 23,0] 21,0f+ 13,4| 9,3| » Id. 
a Petit Chien.....3| 7.31.42,11)- 0,15|+38,551353. 8. 4,0|- 3,3 + 46,2|13,7| » Id. 
BG Gémeaux....... 330.21.57,0|-— 4,4 21,21 17:3/13,7| » Id. 
5|Soleil, 12° bord... . 8.59.42,23 — 0,31 341.58.46,2 — 2,3 733,9 22,5| 22,6l+ 30,3 » [Bord inf. au mérid. 
Nadir, RS Ne ° 1132.34.15,3|- 3,0 » [Moyenne de 4 obs. 
æ Petite Oursel...|13. 3.30,75 267181 2,2|— 4,9/732,5] 23,0] 23,3] 5%,o|11,4| » 
œ Vierge......... 13.17.33,94[- 0,02/+38,92| 9. 5.18,2|— 2,4 23,2|+1. ès 6 13,9| » 
n Grande Ourse. 308.40. 6,0|- 4,21732,4] 23,0| 22,5] 3,7/11,7| » 
G Couronne boréale|15.22. j948 — 0,43 329. 6.45,0|- 4,41732,0] 22,8| 22,6[+ 15,9 » 
x Couronne boréale|15.28.4 41,93 — 0,41 +38, 851331.30. 59,2 — 3,8 22,6]+ 18 4114,0| » 
a Serpent........ 15.37.11,49/- 0,19|+38,83/351.50. 4,o[- 3,0 22,61+ 43,7115,3| » 
p Serpent........ 15.42. 5,051- 0,12 1.41.55,7|— 4,5|732,0] 22,5] 22,6[+1. 1,8 » 
5x E Balance... ... 15.56.23,66|-— 0,02 9-40.59,7|- 4,2 21,4| 22,6[+1.22,6 » 
a Scorpion. ..... 16.20.26,59f+ 0,131+38,96! 24.48.10,0|— 4,4 22,0| 21,7|+2.46,0|12,0| » 
36 4 Ophinchus...|r7. G.21,47/4+ 0,13 » 
a Hercule....... 17. 8. 9,18|- 0,260/+38,851344.11.10,7|- 4,1 21,8| 21,04 33,2|11,8| » 
 Serpent.........|17.12.39,48) o 11.25.45,2|— 3,5 +1.28,9 » 
51 e2 Ophiuchus. .|17.22. -29,97]+ 0,10 22.33.59,0[— 3,6 +2.26,7 » 
œ« Ophiuchus...... 17.28.18,06!— 0,2/1+38,911346. 4:51,7|- 3,6 + 35,6/14,4| » 
58 9 Ophiuchns...|17. Ce + 0,05 20.20.10,5|— 4,2 +2,1 1:0 » 
3 Sagittaire... .... 17.38.20,471+ 0,13 26.28.10,2|— 3,2 22,41 20,0!+3. 5,2 » 
3 Petite Ourse S..4|18.24. 5,76 272.11.16,9|— 4,2 19,5 — 46,1/10,5| » [Moyenne de 3 obs. 
2 LORS 18.32.17,99/- 0,57[4+38,811320. 7.35,7|— 3,2 +  7»2l14,9| » 
MiSagiltaire. 4|18.35.50,11}+ 0,12 23.53.23,0[— 4,1 +2.39,0 » |Faible. 
Saturne, Centre... |18.39.13,324 0,09 21.24.50,5|— 4,1 21,2 18,8/+2.10,0 » [Au méridien. 
(XVIIL. 282 Piazzi.|18. Fa 18,67/+ 0,12 23.37.30,5|— 3,7 +2.30,7 » 
Jupiter, Centre ...|19. 4.21,62}+ 0,09 21.41.47,7|— 4,0 21,0| 19,1/+2.20,9 » [Au méridien. 
i 
6|3 Petite Ourse 1..4| 6.23.44,74 265.22.55,2|— 4,7 22,0! 19,6!- 54,7|11,7| » | Moyenne de 2 obs. 
a Grand Chien....| 6.38.51,81{+ 0,03|+39,48 » 
a Gémeaux... ..| 7.23.12,40!— 0,48|439,35/326.32.26,2|- 5,3 22,9] 20,714 13,4/13,0| » 
æ Petit Chien... ... 7.31.42,71|- 0,17[+39,121353. 8. 5, 5 — 4,7 + 46,1113,9! » 
B Gémeaux...... 7.36.20,05|— 0,42 +39,22/330.21.57,8|- 5,3 23,2| 21,64 17,3/13,5| » [Niv.-oP 199: 
7l« Petite Ourse I..2|13. 3. Le 267.15.10,2|— 4,5 23,1| 22,0) 54,2| 9,| » 
M VIETRE. ee + « «+ 13. pe 34,461 0,02|[439,42| 9. 5. à 5|- 4,8 22,5l41.20,8|15,2| » 
n Grande Ourse...|13.42. 0,37|- 0,82 31308.40. 4:71 47 23,1} 3,7| 96| » 
a Bouvier. ...... 14. 9- 9,40f- 0,32[+39,311338.45.30,2|- 4,71732,3| 23,1] 24,0l4 26,2|12,6| » 
æ° Balance ..... 5 fe 42.51,30|+ 0,02 439,411 14. 7.45,7|- 5,0[732,3] 23,1| 24,0Ï+r.38,1|10,2| » 
G Petite Ourse ....{14.5r. 56, 21}- 2,41|+59,30/283.58.38,0|— 4,11732,2) 23,1] 24,0] 29,1|12,6| » 
G Couronne Hrile EAN 1,391- 0,43 329. 6.45,7|- 4:91732,4] 22,91 22,0[+ 15,9 » 


92 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 








LORRECTION 
PASSAGE Fe 
NOM CONCLU 


au 
FIL MÉRID. 


MOYENNE THERMOMETRE, 


” des 


| —— 


REMARQUES. 


DES ASTRES. Inte- | Exte- 


rieur rieur, 


l'iostru- la VERNIERS. 
ment. |pendule. 


“HUDATU Up 
NOILOHUYOIN 
“AULANOUVH 
"Y#1Od na NAT 
"HAALVAUASHO 


*NOTLO VUAHU 


où «r 11 11 min. 1 




















x Couronne boréale| 12-20. 5,0|732,41+22,9|t21,08+ 18,5|14,3 
39% 4,5 7324 22,9| 20,8|+ 44,0|15,2 
1.43.55,5|-74,5 . 2,2 
8|[Soleil, 1er bord.. 9-11.13,29/— 342.16.55,7|- 5,6|732,9 30,7 Bord sup. au mérid. 
x Vierge 15.17.34,62|- 0,06|+39,55| o. 4,8|731,8 .20,5|14,4 
x Couronne boréale 15.25.42,67 - 0,32|+39,731331.30.55,7|- 5,31732,0 18,4| 9,2 
æ Serpent 15.37.12,36!- 0,16 +39,77/851.50. 6,2|- 4,9 43,7115,8 
3 Serpent 12.4 o 2); 4,0|732,1 
51 e Ophiuchus. . 17-22.30,73 + 34. 0,7|- 5,7 
x Ophiuchus 17-28.19,50 — 4x 
58 D Ophiuchus.. .[17-34.41,79l+ o,o1 .20. 43 
3 Sagittaire. : 17.38. 0,06 .29.10, 5,3 
4 Sagittaire 17.50°52,85|4 0,02 
y= Sagittaire 17-36.23,82 0,07 29. 7.48,5|- 7,6 732,2 
3 Petite Ourse S../ 
0,43[+39,60320. 7.37,o|- 6,3 
Saturne, 22° bord, 2 4 0,01 21.25.46,2|- 4,7 : Centre à 38m 56° 
(XVIIL. 282 Piazzi).| 10.99. 0,03 
Jupiter, Centre... .|19: 3. 71H ooi! * 21.43.54,5|- é Au méridien. 
44 g' Sagittaire... . 0,01 16,52.35,0|— 3 5 
G Taureau 17e 0,32|439,76/330.17.55,5|- 
} 0,17|+39,741351.23.10,2|— 
3 Petite Ourse I..4| 0.25. 265.23. 1,5|- 5,8 Très-faible. 
x Grand Chien....| 6.58. 0,02|+40,00| 15.14.39,5|— 
a® Gémeaux.....3| 7-25.13,07)- 0,36|4+40,10|326.32.27,2{— ù of+ Ondulante. 
x Petit Chien ....2 - 4: 0,15|+39,90/353. 8. 5,7|- g|t: Id. 
G Gémeaux....... .36. |- 0,32+39,90|330.21.57:7|-— 5,6 a 
Mercure, 2tbord.| 5.17. 6 338.22.55,2|- Centre au méridien. 
9[Soleil, 1er bord...| 9-15. 2,55]— 0,22 343. 5.50,5|- 4,11732,1] 23,3| 22,9}+ 31,5 » |Bord inf. au mérid. 
x Grande Ourse. .4|10.54.37,63|- 0,93|439,93|296.10.28,5|- 5,3 731,7] 23,5] 241 :5,7| 9,6] » |Niv.-or,43. 
Vénus, 1 bord..3]|1 1.45.31,84]- 0,12 356.23.27,0 — 5,3 731, 23,8| 24,6{+ 51,0 » |Centre au méridien. 
a Petite Ourse L...[13. 3.38,65 26715.12,3|- 6,1[731,41 24,0) 23,5! 53,7] 9,7| » | Moyenne de 2 obs. 
x Vierge......... 13.17.34,90!— 0,06|+39,84] 9. 5.22,5|- 5,7 731,3] 23,8] 23,51+1.20,4[15,0| » 
n Grande Ourse..2/13.42. 0,82! 0,60|+39,8/1308.40. 8,5|- 5,3 -  3,0/13,7| » [Nuages. 
x Bouvier ....... 14. 9. 9,94] 0,26/+39,93 : » 
B Petite Ourse...….. 14.51.50,37)— 1,74[#+40,29/283.58.37,5|+ 6,1/731,1} 23,8| 24,0] 29,o|10,1! » 
« Couronne boréale|15.28.42,91|- 0,32|+39,99|33r.31. 1,2/- 5,3|751,1] 23,5) 23,24 :18,5114,6| » 
æ Serpent........ 15.37.12,06!- 0,16|+40,08|351.50. 8,o|— 5,9/731,1] 23,5] 23,04 43,6/16,5| » 
{x Scorpion. ...... 16.20.27,73|+ 0,04[+40,05| 24.48.r9,0o|- 6,1173r,1] 23,0] 22,3]+2.45,4|12,7| » 
| Hercule........ 16.29.43,70f- 0,48 316. 0.10,5[-— 5,5 21,81+ 3,2 » 
u' Scorpion ...... 19.41.55,11/+ 0,12 36.25.10,0|- 4,9 21,1]+7.44,6 » 
lu? Scorpion... ... 16.42.23,27|+ 0,12 » 
{27 # Ophiachus. .. 16.50.55,08|-— 0,18 349. 8. 9,b[- 6,4 + 29,9 » 
132 Ophiuchus..... 16.56.37,12 10,22 344.26.19,0[- 5,61731,1] 21,5 20,9}+ 33,4 » 
51 e2 Ophiuchus.. .|17-22.31,051+ 0,02 22.34, 0,7|- 5,6[731,1| 21,5] 20,8]+2.26,7 » 
|æ Ophiuchus...... 17.28.19,70$— 0,20/+40,031346. 4.51,5[- 6,1 + 35,6|12,2| » 
58 D Ophiuchus.. .|17-34.42,13l+ o,ox 20.20.13,0[— 5,9 42.11,0 » 
3 Sagittaire... .... 17.38.21,55}+ 0,06 26.29. 8,2|- 5,7 19,81+3. 4,7 » 
|4 Sagittaire... . ... 17.b0.53,29|+ 0,02 20.3r.35,0|- 4,8 19,8 +2.26,6 » 
|y2 Sagittaire. . ... :| 17.56.24,22|+ 0,07 29. 7.46,2|- 5,3/731,1} 22,0] 19,7 +3.41,7 » 
là Petite Ourse S..3/18.24. 4,63 | 272.11416,0|- 4,7173v:2) 22,1 19,61- 45,8l10,1| » 





53 


Observations faites à la lunette 


méridienne en Août 1842. 


















































| 4 PASSAGE FORTS L'MOYENNE | = 
| a NOM CONCLU Fe : cd des Z 
el Lu é 
# DES ASTRES. ; lt] Lx È 
FIL MÉRID. | nent. | pendule VERNIERS. | 
| L. m, s. 
Ml Eyre.......2 18.32.19,01|- 
| Saturne, Centre. ..|18.38.21,06[+ 0,02 21.26. 7,7|- 
| 1x Orion. ::-,--3 5,47.19,52[- 0,17[+40,00|351.23.10,7|- 
| |3 Petite Ourse I..4| 6.23.47,12 265.22.58,2|— 
| a Grand Chien....| 6.38.52,82|- 0,02|+40,37] 15.14.40,5|- 
| |x2 Gémeaux..... 4| 7-25.13,88]- 0,36[+40,381326.32.29,5|- 
| [x Petit Chien... 7.31.43,50|- 0,15/+39,96[353. 8. 6,51- 6 
| 8 Gémeaux....... 7.36.20,971- 0,32/+40,18]330.21.56,7|- 
Mercure, 2e bord.| 8.25.28,84]- 338.38. 8,0|- 
10o/Soleil, 1e bord..4| g.18.51,32|- .34,2|— 
BEEN... 20 11.41.42,02|- ,0l- 
y Grande Ourse. .4|r1.46.1x,99|- 
Vénus, 1er bord. ..{|11.49:43,461- 356.54.11,5|- 
æ Petite Ourse 1..2|13. 3.42,26 
œ Vierge. ..,..... 13.17.35,30)- - 9. 5.20,5|— 
n Grande Ourse...|13.42. 0,92|- 0,60|+40,00|308.40. 8,5|- 5 
B Petite Qurse..... 14.51.56,29|- 1,741+40,29|283.58.38,2|— 
x Serpent,,...... 15.37.12,98]- 0,16/+40,42|351.50. 9,0|— 
u Serpent........{15.42. 6,45|- 1.41.59,7|- 
12|Soleil, 1er bord...| 9.26.26,87|- 343.58.39,2|- 
x Couronne ...... 12.28.43,95|- Eÿ NE) LE 
x Serpent........ 15.37.13,b0]— :H9-4D:7|— 
æ Scarpion....... 16.20.28,69|+ 24.48.15,5|— 
« Hercule........ 16.29.44,58|- 316. o. 9,2|- 
36 4 Ophiuchus...{17. 6.23,43|+ 
x Hercule....,,.. 17. 8.171,14) 344.xx.13,7|- 
y Serpent... ......|17.12.41,62]- 11.25.45,7|— 
x Ophiuchus...... 17-28.20,70|- 071346. 4.55,0|- 
58 D Ophiuchus...|17.34.43,27|+ 20.20.14,5|-— 
3 Sagittaire... .... 17.38.22,65|+ 26.29.13,0|- 
4 Sagittaire... .... 17.50.54,33|+ 22.31.34,0|— 
y° Sagittaire. ..... 17.56.25,28|+ 29. 7.49,0|- 
à Petite Ourse S. .4|18.24. 3,70 
LÉ CROUE 18.32.20,11|- 0,43|+41,16|320. 7.33,7|- 
Saturne, Centre... |18.37.45,14]+ 0,02 21.26.56,0|— 
Jupiter, Centre... .|19. 1.39,72|+ 0,02 21.46.32,;|- 
MOTO das. 3.47.20,54]- 0,17 +40,931351.23. 9,5|- 
x Petit Chien..... 7-31.44,71f- 0,15|+41,02]353. 8. 3,2|- 
G Gémeaux....... 7.36.21,89)- 0,32 +41,031330.21.59,7|— 
Mercure, 2e bord. 8.49.34.79|- 339-39.36,0|- 


9-30.13,61|- 
11.41.42,97|- 
11.46.53,01|— 


13. 3.44,65 


0,22 343.45.12,2|— 
0,22|+41,11]343.18.30,9|- 
0,70|+41,04]304.12. 7,0|-— 


EMon.--. 5.2. 
7 Grande Ourse. .. 
« Petite Ourse I... 





x IVIErRe... - 13.17.36,26|- 0,06|+41,24] 9. 5.22,2|- /,5 
n Grande Ourse...|13.42. 2,09]— 30|— 
B Petite Ourse. ...|14.51.56,83|- 1,74]441,19|283.58.36,2|- 
8 Couronne bor...|15.22. 3,07] 0,34 329. 6.46,0|- 
| |« Couronne bor..4|15.28.44,09— 0,32|+41,24]331.31. 0,2|- 
| TG; 1er bord..... 15.33.30,39l+ 0,02 22.36. 9,5l- 
















THERMOMÈTRE. 








REMARQUES. 


NOILOHUUOD 
*“AULAHNOUVH 
"NOILO YU AU 
‘a104 ang ag11 
‘NAYLVAUISIO 


Au méridien. 











Niv.—or,64. 
Centre au méridien. 


Bord sup. au mérid. 


Centre au méridien. 





41717279 


5,3|727,8 
1917277 


Ondulante. 


Bord inf. au mérid. 


SOI ES 











NI © 10 O1 






ve 


> 


= 


Au méridien, 


Id. 


S S ss 


Centre au méridien. 


5 





Bord sup. au mérid. 


5 


Um RO E M OUPS ES O1 O1 O1 ©1 QT 
Qc © O1 QUI Hs em ht © 













5,5|738,0 » 

5,0|737,8 » 

4,6 » 

5,9 + 18,5 » [Nuages. \ 
6,:11937,7 22,2]+2,30,0 » |Bord sup. au mérid. 


13 








NOM. - 


L. 
6 

[=] 

a DES ASTRES. 

L. PRE 












x Grand Chien.... 
a Petit Chien...... 
B Gémeaux....... 
Mercure, 22€ bord. 













14|Soleil, 1er bord... 
a Petite Ourse I..3 










n Grande Ourse ... 























G Couronne boréale 
« Couronne boréale 
œSerpent. .-..... 
GvEtbord "+. 
 Ophiuchus...... 
MHErCUIE, se - ce 

6 Ophiuchus...... 
u'Sagiltaire...... 
à Petite Ourse S..3 
Saturne, Centre... 
RAHOMR- CUT Te 
« Grand Chien.... 
æ Petit Chien...... 
B Gémeaux...... 





n Grande Ourse... 



















h: mm. 56, s. s. D. Deull rt 
œ Serpent........ 15.37.13,72]- 0,16|+41,20 351.50. 3,2|— 5,9 
36 4 Ophiuchus...|17. 6.23,87[+ 0,05 
œ Hercule... .... 17. 8.11,66!- 0,2 
Serpent. ....... 17.12.41,98!— 0,04 
58 D Ophiuchus...|17.34.43,b1[+ 0,07 
3 Sagittaire... .... 17.38.22,95|+ 0,06 
4 Sagittaire....... 17.50.34,71l+ 0,02 
y° Sagittaire Eva it et d 17.56.25,64 
à Petite Ourse S..3|18.24. 3,35 


x Lyre sole eistoin 2 18.32.20,21 _ 
Saturne, 22° bord. 3|18.37.34,45|+ 0,02 
Jupiter, Centre... .|1g. 1.19,17|+ 0,02 


GIBIER A. eee « 14. g.11,88)— 338.45.35,o[— 5,3[735:9 
B Petite Ourse ....|14.51.b7,631- j 


15.37.1462 
16.32.35,4: 


x Bouvier. ...... 14. 9-13,26]— 0,26|+43,34 
2° Balance ..... .|14.42.55,24|- 0,03|+43,40! 14. 7.48,5|— 5,3 733,9 
G Petite Ourse ..….|14.51.59,03|- 1,74/+43,45/283.58.36,5| - 4,7 753,9 
G Couronne ...... 15.22. 5,11]- 0,34 329. 6.48,2|— 5,5 
æx Couronne ...... 15.28.46,17 
æSerpent.,. +... 15.37.1 
eee 47:23,6 
3 Petite Ourse [..4| 6.23.48,2t Moyenne de 2 obs. 
z Grand Chien. ..2| 6.38.57,05|— 
x Gémeaux...... 7.251173 + 
x Petit Chien..... 7.31.47:65À- Ondulante. 


54 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 























































CORRECTION 
de 


ee 


MOYENNE THERMOMÈTRE. 


des 


PASSAGE 
CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 








REMARQUES. 









“neaaIu Up 


NOILO4UUOO 










l'instru- 
ment. | pendule. 





“AULANOUVA 
*NOILOVUAAU 
‘104 na nat 
“UAILVAUAISUO 


VERNIERS. 


























Centre au méridien. 
Id. 


6.38.54,361- 0,02 







Ond. Niv.+0P,10. 
Centre au méridien. 












Bord inf. au mérid. 
Ondulante, 
Id. 


344.45. 6,o- 3,8[737.5 
267.15.14,0|- 5,7 730,1 
13.17.36,96!- 0,06[+41,95| 9: 5.21,o[— 4,9 
13.42. 2,71]- 0,60 +41,851308.40. 7,0|- 4,6 















15.28.4495 = 













Bord sup. au mérid. 











272.11.13 7|— 4 
2ta7 00.6 45 735,7 
736,2 















Moyenne de 2 obs. 
Au méridien. 






18.37.23,41|+ 0,02 
v,17|+42,87|351.23.11,2|— b4 
6.38.55.821- 0,02[+43,26| 15.14.38,5|- 4,4 
; 31- 0,15|+42,g0l353. 8. 8,0|- 457 ; 
7-36.23,89|- 0,32|+42,99 330.21.59,2|— 5,3 736,4 












Ondulante. 





Bord sup. au mérid. 



















0,06/+43,441 9. 5.21,5|- 5, 
13.42. 4,231 0,60|+43,39l308.40. 8,2|— 4,7 
338.45.34,0l— 5,21734,0 





































55 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 






































































PASSAGE SRE ER 2 z THERMOMÈTRE. Be. = £ 
o NOM re Sr HRRENRIE 2 a = 5 n 
: Male Miele ae NÉ il É 
_ ot 7 ES EN LES LES GES ET ES OA E 
h2 m2"s s. s. onrt 0 o o rot 2 HE 
B Gémeaux....... 7-36.25,11|- 0,32|+44,18/330.21.57,2 +20,81+ 17,4/13,5| B. [Ondulante. 
6 Soleil, rer bord...| 9.41.32,90-— 0,22 344.40.51,2|— 5,9/734,0l+24,1| 23,314 33,6 » [Bord sup. au mérid. 
æ Petite Ourse 1...|13. 3.48,35 57.15 24,3| 25,71 53,7|11,5| » [Moyenne de 2 obs. 
L æ Vierge......... 13.17.39,44/- 0,06|+44,45 24,4] 25,9/+1.18,0|10,0| » 
, n Grande Ourse. ..|13.42. 5,19{— 0,60|+44,37 —  3,6l12,7| » 
Bouvier, .... de 14. 9-14,90!- 0,26|+44,451338.45 32,7|— #4, 24,7| 25,414 26,1/14,7| » 
| æ&*? Balance....... 14.42.56,34E 0,03[+44,51 24,8| 25,1/+1.37,9|14,3| » 
B Petite Ourse ....|14.52. o,o1!- 1,741+44,50 25,0- 29,0|13,2| » 
à æ Couronne boréale|15.28.47,45|- 0,32|+44,65{: 24,5] 25,114 18,2|16,7| » 
œ Serpent........ 15.37.17,02]- 0,16|+44,55135r1.50. 4,7|- 4 24,5| 25,ol+ 43,5/15,4| » 
æ Scorpion.....,. 16.20.32,13]+ 0,04[+44,55] 24.48.21,0|— 4 23,8| 23,6/12.47,6/18,2| » 
c Hercule. ......, 16.29.48,14 — 0,48 ) 23,5]+ 3,2 » 
æ« Hercule........ 17. 8.14,70]- 0,22|+44,55|344.11.15,5|- 5,5 + 33,0l16,1| » 
y Serpent........ 17.12.45,14]- 0,04 22,8[+1.28,6 » 
5x e2 Ophiuchus. . |17.22.35,67{+ 0,02 +2.26,5 » 
æ Ophiuchus....., 17.28.24,40f- 0,21|+44,81 » 
y: Sagittaire... 17.56.28,86|+ 0,07 29. 7.46# 22,7| 19,41+3.43,5 » 
p' Sagittaire, .... 4|18. 5. 7,98[+ 0,01 19.49.45,0|- 3,2 +2. 8,9 » 
{ à Petite Ourse S..3/18.24. 6,25 » 
1 Guetbord, -.. 4. 18.28.17,31|+ 0,03 23.54.38,5|— 4,1 +2.39,1 » |Bord sup. au mérid.| 
s Sagittaire. ...... 18.35.55,871+ 0,03 23.53.30,o|[— 5,3 22,6| 19,1]+2.30,1 » . 
s Sagittaire... .. .[18.46:7,21|+ 0,05 25.12.35,5|- 3,7 +2.b2,4 » 
r Sagittaire ...... 19: I.11,01/+ o,01 20. 0.11,5|— 3,8 22,5| 18,3l42.10,4 » 
DrAigle..-....... 19.39.33,70/- 0,18|+44,721348.31.27,2|- 3,4 22,4| 18,3[+ 39,5|14,0| » 
| Ë F2 LT CHOSE 3119.43.53,20/- 0,17|[+44,65|350.18. 1,0[— 3,5 + 42,2l12,8| » 
BAAiGle Des de 19.48.22,06!- 0,15|+44,741352.44.23,5|- 3,6 22,4| 18,114 46,0|17,2| » 
æ' Capricorne... .|20. 9.42,38|- 0,05|+44,71 » 
a? Capricorne ....|20.10. 6,r0!- 0,05|+44,51 17,41+1.31,4/10,6| » 
æ Petit Chien ...., 7-31.48,831- 0,15|+45,061353. 8. 5,2|- 4,6 + 46,0/14,0| » |Très-ondulante. 
G Gémeaux.......| 7.36.25,99/- 0,32|+45,04/330.21.59,7|— 5,6 24,4| 21,6|+ 17,3/14,3| » Id. 
\ » 
17|Soleil, 1er bord...| 9.45.18,28]- 0,21 24,21 94,3|+ 34,6 » |Boïd inf. au mérid. 
| |x Petite Ourse 1..3/13. 3.52,00 24,8| 26,4]- 53,4|r0,8| » 
æ Vierge... ...... 13.17.40,36!— 0,06 +45,38 26,3/+1.19,7|14,9| » 
n Grande Ourse...|13.42. 6,13! 0,60|+4 24,9| 26,2|- 3,6/r1,1| » 
æ Bouvier........ 14. 9:15,30!- 0,26[+45,411338.45.33,7|- 5,7 25,74 26,1|14,9| » 
* |x2 Balance. ...... 14.42.57,22]— 0,03|+45,41 24,6| 25,1+1.37,7|10,9| » 
B Petite Ourse ....[14.52. 0,85}— 1,74 445,42 
x Couronne ...... 15.28.48,31/- 0,32|+45,531331.30.59,7|-— 4,9|732,1| 24,4| 24,414 18,3/13,8| » 
æ Serpent........ 15.37.18,00!- 0,16|+45,55/351.50. 5,5|- 5,21532,1] 24,4| 24,414 43,5/15,0| » 
æ Scorpion....... 16.20.33,171+ 0,04|+45,61 24.48.22,0|— 4,7 23,9| 23,3]+2.45,1/16,9| » 
[E - Gilercule.…. ...... 16.29.49,221- 0,48 316. o.12,0[— 5,6 23,14 3,2 » 
| n Ophinchus...... 17. 2. B,78]— 0,02 14.16.10,7|— 5,0 +1.39,7 » 
| « Hercule. ...... 4117. 8:15,64{- 0,22/445,b11344.11.15,0|- 5,8 + 33,2l15,6| » 
L 18 Ophiuchus...... 17.13. 8,53|+ 0,03 23.33.57,0|- 4,6 20,7 {+2.35,2 » 
L |51 e2 Ophiuchus.. .|17.22.36,57|+ 0,02 22.54. 0,2|— 4,8 +2.27,0 » 
| | x Ophiuchus...... 17.28.25,46!- 0,21|445,881346. 4.51,o[— 5,21732,2) 23,0| 20,7+ 35,7113,4| » 
| p' Sagittaire... ... 18. 5. g,01{+ 0,01 19-49.20,0[— 5,2[732,5| 22,5| 19,6|+2. 8,4 » 
| 3 Petite OurseS. .4|18.24. 7,63 272.11.14,1|— 3,9 18,7|- 46,1|11,4| » | Moyenne de 3 obs. 
M2 0 Aîgle :....... 18.34.27,24]- 0,07 7-36.44,5|- 3,5/732,51 22,2| 18,6/+1.18,5 » 
WE Sagittaire ...... 19- 1:12,09|+ 0,01 20. 0.14,2|- 4.9 +2:10,1 » 
| 44 p' Sagittaire... . [19.13.20,5dk- o,o1 16.52.43,2|— 3,7 18,0]+1.52;7 » 


56 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 






















































































































































































































































































CORRECTION [e] 3 1 LI [=] 
a. © > HE E tm & o 
3 NOM Pac de MOYENNE E 2 È THERMOMÈTRE. Ë ë 
= 4 SE ai NO Rio des z ER nt di 2 3 Ê REMARQUES. 
EL Ce STE Re Cie LE 7 Agua st 6E 3 2 = RO S |S 
Ë CET: MNT ‘1 mm. o 
€, 1er bord...... 19.22.47,19|+ 0,02 21.32.41,2|- 5,5 17,91+2:20,5 . [Bord sup. au mérid. 
55 e2 Sagittaire... 19.34.18,8d[— 0,02 15.13.41,5|- 3,5 re +1.45,1 P 
y'AÏGIE. ve taie. 19.39.34,62]- 0,18|[+45,651348.31.28,0!- 4,7 + 39.6|13,3 
rie e o 18.10.35,0|— 35 732,6 17,1 +1.59,9 
PER E 7:25.19,9 0,36|+46,70l326.32.29,5|- 3,8|733,7 22,3l+ 15,4116,8 Niv.—0P,44. 
0,15|446.69(353. 8. 3,o|_ 40 L 450l143 
Se à .36. 0,32|+45,641330.22. 0,7|- 4,7|733,6 22,8 17,2/16,1 x 
— 0,20 345.50.47,0|_ 3,81133,2 24,41+ 35,0 Bord inf. au mérid. 
267.15.15,2|- 5,5 — 53,8|10,8 Ondulante. 
a Vierge. ........ 13.17.42,00|- 0,06|#47,03| 9. 5.22,0|- 4,9|732,1 24,21+1.20,2|15,6 Id. 
n Grande Ourse. .4|13.42. 7,60!- 0,60|446,83|308.40. 6,7|- 3,51732,1 24,51- 3,6|11,9 Id. 
x Bouvier........ 14. 9.16,841- 0,26|+/6,961338.45.33,7|_ 4,1|732,0 24,31+ 26,2|16,5 Id. 
œ« Couronne...... 15.28.49,83 - 0,32|+47,07 331.30.59,5|_ 3,7[732,0 23,31+ 18,3/14,8 
RE T Ai 15.37.19,42|- 0,16|+46,98|351.50. 3,2|_- /,8|732,0 23,21+ 43,6113,3 
1 Ophiuchus...... 17. 2.10,24]— 0,02 14.16.10,01- 3,5 21,41+1.39,5 
« Hercule........ 17. 8.17,30]- 0,22|#47,18|344.11.10,2|- 4,7 + 33,1|11,9 
6 Ophiuchus...... 17.13.10,01|+ 0,03 23.33.58,2|_ ,4,2 +2.34,8 
5x e2 Ophiuchus...|17.22.38,15|+ 0,02 292.34. 1,0|- 4,4 21,|+2.26,6 
x Ophiuchus...., 4|17:28.26,72]- 0,211447,151346. 4.53,2|_ 3,8]732,3 + 35,6/17,0 
58 N Ophiuchus.. .|{17.34.49,39|+ o,o1 20,20.12,0|- 3,3 +2.10,8 
.|3 Sagittaire... ..... 17-38.28,73|+ 0,06 26.29.12,5|- 2,9|732,4 21,2]+3. 4,5 
18.24 5 272.11.14,5|- 2,3 — 46,1|12,8 
Sec io Dore 7-56.46,0|- 2,9| 732,5 19,3/+1.18,3 » 
0,02 15.13.44,0|- 2,5 +1.45,1 » 
DIASBIEr ent 19.39.36,00!— 0,18|+47,03|348.51.28,2{— 2,8 + 39,5/15,5| » 
57 Sagittaire... ,.|19.43.52,51| o 18.10.34,7|— 1,3 +1.59,7 » 
BAiele rec eie 19.48.24,341- 0,15[447,021352.44.21,5|- 2,61732,6 175l+ 46,0/16,5] » 
GicMbord: "0. 20.14.20,93| o 18. 8.46,2|— 2,5 +1.b9,4 » [Bord sup. au mérid. 
o* Capricorne... ,.|20.21.40,65 » 
12 0° Capricorne. .|20.21./41,87 17.50.16,5|- 4,7 Hr.58,0 » |, 
15 v Capricorne. ..|20.31.54,77| o 17.25.32,5|— 3,8 272|+1.55,8 » 
« Grand Chien....| 6.39. o,60!- 0,02|447,93| 15.14.40,0|[- 3,0 733,4] 23,5| 22,41+1.43,3|12,9| » 
Xe. +. 7.25" 0,36[+47,93|326.32.28,2|— 3,0 23,3|+ 13,3116,6| » |[Ondulante. 
bee 7.32.51,€ 0,15|+47,541353. 8. 5,2|- 2,9 + 45,7/15,5| » Id. 
sed .36.28,63/- 0,32[447,641330.21.57,8|- 3,31733,4) 24,3| 24,24 17,1114,3| » Id. 
19|Soleil, 1er bord... 9.52.47,92|- 0,20 345.38.39,0|- 4,41732,7| 24,3| 25,714 34,5 » [Bord sup. au mérid. 
20|Soleil, 1er bord..4| 9.56.31,79l— 0,20 345.58.10,2|- 5,31735,1] 26,8| 25,24 35 » Id. 
a Couronne boréale|15.28.51,63]- 0,32/+48,911331.3r. o,o|- 4,0 73431] 25,0! 23,14 18,4/45,1| » 
a Serpent. ....... 15.37.21,20|— 0,16/+48,79 351.50. 5,0|- 3,71734:1] 25,0] 22,74 43,8/16,4| » 
3 Petite Ourse L..3| 6.23.52,34 » |Très-faible. 
a Grand Chien....| 6.39. 2,24] 0,02|[#409,54] 15.14.42,2|-— 3,5]733,8) 24,9| 21,2l+1.43,8|15,3| » 
a Gémeaux...... 7-23.22,74]- 0,36|+49,471326.32.28,7|— 3,8 22,ol+ 13,4|15,8| » |Ondulante. 
& Petit Chien... ... 7-31.53,0b]- 0,15|440,19]353. 8. 5,2|— 4,3 + 46,0l14,6| » Id. 
G Gémeaux....... 7-36.30,27|- 0,32|+49,23]330.21.58,7|— 4,7 733,7] 24,8| 21,5+ 17,3|13,9| » Id. 
21|Soleil, 1er bord...|10. 0.1/,70]— 346.49.48,7|- 3,51732,7| 25,3] 23,114 36,4 » [Bord inf. au mérid. 
œ Petite Ourse 1.../13. 3.55,65 267.15.15,0[- 4,5|731,41 25,1| 24,71 53,6|11,0| » 
n Grande Ourse. . .|13.42.10,09|- 0,60|+/49,38]308.40. g,ol- 4,6|73r;1 25,3| 2481- 3,6112,6| » 
œ Bouvier. ....... 14. 9:19,30]- 0,26|+49,461338.45.35,2|- 3,6]731,0 25,3| 24,2Ù+ 26,1118,3| » 
«2 Balance. ....,. 14.43. 1,321 0,03|+49,56! 14. 7.470[- 4,4 23,71+1.38,0|12,8| » 
B Petite Ourse.. 4114.52. 4,761- 1,741+49,651283.58.38,7|- 4,51730,9! 25,21 23,41 29,1111,7| » 


57 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1842. 
















































































































































nn PASSAGE M to MOYENNE | = 8 E THERMOMÈTRE. = mn | & 
ac _ © L] =: 
cuxcLu = pe | 2E| 2 [|] 5 | 212! Remarques. 
DES ASTRES. Fi Liste la 5 à de Int. |lExts- = 8 | 
FIL MÉRID-. ment. | pendule. | VERNIERS. 7 o m rieur. | rieur. £ 5 F 
h. m,. s. s. s. 11 
x Couronne bor. .3|15.28.52,17|- 0,32|4+49,461331.31. 2,2|- 4.1 +23,1l+ 18,3/17,1| B. 
œ Serpent........ 15.37.22,00!— 0,16[+49,60l351.50. 5,0|— 4,2 23,1+ 43,6/15,8| » 
x Hercule... +4.[17. 8.19,60]- 0,22/4+49,521344.11.13,2|— 3,7 730,9/+23,3| 22,24 33,0|15,9| » 
x Ophiuchus...... 17:28.29,26|- 0,21|+49,731346. 4.52,5|— 3,6/730,9| 23,2] 21,7l+ 35,616] » 
3 Petite OurseS. ,4{18.22.10,88 » 
iplesases de 0,07 2,6 +1.18,4 » 
3 Petite Ourse I..4| 6.23.50,64 » [Très-faible. 
æ Grand Chien, ...| 6.39. 2,88/,0,02/450,15| 15.14.38,7| 3,5/730,7] 23,1| 20,8/+1.43,5/11,6| » |Niv.—oP,61. 
a° Gémeaux. .,.,.| ÿ.25.23,42) 0,36/450,131326.32.28,;|- 3,6/730,7] 23,3] 21,5]+ 13,3/15,8| » 
a Petit Chien... ,.! ÿ.31.53,79/- 0,15/440,911353. 8. 3,5|- 3,6 + 45,9l13,4 
G Gémeaux,.... ,-| 7:36.31,07l- 0,32/450,00|330.21.57,2|— 3,4 730,7] 23,8| 21,71+ 17:2|13,6| » 
Nadia. se Le 132.34.19,6|- 3,3 » [Moyenne de 4 obs. 
Soleil, 1er bord. ,.{10. 3.57,38|- 0,20 Ë 5,0|730,3 24,0| 23,9l+ 35,8 » |Bord sup. au mérid. 
æ Petite Ourse I.,3/13. 3.57,68 267.15.16,5|- 4,6/729,3| 24,6] 25,8[- 53,3/12,3| » 
œ Vierge. ss... 3/13.17.45,01!- 0,06|[+50,08| 9.15.19,0|— 3,0 +1.19,6|14,1| » 
n Grande Ourse... |13.42.10,811— 0,60|+50,02/308.40.10,0|— 4,0|729,0| 24,5] 25,3] 3,6|14,2| » 
œ Bouvier. ...... 14. 9-20,00!— 0,26|+50,18]338.45.33,2|— 2,8/728,9) 24,9| 25,2l+ 26,0|17,0| » 
œ2 Balance ..... .[14.45. 1,96! 0,03[+50,22] 14. 7.49,0[- 4,2 24,31+1.37,5/14,5| » 
B Petite Ourse .... 14.52. 5,29/— 1,74/+50,26[283.58.38,5|- 3,41;28,9] 24,9] 24,31- 28,9/12,7| » 
æ Couronne boréale |15.28.52,95|- 0,32|+50,261331.31. 0,7|- 3,0 + 18,5/16,7| » 
x Serpent........ 15.37.22,00]— 0,16[450,22/351.50. 4,2] 5,0 + 43,5l14,1| » 
x Hercule......, 17. 8.20,32)— 0,22|+50,26]344.11.14,0|- 4,2 728,5] 23,3| 22,3|+ 33,0|17,3| » 
x Ophiuchus..... 3117.28.29,81|- 0,21|+50,30|346. 4.53,0|- 4,4 728,6! 22,7| 20,714 35,5/10,4| » 
x Grand Chien... .| 6.39: 5,56] 0,02|+50,81| 15.14.39,7|— 4,8 731,8] 23,7| 21,5/+1.43,5|11,5) » 
a Gémeaux......| 7.25.24,o2|— 0,36|+50,70|326.32.25,0|- 4,9 22,2]+ 13,3113,7| » 
œ Petit Chien ..... 7-31.54,45{ 0,15|+50,551353. 8. 7,5|- 4,9 + 45,8/16,0| » 
G Gémeaux... ... 3| 7.36.31,57|- 0,32|450,48]330.22. 0,5|- 4,b|732,0| 24,3] 22,5|+ 17,2/15,6| » |Très-ondulante. 
b3|Soleil, 1er bord... |10. 7.39,08|- 0,19 347130. 3,0|— 2,8|731,5].24:7| 25,4[+ . 37,0 » [Bord inf. au mérid. 
a Grande Ourse...|10.54.48,55|- 0,93/450,89l296.10.31,2|— 3,6/731,4] 25,0] 25,9/- 15,6|10,0| » | 
x Petite Ourse I..4|13. 3.57,48 207.15.17,1|- 3,7[730,6| 24,9] 25,8] 53,4113,6| » Moyenne de > obs. 
n Grande Ourse...|13.42.11,29/- 0,60/+50,63|308.40. 9,5|- 3,8/730,5] 24,9| 25,3] 3,6/13,6| » | 
x Serpent........ 15.37.23,28)- 0,16|+50,91|351.50, 7,8|- 3,8/729,9) 24,5| 24,21 43,4/18,7| » 
x Scorpion....... 16.20.38,24|+ 0,04|+50,77] 24.48.23,2|- 4,6|729,9l 24,0] 23,5]+2.44,5/16,2| » 
» |x Hercule......,.. 17: 8.20,go|- 0,22|+50,85|344.1 1.10,7|- 3,5/730,1 23,5 21,7]+ 33,0|13,8| » 
x Ophiuchus...... 17:28.30,50]- 0,21|+51,00|346. 4:49,5|- 3,2 + 35,5|14,;2| » 
y Dragon......,. 17.53.50,42]- 0,63|+50,93|307.15.31,0|- 3,4]730,ol 23,1] 20,9 5,0/10,2| » 
à Petite Ourse S..3|18.24. 10,78 272.11.14,0|- 5,0 — 45,9/10,7| » 
Ro Aigles. ...:..#. 18.34.32,38|— 0,07 7-56.48,2|- 3,4/7209,0| 22,8| 18,9/+1.18,1 » 
« Grand Chien. .,.| 6.39. 4,o8l- 0,02|451,30] 15.14.38,0|- 3,71729,51 23,7| 21,61+1.43,0 10,5] » 
a? Gémeaux...... 7.2b.24,40l-— ,0,36|+51,05|326.32.28,7|- 3,6 23,1l+ 13,2,15,5| » |[Ondulante. 
x Petit Chien ...,.] 7.31.54,85}- 0,15|450,931353. 8. 7,5|- 4,7 + 45,5,15,9| » 1d. 
G Gémeanx....... 7-36.32,09/— 0,32|+50,97|330.22. 2,5|- 4,9/729,21 24,5] 23,ol+ x17,1/17:1| » Id. 
24 |Soleil, 1° bord... .|10.11.20,60/— 0,19 347:18.44,0|- 4,9|728,0] 24,4] 24,2l4+ 36,7 » |Bord sup. au mérid. 
a Petite Ourse 1..4|13. 3.55,96 267.15.19,7|- 5,51726,3] 24,8] 25,2] 53,2 14,2| » , 
œ Vierge. ........ 13.37.46,08[— 0,06|+51,141 9. 5.20,0|- 3,71726,2! 24,9] 26,0!+1.19,1|14,1| » Très-ondulante. 
n Grande Ourse..4|13.42.11,78/— 0,60|451,14]308.40.10,7|-— 4,61725,7| 25,2| 25,21 3,6113,8| » 
a Bouvier........ 14. 9.20,98]- 0,26|+51,18/338.45.3/,0|- 4,1 Ta5D 25,1| 25,3]+ 25,8,16,2| » 
125|x Couronne bor..4|15.28.54,21]- 0,32|45r,58|33:.31. o,2|- 4,5 726,6] 25,0| 24,414 18,1114,5| » 








a Hercule... .... 17. 8.21,681- 0,221+51,66/344.11.11,51- 3,81527,9l 23,71 21,614 32,9! 13,6! » 


58 
Observations faites à la lunette méridienne en Août, Septembre et Octobre 1842. 




































































































5 Nom PASSAGE (OASEAU MOYENNE | = 8 È THERMOMÈTRE. 3. ë È 
© M. 74 ee 5 [=] = = 
Ë CONCLU pi dés 22 £ = E É REMARQUES. 
æ DES ASTRES. Re l'instru-| la 2e = = ARE 
FIL MÉRID. ment. | pendule | VERNIERS. ol # Co = 5 
T& 3. 8. S é 121 s u ‘1 [1] 
æ Ophiuchus....,. +51,781346. 4.53,5]- 4,5|727,2 35,4116,9 
27|Soleil, 1er bord... . 0,18 248.21. 1,0|— 5,3|720,7 38,5 Bord sup. au mérid. 
n Grande Ourse.,. 0,60/+52,811308.40. 9,ol— 3,41729,2 3,7|12,7 
x Bouvier. ....... 0,26/452,751338.45.35,0|- 4,8]729,2 26,3|16,8 
3 Petite Ourse S..4 272.11.15,2|— 3,2 46,1114,3 
LPyre AR ENTREE 0,43|+52,97/320. 7.34,5|- 4,1|730,0 72|15,1 , 
Jupiter, Centre.... 0,02 21.53.23,0|— 4,7 730,0 Au méridien. 





pe +2.-22,9 

18,0/+1.44,7|13,6 
18,0l+ 46,5|16,r 
+ 17,4 16,6 


x Grand Chien.... 
æ Petit Chien...... 
BG Gémeaux....... 


Ondulante. 
Id. 
Id. 


0,02|+53,28] 15.14.38,5|— 3,2|731,5 
0,15/+53,10/353. 8. 5,2] 3,3]731,4 
0,32|+53,21/330.22. 0,5|- 3,4 


349.13.51,2|— Per 


















28|Soleil, 1er bord... 
31|x Persée. ........ 


Bord inf. au mérid. 
Ondulante. 






0,18 


0,59/+55,00 








2|Cercle Est, Niv.-2Pr,47. Le fil méridien est de 3P,73 à l'Est de la mire. 
On retourne l'instrument. 
Cercle Ouest, Niv.-4P,52. Le fil méridien est de 7r,90 à l'Est dela mire. 
Le 4 Septembre la pendule a été enlevée pour être nettoyée; on a posé le pilier en pierre sur lequel elle a été fixée de 
nonveau le 10 Octobre. 
Le 13 Octobre la lunette méridienne a été démontée pour nettoyer le tourillon du côté du cercle, et le bord intérieur des 
deux cercles, les travaux faits pour l'ajustement de la pendule ayant occasionné beaucoup de poussière. 
13 Octobre, Cercle Ouest, Niv.—7P,82. Le tourillon de l'Est a été abaissé de 107. 


14 Id. Niv.+1,70. 
18 Id. Niv.H1,48. 
28 Id. Niv.+1,42. Le fil méridien est de 1P,5 à l'Ouest de la mire. 


On retourne l'instrument. 
Cercle Est, Niv.+4,28. Le fil méridien est de 5,65 à l'Est de la mire. 
On laisse l'instrument le cercle à l'Est. 





31 |Soleil, 12° bord...|14.20.11,40|+ 0,33 12.32.42,5|+ 0,3|737,5] 11,3| 7,8/+1.38,1 » |Bord sup. au mérid!| 
PEN CODEN 19.38.56,69[+ 0,22|+ 9,15|348.31. 2,7|+ 0,6 + 41,5158,6| » 
x Aigle.......... 19.43.16,39|+ 0,22|+ 9,23|350.17.36,0|+ 0,7 + 44,3157,5| » 
BAIE. ent 19.47.45,131+ 0,24|+ 9,18/352.43.51,2|+ 0,8/737,1] 8,4| 6,ol+ 48,3154,6| » 
æ' Capricorne... .|20. 9. 5,78[+ o,32|+ 9,36] 21.43.35,5|+ o,5 7371] 8,0! 5,6[+1.35,8/51,5] » 
x? Capricorne . ...|20. 9-29,70l+ 0,32|+ 9:37 p 
s'" Capricorne... ..|20.21. 1,3o]+ 0,36 17.50. 1,7] © 5,342. 41 k 
12 0* Capricorne. .|20.21. 2,62|+ 0,36 » 
15 v Capricorne. .3|20.31.15,60|+ 0,36 17.25.10,0|+ 0,8 +2. 1,8 » [Ondulante. 
z Cygne. .......,[20.36.14,15]+ o,11|+ 9,31 à 
c Verseau. ....... 20.39.19,87[+ 0,30 8.48.31,0|+ 0,6 5,2[+1.25,8 » 
u V erseau........120.44.20,23]+ 0,30 8.18.36,2|+ o,1|737,2] 7,6 5,21+1.24,2 » 
8 Capricorne... ... 20.57.16,36[+ 0,35 16.35. 8,o[+ 0,7 +1:57,5 % 
13 Verseau... 21. 1.11,62]+ 0,31 10.44.32,0|+ 0,7 4,9[+1:32,5 » 
29 s Capricorne, . .|2r. 7-12,52]4 0,34 14.33.20,2|+ 0,6 +1:47:9 » 
32 : Capricorne. . ,|21.13.39,32]+ 0,35 16.13.59,7|+ 0,2|737,2] 7,5] 4,ol+1.56,1 D 
B Verseau... ... 4[21.23.26,89|+ 0,29 k 
B Céphée........ 21.26.46,071+ 0,071+ 9,041588.53./0,5l+ 0,2 4,5 25,2/54,51 » 





59 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre et Novembre 1842. 
































































RE ELLE TT 
PASSAGE LME C 8 z THERMONÈTRE. ES = A 
NOM CONCLU D NE s 3 8 2 É 3 
" del BE il 5 | 21%] remarques. 
DES ASTRES. Len SE VERNIERS. | = = 2 Inté- | Exté- 5 3 |2 
2 Le rieur, rieur. 2 mi 7 
3 Capricorne. .... 15.34.16,1|+ 0,3 + 5,81+1.53,0 B 
u Capricorne . .... 13. 1.30,0| o +1.41,6 » 
18 J Pégase...... » 
œ Verseau........ 359:49.32,o[+ 0,61737,4[+ 7,2| 3,5l4r. 2,5152,7| » 
0 Verseau........ 7-18.13,7|+ 0,7|737,4] 7,2| 3,3l+r.2r,7 » 
y Versean......:. 2 ; 0.55.15,0[+ 1,2 3,ol+r. 5,1 » 
n Verseau........122.27.26,85}} 0,27 359-40.15,7|+ 6,9] 2:9l+1. 2,3 » 
À Verseau........ 22.44.35,05|4 0,29 g-20,40| 0 6,9| 2,9/+1.21,4 » 
x Pégase......... 22.57. 6,49|+ 44.23.25,5| o 2,414 36,0/55,7| » 
y Poissons... ..... 23. g.11,4D|+ 356.19.18,2|[+ 1,4 + 556 » 
y8 b: Verseau...2|23.14.52,97|+ » 
10 Poissons. ...4|23.20.10,11|+ 353.13.53,7|+ 6,9| 2,0l+ 49,9 » 
2/4 Petite Ourse 1.../13. 3.47,60 267.15.26,2|- 11,8] 5,2)- 57,0/56,2| » |Niv.+3P,29. 
3/Soleil, 1er bord...|14.31.53,58[+ 0,33 14. 2.34,2|— 13,11 5,5l+1.43,2 » [Bord inf. au mérid. 
a Hercule........ 17. 7.33,50]+ o,20|+ 4,981344.10.53,2|- 1134] G,1l+ 34,6157,7| » 
y Dragon. ....... 17.53. 1,19]+ o,10|+ 4,70/307.15.15,5|- 1,4 10,7| 6,2 5,2154,5| » 
a Aigle........ ..[19-43.11,97f+ 0,22[+ 4,86/350.17.36,2|— 0,2 5,o!+ 43,5155,9| » 
B Aigle.......... 19-47.40,2514 0,24|+ 4,641352.43.51,7|+ 8,9| 4,9+ 47,5154,6| » 
o' Capricorne..... 20.20.56,94[+ 0,36 17.50. 3,7|- 0,6 4,5|+2. 1,9 » 
12 0° Capricorne. .|[20.20.58,20l+ 0,36 » 
15 Capricorne. ..|20.31.11,10]+ 0,36 17.25.11,0| 0O +1.59,7 » 
e Verseau........[20.39.15,17|4 8.48.26,7|— 0,3 +1.24,4 » 
Ju Verseau........ 20.44.15,69[+ 0,30 8.18.35,7| o 8,4| 3,8]+1.22,9 » 
9 Capricorne... .|20.57.11,66|+ 0,35 16.35.11,0[- 0,2 +1.55,2 » 
13 y Verseau..... 21. 1, 7,03|+ 0,31 10.44.34,0[- 0,3 +1.31,0 » 
29 s Capricorne. ..|21. 7. 7,96[+ 0,34 14.33.20,2|- 0,2 3,81+1.46,0 » 
32 « Capricorne. ..|21.13.34,70]+ 0,35 16.14: 0,7| o 8,2| 3,8/+1.53,8 » 
8 Verseau... ...121.23.22,47|+ 0,29 » 
G Céphée........ 21.26.41,95+ 881288.53.43,0|- 0,7 3,8[- 24,8 56,7| » 
3 Capricorne... ... 21.38.27,24|+ 0,34 15.34.15,5|+ 0,3 +1.48,1 » 
x Andromède....4| 0. 0.22,83|+ 0,16|+ 4,661330.31.56,5|— 714l 3,14 18,5153,7| » 
y Pégase. ........ o. 5.15,15|+ » 
a Petite Ourse S..4| 1. 3.43,84 270.18.15,5|— 6,8| 2,5] 51,5/55,5| » |Nuages. 
a Petite Ourse 1..4|13. 3.44,53 267.15.25,7|— 14,0| 3,of- 57,3155,4| » 
n Grande Ourse...|13.41.23,02]+ 0,11|+ 3,59[308.40. 4,7|— 14,3| 3,0 3,9/52,0| » 
4|Soleil, 1er bord. ..|14.35.49,28|+ 13.48.55,7|- 0,3|7 13,3| 4,0l+1.42,5 » |Bord sup. au mérid. 
6|xLyre.......... 18.31.38,48[+ 0,13|+ 2,00/320. 7. 7,o[- 0,3|7 49| 1,7 7:6153,0| » 
12|x Petite Ourse 1...|13. 3.32,00 267.15.27,0|- 2,3|729,b] 8,5|+ 9,0 56,6/52,5| » 


18/x Petite Ourse 1...|13. 3.19,40 267.15.33,2|- 47 740,0] 7:7|- 0,5k- 59,4151,7| » |[Ondulante. 


a Vierge. ......:3|13.16.39,65|+ 0,31 k 9- 4.47,5|- 3,0 0,0!+1.28,5|50,3| » Id. 
n Grande Ourse . .3|13.41. 4,604 o,11/-15,09/308.40.11,0|- 3,6|740,0] 7:7| oo! £,0l49,5! » Id. Niv.+3r,26. 
a Bouvier ...... 214. 8.14,17l+ 0,19/-15,02|338.45.26,2|- 5,0/740,5j 12,0|+ o,2]+ 28,8/155,7| » Id. 


B Petite Ourse . . .3114.50.54,60[+ 0,07 
a Couronne boréale 15.27.46,02|- 0,10 


—14,71/283.58.46,0|- 4,0 


— 31,9/50,7| » Id. 
—15,31/331.30.51,2|- 3,0 


+ 20,0155,6| » Id. 


19/Soleil, 1er bord. . .|15.36.26,20[+ 0,37 18.27. 9,5[- 3,11740,0] 13,6|+ 1,3]+2. 9,6 » |Bord inf. au mérid, 


Vénus, 1er bord. . .|18.13.19,90[+ 0,43 26. 2.12,0|— 2,9|739,3] 14,5|+ 1,71+3.13,8 » |Centre au méridien. 
à Petite OurseS. .1118.22.50,50 272.10.56,0|— 3,3 + 1,7] 49,5/49,2| » 
mibyre...BE cel 18.31.20,78|+ 0,13/-15,50|320. 7.15,0|- 3,8|739,3] 14,514 1,71 7,7155,2| » 


7 Aigle.........,119.38.31,7514 0,22|-15,54/348.3r. 6,of- 4,1 + 42,3[56,6| » |Ondulante. 











*sunor 


126 
(27 


60 


Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 1842. 





NOM 










DES ASTRES. 


€ Verseau 
u Verseau..... 


… 


.. 


8 Capricorne...., 


13 » Verseau 


29 s Capricorne... 
32 , Capricorne... 


B Verseau..... 
B Céphée..... 
3 Capricorne 


u Capricorne ..... 


18 A Pégase... 
x Verseau..... 


Q Verseau.......: 


y Verseau,.... 
n Verseau..... 
N Verseau.... 
œ Pégase...... 


x Andromède. ... 


y Pégase. .s... 
4x d Poissons.. 
x Cassiopée 
à Poissons..... 


x Petite Ourse S.. 


23 Poissons 
83 r Pégase 


w Poissons 


æ Cassiopée... .. 


.… 


..3| 0.12.16, 


1. 


23 19 72 Poissons . ….. 


ä Poissons........ 
39 Andromède. ... 


a Petite Ourse S.. 


4 Bélier....... 
œ Triangle..... 


a Bélier....,.. 


« Petite Ourse I 
B Céphée 
à Capricorne 
u Capricorne... 
18 À Pégase... 
a. Verseau,.... 
8 Verseau. ..., 
y Verseau..... 
4 Verseau..... 
41 d Poissons 
x Cassiopée ... 





8 « Bélier... .....2 
57 y Andromède..3 


0 













CORRECTION [e] = a = 
PASSAGE de MOYENNE | = a 7 JTHERMOMETRE. a 5 
CONCLU 5 À 2 = 
| des 2: æ = —_— 2 = 
au 8 ? Œ- 2 à 
: l'instru-| la VERNIERS. | © = 3 + J'inte- | Exté- = 3 
FIL MÉRID: | ment. |pendule. j £ ei ÉUe Eu e = 
- - s. s “OR On: ! " ä 2] 
A 
19-42.51,27|+ 0,22|-15,64/350.17.35,5|- 3,3 + 45,1/52,5 


19.47.20,01|+ 


4120.38.54,77|+ 


20.43.55,13f+ 





0.40.17,81|+ 
1. 3.125,61 


23.38. 1,31|+ 


23.44. 4,82|+ 
23.44.21,06|+ 


4|23.50.54,14l4 


0.31.17,98|+ 
0.40.11,89|+ 
0.53.45,88|+ 
NE RTE 

1.14. 3,32]+ 
1.30.52,46|+ 
1-39.20,00!+ 
1.43.48,33|+ 
1.48:26,32|+ 
1.53.57,00!+ 
1.57.59,861+ 


13. 3. 4,50 


0.12, 4,15 
0.31.11,42 


F+ 





















0,24|-15,70/352.43.50,2|— 3,8 739,2|+13,0|+ 1,2|+ 49,2|48,7 


8.48.26,0[- 3,2 


0,30 8.18.34,2|- 2,9|-38 
0,35 16135. 5502 807 9 
0,31 10.44.33,7|- 3,7 
0,34 14.33.17,7|- 3,5 
0,35 16.13.57,5|- 3,5 738,8 
0,29 
0,07|-15,70/288.53.42,5|- 3,6 
0.34 15.34.11,0|- 2,6 
0,33 13. 1.27,2|— 3,0 
0,24 352.46.55,7|— 3,4 
0,27|—15,85/359.49.36,2|— 2,9|738,5 
0,29 7-18.15,7|- 3,4 
0,20 
0,27 359.40.12,0|— 3,4 
0,30 6.31.28,0|— 3,0 
0,20/-15,711344.23.23,5|— 3,0|738,3 
0,16|-15,70/330.31.57,0[- 4,0|737.8 
0,20/-15,941344.26.30,0l- 3,4 
0,23 351.25.54,5|- 3,6 
303. 5.20,0|— 4,5 
0,24 352. 1.16,2|— 3,3 
270.18.10,7|- 3,5]737,6 
0,26 356. 8. 2,7|- 3,5|721 
0,26 57.571250 — 4,7 NY 
0,26 
0,26 352.45.26,2|- 4,4|721,5 
0,28/-21,68|303. 5.14,5/— 4,8|72r,1 
0,26 352. 1.:16,2|- 4,8 
0,24 318.15.36,5|- 4,7 
0,23 323. 4. 4,5|- 4,7[721,0 
0,24 343. 8.52,5|— 4,8 
0,24 342.34.58,2|— 3,5 
0,23 329.56.46,0|- 3,5 
0,24 341.42.22,0|— 4,5 
0,24 317-15.17,0|- 4,7 
0,23|-21,78]336. 2.22,2|— 4,7|720,5 
267.15.33,2|- 5,0|720,7 
0,43 —27,50 288.53.42,0[- 3,5 720,6 
0,31 15.34.16,5|- 3,8 
0,30 13. 1.31,7|— 4,2|720,5 
0,26 352.46.55,7|— 4,7[720,5 
0,27|-28,10}359./9.36,5|— 3,7|720,4 
0,28 7-18:18,0|- 3,6 
0:55.16,0|— 3,8/720,1 
359.40:17,5|— 3,5|720,0 
0,26 351.25.59,2|— 3,5|719,8 
0,28/-28,171303. 5.15,0|- 4,41719.8 











41.2 
o,6|+1.2 
0,7 +1.5 
o,6|+1.3 


+1.49,6 
0,6 +1.57,7 


o,5]- 2 


41.5 


+ 49,5 


o,2]f1. 


0,0|]+1.22,8 


0,5|+1. 
1,0/+1.2 
o,9l+ 3 


2,0 : 


751$ 


7»2|* 
EL Li 


701+ 137 


6,5|+ 1,64 2 
6,2l+11,51- 5 
9,2[+ 2:0]- 2 

+ 2,7/#15 
8,2|+ 
8,2+ 1,3l+ 4 
7:4\+ 0,Bl+1. 

+ 0,6}+r.2 
6,2|+ ol+r. 
6,2|+ o,2|+r. 





74 
5,7 


1 
41 


5,6153,r 
45 © 


3,3153,3 


3,1 


0,7 


4,8155,2 


7:5|50;7 
4:39 53,6 
1,2 


1,31+1.40,2 


8,1 
1,7[50,8 
0,6 
41 


134 


5,5|- 1:24 46,3 


5,51 1,3k 


9,6151,8 






"UAALVAUASUO 


REMARQUES. 


Très ondulante, 





Très-ondulante. 


Ondulante. 


Très-faible et ondul. 
Ondulante. 
Id. Niv.+3r,68. 
Id. et faible. 





Id. F0 
14:°:- ds 
Id: Id. 
Id. - Id: 
Id. . sidi 
Id. | 


sé Gael Deer mers RL EEE 





61 


Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 1842. 









CORRE 






PASSAGE 
CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


NOM 





DES ASTRES, 






à Poissons........ 
39 Andromede.... 
72 z Poissons....2| o.56.21,32]+ 0,25 
x Petite Ourse S..1| 1. 2.57,63 
LORS Joe ee 4| 1:13.56,83|+ 0,23 





28|x Aigle.......... 19.42.36,93]+ 0,24 
INT EEE 2119.47. 6,10]+ 0,25 
Abu oc Ut 20.35.34,33|+ 0,24 
B Céphée....... 4121.26. 5,341 0,43 
3 Capricorne. ....|21.37.52,52l4 0,31 
u Capricorne ...., 21.44.14,00|+ 0,30 
18 A Pégase... ... 21.51.47,65|+ 0,26 
















n Verseau....... 4|22.26.47,69|+ 0,27 
N Verseau....... 22.34.32,71]4+ 0,28 
A Verseau: : .:42 22.43.55,73|+ 0,28 


y8 b1 Verseau. ...|23.14.13,82|+ 2 
8 Poissons........ 23.19.30,91|+ 0,26 
17 « Poissons... ... 23.31.23,29|+ 0,26 
192 Poissons... .|23.37.52,90|+ 0,26 
23 Poissons ......|23.43.56,26[+ 0,26 





w Poissons......, 23.50.45,95[+ 0,26 
x Andromède...., 23.59.47,74]+ 0,23 
y Pégase. ........ o. 4.40,35|+ 0,24 











39 Androméde. . .4 0.53.37,27|+ 0,24 
72 z Poissons.. ..| 0.56.19,45|+ 0,25 
a Petite Ourse S..3| 1. 2.56,69 
* Poissons,3+14°50/| 1.11.50,29]+ 


nn 









glx Petite Ourse 1..2|13. 3. 4,08 
mAVierse. 3113.16.22,22|+ 
n Grande Ourse...|13.40.46,541+ o 

B Petite Ourse ....|14.50.35,95|+ 0,99 
Mercure, 1er bord. |15.22.13,55|+ 0,27 
x Couronne boréale |15.27.28,28|+ 









o|Soleil, 17 bord....|16.22.46,86[+ 0,26 
| |x Petite Ourse 1..3|13. 3. 5,22 
DNA PE tciee 4|13.16.20,24]+ 0,27 
n Grande Ourse. .4|13.40.44,68|+ 0,41 
B Petite Ourse ....|14.50.34,05|+ 0,99 
æ Couronne bor. .4|15.27.26,37|+ 0,29 
Mercure, 2e bord..3|15.28,11,6814+ 0,27 
















































CTION 





MOYENNE 
des 






“HUaAu up 


NOILOHUMNO9 





VERNIERS. 


—29,89|350.17.40,2|- 
—29,52/352.43.56,2|- 
—29,73|314. 2.17,2|- 
—20,71/288.53.40,7|- 
15.34.15,7|— 


—30,13|330.31.56,7|- 
—30,08|3/44.26.32,0|- 
351.25.58,7|— 
-30,11/303. 5.13,2|— 


323. 3.55,2|- 


g. 4.59,0|- 
334 308./0.16,7|- 
—32,70|283.58.49,0|— 
16. 2.48,0|- 


267.15.34,5|- 
—35,08| g. 4.57,0|- 
—35,03|308.40.19,2|—- 
—34,60|283.58.51,0|- 
-35,00 

























THERMOMÈTRE. 
ee — 


Jate- | Exté- 
rieur. | rieur. 


“HNLANOUVA 
*NOLLOYUAHU 


2,3|718,5 
2,6 
2,3[718,5 






















. 7,8[+10,3[+1.24,0 













8,7 +1 1,3 — 30,3 
+1.50,6 
11,8|+12,2]+ 19,0 


11,3|+12,3]+2.13,2 









3:7|73754 
4:9|737:9 






90 7,0l+1.56,3 











8,2|+10,7|- 3,8/E 

















REMARQUES. 


‘2104 na art 
"MAAILVAUISUO 





- [Ondulante et faible. 









Très-faible. 













Centre au méridien. 





Bord sup. au mérid| 
Faible et ondulante.! 











| 






Ondulante. 












Niv.+4P,19. 


Centre au méridien. 














62 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842. 











*‘synor 





1[Soleil, 1er bord... . 





D 











PASSAGE 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


NOM. 


DES ASTRES. 





B'Aiglent.. .. 2 a 
a Capricorne .... 
3 Capricorne .,... 


u Capricorne... 40Ï+ 

18 À Pégase......|21.51.41,91}+ 0,26 
x Verseau........ 21.57. 7:03 + 0,26 
4 Verseau........ 22. 7.57,29[4+ 0,26 
y Verseau... .....[22.12.57,35|4 0,26 
n Verseau......., 22,26.41,99/+ 0,26 
N Verseau....... 22.3/.26,87 

À Verseau... .:. 22.43.50,131+ 





a Pégase. ........ 22.56.21,43|+ 
y Poissons... ..... 23. 8.26,491+ 
98 b* Verseau... .4|23.14. 7,901+ 
17 « Poissons. ..., 23.31.17,49|+ 


19 2 Poissons. ...123.37.47,25|4 


Uranus, Centre...|»3 
w Poissons. ......123.50.40,13|+ 
23 


a Andromède. ...3|23.5g./42,01 

y Pégase. ........ | 0. 434,45 

41 d Poissons. ... | 0.11.56,29|+ 

39 Andromède...4| 0.53.31,651+ 4 


-2 z Poissons ..... 0.56.13,87[+ 0,27 
x Petite Ourse S....| 1. 2.44,00 
* Poissons,)+14° bo/| 1.11.44,80|+ 
ASE 3} 1.13.48,97|+ 


x Petite Ourse 1..4|13. 3. 3,91 


3 Petite Ourse . ... 14.50.31,b7 + 0,99 
+ Couronne boréale 15.27.24,2014 0,29 


Soleil, 1er bord. ..[16.31.20,84 
INR ASIE 0e 19.35. 9,49 
MHAiple RER. . ht 19.42.29,23 
x Cygne.......l..\20.35.26,3; 
98 b'Verseau....|23.14. 5,66 
3 Poissons........ 23.19.23,0t 
17 « Poissons... ..[23.31.15,09 
19 72 Poissons ....123.3-.41,89 


Uranus, Centre... 23.39.56,07 + 


w Poissons ......, 23.50.37,81|+ 
XXIIL276Piazzi)3|23.57.51,18 

x Andromède...., 23.39.40,00!+ 0,29 
DIPÉPASE. te eiele 

4x d Poissons. .... o.11.44,21|+ 


x Cassiopée... .. 0.31. 1,68{+ 0,46 
39 Andromède...3 0.53.29,59l4 0,34 
722 Poissons. ...3| o.56.11,71/+ 0,2 
a Petite OurseS..4| 1: 2.42,73 


CORRECTION 































MOYENNE 


des 


neaAiu np 
NOILOHUHOD 
*“AULANOUTA 


pendule.| VERNIERS. 





1 


132.23.57,0|- 4,1 
-35,61]348.31. 8,2|- 4,2|737,6 
-35,60|350.17.41,0|- 4,1 
-35,90/352.43.58,7|- 4,0/737,6 
35,48] 11.45.59,5|- 2,8|737,6 
15.34.21,0|— 3,5 
13. 1.347 — 3,5 737,6 
352.46.57,5|- 4,4 
-35,62|359.49.36,5|- 5,0|737,6 
7:18.19,0|— 4,1 
0.55.19,5|— 4,1|737,8 
359.40.21,0|— 3,8 
6.31.31,2|- 4,0 
7. 9-21,5|- 3,6 








À —35,65[344.23.27,0|- 4,11738,0 


356.19.21,0|— 3,7 
19.41. 6,7|— 3,2 
353.58.29,0|— 3,7|738,2 


1.40.46,0|— 2,9 
352.45.23,0|— 2,5 


344.26.33,0|-— 3, 


343. 8.49,5|- 3,51738,4 
267.15.35,0|- 5,3]737,9 
—37,00/283.58.54,0|- /,21738,0 


—37,22 331.50.55,5|— 47 






20.25. 4,5l- 3,8[738,2 
757,8 


1 


5: 


ses 


OU & Wu 
| 
no 
] 
Qc 


© 


—37,761330.31.54,0|-— 
344.26.35,0|- 
351.25.57,0|— 
-37,63/303. 5.12,5|— 
318.15.35,0|- 
344.39.10,2|- 


Gr Gr Go Ur Ur © 
SJ 
Go 
S 
Re 


1 
© 

SI 
A 


M 
+ 
[e] 
+ 
M 
tn 
SCD QS EF Qt OF + 0 O2 

















20.48.23,5|- b,o 737:9|t10.3|+ 6,7|+2: 






















» 





ii 


m 


*“NOILOVUAAU 


4,3| » |[Ondulante. 


5|,9,9| » |Très-ondulante. 
53,9] » Id. 
41 » Id. 












REMARQUES. 


‘3104 na nat 
"UAILVAUISIO 


B. |Bord inf. au mérid. 
» [Moyenne de 6 obs. 






» [Au méridien. 





» |Bord sup. au mérid. 






» |[Ondulante, 








» [Très ondulante. 


63 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842. 








NOM 


DES ASTRES. 


BiMerseau... 2.7. 
BiCEphée 0" 
« à 

à Capricorne 
x Capricorne... ... 
18 À Pégase...... 
33 « Verseau... ... 


ñ Verseau........ 
} Verseau........ 
ENT COCOON 
x Cassiopée 
œ Petite Ourse S... 


19lx Cygne......... 
B Verseau........ 
B Céphée 
9 Capricorne 
am Nierseau... .. +2. 
n Verseau......, 3 
N Verseau. ...., 4 





y Poissons. : . +. 
98 b' Verseau..., 
8 Poissons......,. 
17 « Poissons ..... 
19 #2 Poissons .. .4 
23 Poissons....., 
83 r Pégase. ... 
w Poissons. ...... 
(XXIII.276 Piazzi)4 





æ Andromède..... 

4 js 
y Pégase........ # 
41 dPoissons..... 
x Cassivpée ...... 
q Poissons ....... 


ax Petite OurseS..2| 


x Ophiuchus...... 


BiCypnet er. 


Cercle Est, Niv.+3r,46. Le fil méridien 


Cercle Ouest, Niv.+oP,17. Le fil méridien est de 3v ,42 à l'Est dela mire. 





PASSAGE 
CONGLU 
au 


FIL MÉRID, 


19.42.19,53 


.[20.35.12,67 


21.22.25,91 
21.25.43,27 
21.37.30,76 
21.43.52,52 
21.51.25,91 
21.57. 5,86 
22.11.1041 
22.26.26,07 
22.43.34,21 
22.56. 5,48 
0.30.47,51 
I. 2.209,09 


20.34.44,71 
21.21.58,19 
21.25.15,17 
21.37. 3,0 
21.56.23,97 
22,25.58,08 
22.33 43,24 
22.43. 6,37 
22.55.37,64 
23. 7.42,69 


23.13.24,20 


23.37. 3,49 
23.43. 6,78 


.. [23.43.23,40 


23.58.58,20 
o. 3.50,82 
O.11.12,73 
0.30.19,90 
0.39-14,05 
1. 1.356,67 
17.26.16,86 


19.41.45,13 
19.46.14,01 
20.34.42,07 


CORRECTION 
nt SE 


l'instru- la 


ment. 


© © O0 © © © © © © © © © © 


OMONOMOEOMNOMOMOMNONCMOMNOROMOMNOMOMO) 


OMOrOMOLQ 


(e] 


© © 






de 


MOYENNE 
des 
VERNIERS. 





HCDAIU np 


NOILOHYUOD 


peodule 





—51,461350.17.46,5 
-51 44 


—51,66 


[ 


288.53.46,5 
15.54.21,5 
. 1.36,0 


—79,20 288.53.46,2 
15.34.21,0 
—79,371359.49.41,5 


_9,52|344.23.33,0 
356.19.27,9 


353.58.31,0 
356. 8. 2,0 


-79;49/303. 5.20,2 


352. 1.20,0 








est de 3P,80 à l'Est de la mire. 


On retourne l'instrument. 





‘AULANOUVH 














7 GI 
THERMOMÈTRE. Er ñ 
= e 
> 5 
Oo ea 

#3 
Inte- | Exte- 5 8 
rieur. | rieur. 2 ñ 
o o DSTI 11 


9,6[+ 1,0f- 25,5156,9 
+1.54,0 
+1.49,6 
+ 49,3 


+ o,41+1:19;7 
+1. 2,9 


8,2] o,0]+1.22,1 
73|- 0,5] 9,8/6:,9 
15,54 3,ol+ 1,5/59,0 
13,7/+ 2,5)- 25,5|57,4 
+1.54,2 
12,614 1,7l4x. 3,2159,3 
+ o8f+1. 3,1 


+ 0,5]+1.22,5 
11,7[+ 0,414 36,5/61,3 

+ 56, 

+ o,1]+2.18,5 

o,of+ 5o,o 

+ 51,9 

+ 55,9 

F4,2739 


49,7 


38,3[62,4 


44,5|60,6 
48,6162,0 
1,5|60,2 


On laisse l'instrument le cercle a l'Ouest. 


‘UNAILVAUISUO 


REMARQUES. 





Bord inf. au mérid. 


Ondulante. 
Id. 


Niv.+3P,05. 


Faible. 


Nuages. 





64 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 182. 












PASSAGE 
CONCLU 
au 
FIL MÉRID. 





NOM 

















DES ASTRES. 






(*) 72 z Poissons. .3 
æ Petite Ourse S..2 
* Poissons,9+14° 5o/ 
essuie A 







x Bélier......... 2.39.11,82]— 
œ Baleine .....:.. 2.52.44,27|- 
Soleil, 1 bord..4|17.54.12,30]— 
œ Verseau........ 21.56.19,07|— 
y Verseau........ 22.12. 8,57]- 
n Verseau........ 22.25.53,01- 


À Verseau........ 
& Poisson austral. .[22.47.33,81 





















23.13.19,20| 
23.18.36,35|— 


37 « Poissons..... 


19 rm Poissons . ...|23.36.58,37|- 
23 Poissons ...... 23.43. 1,68] 
83 r Pégase...... 23.43.17,96|- 
w Poissons....... 23.49.51,17 

(XXII. 276 Piazzi).|23.57. 4,60] 
x Andromède. .... 23.58.53,16|- 


y Pégase......... o. 3.45,60l- 
4x dPoissons..... O.11. 7:59 — 
€ Cassiopée....... 0.26.51,82|- 
œ Cassiopée....... 0.30.14,541 








à Poissons........ 0.39. 8,75] 
39 Andromède...4| 0.52.42,66|- 
72 z Poissons..... 


« Petite Ourse S..4 
* Poissons,9+1 4° 5o! 


" Poissons....... 3 
103 Poissons...... 1.29.49.82|- 
« Triangle........ 
BEUBÉMEL--.-.-./4 


(*) A ob 50%, la lunette méridienne a été heurtée près de l’oculaire, ce qui a changé l'erreur d’axe optique et le lieu du pôle 





CORRECTION 


de 


0,25 
0,26 








[+] 
MOYENNE | © 2 
des 21e 
vERNIERS. | © 
DE 
2 
9 u 11 [1] 
354.49.49,5| o 
302. 3.53,5|- 0,2 
280.54.44,2| o 
281.59. 5,7| o 
282.32.58,0| o 
—82,33/289. 5.36,2|- 0,3 
28b.50.47,7|— 0,3 
285.32.5b,0|- 0,3 
283.23. 4,0|- 0,3 
287.39.18,5- 0,3 
285.42.58,0| 0 
283.11. 7,0| o 
o 


342.40.29,7|+ 


0,32|-84,57/265.18.11,2|+ 


0,33 


264.12.32,0|+ 
265.27.30,5|+ 
258.36.19,5 

257.58.33,5|- 


0,51|-85,17|235.58.36,0 


0,27 
0,33 
0,43 


—84,941280./44.24,0 

268.48.30,0|— 
245.26.44,5|- 
271.53.56,7|- 
271. 9-29: |- 
268.59.56,7|— 
287.10.29,7|-— 


272.22.30,5|- 


-84,90/294.31.55,0|— 
—85,10/280.41.25,0|-— 


273.41.56,0|- 


273. 6.42,5|- 
307.52.21,2|— 
280.28.47,2|— 
354.49.49,5 


302. 3.50,7|— 
280.54.47,7|— 
281.59. 8,2|— 
282.32.58,0|- 
295.11.10,5|-— 


283.25.38,5|-— 


0,2 
Ve) 














: THÉRMOMETRE 
La) ee 
3 Inte- Exte- 

+ 2,6[+ 
741,7l11,0|+ 2,6[- 
741,9l 10,414 1,41 
749) o1|+ 18 
740.6] 12,9[+ 4,0 
739.6] 11,8|+ 3,o]-1 

+ 234 

+ 2,0 
739,3] 1:,3|+ 1,8]- 

LATE à 

+ 0:7 
739,2 10,2|+ 0,8|- 
7392] 9:9|+ 0:41 

+ 

— o,2|- 

739,4] g,1[+ oùf+ 








"NOTLOYUAHU 
“4104 na n411 





MAALVAUASUO 


sur le cercle ; pour cette raison on a laissé de côté les observations qui avaient été faites avant la secousse. 





REMARQUES. 


Bord inf. au mérid. 





65 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842. 





























$ = Q = 7 = =] 
RRECTION = me _ 
ne PASSAGE ME de MOYENNE |=© | 2% [rurruonèrne. Ë 5 | £ 
c a) E El 2 
CONCLU 2 > = 
. 7, des 2 ë =} 2 = £ REMARQUES. 
DES ASTRES. : l'instru- la £ 2 = Inté- | Exte- = 3 :2 
FIL MÉRID. ment. | pendule VERNIERS. g æm rieur. | rieur. & à £ 





b. m. s. s. s. 
aBélier........, 4! 1.56.56,841- 0,25 —85,17 
n Bélier .......,. 2. 2.38,06|- 0,26 
22 @: Bélier...... 2. 8. 0,82|- 0,26 
d Bélier......... 2.20.49,20|- 0,26 
y Bélier.......... 2.28.31,541- 0,26 
& Bélier. ........ 2.32. 8,36|- 0,26 



















286.50.51,2|_ 

285.32.59,0|- 0,6 
283.23. 1,0|— 0,3 
287.39.20,0|— 0,3 
285.42.56,2|— 0,6 
















r Bélier. ........ 2.39. 9,30 0,26 — 35,2 » 
78l- 1,3]+1.37,7158,4| » 

ce .25. 99l- 1:7|- 34,1153,3| » 
........ » 

B Orion......... 41 5. 5.36,49/- 0,35|-85,70|258. o. 6,2|- 13,3/- 1,3]-1.22,6158,0| » 





G Taureau........ 5.14.59,50]- 0,24|-85,631294.50.24,0|- 0,5 
g Orion... ..... 5.22.26,07]- 0,32 205.57.47,7|- 0,7 
OTON. ss ssh » 5.26.51,77 - 0,32 5 
x Colombe ..... | 5.32.34,97l- 0,53 
HOrEn--E.--E 5.38.55,511- 0,36 

x Orion........ 41 5.45.17,21]- 0,29/-85,78 
Dragon. ...... 1] 5.51.30,13[+ 0,25/-85,75] 34.44.35,0| o 
Gémeaux..."...| 6. 0.31,78]- 0,24 290.49.16,0|- 0, 
3 Petite Ourse I...| 6.21. 2,54 359.45.15,7|[+ 0,6 
a Grand Chien....| 6.36.50,44]- 0,40|-85,78/2/9.53.30,0|- 















+6.54,3/60,9| » 
12,3|- 1,4]- 22,9 » 
#1. 3,6157,7| » 
13,9 1,8]-1.53,7153.5| » 



















































































x? Gémeaux.. ... 298.35.39,0 + 0,2 = 14,6155,r| » 
x Petit Chien..... 7-20.41,40|- 0,29|-85,81/272. o. 7,0] o — 5o,3/60,2| » 
G Gémeaux....... 7-3410,11]- 0,24|-85,61/294.46. 7,5] o 14,0/— 1,0f- 18,9/55,4| » |Niv.+opP,25. 
a Verseau........ 21.56.16,17|- 0,32|-87,461265.18.14,5|+ 12,9|+ 3,8]-1. 2,3158,3| » 
y Verseau... ..... 22.12. 55 - 0,33 264.12.33,0|+ 0,8 1. 4,9 » |[Faible. 
n Verseau........ 22.25.50,37|- 0,32 265.27.35,5|4 0,8 + 3,2l-1. 2,1 » 
17 « Poissons. ....|23.30.26,03|- 0,30 271. 9.29,0|+ 13,0|+ 2,9/- 30,9 » 
19 m Poissons . ...|23.36.55,57]- 0,32 268.59.52,0|+ o,g +u,7/- 55» » 
23 Poissons ...... 23.42.59,00|- 0,29 287.10.30,0|+ 0,3 + 1,7|- 27,6 » 
83 r Pégase..... 4123.43.15,34]- 0,29 » 
w Poissons....... 23.49.48,59[- 0,30 272.22.32,2|— 0,5 + 1,8l- #90 » 
(XXIIL. 276 Piazzi).|23.57. 1 68 — 0,24 294.31.46,0[+ 0,2 - 18,9 » 
x Andromède..... 23.58.50,42]- 0,24|-87,62 » 
y Pégase......... 0. 3.42,96l- 0,27|-87,72/280.41.24,2|- 0,3 + 1,9]- 36,0/60,1| » 
4x dPoissons..... o.11. 4,89f- 0,30 273.41.58,5|- 0, 12,0[+ 1,7] 46,6 » 
. [6 Cassiopée.......| 0.26.49,16[- 0,22 » 
œ Cassiopée....... 0.30.11,86[- 0,23|-87,68]322. 2.42,5|- 0,8 + 1,414  9:9/58,6! » 
3 Poissons.....,.. 0.39. 6,19[- 0,30 273. 6.40,0|- 0, - 478 » 
39 Andromède...4| 0.52.39,73|- 0,22 — 5,8 » 
72 z Poissons..... 0.5b.22,22]— 0,27 — 36,4 » 
x Petite OurseS..3| 1. 1.490,71 10,8|+ 1,3]+ 52,761,1| » 












* Poissons,3+14° 5o/| 1.10.53,16|- 0,27 
L ICS ERA À 4| 1.12.57,30]- 0,23 














302. 3,57,0| o 










n Poissons....... 4| 1.21.39,18[- 0,27 280.54.50,0[- 0,5 - 35,9 » 
105 Poissons... ... 1.29.46,98|- 0,27 281.59. 9,7|- 0,3 + 0,6|- 34,4 D 
k Bélier... ...... 1.38.14,46|- 0,27 282.33. o,o[- 0,5 — 33,7 » 
x Triangle........ 1.42.42,78]- 0,23 295.11. 9,5|- 0,2 — 18,3 » 
8 « Bélier... ...... 1.47.20,96|- 0,26 283.25.37,2|- 0,3/735,3| 10,2| o,o|- 32,6 » 
g: Bélier … COCER PR 2. 7.58,14]- 0,26 285.32.59,2|- 0,5|735,3| 10,0/- o,1l- 29,8 » 
ÿ Bélier....,....,| 2.20.46,58]- 0,26 283.23. 3,7| o — 32,6 . 
y Bélier..,...,,.,| 2.28,29,041- 0,26 287.39.21,0l- 0,1 - 0,5] 271 D 


16 


66 


Observations faites à ‘la lunette méridienne ‘en Décembre 1842. 





























CORRECTION 







































4 PASSAGE MOYENNE 28 2 TUERMOMÈTRE. 3 2 
£ NOM: coxCLU ee — | = = 2 8 | 
: Lo Es Ce BASS UN 2 |£ 
a DES ASTRES. x É 53 cl a E 
FIL MÉRID. geadule} venniens. | F5 | à | 
ts dés 
b. or. s. PE LT 0 11 
& Bélier... . .. - .} 4] 2.32., 5,71 285.42.56,0|- 0,2 
æ Bélier .......1.. 2.39. 6,60}- 283:11, 9,7|- 0,1 
B Petite Ourse 1..4| 2.49.42,96|+ 0,35[-87,27| 11.32.53,714 0,9 
œ Baleine......!.: 2.52.38,89|- —87:92 269.51. 9,7| 0 
B Petite OurseS.. .|14./49.42,25|- —88,75[341. 8.58,0| o 2 Ondulante. 
x Ophiuchus...... 17.26. 9,12]- 0,27|-80,44[279. 3.12,5/4 0,2 13,44 2,o[- 38,0/53,0 Niv.+or,25. 
y Dragon. ....... 17.51.26,53|- 10,23 —89,82 317.52.25,5| ‘o 14,0l4 3,61+ 5,3/59;,1 
23|Soleil, rer bord...|r8. 2.59,90]- 0,55 243.13:20,7|+ 14,1[+ 4,6[+2:29,3 Bord sup. au mérid.| 
miGygnes..-1:..E 20.34.34,411- ‘0,22 =89,71 
25|x Balance. ..... .|14-40.36,00!- 96,84 | « 
B Petite OurseS..4|14.49.34,31+ 0,47 96,03 341. 8.58,0| o 
æ Couronne boréale|15.26.25,68|— 0,12|+96,62/293.36.54,5| o 
a Serpent. .....1.. 15.34.55,59|- 0,27|-96,91/273.18. 1,0] 0 £ 
æ Ophiuchus... ... 17.26. 1,72] 0,23|-96.85|279- .14.,5|- | » [Niv.FrP,05. 
y Dragon. .....!.. 17.51.19,15 +0,06 +96,92 | » [Ondulante. 





26|Soleil, 1er bord... .[18.16.12,44]- 0,55 1,2 
AIRES OO Le 18.29.50,20!— '0,04]-96,81/305. 0:30,2|— ‘1,4 
À Verseau... .....[22-42.48,50)- 10,39 257.58/29,0|- ‘+,0 
x Poisson austral. - AE — ‘0,64 <97,65 235.58.33,7 2 















» |Bord inf, au méfid. 


AREAS ce ce 22.55.19,90]- 1 0,21|297,39/280.44.24,0f- 1,5 
y Poissons... ...!., 23. 724,09 — 0,30 ? 268.74 246,5 - L'é 
98 6: Verseau. ...|23.13. 6,60]-'0,52 245.26.44,7|- 1,8 
8 Poissons... .. :..129-18.23,71] lo,27 271:53.52,0 E x,4]72 


17 « Poissons. ..3|23.30.16;16]- 0,28|, 
19 m Poissons . .. .[23.36.45,7;|- 0,30 
Uranus, Centre. ..3|23.3943,87|- 0,34 
23 Poissons... .!..|23.42149,00!— 0,24 
83 r Pégase. .. :./123.43. 5,36/- 0,24 
w Poissons..... L: 33.49.38,5 10,27 
(KXIIL:276 Piazza). |23.56.5 1,78] 0,12 
x Andromède.. .. .|23.58/40,28|— 0,12|-97,5 


271. 0-28,0|— 2,4 
268.59.52,2|- ‘2,3 
263.38:14,7|- 2,3 







» [Au méridien: 





y Pégase... .... | lo. 3.82,90f-!0,21|-97,6 
41 d Poissons. . . .| l0:10.54,85|-! 0,26 

£ Cassiopée. .. :. 4 l0.26.39,24[F10,08| 
æ Cassiopée . . . 4. .| 0.30. 1,72]+!0,11|-97.3 
3 Poissons... ..:| 0:38.56,33|- 0,26 


39 Andromède. .. À 
72 z Poissons. . :./| l0.55.12,35/-' 0,21 










« Petite Ourse S:.2| 1. 30:88 

* Poissons,3+14° 5o/| !1:10.43,14[- 6,21 

NE Re .4| !1.12.47,48[- 0,05 

n Poissons... .. ! :.,|!1.21:29,27} 0,21 

105 Poissons... !.: !1.29.36,98[—' 0,21 

4 Bélier....., 4 1°] x.38! 480 ‘0,20 

a Triangle ....!,.|l1.42,32,87| o,x1 

8 « Bélier... .:,:|l1.47.10,08[— 0,19 

y Andromède. . :.3|!1.52.45,44[- 6,02 11307:5643,2[- ‘2,3 

x Bélier.......:.. 156.44 14 0,15|-97;73[589. 5:39,0[-°2,3 

n Bélier... ....,.! "la. 2,25,54)— o.1 11286.50.50,0|- 2,3]  ! 
DrBélier.....08." Ty 748,28 F- o 18 ‘1285.32:56,7l-'r,8[728;2 





67 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1842. 















NOM 


‘sunor 







DES ASTRES. 





piBélier...- 
T Bélier Use cela ns 
G Petite Ourse I..4 
x Baleine........ 





29|G Cassiopée...... 4 
œ Cassiopée 
d Poissons......., 
39 Andromède. . .4 
72 z Poissons. ..,. 
æ Petite Ourse S... 
n Poissons..... .. 
105 Poissons 








æ Triangle. ...... 
8 2DÉLEÉL A. 2 00 + 2 
y Andromède..... 
æ Bélier 
Mn BENET. 
GuBélier:--.:.::. 


BG Petite Ourse 1. .4 
œ Baleine........ 













1|« Andromede. .. .4 
MiPépase. 7... 
œ Cassiopée. ..... 
x Petite OurseS... 







y Dragon....... 417.51. 9,01 


CORRECTION 

PASSAGE 4 

CONCLU 
au 





la 
pendule. 


l'instru- 
went. 






FIL MÉRID, 


b. ms s 

2.28.18,98l— 0,17 
2.31.55,70{- 0,18 
2.38.56,90!- 0,18 
2.49.33,31)- 0,47 
2.32.29,03|— 0,29 
3. 1. 4,10! o,18 
3.10.56,40|- 0,53 


0.25.31,33]4 







0.29.54,15{4 o,11 
0.38.48,65|- 0,26 
0.b2.22,11]- 0,02 

0.55. 4,641- o,21 

I. 1.21,20 

1.21.21,7D|- 0,21 
1.29.29,56|- o,21 
1.37.56,96]- 0,20 
1.42.2B,27/- o,11 

1.47. 3,46f 0,19 
1.52.33,98|- 0,02 
1.56.36,68]- 0,15 

2, 2.17,96!- 0,1 

2. US = © 18 
2.20.29,16|- 0,19 
2.38.49,28]- 0,18 
2.49.26,59- 0,47|-104,96 
2.52.21,55|- 0,2g/-105,20 
3. 0.56,58]- 0,18 


17.25.b1,84]— 


23.58.27,83|- 


0. 3.20,34]- 0,21|-110,19 
0.29.48,86|+ o,11/-110,11 
1. 1.13,10 





















MOYENNE 
des 


VERNIERS. 


281.59. 7,0 
282.33. 1,0 


269.51. 8,b 
285.30.23,0 


o|Soleil, 1° bord... .|18.33.47,60|- 0,55 243.29. 8,7 
x Céphée....... 1/21.13. 0,65l+ o,18 —107,06 328.17.13,7 
B Céphée....... 2/21.24.46,581+ 0,32|-107,00 336.14.13,0 
œ Verseau........ 21.55.56,23|- 0,32|-107,35/265.18.14,7 
a Andromède....3123.58.30,51|— o,12|-107,31 
y Pégase. ........ 0. 3.23,02]— o,21|-107,52|280.41.2/,0 — 2,0 
a Cassiopée.. . 0.29.51,60l+ o,11|-107,39l322. 2.47,5 - 2,2 


322. 247,7 


354.49.57,0 





NEDAIU up 
NOILOHUUONY 








*AULANOUVH 


















THERMOMÈTRE. 


. REMARQUES. 


Exte- 
rieur. 


lote- 
rieur. 


‘3104 na nar 


*NOILO VUAAU 


| "VOALVAUASUO 

















































Ondulante. 
» [Niv.+iP ,04- 











Bord sup. au mérid. 
























Niv.+1v,55. 













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Oh Om +58016 
Avril 25 47°,08 42/,9 
28 47,13 43,8 
29 47,28 44,4 
Mai 10 46,89 37,7 
15 47,04 40,9 
16 46,9: 35,6 
18 46,86 37,2 
23 38,2 
29 47,0b 42,0 
uin 2 47,24 35,8 
4 46,77 36,5 
6 47,06 42,0 
11 47,25 42,9 
Moyenne. 47,05 40,00 
| } Pécase 
Oh 5m 111048" 
anv. 29 6,16 19,7 
Juin D 6,24 17,0 
| 6,45 16,7 
Nov. 3 6,3 
19 6,27 17,5 


69 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 








æ& ANDROMÈDE. 

ob am 428013! 
Janv. »9 13°,95 5,5 
Févr. 5 13,78 5,5 
g 13,86 1,9 
IL 13,91 2,0 
Mars 4 13,77 1,0 
14 13,78 9,1 
Avril 21 13,83 4,6 
Nov. 3 13,98 6, 
19 13,92 9,2 
28 13,78 3,6 

Déc. 1 13,98 
2 13,97 8,8 
19 13,98 4,4 
21 13,97 254 

22 13,90 

26 13,80 

30 13,98 

3r 13,96 
Moyenne. 13,89 4,62 


B Cassrorée P.S. 

ob Om +58016/ 
15 475,15 43,5 
16 46,96 43,5 
26 46,85 39, 
3 47:04 40,3 
5 47,04 38,7 


Mai 


uin 


Moyenne. 47,01 40,9b 


B CassioPée P.I. 














y Pécase Kw x CassioPéE P. S. (suite). à Poissons. M' (suite). 
5m 4qois" 0N51m 455010" Oba0m 46015" Ah{am 455004! 
Nov. 28 #5 ,39 16/,2 [Avril 28 345,71 10!,0 [Nov. 19 205,37 21/,7 [Déc. 21 20,523 51,8 
Déc. 1 6,39 15,3 [Mai 14 34,70 13,6 23 29:36 25,6 22 20,12 12,5 
2 Le di D a 2917 24,1 26 20,28 13,3 
19 à 1 14,7 28 29,35 22,0 = 
21 6,35 :9,4 17 34,64 12,6 |Déc. 19 2941 23,2 Due sn 
= PL a Le 34 Fe au 29,26 a n Poissons, 
2 28 14,0 2 »72 10 22 29,39 25,7 
30 6,34 18,1 28 34,89 11, 26 Ut 26,7 4h25m 444051! 
31  6,3r 30 34,79 13,6 29 29:19 27,7 [Déc. 20 2,10 41",t 
Moyenne. 6,33 17,21 | : 31 cn 13,0 Moyenne. 29,33 24,95 eu 240 e 
uin 2 72 22 À ; 
41 d Poissons. 3 34,75 11,4 39 Anprowèpr. 26 2,16 46,8 
oh{2m 47018! ; STE ue Oh5am +11029! 167 OR 
e , 2 Î 
Nov. 19 285,32 44!!,2 8 3403 er Nov. 23 25,82 ue Moyenne. 2,16 44,14 
RC 9 HG 18! 7 Ag 83] 105 Poison. 
? 7 Le 99 > ? ? 
Déc. 1 28,21 40,7 4 375 "86 EE ee se re H5936! 
2 28,11 43,6 34,75 2 ,06 38,2 [Nov. 23 95,60 :/,7 
19 28:23 418 à : Le 14,4 21 2,85 38,7 Déc. I 9:99 2,6 
21 28,28 41,4 [Nov. 19 k 84 22 2,60 45,8 20 9,78 4,1 
22 28,24 44,8 24 3480, 1311 26 2,87 41,9 21 10,02 6,1 
26 28,12 40,7 27 3471 11,6 29 2,2 43,4 22 9,86 7,9 
Moyenne. 28,25 42,42 28 34,76 10,8 [Moyenne. 2,80 41,08 26 972 ; 
e | Déc. 2 35,07 12,6 29 7 D 
€ Cassrorée P. S. 8 34,65 8,6 72 = Porssoxs. Moyenne. 9,83 5,14 
È 19 34,97 76 0h56m 41405! 
0h28m ; 
DAMES 21 34,84 9,2 [Nov 27 455,08 38,8 4 Bérrer. 
22 12,25 a Fa ve 28 4521 39,9 1h39m 416040! 
Tab me 312 13,1 [Déc. 1 Fi . Nov. 23 375,08 55/,7 
29 L2;11 35 34.88 14,9 ie ie 38,6 20 37,21 p7# 
CET ’ 21 oO 
Moyenne. 12,29 31 14,9 21 de . F9 22 37,32 sie 
; Moyenne. 34,79 11,03 22 2 1 6. 3718 
G Cassropée P. I. + à 26 15% fé 3773 58,8 
h m 2 nl | 
À: Sid . a Cassropée P. I. 29 °9 1 Moyenne. 37,24 57,42 
Le È oh5im 455040! Moyenne. 45,30 40,2 
i 29 12,04 Avril or 3480 147, eo œ TRIANCLE. 
Moyenne. 12,05 23 34,80 5 1bAAm 428048" 
25 34,95 3, 12m #14°50'Tranv, 29 55,31 23/6 
œ CassioPée P, S. 28 Me 133 Nov. 28 15:,96 Fév. à 5:43 22,9 
oh5im 455040! 29 34,83 15,0 [Déc. 1 16,55 5. 5,34 25,3 
Janv. 29 34,76 9" Mai 9 34,56 es 20 16,08 12005208 23,2 
Mars 2 24,63 11,5 10 34,54 6,3 21 16,15 Nov. 23  D,1r 21,1 
4 34,46 Das 15 34,87 22 16,17 Déc. 20  b,42 
13 34,79 id4 16 34,62 5,7 26 16,09 21, b/9027:9 
14 34,50 12,0 27 ane 7:1 Moyenne. 16,13 Le ni 
25 3/ ; 29 732 2 , 24, 
Avril 17 3440 . Juin x NE 5,7 M" 29 b,28 7x9, 
20 34,87 11,3 2 34,82 7,0 ib{am 455o11']Moyenne. 5,35 22,16) 
21 34,90 10,6 3 34.80 8,9 Inoy. 23 20477. 8/,0 8, Bi 
22 34,91 13,9 4 HU = 27 20,12 10,1 « Béurer. 
23 35,03 7,9 5 34,87 7 28 20,02 13,4 1bagm +702! 
24. 34:76 Moyenne. 34,76  g;r5iDéc. 1 20,22 Nov. 23 435,34 341,4 
25 34,84 13,4 20 20,30 6,7 [Déc. 21 43,69 39,0 


70 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 





8 « Bézxer (suite). 





22 0: Bérer (suite). 





r BéLiER (suite). 


1bagm 41702" 2h gm +19°9! 2ha0m +16°48/ 
Déc. 22 43,74 37",8 |Févr. D 20586 63/,6 [Févr. 3 29,05 13",5 
26 43,70 36,0 [Déc. 20 20,82 60,3 5 29,01 10,9 
29 43,57 35,2 21 20,77 62,6 [Déc. 20 28,80 11,3 
TITRE 22 20,76 63,1 21 29,13 10,7 
Moyenne. 43,61 36,4 SO ARUS ou7 26 Da Se 
57 y ANDROMÈDE. 29 20,92 62,6 CO ONE 7 
(h5am daioa! Moyenne, 20,84 61,51]Moyenne. 29,06 11,56 
HS e se di d BÉLIER. e BÉLIER 
io 13 64 Fu 2h29m 41720" 2h50m 420042! 
Moyenne. 13,55 3,73[ 2" 28 9,19 8,1 |Févr. 3 xxs,21 17/,1 
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5 Févr 1 BALEINF. 
œ« BÉLIER. 9; PAU œ 
5 L1 3,3 _ L2 
4l58m 429092] Déc. 20 D 05 87 ae dau 
Janv. 29 165,65 43,6 SO; LT 3,0 Lepore r OAE 
Févr. 3 16,69 44,0 22 9:16 6,9 7 : “x Dar 
» EVE 1 
5 16,69 fax 29 9,08 6,7 $ ‘ 
o me es Moyenne. 9,08 5,89 14 1,53 57% 
20440,71 4 “ 
A CURÉ Te 156 4 15 1,53 59,7 
15 1688 45, LS our 19 1,60 57,3 
18 16,87 Es 2h99m 424046! 20 1,51 59,8 
22 16,70 44,6 [Manv. 28 515,20 26/,8 al ie Al 
25 16,59 46,5 29 b1,27 30,3 22 1; 7:9 
Mars 3 Hat 438 Févr. : Rue 28,0 Le 2 LA a. 
4 16,80 1,2 1,27 28,5 |PEC- 44 97) 
14 16,94 ne Déc. 20 81 3 26e 22 1,57 37,8 
Juin 9 16,75 44.9 D, 70 : TEE 546 
10 16,69 43,3 22 br,47 28,0 RE Na ER 
LI 164 4o,2 26 51,39 26,1 |Moyenne. 1,53 57,39 
No. 5 106 486 Jieyeme F3 270] à am, 
2 37 1 
Déc, 20 rs 43,0 u Béuier. à Fe 2m +{907! 
21 16,7 Lu. on, any. 2 ‘,22 30/,6 
26 1Gye gl ae pe 29 366 25,7 
29 16,65 45,1 ir 2 got 2754 Févr: :3 36,14 26,3 
NN 20 2007 3 
Moyenne. 16,69 45,78 1 98,17 8 de UE 226 
" Bérrer : ar a D Sax De 
ab 5m 490°971] 5, Re se es Per,28 ue 24 
Janv. 29 575,98 541,6 ES me : *9 es 2e 
Févr: - 28,0 544 Te Moyenne. 36,24 27,26 
pu 878) ae suS5m 49035! 36 Eripan. 
21 88.00 DO Janv. »8 65,95 b7!l;7 5b19m -22090" 
202008 ;r38053;4 29 7,11 59,0 |Févr. 15 28°,86 10,6 
29 57,94 53,6 [Févr 3 7:18 60,3 [Déc. 26, 29,21 13,5 
Moyenne. 57,98 53,97 Moyenne. 7,08 59,00]Moyenne, 29,03 12,05 
22 Ô! Bérrer. r BÉLIER. a PERSÉE. 
2h 9m 44999" 2h40m 416948" 3h{5m 419047 
Janv. 29 205,93 Gr',0 Janv. 28 29,00 111,7 [Janv. 28 4°,54 36",2 
Févr 3° 20,84 59,2 29 29,03 13,2 20 D 4,47 369 


œ& Pensée (suite). 


5h{3m +419017/ 5bA7m 422902! 
Févr. 14 4,40 Eévr. 20 42°,38 41!,2 
21 4,49 36,7 21 42,31 43 
2s où ss Moyenne. 42,31 41,82 
Mars 24, 4,52 35,6 36 Taureau. 
Juillet 1 4,30 36,0 
3 448 5h5am 423959! 
6 4,68 33,5 [Févr. 3 55,17 55",8 
7 470 35,0 5 55,30 54,3 
vo 4,65 14 55,20, 55,2 
18 4,65 37,3 15 EE 59 
— En aps 17 ,19 
Moyenne. 4,53 36,32 19 55 519 
: 20400, ,0 
66 Béier. 2e RES Es 
5b{gm 492915! TER AGE E: 
Févr. 5° 4283 a4n, Moyenne. 55,26 54,61 
14 13,13 17,5 p Taureau. 
15 13,00 
— ab 6m +8°29/ 
Moyenne. 12,99 16,93], -8 57552 281,3 
9 Taureau. E - 738 7e 
3h27m 422041! 10 57,50 26,7 
Févr. 5 41,09 1",1 14 57,59 25,6 
14 41,00 0,2 1b 157:b3 0 20;9 
ATEN) 17 57,64 26,1 
EYaeR 7/0 18 57,71 29,6 
Moyenne. 41,08 1,40 . Re 8x 
20 57,40 28,b 
n ae te 4 re 268 
5h38m +25°56 ETES rl 
ns 28e ar. Moyenne. 57,53 27,62 
2 6,31 39,5 
Févr. 3 6,15 41.1 } Free 
5 6,02 39.5 ahiom 415°14! 
14 6,13 39,2 Janv. 28 48°,37 28/,2 
15 G,rr 4o,r |Févr. 3 48,41 25,8 
17 6,07 40,0 5 48,32 24,7 
18 6,27 40,3 10 48,60 26,9 
5g 6,19 4o;,r 14 48,48 26,4 
20 6,25 42,6 15 48,48 26,3 
21 6,23 41,6 17 48,61 29,3 
22 6,06 41,9 18 48,53 27,6 
25 6,22 40,5 19 48,47 30,2 
= 20 48,49 25,5 
Moyenne. 6,15 40,70 Gé 4802 ne 
33 Taureau. Moyenne. 48,47 26,99 
3ha7m +22°42" 62 Taureau. 
Févr. 526 49" 
+4 : , Vol ab{am 424955! 
14 42,30 42,6 |Févr 3 28,59 37/,4 
1540/4230 4172 14 28,63 36,7 
17 42,37 41,5 11 28,60 36,5 
18 42,29 42,0 17 28,71 36,3 
19 42,30 41,6 ÎMoyenne. 28,63 36,72 








33 Taureau (suite). 








71 


y 5 t p ant l annee 184 ré, iles au anvier de celle année. 
Positions moyenne. des ê oùles ob 
Servees end à, du Les 1 J 
{ B 


















































69 v’ Taurrau 
AU. TiTaurran Kant 
anv. 28 IR nr : ah a Cocxen. dE 
av: s 6 : , 9m 492958" RION ite). 7 

Févr. 18 Fe nu: Féxr.|15046f,08 Son. Janv. 28 7 se 5h Sud B Taureau (suite). 

19 51,53 57:9 4 46,05 50,5 : : 1 5 Mai 18 te 5b{6m ee ; 
Ve Li 19 1016 51,6 (Févr. 3 163 Juin 3 56,86 . 0 Bars 
sb Bo EE I: ; 

Put cul dose OR te ne Castle 107 Res Ba 6 
25 46,28 ee 14 1,58 . 56,73 a ÉC. 21 18,44 59,3 
1,32 17, 120 69 21 ; 
ahigm 115930" 09 : 7 
Févr. 15 38669 54m | C6: A.8. C) C Lane, 16 5673 200 | rm 
17 38/0! 5 . C.) Cocxer. Lo sh 28 SEBo R * “ 5higm 495097 
19 38,80 5e 8 r Ab49m 42757! . Ér Août L 56,76 RE evr. 3 335,21 57 a 
20 38,76 531 Févr, 17 5542 351,9 25 1370 2 56,68 22,3 15 3398 565 
21 _38,90 53,0 18 55,47 38.2 Mars 29 1,7 | 4 56,84 2219 17 33,39 56,6 
Moyenne. 38,81 54314 19 55,42 36,9 Avril 17 50 Déc. 21 56,62 as 18 33,27 848 
43 20 55,35 37.9 18 1,53 Moyenne. Er 19 33,17 59,r 
œ Taureau 25 20 38,3 ee 1,48 371 20,99 25 ee 59,8 
ÿ _55,41 35,4 2 1,3 : _935,09 59,2 
Abo6m 416044! Moyenne. 55,43 37,1 29 mr: À Lièvre. Moyenne. 33,22 57,55 
Jany. 28 51°,57 8",9 7:10 Fa 18. 232 3 5h{om 15020" 7» 
2 5 ? ; uin 23 évr. 17 17° se ; O 
Févr. 5 BUS de LA Bo oi Juillet 3 ee 18 pa Me + LL 
5 5153 66 [re abagm 424°27/ As 19 17375 42,5 Manv. 28 EE 
10 51,60 Févr. 3 29,53 9 16 20 1789 4 5,92 16/,2 
A ; 953 59/,0 +07 " 7 042,6 1140679 56,03 15,5 
51:57 6,3 10 29,59 9,4 10 1,74 1 17,82 43,8 Fer INTER S ; 
Te M 14 2903 BB EEE M Pa 8: Fo Lie 
8 51,55 12,4 15 29,91 61,2 14 1,71 oyenne. 17,86 42,08 10 ed ne 
5058 7,6 17 29,55 Go,5 1 1,70 Se 
19 br,69 8,5 18 29:78 58 / 16 1,67 G Tav 17 »19 18,0 
20 51,58 19 2965 6 € 22 1,78 REAU, Ne 1931 
21 51,60 % 20 2 245 ru 28 1 49 5hi6m 498097" i EROE 173 
l , 25 51,62 Bn A rs 58e Août 1: 1372 Janv. 28 318°,65 a 3 FRE 179 
Bunl 17 51,6 : 25 29,64 & 2, 241:0 29 18,58 Ge ; 119 10,0 
| 25 5r 18 De Mo _29,64 7 60:27 4 He Févr, à 1846 A re 56,19 17,6 

L 36 Hé) ne yenne. 29,59 59,73 Déc. 21 “EE 5 18 20 ne Les à ue 19,9 

D che: [re 5e y D 2 
7 51,59 e e TAUREAU. ë 14 18,44 ? > » 20; 

ski 5 ? 2: = 56,17 17, 
16 8165 FA Févr. 15 39°,35 31,9 HSE T 18 1848 294 Moyenne. 56,10 17,75 
18 51,59 2 4 39,44 31,2 Janv. 28 565.6: = 22 ; 19 18:38 630 17 
22 DE qd 15 39,34 28,9 2 Gt , PTE É € Oro. 
9 6% 19 39%: 3 9 70821702 9 60,6 
Î 230 51,64 | 9,2 “rs AT 29,8 Févr. 5 56,68 ? Era (A 618 SR 1 
Î| 27, Dr,D/ 6 e 944 31,4 re EEE 05 18,45 62 Vans. 20 12889 3106 
L éc. "21 Br,48 7 25 ce 32,2 m7 86.68 210 Mars 29 18,50 Fe FAR LO 1168 : 6 
Moyecne. 8155 Emo A ta RS sb avril 14 18.55 61,0 Avril 14 1195 307 
:5o|Moyenne. 39,38 30,90 17 56,67 185 17 18,52 62,0 17 12,01 316 
i : Li 4 = 10; 2 11, De 
Ah59m 422938/ hs dr 36 66 L 9,8 HD LT 839 one Déc. 21 11,79 3 : 6 
Janv. s ax Ab5gm -29°35! 26 ñ ’ N D l he 1308 
Far è en rat Févr. 21 46,42 ne “ EU “é Juillet 3 Re ie loyenne. 11,88 30,73 
Me] , 194 21; = , 
10 46,16 sen 25 4664 182 Mars 29 56,57 20,5 9 1856 58,7 Corne 
0,7 |Moyenne. 46,53 Avril 18 56,64 ? 1101 58 
[4658 1840] 25 56,54 22 22 1848 586 5h53m -54°9/ 
Ea 19,3 3 ii 58,6 Janv. 2 55° 9 
23 18,54 59,9 [Févr 2 8 176 411,3 


14 46,22 499 
Août 





29 56,77 20,7 






1 18 
#47 60,4 5 5567 


72 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 















a CoLomse (suite). æ« On10x (suite). n GÉMEAUX. a GranD Cuiex (suite). G GÉmEAux. 









5h55m -54°9/ 5ha6m +7°22/ 6h 5m +92°39 6h38m -16°50" 6b5am 4+920°47/ 











































Févr. 15 555,84 441,8 [Mars 2 375,07 18/,4 [Févr. 15 205,34 46,3 [Mars 2 11,20 17//,1 |Févr. 18 44%,05 42,6 
17 55,85 50,0 29 37,06 15,9 17 20,39 46,3 3 11,22 12,9 20 44,15 45,1 
18 55,85 46,9 fAvril 14 37,05 16,8 18 20,40 45,8 4 11,36 146 21 44,06 
20 55,76 44,0 17 37:10 13,9 21 20,40 44,8 14 11,18 17,6 JAvril 28 43,97 42,4 
ar 55,71 45.6 18 37,07 15,0 25 20,48 45,7 29 11,15 14,7 Moyenne 41,06 43,34 
2500) D 0 20 36,97 17:5 Moyenne. 20,440 45. 78lavril 14 11,24 19,7 Er 11 
Déc. 21 55,62 44,2 3094 Fe ; Ê 21 II,II s ÉcRE 
EL, Jp 2 11 16, : 22 11,02 20,8 : 
Moyenne. 55,74 45,13 # do in: p GÉMEAUX. 23 1113 177 Thom 499045 
132 B Taureau. Mai 11 37,04 16,1 7 6b13m +22°55" 28 11,16 Févr. 20 41°,09 60/6 
17 37:13 14,8 Avril 22 24°,10 :5/,5 29 11,06 20,7 [Avril 14 4o,73 58,6 
5h59m +24°30" 18 37,03 16,2 23 23,83 13,7 [Mai 9 11,20 14,9 17 4o,;gr 60,6 
Févr. 3 295,29 28/,0 [Juillet 2 36,94 15,4 28 23,96 17.8 15 11,26 17,2 21 40,94 60,9 
5 19,1 32,4 3 37,18 13,6 29 24,07 14,8 16 11,40 16,6 22 4o,8o 64,1 
10 19,26 29,1 6 37,12 17,6 [Mai 9 23,79 20,4 17 11,32 18,0 28 4o,79 59,4 
15 19,44 26,9 8 37,01 15,9 11 24,07 20,7 18 18,8 29 1083 
17 19:49 2 9 37507 1754 16 23,94 1821 23 11,26 16,6 Moyenne. 40,87 60,3 
15 1999 + 13 37,08 17,5 Moyenne. 23,97 17,30 Juin g 11,19 206 
20 1949 299 14 37:00 17,4 10 10,99 19,5 É c 
21 "19,92 26,3 15 37,02 15,4 Crete. 28 11,16 15,7 BG Perir Cnie. 
25 19:27 279 16 37:17 11b,7 7 29 11,22 13,1 7bigm 48056 
27 19,30 22 37,09 17,1 ; 6"28m #16°51/ [Juillet 6 11,23 17:1 [Avril 14 345,73 5"4 
Moyenne. 19,35 25,88] k 23 37,15 17,6 Avril 14 34,93 37,0 7 11:13 16,7 17 )6 
Août 1 37,21 13,4 |, 17 34,94 35,3 8 11,19 16,2 Fi 
x Or1ox. 2 37,07 22 34,92 33,6 15 11,31 17:20 _. 
AR: 4 37,05 174 23 34,81 36,0 23 11,39 15,3 52 
5h40m -9°45 8 37,03 15,3 28 34,87 33,6 fAoùt 2 11,23 18,6 28 
Janv. 29 15,86 53/,6 9 36,97 15,4 29 3,05 33,4 6 11,26 29 


Déc. 21 15,64 52,8 12 36,99 16,2 [Mai 9 34,68 38,5 8 11,13 13,5 [Mai 11 


























Moyenne. 15,75 53,20 14 37,00 14,4 11 34.96 33,6 oUans2r003;2 : 
di »7 3 15 a Are 16 34,91 377 EE 128 5e Moyenne. 
136 C Taureau Déc. 21 37,07 17 34,87 36,8 14 x1,27 4,0 . 
s : , D LE RER 4 AIR 37 14.5 a? GÉMEAUX. 
Ro DE de OR Et niaun fra 
Févr. 18 235,8: 1 : 20 11324 15,5 : s fl 
20 23,93 10,1 2 GÉMEAUX. c GÉMEAUX. ee _. 138 Avril se. Ca a 
21 23,96 6,0 5h57m 425058 6h5am 495946 22 11,24 13,7 M 
25 23,87 3,8 révr. 5 105,77 46/,9 Févr. 20 12°,66 54/,1 23 11,26 12,7 23 30,31 43,7 
27 923,82 15 10,63 448 21 12,48 53,2 27 11,11 18 28 30,46 43,4 
Moyenne. 23,86 6,30 18 10,74 42,7 Avril 14 12,55 5r,2 Déc. 21 10,95 19,0 29 30,43 43,0 
20 10,82 48,6 27 27 49:9 Moyenne. 11,21 16,54]Mai 11 30,29 40,5 
RION 217 10,73 45 22 12,70 48,5 16 30,30 41,4 
AO È 2 23 12,52 51,3 FA É ! 
2 10, 4 ’ ; ! PE 1 0,2 0,1 
5bA6m 47°29/ ? 8 5o.8 38 e! Gémeaux. 
Janv. 29 375,14 14", M A ES A . 50.8 6ba5m 45022 | 1 A ie 
ï 3 4 - Moyenne. 10 : ! 
Li è s7ne 147 L 7 Hi Le Be 52,0 |Févr. 20 43,70 20/4 | . 23 30,36 40,8 
d ; Moyenne. 12,53 51,29 o1 43,65 21,1 Wuin 2 30,36 40,3 
10 37,09 18,2 5 GÉMEAUX. 438 RER E - 5 4 30,31 
L oyenne. 7 
55 a pa 6b 4m 22°96/ a GRAND Cie. Fu re : EE AC 
À 7 30 0, 
17 37,04 ,16,0 Févr. 20 5os,g4 s 6h58m -416°30' « GRanD Cuiex. 8 30,33 42,3 
18 36,97 13,4 28 50,93 55,9 révr. 14 11,22 16/9 g 30,31 40,0 
20 37,05 16,6 25 50,89 56,9 15, 11,25, 1735 ghiga= 10 30,22 41,9 
TND IT DD 27 50,85 180 rx : Févr. 20 24,92 À € 
16 9 
; Po Déc. 21 50,96 53 Dre vi PE Ub 
25 37,26 16,0 . »9 »9 20 11,20 20,2 21 24,78 Juill. 28 30,50 37,9 


27 37,14 Moyenne. 50,91 55,57 21 11,13 14,4 IMoyenne. 24,85 Août 2 30,43 38,2 





73 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 





æ? GÉMEauUx (suite). 


7b2am 452913 
Août 4 30,55 44/',7 
6. 30,44 41,0 
8 30,53 39,7 
9 30,53 39; 
| 15 5o ,39 41,5 
17 30,46 358,2 
| 18 30,42 39,4 
| 20 30,48 Lo,3 
| 21 30,47 4o,3 
| 221 30,44 42,4 
| 23 50,29 40,6 
Déc. 21 39,2 
| oyenne. 30,40 41,09 
| 
{L 


69 uv GÉMEAUX. 
7h26 497044 
éyr.. 21 105,70 30/6 


| 
| 
(l 

| 
| a PEenir Ciex. 
| 7h3im 4537 
|! 


lFévr. 22  1°,49 27,6 
ars 29 1,48 
A vril 14 1,42. 28,0 
ni DARODLS, 27; 
| FRAME sta 
22 1,59 28,8 
23. 1,51 29,6 
| 28 1,45 28,9 
- 29 1,65 27,9 
MU TI. 1,97) 28,3 
16 1,58 27,7 
17. 1467 28,0 
18, 1,61 28,5 
Mu bb, 31,2 
2220 153 25,8 
vin 2 148 27,3 
4), 1574, 2951 
TE 3502 
8 = 28,0 
1, 29,0 
À 13 Es 
Dusr. 1593 2734 
mil 28 1,66 29,2 
M 150 25,7 
6 1,55 25,6 
8 1,68 26,5 
9 1,44 26,2 
12 1,68 28,6 
13. 1,56. 26,0 
TAB OUT) 
1), 1,43 2731 
16, 1,67, 26,6 
| 17, 1,66 26,2 
18, 1,53, 26,1 
20) 1,54 27,0 


œ& Psrir Curex (suite). 


25 d? Caxcer. 


83 q Caxcrr. 


11 SEXTANT. 





7h51m 45237! Sh46m +17033/ gb{0m +18022 gag 
Août 21 15,59 28/,2 [Mars 29 525,83 43/,5 [Avril 7 g‘,21 19/,0 fAvril 18 455,06 
22 1,62 26,5 [Avril 14 52.65 44,8 18 9,24 18,4 19 44,99 
23 :,49 25,6 17 b2,77 44,5 19 ce FE 20 45,03 
2700 258025, IMbyenne. Bay hall 20 934: 15,5 21 4493 
Déc. 21 166 29; Byeane "HEy\ "4427 21 923 19,8 22 Ha 
Moyenne. 1,54 27,65 FE FO Moyenne. 9,26 17,66 2 ire 
A L 
G Gémeaux. D Ru TERRE 29 44,92 
bas togse sr Plats. 209, 24 ablLE M mrrc 
Fé Fe A Avril 14 She 2754 ohtgm -7o5g" | °7ennE: 490 
RE & 72 17 34,78 27,7 [Mars 22, 495,31 381,8 
Mars 29 38,33 5,5 18: 34 86 25,3 29 496 38,8 r Liox. 
Avril x4 38,28 3, re 25 38° Fe SA 
31.58 vril 18 49,35 38,0 gb54m +8°17 
ÿ es Lu Moyennes 34:78) 26:70 19 12 De Avril. 18 5us,55: 58/,r 
; A 20, 49,48 37, 19: 51,46 56,6 
F= ee ee 47 0) Caxcer. 21 49,18 41,6 20 51,52 52,2 
28 0 d: 8h55m 448045! Éà et se 21 Deus 56,4 
29 38,23 6,1 [Mars 29 41,90 49,3 e A Le 22 51,48 53,6 
Pile ee Nr: tee à sig à _ 28 49,25 38,8 GÉMET 
16.386, . 7.8 88. 49.6 [Mai 9 4928 329 28 Si4t 544 
Se D] de dal se M] 2 Si 5e 
18 38.23 é 19 Frs 77. 46.8 16 49:24 4254 Moyenne. 51,48 54,80 
21 381 de 20 En8r 47:9 2 AE ne , 
23 38:18 4,8 28 NE 46,2 26 1935 391 ee 
Juin à ne Da Moyenne. 41,84 48,08]Juin 1 49,37 40,7 omis 
7 3817 LÈ 6 >C Moyenne. 49,30 39,88]Mars 22 56,97 11/,1 
LASER NET CADRES Avril 18 57,00 10,9 
10 38,16 8,9 8higm 46011! 14 0 Lion. 19 Li 9.6 
11 38,28 8,5 Mars 29 45,28 1/4 ba g°5c: 201 57,11 10,7 
Juill. 28 38,30 5,2 [Avril 14 45,17 3,4 Avril 17 49565 95". 22 56,94 11,6 
Août 4 5,1 17 4531 38 REA LE 2H 22 57,04 9,9 
6 38,26 5,4 18 45,33 1,1 io 4266 58% 23 57,04. 15,4 
BR 20841 6.0 RE 7 9, 42,66! 26,5 28 56,92 11,7 
380. 73 [Moyenne. 45,27 2,42 20 42,69 24,6 29. 56,91 8,8 
9 ein 73 229 42,558 28,5 6-0 dE 
12.138,30, 534 - 20042607 25,5 Mai 2 prie 10,9 
13 38, 28 49 a* Cancer, 23 ee a 1 26;90 10,1 
14 s. "#4 TE 8h19m 42027! 28 fes 26,1 . Pa . 
: HE De Hp 5033 521,4 25 42,59 26,9 Juin : 57:06 _. 
? ; 20 50,35 1 [Mai 1 2,66 26,2 = 
17 3826 38 MON ANUM  AUre e 2.575097 
18 38,26 6,6 28 So 35 FE Moyenne. 42,65 26,49 4. 57,07: 13,x 
20: 38}x7 7,0 UE eee DÉPART 
ax + 3620 “de Moyenne. 50,33 52,95 x Lion. 8 57,03 9,» 
22 38,16 5,4 RECENT 11 57,08 10,7 
23 386 38 77 € Cancer. | 8 og 2h 57,03 12,0 
? ? £ Avril 18 45°,95 53,6 lyail 5606 
27. 38,2 43 h.Qm +220g9r à 2. Juillet 4 FE DEF TE 
Den ar OUEN Li FT 19 4580 51,6 155709 1353 
ÉC. 21 Mile 433 Mars 29 15°,95 51,4 20 45,77 517 L ZE 9 , - 
Moyenne. 38,25  6,o8|Avril 14 15,78 51,4 21. .45,74 50,3 || oyenne: 57,02 11,0 
17 15,76 5o;g 22 45,95 50,9 
& Ro ee , 18 7 sal 23. 45,82 5037 & Liox. 
Ée "2 19 19,70 48,3 28 45,79 51,7 40b7m 499242" 
Le «| . 9 20 19:77 50,2 29 45,77 209 Avril 18 53°45 5" 9 
vril 1 ,02 2 21 19,77 5o,2 [Mai 10 45,84 51, 19 53, 26 de 
Moyenne. 8,58 8,75] Moyenne, 15,78 50,45|Moyenne. 45,83 = 20 53.42 5,9 


18 





T4 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 











€ Lion (suite). 36 r SExTaNT. 
40h7m 424012 40b37m 45018" 
Avril 21 53,40 7",2 Avril 18  o°,84 61,0 
290003,2704 0,1 19 ,0,87 61,7 
28 63,37 Da 20 o,7g 60,1 
29 53,30 3,3 210 (0,77 57,3 
Mai 10 53,40 9,3 29 0,72 60,2 
: Le el Moyenne. 0,80 60,06 
Moyenne. 53,33 6,88 55 u Lion. 
10b47m 44050 
7 Laox. Avril 18 345,64 421,5 
40h{1m 420°38/ 19 3491 42,5 
Juin 4 15°,10 20",6 20 34,64 40,2 
5 15,07 18,8 21 34,60 37,1 
Moyenne.-15,08 19,70 Moyenne. 34,60 40,57 
43 z Liox. 58 d Lion. 
40b{am 47020" 10h52m +1027/ 
Avril 18 445,10 32",7 [Avril 20 235,87 49"!,9 
19 44,07 34,0 21 23,92 46,2 
21 44,11 30,2 Moyenne. 23,89 48,05 
23 44,13 31,9 
28 in a GRANDE Ourse. P.S. 
29 ie 99 : 0,2 40155m +62°36/ 
Moyenne. 44,09 31,60! ,8 5550 8,0 
19 Db,22 6,0 
32 x SExTANT. Mai 17 55,19 72 
10b24m 450277 23 55,11 9,8 
Avril 18 5,78 12/8 29 55,28 10,3 
19 5,80 11,8 [Juin 1 55,r2 
205 nr x.0 2, 55,12 7,4 
21° © 5,86 12,7 4 55,41 :x1,1 
23 LMb-S5 0 873 DDR 2T 0 
28 5,70 13,2 655,26, 6,3 
29 5,67 8,7 8 Pa 6,4 
renne. à 9 22,28 
[Mes enne. 5,80 11,33 de 55,36 #- 
e Lio. 26 55,25 10,3 
27 55,36 9,9 
40h24m +10°7 28 5b,12 13,0 
uin 4 29,39 3,3 29 55,51 11,8 
29,17 2,7 Muillet 4 55,37 11,0 
= : 23 55,42 
poemes AU28, 2:00 Août 9 55,25 11,0 
34 SExXTANT. 23 55,38 12,0 
EE Moyenne. 55,29 9:42 
pri . PAT a GRANDE Ours. P.I.. 
20 27,81 10h53m +62°36/ 
21 27,66 Avril 20 555,68 7,» 
29 27,65 21 00b;2r NE 
Moyenne. 27,76 Moyenne. 55,44 7,30 








415027" 

I 7:39 
1754 
16,9 
ML) 
19:9 
16,8 
18,3 


17,87 


42°39" 


69 p# Lion. 8 Liox (suite). 

41b5m 40047! 41ba0m 
Avril 21 405,25 141,7 [Muillet 7 5o°,72 
25 4o,17 16,9 14 9,73 
Mai 16 40,27 22,2 15 59,77 
17 40,25 20,8 23 59,60 
Moyenne. 40,23 18,55[A0ût 1 59,68 
10 59,70 
a Liox. 13 59:74 
11b43m 46055" Moyenne. 59,70 

Mai 17 15,14 36,3 
TON 2100077 G Vierce. 

23 1,09 35,0 
Buin-=s 318 387 11h12m 
4 1,28 4o,7 [Avril 2x1 275,80 
Moyenne. 1,18 37,16 25 27,84 
28 27,75 
1348 (A. S.C.) Lrox. [Mai 15 27,95 
16 27,88 
11b19m 0049 17 27,82 
Mai 15 49,542 56/,0 18 27,83 
16 49,23 53,3 23 27,86 
17 49,25 5b,0 29 27,85 
Moyenne. 4930 54,77[uin 2 28,01 
28,00 
91 v Low. Moyenne. 27,87 


11H28m 40 9/ 


Avril 21 51,52 5o/,4 
2500044 536 
28 51,53 55,3 
Moyenne. 51,50 33,10|Juin 27 
2 
1364 (A.S. C.) Vierce. [Juillet ? 
41b50m -1°53/ à 
Mai 15 19°,89 511,5 pe 
LE 19,74 46,2 Août . 
17 19,72 48,8 13 
18 19,74 46,4 : 
Moyenne, 19,77 48,22 rue 
2 El Vience. = 


411h57m 490 8/ 


. S {4 
ME Ge 7 aies 
23 8,04 9,9 - 
29 8,27 9,0 2 
Moyenne. 8,15 8,90|Mai e 
G Lrox. 18 
114h10m 445°27/ 23 
Juin 9 59,71 16/,6 | . 29 
LE 59:73 18,3 Juin 2 
29 59,62 20,5 |Moyenne. 


Juillet 4 59,76 18,5 | 


y GRANDE Ours. 


VIERGE. 


11b52m 


46°,42 


46,44 


261,8 













































3 GRANDE OuRsE. 


12b7m 457954! 


Avril 28 3/°,72 43,6 


29 34,74 47ix 
Main 008475 
16 34,52 40,2 






Moyenne. 34,68 43,67 





y Correat. 
12b8m 16959" 


Mai 17 41,29 531,3 


18 41,20 49,8 
26 41,43 
27 41,30 5xr,7 
Juin 2 41,42 bo, 
4 41,46 53,8 
6 41,57 56,5 
9 41,28 53,3 
29 41,28 53,6 


41,35 
. 41,36 


53,6 
53,09 






6 : CorBEau. 


12h15m -25°57/ 








Mai 16 8:54 46/,7 
17 8,16 46,6 
18 8,33 46,2 
27 8,30 5o,a 
29 8,35 44,9 

Moyenne. 8,34 46,92 


21 q VIERGE 
12h25m -8°54" 
375,68 451,3 


il 22 


23 57,76 45,8 
28 37,45 46,1 
29 37,69 46,5 

Mai 9 3760 45,6 
10 37,66 46,9 
1 ! 37,86 48,0 
16 37,77 49,5 
17 ne Re 
18 37,66 £47;7 
27 37:76 


Moyenne. 37,69 





Lo d Vrerce. 
12b16m 8040! 


Avril 22 8,47 481,8 
23 8,45 52,0 
24 8,32 49,4 
29 8,45 bx,: 
Mai 9 8,28 46,5 
10 8,42 45,7 
15. 8,58 47,6 






75 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année. 











40 d Vierce (suite). a VIERGE (suite). 84 o Vince (suite). + VIERGE. a? BALANCE (suite). 
42bA6m -8°40! 45b16m -10°20' 43h55m +4020/ 45153m 42048! 41AbA9m 150291 
Mai 16 8°,56 45",1 JAoût 14 52°,62 9/,6 [lun 7 95,28 24/,6 [Juin 7 36,51 42/,1 Juill. ro 85,74 53/!,9 
17 + 846 44 HU CE 8 735 925 8 3641 3837 OP NEA 
27 8,42 46,4 16 52,63 2,5 9 7128 22,6 9 36,51 42,7 15 8,84 54, 
Moyenne: 8,44 47.67 17 52,57 74 11) 7,32 21,7 11 36,48 39,9 16 8,85 55, 
; 44 47:67 18 15272 ! 741 [Moyenne 740 21372 12 36,41 408 23 8,80 55 
We. 22 b2,54 5,7 24 A 43,5 } 24 A 55,0 
m 4e 24 52,64 6,6 2: 597 2,9 oùt 2 »92 53,6 
Mai 29 5608 go [nov 18 Sas y | 89 Vancr. 29 3047 42,5 7 696 50,3 
Juin : 5645 83 29 su 2 45bAim -17°90! Juillet 6 36,42 2,5 #go va 
L 7 30 52,61 PT 36 ; 2 
2 56.0 6,1 DoDEOMEO ANS Se s ” , [Moyenne. 36,49 41,74 29 7 
3 86 18 5,5 [Moyenne. 52,60 6,62 “re SP UNS : Se 870 for 
4 56,25 ;9 4 VIERGE. à 9 
9 55,95 3,9 (XIII. 110 Prazzr.) 1 PRÈE Ounse. 3 13h57m Î-8eg [Déc. 25 88e Par 
Moyenne. 56,11 5,62 45b29m +60°45! 45baim 450°6! juin 9 56,14 2,8 Moyenne. 8,83 53,13. 
e uin I 10,00 14,1 12 
43b6m -10°20 38 69 _: 5 18,49 M Sp. 7 A Rat 
Avril 22 525,3 Made No à Cab cf DR d'apbe, La” 1ah5im 708! 
23 Ba 42 15 38 27 2 7 18,56 Juin 27 13,88 51,3 
28 52,48 79 16 38,48 DE 8 15,56 13,7 a Bouvier. 29 1402 3,5 
29 52,44 6,2 27 3844 45, 9 15,63 14,4 1ai8m 42060’ [Juillet 1 14,09 2,9 
Mai 10 52,55 8,6 29 38,63 47,0 11 18,44 13,9 [juin 5 275,44 28,2 2 14,30 6,2 
15 52,76 4,9 [Juin 1 38,46 48,9 12 1,71 14,0 7 27542 24,8 7 14,06 
16 52,62 5,8 2 38,45 24 18,68 15,4 11 27,38 28,2 10 13,95 4,8 
27 52,74 5,2 7 38,66 27 18,46 14,5 12 27,36 26,7 125 1411 5,9! 
29 2,71 7,3 8 38,8r reg ue 8,41 13,8 24 27,48 24,6 16 13,93 
uin 1 52,74 6, 9 38,65 47,3 Juillet 6 18,48 17,2 27 27,36 26,0 23 13,99 {5 
2 52,80 8,4 Moyenne. 38,61 47,50! TOME PRles 29 27,28 26,1 24 14,29 nl 
3 2,71 8,8 à 7; 10 18,48 17,3 [Juillet 6 27,22 25,9 ACT 14,24 4,3 
: 52,69 3,7 (XIII. 113 Prazzr.) PE 2777 7 27192 263 pour PRE 519 
52,74 2,9 16 18,37 16,1 10 27,43 28,1 7oxirr 33 
6 5253 5, e 15b25m +60°40' 23 18,42 14,4 14 27,45 926,2 9 14,44 5,8 
7 52,57 4,7 Avril 28 1°,78 ; 24 18,56 16,0 15 27,39 10 14,26 6,8 
8 52,57 5,6 . 29 1,95 Août 2 18,56 15,5 16 27,31 24,1 13 14,06 : 7,8 
9 52,46 6,2 [Mai 10 1,96 5 14,6 23 27,29 26,5 14 14,07 
11 52,50 9,7 15 1,93 7 18,35 16,5 24 927,44 28,3 15 14,29 7,2 
24 52,58 5,3 16 1,78 9 18,42 13,4 [Août 7 27,33 27,6 16 14,10 3,9 
27) 2,75 74 27 1,66 10 18,36 15,2 9 27,91 17 14,07 
.… 29 52,64 7,8 . 29 1,85 13 18,51 18,6 14 27,30 24,3 21 14,25 6,3 
uillet d 52,49 Juin 1 1,92 14 18,442 16,0 15 27,32 256 22 14,22 5,3 
10 52,56 5,8 2 1,61 Holèx 15 18,59 15,0 16 27,35 26,5 Nov. 18 14,72 5,7 
14 52,69 8,3 3 2,10 42,0 16 18,47 14,7 17 27,29 26,4 29 14,63 4,6 
15 2,56 5,5 4 188 46,0 17 18,44 16,3 18 27,37 24,7 30 14,71 5,4 
16 52,46 6,4 L 1,83 38,9 18 18,44 16,5 21 27:28 23,9 Déc. 1 14,15 2,9 
23 52,56 5,9 1,86 38.7 21 18,41 15,8 22 27,35 25,2 25 14,74 78 
24 52,50 5,6 [Moyenne. 1,85 41,54 22 18,51 14,3 24 27,39 26,0 [Moyenne. 14,22 5,41 
27.52,60 5,0 23 18,36 14,8 27 27,30 25,3 
Août x DAS 6,9 84 o Virrce. s Le an Nov 16 27e 206 | 6 Perrre Ounse P. 1 
2 b2,72 2 10, 19; STE Ta 
5 52 68 LL 45h35m 44°90 [Nov. 0 1835 a Moyenne. 27,36 26,15 14b51m 4741018" 
7 52,70 8,6 [Juin 1: 7541 18/6 18 18,66 17,3 Déc. 21 14,68 2/,8 
2 738 agp] 29 1846 159 | at Barawer. 20 1485 19 
9 52,4 A 3 7,58 20,7 30 18,57 13,3 4Ab49m -15029 26 13,95 2,2 
10 52,68 br 5 7,66 22,1 Moyenne. 18,49 15,28[Juin 27 85,83 50/,2 29 14,38 1,5 
13 B2,61 9,3 6 7,41 22,8 Juillet 7 8,73 55,9 Moyenne. 14,46 1,92 










































76 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année. 





24 d BALANCE. 





45h5m -19°41/ 15h27m 427014 15h56m +655 15b49m 426°35/ 15h56 
uin 3 13,67 27,5 Muin 27 605,06 58",8 Juin 9 295,28 37", Juin 3 57,44 22/,7 [Juin 7 1596 
9 13,48 21,7 Juillet 1 60,00 60,0 11 29,31 37,2 D7:41 18, 9 15,80 
24 13,70 24:39 2 60,09 56,5 24 29,36 31,5 7 7:48 18,5 11 16,00 
27 «13,54 249 6 59,94 59,3 27 29:39 32,2 9 7:44 23,4 27 15,93 
Juillet 1 13,60 25,4 7 5959 62,5 28 29,38 32,0 11 60747 U21,9 28 15,82 
2 2497 10 9,93 60,2 [uillet 6 29,31 37,5 24 57,40 19,1 Muillet 2 15,79 
14 13,52 23,5 16 -59,93 61,6 7 29:34 27 57,32 21,7 10 15,99 
15 13,51 227 17 59:94 10 29,33 34,6 28 57,34 18,0 14 15,99 
16 13,51 22,0 23 59,85 Go,3 14 29,34 36,1 Juillet 6 57,28 19,0 Moyenne. 1 91 
Moyenne. 13,57 a4yt4 24 ir pa 5 148 + Moyenne. 57,40 20,31 
210000: 16 29,41 ; 
ER 18 5905 614 3 29,36 35,7 J (638 Mayer) Sconrrox. 
É vsufaoût 2 59,97 57,3 24 29,41 34,9 T SCORPION. 46h9m 
15b{im -17°54/ p : 4 
mu sens So e] D Cl cu sul 5 due 
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9 5673 49 Bd CES E Lich a neéo A en ddl AS 
27 56,87 47:9 RAD 58/ h 334 5 18,30 17,8 9 4791 
Juillet x 56,75 44,1 9 299 ge 5 2940 à 7 18,19 19,9 Re 
s ren 12 60,06 59,3 7 2998 33,4 9 18,6 19,0 24 48,38 
yenne. 56,77 48,52 ; DE 2 - 24e 329 11 18,31 13,3 “4 Fe 
# » , » , 2 »2 
10 ro “te 15 59:84 62,0 10 29,61 34,0 % us Juillet 2 48,03 
> 15b20m +2°95 16 60,09 57,5 12 29,41 34,8 28 18,34 10 48,20 
Juin 3 39°64 43,0 17 59:91 60,2 13 29:32 374 [Août 10 18,34 “0 14 48,14 
5 59,67 39,7 18 5999 6o,2 14 29,40 36,2 14 18,27 13,6 Moyenne. 48,16 
A RS 20 59197 59,8 15 gt 35,2 16 1855 18,3 s 
5 dot 7 ee is es 16 29,43 34,2 Moyenne. 18,55 17,5 14 » Scorrrow. 
fuiller 5 3973 Fi 25 e 60/6 ne Si AK 
, » 9:90 ; 1 29,94 7 146h92m -19°2" 
Moyenne. 39,70 41,85[Nov- 18 2998 par AE de 51 EBarance. [Juin 3 495,13 42,8 
2 0; 1 2 » ; 
B Couronne. 3 60,14 ù _ se 308 15h55m —10055" ë Re F. 
45b24m 499039 Déc. 1 Bo,82 59,3 23 29,46 31,9 Nuill. 15 41,10 57,8 9 48,94 Hi 
Juill. 15 195,17 13,4 25 60,00 61,2 Déc. 25 29,16 34,8 ” 4,6 57,6 11 49:26 43;r 
n 1590 13,3 |Moyenne. 59,98 59,85[Moyenne. 29,37 34,55 " ro 24 nue Re 
; , ; 2 »2 0 
À 18,91 12,7 43 % Barawcr. s 28 41,25 55,3 Ke fon3 95 
24 18,93 13,2 15h32m -19°9/ FPE Août 2 41:18 57,5 [Juillet 2 49o7 41,1 
27 18,92 11,7 Muin 3 b15,26 46,7 DEL ETE 5 Lens 55,3 ao) RSA Lo 
; 28 18,94 12,0 5 51,26 44,9 Juill: 15 225,83 32/,4 Moyenne. 41,19 56,67 14 49,14 45,8 
Août : ge a 7 nent 472 24 vi 39 Moyenne. 49,16 42,40 
1 16,1 1,10 45, 27 22,07 2 : t 
7 18,99 15,8 5 Bjo6 E 28 22,91 33,6 ÉUFoR an 2RÉS: 8rS 
13 19,06 15,9 24 51,28 44,3 [Août > 22,86 34,5 15h56m =4g622 || À 7, PS0RPION 
. pe 14,8 27 5r,22 43,6 5 22,64 32,0 [juin 5 155,56 219 16h7m -7056! 
M Fier POP ES CR uns 
Moyenne. 18,94 13,96fJu1ll- . au ra »9 1 92 25360 53 11 2,38, 47,7 
US ds e Si 45,1 |Moyenne. 22,83 32,87 a. 15,50 24 2,35 44,6 
œ NNE. T3 24 fe 27 2,30 456 
FE Frs soie Moyenne. 51,15 44,91 PISE URerON: 22 1588 Lo 28 sal due 
uin 9, 1,0 28 1,32 39 Juillet 2 2,42 5o,o 
59:07 83 x œ SERPENT. 15baim -25°45’ [Juillet 2 15/27 5,9 14 2,35 50:7 
7 60,14 58,7 15b36m 46055° Muill. 16 29°,33 59,9 10 15,49 5,9 15 2,36. 46,2 
9 60,16 59,5 [luin 3 295,29 34,8 17 60,5 14 15,49 82) 16 2,30 47,5 
=. Tes Le à er Moyenne. 29,33 60,10] Moyenne. 15,43. 5,46|Moyenne. 2,33. 47,71 
L) 7 7 ? 


a Counonxe fsuite). 





æ« Serpent (suite). 


à Couronxs. 


B Scorpion suIVANTE. 

















77 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année. 
















































































19 o Sconrion. 23 + Scorpion (suite). 27 x OrniuCrus. œ« HERCULE (suite). a OPxrucaus (suite). 
46b{{m -95°46/ 16126m -27052! 16h50m +9°37' 17h7m 414954 17b27m 412940" 
Juill. 15 8°,31 Gt/',4 Muin 24 3,49 57",0 [Juin 24 11,68 28/,8 [Août 13 265,89 27",0 [Juill. 23 36,17 45/,7 
16 8,37 62,8 27003,30) b7,2 29 11,46 29,0 14 26,77 32,4 28 36,25 47,4 
23 8,29 61,2 28 3,58 57,7 [Juillet 2 11,45 28,3 16 26,69 27,3 [Août 2 36,08 45,9 
24 8,40 62,1 [Juillet 2 3,21 56,2 15 11,35 26,7 17 26,57 27,8 5 36,09 45,9 
27 8,27 61,3 16 3,30 56,4 23 11,46 29,6 18 26,80 32,5 8 36,13 47,3 
28 8,35 6o,2 29 9,34 04D7aX 24 11,51 28,4 21 26,61 28,4 9 36,04 48,1 
Août 1 8,14 56,5 24, 3,45 57,6 27 11,64 274 22 26,70 27,0 12 rs 44,0 

MSG bo Ta 2 3,39 58,6 28 11,56 28,5 23 26,69 30,6 16 ,25 

noue ao, 60:79 Août Ù 33 60,2 JAoùût 2 11,57 30,4 25 se 30,1 17 36,24 47,9 
20 & ScorpioN. 2 3,50 9 11,b6 29,4 INov. 3 26,75 27,4 18 36,08 45,4 





21 36,13 45,7 


16h4im -25012/|Moyenne. 3,39 57,05|Moyenne. 11,54 28,65|Moyenne. 26,69 29,20 Re UT 
ser) 7 




























































































































uin 3 3b°,78 30/4 
5 35, 28, 35 « HercuLE. 32 Ornrucuus. 53 » SERPENT. 23 36,06 48,2 
19 269 25 36,12 45,4 
Pas 16b29m 4420a5 16h55m 414019! Abtim -12020 ÏDéc. 19 3645 55 
35 55 27,3 9 , 4 , 
9 365 275 Mao 2 073 56,1 [Juin 29 53,68 25",0 [ruill. 23 56,66 51,1 | 22 3613 433 
; Fe CAE 9 0,63 57,9 Muill. 15 53,77 26,2 24 56,52 br, 25 36,07 45,0 
.. 3x on 12 0,64 60,2 23 53,65 27,2 27 56,73 29 36,02 47,2 
28 35,71 33,2 16 o,7o bg 24 53,65 26,5 JAoût 2 56,71 52,3 Moyenne. 36,11 46,14 
Ne NS 
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OS CRRRE sé ene open EN CET in 5674 516 | 58 D Ormvenus. 
oyenne. 35,66 30,12 LPS on 9 53,63 23,9 13 56,79 54,0 k 17b33m -24°55/ 
Fe ISCORPION: à 2 .,|Moyenne. 53,68 26,35 16 56,69 52,2 Muin 27 58 fins 
AU 26e : PURÉE Moyenne. 56,69 52,61] . ?9 A DOS 
Lr : 3 43 89 ee Juin 24 285,40 53,2 n OrPHiucuus. Juillet 3 è #80 on 
[Juin 1 . 2 ; : 
| 5 13. : 35 31 28,21 pr Tr pinces 42 O0 OrPxrucuus. sd: 22 5804 Fe 
7 43,59 23,7 Mjuilet > 28,18 54% Août 14 19,30 24/,6 LE ER Os 5 57,95 59,6 
9 43,61 32, 23 28,11 51,7 17 19,29 25,6 JAoût 14 185,74 23/,0 8 57,81 5B,9 
11 43,79 34,5 2 555 18 19,33 25,2 17 18,75 22, 9 57,86 60,4 












12 58,07 62,3 
13 58,01 64,1 
18 58,14 59,8 


Moyenne. “57,97 60,75 


27 28,06 52, 
27 43,81 36,2 28 28,17 se 
28 43,78 31,6 |Aoët r 28,03 


10 4380 38,1 Moyenne. 28,16 53,19 


Moyenne. 39,3x 





25,13 18 18.82 _. 
Moyenne. 18,77 22,07 











36 4 Ormvucnus. 





51 e2 Opæiucuus. 


Juin 29 38:,38 VA on 







3 SACITTAIRE. 




















































F 43,66 p' Scorrron. : He 
16 4375 35, CCE Mt . 29 4676 4 sohSm 27045 
23 1386 340 ED A 5 ee NET 7 38/29 Juillet 2 46,59 2,8 [Juin 27 365,96 49,9 
24 4380 35,6 [juillet à 10,33 19,2 28 37,19 51,0 
28 31,9 15 1075 23,6 20 3 SEE 
Ÿ Août 1 43,83 33, Fe EU TEA Juillet 2 37,07 53,6 
2 43,89 35, 2, 08% 208 Août D 37,22 53,4 
5 43,90 31,6 Août g 10,74 ne 8 37,23 52,3 










9 37,10 48,2 
12 37,27 54,4 






12 43,88 30,3 Moyenne. 10,65 21,22 a Hencuze. 17 46,75 1,8 





































16 43,80 36,8 _ fibres 18 46,92 1,6 13 37,28 5o,1 
2 RPION. # TIERE £ 

ù F7 re FE ' 10 Juin 24 26:69 28,5 Moyenne. 46,85 3,02 18 37,29 52,8 

2 70 34,8 46h44 2710 36,62 292 Moyenne. 37,19 51,93 





a OPHucaus. 






Moyenne. 43,77 34,35{uin 29 38°,87 


Juill. 2 38,59 29 26,76 29,1 






























OR Juillet 2 26,55 47b27m 44940" 4 SAciTTAIRE. 
| tr. 4 : 269 28 26,66 28,5 [Juin 27 355,87 48/,2 17b50m -25047! 
ui 353 = A 2 38 82 Août 2 26,62 29,8 29 36,14 46,3 Muin 27 85,70 37,1 
um 9g 31 53/,8 ù 5 26,61 30,5 [Juillet 2 35,99 44,4 28 8,72 38,3 
| 12 3,41 55,7: |Moyenne. 38,75 12 26,68 30,3 17 36,19 29 8,97 37,3 


19 


78 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1° Janvier de cette année. 





































































































4 Sacirrane (suite). p? SaGrTTAIRE (suite). s SAGiTTAIRE. 44 p' Sacxrraie. G Ace (suite). 
17h50m -25047! 48h5n -90°26" 48h35 -25°9" 19h42m 1808! 49b47m 46°0' 
Juillet 2 8,70 39,9 fluill. 23 47549 9,3 [uill. 27 65,50 49,8 Muillet 2 30,31 20/,2 Déc. 1 56,7 
AGüût 4 895 Fe À 27 47137 6,7 [Août x an - 4 ‘30,37 23,5 0 3315 56,5 
09 ,9 [Août 1 47,44 12,6 2 00 , 27 30,17 23,0 |m 3: 
Cl SE 2 4746 nr 5 668 AG MAoùt $ o,so NU me era 
DE »9 99 [Moyenne. 47,40 9,98 = _6:65 50,9 | 17 30,29 24.6 a' CaPRICORNE. 
13 9,09 34,9 Moyenne. 6,60 48,65|Moyenne. 30,27 21,88 Obs M o0pnl 
Moyenne. 8,85 38,27 24 Perite Ours. Août #4 53s 22 E 
7 
18h29m En a SAcITTAIRE. 55 e? SacrTramme. 16 53,16 
y Dracox. Le me ou den ose Gi SU at 
uin 98 115,2 ! US rauar 5m:-16029" ÿ < 2 
17h52m 451950! 29 11,93 E re “TU 17 285,56 18/,r Moyenne. 53,23 28,3 
Juil. na Lo Juill 2 14,57 3,2 Aoùût 16 275,91 111,8 1828660206 P 
. 160 387,4 4 1258 0,3 Moyenne. 28,55 19,35 A Se 
Août N He, er 14 12,7D 157 39 o SAGITTAIRE, ; j Ë 20hg9m 1394! 
it 2 1 ; 5 s 
Nov. 3 5624 35,1 16 ie ê4 18h55m -21058" 7 Arcr. ABRL £ rer SEE 
; <a ? > 1 , ci 4 Ke 1 I I 
Déc. . + 329 MST 20 ren 27 1264 2",1 19h58m Ho 13. 3r Un ; 
25 866 9 [Moyenne. 12,65 3,29 28 12,83 4,2 JAoût 16 44,94 57" IDée, 1 17514 Dot 
F 2q 12,7 3,5 









16 2% ma Moyenne. 17,04 48,53] 
Oct. 3x 118 | 
Nov. 19 44,90 53,4 | 
Déc. 1 44,81 53,6 20b20m 1906! | 
2 4e 541 fAoût 18 485,77 | 


29 56,27 32,5 


= Juillet 2 12,68 2,9 
Moyenne. 56,59 35,39 


12,65 5,1 
14 12,62 
15 12,63 2,2 
16 12,77 27 


a Lyre. 
0' CarrICORNE. 
18h31m 158038! 

Juin 27 35,31 23/,5 
20: 3),35 22,4 






y* SAGITTAIRE. 




































17h55m -50°95/ 29 35,28 24,3 D 3.6 [M TES Oct. 31 48,66 21/,2 | 
Juin n: ee DE Juillet ë 35.51 0 25 ni 0,4 PRES NE + 0) Nov. 3 48,79 20,3 | 
2 9; 4, 4 35,31 24,3 Moyenne. 48, 0,721 
29 3974 Li RSS TaLS Moyenne. 12,68 2,97 57 Sacrrraire. oyenne. 48,74 20,7 
Juillet 2 39,61 8,5 15 35,37 24,5 19ba5m —19026! 12 0° Capricorne. | 
Août 1 Je 4,9 1635,5n, 24, (XVIII. 282 Prazzi.) Août de 0,77 26/,8 EEE. | 
2 9:71 8,2 17 35,35 22,9 isam 9h05! 1 0,70 27,5 . s ! | 
8 39,46, 6,5 23 35,53 26a IR FSI TeAgEE Moyenne. 0,73 27,19 x % 5 di. ee 
9 3058 49 27 3540 24,1 [Août x 39,509 51", Dee Roue Me 
12 Go71 9 [Août 1 35,36 24,3 2 3908 53,9 Lu "8 É =: 
13 39,77 41 35,37 24,0 5 39,18, 54,4 Moyenne. 5o,or 8,20 
16 39,70 5,0 35,28 21,2 8 39,06 19h15m 48097! 


7 
1 
2 
Moyenne. 39,63 6,4 $ 35,21 23,2 Moyenne. 3910 93j23[a0ût 16 4,39 20,4 15 y GRUCee 
EE De 9 35,32 6 : CL MAIOCE OM 22 T7 20h31m -18"44/| 
> 35,5 26,4 Nov. 3 4,47 191 Août 18 25,90 24/,0 | 
3% 35,30 22,44 19 4,33 20,0 Oct. 31 2,93 29:1 | 
4gbam 2105! 7 3541 23,0 28 4,24 9,0 [Nov. 3 3,92 27: | 
Août 14 195,02 39/,7 [Nov. 6 35,20 23,5 Déc. 7 4,34 17,5 ts GE 
16 19,01 35,2 19 35,32 21,3 2 4,35 1744 
17 18,99 37:7 [Déc. 26 35,55 20,9 8 4,4% 198 ax Gvenr. 
Moyenne. 19,01 37,53 Moyenne. 35,37 23,32 . ARR 0e 
Moyenne. 4,37 18,62 


re 
EL SAGITTAIRE. x SAGITTAIRE. 


19 be 1e 


19h0m -21°16" 
Juin 27 21°,73 14/',0 Moyenne. 2,92 26,7 | 
28 as 7 12,2 | 

29 21,99 11,6 
Juillet 2 21,78 10,3 
22,81 7,3 

14 21,66 12,1 

15 21,69 8,2 


20h56m +44°45! 
Avril 20 25,71 7/9 
Août 14 2,88 
G Arcre. Oct. 3r 2,82 





p® SAGITTAIRE. 
2 o AIGLE. 

















18h5m -20°46' 




























Juin 27 4s2x 6,7 : REG -9°411! 16 21,81 9,8 19h17m 4609! [Nov. 28 2,84 5 | 
28 L vu 7:9 [Août 24 . a kg" 23 Le 92 Août 16 335,23 54,7 JDéc. 2 285 ës 
à 42 ; 72 1,0 27 22,78 10 “ 8 : 

fuillet_ à Ke è2 2; LA 587 Août 16 21379 86 Joe. D De pe 19 276 6,4 
14 47,58 8,6 23 37,35 52,7 17 2177 99 [Nov. 3 3301 5ga 20 2,78 5,2 
à Frs 9:6 [Moyenne. 37,30 b1,62|Moyenne. 21,78 10,30 19 33,02 É 23 2,92 | 
16 47,58 x1,1 28 33,34 58,4 (Moyenne. 2,83 7,16 


79 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 
































2 € VERSEAU. œ Cépaée P. I. 49 à Capniconne (suite)| y Verseau (suite). a Pécase (suite). 
20h39m -10°4/ 21b{am +61°55/ 21h38m -16°50' 22h15m -2°40" 22h56m +14924! 
Oct. 31 75,26 17/,5 [Avril 21 485,23 x1!,1 Déc. 1 185,92 32/6 [Nov. 27 411,3 [Nov. 19 53°,68 247, 
Nov. 3 7,09 10,8 23 48,50 2,0 8 18,53 28,2 28 29°,66 43,2 28 53,66 ea 
19 7:22 11,9 28 48,46 3,9 19 18,85 3o,2 JDéc. 1 29,73 44,7 |Déc. 1 53,78 23,2 
Moyenne. 7,20 13,40 29 480 2, Moyenne. 18,82 28,66 21 29,63 io 8 53,67 
Moyenne. 48,34 2,37 22 29,78 45,3 19 53,59 21,7 
CU Vererlte 51 p Capricorne. Moyenne. 29,64 44,58 21 53,51 20,8 
H 26 53,69 20,7 
SUPaîm  go$a B VERSEAU. . 21h4am -14°17/ . M 53 67 
Oct. 31 7:68 21",2 21h25 Oct. 31 40°,56 35",3 A er PE SnE me 2 
Nov. 3 7,61 19,2 Oct. 31 14,23 Nov. 19 40,43 32,3 22h27m 0955! É 
19 7,62 19»#4 [Nov. 3 14,29 « es . pe 31 Le Les y Porssons. 
LEP CT AENEESET 1 14,26 2 0,42 ; OV. 19 14,10 ñ 25hgm 49095 
Moyenne. 7,64 19,95 Déc à Afaa Déc. 1 40,63 36,4 27 je TEE gg é a 
® Lu ? 
23 Q Carriconne. 19 14,17 BARS pr ; 28 14,76 51,5 [Nov. 28 58,32 11,1 
Be oz1rIMoyenne. 14,23 Moyenne. 40,47 33,73 Déc. 1 LE Du7 Déc. 1 58,67 13,1 
; 20! Ja go 51 8 We ve 19 58,47 113 
À 3°, ", à k ï ? 
ove 3 do m7] Gomes | 118 4 Pur due Bu] de SU 29 
19, 3,94 22,1 21h26m 69952’ de VE 22 1419 46,3 : a 
[M 3,44 23,97lAvril 20 35°,71 2,5 DEEE bé Mc 414 4 eyennée SEAT 10,67 
puoyennes 9,44 197 4 5 36 16 3 Nov. 19 14,19 45/,7 RENNES Elie s 4972 
13 y VERSEAU. 22 35,97 1,4 27 1418 48,7 67 N Vensrav. 98 6" Verseau. 
24 3608 o Et Ne LT Éiam -20257: 
91b0m 1990 25 38 2 Déc. 1 14,50 46,5 22h3Am =7047/ 25 es -20°57 
Oct. 31 58,96 26/4 28 177 ii 8 14,39 418 [Nov 19 58,77 157,9 [Oct 51 3985 
Nov. 3 58,85 25,8 |, . 12 4 : 28 59,07 16,7 [Nov. 28 39,97 47",5 
Aoùût 4 36,35 4,7 |Moyenne. 14,32 46,02! , 9:07 7 lb CT 
19 58,94 26,9 Lou 31 353 à Déc. 1 59,09 15,9 |“ 1! 29 46,2 
| BRw UE PYERO ct. »7 1,9 19 59,04 2 39,63 48,1 
Moyenne. 58,92 26,37[Nov. 3 36,03 1,5 a Venseau. PE LE 19 39:79 45.8 
19 35,79 2,7 21h57m -105/ Es — 21 3983 48,9 
29 s CarriconneE. # 210 252 JAoût 4 39599 5/,7 Moyenne. 58,94 17,12 26 39.69 46,8 
9{h6m -15°09 = 9 1:7 lOct. 31 39,8b 4, 
et. 39:70 26,2 19 35,90 5,5 27 : 99,78 4.,b 22banm 28025! MERE EEE 
19 5974 25,8 30 36,00 6,9 28 4o,on 5,0 [Oct. 31 225,07 10,4 J rss 
À ; 55 palMoyenne. 35,97  3,20]Déc. x 4o,07 2,1 Nov: 1 12,5 23h49m 45930" 
Dopre PT Eu 2709 19 39:97 “e 28 22,05 6,9 [Oct 3r 56°,8r 42/!,0 
A 36 [Dec. Ô 
32 « Capriconxe. G Cérnée P. I. 2 FE Fe gg 8 rs : be de 56 72 2: 
9{h{5m -17°50 21h26m  G9°54! 30 39,8 8,2 19 22,14 8,0 : k 
: 6 1 9»°7 Li 9 , 7 19 56,74 40,3 
Ou 31 265,52 161,3 Avril 21 36,07 63",6 Men 3 FA 21 21,97 7,2 21 5680 41,2 
Nov. 3 26,38 14,6 2 Aer a d M + 26 22,00 10,6 26 56,77 37,2 
| 19 26,56 13,5 + 3€ 37 D 43 Q Verseau. Moyenne. 22,11 8,99|Moyenne. 56,77 40,99 
Moyenne. 26,49 14,80lMai 10 ë 61.9 29hgm -8031/ 
| 6 60,4 Oct. 3x 295,54 3/2 æ Poissox ausrrar. 17 « Porssons. 
PCroner PIS. 26 3b,92 59,7 ÎNov. 19 29,61 3,6 50 À 
m tesoccr]Moyenne. 36,13 61,6 27 29,4 3,0 | 2h48m -50°27" 25h51m +1046/ 
Be: me à UE Ch ro 28 29,58 4,2 [Déc. 21 545,27 37,3 [Nov. 28 495,5r 11,8 
vri ae Ne sh 49 8 Oéxrdne Déc. 1 29,59 4,0 26 54,31 37,3 [Déc = 49,58 7,8 
22 48,50 de 24h38m. -16°50/ Moyenne. 29,56 3,6] Moyenne. 54,29 37,30 si ie ni 
ee Eee 5,2 Joct. 3r 185,79 31,6 : 21 49,45 7x2, 
À 2 4 »37 6,8 Nov. % 18.85, 261 y VensEau. a PÉGASE. 29! 49,56 13, 
[Août 4 48,33 3,4 I 18 26,6 99bh15m -2040/ 22h56 °91! 26 4 56 710 
E 30 48,36 0;9 n 186 27,2 Oct. 3r 29°,60 46" J 29 3,5 bone. M = _ 
PEER | Pope ñ n Û 29, 9 Manv. : : 23,2 j 
Doyenne. 48,35 410 28 18,96 26,8 “Nov. 19 29,46 k Oct. 3 53159 22,7 PR do 


É 80 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1842, réduites au 1% Janvier de cette année. 











19 2 Porssoxs. (XXII. 276 Prazzr.) | à Perire Ounse P.S. À à Perire Ounse P. L. | à Perire Ourse P. I. 
(suite). (suite). (suite). (suite). 
25h39m 42036" à 7 Sr. 4h É 
Nov. 23 19°,12 31,3 22h58m +28°8 Déclinais. Does Déclinais soue Declinais. ARE 
28 19,23 36,4 |Déc. 21 25,41 88°27/ 88°27" 88927" 
Déc. 1 19.36 22 25,17 54,4 [Mai 16 611,2 5 Avril 28 611,5 3 Nov. 30 57,8 L 
2 19:07 =. 26 2,50 Br,g " pue 3 29 62,7 3 Déc. 1 566 1: 
19 19,30 ,0 Re 0 1 1, : —————| 
ni a FA Moyenne. 25,24 53,15 20 1652 F Mai 2 ee 3 Moyenne. 6bo,81 107 
22 19,11 33, 220014. 2 15 64,7 3 à Penite Ourse P.S. 
26 19,23 31,6 Fe 61,0 à 16 64,7 3 486°55" 
. 19,21 34,23 26 61,6 27 61,3 3 : 1) 
Moyenne er 3% a Perire Ourse P.S. 27 Go, 4 “ 63,1 3 puin 7È SC : 
28 605 3 {juin 1 625 4 ; 
23 Poissons. ALES 29 34,4 1 
Déclinais. Nombre 29 60,3 3 2 61,1 2 Tuill 35.8 
25b4am 420°4A7' des observ. SE 61,5 4 ER 0 x uillet 2 n x 
Nov. 23 22°,59 31",2 a 31 615 5 L 65 3 î Fe de 
28 22,47 30,8 [Janv. 27 62/,0 2 Juin 1 61,3 3 6 60,5 2 1É el = 
7 18 3 15 363 7 
Déc. 19 22,48 34,7 29 61,7 5 2 61,50 #4 7 Gr, 1 16 2373 = 
21 22,6 31,0 [Févr. 5 624 4 d01:6) 713 8 60,8 à AU 3 
22 22,55 32,2 g 63,0 2 4600 4 g 61» 2 Aou a 35. 3 
26 22,51 IL 59,5 4 5 59,8 3 11 59,8 3 5 36? 3 
Moyenne. 22,53 31,98 12 59,3 4 6 60,0 1 32 60,1 2 387 : 
14 61,3 3 7 Go 2 24 601 4 : a ; 
83 r PéÉcase. 20 64,6 3 8 62,4 5 27 Gz2,1 2 17 36,9 3 
25ba1m 42051! 21 62,7 3 9 616 5 28 60,9 2 18 46e Ur 
Nov. 23 38,83 See CPE 10 619 5 29 615 3 2130878 br 
28 38,75 25 61,50 3 11 61,2 4  Juilet 2 63,3 2 27 33,7 ë 
Déc. 19 39,10 M 27 299 2 13 60,9 4 6 60,8 2 x. 19 37,2 M 
o1 38,84 - D SN ET 35,88 2 
MES 89 à BE : = de Fe I 15 pre 13 oyenne. 1 9 
à 11 1,2 Nov: 0, I 16 60,6 2 
26 38,87 47,4 GS ann 19 PSE s 3 ME ñ à Perte Ours P. I. 
Moyenne. 38,88 47,4 14 60,7 3 27 628 : 24 593 2 86055! 
15 60,2 3 [Déc r 59,3 1: 27 593 3 Janv. 29 37,1 “ 
28 w Porssows. 25 60,5 3 20 Go;r 1 [Août 2 57,7 3 Févr. 14 34,0 4 
25h54m 45059 29 606 3 21 602 1 5 596 1 15 346 4 
Nov. 23 11°,85 13,4 JAvril 7 59,9 2 22 64,2 7 7 574 1 18 36,3 3 
28 12,09 16,3 14 61,5 3 26 62,9 1 9 578 2 20 36,7 3 
Déc. 1 12,13 16,3 17 60,9 3 29 62,0 x 13 566 7 21 36,2 3 
| 2 11,81 17,9 20 Pre 4 31 63,r x 14 5792 7: se cn 1 
19 12,02 18,8 21 61, 3 Gree—- 16 58,6 2 2 2 x 
* 11,94 148 22 644 3 Moyenne. 61,39 211 17 58,9 ;, Mars 4 358 x 
22 12,03 17,2 23, 63,5 3 18 569 1 15 35,6 7: 
| 26 11,95 14,6 25 E 3 a Perire Ourse P. I. 21 57;,0ù x Ace 29 se 3 
RRQ SR DTE 2 ": ä oùût 2 32 
[Moyenne. 11,98 16,16) à ee n sn 7 ea ; 6 32 8 je 
| (XXII. 276 Prazzr.) . 29 634 2 [Avril 20 61,2 1 Nov. 2 613 1: 6 OR 
Mai 6 60,5 3 25 62,0 7: 3 60,7 1 9 320 1 
23h58m 492808! 10 616 5 22 636 > 12 60,1 = 15 32,50 2 
IDéc. 2 25°,13 14 620 4 23 59,9 5 18 59,2 5 Déc. 21 34,3 x | 
19 25,21 15 596 4 25 57,8 2 26 58,4 1 Moyenne. 34,87 37 | 








81 


Comparaison des positions observées des étoiles fondamentales avec les positions tirées des Ephémerides de Berlin. 





: NOMBRE DÉCLINAISON OBS. NOMBRE |ASC. DRCITE OBS. 
NOM DES ETOILES. ie — des = 


OBSERVATIONS 4er Janvier 1842, OBSERVAT. 4er Janvier 1842, 


+ 88.28. 1,39 
0,81 
86.35.35,88 
34,87 
74.48. 5,41 
1,92 
69.52. 3,20 
x 1,67 
62.36. 9,42 
7»30 
61.55. 4,10 21.14.48,35 
2,37 48,34 
55.40.11,63 0.31.34,7 
Hoo o 9:15 34,7 
y Grande Ourse 54.34.26,03 11.45.29,b0 
DRDrAGON EE eee eee 51.30.35,39 9 17.52.56,59 
Grande Ourse 5o. 6.15,28 13.41.1849 
phbersée MR eee 49-17.36,32 3.13. 4,53 
æ Cocher MS QT 
44.43. 7,16 20.36. 2,83 
38.38.23,32 : 18.31.35,37 
32.13.41,09 7.24.30,40 
G Taureau 9 28.28. o,4t 5.16.18,49 
B Gémeaux 28.24. 6,08 7-35.38,25 
« Andromède 28.13. 4,62 o. 0.13,89 
« Couronne 27.14.59,85 15.27.59,98 
« Bélier 22.42.43,78 1.58.16,6 
20. 0.26,15 14. 8.27,3 
16.11. 8,50 ne 4.26.51,58 
15.27.17,87 11.40.59,70 
14.34.2920 17. 7.206,69 
14.21.22,44 22.56.53,64 
14.18.1721 o. 5. 6,33 
12.44.11,06 9-59.57,02 
« Ophiuchus 12.40.46,14 17-27.36,11 
ty Aigle 10.13.35,23 19.38.44,81 
i 8.27.18,62 19.43. 4,37 


+++ +++ 


æ Cassiopée.. .. | 


8 0 0 0 2 0 1 10 1 0 0 








7-22.15,8x b.46.37,08 


« Serpent 6.55.34,55 
1° LAPS AO OBS PONES 6. 0.57,99 
« Petit Chien 5.37.27,65 
« Baleine 3.27.57,39 
B Vierge 2.39.15,82 
œ« Verseau... . 100 D 
1 7.58.39,88 
G Orion 8.23.20,9g 
10.20. 6,62 

PACAPrICONE see. 12139.28,30 
a? Capricorne 13. 1.48,53 
BBAIANCE Re eee ss 15.29.53,13 
œ« Grand Chien 16.30.16,54 
« Scorpion 26. 4.34,35 
æ&Poisson austral 30.27.37,30 


15.36.29,3 
ou Di 
7-31. 1,54 
2.54. 1,53 
11.42.2787 
21.57.39,97 
9-19-49,30 
5. 6.56,71 
13.16.52,60 
20. 8.53,23 
20. 9.17:04 
de Vs 
6.38.1t,2x 
16.19.43, 

La ADO 


LENS EN SE ERISENIRCEECENS 


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. 





Les observations suivantes ont été faites à l’équatorial, dont la lunette à 43 lignes d’ouver- 
ture, et avec un grossissement de 100 fois. Les lettres P et B indiquent les observations qui ont 
été faites par moi et par M. Bruderer. Tous les instants des phénomènes sont exprimés en temps 
sidéral de Genève ; l’état de la pendule a été déterminé par les observations de M. Bruderer, sauf 
pour l’occultation du 22 mars où il à été déterminé par mes observations ; je rappelle ici que 


83 


Observations d’occultations d'étoiles par la lune faites dans l’année 1842. 


j'observe les instants des passages de 0°,56 plus tôt que M. Bruderer. 


22 OMATS Er + 63 0° Cancer... Imm. bord obscur  8"24"29°1 P 
Emer. bord éclairé 9 38 16,7 P. 
20 Avril...... 32 æ Sexlant.. Imm. bord obscur 12 46 42,8 P. ciel vaporeux. 
1 NU É TE SOEERR 63 p Gémeaux. Imm. bord obscur 11 47 21,75 B. 
17 Juillet. .... (237) Scorpion Imm. bord obscur 16 23 49,2 B. 
16 Août .. s Sagittaire.... Imm. bord obscur 21 51 57,55 P 
lei Août. 472 o' Capricorne... Imm. bord obscur 23 58 3,3 P 
12 «Capricorne Imm. bord obscur 23 58 48,3 P 
JE AOÛ... . 3 Gémeaux . ..Imm. bord éclairé 1 57 12,0 B 
Observations de l’éclipse partielle de Soleil le 7 Juillet 1842. 
Commencement ok12B05,94 MM. Plantamour........... Equatorial , ouverture 43 lignes, grossissement 100 
50,94 Muller, ancien adjoint... Lunette, ouverture 25 lignes, grossissement... 60 
51,94 Bruderer, adjoint. ..... Lunette de Dollond, ouverture 4o lignes, gross. 102 
55,94 Warimans Che Lunette de Ramsden, ouvert. 25 lignes, gross. 72 
54,94 EGANHER EE... Chercheur de comètes, ouvert. 4o lignes, gross. 48 
[Fr NSP RS 2 8 2,44 Plantamour........... Même instrument que le précédent. 


1,94 Wartmann........... Id. Id. 
0,94? Muller eerrerten re Id. Id. 


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TABLE DES MATIÈRES 
CONTENUES DANS LA PREMIÈRE PARTIE 


DU DIXIÈME VOLUME. 


Notices sur les Membres ordinaires de la Société de Physique et 
d'Histoire naturelle de Genève que cette Société a perdus de 


1855 à 1842, rédigées par M. le professeur Gautier. ......... y 
Liste des Membres de la Société de Physique et d'Histoire naturelle 
de Genève qui ont été élus depuis l’année 1835............. XXXI 


Lettre sur les Araïgnées aéronautes du genre Lycose, par Pierre Huber 1 
Mémoire sur le Charançon lozange (Cionus Scrophulariæ), par P.Huber 15 
Mémoire pour servir à l’histoire des Psoques, par Pierre Huber. .. ... 55 
Considérations géologiques sur le mont Salève et sur les terrains des 

environs de Genève, par M. Alphonse Favre ................ 49 
Observations sur les Diceras, par M. Alphonse Favre ............. 165 
Note sur une relation entre le volume atomique, le coefficient de dilata- 

tion et le coefficient d’élasticité dans les corps chimiquement 


simples} par M.Elie Ritter 5". LME TE ELLE ne (Le 1389 
Seconde notice sur les Animaux nouveaux ou peu connus du Musée de 
Genève, par M. F.:J. Pictet, professeur. ................... 201 


Essai sur la Végétation de la Nouvelle-Castille, par M. G.-F. Reuter .. 215 
Notice sur la Température de Genève, par M. George Picot. ........ 

















MÉMOIRES 


DE 


LA SOCIÉTÉ DE PHYSIQUE 
ET D'HISTOIRE NATURELLE 


. DE GENÈVYE. 









Contenant un Supplément relatif à des Observations astronomiques faites dans l'année 1843. 





EL ——————_————_ 


ToME X, 2° PARTIE. 











GENÈVE, 


IMPRIMÉRIE DE JULES-G"° FICK, RUE DE LA CORRATERIE. 






1844 

















Mau 7 











rm 


MÉMOIRE 


LE DALTONISME, 


M. le Professeur Elie Wartmann. 


Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 46 Avril 1840 ({). 





ART. I. 
INTRODUCTION. 


Plusieurs personnes qui possèdent un œil sain et capable 
d'accomplir ses fonctions les plus délicates sont cependant 
dans l'impossibilité de distinguer les couleurs. Leur nombre 
est beaucoup plus considérable qu’on ne l'estime générale- 








(1) Ce Mémoire avait été communiqué à la Société Vaudoise des sciences na- 
turelles, le 5 mars 1840 (voy. Actes de la Soc. helvét. des sciences naturelles 1841, 
p- 194). — Ses conclusions ont aussi été indiquées le 3 août 1841 à l'Association 
Britannique réunie à Plymouth (Voy. Athenœum du 28 août 1841, n° 722, 
p. 699; Silliman’s American Journal, janv. 1842, tome XLII, p. 62; l’Institut du 
5 février 1842, n° 425, p. 47). Il y a été fait dès lors plusieurs additions. 

TOM. X, 2° PARTIE. 35 


274 MÉMOIRE 


ment, et il y a lieu de s'étonner que la plupart des méde- 
cins et des physiologistes ignorent l'existence ou s'occupent 
si peu d’un fait aussi commun. 

On sait que tout homme peut, dans certains cas, percevoir 
des sensations colorées anormales; mais ce n'est jamais que 
d'une manière intermittente et pendant un temps limité. 
Ainsi toutes les fois qu'on regarde fixement un objet éclairé 
placé sur une surface de teinte sombre, et qu'on ferme les 
yeux ou qu'on les porte d’une manière rapide sur un autre 
fond de couleur blanche, on ne tarde pas à apercevoir une 
image plus ou moins nette de l’objet contemplé, mais offrant 
une couleur complémentaire de la sienne. C’est ce que Buffon 
a nommé le phénomène des couleurs accidentelles. W cesse au 
bout d’un certain temps pendant lequel on voit l'impression 
primitive remplacer alternativement l'impression secondaire. 
Il prend encore naissance lorsque l'œil, fatigué par l'observa- 
tion prolongée d’un objet coloré et fortement éclairé, examine 
un autre objet d’une couleur différente. Diverses théories 
ont été proposées pour rendre compte de ces perceptions colo- 
rées (que les Allemands nomment subjectives et que Gæœthe ap- 
pelle physiologiques), entre autres celle de Scherffer ('), à 
laquelle M. le prof. Plateau en a récemment substitué une plus 
rationnelle (*).— Ce cas semble bien connu et je n'ai pas à 
m'en occuper ici. 








(4) Dissertation sur les coul. accident.— Journ, de Phys., tome XXVI; 1785. 
(2) J. Plateau. — Essai d'une théorie générale contenant l’ensemble des appa- 
rences visuelles qui succèdent à la contemplation des objets colorés et de celles 


SUR LE DALTONISME. 275 


Mais on a constaté depuis longtemps des faits de vision 
colorée anormale où l'affection est habituelle et permanente. 
On peut les distinguer en deux catégories tranchées: 


1° Celle des personnes chez lesquelles foutes les impres- 
sions colorées sont incessamment défectueuses par état ma- 
ladif. Quelques-unes voient la flamme d’une bougie entourée 
d’un iris, d’autres croient que tous les objets qui les avoisinent 
sont teints de jaune, de vert ou de bleu, etc. Leur maladie a 
été décrite par les oculistes sous le nom de chromopsie ou de 
chrupsie (7). 


D LE catégorie des individus incapables de distinguer un 








qui accompagnent cette contemplation, etc.; Mém. Ac. des Sc. de Brux., 
tome VIII; 1854. — Voyez aussi les travaux remarquables du professeur Fechner 
dans Pogg. Ann. der Phys. und Chem.; 1840. 

(4) La Chrupsie a lieu dans quelques cas de jaunisse. Boyle rapporte que des 
pestiférés voyaient tous les objets et même leurs habits comme entourés d’arcs-en- 
ciel (Experimenta de coloribus, p. 1). Sous l'influence d’une peur très-vive, on 
voit facilement, dit-on, le gris ou le bleu dominer dans la coloration extérieure. 
Le docteur Parry parle d’un vieux général qui, le soir avant que les lampes fus- 
sent allumées et le matin pendant la première heure de sa promenade, attribuait 
à tous les objets blancs une couleur orangé foncée voisine de l'écarlate (Collections 
from the unpublished medical writings of C. H. Parry, M. D., vol. 1, pp. 560, 568, 
569; Lond. 1825). Le Dr Mackenzie mentionne une personne qui voyait tous les 
objets comme teints en vert par suite d’une blessure à la cornée avec chute de la 
partie nasale de l'iris (On the Diseases of the eye, p. 862). Cinq personnes s'étant 
empoisonnées avec des racines de jusquiame furent traitées les unes par le tartre 
stibié, les autres par la thériaque ; elles guérirent, mais virent pendant trois jours 
tout ce qui les entourait de couleur écarlate (Letter of D' Patrouillat dans Phil. 
Trans., tome XXXIX, p. 446 ; 1738). 


276 MÉMOIRE 


nombre variable de couleurs les unes des autres, comme il y 
en a qui ne peuvent apprécier les intervalles des tons musi- 
caux ; ils confondent le bleu avec le violet, le bleu clair avec 
le vert clair, le vert foncé avec le brun, quelquefois le rose 
avec le jaune clair, etc., tout en différenciant les teintes päles 
de celles qui sont vives. Les dénominations d’Achromatop- 
sie (1), de Chromatopseudopsie, de Chromatométablepsie, 
d'Akyanoblepsie (2), etc. ont été employées par les auteurs 
pour désigner les différents cas qu’ils ont observés et décrits 
d'une manière plus ou moins confuse. 

Je me propose, dans ce Mémoire, de jeter un coup d'œil 
rapide sur les principaux faits de cette seconde classe connus 
jusqu'ici. Réservant le terme de Chromopsie au cas où les 
couleurs sont perçues d’une manière extraordinaire par suite 
d’une altération de la santé, j'appliquerai à celui dans lequel 
l'affection est naturelle le nom de Daltonisme, proposé par 
M. le professeur Prévost, parce que l'illustre physicien Dalton 
en a décrit sur lui-même plusieurs particularités (*). J'y join- 








(1) L'Achromatopsie proprement dite est l'impossibilité absolue de distinguer les 
couleurs. Ceux qui en sont affectés voient en général tout gris : ils sont très-peu 
nombreux. D’après le professeur Jüngcken, cette imperfection a surtout lieu chez 
les individus à yeux gris, rarement chez ceux dont l'iris est brun ; elle date ordi- 
nairement de la naissance et, dans ce cas, elle est héréditaire et incurable ; mais 
elle se déclare aussi tardivement et comme symptôme de cataracte, de glaucome 
et d'amaurose (Die Lehre von den Augenkrankheiten, p.84 ; Berlin 1832). 

(2) Gœthe, Farbenlehre, tome IF, p. 105. 

(5) C'est à tort que M. le professeur Whewell m'a attribué le choix de cette 
dénomination ; je la conserve pour ne pas en introduire une nouvelle, Lout en con- 


SUR LE DALTONISME. 277 
drai l'exposé d'observations nouvelles faites dans des circons- 
tances très-favorables; et, après une revue critique des explica- 
tions proposées par les divers physiologistes qui se sont occu- 
pés de ce sujet, je terminerai par l'énumération de quelques 
conséquences auxquelles peut conduire l'étude du Daltonisme. 

On trouvera peut-être que j'ai donné un trop grand déve- 
loppement à la partie historique de ce travail. Mais l'absence 
de documents dans notre langue sur un sujet aussi intéres- 
sant, et le désir que les observations ici consignées puissent 
dispenser les personnes disposées à s'occuper du Daltonisme 
de remonter aux sources qui en traitent, me serviront, j'ose 
l'espérer, d’excuse suflisante. 





venant avec lui que peu de personnes désirent s’immortaliser par leurs imperfec- 
tions, et que Dalton, moins que tout autre, n’a besoin d’un tel moyen pour trans- 
mettre son nom à la postérité (Voyez Athenœum du 28 août 1841, n. 722, p. 699). 
— Je pense du reste avec un illustre physicien (M. Brewster) qui a rendu compte 
de la Philosophy of the inductive sciences écrite par le savant Maître du collége de 
la Trinité, que le terme de Jdiopts par lequel M. Whewell désigne les Daltoniens 
est d'une composition peu heureuse (Edimb. Quart. Review, jan. 1842, p. 266). 
— Depuis près de quarante ans la dénomination de Daltonien est employée dans 
l’enseignement oral à l’Académie de Genève. Pierre Prévost imprimait en 1827, 
dans la Bibliothèque universelle : « Le sujet dont il a décrit la vision semble ne dif- 
férer du grand nombre de ceux que j'ai coutume d’appeler Daltoniens que par un 
léger degré d'obscurité dans les nuances.» (tome XXXV, p. 521), et plus loin: 
«Sur ce compte-rendu... je n'hésite pas à le prononcer Daltonien» (ibid. p.522). 


278 MÉMOIRE 


ART. Il. 


OBSERVATIONS ANCIENNES. 


$ 1. Des Classifications. 


Les faits de Daltonisme décrits jusqu’à présent ne sont pas 
très-nombreux. On n’en trouve aucune mention dans nos meil- 
leurs traités de physique français (celui de M. Péclet excepté), 
ni dans les ouvrages de Priestley (') et de Sæmmering (?), ni 
dans ceux de Burdach (°), de Tiedemann (*), de Richerand (°), 
de Magendie (°), etc. sur la physiologie. M. le professeur 
J. Müller n’en parle pas dans son grand Traité de physiologie 


comparée de la vision chez l'homme et les animaux (7), et il ne 





(1) J. Priestley. The history and present state of discoveries relating to vision, 
light and colours; tome IL; Lond. 1772, 49. 

(2) Sam. Thom. von Sæmmering. Uber einige wichtige Pflichten gegen die 
Augen: 5° Aufl. Frankf. a/M. 1819. 

(3) Burdach. Die Physiologie als Erfahrungswissenschaft, mit Beyträgen von 
Karl Ernst von Baer und Heinrich Rathke; Leipz. 14835 ; 5 vol. 8. 

(4) Tiedemann. Physiologie des Menschen, 2 vol. 8; Darmstadt 1850—56. 

(5) Richerand. Nouveaux éléments de Physiologie, 40° édit. augmentée par 
M. Bérard aîné; 5 vol, 8°, 1855. 

(6) Magendie. Précis élémentaire de Physiologie, 5° édit. Bruxelles 1838, 8. 

(7) J. Müller. Zur vergleichenden Physiologie des Gesichtssinnes des Menschen 
und der Thiere, 1 vol, 8; Leipzig 1826. 


SUR LE DALTONISME. 279 
cite dans son Manuel de physiologie humaine (1) que les ob- 
servations de M. À. Seebeck jeune dont il sera question plus 
loin. L'intéressant Mémoire de ce dernier (*), un travail de 
M. Szokalski, que je n’ai pas réussi à me procurer (*}, un cha- 
pitre de l'ouvrage de Mackenzie sur l'œil (4), voilà, avec quel- 
ques lignes de Gæœthe et deux ou trois notices répandues dans 
les Transactions philosophiques et dans les journaux de méde- 
cine et de physiologie anglais, à peu près tout ce que j'ai pu 
rassembler pour tracer l'historique de mon sujet. 

Les seuls observateurs qui aient cherché à classer les Dalto- 
miens sont MM. Seebeck, Szokalski et Purkinje. 

M. Seebeck en fait deux divisions. La première comprend les 
individus qui se trompent plus sur le degré de coloration que 
sur la nature de la couleur. Les teintes qu’ils confondent plus 





(1) J. Müller. Handbuch der Physiologie des Menschen, tome II, p. 392; 
Coblenz 1858. 

(2) À. Seebeck. Ueber den bei manchen Personen vorkommenden Mangel an 
Farbensinn; Pogg. Ann. der Phys. und Chemie, tome XLII, p. 177 (1837). — 
Je dois dire que ce-travail, dont j’ignorais l'existence lorsque ce Mémoire fût 
présenté à la Société de Genève, m'a été fort utile pour sa rédaction définitive. 
M. Seebeck a eu l’obligeance de m’en donner un exemplaire auquel il avait ajouté 
des échantillons des papiers colorés qui lui ont servi à examiner et à classer un 
grand nombre de Daltoniens. 

(3) ILa pour titre : Essai sur les sensations des couleurs; Bruxelles 4840. — 
Voyez Bericht über die Fortschritte der Physiologie des Gesichtssinnes, in den 
Jahren 1859 bis Mai 4842, vom Medicinalrath Dr Tourtual zu Münster, p. LI] ; 
Mäüllers Archiv für anat. Physiologie und wissensch. Medicin pour 1842. 

(4) °W. Mackensie: À practical treatise on the diseases ofthe eye ; Lond. 1855, 
2° édit. 8°, chap. XX, p. 860. 


280 MÉMOIRE 


ou moins sont: orangé clair et jaune pur; — orangé foncé, 
vert Jaurâtre ou brunâtre clair et brun jaunâtre ; — vert clair 
pur, brun gris et couleur de chair; — rouge rosé, vert plus 
bleuâtre que jaunâtre et gris; — cramoisi, vert foncé et brun 
châtain ;— vert bleuâtre et violet sale ; — lilas et gris bleu ; — 
azur, gris bleu et gris lilas. Leur sens est très-défectueux pour 
l'impression spécifique de foules les couleurs en général; il 
l'est surtout pour celle du rouge et par suite pour celle du vert 
qui en est complémentaire, couleurs qu'ils ne distinguent que 
peu ou point du gris; il l’est ensuite pour le bleu qu'ils ne dif- 
férencient qu’assez incomplétement du gris. C’est le jaune dont 
l'appréciation est la plus correcte, quoiqu'ils voient souvent 
moins de différence entre lui et l'apparence de corps incolores 
que cela n’est le cas pour l'œil ordinaire. 

La seconde division renferme les personnes qui confondent 
orangé clair, jaune verdâtre, jaune brunâtre et jaune pur; — 
orangé vif, brun Jaune et vert d'herbe; — rouge de brique, 
rouille et vert olive foncé; — vermillon et brun foncé; — car- 
min foncé et vert bleu noirâtre; — couleur de chair, brun gris 
et vert bleuâtre; — gris bleuâtre terne et gris un peu bru- 
nâtre ; — rose sale un peu jaunâtre et gris pur; — rose rouge, 
lilas, azur et gris passant au lilas; — cramoisi et violet; — 
violet foncé et bleu foncé. Elles n’ont qu'une faible perception 
des rayons les moins réfrangibles : c'est là leur caractère dis- 
tinctif le plus saillant. Du reste c’est encore le jaune qu’elles 
reconnaissent le mieux; elles distinguent les objets rouges un 
peu mieux et les bleus un peu moins des corps incolores, 


SUR LE DALTONISME. 281 
mais surtout les rouges des bleus d’une manière beaucoup 
moins tranchée que les individus de la première classe (1). 

M. Szokalski a consacré un chapitre entier de son ou- 
vrage (2) à l'examen des cas défectueux de perception colorée, 
cas auxquels il donne, avec Sommer, la dénomination générale 
de Chromatopseudopsie. I en distingue cinq classes : 

1° Celle des personnes chez lesquelles le sens des couleurs 
manque presque complétement et qui ne voient à la place des 
couleurs élémentaires, jaune, rouge et bleu, que différents de- 
grés de blanc et de noir. 

2 Celle des personnes qui distinguent aussi le jaune : les 
objets extérieurs leur apparaissent colorés des nuances qu'en- 
gendrent les divers mélanges de jaune, de blanc et de noir. 

3° Celle des personnes qui non-seulement voient le jaune, 
mais sont en outre capables d’une perception particulière et la 
même pour le bleu et pour le rouge; ce sont les 4kyanopes 
de Gæœthe. 

4° Celle des personnes uniquement privées de la sensation 
du rouge, qui leur paraît gris cendré. 

5° Celle des individus qui distinguent toutes les couleurs, 
mais pas d’une manière tranchée; au lieu de pouvoir préciser 








(1) Seebeck. Mem. cit. p, 221. Un extrait de ce beau Mémoire a été inséré 
dans le Jahresbericht über die Fortschritte der anatomisch-physiologischen Wis- 
senschaften im Jahre 1837, von D' Müller; Müllers Archiv, 1858, p. CLXXIHI. — 
C'est cet extrait qui a été textuellement reproduit dans le Handbuch der Physio- 
logie du même auteur. 

(2) Müller’s Archiv, 1842. 

TOM. X, 2° PARTIE. 36 


282 MÉMOIRE 
le mélange de deux couleurs ils ne voient jamais que l’une 
d'elles. 

Le professeur Purkinje divise le Daltonisme en quatre va- 
riétés qu'il nomme Achromatopsie, Chromatodysopsie, Akya- 
noblepsie et Anérythroblepsie. Les deux premières se rappor- 
tent plus à l'intensité, les autres à la nature de l'imperfec- 
tion (1). Le même habile physiologiste a remarqué que celle-ci 
a encore lieu pour des yeux à l’état normal lorsque l'axe visuel 
ayant une direction déterminée, on introduit lentement un 
objet coloré quelconque dans le champ de vision depuis son 
pourtour le plus extérieur (2). : 

Les diverses observations anciennes et nouvelles que j'ai à 
relater me semblent confirmer davantage la division de M. See- 





(1) Encyclopædisches Würterbuch der medicin.Wissenschaften, herausgegeben 
von den Professoren der medicin. Facultät zu Berlin, tome I, p. 259. 

(2) Beobachtungen und Versuche zur Physiologie der Sinne, tome II, p. 15. — 
On sait aussi que dans certaines circonstances, les deux yeux n’apercçoivent pas les 
mêmes couleurs, si l’un d'eux reçoit latéralement une lumière vive contre laquelle 
l'autre est protégé par un écran. Voici, entre autres, une expérieñce dont nos 
traités ne parlent pas, et qui mériterait cependant d’être généralement connue. 
Je l'emprunte aux Positions de Physique de M. Quételet : « On tient une feuille de 
papier blanc à un pied devant soi, et on regarde un objet placé plus loin, mais de 
manière à voir encore le papier qui paraît double. On approche ensuite latérale- 
ment d’un des yeux la flamme d’une bougie et, par un écran, on l'empêche d'agir 
sur l’œil opposé ; le papier paraît alors rouge pour le dernier œil et vert pour le 
premier ; il est blanc aux endroits où les deux images empiètent l’une sur l’autre. 
En portant rapidement la lumière du côté opposé, on voit les phénomènes se re- 
produire dans un sens inverse : ce qui était rouge devient insensiblement vert, et 
réciproquement. » (Tome III, p. 175, 2° édit.) 


SUR LE DALTONISME. 283 


beck, que celle de MM. Szokalski et Purkinje. Il y aurait un 
très-grand avantage à faire une classification rigoureuse des 
Daltoniens, parce qu'à chaque catégorie on pourrait offrir des 
moyens à la fois simples et peu nombreux comme palliatifs de 
leur imperfection ; malheureusement un tel travail ne paraît 
pas possible et on peut dire qu'il y a autant de variétés de 
Daltonisme que d'individus qui en sont affectés. 

Je préfère, en conséquence, laisser de côté toute idée systé- 
matique qui n'aurait pas en sa faveur une preuve suffisante et 
ne séparer que les cas de Daltonisme dichromatique et de Dal- 
tonisme polychromatique, c'est-à-dire où il y a plus de deux 
couleurs normalement percues. Quant à la distinction fort ra- 
tionnelle que M. Seebeck a le mérite d’avoir le premier établie 
entre les erreurs d'appréciation de l’intensilé (stärke) et celles 
de jugement de la nature individuelle (art) des couleurs. on 
doit regretter de ne pouvoir la faire dans la grande majorité 
des descriptions que les auteurs nous ont transmises. Il faut 
se borner à la recommander aux physiologistes qui s’occupe- 
ront de ce sujet complexe. 

J'ajoute, enfin, en faveur de mon opinion, qu'il existe une 
très-grande quantité de nuances en plus et en moins dans 
le Daltonisme. Quand il n’y a que deux couleurs perçues, elles 
se réduisent pour l'ordinaire à une sensation vague de lu- 
mière et d'obscurité : l'influence des rayons rouges est presque 
nulle. Mais de là jusqu’au cas où ce ne sont plus que des 
erreurs dans l'appréciation de teintes égales d'éclat et voi- 
sines de couleurs, erreurs qui n’ont lieu qu’à la lumière arti- 
ficielle et qui constituent l'extrême limite du Daltonisme, le 


284 MÉMOIRE 


nombre des degrés intermédiaires est indéterminé et peut-être 
illimité (”). 


$ 2. Cas de Daltonisme dichromatique. 


Le plus ancien de ceux qui ont été décrits a été rapporté 
par le Dr Dawbeney Tubervile (?), en 1684. Il dit qu'une 
fille âgée de 32 à 35 ans vint le consulter sur sa vue qui, ex- 
cellente du reste, lempêchait d'apprécier d'autre couleur que 
le blanc et le noir, quoiqu'elle pût souvent lire près d’un quart- 
d'heure dans la plus grande obscurité. 

Cette dernière circonstance, bien extraordinaire, semble être 
assez fréquente chez les Daltoniens. Nous en verrons plusieurs 
exemples rapportés surtout par les médecins anglais, tels que 
les docteurs Colquhoun et Nicholl. Spurzheim cite (*) une 





(1) C’est ce nombre si grand de variétés du Daltonisme qui me semble une ob- 
jection contre la preuve que sir David Brewster a cru trouver dans cette anomalie 
pour appuyer sa théorie de trois couleurs élémentaires (Edimb. Journ. of science, 
N.S., tome V, p. 19; Bib. Univ., tome L, p. 147). On ne peut pas dire que cle 
fait physiologique et le principe d'optique sur lequel il fonde son analyse du spectre 
sont parfaitement d'accord et se confirment mutuellement. » 

(2) Two letters from the great and experienced oculist D° Dawbeney Tubervile 
of Salisbury, to M. William Musgrave of Oxon, containing several remarkable 
cases in physic relating chiefly to the eyes. — Phil. Trans. n° 164, p. 756, 
(4 août 1684). — Lowthorp's Abridgement, tome IE, partie 4, p. 40. : 

(5) G. Spurzheim, Phrenology, 54 edit. p. 276. —J. De Ville, Manual of Phre- 
nology, as accompaniment to the phrenological bust ; Lond. 1855, p. 108. 


SUR LE DALTONISME. 285 


famille dont tous les membres ne pouvaient distinguer que 
le blanc et le noir. 

M. Huddart (1) parle d’un nommé Harris. cordonnier à Mary- 
port, dans le Cumberland, qui ne distinguait dans les cou- 
leurs que des nuances d'intensité lumineuse, nommant blan- 
ches toutes les teintes claires, et noires toutes les sombres. Il 
trouva un Jour dans la rue un bas d'enfant et fut très-surpris 
de l'entendre qualifier de rouge, lorsque lui-même pensait l'a- 
voir entièrement défini en l'appelant un bas. Cette circons- 
tance lui révéla limperfection de sa vue et lui fit comprendre 
pourquoi ses petits camarades voyaient autre chose qu'une 
différence de forme et de position entre les feuilles et les fruits 
du cerisier. Deux frères de Harris se trouvaient dans le même 
cas que lui, tandis que deux autres frères, ses sœurs et ses 
parents avaient une vision normale. 


$ 5. Cas de Daltonisme polychromatique. 


M. Harvey (?) cite un tailleur de Plymouth qui ne voit dans 
l'arc-en-ciel et dans le spectre que deux nuances, le jaune et le 
bleu léger. Les seules couleurs qu'il distingue exactement sont 





(1) An account of persons who could not distinguish colours, by M. Jos. Hud- 
dart, in a letter to the Revd Jos. Priestley (Lond. janv. 15, 1777). — Phil. Trans., 
tome LXVII, p. 260. 

(2) Edimb. Phil. Trans., tome X, p. 255.— Edimb. Journ. of science, tome V, 
p. 414. — Bib. Univ., tome XXXV, p. 175. 


286 MÉMOIRE 

le blanc, le jaune et le vert. On raconte qu'il appliqua un jour 
une pièce écarlate à des culottes de soie noire. Pour lui, le noir 
est en général vert, quelquefois cramoisi; le bleu est bleu 
foncé, cramoisi, ou noir; le violet est bleu, à moins qu'il ne 
soit très-éclatant; le vert est noir et brun; le carmin, la laque 
rouge, le cramoisi paraissent bleu; le brun semble vert; les 
teintes orangées foncées sont brunes et les claires sont jaunes. 

Sir J. Herschel (?) parle d’un opticien distingué (M. Trough- 
ton), qui avait perdu un œil par accident et dont l’autre 
percevait une sensation de clarté dans toutes les parties 
du spectre, mais n’y distinguait que deux couleurs, le bleu 
correspondant aux rayons les plus réfrangibles et le jaune à 
ceux qui le sont le moins. Des expériences de confirmation ont 
été faites au moyen de lumière polarisée qui traversait une 
lame de mica mobile et qui donnait simultanément deux teintes 
lune complémentaire de l'autre, et dont la coloration différait 
suivant les inclinaisons du cristal. — Au rapport de M. Whe- 
well, tous les membres masculins de la famille de Troughton 
se trouvent dans le même cas (°). 

Le travail le plus intéressant à signaler sur cette matière 
est celui de l'illustre Dalton, qui a décrit sur lui-même et sur 
quelques-uns de ses élèves l'affection qui nous occupe. Les 
vastes connaissances de l’auteur sont un garant de la fidélité 
et du soin qu'il a mis à analyser ses sensations et rendent très- 





(4) Article Light dans l’Encyclopædia metropolitana, $ 507, p. 545.— Traité de 


ja Lumière, traduit par MM. Quételet et Verhulst; tome I, p. 305. 
(2) Athenœum, loc. cit. 


SUR LE DALTONISME. 287 


précieuses les esquisses qu'il en a publiées (*). Le Dr Dalton 
ne voit dans le spectre solaire que trois couleurs, le jaune, le 
bleu et le bleu foncé (purple) (?). Les deux premières forment 
contraste, les deux dernières semblent différer plutôt en degré 
que spécifiquement. Le rose vu de jour paraît bleu de ciel un 
peu affaibli; à la lumière artificielle il prend une teinte oran- 
gée ou jaunâtre qui contraste fortement avec le bleu. Le cra- 
moisi est, de jour, d’un bleu sâle, et la laine cramoisie d’un 
bleu foncé. Le rouge et l’écarlate deviennent à la chandelle plus 
brillants et plus vifs. Dalton ne voit de jour aucune différence 
entre le rouge d’un bâton de cire à cacheter et le vert de 
l'herbe ; il appelle bleu sombre lincarnat d’un teint fleuri, et 
il assortit le cramoisi avec la couleur du vin rouge clair ou de 
la boue, le rose avec le bleu léger, le brun avec le rouge et le 
gris avec le vert. Enfin sur tous les points où il a une opinion 
particulière, la différence est moindre à la clarté des bougies 
qu'à celle du soleil. 

M. Whewell raconte (*) qu'ayant demandé à Dalton à 
quel objet il pourrait comparer sa robe de docteur, qui était 
d’un brillant écarlate, celui-ci lui montra les arbres dans la 





(4) Extraordinary facts relating to the vision of colours, with observations ; by 
M. John Dalton; read oct. 51* 1794. — Memoirs of the literary and philosophi- 
cal Society of Manchester, tome V, part. 1, p. 28, 1798. 

(2) Sir D. Brewster affirme au contraire, dans ses Lettres sur la magie naturelle, 
que, d'après ses observations, Daiton voit le spectre tout entier, mais que la 
partie rouge lui paraît jaune (page 27 de la traduction française). 

(5) Athenœum, loc. cit. 


288 MÉMOIRE 


campagne et lui déclara n’apercevoir aucune différence entre 
la couleur de son vêtement et celle de leur verdure. 


Gœthe (*) dit avoir connu deux jeunes gens âgés de moins 
de vingt ans, dont la vue était tres-bonne, et qui appréciaient 
avec beaucoup de délicatesse les gradations du clair et de lobs- 
cur. Ils voyaient comme nousle blane, le noir, le gris, le jaune, 
le jaune-rougeûtre ; ils appelaient rouge le carmin desséché 
en couche épaisse. Mais ils nommaient bleue la couleur d'un 
trait mince de carmin fait au pinceau sur une blanche coquille, 
ainsi que celle des pétales de la rose. Ils confondaient le rose 
et le bleu avec le violet, et ces couleurs ne semblaient se dis- 
tinguer les unes des autres que par de petites nuances de 
clarté, d'obscurité, de vivacité ou de faiblesse. 

M. le prof. Péclet (*) cite deux frères qui regardaientcomme 
identiques le carmin, le violet et le bleu; ils nommaient verte 
la tente du peroxide de fer, et confondaient le rouge garance 
des pantalons de la troupe de ligne avec le vert des arbres. 
Pour eux le jaune possédait un grand éclat. Ces résultats s’ob- 
tinrent en leur faisant déterminer les diverses couleurs dont 
on avait recouvert des bandes de papier. 


Le Dr Sommer a décrit avec soin les particularités de son 
Daltonisme (3). En résumé, il ne pouvait apprécier le rouge et 
ses mélanges, mais il distinguait le jaune, le noir, le bleu et 





(4) Zur Farbenlebre ; au chapitre Pathologische Farben, $$ 104—115. 
(2) E. Péclet.— Traité élémentaire de physique, tomell, p. 562, 5° édit. 1858. 
(3) Græfe und Walther's Journal für Chirurgie, Bd. V, Heft 1, p. 155. 


SUR LE DALTONISME. 289 


le blanc. Son frère et trois autres personnes étaient dans le 
même cas. 

Les phrénologistes se sont occupés aussi de quelques cas 
de Daltonisme. Le D' Combe, d'Edimbourg, rapporte les dé- 
tails suivants sur un M. James Milne, fondeur de laiton dans 
cette ville (1). Son grand-père maternel était Daltonien, con- 
fondant le brun avec le vert. Ses deux frères et M. Spankie, 
son cousin au second degré, voient comme lui, tandis que 
son père, sa mère, son oncle maternel et ses quatre sœurs 
ont un organe normal. M. Milne ne distingue pas le brun 
du vert, le bleu du rose, la couleur de l'herbe de celle 
de l'orange; le bleu (purple), 'indigo et le violet ne sont pour 
lui que différentes teintes d’une même couleur. Il ne voit dis- 
tinctement dans l’arc-en-ciel que du jaune et du bleu ; il aper- 
çoit d’autres bandes, mais il ne sait pas les nommer. Il appelle 
le cramoisi bleu, de jour. et rouge brillant, à la chandelle. Au 
reste, il différencie très-bien le blanc du noir. 

Le Dr Nicholl nous a transmis l'examen de deux Daltoniens 
remarquables. L’un (7), enfant de onze ans, n’appelait aucune 
teinte verte; il nommait brun le vert foncé; jaune, le jaune 
clair; rouge, le jaune foncé et le brun clair; rouge clair, le vert 
pâle; bleu clair, le rouge clair et le rose; rouge, le rouge; 
bleu. le bleu clair et le bleu foncé. Le spectre solaire ne lui 





(4) Combes System of Phrenology ; — Transactions of the phrenological So- 
ciety, p. 222 ; — Chamber’s, Edimb. Journal, vol. IV, p. 118. 
(2) Account of a case of curious imperfection of vision, by Whitlock Nicholl; 
Medico-chrurgical Transactions of London, tome VIE, p. 477. 
TOM. X, 2° PARTIE. 37 


290 MÉMOIRE 


offrait que du rouge, du jaune et du bleu (purple). Sa mère 
et ses quatre sœurs avaient une vision correcte, mais elle était 
imparfaite chez son grand-père maternel et quelques frères de 
celui-ci. 

Le second sujet étudié par le Dr Nicholl (*), est un homme 
de 49 ans. Comme le précédent, il a des yeux gris et une 
teinte Jaune entoure sa pupille. Il ne peut distinguer le vert 
du rouge. Il perçoit la couleur écarlate, maïs il appelle brun 
le vert foncé; jaune, le jaune clair; brun clair, le jaune foncé; 
bleu, le rouge clair, le rose et le violet; il apprécie bien le 
bleu foncé et le noir. L’arc-en-ciel lui semble jaune au centre 
et bleu vers les bords; des rideaux cramoisis lui paraissent 
bleus de jour, et rouges à la clarté des bougies. Son œil 
voit l'herbe rouge, et les fruits rouges de même teinte que 
les feuilles de l'arbre qui les portent. Il n’a pas la notion 
claire des couleurs complémentaires. Enfin il voit plus loin 
et plus distinctement dans l'obscurité que ses parents et ses 
amis. 

Le Dr Colquhoun a aussi fait connaître deux cas très-bien 
caractérisés (*). Le premier est celui d’une personne instruite, 
qui a un goût décidé pour la peinture, et a décrit elle-même 
les particularités de sa vision. « Je tiens à déclarer dès l’en- 





(1) Account of a case of defective power to distinguish colours, by Whit- 
lock Nicholl of Ludlow; Medico-chirurg. Trans. of London, tome IX, p. 559. 

(2) Glasgow Medical Journal, vol. IE, p. 12, 1829. — C'est à l'amitié de M. le 
D' Coldstream, de Leith, que je suis redevable de la communication manuscrite 
de cet article, inséré dans une collection très-rare sur le continent. 





SUR LE DALTONISME. 291 
trée, dit-elle, que je ne confonds pas incessamment les cou- 
leurs dont mon œil n'est en général pas capable de distinguer 
la nature. Ainsi je puis apprécier avec une parfaite exactitude 
les rouges et les verts brillants du plumage de certains oiseaux 
et de quelques fruits, quoique les yeux ordinaires n’aperçoi- 
vent aucune différence entre ces couleurs et celles que je con- 
fonds décidément. Les couleurs dont les nuances m'échappent 
le plus sont d'abord les rouges qui se rapprochent de l’écarlate, 
et les verts jaunâtres tels que ceux des feuilles du tilleul, du 
bouleau, de lorme, etc. Lorsqu'on ajoute, même en faible pro- 
portion, du bleu à l'écarlate, je vois que celui-ci est altéré; mais 
si on mêle une même quantité de bleu au vert que Je confonds 
avec l’écarlate, je ne puis trouver de différence entre ce vert 
plus bleuâtre et l'écarlate qu'on a bleuie. Je ne sépare point 
le vert foncé du noir, et des nuances foncées du brun; le gris, 
du vert pâle, et du rouge päle de même force... On a cru que 
ce prétendu défaut dans ma vue provenait d’un manque de 
soin dans l'appellation des couleurs; mais plusieurs tentatives 
que J'ai faites démontrent qu'il est bien réel. Ainsi je n’aper- 
çois pas un bâton de cire à cacheter déposé sur l'herbe, ni 
une pièce d’écarlate pendue à une haïe que l'on me dit discer- 
ner à plus d'un mille de distance. Je recueillis un jour un 
lichen, comme une grande curiosité, sur le toit d’une maison 
de pêche d’un ami; je le croyais d'un brillant écarlate, c'est- 
à-dire de la même couleur que les tuiles ; en réalite il était d’un 
beau vert. Une autre fois je n’aperçus aucune différence dans 
l’aspect d’une dame qui avait remplacé son rouge par une 
couche de bleu de Prusse. — Rien à mes yeux ne contraste 


292 MÉMOIRE 

plus avec le noir que la teinte azurée de l'atmosphère; aussi 
vois-je beaucoup mieux de loin que de près, grâce à l'inter- 
position d’une plus épaisse couche d'air. Cette disposition 
fait que je ne sais distinguer un jeune enfant placé près de 
moi d’une grande personne qui est beaucoup plus loin, ete. — 
À la lumière artificielle, tous les jaunes me paraissent blancs; 
le cramoisi me semble écarlate; le gris pâle, bleu; orangé 
d’un rouge sâle. Je ne connais aucun parent qui me ressemble 
à cet égard. » 

L'autre cas est celui d’un jardinier de Clydesdale, âgé d’en- 
viron 50 ans. Son œil est parfait de forme; l'iris est gris bleuä- 
tre, et la pupille est entourée d’un cercle étroit jaune foncé. 
Il reconnut son imperfection à l'impossibilité de distinguer 
certains fruits pendus à l'arbre. Son premier métier fut d’être 
tisserand, mais il y renonça, parce qu'il confondait les fils 
rouges, noirs, verts et bleus. Dans l’arc-en-ciel il ne discerne 
que du jaune et du bleu; cependant il en indique correcte- 
ment la forme, et fut un jour le premier à mentionner un arc 
secondaire comparativement faible. Il reconnaît beaucoup plus 
ordinairement les personnes par leur voix que par leurs traits. 
Aucun de ses nombreux enfants ni de ses parents ascendants 
n'est Daltonien. Les principaux caractères de sa vision sont les 
suivants : 

En plein jour, il confond toutes les teintes de blanc ; nomme 
correctement le jaune et ses variétés; appelle l'orangé un 
jaune intense, mais n'y voit aucun mélange de rouge; hé- 
site dans les teintes pâles qu'il désigne par jaunes, rouges, 
brunes ou même lilas-gris (drab), et ne sait assigner au- 





SUR LE DALTONISME. 293 


cun nom aux nuances très-foncées; confond le rouge avec 
le lilas, le rose, le brun, le noir, le blanc, bien qu'il perçoïve 
la différence des teintes claires et des teintes foncées; n’a que 
des notions très-confuses du vert qu'il croit être du blanc, du 
lilas, du jaune, du bleu ou du noir; ne se trompe guère pour 
le bleu, mais en étend la dénomination au violet; enfin, ne 
sait Jamais caractériser mi le brun, ni le gris, qu'il nomme 
lilas, ni le noir même le plus foncé. — A la brillante clarté 
des chandelles, il voit le blanc, le gris, le jaune et le vert 
comme de jour; reconnaît assez bien l'orangé, mais nomme 
noirs les rouges foncés et les bleus foncés ; bleus et roses, les 
bleus clairs; ne sait pas spécifier les nuances du violet et du 
brun; ni celles du noir qu'il prend pour du brun, du rouge, 
du vert ou du noir. 

Enfin on doit à M. le prof. Seebeck la mention (1) de vingt- 
un cas de Daltonisme, dont quinze ont été étudiés avec une 
grande sagacité. Je n’entrerai pas dans le détail de ses obser- 
vations; les conclusions qu'il en a tirées et qui ont été rappor- 
tées ci-dessus m'en dispensent d'autant mieux qu'il ne sy 
trouve guère de particularité dont les cas précédemment dé- 
crits n’offrent des exemples. Je me bornerai à relater les traits 
saillants de la vision d’un Daltonien de sa première classe (=). 

C’est un jeune homme de dix-huit ans, qui appelle bleu le 
bleu et le lilas verdâtre; vert, le vert bleuâtre, le gris pur, le 
gris-lilas, le rose, le rose-violet et le bleu clair passant au 





(1) Mém. cité. 
(2) Mém. cité, p. 180. 


294 MÉMOIRE 

gris ou au verdâtre; rouge, le jaune, l’orangé, le jaune rou- 
geàtre, le vert jaunâtre clair, le brun jaunâtre, et le brun de 
rouille ; brun, le rouge jaunâtre foncé et le vert d'herbe foncé; 
rouge ou brun, le cramoisi, le violet foncé, le vert foncé noi- 
râtre ou bleuâtre et le brun. Le vert et le rouge sont le plus 
indistincts pour lui; du reste, il ne dit pas volontiers qu'une 
teinte est grise ou jaune (!). C’est le bleu et le jaune qui con- 
trastent le plus fortement à son œil. Il juge très-incompléte- 
ment de l’opposition des couleurs. Il distingue trois couleurs 
fondamentales, qu'il appelle vert, bleu et rouge; ce dernier lui 
semble brun lorsqu'il est foncé. Ce Daltonien voit les limites 
du spectre comme nous. Il confond davantage le bleu avec le 
violet et avec un rouge légèrement bleuâtre dans les couleurs 
produites par le prisme ou par interférences, que dans celles 
des substances opaques. 


$ 4 Cas de Dalionisme incomplétement décrits. 


Outre les faits que Je viens de rapporter, il en existe un 
petit nombre d’autres qui sont consignés dans divers ouvrages, 
mais avec trop peu de détails pour qu'il soit possible de les 
bien caractériser. Voici les principaux d’entre eux. 

M. Scott (=) nous apprend que le rouge vif et le vert tran- 


(1) M. Seebeck remarque que toutes les personnes qu’il a examinées con- 
fondaient les couleurs avec le gris, fait important et qui n’a pas été note jus- 
qu'ici. 

(2) An account of a remarkable imperfection of sight ; in a letter from J. Scout 
to the Revd M. Whitson of Trin. Coll. Cambridge ; communicated by the Revd Mi- 
chael Lort. Phil. Trans., tome LXVIIF, p. 611 (1779). 


SUR LE DALTONISME. 295 
ché, le bleu pâle et le rose, le rouge foncé et le bleu produi- 
saient chez lui la même sensation, tandis qu'il distinguait fa- 
cilement le jaune et le bleu foncé. Il appelait noir foncé la 
teinte vineuse (claret coloured) d’un vêtement. La même im- 
perfection se rencontrait chez son père, son oncle maternel, 
une de ses sœurs et les deux fils de celle-ci. 

Gall (”) dit que le Dr Unzer à Altona n’a jamais pu distin- 
guer le vert du bleu. 

Rozier (*) parle d'un individu qu'une vision analogue 
empêcha de se vouer à la peinture : il employait le rouge au 
lieu du bleu foncé. Helling (°) cite une personne qui confon- 
dait le bleu clair avec le vert et le rouge. 

Le Dr Butter (”) décrit le Daltonisme d’un jeune R. Tucker, 
âgé de dix-neuf ans. Cet individu voyait brun le rouge du 
spectre; vert, l’orangé; orangé le jaune; rose le bleu; enfin 
bleu (purple), Yindigo et le violet. 

Sir D. Brewster (?) cite une personne, jeune encore, et qui 
ne voyait dans le spectre que du jaune et du bleu. Lorsqu'on 
absorbait le milieu de l’espace rouge par un verre bleu, elle 











(1) Gall, Anatomie et Physiologie du système nerveux, tome IV, p. 98. — 
Spurzheim, op. cit. p. 276 ; — De Ville, op. cit. p. 108. 

(2) Rosier, Observations sur la Physique, tome XIII, p. 86. 

(3) Helling, Praktisches Handbuch der Augenkrankheïten, tome I, p. 1. 

(4) Remarks on the Insensibility of the eye to certain colours, by John Butter, 
M. D. Edimb. philos. Journal, tome VI, p. 155 (1822). — Transactions of the 
phrenological Society, p. 209. — Combe’s System of phrenology. 

(5) Brewster, Edimb. Journ. of science, tome VIT, p. 85; — A Treatise on 
Optics, ch. XXXVI, p. 511 (tome XIX du Cabinet Cyclopædia) ; Lond. 1858. 


296 MÉMOIRE 
voyait la partie noire terminée des deux côtés par ce qu’elle 
nommait du jaune. 

M. Collardo confondait le bleu avec le jaune, le rouge avec 
le vert (*). 

Girod de Chantilly parle entre autres (2) d’un pharmacien 
de Strasbourg qui ne distinguait que diflicilement les cou- 
leurs. Il explique cette anomalie en admettant qu'il n’y a que 
trois couleurs, et que la rétine possède pour la perception de 
chacune d'elles une membrane particulière qui peut, dans cer- 
tains cas, devenir inactive. 

Brandis (3) racontait de lui-même qu'il ne peut distinguer 
le bleu clair du rouge de la rose, qu'il confond aisément le vert 
avec le bleu, le jaune avec le rouge, le rouge jaunâtre avec le 
vert dans les teintes foncées, le bleu avec le rouge dans les 
claires. Son neveu avait été obligé d'abandonner un com- 
merce de soierie, parce qu'il ne pouvait distinguer le bleu 
du ciel du rouge de la rose. 

Wardrop (*) remarque que les Daltoniens aperçoivent une 
différence dans les couleurs en général, mais sans pouvoir dire 
en quoi elle consiste, ni nommer les couleurs séparément. 
Suivant lui, ils ne se trompent jamais sur le jaune et le bleu; 





(1) Journ. de Phys., tome XIL, p. 86. 

(2) Dans un écrit publié en anglais sous le pseudonyme de G. Palmer, puis tra- 
duit en français avec le titre de Théorie des couleurs et de la vision. 8°. 

(3) Gœthe, zur Naturwissenschaft und Morphologie, 4 Heft, p. 297. 

(4) Essays on the morbid anatomy of the human eye, Lond., 1818; tome If, 
p. 196. — Meckel’s Archiv für die Physiologie, tome V. 


SUR LE DALTONISME. 297 


toutes les autres couleurs leur paraissent en être des modifi- 
cations. Ils ne voient dans le spectre que du jaune et du bleu. 
Ils distinguent difficilement les différentes espèces de vert et 
de rouge; ils appellent bleu le vermillon, les couleurs voisines 
du jaune, le carmin et les autres teintes semblables, qu'ils 
trouvent toutefois jaunes à la lumière des bougies. Il est évi- 
dent que l’auteur n’a étudié qu'un nombre tres-limité de cas 
de Daltonisme. 





ART. HI. 


OBSERVATIONS NOUVELLES. 


$ 1. Remarques générales. 


Nombre des Daltoniens. — Yaï déjà dit que le nombre des 
personnes affectées de Daltonisme est beaucoup plus considé- 
rable qu'on ne le croit généralement. M. le prof. Seebeck en a 
trouvé cinq sur les quarante et quelques jeunes gens qui com- 
posaient les deux classes supérieures d’un gymnase de Berlin. 
Le prof. Pierre Prevost assurait que sur vingt individus, il 
y en a un Daltonien. Je ne crois pas que cette estimation soit 
fort exagérée; car il m'a été facile de trouver bien des per- 


sonnes affectées de cette singulière anomalie. Il est nécessaire 
TOM. X, 2° PARTIE. 38 


298 MÉMOIRE 


de remarquer que souvent les Daltoniens eux-mêmes ignorent 
l'imperfection de leur vision. Ajoutons cependant qu'on ne 
trouve dans les auteurs anciens aucun passage qui se rapporte 
au Daltonisme, et que les nombreux voyageurs qui ont par- 
couru l'ancien et le nouveau monde sont tout aussi peu expli- 
cites à cet égard. En faudrait-il conclure que cette imperfection 
est le partage des nations modernes européennes ? Il est infi- 
niment plus probable qu'en d’autres régions et dans les siècles 
passés, l'esprit d'observation moins développé ne l'a pas dé- 
couverte. 


Signes caractéristiques. — Y a-t-il quelque moyen de déci- 
der à la simple inspection de l'organe visuel d’un individu que 
celui-ci est ou n’est pas Daltonien? Cette question est très- 
importante, car il n’est point rare de rencontrer des gens voués 
à la peinture ou à d’autres professions que l’état de leur per- 
ception colorée aurait dû leur interdire. Je n'oserais aflirmer 
que la réponse doive être dans tous les cas négative. J'ai ob- 
servé, en effet, que les Daltoniens dont les yeux sont bruns, 
de la couleur que les Anglais nomment hazel (noisette), offrent, 
sous une incidence plus ou moins oblique, un reflet doré d’une 
nuance particulière. M. Nicholl l'a signalé dans les cas du jeune 
enfant et de l'homme plus âgé qui ont été rapportés ci-dessus, 
et le Dr Colquhoun le mentionne dans l'œil du jardinier de 
Clydesdale. Miss Sedgwick dit de M. de Sismondi qu'il avait 
brilliant hazel eyes (y; l'illustre historien était affecté de Dalto- 








(4) Leuers from abroad 10 kindred at home, tome I, p. 250. 


SUR LE DALTONISME. 299 


misme. Frappé de ce reflet dans l'œil d’un jeune élève de quinze 
ans, Je l'ai soumis à quelques exercices qui ont montré, selon 
ma prédiction, son inaptütude, jusqu'alors ignorée, à distin- 
guer diverses couleurs. Les yeux du sieur D***, dont il sera 
question plus loin, présentaient la même particularité. Je suis 
loin, du reste, de donner à cette remarque une grande va- 
leur. 

On a prétendu qu'il y a plus de Daltoniens à yeux bleus 
qu'à yeux noirs. Cette assertion est insoutenable; parmi les 
personnes que J'ai examinées, la grande majorité appartenait 
à la seconde catégorie. En réunissant toutes les observations 
de Daltonisme, à moi connues, dans lesquelles on a noté la 
couleur de l'iris, je trouve que les deux teintes y sont repré- 
sentées par des nombres égaux. M. Seebeck rejette également 
cette opinion qui provient de ce que la plupart des cas étudiés 
l'ont été en Allemagne et en Angleterre, où le bleu est la cou- 
leur dominante des yeux. 


Répartition suivant le sexe. — Le Daltonisme est beaucoup 
plus commun chez les hommes que chez les femmes. On m'a 
parlé d’une dame qui confond les couleurs, mais je n’ai pas eu 
l'occasion d'examiner en quoi consiste le défaut de sa vue. Il en 
est de même d’une sœur de D***. Deux femmes dont parle 
M. Seebeck (), et deux cas cités par les Anglais, mais dont un 





(1) Mem. cit., p. 252. 


300 MÉMOIRE 


est douteux (1). voilà, sur près de cent cinquante observa- 
tions cataloguées, les seules qui re portent pas sur le sexe 
masculin. S'il est vrai que les travaux d’aiguille développent 
la délicatesse de jugement pour les nuances, et que les femmes 
aient l'organe de la couleur plus développé que les hommes, 
comme Gall l’assure, il est digne de remarque que ces tra- 
vaux même devraient mener quotidiennement à la découverte 
de cas de Daltonisme dans le sexe féminin, si ces cas étaient 
nombreux. 


Influence de l'âge et de la parenté. — Le Daltonisme date 
ordinairement de la naissance. A la très-grande généralité de 
cette règle, Je ne connais que deux exceptions, celle du 
sieur D*** sur laquelle je reviendrai, et celle d’un jeune 
homme de dix-sept ans, cité par M. Seebeck (*), qui avait 
souffert d’une inflammation aux yeux dans son enfance et qui 
en avait conservé une faiblesse de vue; mais on ne peut que 
difficilement (schwerlich) faire dater son Daltonisme de cette 
époque. 

Quant à la parenté, il y a des Daltoniens dont aucun pa- 
rent connu ne présente l’anomalie de vision; d’autres l'ont, pour 
ainsi dire, héritée de leur père ou de leur oncle, soit pater- 
nel, soit maternel (sans que, dans ce dernier cas, la tante y 


(4) Phil. Trans., tome LXVIIT ; et Medico-chirurg. Trans. of London, tome IX; 
c’est ce dernier cas qui présente de l'incertitude. 
(2) Mem. cit., p. 200. 





SUR LE DALTONISME. 301 
participe); enfin il n’est pas rare de trouver des frères dont 
plusieurs sont Daltoniens, sans que nécessairement tous le 
soient. Les sœurs sont presque toujours privilégiées, comme 


nous l'avons vu. 


8 2 Détails de deux observations. 


La plupart de mes observations se rapprochent trop de 
celles dont j'ai présenté l'énumération, pour qu'il soit utile de 
les reproduire en détail. Je me bornerai, à en citer une en en- 
tier, en la faisant suivre d’une seconde qui m'a été commu- 
niquée. 

Le sujet le plus intéressant que j'aie étudié est le sieur 
Louis D***, né au Locle, le 22 juillet 1810. Il est l'aîné de 
quatre sœurs et de sept frères. Ses parents ont une vue saine, 
et leurs enfants se rangent en une double catégorie assez sin- 
gulière. La première est formée de ceux qui ont des cheveux 
rouges et qui ne sont pas Daltoniens; la seconde, dont D*** 
fait partie, est composée de ceux dont la chevelure est blonde 
et qui sont doués d’une vision colorée anomale : chaque sexe a 
des représentants dans l’une et dans l'autre. 

D*** assure, d’après ses souvenirs et le témoignage de sa 
mère, avoir, dans son enfance, perçu les couleurs de la manière 
ordinaire. Mis en pension à un âge très-tendre dans le canton 
de Berne, il en revint au bout de deux ans sans notions bien 
approfondies sur leur diversité et atteignit ainsi sa neuvième 
année. Il reçut alors sur la tête un coup asséné avec tant de 
violence que la boîte cranienne fut fracturée; le traitement de 


302 MÉMOIRE 


la plaie nécessita, entre autres sur le dos, quelques opérations 
chirurgicales, à la suite desquelles il ne vit plus les couleurs 
que d’une manière défectueuse. Au surplus la considération 
que trois de ses frères sont dans le même cas sans s'être trou- 
vés dans les mêmes circonstances enlève à cette observation 
pathologique une grande partie de son importance. 

Son père chercha par des punitions corporelles réitérées à 
faire cesser ce qu'il nommait un mauvais badimage, et D*** a 
gardé souvenir de la correction que lui infligea un jour son 
maître de reliure pour avoir mis un papier rouge à des livres 
dont la couverture devait être verte. 

J'ai soumis ce Daltonien à un grand nombre d'expériences 
variées pour qu'elles se contrôlassent mutuellement. Il fallait 
en effet me garantir d'erreurs provenant d'indications fautives 
de sa part et dues à l'éducation que lui donnent forcément ses 
relations habituelles. En outre il ne dissimulait pas sa répu- 
gnance à répondre à des questions précises sur des points où 
l'absence de la faculté perceptive entraîne, comme on sait, 
celle d'idées correspondantes que nul procédé extérieur d'ins- 
truction ne saurait remplacer. 

D*** ne voit pas grande différence entre la couleur de la 
feuille et celle du fruit mûr du cerisier; il confond celle d’un pa- 
pier vert d’eau avec l'écarlate d’un ruban placé tout auprès (7). 





(1) J'ai observé une circonstance analogue chez un autre Daltonien, M. Mary, 
de Metz. Il ne put apercevoir une jeune paysanne vêtue en entier d'habillements 
rouges et qui traversait une prairie dont la couleur verte avait pris la teinte foncée 
qui lui est ordinaire quelques instants après le coucher du soleil. 


SUR LE DALTONISME. 303 
La fleur du rosier lui semble bleu-verdâtre et il nomme vert- 
clair la couleur cendrée de la chaux vive du commerce (1). 

Je lui présentai successivement des papiers nuancés de di- 
verses teintes, le priant d’assortir celles qui lui paraîtraient 
semblables. Mais je ne tardai pas à m’apercevoir que l'influence 
de la surface plus ou moins lisse du papier et de l'éclat qui en 
résulte l'empêchaient de prononcer d'une manière certaine, et 
je renonçaï à ce mode d'expériences dans lesquelles il y avait 
une sorte de redressement des jugements de la vue par ceux 
du tact (*). 

Je voulus savoir quel effet produirait sur lui la vue d’un 
spectre solaire. J’opérai au moyen d’un bon prisme, par un 
temps très-favorable et dans une chambre obscure, le T mai 
1839, entre 9 et 10 heures du matin. Les bandes colorées re- 
çues sur un écran de papier blanc étaient brillantes et dis- 
tinctes; elles s’étendaient sur une longueur d'environ 0,102. 
D. ne vit que quatre couleurs, du bleu, du vert, du jaune et 
du rouge. Il limita la partie bleue exactement à l’espace occupé 
par le violet, l'indigo et le bleu; il appela vertes les bandes 
verte et jaune moins un intervalle de 0,002 contre l'orangé ; 
il nomma jaune cette bande de 0,002 et une fraction du 


rouge large de 0,012; enfin les 0,008 de rouge restant 





(1) M. le professeur M°*** de Zurich est dans le même cas, etc., etc. 

(2) J'ai remarqué, comme M. Seebeck, que le jugement porté par des Dalto- 
niens sur les couleurs est moins positif et moins exact pour des milieux opaques 
que pour des substances transparentes. 


30% MÉMOIRE 


étaient pour lui d’un rouge diflicile à définir, quoique bien 
réel (*). 

Ces anomalies dans la perception des couleurs réfléchies 
une fois connues, il restait à les vérifier pour de la lumière 
réfractée. J’employai dans ce but trente-sept plaques de verre 
différemment colorées, et j'écrivis sous la dictée de Daltonien 
les diverses impressions qu'il ressentait en plaçant l’une après 
l'autre chacune d’entre elles entre le ciel et son œil. J'ai répété 
ces épreuves à plusieurs reprises, afin de ne pas laisser les 
résultats entachés d'indications données à la légère ; toutes ont 
été faites par un temps serein et à la lumière du soleil, soit 
avant, soit après midi. J'ai consigné dans le tableau I le détail 
de l’une d'elles, exécutée le 2 mars 1840, entre 3 et 4 heures, 
par un ciel bleu-grisâtre. Les verres y sont classés dans l’ordre 
de décroissance de leur teintes pour mon œil; ils comprennent 
les sept couleurs primitives plus ou moins nettes avec quel- 
ques-unes de leurs combinaisons, mais ne présentent pas cette 
fusion par degrés insensibles qu'on remarque dans celles du 
spectre solaire. 





(1) J'ai déjà dit que plusieurs Daltoniens dichromatiques voyaient mieux dans une 
demi-obscurité que d’autres personnes dont la vue est de jour plus perçante que la 
leur ; D‘** et deux autres individus que j'ai examinés sont dans le même cas. Cela 
ne provient-il pas, comme le présume M. Seebeck (Mem. cit., p. 224) de ce que 
les rayons les moins réfrangibles disparaissant les premiers dans le crépuscule, la 
diminution d'éclat de la lumière est plus sensible aux yeux ordinaires qui perçoi- 
vent ces rayons mieux qu'eux? 


SUR LE DALTONISME. 


305 


Tableau I. 
EXPÉRIENCES AVEC DES PLAQUES DE VERRE COLORÉ. 












COULEURS SELON MOI. 


N'°° D'ORDRE 


des observations. 
N°° D'ORDRE 


des plaques. 








Rouge très-foncé. 
moins foncé. 












Orangé foncé. 
» moins foncé. 





OO D 1 D O1 à CO NO 










Jaune foncé. 
» moins foncé. 


» 













13 2 » » 
14 D pen De 
15 » » » 
16 Vert foncé. 


» moins foncé. 
» 






» » 
» bleuitre. 
» plus clair que n° 22. 
Bleu fonce. 


» moins foncé. 










23 » » » 

24 » » » 

25 » » » 

26 » mal défini. 

27 » sale moinsdistinct. 


Indigo foncé. 
» moins foncé. 
» » » 
Violet foncé. 
» moins foncé. 





































COULEURS SELON LE DALTONIEN. 


Rouge noir très-obscur, indiscernable. 

Rouge brun très-foncé, indiscernable. 

Rouge. 

Rouge clair, d'incendie. 

Rouge plus clair, ou jaune foncé. 

Rouge plus clair, vif, indistinct. 

Jaune très-vif, indistinct; rouge? 

Jaune flamme, indistinct ; rouge doré. 

Rouge de feu, clair. 

Rouge clair; jaune? 

Rouge plus clair et plus brillant que celui de la 
Rouge jaunâtre, indistinct. [2° plaque. 
Rouge d’incendie. 

Vert clair. 

Vert très-clair. 

Vert bleuâtre 
Vert bleuâtre 
Beau vert. 
Vert clair. 
Vert moins foncé et moins rougeâtre que celui de 
Bleu verdûtre. [la 6° et de la 7° plaque. 
Bleu. 

Bleu clair. 

Bleu plus clair. 

Bleu plus clair que celui de la 13°. 

Bleu faible. 

Beau bleu plus clair que celui de la 11°. 

Bleu plus foncé que celui de la 28°. 

Bleu foncé. 

Beau bleu plus clair. 

Beau bleu foncé. 

Bleu foncé. 

Bleu foncé. 

Bleu foncé. 

Beau bleu plus faible. 

Bleu clair comme celui de la 13°. 

Beau bleu de ciel. 









} couleurs égaleset peu distinctes. 



















TOM. X, 2° PARTIE. 


39 


306 MÉMOIRE 


Ce tableau montre à travers quelques appellations dubita- 
tives l'évidente confirmation des résultats obtenus avec le 
spectre solaire. Les trente-sept plaques de verre ne font per- 
cevoir à l'œil de D“** que quatre couleurs différentes, abstrac- 
tion faite des variétés d'intensité; seulement ici il y a quel- 
ques changements dans le nom des teintes orangées et dans 
celui des teintes rouges et jaunes qui en sont le plus rappro- 
chées. Les nuances qu'il a de la peine à caractériser et qu'il 
nomme tantôt rougeâtres, tantôt jaunâtres, sont précisément 
celles qui sont un mélange en proportions diverses de jaune 
et de rouge. 

Quelque concordantes que fussent ces épreuves. J'ai pensé 
qu'il ne serait point inutile de les vérifier par d’autres, dans 
lesquelles on emploierait des teintes pures produites par des 
phénomènes de polarisation colorée. Cette méthode n'a paru 
plus sûre. parce que les verres dont nous avions fait usage 
pouvaient présenter en divers points des différences d'épais- 
seur ou de coloration, quelquefois aussi des stries qui influent 
sur une réfraction bien nette de la lumiere, et apporter ainsi, 
dans des recherches délicates, des chances d'erreur dont il 
était important de se débarrasser. 

Dans ce but je me suis servi de l'appareil inventé par M. de 
Norrenberg. Après avoir disposé les glaces d’une manière con- 
venable, j'ai placé sur le support un quartz perpendiculaire à 
l'axe, de 0,002 d'épaisseur, et sur l'ouverture du cercle gra- 
dué un prisme de Nichol. Les observations ont été faites le 
jeudi 5 décembre 1839, par un temps de neige, depuis 2 h. 


et demie après midi. Les lectures avaient lieu de cinq en cinq 


SUR LE DALTONISME. 307 
degrés à partir du 90° placé à droite de l'observateur et avec 
lequel on a commencé par faire coïncider le repère. Je donne 
dans le tableau IT les indications de D*** pour les cercles de 
droite et de gauche, ainsi que les miennes faites immédiate- 
ment apres. Je dois à M. Taylor, ancien élève de l'Université 
de Cambridge, d’avoir bien voulu contrôler les résultats que 
J'inscrivais. 


308 MÉMOIRE 


Tableau II. 


EXPÉRIENCES AVEC LA LUMIÈRE POLARISÉE. 





COULEURS SELON LE DALTONIEN. 
ET 


COULEURS SELON MOI. 


N°° D'ORDRE 
des observations. 





© OO =1 O O1 à C0 KO Me 


du cercle, 


CERCLE A DROITE, 


Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu blanchitre. 
Blanc bleuitre. 
Blanc jaunätre. 
Jaune blanchätre. 
Jaune paille léger. 
Jaune paille plus foncé. 
Jaune paille. 
Jaune plus foncé. 
Jaune plus fonce. 
Jaune plus fonce. 
Jaune laiton. 
Jaune citron. 
Citron foncé terne. 
Jaune sâle foncé. 
Jaune brun léger. 
Jaune fauve. 
Jaune fauve foncé. 
Brun chocolat. 
Chocolat rouge. 
Lilas pourpre. 
Pourpre violet. 
Indigo. 

Lapis lazuli. 

Bleu de Prusse. 
Azur foncé. 


CERCLE A GAUCHE, 


Jaune verditre. 

Jaune verdûtre pl fonce 
Jaune verdâtre pl° foncé 
Jaune verditre pl foncé 
Jaune brun. 

Brun chocolat. 

Brun lilas. 

Lilas purpurin. 
Pourpre lilas. 

Beau violet. 

Bleu de lapis lazuli. 
Bleu moins foncé. 

Bleu cobalt. 

Bleu plus clair. 

Bleu plus clair. 

Bleu plus clair. 

Azur du ciel. 

Bleu vaporeux . 

Bleu grisâtre terne. 
Bleu grisaille . 

Bleu gris. 

Bleu fade. 

Gris bleuitre. 

Bleu jaunûtre. 

Blanc vert jaunâtre. 
Jaune verditre très-clair 
Blanc terne. 

Jaune verditre léger. 
Jaune verditre. 

Jaune un peu verdâtre. 
Beau jaune. 


CERCLE À DROITE, 


Bleu. 

Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Blanc bleuâtre. 
Blanc indécis. 
Blanc terne. 
Blanc moins terne. 
Beau blanc. 

Blanc jaunûtre du sapin. 
Jaunûtre. 

Beau jaune. 

Beau jaune. 

Jaune verditre. 
Jaune orange. 
Jaune. 

Jaune mat. 

Jaune verdûtre. 
Vert clair. 

Beau vert-pré. 
Vert-feuille du noyer. 
Vert rougeûtre . 
Beau rouge. 

Beau bleu foncé. 
Même bleu. 
Même bleu. 

Bleu un peu clair. 
Bleu de Prusse. 
Mème bleu plus clair. 





CERCLE À GAUCHE. 


Jaune paille. 
Jaune plus fonce. 
Jaune plus foncé. 
Jaune plus clair. 
Rougeître clair. 
Beau rouge. 
Rouge plus beau. 
Bleu indécis. 
Bleu foncé. 

Bleu comme n° 9. 
Comme n° 9. 
Comme n° 9. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu très-clair. 
Bleu plus clair. 
Bleu très-clair . 
Bleu grisâtre . 
Bleu blanchitre. 
Gris blanc. 

Blanc bleuître faible. 
Blanc terne. 
Blanc terne. 
Blanc jaunûtre. 
Blanc jaune indécis. 
Jaune faible. 
Jaune clair. 











SUR LE DALTONISME. 309 


J'ai mieux aimé passer ainsi d’une teinte à l’autre par des 
transitions sans saccades, plutôt que de procéder par sauts 
brusques qui m'’eussent donné des résultats plus immédiate- 
ment tranchés. Comme vérification, J'ai noté les couleurs des 
deux cercles pour les soixante premiers degrés du second qua- 
drant, quoiqu'elles ne fussent que la répétition de celles que 
nous avions obtenues dans le premier, avec la seule différence 
d’un échange dans leurs positions. 

Si l'on fait la part de la difficulté très-grande qui se ren- 
contre lorsqu'il s’agit de spécifier une teinte peu différente 
d'une autre appartenant à la même couleur, on verra par l'ins- 
pection de ce tableau que D*** perçoit comme nous le bleu, le 
blanc, le jaune, mais qu'il se trompe sur le pourpre, le lilas, le 
brun en les confondant avec le rouge et le bleu. 

M. Taylor et moi nous avions noté comme égales d'éclat les 
teintes Jaune et bleue de l'observation seizième, et le Dalto- 
nien fit la même remarque sur les teintes de même nom de 
la trente-unième lecture, qui n’en est pas à 900 de distance. 
Il en résulte que l’appréciation de l'égalité d'intensité de deux 
couleurs complémentaires n’est pas la même chez lui que chez 
nous, conséquence que J'avais précédemment déduite des ‘ex- 
périences faites avec les verres colorés portant les numéros 6, 
7, 15 et 18 (Tabl. D). Le très-grand nombre d'épreuves dans 
lesquelles D*** à été jugé montrent du reste avec une extrême 
probabilité qu'il ne perçoit pas des différences entre des cou- 
leurs qui nous paraissent identiques. M. Seebeck est arrivé à 
Ja même conclusion (!). 


(1) Mem. cité, p. 219. 





310 MÉMOIRE 


D*** nous aflirma en outre qu'il trouvait une différence to- 
tale et brusque entre les teintes du cercle de droite des obser- 
vations vingt-cinquième et vingt-sixième, teintes qui du rouge 
le plus beau sautaient au bleu foncé très-riche. Pour notre 
œil la distinction était loin d'être aussi profonde, ce qui 
montre que son organe visuel était inhabile à percevoir les 
divers mélanges du rouge qui accompagnent le bleu pour le 
faire passer au violet purpurin, rouge qui devient si évident 
lorsqu'on superpose deux ou plusieurs plaques de verre bleu 
cobalt et qu'on les place entre l'œil et un objet bien éclairé. 
Cette circonscription précise du domaine constitutif d’une 
couleur est un fait qui me paraît nouveau et digne d'être re- 
marqué. 

Je signalerai enfin une autre observation assez frappante. 
Le 10 décembre 1839, vers deux heures après midi, nous 
étions occupés à répéter les expériences précédentes avec le 
même appareil semblablement disposé. Le ciel était légère- 
ment couvert et les indications du Daltonien correspondaient 
exactement à celles dont j'ai présenté ci-dessus le relevé. Tout 
à coup le soleil brilla et vint jeter beaucoup plus de lumière 
sur l'appareil et sur l'observateur. Celui-ci me dit sur-le- 
champ que les couleurs prenaient à ses yeux une teinte diffé- 
rente et rougissaient toutes d’une manière sensible. Il appela 
rouge ce qu'il nommait auparavant vert et bleu mal défini. 
Pour moi, je ne sus voir d'autre changement dans les couleurs 
qu'une augmentation de leur éclat et de leur vivacité. Aussi 
regardé-je comme bien probable que l'impossibilité où il s'est 
vu de déterminer les nuances des plaques cotées 27, 1, 20, 








SUR LE DALTONISME. 311 
35,34,5 et 4 provenait de l'obscurité de leur teinte. Peut- 
être leur en aurait-il assigné une particulière si une lumière 
plus vive que celle du soleil les eût éclairées, ou si leur épais- 
seur eût livré passage à une plus forte proportion des rayons 
de cet astre (*). 

Un problème qu'on n'avait pas jusqu'ici cherché à résou- 
dre est celui de la différence qui doit exister entre un Dalto- 
nien et une personne à vue normale dans la perception des 
couleurs complémentaires. Pour obtenir quelques résultats à 
cet égard, j'ai présenté à D*** une feuille de papier sur la- 
quelle étaient peintes les couleurs du spectre avec leurs com- 
plémentaires en regard. J’inscris dans le tableau II, à côté de 
leurs noms véritables ceux qu'il leur a assignés. Ce tableau 
prouve clairement et comme on devait s’y attendre, que les 
couleurs que nous regardons comme complémentaires ne pa- 
raissent pas telles au Daltonien (°). 





(1) M. Seebeck pense que lorsque deux couleurs sont différentes, l'œil du Dal- 
tonien peut bien lui faire percevoir cette différence, mais jamais plus grande qu’elle 
ne parait à un œil normal (Mem. cit., p. 179, note). 

(2) M. Seebeck a trouvé chez divers Daltoniens une perception très-imparfaite 
du contraste des couleurs (Mem. cit., p. 184). 


312 MÉMOIRE 


Tableau III. 


EXPÉRIENCES DES COULEURS COMPLÉMENTAIRES. 













NOMS DES COULEURS NATURELLES. 


7 
SELON MOI. SELON LE DALTONIEN. 













EEE) 


1. Rouge. Rouge (feuille du rosier). 
2. Orange. Jaune rougeûtre. 

3. Jaune. Jaune de chrôme. 

4. Vert. Vert faible. 

5. Bleu. Bleu fonce. 

6. Indigo. Bleu nuance de rouge ? ? 
7. Violet. Beau bleu. 

8. Noir (de Chine). Brun? 

9. Blanc. Blanc. 


ER 


NOMS DES COULEURS COMPLÉMENTAIRES. 


SE 
SELON LE DALTONIEN. 






















SELON MOI, 











1. Bleu verdätre. Rouge clair (fleur du rosier ?). 
2. Bleu. Joli bleu. 

3. Indigo. Bleu indistinct . 

4. Violet rougeitre. Rouge? 

5. Orangé rouge. Jaune? 

6. Orange jaune. Jaune plus foncé. 

7. Jaune verdâtre. Jaune clair. 

8. Blanc. Blanc. 

9. Noir (de Chine). Brun? 












SUR LE DALTONISME. 313 


L'œil de D*** n'est cependant pas insensible aux couleurs 
accidentelles ; mais la fatigue qui, dans leur production, ré- 
sulte de la fixation volontaire et soutenue de l'objet éclairé 
semble lui être plus douloureuse qu'à nous. Voici deux des 
tentatives qui m'ont le mieux réussi. 

Je plaçai une rondelle de papier rose de 02,05 de diamètre 
sur une basane vert foncé et Je l'exposai à la lumière intense du 
soleil. Après quelques instants de contemplation, D*** ayant 
porté ses regards sur le plafond blanc, y vit un cercle noir 
entouré de rouge. Les couleurs avaient pris la place l'une de 
l’autre au lieu de devenir complémentaires. 

Je peignis ensuite une tête humaine en donnant à chaque 
partie une couleur complémentaire. Ainsi les cheveux et les 
sourcils étaient blancs, les chairs brunâtres, la sclérotique 
noire, les lèvres et les pommettes vertes, etc. Lorsque je 
lui demandai ce qu'il pensait de cette tête, il me répon- 
dit quelle lui semblait naturelle, que la chevelure était enve- 
loppée d'un bonnet blanc peu marqué et que lincarnat des 
joues était celui d’une personne échauffée par une longue 
course. 

IT peut encore être intéressant de remarquer que D*** voit. 
dans toute l'étendue du spectre solaire qui est lumineuse 
pour lui, les raies noires de Fraunhofer exactement comme un 
œil ordinaire. C’est ce que J'ai constaté soit en projetant ces 
raies sur un écran, soit en les lui montrant à travers une 
lunette et en lui faisant placer le fil vertical d’un micromètre 
en coïncidence avec elles. Les Daltoniens perçoivent donc 
l'obscurité là où elle existe aussi pour nous. 

TOM. X, 2€ PARTIE. 40 


314 MÉMOIRE 


Deuxième observation (1). — H. Dickinson de Newcastle- 
upon-Tyne, drapier, a raconté dans les termes suivants les 
particularités de son Daltonisme. 

Autant que je puis systématiser mon expérience, les cou- 
leurs primitives sont le rouge, le jaune et le bleu : toutes les 
autres ne sont que des nuances différentes de ces trois types. 

Mon rouge étalon (sandard red) est la couleur de la cire à 
cacheter. Les feuilles des arbres, la teinte vive de l'herbe. 
surtout celle de la feuille de laurier n’en diffèrent qu’extrême- 
ment peu. 

Je vois le jaune et le bleu à la manière ordinaire et je con- 
fonds rarement les objets qui en sont teints, quoique bien 
des choses me semblent bleues qui ne paraissent pas telles à 
d’autres; un chou rouge est d’un magnifique bleu clair de 
Jour, tandis que Je m'étonne de le trouver rouge à la lumière 
de la chandelle (2). 

Si je regarde un cerisier dont les fruits sont mûrs, je ne 
distingue ceux-ci des feuilles que lorsque je suis assez rappro- 
ché pour les reconnaître à leur forme (*). On voit que je ne 
perçois nullement le vert qui est pour la majorité des obser- 





(1) J'en dois les détails à mon ami M. le Dr Scholfeld, de Doncaster, qui me les 
à transmis sous date du 17 août 1841. 

(2) M. M‘* de G. pressé de faire de nuit le portrait d’une personne dont le 
départ était fixé au lendemain matin employa le jaune pour le rose. Celle-ci n’en 
garda pas moins l’œuvre du célèbre peintre, l'assurant qu’elle ne le montrerait 
qu'après le coucher du soleil. 

(5) Un Daltonien avait de même peint en beau rouge un sapin au milieu d’un 
paysage. 


SUR LE DALTONISME. 315 
vateurs la couleur prédominante dans la nature. Il me paraît 
toujours rouge de jour et quelques-unes de ses variétés me 
semblent bleues à la lumière artificielle. 

Cette anomalie date de ma plus tendre enfance et m'a été 
transmise par plusieurs de mes ancêtres. 





ART. IV. 


EXAMEN DES EXPLICATIONS DU DALTONISME. 


Plusieurs opinions ont été émises, surtout en Angleterre, 
pour rendre compte du Daltonisme. Je me propose de les indi- 
quer ici d’une manière succincte, en les accompagnant de 
quelques remarques critiques sur leur valeur dans l'état ac- 
tuel de nos connaissances. 

M. Dugald Stewart après avoir rappelé dans sa Philosophie 
de l'esprit humain () qu'il existe parmi les hommes des diffé- 
rences quant à la perception des couleurs, estime que la cause 
en est bien plus souvent dans une faiblesse ou dans une erreur 


(1) La 1"° édit. est de 1792, la 2° de 1802. — Voy. P. Prevost, Essais de phi- 
losophie, tome 1, p.249. — L'illustre philosophe d'Edimbourg était insensible aux 
couleurs les moins réfrangibles du spectre et ne pouvait pas distinguer un fruit 
rouge des feuilles vertes de l'arbre (Chamber’s Edimb. Journ. vol. IV, n° 474; 
— Brewster's Treatise on optics, p. 341). 


316 ; MÉMOIRE 


de conception que dans un défaut de l'organe. Cette manière 
de voir s'accorde avec l'hésitation que mettent quelques Dalto- 
niens à nommer une couleur isolée, bien qu'ils l'aient caracté- 
risée par comparaison. On pourrait aussi faire valoir en sa fa- 
veur cette divergence que nous avons reconnu règner entre 
eux lorsqu'ils s’agit de nommer une même teinte (1). Mais elle 
me semble difficile à concilier avec cette circonstance que plu- 
sieurs individus affectés de Daltonisme avaient le goût de la 
peinture et que celui dont j'ai esquissé l'histoire n'a pas été 
dès son bas-âge dans le même état d’impuissance à juger les 
couleurs. Au surplus le modeste philosophe écossais ajoute 
qu'en émettant cette conjecture, il est loin de prétendre qu'il 
n'y ait pas des cas où l'affection est produite par l’altération 
de l'œil. Il se peut que la sensation n'ait pas lieu, ou que la 
faiblesse de l'impression soit telle qu'elle agisse comme cause 
pour produire une habitude d'inattention d’où résulte l'incapa- 
cité d’en concevoir le souvenir. M. Prevost qui rapporte l'ex- 
plication de Stewart indique qu'il ne l'adopte pas (?), mais se 
déclare partisan de celle que je vais exposer. 

M. Dalton (*) conclut de ses observations personnelles, 
que les humeurs de ses yeux et de ceux de ses élèves sont co- 





(1) Le Dr Butter, de Plymouth, concluait aussi de l'examen du jeune Tucker 
que le Daltonisme a une cause physiologique et non optique, puisque toutes les 
autres fonctions de l'œil conservent leur entier exercice (Edimb. Phil. Journal, 
tome VI, p. 141). 

(2): Le Dr Elliotson rejette également cette hypothèse; voyez Froriep's neue 
Notizen, 1859, n° 247, 

(3) Mem. of Manchester, tome V, p. 30 ss. 


SUR LE DALTONISME. 317 
lorées en bleu. Il admet que cette coloration doit être particu- 
lière à l'humeur vitrée, car si elle eût affecté une autre partie 
de lorgane elle aurait été révélée par une inspection exté- 
rieure. Malgré les efforts de l'auteur pour expliquer par cette 
théorie les différents faits de vision qu'il a décrits, malgré les 
raisonnements du professeur Prevost pour anéantir les objec- 
tions, apparentes selon lui, qu'on y à faites, il ne me paraït 
pas qu'elle puisse être admise. D'abord elle ne saurait expli- 
quer la diversité des noms imposés à la même couleur par dif- 
férents Daltoniens. Ensuite, si le passage des rayons lumi- 
neux par un médium bleu suffisait pour procurer le Dalto- 
uisme, l'habitude des verres bleus pour bésicles aurait depuis 
longtemps confirmé cette hypothèse contre laquelle elle forme 
au contraire un argument bien fort. On sait que les vieillards 
chez lesquels le cristallin prend une teinte ambrée continuent 
à voir les objets avec leurs couleurs propres. Enfin les ocu- 
listes et les chirurgiens les plus distingués de la Suisse, de 
l'Allemagne, de l'Angleterre, de la France et des Pays-Bas, 
dont j'ai pu recueillir les opinions, sont unanimes à ne citer 
aucun cas de cette coloration en bleu de l'humeur vitrée, et 
les meilleurs ouvrages analytiques que nous possédons sur 
le mécanisme et la composition de l'œil, les travaux de Tho- 


mas Young ('), de Chenevix (°), de Nicolas (*), de Berzé- 








(1) Thomas Young.— On the mechanism of the Eye; Phil. Trans. 1801. Part. I, 
p.55. — Bibl. Univ., tome XVIII, p. 225. 

(2) R. Chenevix. — On the humours of the Eye; Journ. of the roy. {nstitu- 
tion. — Bibl. Brit., tome XXI, p. 545. 

(5) Nicolas, Dr et prof. — Mémoire analytique sur les différentes humeurs 


318 MÉMOIRE 


lius (!),etc., viennent tous confirmer ce témoignage. L'opinion 
de Dalton ne saurait donc être adoptée. 

À l'inverse, Gœthe (2) pense que pour expliquer le Dalto- 
nisme il suffit d'admettre que les malades ne voient pas le 
bleu, mais à sa place un pourpre affaibli, un rose et un rouge 
clair et pur. C’est ce qui lui a fait imposer à cette affection le 
nom d'Ækyanoblepsie. Il est à présumer que s’il eût connu 
les différents cas que J'ai décrits, il n'aurait pas avancé une 
hypothèse qui cadre si peu avec plusieurs d’entr'eux. 

Tous les physiciens savent que les limites des sons per- 
ceptibles varient d’une oreille à l’autre; c’est ce que Wollaston 
et Chladni ont irrécusablement démontré. Sir D. Brewster (3) 
suppose, par analogie, que dans les cas de Daltonisme l'œil 
n'est pas impressionné par les couleurs de l'une des extrémités 
du spectre. « L’insensibilité de quelques yeux aux faibles im- 
pressions lumineuses s'explique, dit-il, en ce que la rétine, par 
son organisation naturelle ou par quelque cause accidentelle, 
peut être moins délicate ou moins susceptible des impres- 
sions de la lumière chez une personne que chez une autre, 
sans que les facultés visuelles en soient affaiblies d'une ma- 


de l’œil, dans les vues de découvrir leur nature et les causes qui peuvent 
donner lieu à cette maladie désignée sous le nom de cataracte. An. Chim., 
tome LIT, p. 507. . 

(1) J. Berzélius. — Vues générales sur la composition des fluides animaux. 
Medico-chirurgical Transactions of London, t. IL. — Bibl. Brit., t. LIV, p. 27. 

(2) Gœthe. — Zur Farbenlehre, $$ 114 à 115. — Wh. Nicholl (Annals of Phi- 
losophy, n° 8, tome III) l’attribue aussi à l'absence de sensibilité pour le bleu. 

(3) Mackensie, Op. cit. — Edimb. phil. Journal, tom. VI, p. 141. 





SUR LE DALTONISME. 319 
nière concomitante. » Mais les travaux plus récents de M. Sa- 
vart ayant établi que dans des circonstances convenables la 
limite des sons perçus par les mêmes oreilles peut être con- 
sidérablement modifiée et reculée, et rien de pareil n'ayant 
pu être prouvé pour ce qui concerne la défectuosité dont 
nous recherchons la cause, il me semble que cette théorie 
manque de preuves. On n'ignore pas, du reste, que la sensibilité 
de l'œil sain est comparativement beaucoup moindre que celle 
de l'oreille, car si l'on représente la longueur d'ondulation dans 
l'air pour le rouge extrême par 0".0000266 (mesure anglaise), 
et pour le violet extrême par 0",0000167, on voit que le rap- 
port des vibrations correspondantes est celui de 1,59 à 1, va- 
leur un peu au-dessous de 1,6 qui est celle de la sixte mi- 
neure, et par conséquent bien inférieure à celle d’une octave. 

Plus tard, l'illustre physicien de St-Andrews paraît avoir 
changé d'opinion ('). En partant de la supposition que la 
choroïde est essentielle à la vision, il conjecture que l'mvisi- 
bilité de la couleur rouge chez les Daltoniens est due à ce que 
la rétine elle-même a une teinte bleue, de telle sorte que la 
lumière étant privée de ses rayons rouges par le pouvoir ab- 
sorbant de cette membrane, l'impression colorée sur la cho- 
roïde sera dénuée de rouge. Les mêmes objections tirées des 
données anatomiques et de l'influence des verres sur la per- 
ception des couleurs, sufliraient pour renverser cette hy- 
pothèse si elle n’était démentie par les faits. Nous avons vu 





(1) Edimb. Journ. of Science, tome VII, p. 86. 


320 MÉMOIRE 
que D*** et d’autres pouvaient apprécier du rouge dans le 
spectre. 

Selon les phrénologistes, la distinction des couleurs est une 
faculté qui ne dépend pas de l'œil, mais d’une partie spéciale 
du cerveau qu'ils nomment Organe des couleurs. « L’obser- 
vation prouve, dit M. Combe (‘), que les individus chez les- 
quels la partie du cerveau qui est immédiatement au-dessus 
de l'œil, au-dessous du sourcil, est largement développée, pos- 
sèdent à un haut degré la faculté de distinguer les couleurs. » 
C’est donc l'imperfection de cet organe qui est l’origine du 
Daltonisme, et la preuve, c'est que ceux qui en sont affectés 
possèdent un appareil oculaire, dont la construction méca- 
nique et les effets optiques sont irréprochables. 

La Gazette des hôpitaux du {9 octobre 1839 fait remar- 
quer que la première période de l'amaurose est accompagnée 
d’une confusion des couleurs qui, de même que l'achromatop- 
sie naturelle, semble dépendre d’un état maladif du cerveau. 
Dans une goutte sereine naissante par hyperéréthysme, les cou- 
leurs les moins vives telles que le bleu et le violet sont per- 
çues de la manière la plus distincte, et les objets jaunes 
semblent rouges; tandis que si la maladie est produite par 
faiblesse, la lumière rouge finit par disparaître et ne rede- 
vient visible que par la cessation de l’état morbide. 





(1) System of phrenology. — Je dois dire que parmi les Daltoniens dont j'ai 
fait l'examen, l'organe en question était en général peu évident, sauf chez deux 
d'entre eux où il se montrait remarquablement proéminent. 





SUR LE DALTONISME. 321 


M. le prof. Muncke cherche à expliquer les phénomènes dont 
nous nous occupons par l'hypothèse suivante ('). Supposons 
qu'en ce qui concerne l’activité du nerf optique il n’y ait que 
deux couleurs avec leurs complémentaires, le bleu et le rouge 
avec le jaune et le vert; la première caractérisée par sa puissance 
chimique, la seconde par son pouvoir calorifique : toutes les 
autres couleurs se déduiront des mélanges et des nuances de 
ces quatre, en ce qui tient à leur influence physiologique sur 
l'œil. Il suflit dès lors d'admettre que les nerfs sont plus ou 
moins sensibles à l’action échauffante de la lumière pour com- 
prendre que dans tous les cas possibles le jaune, qui est la 
couleur la plus lumineuse, se reconnaîtra entièrement et exac- 
tement, tandis que toutes les autres couleurs n’apparaîtront 
que par opposition; voilà pourquoi le vert et le rouge ne se 
distinguent pas et se confondent souvent avec le bleu et le 
jaune. On sait par une foule d'expériences que c’est pour le 
rouge et pour le vert que l'œil est le moins sensible. 

Enfin, Sir J.-W. Herschel (*) et le Dr Elliotson (#) pensent 
que cette maladie de la vision doit être attribuée à un défaut 
du sensorium même, ce qui le rend incapable d'apprécier exac- 
tement les différences qui existent entre les rayons et d'où 
dépendent leurs couleurs particulières. Cette manière de voir 
n’est évidemment qu'une formule des faits; c'est la seule qui 





(4) Gehler’s physikalisches Wéærterbuch, 21e Aufg., tome IV, p. 1498 ; art. 
Gesicht. (Leipzig 1828.) 
(2) J.-W. Herschel. — Op. cit. p. 454, $ 507. — Traduction, tome I, p. 305. 
(5) Froriep's neue Notizen, n° 247, 1839. 
TOM. X, 2° PARTIE. A1 


322 MÉMOIRE 

n'ait contre elle aucune objection. Elle à été adoptée soit par 
NL. Harvey (1) pour rendre compte des cas qu'il a décrits, soit 
par le Dr Young qui, partant des observations de Darwin, 
admet l’absence ou la paralysie des fibres de la rétine desti- 
nées à percevoir le rouge (?). 

Quelles que soient, du reste, les circonstances qui ont en- 
gendré ou qui particularisent cette affection remarquable , elle 
est du nombre de celles que l'art d'Esculape est impuissant à 
détruire. Les oculistes les plus renommés, tels que les Macken- 
zie (?), les Jüngken (*), les Maunoir (°), etc., sont unanimes 
à cet égard. 

Toutefois il existe un moyen très-facile de redresser, jus- 
qu'à un certain point. l'erreur d'appellation de la couleur. Ce 
moyen consiste à examiner les objets colorés à travers un mi- 
lieu transparent, comme du verre ou un liquide, possédant 
une certaine teinte connue. Supposez cette teinte rouge; l'im- 
pression d’un corps vert et d’un corps rouge, la même d’abord 
à l'œil nu, deviendra manifestement tranchée par l'usage de 
l'écran diaphane. Cette méthode paraît avoir été pratiquée 
pour la première fois par M. le prof. Seebeck père, vers l'an- 





(4) Harvey. — Edimb. phil. Trans., tome X, p. 255. — Edimb. journ. of 
Science, tome V, p. 114. — Bibl. Univ., tome XXXV, p. 84. 

(2) Phil. Trans., tome LXXVI, p. 544. 

(5) Mackensie. Op. cit. 

(4) J.-C. Jüngken M. C. Dr und Prof. der Heïlkunde. — Die Lehre von den 
Augenkrankheïten, ein Handbuch zum Gebrauche bei Vorlesungen und zum 
Selbstunterrichte für angehende Aertze. Berlin, 1852, 8°, p. 841 ss. 

(5) Communication verbale. 





SUR LE DALTONISME. 323 
née 1817 (!). Rien n'égale la surprise d’un Daltonien lors- 
qu'on lui découvre ainsi les erreurs qu'il commet chaque jour 
dans l'appréciation des couleurs. Malheureusement la teinte 
des verres colorés et leur nombre ne peuvent se prescrire à 
l'avance; l'impossibilité d’une classification rigoureuse des in- 
nombrables variétés de Daltonisme oblige de les choisir à pos- 
tériori pour chaque cas particulier. Ajoutons que leur emploi 
ne remédie qu'aux méprises dans la nature spécifique des cou- 
leurs, et laisse en général subsister celles qui portent sur les 
nuances d’une même teinte. 


ART. V. 


RÉCAPITULATION. 


En résumé, j'ai cherché à établir : 


1° Que le Daltonisme n’a pas été étudié par les anciens; 


2 Que parmi les modernes il n’a été authentiquement cons- 
taté que chez les individus de la race blanche ; 


(1) Seebeck, mem. cit. p. 216. 


324 


30 


Lo 


50 


6° 


10° 
11° 


120 


13° 


MÉMOIRE 

Qu'il en existe un nombre très-considérable de variétés, 
depuis les personnes qui n’aperçoivent que deux couleurs 
ou plutôt deux sensations, l’une de clarté, l’autre d’obscu- 

PE Q nr . A x .\ , ° 4 
rité, jusqu’à celles qui même à la lumière d’une bougie 
ne confondent que des teintes très-rapprochées, telles 
que des nuances de bleu et de vert d’égale intensité; 


Qu'il y a beaucoup plus de Daltoniens qu'on ne l'estime 
en général ; 


Que le sexe féminin en fournit une très-faible proportion ; 


Qu'ils peuvent, dans certains cas, être reconnus à quel- 
ques signes extérieurs ; 


Qu'il y en a autant à yeux bleus qu’à yeux noirs; 


Que le Daltonisme n'est pas toujours héréditaire; 


Qu'il n’affecte pas toujours tous les membres masculins 
d’ A = 
une même famille; 


Qu'il ne date pas toujours de la naissance; 


Que les Daltoniens ne jugent pas comme nous des teintes 
complémentaires ; 


Que plusieurs d’entre eux ne sont pas sensibles aux rayons 
les moins réfrangibles ; 


Qu'ils voient comme nous les raies de Fraunhofer, consé- 
quemment les limites de clarté et d’obscurité intérieure 
du spectre; 


17° 


SUR LE DALTONISME. 325 
Qu'ils ne jugent pas comme nous du contraste des cou- 
leurs ; 


Que leur affection ne provient ni d’une conformation 
vicieuse de l'œil, ni d’une coloration des humeurs ou de 
la rétine; 


Qu'on peut altérer l’état de Daltonisme par des moyens 
d’un emploi facile ; 


Qu'il a pour origine un défaut du sensorium, 


326 MÉMOIRE SUR LE DALTONISME. 


TABLE DES MATIÈRES. 


ART JnrOdUCHON eee E RE cer er cia ere EC 
» Il. Observations anciennes ......,........................... 
SA =MDES/CASSIRCAUONS ALERT r CES 

$ 2. Cas de Daïtonisme dichromatique .................. 

$ 3. Cas de Daltonisme polychromatique ................ 

$ 4. Cas de Daltonisme incomplétement décrits ........... 

» JL. Observations nouvelles ................................. 
SA ReMANQuES SÉNÉTAlES LEE 2 cc 

$ 2. Détails de deux observations. ..................... 

» IV. Examen des explications du Daltonisme .................... 
2 NEMRÉCADINIAIONPR EEE Eee mere Le meer e-cre 


Erratum. 


‘Page 292, ligne dernière, au lieu de Zilas-pris, lisez gris-fauve. 





MÉMOIRE 


SUR LES 


HAUTES EAUX DU LAC LÉMAN, 


PAR 


M. LE COLONEL DUFOUR, 


INGÉNIEUR CANTONAL. 


Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 21 Décembre 1843. 


Dès l’année 1806, le directeur de la machine hydraulique 
a tenu registre jour par jour de la hauteur des eaux. Il avait, 
à cet effet, établi un limnimètre dans le bâtiment même. L’ex- 
trait de ce registre, en ce qui concerne le maximum et le mi- 
nimum d’élévation des eaux de chaque année, montre que 
l'époque ordinaire des plus hautes eaux est le milieu du mois 
d’Août; quelquefois cependant elles arrivent en Juillet, quel- 
quefois aussi elles n’ont lieu qu’en Septembre. 

De tout temps il a été reconnu que l’époque des plus hau- 
tes eaux doit être fixée au milieu du mois d’Août; l’établisse- 
ment de nos digues n’y a rien changé (Voy. Spon, tome II, 


328 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 

p. 4692, édit. 1730). Quant aux basses eaux, elles sont moins 
régulières; mais c'est vers le commencement du mois de Mars 
qu'elles ont plus communément lieu. 

Le limnimètre de la machine hydraulique avait l'inconvé- 
nient d’être soumis à l'influence des remous, occasionnés par 
les vannages destinés à régler la vitesse de la grande roue de 
l'établissement; j'eus, en conséquence, l'idée de chercher un 
terme de comparaison qui fut entièrement à l'abri de cet in- 
convénient. Je choisis à cet effet la pierre du Niton la plus 
avancée dans le lac et, en 1820, je fis placer à son sommet 
ou, pour parler plus exactement, à un pouce au-dessous de 
son sommet, une plaque de bronze à laquelle les niveaux pus- 
sent désormais être rapportés. Cette pierre granitique est éloi- 
gnée de 75,50 d'une pierre pareille plus orientale, ou plus 
rapprochée du bord, la distance étant prise du sommet de 
l’une au sommet de l’autre. La pierre la plus éloignée, ou ocei- 
dentale, a son sommet de 0,61, ou 1 10" 7", plus bas que 
celui de la pierre orientale ; et sa face tournée contre le rivage 
étant parfaitement plane, je lai choisie pour y poser une 
barre de fer divisée en pieds et pouces. Les pieds y sont mar- 
qués par des boutons en bronze et les pouces par des traits 
sur la barre; sur quoi il faut faire remarquer que la pierre 
étant inclinée d'environ 52 degrés sur l'horizon, les divisions 
sont réellement plus grandes que celles du pied de Roi, afin 
que projetées sur la verticale, elles aient exactement la valeur 
qu'elles indiquent. La barre correspond à une hauteur de 
T / pieds, et son extrémité inférieure a été placée au niveau 
des basses eaux de l’année 1820 ; mais on n’a pas tardé à s’a- 


DU LAC LÉMAN. 329 


percevoir qu'il fallait prendre le zéro de la division un pied 
plus bas, pour éviter les cotes négatives. Ce déplacement du 
zéro ne change rien à la division, parce que les boutons ne 
portent point de chiffres. 

Quoi qu’il en soit, cette barre divisée et le repère invariable 
placé au sommet de la pierre ont déjà servi dans mainte oc- 
casion à éclaircir des points relatifs à la question des eaux. 

Je profitai plus tard de la construction du Grand Quai du 
Rhône pour établir un limnimètre facile à consulter et non 
moins que la pierre du Niton à l'abri des influences qui pou- 
vaient en troubler la marche; j'en fixai le zéro à un pied au- 
dessous de l'extrémité inférieure de la barre graduée, ou 
à 86" 6" (huit pieds six pouces et six lignes) au-dessous de 
la plaque de bronze fixée sur le sommet de la seconde pierre 
du Niton. (Voyez le Mémoire imprimé au t. VIIT du Recueil 
des Mémoires de la Société de Physique et d'Histoire naturelle 
de Genève, p. 119.) 

Dès lors des observations suivies ont été faites régulière- 
ment à ce limnimètre et inscrites dans un registre ouvert à 
cet effet, dont un extrait se trouve consigné dans les cahiers 
mensuels de la Bibliothèque Universelle. Ces registres offri- 
ront, à l'avenir, une source où l’on pourra puiser des rensei- 
gnements positifs et en quelque sorte officiels sur l’état du lac 
à un moment donné. C’est un agent de l'administration qui 
est chargé de l'inscription journalière. 

Des registres semblables étaient tenus à la inachine hydrau- 
lique depuis l’année 1806; mais comme ils étaient sur de 


petits cahiers, il s’en est égaré quelques-uns et il y a une la- 
TOM. x, 2° PARTIE. 42 


330 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 


cune dans la série. Heureusement que j'y avais pris antérieu- 
rement la cote des plus hautes et des plus basses eaux de 
toutes les années, sans interruption. C’est au moyen de ces 
cotes que l’on a pu tracer les courbes des plus hautes et des 
plus basses eaux de l'année 1806 à l’année 1824, telles qu'on 
les voit dans le Mémoire de M. Macaire, inséré au t. V de 
notre Recueil. 

IL était fort essentiel de pouvoir rapporter au nouveau 
limnimètre les observations faites à l’ancien, afin de n'avoir 
qu'une seule et même série. Or, un nivellement exact et une 
huitaine d'années d'observations, faites simultanément aux 
deux limnimètres, m'ont conduit à cette règle fort simple: Pour 
rapporter au limnimètre du Grand Quai les observations faites 
au bâtiment de l’ancienne machine hydraulique, pendant les 
hautes eaux, retranchez vingt des nombres donnés par l'an- 
cien Jimnimètre, vous aurez ceux qu'aurait accusés le nou- 
veau aux mêmes époques. C’est ainsi qu'il nous a été possible 
de faire remonter à 1806 le tableau des observations limni- 
métriques du Grand Quai, lesquelles n'ont réellement com- 
mencé qu'en 1837; et ce qui prouve l'exactitude des résul- 
tats, c'est leur concordance avec ceux obtenus à l’autre extré- 
mité du lac pendant une période de vingt années, ainsi qu'on 
le verra plus loin. | 

Voici donc le tableau des plus hautes eaux observées à Ge- 
nève depuis l'année 1806, jusqu’à l’année 1845 inclusivement, 
eträpportées au limnimètre du Grand Quai. Les hauteurs d’eau 
ÿ’sont indiquées en pouces du pied de Roi au-dessus du zéro, 


placé à 8° 6" 6", ou 2m,774 au-dessous de la plaque de cuivre 


DU LAC LÉMAN. 331 


scellée au sommet de la pierre du Niton la plus occidentale, 
ou la plus avancée dans le lac. Le même tableau donnelesdates 
qui correspondent aux plus grandes hauteurs d’eau et fournit 
ainsi la facilité d’en déterminer l'époque moyenne. 














































































ANNÉES. HAUTEURS. OBSERVATIONS. 
1806 4 Août 
1807 5 Août 
1808 12 Août 
1809 8 Août 
1810 18 Août 
1811 1 Août 
1812 1 Août 
1813 10 Août 
1814 4 Août 
1815 29 Juillet 
1816 20 Août 
1817 16 Juillet 
1818 12 Août 
1819 10 Aoùt 
1820 23 Août 
1821 16 Août 
1822 3 Septembre 
1823 5 Septembre 
1824 16 Août 
1825 16 Août 
1826 27 Août Pr dre Dir à QUE 
1827 9 Août 
1828 20 Août 
1829 29 Septembre 2 La digue est restée ouverte presque tout 
1830? 8 Août l'hiver. 
1831 11 Septembre P 
1832 3 25 Août 3 Année d'extrème sécheresse. 
1833 9 Juillet 
1834 1% Septembre 
1835 22 Août 4 Anuée de sécheresse. 
1836 20 Juillet 
1837 20 Août 
1838 21 Juillet 
6 Août 

20 Septembre 

21 Juillet 

16 Juillet 


Août 








332 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 

Ce tableau prouve non-seulement ce que nous avons dit en 
commençant, savoir : que l'époque la plus ordinaire des hautes 
eaux est le milieu du mois d’Août, mais encore, et ceci est es- 
sentiel à remarquer, que le barrage de la machine hydraulique 
influe beaucoup moins sur les grandes eaux que les circonstan- 
ces de la saison. Nous voyons, en effet, qu'en 1830 la digue 
ayant été ouverte presque tout l'hiver, les eaux d’été n’en sont 
pas moins montées à T1 pouces; tandis que deux ans plus tard, 
et malgré qu'on eut fermé la digue plus qu'on ne l'avait fait 
en 1830, les eaux ne se sont élevées qu’à 56 pouces en raison 
de la grande sécheresse qui a eu lieu cette année. Pour une 
raison semblable elles ne sont montées qu'a 61 pouces en 
1555. 

IL était bon de pouvoir comparer la marche des hautes eaux 
à l’autre extrémité du lac avec ce qui passe sous nos yeux; 
l'extrême obligeance de feu M. le colonel Mestrezat nous en a 
fourni les moyens. Dès l'année 1719, cet ami des sciences 
physiques et météorologiques fit établir contre le mur de sa 
terrasse, près de Vevey, au lieu dit le Creux du Plan, une 
échelle sur marbre, graduée en pouces du pied de Berne. Le 
zéro de ce limnimètre, qui doit exister encore, fut fixé au ni- 
veau des basses eaux de la dite année 1779, qui étaient des- 
cendues beaucoup au-dessous de leur état ordinaire. 

Dans les premiers jours du mois de Mars de l’année 1826, 
les commissaires chargés de l'examen du lac par les gouverne- 
ments de Vaud, Valais et Genève, découvrirent ce limnimètre, 
dont il n’était fait aucune mention ni dans un long mémoire, 
où feu M. de Loys s’étendait sur les ravages des eaux du lac et 


DU LAC LÉMAN. 333 
cherchait à accumuler les preuves de son exhaussement pro- 
gressif, ni dans la brochure de M. Nicod Delom, faite dans le 
même but et déjà imprimée à Vevey en 1817. Les commis- 
saires surent alors de la bouche même de M. Mestrezat, qu'il 
avait tenu registre de ses observations sur la hauteur des eaux 
depuis un assez grand nombre d'années. Ils ne purent point 
en prendre connaissance dans cet instant, parce que les regis- 
tres avaient été remis à M. de Loys; mais le 4 Avril suivant, 
c'est-à-dire le 4 Avril 1826, M. le colonel Mestrezat envoya au 
Gouvernement de Genève un relevé de ses observations sur les 
hautes eaux depuis l’année 1780, maïs avec une lacune de 
neuf années, de 1782 à 1792. La pièce est accompagnée d’une 
lettre, dans laquelle on lit ces mots : « Je souhaite que ces 
« documents puissent vous être utiles, quoiqu’incomplets. Je 
« puis du moins en garantir l'exactitude et la fidélité. » 

Les mesures y étant données en pouces du pied de Berne, 
j'ai dû les réduire au pied de Roï, pour les comparer avec les 
nôtres. Or, on sait que le pied de Berne est égal à 0n,2933 et 
que le pied de Roi vaut 0,5248; le rapport de ces deux nom- 
bres, par lequel il faut multiplier les pouces bernois pour ob- 
tenir les pouces français, est très-sensiblement 0,9. Voici donc 
le tableau des observations de M. Mestrezat, relatives aux plus 
grandes eaux de chaque année et exprimées dans les deux 
mesures : 


334 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 














HAUTEURS 
ANNÉES. [TT TT 


EN POUCES |EN POUCES DU 
BERNOIS. PIED DE ROI. 


HAUTEURS 
* Re OS HR: 
ANNÉES. 
EN POUCES |EN POUCES DU 
BERNOIS. PIED DE ROI. 































1780 81,9 

1781 68,4 

1782 82,8 
; « 65,7 

1792 95,40, 73,8 

1793 ° 78,3 ” 67,5 

1794 86,4 57,6 

1795 64,8 64,8 

1796 67,5 56,7 

1797 70,2 94,5 

1798 55,8 97,2 

1799 77,4 

1800 54,9 

1801 57,6 

1802 82,8 

1803 48,6 

1804 71,4 

1805 70,2 

1806 79,2 


M 





Ce tableau se prolongeant jusqu'à l'année 1825, et celui des 
observations faites à Genève remontant à 1806, ils compren- 
nent vingt années communes qui donnent un moyen précieux 
de comparaison. Îl n’a pas été négligé : J'ai tracé une courbe 
pour chaque série, afin de pouvoir saisir d'un coup d'œil les 
différences; mais, contre toute attente, elles se sont trouvées 
si faibles (comme chacun en pourra juger par la figure jointe au 
présent Mémoire) qu'on peut admettre l'identité des deux 
courbes. Prenant donc pour chaque observation annuelle la 
différence des indications fournies par les deux limnimètres, 
on trouve le nombre 5,3 pour la moyenne de ces différences. 


DU LAC LÉMAN. 335 


En sorte qu'en ajoutant ce nombre constant aux nombres 
donnés par le limnimètre de M. Mestrezat, on les ramène à 
ceux du limnimètre établi sur le Grand Quai à Genève. Cela 
revient simplement à baisser, de la quantité indiquée, le zéro 
du premier limnimètre pour le faire concorder avec le second. 
Ayant fait cette modification au tableau précédent, et compa- 
rant les vingt dernières années de ce tableau avec les vingt 
premières de l’autre tableau, on trouvera que la plus grande 
différence en plus est 2,8, et la plus grande différence en 
moins 2e,2, quantités bien faibles pour des observations faites 
sur des eaux toujours en mouvement soit par les vents, soit 
par la cause inconnue des seiches. 

Cette identité, dans les observations des deux limnimètres, 
permet d'admettre celles de Vevey comme si elles eussent été 
faites à Genève, et de faire remonter la série de ces dernières 
jusqu’à l'année 1780. Il existe, il est vrai, une lacune de neuf 
années, entre 1782 et 1792, dans le tableau de M. Mestrezat ; 
mais on peut la combler en partie par les observations que la 
Société pour l'avancement des arts fit faire de 1787 à 1791 et 
qui se trouvent consignées dans l’ancien Journal de Genève. 
Elle fit établir à cet effet une règle graduée en pouces vers 
l'escalier de l'ancien port au bois, c’est-à-dire tout près du 
limnimètre actuel du Grand Quai. Les observations y furent 
faites, jour par jour, par M. Paul, membre délégué de la So- 
ciété des Arts. Elles se trouvent dans le journal par séries 
hebdomadaires et donnent ce qui suit pour les plus basses et 
les plus hautes eaux de cinq années : 


336 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 














ANNÉES. BASSES EAUX. HAUTES EAUX. DATES. 








« 98P,0 30 Juillet 
20 Février 83°0 31 Juillet 
24 Janvier 82,0 29 Juillet 
8 Avril 72,0 4 Août 
16.-Mars 84,0 20 Août{!) 














Ce qu'il y a de fâcheux, c’est que la Société des Arts n'ait pas 
rattaché le zéro de son limnimètre à quelque point fixe et bien 
déterminé, qui pût servir à le faire retrouver s’il venait à se 
perdre, comme cela est, en effet, arrivé. Le Journal de Genève 
dit seulement que le zéro de la barre fut posé à douze pouces 
au-dessous des basses eaux de 178T, ce qui ne nous apprend 
rien. 

À défaut d'indications précises, nous arriverons à quelque 
chose de très-rapproché, en prenant les moyennes des basses 
et des hautes eaux de cette série de cinq années pour les com- 
parer aux moyennes semblables prises dans les séries subsé- 
quentes, et voir de combien elles en different ; parce que si ces 
différences concordent, elles inmdiqueront de combien il faut 
déplacer le zéro de l'ancien limnimètre pour le faire coïncider 
avec celui du nouveau. 

Or, la moyenne des cinq années ci-dessus, pour les basses 


(1) Cette dernière mesure se trouve dans une feuille supplémentaire, qui ne 
fait pas ordinairement partie du recueil, qui du moins n’est pas dans l’exem- 
plaire déposé à la Bibliothèque publique de Genève. J'en dois la communication 
à M. le juge Mallet. 


DU LAC LÉMAN. 337 


eaux, est de 18",6, tandis que la plus forte des moyennes de 
quatre séries de dix années ne nous donne que 12°,8, par les 
observations subséquentes. La différence de ces deux nombres 
est 5.8. 

D'un autre côté, la moyenne des hautes eaux pour les cinq 
années est de 83",8, tandis que la moyenne la plus élevée de 
nos séries de dix années ne donne que 78",5. La différence est 
5",3. Et comme ce résultat est presque identique avec le pré- 
cédent, nous pouvons prendre le nombre 5°,5 pour la diffé- 
rence cherchée. Il y a donc à faire subir aux observations de 
la Société des Arts à peu près la même correction, mais en 
sens inverse, qu’à celles de M. le colonel Mestrezat, pour les 
rapporter au limnimètre du Grand Quai : il faut en retrancher 
le nombre constant 5.5, ce qui donne en pouces du pied 


de Roi : 








ANNÉES. | OBSERVATION. 








1 L'hiver rigoureux de 1788 à 1789 ayant gelé 
le lac à son débouché, il y a eu une baisse si su- 
bite et si extraordinaire des eaux, qu'on ne doit 
pas en tenir compte dans l’appréciation des mo- 


J 51 ennes. e n'a pu être que locale, et aussitôt 
1787 6,5 82,5 yemnes. Elle n'a pu être que local 

E que la cause a cessé, les eaux ont repris leur ni- 

1 LE / 5 ne veau primitif, Aprés être descendues tout à coup 

1 ,9 76,5 de vingt-trois pouces dans la nuit du 27 au 28 Déc. 

1788 et ètre restées comme emprisonnées jusqu’au 

1 120 9,5 66,5 20 Janvier suivant, les eaux autour du limnimètre 

1791 | 18,5 78,5 sont subitement remontées à vingt-etun pouces. 


On remarqua, dit le professeur Pictet, dans une 
lettre recueillie par ke Journal de Genève, Déc. 
1788, que les eaux descendirent de deux pieds 
dans le bras gauche du Rhône et de près de trois 
pieds dans le bras droit. 























Ce qui confirme ce résultat et prouve la justesse de notre 
TOM. X, 2° PARTIE. 43 


338 MÉMOIRE ‘SUR LES HAUTES EAUX 

opération, c'est que la moyenne de ces cinq années et-des 
quatre antérieures, pour lesquelles nous avons aussi des ob- 
servations, est, en ce qui concerne les hautes éaux, 76,5 pou- 
ces, nombre qui diffère très-peu des moyennes suivantes, 
prises de dix années en dix années, comme on le verra plus 
loin. Enfin, M. le juge Mallet a comparé la moyenne de toutes 
les observations journalières faites du 26 Juillet 1787 au 
27 Juillet 1791 au premier limnimètre, et du 2 Mars 1837 
au 50 Novembre 1843 au second limnimètre, et 1l a trouvé : 


pour l'ancien limnimètre de la Société des Arts. . 44,4 
pour le nouveau limnimètre du Grand Quai. . . 41r,7 
Duicrence "40 2 


La différence est dans le même sens que la nôtre et seule- 
ment de 2,7 pouces au lieu de 5,5; mais, d'une part, 
M. Mallet n’a point élagué les basses eaux anomales de Dé- 
cembre 1788 et de Janvier 1789, en sorte que sa moyenne 
en est diminuée; d'autre part, il a cru devoir prendre la 
moyenne de tous les jours d'observation qu'il a embrassés 
dans son calcul, tandis que les nôtres, déduites d’un beaucoup 
plus grand nombre d'années et se rapportant exclusivement 
aux maxima et minima des eaux qui sont l'unique objet qu'on 
a en vue, doivent être plus près de la vérité. 

Au surplus, les résultats qu'on obtiendrait en adoptant le 
chiffre de M. Mallet ne différeraient du nôtre que de 2,8 pou- 
ces, ce qui reviendrait à admettre que de 1787 à 1791 les 
eaux ont été un peu plus hautes que nous ne te et 
serait à l’ avantage de notre thèse. 


DU LAC LÉMAN. 339 


Nous avons encore une donnée à recueillir : En 1775, le 
chevalier Schuckborough, se préparant à mesurer la hauteur 
de nos montagnes par le baromètre et voulant partir d'un 
niveau bien déterminé, prit celui que lui fournissaient les 
eaux du lac à cette époque. II le fixe à 21 pouces anglais ou 
19 pouces T lignes du pied de Roi au-dessous du sommet de la 
pierre du Niton la plus occidentale, ce qui revient à 18 pou- 
ces T lignes au-dessous de la plaque de bronze scellée sur cette 
pierre, un pouce plus bas que le sommet. Et comme le zéro 
du limnimètre du Grand Quai a été fixé à 8° 6” 6” au-dessous 
de la même plaque, et qu'il y a un pouce de pente de la pierre 
au limnimetre, on voit que le niveau des eaux observé par 
Schuckborough était élevé de sept pieds moins une ligne au- 
dessus du zéro de la pierre du Niton et marqué par le chiffre 
83 à notre limnimètre; il n’est point dit que les eaux ne se 
soient pas. élevées plus haut encore cette même année. 

Réunissant donc toutes ces données, on a pour la mesure 
des plus hautes eaux, rapportées au limnimètre du Grand 
Quai de Genève, les nombres suivants qui, depuis 1775 jus- 
qu'a la présente année 18453, ne présentent que deux lacunes, 
chacune de quatre ans. 


340 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX 


Tableau des plus hautes eaux rapportées au limnimèlre du 


Grand Quai à Genève, les mesures étant données en pouces 


du pied de Roi. 





ANNÉES. HAUTEURS. || ANNÉES. HAUTEURS. 





750,5 
84,5 
87,2 
73,7 
88,1 
72,0 
79,0 
74,0 
65,0 
70,0 
62,0 
99,0 

100,0 
78,0 
66,0 
76,0 
87,0 
75,0 
74,0 Total 61 années d’ob- 
86,0 servation. 

63,0 | 
73,0 
80,0 
78,0 




















1804 82,7 

















Si l'on prend maintenant la moyenne des hautes eaux pour 
plusieurs périodes, en faisant entrer dans la première l'ob- 
servation de Schuckborough, les trois isolées de M. le colonel 
Mestrezat et les cinq de la Société des Arts, en tout neuf ob- 
servations; si ensuite on fait toutes les périodes égales et de 
dix années, à partir de 1792, on arrive aux résultats suivants : 


DU LAC LÉMAN. 341 


Pouces. 


Première période de 1775 à 1791 inclusivement ............... 76,50 
Deuxième € 1792 à 1801 € « 76,15 
Troisième « 1802 à 1811 « € 78,47 
Quatrième  « 1812 à 1821 « « 77,70 
Cinquième « 1822 à 1851 C « 74,50 
Sixième € 1832 à 1845 ‘ « 74,62 


D'où l’on déduit pour moyenne générale 76P,25. 


Certes on ne conclura pas de ces résultats que les eaux du 
lac se sont progressivement exhaussées depuis plus d’un demi- 
siècle, comme quelques personnes le pensent. Nous ne dirons 
pas non plus que le contraire ait lieu, parce que nous voyons 
les dernières moyennes un peu plus faibles que les premières. 
Mais nous pouvons affirmer qu'il résulte incontestablement 
de la comparaison de ces nombres, que depuis l'an 1775, 
c'est à dire pendant un laps de temps de soixante-huit années, 
l'état du lac, en ce qui concerne les hautes eaux, n'a nullement 
changé ; il est encore aujourd’hui ce qu'il était alors : les eaux 
éprouvent des variations d’une année à l’autre, elles sont tan- 
tôt plus, tantôt moins élevées, suivant que les fontes de neiges 
sont plus ou moins abondantes, qu'il est tombé au printemps 
plus ou moins de pluie, etc. En un mot, il se passe dans 
le lac Léman ce qu'on remarque dans tous les autres lacs de 
la Suisse, qui aux mêmes années, aux mêmes époques et 
presque simultanément, présentent les mêmes anomalies de 
hausse ou de baisse, tout en conservant un niveau moyen 
constant pour les hautes eaux. Celui du lac Léman est mar- 
qué par le chiffre 76,25 au limnimètre du Grand Quai à 


342 MÉMOIRE SUR LES HAUTES EAUX DU LAC LÉMAN. 


Genève; et lorsque le limnimètre marque ce nombre, le 
niveau du lac est à 25 (vingt-cinq) pouces au-dessous de 
la plaque de bronze scellée au sommet de la pierre du Niton 
la plus occidentale. Ainsi voilà le niveau moyen des hautes 
eaux bien fixé. | 

Îl fallait cette longue suite d'observations pour arriver à 
un résultat aussi certain; une période de dix ou douze an- 
nées ne peut pas suflire, on le voit par les différences 
que nous donnent nos six moyennes partielles, bien que 
la plus grande variation n’aille guère qu'à quatre pouces. 
Ce n’est donc pas en embrassant une aussi courte série 
d'observations, bien moins encore en s'attachant à quelques 
faits isolés et anomales, tels que la hauteur extraordinaire des 
eaux en 1792 ou en 1817, qu'on peut en conclure un chan- 
gement dans l'ordre naturel des choses. On s’exposerait ainsi 
à d'étranges erreurs, car si les eaux sont très-hautes une an- 
née, elles peuvent être fort basses l'année suivante et réei- 
proquement. 

Résumons-nous et disons en terminant: Le niveau moyen 
des hautes eaux du lac Léman est stable; il correspond au 
chiffre 16,25 du limnimètre du Grand Quai à Genève, et se 
trouve alors à 25 pouces au-dessous de la plaque de bronze 
scellée sur la seconde pierre du Niton. L'époque ordinaire 
de ces hautes eaux est le milieu du mois d' Août; on Les voit 
cependant souvent en Juillet ou en Septembre. 


lSchuchbu rgh 


TA 


* 


1177 


1770. 


1779 


59 


1740 


ere 


Observations Laites à Geneve 











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_ LA + EE 
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SUR IOS À SO N S SSL SO É LS ÈS SO à à = = = 
CR NS M ONE ES EME MIS NORME ME MOMENT EURE UE 
fôta. Lalique Jroncluée ptlacée sur la lique pleine indique les hauteurs observées pres 





del cvey de 1806 à 1895. elle est destince à montrer la concordance des observations 
tuiles simullancment aux deux extremilés du lac 


Les hauteurs sont donnees en pouces du Pied de Roi 
/ 


Liuth de Schorid a Geneve 


RATES CALE error 





Ligue indiquant les put 


depuis Canne 17 1 




















Tovov ï a p 6 Fran Free à : , 7 ‘ ñ “ 
Veve\ Geneve Obserralions luiles “ Vevey Observations ailes à Venève el "an Nexex sunullanenment Observations Lailes à Geneve 
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ighe marquant le zero du Lininimetre di quai fixé à 8166" qudesseus de la plaque de etivre sedlée au sommet de la Pierre à Nilon la plus éloignée du Word À 1 1! La 
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« Volta. Lalique Jioncluée placée sur la lique pleine dique les hauteurs observees pres 
de lévey de 1806 à 18495. elle est destinée à montrer la concordance des obserualions 
fuites simullanément aux deux extrémités du lac 


Les hauteurs soul donnees en Jtotces du lie de Hot 


Luh de Sehuril n Ccurre 





RÉSULTATS 


DES 


OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 


FAITES À GENÈVE 
dans les années 1842 et 1843 


PAR 


E. PLANTAMOUR, 


PROFESSEUR D'ASTRONOMIE A L'ACADÉMIE DE GENÈVE. 


(Mémoire lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 18 Janvier 1844.) 





C'est à la fin du mois de Mai 1842 que l'Observatoire ma- 
gnétique a été mis en état de recevoir d’une manière perma- 
nente les instruments destinés à l'observation de la déclinaison 
de l'aiguille aimantée, sans qu'ils eussent à souffrir par trop 
de l'humidité. La série des observations de la déclinaison que 
je vais examiner commence le 2 Juin de cette année, et 


344 RÉSULTATS 

continue jusqu’au 17 Octobre 1843, sans autre interruption 
que celle, qui a été occasionnée du 10 au 14 Février 1843 
par une irruption de la neige. 

En effet, le plafond du bâtiment magnétique n'était qu’en 
papier; la neige, chassée par une forte bise le 9 Février, pé- 
nétra sous les tuiles, et, en se fondant, elle forma des dépôts 
d'eau sur le plafond de papier, qu'on fut obligé de percer 
pour la faire écouler; pendant ce temps les instruments ont 
été couverts, ce qui a empêché de faire les observations. 

Le 17 Octobre 1843, les instruments ont été enlevés pour 
faire au bâtiment une réparation essentielle, et qui le pré- 
servât de l'accident que je viens de signaler; le plafond en 
papier a été remplacé par un plafond en planches, et en outre 
on a recouvert les cloisons extérieures qui n'étaient qu’en bois 
d'un galandage, qui diminuera notablement l'humidité dont 
on avait à souffrir pendant la mauvaise saison. 

Pendant toute cette période, savoir du 2 Juin 1842 au 
17 Octobre 1843, la déclinaison de l'aiguille aimantée a été 
observée six fois par jour, à 8 h. et 9 h. le matin, à midi à 
1h.età 8 h.et 9 h. du soir; quelquefois les observations ont 
été faites en outre à d’autres heures de la journée, lorsque 
des perturbations extraordinaires avaient été remarquées. 
Enfin, nous avons pris part aux observations des termes ma- 
gnétiques, qui reviennent quatre fois par an, auxquels l'ai- 
guille aïmantée s’observe pendant 24 heures consécutives, de 
ÿ en 5 minutes. 

Les observations diurnes ont été faites en grande partie 
par M. Bruderer, astronome-adjoint, les autres par M. E. Gau- 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 345 
tier et par moi; nous avons en outre profité pour les termes 
magnétiques du concours de M. Alex. Prevost et de M. Muller, 
ancien astronome-adjoint. M. E. Gautier a bien voulu m'aider 
dans la réduction des observations; c’est lui aussi qui s’est 
chargé de dessiner les planches qui accompagnent ce mé- 
moire. 

Je m’occuperai d’abord de la réduction des observations, 
puis J'examinerai les résultats qu'on peut tirer de ces der- 
nières, soit pour la variation de la déclinaison, soit pour la 
déclinaison moyenne à Genève; ensuite j'indiquerai les per- 
turbations ou anomalies qui ont été observées. Enfin, je don- 
nerai les résultats obtenus pour l'inclinaison de l'aiguille 
aimantée à Genève. 


RÉDUCTION DES OBSERVATIONS DE LA DÉCLINAISON 
MAGNÉTIQUE. 


L’instrument qui a servi aux observations de la déclinaison 
est un magnétomètre construit, d’après le système de Gauss, 
par Meyerstein à Gœttingue. Le barreau, qui pèse quatre 
livres, est suspendu par un fil long d’un peu moins de deux 
mètres à une potence, qui est indépendante du sol et des cloi- 


sons du bâtiment: le miroir, fixé à l’extrémité du barreau 
TOM. X, 2* PARTIE. 4h 


346 RÉSULTATS 


tourné vers le Nord, est à une distance horizontale de l'échelle 
de 4981mm,9. L'observation est faite à l’aide d’un théodolithe 
répétiteur, construit aussi par Meyerstein, dont les cercles 
ont 8 pouces de diamètre, et la lunette 21 pouces de distance 
focale ; il repose sur un pilier en roche calcaire du Jura, inde- 
pendant du sol, auquel l'échelle est également fixée. Pour s’as- 
surer de la stabilité de la lunette, on a placé à peu près dans 
la direction du méridien magnétique une mire, qui consiste 
en un fort pieu en chêne, enfoncé extérieurement au bâti- 
ment de trois pieds dans la terre, et sortant de la même 
quantité au-dessus du sol; à la partie supérieure on a fixé 
une petite plaque en cuivre, qui se trouve à une distance de 
l'objectif de la lunette égale au double de la distance de l'é- 
chelle à la surface réfléchissante du miroir porté par le bar- 
reau. Sur cette plaque sont gravées des divisions qui ont de 
même que celles de l'échelle un millimètre pour intervalle; 
c’est sur la division moyenne de cette plaque marquée par le 
chiffre 0 que le fil du micromètre de la lunette a été amené 
au commencement de la série des observations, et de temps 
en temps on vérifait si la lunette était encore dirigée sur le 
0 de la mire, que l’on peut voir en ouvrant un petit guichet 
pratiqué dans la paroi. Pendant toute la série des observa- 
tions, les déviations de la lunette du 0 de la mire ont été 
très-petites, s'élevant seulement au plus à un millimètre ou 
un millimètre et demi; on a néanmoins tenu compte de 
ces déviations dans les réductions, en ramenant chaque lec- 
ture à ce qu’elle aurait été si la lunette avait été dirigée exac- 
tement sur le O0 de la mire. 


Rene mt 2m — 2m — 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 347 
La détermination de la position du plan optique de la lu- 
nette passant par le 0 de la mire, relativement au méridien 
terrestre passant par le centre de rotation du théodolithe, 
était facile, parce que la mire de la lunette méridienne de 
l'Observatoire est visible du théodolithe. Au moyen d'une 
grande série d'observations faites en retournant alternative- 
ment la lunette de 1600, pour éliminer les variations dans 
l'erreur d’axe optique provenant du changement de foyer, j'ai 
trouvé que l'angle compris au centre de rotation du théodo- 
lithe entre le 0 de la mire magnétique et la mire de la lunette 
méridienne était de 


18° 32 57.5. 


Pour achever l'orientation de la mire magnétique, il ne 
restait plus qu'à trouver la distance angulaire de la mire de 
la lunette méridienne au méridien terrestre passant par le 
centre du théodolithe. J’avais d’abord songé à calculer cet 
angle au moyen de la distance de l'Observatoire à la mire de 
la lunette méridienne, et de la distance à laquelle le centre du 
théodolithe se trouve à l'Ouest de cette dernière que J'avais 
mesurée égale à 372,718. Mais je n’ai pas pu obtenir assez 
exactement la distance de l'Observatoire à la mire de la lunette 
méridienne, qui est d'environ 11000 mètres. Aussi j'ai pris 
un autre moyen : J'ai fait transporter au sommet du mont Sa- 
lève, où se trouve la mire, une lunette de Ramsden, appar- 
tenant à l'Observatoire, et à l'aide d’un micromètre j'ai pu me- 
surer l'angle formé à la mire entre deux repaires, correspon- 
dant à la lunette méridienne et au centre du théodolithe, qui 


348 RÉSULTATS 

étaient visibles à la fois dans le champ de la lunette. Jai trouvé 
pour cet angle 11° 57,5; en l'ajoutant à l'angle ci-dessus. 
on a 


190 4° 55,0 


pour l'angle, dont le plan vertical passant par le centre de 
rotation du théodolithe et le Q de la mire magnétique se 
trouve à l'Ouest du méridien terrestre qui passe par le centre 
du théodolithe. 

La division de l’échelle qui setrouve dans le plan vertical op- 
tique de la lunette dirigée sur le 0 de la mire magnétique, s'ob- 
tient en faisant tomber un fil à plomb devant le centre optique 
de l'objectif; J'ai trouvé constamment soit au commencement, 
soit au milieu, soit à la fin de la série, que le fil à plomb tom- 
bait devant la division 515; donc, comme les chiffres des di- 
visions vont en croissant de l'Ouest à l'Est, la déclinaison ma- 
gnétique sera plus faible que 19° 4° 55",0, si la division qui 
se trouve dans le prolongement du barreau est plus grande que 
515. et elle sera plus forte si cette division est plus petite 
que 515. 

Pour déterminer l'angle compris entre l’axe du miroir et 
l'axe magnétique du barreau, je n'avais malheureusement pas 
un magnétomètre auxiliaire, qui pût me donner les variations 
de déclinaison qui avaient lieu entre les retournements ; J'ai été 
obligé d'y remédier, en multipliant les retournements et en di- 
minuant autant que possible l'intervalle de temps nécessité 
pour calmer le barreau après l'avoir retourné; je n’ai cepen- 
dant pas pu mettre moins de dix minutes pour cette opération. 





D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 349 
La fig. { de la pl. I donne la représentation graphique des ob- 
servations du retournement du barreau faites le 15 Octobre 
1845, savoir : la courbe supérieure est la ligne passant par les 
divisions qu'on a observées, lorsque le barreau se trouve dans 
sa position normale, la lettre N en haut, et la courbe inférieure 
passe par les divisions observées dans la position inverse, c'est- 
à-dire la lettre N étant en bas. L'examen de cette figure mon- 
tre que la distance moyenne des deux courbes est de 6,1 divi- 
sions, c’est-à-dire, que l'axe du miroir indique un nombre de 
divisions plus fort de 6,1 lorsque le barreau est dans sa po- 
sition normale, la lettre V en haut, que lorsqu'il a été re- 
tourné; ainsi dans cette position normale la division, sur 
laquelle est dirigée l'axe magnétique du barreau, est plus 
faible de 5,05 divisions que celle qui se trouve dans le pro- 
longement de l’axe du miroir. Donc, comme pendant toute la 
série suivante d'observations le barreau était dans sa position 
normale, la lettre V en haut, il faut retrancher de toutes les 
lectures 3,05 divisions, pour avoir la division correspondante 
qui se trouvait sur le prolongement de l'axe magnétique du 
barreau. . 

Dans la réduction des observations j'ai négligé l'effet de la 
torsion du fil. Effectivement, au moyen du barreau de torsion 
et du cercle de torsion qui est fixé au fil, on peut amener l'é- 
trier qui porte le barreau à très-peu pres dans le méridien 
magnétique, et par conséquent rendre l'angle de torsion du 
fil très-petit, d'un degré au plus, en sorte qu'en ayant égard à 
la petitesse de cet angle et à la faiblesse de la force de torsion 
exercée par le fil sur le barreau comparativement à la force de 


390 RÉSULTATS 


torsion exercée sur lui par le magnétisme terrestre, l'effet de la 
torsion doit être presque insensible. 


La faiblesse de la force de torsion exercée par le fil relati- 
vement à celle qui est exercée par le magnétisme terrestre sur 
un barreau de quatre livres fortement aimanté, m'a été dé- 
montrée par les observations suivantes faites en 1841 au Con- 
servatoire botanique. Les fig. 2 et 3 de la pl. I donnent une 
représentation graphique des déviations observées le 14 et le 
16 Février, en changeant l'angle de torsion de 60e. 


Les courbes supérieures dans ces deux figures passent par 
les divisions de l'échelle indiquées par le barreau, lorsque le 
fil était dans sa position normale, et les courbes inférieures, 
lorsque le fil avait été tordu d’un angle de 600 marqué par le 
cercle de torsion. La valeur angulaire de ces divisions est de 
32",20 ; donc, en tordant le fil de 60°, on n’avait changé la 
position du barreau que de deux à trois minutes, ce qui donne 
1440 : 1 pour le rapport de la force de torsion exercée par 
le magnétisme terrestre à la force de torsion du fil. 


Plus récemment, au mois de Décembre 1843, j'ai répété 
ces expériences dans l'Observatoire magnétique, et j'ai trouvé 
qu'en tordant le fil de 55° on faisait dévier le barreau de 
5,3, ce qui donne un nombre moins fort pour le rapport des 
deux forces. Il est vrai que la plus grande élévation du local 
au Conservatoire botanique permettait d’avoir un fil plus 
long; ensuite les fils étaient neufs alors, et il n’est pas im- 
possible que la coagulation, résultant de la poussière et de 
l'humidité, ne modifie un peu la force de torsion du fil ; enfin 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 391 


il est possible que le barreau ait perdu un peu de son magné- 
tisme par suite d’un séjour prolongé dans un local qui est 
quelquefois humide. Néanmoins, même en adoptant le dernier 
résultat, la force de torsion est encore trop faible pour que 
l'erreur, qui peut résulter dans les observations suivantes, 
en négligeant l'effet de la torsion, dépasse une petite fraction 
de minute. En n'ayant égard qu'à la distance horizontale de 
l'échelle à la surface réfléchissante du miroir, la valeur angu- 
laire d’un millimètre de l'échelle est de 0,34501. 

L'observation de la division de l'échelle, qui est sur le 
prolongement de l'axe du miroir, a été faite en prenant 
la moyenne des quatre résultats partiels, qu'on obtient 
par l'observation des divisions qui se trouvent sous le fil 
du micromètre de la lunette à cinq époques distantes entre 
elles de la durée d’une oscillation du barreau; on a ainsi 
la position moyenne du barreau pour la moyenne des cinq 
époques. 

Pour diminuer un peu l'influence des erreurs d'observation, 
on a toujours Joint à l’observation faite à 8 h., 9 h., midi, 1 h. 
et 9 h. du soir une observation faite cinq minutes avant, 
savoir : à T h. 55 m., 8 h. 55 m., 11 h. 55 m., midi 55 m., 
7h. 55 m., 8h. 55 m., eton a pris la moyenne entre les deux 
résultats; cette moyenne devrait à la rigueur se rapporter à 
l'époque moyenne, savoir : à T h. 57,5; 8h. 57,5; 11 h. 
51n,5; midi 570,5; Th. 57,5; 8 h. 57n,5; mais pour abré- 
ger je n'ai écrit en tête des tableaux suivants que le nombre 
rond d'heures. 


352 RÉSULTATS 

Ces tableaux renferment pour toute la période, comprise en- 
tre le 2 Juin 1849 et le 17 Octobre 1845, la déclinaison ma- 
gnétique pour ces différentes heures, réduite en minutes et 
fractions de minute d’après les éléments que je viens d’indi- 
quer. Les nombres mis entre parenthèses sont ceux qui indi- 
quent une perturbation dans la direction de l'aiguille aiman- 
tée, et qu'on a laissés de côté dans le calcul des résultats 


moyens. 


393 


ONS MAGNEÉTIQUES. 


, 


D OBSERVATI 








"8C°01 61 UE US V 


"SNOLEVAUASIO 


LD 19 LD 19 19 19 


= 6 © D © = © D NI 


© 19 © © 19 D 18 EN ON € 
— 


Le 
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DO TT mm © = a © 1 © 


17 19 19 19 19 


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18 
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61 


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g9‘8c'8l 
&0‘0 &8‘6S8I 
9ç‘0 8£‘0 
11‘0 6I 80‘0 GT 
z9‘8c 81 (AA 
96,0 064 | 86,66 081 


"SAUNA 6 "SAUNA 8 


cp‘0 
9&‘0 61 
08‘69 
8968 
6ç‘cg 
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60‘9c 
16°2S 
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18°68 8T 
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LI‘ 
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Lr'8 
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61‘9 
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00,9 06} 


“AQAN + 


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68°69 
60‘8c 
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10‘96 
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06‘9g 
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122 
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1L°L 
18,8 





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"AAÔLLANOV NOSIVNTIDHE 





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90‘6F 
96‘6r 
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69°8r 
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16‘96 
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c1‘8ç 
1E‘8ç 81 
(61€ 61) 
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00,248 081 





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68‘9c 
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L0‘8c 
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0819 
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18‘9ç 
aa‘ LS 
p9‘9ç SI 


(6r‘r 61) 


98°LS 
91°,9S 081 





‘IN "SAUNA 6 "SAUNA 8 





10 
es 


TOM. X, 2° PARTIE. 


RESULTATS 


354 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 


DATE, 8 IIEURES, 9 HEURES, 4 HEURE. | 8 HEURES. 9 HEURES. OBSERVATIONS, 


1842. 


Juillet 1 | 18° 51,27 | 189 53',49 | 199 1',94 | 199 1',89 | 18° 56,53 | 18° 56/,22 
54,17 (49,58) 1,80 | (18 57,43) (52,24) (43,97) | A9h.42m.r 
54,18 55,36 0,44 | 19 1,31 | (19 4,66) 57,67 

(19 2,57)| (19 0,54) (5,56) (6,44) | 18 59,40 57,62 | A9h.5 1m nat. 19° 10/,57. 
18 53,25 | 18 55,26 1,28 3,08 57,51 57,52 
55,72 55,05 | 18 59,86 0,73 56,78 57,18 
52,64 52,12 | 19 0,73 1,87 57,47 57,62 
54,60 56,12 | 18 59,95 1,26 57,89 
56,34 53,95 | 19 0,09 2,24 54,28 
52,14 51,67 | (18 56,40) | (18 57,88) 54,07 
52,83 51,91 59,96 | 19 2,35 56,07 
50,75 51,84 56,97 | 18 58,81 54,38 
50,51 51,45 57,30 58,90 53,89 
48,50 48,81 55,00 55,41 54,12 
50,42 52,48 56,76 57,05 53,52 
51,72 51,84 58,11 58,78 54,59 
52,54 53,33 56,93 58,11 55,23 
53,18 53,81 | 19 1,90 59,69 
56,83 57,94 2,30 57,80 
58,14 58,03 0,76 57,81 
53,54 53,86 0,01 56,70 
52,25 52,91 | 18 59,68 56,65 
56,64 55,62 | 19 1,09 55,93 
51,72 52,05 0,91 56,86 
52,63 53,03 0,40 55,63 
50,77 52,12 4,24 57,76 
53,46 55,14 1,86 57,86 
53,87 55,12 1,02 58,27 
54,19 53,75 | 18 59,19 59,48 
55,13 56,72 | 19 1,57 58,57 
57,29 57,41 3,34 59,00 





. 199 4°,77. 














Cr Or Or où ox 
C1 à à oo 














D OBSERVATIONS MAGNETIQUES. 















































L6‘& rc‘ LG°LS 89‘cc 
r6‘g 8L‘Y 8€‘ 6r‘gc 
09‘9 9L‘F 1a‘9c &9‘cc 
98‘ Sr‘9 rr‘9g £9‘9g 
60‘S se‘c LT‘96 8ç‘cc 
9g°s IL‘e op‘cg. 98‘gs 
(TAN 16‘+ 0928 s£‘og 
18‘8 61‘e £8‘9g 1g‘gg 
F9'9 pr‘9 ‘LS 10‘çg 
98‘L 06‘9 cç‘9c 4221 
gg‘9 L8‘69 9ç‘9s 
0r‘6c 81 IG‘2g 
"OC, 068 ‘UT OF UE V C1‘O GI 68°LS 
1a‘8c &e‘ss 
9r‘9ç cr‘eg 
68‘cc Le‘rs 
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86‘9c 10‘9g 
£1°cc 80‘£g 
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G1‘GS 81 | g8‘es £6‘re 
80‘0 £S'rs dt 
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00‘& r1‘9g 60‘9g 
SI‘ 19°6g £e‘og 
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&0‘O GI | rL‘rs gr‘es 
56‘69 81 | g1‘ec £0‘cg 
£6‘0 16°LG s8‘og 

06F 061 | 86,2 061 G£°,LG 081 | 19°,66 581 | pinoy 








‘TSI 
—————_—_—_—____———————| 


"SNOLLVAUASIO | "SAUNAN 6 "SAUNA 8 












“AUNAN + ‘IQIN "SAUNA 6 "SAUNA 8 














“HAÔLLANOVA NOSIVN [14 


RÉSULTATS 


356 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 





























































8 HEURES, 9 HEURES. MIDI, | A HEURE, | 8 HEURES. | 9 HEURES. OBSERVATIONS. 

18° 56,63 | 18° 57,76 | 19° 3',44 | 19° 3',44 | 18°58',38 | 18° 59,18 

56,34 | (19 2,11) 5,12 4,49 (40,72) (54,62) | A 8 h. 5 min. du soir : 48° 58,85. 
57,98 4,41 5,80 56,90 58,18 
57,19 5,05 5,04 56,34 54,60 
5 55,89 4,40 5,44 57,08 56,99 
6 55,98 5,00 5,06 57,26 56,76 
7 56,47 5,22 5,61 58,51 58,43 
8 56,53 6,48 7,09 58,83 58,51 
9 55,49 5,93 7,32 55,75 (52,60) 
10 56,78 3,71 4,27 58,48 57,13 
11 53,56 2,80 3,98 56,66 57,44 
12 54,91 3,28 4,08 57,46 57,02 
13 56,53 5 5,52 3,67 57,80 57,28 
14 54,70 56,36 2,69 2,45 57,23 57,54 
15 55,63 57,60 4,54 3,95 57,14 56,87 
16 59,62 19: 2,11 3,77 3,49 57,37 57,05 
17 59,85 1,05 5,77 4,75 58,02 58,24 
18 55,85 18 56,58 2,68 3,10 56,86 57,12 
19 57,13 58,78 2,69 4,39 592,21 55,47 
20 55,10 58,93 6,14 6,86 53,20 52,39 
21 59,87 57,06 9,71 5,58 53,89 57,05 
22 57,29 | . 58,86 6,53 6,69 55,58 57,12 
23 57,37 | 19 0,31 4,25 4,25 57,95 57,09 
24 56,87 | 18 58,05 4,03 4,59 54,84 54,17 
25 54,31 55,56 3,39 4,82 58,60 58,38 
26 54,35 54,90 2,46 4,09 58,24 58,18 
27 54,69 55,26 4,77 5,90 57,88 58,14 
28 55,72 55,56 2,18 3,67 54,06 55,96 
29 57,02 56,44 4,25 4,43 59,28 58,93 
30 58,24 57,90 0,97 1,96 58,82 58,12 

















397 


D OBSERVATIONS MAGNETIQUES,. 





*29*,Lh 681 110$ NP ‘UC ‘8 V 


"SNOILYANASTO 


96°LS 
6L°LG 
p9‘re 
8c‘Le 
06°cG 
(or‘or) 
g9‘9s 
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1L°L1G 
L8°LS 
&9°LS 
19°19 
96°LS 
8o‘8c 


S9°,SS 087 | 69°,80 081 


"SAUNAH 6 "SAINAH 8 “AUNAH + 





"ANÔILANOVK NOSIVNTTIHA 


r6‘ce 
Fa‘ Le 
01‘ce 
sr‘8s 
06‘9c 
1e‘1ç 
sr‘oc 
66‘çg 
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65‘9ç 
16‘9g 
sr‘9c 
6c°LS 
10‘96 
£s‘ec 
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9r‘cc 
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L9°FS 
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g1‘cg 
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86°2S 
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o8‘ec 
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pr°,96 081 


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SL°LG 
Sr‘9g 
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RESULTATS 


358 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 





| DATE 


1842. 
Nov. 


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Ca 


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8 HEURES, 


18° 55,61 
57,50 
57,11 
55,62 
57,11 
55,13 
56,21 
56,97 
56,94 
56,67 
59,39 





57,00 
56,56 
57,56 
56,65 
57,06 
55,96 
57,45 
57,00 
58,24 
57,17 

(19 4,22) 

18 57,89 
57,63 





LL 
a 


1 kb © 
© œ@ 


30 


57,95 
57,98 
57,20 
57,10 
58,38 


56,75 








9 HEURES, | MIDI, 
18° 55,62 | 19° 11,23 
58,07 3,32 
57,92 3,40 
56,25 2,87 
56,70 2,49 
54,38 1,59 
55,67 0,13 
56,52 1,57 
56,93 1,03 
56,62 (4,67) 
58,24 2,57 
57,04 0,35 
57,13 0,55 
57,44 0,91 
56,93 0,23 
56,73 1,42 
56,55 0,25 
57,21 1,05 
56,28 1,35 
58,47 0,38 
57,85 1,76 
(19 1,98) 1,58 
18 59,24 18 59,83 
57,47 59,78 
57,20 59,62 
58,28 19 1,57 
57,34 | 18 59,80 
57,05 59,89 
58,15 | 19 92,41 
56,62 0,40 








1 HEURE, | 8 HEURES. 


19° 


1',06 
3,43 
2,52 
2,37 
3,21 
2,55 
1,13 
1,59 
0,74 
(7,36) 
2,34 
0,34 
2,70 
1,67 


18 59,71 


19 





1,54 
0,50 
2,03 
1,89 
0,78 
1,20 
2,09 
1,20 


18 59,27 


19 





1,35 
2,13 
0,20 
0,17 
4,55 
1,14 














189 57,10 
57,17 
53,40 
58,25 
57,46 
57,18 
57,18 
56,29 
57,26 
(54,55) 
57,71 
55,82 
57,01 
57,45 
57,17 
54,58 
57,63 
57,25 
56,55 
53,53 
56,28 
57,18 
55,95 
57,41 
57,08 
57,20 
56,77 
56,87 
56,95 
57,34 








9 HEURES, 





18° 57/,02 
55,31 
55,75 
57,40 
57,15 





OBSERVATIONS. 


ASh.30m.soir 18° 51,91. 
Mouvement vertical à { he 


Mouvement vertical à 4 h. 
Mouvement vertical. 


Petit mouvement vertical. 
Mouvement vertical, bise violente. 


A 8h.25 m. matin 19° 5‘,94. 


Petit mouvement vertical. 











399 


D OBSERVATIONS MAGNETIQUES. 











“110$ ND G NIDA JHOUDANO 





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01°,29 081 








"SAUNA 8 





“ANÔILANO VA NOSIVNITIHG 





, 


RESULTATS 


360 


DATE. 
—— 
1843. 


Janv. 


© D 1 D O1 RER 0 D 





8 HEURES. | 9 HEURES. 


18° 56',57 
58,44 
57,09 
56,48 
57,30 
57,11 
56,78 
56,93 
57,36 
57,47 
56,72 
56,48 
56,66 
55,92 
55,66 
57,01 
56,40 
56,19 
56,54 
56,03 
56,39 
56,57 
55,95 
56,03 
56,76 
56,23 
56,09 
55,32 
56,34 
57,11 
56,35 





18° 57,32 
58,87 
57,41 
56,70 
57,49 
58,18 
56,48 
56,94 
56,55 
57,36 
56,59 
55,63 
55,88 
54,85 
54,99 
55,68 
55,67 
55,95 
56,08 
55,48 
55,35 
55,06 
54,74 
55,05 
56,53 
55,65 
56,24 
55,18 
56,42 
56,49 
55,77 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 


MIDI. 


19° 0,52 
3,53 
18 59,12 
58,75 
59,01 
19 0,61 
1,65 
18 59,63 
19 0,65 
1,64 
0,06 
18 59,27 
19 0,12 
18 59,00 
59,58 
19 1,01 
18 58,86 
19 1,57 
0,84 
18 59,18 
58,95 
59,52 
59,58 
59,56 
58,35 
58,77 
19 0,61 
2,80 
18 59,09 
19 0,80 
18 59,28 








1 HEURE, | 8 HEURES, | 9 HEURES. 


199 0‘,12 
2,04 
0,66 

18 59,37 

19 0,20 
0,47 
1,38 
0,33 
2,56 
2,22 
1,01 
0,17 
2,28 

18 59,93 

19 0,58 
2,40 
0,00 
0,92 
1,61 
1,31 
0,72 
0,08 
0,86 

18 59,90 

59,46 
59,89 

19 1,28 
1,21 
1,32 
0,25 
0,55 








18° 55',52 
(49,71) 


57,31 
56,68 
57,07 
56,46 
57,06 
57,22 
56,98 
57,23 
55,77 
57,26 
56,84 
56,77 
56,08 
56,41 
56,65 
57,46 
56,89 
56,50 
56,90 
56,41 
55,35 
56,97 
57,10 
54,69 
57,03 
54,74 
56,21 
57,34 
57,14 


189 54',45 
(53,56) 
56,82 
56,32 
56,70 
56,50 
56,03 
56,84 
56,60 
56,83 
56,50 
55,71 
56,67 
56,66 
55,60 
56,01 
55,71 
56,83 
55,88 
56,35 
56,49 
57,51 
56,48 
56,54 
56,65 
55,40 
55,08 
53,10 
57,34 
56,55 
56,65 


OBSERVATIONS. 


Mouvement vertical à 9 du soir. 


Mouvement vertical à 8 h. du mal. 


Mouvement vertical à 4 h. 
très-violent, 


Vent 








361 


ERVATIONS MAGNEÉTIQUES. 


, 


D OBS 





“[UOIJADA JUOUOANON 


‘80,6 061 UC UC V 





“Jorded op 
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06°,9S 081 


"SAUNA 8 











‘aLVO 














46 


TOM. X, 2° PARTIE. 


RESULTATS 


362 








DATE, 


1843. 
Mars 1 





18° 55',43 
55,33 


C1 Er or ox 
2 À Go 
= © 0 

© © © 











8 HEURES, | 9 HEURES, 





18° 551,72 
55,17 
54,96 
54,58 
55,43 
56,46 
54,65 
55,58 
54,53 
53,70 
54,74 
54,13 
59,52 
54,41 
54,00 
53,77 
52,78 
53,87 
52,54 
53,25 
54,21 
52,87 
53,97 
52,51 
52,72 
53,57 
52,62 
52,84 
50,61 
52,23 
52,92 


SE — _— 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 





MIDI. 


—————— 


18° 58,96 
59,92 
59,30 

19 0,02 

0,00 
1,04 
1,74 
0,72 
1,64 
0,45 
0,11 
1,47 
1,97 
0,30 
0,07 
1,40 
1,89 





3,24 
0,41 
2,56 

18 59,28 

59,67 
19 0,45 
18 59,78 

59,18 

19 3,18 
1,77 
0,49 

18 59,41 

19 0,07 
1,47 


1 HEURE. | 8 HEURES. | 9 HEURES. | OBSERVATIONS, 


189 59/,22 
19 0,07 
0,19 
1,23 
0,03 
2,49 
(5,09) 
1,11 
0,76 
0,51 
1,10 
(5,45) 
0,79 
1,40 
1,07 
2,30 
2,52 
3,41 
1,95 
3,72 
0,75 
2,12 
1,96 
1,58 








18° 56/,65 
56,72 
56,01 
57,31 
53,73 
57,03 
53,61 
56,66 
57,17 
55,34 
54,61 
(45,53) 
56,34 
54,87 
55,44 
54,99 
56,42 
55,50 
56,25 
55,21 
55,67 
56,94 
56,03 
55,55 
55,82 
55,83 
55,84 
55,76 
(51,98) 

53,80 

55,75 








18° 56,25 
56,10 
56,65 
55,54 
55,23 
52,27 
56,81 
56,43 
56,39 
54,90 
51,40 
52,02 
54,06 
55,31 
54,62 
54,62 
54,94 
54,76 
55,72 
55,17 
52,04 
56,46 
56,53 
55,64 
55,46 
56,08 
55,63 
56,34 
(49,25) 
54,62 

55,52 








————.——.—….…——…——— 


Mouvement vertical à 9 h. du soir. 


Mouvement vertical à 9 h. du soir. 


A5h.15m. 19° 5‘,66. 











363 


D OBSERVATIONS MAGNETIQUES. 








"NEAIIE 9] sutp 
o[ SUCP JUS 1 





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80°,8g 


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RESULTATS 


364 





DATE, 


1843. 
Mai 1 








190 12',44 
13,73 
13,79 
13,41 
11,80 
11,51 
11,91 
11,53 
12,04 
11,36 
12,45 
11,26 
10,76 
10,86 
10,24 
13,00 
11,69 
11,42 
12,16 
10,00 

9,24 
11,14 
10,93 

9,92 

9,50 

9,42 

8,42 

8,50 

8,45 
10,82 
10,62 





9 HEUR 


19° 13,40 
14,29 
14,19 
13,66 
12,07 
11,99 
14,53 
14,00 
12,63 
12,36 
12,99 
12,47 
11,47 
11,54 
10,04 
11,83 
12,08 
12,19 
12,65 
11,21 
9,78 
11,36 
11,14 
11,40 
11,15 
9,85 
10,36 
9,71 
9,05 
9,95 
11,45 





DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 


MIDI, 


19° 19,64 


18,63 
17,68 
18,81 
17,07 
16,99 
18,03 
18,41 
17,28 
16,95 
17,56 
17,45 
15,37 
17,36 
16,00 
17,86 
17,20 
16,64 
16,99 
17,05 
16,51 
15,35 
14,94 
18,54 
18,88 
18,27 
18,85 
17,09 
17,03 
16,21 
17,41 


4 HEURE, 


19°20,03 
19,63 
17,81 
19,30 
17,90 
18,05 
17,88 
18,16 
17,60 
17,45 
16,99 
16,26 
16,27 
17,88 
18,27 
18,12 
17,33 
17,32 
17,96 
17,48 
16,96 
15,71 
15,50 
19,12 
20,34 
20,28 
19,71 
18,83 
18,24 
18,17 
18,60 





8 HEURES, 


19° 14,92 
15,90 
15,28 
15,53 
14,88 
13,99 
14,43 
14,15 
12,79 
13,32 
14,08 
13,58 
13,11 
13,59 
13,59 
14,07 
14,50 
13,35 
13,76 
13,23 
13,79 
14,37 
13,18 
12,86 
12,33 
14,03 
12,83 
13,04 
13,00 
12,68 
12,35 











OBSERVATIONS. 


19° 13',91 
15,52 
15,20 
15,19 
14,81 
12,97 
13,95 
14,47 
13,52 
14,27 
13,99 
13,56 
13,53 
13,74 
(8,99) 
13,59 
13,88 
14,12 
13,63 
13,27 
13,41 
14,11 
13,48 
13,30 
12,44 
13,09 
12,52 
12,41 
12,62 
12,90 
12,53 








365 


D OBSERVATIONS MAGNETIQUES. 








"SNOILVAUASIO 


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— 


MAN TA COrETDOS 
— 














RESULTATS 


366 





DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 









































DATE, 8 HEURES. | 9 HEURES, MIDI, HEURE, | 8 HEURES, | 9 HEURES. OBSERVATIONS. 
RE UE «Anse D à à : RÉ me ER 
1843. 

Juillet 1 | 18° 48,36 | 18° 49/,75 | 18° 59/,91 | 190:0:,85 | 18253:,61 | 18°53',73 
2 51,96 48,46 59,41 2,98 52,65 54,49 
3 47,37 47,94 58,94 1,69 54,39 53,64 . 
4 50,29 50,16 57,34 0,28 53,63 50,88 
5 52,21 52,16 56,99 | 18 57,63 54,67 54,27 
6 | (19 1,68)| (19 1,37)| (19 5,38) | (19 7,51) 54,37 54,47 
7 | 1850,95 | 18 51,49 | 18 55,86 | 18 56,89 (50,84) (49,82) 
8 54,64 54,19 | 19 0,88 | 19 0,44 53,94 55,04 
9 51,52 52,95 | 18 59,33 | 18 59,04 55,04 52,96 
10 53,67 53,41 59,91 | 19 92,28 52,24 53,36 

11 50,66 52,30 | 19 0,51 0,90 53,89 52,77 
12 49,71 50,36 | 18 59,18 | 18 59,37 52,99 54,30 
13 48,51 50,24 | 19 0,87 | 19 2,31 55,52 54,14 
14 49,19 49,62 | 18 57,68 | 18 59,46 54,46 52,62 
15 50,22 51,09 58,35 | 19 0,14 53,69 54,18 
16 49,73 51,00 57,710 | 18 59,40 54,19 53,89 
17 50,31 51,54 58,38 59,97 53,22 53,26 
18 48,75 49,33 56,41 58,41 53,79 53,69 
19 51,33 51,14 57,28 58,95 54,05 
20 49,50 50,40 57,84 58,63 54,04 
21 51,05 51,92 58,40 | 19 1,17 54,59 
22 49,46 51,29 59,37 0,17 54,02 
23 50,03 50,94 57,11 | 18 59,22 52,68 
24 50,71 51,63 56,42 51,63 51,34 51,00 
25 48,57 51,33 | (19 6,01)! (19 6,29) (47,73) 
26 51,78 53,55 | 18 59,42 | 18 59,90 54,34 
27 51,74 54,18 58,73 | 19 1,53 53,63 
28 51,67 53,67 57,59 0,00 53,10 
29 48,04 50,19 | 19 0,03 1,78 52,24 
30 50,44 51,11 |: 18 57,94 | 18 58,85 52,37 
0 53,15 57,30 57,75 51,97 














D OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 






































"ANÔILANIVN NOSIVATTIHG 


_uîms_a_aunnaanLLunnLuLn NS 7. 








1L‘09 £0‘1S Lr°LS g1‘cc LSSr GL°LF 
£s°6r Pr°Gr O1‘26 (JA rO‘z2p &L‘oy 
80‘08 81‘0g PL°LS 68‘çg 06‘8r £1°LF 
rS‘6F 1&‘09 gr‘eg go‘re ce‘sp £0‘8r 
LD°2+ 99°6F 1a‘8c cL°LG enLr (71922 
gs‘1P 99<6F 61‘L6 Sc°LG ge‘ey £r‘or 
sc‘og 16‘0S L9‘66 81 0€ ‘LS cef6r çL‘8r 
6ç°1e gs‘re 9&‘0 69°2S ST | O1‘6r 1&‘Sr 
69° 8216 FT 9ç‘0 61‘0g 6c‘6F 
Fr‘0c 16°TG 901 GI 18‘& GI 1208 &G°LP 
1L°zS 69°£c 088 8I re‘sç 96‘04 LL‘SY 
6r'£s o2‘eç &9‘0 gç'6g 68‘0g 98‘6r 
98°zc gr‘es 90‘0 GI cr‘8ç 6ç‘19 19°6r 
S6°TS 91‘ec LA AT o1‘9ç SI‘Te 9ç‘0s 
86‘ac cases L a1‘66 gg‘ec 60‘19 8€°6r 
LS‘es ce‘ec 8r‘8c SI sr‘1e FG'TS &e‘0S 
8a‘1S L6‘GS SI‘O 61 08‘69 sr‘as 96°8r 
£0‘gs 89‘£ç ST°66 81 16‘8ç 82‘06 68‘8r 
9r‘0g 6c‘sr 90 98‘66 6r‘0g 1S‘8r 
re‘ce 62‘0g 9S‘L 26°66 81 1616 6r‘0s 
10f£g 0L‘cS SLT 6GI ge‘o 1SrS 196 
ro‘gc g1‘es c0‘6g FT‘O GI gL‘TG 99°6Fr 
1G°ag go‘re r€‘6g 81 9c‘8c al‘es 9&°1S 
L9°3S &G‘8F FO‘T GI 16°69 gr‘re Fr‘6r 
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sc‘pe z8‘1e 66‘9g 1966 &8'°1g £L‘0S 
LG'&S c1‘ag t0‘ 8e 8I re‘oc 81 | pz‘es LO‘IS 
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(126) 96€ &L‘0 9665 £6‘1S sc‘os 
60‘rg p£‘es GT 6] Sr‘66 sr‘0g LL‘8+r 
09%8S 081 | 6L%€6 081 | Pr 60 081 | pL‘,20 087 | LP 06 087 | 819,06 081 
FLE € REP PL CRT PRE PL | EEE PEUR PE RS 
"SNOLLVAUASAO | "SAUQAN 6 | ‘SAUNA 8 “AU F "IOIN "SAIOAN 6 | ‘SAUNAN 8 
































RESULTATS 


368 


DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 
































| DATE, | 8 HEURES. | 9 HEURES, MIDI. A HEURE. 8 HEURES, | 9 HEURES. OBSERVATIONS. 

1843. 

Sept. 1 | 18° 49,02 | 180 48,48 | 18° 57,77 | 18° 57,63 | 18° 47',43 | 18° 47,83 
2 (55,18) 50,67 56,03 57,08 50,47 | 49,37 
3 50,02 49,61 55,62 57,09 47,13 49,20 
4 50,46 50,89 55,84 57,71 51,81 (43,01) 
5 54,35 52,08 59,79 | 19 0,80 51,42 50,11 
6 53,50 55,54 59,60 0,14 54,04 53,62 
7 51,12 51,58 59,65 0,99 53,70 51,37 
8 48,27 49,39 56,34 | 18 57,71 49,91 49,50 
9 48,51 50,06 57,15 58,48 49,87 (41,90) 

10 48,28 48,42 54,42 59,73 49,91 46,00 
11 50,03 49,80 56,22 56,41 49,43 48,45 
12 48,80 49,86 56,37 57,37 49,75 46,79 
13 47,80 47,64 52,62 54,25 49,54 48,13 
14 49,04 50,27 56,95 58,35 50,29 51,10 
15 49,30 50,11 58,29 59,31 51,85 51,64 
16 50,15 50,93 59,17 58,46 52,39 52,25 
17 50,20 51,70 59,56 59,45 (47,21) 51,27 
18 48,23 50,21 19 1,87 | 19 2,73 52,44 49,69 
19 48,35 50,92 3,62 | 18 59,53 49,93 49,77 
20 49,89 53,06 | 18 58,07 59,98 49,56 50,74 
21 48,29 48,42 57,94 | 19 0,56 47,21 51,08 
22 50,84 50,05 56,89 | 18 58,94 49,52 48,46 
23 50,43 51,18 | 19 0,49 58,30 51,70 51,32 
24 49,51 48,95 | 18 57,70 58,06 49,65 50,08 
25 48,73 49,64 | 19 0,62 | 19 0,65 51,07 51,42 
26 48,49 50,89 1,74 1,05 52,02 51,00 
27 48,09 48,89 | 18 58,41 18 59,09 52,45 52,13 
28 49,00 49,38 59,71 59,98 52,52 52,26 
29 49,85 50,26 57,01 58,46 50,59 51,13 

52,68 49,63 19 0,48 52,03 51,73 




















369 


, 


D OBSERVATIONS MAGNETIQUES. 








*[ROIIOA JUOUTOA 
=nout {JUAIOIA-SQ1) ‘O-"S NP JU9A 





"SNOLLVAUASHO 








16°6r 96‘0S 
| 4 27 À 2 0906 
68°2F z0‘&S 
oz‘re SI‘&S 
0606 0c‘&S 
68°TS TGS 
00‘8r 8a‘0S 
LLSIS Sacs 
GG6°IC L6°TS 
9c‘6r ge‘rs 
11‘0S ge‘re 
(13<2r) (oz‘cr) 
69‘6Fr rc°1s 
9€°FS so‘sr 
TL M 
18:89 081 | F9°&S 081 





"SAUNA 6 














"SAUNA 8 





op°ec 8L°pS cS'6r r£‘os 
GI°LS 16°9c L£‘6r 6&‘ 19 
19‘69 £0‘6F ce‘sr 
go‘ec c'es &9‘6h rc‘6r 
LS°LS o8‘8s Sr°6r 916 
c£‘8c L1‘6S 0L‘0g 91‘06 
Fc LS 6g°1g 61‘8r 00‘6r 
L8‘9ç &g‘ce ca‘sr IS°TS 
18‘8ç 6g°Lc GI°1S 01‘6r 
gL‘Le o7‘9c 60‘6F 1&‘6r 
09°86 &S°LS ra‘Gr £r‘6r 
98°86 8I £0‘69 81 | LT‘8r rc‘6r 
86‘T GI SI‘& 61] TI‘TS co‘rs 
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LS°LSG 6169 S0‘&S LO‘FSe 
£9‘9s 08‘9s F6‘0S LL‘0G 
cose 81 | cr‘, 087 |(08°96 081) | &L° 89 087 
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“HNÔILANIV NOSIVNITIAA 





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mem mm mm 











PARTIE, 


TOM. x, 2° 


370 RÉSULTATS 

Ces tableaux présentent du 9 Avril au 25 Juin 1843 
une singulière anomalie, qu'il m'est impossible d'expliquer; 
toutes les déclinaisons observées pendant cette période sont 
de 18 à 20 minutes trop fortes. Ce changement s’est fait brus- 
quement entre le 8 Avril au soir et le lendemain matin, et 
l'aiguille est revenue tout aussi brusquement à son ancienne 
position du 25 Juin au soir au 26 Juin. C’est bien à son an- 
cienne position que l'aiguille est revenue : car, en comparant 
les déclinaisons des mois de Juillet, Août, Septembre, Octo- 
bre 18453 avec celles des mêmes mois de l’année 1842, on 
trouve pour la diminution annuelle de la déclinaison une va- 
leur qui s'accorde avec celle que l'on a obtenue en d’autres 
endroits. Îl paraît beaucoup plus naturel d'attribuer cette dé- 
viation à un dérangement de l'instrument, qu'a un change- 
ment temporaire du méridien magnétique de Genève; cepen- 
dant il m'est impossible de trouver dans l'instrument la cause 
de cette perturbation. Personne n'a pu s’introduire dans le 
bâtiment magnétique dans la nuit du 8 au 9 Avril, ni dans 
celle du 25 au 26 Juin; sila perturbation est due à l'instrument, 
elle a dù s'effectuer d'elle-même, sans cause étrangère. Elle 
ne provient pas d'un dérangement dans le théodolithe, car la 
lunette n'a indiqué aucun changement de position relativement 
au 0 de la mire. Quant aux eauses de dérangement dans le 
barreau, elles ne peuvent provenir que d’un changement dans 
la position du miroir ou d’un changement dans la suspension, 
ou dans la torsion. Il m'a été impossible de vérifier alors la 
position de l'axe du miroir relativement à l'axe du barreau, 
parce que Je suis parti peu de jours après pour un voyage; 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 371 


mais on conçoit difficilement comment l'inclinaison du miroir 
changerait brusquement de vingt minutes, pour revenir exac- 
tement à son ancienne position et par un mouvement brusque 
au bout de TT jours. Il est tout aussi difficile d'expliquer un 
changement brusque aussi considérable dans la suspension ; 
il aurait fallu que dans la nuit du 8 Avril la pièce à laquelle 
le fil est suspendu glissât de trente millimètres à l'Ouest dans 
la coulisse dans laquelle elle est serrée. et qu'elle fit le mouve- 
ment inverse dans la nuit du 25 Juin. Si on voulait attribuer 
cette perturbation à un effet de torsion, il faudrait admettre 
que l'angle de torsion du fil ait changé subitement de 220o, 
et fut revenu subitement à son ancienne valeur. Enfin, je me 
suis assuré que ce dérangement n'était pas dû à une cause, 
qui a été signalée quelquefois, savoir à la présence dans la 
caisse du magnétomètre d’une araignée ou d’un autre insecte, 
qui aurait fait dévier le barreau en tendant des fils, ou d’une 
autre manière. 

J'ajouterai en dernier lieu, que dans les jours qui ont précédé 
le 9 Avril, des perturbations assez considérables ont été ob- 
servées dans la direction de l'aiguille aimantée, soit à Genève, 
soit en d'autres lieux, et que des tremblements de terre ont 
été ressentis dans des localités voisines de Genève, en Suisse 
et en Savoie. 


372 RÉSULTATS 


VARIATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 


Les variations de la déclinaison magnétique peuvent être 
considérées sous deux points de vue, soit qu'on examine les 
variations qui ont lieu dans un même jour, d’une heure de la 
journée à l'autre, soit qu'on examine les variations qui ont lieu 
à la même heure de la journée d’un jour à l'autre. Je m'occu- 
perai d’abord du premier point de vue. Les tableaux ci-des- 
sus montrent, ainsi qu’on l'a observé jusqu'ici, que la déclinai- 
son est en général plus forte à { heure qu'à aucune des autres 
heures d'observation ; effectivement, pendant toute cette série 
il est arrivé une seule fois, le 22 Novembre 1842, que la dé- 
clinaison fut plus forte à 8 h. du matin qu'à 1 h.; cela n'est 
jamais arrivé ni pour 9 h. du matin, ni pour 8 h. et9 h. du 
soir ; l'observation de midi offre assez fréquemment une dé- 
clinaison plus forte que celle de 1 h., quoique la moyenne 
soit décidément en faveur de 1 h. 

Le tableau suivant donne pour chaque mois la différence 
moyenne entre la déclinaison de 1 h. et celle des cinq autres 
heures d'observations; dans le calcul de ces moyennes on a 
laissé de côté les observations qui indiquaient une perturba- 
tion accidentelle dans la position de l'aiguille aimantée, et 
qui ont été enfermées entre des parenthèses dans les tableaux 
ci-dessus. 


373 


ETIQUES. 


, 


D OBSERVATIONS MAGN 





7 
8e‘p sa‘r 89‘0 1&‘9 
og‘e scç‘e 10‘T eg°z 
sç‘g 06‘c 96‘0 S9°L 
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“ALVO 











HINNOG 


ANNHAON INA AIIA 


2 


LA AUNGH | a à NOSIVNITOHG VI AMLNA SION HNÜYHO UNOd 





374 RÉSULTATS 


Ce tableau montre que la déclinaison est plus faible en 
moyenne à 5 h. du matin qu'à toutes les autres heures du 
jour; cependant dans les mois d'Octobre, Novembre, Dé- 
cembre et Mars elle est un peu plus forte que celle de 9 h., en 
sorte que dans ces mois-là le minimum du matin se rapproche 
plus de 9 h. que de 8 h. Dans les mois de Novembre, Décem- 
bre, Janvier et Février, la déclinaison est plus faible à 8 h. 
et à 9 h. du soir qu'à 8 h. et à 9 h. du matin : donc, dans les 
mois d'hiver, le minimum du soir est plus bas que celui du 
matin, tandis que dans le reste de l'année c’est le minimum 
du matin qui est le plus bas. Enfin la déclinaison est constam- 
ment moins forte à 9 h. du soir qu'à S h. du soir, donc l'épo- 
que du minimum du soir est plus voisine de 9 h. que de 8 h. 
du soir. On peut remarquer aussi, que ce n’est pas insensible- 
ment, mais presque subitement, que l'amplitude de la variation 
diurne entre { h.et 8 h.et 9 h. du matin diminue du mois d'Oc- 
tobre au mois de Novembre, et qu'après être restée presque 
stationnaire pendant les mois d'hiver, elle augmente de nou- 
veau très-rapidement du mois de Février au mois de Mars. 

Pour étudier les variations de la déclinaison qui ont lieu 
à la même heure, j'ai essayé de donner une représentation 
graphique de la marche de la déclinaison aux différentes heu- 
res, que l’on trouve dans les courbes dessinées par M. E. Gau- 
tier. Dans la pl. Il, la courbe noire donne du 2 Juin 1842 
au {7 Octobre 1845 la déclinaison de 8 h. du matin; la 
courbe brune, celle de 9 h. du matin; la courbe rouge, celle 
de midi; et la courbe bleue, celle de 1 h. Dans la pl. II, 


la courbe noire donne pareillement la déclinaison de 6 h. du 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 375 


soir, et la courbe brune, celle de 9 h. du soir. On a mis ces 
deux dernières courbes dans une figure séparée, pour éviter 
la confusion qui aurait pu naître de leur fréquente inter- 
section avec celles de 8 h. et 9 h. du matin. Ces courbes 
ont été construites avec les déclinaisons que l'on obtient, en 
prenant une moyenne des déclinaisons observées de trois Jours 
en trois Jours; on se mettait ainsi un peu plus à l'abri des pe- 
tites variations accidentelles qui peuvent affecter l'observation 
isolée de chaque jour. Dans le calcul de ces positions moyen- 
nes de trois Jours en trois jours, on a aussi laissé de côté les 
observations qui indiquaient une perturbation accidentelle 
dans l'aiguille aimantée. 

Ces courbes présentent des ondulations qui, sans être par- 
faitement régulières, offrent cependant une certaine régularité ; 
on reconnait des maximums et des minimums se succédant 
dans des intervalles de temps, qui sont certainement loin 
d'être parfaitement égaux entre eux, une régularité complète 
n'étant guère possible dans un phénomène aussi variable que 
la direction de l'aiguille aimantée, mais qui permettent cepen- 
dant de mettre une période en évidence. 

Pour chercher la durée de cette période et la différence en- 
tre les maximums et les minimums, j'ai formé ci-dessous pour 
les observations de 8 h. du matin le tableau des jours, où la 
déclinaison paraît avoir atteint un maximum ou un minimum, 
avec l'indication de cette déclinaison maximum où minimum. 


376 


RÉSULTATS 


MAXIMUMS ET MINIMUMS 


DE 


LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE A 8 HEURES DU MATIN. 











1842. 


1843. 





Juin 15 
29 
Juillet 9 
23 
Août 6 
18 
Sept. 3 
17 
30 
Oct. 16 
28 
Nov. 11 
26 
Déc 6 
18 
Janv. 2 
19 
Fevr. 5 
18 
Mars 3 
13 
30 
Avril 18 
Mai 3 
19 
Juin 5 
17 
Juillet 8 
26 
Août 7 
18 
Sept. 5 
22 
Oct. 1 








18° 58‘,07 
52,80 
56,34 
56,64 
56,33 
58,32 
57,98 
59,85 
58,24 
57,65 
58,58 
59,39 
57,98 

19 0,04 
0,00 

18 58,44 
56,54 
57,83 
57,43 
56,12 
57,96 
53,26 

19 12,42 
13,79 
12,16 
10,58 
17,73 


18 54,64 
51,78 
51,24 
50,56 
54,35 
50,84 
52,72 














MINIMUM. 
1842. Juin 9 18° 55,94 
25 47,90 
Juillet 1 51,27 
14 48,50 
26 50,77 
Août 12 53,08 
| 26 53,86 
Sept. 11 53,56 
25 54,31 
| Oct. 9 . 54,37 
19 53,87 
Nov. 6 55,73 
17 55,96 
Déc. 3 56,08 
13 56,66 
29 56,10 
1843. Janv. 15 55,66 
28 55,32 
| Févr. 24 55,28 
| Mars 10 54,31 
24 52,67 
| Avril 9 19 11,42 
26 10,96 
Mai 15 10,24 
27 8,42 
Juin 9 9,04 
|| 23 11,75 
Juillet 3 18 47,37 
18 48,75 
Août 2 48,77 
13 48,51 
26 46,43 
Sept. 8 48,27 
27 48,09 














D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. DT 


D'après ce tableau, l'intervalle de temps compris en moyenne 
entre un maximum et le maximum suivant est d'environ 
15,5 jours; il est à peu près le même que l’intervalle compris 
entre un minimum et le minimum suivant : donc la période 
qui ramène deux maximums ou deux minimums consécutifs est 
d'un peu moins de {4 jours; la différence moyenne entre un 
maximum et le minimum suivant est de 3,15. Pour chercher 
la cause de ces variations, on se reporte naturellement à la 
lune, qui offre dans son mouvement des périodes analogues, 
non pas dans le mouvement synodique, mais dans le mouve- 
ment relativement à l'équateur, celui qui ramène la lune à 
une même déclinaison. 

Si nous cherchons quelle est Ja position de la lune relative- 
ment à l'équateur pour toutes les époques du maximum à 8 h. 
du matin, nous trouvons qu'elle est en général dans le voisi- 
nage de son passage par l'équateur. En effet, sur 33 maxi- 
mums observés, il y en a 25 pour lesquels la lune se trouvait 
à moins de 16° de part et autre de l'équateur, et 10 pour les- 
quels elle avait une déclinaison boréale ou australe plus forte 
que 160. 

Les minimums de la déclinaison à 8 h. du matin arrivent 
au contraire, lorsque la lune se trouve à sa plus grande distance 
boréale ou australe de l'équateur; sur 34 minimums observés, 
24 sont arrivés lorsque la lune avait une déclinaison boréale 
ou australe plus forte que 16°, et 10 lorsqu'elle se trouvait à 
une distance moindre de l'équateur. Il paraît donc que la lune 
exerce sur la direction de l'aiguille aimantée, à 8 h. du ma- 


TOM. X, 2° PARTIE. 18 


378 RÉSULTATS 

tin, une influence telle, que, lorsqu'elle est dans le voisinage de 
l'équateur, la déclinaison magnétique augmente, tandis qu'elle 
diminue, lorsque la lune se trouve à sa plus grande distance 
de part et autre de l'équateur. 


En examinant de la même manière les variations de la dé- 
clinaison à 1 h., j'ai formé le tableau suivant pour les épo- 
ques des maximums et des minimums et pour les valeurs cor- 
respondantes de la déclinaison. 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 379 


MAXIMUMS ET MINIMUMS 


DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE A 1 HEURE. 

















MAXIMUMS. MINIMUMS. 

| 1842. Juin 10 199-9727 1842. Juin 15 19° 3,16 

s 17 5,71 25 18 55,24 

Juillet 5 3,08 Juillet 14 55,41 

18 3,17 24 19 1,45 

31 5,54 Août 10 0,35 

Août 17 8,74 27 5,09 

29 6,60 31 2,97 

Sept. 9 7,32 Sept. 14 2,45 

20 6,86 Oct. 1 0,35 

Oct. 8 7,90 16 1,68 

23 4,86 Nov. 1 1,06 

Nov. 5 3,43 15 18 59,71 

22 2,09 28 19: 0,17 

Déc. 6 1,89 Déc. 13 18 59,35 

18 3,94 21 59,03 

30 2,19 1843. Janv. 4 59,37 

1843. Janv. 16 2,40 25 59,46 

29 1,32 Févr. 4 58,81 

Févr. 7 2,88 18 59,24 

22 2,07 Mars 1 59,22 

Mars 6 2,49 10 19 0,51 

20 3,72 24 1,58 
Avril 3 4,68 

14 21,35 Avril 22 16,24 

30 20,33 Mai 12 16,26 

Mai 15 18,27 23 15,50 

25 20,34 Juin 6 16,32 

Juin 10 18,56 23 16,76 

Juillet 2 2,98 Juillet 7 18 56,89 

13 2,31 18 58,41 

29 1,78 31 57,75 

Août 11 1,75 Août 18 57,34 

23 1,41 28 55,48 

Sept. 7 0,99 Sept. 13 54,25 

18 2,73 22 56,63 

Oct. 5 1,98 Oct. 10 56,87 











380 RÉSULTATS 


On voit par ce tableau que l'intervalle de temps compris en 
moyenne, soit entre deux maximums, soit entre deux mini- 
mums consécutifs, est encore de 13,8 jours, c’est-à-dire le 
même à peu près que celui que j'avais trouvé pour $ h. du 
matin; la différence moyenne entre un maximum et le mini- 
mum suivant est de 4,53; mais les maximums et les mini- 
mums ont lieu relativement à la déclinaison de la lune dans 
un ordre inverse de celui qui a été remarqué pour 8 h. du 
matin. 

Effectivement sur 37 maximums observés, 27 ont eu lieu 
lorsque la lune avait une déclinaison boréale ou australe plus 
grande que 16°, et sur 55 minimums observés, 23 sont arrivés 
lorsque la lune avait une déclinaison boréale ou australe moin- 
dre que 16°. Donc l'influence de la lune sur la direction de 
l'aiguille aimantée à { h. a pour effet de diminuer la déclinai- 
son magnétique, lorsqu'elle est dans le voisinage de l'équa- 
teur, et au contraire de l’augmenter, lorsqu'elle en est à sa plus 
grande distance boréale ou australe. 

En envisageant donc dans son ensemble l'influence de la 
lune sur les variations de la déclinaison magnétique, on voit 
que la lune tend à diminuer l'amplitude de la variation diurne 
entre 8 h. et 1 h., lorsqu'elle est dans le voisinage de l'équa- 
teur, puisqu'elle augmente la déclinaison à 8 h. et qu'elle di- 
ninue la déclinaison à 1 h. Lorsque la lune est à sa plus grande 
distance au-dessus ou au-dessous de l'équateur, elle tend au 
contraire à augmenter l'amplitude de la variation diurne, puis- 
qu'elle diminue la déclinaison à 8 h. du matin et qu'elle l'aug- 


mente à { h. 


- - 
D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 381 


Tels sont les résultats auxquels m'a amené l'examen des va- 
riations de la déclinaison magnétique à 8 h. et à 9 h. pour la 
série d'observations qui ont élé faites Jusqu'à présent à 
Genève. 

Je crois qu'il y a quelque intérêt à les énoncer dès à présent, 
quand même ils ne peuvent être confirmés que par une longue 
série d'observations, car ce n’est que par une longue série 
d'observations que l’on peut arriver à reconnaître les mouve- 
ments réguliers dans un phénomène comme celui de la varia- 
tion de la déclinaison à une même heure, dans lequel ils sont 
si souvent masqués par des anomalies dues à des causes in- 


connues. 


DÉCLINAISON MOYENNE DE L’AIGUILLE AIMANTÉE. 


On peut chercher la déclinaison moyenne de l'aiguille ai- 
mantée pour chacune des heures d'observation pendant une 
certaine période, c’est ce que je ferai d’abord; on peut en- 
suite se proposer de déterminer la déclinaison moyenne des 
94 heures. 

J'ai formé dans le tableau ci-dessous les moyennes men- 
suelles des déclinaisons observées pour chaque heure, en lais- 
sant encore de côté les observations qui présentaient des per- 
turbations accidentelles, et en scindant les résultats pour les 


382 RÉSULTATS 


deux mois pour lesquels le changement brusque de déclinai- 
son, dont J'ai parlé, a eu lieu. 


MOYENNES MENSUELLES 


DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE AUX DIFFÉRENTES HEURES. 


oo 
































DATE, S HEURES. | 9 HEURES. | MIDI. | 4 HEURE. | 8 HEURES. | 9 HEURES. 
sb eot sh ni —— ——  — 

1842. Juin |18°54,16/18°54/,97/190 2,49/190 3',56|18°57',73118°57",63 

Juillet| 53,39 | 54,21 0,13 1,56 56,68 | 56,51 

Août 55,38 56,43 3,31 4,26 | 57,68 | 57,65 

Sept. 56,50 | 57,69 4,37 4,69 | 56,92 | 57,10 

Oct. 56,11 56,24 3,03 3,82 57,09 | 56,77 

Nov. 57,16 | 57,12 1,15 1,57 56,75 | 56,62 

Déc. 57,19 | 57,06 0,21 0,39 56,56 | 56,18 

1843. Janv. 56,59 | 56,21 0,06 0,81 56,60 | 56,23 

Févr. 56,05 | 56,48 0,05 0,58 | 56,23 | 55,51 

Mars 54,37 54,02 0,71 1,67 | 55,77 | 55,12 

(1 au 8) Avril 53,05 | 52,96 1,60 3,12 | 55,89 | 55,08 

(9 au 30) Avril |1911,98 |19 12,16 17,91 18,73 |19 13,75 |19 14,16 

Mai 11,11 11,83 17,36 18,04 13,76 | 13,66 

(1au 25) Juin 11,46 11,82 17,88 19,20 14,68 14,44 

(26 au 30) Juin [18 49,01 |18 50,34 0,48 2,04 |18 54,06 |18 53,85 

Juillet | 50,44 | 51,35 |18 58,47 |18 59,92 | 53,70 | 53,40 

Août 49,19 | 50,70 58,22 | 59,30 | 51,90 | 51,88 

Sept. 49,70 | 50,28 | 58,12 | 58,96 | 50,68 50,27 

(1 au 17) Oct. 50,24 | 49,68 | 57,80 | 58,04 | 51,37 | 50,44 
{l 











On reconnaît facilement par ce tableau la nature des varia- 


tions, qui ont lieu aux différentes heures dans la déclinaison 
magnétique pendant le cours d’une année; mais, pour les dé- 
terminer plus exactement, il faudrait tenir compte de la dimi- 
nution constante de la déclinaison, c’est-à-dire ramener les 
moyennes mensuelles à une époque commune relativement 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 383 


au mouvement séculaire. Malheureusement le changement de 
la déclinaison magnétique, que J'ai signalé du mois d'Avril au 
mois de Juin, m'empèche de pouvoir comparer avec con- 
fiance les déclinaisons des mois de Juillet, Août, Septembre 
et Octobre 1542 avec celles des mois correspondants de l’an- 
née 15453, pour en déduire la diminution annuelle de la dé- 
clinaison. Voici néanmoins les valeurs données pour cette di- 
minution par chacun de ces quatre mois et pour chaque heure : 



































































DATE. sh. 9h. | MIDI. 1h. MOYENNE. 
| Juillet 2,95 2,86 1,66 1',64 —_21,53 
Août —6,19 5,73 4,89 4,96 —5,55 
| Sept. 6,80 7,41 6,25 5,73 —6,54 
| Oct. 5,87 6,56 5,23 5,78 —5,91 
| 
Moyenne| —5,45 5,64 1,51 4,53 —5,13 


















En adoptant pour la diminution annuelle la valeur moyen- 


ne — 5,15, qui, se rapprochant beaucoup de celle qui a été 
observée ailleurs, ne peut pas s’écarter beaucoup de la vérité, 
il faudra, pour ramener relativement au mouvement séculaire 
les différentes moyennes mensuelles à l'époque commune du 
{er Janvier 1845, leur appliquer les corrections suivantes : on 
retranchera des déclinaisons moyennes de Juin, Juillet, Août, 
Septembre, Octobre, Novembre, Décembre 1842 respecti- 
vement les nombres 2,18; 2,35 ; 1,92; 1,50; 1,07; 0,64; 
0,21; et on ajoutera aux déclinaisons moyennes de Janvier, 


Février, Mars, Avril (du 1e au 8), Avril (du 9 au 30), Mai, 


384 RÉSULTATS 


Juin (du 1% au 25), Juin (du 26 au 50), Juillet, Août, Sep- 
tembre, Octobre 1843 réciproquement les nombres 0,91 ; 
0,64:.1:07:4,345 1,5%341,9932515 2,50: 2678; 3:90: 
0553201: 

On obtient ainsi les moyennes mensuelles suivantes pour 
les différentes heures : 




















. | 

DATE, 8 HEURES, |9 HEURES. | MIDI. | A HEURE, | 8 HEURES. | 9 HEURES. 
| | 

1842. Juin |18°51‘,38/18°52',19/18°59’,71119° 0',78|18°54‘,95/18° 54,85! 
Juillet 51,04 51,86 57,78 |18 59,21 54,33 54,16 | 
Août 53,46 54,51 |19 1,39 19 2,34 55,76 55,73 | 

Sept. 55,00 56,19 2 arte 3,19 55,42 55,60 

Oct. 55,04 D5 17 1,96 | 275 56,02 55,70 
Nov. 56,52 56,48 0,51 | 0,93 56,11 55,98 | 
Déc. 56,98 56,85 0,00 | 0,18 56,35 55,97 | 

1843. Janv. 56,80 56,42 0,27 | 1,02 56,81 56,44 
Févr. 56,69 57,12 0,69 | 1,22 56,87 56,15 

Mars 55,44 55,09 1,78 | 2,74 56,84 56,19 

(1 au 8) Avril 54,39 54,30 2,94 | 5,46 57,23 56,42 
(9au30) Avril |1913,55 |19 13,73 19,48 | 20,30 |19 15,32 |19 15,73 
Mai 13,03 13,75 19,28 19,96 15,68 15,58 
(1 au 25) Juin 13,77 14,13 20,19 21,51 16,99 16,75 | 
(26 au 30) Juin |1851,51 |18 52,84 2,98 | 4,54 |18 56,56 |18 56,35 
Juillet 53,22 54,13 125 2,70 56,48 56,18 

Août 52,39 53,90 1,42 2,50 55,10 55,08 

Sept. 53,33 53,91 1,75 | 2,59 54,31 53,90 

Oct. 54,21 53,65 AT] 2,01 55,34 54,41 























L'anomalie, qui a été signalée dans les mois d'Avril, Mai et 
Juin 1845, ne me permet de pouvoir comparer que dix mois, 
savoir: de Juin 1842 à Mars 1845 inclusivement, avec la 
moyenne de ces dix mois; cette moyenne, qui a aussi pour 
époque relativement au mouvement séculaire le {er Janvier 
1545, est pour chaque heure : 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES 385 


S h. 9 h. midi 1 M, S h. 9 h. 
189 54,83; 18° 55,19; 199 0,70; 199 1‘,44; 18° 55,95; 18° 55',68. 


La comparaison de cette movenne pour chaque heure avec la 
moyenne pour les différents mois, donne les valeurs suivantes 
pour les variations mensuelles de la déclinaison pendant ces 
dix mois aux différentes heures : 
































DATE, 8 HEURES. | 9 HEURES, | MIDI, 4 HEURE. 8 HEURES, | 9 HEURES. 
———— 

1842. Juin | 3245 | ==300 | "0,99 || 066 |. —1:,00 

Juillet —3,79 —3,33 —2,92 —2,23 —1,62 

Août 137 —0,68 | 0,69 | —Lo,90 | —0,19 

Sept. orne too 20216754 | 20153 

Oct. | D RE IST +0,07 

Nov. 1,69 | 51,29 | * —0,19 | : —0,51 0,16 

Déc. os 66 0 TON 26 2210740 

1843. Janv. | 1,97 | 1,23 | 0,43 | 0,42 | +o,s6 

Eévr.ll..-#1,86. |, 11,93). —0,01 |. —0,22 |. 0,92 

| Mars +0,61 —0,10 +1,08 +1,30 —-0,89 
Il 
Ï 











On voit d’après ce tableau que par suite d’une action exer- 
cée probablement par le soleil, puisque la période des varia- 
tions est d'une année, la déclinaison diminue dans les mois 
d'été et augmente dans les mois d'hiver pour 8 h. et 9 h. du 
matin, $ h. et 9 h. du soir. Quant à la déclinaison à midi et 
à 1 h., les maximums semblent arriver plutôt aux deux équi- 
noxes et les minimums aux deux solstices. Enfin, on voit aussi 
que les variations annuelles sont beaucoup moins fortes à 
$ h.et à9 h. du soir qu'aux autres heures de la journée. 

Cherchons enfin de déterminer la déclinaison moyenne non 


plus pour une certaine heure de la Journée, mais pour les 
TOM. X, 2° PARTIE. 49 


386 RÉSULTATS 

vingt-quatre heures. Eu égard à la rapidité et au peu de ré- 
gularité des variations de la déclinaison, il faudrait, pour avoir 
exactement la déclinaison moyenne d’un Jour, faire pendant 
vingt-quatre heures consécutives des observations à des in- 
tervalles de temps très-rapprochés, pour en prendre la mo- 
yenne. Ce n’est qu'approximativement qu'on peut déterminer 
la déclinaison moyenne d’un jour, au moyen de quelques 
observations isolées faites pendant la journée; souvent on 
s’est contenté de prendre la moyenne de la déclinaison à 8 h. 
du matin et à 1 h., ces deux heures étant rapprochées de lé- 
poque du minimum et du maximum. 

Comme nous avons observé les termes magnétiques depuis 
le commencement de 1841, j'avais douze séries d’observa- 
tions faites pendant vingt-quatre heures consécutives, de cinq 
‘en cinq minutes, pouvant par conséquent me donner exacte- 
ment la déclinaison moyenne de ces douze jours; en compa- 
rant ces déclinaisons moyennes avec les déclinaisons aux heu- 
res que J'avais adoptées pour les observations diurnes, je 
pouvais avoir douze données sur l’excédant de la déclinaison 
pour ces heures sur la déclinaison moyenne. 

J'ai été obligé de laisser de côté les termes d’Août 1841 et 
de Février 1842, parce qu'ils présentaient des perturbations 
magnétiques trop considérables, pour que la moyenne n’en fût 
pas notablement altérée. Les termes magnétiques ont lieu du 
dernier vendredi au soir au dernier samedi au soir, dans les 
mois de Février, Mai, Août et Novembre. Voici pour les ter- 
mes magnétiques de chacun de ces mois des années 1841 à 
1845 l'excédant de la déclinaison observée à 8 h., 9 h., midi, 
1h., 8 h.,9 h. sur la déclinaison moyenne du Jour : 


387 


, 


D OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 








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JUAN 











388 RÉSULTATS 


Ces observations montrent, que la moyenne de la déclinai- 
son observée à 8 h. du matin et à { h. est constamment plus 
forte que la déclinaison moyenne du jour, savoir: en Février 
+2,05; en Mai de +2,04; en Août de + 1,17; en No- 
vembre de + 1',25; et en moyenne pour l’année de + 1',62. 
La moyenne de six observations faites à 8 h., 9 h., midi, { h., 
Sh.et9 h. se rapproche plus de la déclinaison moyenne; en 
effet, l'excédant de cette moyenne sur la moyenne du jour 
est en Février de + 0,85; en Mai de + 0,55; en Août de 
+ 0,27; et en Novembre de —+ 0,46 ; en moyenne pour l’an- 
née de + 0,53 : donc la moyenne de la déclinaison pour les 
six heures donne un résultat de + 0°,53 plus fort que la dé- 
clinaison moyenne du jour. Cela vient de ce que ces six heu- 
res d'observation tombent dans le jour, et que la nuit la décli- 
naison magnétique est, à ce qu'il paraît, un peu plus faible 
que pendant le jour. 


En appliquant donc une correction de — 0',53 à la moyenne 
des six observations diurnes dans le tableau (page 382) qui 
donne les déclinaisons mensuelles moyennes aux différentes 
heures, on trouve pour les déclinaisons moyennes de ces dif- 
férents mois : 


1842. Juin 18° 57,89 
Juillet 56,55 
Août 58,59 
Septembre 59,01 
Octobre 58,31 


Novembre 57,86 
Décembre 57,40 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 


1843. 


Janvier 
Février 
Mars 


Juillet 
Août 
Septembre 
Octobre 


18° 57',22 
56,95 
56,40 


54,02 
53,00 
52,47 
52,40 


389 


En débarrassant ces moyennes du mouvement séculaire, 


de manière à les ramener toutes à l'époque commune du 


1e Janvier 1843, elles deviennent : 


1842. 


1843. 


Juin 18° 55',11 

Juillet 54,20 
Août 56,67 
Septembre 57,51 
Octobre 57,24 
Novembre 57,22 
Décembre 57,19 
Janvier 57,43 
Février 57,59 
Mars 57,47 
Juillet 56,80 
Août 56,20 
Seprembre 56,10 
Octobre 56,37 


Enfin la déclinaison moyenne des dix mois compris entre 
Juin 1842 et Mars 1843, ayant pour époque aussi le 1er Jan- 


vier 1843, est de 


18° 


56,16. 


390 RÉSULTATS 


PERTURBATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 


L’aiguille aimantée présente de temps en temps dans sa di- 
rection des perturbations qui se font ressentir simultanément 
à une grande distance, et qui sont souvent accompagnées 
d’aurores boréales visibles seulement quelquefois dans des 
pays fort éloignés. Nous n'avons pu observer aucune aurore 
boréale accompagnant les perturbations, soit que celles-ci ar- 
rivassent de jour, soit que le temps fut couvert, soit que l'au- 
rore boréale, s’il y en avait une, ne fut pas visible à Genève. 

Voici le tableau des perturbations de la déclinaison magné- 
tiques qui ont eu lieu pendant la période qu'embrassent nos 
observations; la perturbation y est indiquée pour les heures 
ordinaires d'observation par l’excédant de la déclinaison anor- 
male sur la moyenne des déclinaisons à la même heure du 
jour qui précède et de celui qui suit. Lorsque, pour suivre la 
perturbation, les observations ont été faites à d’autres heures 
qu'aux heures ordinaires, j'ai indiqué dans la colonne intitulée 
Remarques de combien la plus forte perturbation observée 
avait dépassé celle qui est arrivé à l'heure ordinaire d’observa- 
tion la plus voisine, et à quelle heure elle avait eu lieu. 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 391 


PERTURBATIONS DE LA DÉCLINAISON MAGNÉTIQUE. 




















DATE. |SHEURES.|9 HEURES.) MIDI |4 HEURE, |8 HEURES.|9 HEURES 





REMARQUES. 











—L3',63| +5’,10 


A2h.12m.+#110. 





—4,84 —4,17 A 9 h. 42 m. mat. +15,19. 
5,22] +4,70| +4,22 Ah, 5 m. mat. +10,05. 
—3,62| —4,42 
—-1,88| +5,52 A 4 h.10 m. +5,21. 
+3,61 A8h. 5 m. soir —1,89. 
A 8 h. 5 m. soir —1,00. 
+2,87 +5,82 A8 h. 50 m. soir —1,24. 
3,43 A 8h.25 m. mat.—+-1,72. 





A9h.127,5 soir —9,61. 


A 5h. 45 m. +4,91. 


+4,36 
+4,51 


—5,71| +4,69! +6,09 


+9,56] +8,96] -L10,25 
8,09! +7,53 


Juillet 6 
7 


25 
Août 3 
Sept. 2 

4 


9 

17 

Oct. 1 
5 


+6,52 











392 RÉSULTATS 

On voit d’après ce tableau, que de beaucoup le plus grand 
nombre des perturbations de la déclinaison magnétique arrive 
le soir, et que la déclinaison se trouve alors diminuée d'une 
manière anormale, tandis que les perturbations qui arrivent 
aux autres heures de la journée augmentent en général la dé- 
clinaison. Les deux perturbations les plus fortes, qui ont été 
observées pendant cette série, sont, celle qui a eu lieu le 2 Juil- 
let 1842, où la déclinaison a augmenté de 20 dans un inter- 
valle de temps de 42 minutes entre 9 h. et 9 h. 42 m. du 
matin, et où la différence entre la déclinaison de 9 h. 42 m. 
matin et celle de 9 h. du soir a été de 25’, et celle qui a eu 
lieu le 9 Décembre 1849 à 9 h. 12,5 du soir, où la déclinai- 
son a été de 22 plus faible que dans son état normal. 


INCLINAISON DE L’AIGUILLE AIMANTÉE. 


Avant de placer le magnétomètre dans le bâtiment magné- 
tique, J'y ai fait deux séries d'observations de l'inclinaison de 
l'aiguille aimantée avec une boussole de Gambey. Malheureu- 
sement Je n'ai pu me servir que d’une seule des deux aiguilles, 

. . PHASE r ;* , [7 #4 
qui avaient été livrées avec l'instrument, l’autre ayant été en- 
dommagée. 


Lt 


D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 393 


La première série d'observations a été faite le samedi 
16 Avril 1842 de midi à 35 heures; l'inclinaison a été dé- 
terminée par des observations faites, soit en plaçant l'aiguille 
daus le méridien magnétique, soit en amenant successivement 
dans deux plans rectangulaires inclinés de 45° ‘au méridien 
magnétique. L'inclinaison dans chacun de ces plans résulte 
de la moyenne d'un grand rombre de lectures faites aux 
deux extrémités de l'aiguille, en changeant l'aiguille de face, 
en changeant lazimuth de 180°, et en retournant les poles. 
On a obtenu de cette manière 64° 38,51 pour l'inclinaison ré- 
sultant des observations faites dans le méridien magnétique, 
et 640 58,50 pour celle qui résulte des observations faites 
dans les deux plans inclinés de 45° au méridien magnétique. 
La moyenne entre ces deux nombres donne 64° 38,55 pour 
linclinaison de laiguille aimantée. 

La seconde série d'observations a été faite le 9 Mai 1849 
de midi à 2 heures; le mode d'observation a été le même que 
pour la première série. Les observations faites dans le méri- 
dien magnétique ont donné 6% 4%',50 pour linclinaison; 
celles qui ont été faites dans les deux plans inclinés de 45° au 
méridien magnétique ont donné 64° 40,56, d’où on tire, en 
prenant la moyenne entre ces deux résultats, 640 42,53. 

L'inclinaison de l'aiguille aimantée à Genève, correspondant 
à l'époque du 1 Mai 1542, qui résulte de la moyenne de 
ces deux séries d'observations, est donc 64° 40,50. J'ai été 
curieux de comparer ce résultat, à ceux qui avaient été obte- 
nus précédemment, voici ceux que j'ai pu recueillir : 


TOM. X, 2° PARTIE. 20 


394 RÉSULTATS D'OBSERVATIONS MAGNÉTIQUES. 


1775 Shuckborough; le lieu de l'observation et 

l'époque de l’année inconnus 690 27 — 
18925 Arago; observation faite à Chambeisy, à 

une lieue au nord de la ville, le 15 Septembre 65° 48,5 
1830 Quételet; observation faite à l’observa- 

toire, vers le milieu de l’année 65° 31,2 
1838 Muller; observation faite à l'observatoire, 

le 5 Mai 65° 13,28 
1542 Plantamour; observations faites à l'obser- 


vatoire, le 16 Avril et le 9 Mai … 640 40,50 


La diminution annuelle de l'inclinaison que l'on obtient en 
comparant l'observation de Shuckborough aux miennes est de 
4,28. En adoptant cette diminution annuelle de 4,28, on 
trouve que l’inclinaison observée par M. Arago ramenée au 
er Mai 1842 serait 64° 38,50; l'inclinaison observée par 
M. Quételet ramenée également au 1°7 Mai 1842 donnerait 
64° 40,70; ces deux résultats s'accordent très-bien avec celui 
que j'ai obtenu. L'observation de M. Muller donne un résultat 
un peu différent; en effet en ramenant l'inclinaison, qu'il a 
observée, au 1er Mai 1842, on trouverait 64° 56. 


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La courbe bleue por 1m 


































































































La courbe rouge pour Midi 





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La courbe brune pour 9h 






























































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Lu courhe noire represente les dédlinaisons magnétiques caleulées de trois en trois jours pour d'heures du 


























































































































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Octobre 


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Juillet 


Juin 


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Dicembre Janvier 


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Septembre Oetobre Novembre 


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Juillet 





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VOST. 30.3. 6. 9 12 


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MÉMOIRE 


SUR 


LA FAMILLE DES PRIMULACÉES 


PAR 


M. J.-E. DUBY, 


Docteur ès-sciences, Pasteur de l'Église de Genève, Membre de plusieurs Socielés sarantes. 


(Lu à la Société de Physique et d'Histoire naturelle dans ses séances du 7 Mars et du 18 Avril 4844.) 


En publiant dans le tome VITE du Prodromus syst. nat. 
regni vegelab. la description succincte de la famille des Pri- 
mulacées et des genres et espèces dont elle se composait au 
1er Février 1845, époque à laquelle mon travail a été envoyé 
à l'impression, j'ai formé le projet de l'accompagner de quel- 
ques explications propres à éclairer quelques points de l’orga- 
nisation et de la classification de cette famille. C’est ce projet 
que Je réalise aujourd’hui dans le mémoire que je mets sous 
vos yeux, et où nous nous occuperons successivement, 1° de 
l'organisation de la famille, 2° de ses aflinités, 3° d’une revue 


396 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


des genres dont elle se compose et de la valeur des caractères 
sur lesquels ils sont établis; 4° de quelques considérations sur 
les genres rapportés par divers auteurs aux Primulacées et qui 
en sont actuellement exclus; 5° de la distribution géographi- 
que des genres et des espèces. 


CHAPITRE PREMIER. 


ORGANISATION. 


8 1%. OnGANes DE LA VéGérarTion. 


On ne trouve dans la famille des Primulacées que des herbes 
et tout au plus quelques petits sous-arbrisseaux dans quatre 
genres, le Lubinia dont la partie inférieure à une consistance 
arborescente, le Douglasia, et les espèces orientales des genres 
Gregoria et Macrosyphonia qui quoique à peine hautes de 
quelques pouces, offrent une tige véritablement ligneuse. Hors 
ce petit nombre d’exceptions, toutes les autres espèces de la fa- 
mille sont ou annuelles, ou bis-annuelles, ou vivaces (1). La 
racine est pour l'ordinaire fibreuse et donne naissance tantôt 


(1) Le nombre total des espèces de Primulacées actuellement connues étant 
215 : il y en a 179 vivaces, 24 annuelles, 8 ligneuses et 4 bisannuelles ; c'est-à- 
dire que sur 100 espèces il y en a 85 vivaces, 1 { annuelles, 4 ligneuses, 2 bisan- 
nuelles. Ce fait caractérise très-nettement la végétation de notre famille. 


DES PRIMULACÉES. 397 


à une tige plus ou moins allongée, mais qui ne dépasse pas 
(dans les plus grandes espèces de Lysimachies) quatre à 
cinq pieds; tantôt à un rhizôme soit tige souterraine plus ou 
moins ligneuse, dans les Cyclamens tubéreuse. Dans le pre- 
mier cas, tantôt la tige est plus ou moins garnie de feuilles 
simples, entières, dentées ou crènelées., quelquefois lobées, très- 
rarement pinnatifides (les Hottonia); tantôt la tige nue ou cou- 
verte des débris des vicilles feuilles marcescentes, porte à son 
extrémité des rosettes de feuilles imbriquées dont les supé- 
rieures sont tantôt droites, tantôt étalées. Les stipules man- 
quent. Dans le second, la tige extérieure étant nulle, les feuilles 
sont dites radicales et pour l'ordinaire sont étendues sur le 
sol. Dans l’un et l’autre cas les feuilles sont tantôt sessiles, tan- 
tôt pétiolées; quelquefois le pétiole est fort long comparative- 
ment au limbe. Tantôt les fleurs sont solitaires au sommet 
d’un pédoncule scapiforme, c’est-à-dire, que la hampe ayant 
avorté, les pédoncules semblent partir de la racine; mais on 
trouve souvent au bas de chaque pédoncule la foliole de l’in- 
volucre absent, (par exemple dans le Primula grandiflora d'Eu- 
rope et dans son corelatif d'Asie le P. peliolaris) et certaines 
circonstances de culture ou de terrain font reparaître la hampe 
absente; tantôt elles sont disposées en épis ou en rameaux 
axillaires, ou terminaux. Le plus souvent elles sont disposées 
en une fausse ombelle, c’est-à-dire, que par la condensation 
de l’axe du rameau, elles semblent partir d'un seul point, au- 
tour duquel les bractées de chaque pédoncule forment un in- 
volucre, mais la preuve que cette forme d’inflorescence n’est 
due qu'à ce que l'axe qui devait former le rameau ne s’est pas 


398 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


développé, c’est, 1° que si on observe avec attention ces pré- 
tendues ombelles, on verra que les pédoncules ne partent pas 
parfaitement du même point; 2 qu'en outre des folioles ex- 
ternes de l’involucre, lorsqu'il y a plus de cinq ou six fleurs, il 
y en a encore des internes placées comme des bractées à la 
base de chaque pédoncule; 3° ce mode d'inflorescence ne se 
rencontre que dans les genres à feuilles radicales et où il y a 
donc une tendance ou prédisposition à la condensation des 
axes; 4° les Primevères caulescentes, qui tantôt présentent des 
fleurs en verticilles (P. prolifera, Aucherii, etc., P. Sinensis) 
munis de bractées, tantôt les réunissent en ombelles, achè- 
vent de démontrer la véritable nature de cette dernière dispo- 
sition. 

L'usage s'est établi d'appeler folioles les petites feuilles de 
ces involucres, qu'on devrait appeler bractées. Elles sont ordi- 
nairement étroites, sessiles, ovales, lancéolées, linéaires. 
Quand l'ombelle est multiflore, les folioles internes sont plus 
étroites que les externes. Dans quelques espèces elles offrent 
une singulière anomalie. Dans le beau Primula sinensis de nos 
jardins, tantôt elles sont entières, tantôt elles sont dentées, 
quelquefois même inciso-dentées ; dans le Macrosyphonia cespi- 
Losa ces folioles sont fort grandes, largement ovales, profondé- 
ment dentées, presque trifides; dans un groupe d'Androsace 
des montagnes de l'Inde (4. incisa, parviflora, elegans) cet or- 
gane prend des formes toutes semblables et se rapproche de 
celui du Cortusa. 

Les pédicelles qui supportent les fleurs, sont de diverses 
longueurs relativement à la corolle; ils s’'allongent fréquem- 


DES PRIMULACÉES. 399 


ment pendant et surtout après la floraison. Il y a à cet égard 
une très-grande anomalie entre les espèces les plus voisines; 
chez les unes ils s’alloagent considérablement, chez les autres 
ils conservent à peu près leur longueur primitive. 


$ 2. OnGanEs DE LA FRuCTIFICATION. 


La fleur des Primulacées est pour Fordinaire droite; il y a 
cependant deux genres le Dodecatheon et le Cyclamen où elle 
est penchée vers la terre pendant la fleuraison. Après que la 
corolle est tombée, le calyce se redresse peu à peu et la capsule 
prend la position normale, d’avoir le style tourné vers le ciel. 

Le chiffre normal des organes floraux des Primulacées est 
cinq, réduit pour lordinaire à un, dans le calyce et dans la co- 
rolle, par la soudure des différentes parties qui représentent 
cependant par le nombre de leurs divisions les cinq pièces dont 
elles sont composées. La soudure est plus constante à mesure 
que le verticille auquel appartient l'organe est plus éloigné du 
centre de l'axe. Ainsi nous avons cinq étamines distinctes ra- 
rement soudées par la partie inférieure; une corolle gamope- 
tale à cinq divisions, mais qui quelquefois, dans le genre 4po- 
choris, par exemple, sont complétement détachées et forment 
cinq pétales, et enfin un calyce toujours gamosepale à cinq 
dents ou à cinq divisions plus ou moins profondes, mais nous 
n'avons encore aucune Primulacée à cinq sépales. Cependant 
il arrive quelquefois, mais rarement que le nombre cinq ou 
n’est pas atteint, ou est dépassé, maïs toujours dans de très- 
étroites limites. La limite extrême dans ce dernier cas est sept 
(Trientalis) (car je ne regarde les dix divisions apparentes de 


700 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 

la corolle de l'Euparea que comme cinq divisions bilobées), 
dans le premier, trois (Pelletiera). Entre deux se place le Cen- 
tunculus qui a quatre étamines, une corolle et un calyce à 
quatre divisions. Puis vient le Naumburgia qui a pour l'ordinaire 
six étamines, six divisions à la corolle et au calyce, maïs qui 
revient souvent au chiffre normal cinq. Un conçoit que dans 
cet état de choses la variation du nombre des étamines ou des 
divisions des deux verticilles extérieurs, présente un caractere 
important. 

Le calyce est donc toujours monosepale, et pour l'ordinaire 
tubulé ou campanulé, quand les divisions sont peu profondes, 
beaucoup plus ouvert quand elles atteignent presque jusqu'à 
la base. Il est toujours persistant, et après la chute de la fleur, 
tantôt il recouvre la capsule, tantôt il en est dépassé. Et à cet 
égard, il se passe dans plusieurs espèces un singulier phéno- 
mène, le calyce grandit après la fleuraison de manière à pro- 
téger complétement le développement du fruit. Ce qu'il y a de 
remarquable, c’est que les espèces dans lesquelles cet accrois- 
sement a lieu, ne peuvent par aucun autre caractère important 
se distinguer de leurs voisines, de manière à ce qu'on puisse les 
attribuer à des genres distincts. Ainsi dans l'Androsace Gme- 
lini le calyce gran lit notablement après la fleuraison, et dans 
VA. rotundifolia qui en est toute rapprochée, il reste tel qu'il 
était; ilen est de même de l 4. incisa relativement à 4. par- 
viflora et cependant on pourrait aisément prendre ces deux 
espèces l’une pour l'autre. 

Le calyce du genre Coris présente une étrange anomalie 
avec celui des autres genres; il a un double limbe, l'extérieur 


DES PRIMULACÉES. 401 


alterne avec l’intérieur est formé de dents épineuses inégales 
disposées en deux lèvres, dont l’inférieure a cinq, la supérieure 
six dents; l'intérieur est à cinq divisions triangulaires dont les 
deux supérieures sont plus grandes que les autres. 

La corolle, sauf quelques rares exceptions (4pochoris et 
Pelletiera) est gamopetale, la soudure cesse ordinairement à la 
moitié de la longueur, mais dans plusieurs cas elle n’existe 
plus qu'à la base, et il faut y regarder de près pour voir que 
les divisions de la corolle forment à leur base un petit anneau 
très-étroit. Du Nzumburgia et de quelques espèces de Lysima- 
chies qui ont ce caractère à l'Apochoris qui a cinq pétales dis- 
tincts; de l'Æsterolinum au Pelletiera qui a trois pétales libres, 
la transition est très-facile. La corolle est régulière dans tous 
les genres de Primulacées, sauf dans le Coris où elle forme 
deux lèvres inégales; les lobes sont alternes avec les divisions 
du calyce; elle ne manque que dans le seul genre Glaux et 
alors, comme c’est ordinairement le cas, le calyce prend une 
forme pétaloide. Dans quelques genres (Cyclamen, Hottonia. 
Douglasia, plusieurs Androsace, quelques Primula) les divi- 
sions de la corolle portent à leur base, c’est-à-dire, à l'endroit 
où elles se séparent du tube, tantôt un, tantôt deux petits 
corps glanduleux plus ou moins développés et qui quelquefois 
le sont assez pour fermer l'entrée du tube que forme la sou- 
dure de la base des pétales. Nous verrons dans un moment ce 
que nous devons penser de cet organe. 

La corolle hypocraterimorphe ou infundibuliforme dans les 
Hottonia, Primula, Gregoria, Douglasia, Androsace, Lubinia, 
Micropyxis, Samolus, devient par l'élargissement et l'évase- 


TOM. X, 2° PARTIE. 51 


402 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


ment du tube, campanulée dans les Cortusa, Soldanella ; le 
tube s’élargit encore plus et le limbe se réfléchit dans les Cy- 
clamen et Dodecatheon, enfin le tube devenant encore plus 
court et les divisions du limbe étant plus profondes, la corolle 
s'épanouit en roue plus ou moins ouverte, dans les Trientalis, 
Naumburgia, Lysimachia, Asterolinum, Anagallis et Centun- 
culus. Les divisions de la corolle sont tantôt entières, tantôt 
plus ou moins profondément échancrées et bilobées. Dans 
l'Euparea cette échancrure est si profonde que la corolle pa- 
raît avoir dix divisions. Leurs contours sont rarement dentés; 
cependant la culture produit aisément une denticulation très- 
élégante. Leur forme plus ou moins étroite, plus ou moins di- 
latée, tantôt amincie aux deux extrémités, tantôt tronquée ou 
élargie dans la partie extérieure, fournit d'excellents caractères 
pour distinguer les espèces. 

La préfloraison est pour l'ordinaire tordue (Cyclamen, Do- 
decatheon, Trientalis, Anagallis, Lysimachia) ; cependant elle 
est souvent induplicative, par exemple, dans l’Androsace où 
les divisions de la corolle infléchies dans le sens de l'axe de la 
fleur se recouvrent les unes les autres; il paraît qu'il en est de 
même dans le Coris (1), dans le Samolus, où comme Fa fort 
bien observé M. Alphonse De Candolle (Myrs. 3° Mém. p. 35) 
la corolle offre un lobe extérieur, un intérieur et trois intermé- 
diaires. Dansles Primula et Hottonia (?) quand le bouton esten- 
core très-petit, il y a deux lobes extérieurs opposés se touchant 





(1) Nees, L. e. f. 256. 
(2) Nees, gen. germ. fase. XIT, F. 225. 


DES PRIMULACÉES. 103 
par les bords et recouvrant les trois intérieurs qui s’envelop- 
pent et se recouvrent successivement; mais quand les lobes 
sont encore plus développés et que la fleur est sur le point de 
s'épanouir, un des lobes extérieurs recouvre un des bords de 
celui qui lui avait été opposé. 

Les étamines en nombre égal aux lobes de la corolle et tou- 
jours opposées à leurs divisions et aux pétales quand il y en 
a (') sont toujours aussi insérées sur la base de cet organe, et 
sur sa partie la plus inférieure comme dans les Cortusa, Naum- 
burgia, Lysimachia, Pelletiera, Asterolinum, Anagallis. Dans 
les autres genres la base du filet se soude pendant une éten- 
due plus ou moins considérable avec le tube de la corolle ou 
avec ses divisions; il y a même quelques genres comme les 
Hottonia, Primula, Gregoria, Macrosyphonia, Douglasia, An- 
drosace, Cortusa, Dodecatheon, Cyclamen, Soldanella, où la 
soudure est si complète que les anthères sont sessiles ou 
presque sessiles. Dans d’autres genres les filets sont libres; 
ils sont alors filiformes, mais conservant la disposition qu'ils 
ont à se souder, il leur arrive fréquemment de se réunir par 
leur base et de former un tube plus ou moins prolongé; c'est 
ce qu'on voit, par exemple, dans les Lysimachies. Mais ce ca- 
ractère qui, dans d'autres familles, aurait beaucoup d’impor- 
tance en a très-peu dans les Primulacées, à tel point que dans 
le genre dont je viens de parler, les espèces les plus voisines 
présentent des étamines monadelphes à la base et des étamines 





(1) Dans le Glaux où la corolle manque, les étamines sont insérées sur le 
fond du calice, avec les divisions duquel elles sont alternes. 


104 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


libres. Le L. nemorum, par exemple, a les étamines libres et le 
L. nummularia les a soudées en un petit tube, le L. ciliata a 
les filets libres et le L. quadrifolia les a réunis en un petit tube 
de la longueur de l'ovaire. Dans le Hicropyæis, non-seulement 
les filets sont soudés avec le tube, mais l’adhérence se conti- 
nue au delà, et le tube qu'ils forment et qui paraît inséré sur la 
gorge de la corolle, se prolonge et enveloppe l'ovaire. La lon- 
gueur des filets, soit en elle-même, soit relativement à celle 
du pistil est excessivement variable, tantôt et cela dans la 
même espèce, les anthères sont placées au milieu du tube, 
tantôt dans la partie la plus voisine de l’orifice; ce caractère 
n’a donc aucune valeur. 

Le nombre des étamines, avons nousdit, est toujours identi- 
que à celui des divisions de la corolle, cependant on trouve 
quelquefois des traces d’un autre rang de cet organe. Dans 
plusieurs Lysimaques, de la section des Lysimastrum, entre 
chaque étamine fertile, se trouve un filet stérile, tantôt réduit 
à une simple dent (L. heterophylla, longifolia, etc.), tantôt, 
sauf l’absence de l’anthère, tout à fait semblable aux autres 
(L. hybrida, ciliata, ete.); il est remarquable que ce caractère 
qui théoriquement devrait avoir une grande importance en ait 
si peu que le reste de l’organisation de la fleur n’en soit nul- 
lement affecté, et que les espèces les plus voisines présentent 
sous ce point de vue les plus grandes différences. 

Les anthères biloculaires sont introrses, les deux loges pa- 
rallèles s'ouvrent longitudinalement. Tantôt elles sont attachées 
par leur base, tantôt par le milieu de la partie postérieure, 
plus rarement le filet se prolonge au delà de l'anthère sous 


DES PRIMULACÉES. 405 


forme de connectif; ainsi que cela se voit dans les genres Cor- 
tusa et Soldanella. 

Le pollen, en général assez petit, est de forme ellipsoïde ou 
globuleuse, et dans cette limite générale présente d’assez 
grandes diversités dans les espèces du même genre; il est 
ellipsoïde dans plusieurs Primula, tels que le P. officinalis. 
calycina, auricula, etc., les Androsace, tels que F4. villosa, 
obtusifolia, lactiflora, alpina. etc., le Gregoria vitaliana, Lysi- 
machia nemorum, nummularia, vulgaris, Ephemerum, punc- 
lala, etc. (dans lesquels il est en outre ponctué d’une manière 
très-remarquable); l'Asterolinum, le Cyclamen hederæfolium. 
l'Anagallis tenella, les Samolus, etc. Il est globuleux dans le 
Primula longiflora, Y Anagallis arvensis, les Soldanella. Dans 
le Coris il est ellipsoïde si on le voit par dessus, globuleux 
avec une petite proéminence sur le milieu si on le voit laté- 
ralement. Il présente une forme triangulaire arrondie et s’ou- 
vre en trois valves dans le Cortusa et le Primula farinosa. N 
se présente sous forme ovoïde avec deux petites proéminences 
latérales dans l'Androsace maxima, sous une forme quelque 
peu rhomboïdale entremêlée de la forme globuleuse dans le 
Naumburgia et le Primula viscosa. Dans le Glaux. le Primula 
Sinensis et l'Anagallis fruticosa, il passe du globuleux à l'ellip- 
soïde et les grains ont des grosseurs très-diverses. Il est vrai 
que pour ces deux dernières espèces j'ai étudié le Pollen sur 
des pieds cultivés. Il résulte de tout ce que Jje viens de dire, 
qu'on n’en peut tirer aucun caractère pour la classification 
des genres et pas même pour la distinction des espèces. 

Le pistil toujours solitaire présente un stigmate simple 


406 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 
pour l'ordinaire en tête, un style unique plus ou moins 
persistant. 

L'ovaire uniloculaire est libre dans tous les genres de la 
famille, sauf dans le Samolus, où sa base est plus ou moins 
adhérente avec celle du calice. Cette anomalie dans la famille 
et dans la grande classe à laquelle elle appartient, n’est cepen- 
dant pas bien extraordinaire, quand on considère, 1° qu’elle 
est peu étendue, 2° que plusieurs autres cas d’une adhérence 
moins prononcée sans doute, mais cependant très-réelle, se 
retrouvent dans d’autres genres de Primulacées. Ainsi j'ai fré- 
quemment trouvé dans le Cyclamen hederaefolium des indi- 
vidus où la base de l'ovaire était soudée jusqu'à un tiers de la 
longueur avec la partie inférieure un peu charnue et dilatée 
du calice (7). 

Ce qui caractérise les Primulacées, c’est la présence d'un 
placenta central plus ou moins épais, globuleux ou ovoïde, 
tantôt tout à fait sessile au centre de l'ovaire, tantôt un peu 
élevé au-dessus du fond par un petit support. Dans plusieurs 
cas, quand on ouvre une fleur de Primulacée, avant la florai- 
son, on peut reconnaître que la partie supérieure du placenta 
communique avec le style par des petits fils tres-déliés qui ne 
tardent pas à se rompre (=); dans d'autres cas la partie supé- 
rieure de cet organe se prolonge fort avant dans l'intérieur du 
style et s’avance jusqu’au stigmate, mais à mesure que la fé- 


(4) Cette observation avait été déjà faite pour ce genre par M. A. de St-Hi- 
laire, morph. veg. p. 590. 


(2) St-Hilaire, premier mémoire sur la placenta centr., p. 2 et suiv. 


DES PRIMULACÉES. 407 
condation s’avance, ce prolongement s’oblitère, et quand les 
étamines sont tombées, on n’en aperçoit plus de trace qu'une 
petite pointe très-courte, ou qu'une petite cicatrice; mais la 
place qu'il occupait ne porte jamais de graines. Ce placenta 
‘est couvert d'un nombre indéfini d’ovules sessiles, qui y sont 
plus ou moins enfoncés, qui tantôt arrivent en grand nombre à 
maturité, et alors le placenta en se séchant et se condensant, 
si je puis dire ainsi, conserve sa forme primitive; tantôt avor- 
tent en grande partie, et alors les graines prenant une dimen- 
sion comparativement considérable, compriment l'organe qui 
les a nourries, et lui donnent une forme applatie s'il n’y en a 
que 2, prismatique triangulaire, s'il y en a 3, etc. (!). [y a 
des genres où le nombre des ovules qui arrivent à maturité 
est à peu près constant dans le nombre de 2 à 3 (Gregoria), 
de 3—5 (Douglasia, Soldanella, Coris, etc.); d’autres dans 
lesquels ce nombre varie depuis 2 à un grand nombre, par 
exemple, dans l'Androsace ou les espèces les plus voisines 
présentent de grandes diversités à cet égard; ainsi les À. villo- 
sa, Jacquemontii, ete., ont 2 graines, V4. obtusifolia en a 6—8, 
FA. carnea 5—4, YA. lactiflora et septentrionalis 5—10, et les 
A. elongata, filiformis, ete., en présentent un nombre indéfini. 








(1) Le Coris présente sous ce point de vue une singulière anomalie fort bien 
représentée par M. Nees dans son bel ouvrage, Gen. germ. fasc. XIE, f. 256 (sauf 
qu’il a dessiné cinq graines mures, tandis qu’il n’y en a ordinairement que 5 à 4). 
Les graines, complétement libres à la partie supérieure, s’enfoncent par l’infé- 
rieure dans le placenta, ensorte que quand elles tombent, le placenta présente 
la forme d’un style qui s'éleverait du milieu d’une capsule 5-4-angulaire, déprimée 
au milieu (foveolato-depressa) se relevant en 3—%4 pans sur les bords. 


408 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 

Il est d’autres genres, comme les Primula, Cortusa, Lysima- 
chia, Anagallis, etc., où à peu près tous les ovules arrivent à 
maturité. On comprend qu'’alors les graines sont toujours très- 
petites. 

Les ovules qui ont ordinairement la forme d’un petit sphé- 
roïde un peu aplati sont attachés au placenta par leur centre; 
la substance de l’ovule débordant le hile comme un bouclier, 
celui-ci se trouve placé au milieu du ventre; j'appelle avec 
M. Endlicher (Gen. pl., p. 130) cet ovule peltatim amphitro- 
pum. Ce n'est que dans l’Hottonia que la disposition est diffé- 
rente, l'ovule se rapprochant du cordon ombilical et se soudant 
avec lui, devient anatrope. C’est par erreur que M. Endlicher, 
(Gen. pl., p. 150) met ici le Samolus sur la même ligne que 
l’Hottonia ; l'organisation de l'ovule de ce premier genre ainsi 
que l'a déjà anciennement démontré M. A. de St. Hilaire 
(4er Mém. sur plac. centr., p. 9), ne diffère pas de celle des 
autres Primulacées. 

La capsule naturellement toujours sèche (') uniloculaire, 
contient de 2 à un nombre indéfini de graines, elle est globu- 
leuse ou ovoïde et tantôt (Hottoniées, Primulées, Samolées) se 
divise en valves plus ou moins profondes, depuis de simples 
dents, jusqu'a une division totale, tantôt (Anagallidées) se 


(1) C'est par erreur qu'on a décrit le fruit de l’Euparea comme une baie ; c’est 
comme dans toutes les autres genres de cette famille une capsule sèche et pellu- 
cide. Mais ce qui la caractérise, c'est qu’elle est indéhiscente; au moins n'ai-je 
pu découvrir comment elle s'ouvre. 


DES PRIMULACÉES. 409 


coupe en deux transversalement par le milieu, comme une 
boîte à savonnette. 

Le style joue un grand rôle dans la déhiscence de la cap- 
sule. Nous avons vu plus haut qu'il est persistant. Sa base est 
plus ou moins épaisse, et on comprend que quand l'extrémité 
des valves s'y trouve engagée de manière à ne pouvoir s’en 
échapper, la déhiscence de la capsule ne peut plus avoir lieu 
d’une manière complète, et la rupture des parois doit se faire 
d'une autre manière; c'est ce qui explique les Anagallidées. 
Il arrive quelquefois que la déhiscence ne peut pas se faire du 
tout, comme dans le Lubinia et Y Euparea. On trouve souvent 
d’autres genres, où la déhiscence ne se fait pas d’une manière 
aussi régulière que cela devrait être, et pour l'ordinaire on 
voit alors une des valves porter à son extrémité supérieure la 
base du style à laquelle adhèrent des fragments des autres. 
Les Soldanelles démontrent le mécanisme de cette déhiscence. 
La capsule s'ouvre en cinq dents, qui ne paraissent que quand 
par l'effet de la maturation, elles ont rejetté le style dont la 
base les couvrait, à peu près comme la coiffe des mousses 
couvre la capsule. Dans le Trientalis la cohésion forcée de 
l'extrémité des valves prises dans la base du style est telle 
que les valves commencent à s'ouvrir par les sutures latérales 
et ce n’est que plus tard que l'extrémité supérieure se dégage 
enfin tout à fait. Dans le Pelletiera la déhiscence commence 
par le milieu des sutures (*). Dans l’Hottonia les valves s'ou- 





(1) St-Hil. Ann. sc. nat. 1839, p. 86. 
TOM. x, 2€ PARTIE. 52 


10 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


vrent dans toute leur longueur, sauf par leur extrémité supé- 
rieure par laquelle elles sont réunies sous la base du style per- 
sistant. 

Le nombre des valves varie de 3 à 10; le nombre normal 
est 5, et alors elles sont opposées aux divisions du calice, 
comme il est facile de le voir dans les Androsace, Gregoria et 
Cyclamen, etc. 

Dans toutes les Primulacées, sauf les Cyclamen, la capsule 
murit, si on peut dire ainsi, à l'air libre ; dans ce dernier genre 
le pédoncule se repliant en spirale après que la corolle est 
tombée ramène la capsule sous les feuilles, à niveau du sol, et 
c'est là que s'opère la maturation des semences. 

Les graines presque toujours chagrinées et brillantes, sont 
toujours plus ou moins sphéroïdes ou ovoïdes. Dans deux 
genres seulement qui font anomalie avec le reste de la famille, 
le Trientalis et V Apochoris, elles sont planes et ont un bord 
membraneux. Dans le premier de ces genres, elles adhèrent 
légèrement par les bords, et sont ainsi que l’a représenté 
M. Nees, gen. germ. fasc. XII, p.255, recouvertes d’une cuticule 
blanche membraneuse reticulée et très-mince, dans le second 
elles sont véritablement entourées d’une aile très-remarquable, 
fort bien exprimée dans la figure de ce genre que va publier 
M. De Lessert, dans le volume cinq des /cones selectæ. 

Lorsque les graines sont très-nombreuses, elles sont très- 
petites, assez globuleuses, mais serrées les unes contre les au- 
tres, elles ont la forme d’une pyramide irrégulière sur une base 
convexe, l’ombilic étant placé dans la partie la plus renflée de 
la face intérieure; c'est la forme qu'elles ont dans les Cycla- 


DES PRIMULACÉES. 411 


men, Anagallis, Cortusa, Centunculus, Primula, ete. Mais lors- 
que par l'avortement d’un grand nombre d’ovules, elles ne sont 
qu'en petit nombre dans la capsule, alors elles sont beaucoup 
plus grandes, beaucoup plus aplaties, toujours convexes à l'ex- 
térieur, mais plates ou à peu près plates à l’intérieur, c'est 
ainsi que le Gregoria vitaliana, qui a les plus grandes graines 
du genre, parce que sa capsule n’en renferme souvent que 2 
et quelquefois qu’une, présente un côté plane (intérieur) et 
un côté légèrement convexe (extérieur). L’Androsace alpina, 
où il y a souvent cinq semences dans la capsule, a à peu près 
la même forme, sauf que le côté intérieur est un peu plus re- 
levé au milieu. L’ombilic est souvent à peine visible; dans le 
Cyclamen on ne peut le distinguer; mais dans le Gregoria et 
surtout dans l’Anagallis, il se distingue à une différence de 
couleur et est assez prolongé. Dans l'Hottonia il est selon les 
auteurs (1) muni d’une raphe longitudinale. Ce genre fait aussi 
exception pour la direction de embryon, qui serait perpendi- 
culaire à la graine, la radicule tournée vers le hile (?). Il faut 
observer que les semences serrées les unes contre les autres 
sont oblongues dans le sens de leur longueur et par conséquent 
l'embryon serait transversal ou oblique relativement à la 
capsule. 

La graine est remplie par un albumen corné, plus rarement 
charnu, dans l'axe duquel est placé parallèment à lombilic un 
embryon droit ou très-légèrement infléchi, très-blanc, supère, 








(1) Je n’ai pu obtenir des graines mûres d'Hottonia. 
(2) Nees, gen. germ. fase. XIL. n. 225. 


112 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


c'est-à-dire, dont la radicule regarde le bas de la capsule, tan- 
dis que la plumule en regarde le haut; l'embryon tient ordi- 
nairement toute la longueur de la graine, tantôt il occupe le 
milieu de l'albumen, tantôt il est plus rapproché de la face exté- 
rieure. Son sommet et sa base sont pour l'ordinaire également 
éloignés de lombilic (!). Cependant dans le Cyclamen il n’af- 
fecte pas toujours une position aussi régulière et J'ai souvent 
trouvé des graines appartenant à ce genre où l’embryon est 
oblique, et où sa base se rapproche de lombilic, tandis que 
son sommet s'en éloigne. La commissure des cotyledons est 
perpendiculaire au plan parallèle passant par le hile; en d’au- 
tres termes les cotyledons présentent leurs dos aux côtés de la 
graine et leur commissure au hile. J'ai vérifié sur le Gregoria 
vitaliana, cette observation déjà faite par M. Alphonse De Can- 
dolle sur l'Anagallis arvensis, le Lysimachia verticillata et le 
Glaux (5° Mém. sur les Myrsin., p. 33, note). 

Les graines des différentes Primulacées murissent pour l'or- 
dinaire à la fin de la saison; les Cyclamens seuls font excep- 
tion à cette règle; ce n’est qu'au bout de plusieurs mois après 
la fleuraison que les semences arrivent à maturité. Elles pré- 
sentent aussi une singulière anomalie dans la germination; tan- 
dis que les espèces des autres genres de cette famille ont deux 
petits cotyledons foliacés qui sortent de terre, les Cyclamens 
ainsi que l'avait déjà dès longtemps observé M. de Mirbel 


(Ann. du Mus. 16, p. 454, t. 6) sur le C. europaeum, et 





(1) Embryon hétérotrope de M. de St-Hilaire, Morph. veget., p. 740. 


DES PRIMULACÉES. 413 


que je l'ai vu bien des fois sur le C. hederaefolium, n'ont qu'un 
seul cotyledon; et voici comment se passe le développement de 
l'embryon. La graine grossit un peu, l’albumen charnu et 
corné se gonfle et se dissout; l'ombilic grossit et présente un 
petit corps blanchâtre, que traverse bientôt une petite radicule 
qu'il entoure comme un anneau. La radicule se recourbe et 
s'enfonce dans la terre, et bientôt grossit et forme un petit 
corps globuleux blanc de la grosseur d'une petite, puis d’une 
grosse tête d’épingle. Le cotyledon déjà légèrement vert reste 
enfermé dans l'albumen dont il est distinct. On ne distingue 
dans la petite bulbe naissante aucune trace quelconque de cou- 
ches, il est évident qu’elle n’est due qu'au gonflement en ce 
point de la radicule à laquelle son tissu est tout à fait similaire. 
Le petit bulbille émet par sa partie imférieure des radicelles qui 
s’alongent et pénètrent plus avant dans la terre; le pétiole du 
cotylédon s’alonge en restant toujours courbé. Cependant lal- 
bumen s’épuise et se dessèche, et la graine diminue considé- 
rablement de grosseur; enfin le pétiole se redresse, tantôt 
laissant dans la terre les débris de la graine, tantôt les empor- 
tant avec lui à l'extrémité du limbe du cotyledon qui est roulé 
sur lui-même sur la nervure médiane, l’une des moitiés enve- 
loppant l’autre; le limbe s'épanouit, et une deuxième feuille 
commence à poindre à la base de la première. 


L14 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


CHAPITRE IL. 
CLASSIFICATION ET AFFINITÉS. 


S 1°. SYMÉTRIE ET VALEUR DES CARACTÈRES. 


Dans son bel ouvrage, intitulé Lecons de Botanique ou 
Morphologie végétale, M. A. de St-Hilaire, discutant les rap- 
ports des Primulacées avec les familles voisines, établit comme 
suit le type de notre famille (p. 796) : 

Calice — — = ee p38 
Corolle — _ == —_ 22 
Dédoublement 

staminal de la 

| Corolle — — — — — 
Étamines 0 0 0 0 0 
1® disque 0 0 0 0 0 
24 disque 0 0 0 0 0 

Il établit donc que le verticille staminal manque dans les 
Primulacées, et que les organes mâles y sont fournis par un 
dédoublement staminal de la corolle; et à la page 651 notre 
illustre observateur se sert pour appuyer sa manière de voir, 
des écailles qui dans le Samolus alternent avec les pétales : 
« Ces écailles, ditil, se trouvent à la place où l’on voit or- 
« dinairement les étamines; donc ce sont des étamimes avor- 
« tées ou, pour mieux dire, réduites à leurs filets; donc en- 
« core les étamines opposées du Cyclamen n'appartiennent 
« pas au verticille staminal. » J'avoue que je ne puis com- 
prendre ce raisonnement. Si les écailles des Samolus sont des 


DES PRIMULACÉES. 415 
étamines avortées, comment les vraies étamines n’appartien- 
draient-elles pas au verticille staminal et ne seraient-elles qu’un 
dédoublement de la corolle? Mais j'ai d’autres motifs pour re- 
garder les écailles alternes avec les pétales des Samolus, les 
squamules alternes du Soldanella alpina, les appendices al- 
ternes de la gorge de quelques Primula et Androsace, comme 
le vestige d’un rang de pétales oblitérés, et pour considérer les 
étamines comme représentant véritablement le verticille sta- 
minal. 

1° On trouve souvent dans les Primula cultivées dans nos 
jardins des pieds qui portent à la base des divisions de la co- 
rolle et alternes avec elles, des appendices glanduleux. Lors- 
que ces mêmes espèces doublent (!), elles sont tantôt semi- 
doubles, c'est-à-dire qu'à la place où étaient ces appendices on 
trouve un faisceau de pétales qui sont alternes avec les étami- 
nes, lesquelles restent telles qu’elles sont et ne deviennent 
point pétaloïdes; tantôt les fleurs sont vraiment doubles, c'est- 
a-dire qu’en outre du faisceau de pétales dont je viens de par- 
ler, les étamines sont remplacées par un faisceau de lames pé- 
taloïdes opposées aux divisions de la corolle. D'où viendrait le 
faisceau alterne des pétales, s’il n’y avait pas une disposition 
à faire reparaître le rang de pétales qui manque à l'ordinaire et 
que représentent les écailles dont j'ai parlé ? 

2 Plusicurs Primula, notamment le P. borealis, t. IL, f. 2, 
ont à l’orifice de la gorge des petits appendices alternes avec 


(1) Je ne parle pas ici de l’état calycanthème. 


416 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


les divisions de la corolle. Si on examine avec soin la nervation 
de celle-ci, on verra qu'il y a dans le tube dix nervures, dont 
cinq plus fortes. sur lesquelles sont placées les étamines, cor- 
respondent au milieu de chaque division du limbe, et s'y dis- 
tribuant le nourrissent; les cinq autres plus faibles correspon- 
dent aux appendices en question et s'y arrêtent. Ne voit-on 
pas R la preuve que ce sont des organes avortés, tout à fait de 
la nature des premiers, c’est-à-dire des divisions de la corolle ? 

3° Plusieurs espèces de Lysimachies présentent, comme 
nous l'avons observé, cinq étamines fertiles opposées aux di- 
visions de la corolle, et cinq étamines stériles alternes avec 
ces mêmes divisions. Ce n’est donc pas dans le verticille sta- 
minal que se trouve la cause de la position ordinaire des éta- 
mines des Primulacées, car quand il s'en développe un rang 
extranormal, il ne se développe pas extérieurement, mais inté- 
rieurement ; il ne prend pas par exemple la place des “tailles 
du Samolus, mais une place plus intérieure. 

4o Enfin les valves de la capsule sont opposées non aux 
divisions de la corolle, ce qu'elles devraient être si opinion 
de M. de St-Hilaire était fondée, mais aux divisions du calice. 
Si on admet son hypothèse que les étamines des Primulacées 
sont un dédoublement staminal de la corolle, on à alors pour 
type de la famille, en y joignant les valves de la capsule : 

Calice _— _— — — — 
Corolle = — — — — 


Dédoubl. stam. — =: 5e Zi 2 
Valves — == —= = = 


ce qui, comme on voit, est tout à fait contraire au principe de 


DES PRIMULACÉES. 417 


, QC ns = , s 
l'alternance. Supposez, au contraire, que la cause de l'opposi- 
tion des étamines aux divisions de la corolle est la suppression 


d’un rang de pétales, vous avez : 


Calice — — Eat “+ 
Corolle 1° rang _ = eu TA + 
Corolle 2 rang — == 0 Le 2 _ 
Étamines _— — = 4 el 
Capsule — — — _ L4i 


Si maintenant nous cherchons à nous rendre raison des ca- 


ractères essentiels des Primulacées, nous trouvons qu'ils sont, 


d’après ce que nous avons dit : 


{o 
Do 


9o 
10° 
11° 


Calice gamosépale persistant; 

Étamines insérées sur la corolle, opposées à ses di- 
visions ou aux pétales, et lorsque la corolle manque 
(Glaux), alternes avec les divisions du calice; 
Ovaire uniloculaire libre ou à peine soudé à la base; 
Stigmate simple; 

Fruit sec plus ou moins déhiscent; 

Placenta central libre, non accrescent après la flo- 
raisOn ; 

Ovules nombreux à la surface du placenta ou très-peu 
enfoncés dans ses alvéoles; 

Plusieurs graines arrivant à maturité; 

L'embryon droit et vertical à l'égard du péricarpe ; 
Les tiges herbacées ou à peine suffruticeuses ; 
Enfin l'absence de stipules. 


Voyons maintenant quelles sont les aflinités de la famille 


des Primulacées. 


TOM. X, 2° PARTIE. Ge 


Ce 


415 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 
N 2. AFFINITÉS NATURELLES LES PRIMULACÉES. 


Les deux familles dont les Primulacées se rapprochent le 
plus sont sans contredit les Portulacées et les Myrsinéacées. 
A la première vue, la première serait la plus voisine. Il y a 
telle Portulacée, le Cypselea humifusa Turp. entre autres, qui 
a la plus grande ressemblance avec une Anagallidée, un Æi- 
cropyxis par exemple, car la capsule est globuleuse, unilocu- 
laire, s'ouvre transversalement par le milieu, le placenta est 
central et couvert d’une multitude de graines. De plus, quand 
les étamines sont en nombre défini et égales en nombre aux 
divisions du calice, elles sont alternes avec ces divisions, 
comme cela a lieu dans la seule Primulacée sans corolle, le 
Glaux ; quand le nombre des étamines est indéfini et qu’elles 
sont disposées en plusieurs séries, la série la plus extérieure 
est opposée aux pétales et adhérente à leur onglet. Mais là 
s'arrête la ressemblance. Et si nous prenons même ce genre 
Cypselea, que nous avons choisi parmi les Portulacées comme 
le plus rapproché de notre famille, nous trouvons : 

1° qu'il manque de corolle; ; 

do que, quoique le calice soit à cinq divisions, il n’y a ce- 
pendant qu’une à trois étamines ; 

3° que les ovules sont insérés sur le placenta par des funi- 
cules distincts; . 

4° que le stigmate est profondément divisé en deux parties; 

50 que l'embryon est recourbé et enveloppe presque entiè- 
rement l’albumen; 

6° que le pétiole des feuilles est muni d’une large membrane 
stipulaire. 


DES PRIMULACÉES. 419 

À mesure qu'on s'éloigne du genre Cypselea, les points de 
rapprochement entre les Primulacées et les Portulacées vont 
en diminuant. Déjà dans le Portulaca nous avons un si grand 
nombre de différences importantes, qu'il serait trop long de les 
énumérer, et entre autres le caractère d’un style divisé en un 
certain nombre de branches stigmatoïdes se marque de plus 
en plus. Il est vrai que plusieurs genres ont une capsule uni- 
loculaire et un placenta centrak libre, mais la forme et la na- 
ture de ce dernier sont très-différentes. « Cinq filets, dit si 
« exactement M. À. de St-Hilaire (!), s'élèvent du fonds de 
« l'ovaire des Portulaca, aucune substance n’est interposée 
« entre eux; ils sont simplement appliqués les uns contre les 
« autres, portent des ovules à peu près dans les deux tiers de 
« leur longueur, se confondent pour pénétrer dans le style, 
« et se divisant de nouveau passent dans les cinq branches 
« de ce dernier. » D'ailleurs la capsule uniloculaire n’est dans 
les Portulacées qu'une anomalie, et n’est due probablement 
qu’à l'avortement des bords rentrants des feuilles carpellaires, 
qui dans le reste de la famille subsistent et forment des fruits 
à plusieurs loges. Plus nous y réfléchirons, plus nous verrons 
les Primulacées s'éloigner des Portulacées. 

Il en sera bien autrement, au contraire, quand nous étu- 
dierons à fond les Myrsinéacées. Et sans répéter ce qui a déjà 
été si bien dit par M. Alph. De Candolle dans son beau tra- 
vail sur cette dernière famille (Le Mém., p. 35 et suiv.), je 





(1) Morphol. végét. 514. 


420 


MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


ferai remarquer que les Myrsinéacées ressemblent aux Pri- 


mulacées par 


1o 
Jo 
3o 


Do 
3o 


Rapports généraux. 


la corolle régulière; 

le calice gamosépale ; 

les étamines insérées sur la corolle et opposées à ses 
divisions ; 

l'ovaire libre ; 

l'ovaire uniloculaire sans aucun vestige de parois; 
le placenta central toujours libre, supporté par une 
espèce de petit pédicelle et d’une seule pièce, sans 
aucune distinction de filets; 

par l’albumen corné ou presque charnu; 

par l'embryon transversal relativement au hile; 


. par l'absence de stipules; 


Rapports partiels. 


la corolle souvent gamopétale ; 

les filets des étamines quelquefois soudés ; 

l'ovaire quelquefois adhérent à sa base; 

dans le Monoporus paludosus (Alph. D. C., T° Mém. 
sur les Myrs., p. 26, t. 5) on trouve autour de la 
gorge un cercle glanduleux qui rappelle celui de quel- 
ques Primula et Androsace. 


Elles different, il est vrai, en fait de caractères généraux, 


1° parce que le fruit des Myrsinéacées est une drupe un 


peu charnue indéhiscente; mais les capsules indéhiscentes du 


DES PRIMULACÉES. 121 

Lubinia et de l'Euparea font comme une sorte de transition 
entre les deux familles; 

2° en ce que les ovules des Myrsinéacées sont enfoncés 
dans les alvéoles du placenta, organisation qui ne se retrouve 
point dans les Primulacées, où les ovules sont tout à fait su- 
perficiels et au besoin recouvrent le placenta. Cépendant, le 
Coris, dont J'ai décrit plus haut l’organisation, fait certaine- 
ment comprendre comment on peut passer de l’une des formes 
à l'autre; 

5° enfin par les tiges ligneuses; les Myrsinéacées étant tou- 
tes des arbres ou des arbrisseaux. 


En fait de caractères partiels et qui éloignent encore plus 
certains genres de Myrsinéacées des Primulacées, nous si- 
gnalerons les suivants : 


1° Dans les Myrsinéacées, les fleurs sont souvent polyga- 
mes et dioïques, jamais dans les Primulacées. 


20 Dans la première de ces familles, le nombre normal des 
parties de la fleur est plus souvent 4 et 6; cependant dans les 
genres Maesa, Embelia, Amblyanthus, ete. il est de 5; dans 
les Myrsine, etc., tantôt de 4, tantôt de 5; et d’un autre 
côté, dans les Primulacées, le Naumburgia, le Trientalis, le 
Centunculus font exception à la règle générale. 


3° Dans les vraies Myrsinéacées et quelques Ardisiées, il 
arrive que par l'avortement des ovules, certains genres ne ren- 
ferment qu'une seule graine. Ce fait se retrouve quelquefois, 
mais d’une manière beaucoup moins régulière, dans les Pri- 


mulacées, par exemple, dans quelques Androsace, où le nom- 


422 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


bre des graines se trouve quelquefois réduit à deux et même 
à une. 

4° Jamais on ne retrouve dans les Primulacées, ce qui ar- 
rive quelquefois dans les Myrsinéacées, que les alvéoles du 
placenta, se développant après la fécondation, finissent par 
envelopper la graine. Mais d’abord ce caractère est exception- 
nel, et ensuite, quelle que soit son importance physiologique- 
ment parlant, elle est certamement moins grande sous le point 
de vue orgarographique. 

Il résulte de la comparaison que nous venons d'établir que 
la place des Primulacées dans l’ordre naturel est évidemment 
à côté des Myrsinéacées. 


CHAPITRE HI. 


DIVISION DE LA FAMILLE ET REVUE DES GENRES. 


S 1%. Division De LA Famirze. 


La famille des Primulacées se divise en quatre groupes qui présentent des ca- 
ractères distinctifs importants ; ces quatre groupes ont été établis par M. Endli- 
cher dans son bel ouvrage Genera Plantarum, p.754 et suiv. 

Le premier est celui des Hottomiées, qui se rapproche le plus par la végétation 
des Utricularia. Il ne renferme que le seul genre Hottonia et se distingue parce 
que sa capsule s'ouvre en valves, qu'elle est entièrement libre dans toute son éten- 
“due, et que l'embryon, au lieu d’être transversal au hile, lui est perpendiculaire. 
L'Hottonia est du reste le seul genre de Primulacées dont les feuilles soient pinna- 
tifides et qui vive dans l’eau. 


DES PRIMULACÉES. 423 


La seconde section est celle des Primulées, caractérisée par un embryon trans- 
versal relativement au hile et par une capsule entièrement libre et s’ouvrant au 
sommet en valves plus ou moins profondes. Quoique les deux genres Lubinia et 
Euparea soient indéhiscents, j'ai cru devoir les laisser dans ce groupe : 1° à cause 
de leur grande analogie avec les Lysimaques; et 2° pour le premier, parce que, 
lors même que la capsule ne s'ouvre pas d’elle-même, cependant quand on la 
serre entre les doigts, elle s'ouvre en 2, 5, 4 valves ; et pour le second, parceque, 
quand on en aura de plus nombreux échantillons, il ne serait pas impossible qu’on 
ne lui trouvât une déhiscence régulière. 

La troisième section, celle des Anagallidées, semblable à la précédente en ce 
qui concerne l'embryon, se distingue en ce que la capsule se partage transversale- 
ment par le milieu, comme une boîte à savonnette. 

Vient enfin le quatrième groupe, celui des Samolées, dont l'embryon est sem- 
blable à celui des groupes précédents, dont la capsule s'ouvre au sommet en val- 
ves régulières, comme les Primulées, mais est plus ou moins soudée à la base avec 
le calice. M. Alph. De Candolle a parfaitement prouvé (III° Mém. sur les Myrsin., 
p. 55) que ce caractère ne suflisait pas pour séparer les Samolées du reste de la 
famille des Primulacées, dont elles ont tous les autres caractères importants. 


$ 2. Révision Des Genres. 


Je ne mentionnerai que les genres sur lesquels j’ai quelques observations à pré- 
senter. 


II. Primua. (Tab. I, tab. If, f. { et 2.) 


Les cinq groupes dans lesquels j'ai divisé ce genre, quoique n'étant pas, sauf le 
premier (Sphondylia, soit les Primevères munis d’une véritable Lige), séparés par 
des caractères extrémement précis et tranchés, ont cependant un ensemble de 
traits qui en rapprochent les espèces, et font qu'on distingue tout de suite auquel 
elles appartiennent. 

Il est important dans la distinction des espèces de remarquer : 

4° Qu'il y en a dans lesquelles les feuilles s’allongent pendant et après la flo- 
raison, tandis qu’il en est d’autres dans lesquelles elles restent stationnaires. 

2° Il en est de même des pédicelles relativement aux folioles de l’involucre. 
Ce changement de proportion a surtout lieu dans la section des Aleuritia. Lors- 


424 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


qu’il y a beaucoup de fleurs sur le scape, elles commencent à fleurir avec des pé- 
dicelles très-courts qui s'allongent beaucoup souvent en assez peu de temps. La 
nature du terrain et la situation de la plante au soleil ou à l'ombre influent aussi 
beaucoup sur ce caractère, qui n’a donc pas dans ce genre une très-grande im- 
portance. 

5° La longueur du calice relativement au tube est en général dans certaines li- 
mites un caractère important; cependant il ne faut pas le mesurer de trop près ; 
diverses circonstances physiologiques peuvent développer le calice ec raccourcir 
le tube de moitié. Il y a néanmoins des espèces ou j’ai trouvé la proportion tou- 
jours la même, 

4 Tout le monde sait que la longueur du style relativement au tube, et la po- 
sition des étamines dans ce tube, sont des caractères sans aucune valeur. 

Il y a des espèces qui varient extraordinairement selon leur position, la nature 
du sol, la hauteur à laquelle elles croissent, leur exposition au nord ou au midi 
des chaînes de montagnes, etc. Une des plus remarquables à cet égard est la 
P. villosa Jacq., qui soit sauvage, soit cultivée dans les jardins, a reçu, d’après le 
nombre de ses fleurs, la longueur de son calice et des folioles de l’involucre, 
ja longueur du scape et sa grosseur relativement aux feuilles, le développement de 
celles-ci et de la plante entière, une multitude de noms. Prises isolément, ces dis- 
tinctions ont l'air d'être justifiées. Si on met par exemple le P. viscosa des Hautes- 
Alpes à côté du P. latifolia deslieux abrités et profonds des Pyrénées, on s’écriera que 
ce sont des espèces distinctes. Mais quand on voudra établir les caractères qui les 
différencient, sauf des proportions et des grandeurs, on n’en trouvera point; et 
quand on aura les intermédiaires, les P. hirsuta, ciliata, decora, Pedemontana, on 
arrivera à la conviction qu'il n'y a là qu'une seule espèce sous une quantité de for- 
mes différentes. Ce n’est qu'après avoir vu des centaines et des centaines d’échan- 
tillons de cette plante que j'en ai établi la synonymie, telle que je l'ai donnée dans 
le Prodromus, t. 8, p. 58. 

Les espèces de ce genre présentent peu d'anomalies, sauf la P. pusilla Wall., 
que j'ai figurée à la f. 2, t. 1 de ce Mémoire et qui a ceci de remarquable, qu'elle 
a la gorge fermée par une ceinture de poils articulés, qui, vus au microscope, se 
présentent sous la forme figurée à la lettre d. Les faiseurs de genre quand même 
pourront s'emparer de ce caractère et imposer un nom générique à cette espèce, 
qui n'offre, du reste, rien qui puisse l’élever à cette dignité. 

Je ne puis reconnaitre ni même admettre comme section le genre Oscaria, 


DES PRIMULACÉES. 495 


formé par M. Lilja (in Lindbl. botan. not. 1839, p. 59, et in Linn. 1841, p. 259) 
surle Primula sinensis et caractérisé par un calice ventru, tronqué à la base, à cinq 
dents infléchies, par une corolle infundibuliforme presque pentagone, dont le limbe 
est oblique plane 4-fide à divisions obcordées , par quatre étamines, par une cap- 
sule enflée, uniloculaire, membraneuse, parce que 4° le Primula sinensis, bien 
loin d’avoir toujours quatre étamines et quatre lobes à la corolle, en a bien plus 
souvent cinq (et même six) que quatre ; 2° la base plane du calice, fort bon ca- 
ractère spécifique, ne sufñit pas pour former un genre; 5° le limbe oblique de la 
corolle n’est qu’un caractère accidentel; 4° si la capsule membraneuse suflisait 
pour séparer le P. sinensis de ses congenères; il faudrait aussi faire un genre de 
l’'Androsace filiformis et autres qui présentent ce même caractère, et rompre ainsi 
les aflinités les plus naturelles. Le P. sinensis fait le passage entre les espèces cau- 
lescentes et les espèces à rhizôme souterrain. 


IT. GreGorra. 


Ce genre a pour caractères essentiels d’avoir un tube allongé beaucoup plus 
long que le calice, dilaté et non resserré à la gorge ; une capsule à cinq valves qui 
s'ouvrent du sommet à la base et qui par l'avortement des autres ne contient que 
deux graines. Celles-ci sont fort grosses (pour la capsule), convexes extérieure- 
ment, concayes intérieurement ; l’ombilic assez long est placé au milieu de la con- 
cavité. L’embryon occupe toute la longueur de la graine ; la commissure des co- 
tyledons est perpendiculaire au plan parallèle au hile. Les Gregoria sont de petits 
sous-arbrisseaux très-rameux des montagnes centrales de l’Europe et de l’Asie, 
et qui forment des touffes plus ou moins serrées, garnies de feuilles imbriquées, ce 
qui leur donne un fucies tout particulier. Les fleurs sont sessiles ou très-courtement 
pédicellées , sans bractées ni involucre. 

Les Primulacées du Prodromus étaient imprimées depuis plusieurs mois quand 
à paru le numéro du Flora, où M. Fenzl à décrit, sous le nom de Dyonisia odora, 
une des espèces découvertes d’abord par M. Aucher-Eloy, puis par M. Kotschy, 
dans les Alpes du Kourdistan. Un peu plus tard M. Fischer la publiait aussi dans 
les plantes de Kotschy, sous le nom d’Aretia longiflora. C’est l'espèce que j'avais 
nommée Gregoria Aucheri. Le nom spécifique de longiflora n’auraitu d’ailleurs 
être adopté, puisqu'il y a d’autres Gregoria qui ont les fleurs plus longues que 
celles de cette espèce. 

Quant à ce qui concerne la création du genre Dyonisia, voyons ce qu'en dit 

TOM. X, 2° PARTIE. 54 


4926 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


M. Fenzl {. c. et pl. gen. etspec. dec. 12 p. 4): « Ce genre est particulièrement 
« distingué par sa structure ligneuse et gazonnante ; son calice presque divisé en 
« cinq parties; sa corolle, dont le tube est très-allongé et n’a à son orifice aucune 
« écaille ou rétrécissement ; son stigmate en têle, son placenta à trois ou à quatre 
« angles, et sa capsule à une ou deux semences, le distinguent du genre Grego- 
« rix et encore plus du Cortusa, Primula, Androsace, Douglasia. » Qui ne voit, au 
contraire, que les caractères indiqués par M. Fenzl sont précisément ceux du genre 
Gregoria? Aussi dois-je purement et simplement faire du Dyonisia odora un syno- 
nyme du Gregoria Aucheri. 

En outre de cette espèce, le genre Gregoria s’est enrichi de deux autres, dont 
l'une, le G. aretioides, ne m'est connue que par la description et la planche de 
M. Lehmann, qui en avait fait un Primula ; elle diffère par quelques caractères 
importants d'une plante fort remarquable que Michaux avait trouvée dans les 
montagnes de la Perse et que j'ai vue dans l'herbier de M. Delessert. Peut-être 
les deux espèces sont-elles les mêmes; cependant, en outre de différences de 
moindre importance, dans la figure de Lehmann les lobes de la corolle sont échan- 
crés et en forme de cœur renversé; dans la plante de Michaux ils sont ovales, 
obtus et entiers. 


Ie MacrosyPnonia. (Tab. II, f. 5.) 


Après y avoir réfléchi de nouveau et avoir réexaminé la plante que j'ai publiée 
dans le Prodromus sous le nom de Gregoria cespitosa, je me décide à proposer 
d’en faire un genre sous le nom de Macrosyphonia (des deux mots grecs uwwxeos long 
et iQuy tube). 

Ce genre a pour caractères : un grand calice persistant campanulé, coriace ; 
une corolle hypocratérimorphe, dont le limbe a cinq divisions, la gorge est dilatée, 
le tube est extrêmement allongé, quatre à cinq fois plus long que le calice ; cinq 
anthères sessiles à trois angles sont attachées par la base. La capsule, tantôt stérile, 
et alors fort petite et cachée au fond du calice (fig. f), tantôt fertile, et alors deux 
fois plus grande (fig. g), atteignant à peu près la moitié de cet organe, est ovale, 
à cinq valves qui s'ouvrent du sommet à la base ; elle renferme plusieurs graines 
(8—10), beaucoup plus petites que celles du Gregoria, à trois côtés, ombiliquées 
sur un des côtés proéminents. — Petits sous-arbrisseaux à tiges ligneuses et très- 
rameuses, terminées par une colonne serrée et cylindrique de feuilles imbriquées. 
Du milieu des rosettes de ces feuilles sortent des scapes plus ou moins allongés, 


DES PRIMULACÉES. 497 


qui renferment dans de grands involucres à folioles larges, profondément dentées 
et presque trifides, de une à trois fleurs munies de pédicelles inégaux et très-courts, 
qui deviennent verdâtres par la dessication. 

Ce genre ne contient qu'une seule espèce, M. cespitosa (t. Il, f. 5), trouvée 
par M. Aucher-Eloy sur les rochers élevés du mont Elwind en Perse, et nommée 
par lui sous le n° 2611 Primula longiflora, et sous les n° 2609 et 2963 Androsace 


cespilosa. 
V. Anprosace. (Tab. III.) 


Ce n’est pas sans étonnement que j'ai vu M. Nees, dans ses Gen. german., re- 
prendre l’ancienne division de ce genre telle qu’elle avait été originairement éta- 
blie par Linné ; car, sauf la différence d’inflorescence, il n’y a aucun caractère de 
quelque valeur qui différencie les Aretia des Androsace; et si on les adoptait, il 
faudrait mettre non-seulement dans une espèce, mais dans un genre différent la 
variété uniflore (And. dasyphylla Bunge) de l’And. villosa. Aussi est-ce plutôt pour 
la commodité que par un motif tiré de considérations organographiques que j'ai 
conservé comme sections les deux genres de Linné. 

J'aurais voulu trouver quelque caractère qui me permit de séparer les Andro- 
sace à feuilles pétiolées et à limbe développé des espèces à feuilles sessiles et à 
limbe étroit; mais il m'a été impossible de savoir où et comment établir mes divi- 
sions. Sans doute de l’Androsace villosa à l'A. elegans il y a une grande distance ; 
mais on passe peu à peu par les belles espèces à feuilles charnues de l'Inde et par 
l'A. carnea et ses voisines à l'A. septentrionalis, qui a déjà les feuilles ovales avec 
un pétiole ailé, à l'A. maæima, qui les a ovales-arrondies, et de là par l'A. filifor- 
mis et occidentalis à l'A. saxifragaefolia, etc. Les caractères de fructification, qui 
dans les autres genres de la famille sont d'accord avec des caractères tranchés de 
végétation pour constituer des groupes, ne se montrent point ainsi dans les Andro- 
sace. J'ai déjà dit plus haut qu’à l'égard du nombre des graines, ce genre présente 
les plus grandes variations entre les espèces les plus voisines. Il en est de même 
relativement au calice, qui dans certaines espèces se développe après la fleuraison ; 
tandis que dans d’autres tout à fait voisines il n’en est point ainsi. Il s'accroît dans 
l'A. Gmelini, ne s'accroît pas dans l'A. saxifragaefolia et À. rotundifolia, se déve- 
loppe dans l'A. incisa, carnosula, etc. Il en est de même de la longueur de la co- 
rolle relativement au calice. Que peut-on voir de plus naturel que le petit groupe 
qui commence (Prod. 8, p. 52) par l'A. Armeniaca ; cependant dans celui-ci la 


498 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


corolle dépasse le calice; dans l’A. septentrionalis qui la suit elle le dépasse à peine ; 
dans l’A. elongata et À. maxima le calice est plus long que la corolle. Dans cer- 
taines espèces les pédicelles restent après la fleuraison ce qu'ils étaient avant ; 
dans d’autres À. carnea, Armeniaca, Gmelini, ils s’allongent assez considérable- 
ment. Enfin il est des espèces annuelles (À. septentrionalis, elongata, filiformis, ete.) 
qui sont tout à côté d’autres espèces bisannuelles (4. lactiflora, saxifragaefolia) et 
des espèces vivaces qui forment la plus grande partie du genre. 


VIII. CyGLAMEN. 


Ce genre extrêmement naturel et dont les espèces, quoique très-constantes, 
sont cependant très-voisines et faciles à confondre, surtout dans les herbiers, m'a 
donné beaucoup de peine pour la synonymie. J'avoue que je n’ai pas encore une 
entière certitude que le C. Neapolitanum (Ten. supp.) soit bien réellement distinet 
du C. hederaefolium. Malheureusement je n’ai pas vu le premier vivant. Je conti- 
nue sur la foi de Linné à rapporter à ce genre une plante très-paradoxale que je 
n'ai point vue, le C. Indicum de la flore de Ceylan, qui, d'après la phrase du cé- 
lèbre auteur, n'aurait pas la corolle réfléchie. Il est extrêmement probable que 
c’est le type d’un genre nouveau. 


X. Conis. 


Ce genre présente dans son organisation trois particularités remarquables : 1° sa 
végétation ; 2° la forme de son placenta signalée plus haut ; 5° la forme de sa 
fleur. Le calice a un double limbe, dont l'extérieur alterne avec l’intérieur, est 
composé de onze dents épineuses inégales étalées, disposées en quelque sorte en 
deux lèvres, dont la supérieure à six dents et l'inférieure à cinq; la lèvre infé- 
rieure répond aux trois divisions inférieures du calice interne ; la dent du milieu 
est solitaire ; les deux à droite et à gauche sont doubles, une grande et une petite ; 
chacune des dents de la lèvre supérieure est triple ; le limbe intérieur a cinq di- 
visions triangulaires, dont les deux supérieures sont plus grandes. Après la fleu- 
raison, ces divisions se rapprochent et ferment l’accès de la capsule. Le limbe de 
la corolle, qui est du reste tubuleuse, a ces cinq divisions réparties en deux lèvres 
inégales, parce que les deux divisions antérieures sont plus courtes. — IL est sur- 
prenant qu'aucun faiseur de familles n’ait encore jeté son dévolu sur ce genre, 
pour en faire une famille distincte. Au reste, ce serait une tentative malheureuse ; 
il n'y à qu’à jeter les yeux sur le tableau donné au chap. II, $ 4 des caractères 


DES PRIMULACÉES. 429 


essentiels des Primulacées, pour voir que, malgré les anomalies que je viens d’in- 
diquer, le Coris les remplit tous. 


XV. Lysrmacnra. (Tab. IV, f. 4.) 


J'ai dit plus haut combien le caractère de la présence ou de l'absence des filets 
stériles est, malgré la théorie, un caractère de peu d'importance, et comment, si 
on voulait s’en servir pour diviser ce genre si naturel, on éloignerait des espèces 
tellement rapprochées qu'il faut y regarder de près pour ne pas les confondre. 
Ainsi M. Rafinesque (Ann. gen. sc. phys. [1820] 7, p. 199) fait des Lysimastrum 
trois genres : 1° Tridynia, caractérisé par un calice à cinq divisions profondes, 
une corolle en roue profondément divisée, cinq étamines inégales, de trois diffé- 
rentes grandeurs ; des filets monadelphes à la base, les trois plus longs occupant 
ordinairement la partie inférieure de la fleur; une capsule oligosperme, et il y rap- 
porte les L. quadrifolia, angustifolia, racemosa, Herbemonti, glauca (espèce qui 
m'est inconnue) ; 2° Steironema, caractérisé par un calice à quatre à six divisions 
profondes, une corolle en roue profondément divisée, quatre à six étamines éga- 
les, presque monadelphes à la base, alternes avec tout autant de filets stériles ou 
de dents allongées; une capsule polysperme. A ce genre appartiennent les L. ci- 
liata, hybrida, heterophylla, longifolia, revoluta, nummularia ; 5° Lysimachia, calice 
à cinq divisions profondes, corolle en roue profondément divisée, cinq étamines 
égales et monadelphes à la base, capsule à dix valves polysperme. À ce genre se 
rapportent toutes les autres espèces alors connues de Lysimastrum. 

Observons d’abord que quant aux valves de la capsule, elles ne sont au nombre 
de dix que parce que les cinq valves normales se fendent quelquefois par le mi- 
lieu; cela se rencontre dans tous les autres genres de la famille qu'on n'a pas 
imaginé de dédoubler pour cela. En second lieu, la dimination ou l'augmentation 
par une unité des parties de la corolle se rencontre de même accidentellement 
dans plusieurs espèces, par exemple, le Primula sinensis. Ce n’est que rarement 
qu'on trouve les espèces rapportées par M. Rafinesque à son Steironema avec 
quatre ou six lobes au calice ou à la corolle. En troisième lieu, le caractère de 
l'inégale longueur des étamines et de la présence des filets stériles oblige d’éloi- 
gner le L. stricta et le L. Herbemont des L. longifolia et quadrifolia, avec les- 
quelles elles ont le plus grand rapport ; -le L. vulgaris du L. punctata, etc. 4° Ces 
deux caractères sont fort peu sûrs. M. Rafinesque rapporte à son Tridynia le 


L. quadrifolia, que j'ai toujours vu avoir les étamines presque égales, et laisse avec 


430 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


les Lysimachia le L. Davurica, qui a deux étamines plus petites. Et quant à la 
présence des filets stériles, on passe par tous les intermédiaires, depuis le L. ci- 
liata, qui a cinq filets stériles très-marqués, au L. quadrifolia, qui a cinq petites 
dents à peine visibles, au L. vulgaris, qui n’en a point. Il est de même de la sou- 
dure à Ja base des cinq étamines : on passe aussi par tous les intermédiaires, de- 
puis le L. vulgaris, dont les filets sont soudés jusqu'à la moitié de leur longueur, au 
L. hybrida, où ils le sont à peine, et au L. ciliata, où ils ne le sont pas du tout. 
Les observations qui précèdent combattent également les trois sections du genre 
(Lysimandra, Lysimastrum et Lerouxia) proposées par M. Endlicher. 

Malgré que j'aie retourné sous tous les points de vue ce genre Lysimachia 
pour voir si je ne pourrais trouver des caractères pour le subdiviser, je n'ai pu 
arriver qu'aux deux sections que j'avais déjà admises dans le Bot. gallicum ; 
1° Ephemerum, caractérisé par ses fleurs blanches ou bleues, rarement jaunes, 
disposées en épis ou en rameaux terminaux; ses élamines, jamais monadelphes, 
insérées à la base des lobes de la corolle et plus ou moins soudées avec eux. 
2 Lysimastrum, contenant les espèces à fleurs jaunes en panicules ou solitaires 
axillaires, ses étamines plus courtes que la corolle, ses filets tantôt monadelphes, 
tantôt libres. 

Il me reste à dire quelques mots du genre Coxia, proposé par M. Endlicher 
(gen. p. 755) pour une espéce du Cap, rapportée par quelques auteurs au Lubinia, 
avec lequel elle n’a aucune espèce de rapport. M. Endlicher lui donne pour 
caractère distinctif un calice à cinq divisions qui ne dépassent pas le milieu, une 
corolle infundibuliforme dont le tube égale le calice, tandis que dans les Lysi- 
machia elle est en roue avec un tube très-court, un limbe à divisions droites et se 
rapprochant les unes des autres, au lieu d’être très-ouvertes, une capsule sans 
valves? Mais d’abord il s'est glissé quelques inexactitudes dans cette description. 
Les divisions du calice sont aussi profondes que dans d’autres Lysimachia de la 
section des Ephemerum à laquelle appartient notre plante (fort justement nom- 
mée par M. Nees d’Esenbeck L. nutans), le tube de la corolle est fort court et 
deux fois plus que le calice ; la capsule s’ouvre en cinq valves. Il ne reste donc 
plus que la position des lobes qui, au lieu de s’étaler, se rapprochent pour former 
une espèce de tube campanulé; mais ce caractère ne suflit pas pour caractériser 
un genre; et une nouvelle espèce, trouvée dans les montagnes de l'Inde par 
M. Leschenault (L. Leschenaultii Dub. in D. C. prod. 8, p. 61. tab. IV, F. 4) fait 
avec le L. lobelioides Wall., la transition aux autres Ephemerum. 


DES PRIMULACÉES. 431 


XIII. APocxoris. 


Ce genre a été parfaitement dessiné par M. Heyland dans le vol. 5 des Icones 
de M. Delessert. En apparence, pour le port, la forme, la couleur des fleurs, par- 
faitement semblable aux Lysimachia de la section des Lysimastrum, il en est 
essentiellement différent par deux caractères de la plus haute importance, qui 
font même anomalie dans la famille : 4° la corolle est composée de cinq pétales 
distincts munis d’un long onglet, et qui rappellent tout à fait ceux de plusieurs 
Caryophyllées ; 2° les semences, au nombre de 5-7, sont munies de trois ailes 
membraneuses très-caractérisées. Du reste, le calice gamosépale persistant, les 
étamines opposées aux pétales et soudées avec l'onglet des pétales; l'ovaire 
uniloculaire à placenta central ; le style filiforme persistant ; la capsule à cinq valves, 
les tiges herbacées, l'absence de stipules ne laissent aucun doute sur la place de 
ce genre dans la famille des Primulacées. Cette curieuse plante est due à M. Bunge 
qui l’a trouvée dans les montagnes du nord de la Chine avec tant d’autres richesses 
végétales. 


XVII. EuparEA. 


Quoïque par l’analogie de la forme de la fleur et de la végétation, j'aie laissé 
ce joli genre dans les Primulées, je ne serais pas surpris que, quand on en aura 
des échantillons plus nombreux et plus complets, on ne finisse par découvrir que 

‘la capsule qui, dans l'échantillon que j'ai sous les yeux, est indéhiscente, ne 
s'ouvre en savonnette à la manière des Anagallidées. Le tube de la corolle, qui 
s'ouvre à peu près en roue, est extrêmement court, et son limbe qui au pre- 
mier coup d’œil a l’air d’être à dix divisions, est composé de cinq lobes échancrés 
jusques à la base. Les filets des étamines sont dilatés à leur base et soudés en un 
tube inséré sur l’anneau de la corolle. 


XIX. Micropyxis. (Tab. IV, f. 2.) 


Deux des espèces de ce genre sont nouvelles, l’autre avait été prise pour un 
Anagallis ou un Centunculus. Le Micropyxis diffère du premier de ces genres par 
sa corolle infundibuliforme , et non en roue, pour l'ordinaire plus courte que le 
calice, persistante et non caduque, à lobes étroits plus ou moins aigus, qui se re- 
ferment après la fleuraison, tandis que dans l’Anagallis ils sont larges et obtus. Les 
filets des étamines nullement ou fort peu barbus se dilatent à la base, et se réu- 


132 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


nissent en un tube qui recouvre l'ovaire. Les anthères sont attachées par le bas 
et non par le dos. Les fleurs et les capsules sont beaucoup plus petites que dans 
l'Anagallis. 

Le Micropyxis diffère du Centuneulus, parce que dans ce dernier genre le nombre 
des parties de la fleur est de quatre, tandis qu’il est de cinq dans le premier. La 
corolle est urcéolée et caduque dans le Centunculus , en entonnoir et persistante 
dans le Micropyxis, les anthères sont attachées par leur dos dans le premier, par 
leur base dans le second. 


XXI. Samozus. 


Pour me conformer à l'usage, j'ai dans le Prodromus de M. De Candolle nommé 
pour abréger les écailles alernes avec les divisions de la corolle de ce genre, des 
filets stériles (flamenta sterilia); pour être plus exact et que Ja phraséologie fût 
plus conforme à la manière dont je les envisage, j'aurais dû les nommer des 
pétales avortés (petala abortiva). Leur forme et leur longueur relativement aux 
étamines fournissent de fort bons caractères pour distinguer les espèces de l’an- 
cien genre Samolus de Linné, et ce qui montre que ce caractère a quelque valeur 
sous ce point de vue, c’est qu’il y a une des espèces, le S. ebracteatus Kunth. où 
ces squamules manquent tout à fait. Le Scheffieldia de Forster, ne différant des 
vrais Samolus par aucun caractère essentiel, ne doit pas, comme l’a si bien vu l'il- 
lustre R. Brown, en être séparé. Deux des espèces de ce groupe ne me sont 
connues que par les phrases de M. Brown. 


XX et XXIII. ManæLra el FINDLAYA. 


A la suite des Primulacées, M. Endlicher (gen. p. 754) rapporte deux genres 
de Madère tirés de Fouvrage de M. Bowdich, que je n’ai pu me procurer, 
Maneælia et Findlaya. La description est très-courte et si incomplète qu’il est im- 
possible de se faire quelque idée un peu claire de ce qu'ils indiquent. Autant 
qu'on en peut juger, il n’y a pas d’obstacle à ce que le premier de ces genres 
appartienne aux Primulacées; cependant la phrase folüs opposilis cum squamulis 
pluribus, me fait soupçonner que la plante décrite pourrait bien avoir des stipules, 
et dès lors il y a lieu de présumer que le reste de son organisation l’éloignerait 
de notre famille. 

Le genre Findlaya est encore plus suspect. S'il a en effet le stigmate à cinq di- 


visions, et une capsule pentagone renfermant de une à plusieurs graines, il est 





DES PRIMULACÉES. 433 


infiniment probable que ce genre appartient aux Portulacées. Je mettrais du reste 
un vif intérêt à avoir communication de quelque échantillon de l’un et de l’autre 
de ces genres. 


CHAPITRE IV. 


GENRES RAPPORTÉS AUX PRIMULACÉES ET QUI EN SONT 
ACTUELLEMENT EXCLUS. 


Les genres qui, depuis que les familles naturelles ont été mieux comprises et 
mieux circonscriles ont été exclus des Primulacées, sont les suivants : Micranthe- 
mum Rich. in Mich., Bacopa Aubl. Sarmienta Ruiz et Pav. et Schwenckia L. 

Le Micranthemum (Rich. in Mich. flor. bor-amer I, p. 10), qui ne diffère pas de 
l'Hemianthus de Nutt, et qui a deux étamines alternes avec les lobes de la corolle 
er la capsule biloculaire, a dès longtemps été placé dans les Scrophularinées. 

Le Sarmienta Ruiz et Pavon à, il est vrai, un ovaire libre uniloculaire, mais il 
a deux placentas pariétaux et avec beaucoup de justesse, il a été placé par M. 
Endlicher dans les Gessnéracées. 

Le Bacopa Aublet, que j'ai examiné dans l’herbier de M. Delessert, a un calice 
à cinq divisions très-profondes, inégales, dont trois ovales-rondes beaucoup plus 
grandes que les autres, dilatées, deux fois plus longues que la capsule, se recou- 
vrent à leur base par le bord inférieur, les deux intérieures beaucoup plus petites 
varinées linéari-lanceolées recourbées recouvrent la capsule; celle-ci est globu- 
leuse, divisée en deux loges par une cloison qui s'étend d'un côté à l’autre. Les 
graines très-nombreuses sont attachées à la cloison à laquelle elles sont perpendi- 
culaires, et elles sont placées les unes au-dessus des autres en rangs réguliers. Ce 
genre qui, comme on le voit, n’a aucun rapport avec les Primulacées, a été et à 
juste titre placé par M. Bentham (Ann. of nat. hist. II, 545) dans les Scrophula- 
rinées. 

Reste le Schwenckia L., genre très-singulier par l'opposition des étamines aux 
lobes de la corolle, mais que sa capsule biloculaire à deux valves éloigne néces- 
sairement des Primulacées. 

TOM. X, 2° PARTIE. 55 


434 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


CHAPITRE V. 


DISTRIBUTION GÉOGRAPHIQUE. 


Les Primulacées appartiennent pour la plupart aux régions tempérées du globe, 
et préfèrent en général les régions élevées et montagneuses aux contrées qui 
avoisinent les plaines et les bords des mers. Leur armée envoie cependant dans 
les climats du Nord quelques éclaireurs; elle en envoie aussi, mais en plus petit 
nombre, dans ceux du midi; comme va le montrer la répartition des 215 espèces 
dont se compose actuellement cette famille. 


$ 1. DISTRIBUTION DES ESPÈCES. 


Adoptant la distribution des régions botaniques telle qu’elle a été proposée par 
M. Alph. De Candolle (Introd. à la Bot. 1. II, p. 500 et suiv.), je ne mentionne- 
rai que celles de ces régions qui renferment des espèces de notre famille ; il y en 
a 24 dans ce cas ; il y en a donc 21 où l’on n’a, jusqu’à présent du moins, trouvé 
aucune espèce de Primulacée; il est vrai que plusieurs d’entr’elles sont à peine 
connues, et quelques-unes , comme la Tartarie, les hautes montagnes des Birmans 
et de la Cochinchine me paraissent, selon toute probabilité, devoir un jour fournir 
un contingent assez considérable au groupe que nous étudions. 

Parlons d'abord des espèces endémiques, c’est-à-dire qui n’appartiennent qu’à 
une seule région. La région arctique nous offre 6 espèces, l'Europe tempérée 27, 
la région méditerranéenne 21 , la région de la mer Rouge 4, celle de la Perse et 
du golfe Persique 8, du Caucase 5, de la Sibérie 11, du Nepaul et des Himalaya 
40, du Bengale 1, de la Péninsule indienne et Ceylan 5, de l’ Archipel indien 5, de 
la Nouelle-Hollande 6, de la Chine 7, des îles Aleutiennes et du N. O. de l'Ameé- 
rique à, des Etats-Unis et du Canada 18, du Mexique 1, de Bolivia 1, du Brésil 1, 
du £hili 2, de la Patagonie et des îles Malouines 2, du Cap de Bonne-Espérance 2, 
et de Madagascar 1, en tout 175 espèces endémiques. 

Quant aux espèces sporadiques, 19 se trouvent dans deux régions, 7 dans trois, 


DES PRIMULACÉES. 435 


8 dans quatre (‘); enfin, six espèces appartiennent à un grand nombre de con- 
trées; ce sont trois Androsace : l'A. chamuejasme et l'A. septentrionalis, qui se 
retrouvent en Europe, en Sibérie, dans la région Arctique, dans celle du Caucase, 
et dans l'Amérique du Nord; l'A. maxima, qui croît dans toute l’Europe, dans la 
région méditerranéenne ,‘ dans celles du Caucase, de la Sibérie et de la Perse ; 
deux Anagallis, l'A. arvensis et l'A. latifolia, qui croissent partout, et enfin le Sa- 
molus Valerandi, dont j'ai vu des échantillons provenant de toutes les parties du 
monde, depuis le fond de la Sibérie jusqu’au cap de Bonne-Espérance, depuis la 
Norwége jusqu'à la Nouvelle-Hollande. Et certes on ne peut imaginer que cette 
dernière plante, pas plus que les trois Androsace, soient le résultat de la présence 
de l'homme et aient été apportées d'Europe. Il est aussi assez difficile de se re- 
présenter comment les Européens auraient transporté des graines d’Anagallis 
arvensis dans des contrées où ils n’ont jamais eu d'établissements. Ainsi, M. Schim- 
per en a rapporté des échantillons d'Abyssinie, M. Jacquemont des hautes vallées 
du Cachemire, M. Choris de la Californie, etc., etc:, et il semble plus naturel de 
considérer cette espèce comme ayant été répandue par la main même du Créa- 
teur daus ces contrées si diverses de climat, de situation, de position, où on la 
trouve actuellement. 

Quoiqu'il en soit de cette curieuse question, il y a dans la manière dont les 
Primulacées sont répandues sur la terre un fait remarquable, c’est que sur les 
215 espèces il n’y en a que 16 qui appartiennent à l'hémisphère austral; ce qui 
fait environ seulement 7 ‘/, pour 400 de la famille. La zone qu’elles habitent de 
préférence est contenue entre le 25° et le 55° de latitude nord. 

On peut voir aussi, d’après ce que nous avons dit plus haut, que le nombre des 
espèces endémiques excède de beaucoup celui des espèces sporadiques ; le pre- 
mier est de 175, le second de 59; ou, en d’autres termes, il y a sur 100 espèces 
81 endémiques et 19 sporadiques. 





(1) En général ces espèces , habitant deux ou plusieurs régions, se rencontrent dans 
des régions contigues ; il faut en excepter le Primula farirosa qui habite l’Europe, la 
Sibérie, la Daourie, la Mongolie Chinoise et l’île de Terre-Neuve; le Zysimachia ciliata 
qu’on ne connait qu'aux États-Unis et en Belgique (où il est extrêmement probable qu'il 
a été semé); l’Anagallis tenella qui habite l'Europe, la région méditerranéenne et le 
Brésil; le Micropyxis pumila qui se trouve au Brésil et à la Nouvelle-Hollande, et le 
Centunculus minimus qui se trouve en Europe et au Brésil. 


436 MÉMOIRE SUR LA FAMILLE 


$ 2. DisrriBUTION DES GENRES. 


Les Primulacées ont 22 genres (y compris le Macrosyphonia décrit dans ce mé- 
moire et en excluant les deux genres fort suspects Manælia et Findlaya), dont onze 
sont monotypes et onze polytypes. 

Des onze premiers, six sont tout à fait endémiques; les espèces uniques des 
cinq autres sont sporadiques. Le Cortusa habite quatre régions, le Glaux quatre, 
le Lubinia les iles de Bourbon et Mariannes ; le Naumburgia occupe quatre ré- 
gions, et enfin le Pelleteria se trouve au Brésil et au Chili. 

Quant aux genres polytypes, l’Hottonia a trois espèces, en Europe, dans 
l'Amérique du Nord et à Java; le Primula a 62 espèces, dont le plus grand 
nombre appartient aux régions arctiques, à la Sibérie, au Caucase, à l'Europe 
tempérée, à la région méditerranéenne et aux montagnes de l'Inde. Il y en a en 
outre trois en Arabie, une en Chine, une dans les montagnes rocheuses du N. O0. 
de l'Amérique, deux depuis le détroit de Magellan à la Terre-de-feu , et une à 
Java. Le Gregoria a quatre espèces, dont trois particulières aux montagnes de la 
Perse, et une à celles de l'Europe et de la région méditerranéenne. Les Andro- 
sace ont 47 espèces qui habitent les régions arctiques, la Sibérie, les montagnes 
du Napaul, de la Perse, du Liban, de la Cappadoce, du Canad, les Alpes et les 
Pyrénées ; deux espèces appartiennent à la Mongolie chinoise, deux aux monta- 
gnes rockeuses, une aux bords du Missouri. Le Dodecatheon a quatre espèces ap- 
partenant à l'Amérique du Nord, et se rencontrant des bords de l'Océan à ceux 
de la mer Arctique et de l'Orient pacifique. Le Cyclamen en a huit, dont sept 
appartiennent à l'Europe tempérée, à la région méditerranéenne et au Caucase, à 
l'Asie mineure, à la Perse, la huitième du reste fort problématique se trouve dans 
l'ile de Ceylan. Le Soldanella a trois espèces toutes européennes et alpines; le 
Trientalis a quatre espèces qui se rencontrent dans la partie boréale de l'Europe, 
les régions arctiques , les provinces du nord de l'Amérique. Le Lysimachia, de 
tous les genres de Primulacées le plus sporadiqué, a 41 espèces, dont douze ap- 
partiennent à l'Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), cinq au Népaut et aux 
Himalaya, quatre au Canada et contrées voisines, trois à Java, quatre à l'Europe 
et à la région méditerranéenne, plus une commune à l’Europe et à l'Asie mineure, 
deux à la région méditerranéenne , une à la péninsule de l'Inde, une aux îles de 
la Chine, une à la Chine, deux au Japon, une à la Nouvelle-Hollande , une aux 


DES PRIMULACÉES. 437 


nouvelles Hébrides, une à la Daourie et à la Sibérie, une au Mexique , et une au 
cap de Bonne-Espérance. L’Anagallis a 12 espèces, et a des représentants dans 
un nombre considérable de régions, grâces surtout à la manière dont l'A. arvensis 
et l'A. latifolia sont dispersés partout. Le Micropyæis a trois espèces, dont une 
appartient à la province de Chiquitos de l’état de Bolivia, la deuxième se trouve 
au Brésil et à la Nouvelle-Hollande, et la troisième enfin à Madagascar. Le Cen- 
tunculus a de même trois espèces éminemment dispersées, l’une européenne et 
brésilienne, l’autre appartenant à l'Amérique septentrionale, la troisième aux 
Indes orientales. 

Enfin, le Samolus, en outre du S. valerandi, compte neuf espèces, dont trois 
appartiennent à la Nouvelle-Hollande et à la Nouvelle-Zélande, une au Cap, et 
cinq aux régions chaudes de l'Amérique du Sud et de l'Amérique du Nord, tant 
sur la mer des Antilles que sur l'Océan pacifique, depuis la Louisiane jusqu’au 
Brésil, depuis le Pérou jusqu’au Chili. 


© ——— 


TALYT. 1: 


Fig. 2. 


Tab. IE. 


Tab. HE Fig. 


Tab. EV. 


9 


Fig. 2. 


EXPLICATION DES PLANCHES. 


Primula elegans Dub. 

P. pusilla Wall. a) Fleur de grandeur naturelle; b) calice grossi 
ouvert, vu intérieurement; c) fleur grossie ouverte; d) poil de 
la gorge vu au microscope ; e) poil des feuilles grossi au mi- 
croscope. 

P. nünutissima Jacquem. et Dub. 

P. decipiens Dub. b) Calice un peu grossi; c) corolle ouverte 
grossie ; f) calice et capsule de grandeur naturelle ; g) capsule 
dépouillée du calice. 

P. borealis Dub. a) Calice grossi; b) id. ouvert; e) corolle grossie 
ouverte. 

Macrosyphonia cespitosa Dub. b) calice ouvert grossi; c) corolle 
id. ; f) capsule stérile de grandeur naturelle; 4) capsule fertile 
de grandeur naturelle; h) graines grossies. 

Androsace Jacquemontii Dub. 

A. sempervivoides Jacquem. et Dub. 

À. primuloides Dub. 

À. parviflora Jacquem. et Dub. a) Fleur un peu grossie ; b) ovaire 
et pistil; c) corolle ouverte assez grossie; d) corolle sans calice 
un peu grossie. 

Lysimachia Leschenaulti Dub. a) Fleur grossie ; b) calice ouvert 
grossi de manière à ce qu’on puisse voir les bords membraneux 
pellucides ; c) corolle ouverte; d) capsule et calice; e) capsule 
müre ouverte; f) poils glanduleux de la corolle vus au micros- 
cope ; g) grains de pollen vus de même. 

Mycropyxis rubricaulis Dub. a, a!) double état de la fleur assez 
grossie; c) fragment de la corolle très-grossie, pour faire voir 
les étamines munies de poils à la base, et soudées en un petit 
anneau qui repose sur la base de la corolle, comme le montre Ja 
fig. e', qui représente lateralement un lobe de la corolle, avec 
l'étamine qui lui est opposée; d) capsule très-grossie ; f) graines 
vues par-dessus et de côté à une forte loupe ; g) idem coupée 
dans le sens vertical, pour faire voir l'embryon; le hyle est du | 
côté du bord de la planche. 























DA Pyeroclr 72 


27 : À " 
3: P Hrruladone « Royer . 


L'PRIMULA cé. D 


TAB. 











TAB. 














Dub debin r ne ea GW; 
| PIRINEULA M GI & 7 
À Lt 


3 MAUROS Y PIONIA (HRIEBORIA ) «#00 — 


TAB II 





‘TAB I 















Duby délin 
| ANDROSACE lcguecmen 7 


a] À, D GI, 
/ 


Yu 9. À sonparrrtda (y ce 
La ae DEA 


À, \ tait loia A7 
74 / 


TAB. IV. 


SI 














> 





























by delin 


LXSIMAUEA Z 






Lith Schmid Geneve. 


ÉOchenanullse LT 4 2, MULURODIPYX IS tubitals UN 








NOTE 


SUR 


LES CONVOLYULACÉES DU BRÉSIL 
ET SUR LE MARCELLIA, 


GENRE NOUVEAU DE CETTE FAMILLE, 
PAR 


M. le Professeur Choisy. 


(Lue à la Société de Physique et d'Histoire naturelle de Genève, le 16 Mai 1844.) 


——_—_—_—_mRe——— 


L 

Dans mes deux derniers mémoires sur la famille des Con- 
volvulacées, j'ai décrit plusieurs espèces nouvelles venant du 
Brésil, et découvertes pour la plupart par notre compatriote 
M. Blanchet. J'ai reçu dès lors de la complaisance de l'illustre, 
botaniste de Munich, M. le prof. de Martius, la communication 
des Convolvulacées brésiliennes qu'il avait lui-même récoltées, 
et dont la riche collection se trouve renfermée soit dans son 
propre herbier, soit dans celui de l'Académie royale des 


440 NOTE SUR LES 


Sciences de Munich; cet envoi m'a fourni les moyens de con- 
naître avec quelque exactitude la flore du Brésil, en ce qui 
concerne la famille dont je viens de terminer l'examen. Déjà 
quelques naturalistes, entr'autres Velloza dans sa Flora Flu- 
minensis et Silva Manso dans un petit opuscule sur les plantes 
usuelles du Brésil, avaient fait connaître un assez grand nom- 
bre de Convolvulacées de ce pays; mais leurs trop brèves des- 
criptions et l'absence de toute critique dans la synonymie 
rendent assez diflicile l'intelligence de leurs ouvrages; quel- 
ques autres naturalistes, Lund, A. StHilaire, Gaudichaud, 
Gardner, Léandro de Sacramento, Gillies, Salzmann, Claussen, 
ont enrichi les herbiers d’un petit nombre d'espèces intéres- 
santes. 

Le total des espèces de Convolvulacées brésiliennes à moi 
connues est de 155, dont la description paraîtra au prochain 
volume du Prodromus de M. De Candolle; la collection de 
M. de Martius renferme plus de 100 de ces espèces, dont 58 
absolument nouvelles, et ne se trouvant dans aucune autre 
des collections qui ont passé sous mes yeux. 

Quelques détails sur la classification générique de cesplan- 
tes permettront d'apprécier la nature de cette portion de la 
végétation brésilienne. 

Les genres Argyreia, Blinkworthia, Humbertia, Moorcroftia, 
Exogonium, Lepistemon, Polymeria, Calystegia, Shutereia, 
Skinneria, Porana, Duperreya, Neuropeltis, Bonamia, Cressa, 
Wilsonia, Seddera, Dichondra, Falkia, n’y comptent aucun 
représentant ; la plupart de ces genres appartiennent exclusi- 
vement à la flore de l'Inde. 


CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL. 441 

Le genre Rivea, formé principalement d'après les plantes 
de l'Inde, s’est doublé par la découverte d’une section brési- 
lienne, renfermant quatre espèces toutes contenues dans la 
collection de M. de Martius. 

Le genre Maripa, établi par Aublet pour un arbuste de la 
Guyane, s'enrichit d’une nouvelle espèce, le Maripa spectabilis 
également contenu dans cette même collection. 

Les genres Quamoclit et Calonyction ne sont représentés 
au Brésil que par les espèces cosmopolites bien connues. 

Les genres Batatas, Pharbitis, Convolvulus, Cuscuta, n'of- 
frent jusqu'à présent qu’un petit nombre d’espèces nouvelles 
du Brésil. 

Les genres Aniseia et Prevostea y ont leurs représentants; 
le premier genre compte six espèces brésiliennes, dont trois 
introduites par de Martius; le second compte trois espèces, 
dont une entièrement nouvelle apportée par le même natu- 
raliste. 

Le genre Ipomæa compte 62 espèces, pour la plupart très- 
récemment connues, et sur leur nombre seize exclusivement 
appartenant à la collection de Martius; les diverses sections 
du genre ont leurs représentants dans ces espèces. 

Les genres Jacquemontia et Evolvulus sont presque entiè- 
rement brésiliens; le premier sur dix-huit espèces en compte 
treize du Brésil; le second trente-neuf sur cinquante-deux. Ce 
dernier genre est celui qui a reçu le plus considérable accrois- 
sement par la Flore de ce royaume; on en jugera par le fait 
suivant. Lorsque je publiai, en 1838, mon second mémoire 


intitulé Convolvulaceæ rariores, jy donnai la description en- 
TOM. X, 2° PARTIE. 56 


142 NOTE SUR LES 

tière du genre Evolvulus et celle d’un très-grand nombre de 
nouvelles espèces du Brésil; peu de mois après M. de Martius, 
qui ne connaissait pas mon travail, publia une série d'Evol- 
vulus dans un cahier de ses Species Brasilienses; dans cette 
situation rien ne paraissait plus à redouter que les doubles 
emplois; mais à ma grande surprise et satisfaction, les espèces 
de M. de Martius et les miennes se sont trouvées presque 
toutes être entièrement distinctes. J'ai pu ainsi vérifier par 
moi-même ce que J'avais souvent ouï-dire, savoir que les her- 
biers des principaux voyageurs-naturalistes au Brésil renfer- 
ment tous des matériaux différents, puisés comme au hasard 
dans cette luxuriante végétation. 

Un seul nouveau genre ne renfermant qu'une seule espèce 
m'a paru pouvoir être ajouté à la liste connue des genres, c'est 
le Marcellia proposé par M. de Martius dans les notes manus- 
crites de son herbier en l'honneur de Avitus Marcellus, qui 
écrivit en 1660 sur les plantes du jardin de Pavie. Ce genre 
paraît appartenir au groupe des Convolvulacées indéhis- 
centes; il serait convenable toutefois de vérifier ultérieurement 
cet important caractère que je n’ai pu constater que sur des 
fruits non parvenus à la maturité; l'aspect de la plante est au 
reste entièrement celui des espèces de ce groupe. La forme 
allongée et tubuleuse de la corolle, la longueur des étamines et 
du pistil qui font saillie hors de la corolle distinguent ce genre 
des genres voisins : si le fruit venait à se trouver capsulaire et 
déhiscent, il faudrait rapprocher cette espèce du genre Exo- 
gonium. — Le dessin qui accompagne cette note est dù à 


l'habile pinceau de Mme Gay. 


CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL. 443 


MARCELLIA. Mart. Mss. (> DC. prod. t. IX, p. 398. 


Sepala 5. Corolla tubulosa cylindracea. Genitalia exserta. 
Stigma Î capitato-papillosum. Fructus coriaceus 2-loc-ris 4- 
spermus. — Suffrutex Brasiliensis. À Maripà genit. exsertis, 
ab Argyreià corollæ formà discrepat. — Nomen generis in 
herb. cl. Martii propositum ex Avito Marcello auctore libri 
Hortus plantarum Patavinus 1660. 


L M. VILLOSA, caule fruticoso scandente in apice ramu- 
lorum pubescente, foliis ovato-cordatis aut orbiculatis obtusis 
viridibus margine integris aut subsinuatis utrinque pubescen- 
tibus supernè molliter pubescentibus subtüs rugosis albido- 
lanatis 2-3 poll. longis latisque, petiolis plus quàam pollicaribus 
virescenti-pubescentibus, pedunc. axillaribus folia superanti- 
bus, junioribus tomentosis 5 poll. longis apice umbellatim mul- 
tifloris, demum accresc. 1 !, ped.longis crassissimis brachiatim 
contortis cymam speciosam efformantibus, bracteis ovatis de- 
ciduis tomentosis 6 lin. longis, sepalis ovato-orbiculatis obtusis 
extüs albo-tomentosis 3 lin. longis æqualibus, cor. cylindricà 
ochroleucà 1 !; poll. longâ extus villosä, antheris longissimis, 
fructu ovato-cylindrico, seminibus nigris villosis. 5. In sepibus 
inter Capoculo et Serrinha Prov. Piauhiensis Brasiliæ rept. 
Mart! (V.s. in h. Mart. n° 2457.) 


(1) Marcezra Cass. est Anthemidis species. 


L44 NOTE SUR LES CONVOLVULACÉES DU BRÉSIL. 


OÙ 19 == 


Nù © w 


EXPLICATIO ICONIS. 


Caulis scandentis portiuncula. 
Inflorescentia. 


. Corolla longitrorsum fssa simulque explanata, ut stamina appareant. 


Pistillum cum disco hypogyno annulari. 
Ovarii sectio transversa. 

Semen. 

Embryo. 





Liéh Schrid. 


MARCEILILIA VILLOSA 








TABLE DES MÉMOIRES 


CONTENUS DANS 


LE DIXIÈME VOLUME. 


Nombre 


Pag. 
Gaurier. Notices sur les membres ordinaires de la Société de Physi- 


que et d'Histoire Naturelle de Genève que cette Société a perdus 

COM RE ESE IE RAP ENECESREE RE PE RO re V 
Liste des membres de la Société de Physique et d'Histoire Naturelle de 

Genève qui ont été élus depuis l’année 1835, par ordre d'admission. . XXXI 


Huser (Pierre). Lettre sur les araignées aéronautes du genre Lycose.. 1 
Huger (Pierre). Mémoire sur le Charancon lozange (Cionus Scrophulariæ) 45 
Huger (Pierre). Mémoire pour servir à l’histoire des Psoques......... 59 
Favrg (Alphonse). Considérations géologiques sur le mont Salève et sur 
lestterrains des environs de Genève... 1... 49 
Favre (Alphonse). Observations sur les Diceras. .................. 165 


Rirrer (Elie). Note sur une relation entre le volume atomique, le coefli- 
cient de dilatation et le coeflicient d’élasticité dans les corps chimi- 


MOMNMRANMNIES ces. ec too to Portes roon topes 189 
Picret (F.-J.). Seconde notice sur les animaux nouveaux ou peu connus 

du Musée de Genève.......... Joocr COCO dr UD ADD 0e 201 
Reurer. Essai sur la végétation de la Nouvelle Castille. ............ 215 
Picor (George). Notice sur la température de Genèye......,....... 247 


TOM. X, 2° PARTIE. L 


de pl. 


446 TABLE DES MÉMOIRES. 


= Nombre 
Warruanx (Elie). Mémoire sur le Daltonisme.................... 275 
Durour {colonel). Mémoire sur les hautes eaux du lac Léman........ 5 
Pranramour (E.). Résultats des observations magnétiques faites à Ge- 


nève dans les années 1842 et 1845...................... sers 40100 
Dusx (J.-E.). Mémoire sur la famille des Primulacées.............. 395 4 


Cuorsx (prof.). Note sur les Convolvulacées du Brésil ec sur le Marcellia, 
genre nouveau de cette famille ............................. 495 1 


N. B. A la suite de chacune des parties qui composent ce volume se trouve un 
supplément relatif aux observations astronomiques faites dans l'observatoire de 
Genève, par M. E. Plantamour, savoir : 

Observations faites en 1842......... Lecce CHOOIpAgEs: 
Observations faites en 1845........................ 96 » 





TABLE ANALYTIQUE 


Androsace (revue du 
Apochoris (revue du 


DES MATIÈRES 


CONTENUES DANS LE DIXIÈME VOLUME. 


Miabanedamdonsoe 0e Dia» SNA MERE « 
BONES nr seen entiere SIC YANIAS 


Charançon lozange {mémoire sur le) .......................... 


Cionus Scrophulariæ 


ColmetolhnrroliAMReNt. ee. Mere der CRE IN 


Convolvulacées du B 


FESNROLC SUIS) #7. EME CR ARE ON CCE 


Uoris (revue duigenre; 222 2e RME lee eee 


CACÉUEN) (TENUE QUES ENTEN ES SEE MA el aie Side ic 2e 


Waltonisme (mémoire SUL Le). 7: he Men. Ce 


id. (classificationstdu)..-" RER RAEr2E  ASEUMS 


id. AICHLOMALIQUE 22 2e re ee semer UN CE 


ul. (examen 


HSE PIC AONS AU) ER ee 


id. (observations anciennes sur le)...................... 


id. (observationsimouvelles) "Et ee RE 


il. PolychrOmatiqne en hi rdoeuti de e 


19 
= © 
Or à © Qt 


© 


19 19 19 O1 19 19 
D 1 
©r =1 OC 


448 TABLE ANALYTIQUE 


Déclinaison magnétique (variations de la)....................... 
id. magnétique (perturbations de la).................... 

id. moyenne de l’aiguille aimantée..................... 
Diceras (observations sur les). ............................... 
il. Wiarietine am LE NA SE LEE EL ES L 4 À08 réa 
MONTRES 3 ongnoodes doom. REC AU 


Hosni enadadedetenuaec 0 tDdedtodonte ee 
Enparea (CEYUB UNS ENTE) EE eee eme eee came eee eee 


RÉ AVAUTENEE AU IRENTE) EEE EE EC Ce CCC ECC 
Fossiles du mont SAVE. rm trrrennsere seen ee MERE Mr). 
14.-2ducalcaire Cordhen ses sh mers scoot se OR NI PEINe 
il. delaformation diluvienne.---.-.1.1....2.t-emceteeseste 
id. de la molasse d’eau douce........... erteetic ele 
id. /dunéocomien inférieur... 2e. ere teliiier Jececie 
id. il. SUREREUDE Cet ee ec -ecHCEEI 
il de lloolte COPALLENRE, 2 eee serres. y 
id. du groupe Portlandien moyen........... rca idee 
id. id. SUPÉRIEUR Ce ee Dobbiue 


Genève (notice sur la température de)..................... VD 
Genève (révolutions du sol des environs de) ....... DR DE ET D'O CITE 
Gregoria (revue ARISENTE) Se eee ie PCIe - 


Inclinaison de l'aiguille aimantée......................... cu DE 


» 


372 
390 
581 
165 
178 
171 


207 
451 


70 


247 


146 
425 


DES 


MATIÈRES. 


L 


Léman (mémoire sur les hautes eaux du lac).................... 
Lycose (lettre sur les araignées du genre)...................... 
Lysimachia (revue du genre) . . .... 


Macrosiphonia (revue du genre) 
Manælia (revue du genre) 
Marcellia villosa Chois 


Nelomys pictus Pict............. 


Nouvelle Castille (essai sur la végétation de la).................. 


Observations magnétiques (résultats des) 
Observations de la déclinaison magnétique (réductions des) 
Oxymycterus hispidus Pict 


id. 


(tableau des familles des plantes phanérogames qu’on 
y a observées). . 


alla erete olals Daniela lntele os) aies isole 


P 
Primulal(revue duigenre PR. 2er eee 
Primulacées (mémoire sur la famille des)...... Péboobecvoccecnes 
id. (OrSADISAIONAES EL ee ee eee Ce di 
id. (classification et affinité) 


slelelatalelaia so ee sie dinlein se aio sn à sein 


449 


426 
452 
445 
451 


450 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES. 


Primulacées (division de la famille et revue des genres)........... 429 
id. (genres rapportés et exclus actuellement des) ......... 455 

id. {distribution géographique des).................... 454 
Psoques (mémoire pour servir à l'histoire des)................... 55 

S 

Salève (considération sur le mont)............................ 49 
202 (ANTENTS QUI ERONTIDAFIE) = eee ee 49 
2. |(CONAGUTATION)s-Rr0e > erettateteteletete a ele 0e MUR EU SNA BEN 4 
AN (LENPAINS) 1. rente mterere etre anmanndeteretatetenn stetete e  DÉT QUES 6l 
1. (or mALION JRrASSIQUE). 1... 21e 0 ue » cs eee ele 64 
ul. n(formation-néocomienne}.- +... ...... NP AN ANNE. 75 
id. (formation sidérolitique).................. nee ren 98 
LU ILENTAINS/LERTAIRES) EE Eee Re ee DA ORN A AT E 106 
De NMONENMOnI or ss éemaommaanaatonnonobnee 116 
LAS DUT) een ee rene nee ie et re 145 


À opte iitigas 





FL 
1e 1 


ñ 
RÉ ni 1 
so de tie 








OBSERVATIONS ANTRONOMIQUE 


FAITES 


A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE 


PANS L'ANNÉE 4843, 


E. PLANTAMOUR, 


À LÉ AC A pape ! 
24 éfafseur d OLhionomi CA L'Vadonee de Genève. 





GENÈVE. — IMPRIMERIE DE FERD. RAMBOZ. 





OBSERVATIONS ASTRONOMIQUES 


FAITES 


A L'OBSERVATOIRE DE GENÈVE 


DANS L'ANNÉE 1843. 





Il n’a été fait pendant cette année aucun changement à la lunette méri- 
dienne ; on n’a rien changé non plus au mode de faire ou de réduire les ob- 
servations, en sorte que je peux renvoyer à ce qui a été dit là-dessus pour 
les séries précédentes. Depuis le mois d'octobre on a commencé à observer 
l'étoile polaire par réflexion dans un horizon de mercure, mais ces obser- 
vations étant peu nombreuses, je les réunirai à celles de l’année 1844 pour 
la déduction des résultats qu’on peut en tirer relativement à la hauteur de 
l'étoile polaire. 

Voici maintenant les éléments qui ont servi à la réduction des observa- 
tions, et d’abord pour ce qui concerne les ascensions droites : 


Valeurs de l'erreur d’axe optique. 


Cercle Ouest, du 1” janvier au 4 février. . . . . . .. .. —— — 0,32 
Cercle Est, du 8 février au 16 mars. .. .. ...... 0528 
Id. du 17 mars au? avril: . . . . + -wsnuggexe. = + 0,46 


IV 


L'erreur d’axe optique a été corrigée le 8 avril. 


3 C 
Cercle Ouest, du 11 avril au 11 mai à 12! 26"* . . . .. 75 
Id. du mi 127 26 AT TA 6.20, 
L'erreur d’axe optique a été corrigée le 6 juin. 
se : c 
Gertle Est, du: jun au aont e "NL 20. 700 FF 
Cercle Ouest, du 5 août au 2 septembre . . . .. . .... 
Id. du 4 septembre au 3 novembre. . . . . . .. — 
Le 10 novembre la lunette a été démontée, et le micromètre enlevé. 
> (a 
Cercle Ouest, du 20 novembre au 31 décembre . 73 


Valeurs de la déviation de la lunette au pôle. 


Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier. . . . . . . .. _. 
Id. du 29 janvier au 4 février. . , . . . . . HE 
Cercle Est, du 8 février au 11 février. . . . . . . . .. _. 
Id. du 20 février au 12 mars . . . .. . .... 

Id. du 13 mars au 24 mars . .. ........ 

Id. du 28:mars au 7? avril... ... 1... 

Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai . . . . .. . . . . .. 

Id. du'Semañtr au" juin 19 1504.00 1e moe. 
Cercle Est, ‘du 7 jéin au shmllet. 7 Tee 
Id. du 12 juillet au 22 juillet. : . . . . . . : .. 
Id. du,25-juillet:au2-août . 1510.10. 09 2006 
Cercle Ouest, du 5 août au 23 septembre .-. . . . . . .. 
Id. du 25 septembre au 3 novembre. . . . . . . 
Id. du 21 novembre au 31 décembre . . . . .- . 


I 


* Le 11 mai à 12b 26 la lunetté a été heurtée près de l'oculaire, ce qui a occasionné un chan- 


gement dans l'erreur d'axe optique. 


. 
Les nivellements ont donné pour l'élévation de la surface supérieure du 


tourilion occidental, au-dessus de celle du tourillon oriental, ces résultats 
moyens exprimés en parties du niveau. 


Cercle Ouest, du1,au 25 janvier. . . . : . . ©, .D.NO Lai + 1,17 
Id. du 29 janvier au 4 février . . . . . . : . : . .. + 2,13 
Cercle Est, du 4 février au 12 mars. . . . .. . .. , .... + 4,4 
Id. dufi3 mars au 8 avril eee nt 548 à 2 + 6,15 
Cercle Ouest, du 8 avrilau 6 juin... ......."..... + 3,10 
Cercle Est, Gjuin 2 AONASEOS 08 Lors PE n6 8 + 5,62 
Cercle Ouest, 6 join... arr Rue one CS, , + 3,54 
Cercle Est, du 6 juin au 4août . . :......., 1... + 5,56 
Cercle Ouest, du 4 août au 23 septembre. . . .......,. + 2,60 
Id. du 25 septembre au # novembre. . . . . . . .. — 0,53 
Cercle Est, Æ'NOVEMPTE:: à... «re  JOOB:D TS RL ON : : + 2,85 
Id. 10. novembre . etA4gmmiuoe. LE J18 on, à 2h. A M9 0 
Cercle Ouest, 10: novembreittavon RAM CL. . — 1,23 
Id. du 20 novembre au 31 décembre. . ... ., .. — 2,68 


La comparaison des nivellements exécutés avant et après chaque retour- 
nement, donne pour la différence entre l’élévation de la surface supérieure 
du tourillon occidental au-dessus de celle du tourillon oriental, suivant 
que le cercle est à l'Est ou à l’Ouest, les valeurs suivantes : 


ARAFÉVTIEr pulls are oh: 229 
8e April 5040, 20: OO € 3,05 
6.Joini.v : ©: . 1916 2,52 
GLJUINE D pee 2,08 
OUR. SRE 2,02 
HRAOUTAS LCL USE 2,96 
4 Novembre. . . .... 3,38 
10 Novembre. . . .. .. 2,53 


VI 
Les années 1841 et 1842 avaient donné pour cette différence 2’,58 et 
2,92 ; la moyenne des trois années est 2,70, d’où l’on tire pour la différence 
entre le rayon du tourillon opposé au cercle et celui du tourillon du eôté 
de-cercle, 0,45 ou 0'/,9. 
En ayant égard à la différence des rayons des tourillons, l’inclinaison de 


l'axe à l’horizon, comptée positivement lorsque l’extrémité occidentale est - 
la plus élevée, a été trouvée comme suit : 


Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier . . . . . . . . b —. “F1 3,94 
Id. du 29 janvier au 4 février. . . . . . . .. = + 5,16 
Cercle Est du 4 février au 12 mars... ..... . . .. = + 7,94 
Id. du 13 marsau 8 avrd:0u191692 CDN MEME — + 11,40 
Cercle Ouest, du 8 avril au 6 juin. . . ......... = + 7,10 
Gercle Est, du 6 juin au 4 août . . . . . . . . . . .. =,if 40322 
Cercle Ouest, du 4 août au 23 septembre . . . . . . .. — +6,10 
Id. du 29 septembre au 4 novembre : . : .. = — 0,16 
Id. du 20 novembre au 31 décembre. . . . . — —14,46 


Les valeurs de la déviation de la lunette à l’équateur, calculées avec ces 
valeurs de b et celles de », sont: 


Cercle Ouest, du 1° janvier au 25 janvier . . . . . . .. —= — 05,11 
Id. : du 29 janvier au 4 février . . . . . . … .. — — 0,22 
Cercle Est, du 8 février au 12 février . . . . . . . . . = + 0,67 
Id. du 20 février au 12 mars . .. .... . .. = 7 0,58 
Id. dut Au 2 PIE ee EE EE — + 0,81 
Id. du 28 mars au avril. - nr. —= + 0,53 
Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai. . . . . . . . . . .. —= + 0,30 


Id. du 5 mai am1é juin: - anche - 2: 2 — — 0,31 


Cercle Est, du 7 juin au 8 juillet . . . . . . . . .... Ti = + 0°,20 
Id. du 12 au 22 juillet. . . . . . . . . . rois = + 0,30 
Id. du25uilehatz'asdtignt . : 2 NN = + 0,42 

Cercle Ouest, du 5 août au 23 septembre . . . . . . . .. —= —- 0,45 
Id. du 25 septembre au 3 novembre . — — 0,68 
Id. du 20 novembre au 31 décembre . . . . .. — — 1,00 


On n’a pas compris, de même que pour les années antérieures, cette cor- 
rection + dans la correction de l'instrument que l’on à appliquée aux as- 
censions droites observées, el qui se trouve indiquée dans les tableaux des 
observations ; par conséquent on n’en a pas tenu compte dans l'erreur de 
la pendule dont on s’est servi pour le calcul des ascensions droites. L'erreur 
de la pendule sidérale Arnold et Dent, calculée pour midi moyen, en te- 
nant compte de cette correction se trouve dans le tableau suivant, qui 


renferme aussi la marche diurne d’un midi à l’autre. 


État de la pendule sidérale d’Arnold à midi pendant l’année 1843. 



































ÉTAT  |mancue ÉTAT |éancue ÉTAT MARCHE 
DATE. de la DATE. de la de la 
none ll Pexouce. (PURE: penpuze, [PIURNE. 
| RTE 33 
I RUE TT — 98,10 La pnne a 45 avancée de E Eu — nes 
2 » 7 Les minutes. LÉ 4 2,4. Ne 
Se note 368 200) One cut 46036 (7 238 E sr 20: 
É — 2,59 345| 291 Bol 202 
4 » NE CEE A | CPE + 29,449 | 2,91 — 4o,50|7 FA 
17 » — 29,32 |_ 3 IT  » + 20,24 |. Bb IT  » — 48,50 Re He 
DELLE _ 51,49 ps pu HET) Ho 072 | 3 88 12  » =" bo,5x F 236 
20 00 3 G2,45 s. Es 13 » + 14,84 fe 2,87 1200 — 52,86 a a 16 
30 » — 64,63 |_ Et 15 » + go[T 6 DCE = 559 [7 du 
31 HQE 66,98 |_ 2,35 16 » + 6,46! ms 15 ne 57,720 5 3 
1 Février.|- 69,33 |_ 233117” Fa 502 fe 2 a lie 2 — 67,09]. me 
2 » — 7165 |_ BE 18  » + 1,6a|" 2361 27 = 83,62 318 
on — 84,93 |_ D E0 19 » - 0:74 Hi Es 28 » - 85,80 a | 
10 » F: 89,94 _ 2,59 DE » Er 5,06 Es 1,84 La pendule a été avancée de 
IL » — 9253 5 2,49 2 » + Lei È 2,05 Fine es bed 2,35 
12 » - 9502) a 2 » DT rt CM. + 27:16|, 36 
21  » — 115,92 t 30 » — 23,22 di ANSE dde 15 6x) bb 


VIII 














ÉTAT 
DATE. de la 

PENDULE. 
8 Mai + 1 139 

» + 9,2 
à » + 474 
12 » + 2,46 
15 » = 4,31 
19 » = 2,85 
22 » = Pi 9,64 
23 » — 21,96 
DE) — 39,42 
x Juin - 41,44 
7 » — 51,26 
8 » = 53,27 
12  » — 61,75 
13 » = 53,90 
14 — 66,12 
17 » = 2,26 
CE CONS) — 79:74 
22 MO) - 1,69 
23 » — 83,60 
24 » —_ 85,43 
26 » — 89,30 
La pendule a e avancée de 
1 Juillet. [+ 20,52 
2 » + 7 8,28 
3 » + 7 6,19 
Leu» + x4,22 
SES + 12,45 
6 » + 10,95 
7 » + 9,45 
8 » + 7,9 
12 » +  o,63 
13 » 3 1:09 
15 » - 5,00 
16 » — 6,92 
CARE 6574 
18 » 7: 0,53 
22 » — 17,59 
25 » Fr 23,30 
26 » —. 25,35 











MARCHE 


DIURNE. 





— 26,11 
— 2,11 
— 2,27 


2,28 
2,25 
2,14 
2,26 
2,32 
2,18 
2,02 
1,64 
2,01 
2,12 
2,15 
2,22 
2,05 
1,87 
1,91 
1,99 
183 
1,93 


2,03 
2,24 
2,09 
197 
11 
1,50 
1,50 
1,83 
1:72 
1:99 
1:92 
1,82 
1,79 
1:77 
1,90 


2,05 


ÉTAT  |yancHe ÉTAT |yincue 
DATE. de la DATE. -de la 
DIURNE. DIURNE. 
PENDULE. PENDULE. 
E] 
28 Juillet. [— 295,56 LE 22 Sept. |+ 475,18 “ 
29 » —  31,66|. 7 1123 » + 45,20 |” ne 
1 Août. |- 37,47 | mr af salt 43,038 me” 
ge — 46:17 = . 25 à + 4075 |" 2 0 
FAO — 5o,17 | er 30 » + 29,68 |_ Nr, 
8 » = bar | gas 1 Octob. |+ 27,46 |. ivre 
g » — Dhs | e 2) + 25,25 | 2,36 
10  » — 56,20 Hi 1199 3 » + 22,89 |. 3 33! 
12 » — 5980. 185 CRIE + 20,56 |. Fou 
14 0» - 63,50 185 5 » + 18,24 | > 3 
M7) — 69,06 |_ se 6 » + 15,90 | 4 
ci OL) — 75,86 Æ 6, 13 » + _o,80 | He 
22 0 — 7700 |. 163 14  » = 0421 per 
24  » _ 80,76 M Es 6l'7 » — 87 |l 2 38 
25 » — 82,52 |. 4 19  » - 12,94 2.18 
26 » = 84,29 Le ur 20 » a 15,42 G 255 
27{) a — 86,03 |. née 21,» —, 17:97| L18 
28 » — 87,88 |_ 4 22 » — 20,45 355 
29 » - 89:67 2 23,15 - 23,00 |: 249 
30 » |- g147| 8, 24 on |- 23,49|_ 5 
31 » — 93,28 |_ 1 64 2Nov. |- 46,57 | 3, 
1Sept | 9492 | 1,58 Sromy — 48,91 |_ 2 
RD) — 96,50 |_ s 5|2° » = 87,79 |_ me 
liner) — 100,00 |_ Lx 22  ) - 90,26 |_ 2.66 
Du - 101,70 |” “Re 220,5 0 — 92,86 |_ 238 
CES — 103,50 |. nr 25 » — 300,00 La 
7°» — 105,31 |. 188 26 » - 102343 |. Cp 
8 » — 107,19 | s: DU27. 5 — 105,09 |_ RE 
g » — 109,09 90130 » — 112,62 |_ 253 
La pendule a été avancée de 2 Déc a 117,69 = 2,18 
3 miautes, E 8 3) » _ AE 49 58 
ETF +. 67:17 | À rA 4 » — 122,79 |_ 2 86 
12  » + 65,39 7 6 » - 127,87 |_ 263 
13 » + 63,50| 11 8 » — 133,13 È 
15 » + 59,92 | la we ; 
RE SE 
EE STONES 40 es e SUR 
19 » + 52,75 | nt qg » + 44,19 5 
20 » + 51,03 65 17  » + 23,63 | 297 
21 » + 4g18 | Hi 31 » - 10,96 | 2:47 


































Les lieux du pôle sur le cercle obtenus au moyen des déclinaisons des étoi- 


les fondamentales, calculées dans les Ephémérides de Berlin, sont : 


1X 


Cercle Ouest, du 1° janvier au 4 février . . . . . . .. 356° 21° 55”,55 
Cercle Est, du ? février au 24 mars. . . ... . . . .. 268 45 55,72 
Id. darrnars au J0MMmarS 02 NN 46 1,10 
Id. Guam au ANTIENE 420 -  2ele 0 à 45 56,10 
Id. NTI RE Re SR PME RES, 46 2,94 
Cercle Ouest, du 11 avril au 1% mai... ....,... 356 21 56,77 
Id. FLICS 4 Gi CONS IE) PRE LE 2100052116 
Id. du 8 mai au 11 mai à 1226" *. ....., 21 47,69 
Id. du'PPmalant2 "26" au lequin 0 : 22 7,79 
Cercle Est, -du 6join at 13 juin: "UN LUN, 268 46 9,88 
Id. du 14% juin au 23 juin . : : . . . . . . .: 10,56 
Id. du 24 juin au 4 juillet. . . . . . . . . .. 12,80 
Id. du 5 juillet au 15 juillet. . . . - . . . .. 12,00 
Id. du 16 juillet au 25 juillet . . . . . . . .. 13,50 
Id. du 26 juillet au 1° août. . : . . - . . . . 15,20 
Cercle Ouest, du 5 août au 6 septembre. . . . . .. |... 356 22 12,50 
Id. du ? septembre au 21 septembre. . . . . 14,40 
Id. du 22 septembre au 25 septembre. . . . . 12,42 
Id. du 2 octobre au 13 octobre . . . . . . .. 13,96 
Id. du 14 octobre au 19 octobre . . . . . .. 8,60 
Id. du 20 octobre au 24 octobre. . . . . . . . 12,51 
Id. du 2 au 3 novembre . . . . . . . . . .. 9,50 


Le 4 novembre les cercles ont été démontés ; la lunette a été avancée de 
près de 90° sur le cercle ; on a substitué aux fils horizontaux, qui étaient 
distants de 12” environ, d’autres fils plus rapprochés de moitié. 


Cercle Ouest, 20 novembre . . .. . . . .. .... 820 10" 52”,02 
Id. du 21 novembre au 9 décembre . . . .. 11 5,80 


* Le 11 mai à 12h 26" ]a lunette a été heurtée. 


Cercle Ouest, 17 décembre . . . .. . . . . . . . .. 82° 11° 4°,50 
1d. M décembre? 7. RH EN DAMES 2,60 


La latitude géographique de l'Observatoire, qui résulte de la comparai- 
son de ces lieux du pôle avec les lieux du nadir, déterminés par l’observa- 
tion de la réflexion des fils dans l’horizon de mercure, a élé trouvée comme 


suit : 
Cercle Ouest. Cercle Est. 

1“Février 7 obs. 46° 11” 59,70 7 Février 4 obs. 46° 11’ 62/',74 
1° Mai 5 58,80 20 Février 3 60,65 
11 Mai 70 61,85 9 Mars 3 57,64 
8 Août 3 57,83 15 Mars 3 59,00 
18 Septembre 7 59,10 4 Avril 3 58,65 
5 Octobre 6 58,81 8 Juin 3 60,65 
2 Novembre 7 59,17 20 Juin 5 58,16 
20 Novemb. 18 | 59,41 926 Juin 7 59,51 
9 Décemb. 10 57,11 3 Juillet 6 59,58 
Moyenne 46° 11° 59,09 7 Juillet 6 58,08 
12 Juillet 4 57,09 
26 Juillet 5 57,69 
29 Juillet 11 59412 


Moyenne 46° 11’ 59//,11 
La moyenne de ces deux séries est 
46°:1101597 1 
les observations de l’année 1842 avaient donné pour la latitude un résultat 
peu différent, savoir : ; 
46° 11° 58,9. 
A la suite des tableaux renfermant les observations, se trouvent les ascen- 
sions droites et déclinaisons moyennes de toutes les étoiles observées ; ra- 


XI 

menées au 1” janvier 1843, et la comparaison des positions moyennes des 
étoiles fondamentales résultant des observations, avec celles qui sont indi- 
quées dans les Ephémérides de Berlin. Cette comparaison monire un ef- 
fet de flexion dans la lunette, ainsi qu’on avait déjà pu le remarquer pour 
les années précédentes ; en effet, pour les étoiles culminant au sud du zé- 
nith, les déclinaisons observées sont généralement plus faibles que celles 
des Ephémérides, tandis que, pour'les étoiles culminant au nord du zénith, 
les déclinaisons observées sont plus fortes au passage supérieur el plus 
faibles au passage inférieur que celles des Ephémérides. Les différences sont 
plus fortes celte année-ci que pour les deux années antérieures; mais 
comme elles ne vont pas en augmentant régulièrement avec la distance 
zénitbale, il est probable qu’elles sont dues en partie à une cause autre que 
la flexion. 

Les fils horizontaux qui se trouvaient au réticule de la lunette depuis la 
fin de l'année 1842 jusqu’au 4 novembre 1843 étaient trop écartés ; il en ré- 
sultait une plus grande difficulté pour amener exactement l’éloile entre les 
deux fils, et la possibilité d’une erreur dans l'estimation des intervalles dé- 
pendante de la position de l’observateur. Pour celle raison on a rempiacé 
le 4 novembre les fils horizontaux par d’autres, qui sont plus rapprochés 
de moilié. , 

En supposant la flexion simplement proportionnelle aux sinus de la dis- 
tance zénithale, on trouverait 2” pour la flexion horizontale résultant de 
l’ensemble des observations faites pendant ces trois dernières années. Mais 
il faudra attendre la confirmation de ce résultat par une plus longue série 
d'observations, avant de corriger de l'effet de cette flexion les déclinaisons 
des étoiles déterminées jusqu’à présent. 

La dernière page de ce Recueil renferme les occultations d’étoiles par La 
lune observées dans l’année 1843. 


XII 

Je rappellerai ici, que dans les tableaux suivants le chiffre placé à la gau- 
che du nom de la constellation se rapporte aux nombres de Flamsteed, à 
moins qu’il ne soit mis entre parenthèses, dans quel cas il se rapporte aux 
nombres du Catalogue de la Société Royale Astronomique. Le chiffre placé à 
la droite de la désignation de l’astre indique le nombre des fils, auxquels le 
passage a été observé, lorsque l’observation complète aux cinq fils n’a pas 
pu être faite. 

Lorsque la hauteur de l'étoile polaire ou de à Petite Ourse a été observée 
plus d’une fois , dans le même passage, on n’a mis pour abréger que la 
moyenne des lectures réduites au méridien ; alors on a indiqué le nombre 
des observations dans la colonne intitulée Remarques. La même chose a 
lieu pour l'observation du Nadir par la réflexion des fils dans un horizon de 
mercure. 

La colonne intitulée Zieu du pôle ne renferme que le chiffre des secon- 
des résultant de la comparaison des lectures pour les étoiles fondamentales, 
avec'les déclinaisons tirées des Ephémerides de Berlin. Le chiffre des de- 
grés et des minutes se trouve à la page IX. 

Dans les résultats obtenus par le nivellement de l’axe de la lunette , qui 
se trouvent dans la colonne intitulée Remarques, le signe + indique la 
hauteur de l’extrémité occidentale de l’axe au-dessus de l’extrémité orientale. 





il 


Observations faites à la lunette méridienne 


en Janvier 1843, 











au 


NOM 


DES ASTRES. 











PASSAGE 
CONGLU 
au 


FIL MÉRID. 














b. 


m. S$ 


17-27.44,90f- 0,244 6, 


y Dragon........ 17.53. 1,95] 
x Hercule........ 17. 6.33,24]- 
œ Ophiuchns...... 17.27.42,72)- 
y Dragon. ....... 17.53. o,21|— 
Soleil, 127 bord... .|18.53.19,37|- 
65 Poissons. ...3| 0.41.32,68|- 
68 À Poissons. ... o0.49.25,44|- 
& Petite Ourse S$, ..| 1. 3. 5,62 

90 v Poissons....3| 1.10.55,38[- 
98 x Poissons....4| 1.22. 2,64]- 
MEyres sen à «à 3118.31.37,70|- 
Soleil, 1er bord...|18.57.41,13|- 
x Céphée........ 3121.14.48,6:1|+ 
œ Verseau..,..... 21.b7.44,461- 
a Petite OurseS..3| 1. 3. 3,49 

y Dragon. ....... 17.52.54,95]- 
miSenpents. 1.5 15.36.13,28|— 
a Pégase.........122.56.27,56|- 
« Andromède. . ... 23.59.47,99|- 
y Pégase... 0. 4.40,58]- 
œ Cassiopée.. ..... 0.31. 8,97+ 
65 x Poissons... .4| 0.40.59,50]- 
68 Z Poissons. ...| 0.48.52,31]— 


a Petite OurseS... 
90 v Poissons... .. 
98 p Poissons. .... 
104 Poissons. ... 
110 5 Poissons. ... 
111 Ë Poissons... 
113 & Poissons. ... 


PIBENET. 1... 28 3 
6 « Triangle, préc. . 
35 } Taureau. ...3 
42 L Taureau..... 
44 P Taureau..... 
48 Taureau ...... 
57 2! Taureau... 


64 32 Taureau.... 
79 b Taureau 
86 g Taureau 
« Taureau..... 4 


I. 2.21,02 

1.10.22,49|— 
1.21.29,94]— 
1.30.22,53]- 
1.36.38,141- 
1.44.57,62|- 
1.53°27,28|- 
1.57.51,91|- 
2. 2.48,33|-— 
3.51.31.63[- 
3.56.51,21|- 
4. 0.49:13|- 
4 ee - 
4.10.39:72|- 
NE = 
4-19.35,02|- 
4.24.28,941— 
4.26.27:37|- 
4.33. 6,75] 


CORRECTION 


de 


l'instru- 


ment, 


s. 


ne 














Ja 
pendule. 


La pendule a été avancée de deux minutes. 


s. 


21/279. 3.11 








MOYENNE 





des 





"HUaAIU Up 


NOILOHUUO9 






VERNIERS, 






"1 


»2|- 


0,01 + 5,72]317.52.25,0|- 


0,23|+ 3,89|280.56.47,5|- 


0,24[+ 4,01/279. 3.15,5|- 
0,01 |+ 3,97 317.52.23,0|— 
0,50 243.15.50,0|- 
0,16 293.13.46,0|- 
0,15 

354.49.57,5|— 
0,16 292.48.48,5|— 
0,28 271.42.47,5|- 
0,09[+ 1,25/305. 0.27,2|-— 


0,50 
0,07 
0,33 


0,01 
0,27 


0,23 
0,15 
0,23 
0,02 
0,16 
0,15 


0,16 


243.5416,5|- 


+ 0,90/328.17.13,7|- 
+ 0,88/265.18.11,0|- 


354.49-57,2|- 


— 1,33[317.52.25,0|[- 


—19,71/273.17.57.5|- 


29,57 280.44.17,5|- 


—29,63 


—29;79/280.41.18,0|- 


—29,631329. 2.41,2|- 


0,28 


0,24 
0,26 
0,30 
0,30 
0,18 
0,15 
0,25 
0,15 
0,16 
0,22 
0,23 
0,20 
0,24 
0,22 
0,22 
0,48 
o,21 


0,36 


30,12 


293.1 3.47,0|- 


292.48.47,2|- 
271.42.46,7|- 
279.51.57,2|- 
ok 4h44 
268.47.33,2|— 
268.23.10,5|— 
289. 5.35,5|— 
295.56.20,5|— 
278.25.14,0|- 
294.56.45,0|- 
292.26.24,0|— 
281.22.48,0|— 
280. 1.44,0|— 
283.27. 5,o|— 
279- 4.21,7|— 


282.33.56,2|— 
246.25.28,5|— 
282. 3. 4,o|— 
261. 5,28,51— 





*“AULANOUYH 








2,5|729,0|+r0,8|- 
1:39 

2,3|731,9 ,8|- 
2,6 ; 
3,0|731,9] 11,0[— 
2,3|732,1] 11,414 
2,5/734,0) »,11+ 
3,0 

2,9 

3,7 7342 6,6 
2,:|736,7] 12,2|+ 
1:9 736,6 12,2|+ 
1,71735,9] 10,9|+ 
1,91735,9] 10,2|+ 
2,1[734,7 ,2|- 
2,8|734,b] 11,5/+ 
1,8/717,1] 5,2|+ 
1,/732,1] 11,9|+ 
2,11733,1] 11,3|4 
2, 

2,11733,5] 10,0|+ 
3,0 

2,6 

1,9 

2,41733,9l 8,0o|+ 
2,5 

2,3 

2,1 

2717342) 7:7|+ 
2,9|734, 6,9|- 
2,0 

2,0 

2,2 

2,3 

230 

1: 

1,9 


n À 
3,11735,2]+ 6,6|- 
2:9 





THERMOMETRE. 






2 < 
EL 
E = 
ee © 
« a 
2 = 
2 2 
2 = 

a 


HAUT 


o,2]- 38,3|50,8 


11 








1,7/+  5,3/60,7 
0,7] 35,8150,7 
L 138,5155,0 
o,7{+ 5,4/58,0 
o,1]-2.32,4 
0,1]- 20,4 
+ 53,0/60,4 
— 21,0 
- 1,4 5o,y7 
19) 7:7153,6 
2,1]-2.27,3 
0,9 16,4157,5 
c,4f-1. 3,0/52,4 
2,4 + 53,4 61,3 
2,3  5,4/60,9 
1,41 46,3155,4 
1,7] 35,8/50,5 
1,3] 36,0/54,2 
+ 9,716, 
1,0] 20,3 
- 20,8 
450,3 
= 137,3 
0,81- 45,0 
— 55,6 
— 56,4 
— 25,2/55,7 
0,31 1734 
0,1/- 30,5 
EN jo] 
_ 214 
EVA 
— 35,2] 
21925 
— 38,6 
— 33,7/58,9 
o,2|-2.11,0 
0,4]- 34,4 
—1.13,3 








"HAALVAHASIO 


. [Ondul. 





| 
| 
| 
+ 


il 
| 
| 
| 
| 
| 


N 
L 








REMARQUES. 



















Id. Niv.+rP,25. 










Niv.+0P,go. 






Bord inf. au mérid. 












Bord sup. an mérid. 
Nuages. 












Ondul. 
Id. 






Niv.+oP,y7. 










Nuages, 










Nuages. 
Id. 










2 


Observations faites à la lunette méridienne en Janvier 1843. 





NOM 


DES ASTREFS. 


a Lièvre 
125 Taureau...... 
? Lièvre 
æ Orion... --.1e 
3 Gémeaux....... 
8 Gémeaux....... 
à Petite Ourse I..4 
æ« Grand Chien.... 





25|x Andromède. .-.. 
| y Pégase. ........ 
| [x Cassiopée....... 
æ Petite OurseS. .4 
90 v Poissons 


29|x Hercule 
œ« Ophiuchus...... 
| Vénus, 2e bord..3 


4 








Soleil, 1°r bord.... 
«x Hercule. ,...... 


ss... ….. 


| 

Il 

| 

| Soleil, 1° bord... 
be Cassiopée....... 
| |x Petite Ourse S... 
| |r10 0 Poissons. ... 
| |rrx E Poissons.... 
| |113 & Poissons.... 
| 

| 


39 b Bélier. ...... 
B Petite OurseI.. .4 
m'Balere.. ==... 
56 z Bélier. .:..2, 


5 f Taureau 
10 Æ Taureau .... 
DEridan. "22 
31 u? Taureau.... 
l 135 À Taurean 
Ù |42 d Taureau... .. 


| 144 P Taureau... ..! 
| 
































































CORRECTION [e] œ 7 
PASSAGE FE MOYENNE | =S | > [ruermouèrre. 5 
CONCLU ne Fe 2% 2 ne —, = 
a l'instru-| ‘a ES LE ne | Eue lila 
FIL MÉRID, | ment. | pendule] VERNIERS. | © 5 | & | rieur. | reur 2 
) AT s. #) AT à | 11 min. o | o 1 
5. 4.39,25]- 0,05|/-30,00 
5. 6.3r,90!- 0,38|-30,31 257.59.58,0|- 3,3 — 0,)]-1.22,0 
5.21. 3,57] 0,49 245.30.43,2|— 3,5 2.17,3 
5.25.20,74 — o,4b 2/8.27.28,0 30 -1.59,9 
5.29.33,33]- 0,16 292.10.31,0|— 3,5|735,1]4 5,0 — o,7]— 21,7 
5.37.27,31]- 0,50 243.54. 4ol- 3,0 -2.28,7 
5.46.12,86|- 0,27|-30,24 273.45. 1,0|— 2,5 47,4 
5.59.44,57]- 0,18 289-30.24,0|— 2,5 _— 24,9 
6. 6.16,17|- 0,17 290.23.18,0|— 2,6 — 23,9 
6.21.58,90 359.45.25,7|— 1,8 735,0] 4,3/- 1,2l+1. 3,2 
6.37.46,32]- 0,45|-30,15/249.53.23,5|— 2,9 | —1.52,9 
23.59.25,79 — 0,15 -51,73/294.35.48,5|— 0,1 18,9| 
0. 418,32] 0,23|-51,97]280.41.22,7|- 0,1 734,81 9:7|- 0,5|- 36,3 
0.30.46,61{+ 0,02|-51,79|322. 2.38,7|- 0,1/734,8| 8,8/- 1,5 9,8 
1. 2. 0,19 354.49.56,2|— 0,2 — 2,3|+ 53,4 
1.10. 0,13] 0,16 292.48./6,5|+ 0,3 21,1 
17. 6.25,64]- 0,15|-64,29/280.56.42,2|+ 0,5 732,4] 8,5|+ 7,6[- 34,8 
17.26.35,141- o,17|-64,11/279. 3. 1,0|+ 0,8/732,6| 9,54 9,8]- 37,1 
17.48. 7,03]- 0,55 248.11.12,5|+ 0,5 .b6,2 
17.51.52,45]+ 0,36|_6/4,03|317.52. 7,5] 0,0|732,7] 10,1/+10,4+ 5,2 
19.37.43,40 — 0,20 —64,50 276.36.39,5 7 3,5 40,2 
19-42. 3,00|- 0,22|-6/,541274.50. 5,5|- 3,5|732,6] 10,5/+13,1]- 42,9 
20.47.37,59|- 0,55 248.54.37,5|- 3,3173r,9l 10,9/+14,1/-1.50,9 
17. 6.23,62]- 0,15|-66,341280.56.44,2|- 3,21733,8] 6,8|+ 4,6|- .35,2 
19-37.41,12]— 0,20 —66,79 
19.42. 0,94[- 0,22|-66,61/274.50. 1,7|- 2,9/733,9] 8,5|+10,b]- 43,4 
20.51.41,58]- 0,55 248.38.43,0l— 3,7 733,7 9,2|+ 9,5 54,4 
0.30.30,59|+ 0,44 67,24 322. 2.35,2|+ 1,2/732,5] 8,8|+ 6,7|+ 9, 
1. 1.22,82 354.49.55,7|+ 1,8 + 7,2l+ 51,4 
1.36. 0,44]- 0,22 274.44.36,0|+ 2,5 + 6,31- 44,1 
1.44.20,04|- 0,29 268.47.25,5|+ 1,8/732,5| 8,ol+ 6,2l- 54,4 
1.52.49,78|- 0,29 268.22.55,5|+ 1,2 55,1 
1.57.14,07|- 0,06 -67,27]289. 5.30,5|+ 1,3 | 24,7 
2. 2.10,57]+ 0,02 29b.56.12,7|+ 1:9/732,4] 7,8/+ 6,2 17,0 
2.17.16,28|- 0,49 253.23.20,0|+ 1,2 + 6,2]-1.34,9 
2.23.12,94]— 0,16 280.42.44,7|+ 12 + 6,2l- 35,3 
2.30.20,6ol- 0,33 266. 1.45,51+ 1,2 + 6,ol- 59,9 
2.37.28,67|+ o,o1 294.57.48,5|+ 1,2 + 5,8l- 18,5 
2.50. 7:72]- 21,33|-67,31] 11-32.58,5|+ 2,2 + 5,5l#1.34,5 
2.52.59,02! 0,28|_67,38269.51. o,2|+ 14 52,6 
3. 148,23] 0,00 293. 1.59,7|+ 0:8/732,6|+ 9,414 5,5l- 20,2 
3.12. 3,184 o,31 —67,4x 315.39.57,5|+ 1,3 3,x 
3.21. 7,02]- 0,18 278.46.12,7|+ 2,2 38,1 
3.27.46,28|- 0,35 266.16.48,0|+ 1,2 59,6 
3.34.38,28[- 0,45 256. 5.18,0|+ 0,6 + 5,2l-1.25,9 
3.42.32,661- 0,24 272.26.10,0|+ 0,8 48,1 
3.50.53,92|- 0,18 278.25. 8,5[+ o,5 | 38,7 
3.56.13,451+ o,o1 294.56.34,o[+ 0,6 18,1 
4. o11,45]- 0,02 292.26.20,0/+ 0,5 20,9 














‘4104 na nali 


52,9 


5o,1 


55,8 


62,2 


55,5 


56,2 
55,6 


56,5 





REMARQUES. 


"VAAILVAUISUO 





Nuages. 





Nuages. 


Centre au méridien. 


Niv.+1,59. 


Bord sup. au mérid. 


Faible. 
Niv.+2,55. 


Bord inf. au mérid. 


Observations faites à la lunette méridienne en Janvier et Février 1843. 








3 


























PASSAGE + Fe MOYENNE | = 3 È THERMOMÈTRE. ë. 
NOM CONGO — ne 2£ 2 SE ee 
DES ASTRES. L ni: l'instru-| la ES 2 |Jinté- | Exté- = 
L MERID. ment. | pendule} VERNIERS. 5 # rieur. | rieur. a 
= | 
b. m.s s s. Dr Or 11 mm : 5 Or: 
48 Taureau ...... 4. 5.46,38/- 0,15 281.22.43,0|- 0,5 — 34,6 
57 L! Taureau.... 4.10. 2,26 0,16 280. 1.37,2 — 0,2 — 36,5 
64 9? Taureau. ..3| 4.13.57,8o]- 0,13 283.26.58,5| 0,0 — 31,9 
79 b Taureau... .. 4.18.57,341- 0:17 279. 4.13,5| 0,0 + 41l- 37,9 
86 p Taureau... .4| 4.23 51,15] 0:13 
œ Taureau ......, 4.25.49,66[- 0,13|/-67,61/282.33.51,5/+ 0,3 732:7|+ 7° ol+ 3,9l- 33,1 
101 Taureau ..... Fo — 0; : 282. 2,57,o[+ 0,2 733,0] o] 6,9+ 3,6[ 33,8 
IV. 306) Piazzi...| 4.50. 5,70] © 
ë Te ce ..| 4.59. 264 - o 53 61. 5.28,o/+ o,1 —1.12,0 
x Cocher.....,... 5. 4. 1,31]+ 0,2|-6 sl 
B Orion ........, 5. 5.54,341- 0,43 ke 82/257.59.51,2|4 0,6 + 3,5]-1.20,5 
GB Lièvre. ........ PRE & = 0, 2 54 30.41, + gé [2149 
Lievre......... 24.43,10)— 0 27.20,2|+ oO —-1.57,9 
rs Taureau....., 5.28.55,59f- 0,01 292. 146 30,2|- FE — 121, 
y DragonI....... 5.51.49,33]- 0,36|-67,93| 34.44. 58, ol+ 1,4 732.8] 6,3/+ 2,8 +6. 373 
3 Gémeaux....... 5.59. 7,og9|- pra Ki 30. ie + 0.8 24,5 
8 Gémeaux. ...... 6. 5.38,6;|- 0,04 1290-23. 4,71+ 0:6 + 2,8 23,5 
9 Petite OurseI.. ..| 6 21.27,25 135945. 7 + L4 HART 
« Grand Chien....| 6.37. 8,98]- 0,54]-67,55 
y Aigle.......... 19-37.38,94[- 0,20|-68,99l276.36.34,0|4 2,4 47 
æ Aigle.......... 19-41.58,56[- 0,22/-69,02]274.49.58,5|+ 3,1 736,0] 11,6/+ 4,3] 44,4 
| x/Soleil, rer bord ...|20.55.44,54] 0,54 249.27.54,0|+ 2,6 735,8] 12,8/+ 7,4]-1.51, sl 
® |æ Céphée........ 21.13.37,73 4 0,61|-609,15 328.17. 2,7 + 2,6 735,6] 12,7|+ 8,51+ #4 ,6 
x Andromède.....|23.59. 7,93] o, : —69,37 
y Pégase... ...... 0. 4. 0,56]- 0,1 69,52 280.41.12,0|+ 2,3|734, ,5+ 6,4 35,4 
a Cassiopée..,...| 0.29,28,23|+ 0,44|-69,571322. LEE + 2,3 350 % 34+ 64H 9,5 
& Petite Ourse S...| 1: 1.20,22 354.49.55,0|+ 2,6 734,9] 9,41 6,31+ 51,8 
98 p Poissons. .... 1.20.49,b2]- 0,26 271.42.40,0|+ 2, + 54] 49,5 
110 o Poissons... .| 1.35. sù 14]- 0,22 274.44.36,0|+ 2,1 = 44, 
111 Ë Poissons....| 1.44. 17,58 — 0,29 US, 47-26,0|+ 2,0 = b4,7 
113 « Poissons... .| 1.52.47,48]- 0,29 268.22.56,5|4 2,1 HS 
a Bélier... .... TUE 57.11,79]- 0,06 -69,53]289. 5. FE 4 2,2 — 24,8 
6: Re préc..| 2. à FE + me +4 7 ne L < nu = 44 
29 w Bélier......, 2.23.10,541- 0,1 280.42.42,5|4 x 3l- 35, 
d Baleine HIARÈRE © 2.30.18,24|- 0,33 266. 1.44,0|4 Fi + 5,3l-1. 0,3 
39 b Bélier... .... 2.37.26,37|+ o,o1 294.57.49,7|+ 1,8 + 4,4}- 18,6 
Bite Ours 1. 4 257. Bols louis “2 DIDUUE + 4oltr.353 
Done SÉABRE À Les 5 se — 0,28) -69,78 ei bo. Le + 7 = 
90 z Bélier....,..., OR © I 0, Oo 2 2. O0,9!+ 5,2 20, 
œ Persée. .... Jr 3x2: 0:82 + 0,31 69:74 315.39. Bo + 0,9 + 4,ol+ 3 
Does HUE À 3 are ve ,82|- pe Je fe ei + ee — 38,4 
10 aureau.... 2 +921 0, 206.1 o|+ 0, 14 0,0 
BEridan... 1. 0). 3; A 36,06[- 0,43 256. 5. 19 + 0:71735,0]+ 7,3 ; 4 of-1.26,5 
31 u* Taureau....| 3.42.30,56|- 0,24 272.26. 7,5|4 o,1 3,7|- 48, 
35 À Taureau..... 3.50.51,62]- 0,18 278.25. + 0,3 — 39; 
42 d Taureau... : 56.11,11/+ 0,07 re 56. a + 0,7 — 535 3 
À FT EE À à +. of — pee 292 .26. Fa 0/4 os n vis 
aureau ,..... 4|- o,1 ; ; = 2 
57 A! Ten. LEO; EM — 0,16 Es. É. 12 À : 05 308 
64 3? Taureau...4| 4.13.55,34]- 0,13 283.26.58,ol+ o,1 — 3,1 
79 b Taureau.,...| 4.18.55,06|- 0,1 279. 4:13,0/+ 0,3 - 38,2 
7 79 | 





| 


‘4104 na 04171 





“UAILVAUISIO 





REMARQUES. 





Faible et ondulante. 


Id. 


Bord sup. au mérid. 
Très-ondulante. 


Id. 


4 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1843. 








“saunor 









































LORRECTION el œ 7 = 
PASSAGE Ale MOYENNE | 22 4 NIERMOMÈTRE. EL a 
NOM. |. = © A 
CONCLU | des = = Eh | = = 
DES ASTRES. je: Viostru-| la Elena] ete FE & 
FIL MERID: | 'iwmeot. | pendule.) VERNIERS. &. # rieur. | rieur. 4 5 
Don vs: s. s 100) LOT 11 ° o 0 Es 
86 p Taureau. .... 4.23.48,98|- 0,13 
œ Taureau........ 4.25.45,42l- 0,13|-69,831282.33.46,5|+ o,1 — 33,354 
54 Eridan........ 4.32.26,95|- 0,58 246.25.17,5|+ 0,6 2. 9,8 
101 Taureau ..... 4.49.36,56f- 0,13 282. 2.57,7|+ 0,2/735,0o!4 6,5|+ 2,8/- 34,0 
IV. 306) Piazzi. ..| 4.58. 3,58]- 0,39 
G Eridan......... 4.59. o.48|- 0,39 261. 5.25,0| 0,0 —1.12,4 
BlOnion......./.8 5. 5.52,o2|- 0,45 “ns 257.59.54,5[+ 0,6 —1:21,0/56,3 
B Taureau ....... 5.15.15,03| 0, o —69,85 E 50.25,o|[+ 0,8 — 18,5 57,2 
G'Tievre-.....1 5.20.23,65[- 0,59 245.30.40,5|+ 0,5 2.15, 
œ Lièvre... .... 4| 5.24.40,871- 0,55 LB. 27.20,0[+ 0,9 —1.58,6 
125 Taureau ....3| 5.28.53,34]- o,on ER 28,o|+ 0,8 6,4+ 2,2l- 21,5 
y Dragon 1....... 5.51.47,27]- 0,36|-69,97 su 44 59,0 + 0,9 +6.39,6/57,7 
3 Gémeaux....... 5.59. 4,75] 0,0 289.30.21,5|+ 0,9 — 24,6 
8 Gémeaux....... 6. 5.36 143 — 0,04 290.23. g,o[+ 1,5 + 2,0]- 23,6 
8 Petite Ourse 1...| 6.21.26,13 359.45.29,2|+ 1,8 6,2|+ 1,5[+1: 2,6/57,0 
a Hercule. ....... 17. G.18,78 — 0,15|-71,241280.56.38,0|+ 2,2 5,ol- 1,0f- 360151,6 
x Ophinchus...... 17-26.28,241— o,17|-71,09/279. 3. 1,o|+ 2,5|7: . 5,2|- o,3[- 38,6151,4 
y Dragon. ....... 17.51.45,43]+ o,36|-71,14 Di 52.11,0[+ 2,8 5,6+ o,4H 5,4/61,1 
Vénus, 2me bord... 4|17-56.41,74] 0,55 247.59. 15,7 + 2,0 + x,of-2. 1, 
y Aigle......... 4 19:-37.36,09|- 0,20|/-71,25 
a Aigle.Ur 01 19-41.56,18]— 0,22|-71,40/274.50. 1,0[+ 3,1 11,3/+ 5,2l- 44.2154,9 
NET TASER NAS 132.33.52,1|[+ 3,1 
œ Cygne......... 20.34.52,41l+ 0,24|-71,20l311. 5.10,0|+ 2,3 11,9/+ 8,7 1,5152,7 
Soleil, 1 bord... .|20.59.46,561- 0,54 249:12.29,7|+ 3,1 12,0/+ 7,4/-1.52,5 
a Pégase. .:...... 22.55.45,48]- 0,15|-71,49 ao 4435,o[+ 1,8|7 10,5|+14,0|- Le 54,8 
Lune, 1er bord....|23. 3.39,46]- 0,35 26 4. -49 240 + 0,6 10 6 +14, ou 0,8 
a Andromède. . ... 23.59. 5,57] o, o|-71,72/294.3b.43,0|+ 0,8 4e 5o,5 
y Pégase... ...... o. 3.58,16|- 0,15|-71,98[280.41.11,5|+ 0,6 10,3 H43[ — 34,4153,6 
a Cassiopée . ..... 0.30. 25:93 + 0,44 71,8 per 2. 36, 54 1,4 10,1+13,0f+  9,3/57,5 
a Petite Ourse S...| 1. 1.106,22 54.40.56,5|+ 1,7 9:6!+12,7[+ 50,5/62,3 
98 a Poissons. ...4| 1.20.57,04]- 0,26 271.42. 39,7[+ 2,0 H19,2l- 48,2 
110 o Poissons... .| 1.35.55,84]- 0,22 274.4/4.35,0|+ 1,8 Hrusol- 43,4 
111 Ë Poissons... .| 1.44.15,38]- 0,2 268.47.2437 +°1,8 410,5 53,6 
113 a Poissons. ...| 1.52.45,12}_ 0,29 268.22.57,0|+ 0,9 410,5] 54,3 
Bélier eee -tE 4| 2.57. 9,40f- o,o6|-71,911289. 5.28,5/+ 2,3 = 24,3/55,0 
16 « Triangle, préc..| 2. 2. 5,97]4 0,02 295.56.17,7|+ 4,4 67 
72 p Baleine. ..... 2.17.11,00!- 0,49 253.23.19,0|+ 1,3 + 9,b]-1.33,9 
29 w Bélier... .... 2.23. 8,16|- 0,16 280.42.42,0|+ 1,5 8,71+ 8,71 35,0 
9 Baleine ........ 2.30.15,92]- 0,33 266. 1.44,2|+ 0,6 + 8,3] 59,5 
39 b Bélier....... 2.37.24,03|4 o,ot 294.57.b0,0|+ 0,9 8,3+ 8,5]- 18,3 
|B Petite Ourse I...3| 2.50. nn — 1,33/-71,82) 11.33. o.o[+ 1,2 +1 33,5155,6 
œ Baleine ........ 2.52.54,32]— 0,28/-72,051269.5r. 0,5|+ 1,3 ‘+ 8,3/- 52,0,56,5 
56 à Bélier......, ÉD 15, 49l 0, o 193. 1.59,5|+ 0,8 + 8,5]- 20,0 
œ Persée. . .....\ 3.11.58,38]4 0,31|-72,161315.39.57,2|+ 1,3 +  3,r/56,2 
5.f Taureau. . .... 3.21. 2,54]- 0,18 278.46.11,0|+ 1,2 + 8,ol- 37,8 
10 Æ Taureau ....| 3.2 7470 — 0,33 266.16.49,5|+ 1,2 + 8,2l- 58,9 
d'Eridan. ..-.--.8 de A 33,621 0,45 256. 5.18,7|+ 1,4 —1.25,0 
31 u2Taureau....| 3. 13 28,18 —"0,24, 272.26.10,0(+ 1,21732,5|+ 7,8+ 8,ol- 47,6 
35 ) Taureau..... 3.50.49,24|- 0,18 278.25. 7,2|+ 1,1 — 38,2 
42 d Taureau..... 3.56. 8,611+ 0,01 294.56.36,0|+ 1,1 — 17:39 
44 P Taureau,...| 4. o. 6,831- 0,02 292.26.16,0|+ 1,1 — 20,7 
, |48 Taureau... .. ., 4. 5.41,88]1- 0,15 281.22.40,5|4 1,3 — 34; 








"NAALVANAISIO 











REMARQUES. 


Ondulante. 

Id. 

14. 
Id. Centre au mérid. 
Id, Faible, 

Id. 

Moyenne de 7 obs. 
Ond. Niv.+2P ,08. 


Bord inf au mérid. | 
Très-ondularite. | 
Id. Bord inf.au mér.|lh 








5 


Observations faites à la lunette iméridienne en Février 1843. 

































































mu PASSAGE Wie MOYENNE | = 8 2 THERMOMÈTRE. FE. È 5 
à NOM CONCLU Li Au Dates : 2 8 EE É = = 
É au 1: 6 le 2 5 | 5 | REMARQUES. 
‘ DES ASTRES. k l'instru-| la Me] 2 Jinte- | Exte- £ NE 
FIL MÉRID. ment pendule | VERNIERS. = S a ricue vieur, £ 3 £ 
572! Taureau....| 4. 9. 4Ï— 0,16 280. 1.39,5[+ 1,2 — 36,0 B 
64 9? Taureau... 3.5. — 0,13 283.26.59,0[+ 1,3 Cat, » 
79 & Taureau. .... .18. — 0,17 279. 4.14,0[+ 0,8 + 8,5l- 37,3 » 
86 5 Taureau. .... .23. — 0,13 » 
œ Taureau..... . 21- 0,13|-72,22/288.33.48,7 ; 1,2 — 32,6156,1| » 
54 Eridan........ = 10,58 246.25.17,2|4 0,9 732,2l4 7,54 7.8l-2. 7,2 » 
(LV. 306) Piazzi. .. k 58. te — 0,39 » 
GExmidans. 1. 4.58.58,04!- 0,39 5.26,0[+ 0,8|732,2 5|+ 7,3-1.11,0 » 
Cocher," ..... 5. 3.56,77{+ 0,25|-72,00 » 
HiOniont. +: 5. 549,76! 0,43/-72,35l257.59.52,2|+ 0,6 + 6,5/1.19,6154,5| » 
B Taureau ....... 5.15.12.59) o, o|-72,27l294.50.23,2|4 0,9 — 18,2/55.9| » | 
BTE LEs sun see 5.20.21,47- 0,59 245.30.38,2|+ 1,5 —2.10,4 » 
x Lièvre......... 5.24.38,76!- 0,55 248.27.17,b|+ 0,8 15/40 » 
125 Taureau... ... 5.28.50,85|- o,o1 292.10.27,5[+ 1,1 + 54]- 21,2 » 
y Lièvre........ 3| 5.34.27,94|- 0,60 243.56.49,7|+ 1,2 —2.24,9 » 
y DragonI...... 3| 5.51.45,53/- 0,36|-71,98| 34.45. 1,04 2,0/732,0) -,2|+ 4,8146.33,9154,9| » |Trés-ondulante. 
3 Gémeaux. ..... 5.5g. 2,411 0,05 289.30.17,7|+ 1,2 EN » 
8 Gémeaux....... 6. 5.33,97l- 0,04 290.23. 8,2|[+ 2,0 — 23,3 » 
3 Petite Ourse I... .| 6.21.25,39 359.45.33,0 + 2,3 +1. 1,5159,9] » 
æ Grand Chien. ...| 6.37. 4,14]- 0,54|-72,38/249.53.17,5|+ 1,2|731,8 ,0[+ 5,3/-1.49,8/55,4| » |Ondulante. 





|| 4|Cercle Ouest, Niv.+2P,29. Le fil méridien est de 4,79 parlies du micromètre à l'Ouest de la mire. 
On retourne l'instrument. 
Cercle Est, Niv.+5P,or1. Le fil méridien est de 5,58 parties du micromètre à l'Est de la mire. 
, , 199 P 


On laisse l'instrument le cercle à l'Est. 























HNadir- 0. 132.33.47.0/+ 6,0 » [Moyenne de 4 obs. 
x Cygne...,.....l2 20.34.38,3714+ 0,48 -85,80l514. 2. LA 54 5,5|726,ol+ 9,7|+ 2,0ol+ 1,5153,8| » |Niv.+4P,3y. 
(NS |Soleil, 12° bord....|21.23.4r,68]+ 0,27 14. 6.30,0|+ 5,8|726,0! 10,2|+ 2,7]+1.44,8 » |Bord inf. au mérid. 
h |x Cassiopée....... 0.30.11,71[+ 0,61|-85,76]303. 5.11,5|+ 5,8|925,7 24 4,0l- 9,5/56,4| » |Ondul. 
œ Petite Ourse S...| 1. 1. 0,08 270.17. Elo + 5,8/725,6] 7,8/+ 2,1l- 51,951,5| » 
110 o Poissons. ...| 1.35-41,50|+ 0,29 350.23.13,0|+ 5,3]725,7 2k+ 5714 44,4 » |Très-faible. 
113 à Poissons...4| 1.52.30,54|+ 0,29 356.44. 457 + 6,0 5,6 » 
MiBélier... ...4:2. 1.56.54,95]+ 0,33 -85,89/336. 2.15,7|+ 5,9 +1,54 24,9 57,5| » 
29 w Bélier... .... FA AS EE ï 0,31 344-24.59,0|+ 6,0 + 35,b » |[Faible. 
3 Baleine ........ 2.30. 1,441+ 0,28 359- 5.57,5|+ 5,9 +1. 0,5 » 
39 6 Bélier... . ... 2.37. 9-29 + 0,36 330. 9.54,5|+ 5,8|725,7) 6,04 o,5[+ 18,7 » 
G Petite Ourse [...3| 2.49.49,69k- 1,38 -86,11 2833046 ol+ 5,8 + 0,5]-1.35,4,55,7| » 
œ Baleine ........ 2.52. 39,84 + 0,29 -85,871355.16.46,0| + 5,6 + 53,1/57,7| » 
56 z Bélier....... 3. 1.29,031+ 0,35 332. 5.41,7|+ 4,7 - o0,4[+ 20,5! » 
œ Persée........ 3| 3:11.44,56|+ 0,52|-85,62 : » 
64 g Bélier. ...... 3.13.38,131+ 0,34 334.35.32,0[+ 5,2 + 23,4 » 
5 f Taureau...... 3.20.47:98 + 0,30 346.21.30,o|+ 6,7 + 38,6 » 
10 Æ Taureau ...4| 3.27.26,96!+ 0,28 358.50.57,5 + 6,4 — 0,9[+ 55,1 » 
PhEridans-.:...%.. 3.34.19,04[+ 0,28 » 
n'Taureau........ 3.36.45,19l+ 0,33 335. 8.25,21+ 6,0 + 24,0 » 
31 u2 Taureau. ...| 3.42.13,46|+ 0,29 352.41.32,0|+ 6,0 + 48,7 » : à 
Lune, 1er bord... .| 3.52.29,37[+ 0,33 335.39.14,0|+ 7,0 + 24,7 » [Bord inf. au mérid. 
42  Taureau....4| 3.55.54,10l+ 0,36 330.11. 4,5|+ 6,7 | + 18,4 » 
44 P Taureau.....| 3.59.52,151+ 0,35 332.41.23,514 72° | + 21,2 » 





6 


Observations faites à la lunette méridienne en Février 1843. 





‘sunor 








CI 


NOM 


DES ASTREFS. 


48 Taureau ...... 


5; L! Taureau... 
69 vu: Taureau. .. 
79 b Taureau.... 
86 p Taureau... 
a Taureau ...... F 
(943)+ Taureau... 
101 Taureau ..... 
BEridan:s.....1 
B'Taureau......, 


35 } Tauréau..... 
42 d Taureau..... 
44 P Taureau..... 
57 k'Taureau.... 
69 u' Taureau... 
7) b Taureau..... 
86 p Taureau..... 
a Taureau ....... 


LEONE: 


MAC ENEL TS 2 lee 3 


Soleil, 1er bord... 


x Baleine.. ..... 3 
DétrtBélier. -.-... 
HIPENSER te 25e à 0 4 
64 g Bélier... .... 
5 f Taureau...... 


10 Æ Taureau.... 


n Taureau ...... 3 


31 u* Taureau.... 
35 À Taureau... ... 
42 bd Taurean..... 
44 P Taureau... .. 
48 Taureau ...... 
57 2: Taureau... 
69 v' Taureau. ... 


79 b Taureau....4 


86 p Taureau..... 
a Taureau ....... 
(543) + Taureau... 
101 Taurean ..... 
(LV. 306) Piazzi .. 
BÆridan-..-..°:1- 


œ Cocher........4 


G'Taureau … . . - 


L'bievee.... 24 











CORRECTION 
PASSAGE de MOYENNE 
NCLU ne” 
Fu des 
au 2 
, l'instrn- 
FIL MÉRID. ent VERNIERS. 
s. Ge Dur tirs 
0,31 


0,31 
0,31 
0,33 
4.49:19,521+ 0,31 
4.58.43,48|+ 0,28 


5.14.58,131+ 0,36 


3.50.29,50 + 0,30 
3.55.49,07[+ 0,36 
3.59.47,09!+ 0,35 
4. gr + 0,30 

4314 0,33 
4.18.33,05|+ 0,30 
4.23.26,88|+ 0,31 
4:25.25,38|+ 0,31 
4.31.20,11|+ 0,33 


0,30 
0,33 


0,30 








346 42.47 


330.11.11,5 


336.18.14,5 
346. 3.35,0 





—91,32 332.33.59,7 
Dre 


18.30. 3,721+ 0,42/-92,9b|320. 7.20,2 
2034 30 40 + NE —93,17|314. 2e 
21.12.13,470+ 0,75|-93,27|296.50.39,7 
1.35.27,80f+ 0,27 13. 8.33,5 
2.52.32,00]+ 0,29|-93,671355.16./6,5 
3. 1.21,05l+ 0,35 332. 5.42,2 
3.11.36,30/+ 0,52|-93,81| = 
3.13.20,25|+ 0,34 334.35.31,0 
3.20.40,16|+ 0,30 346.21.30,0 
3.27.19,38l+ 0,28 358.50.5r,5 
3.36.37,13 + 0,33 335. 8.27,5 
3.42. 5,74[+ 0,29! 352.41.33,5 
3.50.26,80|+ 0,30 346.42.36,5 
3.55.46,39[+ 0,36 330.11. 7,5 
3.59.44,431+ 0,35 332.41.27,5 
4. 5.19,42l+ 0,37 343.45. 2,0 
4. 9.35,16[+ 0,30 345. 6. 7,7 
415.22,81|+ 0,33 336.18.13, 
4.18.30,39l+ 0,30 346. 3.315 
La3ot 38 + 0,31 

4.25.22,58l+ 0,31|-94,10|342.33.56,0 
4.31.17.409|+ 0,33 336. 6.18,0 
4.49.11,641+ 0,31 343. 4.46,2 
4.57,38.78|+ 0,28 

4.58.35,541H4 0,28 4 227,5 
5. 3.34,541+ 0,49|-93,82 

5. 5.27,461+ 0,28/-93,85| 7. 7.55,0 
5.14.50,131+ 0,36|—-94,26/330.17.20,0 
5.19.58,95[+ 0,26 19.37. 9,2 
5.24:16,24[+ 0,27 16.40.26,0 
5.28.28,65|+ 0,35 332.57.18,0|+ 
5.36.22,83|+ 0,25 21.13.48,2|+ 


TRERNOMÈTRE. 


NeaAu Up 


NOILOAUUOD 


Exte- 


rieur. 


"ANLANOUFH 











LOMME AE VASE TRES 


Do D OO O1 01 UT 
Oo > O1 O1 OC O0 QC 


s 


œ 1 


s 


Q O1 Co 
++ +++ + 
Fan DOIb m 





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NUUN QU mHOSMmEEXX UN 
LOMME EF © © b = © 


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HEF+ + HH+ HF FFF + +++ +++ +++ +++ + +<+++ 











*"NOILOYUAAU 





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D 
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5 


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<= 


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D 


on 


ve 3 Ta 

FFF HF FF FFE F+ +++ 
œ 
© 


2,5|+1.19,9 


+ 18,215 


+2.13,7 
2,51+1.56,8 


‘4104 nu nai 
‘UNILVAUISUO 




















+ 21,2 
2,0/+2,25,1 





REMARQUES. 


Le ciel se couvre. 


Niv.+4p,30. 


Bord inf. à 36m33s. 


ee 





Sa 


ss — 





7 


Observations faites à la lunette méridienne en Février et Mars 1843. 












‘sunor 






































NOM 


DES ASTRES. 


æ Orion.... ., .. 
3 Gémeaux....,.. 
8 Gémeaux 
13 p Gémeaux... 
à Petite Ourse I. .3 
27 e Gémeaux..... 
Ͼ Grand Chien.... 
Lune, 1er bord.. . 
à Gémeaux 


Soleil, rer bord ... 
81 x' Cancer 
82 x*° Cancer 


B Petite Ourse I... 
æ Persée 





æ Taureau 
54 Eridan 
102 : Taureau... 
8 Eridan 
æ« Cocher 


109 z Taureau... 
B Taureau 
ATEN ce «010 
Lune, 1t° bord... 
125 Taureau..... 
3 Lièvre 
136 C Taureau... 
3 Gémeaux 
8 Gémeaux 
13 pu Gémeaux .... 


ss... 


CORRECTION 
le 





PASSAGE MOYENNE 


CONCLU 





|. 






des 






au 


FIL MÉRID. 





la 
pendule. 


l'instru- 


luenL. VERNIERS. 








_ 94,08 351.22.50,2 
335.37.26,0 
334.44.32,5 


2 


LATE 























336.10.36,0 

Te 9.12,77 336.49.31 ,2 
20.34.27,83 = 95,65/314. 2.34,5 
21.13.10,89|+ 0,75|- 95,86/296.50.40,0 
21.39.21,46|+ 12.16.29,5 
+2. 7,12]+ 343. 8. 2,0 

9- 4.58,96|+ 343.10. 8,0 
ï 6.43.37,5 
238.35. 7,0 

— 97:051346. 1.32,2 


19. 4.10,83|+ 
20.34. 7,19|+ 
21.12.50,29|+ 





























FFF +F++F+ 


Je 








9 Petite Ourse 1..3 


(*) Avant cette observation la pendule a été ayancée de 3 minutes, 





1. 2.33,67 270.17.59,0 
1.58.45,79h+ 0,37 + 25,37/356. 2,15,2 
2.51.43,55]- 1,5g|+ 25,21}253.34.45,7 
3.13.34,40f+ 0,624 25,021309.47.47,5 
427.21,36Û 0,344 25,1413/2.33.54,2 
4.34. 0,681 18.42.33,2 
“4.54. 9,41|+ 347-23.45,2 
5. o.34,42 - 2.22,D 
3: 5.32,73 + 
5.10.17,40+ 0,37 336.49.37,5 
5.16.48,89]4 0,41[+ 25,00/330.17.18,2 
5.21.57,431+ 19.37. 3,2 
5.26.16,61|+ 334.10.54,5 
5.30.27,19|+ 332.57.15,0 
5.38.21,43]+ 21.13.46,0 
5.43.54,471+ 332.11.15,0 
47: 0,31|+ 25,01/351.22.47,5 
6. 0.38,65|+ 335.37.25,0 
6. 7. 9,93|+ 334.44.30,0 
6.13.54,45|+ 336.10. 5,7 
6.23.12,92 265.22. 4,0 


FFF +++ +++ 


+++ + 


FFF + +++ + 


mn 


ei 


@ OO © © CLOUS œOoWLwS 


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NOILIHUUOND 


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© © OO A I 


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CC 


© 


734,2 





DOTE O©O b AS © © CS 


TUHERMOMETRE 


—_—_—ÿ——— 


Inte- 
rieur. 







*NOILOVUATU 














6,2 









“3104 na n311 


55,8 








| "NAALVAUISAIO 


















REMARQUES. 


















Bord sup. à 53mr0s. 


Niv.+4 P,59. 


Bord sup. à 4om2ys, 


Faible. 
Le ciel se couvre. 






Très-ondulante. 


Centre au méridien, 







Moyenne de 3 obs. 


Bord inf. à 14m/46s, 








Niv.+/,07. 
Ondul. 








Borû sup. à 27mb6, 









Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 








*“sunoc 


ai 








NOM. 


43 € Gémeaux 
55 9 Gémeaux 


o 








42 Gémeaux-....: 
a Petit Chien ..... 
1B Gémeaux. ..... 
181 y Gémeaux... 


185 / Gémeaux 


19 p' Cancer. ..... 
à Petite OurseS..: 





DES ASTRES-. 








———————— 


27 € Gémeanx .... 
œ« Grand Chien.... 


& 


65 ; Gémeaux.... 
a? Gémeaux... .: 
æ Petit Chien.... 
B Gémeaux.... .. 
81 # Gémeaux... 
85 / Gémeaux .... 
gp' Cancer....:.: 
Nadir... 


FFF FFF FFF + 


SI = IH GT COIN © 








Soleil, 1er bord... 
x Petite Ourse S... 





B Petite Ourse L... 
æ Persée......... 
64 3° Taureau. ..: 
86 p Taureau. ...: 
æ Taureau....... 
102 « Taureau.... 














109 z Taureau... 
B Taureau........ 
B Lièvre.....s..e 
125 Taureau..... 

















3 Gémeaux....... 
8 Gémeaux....... 
13 y Gémeaux. ... 
ë Petite OurseL... 
Lune, 1® bord..,. 
27 : Gémeaux .... 
(x Grand Chien. ... 
143 € Gémeaux.... 
45 » Gémeaux. ..2 
155 9 Gémeaux... 
165 : Gémeaux..... 












































MOYENNE 








des 








VERNIERS. 







333.28.35,0 
15.14.27,7 
337.57-43,5 


4 
+24,831353. 7.47, 


339.52.14,7 
338.27.477 


+22,02!309.27.48,0 
341.40.49,0 


+22,29)342.33.59,7 
333.23.4b,0 
4. 2.23,5 





+22,161330.17.20,0 
19-37-10, 














"nEDAIU up 
KOILUHUWOD 
“HULANOUVE 

"HNILVAUTSIO 


FE 
= 
S 
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© FO SN & 


[29 


+ & © 


Ÿ 


FFC FF FFF TF+ 


Qc © © 


D 


335.40.46,5 
132.33.48,8 


= 


3.15.24,2 
270.17.57,D 
+22,37|335. ne 
+22,601253.34.45,2 


s 


ù 


REMARQUES. 








Moyenne de 3 obs. 





Bord. inf. à 21m0$. 





J 


REF +++ ++<+++++ 


O1 Qt OI © © OO 
TmIDAF 
Qr+F-+> 00 D t 





+ ++<++++ 
SR RUUUGE 


M 


© 


+++ 
SE RS F 


©O OO m OI DO m D 


5 


331.11.20,7 
+22,11/351.22.50,5 
+21,751230.22.31,2 
335.37.28,0 
334.44.34,5 
336.10.10,0 


SAND ASTÈTRE 


© @i1 0 II OO 


5 


335.18. 4,2 
333.28.34,7 
15.14.33,5 








HRFFETR CHEF HF ER+ HER + +++ +T++ 















| 
Bord sup. à 26m375. 


Faible et ondulante,; 
Ond. Niv.+4rP,16. 








9 


Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 










































































































































































CORRECTION = z = ROLE El p« 2 
S e'| = æ THERMOMETRE. ES} 5 2 
2 si de; AIN 8 | 2 | £ | REMARQUES. 
= DES ASTRES. | 5 à 3 Exté- = aude 
FIL MÉRID. VERNIERS. © el 2 5 À 
11|Soleil, 12° bord... 2.19.41,0[+ 7,31730,41 7; fr | B. |Bord sup. à 243098. 
æ« Andromède, . -.. 330.32. 5,54 6,8/730,ol 6 3 60,4| » |Très-ondulante. 
œ Cassiopée....... 303.15.15,2|+ 7,0 54,2! » 
œ Petite Ourse S... 270.18. 2,0|+ 7,3|729,6 56,3| » 
G Petite Ourse I. .4 3.34.47,5|+ 3,7 53,7| » 
æ Baleine ........ 31355.16.45,0|+ 4,6/729;1 54,1| » 
mPErSÉCr nas ete - 3.13.28,6 +19:331309.27.46,5|4 5,8|729,1 5r,8| » 
69 v' Taureau. .. Ù 3 336.18.15,5|+ 5,7|729,0 » 
86 p Taureau....2 » 
œ Taureau..... .. 42.33.58,7|+ 6,1 b737| » 
(543) + Taureau... 4 336. 6.19,7|[+ 6,4/729,0 » | 
102 « Taureau... 337.23.45,7|+ 733 » 
DD SE 4. 2:23,0|+ 7,6 à) 
_..... » 
__....... » 
109 #2 Taureau... 7 336.49.43,5|+ 6,8 + 25,8 » 
G'Eauréau......!.: +19,161830.17.21,5|+ 7,1 + 18,3156,9| » 
G Lièvre. ....,.../ f 19.37.10,5|+ 7,6 +2.14,5 » 
125 Gémeaux..... 332.57.17,0|+ 6,5 + 21,8 » 
DILIÈNTEL . oh à 21.13.4924 731 +2.26,0 » 
136 C Taureau... 331.11.10,0|+ 7,3 + 19,4 » 
Sens nest 0,31|+19,26351.22.50,0|+ 7,7 + 46,2159,4| » 
y Dragon L....... 0,66|+18,79l230.22.34,5|+ 7,2 —-6.37,1 52,6| » 
3 Gémeaux....... 335.37.26,0|+ 7,1|729:4 + 24,5 » 
8 Gémeaux....... 334.44.33,5|+ 7,1]. + 923,5 » 
13 y Gémeaux... 336.10. 8,5|+ 6,8 + 2b,2 » 
à Petite Oursel.../ 265.22. 8,5|+ 713 1. 2,1157,3| » 
œ« Grand Chien. ..4 .14.35,2[4+ 7,0 +1.51,0/58,7| » 
43 € Gémeaux, ... 337.57.44,5|+ 7,0 + 27.8 a 
45 o Gémeaux... .3 342.34.48,5|+ 72 + 33,2 » 
Lune, 1 bord.... 337.55. 4,0|[+ 7,0|729;7 + 27,2 » |Bord sup. a 26m138. 
(VIL. 144) Piazzi.. 3 338.15.11,0|[+ 6,9 + 27:37 » 
æ Petit Chien... 7.31. 418,82/353. 7.47,5|+ 7.8 + 49,3155,9| » 
B Gémeaux. ..... A ) e » 
81 y Gémeaux. ..4 + 29,8 » 
85 ! Gémeaux... + 26,0 » 
162 Cancer. - .\- 30,9 » 
H2|Soleil, 1° bord... .|23.27.11,52]+ 0,27 2.28.24,7|+ 7,3 728,3 +1. 6,7 » [Bord inf. à 28m135,5. 
D |; Cassiopée.....….. 0.31.53,55l4 0,74,+16,66303. 5.15,51+ 6,7[727:4 — _9,5,53,9| » 
a Petite Ourse S...| 1. 2.22,49 270.18. 2,0|+ 5,6|727,0 - 51,554! » 
« Petit Chien. ....| 7.31.22,80]+ 0,30/H15,99l353. 7.46,0[+ 7,21725,8 + 48,9,51,4| » 
G Gémeaux.... .4| 7.36. o,4of+ 0,41|+16,07 » 
81 g Gémeaux...4| 7-37.19,93|+ 0,35 339.52.14,5|+ 7,3 + 29,5 » 
85 / Gémeaux ....| 7.46.47.89]+ 0,36 338.27.53,0|+ 7,6 + 27,8 » 
9 p' Cancer. .... 2| 7.b7.17,741# 0,3 335.40.50,5|+ 6,4 + 24,4 » 
16 C' Cancer..... 8. 3.30,22}4 0,3 340.38.29,2|+ 7,1 + 30,6 » 

#18 y Cancer... ... 8.10.49,30|+ 331. 2.24,0|t 6,4 + 19,1 » ÿ 
Lune, 34 bord....| 8.24.16,471 341.57.25,5|+ 5,31725,8 + 32,3 ». | Bord sup. à 25m285. 
55 p Cancer..... 8.43.32,471+ 329.50. 7,2|4 932 + 17,8 » 

65 &° Cancer..... 8.50.11,94|+ 346.17.45,5+ 7,6 + 38,3 » 
76 » Cancer..... 4| 8.59.32,52l+ 0° 347.27.37,5|+ 7: + 40,1 » 
8r r' Cancer..... 9. #4. o,72Ù+ 343. 8. 3,5|+ 8,2 + 34,0 » 

















10 


CRE faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 














*“Sunor 


NOM 


DES ASTRES. 


82 +*° Cancer..... 
x Céphée I 
x Hydre 


Soleil, 1er bord... 
« Petite OurseS..4 
MIPETSEle eo ces 
69 v'Taureau.... 
ax Taureau 
(543) + Taureau... 
102 «: Taureau... 
6 Eridan 
æ« Cocher 
8 Orion 
109 z Taureau.... 
G Taureau 
B Lièvre. 
a Lièvre 
125 Taureau 
y Lièvre 
136 C Taureau... 
1æ Orion 
y DragonÏ....... 
13 x Gémeaux .... 
3 Petite Ourse I.. 
27 e Gémeaux .... 
æ Grand Chien..., 
(VIT. 144) Piazzi... 





æ Petit Chien..... 
B'Gémeaux...... 3 
81 g Gémeaux...4 
15! Soleil, 1°r bord... 
æ Petite OurseS. .3 
&Uacher...2... 
BiOmON....#..-.% 
109 2 Taureau... 
B'Taureau "0" 
Biievres.-5.:2. 0e 0 
HR INENTE. 0e - © M 
2h} Taureau... 
y Lièvre. ......,. 
136 C Taureau.... 
æ Orion.... .3 
3 Gémeaux....:.. * 
8 Gémeaux....... 
13 p Gémeanx.... 
à Petite Ourse I..4 
27 e Gémeaux..,..3 


æ« Grand Chien... 
43 € Gémeaux.... 
45 o Gémeaux. ..4 














passaGe | "| moyenne 
CONCEU | te. les 
Fe l'instrn- la 
FIL MERID. ment. pendule. VERNIERS. 
h. mn ss. s s. 0 JET 1 
9: 651,58]+ 0,34! see 8,0 
9-15. 4,62 — 0,91 +15,67 240. 43.50,0 | 
9-20.10,24]+ 0,26|+15,67 6.43.35,7 
_9-26.50,411 1,28/+15,47l248./0. 2,5 
‘a 30.48,881+ 0,26 1.32.40,0 
215,57 270.18. 0,5 
3 Es 22,321 0,741#13,13/309.27.48,5 
# 17. 9:93}+ 0,42 330. 13.19,2 
RE 9:26 + 0,37|+13,431342.34. o,o 
4.33. 4,2314 0,42 336. 6.21,0 
Al + Pre EE 
o 22, 2 . 2.2b,2 
5.5 Fe À 0,67 413,31 Dhs 
5. 7:14,221+ 0,24|+13,38 
5.10. 5,534 0,42 336.49.42,2 
5.16.37,05l+ 0,46/+13,29|330. 17: -24,5 
D 45,75|+ 0,20 19- 374,0 
5.26. hi + o,21 16./40.30,5 
5.30.15,45{+ 0,45 332.57.18,0 
5.38. 9,791+ 0:19 21.13.52,7 
5.43.42,30l+ 0,40 331.11.19,5 
5.46.55,24{+ 0,3214+13,341351.22. 50,7 
5.b3. 11,93|- 0,79/+12,761230.22. 273) 
ei + 0,42 336.10.10,0 
23. 5,17 265.22. 7,2 
6.34.31,37]+ 0,44 à 333.28 40 0! 
6.38.28, 66 + 0,21|+13,/2) 15.18:85,0l 
7-28. 6,55l+ 0,40 338.15.10,5| 
7.31.19,88|+ 0,31 +13, 041353. 7.56,0| 
7-35.57,511+ 0,461+13,26 
7-37-16,90!+ 0,40 339.52.14,0 
23.38. 2,54[4 0,27 21.17.39, 
x. 2. Lo 270.17:b5,2 
5. 5.14,95 + 0,67|+ 7:52 
Débat bel | | Besse 
+ 9-59; 0,/,2 36.49.45,2| 
5.16.31,43|+ 03461+ 7,71 Fer 
Bas TUE on Foie 
.275 2a | 1b.40.29,0| 
530. 9/65[# 0,45. Sen 0 
5.38. 4,03{+ 0,19 25.13,57,0 
5.433090 PENTA B5 rx a8 
5.46.49.b6[+ 0,32|+ 7,70/351.22.55,5 
6. 0.21,07]+ 0,42 235. PE 25,0! 
6. 6 52,711+ 0,43 334.44. 29,5 
6. Gas 36:09 + 0,42 336.10. 6,5 
23. 0,40 265.22. 2,7 
634.28 66l4 o4t| 13328. 33,5| 
a + 0,21/+ 7,86 15.14 4.38,3| 
56,97}+ 0,40! 
6e 31,00!+ 0,37 | 


SE RReEnR eee 


“HEJAL UP 


NOILUHUUO) | 


CANCANCLR TRANS LAC 
QC CC Q9 O1 QT O1 UT 


- 





Sos 


- 


5 


SUN LS 


QT O1 O1 O7 O1 O1 O1 OT 
CO 1 Où Qt Œ CO OÙ UT 











‘ANLANOUFH 








D & D D 
Qt C1 O1 CT 


III 











YHERMOMÈTRE. 





_2 


3|— o,4j-1 


+10,0!— 
+10,2}— 


31+ 8,9]+ 


+ 
+ 8,0l+ 


+ 7s2lt 
+ 7:2|+ 


+ 





"NOTLOVUAAU | 





+10,/1+1. 


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+I. 


+2. 
+1. 


Ha. 


7 


+ 341 
.53,8 


+r. 


197 


-57,9 


3,7 


50,4! 


3,0! 


2 


104 na na 
"YAILVAUTSUO 








59,4 


50,5 











REMARQUES. 









Bord sup. à 314085. 
Très-ondul. 
Niv.+5P,34. 












Bord inf. à 39m35, 
Ondul. 
























11 


Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 





























MOYENNE | 


des 


VERNIERS. | 





132.33.51,6 


.27.b4,5 
33b.18.22,0 


FFF + ++ 





336.49.48,2|+ 


+ 4,931330.17.24,0|+ 


CORRECTION 
ë PASSAGE ji E 
2 NOM- CONCLU a 
3 DES ASTRES. "+ Pan at 
EIL MÉRID. | ment, | pendule 
53 z Gémeaux... 0,46 
55 à Gémeaux... 0,42 
65 « Gémeaux..... + 0,46 
RON =. e.c-t JA FE 0,37 + 7,00 
BEALIONE 2-22). 4 10. 8.24,18]+ 0,36 
AbRBion.-2-::.46 «à 10.19.30,64]+ 0,33 
Sion, Eee 2. 6 10.26.45,90[+ 0,32 
DASexfant. 0 10.34.40,58|+ 0,31 
54 Lion, préc... ..|10.47.15,55]4 0,44 
MONS nn de. de 10,52.36,50l+ 0,30 
GwWp2ion.....£ 4 10.59. 3,041 0,30 
HO 0Eion... -.: -". 3111. 6. 9,10 0,37 
Lune, 1er bord.. .|11.17.38,42l4 0,27 
Melon... 11.22.27,08|+ 0,27 
PAION=-----.-- 11.29. 4,08|+ 0,28 
PAVierse, crier. - 11.37.56,72l+ 0,32 
G Vierge......... 11.42.40,46|+ 0,29|+ 6,87 
y Grande Ourse. .4|11.45.42,50!+ o,85|1 6,50 
œ Petite OurseI...3|13. 2.54,10 
LAINE TS PETER 13.17. 4,94]+ 0,234 6,60 
n Grande Ourse...|13.41.20,74]+ 0,76|+ 6,50 
y Aigle.......... 19-38.34,161+ 0,331 5,84 
RPAMeIE -..--0e- 19.43.13,74[+ 0,32|+ 5,80 
a2 Capricorne... ..|20. 9.26,94[+ 0,22|+ 5,74 
IGyene.-.. 4 4/20.36. 9,73[+ 0,66/+ 5,75 
ESA PORORRTE 
DAPÉRASE... ----+ 0 292.57. 2,,6[+ 0,36|+ 5,86 
x6|Soleil, 1er bord . . .|23.41.38,82]4 0,27 
œ Petite OurseS..3| 1. 2.14,83 
œ Persée........ 3| 3.13.14,08[+ o,74[+ 4,97 
69 u' Taureau....| 4.17. 1,39]4 o,42 
86 , Taureau. ...4| 4.25. 2,80|+ 0,37 
œ Taureau ....... 427. x,12l4+ 0,374 5,04 
(543) + Taureau... 4| 4.32.55,93[+ 0,42 
102 « Taureau..,.| 4:53.49,27l+ 0,41 
G'Eridan......... 5. 0.14,260!+ 0,25 
Cocher... ../. : 5. 5.12,49!+ 0,67|+ 5,08 
MOrTON 14 2 0 5 4 5. 7. 6,041+ o0,24|+ 5,25 
109 2 Taureau....| 5. 9.57,10l+ 0,42 
|B Taureau .... 5.16.28,63{+ 0,46 
BIDiIévVre. sus se à 5.21.37,33|+ 0,20 
TE VEE ous à es 2 5.25.54,56H o,21 
131 O Taureau...| 5.38.23,14]+ 0,36 
136 C Taureau... .| 5.43.34,19/+ 0,46 
Orion. ........ 5.46.46,921+ 0,32|+ 5,07 
A Mragonil- 4°: 5.53. 4,03/— o,79l+ 4,74 
ly Gémeaux....... 6. 7.30,651+ 0,44 
13 u Gémeaux....| 6.13.34,21|+ 0,42 
16 Gémeaux. ...4| 6.18.43,03|+ 0,40 
à Petite Ourse L...4| 6.22.59,40 
l27 « Gémeaux ...,| 6.34.22,85|4 0,44 
la Grand Chien... .| 6.38.20,48]+ o,21|+ 5,29 


19.37.17,0|+ 
16.40.41,0|+ 
344.19.50,0|+ 
331.11.23,7|+ 


351.22.56,0|+ 
334.58.14,0|4 


336.10.10,0|+ 
338.10.23,7|[+ 
265.22. 3,9|+ 


15.14.42,0|+ 











‘AULANOUVH 


min. 








ee 


Inté- 
rieur. 


‘æ 


o 


THERMNOMÈTRE. 


31+13,5f+ 








"NOILOVUAAU 





+11,0!+ 34,6 
+11,3 +1. 2,4 


+13,0|- 
+13,0)- 
+13,0f+ 


3,0 
24,3 


24,0 


25,4 
gs 


+ 
x. 


mt 19 


5 


F » © Cr 
SCENE RENE 
+ Oh D QG 


+10,6[+ 21,3 


+10,6[+1.47,316 


‘4104 na nai 





50,215 


56,8 


G1,2 











“UAALVAUASIO 





REMARQUES. 


. 


Niv.+5P,94. 
Moyenne de 3 obs. 


Bord inf, à 42m4s. 








*sunoc 








SJ 








5) 


Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 






























































CORRECTION (e] Lo El cl © 
PASSAGE rs MOYENNE | =2 > Jrusemouères. = S |E 
NOM GoxCLu he tome ; one CRE ER e ë A DE) 
ne: | des 8h É 3 | *|2| REMARQUES. 
DES ASTRES. Ë l'instru- Ja " EE = 1e este a o ch 
FIL MERID. ment. | pendule} VERNIERS. £ 5 © rieur, | rieur. S 5 Æ 
s. © 1 171 11 mm. o o 1 (41 st 
(855) Gémeaux... .4 B. 
(859) Gémeaux ..… 340.39.14,0[ 4,7 + 29:7 » 
43 € Gémeaux.... 337.37.46,0| 5,3 + 2b,4 » 
45 o Gémeaux .... 342.34.51,5|+ 5,0 + 32,2 » 
53 z Gémeaux.... 330.35.40,0|+ 4,8 + 18,1 » 
55 9 Gémeaux.... 336.29.34,5|+ 5,0 +b245;7 » 
65 : Gémeaux..... 330.39.21,5|+ 5,0 + 18,2 » 
ax? Gémeaux... .. + 5,041336.32. 7-7\+ 5:0/728,94 8,54 9,9/+ 13,9/60,8| » 
81 g Gémeaux... 339.52.16,0|+ 4,8 l+ 9.9!+ 28,8 » 
85 Z Gémeaux..... 338.27.51,2|+ 5,5 | +271 » 
2 w' Cancer...... 332.56.35,7 + 4,7 + + 20,8 » 
9 p'Cancer...... 335.40.50,0[+ 5,5 + 25,9 » 
16 C1 Cancer..... 340.38.29,5[+ 5,0 + 9,0]+ 29,9 » 
18 y Cancer. .... 3 331. 2.23,7|+ 4,7 +. 18,8 » 
2a @1 Cancer..... 330.21.21,0[+ 5,6 + 18,1 » 
33 n Cancer...../ 337-47-21,7[+ 5,6/729,0) 8,3/+ 5,11+ 26,6 » 
DMble serres 3 + 3,65 348.31.16,0|[+ 2,6/729,71 7iilt 4:7h+ 41,3)57,5| » 
PANBIE eee + 3,45 350.17.47,0|+ 44 + 44,0/57,0| » 
BPABIE = 7-12. 19.47.40,06+ 0,31|+ 3,30]352.4/. 8,ol+ 4,5 + 5,314 47:9/60,9| » |Niv.16P,04. 

Vénus, 2m bord...|20./49.31,90]+ o,21 15. 8.59,7|+ 5,1/529,7l 8,3/+ 8,0!+r.48,0 » [Centre au méridien. 
Soleil, 2me bord. .4|23.47.24,31|+ 0,46 » 
« Petite Ourse S..4| T- 1-56,27 270.18.11,0|- 6,3/728,7| 9,7|+11,6!- 5o,4/5r,2| » 
B Petite Oursel...4| 2-21.22,74/- 2,75|+ 2,70]253.34.50,5!- 3,5 —1.32,3|50,4| » 
æ Baleine........ 3| 2.54. 7,96[+ 0,48|+ 2399 » 
Perstesten rue. 313.11,30]+ 1,02|+ 2,50|309.27.58,0[— 4,r 728,2] 9,8/+10,41—  3,0/52,6| » 
69 v' Taureau. ..4| 4:16.58,66|+ 0,67 336.18.22,2/— 3,5 + 9,5l+ 24,6 » 
86 p Taureau....4| 4-25. o,04|+ 0,56 À » 
œ Taureau...... 4 4.26.58,55 + 0,56 + 2,68 342.34. 97 — 3,1 728,2 97 + 32,3 58,6 » 
(43) + Taureau... 4.32.53,27 + 0,61 336. 6.30,:1— 3,1 + 24,4 » 
102 : Taureau. ...| 4.53./6,61]4 0,60 337.24. 2,2|- 3,5 + 25,9 » 
GTTEVTE see sens ee 5.25.52,06[+ 0,43 16.40.40,0|- 3,5/728,6| 9,3[+ 8,0]+1.55,1 » 
2 OrION-e. cute 522 | 5.46.44,20f+ 0,5o[+ 2,551351.23. 2,0|— 2,9 + 45,2159.8| » 
y Dragon I....... 5.53. 1,67] 1,07|+ 2,06 » 
4 Gémeaux....... 6. 1. 2,29]+ 0,62 335.44.22,0|— 2,1 + 78l+ 24,1 » 
y Gémeaux....... 6. 7.28,03]+ 0,62 334.58.22,0|— 2,0 + 23,2 » 
13 p Gémeaux. ...| 6.13.31,6;[+ 0,61 336.10.18,5|— 2,3 + 24,6 » 
16 Gémeaux..... 4! 6.18.40,361+ 0,60 338.10.28,0|- 1,9 + 27,0 » 
3 Petite Ourse [..4| 6.22.58,27 265.22.13,7|— 2,6 1. 0,7/54,5| » 
a Grand Chien....| 6.38.17,90]+ 0,43|+ 2,95] 15.14.44,0/- 3,r +1.48,4155,0| » 
(855) Gémeaux. .4| 6.47-12:53]+ 0,58 » 
(859) Gémeanx.…...| 6.48.38:36|+ 0,58 340.39.24,0|- 3,1 + 30,0 » 
43 € Gémeaux...:.| 6.54.51:85]+ 0,60 » 
45 à Gémeaux. ..4 6.59.25:73 + 0,56 342.37. 4,o|- 2,3 “i 32,5 » 
53 z Gémeaux....| 7. G.12,69[+ 0,67 330.35.b2,7|— 2,9 H 18,3 » 
55 à Gémeaux... 7-10.48,79 + 0,61 336.28.18,o[— 3,0 + 7,5 25,0 » 
55 « Gémeaux... .. 7-16. 2,414 0,67 e » 
a? Gémeaux. ..... | 7-24.38,81/+ o,71|+ 2,62 Na » 
QVIL. 144) Piazzi.. | 7.27.55,531+ 10,60 338.15.20,5/- 2,3,729,2) 8,414 6,7l+ 27,2 » 
85 / Gémeaux...4%| 7-46.34,o2Ï+ 0,60 338.28. 1,7/— 1,2 + 6,714 27,4 » 
2 w' Cancer.....3| 7.51.29,710+ 0,65 332.56.43,7|— 2,3 + 21,0 n 
18 y Cancer... ... | 8-10.3b,471+ 0,66 331. 2.30,0|— 2,9l + 18,9 » 
22 w' Cancer... .4] 8:16.58,621+ 0:67 330.2r.30,0|— 3,3! + 18,1 » 











Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 





NOM 


DES ASTRES. 


l:8 Soleil, zer bord . .4/23.48.5r,50f+ 


æ Cassiopée 

a Petite Ourse S..4 
æ« Lièvre 

136 C Taureau... 


y Dragon I 

16 Gémeaux. ... 
à Petite Ourse I... 
œ Grand Chien. ... 
(855) Gémeaux. .4 
(859) Gémeaux... 
43 G Gémeaux...3 
45 o Gémeaux. ... 
53 z Gémeaux. ..3 


Soleil, 127 bord... .|2 


œ Cassiopée 

æ Petite Ourse S. .2 
œ Persée....... . 
B Taureau 

a Lièvre 

131 O Taureau. ./ 
136 C Taureau... 
œ Orion 

4 Gémeaux....... 
9 Gémeaux 

16 Gémeaux 

9 Petite Ourse I..4 
27 € Gémeaux .../4 
« Grand Chien.... 
(855) Gémeaux... .4 
(859) Gémeaux ..…. 
43 © Gémeaux... 
45 o Gémeaux .... 
55 9 Gémeaux. ../ 
65 : Gémeaux..... 


2119.47-33,19]t 
21. 2.47,10ÏT 


21.14.43,17Û+ 





CORRECTION 


PASSAGE Fe 


CONCLU 
au 


A l'instru- 
FIL MERID. 


iucul. 


0,60 
0,0 
0,49 
0,43 


0,46 


1,21 


= 


0,43 
0,66 
0,50 
1,07 
0,60 


0,43 
0,58 
0,58 
0,60 
0,56 
0,67 
0,71 
0,51 
0,50 
0,92 


1,48 


GORE Gb = CE Fe D 


HOT 00:00 FE COLE CE UICC 1 


= Goom b + Lo 


D LD +31 O7 O7 O7 C3 O7 O7 QE En Ur Er 


0,47 
1,21 


1,02 
0,67 
0,43 
0,54 
0,66 
0,50 
0,62 
0,62 
0,60 


0,64 
0,43 
0,58 
0,58 
0,60 
0,56 
0,6x 
0,67 
Me 
0,50 
0,4 

04 
1,48 


mm À 





MOYENNE 
des 


VERNIERS. 


337-47-28,0 
350.17.55,5 
0,941352. 4.12,2 
14.56.34,0 


o.-6.4r,5 
0,40/303. 5.25,5 


15.14.46,2 


359.10 40,5 
1,681305. 5.25.5 
© 270.18. 7,0 
2,09/309.27.59;2 
2,25 SRE 
16.40.35,0 


7 
338.10.28,0 


340.39.12,0 
337.57.50,0 
342-3457 ,2 








352.44. 7,2|+ 
14.29.55,0|+ 
— 3,66/296.50.57,0|+ 


OuaAIU np 


NOILOYUHO9 


ee D 


HR D R © b 





"AULHNOUYA 


THERMOMETRE, 
—__— 


Exte- 
rieur, 


“NOILOVHAAU 


+ 7:0]+ 26,6 
A+ 3,714 442 
+ 48,2 
+ 9,0]+1.46,7 


+11,8l+1. 0,4 


+13,5- 9,2 
+13,2]- 50,1 


+10,1 HE: 


CI 


HIFI +F+ 


= 








‘4104 na a311 








"MAAILVAUASUIO 


REMARQUES. 


Niv.+5 P,82. 
Centre au méridien. 


Bord inf. à 4gmbs, 





Niv.+6P,40. 


Bord sup. à 53"30s. 








|Centre au méridien. 











14 


Observations faites à la lunette méridienne en Mars 1843. 

















3 NOM 

ë 

É DES ASTRES. 

20|Soleil, 1° bord... : 
Vénus, 20e bord... 

21/Soleil, 1er bord... 
œ Cassiopée...... 4 
æ Petite OurseS. .4 
æ Taureau ....... 
9 Petite Oursel..., 
æ« Grand Chien. ... 
(855) Gémeaux... 
(859) Gémeaux ..…. 
43 6 Gémeaux. ..2 
45 o Gémeaux.../ 
53 z Gémeaux.... 
55 à Gémeaux... 
65 Gémeaux... .3 
a? Gémeaux...,.3 
œ Pctit Chien. ,... 
B Gémeaux.... .. 
18 y Cancer... ... 

22/Soleil, 1°r bord.... 
æ Petite OurseS..1 

23|Soleil, re" bord... 
x Cassiopée....... 
« Petite Ourse S, .3 

24|Soleil, 1er bord... 
x Cassiopée.....,. 
x Petite Ourse S. .4 
43 © Gémeaux... 
45 o Gémeaux... 
53 z Gémeaux.... 
55 à Gémeaux... 
65 : Gémeaux... ,. 
a? Gémeaux...... 
(VII. 144) Piazzi.. 
æ Petit Chien ....3 
B Gémeaux...... 4 
85 / Gémeaux...3 
22 w' Cancer..... 
33 n Cancer..... 3 

28|x Taureau ....., 3 
x Cocher......02. 
B'Orion-..-:..4 ra 
B Taureau........ 
miOrIOn----..-- 4 
«2 Gémeaux...... 
æ Petit Chien..... 
B Gémeaux......, 
65 :? Cancer... 














































































CORRECTION [e] œ nl CI 
PASSAGE MOYENNE |=2 = frucnuouërre. Se 5 
CONCLU 1 SE 2 — à — ë 2 
au H QE $ 8 œ- ; s 3 É 
ic MéRip, | instru VERNIERS. | © 5 ë ne es 2 ë 
h. m.s s 2] 1" | 
23.56. 4,18]+ 0,47 + 1.8 58,3 
21. 7.12,02|+ 0,43 + 2,9 42,8 
23.59.40,42|+ 0,47 358.23.21,0|+ 0,8 56,2 
0.3t.30,11|4+ 1,21 
1. 1.48,25 270.18. 2,0|+ 1,9 49,5|50,0 
4.26.49,641+ — 6,171342.34. 5,214 2,5 31,4158,7 
6.22.51,41 265.22. 8,o[+ 2,9 59,2|55,8 
6.38. 8,664 15.14.42,0|[+ 2,4 -46,1156,0 
BE + 0,58 
.29;25]4+ 0,58 340.39.14,0|+ 2,3l721, 20,5 
6.54.43,02|+ 0,60 337 SARL o + 2,3 AE 26,2 
6.59.16,70+ 342.34.53,5|+ 2,3 31,9 
7- 6. 3,67|+ 330.35.43,0|+ 2,3 18,0 
7-10.39,61|+ 336.29.38,0|+ 2,1 24,5 
7.15.53,33|+ 330.39.24,2|+ 2,1 18,1 
7-24.29,70]+ o,71|- 6,40|326.32. gso|+ 2,1 13,859,3 
7-30.59,92]+ 0,50! 6,61|353. 7-577|+ 2,1 47,3|5b,2 
7.35.37,39l+ 0,67|- 6,52 
8.10.26,49]+ 0,67 331. 2.30,0|[+ 2,3 18,5 
0. 3.16,88|+ 0,47 
1. 1.42,90 
o. 6.53.36+ 0,47 358. 8.22,0|+ 2,3 55,1 
0.31.26,52]+ 1,21|— 9,89 
1. 1.42,60 270.18. 6,7|+ 1,8 49,0/54,6 
0.10.29,60]+ 0,47 357.12.38,0|— 1,0 54,9 
0.31.24,784+ 1,21|—11,64/303. 5.27,5| o,0 91156,6 
1. 1.40,20 270.18. 7,5|+ 0,3 49:4153,3 
6.54.37,23]+4 0,60 337.57.58,0|+ 0,6 26,1 
6.59.11,13]+ 0,56 342.35. o,7|-— 0,2 31,7 
7- 6.58,23|4 0,67 330.55.5r,5|+ o,t 179 
7:10.34,24]+ 0,61 336.29.46,0|+ o,1 24,4 
7-25.47,971+ 0,67 330.39.30,0|+ 0,2 18,0 
7-24.24,37 + 0,71|-11,68 
7-27.41,17 4 0,60 338.15.22,0| o,0 26,5 
7-30.54,564+ 0,bo|-11,92 
7.35.31,92|+ 0,67|-11,94 
Den + 0,60 338.28. 6,2|- 0,3 26,7 
-16.4/4,15]+ 0,67 330.21.27,0|— 0,3 7 
8.23.27,3o[+ 0.60 337.47.26,0|-— 0,7 26,0 
4.26.36,08[+ 0,63|-19,55342.34.10,0[t 1,2 31,9/62,5 
5. 4.46,89l+ 1,21|-19,70 
5. 6.40,80[+ 0,38/-19,64] 7. .8 4,o[t 2,3 17:8|59,9 
5.16. 3,41] 0,82/-19,71]330.17.31,0|+ 1,3 17:7[59:9 
5.46.21,68[+ 0,53/-19,75[351.22.57,7|+ 2,1 44:7|59:9 
24.15,95|+ + 1,1 13,9/63,4 
7 30.46,321+ + 2,2 #7 »7 61,0 
35.23,63|+ 0,82|-20,00|33.021.43,7|+ 1,8 17:9/60;7 
8.42.55,65[+ 329.50.13,2|+ 1,3 173 








“UNAILVAHASIO 








REMARQUES. 





Bord inf. à 5ymps, 
Centre au méridien. 


Bord sup. à om4#4s. 





Nuages. 


Id. 
Bord inf. à ymbbs, | 
Niv.+6P,5g. 


Bord sup. à 11295. 


Niv.+6,44. 





Ondul. 


Nuageux. 


Nuageux. 
Id. 





£ 








15 


Observations faites. à la lunette. méridienne en Mars et, Avril 1843. 
























































CORRECTION 2 m F3 
s Lee PASSAGE de MOYENNE | 22h: 2 
? DES ASTRFS. | " L'instru-| la ane 3 
FIL MÉRID. | ment. | pendule] VERNIERS. | © É 
ha ‘nus: 5. s. FAQ LOUE 11 : 
2g|x Cygne......:.. 20.35.40,27|4 n1,19|-23,61/314. 2.48,5|4 2,2|729,9 
æ« Céphée. ....:. 3/21.14.22,99|+ r,99|-23;72 
3o|Soleil, 1° bord....| 0.32. 494 + 0,50 355.23.46,7|+ 1,8 
æ Petite OurseS...| 1. 1.19,49 270.18.11,2|#+ 1,8 
œ Cocher........ 4| 5. 4.42,07|4 r,2n|—24,47 
G Orion........ 4| 5. 6.36,28|}; 0,38 —24,13 7- 8. 9,b|4 2,5 
DAOMON eee 1.0 5.46.16,94[4 0,53/-24,46/351.23. 0,5|4 1,7 
3 Petite Ourse I..4| 6.22./0,80 265.22.11,5|4 5,4 
æ Grand Chien....| 6.37.50,62|4 0,32|-24,19) 15.14.50,2|4 2,3 
43 € Gémeaux....| 6.54.24,53|4 0,68 337.57.58,7|+ 1,7 
45 o Gémeaux....| 6.58.58,53|4 0,65 342.35. 2,2|+ 1,9 
53 z Gémeaux....| 7. 5.45,53[+ 0,82 330.35.49,7[+ 1,9 
55 4 Gémeaux.... 7-10.21,45 + 0,71 336.29.43,7 + 17 
65 « Gémeaux... ..| 7.15.35,29|4 0,82 330.39.24,7|+ 1,5 
œ° Gémeaux...... 7:24.11,53|+ 0,88|-24,23 
(ViL. 144) Piazzi.. .| 7.27.28,39|+ 0,69 338.15,20,5|+ 2,0 
œ Petit Chien...... 7.30.41,841+ 0,53|-24,511353. 8: 5,5|+ r,7 
G Gémeaux......4| 7.35.19,07|+ 0,82|[-24,53]330.21.4b,o|+ 1,4 
[85 / Gémeaux ....| 7.46. 6,89[+ 0,69 338.28. 3,0o|+ 2,5 
2 w' Cancer...... 7-51. 2,61|+ 0,80 332.56.41,0|+ 1,7 
p' Cancer. .... 3| 7.56.37,03|+ 0,76 335.40.55,5|+ 1,9 
16 £: Cancer..... 8. 2.49,33]+ 0,67 340.38.39,5|+ 2,2 
18 y Cancer.....4| 8.10. 8,30]+ o,8r 331. 2.27,2|+ 2,4 
2a p' Cancer. .... 8.16.31,411+ 0,82 330.21.28,7|+ 1,7 
33 y Cancer...... 8.23.14,57l+ 0,70 337.47.28,0|+ 2,4 
48 « Cancer. ..... 8.36.48,37|+ 0,83 329.26. 1,0|[+ 2,3 
55 52 Cancer... ... 8.42.51,39|+ 0,83 329.50.18,o|t+ 2,6 
a Hydre........ &| g-19.29,59[+ 0,38/-24,691 6:43.52,5|+ 3,2 
B1|Soleil, 12 bord... .| 0:35.41,22]+ 0,51 354.28.30,0|+ 0,6 
a Petite OurseS..2| 1. 1.16,10 
æ Céphée......... 21.14.18,63|+ 1,99/-28,16 296.50.58,7|+ 1,7 
Vénus, 2me bord. . .|22.55.51,76|+ 0,35 11.13.28,0|+ 2,1 
a Andromède. . . .2[23.59.48,14[+ 0,82|-28,29 330.32.17,2 + 0,6 
M1|Soleil, 1er bord... .| 0.39.17,34]+ 0,51 354. 5.20,0|+ 0,3 
1 a Petite OurseS..4| 1: 1.12,b7 270.18.13,5|+ o,9 
k2|4 Céphée........ 211414,15|+ 1,99|-32,73/296.5r. o,o|+ 1,5 
œ Verseau........ 21.57.10,88]+ 0,45|-32,03|359.49.48,0+ x,3 
3|Soleil, zer bord... .3| 0./46.29,80]+ 0,51 
pme bord....| o.48.38,54|+ 10,57 
œ Petite Ourse S..3| 1. 1. 6,60 270.18.12,5/4+ 1,21731,3 
æ Orion... .. ..| 5.46. 8,o2|+ 0,53|-33,3r 
4|x Céphée......... 21.14.10,27|+ 1,99|-36,70|296.50.59,5|+ r,0/730,8l 
8 Céphée LS OS Eu 4 212888 30 + Der -36,67 RTE ou # o,1 î 
Nadine. ec 132.33.57,2|+ 0,2 
Ha Orion. ...:..,. 5.45.59,56[+ 0,53|-#1,711351.23. 9,0|- 0,5/728,7 





THERMOMÈTRE. 


a ——, 


Inte- 
rieur. 


10,7 












Extc- 


rieur. 








“NOILOVUAAU 
‘4104 na n311 





64,0 
6r,2 





“HAILVAUASUO 















REMARQUES. 














Niv.+6P,13. 





Bord inf. à 33m6s, 
Nuageux. 
Id. 


Id. 
Id. 


Bord sup. à 36425. 
Nuages. 


Centre au méridien. 


Niv.+5,67. 


Bord sup. à 4om4os, 
Ondul. 


Faible. 


Très-ondul, 


Niv.+6,49. 
Moyenne de 3 obs. 





II 


12 





16 


Observalions faites à la lunette méridienne en Avril 1843. 





PASSAGE FAT ÉRORA MOYENNE | = 
de Er 
NOM. CONGLU De se — ne E 
DES ASTRES. 4 l'instru-| la Ë 
FIL MÉRID, | ment. pendule} VERNIERS. L 
pe mt LS: s s. «2 1 LENS 
o Petite Ourse 1..3| 6.22.27,19 265:22:14,0|-— 
a Grand Chien....| 6.37.33,48|+ o0,32|-41,18] 15.14.54,5|- 
Lune, 1 bord....| 7. 0.36,27l+ 0,70 336.59.13,7|— 
œ* Gémeaux...... 7-23.54,o1|+ 0,88|-41,59|326:32.18,0|- 
œ Petit Chien ..... 7:30.24,42l+ o 753 —k1,80|353. 8: 7,0 
B Gémeaux....... 7-35. 1,71[+ o 82 —41,761830.21.50,0|- 
2 w' Cancer...... 7.50.45,211+ o 80 332.56.44,0 
9 p' Cancer. ..... 7-56.19,67|+ 0,76 335.41: 1,2 
16 C' Cancer..... 8. 2.31,91]+ 0,07 340:38.42,2|+ 
18 y Cancer... ..4| 8. 9.50,95[+ 0,81 
(GITE 713 8.11.15,66|+ 0,88 327.32.52,0|— 
33 Cancer... ... 22.55,21]4 0,70 337.47: 33, 5|- 
48 « Cancer. ..... 8.36.31,;o1|+ 0,83 329.26: 3,0|- 
55 p* Cancer... ... 8.42.34,05|+ 0,83 320.50.18.0 ge 
60 «' Cancer..... 8.46.40,8ol+ 0,59 346.32.25,0 
65 4° Cancer....4| 8.49.13,60[+ 0,59 346.17.59,5|+ 
MESÈD. ee ao 0 4| 9-11.23,76[+ 0,75 334.33.20,5|- 
a Hydre......... 9-19-12,561+ 0,38|-41,62] 6.43.58,0|- 
8 Céphée I....... 9-25.56,10)- 2,81|-41,541248.40. o,0[- 
a Petite OurseS..4| 1. 0.57,70 


On retourne l'instrument. 


NOILOHUUOI 





*AULANOUFA 


THERMOMÈTRE. 


a 


Inté- 
rieur 


j—__— 









Extc- 
rieur. 


*NOILOVUAAU 





‘31104 na ng11 


“UNILVAUISUO 


1,2 728, 5 m5 119,3 — ‘58. z 58, 3 B. 


0,3|728,5 


1,9/728,4 
0,b|728,3 


0,0 
0,2 
0,0 
0,0 
0;1 


0,8 


0,7/728,1 


0,3 
0,5 
0,0 
0,6 
0,3 


0,1 


728,3 


0,2|728;r 


8|Cercle Est, Niv.+6P,76. Le fil méridien est de 4,16 à l'Est de la mire. 


Cercle Ouest, Niv.+5r,62. Le fil méridien est de 12,58 à l'Ouest de la mire. 


ps +1: bar 63,7 


17,0 
17,24 


17,0 
16,3|4 


HF ++ ++ 


+1 





24, 


13,5/65,9 


+ 46,5[62,b 


1 7h84 64,1 


20,2 
23.2 
29,1 


45,4 
—1.50,6|59,9 


] 


On corrige une erreur d'axe optiqne de 8r ; on laisse l'instrument le Cercle à l'Ouest. 





œ« Taureau....... 426. 7,05}+ 
« Andromède. ...2|23.59.26,52]+ 
x Cassiopée . .... 4| 0.30.46,6:}+ 
a Petite OurseS..4| 1. 1.109,15 

Soleil, 12 bord....| 1.19. 5,68/+ 
ax Taureau ....... 4.26. 4,831+ 
æ Cocher......... 5. 415,814 
B Orion ......... 5. 6. 9,46|- 
B Taureau........ 5.15.32,27|+ 
œ Orion. ........ 5.45.30,444+ 
ê Petite Ourse I...4| 6.22. 7,65 

æ Grand Chien....| 6.37.24,06|- 
a? Gémeaux..... 3| 7.23.45,0414 
a Petit Chien..... 9-30.15,14+ 
G Gémeaux....... 7-34. Eh 

2 w'Cancer...... 7.50.35,93|+ 
g u' Cancer...... poPrne + 
16 &' Cancer..... 1.22,409|+ 
18 y Cancer. ..... 8. 9.41,63[+ 
33 n Cancer...... 8.22.48,o1|+ 
48 « Cancer...... 8.36-21,91 + 
55 p? Cancer ..... 8.42.24,831+ 
60 &' Cancer....4 8.46.31,71l+ 
65 a? Cancer..... 849. 4,4ol+ 





0,10|—48,96/282.33.39,b|+ ft) 727:9 +14,7 

0,18 —posga 294.35.35,0|+ 6,0! 730,2 164 

0,33 50,68 % 2.20,0[+ 5,4/730,2! 16,4 
54.49. 33, 5[+ 4,8/730,0! 15,8 

0,05 275411: 9,2|4 5,3/720,7] 15,5 

0,10 -51,15 182. 33. 43 2 214 6,0/728,1| 13,8 

0,36|-5x 33 ‘ 

0,05|-51,15/257.59.44,5l4 5,0 727,5] 12,7 

o,18/-51, . 294.50.15,0|+ 5,5 

0,04|-51,24 no He 214 43772735 12,7 

juil Sogéatass bol 47 lan éleusss 

0,22|-51,12/290.35.39,7|+ 4,2:727,2] 11,3 

0,04 5149 271.59.52,5|+ 3,8 

+ o,18/-51,30/294.46. 6, o[+ 4,0 727,1] 11,0 

0,17 292.13. 435 + 4,0 

0,15! 289.26: ve F, 377 

o,11 por .29.19,2|+ 3,7 

0,18 . b.22,0|+ 3,4 

0,12 ru 20:16,0[ 4,0:7268| 10,0 

0,19! 295.41:47,5|+ 4,0 

0,19 295.17:36,2|+ 3,8 

0,08 278. 3%. ee 2|+ 4,2| 

6,08, 278: 5o. 3,51+ 4.3! 











61,9 











REMARQUES. 





Très-faible. 
Ondulante, 


Bord sup. à 1"465,0 


Très-faible. 


Ondul. 
Id. 


Ondul, 


Faible et ondulante, 


Id. 


Bord sup. à 20m8s5, 
Très-ondulante. 








+ S 


17 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1843. 
























































| PASSAGE D te MOYENNE 2 o > THERMOMÈTRE. &. = E 
NOM. CONCLU : Rwsgsees = = 6 2 = £ 
en des É = A one Aer | (e] E = REMARQUES. 
DES ASTRES. ; l'istru-| Ja EIRE Inté- | Exté- = 3 | = 
FIL MÉRID. À 'meut, | peugale) VERNIERS. | © © | & rieur. | meur| © LE 
RAS: S, CS D lt 7 21 min. 0 o DT FRE ; 
76 x Cancer......| 8.58.25,00!+ 0,07 277.40. 1,7[+ 451 — 39,7 B 
81 x' Cancer..... 9. 2.52,4ol+ 0,10 281.59.42,2|+ 3,6 = H38:6 » 
82 x* Cancer..... g- 5.44,02l4 0,10 281.57.36,04 3,8 — 33,7 » 
VESTE, mess 9-12.26,83[+ 0,15 290.20.57,0|+ 3,6/726,9|+ 9:81+ 3,6]- 23.2 » 
84 + Lion....... 4{x1.19. 2,89l+ 0,03 270. 5.40,o|+ 4,7/927,2] 14,0/— o,1]- 52,8 » 
Dnuion.. 11.28. 5,52] 0,00 266.25. 9,0+ 1,2 - 59,g » 
(167) B Vierge. .4|11.42.11,98]- 0,03 » 
Lune, 1e bord... .|11.43.24,50]- 0,05 262 1.30,0+ 1,3 — 0,3]-r1.10,1 » |Bord sup. au mérid, 
15 » Vierge..... 3112. 9-48,43] 0,00 266.35.36,21+ 1,4 — 59,7 » 
21 q Vierge. ..... 12.24.52,00]— 0,05 2b7.47.44,01+ 3,41527.0) 13,1)— 0,7/-1.21,6 » 
13|Soleil, 1° bord... 1.22.43,97|+ 0,06 275. 1. 4,0/+ 6,41724,3] 14,9 +11,41- 42,3 » [Bord inf. à 23m/65, 
œ Verseau........ 21.56.48,98]- 0,01/-55,24/265.18. 4,o|+ 4,8/730,3] 10,3] 5,0!-1. 1,5/54,2] » |[Niv.tir,65. 
| Vénus, 2me bord. .|22.52.45,06|— 0,05 258.28.46,7|+ 5,5 b,8l-1.18,2 » |Centre au méridien. 
l |x Pégase. ....... 2122.56. 2,004 0,09 -55,34/280.44. 7,214 5,71730,7| 10,7| 5,9]- 35,2153,5| » 
œ Cassiopée ..... 4] 0.30.41,86|+ 0,53/-55,47l322. 212,214 5,31731,6] 13,7| 7,9[+ 9,4/153,3| » 
œ Petite OurseS..4| 1. 1.14,35 354.49.32,2/+ 5,0[731,7) 13,2! 7.9{+ 51,2/60,1! » 
Ir4|Soleil, 1er bord... .| 1.26.22,341+ 0,06 275.3/4.49,5|+ 5,8[731,7] 13,2] 7,9) 42,4 » [Bord sup. à 27m155, 
|| |: Gémeaux... 3| 7-23.39,971+ 0,22|-56,16/298.35.40,7|+ 4,7 — 14,1/55,3| » 
| œ Petit Chien ..... 7-30.10,48]+ 0,04/-56,12l271.59.51,0[+ 5,3 — 48,3158,8| » 
| |B Gémeaux....... 7.34.47,751+ 0,18/-56,21/294.46. 6,71+ 4ol731,4f 11,7) 7,41 18,1/56,3| » 
À Mestas silice 4| 9:13.44,08[+ 0,15 290.14.30,5|+ 3,81732,11 10,4] 5,7]- 23,4 » 
æ« Hydre........, 9.18.58,26|- 0,05/-56,25/258.24. 2,0|+ 3,5|732,2] 10,4| 5,7/-1.18,6/58,5| » 
| 153 / Lion..... "...[10.40. 6 34H 0,06 277-44477l+ 3,31732,8] 10,4] 5,2] 30,6 » 
| 54 Lion, préc....4|10.46.12,42]+ 0,16 291.57. 9,2[+ 2,9 ED » ÿ 
HU 158 ZLion...... 4]10.51.33,13|+ 0,03 270.49.58,0|+ 3,5 — 50,9 » 
D 165 P°Ison....... 10.57.59,78[+ 0,02 269.10 5o,0|+ 2,6 - 53,9 » 
70 0 Lion....... &lax. 5. 6,10]+ 0,10 282.39.22,0|+ 2,9 — 32,9 » 
HGPEAION * ss à «1 11. 9.57,76[+ 0,02 268.53. 3,514 3,1 — 54, » 
BAPE tOn.-:.. .- 4 LEA È EG DE + 0,03 270. 5.36,0|+ 2,9 — 52,3 » 
87e Lion....... 2[11.21.23,90]- 0,01 264.14.24,0+ 3,5 —1. 4,2 » 
91 v Lion....... . |[11.28. 0,94] 0,00 266.25. 7,2|+ 3,2 732,9] 10,2 4,31 ‘59,5 » 
1 13: Vierge........ 11.36.53,441+ 0,04 273.46.53,0[+ 2,6 | — 46,0! » 
1h |(x67) Z Vierge....|11.42. 7,18] 0,03 1261.55. 8,5/+ 2,3 1: 7 |» 
y Grande Ourse. .3|1:1.44.39,79l+ 0,50/-56,48]320.55.39,71+ 2,31733,0] 10,0! 4,3+ 8,4156,6! » 
œ Petite Ourse L..4|13. 1.31,50 357.52.30,0|+ 3,6,733,3 11,8| 3,71 57:9|60,2 » 
DANierpe... .. |. 13.16. 2,18/- 0,06-56,77l256. 2.140,04 2,3 3,51-1.26,6/60,0! » 
Lune, 2"ebord....|13.44.56,641- 0,06 » 
a Verseau........ 21.56.46,50- 0,01/-57,75/265.18. 7,54 5,21733,7] 9.6! 6,7/-1. 1,4158,0| » 
a Grande OurseL..4|22.53. 6,03|- 0,69/-58,141 23.43.18,2{+ 5,7 +2.44,4154,3| » 
a Pégase... ..... 2122.55.59,5o+ 0,09/-57,86/|280.44. 6,2[+ 5,2 733,6] 10,3| 7,3] 35,2153,0| » 
« Andromède. .... 23.59.19,37]+ 0,18|—-57,91/294.35.35,2|+ 6,3 — 18,3157.3| » 
y Pégase......... o. 4.12,10]+ 0,09 —57,95/280.4r. 8,5+ 5,81733,3] 10,5| 9,1l- 35,0/59.6| » 
œ Cassiopée ...... 0.30.39,30]+ 0,53 ©58,05|322, 2.15,21+ 5:7 10,31+ 94l57:1| » 
œ Petite Ourse S..4| 1. 1.11,30 354.49.35,2|+ 5,9|732,9 10,8| 10,41+ 50,9|60,0 » 
15|Soleil, ser bord... .| 1.30. 0,82}+ 0,05) 275.4419,7l+ 5,8/732,9| 11,3] 10.8] 42,3 » |Bord inf. à 31m9$. 
« Taureau ....... 4.25.57,611+ 0,10|-58,341282.33.39,7|+ 6,1/731,8] 10,6| 12,7 32,0154,9! » 
Cocher... .: 5. 4. 8,411+ 0,36|/-58,68 » 
G'Orion 4... 5. 6. 2,40- 0,05|-58,23]256.59.44,0o|+ 7,6/731,2] 11,7] 12,4/-1.17,8 57,5| » 
DIS Taureau........ 5.15.24,93[+ 0,18/-58,56/294.50.18,5|+ 6,9 731,2] 11,7| 11,8]- :7,8/59,0| » 
Dé Orion......... 5.45.43,10ft 0,04/-58,54/273.44.48,0ol+ 6,3 12,3]- 44,6154,2| » 





*‘sunof 


18 





19 





20 


E) 





28 





18 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril 1843. 





NOM 


DES ASTRES. 


à Petite Ourse I.. 
a Grand, Chien.... 
16 G: Cancer..... 
18 y Cancer... ... 
33 » Cancer 
48 « Cancer. ..... 
55 p? Cancer... ... 
60 &' Cancer.... 
65 &? Cancer... 
76 x Cancer 
81 x' Cancer 
82 x° Cancer..... 


ss... 


a Petite OurseS.. 


Soleil, 1er bord ... 
G Orion........ 
G Taureau........ 
à Petite Ourse I... 
x Hydre 
œ Lion 


6 Lion 
” Grande Ourse,.. 
a Pégase......... 
œ Cassiopée......, 
« Petite Ourse S... 


Soleil, 1° bord... . 


Soleil, 1 bord. ..3 
æ« Orion 
œ& Grand Chien.... 
a? Gémeaux... .. 
x Petit Chien. .... 
BG Gémeaux.... 


37 Lion 
BEM ER TST 
5h Sextanls ets 
54 Lion, préc..... 
æ Pégase......... 
æ Cassiopée....... 
œ Petite Ourse S... 


Soleil, 1°r bord... 
48 « Cancer 
60 «' Cancer...,4 























































CORRECTION el S 2 = 
PASSAGE * MOYENNE | =£ = Jruennouërne. y 5 
CONCLU RE . 2.5 CD Re > ë 
E l'instru- wa Ë 3 LÉ . AT 3 8 
FIL MÉRID, | ment. venviens. | © G | | | Eté © Ê 
2 : 5 i 53 L 
s © ta 71 "1 o o CT 11 
O,11 249.52.59,2|+ 5,8/730,6{+11,8/+12,1]-1.46,9| 52,4 
0,11 284.29.18,5|+ 4,7 11,0| 11,3]— 20,7 
0,18 294. b:21,5|4 4,2 — 18,6 
0,12 207.20.23,7|+ 4,7 10,)]- 26,3 
0,19 292.41.53,0|+ 4,7 — 16,9 
0,19 295.17.36,0|4 4,7 = 1754 
2 + 0,0ù 278 35.41,5|+ 5,3 — 37;7 
8.48.57,12 + 0,08 278.50. 0,5|+ 4,8 = 1374 
8.58.17,66|+ 0,07 2977-40. 3,7|+ 4,2 — 39;1 
9: 2.45,04 4 0,10 281.59.43,7|+ 4,2 — 392,4 
9. 536,844 0,10 281.57.35,0[+ 4,6 — 33,2 
9-14 10,441 0,15 290.10. 2,2|+ 4,7 — 23,1 
9:18.55,74/- 0,05/-58,76]258.23.57,5|+ 4,4 10,1| 8,5[-1.17,7/55,8 
1. 0.358,30 354.49.35,21+ 4,2 12,8| 13,of+ 50o,:156,5 
1.44.39,54/+ 0,05 257. 8.58,514 4,517 13,1 134f- 39e! 
5 Sd n 0,36 67,96 7 3 4, ? ? 9 
5. 5.52,93/- 0,05|-67,03|257.59.47,5|4 4,9 13,5] 14,8]-1.16,7|58,7 
5 15.15,49]+ 0,18 —67:941294.50.15,7|+ 4,7 14,81 17,5154,5 
5.45.33,92{4 0,04/-67,b7]273.44.49,5|+ 4,7 13,7| 15,0) 43,9154,7 
6.21.55,60 
18.46,66[- 0,05|-67,78/258.23.56,0l+ 2,3 12,41 13,0/-1.16,1/53,8 
9.58.54,621+ 0,08|-08,111279. 6.12,0|+ 2,5 12,4| 12,2l- 36,5/56,2 
10.52.54,311+ 0,69/-68,361328.57.23,2|+ 2,2 12,3| 11,3l+ 16,3154,9 
11.39.57,42+ o,r0[-68,20|281.49. 7,2|+ 1,8 — 33,0|b3,8 
11.44.27,541+ 0,50|-68,66/320.55.44,5|+ 1,8 12,3| 10,3]+  8,2/59,5 
22.55.48,32l+ o,10[-60,14 
0.30.27,6414 0,53|-69,82|322. 2.18,ol4 4,4 15,3! 16,8[+  9,1/59,2 
1. 0.523,50 354.49-35,0|+ 4,4 15,3| 16,9]+ 49,3/62:1 
1.48.20,56[+ 0,07 278. 1.36,0|4 5,8 15,8| 18,9/- 37,1 
2.14.20,541+ 0,08 279.49:13,0[+ 4, 12,3| 11,4/- 35,5 
5.45.17,260 + 0,04|-84,35/273.44.48,0|4 Fe 11,8 85 — 418 52,1 
6.36.50,961- o,r1|-83,79l249.53. 4,0l+ 4,8 11,3]  97{-1-47,0/554 
7-23.11,b1/+ 0,22|-84,13 
7-29-41,944 0,041-84,46/271.59.52,2|+ 4,4 - 47:7159%4 
7 34.19,39 + 0,18|-84,34 294.46. 8,04 4,4 8,6[- 17,9 5712 
9-18:29,90!— 0,05|-84,431257.23.57,5/+ 1,9 9,5] 5,8]-1.17,9/53;1 
9.58.38,22[+ 0,08/-8/4,42l279. G.14.5|4 4,1 gn| 5,7/- 37,51591 
10. 6.52,47l+ 0,09 200.52.47,0|+ 3,8 — 34,8 
10.12. 1,14[F 0,10 282. 8. 4,7|+ 5,0 g0|, 5,5] 33,2 
10.33. 8,821+ 0,03 270.46.32,o|+ 3,7 — 50,4 
10.45.44,08[+ 0,16 291.57.14,2|+ 3,8 5,8[- 21,2 
22.55.31,68{+ 0,10 —85,97 280.44.11,0|+ 5,2 10,0! 8,of- 34,81b7,4 
0.30.11,54[+ 0,53/-86,141322. 2.13,7|+ 6,5 9,71 9,3158,5 
1. 046,51 354.49.30,0|+ 5,8 10,8| 10,2+ 50,5/62,0 
2 18. 4,94[+ 0,09 280.40.10,5|+ 6,4 11,1| 11,6[- 34,4 
8.35.46,29[+ 0,19 295.41.49,0[+ 4,5 10,9! 10,6[- 16,8 
8.45.56,0b[+ 0,08 278.35.35,5|+ 4,5 — 37,4 














"HAALVAUASIO 


. [Faible et ondulante. 


REMARQUES. 








Bord inf. à 45m36s. 


Très-ondulante. 
Id. 
Id. 
Brouillard. 


Ondulante et faible. 


Bord sup. à 49"165.l}| 
Bord inf. à 15"20°.B}! 
| 

(Al 

Ondul. (Al 
; | 


Ondul. et faible. 





Dr 
Bord sup. à 19"4*. 


19 


Observations faites à la lunette méridienne en Avril et Mai 1843. 























































































































CORRECTION le] œ 1 = ° 
PASSAGE Fa MOYENNE |29 | %  fruensouërue. = 5 | 2 
NOM CONCLU TT, 2 a = 2 , e e z 
BE des 20 |s 8 a | REMARQUES. ‘ 
DES ASTRES. | e l'iastru-| la 2 2 3 Jinté- | Exté- = 3 | so 
FIL MÉRID. ment pendule} VERNIERS, : £ # ricur rieur. o S 2 
65 42 Cancer....3| 8.48.28,65{+ 0,08 278.50. 0,04 4,9 B. 
76 x Cancer. ..... 0,07 277.40. 2,5|+ 4,9/726,4[+10, $ 
œ Hydre ASÉCRO Et 3 0,09 258.23.56,5 + 5,0 256,1 » Nuages. 
2 DOTE RE 0,08 279. 6..8,0+ 4,1/726,6 53,1| » 
37 Lion........ 4 0,09 280.52.41,7|+ 44 » 
LAN AO TEE 0,10 282. 8. 5,5|+ 4,1 » 
æ Grande Ourse. .. 0,69 328.57.23,5|+ 3,8|726,8| 55,4| » 
a Petite OurseS...| 1. o.4#4,11 354.49.30,0|+ 5,5/724,1 Gr,4| » |[Niv.+2P,8r. 
Soleil, 1°r bord... .| 2.21.49,78|+ 0,09 280.27. 4,54 5,2]723,5 » [Bord inf. au mérid. 
a Cassiopée....... 0.30. b,b4]+ 0,53/-91,09|322. 2.14,5+ 4,1|723,7 57,1| » 
a Petite OurseS...| 1. 0.3g,11 354.49.32,5|+ 4,1|723,6 62,3| » 
PPion (ff)... 10. 0.28,84|+ 0,08|+26,25/279. 6. 9,o|+ 3,0 72954 53,5, » 
HADION ee 10. 8.43,20|+ 0,09 280.52.44,0|+ 3,3 » 
HOMTION =... csee 4110.13.51,go[+ 0,10 282. 8. 4,5|+ 3,5 » 
FT 10.19.49,72]+ 0,07 276.55,56,2+ 3,5 » 
LE POS ERNS 10.27. 4,98[+ 0,04 274. 7.57;2|[+ 3,5|729,5 » 
DS Zion 4 0 10.41.28,68[+ 0,06 277.44.38,0 [+ 3,5 » 
54 Lion, préc... ..|10.47.34,72l+ 0,15 291.57.13,7|+ 3,5 » 
a Grande Ourse. .3[10.54.28,05|+ 0,69/+25,741328.57.25,2|+ 3,5 56,0! » 
65 p: Lion...... 4110.59.22,61|+ 0,02 269-10.50,2|+ 3,7 » 
POOION- « see coke 11. 6.28,48[+ 0,10 282.39.24,2+ 3,5 » 
FOLion. 1. 4l11:16.20,14[+ 0,02 268.53. 5,5|+ 3,5 » 
79 r Lion........ 11:16.27,72]+ 0,02 268.38.35,5|+ 2,9 » 
87e Lion....... 411r.22.46,47| 0,01 264.14.20,5|+ 3,5 » 
91 v Lion..... ..|11.29.23,56| 0,00 266.25. 7,5+ 3,8|729,7 » 
BADTONE 0 2e de 11.41.31,62Ù+ 0,10|+26,08 » 
(167) 2 Vierge... .|11.43.29,90|- 0,03 261.55. 4,514 3,5 » 
y Grande Ourse..2|11.46. 1,)8[+ 0,50|4+25,58[320.55.40,o[+ 4,1 54,8| » 
(1383) Vierge... .…. 11.50.40,08|+ 0,03 270.43.44,0[+ 3,5 Ù » 
9 o Vierge....... 11.57.41,46[+ 0,06 275.58.30,2+ 1,4 » 
12 & Vierge....... 12. 5 54,96|+ 0,06 277.30.24,0|+ 1,4 » 
13 x Vierge..... 412.11. 6,54] 0,00 266.27.36,5 + 1,8 » 
MAViErge.--.-.… k|12:15. 1,90!+ 0,04 272.33. 5,74 2,0 » 
(1432) Vierge... .|12.20.17,50]- 0,03 262.37.58,5+ 1,2 » 
20 Vierge........ 12:25.3/,96[+ 0,06 277.31.58,0/+ 1,2 » 
a Cassiopée I. ...3|12.22. 4,56! 0,53/425,72] 30.37. 8,21+ 2,31729,8 57,7| » 
a Petite OurseI...3/13- 3. 7,85 357.52.36,0|+ 1,4 57,2| » 
aVierge......... 13.17.25,08|- 0,06 +26,07[256. 2.33,21+ 1,8 557,1| » 
M 183 Vierge........ 13.36.31,561- 0,10 251. 0. 3,7|+ 0,8 » 
- |7 Grande Ourse. ..|13.41.49,741+ 0,43/+25,741316.27.36,0 + 1,5|729,7 56,9| » 
Médine... {8:44 132.33.52,3|+ 3,3 » [Moyenne de 4 obs. 
& Andromède. .. ..| o. 0.42,53]4 0,18/424,89l294.35.31,0+ 4,0/728,6 53,4| » [Niv+2,7r. 
Vénus, 2me bord...| 0,12.27,80) 0,00 265.57.56,0|+ 3,5 » |Centre au méridien. 
a Cassiopée....... 0.32. 2,444 0,53/424,65|322. 2.16,5\+ 3,8]728,5 2159,1| » 
æ Petite OurseS...| 1. 2.33,81 354.49.32,5+ 4,11728,5 63,3| » 
M4lx Petite Ourse S..3| 1. 2 27,8/ 354.49.32,0 + 4017267 11,9 5o,1/63,5| » 
(*) Avant cette observation la pendule a été avancée de 2 minutes. 








20 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843. 







































































































































































































CORRECTION Le) œ LL] l 2 
ë PASSAGE de MOYENNE | = = 2 Jrucuuoyèree. ee 5 3 | 
© NOM GTR a © a 5 
e CONGLU a des EM UN ii à « & | < 
Ë _. 28 8 £ | REMARQUES. 
# DES ASTRES. , l'instuu-| la UE 3 lute- | Exté- = ANR 
FIL MERID. ment, | pendule] VERNIERS. o É etre lieu si 2 = 5 
L mes rt s. EE 2] min E 2 FR nou Fe i 
5|Soleil, 1er bord....| 2.46.31,38]+ 0,26 282.15. 3,2|4 3,0/726,7|+14,9 +13,4]- 32,1 B. [Bord inf. à 4ym32s. 
x Cocher........!. 5. 5.23,89l+ 0,98|+17,64 » 
B Orion......... 5. 7-18,00!- 0,14|+17,481257.59.43,5|+ 4,0|725,8 À 
G Taureau ...... 4] 546.40,561+ 0,51|+17,58/294.50.11,5|+ 4,11725,8 17; 
m OKON -- sec 4] 5.46.58,87{+ o,12|+17,52/273.44.49,7|+ 3,61725,6 43,9153,3| » [Niv.+3r,34. 
70 0 Lion........ 11. 6.19,30]+ 0,26 282.39.12,5|+ 3,3/726,0 : 
76 Lion......... 11.11.11,20|+ 0,04 268.53. 1,5|+ 2,8 
79 r MON see sep 11.16.18,62|+ 0,04 268.38.26,7 + 2,2 
87 e Lion........ 11.22.3742)— 0,04 264.17. 0,5[4 2,1 
gi u Lion........ 11.29.14,56- 0,01 266.25. 2,5|+ 1,8 
3 y Vierge....... 11.38. 7,02}+ 0,12 273.46.50,2|+ 1,2 
(CEST SAME à 11.41.2260! 0,26|+17,26 
(167) B Vierge... .|r1.43.20,68/— 0,07 261.55. 3,54 o,2 
9 o Vierge....... 3/111.57.22,50]+ 0,15 272.58.33,7|+ 1,8|725,9 
12 £ Vierge... .... 12. 5.45,88/+ 0,18 277.30.23,0|+ 1,5 
13 x Vierge...... 12.10.57,36]- o,o1 266.27.34,5|4+ 1,3 
17 Vierge........ 12.14.53,02]+ 0,09 272.33. 5,5|+ 1,7 
(1432) Vierge... .|12.20. 8,52]— 0,06 262.37.52,o|+ 1,7 
20 Vierge........ 12.25.26,02!+ 0,17 277-31.53,2|+ 1,8 
a Petite OurseI....|13. 3.27,70 357.52.34,0|+ 4,r|726,0 
œ Vierge......... 13.17.16,18)-— 0,17,+17,05/25b. 2.23,2|+ 3,7 
70 w Vierge...... 13.21. B,10]+ 0,25 280.59.13,0|+ 3,3 
83 Vierge........ 13.36.22,80]- 0,26 250.59.5/4,b|+ 2,6 
n Grande Ourse...|13.41.40,58|+ 1,13|+17,30 
a Andromède....3| o. 0.33,541+ 0,50|41b,12/294.35.28,0|+ 3,01725,2 47,0| » |Nuages. 
Vénus, 2mebord...| 0.29.42,56|+ o,o7 267.43.13,2|+ 3,7 — 54,6 -| » [Centre au méridien. 
æ Cassiopée...... 3| 0.31.53,03[+ 1,39|+15,96|322. 2. 8,2|+ 3,8/725,0 | 
a Petite OurseS..1| 1. 2. 5,83 » [Nuages. | 
8|Lune, 1er bord... .4 10.24.16,45}+ 0,07 270.57.41,5|+ 2,5 7198 — 49,1 » |Bord sup. à 25m235. ! 
34 Sextant....... 10.34.44,22 + 0,07 270./6.27,0 + 2,5 , 
b3,2 Lion...°..." 10.41.13,22/+ 0,20 277.44.38,7|+ 3,3 { 
54 Lion, préc... ..|10.47.19,58|+ 0,46 291.57. 9,0[+ 3,4 L 
58 d Lion....... 4|10.52.40,511+ 0,07 270.49.51,5|+ 2,31720,0 F 
79 rLiou........ 11.16.12,40!+ 0,04 268.38.27,7|+ 2,5|720,0 fi 
87 e Lion........ 11.22.31,08|— 0,04 264.14.13,7|/+ 2,0 k 
Dion ue 11.29. 8,22}— O,01 266.24.58,2|+ 2,2 ÿ 
3 y Vierge... .... 11.38. 0,66[+ 0,12 279.46.48,0[+ 2,9 21 
DOUANES « 1r.4r.16,36}+ 0,26|+r1,04 3 
y Grande Ourse. .1 11.45.45,88]+ 1,33|+10,8b : 
(1383) Vierge... .4|1 1.50.24,58[+ 0,07 270.43.48,7|+ 2,2|720,5 
g9la Lion... .. RE à 10. 0.11,22]+ 0,224 8,88/279. 6. 9,21+ 3,41724,6 7,0] 37,0/52,8| » |Ondulante. 4h 
MOMIDR = ee me eiete 10.26.47,46[+ o,12 274. 7.b1,b|+ 1,2 Ù de 
R3Tiont ee eh 10.41.11,02]T 0,20 277444r,b|+ 1,2 ki 
54 Lion, préc.....|10.47.17,22]+ 0,46 291.57,11,2|+ 0,7 Ta 
HS TILION ce: 10.52.38,10)+ 0,07 270.49.54,0|+ 0,3 I 
65 p* Lion....... 10.59. 4,72]T 0,05 269.10.45,0|+ 0,6|724,8 5,41- 53,2 » ld. Cod 
Lune, 1® bord. ...|11.18.37,40]— 0,04 264.48.52,7|+ 1,2|724,8 —I. 2,0 » |Id.B. sup. à 1932] 
87 eLiou........ 11.22.28,80]— 0,04 264.14.15,7|+ 0,3 1. 3,4 » |Id. & 
91 v Lion........ 11.29. B,94]— 0,01 266.25. r,2|+ 0,5 * Ori 
3 » Vierge... ..... 11.37.58,5o]t 0,12 273.46.53,0|+ 0,2 ns 
8 Lion.... ....3|1r.41,14,11[t 0,26|+ 8,80 4 
Stru 














21 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843. 















































CORKECTION [e] œ = = © 
à PASSAGE fe MOYENNE |=2 | % [ruenmouëtue. a a |Z 
2 NOM CUNCLU EE 3 x 2 É Ê Z 
= “ des & Sal 8 |2|2| REMARQUES. 
à RES ex mérrp, |'itu| | vennrens. | * EME © 2 | 
ment | pendule IERS. 2 s 2 # =! 
h: ms: s 11 1 min. 11 
B Vierge......... 11.42 42,44]4 o0,04|+ 8. ,71 TA I. 3, 2|+ 0,3 51,5| B. [Ondul. 
y Grande Ourse..4|11.45.43,971+ 1,33|+ 8,97/320.55.37,0|+ 0,8|725,1|+ 98|+ 4,44 8,3 47n| » |Le ciel se couvre. 
11|Soleil, 1 bord....| 3. 9.33,44|4 0,30 283.53.21,5|+ 4,4]731,1 » [Bord inf. à rom3rs. 
œ« Orion......... 5.46.46,12|4 o,12/+ 4,79l273.44. je 2|+ 4,41730.9 45,9 » |Niv.+3rP,04. 
œ Grand Chien. ...| 6.38.19.62|- 0,28|+ 4,80/249.52.54,5|+ 4,5/730,9 44,7| » 
a? Gémeaux... ._| 7.24.40,09|+ 0,59|+ 4,761298.35.31,5|+ 4, 78 47,2| » 
« Petit Chien..... 7-31.10,64[+ o,o9|+ 4,47 PT .5g. 43, 54 3,5 49,7| » 
BG Gémeaux.... .. 7-35.47,80l+ o,511+ 4,681294.45.57,5|+ 3,71731,0 8146,3| » 
x Hydre......... 9-19.58,50]- 0,134 4,27 a 23.48,5|+ 3,5|731,4 46,2| » 
RARIOD eee ee 04 10. 0. 6,544 o,22|+ 4,22l279. 6. 2,2[+ 3,0/731,6 45,41 » 
DTNON Se « eee ce 410. 8.21,07l+ 0,25 280. 52.35,5|+ 3,1 » 
HarHion-e.....:. 10.13.29,74|+ 0,26 282. 7.59:7[+ 31 » 
#5 Lion......4:. 3/10.19.27,60[+ 0,16 45 55.:5o,0|+ 3,1 » 
48 Lion......... 10.26.42,94[+ o,12 274. 7- .46,7|+ 3,1 » 
34 Sextant....... 10.34.37,944 0,07 270.46. 25,7 + 3,0 ( » 
DONATION: ttes. 2 « 10.41. 6,54[+ 0,20 277-443737|+ 2,5 38:9 » 
54 Lion, préc... ..|10.47.12,60|+ 0,46 291. Ce 5,o|+ 3,3 210 » 
58 d Lion........ 10.52.33,68|+ 0,07 270.49.52,0|+ 2,3 499 » 
6b}psiLion:.….. 2. 10.59. 0,42]+ 0,05 269-10.42,0 + 2,8 5::9 » 
70 6 Lion........ 11. 6. 6,34/+ 0,26 282.39.19,5[+ 2,6|732,0 : 32,2 » 
9x v Lion........ 11.29. 1,54[- 0,01 266.24.58,5|+ 4,9 58,2 » 
319 Vierge... ... 11.37. Ste + 0,12 273.46.47,0|+ 2,4 5,0 » 
Gibionse A6 doretie à 11.41. 9,60]+ 0,26|+ 4,31 » 
(167) B à -.|11.43. 7,66!— 0,07 261.55. o,2|+ 2,2 1. 8,3 » 
(1383) Vierge... .|11.50.17,84]# 0,07 270.43.39,2|+ 2,3 — bo,2 » 
9 0 Vierge....... 11.57.19.44[H 0,15 275.58.30,0|[+ 2,5 — 417 » 
12 £ Vierge... .... 12. D.32,94[+ 0,18 277.30.10,5|+ 2,31732,6 39,5 d 
21 q Vierge (*)....|12.25.47,92]- 0,15 HEURE + 1,0/732,6 - 7 
œ Cassiopée I..... 12.31.45,b0o}— 2,86|+ 4,09] 30.37.17,5|+ 2,4 732,6 8,0/+4.20,5| 9,7| » 
4o d Vierge...... 12.46.17,96|+ 0,70 257.41.56,0[+ 2,3 à 
« Petite OurseI....|13. 3. 39,20 357. 52. 49, 7 + 3,0 + 57,0 10,6 » 
Lune, 1° bord. ...|13.12.29,90|+ 0,63 252.44.1b,0[+ 2,3 —1.36,9 » |Bord sup. à 13"30°, 
70 w Vierge...... 13.20.51,161+ 1,11 280.59.29,5|+ 2,0 =" 34,7 » 
83 Vierge........ 13.36. 8 ,82|+ 0,60 251. 0.13,2|+ 2,41732,8 —1.44,0 » 
8y x Vierge...... 13.41. 27,88 + 0,56 249. 2.37,5 + 2,9 —1.53,0 » 
æ Andromède. . -.4| o. o.19,81|+ 145 + 3,18 » [Niv.+2,82. 
œ CassiopéeS..... 0.31.38,98|+ 2,861+ 3,17]322. 2.25,2|+ 4,11734,4 12,0]+ 9,3] 9,3| » 
Vénus, 2Mebord...| o. es 40,341 0,90 270.22.98,5|+ 4,1 » [Centre au méridien. 
« Petite OurseS...| r. 1.31,70 354.49.36,0|+ 4,51734,5 5o,6|10,3| » 
A os ee 132.34. 4,6|+ 5,0 » [Moyenne de 7 obs. 
a Bélier messe 4 1.58.22,70 + 1:29 + 3} 00 289. 5, 28,2 + 5,9 734,5 24,1 5,1 » |[Ondul. 
2|Soleil, 1° bord....| 3.13.24,60l+ 1,17 284.40,37,2 + 4717343 : 29,3 » [Bord sup. à 14m295. 
a Taureau ...... 4] 426.57,451+ 1,134 2,60 » 
Mercure, 1er bord..| 4.29.14,61]+ 1,32 290.25.15,2|+ 6,4 734,2 4 » |Centre au méridien. 
œ Cocher......... 5. 5. 7,87] 2,:17[+ 2,83 » * 
RIONonIe.. ee 5. 7. 2,24] o 9:70 + 2,58/256.59.55,5|+ 4,6, 734,1 —1.17,2| 3,4| » 
BG Taureau....... 3| 5.16.24,411+ 1,45|+ 2,39/294.50.25,5/+ 5,0 734,1 15,7|- 17,6| 5,8| » 
Orion. 5.46.42,90l o,96[+ 2,41 














(*) Apres celle observation la lunette a été heurtée prés de l’oculaire, Ce qui a causé un changement dans la position de 
l'instrument, F 


6 


22 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai 1843. 







































































CORRECTION 4: à SL œ "4 E Le [=] 
= PASSAGE de MOYENNE | = 2 2  fJruenuonèrne. Si 5 A 
& NOM CONCLU 5 = & ne —— a © 2 
2 au re 8| © 3 | % || REMARQUES. 
Ù DES ASTRES. 3 l'insten- la BL C] Inte- | Exté- te) = & 
FIL MÉRID. went. | peudule.} VERNIERS. "à na El rieur. | rieur. © Ë 5 
3 bh. m.s s. s. FOUR 11 2 o o 1 
x Grand Chien....| 6.38.16,50ol+ 0,58|+ 2,60 B. 
æ? Gémeaux...... Eee + pu + ner » 
a Petit Chien ..... 7.31. 7,481+ 0,93|+ 261271.59.59,5|4 4,5 47,0! 7,0] » 
BG Gémeaux....... 7:34.44,50l+ 1,454 2,33 ARPALTE + 45 +16,0!- : à. » 
3 y Vierge....... 11.37.50,9b|+ 0,96 273.47. 0,04 2,31733,0l+12,4| x1,6|- 44,8 » 
BRON. see ee 11.41. 6,40Ù+ 1,124 1,98 » 
(167) 2 Vierge. .4|11.43. 4,58]+ 0,78 261.55.10,0|4 2,6 8,0 » 
(1383) Vierge... 11.50.14,66[+ 0,90 270.43.55,7|4+ 2,6 5o,o » 
9 o Vierge... ..... 11.57.16,24|+ 0,99 275.58.40,2|4 2,4 41,6 » 
12 £ Vierge... .... 12. 5.39,90|+ 1,01 277.30.39,5|+ 2,6 39,3 » 
13 x Vierge... ... 12.10.41,40|+ 0,84 266.27.50,2|+ 2,6 58,2 » 
21 q Vierge. ..... 12.25.44,88[+ 0,71 257.47.57,5|+ 1,8[734,1] 12,0] 10,0)-1. » 
a Cassiopée I..... 12.31.43,,6)— 2,86|+ 1,91] 30.37.17,2l+ 1,7 92+4.19,3| 734 » 
4o d Vierge. ..... 12.46.15,821+ 0,70 257.42. 0,5|4 1,2 9l-1:19,8 » 
a Petite Ourse I....|13. 3.41,00 357.52.52,0|+ 2,3 9» 56,8|11,8| » 
œ Wierge.--.... 4\x3:17. o,04[+ 0,68|+ 1,77/256. 2.41,2|4 1,7 4,9| 2,7| » 
70 w Vierge...... 13.20.48,88|+ 1,11 280.59.31,7|+ 2,8 9,1|- 6 » 
BV IERBE se = 1e 13.36. 6,46/+ 0,60 251. 0.12,2|+ 1,0/734,0] 11,9] 8,5)-1.43,8 » 
89 x Vierge...... 13.41.25,50]+ 0,56 249. 2.34,7|+ 1,5 8,4|-1.52,9 » 
14|x Petite Ourse S..4| 1. 1.22,00 354.49.40,0|+ 2,91726,2! 16,0! 15,714 4g,4l12,1| » 
4 Vénus, 25e bord...| 1. 8.43,761+ 0,93 Értde : 32 Es 16,0 at E FER » |Centre au méridien. 
15|Soleil, 1er bord... .| 3.25. 4,48]+ 1,19 284.53.13,5|4 2,41725,7| 16,4| 18,3]- 28,3 » [Bord inf. à 264,55, 
DRIHYATÉ- Ses se ele 9:19.48,80f+ o,71|- 4,541258.24. 7,2|4 2,61724:2] 16,5] 16,2-1.14,9| 5,7| » 
19/70 Dion. re. IT. 5.47,94 + 1,13 282.39.28,2 + 4,5 726,5 11,8| 10,0]- 32,0 » 
FOMAON--- sec 3/11.10.59,731+ 0,89 268.53.11,2|+ 5,2 53,0 » 
79 r Lion....... £l11:15.47,2414+ 0,89 268.38.42,0|+ 4,7 53,5 » 
SELON... 1e 11.22. 6,04[+ 0,79 264:14.24,0|+ 4,8 2,4 » 
Y1 v Lion....... 4|11:28.43,11{+ 0,84 266.25.14,5|+ 4,7 < 57,9 » 
3 » Vierge........ 11.37.35,641+ 0,96 273.47. o,ol+ 4,21726,7) 11,7| 9,6]- 44.7 » 
y Grande Ourse. .3|11.45.20,33|+ 2,76|-13,01|320.55.51,7|+ 3,8 g:0i+ 8,2] 4,2! » 
9 o Vierge... ..... 11.57. 1,0414 0,99 275.58.48,0|+ 4,41726,7) 11,7] 9:61- 41,3 » 
12 € Vierge... ... 12. 5.14,58l4 1,01 277-30.35,0[+ 3,6 39,1 » 
13 x Vierge....., 12.10.26,10]+ 0,84 260.27.50,5|+ 4,1 57,9 » 
LrVierge: il." 12.14.21,60! 0,94 272.33.19,2|+ 4,4 46,9 » 
(1432) Vierge... .|12.19.37,20l+ 0,76 2b2.38. 4,o|+ 3,7 6,5 » 
20 Vierge... ..... 12.24.54,52l4 1,02| . 277.32. 8,ol+ 3,61726,9! 11,7| 8,3 2 » 
a Cassiopée I..... 12.31.28,40)- 2,86|-13,42 » 
a Petite Ourse L...|13. 3.23,00 ÿ 
a Vierge........ 4113:16.44,5414 0,68|_13,711256. 2.42,0|+ 4,2 24,5| 6.9! » 
70 w Vierge. ....! 13.20.33,62! 1,17 280.59.50,0|+ 3,7 4 » 
83 Vierge........ 13.35.51,10}+ 0,60 251. o.11,2|+ 3,4 7,0 » 
n Grande Ourse. ..|13.41. 8,641 2,42|_13,23l316.27.49,5|+ 4,11726,8| 11,2 3,8| 8,4| » 
21|x Petite Ourse S..3| 1. 1.13,00 354.49.38,0|+ 4,9/728,6| 1 1,6| 14,44 40,8113,;| » |Nuages. 
Vénus, 2me bord..….| 1.39.31,18[+ 0,97 274.43.54,01+ 4,41728,5) 11,5] 15,7]- 42,4 » 
x Bélier... 7... 1.58. o,78]+ 1,29|-r9,12/289. 5.32,5|+ 4,41728,4] 12,0] 16,0]- 23,7] 8,0! » |Niv.+5r,20. 
22|Soleil, 12r bord... .| 3.52.38,44[+ 1,23 286.56.59,5|+ 4717276 15,5| 17,8]- 26,0 » [Bord sup. à 53m38]}l}i 
æ& Cucher....,.... 5. 4.45,59l+ 2,17 —19,47 » |[Ondulante. 0 
B Oriun ....,..., 5, 6.40,22;+ 0,70,—19,45/257.59.55,5|+ 5,6/727,0 16,3] 18,5 4,7| » | Id: da 





23 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai 183. 











oi 





LORRE 
s NOM. sn ts 
ä CONCLU SR — 
z DES ASTRES. HE 'instru- 
FIL MERID. meut, 
h. m, s. s. 
B Taureau ...... 3| 5.16. 2,414 1,45 
Mercure, 1% bord..| 5.30. 2,86|+ 1,39 
RROTIDD A fe este cite 5.46.20,861+ 0,9b 
« Grand Chien. 6.37.54,38|+ 0,58 
HyArEs ee. un 9-19.33,48|+ 0,71 
œ ion... 9-59.41,46[+ 1,06 
58 Lion ssvaers sr 10.40.41,241+ 1,02 
54 Lion, préc... ..|10.46.47,261+ 1,39 
58 d Lion.......,. 10.52. 8,46[+ 0,92 
65 p? Lion....... 10.58.35,;20]+ 0,89 
70 GLion........ 11. 5.40,98|+ 1,13 
76 Lion........ 4|11.10.32,93|+ 0,89 
87eLion........ 11.21.59,24[+ 0,79 
gt v Lion..... .. 11.28.30,34]+ 0,84 
3 y Vierge........ 11.37.28,84[+ 0,96 
Bientot. 4\11.40.44,320+ 1,12 
(167) B Vierge... .4|11.42.42,63]+ 0,78 
Grande Ourse. .3l11.45.12,86|+ 2,76 
(2383) Vierge... .|11.49.b2,661+ 0,90 
12 4 Vierge... .... 12. b. 7,68]+ 1,01 
13 nr Vierge....., 12,10.19,14]+ 0,84 
L7Vierge... 1.1... 12.14.14,74]F 0,94 
(1432) Vierge. 12,19.30,26[+ 0,76 
20 Vierge........ 12.24.47,62Ï+ 1,02 
a Cassiopée I....4|12.31.21,76]— 2,86 
4o d Vierge. ..... 45.53,78[+ 0,70 
a Petite Ourse I... .|13. 3.29,50 
DVIENBE. «ere ce 4|13.16.38,07|+ 0,68 
70 w Vierge...... 13.20.26,82]+ 1,11 
83 Vierge......., 13.35.44,50of+ 0,60 
4 89 x Vierge....., 13.41. 3,52]+ 0,56 
À 1585) Vierge. ..|13.46.26,74[+ 0,73 
| (2594) Vierge... |13.51.30,92|+ 0,73 
94 Vierge......, 3113.55.45,31l+ 0,71 
| GaVienge.tr.. 1: 13.58. 7,38]+ 0,71 
A 198 x Vierge... .... 14. 414,02l+ 0,70 
[| |«Bouvier........ 14. 8.11,80]+ 1,21 
|| |103 uv? Vierge... ..|14.13.35,56|+ 0,82 
M3 Lion........... 59.39,12|+ 1,06 
|} |70 6 Lion....... Alice. 5.38,64[+ 1,13 
M |79 r Lion....... 3/11.15.38,10]+ 0,89 
| Dre Lions... 11.21.6,80!+ 0,79 
Pulgr v Lion........ 11.28.33,88|+ 0,84 
| 13: Vierge........ 11.37.26,42|+ 0,96 
DC Lion... 4har4o.4a,95f+ 1,12 
A |> Grande Ourse..3|11.45.10,76|+ 2,76 
| 
125 « Petite OurseS..2| 1. 1. 4,05 
5118 Lion ......... 4\xr.40.24,50l+ 1,12 
y Grande Ourse. .4|11.44.52,97|+ 2,76 
go Vierge....., k|11.56.34,47{+ 0:99 











de 














RP MOYENNE | = É £ TUERMO 
= À ° 
——_—, des Z E Es nat 
la Eh Le] = Inte- 
pendule} VERNIERS. 9 # Fe 
—19,62/294.50.23,0|+ 5,8/526,91+16,3 
291.50.33,0|+ 4,9/726,9! 16, 
—19,61/273.44.59,5|+ 5,0 
—19,43/249.53.13,5|+ 4,2/726,51 16,5 
-19,78/258.24. 7,5|4 3,3/7925,8] 16,0 
—19,89}279. G6.19,0[+ 3,81725,8| 15,8 
277.44.52,2+ 2,9 725,7 15,6 
291.57.23,5|4 2,9 
270.50. 0,b|+ 2,1 
269.10.55,7|+ 2,4 
282.39.32,0|+ 2,6 
268.53.11,7|[+ 2:9 
264.14.24,0|+ 2,1 
266.25.10,0|+ 2,3 
273.47. o,o[+ 2,0 
—20,00) 
261.55. 9,5|+ 2,3 
-20,411320.56. o,7|+ 1,8 
270.44. o,o[+ 2,4/1725,6| 14,3 
277.30.42,0[+ 1,5|725,6! 14,3 
266.27.49,5+ 1,9 
272.33.10,5|+ 1,4 
262.38. 8,2|+ 2,0 
277.32. 8,b|+ 1,0 
—20,19) 30.37.26,0|+ 2,9 
257.41.50,b|+ 2,1 
357-52.54,5|+ 1,8]525,8| 13,8 
—20,17/256. 2.42,o|+ 2,0 
280.5g.29,0|+ 2,0 
251. 0,12,5|+ 1,8 
249. 2.34,0[+ 1,0 
259. 6. 2,5|+ 0,9/725,8| 13,6 
258.59.22,b|+ 1,9 
2b7.49.26,0[+ 0,9 
256.50.41,5+ x,5 
—20,231286.22.30,7|+ 1,2 
265. 6.47,0[+ 0.,8|725,7] 13,2 
—22,21/279. 6.29,5|+ 3,71723,0] 15,5 
282.39.3%0 + 31 ; 
268.35.39,2|+ 2,6 
264.14.32,2|+ 3,5 3 
266.25.16,2|+ 2,2 
273.47. 4,ol+ 2,0 
—22,36 da: 
—22,49/320.56,59,7+ 1,51723,0! 13,7 
354.49.37,7|+ 3,51731,6| 14,8 
—39,73/281.49.18,2|+ 3,0/731,2] 16,8 
-40,08]320.55.59,2|+ 3,6 
275.58.41,2l+ 3,3 

















F = 

MÊTRE. SE £ 

‘= 5 

a a A 

Div 

Exte- = = 

rs o mn 
o Leur 2 
1+18,5/- 17,2] 5,o 

18,5 20,4 

Eu 43,4 4,2 
19,0/-1.43,7| 40 


17,9/-1.14,6| 6, 
EL 35,7 3e 
17,0] 37,b 
20,4 
48,4 
51,3 
31,2 
52,0 
14,811. 1,2 
— 56,8 
F 43,9 


—1. 6,6 
+ 8, 
13,41 49,0 
13,4} 38,5 
Fr 0D7:0 
— 4b,1 
OH 
— 38,6 
12,1)+4.13,9 
-1.18,2 
11,214 55,8 
=1,23,4 
— 34,0 
11,0)—1.41,0 
-1.50,0 
-1.14,5 


10,81—1.14,9 





16,0 


16,0[- 


11,5 





—1.18,2 
—1.21,2 
— 27,3 
97{-1- 0,5 


12,8l- 36,2 
— 31,5 
— 52,8 
—1. 1,6 
11,7/- D7;1 
— 442 








10,9]+ 8,1| 8,3 
14,,1}+ bo,il13,1 
18,2]- 32,3| 3,0 


+ 8,0 9,0 
18,21— 40,3 





"HAILVAUISUO 


B. 


»n 











REMARQUES. 





Ondul. 
Centre au méridien. 


Nuages. 


Niv.13r,38. 








24 


Observations faites à la lunette méridienne en Mai et Juin 1843. 















NOM 


*sunor 


DES ASTRES. 





12 £ Vierge...... A 
15 x Vierge..... 4 
17 Vierge. DDC © 
(1432) Vierge... 
4o d Vierge...... 


œ Petite Ourse I... 





70 w Vierge 
n Grande Ourse... 
« Petite OurseS.. 
a Bélier...:...... 






La 


Soleil, 1e bord.... 








B Gémeaux...... 
a Petite Ourse I.. 






n Grande Ourse. .£ 


7|Soleil, 1er bord. .4 
a? Gémeaux 
« Petit Chien 
B Gémeaux SOS D 


y Grande Ourse.., 
Lune, 3er bord.... 































THERMOMÈTRE. 


a 


Ioté- 
rieur. 













__— 


Exte- 


rieur. 


"NOILOVHAAU 


—1.17,6 











CORRECTION e] s 
PASSAGE 4e MOYENNE | = & B 
CONCLU a  —, de 23 2 
F5 l'instru- la È Æ 3 
FIL MERID,. ent. pendule. VERNIERS. 3 3 E] 
ELA Fer 
277.30.35,5|+ 3,4 
26b.27.48,5|+ 2,8 
272.33.17.3|+ 2,6 
262.38. 2,5|+ 2,9|7 
257.41.50,2|+ 2,5 
357.52.52,5|+ 3,5|7 
280.59.29,7|+ 2,1/731,1 
-39,77/316.27.52;5Û4 23/7371 
-40,93/289. 5.28,0/+ 

















288.38.41,0 
0,96 (1,02 273. 45. 3,7 
0,93 E c 0!272. o. 5,0 
1,45|-41,40/294.46.16,0 
357. 52.50,7 
0,68|-41,88/256. 2.39,5 
2,42 -41,931316.27.57,5 


1,27 





On retourne l'instrument. 


On retourne l'instrument. 


Ou retourne l'instrument. 


Cercle Est, Niv.+6r,6r. 11 pleut; la mire n’est plus visible. 









On laisse l'instrument le cercle à l'Est. 


4.572546|+ 
7-23.43,48|+ 
7.30.14,26|+ 
7-34.51,47|+ 
9.59.10,20|+ 
10.53. 8,55l+ 1 
11.40.13,16[+ 
11.4/.42,60|+ 
12.47.52,78]- 


a Petite Ourse I...4/13. 2.26,43 

x Vierge. ........ 13.16. 6,76|- 
70 w Vierge..... 4113.19.55,78[+ 
83 Vierge........ 113.35.13,18]— 
89 x Vierge...... |13.40.32,30|- 
(1585) Vierge... ..|13.45.55 161 
(1594) Vierge... . .|13.50.59,60]- 
98 x Vierge..... 3l14 3.42,71]- 
a Bouvier....... 44 14. 7.40,64[+ 


0,30 335.46.28,0 
0.46 —51,80/326.32.17,2 
o 07 -51,77 353. 8. 8 
0,40|-51,66/330.21.5x 
o "17 —51,80|346. 1.47,5 
54) 51,72 296.10.27 
ES —51,91/343.18. as + 
1,05|-5P,98[304.12. 8,7 + 


+ 
+ 
50 + 
54 
[F 
o+ 


0,15 10.13. CE 5 + 
267.15.16 55 
0,14|-52,23] 9. 5. 290) + 
0,20 344. 8.4 Lojol+ 
0,20 14. 17-9937 |+ 
0,23 16. pat 
0,10 6. 2.10 ot 
0,10 6. 8.50,0+ 
0,13 8.17.28 54 
0,27|-52,28|338.45.45,0| 4 


? 


© Co 


3) 
2; 
3, 
3, 
3 
2, 
3, 
3; 


? 


4, 


I 
3,5 
2,3 
35 
3,5 
3,5 
44 
437 
4x 


L 
L 


6|Cercle Ouest, Niv.+4P,28. Le fil méridien est de 7r,46 à l'Est de la mire. 


731,2|+16,6 
730.6] 16,6 
730,4. 16,7 
)|730,41 16,4 

730,4] 15,8 
330,3] 15,0! 
730,1] 14,8 
730,2] 13,8) 


15,8 
15,8 


Cercle Est, Niv.+5P,62. Le fil méridien est de 21?,94 à l'Ouest de la mire. 
On corrige l'erreur d'axe optique en amenant le fil méridien à 7,62 à l'Ouest de la mire. 


Cercle Ouest, Niv.+3r,54. Le fil méridien est de 7r,65 à l'Ouest de la mire. 








‘4104 na n311 


31,21 16,0! 15,3]+ 55,4| 8,9 





"MAALVANISAO 








REMARQUES. 









Nuages. 











+H14,4]+ 23,6 
+ 13,6 

+ 46,7 
16,2l+ 17,5 
16,3]+ 36,1 
15,o]- 16,1 
+ 32,8 


10,0!+1.21;7 


+ 27,9 





15,0 









INuages. 


INiv. 43,73. 















{Bord sup. à 33mbrs. 
Vapeurs. 
!Très-ondulante. 

| Id. 



































Bord sup. à 58185, 
Faible et ondulante. 
Id. 





Faib'e; vapeurs. 
Id. 





Id. 
Bord sup. à 48mb15. 
Moyenne de 3 obs. 











25 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843. 















































































































































CORRECTION oO = 3 æ [-1 
PASSAGE FE MOYENNE | =2 2 fruenuouëre. = m 3 
NOM- CONCLU ES =, £ Le = 5 3 
: FN Rene he 8 | 2 |2| REMARQUES. 
DES ASTRES. mx mérun. int la Hs =. Ioté- | Exté- Z EUME 
ment. | pendule] VERNIERS. 2 e rieur. | rieur. 2 a 5 
h. m, s. s. TPE! 1) mm. o o 1" 
45 c Bouvier... ..4|14.59.34,95[+ 0,35 333.16.54,0|+ 2,8|730,4[+13,8|+ 9,1 B 
3 Serpent........ 15. 0.34,32]+ 0,07 353.14. o,ol+ 4,1 » 
5 Serpent........[15.10.29,32]4+ 0,04 356.23.37,ol+ 3,6 » 
7 Serpent........ 345.37.43,5|+ 3,2 » 
10 Serpent....... 115.19.53,76[+ 0,04 356.21.54,0l+ 3,8 8,1 » 
x Couronne...... 15.27.12,97+ 0,38|_52,40|331.3r. 8,o|+ 3,7 78 12,0| » |[Ondul 
æ Serpent........ 15.35.43,54|+ 0,09|-52,381351.50. 8,0|+ 3,6|730,2] 13,9 12,4| » | Id. 
34 w Serpent..... 15.41.33,20|+ 0,04 356. 4.40,0|+ 3,5 » Id. 
(1817) Serpent... .|15.46.50,09!+ 0,27 337.59.18,2/+ 2,9 » Id. 
43 Serpent....... 15.55.11,08[+ 0,07 353.20. 6,0[+ 3,7|730,2 13,8 » Id. 
47 Serpent... .|16. o. 4,78]+ o,11 349.48.12,5|+ 3,4 » Id. 
(1861) Scorpion... .|16. 7. 0,31]- 0,25 18.26.43,5+ 3,7/730,1] 13,8] 8,ol+ » 1d.- 
æ Scorpion....... 16.19.59,531- 0,57 24.48. 6,5[+ 4,0 ,2 13,2| » Id. 
12 Ophiuchus.... .|16.27.18,04]--0,04 0.4415,7l+ 4,9 » | Id. 
(1908) Scorpion... |16.34.23,67|- 0,39 26.55.35,5|+ 3,8 » 
18 u Ophinchus. .4/16.39.23,44]- 0,34 23. 5. 9,7l+ 41 » 
Mars, centre...... 16.50.58,50]- 0,35 24. 0.27,2|+ 4,9/;30,0 13,3 » [Au méridien. 
| 8/Soleil, 1° bord....| 5. 1.21,24|+ 0,30 336.12.19,0|+ 3,6|727,6 17,4] 18,3|+ » [Bord inf. à 2m215. 
a Grand Chien....| 6.37.21,14[- 0,22 15.14.48,2|+ 3,5/726,8) 18,0] 20,3|+1 3,3| 6,9] » |Niv.+5r,83. 
x Gémeaux..... 2| 7.23-41,78|+ 0,46[-53,50|326.32.23,0[+ 2,5 16,5}+ 12,2| » |Très-faible et ondul. 
x PetitChien...... 7-30.12,08 + 0,07|-53,941353. 8. 9,7|+ 2,41726,6 17,4 16,71+ 98! » Id. 
G Gémeaux.....,. 7-34-49,85 + 0,40 —53,77 230.21.52,0|+ 2,8 8,4 » Id. 
L'EUTAANEERENE . 132.34, 5,3|+ 4,0 » [Moyenne de 3 obs. 
F1 NC) NOTE 9-59. 8,06[+ 0,17/-53,981346. 1.49,7|+ 4,61725,4] 17.8] 22,71+ 13,6! » 
æ Grande Ourse...|10.53. 6,534 1,45/-53,70/296.10.27,5|+ 3,8|725,2 18,0| 22,0]— 71] » 
84 + Lion........ 11.19. 0,02]+ 0,05 355. 2.24,0|+ 3,6/725,1] 18,0| 21,7]+ » 
CARTON Le... 2 4 11.40.11,06[+ 0,21|-5/,00|343.18.51,ol+ 3,8 13,0! » 
y Grande Ourse...|11.44.40,38|+ 1,05/-54,18l304.12. 8,74 3,6/325,1] 17.8] 20,7]— 6,9! » 
90 Vierge....... 11.56.20,90|+ 0,13 349- g.23,7[+ 4,1 20,5]+ » 
15 n Vierge..... &l1211. 0,98] 0,00 358.33. 9,o[+ 3,71725,1] 17,4 10,7|+ » 
& Vierge.....,. 3113.16. 4,59l- 0,14|-54,40 9. 5.32,7{+ 3,7|725,4 16,8 13,6| » |Nuages. 
70 w Vierge...... 13.19.53,64[+ 0,20 344. 8.40,2|+ 3,5 » |Le ciel se couvre. 
x2/Soleil, rer bord... .| 5.17.45,431+ 0,30 335.53.13,2|+ 4,8/724,71 15,1) 12,714 » [Bord inf. à 18m50$. 
æ Petit Chien..... 7-30. 3,76|+ 0:07 62,26 353: -8:.6,5|+,455 91! » 
B Gémeaux....... 7-34.4o,g1[+ 0,40/-62,211330.21.51,7|+ 4,4/723,9l 15,3] 15,414 g»| » 
a Grande Ourse. . .|10.52.57,93|+ 1:45/-62,17|2096.10.26,7|+ 4,21922,8] 15,5! 12,7] 6,0| » 
BON... 2. 11.40. 2,)8]+ 0,21|-62,441343.18.52,0|+ 4,1/722,8] 15,0 15,4| » 
y Grande Ourse...|11.44.32,02+ 1,05/-692,441304.12.13,0|+ 3,8 12,1}— 11,2! » 
19 o Vierge ...... 3111.56.12,441+ 0,13 349. 9-28,0|+ 4,2 12,0]+ » 
15 n Vierge...... 12.10.52,52] 0,00 358.33.10,2|+ 4,6 11,81+ S » 
a Petite OurseL...3|13. 2.17,57 267.15.15,8|+ 4,2 11,7] 99,5] 8,2] » |Moyenne de 4 obs. 
: » [Niv.+h,20. 
æ Cassiopée...... 0.30.35,36[+ 1,10/-63,61 » 
a Petite Ourse S..3| 5. 1.24,90 27018.34,5|+ 4,5/723,41 14,0! 11,3] 50,0! 5,3| » [Moyenne de # obs. 
Bio Lion.........:. 9-58.57,52l+ 0,17|-64,,91346. 1.47,0[+ 4,61724,5 16,8| 15,7l+ 35,9/11,9| » 
» |x Grande Ourse...|10.52.55,77}+ 1,45|-64,30 296.10.2B,0|+ 4,7,724,7 16,5! 14,8]- 16,0! 7,g! » 
Brion... RENE + 0,05 355. 2.20,0{+ 4,5 15,ol+ 49,8 » 
GIF ont cou. |. 11.40. 0,5o]+ 0,21/-64,51/343.18.49,2|+ 4,4 14,9]+ 32,4/12,8| » 
y Grande Ourse.. .|11.44.20,86[+ 1,05/-6/,57l304.12.11,0|+ 3,5/724,9] 16,0! 14,9] 8,0! 9,0! » 
lo 4 Vierge. ..... (12.45. 9,741 os11 7-26,11,51+ 4,5/724,98 15,31 13,3[+1.17,7| |» 


*sunor 





26 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843, 





















































CORRECTION 2 = = = o 
PASSAGE dé MOYENNE | => 2 Jruenuoueree. Er a a 
nom és DES Hi > ile 
dé des ZUNE IT EE |. 5 | £S| REMARQUES. 
DES ASTRES. : l'instru-| la 2 En | 2 Me | Eu = OULS 
FIL MÉRID, went. | pendule} VERNIERS. | ° 5 # |lrieur.| rieur. og SE |S 
ee | en —— za 
has mb. 48. 5 s. © CRETE) "1 F o o Fr 11 
& Petite OurseI....|13. 2.18,90 267.15. 12,04 4,0/724,9/+15,2 413,0! 55,4! 4,3) B. Moyenne de 5 obs. 
PAC CHERE 13.15.54,02)— 0,14/-64,93) 9. 5.25,2|+ 41/7 15,0] 12,7]+1.22,8| 8,2] » 
GS IVIÈRRE cute te 13.35. 0,60of-— 0,20 14. 7.540 4045 41.412 » 
89 x Vierge..... 4113.40.19,58]- 0,23 16. 5,40,0|+ 4,7 12,1/+1.50,2 » 
(2535) Vierge. ..|13.45.42,82]— 0,10 6. 2.10,0|+ 4,8 12,0]+1.14,2 » 
(1594) Vierge... .|13.50.46,98]- 0,10 6. 8.47,7|+ 4.8 41.14,5 » 
94 Vierge....... 4113.55. r,49f- os11 » 
95 Vierge...!..... + 27 23,50]- o,11 718.43,5|+ 4,7 +1.17,8 » | 
98 x Vierge. ..... . 3.30,18]- 0,15 8.17.29,0|+ 4,8 +1.20,6 » 
x Bouvier........ 7: 7-28,071+ 0,27|-64,8:11338.45.40,0|+ 4,7 | + 27,1l108| » 
103 »* Vierge... ..|14.12.51,70)— 0,02 o. 1.24,0|+ 5,2 14,3] 12,0]+1. 0,1 » 
B Petite Ourse.... g1145 50.10,50l+ hi76 -64,361283.58.44,5|4 47 14,2| 11,1]- 30,1| 86! » 
45 c Bouvier...... \14 e 39: 22,37|+ 0,35 333.16.50,7|+ 4,5 | + 20,9 » 
3 Serpent. ....... 15. 0.21,52]+ 0,07 353.14. 0,0|+ 4,7 + 147,9 » 
5 Serpent. ....... 15.10. 16 a + bot, 356.23.36,0|+ 4,7 +. 53,0 » 
7 Serpent. ... ..4 ONE + 0,18 345.37.44,0|+ 3,9 + 35,0 » 
10 Serpent.…..... 15.19.41,08|+ 0,04 356.21.55,5|+ 4,5 10,61+ 53,1 » 
« Couronne....... (13.27. 0,47 + 0,38)-64,88/331.3r. 7,214 5,5 14,0) 10,5[+ 19,0/14,0| » | 
a Serpent........ 115.35.30,52f+ 0,09|-65,18/351.50. 7s2|+ 4,6 + 45,4l12,8| » | 
34 w Serpent..... 15.41.20,52|+ 0,04 356. 4.39,5[+ 5,6 Hbe7 » | 
(x817) Serpent... 15.46.37,59 + 0,27 337.59.19,7|[+ 5,0 14,0| 9,61+ 26,4 » | 
43 Serpent....... 15.54.58,42]+ 0,07 353.20. 7,0|+ 4,9 + 48,0 » | 
47 Serpent....... 15.59.52,32l+ o,11 349-48:14,5|4 3,2 + 42,3 » | 
(1861) Scorpion... |16. 6.48,o1|- 0,25 15. _ 45,2|+ 5,0 9,0]+2. 3,6 » | 
c Serpent. .....1. 16.:3. 5,8o]+ o,ot 357.21. 9,3|+ 5,9 8,81+ 55,3 » 
æ Scorpion. ...... 116.18.46,71|- 0,37 -65,38 #3 28. 6,71+ 55 8,71+2.52,3/13,6! » 
12 Ophinchus.... . 16.27. 5,46!- 0,04 0.44. 15,0|+ 5,1 #1. 2,3 |» | 
1908) Scorpion... .|16. 34. 11,07|— 0,39 26.55.40,5|+ 5,8 8,71+3-16,6 » 
18 u Ophinchus. .4/16.3 :3g-10,71) 0,34. » | 
Mars, centre..... 16.41.58,661- 0,36 4 4. 4,5[+ 6,0 13,5! 8,51+2.45,3 » |Au méridien. | 
æ Cassiopée....... | 0.30. 39 La + 1,10/-65,60 sus. 5.41,5|+ 4,2 13,7| 12,3]- 9,2| 5,3|1 | 
x Petite OurseS..4| 1. 1:24,70 | 270.18.36,4|+ 4,5 15,0! 13,0/- 50,1| 7,0] » |Moyenne de b obs. 
œ Bélier... «4. . 4: n 1.57-15,55 + 0,30|/-65,961336. 2 26,7 + 437 16,0! 15,ol+ 23,8/12,1| :» |Niv.+5r,23. 
B Petite Ourse LL. .4| 2,50.14,02]- 2,76 —66, 27 253.35.22,0|+ 4,1 —1.30,5| 6,0| » 
a Baleine........ | 2.59.59,844 0,05/-66,15/355.16.55,5|+ 4,6/; 16,4| 15,5]+ 50,4|10,0! » 
& Persée: ... 3! 3.12. 344 + 0,87|-66,08/309.:8. 19,7|+ 4,0|7 16,5! 15,3]- 3,0! 8,9| » 
Vénus, 2mtbord..4| 3.25.24,35|+ 0,24 341.35.13,5|+ 5,0|7 16,7| 16,8[+ 30,2 » |Centre au méridien ff} 
G Orion........ 4! 5: 5.54,39l- o,11/-66,26! 7: 8. 7,0|+ 4,617 16,5) 16,9/+1.16,2|12,6| » sh 
4|Soleil, 1er bord... .| 5.25.58,59|+ 0,32 335.14.33,o|+ 3,417 16,4| 18,41+ 22,6 » [Bord sup. à 27mos. }}} 
x Grand Chien. ...| 6.37. 8,28]— 0,22/-66,31| 15.14.50,o[+ 4,o/7 16,4! 17,81+1.44,3/11,3| » |Très-ondulante. 1 
æ Petit Chien ....5| 7.29.59,2344+ 0,07/-66,79l353. 8.11,5|+ 3,5 + 46,2/12,9| » Id. | 
G Gémeaux......, | 7:34.30,51/+ 0,40/-66,631330.2r.54,0|+ 3;7|72 16,6! 18,51+ 17,3|10,9| » 
« Grande Ourse. 4/10.52.53,61+ 1,45/-66,43/296.10.28,0|# 4,217 17,3 19,8 — 115,8| 7,5| » | 
a Petite Ourse L.. .4/13. 2.16,90 267.15.16,6|+ 3,3 16,5! 18,o]- 54,5| 9,2| » |Moyenne de 3 obs. | 
œ« Vierge... Jl.. 13.15.51,86|- 0,14/-67,08] 9. 5.30,0[+ 3,7172 16,1] 16,8]+1.21,7/1,5| » | ) 
83 Vierge......,.l 13.34.5846! 0,20 14. 8. 4,ol+ 3,6 +1.39,9 » | il 
89 x Vierge...... 13.40.17,74|- 0,23 16. 5.40,0|+ 3,6 +1.49,0 » |! 
(1585) Vierge... , .113.45.40,68]- 0,10! 6. 2.14,0/+ 4, 15,5]+1.13,4 » | 
(1594) Vierge... . .[13.50.44,98[-1 0,10 6. 8.54,2|+ 4,6! +1,13,5 » | 
94 Vierge..." 13.54.509,441- o,11 » | 
DDaMicrge.... 1e 13.57.21,48]- o,11 7-18.50,0|+ 4,07 15,7 +1:17,0 » 
98 x Vierge...... 114. 3.28,16/- 0,13) 8.17.34,2l4 4,2] +1.19,9l » 





27 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843. 























































































































































































CORRECTION Q Q % = | © 
3 | PASSAGE ne MOYENNE | = 2 Z  fruenuouërre. ss = £ 
£ NOM | CONCLE a | 3 3 2 —_— ë : Z 
z 8 au | de MONS SE eme: "LUE | £ | REMARQUES. 
£ DES ASTRFS. | k l'instra-| la ; |E = 3 Jint- | Exté- = 2 | à 
FIL MÉRID. | ment | pendule | VERNIERS. 2 3 Jrieuc | rieur. Z 3 |? 
LU 
h:v ni s. s. o dt ft 1! mm | 
a Bouvier. ....... 14. 7.2,75]+ 0,27|-67,121338.45.44,0|+ 4,0/726,4 o!.B. | 
l15|Soleil, 12° bord... .| 5.30. 5,21]+ 0,32 » [Bord inf, à 31m65. 
Iz7|Soleil, ser bord... .| 5.38.19,67|+ 0,32 » [Bord inf. à 3gm205. 
æ Grande Ourse...|10.52.40,99!+ 1,45|-72,05 
Bilion Cu 50. 11.39.52,1b[+ 0,21|-72,80)3 3,1 
7 Grande Ouise. ..[11.44.21,32]4 1,05 8,4| » | 
a Petite Ourse I..4|13. 2.14,15 8,2| » [Moyenne de 4 obs. 
ANVIENBE. cie d28 13.15.45,72l- 0,14|-73,20 [15,7 
bo|x Persée......... 3.11.49.951+ 0,87|-79,82 |» [Niv.+5P,57. 
L'EUTTÉAE CEE 132.34.10,1|+ 2,3 » [Moyenne de 5 obs. 
Vénus, ame bord... .| 3.59 28,28l+ 0,25 339 30.29,71+ 1,3/730,6 » |Centre au méridien. 
x Taureau ....:.. 4.25.36,48Ù4 0,22/—79,771342.34.21,5|+ 1,4]730,6 114,9) » [Ondul. 
LOT ESA 5. 5.40,76[- o,11|—79,99) 7. 8. 6,0! 1,8/730,6 10,2| » | 
1/Soleil, 1% bord....| 5.54.50,45[+ «0,32 335.34. 9,5/+ 0,9/730;,7 »' [Bord inf. à 55®495. 
œ? Gémeaux. ..... 7:23.15,554 0,46|-79,75|326.32.24,7|+ 0,9/730,5 7j+ 13,5/r1,4| » [Ondul, 
a Petit Chien. ...3| 7.29.45,89l+ 0,07/-80,141353. 8.15,7{+ 1,4 46,3,15,5| » Id. 
G Gémeaux.... 7-34.23,1714 0,40|-79,95/330.21.56,0|+ 0,9/730,5 
22 ET CR 9.58.41,80!+ o,17/-80,151346. 1.50,7|+ 1,4|729,9 
æ Grande Ourse.../10.52.39,731+ 1,45/-80,12/296.10.29,5/+ 0,9|729,7 
7 Grande Ourse. .3,11.44.13,63]+ 1,05/-80,60|304.12.12,2/+ 0,b|729,7 
4o bd Vierge...... 12.44.54,02|- o,17 7:26.16,0/+ 0,9/729,7 
æ Petite OurseL....|13. 2. 8,80 267:15.16,4|+ 1,0|729,7 | 17.6 54,9| 6,6! » [Moyenne de 5 obs. 
æ Vierge........ 4113.15.38,r9f- 0,14/-80,70] 9. 5.33,5/+ 2,5|729.8 5,6 | 
89 x Vierge...... 13.40. 3,8b]- 0,23 16. 5,36,0,+ 1,4 
98 x Vierge...... 14. 3.14,62]- 0,13 8.17.36,0|+ 1,2/729,8 
œ Bouvier. ..., -..{14 7.12,21]+ 0,27|-80,60 
3 Serpent..... ../15. 6. 5,98]+ o,07 353.14. 1,7|+ 1,4,730,1 
5 Serpent. ....... 15.10. o 86[+ 0,04 356.23.40,0|+ 0,3 
JiSerpent--"". 2. 115.13 39,90!+ 0,18 345.37.44,0|4 0,1 
a Couronne ...... 15.26,44,751+ 0,38 -80,59 361.31.10,7| 0,0 
a Serpent. ......./15.35.14,981+ 0,09 -80,74 351.50.11,2/#+ 0,9 
34 w Serpent....4l15.4r. 5,05!+ 0,04! 356. 4:44,ol+ 1,2 
(1817) Serpent... .|15.46.22,19[+ 0,2 337.59.23,5|+ n° 
43 Serpent....... 115.54.42,91|+ 0,07 353.20. 8,0/+ 0,7 
#7 Serpent.2:..:. 115.59.36,74{+ o,15| 349.48 20,0/+ 1,2/730,2 
(1861) Scorpion. .|16. 6.32,59/— 0,25! .26. 
c Serpent........ h16.12.50,40]2 0,01 
œ Scorpion...,... 16.18.31,29]- 0,37 -80,84 | 
Mars, centre... ... 116.31. 2,321 0,35! 4: 7,ol+ +2 44,3 » [An méridien. 
18 « Ophiuchus...|16.38,55,17|- 0,34 23. B.14,5/+ 1,41730,4 39 | 
æ Ophiuchus...... 17.26.21,45{+ 0,17/-80,78[346. 4.52,0+ 1,4,730,4 10,5/+ 36,9 13,5| » |[Ondul. 
y Dragon........ 17.51.39,65{+ 0,95 80,54 307-15.39;7|+ 2,1/730,4 Nr 5,9 10,2| 
à Petite OurseS. .4|18.21.33,10 | | | | » |[Très-ondulante. 
DEYre satin » 18.30.19,16|+ 0,60 —80,95 320, 7.32,5+ 1,2 | + 74) 8,41 » | Id. 
7 Aigle.......... 19.37-30,081+ 0,14/-81,08{348.31.15,5/+ 1,9 | + 40,6! 8,9| » | Id. 
Saturne, centre... 19.42.54,35 — 0,29 20, 0. g,0\+ 1,9] +2.3,6! | » [Au méridien. 
8 Aigle........ --/19.46.18,50]+ 0,08|-81,13/352.44.12,21+ 2,21530,0 | 
a' Capricorne... ..|20. 7.39,36|- 0,15|-81,13| 11.43.46,0 + 2,0 729.9 
a Cygne......... 20.34.46,43]+ 0,75/-80,771314. 247,74 3,0 729,7 








‘sunog 


2 


D 





PASSAGE 


NOM 


DES ASTRES. 





x Céphée......... 
Jupiter, centre... 
& Bélier... ...... 
æ Baleine... ..... 
Vénus, 2m€bord... 


Soleil, rer bord... 
a? Gémeaux..... 
æ Petit Chien 
B Gémeaux 
« Petite OurseS. .1 
G Petite Ourse I... 
æ Taureau 


23|Soleil, 12° bord... 


+ 








y Grande Ourse... 
œ Petite Ourse I.. 
a Vierge 
8y Vierge 
æ Bouvier. ....... 
103? Vierge 
B Petite Ourse S.. 
3 Serpent 
5 Serpent 
7 Serpent 
œ« Couronne 
« Serpent 
æ Petite Ourse S.. 
œ Bélier sr... 
8 Petite Ourse I.. 
æ Baleine....... 


ss... 


Vénus, 22e bord... 
GaUreAU.. :: - 4. 


Soleil, 1er bord... 
œ? Gémeaux. ..... 


y Grande Ourse. .4| 
4o + Vierge...... | 
x Petite Ourse I... 
æ Vierge 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID, 


L 
21.58.37,34 
1.57. 0,30!+ 
2.52.44,60!+ 


b + 


14. 7 8,45[+ 


14.12.32,22|- 


1 


SEE ED D 





98 x Vicrge.......| 


28 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843. 





CURRE 
d 


nm 


istru- 
ment. 


s. 
1,40 
0,17 
0,30! 
0,09 
0,26 


0,32 
0,46 
0,07 
0,40 


2,76 
0,22] 
| 
0,32 
0,17 
0,21 
1,0) 


0,14 
0,23 
0,27 
0,02 
2,76 
0,07 
0,04 
0,18 
0,38 
0,09 





0,30 
2,76 
0,0) 
0,87 
0,27 
0,22 
0,76 
O,11 
0,40 


0,32 
0,46 
0,07 
0,40 
O,11 
0,17 
1,05 
o,17 


0,14 
0,23 
0,13 
0,21 | 








CTION [e] >= = 
À MOYENNE | = 2 ë THERMUMÈTRE. 5 
des = A 2 NE Sc: = 
pendule | venxiens. | © à seal 5 
-80,60 
| 11.59.22,0/+ 3,5/729,7l+14,0/+ 8,2]41.3/,7 
-81,451336. 2.37,5|+ 2,0/729,9 18,2| 14,814 23,8 
—81,581355.16.55,7|+ 2,3/720,8] 18,3] 16,5j4 5o,3 
339.14.27,5|[+ 2,0/729,6] 18,8] 17,14 27,3 
335. 2.27,5|4+ 1,8/7209,1] 19,1| 19,414 22,3 
-81,78 32632 245 + 1:57 De je 19,0] 19,7l+ 13,4 
-82,00!353. 8.10,0[+ 1,7 + 46,0 
—8:,96[330.21.53,7|+ 1,8/728,6| 19,0] 20,714 17,2 
—83,77/253.35.28,0|+ 1,71728,5| 19,4 18,0! -1.29,8 
—03,811342.3416,2|+ 1,8/728,4] 19,8! 19,2l+ 31,1 
335.34.23,5|+ 0,8/728,3] 20,1 20,0|+ 22,8 
—84,241346. x 49,5|+ 0,7/727:1] 20,7] 20,0Ù4 35,4 
—84,241343.18.5r,0|+ 0,8 + 32,0 
—84,581304.12.11,2|+ 0,8/726,9| 20,5| 19,5] 7,9 
267.15.16,0|[+ 0,3/726,9| 20,1 19,2] 154,3 
84,35] 9. 5.35,0o[+ 1,9 19,5l+1.21,0 
16. 5.45,0|+ 1,31727,0) 19,5| 18,6|+1.47,7 
—8/,34 
o. 1.28,o[+ 1,41727,0] 10,3] 17,5]+ 58, 
-84,60/283.58.44;0l4 122 ce 18 7 10,8|- 2 
353.14. o,0|+ 1,2/727,1] 18,7 16,8]+ 46,6 
356.23.38,2|+ 0,9 + 52,0 
345.37.41,0|[+ 0,9 + 35,3 
—84,641331.31. 6,ol+ o,5 + 18,6 
—84:53/351.50. 8,o[+ 1,7/727,1] 18,5] 16,8]4+ 44,3 
270.18.39,1|+ 1,0|726,3| 18,7 15,1] 40,2 
-85,28 
—05,26/253.35.25,5|+ o,2 -1,29,8 
=85,53 Has à 
-85,/0|309.28.25,2|+ 0,3 — 29 
338.44. 7,54 1,2/725,7) 20,0| 17,9]+ 26,5 
—85,55/342.34.20,0|+ 1,7/725,6| 20,0! 17,7[+ 31,1 
_85/36 
85,63! 7. 8. 9,714 1,4/725,4] 20,0| 18,6/+1.15,4 
-85,781330.17.49,5|+ 1,31725,4] 20,0! 191]+ 17,2 
335. 3.43,0| 0,0|725,2] 20,0| 19,6[+ 22,2 
—85,561326.32 29,24 1,2 724,6! 20,2] 19,214 13,3 
—85,751353. 816,0[+ 1,4/724,5| 20,2 + 45,9 
-85,66(330.22. 0,0|+ 0,6/724,4] 20,2| 19,6[+ 17,2 
—85,80) 6.44. 5,214 1,5/723,9) 20,2| 20,5]+1.13,7 
—85,81/346. 1.54,0!+ 1,1 723,6] 20,3| 20,74 35,2 
—86,01/304.12.15,7|+ 1,2/723,4] 20,5) 19,0|- 7,9 
7-26.20.2|+ 0,6/723,6| 20,1] 18,5]+1.16,7 
267.15.16,9|[+ 0,5/:23,6| 20,0| 18,3]- 54,3 
-86,28] 9. 5.32,o|+ 0,8 17,7l+1.21,0 
15. 5.46,5|+ 1,2 +1:47,9 
8:17.36,0|+ 1,4/723,6] 19,1) 16,1]+1.19,3 
-86,40 | 






































na nat 


‘4104 








"VAYLVAUASIO 


|Bord sup. à os. 








REMARQUES. 


Au méridien. 










Centre au méridien: 


Trés-ondul. 
Id. 
Niv.45P,73. 
Nuages. 
Id, 


Bord inf. à 4m5s. 


Nuages. 


Faible. 


Moyenne de 5 obs. |} 
Niv.+5,32. 


Centre au méridien. 


Ondulante. 
Id. 


Moyenne de # obs. 
Nuages. 





‘sSunor 


29 


Observations faites à la lunette méridienne en Juin 1843. 







































































CORRECTION [e)] 3 7 = 2 
PASSAGE Fe MOYENNE a #  Jruenmouèree. Be a | à 
NOM CUNCLU ne — E © ee — = 5 z 
des EURE 8 | 2 |£| REMARQUES. 
DES ASTRES. | 3 l'instru- la ÉRE 3 |inté- | Esté- 2 3 | = 
FIL MÉRID. | ent | peniule | VERNIERS. 5 É meteo rieur 2 ÉLUS 
Det CN NS s s. co HU! 11 min, 1 1 1 
B Petite Ourse S..3/14.49 48,25]+ 2,76|-85,96/283.58.46,7 (4 1,7 — 29,2|10,6| B. 
45 c Bouvier... ..3/14.59. o,81[+ 0,35 333.16.52,7|+ 1,41723,8 +15,8]+ 20,5 » 
5 Serpent........ 15. 9.55,38l+ 0,0/ 356.23.41,0/+ 1,0/723,8 15,81+ 51,9 » 
FASEDpenT.-----.. 15.13.34,16|+ o,18 345.37.45,54 0,8 + 35,3 » 
æ« Couronne...... 15.26.39,03}+ 0,38|-86,29|331.31.10,2|+ 1,41723,8 + 18,7114,7| » 
œ Serpent........ 15.35, 9,32]+ 0,09|-86,39/351.50.11,5|+ 1,9 + 444148) » 
34 w Serpent..... 15.40.59,42l+ 0,04 356. 4.43,o|+ 1,8 + 51,6 » 
(1817) Serpent... .2|15.46.10,53|+ 0,27 337.59.20,5|+ 2,0|723,8 + 25,9 » |[Nuages. 
43 Serpent....... 353.20.11,5|+ 2,2 + 46,9 » Id. 
47 Serpent... .[15.59.31,12|+ 0,15 349.48.20,0|+ 1,9 + 41,3 » 
(1861) Scorpion. .|16. 6.26,96|- 0,25 15.26.53,7|+ 1,9 +2. 0,8 » 
c Serpent.......,. 16.12.44,80l+ o,or 357-21.14,0|+ 1,8 + 54,0 » 
x Scorpion....... 16.18.25,65|- 0,37|-85,481 24.48.14,2|+ 1,7 +2.47,9|12,6| » 
Mars, centre... ... 16.27.31,19/- 0,36 24. 3.16,0|+ 2,3 +2.40,9 » [An méridien. 
(1908) Scorpion. .|16.33./49,95}- 0,39 26.55.48,0[+ 2,2 +3.11,6 » 
18 u Ophiuchus...|16.38.49,55]- 0,34 23. 5.16,2|+ 2,2|723,8 5]+2.32,5 » 
Soleil, 12° bord... .| 6.15.28,63|4 0,32 335.38. 4,214 2,3|725,9 16,814 23,1 » [Bord inf, à 16345. 
92 Vierge........ 13.56.58,241- o,11 7.18.52,0|+ 2,3 #1:17,2 » 
æ Bouvier. ....... 14. 7. 2,73[+ 0,27/-90,041338.45.45,7|+ 2,1/727,4 SH 26,9/15,3| » 
æ' Balance. ...... 14.40.34,38]- 0,21|-90,17 » 
B Petite OurseS. .. 283.58.46,0[+ 2,1 - 29,9/10,1| » 
45 c Bouvier... ... 14.58.57,03]+ 0,35 333.16.52,0|+ 2,5 + 20,8 » 
3 Serpent. ....... 15. 5.56,40]- 0,07 353.14. 2,51+ 2,5 + 47st » 
10 Serpent. ...... 15.19.15,92]+ 0.04 356.22. 0,5|+ 3,21727,6 1520 » 
x Couronne....... 15.26.35,19[+ 0,38/-90,12/331.3r. 5,7|+ 4,0|727,d + 18,8/13,1| » 
œ Serpent........ 15.35. 5,44]+ 0,09 -90,27 » | 
34 w Serpent..... 15,40.55,42]4+ 0,04 356. 442,24 4,7 + ba,2 » 
(1817) Serpent... .|15.46.12,30]+ 0,27 337-59.21,5|+ 41/7277 + 26,2 » 
43 Serpent....... 15.54.33,22|+ 0,07 353.20. 7,7[+ 3,5 + 47,5 » 
47 Serpent....... 19.59.27,02]+ o,11 349-48.17,0|+ 3,5 + 41, » 
\XV. 283) Piazzi.. .|15.5g.36,02|+ o,11 » 
(1861) Scorpion. .|16. 6.23,02]- 0,25 18.26.52,0|+ 2,9 12,31+2. 2,5 » 
a Serpent......., 16.12.40,64|+ o,or 357.21.14,0|+ 2,9 +, 54,7 » 
æ Scorpion. ...... 16.18.21,67|- 0,37,-90,47| 24.48.12,5+ 3,6 +2,50,5/15,3| » “ui 
Mars, centre..... 16.25.23,9:|- 0,36 24. 2.27,5|+ 4,01727,8 5]+2.43,5 » [Au méridien. 
(1908) Scorpion. . 3/16.33.45,81|- 0,39} 26.55.42,5|+ 3,7 +3.14,7 » 
18 u Ophinchus. .3116.38.45,711- 0,34 23. 5.18,o|+ 3,2 +2.35,0 » 
22 Oplhiuchus....,116.43.56,15]- 0,32 21.58.48,2|+ 3,3 +2.26,2 » 
(1939) Ophiuchus. .|16.47.55,55/- 0,34 23.34.27,5|+ 3,6 +2.30,4 » 
26 x Ophiuchus.. .|16.48. 7,23]- 0,34 » 
(1949) Scorpion. .4|16.54. 1,78|- 0,28 19: O0.21,2|+ 3,3 +2. 6,3 » 
(1959) Ophiuchus. .|16.58.41,3of- 0,02 359.37.:18,2|+ 3,3 + 59, » | 
37 Ophiuchus....3|17. 3.37,05]+ 0,14 » 
œ Hercule. ....... 17. 6. 2,36]+ 0,20/—-90,46|3/44.11.12,0|+ 4,0 727,8 10,7k+ 34,2/14,1| » 
B Petite Ourse [.. .4| 2.49.47,87|- 2,76-91,71/253.35.27,2|+ 3,4 -1.30,4| 7,8| » 
x Baleine......., 2.52.35,16[+ 0,05|-91,16/355.16.57,o|+ 3,6/727,5 16,2]+ 50,2/12,3| » [Niv.+5P,31. 
« Taureau ....... 4.25.25,07Ùt 0,22|-91,411342.34.21,0|+ 3,6 + 31,2/16,8| » |Très-ondulante. 
Vénus, 2€ bord...| 4.29.24,00|+ 0,27 338. 2.18,5/+ 3,71727,0 18,2]+ 25,7 » [Centre au méridien. 
œ Cocher........, 5. 3.35,95/+ 0,76 91,12 » |Très-ondulante. 
B Orion......., 4| 5. 5.29,49/- o,11|—-91,35] 7. 8. 9,7|+ 3,71727,0 19,0/+1.19,5 15,5| » Id. 
GTaureau....... 2| 5.14.52,06[+ 0,40/-91,17/330.17.48,5|+ 3,5| 19:2/+ 17,2 14,5] » 
NÉGTIT ARTAREL | 132.34. 8,5|+ 4,8 | » [Moyenne de 7 obs. 





8 


















30 
x Observations faites à la lunette méridienne en Juin et Juillet 1843. 






























































PASSAGE PRE MOYENNE | = 8 2 ÊTRE 2 5 2 
s NOM : de £z ee THERKMOMETRE. 3 | = d 
5 NAS Auot NET E el: last 
q DES ASTRES. 3 l'instrn- LE 3 Euté- = A 
FIL MÉRID. | ment. VERNIERS. E El rieur. 2 5. | 7 
h. m.s s. or toMrr 11 mn o | (| RUE 
27|Soleil, 1er bord ...| 6.24.35,73]+ 0,31 335.39.46,5|+ 3,0/726,9!+10,8/+21,54 22.8] B. |Bord inf. à 20m40s, 
28/4 Petite Ourse L...3[13. 1.57,17 207.15.15,6|+ 3,3/32r,0 16,0)- 54,6! 8,3| » |Moyenne de 3 obs. 
tlæ Lion (*)........ 10. 0.21,82|+ 0,17 #0:931346. 1 49,2 + 4,71733,3 20,54 35,7 14,5] » [Niv.+4r,76. 
« Grande Ourse 10.54.19,93 + 2,45 296.10.31,0/+ 4,1 733,3 20,2]— 15,9 8,8| » |Ondulante, 
B Lion More: 3/21.41.24,62[+ o,21 +19,80 343.18.50,7|+ 4,2 + 32,214,7| » | Id. 
7 Grande Ourse. ..|11.45.55,861+ 1,05/+19,87|304.12. 9,24 4,21733,2 19:9/- 8,0! 7,7| » | Id. 
« Petite Ourse 1..4|13. 3.51,80 267.15.15,41+ 4,0/733,4 18,8]- 54,9! 8,4| » | Moyenne de 5 obs. 
a Vierge......... 13.17.18,38|- 0,14 9- 5.33,7|+ 4,3 18,0[#1.22,2,16,9| » 
2|Soleil, ser bord....| 6.42. 8,61|+ 0,30 335.56. 6,54 3,3/734,9 19,114 23,5 » |Bord inf. au mérid. ; 
G Petite Ourse I. .4 2.51.34,97|- 2,76 6 253.35.28,5|+ 2,3 —1.31,1| 6,7| » 
a Baleine........ 2.54.22,06!4 0,05|+16,20|355.16.57,7|+ 2,6|734,0 15,8]+ 5o,7/13,7| » 
œ EaRee dresse eut + 0,87|+16,33|309.28.27,0|+ 3,0 733:9 16,71- 3,0,14,4| » [Niv.+5,54. 
œLaUreau.. ... .. -27-12,044 0,22 » 
Vénus, 22e bord... à 154,721 0,28 336.53.43,7|+ 4,3 + 24,6 » |Centre au méridien. 
ax Cocher........, . .23,47l4 0,76 » 
HOnone res. 5. 7.16,96|- o,11 7- 8. 4,5|+ 3,7/733,6 19,2/+1.16,1/12,6| » |Ondul. 
G Taureau ....... 5.16.39,75[+ 0,40|+16,09 330.1747,0|+ 3,5/733,6 192]+ 17,4/13,1| » | Id. ee 
Mercure, 2®ebord..| 5.31.57,76[+ 0,25 339.42.19,2|+ 3,5 733,5 19,7[+ 27,8 » |Centre an méridien. 
3|Soleil, 1er bord...| 6.46.14,871+ 0,31 335.29. 9,0[+ 2,5 733,9 20,5|+ 29,8 » [Bord sup. à 47m19s. 
MHAYALE eee. 9-20. 9,42] o,11|+15,65) 6.44. 4,2|+ 3,0|732,4 23,3]41.13,9/14,0| » |Ondul. 
DADION= ee nee 10. 0.17,64[+ 0,17/+15,76346. 1.50,7|4 3,0/732,2 23,414 35,3l1%,9l » | 14. à 
Lune, 1° bord... .|[11.37.21,34]- 0,05 2.35.26,0|+ 2,6 41: 3.5 » |Bord sup. à 38165. 
8 Lion ne lens eu At 120200 + o,21|+15,58 B43:x8:51,5 + 2,8 ; + 31,7l13;7| » 
7 = Dire 7 AU + 1,05 HA 304.12.13,7|+ 2,9|731:9 24,3]- 7,8|11,0| » 
æ Cassiopée I..... 12.91.97,40! 1,10|+19,2 » 
& Petite Ourse 1. .4|13. 3.52,90 | ” » 
z Vierge........ 4 RTE - 0:141#15,26! 9 5.36,21+ 3,3 23,8]+1.20,4116,9| » 
98 x Vierge... .... 14. 4.50,14[- 0,13 + 8.17.30,0|+ 2,5 +1.18,4 » | 
æ Bouvier. ....... 14. 847,914 0,27/4+15,21/338.45.41,7|+ 2,6/739,0 22,314 26,4112,0| » 
8 Petite OurseS... 14.51.20,241+ 2,76|+15,92]283.58.42,0|+ 1:7|732,0 20,9/- 29,3] 7,5| » L 
4 Bouvier..... 15. 0.42,23|+ 0,35 Pb + 28 + 20,4 » É 
nn Pt eige 5 EEE M 0:07 355.14. 1,7|+ 2:9 . + 46,3 » | 
SERDERE ne ; 15.11.36,68[+ 0,04 her ee + 42 + 5137 » î 
7 Serpent.... .. 4 15.15.15,51 + 0,18 345.37.41,0|+ 3,6 HTI3DT » | 
10 Serpent...... 435.21. 1,30}+ 0,04 356.22. o,2|+ 3,7 19,814 51,8 » j 
« Couronne ...... 15.28.20,55|+ 0,38 #15,30 331.3r. 7:0|+ 3,6 + 18,6/15,2| » d 
« Serpent....... : 15.36.50,74[4 0,09|+15,0f 351.50.10,0!+ 4,5 + 44,327,0| » | cl 
RU Serpent. .4 Hé 0,27 Fri + 3 7321 18,6/+ Fe » | 
4 erpent....... 19.90.15, 0,07 .20.: 79|+ 3, + ), » 
47 Serpent... .... 16. {13:20 + o,r1 349.48.17,5 + 3,2 + L13 » 
(XV. 283)Piazzi..3|16. 1.21,58l4 o,11 » 
(1851) Scorpion... .|16. 8. 8,21|- 0,25 18.26.52,0|+ 3,4 +2. 0,9 » T 
« Serpent........ 16.13.26,39|+ o,o1 357.21414,0|+ 4,41732,2 17,5l+ 54,1 » 2 
He 7e S : S Fr — 0,36 4e 2e 4 3,5! : +2.40,6 » [Au méridien. il 
elite Ourse I...3| 2.51.33,03/|- 2,76/+13,931253.35.29,5|+ 3,3 731,9 L —1:29,9| 9:7| » ! 
a Baleine... ...... 2.54.20,68 + bi 414,15 ? l'geé F 7 » [Niv.+5,87. 


(*) Avant celte observation la pendule a été avancée de 2 minutes. 





3 


Observations faites à, la lunette méridienne en Juillet 1843. 
































CORRECTION 
a PASSAGE 1e MOYENNE 
e} NOM. me 
ë CUNCLU Li ER es #= 
Da au 
LÉ DES ASTRES. à l'instru- la 
FIL MÉRID. | yjeut. | pendule} VERNIERS. 
Eros s s LAIT 
D Pensées nes « : 3.13.24,56|+ 0,87/+14,29|309. GR 28,5\4 
L'EGUTRARE EEPRS 132.34. 9,44 
x Taureau....... 4.27.10,69!+ 0,22/+14,14/342.34.:2,0!+ 
Vénus, 2mebord...| 5. 7. 3,0bf+ 0:28 336 44:20,07 
Mercure, 2%€bord..| 5.33. 148 + 0,25 339.33.43 514 
œ Orion........, 5.46.55,581+ 0,10/+13,851351.23.10,0!4 
æ Grand Chien. ...| 6.38.28,941- 0,22|+14,a1) 15.14.50,21+ 
4|Soleil, 1% bord... 6.50.19,97 + 0,30 336. 5.30,2|+ 
æ Céphée [....... 9-15. 8,25]- 1,40/+13,68/240.44. 2,014 
mHyAre.----.... 9-20. 7,50]- o,11|+13,73] 6.44. o,7|+ 
B Céphée L....... 9.26.55,91}- 2,05,+13,56/248.40.12,2|+ 
DONS 2. 10. 0.15,b6[+ 0,17/+13,781346. 1.52,0|+ 
Lune, 1er bord....112.31.28,16|- 0,15 8.27.44,214 
« Petite Ourse 1.../13. 3.52,30 267.15.17,31+ 
PaMietges cher. 413.17.12,198- 0,14/+13,41] 9. 5.373,24 
" Grande Ourse. . .[13.41.35,90!+ 0,89|+13,33 
98 x Vierge...... 14. 4.48,18)- 0,13 8.17.37,2|+ 
æ Bouvier. ....... 14- AS + 0,271+13,441338.45.46,0|+ 
G Petite Ourse S..3 14. Dre HUE + 2,761+13,85/283.58.40,0|+ 
45 c Bouvier . 15. 0.40,451+ 0,35 HR + 
Serpent.:... . 15. 7.39, 92 + 0,07 353.14. 4,o|+ 
5 Serpent........ 15.11.34,761+ 0,04 356. 23. 4 o|+ 
Serpent. -:...,. 15.15,13,82+ 0,18 345. 37. 43,7 + 
10 Serpent. .... 15.20.59,50}+ 0,0 356. . 0, + 
« Couronne ..,... 15.28.18,73]+ 0,38/+13,481331.3r. 8,71+ 
a Serpent:....... 15.36.49,00! 0,09/+13,32/351.50. g,7|+ 
34 w Serpent... .4/|15.42.38,98|+ 0,0} 356. 4.43,5|+ 
43 Serpent. ...... 15.56.16,92{+ 0,07 353.20.10,0|+ 
47 Serpent. ....:, 16. 1.10,68]+ o,11 349-48.18,0|+ 
(XV: 283) Piazzi. .|16. 1.19,62]+ our 
11861) Scorpion... |16. 8. 6,54/-- 0,25 18.26.54,5|+ 
a Serpent........ 16.14.24,40l+ 0,01 357-21.14,0|+ 
Mars, centre...... 16.21. 5,841- 0,35 4. 0. 8,0|+ 
œ Persée......... 3.13,22,68|+ o,87|+1 2,37 Ronan fr 
a Taureau ....... 427. 8,97|+ 0,22/+12,401342.34.19,5+ 
Cocher... ....:. 5. 5.19,831+ 0,56/+12,56 
BOrion -..:+.... 5. 7.13,20] - o,11/|+12,21 . 8. 8,7[+ 
Vénus, 2m°bord...| 5.12.12,34]+ 0,29 336. 35: HE 2[+ 
GTaureau........ 56.35,95l+ 0,40/+12,25/330.17.49, 5 + 
POrion:--....2. 5.46.54,10+ 0,10/+12,36/351.23. 9,5/+ 
æ Grand Chien....| 6.38.26 g2l- 0,22 +12,18] 15.14.49,0|+ 
M5|Soleil, rer bord.® .| 6.54.25,97[+ 0,30 he 5 + 
x Céphée L....... 9-15. 6,61] 1,40/+11,99l240. 44. 2,0|+ 
RAHYATE ae - 6 à e .20. 5,641- o,11/+11,87) 6. 59,7 + 
G Céphée I....... 9-26.5/4,31]- 2,05|+11,92 248.40.13,0|+ 
MOTTE EL. EEE 10 VASE + 0,17/+12,02/346. 1.51,5/+ 
AMbion.m er. ZI. LS 16,641+ o,21|+11,8613/ 4318.53, 
y Grande Ourse. . .45.45,88]+ 1,05|+11:98/304.12.14,0|+ 
æ Cassiopée 1..,.. 12 A - 1,10/+11,85/234.30.35,7|+ 
æ Petite Ourse L...4|13. 3.5/,30 267.15.13,1/+ 
x Vierge......,,, 13.17.10,62f- 0,14;+11,85) 9. 5 35,0!+ 






















"AULHKONVH 


THERMOMETRE. 


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Jote- 
rieur. 











2,31731,7|+21,0 

2,9/731 21,1 

,0 

2,5|731,6! 22,1 

254 

2,4|731,4| 21,8 

42 

4 

3,2|730,6| 22,0 

1,9/730,5] 22,1 

2,2|729,9) 22,0 

2,21530,0) 21,0 

2,4|730,o) 21,8 

2,5 

2,1|730,1] 21,5 

2,1/730,1] 21,3 

3,2 

4,2 

3,2 

2,4/730,1] 20,8 

4,2 

3,0 

42 

4,0/730,3) 20,8 

4,0 

AS 

3,3 

22 

3,2|730,41 2 6! 

130 7307 21,4 

2,11730,6] 22,7 
| 

2,0 

1,7 

2,0/730,5| 22,9) 

2,0/730,4] 23,0 

2,0 

2,1/730,2| 23,0 

24/7294] 22,8 

3,0 

2,0,729,3] 22,8 

2,3,929,1] 23,0 

2,0 

2,2|728,7 23,4. 

2,51728,8] 23,8 

1,8 728,9 24,0 

2,8 


| 23,7|+ 22,7 


Exté- 
rieur, 


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41:19,7 


23,9 +1, 17,8 
23,5[+ 26,2 
22,2]- 29,1 
21,1]+ 20,3 
+ 46,1 
51,5 





2,9 
23,7[+ 30,7 


+t.14,6 
1-123,7 
23,614 17,0 
Dot 427 
23,71+1.42,5 


24,5|-2.39,7 
+1.13,2 
24,5]-1 47,6 
24,5 + 35,0 
+ ds 
23,2] 1 7,8 
28,0]-4. 0,8 
264 Æ LEE 
LEE +19 





‘4104 na naar 











"UNILVANASIO 





REMARQUES. 





Moyenne de 6 obs. 


Centre au méridien. 


Id. 


Bord inf. à 51m23. 


Ondul. 


Bord sup. à 32M275. 


Moyenne de 5 obs. 


Au méridien. 


Centre au méridien. 


Très-ondal, 


Bord sup. à 55mu5s, 


[rès-ondul. 


Moyenne de 5 ebs. 


| 
| 


32 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843. 















































































CORRECTION a 5 ai = o 
PASSAGE de MOYENNE | =2 E Jrassuouèrer Hi a | & 
NOM CONCLU ns | = = = È = 2 
Le de “ou Deer | Cia Mes) Do © FACE REMARQUES. 
DES ASTRES. ; l'iustru-| la 2 | 2 Jinté | Eu] à SRE 
FIL MÉRID, | jneut. | penaule | VERNIERS. | © © | %  |ieur. | meur. © SIN 
2 à 2 5 
him rs 5 o 1 11 11 o o 1 "1 11 "54 
Lune, 1e bord.... 13.27.29,47]— 0,20 13.49-14,0|+ 1,2/729,0 +23,8|425,3 +1.35,9 B. | Bord sup. à 28"30s. 
98 x Vierge... .:. 4114. 440,65! 0,15 8.17.35,5|+ 0,9 +117,8 » | 
x Bouvier........ 14. 8.44,55]+ 0,27 ; 
æ' Balance....... 14.42.16,20!— 0,21 ré 
æ? Balance. ...... 14.42.27,58)— o,21 x » 
œ Persée......... 3 13.21,42]+ 0,87|+11,00|309.28.25,2|+ 0,8 22,6! 21,2] 2,9/10,5| » [Oudul. 
œ« Taureau ....... 427. 7,414 0,22/+10,81/342.34.51,5|4 1,4 | 23,0]+ 30,7/15,3| » Id. 
œCocher......... 5. 5.18,11/+ 0,76,+10,82 » 
BG Orion.…...... 4] 5. 7.11,86!- o,11|+10,85| 7. 8. 8,ol+ 1,4 24,0! 23,7{41.14,5/12,7| » 
Vénus, 2m bord...| 5.17.22,12]+ 0,29 330.27.29,|+ 1,4 1291) » [Centre au méridien. 
6|Soleil, 1er bord... .| 6.58.3r,61}+ 0,29 336.16.20,0|+ 2,4 2/,8| 25,1]+ 23,2 » [Bord inf. à 5gm36s. 
GiBion-- «.----e. 11.41.15,28]+ o,21|410,511343.18.53,2|4 o,1 + 31,1/12,2| » 
y Grande Ourse... 11.45.44,20!+ 1,05|+10,32|304.12.13,5|+ 0,6 25,4 27,61 7:71 8,4] » 
a Cassiopée I....3|12.31.52,89- 1,10/+10,56 » |Très-faible et ondul. 
œ Petite Oursel... |13. 3.55,40 267.15.12,8|+ r,0 25,3| 27,8]- 52,7| 4,8] » | Moyenne de 5 obs. 
œ Vierge........ 3/13:17. 9,110 0,14/410,35| g. 5.37,2|+ 1,5 271]+118,9/14,7| » 
n Grande Ourse. ..|13.41.32,8l4 0,89|+10,34/308.40.18,2|- 0,8 25,1| 25,7] 3,b|10,4| » 
x Bouvier........ 14. 8.42,99|+ 0,27|+10,83]338.45.45,2|+ 0,2 24,8] »5,1]+ 25,9/14,9| » 
Lune, 14 bord....|14.26. 6,79]- 0,26 18.18.14,0|+ 0,9/727,0] 24,6! 23,5l+1.56,8 » |Bord sup. à 27"165. 
œ?Balance........ 14.42.26,20|- o,21|}10,31 » 
45 c Bouvier. .... 15. 0.37,431+ 0,35 333.16.57,0|+ 0,9/727,5] 24,0| 22,9]+ 20,1 » 
3 Serpent........ 15. 7.39,96[+ 0,07 353.14. 3.7|+ 0,6 + 45,7 » 
5 Serpent. ....... 15.11.31,08|+ 0,04 356.23.44,0|+ 1,2 + 5r,0 » 
7 Serpent. ....... 15.15.10,00|+ 0,18 345.37.46,0|+ 0,2 22,3|+ 34,7 » 
10 Serpent. ..... 4|15.20.56,51|+ 0,04 356.22. 2,5|+ 0,7 + 50,9 » 
a Couronne...... 15.28.15,79 + 0,38|+10,56 » 
a Serpent........ 15.36.46,02!+ 0,09|[+10,35/351.50.13,5|+ 0,8 + 43,4115,1| » |[Nuageux. 
34 w Serpent..... 15.42.35,90{+ 0,04 356. 4.46,ol+ 1,5 + 5o,4 » 
(x817) Serpent... .|15.47.52,9h4 0,27 337.59.21,5|+ 0,6[728,6! 23,2| 23,0]+ 25,3 » 
7|Soleil, 1°° bord... .| 7- 2.37,17|+ 0,30 335.50.53,5|+ 1,41734,41 22,9] 20,1]+ 23,3 » [Bord sup. à 3m33s, 
x Hydre-.:...... 9.20. 2,98[- o,11/4+ 9,22) 6.43.57,5|+ 1,317934,0) 23,0| 21,5]+1.14,4| 6,6] » |Ondul. 
ilionseiennl nes 4|10. o.11,124 0,17|+ 9:251346. 1.51,5|+ 1,8/734,0) 23,3| 21,9[+ 35,5,13,8| » |Trés-ondul. 
Bien... 0 11.41.13,76]+ o,21|+ 9,00|343.18.51,5|+ 1,3 + 32,0/12,6| » 
y Grande Ourse.. .|11.45.42,90|+ 1,05|+ 9,04]304.12.12,0l+ 1,41733,51 23,0! 21,3 7,9] 7,4) » 
a Cassiopée I....4/12.31.51,29]- 1,10|+ 8,93 » 
æ Petite Ourse 1...|13. 3.50,10 267.15.17.9|+ 1,71733,54 22,4| 10,51- 54,7] 8,6! » | Moyenne de 5 obs. 
a Vierge......... 13.17:17,641- o,14|+ 8,891 9. 5.35,0[+ 2,21733,5| 22,3| 19,1+1.21,8/15,3| » 
n Grande Ourse...|13.41.31,55]4 0,894 9,0/1308.40.20,0|+ 1,21733,6] 22,1| 18,8]- 3,7/14,1| » 
a Bouvier........ 14. 8.41,55]+ 0,27|+ 8,90 » 
æ*? Balance....... 14.42.24,641- o,21|+ 8,75 » 
8 Petite OurseS. . .|14.51.23,00|4 2,76|+ 9,66[283.58.47,2|+ 1,5| : — 29,8/10,5| » 
y Balance. ....... 14.55. 6,53|- 0,34 23.23.30,5|+ 2,51733,4] 21,1] 17,1]+2-35,6 » |# 
4 Serpent........ 15. 8. 1,70] 0,00 357.48. 4,0|+ 2,3 + 55,1 » 
6 Serpent... 15.13.14,98]+ o,o1 357.28. 4,o|+ 2,3 + 54,5 » 
9 Serpent........ 15.18.42,4814 0,21 342.46.43,7|+ 1,5 16,5|+ 31,9 » | 
Lune, 1° bord....|15.27.24,71|- 0,32 21.33.50,0|[+ 1,8 42.91, » [Bord sup. à 28"195.} 
42 y Balance. .... 12.31.13,07|- 0,32 22. 2.14,0|+ 1,8 16,71+2.24,9 » 
a Serpent........ 15.36.44,52|+ o,09|+ 8,86 » 
35 x Serpent..... 15.41.52,32l4 0,2h 340. 8. o,ol+ 1,51733,5] 20,3| 16,1|+ 28,6 » 
(1865)Ophiuchus..|16. 8.52,72]- 0,04 2.18.49,2|+ 1,5 733,5 20,3| 16,1]+r. 4,7 » 
4 4 Ophiuchus. ...|16.15. 8,55j- 0,27 18.24.20,5l4 2,9 +2. 1,7 » 


33 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843. 






























































CORRECTION a = El © 2 
A PASSAGE Ne MOYENNE | =2 = Jruenuouèrre. Ce E | 
2 NOM CONCLU ne ca 5 2 ë ë Z 
El “4 des EN SN ai ra Q = à REMARQUES. 
Æ DES ASTRES. j l'instru-| la de 3 |inté- | Exté- = 8 |. 5 
FIL MERID, ment. | peniule f VERNIERS. 180 ei rieur. | rieur. © a 5 
2 * z : 
b. m. s. 5 s © RU 1" o o Hour) rt <a 
œ Scorpion....... 16.20. 0 67]- 0,37|+ 8,53] 24.48.13,5|4 2,3 733,51+20,0|415,2]42./9,8|14,1| B. 
æ Persée......... 3.13.18,56!+ 0,87|+ 8,12 » [Niv.+5p,9b. 
Nadir amas ss 50 132.34. 9»9|+ 4,0 » |Moyenne de 6 obs. 
x Taureau .....,. 427. 4,531+ 0,22|+ 7,881342.34.17,9|4 3,0 21,8| 18,0]+ 31,4113,8| » 
8lœ Petite OurseI...1/13. 3.49,00 » [Nuages. 
a Vierge......... 13.17. 6,04! 0,14|+ 9.30 » 
n Grande Ourse.. .|13.41.29,84[+ 0,89|+ 7,361308.40.13,0|4 3,5 21,9] 18,3] 3,7] 9,5| » 
æ Bouvier. ....... 14. 6.40,01]4 0,27|4 7,37 3358.45.41,5|4 3,5 21,9| 1741]+ 26,7/13,5| » 
œ* Balance...... 4|14.42.23,10!- o,21|+# 721 " » |Trés-ondul. 
8 Petite OurseS...|14.51.21,34]4 2,76/4 8,07|283.58.48,7|4 1,9 — 29,7|14,7| » 
y Balance. ...... 4114.55. 5,o1f- 0,34 23.23.31,2|4 2,3 20,3| 16,2]42.35,3 » 
4 Serpent........ 15. 8. 0,241 0,00 357.48. 4,0|+ 3,0 7298] 20,5] 16,2]+ 55,0 » 
6 Serpent........ 15.13.13,4814 o,01 337.28. 4,0 + 2,9 ÿ + 54,3 » 
g Serpent........ 15.18.41,06[+ o,21 342.44.44,0|4 3,5 + 31,8 » 
æ Couronne...... 15.28.12,61|+ 0,38|+4 739 » 
11|œ Grand Chien. ...| 6.38.15,56|- o,19|+ 0,77 15.14.46,0 + 5,2/731,9] 19,7] 20,5]+1.43,9/13,5| » 
12|Soleil, 1% bord... .| 7.22.55,47|+ 0,26 336.58.25,0 + 4,51731,9| 19,9! 21,3]+ 24,4 » [Bord inf. à 23m55s, 
y Grande Ourse. ..|11.45.33,84]+ o,91|— 0,07|304:12. 8,0|4 4:91731,8| 20,0| 21,4/- 7,9] 6,4] » 
« Petite Ourse L..4|13. 3.41,40 207.15.14,4/4 4,1 732,0] 19,8] 19,3]- 54,7] 6,9| » | Moyenne de 5 obs. 
œ Vierge........ 4113.16.58,60|- 0,12|— 0,09 » 
x Bouvier....... 4\14. 8.32,65l+ 0,23| o,00 » [Nuages. 
x Taureau ....... 426.55,51l4 0,19/— 1,30/342.34.19,7|4 4,1|733,r] 21,0) 19,8]+ 31,3/17,4| » [Ondul. 
Nadir... Je nee + 132.34. 9,74 5,2 » [Moyenne de 4 obs. 
G Orion......... 5. 6.59,76/- o,10/- 1,39] 7. 8. 6,0|+ 3,7 732,9) 21,0] 20,5l+1,1b,7|15,5| » |Niv.+5,20. 
G Taureau....... 4] 5:16.22,70[+ 0,35|— 1,25]330.17.51,2|4 3,6|732,9| 21,1| 20,3l+ 17,3 17,3] » |Très-ondul., nuages. 
CiOFION asp se EN e 546.40 Lo + 0,08|— 1,41]351.23. 8,o|4 3, 732,9] 21,8] 20,5|+ 43,4/16,4| » Id. 
Vénus, 2mebord...| 5.53.51,58|+ 0,26 335.48. 2,5|4 3,5 21,7| 21,0]+ 23,1 » |Id. Centre au mérid. 
13/Soleil, rer bord....| 7.26.57,71l+ 0,25 337. 6.49,5|4 3,8|739,2] 21,0] 21,3]+ 24,6 » [Bord inf. à 27mb4s. 
œ« Hydre......... 9-19.52,12]— 0,10!— 1,63] 6.44. 5,5|4 2,1|731,5] 21,5| 23,ol+1.13,8/13,5| » |Très-faible. 
& Grande Ourse. ..|10.53.57,80|+ 1,25|- 1,56[296.10.31,0|+ 3,4/730,5] 22,0] 22,5] 15,7| 6,4| » |Très-ondul. 
-[x5l4 Taureau....... 4.26.50,o1|+ o,19|— 6,89|342.34.17,5|+ 2,5/735,3] 20,3! 18,24 31,5/14,1| » Niv.+6,27. 
| B Orion........ 2| 5. 6.54,18]- 0,10|- 7031 7. 8. 3,0|+ 3,4 735,3] 20,5 18,7 +1.16,4/13,4| » [Nuages. 
16/Soleil, 12° bord....| 7.39. 1,87l+ 0,25 337. 2.31,0|+ 1,2 20,9| 20,8]+ 24,6 » |Bord sup. à 4omBs. 
6 Serpent....... 4]15.12.58,05| 0,00 357.28. 3,04 2,9 19,8| 18,3]+ 54,4 » 
9 Serpent....... 4115.18.25,63/+ 0,19 342.46.46,0[+ 2,3 19,8| 18,3l+ 31,8 » |Nuages. 
x Couronne..... 4115.27.57,441 0,33] - 7:73 Ù À 
35 x Serpent... 19.41.35,84]+ 0,17 340. 7-53,5|+ 1,917: 19,8! 18,0]+ 28,5 » 
47 Balance. ..... 4115.45.52,65|- o,2x 17.39-20,0|+ 2,0 19,7| 18,0]+1.57,1 » | 
44 x Serpent..... 15.55.25,111+ 0,28 235.31.13,5|+ 1,8 18,0]+ 23,2 » 
47 Serpent....... 16. 0.49,52]+ 0,10 » 
(XV. 283) Piazzi.. .|16. 0.58,42l4 0,10 349.43.29,7|+ 2,1 + 41,6 » 
(:865)Ophiuchus..|16. 8.35,94]— 0,04 2.18.49,2|+ 2,3 17,8[+1. 4,6 » 
Mars, centre... ... 16.19.56,15|— 0,3r 24. 2.45,5|+ 2,6 +2.40,9 » [Au méridien. 
12 Ophiuchus..... 16.28. 2,66|— 0,03 0.44.20,0|+ 3,0 19,4] 17,4/+1. 1,2] * » 
22 Ophiuchus... ..|16.45.18,51|— 0,28 21.58.50,0|+ 2,8 19,4| 17,41+2.24,8 » 
(1939) Ophiuchus..|16.50.17,93[- 0,50 23.34.34,0|+ 3,5 4+2.37,7 » 
26 æ Ophiuchus.. .|16.50.29,59}- 0,30 » 























34 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1845. 





‘sunor 




















NOït. 


DES ASTRES. 


(1949) Scorpion..3 
(1959) Ophiuchus. . 
37 Ophiuchus..... 
œ Hercule. ....... 
ko + Sagittaire.... 
20 B Aigle....... 
25 w' Aigle 
47 x Sagittaire. .4 
35 c Aigle 
(XIX. 152) Piazai. . 
Saturne, centre... . 
Bibles st 20e 4 
GHAAISIE RE... 
x Ë' Capricorne... 
æ' Capricorne... .. 
«2 Capricorne..... 
iGocher-...-.. 4. 


Vénus, 2%e bord... 
Mercure, 2" bord... 
æ& Grand Chien.... 


17|Soleil, 1er bord... 


œ Hydre......1.. 
PION A dve 3 


E 
= 
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LE) 
æ 
S 


n Grande Ourse... 
æ? Balance. ....,. 
G Petite OurseS... 
4 Serpent....... 4 
6 Serpent........ 
9 Serpent.... .. 4 
a Couronne ...... 
42 y Balance. .... 
47 Balance....... 
44 = Serpent..... 
47 Serpent....... 
(XV. 283)Piazzi.. 
Mars, centre... ... 
12 Ophiuchus..... 
22 Ophinchus..... 
(1939) Ophiuchus./ 
26 x Ophiuchus:.. 
62 y Ophiuchus. .4 
63 z Ophiuchus... 
y Diagon........ 
72 87 Ophiuchus... 
(XVII. 375) Piazzi. 


14 Sagitlaire 



































CORRECTION [œ) | = 
PASSAGE de MOYENNE |=© | > 
CONCLU | des | E A Ë 
a: l'instru- la s 5 2 
FIL MÉRIUD. | eut. | pendule | VERNIERS. 2 £ 
nent s. s d'A 1 | nm 
16.55.24,11|- 0,24 19. 0.22,0 + 3,5 
17. 0. 3,78] 10,03 359.37.19:7|+ 2,1 
17. 4.59,b2l+ o,12 
17. 7-24,90]+ 0,17|— 7:941344.11.14,5 + 2,1 
1.57. 5,07|— 0,33 26.36.34,0|+ 3,2/737,1 
19. 4! 5,78]- 0,10 6.56.36,0|+ 3,4 
19-10.22,961+ 0,12 347.26.31,5|+ 3,2 
19:12.39,53|- 0,30 23.31.49,5|+ 3,6 
19.21. 0,39l+ o,o1 357. 7. 4,0|+ 3,4 
£ 357. 4. 1,5|+ 3,5 
19.36.42,07!-— 0,25 20.20.19,D|+ 4,2 
19.47.31,53[+ 0,06|- 8,50|352.44. 8,04 4,7 
19.56.13,38[- o,or 359.53.32,0|+ 3,7 
20. 3.11,661- 0,15 11.32.44,0|+ 4,7 737,0 
20. 8.52,08|- 0,15|— 8,27} 11.43.46,0[+ 4,11737,0 
20. 9-16,42 _ o,15|— 8,44 
5 4.358,97 + 0,67|- 8,77 
5. 6.52,20)- o,10|[— 9,03 . 8. 4,ol+ 3,5|737,6 
5.16.12,23/4 0,35|— 8,831330.17.49,5|+ 2,9/737.6 
5.46.33,08[+ 0,08|- 8,92 
G.14.51,621+ 0,26 335.39.47,5|+ 2,6 
6.19.29,12+ 0,25 336.52. 9,7[+ 2,8|737,5 
6.38. 6,08] - 0,19|- 8,80] 15.14.44,0[+ 2,9 
7.43. 2,25{4 0,24 337.43.52,0[+ 2,0|737:2 
9-19.44,68]- o,10/- 9,07 6.44: 4,0|+ 2,5]736,7 
9:59.52,60!+ o,15|- 9,27 
10.55.b0,27l+ 1,25|— 9,09/295.10.34.,0|+ 2,5|736,0 
13. 3.37,40 207.15.18,5|+ 2,1|735,4 
13.16.49,12/-— o,12|— 9,50] 9: 5.35,5|+ 2,41735,4 
13.41.12,70|+ 0,77|— 9,611308./0.16,0[+ 2,5 735:3 
14.42. 6,08l- o,18|- 9,60! 14. 7.55,71+ 2,6 
14.51. 3,52l4 2,39[- 9,401285.58.43,2|+ 2,5|735,2 
15. 7.43,15| 0,00 357.48. 4,o|+ 2,8 
15.12.56,40| 0,00 357.28. 4,o|+ 2,81735,3 
15.18.23,80[+ o,19 349.46.45,7|+ 2,81735,3 
15.27.55,51|4 0,33|— 9,641331.3r. 8,0|+ 2,8 
15.30.55,17|- 0,29 22. 2.16,0|+ 2,8 
15.45.50,851- o,a 17.39.22,0|+ 3,11735,3 
15.55.25,33|+ 0,28 335.31.14,0[+ 2,5 
16. 0.47,641+ 0,10 
16. 0.56,561+ 0,10 349.43.30,0|+ 2,5 
16.19. 8,96!- 0,3: 24. 3.30,o|+ 3,5 
16.28. o,82[- 0,03 0.44.18,0|[+ 2,9,735,5 
16.45.16,73l- 0,28 21.58.54,0[+ 2,6/735,5 
16.50.16,22{— 0,30 23.34.34,0|+ 2,6 
16.50.27,69l- 0,30 
17-39.55,:8|+ 0,04 355.59. 4,olt+ 2,6/735,6 
17.45. 9,451- 0,30 23.34.34,0|+ 2,7 
17.52.50,gl+ 0,82|- 9.63 307.15.35,2 + 3,8 
17.59.48,30|+ 0,11 34g12.42,0|+ 2,5 
17.59.57,561 o;1x 
18. 4.44,97[- 0,26] 20.28.56,0|+ 2,9] 








LHERMOUËTRE. À 


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21 

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3104 na nait 





5,1/15,6 





"VAILVAUISIO 





REMARQUES. 


Au méridien. 


Centre an méridien. 
Id. 

Niv.+5p,85. 

Bord inf, à 44m3s, 

Ondul. 


Moyenne de 5 obs. 


Au méridien. 











Observations faites à la lunette méridienne en Juillet 1843. 





‘sSunoc 


18 Soleil, 1er bord...3 








NOM 


DES ASTRFS. 


à Petite Ourse S. .. 
œ« Lyre 
29 r Sagittaire. ..4 
Anonyme 9-20°27/ 
62 Serpent... ... & 
40 + Sagittaire. .., 
20 B Aigle..... 
25 w' Aigle 
47 x Sagittaire... 
35 c Aigle 
(XIX. 152) Piazzi. 4 


a Taureau 
BTaureau .... 
« Orion 
Vénus, 2me bord... 
Mercure, 2m bord. 
æ Grand Chien.... 


œ Lion 
« Grande Ourse, .. 
B Lion 
7 Grande Ourse... 
æ Petite Ourse [.., 
2 VIE TECH 
n Grande Ourse.., 
aIBDUVIEr: À. 


B Petite Ourse 5... 
9 Serpent 
ax Couronne 
42 x Balance... 
47 Balance. . .... 2 
44 Serpent 
47 Serpent : 
(XV. 283) Piazzi. .| 
(1865)Ophinchus . | 
4 bd Ophiuchns, .., 
Mars, centre... .. 

12 Ophiuchns...., 
(1908) Scorpion... 
(1939) Ophiuchus 
26  Ophiuchus,., 
(1949) Scorpion. 4 
(1959) Ophiuchus , 
37 Ophiuchus...., 
« Hercule 
33 Scorpion 





44 b Ophiuchus.. . 
3 Petite OurseS. ,2 


CORRE 





18.22.40,50 


























PASSAGE AUS MOYENNE | 2 
CONCLU D ELA 
| rt mérin. List UE VERNIERS. 
D'ou" s s. F0 DRE TI 11 
18.22.43,02 27211: 9,04 2,9 
18.31.30,46|+ 0,52|— 9,85/320. 7.2b,7|+ 3,0 
18.40.15,95]- 0,25 19:13.50,0|f 4,1 
18.41.35,607!- 0,25 
18.47.42,05|+ 0,06 352.19.52,0|[+ 2,3 
18.57. 3,31}- 0,33 26.36.35,o1+ 2,5 
.|19- 4. 3,88/- o,r0 6.56.36,7|+ 2,3 
19:10.20,52l+ o,12 347.26.27,5|+ 2,1 
19.15.37,89[- 0,30 23.31.53,2|+ 2,8 
19.20.55,68] 0,00 357. 7. 5,olt 2,3 
19.23. 2,58] 0,00 357. 4. x,b|+ 2,1 
19.36.21,59}- 0,26 20.21. 7,2|+ 2,4 
319.43. 1,041+ 0,10/-10,16 
19.47-29,80Û+ 0,06|-10,181352.44. 8,5|+ 2,6 
4 26.46,80{+ 0,19/-10,571342.34 21,0|+ 1,9 
5.:6.13,35]+ 0,35/-10,74/830.17.53,o[+ 0,2 
5./6.31,18+ o0,08|-10,84[551.23.11,5[#+ 0,1 
6.20. 7,5o[+ 0,26 335.39.29,7|— 0,8 
6.25.31,10l+ 0,25 336.41.39,0|- 0,6 
6.38. 4,36/- 0,19/-10,51] 15.14.50,0| 0,0 
7-47. 2,334 0,24 337.22:33,5|-— 1,2 
9-59.50,82{+ 0,15|—11,04 
10.53.48,27{+ 1,25|-11,07 
11.40.53,641+ o,18/-11,06]343.18.53,5| o,0 
11.45.22,50]+ o,91|-11,27304.12.19,5|- 0,2 
13. 3.38,80 267.15.19,5|- 1,0 
13.16.47,19)- o,11|—-11,41) 9. 5.35,2|— 0,2 
13.41.11,08[+ 0,77|-11,33/308.40.19,5|— 0,8 
14. D.21,198+ 0,23/—11,37/338:45.45,5|- 1,0 
14.42. 4,32f- 0,18/-11,441 14. 9 5G,o|- 0,5 
14541 1,72{+ 2,39/—11,19/283.58.4/,0|- 0,5 
15.18.22,15/+ 0.19 342.46.47,5[+ 0,6 
15.27.53,87]4 0,33|-11,27/831.31.10,0|— 0,2 
15.30.53,45i— 0,29 22. 2,20,0|+ 0,3 
15.45.49,00!- 0,21 17.39 30,0] 0,0 
15.55.23,61{+ 0,28 335.31.16,0|- o, 
16. 0.45,34[+ 0,10 
16. 0.54,68l+ 0,r0 349:43.30,o|+ 0,7 
16. 8.32,40/— 0,03 2.10.54.0|+ 1,2 
16.14.48,22)— 0,23 18.24 20,0[+ 0,8 
16 19.25,31)— 0,31 24. 4.26,o[+ 0,2 
16.27.59,12]— 0,02 0.44.25,5|+ 0,2 
16.35. 4,83]- 0,33 26.56. 2,o[+.0,7 
16.50.14,351- 0,30 23.34.45,o[+ 0,7 
16.50.25,95!— 0,30 
16.55.20,58- 0,24 19. 0.23,0[+ 0,6 
17 0. 0,28}— O,o1 359.37.23,7|+ 0,2 
17. 4.55,78l+ 0,12 
17: 7-21,18/+ 0,17/-11,65 
17:15.24,03|— 0,29 22.49.29,7|-— 0,8 
17.16.40,49)- 0,29 


272.11.12,0|# 0.) 























z 7 _- 
4 THERMOMETRE. = El 
a En (NN 5 
sl Eaté- 3 Z 
É neur. Z = 
735,60, le17,5l- 46,5! 8, 
+ 7:9]12,2 
+2. b,1 
733,5 17,04 45,6 
+3. 9,0! 
+1.16,4 
+ 38,0 
16,7k+2.37,5 
+ 54,0 
+ b4,o 
735,4 16,0!+2,13,8 
735,4 15,6! 46,5115,8 
733,7 19,24 31,3117,0 
733,5 20,94 17,2/15,6 
733,3 21,204 43,3,16,6 
+ 23,4 
733,0 22,0] 24,0 
732:9 21,9{+1.43,5|13,3 
732,6 22,9]+ 24,7 
730,5 24,64 31,6113,1 
730,5 24,6[- 7.8/12,3 
29,9 22,5) 153,9) 7,1 
7 Hole 
729,0 22,3)— 3,6,12,1 
729,0 22,04 96,3 11,3 
729,6 22,1)+1.33,3|19.8 
- 29,2] 8,9 
29,2 21,414 31,2 
ci ES LhE 
+2:22,0 
729»6 20,7|+1.54,9 
Fi22;7 
20,3+ 40.9 
rt. 3,4 
+1.59,1 
729,5 21,2/+2.39,1 
+1. 0,0 
729) 20,51+3. 9,0 
+2.34,7 
+2. 2,7 
+ 57:9 
19,9 +2:2941] 
| 
- 46,r roi 














"UNALVANISAU 


. [Moyenne de 5 obs. 


REMARQUES. 








Au méridien. 
Niv.+6P,08. 
Ondul. 


Id. Centre au mérid. 
Id. Id. 


Bord sup. à 489$. 


Moyenne de 5 obs. 








Au méridien. 





36 


Observations Fate à la lunette mér ea en Juillet 1843. 










| 
| 



















































































ll CORRECTION [e] œ El = (©) 
u PASSAGE le MOYENNE | =5 | 2% franuowèree. | = EVE 
E NOM D Si BALE à A NES MMLONE EN “nm ee 
FE ae des 23 € 3 = | Z | REMARQUES. 
= DES ASTRES. ; L'insteu-| la 22 | 3 |'inte- | Eué- = SUINE 
FIL MÉRID, | ment. | pendule! VERNIERS. | © © | © Lier. | rieur | £ AE 
Hem: "8 s. s. o " 11 mu. o o Be Li 
Gilyrer entres 18.31. a 72l+ 0,52|-11,57|320. 7-29,7|+ 0,21729,4|+21,0[+17,94 :7:2/12,6| B. 
29 r Sagittaire... .|18 40. 14tr — 0,25 19.13.5B,0|+ 0,8 +2. 4,9 » 
Anonyme 320027! 18.41.34,05/— 0,25 F 
62 Serpent. ...... droite + 0,05 352.20. 1,2| o,0/529,4] 21,0] 17,7h+ 45,1 » 
4o + Sagittaire... .|16.57. 1,51]- 0,33 26.36.40,5|- 0,1 18,0/+3. 6,7 » 
20 B Aigle....... 19. 4. 2,24] 0,10 6.56.39,7[+ 0,2 18,0]+1-15,4 » 
“4 w'Aigle...... 19.10.18,82|+ 0,12 347.26.30,0|— 0,5 + 37,6 » 
47 x Sagittaire. . 19.15.36,25]- 0,30 23.32. 2,0|+ 0,2 +2.35,4 » 
35 c Aigle ...... 13 19.20.5683! 0,00 357. 7. g,7l+ 06 + 53,3 » 
(XIX. 152) Piazzi.4|19.23. 1,38] 0,00 357. 4. 2,0[+ o,5|729,3] 21,0] 18,1]+ 53,2 » 
Saturne, centre. 19.36. 1,40]- 0,26 20.22. 2,0|+ 0,6 +2.11,8| . » [Au méridien. 
y Aigles... 13 19.38.39,98 + 0,13/-11,71348.31.22,0[+ o,r + 39,3/17,9| » 
œ Aigle. ......... 19.42.59,541+ o,10[-11,67 » 
BPABle ee. à. 19-47.28,341+ 0,06[-11,711352.44.14,5/+ o,1/729,2] 21,0] 18,14 45,7118,7| » 
æ Taureau..... .. 4.26. 44,76 + 0,17/-12,24)3/42.34.24,0|- 1,2/727,5] 22,8] 22,14 30,8/16,5| » 
19|Soleil, 1°° bord....| 7.51. 1,93/+ 0,23 338. 4 45,5[+ 0,2/726,41 24,5] 25,6/4 25,1 » |Bord inf. à 52m3s, 
a Petite OurseL...4|13. 3.37,80 267.15.19,7|— 1,0/723,7] 23,7| 24,4) 53,1] 8,0! » | Moyenne de 5 obs. 
b1|x Cocher......... 5. 4.50,67[+ 0,67|-17,24 » 
224 Petite Ourse L....|13. 3.33,00 267-15.20,0| 0,0/729;7] 20,9| 19.3]- 54,5! 7,5] » | Moyenne de 5 obs. 
x Vierge........ 4|13.16.40,27|- o,11|-18,29) 9. 5.28,0|+ 1,4 tr2r,4] 8,9| » 
n Grande Ourse. ..|13 41. 4,04|+ 0,77|-18,23 » 
a Bouvier........ 14. 814,134 0,23|-18,381338./45.39,7|+ 0,71729,6| 20,3| 18,o]+ 26,7| 0,8] » 
25|Soleil, rer bord...| 8.14.47,09[+ o ,19 338.43.39,5|+ 3,8/735,0] 18,8| 17,5+ 26,9 » |Bord sup. à 15m45s, 
a Grande Ourse. . .|10.53.35,87{+ 1,04|-23,56/296.10.35,5|+ 18 73491 18,5] 18,0]- 16,1| 9,1| » 
BALION es ee state 4l11.40.40,65|+ 0,15|-24:03|3/3.18. 495 + 4,7 + 32,6114,8| » 
y Grande Ourse. . .|11.45. 9:74 + 0,76 -24,05|304.12.14,5|4 4,6 73438] 18,3| 1741] 8,1/10,7| » 
a Petite Ourse I..2|13. 3.26,76 267.15.19,1|+ 4,51734,81 18,4] 16,6 55,4! 9,6| » | Moyenne de à obs. 
a Vierge......... 13.16.34,22]- o,r0|-24,29] 9. 5.30,0|4 4,7134,8) 18,1] 25,0/+1.23,3/10,4| » 
# Grande Ourse. . .|13.40.58,o2|+ o en —24,30|308.40.17,5|+ 4,4 -  3,8l15,0! » 
“à Soleil, xer bord... .| 8.18.42,41|+ o,19 339.28.12,0|+ 4,0|735:7| 17,7] 16,6[+ 27,9 » [Bord inf. à 19m/6s. 
PALIN ee eee 9-59.36,02]+ o,12|—25,881346. 1.5r,0+ 4,61735,4] 17,7] 17:0/+ 36,2 17,0] » |Oudul. 
(Gi TO RATE 11.40.38,6ol+ o,15 -26,07 343.18. ss ol+ 4,2 + 32,7/10,9| » 
7 Grande Ourse...|11.45. 7,60]+ 0,76 —26,17 Bot 17 + 4,6/1735,3] 17,8] 16,5 8,1l11,5| » 
a Petite Ourse I... .|13. 3.26,70 267.15.17,3|+ 4,51735,41 17,6] 16,0! 55,6 m4 » [Moyenne de 4 obs. 
a Vierge........ 4113.16.32,14]- o,10|-26,36 » 
n Grande Ourse... ri.fo de + 0,64|-26,27|308.40.12,o|+ 4,61735,2] 17,5] 16,0 3,7| 9,8] » 
a Bouvier. ....... . 8. 6,13]+ o,19/-26,3/1338./5. Lo + 4,61735,30 17,41 15,514 27,1119,3| » 
œ? Balance...... nn 4x. 49:16 — o,15 26,47 14. 753,54 4,61735,4) 17,2 … H41,7/17,0| » 
B Petite Ourse S. .4 sh 49.46,88|+ 1,99 —25,80|283.58. Lo +, 3,5 — 30,r|10,3| » 
y Balance....... 4l14.54.31,16]- 0,24 23.23.26,0|+ 4,71735,] 17,0| 14,8 Ja37 » 
6 Serpent....... 4/15.12.39,51|+ o,or : Por: 28. 3,5|+ 5,3 + 55,1 » 
9 Serpent........ 15.18. 7,161+ 0,15 42.46.42,o[+ 5,31735,71 16,6! 14,414 32,2 » | 
« Couronne....... 15.27.38,75]+ 0,28|—-26,32 De ss 5,5|+ 4,8 + 19,0/18,3| » 
42 4 Balance . ...3,15.30.38,r1|- 0,23 22. 2.12,0|+ 4,8 +2.26,8 » |Très-faible. 
œ Serpent........ 15.36. 9,o2]+ 0,06/-26,57 » 
35 x Serpent... .|15.41.16,96[+ 0,18 340. 7.55,51+ 5,5/735,9l 16,6! 14,o]+ 29,0 » 
44 = Serpent..... 15.55. 8, 83 + 0,24 335.3r.10,0[+ 5,8 + 23,2 » 
47 Serpent..... .|16. 0.30,82 + 0,08] Ho) 


















NOM 


DES ASTRES. 





(XV. 283) Piazzi. . 
(1865) Ophiuchus . 
æ Scorpion....... 
Mars, centre...... 
(XVL 139) Piazzi.4 
Anonyme........ 
22 Ophiuchus..... 
(1939) Ophiuchus.. 
26  Ophiuchus... 
(1949) Scorpion... 
(1959) Ophiuchus. . 
37 Ophiuchus..... 
œ Hercule. ...... 3 
œ Ophiuchus...... 
62 y Ophiuchus... 
63 z Ophiuchus.., 
y Dragon........ 
72 $7 Ophiuchus... 
(XVIL. 375) Piazzi.…. 
14 Sagittaire. .... 
d Petite Ourse S. .4 
MANRE se aiotelolele ee 
29 r Sagittaire. . .4 
Anonyme d-20°27/ 
62 Serpent. ...... 













20 B Aïigle....... 
Anonyme 9+11°14/ 
25 w' Aigle...... 
47 x' Sagittaire... 
Saturne, centre... 


BMOnon.:.....!.. 
B'Taureau........ 
MMOn- 0. 


x Grand Chien. ..4 







9|Soleil, 1° bord... 
a Petite Ourse L.... 
F1 \ COTE NOR 4 
35 x Serpent... ..4 
44 x Serpent..... 
47 Serpent... .. 
(1865) Ophiuchus . 





CORRECTION 


37 





































4 d Ophiuchus.... 
œ Scorpion. ...... 








































PASSAGE a MOYENNE 28 
CUNCLU Te  ., de E 
ca l'instru- la Ê 3 
FIL MÉRID, | ment. | pendule] vERNIERs. | Ÿ © 
b+ ms 8. 8 71 
16. 0.39,721+ 0,08 5,0 
16. 8584 - 0,03 , H 5,3 
16.19.25,49)- 0,26/-26,43 + 6,3 
16.24.30,64/- 0,25 + 5,3 
16.30.28,351+ 0,40 
16.37. 4,72]+ 0,40 + 5,3 
16.44.59,95|- 0,23 + 5,3 
16.49.59,411- 0,24 + 5,7 
16.50.10,971— 0,24 
16.55. 5,31]- 0,20 + 6,2 
16 59.45,16[- 0,02 + 5,7 
17. 4.40,84[+ 0,10 4 + 5,2 
17. 7. 6,33]+ 0,14/-26,4713/44.11.11,0|4 5,4 
17-27.15,841+ 0,12/-26,471346. 4.47,5|+ 5,7 
17.39.38,/6[+ 0,03 355.38.57,7|+ 6,2 
17.44.52,471- 0,24 23.34.30,2|+ 6,1 
17.52 33,91{+ 0,68|-26,33/307.15.29, 5 
] 7 9»7|+ 27 
17.59.31,60!+ 0,09 349-12.40,0|+ 5,9 
17.50.40,641+ 0,09 
18. 4.28,45f— o,21 20.28.51,7|+ 7,0 
18.22.26,38 272.rr. D,7|+ 7,2 
18.31.13,90]+ 0,43/-26,46|320. 7.23,5|+ 6,3 
18.39.58,99l- 0,20 19:13.50,0|+ 7 
18.41.18,91]- 0,20 
18.47.25,38]+ 0,06 352.19.49,7|+ 6,5 
18.56.46,451- 0,28 26.36.31,0|+ 6,9 
19. 3.47,18|- 0,08 6.56.31,0|+ 6,3 
19. 7.48,12]+ 0,10 
19.10. 3,94[+ o,11 347.26.21,7|+ 6,0 
19.15.21,23|- 0,24 23.31.45,0|+ 7,0 
19 33.18,59]— 0,21 20.28. 2,5|+ 7,1 
19.38.24,70l+ o,10|-26,93|348.31.13,0|+ 6,7 
19-42.44,54]+ 0,08|—-26,75 350.17.46,0|+ 6,7 
19.47.13,31]+ 0,05|—26,81 
4.26.29,58|+ 0,16|-27,661342.34.13,5|+ 5,6 
132.34.11,5|+ 6,0 
7. 7-29,32]+ 0,22 336. 6.14,0/+ 5,5 
5. 4.36,35{+ 0,56|-31,90 
5. 6.29,44]- 0,08|—-52,07 
5.15.52,51[+ 0,29|-31,94 
5.46.10,42[+ 0,07|-31,86/351.23. 5,o|+ 5,6 
6.37.43,10- 0,16|-31,89) 15.14.40,0[+ »,7 
8.30.24,65|+ 0,18 339.37.31,5|+ 4, 
13. 3.18,30 267.15.18,8|+ 4, 
13.16.25,87!- o,10/-32,60| 9. 526,714 4, 
15.41.10,50ol+ 0,18 340. 7.50,o|+ g 
15.55. 2,171+ 0,24 335.31. 2,7|+10, 
.[16. 0.24,22]4 0,08 349.48. 8,o|+10, 
16. 8.10,78]- 0,03 2.18.42,0|+ 9, 
16.14.26,58|- 0,1 18.24.10,0|+10, 











16.:9.19,0}- PE 


Gris # Vo 00 Uri 





24.48.12,0|+10,5 





15,9 


15,5 


15,3 








‘a10g na na11 
"UNAYLVAUASIO 





13,81+2.51,3 
+2.45,9 






13,04 9,2 


+ 50,9 
+ 39;7 
12,104 34,4 
12,2)+ 37,0 
12,0/+ 52,8 
+2.40,7 





197 
19,3 








- 2 


’ 
+ 41,2 


12,91+2.16,6 
= 474 
+ 74 
12,5l+2. 8,5 


+ 46,4 
+3.12,5 
+1.17,8 























Hi 38,7 
+2.40,4 
12,0/+2.16,7 
+ 40,5 
+ 432 


13,0|+ 












32,1 











16,74 23,9 





16,5]4 44,0 
19:3]+1.44,6 


21,4/+ 27,5 
21,3] 54,3 97 
20,0]+1.21,2|11,3 
17,314 28,5 

+ 23,1 

+ 41,5 
17,0]+1. 4,4 
17,0]+2. 1,0 » 


10,51+2.48,8/19,6! » 



















REMARQUES. 





Au méridien. 





Moyenne de 5 obs. 


Moyenne de 6 obs. 
Centre au méridien. 


Niv.+4r,74. 


Bord sup. à 31285. 
Moyenne de 5 obs. 





10 


m 
2 
GE 
mn 
= 














NOM 





DES ASTRES. 


(XVI. 139) Piazzi.…. 


Anonyme 9+36°30/ 
Anonyme........ 
22 Ophiuchus.... 
26 x Ophiuchus. 3 
(1949) Scorpion. 
(1959) Ophinchus 
37 Ophiuchus.. 

æ Hercule. ...... 4 
33 Scorpion... ... 
44 b Ophiuchus... 
62 y Ophiuchus. .…. 
63 z Ophiuchus... 
y Dragon......... 
728? Ophiuchus... 
(&VIL. 375) Piazzi. 
14 Sagittaire ..... 
à Petite OurseS.. 














20 B Aigle..... - 
Anonyme 9+11°17/ 
25%" Aiple.-... 


l30|Soleil, rer bord ... 















y Grande Ourse... 
« Petite Ourse I... 
Lune, 1er bord. .4 

fi 3 





Grande Ourse... 
æ Bouvier. ....... 
x° Balance...... 


y Balance........ 
9 Serpent........ 
x Couronne....... 
œ Serpent........ 
35 x Serpent....3lx 
44 x Serpent..... 
\(1865) Res à 

|4 4 Ophiuchus.. . 

æ Scorpion.,.,,... 





| 


Observations faites à la lunette méridienne en Juillet et Août 1843. 




















‘LUDAIU up 
NOILOHUHOD 
:NOILOVUAAN 
"4104 na nai 
"UNAILVAUISAHO 













È | *“AULAROUVE 




















































—392,86 nr LE 2 5 




















Moyenne de 5 obs. 





—32,93|320. 7.19,2 






























Moyenne de 11 obs. 















Bord inf. à35m20%. 


[Bord sup. à 43mos. 


O © © 


5,-38,25/343.18.49,2 
538,31 304. 12.11, 


- 














Moyenne de 5 obs. 
Bord sup. à 10m/425 





s 


—38,39| 9. 5.24,0 
4-38, 19/308.40.10,0 
119 |_38,33 338. Gi se 


5 


M OÙ = Wii © Où 
1 


M 





G Petite Ourse S...|14 


; 











un 











































»4 
)|-38,59| 24. 48. ol + Fée 


39 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 18%3. 



























CORRECTION 
de 





u0) 


PASSAGE 


CONCLU 
au 


FIL MÉRID. 


MOYENNE | = 


THERMOUMETRE 








NOM 






— 1 REMARQUES. 









l'instru- 
ment. 


DES ASTRES. 





‘AVLHNOUYA 





‘4104 na nat 


NOILOVUAAU 





VERNIERS. 
















b.. ns 
12 Ophiuchus.....|16.27.31,94[- 0,03 
(XVL. 139) Piazzi. 3/16.30.16,2g}+ 0,40 
Anonyme 9+36230/|16.34. 50,524 0,40 
Anonyme........ 16.36.52,641+ 0,40 
22 Ophinchus..... 16. 44. 47:69 — 0,23 
(1939) Ophiuchus 3/16.49.46,8bf— 0,24 
26 .7 Ophiuchus... 16. 49.58,65|- 0,2 
(1949) Scorpion. .|16.54.53,41|- 0,2 
(1959) Ophiuchus... |16.59.32 sh — 0,02 
37 Ophiuchus.....|17. 4.28,70l4 0,10 
æ Hercule....... 4117. 6.54,06!+ 0,14 
33 Scorpion...... 17.14.56,51]-— 0,24 
44 b Ophiuchus...[17-16.13,17)— 0,24 












321.57.28,0|4 8,4/730,4i419,1 416,02 9,0 » 










































































































































æ Ophiuchus...... 17.27. 3,70f+ 0,12 46. 444,04 9.6|730,5 20,2| » 
63 z Ophiuchus...|17.44.40,63]- 0,24 23.34.30,2|+10,2|730,9) 18,7 13,0 +0. 589 » 
3 Dragon. ....... 17.52.21,07|+ 0,68 7-15.20,0|4 9,3/730,5] 18,5| 13,0Ï- 5,1| 9,8| » 
72 $:Ophiuchus.. .|17.59.19,56[+ 0,09 -12.38,0 
(XVIL. 375)Piazzi..|17. ii: 28,62}+ 0,09 
14 Sicikaire ass 18. 416,11} 0,21 20.28.48,5|4 9,4 +2.15,1 » 
3 Petite OurseS...|18. 22.13.40 272.10.58,2 10,0 — 16 8,9! » | Moyenne de 5 obs. 
cet 0,43|-38,541320. 7.19,2|+ 9,4 + 7,3/15,1| » |Ondul. 
29 r Sagittaire. . .:18.39.47,03 — 0,20 19.13.44,0|+10,4|730,5] 18,0| 13,042, 7,3 » | Id. 
Anonyme-20° 27. .[18.41. 7,07|- 0,20 » 14. 
62 Serpent....... 18.47. 13 ,24+ 0,06 352.19.48,0|110,2/730,5) 18,0| 12,7l+ 46,0 » Id. 
40 + Sagittaire... .|18.56.34, 37{-— 0,28 26.36.30,0| 110,0 +3.10,6 » Id. 
207B Aïple.....2: 19. 3.35,12}- 0,08 6.56.29,7|+ 9,9 12,7]+1.17,0 » |. Id: 
Anonyme. ....... 19. 7.36,19}+ 347-27.45,5|+ 9,7 + 358,6 |» | Id. 
2hlon Aigle .. ..". 19. 9.5x,781+ 347.26.20,0|+10,2 + 38,5 » | Id. 
47 x" Sagittaire. . .|19.15. 9,13[- 0,24 23.3. 45, 5|+10,5 +2.38,9 » | Id. 
Saturne, centre... .|19.31.19,87/- 0,21 20.32.32,0|+10,4|730,41 17,6| 12,0]+2.16,1 |» Id. Au méridien. 
| DANSE... 2. 19. ap 7 + o,10l-38,881348.3r. 8,5l411,4 + 4o,2|19,2| » Id. 
. HAiale es: 2. 19.42.32,481+ o en 38,841350. De .41,5|410,2 + 42,9l17,3| » Id. 
| EN ERRREE va A + 0,05|-38,971352.44. 2,o|+10,3 11,6/+ 46,8/19,7| » | Id. 
barAigle...::..... 19.55.43,04!- 0,01 359.53.28,2|+ 9:9 +1. o,1 | » | Id. 
: £: Capricorne. ..|20. 2.41,14{- o,r2 11.35.33,5|+11,9 11.32,2 » Id: 
a Capricorne... ..|20. 8, con — 0,12|-38,89) 11.43. 38, ol+11,5|730,4) 17,5] 11,5f+1.32,7/15,7| » | Id. 
œ2 Capricorne... .. 20. 8.45 gb — 0,12|-39,01 Id. 
2 CESR 20.35.29,/9{+ 0,54|-38,571314. 2.30,0|+11,1/730,4) 17,0] 11,584 1,4/15,4| » 
x Céphée........ 21.14.14,234+ 1,01|—-38,33/206.50.44,0|+10,6 10,5)— 15,7| 8,9| » | 
B Céphée. .......|21.26. 1,13k+ 1,47|-38,46/288.53.57,0|#11,4 10,0 24,4/16,3| » 
LTD SE 21.36.41,18)— 0,02 1. 3.52,0[+11,5 10,41+1. 2,9 » |Très-faible. 
Jupiter, centre... .|21.47. 3 ,52l- o,r4 13.11.38,0|+11,5/730,31 16,7| 10,3}+1.38,; » |Au méridien. 
Cocher, ....... 5. 4.29,15i+ 0,56 m7 
HOriUn.… --... 1. b. Gate — 0,08 73949 7. 8. 2,7|4+ 2,41730,31 18,6| 15,3/41:16,3/14,9| » 
B Taureau .... ..| 5.15.45,03!+ 0,29 —39,24 330. 17- 40,74 2,0/730,2 18,8| 17,704 17,4/14,5| » | 
PAONION - ss ee» 5.46. 2,704 0,07 -39,67/351.25. 9 > ï 2,2|730,2{ 19,2] 17.8]+ 43,7118,5| » 
æ Grand Chien....| 6. 7e 35,641- 0,16 39,46 15. 14.4 .44,0|+ 2,1 7299] 20,0 15,0 +1.44,5 13,0! » | | 
Vénus, 2€ bord...| 7.38.50,95{+ 0,21 336.54.13,5|+ 1,8[729,5] 20:1| 20,41+ 24,3 » [Centre au méridien. 


2|Soleil, 1er bord... .| 8.45.53,564 0,17 340.36.14,0|+ 0,8/729,2] 20,7| 21,54 28,5 » |Bord sup. à 46m515. 




































NOM. 


DES ASTRES. 


nt 

























al 











# Grande Ourse. 


Soleil, 1°r bord.... 
a Petite Ourse IL...3|13. 3.24,88 
.3113.40.35,441+ 


a Bouvier. ....... 


a° Balance 
8 Petite OurseS.. 
7 Balance 


Lune, 1° bord.... 
44 b Ophiuchus. .: 


æ Ophiuchus..... 


62 y Ophiuchus... 
63 z Ophiuchus... 
72 $? Ophiuchus. . 
(XVI. 375) Piazzi.| 17.59.20,68|+ 


14 Sagittaire 


PASSAGE 


FIL MÉRID. 


8 


LA 


CUNCLU 
au 


CORRE 


de 


a —, 


l'instru- 


2 


eat. 


40 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 





CTION 





MOYENNE 






des 





la 
pendule 





VERNIERS. 


On retourne l'instrument. 












‘AULANOUVH 


On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest. 


b. m.s. 


.57.23,24 





-44.32,91 


17-59.11,90|+ 


18. 
3 Petite OurseS..4|18.21.57,13 


4 8,43 R 





œ Lyre. ......... 18.30.53,42|+ 
(XVII, 180)Piazzi 4|18.37.51,70|— 


2g r Sagittaire... 18.39.39,37 


Anonyme 8—20°27/|18.40.59,43}-— 
18.47. 5,54|+ 
18.56 26,85] 


62 Serpent. ..... 


4o + Sagittaire... 


æ Orion 
æ Grand Chien... 


Soleil, 1% bord... 


+ 


a Grande Ourse. . . 


8 Lion 


7 Grande Ourse... 
æ Petite Ourse I... 


a? Balance....... 


G Petite Ourse S... 


x Couronne 
x Serpent 
35 x Serpent..... 
44 r Serpent.... 


4 4 Ophiuchus.... 


x Scorpion 
x Hercule 
33 Scorpion 


44 b Ophiuchus... 


x Ophiuchus..... 


62 y Ophiuchus... 


5. 4.20,95|+ 





10.53. 8,57|+ 


11.40.14,40|+ 





17- b.42,00}+ 
17-14.45,06|- 


17-16. 1,9{— 








—50,481341. 9.42,0 
|-50,431293.37.20,2 


—50,35/240.20. 4,0 
)-50,57/280.57.11,5 






œ 





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5; 
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D D OQ1mæ 
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1 LES 


. 


Wrb 1 01 


D D D D CGR © CS 
CIRE HE O1 CC = Ut 
nm 


bo 
"a 


245.54.33,o|— 


272.48.32,7|— 
831 420 _ 
—47:19 
—47,50!258. 0.20,0|+ 
—47:44294.50.30,7|+ 
—47,551273.45.16,0|+ 
—47:27/249-53.34,5|+ 


282.40.40,0|+ 
—49,80|329.57.39,5|+ 
—50,071281./49.29,2|+ 
er Le 

357.52.57,7|+ 


—50,42/251. 0.26,0 


+ 
+ 
+ 

—50,441273.18.18,0|+ 

285. 0.30,0|+ 

289.37.10,0|+ 

246.44. 6,5|+ 

+ 

+ 


242.18.52,0 





-30,37 





269. 9.22,0|+ 





1,2 
1,8 
2,0 


2,9 


2,3 


2,9 
2,8 


3,8 
2,9 
1,7 
1,7 
1,6 
2,0 
1,8 
1,2 
35 
0,0 
9; 


o,8| 





736,1 
736,0 
736,0 











= = 

THERMOMÈTRE. æ a 
# = 

| 2 © 
le] a 

Iaté- | Ext | 2 ë 
r . " . = 
ieur rieur Z "a 


16,5 


16,5 
17,3 
15,3 
19,2 


19:9 
19:9 


20,0 
20,0 


19,8 
19,8 


19,4 


19,2 
18,9 











Cercle Est, Niv.+5r,17. Le fil méridien est de 5,10 parties du micromètre à l'Ouest de la mire. 


Cercle Ouest, Niv +3r13. Le fil méridien es! de 6,0 parties du micromètre à l'Ouest de la mire. 


TOR ” 


o o 
+20,3[+20,3/- 20,2 


19,7{+ 54,6|15,r 
18,0/+ 3,7/13,5 
18,7|- 26,7| 7,2 
18,0]-1.40,6| 6,9 
+ 209,7|18,3 
17,61-2.35,0 
—2.38,3 
13,6|-2.32,0 
13,6 36,6|10,7 
52,7 
11,9}—2.40,0 


11,9) 43,4 





—2.16,3 


74 16,7 
2, 8,5 


1152) 46;4 


11,0)-3.12,4 


14,31-1.17,5| 9,6 


15,7} 17,6 9:4 
16,9 44/10, 
17,91-1.45,4| 9,0 
18,81 31,4 
20,31+ 16,0116,3 
20,3]- 32,3|11,9 
20,6/+ 54,7117,4 
20,0)-1.39,9/10,6 
20,0]+ 29,6,18,2 
19,2]- 15,7/13,2 
- 44,5|13,9 
19,0) 28,5 
— 23,1 
18,3/-2. 1,1 | 
18,0]-2.48,7| 8,5 
17,0]- 33,8| 7,1 
16,6! —2:31,9 
| 





16,5j- 52,0| 





"UAILVAUASIO 





REMARQUES. 


Bord inf. à 58m2rs. 
Moyenne de 4 obs. 


Nuages. 


Bord sup. à 12B15, 





Ondul. 





Bord inf. à 6mops. 
Niv.+2r1,66. 


Moyenne de 3 obs. 








41 


Observations faites à la lunette méridienne eñ Août 1843. 





















































LORRECTION a 3 7 ee ° 
4 , PASSAGE FE MOYENNE | 2° A VHERMOMÈTRE. Be 5 a 
2 NO. COUNCLU a 2 —) —— = ë Z 
= _ des F- 2 E # REMARQUES: 
Ce DES ASTRES. a nl int LEUR £ = = Inté- | Exté- = SA 
meut. | pendule ERNIERS. 5. a rieur. | rieur. 2 e = 
hs, me s. s o AL 11 o 
63 z Ophiuchus...|17.44.28,99|- 0,47 241.33.44,0|+ 0,9 
y Dragon........ 17.52. 9,18]+ 1,20/-5o,30 
2 Petite Ourse S...[18.21.51,14 352.57.20,0|+ 0,6 Moyenne de 5 obs. 
SSP 18.30.49,421+ 0,80/-50,47/305. 1. 5,2|+ 0,1 
(XVII, 175 )Piazzi .|18.37.47,75]- 0,37 
29 r Sagittaire... .|18.39.35,47}- 0,37 245.54.29,7|+ 0,1 
Anonyme 9—20°28/.|18.41.-1,89[— 0,37 
s Sagittaire... .... 18.44.46,431- 0,50 239.53.56,0|+ 0,7 +18,1 
o Sagittaire....., 4118.54.30,70]- 0,39 | 1244.26.34,0|4 o,g 
DOBlAïgle, +... 19. 3.23,58]- 0,14 258.11.45,5|4 0,6 
Anonyme S+11°18/|19. 7.24,o1|+ 0,20| 
25 w: Aigle...... 19- 9-40,08[+ 0,20 
Lune, 1€r bord....|19-11.47,17|- 0,39 244.16.58,5|4 o,1 Bord inf. à 12m585. 
2276 Sagittaire ...|19-21. 9,11]- 0,39 244.46.37,0|— 0,3 
Saturne, centre... .|19.29.27,31|- 0,39 244.31.40,0|+ 0,9 Au méridien. 
e? Sagittaire... ... 19-33.46,26!- 0,30 249-54.54,0| 0,0 
DABle SR. 2 19-38. 0,941+ 0,18 -50,63/270.37.10,0|+ o,1 
GHANBle. 2.1.2 19-46.49,441+ 0,10|-50,771272.24.20.0| 0,0 17,9 
GatAiple.....:. 1: 19-55.31,44]- 0,02 265.14.52,0|+ 0,2 
5 Ë: Capricorne. . .|20. 2.29,68|- 0,23 253.32.42,0|4 0,3 
æ' Capricorne... ..|20. 8.10,60l- 0,23/-60,62|253.24.36,0+ 0,7|737,2] 18,0 
x Capricorne. ... 20. 8.34,56|- 0,23/-50,57 
CAGVENE lus fol ctte 20-35.17,371+ 1,00/-50,241811. 5.51,5|— 0,3]737,2] 17,8 
œ Céphée........ 21.14. 1,)7]+ 1,87|-50,38 
Junon...........|21.31.59,54|- 0,04 263.22.52,5|- 0,2 Très-faible. 
Jupiter, centre... .|21.44.26,38/- 0,26 251.40.48,0|+ 0,3 17,9 An méridien. 
BiOrions-:... 3| 5. 6.10,48)- 0,15/-51,35/258. 0.20,0|+ 1,8 18,2 
B Taureau ....... 5:15.33,21+ 0,54/-51,30/294.50.30,0|+ 1,8 18,6 
ZA OMIONR roc qe 5.45.50,96l+ 0,13|-51,51/273.45.15,7(+ 1,9 19,2 
9 Petite OurseI....| 6.22.19,76 359.45.26,8|+ 3,2 1934 Moyenne de 4 obs. 
æ Grand Chien....| 6.37.24,04|- 0,30/-51,33]249.53.36,5|+ 2,2 19,9 
a Petit Chien... .| 7.30.14,86|+ o,10/-51,67l272. 0.10,21+ 2,1 Ondal. 
B Gémeaux....... 7-34.52,07/+ 0,54|-51,51/294.46.14,7|+ 2,3|7 19,6 | 
Vénus, 2mM€bord...| 8. 9.50,64|+ 0,37 287. 3.18,2|+ 2,3 19,2 Centre au méridien. 
8|Soleil, 1% bord... .| 9. 8.47,52]+ 0,35 283.55.30,0[+ 2,8 19,5 Bord sup. à g"5os. 
Bon... ..-.: 2. 11.40.12,46[+ 0,28|-51,99/281./9.28,7|+ 2,6 19,8 ! 
{ y Grande Ourse...|11.44.40,56 1,40|-52,36|320.56. 3,71+ 2,8 
œ Petite Ourse E...|13. 3,26,60 357.52.59,2|+ 3,2|7 20,0 Moyenne de 4 obs. 
æ2Balance......., 14-41:23,18]— 0,28|-52,42/251. 0.25,7[+ 5,0|734,9| 20,2 Faible. 
B Petite Ourse S...|14.50.17,30|+ 3,68/-52,64 
| | Couronne ...... 15.27.12,2104 0,51|-52,45]293.37.20,0|+ 2,0|734,8| 20,0 
A lxSerpent........ 15.35.42,90!+ 0,12/—-52,41/273.18.15,2|+ 1,9 
35 x Serpent...... 15.40.50,b2l+ 0,33 285. 0.20,7|+ 1,8 20,0 
4o r Serpent....4|15.54.42,25|4 0,42 289.37.11,7|+ 2,2 1937 
4 4 Ophiuchus....[16.14. 7,20)- 0,35 240.44 7,ol+ 2,1 
x Scorpion. ...... 16.18.59,75]— 0,49/-52,26/240.20. 2,7|+ 2,3 
12 Ophiuchus..... 16.27.18,04]- 0,04 264.24. 4,o|+ 1,9 
(1908) Scorpion... .!16.34.23,93]— 0,54 238.12.28,0[+ 1.8 
Mars, 1° bord... .|16.37.44,13]- 0,49 240.32. 6,ol+ 2,1 Centre au méridien. 
33 Scorpion...... 17-14.43,341- 0,46 242.18.48,0[+ 1,8 19,0 
| |44 6 Ophiuchus...|17.15.59,75|- 0,46 
| x Ophiuchus...... 17.26.49,841+ 0,22/-52,26/2-9. 3.32,0/4 »,11734,9) 19.0 

















11 








42 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 
































CORRECTION 
PASSAGE 


GONCLU 
au 


FIL MÉRID, 


MOYENNE THERMOMÈTRE. 


NOM 


des 


"sunof 


REMARQUES. 
DES ASTRES. 





*“AULINOUFI 


‘4104 Nn9 1317 
"HAILVAUISIO 





VERNIERS. 





ment. | pendule. 


Nvaaiu np 
NOILOHUUO9 
*"NOILOYHAHU 















































































































































62 y Ophiuchus...|17.39.12,70]+ 0,05 269. 9.20,0|+ 1,5 417,0] 51,8 ê 

63 z Ophiuchus...|17.44.26,97|- 0,47 241.33.42,0|4 1,8 17,91-2.37,4 » 

y Dragon. ...... 3|17.52. 6,814 1,26/-52,60 js 

72 S2Ophiuchus...|17.59. 5,40|+ 0,17 16,9]- 40,8 » 

(XVIL. 376) Piazzi.|17.59.14.54]+ 0,17 

à Petite OurseS...|18.21.47,64 

5 NON E 18.30.47,20]4 0,80|-52,68 

(ÆVIIL. 175) Piazzi.|18.37.45,65|- 0,37 

29 r Sagittaire... .|18.39-33,49]- 0,37 

Anonyme d-20°28/|18.40.59,83|- 0,37 

a Sagittaire...... 4|18.44.44,4x 239.55.56,0|[+ c,g 

o Sagittaire....... 18.54.28,69|- 244.26.36,0|+ 1,2 

20 B Aigle..... .|rg- 3.21,42 258.11.48,5|+ 0,8 

Anonyme....... 4|19-. 7-22,06|+ 277.40.36,0|+ 0,7 

25 w' Aigle...... 19. 9-37:92l+ 

(2276) Sagittaire. .|19.21. 7,o1]- 0,39 244.46.37,5|+ 0,3 

Saturne, centre. ..|19.29. 9,26|- 0,39 244.31. 2,0|4 0,5 -2.15,8 » | Au méridien. 

e2 Sagittaire... . .2|19.32.51,82]- 0,30 240.54.54,0[4 1,5 

DÉAaple meer ect 19.37.59,12]+ 0,18|-52,45/276.37.12,0|+ 1,3 

DAAIPIe eee cle 19.42.18,80]+ 0,15|-52,,6/274.50.35,7|+ 0,6 

G Aigle OA 19.46.47,60l+ 0,10|-52,51/272.24.22,0|+ 0,3 5 

62 Aigle. ........ 19.55.29,46|- 0,02 265.14.48,0|+ 1,5 — 598 » 

Lune, 14 bord... .|20. 7.23,70]- 0,33 247.43.20,0| 0,0 15,0)-1.5h,9 » [Bord inf. à 8m30s. 

a Cygne........ 3120.35.14,88/+ 1,00|-52,73]311. 5.54,0|+ 0,8 — 1,4/18,2| » | - 

u Verseau....... 3120.43.22,68|— 0,17 256.49.46,0|+ 1,7 13, 

Junons tete 21.31.10,32/— 0,06 263.15.14,2|+ 0,5 13,ol-1. 4,5 » |Très-faible. 

Jupiter, centre... .|2r.43.54,50l- 0,26 251.38.11,5|+ 0,9 17,2! 13,0)-1.39,6 » |Au méridien. 

BG Taureau........ 5.15.30,89|+ + 2, 18,4| 17,2)— 17,5/11,3) » [Niv.+2r,83. 

MDTIONE :lers 2.215080 5.45.48,94 5 ,5|+ 19,2| 17,41- 43,9 

a Petit Chien ....4| 7.30,12,93[+ o,10|-53,62|: + - 46,41x2,1| » |[Ondul. 

B Gémeaux....... 7.34 5o,oif+ 0,54 —53,59 + 19,7| 19,3]- 17,2] 7:11] » Id. 

Nadiriteez hate + » [Moyenne de 3 obs. 

Vénus, 2€ bord... 8.14.57,854 + 20,0| 19,6]- 26,1 » |Centre au méridien. 
o|Soleil, rer bord... .| 9.12.34,25]4 3,5|+ 3,5 20,3| 20,3/- 31,1 » |Bord sup. à 13m35s. 

Bibiont ui enl. 11.40.10,47|+ 0,28|-53,99)281.49.24,0l+ 3,1 E 

y Grande Ourse. . .|[11.44.38,684 1,40[-54,25 320.55.57,0[+ 3,5 20,8| 22,3]+ 7,9/11,4| » 

« Petite Ourse 1...|13. 3.23,20 + Lo 20,9| 22,1]+ 54,1|14,2| » | Moyenne de 4 obs. 

a Vierge....,...2|13.16. 4,24 0,18|-54,20 

ŒSERDENT- ciel» 15.35 4o,78{+ 0,12|-54,52l273.18.15,5|+ 2,1|731,5 

35 x Serpent....3|15.40.48,bolt 0,3: 285. 0.29,5|+ 2,3 

40 x Serpent..... 15.54.40,37|+ 289.37. 9,7[+ 3,1/731,4 

Mars, 1® bord... 16.39. 8,75 240.29. 2,0[+ 2,3|731,5] 19,7| 19,7 —2.45,3 » |Centre au méridien. 

39 ° Sagittaire... .|18.54.27,07]- 0;' 244.26.30,0[+ 2,21731,6 < 

20 B Aigle....... 19- 3.19,50/- 258.11.40,0[+ 1,8 

25 m'Aiole...... 19. 9-30,081+ 277-41.58,0|+ 1,8 

47 x' Sagittaire. . .|19:14 53,63f-— 241.36.23,0|+ 1,8 

Saturne, centre... .|19-28.51,31}— DO: + 17,4]-2.14,2 » |Au méridien. 

e2 Sagittaire... ... 19-32.42,40|— 0,30 + 145,1 

pl Aigle ÉTUDIE 19-37-5704 + + 39,6 9:7| » 

MIT a RS 19-42.16,82 44 + 16,0!- 42,3| 7,5! » 

B'ATBIER ee ee eve 41x9-46.45,49[t 0,10|-54,62/272.24.19,7|+ 1,41731,6! 19,3| 16,oÏ- 46,2|13,3) » 

MOYADE Se een ste 20.3b.13,204t 1,00|—54,32 








Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 











NOM 


DES ASTRES. 








p Verseau 
Anonyme........ 
Lune. 1e bord.... 
7 à Petit Cheval... 
(XXI. 173) Piazzi.. 
B Céphée. ....... 
3 Capricorne 


à Petite Ourse I... 
æ Petit Chien .... 
BG Gémeaux.... .. 


Soleil, 1er bord . .…. 
« Grande Ourse... 
Bien... -... 
7 Grande Ourse. , 
a Petite Ourse I.. 
2 NIOTEONON 


3 Petite OurseS.. 


Soleil, 1er bord... .4 
æ« Grande Ourse... 
Bions Air 200. 
y Grande Ourse... 
« Petite Ourse [.. .4 
æ« Couronne 
æ Serpent 











20.45.28,58|- 
20.59.39,36|- 
21. 5.39,30|+ 
21.22.25,73|+ 
21.25,43,431+ 


13. 3.19,54 
15.27. 4,73|+ 
15.35.35,51+ 


35 x Serpent... ...[19.4 


ho r Serpent 
œ Scorpion. ...... 
Mars, 1° bord.... 
(1939) Ophiuchus. . 
26 x Ophiuchus... 
(1959) Ophiuchus . 
37 Ophiuchus.. ... 
a Hercule. ....... 
33 Scorpion 
44 b Ophiuchus. .3 
à Petite Ourse S. .2 
a Lyre 
(XVIIL. 175) Piazzi. 
29 r Sagittaire. ... 
Anonyme d-20°28/ 


Anonyme 
5 y Petit Cheval... 
6 Petit Cheval .... 
7 à Petit Cheval... 








15.54.34,75 
16.18.52,17|- 
16.43.37,87|- 
16.49.26,09!— 


17-15.52,07]— 
18.21.40,23 

18.30.39,931+ 
1837.28,03 = 
18.39.25,93|— 
18.40.52,/9]- 
19-37.51,32 
19.42.11,381+ 
19-46.39,94 
20.35. 7,67 
20.45.23,10}- 
21. 1.46,28]+ 
21. 1.57,42 
21. 5.53,82)+ 


0,17 
0,17 
0,26 
0,17 
2,73 
2,73 
0,30 
0,26 
0,13 


0,10 


0,54 


0,2 

1,93 
0,28 
1,40 


0,18 
0,28 


3,68 


0,26 
1:93 
0,28 
1,40 


0,1 


0,19 
0,2b 
0,46 
0,46 


0,80 
0,37 
0,37 
0,37 
0,18 
0,15 
0,10 
1,00 
0,16 
0,18 
0:17 


0,16 


CORRECTION 






PASSAGE 25 MOYENNE 
CUNCLU ei, 
des 
au 
, l'instrn- la 
FIL MÉRID. | ment. | peadule.| VERNIERS. 





256.49.40,0|+ 
256.55.19,5|+ 
252. 0.10,0|+ 
275.45.33,5|+ 
336. 9.48,5|+ 


249.34. 8,5|+ 
251.35.25,5|+ 
—55,48 273.45,19,5|+ 
359.45.25,0|+ 
272. O.11,5|+ 
294.46.16,0|+ 








-54,96 


—55,64 
—55,65 


299.37.14,0 
—59,741273-18:1 1,5 
285. 0.24,0 


241.33.46,0 





265.31. 3,7 


OH + +++ +F++ +++ 





—59,90/280.57.14,0 


352.57.18,0|+ 
—59,89|305. 1. 4,0|+ 
245.57.59,0|+ 


-60,041276.37.10,0[+ 
—59,87|274.50.34,0|+ 
—60,16/272.26.17,5|+ 
—59,93|311. 5.49,5|[+ 
256.55.20,0|+ 
273.53.20,0|+ 








275.45.3a,5!4 





NOILOHYUOD | 
"AULANOUVA 


nvaAIu np 





1,2/731.6 
1,8|7 
3,1 731,4 


ss 


D CU D D 
Se 
© O1+ & O + + © 


De 





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CRC 
+ 
© © 
SJ 
© 
= 
" 
ES 


2 
© 


2,9 


2,6[731,6 
2,3 
1,8 


2,3 
2,9 
2,31731,6 
1,9[731,7 
1,9 


2,1 


2,1 








TUERMOMÈTRE. 








19,0 


18,5 
18,4 











"NOILO YVAN | 








—1.19,8 
-1.39,6 
—1.30,3 
_ 49,9 
+ 23,9 
—1.46,6 
+16,71-1.38,0 
17,9) 43,7 
19,0[+ 58,6 
46,2 
19,8]- 17,3 
21,8[- 31,9 
22 15,7 
. 31,7 
23,44 77 
22,5]+ 54,0 
10,4]-1.39,2 
19,4 + 29,4 
19,8 3:,2 
19,7|+ 15,9 
32,1 
19,81+ 7,9 
193{+ 5146 
177) 28,7 
17,6 = 44 
176 28,4 
17,9] 23,0 
16,8]—2.47,7 
2.37 ,1 
058,7 
= 193;7 
15,814 46,5 
75 
—2. 5,8 
39,8 
125 
15,0l- 46,3 
1431 14 
—1.20,8 
ALT 
41,3 











"3104 na n311 





"VAILVAYASA0 





REMARQUES. 





Bord inf. à o"50os. 


Au méridiena 


Moyenne de 2 obs. 
Très-ondul. 
Id. 


Bord inf. à 17m20#., 


Moyenne de 4 obs. 


Le ciel se couvre. 


Bord sup. à 25m25s. 


Moyenne de 4 obs. 


Moyenne de 2 obs. 





Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 






























































































CORRECTION a = Gi = S 
4 PASSAGE de MOYENNE |=2 2  fruenuoyetre. ss 5 = | 
È sp POE E rRn AE SA OSSCES 7 Cape 72) 
= . de 25 hE 5 2 | 5 | REMARQUES. 
4 DÉPSTRES FIL MÉRID. Viisuuz li, venniens. | = © 2 D SE 5 LINE 
men pen ule 2 # rieur rieur. 2 = Z 
h.. rm: s. s. s. ©, Y ti 1! mu o CA IUT 
x Céphée ....... 4l2143.51,89l+ 1,87|-60,06|328.57.30,0|+ 2,3 + 15,5/13,8| B. 
HADONE Les -0iut 21.27.50,24[- 0,08 262.43. 9,5|+ 1,8 +13,5l-r. 5,4 » |Faible. 
Jupiter, centre... .|21.41,46,83]- 0,29 251.27.18,0/+ 3,0/731,61+18,0 13,41-1.39,8 » [Au méridien. 
13|Soleil, 1°r bord... .| 9.27.36,78|+ 0,26 280.56. 2,0[+ 4,71730,5| 19,9! 17.8l- 33,4 » Bord inf. à 28m4os. 
ÉAOEION: he see viole 5.45.39,70[+ 0,13|-62,92{273.4511,5|+ 4,3]731,1] 19,5 10,81 43,9) 7,8] » [Niv.+2r,67. 
3 Petite Oursel...2| 6.22. 6,02 359-45.19,2|+ 5,0|731,1] 19,6| 17:24 58,7/13,5| » |Moyenne de 4 obs. 
14|Soleï, 1°° bord... .| 9.31.20,831+ 0,26 280.37.39,5|+ 4,6 730,61 20,0 20,3 33,6 » [Bord inf. à 32m255. 
x Petite Ourse I1...[13. 3.16,70 357.52.54,1|+ 5,3/730,5| 20,6| 22,7|4 53,9| 16,1| » |Moyenne de 4 obs. 
n Grande Ourse...|13.40.17,66!+ 1,r9|-63,631316.28. 7,5|+ 4,1/730,41 20,7| 22,74 3,6,18,7| » 
x Scorpion....... 16.18.48,35%— 0,/,9|-63,67/240.19.57,5[+ 4,0/730,41 20,0 19,5)-2.46,6| 6,5! » 
Mars, 1° bord... .|16.46.49,31|- 0,49 240.20.10,5|#+ 4,3 10,5]-2.47,1 » [Centre au méridien. 
(1949) Scorpion..3,16.54.28,371- 0,36 246. 7.51,5|+ 4,7 2. 3,5 » 
(1959) Ophiuchus..|16.59. 7,80l- 0,01 265.30.57,5|+ 4,3 — 58,2 » 
« Hercule........ 17. 6.28,78]+ 0,25|-63,70/280.57.10,0|+ 4,5 18,41 33,4/10,1| » 
33 Scorpion. ..... 17.14.31,83/- 0,46 2428.40,5|+ 3,7 —2.30,0 » 
44 b Ophiuchus...|17.15.48,33|- 0,46 » 
62 y Ophiuchus...|17.39. 1,18l+ 0,05 269. 9.16,0[+ 3,5|730,5] 19,3| 17,2 51,5 » 
63 z Ophiuchus...|17.44.15,611- 0,47 241.33.40,0|+ 3,2 17,3]-2.36,6 » 
y Dragon..….......|17.b1.b5,71l+ 1,26|-63,55 » 
72 S? Ophiuchus.. .|17-59.54,16]+ 0,17 275.55.38,0|+ 3,4 — 406! » 
(XVIL. 376) Piazzi.|17.59. 3,38|+ 0,17 » 
14 Sagittaire ..... 15. 3.51,23]— 0,39 244.39.24,0[+ 3,5 16,5/-2.13,5 » 
3 Petite OurseS. .4|18.21.37,06) 352.57.14,0+ 3,3/731,0] 18,8] 16,3] 46,4/13,0| » [Moyenne de 2 obs. 
-|2* Capricorne... .. 20. 7.57,42- 0,23|-63,81 » 
æ? Capricorne.....|20. 8.21,16|- 0,23/-63,99 » 
10 æ Capricorne..4|20.17.20,73|- 0,34 2h74x. 2,5|+ 3,5 -1.57,0 » 
u Capricorne. ...4|20.22.48,82}- 0,18 256. 0.40,0|+ 3,6 —1.23,3 » 
13 +: Capricorne..|20.27.33,56|- 0,28 250.42 54,,|+ 3,4 -1.42,7 » 
Cygne... 1.0. 20.35. 3,99k+ 1,00|-63,6113r1. 5.45,21+ 3,r 13,5]- :1,4/10,0| » 
6 x Verseau...... 20.43.11,40]- 0,17 256.49.41,2|+ 2,9 —1:20,9 » 
5 y Petit Cheval...|21. 1.49,38l+ 0,18 275.55.18,0|+ 2,6 — 41,2 » 
6 Petit Cheval.....|21. 1.53,60lt 0,18| . » 
7 3 Petit Cheval. ..|21. 5.50,16|+ 0,16] 275.45.34,o|+ 2, 12,8] 41,4 » 
x Céphée........ 21.13.48,55]+ 1,87/-63,40|328.17.27,5|+ 3,5 + 15,6/11,9| » 
BANG. -.-: «eee 121.26. 8,16|- 0,08 262.26. 8,o|+ 3,3 12,8)-1. 6,2 » 
Jupiter, centre. ...|21.40.42,20|— 0,27 251.21.58,0[+ 4,1/731,4] 17,8| 12,8]-1.40,3 » [Au méridien. 
HDHON-.--.- ee 5.45.38,08[+ 0,13 —64,57 » 
9 Petite Ourse I...3| 6.22. 3,77 » |Faible. 
æ Grand Chien....| 6.37.1:,06[- 0,30 -64,56 » 
15|Soleil, 12° bord....| 9-35. 4,38Ï+ 0,26! 280.50.46,0{+ 4,7173r,5] 21,2| 21,4] 33,2 » [Bord sup. à 36ms, f}h 
MDéite Onrse Lo | 3: 3.14;90) | » [Faible et ondulante Il 
| 42 
16|Soleil, 1er bord. .4| 9 38.47,57l+ 0,26! 280. 0.24,0/+ 4,6,732,41 23,0 21,bl-434,3 » [Bord inf. à 4£omos. D 
GOnon. 4 5.45.34,241+ 0,13) -68,47 | | » 5 
3 Petite Ourse 1..4| G:22. 1,76 | 359.45.23,7|+ 3,8/733,0) 21,2] 19,04 58,5/17,3| » [Moyenne de 2 obs. 4 
x Petit Chien..... 7-29.58,10!+ 0,10/-68,60/272. 0.10,0|+ 3,7 - 46,3:11,7| » le 
G Gémeaux....... 7-34.35,191+ 0,54/-68,59/294.46.13,5|+ 3,8,733,21 21,7| 20,11 17,4 8,0! » # 
& 
17/Soleil, re" bord. ..4| g.42.50,19l+ 6,24 280.13. 6,5/+ 4,51732,9) 22,41 21,3]- 34,1] » [Bord sup. au méridi}} |. 
a Petite OurseL,../13. 3.15,20 | 357.52.55,2l+ 5,4/732,2] 22,7| 24,2+ 53,8:17,3| » |Moyenne de 5 obs. 











45 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 



























































































PO D nl ee PET a |s|el 
u À 1 N) z Le HERMOMÈTRE. Eu E C4 
& NO SE 2 Burn = 2 8 He E 5 2 
= JOAAMAA, au 2 ÊE s8|% 3 = | 5 | REMARQUES. 
F FIL MÉGID. | eut pendule | VERNIEES. | * 8 Œ 5 = E | 
Eau | Z è 2 F RE 
hi? /ni vs. s s. SAN PTT 11 min 0 o ani 1 | 
: Tone Je tm : 74 ee 316.28. 6,214 3,3/732,2H22,7|#23,7l4 3,6/17.9| B. | 
elite Ourse....114.409.29,94 300, -69,2 | » 
æ& Hercule........ 17. 6:23,3414 0,26 69:09 | » 
œ re 10 te ne 4 as ao 279. 3.34,0/+ 2,9/732,61 21,1] 19,5- 35.8) 9,4| » 
y Dragon. .,..... 17-91.40,011+ 1,20, —09,57 » 
72 S? Ophiuchus.. .|17.58.48,50]+ D | |» 
(EVIL 376) Piazzi. ele 0,17 DE aa 1e 2,9 | - 40,3 » | 
Dre se ä 4 ne — 0,39 244.59-20,0|+ 2,0|732,7h 21,0] -2,13,0 » | 
etite OurseS. .5|16.2 r.29,90 | » 
2 LCR 18.30.30,38 + 0,80|-69,36 | » | 
a Céphée ....... 421.13.4,99{+ 1,87|-68,951328.) 7-35,5 + 3,51733,3! 20,0| 15,7l+ 15,4118,4| » 
Junon........... 21.23.34,50f- 0,08 261.59.38,2 + 3,2/733,3) 20,0 15,7 =5. 6,7 » |[Faible. 
à Petite Ourse ER 70 6.21.59,50 35g-49.22,0 + 5,4 20,3+ 58,1 17:1| » [Moyenne de 4 obs. 
æ Grand Chien. ...| 6.37. 5,741 0,30|/-69,85249.53.39,0|+ 4,7|731,0] 21,2 -144,3|14,6| » 
21 Soleil, 1% bord... 4 9-57-16,60 + 020) 278.23.27,5 + 3,1 731,4) 22,9 - 36,3 » [Bord inf. à 58m215, 
œ A Se paltée 17. Pur + 0,26 759 200.57.12,5+ 3,0|730,6{ 21,3 — 33,3,10,5| » 
æ Ophiuchus.....4|17.20.20,11}+ 0,22|-75,d2 » |INuages. 
62 y Ophiuchus... 1738./8.88 + Lo8 : 269. g.18,0|+ 2,3 | — 5r,3 » | His 
pre a 4 ns 24 - 0,47 241.35.42,0|+ 1,5/730,71 20,9! 18,1]—2.36,1 » | 
à Petité OurseS...|18.21.20,94 » | 
F4 DECO 18.302350 + 0,80-:6,18 » 
(611; OOOOOROAEN 18.43. 3,741 0,65 299.33.41,5|+ 2,3 — 126 » | 
Anonyme 9+32°42/|18.49.55,28|+ 0,64 | » 
Anonyme........ 18.50.29,40]+ 0,64 299. 9.44,5+ 2,3 | Ai 2 13,1! » 
œ FE c : 4 da REP b N —76,0615:1. 5.50,0[+ 2,0/730,5] 20,3 = 0r54/13,5l 5» 
E & Petit Cheval . .4/20.50. 1 0,0 » 
3 & Petit Cheval. . .|20.55.33:54[+ 0,08 2711618,0l+ », LS ; 
5 y Petit Cheval. ..|»1. 1.30,72]+ 0,18 275.53.23,5|4 2, — 40,8 » 
6 Petit Cheval... ..|21. 1.41,28|+ 0,17 » 
79 Petit Cheval. ..|2r. 5.37,90!+ 0,16 275.45.35,5 + 1,5 — 41,0! » 
œ Céphée......., 21.13.36,07|+ 1,87 75,85 328.17.35,7 + 2,6 + 15,4|18,0| » 
B Céphée MÉROI ER 1 21-2b.22,67|4 2,73 -75,69 336.14.3r,5 +40,5 + 24,0 18,3| » a 
Jupiter, centre... .|21.36.56,48|— 0,28 251. 3.37,5|+ 0,9/730,3| 19,5 —1.40,6 » [Au méridien. 
3 Petite Ourse I... 6.21.51,36 , 359.45.22,5|+ 4,0 729,2} 20,3| 17,9/+ 58,5/17,4| » |Moyenne de 4 obs. 
œ Grand Chien. ...| 6.36.59,00!- 0,30/-76,68/249.53.36,0|+ 3,3 72941 21,2 =ù 43,9 cet le 
a? Gémeaux. .... 4| 7:23.19,371+ 0,62/-76,70|298.35.43,5|+ 4,4 729,31 21,4 — 13,4! 7,3] » [Faible ; nuages. 
æ Petit Chien..... 7-29-49,66|+ Fan 272. 0.10,0+ 3,8|729,3] 21,7] 20,5] 46,0/12,0| » 
2|Soleil, 2%° bord...|10. 3. 6,82/+ 0,20 | » 
(LS ANMORAEERE 11.39.47,11Î+ 0,28 77529 281 49-24,0 + 3,5 - 31,4| 9,0! » : 
y Grande Ourse. ..|11.44.15,30[+ 1,40|—-77,4d[320.55.51,5|+ 3,8,728,01 22,4 3H 7,8) 91] » |Niv.+3P,29. 
& Petite OurseI....|13. 3. 5,80 357.52.54,0[+ 2,5|727,6! 22,7 74 53,3114,8| » [Moyenne de 5 obs. 
# Grande Ourse. ..|13.40. 3,564 1,19/-77:55131G.28. 5,214 1,5 72710] 22,4 O]+ 3,6,15,7| » 
4|4 Scorpion. ...... 16.18.30,83)- 0,49|-80,93/240.19.58,0[+ 3,5 729,9! 21,3| 20,2]-2.46,0! G8| » ’ 
| LR nee bord....|17, : Ve = 049 240. 2.28,7|+ 2,5| —2.49,8 » [Centre au méridien. 
COTrpion...... 19-14.14,99)— 0,40 » 
é b Ps _e TS a] ge Fe 23. = AH 37 730,0] 20,4 —2 29 » 
2 y Ophuchus...\17.90.49,00! 0,0 209. 9.:20,01T 2, — 91,9] » 
63 z Ophiuchus. . .|17.43.58,23]- 0,47 _[241.35.42,7{+ .2,6|730,2] 20,1 3 3672| » 
y Dragon. ....../17.51.38,25]+ 1,26 -60,73 317.52.58,5(+ 2,9 + 5,0:16,4| » 
72 8? Ophiuchus...|17.58.36,80!+ 0,17 | le » 








12 




































































































































































CORRECTION 2 = à En 2 
5 Non PASSAGE de MOYENNE 2 2 TÜERMOMÈTRE. = É 
= TS ns di des 0-2 vu 2 | £ | REMARQUES. 
Fe DES ASTRES. l'instru- la 2 3 Exte- SMIM= 
FIL MÉRID. ment. | pendule.} VERNIERS. 2 El Héur. ë 5 
(XVIL. 376) SES 17.58.45,98|+ 0,17 275.51.43,0|4 2,3|730,4 417,6 ; 
à Petite OurseS. ./4|18.21.15,50 352.57.22,0|+ 2,9 17,9 17:3| » [Moyenne de 3 obs. 
RIVER ete «118.30.18,68 + 0,80|-80,941305. 1. 6,0|4 2,2 17,6 
(XVIL 175) Piazzi.|16.37.17,07|- 0,37 245.57.59,7|+ 1,9 
29 r Sagittaire. - 18.39. 4,81 — 0,37 
Anonyme d—2 20028 18.40.24,60|- 0,37 
Anonyme d—20t28/. 18:40.31,09|- 0,37 
BALYTE suce oc 3118.42.58,85]+ 0,65 299-33.35,2|+ 2,1 
Anonyme........ 18.49.50,20|+ 0,64 299. 4.50,0[+ 0,1 
Anonyme 3432047" 18.50.24,441+ 0,64 
4o Hu .3118.55.52,32)- 0,53 238.31.41,0|+ 2,8 » Nuages. 
47 y" Sagittaire. ..|19- 14.27,11/- 0,46 241.36.23,5|4 2,3 
48 ° Sagittaire. (z 19:14.33,97|- 0,46 
BDICHA PIE 19:19.47,b4l+ 0,03 268. 1.19,7|+ 1,9 
(XIX. 152) Piazzi. 4 19-21 52,04 + o, 03 268. 4.30,0 + 2,1 730,2 
Saturne, 1% bord.3|19-24.55,65|— 0,39 244.21.40,0|+ 2,2 » |Centreaum. nuages. 
55 e2 Sagittaire. .|19-32.15,72]- 0,30 249.54.53,5|4 2,3 » |Nuages. 
nAIBle. 0... 19-37.30,40]+ 0,18|-81,10/270.37. 9,7 [+ 2,3 9:9| » 
œ LIRE BRING NNGE 3119-41.50,3114 0,15|-80,88/374.50.55,5|+ 2,3 9,6! » Nuages. 
BAIE... k 19-46.18,941+ o,10|-81,11/272.24.20,0| 2,3|730,3 2,6 
3 € Petit Cheval. ARÉAURe + 0,08 271.16.19,5|+ 1,7/730,5 
5 y Petit Cheval. .4|21. 1.25,25f4 0,18 275.53.20,0|+ 1,7 
6 Petit Cheval . 21. 1.36,30]+ o 
7 à Petit rate .[21. 5.32,98[+ 0,16 275.45.38,0|+ 1,5 
œ Céphée. ....... 21:13.30,97|+ 97 —00,921328.17.39,5|+ 2,0 
MANON ent N 21:17.41,08]- o oë 260.53.58,0|+ 1,8 
(XXL, 173) Piazzi. 3|21.21.58,87 + 2,73 336. 9.53,5[+ 1,8 
LES TEMOMOE 21.25.17,85|+ 2,73 —80,471336.14.30,0[+ 2,5 
Jupiter, centre. ...|21.35.21,23]- 0,28 290.95.55,;|+ 2,2/730 » Au méridien. 
3 Petite Ourse I...3| 6.21.43,00 FPE 45.18,4|+ 4,5 732 1437| » Moyenne de 4 obs. 
œ Grand Chien....| 6.36.54,08|- 0,30 81,67 249.53. 37,)|+ 4,4 7325 20,3| 17,0 2 
a= Gémeaux-..... 7:23 4,55]+ 0,62|-81,69 » |Ondul. 
a Petit Chien ..... 7-29-44,90l+ o,10[-81,97 Pr o.11,5|+ 4,9 à 
G Gémeaux... ..| 7.34.22,07|+ 0,54 -B1,89 294.46.14,0|+ 4,8|532,6| 20,7 179) 10,1| » |Niv.+3r,20. 
25|Soleil, 1er bord... 10.11.95,64 + o,18 277. 2.10,2/+ 4,4|732,4 21,5| 20,3|- 5 [Bord inf. à 13m0s. 
Mercure, 1er bord. . [11.14.32 ,66{+ 0,09 271.54.57,5|+ 4,9|732,2).21,5 2134 - » |Centre au méridien. 
a Petite Oursel...4|13. 3. 5,20 357.52.50,5|+ 6,0|732,0) 22,7 21,64 54 17:2| » |Moyenne de 4 obs. 
a Vierge......... 13.15.35,90]- 0,18/-82,37/256. 2.43,2|+ 4,6|732,0] 22,7 21,6 6, 
1 Grande Ourse. . .|12.39.58,02]+ 1,19 —82,431316.28. 2,0[+ 4,2 732,0 21,0 < 
« Serpent........ 15.35.12,461+ o,12|-82,59 TE 18.11, 75 + 3,71532,0 
4 Scorpion. ...... 16.18.29,19)— 0,49 —82,50/2/40.19.58,0|+ 3,8 7322 
Mars, 1% bord....|17. 7. 0,97}— 0,49 240. 0.58,2 + 4,31732,3 » |Centre au méridien. 
33 Scorpion. ..... 17.14.12,70)— 0,46 
44 b Ophiuchus...|17.15.29,15/— 0,46 242.22.b0,7|+ 4,3 
a Ophiuchus...... 17.26.19,461+ 0,22|-82,41/279. 3.30,0|+ 457 
62 y Ophiuchus...|17.38.42,32l4+ 0,05 269. g.21,0|+ 4,3 
63 z Ophiuchus. ..[17.43.56,61|— 0,47 241.33.35,5|+ 4,5 
y Dragon....... À 17.51.36, 63 + 2,26/-82,331317.52.52,5|+ 4,6 
72 57 Ophiuchus.. .|17.58.35,24]+ 0,17 
(XVIL.376)Piazzi.|17.58. Lio + o 0:17 275.51.41,0 + 4,7 
14 Sagittaire. .... 18. 3.32,17)- 0,39 244.39.20,0|+ 3,61732,6 
| [9 Petite Ourse S. .4/18:21.12,13 





Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 


4 


7 













































































































































































































LORRECTION Q ; Z El "7 
L PASSAGE NE MOYENNE |=° 5 ë | à 
è NOM: CONCLU DEN PT na = a 2 
3 au des 6 à Æ- Fe > 
# DES ASTRES. ; l'instru-| Ja Et 2 Inté- 8 |& 
FIL MÉRID. À ment, | pendule] VERNIERS. a & rieur. ë |£ 
H Ho ne s. s outre 2] mi. o | a Tr 
ŒHAYEEs de = esse dle 18.30.16,664+ 0,80|-82,94/305. 1. 3,714 3,7 16,0! B. 
(XVIIL. 175) Piazzi.|18.37.15,53]- 0,37 245.57.58,0+ 2,6 » 
29 r Sagiltaire...4|18.39. 3,11]- 0,37 » 
nr nre ee 18.42.57,00|+ 0,65 299.33.40,0[+ 3,0 » 
Anonyme........ I 0,64 299- 4.49,7{+ 3,1 » | 
Anonyme 9+320/7/|18.50.22,58]4 0,67 » | 
39 © Sagittaire. . . .|[18.53.58,51]- 0,40 244.26.32,0|+ 2.9 » | 
(2224) Sagittaire. :|19. 1.47,15]- 0,40 244.29.46,0[+ 3,5/732,9l+20;,1 » 
BrAirle. 32 19-46.17,36|+ 0,10 -82,69/272.24.21.5|+ 3,4/733,0). 20,0 15,0| 5 | 
U 
26|x Petite Ourse E..4|13. 3. 6,83 357.52.53,5+ 4,31732,9) 22,3 18,0! » 
n Grande Ourse...|13.39.56,62Û+ 1,19/-84,40/316.28. 4,5|4 4,11732,9] 22,3 18,4| » 
æ« Bouvier. ....... 14. 7. 7,441 0,30/-8/,/41286.22.35,7|+ 4,31732,9] 22,3 11,0| » 
72 $2 Ophiuchus. .|17.58.33,36+ 0,17 ‘ . » 
(XVII,376) Piazzi. .|17.58.42,47|+ 0,17 275.51.44,0+ 4,3 1» 
14 Sagitlaire ..:.4|18. 3.30,30)— 0,39 244.39.23,0|+ 4,21733,5 21,3 » 
à Petite OurseS..4|18.21.10,27 352.57.20,5|+ 4,0|733,6| 21,3 17:3| » 
D HEONORSR .[18.30.15,00[+ 0,80/-8/,59/305. 1. 4,5{4 4,1 17,0) » 
(XVILL. 175) Piazzi.|18.37.13,61|- 0,37 245.57.56,0+ 3,6 » 
24 r Sagittaire. . 4118.39. 1,29} 0,37 u » 
Anonyme 5-20°28/|18.40.21,35]— 0,37 » 
Anonyme d—-20°28/|18.40.27,61|- 0,37 » 
Bye... 4118.42.55,03k+ 0,65 299.33.41,2[+ 3,3 » 
Anonyme........ 18./9.46,28[+ 0,64 299. 4.55,5|+ 4,1 » 
Anonyme 5+320/7/|18.50.20,44{+ 0,64 » 
39 o Sagittaire. . .2 18.53.56,37)— 0,40 244.26.32,o[+ 4,x » 
(2224) Sagittaire ..|19. 1.45,51]- 0,40 244.29.44,04 3,7 » 
Anonyme........ 19- 5.35,74{+ 0,21 277.40.53,2 4 5,8 » 
47 x'Sagillaire.. PA 19-14.23,67 — 0,46 » 
à Petite Ourse L.. .2 6.21.39,11 ” » 
a? Gémeaux. ..... 7-23.10,971+ 0,62|-85,32}298.35./49,5|- 0,9/733,5) 22,2 3,7| » 
œ Petit Chiem..... 7-20.41,101+ 0,18|-85,81/272. 0.17,5l- 1,5 [13,7| » 
G Gémeaux....., 3] 7-35.18,470+ 0,541-85,541294.46.17,5|- 0,7 8,3| » |Nuages. 
… » 
7ly Dragon ....... 4\17-51.32,91|+ 1,26|-85,991317.52.59,5|- 1,31732,9) 21,4 12,8| » 
72 8? Ophiuchus ..|17-58.31,bol+ 0,17 
(XVII. 476) Piazzi.|17.58.40,80!+ 0,17 275.51.48,0|- 2,3 » 
14 Sagittaire ..... 18. 3.28,57|- 0,39 244.39.28,0|— 2,2 = » 
Petite Ourse S..3,18.21. 7,88 352.57.25,0|- 1,5/733,1] 21,3 16,4! » 
1 CORAN 18.30.13,141+ 0,80|/-86,43/305. 1. 8,0/- 2,0 2114,3| » 
(XVIIT.175) Piazzi.|18.37.11,85]— 0,37 1245.58. 3,9|/- 2,3 » 
29 r Sagittaire. . .4|18.38.59,46}- 0,37 » 
Anonyme 9-20028/ 16.40.19,59|- 0,37 » 
Anonyme 9—20"28/|18.40.25,91|- 0,37 » 
(61 SR RERRPPRS 4118.492.53,211+ 0,65 299-33.45,0|— 2,2 » 
Anonyme. ...... 3118.48.44,79|+ 0,64 299. 4.56,0|— 1,9 » 
Anonyme 9+32047/|18.50.19,00!+ 0,64 » 
39 o Sagittaire... .|18.53.55,o11— 0,40 244.26.38,0|- 1,8 » 
(2224) Sagittaire. .|19. 143,59! 0,40 244.29.48,0|- 2,2 » 
Anonyme S+11°27/|19. 3.534,07] 0,20 » 
0e CR 0,20 277.42. 6,o[- 2,3]733,7] 21,1 » 
0,18|-86,22|276.37.18,0|- 2, 12,9) » 
MAO LL 0,15/-86,27/274.50.42,0|- 2,3 | 11,3) » | 


REMARQUES. 





Moyenne de 4 obs. 


Moyenne de 3 obs. 





ITrès-faible, nuages. 








48 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 





















































CORRECTION [e] = = e © 
ts PASSAGE PÉ MOYENNE | =2 = fracnuouërre. Æ, 3 z 
5 NOM : Fate cu dE 
=] CONCLU ne 4 E = Z se > J z 
E ne e RARE à | © |Z| REMARQUES. 
Ê DES ASTRES. : L'insteu- a Ë 7 E Intés | Exré = & | à 
FIL MÉBID. iuchite VERNIERS. © # rieur::|t rent: o # £ 
s LE lea ER QE SRE EE 
h. m. 5 s. © r 11 "1 nn. o o 1 1 "1 Va 
CHINESE he 46.13 62 + 0,10/-85,42/272.24.24,0|— 2,3|733,8l421,0{+18,6!- 45,9/rr,9| B 
x Grand Chien....| 6.36. 48 68}/- 0,30|-87,15/249.53.44,0|— r,71734,21 20,3) 18,31-1.45,0/11,3| » 
æ Petit Chien..... 7-29 30,64[: + 0,10|-87,29}272. 0.15,0/- 0,b|734,41 23,3] 18,7!- 45,6/11,8| » 
G Gémeaux....... 7:34:16,931+ 0,541-87,11/294.46.15,5|— 0,51734,41 21,4] 18,6! 17,5! 7,5) » | 
28|Soleil, 2% bord. ..|10.24.59,42Î+ 0,17 » | 
Mercure, 1er bord..|11.31.54,98|+ 0,05 269.40.15,2|+ 3,5 - 49.8 » |Geniré au méridien. 
BRON er. «21 4|11.39.36,89[+ 0,28/-87,50k281.49.22,2|+ 3,71733,81 22,3] 22,5) 31,9| 7,2 » 
y GrandejOurse. ..|11.45. 5,12 + 1,40/-87,61 » | 
a Petite Ourse 1..4/113. 2.58,85 357.22.48,0 + 4,5|733,6 22,8| 22,5)+ 54,2|13,4| » Moyenne de 4 obs. 
x Vierge... ..... 13.15. BG — 0,18/-87,80l256. 2.44,5|+ 3,6 —1.20,9| 6,7| » 
n Grande Ourse. . .|13.39. 53,30Ï+ 1,19 —87,68 sl» 
a Bouvier. ....... 14 E 4,051+ 0,30|-87,87 » 
æ Scorpion. ...... 16.18.23,69/- 0,49/-85,01 ; » 
a Hercule. ...... 4x7. 6. 4,37 0,26|-87,89/280.57.13,0|+ 3,21733,3) 21,8) 20,7]- 33,2|10,8| » 
Mars, 1er bord,.. |17-13.12,83]- 0,49 239.57. 3,o|+ 2,8 733,4 21,0| 20,6]-2.50,3 » |Centre au méridien. 
x Ophiuchns...... 17-26.13,981+ 0,22|-87,841279. 3 31,54 3,t - 35,8| 6,2| » 
62 y Ophiuchus... 17-38.36,90|+ 0,05 269. 9.18,0|+ 2,9 — bi,2 » 
63 z Ophiuchus...|17-43.51,15}- 0,47 241.33.38,5|+ 2,8 -2.35,9 » 
y Dragon........ 17. -5o 30:93 + 2,20|-87,941317.52.58,7|+ 3,7 + _ 5,0/16,8| » 
3 Petite OurseS...|18-21. 7,00 352.57.19,7|+ 3:2/733,9! 21,2] 18,9/+ 46,2/15,7| » [Moyenne de 2 obs. 
DAME seems 18.30.11,52/+ 0,80|-88,03/305. 1. b,ol+ 2,6 —  7,2l15,7| » £ 
(XVITL175) Piazzi. de e 10,19]- 0,37 1245.58. 1,ol+ 3,2 —2 4,9 » 
Anonyme, ....... 4o.17,61|- 0,37 245.56. o,o[+ 3,2 . b,2 » 
Anonyme FAP 4o.24,37|- 0,37 ; » 
G Lyre......... [A pi + 0,65 299.33.38,2|+ 2,4 = 12,6 » 
Anonyme. ....... 18.49.43,00[+ 0,64 299. 4.54,ol+ 2,9 — 13,0 » 
Anonyme Eu 18.50.17,22)+ 0,64 » 
39 o Sagittaire... .|18.53.53,31|— 0,40 244.26.36,0|+ 2,6 —2.14,5 » 
(2224) Sagittaire. . 19- 1. 41,85] 0,40 244.29.44,0|+ 2, —2.14, » 
Anonyme. ...... 19- 5.32,32l+ 0,20 277.49.50,o[+ 2,0 — 37,9 » 
Anonyme 3+11917/|19- 6.46,60l+ 0,20 » # 
47 x" Sagittaire. . .|19-14.20,09!|— 0,46 241.36.26,0|+ 3,1 —2.36,2 » 
48 y* Sagittaire... .|19-.14:26,99]- 0,46 » 
55 2 Sagittaire..4|19.32. 8,01|- 0,30 249.54.52,5[+ 1,8|734,0ol 20,9! 18,5/-1./,4,8 » 
Lt SOS 19-37.23,41+ 0,18|-88,05 276.37-13,0 + 1,9 È — 39,5/12,4| » 
FANS #0 19.41.43,00!+ 0,15|-88,16/274.50.38,0|+ 1,2 — 42,2/10,6| » 
CHINA ARRET 19-46.11,86{+ 0,10 _83; 17/272.24.23,0|+ 0,8 — 46,1|13,6| » 
“ Le D NO AERE JE 19.54.53,8/4]- 0,02 265.14 52,7 + 1,3 — 59,3 » 
apricorne 20. 1.52,06f— 0,23 253.32.40,0|+ ‘1,4 . 17,0]-1.30,9 » 
Len Nan 4 20. 7.33,o0!- 0,23/-88,21/253.24.3/,5|+ 1,0 -1.31,6110,3| » |. 
a° Capricorne... .. 20. 7.56,88]- 0,23|-85,23 » 
10 # Capricorne... |20-.16.56,58}— 0,34 2474x. 3,2lt 2,2 -1.56,5 » 
| 5 y Petit Cheval. ..|21. 1.18,34Ï+ 0,18 275.53.20,0|+ 2,9 - 40,9 » 
6 Petit Cheval. ...[21. 1.29,48ÏT 0,17 15,9 » 
7 9 Petit Cheval. ..|22. 5.26,06|+ 0,16 275.45.35,7|+ 2,8 ur » 
Aanon eee en 21-14.20,58|- 0,09 260.14.46,0|+ 1,5 : 11141 » 
(XXL. 173) Piaezi.|21-21.52,01|+ 2,73 336. g.57,0/+ 1,2 + 24,1 » 
BiCéphee - ER a pou + 2,73/-87,511336.14.30,0|+ 1,21733,8 20,3 + 24,1h5,o! » 
Jupiter, centre... .|21.33.16,48)-— 0,29 250.46. 2,0|+ 1,1 15,21—1,42,3 » [Au ‘méridien. 
9 Petite OurseI..4| 6.2 36 7 359:45.23,5|+ 2,6 18,01+ 58,8118,4| » [Moyenne de 3 obs. 
x Grand Chien... .| 6.36:47,00|- 0,30/-88,85/249.53. 30, 5|+ 1,5/734,31 20,3| 18,0l-r1.45,1| 9,7| » | 
z Petit Chien... .} 7:28:37,gof+ 0,10 89,05 272. 014,014 1,9/734,5 21,71 18,71- 46,6/15,3| » Niv.+3r ,28. 











ob 


Observations faites à la lunette méridienne en Août 1843. 
















PASSAGE 


CONCLU 
au 


NOM 


DES ASTRES. 












CORRECTION 
.de 


nn —" 





MOYENNE 
des 
a 
peudule | VERNIERS. 


-88,97 
—89,01 


11 


258.24.23,5 








—89,48|286.22.38,0 
-89,57|293-37.15,5 
—89,69 273.18.14,7 
—89,70/200.57.14,5 
239.55.54,7 
279. 3.33,5 
269. 9.23,5 
241.35.44,0 
—89;971317-53. 1,7 

275. 6. 8,0 

245.58.32,7 


—89:94 


305. 1. 6,0 
245.58. 1,0 
245.56. 4,0 


299.33.43,7 
299. 4.56,0 


-89;gr 


276.37.12,0 
274.50.37,b 
272.24.21,5 
256.49.45,5 
269.58.58,0 


-89,90 
—89,77 
-89,92 


271.16.10,5 
271.12.10,0 


275.53.20,7 





HH+ HET ++ HE FFF FF FF F+F+r++ 


275.45.38,7|+ 
260. 5, 3,5[+ 
336.10. 1,o|+ 

—89,6 
‘54 250.43.42,5|4 


268.11.33,0|+ : 


357.52.br,7|+ 
—91,48]316.28. 1,5|+ 
-91,45[293.37.18,2|+ 
—91,51/273.18.11,7|+ 
mes 80.5 

1,61/280.57.1t 

Eat 230 FLE3 D 
-91,45 


+ 
= 





2 l'instru- 
FIL MÉBID, FE 
mie s: 5. 
G Gémeaux....... 7-34:15,09!+ 0,54 
œ Hydre ation A 9::8.25,0d = 0,14 
29/Soleil, 1er bord... .|[10.26.28,08|+ 0,16 
« Petite Ourse 1..4|13. 3. 2,24 
æ Vierge........ 4113.15.28,72]- 0,18 
1 Grande Ourse. ./|13.39.51,20|+ 1,19 
æ Bouvier. ....... 14. 7. 2,30[+ 0,36 
æ Couronne....., 15.26.34,69 + 0,51 
a Serpent........ 15.35. 5,30|+ 0,13 
æ« Hercule. ....... 17. 6. 2,544 0,26 
Mars, 1°r bord... |17.15.20,51]- 0,50 
œ Ophiuchns...... 17.26.12,26]+ 0,22 
62 y Ophiuchns... 17.38.35,12)+ 0,05 
63 3 Ophiuchus... 17.43.409,53 — 0,47 
y Dragon........ 17.51.28,87l+ 1,20 
74 S' Ophiuchus. .[17.58.21,46[+ 0,1 
16 Sagittaire ..... 18. 4.27,33]- 0,37 
3 Petite OurseS..4|18.21. 2,47 
VE LCR 4118.30. 9,62]+ 0,80 
(KVITL:175) Piazzi.|18.37. 8,35]- 0,37 
Anonyme, ....... 18.40.16,11]- 0,37 
Anonyme d9—20°28/|18.40 22,57] 0,37 
G L'yscPospebet 3118.42.49,85[+ 0,65 
Anonyme. ....... 18.49.41,12]+ 0,64 
Anonyme 9+32047/|18.50.15,28|+ 0,64 
AAele En. 19.37.21,56[+ 0,18 
CAC CORAN 19.41.41,38]+ 0,15 
RARGIe, PU TUE, 19.46.10,10]+ 0,10 
6 p Verseau...... 20.42.45,46]— 0,17 
(2483)PetitCheval3/20.48.30,82l+ 0,06 
1 € Petit Cheval . .4|20.49.47,82l+ 0,06 
-|3 € Petit Cheval. . .|20.55.19,66|+ 0,08 
Anonyme. ...... 4|20.57.49,22l+ 0,08 
5 y Petit Cheval. ..|21. 1.16,46]+ 0,18 
6 Petit Cheval... .,|21. 1.27,62]+ 0,17 
7 à Petit Cheval. ..|21. 5.24,20]+ 0,16 
DH Se oies ee ele 21.13.43,08|- 0,10 
(ÆXL. 173) Piauzi.|21.21.49,83|+ 2,73 
B Céphée ........! 21.25. 8,50l+ 2,73 
Jupiter, centre... .|21.32.45,81}- 0,29 
Bo|Soleil, 2%° bord...|10.32.13,481+ 0,16 
< 1er bord..|11.43. 2,10l+ 0,03 
» |; Petite Ourse L..2|13. 3. 0,00 
1 Grande Ourse...|13.39.49,46|+ 1,19 
x Couronne....... 15.20.32,7 + 0,51 
œ Serpent........ 15.35. 3,4614 o,13 
œ Scorpion. ...... 16.18.20,23|— 0,49 
x Hercule. ,...... 17. 6. 0,62]+ 0,26 
Mars, 1° bord... .117.17.29,97|- 0,50 
œ Ophiuchus...... 17.26.10,34[+ 0,22 
62 y Ophiuchus.. .|19.38.33,12]+ 0,05 


269. g.22,0l+ 





"Heaaru np 


NOILOYHUOD 


o 





MD D D 4 & O9 


mo » Oo ta 


D 


,0 











Inté- 
rieur, 


"AULANOU VA 





b D bb 
Bb & 
QI NI 


b 
Ce 
(C2 


21,0 


20,5 


THERMOMÈTRE. 


a 











Exte- 
rieur. 


"NOILOYY AA 
‘4104 na n311 





10,2 


9»9 


12,2 





ll 





"MAALVANASUO 


» 
» 


REMARQUES. 


Très-faible. 


Moyenne de 5 obs. 


Centre au méridien. 





Centre au méridien. 
Moyenne de 4 obs. 


Centre au méridien. 


13 








»0 


Observations faites à la lunette méridienne en Août et Septembre 18#3. 





*"sunor 


= 





Lei 


















































PASSAGE TÉRERT MOYENNE | = 8 > THERMOMÈTRE &. Ë e 
NOM: CUNCLU c 90 amant ‘ 2 3 8 mn es 2 = Ë 
7 des 28 Eu a GARE REMARQUES. 
DES ASTRES. k Vinstru-| la 2 | 23 |'inté-|Enc| à 3 | 
FIL MÉRID. | ment. | pendule] VERNIERS. | © © 2 rieur. | rieur, ° LIN 
EE 2 ñ |: 
bem". 7) o © TRUE 1, MR 
63 z Ophiuchus...|17.43.47,59)- 0,47 + —2.35,1 B. 
y Dragon........l17.51.27,15]4 1,26 + 420,9 3,0/18,6| » 
72 S'Ophiuchus.. .|17.58.19,60|+ 0,15 IL 20,9) 41,3 » 
16 Sagittaire. .... 18. 4.25,53]- 0,57 + 2. 4,1 » 
d Petite Ourse S. .3|18.21. 0,10 : 
BAEYre. er re ne 4]18.42.47,95|+ 0,65 + — 12,5 » 
Anonyme........ 18.49.39,b2|+ 0,64 + - 13,0 » 
Anonyme 9+32°47/|18.50.13,60]+ 0,64 » 
(2224) Sagittaire. .|19. 1.38,29]— 0,40 244.49.49,0+ 0,3|734,5[+21,3| 19,2/-2.14,0 » 
y Aigle. ....,... 19-37-19,72]+ 0,18/-91,73/276.37.16,0|+ 0,81734,6| 21,3| 19,2/— 39,4/14,2| » 
LV Codes 19-#1.39,50]+ 0,15 —91,54 274.50.40,0|+ 0,5 — 42,0/11,9| » 
BlAïgle....: 1. 19-46. 8,26[+ 0,10/-91,75|272.24.24.0[+ 0,61734,6| 21,3] 19,2l- 45,8/14,b| » 
6 p Verseau...... 20.42.43,90]- 0,17 226.4941,5|+ 0,8|734,8] 21,2] 15,8]-1.19,7 » 
Anonyme....... 4120.44.51,57)- 0,17 256.55.20,5|+ 0,7 -1.19,5 » 
(2483) Petit Cheval.|20.48.29,20[]+ 0,06 269.58.58,0[+ 1,4 — 50,0 » 
1 £ Petit Cheval...|20.49.46,30]+ 0,06 » 
3 & Petit Cheval. . .|20.55.18,08[+ 0,08 271.16.16,0|+ 1,4 — 47,8 » 
Anonyme........ 20.57.47,58[+ 0,08 271.12.20,0|+ 1,2 — 47,9 » 
5 y Petit Cheval. ..|21. 1. 4,74]+ 0,18 275.53.18,0|+ 1,4 — 40,5 » 
6 Petit Cheval ....|2r. 1.25,90f+ 0,17 » 
7 à Petit Cheval. ..|21. B.22,/0l+ 0,16 275.45.36,5|+ 1,1/734,8] 21,2) 18,7] 40,7 » 
Junon........... 21.12.57,72]— O,11 259.55. 6,0|+ 0,9 —1.11,2 » 
(XXL, 173) Piazzi. .|21.21.48,23|+ 2,73 336.10. 1,5|[+ 0,5 + 23,9 » 
B'Céphée .... 21.25. 6,831+ 2,73|-91,41 » 
Jupiter, centre. ...|21.32.15,51|— 0,29 250.41.26,5(+ 0,71734,9] 21,3] 18,5]-1.41,6 » |Au méridien. 
Soleil, 1er bord...|10.33.41,28|+ 0,15 274.55.21,5|+ 1,51735,7) 19,0! 24,5] 41,2 » [Bord inf. à 34m37s. 
Mercure, 1% bord..|11.48.27,64|+ o,o1 267.27.46,0[+ 1,7[735,5 24,0| 24,41 53h » [Centre au méridien. 
a Petite Oursel...2|13. 3. 1,70 357.52.50,7[+ 4,21935,2] 24,3] 24,54 53,9/16,4| » | Moyenne de 2 obs. 
n Grande Ourse. .3/13.39.47,70|+ 1,19/-93,22|316.28. 2,0[+ 3,0|735,0] 24,1| 24,94 3,6/15,4| » |Nuages. 
a Bouvier. ....... 14. 6.58,68]+ 0,30|-93,131286.22.35,5|+ 3,8/735,0] 23,6] 23,3] 26,4/10,5| » 
à Petite OurseS..4 18.20.39,10 » 
GiCyReE eee et 18.42.46,r0ol+ 0,65 299.33.37,5|+ 4,71735,6! 22,2| 20,9] 12,5 » 
Anonyme........ 18.49-37,58[+ 0,64 299. 4.52,o[+ 5,0 — 13,0 » 
Anonyme 3+32047/|18.50.1 1,72]+ 0,04 » | 
39 o Sagittaire... 18.53.47,79|- 0,40 244.26.31,2|+ 4,9 19:9]-2.14,2 » | 
(2224) Sagittaire. .|19. 1.36,45]- 0,40 244.29.43,0[+ 4,0 —2.13,9 » 
Anonyme 9+11°27/|r9. 5.26,96[+ 0,20 2797.40.52,7|+ 4,4 — 37,9 » 
25 w'Aigle .....!% 19- 8.56,9b[+ 0,20 » 
47 x' Sagittaire... |19.14.14,65|- 0,46 » | | 
48 y° Sagittaire... |19.14.21,63]- 0,46 241.41.54,0+ 4,6 —2.35,0 » 
35 c Aigle....... 19:19-35,18[+ 0,03 268. 1.20,5|+ 3,7 — 53,4 » | | 
(XIX. 152) Piazzi.4 19-21.39,59]+ 0.03 268. 4.3r,2+ 4,5 — 53,4 » 
mAlBiee eee .[19:41.37,70[+ 0,15 —93,43/274.50.35,5|+ 4,5|735,6| 22,2] 19,7] 42,0o|1r,3| » 
B Aigle.......... 19:46. 6,58]+ 0,10 —93,42/272.24:18,0+ 4,5 — 45,8|12,4| » 
» 
Soleil, 1er bord...|10.37.17,72|+ 0,14 275. 5.24,5/+ 8,3/736,41 24,4| 24,5] 41,0 » [Bord sup. à 38m13s. 
y Grande Ourse.., 11.43.57,80]+ 1,40 -9#,91 320.55.49,5|+ 8,5 736,8 23,6 23,9]+ 7,9/14,5| » [Niv.+3r,22. | 
Mercure, 1bord..|r11.53.48,52]+ o,o7 266.44.14,0|+ 8,7 736,8 23,6| 24,0]- 55,1 » [Centre au méridien. 
7 Petite OurseI...4113. 2.59,51 357.52.51,8/+ 4,0 736,6 24,3| 24,5|+ 54,0 17,7| » [Moyenne de 4 obs. | | 
a Vierge......... 13.15.23,50]- 0,18/-94,71/256. 2.49,5|+ 3,21736,5) 24,4] 24,41-1.20,7|11,2| » QL 
Grande Ourse, . .|13.39 46,o2[+ 1,19/-94,88 316.27.59.5/+ 2,41736,4/ 24,4] 24,4[+ 3,6/12,4) » | | 











o1 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 




































































PASSAGE SEP ENS MOYENNE | = 8 = THERMOMÈTRE. E. 5 5 
NOM CONCLU de n° ES 2 E ee , ë ë 2 
au de 20 | à 8 = | £ | REMARQUES. 
DES ASTRES. . l'instru- , É C| 3 Exté- 7 3 3 
FIL MÉRID. | ent VERNIERS. a 4 rieur, £ S 5 
= His 8. s. COTE TT o ! 
æ Bouvier........ 14. 6.57,12]4+ 0,36|-94,681286.22.38,5|+ 2,61736,31+24,4424,3|- 26,3/12,5| B. 
Lune, 1er bord...2|16.52.21,63|- 0,46 241.51.12,0|+ 2,5/736,1| 2: 21,8|-2.32,7 » |Bord sup. à 53m31s. 
«x Hercule........ 17. 5.57,28l+ 0,26|-94,91/280.57.12,0|4 2,1 — 33,2| 8,6| » 
6 Ophiuchus.. .... 17.10.b2,09|- 0,46 241.34.23,7|+ 2,0|736,2 22,1)-2,35,0 » 
Mars, 1% bord... .|19.21.54,13]- 0,50 239:52.54,7|+ 1,7 —2.50,8 » 
« Ophiuchus...... 17.26. 6,96[+ 0,22|-94,79 » 
85 « Hercule... ..4117.33.28,52l+ 1,04 312.27.b5,5|4 2,1 —o;i » 
y Dragon. ....... 17.51.23,73|+ 1,26/—-95,02/317.52.58,0|+ 0,9 +  5,0/12,9| » 
71 S' Ophiuchus . .|17.58.16,20[+ 0,15 275. 6. 8,0|+ 1,4 — 41, » 
16 Sagittaire ..... 18. 4.22,19]- 0,37 245.58.30,0|+ 1,0 2. 4,0 » 
à Petite OurseS...|18.20.54,85 352.57.25,5 + 0,7 + 45,9/18,1| » [Moyenne de 3 obs. 
DUILY DEN neie 01e 91e 18.30. 4,18]+ 0,80|—95,28|305. 1. 2,0|+ 1,41736,5 211) 7,2l11,0| » x 
MiDiyre ee .-.0e 18.41.44,42l4 0,65 » 
Anonyme........ 18.49.36,18[# 0,64 299. 4.57,7[+ 2,1 — 13,0 » 
Anonyme 9+320/7/|18.50.10,20]+ 0,64 » 
39 o Sagittaire... .|18.53.46,29|- 0,40 244.26.32,0|4 1,7 21,0!-2.13,8 » 
(2224) Sagittaire . .|19. 1.35,07]- 0,40 244.29.45,0|4 1,2 -2.13,7 » 
Anonyme......., 19: 5.25,28]+ 0,20 227.49.58,0|+ 0,9 - 37,9 » 
25 w' Aigle...... 19. 8.55,34]+ 0,20 277.42. 2,7|# o,1 — 37,9 » 
47 x! Sagittaire. . .|19.14.13,21|- 0,46 » 
48 y* Sagittaire. . .|19:14.20,19]- 0,46 241.42. 0,0|- 0,3 —2.35,5 » 
(2276) Sagittaire. .|19.20. 4,631 0,40 244.46.32,0|- 0,2 -2.12,7| , |» 
Saturne, centre... .|19.23.19,88|- 0,40 24418.20,0|-— 0,5 —2.16,0 » [Au méridien. 
55 e2 Sagittaire. .|19.32. 1,86|- 0,30 249.54.54,0[+ 0,1|736,91 22,0| 18,1/-1.45,3 » |[Ondul. 
œ Aïgle......... 2119.41.36,10!+ 0,15|—-95,02 » Id. 
BHANSIe cles 19.46. 4,88]+ o,10/-95,11]272.24.24,0| 0,0|736,9 o! 18,1]- 46,2113,4| » | Ja. 
62 Aigle........, 19.54.46,90!- 0,02 265.14.55,5| 0,0/736,9 8| 17,5] 59,4 » | Id. 
a Gémeaux-..... 7.23. o,71l+ 0,62|—-095,76/298.35.46,0|+ 2,5 — 13,6] 8,6| » 
œ Petit Chien ...., 7-29-31,10]+ 0,10|-95,95/272. 0.15,7|4 2,3 — 46,6/15,3| » 
BG Gémeaux.... .. 7.34. 8,331+ 0,54/-95,841294.46.15,7|+ 2,61738,0 19,6]- 17,5/10,2| » 
2|Soleil, 1°" bord....|10.40.53,98|+ 0,14 274.11.55,5|+ 92,51737,4 22,9) 40,7 » [Bord inf. à 41m472. 
æ Petite Ourse I..4|13. 2.58,89 357.52.53,21+ 2,5/73h,7| 2: 24,0]+ 54,1/17,6| » [Moyenne de 4 obs. 
œ Vierge......... 13.15.21,90/- 0,18, —96,31/256. 2.49,5|+ 2,8 —1.20,8|10,7| » 
n Grande Ourse...|13.39.44,50ol+ 1,r9,—-96,38/316.28.. 2,o|+ 2,5/736,7 24,3|+  3,615,6| » 
œ« Bouvier. ....,.. 14 6.55,46|+ 0,3b -96,32 286.22.36,0|+ 4,21736,7 24,3] 26,3/11,7| » 
& Serpent........ 15.34.58,50l+ 0,13/-96,42/273.18.11,5|+ 2,8|736,5 241]- 43,8) 8,5| » 
æ Scorpion. ..... 4116.18.15,39/- 0,49 -96,22/240.19.59,2|+ 2,41736,3 23,0)-2.45,8| 6,9! » 
œ« Hercule........ 17. 5.55,72]+ 0,26,-96,45/280.57.14,0|+ 2,8 — 33,2/11,2| » 
8 Ophiuchus...... 17.10.50,55)— 0,/6 241.34.24,0|+ 3,2|736,4 21,7]-2.35,2 » 
Mars, 1° bord....|17.24. 8,73]- 0,50 239.52.14,5|+ 2,4 —2.51,3 » |Centre au méridien. 
« Ophiuchus.....2|17.26. 54414 0,22|-96,29 » 
85 « Hercule... ... 17-33.26,60|+ 1,04 312.27.57,5|+ 2,71736,4 21,5|- o,1 » 
Lune, 1° bord... .|17.53 46,471- 0,46 241.44. 9,714 3,0 —2.34,0 » [Bord inf. à 55mas, 
71 S'Ophinchus...|19.58.14,80]+ 0,15 275. 6. 4,o|+ 2,5 — 41 » 
16 Sagittaire ..... 18. 4.20,61]- 0,37 245.58.30,0|+ 2,4 -2. 4,3 » 
À Sagittaire... .... 18.:16.45,49[- 0,48 240.54.40,0 + 1,5 -2 41,6 » 
8 Petite OurseS. .4|18.20.53,41 y 
HLIEETET ST ÉOOne 18.29. 2,92]+ 0,80|-96,52/305. 1. 6,7|+ 1,2 — 7»215,3| » 
27 y Sagittaire... .|18.34.19,41]- 0,51 239.16.26,0[+ 1,9/736,5 20,4]-2.58,4! » 
Anonyme........ 18-49.34,46[+ 0,64 299- 4.56,o[+ x, — 13,0 » 
Anonyme 9+32°47/|18.50. 8,60o]+ 0,64 » 
39 © Sagittaire... .|18.53.44,73]- 0,40 244.26,32,0!+ 1,4 —2.14,3 » 








52 
Observations faites à lw lunette méridienne en Septembre 1843. 































































































































j CORRECTION a œ À c] e le | 
A PASSAGE & MOYENNE | = 2 2 froenuosèree. Es au 
8 NOM: coNpuo ST SALE D DO E 
di au ] de 2! & Es 5 |£| REMARQUES. 
| SU, il ee ménp, |  adule. | VERNIERS. | © SE Lana fu = BAIE 
he “ms is > fl o o 1er] 11 
(2224) Sagittaire. .|19. 1.33,37]-— 0,40 + 1,8 
lAnonyme. . ...... 19. 5.23,70}+ 0,20 + 1,4 
25 w'Aigle...... 19: 8.53,781+ 0,20 + 1,1 
48 y? Sagittaire. . .|19-14.18,03!— 0,46 ; #%.,0 
(2276) Sagittaire. .|19-20. 3,o1E- 0,46 244. + 1,4 
Saturne, centre... .|19.23. 9,76[- 0,39 244.17.57,7|+ 1,5 -2.15,7 » [Au méridien. 
39 x Aigle ...... 4|19-26.54,48]- 0,13 259. 1.20,0[+ 1,0 ) 
55 e: Sagittaire... 19-32. 0,32]— 0,30 249-54.54,0[+ 0,7 
BiAïple tr ut: 219.46. 3,38[4 o,10/- 96,60/272.24.24,0| 0,0 
GRPAñple er 4119:54.45,28/ 0,02 265.14.53,5| 0,0 
a Gémeaux... .... 7-22.59,27|+ 0,62|- 97,21/208.35.45,5|+ 4,2 
a Petit Chien... ... 7-29:29,62}+ 0,10/— 97,45f272. o.18,0|+ 2,1 
G Gémeaux....... 7.34. 6,89{+ 0,54l- 97,30l294.46.15,2|+ 2,8 
3/Soleil, rer bord... .|10.4/.29,90]+ 0,13 274.22.45,5|+ 2,8 22,7| 21,6|- 42,5 » [Bord sup. à 45m2ps, 
ax? Gémeaux... .. 7.22.57.,b1lt+ 0,37|— 99:15/298.35.4/4,0|+ 3,7 ) 
æ Petit Chien..... 7:29-27,78)- 0,11/— 99,92/272. o.11,5|+ 3,6 
| 4|Soleil, rer bord... .|10.48. 5,42l- 0,09 273.27.53,5|+ 3,4 22,5| 22,ol- 43,8 » [Bord inf. à 4gmso. 
Mercure, 1“ bord..|12. 9.21,32]— 0,29 264.36.20,0[+ 3,4 22,4| 23,6]- 59,4 » [Centre au méridien. 
« Petite Ourse I..4|13: 2.50,22 357-52.51,5|+ 1,0 22,7| 24,0f+ 54,0/15,5| »|Moyenne de 4 obs. 
n Grande Ourse. .3/13.39.41,37]4 0,86|— 99,811316.28. 2,5|+ o,2 22,7| 24,2]+ 3,6/14,4| » [Ondul. 
œ« Hercule........ 17. D.52,3414 0,04/—-100,02!280.57.16,0[+ 0,1 
6 Ophiuchus...... 17.10.46,95]- 0,69 241.34.24,0[— 0,2|73 
œ Ophiuchus...... 17-26. 1,98] o,00|— 99,94 
Mars, 1e bord. ...|17.28.42,41]— 0,7 239.51. 2,7[+ o;1 -2.51,3 » [Centre au méridien. 
85 « Hercule... ... 17:33.23,49|+ 0,74 312.47.57,5|+ 0,2 
y Dragon........ 17.51.18,71[+ 0,92|-100,28|317.b1.57,7|+ 0, 
(XVIL. 368) Piazzi. |17-57.44,08|- 0,05 
7: S'Ophiuchus...|17.58.11,36/— 0,05 27. 6. 8,o| oo 
16 Sagittaire ..... 18. 4.17,21/— 0,59 245.58.32,0|- 0,1 
À Sagittaire... ... 18.16.41,93/— o,71 240.54.42,5[+ 0,2 
mlyree oeeecLt 18.28.59,42l+ 0,53/—-100,25|305. 1. 9,5|- 0,8 
27 w Sagittaire. ...|18.34.15,93]- 0,74 239.16.24,0| 0,0 
Anonyme... .... 18.40. 5,91]— 0,59 245.56. 3,5|+ 0,3 
Anonyme 3-20228/|18.40.12,4,5]— 0,59 
DVI ressens 3118.42.39,58|+ 0,39 299.33.43,7|- 0,2 
(2224) Sagittaire . .|rg. 1.29,97]- 0,61 244.29.40,5| 0,0 
48 y? Sagittaire... .|19.14.14,97|- 0,69 241.42. 4,0] 0,0 
Saturne, centre...|r9-22.50,05|- 0,65 244.17.27,5| 0,0 =2,15,2 » [Au méridien. 
55 e? Sagittaire. . .|19.31.56,94/— 0,52 249.54.5/4,0o|— 0,3 
yAiïgle......... 4|19-37-11,29)- 0,03|-100,31/276.37.12,0|— 0,2 
œ'Atple Ne set 19-+1.31,221— 0,06|-100,08/274.50.41,7|— 0,5 
LE: Capricorne... |20. 1.40,341- 0,45 253.32,40,0|— 0,3 
a" Capricorne... ..|20. 7.11,18]- 0,45/-100,17/253.24.35,5|— 0,6 
a Capricorne.....|20. 7.450] 0,45|—-100,25 
10 + Capricorne... |20.16.44,58{- 0,55 247.41. 3,5|- 0,8 —1.55,6 » 
u Capricorne..... 20.22.12,68]- 0,39 256. o.44,o|- 0,8 21,3] 18,7[-1.22,3 » 
æ* Gémeaux. .... 4| 7-22.55,9x]+ 0,37|-100,88/208.35./46,0|+ 1,7 - 13,6] 8,2|» 
& Petit Chien..... 7-29 26,18]- o,xr|-101,15/272. 0.13,7|+ 1,2 — 46,7l12,1|» 
G Gémeaux....... 7-34. 3,571+ 0,30/-101,12/294.46.17,5|+ 1,0 21,3| 17,6]- 17,5/10,6|» 
5[Soleil, 1% bord... .|1051.40,68]- 0,09 + [273 >49,5!+ 2,b 21,3| 19,61 44,6 |» |Bord inf, à52m375, 




















53 . 








Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 































































CORRECTION [e] æ 5 CR 
g PASSAGE 10 MOYENNE | =2 | 2% fruenuowèree. 3 8 | 
5) non NE MER lola 
? DES ASTRES. 5 Linsten-| la Em % ie |Eut-ll 2 EVE RE ut 
FIL MERID. went. | pendule. VERNIERS. 2 = rieur. | rieur. = 5 s 
2 : = L 
mel Home #. s, où 1 1 rer TE o I PRIT 
Mercure, 1 bord... ne F Eu Fi 263.54.37,5|+ 2,3/533,5]+21,3|+19,31-r. F£ B.|Centre au méridien. 
DAMIErCE = e tele toute 13.15.16,94]- 0,39 —101,45/255. 2.50,5|+ 2,1/733,31 21,2] 19,2)-1.21,8| a8l » 
æ Havier PAG à à 14. 650,40 il du =101,97/286.22.35,7|+ 2,2 733,3 21,2| 19,0) 26,7 932 » 
æ& Hercule. ....... 17. 5.50,66!+ 0,04|-101,68 280.57.16,0|+ 1,4 — 33,7|11,2| » [Ondul. 
8 Ophiuchus...... 17-10.45,19 Fa 0,69 _ |241.34.28,0[+ 0,2 733,3 19,8| 16,5}-2.37,4 » Id. 
œ Ophiuchus...... 17:26. 0.22} 0,00|-101,68!279. 3.40,o[+ 0,7 16,5]- 30,3|1r,4|»| Id. 
85 « Hercule... ... 17.33.21,09!+ 0,74 312.28. 1,54 0,8/733,5] 19,7] 16,0 o,1 » 
(XVEL. 368) Piazzi. [17-57.42,18]— 0,05 » 
72 S"Ophiuchus...|17.58. 9,44] 0,05 275. 6.11,7[+ 0,b|734,0] 19,2 = 42,1 » 
16 Sagittaire ..... 18. 4.15,37|-— 0,59 245.58.31,5[+ 1,0/734,0] 19,1] 15,712. 6,2 » 
À Sagittaire... ... 18.16.40,15)— 0,71 240.54.49,o[+ 0,8/734,3] 19,0] 15,41-2.44,3 » 
GIF CSERSNRRRE 4/18.29.57,841+ 0,53/-101,80|305. 1. b,7[+ 0,7 -  7,3l14,3|» 
27 w Sagittaire. . ..|18.34.14,21/— 0,74 239.16.29,7|+ 0,7 3. 1,3 » 
Anonyme... .... 18.40. 4,o1l— 0,59 245.56. 6,0| 0,0/734,5] 18,9] 15,2-2. 7,0 » 
a? Gémeaux...... .22.b4,254 0,37|—102,56 k 
. [æ Petit Chien..... 7-29-24,941— 0,11|—102,81/272. o0.12,0[+ 2,5 =" 474lxxol»| - 
G Gémeaux....... 7.34. 1,89]+ 0,30|—102,63l294.46.14,2+ 2,3/734,8] 18,3] 13,9) 17,8] 8,4| » | Niv.+2P,44. 
6 nue 1er bord... US 2 = cpe É4 À th : . nr 19,0 ces LÉ #8 à » [Bord sup. à 56mr65. 
DANIEL: - seteeabie 13.15.15,18]— 0,39/—103,21/256. 2./8,0 ,11733,41 19,7 ,2)-1.21,8| 9,3| » 
œ? 00 ITR 7.22.52,35|+ 03 —104,49 298.35.43,7|+ 3,7 4e” Du 178 = 13,7 ni » 
œ Petit Chien...... 7:29.22,62]— o,11|—104,70270. 0.15,5|4+ 3,6 = 47:1l15,9| » 
G Gémeaux....... 7-33.59,93[+ 0,30|—104,b5/29/.46.17,5|+ 4,31735,71 19,3] 15,7h- 17,7113,8| » 
DHHydre.. 0 3| 9.18. 9,08!- 0,35|—-104,77/258.24.18,0|+ 4,2 735,71 19,8| 18,31-1.15,4| 7,4] » |Très-ondulante. 
7|Soleil, 1e bord... .|10.58 50,08|- 0,10 272.21. 6,0|+ 3,41735,41 20,2| 20,41 45,8 » [Bord inf. à 59m47s. 
Mercure, 1 RE = — 0,28 262.32.49,0|+ 3,5 735,0 20,5| 21,71. 4,2 » [Centre au méridien. 
« Petite Ourse 1..3/13. 2.47,6 » 
œ Vierge. ........ 13.1 Sid ré  0,39|-105,241256. 2.52,0|+ 3,4/735,0] 20,5] 21,7]-1.21,3113,0| » 
æ Scorpion....... 16.18. 6,43] 0,72|-105,32|2/0.20. 0,0|+ 4,7[734,7] 20,8| 20,5]-2.46,9| 8,7| » 
œ« Hercule........ 17- 5.46,98]+ 0,04/-105,33]280.57.17,0|+ 4,9|734.8] 20,3 — 33,4/15,9| » 
0 Ophiuchus...... 17.10.41,71]— 0,69 241.34.24,2|4 4,51734,8| 20,3| 19,6/-2.36,r » 
œ Ophiuchus...... 17.25.56,60!  0,00[-105,27 » 
85 : Hercule...... 17.33.18,15]+ 0,74 312.27.54,7|+ 3,8 AA OE » 
Mars, 1% bord...3/17.35.43,80]— 0,73 239.50. g,0|[+ 3,6/735,0] 20,1 19,2[-2.52,8 » [Centre au méridien. 
Dragon........ 17.51.13,33]+ 0,g2|-105,57]317.53. 2,0|+ 3,4 19,41+  5,0/18,8| » 
(XVII. 468) Piazzi. |19.57.38,68]- 0,05 » 
71 8: Ophiuchus.. :|17.58. 6,00!— 0,05 275. 6. 8,5|4+ 3,6 19,4] 41,6 » 
16 Sagittaire ..... 18. 411,73] 0,59 245.58.32,0|+ 3,4 2. 4,9 » 
À Sagittaire... ... 3118.16.36,35— 0,71 240.54.41,7|+ 3,7 —2.42,4 » 
9 Petite Ourse S..4|18.20.45,42 F » 
5: IA en 18.29.5/4,10l+ 0,53/—-105,50/305. 1. 9,0|[+ 2,8 — _7:2l18,6|» 
27 y Sagittaire. . ..|18.34.10,43]— 0,74 239.16.23,5|+ 3,1 —2:59,3 » 
Anonyme........ 18.40. 0,43]- 0,59 243.56. 3,,14+ 3,7 18,4]-2. 5,7 » 
62 Serpent....... 18.46. 6,581 0,10 272.48.33,7|+ 3,5 — 45,4 » 
Anonyme 9432049! 18.49.25,921+ 0,39 » 
Anonyme........ 18.49.59,98l+ 0,39 299. 9-43,5/+ 4,31735,3] 109,5 18,4]- 13,0 » 
Anonyme 9+32°54/|18.51.29,88]+ 0,39 ” 
48 y* Sagittaire... |19.14. 9,57} "0,69 241.42. 2,014 3,1/735,31 19,5| 18,4]-2.35,8 n 
Saturne, centre... .|19.22.22,73]— 0,63 24416.12,0|+ 3,0 —2,16,1 » [Au méridien. 
39 x Aigle ....... 19:-26.45,641- 0,34 259. 1.18,0|+ 3,3 —1.13,8 » 
55 e2 Sagittaire... |19.31.51,541— 0,52 249-54.54,0|+ 3,0 TEA » 
y'Aigle....:..... 19-37: 6,06f- 0,03/-105,51/276.37.14,0|+ 2,9 — 39,6/13,3!» 











: 54 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 

































































































































CORRECTION a œ 7 Gi e 
& à PASSAGE + MOYENNE |= 2 = Jrueruowërke. = 5 a 
& NOM CONCLU _— d = 7 2 Fe 5 |Z 
= es S UE NE 8 | 2 |S| REMARQUES. 
$ DES ASTRFS. ; l'instru-| Ja 2 3 Exté- 5 3 15 
FIL MÉRID. | jjeut | pendule. | VERNIERS. 2 | à He 2 5 |£ 
PR tae ssiate e 0,06|-105,43/274.50.38,0|4 2,9 - 42,3l11,2 
MATE. ve o,11/-105,56|272.24.24,0|} 2,9 — 46,1 15,9 
RARE 19.54.36,56!- 0,23 265.14.53,5|4 3,2/735,5|+19,3+17.6|- 59,2 
..:...[ 7:22.50,65[+ 0,37|-106,19 
SR 7-29.20,86|- o,11|-106,52|272. 0.16,0|+ 4,8 = 47nl17,6 
MARS 0,30|—106,31|294.46.15,5|4 4,81737,1 16,5! 17,7/12,4|» [Niv.+P ,87. 
8|Soleil,;re bord. . . è 0,10 272.30.27,2|4 5,3]737,1 18,9l- 45,9 Bord sup. à 3m23s. 
Mercure, 1er bord..|12.28.57,78|- 0,29 2b1.52.46,0|4 5,3 730,7 —1. 6,4 Centre au méridien. 
« Petite Ourse I..4|13. 2.43,32 357.52.48,7|+ 5,0|736,5 19,6 55,0|19,0| » [Moyenne de 2 obs. 
æ° Balance...... 14.40.28,32]- 0,49|—107,07/251. 0.30,0|+ 5,3 736,0 —1.39,8|16,0 
GB Petite OurseS. .4|14 49.20,80]+ 2,88|-107,52 
a Scorpion. ...... 16.18. 4,45]- 0,72|-107,29/240.20. 4,o|+ 5,6/735,8 —2.47,8|12,6 
æ Hercule. ......, 17- 5.45,16|+ 0,04/-107,15/2680.57.13,5|+ 4,7|735,9 — 33,6|12,0 
8 Ophiuchus.. .... 17-10.39,67|- 0,69 241.34.24,0|+ 4,7 18,8]—2.36,7 
œ Ophiuchus...... 17.25.5/4,68] o,00[-107,17 
85 « Hercule... .... 17.33.16,17[+ 0,74 312.27.54,7|4 5,0 TROT 
Mars, 1% bord....117.38. 6.65|- 0,73 239.50. 5,2|+ 4,6 736,0 18,7|-2.53,4 Centre au méridien. 
y Dragon........ 17-b1.11,69/+ 0,92|-107,18]317.52.59,5|+ 4,7 18,31 5,1/17,7 
(XVIL, 368) Piazzi. .[17.57.36,76|- 0,05 ' 
71 S'Ophiuchus...|17.58. 3,98|- 0,05 275. 6. 7,5|4 3,7 17,81 41,9 
16 Sagittaire. .... 18. 4. 9,85|- 0,59 245.58.30,0|+ 4,6 2. 5,7 
À Sagittaire... .... 18.16.34,45]- 0,71 240.54.43,7|4 4x —2.43,8 
3 Petite OurseS. .3118.20.43,55 
DATE een e > o Laele 18.29.52,26|+ 0,53|-r07,32/305. 1. 8,0|+ 4,1 — _7,3|18,7 
27 @ Sagittaire. ...|18.34. 8,45] 0,74 239.16.26,0|+ 3,8 -3. 0,4 
Anonyme, ....... 18.39.58,55]- 0,59 245.55.58,0|+ 3,7 —2, 6,4 
62 Serpent....... 18.46. 4,5:]- 0,10 272.48.34,0|4 3,8 — 45,6 
Anonyme 9+32°42/|18.49.23,87l+ 0,39 
Anonyme........ 18.49.57,94[+ 0,39 299: 9-37,5|+ 2,9 — 13,1 
Anonyme 9+32°54/|18.51.28,04|+ 0,39 
40 + Sagittaire. . .3/18.55.26,05]- 0,76 238.31.41,7|4 4,11736,3 3. 8,0 
48 y° Sagittaire. . .|19-14. 7:611- 0,69 241.42. 4,5|4 2,9/736,3 -2.36,9 | 
Saturne, centre. ..|19.22.14,05]- 0,63 244.16 0.0/4 3,0 —2.17,1 | 
Bo AIples see u.r 19.26.43,661- 0,34 259. 1.20,0|+ 3,4 -1.14,2 | | 
55 e? Sagittaire... .|19.31.49,40]- 0,52 249.54.54,0|+ 3,5 -1.45,8 [BI 
y Aigle.......... 19-37. 4,12]- 0,03/-107,44/270.37.13,7|4 3,3 — 39,0 13,9 | 
HAMEIE-- ee" 19.41.23,90)- 0,06/—-107,36/274.50.38,0|+ 3,2 — 4a,5l11,2 | 
Bible... ..-2N 19.45.52,74)- 0,11|-107,39l272-24.23,0|4 3,2 16,6]- 46,4/14,8 |! 
Anonyme 9-1°2/..|19.52.56,90/- 0,23 | | 
62 Aigle.......,. 19.54.34,641- 0,23 265.14.52,0|+ 2,9/736,4 15,5 50,8 
10 # Capricorne. .|20.16.37,44]- 0,55 247.41. 8,0|+ 3,3 —1.57,2 
u Capricorne... 20.22. 5,40] 0,39 256. 0.44,0|+ 2,8 -1.23,4 
13 r' Capricorne. .|20.26.49,94]- 0,50 250.42.58,0|+ 2,9 —1.42,9 (D 
v Capricorne. ..,3[20.29.24,09f- 0,55 247.43.10,0+ 2,9 1.571 | 
a Cygne... 20.34.20,43]+ 0,70 —107,23|311. 5.58,0|+ 0,11736,5 15,o!- 1,4/12,8 | 
Anonyme. ....... 21:21.37,42|- 0,39 255.58.18,0+ 8,7 —1.24,1 [| 
Anonyme. ....... 21.29.18,80]— 0,41 255. 7. 9,7[+10,2 738,7 126,9 | 
a° Gémeaux. ...,. 7-22.48,81|+ 0,37 —108,09 | 
œ Petit Chien..... 7:-29.19,06|- 0,11|-108,36/|272. o.12,0/+ 5,6 = 47014,5|» | 
BG Gémeaux..:,.., 7 33.58 30 + 0,30/-108,21/294.46.13,5|+ 5,6 737,0 17,4] 17:6 11134 » [Niv.+2P,07. (£ 
g{Soleil, 1er bord... .|11. 5.58,66]- o,12 271.36. 7,o|+ 4,t 736,6 21,2]- 470] » [Bord inf, à Gmb3s, |]}} 





5 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 18#3. 


















































CORRECTION [e] 3 7 ol e 
s PASSAGE “ie MOYENNE | =2 2  Jruenmouërre. El 5 |à 
2 NOM: CUNCLU BE 2,% e RE T a = 2 
2 au Le ASIE e = |£| REMARQUES. 
# DES ASTRES. Ë l'instru- la 2.2 = Inté- | Exté- = o m 
FIL MERID- À yeut. pendule. VERNIERS. N 2 k ea rieur, | rieur. a mn = 
74 SE FPE LE s. ART PE 11 muni o o mr 
Mercure, 1 bord..|12.33.39,96|- 0,50 261.13.24,0|+ 5,7/735,0l+21,0|+21,8 B.|Centre au méridien. 
a Petite Oursel...4|13. 2.435,26 357.52.47,0|+ 6,11735,8| 21:1| 22,0Ï4 54,4/18,2| » [Moyenne de 5 obs. 
mVierge.. ..:... 13.15. 9,42] 0,39/-108,95/256. 2.47,7|+ 5,5|735,7) 21,2] 22,0 11,8| » |Très-ondul. 
n Grande Ourse... 316.27.55,0|[+ 5,31335,6| 21,2] 22,3]4 3,7|12,9| » 
a Bouvier. ....... 14. 6.43,02|+ 0,14/-108,90|286.22.33,51+ 4,6/735,5] 21,4] 22,5 26,5) 9,9/» 
11|Soleil, zer bord(*).|11.16. 6,56] 0,13 271.22.30,0|+ 4,7|732,9] 21,4] 19,8]- 47,3 » [Bord sup. à 1798. 
a Scorpion. ...... 16.20.58,79l- 0,724 67,11 » 
æ Hercule........ 17. 8.39,40]+ 0,044 67,16[280.57.14,0|+ 3,5 11,6|» 
0 Ophiuchus....., 17.13.34,07]- 0,69 241.34.24,0|[+ 3,5/931,2] 20,8| 19,2]-2.35,5 » 
œ Ophiuchns...... 17.28.49,08] o,00|+ 67,26 » 
85 « Hercule... ... 17.36.10,49]+ 0,74 312.28. 3,5|+ 3,3|-31,3] 20,4| 19,3|- » 
Mars, 1 bord... .|17.48.23,85]- 0,73 239.50.45,7|+ 3,3 » |Centre au méridien, 
ÿ Dragon. ....... 17.54. 5,831+ o,92|+ 67,07 » 
(XVIL. 368) Piazzi.|18. 0.31,08]- 0,05 » 
71 S' Ophiuchus ..|[18. 0.58,40[- 0,05 275. 6. 8,0|+ 2,8 18,51 41, » 
16 Sagittaire ,.... 18. 7. 4,r1l- 0,59 245.58.33,0|+ 3,0 » 
À Sagittaire... ..…. 4|18.19.28,79/- 0,71 240.54.44,01+ 3,0 » 
8 Petite Ourse S. .4118.23.38,22 » 
IR TC AE 18.32.46,62]+ 0,534 67,12 » 
27 Sagittaire. . .3|18.37. 2,73]- 0,74 239.16.26,5|+ 2,9 » 
Anonyme........ 18.42.52,84|- 0,59 245.56. 1,2/+ 3,4 » 
62 Serpent, ...... 18./48.59,00!- 0,10 272.48.32,7|+ 3,0 » 
Anonyme 9432042/|18.52.18,20]+ 0,39 » 
Anonyme. ....... 18.52.52,54]+ 0,39 299. 9-37,7|+ 3,4 » 
Anonyme 9432°54/|18.54.22,24]4 0,39 » 
40 + Sagittaire... .|18.58.20,31|- 0,76 238.31.40,01+ 2,5 17,2 » 
(2224) Sagittaire. .|19. 4.16,971- 0,62 244.29.44,0|+ 2,8|731,5] 19,8| 17,5 » 
39 x Aigle ......, 19-29.37,88|- 0,34 259. 1.20,0|[+ 2,5|731.,6] 19,8] 16, » 
55 e? Sagittaire. . .!19.34.43,86|- 0,52 249.54.54,0|+ 1,8 » 
5) NTSC 19-39.28,48]- 0,03|+ 66,961270.37.13,0|+ 2,5 11,0|» 
MRAURIES uspiee à 19-44.18,30]- 0,06|+ 67,08|274.50.37,7|+ 2,2 3| 9,9| » 
HAiele ts. .119-48.47,041- o,11|+ 66,95272.24.24.0|+ 2,1 15,7 46,214,7|» 
Anonyme d—1°2/.,|19.55.51,14]- 0,23 » 
aigles... 42. 19.57.28,94]- 0,23 265.14 54,0|+ 1,81531,5] 19,4| 15,7 59,3 » 
1 Ë Capricorne. .|20. 4.27,26|- 0,45 253.32.40,5|+ 2,4 » 
a" Capricorne... ..|20.10. 8,08[- 0,45|+ 66.79l253.24.37,7|+ 2,8 14,6!» 
œ? Capricorne... ..|20.10.32,06]- 0,45|+ 66,82 » 
13 r' Capricorne. .|20.29.44,46|- 0,50 250.42.56,5{+ 1,9/73r,5] 19,3] 15,6/-1.42,1 » 
v Capricorne. ...3|20.32.18,23|- 0,55 247.53. 5,514 2,4 » 
HICYENE Se Se + 22 20 20.37.14,73|+ o,70[+ 67,12 » 
6 p Verseau. ..... 20.45.22,441- 0,38 256.49.43,5|+ 2,1 » 
(2483)PetitCheval .|20.5r. 7,86] 0,15 269.58.58,5|+ 3,3 » 
1 € Petit Cheval . .4/20.52.25,041- 0,14 da 
3 & Petit Cheval. . .|20.57.56,62|- 0,13 271.16.14,7|+ 2,8 » 
Anonyme. ......, 21. 0.26,16|- 0,13 271.12.16,0+ 2,5 » , 
LEO PSE 21. 8.15,78)- 0,35 257.57.45,0|+ 2,4 » |Très-faible. 
Anonyme........ 21.24.21,84]- 0,39 295.58.17,7|+ 2,2 » 
Anonyme........ 21.32.13,04]- 0,41 255. 7. 8,0|+ 2,2/731,3] 19,0] 14,4 » 
e 
12 Mercure, 1®bord..|12.50. 6,96]- 0,33 259.19.29,7|+ 6,9!731,41 21,2 20,8f-1.11,9 » Centre au méridien. 





(*) Avant cette observation la pendule a été avancée de 3 minutes. 


96 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 





CORRECTION 


PASSAGE &È MOYENNE 


CONCLU 
au à 
DES ASTRES. : l'instru- la 
FIL MERID. ment. | pendule VERNIERS. 


TUERMOME TRE. 


NOM 


des —_—— 


REMARQUES. 


“HUaATU np 


NOILOYUUOD 


"VAALVANISIO 


laté- 
rieur, 


‘AULHNOUYA 
"NOILOVYAHU 
a'10d 10 n311 


| 


« Petite Ourse I.. 
n Grande Ourse.. 
« Bouvier 

À Sagittaire 15.19.27,19)— 0, 
.[18.32.4/,90!+ 53 +65,42 
REA 1,161- 


Ur 


730,0!+21,3 


730,8] 20,4 


© 


Gé & vw 


62 Serpent 18. 18 57,16 = 
Anonyme. .......|1852. DOzfa 
Anonyme 3205 18.54.20,44 
40 + Sagittaire... ) 


CARRE 


D © 


++ +++ +<+++ 
CAS 


Le ciel se couvre. 


Bord sup. à 24®108, 
Centre au méridien. 
Moyenne de 4 obs. 
Ondul. 


13|Soleil, 12° bord... 
Mercure, 1° bord. 
« Petite Ourse I.... 
RIVIERE ae ete 
n Grande Ourse... 
« Bouvier 


DO U9 Go Us Eu Lo 
© Go € 


- 


Niv.t2P1,00, 


15|y Dragon 
71 S' Ophiuchus.. 
16 Sagittaire 
À Sagittaire. 
3 Petite OurseS../, 
27 y Sagittaire. .. 


eo 


D b 





© 





D b 
Ca 








- 
ei 


D bb b 


a Sagittaire 
Anonyme 9432042! 
Anonyme. ....... 
AnonymeS+32054/. 
40 + Sagittaire... 4 
48 y? Sagittaire... 
Saturne, centre... .|19. A i LE 
19-44.10,96! 
19-48.39,72] 





Au méridien. 


Soleil, 1er bord. ..|11.33. 55. 2,273 Bord inf. à 34mBas. 
5 Moyenne de 3 obs. 
Vapeurs. 


æ Petite Ourse I.. 


1 Grande Ourse.. 
« Bouvier 
à Petite OurseS.. 





Le ciel se couvre. 





Soleil, rer bord... Bord inf. à 38m30s. 


a Petite Ourse I..3/13. 5. nn Moyenne de 2 obs. 
Mercure, 1° bord. 3l 13.11. x 256.26. 3,0! À Centre au méridien. 





























œ Vierge 113.17. 6 Le ciel se,couvre. 
18/Soleil, °° bord... .|1r.41. 2,48]- 0,17 268. 9. « 7|+ 2,61735,1] 22,9| 24,3l- 52,3 » [Bord inf. à 42mros, 
z Petite Ourse I....|13. 5 29,60 357.52.49,0!4+ 2,5/734,8] 23,51 25,914 53,7119,0! » [Moyenne de 2 obs. ||: 


| 
| 


* 


2 


fé 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 





NOM 


*sunor 


DES ASTRES. 





n Grande Ourse... 


CORRECTION 
PASSAGE de MOYENNE 
GONCLU  . 
des 
au 
à l'iostru_ la 
FIL MERID. ent. | pendule! VERNIERS. 


1342. Fa 5 + 





0,86/454 “57 316, 28. 1,5|+ 2,5 Eye 





—— 





TNA 





“nuoaiu np 


NOILOYUUO9D 
“AULANOUYA 


" min. 





œ« Bouvier. ....... 14. 9-26,58|+ 0,14|+54,76/286.22. D + 2,6/734,3 
LARMES SABrE 132.34.10,0|+ 3,5 
2 Balance...... É 14.43.10,041- 0,49|+54,78/25r. 6238 + 3,0 
B Petite OurseS.. |14. SA 1,9b|+ 2,80|+54,33134r. 9.35,5|+ 1,5|734,3 
À Sagittaire....... 18.19.16,93|- 0,71 240.54.309,0|4+ 2,6 
3 Petite Ourse S..3|18.25.21,40 
Hyre +... .[18.32.33,66{+ 0,53/+54,261305. r. 9,5|+ 0,2 
27 w Sagittaire. . .. 18.36.50,26 - 0,74 239.16.23,2|+ 0,b|734,4 
19/Soleil, 12° bord... .|11-44.35,80]— 0,18 268.19.59,2|+ 3,31734,2 
« Petite Ourse I. F4 13. 5.29,21 
Mercure, 1° bord.. 18.42,40f- 0,41 255.24.24,0|+ 1,7|733,7 
B Petite Ourse S...|14.52. 0,22]+ 2,88|+52,66/341. 9.35,0|+ 0,9|733,0 
a Ophiuchus..... L Fe -28.34,59| 0,00|+52,94 
85 « Hercule...... 17.35.55,83|+ 0,74 312.2842,7|4 1,2 
Dragon....... 4117.53.51,34]+ 0,92|+52,85 317.52. 58,24 #,r 
(XVII, 368) Piazzi.4|18. 0.16,49|- 0,05 275.15.13,7|+ 1,9|732,9 
Mars, 1 bord....|18. 8. 4283 — 0,73 2309.59.17:7 + o,b 
À Sagittaire... .... 18.19.14:59]- 0,71 240.54.41,5|4 1,2 
3 Petite OurseS. .4|18.23.18:60 
LTD Ordot E 18.32.32,12]+ 0,53/152,811305. 1. 9,5|+ 0,5 
27 w Sagittaire... .|18.36.48,55|- 0,74 239.16.24,0|+ 0,7 
Anonyme........ 18.49. 44187 — 0,59 245.55.47,7|+ 0,9 
a Sagittaire....... 18.46.29»37]- 0,73 239.55.58,0| - 0,2 
Anonyme 9+32°42!|18.52. 3,88]+ 0,39 
Anonyme. ....... 18.52 37,84 + 0,39 299. 9.40,0|[+ 0,2|733,1 
Anonyme 9432°54/|18.54. 7,86[+ 0,39 
EUR  CAPOREE 19. 7-33,40l- 0,03 276.46. 6,0l+ 1,0 
"148 x ts .119-16.47,53|- 0,69 
Saturne, centre... .|19.24.10,18|- 0,63 44.13.42,5|4+ 0,9 
39 x Aigle ....... 19-29.23,60l— 0,34 ns 1.20,0|+ 0,7 
55 e2 Sagittaire... .|19.34 29,48 — 0,52 249. 54.54,o[+ o,g 
Aigle. ......... 19- pa Fa — 0,03|+52,69|270.37.12,7|+ 0,b 
mAiple be. s. 19-44. 3,82] 0,06/+52,71/274.50.40,0| es 733,3 
LE: rss 20. fon — 0,45 253.32.45,7|+ 0,9 
x' Capricorne... ..|20. 9.53,86|- 0,45|+52,67/253.24.43,5|- 0,2 
œ2 Capricorne... ..|20.10. 1764 — 0,45|+52,53 
10% Capricorne. 20:19.17,44]- 0,55 247.41. 6,0|- 0,3 
u Capricorne. .... 256. 0.50,0|[+ o,1 
13 r' Capricorne. .|20.29.30,14]- 0,50 sl 43. 6,o[- 0,5 
y Capricorne... .4|20.32. 407 — 0,55 47.43.10,0|— 0,7 
œ Cygne. ........ 20.37. 0,35[+ 0,70|+52,88 gr. 6. 337 — 0,2|1733,3 
Hionss sas slt. 21. 4.56,421- 0,38 256.45. 2,0|+ 0,3 
æ Céphée. ....... ie + 1,42|452,9D 328.17.46,5 + 0,3 
Anonyme. ....... 21.24. 7,48]- 0,39 255.58.18,5|+ o,r 
Jupiter, centre... .|21.26.40, o7|- 0,52 250. 3.22,0| 0,0 
Anonyme........ 21.31.58,92]— 0,41 255. 7. 10 + 0,7|733, 
a Grande Ourse...|10.54.50,751+ 1,47|451,751328.57.29,5|+ 2,31732,7 
oSoleil, 1er bord. ..|11.48. 9,76] 0,19 267.22. Jo + 1,81732,3 
a Petite Ourse I. .4|13. 5.25,35 357.52.47,0|+ 3,21731,7 
œ Vierge. ......,. 13.17: 49,56 - 0,39l+51,25 236, 2.52,0|+ 2,9 





THERMO 


20,3 


20,0 


19:7 


25,0 


21,2 
20,2 











MÈTRE. 
—— 


Exte- 
rieur. 


*NOILOVHAU 

















‘2104 nq 1311 





15,8 





"MAILVAUISUO 


. [Ondul. 








REMARQUES. 





Moyenne äe 7 obs. 
Frès-ondul. 


Id. 


Le ciel se couvre. 
il 


Bord sup. à 4.5m3s, 


Centre au méridien. 


Centre au méridien. 


Au méridien. 





Très-faible. 
Ondul. 


Au méridien. 
Niv.+rP,50. 


Bord inf. à 49m3*. 
Moyenne de 3 obs. 





F 


15 


58 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 

























CORRECTION [e) EI L GI = o 
É NOM PASSAGE re MOYENNE | = Ie THERAOMÈTRE: + El RE 
=) . nr Le] a = 
= CUNCLU a 2. 2 | —— > = = . 
É au des 5 à = e SA REMARQUES. 
È DES ASTRES. s l'iustru-| Ja ENS Ê Inté- | Exté- = 8 | 
FIL MÉRID. | syeut. | pendule. VERNIERS. S Es rieur. | rieur. Se) mn |» 








4 nes 


13.22.1 ny — 0,42 


s 1" 1 min. 


254.55. 7,0|+ 3,4/73r,6{+21,0/+20,5 
n Grande Ourse...|13.42.192,10[+ 0,82|151,161316.28. 1,0 






Mercure, 1* bord.. B. |Centre au méridien. 























+ 

B Petite Ourse S...|14.51.58,644 2,88 |151,14/341. 9.35,5/+ 2,2/732,3 21,2| 19,414 29,5|18,2| » 

y Dragon ........ 17.53.49,37{+ 0,92/+50,88 | » 

Mars, 1% bord....|18.11.20,09!— 0,73 240. 1. 2,0|+ 2,3 » |Centre au méridien. 

À Sagittaire. ..... 18.19.12,39}- 0,71 2/0.54.40,0|+ 2,6 » 

3 Petite OurseS. .4|18.23.18,75 352.57.24,0[+ 2,3/731,4] 20,3! 18,3]+ 46,1/16,3| » | Moyenne de 3 obs. 

DADYTE = eee 218 = 18.32.30,041+ 0,53/450,75/305. 1. 3,5|+ 2,6 17,8] 11,8| » 

Anonyme ....... 18.,2.42,95!- 0,59 245.55.45,0|+ 2,1 » 

c Sagittaire....... 18.46.2749 10:75 239.55.55,o{+ 2,1 » 

Anonyme 9+320/2/|18.52. 2,00!+ 0,59 » 

Anonyme 9+32°47/|18.52.35,96[+ 0,39 » 

Anonyme........ 19.54. 5,641+ 0,39 299-17. 3,71+ 2,2|731,5] 19,9] 17:2 » 

48 4° Sagittaire. . .|19.16.45,75!-— 0,69 241.42. a,7|+ 232 17,1 » 

Saturne, centre...119.24. 6,71}- 0,63 244.13.38,0|+ 0,1 17,1 » |Au méridien. 

39 x Aigle....... 19-29.21,74- 0,34 259. 1.24,0[+ 0,6 » 

55 e? Sagittaire. .|19.34.27,52l- 0,52 249.54.53,5|+ 1,0 » 

y Aigle. ......... 19.39.42,20)- 0,03,+50,81 276.37.16,5|+ 0,2 12,1, » 

CHAIBle den states e 19.44. 2,06[- 0,06|+50,96 274.50.42,0[+ 0,1 11,4! » 

BIANBIEN. 245 10 19.48.3084 0,111150,87/272.24.25.5|+ 0,6[731,8] 19,4| 15,3] 46,3/14,1| » 

3 Ë: Capricorne. ..|20. 4.11,06|- 0,45 253.32.44,0[+ 0,8 731,8] 19,4| 15,1 —1.31, » 

3 Capricorne. ...4|20. 8.36,43]- 0,45 » 

æ' Capricorne... 20. 9.52,00f- 0,45/+50,82/253.24.40,0|+ 0,1 15,0! 14,1) 

a? Capricorne... . .|20.10.15,86|- 0,45|150,76 » 

10 + Capricorne. .|20.19.15,44] 0,55 247.41. G,ol- 0,9 » 

u Capricorne. .... 20.24.43,50f- 0,39 256. o.50,0|- 0.8 » 

13 r' Capricorne. .|20.29.28,16[- 0,50 250.42.58,7|— 0,3 » 

y Capricorne. ....[20.32. 2,10]- 0,55 247.43.10,0|— 0,3 » 

HIGyYENC-< cie 20.36.58,63{+ 0,70/+51,r8|311. 6. 5,7|+ 0,3 13,6|- 18,1| » ë 

6  Verseau......120.45. 6,36[- 0,38 256.49.50,0[+ 0,3 à » 

Anonyme. ..,... 20.47.14,02] 0,38 256.55.23,5|+ 0,3 » 

DUNOBES me Des de 21. 448,66] 0,38 256.36.24,o|- 0,1|731,7] 19,0! 13,5 » |Très-faible. 

x Céphée........ 21.15.42,03[T 1,42|451,09/328.17.46,0|[+ 0,8 15,8| » 

Anonyme 9—10°25/|21.24, 5,641 0,39 ; » 

Jupiter, centre... .|21.26.19,85]- 0,52 250. 1.59,o|+ 0,8 » |Au méridien. | 

Anonyme 9—11%16/|21.31.57,04]- 0,41 » 

x Céphée I..... | g:15.44,55f 1,42[440.89) 24.23.40,2|+ 3,51733,3] 19,4] 15,3 +2.45,8/16,2| » | 

R'HYdAre eee de 9-20.44,66|- 0,35 +49,98 258.2/4.27,5|+ 4,2 -1.16,0|15,9| » } 

B Céphéel....... 9-27-32,51/ 2,12/+50,03| 16.27.32,5|+ 3,5/733,5] 19.6| 15,7 +1.51,6/15,6| » | 
| |x Grande Ourse.. .|10.54.49,05|+ 1,47|+50,03 » [Niv.+1P,82. | 
| y Grande Ourse...|11.46.22,62]+ 1,0/1+49,531320.55.51,514 3,3 733,2] 20,0) 20,6 7,9/17»2| » | 
21/Soleil, 1er bord... .|11,51.43,34{- 0,19 267.31.18,7+ 4,21733,2] 20,0| 20,6! 54,0 » |Bord sup. à b2"36s.14 

a Petite Oursel...4|13. 5.22,73 357.52.44,5 TA 733,0] 22,0 19,414 54,7 18,5| » |Moyenne de 3 obs. | 
| | Vierge... 13.17.47,74l 0,391+49,43{256. 2.52,7|+ 3,7 19,4/-1-21,7/13,1| » ME 

Mercure, 1er bord..|13.25.44,14}- 0,43 254.27. G,2|+ 3,5 19,4/-1-26,9 » |Centre au méridien. 
| # Grande Ourse...|13.42.10,06[+ 0,86/449,15 316.27.57,5|+ 3,2 10,5  3,7/16,2| » 
| |œBouvier........ 14. 9.21,36]+ 0,14|+49,57 » | 
| x Hercule.....:, 4|17. 8.21,33[+ 0,04|+49,28 2BrS7-rx,5 + 3,0|732,41 20,0! 19,3] 33,3| 8,6| » AE 
| {9 Ophiuchus...... 17.13.15,01/- 0,69 241.34.22,2|+ 3,3 2.35,9 » | 
| x Ophiuchus....., 17.28.31,02] 0,00 +49,40 » ( 

85 Hercule... ... 17.35.52,33l4 0,74 312.27.56,5|+ 3,4 0,1 » | 
h |} Dragon... .17.53.47,698+ 0:99!+49,27/318.52.57,5|+ 3,2 ] 5,0/13,6| » | 


bb) 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre 1843. 








NOM 


DES ASTRES. 


71 S'Ophiuchus... 
16 Sagittaire . ...4 
Mars, 1° bord... 
À Sagittaire... ... 
9 Petite OurseS. .4 
DNLEs es. ee 
27  Sagiltaire. ... 
Anonyme. ..... Le 
g Sagiltaire....... 
Anonyme 9432049! 
Anonyme 9432047! 
Anonyme........ 
Anonyme... ... 
RIFÉSASe LE -.--e. 
Uranus, 1 bord... 
DRASS. ---6 0 
& Petite Ourse S.. 
æ CéphéeI....... 
DMAMARE Se ve 2 108 9 
B CéphéeI......,. 
« Grande Ourse... 
y Grande Ourse, ,. 


Soleil, 1° bord... 
a Petite Ourse I. ,3 
n Grande Ourse. .. 
æ Bouvier. ...... ° 
B Petite Ourse S. , . 
a Couronne...... 
x Serpent 
œ« Hercule. .....,. 
0 Ophiuchus..... 
œ« Ophiuchus...:.. 
85 « Hercule...... 
y Dragon 
72 S'Ophinchus... 
16 Sagittaire 
Mars, 1% bord... 
À Sagittaire... .... 
à Petite OurseS. .3 
x Lyre 
27 w Sagittaire... 
Anonyme 
a Sagittaire....... 
Anonyme 9+32042/ 
Anonyme 9432047! 
Anonyme. .....+., 


ss... 


ss... 


ss... 





I23| Soleil, 1 bord... 
Il |x Petite OurseL...3 
a Vierge......... 
Mercure, 1‘ bord. 
x Bouvier. ..,..,. 


PASSAGE 


CONCLU 


au 


FIL MÉRID. 





18. 0.40,38|- 
18. 6.46,02|]- 
18.13.58,17 
19.19-10,65!— 
18.23.18,05 

18.32.28,50{+ 
18.36.44,89|— 
18.42.41,291- 


18.46.25,63]- 





9-27.30,39|- 
10.54.47,0bl+ 
11.46.20,52]+ 


: 11.55,16,68 = 


13. 520,8 


14. 9.19,04[+ 
14.51.5/,82l+ 


18.16.36,75|-— 
18-19. 8,62!— 
18-23.1 2,00 

18.32.26,241+ 
18.36.42,69|- 
18.42.39,17 
18.40.23,57}— 
18.51.57,98|+ 
18.52.31,98 + 
18.54. 1,)8]+ 


17.58.50,72]- 
13. b.13,91 

13.17.43,72]- 
13.32. 7,bal— 
l14 9-17,161+ 





a” 


l'instun- 
meulL. 















CORRECTION 


MOYENNE 


des 


de 


—_—_— 


la 


pendule} VERNIERS. 


0,0) 
0,59 
0,72 
0,71 


0,53 
0:74 
0,59 
0,73 
0,39 
0,39 
0,39 
0,03 
0,04 
0,21 
0,04 


265.49. 3, 
+48,77 RME 





24.23.37,0 





0,35|+47:841258.24.28,0 
16.27.31,0 
1,47 +45,00 
1,04/+47:42/320.58.51,2 








0,20 266.35.55,0|+ 4,0/736,1 

0,86 +47:27 

0,141+47:260[286.22.34,0[+ 3,7 735,5 

2,88|+47,441341. 9.31,5|+ 3,8/735,2 

0,27|+47:36/293.37.12,7|+ 3,8 

0,09/+4716/273.18.13;2|+ 4,11735,2 

0,04 |+47:15]280.57.10,5|+ 4,31735,1 

0,6 241.34.22,0|+ 4,7 

0,00|+47,441279. 3.33,0[4+ 4,2 

0,74 312.27.54,5|4 4,2 

0,92/[+47,151318.52.58,0|+ 3,5 

0,05 275. 6. 7,0|+ 3,61735,3 

0,59 245.58.30,2+ 4,1/735,3 

0,72 240. 5.14,0|+ 3,5 

0,71 240.54.41,2|4+ 3,5 

0,53|+47,01/305. 1. 4,7|+ 3,3 

0,74. 239.16.25,5|+ 3,5 

0,59 2/2.55.45,5|+ 3,7 

0,73 239.55.52,0|+ 3,5 

0,39 

0,3 

830 

0,21 266.44.35,5|+ 4,81735.9 
357.52.41,5+ 5,0 

0,39|+45,41 

o 253.35.26,5|+ 4,/1735,4 


0714144538 286.22.32,0| 


“AULARKOUVH 


au. 


+ 
+ 

+ 

+ 5, 

+ 32/7844 
+ 4,0 736,1 
+ 5,3 

+ 3,8|736,2 
ñ 3,7 736,1 





+ 457 735,2 











THERMOMÈTRE. 


19,1 


19,1 


18,8 


19,1 


19,2 
19,2 











= = « 
me. = S 
Ep El LE 
Buté- s = | 5 REMARQUES. 
\ieur, 2 = … 
a ER pe 
B. 
—2. 4,9 » 
—2:90,9 » |Centre au méridien. 
| +1 733 =2:42,0 » 
+ 46,4114,5| » Moyenne de 2 obs. 
FE 72 13,4 » 
—2.59,5 » 
=20b;7 » 
17,3]-2.52,5 n 
n 
» 
16,4] 12,9 » 
16,0! 39,6 F 
9,71 34,8) 8,5| » |Ondul. 
— 59,5 » [Centre au méridien. 
10,3]- 34,8|10,8| » ; 
» |Excessivemt ondul. 
15,41+2.46,4 14,4! » 
—1.16,3/17,2| » 
15,3{+1.52,2115,3| » 
» 
18,3+ 8,0/17,7| » 
18,4) 56,4 » |Bord inf. à56m185. 
» 
» 
20,3[- 26,7/10,7| » 
20,6]+ 29,5/17,4| » 
20,1! 18,6! 9,2| » 
20,1} 44,3|11,3| » 
1914 — 35,5 8,7 » 
-2.36,4 » 
19,2/- 36,0! 7:9| » 
= O,1 » 
+ B5,1l14,5| » 
18,6[- 41,8 » 
18,6 —2, 5,2 » 
—2.50,8 » [Centre au méridien. 
= 42,8 » 
» 
-  7,2113,6! » 
18,4 —2,59,5 » 
2: 5,8 » 
—2,52,8 » 
» » 
» 
17,6]- 12,9 » 
17,0|- 56,3 » [Bord sup. à bgm48s.|, 


18,5l4 55,1/17,2 
18,7|-1.30,4 


19,01- 26,8 98! 














Moyenne de 3 obs. 


Centre au méridien. 





60 


Observations faites à la lunette méridienne en Septembre et Octobre 1843. 



















































































CORRECTION a = A = = © \ 
= PASSAGE Le MOYENNE |=2 2  fJruenuouërre. EE s | à 
a NOM CONCLU ES d ha o = 2 : 
2 x: t es s8|* | 5 |21|2] REMARQUES. | 
‘ DES ASTRES. ; l'instru- la £ n = Exté- = 3 m . 
FIL MÉRID. | ment | pendule} VERNIERS. S El rieur: 2 5 5 | 
res 15.28.49,48|+ 0,2 HS 293.37.12,0[+ 3,7 418,71 18,7| 8,4! B | 
TN 15.37.20,10|- 6,69 pe . 27310.11 5(+ 3,7 — 44,5] 9.0! » 
ati 4 (7e 8. 17:16 + 0,041+45 » 
Ste 17.13.11,76)— 0,69 Lx 34. + 3,7/735,0[+18,7 —2.37,3 » 
PAR 17.28.26 “86 0,00|+45,28/279. 33 ,71+ 3,2 — 356,3! 9,3| » 
NES 17-35. 18, a1f+ 0,74 Bra- 28. + 4,1[735,0 0,1 » 
7% S*' Ophiuchus. .|18. 0. 36,16|- 0,05 + 3,3|735,2 10,6! 49,1 » 
Mars, 1e bord... .|18.19.16,80!- 0,72 + 2,9 —2:5x,5 » {Centre an méridien. 
Eat SCENE 18.32.2432 + o,531+45,11 + 3,1 7:3114,6| » 
27 w Sagittaire. . . .|18-36.40,63)- 0,74 239-10-26,0+ 3,1 0,7 » "| 
Te ce EU 18.42.37,07)- 0,59 245.55.44,0[+ 2,9 —2. 6,7 » 
a Sagittaire:...... 18.46.21,55]- 0,73 230. 55.51,0[+ 2,5 —2.5/,0 » 
Anonyme........ 19-35. 0,66!- HE 251.48. 7,0[+ 2,5 —1.38,1 » 
Anonyme........ 19-40. 3,12] 0,47 252.18.53,0|+ 2,8|735,6 13,41-1.36,2 » 
Anonyme 3-9°37/.|20.44.17,94|- 0,38 » 
6 p Verseau...... 20. Fe 0,481- 0,38 256.49.45,7|+ 2,8 -1.20,9 » 
Anonyme. ...... 420.47. 8,32] 0,38 256.55.23,7|+ 2,3 —1.20,7 » 
(2483) Petit Cheval.|20.50.45, 86! 0,15 269.59. 2,7|+ 2,3 50,8 » 
r € Petit Cheval...[20.52. 2,88|- 0,14 » 
3 & Petit Cheval. . .|20.57.34,58]- 0,13 271.16.15,5|+ 2,1 48,5 » 
Anonyme........ 21. O0. 4,20- 0,13 LES + 2,1/735,9 14,7] 48,7 » 
œ Céphée 1....... 9-15.38,38|- 1,4214+43,80| 24.23.33,0|+ 5,31737,2 13,3]+2.47,913,6| » 
M Hydre- Re. 9-20.38,44|- 0,35|+43,70[258.24. 24,5 + 5,2|737,3 -1.17,0/12,9| » 
B Céphée 1....... 9-27.25,9b}- 2,12 # 3,50] 16.27.28,2[+ 5,4 13,2/+1.53,2115,5| » 
« Grande Ourse...|10.54.43,19l+ 1,471444,111328. 57.22,7+ 4,51737,0 16,3,16,1| » 
24 |Soleil, xer bord....|12. 2.24,58]- o,21 265.49 11,2|+ 4,1/736,8 17,3 58,3 » [Bord inf. à 3moys, 
a Petite Ourse I. LE 13. 515,52 » 
x Vierge......... 13.19.41,68|- 0,39/443,37/256. 2.53,2|+ 4,41736,5 —1.22,4113,5| » 
Mercure, 1°° a és 4 3,20|- 0,45 253.12. 5,7[+ 5,2 131,9 » [Centre au méridien. 
n Grande Ourse. . 2. 4,22lt 0,861+43,351316.27.56,5|+ 5,61736,5 18,3]+ 3,7118,4| » 
48 y* Sagittaire... Lo Se 37,61|- 0,69 241.42. 4,o|+ 3,51736,2 15,0]-2.37,9 » 
Saturne, centre... .|19-23.56,68|- 0,63 244.1312,5|4+ 2,6 2.18,5 » [Au méridien. 
39 x Aigle ....... 19:29-13,66]- 0,34 259. 1.20,0|+ 2,9 —1,15,0 » 
Anonyme, ....... 19" .34.58,481- 0,48 251.48. 4,0|+ 2,8 -1.39,0 » 
Anonyme. ....... 9:40. 1,08]— 0,47 252.18.52,6|+ 2,9 —1:37;1 » 
a Aigle.......... ne os. 53,96 — 0,06|+42,95/274.50.40,0|+ 3, 3 736,2 12,4] 43,2/11,7| » 
25|Soleil, 1 bord....|12. 5.58,38]- o,21 265.57.42,0[+ 6,81733,1] 18,0 16,9]- 57,8 » [Bord sup. à 6m55s. 
« Petite Ourse I..4/r3. 5. 6,61 357.52.37,5 : ë 31732,7| 17.8 5 55,1/15,1| » [Moyenne de 4 obs. 
a Vierge... ...... 13.17-39,06]- 0,33/+41,42/256. 2.45,0[+ 6,0 —1:22,2| 711 » 


18,0 —1.33,0 » |Centre au méridien. 


Mercure, 1° bord. . Ho Tes — 0,38 252.50.12,0|+ 6,41732,5 
18,0! 18,1+ 3,7l12,4| » 


n Grande Ourse...|13.42. 2,50]+ 0,431441,21/316.27.49,5|+ 6,3/732,4 


29|y Grande Ourse...|11.46. 4,60)]+ 0,54! +30,92 | » [Niv.—-oP,B1. 





1|x Céphée I....... 9-15.19,75]- 0,75|+26,09 | » 
a Hydre......... 9-20.21,36 — 0,30|+26,50 | | » 
8 Céphée 1... ...| 9.27. 6,95|- 1,14/+25,90 | » 
GNON HE ee ue te 10. 0.29,04]- 0,07 +26,27 | » 























16,5 





- F F al ra: | 
2/a* Balance. ....../14 42.40,75]- 0,40[+25,71{251. 0.20,2/+ 8,2 7342 -1.39,5 8,2] » [Faible et ondulante. 


61 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 


















































































































































































CORRECTION 2 z 2 = 2 
a PASSAGE “ MOYENNE |2°2 2 Jruenuouërre Es: 3 | | 
= NOM CONCLU a ——, 3 4 —— F = 2 R 
3 dx des PIS 8 | 2 |£| REMARQUES. 
Li DES ASTRES. : l'instru-| la 2 3 Inté- | Exté- = SE 
FIL MÉRID. ment pendule À VERNIERS. 2 = rieur | rieur. 9 = 5 
b- ui. s. s € ! k 1 1! "1 
B Petite Ourse S.,./14.51.34,304 1,55 341. g-21,7|+ 6,11734,2 416,6 29,5|12,7| B. | 
a Couronne ...... 15.28.29,98 + 0,09 +25,78 293.37-10,0|+ 5,0 734,1 16,5 18,6 9,2 » [Ondul. 
œ Serpent........ 15.37. 0,541 0,141+25,77/273.18. 8,5|1 4,9|734,0] 16,5 44,2] 8,o| » | 
Anonyme. ......2,19.43.16,93|+ 0,43 516.22.12,0/+ Gi 3,7 » [Nuages. 
Bale ee 19-48. 4,74] 0,15|+24,92 272.24.22,0|1 5,4 739,0 15,4 4 
ATONYIMÉ ee 19-55. 9,08]- 0,22 255.21. 4.olt 5,3l 
1 Et Capricorne. .4|20. 3.45,28l- 0,38 253.32.41,0|+ 5,0 
3 Capricorne. .... 20. 8.10,62)- 0,38 
æ' Capricorne... 20. 9.26,111- 0,38|+25,17 + 
a? Capricorne... ..|20. 9.50,06|- 0,38|+25,21 
B> Capricorne... .3/20.12.40,93[- 0,40 201. 7.44,2|+ 437 141,6 » | 
10 # Capricorne. .|20.18.49,08|- 0,44 24,7.40.59,7|+ 5,0 -1.57,9 » | 
Lune, 1°* bord....|20.27.29,86|- 0,42 249.29.14,0|+ 4,5 —1.49,0 » [Bord inf, à 28345, 
» Capricorne. ...4\|20.31.36,45|- 0,44 245.43. 3,714 4,9 —1.57:9 » 
MACYERE es 6 0e 20.36.33,o1{+ 0,34|+25,47l81r. 6. o,0|+ 4,5/735,5] 15,0 1,4|14,8| » 
œ« Céphée S...... 3/21.15.17,08]+ 0,75|+2/,94 » | 
Anonyme........ 21:23.39,83|- 0,33 255.58.18,0|+ 3,5/735,41 14,7 1.24,6 » | 
Anonyme. ...... …. [21.3r.31,26|- 0,34 255. 7.10,7|+ 3,5 —-1.27,8 » | 
œ« Verseau........ 21.58.12,64] 0,22|+25,07/265.18.49,5|+ 4,11735,31 14,4 1. 0,4/16,4| » | 
œ Céphée 1....... 9-15.17,63|- 0,75/+24,01 24.23,30,0[+ 5,0 +2.48,2|12,9| » | 
mHydre....... 2. 9-20.18,741- 0,30|+23,86/258.24.26,0|+ 5,0|736,4] 14,5 -17,0/14,9| » |. 
G Céphée I...... 3| 9-27+ 5,22] 1,14/424,23] 16.27.26,0|+ 4,8]736,4] 14,7 .52,9/14,9| » [Niv.+or,15. 
on... +. 10. 0.26,66|- 0,07|+23,87/279. b.24,71+ 5,7/736,4] 15,2 36,7/12,2| » [Ondul. 
| 3/Soleil, 1°° bord... .|12.34.35,06|- 0,25 262.18.44,o[+ 5,5/735,6| 15,8 1. 5,8 » [Bord inf. a 35345. 
æ Petite Ourse I...|13. 4.49,00 » es 
Mercure, 1° bord..|13.49.32,32]- 0,40 251.19. 3,71+ 6,5/735,1] 16,0 40,8 » |Centre au méridien. 
æ Couronne...... 15.28.27,40]+ 0,09[+23,31/203.37.16,0[t 6,1 — 18,7/16,1| » [Ondul. 
œ Serpent........ 15.36.58,0/4|- 0,141+23,28/|273.18.11,2|+ 5,21734,8] 16,2 
Anonyme. ....... 19. 7. 3,62) 0,11 276.45.54,0[+ 5,6/735,0] 15,3 agi 
Saturne, centre... .|19.23.56,63|- 0,49 24413:12,0|+ 5,3| : 217,6 » [Au méridien. 
Anonyme. ...... 4|19.34.38,36|- 0,39 251.48. 6,0|+ 3,8 
Anonyme........ 19-39-40,86|- 0,39 252.18.49,0[+ 4,4 
‘[Anonyme. ...... 4]19.43.14,33+ 0,43 316.22.14,7|+ 4,3 
BPAple 7 19-48. 2,58] 0.15/+22,78 272.24.19,5|+ 4,0 
Anonyme. .,..... 19.55. 6,78]- 0,22 265.21. 6,0|+ 3,7/7935,1] 15,5 
1 Ë: Capricorne...|20. 3./42,86|- 0,38 
3 Capricorne... .4|20. 8. 8,3ol- 0,38 
2" Capricorne... ..|20. 9.23,70]- 0,38 +22,781253.24.34,5+ 4,0 
œ2 Capricorne... .. 20. 947,661 0,38|4+22,82 
G= Capricorne... .. 20.12.38,46[- 0,40 251. 7.43,5|+ 4,0 
10 # Capricorne . .|20.18.47,22|- 0,44 247.40.59,2[+ 4,0 
u Capricorne. .... 20.24.15,42]— 0,33 256. 0.46,21+ 4,2 
13 r' Capricorne. . 20.29. 0,12]- 0,41 250.42.54,0|+ 4,3 
» Capricorne. ...4|20.31.33,94|- 0,44 247.43. 6,0|+ 4,61735,3] 15,0 
MOYENNE. » + » + proc 20.36.30,71|+ 0,341423,19 DIRE ; 
Lune, 1 bord.... 21.17.44,76|- 0,38 253.47.31,0|+ 4,5 —1.31,0 » |Bord inf, à 1gm3s. 
Anonyme. ...... 3/21.23.37,541- 0,33 255.58.16,0|+ 4,8 
3 Capricorne. .... 21.38.4980 0,42 249.34. 6,o/+ 4,1 
œ Verseau....,... 21.58.10,60]- 0,22|+23,04/265.18.48,0|+ 2,5,735,3! 15,0 . 0,1/13,6| » |[Ondul, 
x CéphéeI......, 9-15:15,r9]- 0,75|+21,60) 24.23.30,5|+ 4,71736,0| 14,9 
œ Hydre See CT - 9-20.16,641- 0,30|+21,731258.24.26.0 + 4,5! 
G Céphée I... .., 9-27. 2,6D{- 1,14|+21,69| 16.27.26,2/+ 4,51736,0] 15,0 








16 


62 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 


























































































CORRECTION = 3 € =] 
=. PASSAGE At MOYENNE Z, THERMOMÈTRE £ = = 
£ se coseiu 1) . S Past We 5 
E … ; des = 3 £ | £ | REMARQUES. 
L DES ASTRES. £ lnstru- la = Iute- | Exte- = S = 
FIL MERID. menl. peadule. VERNIERS. = rieur | rieur 2 = £ | 
h‘hom: 6 LA s. 0 "1 min o mor TA ÎTE 
11 LOT NP 4l10. " 24,33] 0,07|+21,511279. 6, 22,714 5,5/:36,0!+15, 3 14,25 36,5/10,5| B. 
Cilon:c een 11.41.26,40!— 0,05|+21,50l281. .49.20,0|+ 5,6 — 32,8|10,2| » |Ondul. 
y Grande Ourse...|11. 45 5.54,90!+ 0,54/4+21,157/320.55 45,5|+ 4,5 735,9] 16,0! 15,744 8,1|16,8| » 
4|Soleil, 12° bord... 7 Le ue - 0,26 263.27.33,7|+ 5,41735,3) 16,3| 17,31. 5,5 » |Bord sup. à 39m16s. 
a Petite Ourse F..4|13. 4.46,37 357.52.38,0|+ 5,61735,3] 16,3] 17,314 55,3,18,6| » Moyenne de 3 obs. 
# Grande Ouise... E jé 2,141+ 0,43/+20,931316.27.56,0|+ 437 + 711930! » 
Mereure, 1° bord. .|13.49. Ad - 0,40 251.21.12,2|+ 5,2|734,0) 16,4]. 17,9]-1.30,3 » |Centre au méridien. 
x Couronne....... An: + 0,09/120,97/293.37.13,7|+ 5,2/734,51 16,6! 18,5) 18,7 13,60! » |Très-ondul. 
a Serpent........ 15.36.55,64/-— 0,14|+20,89 273.18.14,0|+ 4,71734,5 15,6! 10,3 44.4l13,1| » Id. 
æ Scorpion. ...... 16.20.12,o1]-— 0,54|+20,88|2/0.20. 3,ol+ 4,6 734,41 16,7 10,5|-2.48,1| 9,0! » 
a Ophiuchus...... 17-28. 2,40]— 0,08|+20,94]279. 3.35,5|4+ 4,8/734,3] 16,4| 18,3/- 35,3/12,0| » 
y Dragon ........ 17. -53.18,79{+ 0,47l420,571317.53. 1,5|+ 4,0|734,3] 16,3) 17,71+ 5,1|18,8| » 
à Petite OurseS. .4/18.22.47,37 » 
11 TOME “8 31. Art + 0,24|4+20,60/305. 1. 7,5[+ 5,9 16,7|- 7,3118,6| » 
Mars, 1 bord... .|18.49.25,68]- 0,54 240.45.51,5|+ 5,2 -2.45,1 » |Centre au méridien. 
Anonyine........ 18. É 35,244 o 7 299.16.59,5|+ 5,2|734,3] 16,0| 16,41 13,0 » 
Saturne, centre. ..|19.23.58,681- 0,49 24/,,13.20,7|+ 4,41734,5 19,8] 15,3/-2.17,6 » [Au méridien. 
Anonyme ....... 19.34.36,04, — 0,39 251.48. 6,5|+ 3,8 : _1.38,1| » 
Anonyme........ 19- où 38,58|- 0,39 252.18.52,0|+ 3,6 —1.36,1 » 
Anonyme. ...... 4119-43.1x 8714 0,43 316.22.16,0[+ 4,5 + 3,7 » 
Giiieles ant. 19-48. 0,241 0,15|4+20,45l272.24.20,0|+ 3,7 7346] 15,7 15,31 46,5l11,1| » 
1 Et: Capricorne. ..|20. 3.40,461- 0,38 253.32.42,0|+ 3,8 —1:91,7 » 
3 Capricorne. .... 20. 8. 6,061- 0,38 » 
œ' Capricorne . ...[20. g.21,bo]- 0,38 +20,59/253.24.37,7|+ 3,5 —1,32,3/14,8| » 
82 Capricorne... ..|20.12. 36,2, 24]- 0,40 251. 7.42,0|[+ 3,5 —1.41,2 » 
10 + Capricorne..3 20.18.44,89]— 0,44 2hy hr. 1,24 3,5 157,4 » 
u FRS .[20.24.13,02|- 0,33 256. 0.46,5|+ 2,8 —1.23,6 » 
13 +’ Crieorne :3 20:28.57,68 = 041 250.42.57,b|+ 4,1 —1.43,1 » 
y Capricorne. ...4|20.3r. 31,59|- 0,44 247.43. 9:2|+ 4,0 —1.57,4 » 
x Cygne.........|20.36.28,r9{+ 0,34|+20,70811. 6. 5,o|+ 3,5/734,7] 15,3] 13,8 1,4118,3| » 
3 & Petit Cheval.f. . |20. 57. 10,10)— 0,16 271.16:21,2/+ 3,21734,01 15,4 13,5] 48,7 » 
Anonyme... ....[20. 20.59. 39; 66!- 0,16 271.12.21,5|+ 3,0 = 9 » 
5 Petit Cheval. ..|21. 3. b,86|- 0,12 » 
6 Petit Cheval ....|21. 3.17,92]- 0,12 275.48. o,0!\+ 3,3 - 41,5 » 
æ Céphée......... 21.15.12,)D]+ 0,75|+20,48 » 
AiVierseatt- sc. 03 21.58. 8,00f- 0,22|+20,45/265.18 up ol+ 3,5/734,8] 15,2] 11,3). o,5/16,1| » 
Lune, 1% bord..../22. 5.28,08|- 0,30 258.33.44,5/+ 2,5 —1.16,8 » [Bord inf. à 6m45s. 
GiPon er nees $ 17.41.23,90)— 0,05|+18,981281.49.23,7|+ 4,7 — 32,8/|13,2| » 
y Grande Ourse. ..|11.45.52,68[+ 0,54 418,94/320.55.44,71+ 5,31734,5 16,0| 15,54 8,r/17,r1| » 
5|Soleil, 1 bord....|12.41. 56, & — 0,25 262. 4.28,o|+ 5,81733,9l 16,3] 16,41-1. 6,4 » |Bord sup. à 42m5os, 
a Petite Ourse I... 3 13. 4.445 357.52.38,0|+ 5,5 733,9 16,3| 16,54 55,4 192 » [Moyenne de 4 obs. 
n Grande Ourse...|13 41.39, + 0,431+18,70/316.27.53,5|+ 4,6[733,0] 16,3! 16,74 3,7117.6| » 
Mercure, 1°r bo: d.3 13.8 47,04 201.27. 1,7[+ 5,0|733,5] 16,3 16,51-1.39,0 » [Centre au méridien. 
Nadine nca seu 192.34. 7,5|+ 5,3 » [Moyenne de 6 obs. 
æ Scorpion. ..... 3/16.20. 9,81}- 0,54/418,69l240.20. 2,5|+ 5,0 732,8] 16,3] 17,41-2.48,4| 8,5) » 
y Dragon........ 17-53.16,83/+- 0,47/+18,441317.52.50,7|+ 4,1|732,51 16,0! 15,54 5,1l17,1| à 
à Petite OurseS...|18.22.44,c0 352.57.25,0|+ 3,7 732,5 15,8| 15,514 46,7|19,0| » |Moyenne de 5 obs. 
Avec. MAUR 18.31.57,52]+ 0,24/+18,34/305. 1 6.,2|+ 3,5 15,5 7,3|149| » 
Mars, 1% bord... .|18.52.13,88l- 0,54 240-50.34,0|+ 4,71732,6| 15,8] 15,41-2.44,7 » |Centre au méridien. 
Saturne, centre... .|19.24. 1,11}— 0,49 244.13.25,0|+ 4,41732,8] 15,7 ra —2.17)9 » [Au méridien, 
Anonyme. ....,.., 19.34.33,86[- 0,39 251.48. 7,ol+ 4,2 1.38,2 ln 





a 


J 





















































. Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 
E PASSAGE à ges DE" MOYENNE 2 THERMOMÈTRE. = 5 È 
NOM CoNcLUu DE é NS) 22e 2 = CINE REMARQUES 
ues = e] A F 
DES ASTRES. “e l'instru le 3 lue! l'Extés 3 AIRE L 
FIL MÉRID, | ment. | peniule} VERNIERS. A rieur | rieur £ 5 | 5 
h. m.s 5 CP 1 
Anonyme 19.39-36,28 fi 0,39 2. + 41 —1.36,2 
Anonyme 49. ] 0,43 6. + 437 14897 
j 5 0,15 2. + 337 +14,5 — 146,5/r3,1 
Anonyme. 192 O ps DA + + 14,9]- 59:7 
: & Capricorne. ..|20. 3.30,20 ee 9.9 + 4,0 -31,7 
apricorne + Ô. > 
æ' Capricorne.....|20. 9. Fe 4 + 3,6 .32,2|11,0 
B: Capricorne... ./20. 2.3 0,40 x; + 3,7 4x2 
10 + Capricorne . .|20.18.42,041- 0,44 7-41. + 3.3 57,4 
u Capricorne 0,33 5. Oo: + 3,5 23,6 
13 +! Capricorne. .[20.28.55,42]- 0,41 0.42 + 3,3 43,2 
0,44 7-43. + 3,5 57,5 
0,34 1. 6. H0:2 14 
Anonyme 43 0,32 6.46. + 2,5 .21,3 
pue. 0,32 6.55. + 3,1/732,9 21,1 
y Petit Cheval... 0,12 
6 Petit Cheval.....|21. 3. 0,12 275. + 41,5 
eee CE Ge 15. ne Due + 15,7 
DONYME.. ee 0, 255. + 
Anonyme 0,34 DEP “ 
9 Capricorne .38.45 0,42 24 + 
(XXL, 276) Piazzi. 0,42 + 
Anonyme. ....... 22.47. 5, 0,33 + 
Lune, 1e bord... Pub 0,24 + Bord inf. à 52m3bs |} 
+27: 0,06|+ + 
Anonyme BD 0,33 5 + 
Anonyme 9-10°32 6! 0,33 
y Poissons + 9.’ 0,19 268.49. b,o[+ 2,3 53,5 
Anonyme. ...... 3123.15. 0,33 255. g-20,0|+ 3,3 24,1 
x" Poissons -19- o,21 206.47.24,5|+ 3,417 57,4 
Fr .45. 255.58. 1,0/+ 2 .24,6 
Anonyme + 3,5 .24,2 
Anonyme + 3,5 2437 
Uranus, 1% bord... + 3;7 59.8 Centre au méridien. 
” Pégase 9 , 6|+17:91 + 3,7 34.8 
æ Céphée I Ë £ +17,10 Nuages. 
#17,01 + 5,1 15,5 
Soleil, 1er bord... + 6,4 6 Bord sup. à 46m30s. 
« Petite Ourse [... + 40 54 Moyenne de 5 obs. 
Grande Ourse... + 3,6 5 Très-ondul. 
æ Scorpion 
3 Petite OurseS.. + ü;2 Moyenne de 2 obs. 
18.31.55,14]+ + d,7 7 
Mars, 1° bord...3/15.55. 2,78]- 0,54 240.55.24,o|+ 1,8 18,4|-2.41,9 » [Centre au méridien. 
Anonyme........ 19- GHÈSe — 0,11 276.46: 1,0|+ 2,0/731,21 16,8 2029 = 39,4 » ee, 
Saturne, centre . ..|19.24. 3,86)— 0,49 2/,4.13.28,0 19,21—2.16,7 » |Au méridien. 
Anonyme. ....... 19-34 31,30/— 0,39 251.48. 8,5|+ 2,0 -1.37,5 » 
Anonyme.....!., MARNE _ 0,39 252.18.52,5|+ 1,9 —1.35,4 » 
- Anonyme. ....... 19-43. 71814 0,43 316.22.17,5|+ 1,5 + 3,6 » 
De [GAigle.......... 19-47-55,64 - 0,15/+15,87 272.24.21,7|+ 0,9/731,3| 16,5) 15,21 46,3/10,2| » 
Anonyme........ 19.24.59,94f- 0,22 265.21.10,0|+ 1,3 15,5 59,4 » 
a* Capricorne .. .4]20. 9.16,781- 0,38l+15,901253.24.36,5|+ 1,2 —1.31,6|12,1| » 








64 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 



































CORRECTION “ a “4 : = = 2 
PASSAGE d MOYENNE | => D JruenionÈree. Es = a 
=: © # 2 
CUNCLU mm  ——— =. # = —_——— | —— > = Z 
au Æ 52 | & 2 CAE REMARQUES: 
DES ASTRES. ; l'instru-| la RS E Inté- | Exté- = S | = 
FIL MÉRID. | meut. | pendule} VERNIERS. | ° © & rieur. | rieur 2 0] 















L. m. s. 








B> Capricorne... ..|20.12.31,48/— 0,40 251. 7-39,2|+ 1,5 
(2414) Capricorne. |20.25.47,621- 0,39 252. 8.40,5|+ 1,3 
70 H Aïgle.... .2 20.28.53,01/- 0,24 263.18.10,7[+ 1,5 
a Cygne......... 20.36.23,59{+ 0,54416,15|311. 6. 6,71+ 1,5 
Anonyme........ 20.43.48,82}- 0,32| 256.46.10,5|+ 0,8 
Anonyme....... 20.46.39,06!- 0,32 256.55.24,5|+ 0,8 
(2483)Petit Cheval .|20.50.16,66[— 0,16 269.59. 1,0[+ 1,2 






























1 € Petit Cheval ..4/20.51.33,64i- 0,16 
œ Céphée ........ 21.15. 7,724 0,75+15,71 
Anonymes, ...... 21.23.30,54|- 0,33] 
Anonyme. ....... 21.31.22,02/— 0,34 
& Capricorne..... 21.38.42,821- 0,42| 
(XXL. 276) Piazzi.4|21.42. 7,74[- 0,42 
Anonyme. ....... 22.47. 2,84] 0,33 
a Pégase......... 122.57.16,641— 0,06/+15,61 
Anonyme........ 23. 5. 7,881 0,33 
Anonyme 3—-10°32/|23. 6.51,041- 0,33) 
y Poissons........ 23. 9.22,02]— 0,19 
Anonyme. ....... 23.15.28,98/- 0,33 
x" Poissons. ...... 23.19.13,b2]— 0,21 
Anonyme ,...... 4/23.22.13,89l— 0,21 
Anonyme........ 23.27.47,30|— 0,21 
Lune, 1er bord... .|23.36.50,40|- 
19 m Poissons. ...123.38.42.60|- 
w Poissons ....... 23.51.35,54- 







s s © 


. 
* D D D D 


me im © 





1 
PSS 
te) 
Co 
+= 
œ 
Le] 
FF++++ 










280./,4.55,0|+ 1,0 
255.58.40,0[+ 0,9 































» [Bord sup. à 38mos, 





» |Centre au méridien. 
















y Pégase......... o. 5.29,b6|- 
a Petite Ourse S..4| 1. 4. 1,02 





18,6| » | Moy. de 3 obs. Ond!| 





a Petite Ourse I...2|13. 4.41,30 16,3| P. Moy. de 4 obs. Ond. 


» |Moy. de 4 obs. Id. 








I13lx Hercule........ 17 732,78] 0,06|+ 12,6| B.|Ondulante. 
| |x Ophiuchus...... 17-27.42,56|- 0,08|+ 
3 Petite OurseS. .3|18.22.22,96 


DUYTE= ee ee .[18.31.39,92/+ 0,24|+ 



























» Id. 








BbcAtwle....-... 19-21. 9,12] 0,19 : 

Saturne, centre... .|19.24.36,68}— 0,9 »- [Au méridien. Id. 
Anônyme. .,..... 19.34:16,30f- 0,39 

Anonyme, ....... 19-39.18,58/- 0,39 

B'Aple 2e... 19-47.40,60]- 0,15|+ 0,96 

Anonyme........ 19.54.44,58)- 0,22 






2 2 Capricorne. ..|20. 3.45,961- 0,38 
a* Capricorne... ..|20. g. 1.52] 0,38|+ 0,76 
G? Capricorne ....|20.12 16,34] 0,40 




























w Poissons... .... 23.51.20,62|- 

Anonyme 9-10°28/|23.57.33,54 

Uranus, 1% bord.2|23.59.26,69/- 0,22 .28.45,0|+ 1,4 » [Centre au mér.Id. 
y Pégase... .. 2. o. 5.14,88]- 0,06|[+ 0,75/280.41.51,2|+ 1,7 7273 8 10,0| » Id. 
a Petite Qurse S. .3| 1. 3.56,92 354.49-48,7|+ 6,0/727,0) 12,1 P.|Moy. de 3 obs. Id. 
PIde Réflex... 90:18. 7,0/+ 6,0 


















» Moy. de 3 obs. Id. 


1 1 


65 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 





CORRECTION 


PASSAGE à MOYENNE 


CONCLU mm 
au des 
DES ASTRES. B l'instru- la 
FIL MÉRUD. | went. | pendule] VERNIERS. 


NOM. 


_——— 


Inté- 
ricur, 


neaaiu np 
KOILOHUUOD 
*‘ANLANOUYH 


— —— 


Cr 1] mm. 


726,0!+14,6412,1Ù4 55, 


« Petite Ourse I..1|15. 357.52.20,0 




















4,0 
Id. Réflex... 87.15.34,4|4 5,2 
293.37. 8,7|+ 3,4 
0,93 273.18.10,0 3.) 16,8 
1,10/240.20. 5,5|4 3,5 16,0 
gt 14,7 
18.31.37,70|+ 3,0 14; 
Mars, 1° bord... .|19.18.49,44 2,1 14,0 
Saturne, centre. ..|19.24.42,90|- 2,4 
19.34. + 3,3 
19-39.16,4! 10 
) + 2,8 
+ 3,0 
2 Ë2 Capricorne... + 2,6 
æ' Capricorne # 3,2 
G? Capricorne .... + 2,5 
20.19. 1 + 2,5 
(2414) Capricorne. |20.:5.29,88|- + 2,6 
70 H Aigle... ../20.28.35,56|- + 2,8 
x" Poissons + 1,9 
Anonyme 23.21.56,70|- + 2,5 
Anonyme. ....... 23.27.30,08|- + 
+ 
+ 
......4[23.47. 2,37k + 
23.51.18,12|— 
Uranus, 1% bord. .|23.59.15,86|- + 2,5 
y Pégase......... o. b.12,58]- + 2,3 
« Petite OurseS..4| 1. 3.54,08 49. + 55 
Id. Réflex... + 6,4 
17|Soleil, 1er bord...|13.25.33,63|- 0,31 257. 0.26,51+ 6,9|723,1] 15,5 
æ« Hercule........ 17. 7.238,80] 0,06|- 7,86/280.57. 8,714 5,//722,5| 13,8 
œ Ophiuchns..... 3117.27.33,50f- 0,08|- 7:75|279- 3.27,5|+ 5,6 722,b] 13,3 
y Dragon........ 17.52.50,17[+ 0,47|- 7,83/317.52.5r,0|+ 4,9l7223| 12,7 
à Petite OurseS..1|18.22.17,31 352.57.13,4|+ 41917222 12,4 
Saturne, centre... .|19.25. 3,86|- 0,49 24415.31,54 4,0/722,4| 11,7 
(XIX. 261) Piazzi..|19.37.31,90|+ 0,43 316.32.16,0[+ 5,3 
FINIRA 19.43. 2,06] 0,13|- 8,06[274-50.34,0|+ 5,0 
Apres... 19.47.3116! 0,15|- 8,411272.24-16.2|+ 5,0|722,4] 11,2 
2 Ë: Capricorne. ..|20. 3.36,70l- 0,38 293.19.29,7|+ 3,4 
æ* Capricorne... ..|20. 8.52,58|- 0,38|— 8,12/253.24.32,5|4 3,6/722,5| 10,8 
a? Capricorne ....|20. 9-16,36|- 0,38|- 8,16 
Anonyme....... 4|20.18.54,19|- o,ot 285.44.17,0|+ 5,3 
Anonyme........ 20.27.42,00|- 0,15 272.47.44,5|+ 5,6 
œ Cygne......... 20.35.59,45{+ 0,34 7,72l311. 5.54,0|4 5,3 
6 y Verseau...... 20.44. 6,g921- 0,32 
Anonyme ...... 4\20.46.14,87|- 0,32 256.55.17,54 2,9/722,5] 10,5 
18, Petite OurseL...2|13. 4. 1,60 357.52.17,7|+ 5,21735,2| 13,0 
19! Couronne... .3/15.27.51,47 + 0,09!-12,45{293.37. 5,2|+ 6,4 








THERMOMÈTRE. 


——— 


Exté- 
rieur. 


"NOILOYVAAU 


r'æsim 


7)9|-2.19,2 
+ 3,4 
— 43,1 
73 471 
—1.33,7 
72|-1.33,4 
— 28,2 
- 46,5 
70] 1% 
7:0|-1.21,5 
T0 57,4 
— 19, 





‘3104 na nait 
"UNILVAUISIO 








771 » 





REMARQUES. 


.[M. de 2 obs. Nuages. 


Niv.+oP,11. 


Moyenne de 4 obs. 


Centre au méridien. 
Au méridien. 





Très-ondul. 





Centre au mér. Id. 
Id 


.|Moy. de 5 obs. Id, 


Moy. de 4 obs. Id. 





.|Bord inf. au mérid. 


Nuages. 
Au méridien. 


Nuages. 


Le ciel se couvre. 


.|Moyenne de 3 obs. 


. [Tres faible. 


17 





"sunor 








20 











66 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 




































CORRECTION el = a = 
PASSAGE A MOYENNE | = 2 > JruenuouÈree. F 5 
NOM pi : © © 3 © 
coxcLu ee, des Z3 E —]— = E 
DES ASTRES. Le ner | Eole race Veste = 3 
FIL MERID, went. | pendule} VERNIERS. 3 Z El rieur. | rieur. = 8 
Hume 3. s. 0€ « 7r 1 nim. o o mi trs 
a Serpent........ 15.36.22,12]- 0,14/-12,50 273.18. 4,7[+ 6,1 735,3 +15,5|+ 9,71- 46,3 
Mars, 1° bord....|19.32.13,46]- 0,51 242.17.42,7 + 6,0/734,9 10,8] 0,4 —2.37,4 
(XIX, 261) Piazzi. .|19-37-27,32]+ 0,43 316.32.17,2|+ 5,2 + 3,9 
Aile... ne 19.42.57,82)— 0,13|—12,87|274.50.37,0|+ 4,9 — 44,1 
INT ERA 19-47.26,621- 0,15|-12,92/272.24.20,7|+ 5,31735,0) 10,7| B,8l- 48,r 
2 £2 Capricorne. . .|20. 3.31,88]- 0,38 253.19.29,7|+ 4,61735,0] 10,7] 5,8]-1.35,6 
æ' Capricorne …... 20 8.47:64 FFE 0,38 TI 3,03 253.24.3/,7 + 47 —1.35,3 
œ? Capricorne... .. 20. g.I 1,48]- 0,38|-13,11 
B> Capricorne... .3[20.12. 2,26|- 0,40 251. 7.40,5|+ 4,4 —1.44,5 
Anonyme. .;:..... 20 18.49,40 — 0,01 285.44.18,5|+ 4,4 5,7 — 28,9 
Anonyme........ 20.27.37,14]- 0,15 272.47.47,2|4 4,6 = 47,9 
a Cygne. ........ 20.35.54,551+ 0,34|-12,57|311. 5.58,2|+ 4,6 735,0 10,5) 5,4 1,5 
6x Verseau...... 20.44. 2,04] 0,32 k 
Anonyme. ....... 20.46. 9,88[- 0,32 256.55.18,7|+ 4,7 —1.23,4 
(2483)PetitCheval .[20-49.47352)— 0,16 269.58,58,5|+ 4,7 — 52,5 
L € Petit Cheval ...[20.5r. 4,62} 0,16 
3 € Petit Cheval. . .|20.56.36,36]- 0,16 271.16.15,7|+ 4,7 - bo,2 
Anonyme... .... 20.59. 6,06[- 0,16 271.12.15,5|+ 4,7 - 50,3 
5 y Petit Cheval. ..|21- 2.33,37 F 0,12 
6 Petit Cheval ....[21. 2.44,26]- 0,12 279.47.54,7|+ 4,1]734,7) 10,2| 5,4! 42,7 
a Céphée......... 21.14.39,03[+ 0,75|-12,70|328.17.41,0|+ 4,5 + 16,1 
Anonyme........ 21.23 1,32} 0,33 255.58.12,7|+ 4,6 —1.26,5 
Anonyme........ 21.30.52,86]- 0,34 255. 7. B,ol+ 4,7/734,7] 9,5 5,0)-1.29,4 
3 Capricorne. ....[21.38.13,64]- 0,42 249.34. 4,o|+ 4,b —1.51,9 
(XXL}276) Piazzi.4|21.41.38,78]- 0,42 249.29. 3,2l+ 4,9|734,7] 9,5! 4,9/-1.52,3 
Anonyme. ....... 22.46.33,60l- 0,33 256.11.20,0|+ 4,0|735,0) 9,3] 4,3]-1.26,1 
a Pégase......... 22.56.47,96|- 0,06|-13,00|280.44.50,7|+ 4,9 4,3]- 35,6! 6,0 
a Petite Qurse S...| 1. 3.49,60 354-49.54,21+ 6,31735,3] 8,7| 2,9]+ 52,4 
Id. Réflex... go.18. 5,7|+ 6,2 
æ Petite Ourse L...[13. 3.59,00 357.52.15,5|+ 6,9|737,3] 11,1] 5,714 57,81 5 
Id. Réflex... 87:15.44,7|+ 7,b 
Soleil, 1e° bord... .|13.36.41,60]- 0,32 256.27. 8,2|+ 8,31737,4] 12,5] 6,1]-1.24,9 
x Serpent........ 15.36.19,62|- 0,14/-15,00/273.18. 6,0[+ 6,,1736,8| 14,3] . 7,2]- 46,5] 6,1 
Saturne, centre... .|19.25.2B,14]- 0,49 244.16.24,0|+ 5,8/736,0] 11,3] 6,2]-2.22,4 
(XIX. 261) Piazzi..|19.37.24,66|+ 0,43 316.32.16,5|+ 5,3 + 4,0 
MAISIE. : chbres 19.42.55,24]— 0,13|—15,431274.50.39,7|+ 4.9 — 44,3|13,5 
G'Aisles:..!.:4:. 19.47-24,04)- 0,15|—-15,48 272.24.24,5|+ 4,8 736,1] 10,9 471 4841140 
2 Ë3 Capricorne. . .|20. 3.29,38|- 0,38 253.19.33,7|+ 5,2/736,1] 10,9] 4,7/-1.36,1 
«2 Capricorne... .2|20. 9. 9,02}— 0,38/-15,55 
G2 Capricorne... . .[20.11.59,84/- 0,40 231. 7.45,ol+ 5,7 —1.45,1 
Anonyme........ 20.18.4b,96[- 0,01 285.44.19,7[+ 5,0 4,6]- 29,0 
Anonyme. ....... 20.27.3/,50Ï-— 0,15 272.47.50,0|+ 4,1/736,1] 10,2| 3,9|- 47.9 
CYEnE. .-.... 4/20.35.51,93{+ 0,34/-15,16/311. 6. 1,0|+ 4,8 4,0]  1,5|13,9 
6 p Verseau. ..... 20.43.59,52|- 0,32 
Anonyme........ 20.46. 7,46[- 0,32 256.55.23,0|+ 4,1 735,9) 9,6 5,2|-1.23,6 
œ Pégase........ 4/22.56.45,32)— 0,06|-15,63/280.44.50,0|+ 6,0/736,0] 8,5] 1,5l- 36,0! 5,9 
Anonyme. ....... 23. 4.36,40[- 0,33 255.58.40,5|4 4,1 1.278 
Anonyme 9-10°32/|23. 6.19,36|- 0,33 
y Poissons ...... 4]23. 8.50,54|- 0,17 268.49. 1,o[+ 5,3 — 55,5 
Anonyme...,.,... 23.14.57,08 — 0,33 256. 9:19,7|+ 4,2 1.272 
x* Poissons. ...,,. 23.18.41,80f- 0,21 256.47.19,5|+ 5,0 — 59,6 
Anonyme. ......./23.21.42,50f- o,21 26b.41.32,0l+ 4,4 — 59.8 














"UAALVAUISAO 





REMARQUES. 
| 
| 


Id. 
Centre au méridien. 





Trés-faible. 


.| Moyenne de 5 obs. 


Moyenne de 4 obs. 


.| Moyenne de 5 obs. 


Moyenne de 3 obs. 


Bord sup. à 37m445. 
Très-ondulante. 
Au méridien, 


Très-ondul. 
Id. 


Très-ondal. | 
14. | 
Id. | 
Id. | 


67 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 1843. 











1 


CORRECTION 






































































































































































PASSAGE ét MOYENNE _ El F THERMOMÈTRE. LA 5 2 
NOM CONCLU a — DE 2 ë 2 = 
Æ des leu À 5 | 21231 REMARQUES. 
DES ASTRES. > L'instrn-| la ee MIRE Exté- £ E |" 
FIL MÉRID. ment. | pendule} VERNIERS. € nm rieur. 2 = 3 
hÿ .m.is s. 8. COMENT 11 o "' 
Anonyme........ 23.27.15,72|- 0,21 266.50.24,0|+ 2,8 +3,5 59,5 B. |Très-ondulante. 
19m Poissons. .,4|23.38.11,15]- 0,17 269. 0.31,7|[+ 4,0 » Id. 
Anonyme........ 23.44 30o10|- 0,33 255.58. : + 3,8 » Id. 
Anonyme, ...... 4123.46.48,00!- 0,33 256. 3.55,0/+ 3,7 —1.27,9 » Id. 
w Poissons ....... 23.51. 4,00- 0,15 272.23. 0,7 + 4:90 1,2 4 » Id. 
Uranus, centre... .|23.58.15,02]- 0,22 265.23. o,5|+ 3,7 : » [Au méridien. Id. 
7 Pégase... ... : o. 4.58,53/- 0,06|-15,61/280.41.50,5|+ 4,6 0,09! 36,2110,6| , Id. 
a Petite Ourse S..3| 1. 3.40,76 354.50. o,5|+ 6,3 0,2|+ 52,9/13,8| p.|Moy. de 5 obs. Id. 
Id. Réflex... 90.18.14,o|+ 6,0 » |[Moy. de 4 obs. Id. 
a Petite OurseI....|13. 4. 1,30 357.52.25,7 + 6,8 8,ol+ 57,1 15,6| » |Moy.de 5 obs. Id. 
Id. Réflex... 87:15.50,0[+ 8,2 » |[Moy. de % obs. Id. 
Soleil, 17 bord... .|13.40.25,72]- 0,34 255.33.20,o[+ 8,0 8,3)-r:26,7 B.|Bord inf. à 41m27°. 
æ Scorpion......, 16.19.33,23]- 0,54|-17,711240.20. 5,5|+ 7,9 13,1)-2.52,3| 9,5] » [Niv.-1P,79. 
œ Ophiuchus...... 17.27.23,74|- 0,08/-17,46 279. 3.29,5|+ 6,7 13,41- 36,6 76! » 
y Dragon... ....3|17.52.40,37|+ 0,47|-17,51317.52.53,5|+ 5,5 13,44+- D,rlr41| » 
d Petite OurseS..3/18.22. 4,30 352.57.20,0|+ 5,5|7 12,4 47,2 17,2| » Moyenne de 2 obs. 
myres sell 18.31.21,08|+ 0,24|-17,72/305. 1. 6,o|+ 5,3 12,4] 741170 » e 
Saturne, centre... .|19.25.36,64]- 0,49 244.16.43,7|+ 6,1 10,b]-2.19,4 » [Au méridien. 
(XIX. 261) Piazzi..|19-37.21,961+ 0,43 316.32.19,5|+ 5,6 + 3,9 » 
aigle sa rate 19-42.52,60]— 0,13|-18,05 274.50.36,7|+ 5,8 - 43,4/10,3| » 
BAiBle Le. 04 19-47-21,441- 0,15|-18,09/272.24.19,2|+ 5,6 95! 47:4l12,4| » 
2 Ë2 Capricorne..3|20. 3.26,83]- 0,38 253.19.28,7|+ 5.6/7: 91]-1.34,2 » 
a" Capricorne.....[20. 8.42,60l- 0,38|-18,03 A EL 
«* Capricorne... .|20. g. 6,60] 0,38|-17,95]253.22.19,0|+ 5,3 9:0)-1.34,0|13,9| » 
Anonyme, ....... 20.18.44,24]— 0,05 285.44.21,0|+ 5,9 — 28,5 » 
Anonyme. ....... 20.27.32,06|— 0,15 272.47.40,5|+ 5,5 8,5] 46,9 » 
æ Cygne........./20.35.49,15|+ 0,34|-17,92 » 
6 p Verseau. ..... 20.43.56,90|- 0,32 » 
Anonyme........ 20.46. 4,661- 0,32 256.55.20,o|+ 5,5 8,5]-1.22,2 » 
(XX. 423) Piazzi. .|20.53.11,74]- 0,35 254. 5.30,5|+ 5,6 —1.31,6 » 
ÿ Verseau... ...., 21. 0.48,441— 0,35 254.23.40,2|+ 5,6 —-1.30,6 » 
6 Petit Cheval... .1|21. 2.39,20]- 0,12 275.47.53,7|+ 5,5 mn » 
a Céphée. .......[21.14.33,45[+ 0,75|-17,99 “ » 
æ Pégase......... 22.56.42,74]- 0,06|-18,20/280.44.54,5|+ 5,5/733,1] 9,1! 8,7 35,ol11,1| » 
Anonyme........|23. 4.33,86|- 0,33 255.58.36,5[+ 4,7 125,4 » 
Anonyme 9—-10°32/|23. 6.16,86]- 0,33 » 
y Poissons... ....., 23. 8.47,90[- 0,17 268.49. 2,5|+ 4,8 — 54,0 » 
Anonyme........ 23.14.54,66[- 0,33 256. 9.15,7[+ 5,2 —1:23,0 » 
x" Poissons... ....|23.18,39,50!- 0,21 266.47.20,0[+ 5,5 — 58,0 » 
Anonyme........ 23.21.39,90 — 0,21 266./41.30,2|+ 437 — 58,3 » 
Anonyme. .......|23.27.13,24|— o,2r 266.50.20,7|+ 4,9/733,3| 9,5] 7.,6[- 58,0 » 
19m Poissons... .. 23.38. 8,66/- 0,17 269. 0.26,o[+ 5,2 — 53,8 » 
Anonyme. .......123.44.27,74] 0,33 255.57.56,2|+ 4,6 —1.25,7 » 
Anonyme....... 4123.46.45,68[" 0,33 256. 3.50,2|+ 4,9 —1.25,4 » 
w Poissons....... 23.51. 1,56[ 0,15 272.22.59,2|+ 5,5|733,3] 9,3] 8.0 47,7 » |Le ciel se couvre. 
a Petite Ourse I...|13. 3.58,90 357.52.30,0|+ 5,8/735,6] 10,4] 10,8[+ 56,7|18,9| » | Moyenne de 5 obs. 
Id. Réflex... 87.15.53,0|+ 5,8 » [Moyenne de 6 obs. 
» 
Soleil, 12° bord....|13.44.r0,42]- 0,34 255.44. 8,5|+ 6,31735,4| 10,4| 11,2]-1.25,5 » |Bord sup. à 45mx7s. 
2 E? Capricorne. ..|20. 3.24,4of- 0,38 253.19.28,5|+ 5,7/735,0] 9,7| 8,o-1.34,9 » 
a' Capricorne ....|20. 8.40,r0o[- 0,38|—20,52 » 
a Capricorne... ,.[20. 9. 3,94f- 0,38/-20,59/253.22.15,5|+ 5,4 | -1.34,8| 9,8! » 


68 


Observations faites à la lunette méridienne en Octobre 18#3. 





| 


CORR; 










































ECTION 






. du PASSAGE dé MOYENNE 
ë N GONCLU d 3 
3 au es 
8 DES ASTRES. ; l'instru- la 

FIL MÉRID. pendule | VERNIERS. 





El ra 










































*‘HUaAIU np 








G2 Capricorne... .4|20.11.54,82|- 0,40 251. 7.42,7|+ 
Anonyme. ....... 20.18.41,80)— 0.01 285.44.21,0/+ 
Anonyme. ....... 20.27.29,58]- 0,15 272.47.45,2|+ 
aiCygne.Rs -...t, 20.35.46,81|+ 0,34|-20,23 
Anonyme....... 3/20.41.45,82]- 0,39 253.16.37,7|+ 
Anonyme. ....... 20.46.44,88]- 0,39 252 56.12,0|+ 
(XX. 423) Piazzi…. 20.53. 9,30[- 0,33 254. 5.29,5|+ 
» Verseau........ 21. 0.45,94[- 0,35 254.23.41,0|+ 
x Céphée ....... .|21.14.31,43[+ 0,75|—19:98|328.17.43,0|+ 
Jupiter, centre. ...|21.21.56,21]- 0,41 249-50.29,b|+ 
G Céphée .... .. 42126:17,85{+ 1,14/-19,89/336.14.38,0|+ 
œ Pégase........ 3/22.56.40,23|- 0,06|-20,70/280.44.52,0|+ 
w Poissons....... 23.50.58,94[- 0,15 272.23. 4,0|+ 
Uranus, centre... .|23.57.55,04[- 0,22 265.21.29,b|+ 
y Pégase........ 3| o. 4.53,56|- 0,06|-20,57/280.41.49,2|+ 
x Petite Ourse S...| 1. 3.31,50 354.50. 6,2|+ 
Id. Réflex... 90:18.15,2|+ 
æ Petite Ourse [..3|13. 3.57,22 357.52.25,0|+ 
Id. Réflex... 87:15.53,7|+ 
23|Soleil, rer bord... .|13.47.55,8/4|- 0,37 254.50.49,0|+ 
x Hercule........ 17. 7. 9,00!- o,ob 22,64 280.57. 9,5|+ 
æ Ophiuchus...... 17.27.18,53]- 0,08 —22,641279. 3.31,7[+ 
3 Petite OurseS...|18.21.57,25 
a Lyre........ .|18.31:15,75{+ 0,24/-23,01/305. ». 7,5|+ 
Saturne, centre .. .|19.25.55,36|- 0,49 24417.24,0[t 
(XIX. 261) Piazzi. .|19-37:16,641+ 0,43 316.32.23,7|+ 
LAIGIES siceisee ele = 19.42.47,68]- 0,13|-22,941274.50.36,2|+ 
B'Aïgle. : le. 19.47-16,38]- 0,15 —23,09 272.24.21,0 5 
2 Ë2 Capricorne. .4|20. 3.21,60]- 0,38 253.19.30,2|+ 
a" Capricorne... .|20. 8.37,52]- —23,08 
æ2 Capricorne. ... 20. 9- 1,30] 253.22,18,b|+ 
G2 Capricorne... ,|20.11.52,12|- 251. 7.40,o|t 
Anonyme....... 20.18.39,16|- 285.44.22,5|+ 
Anonyme. ....... 20.27.27,02|— 272.47.40,7|T 
(8110000000 20.35.4/4,09|+ 311. 6. 3,7/+ 
Anonyme. ...,... 20.41.43,44 253.16.39,2|+ 
Anonyme........ 20.46.42, 252.56.13,7|+ 
(XX: 423) Piazzi. .|20.53. 6,74] 254. 5.34,5|+ 
y Verseau........ 21. 0.43,32)— 254.23.40,2|+ 
œ Céphée ......../21.14.28,41f+ 328.17.49,2|+ 
æ Pégase......... 22.56.37, 280./44.55,5|+ 
Anonyme. ....... 23.27. & 266.50.23,2|+ 
19 m Poissons. ...|23.33. 3,60] 269. 0.30,5|+ 
Anonyme........|23.44.22,9 255.58. 0,5|+ 
Anonyme. ...... 4123.46.40,541- 256. 3.58,o|+ 
w Poissons. ...... 23.50.56,48]- 272.23. 6,7|+ 
Uranus, centre... .|23.57.45,40]- 265.20.41,7|+ 
DIDÉRASE Eee RE o. 4.50,58|— 280.41.53,5:+ 
Auonyme......., o. 9.53,94]- 276.43.26,0|+ 
Anonyme. ....... 0.13.54,70|- 260.20. 8,;|t 
Auonyme....... 4| 0.18.49,89|- 255.39.31,5|+ 





a | = 
© > 
3 7 
5 © 
a 2 
à FE 
5 El 
= 
© 
2 5 
LA main. 








THERMOMETRE. 


—__— 


Inte- 
rieur 





5,4 
5,0 
4,4 
4, 
3.8 
43 
4,6 735,» 15 92 
41 
3,5 
3,4/735,51 9,0 
5,3 732,6 8,9 
1,5/735,5| 9,0 
2,5 
491735,5| 8,5 
6,51735.6| 8,3 
1/2 
5,9/736,8] 10,3 
6,9 
6,0 736,7 12,2 
5,2|736,2 15,1 
44 736,1 14,5 
5,0 
5,4/736,0o] 13,0 
5,4 
5,2 
5,21736,0| 12,5 
5,3 
45 
5,5/736,0| 12,0 
5,0 
5,3 
4:11736,0! 11, 
# 
38 
4:41736,0! 11,3 
3,8/736,o] 11,2 
4,01736,3| 10,7 
2,9/736,3] 10,5 
234 
2,3 
2,6 
2,41736,3] 10,3 
2,8 
2,3 
2,8 
2,9 
3,5,736,3| 9.9 











il pi 
Exte- É z 
rieur, Z 5 
—1.43,9 
— 28,7 
+67 47,5 
-1.35,7 
—1,37,0 
—1.32,7 
6,2}-1.31,6 
+ 16,1|10,0 
—1.43,1 
2 + 925,1|11,2 
»91- 35,7 % 
3,0|- 48,7 ; 
1. 2,3 
2,7|- 35,9| 9.8 
2,914 52,5,18,6 
10,8 + 56,8 14,4 
14,8 127,5 
16,9]- 33,8/10,2 
16,2|- 36,4| 8,0 
15,0]- 73 18,7 
12,3|-2.19,2 
+ 3,9 
FF 3,3 9,4 
108]- 47,4|12, 
11,0]-1.34,0 
—1.33,8|13,0 
142,8 
10,9/- 28,4 
99 46,8 
90- .1,5/15,8 
—1.34,6 
—1.36,0 
1.318 
8,81-1.30,8 
8,7/+ 15,9,15,5 
5,31 35,5! 0,8 
5,8l- 58,6 
- 54,3 
—1.26,6 
—1.26,3 
5,4 48,3 
-1. 1,8 
— 35,6 11,8 
Ga 41,4 
—1.13,9 
4,9|-1:27,8 


UNAAILVAUASUO 


e |: 








REMARQUES. 


An méridien. 


Au méridien. 


Moyenne de g obs. 
Moyenne de 9 obs. 


. [Moyenne de 4 obs. 


Moyenne de 4 obs. 


- [Bord inf. au mérid. 


Au méridein. 





Au méridien. 


‘suavr 





69 


Observalions faites à la lunette méridienne en Octobre et Novembre 1843. 





2 


* [y Dragon..…...... 


NOM 


DES ASTRES. 


æ Petite Ourse S... 
Id. Réflex... 
æ Petite Ourse 1... 
Id. Réflex... 


= 


x Ophiuchus...... 
3 Petite OurseS. .3 
FAN CCOSSROPE 
(XIX. 261) Piazzi.. 





2 Ë2 Capricorne. .3 
Ͼ' Capricorne... .4 
«2 Capricorne... .4 
G2 Capricorne... .4 


Anonyme........ 
Anonyme........ 
Anonyme. ....... 
DAVERSEAUEe -e- -. 
ciGephée- er. 
Jupiter, centre... 


Soleil, 1° bord... 
æ Scorpion....... 
x Hercule...,... 
æ Ophiuchus.....4 
« Petite Ourse I.... 

Id. Réflex... 


ESS 


3/Soleil, 1° bord... 
œ« Ophiuchus.….... 


* [à Petite Ourse S. .3 
x Lyre 
Saturne, centre.... 

_[(&IX: 261) Piazzi.. 


ss... 


æ' Capricorne... .. 
a* Capricorne... 
(2414) Capricorne. 
[70 H Aigle... . 
æ Cygne 
Anonyme. ....... 
Anonyme..,,..., 


120. 3.19,08 


PASSAGE 


COUNCLU 
an 


FIL MÉRID. 


16.19.25,65}- 
17. 7. 6,52 
17.27.16,08]- 
18.21.55,24 

.[18.3r.13,361+ 


19-37-14,1414 
19-42:45,10)- 


19-47-13,96|- 


20. 8.35,08[- 
20. 8.58,98|- 
20.11-49,70|- 
20.18.3b,70|- 











20.27.2462] 
20.35.41,71|+ 
20.41.40,8B]- 


16.19. 4,63} 
17. 6.45,32]- 
17.26.55,01 


.|14.30. 3,82|- 


19-42.21,68|- 
19.46.50,60|- 
20. 8.11,76|- 
20. 8.35,56|- 
20.24./42,36|- 
20.27.47,90|- 
20.35.18,11|+ 
20./1.17,b6|- 
20.46.16,58]- 


CORRECTION 




















[e] 

MOYENNE | = © 
des 5 & 

Le VERNIERS. | © 5 
+ 5,2 

+ 6,2 

+.5,7 

+ 6,1 

+ 5,8 

—25,27 + 6,3 
—25,11 + 6,9 
25,07 + 63 
+ 5,2 

—25,37 24 5,7 
+ 5,3 

25,44 + 5,3 
25,50 + 5% 
+ 5,3 

—25,50 

—25,52 + 5,4 
. + 5,3 
285.44.19,2|+ 5,2 
272.47.47,7|+ 4,8 
—25,28l311. 6. 2,2|+ 4,8 
253.16.37,7|+ 4,9 
252.56.12,5|+ 4,7 
281.50.21,2|+ 4,5 
254.23.39,7|+ 4,1 
—25,36|328.17.47,5|+ 4,0 
240.51.50,2|+ 4,2 
251.29. 8,7|+ 0,2 
—46,25/240.20. 5,7|+ 2,6 
—46,22|280.57. 9,2|+ 1,7 
—46,05|279. 3.33,7 + 1,8 
357.52.25,0[+ 1,6 
87.15.56,2|+ 1,8 

132.34. 9,3|- 0,6 
251.42.25,2|— 0,6 
-48,33|279. 3.33,7|- 1,0 
—48,70|317.53. 1,5|- 1,7 
—48,841305. 1. 4,ol— 1,5 
244.22.11,0|- 0,5 

DP70 ve 41,o|- 0,7 
—48,70|272.24:17,7|- 0, 
Lise 7 77 7 
—48,78[253.22.16,5|- 1,9 
252. 8.38,5|— 2,8 
263.18,11,2|— 2,3 
-48,621511. 6. 6,o|- 3,0 
253.16.39,5|- 2,3 
252.56.16,5|- 2,5 











*“ANLHROUYH 





736,214 9,84 4,ol+ 


72919 


3 


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THERMOMETRE. 


Inte- 
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C] = 
« E 
cn | TRE 
rieur, 2 = 
52,3,18,6 
12,94 56,2 12,7 
13,5!_1.28,6 
15,1 —2.49,6 9,3 
13,8]- 34,ol11,4 
13,5]- 36,6! 8,5 
1114 47,3 18,9 
IL ON  7,h|1731 
11,01+ 3,9 
43,1|1:,2 
10,5 S 47,0 10,0 
9:8l-1.33,6 
—1.33,5|13,1 
9:5l-1.42,1 
- 28,3 
9,2[- 46,5 
— 1,4/15,0 
—1.33,9 
1.35,2 
33,3 
9:3]-1.30,7 
+ 15,8/13,8 
8,7|-1.48,2 
15,4 —1.37,8 
16,2 —-2.46,9 91 
17,71 33,1] 5,3 
178 35,6| 9,2 
11,3]+ 54,7/12,1 
12,4]-1.38,6 
14,2] 36,3] 5,8 
14,714 5,1|11,9 
15,5] 7,2|10,1 
13,7/-2.16,5 
— 42,b| 9,5 
13,0]- 46,4! 5,1 
12,3]-1.32,2| 6,4 
—1.36,8 
12,3]-1. 4,0 
( 1,4 10,9 
—1:32,7 
F1:34,0) 





REMARQUES. 


. [Moy. de 8 obs. Ond. 


Moy. de 8 obs. Id. 


. [Moyenne de 5 obs. 


Moyenne de 4 obs. 


.|Bord inf. à 52m/43s. 





M. de 2 obs. Nuages 
Nuages. 





Nuages. 
Au méridien. 


Bord inf. au mérid. 
Faible. Niv.-0P ,32. 
Vapeurs. 

Moyenne de 9 obs. 
Moyenne de 9 obs. 
Moyenne de 7 obs, 


Bord sup. à 31105. 


Nuages. 
Id. 


Au méridien. 


13 


70 


Dons faites à la lunette méridienne en Novembre 1843. 



































































































CORRECTION o. La = Li Se 
= PASSAGE 4 MOYENNE | =2 % Jracnuouèrre. Æ sul = | 
© NOM FU ES © æ = 
1 CONCLU |, d ES 2 5 ——— = = 2 
E Fe es 5 A 2 Ale REMARQUES. 
F DES ASTRES. ; l'insteu-| la 22| 3 int | Eué- = 3 | = 
FIL MÉRID. | ment. | pendule. | VERNIERS. | © © El rieur, | rieur. 2 8 | 
Anonyme,....... 0,05 281.50.24,7|— 2,5 
Anonyme d+15°33/ 0,05 
y Verseau..,..... 0,36 254.23.43,2|— 2,6/727,0l+12,5|+11,3-r. 
a Céphée. ....... 0,75 |—48,731528.17.55,7|- 3,6 
Jupiter, centre. ...|2 0,42 250. 2.30,5|— 2,8/727,0] 12,3| 10,8)-r. » [An méridien. 
3 Capricorne... .4 0,42 249.34 8.0 2h24 
(XXL. 276) Piazzi,4 0,42 249.29. 8,5|- 3,3 
œ Verseau........ 0,22|-48,96/262.18.51,0|— 2,8 11,9 
« Petite OurseS... 354.50.19,7|- 2,1/727,0) 11,7 » |Moy. de 9 obs. Ond. 
Id. Réflex... 0.18.17,0|— 1,0 » |Moy. dedobs. Id. 
a Petite Ourse 1..4|13. 3.34,10 357.52.33,2|— 1,0/727, 192,9 h » [Moyenne de 7 obs. 
Id. Réflex... 87:16. 6,7|- 0,4 » [Moyenne de 7 obs. 
4|Cercle Ouest, Niv.-or,30. Le fil méridien est de 43r,47 à l'Ouest de la nouvelle mire. 
Ou retourne l'instrument. 





Cercle Est, Niv.+2P,85. Le fil méridien est de 36,07 à l'Ouest de la nouvelle mire. 
La lunette méridienne a été démontée pour être nettoyée ; la lunette a été avancée de près de 90° sur le cercle. 


Le réticule a été enlevé pour remplacer les fils horizontaux, qui s'y trouvaient, par d’autres plus rapprochés. 


10|Cercle Est, Niv.+19,30. Le fil méridien est de 44v,14 à l'Ouest de la nouvelle mire. 
On retourne l'instrument. 
Cercle Ouest, Niv.—1P.23. Le fil méridien est de 38r,32 à l'Ouest de la nouvelle mire. 


On laisse l'instrument le cercle à l'Ouest. 























20/4 Petite Ourse I..3|13. 2.48,07 Le Hp + 2,3[7321| 5,8 BA 577 53,2| » [Moyenne de 4 obs. 
Id. Réflex... 173. 444,54 3,1 » [Moyenne de 3 obs. 
# Grande Ourse. .4|13.39.52,43]+ 0,64[-88,97| 42.16.12,7|+ 1,7|732,1| 6,7| 6,9 3,9/49.9| » 
NAT rer ee 218.22. Poe + 1,0 » [Moyenne de 18 obs. 
a Bouvier........ 14. 7. 2,90[+ 0,31|-88,93] 12.11. 8,24 1,5/732,3| 8,9] 6,7! 27,9 53,8| » 
& Petite Ourse S. .4/14.49.37,01{+ 1,79/-80,18| 66.57.51,0| o0,0/732,5) 10,4| 7,514 30,8/54,7| » Niv.—2P,65, 
x Couronne...... 15.26.34,56!+ 0,35|-89,00! 19.25. kr — 0,3[732,4] 10,7| 6,7) 19,3/48,5| » |Faible; vapeurs. 
21|Soleil, 12° bord... .|15.42.32,98|+ o,o1 332.37.59,7 — 0,3[732,5] 10,8 9,412: 4,1 » [Bord inf, à 43m40os. 
« Petite Oursel....|13. 2.56,00 83.41.13,5| o,0[732,7| 6,5! 6,514 57,7] 8,0] » [Moyenne de 8 obs. 
Id. Réflex... 173. 5. 0,3| 0,0 » [Moyenne de 6 obs. 
1 Grande Onrse. ..|13.39./49,63|+ 0,961-91,47 Lir6 285 + 0,31732,7| 7:1| 7:34 3,9] 4,0) » 
22|Soleil, 1er bord...|15.46.42,10 n 0,01 331.52.31,5/— 0,5|732,1| 8,2 13,7]-2. 6,2 » |Bord inf. à 47m44s. 
a Ophiuchus...... CL .26. 8,76/+ 0,33l-91,79| 4.52. a = 0,5|731,4] 9,3| 14,7 36,4 3,o| » 
y Dragon ........ 17-51.24,55{+ 1,01|-92,07| 43.41 — 17/7314] 9,5 14,814 5,1] 5,8) » 
3 Petite Ourse S..3|18.20.30,85 78. 16. 7 — 16/7311] 9.5! 14,64 46,9! 7,7] » [Moyenne de 5 obs. 
IR MAN C OR À 18.30. 5,53 à 0,70 ie - 30.49.58, «el 2,61731,2] 9,5! 14,71 7,3] 6,9 » 
y Aigle... 19-37-17,64]+ 0,30|-92,45) ARR — 3,2 - 40,2| 7,4] » 
a 'Aigle..s..... 19-41.37,50 ï 0,28/-92,30] o.39.39,2/- 4,4 — 42,8| 5,1] » 
CINE TORER 19.46. 6,22|+ Pe —92,431358. 13. A — 4617312] 9,8! 12,9/- 46,7! 9,7) » 
Anonyme........ 20./0.53,38[+ 0,07 339. 5.37,7/- 3,31730,9] 9,0! 1r,b-1.33,4 » 
Anonyme........ RME + 0,36 7.3929,7/— 3,8/731,0] 9,0] 11,8l- 33,0 » 
Anonyme 9+15°33/|/20.53.56,94[+ 0,36 » 
» Verseau........ 20.59.33,48[+ 0,08 340.12.43,0 — 4,2 -1.20,3 » [Ondul. 
Mars, 1 bord....|21.10.30,18/+ 0,03 334.23.30,0|- 4,6 12,0/-1.52,8 » |Centre au méridien, 








7Î 


Observations faites à la lunette méridienne en Novembre 18#3. 


















































































RE — —] —Ï—"—"— ] ——— a ———]—pZ—a———_-—_—_— 
CORRECTION a La 5 OS | 
PASSAGE Fe MOYENNE | =2 = lHERMOMÈTRE. E & |z | 
NO: COUNCLU ns, E E 2 | = = z 
Fe des z' 5 E 8 Fe REMARQUES. 
DES ASTRES. : l'iostru-| la NE! 3 Inté- | Exté- = 8 |= 
FIL MÉRID. | sot. | pendule. | VERNIERS. © a rieur. | rieur, a ñ | 
2 É 2 
h'0m- 5. s. s ÉSMIT le La ft mn. o 0 1 ou" 
æ Céphée ....... 3121.13 16,784 1,45|- 92,671 54. 6.50,2|- 4,4 731,0f+ 9,0 + 15,7| 6,8/B.|Ondul 
(XXL. 173) Piazzi..|21.21.43,89l4 2,08 61.59.10,5|— 5,3 + 244 »| Id 
G Céphée .... .../21.25. 2,744 2,08|— 92,28) 62. 3.47,0|- 5,3 + 24,4] 8,3| | Id 
Jupiter, centre... .|21.30. 0,30l+ 0,05 336.27.29,5|— 4,8 410,3/-1.44,4 » [Au méridien. Id 
3 Capricorne ..... 21.36.53,44|4 0,04 335.23. 6,0|- 4,9 —1.49,2 » Id 
(XXL, 296) Piazzi. .|21.40.18,52|4 0,04 335.18. 0,0|- 4,2/731,0) 8,5] 10,5]-1 49,5 » Id 
Anonyme ....... 21.48. 4,62/4 0,38 g. 8.28,5|- 4,1 - 31,3 » Id 
œ Verseau........ 21.56.14,16!+ 0,20 92,37/351. 7.49,5|- 4,5 9,5]-1. 0,6| 8,8| » Id. 
& Petite OurseI...4|13. 2.51,77 83.41.14 ,0|— 197 728 7] 6,31 57,1 6,7| » | Moy. de 4 obs. Id. 
Id. Réflex... 173. 5. 1,2|— 1,7 » | Moy. de 4 obs. Id. 
n Grande Ourse...|13.39.47,11|+ 0,95 94,01] 42.16.30,0|— 2,2/728 7:31 8,0l+ 3,8] 3,9) »|Niv-2r,23 Id. 
« Bouvier........ 14. 6.57,6414 o,41/— 94,13] 12.11.20,7|— 2,4/528,3| 8,2] 9,7|- 27:4| 3,51» Id. 
B Petite Ourse...4114.49.31,34|4 2,78/- 94,50! 66.58. 4,7|- 2,2/727 8,9| 12:9]+ 30,0! 6,4|» Id. 
a Couronne ...... 15.20.29,24/+ 0,50! 94,31] 19.26. o,0|- 3,5/727,b| 9,4| 13,7]- 18,9! 1,61» Id. 
x Serpent......., 15.34.59,92[+ 0,27|— 94,38|359. 7.12,7|- 4,5 13,71— 44,9] 8,3] » Id. 
3|Soleil, 1% bord... .|15.50.52,62|4 0,0: 332.12. 7,0|- 2,4/727,4] 11,2] 14,2]—2. 3,5 » [Bord sup. à 52"os. | 
& Petite OurseI...4|13. 2.51,33 83.41.10,2|- 1,61732,4| 6,9! 4,1l+ 58,0) 4,9] » Moy. de 4 obs. Ond. 
Id. Réflex... 173. D. 1,7|- 0,3 » (Moy. de 5 obs. Id. 
n Grande Ourse. . .|13.39.39,91|+ 0,96|-101,29) 42.16.25,7|- 1,21732 6,8| 6,3l+ 3,9! 1,71» Id. | 
B Petite Ourse ... |14.49.24,08|+ 2,78|-101,20) 66.58. 4,7|- 1,81732 8,0] 6,7+ 30,9! 8,6|» 
& Couronne....... 15.26.22,3214 0,50|-101,26! 19:26. 0,5|— 1,5|732 8,4| 7,2]- 19,4] 4,51» 
x Serpent........ 15.34.52,96|+ 0,27|-101,38[359. 7. 9,2|-— 1,9 — 46,3| 6,6!» 
Soleil, 1er bord... ,|16. 3.28,36} o,o0 331. 3.31,0/- 2,0/731,1] 8,2| 7,9 —2.14,0 » [Bord inf. à 4m36s, | 
Anonyme. ....... 21.47.54,90]+ 0,58 9- 8.25,7|- 1,8/732,2] 7,5] 7,0f- 31,7 » | 
x Verseau”. ...::. 21.56. 4,b2l4 0,20|-101,96 351. 7.43,2|- 9,5 732, 7»5| 6,8]-1. 1,3| 4,oln 
ŒIPÉpASE. : due ses à 22.55.18,02]4+ 0,35|-102,12] 6.33.58,5|— 2,41732, 73| 5,5 35,3) 6,4|» 
Anonyme........ 23. 3. g,12]+ 0,10 341.4735,5|- 2,4 126,2 » 
Anonyme J-10932/|23. 4.52,19k+ 0,10 » 
y Poissons... ..... 23. 7.23,22|+ 0,22 354.38. 4,5|- 2,5 —0.54,6 » 
Anonyme........ 23.13.30.12/+ 0,10 341.58. 7,0|- 2,8 —1.25,8 » | 
13 Andromède. . . .|23.17.55,41|4 0,78 34.14.44,0|- 3,3 EAST » [Ondal. 
Anonyme. ....... 23.25.48,58[+ o,21 352.39.22,7|- 3,2|732,3| 7,3] 4,51 58,6 »| Id. 
19 = Poissons. ...[22.36.43,88|+4 0,22 354.49.34,0[- 3,5 ma »| Id. 
Anonyine........ 23.45.21,04[+ 0,10 341.3. 1,0/- 4,21732,3] 7,0] 4,ol-1.26,3 »| Id. 
Uranus, centre... .123.53.38,60ol+ 0,20 350.52.44,5|- 3,7 1. 2,4 » [Au méridien. 14. 
MRRÉPASE..- 0. 3.31,19]+ 0,35/-102,31| G.30.53,7|- 3,4 — 35,6! 5,7|» Jd. 
Anonyme........ o. 8.34,38[+ 0,32 2:32.22,5|— 3,41732,2) 6,9| 4,ol- 39: » Id. 
a Petite Ourse S..3| 1. 1.43,43 80.39-16,2/- 2,11732,3] 6,9) 3,71+ 52,1] 7,7] » | Moy. de 4obs.1d.. 
Id. Réflex... - 176. b.58,2|— 0,7 » | Moy. de 4 obs.Id. 
by æ Céphée... 1... 21.13. 4,6ol+ 1,45/-10/,65] 54. 6.45,7|- 2,21732,7] g9,7| 7,2Ù+ 15,9| 4,9» 
B Verseau........ 21.21.36,32]+ 0,14 345.57.12,7|— 2,3 -1.13,6 » 
Lune, 1er bord... .|21.29.16,70]+ 0,09 341.18.19,2|— 2,9 —1.27,6 » [Bord inf. à 30m32s. 
3 Capricorne ..... 21.36.41,224+ 0,04 335.23. 2,0|/- 2,9 5,5]-1.51,3 » | 
Anonyme. ....... 21.47.52,44+ 0,38 g- 8.26,5/- 2,51732,8| 9,4 — 31,9 » 
30 Verseau,...... 21.53.19,66[+ 0,13 344.56. 3,2|- 2,6 -1.16,7 » 
0 Verseau....,...l22. 6.51,681+ 0,12 343.39. 6,2/— 3,01732,9| 9,3| 5,5[-1.20,4 » 
a Pégase....,.... 22.55.15,40|+ 0,35|-104,73] 6.34. 0,0 - 2,8,733,2) 9,2| 4,0!- 35,6! 7,3)» 
Anonyme...,....123. 3. 6,46[+ 0,10 341.47.37,0 — 3,4 —1:26,7 » [Ondul. 
[Anonyme 3—-10°32/|23, 44965 0,10 »| Id. 








2 


Observations faites à la lunette méridienne en Novembre et Décembre 1843. 





NOM 


DES ASTRES. 


y Poissons 
Anonyme 


Anonyme 
Id. Réflex... 


æ« Petite Ourse I .. 
Id. Réflex... 





9 Capricorne. ... 
Lune, 1€ bord... , 
æ« Andromède 








13 Androméde...4 


æ Petite Ourse S... 





CORRECTION 
de 
a mn 


PASSAGE 
CONCLU 
au 


FIL MÉRID, 


MOYENNE 


des 
l'instru- 
ent. 


a 
pendule. VERNIERS. 


NUAIU hp 
NOILOYYUOD 
AULAINOUTFA 


354.33. 5,0 
341.58.10,0 

4.14 44,0 
352.39.24, 
80.39.13,0 
176. 6.58,7 


CES GE Ur 


733,5 


OHL D © 


83.41. 7,5 
173. 5. 0,2 


en 
© 


738,0 


© 
© 


335.23. 1,0 
356.11.24,0 


20.25.26,2 


732,9 
736,4 


23.49-10,38|4 
23.58.28,42|4 


© He ee HR ne 








© = D D D D b 
s 

















y Pégase 0,35|-112,38] 6.30.53,0 
111736,1 
« Petite OurseS.. »41736,0 
Id. Réflex. .…. ; 
2|x Pégase 0,35|-117,91 731,0 
Anonyme. ....... 0,10 
y Poissons 0,22 
Anonyme 0,10 
0,78 
9l+ o,21 
2]+ o,21 
19 7 Poissons. ... 6l+ 0,22 
Anonyme ol+ 0,10 
Anonyme d-10°20/ 3 A+ o,10 
w Poissons 41+ 0,26 .12. 
Uranus, centre... . 6|+ 0,20 350.51.57,5 
y Pégase o. 3.16,06!+ o,35|-117,38] 6.30.52,5 
3ly Verseau. .,.... 4120.59. 5,89l+ 0,08 340.12.40,5|— 1,2 736,9 
a Céphée .…....... 21.12.49,56|+ 1,45|-119,46| 54. 6.46,o|- 1,2 
B Verseau. ...... 4|21.21.20,88l4 o,14 345.57.10,0|- 1,8 
Jupiter, centre... .[21.35.20,82|+ 0,05 336.57. 4,o|- 2,0 
Mars, 1% bord... .|21.41.32,38|4 0,05 337. 7.58,0|- 2,11737,2 
Anonyme........ 21.47.37,12|+ 0,38 9- 8.27,5|— 2,2 
30 Verseau.. .... 21.53. 4,4ol+ 0,13 344.56. 4,2|- 3,7 
8 Verseau. ..,.... 22. 6.36,4ol+ o,r2 343.39. 5,5|— 2,11737,5 
a Pégase......... 22,55. o,12)+ 0,35/-119,94] 6. 3.57,2|- 2,41737,6 
Anonyme, ....... 23. 2.51,56!+ 0,10 341.47.32,7|— 2,2 
y Poissons ....... 23. 7. 5,b2l4 0,22 354.38. 3,7|- 2,8 
Anonyme........ 23.13.12,34|4 0,10 341.58.13,0|— 2,3 
13 Andromède.. . .|23.17.37,55|+ 0,78 34.14.44,0|— 2,3|739,9 
Anonyme. ..,..../23.25.30,78]+ o,21 352.39.27,5|- 3,5|737,9 
19 72 Poissons... .. 23.36.26,12[+ 0,22 354.49-31,5|— 2,6 738,0 
Anonyme. ...... 4123.42.45,18|4 0,10 341.40.57,5|- 2,4 
Anonyme, ....... 23.45. 3,13]+ o,10 341.52.5/4,7|— 3,2 
Uranus, centre....|23.53.10,02|+ 0,20 350.51.55,7|— 2,8 
a Andromède.!....|23.58.21,02|+ 0,52|—119,73)] 20.25.28,0|— 2,5 
y Pégase. ........ 0. 3.13,50f+ 0,35l-119,93l 6.30.5r,ol- 2,1 


THERMOMETRE. 


733,3|+ 8,8 


8,9 





"NOILOFUAAU 








3104 na 1311 





4,9 » 





REMARQUES. 


.|Ondul. 


Id. 

Id. 

Id. 
Moy. de 6 obs. Id. 
Moy. de 6 obs. Id. 


Moy. de5obs. Ond. 
Moy. de 3 obs. Id. 








Bord inf. à 5omrg$. 


Moyenne de 8 obs. 
Moyenne de 6 obs. 


Au méridien. 
Vent très-violent, 





Au méridien. 
Centre au méridien. 


Au méridien. Id: 
Ondul. 


Id. 








73 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843. 
























CORRECTION 














a 3 ol c © 
= PASSAGE MOYENNE | =2 2 [ruenmouërne. cp 5 |& 
5 NOM HEURE m0] SU 
a CONCLU a  —, - EAN 2 | < = < 
au Le SOINS 2 = | £| REMARQUES. 
eo DES ASTRES. ë l'instru- Ja a = Mnle- |ESre = 8 |= 
FIL MERID. weut. | pendule. VERNIERS. e # rieur, | rieur. C4 a F 
Him. s! 3. (2 D'Or 1! num. o o Ta ver 11 
Anonyme. ....... o. 8.16,78]+ 0,31 2.32.24,7|— 2,6 — 41,9 B.|Ondul. 
Anonyme. ....... 0.12.17,70]+ 0,15 346. 9. 2,5|- 3,2 —1.14,7 »| Id. 
Anonyme. ....... 0.17.12,70]+ 0,09 341.28.26,2|— 2,8|738,2|4 5,34 3,ol-1.28,7 »| Id 


5,3| 1,8]+ 52,9] 8,9/» Moy. de :obs. Id. 
» | Moy. de 4 obs. Id. 


« Petite Ourse S..3| 1. 1.26,00 
Id. Réflex... 





























98 p Poissons..... 1.20. 2,28]+ 0,25 357.32.20,0|- 1,81738,3] 5,2| 1,4]- 50,5 » 

104 Poissons. ....| 1.28.55,64[+ 0,34 5.41.21,5|— 1,81738,41 5,2| 1,41 37,44 » 

110 » Poissons. ..| 1.35.11,12]+ 0,28 0.34.13,5|- 2,1/738,5] 5,1| 2,2) 45,1 » 

82 à Baleine...... 2.29.30,74|+ 0,21 » 

39 b Bélier... .... 2.36.39,70[+ 0,52 20.47.15,7|- 2,6 — 18,9 » 

BlOrion- +... 4] 5. 5. 3,88/+ 0,12/-120,56/343.49.17,0|- 2,5/738,9] 5,0] 1,6]-1.21,7| 3,8] » |Très-ondul. 

y Orion ......... 5.14.47,24]+ 0,26 358.24.10,2|— 3,2 — 48,8 »| Id. 

Anonyme........ 5.21.28,58[+ 0,25 357-23.10,0|— 2,5/738,7] 4,8] 1,7]- 50,6 »| Id. Nuages. 
AAigle.e..."2r 19.36.47,92]+ 0,30|-122,06| 2.26. 9,7|- 0,8 2,31- 42,1| 4,8] » [Niv.-2P,43. 

GHATGIE" st eee. cie 19.41. 7,04[+ 0,28|-122,05] 0.39.33,0|— 1,2|739,7| 12,2 — 44,9| 1,3|» |Le ciel se couvre. 
6|13 Andromède. . .4|23.17.29,78|+ 0,78 34.14.43,0|- 1,5|741,41 8,3| 3,8]- 4,2 » 

Anonyme....... 3123.19.49,66[+ 0,21 352.30.30,7|- 1,8 - 59,8 » 

Anonyme........ 23.25.23,08|+ 0,21 352.39.23,5|- 1,8|741,5] 8,2| 3,8]- 59,5 » 

19 2 Poissons. ...123.36.18,44]+ 0,22 354.49.28,7|- 1,8 3,81- 55,1 » 

Anonyme....... 3/23.44.55,39f+ 0,10 341.52.55,2|- 1,9 3,8]-1.27,5 » [ Nuages. 

« Andromède. . .. 23.58.13,12]+ 0,b2/-127,59| 20.25.28,7|- 1,4 - 18,8| 8,0|» 

y Pégase... ..... o. 3. 5,66[+ 0,35|-127,74] 6.30.50,7|- 1,71741,6| 7,8] 3,71- 36,1| 4,2» 

æ Cassiopée . ..... 0.29.34,78]+ 1:16|-127,42) 47.52.10,2|— 1,9|741,6] 7,9| 4,of+ 9,7| 6,5|» 

65 # Poissons, préc.| 0.39.24,26|+ 0,50 19. 3.15,5|- 1,5 — 20,4 » 

68 Z Poissons..,.. 0.47.17,68[+ 0,53 » 

a Petite Ourse S..3| 1. 1.18,82 80.39.15,7|- 0,81741.8] 8,3| 2,214 53,0! 6,9!» 

IA IC SEA POPERIER 3.13. 0,24[+ 0,46 16.21.37,5|- 1,7[741,8] 10,8| :1,4]- 23,7 » 

(LIL. 56) Piazzi. ... 3.15.37,25[+ 0,94 41.29:15,7|- 1,2 + He) » 

Hifilaureau.... 3.20. 9,76[+ 0,33 4.35.43,5|- 2,4 — 39,2 » Ÿ 

10 Æ Taureau ....| 3.26.48,60]+ o,21 352. 6.22,0|- 3,3 o,9]-1. 1,3 » [Ondul. 

23 9 Eridan...... 3.33.40,40[+ 0,10 341.54.59,5|- 4,3/741.8] 10,5] o,9l-1.28,3 » 

48 Taureau ...... 4. 448,96[+ 0,36 VAL Z Ps) ES A 0,2- 35,5 » 

57 k'Taureau....| 4. 9. 4,66[+ 0,34 5.51. 2,2|— 1,5/741,8] 9,8] o,5l- 37,4 » 

u' Taureau...... 4| 414.52,69l+ 0,44 14:38.51,2|— 1,9 0,31- 25,8 » 

a Taureau ...... 4| 424.52,3514 0,37|-127,98] 8.23. 6,7|- 2,2 o,2]- 33,9] 2,6| » 

+ Taureau........ 4-30.47,06|+ 0,44! 14.50.43,7|— 1,7 — 25, » 

Lune, 1er bord. 4.46.44,821+ 0,44 14.54.29,5|— 2,4/741,7l 9,2[- o,2]- 25,5 » [Bord inf. au mérid. 

BiOrion- 7.17... 5. 4.56,14[+ o,12|-128,34]343.49.22,2|-— 3,4 -1.22,5| 7,8|» | 

DIOmONN.- ce 5.14.39,54[+ 0,26 358.24.10,o|[— 3,0 - 493 » 

Anonyme. ....... 5.21.20,68|+ 0,25 357-23.10,7|— 2,5. — br,x » 

£ Taureau .......| 5.26.13,16[+ 0,42 13.14. 7,0|— 3,0 = 27,6 » 

131 O Taureau. ..| 5.36.13,88|+ 0,35 6.37.13,5|- 2,5 - 36,4 » 

æ Orion... .. ..| 5.44.37,2414 o,»7[-128,26 359.34:16,7|- 2,2/741,6| 8,5|+ o,2]- 47,3| 6,9] » | 
‘87 Aigle rc 19.36.37,36|+ 0,30|-132,61| 2.26. 5,2|- 0,8 4,8] 41.6! 1,3|» 

a Aigle.......... 19.40.57,20l+ 0,28|-132,48] 0.39.55,7|- 0,8 49 44,4] 5,4» 

B'AISIESR ERA. 19.45.26,00[+ 0,26|-132,531358.13.16,7|— 0,9/737,0] 11,0] 5,0! 48,4| 4,9] » 

a Céphée ........ 21.12.36,48|+ 1,45|-132,36| 54. 6.42,;|— 0,b|736,8] 9,4| 5,34 16,1] 4,81» 

G Céphée.... .., 21.24.21,88[+ 2,08/-132,23| 62. 3.37,51+ 0,51736,7| 9.3 4814 25,2| 6,3 » | 

Jupiter, centre. ...|21.38. 7:60 + 0,06 337:1 2.25,0|— 0,8 47 —1.44,0 » [Au méridien. Ondul 

[Anonyme .,.,... 21.47.24,02/+ 0,38 g- 8:2242l— 08 — 32,1 » i 











19 


74 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843. 










































































CORRECTION a = 1 = = 2 | 
= PASSAGE de MOYENNE | =° Z fJruenuouërre. EE 5 |% 
= NOM CONCLU 4 , = = a | = = = | 
= A des [ZE | à [TT 5 | <]$| REMARQUES. 
z DES ASTRES. à l'iustru-| Ja 2 A a Inté- | Exté- = S |E 
FIL MERID. À eut, pendule. VERNIERS. "19 2 rieur. | rieur. 2 8 | = 
| 2 : = ME | 
[ | b. m. s. s. s 1! o © DR) 0 | 
30 Verseau....... l21.52.51,16+ 0,13 — 0,9/736,7[+ 8.8|+ 4,8 —1.17,3 B. 
8 Verseau. ....... 22. 6.23,341+ o,12 = 154 8,8| 4,7)-1.19,2 » |Ondul. 
a Pégase... ...., 3/22.54.47,02|+ 0,35|-132,97 NA 8,3] 5,8) 34,0! 8,8] » 
Anonyme........ 23. 2.38,26f+ 0,10 NA —1.26,6 » 
y Poissons ....... 23. G.52,461+ 0,22 - 4,5 — 54,8 » 
Anonyme. ....... 23.12.59,26|+ 0,10 — 1,3 —1.26,2 » s 
13 Andromède....|23.17.24,57h+ 0,78 — 1,2 5,0} 4,2 » 
Anonyme. ....... 23.25.17,70/+ 0,21 — 144 8,2! 5,0- 58,8 » 
19 m Poissons... .|23.36 13,124 0,22 — 1,8 45|- 54,6 » 
Anonyme........ 23./42.32,02]+ 0,10 — 2,0 —1:27,0 » 
Anonyme....... 4123.44.49,981+ 0,10 — 18 —1.26,8 » 
w Poissons .. ....123.49. b,06[+ 0,26 358.12. 4,21— 1,9 — 48,6 » 
a Andromède.'. ...|23.58. 7,84] 0,52/-132,84| 20.25.28,5/— 1,4 4of- 18,7| 8,o| » 
y Pégase. ........ o. 3. 0,364 0,35|-133,02] 6.30.52,5— 2,0 8,0! 4,0 35,8| 6,» 
a Cassiopée.. ..... 0.29.29,56+ 1:16|-132,60! 47.52.10,0/— 1,9 8,0] 3,24 9,6] 6,0! » 
65 à Poissons, préc.| 0.39.19,16[+ 0,50 19: 3.14,5|-— 2,1 — 20,3 » 
68 Poissons... . | 0.47.12,38|+ 0,53 » 
a Petite OurseS..4| 1. 1.10,90 80.39.15,5— 1,4 78| 2,6 52,6| 5,2| » 
40 v Poissous....3| 1. 8.42,33]+ 0,49 15.38.15,0— 1,7 78| 2,6]- 20,8 » 
98 a Poissons. .... 1.19.49,08!+ 0,25 357.32.21,5|- 1,7|7 75] 2,1]- 50,2 » 
104 Poissons... ... 1.28.42,581+ 0,34 9.41.22,7|— 1,9 = 3752 » 
110 9 Poissons... .| 1.34.57,94]+ 0,28 0.34.11,2|— 2,2 = 4,1 » 
111 Ë Poissons....| 1.43.17,34]+ 0,22 354.37. 5,7] 2,2 m5 1,7] 55,6 » 
1213 à Poissons,suiv.| 1.51.47,00f+ 0,22 354.12.40,0|— 2,3 — 56,2 » 
12 Bélier... ......4| 1.56.11,78|+ 0,44/-133,08] 14.55. 0,5|- 2,0 — 25,5] 3,9| » 
loiBülien--) se: 1. ; 3.12.54,90f+ 0,46 16.21.40,2/— 0,9|7 6,2] 1,1]- 23,5 » 
ICLL. 56) Piazzi ..3| 3.15.31,95|+ 0.94 41.29.15,5|- 1,5 + 3,2 » |. 
15, Taureau... 3.20. 4,52l+ 0,53 4.35.40,2|-— 1,2 1,1]- 39,1 S 
10 Æ Taureau....| 3.26.43,18[+ o,21 352. 6.20,2|— 2,8 1,0)-1. 0,8 » [Ondul. 
23 à Eridan...... 3.33.35,o00f+ 0,10 341.54.54,2|— 3,3 6,3| 1,0j-1.27,7 » 
131 u* Taureau. ..4| 3.41.29,83]+ 0,26 358.15.40,0|— 3,2 0,9 491 » 
351} Taurean.l.. 3.49.50,g0[+ 0,3» 4-14.33,5|— 3,0 o,9]- 39,2 » 
142 b Taureau.....| 3.55.11,02lt 0,53 20.45.59,7 — 2,6 — 18,5 » i 
44 P Taureau.....| 3.b9. 8,g8l+ 0,49 18.15.39,0/— 3,8 6,4] o,7[- 20,9 » [Le ciel se couvre. 
9 Soleil, 1er bord (*).|17. 2.10,66j- o,o1 329. 8.50,2|— 1,4 11,3 8,3j-2.28,0 » [Bord inf. à 3m20$. 
Al yreeioec 20 » 18.32.22,611+ 0,70|+ 44,99] 30.49.52,2|- 6,5 10,7| 8,5 7,5] 6,7] n|Niv—2P,65. 
Nadine see: 108 2 218.25. 2,9| 0,0 » [Moyenne de 10 obs. 
Anonyme. ....... 22.47.20,24f+ 0,10 342. o.14,2|-— 0,6|7 9,8! 6,3j-1.25,5 » 
CHOSE OR 22.07.44,52l4 0,354 44,561 6.33.54,2|- 0,3 — 35,4] 4,8» 
[Anonyme 9—-10°25/\23. 535,484 o,10 » 
ANONYME. ....... 23. 7.18,60}+ 0,10 341.40.28,2/— 1,5 —1.26,2 » 
y Poissons... .... 4123. 9.49,73[+ 0,22 354.38. 2,7] 17 2240 » 
jAnonyme........ 23.15.56,56/+ o,10 340.58.10,0[— 1,8 —1.25,8 » 
L3 Andromède. ... 23.20.21,79 + 0,78 34.14.42,2 — 0,9 41 » 
Anonyme....... 3/23.22.41,734 o,21 352.30.26,5|— 1,7 — 58,9 » 
[Anonyme eee es 23.28.15,02]+ o,21 352.39.18,2|— 1,7 8,3) 5,2j— 58,6 » 
19 m Poissons ....|23.39 10,52}+ 0,22 354:49-29,5|— 2,2 8,0! 5,0 54,4 » 
ATH TG RENE 1.59. 9,16{+ 0,441+ 44,30! 14.55. 2,2— 1,7 721 27 25,1} 6,1|» 
æ Baleine........ 2,54.53,561+ 0,23/+ 4/4,09|355.40.31,2|— 1,8 b,7| 1,4/— 52,5) 7al» 
RIPELSÉC relaie + 24 4l 3.13.59,208+ 0,94 + 44,151 #1.29:15,01— 1,817: 6,5 114 3,1! 4,6» 


(*) Avant cette vbservation la pendule a été avancée de 3 minutes. 


75 


Observations faites à la lunette méridienne en Décembre 1843. 


































































































































































PASSAGE SORSEGRE MOYENNE | = 8 > THERMOMÈTRE. Ê. = = 
5 NOM ea de nnle BUIX OS 2 é | S 
=] d CONCLU a , as ci el 2 mt — A 4 Z 
ë %. Sal | £ 2 | REMARQUES. 
‘ DES ASTRES. ë l'instru-| a 25 2 Jinté- | Exte- = 3 15 
FIL MÉRID. | ent | pendule] VERNIERS. | © © 4 rieur | rieur: 2 SE | + 
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æ Taureau....... 427.442 8.23.10,7|— 2,4|735,4{+10,9|+ 1,0] 33,5| 6,8|B. 
BAONON. 1-06 FE 7-48,2 » 
y Orion........ 3) 5.17.31,7< 358.2415,2|- 4,41735,5 0,71- 48,7 » [Le ciel se couvre. 
17|Uranus, centre... .|23.55.39,20 350.53. 6,2|- 2,5|738,7 1. 3,8 » [Au méridien. Ondul. 
« Andromède.…. ..… o. 0.44,54 
pUPÉpASES EE. ee 0. 5.537,00 0,35|+23,80 3 
57 A'Taureau....| 4.11.35,40 £ — 37,5 » |[Ondui. Brouillard. 
69 v' Taureau. ..| 4.17.24,38 - 25,9 » | Id. » Id. 
79 b Taureau....f| 4.20.31,72 — 38,9 » Id. Id. 
œ Taureau....,.. 4.27.23,984 0,37|+23,50 — 34,0] 2,8| » Id. Id. 
z Taureau ....... 4.33.18,80 44 .bo. = — 25,6 » [Très-ondul. Brouill. 
101 Taurean ..... 4.51.12,86 36 7 < — 34,7 » Id. Id. 
e Taureau... ..... 4.54.12,10 13.33.15,2|— 1,7 227,2 » Id. Id. 
BlOnons trees 5. 7.27,741+ 0,12/+23,151343.49.19,5|- 4,5 -1.22,6| 6,0| » Id. Id. 
23 M Orion...... 5.15. 3,561+ 0,23 355.35.19,7|— 3,3 
Anonyme. ....., 5.23.52,42 357.23.11,2/— 3,5 
125 l'aureau.. .... 5.30.29,68 17.59.39,7|— 2,0 
»31 O Taureau ...| 5.38.45,58 DE 6.57.14,5|- 3,0/738,6 
MOrIONR ee. e 5.47. 8,84{+ 0,271+23,181359.34.12,5|- 2,8,758,6 
31|Soleil, 12° bord... .|18.38./4,56 .48. 0,6 -2.33,3 » [Bord inf. au mérid. 
LAiglehe es. Ne 19.42.59,36 30 23,7:+ 1,2|7: 6,3] 44,0/59,0| » |Très-ondul. 
œIGYgnes. 2 20.35.55,23 36.54.44,5|+ 1,5/733,6 De 1,4| 2,2] » Id. 
B Céphée........ 21.26.23,24 62. 3.29,5|+ 1,8 733,4 4,014 25,2! 3,4] » Hd. Niv.—3p ,6. 
æ Andromède.....| 0. 0. 9,90 20.25.19,5 + 1,31732,6| 6 £ 
HIRESASEE =. ee o. 5. 2,40 6.30.44,0 + 0,6 
Anonyme. ..:.... 0.10. 5,58 2.32.19,2| 0,0 
Anonyme. ....... 0.14. 6,66 346. 8.52,0 + 0,2 
Anonyme........ 0.19. 1,46|+ 341.28:20,2 — 0,2|732,5 
a Cassiopée....... 0.31.31,21|+ )—10,37] 47.52. 3,54 0,71732,5 
65 « Poissons, suiv..| 0.41.21,44 
læ Petite Ourse S..4| 1. 2.58,82 80.39.19,2|+ 0,3 ! 52,6! 6,4] » |Moyenne de 4 obs. 
90 v Poissons. .... 1.10.44,481+ 18.38.10,0 — 0,3|732, 0,6:- 
LATE CROP AGE 1.58.14,12l+ 0,44 k È 2 
DBélier- er. 2. 9.17,94]+ 0,40 A 1; 
72 p Baleine... ... 2.18.15,36[+ 0,07 PS9 rase 0,5 
29 w Bélier... .... 2.24.12,50]+ 0,35 6.32. 6,5! 0,0 
» Bélier... ...... 4|°2.29.48,71f+ 13.28.36,5| 0,0, — o,fi— 27,0 » 
Lune, 1 bord... .| 2.41.51,08|+ 0,39 10.49.41,5 - 0,3 732,3] 5,2,- 0,5 30,4 » {Bord inf. au mérid. 
Baleine. secs 2.53.58,381+ 0,23/-10,99/355.40.29,0 — 0,8 — 0,8— 53,7] 6,5] » [Ondul. Brouillard. 
DBÉlier =. es 3. 2.33,86|+ 0,40 11.19.38,0 — 0,3 — 0,7 29,7 » Id. Id. 
g Bélier.......... 3.14.57,38+ 0,46 16.21.38,0 — 0,3 l- 0,8 25,6 » Id. Id. 
biATaureaus, . 3.22. 6,92]+ 0,32 4.35.35,2 — 0,1/732,3| 5,0o- 0,8 — 39,0 » Jd Id 
BiOrIOD es es 5. 6.53,54{+ o,12l11,11/343.49. 7,71+ 0,2 731,8] 3,7|+ o,2]-1.21,4| 2,5] » Id Id 
23 M Orion...... 5.14.29,161+ 0,23 355.35.11,7— 0,2 — 53,7 » Id Id 
Anonyme. ....... 5.23.18,08{+ 0,24 357.23. 4° — 0,2 731,8 3,5!- o,2!- 5o,b » Id 1d 
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77 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenees au 1° Janvier de cette année. 
















æ ANDROMÈDE. ANONYME. 65 £ Poissons, PRÉC. 111 Ë Poissons. 29 w BÉLIFR. 
ohom +28°15' Ob{nm -603/ ObAim 4+26°54/ 1h15m +2°24! “ 2h24m +14°20" 
Janv. 17 26,91 Oct. 23 135,34 43,2 |Déc. 6 27°,72 13,2 |Janv. 17 25°,87 341,7 Janv. 17 185,58 971,5 
25, 17,02 21/,8 |Déc. à 3 13,41 46,5 8 27,96 11,7 31 25,95 36,3 |Févr. 1 18,69 5,7 
Févr. 1 16,98 31 13,38 49,7 Moyenne 27,84 12,4 Févr. 1 25,82 35,8 2 18,67 5,5 
; 2 16,97 19,4 | Moyenne 13,38 46,5 < 2 25,96 33,5 .8 18,70 729 
Mars 11 16,92 197 65  Porssoxs, suiv. Déc. 8 25,38 37,6 Déc. 31 38,55 3,9 
1 31 16,91 18,0 Axosxue: “aim HE Moyenne 25,90 35/,2 | Moyenne 18,64 6,1 
Avrit 11 16,91 24,0 obio 10042" (Janv. 3 285,25 13,1 
14 16,89 24:29 loc. 23 85,46 32,9 17 28,19 15,7 113 & Porssons, suiv. net 
27 16,85 Déc. 3 8,44 34,8 [Déc. 31 28,15 4b53m 4200! ns CE 
Mai 1 17,00 192 3 8,14 32,6 | M 8,20 1 Janv. 17 55,50 11,7 | ee 3 L! 
5 1098 198 4, 1 rs oyenne 28,2 44 37 55,66 33 Déc. 31 545,65 414 
11 17,04 oyenne 6, 3 68 À Poissons. Févr. 1 55,67 3.8 un 
Nov. 30 16,95 23,3 a CassloPée S. ohagm 2 55,68 4,4 a: 
Déc. 3 17:11 24,9 Janv. 3 20°,98 8 55,71 5,0 9° 51m -0°24' 


6 16,91 26,b 2 RU RC 17 20,93 Déc. 8 55,53 1,9 


8 16,98 26,6 Janv. 17 38*,:16 31,3 Déc. 6 21,16 ARMES D 














HR E6 25 365 da | 8 aus Te le 
rte) évr. 1 Ha . Moyenne 21,05 Ron B 26,47 93 
Moyenne 16,96 22,5 2 38,08 32,3 ER 0 À ph Déc. 3 26,20 
8 38,11 29,6 10m 426°26/ anv. 17 20,15 60,8 Moyenne 26,32 1134. 11,4 
y Pécase. Mars 11 38,05 31,8 A 31 20,09 60,6 
D 38.0 H° Manv. 3 5o,77 14,8 févr. à 20,15 63,0 3a & Bé 
Ob5m +{go18" 18 3 "86 33% 17 51,03 14,5 2 20,11 60,2 Tor 
Vanv. 17  9°,32 35",5 19 Er As De Euleeae 5103 17,4 8 20,10 59,9 2h58m 428°55/ 
25 9,35 EME 84 » |Déc. 8 5o,gr 13,4 Mars g 20,01 60,6 |jnvy. 3 345,53 231,3 
Févr. 1 9,34 36,0 24 37 86 20,5 EP 10 19,93 65,4 Ipévr. 1 34,53 25,1 
PL 2 9,28 34,9 ASTURTE 38,17 346 Moyenne 50,93 14,7 [Mai 11 20,17 58,0 2 34,55 24,9 
nié, 972, 39,0 13 38,15 27,0 98 x Poissons. ART Cr 8 34,52 248 
ept. 21 9,56 33,2 14 3 FATE 31 20,11 55,0 Ipée. 3 34 70 22.6 
LD 9,52, 34,6: 3 3702 3, 1P21m 45°19! [Juin 13 20,05 58,4 a 
6 948 349 13 TT 222 Janv. 3 57,88 50",6 21 20,16 59,4 Moyenne 34,57 24,1 
13 9,73 32,7 ee UE 31.6 7 57:71 52,9 23 20,16 B . 
14 9:55 38,0 IMai : 38.00 32,6 Févr. 1 57,88 52,2 [Déc 8 20,08 58,8 a Bareine. 
20 9,68 34:9 5 38,05 28 SU SES TRE RIE ,9 216 61,0 2h5am 43098 
22 9,74 341 11 38,27 30,9 Déc. 3 57:87 35,0 3x 20227 58,3 Janv. 31 4°,87 10/,2 
23 9,39 36,0 [Juin 12 3817 8 57,69 57,2 Moyenne 20,11 60,0 [Févr t 456 7x 
Nov. 26 9,41 36,7 13 38,35 34,7 | Moyenne 57,79 55,3 3 ti 60e 
30 949 372 [Déc 6 38/32 310 CAES 8 476. 8% 
“LE ES . Fe 3847 308 104 Poissons. 2h5m 429055 RE que 6: 
à 98 ie 31 38,34 29,0 ki 43029 |janv, 17 16165 51,8 [Mars 11 486 15 
9» 2 | m 38 08 3,3 Janv. 17 5o°,88 13,5 31 16,65 48,9 I fe 
8 gi 37x uyenne 38,08 351,5 Déc. 3 51,14 7,9 |Févr. 1 16,64 49,5 [juin 12 LE 10,0 
37 936 2 a CassiopéE I. 8 51,19 94 2 16,75 56,9 21 4,68 11,6 
+ LE »7 Moyenne 51,07 10,3 | Moyenne 16,67 51,8 23 4,56 
Moyenne 9,46 35,8 0hS1m +55040/ 26 4,60 10,4 
Mai 1 38,00 29/,4 110 o Porssows. 0' Bérter. Juill 2 4,52 9,2 
ANONYME. 11 38,05 928,4 1157m 48024 2bgm 419010 DL SE 
12 38,14 30,8 |Janv. 17 6,45 531,8 Déc. 31 245,03 16,1 |Déc. 9 4,64 11,4 
4 3, 7 er 19 38,02 31 6,46 52,8 Pare 31 4,47 140 
ct. 23 125,89 4" 22 38,10 27,3 |Févr. s 6,47 52,1 TERRES RE 
Nov. 26 12,57 nc Juillet 3 38,03 7 5 Fox 519 ohiEmeis0pt Moyenne 4,63 1,1 
30 12,71 5,1 5 38,14 24,0 8 6,70 47,4 |Janv. 31 21°,93 7,8 S BE 
Déc. 3 a2,71 3 6 38,24 Déont 3006.63 539 2 ds 76 GREAeR. 
31 12,43 5,9 7UN38;17 GMU6,48 :br,b |Dèc. 3: 21,717, 4,0 5h2m 41907! 


Moyenne 12,66 4,3 | Moyenne 38,10 28,0 | Moyenne 6,53 51,9 | Moyenne 21,86 6,5 |Déc. 31 39,65 43",8 


20 


18 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année. 


































56 : Béuer. 5 f Taureau (suite). 35 À Taureau (suite). 64, 3: Taurrau. a Taureau (suite). 
52m 426°39/ 5l95m +12°54" 5151m +12°2/ a15m 41700" ab26m +16°44/ 
Janv. 31 535,96 33,6 [Févr. 8 12,78 35/1 Févr. ro Bg’,4o 23/,1 |Janv. 17 3°,08 29,2 |Févr. 2 B5°,00 17/,3 
Févr. 1 53,4 34,7 11 012,750 34,7 11 9,24 28,5 SSI 20 2577 8 55,03 16,5 
2 53,89 33,8 [Déc. 6 12,73 37,3 (Déc. 8 5g,05 29,8 Févr. 1 2,98 25,1 10 55,07 12,9 
8 53,81 38,0 8 12,80 35,5 Moyenne 59,30 28,9 21h :3,08..28,x 11  54,8r 15,1 
110803:6710 *34:7 31 12,85 35,8 ? 9 [Mars 10 3,21 25,0 [Mars 9 35,03 15,5 
Moyenne 53,77 35,0 Moyenne 12,76 35,1 42 d Taunrau. Moyenne 3,09 26,6 . né sde ne 
02 » 
& PSE 5h57m 428°34! 6»: T À 13 55,04 13,7 
œ« PERSÉE 19 AUREAU es : 18°,8 re 9 v ER 16 5h ; 
5b13m +19017! 5h28m -g°6/ 31 18,83 11,1 ab16m +22°26" 17 OS 137 
janv. 31 8282 487,3 Uanv. 31 Sup por (Févr. 2 à88x 140 [Févr 8 55,34 G1"8 | 21 5513 136 
Févr. z 8,77 47,4 [Févr. 1 51,72 10,4 2 18,66 13,9 10 55,13 63,6 28 55,11 15,2 
2 8,68 48,0 2 51,87 4,8 8 18,58 16,4 11 55,06 62,7 |Avril 11 55,01 11,8 
11 8,75 51,77 41 10 18,80 10,6 [Mars 11 55,16 63,4 12 54,94 17,1 
Mars 9 8,53 49,0 11 b1,99 3,8 11 18,67 12,4 19 0425000) 15 54,98 14,3 
10 8,50 49,3 Déc, 6 51,70 4 8 |Déc. 8 18,69 16,5 16 55,21 59,0 Mai 12 54,96 
11 048.64: 51,2 DE 5075) Moyenne 18,75 1459. TE Aa 55,11 be Juin 20 ee 1232 
13 8,35 49,5 Moyenne 5177 5,8. Déc. 6 55,26 64,6 22 54,88 1754 
16. 8,53 4/9 é 44 P Taureau. 17 55,35 6r,9 23 55,02 13,6 
17 E 7e 23 3 EriDaw. Abim 42693" Moyenne 55,23 62,6 pe ES 12,6 
1 , 0 - : : 7 L) 
Juin 13 825 48,3 sh55m 49047 [Janv. 17 1679 56,1 79 b Taureau. 3 54,99 12,5 
_ 8,66 anvigr 43°69 60,6 L ETC (PEUT ‘ é 4 55,19 15,5 
SR CBS 76 [Fée 10443707 Go Févr. 1 16,78 55,4 Ah20m 412044" 5 54,94 13,4 
Juill 2 8,85 45,6 2 43,69 58,1 2 16,92 52,0 |janv. 17 2°,69 41,7 7 54,82 148 
3 8,82 LL 8 45,90 d 8 16,65 55,2 31 2,6 36,3 12 55,01, 12,2 
4 8,69 47:7 11 43,066 60,6 Le 16,85 56,8 |Févr. x 2,70 359 15° "5h02 60 
# 8 RE 6.136 33 11 16,93 51,5 Sort 138 17 55,06 13,1 
5 & à 48,7 |Déc. È Fe ni ee Die. BE pa ES r ‘ 9! : NE 
+ 87 AS 5200567 pe M7. 2797 AIR 4 ? 
Dés: 9 8.87 46,1 Moyenne 43,69 58,2 Moyenne 16,52 54,4 10 2,81 nn D n pe 12e 
Em — II 2,72 éc. UE 
Moyenne d,70 47:9 25 A iunrR. 48 Taureau. Déc. 17 Fe 3qr 9 PACE ne 
7 Bé M ocre hôm 4301 | Moyenne 2,77 37,2 7) DRE, 
64 g Béuren. LS 5 . je AUTRE NE # Fe k 7 | Moyeune 55,01 14,6 
5h{5m 42409 ["EVre 9 56 n _ * 7 st du: 86 p Taureau. 
: ë se A °7+ , 
Févr. 8 2 87 ie He FAC 63 Fr ANONYME. 
Déc ‘6 8e . > é 2 5191 732 Janv. 17 56°60 Ab3im 19055! 
; 8 285 188 31 4° Taureau. 8 21e Pa 31 56,47 Févr. 1 36°,85 
+ Fr “ 11 21:79 »0 |Févr. 1 56,62 2 36,81 
31 _299 Boo hasm tes" Déc 6 517 78 2 56,70 Mivende 55% 
Moyenne 2,55 40,7 À LA ï Sie ms Moyenne 51,82 7,3 8 Éte ÿ 
; ; 10 2 
III, 56 Prazzr. 2 38,32 25,4 57 h' Taureau. , 56,68 + Taureau. 
3h17m 419917 Le sn 7 auiim 413938 [Mars 10 pue AhS2m 422938" 
; ; 11 7 
Déc. 6 38',90 48,6 IDéc. 8 38,17 26,3 (Janv. 17 7',42 64/,0 16 56 GR Févr. 8 49,77 59/6 
RE 47 Moyenne 38,22 24,5 Has 606 17 56,55 10 49,72 954 
Moyenne 38,90 48,2 4 CHE |Févr. 1 7,58 638 RÉ 11 49,07 59,0 
35 À Taureau. 2 7,66, 64,4 | Moyenne %b,62 Mars 11 49,70 59,4 
5 f TauREAT. 8 7,38 61,6 13 49,70 58,9 
; 5h5im +1902" 10 7:60 57,8 a Taureau. 16 49,73 55,3 
&h22m 412095 Janv. 17 59,38 31,5 11 751 6o,2 Ah26m 416°44/ 17 49,74 58,7 
TRE ; + 
Janv. 31 12°,63 347,6 31 59,35 30,4 [Déc 6 7,48 64,1 |janv. 27 55,01 20",0 Dé 6 49:63 59,7 
Févr. 1 12,74 34,8 |Févr. 1 59,37 28,7 17 79 66,1 31 54,87 14,8 17 49,74 57,0 


2 12,81 33,4 2 59,34 30,3 | Moyenne 7,54 62,5 |[Févr. 1 55,04 13,2 | Moyenne 49,71 58,1 


79 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 183, ramenées au 1° Janvier de cette année. 











54 Ertpaw. a Cocrr. 
Ab35m -19°58" 5h5m 
Janv. 17 34,38 36/,4 Janv. 17  6',17 
Févr. 1 34,41 41,1 31 6,12 
2 34,43 38,9 [Févr. 2 6,27 
Mars g 34,61 su 6,18 
Moyenne 34,46 38,8 Mars 9 5,99 
10 5,94 
11 6,05 
101 Taureau. 13 5,97 
Ah5Om +15°40 e e 
1 03 
Janv. 17 43,92 27/,2 MG où 
; 31 43,87 24,5 30 5,8x 
Févr. 1 43,87 25,1 |A 12 5,80 
LRO ES 15 5,68 
11 43,82 25,0 19 5:85 
Déc. 17 43:93 25,7 IMai à 5:90 
Moyenne 43,88 25,3 12 6:24 
22  B:9b 
102 « TAUREAU. Juin A pe 
2 22 
4b55m 494094! [Juill 2 6,14 
Mars 9 42°,94 30/,3 4 619 
10 43,00 31,9 5 5,99 
11 42,98 32,1 16 6,14 
13 42,91 35,0 21 5,99 
16 42,97 32,2 28 5,96 
17 42,96 27,2 29 6,15 
Déc. 17 43,07 33,8 [Août ù Lx 
Do 6 Does ps 
IV, 306 Prazzr. Moyenne 6,05 
4h59m B Onrox. 
Janv. 31 10°,87 
Févr. 1: 10,98 5b6m -8°925/ 
2UTT- OT Janv. 17 59,51 20",6 
TI 11,07 31 9,43 20,2 
Moyenne 10,98 Eve ENT ne 
2 12 + , 
11 59,80 23,3 
G Eripax. Mars 9 59,55 
: sn. 10 59,71 
590m -5°17 r: 59,08 
Janv. 17 774 47,8 13 59,69 
. SL 7:73 36,4 15 59,8b 
Févr. 1 7,58 38,8 16 59,85 
2 781 36,5 28 5g,71 16,9 
8 7,96 44,6 30 9,79 22, 
11, 7:83 37,3 [Avril 12 59,60 21,1 
Mars 9 8,04 44 15 69,87 17,8 
10 7:95 42,4 19 69,81 16,2 
11 7:90 4132 [Mai 5 59,39 17,9 
13 7:99 374 12 59,65 22,5 
16 52 43,0 22 59,63 21,4 
Moyenne 7,89 40,3 [Juin 13 59,65 20,8 


G On1ox (suite). 


5h6m -8025/ 


Juin 20 59,50 17/,7 
23 59,59 20,b 
26 59,64 20,8 
Juill 2 59,55 17,9 
L 5949 192 
5 59,64 15,8 
12 D9,61 17,6 
15 59,56 19,5 
16 59,33 19,1 

28 59,44 
29 59,49 21,6 
Août 1 59,68 17,8 
5 59,53 21,0 
7 59,66 20,5 
Déc. 3 59,52 20,1 
6 59,42 16,1 

59,4 
5 530 16,6 


31 59,59 18,2 


Moyenne 59,60 19,3 


109 7 Taureau, 


5hgm 421955" 


Mars g 50,85 38",5 
30 5o,7g 36,0 
11 50,74 35,9 
13 5o;Br 37,8 
15 50,67 36,2 
16 5o,8r : 34,3 


Moyenne 50,75 


B Taureau (suite). 


äh{6m 428999! 





ANnlx 217 LUS 
15)23 180 0 61 
391022,111 00210 

Mate \bioian;r3e. 28 
12 T1 0 02,2 
29 22,11, 16 

Juin 23%u2,10 r,5 
26 22,17 2,6 

Juill. 2 22,27 4,0 

L022,17,.3%4 
12 22,39 59,0 
102257 UT 
17 22,201 2,2 
28 22,23 
29 22,19 24 
Août I 22,2 5,0 
D'U22,24100 1,2 
7UN22,3bh#r070 
CCE ONE 
Moyenne 22,23 3,2 
y On10N. 
5b46m +6012' 

Déc. 3 425,62 6,8 

6 42,57 6,6 
9 42,74 1,3 
Moyenne 42,04 6,2 


G Lrèvre. 





5h21n -20055/ 
23 M Oniox. (as 17 315,11 28,3 
\ 3 0 2 
5hiam 45025" Févr : ue SA 
Déc. 17 35°,00 12/,9 5 CAT 8 
31 34,98 12,2 11 31,34 278 
Moyenne 34,99 12,5 [Mars g 31,21 22,6 
10 ST, 120 26,5 
B Taureau. 11 31,20 : 22,4 
13 31,29 26,7 
5l{6in +28°28! 15 131;27 2558 
Cévrt 1022%,35646/7,1 OMS r2r 0 25 
2 22,25 #7 Moyenne 31,17 25,0 
8 22523 5,6 
11 22,04 2,9 
Mars 9 dual SA ANONYME. 
10 22,32 3,6 LD ASE 
12252100 3,1 |. me does 
13 22,25 0,5 [Déc. 3 24 de 5,7 
15 22,38 5,9 6 23,74 6, 
16 22,19 3,0 17 23,84 a 
19 922921 7,7 31 _23,82 8,4 
28 22,28 6,0 | Moyenne 23,85 . 7,1 


æ LIÈVRE. 


5h25m 17056! 





Janv. 17 48°,30 26/,5 
31 48,10 25,9 
Févr. 1 48,16 26,4 
2 48,43 24,2 
11 48,60 28,0 
Mars 13 48,47 27,0 
15 48,71 24,0 
16 48,41 
17 48,58 26,0 
13 48,39 28,8 
19 48,71 27,3 


Moyenne 48,44 26,4 


€ Taureau. 


5b28m 42409! 


Déc. 6 x5°,82 27,3 
125 Taureau. 

5h30m 425048! 

Janv. 17 oo 6,8 
3r o,b2 9,1 

Févr: r#N0:6718;2 
21040, 550 4853 

11 0,26 4,7 

Mars 9 o,52 6,1 
TO 00,52 T8 

ES AE LE 

13 W0,7# 06; 
151M60,55M06;0 

Déc: "17.200,59 7,7 
Moyenne 0,58 7,1 

13 y Lièvre. 

5h57m -29030" 

Janv, 17 54,82 19/,5 
fFévr. tr. 55,19 ,17;r 
Mars 9 55,16 15,3 
10 55,10 16,5 

11 55,06 .15,0 

13 55,31 15,4 

15 55,29 17,6 
Moyenne 55,13 16,6 


131 O Taureau. 


5h58m +14025! 
Mars 16 16°,69 26/,6 





19 16,67 28,6 
Déc. 6 6077 26,5 
17 16,80 29,0 


Moyenne 16,73 27,6 | 











80 


: Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1°° Janvier de cette année. 





136 C TaurEau. 


Mars 10 


IL 
13 
15 
16 

18 


19 


5basim 427054 


2760 37,5 
2761 6,9 
27,49 5,9 
27,70 1,5 
Ses 4,3 
27,49 134 
27374 70 


Moyenne 27,62 [AA 


x Or10N. 


7 


56m 47022" 


Lo°,38 16,5 
Lo,38 13,3 
40,43 14,7 
40,43 14,3 
Lo,38 14,9 
ko,k7 15,5 
40,54 12,4 
4o,48 3,1 
Lojo 14,5 
40,56 17,9 
4o,4r 17,1 
40,358 19,8 
40,26 17,4 
40,43 

Lo,27 14,4 
40,23 19,8 
4o,28 16,0 
40,44 16,5 
40,19 13,9 
40,22 19,7 
40,37 16,7 
40,27 

4o,27 15,0 
40,59 17,7 
h4ou5 15,5 
4o,k1r 16,7 
40,37 14,1 
40,42 

Lo,24 35,5 
40,43 16,4 
4o,;2o 154 
Lo,28 15,3 
4o,27 16,5 
40,28 15,9 
4o.,39 16,3 
40,39 19,9 
40,38 15,9 
40,38 

40,38 

40,30 19,7 


40,23 17,4 
Moyenne 40,36 


3 GÉMEAUX, 


6bom +2307 6b{8m 420054" 6h38m —16°30" 7b6m +2809/ 
Janv. 17 11°,91 59”,8 [Mars 16 36°,38 60/,8 |Août 21 13°,77 22/,8 |Mars 15 8,44 
31 12,01 93,3 17 36,36 62,9 24 13,75 22,8 16 8,49 53/,0 
Févr. 1 12,00 56,3 18 36,31 61,0 27 13,63 22,6 17 8,43 478 
2 12,03 D7,6 19 36,48 59,1 28 13,75 24,1 18 B,4r 53,2 
11 11,94 55,4 Moyenne 36,38 60,9 Moyenne 13,85 22,2. 25 8,34 52,5 
Mars Q 11,07 99,2 24 8,41 46,2 
LOL 580 27 e GÉaaux. (855) Gémeaux. 30 8,51 51,2 
16 HS Gh5am 425046! rte Moyenne 8,43 50,6 
—— Févr. 12 16,16 48/,2 |Mars 16  8°,57 
Moyenne 11,92 2b,0 g 16,05 48,5 17 8,44 55 à Gémeaux. 
10 16,04 50,8 18 8,56 
4 GÉMEAUX. 13, 16,28 47,6 19 8,66 7h{0m 492015! 
Ghom 42301' 18 1608 483 M ae 
€ » ’ RME Mars A PL 
Mars 17 58,38 g',1 19 16,15 54,6 Mereonesse e 3 46,7 
19 _58,61 1177 Moyenne 16,15 497 (859) GÉMEAUX. "15 44,48 
Moyenne 58,49 10,4 16 44,46 54,0 
a Graxp Cmiex. 6bagm 41806" 17 44157 per 
: s " 
8 GÉMEAUX. 6h38m -46°30" Pa e LR Te : He Et 
, Janv. 17 13°,83 22,8 RAT 12,7 o4 LES 475 
LL Oo 31 13,85 3hn7 138 30 4439 540 
Janv. 17 43,50 55,0 |Févr. à 13,66 19,4 2 34 08 : 5 Te 
1 150 RE 
Févr. 1 43,69 50,2 |Mars 9 13,92 20,8 Moyenne 34,12 11,2 k 
» 43,57 50,6 10 13,91 23,8 3 ; 60 : GÉMEAUX. 
11 43,44 50,6 a Sig rat 3 le dt 
Mars 43,29 50 Fe ia nee 7h15m 42806" 
9 129 17 13 13,91 23,3 6b5Am 42004; 
nee ru 15 14,06 Mars 9 47°,58 38,5 [Mars 9 525 11,79 
11 43,33 49,9 16 14,04 25,6 0 Vs 3913 10 8,10 13,8 
NE 07 17 1414 21,6 in 47:63 39,0 1» be 
Moyenne 43,49 51,5 18 14,09 24,0 15 47:60 16 58,10 11,8 
19 1414 21,4 16 47,63 40,0 17 TRE 
GÉMEAUX. 21 13,85 21,6 17 47:71 19, PROS 
* 30 13,87 25,4 18 47ôt 43,3 D 
i ? 7: 2Q 4 58,10 8, 
[Avril 7 13,97 22,1 19 47,68 38,9 ns = L 
6h7m 425017 12 13,95 23,9 21 y 35 30 58,23 17,0 
Mars 16 24°,02 11,4 15 14,13 24,7 24 b52 . Moyenne 58,13 12,3 
17 24,04 70,9 27 14,09 22,7 30 47,55 36,1 
19 24,01 13,0 [Mai 11 13,77 23,3 M Enr 38,8 a? GÉMEAUX: 
Moyenne 24,02 12,0 12 13,81 LC TON ? 
22 13,78 24,3 45 o GÉMEAUX. 7h9am 32915 
3 8 13,83 18,8 Mars 345.2D 91e 
13 Be GÉMEAUX. 14 13, 8 22,0 ce H EE + 3426 3357 
tone st 3 13,85 20,8 [Mars 10 21,46 27",3 16 34,4 29,2 
6 par 22°35 4 13,57 18 9 11 21,48 30,7 5 34,43 
Févr. 11 27°,75 11/,9 11 13,96 22,7 15 21,66 1 344 
Mars 9 27,02 15,4 16 13,89 1 9 16 21,59 30,8 ie 3035 aë 
10 2771 11,9 17 13,99 20,9 17 21,61 2b,3 A 3452 »7 
11 27372 1454 2B 13,73 18,3 18 21,60 27,5 28 3421 320 
18 27,03 15,8 laut à 13,82 19,0 19 21:77 276 30 34,41 
15 27,74 18,8 5:113,88 24,8 21 21,50 31,8 ASE 7 BLUES 
16 RES 7 13,78 24,0 24 21,49 27,3 12 34,40 32,3 
17 27,66 14,1 14. 13,87 30 21,76 28,5 14 3419 32,7 
Moyenne 27,67 14,5 17 313,95 19,2 | Moyenne 21,59 8,5 27 34,18 


16 GÉMEAUX. 


« GranD Curen (suite). 


EEE mé 








532 GÉmraux. 








81 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenees au 1° Janvier de cette année. 








a* Gémeaux (suite). 


Th94m 432013 


œ Petit Cie (suite). 








UE 45°37! 


G Gémeaux (suite). 


7h55m 428023! 





8h3m +186! 


11 34,26 33/,8 [Juin 24 45,76 15",5 Sept. 2 42°,or 56/,4 [Mars 1e 11°,97 54/1 
12 34,41 Août 7 “69 16,0 4 He.06 56,3 12 12,02 55,8 
Juin 7 34,00 374 8 4,88 17,9 5 42,09 54,1 16 12,00 58,2 
8 34.34 32,0 9 480 17,7 6 42,00 59,5 30 12,12 56,0 
21 34,43 33,5 16 4,80 17,5 7 42,08 56,2 [Avril 7 11,92 57,8 
22 34,33 33,1 21 4,54 17,8 8 42,10 55,2 12 1181 62,2 
ed) ZE LE 100 | muonctig y) 1000 629 
où #52 , Oo 19 9, 
24 34,30 27 475 17,6 a: € Moyenne 11,96 58,1 
26 34,47 304 28 469 1qi 1 g GÉMEAUX. 
Sept. 1 34:34 30,4 |Sept. 1 4,79 21,1 Re 18 y Cancer. 
2 34,32 31,7 2 4,74 23,0 2 
3 34,40 29,8 3 4,68 18,0 Mars 9 1 Le A 8b{0m 4+27015' 
4.3 2 4 68 17, Dr LEONE ET 2 - 30° 7 
É 1e) 9:9 É A 168 OLGA 11,5 Mars n- ne rs 
5 5130 29;7 6 je ma a 1e 96 17 35-00 14,2 
7 7 7 472 21, TPE 30,92 
8 34, 8 478 18,4 RO LU Go 1 28 ES 
Moyenne RS. 31,7 | Moyenne 4,72 18,9 Moyenne 1,68 10,6 |Avril 7 30,91 
12 30,84 12, 8 
(934) Gémeaux. BST 85 L Gémeaux. Moyenne 30,93 129 
7b27m 420030" : 7ba6m +20°17/ 
Mars 11 51°,04 14/1,3 7h55m 428923 | 11 9 29,54 35",6 22 w' Cancer. 
13 51,33 14,3 [Mars 9 41°,92 10 29,71 33,5 
17 Dr,3r 14,3 10 41 7 11 29,71 34,6 8h16 +28°24/ 
24 51,32 11,1 11 42,04 12 29,70 32,7 [Mars 16 54,07 15/,8 
" 30 es 15,4 13 a Es 16 29,69 ii 17 pe 156 
? 17 29,72 23,0 2 05 1: 
| Moyenne 51,26 13,9 . Fous Fr AUS 28,1 30 io He 
2 1,9 F ETRRE Mers | 
a Perir Cuiex. 28 4x, 87 59/,2 30 hrs Moyenne 54,09 15,8 
rise 30 Pas EL Moyenne 29,69 33,5 
m 45957! |Avril 1,81 o 32 
lrars s aie 7 71 + 32 Cancer. 
9 4,88 18/,1 12 41,75 56,1 2 w' Cancer. 
: Un ue 14 ae 277 5 8h25m 420°58/ 
0 , 27 1:39 57 7h51m 425048! 3, 
12 4,89 22,7 [Mai 11 42,00 56,6 [Mars 16 25°,34 60",3 Mars 16 ve TLC) 2 
13 480 192 | 12 41,93 57,5 17 25,32 57,1 7 3700 dé 
21 4,70 17,8 [Juin 1 41,95 57, 30 25,26 60,8 de 37 re 
24 4,83 7 41596 59,4 [Avril 7 25,07 61,6 hot 4107 8 
s 4:66 18,4 ë é 89 597 12, 25,021 153,3 4,747 de 
avril : pi ne mt 188 ES Moyenne 25,20 58,6 “E 3706 10,3 
12 4,69 20,2 21 Ha 5 70 Moyenne 37,1 3 
14 Fa La Be eee 4e 9 p' Cancer. yen PRE 
2 68 20, 4 ; 5 
Mai 1 HT Tru 3 MER F 2. A) use 422041" 48 : Cancer. 
tra 4,60 183 8 42,07 528 Mars 9 59°,53 39,7 es ns. 
Juin 1 4,69 22,1 9 4594 545 10 99,59 39,5 Br ar 
7 469 1gù 15 41,95 53,7 12 59,47 39,6 [Mars 30 11°,00 45",6 
8  4,5b 184 24 41,92 55,7 16 59,60 41,3 [Avril 7 10,85 49,0 
12 4,70 19,7 26 42,1t 540 | 30 59,84 44,3 12 11,01 41,5 
LLMRS LB 0 27 hank Bar [Avril 7 59,69 42,7 15 10,72 47,5 
21 4,69 13,4 4 42,07 12 59,60 38,1 28 10,8 43,2 
22 4:77 19,0 Sept 1 42,03 56,0 | Moyenne 59,61 40,7 | Moyenne 10,89 45,4 





 XGZGSS<«KK€€+5+55— 
16 € Cancer. 


55 p*? CANCER, SUIV. 


8hA5n 428055" 


Mars 12 14°,05 30!/, 
28 13,65 34,8 

30 14,08 28,4 

Avril 7 13,88 33,2 
12 13,73 30,0 

15 13,69 30,8 
Moyenne 13,85 31,2 


60 z' Cancer. 


8ha7m 412015! 


Avril 7 20°,66 11/,7 
12 20,93 17,0 
15 20,49 22,5 
28 20,72 15,6 
Moyenne 20,70 16,8 


65 #2 Cancer. 





8hagm 412027 


Mars 12 53,74 351,4 


Avril 7 53,52 36,9 
12 53,61 43,3 
15 53,62 41,3 
28 53,29 40,8 


Moyenne 53,56 39,5 


76 x Cancer. 








Sh5gm 411017" 


Mars 12 147,33 421,8 
Avril 12 14,19 40,5 
15 34,13 43,0 
28 14,16 42,4 


Moyenne 14,20 42,2 


81 x' Cancer. 


gh5m 415037! 


Févr. 12 415,43 237,5 
Mars 12 41,67 21,1 
Avril 12 41,75 25,4 

15 41,47 28,6 


Moyenne 41,58 24,6 
82 x2 Cancer. 


gh6m 415935" 


Févr. 12 335,27 18",5 
Mars 12 33,33 16,9 
Avril 12 33,18 19,5 

15 33,27 19,6 


Moyenne 33,26 18,6 


21 


82 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 4° Janvier de cette année. 











a Hxpre. x Lion (suite). 53 Z Lion. æ GRANDE Ours (suite). 87 e Laox. 
9b{49m 7058! 10b0m +12°43" 40b40m +11922/ 10h53m +62°55! 41h22m -908" 
Févr. 12 B2°,26 54,9 (Juill. 26  o°,28 53/',0 [Avril 14 50,99 29/,9 [Sept. 21 5g°,28 Mars 15 17°,61 
Mars 12 52,18 51,7 (Oct. x 0,35 Mai 1 60,08 20,9 23 ENT 521,6 |Avril 14 are 14,2 
er 30 Eos 4 2 0,12 > 8 2984 29,b Moyenne 59,21 52,0 Mai x 37,77 15,7 
vrilyNba,3r 5a;7 0,12 b1,2 9 59,79 297 : 5 17,57 23,6 
14 52,34 52,0 M = 11 59,90 27,2 GHoelr 8 : F4 15,4 
des 647 TMS ont pee 22 5986 22,7 AE Re 
. EX 574 Pen Moyenne 59,91 26,7 40b58m 42048" 19 1748 LE 
> Ê = Mars 15 53,55 222-8773 RSS 
. 28 52,26 57,4 54 Lion, Préc. Avril 14 53,59 19" 23 17,44 15,3 
Mai 11 2,00 55,2 10b8m 414930! - Pau 7 7 F 
15 Eos 8556 s Mai 1 53,98 22,4 | Moyenne 17,53 18,5 
# ne LE Mars 15 14°,57 40bA7m 425035" 0 53,34 21,7 
int 2é Ka 28 533 Avril ea sr 32 de Mars 15  Db‘gt 11 53,63 21,1 91 v Lion. 
ENT ue 550 SeaiR 2 0 a Avril 14 6,13 5",5 22 53,68 
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£ nur 245 12 14,55 98,0 [Mai 3 6,06 9:7 ii 0 no RES: Mars 15 54°,63 
Li où 4853 Moyenne 14,60 29,1 8 6,31 15,3 79 0 Laon. Avril 12 54,40 327,5 
“a FE 55,5 RP TRS 41b5m 416047! | Ma; 14; 5h70 dx 
Août 28 52,35 54.0 42 Laox. sa cu d Mars 15 59,57 Mes $ Dee Re 
Sept. 6 52,23 58,8 A RATS Le de 
20 ba,;21 52,2 s0b13m qgeas | Moyenne 6,09 9,5 Mai é 59 82 + 1 Dre 23e 
21 b2,13 50,9 Avril 27 23,24 51,8 5 59,65 5,1 _ 5458 Fe 
din Hs 4 58 d Lion. 59.65 15 56 313 
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Dont PE en ot Rnr otéce loi er 
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3 5226 53,9 112922 290 Mars 15 267,99 20 Ex D ORUEE 


5 M 2328 5 Avril 14 26,94 31” Moyenne 54,59 33 
And | EP ORNE de PERnent -8 or 33% | Moyenne 59,68 9,0 éeS VS 








M 52,24 Dé; 
oyenne 52,24 54e- BTE 3 _. ms É5 ÆRoic 3 VIERGE. 
,92 32,9 
a Liox. 22 26.08 FRE 11b37m 47094! 
10b19m 410°35/ hs ART ER \ 
40bom +190451|Mars 15 21°,07 brotl Manet 52e ani LORS SITE res “ ea 30",5 
Févr. 12 0%16 52,5 [Mai 1 21,21 37,4 Mae Lopez Mai,,5 AA 302 
À ÿ ROUE œ GRANDE Ours. 5 5r,4r 36,9 # 1 
Mars 15 0,16 11 21,00 38,6 19 51,29 32,8 8 47,05 34,8 
Avril 1g 0,32 54,2 Moyenne 21,09 38,0 10h53m +62°55/ PS 51.63 SE 9 47:05 36,1 
27. 0337. 5731 Avril 19 58,97 47/',0 = —, 11 47,22 32,8 
28  o,1t Dit 8 L 28 59,08 475 Moyenne 52,47 344 12 47,19 25,8 
Mai v 0,37 516 Ke Mai 1 5,77 48 Toni on Le 2753 
9 0,14 59,9 Juin 59,27 53 tres 22, 47,23, 25,7 
11 0,04 52, CE Es & LE } È 41b45m 49015! 23 47,14 29,3: 
22 a 50 6 Mars 15 36°,36 8 EN Fe Mai 50° Ge de ne 7 2e A 
CAR SA A RS ES re À 
Juin 7  o,28 53,7 9 36,23 55,1 14 89 {a Ba D 8. 58,80 Gr 8 Lio 
8 où4 51,1 11 3629 323 | ;, et * 19: HE 78 62£ se 
13 as Fa Moyenne 36,31 34,3 21 59,27 54,4 23 58,84 58,0 41buim #15°26 
21 O,91 92,9 Juill 1. 59,47 53,0 | Moyenne 58,56 62,7 lAvril 19 2°,90 55/,0 
. 0,16 55,0 34 Sexranr. 13 "5914 54,5 4 | ne Mai: s 9 É 
24 0,33 52,5 17 59,27 54,8 84 x Lion. 5 2,88 
Juill. r  o\16 53,r de TEE 18 59,04 8 2,85 
3  o,jo 53,7 : L Fe nr 25 59,42 53,4 11h19m +3°45' 9 2,76 
4 0,36 53,8 Mars 15 0°,87 NS TRARTSA Bo 7 lAvrilio 51,82 13/,2 NME 783 
5 o27 53,0 [Avril 27 50,69 47.9 10 Bob 50.8 14,,5086:, 7,8 AS 
7Mo,33 1 153,0 Mai 8 30,7 8,/ rat o3 ts 6 Juin 8 51,73 9,0 23 
11 30,85 6 LATE DATES En: 
17 0,20 LEE m9 | Sept 19 Bbg,;2r D3,6 13 51,78 10,7 23 2,80 
18  o,18 Moyenne 30,80 6,7 20. 59,35 : Moyenne 51,80 10,2 31 2,81 53,» 





GB Lion (suite). 


4ibate +15°26" 








y Gaanne Ourse (suite). 


11ba5m +54°53/ 


Juin 25,87 56/,9 [Mai 19 33,03 57", 
$ me 54 E 32,52 413 
12 2,84 52,5 23 32,77 61,7 
13% 02,914 bb; 320,32,9a. 63,5 
17 2,95 55,5 [Juin 7 32,92 66,9 
23 2,83, 57,3 8 32,73 65,5 
Juill. 1 2,67 56,0 12 32,91 60,9 
3 2,89 57;1 13 32,91 63,2 
Botz,zks 5b,r 17 32,84 64,5 
6 2,76 578 21 32,63 65,5 
70 L2,72 57,4 23 32,59 66,3 
18 2,81 58,4 24 32,88 63,6 
25 2,76 56,7 [luill 1 32,83 67,4 
26 2,76 56,3 3 32,93 64,1 
Août 1 2,64 554 5 32,95 63,8 
72:62 574 6 32,667 65,9 
8 2,78 56,8 7 32,87 66,9 
9 2,76 53,0 12 32,77 67,9 
10 2,80 57,5 18 32,70 63,6 
12 2,69 958,1 25 32,81 65,1 
22 2,84 54.5 26 32,76 66,2 
28 2,81 52,7 [Août 1 32,67 67,3 
Oct. 3 2,69 54,1 7 32,55 
4. 2,69 57,1 8 es 67,1 
32,62 61,2 
Moyenne 2,79 55,8 2 3358 672 
G Vrerce. 12 32,51 68,9 
22 32,75 58,9 
41h12m 420387 28 32,79 
Mars 15 31°,0g Sept. 1 a se 
: " 20 32,72 nn 
nn Dan | Die na les 6s 6 
Moyenne 30,99 59,9 lo. 3 33,47 
4 32,47 65,5 
(167) 2 Vrerce. Moyenne 32,72 64,4 


11ba15m -A°27/ 


Avril 12  o°,82 (1383) Vrence. 
14. 0,90 35", ’ 
Mai 7 e, 362 11b50m +1°21/ 
5 o,7o 36,3 [Mai 1 115,32 18/,8 
11 0,62 34,0 8 10,92 
xa 00: 43,6 11 10,90 20,8 
22 0,83 43,4 12 10,82 17,6 
Moyenne 0,80 38,3 22 10,95 22,1 
Moyenne 10,98 19,8 
y GRANDE Ounse. 
9 o VIERGE. 
14h45 454055! 
Mars 15 32°,52 11b57m 49056" 
vril 14 33,03 62",1 [Mai 1 12°,69 1o/,1 
19 32,54 65,0 5 12,67, 183 
ai 1 32,49 60,3 11u/x2,)5"; 11433 
8 32,77 12 12,46 8,9 
9 33,03 61,7 19, 12,52. 18,4 


83 


9 o VIERGE (suite). 


41057m 499356 


Mai 31 225,60 10,6 
Juin 8 12,54 15,7 
12 42,57 10,5 
Moyenne 12,57 13,3 
12 { VIERGE. 
12h5m 4198 
Mai 1 2616 5,9 
5 126,05 g;5 
11 26,05 10,0 
12 26,11 10,3 
19 26,05 6,4 
22 126,02 11,7 
31 926,22 6,6 
Moyenne 26,09 8,6 
13 n ViErcr, 
12h{0m +905’ 
Mai nor 2/7 
5, 37,35, 4,6 
12 37,44 5,2 
19 3740 7,0 
22 97,91 >7 
31 37,60 44 
Moyenne 37,47 4,8 
15 » VIERGE. 
42b{im , 40012" 
Juin 8 52,42 18",7 
12 52,46 14,9 
Moyenne 52,44 16,8 
17 VIERGE. 
12h44m 46010" 
Mai 1 33,10 41,7 
5 33h10 44,6 |. 
19 32,98 45,2 
22. 32,99 40,0 
31 33,06 42,0 
Moyenne 33,05 42,7 
(1432) Vience. 
42h49m 5040" 
Mai 1 48°,63 431,5 


5 4856 449 
19 48,38 4727 
22 48,30 43,9 
31 48,33 48,8 


Moyenne 48,44 45,8 











20 VIERGE. 


42h95m 44109 


Mai 1 6,15 39,9 
5 6,16 59,9 

19 5,95 39,5 
221,/15;918 376 
Moyenne 6,04 39,2 


21 q VIERGE. 


12h95m -8035! 


Avril 12 40°,78 10/,9 


Mai 11 40,64 7,8 
12 ,40,73 7,1 
Moyenne 40,72 8,6 
4o + Virrce. 
12h06m -g°21/ 
Mai 11 11,47 9",4 
12 11,59 7 
22 11,65 13,4 
31 11,72 13,0 
Juin 13 11,54 4,6 
2ÉNLE,5Q 4,3 
24 1164 49 
Moyenne 11,50 7,9 
æ VIERGE. 
413b16m -1002)! 
Mars 15 55°,71 ” 
Avril 14 55,70 21/,7 
Mai 1 56,02 24,6 
5 55,82 27,6 
12 55,70 30,0 
19 D55,44 925,8 
22 B5,8r 24,7 
31 55,80 
Juin 1 55,73 27,9 
7 55,67 926,3 
8 55,55 27,6 
13 55,64 23,2 
14 55,68. 25,8 
17 55,66 30,0 
21 55,56 29.0 
23 55,84 928,7 
24 55,65 22,5 
Juill. 1 55,60 29,2 
3 55,69 29,0 
4 55,74 28,5 
5 55,83 27,2 
6 55,6g9 27, 
7 587 me 
8 55,6: .| 
12. 55,75 





Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées du 1° Janvier de cette année. 


a VierGE (suite). 


Juill, 17 
18 
2% 
25 
26 
29 


Août 1: 


Sept. 7 


9 
13 
16 
17 
20 
21 
23 


24 


25 


Moyenne 55,69 


70 w VIERGE: 


Mai 5 
11 

12 

19 

31 

Juin 7 
ë 


Moyenne 45,12 


83 VIERGE. 


Moyenne 2,0b 


























15b46m -10°20" 
555,74 281,3 


55,61 24,8 
55,74 20,4 
55,61 27,8 
55,61 

55,73 21,0 
55,62 22,1 
55,68 

55,65 

55,61 30,7 
55,67. 27,3 
55,72 26,3 
55,66 26,9 
55,75 27,6 
55,64 28,2 | 
55,55 26,3 | 
55,69 27,6 
55,73 30.8 | 
55,75 : 28,2 
55,83 26,5 
55,62 27,2 
55,62 26,2 
55,65 

55,66 


55,84 


45h20m 444937! | 


45,25 51,6 | 
45,09 4,0 | 
45,07 7,0 | 
45,05 5,5 
45,10 2,9 
4519 2,8 
45,172 5,2 
45,08 4,8 


15h56m 15095 


2°,39 15/,7 
2,28 18,1 
2,06 16,3 
1,95 18,5 
1,81 16,3 
2,05 15,3 
1,89 15,8 
2,02 10,2 | 
2,09 16,1 


15,8 


84 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l'année 1843, ramenées au 1°" Janvier de cette année. 
























n GRANDE Ounse. 89 x VIERGE (suite). a Bouvier. œ* Barance. BG Perire Ourse I (suite). 


45bain 45095" 45baim -17°20! 4abgm +2000 4aba9m -15°23 4ah54m 474947! 
Mars 15 20°,83 Juin 13 20,92 64,7 [Mai 22 3017 9",8 [Juil. 5 12°,18 Févr. 8 13°,68 48,8 
Mai 1 20,90 55,8 14 21,29 61,9 [Juin 7 30,05 3,9 6 12,17 Mars 9 13,67 48,9 
b2t,27 21 20,94 56,0 13 30,16 7,9 7 12,11 18 14,05 46,4 
19 21,13 56,3 23 21,19 63,5 14 30,0 5,4 3 12,08 11 13,86 46,6 
21 21,11 D4,7 24 21,09 62,9 21 30,07 17 12,10 8/,8 17 13,67 43,2 
Juin 1 20,88 58,7 | Moyenne 21,04 624 | 23 30,26 18 12,11 D,1 [Juin 13 13,52 44,8 
uillet 4. 20,84 y Ed 26 iea0 (63 26 12,04 11,3 22 13,75 46,5 
6 20,87 57,3 (1585) Vience Juill 3 30,05 9,6 [Août 1 12,08 8,8 23 14,05 444 
7 21,07 53,6 ‘ 4 30,15 5,9 5 12,04 13,4 26 13,28 44,0 
8 20,80 58,2 15h46m -7°48" 5 30,24 7 11,96 9,6 [Juill 2 13,37 42,6 
17 20,84 57,4 IMai 22 445,48 o"8 6 30,06 5,9 8 12,04 7,3 3 13,51 45,7 
18 20,89 57:1 [Juin 7 44,34 1,3 7 30,13 10 12,14 11,6 Moyenne 13,72 46,2. 
22 21,00 13 44,38 2,0 ë 30,09 753 Sept. 8 1 2,12 5,3 ; 7 . s 
25 20,79 54,2 TAN: 0 RE 12 30,25 18 12,24 13,9 |. 20 y BALANCE. 
26 20,86 61,1 ——— — 18 30,06 10,8 |[Oct. 2 12,17 13,b 
Août 1 21,02 60,0 Moyenne 44,41 2,0 22 30,06 12,5 M — 4Ah5am _21039 
5 20,98 56,8 : 26 3002 4,7 | "MERE 99 Lui. 7 53%61 38/9 
14 20,07 61,9 (x 594) VIERGE. Aoùt 1! 30,09 6,6 BP Our S 8 53,64 39,1 
17 20,66 61,1 (brel Lro86 5 30,14 79 ARS MT- 26 53,70 3,5 
a 20,89 5gur Mai 22 485,64 4o',4 26 395 719 ans qraoa7rAoût 1 53,62 38,7 
25 20,82 À A PE € 2 0,00 ; N , : 
26 20,78 626 Joe 2 HAE ui 29 Go,ir 7,5 Juin 13 1446 50,0 3 se = 
8 13 48,51 40,2 31 30:08 8 23 13,84 692,2 | Moyenne 53,62 39,6 
Re 14 48,72 448 nee dr 24 14,20 5o 
29 20,61 55,5 HT Sept. 1 30,16 88 ë 7 ES 1) 45 c Bouvier 
30 20,68 57,5 Moyenne 48,58 42,0 2 30,02 79 Lis à pe ; 
31 20,76 58,9 er 5 30,02 5,5 [#1 ; is Le 15h0m +25°28/ 
| ept. 20,73 56,0 9+ Vierce. 9 30,15 413 15 9 18, Juin 7 245,37 59/67 
2 20,75 58,7 45056m 12 30,12 9,2 Z VAE = 13 24,46 59, 
4 20,95 57,3 MA too ie 13 30,21 Le 4 4 24 24,32 62,9 
9 FA PA 16 30,26 3,8 ITA), Lin 26 24,47 61,9 
12 20,88 ANSE 18 3o,14 2,6 18 14,12 53,5 juil. 3 24,32 63,5 
13 20,84 60,0 14 LES Pal 1 30,18 4 26 14,42 Le 4 24,42 606 
16 20,82 56,1 | Moyenne 3,03 22 9993 nt 5: $ ou pie 6 24,442 57,0 
18 20,80 59,9 23 30,04 6, Al a Moyens ais 
20 20,71 60,1 95 Vierce. Nov. 20 30,17 10,6 z 1369 37 yenne 24, 0,7 
21 ur 57,5 13h58m 8055! 22 30,17 10,0 _. SL a6 52,9 3 SERPENT. 
22 17 Mai 22 255,06 41,2 | Moyenne 30,11 o I 
24 2086 617 |[jin 13 ee de Y 3; 7: ps ne er 45h7m 459327 
| _ 20,86 55,7 14 25,17 43,5 18 13,69 51,3 [Juin 7 235,28 29/,0 
PR Four ê: # 26 25,06 42,4 do ic 19 13,47 508 13 23,14 28,3 
6 LE 596 Moyenne 25,07 41,5 FA EINQNT 20 13,68 52,1 a En 
Nov. 20 20,92 53,6 Mai 22 5369 4,5 lo re he ii 26 23:19 298 
, L = 3 7 
21 20,93 53,9 99e En cr Juin 13 53,32 4,9 NS % 15 HU Juill 3 23,26 30,3 
25 y ae {abam -9°52/ 23 53,50 4.0 Be 138 49,2 4 23,36 278 
25 20,81 Dh, Moi 22 315,66 28”,3 MoscnS CS 1,5 FE 13,99 51,5 6 sil 30,1 
Moyenne 20,85 57,6 [Juin une Sel ar Moyenne 13,98 51,7 Moyeune 23,28 29,7 
300 7» à 
89 x Vence. 14 cu nl FETES 8 Perire OuRse I. 4 SERPENT. 
21 1:77 0,1 
téhatm 720 | # At 274 Ra nee. 1ab51m 474047" ee +080 
Mai zx 215,04 60!/,5 |*ut. 1, 21,9 [Juin 24  0°,07 Eve 1,3 Juill 7 49,52 19”;,9 
12 920,92 64,6 4 31,48 28,5 | 26 0,80 a 135,88 re 8 49,62 192 
22 20,98 63,2 5 31,61 26,3 (Juil. 5 0,80 Févr. 1 01983 08,0 17 4949 207 





Îjuin 7 20,95 64,2 | Moyenne 35,62 27,6 | Moyenne 0,76 2 14,00 48,6 | Moyenne 49,54 19,9 


85 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année. 








5 SERPENT. æ COURONNE, 
45bj{m +2°21! 15h28m 427014" 
Juin 7 18,23 47/,2 [Juin 7 2°,42 46",0 
13 18,07 47,9 13 2,58 44,0 
21 18,13 47,9 21 2,57 45,2 
23 18,36 49,1 220421561499 
24 18,31 89 24 2,53 46,1 
Luill. 3 18,14 48,5 |. 26. 2,61 47,5 
18,10 47,1 [Juill 3 2,62 45,7 
6 18,22 44,6 4 2,68 44,5 
6 . 2,76 
Moyenne 18,19 47,6 8 2 64 
“ ; 16 2,63 
6 SERPENT He. 430 
15h15m 4197! 18 2,62 45,0 
Juill. 7  2°,80 20/,1 26 2,54 45,0 
8 2,86 19,7 [Août 1 2,53 44,9 
16 2,59 21,4 7 2,30 48,9 
17 2,73 20,9 8 2,39 48,9 
cb 2,67 18,8 12 2,39 NE 
0,2 2 2,50 4 ’ 
Moyenne 2,73 20, 3 T° AE 
SERPENT. Sept. 22 2,55 44,9 
Lee 23 2,59 44,1 
15b4gm 44507! [Oct. 2 2,59 43,1 
Juin 7 56/,3 3 2,46 5o,2 
13 57°,42 54,8 4 2,53, 47,2 
21 Da 58,3 14 2,46 47,3 
23 59,44 60,6 19 2,46 47,1 
24 57,34 58,3 [Nov. 20 2,51 44,6 
Juill. 3 57,26 5g;r 22 2,b2 43,9 
4 57,44 57,3 25 2,55 46,8 
6 5ys2r 57,0 Moyenne 2,53 45,9 
Moyenne 57,36 57,7 
42 y Barance. 
9 SERPENT. 
15h48m 415°58 nl 
M 15958" | Juill. 0,78 14/ 
uill. 7 30°,68 5g/,5 x o 6 Fe 
5 30,82 58,2 18  o,89 ds 
16 30,56 57,0 26 0,18 14,0 
17 30,52 57,0 M = = 
18 30,64 57,6 oyenne 0,70 14,1 
26 30,67 58,3 
Août 1 3o,70 58,3 œ SERPENT. 


Moyenne 30,66 


58,0 


10 SERPENT. 


15b20m 42093 


Juin 7  2°,66 
13 2,62 

26 2,74 

Juill. 3 2,75 
4 2,82 

6 2,84 


29/,5 
2714 


Moyenne 2,74 


15h56m +6°55/ 


Janv. 12 32°,36 241,4 

Juin 7 32,32 922,1 
13 32,16 21,7 
21 32,29 21,5 
23 32,43 24,4 
24 32,30 . 22,7 
26 32,34 

Juill. 3 32,25 20,3 
4 32,39 21,3 
6 32,42 20,6 
7 32,43 





æ SERPENT (suite). 


15h36m 46°55/ 


Juill. 26 32°,23 
Août # 32,35 
7 32,15, 26/,0 
8 32,24 23,3 
9 32,12 24,3 
12 32,33 20,1 
200, 82,21 2132 
29 32,25 22,0 
3 32,23 Ep: 
Sept. 2 32,27 20, 
22 32,20 23,4 
23 32,29 20,1 
Oct. 2. 32,45 18,4 
3 32,30 21,1 
4 32,32 23,7 
14 32,34 24,3 
19 32,28 20,6 
20 32,24 18,2 
Nov. 22 32,32 27,1 
25 32,3x 25,4 
Moyenne 32,30 22,2 
35 x SERPENT. 
15ba1m +18°37! 
Juill. 7 40°,54 441,8 
16 40,72 51, 
26 40,49 45,9 
29 4o,k1 47% 
Août 1 4o,60 46,4 
7 4o,31 50,6 
8 4o,kr 51, 
9 40,35 bo,5 
12 40,36 449 


Moyenne 40,47 


34 w SERPENT. 


45bA9n 49040" 


Juin 225,08 431,2 

13 22,05 41,6 

21 22,25 41,6 

24 22,29 44,6 

26 922,20 41,7 

Juill, 4 22,24 414 

6 22,23 41,1 

Moyenne 22,19 42,2 
47 Barance. 

15b45m 18054! 

Juill. 16 56,45 53,5 

17. 56,44 55,5 

18 56,35 59,4 

Moyenne 56,41 56,1 


(1817) Senpenr. 


15bA7m 42046 


Juin 7 39°,38 29", 
13 39,52 ré 

21 39,63 25,7 

24 28,7 

26 39,61 25,0 

Juill. 3 39,53 28,5 
6 39,69 26,9 
Moyenne 39,56 27,1 

44 x SERPENI. 

15b55m 423044 

Juill. 16 32°,12 34/,9 
17 032,131 33,8 

18 32,19 35,0 

26 32,2, 34,6 

29 32,18 37,5 

Août 1 32,30 38,3 
7 32,01 33,8 

8 32,18 35,7 

9 32,24 34,8 

12 32,16 35,0 
Moyenne 32,17 35,3 


43 SERPENT. 


15b56m 45095’ 


Juin 7  o',or 20/, 
13 0,00 18, 
21 Oo,14 21,6 
24 19,1 
26 o,04 20,8 
Juill 3  o,21 206 
4  o,21 18,0 
Moyenne 0,10 19,9 
47 SERPENT. 
16b0r +8057! 
Juin 7 53°,79 20/, 
13 53,98 15,5 
21 54,07 138 
24 54,12 15,6 
26 53,92 16,1 
Juill 3 54,11 15,7 
4 54,06 15,1 
16 54,08 
17 53, 
18 53 84 
26 54,00 
29 _ 53,79 


16,0 


Moyenne 53,98 16 








(XV. 283) Prazzr. 

46b{m +992! 
Juin 26 25,92 
Juillet 3 3,10 
4 3,00 

16 2,98 3/,8 

171. 92,090 2,8 

15 2,78 4,9 

26 2,90 0,2 

Moyenne 2,34 2,9 


(1861) Sconpron. 


16b7m -19°12/ 

Juin 7 48,83 21/,4 
13 48,76 33,2 

21 49,00 35,8 

24 49,02 32,7 

26 48,98 34,0 
Juill. 3 48,79 32,9 


Moyenne 48,91 33,5 
(1865) Scorpion. 


16h8m -5°55! 


Juill. 7 40,22 36,6 
16 40,17 36,6 

18 4o,1g 39,2 

26 40,14 39,8 

29 4o,04 35,5 

Août 1 4o,ir 37,4 
Moyenne 40,14 37,5 


5a ç SERPENT. 


16b4am +024" 


Juin 13 19,252 plbt 
21-0%7;boi May 

24, 7,57 9.6 

26 7,29 7,6 

Juill. 3 7,47 339 
41 7:53 207,2 
Moyenne 7,43 6,7 


4 d Oriucuus. 


16b{am -19°359" 


Juill. 7 B55°,44 
18 55,4: 56,6 
29 55,23 56,8 
Août 1 55,44 55,6 
7 55,40 56,6 
8 55,40 55,3 
Moyenne 55,39 56,2 


22 


86 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 4° Janvier de cette année. 


——————— 0 











œ SCORPION. (1908) Sconp1on (suite). 26 x OrPniucaus. « Hercuze (suite). 33 Scorriox (suite). 
46h419m -26e4" 16b35m -28°12! 46h50 47b7m H4°50 47b45m -2405/ 
Juin 7 475,33 43/9 [Juin 26 11°,29 38/,8 [Juin 26 32°,84 Juill. 16 29°,50 21/,1 [Août 14 30°,75 441,3 
13 47:15 44,3 (Juill. 18 11,57 48,3 (Juill. 16 32,87 18 29,31 24 30,76 
21 47,34 Août 2 11,59 44,4 17 32,74 26 29,49 20,7 25 30,83 
24 47,39 40 PE EN 18 32,77 29 29,43 226 | y 3 3.8 
26 47,29 3x De AT ve lu 26 32,88 Août 1 29,32 207 Fyene SpEE 
Juill. 7 47,25 42, 29 32,88 7 29,25 20,2 À 
a ve 138 ANONYME, Août 32,66 12 gt 248 44 b Ormivenus. 
. 29 4743 40 16h55m 456°50/ 12 32,79 14 2939 23,0 47b46m -9404! 
Aoùt 1 His (as Juill. 29 26°,53 Moyenne 32,80 17 29 23,4 (Juill. 18 4724 
5 En RSR ET MED 23 Le CAE 
? 949 CORPION. Fa Aoùût # 10 
12 vire Moyenne 26,53 (1949) S 29 LE . F F7 32/0 
14 47,45 46,6 16h55m 20046! 30 29199 2 7 UE ; 
24 fr ne ARPREMR de . 27-539 aa,x |SePt: Fe AE RS 8 4743 
= +1 ; É , , 
28 47,31 16h37m +5çoa8/ |" 18 2758 a 4 29,47 23,3 13 de 
30 47,48 Juill, 26 28°,60 25/,2 26 27:38 “ie 5 29,43 24,1 N. Lee £ 
Sept. 2 47,63 46,2 29 28,70 21, 2 5 . 7 29,44 26,9 L Le 
7 4h74o 463 Août 1 28,66 23,0 |Août 9 2750 a 8 29,49 23,0 25 Hpag 328) 
8 47,29 42,3 Moyenne 28,65 FR 14 27,5 10 11 20,45 22,5 Moyenne 47:19 31,6 
; 7199 ; 
Ka o es ee Moon EEE EL 21 2945 19,6 k 
ct. 7:49 1 NU re » 22 20,41 21,7 « OParucus. 
5 47,53 46,1 23 29,3 
6 4755 base Docoir (1959) OPxivcuus. |Oct. 13 sn3S 24,0 .  17b27m +12040! 
14 47,40 40,9 lJui s 1 17 29,38 25,7 [Janv. 1 3903 4o!/,2 
ne ca 13% qua ni nn 33",5 RTE ie v.. 23 29,52 D 2 38,90 44 
24 47,24 43, e uin 2 782 4,6 24 29,47 24, 29 38,92 40,1 
DE Si ro Et TOI 16793 56 [Nor. 2 agées 286 |révr Ÿ 3885 Lo 
RD ECTS é s 1 79 7011 olr 008 [Muin 21 38.68 42,6 
Mérenne pig 44,5 à QU LS ET à OT Lu M D TIR 
12 Orniucaus. y ARE 1 29 7175 34 0 Août 1 38,92 39,9 
à sy Août 1 7:79 6,9 PAUCHRES 5 3891 4b,r 
* 16h28m -1959 22 OpPniucuus. 12) 788 5,9 7 38,04 
Juin 7 6,79 5,4 14 7:84 9,7 17h{2m -24050! 8 39,06 39,4 
13 6,80  D,2 16045m -25°14'| Moyenne 7,86 6,4 [Sept 1 225,58 16",3 17 38,97 41,7 
: Ë 2 3 7 14 
Juill. 16 :87 Le re 5e ss LE . n ie ne 21 NE #. 
17 ,80 33 (Juill. x 21, 22,33 18,2 25 39,04 38, 
OT PE 151 T Re SAIE 22 Onmpeps PATES 8 3805 38 
Août 1 6,83 26 21,95 59,4 Rp one 7 22,44 16,4 29 38,99 39,1 
8 Ggo 5, A Ne Re SunRe 8 2226 170 A es 
Moyenne 6,84 58 [Août 1 2180 52 |. 16 413 de” A HE AU 3899 
M car.87 56% ï 21029: 19, 2 97 
(XVI. 139) Prazzi. CRE | 69 "à os 1" 22 22,23 1751 4 38,93 
20024676 n3 lama 166 5 388 43,8 
16h50m 456021/| (1939) Ormivcnus. 29 3,83 42,9 TT 38. 0 r 
MI 26 Bang s Août 12 3,85 Moyenne 22,36 17,0 A 28 85 
20 5231 3878 16h50m -24°50'| Moyenne 3,91 44 | ; 
9 52,31 : £ 6 . . Y 19 47 11 38,98 
Août 1 D2,3r 41,4 pe #- 21,14 504 33 Sconriox. 19 38,88 
LORS cures uill. É 1 e a HERCULE. : 21 3898 1% 
? 47b45m -2495/ 22 9,1 o 
(1908) Scorpion. . HE Fe 47h7m 414954! |Jnill. 18 30°,78 39/,7 23 38,93 4x8 
Se Se ; 219 3 6 « Janv. 2 29,36 20/6 29 30,46 42,4 [Oct. # 39,01 43,r 
Ê 16h35m -28°49 2 21,2 0, 29 29:34 24,7 |Août 1 3044 41,3 13 38,95 4x4 
J s "g [Août 1: 55,4 & : è 
uin 7 11°,39 38/,8 5% 30 29,45 22, 7 30,63 46,9 17 38,89 40,6 
13 11,40 44,1 12 21,29 54,0 |Févr. 1 29,30 21,5 8 31,02 48,4 21 39,02 40,0 
24 11,56 39,7 | Moyenne 21,23 55,2 'Juin 26 29,34 24,1 12 30,80 23 38,90 40,4 


87 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année. 





x Orpæiucuus (suite). 63 3 Ormucnus (suite). 


17h27m 419010! 
24 38°,gr 41",n 
Nov. » 38,98 44,6 
3 38,97 41,2 


22 39,10 42,1 


47hA5m 491050! 

Août 28 14°,38 64,8 
29 14,52 6o,1 

30 14,40 59,3 






Moyenne 14,59 62,1 


Moyenne 38,93 41,3 
7 Dracox S. 
85 : Hercuze. 17h39m 451930" 
_, [Janv. 1 57°,62 38,8 
47h55m 41695! 2 57,93 36,1 
Sept. 1  2°,44 29/,5 4 57,86 3g,r 
2 2,12 32,0 29 58,08 31,9 
4 2,28 29,4 |Févr. x 57,88 39,1 
5 214 31,9 [Juin 2x 58,17 34,0 
7 2,92 28,0 |Juill, 17 58,05 31,5 
8 2,22 2954 26 58,rr 34,5 
11. 2,31 36,2 29 57,94 35,8 
21 2,34 2951 [Août *à BB: 39,0 
de 7 57:99 
23 2,33 36,8 8 57,80 
Moyenne 2,28 31,3 14 58,00 
NU a 
2 0 , 
62 y Orxiucnus. 25 584 330 
: sai 27 58,o1 33,8 
La A 28 57:93 37,9 
uill. 17 1927 12,7 29 57,05 39,2 
26 1,21 14,9 30 57,75 39,6 
29 1931 14,6 Sept. 1 57,83 33,9 
Août 5 118 179 4 57,66 32,9 
7 1,92 13,9 
8 1,52 12,6 ? cp 36 
14 1,21 10,4 11 57,84 | 
21 1:23 10,9 15 57,73 36,1 
24 1,11 13,2 19 57,86 31,3 
25 1,45 15,5 20 57,74 
28 1,43 11,1 21 57,93 32,7 
29 1,41 14,9 22 57,92 35,7 
30 1,23 14,0 |Oct. 4 57,5r 38,4 
Moyenne 1,29 13,2 5 57,81 36,7 
17 57,89 35,3 
63 z Opmiucaus. 21 58,05 34,3 
Nov. 3 57,68 36,0 
17h45 24050" 22 57,90 33,6 
will. 17 145,36 58/,9 | Moyenne 57,88 35,7 
25 14,21 59,9 
29 34,38 6o,4 y Dracon I. 
Août 1 14,43 62,2 
5 14,35 60,7 17b59m 451050! 
7 314,42 63,9 |Janv. 31 575,60 33",9 
8 14,52 64,0 |[Févr. 1 57,82 31,3 
14 14,36 63,8 2 b8,2r 34,3 
21 14,47 62,9 [Mars 10 57,55 29,6 
24 14,24 61,2 11 57,49 3044 
25 14,44 66,8 13 57,40 32,4 





y Pracox I (suite). 


47h52m 454930" 
Mars 16 57°,63 
17 57,39 


18 57,45 29,5 


Moyenne 57,62 31,6 
(XVII. 368) Prazzr. 


17b59m 48°52/ 


Sept. 4 20°,76 

5 920,51 

7 20,71 

8 20,66 

11 20,72 
19 20,50 9,7 
Moyenne 20,64 9,7 
71 S' Orxiucaus. 
17b59m 48015! 
Août 29 47°,93 2007 
30 738 6,0 
Sept. 1 47,93 5,8 
2 48,03 2,9 
5 a 4,3 
777 78 
7 48,03 6,3 
8 4788 48 
11 4604 437 
15 47,87 5,3 

21 48,07 
22 47,98 6,1 
23, 47,94 49 
Moyenne 47,95 5,4 
72 S? Oruivcuus. 
17b59m +9052/ 
Juill. 17 54°,46 43,7 
26 54,51 41,8 
29 54,43 43,6 
Août 1 54,54 4o,4 
5 54,22 41,9 
8 5443 479 
14 54,39 39, 

17 54,30 

24 54,31 

25 54,58 

26 54,65 

27 54,36 
Moyenne 54,43 42,7 
(XVIT. 376) Prazzr. 
18b0m 49028" 

Juill. 17 35,72 

26 3,55 

29 3,51 





(XVIL. 376) Prazzr (suite). 


18l0m 419998" 
Août 1 3,60 
5 3,60 
8 3,57 
14 3,61 
17 3,58 441,8 
24 3,49 43,3 
25 3,74 43,4 
26 3,75 46,3 
27 3,66 43,3 
Moyenne 3,61 44,2 
14 SAGITTAIRE. 
48bqm -21041" 
Juill. 17 49,98 60,2 
26 49,88 61,0 
29 5o,or 64,2 
Août 1 5o,oo 58,7 
5 5o,0o 
14 5o;og 59,3 
17 on 673 
25 5o,12 63,2 
26 5o,2r 58,0 
27 5o,05 6o,2 


Moyenne 50,04 61,0 
16 SAGITTAIRE. 


18h5m -20°25" 


Août 29 52,52 44!,2 
30 52,44 44,6 
Sept. 1 52,64 46,8 
2 D2,b7 45,7 
4 52,59 43,3 
5 52,39 47,5 
7 2,45 45,2 
8 52,44 46,8 
11 52,46 44,3 
15 b2,46 43,9 
21 b2,41 47,9 
22 Db2,56 44,7 
Moyenne 52,49 45,4 


} SAGITTAIRE. 


18b18m -95°30/ 


Sept. 2 17,13 13/,6 
4 16,98 12,1 
5 16,84 8,0 

16,73 12,3 

à #6 1134 
11 16,78 10,2 
12 16,87 13,8 
15 16,79 11,2 
18 17,23 15,1 
19 16,97 13,8 
20 16,79 14,4 





À SAGITTAIRE (suite). 


Sept. 


Moyenne 16,87 


18h{8m -25°50'| 
16,71 15//,7 
16,79 11,2 


21 


22 
12,2 


a Lyre. 


18h51m 458°58/ 





Janv. 3 37°,38 241,8 
Févr. 10 37,34 25,2 
20 37,28 28,8 
Mars 10 37,51 29,6 
Juin 21 37,34 28,9 
Juill. 17 37,39 28,0 
18 37,41 27,6 
26 37,58 27,0 
29 3744 20,9 
Août 1 37,50 26,8 
5 E 31,0 
39 31,6 

8:37 30 
12 37,46 31,3 

17 37,29 

21 37,15 
24 37,31 31,8 
25 37,12 30,2 
26 37,42 31,2 
27 37,15 28,5 
28 37,40 29,9 
29 37,28 29,0 
Sept. 1 37,12 25,2 
2 37,39 29,6 
4 37,25 30,3 
5 37,34 28,6 
7 37,31 30,9 
8 37,35 31,0 

11 37,43 
12 37,48 27,5 
16 37,33 29,5 
18 37,45 278 
19 37,39 28;1 
20 37,14 24,1 
21 37,47 23,7 
22: 37,34 : 27,9 
23 37,38 28,8 
Oct. 4 37,3% 31,4 
5 37:29, 277 
6 37,32 28,3 
13 37,28 27,0 
14 37,39 29,2 
21 es 374 
23 37,20 32,9 
24 37,26 31,3 
Nov. 3 37,12 27,3 
22 37,33 27,8 
Déc. 9 37,35 27,6 
Moyenne 37,34 28,7 | 


88 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1*° Janvier de cette année. 
TC PE PR EE PR — 





27  SAGITTAIRE. 


18h55n -2708/ 








ANoNyme (suite). 


18b4im -20028' 


a SAGITTAIRE (suite). 


48bA5m -26029" 


ANowyue (suite). 


18b51m 52047/ 


40 + Sacrrratre (suite). 


18057m -27°55! 






Sept. 2 5o°,g2 45",3 [Août 1 40°,95 Sept. 19 31°,9 12/,0 |Sept. 1 42,74 Sept. 11 7,95 43,6 
4 50,82 49,0 5 40,98 200. 31,53: 12,5 2 La 67 ÿ 12 7898 Le 
5 de 45,6 = 40,b7 21 SEE 13,4 7 42,81 60,8 15: 47,97 42% 
7150) 472 26 41,19 537 31; 12,9 8 42,65 53,3 Ë 
8 50,5 bg 27 4xot 23 31,55 15,9 = 42175 cu Moyenne 7,99 41,3 
ES 
] ’ 1 , 2, »7 
15 50,73 42,6 Sept. 4 41:07 18,3 G2 SEnrexT. 19 42,64 52,1 19b3m -24054/| 
18 Dr,or br,2 5 4o,g2 18,2 20 42,58 Août 25 4°,9r 441,8 | 
19 50,78 50,3 7 41:01 16,7 18h47m 46°95/ 21 42,66 26 re 457 
21 en 48,0 8 rot. 23,8 |Juil. 17 48°,05 25”,9 22 42,58 27 488 478 
MT EU D en]  Oodint él raie Se 
2 04 ; , ; 2 18 23, 30 5,00 44,0 
Moyenne 50,75 47,2 | Moyenne 40,95 19,2 . 29 48,11 27,0 NRC! ! 31 4,98 46,2 
Août 1 48,05 21,2 Sept 1 5,22 46,8 
(RVIIL. 175) Praz. ANONYME. 5 48,24 23,3 {8h53 452°5a 2 504 43,5 
=. 4glhaim -°0298/ Sept. 11 48,31 22,4 Sept. 7 125,70 4 5,06 43,5 
Lee -20026 Aloe 7 4 Mr 12 48,26 20,6 8 12,76 11 5,00 48,4 
Aoùt 5 Ex 8 54 Moyenne 48,17 22,9 11 12,64 Moyenne 5,03 45,7 
Z Et 30 12 47,95 12 12,63 
“: 3319 se 24 SE ANONYME. 15 12,70 20 B Aicze. 
: ; 2 7 19. 12,72 
> ri 20,9 27 47,33 48b51m +352°42" 4 504 17,6 19hbAm -8044! 
à = 2 28 47,65 Août 21 8°,60 21 12,62 12,8 (Juill. 16 9,61 50/,9 | 
a so 2 29 4754 24 8,46 9"; 22 12,24 18,8 17 9,45 49,9 | 
22 rh 2150 [Sept. 4 47,70 25 8,51 9,7 [Oct #4 12,35 16,1 18 9,56 49,9 
28 33,47 18, 15 4735 366 6 825 14 Reese 56 251 486 | 
FA 7 Moyenne 12,57 16,3 9 ; 
29 Shét 2021 19 4744 35,8 27. B44, 106 29 940 515 
Moyenne 33,32 21,3 20 47,32 37,3 2 8,51 13,3 3 Août 1 9,45 50,6 
27 4750 38,3 29 8,45 13,3 9aSagErrnE. 7 9:67 53;2| 
29 r SAGITTAIRE. 22 47,53 33,6 30 8,72 13,3 ce me. 8 9,63 494 | 
23 47,39 36,8 31 8,50 12,9 : RSS E Se 9 9:72 Sr | 
4630 202" | 6 enne 47,46 36,4. SÉph: 2 8,72 15,6 AE VE nero Moyenne 55 51,1 | 
Juill. 17 21,01 51,7 LA {” 4 208,93 13,2 8 16,26 57,7 Y EL SE 
18 20,92 55,1 B Lyee. 7 8,75 9 16,59 6,1 
26 20,87 55,5 Re Hot 8 8,58 24 1 Fe ER ANONYME. 
5a 44m 8,6 2 10,10 : 
Août # os STE Août 21 17,10 62/,1 15 875 27 16,33 56,8 19b6m 410022" 
5 20,92 53,3 24 1718. 55,4 19 8,68 28 16,47 544 |Sept- 12 3725/5079 
7 ar! 54.8 25 17,16 60,6 20 8,62 31 16,35 56,5 19. 37:1 56,4 
Bars À 26 17:15 62,3 21 8,64 Sept. 1 16,46 58,5 21 37:27 EC 
12 16.0 28 16,91 60,1 22 8,58 2 16,4: 59,3 Oct. " 272 £ . 
24 208 28 17,21 57,7. Moyenne 16,34 58,0 TETE 
2 21,00 29 17:19 62,0 an MEN r J Moyenne 37,26 51,5 
CNE: 3 30 17,08 58,2 
È 8 31 17,08 59,0 ANONYME. ho + SAGITTAIRE. Fer 
27 X0 Û ONYME. 
Moyenne 20,97 D3,5 SE c'que 50.6 48h51m +32047' 18h57m 27055" 3 J 
7:09 9» AG ar 425,72 Juill. 16 85,05 4o!,7 49b6m 111026 
ANONYME. Moyenne 17,11 59,7 24 42,72 17 8,03 4o,2 Août 26 PT als | 
À 25, 42,6 18 98 39, 2 77 
ighaim -20°28" 7 SACITTAIRE. 26 128) 26 se oi 28 56,83 46,2 | 
Juill. 17 40$,73 48h15m -26099/ 27 42,65 Août 1 7,89 4,1 31 56,92 51,0 
18 40,86 Août 7 31°,62 14/,6 28 42,73 5 _7,9b Sept. 1 56,85 352,7 
26 40,79 8 31,73 13,8 29 42,57 24) 7:97 : 41,5 2 56,79 Sr | 
29 40,89 Sept 15 31,42 15,5 | 30 42,70 Sept. 8 8,04 40,8 | Moyenne 56,85 49,0 


89 


Positions moyennes des éloiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année. 
































ANONYME. 48 y? Sacirraire (suite).|55 e* Sacrrrarre (suite). AIcce (suite). æ AIGLE (suite). 
X ) ( 7 
19b8m 4110177 49b45m 24042" 19b53m -16°29/ 19b38m +10°14 19ha5m +8°27! 
Juill. 26 11°,03 Sept. 19 49,74 Sept. 1 32°,21 15/,r [Août 24 47°,64 2",9 [Août 9 7,55 23,8 
29 10,91 20: 49,77 54!, 20 32,19: 14,2 27 47,83 5,9 12, 107552002000 
Août 1 re 29;/7 24 49,64 493 4 nn re 28 47:85 54 24 7 7e 
7 10,84 M e49,77 52,0. 7 32,16 :3,9 2047-70 72 2 7 27; 
3 1101 33,2 HEDPMSTT 920 8 31,90 14,0 30 Ly7a 72 28 7133 26,8 
28 11,16 PA 11 32,04 13,1 (Sept. 7 47,78 44 29 7,48 26,1 
Mctéror ag PE 19 32,05 16,1 8 47,72 5,0 30, 7,40 28,1 
J ? 1 ; 
Aob2im 1°58/ 20 31,90 16,3 12 49376 26 | 31 743 25,9 
25 w' AIGLE. Juill. 16 4,55 2,0 | Moyenne 32,07 15,0 19 2e 5 Sept. n % Me 
1 4.5 2,5 N 22 É Pr, 
19b40m +11018/ 18 ne o,1 ANONYME. Déc, Fr Fe 73 ë he. me 
uill, 16 26° 521,3 [Août 24 4,60 1,4 8 177 , 1 78 mn 
26. 6a 56, ere 03 19h54n, 11055" RES s' 7 5 
18 x. 5 4 Oct 13 Lio 4 Sept. 23 11°,09 52/8 Moyenne 47,74 3,8 a 7:38 
1 20,74 97,1 e de ? 1 ‘ 759% 243 
à 1 ce Moyenne 4,01 1,9 2 me EE ee AeoRem 3 dr née 
1/ “ 9 
Août 1 26,70 54,7 (2276) Sacirraire. i 2 AE 4 19h39m 1905! a 7:31 27:9 
7 26,92 Û 11,2 2,6 Sept 233956 51.2 Oct. 14 07,3b, 29;2 
8" 26,88 19h21m -21038" $ PE. ee 24 1356 7 LOGE EE IE 
9 26,99 56,5 Sept. = 34,78 2!",2 ; / D - 8 Oct. 3 13,59 8,9 19 7:23 291 
27 26,83 57,7 en at 14 10,94 48,0 Le 20 7331 2737 
31 26,92 APE 1 Moyenne 11,10 53,1 5 136 6& 21, 07,201 26,5 
Moyenne 34 2 D b 
ept. 1 26,91 56,4 y 34,69 »3 6 13,65 A 23 7,40 25,6 
2 26,87 58,6 s (XIX. 261) Prazzr. 13 1348 te : de 
Moyenne 26,84 56,2 (XIX. 152) Prazzr. Ge Nov. 3 7,30 26,7 


49b57m 45009" vers 
149b25m 44 °A1! Oct. 17 385,62 47,6 Moyenne 13,60 6,7 |Déc. 4 734 24,2 | 






















47 y" Sacrrrume. Juill. 16 , 42 FAUSB SG 402 À S 7:29 28,3 
49h{5m 24098" ‘& 8°,77 ge 20 38,75 418 NORMES 31 7:09 24,1 
2 02 6 
uill. 16 42°,68 271,1 [Août " 890 TÉ 22 . HA 49b42m 419°59" Moyenne 7:36 26,4 
17 42,78 28, F 0 LABS 2 , 21 lOct. 2 49,78 29/,8 
9 gi 15, 24 3842 49,0 LRO à 
18 42,89 32,9 | y a Ba IN 2 0 3 49,58 20,6 G Aucre. 
SE 4 4956 42,0 
Août 1 42,82 27,8 Moyenne 38,60 48,3 5 49,55 42,r 49hA7m 4604! 
9 ts 31,9 39 x Aicre. 6 49,53 40,2 [Mars 16 35,87 1,7 
2 2,85 31,0 Aicre. SCALE TN 17. 35,99 00;2 
a 43,04 27,0 np Tu È moese ne 409 3 36e 3,9 | 
| 3r 43,01 Sept. 2 26°,80 18”,3 49h38m 410014" ere Juin 21 36,01 38 
Sept. 1 43,09 7 2669 20,2 |janv. 29 4767 3,9 Juill. 16 35,83 3,0 
| Moyenne 42,91 29,0 8 26,59 18,5 "30 47,67 19b43m 48027 17 35,90 4,7 
11 26,49 191 31 47,79 3,1 (Janv. 29 7,23 26",8 18 36,13 1,8 
| 19 26,60 21,1 Févr. 1 47,85 30 745 23,5 26 36,09 
48 y? Sacirraine. 20, 26,55 17,1 |Mtars 15 L7;72 31 7:37 25,2 [Août 1 35,9) 2,5 
ORDER 16,0 16 4784 3,7 |Févr. 1 729 28,1 7 3605 6,2 
| 19k15m -24°12’ | Moyenne 26,60 18,9 18 47,67 Mars 15 7,28 3 36,31 8,6 
Août 24 49,71 19 47,56 4,2 16 7:22 274 9 36,11 78 
28 49,94 55e? Sacrrrame. [Juin 21 47,68 7,2 17 7:43 25,9 12 36,03 5,8 
| 31 49,99 56,2 Juill, 18 4790 1,1 18 7:28 24 35,99 7,0 
Sept. 1 5o,o7 46,6 49b53m —16029/ 26 47,60 2,5 19 7:24 25 30 ROSE 
2 49,52 2,7 Août 7 31,97 16/,2 [Août 1 47,64 3,5 Juill. 17 7:15 27 36,01 6,3 
4 49,85 50,6 8 en 7 47:72 30 18 7:40 28 36,10 8,r 
7 49.60 52,» 9 32,16 16,9 8 48,00 6,0 26 7,37 26,3 29 36,11 6,6 
8 49,73 51,0 24 31,89 13,3 9 47:87 2,7 [Août 1 7:28 26,6 30 36,07 9,0 
15 49,76 54,5 28 32,15 144 12 4778 48 8 7:59 26,0 3r 36,22 6,8 


23 


90 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année. 





G Aicze (suite). 


49ba7m +6°1/ 


Sept. 1 36,13 7,9 

2 36,14 8,0 

7 36,410 7,7 

8M96,180016,7 

11 36,13 6,5 

15 36,05 7,8 

20 36,11 5,9 

Oct. 2 35,76 7:7 

3 35,97 3,9 

4 36,06 4,1 

5 35,92 6,1 

6 56,09 3,2 

13 36,17 44 

14 35,96 10,3 

17 35,84 64 

19 36,06 10,3 

20 35,98 9,4 

21 35,96 5,9 

23 36,02 74 

24 36,03 4,5 

Nov. 3 36,14 2,6 

22 36,00 10,9 

Déc. 8 36,02 6,1 

Moyenne 36,04 6,2 
ANONYME. 

49b5am -1°2 
Sept. 8 40°,0/4 
11 39,96 

Oct. 2 39,87 22/,5 

3 39,94 21,9 

5 39,88 26,3 

6 40,15 19,9 

13 59,89 26,5 

Moyenne 39,95 23,4 
62 Aiczre. 

19h56m -1°8" 


Juill. 16 17°,58 34/,4 


Août 1 17,60 35,1 
7 17,81 35, 
8 17:92 37,8 
28 17,80 34,5 
Sept. 1 17.89, 33,3 
217377. 91 


7 17:83 34,2 

8 17:76 36,6 

IL 

Moyenne 17,77 35,4 
1 Ët CaPriCORNE. 

20h35m -12°51/ 

Juil. 16 15°,42 20/,5 

Août 1 15,37 16,1 

7 15,58 16,6 


17574 35,4 


1 Ë: CapricORNE (suite). 


20h35m -12054! 


Août 28 15°,54 19/,0 |[Oct. 17 56,47 21/,8 
Sept 4 15,72 18; 19 56,35 20,4 
11 15,45 17,6 21 56,40 
19 15,66 14,0 22 56,38 
20 15,52 15,8 23 56,45 

Oct. 2 1,59 15,0 24 56,42 
3 15,55 Nov. 3 56,58° 
k el 1e? Moyenne 56,46 22,3 
19, 1 
Moyenne 15,55 16,5 œ? CAPRICORNE. 
20b9m -1304/ 
2 Ë2 Capricorne. Mrs ee 
ogu5m -4304 (Juill. 16 20,19 
Oct. 33 40,80 24/,4 PS 2016 
14 4o,75 21,5 7 es 
17 40,60 23,7 1 2035 
19 40,60 24,4 ASC 
20 40,60 24,21 Sept 4 20,40 
21 4o,63 26,8 11 20,93 
22 40,68 27,6 qu) AE 
23 4o,53 25,3 : 29 sat 
24 Lo,43 25,6 [Oct = 209 
= —— 20 
Moyenne 40,62 24,8 17 2025 
19 20,1 
3 CaPrICORNE. 7 =. 
21 20,40 37,0 
20b7m 
22 20,22 41,2 
Sept. 20 40°,88 23 AE: 37:9 
Oct. 2 40,95 24 20,32 37,8 
3 40,97 Nov. 3 20,38 41,5 
£ fs Moyenne 20,30 39,1 


Moyenne 40,99 
œ' CAPRICORNE. 


20hgm -12°59/ 


Juill. 21 56°,40 22",9 
Juill. 16 56,44 22,9 
Août 1 56,40 21,6 
7 36,50 23,3 
14 56,54 
28 56,45 23,3 
Sept. #4 56,56 24,0 
11 56,35 20,9 
19 56,49 18,2 
20 56,44 21,4 
Oct. 2 56,44 22,8 
3 56,39 23,2 
4 56,63 21,r 
5 56,54 24,7 
6 56,54 23,9 
13 56,41 26% 
14 56,45 18,7 


œ* CAPRIGORNE (suite). 


20hg8m 12059! 


B2 CarriCoRNE. 


20h42m 15046! 


10 æ CAPRICORNE (suite). 


20b18m 19043" 


Sept. 4 1979 207,7 
8 19,72 15,0 
19 1978 19:9 
20 19,00 20,b 
Oct. 2 19,76 21,5 
3 19,65 22,6 
4 19,79 20,9 
5 19,75 20,6 
Moyenne 19,72 20,0 


ANONYME. 


20h18m +19°22" 


Oct. 14 59,14 21,3 
17 D9,12 19,6 
13 59,16 He 
20 59,21 17,3 
21 59,09 20,0 
22 b9,13 18,9 
23 59,13 20,7 
24 59,09 17,7 
Moyenne 59,13 19,4 


u CAPRICORNE. 


20h25m -10°25/ 


Août 14 48°,07 8/,9 
Sept. 4 48,16  g,o 
8 48,08 8,5 
19 4,8 
20 48,03 5,8 
Oct 3° 28;:5 45 
4 4818 56 
5 48,05 5,4 
Moyenne 48,10 6,6 


Oct. 2 119,15 21/,5 (2414) CAPRICORNE. 
3 211,03 22,6 AA Net core 
4 1V034 Si ts 
? #4 |Oct. 6 275,26 24,8 
5 11,14 26,2 je 
6 ris 284 RCE oc 
x + INov. 3 26,88 25,9 
13 11,09 27,2 nr 
14 11,02 18,8 | Moyenne 27,01 25,7 
19 10,91 22,8 
20 19,98 21,2 ANONYME. 
22 HK1,02 22,1 
; 1 20h27m +694 
A OL x Er NS 
24 10,96 24,5 PE De 
Moyenne 11,05 23,6 29 4629 31,0 
>) 3 
10 æ CAPRICORNE. ps ur . 
29h{gm 19045! 23 46,51 33,1 
Août 14 19°,60 19/,9 24 46,52 31,9 


28 


19:78 18,9 Moÿenne 46,45 31,6 lOct. 2 5,12 


13 +! CAPRICORNE. 


20h28m 1541! 


Août 14 32°,58 13/,8 
Sept. 8 32,38 13,r 
11 92,57 14,7 
19 32,60 13,7 
20 32,44 15,0 
Oct. 3 32,64 15,2 
4 32,63 11,7 
5 32,60 :15;,r 


Moyenne 52,55 14,0 
70 H Auicze. 


20b28m -305/ 


Oct. 6 33,04 251,5 
14 32,94 18,7 
Nov. 3 33,00 24,0 
Moyenne 32,99 22,7 | 
v CAPRICORNE. 
20:51m 18041" 
Sept. 8 6°,33 14,9 | 
11 6,20 18,9 
19 6,39 176 
20 6,25 174 
Oct. 2 6,52 18,7 
3 6,36 16,1 
4 6,45 13,5 
5 6,62 16,8 | 
Moyenne 6,39 16,7 | 
a Cxone. 
20h36m +44°45//| 
Févr. 1 5,07 151,2 | 
5,oq 19,8 | 
be is 178 
11 4,87 16,0 
20 4,74 17,5 
Mars 15  4,dx 
18 4,78 16,3 
29 4,b9 20,2 
Juin 21 51h 17,3 
Août 1  b,12 17,8 
7 5,24 20,5 
8 4,86 23,7 
9 5,22 
12 D,03 19,1 
14 b,12 15,4 
21 4,87 17» 
Sept 8 b,o7 16,4 
15 5,05 
19 b,08 19,4 
20 b,20 21,7 


91 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année. 


æ Cyoxe (suite). 


Oct. 3 5,17 
410510 22/, 
5 4,92 20,6 
60%b;1Er 21,7 
1700D;251 17,2 
19 5,20 20,4 
20 b,o7 19,4 
2x ,92 
22 5,05 
23 4,98 21,3 
24. b,03 20,5 
ÎNov. 3 5,or 19,4 
ÎDéce. 31 5.08 15,6 


18,9 


ANONYME. 


20h12m 13527! 










6 p VERSEAU. 


20b4am -9°54! 


lAoùût 8 10°,85 4/92 
g 10,83 8,8 
14 1074 78 
29 10,82 5,6 
| 30 11,06 9,1 
ISept. 1x 10,79 8,6 
20 :10,89 4,4 
23 10,92 4,2 
Oct. 17 10,02 
Le 19: 10,77 
20 10,74 
| 21 10,73 
| Moyenne 10,83 6,6 
| 
| ANONYME. 
l 20bh16m -9028/ 
Août 9 18°,70 28/,7 
| 12 18,64 29,8 


30. 18,73 do 


20b56m 441045" 


Moyenne 5,03 


ÎOct. 22 1°,99 23/8 
23 2,25 21,0 
24 2,08 21,1 
Nov. 3 2,22 22,0 
227 0/00 21;0 
Moyenne 2,19 21,8 
ANONYME. 
201413m -9°37! 
Sept. 23 28°,41 
lOct. 5 28,30 40,1 
| 6 28,58 42,5 
| Moyenne 28,43 41,3 





ANONyue (suite). 


20b16m -9098/ 


ANONYME. 


3 


22 


Sept. 20 18°,55 39!,6 |Nov. 
23 18,79 26, 
Oct. 5 
6 18,83 28,3 
17 18,78 28,6 
19 18,62 27,4 
20 18,69 27,7 
21 18,50 27,9 [Août 21 


Moyenne 18,68 28,6 
ANONYME. 
20ha7m -15027 |Sept 
Oct. 22 1°,03 51,3 
23 A. 47:6 Oct 
24 0,82 48,0 
Nov. 3 1,26 46,7 
Moyenne 1,06 48,4 


(2483) Perir Cuevar. 


20h49n 45035/ 





Août 29 56°,66 34/6 30 15,22 58,8 
30 56,84 35,6 Sept. 11 15,01 52,7 
Sept. 11 56,69 3437 23 15,16 60,4 
23 56,81 38,8 |oc« Pas 57.3 
19627: 
Oct. 6 56,83 34,2 19 15,19 56,8 
19 56,67 38,6 ARE ET RCE ; 
Moyenne 56,75 361! 7" 7” 
1 : Perir Cuevar. Li Ho 
20h51m 21h{m -1200! 
Août 21 13,55 Oct. 21 2,15 16,5 
29 13,66 2200a,1 208 1747 
30 13,94 23 9,13 17,9 
Sept. 11 13,94 24 2,12 18,5 
23 13.84 Nov. 3 2,28 164 
Oct. 6 13,87 RL, 14,2 
19 13,77 Déc. 3 ‘2,15 16,4 
Moyenne 15,79 Moyenne 2,20 16,8 
AxoNyur. 5 y Perrr CurvaL. 
20b35m 415°27/ M 0 
Oct. 24 23,01 12/4 23 FAN 
Nue 3 cr A: Août 12 42°,5o 8,6 
22 22,98 10,8 14 #. 6,7 
— 21 4, 11,0 
Moyenne 23,03 11,9 24 La 38 64 
(XX. 423) Prazzr. : AE Lie 
2 2,50 ; 
20h53m 12048! 30 42,59 3,7 
Oet. 21 25°,47 26",6 |Oct. 4 42,49 
22 25,50 29,9 5 42,46 
23.125,57; .24,h 19 42,67 
Moyenne 25,51 27,0 | Moyenne 42,49 7,1 


20b55m 415035! 


26°,5x 
26,76 


18,69 29 Moyenne 26,63 


3 € Perir CuevaL. 


20h56m +1952! 
455,53 581,8 


45,45 
45,54 
45,76 
45,48 
45,55 
45,64 
45,50 


Moyenne 45,56 


ANONYME. 


59,3 


20b59m +1°18! 
15,09 56/,6 





6 Perir Cuevaz. 


21b2m 49024 


Août 12 53°,63 Oct. 21 49°, 
14 53,56 22 Bo 8 PALAIS 
21 53,43 23 49,90 20,0 
24 53,39 24 49,90 18,3 | 
28 53,72 Nov. 3 49,84 20,8 
29 33,65 22 49,49 18,0 
30 53,74 27 49,67 16,1 

Oct. #4 53,55 42!,1 [Déc 3 49,80 18,2 | 
5 es AE 8 49,93 16,0 
be me 34 Moyenne 49,85 19,6 


Moyenne 53,57 4 


7 9 Perir Cuevar. 


Mars 12 40,63 14/2 

24b6m 4929 |? SR 

Août 9 5oto 217,8 ['" É Pts ‘36 

12 30,03 27,7 ; 

14 Do,i2 92,2 PR ns re ch 

21 bo,o5 21,8 23 4970 2 

24 50,07 23,9 Oct. 7: 49,60 : 

28 50,29 21,9 2 49,68 18, 

29 50,22 22,9 3 49,63 17,4 

30 5o,23 21,1 5 L82 à 
Moyenne 50,14 22,9 Moyenne 49:67 14,7 | 


œ CÉPuée S. 


21b{am 461955" 


Janv. 4 49,68 
Févr. 1 49,72 
10 49,66 
117 49,63 
20 49,73 
Mars 18 196 
19 49,65 
29 49,22 
31 49,65 
Avrii 2 49,63 
4 4967 
Juin 21 50,27 
Août 1 50,08 
7 50,04 
12 49,04 
14 Dbo,28 
17 50,24 
21 bo,o2 
24 49,88 
Sept. 19 50,08 
20 bo,03 
Oct. 2 49,57 
4 49,82 
5 49,78 
6 49,63 
19 50,23 


a CérufE S. (suite), 






21h4am 461055! 





1,0 er 
+" œ CÉPuéE I. 


21b{Am 461955! 





ANONYME. 
| 


21h25m -10°95! 











19730 Sept: 8 10°,05 34/1 
19,7 pt 10°,05 34/',0 
21,1 11 10,13 30,9 
22,1 19 10,11 41,4 
20,2 20 10,06 
0,8 [Oct 2 10,06 38,8 

3 10,15 38,8 
19,2 ? 

% 5 10,01 40,8 
20,7 6 10,17 37.9 
19 _ 995 39 
21,2 | Moyenne 10,07 38,8 | 
23,2 B VERSEAU. 

14 21h95m -çost 
16,4 Nov. 27 17,60 30/,0 

Le Déc. 3 17,25 33,1 
33.2 Moyenne 17,42 31,5 
18,5 
18,/ (XXE 273) Prazzr. 

21b25m 469048! 

21,7 [Août 9 18°,75 43/,1 
18,9 24 18,29 46,7 
172 i 25 18,62 48,1 


92 


Positions moyennes des étoiles observées pendant l’année 1843, ramenées au 1° Janvier de cette année. 












































(XXI. 173) Psazzi (suite).| à Capricorne (suite). Q Verseau. ANONYME. 13 AnpromÈpE (suite). 
21h25 469048! 924h58m —16°50" 99Lgm -8035/ 23h6r -10032! 25h49m 4+42°2/ 
Août 29 18,25 51,4 [Oct. 13 215,99 12/44 [Nov. 27 32,75 45,6 |Oct. 5 30°,37 Déc., 2 34,62 53,17 
30 18,44 5o,8 [Nov. 3 22,20 11,8 [Déc. 3 32,57 46,3 6 30,58 3 34,32 br 
Nov. 22 18,00 44,6 22 22,20 Fe 8 32,52 47,4 20 _. 6 34,27 52,0 
58,300 474 | 27 22,19 18, TE 7 21 30,3 8 34,40 54, 
D en do LE 2: 21,90 17,2 Moreno Se Nov. 26 30 42 9 3738 Fe 
G Cépnée S. Moyenne 22,11 13,8 ANONYME. 27 30,56 5 M 2 
à ? ; mie oyenne 34,41 5x 
21126m 469752’ 9246m 102142! se É —- _ £ * F 
Févr. 12 17/4 (XXI. 276)Puzz. | SDL eu 2 oyenne 50,45 28,2 Aer 
Avril 4 365,66 20,5 se Dee A 
É 6 42,39 34,3 y Poissons. 
Août 7? EE 1719 21bAtm 16055! 19 41,94 36,7 23h21m 0P 17" 
di 24,4 (Octt 5 4716 vont |Dée g "42,00" 40,4" 23h9m 42025" [Oct G 53°63 56/,3 
2 4713 14,4 : Oct. 5 1,50 31/4 14 53,62 55,0 
24 37,27 25,9 T »+ | Moyenne 42,14 35,8 d 
RM mi 19 47:12 14,1 6 1,79 33,0 20 53,61 54,8 
à 2H Nov. 3 4714 15 PRES 20 1,79 28,8 21 53,60 54,8 
30 3708 22 4727 181 206 TE JUpUDée.. Des 
Oct. 22 37,29 17,3 Moyenne 47,16 16,5 22h56m 411024 NE s TR ns Ê en Se 
Nov. 22 36,86 21,1 Janv. 17 56°,55 371,3 Déc “À L 68 304 9 245 
‘ D Sr L 1) , 
Déc. 8 SA 19,8 PR PAT : 56,79 4 d'MEGS  SCG Moyenne 53,58 
Moyenne 37,02 20,2 EN 1 8 1,62 33,9 
Avril 13 56,63 40,0 F6r 33,0 Âkorsee 
R Grenier. 21b49m 416956" 14 56,54 38,5 Er rs a 
Nov. 3 34,11 1/2 19 56,80 Moyenne 1,68 51,9 ME 
nas gros | as 8 168 | 27 5643 42,9 Où TE 
Mars 12 36,41 20/,5 26 34,or 16,1 Sept. 26 56,55 36,4 ANONYME. ct. 2704 451,2 
Avril 7 36,83 15,6 27 S4y2x 16,1 [Oct. 5 56,71 37,5 14 “is He 
Juill 4 36,52 13,3 Déc. 3 33,99 17,4 6 56,62 36,9 25h15m —10944 2° ni ne 
5 36,55 13,6 8 33,91 14,1 19 56,71 39;7 Oct. 5 85,52 421,5 53 de #87 
Sept. 20 36,71 17,3 DRE LE 56,68 35,8 6 8,52 45,2 ; 9 , 
P e 36,69 8 Moyenne 34,07 15,9 = 56,69 L0,9 Be sas La, [Nov 26 26,86 46,7 
23 36,39 15,4 22 56,64 37,2 21 8,17 l18 et pUgeS HE 
Oct. 1 36,355 30 VERSEAU. 23 56,71 39,6 [Nov. 26 8,29 51,6 Déc. 3 Fu ds 
2 36,83 17,6 Nov. 26 56,64 42,8 27, 8,57 494 ? 1 
3 36,67 174 3 27 56,68 43,6 [Déc 2 8,33 47,5 6 26,82 49,0 
21h55m -7016 ; ! 8 26,82 4b 
36 D 56,66 41,6 3 8,27 45 , À 
Moyenne 36,59 16,5 Nov. 27. 0,81 44/,3 éc. = 5 108 = ne 12 9 26,81 44,9 
Déc. 3 ‘o64 45, 49 41 AT 
ANONYME. 8 oki 42,3 8 56,45 45,3 9 #24 46,6 Moyenne 26,91 .46,9 
94h31m =11046/| Mo er rer at 9 15666: 41530 Moyenne 8,3r 45,9 
Sept. 8 to 43/,0 À ET) 19 m Poissons. 
“$ 1,29 52,8  NERSEAN. a SR x" Porssons. 
19 147 484 > SAR 4028: 25h58m 42056" 
| 20 1,41 d4h57m -{09 23b4m 1025 [Oct. 5 5$ 8 Zor Oct. 6 22°,37 
5 23bam — 98 47/,2 
Oct. 2 1e 4ars Janv. 4 435,14 521,5 Oct. 5 47,51 211,6 6 53,36 43,9 14 22,24 
6 Re Ko Avril 2 43,15 54,5 6 472 4x 14 52,98 45,6 2% mn 88 
S VE 4 7 13 43,06 52,0 20 47,33 22,2 20 b2,90 43,1 PIRE 3 86e 
9 , 99 14 42,99 48,3 21 47,38 23,1 or 53,19 45,7 23 2e É F 
Moyenne 1,4 49,6 [Oct 2 43,07 47,0 [Nov. 26 47,37 22,8 "1 -INov. 26 22,1 1, 
HYA 4 8 É EU »%5 | Moyenne 53,08 45,1 [née 2 22,20 57,5 
à CapriCORNE. 4 IT D 2e Poe Ne Ne 3 22,13 59,6 
À »20 47,2 |Déc. 2 47,78 24,0 13 ANDROMÈDE. 6" 02:16 2978 
21h5gm -160501[Nôv. 3 43,04 47,0 3 47,71 26, 8 Late DA 
Août g 22,08 12/,2 22 43,24 46,5 8 47,45 22,8 23h{49m 44202" 9 148 50 
Oct. 5 22,03 12,5 26 43,14 51,2 9 _47:39 Nov. 26 34,37 5o/,r ER — 
6 22,21 13,3 | Moyenne 43,14 49,6 | Moyenne 47,47 23,3 27 34,53 51,0 | Moyenne 22,25 57,9 


93 


Positions moyennes des éloiles observées pendant" l’année 1843, ramenées au 1% Janvier de cette année. 








ANONYME SULV. 


25baam 

5 415,18 
ni rai 
20 41,02 
21. 41:25 
23 41,50 
2 41,47 
3 41,02 


Oct. 


Déc. 





8 4o,8g 


Moyenne 41,20 


ANONYME. 


23b46m 


Moyenne 59,06 


-10°26 
211,6 


0,5 


BE D OR C++ 
RC TEE a 
Ce] 


: 


L|o+ © I 


B 
» 


w Poissons. 


25b51m 

155,33 
15,43 
15,07 
15,13 
13,28 
1h11 
15,2 
rs 
15,09 


Moyenne 15,21 
ANONYME. 
25h57m 
tv. 
13 28,14 


Moyenne 28,04 


Oct. 


45959/ 
34,6 


-10°29" 
8,'9 


99 Nov. 


94 


a Perire Ours P.S. 


Nombre 


+88°28' d'observat. 
3 24,8 1 
23,7 
5 26,6 
26,6 
27,2 
26,6 
24,1 
22,7 
23,2 


Janv. 


25 
31 
Févr. 1 
2 
8 


Mars 


I 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
1 
I 
1 
I 
I 
I 
I 
1 
I 
1 
Le 
I 
I 
I 
I 
€ 
Li 
L 
1 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
I 
4 
5 
5 
3 
5 
5 
5 
5 
5 
L 
5 
5 





a Perire Ours P. S. 
(suite). 

Nombre 

+88°28' d'observat. 

Déc. 3 23/00 

62150 

8 19,3 

DT AE 

Moyenne 23,5 


I 
I 
4 


a Perire Ourse P. I. 


Avril 14 16/,2 
Mai 1 19,5 


SES 
15,9 


GT OT OT OÙ Or O7 Gr OT UT Où UT OÙ Ur OT O7 V7 O1 EN UE UN O7 EU F= D GIFS OO VIH COM mt = me M mt me 





a Perire Ours P. I. 
(suite). 
Nombre 
d'observat. 


151,2 
14,4 
19,0 
14,5 
16,6 
16,1 
147 
14,6 
17,0 
15,3 
16,2 
15,8 
15,4 
16,0 
15,3 
149 
15,9 


15,2 


Août 25 


26 





17,2 
15,3 
15,0 
15,6 
1797 
22,9 
22,6 
16,8 
13,6 
18,0 
19,8 
es 
18,7 
1757 
19,0 
20,8 
21,1 


D b D D D D mm 
D M O D OR m OU I QUI+ 


DUO GUERRES CE ES QE D D GER GOUWR GE 01 


D D 
© Qt 


Moyenne 16,3 
à Perire Ourse 


+86°35" 
Mars 10 38/,1 
Juill. 17 40,3 
18 38,9 
26 39,1 
29 41,9 

Ù 


2,1 


Du 








D OTO QTO m QC m 


7 ui 
12 39,8 





a PeriTe Ounse S. 
(uite). 

Nombre 
+86°55' d'observat. 
Août 14 35,9 2 
24. 3 
25 
27 
28 
I 
19 
20 
21 
5 
6 
14 
7 
21 
24 
22 





JON MRRNUI D CON CO D mm ©Q9 ©) 


Nov. 


Moyenne 39,4 


à Perire Ouese P. I. 


486035 
Janv. 17 35, 
3 30 
33,9 
31,0 
35,1 
32,8 


Févr. 


Mars 


FFE D HD He ei Det Det Det et Det Det Det mt Det Det ND De Det el et jet 


Moyenne 33,0 





24 


94 


Comparaison des positions observées des étoiles fondamentales avec les positions tirées des Éphémerides de Berlin. 


















































4 É L NOMBRE e ci ù .| NOMBRE 2 
NOM DES ETOILES. PROPRES “ee : & OBS.—EPH. Fe er pe des OBS. — EPH. 
4er Janvier 1845. OBSERVATIONS. 4er Janvier 1845. OBSERVAT. 
LA 7 à ' 'OTEMT 
æ« Petite Ourse à : EEE ; FRE 5 ; se 
EN POE TS , 1 
9 Petite Ourse { É È he Ppus An “ F *. 
Loos » > — 2; 
: + PIS. Ter 74.47.5x,7 23 + 3,0 14.51.13,98 25 + 0,10 
B, Petite Ourse { PATES 46,2 15 _ ME 1 ,72 14 = ce 
NOR NN { < ; SHÈDE ee 10 + 1,6 Pt 12 + Le 
k FERRER SA 1 — 2,1 59 10 — 0,0 
æ« Grande Ourse P. S..... 62.35.5240 18 + sf 10.53.59,21 22 + 0,16 
1 f P. S...…. 1.55.19,6 29 + 2, 21.14.49,85 35 + 0,14 
œ Céphée..... \ È 1 tie ne 6 ë en : Lo57 _ ook 
RD ORNE Secret: -40.01 2# + 1,0 0.91.90,0 2 — 0,0 
7 DEEE AIS de de 28,0 5 - 23 38,10 9 - 0,03 
y Grande Ourse P. S..... 54.34. 4,4 35 + 9,1 11./5.32,72 40 — 0,13 
IV { à re cs 0 + ee Map " + cos 
LET ÉRSS ti À — 2, ,62 =} 
n Grande Ourse........... 5o. 5.57,6 39 + 1,9 13.41.20,85 45 — 0,08 
GIRErSCE eee remet e 49:17.479 17 + 0,6 3.13. 8,70 20 — 0,09 
ATCOGNER EE ee bee ete 5. 5. 6,05 30 + 0,05 
DACYEDER- cer peseee 44.43.18,9 8 + 0,9 20.36. 5,03 34 + 0,20 
Ͼ Lyre.................. 38.38.28,7 44 + 2,0 18.31.37,34 48 - 0,08 
œ2 Gémeaux RS DR 32.13.31,7 21 — 2,6 7-24-34,32 31 + 0,17 
B Taureau DER die nel its 28.28. 3,2 30 AIS 5.16.22,23 31 _- 0,05 
æ Gémeaux. .............. 28.23.56,7 30 - 19 7-35.41,99 38 + 0,03 
æ Andromède,..........., 28.13.22, 13 — 1,9 0. 0.16,96 18 + 0,02 
æ Couronne .............. 27-14.45,9 27 — 2,2 15.98. 2,53 30 + 0,05 
æ Bélier.................. 22,43. 0,0 15 — 0,7 3.58.20,11 16 + 0,04 
MUPBOUVIEL er eme ee Eeileie 20, 0. 7,0 29 — 1,8 14. 8.30,11 36 + 0,01 
æ Taureau................ 16.11.14,6 34 — 2,0 4.26.55,ot 36 — 0,01 
(CGT A, POS MOTOS 1 RD OD re 26 + — 22 11.41. 2,79 34 + 0,02 
œ Hercule SOS AA SET 14.34.22,8 30 — 2,6 17. 729141 33 — 0,03 
« Pégase DC AS ROBES LEE 14:21.59,8 20 2,5 22.56.56,64 21 0,00 
? Pégase nee es oo vite she ses à 14.18.35,8 20 0 0, LA 9,46 A1 _ 0,04. 
æ Lion.................. 12.43.53,6 23 — 132 10. 0. 0,24 27 + 0,01 
œ Ophiuchus ABUS 0 20 Dre 12.40.41,3 25 — 3,5 17.27.38,93 36 + 0,12 
y Aigle. ................. 10.13. 3,8 25 — 1,7 -19.38.47,74 2 — 0,02 
œ Aigle SRE CAO TOIE 8.27.26,4 38 49 19.43. 726 44 + 0,01 
a Orion te Se ER SNS 7-22-16,1 36 — 2,5 5.46.40,36 4x - 0,02 
æ Serpent. .... .......... 6.55.22,2 27 ta 15.36.32,30 3 — 0,04 
B Mae So SAIT oo es 6. 1. 6,2 42 — 0 19.47.36,04 43 — 0,08 
a eut MIEN 5 « ss.» ol, e 5.37.18,9 39 + o,b 7.31. 4:72 4o = 0,09 
æ Baleine................ 3.28.10,1 12 0,0 2.54. 4,63 15 — 0,07 
B Vierge TROIS Bi To T 0 + 2.38.59,9 1 + 3,1 11.42.30,99 2 + 0,01 
AAVIENSEADE cel Re CE = 14.49 10 — 0,2 21.57.43,14 10 + 0,06 
a Hydre................. 7-58.54,0 26 — 09 9-19.52,24 27 + 0,03 
6 pese SSD E 0 DAC D 0 8.25.10,3 CE — 1,2 ÿ. b.59,60 39 — 0,05 
at el de 
a Possenssessotss 12 99 22, 1 = 1,2 20. 5. 2 — 0,02 
a? Sas LADA CS Dodo d 12: 1.39,1 5 24 0,7 sacs 2 _ ae 
grsbalance eee 14.42. 0,7 — 0,0 
pe aUatais he ain ns res 15.23. 9,9 11 — 2,1 DENTAT 15 — 0,09 
æ Grand Chien............ 16.30.22,2 34. — 0,9 6.38.13,86 39 + 0,22 
œ Scorpion....... DRE — 26. 4.44,3 22 = 3,6 16.19.4739 28 — 0,06 














Observations d’occultations d'étoiles par la Lune dans l’année 1843. 


Les instants sont donnés en temps sidéral de Genève; l’erreur de la pendule a été déter- 
minée par les observations de M. Bruderer. Les initiales P. et B. indiquent les observations 
qui ont été faites par moi et par M. Bruderer. 


NN. ". (144) Gémeaux ©: . . : . . © Imm. bord obscur  7*54" 3°,12 B. 

HAMAES 0 670 ION PRE en Lee Le. Imm. bord obscur 13 2 3,00 » 
Emer. bord éclairé 14 8 55,23 

7 Avril. . . * Gémeaux 4R 7'8"; 9+21°2' Imm. bord obscur 9°49"13°,54 P. 

» » » » »16,04 B. 

DEV, 0 (GT) BA VIERGE ET 0. ne Imm. bord obscur 10 4 0,93 P. 

DD 1,33 00 

Pont... -:Jx7POISSONS. 4-2 mn eue Imm. bord éclairé 1914 1,50 » 

» » Emer. bord obscur 20 24 29,87 » 

» GxAPOISSONS AE. MATE et Imm. bord éclairé 1929 25,70 » 

» » Emer. bord obscur 20 7 38,35 » 

AAVAOUE 7202 el BÉBERS. ee Wen Due Imm. bord éclairé 20 46 8,91 P. 

Emer. bord obscur 2143 2,00 » 

6 Octobre. . 19 m Poissons. . . .. . . .. Imm. bord obscur 23 46 12,93 B. 

Emer. bord éclairé 1 7 18,06 » 


Page D, 
Page 5, 
Ibid. 


Page 8, 


Page 13, 
Page 15, 
Page 20, 
Page 23, 
Page 25, 
Ibid. 

Page 27, 
Page 28, 
Page 29, 
Page 30, 
Page 33, 


Page 34, 
Ibid. 
Page 37, 
Ibid. 
Page 38, 
Page 39, 
Page 40, 
Ibid. 
Page 41, 
Page 42; 
Ibid. 
Page 45, 
Page 50, 





PAL HiSN27 


ERRATA. " 


pour « Cygne, la Correction de la Pendule est — 85°,06 au lieu de — 85',80. 

pour B Céphéel; la Moyenne des Verniers est 248°35’7!,0 an lieu de 238°35' 7". 

pour 102 « Taureau, la Correction de l’Instrument est 0°,37 au lieu de 0°,32; pour la même étoile, la 
Moyenne des Verniers est 337°23/45/,2, au lieu de 347°23'45/,2; enfin la Réfraction est + 26/!,7 au 
lieu de 40/,1. 

pour 102 4 Taureau, la Correction de l’Instrument est 0°,37 au lieu de 0°,32; et la Réfraction est + 26/,4 
au lieu de 39,7. 

ligne 3, pour B Aigle, la Moyenne des Verniers est 352°44'12/,2 au lieu de 352°4'12/,2. 

ligne 9, on a pris une autre étoile pour 15 n Vierge. 

la déclinaison de (1383) Vierge est erronée. 

les déclinaisons de 58 d Lion, 65 p= Lion, gx v Lion du 22 Mai sont de 10/! trop faibles. 

pour (1861) Scorpion, le passage conclu au fil méridien est 16"7m05,61 au lieu de 16h7m05,31r. 

pour & Scorpion, le passage conclu au fil méridien est 16h18"595,62 au lieu de 16" 19mb9,62. 

pour (1817) Serpent, le passage conclu au fil méridien est 15"46m21°,99 au lieu de 15h46m22°,19. 

ligne 3 d'en bas, pour 89 x Vierge, la Moyenne des Verniers est 16°5/46/,5 au lieu de 15°5/46/,5. 

pour (1939) et 26 x Ophiuchus, il faut ajouter une minute à l'ascension droite. 

pour & Serpent, le passage conclu au fil méridien est 16*13m26°,19 au lieu de 16h13"M26°,39. 

pour l'Observation de 9 Serpent du 8 Juillet, la Moyenne des Verniers est 342°46/ 44! ,0 au lieu de 
342°44"44l,0. 

ligne 8, pour 47 y: Sagittaire, il faut ajouter 3 minutes à l'ascension droite. 

ligne 2 d’en bas, lisez (XVII 376) Piazzi au de (XVII 375) Piazri. 

ligne 19, même correction. 

pour 14 Sagittaire, le passage conclu au fil méridien est 18°4®28°,05 au lieu de 18°428,45. 

ligne 16, lisez (XVIL 376) Piazzi au lieu de (XVII 375) Piazzi. 

ligne 18, mème correction. 

ligne 18, même correction. 

ligne 22, lisez (XVIII 175) Piazzi au lieu de (XVIIL 180) Piazzi. 

ligne 14, on a pris une autre étoile pour (2276) Sagittaire. 

ligne 16, on a pris une autre étoile pour (2276) Sagittaire. 

ligne 18, l'ascension droite de e? Sagittaire est erronée. 

pour 5 y Petit Cheval, le passage conclu au fil méridien est 21"1m30°,33 au lieu de 21b130",72. 

pour à y Petit Cheval, le passage conclu au fil méridien est 21h1®14",74 au lieu de 21P1m4",74. 





4 Fu NC ui 
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TABLE DES MATIÈRES 
CONTÈNUES DANS LA SECONDE PARTIE | 


DU DIXIÈME VOLUME. 














Mémoire sur le Daltonisme, par M. Elie Wartmann ................... 
Mémoire sur les hautes eaux du lac Léman, par M. le colonel Dufour. . ... 
Résultats des observations magnétiques faites à Genève dans les années 1842 

et 14845, par M. E. Plantamour.............4...... RATS 
Mémoire sur la famille des Primulacées, par M. J.-E. Duby . ......... 
Note sur les Convolvulacées du Brésil et sur le Marcellia, genre nouveau de 

cette famille, par M. Choisy 50... ..., 4... 



















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